diff --git "a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/Le Talmud de J\303\251rusalem, traduit par Moise Schwab, 1878-1890 [fr].json" "b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/Le Talmud de J\303\251rusalem, traduit par Moise Schwab, 1878-1890 [fr].json" new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..f8158aa34fa4599d0e4df623e6488443aa91c0ed --- /dev/null +++ "b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/Le Talmud de J\303\251rusalem, traduit par Moise Schwab, 1878-1890 [fr].json" @@ -0,0 +1,84 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Avodah Zarah", + "versionSource": "https://www.nli.org.il/he/books/NNL_ALEPH002182155/NLI", + "versionTitle": "Le Talmud de Jérusalem, traduit par Moise Schwab, 1878-1890 [fr]", + "status": "locked", + "license": "Public Domain", + "actualLanguage": "fr", + "languageFamilyName": "french", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה עבודה זרה", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "Trois jours avant les grandes fêtes des païens1 Cf. (Berakhot 8, 7)., il faut éviter d’avoir des relations commerciales avec eux, de leur prêter des objets ou d’en emprunter, de leur faire un prêt ou un emprunt d’argent, de leur livrer ou de recevoir d’eux un paiement. R. Juda dit: Il est permis de se faire payer d’eux, parce que c’est un ennui pour eux (et n’est pas une participation à la fête). Les autres docteurs lui répliquèrent: s’il est vrai qu’une telle réclamation est un ennui momentané, elle donne plus tard de la joie (et c’est interdit).", + "R. Ismaël dit: l’interdit a lieu aussi bien trois jours avant les fêtes que trois jours après; selon les autres docteurs, c’est seulement interdit avant, non après.", + "Les jours considérés comme fêtes2 En raison des Calendes, qui sont citées de suite après, le mot araméen Aid fait penser aux Ides (il est étonnant que ni J. Lévy, ni Fleischer n'indiquent cette étymologie). des païens sont les suivants: les calendes, les saturnales, l’anniversaire de l’arrivée au pouvoir crato\", le jour d’installation du souverain, genesi\", l’anniversaire de naissance ou de décès. Tel est l’avis de R. Meir. Les autres docteurs disent: seule, la mort accompagnée d’une combustion (incinération?) constitue un acte idolâtre; sans elle, ce n’est pas de l’idolâtrie. Le jour où le païen se coupe la barbe ou les cheveux, ou le jour de son arrivée par mer, ou le jour de sa délivrance de la prison, ou le jour auquel il fait à son fils le repas nuptial, c’est là le jour interdit, bien entendu à l’égard de cet homme seul.", + "Si une idole se trouve dans une ville, il est permis (aux jours de fête) d’avoir des relations avec les païens hors de la ville; si au contraire l’idole est au dehors, les relations sont permises à l’intérieur. Est-il permis d’y aller en un tel jour? Si la route mène uniquement à cet endroit, c’est défendu; mais si par la route on peut encore aller ailleurs, il est permis d’y passer. S’il y a une fête d’idole dans une ville, dont les boutiques sont les unes ornées de couronnes et d’autres ne le sont pas, cas qui est survenu à Bet-Shean (Scythopolis), les docteurs disent que dans les boutiques ornées on ne devra pas aller; mais il est permis d’aller dans celles qui ne le sont pas.", + "Il est défendu de vendre aux païens des pommes de pin, ou des figues hâtives avec leurs tiges, ou de l’encens, ou un coq blanc. R. Juda dit: on peut lui vendre un tel coq parmi d’autres; lorsqu’on veut le lui vendre seul, on lui coupe un ergot avant de le vendre, de façon à éviter toute participation à l’idolâtrie pour laquelle on n’offre pas d’animal défectueux. Il est permis de vendre tous autres objets qui ne sont pas désignés (pour l’idolâtrie); mais s’ils sont désignés pour un culte d’idole, c’est défendu. R. Meir défend aussi de vendre aux païens de bons fruits de palmiers, dactulo\", les dattes sauvages et les glands, Nicolai3 V. Pline, Historia natur., 1. 13, c. 4. Cf. t. 2, p. 139..", + "Dans les localités où il est d’usage de vendre du menu bétail aux païens, on peut aussi le faire en ces jours; mais où ce n’est pas l’usage, il faut s’en abstenir. Nulle part on ne doit leur vendre du gros bétail, ni des veaux, ni même des ânons, entiers ou non (aux pieds rompus). R. Juda permet de vendre ces derniers, et Ben Bethera permet de leur vendre des chevaux.-4 \"Toute la Guemara de ce §5 est traduite (Pessahim 4, 7); Cf. Baba Qama, 7, 10.\"", + "On ne devra leur vendre ni ours, ni lions, ni aucun animal pouvant causer un dommage public. On ne les aidera pas à ériger une basilique, basilich, ni des hippodromes stadia, ni des tribunes de luttes, bhma; mais on peut leur construire des monuments et des salles de bain; seulement, arrivant à la voûte où il s’agira de placer l’idole, on cessera de coopérer.", + "Il ne faut pas faire d’ornements aux idoles, ni collier, ni boucle, ni bague. Il ne faut pas (pour les temples des idoles) leur céder des immeubles, mais des objets détachés. R. Juda permet de leur vendre des objets encore adhérents au sol, à condition que ces objets seront détachés plus tard. Il ne faut pas louer aux païens des maisons en Palestine, encore moins des champs. En Syrie, on peut leur louer des maisons, non des terrains. Enfin, en dehors de la Palestine, on peut leur vendre des maisons et louer les champs, selon R. Meir. R. Yossé dit qu’en dehors de la Palestine, on peut leur vendre des maisons et des champs; en Palestine même, on leur loue des maisons, non des champs, et en Syrie on peut même leur vendre des maisons et louer des champs.", + "Cependant, même lorsqu’on a permis de louer aux païens une construction, cette faculté ne s’étend pas aux demeures, car le païen y apporterait son idole, comme il est dit (Dt 10, 22) tu n’apporteras pas d’abomination dans ta demeure. Nulle, part on ne devra lui louer une maison de bains, car elle porterait le nom du propriétaire (tandis que le locataire s’y livrerait à des travaux le Shabat)." + ], + [ + "Il ne faut pas laisser chez les païens (sauvages) un animal, car ils pourraient commettre sur lui un vice honteux; une femme ne doit pas rester seule avec eux, car ils sont soupçonnés de relations illicites. Même un homme ne doit pas rester seul avec eux, car ils pourraient l’assassiner. Une femme israélite ne doit pas accepter les fonctions de sage-femme chez une païenne (suspecte), car elle élèverait un enfant destiné à servir des idoles; mais on peut laisser une païenne accoucher chez une israélite. Une femme israélite ne doit pas devenir la nourrice du fils d’un païen (suspect), mais on peut laisser une païenne se placer comme nourrice de l’enfant d’un israélite, à la condition qu’elle reste chez la mère1 Elle pourrait l'assassiner, dit Rashi, si elle le prenait chez elle..", + "On ne doit pas se laisser soigner par eux, quand on est malade, et on ne doit nulle part se faire raser par eux (c’est dangereux); c’est l’opinion de R. Meir. Les autres docteurs disent, qu’on peut se faire raser par eux dans un endroit public où il y a du monde, mais non rester avec le païen en tête-à-tête.", + "Voici les objets qui, appartenant à un païen, deviennent interdits, avec défense d’en tirer aucun profit: le vin et le vinaigre des païens qui a d’abord été du vin (et a pu servir aux libations des idoles), l’argile d’Hadrien (contenant du vin), des peaux vives arrachées en face du cœur des animaux (en sacrifice d’idolâtre). R. Simon b. Gamliel dit: quand la déchirure est ronde, la peau est interdite; si la déchirure est longue, la peau reste permise à l’usage. De la chair que le païen va importer pour l’offrir à l’idole est encore permise; mais celle qu’il sort de chez lui est interdite, car elle est à considérer comme sacrifice aux morts. Tel est l’avis de R. aqiba. Il est défendu d’avoir des relations commerciales avec ceux qui se rendent à l’idolâtrie, mais c’est permis avec ceux qui en reviennent.-2 En tête est un long passage déjà traduit en (Terumot 8, 4)..", + "Le contenu d’outres des païens, ou dans leurs cruches, fût-ce du vin provenant d’Israélites, est interdit, avec défense d’en tirer nul profit; tel est l’avis de R. Meir. Les autres docteurs ne défendent pas d’en tirer un profit. Il est défendu d’utiliser les pépins et les peaux de raisins des païens, ni d’en tirer profit. Tel est l’avis de R. Meir. Les autres docteurs n’interdisent que les pépins verts, non les secs. Les saumures3 Pour le sens de almuris voir notre note au t. 5, pp. 323-4. et le fromage provenant de Bet-Onéqé4 Les mots entre , omis au texte jérusalémite, sont pris du texte Babli. et la thériaque des païens sont interdits, avec défense d’en tirer nul profit. Tel est l’avis de R. Meir. Les autres docteurs disent qu’il est permis d’en tirer un profit indirect5 La Guemara de ce § est traduite en (Terumot 11, 1)..", + "R. Juda dit que R. Ismaël demanda à R. Josué pendant qu’ils voyageaient ensemble: -Pourquoi les fromages des païens sont-ils interdits? -Parce que ceux-ci font coaguler le lait dans un estomac de bête crevée. -Quoi! répliqua R. Ismaël, est-ce que l’estomac d’un holocauste ne comporte pas plus de gravité que celui d’une charogne; et comme un jour l’avis fut exprimé qu’un cohen qui désire manger cette partie peut l’avaler crue, l’avis ne fut pas confirmé, en disant que l’on ne doit pas en jouir sans que ce soit là une prévarication? -L’interdit provient, dit R. Josué, du séjour du lait dans l’estomac d’un veau offert à l’idole. Mais alors, répliqua R. Ismaël, pourquoi ne pas en interdire toute jouissance? Son interlocuteur parla d’un autre sujet et dit: Ismaël mon frère, lis-tu (Ct 1, 2): tes amours sont meilleurs que le vin, DODEKHA ou DODAIKH? -J’adopte cette dernière leçon, dit R. Josué. -Non, fut-il répliqué, car le verset suivant autorise la première leçon (il ne faut donc pas y regarder de trop près).", + "Les objets suivants appartenant aux païens sont interdits, sans qu’il soit défendu toutefois d’en trier un profit indirect: le lait trait par des païens, sans qu’un israélite l’ait vu, leur pain et leur huile; toutefois, Rabbi et son tribunal permettent d’user de leur huile; tout aliment bouillie par eux ou confit, pour lequel la sauce contient du vin ou du vinaigre; du triton haché, de la sauce où ne surnage pas de menu poisson, du petit poisson de mer (halec), un morceau d’assa, du seul d’une source saline; tous ces objets sont interdits, mais il n’est pas défendu d’en tirer profit.6 En tête sont 2 passages déjà traduits, le 1er long, en (Shabat 1, 6), le 2e, (Sheqalim 6, 3)..", + "Il est permis de manger les objets suivants des païens: du lait trait par un païen en présence d’un israélite, du miel, un gâteau de miel de la ruche; même s’il égoutte encore, ce miel n’est pas un liquide sujet à la propagation de l’impureté; les objets confits auxquels il n’est pas d’usage de joindre du vin ou du vinaigre; du triton non haché, de la saumure sans poisson; une feuille d’assa, des olives roulées en gâteau rond. R. Yossé dit: les olives dont les noyaux tombent aisément sont interdites. Les sauterelles venant de la corbeille (vendues directement après la cueillette) sont interdites; mais celles qui viennent du réservoir sont permises. Il en est de même pour l’oblation (que l’on craint d’avoir reçu pour des aliments profanes)." + ], + [ + "Toutes les idoles sont d’une jouissance interdite, car on les adore au moins une fois par an1 C'est, dit le commentaire, lorsque la terre est sise dans le signe du zodiaque correspondant à l'idole.. Les autres sages ne déclarent interdite que l’idole ayant en main un bâton, ou un oiseau, ou une boule. R. Simon b. Gamliel interdit toute idole qui a en main un objet quelconque.", + "Celui qui trouve des fragments de vases simulant l’idole, peut les utiliser. Si l’on trouve une forme de main ou de pied, il est défendu d’en user, car il arrive que de tels objets sont adorés.", + "Si l’on trouve des vases où est représenté le soleil, ou la lune, ou un dragon, dracwn, il faut les jeter à la mer. Selon R. Simon b. Gamliel, seulement au cas où ces images sont figurées sur des vases précieux, ceux-ci sont interdits; mais si elles sont sur des non-valeurs, il n’y a pas d’interdit. Selon R. Yossé, on peut les réduire en poussière et les disperser, au vent, au lieu de les jeter à la mer. Mais alors, fut-il répliqué, cette poussière redevient un engrais au champ; or, il est dit (Dt 13, 17): rien de l’interdit ne devra rester entre tes mains.", + "R. Gamliel allait prendre ses bains à Acco dans une maison de bains qui appartenait à la déesse Aphrodite2 Ce nom, dans Maïmonide, au commentaire sur la Mishna est traduit Zohra (= Vénus), pour lequel le ms. De Londres (Oriental mss., n° 2391) a exactement Zohra. (le temple de cette déesse, ses prêtres et le personnel étaient entretenus des revenus qu’on retirait de la maison de bains). Un païen, Proclus ben Philosophos lui demanda comment il pouvait se permettre d’aller prendre des bains dans une maison affectée au service d’une idole, quand la loi mosaïque (ibid.) défendait de tirer le moindre profit des objets consacrés aux divinités païennes? Une fois sorti, R. Gamliel répondit: Je ne vais pas dans le domaine de l’idole, c’est elle qui vient dans le mien; on n’a pas construit la maison de bains en l’honneur de l’Aphrodite; c’est elle au contraire qui sert d’ornement à la maison de bains (c’est une maison publique, appartenant à moi comme à tout le monde). Ou bien encore, quelle que soit la somme d’argent que l’on te donnerait, tu n’entrerais pas devant ton idole à l’état nu, ou étant gonorrhéen, ou pour uriner devant elle; mais cette idole est sise à la rigole du bain, et tous urinent devant elle. Or, la Loi emploie l’expression leurs dieux; donc, ceux envers lesquels on se conduit avec respect, comme à l’égard d’un dieu, sont interdits, mais ceux que l’on ne traite pas avec les mêmes égards sont permis.", + "Il est permis d’utiliser les monts et collines adorés par les païens, non ce qui se trouve sur ces lieux, car il est dit (Dt 7, 17): Tu ne désireras par l’argent et l’or sur elles (les idoles) pour le prendre. R. Yossé le Galiléen le déduit3 Siffri, section Reêh, ch. 60. des mots leurs dieux sur les montagnes (Dt 12, 2); les montagnes ne sont pas des dieux. De même il est dit (ibid.): leurs dieux sur les collines; celles-ci ne sont pas des dieux. Alors pourquoi un bocage est-il interdit? Parce qu’il est de formation humaine, et tout objet artificiel est susceptible d’interdit. Je veux t’expliquer et commenter ce passage, dit R. aqiba: partout où l’on trouve une haute montagne, une colline élevée et un bois verdoyant, sache qu’il y a là une idole.", + "Un propriétaire, dont la maison adossée à un temple d’idoles tombe en ruines, ne devra pas la réédifier. Comment donc faire pour reconstituer son bien? Il devra se placer d’abord en retrait de 4 coudées du voisinage, puis reconstruire. Si le mur de séparation est mitoyen aux deux propriétés, il pourra mettre en compte la moitié de ce mur. Le port des pierres, bois et mottes de terre, rend impur à l’égal du contact d’un reptile, car il est dit (Dt 7, 26): tu l’auras (l’idole) en abomination comme un ver. R. aqiba dit4 V. (Shabat 9, 1).: le contact de ces objets rend impur comme celui d’une femme menstruée, car il est dit (Is 30, 22): tu les rejetteras (les idoles) comme une femme impure, et tu leur diras de sortir. -Or, de même que la femme menstruée rend impur celui qui la porte, de même il en est de l’idole.", + "Quant aux maisons, il y a trois catégories à observer: une maison érigée en principe à l’idole est interdite. Si on l’a seulement enduite de ciment, ou préparée pour l’idole par une rénovation, il suffit à l’israélite d’enlever ces changements pour utiliser la maison. Si le païen après y avoir apporté une idole la remporte, la maison redevient permise. Il y a trois sortes de pierres: une pierre taillée dès l’origine comme socle, bwmo\", est interdite. Si elle a été seulement enduite de chaux, ou adaptée à l’idolâtrie par une modification, il suffit d’enlever le changement pour la rendre d’un usage permis. De même, si après avoir placé une idole sur la pierre on l’a ensuite enlevée, l’usage redevient permis. Il y a trois sortes d’arbres, phallus: un arbre planté en principe pour l’idolâtrie est interdit. S’il a été seulement taillé et émondé pour l’idole, puis on a modifié son aspect, il suffit d’enlever la partie modifiée (et le reste est permis). Enfin si l’on a placé au-dessous une idole, plus tard détruite, il reste d’un usage permis. On appelle bocage sacré le bois sous lequel il y a une idole. Selon R. Simon, on nomme ainsi l’arbre que l’on adore lui-même. Il arriva un jour à Sidon qu’au-dessous de l’arbre où on se livrait à l’idolâtrie, il y avait un monceau. -Examinez ce monceau, dit R. Simon: ce qui fut fait. On vit qu’il y avait là une image. -Puisque celle-ci était adorée, dit-il, l’usage de l’arbre reste permis.", + "On ne doit pas s’asseoir à l’ombre d’un arbre d’idole; en cas de fait accompli, on reste pur. On ne doit pas passer au-dessous de ce bois; en cas de fait accompli, on devient impur. Si les branches empiètent sur la voie publique et que l’on passe au-dessous d’elles, on reste pur. Au-dessous d’elles, il est permis d’ensemencer des légumes verts dans la saison des pluies, non en été; mais il n’est pas permis d’y semer de la laitue, ni l’été, ni l’hiver. R. Yossé interdit même de semer des légumes verts dans la saison des pluies, parce que les fleurs de l’arbre en tombant sur les semailles, leur servent d’engrais (et leur profitent).", + "Si d’un bocage d’idole on a enlevé du bois, il est défendu de s’en servir. Si ce bois a servi à chauffer le four, qu’il soit neuf ou vieux, il faudra démolir le four. Le pain cuit dans ce four est interdit à tout usage, et si ce pain a été mêlé à d’autres, tous seront interdits. Selon R. Eliézer, il suffira de prendre le montant du profit et de le jeter à la mer. Toutefois, observèrent les autres docteurs, il n’y a pas lieu à rachat Si dans le bois consacré à l’idole on taille une navette, il est interdit d’en profiter; si l’on s’en est servi pour tisser une étoffe, elle ne pourra pas être employée. Si elle a été mêlée à d’autres, et celles-ci à leur tour sont mêlées avec d’autres, toutes sont interdites. Selon R. Eliézer, il suffira de jeter à la mer le montant du profit. -Non, fut-il répliqué, on ne rachète rien, de ce qui est à l’idolâtrie.-5 La Guemara sur ce est traduite en (Orla 3, 1) fin.", + "Comment procède-t-on à l’annulation de l’idole adorée en un arbre? Si l’idolâtre a enlevé de l’arbre des souches sèches, ou des branches vertes, ou s’il en a découpé un bâton ou une verge, fût-ce seulement une feuille, l’idole se trouve annulée. Si l’une de ces opérations a été faite en vue du profit de l’arbre, il reste interdit; si elle a eu lieu sans profit pour l’arbre (avec intention manifeste de rupture), l’arbre redevient permis." + ], + [ + "R. Ismaël dit: s’il y a trois pierres l’une à côté de l’autre auprès d’un Mercure1 L'adoration consistait en ce que les passants plaçaient des pierres à côté de cette statue V. Conder, Syrian stone-lore, p. 265., elles sont interdites; s’il n’y en a que deux, elles sont d’un usage permis. Les autres docteurs disent: celles qui visiblement font partie de cette idole sont interdites; celles qui n’apparaissent pas comme telles, restent permises.", + "Si dans la tête du Mercure on trouve de l’argent, ou un vêtement, ou des vases, ils restent d’un usage permis. Si l’on y trouve des ceps chargés de raisins, ou des couronnes d’épis, ou du vin, ou de l’huile, ou de la fleur de farine, ou tout objet dont le semblable est offert en sacrifice sur l’autel, c’est interdit.", + "Si un jardin ou un établissement de bains appartient à une idole (à ses prêtres qui l’exploitent), on peut en faire usage si l’on ne paie pas pour l’utiliser; mais l’on ne doit pas en faire usage en payant2 Si l'offre n'était pas gratuite, elle servirait à glorifier l'idole.. Si le jardin ou le bain appartient à l’idole et à un particulier, on peut en tous cas l’utiliser.", + "L’idole faite par un païen devient de suite d’un usage interdit, et celle qu’a faite un israélite n’est interdite qu’après l’adoration, un païen peut annuler son idole et celle fabriquée par un israélite (de façon à rendre son usage permis); mais un israélite ne peut pas effectuer l’annulation d’une idole érigée par un païen. En annulant l’effet d’une idole, le même résultat est acquis pour les accessoires de l’idole; mais l’annulation de ces derniers n’entraîne pas le résultat pour l’idole elle-même, qui est interdite.", + "Comment annule-t-on l’idole? En lui coupant p. ex. le bout de l’oreille, ou le bout du nez, ou l’extrémité du doigt. Comprimer l’idole, sans rien lui enlever, suffit à l’annuler. Cracher sur elle, ou uriner devant elle, ou la traîner dans la boue, ou jeter une ordure sur elle, ce n’est pas l’annuler. La vendre ou la mettre en gage, c’est l’annuler, selon Rabbi; les autres docteurs ne sont pas de cet avis.", + "L’idole que ses adorateurs ont délaissée pendant une période de paix, est permise; mais celle qui a été abandonnée pendant la guerre reste interdite. Les piédestaux (grec: bomoï) d’idoles pour les rois restent permis, car l’idole est érigée seulement pour le passage des rois.", + "On demanda à des anciens dans Rome: puisque Dieu ne se plaît pas aux idoles, pourquoi ne les détruit-il pas? -C’est que, répondirent-ils, si l’on adorait des objets inutiles au monde, Dieu les détruirait; mais comme ils adorent le soleil, la lune, les étoiles, les planètes, les montagnes, les collines, Dieu ne perd pas le monde à cause des insensés. -S’il en est ainsi, répliquèrent les adversaires des Juifs, que Dieu laisse perdre ce qui est inutile au monde et maintienne ce qui lui est nécessaire? -Nous aussi, répondirent les anciens, nous soutiendrions alors ceux qui adorent ces idoles et qui diraient: Vous voyez bien que ces objets du moins sont des idoles, puisqu’ils ne sont pas détruits!", + "On peut acheter d’un païen un pressoir de vin, bien que celui-ci prenne à la main des grappes à remettre sur le tas de raisins. Le vin n’est considéré comme interdit à titre de libation qu’après la descente dans la cuve; après cette descente, ce qui est dans la cuve est interdit3 EN cas de contact d'étranger., et le reste est permis.", + "Au boulanger qui travaille à l’état impur on ne devra aider ni à pétrir la pâte, ni à préparer le pain; mais on pourra l’aider à transporter les pains chez le marchand, prathr.-4 La Guemara sur ce est déjà traduite en (Sheviit 5, 9). Si un païen se trouve placé à côté d’une cuve de vin, au cas où il a une créance sur ce vin, celui-ci devient interdit (par crainte d’un contact défendu); si non, le vin reste permis.", + "Si le païen est tombé dans cette cuve et en a été remonté mort, ou si le païen a mesuré ce vin à l’aide d’un tube, ou si à l’aide d’un tuyau il a rejeté une guêpe de vin, ou si avec la paume de la main, il a frappé sur les vagues du vin en fermentation, tous cas qui sont survenus, il faut vendre le vin, selon l’avis des docteurs. R. Simon en permet l’usage. Si le païen a pris le tonneau et dans un mouvement de colère l’a jeté dans la cuve, fait qui est arrivé, les docteurs ont permis de le boire. On peut aider le païen à comprimer le vin au pressoir, mais non à le vendanger. A l’Israélite qui se livre à ce travail dans un état d’impureté, on ne prêtera pas d’aide ni pour comprimer, ni pour vendanger; mais on peut amener avec lui des tonneaux (vides) à son pressoir, ou les retirer de là (remplis).", + "Si un israélite a traité avec pureté le vin d’un païen, qu’il laisse dans le domaine de ce dernier, dans une maison ouverte sur la voie publique, dans une ville où il y a également des païens et des israélites, ce vin reste d’un usage permis. S’il ne demeure là que des païens, ce vin sera défendu, à moins que l’israélite n’ait installé un gardien auprès du vin; celui-ci n’a pas besoin de rester assis pour le surveiller, il pourra même aller et venir, et le vin restera permis. Selon R. Simon b. Eléazar, tous les domaines des païens sont considérés de même (et lorsque l’israélite seul dispose de la clôture, tous sont d’avis de permettre l’usage du vin qu’elle contient).", + "Si un israélite a traité avec pureté le vin d’un païen, qu’il laisse dans le domaine de ce dernier, et celui-ci écrit un acte disant: “j’ai reçu de l’argent de toi”, le vin reste permis. Mais si l’israélite veut emporter ce vin, et le païen s’y oppose jusqu’à réception de la somme stipulée, fait qui est survenu à Bet-Shean, les docteurs interdisent l’usage de ce vin." + ], + [ + "Un ouvrier (israélite) loué par le païen pour travailler avec lui au vin de libation ne pourra pas jouir de son salaire. Si l’ouvrier a été engagé pour accomplir un autre travail, lors même que le païen l’aurait chargé à un moment de faire passer un tonneau de vin de libation d’un endroit en un autre, l’ouvrier pourra toucher le salaire. Si le païen a loué un âne d’un israélite pour s’en servir au transport du vin de libation, le montant de la location sera interdit à l’israélite; mais si l’âne a été loué pour que le païen puisse s’asseoir dessus, lors même que celui-ci y aura déposé sa cruche de vin, laguno\", le montant de la location sera d’un usage permis.", + "Si du vin de libation est tombé sur les raisins, il suffit de les laver et ils restent d’un usage permis; mais s’ils étaient fendus (de sorte que le dit vin a pu y pénétrer), ils deviennent interdits. Si en tombant sur les figues ou les dattes il leur communique le goût, elles deviennent interdites. Ainsi, il est arrivé à Baïtos ben Zonin d’amener de loin des figues sèches dans un bateau, et comme des tonneaux de vin de libation furent brisés et renversés sur ces figues, le cas fut soumis à la décision des docteurs, qui permirent de les consommer. Voici la règle (au sujet du mélange avec des objets consacrés aux idoles): lorsque l’objet interdit communique en ce cas son goût aux aliments, le tout sera défendu; au cas contraire tout le mélange sera permis; p. ex., si du vinaigre interdit tombe dans la bouillie.", + "Si un païen aide un Israélite à déplacer des cruches de vin d’un endroit à l’autre, on pourra s’en servir au cas où le vin est présumé devoir être préservé (surveillé), même si l’israélite s’est absenté; si celui-ci l’a avisé qu’il va s’éloigner, fût-ce seulement le temps de percer la pièce de la refermer et de sécher, le vin devient interdit. R. Simon b. Gamliel dit: il faut, pour l’interdit, que le païen ait eu le temps de lever la bonde, de la replacer et sécher.", + "Si quelqu’un dépose son vin dans un char (carrum), ou en bateau pour un long transport (conduit par un païen), et prenant les devants il arrive au pays par un chemin de traverse (compendiaria), il pourra user de ce vin laissé hors de sa vue; mais s’il l’avise qu’il va s’éloigner, fût-ce seulement le temps de percer la pièce, de la refermer et laisser sécher, le vin est interdit. R. Simon b. Gamliel dit qu’il faut, pour l’interdit, que le païen ait eu le temps de lever la bonde, de la remettre et de laisser sécher. Si un israélite a dans sa boutique un païen, bien qu’il s’absente parfois, il pourra user de son vin (sans craindre que le païen l’ait contaminé), sauf avis contraire. R. Simon b. Gamliel dit: il faut avoir eu le temps de débonder la pièce, la refermer et laisser sécher.", + "Si à la table d’un propriétaire israélite un païen est invité, et après que l’on a mis des cruches de vin sur la table et d’autres sur le trépied (en reserve), le maître sort un moment, le vin resté sur la table (en présence du païen laissé seul) devient interdit; le reste est permis. Mais si le maître lui a dit de se verser à boire tant qu’il voudra (mettant le tout à sa disposition), même les autres cruches de vin seront interdites. Les tonneaux ouverts sont interdits; les tonneaux fermés ne sont interdits que si l’absence a duré pendant le temps suffisant à lever la bonde, la replacer et laisser sécher.", + "Si un corps d’armée arrive en ville, lorsqu’on est en état de paix, les tonneaux ouverts deviennent interdits, et ceux qui sont fermés seront permis; lorsqu’on est en état de guerre, tous les tonneaux restent permis, car les païens n’ont pas le temps alors de consacrer le vin à l’idole.", + "Des ouvriers israélites qui ont reçu d’un païen l’envoi d’un tonneau de vin de libation peuvent lui dire de leur donner le montant en espèces; mais s’ils constatent la consécration du vin après que celui-ci est entré dans leur domaine, le vin sera interdit. Lorsqu’un israélite vendant son vin à un païen, a convenu avec celui-ci du prix de vente avant de mesurer (verser) le vin dans les outres du païen, ce dernier dès lors a pris possession de son bien, et l’israélite pourra disposer librement du montant de la vente; mais si le vin a été mesuré avant l’accord pour le prix, le montant du prix à toucher devient interdit à l’israélite, comme représentant un objet dont il n’est pas permis de tirer un profit. Si l’on a pris l’entonnoir et versé avec cet instrument dans le verre du païen, puis versé de nouveau dans le verre de l’israélite, et qu’un obstacle empêche l’écoulement entier du vin, celui-ci sera interdit. En transvasant du vin de sa cruche dans celle du païen, le premier reste d’un usage permis, mais le second est interdit.1 En tête est un passage traduit en (Qidushin 1, 4).", + "Le vin de libation communique son interdit à tout objet auquel il est mêlé, quelque petite que soit sa part; l’effet de propagation est le même pour le vin sacré mêlé à d’autre vin, ou de l’eau de libation mêlée à d’autre eau. Le mélange de vin sacré avec de l’eau, ou de l’eau de libation avec le vin n’est interdit, que si la parcelle défendue communique sont goût au reste. Voici la règle: en cas de similitude d’espèces, la moindre parcelle d’interdit suffit à contaminer le reste; amis en présence d’une espèce différente, il faut qu’il y ait propagation de goût pour provoquer l’interdit –.-2 Toute la Guemara de ce est traduite en (Orla 2, 11).", + "Les objets suivants, quelques minimes qu’ils soient, communiquent leur interdit: le vin d’oblation, l’idolâtre, les peaux arrachées en face du cœur, le bœuf lapidé, la génisse au cou rompu (pour meurtrier inconnu), les oiseaux offerts par le lépreux, la chevelure d’un Nazir, le premier rejeton de l’âne, la viande dans du lait, les animaux profanes égorgés au parvis du Temple; en tous ces cas, la moindre parcelle propage l’interdit.", + "Si du vin de libation est tombé dans une cuve pleine, tout le contenu devient interdit à la jouissance. Selon R. Simon b. Gamliel, il est permis de vendre le tout à un païen, sauf à défalquer le prix du vin de libation.", + "Une cuve en pierre, badigeonnée de poix par un païen, sera pure après avoir été essuyée. Si elle est en bois, Rabbi prescrit seulement de l’essuyer aussi (de la laver et laisser sécher); les autres sages prescrivent d’enlever la poix. Enfin, si elle est en argile (qui absorbe le liquide), malgré l’enlèvement de la poix, elle sera interdite.", + "Quand on prend des ustensiles de cuisine qui ont servi à un païen il faut baigner (tremper dans l’eau) ce qu’il est d’usage de baigner, ou passer à l’eau chaude ceux pour lesquels c’est l’usage, ou blanchir au feu ceux pour lesquels c’est l’usage; dans cette dernière catégorie sont la broche et le gril. Quant aux couteaux, il suffit- de les repasser pour qu’ils soient purs." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git "a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/Mischnajot mit deutscher \303\234bersetzung und Erkl\303\244rung. Berlin 1887-1933 [de].json" "b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/Mischnajot mit deutscher \303\234bersetzung und Erkl\303\244rung. Berlin 1887-1933 [de].json" new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..85f1110c7d67f612303e85c0b798b7a361f02bca --- /dev/null +++ "b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/Mischnajot mit deutscher \303\234bersetzung und Erkl\303\244rung. Berlin 1887-1933 [de].json" @@ -0,0 +1,84 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Avodah Zarah", + "versionSource": "https://www.talmud.de/tlmd/die-deutsche-mischna-uebersetzung", + "versionTitle": "Mischnajot mit deutscher Übersetzung und Erklärung. Berlin 1887-1933 [de]", + "priority": 0.5, + "versionNotes": "Ordnung Seraïm, übers. und erklärt von Ascher Samter. 1887.
Ordnung Moed, von Eduard Baneth. 1887-1927.
Ordnung Naschim, von Marcus Petuchowski u. Simon Schlesinger. 1896-1933.
Ordnung Nesikin, von David Hoffmann. 1893-1898.
Ordnung Kodaschim, von John Cohn. 1910-1925.
Ordnung Toharot, von David Hoffmann, John Cohn und Moses Auerbach. 1910-1933.", + "actualLanguage": "de", + "languageFamilyName": "german", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה עבודה זרה", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "Drei Tage vor den Festtagen1 אידיהן, andere LA. איד .עידיהן oder עיד (syr. ܥܰܐܕܳܐ. arab. عيد Fest) wird in der Mischna nur von heidnischen Festen gebraucht; nachdem Talmud mit Anspielung auf Deut. 32, 35, resp. Jes. 44, 9. der Heiden1a גויס (nicht עכו״ם) ist überall im Talmud zur Bezeichnung der Nichtjuden (damals vorzugsweise der Heiden) gebraucht. Der Ausdruck עכו״ם (Abbrev. von עוברי ככבים ומזלות) wurde erst gegen Ende des 16. Jahrhunderts von christlichen Zensoren in die jüdische Literatur hinein korrigiert, wie dies in meiner (zuerst 1884 in der „Jüd. Presse‟ abgedruckten) Schrift: „Der Schulchan Aruch u. s. w.‟, S. 129 ff. der zweiten Aufl. (1894) bewiesen wird. ist es verboten, mit ihnen Geschäfte zu machen;2 Denn der Heide würde wegen des dadurch erhaltenen Gewinnes oder Vorteils seinem Götzen am Festtage Dank abstatten, und der Israelit hätte durch seine Handlung indirekt die Anrufung des Götzens bewirkt (vgl. Exod. 23,13). ihnen etwas zu leihen, oder von ihnen auszuleihen;3 שאל sich Etwas zum Gebrauche ausleihen, um dasselbe nach dem Gebrauche wieder zurückzugeben. ihnen ein Darlehen zu geben, oder von ihnen ein solches zu nehmen,4 לוה ein Darlehen (in Geld oder Lebensmitteln) nehmen, um es jetzt zu verausgaben oder zu verbrauchen und später einen gleichen Betrag zu zahlen. ihnen zu zahlen oder sich von ihnen bezahlen zu lassen. R. Jehuda sagt: Man darf sich von ihnen bezahlen lassen, weil dies ihm Gram bereitet.5 Er hat demnach keinen Grund, dafür seinem Götzen zu danken. Da sprachen sie zu ihm: Wenn es ihm auch jetzt Gram bereitet, so freut er sich doch I darüber] in späterer Zeit.6 Während seines Festes, und er bringt seinem Götzen Dank dafür.", + "R. Ismael sagt: Drei Tage vorher und drei Tage nachher ist dies verboten. Die Weisen sagen: Vor ihren Festen7 Drei Tage, den Festtag selbst mitgerechnet; während es nach dem Autor der vorigen Mischna drei Tage ohne den Festtag verboten ist (Talmud). ist es verboten, nach ihren Festen aber ist es erlaubt.", + "Folgendes sind die Feste der Heiden: Die Calenden,8 Andere LA. קלנדס, Calendae, der erste Tag eines jeden Monats ; hier nach Jerusch, speziell die Calendae Januarii (קלנדס יינובריס), der Jahresanfang. Saturnalien,9 And. LA. סטרנלייא, (Saturnalia), das Saturnfest der Römer, das am 17. Dezember begann. der Siegestag,10 קרטסיס .1 קרטסים (κράτησις Herrschaft, Sieg) nach dem Talmud יום שתפסה בו רומי מלכות der Tag au dem Rom (durch den Sieg über Kleopatra) die Oberherrschaft gewann. Gemeint ist der Sieg des Octavian bei Actium. der Geburtstag11 And. LA. גינוסיא γενέσια, Geburtstagsfeier von bereits verstorbenen Königen. Nach Jerusch, ist .יום ג. ש. מ dasselbe wie יום . הולדת של מלכים (Geburtstag der Könige), während das folgende יום הלידה den Geburtstag von Privatpersonen bezeichnet. Nach Babli ist יום ג. ש. מ. = יום שמעמידין בו את המלך, der Tag des Regierungsantritts. Dieser wurde auch natalis imperii genannt, vgl. Heinrich Lewy im Philologue B. 52, S 733. der Könige, der Geburtstag12 Eines Lebenden. Nach Jerusch.: eines Privatmanns (Note 11); nach Babli: eines Königs. und der Todestag;13 Eines Königs (Babli), oder auch eines Privatmanns (Jerusch.) dies die Worte des R.Meir. Die Weisen aber sagen: Bei jedem Tode, wobei eine Verbrennung14 Wobei auch Gebrauchsgegenstände des Verstorbenen nebst Räucherwerk verbrannt werden, vgl. Jerem. 34,5; 2 Chron. 16,14; 21,19, (Talmud). stattfindet,15 Weil der Verstorbene besonders angesehen war. findet auch Götzendienst statt;16 An dessen Todestage. findet aber dabei keine Verbrennung statt, so findet auch kein Götzendienst statt.16 An dessen Todestage. Dagegen ist in Bezug auf den Tag, an dem Einer sich den Bart oder den Schopf17 בלורית, (syr. ܒܠܽܘܕܺܐ, Haarlocke) der Schopf, vgl. Lewy 1. c. S. 734. schert, oder den Tag, an dem er von einer Seereise ans Land gestiegen, oder aus dem Gefängnisse herausgekommen, oder an dem ein Heide seinem Sohne Hochzeit macht, nur an diesem Tage und gegen diesen Mann18 Der das Fest begeht. das Verbot gültig.", + "Wenn in einer Stadt ein Götze ist,19 Und man feiert dort heute diesem Götzen zu Ehren ein Fest. so ist außerhalb derselben [das Verkehren] erlaubt;20 Weil gewöhnlich außerhalb der Stadt das Fest nicht mitgefeiert wird. ist der Götze außerhalb derselben, so ist [es] in derselben erlaubt.21 Dem Israeliten, der dort wohnt. Ist es erlaubt, dahin zu gehen?22 Am Tage des Götzenfestes Fühlt der Weg lediglich nach diesem Orte, so ist es verboten ;23 Weil es schiene, dass man dahin ginge, um das Fest mitzufeiern. kann man aber auf diesem Wege auch nach einem andern Orte kommen, so ist es erlaubt.24 Denn wer ihn sieht, kann denken, er gehe nach dem anderen Orte. Wenn in einer Stadt ein Götzen fest ist, und es sind dort25 Außerhalb der Stadt. Kaufläden, die Teils bekränzt, Teils unbekränzt sind; — ein solcher hall traf sich einst in Bet-Schean,26 Skythopolis, heute Beisan. und es entschieden die Weisen, dass in den bekränzten verboten,27 Weil es Gebrauch war, dass von den bekränzten Läden eine Abgabe für den Götzenkultus erhoben wurde. in den unbekränzten aber erlaubt ist [zu kaufen.]", + "Folgende Dinge sind28 Zu jeder Zeit. verboten, den Heiden zu verkaufen.29 Weil man die folgenden Dinge dem Götzen darbrachte. Tannenäpfel30 אסטרובלין ,אצטרובלין gr. στρóβιλος, (s. B. batra IV, Note 24), die länglich runden Zapfen von Tannen oder Fichten, Tannen- oder Fichtenäpfel. oder weiße Feigen31 בנות שוח (s. Schebiit V, 1) = תאיני חיוראתא weiße Feigen (Talmud). mit deren Stielen,32 ופטוטרותיהן nach Talmud wie בפטוטרותיהן zu erklären, wie der Jerusch. im Texte der M. hat. פטוטרה Fruchtstiel, vielleicht von פטר hervorbrechen, das Hervorbrechende, der Blütenstiel (wie חצוצרה von שפופרת ,חצר von שפר.) Weihrauch und einen weißen Hahn. R. Jehuda sagt : Man darf ihm einen weißen Hahn mit andern Hähnen [zusammen], verkaufen,33 Wenn der Heide viele Hühner kauft, darf man ihm auch einen weißen Hahn darunter geben, denn da er auch andere kauft, so braucht er sie gewiss nicht zum Götzendienste. und wenn er allein [zu verkaufen] ist, so haue man ihm einen Finger ab; denn sie bringen nichts Verstümmeltes dem Götzen dar. Alle andern Dinge sind unbestimmt34 סתם (Verschlossenes) Unbekanntes, Unbestimmtes, d. h. wenn der Heide nicht das Gekaufte für den Götzendienst bestimmt. [zu verkaufen] erlaubt, bei ausdrücklicher Erklärung35 Des Heiden, dass er den Gegenstand dem Götzen darbringen will. aber verboten. R. Meir sagt: Auch feine Datteln, Chazab-36 Einige lesen חצב statt חצב .וחצב eine Dattel art, arab. خصب, eine fruchtreiche Palme; anders חצוב in Kilajim 1,8. (das Einige mit unserem חצב identifizierten). und Nikolaus-Datteln37 נקליבס, nach Aruch נקלווס (ebenso im Talm.), eine Dattelart, die nach Nikolaus von Damaskus so genannt wird (vgl. Mussaphia im Aruch). darf man den Heiden nicht verkaufen.", + "Wo es üblich ist, Kleinvieh den Heiden zu verkaufen, darf man [es] verkaufen; wo es Brauch ist, dass man [es] nicht verkauft, darf man [es] nicht verkaufen.38 Vgl. II,1. Nirgends aber darf man ihnen verkaufen Großvieh,39 Man hat nach dem Talmud das Verkaufen verboten, damit der Israelit nicht dazu komme, dem Heiden Vieh zu leihen oder zu vermieten. Dieser würde dann auch am Sabbat damit arbeiten, während der Israelit doch verpflichtet ist, sein Vieh am Sabbat ruhen zu lassen. Kälber und Eselsfüllen40 Vgl. Pesachim IV, 3., mögen sie unversehrt oder beschädigt41 Eig.: gebrochen, mit gebrochenen Füßen. Auch die gebrochenen Tiere kann mau zu irgend einer Arbeit brauchen. sein. R Jehuda erlaubt es bei Beschädigtem. Ben Bethera erlaubt es beim Pferde.42 Weil dies nur zum Reiten gebraucht wurde, was am Sabbat nur nach rabbinischer Verordnung (שבות) verboten ist, vgl. Beza V, 2.", + "Man darf ihnen keine Bären, Löwen oder sonst Etwas, wodurch den Leuten Schaden entstehen43 Z. B. Waffen (Bart.). kann, verkaufen. Man darf ihnen nicht bauen helfen eine Basilika,44 Ein öffentliches Gebäude, das vorzüglich als Gerichtshaus dient. einen Richtplatz,45 גרדום (von gradus) Stufe, Anhöhe des Richtplatzes. eine Rennbahn46 אסטדיא ,אצטדיא == στάδιον, die Rennbahn, wo Tierkämpfe aufgeführt wurden. oder einen Richterstuhl;47 בימה == βῆμα, Rednerbühne, Richterstuhl. man darf ihnen aber öffentliche Bäder48 Die Ausgg. lesen: בימוסיאות von βωμóς eine Erhöhung, Altar, aber auch Postament einer Statue. Besser aber ist nach den älteren Zeugnissen u. Ms. München דימוסיאות zu lesen. דימוסיא = δημóσια dem Staate gehörig, gewöhnliche Bezeichnung der öffentlichen Bäder im Jeruschalmi. und [Privat-] Badehäuser bauen helfen. Kommt man an das Gewölbe, wo man ein Götzenbild aufstellt,49 Vgl. weiter III,4. so darf man nicht mit bauen.", + "Man50 M. ed. Neapel hat nicht ואין bis בשכר מותר. darf keine Schmucksachen für Götzen machen, Halsketten,51 קטלא == catella. Nasenringe oder Fingerringe. R. Elieser sagt: Für Lohn ist es erlaubt.52 Vgl. Tos. 19b y. הגיע und Tos. Jom tob. Man darf53 In Palästina. ihnen nichts am Boden Haftendes verkaufen;54 Denn man darf den Heiden nichts verkaufen, wodurch sie ein Eigentumsrecht am Boden Palästina’s erwerben. man darf dies aber verkaufen, nachdem es abgehauen ist.55 משיקצץ, ed. Neapel 1. מה שקיצץ. R. Jehuda sagt: Man darf es ihnen auch verkaufen mit der Bedingung, es abzuhauen. Man darf ihnen im Lande Israel keine Häuser,56 Man hat dies verboten, damit man nicht dazu komme, ihnen Häuser zu verkaufen, s. Note 54. noch viel weniger Felder57 Bei Feldern kommt noch der Umstand hinzu, dass dadurch Hebe und Zehnten den Priestern und Leviten entzogen werden. vermieten; in Syrien58 In dem von König David eroberten Syrien (2. Samuel 8,3–6), das nicht so heilig ist, wie das Land Israel, vgl. B. kamma VII, Note 38. darf man ihnen wohl Häuser59 Man hat in Syrien nicht die in Note 56 erwähnte Vorbeugungs- Bestimmung) (גזירת) getroffen. aber nicht Felder60 Nach Note 54 und 57. Wo zwei Gründe vorliegen, hat man auch in Syrien die גזירה verordnet. vermieten; im Auslande61 Das vom Lande Israel entfernt ist. darf man ihnen Häuser verkaufen und Felder vermieten;62 Aber nicht verkaufen, damit man nicht dazu komme, solche auch in Palästina zu verkaufen (gegen Note 54 u. 57); vgl. Note 60. dies die Worte des R. Meïr. R. Jose sagt: Im Lande Israel darf man ihnen Häuser vermieten, aber nicht Felder; in Syrien darf man ihnen Häuser verkaufen63 Nach R. Jose ist Syrien nicht heilig, weil dies als Eroberung eines Einzelnen (des Königs David), nicht als Land Israels zu betrachten ist. und Felder vermieten,64 Aber nicht verkaufen, nach Note 62. im Auslande61 Das vom Lande Israel entfernt ist. darf man ihnen Beides verkaufen.65 Hier hat man gar keine גזירה verordnet.", + "Auch da, wo man erlaubt hat [dem Heiden ein Haus] zu vermieten,66 In Syrien. Diese M. hat R. Meïr gelehrt, da dies nach R. Jose überall erlaubt ist. hat man dies nicht erlaubt, wenn er es als Wohnhaus gebrauchen will,67 Sondern nur, wenn es etwa als Lagerraum für Waren gebraucht wird. weil er einen Götzen hineinbringen würde und es heißt (Deut. 7,26): „Lasse keinen Gräuel in Dein Haus kommen.‟ Nirgends aber darf man ihm ein Bad vermieten, weil es nach dem Namen des Eigentümers68 Des Israeliten. genannt wird.69 Wenn nun der Nichtjude das Bad am Sabbat wärmte, so könnte man meinen, dass er im Aufträge des Israeliten als dessen Tagelöhner am Sabbat arbeitet." + ], + [ + "Man darf kein Vieh in die Gasthöfe1 פונדקי s. Edujot IV, Note 56. der Heiden stellen, weil sie der schändlichen Vermischung verdächtig sind.2 Da die Bestialität auch dem Heiden verboten ist, so darf der Jude keine Veranlassung bieten, dieses Verbrechen zu verüben, nach Lev. 19,14. Es darf keine Frau mit ihnen allein sein,3 Selbst wenn die Frau des Heiden dabei ist. Dass eine Frau bei einem Manne ganz allein sei (ייחוד) ist auch, wenn dieser ein Israelite ist, verboten (Sanhedrin 21 a b). weil sie der Unzucht verdächtig sind.4 Der folgende beim Manne angegebene Grund (des Blut-Vergießens) geht bei einer Frau nicht an, weil man gewöhnlich einer Frau gegenüber barmherzig ist. Es darf kein Mann mit ihnen allein sein, weil sie des Blut-Vergießens verdächtig sind. Es darf keine Israelitin einer Heidin Geburtshilfe leisten, (weil sie dadurch ein Kind für den Götzendienst gebären hilft),5 Die eingeklammerte Stelle fehlt in Ms. München und in ed. Neapel. aber man darf von einer Heidin einer Israelitin Geburtshilfe leisten lassen.6 Nach einer Baraita nur, wenn Andere dabei sind, so dass nicht zu befürchten steht, sie werde das Kind töten. Es darf keine Israelitin das Kind einer Heidin säugen, aber man darf von einer Heidin das Kind einer Israelitin in deren eigenem Gebiete7 Im Hause der Israelitin. säugen lassen.", + "Man darf sich von ihnen eine Heilung des Vermögens8 D. h. des Viehes., aber nicht eine Heilung der Person9 Der Menschen, s. Nedarim IV,4. angedeihen lassen. Man darf sich nirgends von ihnen scheren lassen;10 Weil sie mit dem Schermesser eine tödliche Verletzung beibringen könnten. dies die Worte R. Meïr’s. Die Weisen aber sagen: lm öffentlichen Gebiete ist es erlaubt, aber nicht mit ihm allein.11 Die Erklärer fügen hinzu, dass derartige Verbote Betreffs der Nichtjuden der Jetztzeit keine Geltung haben, da dieselben keiner Verbrechen verdächtig sind.", + "Folgende Dinge von Heiden sind verboten, und zwar selbst zur Nutzung: Wein, Essig von Heiden, der bei ihnen noch Wein gewesen,12 Dagegen ist Essig, den der Heide vom Israeliten gekauft hat, nicht verboten. adrianische13 And. LA. אדרייני st. הדרייני. Scherbe14 Nach dem Talmud (32 a) 80 genannt vom Kaiser Hadrian, der Gefäße aus ungebranntem Thon vom Weine durchziehen Hess, diese in Scherben zerbrach, welche die Soldaten in den Krieg mitnahmen und im Wasser auflösten, so dass der Lehm sich setzte und das Wasser mit Wein gemischt wurde. Indessen erklärt Hesychios durch τά ’Αδριανά κεράμια (Thongefässe vom Adriatischen Meere) die Bezeichnung Κερκυραίοι ἀμφορεîς Amphoren von Kerkyra, die mit Wein von Kerkyra vollgesogenen Gelasse aus ungebranntem Thon; vgl Heinrich Lewy im Philol. 52, S. 571. und Tier-Felle, die dem Herzen gegenüber aufgerissen sind.15 Man hat dem Herzen gegenüber das Fell des noch lebenden Tieres aufgerissen, das Herz herausgenommen und dem Götzen dargebracht. R. Simon, Sohn Gamliels, sagt: Wenn der Riss rund ist, dann ist es verboten; ist er länglich, so ist es erlaubt.16 Da man Behufs jenes Götzenopfers stets eine runde Öffnung machte. Fleisch, welches zum Götzen hineingebracht wird, ist erlaubt;17 Wenn es der Israelit gekauft, bevor es dem Götzen dargebracht wurde. was von dort herauskommt, ist verboten,18 Es ist gewiss bereits dem Götzen dargebracht worden. weil es wie Toten-Opfer betrachtet wird;19 So werden die Götzenopfer genannt, vgl. Ps. 106,28. dies die Worte R. Akiba’s. Mit verboten; so R. Meïr. Die Weisen aber sagen: Deren Nutzung ist nicht denen,die zum Götzen20 תרפות (aram. תרפותא Schmach, Schande) nach Jerusch, wie תרפים, Götzenbilder. Nach einer andern LA. im Jerusch, heißt es תרבות, was dort mit תוריבס (θόρυβος, Lärm, Verwirrung) erklärt wird. wallfahrten, darf man keine Geschäfte machen ,21 Weil sie ihre Götzen preisen würden, wenn sie gute Geschäfte machten, s. oben I. Note 2. mit denen aber, welche davon herkommen, ist es erlaubt.22 והבאין מותרין fehlt in der M. des Jerusch.; doch hat dies der Talm. das. 41 b.", + "Schläuche23 Aus Leder. und Krüge24 Irdene. der Heiden, in denen Wein eines Israeliten eilige-füllt ist,25 Ohne dass die Gefäße vor dem Gebrauche vorschriftmäßig (nach Babli 33 a) gereinigt worden. sind26 Samt dem eingefüllten Weine. auch zur Nutzung verboten;27 Weil die Gefäße vorher den zur Nutzung verbotenen Wein des Heiden eingesogen hatten. verboten.28 Da der Wein des Israeliten durch den vorher vom Gefäße eingesogenen heidnischen Wein nicht an Wert gewonnen hat. Jedoch ist der Wein zu trinken verboten. Trauben-Kerne und Hülsen von Heiden sind selbst zur Nutzung verboten; so R. Meïr. Die Weisen aber sagen: Solange sie feucht sind, sind sie verboten, aber wenn sietrocken sind,29 Zwölf Monate, nachdem sie ausgepresst wurden. sind sie erlaubt.30 Auch zu essen. Muria31 מורייס == muries, Salzbrühe, worin Thunfische und andere Fische eingemacht wurden. Man pflegte derselben Wein beizumischen; deshalb ist sie zur Nutzung verboten. und bitynischer32 בית אונייקי, ed. Neapel: ותיניקי, bitbynischer Käse, der im Auslande gesucht war (Plinius HN. 11,97). Als Grund des Nutzungs-Verbotes gibt der Talmud an, dass in jener Gegend Kälber (deren Lab man zur Bereitung der Käse verwendet) den Götzen als Opfer dargebracht wurden. — Statt גבינות בית אונייקי hat die M. des Jerusch. גבינות ותירייקי (Käse und Theriak). Käse von Heiden sind selbst zur Nutzung verboten; so R. Meir Die Weisen aber sagen: Deren Nutzung ist nicht verboten.33 Muria nicht, weil der Wein nur dazu diente, den Schaum der Fische fortzuschaffen (Talmud 38 b); den Käse wieder hat man wegen der geringen Zahl der Götzenopfer nicht zur Nutzung verboten, da die meisten Tiere nicht den Götzen dargebracht wurden. Doch ist auch nach den Weisen Muria sowohl wie Käse zu essen verboten.", + "Es sagte R. Jehuda: Einst richtete R. Ismael an R. Josua, als sie unterwegs waren, eine Frage, indem er zu ihm sprach: Warum hat man Käse der Heiden verboten?34 Zu essen, da man doch aus Milch von verbotenen Tieren keinen Käse bereiten kann. Da erwiderte er ihm: Weil sie die Milch durch Lab-Milch35 קיבה der Labmagen. Hier versteht man darunter die im Labmagen der Saugkälber versäuerte Milch. von Aaastieren36 Von nicht rite geschlachteten Tieren. gerinnen machen. Da sprach Jener zu ihm: Lab-Milch vom Ganzopfer ist doch strenger verboten,37 Da Heiliges auch zur Nutzung verboten ist. als Lab-Milch vom Aase, und dennoch hat man gesagt: „Ein Priester, der sich nicht ekelt,38 Eig. dessen Sinn schön, gut ist; Gegensatz: אסתניס (ἀσϑενὴς) der Schwache, der sich ekelt. darf sie roh schlürfen‟39 שרף arab. رشف einschlürfen, syr. ܣܪܳܦܳܐ ein Trank. Es wird diese versäuerte Lab-Milch wie Mist (פירשא) betrachtet. — Dies hat man40 Die Worte ולא הודו bis מזועלין sind vom Mischna-Red actor in den Berieht des R. Jehuda interpolirt, wodurch er bemerkt, dass die von R. Ismael mitgeteilte Tradition von den Weiseu nicht akzeptiert wurde; vgl. Sanhedrin VIII Note 4. ihm41 Dem R. Ismael. nicht zugestanden; vielmehr hat man gesagt: „Man darf sie nicht gemessen,42 Die Rabbinen haben es verboten. aber man begeht dadurch43 Dass man davon einen Genuss hat. keine Veruntreuung44 Da es nach der Tora nicht verboten ist. ‟ — darauf sprach R. Josua zu ihm : [Der Käse ist verboten], weil man die Milch mit Lab-Milch von Götzenopfer-Kälbern45 Von Götzenopfern ist selbst der Mist verboten, weil der Darbringer an dem großen Umfang der Opfer (נפחא) Gefallen hat. gerinnen macht. Da sprach Jener zu ihm: Wenn dem so ist, warum hat mau nicht auch die Nutzung davon verboten?46 Da ja Götzenopfer auch zur Nutzung verboten sind. — Da führte er ihn zu einem anderen Gegenstände hin,47 Er wollte ihm den wahren Grund nicht mitteilen, weil noch keine zwölf Monate seit der Verordnung des Käse-Verbotes verstrichen waren und von einer neuen Verordnung gewöhnlich der Grund geheim gehalten wurde, damit dieselbe nicht von Manchen, denen der Grund nicht einleuchtet, missachtet werde. indem er zu ihm sprach: Bruder Ismael, wie liesest du:48 In Cant, 1,2. כי טונים דֹּדֶיךָ49 Suff. masc. מיין. oder כי טובים דוֹדַיִךְ? Jener antwortete:50 Suff. fem. כי טובים דוֹדַיִךְ. Da sprach er zu ihm: Die Sache ist nicht so; denn der nächste Vers belehrt darüber [welcher lautet:] לריח שְׁמָנֶיךָ טובים51 Wo das Suff. entschieden masc. ist. (vgl. den Schluss dieses V.’s.) — Da nun das Hohelied von den Weisen als ein Gespräch zwischen der Gemeinde Israel (כנסת ישראל) mit Gott aufgefasst wurde, so sind die Worte כי טובים דֹּדֶיךָ מיין von der Gemeinde Israel an Gott gerichtet und bedeuten nach der Erkl. des Talm. : „Angenehmer sind mir die Worte deiner Freunde (die Anordnungen der Weisen) als der Wein (die schriftliche Tora).‟ Hiermit wollte R. Josua dem R. Ismael zu verstehen geben, dass Israel mit Liebe die Verordnungen der Weisen befolgt, wenn es auch nicht den Grund derselben kennt. (Vgl. auch Tosephta Para IX,3.) — Über den eigentlichen Grund des Verbotes vom heidnischen Käse sind im Talm. (35 a) verschiedene Ansichten ausgesprochen worden. ", + "Folgende Dinge der Heiden sind verboten, aber nicht deren Nutzung: Milch, die ein Heide gemolken, ohne dass ein Israelit es gesehen,52 Da möglicher Weise Milch von verbotenen Tieren beigemischt wurde. ihr Brod53 Dies und die beiden folgenden Dinge hat man verboten, um die Verschwägerung mit den Heiden zu verhindern. und Öl. (Rabbi54 D. i. R. Jehuda II, der Enkel R. Jehuda I., des Mischna-Redaktors. und sein Gerichtshofhaben das Öl erlaubt).55 Die eingeklammerte Stelle ist eine spätere Interpolation. Gekochtes,56 Was der Heide gekocht, selbst wenn keine verbotene Speise dabei ist; Note 53. Eingemachtes,57 כבשין von כבש pressen, einlegen. worin sie Wein und Essig zu tun pflegen,58 Wenn sicherlich Wein oder Essig darin ist, so ist es auch zur Nutzung verboten (Talm. 38 b). kleingehackte Terith,59 טרית ist nach Raschi eine Art kleiner Fische. Hiernach wäre es wohl identisch mit θρίττα = τριγíας (eine kleine Sardellenart). In Megilla 6 a dagegen wird das Wort von Raschi als Thunfisch erklärt, wonach es der Triton ist, der nach Plinius (Η. N. 32,11,53) zum Geschlechte der Thunfische gehört. Nach Jerusch. Nedarim VI 39 d nennen Einige die טרית auch צחנה, (arab. صحناة, ein aus kleinen Fischen bereitetes Gericht). Hiernach dürfte es mit τἀριχος (Salzfische), syr. ܛܳܐܪܺܝܟܳܐ zu identifizieren sein. Fischlake,60 ציר Edujot VII,2. in der kein Fisch ist,61 Man pflegte in die Fischlake einen oder zwei Fische zu legen, um zu zeigen, aus welchen Fischen die Lake bereitet wurde. Wenn nun kein Fisch darin ist, so ist zu befürchten, dass dies Lake von unreinen Fischen ist (Ritba). (in der62 Die eingeklammerte Stelle ist ein erklärender Zusatz aus einer Baraita im Talm. 39 b; vgl. auch Jerusch. Nedarim VI,39 c, wonach unter דגה die בלכיר zu verstehen ist. keine Kalchit63 כילבית Nach Ramban und Ritba bezeichnet dieses Wort jedes kleine Fischchen, es sei ein reines, wie hier, oder ein unreines, wie in Chullin 97 a. In der Tos. (ed. Zuckerm. S. 467) befindet sich die LA. כילבית wonach es identisch ist mit כילכיד כלכיד in Jerusch. Nedarim VI, 39 cd, dem griech. χαλκις (eine Häringsart.) schwimmt), Ohilak,64 חילק, eine Art kleiner Fische, die zwar keine Flossen und Schuppen mit zur Welt bringen, dieselben aber später bekommen und daher rein sind. Allein es werden dieselben häufig mit unreinen Fischen vermischt, von denen sie nicht zu unterscheiden sind. Manche vergleichen חילק mit halec. ein Stück65 קורט, (von قرط zerschneiden) ein Stück, das der Heide mit seinem Messer abgeschnitten, an dem gewöhnlich verbotenes Fett klebt. Asant,66 חלתית (حلتيت) stinkender Asant oder Teufelsdreck, laserpitium, das als Gewürz und als Heilmittel gebraucht wurde. Durch seine Schärfe macht es einerseits das am Messer klebende alte Fett schmackhaft, andererseits saugt es das Fett ein und ist deshalb verboten. gewürztes Salz67 סלקונטית andere LA. : סלקונרית, wohl sal conditum. מ׳ ס׳ Salz, das sai conditura genannt wird. Sales conditi wurden zur Beförderung der Verdauung und zur Verhütung von vielerlei Krankheiten gebraucht, (Apicius I,27). Es ist nach dem Talm. (39 b) verboten, weil dazu auch Eingeweide von unreinen Fischen genommen wurden (vgl. Plinius HN. 31, 7,40). — alle diese sind verboten, aber nicht deren Nutzung.", + "Folgende Dinge sind [auch] zu essen erlaubt: Milch, die ein Heide im Beisein eines Israeliten68 Der es nur zu sehen vermag, wenn er es auch nicht wirklich sieht (Talm.) gemolken, Honig,69 Wenn er auch vom Heiden gekocht wurde, ist er dennoch erlaubt, weil derselbe auch roh genießbar ist. weiche Trauben,70 דברניות Nach Maimonides: Honigwaben; doch stimmt diese Erklärung nicht recht mit dem Talmud. Unter den vielerlei LAA ist am besten bezeugt: דבדבניות (viell, vom aram. דוב, fließen) weiche Trauben, aus denen der Saft herausträufelt. Dieser Saft wird nicht wie Wein betrachtet und ist deshalb nicht verboten. — selbst wenn sie tropfen, macht deren Flüssigkeit nicht71 Wenn eine Frucht damit benetzt wird. zur Unreinheit geeignet,72 Da das Herausfließen des Saftes nicht erwünscht ist, vgl. Machsehirin I, 1 und Edujot IV, Note 38. — Eingemachtes, worin man nicht Wein und Essig zu tun pflegt, Terith, die nicht kleingehackt ist73 Woran noch Kopf und Rückgrat ganz sind, so dass man erkennt, dass es ein reiner Fisch ist., Fischlake, in der ein Fisch74 Eine כלבית, s. oben Note 63. ist, Blätter von Asant75 Die man nicht mit dem Messer schneidet. und eingelegte Olivenkuchen.76 זיתי גלוסקאות, M. Jerusch. גלוסקא — .זיתי קלוסקא gr. κολλıξ syr. ܓܠܽܘܣܩܳܐ ein runder Kuchen. Über זיתים מגולגלים vgl. Edujot IV, Note 37. R Jose sagt: die erweichten77 השלוחין (Talm. השלחין), die so weich sind, dass der Kern herausfällt, wenn man sie mit der Hand fasst (Talm.). Vielleicht hat dies denselben Stamm, wie שלחין in B. mezia IX, Note 9. sind verboten.78 Denn sie sind vielleicht durch Wein erweicht worden. Die Heuschrecken, die aus dem Korbe79 סלולה a. LA.: סלילה, arab. سليلةein kleiner Korb, aus dem sie der Krämer verkauft. kommen, sind verboten,80 Denn der Krämer besprengt sie mit Wein. die aber aus der Vorratskammer81 הפתק a. LA.: אפותיק ἀποϑήκη, Niederlage, Magazin. kommen, sind erlaubt. Dasselbe gilt hinsichtlich der Theruma.82 Wenn ein Priester verdächtig ist, dass er תרומה als חולין verkauft., so darf man von dem, was vor ihm liegt, nichts kaufen ; wohl aber das, was aus seinem Magazin kommt, denn er fürchtet sich da, dass die Rabbinen, falls sein Betrug entdeckt würde, das ganze Magazin für herrenloses Gut erklären würden." + ], + [ + "Alle Bilder sind [zur Nutzung] verboten, weil sie einmal im Jahre angebetet werden; dies die Worte R. Meirs.1 In der Heimat des R. Meir wurde jedes Bild einmal im Jahre angebetet, und da R. Meir auch die Minderheit beachtet (חייש למיעוניא), so hat er wegen seines Wohnortes auch an anderen Orten die Nutzung der Bilder verboten. Die Weisen aber richten sich nach der Mehrheit (רוב), wie oben II, Note 33 (Talm.). Die Weisen aber sagen: Nur solche, die einen Stab, Vogel oder eine Kugel in der Hand haben.2 Dies sind die Symbole der Weltherrschaft. — In der Tosephta werden noch hinzugefügt : Schwert, Krone und Ring R. Simon, Sohn Gamliels, sagt: Jedes Bild, das irgend eine Sache in der Hand hat.", + "Findet Jemand Bruchstücke von Bildern, so sind diese erlaubt.3 Denn es ist anzunehmen, dass der Heide selbst sie zerbrochen, wodurch er den Götzen nichtig· gemacht hat (s. weiter IV,4). Findet man die Figur einer Hand oder eines Fußes,4 Und daran, dass sie eine Basis haben, erkennt man dass es keine Bruchstücke von Bildern sind. so sind diese verboten, weil dergleichen angebetet wird.5 Man macht oft derartige Figuren und betet sie an.", + "Findet man Geräte, auf denen das Bild der Sonne, das Bild des Mondes,6 Nicht etwa eine runde Scheibe, als Abbild der Sonne oder ein Kreisteil als Abbild des Mondes ; sondern es sind hier Bilder gemeint, unter denen die Gestirn-Anbeter die Sonne oder den Mond sich vorstellen, wie z. B. das Bild eines gekrönten auf einem Wagen ruhenden Königs, das die Sonne vorstellte (Maimon.). oder das Bild eines Drachen7 Einer Schlange mit Flossen am Halse (Tosephta). ist, so muss man sie in die Salzsee werfen.8 Damit Niemand sie finde und benutze. R. Simon, Sohn Gamliels, sagt: Nur wenn solche auf ansehnlichen Geräten9 Wie Gold- und Silber-Geschmeide. sich befinden, sind sie verboten, sind sie aber auf unbedeutenden Geräten10 Wie Töpfe, Kessel. so sind sie erlaubt.11 Da diese nicht als Götzen verehrt werden. R. Jose sagt: Man kann sie zerreiben und in den Wind streuen oder ins Meer12 In die Salzsee. werfen. Da sprachen sie zu ihm: Es würde dann13 Wenn sie in den Wind gestreut würden. ja Dünger daraus,14 Und man würde davon einen Nutzen haben, wenn durch den Dünger das Wachstum von Pflanzen befördert würde. und es heißt doch (Deut. 13,18): Es soll nicht das Geringste von dem Banne an Deiner Hand haften.15 R. Jose dagegen meint, dass die Pflanzen, die einerseits durch den Erdboden, andererseits durch den verbotenen Dünger hervorgebracht werden, nicht verboten sind ; denn ein Ding, dessen Entstehen Erlaubtes und Verbotenes zusammen bewirkt haben (זה וזה גורם), ist erlaubt (s. weiter Ende M. 8).", + "Es fragte Proklos, Sohn des Philosophos,16 Wahrscheinlich ist בן zu streichen, und es heißt : „Proklos, der Philosoph‟ ; oder es müsste statt פלוספוס irgend ein Nomen proprium stehen. M. ed. Neapel hat פלוסלוס. Rabban Gamliel zu Akko, als dieser sich im Bade der Aphrodite17 Vgl. H. Lewy im Philologue B. 52 S. 569f. badete,18 S. weiter IV, 3. und sprach zu ihm: Es steht in eurer Tora geschrieben: „Es soll nicht das Geringste von dem Banne an deiner Hand haften,‟ — warum badest du im Bade der Aphrodite? Er sprach zu ihm: Man darf im Bade nicht antworten!19 Da man dort unbekleidet steht und deshalb keine Tora-Worte sprechen darf. Nachdem er herausgegangen war, antwortete er ihm: Ich bin ja nicht in ihr Gebiet gekommen, sie20 Das Bild der Aphrodite. ist vielmehr in mein Gebiet gekommen!21 Das Bad war vorher da, und das Götzenbild ist erst später hineingekommen. Man22 Dies ist eine zweite Erwiderung (Raschi) sagt nicht: „das Bad ist der Aphrodite zur Zierde gemacht worden‟, sondern: „Eine Aphrodite ist dem Bade zur Zierde gemacht worden.‟23 So dass das Götzenbild nur etwas Nebensächliches ist, während das Bad die Hauptsache ist. Ferner:24 דבר אחר, eine andere Antwort. Wenn man dir auch viel Geld gäbe, würdest du nicht nackt und, nachdem du einen nächtlichen Zufall gehabt, vor deine Gottheit hintreten und vor ihr Urin lassen; diese aber steht an der Mündung des Kanals,25 בוביא ,ביב (syr. ܒܺܝܕܳܐ Wasserleitung, Kanal. und alle Leute urinieren vor ihr!26 Dadurch wird das Götzenbild nichtig gemacht (מבוטל), s. weiter IV, 5. Es heißt aber nur: „ihre Götter‟; d. h. nur das, was man wie einen Gott behandelt, ist verboten; was man aber nicht wie einen Gott behandelt, ist erlaubt.", + "Wenn Heiden Berge und Hügel an beten, so sind diese [zur Nutzung]27 Z. B. darauf zu säen. erlaubt28 Denn was am Boden haftet (מחובר) kann nicht durch Götzendienst verboten gemacht werden.; was aber darauf sich befindet, ist verboten,29 Wenn man dieselben etwa mit Gold oder Silber bedeckt hat, so ist dieser „Überzug‟ verboten. denn es heißt (Deut. 7,25): „Habe kein Gelüste nach dem Silber und Gold, das auf ihnen ist, um es zu nehmen!‟ R. Jose der Galiläer, sagt: Es heißt (Deut. 12,2): „ihre Götter auf ihren Bergen,‟ aber nicht: „die Berge ihre Götter‟; „ihre Götter auf den Hügeln‟ aber nicht: „die Hügel ihre Götter ‟.30 Demnach ist auch der „Überzug‟ der Berge und Hügel erlaubt. (R. Simon b. Lakisch im Talmud). Warum ist aber ein Götzenbaum31 אשרה s. weiter M. 7. verboten?32 Da es doch in demselben Verse (Deut 12,2) heißt: „ihre Götter unter jedem belaubten Baume‟; so sollten wir auch daraus folgern, dass die belaubten Bäume selbst nicht als ihre Götter zu betrachten sind. Weil Menschen ihn gehandhabt33 Ihn gepflanzt. haben, und Alles, wobei ein Handhaben von Menschen stattgefunden hat, verboten ist.34 Während nach dem ersten Tanna nur die Aschera verboten ist, die ursprünglich als Götze gepflanzt worden ist, meint R. Jose, dass selbst ein Baum, der erst später, nachdem er gepflanzt war, göttlich verehrt wurde, verboten ist, weil dasjenige, bei dem תפיסת ידי אדם stattgefunden hat, in Bezug auf Götzendienst nicht als מחובר (Note 28) gilt. Dagegen wird der Überzug eines Berges auch nach R. Jose (wie der Berg selbst) nicht verboten (R. Scheschet im Talm. gegen R. Simon b. L. Note 30). Es sagte R. Akiba: Ich will [die Stelle]34a Deut. 12, 2. vor dir untersuchen35 אובין, s. B. mezia IX, Note 14. — M. des Jer. u. ed. Neapel haben: אני אהיה אובין st. אני אובין ואדון. Siphre Deut. 60: אני אהיה אבין. Ein Tanna im Jer. liest אוביל (st. אובין), ich will nachdenken, vgl. das aram. בל Herz, Gedanke (Dan. 6,15). und erklären.36 דין richten, beurteilen (die Schriftstelle), d. h. sie auslegen. Überall, wo du einen hohen Berg, einen erhabenen Hügel und einen belaubten Baum siehst, wisse, dass dort ein Götze ist.37 Die Schrift will demnach nur angeben, wo man die Götzen aufsuchen solle, um sie zu vernichten vgl.. Talm. 45b).", + "Wenn Jemand ein Haus neben einem Götzentempel38 Lies: לבית עבודה זרה. Nach Raschi: Ein Haus, das abgötterisch verehrt wird. Doch ist diese Annahme nur wegen der folgenden Bestimmung der Verunreinigung nötig, vgl. ש״ך im י״ד 143, 1. hat und es fällt ein ;39 Die dicht am Götzentempel stehende Wand. so darf er es nicht wieder aufbauen.40 Denn er würde damit einen Teil des Götzenhauses bauen. Was soll er da tun? Er muss in sein Gebiet (vier Ellen)41 ארבע אטות ist eine erklärende Glosse, die Raschi u. A. nicht haben. hineinrücken,42 Sc. die Wand. — כנם hineinbringen, hineinrücken. wenn er baut.43 Den freien Raum muss er mit Dornen ausfüllen (Talm.) Gehörte die Wand zu seinem Hause und zum Götzentempel,44 So dass die Hälfte der Wanddicke ihm gehört. so wird sie als in zwei gleiche Teile geteilt betrachtet.45 Nur die Hälfte der Wanddicke wird von den frei zu lassenden 4 Ellen abgerechnet. Ist die Wand z. B. 2 Ellen dick, so muss er noch dazu 3 Ellen frei lassen. Deren46 Der eingestürzten Wand. Steine, Holz und Schutt verunreinigen,47 Selbst der Anteil des Israeliten verunreinigt, da es vor der Teilung unbestimmt war, welcher Teil dem Israeliten und welcher dem Götzendienste gehört und demnach Alles verunreinigend wurde. Wenngleich nun durch die später vorgenommene Teilung der Anteil des Israeliten genau bestimmt wurde, so hat diese spätere Bestimmung keine rückwirkende Kraft (אין ברירה); so Raschi u. R. Nissim. Doch nach Maimon, ist nur die dem Götzentempel zugehörige Hälfte verunreinigend, nicht aber die Hälfte des Israeliten ; denn da diese Verunreinigung nur eine rabbinische Verordnung ist, so gilt dabei die spätere Bestimmung des Israeliten-Anteiles ebenso, wie wenn dieser gleich von vorne herein bestimmt gewesen und gar nicht unrein geworden wäre (יש ברירה) wie ein Kriechtier,48 Das nur durch Berührung verunreinigt, aber nicht, wenn es bloß getragen und nicht berührt wird, vgl. Lev. 11, 31. — Doch verunreinigt nur eine Olivengröße davon (wie beim Toten, s. Edujot III,1), nicht eine Linsengröße, wie beim Kriechtiere. denn es heißt (Deut. 7,26): „Du sollst ihn verabscheuen!‟ R. Akiba sagt: Wie eine Menstruierende,49 Auch wenn der Schutt nur getragen und nicht berührt wild, verunreinigt er. — Dies gilt aber nur von einem Hause, das selbst ע״ז war, s. oben Note 38. denn es heißt (Jes. 60,22): „Verwirf sie, gleich einer Leidenden, fort! sprich zu ihm.‟ Sowie demnach eine Menstruierende den, der sie trägt, verunreinigt, ebenso verunreinigt ein Götze den, der ihn trägt.50 Vgl. Sabbat IX, 1.", + "Es gibt dreierlei [Götzen-Häuser: Ein; Haus, das man ursprünglich zum Götzendienste51 Dass es selbst abgötterisch verehrt werde (Raschi). erbaut hat, ist verboten;52 Sofort, selbst bevor es angebetet wird, s. weiter IV, 4. hat man es bloß zum Götzendienste übertüncht,53 Mit Kalk, סייד Denom. von סיד (Kalk). mit Bildwerk versehen54 כייר kommt oft neben סייד (tünchen) und צייר (malen) vor. Die Etym. ist dunkel; viell, stammt es von כרה = כור graben, und es hätte die Bedeutung: mit Skulpturen versehen. oder sonst was Neues daran gemacht,55 Während es Anfangs als gewöhnliches Wohnhaus erbaut worden war. so braucht man nur das Neue wegzunehmen;56 Und dies ist zur Nutzung verboten, während der übrige Teil des Hauses erlaubt ist, solange es nicht zum Götzendienste gebraucht worden. hat man bloß einen Götzen hineingestellt57 Für kurze Zeit, ohne dem Hause selbst abgötterische Verehrung zu erweisen, oder dasselbe ständig dem Götzendienste zu weihen. und ihn wieder herausgenommen, so ist es erlaubt. Es gibt dreierlei [Götzen-]Steine: Ein Stein, den man ursprünglich zum Götzenbild-Gestell58 בימוס S. oben I, Note 48 und weiter IV, Note 24. Nach Baschi zu Deut. 12, 3 ist בימוס identisch mit der dort erwähnten מצבה. ausgehauen, ist verboten;59 Denn das Postament wird ebenso wie der Götze selbst verehrt (Raschi). hat man ihn bloß60 Nachdem er bereits ausgehauen war. für den Götzen angestrichen,53 Mit Kalk, סייד Denom. von סיד (Kalk). mit Bildwerk geschmückt54 כייר kommt oft neben סייד (tünchen) und צייר (malen) vor. Die Etym. ist dunkel; viell, stammt es von כרה = כור graben, und es hätte die Bedeutung: mit Skulpturen versehen. oder sonst was Neues daran gemacht, so braucht man nur das Neue wegzunehmen; hat man bloß einen Götzen darauf gestellt61 Für kurze Zeit. und ihn wieder entfernt, so ist der Stein erlaubt. Es gibt dreierlei Ascherot:62 אשרה ist nach der jüdischen Tradition ein Götzenbaum. Nach Movers (Phön. I, S. 568) war אשרה ein grader Baumstamm, dessen Äste und Krone abgehauen waren. Dieser Baum ward als Sinnbild der Astarte abgötterisch verehrt und war daher wie ein Götzenbild zu jeder Nutzung verboten. Ein Baum, den man ursprünglich zum Götzendienst gepflanzt hat, ist verboten,63 Selbst bevor man ihn angebetet hat. hat man ihn zum Götzendienste behauen64 Um das, was nachwächst, anzubeten. oder beschnitten,65 פסל, s. Schebiit II,3. und er hat neue Schösslinge hervorgebracht, so braucht man nur die neuen Schösslinge wegzunehmen ;66 Diese muss man verbrennen; das Übrige ist erlaubt. hat man einen Götzen darunter gestellt67 Und der Baum war ursprünglich zu diesem Zwecke gepflanzt worden (ר״ן). und diesen dann nichtig gemacht,68 In der Weise, wie weiter IV, 5 bestimmt wird. — Maimon, liest ונטלו st. וביטלה; es genügt danach, dass man den Götzen wieder wegnimmt. Nach ריטב״א ist ביטול nur dann nötig, wenn der Götze für die Dauer darunter gestellt wurde. so ist jener69 Der Baum. erlaubt. Was heißt eine Aschera?70 Diese Frage ist nach der vorangegangenen Lehre, dass es dreierlei Ascherot gibt, höchst auffällig! Es ist anzunehmen, dass die Lehre: איזו היא אשרה älter ist als die vorhergehende (שלש אשרות). In dieser hat der Mischna-Redaktor wie die Weisen (gegen R. Simon) entschieden, dass auch der Baum, unter dem ein Götzenbild steht, verboten ist, so lange man nicht den Götzen nichtig gemacht (resp. weggenommen) hat. Um aber zu zeigen, dass Betreffs dieser Lehre nicht Alle übereinstimmen, bringt der Redaktor nachträglich noch die ältere Mischna (איזו היא אשרה), aus der wir ersehen können, dass hierüber eine Kontroverse zwischen den Weisen und R. Simon bestand (vgl. ריטב״א). Ein Baum, unter dem ein Götze steht.71 Wenn der Baum auch nicht angebetet wird, so wird er dennoch als ein Dienst-Gegenstand des Götzen (משמשי ע״ז) verboten. R. Simon sagt: Ein Baum, den man anbetet.72 Aber als משמשי ע״ז wird ein Baum, der am Boden haftend (מחובר) ist, nicht verboten. Einst geschah es zu Zidon, dass man einen Baum an betete, unter dem ein Steinhaufe sich befand; da sprach R. Simon zu ihnen: Untersuchet diesen Steinhäufen! Man untersuchte ihn und fand ein Bild in demselben; da sprach er zu ihnen: Da sie das Bild anbeten, so können wir euch den Baum erlauben.73 Selbst während das Götzenbild noch darunter steht (Ritba).", + "Man darf sich nicht in ihren74 Der Ascherah. Schatten setzen;75 Selbst nicht in den schwächeren Halbschatten, צל צילה (Talm.). hat man sich [dorthin]76 An eine Stelle, wo man nicht vom Baume überdacht wird. gesetzt, so bleibt man rein. Man darf nicht darunter vorübergehen;77 Unter den Zweigen des Baumes. ist man vorübergegangen, so ist man unrein.78 Da sicherlich Götzenopfer-Teile (תקרובת ע״ז) darunter sind, die, wie ein Leichnam, im Zelte (s. Edujot III, Note 14) verunreinigen (Talm.). Der Götze selbst jedoch verunreinigt nicht im Zelte (Tos. Jom-Tob). Beeinträchtigt sie79 Indem ihre Zweige nach der öffentlichen Straße geneigt sind. die Leute,80 Die durch die Straße ziehen. so ist der darunter Vorübergehende rein.81 Denn die Unreinheit der Götzenopfer ist nur eine rabbinische Bestimmung, die für einen solchen Fall nicht getroffen worden ist. Man darf darunter im Winter82 Da in dieser Zeit der Schatten den Kräutern schadet. Kräuter säen, aber nicht im Sommer;83 Wo er vom Schatten einen Nutzen hätte. Lattich84 חזרין Lattich-Kräuter; in der Einz. חזרת, s. Pesachim II, Note 24. [darf man] jedoch weder im Sommer noch im Winter [darunter säen].85 Weil diesem der Schatten zu jeder Zeit nützlich ist. R. Jose sagt:86 Da R. Jose oben M. 3 (vgl. Note) זה וזה גורם erlaubt, so nimmt der Talmud an, dass R. Jose hier nur gegen die Weisen einen Einwand erhebt: Ihr (die ihr זה וזה גורם nicht erlaubet) solltet auch Kräuter im Winter zu säen verbieten. Auch Kräuter im Winter nicht, weil das Laub87 נמייה, and. LA. נוויה ,נבייה (von נוב == נכי, ar. نمى wachsen) Sprossen, Blätter. darauf fällt und ihnen zum Dünger dient.88 Die Weisen aber erlauben es dennoch, weil der Nutzen des Düngers durch den Schaden, den der Baum durch seinen Schatten den Pflanzen verursacht, vollständig aufgewogen wird.", + "Hat man davon89 Von der Ascherah. Holz genommen, so ist es zur Nutzung verboten. Hat man damit den Ofen geheizt, so muss dieser, wenn er neu war, eingerissen wer den;90 Denn da die erste Heizung den neuen Ofen fest macht, so ist dieser als durch Götzendienst-Holz hergestellt zu betrachten und daher zur Nutzung verboten. Obgleich aber bei der Benutzung des Ofens stets noch ein anderer erlaubter Gegenstand (Holz oder Kohlen) das Backen des Brotes mit bewirkt, so darf der Ofen dennoch nicht gebraucht werden, denn diese Mischna folgt der Ansicht, welche זה וזה גורם verbietet (oben M. 3, Note). ist er alt, so muss man ihn auskühlen lassen.91 D. h. man darf bei dieser Heizung Nichts backen. Dagegen ist der Ofen nicht verboten, da ein alter Ofen durch die Heizung nicht verbessert wird. Hat man damit92 Mit dem Holze der Aschera. Brod gebacken, so ist dasselbe zur Nutzung verboten.93 Nach dem Talm. (Pesachim 27 a) nur dann, wenn das Brod bei brennenden Holzstücken gebacken wurde, so dass man das Holz benutzte, während noch ein Teil desselben unverbrannt war; hat man aber erst gebacken, nachdem das ganze Holz zu Kohlen verbrannt war, so ist das Brot erlaubt. Ist dies mit anderen [Broten] vermischt worden,94 Ms. München hat hier den Zusatz: ואחרות באחרות (und diese Brote sind wieder mit andern vermischt worden) vgl. Tosaphot 49 a v. נתערבה. so sind alle zur Nutzung verboten.95 Das verbotene Brot geht nicht unter der Mehrzahl der erlaubten Brote auf; nach Einigen, weil die Brote so bedeutend sind, dass sie immer nach Zahl verkauft werden (vgl. Orlali III, 7); nach Andern kann das durch Götzendienst Verbotene, selbst wenn es unter tausend gleichen Dingen vermischt ist, nicht als aufgehoben (בטל) betrachtet werden. R. Elieser sagt: Man soll den Nutzen96 Nach Tos. Bart. u. A. den Wert des Einen beim Ascherah-Holze gebackenen Brotes; nach Raschi dagegen nur den Wert des Holzes. in die Salzsee werfen. Da sprachen sie97 Die Weisen. zu ihm: Bei Götzendienst gibt es keine Auslösung.98 Wie man etwa manche heiligen Gegenstände durch Zahlung eines Äquivalents auslösen kann. Hat man davon99 Vom Holze der Ascherah. ein Weberschiffchen100 כרכר .1 ,כרכר, gr. κερκις, Weberschiffchen od. Weberlade. gemacht, so ist es zur Nutzung verboten. Hat man damit ein Kleid gewoben, so ist auch das Kleid zur Nutzung verboten. Ist dies mit anderen [Kleidern] und diese anderen wieder mit anderen101 Einige lesen nicht ואחרים באחרים s. Tos. Jom-Tob u. oben Note 94. vermischt worden, so sind alle zur Nutzung verboten. R. Elieser sagt: Man so]] den Nutzen in die Salzsee werfen. Da sprachen sie zu ihm: Bei Götzendienst gibt es keine Auslösung.", + "In welcher Weise macht er102 Der Götzendiener, s. weiter IV, 4. sie103 Die Ascherah. nichtig? Wenn er dürre104 קרסם (bibl. כרסם) abschneiden; die dürren Zweige abschneiden. oder frische Zweige105 זרד (Den. von זךך Zweig) entzweigen, frische Zweige abschneiden. davon abgehauen, wenn er einen Stock oder eine Rute oder auch nur ein Blatt davon genommen hat, so ist sie nichtig. Hat er sie abgehobelt,106 שפח glätten, abhobeln. so bleibt sie, wenn dies ihretwegen107 Um die Aschera zu verschönern. geschehen ist, verboten; geschah dies aber nicht ihretwegen,108 Sondern um Späne für den eigenen Gebrauch zu gewinnen. so ist sie erlaubt.109 Weil sie dadurch nichtig wird." + ], + [ + "R. Ismael sagt: Drei Steine nebeneinander1 Um so mehr noch, wenn zwei Steine nebeneinander und ein dritter darüber liegt, wie man gewöhnlich die Errichtung eines Mercur-Steinhaufens begonnen hatte (Talm.) an der Seite des Merkulis2 מרקוליס der Merkur-Steinhaufen. S. Sanhedrin VII, Note 77 und H. Lewy im Philologus B. 52, S. 568 f. sind verboten3 Wenn sie auch weit weg vom Merkulis liegen, so dass anzunehmen ist, sie seien nicht von dort herabgefallen, sind sie dennoch verboten; den B. J. meint, man pflege manchmal neben dem großen Merkulis einen kleinen zu machen, wobei nur drei Steine nebeneinander gelegt werden., sind dort aber nur zwei Steine, so sind sie erlaubt Die Weisen aber sagen: Diejenigcn, die als ihm zugehörig erscheinen,4 Die ihm so nahe liegen, dass anzunehmen ist, sie seien von ihm herabgeiallen. Nach Jerusch, sind dies die Steine, die innerhalb 50 Ellen vom Merkulis gefunden werden. sind verboten, die aber nicht als ihm zugehörig erscheinen, sind erlaubt,5 Denn es ist nicht anzunehmen, man habe einen kleinen Merkulis neben dem großen gemacht.", + "Findet man auf dessen6 Des Merkulis oder eines anderen Götzen Haupte Geld, Gewand oder Geräte, so sind sie erlaubt;7 Wenn die Gegenstände offenbar nicht als Schmuck hingelegt worden sind, z. B. wenn ein zusammengewickeltes Kleid auf seinem Haupte liegt. (Talm.) aber Weintrauben - Gebinde,8 פרכילי Einz. פרכול (Ukzin 1,3), schwerlich vom lat. pérgula (Mussaphia) oder von φραγέλλιον (Stab); für letzteres Wort hat der Midrasch פרגל in der Bedeutung „Geißel‟. פרכל ist wahrscheinlich vom aram. פרך (binden) abzuleiten und bezeichnet die Weintraube mit einem daran befindlichen Reben Teile, wie man sie zu Girlanden oder Fruchtgebinden brauchte. Achren-Kränze, Fläschchen mit Wein, Öl oder Mehl, überhaupt Alles, desgleichen auf dem Altar dargebracht wird, ist verboten.9 Als Götzenopfer.", + "Wenn ein Garten oder ein Bad einem Götzen gehört, so darf man von denselben ohne Dankesbezeugung10 Gegen die Priester, so nach Raschi und Tos. 44 b v. נהנין, vgl. Edujot V, Note 20. einen Nutzen haben, aber nicht mit Dankesbezeugung. Gehören sie dem Götzen und zugleich Anderen, so darf mau sowohl mit als ohne Dankesbezeugung davon Nutzen haben.11 Doch darf man dafür keine Bezahlung leisten, oben I, 4 Note 27.", + "Der Götze eines Heiden ist sogleich12 Nachdem er ihn verfertigt hat. zur Nutzung verboten,13 Obgleich er ihm noch nicht gedient hat. der eines Israeliten aber ist erst dann verboten, wenn demselben gedient worden. Ein Heide kann sowohl seinen Götzen als den seines Nächsten14 Eines anderen Heiden. And. LA. ושל ישראל (und den eines Israeliten) st. ושל חברו; so hat nach dem Talm. (52 b) Rabbi in seiner Jugend gelehrt (vgl. B. mezia IV, Note 2 Ende). Der Heide kann aber auch nach dieser Ansicht nur dann des Israeliten Götzen nichtig machen, wenn er Miteigentümer desselben ist. Doch hat Rabbi in seinem Alter diese Ansicht aufgegeben und gelehrt, dass selbst wenn der Heide an einem Götzen Teilhaber ist, er dennoch nicht den Teil des Israeliten nichtig machen kann. nichtig machen;15 D. h. den Götzen-Charakter aufheben. Wenn er durch einen Zerstörungsakt oder durch eine der Vernichtung preisgehende Handlung, wie dies weiter in M. 5 u. 6 angegeben ist, den Götter-Charakter aufhebt, so ist damit das Nutzungs-Verbot beseitigt. ein Israelit aber kann nicht den Götzen eines Heiden16 Und um so weniger seinen eigenen Götzen, der ja nicht einmal durch einen Heiden seines Götzen-Charakters entkleidet werden kann, Note 14. nichtig machen. Macht man17 Ein Heide. einen Götzen nichtig, so hat man damit auch alle seine Dienstsachen18 Selbst wenn diese sich im Besitze eines Israeliten befanden. nichtig gemacht, hat man aber nur die Dienstsachen nichtig gemacht, so sind bloß die Dienstsachen erlaubt, der Götze selbst aber verboten.", + "Wie macht man ihn nichtig? Hat man ihm die Spitze des Ohres, der Nase oder des Fingers abgehauen; hat man ihn zusammengedrückt,19 פחס (arab. فحش hässlich sein) entstellen, durch Zusammendrücken die Gestalt zerstören. obwohl nichts davon weggenommen ist, so hat man ihn nichtig gemacht; hat man vor ihm ausgespieen oder uriniert; hat man ihn herumgeschleppt oder mit Kotli beworfen; so wird er nicht dadurch nichtig.20 Denn der Heide zürnt mitunter eine Zeit lang seinem Gotte, und später verehrt er ihn wieder (vgl. Jes. 8,21). Hat man ihn verkauft oder verpfändet, so sagt Rabbi: Er wird dadurch nichtig. Die Weisen aber sagen: Er wird nicht dadurch nichtig.21 Nach einer Ansicht gilt dies nur, wenn der Heide ihn einem anderen Heiden verkauft ; nach einer andern Ansicht auch, wenn er ihn einem Israeliten verkauft hat.", + "Wenn einen Götzen seine Verehrer zurückgelassen haben,22 Ohne Absicht, wieder zu ihm zurückzukehren. so ist derselbe erlaubt, wenn dies in Friedenszeiten geschehen ;23 Denn da sie freiwillig weggezogen sind, ohne den Götzen mitzunehmen, so haben sie ihn der Vernichtung preisgegeben. geschah es aber in Kriegszeiten, so bleibt er verboten. Götzengestelle24 בימוס s. oben III, Note 58. — In der Tossephta VI, 6 (ed. Zuckerm. S. 468) heißt es hier: בי מוסייאות שהעמידו גוים בשעת השמד אף על פי שעבר השמד הרי אילו אסורות die בי מוסייאות, welche die Heiden während der Verfolgungszeit aufgestellt hatten, bleiben selbst, nachdem die Verfolgungszeit vorüber ist, verboten. Die Schreibung בי מוסייאות lässt vermuten, dass man βωμóς deshalb in בימוס umgewandelt hat, um dies wie בי מוס, Haus der Verabschauung (מאס == מוס, oder vom gr. μὐσος, Gegenstand der Verabschauung) zu verstehen. der Könige25 Postamente, auf welchen bei der Durchreise der Könige Götzenbilder aufgestellt werden. sind erlaubt, weil man [nur], wenn die Könige vorüberziehen, Götzen darauf stellt.26 Und oft ziehen die Könige nicht auf diesem, sondern auf einem andern Wege und beachten den Götzen nicht, deshalb wird das Gestell nicht als Götzen-Dienstsache (משמשי ע״ז) betrachtet (Talm.)", + "Man fragte26a In der Tos. und im Talm.: שאלו הפלוסופין, die Philosophen fragten. einst die Ältesten in Rom:27 Von einer Reise der Ältesten nach Rom weiß auch die Mischila Erubin IV,1. Wenn Gott an den Götzen keinen Gefallen hat, warum vernichtet er sie nicht? Da sprachen sie zu ihnen: Wenn sie einer Sache dienten, welche die Welt nicht brauchte, so würde er27a Gott. sie vernichten; aber sie dienen der Sonne, dem Monde, den Sternen und den Tierkreis-Bildern — soll nun Gott der Thoren wegen seine Welt zerstören?! Da sprachen jene28 Die Philosophen. zu ihnen: Wenn dem so ist, so sollte er27a Gott. die Dinge, welche die Welt nicht braucht, vernichten und die stehen lassen, welche die Welt braucht! Sie antworteten ihnen : Dann würden wir die Verehrer dieser Dinge in ihrer Meinung bestärken ;28a החזק ידי פ׳ eig. : Die Hände Jemands stärken, d. h. ihn ermutigen. denn sie würden sagen: Sehet, sie sind Götter,. da sie nicht untergegangen sind.29 Während alle andern Götzen untergingen.", + "Man kann eine getretene Weinkelter30 Die Weintrauben, die der Heide selbst getreten hat. vom Heiden kaufen, obwohl er mit der Hand [Weintrauben]31 Aus dem ausgepressten Traubensafte heraus. nimmt32 Und den Saft mit den Händen berührt, so wird dieser dennoch nicht verboten. Denn nur Wein wird durch Berührung des Heiden verboten; dieser Traubensaft wird aber noch nicht als Wein betrachtet. und sie auf den Haufen33 תפוח Apfel, auch Haufen, hier Trauben-Haufen (vgl. Tamid II,2 תפוח Aschenhaufen). legt; es kann nicht eher als Nesech-Wein34 יין נסך „Trankopfer-Wein‟ im engern Sinne wird der Wein genannt, den der Heide mit seinen Händen umgerührt und dem Götzen geweiht; im weiteren Sinne versteht man aber auch darunter allen Wein eines Heiden, den der Heide berührt hat (סתם יינן), vgl. Talm. 30 b. verboten werden, bis er35 Der Most. in die Kufe36 בור eig. die Grube, worin die Kufe steht, in welche der Most aus dem Kelterkasten hineinrinnt. hlierabgeronnen ist. Ist er in die Kufe geronnen, so ist das, was in der Kufe ist, verboten,37 Wenn der Heide es berührt. das Übrige aber38 Auch wenn der Heide es berührt. erlaubt.39 Denn es wird nicht als Wein betrachtet. — Diese Bestimmung ist die der älteren Mischna, (משנה ראשונה), während nach der späteren Mischila (משנה אחרונה), wie Rab Huna lehrt, der Wein sobald er zu fließen beginnt (s. die Erkl. 55 b Tos. v. אמר), als יין נסך verboten werden kann (s. folgende M. Note 43).", + "Man darf mit dem Heiden in der Kelter pressen;40 Auch für Lohn, denn der Most ist, bevor er in die Grube herabgeronnen, nicht nur zur Nutzung, sondern auch zum Trinken erlaubt. Man bewirkt auch nicht durch diese Arbeit, dass der Wein durch den Heiden unrein wird, da die Trauben bereits vorher, sobald der Heide sie zu pressen begonnen, unrein geworden waren. aber man darf nicht mit ihm Trauben lesen.41 Weil man dadurch bewirkt, dass die Trauben später durch die unreinen Gefäße des Heiden verunreinigt werden. Mit einem Israeliten, der seinen Wein in Unreinigkeit bereitet, darf man weder pressen42 Weil er dabei eine Gesetzesübertretung übt, (indem er die Früchte, in denen auch Hebe und Zehnten enthalten sind, verunreinigt), und man Niemand bei einer Gesetzesübertretung Beistand leisten darf. Dagegen darf man mit dem Heiden Trauben pressen, da dem Heiden das Verun- reinigen der Früchte nicht verboten ist und er also damit keine Gesetzesübertretung verübt. noch lesen;43 Betreffs der hier erwähnten Bestimmungen existiert eine Differenz zwischen der älteren Mischna und der späteren Mischna (wohl die des R. Akiba, s. Sanhedrin III,4). Der Talmud 55 b zitiert hierüber folgende Baraita: בראשונה היו אומרים ב׳ד׳ד׳ אין בוצרין עם הגוי בגת (שאסור לגרום טומאה לחולין שבארץ ישראל) ואין דורכין עם ישראל שעושה פירותיו בטומאה (שאסור לסייע ידי עוברי עבירה) אבל דוטרון עם הגוי בגת (ולא חיישינן לירב הונא) חזרו לומר ד׳ב׳ב׳ אין דורכין עם הגוי בגת (משום דרב הונא) ואין בוצרין עם ישראל שעושה פירותיו בטומאה (וכל שכן שאין דורכין) אבל ביצרין עם הגוי בגת (שמותר לגרום טומאה לחולין שבארץ ישראל). „Zuerst hatte man gesagt [3 Lehren mit den Anfangsbuchstaben] ב׳ד׳ד׳: Man darf nicht mit dem Heiden für die Kelter Trauben lesen (weil man auch die Verunreinigung der gemeinen Früchte Palästinas nicht veranlassen darf); man darf nicht mit einem Israeliten, der seine Produkte in Unreinigkeit bereitet, Trauben pressen (weil man Gesetzesübertretern nicht helfen darf); man darf aber mit dem Heiden in der Kelter pressen (indem man den Ausspruch des Rab Huna — dass der Wein, sobald er zu fließen beginnt, durch Berührung des Heiden verboten wird — nicht zu beachten braucht). Später aber hat man gesagt [3 Lehren mit den Anfangsbuchstaben] ד׳ב׳ב׳: Man darf nicht mit den Heiden in der Kelter pressen (wegen des Ausspruchs des Rah Huna) ; man darf nicht mit einem Israeliten, der seine Produkte in Unreinigkeit bereitet, Trauben lesen (um so weniger Trauben pressen); man darf aber mit dem Heiden Trauben lesen, (denn man darf die Verunreinigung von [einem Heiden gehörenden] gemeinen Früchten Palästina’s veranlassen).‟ — Die eingeklammerten Stellen sind erklärende Zusätze des Talmuds zur Baraita. man darf aber mit ihm Fässer44 Leere Fässer. in die Kelter tragen und von der Kelter45 Mit Wein gefüllte Fässer. bringen.46 Nachdem der Wein verunreinigt und die Gesetzesübertretung bereits verübt ist, darf man bei den folgenden Arbeiten Hilfe leisten. Mit einem Bäcker,47 נחתום, syr. ܢܰܚܬܽܘܡܳܐ, Bäcker. der in Unreinheit [Brod] bereitet, darf man weder kneten noch [den Teig] rollen,48 ערך ordnen, zurichten, rollen mit dem Walgerholz (מערוך), s. Edujot VII, Note 45. man darf aber mit ihm Brod in den Verkaufsladen49 יפלטר (gr. πωλητήριον) Kaufladen (Tosephta Demai III, 10), dann auch der Verkäufer im Kaufladen. tragen.50 Nachdem es einmal unrein geworden ist, darf man ihm bei einer anderen Arbeit helfen, Note 46.", + "Wenn ein Heide neben der Wein-Kufe getroffen wird, so ist der Wein, wenn er51 Der Heide. darauf eine Schuldforderung hat,52 Der Israelit hat ihm diesen Wein als Hypothek gestellt. verboten,53 Denn der Heide betrachtet den Wein bereits als sein Eigentum und scheut sich nicht, denselben zu berühren. hat er keine darauf, so ist er erlaubt. Ist er51 Der Heide. in die Weinkufe gefallen und heraufgezogen worden,54 Nach dem Talmud (60 b) nur, wenn er Tot heraufgezogen worden ist ; ist er aber lebend heraufgezogen worden, so ist anzunehmen, dass er zum Danke für seine Rettung den Wein dem Götzen geweiht hat, und der Wein ist zur Nutzung verboten. oder hat er [den Wein] mit einem Rohr gemessen, oder mit dem Rohr eine Hornisse herausgeschleudert,55 נתז (bibl. תוז) abspringen, Hif. wegschleudern oder auf die Öffnung des schäumenden56 רתח sieden, schäumen. Fasses mit der Hand geschlafen57 טפח, den. von טפח (flache Hand), mit der flachen Hand schlagen. — alle diese Fälle haben sich einst zugetragen, und man hat gesagt, der Wein soll verkauft werden.58 Er ist nur zu trinken verboten, aber zur Nutzung erlaubt, weil der Heide ihn entweder ganz ohne Absicht oder nicht in der Weise berührt hat, wie es bei der Libation zu geschehen pflegt. R. Simon aber erlaubt ihn.58a Auch zu trinken. Hat er das Fass genommen und es (im Zorne)59 Einige lesen nicht בחמתו. in die Kufe geworfen, — dies ereignete sich einst,59a Nach Ein. ist hier hinzuzufügen שאן בבת, s. M. 12. und man hat den Wein erlaubt.58a Auch zu trinken.", + "Wenn Liner den Wein eines Heiden in Reinheit bereitet60 Es wird unter seiner Aufsicht der Wein des Heiden derart bereitet, dass er einem Israeliten zu trinken erlaubt sein soll, damit der Heide den Wein einem Israeliten verkaufen könnte. Die Mischna nennt dies „reinigen‟, weil sonst der Wein des Heiden nicht nur zur Nutzung verboten, sondern auch levitisch unrein ist (vgl. Talm. 30b). und ihn im Bereiche des Heiden lässt, in einem Hause, das zur öffentlichen Straße offen ist; so ist der Wein, falls in der Stadt Heiden und Israeliten wohnen, erlaubt;61 Denn der Heide fürchtet sich, den Wein zu öffnen und zu berühren, da dies ein Israelit sehen und dann der Wein nicht von Israeliten gekauft würde. Es muss aber dieser Wein dennoch verschlossen und versiegelt sein. wohnen aber lauter Heiden darin,62 Oder wenn das Haus nicht zur Straße offen ist. so ist er verboten, es sei denn, dass er einen Hüter dahin setzt. Es braucht aber der Hüter nicht [beständig] dabei zu sitzen und acht zu geben ; sondern wenn er auch nur aus- und eingeht, ist der Wein erlaubt. R. Simon, Sohn Eleasars, sagt: Es ist einerlei, welches Heiden Bereich es ist.63 Selbst wenn der Wein nicht im Bereiche des Eigentümers, sondern im Bereiche eines anderen Heiden sich befindet, ist in einer Stadt, wo lauter Heiden wohnen, ein Hüter nötig. Nach dem ersten Tanna ist ein solcher nur dann erforderlich, wenn der Wein im Bereiche des heidnischen Eigentümers liegt.", + "Wenn Einer den Wein eines Heiden in Reinheit bereitet60 Es wird unter seiner Aufsicht der Wein des Heiden derart bereitet, dass er einem Israeliten zu trinken erlaubt sein soll, damit der Heide den Wein einem Israeliten verkaufen könnte. Die Mischna nennt dies „reinigen‟, weil sonst der Wein des Heiden nicht nur zur Nutzung verboten, sondern auch levitisch unrein ist (vgl. Talm. 30b). und ihn in dessen Bereiche lässt, so ist, wenn dieser64 Der Heide. ihm65 Dem Israeliten. schreibt: „Ich habe von Dir Geld empfangen !‟65a Dadurch ist der Wein vollständig Eigentum des Israeliten. der Wein erlaubt.66 Selbst wenn lauter Heiden in dieser Stadt wohnen. Doch muss der Wein verschlossen und versiegelt sein. Falls aber dieser, wenn der Israelit ihn herausnehmen will, es nicht zulässt, bis er ihm das Geld dafür gegeben, — dies ereignete sich einst in Bet-Schean,67 S. oben I, Note 26. und die Weisen haben ihn verboten.68 Denn in diesem Falle betrachtet der Heide den Wein als sein Eigentum, den er nach Belieben öffnen kann." + ], + [ + "Wenn Einer1 Ein Heide. einen Arbeiter2 Einen Israeliten. mietet, bei ihm an Nesech-Wein3 S. oben IV, Note 34. zu arbeiten, so ist sein Lohn verboten.4 Es ist dies von den Weisen als Strafe angeordnet, worden. Hat er ihn aber gemietet, bei ihm eine andere Arbeit zu verrichten, wenn er auch zu ihm gesagt hat: „Bringe mir ein Fass Nesech-Wein von einem Orte zum anderen.‟, so 1st sein Lohn erlaubt.5 Im Talm. 65 a werden zwei Baraita’s zitiert, wonach die vorliegende Bestimmung nur gültig ist entweder, wenn er die verbotene Arbeit am Nesech-Wein erst gegen Abend, nachdem seine Arbeitszeit bereits vorbei war, verrichtet hat, oder wenn man zu dem Arbeiter z. B. gesagt hätte, er solle jedes Fass für eine Peruta transportieren. Ist dann ein Fass Nesech-Wein darunter, so nimmt er dafür keinen Lohn, und der übrige Lohn ist erlaubt. Hat aber der Heide zum Arbeiter gesagt: „Trage mir 100 Fässer für 100 Peruta’s!‟ und es ist ein Fass Nesech-Wein darunter, so ist der ganze Lohn verboten. Wenn Einer einen Esel mietet, darauf Nesech-Wein zu bringen, so ist der Lohn verboten. Hat er ihn aber gemietet, darauf zu sitzen; so ist, selbst wenn der Heide seine Flasche6 Mit Nesech-Wein. לגין, gr. λάγυνος, Flasche, Krug. darauf gelegt hat, der Lohn erlaubt.7 Obwohl er den Esel unter der stillschweigenden Voraussetzung gemietet hat, seine Speise und Flasche darauf zu legen, so wird es doch nicht so betrachtet, als hätte er ihn von Anfang an gemietet, Nesech-Wein darauf zu legen. Vielmehr ist der Lohn erlaubt, da der Heide, wenn er auch nicht die Flasche auf das Tier legte, Nichts vom Lohne abziehen würde.", + "Wenn Nesech-Wein auf Trauben gefallen ist, so braucht man sie nur abzuwaschen8 Mit kaltem Wasser., und sie sind erlaubt; waren sie aber aufgesprungen,9 Oder wenn die Beeren von ihren Stielen abgerissen sind (Jerusch.). so sind sie verboten. (Ist10 Die eingeklammerte Stelle fehlt in ein. Codd., s. Tos. 65 b v. ה״ג. er auf Feigen oder DatteIn gefallen, so sind sie verboten, wenn sie einen Geschmack vom Weine erhalten haben.)11 Wörtlich: אם יש בהן wenn in ihnen (sc. den Feigen oder Datteln) enthalten ist, בנותן טעם ein Geschmack beigebendes [Quantum vom Weine]. Das ב׳ wird oft bei Angabe des Quantums (שיעור) gebraucht, vgl. z. B. Kelim III, 1. Einst trug es sich zu, dass Boëthos, Sohn Sonins’,12 B. mezia V, 3. dürre Feigen zu Schiffe brachte und ein Fass Nesech-Wein zerbrach und darauf fiel; er befragte die Weisen, und sic erklärten sie für erlaubt13 Weil der beigegebene Geschmack vom Wein den Feigen zum Verderben (לפגם) gereicht.. Folgendes ist die Regel: Wenn der beigegebene Geschmack ihm14 Dem Eigentümer des Gegenstandes. zum Vorteil gereicht15 Das Verbotene gibt dem Erlaubten einen guten Geschmack., ist es verboten; gereicht aber der beigegebene Geschmack ihm nicht zum YorTeile, so ist es erlaubt, wie z. B. wenn Essig16 Von Nesech-Wein. auf Graupen17 גרשׂ == גרים Graupe. gefallen ist.18 Nach dem Talm. gilt dies nur von heissen, aber nicht von kalten Graupen.", + "Wenn ein Heide mit einem Israeliten von einem Orte zum andern Krüge19 Die zugestopft sind. Wein bringt, so ist der Wein, wenn er als gehütet angesehen wird,20 Wörtlich: „wenn er in der Voraussetzung des Gehüteten (d. h. des Gehütetseins) sich befindet.‟ (חזקה, Voraussetzung, Präsumtion, vgl. B. batra I, Note 32). Diese Voraussetzung besteht, wenn der Heide zu jeder Zeit befürchten muss, der Israelit könnte auf einem krummen Seitenwege (דרך עקלתון) heran kommen. erlaubt; wenn aber der Israelit ihm mitgeteilt hat, dass er sich entferne,21 מפליג (von פלג teilen, trennen) scheiden, sich trennen, weit fortgehen. [ist der Wein verboten], wenn die Zeit [der Entfernung] genügt, um anzubohren,22 שתם (vom arab. ثتم lösen, eine Naht) öffnen, anbohren, vgl. das bibl. שתם העין. [die gebohrte Öffnung wieder zu verstopfen23 Mit feuchtem Kalk. und zu trocknen.24 נגב (aram.) trocknen. R. Simon, Sohn Gamliels, sagt: [Die Zeit muss so viel sein], dass er [das Fass] aufspunden, wieder zuspunden ,25 גוף verschließen, mit einem Spunde (מגופה). undes trocknen könne.26 Nach R. Simon hat man, selbst wenn das Fass mit einem Kalkspunde zugestopft ist, nicht zu befürchten, der Heide würde es anbohren und dann wieder verstopfen; denn wenn auch dieser Verschluss oben durch Streichen unkenntlich gemacht werden kann, so merkt der Israelit dennoch, wenn er den Spund herausnimmt, an der untern Seite desselben, dass er angebohrt worden war. Der erste Tanna aber meint, dass der Israelit, wenn er die obere Fläche des Spundes glatt und unversehrt findet, nicht daran denkt, auch die untere Seite zu untersuchen. Dagegen stimmt dieser Tanna bei einem Lehm-Spunde der Ansicht des R. Simon bei, weil dabei jede Anbohrung auch an der oberen Fläche kenntlich ist (Talm.).", + "Wenn Einer seinen Wein auf einem Wagen oder einem Schiffe27 S. Berachot IV, 6. lässt28 Wo sich Heiden befinden. und selbst einen kürzere Weg29 קפנרריא == compendiaria, auf einem kürzeren Wege, Berachot IX, 4. geht,30 Er geht einen kürzeren Weg auf einem Fußpfade, während der Wagen den längeren Weg auf der Heerstraße nachfolgt. oder in die Stadt31 מדינה Stadt, wie im Arab. geht und sich badet,32 Während unterdessen der Wagen oder das Schiff vorausfährt. so ist der Wein erlaubt.33 Denn der Heide fürchtet sich den Wein zu öffnen, da der Eigentümer zu jeder Zeit kommen könnte. Hat er34 Der Israelit. ihm35 Dem Heiden. aber mitgeteilt, dass er sich entferne, [so ist der Wein verboten] nach einer Zeit, die genügt, um anzubohren, zu verstopfen und zu trocknen. R. Simon, Sohn Gamliels, sagt: Nach einer Zeit, die genügt, um aufzuspunden, zuzuspunden und zu trocknen. Wenn Einer einen Heiden in seinem Laden lässt, so ist sein Wein erlaubt, wenn er selbst auch nur ab und zu geht. Wenn er34 Der Israelit. ihm35 Dem Heiden. aber mitgeteilt hat, dass er sich entferne, [so ist der Wein verboten] nach einer Zeit, die genügt, um anzubohren, zu verstopfen und zu trocknen. R. Simon, Sohn Gamliels, sagt: Nach einer Zeit, die genügt, um aufzuspunden, zuzuspunden und zu trocknen.", + "Haben73 Jebamot III, 1. zwei von vier Brüdern zwei Schwestern geheiratet und es sterben die mit den Schwestern Verheirateten, so müssen letztere die Chaliza vollziehen und dürfen nicht in Leviratsehe genommen werden74 Denn jede der beiden Schwestern ist mit jedem der beiden Brüder durch das Band der Leviratsehe-Pflicht verbunden (s. oben IV, Note 84); eine derart Verbundene (זקוקה) wird aber (rabbinisch) wie eine Ehefrau betrachtet, so dass deren Schwester, wie eine Schwester der Ehefrau zur Ehe verboten ist.. Haben sie dieselben voreilig geehelicht75 Ein jeder der beiden Brüder hat Eine von beiden Schwestern geehelicht., so müssen sie dieselben wieder entlassen. R. Elieser66 Ms. München liest: R. Eleasar (רבי אלעזר); so las auch T. B. Jebamot 28a. Diese LA. ist der andern vorzuziehen, denn R. Eleasar (nicht R. Elieser) ist der Zeitgenosse aller bisherigen Referenten: R. Jehuda, R. Jose, R. Simon (und R. Meïr). sagt: Nach Bet-Schammai dürfen sie dieselben behalten, und nach Bet-Hillel müssen sie dieselben entlassen76 Nach der Relation des Abba Saul in Jebamot 28a haben Bet-Hillel die erleichternde Ansicht; vgl. das. noch eine dritte Relation..", + "Wenn eine Requisitions-Truppe42 בלשת (vom aram. בלש, suchen) eine Truppe, die Lebensmittel requiriert. — נכרים fehlt in vielen Codd. in eine Stadt kommt und es ist Friedenszeit, so sind die offenen Fässer verboten, die verschlossenen erlaubt; ist aber Kriegszeit, so sind diese und jene erlaubt, weil dann keine Zeit43 פנאי freie Zeit, Müsse, von פנה sich wegwenden (von den Beschäftigungen), sich abmüßigen. ist Nesech-Wein zu machen44 נַםֵּךֽ (Den. von נסך) den Wein durch Umrühren zu Ehren des Götzen oder durch Berührung eines Heiden als Nesech-Wein verboten machen..", + "Israelitische Handwerker, denen ein Heide ein Fass Nesech-Wein als Lohn schickt, dürfen zu ihm45 Dem Heiden. sagen : „gib uns stattdessen Geld!‟46 Das Geld wird nicht als Erlös für verkauften Nesech-Wein betrachtet; denn sie haben den Nesech-Wein sich gar nicht angeeignet, und der Heide war ihnen für ihre Arbeit Geld schuldig. Ist es47 Das Fass Wein. aber schon in ihren Besitz gekommen48 Sie haben es bereits als ihren Lohn angenommen., so ist dies49 Geld dafür zu nehmen. verboten. Verkauft Jemand seinen Wein einem Heiden, so ist, wenn er den Preis bestimmt hat, bevor er ihn zugemessen, das dafür erhaltene Geld erlaubt.50 Wenn der Preis bestimmt ist, so wird der Wein durch das Zumessen und die unmittelbar darauf erfolgte משיכה (s. B. batra V, Note 61 u. 62) Eigentum des Heiden, bevor er ihn durch Berührung verboten gemacht hat, so dass der Heide dem Israeliten das Geld für erlaubten Wein schuldig geworden ist. Hat er ihn aber zugemessen, bevor er den Preis bestimmt hatte,51 So lange der Preis noch nicht bestimmt ist, kann der Käufer die Ware nicht erwerben; s. B. batra Y, Note 60. so ist das Geld verboten.52 Da der Wein noch als Eigentum des Israeliten zur Nutzung verboten wird. Hat er den Trichter genommen und damit in die Flasche des Heiden53 In der ein wenig Nesech-Wein war. eingemessen, und nachher hat er wieder in die Flasche eines Israeliten eingemessen, so ist, wenn54 Während er in die Flasche des Israeliten eingemessen. im Trichter ein Überbleibsel55 עכבת (von עכב verbleiben, Piel, aufhalten) ein kleiner Rest, der in irgend einer Stelle des Trichters zurückgeblieben. Nach einer andern LA. עקבת, eine Spur, der Trichter ist noch nass von dem Heiden eingemessenen Weine. Der Jerusch, vgl. es mit עקבה מדם (Hosea 6, 8, vgl. Kimchi das.). vom Weine56 Den er dem Heiden eingemessen hat. war,57 Dieses Überbleibsel ist verboten, weil der Wein im Trichter durch den Guss-Strahl (ניצוק) mit dem Weine im Gefäße des Heiden verbunden war (Talm.). der Wein58 Des Israeliten. verboten.59 Weil das verbotene Überbleibsel damit vermischt ist. Wenn man [Wein]aus einem Gefäß60 Eines Israeliten. in ein [anderes] Gefäß61 Das ein Heide in seiner Hand hält, oder in dem sich Nesech-Wein befindet. gießt, so ist das, wovon man abgegossen hat,62 Der Wein, der im oberen in der Hand des Israeliten befindlichen Gefäße zurückgeblieben.. erlaubt;63Dies scheint Note 57 zu widersprechen, wonach der verbindende Strahl auch den Wein im oberen Gefässe verboten macht. Nach dem Talm. gilt daher die vorliegende Bestimmung nur für den Fall, dass der Strahl vom oberen Gefässe bereits abgebrochen ist, während dessen unteres Ende mit dem verbotenen Weine in Berührung kommt das aber, worin man eingegossen hat, verboten64Und auch der Strahl, sobald dessen unteres Ende den Nesech-Wein berührt hat (Talm.). ", + "Nesech-Wein ist verboten und macht verboten63 Dies scheint Note 57 zu widersprechen, wonach der verbindende Strahl auch den Wein im oberen Gefäße verboten macht. Nach dem Talm. gilt daher die vorliegende Bestimmung nur für den Fall, dass der Strahl vom oberen Gefäße bereits abgebrochen ist, während dessen unteres Ende mit dem verbotenen Weine in Berührung kommt. durch noch so Wenig.64 Und auch der Strahl, sobald dessen unteres Ende den Nesech-Wein berührt hat (Talm.). Wein65 Den damit vermischten Wein. unter Wein, Wasser66 Wenn auch noch so wenig Nesech-Wein mit noch so viel anderem Weine vermischt worden. unter Wasser [macht verboten] durch noch so Wenig. Wein67 Nesech-Wein. unter Wasser oder Wasser68 Das dem Götzen gespendet wird. unter Wein [macht nur verboten], wenn es einen Geschmack beigibt. Das ist die Regel:69 Diese Regel gilt nach der Halacha nur von Nesech- Wein (oder Libations-Wasser) und Tebel (uuverzehnteter Frucht); dagegen machen andere verbotene Dinge sowohl Gleichartiges als Ungleichartiges nur durch Beigeben eines Geschmackes verboten. Bei Ungleichartigem, wobei der Geschmack geprüft werden kann, wird es entweder durch einen Israeliten (bei Dingen, die manchem Israeliten erlaubt sind, wie die Hebe dem Priester) oder durch einen Nicht-Israeliten festgestellt, ob das Erlaubte einen Geschmack vom Verbotenen erhalten hat. Bei Gleichartigem oder, wenn sonst der Geschmack nicht festzustellen ist, gilt das Verbotene als aufgehoben (בטל), wenn das Erlaubte sechzigmal so viel ist, als das Verbotene. Hebe gilt nur in 100, ערלה und כלאי הכרם in 200 als aufgehoben, s. Orla II, 1. Eine Art [macht] Gleichartiges durch noch so Wenig, Ungleichartiges aber [nur] durch Beigeben eines Geschmackes [verboten].", + "Folgende Dinge sind verboten und machen verboten durch noch so Wenig:70 Selbst wenn Eins mit Tausenden vermischt worden. Nesech-Wein,71 Nach dem Talmud werden hier nur solche Dinge aufgezählt, die einerseits auch zur Nutzung verboten sind, andererseits so bedeutend sind, dass sie gewöhnlich gezählt werden. Unter „Nesech-Wein‟ ist daher ein Fass Nesech-Wein zu verstehen, dass mit vielen anderen Fässern Wein vermischt worden ist. Götzen, Felle von Tieren, denen das Herz ausgerissen worden,72 S. oben II, Note 15. der zur Steinigung verurteilte Ochse,73 Exod. 21, 28. die Färse, der das Genick gebrochen wird,74 Deut. 21, 4. die Vögel des Aussätzigen75 Lev. 14, 4., das Haar des Nasir,76 Num. 6, 18. die Erstgeburt eines Esels,77 Die man nicht ausgelöst, Exod. 13, 13. in Milch gekochtes Fleisch,78 Exod. 23, 19; 34,26; Deut. 14, 21. der fortzuschickende Ziegenbock,79 Ara Versöhnungstage, Lev. 16, 22. und profane Tiere, welche im Tempelhofe geschlachtet worden,80 Solche sind auch zur Nutzung verboten, s. B. kamma VII, Note 11. — alle diese sind verboten und machen verboten durch noch so Wenig.", + "Wenn Nesech-Wein in eine Weinkufe gefallen ist, so ist das Ganze zur Nutzung verboten.81 Vgl. M. 8. R. Simon, Sohn Gamliels, sagt: Man verkaufe das Ganze an einen Heiden, mit Ausnahme des darin befindlichen Nesech-Weines.", + "Eine steinerne Kelter, die ein Heide verpicht hat,82 Dabei pflegte man ein wenig Wein hineinzugießen, um den Pechgeruch zu beseitigen. trockne man ab,83 Nach dem Talm. versteht man darunter eine zweimalige Reinigung vermittels Wassers und Asche. und sie ist rein; Betreffs einer hölzernen84 Die mehr Pech braucht und daher mehr Wein einsaugt. sagt Rabbi: Man trockene sie ab.85 Dies genügt, wie bei der steinernen Kelter. Die Weisen aber sagen: Man muss das Pech abschälen.86 Und nachher die Kelter abtrocknen nach Note 83. Eine irdene [Kelter] ist, selbst wenn man das Pech abgeschält hat, verboten.87 Weil der Thon an sich auch ohne Pech den Wein einsaugt. — Die bei irdenen Gelassen nötige Reinigung ist im Talmud 33 a angegeben.", + "Kauft Einer Geschirr88 כלי תשמיש eig. Gebrauchs-Geräte. von einem Heiden, so muss er, was man unterzutauchen pflegt89 Geräte von Metall oder Glas, selbst wenn sie nur zu kalten Speisen oder Getränken gebraucht, ja selbst wenn sie noch ganz neu sind. — Sind sie zu heissen Speisen gebraucht worden, so genügt das Untertauchen nicht., untertauchen;90 In ein Tauchbad, in dem mindestens 40 Sea Quell- oder Regenwasser sich befinden. was ausgekocht91 הגעל eig.: auswerfen machen, bewirken, dass das Gefäß die eingesogenen verbotenen Speisen wieder ausscheide. In der Mischna wird mit diesem Ausdrucke stets das Auskochen verstanden. wird,92 Z. B. metallene Kessel und Töpfe, in denen gekocht wird. auskochen;93 Sie werden, nachdem sie gut gereinigt sind, in kochendes Wasser getan. Nachher müssen sie aber noch in ein Tauchbad (Note 90) untergetaucht werden. was man im Feuer ausglüht,94 Das sind Geräte, die ohne Flüssigkeit am Feuer gebraucht werden, wie Bratspieße und Roste. ausglühen.94a Und nachher muss man sie untertauchen, Note 90. Bratspieße95 שפוד syr. ܫܰܦܽܘܕܳܐ Spieß. und Roste96 אסכלה gr. ὲσχάρα, Rost, Bratrost. muss man im Feuer ausglühen; ein Messer aber braucht man nur abzuschleifen97 שוף reiben, abreiben. Nach den Erkl. abschleifen mit einem Schleifstein, oder zehnmal in harte Erde stecken. — Dies genügt aber nur, wenn man es zu Kaltem gebrauchen will (vgl. Talm.); will man es aber zu warmen Speisen verwenden, so muss es geglüht werden. und es ist rein.98 Nachdem mau es noch (nach Note 90) untergetaucht hat." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..a6edc80395136ea2c7e06b286df9b6658a8c6ab3 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json @@ -0,0 +1,86 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Avodah Zarah", + "versionSource": "http://learn.conservativeyeshiva.org/mishnah/", + "versionTitle": "Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp", + "status": "locked", + "priority": 1.0, + "license": "CC-BY", + "shortVersionTitle": "Dr. Joshua Kulp", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה עבודה זרה", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "On the three days preceding the festivals of idolaters, it is forbidden to conduct business with them, to lend articles to them or borrow from them, to lend or borrow any money from them, to repay a debt, or receive repayment from them. Rabbi Judah says: we should receive repayment from them, as this can only depress them; But they [the Rabbis] said to him: even though it is depressing at the time, they are glad of it subsequently.", + "Rabbi Ishmael says on the three preceding days and the three following days it is forbidden; But the Sages say: before their festivities it is forbidden, but after their festivities it is permitted.", + "These are the festivities of the idolaters: Kalenda, Saturnalia, Kratesis, the anniversary of accession to the throne and birthdays and anniversaries of deaths, according to Rabbi Meir. But the Sages say: a death at which burning [of articles of the dead] takes place is attended by idolatry, but where there is not such burning there is no idolatry. But the day of shaving ones beard and lock of hair, or the day of landing after a sea voyage, or the day of release from prison, or if an idolater holds a banquet for his son the prohibition only applies to that day and that particular person.", + "When an idolatrous [festival] takes place within a city it is permitted [to conduct business with non-Jews] outside it. If the idolatrous [festival] takes place outside it, [business] is permitted within it. Is it permitted to go there? If the road leads solely to that place, it is forbidden; But if one can go by it to any other place, it is permitted. A city in which an idolatrous festival is taking place, some of its shops being decorated and some not decorated this was the case with Beth-Shean, and the Sages said: in the decorated stores it is forbidden [to buy] but in the undecorated ones it is permitted.", + "The following things are forbidden to be sold to idolaters: iztroblin, bnoth-shuah with their stems, frankincense, and a white rooster. Rabbi Judah says: it is permitted to sell a white rooster to an idolater among other roosters; but if it be by itself, one should clip its spur and then sell it to him, because a defective [animal] is not sacrificed to an idol. As for other things, if they are not specified their sale is permitted, but if specified it is forbidden. Rabbi Meir says: also a “good-palm”, hazab and niklivas are forbidden to be sold to idolaters.", + "In a place where it is the custom to sell small domesticated animals to non-Jews, such sale is permitted; but where the custom is not to sell, such sale is not permitted. In no place however is it permitted to sell large animals, calves or foals, whether whole or maimed. Rabbi Judah permits in the case of a maimed one. And Ben Bateira permits in the case of a horse.", + "One should not sell them bears, lions or anything which may injure the public. One should not join them in building a basilica, a scaffold, a stadium, or a platform. But one may join them in building public or private bathhouses. When however he reaches the cupola in which the idol is placed he must not build.", + "One should not make jewelry for an idol [such as] necklaces, ear-rings, or finger-rings. Rabbi Eliezer says, for payment it is permitted. One should not sell to idolaters a thing which is attached to the soil, but when cut down it may be sold. R. Judah says, one may sell it on condition that it be cut down. One should not let houses to them in the land of Israel; and it is not necessary to mention fields. In Syria houses may be let to them, but not fields. Outside of the land of Israel, houses may be sold and fields let to them, these are the words of Rabbi Meir. Rabbi Yose says: in the land of Israel, one may let to them houses but not fields; In Syria, we may sell them houses and let fields; Outside of the land of Israel, both may be sold.", + "Even in such a place where the letting of a house has been permitted, they did not say [that this was permitted if it was] for the purpose of a residence, since the idolater will bring idols into it; for it says, “you shall not bring an abomination into your house” (Deut. 7:26). In no place may one let a bath-house to an idolater, as it is called by the name of the owner." + ], + [ + "One should not place animals in inns of non-Jews, because they are suspected of bestiality. A woman should not be alone with them, because they are suspected of licentiousness; Nor should a man be alone with them, because they are suspected of shedding blood. A Jewish woman should not act as midwife to a non-Jewish woman, because she would be delivering a child for idolatry. But a non-Jewish woman may act as midwife to a Jewish woman. A Jewish woman should not suckle the child of a non-Jewish woman, But a non-Jewish woman may suckle the child of a Jewish woman in her premises.", + "We may allow them to heal us when the healing relates to money, but not personal healing; Nor should we have our hair cut by them in any place, this is the opinion of Rabbi Meir. But the Sages said: in a public place it is permitted, but not when the two persons are alone.", + "The following things belonging to non-Jews are forbidden [for Jews to use] and the prohibition extends to any benefit that may be derived from them: wine, or a non-Jew’s vinegar that was formerly wine, Hadrianic earthenware, skins pierced at the animal’s heart. Rabban Shimon ben Gamaliel says: when its tear is round, [the skin] is forbidden, but if oblong it is permitted. Meat which is being brought into a place of idol worship is permitted, but that which is brought out is forbidden, because it is like a sacrifice to the dead, this is the opinion of Rabbi Akiba. With non-Jews going on a pilgrimage [to worship idols] it is forbidden to have any business transactions, but with those returning it is permitted.", + "Skin-bottles or flasks of non-Jews in which wine of a Jew is kept are forbidden and the prohibition extends to any benefit that may be derived from them, this is the opinion of Rabbi Meir. But the Sages say that the prohibition does not extend to deriving benefit. Grape seeds and grape-skins of non-Jews are forbidden, the prohibition extending to any benefit that may be derived from them, this is the opinion of Rabbi Meir. But the Sages say, when fresh they are forbidden but when dry they are permitted. Fish brine and Bithynian cheese of the non-Jews are forbidden, the prohibition extending to any benefit that may be derived from them, this is the opinion of Rabbi Meir. But the Sages say that the prohibition does not extend to deriving benefit.", + "Rabbi Judah said: Rabbi Ishmael put this question to Rabbi Joshua as they were walking on the way, “Why have they forbidden the cheese of non-Jews?” He replied, because they curdle it with the rennet of a nevelah (an animal that was not properly slaughtered.” He (Rabbi Ishmael) said: “but is not the rennet of a burnt-offering more strictly forbidden than the rennet of a nevelah? [and yet] it was said that a priest who is not fastidious may suck it out raw.” (Though the Sages disagreed with this opinion, and they said that no benefit may be derived from it, although one who consumed it did not trespass [temple property). Rabbi Joshua responded: “The reason then is because they curdle it with the rennet from calves sacrificed to idols.” He (Rabbi Ishmael) said to him: “if that be so, why do they not extend the prohibition to any benefit derived from it?” He (Rabbi Joshua) diverted him to another matter, saying: “Ishmael, how do you read for your [masc.] love is more delightful than wine” or “your [fem.] love etc. (Song of Songs 1:2” He replied: “your [fem.] love is better …” He said to him: this is not so, as it is proved by its fellow [-verse]: your ointments [masc.] have a goodly fragrance … [therefore do the maidens love you] (Song of Songs 1:3).”", + "The following articles of non-Jews are prohibited but the prohibition does not extend to deriving benefit from them: 1. milk which a non-Jew milked without an israelite watching him, 2. their bread and oil (Rabbi and his court permitted the oil) 3. stewed and pickled things into which they are accustomed to put wine or vinegar, 4. pickled herring which had been minced, 5. brine in which there is no kalbith-fish floating, 6. helek, 7. pieces of asa foetida 8. and sal-conditum. Behold these are prohibited but the prohibition does not extend to deriving benefit from them.", + "The following are permitted to be eaten [by an israelite]:milk which a non-Jew milked with a Jew watching him; honey, grape-clusters even though these secrete moisture the law which renders food susceptible to defilement by a liquid does not apply to them preserves into which they are not accustomed to put wine or vinegar, pickled herring which has not been minced, brine containing fish, a leaf of asafoetida, and rolled olive-cakes. Rabbi Yose says: those olives having pits ready to drop out are prohibited. Locusts which come out of [a shopkeeper’s] basket are prohibited, but if from storage they are permitted. The same rule applies to terumah." + ], + [ + "All images are prohibited because they are worshipped once a year, according to the opinion of Rabbi Meir; But the Sages say: [an image] is not prohibited except one that has a staff or bird or orb in its hand. Rabban Shimon b. Gamaliel says: any [image] which has anything in its hand [is prohibited].", + "One who finds fragments of images, behold they are permitted. If one found the figure of a hand or the figure of a foot, behold it is prohibited because such an object is worshipped.", + "If one finds utensils upon which is the figure of the sun or moon or a dragon, he casts them into the Dead Sea. Rabban Shimon ben Gamaliel says: if [one of these figures] is upon precious utensils they are prohibited, but if upon common utensils they are permitted. Rabbi Yose says: he may grind [an idol] to powder and scatter it to the wind or throw it into the sea. They said to him, even so it may then become manure, as it says, “let nothing that has been proscribed stick to your hand (Deuteronomy 13:18)”.", + "Proclos, son of a plosphos, asked Rabban Gamaliel in Acco when the latter was bathing in the bathhouse of aphrodite. He said to him, “It is written in your torah, ‘let nothing that has been proscribed stick to your hand (Deuteronomy 13:18)’; why are you bathing in the bathhouse of Aphrodite?” He replied to him, “We do not answer [questions relating to torah] in a bathhouse.” When he came out, he said to him, “I did not come into her domain, she has come into mine. People do not say, ‘the bath was made as an adornment for Aphrodite’; rather they say, ‘Aphrodite was made as an adornment for the bath.’ Another reason is, even if you were given a large sum of money, you would not enter the presence of your idol while you were nude or had experienced seminal emission, nor would you urinate before it. But this [statue of Aphrodite] stands by a sewer and all people urinate before it. [In the torah] it is only stated, “their gods” (Deuteronomy 12:3) what is treated as a god is prohibited, what is not treated as a deity is permitted.", + "If idolaters worship mountains and hills these are permitted; but what is upon them is prohibited, as it is says, “you shall not covet the silver or the gold that is on them and take them” (Deut. 7:25). Rabbi Yose the Galilean says: [it says] “their gods on the mountains” (Deut. 12:, not their mountains which are their gods; “their gods on the hills” (ibid.), not their hills which are their gods. And why is an asherah prohibited? Because there was manual labour connected with it, and whatever has manual labour connected with it is prohibited. Rabbi Akiba said: let me expound and decide [the interpretation] before you: wherever you find a high mountain or elevated hill or green tree, know that an idolatrous object is there.", + "If [a Jew] has a house next to an idolatrous shrine and it collapsed, he is forbidden to rebuild it. What should he do? He withdraws a distance of four cubits into his own ground and build there. [If the wall] belonged both to him and the shrine, it is judged as being half and half. Its stones, timber and rubbish defile like a creeping thing, as it says, “you shall utterly detest it” (Deut. 7:26). ] Rabbi Akiba says: [it defiles] like a menstruous woman, as it says, “[and you will treat as unclean the silver overlay of your images and the golden plating of your idols]. You will cast them away like a menstruous woman. Out, you will call to them” (Isaiah 30:22), just as a menstruous woman impurifies [an object] by carrying it, so also an idolatrous object defiles by its being carried.", + "There are three types of shrines: A shrine originally built for idolatrous worship behold this is prohibited. If one plastered and tiled [an ordinary house] for idolatry and renovated it, one may remove the renovations. If he had only brought an idol into it and taken it out again, [the house] is permitted. There are three kinds of [idolatrous] stones: A stone which a man hewed originally to serve as a pedestal [for an idol] behold this is prohibited. If one plastered and tiled [a stone] for idolatry, one may remove the plaster and tile, and it is then permitted. If he set an idol upon it and took it off, behold [the stone] is permitted. There are three kinds of asherah: a tree which has originally been planted for idolatry behold this is prohibited. If he chopped and trimmed [a tree] for idolatry, and its sprouted afresh, he removes the new growth. If he only set [an idol] under it and took it away, behold the tree is permitted. What is an asherah? Any [tree] beneath which there is an idol. Rabbi Shimon says: any [tree] which is worshipped. It happened at Sidon that there was a tree which was worshipped and they found a heap of stones beneath it. Rabbi Shimon said to them, “examine this heap.” They examined it and discovered an image in it. He said to them, “since it is the image that they worship, we permit the tree for you.”", + "One may not sit in its shadow, but if he sat he is pure. Nor may he pass beneath it, and if he passed he is impure. If it encroaches upon the public road and he passed beneath he is pure. They may sow vegetables beneath it in winter but not in summer, and lettuce neither in summer nor winter. Rabbi Jose says: even vegetables [may not be planted] in winter because the foliage falls upon them and becomes manure for them.", + "If one took pieces of wood from it [the asherah tree], they are forbidden to be used. If he heated an oven with them if it was new it must be broken to pieces; if it was old, it must be allowed to cool. If he baked bread [in an oven heated with wood from an asherah], it is forbidden to be used, and if [the loaf] became mixed with other loaves, they are all prohibited. Rabbi Eliezer says: let him cast the advantage [he derives] into the Dead Sea. They said to him: there is no process of redemption for an idol. If one took [a piece of wood] from it [to use as] a shuttle, it is forbidden to be used. If he wove a garment with it, it is forbidden to be used. If [the garment) became mixed with others, and these with others, they are all forbidden to be used. Rabbi Eliezer says: let him cast the advantage [he derives] into the Dead Sea. They said to him: there is no process of redemption for an idol.", + "How does one annul [an asherah]? If [a pagan] pruned or trimmed it, removing from it a stick or twig or even a leaf, behold it is annulled. If he smoothed it out for its own sake, it is prohibited; but if not for its own sake, it is permitted." + ], + [ + "Rabbi Ishmael says: if three stones are lying side by side next to a merculis, they are prohibited; if there are two they are permitted. The sages say: if [the stones] are seen to be connected with it they are prohibited, but if they do not appear to be connected with it they are permitted.", + "If he found on top [of a mercurius] a coins or a garment or utensils behold these are permitted; [But if he found] grape-clusters, wreaths of grain, [gifts of] wine, oil or fine flour, or anything resembling what is offered upon the altar, such is prohibited.", + "If an idolatrous shrine has a garden or bathhouse, one may use either so long as it is not to the advantage [of the idolaters], But one may not use either if it is to its advantage. If [the garden or bathhouse] belonged jointly to it and to others, one may use them whether it be to the advantage [of idolatry] or not.", + "The idol of an idolater is prohibited immediately; but if it belonged to a Jew it is not prohibited until it is worshipped. An idolater can annul an idol belonging to himself or to another idolater, but a Jew cannot annul the idol of an idolater. He who annuls an idol annuls the things that pertain to it. If he only annulled the things that pertain to it these are permitted but the idol itself is prohibited.", + "How does he annul it? If he cut off the tip of its ear, the tip of its nose, or the tip of its finger; or if he defaced it, although there was no reduction in the mass of the material, he has annulled it. If he spat before it, urinated before it, dragged it [in the dust] or hurled excrement at it, behold it is not annulled. If he sold or gave it as a pledge, Rabbi says that he has annulled it, but the sages say that he has not annulled it.", + "An idol which its worshippers abandoned in time of peace is permitted, in time of war it is prohibited. Pedestals of kings are permitted because they set them up at the time the kings pass by.", + "They asked the elders in Rome, “If [your God] has no desire for idolatry, why does he not abolish it?” They replied, “If it was something unnecessary to the world that was worshipped, he would abolish it; but people worship the sun, moon, stars and planets; should he destroy his universe on account of fools!” They said [to the elders], “If so, he should destroy what is unnecessary for the world and leave what is necessary for the world!” They replied, “[If he did that], we should merely be strengthening the hands of the worshippers of these, because they would say, “know that these are deities, for behold they have not been abolished!”", + "A winepress [containing] trodden [grapes] may be purchased from a non-Jew even though it was he that lifted [the trodden grapes] with his hand and put them among the heap. And [the juice] does not become yen nesek (wine assumed to have been used as a libation) until it descends into the vat. When it has descended into the vat, what is in the vat is prohibited; But the remainder is permitted.", + "A Jew may tread the winepress together with a non-Jew but may not pick grapes with him. If an israelite was working in a state of ritual impurity, one may neither tread nor pick with him, but one may move [empty] casks with him to the press and carry them [filled] with him from the press. If a baker was working in a state of ritual impurity, one may neither knead nor roll dough with him but we may carry loaves with him to the bakery.", + "If a non-Jew was found standing by the side of a vat of wine, if he had loaned money to the Jew, then [the wine] is prohibited; but should he not have loaned money to the Jew, then it is permitted. If [a non-Jew] fell into a vat and climbed out, or measured it with a reed, or flicked out a hornet with a reed, or tapped on the top of a frothing cask All of these things actually happened, and [the Rabbis] said that the wine may be sold, but Rabbi Shimon permits it [even to be drunk]. If [a non-Jew] took a cask, and in his anger threw it into the vat this actually happened and [the Rabbis] declared it fit [for drinking].", + "If [an Jew] prepares a non-Jew's wine in a state of ritual purity and leaves it in [the non-Jew’s] domain, in a house which is open to the public domain, should it be in a city where non-Jews and Jews reside, it is permitted. But should it be in a city where only non-Jews reside it is prohibited unless [an Jew] sits and guard. There is no need for the guard to sit and watch [the whole time]; even if he keeps going out and coming in it is permitted. Rabbi Shimon ben Eleazar says: it is all one with the domain of a non-Jew.", + "If [a Jew] prepares a non-Jew’s wine in a state of ritual purity and leaves it in [the non-Jew’s] domain, and the [non-Jew] writes for him “I have received the money from you,” then [the wine] is permitted. If, however, the Jew wished to remove it and [the non-Jew] refuses to let it go until he paid him this actually happened in Beth-Shan and [the Rabbis] prohibited it." + ], + [ + "If [a non-Jew] hires [a Jewish] workman to assist him in [the transportation of] yen nesekh, his wage is prohibited. If he hired him to assist him in another kind of work, even if he says to him, \"remove for me a cask of yen nesekh from this place to that,\" his wage is permitted. If he hired [a Jew's] donkey to carry yen nesekh, its wages are prohibited; But if he hired it to sit upon, even though the non-Jew rested his jar [of yen nesekh] upon it, its wages are permitted.", + "If yen nesekh fell upon grapes, one may rinse them and they are permitted, but if they were split they are prohibited. If it fell upon figs or upon dates, should there be in them [sufficient wine] to impart a flavor, they are prohibited. It happened with Boethus ben Zpnin that he carried dried figs in a ship and a cask of yen nesekh was broken and it fell upon them; and he consulted the Sages who declared them permitted. This is the general rule: whatever derives advantage [from yen nesekh by its] imparting a flavor is prohibited, but whatever does not derive advantage [from yen nesekh by its] imparting a flavor is permitted, as, for example vinegar which fell upon split beans.", + "If a non-Jew was transporting jars of wine together with a Jew from place to place, and it was presumed that [the wine] was under guard, it is permitted. But if [the Jew] informed him that he was going away [and he was absent a length of time] sufficient for the other to bore a hole [in a jar], stop it up and [the sealing clay] to become dry, [the wine is prohibited]. Rabban Shimon ben Gamaliel says: [a length of time] sufficient for him to open a cask, put a new stopper on and [the new stopper] to become dry.", + "If [a Jew] left his wine in a wagon or on a ship while he went along a short cut, entered a town and bathed, it is permitted. But if [the Jew] informed him that he was going away [and he was absent a length of time] sufficient for the other to bore a hole [in a jar], stop it up and [the sealing clay] to become dry, [the wine is prohibited]. Rabban Shimon ben Gamaliel says: [a length of time] sufficient for him to open a cask, put a new stopper on and [the new stopper] to become dry. If [a Jew] left a non-Jew in his shop, although he kept going in and out, [the wine there] is permitted. But if [the Jew] informed him that he was going away [and he was absent a length of time] sufficient for the other to bore a hole [in a jar], stop it up and [the sealing clay] to become dry, [the wine is prohibited]. Rabban Shimon ben Gamaliel says: [a length of time] sufficient for him to open a cask, put a new stopper on and [the new stopper] to become dry.", + "If [a Jew] was eating with [a non-Jew] at a table and set some flasks upon the table and others upon a side-table and leaving them there went out, what is upon the table is prohibited and what is upon the side-table is permitted. And should he have said to him, “mix [some of the wine with water] and drink,” even what is upon the side-table is prohibited. Opened casks are prohibited, and the closed ones are permitted [except when he was absent a length of time] sufficient for [the non-Jew] to open it, put a new stopper on and [the new stopper] to become dry.", + "If a band of non-Jewish marauders entered a city in a time of peace, the open casks are prohibited and the sealed are permitted; In a time of war both are permitted because they do not have the leisure to offer libations.", + "If a non-Jew sent to Jewish craftsmen a cask of yen nesekh as their wages, they are allowed to say to him, “give us its value in money”; But after [the wine] has come into their possession [the exchange] is prohibited. If [a Jew] sells his wine to a non-Jew, should he have set the price before he measured it out, the purchase-money is permitted; But should he have measured it out before he set the price, the purchase-money is prohibited. If [a Jew] took a funnel and measured [wine] into a non-Jew’s flask and then measured some into a Jew’s flask, should a drop of the [first] wine have remained [in the funnel], then [the wine measured into the second flask] is prohibited. If he poured from [his own] vessel into [a non-Jew’s] vessel, [the wine in the vessel] from which he poured is permitted and [the wine in the vessel] into which he poured is prohibited.", + "Yen nesekh is prohibited and renders [other wine] prohibited by the smallest quantity. Wine [mixed] with wine and water with water [prohibits] by the smallest quantity. Wine [mixed] with water and water with wine [disqualifies when the prohibited element] imparts a flavor. This is the general rule: with the same type [the mixture is disqualified] by the smallest quantity, but with a different type [it is disqualified when the prohibited element] imparts a flavor.", + "The following are prohibited and render prohibited by the smallest quantity:[a cask of] yen nesekh; an idolatrous object; skins of animals which have holes over the heart; an ox which has been sentenced to be stoned; a heifer whose neck was broken; birds brought as an offering by a leper; the hair-offering of a nazirite; the first born of a donkey; meat cooked in milk; the scapegoat; and non-consecrated animals slaughtered in the Temple court. Behold these are prohibited and render prohibited by the smallest quantity.", + "If yen nesekh fell into a vat, the whole of it is prohibited for use. Rabban Shimon ben Gamaliel says: the whole of it may be sold to non-Jews with the exception of [a quantity corresponding to] the value of the yen nesekh in it.", + "If a non-Jew covered a stone wine press with pitch it may be scoured and is then clean; But if it was of wood, Rabbi says that it may be scoured and the Sages say that he must peel off the pitch. If it was of earthenware, even though he peeled off the pitch it is prohibited.", + "If [a Jew] purchases cooking-utensils from a non-Jew, those which are customarily used with cold liquids, he must immerse; Those which are customarily used with hot liquids, he must be dip in boiling water; Those which are customarily made white-hot in the fire, he must make white-hot in the fire. A spit and grill must be made white-hot, But a knife may be polished and is then ritually clean." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/Open Mishnah.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/Open Mishnah.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..4306444ca6c5dfc5b7be9ef26c3ebe144eeb2f96 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/Open Mishnah.json @@ -0,0 +1,57 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Avodah Zarah", + "versionSource": "http://en.wikisource.org/wiki/Mishnah", + "versionTitle": "Open Mishnah", + "status": "locked", + "license": "CC-BY-SA", + "versionTitleInHebrew": "משנה פתוחה", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה עבודה זרה", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "During the three days preceding the festivals of the non-Jews, it is forbidden to do business with them, to lend them something or to borrow something from them, to lend [money] to them or to borrow [money] from them, to resolve your debt to them or to have them resolve their debt to you. Rabbi Yehuda says: One can have them resolve their debt since it causes him distress. They [the Sages] said to him: even though he might be in distress at the outset, eventually he will be joyful.", + "Rabbi Yishmael says: [the above] is forbidden for three days before the festivals and three days after the festivals. The Sages say: before the festivals it is forbidden, after the festivals it is permitted.", + "And these, according to Rabbi Meir, are the festivals of the non-Jews: Kalendae, Saturnalia, Kratesim, kings' days of accession, the day of birth, and the day of death. And the Sages say: every funeral in which a conflagration is present [thereby] involves idol worship. One that has no conflagration does not involve idol worship. [A celebration of] the day on which a [non-Jewish] man cuts his beard or his hair, the day that he came ashore from the sea, and the day he was released from prison, and a pagan who made a feast for his son, [for all these] the prohibition extends only to that day and that man alone.", + "It is permitted [to do business, etc.] outside of a city that has idolatry within it. If there is idolatry outside the city, it is permitted [to do business, etc.] within the city. Is one permitted to travel to such a place [on the days of their festivals]? If the road leads to this place alone, it is forbidden; but if one can walk along this road to another location, it is permitted. Regarding a city which has idolatry within it, and has both ornamented and un-ornamented shop fronts, this was the case in Beit Sh'an, and [there] the Sages said: The ornamented shops are forbidden and those shops without ornamentation are permitted.", + "It is forbidden to sell the following items to non-Jews: pine-cones, white figs and their stalks, frankincense, and white chickens. Rabbi Yehuda says: one is permitted to sell them a white chicken amongst a group of chickens; and if it is alone he must clip its toe and sell it, since they do not sacrifice blemished animals for idolatry. As for all remaining items, if [their intention was] not specified one is permitted [to sell them], but if specified, it is forbidden. Rabbi Meir says: fine palm dates, sweet dates, and the Nikolaos dates are also forbidden to be sold to non-Jews.", + "In a place in which it is customary to sell small livestock to non-Jews, one may sell. In a place in which it is customary not to sell, one may not sell. And in all places it is forbidden to sell them large livestock, calves or foals, healthy or broken. Rabbi Yehuda permits in the case of a broken one. Ben Beterah permits in the case of a horse.", + "One may not sell to them bears, lions, or anything that may cause harm to the public. One cannot build with them a basilica, a gallows, a stadium, or a dais. But one can build with them public bathhouses, as well as [private] bathhouses. [In the building process,] when they reach the arched chamber in which they erect an object of idolatry, it is forbidden to [help] build.", + "One may not make jewelry for purposes of idolatry: necklaces, nose rings, or rings. Rabbi Eliezer says: It is permissible to do so for a salary. One may not sell them produce that is connected to the ground. But it may be sold once it is picked. Rabbi Yehuda says: One may sell [unpicked produce] with an agreement that it will be picked. One may not rent them houses in the Land of Israel, and we need not even mention fields [which are certainly forbidden to rent]; and in Syria [conquered land North of Israel, treated like Israel only with regard to some laws], one may rent them houses, but not fields; and outside of the Land one may sell them houses and rent them fields; these are words of Rabbi Meir. Rabbi Yosei says: In the Land of Israel it is permitted to rent them houses but not fields; and in Syria it is permitted to sell them houses and rent them fields; and outside of the Land, one may sell them either one.", + "Even in the cases in which they permitted renting out [to a non-Jew], they did not say this regarding permanent residence, for he will bring an idol into it, as it is said (Devarim 7:26): You shall not bring an abomination into your house. And one is always forbidden to rent him a [private] bathhouse, because it will still be called by his [the Jew's] name." + ], + [ + "One should not leave cattle in the inns of non-Jews, for they are suspect regarding bestiality. A woman should not be alone with them for they are suspect regarding fornication. A man should not be alone with them, for they are suspect regarding the spilling of blood. A Jewess should not be a midwife to a non-Jewish woman, for she is birthing one for [a life of] idolatry. But a non-Jewish woman may be a midwife to a Jewess. A Jewess may not suckle a child of a non-Jewish woman, but a non-Jewish woman may suckle the child of a Jewess, within her domain.", + "One may accept their [non-Jew's] healing for one's property, but not healing for people. And one should not have one's hair cut by them under any circumstances, according to Rabbi Meir. And the Sages say: It is permitted [to have a non-Jew cut a Jew's hair] in public domains, but not amongst the two of them [alone].", + "These are the items of non-Jews which are prohibited, and their prohibition is on deriving any benefit from them at all: wine, the vinegar of non-Jews which began as wine, Hadrianic earthenware, and hides that were pierced at the heart. Rabbi Shimon ben Gamliel says: If [the hole is] round then it is prohibited, but if it is stretched it is allowed. Meat that is entering [a place of] idolatry is allowed, but leaving, it is prohibited, because it is like sacrifices of the dead, according to Rabbi Akiva. Those who are going on an idolatrous pilgrimage, it is prohibited to do business with them, but with those who are coming back, it is permitted.", + "The water-skins of non-Jews and their containers which contain a Jew's wine within them, they are prohibited and it is prohibited to derive any benefit from them, according to Rabbi Meir. The Sages say: Their prohibition is not against deriving benefit from them. The grape pits and grape skins of non-Jews are prohibited and it is prohibited to derive any benefit from them, according to Rabbi Meir. The Sages say: If they are moist, they are prohibited, if dry, they are permitted. The fish-brine and Bithynian cheese of non-Jews are prohibited and it is prohibited to derive any benefit from them, according to Rabbi Meir. The Sages say: Their prohibition is not against deriving benefit from them.", + "Rabbi Yehuda says: Rabbi Ishmael asked Rabbi Yehoshua [a question] as they were walking along the road. He said to him, \"What is the cause for the prohibition against the cheese of non-Jews?\" He said to him, \"Because they curdle it inside the stomach of carrion.\" He said to him, \"But is not [the law regarding] the stomach of a burnt offering more stringent than the stomach of carrion?! And they [the Sages] said: [It was proposed that] a priest with a good disposition may burn [a burnt offering after sucking out the fat from its stomach] while it it still raw [and has not yet been burnt with the offering, which would forbid one form deriving any benefit from it]. And they [the sages] did not agree with him [who proposed this opinion], but they said: One may not derive benefit [from the fats of the stomach], nor is one [who does so] liable for meilah [deriving prohibited benefit from from a sanctified object].\" [Implying that one should therefore not be liable for the less stringent case of a stomach of carrion.] He [Rabbi Yehoshua] retracted, and [instead] said, \"Because they curdle it in the stomachs of calves that were used for idolatry.\" And he [Rabbi Ishmael] said, \"If so, why is there no prohibition to benefit from it?\" He [Rabbi Yehoshua] redirected him to another topic. He said to him, \"Ishmael, my brother, how do you read (Shir HaShirim 1): 'For dodechah [Heb. masc: \"your love\"] is better than wine,' or 'For dodayich [Heb. fem: \"your love\") is better than wine'? He said to him:, \"'For dodayich is better than wine.'\" He said to him, \"The matter is not so. For its fellow [the following verse] teaches about it: 'For the fragrance of shemaneikha [Heb. masc: \"your oils\"] is good.'\"", + "These are the items of non-Jews that are prohibited, yet their prohibition is not against deriving benefit from them: milk that was milked by a non-Jew without a Jew watching, and [their] bread, and their oil [although] Rabbi and his court permitted [their] oil, and stewed vegetables, and pickled vegetables to which it is their custom to add wine and vinegar, and minced fish, and fish-brine that does not have kilbit [a kind of small fish] floating in it, and the chilaq fish, and a [cut] piece of asafoetida, and seasoned salt, all of these [items of non-Jews] are prohibited yet their prohibition is not against deriving any benefit from them.", + "The following are permitted to be eaten: milk that was milked by a non-Jew with a Jew watching, and honey, and bunches of grapes [alt. honeycombs], even though they drip they are not considered primed [for impurity] by a liquid, and pickled vegetables to which it is not their custom to add wine and vinegar, and fish that is not minced, and brine that has fish in it, and [whole] asafoetida leaves, and rolls of [heated] olives. Rabbi Yose says: the [olives that became] very soft are forbidden. Locusts that come from the [shopkeeper's] basket are prohibited, from but those from the stock-room are allowed, and so too regarding the priestly tithe." + ], + [ + "All images are prohibited, because each one is worshiped once a year, according to Rabbi Meir. But the Sages say: Only that which has in its hand a stick, or a bird, or an orb is prohibited. Rabban Shimon ben Gamliel says: Any that has anything in its hand [is prohibited].", + "If one finds shards of an image, these are permitted. If one finds the form of a hand or the form of a foot, these are prohibited, because equivalent ones are worshiped.", + "If one finds vessels with a drawing upon it of the sun, or a drawing of the moon, or a drawing of a dragon, he should bring them to the Salt Sea [to dispose of them there]. Rabban Shimon ben Gamliel says: Those upon those [vessels] which are treated with honor are forbidden; those upon those [vessels] treated disrespectfully are permitted. Rabbi Yose says: One should grind [the vessel with the drawing] and disperse it to the wind or cast it into the sea. They [the Sages] said to him: Even that might become fertilizer, as it is said (Devarim/Deuteronomy 13:18): \"And let nothing of the condemned cling to your hand.\"", + "Proklos son of Plosfos asked Rabban Gamliel [a question] in Akko, while he was bathing in the bathhouse of Aphrodite. He said to him: \"It is written in your Torah (Deuteronomy 13:18): 'And let none of the condemned cling to your hand;' why then are you bathing in the bathhouse of Aphrodite? He said to him: one does not respond [to halakhic questions] in the bathhouse. When he left, he said to him: \"I did not come into her territory; she came into my territory. They did not say [when they built this bathhouse]: 'Let us make a beautiful bathhouse for Aphrodite.' Rather, they said: 'Let us make Aphrodite for the beauty of the bathhouse.' Another reason: [even] if they gave you a lot of money, you would not enter before your idolatry naked and defiled and urinating in front of it. Yet she stands on the sewer pipe and the entire nation urinates in front of her. The verse (Deuteronomy 12:3) only applies to \"their gods;\" that which he treats like a god is prohibited, and that which he does not treat like a god is permitted.\"", + "Non-Jews who worship the mountains and hills, they [the mountains and hills themselves] are permitted, but that which is upon them is forbidden, as it says (Deuteronomy 7:25): You shall not covet the gold and silver that is upon them and take it. Rabbi Yose the Galilean said (Deuteronomy 12:2): \"Their gods upon the mountains,\" but the mountains are not their gods; their gods \"upon the hills,\" but the hills are not their gods. And why are Asherah trees forbidden? Because humans hands were involved in [planting] them, and any [idolatrous] thing that human hands were involved in is forbidden. Rabbi Akiva said: I will expound [the verse] and rule before you, everywhere that you find a tall mountain, a raised hill, or a verdant tree know that there is idol worship there.", + "One whose house abuts [a house of] idolatry, and [his own house] collapses, it is prohibited to rebuild it. How should he proceed? He should gather it four cubits into his own [space] and build. If it [the wall that collapsed] belonged both to him and to the [house of] idolatry, the [respective] law applies to each half [and only his own half may be rebuilt]. The stones, wood, and dust [of a house of idolatry] have a ritual impurity like that of vermin [i.e. through contact], as it says (Deuteronomy 7:26): You shall utterly detest it. Rabbi Akiva says: like that of a menstruating woman, as it says (Isaiah 30:22): \"You will banish them like a menstruating woman. ‘Get out!’ you will say to it.” Just as a menstruating woman renders objects impure through carrying, so too does idol worship render objects impure through carrying.", + "There are three [types of] houses. A house that is initially built for idolatry: this is prohibited. If it was painted and the molding was put in for idolatry, or if it was renewed [for idolatry], what is new is removed [and the rest is permitted]. If idols are brought inside and removed: this [house] is permitted. There are three [types of] stones. A stone initially hewed to be a pedestal [for an idol]: this is prohibited. If it was painted or molded for idolatry, or renewed [for idolatry], what is new is removed. If an idol was erected on top of it and removed: this [stone] is permitted. There are three [types of] asherot. A tree initially planted for idolatry: this is prohibited. If it was pruned and trimmed for idolatry and it sprouted, the new growth is removed. If an idol is erected under it and taken away: this [tree] is permitted. What is an asherah? Every [tree] that has idolatry below it. Rabbi Shimon says: Every [tree] that is worshiped. It happened in Tzidon, regarding a tree that was worshiped, that they found below it a pile of stones. Rabbi Shimon said to them: \"Examine this pile.\" They examined it and found an image. He said to them: \"Because the image is what was worshiped, we shall permit the tree for them.\"", + "One should not sit in its shade, but if one did sit he is pure. One should not pass beneath it, and if one did pass he is impure. If it encroaches on the public [domain], one who passes beneath it is pure. Vegetables may be sown beneath it in the rainy season but not in the sunny season. Lettuces may [be sown there] neither in the sunny season nor in the rainy season. Rabbi Yose says: Not even vegetables in the rainy season, because the leaves [of the ashera] fall on them and become fertilizer.", + "If one took some wood from it, it is prohibited for benefit. If one stoked the oven with it: if [the oven] is new, it must be shattered; if old, it must be cooled. If one baked bread in it, it is prohibited for benefit. If [the bread] became mixed up with others, they are all prohibited for benefit. Rabbi Eliezer said: Let him cast [a sum equivalent to the worth of their] benefit into the Dead Sea! They said to him: There is no redemption when it comes to idolatry. If one took wood from it for a loom, it is prohibited for benefit. If he wove a garment with it, the garment is prohibited for benefit. If that garment became mixed up with others, and then those others became mixed up with others, they are all prohibited for benefit. Rabbi Eliezer said: Let him cast [a sum equivalent to the worth of their] benefit into the Dead Sea! They said to him: There is no redemption when it comes to idolatry.", + "How does one annul [the idolatrous status of an asherah]? If one trims or prunes, removes a branch or a stick, or even a leaf, it is annulled. 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They [the Sages] said to him: Even that might become fertilizer, as it is said (Devarim/Deuteronomy 13:18): \"And let nothing of the condemned cling to your hand.\"", + "Proklos son of Plosfos asked Rabban Gamliel [a question] in Akko, while he was bathing in the bathhouse of Aphrodite. He said to him: \"It is written in your Torah (Deuteronomy 13:18): 'And let none of the condemned cling to your hand;' why then are you bathing in the bathhouse of Aphrodite? He said to him: one does not respond [to halakhic questions] in the bathhouse. When he left, he said to him: \"I did not come into her territory; she came into my territory. They did not say [when they built this bathhouse]: 'Let us make a beautiful bathhouse for Aphrodite.' Rather, they said: 'Let us make Aphrodite for the beauty of the bathhouse.' Another reason: [even] if they gave you a lot of money, you would not enter before your idolatry naked and defiled and urinating in front of it. Yet she stands on the sewer pipe and the entire nation urinates in front of her. The verse (Deuteronomy 12:3) only applies to \"their gods;\" that which he treats like a god is prohibited, and that which he does not treat like a god is permitted.\"", + "Non-Jews who worship the mountains and hills, they [the mountains and hills themselves] are permitted, but that which is upon them is forbidden, as it says (Deuteronomy 7:25): You shall not covet the gold and silver that is upon them and take it. Rabbi Yose the Galilean said (Deuteronomy 12:2): \"Their gods upon the mountains,\" but the mountains are not their gods; their gods \"upon the hills,\" but the hills are not their gods. And why are Asherah trees forbidden? Because humans hands were involved in [planting] them, and any [idolatrous] thing that human hands were involved in is forbidden. Rabbi Akiva said: I will expound [the verse] and rule before you, everywhere that you find a tall mountain, a raised hill, or a verdant tree know that there is idol worship there.", + "One whose house abuts [a house of] idolatry, and [his own house] collapses, it is prohibited to rebuild it. How should he proceed? He should gather it four cubits into his own [space] and build. If it [the wall that collapsed] belonged both to him and to the [house of] idolatry, the [respective] law applies to each half [and only his own half may be rebuilt]. The stones, wood, and dust [of a house of idolatry] have a ritual impurity like that of vermin [i.e. through contact], as it says (Deuteronomy 7:26): You shall utterly detest it. Rabbi Akiva says: like that of a menstruating woman, as it says (Isaiah 30:22): \"You will banish them like a menstruating woman. ‘Get out!’ you will say to it.” Just as a menstruating woman renders objects impure through carrying, so too does idol worship render objects impure through carrying.", + "There are three [types of] houses. A house that is initially built for idolatry: this is prohibited. If it was painted and the molding was put in for idolatry, or if it was renewed [for idolatry], what is new is removed [and the rest is permitted]. If idols are brought inside and removed: this [house] is permitted. There are three [types of] stones. A stone initially hewed to be a pedestal [for an idol]: this is prohibited. If it was painted or molded for idolatry, or renewed [for idolatry], what is new is removed. If an idol was erected on top of it and removed: this [stone] is permitted. There are three [types of] asheras. A tree initially planted for idolatry: this is prohibited. If it was pruned and trimmed for idolatry and it sprouted, the new growth is removed. If an idol is erected under it and taken away: this [tree] is permitted. What is an asherah? Every [tree] that has idolatry below it. Rabbi Shimon says: Every [tree] that is worshiped. It happened in Tzidon, regarding a tree that was worshiped, that they found below it a pile of stones. Rabbi Shimon said to them: \"Examine this pile.\" They examined it and found an image. He said to them: \"Because the image is what was worshiped, we shall permit the tree for them.\"", + "One should not sit in its shade, but if one did sit he is pure. One should not pass beneath it, and if one did pass he is impure. If it encroaches on the public [domain], one who passes beneath it is pure. Vegetables may be sown beneath it in the rainy season but not in the sunny season. Lettuces may [be sown there] neither in the sunny season nor in the rainy season. Rabbi Yose says: Not even vegetables in the rainy season, because the leaves [of the ashera] fall on them and become fertilizer.", + "If one took some wood from it, it is prohibited for benefit. If one stoked the oven with it: if [the oven] is new, it must be shattered; if old, it must be cooled. If one baked bread in it, it is prohibited for benefit. If [the bread] became mixed up with others, they are all prohibited for benefit. Rabbi Eliezer said: Let him cast [a sum equivalent to the worth of their] benefit into the Dead Sea! They said to him: There is no redemption when it comes to idolatry. If one took wood from it for a loom, it is prohibited for benefit. If he wove a garment with it, the garment is prohibited for benefit. If that garment became mixed up with others, and then those others became became mixed up with others, they are all prohibited for benefit. Rabbi Eliezer said: Let him cast [a sum equivalent to the worth of their] benefit into the Dead Sea! They said to him: There is no redemption when it comes to idolatry.", + "How does one annul [the idolatrous status of an ashera]? If one trims or prunes, removes a branch or a stick, or even a leaf, it is annulled. If [after picking from it] one smooths it over for its tree's [aesthetic] sake, it is prohibited, but if not for its sake, then it is permitted." + ], + [ + "Rabbi Yishmael says: Three stones side by side beside a Markulis [an idol worshiped by placing stones beside it] are prohibited; two [stones] are permitted. And the Sages say: Those that appear to be with it [and which may have fallen from idol] are prohibited, but those that do not appear to be with it are permitted.", + "If one found on its [the idol's] head money, clothing, or vessels, these are permitted. [If one found there] grape vines, crowns of wheat stalks, wines and oil, or flours, or any type of thing which is brought on the alter, they are prohibited.", + "An idol that had a garden or a bath house, one can benefit from it without giving payment in return, but one cannot benefit from it if one gives payment in return. If it belonged to an idol and to others, one can benefit from them regardless of whether or not one gives payment in return.", + "The idol of a non-Jew is automatically prohibited [for benefit]. One belonging to a Jew, is not prohibited until it is worshiped. A non-Jew can nullify his idol and his friend's, but a Jew cannot nullify the idol of a non-Jew. One who nullifies an idol also nullifies its accouterments. If he nullified its accouterments, the accouterments are permitted, but it [the idol] is prohibited.", + "How does one nullify [an idol]? If he cut off the tip of its ear, the tip of its nose, the tip of a finger, or if he dented it even though he did not diminish it, he has nullified it. If he spat before it, urinated before it, dragged it, or threw excrement at it, it is not nullified. If he sold it or used it as collateral, Rebbi says: He has nullified it. But the sages say: He has not nullified it. ", + "An idol whose worshipers abandoned it during peaceful becomes permitted [for benefit]; if during war times, it is prohibited. Royal pillars [upon which idols would be placed] are permitted, because they are erected [only for] when the king is passing by.", + "They asked the elders of Rome: If [Hashem] does not desire idolatry, why does He not destroy it[s objects]. They said to them: If only they were worshiping things which the world does not need, He would destroy them; but they worship the sun and the moon and the stars and the constellations--should the whole world be destroyed on account of the fools? They said to them: If so, let Him destroy those [idols] that the world does not need, and leave the ones that the world does need? They said to them: Then we would even be strengthening the faith of their worshipers, for they would say, \"This is the proof they are gods for they were not destroyed.\" ", + "One may buy a stepped on wine press from a non-Jew even though he takes [the crushed grapes from there] with his hand and places them in the pile. It does not become libation wine until it drains to the pit. Once it has drained to the pit, [if the non-Jew touched it,] what is in the pit is prohibited and the rest is permitted. ", + "One can press grapes with a non-Jew in the wine press, but he cannot harvest with him. A Jew who makes [his wine] while impure, one may not press or harvest with him, but one may send barrels with him to the wine press and bring them from the wine press with him. A baker who makes [his bread] while impure, one may not knead or shape the dough with him, but one can bring bread with him to the seller. ", + "A non-Jew who was found next to a pit of wine, if he has a lien, it is prohibited; if he does not have a lien, it is permitted. If he fell into the pit and climbed out, or he measured it with a reed, or he flicked out a bug with a reed, or if he was tapping [the foam] on a barrel that was boiling over, each of these cases happened, and they said the wine should be sold. But Rabbi Shimon permits [the wine in such cases]. If he took the barrel and threw it into the pit in his anger--this case happened and they allowed it. ", + "One who prepares wine in purity for a non-Jew and places it in his domain in a house that is open to the public domain, in a city that had both Jews and non-Jews, it is permitted; in a city that is entirely non-Jews, it is prohibited, unless he places a guard. But the guard does not have to be sitting and guarding [constantly]; even if he is leaving and entering, it is permitted. Rabbi Shimon son of Elazar said: all domains of non-Jews are like one [another].", + "One who prepares wine in purity for a non-Jew and places it in his domain, and the latter writes for him a receipt that he received the money, it is permitted. But if the Jew wanted to remove the wine [from his property] and the non-Jew will not allow him until he receives his payment--this case happened in Beit She'an and the sages prohibited it. " + ], + [ + "One who hires a worker to work with him with yayin nesech [Wine used for idolatrous libations – prohibited for consumption and benefit], his salary is prohibited. If one hired him to perform a different task, even if he said to him move that barrel of yayin nesech from one place to another, his salary is permitted. One who rents a donkey in order to transport yayin nesech , its rental fee is prohibited. If it was rented to ride on, even though the non-Jew placed his flask [of yayin nesech ] upon it, its rental fee is permitted.", + "Yayin nesech which fell on top of grapes, one can rinse them and they are permitted. If they were cracked, they are prohibited. (If they fell on figs or dates, if there is enough wine to impart its flavor [into the fruit] it is prohibited.) It once happened that Baytus Son of Zonin brought dried figs on a boat and a barrel of yayin nesech burst and fell on them and he asked the sages and they permitted [the figs]. This is the rule: if there is increased benefit due to the imparted flavor it is prohibited, but if there is no increased benefit due to the imparted flavor it is permitted, like in the case of vinegar that fell on grits.", + "A non-Jew who was transporting jugs of wine with a Jew from one place to another, if it could be assumed [by the non-Jew] that they were being guarded, then they are permitted. If he let him know that he was going away, [they are prohibited] if there elapsed enough time [for the non-Jew] to puncture [the seal], patch it, and dry it. Rabbi Shimon son of Gamliel says: Enough time for him to open it, put in a new seal, and allow it to dry.", + "One who leaves his wine in a wagon or a boat and took a shortcut, entered the city, and bathed, [the wine] is permitted. If he let him know that he was going away, [they are prohibited] if there elapsed enough time [for the non-Jew] to puncture [the seal], patch it, and dry it. Rabbi Shimon son of Gamliel says: Enough time for him to open it, put in a new seal, and allow it to dry. One who leaves a non-Jew in his store, even if he is entering and exiting it is permitted. If he let him know that he was going away, [they are prohibited] if there elapsed enough time for him to puncture [the seal], patch it, and dry it. Rabbi Shimon son of Gamliel says: Enough time for him to open it, put in a new seal, and allow it to dry.", + "If he was eating with him at a table and he left a jug of wine on the table and a jug of wine on the side-table and left the room, what is on the table is prohibited and what is on the side table is permitted. If he said to him \"please pour and drink,\" even what is on the side table is prohibited. Open barrels are prohibited, and also closed ones if there elapsed enough time for him to open it, put in a new seal, and allow it to dry. ", + "A troop of non-Jewish investigating soldiers that enter a city at a time of peace, all open barrels are prohibited but sealed barrels are permitted. In a time of war, both are permitted, since there is no time to pour libations. ", + "Jewish craftsmen whom a non-Jew paid in yayin nesech, they are permitted to say to him, give us its value; but once it enters their domain, it is prohibited. One who sells his wine to a non-Jew, if he set the price before measuring out [the wine], the money is permitted; but if he measured it out before setting the price, the money is prohibited. If one took a funnel and measured [wine] into a non-Jew's container, and then [using the same funnel] measured into a Jew's container, if the funnel has wine residue in it it is prohibited. One pouring from one vessel into another [when the latter has yayin nesech in it], the one he poured from is permitted, but the one he poured into is prohibited. ", + "Yayin nesech is prohibited, and even a minute amount makes other things prohibited. Wine in wine or water in water, even a minute amount [of the prohibited substance renders it all prohibited]. Wine in water or water in wine, an amount [of the prohibited substance] sufficient to impart flavor [renders it prohibited]. This is the rule: a mixture of things of the same type, a minute amount [of the prohibited substance renders it prohibited]; a mixture of different types, an amount [of the prohibited substance] sufficient to impart flavor [renders it all prohibited].", + "The following things are prohibited and prohibit in a minute amount: yayin nesech, idolatry, skins torn at the heart [as part of an idolatrous practice], an ox that is to be stoned, the calf which will have its neck severed, the bird offerings of a leper, the hair of a nazirite, the firstborn donkey [that has not yet been redeemed], meat mixed with milk, the goat that is sent [to Azazel], and non-sanctified animals slaughtered in the temple courtyard, all these are prohibited and even minute amounts make other things prohibited. ", + "Yayin nesech that fell into a pit, all [wine in the pit] is prohibited from benefit. Rabbi Shimon son of Gamliel says: It should all be sold to a non-Jew except for the value of the nesech wine in it. ", + "A stone wine press which a non-Jew coated in pitch, it should be dried off and then it is pure. If it was made of wood, Rebbi says: It should be dried off; but the sages say: he should peel off the pitch. And if it was made of earthenware, even if he peeled off the pitch it is still prohibited.", + "One who buys utensils from a non-Jew, what is usually immersed one should immerse, what is usually boiled one should boil, what is usually made white-hot by fire one should make white-hot by fire. The spit and the grill should be made white-hot by fire. The knife one can polish it and it is pure. " + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/Talmud Bavli. German. Lazarus Goldschmidt. 1929 [de].json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/Talmud Bavli. German. 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JIŠMA͑ÉL SAGT, ES SEI DREI TAGE VORHER UND DREI TAGE NACHHER VERBOTEN, DIE WEISEN SAGEN, VOR IHREN FESTEN SEI ES VERBOTEN, NACH IHREN FESTEN SEI ES ERLAUBT.", + "FOLGENDE SIND DIE FESTE DER NICHTJUDEN: DIE KALENDEN, DIE SATURNALIEN, DER SIEGESTAG, DER GENESJATAG IHRER KÖNIGE, DER GEBURTSTAG3 Nach der Auslegung des T. des Landesfürsten, nach der des jer. T. eines Privatmannes.UND DER STERBETAG — SO R. MEÍR. DIE WEISEN SAGEN: HAT BEIM TODE EIN VERBRENNEN STATTGEFUNDEN, SO IST DABEI GÖTZENDIENST, HAT DANN KEIN VERBRENNEN STATTGEFUNDEN, SO IST DABEI KEIN GÖTZENDIENST. FÜR DEN TAG SEINER BARTSCHUR ABER UND SEINES SCHOPFES, AN DEM ER VON EINER SEEREISE HEIMGEKEHRT IST, AN DEM ER DAS GEFÄNGNIS VERLASSEN HAT, AN DEM ER FÜR SEINEN SOHN EIN HOCHZEITSMAHL BEREITET, BESTEHT DAS VERBOT NUR FÜR DIESEN TAG UND MIT DIESEM MANNE.", + "IST EIN GÖTZENFEST INNERHALB DER STADT, SO IST ES4 Der geschäftliche Verkehr mit den Nichtjuden.AUSSERHALB ERLAUBT; IST EIN GÖTZENFEST AUSSERHALB, SO IST ES INNERHALB ERLAUBT. DARF MAN DA HINGEHEN? FÜHRT DER WEG NUR NACH DIESEM ORTE, SO IST ES VERBOTEN, WENN ER ABER AUCH NACH EINEM ANDEREN FÜHRT, SO IST ES ERLAUBT. WENN IN EINER STADT EIN GÖTZENFEST IST UND DA MANCHE LÄDEN BEKRÄNZT UND MANCHE NICHT BEKRÄNZT SIND: EIN SOLCHER FALL EREIGNETE SICH IN BETH ŠEÁN, UND DIE WEISEN ENTSCHIEDEN, DASS ES5 Das Kaufen, das Verkaufen ist dann auf jeden Fall verboten.IN DEN BEKRÄNZTEN VERBOTEN UND IN DEN UNBEKRÄNZTEN ERLAUBT SEI.", + "FOLGENDE DINGE DÜRFEN EINEM NICHTJUDEN NICHT VERKAUFT WERDEN: ISTRUBLIN6 Wahrscheinl. στϱόβιλος, Zapfen der Fichte, Tanne und Kiefer, Zirbelnuß., ŠUAḤ-FRÜCHTE UND IHRE STENGEL, WEIHRAUCH UND EIN WEISSER HAHN. R. JEHUDA SAGT, MIT ANDEREN HÜHNERN ZUSAMMEN DÜRFE MAN IHM AUCH EINEN WEISSEN HAHN VERKAUFEN; HAT MAN NUR EINEN SOLCHEN, SO HAUE MAN IHM DEN SPORN AB UND VERKAUFE IHN IHM, DENN SIE BRINGEN KEINEN VERSTÜMMELTEN DEN GÖTZEN DAR. BEI ALLEN ANDEREN DINGEN IST ES ALLGEMEIN7 Wenn der Nichtjude beim Kauf nicht sagt, zu welchem Zwecke er es braucht; cf. infra Fol. 14a.ERLAUBT UND BEZEICHNET VERBOTEN. R. MEÍR SAGT, AUCH EINE GUTE DATTELPALME, ḤAÇAB UND EINE NIKOLAUSPALME DÜRFE MAN EINEM NICHTJUDEN NICHT VERKAUFEN.", + "WO ES ÜBLICH IST, AN NICHTJUDEN KLEINVIEH ZU VERKAUFEN, DARF MAN VERKAUFEN, WO ES ÜBLICH IST, NICHT ZU VERKAUFEN, DARF MAN NICHT VERKAUFEN; NIRGENDS ABER DARF MAN IHNEN GROSSVIEH, KÄLBER UND FÜLLEN, OB HEIL ODER GEBROCHEN, VERKAUFEN. R. JEHUDA ERLAUBT DIES BEI GEBROCHENEN; BEN BETHERA ERLAUBT DIES BEI EINEM PFERDE8 Es wurde nicht zur Arbeit, sondern nur zum Reiten verwendet..", + "MAN DARF IHNEN KEINE BÄREN, LÖWEN ODER SONST ETWAS VERKAUFEN, WODURCH DAS PUBLIKUM GEFÄHRDET WERDEN KANN. MAN DARF MIT IHNEN NICHT EINE BASILIKA, EIN SCHAFOTT, EINE ARENA ODER EINE TRIBÜNE9 Von welcher der Delinquent hinabgestoßen und getötet wird. Die hier aufgezählten Gebäude dienen sämtlich zur Hinrichtung von Menschen.BAUEN, WOHL ABER DARF MAN MIT IHNEN GERÜSTE10 Od. Altäre (cf. infra Fol. 53b) zur Opferung; manche lesen דימוסאות, öffentliche Anstalten, bes. Bäder.UND BADEANSTALTEN BAUEN; GELANGT MAN AN DIE NISCHE, WO DAS GÖTZENBILD AUFGESTELLT WIRD, SO DARF MAN NICHT MITBAUEN.", + "MAN DARF IHNEN IM JISRAÉLLANDE KEINE HÄUSER VERMIETEN, UND SELBSTVERSTÄNDLICH KEINE FELDER; IN SYRIEN DARF MAN IHNEN HÄUSER VERMIETEN, JEDOCH KEINE FELDER; AUSSERHALB DES LANDES DARF MAN IHNEN HÄUSER VERKAUFEN UND FELDER VERMIETEN — SO R. MEÍR. R. JOSE SAGT, IM JISRAÉLLANDE DÜRFE MAN IHNEN HÄUSER VERMIETEN, JEDOCH KEINE FELDER, IN SYRIEN DÜRFE MAN IHNEN HÄUSER VERKAUFEN UND FELDER VERMIETEN, UND AUSSERHALB DES LANDES DÜRFE MAN IHNEN BEIDES VERKAUFEN.", + "ABER AUCH DA, WO SIE IHM ZU VERMIETEN ERLAUBT HABEN, GILT DIES NICHT VON EINEM WOHNRAUME, WEIL ER DA SEINE GÖTZEN HINEINBRINGEN WÜRDE, UND ES HEISST:11 Dt. 7,26.du sollst keine Greuel in dein Haus bringen. NIRGENDS ABER DARF MAN IHNEN EIN BADEHAUS VERMIETEN, WEIL ES SEINEIN12 Des Vermieters.NAMEN TRÄGT." + ], + [ + "MAN DARF KEIN VIEH IN EIN WIRTSHAUS VON NICHTJUDEN EINSTELLEN, WEIL SIE DER BESTIALITÄT VERDÄCHTIG SIND. EINE FRAU DARF MIT IHNEN NICHT ALLEIN SEIN, WEIL SIE DER UNZUCHT VERDÄCHTIG SIND: AUCH SONST EIN MENSCH DARF NICHT MIT IHNEN ALLEIN SEIN, WEIL SIE DES BLUTVERGIESSENS VERDÄCHTIG SIND. EINE JISRAÉLITIN DARF EINER NICHTJÜDIN KEINE GEBURTSHILFE LEISTEN, WEIL SIE EIN KIND FÜR DEN GÖTZENDIENST GEBÄREN HILFT; WOHL ABER DARF MAN EINE NICHTJÜDIN EINER JISRAÉLITIN GEBURTSHILFE LEISTEN LASSEN. EINE JISRAÉLITIN DARF NICHT DAS KIND EINER NICHTJÜDIN SÄUGEN; WOHL ABER DARF EINE JISRAÉLITIN IN IHREM BEREICHE IHR KIND VON EINER NICHTJÜDIN SÄUGEN LASSEN.", + "MAN DARF SICH VON IHNEN EINE GELDHEILUNG1 Wird weiter erklärt.ANGEDEIHEN LASSEN, NICHT ABER EINE LEIBESHEILUNG. MAN DARF SICH NIRGENDS VON IHNEN SCHEREN LASSEN — SO R. MEÍR; DIE WEISEN SAGEN, AUF ÖFFENTLICHEM GEBIETE SEI ES ERLAUBT, NICHT ABER ALLEIN UNTER EINANDER.", + "FOLGENDE DINGE SIND VON NICHTJUDEN VERBOTEN, UND ZWAR ERSTRECKT SICH DAS VERBOT AUCH AUF DIE NUTZNIESSUNG: WEIN, ESSIG, DER IM BESITZE VON NICHTJUDEN NOCH WEIN WAR, HADRIANISCHE2 Die Erkl. folgt weiter.SCHERBEN, AUSGEHERZTE3 Die Erkl. folgt weiter.FELLE. R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGTE: IST DAS LOCH RUND, SO SIND SIE VERBOTEN, IST ES LÄNGLICH, SO SIND SIE ERLAUBT. FLEISCH, DAS ZUM GÖTZEN HINEINGEBRACHT WERDEN4 Wenn es von Jisraéliten herrührt.SOLL, IST ERLAUBT, DAS HERAUSGEBRACHT WORDEN IST, IST VERBOTEN, WEIL ES ALS TOTENSCHLACHTUNG GILT — SO R. A͑QIBA. MIT DENEN, DIE ZUR GÖTZENSTÄTTE5 Eigentl. Schandstätte (syr. תרפותא Zerstörung); viell. jed. v. תרף Hausgott, Penat. ZIEHEN, DARF MAN KEINE GESCHÄFTE MACHEN; MIT DENEN, DIE ZURÜCKKEHREN, IST ES ERLAUBT.", + "SCHLÄUCHE UND WEINKRÜGE VON NICHTJUDEN, DIE MIT WEIN EINES JISRAÉLITEN GEFÜLLT SIND, SIND6 Samt ihrem Inhalt.VERBOTEN, UND ZWAR ERSTRECKT SICH DAS VERBOT AUCH AUF DIE NUTZNIESSUNG — SO R. MEÍR; DIE WEISEN SAGEN, DAS VERBOT ERSTRECKE SICH NICHT AUF DIE NUTZNIESSUNG. TRAUBENKERNE UND SCHLAUBEN VON NICHTJUDEN SIND VERBOTEN, UND ZWAR ERSTRECKT SICH DAS VERBOT AUCH AUF DIE NUTZNIESSUNG — SO R. MEÍR; DIE WEISEN SAGEN, FEUCHTE SEIEN VERBOTEN, TROCKENE SEIEN ERLAUBT. FISCHTUNKE7 Dem Wein beigemischt wird.UND BITHYNISCHER8 Vgl. Bd. III S. 24 Anm. 170.KÄSE VON NICHTJUDEN SIND VERBOTEN, UND ZWAR ERSTRECKT SICH DAS VERBOT AUCH AUF DIE NUTZNIESSUNG — SO R.MEÍR; DIE WEISEN SAGEN, DAS VERBOT ERSTRECKE SICH NICHT AUF DIE NUTZNIESSUNG.", + "R. JEHUDA ERZÄHLTE: R. JIŠMA͑ÉL RICHTETE AN R. JEHOŠUA͑, ALS SIE SICH AUF DEM WEGE BEFANDEN, FOLGENDE FRAGE, INDEM ER ZU IHM SPRACH: WESHALB HABEN SIE KÄSE VON NICHTJUDEN VERBOTEN? DIESER ERWIDERTE IHM: WEIL SIE IHN DURCH DAS LAB VON AASTIEREN GERINNEN LASSEN. JENER ENTGEGNETE IHM: DAS VERBOT DES LABES VON EINEM BRANDOPFER IST JA STRENGER ALS DAS DES LABES VON EINEM AASE, DENNOCH SAGTEN SIE, DASS EIN PRIESTER, DER SICH NICHT EKELT, ES ROH SCHLÜRFEN DÜRFE; DIES HAT MAN NICHT ZUGESTANDEN, JEDOCH SAGTEN SIE, MAN DARF ES ZWAR NICHT GENIESSEN, JEDOCH BEGEHT MAN DARAN KEINE VERUNTREUUNG. DIESER ERWIDERTE IHM: WEIL SIE IHN DURCH DAS LAB VON GÖTZENDIENSTLICH VERWANDTEN KÄLBERN GERINNEN LASSEN. JENER ENTGEGNETE: WENN DEM SO IST, WESHALB HABEN SIE NICHT AUCH DIE NUTZNIESSUNG VERBOTEN!? DA LENKTE IHN DIESER AUF EINE ANDERE SACHE AB, INDEM ER IHN FRAGTE: JIŠMA͑ÉL, WIE LIEST DU:9 Cant. 1,2.besser ist deine10 Ob das W. דודיך feminin od. masculin ist.Liebe als Wein, ODER: besser ist deine11 Ob das W. דודיך feminin od. masculin ist.Liebe?", + "FOLGENDE DINGE DER NICHTJUDEN SIND VERBOTEN, JEDOCH ERSTRECKT SICH DAS VERBOT NICHT AUF DIE NUTZNIESSUNG: MILCH, DIE EIN NICHTJUDE OHNE VON EINEM JISRAÉLITEN BEOBACHTET WORDEN ZU SEIN GEMOLKEN HAT, BROT UND ÖL; RABBI UND SEIN GERICHTSKOLLEGIUM ERLAUBTEN DAS ÖL. FERNER GEKOCHTES UND EINGELEGTES, WORIN MAN WEIN ODER ESSIG HINEINZUTUN PFLEGT, ZERHACKTEERITH12 Eine Art Salzfisch; gewöhnlich mit Triton identifiziert., FISCHLAKE, WORIN KEINE FISCHCHEN SIND, KEINE HERUMSCHWIMMENDE KILBITH13 Nach Raschi kleine Fischchen, die nur in der Lake reiner Fische gedeihen., FISCHSALAT14 Vgl. ob. S. 538 Anm. 226., SCHNITTE ASANT UND GEWÜRZTES15 Vgl. weit. S. 556 Anm. 344.SALZ. ALL DIESE DINGE SIND VERBOTEN, JEDOCH ERSTRECKT SICH DAS VERBOT NICHT AUF DIE NUTZNIESSUNG.", + "FOLGENDES IST ZUM ESSEN ERLAUBT: MILCH, DIE EIN NICHTJUDE UNTER AUFSICHT EINES JISRAÉLITEN GEMOLKEN HAT, HONIG, ÜBERFLIESSENDE TRAUBEN, DEREN ABTRIEFENDER SAFT NICHT ZU DEN BEFÄHIGTMACHENDEN16 Für die Empfänglichkeit der Unreinheit; cf. Lev. 11,38.FLÜSSIGKEITEN GEHÖRT, EINGELEGTES, WORIN MAN WEDER WEIN NOCH ESSIG HINEINZUTUN PFLEGT, UNZERHACKTEERITH, FISCHLAKE, IN DER FISCHCHEIN SIND, ASANTBLÄTTER17 Die nicht mit einem Messer geschnitten werden.UND GEPRESSTE OLIVENKUCHEN. R. JOSE SAGT, DIE GANZ WEICHEN SEIEN VERBOTEN. HEUSCHRECKEN, DIE AUS DEM KORBE KOMMEN, SIND VERBOTEN, DIE AUS DEM LAGER, SIND ERLAUBT. DASSELBE GILT AUCH VON DER HEBE." + ], + [ + "ALLE BILDWERKE SIND ZUR NUTZNIESSUNG VERBOTEN, WEIL SIE EINMAL IM JAHRE ANGEBETET WERDENSO R. MEÍR; DIE WEISEN SAGEN, VERBOTEN SIND NUR SOLCHE, DIE EINEN STAB ODER EINEN VOGEL ODER EINE KUGEL IN DER HAND HALTEN. R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGT, AUCH WENN SIE SONST IRGEND EINEN GEGENSTAND IN DER HAND HALTEN.", + "FINDET MAN BRUCHSTÜCKE VON BILDWERKEN, SO SIND SIE ERLAUBT. FINDET MAN DIE FIGUR EINER HAND ODER EINES FUSSES, SO SIND SIE VERBOTEN, WEIL SOLCHE ANGEBETET WERDEN.", + "FINDET MAN GERÄTE, WORAUF DAS BILD DER SONNE, DES MONDES ODER EINES DRACHEN SICH BEFINDET, SO WERFE MAN SIE INS SALZMEER. R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGT, AUF LUXURIÖSEN SIND SIE VERBOTEN, AUF GEMEINEN SIND SIE ERLAUBT.R. JOSE SAGT, MAN ZERREIBE SIE1 Götzen, die man findet.UND ZERSTREUE SIE IN DEN WIND ODER WERFE SIE INS MEER. SIE ERWIDERTEN IHM: DANN WERDEN SIE JA IN DUNG VERWANDELT, UND ES HEISST:2 Dt. 13,18.nichts vom mit dem Banne Belegten soll an deiner Hand kleben bleiben.", + "PEROKLOS DER PHILOSOPH3 Das W. בן hat hier wahrscheinl. nicht die Bedeutung Sohn, sondern bezeichnet den Beruf, wie zBs. בן תורה, Schriftgelehrter, בן אומנות, Künstler, udgl.FRAGTE R. GAMLIÉL IN A͑KKO, ALS DIESER IM APHRODITEN-BADE BADETE: ES HEISST IN EURER TORA:4 Dt. 13,18.nichts vom mit dem Banne Belegtem soll an deiner Hand kleben bleiben, WIESO BADEST DU NUN IM APHRODITEN-BADE? DIESER ERWIDERTE: MAN ANTWORTE5 In Sachen der Gesetzeskunde. NICHT IN EINEM BADEHAUSE. ALS ER HINAUSGEGANGEN WAR, SPRACH ER ZU IHM: ICH KAM NICHT IN IHR BEREICH, SONDERN SIE IN MEIN BEREICH6 Das Bad ist für das badende Publikum errichtet u. die Aphrodite erst später aufgestellt worden.. MAN7 Wie weiter aus dem T. hervorgeht, ist dies eine 2. Erwiderung u. keine Erklärung der vorangehenden. SAGT NICHT, DAS BAD SEI8 Die Form נעשה kann 1. Pers. plur. sein.ZUR AUSSCHMÜCKUNG DER APHRODITE ERRICHTET WORDEN, SONDERN DIE APHRODITE SEI ZUR AUSSCHMÜCKUNG DER BADEANSTALT AUFGESTELLT WORDEN. UND NOCH ETWAS ANDERES: WENN MAN DIR AUCH VIEL GELD GEBEN WÜRDE, SO WÜRDEST DU DENNOCH NICHT NACKT UND POLLUTIONSBEHAFTET VOR DEINE GOTTHEIT TRETEN UND VOR IHR URINIEREN, DIESE ABER STEHT VOR DER RINNE UND DAS GANZE VOLK URINIERT VOR IHR. ES HEISST IN DER SCHRIFT: ihre Götter, WAS WIE EIN GOTT BEHANDELT WIRD, IST VERBOTEN, WAS NICHT WIE EIN GOTT BEHANDELT WIRD, IST ERLAUBT.", + "WENN NICHTJUDEN BERGE UND HÜGEL ANBETEN, SO SIND DIESE ZUR NUTZNIESSUNG ERLAUBT, WAS SICH ABER AUF DIESEN9 ZBs. Verkleidungen aus Edelmetall.BEFINDET, IST VERBOTEN, DENN ES HEISST:10 Dt. 7,25.du sollst nicht begehren das Silber und das Gold, das auf ihnen ist. R. JOSE DER GALILÄER FOLGERT ES HIERAUS: 11 Ib. 12,2.Ihre Götter auf den Bergen, NICHT ABER SIND DIE BERGE IHRE GÖTTER; ihre Götter auf den Hügeln, NICHT ABER SIND DIE HÜGEL IHRE GÖTTER. WESHALB IST DEMNACH DIE AŠERA12 Im angezogenen Schriftverse (Dt. 12,2) heißt es weiter: und unter jedem grünen Baume, nach der Schlußfolgerung unserer Mišna sollte man eigentl. folgern: nicht aber sind die Bäume selbst ihre Götter.VERBOTEN? WEIL SIE DURCH MENSCHENHÄNDE ENTSTANDEN IST, UND ALLES, WAS DURCH MENSCHENHÄNDE ENTSTANDEN IST, IST VERBOTEN. R. A͑QIBA SPRACH: ICH WILL DIES ERKLÄREN UND DIR DEUTEN: DIES13 Der hier angezogene Schriftvers.HEISST: WENN DU IRGENDWO AUF EINEN HOHEN BERG, EINEN ERHABENEN HÜGEL UND EINEN GRÜNEN BAUM STOSSEST, SO WISSE, DASS DA EIN GÖTZE SICH BEFINDET14 Da die Schrift nicht sagt, daß man die Berge u. Hügel zerstöre, so sind sie erlaubt, von der Ašera dagegen wird weiter (Dt. 12,3) ausdrücklich gesagt, daß man sie zerstöre..", + "WENN JEMAND EIN HAUS15 Gemeint ist natürl. die Wand, die an den Götzen stößt u. ihm zugute kommt; manche Texte haben כותלו statt ביתו.IN DER NÄHE EINES GÖTZEN HAT UND ES EINSTÜRZT, SO DARF ER ES NICHT WIEDER AUFBAUEN. WAS MACHE ER NUN? ER ZIEHE VIER ELLEN EIN UND BAUE. GEHÖRT ER16 Der Raum, auf dem diese Wand sich befindet.IHM UND DEM GÖTZEN, SO WIRD ER GLEICHMÄSSIG17 Der dem Götzen gehörende Teil wird bei der Messung der 4 Ellen nicht mitgerechnet.GETEILT. DIE STEINE, DAS HOLZ UND DER SCHUTT SIND WIE EIN KRIECHTIER VERUNREINIGEND, DENN ES HEISST:18 Dt. 7,26.verabscheuen19 Dieser Ausdruck deutet auf das Kriechtier שקץ gleich שרץ.sollst du es. R. A͑QIBA SAGT, WIE EINE MENSTRUIERENDE20 Die in bedeutend höherem Grade unrein ist., DENN ES HEISST:21 Jes. 30,22.du wirst sie wie etwas Ekelhaftes22 Mit dem hier gebrauchten דוה wird auch die Menstruierende bezeichnet.fortwerfen, hinaus! zu ihnen sprechen. WIE EINE MENSTRUIERENDE DURCH DAS TRAGEN23 Wenn sie von einem Menschen od. einer Sache getragen wird, selbst ohne mit ihr direkt in Berührung gekommen zu sein.VERUNREINIGEND IST, EBENSO IST AUCH EIN GÖTZE DURCH DAS TRAGEN VERUNREINIGEND.", + "ES GIBT24 Hinsichtlich der götzendienstlichen Verehrung.DREIERLEI HÄUSER: IST DAS HAUS VON VORNHEREIN FÜR DEN GÖTZEN ERBAUT, SO IST ES VERBOTEN; HAT MAN ES FÜR DEN GÖTZEN GEKALKT, GEPUTZT ODER RENOVIERT, SO ENTFERNE MAN DAS RENOVIERTE; HATTE MAN DARIN EINEN GÖTZEN HINGESTELLT UND IHN ENTFERNT, SO IST ES ERLAUBT.ES GIBT DREIERLEI STEINE: HAT MAN DEN STEIN VON VORNHEREIN FÜR EIN GÖTZENGESTELL GEHAUEN, SO IST ER VERBOTEN; HAT MAN IHN FÜR DEN GÖTZEN BESTRICHEN UND BEPUTZT, SO ENTFERNE MAN DEN ANSTRICH UND DEN PUTZ UND ER IST ERLAUBT; HATTE MAN AUF DIESEN EINEN GÖTZEN HINGESTELLT UND IHN ENTFERNT, SO IST ER ERLAUBT. ES GIBT DREIERLEI AŠERAS: HAT MAN DEN BAUM VON VORNHEREIN FÜR DEN GÖTZENDIENST GEPFLANZT, SO IST ER VERBOTEN; HAT MAN IHN FÜR DEN GÖTZENDIENST BESTUTZT UND BEPUTZT, WORAUF ER NEUE SCHÖSSLINGE HERVORGEBRACHT HAT, SO ENTFERNE MAN DIESE; HATTE MAN UNTER DIESEN EINEN GÖTZEN HINGESTELLT UND IHN ENTFERNT, SO IST ER ERLAUBT.WELCHER BAUM HEISST AŠERA? UNTER DEM EIN GÖTZE SICH BEFINDET; R. ŠIMO͑N SAGT, DER ANGEBETET WIRD. EINST FANDEN SIE IN ÇAJDAN UNTER EINEM BAUME, DER ANGEBETET WURDE, EINEN STEINHAUFEN; DA ORDNETE R. ŠIMO͑N AN, DEN STEINHAUFEN ZU UNTERSUCHEN. ALS SIE IHN UNTERSUCHTEN, UND IN DIESEM EINE FIGUR FANDEN, SPRACH ER ZU IHNEN: DA SIE DIE FIGUR ANGEBETET HABEN, SO WOLLEN WIR NUN DEN BAUM ERLAUBEN.", + "MAN DARF UNTER IHREM SCHATTEN NICHT SITZEN; HAT MAN25 Wenn der Schatten schräg fällt u. man vom Baume nicht überdacht worden ist.GESESSEN, SO IST MAN REIN. MAN DARF UNTER DIESER NICHT VORÜBERGEHEN, IST MAN VORÜBERGEGANGEN, SO IST MAN UNREIN; WENN SIE DAS PUBLIKUM BEEINTRÄCHTIGT UND MAN VORÜBERGEGANGEN IST, SO IST MAN REIN.MAN DARF UNTER DIESER GRÜNKRAUT IN DER REGENZEIT26 Weil der Baum nur schädlich wirkt, da er die Sonne verstellt.SÄEN, NICHT ABER IM SOMMER; LATTICH ABER WEDER IM SOMMER NOCH IN DER REGENZEIT. R. JOSE SAGT, AUCH KEINE KRÄUTER IN DER REGENZEIT, WEIL DAS LAUB AUF DIESE FÄLLT UND IHNEN ALS DUNG DIENT.", + "HAT MAN DAVON HOLZ GENOMMEN, SO IST ES ZUR NUTZNIESSUNG VERBOTEN; HAT MAN DAMIT EINEN OFEN GEHEIZT, SO MUSS ER, WENN ER NEU IST, ZERTRÜMMERT, UND WENN ER ALT IST, AUSGEKÜHLT WERDEN; HAT MAN DARIN BROT GEBACKEN, SO IST ES ZUR NUTZNIESSUNG VERBOTEN; IST ES MIT ANDEREM VERMISCHT WORDEN, SO SIND ALLE ZUR NUTZNIESSUNG VERBOTEN. R. ELIE͑ZER SAGT, MAN WERFE DEN NUTZEN INS SALZMEER. SIE SPRACHEN ZU IHM: BEIM GÖTZENDIENSTE GIBT ES KEINE AUSLÖSUNG. HAT MAN DAVON EINEN WEBERSPATEL GENOMMEN, SO IST ER ZUR NUTZNIESSUNG VERBOTEN; HAT MAN DAMIT EIN KLEIDUNGSSTÜCK GEWEBT, SO IST ES ZUR NUTZNIESSUNG VERBOTEN; IST ES MIT ANDEREN VERMISCHT WORDEN, UND DIE ANDEREN MIT ANDEREN, SO SIND ALLE ZUR NUTZNIESSUNG VERBOTEN. R. ELIE͑ZER SAGT, MAN WERFE DEN NUTZEN INS SALZMEER. SIE SPRACHEN ZU IHM: BEIM GÖTZENDIENSTE GIBT ES KEINE AUSLÖSUNG.", + "WIE WIRD DIE AŠERA ENTHEILIGT? WENN MAN SPÄNE ODER REISER ABGEBROCHEN HAT; HAT MAN VON DIESER EINEN STOCK, ODER EINE GERTE ODER AUCH NUR EIN BLATT ABGEBROCHEN, SO HAT MAN SIE ENTHEILIGT. HAT MAN SIE BEHOBELT, SO IST SIE, WENN ES IN IHREM INTERESSE ERFOLGT IST, VERBOTEN, WENN ABER NICHT IN IHREM INTERESSE, ERLAUBT." + ], + [ + "R. JIŠMẢÉL SAGT, DREI STEINE NEBENEINANDER NEBEN EINEM MERKURIUS1 Bei den Griechen Hermes; als Gott der Wege u. Verkehrsplätze wurde er durch Steinhaufen (ἕϱμἀϰες) u. rohe 4eckige Pfeiler verehrt, die ihm an allen Wegen errichtet wurden. Diese Steinhaufen od. Säulen waren mit dem Kopfe des Merkurius geschmückt u. erhielten göttl. Verehrung; die Vorübergehenden huldigten ihnen dadurch, daß sie ihnen einen Stein zuwarfen. SIND VERBOTEN, ZWEI SIND ERLAUBT; DIE WEISEN SAGEN, DIE SCHEINBAR ZU IHM GEHÖREN, SIND VERBOTEN, DIE SCHEINBAR NICHT ZU IHM GEHÖREN, SIND ERLAUBT.", + "FINDET MAN AUF DIESEM GELD, KLEIDER ODER GERÄTE, SO SIND SIE ERLAUBT, WENN ABER WEINREBEN, ÄHRENKRÄNZE, WEIN, ÖL, MEHL ODER SONST ETWAS, DERGLEICHEN AUF DEM ALTAR DARGEBRACHT WIRD, SO IST ES VERBOTEN.", + "WENN EIN GARTEN ODER EIN BAD ZU EINEM GÖTZEN GEHÖRT, SO DARF MAN DIESE OHNE VERGÜTUNG BENUTZEN, NICHT ABER GEGEN VERGÜTUNG; GEHÖREN SIE DIESEM UND ANDEREN, SO DARF MAN SIE SOWOHL GEGEN VERGÜTUNG ALS AUCH OHNE VERGÜTUNG BENUTZEN.", + "DER GÖTZE EINES NICHTJUDEN IST SOFORT VERBOTEN, UND DER EINES JISRAÉLITEN ERST DANN, WENN ER ANGEBETET WORDEN IST. EIN NICHTJUDE KANN SEINEN GÖTZEN UND DEN GÖTZEN SEINES NÄCHSTEN ENTHEILIGEN, EIN JISRAÉLIT ABER KANN DEN GÖTZEN EINES NICHTJUDEN NICHT ENTHEILIGEN. HAT ER DEN GÖTZEN ENTHEILIGT, SO HAT ER AUCH SEINE DIENSTGERÄTE ENTHEILIGT; HAT ER DIE DIENSTGERÄTE ENTHEILIGT, SO SIND DIESE ERLAUBT UND DER GÖTZE SELBST VERBOTEN.", + "WODURCH ENTHEILIGT ER IHN? HAT ER IHM DIE SPITZE DES OHRES, DIE SPITZE DER NASE, DIE SPITZE EINES FINGERS ARGESCHLAGEN, ODER HAT ER IHN ZUSAMMENGESCHLAGEN, OBGLEICH ER VON IHM NICHTS ABGESCHLAGEN HAT, SO IST ER ENTHEILIGT. HAT ER VOR IHM AUSGESPUCKT, URINIERT, IHN HERUMGESCHLEPPT ODER MIT KOT BEWORFEN, SO IST ER NICHT ENTHEILIGT. HAT ER IHN VERKAUFT ODER VERPFÄNDET, SO HAT ER IHN, WIE RABBI SAGT, ENTHEILIGT UND WIE DIE WEISEN SAGEN, NICHT ENTHEILIGT.", + "EIN GÖTZE, DEN SEINE ANBETER ZUR FRIEDENSZEIT ZURÜCKGELASSEN HABEN, IST ERLAUBT, WENN ZUR KRIEGSZEIT, SO IST ER VERBOTEN. DIE GESTELLE DER KÖNIGE SIND ERLAUBT, WEIL MAN AUF DIESE GÖTZEN STELLT, WENN DIE KÖNIGE VORÜBERZIEHEN.", + "MAN FRAGTE DIE ÄLTESTEN IN ROM: WENN ER AN DER ANBETUNG DER GÖTZEN KEINEN GEFALLEN HAT, WESHALB VERNICHTET ER SIE NICHT? DIESE ERWIDERTEN: WÜRDEN SIE DINGE ANBETEN, DEREN DIE WELT NICHT BEDARF, SO WÜRDE ER SIE AUCH VERNICHTET HABEN, SIE BETEN ABER SONNE, MOND, STERNE UND PLANETEN AN; SOLLTE ER DENN WEGEN DER TOREN SEINE WELT ZERSTÖREN!? JENE ENTGEGNETEN: SO SOLLTE ER DOCH DIE DINGE VERNICHTEN, DEREN DIE WELT NICHT BEDARF, UND DIEJENIGEN LASSEN, DEREN DIE WELT BEDARF!? DIESE ERWIDERTEN: WIR WÜRDEN DANN DIE ANBETER DER ANDEREN IN IHREM GLAUBEN BESTÄRKEN, DENN SIE WÜRDEN SAGEN: ERKENNET NUN, DASS DIESE WAHRE GÖTTER SIND, DENN SIE SIND NICHT VERNICHTET WORDEN.", + "MAN DARF EINE WEINKELTER MIT GETRETENEN TRAUBEN VON EINEM NICHTJUDEN KAUFEN, OBGLEICH ER DIE TRAUBEN MIT DER HAND NIMMT UND IN DEN BOTTICH2 Eigentl. Haufen, der Traubenhaufen unter dem Preßbalken.LEGT; ALS LIBATIONSWEIN GILT ER ERST DANN, WENN ER IN DIE KUFE ABGEFLOSSEN IST. IST ER IN DIE KUFE ABGEFLOSSEN, SO IST DAS, WAS SICH IN DER KUFE3 Wenn der Nichtjude ihn berührt.BEFINDET, VERBOTEN, UND WAS ZURÜCKBLEIBT, ERLAUBT.", + "MAN DARF MIT EINEM NICHTJUDEN IN DER KELTER TRETEN, NICHT ABER TRAUBEN LESEN. MIT EINEM JISRAÉLITEN, DER SEINE FRÜCHTE IN UNREINHEIT4 Der die levit. Reinheitsgesetze nicht beobachtet.ZUBEREITET, DARF MAN WEDER TRETEN NOCH TRAUBEN LESEN, WOHL ABER DARF MAN MIT IHM FÄSSER IN DIE KELTER UND AUS DER KELTER TRAGEN. MIT EINEM BÄCKER, DER SEIN BROT IN UNREINHEIT BEREITET, DARF MAN WEDER KNETEN NOCH ZURICHTEN, WOHL ABER DARF MAN MIT IHM BROT ZUM BROTHÄNDLER BRINGEN.", + "WIRD EIN NICHTJUDE AN EINER WEINKUFE ANGETROFFEN, SO IST DER WEIN, WENN ER AN IHN EINE SCHULDFORDERUNG HAT, VERBOTEN, WENN ABER NICHT, ERLAUBT. IST ER IN DIE KUFE GEFALLEN UND HERAUSGEHOLT WORDEN, ODER HAT ER DEN WEIN MIT EINEM ROHR GEMESSEN, ODER HAT ER MIT EINEM ROHR EINE HORNIS FORTGEJAGT, ODER HAT ER AUF DAS GÄRENDE FASS GESCHLAGEN, ES SIND DIES FÄLLE, DIE SICH EREIGNET HABEN, UND MAN ENTSCHIED, DASS ER VERKAUFT WERDE. R. ŠIMO͑N ERLAUBT IHN. HAT ER IN SEINER WUT DAS FASS GENOMMEN UND IN DIE KUFE GEWORFEN, DIESER FALL EREIGNETE SICH, UND MAN ERLAUBTE IHN.", + "WENN JEMAND DEN WEIN EINES NICHTJUDEN IN REINHEIT BEREITET UND IHN IN DESSEN GEBIET ZURÜCKLÄSST, IN EINEM HAUSE, DAS NACH ÖFFENTLICHEM GEBIETE GEÖFFNET WIRD, IN EINER STADT, IN DER NICHTJUDEN UND JISRAÉLITEN WOHNEN, SO IST ER ERLAUBT; WENN ABER IN EINER STADT, IN DER NUR NICHTJUDEN WOHNEN, SO IST ER VERBOTEN, ES SEI DENN, DASS ER DA SITZT UND IHN BEWACHT. DER BEWACHENDE BRAUCHT JEDOCH NICHT UNUNTERBROCHEN ZU SITZEN UND ZU WACHEN, AUCH WENN ER NUR EINUND AUSGEHT, IST ER ERLAUBT. R. ŠIMO͑N B. ELEA͑ZAR SAGT, ALLES GEBIET DER NICHTJUDEN GELTE ALS EINES.", + "WENN JEMAND DEN WEIN EINES NICHTJUDEN IN REINHEIT BEREITET UND IHN IN DESSEN GEBIET ZURÜCKLÄSST, SO IST ER, WENN ER IHM SCHRIFTLICH BESTÄTIGT, VON IHM DAS GELD ERHALTEN ZU HABEN, ERLAUBT. WENN ER ABER, FALLS IHN DER JISRAÉLIT HOLEN WILL, IHN NICHT LÄSST, BIS ER IHM DAS GELD GEGEBEN HAT, ES IST DIES EIN FALL, DER SICH IN BETHEÁN EREIGNETE, UND SIE VERBOTEN IHN." + ], + [ + "WENN EINER EINEN ARBEITER1 Ein Nichtjude einen Jisraéliten. MIETET, BEI IHM AN LIBATIONSWEIN2 Der tatsächlich Götzen libiert worden ist. ZU ARBEITEN, SO IST DER LOHN VERBOTEN. HAT ER IHN GEMIETET, BEI IHM EINE ANDERE ARBEIT ZU VERRICHTEN, SO IST, AUCH WENN ER VON IHM VERLANGT, LIBATIONSWEIN VON EINEM ORTE NACH EINEM ANDEREN UMZUTRAGEN, DER LOHN ERLAUBT. WENN ER3 Ein Nichtjude von einem Jisraéliten. EINEN ESEL MIETET, AUF DIESEM LIBATIONSWEIN ZU HOLEN, SO IST DER LOHN VERBOTEN; HAT ER IHN GEMIETET, AUF IHM ZU SITZEN, SO IST, AUCH WENN ER AUF IHN SEINEN WEINKRUG GELEGT HAT, DER LOHN ERLAUBT.", + "WENN LIBATIONSWEIN AUF TRAUBEN GEKOMMEN IST, SO WISCHE MAN SIE AB, UND SIE SIND ERLAUBT; WAREN SIE ABER GEPLATZT, SO SIND SIE VERBOTEN. IST SOLCHER AUF FEIGEN ODER AUF DATTELN GEKOMMEN, SO SIND SIE, WENN ER EINEN VERBESSERNDEN GESCHMACK VERLEIHT, VERBOTEN. EINST BRACHTE BOËTHOS, DER SOHN ZONANS, DÖRRFEIGEN AUF EINEM SCHIFFE UND EIN FASS LIBATIONSWEIN ZERBRACH UND ÜBERSCHÜTTETE SIE. DA FRAGTE ER DIE WEISEN, UND SIE ERLAUBTEN SIE. DIE REGEL HIERBEI IST: WENN4 Durch das Verbotene.EIN VERBESSERNDER GESCHMACK VERLIEHEN WIRD, SO IST ES VERBOTEN, WENN KEIN VERBESSERNDER GESCHMACK VERLIEHEN WIRD, SO IST ES ERLAUBT, WENN BEISPIELSWEISE ESSIG IN GRAUPEN GEKOMMEN IST5 In einem solchen Falle wird ein verschlechternder Geschmack verliehen, u. sie sind, wenn es verbotener Essig ist, erlaubt..", + "WENN EIN NICHTJUDE ZUSAMMEN MIT EINEM JISRAÉLITEN KRÜGE MIT WEIN VON ORT ZU ORT UMTRÄGT, SO IST ER, WENN ER VORAUSGESETZT BEWACHT IST, ERLAUBT; HAT ER IHM6 Der Jisraélit dem Nichtjuden.ABER MITGETEILT, DASS ER SICH ENTFERNE, SO IST ER, WENN ER SO LANGE ABWESEND WAR, ALS MAN DAS FASS ANBOHREN, VERSCHLIESSEN UND DER VERSCHLUSS TROCKNEN KANN, VERBOTEN; R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGT, WENN MAN ES ENTSPUNDEN, VERSPUNDEN7 Wenn der Nichtjude ein Loch in den Spund bohrt, so ist dies zu merken, vielmehr nur dann, wenn der Jisraélit solange abwesend war, als er den ganzen Spund entfernen, einen neuen einkleben u. dieser trocknen kann.UND DER SPUND TROCKNEN KANN.", + "WENN JEMAND SEINEN WEIN AUF EINEN WAGEN ODER EIN SCHIFF LEGT, SELBER ABER EINEN KÜRZEREN WEG IN DIE STADT GEHT UND BADET, SO IST ER ERLAUBT; HAT ER IHM ABER MITGETEILT, DASS ER SICH ENTFERNE, SO IST ER, WENN ER SO LANGE ABWESEND WAR, ALS MAN DAS FASS ANBOHREN, VERSCHLIESSEN UND DER VERSCHLUSS TROCKNEN KANN, VERBOTEN; R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGT, WENN MAN ES ENTSPUNDEN, VERSPUNDEN UND DER SPUND TROCKNEN KANN. WENN JEMAND EINEN NICHTJUDEN IM LADEN ZURÜCKLÄSST, SO IST DER WEIN ERLAUBT, SELBST WENN ER AB UND ZU HINAUSGEHT UND HEREINKOMMT; HAT ER IHM ABER MITGETEILT, DASS ER SICH ENTFERNE, SO IST ER, WENN ER SO LANGE ABWESEND WAR, ALS MAN DAS FASS ANBOHREN, VERSCHLIESSEN UND DER VERSCHLUSS TROCKNEN KANN, VERBOTEN; R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGT, WENN MAN ES ENTSPUNDEN, VERSPUNDEN UND DER SPUND TROCKNEN KANN.", + "WENN MAN MIT IHM AN EINEM TISCHE SPEIST UND EINE FLASCHE AUF DEN TISCH UND EINE FLASCHE AUF DEN ANRICHTETISCH8 Richt, דולפקי Delphica, sc. mensa; Zier-, Kredenztisch, zum Aufstellen von Gefäßen. STELLT, IHN ABER ZURÜCKLÄSST UND HINAUSGEHT, SO IST, DIE SICH AUF DEM TISCHE BEFINDET, VERBOTEN, UND DIE SICH AUF DEM ANRICHTETISCHE BEFINDET, ERLAUBT. WENN ER ABER ZU IHM GESAGT HAT, DASS ER SICH DEN WEIN SELBER MISCHE UND TRINKE, SO IST AUCH DIE AUF DEM ANRICHTETISCHE BEFINDLICHE VERBOTEN. OFFENE FÄSSER SIND VERBOTEN, GESCHLOSSENE SIND ERLAUBT, ES SEI DENN, DASS ER SO LANGE ABWESEND WAR, ALS MAN DAS FASS ENTSPUNDEN, VERSPUNDEN UND DER SPUND TROCKNEN KANN.", + "WENN NICHTJÜDISCHE TRUPPEN IN EINE STADT EINRÜCKEN, SO SIND ZUR FRIEDENSZEIT DIE OFFENEN FÄSSER VERBOTEN UND DIE GESCHLOSSENEN ERLAUBT, ZUR KRIEGSZEIT ABER DIESE UND JENE ERLAUBT, WEIL SIE DANN KEINE ZEIT HABEN, DEN WEIN ZU LIBIEREN.", + "WENN EIN NICHTJUDE JÜDISCHEN HANDWERKERN EIN FASS LIBATIONSWEIN ALS LOHN SCHICKT, SO DÜRFEN SIE ZU IHM SAGEN, DASS ER IHNEN LIEBER DAS GELD DAFÜR GEBE; IST ES BEREITS IN IHREN BESITZ GEKOMMEN, SO IST DIES VERBOTEN.WENN JEMAND WEIN AN EINEN NICHTJUDEN VERKAUFT, SO IST, WENN ER ZUERST DEN PREIS VEREINBART UND NACHHER IHN IHM ZUGEMESSEN HAT, DAS GELD ERLAUBT, WENN ER IHN IHM ABER ZUERST ZUGEMESSEN UND NACHHER DEN PREIS VEREINBART HAT, DAS GELD VERBOTEN9 Solange kein Preis vereinbart ist, gilt er noch als Eigentum des Verkäufers.. WENN JEMAND DEN TRICHTER GENOMMEN UND IN DIE FLASCHE EINES NICHTJUDEN HINEINGEMESSEN UND DARAUF IN DIE FLASCHE EINES JISRAÉLITEN HINEINGEMESSEN HAT, SO IST, WENN DARIN EIN RÜCKBLEIBSEL VOM WEINE WAR, DER WEIN10 In der Flasche des Jisraéliten.VERBOTEN. WENN JEMAND AUS EINEM GEFÄSSE IN EIN ANDERES HINEINGIESST, SO IST DAS, AUS DEM ER GIESST, ERLAUBT, UND IN DAS ER GIESST, VERBOTEN.", + "LIBATIONSWEIN IST UND MACHT11 Wenn er erlaubtem Weine beigemischt wird.VERBOTEN IM QUANTUM EINES MINIMUMS. WEIN IN WEIN UND WASSER IN WASSER IM QUANTUM EINES MINIMUMS; WEIN IN WASSER12 Wenn Verbotenes Erlaubtem beigemischt wird.UND WASSER IN WEIN, WENN EINE GESCHMACKSVERLEIHUNG ERFOLGT. DIE REGEL HIERBEI IST: BEI DERSELBEN ART GENÜGT EIN MINIMUM, BEI VERSCHIEDENEN ARTEN, WENN EINE GESCHMACKSVERLEIHUNG ERFOLGT13 Nur dann ist das, dem das Verbotene beigemischt wird, verboten..", + "FOLGENDE DINGE SIND UND MACHEN VERBOTEN IM QUANTUM EINES MINIMUMS: LIBATIONSWEIN, GÖTZEN, AUSGEHERZTE14 Cf. supra Fol. 32a.FELLE, DAS GESTEINIGTE15 Das einen Menschen getötet hat; cf. Ex. 21,28.RIND, DAS GENICKBROCHENE16 Cf. Dt. 21,1ff.KALB, DIE VÖGEL DES AUSSÄTZIGEN17 Die er bei seiner Reinigung als Opfer darzubringen hat; cf. Lev. Kap. 14., DAS HAAR DES NAZIRÄERS18 Das er sich schneiden lassen muß; cf. Num. 6,18., DAS ERSTGEBORENE DES ESELS19 Wenn es nicht ausgelöst worden ist; cf. Ex. 13,13., FLEISCH MIT MILCH20 Die man nicht zusammen essen darf; zusammen gekocht sind sie auch zur Nutznießung verboten; cf. Ex. 23,19, 34,26 u. Dt. 14,21., DER FORTZUSCHICKENDE SÜNDENBOCK21 Des Versöhnungstages; cf. Lev. 16,22.UND PROFANE TIERE, DIE IM TEMPEL GESCHLACHTET WORDEN SIND. DIESE ALLE SIND UND MACHEN VERBOTEN IM QUANTUM EINES MINIMUMS.", + "WENN LIBATIONSWEIN IN EINE WEINKUFE GEKOMMEN IST, SO IST DAS GANZE ZUR NUTZNIESSUNG VERBOTEN; R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGT, MAN VERKAUFE DAS GANZE AN EINEN NICHTJUDEN MIT ABZUG DES WERTES DES DARIN BEFINDLICHEN LIBATIONSWEINES.", + "WENN EIN NICHTJUDE EINE STEINERNE KELTER AUSGEPICHT22 Nach dem Auspichen wird das Faß mit Wein ausgespült, damit der Pechgeschmack schwinde.HAT, SO REIBE MAN SIE AB UND SIE IST REIN; WENN EINE HÖLZERNE23 Die mehr Pech erfordert u. somit mehr Wein anzieht., SO GENÜGT ES, WIE RABBI SAGT, EBENFALLS, WENN MAN SIE ABREIBT; DIE WEISEN SAGEN, MAN MÜSSE DAS PECH ABKRATZEN; WENN EINE IRDENE, SO IST SIE VERBOTEN, SELBST WENN MAN DAS PECH ABGEKRATZT HAT24 Weil die Kelter selbst den Wein anzieht..", + "WER GEBRAUCHSGERÄTE25 So wörtlich, gemeint sind Küchengeräte.VON NICHTJUDEN KAUFT, MUSS SIE, WENN MAN SIE KALT ABZUSPÜLEN PFLEGT, ABSPÜLEN, AUSZUBRÜHEN PFLEGT, AUSBRÜHEN, UND WENN MAN SIE IM FEUER AUSZUBRENNEN PFLEGT, IM FEUER AUSBRENNEN. EINEN BRATSPIESS UND EINEN ROST BRENNE MAN IM FEUER AUS, EIN MESSER SCHLEIFE MAN, UND ES IST REIN." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/The Mishna with Obadiah Bartenura by Rabbi Shraga Silverstein.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/The Mishna with Obadiah Bartenura by Rabbi Shraga Silverstein.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..1370525b1601e0d2c5a44d24b8c52b216f1cac6f --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/The Mishna with Obadiah Bartenura by Rabbi Shraga Silverstein.json @@ -0,0 +1,87 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Avodah Zarah", + "versionSource": "http://www.sefaria.org/shraga-silverstein", + "versionTitle": "The Mishna with Obadiah Bartenura by Rabbi Shraga Silverstein", + "status": "locked", + "license": "CC-BY", + "versionNotes": "To enhance the quality of this text, obvious translation errors were corrected in accordance with the Hebrew source", + "versionTitleInHebrew": "המשנה עם פירושי רבי עובדיה מברטנורא, רבי שרגא זילברשטיין", + "versionNotesInHebrew": "כדי לשפר את איכות הטקסט הזה, שונו שגיאות תרגום ברורות בהתאם למקור העברי", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה עבודה זרה", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "\tThree days before \"ideihen\" [(an epithet for \"their festivals\")] of the idolators it is forbidden to trade with them [(to sell or to buy) because they go and thank their gods (for it) on the day of their festival], to lend them [animals or vessels, things that are returned intact] or to borrow from them; to lend them [money, which is not returned intact, loans being given to be spent] or to borrow (money) from them; to pay them (a debt) [When they are paid they go and thank their god on their holiday], or to exact payment from them. R. Yehudah said: Payment may be exacted of them for they are distressed [over their lost money and will not go and thank (their god).] They said to him: Even though they are distressed now, they will be happy afterwards [on the morrow, the day of their festival, and will go and thank (their god). The halachah is not in accordance with R. Yehudah. And it is only for a written loan that it is forbidden to exact payment of them; but for a verbal loan it is permitted, it being considered as rescuing (his money from their hand)]", + "\tR. Yishmael says: Three days before and three days afterwards it is forbidden, and the sages say: Before their festivals it is forbidden and afterwards it is permitted. [And this is the halachah. And in the exile where we cannot prevent ourselves from dealing with them, their being the major source of our livelihood, and also, because we fear them, only their festival day itself is forbidden. And today it is regarded as permitted even on the day itself, the rabbis taking it for granted that they do not go and thank (their god); for all that is forbidden in this tractate obtains with actual idolators and idolatry only.]", + "\tAnd these are the festivals of the nations: the calends (the Roman New Year) [eight days after the Teveth (winter) solstice]; the Saturnalia [eight days before the solstice. When Adam saw the days growing shorter, he thought: \"Woe unto me! Can it be because I have sinned that the world is returning to (primordial) emptiness and void!\" — whereupon he sat eight days in fasting and in prayer. When, with the advent of the Teveth solstice, he saw the days growing progressively longer, he said: \"It was (only) the natural course of things\" — whereupon he celebrated an eight-day festival. The following year he established both (eight day periods as festivals). He dedicated them to Heaven; they (the heathens), to idolatry]; the Kratisis [the day of the king's investiture, which they established as a festival]; the Genusia [coronation day] of kings; the [king's] birthday; and the day of his death. These are the words of R. Meir. And the sages say: Every death where there is burning [i.e., where they burn his personal effects with him, as they do with kings], there is a festival [i.e., they establish a festival for idolatry on that day; and so, from year to year, all the days of his son. And all of the aforementioned days are of special significance to them and are forbidden (in the aforementioned activities) three days before]; and where there is no burning there is no festival day. But the day of the shaving of his beard, [which is not fixed for all, but which each one makes a festival day], and (the day of the cutting of) his locks [which he leaves behind him the whole year and which he cuts only from year to year, making a festival on that day], and the day that he comes up from the sea, [which he makes a festival day for having been saved], and the day that he is released from prison, and the day on which a gentile makes a feast for his son [-- On all of these occasions, the aforementioned activities] are forbidden, only on that day [ and not before ], and only for that man (celebrating his holiday) [because they are of relatively lesser significance.]", + "\tA city which worshipped a certain idolatry — [on the day of its festival for that idolatry] — outside of it, [even very close to that city] it is permitted [to do business with its inhabitants (who do not worship that idolatry). For it was their custom that the festival day of the one did not fall on the festival day of the other.] If there were [a festival for] idolatry outside of it, then within it, it is permitted [to do business]. Is it permitted to go there [to that city on the day of its festival?] If the way is paved [specifically] to that place, it is forbidden [to go there. For he thereby gives the impression that he is going to serve that idolatry] And if he could walk upon it [i.e., if the road were also paved] to another city, it is permitted, [for the observer could think that he is going there] A city that served idolatry, with shops, some decorated, [a sign that the priests collected from them a tariff for idolatry] some undecorated — this transpired in Beth Shean, and the sages ruled: the decorated ones are forbidden and the undecorated ones, permitted. [For these did not collect tariff for idolatry, and no benefit would accrue to idolatry thereby. (And to buy from them \"something that endures\" on their festival day is permitted, for the seller will be sad (for parting with it) and will not go and thank (his god for the business).]", + "\tThese are things that it is forbidden to sell to idolators: itztroblin (fruits of a cedar), b'noth shvach [kinds of large white figs] with their spines [on which they hang, the gentile probably wishing to bring them as an offering to idolatry], and frankincense, and a white cock. R. Yehudah says: It is permitted to sell him a white cock among the others. [If a gentile buys many cocks from a Jew it is permitted to sell him a white cock among them; for since he takes others, it is apparent that he does not intend it for idolatry.] And when it is by itself, he cuts its finger and sells it to him, for they do not sacrifice a defective (animal) to idolatry. As for all other things, if he does not specify (what he will use them for) it is permitted (to sell them to him), and if he expressly states [that he desires them for idolatry], it is forbidden. [It is necessary to say this, for I might otherwise think that this man does not really want them for idolatry, but says that he does, thinking that just as he is devoted to idolatry, so are all others, and he says this, hoping that they will \"come down\" (on the price); we are, therefore, told that this is not so.] R. Meir says: It is also forbidden to sell to an idolator [the fruit of] a choice palm, [which are customarily offered to idolatry], chatzav [sugar cane], and niklivam [an unusually fine herb. The halachah is in accordance with R. Meir.]", + "\tIn a place where it was the custom to sell a small animal to idolators, they (are permitted to) sell. In a place where it was the custom not to sell, [where they were stringent with themselves, lest they come to sell a large one], they do not sell. And in all places it is not permitted to sell a large animal to them, [the rabbis having decreed (against it) lest he lend or rent his beast to an idolator (who might work with it on Shabbath), and a Jew is exhorted vis-à-vis the resting of his animal (on the Sabbath). And through sirsur (brokerage), which would not be confused with renting, the broker, not renting, it is permitted to sell it.] (And it is not permitted to sell them) calves or young asses, sound or broken. [For even the broken ones are fit for (some kind of) work, [e.g., grinding]. R. Yehudah permits (selling) an unsound beast. [And the halachah is not in accordance with R. Yehudah.] And Ben Betheirah permits (selling) a horse, [even a horse upon which the hunters ride the birds with which they hunt, holding that \"a living being carries itself.\" And the Rabbis hold that it is only a human being that carries itself. Therefore, if it were used only for riding, then (selling) it is permitted. But to carry a different living thing other than a human being is forbidden. And the halachah is not in accordance with Ben Betheirah.]", + "\tWe do not sell them bears or lions or anything that can cause harm to the public, [such as weapons of war, swords and spears]; we do not build with them basilicae [high towers where they sit to judge men, and whence they throw them to their death, a gardom [a building where they judge capital cases], stadiums [sports arenas, where they bring goring bulls to kill men], and a bima [a narrow high tower, whence they push men to their death]. But we do build with them bimusioth [buildings which are neither for the purpose of idolatry or for execution] and bath houses. When they reach the dome, where their idols are placed, it is forbidden to continue building.", + "\tWe do not sell them what is attached to the ground, [it being written (Deuteronomy 7:2): \"velo techanem\" (\"Give them no resting\") in the land]; but it may be sold when it is cut off. R. Yehudah says: One may sell it to him on condition that it will be cut. We may not rent them houses in Eretz Yisrael [(a decree to forestall selling them, a Torah prohibition)]; and it goes without saying [that it is forbidden to rent] fields, [where two prohibitions obtain, \"resting\" in the land and releasing the land from tithes.] And in Suria [Aram Tzovah, conquered by David, and not of the sanctity of Eretz Yisrael] it is permitted to rent them houses [and we do not decree against it to forestall selling. For even if he did sell he would not be in violation of a Torah prohibition, for \"Give them no resting\" is written only in respect to Eretz Yisrael. But it may not be sold ab initio, in order to forestall selling in Eretz Yisrael.] But fields may not (be sold) [because two prohibitions relate to them (see above).] And [far] outside of Eretz Yisrael [where selling is not to be decreed against to forestall selling in Eretz Yisrael], houses are sold to them and fields are rented, [but fields are not sold, because two prohibitions relate to them.] These are the words of R. Meir. R. Yossi says: In Eretz Yisrael houses are rented to them, but not fields. And in Suria houses are sold and fields rented. And outside Eretz Yisrael both are sold. [The halachah is in accordance with R. Yossi, provided that he does not rent to three gentiles together, so that he not make a neighborhood of gentiles.]", + "\tEven in a place where they permitted renting, [(according to R. Meir, in Suria alone and not in Eretz Yisrael; and, according to R. Yossi, even in Eretz Yisrael)], they did so, not for dwelling, [(but only to store there straw, wood, and the like)] because he (the idolator) brings idolatry into it (his house), it being written (Deuteronomy 3:27): \"You shall not bring idolatry into your house.\" And in any place, he may not rent him his bath house, for it is called by his (the Jew's) name, [and the gentile heats it on Shabbath, and people will come to say: \"This Jew's bath house is open on Shabbath.\" This is not comparable to the instance of a Jew's field which a gentile lessee (aris) works on Shabbath. For a field is made for leasing and the gentile does his own work (and not that of the Jew). But a bath house is not made for leasing and not everyone knows that a Jew rented it to the gentile. For this reason it is forbidden. And in our days, when it is common to lease a bath house for a year, a half-year, a third, or a quarter, as a field (is leased), it is permitted to rent a bath house to a gentile. And even though the gentile works there on Shabbath, people know that the gentile is a leaseholder there and that he is doing his own work.]" + ], + [ + "\tA beast may not be stood at the inns of idolators, [where wayfarers lodge], for idolators are suspect of sodomy. [This is even forbidden with female (beasts) vis-à-vis females. For idolators are familiar with their friends' wives, and sometimes, not finding them, might use the beast.] And a woman may not be alone with them, for they are suspect of illicit relations. [Even a type of yichud (\"being alone\") which is permitted with a Jew (as with a Jewess and a Jew, when his wife is with him) is forbidden for a Jewess and an idolator; for his wife does not \"guard\" him.] And a man may not be alone with them, for they are suspect of killing. A Jewess may not deliver a gentile, for she thereby delivers a son for idolatry. [But for a fee it is permitted, so as not to generate hatred.] But a gentile may deliver a Jewess [when other Jews are standing over her, but not when they are alone; for they are suspect of blood-spilling (i.e., she might kill the child)]. A Jewess may not nurse the child of a gentile; but a gentile may nurse the child of a Jew in her (the Jew's) home.", + "\tIt is permitted to be healed by them, a healing of money [i.e., one's animals], but not a healing of souls [i.e., one's body. And if he says to him: \"This medicine is good for you,\" even the healing of his body is permitted therewith.] And one may not have his hair cut by them in all places. These are the words of R. Meir. And the sages say: In the public domain it is permitted; but not in privy. [And if he (who is having his hair cut) looks in a mirror, it is permitted. For the gentile will think, since he does this, he must be a distinguished person, and he will be afraid to kill him.]", + "\tThese things of the idolators are forbidden (to a Jew), and their issur (prohibition) is an issur of (derivation of) benefit: (their) wine, and the vinegar of an idolator, which, in the beginning, was wine [to exclude the gentile's having bought vinegar from a Jew, in which instance benefit is not forbidden. For the reason benefit is forbidden is that he might have offered it as a libation to idolatry, and vinegar is not offered as a libation]; and Hadrianic earthenware [The emperor Hadrian would knead clay with wine and make vessels of it without smelting it in an oven. They would take these to war, and when they wished they would place the shards in water, in which they would dissolve. The clay would sink to the bottom and the wine would remain diluted in the water — thus the name \"Hadrianic earthenware\"]; and \"heart-hides,\" (\"oroth levuvin\") [so called because they would make a round hole (in the hide) from which they extracted the heart (lev) and offered it up to idolatry.] R. Shimon b. Gamliel says: When its (the hide's) cut is round, it is forbidden; when it is extended (in a straight line), it is permitted; [for only a round cut is made for idolatry. The halachah is in accordance with R. Shimon b. Gamliel.] It is permitted (to derive benefit from) flesh that goes in to (be offered to) idolatry (it not yet having been offered) and it is forbidden (to derive benefit from) flesh that goes out, [it already having been devoted to idolatry]; for it is like \"the sacrifices of the dead\" (Psalms 106:28). These are the words of R. Akiva. Those who go to tarputh [idolatrous debauchery (from \"beth tarpah,\" a woman's pudendum)] — it is forbidden to deal with them; [for they then go and thank their idolatry (for the sale), and, what is more, they buy (with the proceeds) what they need for their idolatrous offerings.) The halachah is in accordance with R. Akiva.]", + "\tThe [leathern] skins of the gentiles and their [earthenware], vessels, and the wine of a Jew inside them are forbidden, and their issur (prohibition) is an issur of (derivation of) benefit. These are the words of R. Meir. And the sages say: Their issur is not an issur of benefit. [And this is their din: If they are new, it is permitted to put wine in them immediately. And if the gentile had placed wine in them to keep, he fills them with water which he leaves there for three full days, spilling out the water every full day of the three days and replacing it with fresh water, after which it is permitted to put wine in them. And if twelve months had passed without a gentile's wine being in them, they are permitted immediately thereafter without emptying.] The shells and kernels (of grapes) of a gentile are forbidden, and their issur is an issur of benefit. These are the words of R. Meir. And the sages say: Wet ones are forbidden [all twelve months, in derivation of benefit], and dry ones are permitted [to eat, after twelve months.] The muries [(fish) brine, into which they used to put wine)] and the cheeses of the gentiles of Beth Unyaki [a village in which most of the calves were sacrificed to idolatry] are forbidden in (derivation of) benefit. These are the words of R. Meir. [R. Meir is apprehensive of the minority (of instances), holding that even though the majority of the calves are a minority relative to the other animals, we are apprehensive of the minority, and vis-à-vis all the cheeses that are found there we are afraid they may have been curdled in the stomachs of calves sacrificed to idolatry.] And the sages say: Their issur is not an issur of benefit. [The sages are not apprehensive of the minority. The halachah is not in accordance with R. Meir in all of these three instances.]", + "\tR. Yehudah said: R. Yishmael asked R. Yehoshua as they were walking along the road: Why were the cheeses of idolators forbidden [to eat]? [The query is to the Rabbis. There is no need to be apprehensive of the milk of an unclean animal for we know that such milk does not curdle.] He answered: Because they curdle them in the maw of carrion. R. Yishmael: But is the maw of a burnt-offering not more stringent (vis-à-vis derivation of benefit) than that of carrion, not withstanding which they said: A Cohein who can tolerate it quaffs it raw, [it being nothing more than a secretion]! (And they did not concede it to him [to permit it ab initio] but told him: It is not permitted to derive benefit from it, but a meilah [abuse of sacred property] offering is not brought [if benefit were derived from it]). Then he (R. Yehoshua) repeated: Because they curdle it in the maw of calves (devoted to) idolatry. [And even though it is a mere secretion, it is forbidden, it being written in respect to idolatry (Deuteronomy 13:18): \"And let there adhere to your hand naught from the spoil.\"] He (R. Yishmael) thereupon asked: If so, why did they not forbid derivation of benefit from it? — whereupon he diverted him to another matter, [but he did not want to give the reason for it, for twelve months had not yet elapsed since the issuance of this decree; and when the rabbis issue a decree they do not reveal its reason until the thirteenth month (from its issuance) until it has taken hold, lest there be one who will question the reason and come to cheapen it. And the reason that they forbade the cheeses of gentiles is that they curdle it in the skin of the maw of the slaughtered animals of gentiles, which is neveilah (carrion). And though it is negligible relative to all of the milk, still, since it curdles the milk and acts upon it, it is not nullified, the rule being: \"All goes according to the catalyst.\" And the interdiction against milk and meat would not forbid it, for if the meat itself were permitted, it would not forbid the milk, though it curdled it until it imparted a flavor (of meat) to it. But a thing which is forbidden in itself (e.g., neveilah) forbids the permitted even if it does not impart a flavor to it, so long as it curdles it.] (\"whereupon he diverted him to a different matter\") asking him: Yishmael how do you read it (Song of Songs 1:2): \"for your [Israel's] love [of the L rd] ('dodecha') is better than wine,\" or: \"for Your [the L rd's] love [of Israel] ('dodayich') is better than wine\"? He answered: \"for better is dodayich\" — whereupon he (R. Yehoshua) said: It is not so, as is indicated by what follows (3): \"For fragrance Your oils are good, etc.\" (the context clearly indicating that Israel is addressing the L rd). [Israel is saying before the Holy One Blessed be He: \"Sweeter to me are the words of dodecha (Your loved ones, i.e., the measures ordained and decreed by the sages) more than 'the wine of Torah,' (the written Torah itself).\"]", + "\tThese things of gentiles are forbidden (to eat), but their issur is not one of (derivation of) benefit: milk (from an animal) milked by a gentile without being observed by a Jew, and their loaf and their oil [All of these are forbidden for fear that they will lead to fraternization (and intermarriage). They permitted a baker's loaf, but a householder's loaf was permitted only to wayfarers and in situations of stress. And when they saw that the issur of oil did not \"take,\" they convened and permitted it, as stated in the Mishnah]. (Rabbi and his beth-din permitted oil.), and shelakoth [Anything cooked by gentiles even in the utensils of a Jew and even in his presence, where there is no apprehension of the intermixture of anything that is forbidden or of the pollutions of idolatry is forbidden because of \"the cooked things of gentiles.\" ([bishulei nachrim]. This, if he were not assisted by a Jew neither in the beginning nor in the end of the cooking.) And they forbade because of bishulei nachrim only something which is not eaten raw and which is placed upon the royal table to complement the loaf; but if one of these is lacking, bishulei nachrim does not obtain.], and preserves, to which wine and vinegar are customarily added [Derivation of benefit is not forbidden in such an instance because the taste of wine is not perceptible in them, but it is forbidden to eat them], and a hash of tarith [clean fish, whose identity is not recognizable. It is forbidden when taken from gentiles because of the possibility that an unclean fish is intermixed with them.], and a brine in which dagah kilbith is not found. [This is a small fish called kilbith, which grows in clean fish. If the brine of an unclean fish is intermixed with it, kilbith will not grow there.], and chilak [a kind of small clean fish, which have no fins and scales (as yet) but which will grow them later. Small unclean fish similar to them become intermixed with them and are not discernible, even when they are not hashed. But in the instance of tarith (above) the unclean fish are not similar to it, for which reason it is permitted when unhashed.], and a piece of chiltith [(a plant, so called in Arabic), which is cut into pieces with a knife. It is forbidden because of the fattiness of the knife, whose (forbidden) taste the chiltith absorbs by reason of its \"sharpness.\"], and salkontith salt, [which was used by all the Roman nobles. They used to smear it with pig fat and with the fats of unclean fish. It is rough and very white.] (All of these are forbidden to eat, but their issur is not one of (derivation of) benefit.)", + "\tThese may be eaten: milk (from an animal) milked by a gentile in sight of a Jew, [not necessarily being seen by the Jew, but being visible to the Jew if he (the Jew) stood up. The gentile would be afraid (to milk an unclean animal in the Jew's presence), thinking: If he gets up, he will see me (and will not buy from me)], and their honey, and their davdevaniyoth [(loaves of honey taken from the hive.) Even though they drip, we do not fear that he may have put libation wine into them. Another interpretation: Clusters of grapes. Even though the wine drips from them, they are not forbidden by reason of libation wine.] And they [the drippings] are not hechsher mashkeh (an agent of uncleanliness) [i.e., they do not create susceptibility (of the grapes) to uncleanliness, for they (the grapes) are meant for eating and he does not desire the liquid that drips from them.], and preserves into which we are not accustomed to place vine and vinegar, and a tarith that is not hashed. [Even though it is cut in pieces, the head and spine are intact and it is discernible as a clean fish.], and a brine in which there is dagah, and a leaf of chiltith, [which it is not customary to cut with a knife], and exotic pressed olives, [olives placed in a round vessel and warmed and pressed of themselves until they become like rounded eggs. (These may be eaten)] R. Yossi says the \"cast-outs\" are forbidden. [If the olives have become so soft that when he takes an olive in his hand the pit is cast out and falls of itself, they are forbidden because (we suspect that) they have been softened by wine. The halachah is not in accordance with R. Yossi.] The locusts that come from the basket [before the shopkeeper] are forbidden, [for we fear that he may have sprinkled wine upon them to soften them]. (Those that come) from the store-room are permitted, [for he does not sprinkle wine upon them before offering them for sale.] And the same applies to terumah. [If a Cohein is suspect of selling terumah as chullin, everything found in front of him is forbidden (lest it be terumah). But if he takes it from the store-room, it is permitted, for he fears that the rabbis might hear of it and rule his entire supply hefker (ownerless)]." + ], + [ + "\tAll images (tzelamim) are forbidden [in (derivation of) benefit] because they are worshiped one day a year, [when the sun is at the same height as it was when the image was made. For though there are many images that are made for beauty only and are not worshiped, R. Meir is consistent with his view that minority instances are to be apprehended.] And the sages say: Only those tzelamim holding a rod or a bird or a ball (are forbidden). [For these tzelamim are certainly worshiped, the objects having been placed in their hands because of their distinction. (In the baraitha there are added: sword, crown, and ring.] R. Shimon b. Gamliel says: All (are forbidden) that are holding any thing. [The halachah is in accordance with the sages.]", + "\tIf one finds the fragments of images, they are permitted. [For (even) if they were whole, there is a doubt (safek) as to whether they were or were not worshiped. And even if you say that they were worshiped, perhaps they were annulled, for which reason they were broken — so that they are sfek-sfekah (\"a doubt of a doubt\"), where the ruling is for leniency.] If one found the form of a hand or the form of a foot, they are forbidden, for their like (if whole) is worshiped. [Ab initio, they make for themselves the form of a hand (or a foot) and worship them.]", + "\tIf one finds vessels on which are depicted the form of the sun, the form of the moon [Rambam explains: Not that he finds a circular object and says: This is the sun; or a crescent-shaped object and says: This is the moon, but that he finds a figure that the astrologers see as representing the sun or the moon, viz.: The sun is represented as a crowned king riding on a chariot, and the like.], the form of Dracon, [a serpent, having appendages and scales like those of a fish. (They say that it represents the rays of the moon, which was worshiped in those days.) And even the Rabbis, who say above that all other tzelamim are permitted agree that these are forbidden, being objects of worship.] — they should be thrown into the Dead Sea. R. Shimon b. Gamliel says: [Those forms] that are on valued objects, [such as bracelets, nose rings and (finger) rings, and the like] are forbidden, and those on common objects, [such as kettles, boilers, heaters, and the like] are permitted. R. Yossi says: He should take them and throw them to the winds or cast them into the sea [so that no Jew benefit from them] — whereupon they said to him: But that, too, [(grinding them down and throwing them to the wind, is of benefit to the Jews)], converting (the objects) into fertilizer, and it is written (Deuteronomy 13:18): \"And let naught of the spoil adhere to your hand!\"", + "\tProclus the son of Plospos asked R. Gamliel in Acco when he bathed in the baths of Aphrodite [(where there was an image of the star Venus; thus, Rambam)]: \"It is written in your Torah (Deuteronomy 13:18): 'And let naught of the spoil adhere to your hand.' Why, then, do you bathe in the baths of Aphrodite?\" He answered: \"One does not answer (questions of Torah) in the bath-house\" [(because he stands naked there)]. When he went out, he said to him: \"I did not enter her (Aphrodite's) border; she entered my border\" [i.e., the bath-house was there before she was, and the bath-house was made for all who came to bathe] and [another answer]: \"We do not say: Let us make a bath-house as an ornament for Aphrodite, [a bath-house not being ornamental], but \"Let us make an Aphrodite as an ornament for the bath-house,\" [Aphrodite being secondary to the bath-house]. Another indication (that the Aphrodite was placed there for ornament and not for worship): \"Even if they gave you a great deal of money (for doing so), you would not go to your idolatry naked, or having experienced a (seminal) discharge, and (you would not) urinate before it. Yet this (Aphrodite) stands before the (sewage) duct, and all the people urinate before it, (which indicates that the Aphrodite was placed there for ornament and not for worship.) It is written (that you are not to derive benefit from) \"their gods\" (Deuteronomy 12:2). A Jew may not (derive benefit) from what they perceive as a god; but he may (derive benefit) from what they do not perceive as a god (but as an ornament).", + "\tThe gentiles who worship the mountains and the hills — they [the mountains themselves] are permitted [for sowing and for hewing stones from them, what is rooted, not being forbidden]; and what is upon them is forbidden. As it is written (Deuteronomy 8:25): \"You shall not covet the silver and gold upon them and take it.\" R. Yossi Haglili says (Ibid. 12:2): \"Destroy shall you destroy… their gods upon the mountains\"; but the mountains (themselves) are not their gods. \"their gods upon the hills\"; but the hills (themselves) are not their gods. Why, then, is an asheirah (a tree devoted to idolatry) forbidden? [That is, just as we expound \"their gods upon the mountains\"; but the mountains themselves are not their gods, we can expound (Ibid.): \"their gods are under every leafy tree\"; but the leafy tree (itself) is not their god!] Why, then, does the Torah forbid (derivation of benefit from) it, it being written (Ibid. 7:5): \"And their asheirah trees shall you cut down\"?] Because a man's hands have a \"hold\" in it. [i.e., because a man's hands planted it, (R. Yossi holding that a tree planted by a man and then worshiped by him is forbidden.) And the first tanna holds that since in the beginning he did not intend to worship it, his subsequent worship of it, since it is attached to the ground, does not forbid it, it being comparable to worshiping a mountain. The halachah is not in accordance with R. Yossi.] R. Akiva said: I will explain and analyze for you: Wherever you find a high mountain and a high hill and a leafy tree, know that there is idolatry there. [i.e., since we cannot expound the exclusion clause of \"under every leafy tree,\" we can say that it was stated only to give them signs of where the Emorites were likely to serve idolatry, so that Israel should seek it out and destroy it. And \"upon the mountains\" and \"upon the hills\" (Ibid. 12:2) are understood as exclusion clauses, that we are not commanded to destroy the mountains themselves (but what is upon them). But we are commanded to destroy the leafy trees, viz. (Ibid. 3): \"And their asheiroth shall you burn in fire.\"]", + "\tIf one's house adjoined idolatry [i.e., if one of its walls were (part of) a house of idolatry, and the house itself was worshiped], and it (that wall) fell, it is forbidden to rebuild it, [for he thereby builds a house of idolatry. ] What can he do? He moves (the wall) four cubits [within his property, and he builds. And he does not leave it (the intervening space) empty; for he would thereby be benefitting idolatry (by aggrandizing its space.) But he fills the space with thorns and makes it a lavatory for the young.] If it [the space of the thickness of the wall] were [half] his and [half] idolatry's, it is estimated half and half. [i.e., that space of idolatry does not enter into four cubits (of his property); but only his space does. So that if the space of the wall were two cubits, he counts one cubit of his (of the wall) and moves it three cubits within his property]. The stones, the wood, and the sand of that (common) wall cause tumah as a sheretz (a creeping thing) does, [even the part of the Jew, for there is no distinguishing (between the two parts). It causes tumah by contact (maga) and not by carrying (massa), for the tumah of idolatry, being rabbinically ordained, they (the rabbis) were lenient therein. And it does not cause tumah (by contact) with the size of a lentil, as a sheretz does, but only with the size of an olive, as a dead body does.], it being written (of idolatry) (Deuteronomy 7:26): \"Shaketz (like \"sheretz\") teshaktzenu\" — \"Despite shall you despise it.\" R. Akiva says: (It causes tumah) as a niddah does, it being written (Isaiah 30:22): \"You will cast them (your idols) away, like a niddah. Begone! will you say to it (idolatry).\" Just as a niddah causes tumah by massa, so does idolatry. [The halachah is not in accordance with R. Akiva, even with idolatry itself — how much more so, with its appurtenances.]", + "\tThere are three \"houses\" [in respect to the annulment of idolatry]: a house that was built ab initio for idolatry (even though it were not yet worshiped) is forbidden (in the derivation of benefit); if it were plastered or decorated or renovated for idolatry, he removes what was originated [and the rest of the house is permitted]; if he brought idolatry into it [for the moment, without designating the house for worship,] and he took it out, it is permitted. There are three \"stones\" [in respect to annulments]: a stone which was hewed ab initio to serve as a pedestal (for idolatry) is forbidden; if he plastered and decorated it for idolatry [ after it was hewed], a Jew may remove what the gentile had added [ and the stone is permitted]; if he had placed idolatry upon it [for the moment, and had not devoted the stone as a pedestal,] it is permitted. There are three asheiroth. A tree that had been planted ab initio for idolatry is forbidden; if he had cut it down and pared it for idolatry [to worship the shoots that it would now generate], and it generated new shoots, he takes what it had generated, [i.e., what grew in place of those he had cut down [and burns them as per the din of asheirah, and what remains is permitted]; if he had placed an idol under it (a tree) and nullified it, it (the tree) is permitted. What is an asheirah\" R. Shimon says: Every (tree) which is worshiped. [The Gemara explains that this refers to the \"three asheiroth\" discussed above, viz. there are three asheiroth; two instances are agreed upon by all, and one is a machloketh (dispute) between R. Shimon and the rabbis. Which is that? Whatever has an idol beneath it, the rabbis calling it an asheirah and forbidding it as long as the idol is beneath it, and R. Shimon saying that an asheirah is only that which is itself worshiped; but whatever has an idol beneath it is not itself an asheirah. The halachah is not in accordance with R. Simon.] It happened in Tzaidan that they found a heap under a tree which (ostensibly) was worshiped. R. Shimon said to them: \"Examine this heap.\" They did so and found an idol in it — whereupon he said to them: \"Since it is the idol that they worship, let us permit the tree to them.\"", + "\tOne must not sit in its (an asheirah's) shade; but if he did, he is tahor (clean). [This \"shade\" does not refer to the boughs of the asheirah. For (if it did) we could not continue \"but if he did he is tahor.\" For we learn further: \"and if he did pass under it, he is tamei (unclean). But (the understanding is that) from the tree onwards, when the sun is in the east or in the west, everything casts a long shadow (in which he must not sit.)] And he should not pass under it [under the boughs of the tree. For the tree \"tents\" over him, and if he passes under it he is tamei.] If it \"robbed\" the public [i.e., if its boughs extended into the public domain], he is tahor. [For this is rabbinical tumah, and where it robs the public, the rabbis did not decree.] And greens may be sowed beneath it in the rainy season, [when the tree is harmful to them, keeping the sun from them], but not in the sunny season, [when the shade is beneficial to them]. And lettuce, neither in the sunny season nor in the rainy season, [the shade being always beneficial to them.] R. Yossi says: Neither [should] greens [be sowed] in the rainy season; for the leaves fall upon them (the greens) and are fertilizer for them. [The Gemara asks: But do we not infer that R. Yossi holds that if two things (one permitted and the other forbidden) contribute (to the result), it is permitted? (as we see earlier in this chapter, Mishnah 3, in respect to crumbling them and casting them to the wind, even though it becomes fertilizer). So that if the soil, which is permitted, and fertilizer of idolatry, which is forbidden, contribute to the growing of the greens, R. Yossi holds that it (the result) is permitted. How, then, can he forbid the greens here because the leaves fall on them! And the Gemara answers that R. Yossi is addressing himself to the opinion of the Rabbis, viz.: According to you, who hold that (the result of) \"this and this contributing\" is forbidden, you should have forbidden the greens because the leaves fall on them and become fertilizer for them! And the Rabbis hold this case to be different; for the idolatrous tree does not avail the greens at all. For what it adds to them by way of fertilizer it detracts from them by way of shade! And the halachah is in accordance with R. Yossi and (the result of) \"this and this contribute\" is permitted.]", + "\tIf he took (pieces of) wood from it, [the asheirah], benefit may not be derived from them. If he fired the oven with them — if it were new, it must be broken; if it were old, it must cool off. [For the first firing of a stove strengthens it, so that (in this instance) it benefits by what is forbidden. This Mishnah is in accordance with the view that (the result of) \"this and this contributes\" is forbidden. (This is not the halachah.) Therefore, both a new oven and an old oven must cool down, so that the loaf not be baked by this firing — until the oven cools off, so that benefit not be derived from forbidden wood.] If he baked a loaf in it, it is forbidden to derive benefit from it. [The Gemara qualifies this, viz.: This is so, only when the torch (of forbidden wood) is opposite him, i.e., that as long as the loaf is baking, it (the torch) burns in the mouth of the oven and bakes it, so that he derives benefit from what is forbidden while it is intact and the benefit of the wood inheres in the loaf.] If it (the asheirah loaf) became intermixed with other loaves, they are all forbidden in (derivation of) benefit. R. Eliezer says: Let him cast its benefits [i.e., the worth of the intermixed loaf] into the Dead Sea — whereupon they said to him: Idolatry cannot be redeemed. If he took from it (the asheirah, a piece of wood to use as) a weaver's shuttle, benefit may not be derived from it. If he weaved a garment with it, benefit may not be derived from it. If it (the garment) became intermixed with others, and the others with others, they are all forbidden in (derivation of) benefit. R. Eliezer says: Let him cast its benefit [i.e., the worth of the intermixed garments] into the Dead Sea — whereupon they said to him: Idolatry cannot be redeemed. [The Mishnah adduces the argument between R. Eliezer and the Rabbis in these two instances (the loaf and the shuttle). For if it adduced just the first, I might think that only in this instance (that of the loaf) did R. Eliezer say (that its benefit may be cast into the Dead Sea, etc.), for at the time that the loaf was finished (baking), its issur (the wood) was burnt; but in the instance of the shuttle, where the issur remains intact, perhaps he would concede to the Rabbis (that it may not be cast into the Dead Sea.) And if it adduced just the second, I might think that only in that instance (that of the shuttle) did the Rabbis say (that it may not be redeemed), but in the instance of the loaf, they would concede to R. Eliezer (that its benefit could be cast into the Dead Sea). Therefore, it is necessary to adduce both instances. And the halachah is in accordance with R. Eliezer. And even if a jug of forbidden wine became intermixed with jugs of permitted wine, he may cast its worth into the Dead Sea and benefit may be derived from all of the others.]", + "\tHow dos he [a gentile] nullify it [an asheirah]? If he plucks them [twigs of the asheirah, to burn for his purposes] or he cuts off [its wet leaves], or if he takes from it a stick or a staff, or even a leaf, it is nullified. If he files it [shefayah (see Targum [veshafith] on Devarim 9:21) ] — if for its own need [i.e., to beautify it], it is forbidden; if not, it is permitted. [And only an adult gentile, who is knowledgeable in idolatry and its appurtenances can nullify idolatry. And even if he is forced to do so, his nullification stands.]" + ], + [ + "\tR. Yishmael says: Three stones, one beside the other, [and, it goes without saying, one atop two, the \"essential\" Mercury], beside (an idol of) Mercury, are forbidden. [\"beside Mercury\": That is, four ells to the side of Mercury, it being known that they did not fall from it. It is of this that R. Yishmael says that three stones are forbidden, Mercury not being less than three stones. They would make a small Mercury beside the big one. And this small one would be made with stones of any size, without care being taken that it be one stone atop two]. And the sages say that those seen with it are forbidden, and those not seen with it, permitted. [The Rabbis hold that a small Mercury is not made beside a big one. Therefore, if the stones can be seen together with it, i.e., if they are near it, so that it can be said that they have fallen from it, whether two or three, they are forbidden. If they cannot be seen together with it, they are permitted. The halachah is in accordance with the Rabbis.]", + "\tIf one found on its head money, clothing or vessels, they are permitted. [That is, if they are not placed there for decoration, as when the money is in a pouch slung over its neck, clothing folded and placed on its shoulder or on its head, and vessels, too, placed on its head, all of these not being put there for decoration.] Grape clusters, wreaths of ears, wines, oils, and flours, and all things, the likes of which are offered on the altar are forbidden.", + "\tAn idolatry that had (appended to it) a garden or a bath-house — it is permitted to derive benefit therefrom without payment [to the idolators]. It is not permitted to derive benefit therefrom with payment. If it belonged both to it and to others, it is permitted to derive benefit therefrom both with or without payment.", + "\tThe idolatry of a gentile is forbidden immediately, [it being written (Deuteronomy 7:25): \"the carved images of their gods shall you burn with fire\" — As soon as they are carved they are rendered \"gods\" for him. ] And that of a Jew is not forbidden until it is worshiped, [it being written in that respect (Ibid. 27:15): \"Cursed be the man who shall make a carved or molten image … and do in secret\" — [It is not forbidden] until he does \"secret\" things with it, i.e., until he worships it. For a Jew worships idolatry only in secret, fearing beth-din.] A gentile may nullify his own idolatry, [it being written (Ibid. 7:25): \"The carved images of their gods shall you burn with fire\" — when they relate to them as gods; but if he has nullified it, it is permitted] and (he may also nullify) that of a Jew, [when they are partners. (But this is not the halachah.) A gentile cannot nullify the idolatry of a Jew even if he has partnership in it.] And a Jew cannot nullify the idolatry of a gentile, [even if he permits him to do so]. If one nullifies an idol, he nullifies its appurtenances. (If he nullifies) its appurtenances, they are permitted and it itself is forbidden.", + "\tHow does he nullify it? If he cuts off the tip of its ear, the tip of its nose, the tip of its finger; if he defaced it, [i.e., if he mashed it with a mallet until it were defaced], even if he did not diminish it, it is nullified. If he spat in its face, or urinated before it, or dragged it [in the mud] or threw excrement at it, it is not nullified, [his anger having bested him — until he worships it again.] If he sold or pawned it — Rebbi says he has nullified it; but the sages say he has not nullified it. [They argue in the instance of his selling it to a gentile; but if he sold it to a Jewish goldsmith, all agree that it is nullified. The halachah is in accordance with the sages.]", + "\tAn idolatry left behind by its worshipers — If [they left it behind] in a time of peace, it is permitted [Since they went of their own volition and did not take it with them, (it is a sign that) they nullified it]; in a time of war, it is forbidden. The bimusioth of kings [hewn stones fixed on the road for the king as pedestals for idolatry, so that when he passes by there he may bow down to it] are permitted because they are placed there when the kings pass by. The Gemara explains: \"Because they place it down.\" That is, they are not fixed there for all times, but only when the kings pass by. And there are times when the kings pass over different roads and are not concerned for them. Therefore, they are not considered \"appurtenances of idolatry.\"]", + "\tThey asked the elders in Rome: \"If He does not desire idolatry, why does He not annul (i.e., destroy) it?\" They answered: \"If they worshiped things not needed by the world, He would do so. But they worship the sun, the moon, the stars, and the constellations. Shall He destroy His world because of the fools!\" The others: \"If so, let Him destroy the things not needed by the world and leave the others!\" The elders: \"We would thus strengthen the hands of their worshipers; for [if they saw the other idolatries wasting of themselves and these (the sun and the moon) enduring], they would say: 'Know these [the sun and the moon] to be true gods, for they have not been destroyed!'\"", + "\tIt is permitted to buy a trodden winepress from a gentile, [who trod upon the grapes], even though he (the gentile) takes in his hand [grapes from the wine] and places it on the tapuach [the place (shaped like a mound) where the grapes are gathered. Our tanna holds that it does not become forbidden wine (yayin nesech) until it descends to the cistern. (This is an earlier Mishnah and is not the halachah, but once the wine starts running down it is yayin nesech)]. It is not yayin nesech until it descends to the cistern. Once it descends to the cistern [— then, if a gentile touches it], what is in the cistern is forbidden and the rest is permitted.", + "\tOne may tread together with the gentile in the wine-press, [and we do not say that he is deriving benefit from forbidden things. For this tanna holds that it is permitted even to drink it, so long as it did not descend to the cistern. And causing susceptibility to tumah (gorem) does not obtain here. For from the time the gentile trod them a little they become tamei, so that the Jew is not a gorem here.] But he may not pick (grapes) with him. [For he (the gentile) places them into his winepress, which is tamei. And the gentile makes the grapes tamei with his touch, and the Jew, who picks with him, is a gorem of tumah. And this tanna holds that it is forbidden to be a gorem of tumah to chullin (non-consecrated food) in Eretz Yisrael, even that of a gentile. The halachah is not in accordance with this Mishnah, for we hold that once the wine begins flowing down (in the winepress) it becomes yayin nesech. Therefore, it is forbidden to tread with a gentile in the wine-press. And we hold that it is permitted to be a gorem of tumah to chullin in Eretz Yisrael when the chullin belongs to a gentile. Therefore, it is permitted to pick (grapes) with a gentile. And even though, thereby, he is a gorem of tumah to chullin, there is nothing adverse in this. However, a Jew, picking his vineyard may, ab initio, not take a gentile to help him, even to bring the grapes to the wine-press because of \"'Go, go,' (far from the vineyard) 'they say to the Nazarite, etc.'\"] It is forbidden to tread or pick with a Jew who processes (his fruits) in a state of tumah. [He (the owner) transgresses thereby, for he makes the terumoth and ma'aseroth among them tamei. It is, therefore, forbidden to assist him, so that he not become habituated to it.] But he may bring with him [empty] jugs to the winepress, and he may bring with him [full jugs] from the winepress, [for \"what happened, happened.\" Once they (the grapes) become tamei, it is permitted to pour the wine into jugs that are tamei.] It is forbidden to knead (the dough) or to shape it with a baker who processes it in a state of tumah, but he may bring the (finished loaves) with him to the shop.", + "\tIf a gentile were found standing beside a cistern of wine — if he had a lien upon it, [the wine standing as a guarantee for his loan, in which instance (it is suspected that) he touched it to sample its taste], it is forbidden; if not, it is permitted. If he (a gentile) fell into a cistern [full of wine], and he rose [to the top, dead — since his touching it when he fell into it does not forbid it in (derivation of) benefit, since he had no intent to touch it (—but if he arose, alive, he forbids it, in (derivation of) benefit, upon his arising, for he thanks his idolatry for his survival —)]; or if he [a gentile] measured it [the wine of a Jew] with a rod; or if he [a gentile] flicked aside a hornet [from the wine of a Jew] with the rod, [not touching the wine with his hand]; or if he struck the mouth (i.e., the foam) of a frothing jug [with his hand (to scatter it, this not being the normal mode of libation] — all of these actually occurred, and they (the sages) ruled: Let is be sold (to a gentile); and R. Shimon permitted it [(the halachah is not in accordance with R. Shimon)]. If he took the jug and threw it into the cistern — this actually occurred, and (the sages) permitted it [even for drinking].", + "\tOne [a Jew] who trod the grapes of a gentile in kashruth [in order to sell it to a Jew (not giving money to the gentile until he sells it in the future)], and who placed it in his [the gentile's] domain, in a house open to the public domain — In a city where there are gentiles and Jews, it is permitted, [the gentile fearing that a Jew passing through the public domain might see him (touching the wine) and cause him a loss. Even without key or seal, it is permitted. This, on condition that he (the gentile) has no lien on this wine, as when he (the gentile) wrote to him (the Jew) \"I have received from you (money for the wine,\" as stated below (Mishnah 12)]. In a city where there are only gentiles, it is forbidden, unless he places a watchman there. And the watchman need not sit there and keep (constant) watch; but even though he goes out and comes in, it is permitted. R. Shimon says: \"All \"in the domain of a gentile\" is one. [There is a disagreement here between R. Shimon b. Elazar and the first tanna. The first tanna holds that when the Jew places the wine in the domain of a gentile, the owner of the wine — it is only then that the house need be open to the public domain, and that the city be one of both Jews and gentiles. But in the domain of a different gentile, who is not the owner — it is permitted even in a city where there are no Jews. And R. Shimon b. Elazar says: All \"in the domain of a gentile\" is one, and just as when the wine is in the domain of the gentile owner of the wine, it is forbidden unless it be in a city where both Jews and gentiles live and where the house is open to the public domain; here, too, in the domain of a different gentile, these two conditions are required. (The halachah is in accordance with R. Shimon b. Elazar.) And when key and seal are in the hand of the Jew, both in the domain of the owner of the wine or in that of a different gentile, it is permitted according to all.]", + "\tOne [a Jew] who trod the wine of a gentile and placed it in his [the gentile's] domain, and the other [the gentile] wrote to him: \"I have received money from you,\" it is permitted, [if the house is open to the public domain and Jews live in that city, as stated above.] But if the Jew desires to take it out, and he (the gentile) does not allow him to do so until he pays him his money, [the wine now being a security for the gentile (his having a lien against the wine) — the gentile saying: If they see me (touching the wine) and bring claim against me, I will say it is mine (even though key and seal be in the hand of the Jew)] — this actually occurred in Beth Shean and the sages forbade it." + ], + [ + "\tIf one (a gentile) hires a worker (a Jew) to work for him with yayin nesech [to pour it from vessel to vessel or to take jugs from place to place (even with the ordinary wine of gentiles)], his wages are forbidden (in the derivation of benefit). [This is a penalty imposed upon him by the sages for dealing with yayin nesech or with their ordinary wine.] If he hired him to do other work with him, even if he told him: \"Take this jug of yayin nesech from place to place,\" his wages (for the other work) are permitted, [as when he said to him: \"Each jug for a perutah\"; but if he said to him: \"Deliver for me a hundred jugs for a hundred perutoth,\" and one jug of yayin nesech were found among them, his wages are forbidden.] If one (a gentile) hires an ass (from a Jew) for delivery of yayin nesech, his hire fee is forbidden (to the Jew). If he hired it to ride upon, even if the gentile placed his (wine) vessel upon it, his hire fee is permitted.[This Mishnah is adduced for its latter part, that if one hires an ass to ride upon, even though he apparently hired it also to place his wine vessel and food upon — so that one might think that this is to be considered as if he had hired it ab initio to transport yayin nesech and the hire fee is forbidden — we are apprised otherwise.]", + "\tIf yayin nesech fell on grapes, he rinses them [in cold water] and they are permitted. If they were split, they are forbidden. [(Our Mishnah is defective. It was taught (after \"they are forbidden\") thus: \"And if it imparts an unsalutary taste it is permitted.\"] And it happened [thus] with Baitus the son of Zonin that he transported dried figs in a boat, and a jug of yayin nesech broke and fell upon them, and he inquired [the halachah] of the sages and they permitted them. This is the rule: All which in its enjoyment involves the imparting of a [forbidden] flavor is forbidden. All which in its enjoyment does not involve the imparting of a forbidden flavor is permitted, as when [forbidden] vinegar falls upon permitted grits, [in which instance the flavor imparted is an unsalutary one. (And this, when the grits are boiling when the vinegar falls upon them, in which instance it spoils them from beginning to end. There are four types of imparted flavors: 1) a flavor which is salutary from beginning to end, such as that of (forbidden) wine in cooked flesh or fish. This is forbidden of a certainty. 2) a flavor which is unsalutary from beginning to end, such as that of (forbidden) fish fats or (forbidden) flesh in honey. This is permitted ab initio. 3) a flavor that is unsalutary in the beginning but salutary in the end, such as (forbidden) honey in wine, which spoils it at the outset, but which lends it aroma and flavor once the wine gains ascendancy over it. 4) a flavor that is salutary in the beginning, but unsalutary at the end, such as that of the fats of flesh with butter or that (i.e., the flavor of) a vessel, not (used) on the same day, which (flavor) when it entered was salutary, and later became unsalutary. These (last) two are forbidden out of doubt. Therefore, if these grits into which vinegar fell were not boiling, they are forbidden out of doubt. For vinegar in (unboiled) grits is (at first) unsalutary and (then) salutary. And even though, if he boils them afterwards, the flavor is spoiled, this is an instance of enhancing and then spoiling, and it is forbidden (out of doubt).]", + "\tIf a gentile, together with a Jew, were taking jugs of wine from place to place — if he (the gentile) were in the status of being watched, it (the wine) is permitted. [So long as he (the Jew) did not inform him that he is leaving, he (the gentile) is in the status of being watched, even if he went a mile away; for the gentile is always afraid that the Jew will return and see him.] If he informs him that he is going far off [and he walks away from him (the jugs being closed) — if he stays away] long enough [for him] to open [\"yistom\" (as in [Numbers 24:3] \"shethum ha'ayin\" — \"the open of eye.\") i.e., to bore a hole in the stopper of the jug], and to re-close it and [for the closing] to dry, [it is forbidden]. R. Shimon b. Gamliel says: [It is not forbidden until he stays away long enough] for him to open it and make another stopper and [for the closing] to dry. [But they were not concerned about his boring a hole in the stopper of the jug, for this is recognizable. And it is only in relation to a lime stopper that the Rabbis differ with R. Shimon b. Gamliel, fearing that he might bore a hole in it, this not being recognizable, the lime being white, and the difference between the old and the new lime not being discernible. But with a clay stopper, the Rabbis concede to R. Shimon b. Gamliel that the wine is not forbidden until he stays away long enough for him to open the entire stopper and replace it and have it dry. The halachah is in accordance with R. Shimon b. Gamliel.]", + "\tIf one left his wine on a wagon or on a boat [with a gentile], and he took a short-cut, [leaving by one gate and returning by the opposite gate] — if he entered the city and bathed [in the bath-house], it (the wine) is permitted. [For since the gentile did not know that he would stay away, he would fear (his early return) and not touch the wine.] R. Shimon b. Gamliel says: [It is not forbidden until he stays away] long enough for him to open it and make another stopper and [for the closing] to dry. If one leaves a gentile in the shop, even if he (the Jew) goes in and out, it is permitted. And if he informs him that he is going far off [and he walks away from him, and stays away long enough [for him] to open and to reclose it and [for the closing] to dry, [it is forbidden]. R. Shimon b. Gamliel says: [It is not forbidden until he stays away] long enough for him to open it and make another stopper and [for the closing] to dry. [The Mishnah apprises us of the dispute between R. Shimon b. Gamliel and the Rabbis in these three instances. For if it taught [only] the instance of a gentile transporting jugs of wine, I might think it is [only] then that we assume that the gentile will fear his imminent return, but in the instance of a boat or a wagon, he can sail away and do what he wishes without fear. And if it taught [only] the instance of a boat or a wagon and not that of leaving a gentile in his shop, I might think that the gentile would fear to do so only in the first instance, lest the Jew leave by one path and return by another and see him, whereas in the second instance, he might say I will close the shutter and do as I like. Therefore, all three instances must be stated, and in all, the halachah is in accordance with R. Shimon b. Gamliel.]", + "\tIf he ate with him at the table and he left a wine bottle on the table and a wine bottle on the side [serving-] table [used for servicing the main table, none of the guests taking from the side table, but only from the main table], and he (the Jew) left — what is on the table is forbidden and what is on the side table is permitted. And if he said to him: \"Pour and drink,\" even that on the side table is forbidden. [Since he gave him \"carte blanche,\" even what is on the side table is forbidden, for he takes this as license to touch everything.] Open jugs [found in the house where he left him] are forbidden; closed ones [are forbidden if he stays away long enough] for him to open them and make another stopper and [for the closing] to dry. [This is stated anonymously, apparently in accordance with R. Shimon b. Gamliel, according to whom we rule in such an instance.]", + "\tA search party of gentiles who enter a city — If in a time of peace, the open jugs are forbidden; the closed ones are permitted. If in a time of war, they are both permitted, for there is no time (for the gentiles) to defile them.", + "\tJewish craftsmen to whom a gentile sent a jug of yayin nesech as their wage may say to him: \"Give us its (worth in) money,\" [for they have not yet acquired it, and he owes them only money.] But if it entered their domain, it is forbidden. If one sells his wine to a gentile — If he stipulates the price [so much wine for so much money] before he measures it out (into his vessels), its monies (received in exchange) are permitted. [For meshichah (drawing to oneself the object to be acquired) effects acquisition for a gentile as it does for a Jew. So that when the Jew measures it out into his vessels and the vessel enters the domain of the gentile, he acquires it with meshichah, so that the Jew is (already) owed money by the gentile as a loan; and it does not become yayin nesech until the gentile touches (the wine itself).] But if he measures it out (into his vessels) before he stipulates the price, its monies are forbidden. [For the gentile does not acquire it now with meshichah. For since he has not yet stipulated the price, he has not committed himself to acquire it with meshichah, lest the Jew overcharge him. Therefore, when he touches it, it is yayin nesech in the domain of the Jew, the gentile not acquiring it until the price is stipulated.] If he (the Jew) took his funnel and measured out (his wine) into the vessels of the gentile, if it (the funnel) [in which he first measured out the wine for the gentile has a rim of wine, [which prevents one or two drops from leaving its mouth], it is forbidden. [The wine of the Jew is forbidden because of that drop of yayin nesech in the funnel.] If he [a Jew] pours [wine] from his vessel into a vessel [in the hand of a gentile or into a vessel containing yayin nesech], what he poured from is permitted [i.e., the wine remaining in the upper vessel in the hand of the Jew is permitted,] and what he poured into it is forbidden [i.e., the flow that left the Jew's vessel, even though it did not reach the vessel in the hand of the gentile (and, it goes without saying, what did reach the vessel of the gentile), is forbidden. [For \"the flow is regarded as connected\" (to the vessel beneath it.) and our Mishnah, which permits the wine left in the vessel in the hand of the Jew, speaks of an instance where the flow from the upper vessel was cut off before it reached the lower vessel in the hand of the gentile, so that there was no flow here which would connect what was in the upper vessel to what was in the lower vessel. Or, (our Mishnah speaks of an instance) where he shakes out wine from the upper vessel, as from a sprinkling bowl, so that there was no flow which would connect the wine in the vessel in the hand of the Jew to the vessel in the hand of the gentile. But if there were such a connection, then everything remaining in the upper vessel in the hand of the Jew is forbidden as yayin nesech by the principle of the flow being regarded as a connection. This is the halachah.]", + "\tYayin nesech is forbidden, and forbids by any amount. Wine [yayin nesech, which became intermixed] with [permitted] wine, and water [used for idolatrous libations or which was itself worshipped, which became intermixed] with [permitted] water [forbids] by any amount. [There is no difference whether the permitted fall into the forbidden or the forbidden into the permitted — it forbids its own kind by any amount, so long as the forbidden that falls into the permitted falls from a wide-mouthed vessel, so that a large amount of wine leaves the vessel at one time. But if one pours yayin nesech from a small vessel, which emerges only drop by drop, and it falls into permitted wine even the whole day, we say of it \"the first drop that falls is cancelled\" (by what it falls into, etc.) And if he pours permitted into forbidden, everything that he pours into the forbidden is forbidden, even a full jug onto one drop.] Wine [which became intermixed] with water, and water [which became intermixed with wine — the criterion is] the producing of a flavor. This is the rule: kind into kind (forbids) by any amount; and kind into what is not its kind, by the producing of a flavor. The conclusion, according to the halachah: All that is forbidden by the Torah, whether (it became intermixed) with its kind or not with its kind (forbids) by producing its flavor — except for tevel (untithed produce) and yayin nesech, which (if intermixed) with its kind (forbids) by any amount; and, if not with its kind, by (producing) its flavor — yayin nesech, because of the stringency of idolatry, and tevel, \"As its permitting, so is its forbidding,\" i.e., Just as one grain (of tithe) permits the entire pile, so one (untithed) grain renders the entire pile tevel. And if an issur (something forbidden) of other types of issurin becomes intermixed with heter (something permitted) — if kind became intermixed with not its kind, so that it can be determined by taste whether it is terumah (tithe) which has become intermixed with chullin (untithed produce), let a Cohein taste it, and if it is a (generic) issur, let a gentile baker taste it. If he says that there is not in the intermixture, the flavor of terumah or the flavor of issur (respectively), all is permitted. And if kind became intermixed with kind, so that it is not possible to rule by flavor, or a kind (which became intermixed) with not its kind and no Cohein or reliable gentile (respectively) is available — then, if the issur is forbidden fats or blood, carrion or treifah, unclean animals or creeping things, and the like — the criterion for the mixture is sixty, i.e., If there are sixty parts of heter to one part of issur, all is permitted, and if not, all is forbidden. And if the issur is terumah, or challah, or bikkurim, the criterion (for permitting the mixture) is one hundred parts of heter; and if arlah and klai hakerem, the criterion is two hundred parts.]", + "\tThese are forbidden and forbid by any amount. [Wherever there is an admixture of even one of them in a thousand (of heter), it forbids the whole]: yayin nesech [One jug in a thousand jugs (of heter) forbids all in the derivation of benefit. This is not the halachah, but as we have written in the end of the third chapter, viz.: he casts the worth of that jug into the Dead Sea and it is permitted to derive benefit from the rest and forbidden to drink it.], and idolatry [a worshiped figure which became intermixed with a thousand non-idolatrous figures, and \"heart-hides\" [see 2:33], and a stoned ox, and the birds of a leper [viz. Kiddushin 2:8] and the hair of a Nazirite, [from which it is forbidden to derive benefit, viz. (Numbers 6:18): \"And he shall take the hair of the head of his Naziritism, and he shall place it on the fire under the sacrifice of the peace-offerings.\" If a lock of a Nazir's hair became intermixed with even a thousand locks of other hair, they are all forbidden in derivation of benefit.], the first-born of an ass, [from which derivation of benefit is forbidden so long as it has not been redeemed], and meat in milk [If a piece of meat were cooked in milk, and it became intermixed in a thousand permitted pieces, it is forbidden to derive benefit from all of them. This tanna holds that something which is countable and from which derivation of benefit is forbidden forbids its admixture by any amount. And all these things which are mentioned in our Mishnah are things which are countable and whose issur is that of derivation of benefit], and the sent-away scapegoat, and chullin (a non-consecrated animal) slaughtered in the azarah (the Temple court) [see Kiddushin 2:9] — (All of) these are forbidden and they forbid by any amount. [(\"these\") to exclude things which are not countable or which are countable but not forbidden in derivation of benefit, which do not forbid their admixture by any amount.]", + "\tIf yayin nesech falls into a pit [of wine], the whole is forbidden in derivation of benefit, [for the wine which was used as an idolatrous libation forbids its kind by (intermixture in) any amount. But the wine of gentiles which we do not know of a certainty to have been used as a libation, even though derivation of benefit is forbidden therefrom, does not thus forbid its admixture.] R. Shimon b. Gamliel says: The whole is to be sold to a gentile less the value of that wine of the gentile which is in it. [This is the halachah.]", + "\tA winepress of stone tarred by a gentile [It was the practice to put in a little wine and to coat it over with tar] — he (the Jew) wipes it with water and earth and it is clean (i.e., kosher for use). (If the vat were) of wood, [which requires much tar and absorbs much wine] — Rabbi says: He wipes it [as one of stone]; and the sages say: He peels off the tar. [The halachah is not in accordance with Rabbi.] (If the vat were) of earthenware, even if he peeled off the tar, it is forbidden, [both according to Rabbi and according to the sages; for earthenware, aside from the tar, absorbs the wine.]", + "\tIf one takes [eating] utensils from a gentile, [(only metal utensils or earthenware utensils coated with lead (and glassware is like metalware)] — what is wont to be immersed, [that is, a vessel which can be rendered ritually clean by immersion and which requires no other procedure (as when it is used with \"cold\")] should be immersed [in a mikveh which is kosher for the immersion of women, and its immersion permits it (for use)]. (What is wont) to be purged (by immersion in boiling water) [such as kettles and plates of metal, which are used with \"hot\"] should be purged [in boiling water. They are placed into a kettle full of boiling water and left there a little. This, after their rust has been scrubbed and removed, after which they are immersed in a mikveh which is kosher for the immersion of women, and they are permitted (for use)]. (What is wont) to be fired (white-heated), [i.e., utensils that are used for dry things], like a spit and a grill, should be fired [until they give off sparks, after which they are immersed and are permitted (for use)]. A knife — shafah and it is (ritually) clean. [He sticks it into hard earth ten times if it has no depressions, and he may eat \"cold\" with it; or he sharpens it with its whetstone and he may eat even \"hot\" with it. If it has depressions, he \"fires\" them. And all of them (the above) — if he used them before he boiled or fired or immersed them (respectively) — it (i.e., what he processed with them) is permitted.]" + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/William Davidson Edition - English.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/William Davidson Edition - English.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..bb33019d73f4ac1801f2da98ec9b100dae2fe139 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/William Davidson Edition - English.json @@ -0,0 +1,87 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Avodah Zarah", + "versionSource": "https://korenpub.com/collections/the-noe-edition-koren-talmud-bavli-1", + "versionTitle": "William Davidson Edition - English", + "status": "locked", + "priority": 2.0, + "license": "CC-BY-NC", + "versionNotes": "English from The William Davidson digital edition of the Koren Noé Talmud, with commentary by Rabbi Adin Even-Israel Steinsaltz", + "shortVersionTitle": "Koren - Steinsaltz", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה עבודה זרה", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "On the three days before the festivals of gentiles the following actions are prohibited, as they would bring joy to the gentile, who would subsequently give thanks to his object of idol worship on his festival: It is prohibited to engage in business with them; to lend items to them or to borrow items from them; to lend money to them or to borrow money from them; and to repay debts owed to them or to collect repayment of debts from them. Rabbi Yehuda says: One may collect repayment of debts from them because this causes the gentile distress. The Rabbis said to Rabbi Yehuda: Even though he is distressed now, when he repays the money, he is happy afterward that he is relieved of the debt, and therefore there is concern that he will give thanks to his object of idol worship on his festival.", + "Rabbi Yishmael says: On the three days before the festivals of gentiles and on the three days after them, it is prohibited to engage in business with those gentiles. And the Rabbis say: It is prohibited to engage in business with them before their festivals, but it is permitted to engage in business with them after their festivals.", + "And these are the festivals of gentiles: Kalenda, Saturnalia, and Kratesis, and the day of the festival of their kings, and the birthday of the king, and the anniversary of the day of the death of the king. This is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: Every death that includes public burning is a festival that includes idol worship, and any death that does not include public burning is not a festival that includes idol worship. But in the case of the day of shaving his, i.e., a gentile’s, beard and his locks, and the day of his ascent from the sea, and the day that he left prison, and also in the case of a gentile who prepared a wedding feast for his son and celebrates on that day, engaging in business is prohibited only on that day and with that man.", + "In the case of a city in which there is active idol worship, it is permitted to engage in business transactions with gentiles who live outside of the city. If the idol worship is outside the city, it is permitted to engage in business within the city. What is the halakha with regard to traveling there, a place where a pagan festival is being celebrated? When the road is designated only for that place, it is prohibited to use the road, as onlookers will assume that the traveler intends to join the festival. But if one were able to travel on it to arrive at another place, it is permitted to use the road to reach the place that is observing the festival. With regard to a city in which idol worship is practiced and in which there are stores that are adorned for the sake of idol worship and there are others that are not adorned, this was in fact an incident that occurred in Beit She’an, and the Sages said: With regard to the adorned shops, it is prohibited to buy from them, but in the case of those that are not adorned it is permitted.", + "These are the items that it is prohibited to sell to a gentile at any time of year, as they are used specifically for idol worship: Itzterubalin, benot shuaḥ, petotarot, frankincense, and a white rooster. Rabbi Yehuda says: It is permitted to sell a white rooster to a gentile provided that it is sold along with other types of roosters. But when it is sold by itself, one should cut off its toe and sell it to the gentile, because they do not sacrifice a defective animal to their object of idol worship. And with regard to all remaining items, without specification it is permitted to sell them, but with specification it is prohibited to sell them. Rabbi Meir says: Even in the case of a good palm tree, ḥatzav, and naklav, it is prohibited to sell them to gentiles.", + "In a place where the residents were accustomed to sell small domesticated animals to gentiles, one may sell them. In a place where they were not accustomed to sell them, one may not sell them. But in every place, one may not sell them large livestock, calves, or foals, whether these animals are whole or damaged. The Sages prohibited these sales lest a Jew’s animal perform labor for the gentile on Shabbat in violation of an explicit Torah prohibition, as explained in the Gemara. Rabbi Yehuda permits the sale of a damaged animal because it is incapable of performing labor, and ben Beteira permits the sale of a horse for riding, because riding a horse on Shabbat is not prohibited by Torah law.", + "One may not sell bears, or lions, or any item that can cause injury to the public, to gentiles. One may not build with them a basilica [basileki], a tribunal [gardom], a stadium [itztadeyya], or a platform. But one may build with them small platforms [bimmusiot] and bathhouses. Even in this case, once he reaches the arched chamber in the bath where the gentiles put up objects of idol worship, it is prohibited to build it.", + "And one may not fashion jewelry for an object of idol worship, and this applies to jewelry such as necklaces [katla’ot], nose rings, and rings. Rabbi Eliezer says: If one fashions them in exchange for payment, it is permitted. The mishna returns to the issue of selling items to gentiles: One may not sell to a gentile any item that is attached to the ground, but one may sell such an item once it is severed from the ground. Rabbi Yehuda says: It is not necessary to sever the item from the ground; rather, one may sell it on the condition that it be severed. One may not rent a house to a gentile in Eretz Yisrael, and needless to say one may not rent fields to them, as explained in the Gemara. And in Syria one may rent houses to gentiles, but one may not rent fields. And outside of Eretz Yisrael one may sell houses and rent fields to gentiles; this is the statement of Rabbi Meir. Rabbi Yosei says: In Eretz Yisrael one may rent houses to gentiles but one may not rent fields. And in Syria one may sell houses to them and rent fields, and outside of Eretz Yisrael one may sell both these, houses, and those, fields.", + "Even in a place with regard to which the Sages said that it is permitted for a Jew to rent a house to a gentile, they did not say that one may rent it for use as a residence, because the gentile will bring objects of idol worship into it, as it is stated: “You shall not bring an abomination into your house” (Deuteronomy 7:26), and this is still considered the house of a Jew. And for the same reason, in every place, one may not rent a bathhouse to a gentile, since it is called by the name of the owner, and onlookers will think that the Jew is operating it on Shabbat." + ], + [ + "One may not keep an animal in the inns [befundekaot] of gentiles because they are suspected of bestiality. Since even gentiles are prohibited from engaging in bestiality, a Jew who places his animal there is guilty of violating the prohibition: “You shall not put a stumbling block before the blind” (Leviticus 19:14). And a woman may not seclude herself with gentiles because they are suspected of engaging in forbidden sexual relations. And any person may not seclude himself with gentiles because they are suspected of bloodshed. A Jewish woman may not deliver the child of a gentile woman, because in doing so she is delivering a child who will engage in idol worship. But one may allow a gentile woman to deliver the child of a Jewish woman. Similarly, a Jewish woman may not nurse the child of a gentile woman, but one may allow a gentile woman to nurse the child of a Jewish woman while the gentile woman is on the Jewish woman’s property. ", + "The mishna discusses the issue of accepting certain professional services from a gentile. One may be treated by gentiles, provided that it is monetary treatment, but not personal treatment. And one may not have his hair cut by them anywhere, due to the danger that the gentile will kill him with the razor; this is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: In the public thoroughfare, it is permitted to have one’s hair cut by a gentile, but not when the Jew and gentile are alone together.", + "This mishna discusses the halakhic status of various items that belong to gentiles. These are items that belong to gentiles and are prohibited to Jews, and their prohibition is that of an item from which deriving benefit is prohibited: Wine, and vinegar belonging to gentiles that was originally wine, and Hadrianic earthenware, and hides with a tear opposite the heart. Rabban Shimon ben Gamliel says: A hide is prohibited only when the tear around its heart is circular, but if it is elongated it is permitted, as gentiles will sacrifice a heart only when it has been removed by a circular laceration. Meat that enters the house of idol worship is permitted, and meat that exits this house is prohibited, because it is considered as offerings to the dead, i.e., to idols; this is the statement of Rabbi Akiva. With regard to those going to a festival of idolatry [tarput], it is prohibited to engage in business with them. And with regard to those who are coming from it, it is permitted to engage in business with them. ", + "Wineskins and jugs belonging to gentiles, which have a Jew’s wine contained in them, are prohibited to Jews, and their prohibition is that of an item from which deriving benefit is prohibited; this is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: Their prohibition is not that of an item from which deriving benefit is prohibited. Residual grape seeds and grape skins belonging to gentiles, which are left behind after the grapes are crushed for wine, are prohibited, and their prohibition is that of an item from which deriving benefit is prohibited; this is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: Moist grape residues are prohibited, but dry residues are permitted. Fish stew [murayes] and cheese of Beit Unyaki belonging to gentiles are prohibited, and their prohibition is that of an item from which deriving benefit is prohibited. This is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: Their prohibition is not that of an item from which deriving benefit is prohibited. ", + "Rabbi Yehuda said: Rabbi Yishmael asked Rabbi Yehoshua a series of questions while they were traveling along the road. Rabbi Yishmael said to him: For what reason did the Sages prohibit the cheeses of gentiles? Rabbi Yehoshua said to him: Because gentiles curdle cheese with the stomach contents of an unslaughtered animal carcass, and as the carcass of an unslaughtered animal is not kosher, cheese that is curdled with it is likewise prohibited. In response, Rabbi Yishmael said to him: But aren’t the stomach contents of a burnt-offering subject to a more stringent prohibition than the stomach contents of an unslaughtered animal carcass? And yet they said: A priest who is open-minded [shedato yafa] with regard to what he eats may swallow [shorefah] the stomach contents of a burnt-offering while they are raw, and the other Sages did not agree with him. But the Sages said: One may not derive benefit from the stomach contents of a burnt-offering ab initio, and if one did derive benefit from them, he is not liable for misusing consecrated property. According to both opinions, deriving benefit from the stomach contents of a burnt-offering is not prohibited by Torah law. Since the halakha with regard to a burnt-offering is more stringent than that of an animal carcass, why would deriving benefit from the carcass be prohibited, while deriving benefit from the burnt-offering is permitted? Rabbi Yehoshua said to Rabbi Yishmael: The cheese of gentiles is prohibited because they curdle it in the stomach contents of calves used for idol worship. Since it is prohibited to derive benefit from such calves, cheese curdled in their stomach contents is also prohibited. Rabbi Yishmael said to him: If that is so, why didn’t the Sages prohibit deriving any benefit from the cheese, instead of merely prohibiting its consumption? Instead of answering Rabbi Yishmael, Rabbi Yehoshua diverted his attention to another matter and said to him: Yishmael, how do you read the following verse in the Song of Songs (1:2)? Do you read it as: For Your love [dodekha] is better than wine, or as: For your love [dodayikh] is better than wine? The first version, which is in the masculine form, would be a reference to God, whereas the second version, in the feminine, would be a reference to the Jewish people. Rabbi Yishmael said to him that it should be read in the feminine: For your love [dodayikh] is better than wine. Rabbi Yehoshua said to him: The matter is not so, as another verse teaches with regard to it: “Your ointments [shemanekha] have a goodly fragrance” (Song of Songs 1:3). This phrase, which appears in the next verse, is written in the masculine form, and therefore it is determined that the preceding verse can also be understood in the masculine form.", + " This mishna lists items belonging to gentiles which it is prohibited to consume, but from which it is permitted to derive benefit. And these are items that belong to gentiles and are prohibited, but their prohibition is not that of an item from which deriving benefit is prohibited: Milk that was milked by a gentile and a Jew did not see him performing this action, and their bread and oil. The mishna notes that Rabbi Yehuda HaNasi and his court permitted the oil of gentiles entirely. The mishna resumes its list: And boiled and pickled vegetables, whose usual manner of preparation involves adding wine and vinegar to them, and minced tarit fish, and brine that does not have a kilbit fish floating in it, and ḥilak, and a sliver of ḥiltit, and salkondit salt (see 39b); all these are prohibited, but their prohibition is not that of item from which deriving benefit is prohibited. ", + "And these are permitted for consumption: Milk that was milked by a gentile and a Jew watched him doing so; and honey; and grape clusters [davdevaniyyot] which, despite the fact that they are dripping juice, are not subject to the halakhot of susceptibility to ritual impurity caused by contact with that liquid; and pickled vegetables whose usual manner of preparation does not involve adding wine and vinegar to them; and tarit fish that is not minced; and brine that has fish in it; and the leaf of a ḥiltit plant; and rolled olive cakes [geluskaot]. Rabbi Yosei says: Overripe olives are prohibited. Locusts that come from a salesman’s basket are prohibited, whereas those that come from the storeroom [heftek] are permitted; and likewise with regard to the portion of the produce designated for the priest [teruma], as will be explained in the Gemara." + ], + [ + "All statues are forbidden, i.e., it is prohibited to derive benefit from them, because they are worshipped at least once a year; this is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: The only type of statue that is forbidden is any statue that has in its hand a staff, or a bird, or an orb, as these are indications that this statue is designated for idolatry. If the statue is holding a different item, it may be assumed that the statue was fashioned for ornamental purposes and not for worship. Rabban Shimon ben Gamliel says: It is prohibited to derive benefit even from any statue that has any item whatsoever in its hand.", + "In the case of one who finds unidentifiable fragments of statues, these are permitted, i.e., one may derive benefit from them. If one found an object in the figure of a hand or in the figure of a foot, these are forbidden, as objects similar to those are worshipped.", + "In the case of one who finds vessels, and upon them is a figure of the sun, a figure of the moon, or a figure of a dragon, he must take them and cast them into the Dead Sea and not derive any benefit from them, as they are assumed to be objects of idol worship. Rabban Shimon ben Gamliel says: Those figures that are upon respectable vessels are forbidden. Those that are upon disgraceful vessels are permitted. Rabbi Yosei says: When one encounters an idol, he should grind the idol and throw the dust to the wind or cast it into the sea. The Rabbis said to him: What is the good of that? That also gives a Jew benefit from the idol, as it becomes fertilizer for his crops, and deriving any kind of benefit is prohibited, as it is stated: “And nothing of the proscribed items shall cleave to your hand” (Deuteronomy 13:18).", + "A wise gentile, Proclus ben Plospus, once asked a question of Rabban Gamliel in the city of Akko when he was bathing in the bathhouse of the Greek god Aphrodite. Proclus said to him: It is written in your Torah: “And nothing of the proscribed items shall cleave to your hand” (Deuteronomy 13:18). For what reason do you bathe before an idol in the bathhouse of Aphrodite? Rabban Gamliel said to him: One may not answer questions related to Torah in the bathhouse. And when he left the bathhouse, Rabban Gamliel gave him several answers. He said to him: I did not come into its domain; it came into my domain. The bathhouse existed before the statue dedicated to Aphrodite was erected. Furthermore, people do not say: Let us make a bathhouse as an adornment for Aphrodite; rather, they say: Let us make a statue of Aphrodite as an adornment for the bathhouse. Therefore, the main structure is not the Aphrodite statue, but the bathhouse. Rabban Gamliel continued: Alternatively, there is another answer: Even if people would give you a lot of money, you would not enter before your object of idol worship naked, or as one who experienced a seminal emission who comes to the bathhouse to purify himself, nor would you urinate before it. This statue stands upon the sewage pipe and all the people urinate before it. There is no prohibition in this case, as it is stated in the verse only: “Their gods” (see Deuteronomy 12:2), which indicates that a statue that people treat as a deity is forbidden, but one that people do not treat with the respect that is due to a deity is permitted.", + "With regard to the halakha in the case of the gentiles who worship the mountains and the hills, the mountains and hills are permitted, but what is upon them is forbidden. It is not prohibited to derive benefit from the mountains and hills themselves, and they can be used for planting, harvesting, and the like. But if gentiles coated them with gold or silver, it is prohibited to derive benefit from the coating, as it is stated: “The graven images of their gods shall you burn with fire; you shall not covet the silver or the gold that is on them, nor take it for yourself, lest you be snared by it; for it is an abomination to the Lord your God” (Deuteronomy 7:25). Rabbi Yosei HaGelili says with regard to the verse: “You shall destroy all the places where the nations that you are to dispossess served their gods, upon the high mountains, and upon the hills, and under every leafy tree” (Deuteronomy 12:2): The mitzva to destroy objects of idol worship applies to “their gods, upon the high mountains,” but not to the mountains themselves that are their gods. Similarly it applies to “their gods…upon the hills,” but not to the hills themselves that are their gods. The mishna asks: And for what reason, then, is an ashera forbidden? Doesn’t the verse also state: “And under every leafy tree,” which indicates that the mitzva to destroy objects of idol worship does not apply to the trees themselves? The mishna answers: It is because it is the product of human involvement and did not grow by itself, and the halakha is that anything that is the product of human involvement is forbidden. Rabbi Akiva says: I will explain and decide the matter before you. The verse does not indicate limitations to the halakhic definition of idols; rather, it is simply giving indicators of prevalent idolatrous practice: Everywhere that you find a high mountain, or an elevated hill, or a leafy tree, know that there is idol worship there.", + "In the case of one whose house was adjacent to a house of idol worship and the dividing wall fell, it is prohibited to rebuild it. What should he do? He should withdraw into his own property four cubits and build the wall there. In talmudic times, external walls to homes were often built in two parts, with a functional space between them. If the space between the two parts of the wall belonged to him and to the house of idol worship, the area is treated as half and half with regard to withdrawing into his property before rebuilding the wall; he may build the wall four cubits from the middle of that space. The stones of the fallen wall, its wood, and its dust, transmit impurity like a creeping animal, i.e., one who touches them becomes impure like one who touches a creeping animal, as it is stated: “And you shall not bring an abomination into your house, and be accursed like it; you shall detest it [shakketz teshakketzennu], and you shall abhor it; for it is a proscribed item” (Deuteronomy 7:26). The term shakketz is used in a different form, shekketz, with regard to creeping animals. Rabbi Akiva says: Those items transmit impurity like a menstruating woman, as it is stated: “You will put them far away as a menstruating woman; you shall say to it: Go away” (Isaiah 30:22). Just as a menstruating woman transmits impurity by carrying, as one who moves a menstruating woman, even without touching her, becomes impure, so too, objects of idol worship transmit impurity by carrying.", + "With regard to idol worship there are three types of houses, each with its own halakhot. A house that one built initially for the purpose of idol worship is forbidden, i.e., it is prohibited to derive benefit from such a house. If one plastered a house or cemented it for the purpose of idol worship, and he thereby added a layer to the walls of the house, one removes that which he added, and the rest of the house is permitted. If one brought an object of idol worship into a house temporarily and then removed it, the house is then permitted. With regard to idol worship there are three types of stones, each with its own halakhot. A stone that one initially hewed for use in a platform [bimos] for an idol is forbidden. If one plastered a stone or cemented it for the sake of idol worship, one removes that which he plastered or cemented and the stone is permitted. If one erected an object of idol worship upon a stone and subsequently removed it, the stone is then permitted. There are three types of trees that were used as part of idolatrous rites [ashera]: A tree that one initially planted for the sake of idol worship is forbidden, and one may not derive benefit from any part of the tree. If one lopped off part of the trunk of a tree or trimmed its branches for the sake of idol worship, i.e., to worship that which would regrow there, and the tree’s trunk or limbs regrew, one removes that which has regrown and burn it. The remainder of the tree is then permitted. If one erected an object of idol worship beneath a tree and subsequently removed it, it is permitted to derive benefit from the tree. Which tree is deemed forbidden as an ashera? Any tree that has an object of idol worship beneath it. Rabbi Shimon says: Any tree that people worship. And there was an incident in Tzaidan involving a tree that people would worship, and Jews found beneath it a heap of stones. Rabbi Shimon said to them: Examine this heap of stones. And they examined it and found in it an idolatrous image. Rabbi Shimon said to them: Since it is the image that they worship, we can permit use of the tree to those who wish to derive benefit from it.", + "With regard to an ashera, one may not sit in its shade, but if one sat in its shade he remains ritually pure. And one may not pass beneath it, and if one passed beneath it he is ritually impure. If the tree was robbing the public, i.e., if its branches extended over public property, and one passed beneath it, he remains pure. One may plant vegetables underneath an ashera during the rainy season, as the vegetables do not benefit from its shade; on the contrary, the tree’s foliage prevents the vegetables from being properly irrigated by the rain. But one may not plant vegetables under an ashera during the summer, as the shade benefits them. And lettuce may not be planted there at all, neither in the summer nor in the rainy season, because shade is always beneficial to lettuce. Rabbi Yosei says: One may not plant vegetables under an ashera even during the rainy season, because the tree’s foliage [shehaneviyya] falls upon them and serves as fertilizer for them.", + "If one took wood from an ashera, it is prohibited to derive benefit from it. In a case where one kindled a fire in an oven with the wood, if it is a new oven and by kindling the fire he hardened the oven and made it stronger for use in the future, then the oven must be shattered. Since forbidden items were used in the process of forming the oven, one may not derive benefit from the use of the forbidden items. But if it is an old oven it may be cooled; it is prohibited to use the oven only while it is still hot. If one baked bread with wood from the ashera as the fuel, it is prohibited to derive benefit from the bread. If this bread was intermingled with other bread, it is prohibited to derive benefit from all the bread. Rabbi Eliezer says: One must take the benefit and cast it into the Dead Sea. In other words, one is not required to destroy all of the loaves. Instead, one should designate money equal in value to the wood that he used from the ashera, and he should destroy this money to offset the benefit he derived from the forbidden wood. The Rabbis said to him: There is no monetary redemption for objects that are forbidden due to idol worship. Once the bread becomes forbidden, it cannot be redeemed by having the value of the forbidden wood cast into the Dead Sea. If one took wood from an ashera for use as a weaving shuttle [karkor], it is prohibited to derive benefit from it. If one wove a garment with it, it is prohibited to derive benefit from the garment. If the garment was intermingled with other garments, and those other garments were intermingled with others, it is prohibited to derive benefit from all of them. Rabbi Eliezer says: One must take the benefit and cast it into the Dead Sea. The Rabbis said to him: There is no monetary redemption for objects that are forbidden due to idol worship.", + "How does one revoke the idolatrous status of an ashera? If a gentile trimmed dry wood or pruned green wood from the tree for his own benefit, or if he removed from it a stick, or a rod, or even a leaf, he has thereby revoked its idolatrous status, as he has proven that he no longer worships it. If a gentile shaved down the tree for its own sake, to improve its appearance, it remains prohibited to derive benefit from it. If he shaved it down not for its own sake, it is permitted." + ], + [ + "Rabbi Yishmael says: Three stones that are adjacent to each other at the side of Mercury [Markulis] are prohibited, as that idol was worshipped by tossing stones toward it, which then became part of the idol. But if there are only two stones, then they are permitted. And the Rabbis say: Those stones that are adjacent to Mercury and appear to have fallen from it are prohibited. But those stones that are not adjacent to it are permitted.", + "If one found money, a garment, or vessels at the head of Mercury, these are permitted. If one found vine branches laden with clusters of grapes, or wreaths made of stalks, or containers of wine, oil, or flour, or any other item the likes of which is sacrificed on the altar there, it is prohibited.", + "In the case of an object of idol worship that had a garden or a bathhouse, one may derive benefit from them when it is not to the advantage of the idol worship, i.e., when he does not pay for his use, but one may not derive benefit from them when it is to their advantage, i.e., if one is required to pay for his use. If the garden or bathhouse belonged jointly to the place of idol worship and to others, one may derive benefit from them, both when it is to their advantage and when it is not to their advantage. ", + "A gentile’s object of idol worship is prohibited immediately, i.e., as soon as it is fashioned for that purpose, but a Jew’s object of idol worship is not prohibited until it is actually worshipped. A gentile can revoke the status of his object of idol worship and the status of the idol of another gentile, but a Jew cannot revoke the status of the object of idol worship of a gentile. One who revokes the status of an object of idol worship thereby revokes the status of its accessories. But if he revokes the status of its accessories, its accessories alone are rendered permitted, but the object of idol worship itself remains prohibited.", + "How does a gentile revoke the status of an object of idol worship? If he cut off the tip of its ear, or the tip of its nose, or its fingertip; or if he crushed it, even though he did not remove any part of it, in all these cases he thereby revoked its status as an object of idol worship. If he spat before the idol, urinated before it, dragged it on the ground, or threw excrement at it, the status of this idol is not revoked, as this is only a temporary display of scorn, and afterward the gentile might continue to worship the idol. If the gentile sold it or mortgaged it, Rabbi Yehuda HaNasi says: He thereby revoked its status. And the Rabbis say that he did not revoke its status.", + "With regard to an object of idol worship that was abandoned by its worshippers, if it was abandoned in peacetime, it is permitted, as it was evidently abandoned by choice and this constitutes an implicit revocation of its status as an object of idol worship. If it was abandoned in wartime, it is prohibited, as it was not abandoned by choice. With regard to the stone platforms of kings upon which idols are placed in honor of the kings, these are permitted, due to the fact that the idol is placed on these platforms only at the time that the kings pass by.", + "The gentiles asked the Jewish Sages who were in Rome: If it is not God’s will that people should engage in idol worship, why does He not elimi-nate it? The Sages said to them: Were people worshipping only objects for which the world has no need, He would eliminate it. But they worship the sun and the moon and the stars and the constellations. Should He destroy His world because of the fools? The gentiles said to the Sages: If so, let Him destroy those objects of idol worship for which the world has no need and leave those objects for which the world has a need. The Sages said to them: If that were to happen, we would thereby be supporting the worshippers of those objects for which the world has need, as they would say: You should know that these are truly gods, as they were not eliminated from the world, whereas the others were eliminated.", + "One may purchase from a gentile a winepress in which the grapes have been trodden on, despite the fact that the gentile takes grapes in his hand from the winepress and places them on the pile that remains to be trodden on. And the gentile’s touch does not render the juice of the grapes wine used for a libation in idol worship, which is forbidden, until it descends into the collection vat, because until then it does not have the status of wine. Once the wine descended into the collection vat, that which is in the vat is prohibited, and the rest, which did not yet descend into the vat, is permitted.", + "One may tread on grapes together with the gentile in the winepress, but one may not harvest grapes with him. After the harvest the grapes are brought to the winepress, which is ritually impure. This would render the grapes impure, and it is prohibited to render produce of Eretz Yisrael impure. In the case of a Jew who produces his wine in a state of ritual impurity, one may not tread on grapes nor harvest them with him, as it is prohibited to assist transgressors. But once he has produced his wine, one may take the barrels to the winepress with him, as the wine is already impure. And one may also bring the barrels from the winepress together with him. Similarly, in the case of a baker who makes his bread in a state of ritual impurity, one may not knead or arrange the dough in the shape of bread together with him, so as not to assist in a transgression. But one may take the bread with him to the bread merchant [lapalter].", + "In the case of a gentile who was found standing next to the wine collection vat, if there is a loan owed by the owner of the wine vat to the gentile, the wine is prohibited. Since the gentile maintains that he has a right to the owner’s property he has no compunctions about touching the wine. But if there is no loan owed by the owner of the wine vat to the gentile, the wine is permitted, as it is assumed that the gentile did not touch the wine that was not his. If a gentile fell into the wine collection vat and emerged from it, or if he measured the wine in the winepress with a pole without touching it with his hands, or if he cast a hornet out of the wine by means of a pole and the pole touched the wine, or where the gentile was removing the foam that was on the top of a fermenting barrel of wine; with regard to all these cases there was such an incident. And the Sages said that the wine may be sold to gentiles, as it is permitted to derive benefit from the wine, but not to drink it. And Rabbi Shimon deems the wine permitted even for drinking. In a case where a gentile took the barrel of wine and threw it, in his anger, into the wine collection vat, this was an incident that occurred and the Sages deemed the wine fit for drinking.", + "In the case of a Jew who renders the wine of a gentile permitted by treading the gentile’s grapes so that the wine can be sold to Jews, and although a Jew has not yet paid for the wine he then places the wine in the gentile’s domain in a house that is open to a public thoroughfare until he sells it, the halakha depends on the circumstances. If this occurs in a city in which there are both gentiles and Jews, the wine is permitted, as the gentile does not touch the wine lest the Jews see him doing so. If this occurs in a city in which all its inhabitants are gentiles, the wine is prohibited unless a Jew sits and safeguards the wine. But the watchman is not required to sit and guard the wine constantly; even if he frequently leaves the place and comes in again later, the wine is permitted. Rabbi Shimon ben Elazar says: The domain of gentiles is all one, as the Gemara will explain.", + "In the case of a Jew who renders the wine of a gentile permitted by treading the gentile’s grapes so that the wine can be sold to Jews, and he then places the wine in the gentile’s domain until he sells it, the halakha depends on the circumstances. If that one, the gentile, writes for the Jew: I received money from you in payment for the wine, even though he did not yet receive the actual payment, the wine is permitted. This is because the wine is considered the Jew’s property and the gentile does not venture to touch it. But if the Jew desires to remove the wine and the gentile does not allow him to do so until the Jew gives him the money due to him, this was an incident that occurred in Beit She’an and the Sages deemed the wine prohibited. In this case the gentile believes that he has a lien upon the wine, and therefore he has no compunctions about touching it." + ], + [ + "In the case of a gentile who hires a Jewish laborer to work with wine used for an idolatrous libation with him, his wage is forbidden, i.e., it is prohibited for the Jew to derive benefit from his wage. If the gentile hired him to do other work with him, even if he said to him while he was working with him: Transport the barrel of wine used for a libation for me from this place to that place, his wage is permitted, i.e., the Jew is permitted to derive benefit from the money. With regard to a gentile who rents a Jew’s donkey to carry wine used for a libation on it, its rental fee is forbidden. If he rented it to sit on it, even if a gentile placed his jug of wine used for a libation on it, its rental fee is permitted.", + "In the case of wine used for a libation that fell on grapes, one rinses them and they are permitted. But if the grapes were cracked, they are forbidden. In a case where the wine fell on figs or on dates, if there is sufficient wine in them to impart flavor, they are forbidden. And there was an incident involving Boethus ben Zunen, who transported dried figs in a ship, and a barrel of wine used for a libation broke and fell on them, and he asked the Sages as to the halakha, and the Sages deemed the figs permitted. This is the principle: Anything that benefits from a forbidden item imparting flavor to it, i.e., the forbidden item contributes a positive taste to it, is forbidden, and anything that does not benefit from a forbidden item imparting flavor to it is permitted, such as forbidden vinegar that fell onto split beans, as the flavor imparted by the vinegar does not enhance the taste of the beans.", + "With regard to a gentile who was transporting barrels of wine from one place to another place together with a Jew, if the wine was under the presumption of being supervised, it is permitted. But if the Jew notified him that he was going far away, the wine is forbidden if the Jew left for a sufficient amount of time for the gentile to bore a hole [sheyishtom] in the barrel, seal it again with plaster, and for the plaster to dry. Rabban Shimon ben Gamliel says: The wine is forbidden only if it was sufficient time for the gentile to open the barrel by removing the stopper altogether, stop it again by making a new stopper, and for the new stopper to dry.", + "With regard to one who placed his wine in a wagon or on a ship with a gentile, and went on his way by a shortcut [bekappendarya], such that the gentile does not know when the Jew will encounter him, even if the Jew entered the city and bathed, the wine is permitted, because the gentile would not use the wine for a libation, for fear the owner might catch him at it. If the Jew informed the gentile that he was going away for a long period of time, the wine is forbidden if it was sufficient time for the gentile to bore a hole in the barrel, seal it again with plaster, and for the plaster to dry. Rabban Shimon ben Gamliel says: It is forbidden only if it was sufficient time for him to open the barrel by removing the stopper altogether, stop it again, and for the new stopper to dry. With regard to one who left a gentile in his shop, even if the Jew went out and came in and was not there all the time, the wine is permitted. But if the Jew informed the gentile that he was going away for a long period of time, the wine is forbidden if it was sufficient time for the gentile to bore a hole in the barrel, seal it again with plaster, and for the plaster to dry. Rabban Shimon ben Gamliel says: The wine is forbidden only if it was sufficient time for him to open the barrel, stop it again, and for the new stopper to dry.", + "If a Jew was eating with a gentile at the table, and left jugs [laginin] of wine on the table and a jug on the side table [hadulebaki], and he left it and went out, what is on the table is forbidden, as it is likely that the gentile handled it, whereas what is on the side table is permitted. But if the Jew said to the gentile: Mix water with the wine and drink, even the jug that is on the side table is forbidden. Similarly, open barrels are forbidden, but sealed barrels are permitted unless the Jew was out of the room for sufficient time for the gentile to open the barrel by removing the stopper, and stop it again by making a new stopper, and for the new stopper to dry.", + "In the case of a military unit [boleshet] that entered a city, if it entered during peacetime, then after the soldiers leave the open barrels of wine are forbidden, but the sealed barrels are permitted. If the unit entered in wartime, both these barrels and those barrels are permitted, because in wartime there is no time to pour wine for libations, and one can be certain that the soldiers did not do so.", + "With regard to Jewish craftsmen to whom a gentile sent a barrel of wine used for a libation in lieu of their wage, it is permitted for them to say to him: Give us its monetary value instead. But once it has entered into their possession, it is prohibited for them to say so, as that would be tantamount to selling the wine to the gentile and deriving benefit from it. In the case of a Jew who sells his wine to a gentile, if he fixed a price before he measured the wine into the gentile’s vessel, deriving benefit from the money paid for the wine is permitted. It is not tantamount to selling wine used for a libation, as the gentile purchased the wine before it became forbidden, and the money already belonged to the Jew. But if the Jew measured the wine into the gentile’s vessel, thereby rendering it forbidden, before he fixed a price, the money paid for the wine is forbidden. In a case where a Jew took a funnel and measured wine into a gentile’s jug, and then measured wine with the same funnel into a Jew’s jug, if there is a remnant of wine left in the funnel, the wine measured into the Jew’s jug is forbidden, as some of the wine that was measured into the gentile’s jug is mixed in it. In the case of one who pours wine from one vessel into another vessel, the wine left in the vessel from which he poured is permitted, but the wine in the vessel into which he poured is forbidden.", + " Wine used for a libation is forbidden, and any amount of it renders other wine forbidden if they are mixed together. Wine used for a libation that became mixed with wine, or water that was used for an idolatrous libation that became mixed with ordinary water, renders the mixture forbidden with any amount of the forbidden wine or water; but wine used for a libation that became mixed with water, or water used for a libation that became mixed with wine renders the mixture forbidden only if the forbidden liquid is sufficient to impart flavor to the mixture, i.e., for the wine to flavor the water or for the water to dilute the wine to an extent that can be tasted. This is the principle: A substance in contact with the same type of substance renders the mixture forbidden with any amount of the forbidden substance, but a substance in contact with a different type of substance renders the mixture forbidden only in a case where it imparts flavor to it. ", + "These following items are themselves forbidden, and any amount of them renders other items with which they become mixed forbidden: Wine used for a libation; and objects of idol worship; and hides with a tear opposite the heart, indicating the idolatrous practice of sacrificing hearts of live animals. And this halakha also applies to an ox that has been condemned to be stoned (see Exodus 21:28), from which it is prohibited to derive benefit even before its sentence is carried out; and it applies to a heifer whose neck is broken when a person is found killed in an area between two cities and the murderer is unknown (see Deuteronomy 21:1–9), which is likewise forbidden from the time it is taken down to the river to be killed. In these cases, if the animal becomes mixed in a herd of similar animals, all of the animals in the herd are forbidden. And this halakha also applies to birds designated for the purification of a leper (Leviticus 14:1–6), and the shorn hair of a nazirite (Numbers 6:18), and a firstborn donkey (Exodus 13:13), and meat that was cooked in milk (Exodus 23:19), and the scape-goat of Yom Kippur (Leviticus 16:7–10), and the meat of a non-sacred animal that was slaughtered in the Temple courtyard. All of these are forbidden themselves, and any amount of them renders a mixture forbidden.", + " In the case of wine used for a libation that fell into a wine cistern, it is prohibited to derive benefit from all of the wine in the cistern, even if the volume of the wine used for a libation was tiny in comparison to the volume of the wine in the cistern. Rabban Shimon ben Gamliel says: All of the wine in the cistern may be sold to a gentile, and the money paid for it is permitted except for the value of the wine used for a libation that is included in it.", + "In the case of a stone winepress that a gentile lined with pitch and then poured wine onto the pitch to neutralize its flavor, one may cleanse it and it is pure, i.e., wine pressed in it is permitted. And if the winepress is fashioned of wood, Rabbi Yehuda HaNasi says: One may cleanse it, but the Rabbis say: One must peel off the pitch completely. And if the winepress is of earthenware, even if one peeled off the pitch, this press is forbidden.", + "One who purchases cooking utensils from the gentiles must prepare them for use by Jews in the following manner: With regard to those utensils whose manner of preparation is to immerse them in a ritual bath, as they require no further preparation, he must immerse them accordingly. With regard to those utensils whose manner of preparation is to purge them with boiling water, as those utensils are used with boiling water, e.g., pots, he must purge them accordingly. With regard to those whose manner of preparation is to heat until white-hot in the fire, as they are used for grilling, he must heat them until white-hot in the fire. Therefore, with regard to the spit [hashappud] and the grill [veha’askela], he must heat them until white-hot in the fire. With regard to the knife, he must polish it and it is rendered pure." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/merged.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/merged.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..6bb7c706089f715108c8df7061911ac752f98f75 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/English/merged.json @@ -0,0 +1,83 @@ +{ + "title": "Mishnah Avodah Zarah", + "language": "en", + "versionTitle": "merged", + "versionSource": "https://www.sefaria.org/Mishnah_Avodah_Zarah", + "text": [ + [ + "On the three days before the festivals of gentiles the following actions are prohibited, as they would bring joy to the gentile, who would subsequently give thanks to his object of idol worship on his festival: It is prohibited to engage in business with them; to lend items to them or to borrow items from them; to lend money to them or to borrow money from them; and to repay debts owed to them or to collect repayment of debts from them. Rabbi Yehuda says: One may collect repayment of debts from them because this causes the gentile distress. The Rabbis said to Rabbi Yehuda: Even though he is distressed now, when he repays the money, he is happy afterward that he is relieved of the debt, and therefore there is concern that he will give thanks to his object of idol worship on his festival.", + "Rabbi Yishmael says: On the three days before the festivals of gentiles and on the three days after them, it is prohibited to engage in business with those gentiles. And the Rabbis say: It is prohibited to engage in business with them before their festivals, but it is permitted to engage in business with them after their festivals.", + "And these are the festivals of gentiles: Kalenda, Saturnalia, and Kratesis, and the day of the festival of their kings, and the birthday of the king, and the anniversary of the day of the death of the king. This is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: Every death that includes public burning is a festival that includes idol worship, and any death that does not include public burning is not a festival that includes idol worship. But in the case of the day of shaving his, i.e., a gentile’s, beard and his locks, and the day of his ascent from the sea, and the day that he left prison, and also in the case of a gentile who prepared a wedding feast for his son and celebrates on that day, engaging in business is prohibited only on that day and with that man.", + "In the case of a city in which there is active idol worship, it is permitted to engage in business transactions with gentiles who live outside of the city. If the idol worship is outside the city, it is permitted to engage in business within the city. What is the halakha with regard to traveling there, a place where a pagan festival is being celebrated? When the road is designated only for that place, it is prohibited to use the road, as onlookers will assume that the traveler intends to join the festival. But if one were able to travel on it to arrive at another place, it is permitted to use the road to reach the place that is observing the festival. With regard to a city in which idol worship is practiced and in which there are stores that are adorned for the sake of idol worship and there are others that are not adorned, this was in fact an incident that occurred in Beit She’an, and the Sages said: With regard to the adorned shops, it is prohibited to buy from them, but in the case of those that are not adorned it is permitted.", + "These are the items that it is prohibited to sell to a gentile at any time of year, as they are used specifically for idol worship: Itzterubalin, benot shuaḥ, petotarot, frankincense, and a white rooster. Rabbi Yehuda says: It is permitted to sell a white rooster to a gentile provided that it is sold along with other types of roosters. But when it is sold by itself, one should cut off its toe and sell it to the gentile, because they do not sacrifice a defective animal to their object of idol worship. And with regard to all remaining items, without specification it is permitted to sell them, but with specification it is prohibited to sell them. Rabbi Meir says: Even in the case of a good palm tree, ḥatzav, and naklav, it is prohibited to sell them to gentiles.", + "In a place where the residents were accustomed to sell small domesticated animals to gentiles, one may sell them. In a place where they were not accustomed to sell them, one may not sell them. But in every place, one may not sell them large livestock, calves, or foals, whether these animals are whole or damaged. The Sages prohibited these sales lest a Jew’s animal perform labor for the gentile on Shabbat in violation of an explicit Torah prohibition, as explained in the Gemara. Rabbi Yehuda permits the sale of a damaged animal because it is incapable of performing labor, and ben Beteira permits the sale of a horse for riding, because riding a horse on Shabbat is not prohibited by Torah law.", + "One may not sell bears, or lions, or any item that can cause injury to the public, to gentiles. One may not build with them a basilica [basileki], a tribunal [gardom], a stadium [itztadeyya], or a platform. But one may build with them small platforms [bimmusiot] and bathhouses. Even in this case, once he reaches the arched chamber in the bath where the gentiles put up objects of idol worship, it is prohibited to build it.", + "And one may not fashion jewelry for an object of idol worship, and this applies to jewelry such as necklaces [katla’ot], nose rings, and rings. Rabbi Eliezer says: If one fashions them in exchange for payment, it is permitted. The mishna returns to the issue of selling items to gentiles: One may not sell to a gentile any item that is attached to the ground, but one may sell such an item once it is severed from the ground. Rabbi Yehuda says: It is not necessary to sever the item from the ground; rather, one may sell it on the condition that it be severed. One may not rent a house to a gentile in Eretz Yisrael, and needless to say one may not rent fields to them, as explained in the Gemara. And in Syria one may rent houses to gentiles, but one may not rent fields. And outside of Eretz Yisrael one may sell houses and rent fields to gentiles; this is the statement of Rabbi Meir. Rabbi Yosei says: In Eretz Yisrael one may rent houses to gentiles but one may not rent fields. And in Syria one may sell houses to them and rent fields, and outside of Eretz Yisrael one may sell both these, houses, and those, fields.", + "Even in a place with regard to which the Sages said that it is permitted for a Jew to rent a house to a gentile, they did not say that one may rent it for use as a residence, because the gentile will bring objects of idol worship into it, as it is stated: “You shall not bring an abomination into your house” (Deuteronomy 7:26), and this is still considered the house of a Jew. And for the same reason, in every place, one may not rent a bathhouse to a gentile, since it is called by the name of the owner, and onlookers will think that the Jew is operating it on Shabbat." + ], + [ + "One may not keep an animal in the inns [befundekaot] of gentiles because they are suspected of bestiality. Since even gentiles are prohibited from engaging in bestiality, a Jew who places his animal there is guilty of violating the prohibition: “You shall not put a stumbling block before the blind” (Leviticus 19:14). And a woman may not seclude herself with gentiles because they are suspected of engaging in forbidden sexual relations. And any person may not seclude himself with gentiles because they are suspected of bloodshed. A Jewish woman may not deliver the child of a gentile woman, because in doing so she is delivering a child who will engage in idol worship. But one may allow a gentile woman to deliver the child of a Jewish woman. Similarly, a Jewish woman may not nurse the child of a gentile woman, but one may allow a gentile woman to nurse the child of a Jewish woman while the gentile woman is on the Jewish woman’s property. ", + "The mishna discusses the issue of accepting certain professional services from a gentile. One may be treated by gentiles, provided that it is monetary treatment, but not personal treatment. And one may not have his hair cut by them anywhere, due to the danger that the gentile will kill him with the razor; this is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: In the public thoroughfare, it is permitted to have one’s hair cut by a gentile, but not when the Jew and gentile are alone together.", + "This mishna discusses the halakhic status of various items that belong to gentiles. These are items that belong to gentiles and are prohibited to Jews, and their prohibition is that of an item from which deriving benefit is prohibited: Wine, and vinegar belonging to gentiles that was originally wine, and Hadrianic earthenware, and hides with a tear opposite the heart. Rabban Shimon ben Gamliel says: A hide is prohibited only when the tear around its heart is circular, but if it is elongated it is permitted, as gentiles will sacrifice a heart only when it has been removed by a circular laceration. Meat that enters the house of idol worship is permitted, and meat that exits this house is prohibited, because it is considered as offerings to the dead, i.e., to idols; this is the statement of Rabbi Akiva. With regard to those going to a festival of idolatry [tarput], it is prohibited to engage in business with them. And with regard to those who are coming from it, it is permitted to engage in business with them. ", + "Wineskins and jugs belonging to gentiles, which have a Jew’s wine contained in them, are prohibited to Jews, and their prohibition is that of an item from which deriving benefit is prohibited; this is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: Their prohibition is not that of an item from which deriving benefit is prohibited. Residual grape seeds and grape skins belonging to gentiles, which are left behind after the grapes are crushed for wine, are prohibited, and their prohibition is that of an item from which deriving benefit is prohibited; this is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: Moist grape residues are prohibited, but dry residues are permitted. Fish stew [murayes] and cheese of Beit Unyaki belonging to gentiles are prohibited, and their prohibition is that of an item from which deriving benefit is prohibited. This is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: Their prohibition is not that of an item from which deriving benefit is prohibited. ", + "Rabbi Yehuda said: Rabbi Yishmael asked Rabbi Yehoshua a series of questions while they were traveling along the road. Rabbi Yishmael said to him: For what reason did the Sages prohibit the cheeses of gentiles? Rabbi Yehoshua said to him: Because gentiles curdle cheese with the stomach contents of an unslaughtered animal carcass, and as the carcass of an unslaughtered animal is not kosher, cheese that is curdled with it is likewise prohibited. In response, Rabbi Yishmael said to him: But aren’t the stomach contents of a burnt-offering subject to a more stringent prohibition than the stomach contents of an unslaughtered animal carcass? And yet they said: A priest who is open-minded [shedato yafa] with regard to what he eats may swallow [shorefah] the stomach contents of a burnt-offering while they are raw, and the other Sages did not agree with him. But the Sages said: One may not derive benefit from the stomach contents of a burnt-offering ab initio, and if one did derive benefit from them, he is not liable for misusing consecrated property. According to both opinions, deriving benefit from the stomach contents of a burnt-offering is not prohibited by Torah law. Since the halakha with regard to a burnt-offering is more stringent than that of an animal carcass, why would deriving benefit from the carcass be prohibited, while deriving benefit from the burnt-offering is permitted? Rabbi Yehoshua said to Rabbi Yishmael: The cheese of gentiles is prohibited because they curdle it in the stomach contents of calves used for idol worship. Since it is prohibited to derive benefit from such calves, cheese curdled in their stomach contents is also prohibited. Rabbi Yishmael said to him: If that is so, why didn’t the Sages prohibit deriving any benefit from the cheese, instead of merely prohibiting its consumption? Instead of answering Rabbi Yishmael, Rabbi Yehoshua diverted his attention to another matter and said to him: Yishmael, how do you read the following verse in the Song of Songs (1:2)? Do you read it as: For Your love [dodekha] is better than wine, or as: For your love [dodayikh] is better than wine? The first version, which is in the masculine form, would be a reference to God, whereas the second version, in the feminine, would be a reference to the Jewish people. Rabbi Yishmael said to him that it should be read in the feminine: For your love [dodayikh] is better than wine. Rabbi Yehoshua said to him: The matter is not so, as another verse teaches with regard to it: “Your ointments [shemanekha] have a goodly fragrance” (Song of Songs 1:3). This phrase, which appears in the next verse, is written in the masculine form, and therefore it is determined that the preceding verse can also be understood in the masculine form.", + " This mishna lists items belonging to gentiles which it is prohibited to consume, but from which it is permitted to derive benefit. And these are items that belong to gentiles and are prohibited, but their prohibition is not that of an item from which deriving benefit is prohibited: Milk that was milked by a gentile and a Jew did not see him performing this action, and their bread and oil. The mishna notes that Rabbi Yehuda HaNasi and his court permitted the oil of gentiles entirely. The mishna resumes its list: And boiled and pickled vegetables, whose usual manner of preparation involves adding wine and vinegar to them, and minced tarit fish, and brine that does not have a kilbit fish floating in it, and ḥilak, and a sliver of ḥiltit, and salkondit salt (see 39b); all these are prohibited, but their prohibition is not that of item from which deriving benefit is prohibited. ", + "And these are permitted for consumption: Milk that was milked by a gentile and a Jew watched him doing so; and honey; and grape clusters [davdevaniyyot] which, despite the fact that they are dripping juice, are not subject to the halakhot of susceptibility to ritual impurity caused by contact with that liquid; and pickled vegetables whose usual manner of preparation does not involve adding wine and vinegar to them; and tarit fish that is not minced; and brine that has fish in it; and the leaf of a ḥiltit plant; and rolled olive cakes [geluskaot]. Rabbi Yosei says: Overripe olives are prohibited. Locusts that come from a salesman’s basket are prohibited, whereas those that come from the storeroom [heftek] are permitted; and likewise with regard to the portion of the produce designated for the priest [teruma], as will be explained in the Gemara." + ], + [ + "All statues are forbidden, i.e., it is prohibited to derive benefit from them, because they are worshipped at least once a year; this is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: The only type of statue that is forbidden is any statue that has in its hand a staff, or a bird, or an orb, as these are indications that this statue is designated for idolatry. If the statue is holding a different item, it may be assumed that the statue was fashioned for ornamental purposes and not for worship. Rabban Shimon ben Gamliel says: It is prohibited to derive benefit even from any statue that has any item whatsoever in its hand.", + "In the case of one who finds unidentifiable fragments of statues, these are permitted, i.e., one may derive benefit from them. If one found an object in the figure of a hand or in the figure of a foot, these are forbidden, as objects similar to those are worshipped.", + "In the case of one who finds vessels, and upon them is a figure of the sun, a figure of the moon, or a figure of a dragon, he must take them and cast them into the Dead Sea and not derive any benefit from them, as they are assumed to be objects of idol worship. Rabban Shimon ben Gamliel says: Those figures that are upon respectable vessels are forbidden. Those that are upon disgraceful vessels are permitted. Rabbi Yosei says: When one encounters an idol, he should grind the idol and throw the dust to the wind or cast it into the sea. The Rabbis said to him: What is the good of that? That also gives a Jew benefit from the idol, as it becomes fertilizer for his crops, and deriving any kind of benefit is prohibited, as it is stated: “And nothing of the proscribed items shall cleave to your hand” (Deuteronomy 13:18).", + "A wise gentile, Proclus ben Plospus, once asked a question of Rabban Gamliel in the city of Akko when he was bathing in the bathhouse of the Greek god Aphrodite. Proclus said to him: It is written in your Torah: “And nothing of the proscribed items shall cleave to your hand” (Deuteronomy 13:18). For what reason do you bathe before an idol in the bathhouse of Aphrodite? Rabban Gamliel said to him: One may not answer questions related to Torah in the bathhouse. And when he left the bathhouse, Rabban Gamliel gave him several answers. He said to him: I did not come into its domain; it came into my domain. The bathhouse existed before the statue dedicated to Aphrodite was erected. Furthermore, people do not say: Let us make a bathhouse as an adornment for Aphrodite; rather, they say: Let us make a statue of Aphrodite as an adornment for the bathhouse. Therefore, the main structure is not the Aphrodite statue, but the bathhouse. Rabban Gamliel continued: Alternatively, there is another answer: Even if people would give you a lot of money, you would not enter before your object of idol worship naked, or as one who experienced a seminal emission who comes to the bathhouse to purify himself, nor would you urinate before it. This statue stands upon the sewage pipe and all the people urinate before it. There is no prohibition in this case, as it is stated in the verse only: “Their gods” (see Deuteronomy 12:2), which indicates that a statue that people treat as a deity is forbidden, but one that people do not treat with the respect that is due to a deity is permitted.", + "With regard to the halakha in the case of the gentiles who worship the mountains and the hills, the mountains and hills are permitted, but what is upon them is forbidden. It is not prohibited to derive benefit from the mountains and hills themselves, and they can be used for planting, harvesting, and the like. But if gentiles coated them with gold or silver, it is prohibited to derive benefit from the coating, as it is stated: “The graven images of their gods shall you burn with fire; you shall not covet the silver or the gold that is on them, nor take it for yourself, lest you be snared by it; for it is an abomination to the Lord your God” (Deuteronomy 7:25). Rabbi Yosei HaGelili says with regard to the verse: “You shall destroy all the places where the nations that you are to dispossess served their gods, upon the high mountains, and upon the hills, and under every leafy tree” (Deuteronomy 12:2): The mitzva to destroy objects of idol worship applies to “their gods, upon the high mountains,” but not to the mountains themselves that are their gods. Similarly it applies to “their gods…upon the hills,” but not to the hills themselves that are their gods. The mishna asks: And for what reason, then, is an ashera forbidden? Doesn’t the verse also state: “And under every leafy tree,” which indicates that the mitzva to destroy objects of idol worship does not apply to the trees themselves? The mishna answers: It is because it is the product of human involvement and did not grow by itself, and the halakha is that anything that is the product of human involvement is forbidden. Rabbi Akiva says: I will explain and decide the matter before you. The verse does not indicate limitations to the halakhic definition of idols; rather, it is simply giving indicators of prevalent idolatrous practice: Everywhere that you find a high mountain, or an elevated hill, or a leafy tree, know that there is idol worship there.", + "In the case of one whose house was adjacent to a house of idol worship and the dividing wall fell, it is prohibited to rebuild it. What should he do? He should withdraw into his own property four cubits and build the wall there. In talmudic times, external walls to homes were often built in two parts, with a functional space between them. If the space between the two parts of the wall belonged to him and to the house of idol worship, the area is treated as half and half with regard to withdrawing into his property before rebuilding the wall; he may build the wall four cubits from the middle of that space. The stones of the fallen wall, its wood, and its dust, transmit impurity like a creeping animal, i.e., one who touches them becomes impure like one who touches a creeping animal, as it is stated: “And you shall not bring an abomination into your house, and be accursed like it; you shall detest it [shakketz teshakketzennu], and you shall abhor it; for it is a proscribed item” (Deuteronomy 7:26). The term shakketz is used in a different form, shekketz, with regard to creeping animals. Rabbi Akiva says: Those items transmit impurity like a menstruating woman, as it is stated: “You will put them far away as a menstruating woman; you shall say to it: Go away” (Isaiah 30:22). Just as a menstruating woman transmits impurity by carrying, as one who moves a menstruating woman, even without touching her, becomes impure, so too, objects of idol worship transmit impurity by carrying.", + "With regard to idol worship there are three types of houses, each with its own halakhot. A house that one built initially for the purpose of idol worship is forbidden, i.e., it is prohibited to derive benefit from such a house. If one plastered a house or cemented it for the purpose of idol worship, and he thereby added a layer to the walls of the house, one removes that which he added, and the rest of the house is permitted. If one brought an object of idol worship into a house temporarily and then removed it, the house is then permitted. With regard to idol worship there are three types of stones, each with its own halakhot. A stone that one initially hewed for use in a platform [bimos] for an idol is forbidden. If one plastered a stone or cemented it for the sake of idol worship, one removes that which he plastered or cemented and the stone is permitted. If one erected an object of idol worship upon a stone and subsequently removed it, the stone is then permitted. There are three types of trees that were used as part of idolatrous rites [ashera]: A tree that one initially planted for the sake of idol worship is forbidden, and one may not derive benefit from any part of the tree. If one lopped off part of the trunk of a tree or trimmed its branches for the sake of idol worship, i.e., to worship that which would regrow there, and the tree’s trunk or limbs regrew, one removes that which has regrown and burn it. The remainder of the tree is then permitted. If one erected an object of idol worship beneath a tree and subsequently removed it, it is permitted to derive benefit from the tree. Which tree is deemed forbidden as an ashera? Any tree that has an object of idol worship beneath it. Rabbi Shimon says: Any tree that people worship. And there was an incident in Tzaidan involving a tree that people would worship, and Jews found beneath it a heap of stones. Rabbi Shimon said to them: Examine this heap of stones. And they examined it and found in it an idolatrous image. Rabbi Shimon said to them: Since it is the image that they worship, we can permit use of the tree to those who wish to derive benefit from it.", + "With regard to an ashera, one may not sit in its shade, but if one sat in its shade he remains ritually pure. And one may not pass beneath it, and if one passed beneath it he is ritually impure. If the tree was robbing the public, i.e., if its branches extended over public property, and one passed beneath it, he remains pure. One may plant vegetables underneath an ashera during the rainy season, as the vegetables do not benefit from its shade; on the contrary, the tree’s foliage prevents the vegetables from being properly irrigated by the rain. But one may not plant vegetables under an ashera during the summer, as the shade benefits them. And lettuce may not be planted there at all, neither in the summer nor in the rainy season, because shade is always beneficial to lettuce. Rabbi Yosei says: One may not plant vegetables under an ashera even during the rainy season, because the tree’s foliage [shehaneviyya] falls upon them and serves as fertilizer for them.", + "If one took wood from an ashera, it is prohibited to derive benefit from it. In a case where one kindled a fire in an oven with the wood, if it is a new oven and by kindling the fire he hardened the oven and made it stronger for use in the future, then the oven must be shattered. Since forbidden items were used in the process of forming the oven, one may not derive benefit from the use of the forbidden items. But if it is an old oven it may be cooled; it is prohibited to use the oven only while it is still hot. If one baked bread with wood from the ashera as the fuel, it is prohibited to derive benefit from the bread. If this bread was intermingled with other bread, it is prohibited to derive benefit from all the bread. Rabbi Eliezer says: One must take the benefit and cast it into the Dead Sea. In other words, one is not required to destroy all of the loaves. Instead, one should designate money equal in value to the wood that he used from the ashera, and he should destroy this money to offset the benefit he derived from the forbidden wood. The Rabbis said to him: There is no monetary redemption for objects that are forbidden due to idol worship. Once the bread becomes forbidden, it cannot be redeemed by having the value of the forbidden wood cast into the Dead Sea. If one took wood from an ashera for use as a weaving shuttle [karkor], it is prohibited to derive benefit from it. If one wove a garment with it, it is prohibited to derive benefit from the garment. If the garment was intermingled with other garments, and those other garments were intermingled with others, it is prohibited to derive benefit from all of them. Rabbi Eliezer says: One must take the benefit and cast it into the Dead Sea. The Rabbis said to him: There is no monetary redemption for objects that are forbidden due to idol worship.", + "How does one revoke the idolatrous status of an ashera? If a gentile trimmed dry wood or pruned green wood from the tree for his own benefit, or if he removed from it a stick, or a rod, or even a leaf, he has thereby revoked its idolatrous status, as he has proven that he no longer worships it. If a gentile shaved down the tree for its own sake, to improve its appearance, it remains prohibited to derive benefit from it. If he shaved it down not for its own sake, it is permitted." + ], + [ + "Rabbi Yishmael says: Three stones that are adjacent to each other at the side of Mercury [Markulis] are prohibited, as that idol was worshipped by tossing stones toward it, which then became part of the idol. But if there are only two stones, then they are permitted. And the Rabbis say: Those stones that are adjacent to Mercury and appear to have fallen from it are prohibited. But those stones that are not adjacent to it are permitted.", + "If one found money, a garment, or vessels at the head of Mercury, these are permitted. If one found vine branches laden with clusters of grapes, or wreaths made of stalks, or containers of wine, oil, or flour, or any other item the likes of which is sacrificed on the altar there, it is prohibited.", + "In the case of an object of idol worship that had a garden or a bathhouse, one may derive benefit from them when it is not to the advantage of the idol worship, i.e., when he does not pay for his use, but one may not derive benefit from them when it is to their advantage, i.e., if one is required to pay for his use. If the garden or bathhouse belonged jointly to the place of idol worship and to others, one may derive benefit from them, both when it is to their advantage and when it is not to their advantage. ", + "A gentile’s object of idol worship is prohibited immediately, i.e., as soon as it is fashioned for that purpose, but a Jew’s object of idol worship is not prohibited until it is actually worshipped. A gentile can revoke the status of his object of idol worship and the status of the idol of another gentile, but a Jew cannot revoke the status of the object of idol worship of a gentile. One who revokes the status of an object of idol worship thereby revokes the status of its accessories. But if he revokes the status of its accessories, its accessories alone are rendered permitted, but the object of idol worship itself remains prohibited.", + "How does a gentile revoke the status of an object of idol worship? If he cut off the tip of its ear, or the tip of its nose, or its fingertip; or if he crushed it, even though he did not remove any part of it, in all these cases he thereby revoked its status as an object of idol worship. If he spat before the idol, urinated before it, dragged it on the ground, or threw excrement at it, the status of this idol is not revoked, as this is only a temporary display of scorn, and afterward the gentile might continue to worship the idol. If the gentile sold it or mortgaged it, Rabbi Yehuda HaNasi says: He thereby revoked its status. And the Rabbis say that he did not revoke its status.", + "With regard to an object of idol worship that was abandoned by its worshippers, if it was abandoned in peacetime, it is permitted, as it was evidently abandoned by choice and this constitutes an implicit revocation of its status as an object of idol worship. If it was abandoned in wartime, it is prohibited, as it was not abandoned by choice. With regard to the stone platforms of kings upon which idols are placed in honor of the kings, these are permitted, due to the fact that the idol is placed on these platforms only at the time that the kings pass by.", + "The gentiles asked the Jewish Sages who were in Rome: If it is not God’s will that people should engage in idol worship, why does He not elimi-nate it? The Sages said to them: Were people worshipping only objects for which the world has no need, He would eliminate it. But they worship the sun and the moon and the stars and the constellations. Should He destroy His world because of the fools? The gentiles said to the Sages: If so, let Him destroy those objects of idol worship for which the world has no need and leave those objects for which the world has a need. The Sages said to them: If that were to happen, we would thereby be supporting the worshippers of those objects for which the world has need, as they would say: You should know that these are truly gods, as they were not eliminated from the world, whereas the others were eliminated.", + "One may purchase from a gentile a winepress in which the grapes have been trodden on, despite the fact that the gentile takes grapes in his hand from the winepress and places them on the pile that remains to be trodden on. And the gentile’s touch does not render the juice of the grapes wine used for a libation in idol worship, which is forbidden, until it descends into the collection vat, because until then it does not have the status of wine. Once the wine descended into the collection vat, that which is in the vat is prohibited, and the rest, which did not yet descend into the vat, is permitted.", + "One may tread on grapes together with the gentile in the winepress, but one may not harvest grapes with him. After the harvest the grapes are brought to the winepress, which is ritually impure. This would render the grapes impure, and it is prohibited to render produce of Eretz Yisrael impure. In the case of a Jew who produces his wine in a state of ritual impurity, one may not tread on grapes nor harvest them with him, as it is prohibited to assist transgressors. But once he has produced his wine, one may take the barrels to the winepress with him, as the wine is already impure. And one may also bring the barrels from the winepress together with him. Similarly, in the case of a baker who makes his bread in a state of ritual impurity, one may not knead or arrange the dough in the shape of bread together with him, so as not to assist in a transgression. But one may take the bread with him to the bread merchant [lapalter].", + "In the case of a gentile who was found standing next to the wine collection vat, if there is a loan owed by the owner of the wine vat to the gentile, the wine is prohibited. Since the gentile maintains that he has a right to the owner’s property he has no compunctions about touching the wine. But if there is no loan owed by the owner of the wine vat to the gentile, the wine is permitted, as it is assumed that the gentile did not touch the wine that was not his. If a gentile fell into the wine collection vat and emerged from it, or if he measured the wine in the winepress with a pole without touching it with his hands, or if he cast a hornet out of the wine by means of a pole and the pole touched the wine, or where the gentile was removing the foam that was on the top of a fermenting barrel of wine; with regard to all these cases there was such an incident. And the Sages said that the wine may be sold to gentiles, as it is permitted to derive benefit from the wine, but not to drink it. And Rabbi Shimon deems the wine permitted even for drinking. In a case where a gentile took the barrel of wine and threw it, in his anger, into the wine collection vat, this was an incident that occurred and the Sages deemed the wine fit for drinking.", + "In the case of a Jew who renders the wine of a gentile permitted by treading the gentile’s grapes so that the wine can be sold to Jews, and although a Jew has not yet paid for the wine he then places the wine in the gentile’s domain in a house that is open to a public thoroughfare until he sells it, the halakha depends on the circumstances. If this occurs in a city in which there are both gentiles and Jews, the wine is permitted, as the gentile does not touch the wine lest the Jews see him doing so. If this occurs in a city in which all its inhabitants are gentiles, the wine is prohibited unless a Jew sits and safeguards the wine. But the watchman is not required to sit and guard the wine constantly; even if he frequently leaves the place and comes in again later, the wine is permitted. Rabbi Shimon ben Elazar says: The domain of gentiles is all one, as the Gemara will explain.", + "In the case of a Jew who renders the wine of a gentile permitted by treading the gentile’s grapes so that the wine can be sold to Jews, and he then places the wine in the gentile’s domain until he sells it, the halakha depends on the circumstances. If that one, the gentile, writes for the Jew: I received money from you in payment for the wine, even though he did not yet receive the actual payment, the wine is permitted. This is because the wine is considered the Jew’s property and the gentile does not venture to touch it. But if the Jew desires to remove the wine and the gentile does not allow him to do so until the Jew gives him the money due to him, this was an incident that occurred in Beit She’an and the Sages deemed the wine prohibited. In this case the gentile believes that he has a lien upon the wine, and therefore he has no compunctions about touching it." + ], + [ + "In the case of a gentile who hires a Jewish laborer to work with wine used for an idolatrous libation with him, his wage is forbidden, i.e., it is prohibited for the Jew to derive benefit from his wage. If the gentile hired him to do other work with him, even if he said to him while he was working with him: Transport the barrel of wine used for a libation for me from this place to that place, his wage is permitted, i.e., the Jew is permitted to derive benefit from the money. With regard to a gentile who rents a Jew’s donkey to carry wine used for a libation on it, its rental fee is forbidden. If he rented it to sit on it, even if a gentile placed his jug of wine used for a libation on it, its rental fee is permitted.", + "In the case of wine used for a libation that fell on grapes, one rinses them and they are permitted. But if the grapes were cracked, they are forbidden. In a case where the wine fell on figs or on dates, if there is sufficient wine in them to impart flavor, they are forbidden. And there was an incident involving Boethus ben Zunen, who transported dried figs in a ship, and a barrel of wine used for a libation broke and fell on them, and he asked the Sages as to the halakha, and the Sages deemed the figs permitted. This is the principle: Anything that benefits from a forbidden item imparting flavor to it, i.e., the forbidden item contributes a positive taste to it, is forbidden, and anything that does not benefit from a forbidden item imparting flavor to it is permitted, such as forbidden vinegar that fell onto split beans, as the flavor imparted by the vinegar does not enhance the taste of the beans.", + "With regard to a gentile who was transporting barrels of wine from one place to another place together with a Jew, if the wine was under the presumption of being supervised, it is permitted. But if the Jew notified him that he was going far away, the wine is forbidden if the Jew left for a sufficient amount of time for the gentile to bore a hole [sheyishtom] in the barrel, seal it again with plaster, and for the plaster to dry. Rabban Shimon ben Gamliel says: The wine is forbidden only if it was sufficient time for the gentile to open the barrel by removing the stopper altogether, stop it again by making a new stopper, and for the new stopper to dry.", + "With regard to one who placed his wine in a wagon or on a ship with a gentile, and went on his way by a shortcut [bekappendarya], such that the gentile does not know when the Jew will encounter him, even if the Jew entered the city and bathed, the wine is permitted, because the gentile would not use the wine for a libation, for fear the owner might catch him at it. If the Jew informed the gentile that he was going away for a long period of time, the wine is forbidden if it was sufficient time for the gentile to bore a hole in the barrel, seal it again with plaster, and for the plaster to dry. Rabban Shimon ben Gamliel says: It is forbidden only if it was sufficient time for him to open the barrel by removing the stopper altogether, stop it again, and for the new stopper to dry. With regard to one who left a gentile in his shop, even if the Jew went out and came in and was not there all the time, the wine is permitted. But if the Jew informed the gentile that he was going away for a long period of time, the wine is forbidden if it was sufficient time for the gentile to bore a hole in the barrel, seal it again with plaster, and for the plaster to dry. Rabban Shimon ben Gamliel says: The wine is forbidden only if it was sufficient time for him to open the barrel, stop it again, and for the new stopper to dry.", + "If a Jew was eating with a gentile at the table, and left jugs [laginin] of wine on the table and a jug on the side table [hadulebaki], and he left it and went out, what is on the table is forbidden, as it is likely that the gentile handled it, whereas what is on the side table is permitted. But if the Jew said to the gentile: Mix water with the wine and drink, even the jug that is on the side table is forbidden. Similarly, open barrels are forbidden, but sealed barrels are permitted unless the Jew was out of the room for sufficient time for the gentile to open the barrel by removing the stopper, and stop it again by making a new stopper, and for the new stopper to dry.", + "In the case of a military unit [boleshet] that entered a city, if it entered during peacetime, then after the soldiers leave the open barrels of wine are forbidden, but the sealed barrels are permitted. If the unit entered in wartime, both these barrels and those barrels are permitted, because in wartime there is no time to pour wine for libations, and one can be certain that the soldiers did not do so.", + "With regard to Jewish craftsmen to whom a gentile sent a barrel of wine used for a libation in lieu of their wage, it is permitted for them to say to him: Give us its monetary value instead. But once it has entered into their possession, it is prohibited for them to say so, as that would be tantamount to selling the wine to the gentile and deriving benefit from it. In the case of a Jew who sells his wine to a gentile, if he fixed a price before he measured the wine into the gentile’s vessel, deriving benefit from the money paid for the wine is permitted. It is not tantamount to selling wine used for a libation, as the gentile purchased the wine before it became forbidden, and the money already belonged to the Jew. But if the Jew measured the wine into the gentile’s vessel, thereby rendering it forbidden, before he fixed a price, the money paid for the wine is forbidden. In a case where a Jew took a funnel and measured wine into a gentile’s jug, and then measured wine with the same funnel into a Jew’s jug, if there is a remnant of wine left in the funnel, the wine measured into the Jew’s jug is forbidden, as some of the wine that was measured into the gentile’s jug is mixed in it. In the case of one who pours wine from one vessel into another vessel, the wine left in the vessel from which he poured is permitted, but the wine in the vessel into which he poured is forbidden.", + " Wine used for a libation is forbidden, and any amount of it renders other wine forbidden if they are mixed together. Wine used for a libation that became mixed with wine, or water that was used for an idolatrous libation that became mixed with ordinary water, renders the mixture forbidden with any amount of the forbidden wine or water; but wine used for a libation that became mixed with water, or water used for a libation that became mixed with wine renders the mixture forbidden only if the forbidden liquid is sufficient to impart flavor to the mixture, i.e., for the wine to flavor the water or for the water to dilute the wine to an extent that can be tasted. This is the principle: A substance in contact with the same type of substance renders the mixture forbidden with any amount of the forbidden substance, but a substance in contact with a different type of substance renders the mixture forbidden only in a case where it imparts flavor to it. ", + "These following items are themselves forbidden, and any amount of them renders other items with which they become mixed forbidden: Wine used for a libation; and objects of idol worship; and hides with a tear opposite the heart, indicating the idolatrous practice of sacrificing hearts of live animals. And this halakha also applies to an ox that has been condemned to be stoned (see Exodus 21:28), from which it is prohibited to derive benefit even before its sentence is carried out; and it applies to a heifer whose neck is broken when a person is found killed in an area between two cities and the murderer is unknown (see Deuteronomy 21:1–9), which is likewise forbidden from the time it is taken down to the river to be killed. In these cases, if the animal becomes mixed in a herd of similar animals, all of the animals in the herd are forbidden. And this halakha also applies to birds designated for the purification of a leper (Leviticus 14:1–6), and the shorn hair of a nazirite (Numbers 6:18), and a firstborn donkey (Exodus 13:13), and meat that was cooked in milk (Exodus 23:19), and the scape-goat of Yom Kippur (Leviticus 16:7–10), and the meat of a non-sacred animal that was slaughtered in the Temple courtyard. All of these are forbidden themselves, and any amount of them renders a mixture forbidden.", + " In the case of wine used for a libation that fell into a wine cistern, it is prohibited to derive benefit from all of the wine in the cistern, even if the volume of the wine used for a libation was tiny in comparison to the volume of the wine in the cistern. Rabban Shimon ben Gamliel says: All of the wine in the cistern may be sold to a gentile, and the money paid for it is permitted except for the value of the wine used for a libation that is included in it.", + "In the case of a stone winepress that a gentile lined with pitch and then poured wine onto the pitch to neutralize its flavor, one may cleanse it and it is pure, i.e., wine pressed in it is permitted. And if the winepress is fashioned of wood, Rabbi Yehuda HaNasi says: One may cleanse it, but the Rabbis say: One must peel off the pitch completely. And if the winepress is of earthenware, even if one peeled off the pitch, this press is forbidden.", + "One who purchases cooking utensils from the gentiles must prepare them for use by Jews in the following manner: With regard to those utensils whose manner of preparation is to immerse them in a ritual bath, as they require no further preparation, he must immerse them accordingly. With regard to those utensils whose manner of preparation is to purge them with boiling water, as those utensils are used with boiling water, e.g., pots, he must purge them accordingly. With regard to those whose manner of preparation is to heat until white-hot in the fire, as they are used for grilling, he must heat them until white-hot in the fire. Therefore, with regard to the spit [hashappud] and the grill [veha’askela], he must heat them until white-hot in the fire. With regard to the knife, he must polish it and it is rendered pure." + ] + ], + "versions": [ + [ + "William Davidson Edition - English", + "https://korenpub.com/collections/the-noe-edition-koren-talmud-bavli-1" + ] + ], + "heTitle": "משנה עבודה זרה", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/Hebrew/Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/Hebrew/Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..c2a3f3370c2b141296379d498f967d27de95db4e --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/Hebrew/Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri.json @@ -0,0 +1,85 @@ +{ + "language": "he", + "title": "Mishnah Avodah Zarah", + "versionSource": "https://archive.org/details/MishnaCorrectedKaufman00WHOLE", + "versionTitle": "Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri", + "status": "locked", + "license": "PD", + "digitizedBySefaria": true, + "actualLanguage": "he", + "languageFamilyName": "hebrew", + "isSource": true, + "isPrimary": true, + "direction": "rtl", + "heTitle": "משנה עבודה זרה", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "א\nלִפְנֵי אֵידֵיהֶן שֶׁלַּגּוֹיִם שְׁלֹשָׁה יָמִים, \nאָסוּר מִלָּשֵׂאת וּמִלָּתֵת עִמָּהֶן, \nמִלְּהַשְׁאִילָן וּמִלְּהַשְׁאִיל עִמָּהֶן, \nמִלְּהַלְווֹתָן וּמִלִּלְווֹת מֵהֶן, \nמִלְּפָרְעָן וּמִלִּפָּרַע מֵהֶן. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nנִפְרָעִין מֵהֶן, \nמִפְּנֵי שֶׁהוּא מֵצֵר. \nאָמְרוּ לוֹ: \nאַף עַל פִּי שֶׁהוּא מֵצֵר עַכְשָׁיו, \nשָׂמֵחַ הוּא לְאַחַר זְמַן. \n", + "רְבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר: \nשְׁלֹשָׁה לִפְנֵיהֶן וּשְׁלֹשָׁה לְאַחֲרֵיהֶן אָסוּר. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nלִפְנֵי אֵידֵיהֶן אָסוּר, \nלְאַחַר אֵידֵיהֶן, מֻתָּר. \n", + "ב\nאֵלּוּ אֵידֵיהֶן שֶׁלַּגּוֹיִם: \nקָלַנְטָס, \nוּסְטַרְגִילָיָה, \nוּקַרָטֵיסִים, \nוְיוֹם גְּנֶסְיָה שֶׁלַּמְּלָכִים, \nוְיוֹם הַלֵּדָה, \nוְיוֹם הַמִּיתָה. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nכָּל מִיתָה שֶׁיֶּשׁ בָּהּ שְׂרִיפָה, \nיֶשׁ בָּהּ עֲבוֹדָה זָרָה, \nוְשֶׁאֵין בָּהּ שְׂרִיפָה, \nאֵין בָּהּ עֲבוֹדָה זָרָה. \n\nג\nיוֹם תִּגְלַחַת זְקָנוֹ וּבַלּוֹרִיתוֹ, \nיוֹם שֶׁעָלָה בוֹ מִן הַיָּם, \nוְיוֹם שֶׁיָּצָא בוֹ מִבֵּית הָאֲסוּרִים, \nאֵינוּ אָסוּר אֶלָּא אוֹתוֹ הַיּוֹם, וְאוֹתוֹ הָאִישׁ. \n", + "ד\nעִיר שֶׁיֶּשׁ בָּהּ עֲבוֹדָה זָרָה, \nחוּצָה לָהּ מֻתָּר. \nהָיָה חוּצָה לָהּ עֲבוֹדָה זָרָה, \nתּוֹכָהּ מֻתָּר. \nמַה הוּא לֵילֵךְ לַשָּׁם? \nבִּזְמַן שֶׁהַדֶּרֶךְ מְיֻחֶדֶת לְאוֹתוֹ הַמָּקוֹם, \nאָסוּר. \nאִם יָכוֹל לֵילֵךְ בָּהּ מִמָּקוֹם אַחֵר, \nמֻתָּר. \nעִיר שֶׁיֶּשׁ בָּהּ עֲבוֹדָה זָרָה, \nוְהָיוּ בָהּ חֲנוּיוֹת מְעֻטָּרוֹת וְשֶׁאֵינָן מְעֻטָּרוֹת, \nזֶה הָיָה מַעֲשֶׂה בְבֵית שְׁאָן, \nוְאָמְרוּ חֲכָמִים: \nמְעֻטָּרוֹת אֲסוּרוֹת, \nוְשֶׁאֵינָן מְעֻטָּרוֹת מֻתָּרוֹת. \n", + "ה\nאֵלּוּ דְבָרִים אֲסוּרִין לִמְכֹּר לַגּוֹיִם: \nאִצְטֵרוֹבִילִין וּבְנוֹת שׁוּחַ בִּפְטְרוֹתֵיהֶן, \nוּלְבֵנָה, וְתַרְנְגוֹל לָבָן. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nמוֹכֵר לוֹ לָבָן בֵּין הַתַּרְנָגְלִים. \nבִּזְמַן שֶׁהוּא בִפְנֵי עַצְמוֹ, \nקוֹטֵעַ אֶת אֶצְבָּעוֹ וּמוֹכְרוֹ, \nשֶׁאֵין מַקְרִיבִין חָסֵר לַעֲבוֹדָה זָרָה. \nוּשְׁאָר כָּל הַדְּבָרִים, \nסְתָמָן מֻתָּר, \nוּפֵרוּשָׁן אָסוּר. \nרְבִּי מֵאִיר אוֹמֵר: \nאַף דָּקָל טָב וְחָצֵר וְנִקְלָבֵס, \nאָסוּר לִמְכֹּר לַגּוֹיִם. \n", + "ו\nמָקוֹם שֶׁנָּהֲגוּ לִמְכֹּר בְּהֵמָה דַקָּה לַגּוֹיִם, \nמוֹכְרִין; \nמָקוֹם שֶׁנָּהֲגוּ שֶׁלֹּא לִמְכֹּר, \nאֵין מוֹכְרִין. \nוְאַל יְשַׁנֶּה אָדָם, מִפְּנֵי הַמַּחְלְקוֹת! \nוּבְכָל מָקוֹם, \nאֵין מוֹכְרִין לָהֶם בְּהֵמָה גַסָּה, \nעֲגָלִים וּסְיָחִין, <וקייָחִין!>\nשְׁלֵמִים וּשְׁבוּרִין. \nרְבִּי יְהוּדָה מַתִּיר בִּשְׁבוּרָה. <יודה>\nבֶּן בְּתֵירָה מַתִּיר בַּסּוּס. \n", + "ז\nאֵין מוֹכְרִין לָהֶם דֻּבִּים וַאֲרָיוֹת, \nוְלֹא כָל דָּבָר שֶׁיֶּשׁ בּוֹ נְזִיקָה לָרַבִּים. \nאֵין בּוֹנִין עִמָּהֶן בָּסִילְקִי, \nוּגְרָדוֹן, אִסְטַדְיָה, וּבִימָה. \nאֲבָל בּוֹנִין עִמָּהֶן דִּימוֹסָיוֹת וּמַרְחָצָיוֹת. \nהִגִּיעוּ לַכִּפָּה שֶׁמַּעֲמִידִין בָּהּ עֲבוֹדָה זָרָה, \nאָסוּר לִבְנוֹתָהּ. \n", + "(וְאֵין עוֹשִׂים תַּכְשִׁיטִין לַעֲבוֹדָה זָרָה: \nקֻטְלָאוֹת, וּנְזָמִים וְטַבָּעוֹת; \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר: \nבְּשָׂכָר, מֻתָּר.) \n\nח\nאֵין מוֹכְרִין בִּמְחֻבָּר לַקַּרְקַע, \nאֲבָל מוֹכֵר הוּא מִשֶּׁיִּקָּצֵץ; \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: <יודה>\nמוֹכֵר לוֹ עַל מְנָת לָקוֹץ. \n\nט\nאֵין מַשְׂכִּירִין לָהֶם בָּתִּים לְאֶרֶץ יִשְׂרָאֵל, \nוְאֵין צֹרֶךְ לוֹמַר שָׂדוֹת; \nוּבְסוּרְיָה, \nמַשְׂכִּירִין בָּתִּים, אֲבָל לֹא שָׂדוֹת. \nוּבְחוּץ לָאָרֶץ, \nמוֹכְרִין בָּתִּים וּמַשְׂכִּירִין שָׂדוֹת. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nאַף בְּאֶרֶץ יִשְׂרָאֵל, \nמַשְׂכִּירִין לָהֶן בָּתִּים, \nוּבְסוּרְיָה, \nמוֹכְרִין בָּתִּים וּמַשְׂכִּירִין שָׂדוֹת, \nוּבְחוּץ לָאָרֶץ מוֹכְרִין אֵלּוּ וָאֵלּוּ. \n", + "י\nאַף בִּמְקוֹם שֶׁאָמְרוּ לְהַשְׂכִּיר, \nלֹא לְבֵית דִּירָה אָמָרוּ, \nמִפְּנֵי שֶׁהוּא מַכְנִיס לְתוֹכָהּ עֲבוֹדָה זָרָה, \nשֶׁנֶּאֱמַר: (דברים ז,כו) \n\"לֹא תָבִיא תוֹעֵבָה אֶל בֵּיתֶךָ, וְהָיִיתָ חֵרֶם כָּמֹהוּ,\nשַׁקֵּץ תְּשַׁקְּצֶנּוּ וְתַעֵב תְּתַעֲבֶנּוּ, כִּי חֵרֶם הוּא.\" \nבְּכָל מָקוֹם, \nלֹא יַשְׂכִּיר לוֹ אֶת הַמַּרְחֵץ, \nמִפְּנֵי שֶׁהִיא נִקְרֵאת עַל שְׁמוֹ. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nאֵין מַעֲמִידִין בְּהֵמָה בְפֻנְדְּקִנִית שֶׁלַּגּוֹיִם, \nמִפְּנֵי שֶׁהֵן חֲשׁוּדִין עַל הַבְּהֵמָה. \nלֹא תִתְיַחֵד אִשָּׁה עִמָּהֶן, \nמִפְּנֵי שֶׁהֵן חֲשׁוּדִין עַל הָעֲרָיוֹת. \nלֹא יִתְיַחֵד אָדָם עִמָּהֶן, \nמִפְּנֵי שֶׁהֵן חֲשׁוּדִין עַל שְׁפִיכוּת דָּמִים. \nבַּת יִשְׂרָאֵל לֹא תְיַלֵּד אֶת הַנָּכְרִית, \nאֲבָל נָכְרִית מְיַלֶּדֶת אֶת בַּת יִשְׂרָאֵל. \nבַּת יִשְׂרָאֵל לֹא תָנִיק אֶת בְּנָהּ שֶׁלַּנָּכְרִית; \nאֲבָל נָכְרִית מְנִיקָה אֶת בְנָהּ שֶׁלְּבַת יִשְׂרָאֵל בַּרְשׁוּתָהּ. \n", + "ב\nמִתְרַפִּין מֵהֶן רִפּוּי מָמוֹן, \nאֲבָל לֹא רִפּוּי נְפָשׁוֹת. \nאֵין מִסְתַּפְּרִין מֵהֶן בְּכָל מָקוֹם. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nבִּרְשׁוּת הָרַבִּים, מֻתָּר, \nאֲבָל לֹא בֵּינוֹ לְבֵינוֹ. \n", + "ג\nאֵלּוּ דְבָרִים שֶׁלַּגּוֹיִם אֲסוּרִין, \nוְאִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָיָה: \nהַיַּיִן, \nוְהַחֹמֶץ שֶׁלַּגּוֹיִם שֶׁהָיָה מִתְּחִלָּתוֹ יַיִן, \nוְחֶרֶס אַנְדְרְיָאנֵי, \nוְעוֹרוֹת לְבוּבִין. \nרַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר: \nבִּזְמַן שֶׁהַקֶּרַע שֶׁלּוֹ עָגֹל, אָסוּר, <שֶׁהַקְרְעַ!>\nוּמָשׁוּךְ, מֻתָּר. \nוּבָשָׂר הַנִּכְנָס לַעֲבוֹדָה זָרָה, מֻתָּר, \nוְהַיּוֹצֵא, אָסוּר, \nמִפְּנֵי שֶׁהוּא זִבְחֵי מֵתִים. \nדִּבְרֵי רְבִּי עֲקִיבָה. \nהַהוֹלְכִים לַתַּרְפּוּת, \nאָסוּר מִלָּשֵׂאת וּמִלִּתֵּן עִמָּהֶן, \nוְהַבָּאִין מֻתָּרִין. \n", + "ד\nנוֹדוֹת הַגּוֹיִם וְקִנְקְנֵיהֶן, \nוְיֵין יִשְׂרָאֵל כָּנוּס בָּהֶן, \nאֲסוּרִין, וְאִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָיָה. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nאֵין אִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָיָה. \n\nה <ו>\nהַחַרְצַנִּים וְהַזַּגִּין שֶׁלַּגּוֹיִם, \nאֲסוּרִין, וְאִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָיָה. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nאֵין אִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָיָה. \n\nו <ה כתוב בתחתית הדף על ידי המגיה>\nהַמֻּרְיָס וְהַגְּבִנָּה וְתִנְיָקֵי שֶׁלַּגּוֹיִם, \nאֲסוּרִין, וְאִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָיָה. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nאֵין אִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָיָה. \n", + "ז\nאָמַר רְבִּי יְהוּדָה: \nשָׁאַל רְבִּי יִשְׁמָעֵאל אֶת רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ \nכְּשֶׁהָיוּ מְהַלְּכִים בַּדֶּרֶךְ: \nמִפְּנֵי מָה אָסְרוּ גְבִינַת גּוֹיִם? <גְבִינַּת!>\nאָמַר לוֹ: \nמִפְּנֵי שֶׁמַּעֲמִידִין אוֹתָהּ בְּקֵבַת הַנְּבֵלָה. \nאָמַר לוֹ: \nוַהֲלֹא קֵבַת הָעוֹלָה חֲמוּרָה מִקֵּבַת הַנְּבֵלָה, \nוְאָמְרוּ \"כֹּהֵן שֶׁדַּעְתּוֹ יָפָה שׁוֹרְפָהּ חָיָה\"? \nוְלֹא הוֹדוּ לוֹ חֲכָמִים, אֶלָּא אָמְרוּ: \nלֹא נֶהְנִין וְלֹא מוֹעֲלִין. \n\nח\nאָמְרוּ לוֹ: \nמִפְּנֵי שֶׁמַּעֲמִידִין אוֹתָהּ בְּקֵבַת עֶגְלֵי עֲבוֹדָה זָרָה. \nאָמַר לוֹ: \nאִם כֵּן, \nלָמָּה לֹא אֲסָרוּהָ בַהֲנָיָה? \nוְהִשִּׂיאוֹ לְדָבָר אַחֵר. \nאָמַר לוֹ: \nיִשְׁמָעֵאל אָחִי! \nהֵיאָךְ אַתָּה קוֹרֵא: (שיר השירים א,ב) \n\"כִּי טוֹבִים דֹּדֶיךָ מִיָּיִן\", \nאוֹ: \n'כִּי טוֹבִים דֹּדַיִךְ'? \nאָמַר לוֹ: \n'כִּי טוֹבִים דֹּדַיִךְ מִיָּיִן'. \nאָמַר לוֹ: \nאֵין הַדָּבָר כֵּן, \nשֶׁהֲרֵי חֲבֵרוֹ מְלַמֵּד עָלָיו (שיר השירים א,ג) \n\"לְרֵיחַ שְׁמָנֶיךָ טוֹבִים\". \n", + "ט\nאֵלּוּ דְבָרִין שֶׁלַּגּוֹיִם אֲסוּרִין, \nוְאֵין אִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָיָה: \nחָלָב שֶׁחֲלָבוֹ גוֹי וְאֵין יִשְׂרָאֵל רוֹאֵהוּ, \nוְהַפַּת, וְהַשֶּׁמֶן שֶׁלָּהֶן, וְהַשְּׁלָקוֹת. \nרְבִּי וּבֵית דִּינוֹ הִתִּירוּ בַשֶּׁמֶן. \nוּכְבָשִׁין שֶׁדַּרְכָּן לָתֵת בָּהֶן יַיִן וָחֹמֶץ, \nוּטְרִית טְרוּפָה, \nוְצֵיר שֶׁאֵין בָּהּ דָּגָה, \nוְהַחִילֵּק, \nוְקֹרֶט שֶׁלַּחִלְתִּית, \nוּמֶלַח סְלָקוֹנְטִית, \nהֲרֵי אֵלּוּ אֲסוּרִין, \nוְאֵין אִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָיָה. \n", + "י\nאֵלּוּ מֻתָּרִין בַּאֲכִילָה: \nחָלָב שֶׁחֲלָבוֹ גוֹי וְיִשְׂרָאֵל רוֹאֵהוּ, \nהַדְּבַשׁ, \nוְהַדַּמְדְּמָנִיּוֹת, אַף עַל פִּי מְנַטְּפוֹת, \nאֵין בָּהֶן מִשֵּׁם הֶכְשֵׁר מַשְׁקֶה, \nוּכְבָשִׁין שֶׁאֵין דַרְכָּן לָתֵת בָּהֶן יַיִן וָחֹמֶץ, \nוּטְרִית שֶׁאֵינָה טְרוּפָה, \nוְצֵיר שֶׁיֶּשׁ בָּהּ דָּגָה, \nוְעָלֶה שֶׁלַּחִלְתִּית, <ועל!>\nוְזֵיתֵי קְלוֹסְקָה מְגֻלְגָּלִין. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nשְׁלוּחִין אֲסוּרִין. \nחֲגָבִים מִן הַסְּלִילָה, אֲסוּרִין, \nמִן הַאַפּוֹתֵק, מֻתָּרִין בִּתְרוּמָה. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nכָּל הַצְּלָמִים אֲסוּרִין, \nמִפְּנֵי שֶׁהֵן נֶעְבָּדִים אַחַת בַּשָּׁנָה. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nאֵינוּ אָסוּר, \nאֶלָּא כָל שֶׁיֶּשׁ לוֹ מַקֵּל, אוֹ צִפּוֹר, אוֹ כַדּוּר. \nרַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר: \nכָּל שֶׁיֶּשׁ בְּיָדוֹ כָל דָּבָר. \n", + "ב\nהַמּוֹצֵא שִׁבְרֵי צְלָמִים, \nהֲרֵי אֵלּוּ מֻתָּרִים. \nמָצָא תַבְנִית יָד, תַבְנִית רֶגֶל, \nהֲרֵי אֵלּוּ אֲסוּרִין, \nמִפְּנֵי שֶׁכַּיּוֹצֵא בָהֶן נֶעְבָּד. \n", + "ג\nהַמּוֹצֵא כֵלִים, \nוַעֲלֵיהֶם צוּרַת הַחַמָּה, \nצוּרַת הַלְּבָנָה, צוּרַת הַדְּרָקוֹן, \nיוֹלִיכֵם לְיָם הַמֶּלַח. \nרַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר \nעַל הַמְכֻבָּדִין, אֲסוּרִים, \nוְעַל הַנִּבְזִין, מֻתָּרִין. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nשׁוֹחֵק וְזוֹרֶה לָרוּחַ אוֹ מֵטִיל לַיָּם. \nאָמְרוּ לוֹ: \nאַף הוּא נֶעֱשָׂה זֶבֶל, \nשֶׁנֶּאֱמַר: (דברים יג,יח) \n\"וְלֹא יִדְבַּק בְּיָדְךָ מְאוּמָה מִן הַחֵרֶם\". \n", + "ד\nשָׁאַל פָּרַקְלוֹס בֶּן פְּלַסְלוֹס \nאֶת רַבָּן גַּמְלִיאֵל בְּעַכּוֹ, \nשֶׁהָיָה רוֹחֵץ בְּמַרְחֵץ שֶׁלְּאַפְרוֹדִיטִי, \nאָמַר לוֹ: \n\"כָּתוּב בְּתוֹרַתְכֶם: \n\"וְלֹא יִדְבַּק בְּיָדְךָ מְאוּמָה מִן הַחֵרֶם\", \nמִפְּנֵי מָה אַתָּה רוֹחֵץ בְּמַרְחֵץ שֶׁלְּאַפְרוֹדִיטִי?\" \nאָמַר לוֹ: \n\"אֵין מְשִׁיבִין בַּמַּרְחֵץ.\" \nוּכְשֶׁיָּצָא, אָמַר לוֹ: \n\"אֲנִי לֹא בָאתִי בִגְבוּלָהּ, \nהִיא בָאת בִּגְבוּלִי. \nאֵין אוֹמְרִים: \nנַעֲשָׂה מַרְחֵץ לְאַפְרוֹדִיטִי, \nאֶלָּא: \nנֶעְשֵׂית הִיא אַפְרוֹדִיטִי נוֹי לַמַּרְחֵץ. \n\nה\nדָּבָר אַחֵר: \nאִם נוֹתְנִין לָךְ מָמוֹן הַרְבֵּה, \nאַתָּה נִכְנָס לַעֲבוֹדָה זָרָה שֶׁלָּךְ \nעָרֹם וּבַעַל קֶרִי וּמַשְׁתִּין בְּפָנֶיהָ? \nוְזוֹ עוֹמֶדֶת עַל הַבִּיב, \nוְכָל הָעָם מַשְׁתִּינִין בְּפָנֶיהָ! \nלֹא נֶאֱמַר אֶלָּא \"אֱלֹהֵיהֶם\": \nאֶת שֶׁהוּא נוֹהֵג מִשֵּׁם אֱלוֹהַּ, אָסוּר, \nוְאֶת שֶׁאֵינוּ נוֹהֵג מִשֵּׁם אֱלוֹהַּ, מֻתָּר.\" \n", + "ו\nהַגּוֹיִם הָעוֹבְדִים אֶת הֶהָרִים וְאֶת הַגְּבָעוֹת, \nהֵן מֻתָּרִין, \nוּמַה שֶּׁעֲלֵיהֶן אֲסוּרִין, \nשֶׁנֶּאֱמַר: (דברים ז,כה) \n\"לֹא תַחְמֹד כֶּסֶף וְזָהָב עֲלֵיהֶם וְלָקַחְתָּ\". \nרְבִּי יוֹסֵה הַגָּלִילִי אוֹמֵר: (דברים יב,ב) \n\"אֱלֹהֵיהֶם עַל הֶהָרִים\", וְלֹא הֶהָרִים אֱלֹהֵיהֶם; \n\"אֱלֹהֵיהֶם... עַל הַגְּבָעוֹת\", וְלֹא הַגְּבָעוֹת אֱלֹהֵיהֶם. \n[וּמִפְּנֵי מָה אֲשֵׁרָה אֲסוּרָה?] \nמִפְּנֵי שֶׁיֶּשׁ בָּהּ תְּפִיסַת יַד אָדָם, \nוְכָל שֶׁיֶּשׁ בּוֹ תְפִיסַת יַד אָדָם אָסוּר. \n\nז\nאָמַר רְבִּי עֲקִיבָה: \nאֲנִי אֶהְיֶה אוֹבִין לְפָנֶיךָ: \nכָּל מָקוֹם שָׁאַתְּ מוֹצֵא \nהַר גָּבוֹהַּ, וְגִבְעָה נִשָּׂאָה, וְעֵץ רַעֲנָן, \nדַּע שֶׁיֶּשׁ שָׁם עֲבוֹדָה זָרָה. \n", + "ח\nמִי שֶׁהָיָה בֵיתוֹ סָמוּךְ לַעֲבוֹדָה זָרָה, וְנָפַל, \nאָסוּר לִבְנוֹתוֹ. \nכֵּיצַד יַעֲשֶׂה? \nכּוֹנֵס בְּתוֹךְ שֶׁלּוֹ וּבוֹנֶה. \nהָיָה שֶׁלּוֹ וְשֶׁלַּעֲבוֹדָה זָרָה, \nיִדּוֹן מַחְצָה לְמַחְצָה. \nאֲבָנָיו וְעֵצָיו וַעֲפָרוֹ מְטַמִּין כַּשֶּׁרֶץ, \nשֶׁנֶּאֱמַר: (דברים ז,כו) \n\"שַׁקֵּץ תְּשַׁקְּצֶנּוּ, וְתַעֵב תְּתַעֲבֶנּוּ, \nכִּי חֵרֶם הוּא.\" \nרְבִּי עֲקִיבָה אוֹמֵר: \nכַּנִּדָּה, שֶׁנֶּאֱמַר: (ישעיה ל,כב) \n\"תִּזְרֵם כְּמוֹ דָוָה, צֵא תֹאמַר לוֹ\". \nמַה הַנִּדָּה מְטַמָּא בַמַּשָּׂא, \nאַף עֲבוֹדָה זָרָה מְטַמָּא בַמַּשָּׂא. \n", + "ט\nשְׁלֹשָׁה בָתִּין הֵן: \nבַּיִת שֶׁבְּנָיוֹ מִתְּחִלָּה לְשֵׁם עֲבוֹדָה זָרָה, \nהֲרֵי זֶה אָסוּר; \nסִיְּדוֹ וְכִיְּרוֹ לְשֵׁם עֲבוֹדָה זָרָה, וְחִדֵּשׁ, \nנוֹטֵל מַה שֶּׁחִדֵּשׁ; \nהִכְנִיס לְתוֹכוֹ עֲבוֹדָה זָרָה, וְהוֹצִיאָהּ, \nהֲרֵי זֶה מֻתָּר. \n\nי\nשָׁלוֹשׁ אֲבָנִים הֵן: \nאֶבֶן שֶׁחֲצָבָהּ מִתְּחִלָּה לַבּוֹמָס, \nהֲרֵי זוֹ אֲסוּרָה; \nסִיְּדָהּ וְכִיְּרָהּ לְשֵׁם עֲבוֹדָה זָרָה, וְחִדֵּשׁ, \nנוֹטֵל מַה שֶּׁחִדֵּשׁ; \nהֶעֱמִיד עָלֶיהָ עֲבוֹדָה זָרָה, וְסִלְּקָהּ, \nהֲרֵי זוֹ מֻתֶּרֶת. \n\nיא\nשָׁלוֹשׁ אֲשֵׁרוֹת הֵן: \nאִילָן שֶׁנְּטָעוֹ מִתְּחִלָּה לְשֵׁם עֲבוֹדָה זָרָה, \nהֲרֵי זֶה אָסוּר; \nגִּדְּעוֹ וּפִסְּלוֹ לְשֵׁם עֲבוֹדָה זָרָה, וְהֶחֱלִיף, \nנוֹטֵל מַה שֶּׁהֶחֱלִיף; \nהֶעֱמִיד תַּחְתָּיו עֲבוֹדָה זָרָה, וּבִטְּלָהּ, \nהֲרֵי זֶה מֻתָּר. \n\nיב\nאֵי זוֹ הִיא אֲשֵׁרָה? \nכָּל שֶׁיֶּשׁ תַּחְתֶּיהָ עֲבוֹדָה זָרָה. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nכָּל שֶׁעוֹבְדִין אוֹתָהּ. \nמַעֲשֶׂה בְצַיְדָן, \nבְּאִילָן שֶׁהָיוּ עוֹבְדִין אוֹתוֹ, \nוְהָיָה תַחְתָּיו גַּל. \nאָמַר לָהֶן רְבִּי שִׁמְעוֹן: \n\"בִּדְקוּ אֶת הַגַּל הַזֶּה!\" \nוּבְדָקוּהוּ, וּמָצְאוּ בוֹ צוּרָה. \nאָמַר לָהֶן: \n\"הוֹאִיל וְלַצּוּרָה הֵן עוֹבְדִין, \nנַתִּיר לָהֶן אֶת הָאִילָן.\" \n", + "יג\nלֹא יֵשֵׁב בְּצִלָּהּ, \nוְאִם יָשַׁב, טָהוֹר. \nוְלֹא יַעֲבֹר תַּחְתֶּיהָ, \nוְאִם עָבַר, טָמֵא. \nהָיְתָה גוֹזֶלֶת אֶת הָרַבִּים, \nוְעָבַר תַּחְתֶּיהָ, טָהוֹר. \nוְזוֹרְעִין תַּחְתֶּיהָ יְרָקוֹת בִּימוֹת הַגְּשָׁמִים, \nאֲבָל לֹא בִימוֹת הַחַמָּה. \nוְהַחַזְרִין, \nלֹא בִימוֹת הַחַמָּה וְלֹא בִימוֹת הַגְּשָׁמִים. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nאַף לֹא יְרָקוֹת בִּימוֹת הַגְּשָׁמִין, \nמִפְּנֵי שֶׁהַנְּבִיָּה נוֹשֶׁרֶת, \nוַהֲוָת הֲנָאָה לָהֶם לַזֶּבֶל. \n", + "יד\nנָטַל מִמֶּנָּה עֵצִים וַאֲבָנִים, \nאֲסוּרִין בַּהֲנָיָה. \nהִסִּיק בָּהֶן אֶת הַתַּנּוּר, \nאִם חָדָשׁ, יֻתַּץ, \nוְאִם יָשָׁן, יָצֵן. \nאָפָה בוֹ אֶת הַפַּת, \nהַפַּת אֲסוּרָה בַהֲנָיָה; \nנִתְעָרְבָה בַאֲחֵרוֹת, \nכֻּלָּן אֲסוּרוֹת בַּהֲנָיָה. \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר: \nיוֹלִיךְ הֲנָיָה לְיָם הַמֶּלַח. \nאָמְרוּ לוֹ: \nאֵין פִּדָּיוֹן לַעֲבוֹדָה זָרָה. \n\nיה\nנָטַל מִמֶּנָּה כַרְכֵּד, \nאָסוּר בַּהֲנָיָה. \nאָרַג בּוֹ אֶת הַבֶּגֶד, \nהַבֶּגֶד אָסוּר בַּהֲנָיָה; \nנִתְעָרַב בַּאֲחֵרִים, \nכֻּלָּן אֲסוּרִין בַּהֲנָיָה. \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר: \nיוֹלִיךְ הֲנָיָה לְיָם הַמֶּלַח. \nאָמְרוּ לוֹ: \nאֵין פִּדָּיוֹן לַעֲבוֹדָה זָרָה. \n", + "יו\nכֵּיצַד מְבַטְּלָהּ? \nקִרְסֵם וְזֵרֵד, \nנָטַל מִמֶּנָּה מַקֵּל אוֹ שַׁרְבִּיט, \nאֲפִלּוּ עָלֶה, \nהֲרֵי זוֹ בְטֵלָה. \nשְׁפָיָהּ לְצָרְכָהּ, אֲסוּרָה; \nוְשֶׁלֹּא לְצָרְכָהּ, מֻתֶּרֶת. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nרְבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר: \nשָׁלוֹשׁ אֲבָנִים זוֹ בְצַד זוֹ בְּצַד הַמַּרְקוּלִיס, \nאֲסוּרוֹת; \nוּשְׁתַּיִם, מֻתָּרוֹת; \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nאֶת שֶׁהוּא נִרְאֶה עִמּוֹ, אֲסוּר, \nוְאֶת שֶׁאֵינוּ נִרְאֶה עִמּוֹ, מֻתָּר. \n", + "ב\nמָצָא בְרֹאשׁוֹ מָעוֹת, כְּסוּת, אֳכָלִים, \nהֲרֵי אֵלּוּ מֻתָּרִין. \nפַּרְכִירֵי עֲנָבִים, וְעַטְרוֹת שֶׁלַּשִּׁבֳּלִים, \nוְיֵינוֹת שְׁמָנִים וּסְלָתוֹת, \nוְכָל דָּבָר שֶׁכַּיּוֹצֵא בוֹ קָרֵב עַל גַּבֵּי הַמִּזְבֵּחַ, \nאָסוּר. \n", + "ג\nעֲבוֹדָה זָרָה שֶׁהָיָה לָהּ גַּנָּה וּמַרְחֵץ, \nנֶהְנִים מֵהֶן שֶׁלֹּא בְטוֹבָה, \nוְאֵין נֶהְנִין מֵהֶם בְּטוֹבָה. \nהָיָה שֶׁלָּהּ וְשֶׁלַּאֲחֵרִים, \nנֶהְנִין מֵהֶן בְּטוֹבָה וְשֶׁלֹּא בְטוֹבָה. \n", + "ד <ה>\nעֲבוֹדָה זָרָה שֶׁלַּנָּכְרִי, אֲסוּרָה מִיָּד, <מִיָּדוֹ!>\nוְשֶׁלְּיִשְׂרָאֵל, מִשֶּׁתֵּעָבֵד. <שֶׁלְּיִשְׂרָאֵל!> \nנָכְרִי מְבַטֵּל עֲבוֹדָה זָרָה שֶׁלּוֹ וְשֶׁלְּיִשְׂרָאֵל, \nיִשְׂרָאֵל אֵינוּ מְבַטֵּל עֲבוֹדָה זָרָה שֶׁלַּנָּכְרִי. \nהַמְבַטֵּל עֲבוֹדָה זָרָה, בִּטֵּל מְשַׁמְּשֶׁיהָ; \nבִּטֵּל מְשַׁמְּשֶׁיהָ, \nמְשַׁמְּשֶׁיהָ מְבֻטָּלִין וְהִיא אֲסוּרָה. \n", + "ה\nכֵּיצַד מְבַטְּלָהּ? \nקָטַע רֹאשׁ אָזְנָהּ, רֹאשׁ חוֹטָמָהּ, רֹאשׁ אֶצְבָּעָהּ, \nפְּחָסָהּ, אַף עַל פִּי שֶׁלֹּא חִסְּרָהּ, \nבִּטְּלָהּ. \nרָקַק בְּפָנֶיהָ, הִשְׁתִּין בְּפָנֶיהָ, \nגֵּרְדָהּ, זָרַק בָּהּ אֶת הַצּוֹאָה, \nהֲרֵי זוֹ אֵינָה בְטֵלָה. \nמְכָרָהּ אוֹ מִשְׁכְּנָהּ, \nרְבִּי אוֹמֵר: \nבִּטֵּל. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nלֹא בִטֵּל. \n", + "ו\nעֲבוֹדָה זָרָה שֶׁהִנִּיחוּהָ עוֹבְדֶיהָ, \nבְשָׁעַת שָׁלוֹם, מֻתֶּרֶת; \nבְּשָׁעַת מִלְחָמָה, אֲסוּרָה. \nבּוֹמְסָיוֹת שֶׁלַּמְּלָכִים, \nהֲרֵי אֵלּוּ מֻתָּרִים, \nמִפְּנֵי שֶׁמַּעֲמִידִין אוֹתוֹ \nבְּשָׁעָה שֶׁהַמְּלָכִים עוֹבְרִין. <בְּשָׁעָת!>\n", + "ז\nשָׁאֲלוּ אֶת הַזְּקֵנִים בְּרוֹמִי: \n\"אִם אֵין רְצוֹנוֹ בַעֲבוֹדָה זָרָה, \nמִפְּנֵי מָה אֵינוּ מְבַטְּלָהּ?\" \nאָמְרוּ לָהֶן: \n\"אִלּוּ לַדָּבָר שֶׁאֵין צֹרֶךְ הָעוֹלָם בּוֹ הָיוּ עוֹבְדִין, \nהָיָה מְבַטְּלוֹ; \nהֲרֵי אֵלּוּ עוֹבְדִין לַחַמָּה וְלַלְּבָנָה וְלַכּוֹכָבִים. \nיְאַבֵּד עוֹלָמוֹ מִפְּנֵי הַשּׁוֹטִין?\" \nאָמְרוּ לָהֶם: \n\"אִם כֵּן, \nיְאַבֵּד דָּבָר שֶׁאֵין צֹרֶךְ הָעוֹלָם בּוֹ, \nוִיקַיֵּם דָּבָר שֶׁצֹּרֶךְ הָעוֹלָם בּוֹ!\" \nאָמְרוּ לָהֶן: \n\"אַף אָנוּ מַחֲזִיקִין יְדֵי עוֹבְדֵיהֶם שֶׁלָּאֵלּוּ, \nוְיֹאמְרוּ: \nתֵּדְעוּ שֶׁהֵן אֱלוֹהוֹת, \nשֶׁהֲרֵי אֵלּוּ לֹא בָטְלוּ. \"\n", + "ח\nלוֹקְחִין גַּת בְּעוּטָה מִן הַנָּכְרִי, \nאַף עַל פִּי שֶׁהוּא נוֹטֵל בְּיָדוֹ וְנוֹתֵן הַתַּפּוּחַ, \nאֵינוּ נֶעֱשָׂה יַיִן נֶסֶךְ עַד שֶׁיֵּרֵד לַבּוֹר. \nיָרַד לַבּוֹר, \nמַה שֶּׁבַּבּוֹר אָסוּר, \nוְהַשְּׁאָר מֻתָּר. \n", + "ט\nדּוֹרְכִין עִם הַנָּכְרִי בַגַּת, \nאֲבָל לֹא בוֹצְרִין עִמּוֹ. \nיִשְׂרָאֵל שֶׁהוּא עוֹשֶׂה בְטֻמְאָה, \nלֹא דוֹרְכִין וְלֹא בוֹצְרִין עִמּוֹ, \nאֲבָל מוֹלִיכִין עִמּוֹ חֲבִיּוֹת לַגַּת \nוּמְבִיאִין עִמּוֹ מִן הַגַּת. \n\nי\nנַחְתּוֹם שֶׁהוּא עוֹשֶׂה בְטֻמְאָה, \nלֹא לָשִׁים וְלֹא עוֹרְכִים עִמּוֹ, \nאֲבָל מוֹלִיכִין עִמּוֹ פַת לַפְּלָטֵר. \n", + "יא <כ>\nנָכְרִי שֶׁנִּמְצָא עוֹמֵד בְּצַד הַבּוֹר שֶׁלַּיַּיִן, \nאִם יֵשׁ עָלָיו מַלְוָה, אָסוּר; \nאֵין לוֹ עָלָיו מַלְוָה, מֻתָּר. \nנָפַל לַבּוֹר וְעָלָה, \nמְדָדוֹ בַקָּנֶה, \nוְהָיָה מְטַפֵּחַ עַל פִּי חָבִית מְרֻתַּחַת, \nבְּכָל אֵלּוּ הָיָה מַעֲשֶׂה, וְאָמְרוּ: \nיִמָּכֵר. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן מַתִּיר. \nנָטַל אֶת הֶחָבִית וּזְרָקָהּ לַבּוֹר, \nזֶה הָיָה מַעֲשֶׂה, וְהִכְשִׁירוֹ. \n", + "יב\nהַמְטַהֵר יֵינוֹ שֶׁלַּנָּכְרִי וְנוֹתְנוֹ בִרְשׁוּתוֹ, \nבְּבַיִת שֶׁהוּא פָתוּחַ לִרְשׁוּת הָרַבִּים, \nבְּעִיר שֶׁיֶּשׁ בָּהּ גּוֹיִם וְיִשְׂרְאֵלִים, \nמֻתָּר; \nבְּעִיר שֶׁכֻּלָּהּ גּוֹיִם, \nאָסוּר, עַד שֶׁיּוֹשֵׁב שׁוֹמֵר. \nאֵין הַשּׁוֹמֵר צָרִיךְ לִהְיוֹת יוֹשֵׁב וּמְשַׁמֵּר, \nאַף עַל פִּי שֶׁהוּא יוֹצֵא וְנִכְנָס, \nמֻתָּר. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן בֶּן אֶלְעָזָר אוֹמֵר: \nכָּל רְשׁוּת הַגּוֹיִם אַחַת. \n", + "יג\nהַמְטַהֵר יֵינוֹ שֶׁלַּנָּכְרִי וְנוֹתְנוֹ בִרְשׁוּתוֹ, \nוְהַלָּה כוֹתֵב לוֹ <וְהַלָּא!>\nשֶׁ\"נִּתְקַבַּלְתִּי מִמָּךְ מָעוֹת\", \n[מֻתָּר.] \nאֲבָל אִם יִרְצֶה יִשְׂרָאֵל לְהוֹצִיאוֹ, \nאֵין מַנִּיחוֹ עַד שֶׁיִּתֵּן לוֹ אֶת מָעוֹתָיו. \nזֶה הָיָה מַעֲשֶׂה בְבֵית שְׁאָן, \nוְאָסְרוּ חֲכָמִים. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהַשּׂוֹכֵר אֶת הַפּוֹעֵל לַעֲשׁוֹת עִמּוֹ בְיַיִן נֶסֶךְ, \nשְׂכָרוֹ אָסוּר. \nשְׂכָרוֹ לַעֲשׁוֹת עִמּוֹ מְלָאכָה אַחֶרֶת, \nאַף עַל פִּי שֶׁאָמַר לוֹ: \n\"הַעֲבֵר לִי חָבִית שֶׁלְּיַיִן נֶסֶךְ מִמָּקוֹם לְמָקוֹם\", \nשְׂכָרוֹ מֻתָּר. \n\nב\nהַשּׂוֹכֵר אֶת הַחֲמוֹר לְהָבִיא עָלֶיהָ יַיִן נֶסֶךְ, \nשְׂכָרָהּ אָסוּר. \nשְׂכָרָהּ לֵישֵׁב עָלֶיהָ, \nאַף עַל פִּי שֶׁהִנִּיחַ לָגִינוֹ עָלֶיהָ, \nשְׂכָרָהּ מֻתָּר. \n", + "ג\nיַיִן נֶסֶךְ שֶׁנָּפַל עַל גַּבֵּי עֲנָבִים, יְדִיחֵם, \nוְהֵן מֻתָּרוֹת; \nאִם הָיוּ מְבֻקָּעוֹת, אֲסוּרוֹת. \nנָפַל עַל גַּבֵּי תְאֵנִים אוֹ עַל גַּבֵּי תְמָרִים, \nאִם יֶשׁ בָּהֶן בְּנוֹתֵן טַעַם, אָסוּר. \nמַעֲשֶׂה בְבוֹיְתַס בֶּן זֵנוֹן, \nשֶׁהָיָה מֵבִיא גְּרוֹגְרוֹת בִּסְפִינָה, \nוְנִשְׁתַּבְּרָה חָבִית שֶׁלְּיַיִן נֶסֶךְ עַל גַּבֵּיהֶם, \nוּבָא מַעֲשֶׂה לִפְנֵי חֲכָמִים וְהִכְשִׁירוּ. \nזֶה הַכְּלָל: \nכָּל שֶׁהוּא בַּהֲנָיָתוֹ בְנוֹתֵן טַעַם, אָסוּר; \nכָּל שֶׁאֵינוּ בַּהֲנָיָתוֹ בְנוֹתֵן טַעַם, מֻתָּר, \nכְּגוֹן הַחֹמֶץ שֶׁנָּפַל לַגְּרִיסִים. \n", + "ד\nנָכְרִי שֶׁהָיָה מַעֲבִיר עִם יִשְׂרָאֵל כַּדֵּי יַיִן מִמָּקוֹם לְמָקוֹם, \nאִם הָיָה בְחֶזְקַת מִשְׁתַּמֵּר, \nמֻתָּר. \nוְאִם מוֹדִיעוֹ שֶׁהוּא מַפְלִיג, \nכְּדֵי שֶׁיִּשְׁתֹּם וְיַחְתֹּם וְיִגַּב, \nרַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר: \nכְּדֵי שֶׁיִּפְתַּח וְיִגֹּף וְתִגַּב. \n", + "ה\nהַמַּנִּיחַ יֵינוֹ בַקָּרוֹן אוֹ בַסְּפִינָה, \nוְהָלַךְ לוֹ לְקַפֻּנְדַּרְיָה, \nנִכְנַס לַמְּדִינָה וְרָחַץ, מֻתָּר. \nאִם מוֹדִיעוֹ שֶׁהוּא מַפְלִיג, \nכְּדֵי שֶׁיִּשְׁתֹּם וְיִסְתֹּם וְיִגַּב; \nרַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר: \nכְּדֵי שֶׁיִּפְתַּח וְיִגֹּף וְתִגַּב. \n\nו\nהַמַּנִּיחַ נָכְרִי בַחֲנוּתוֹ, \nאַף עַל פִּי שֶׁהוּא יוֹצֵא וְנִכְנָס, מֻתָּר. \nאִם מוֹדִיעוֹ שֶׁהוּא מַפְלִיג, \nכְּדֵי שֶׁיִּשְׁתֹּם וְיִסְתֹּם וְיִגַּב; \nרַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר: \nכְּדֵי שֶׁיִּפְתַּח וְיִגֹּף וְתִגַּב. \n", + "ז\nהָיָה אוֹכֵל עִמּוֹ עַל הַשֻּׁלְחָן, \nוְהִנִּיחַ לְפָנָיו לָגִין עַל הַשֻּׁלְחָן, \nוְלָגִין עַל הַדְּלָפְקִי, \nוְהִנִּיחוֹ וְיָצָא, \nמַה שֶּׁעַל הַשֻּׁלְחָן אָסוּר, \nוּמַה שֶּׁעַל הַדְּלָפְקִי מֻתָּר. \nאִם אָמַר לוֹ: \n\"הֱוֶי מוֹזֵג וְשׁוֹתֶה!\" \nאַף שֶׁעַל הַדְּלָפְקִי אָסוּר. \nחֲבִיּוֹת פְּתוּחוֹת, אֲסוּרוֹת, \nוּסְתוּמוֹת, כְּדֵי שֶׁיִּפְתַּח וְיִגֹּף וְתִגַּב. \n", + "ח\nבֹּלֶשֶׁת שֶׁנִּכְנְסָה לָעִיר בְּשָׁעַת שָׁלוֹם, \nחֲבִיּוֹת פְּתוּחוֹת אֲסוּרוֹת, \nוּסְתוּמוֹת מֻתָּרוֹת. \nבְּשָׁעַת מִלְחָמָה, \nאֵלּוּ וָאֵלּוּ מֻתָּרוֹת, \nשֶׁאֵין פְּנַי לְנַסֵּךְ. \n", + "ט\nאֻמָּנִים יִשְׂרָאֵל, \nשֶׁשִּׁלַּח לָהֶם נָכְרִי חָבִית שֶׁלְּיַיִן נֶסֶךְ, \nמֻתָּר שֶׁיֹּאמְרוּ לוֹ: \n\"תֶּן לָנוּ אֶת דָּמֶיהָ!\" \nאִם מִשֶּׁנִּכְנְסָה לִרְשׁוּתָן, \nאָסוּר. \n\nי\nהַמּוֹכֵר יֵינוֹ לַנָּכְרִי, \nפִּסֵּק עַד שֶׁלֹּא מָדַד, \nדָּמָיו מֻתָּרִין. \nמָדַד עַד שֶׁלֹּא פִסֵּק, \nדָּמָיו אֲסוּרִין. \nנָטַל אֶת הַמַּשְׁפֵּךְ וּמָדַד לְתוֹךְ צְלוֹחִיתוֹ, \nנְטָלוֹ וּמָדַד לְתוֹךְ צְלוֹחִיתוֹ שֶׁלְּיִשְׂרָאֵל, \nאִם יֶשׁ בּוֹ עִקְבַת יַיִן, \nאָסוּר. \nהַמְּעָרֶה מִכֶּלִי לְכֶלִי, \nהַמְּעָרֶה מִמֶּנּוּ מֻתָּר, \nוְאֶת שֶׁהֶעֱרָה לְתוֹכוֹ אָסוּר. \n", + "יא\nיַיִן נֶסֶךְ אָסוּר וְאוֹסֵר כָּל שֶׁהוּא. \nיַיִן בְּיַיִן וּמַיִם בְּמַיִם, \nכָּל שֶׁהוּא. \nיַיִן בְּמַיִם וּמַיִם בְּיַיִן, \nבְּנוֹתֵן טַעַם. \nזֶה הַכְּלָל: \nמִין בְּמִינוֹ כָל שֶׁהוּא, \nוְשֶׁלֹּא בְּמִינוֹ, בְּנוֹתֵן טַעַם. \n", + "יב\nאֵלּוּ אֲסוּרִין וְאוֹסְרִין כָּל שֶׁהֵן: \nיַיִן נֶסֶךְ, \nוַעֲבוֹדָה זָרָה, \nוְעוֹרוֹת לְבוּבִין, \nוְשׁוֹר הַנִּסְקָל, \nוְעֶגְלָה עֲרוּפָה, \nוְצִפֳּרֵי מְצֹרָע, \nוּשְׂעַר נָזִיר, \nוּפֶטֶר חֲמוֹר, \nוּבָשָׂר בֶּחָלָב, \nוְחֻלִּים שֶׁנִשְׁחָטוּ בָעֲזָרָה, \nהֲרֵי אֵלּוּ אֲסוּרִין, \nוְאוֹסְרִין כָּל שֶׁהֵן. \n", + "יג\nיַיִן נֶסֶךְ שֶׁנָּפַל לַבּוֹר, \nכֻּלּוֹ אָסוּר בַּהֲנָיָה. \nרַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר: \nיִמָּכֵר כֻּלּוֹ לַגּוֹיִם, \nחוּץ מִדְּמֵי יַיִן נֶסֶךְ שֶׁיֵּשׁ בּוֹ. \n", + "יד\nגַּת שֶׁלָּאֶבֶן שֶׁזְּפָתָהּ גּוֹי, \nמְנַגְּבָהּ, וְהִיא טְהוֹרָה. \nוְשֶׁלָּעֵץ, \nרְבִּי אוֹמֵר: \nיְנַגֵּב. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nיִקְלֹף אֶת הַזֶּפֶת. \nוְשֶׁלַּחֶרֶס, \nאַף עַל פִּי שֶׁקִּלֵּף אֶת הַזֶּפֶת, \nהֲרֵי זוֹ אֲסוּרָה. \n", + "הַלּוֹקֵחַ כְּלִי תַשְׁמִישׁ מִן הַגּוֹי, \nאֶת שֶׁדַּרְכּוֹ לְהַטְבִּיל, יַטְבִּיל, \nלְהַגְעִיל, יַגְעִיל, \nלְלַבֵּן בָּאוּר, יְלַבֵּן. \nהַשְּׁפוּד וְהָאַסְכָּלָה, מְלַבְּנָן בָּאוּר. \nוְהַסְּכִין, שָׁפָהּ וְהִיא טְהוֹרָה. \n\nחסל עבודה זרה \n\n\n\n" + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/Hebrew/Mishnah, ed. Romm, Vilna 1913.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/Hebrew/Mishnah, ed. Romm, Vilna 1913.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..427f655ce03daa06d0f6d291b5f32962cc716284 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/Hebrew/Mishnah, ed. Romm, Vilna 1913.json @@ -0,0 +1,89 @@ +{ + "language": "he", + "title": "Mishnah Avodah Zarah", + "versionSource": "https://www.nli.org.il/he/books/NNL_ALEPH001741739", + "versionTitle": "Mishnah, ed. Romm, Vilna 1913", + "status": "locked", + "priority": 2.0, + "license": "Public Domain", + "digitizedBySefaria": true, + "heversionSource": "http://primo.nli.org.il/primo_library/libweb/action/dlDisplay.do?vid=NLI&docId=NNL_ALEPH00174173", + "versionTitleInHebrew": "משנה, מהדורת בית דפוס ראם, וילנא 1913", + "actualLanguage": "he", + "languageFamilyName": "hebrew", + "isBaseText": true, + "isSource": true, + "isPrimary": true, + "direction": "rtl", + "heTitle": "משנה עבודה זרה", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "לפני אידיהן של עכומ\"ז שלשה ימים אסור לשאת ולתת עמהן. להשאילן. ולשאול מהן. להלוותן. וללוות מהן. לפורען. ולפרוע מהן. רבי יהודה אומר נפרעין מהן מפני שהוא מיצר לו. אמרו לו אף על פי שמיצר הוא עכשיו. שמח הוא לאחר זמן: ", + "רבי ישמעאל אומר שלשה ימים לפניהם ושלשה ימים לאחריהם אסור. וחכמים אומרים לפני אידיהן אסור. לאחר אידיהן מותר: ", + "ואלו אידיהן של עכו\"ם. קלנדא. וסטרנורא. וקרטסים. ויום גנוסיא של מלכים. ויום הלידה. ויום המיתה. דברי רבי מאיר. וחכמים אומרים כל מיתה שיש בה שרפה. יש בה עבודה זרה. ושאין בה שרפה. אין בה עבודה זרה. יום תגלחת זקנו ובלוריתו יום שעלה בו מן הים. ויום שיצא בו מבית האסורים. ועכו\"ם שעשה משתה לבנו. אינו אסור אלא אותו היום. ואותו האיש בלבד: ", + "עיר שיש בה עבודה זרה חוצה לה מותר. היה חוצה לה עבודה זרה. תוכה מותר. מהו לילך לשם. בזמן שהדרך מיוחדת לאותו מקום. אסור. ואם היה יכול להלך בה למקום אחר מותר. עיר שיש בה עבודה זרה. והיו בה חנויות מעוטרות. ושאינן מעוטרות. זה היה מעשה בבית שאן. ואמרו חכמים המעוטרות. אסורות, ושאינן מעוטרות מותרות: ", + "אלו דברים אסורים למכור לעובד כוכבים. אצטרובלין ובנות שוח ופטוטרותיהן ולבונה ותרנגול הלבן. רבי יהודה אומר מותר למכור לו לבן בין התרנגולין. ובזמן שהוא בפני עצמו קוטע את אצבעו ומוכרו לו לפי שאין מקריבין חסר לעבודה זרה. ושאר כל הדברים סתמן מותר ופירושן אסור. רבי מאיר אומר אף דקל טב וחצב. ונקליבם. אסור למכור לעכו\"ם: ", + "מקום שנהגו למכור בהמה דקה לעכו\"ם מוכרין. מקום שנהגו שלא למכור אין מוכרין. ובכל מקום אין מוכרין להם בהמה גסה. עגלים וסייחים שלמים ושבורין. רבי יהודה מתיר בשבורה. ובן בתירה מתיר בסוס: ", + "אין מוכרין להם דובין ואריות וכל דבר שיש בו נזק לרבים. אין בונין עמהם בסילקי. גרדום. ואצטדיא ובימה. אבל בונים עמהם בימוסיאות. ובית מרחצאות. הגיעו לכיפה. שמעמידין בה עבודה זרה אסור לבנות. ", + "ואין עושים תכשיטין לעבודה זרה. קוטלאות. ונזמים. וטבעות. רבי אליעזר אומר. בשכר מותר. אין מוכרין להם במחובר לקרקע. אבל מוכר הוא משיקצץ. רבי יהודה אומר מוכר הוא לו על מנת לקוץ. אין משכירין להם בתים בארץ ישראל. ואין צריך לומר שדות. ובסוריא משכירין להם בתים אבל לא שדות. ובחוץ לארץ מוכרין להם בתים ומשכירין שדות. דברי רבי מאיר. רבי יוסי אומר בארץ ישראל משכירין להם בתים אבל לא שדות. ובסוריא מוכרין בתים. ומשכירין שדות. ובחוצה לארץ מוכרין אלו ואלו: ", + "אף במקום שאמרו להשכיר. לא לבית דירה אמרו. מפני שהוא מכניס לתוכו עבודה זרה שנאמר (דברים ז, כו) לא תביא תועבה אל ביתך. ובכל מקום לא ישכיר לו את המרחץ. מפני שהוא נקרא על שמו: " + ], + [ + "אין מעמידין בהמה בפונדק אות של עכו\"ם. מפני שחשודין על הרביעה. ולא תתיחד אשה עמה מפני שחשודין על העריות. ולא יתיחד אדם עמהן מפני שחשודין על שפיכת דמים. בת ישראל לא תילד את עובדת כוכבים. מפני שמילדת בן לעבודה זרה. אבל עובדת כוכבים מילדת בת ישראל. בת ישראל לא תניק בנה של עובדת כוכבים. אבל עובדת כוכבי' מניקה בנה של ישראלית ברשותה: ", + "מתרפאין מהן רפוי ממון אבל לא רפוי נפשות. ואין מסתפרין מהן בכל מקום דברי רבי מאיר וחכמים אומרים ברשות הרבים מותר אבל לא בינו לבינו: ", + "אלו דברים של עכו\"ם אסורין. ואיסורן איסור הנאה. היין. והחומץ של עכו\"ם שהיה מתחלתו יין. וחרס הדרייני. ועורות לבובין. רבן שמעון בן גמליאל אומר בזמן שהקרע שלו עגול אסור. משוך מותר. בשר הנכנס לעבודה זרה מותר. והיוצא אסור מפני שהוא כזבחי מתים. דברי רבי עקיבא. ההולכין לתרפות. אסור לשאת ולתת עמהם. והבאין מותרין: ", + "נודות העכו\"ם וקנקניהן. ויין של ישראל כנוס בהן. אסורין. ואיסורן איסור הנאה. דברי רבי מאיר. וחכמים אומרים אין איסורן איסור הנאה. החרצנים והזגין של עכו\"ם אסורין. ואיסורן איסור הנאה. דברי רבי מאיר. וחכמים אומרין לחין אסורין. יבשין מותרין. המורייס וגבינות בית אונייקי של עכו\"ם אסורין ואיסורן איסור הנאה. דברי רבי מאיר. וחכמים אומרים אין איסורן איסור הנאה: ", + "אמר רבי יהודה שאל רבי ישמעאל את רבי יהושע כשהיו מהלכין בדרך אמר לו מפני מה אסרו גבינות העכו\"ם. אמר לו מפני שמעמידין אותה בקיבה של נבלה. אמר לו והלא קיבת עולה חמורה מקיבת נבלה ואמרו כהן שדעתו יפה. שורפה חיה. ולא הודו לו. אבל אמרו אין נהנין ולא מועלין חזר אמר לו מפני שמעמידין אותה בקיבת עגלי עבודה זרה. אמר לו אם כן למה לא אסרוה בהנאה. השיאו לדבר אחר. אמר לו ישמעאל אחי. היאך אתה קורא (שיר השירים א, ב) כי טובים דודיך מיין. או כי טובים דודייך. אמר לו כי טובים דודייך. אמר לו אין הדבר כן שהרי חבירו מלמד עליו לריח שמניך טובים: ", + "אלו דברים של עכו\"ם אסורין ואין איסורן איסור הנאה. חלב שחלבו עכו\"ם ואין ישראל רואהו. והפת והשמן שלהן. רבי ובית דינו התירו בשמן ושלקות וכבשין שדרכן לתת לתוכן יין וחומץ וטרית טרופה. וציר שאין בה דגה כלבית שוטטת בו. והחילק וקורט של חלתית. ומלח סלקונטית. הרי אלו אסורין. ואין איסורן איסורה נאה: ", + "אלו מותרין באכילה. חלב שחלבו עכו\"ם וישראל רואהו. והדבש. והדבדניות אף על פי שמנטפין. אין בהם משום הכשר משקה. וכבשין שאין דרכן לתת לתוכן יין וחומץ. וטרית שאינה טרופה. וציר שיש בה דגה. ועלה של חלתית. וזיתים גלוסקאות המגולגלין. רבי יוסי אומר השלוחין אסורין. החגבים הבאים מן הסלולה אסורין. מן ההפתק מותרין. וכן לתרומה. " + ], + [ + "כל הצלמים אסורים. מפני שהן נעבדין פעם אחת בשנה דברי רבי מאיר. וחכמים אומרים אינו אסור אלא כל שיש בידו מקל. או צפור. או כדור. רבן שמעון בן גמליאל אומר כל שיש בידו כל דבר: ", + "המוצא שברי צלמים. הרי אלו מותרים. מצא תבנית יד או תבנית רגל. הרי אלו אסורים. מפני שכיוצא בהן נעבד: ", + "המוצא כלים. ועליהם צורת חמה. צורת לבנה. צורת דרקון. יוליכם לים המלח. רבן שמעון בן גמליאל אומר שעל המכובדין אסורים. שעל המבוזין מותרין. רבי יוסי אומר שוחק וזורה לרוח. או מטיל לים אמרו לו אף הוא נעשה זבל. שנאמר (דברים יג, יח) ולא ידבק בידך מאומה מן החרם: ", + "שאל פרוקלוס בן פלוספוס את רבן גמליאל בעכו שהיה רוחץ במרחץ של אפרודיטי. אמר לו כתוב בתורתכם ולא ידבק בידך מאומה מן החרם מפני מה אתה רוחץ במרחץ של אפרודיטי. אמר לו אין משיבין במרחץ. וכשיצא אמר לו אני לא באתי בגבולה. היא באתה בגבולי. אין אומרים נעשה מרחץ לאפרודיטי נוי. אלא אומרים נעשה אפרודיטי נוי למרחץ. דבר אחר אם נותנין לך ממון הרבה אי אתה נכנס לעבודה זרה שלך ערום. ובעל קרי. ומשתין בפניה. וזו עומדת על פי הביב. וכל העם משתינין לפניה. לא נאמר אלא אלהיהם את שנוהג בו משום אלוה אסור. ואת שאינו נוהג בו משום אלוה מותר: ", + "הגוים העובדים את ההרים. ואת הגבעות. הן מותרין ומה שעליהם אסורים. שנאמר (דברים ז, כה) לא תחמוד כסף וזהב עליהם ולקחת. רבי יוסי הגלילי אומר (דברים ז, יב) אלהיהם על ההרים ולא ההרים אלהיהם. אלהיהם על הגבעות. ולא הגבעות אלהיהם. ומפני מה אשרה אסורה. מפני שיש בה תפיסת יד אדם. וכל שיש בה תפיסת ידי אדם אסור. אמר רבי עקיבא אני אובין ואדון לפניך. כל מקום שאתה מוצא הר גבוה. וגבעה נשאה. ועץ רענן. דע שיש שם עבודה זרה: ", + "מי שהיה ביתו סמוך לעבודה זרה. ונפל. אסור לבנותו. כיצד יעשה כונס בתוך שלו ארבע אמות ובונה. היה שלו ושל עבודה זרה. נדון מחצה על מחצה. אבניו עציו ועפרו. מטמאין כשרץ. שנאמר (דברים ז, כו) שקץ תשקצנו. רבי עקיבא אומר כנדה. שנאמר (ישעיה ל, כב) תזרם כמו דוה צא תאמר לו. מה נדה מטמאה במשא. אף עבודה זרה מטמאה במשא: ", + "שלשה בתים הן. בית שבנוי מתחלה לעבודה זרה. הרי זה אסור. סיידו וכיירו לעבודה זרה. וחידש. נוטל מה שחידש. הכניס לתוכה עבודה זרה והוציאה. הרי זה מותר. שלש אבנים הן. אבן שחצבה מתחלה לבימוס. הרי זו אסורה. סיירה וכיירה לשם עבודה זרה וחידש נוטל מה שחידש. העמיד עליה עבודה זרה וסילקה. הרי זו מותרת. שלש אשרות הן. אילן שנטעו מתחלה לשם עבודה זרה. הרי זו אסורה. גידעו ופסלו לשם עבודה זרה. והחליף נוטל מה שהחליף. העמיד תחתיה עבודה זרה וביטלה הרי זה מותר. איזו היא אשרה. כל שיש תחתיה עבודה זרה. רבי שמעון אומר כל שעובדין אותה. ומעשה בצידן באילן שהיו עובדין אותו ומצאו תחתיו גל. אמר להן רבי שמעון בדקו את הגל הזה. ובדקוהו ומצאו בו צורה. אמר להן הואיל ולצורה הן עובדין. נתיר להן את האילן: ", + "לא ישב בצלה. ואם ישב טהור. ולא יעבור תחתיה. ואם עבר טמא. היתה גוזלת את הרבים. ועבר תחתיה. טהור. וזורעין תחתיה ירקות בימות הגשמים. אבל לא בימות החמה. והחזרין לא בימות החמה ולא בימות הגשמים. רבי יוסי אומר אף לא ירקות בימות הגשמים. מפני שהנמייה נושרת עליהן. והוה להן לזבל: ", + "נטל ממנה עצים. אסורין בהנאה. הסיק בהן את התנור. אם חדש יותץ. ואם ישן יוצן. אפה בו את הפת. אסורה בהנאה. נתערבה באחרות. כולן אסורות בהנאה. רבי אליעזר אומר יוליך הנאה לים המלח. אמרו לו אין פדיון לעבודה זרה. נטל הימנה כרכור אסור בהנאה ארג בו את הבגד. הבגד אסור בהנאה. נתערב באחרים ואחרים באחרים. כולן אסורין בהנאה. רבי אליעזר אומר יוליך הנאה לים המלח. אמרו לו אין פדיון לעבודה זרה: ", + "כיצד מבטלה. קירסם וזירד. נטל ממנה מקל או שרביט. אפילו עלה. הרי זו בטלה. שפייה לצורכה אסורה. שלא לצורכה מותרת: " + ], + [ + "רבי ישמעאל אומר שלש אבנים זו בצד זו. בצד מרקוליס אסורות. ושתים מותרות. וחכמים אומרים שנראות עמו אסורות. ושאין נראות עמו מותרות: ", + "מצא בראשו מעות. כסות. או כלים. הרי אלו מותרין. פרכילי ענבים. ועטרות של שבלים. ויינות ושמנים. וסלתות. וכל דבר שכיוצא בו קרב על גבי המזבח. אסור: ", + "עבודה זרה שהיה לה גינה. או מרחץ. נהנין מהן שלא בטובה ואין נהנין מהן בטובה. היה שלה ושל אחרים נהנין מהן בין בטובה ובין שלא בטובה: ", + "עבודה זרה של נכרי. אסורה מיד. ושל ישראל. אין אסורה עד שתיעבד. נכרי מבטל עבודה זרה שלו. ושל חברו. וישראל אין מבטל עבודה זרה של נכרי. המבטל עבודה זרה ביטל משמשיה. ביטל משמשיה. משמשיה מותרין. והיא אסורה: ", + "כיצד מבטלה. קטע ראש אזנה. ראש חוטמה. ראש אצבעה. פחסה. אף על פי שלא חיסרה. בטלה. רקק בפניה. השתין בפניה. גררה וזרק בה את הצואה. הרי זו אינה בטילה. מכרה או משכנה. רבי אומר ביטל. וחכמים אומרים. לא ביטל: ", + "עבודה זרה שהניחוה עובדיה. בשעת שלום מותרת. בשעת מלחמה אסורה. בימוסיאות של מלכים הרי אלו מותרות. מפני שמעמידין אותם בשעה שהמלכים עוברים: ", + "שאלו את הזקנים ברומי. אם אין רצונו עבודה זרה למה אינו מבטלה. אמרו להן אילו לדבר שאין צורך לעולם בו היו עובדין. היה מבטלו. הרי הן עובדין לחמה. וללבנה. ולכוכבים. ולמזלות. יאבד עולמו מפני השוטים. אמרו להם אם כן יאבד דבר שאין צורך לעולם בו. ויניח דבר שצורך העולם בו. אמרו להן אף אנו מחזיקין ידי עובדיהם של אלו. שאומרים תדעו שהן אלוהות. שהרי הן לא בטלו: ", + "לוקחין גת בעוטה מן העכו\"ם אף על פי שהוא נוטל בידו ונותן לתפוח. ואינו נעשה יין נסך עד שירד לבור. ירד לבור מה שבבור אסור. והשאר מותר: ", + "דורכין עם העובד כוכבים בגת אבל לא בוצרין עמו. ישראל שהוא עושה בטומאה. לא דורכין ולא בוצרין עמו. אבל מוליכין עמו חביות לגת. ומביאין עמו מן הגת. נחתום שהוא עושה בטומאה. לא לשין ולא עורכין עמו. אבל מוליכין עמו פת לפלטר: ", + "עובד כוכבים שנמצא עומד בצד הבור של יין. אם יש לו עליו מלוה אסור. אין לו עליו מלוה מותר. נפל לבור ועלה. ומדדו בקנה. התיז את הצרעה בקנה או שהיה מטפח על פי חבית מרותחת. בכל אלו היה מעשה. ואמרו ימכר. ורבי שמעון מתיר. נטל את החבית וזרקה בחמתו לבור. זה היה מעשה והכשירו: ", + "המטהר יינו של עכו\"ם ונותנו ברשותו בבית הפתוח לרשות הרבים. בעיר שיש בה עכו\"ם וישראלים. מותר. בעיר שכולה עכו\"ם אסור עד שיושיב שומר. ואין השומר צריך להיות יושב ומשמר. אף על פי שהוא יוצא ונכנס מותר. רבי שמעון בן אלעזר אומר כל רשות עכו\"ם אחת היא: ", + "המטהר יינו של עכו\"ם ונותנו ברשותו. והלה כותב לו התקבלתי ממך מעות מותר. אבל אם ירצה ישראל להוציאו. ואינו מניחו עד שיתן לו את מעותיו. זה היה מעשה בבית שאן ואסרו חכמים: " + ], + [ + "השוכר את הפועל לעשות עמו ביין נסך. שכרו אסור. שכרו לעשות עמו מלאכה אחרת. אף על פי שאמר לו העבר לי חבית של יין נסך ממקום למקום. שכרו מותר. השוכר את החמור להביא עליה יין נסך. שכרה אסור. שכרה לישב עליה אף על פי שהניח העובד כוכבים לגינו עליה. שכרה מותר: ", + "יין נסך שנפל על גבי ענבים. ידיחן והן מותרות. ואם היו מבוקעות אסורות. נפל על גבי תאנים. או על גבי תמרים אם יש בהן בנותן טעם אסור. מעשה בביתס בן זונן שהביא גרוגרות בספינה ונשתברה חבית של יין נסך ונפל על גביהן ושאל לחכמים והתירום. זה הכלל כל שבהנאתו בנותן טעם. אסור. כל שאין בהנאתו בנותן טעם. מותר. כגון חומץ שנפל על גבי גריסין: ", + "עובד כוכבים שהיה מעביר עם ישראל כדי יין ממקום למקום אם היה בחזקת המשתמר. מותר. אם הודיעו שהוא מפליג. כדי שישתום ויסתום ויגוב. רבן שמעון בן גמליאל אומר כדי שיפתח ויגוף ותיגוב: ", + "המניח יינו בקרון או בספינה והלך לו בקפנדריא. נכנס למדינה. ורחץ. מותר. אם הודיעו שהוא מפליג. כדי שישתום ויסתום ויגוב. רבן שמעון בן גמליאל אומר כדי שיפתח. ויגוף ותיגוב. המניח עובד כוכבים בחנות אף על פי שהוא יוצא ונכנס. מותר. ואם הודיעו שהוא מפליג. כדי שישתום ויסתום ויגוב. רבן שמעון בן גמליאל אומר כדי שיפתח ויגוף. ותיגוב: ", + "היה אוכל עמו על השלחן. והניח לגינה על השלחן. ולגינה על הדולבקי והניחו ויצא. מה שעל השלחן אסור. ומה שעל הדולבקי מותר. ואם אמר לו הוי מוזג ושותה. אף שעל הדולבקי אסור. חביות פתוחות אסורות. סתומות כדי שיפתח ויגוף ותיגוב: ", + "בלשת עובדי כוכבים שנכנסה לעיר. בשעת שלום. חביות פתוחות אסורות. סתומות מותרות. בשעת מלחמה אלו ואלו מותרות. לפי שאין פנאי לנסך: ", + "אומנין של ישראל ששלח להם עובד כוכבים חבית של יין נסך בשכרן. מותרים לומר לו תן לנו את דמיה ואם משנכנסה לרשותן אסור. המוכר יינו לעובד כוכבים פסק עד שלא מדד. דמיו מותרין. מדד עד שלא פסק. דמיו אסורין. נטל את המשפך ומדד לתוך צלוחיתו של עובד כוכבים. וחזר ומדד לתוך צלוחיתו של ישראל. אם יש בו עכבת יין אסור. המערה מכלי אל כלי. את שעירה ממנו. מותר. ואת שעירה לתוכו. אסור: ", + "יין נסך. אסור ואוסר בכל שהוא. יין ביין. ומים במים. בכל שהוא. יין במים. ומים ביין. בנותן טעם. זה הכלל מין במינו במשהו. ושלא במינו. בנותן טעם: ", + "אלו אסורין ואוסרין בכל שהן. יין נסך. ועבודה זרה. ועורות לבובין. ושור הנסקל. ועגלה ערופה. וצפורי מצורע. ושער נזיר. ופטר חמור. ובשר בחלב. ושעיר המשתלח. וחולין שנשחטו בעזרה. הרי אלו אסורין ואוסרין בכל שהן: ", + "יין נסך שנפל לבור. כולו אסור בהנאה. רבן שמעון בן גמליאל אומר ימכר כולו לנכרי חוץ מדמי יין נסך שבו: ", + "גת של אבן שזפתה עובד כוכבים. מנגבה והיא טהורה. ושל עץ. רבי אומר ינגב. וחכמים אומרים יקלוף את הזפת. ושל חרס. אף על פי שקלף את הזפת. הרי זו אסורה: ", + "הלוקח כלי תשמיש מן העובדי כוכבים. את שדרכו להטביל יטביל. להגעיל. יגעיל. ללבן באור. ילבן באור. השפוד. והאסכלה. מלבנן באור. הסכין. שפה. והיא טהורה: נשלמה מסכת עבודה זרה " + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/Hebrew/Torat Emet 357.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/Hebrew/Torat Emet 357.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..2d68bd5b479fc5f42ae229b0165b566c87a18688 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/Hebrew/Torat Emet 357.json @@ -0,0 +1,87 @@ +{ + "language": "he", + "title": "Mishnah Avodah Zarah", + "versionSource": "http://www.toratemetfreeware.com/index.html?downloads", + "versionTitle": "Torat Emet 357", + "status": "locked", + "priority": 3.0, + "license": "Public Domain", + "versionTitleInHebrew": "תורת אמת 357", + "actualLanguage": "he", + "languageFamilyName": "hebrew", + "isBaseText": true, + "isSource": true, + "isPrimary": true, + "direction": "rtl", + "heTitle": "משנה עבודה זרה", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "לִפְנֵי אֵידֵיהֶן שֶׁל גּוֹיִם שְׁלשָׁה יָמִים אָסוּר לָשֵׂאת וְלָתֵת עִמָּהֶן, לְהַשְׁאִילָן וְלִשְׁאֹל מֵהֶן, לְהַלְוֹתָן וְלִלְוֹת מֵהֶן, לְפָרְעָן וְלִפָּרַע מֵהֶן. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, נִפְרָעִין מֵהֶן מִפְּנֵי שֶׁהוּא מֵצֵר לוֹ. אָמְרוּ לוֹ, אַף עַל פִּי שֶׁמֵּצֵר הוּא עַכְשָׁיו, שָׂמֵחַ הוּא לְאַחַר זְמָן: \n", + "רַבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר, שְׁלשָׁה יָמִים לִפְנֵיהֶם וּשְׁלשָׁה יָמִים לְאַחֲרֵיהֶם, אָסוּר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לִפְנֵי אֵידֵיהֶן אָסוּר, לְאַחַר אֵידֵיהֶן מֻתָּר: \n", + "וְאֵלּוּ אֵידֵיהֶן שֶׁל גּוֹיִם, קָלֶנְדָּא, וּסְטַרְנוּרָא, וּקְרָטֵסִים, וְיוֹם גְּנֻסְיָא שֶׁל מְלָכִים, וְיוֹם הַלֵּידָה, וְיוֹם הַמִּיתָה, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, כָּל מִיתָה שֶׁיֶּשׁ בָּהּ שְׂרֵפָה, יֶשׁ בָּהּ עֲבוֹדָה זָרָה. וְשֶׁאֵין בָּהּ שְׂרֵפָה, אֵין בָּה עֲבוֹדָה זָרָה. יוֹם תִּגְלַחַת זְקָנוֹ וּבְלוֹרִיתוֹ, יוֹם שֶׁעָלָה בוֹ מִן הַיָּם, וְיוֹם שֶׁיָּצָא בוֹ מִבֵּית הָאֲסוּרִים, וְגוֹי שֶׁעָשָׂה מִשְׁתֶּה לִבְנוֹ, אֵינוֹ אָסוּר אֶלָּא אוֹתוֹ הַיּוֹם וְאוֹתוֹ הָאִישׁ בִּלְבָד: \n", + "עִיר שֶׁיֶּשׁ בָּהּ עֲבוֹדָה זָרָה, חוּצָה לָהּ מֻתָּר. הָיָה חוּצָה לָהּ עֲבוֹדָה זָרָה, תּוֹכָהּ מֻתָּר. מַהוּ לֵילֵךְ לְשָׁם. בִּזְמַן שֶׁהַדֶּרֶךְ מְיֻחֶדֶת לְאוֹתוֹ מָקוֹם, אָסוּר. וְאִם הָיָה יָכוֹל לְהַלֵּךְ בָּהּ לְמָקוֹם אַחֵר, מֻתָּר. עִיר שֶׁיֶּשׁ בָּהּ עֲבוֹדָה זָרָה וְהָיוּ בָהּ חֲנֻיּוֹת מְעֻטָּרוֹת וְשֶׁאֵינָן מְעֻטָּרוֹת, זֶה הָיָה מַעֲשֶׂה בְּבֵית שְׁאָן, וְאָמְרוּ חֲכָמִים, הַמְעֻטָּרוֹת אֲסוּרוֹת וְשֶׁאֵינָן מְעֻטָּרוֹת מֻתָּרוֹת: \n", + "אֵלּוּ דְבָרִים אֲסוּרִים לִמְכֹּר לְגוֹיִם, אִצְטְרוֹבָּלִין, וּבְנוֹת שׁוּחַ וּפְטוֹטְרוֹתֵיהֶן, וּלְבוֹנָה, וְתַרְנְגוֹל הַלָּבָן. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מֻתָּר לִמְכּוֹר לוֹ תַּרְנְגוֹל לָבָן בֵּין הַתַּרְנְגוֹלִין. וּבִזְמַן שֶׁהוּא בִפְנֵי עַצְמוֹ, קוֹטֵעַ אֶת אֶצְבָּעוֹ וּמוֹכְרוֹ לוֹ, לְפִי שֶׁאֵין מַקְרִיבִין חָסֵר לַעֲבוֹדָה זָרָה. וּשְׁאָר כָּל הַדְּבָרִים, סְתָמָן מֻתָּר, וּפֵרוּשָׁן אָסוּר. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, אַף דֶּקֶל טָב וַחֲצָב וְנִקְלִיבָם אָסוּר לִמְכֹּר לְגוֹיִם: \n", + "מְקוֹם שֶׁנָּהֲגוּ לִמְכֹּר בְּהֵמָה דַקָּה לְגוֹיִם, מוֹכְרִין. מְקוֹם שֶׁנָּהֲגוּ שֶׁלֹּא לִמְכֹּר, אֵין מוֹכְרִין. וּבְכָל מָקוֹם אֵין מוֹכְרִין לָהֶם בְּהֵמָה גַסָּה, עֲגָלִים וּסְיָחִים, שְׁלֵמִים וּשְׁבוּרִין. רַבִּי יְהוּדָה מַתִּיר בִּשְׁבוּרָה. וּבֶן בְּתֵירָה מַתִּיר בְּסוּס: \n", + "אֵין מוֹכְרִין לָהֶם דֻּבִּין וַאֲרָיוֹת וְכָל דָּבָר שֶׁיֶּשׁ בּוֹ נֵזֶק לָרַבִּים. אֵין בּוֹנִין עִמָּהֶם בָּסִילְקִי, גַּרְדּוֹם, וְאִצְטַדְיָא, וּבִימָה. אֲבָל בּוֹנִים עִמָּהֶם בִּימוֹסְיָאוֹת וּבֵית מֶרְחֲצָאוֹת. הִגִּיעוּ לַכִּפָּה שֶׁמַּעֲמִידִין בָּהּ עֲבוֹדָה זָרָה, אָסוּר לִבְנוֹת: \n", + "וְאֵין עוֹשִׂין תַּכְשִׁיטִין לַעֲבוֹדָה זָרָה, קֻטְלָאוֹת וּנְזָמִים וְטַבָּעוֹת. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, בְּשָׂכָר מֻתָּר. אֵין מוֹכְרִין לָהֶם בִּמְחֻבָּר לַקַּרְקַע, אֲבָל מוֹכֵר הוּא מִשֶּׁיִּקָּצֵץ. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מוֹכֵר הוּא לוֹ עַל מְנָת לָקוֹץ. אֵין מַשְׂכִּירִין לָהֶם בָּתִּים בְּאֶרֶץ יִשְׂרָאֵל, וְאֵין צָרִיךְ לוֹמַר שָׂדוֹת. וּבְסוּרְיָא מַשְׂכִּירִין לָהֶם בָּתִּים, אֲבָל לֹא שָׂדוֹת. וּבְחוּץ לָאָרֶץ מוֹכְרִין לָהֶם בָּתִּים וּמַשְׂכִּירִין שָׂדוֹת, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, בְּאֶרֶץ יִשְׂרָאֵל מַשְׂכִּירִין לָהֶם בָּתִּים, אֲבָל לֹא שָׂדוֹת. וּבְסוּרְיָא מוֹכְרִין בָּתִּים וּמַשְׂכִּירִין שָׂדוֹת. וּבְחוּצָה לָאָרֶץ מוֹכְרִין אֵלּוּ וָאֵלּוּ: \n", + "אַף בִּמְקוֹם שֶׁאָמְרוּ לְהַשְׂכִּיר, לֹא לְבֵית דִּירָה אָמְרוּ, מִפְּנֵי שֶׁהוּא מַכְנִיס לְתוֹכוֹ עֲבוֹדָה זָרָה, שֶׁנֶּאֱמַר (דברים ז) וְלֹא תָבִיא תוֹעֵבָה אֶל בֵּיתֶךָ. וּבְכָל מָקוֹם לֹא יַשְׂכִּיר לוֹ אֶת הַמֶּרְחָץ, מִפְּנֵי שֶׁהוּא נִקְרָא עַל שְׁמוֹ: \n" + ], + [ + "אֵין מַעֲמִידִין בְּהֵמָה בְּפֻנְדְּקָאוֹת שֶׁל גּוֹיִם, מִפְּנֵי שֶׁחֲשׁוּדִין עַל הָרְבִיעָה. וְלֹא תִתְיַחֵד אִשָּׁה עִמָּהֶן, מִפְּנֵי שֶׁחֲשׁוּדִין עַל הָעֲרָיוֹת. וְלֹא יִתְיַחֵד אָדָם עִמָּהֶן, מִפְּנֵי שֶׁחֲשׁוּדִין עַל שְׁפִיכַת דָּמִים. בַּת יִשְׂרָאֵל לֹא תְיַלֵּד אֶת הַנָּכְרִית, מִפְּנֵי שֶׁמְּיַלֶּדֶת בֵּן לַעֲבוֹדָה זָרָה. אֲבָל נָכְרִית מְיַלֶּדֶת בַּת יִשְׂרָאֵל. בַּת יִשְׂרָאֵל לֹא תָנִיק בְּנָהּ שֶׁל נָכְרִית, אֲבָל נָכְרִית מְנִיקָה בְנָהּ שֶׁל יִשְׂרְאֵלִית בִּרְשׁוּתָהּ: \n", + "מִתְרַפְּאִין מֵהֶן רִפּוּי מָמוֹן, אֲבָל לֹא רִפּוּי נְפָשׁוֹת. וְאֵין מִסְתַּפְּרִין מֵהֶן בְּכָל מָקוֹם, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, בִּרְשׁוּת הָרַבִּים מֻתָּר, אֲבָל לֹא בֵינוֹ לְבֵינוֹ: \n", + "אֵלּוּ דְבָרִים שֶׁל גּוֹיִם אֲסוּרִין וְאִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה. הַיַּיִן, וְהַחֹמֶץ שֶׁל גּוֹיִם שֶׁהָיָה מִתְּחִלָּתוֹ יַיִן, וְחֶרֶס הַדְרִיָּנִי, וְעוֹרוֹת לְבוּבִין. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, בִּזְמַן שֶׁהַקֶּרַע שֶׁלּוֹ עָגוֹל, אָסוּר. מָשׁוּךְ, מֻתָּר. בָּשָׂר הַנִּכְנָס לַעֲבוֹדָה זָרָה, מֻתָּר. וְהַיּוֹצֵא, אָסוּר, מִפְּנֵי שֶׁהוּא כְזִבְחֵי מֵתִים, דִּבְרֵי רַבִּי עֲקִיבָא. הַהוֹלְכִין לַתַּרְפּוּת, אָסוּר לָשֵׂאת וְלָתֵת עִמָּהֶם. וְהַבָּאִין, מֻתָּרִין: \n", + "נוֹדוֹת הַגּוֹיִם וְקַנְקַנֵּיהֶן וְיַיִן שֶׁל יִשְׂרָאֵל כָּנוּס בָּהֶן, אֲסוּרִין, וְאִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין אִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה. הַחַרְצַנִּים וְהַזַּגִּין שֶׁל גּוֹיִם אֲסוּרִין, וְאִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לַחִין, אֲסוּרִין, יְבֵשִׁין, מֻתָּרִין. הַמֻּרְיָס וּגְבִינוֹת בֵּית אֻנְיָקִי שֶׁל גּוֹיִם אֲסוּרִין, וְאִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין אִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה: \n", + "אָמַר רַבִּי יְהוּדָה, שָׁאַל רַבִּי יִשְׁמָעֵאל אֶת רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, כְּשֶׁהָיוּ מְהַלְּכִין בַּדֶּרֶךְ. אָמַר לוֹ, מִפְּנֵי מָה אָסְרוּ גְבִינוֹת הַגּוֹיִם. אָמַר לוֹ, מִפְּנֵי שֶׁמַּעֲמִידִין אוֹתָהּ בְּקֵבָה שֶׁל נְבֵלָה. אָמַר לוֹ, וַהֲלֹא קֵבַת עוֹלָה חֲמוּרָה מִקֵּבַת נְבֵלָה, וְאָמְרוּ, כֹּהֵן שֶׁדַּעְתּוֹ יָפָה, שׂוֹרְפָהּ חַיָּה. וְלֹא הוֹדוּ לוֹ, אֲבָל אָמְרוּ, אֵין נֶהֱנִין וְלֹא מוֹעֲלִין. חָזַר, אָמַר לוֹ, מִפְּנֵי שֶׁמַּעֲמִידִין אוֹתָהּ בְּקֵבַת עֶגְלֵי עֲבוֹדָה זָרָה. אָמַר לוֹ, אִם כֵּן, לָמָּה לֹא אֲסָרוּהָ בַהֲנָאָה. הִשִּׂיאוֹ לְדָבָר אַחֵר, אָמַר לוֹ, יִשְׁמָעֵאל אָחִי, הֵיאַךְ אַתָּה קוֹרֵא (שיר השירים א), כִּי טוֹבִים דֹּדֶיךָ מִיָּיִן, אוֹ כִּי טוֹבִים דֹּדַיִךְ. אָמַר לוֹ, כִּי טוֹבִים דֹּדַיִךְ. אָמַר לוֹ, אֵין הַדָּבָר כֵּן, שֶׁהֲרֵי חֲבֵרוֹ מְלַמֵּד עָלָיו, לְרֵיחַ שְׁמָנֶיךָ טוֹבִים: \n", + "אֵלּוּ דְבָרִים שֶׁל גּוֹיִם אֲסוּרִין וְאֵין אִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה. חָלָב שֶׁחֲלָבוֹ גוֹי וְאֵין יִשְׂרָאֵל רוֹאֵהוּ, וְהַפַּת, וְהַשֶּׁמֶן שֶׁלָּהֶן. רַבִּי וּבֵית דִּינוֹ הִתִּירוּ בַשֶּׁמֶן. וּשְׁלָקוֹת, וּכְבָשִׁין שֶׁדַּרְכָּן לָתֵת לְתוֹכָן יַיִן וָחֹמֶץ, וְטָרִית טְרוּפָה, וְצִיר שֶׁאֵין בָּהּ דָּגָה כִלְבִּית שׁוֹטֶטֶת בּוֹ, וְהַחִלָּק, וְקֹרֶט שֶׁל חִלְתִּית, וּמֶלַח סַלְקוֹנְטִית, הֲרֵי אֵלּוּ אֲסוּרִין וְאֵין אִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה: \n", + "אֵלּוּ מֻתָּרִין בַּאֲכִילָה. חָלָב שֶׁחֲלָבוֹ גוֹי וְיִשְׂרָאֵל רוֹאֵהוּ. וְהַדְּבַשׁ. וְהַדַּבְדָּנִיּוֹת אַף עַל פִּי שֶׁמְּנַטְּפִין, אֵין בָּהֶם מִשּׁוּם הֶכְשֵׁר מַשְׁקֶה. וּכְבָשִׁין שֶׁאֵין דַּרְכָּן לָתֵת לְתוֹכָן יַיִן וָחֹמֶץ. וְטָרִית שֶׁאֵינָהּ טְרוּפָה. וְצִיר שֶׁיֶּשׁ בָּהּ דָּגָה. וְעָלֶה שֶׁל חִלְתִּית. וְזֵיתִים גְּלֻסְקָאוֹת הַמְגֻלְגָּלִין. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, הַשְּׁלוּחִין, אֲסוּרִין. הַחֲגָבִים הַבָּאִים מִן הַסְּלוּלָה, אֲסוּרִין. מִן הַהַפְתֵּק, מֻתָּרִין. וְכֵן לִתְרוּמָה: \n" + ], + [ + "כָּל הַצְּלָמִים אֲסוּרִים, מִפְּנֵי שֶׁהֵן נֶעֱבָדִין פַּעַם אַחַת בַּשָּׁנָה, דִבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵינוֹ אָסוּר אֶלָּא כָל שֶׁיֵּשׁ בְּיָדוֹ מַקֵּל אוֹ צִפּוֹר אוֹ כַדּוּר. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, כֹּל שֶׁיֵּשׁ בְּיָדוֹ כָל דָּבָר: ", + "הַמּוֹצֵא שִׁבְרֵי צְלָמִים, הֲרֵי אֵלּוּ מֻתָּרִים. מָצָא תַבְנִית יָד אוֹ תַבְנִית רֶגֶל, הֲרֵי אֵלּוּ אֲסוּרִים, מִפְּנֵי שֶׁכַּיּוֹצֵא בָהֶן נֶעֱבָד: ", + "הַמּוֹצֵא כֵלִים וַעֲלֵיהֶם צוּרַת חַמָּה, צוּרַת לְבָנָה, צוּרַת דְּרָקוֹן, יוֹלִיכֵם לְיָם הַמֶּלַח. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, שֶׁעַל הַמְכֻבָּדִין, אֲסוּרִים. שֶׁעַל הַמְבֻזִּין, מֻתָּרִין. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, שׁוֹחֵק וְזוֹרֶה לָרוּחַ אוֹ מַטִּיל לַיָּם. אָמְרוּ לוֹ, אַף הוּא נַעֲשֶׂה זֶבֶל, שֶׁנֶּאֱמַר (דברים יג) וְלֹא יִדְבַּק בְּיָדְךָ מְאוּמָה מִן הַחֵרֶם: ", + "שָׁאַל פְּרוֹקְלוֹס בֶּן פִלוֹסְפוֹס אֶת רַבָּן גַּמְלִיאֵל בְּעַכּוֹ, שֶׁהָיָה רוֹחֵץ בַּמֶּרְחָץ שֶׁל אַפְרוֹדִיטִי, אָמַר לוֹ, כָּתוּב בְּתוֹרַתְכֶם, וְלֹא יִדְבַּק בְּיָדְךָ מְאוּמָה מִן הַחֵרֶם. מִפְּנֵי מָה אַתָּה רוֹחֵץ בַּמֶּרְחָץ שֶׁל אַפְרוֹדִיטִי. אָמַר לוֹ, אֵין מְשִׁיבִין בַּמֶּרְחָץ. וּכְשֶׁיָּצָא אָמַר לוֹ, אֲנִי לֹא בָאתִי בִגְבוּלָהּ, הִיא בָאתָה בִגְבוּלִי, אֵין אוֹמְרִים, נַעֲשֶׂה מֶרְחָץ לְאַפְרוֹדִיטִי נוֹי, אֶלָּא אוֹמְרִים, נַעֲשֶׂה אַפְרוֹדִיטִי נוֹי לַמֶּרְחָץ. דָּבָר אַחֵר, אִם נוֹתְנִין לְךָ מָמוֹן הַרְבֵּה, אִי אַתָּה נִכְנָס לַעֲבוֹדָה זָרָה שֶׁלְּךָ עָרוֹם וּבַעַל קֶרִי וּמַשְׁתִּין בְּפָנֶיהָ, וְזוֹ עוֹמֶדֶת עַל פִּי הַבִּיב וְכָל הָעָם מַשְׁתִּינִין לְפָנֶיהָ. לֹא נֶאֱמַר אֶלָּא אֱלֹהֵיהֶם. אֶת שֶׁנּוֹהֵג בּוֹ מִשּׁוּם אֱלוֹהַּ, אָסוּר. וְאֶת שֶׁאֵינוֹ נוֹהֵג בּוֹ מִשּׁוּם אֱלוֹהַּ, מֻתָּר: ", + "הַגּוֹיִם הָעוֹבְדִים אֶת הֶהָרִים וְאֶת הַגְּבָעוֹת, הֵן מֻתָּרִין וּמַה שֶּׁעֲלֵיהֶם אֲסוּרִים, שֶׁנֶּאֱמַר (דברים ז) לֹא תַחְמֹד כֶּסֶף וְזָהָב עֲלֵיהֶם וְלָקַחְתָּ. רַבִּי יוֹסֵי הַגְּלִילִי אוֹמֵר, (שם יב) אֱלֹהֵיהֶם עַל הֶהָרִים, וְלֹא הֶהָרִים אֱלֹהֵיהֶם. אֱלֹהֵיהֶם עַל הַגְּבָעוֹת, וְלֹא הַגְּבָעוֹת אֱלֹהֵיהֶם. וּמִפְּנֵי מָה אֲשֵׁרָה אֲסוּרָה, מִפְּנֵי שֶׁיֶּשׁ בָּהּ תְּפִיסַת יָד אָדָם, וְכֹל שֶׁיֶּשׁ בָּהּ תְּפִיסַת יְדֵי אָדָם אָסוּר. אָמַר רַבִּי עֲקִיבָא, אֲנִי אוֹבִין וְאָדוּן לְפָנֶיךָ. כָּל מָקוֹם שֶׁאַתָּה מוֹצֵא הַר גָּבוֹהַּ וְגִבְעָה נִשָּׂאָה וְעֵץ רַעֲנָן, דַּע שֶׁיֶּשׁ שָׁם עֲבוֹדָה זָרָה: ", + "מִי שֶׁהָיָה בֵיתוֹ סָמוּךְ לַעֲבוֹדָה זָרָה וְנָפַל, אָסוּר לִבְנוֹתוֹ. כֵּיצַד יַעֲשֶׂה, כּוֹנֵס בְּתוֹךְ שֶׁלּוֹ אַרְבַּע אַמּוֹת וּבוֹנֶה. הָיָה שֶׁלּוֹ וְשֶׁל עֲבוֹדָה זָרָה, נִדּוֹן מֶחֱצָה עַל מֶחֱצָה. אֲבָנָיו עֵצָיו וַעֲפָרוֹ, מְטַמְּאִין כַּשֶּׁרֶץ, שֶׁנֶּאֱמַר (דברים ז) שַׁקֵּץ תְּשַׁקְּצֶנּוּ. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, כַּנִּדָּה, שֶׁנֶּאֱמַר (ישעיה ל) תִּזְרֵם כְּמוֹ דָוָה, צֵא תֹּאמַר לוֹ, מַה נִּדָּה מְטַמְּאָה בְמַשָּׂא, אַף עֲבוֹדָה זָרָה מְטַמְּאָה בְמַשָּׂא: ", + "שְׁלשָׁה בָתִּים הֵן. בַּיִת שֶׁבָּנוּי מִתְּחִלָּה לַעֲבוֹדָה זָרָה, הֲרֵי זֶה אָסוּר. סִיְּדוֹ וְכִיְּרוֹ לַעֲבוֹדָה זָרָה וְחִדֵּשׁ, נוֹטֵל מַה שֶּׁחִדֵּשׁ. הִכְנִיס לְתוֹכָה עֲבוֹדָה זָרָה וְהוֹצִיאָהּ, הֲרֵי זֶה מֻתָּר. שָׁלשׁ אֲבָנִים הֵן. אֶבֶן שֶׁחֲצָבָהּ מִתְּחִלָּה לְבִימוֹס, הֲרֵי זוֹ אֲסוּרָה. סִיְּדָהּ וְכִיְּרָהּ לְשֵׁם עֲבוֹדָה זָרָה וְחִדֵּשׁ, נוֹטֵל מַה שֶּׁחִדֵּשׁ. הֶעֱמִיד עָלֶיהָ עֲבוֹדָה זָרָה וְסִלְּקָהּ, הֲרֵי זוֹ מֻתֶּרֶת. שָׁלשׁ אֲשֵׁרוֹת הֵן. אִילָן שֶׁנְּטָעוֹ מִתְּחִלָּה לְשֵׁם עֲבוֹדָה זָרָה, הֲרֵי זֶה אָסוּר. גִּדְּעוֹ וּפִסְּלוֹ לְשֵׁם עֲבוֹדָה זָרָה וְהֶחֱלִיף, נוֹטֵל מַה שֶּׁהֶחֱלִיף. הֶעֱמִיד תַּחְתֶּיהָ עֲבוֹדָה זָרָה וּבִטְּלָהּ, הֲרֵי זֶה מֻתָּר. אֵיזוֹ הִיא אֲשֵׁרָה, כֹּל שֶׁיֵּשׁ תַּחְתֶּיהָ עֲבוֹדָה זָרָה. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, כֹּל שֶׁעוֹבְדִין אוֹתָהּ. וּמַעֲשֶׂה בְצַיְדָּן בְּאִילָן שֶׁהָיוּ עוֹבְדִין אוֹתוֹ, וּמָצְאוּ תַחְתָּיו גָּל. אָמַר לָהֶן רַבִּי שִׁמְעוֹן, בִּדְקוּ אֶת הַגַּל הַזֶּה, וּבְדָקוּהוּ וּמָצְאוּ בוֹ צוּרָה. אָמַר לָהֶן, הוֹאִיל וְלַצּוּרָה הֵן עוֹבְדִין, נַתִּיר לָהֶן אֶת הָאִילָן: ", + "לֹא יֵשֵׁב בְּצִלָּהּ. וְאִם יָשַׁב, טָהוֹר. וְלֹא יַעֲבֹר תַּחְתֶּיהָ. וְאִם עָבַר, טָמֵא. הָיְתָה גוֹזֶלֶת אֶת הָרַבִּים, וְעָבַר תַּחְתֶּיהָ, טָהוֹר. וְזוֹרְעִין תַּחְתֶּיהָ יְרָקוֹת בִּימוֹת הַגְּשָׁמִים אֲבָל לֹא בִימוֹת הַחַמָּה. וְהַחֲזָרִין, לֹא בִימוֹת הַחַמָּה וְלֹא בִימוֹת הַגְּשָׁמִים. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אַף לֹא יְרָקוֹת בִּימוֹת הַגְּשָׁמִים, מִפְּנֵי שֶׁהַנְּמִיָּה נוֹשֶׁרֶת עֲלֵיהֶן וְהֹוָה לָהֶן לְזָבֶל: ", + "נָטַל מִמֶּנָּה עֵצִים, אֲסוּרִים בַּהֲנָאָה. הִסִּיק בָּהֶן אֶת הַתַּנּוּר, אִם חָדָשׁ, יֻתַּץ. וְאִם יָשָׁן, יֻצַּן. אָפָה בוֹ אֶת הַפַּת, אֲסוּרָה בַהֲנָאָה. נִתְעָרְבָה בַאֲחֵרוֹת, כֻּלָּן אֲסוּרוֹת בַּהֲנָאָה. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, יוֹלִיךְ הֲנָאָה לְיָם הַמֶּלַח. אָמְרוּ לוֹ, אֵין פִּדְיוֹן לַעֲבוֹדָה זָרָה. נָטַל הֵימֶנָּה כַרְכֹּר, אָסוּר בַּהֲנָאָה. אָרַג בּוֹ אֶת הַבֶּגֶד, הַבֶּגֶד אָסוּר בַּהֲנָאָה. נִתְעָרֵב בַּאֲחֵרִים וַאֲחֵרִים בַּאֲחֵרִים, כֻּלָּן אֲסוּרִין בַּהֲנָאָה. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, יוֹלִיךְ הֲנָאָה לְיָם הַמֶּלַח. אָמְרוּ לוֹ, אֵין פִּדְיוֹן לַעֲבוֹדָה זָרָה: ", + "כֵּיצַד מְבַטְּלָהּ. קִרְסֵם, וְזֵרַד, נָטַל מִמֶּנָּה מַקֵּל אוֹ שַׁרְבִיט, אֲפִלּוּ עָלֶה, הֲרֵי זוֹ בְטֵלָה. שְׁפָיָהּ לְצָרְכָּהּ, אֲסוּרָה. שֶׁלֹּא לְצָרְכָּהּ, מֻתֶּרֶת: " + ], + [ + "רַבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר, שָׁלשׁ אֲבָנִים זוֹ בְצַד זוֹ בְּצַד מַרְקוּלִיס, אֲסוּרוֹת. וּשְׁתַּיִם, מֻתָּרוֹת. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, שֶׁנִּרְאוֹת עִמּוֹ, אֲסוּרוֹת. וְשֶׁאֵין נִרְאוֹת עִמּוֹ, מֻתָּרוֹת: \n", + "מָצָא בְרֹאשׁוֹ מָעוֹת, כְּסוּת אוֹ כֵלִים, הֲרֵי אֵלּוּ מֻתָּרִין. פַּרְכִּילֵי עֲנָבִים וַעֲטָרוֹת שֶׁל שִׁבֳּלִים וְיֵינוֹת וּשְׁמָנִים וּסְלָתוֹת וְכָל דָּבָר שֶׁכַּיּוֹצֵא בוֹ קָרֵב עַל גַּבֵּי הַמִּזְבֵּחַ, אָסוּר: \n", + "עֲבוֹדָה זָרָה שֶׁהָיָה לָהּ גִנָּה אוֹ מֶרְחָץ, נֶהֱנִין מֵהֶן שֶׁלֹּא בְטוֹבָה וְאֵין נֶהֱנִין מֵהֶן בְּטוֹבָה. הָיָה שֶׁלָּהּ וְשֶׁל אֲחֵרִים, נֶהֱנִין מֵהֶן בֵּין בְּטוֹבָה וּבֵין שֶׁלֹּא בְטוֹבָה: \n", + "עֲבוֹדָה זָרָה שֶׁל נָכְרִי, אֲסוּרָה מִיָּד. וְשֶׁל יִשְׂרָאֵל, אֵין אֲסוּרָה עַד שֶׁתֵּעָבֵד. נָכְרִי מְבַטֵּל עֲבוֹדָה זָרָה שֶׁלּוֹ וְשֶׁל חֲבֵרוֹ, וְיִשְׂרָאֵל אֵינוֹ מְבַטֵּל עֲבוֹדָה זָרָה שֶׁל נָכְרִי. הַמְבַטֵּל עֲבוֹדָה זָרָה, בִּטֵּל מְשַׁמְּשֶׁיהָ. בִּטֵּל מְשַׁמְּשֶׁיהָ, מְשַׁמְּשֶׁיהָ מֻתָּרִין וְהִיא אֲסוּרָה: \n", + "כֵּיצַד מְבַטְּלָהּ, קָטַע רֹאשׁ אָזְנָהּ, רֹאשׁ חָטְמָהּ, רֹאשׁ אֶצְבָּעָהּ, פְּחָסָהּ אַף עַל פִּי שֶׁלֹּא חִסְּרָהּ, בִּטְּלָהּ. רָקַק בְּפָנֶיהָ, הִשְׁתִּין בְּפָנֶיהָ, גְּרָרָהּ, וְזָרַק בָּהּ אֶת הַצּוֹאָה, הֲרֵי זוֹ אֵינָהּ בְּטֵלָה. מְכָרָהּ אוֹ מִשְׁכְּנָהּ, רַבִּי אוֹמֵר, בִּטֵּל. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לֹא בִטֵּל: \n", + "עֲבוֹדָה זָרָה שֶׁהִנִּיחוּהָ עוֹבְדֶיהָ בִּשְׁעַת שָׁלוֹם, מֻתֶּרֶת. בִּשְׁעַת מִלְחָמָה, אֲסוּרָה. בִּימוֹסְיָאוֹת שֶׁל מְלָכִים, הֲרֵי אֵלּוּ מֻתָּרוֹת, מִפְּנֵי שֶׁמַּעֲמִידִין אוֹתָם בְּשָׁעָה שֶׁהַמְּלָכִים עוֹבְרִים: \n", + "שָׁאֲלוּ אֶת הַזְּקֵנִים בְּרוֹמִי, אִם אֵין רְצוֹנוֹ בַּעֲבוֹדָה זָרָה, לָמָה אֵינוֹ מְבַטְּלָהּ. אָמְרוּ לָהֶן, אִלּוּ לְדָבָר שֶׁאֵין צֹרֶךְ לָעוֹלָם בּוֹ הָיוּ עוֹבְדִין, הָיָה מְבַטְּלוֹ. הֲרֵי הֵן עוֹבְדִין לַחַמָּה וְלַלְּבָנָה וְלַכּוֹכָבִים וְלַמַּזָּלוֹת. יְאַבֵּד עוֹלָמוֹ מִפְּנֵי הַשּׁוֹטִים. אָמְרוּ לָהֶן, אִם כֵּן, יְאַבֵּד דָּבָר שֶׁאֵין צֹרֶךְ לָעוֹלָם בּוֹ וְיַנִּיחַ דָּבָר שֶׁצֹּרֶךְ הָעוֹלָם בּוֹ. אָמְרוּ לָהֶן, אַף אָנוּ מַחֲזִיקִין יְדֵי עוֹבְדֵיהֶם שֶׁל אֵלּוּ, שֶׁאוֹמְרִים, תֵּדְעוּ שֶׁהֵן אֱלוֹהוֹת, שֶׁהֲרֵי הֵן לֹא בָטָלוּ: \n", + "לוֹקְחִין גַּת בְּעוּטָה מִן הַגּוֹי אַף עַל פִּי שֶׁהוּא נוֹטֵל בְּיָדוֹ וְנוֹתֵן לַתַּפּוּחַ. וְאֵינוֹ נַעֲשֶׂה יֵין נֶסֶךְ, עַד שֶׁיֵּרֵד לַבּוֹר. יָרַד לַבּוֹר, מַה שֶּׁבַּבּוֹר אָסוּר, וְהַשְּׁאָר מֻתָּר: \n", + "דּוֹרְכִין עִם הַגּוֹי בַּגַּת, אֲבָל לֹא בוֹצְרִין עִמּוֹ. יִשְׂרָאֵל שֶׁהוּא עוֹשֶׂה בְטֻמְאָה, לֹא דוֹרְכִין וְלֹא בוֹצְרִין עִמּוֹ, אֲבָל מוֹלִיכִין עִמּוֹ חָבִיּוֹת לַגַּת, וּמְבִיאִין עִמּוֹ מִן הַגָּת. נַחְתּוֹם שֶׁהוּא עוֹשֶׂה בְטֻמְאָה, לֹא לָשִׁין וְלֹא עוֹרְכִין עִמּוֹ, אֲבָל מוֹלִיכִין עִמּוֹ פַת לַפַּלְטֵר: \n", + "גּוֹי שֶׁנִּמְצָא עוֹמֵד בְּצַד הַבּוֹר שֶׁל יַיִן, אִם יֶשׁ לוֹ עָלָיו מִלְוָה, אָסוּר. אֵין לוֹ עָלָיו מִלְוָה, מֻתָּר. נָפַל לַבּוֹר וְעָלָה, וּמְדָדוֹ בַקָּנֶה, הִתִּיז אֶת הַצִּרְעָה בַקָּנֶה אוֹ שֶׁהָיָה מְטַפֵּחַ עַל פִּי חָבִית מְרֻתַּחַת, בְּכָל אֵלּוּ הָיָה מַעֲשֶׂה, וְאָמְרוּ יִמָּכֵר. וְרַבִּי שִׁמְעוֹן מַתִּיר. נָטַל אֶת הֶחָבִית וּזְרָקָהּ בַּחֲמָתוֹ לַבּוֹר, זֶה הָיָה מַעֲשֶׂה וְהִכְשִׁירוּ: \n", + "הַמְטַהֵר יֵינוֹ שֶׁל נָכְרִי וְנוֹתְנוֹ בִרְשׁוּתוֹ בְּבַיִת הַפָּתוּחַ לִרְשׁוּת הָרַבִּים, בְּעִיר שֶׁיֶּשׁ בָּהּ גּוֹיִם וְיִשְׂרְאֵלִים, מֻתָּר. בְּעִיר שֶׁכֻּלָּהּ גּוֹיִם, אָסוּר, עַד שֶׁיּוֹשִׁיב שׁוֹמֵר. וְאֵין הַשּׁוֹמֵר צָרִיךְ לִהְיוֹת יוֹשֵׁב וּמְשַׁמֵּר. אַף עַל פִּי שֶׁהוּא יוֹצֵא וְנִכְנָס, מֻתָּר. רַבִּי שִׁמְעוֹן בֶּן אֶלְעָזָר אוֹמֵר, כָּל רְשׁוּת גּוֹיִם אַחַת הִיא: \n", + "הַמְּטַהֵר יֵינוֹ שֶׁל נָכְרִי וְנוֹתְנוֹ בִרְשׁוּתוֹ, וְהַלָּה כוֹתֵב לוֹ, הִתְקַבַּלְתִּי מִמְּךָ מָעוֹת, מֻתָּר. אֲבָל אִם יִרְצֶה יִשְׂרָאֵל לְהוֹצִיאוֹ וְאֵינוֹ מַנִּיחוֹ עַד שֶׁיִּתֵּן לוֹ אֶת מְעוֹתָיו, זֶה הָיָה מַעֲשֶׂה בְבֵית שְׁאָן, וְאָסְרוּ חֲכָמִים: \n" + ], + [ + "הַשּׂוֹכֵר אֶת הַפּוֹעֵל לַעֲשׂוֹת עִמּוֹ בְיֵין נֶסֶךְ, שְׂכָרוֹ אָסוּר. שְׂכָרוֹ לַעֲשׂוֹת עִמּוֹ מְלָאכָה אַחֶרֶת, אַף עַל פִּי שֶׁאָמַר לוֹ הֲעֲבֵר לִי חָבִית שֶׁל יֵין נֶסֶךְ מִמָּקוֹם לְמָקוֹם, שְׂכָרוֹ מֻתָּר. הַשׂוֹכֵר אֶת הַחֲמוֹר לְהָבִיא עָלֶיהָ יֵין נֶסֶךְ, שְׂכָרָהּ אָסוּר. שְׂכָרָהּ לֵישֵׁב עָלֶיהָ, אַף עַל פִּי שֶׁהִנִּיחַ הַגּוֹי לְגִינוֹ עָלֶיהָ, שְׂכָרָהּ מֻתָּר: \n", + "יֵין נֶסֶךְ שֶׁנָּפַל עַל גַּבֵּי עֲנָבִים, יְדִיחֵן וְהֵן מֻתָּרוֹת. וְאִם הָיוּ מְבֻקָּעוֹת, אֲסוּרוֹת. נָפַל עַל גַבֵּי תְאֵנִים אוֹ עַל גַּבֵּי תְמָרִים, אִם יֵשׁ בָּהֶן בְּנוֹתֵן טַעַם, אָסוּר. מַעֲשֶׂה בְּבַיְתוֹס בֶּן זוֹנָן שֶׁהֵבִיא גְרוֹגָרוֹת בִּסְפִינָה, וְנִשְׁתַּבְּרָה חָבִית שֶׁל יֵין נֶסֶךְ וְנָפַל עַל גַּבֵּיהֶן, וְשָׁאַל לַחֲכָמִים וְהִתִּירוּם. זֶה הַכְּלָל, כֹּל שֶׁבַּהֲנָאָתוֹ בְּנוֹתֵן טַעַם, אָסוּר. כֹּל שֶׁאֵין בַּהֲנָאָתוֹ בְּנוֹתֵן טַעַם, מֻתָּר, כְּגוֹן חֹמֶץ שֶׁנָּפַל עַל גַּבֵּי גְרִיסִין: \n", + "נָכְרִי שֶׁהָיָה מַעֲבִיר עִם יִשְׂרָאֵל כַּדֵּי יַיִן מִמָּקוֹם לְמָקוֹם, אִם הָיָה בְחֶזְקַת הַמִּשְׁתַּמֵּר, מֻתָּר. אִם הוֹדִיעוֹ שֶׁהוּא מַפְלִיג, כְּדֵי שֶׁיִּשְׁתֹּם וְיִסְתֹּם וְיִגֹּב. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, כְּדֵי שֶׁיִּפְתַּח וְיָגוּף וְתִגֹּב: \n", + "הַמַּנִּיחַ יֵינוֹ בְקָרוֹן אוֹ בִסְפִינָה וְהָלַךְ לוֹ בְקַפַּנְדַּרְיָא, נִכְנַס לַמְּדִינָה וְרָחַץ, מֻתָּר. אִם הוֹדִיעוֹ שֶׁהוּא מַפְלִיג, כְּדֵי שֶׁיִּשְׁתֹּם וְיִסְתֹּם וְיִגֹּב. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, כְּדֵי שֶׁיִּפְתַּח וְיָגוּף וְתִגֹּב. הַמַּנִּיחַ נָכְרִי בַחֲנוּת, אַף עַל פִּי שֶׁהוּא יוֹצֵא וְנִכְנָס, מֻתָּר. וְאִם הוֹדִיעוֹ שֶׁהוּא מַפְלִיג, כְּדֵי שֶׁיִשְׁתֹּם וְיִסְתֹּם וְיִגֹּב. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, כְּדֵי שֶׁיִּפְתַּח וְיָגוּף וְתִגֹּב: \n", + "הָיָה אוֹכֵל עִמּוֹ עַל הַשֻּׁלְחָן וְהִנִּיחַ לְגִינָה עַל הַשֻּׁלְחָן, וּלְגִינָה עַל הַדֻּלְבְּקִי, וְהִנִּיחוֹ וְיָצָא, מַה שֶּׁעַל הַשֻּׁלְחָן, אָסוּר. וּמַה שֶּׁעַל הַדֻּלְבְּקִי, מֻתָּר. וְאִם אָמַר לוֹ הֱוֵי מוֹזֵג וְשׁוֹתֶה, אַף שֶׁעַל הַדֻּלְבְּקִי אָסוּר. חָבִיּוֹת פְּתוּחוֹת, אֲסוּרוֹת. סְתוּמוֹת, כְּדֵי שֶׁיִּפְתַּח וְיָגוּף וְתִגֹּב: \n", + "בַּלֶּשֶׁת גּוֹיִם שֶׁנִּכְנְסָה לָעִיר בִּשְׁעַת שָׁלוֹם, חָבִיּוֹת פְּתוּחוֹת, אֲסוּרוֹת. סְתוּמוֹת, מֻתָּרוֹת. בִּשְׁעַת מִלְחָמָה, אֵלּוּ וָאֵלּוּ מֻתָּרוֹת, לְפִי שֶׁאֵין פְּנַאי לְנַסֵּךְ: \n", + "אֻמָּנִין שֶׁל יִשְׂרָאֵל שֶׁשָּׁלַח לָהֶם נָכְרִי חָבִית שֶׁל יֵין נֶסֶךְ בִּשְׂכָרָן, מֻתָּרִים לוֹמַר לוֹ תֵּן לָנוּ אֶת דָּמֶיהָ. וְאִם מִשֶּׁנִּכְנְסָה לִרְשׁוּתָן, אָסוּר. הַמּוֹכֵר יֵינוֹ לַנָּכְרִי, פָּסַק עַד שֶׁלֹּא מָדַד, דָּמָיו מֻתָּרִין. מָדַד עַד שֶׁלֹּא פָסַק, דָּמָיו אֲסוּרִין. נָטַל אֶת הַמַּשְׁפֵּךְ וּמָדַד לְתוֹךְ צְלוֹחִיתוֹ שֶׁל נָכְרִי, וְחָזַר וּמָדַד לְתוֹךְ צְלוֹחִיתוֹ שֶׁל יִשְׂרָאֵל, אִם יֶשׁ בּוֹ עַכֶּבֶת יַיִן, אָסוּר. הַמְעָרֶה מִכְּלִי אֶל כְּלִי, אֶת שֶׁעֵרָה מִמֶּנּוּ, מֻתָּר. וְאֶת שֶׁעֵרָה לְתוֹכוֹ, אָסוּר: \n", + "יֵין נֶסֶךְ אָסוּר, וְאוֹסֵר בְּכָל שֶׁהוּא. יַיִן בְּיַיִן וּמַיִם בְּמַיִם, בְּכָל שֶׁהוּא. יַיִן בְּמַיִם וּמַיִם בְּיַיִן, בְּנוֹתֵן טָעַם. זֶה הַכְּלָל, מִין בְּמִינוֹ, בְּמַשֶּׁהוּ. וְשֶׁלֹּא בְמִינוֹ, בְּנוֹתֵן טָעַם: \n", + "אֵלּוּ אֲסוּרִין, וְאוֹסְרִין בְּכָל שֶׁהֵן. יֵין נֶסֶךְ, וַעֲבוֹדָה זָרָה, וְעוֹרוֹת לְבוּבִין, וְשׁוֹר הַנִּסְקָל, וְעֶגְלָה עֲרוּפָה, וְצִפֹּרֵי מְצֹרָע, וּשְׂעַר נָזִיר, וּפֶטֶר חֲמוֹר, וּבָשָׂר בְּחָלָב, וְשָׂעִיר הַמִּשְׁתַּלֵּחַ, וְחֻלִּין שֶׁנִּשְׁחֲטוּ בָעֲזָרָה, הֲרֵי אֵלּוּ אֲסוּרִין וְאוֹסְרִין בְּכָל שֶׁהֵן: \n", + "יֵין נֶסֶךְ שֶׁנָּפַל לְבוֹר, כֻּלּוֹ אָסוּר בַּהֲנָאָה. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, יִמָּכֵר כֻּלּוֹ לְנָכְרִי, חוּץ מִדְּמֵי יֵין נֶסֶךְ שֶׁבּוֹ: \n", + "גַּת שֶׁל אֶבֶן שֶׁזִּפְּתָהּ גּוֹי, מְנַגְּבָהּ וְהִיא טְהוֹרָה. וְשֶׁל עֵץ, רַבִּי אוֹמֵר, יְנַגֵּב. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, יִקְלֹף אֶת הַזֶּפֶת. וְשֶׁל חֶרֶס, אַף עַל פִּי שֶׁקָּלַף אֶת הַזֶּפֶת, הֲרֵי זוֹ אֲסוּרָה: \n", + "הַלּוֹקֵחַ כְּלֵי תַשְׁמִישׁ מִן הַגּוֹי, אֶת שֶׁדַּרְכּוֹ לְהַטְבִּיל, יַטְבִּיל. לְהַגְעִיל, יַגְעִיל. לְלַבֵּן בָּאוּר, יְלַבֵּן בָּאוּר. הַשַּׁפּוּד וְהָאַסְכְּלָה, מְלַבְּנָן בָּאוּר. הַסַּכִּין, שָׁפָהּ וְהִיא טְהוֹרָה: \n" + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/Hebrew/merged.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/Hebrew/merged.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..7e2e8fb7abe573c7aaf246e1e7ab40a7c860c0a8 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Avodah Zarah/Hebrew/merged.json @@ -0,0 +1,83 @@ +{ + "title": "Mishnah Avodah Zarah", + "language": "he", + "versionTitle": "merged", + "versionSource": "https://www.sefaria.org/Mishnah_Avodah_Zarah", + "text": [ + [ + "לִפְנֵי אֵידֵיהֶן שֶׁל גּוֹיִם שְׁלשָׁה יָמִים אָסוּר לָשֵׂאת וְלָתֵת עִמָּהֶן, לְהַשְׁאִילָן וְלִשְׁאֹל מֵהֶן, לְהַלְוֹתָן וְלִלְוֹת מֵהֶן, לְפָרְעָן וְלִפָּרַע מֵהֶן. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, נִפְרָעִין מֵהֶן מִפְּנֵי שֶׁהוּא מֵצֵר לוֹ. אָמְרוּ לוֹ, אַף עַל פִּי שֶׁמֵּצֵר הוּא עַכְשָׁיו, שָׂמֵחַ הוּא לְאַחַר זְמָן: \n", + "רַבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר, שְׁלשָׁה יָמִים לִפְנֵיהֶם וּשְׁלשָׁה יָמִים לְאַחֲרֵיהֶם, אָסוּר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לִפְנֵי אֵידֵיהֶן אָסוּר, לְאַחַר אֵידֵיהֶן מֻתָּר: \n", + "וְאֵלּוּ אֵידֵיהֶן שֶׁל גּוֹיִם, קָלֶנְדָּא, וּסְטַרְנוּרָא, וּקְרָטֵסִים, וְיוֹם גְּנֻסְיָא שֶׁל מְלָכִים, וְיוֹם הַלֵּידָה, וְיוֹם הַמִּיתָה, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, כָּל מִיתָה שֶׁיֶּשׁ בָּהּ שְׂרֵפָה, יֶשׁ בָּהּ עֲבוֹדָה זָרָה. וְשֶׁאֵין בָּהּ שְׂרֵפָה, אֵין בָּה עֲבוֹדָה זָרָה. יוֹם תִּגְלַחַת זְקָנוֹ וּבְלוֹרִיתוֹ, יוֹם שֶׁעָלָה בוֹ מִן הַיָּם, וְיוֹם שֶׁיָּצָא בוֹ מִבֵּית הָאֲסוּרִים, וְגוֹי שֶׁעָשָׂה מִשְׁתֶּה לִבְנוֹ, אֵינוֹ אָסוּר אֶלָּא אוֹתוֹ הַיּוֹם וְאוֹתוֹ הָאִישׁ בִּלְבָד: \n", + "עִיר שֶׁיֶּשׁ בָּהּ עֲבוֹדָה זָרָה, חוּצָה לָהּ מֻתָּר. הָיָה חוּצָה לָהּ עֲבוֹדָה זָרָה, תּוֹכָהּ מֻתָּר. מַהוּ לֵילֵךְ לְשָׁם. בִּזְמַן שֶׁהַדֶּרֶךְ מְיֻחֶדֶת לְאוֹתוֹ מָקוֹם, אָסוּר. וְאִם הָיָה יָכוֹל לְהַלֵּךְ בָּהּ לְמָקוֹם אַחֵר, מֻתָּר. עִיר שֶׁיֶּשׁ בָּהּ עֲבוֹדָה זָרָה וְהָיוּ בָהּ חֲנֻיּוֹת מְעֻטָּרוֹת וְשֶׁאֵינָן מְעֻטָּרוֹת, זֶה הָיָה מַעֲשֶׂה בְּבֵית שְׁאָן, וְאָמְרוּ חֲכָמִים, הַמְעֻטָּרוֹת אֲסוּרוֹת וְשֶׁאֵינָן מְעֻטָּרוֹת מֻתָּרוֹת: \n", + "אֵלּוּ דְבָרִים אֲסוּרִים לִמְכֹּר לְגוֹיִם, אִצְטְרוֹבָּלִין, וּבְנוֹת שׁוּחַ וּפְטוֹטְרוֹתֵיהֶן, וּלְבוֹנָה, וְתַרְנְגוֹל הַלָּבָן. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מֻתָּר לִמְכּוֹר לוֹ תַּרְנְגוֹל לָבָן בֵּין הַתַּרְנְגוֹלִין. וּבִזְמַן שֶׁהוּא בִפְנֵי עַצְמוֹ, קוֹטֵעַ אֶת אֶצְבָּעוֹ וּמוֹכְרוֹ לוֹ, לְפִי שֶׁאֵין מַקְרִיבִין חָסֵר לַעֲבוֹדָה זָרָה. וּשְׁאָר כָּל הַדְּבָרִים, סְתָמָן מֻתָּר, וּפֵרוּשָׁן אָסוּר. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, אַף דֶּקֶל טָב וַחֲצָב וְנִקְלִיבָם אָסוּר לִמְכֹּר לְגוֹיִם: \n", + "מְקוֹם שֶׁנָּהֲגוּ לִמְכֹּר בְּהֵמָה דַקָּה לְגוֹיִם, מוֹכְרִין. מְקוֹם שֶׁנָּהֲגוּ שֶׁלֹּא לִמְכֹּר, אֵין מוֹכְרִין. וּבְכָל מָקוֹם אֵין מוֹכְרִין לָהֶם בְּהֵמָה גַסָּה, עֲגָלִים וּסְיָחִים, שְׁלֵמִים וּשְׁבוּרִין. רַבִּי יְהוּדָה מַתִּיר בִּשְׁבוּרָה. וּבֶן בְּתֵירָה מַתִּיר בְּסוּס: \n", + "אֵין מוֹכְרִין לָהֶם דֻּבִּין וַאֲרָיוֹת וְכָל דָּבָר שֶׁיֶּשׁ בּוֹ נֵזֶק לָרַבִּים. אֵין בּוֹנִין עִמָּהֶם בָּסִילְקִי, גַּרְדּוֹם, וְאִצְטַדְיָא, וּבִימָה. אֲבָל בּוֹנִים עִמָּהֶם בִּימוֹסְיָאוֹת וּבֵית מֶרְחֲצָאוֹת. הִגִּיעוּ לַכִּפָּה שֶׁמַּעֲמִידִין בָּהּ עֲבוֹדָה זָרָה, אָסוּר לִבְנוֹת: \n", + "וְאֵין עוֹשִׂין תַּכְשִׁיטִין לַעֲבוֹדָה זָרָה, קֻטְלָאוֹת וּנְזָמִים וְטַבָּעוֹת. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, בְּשָׂכָר מֻתָּר. אֵין מוֹכְרִין לָהֶם בִּמְחֻבָּר לַקַּרְקַע, אֲבָל מוֹכֵר הוּא מִשֶּׁיִּקָּצֵץ. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מוֹכֵר הוּא לוֹ עַל מְנָת לָקוֹץ. אֵין מַשְׂכִּירִין לָהֶם בָּתִּים בְּאֶרֶץ יִשְׂרָאֵל, וְאֵין צָרִיךְ לוֹמַר שָׂדוֹת. וּבְסוּרְיָא מַשְׂכִּירִין לָהֶם בָּתִּים, אֲבָל לֹא שָׂדוֹת. וּבְחוּץ לָאָרֶץ מוֹכְרִין לָהֶם בָּתִּים וּמַשְׂכִּירִין שָׂדוֹת, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, בְּאֶרֶץ יִשְׂרָאֵל מַשְׂכִּירִין לָהֶם בָּתִּים, אֲבָל לֹא שָׂדוֹת. וּבְסוּרְיָא מוֹכְרִין בָּתִּים וּמַשְׂכִּירִין שָׂדוֹת. וּבְחוּצָה לָאָרֶץ מוֹכְרִין אֵלּוּ וָאֵלּוּ: \n", + "אַף בִּמְקוֹם שֶׁאָמְרוּ לְהַשְׂכִּיר, לֹא לְבֵית דִּירָה אָמְרוּ, מִפְּנֵי שֶׁהוּא מַכְנִיס לְתוֹכוֹ עֲבוֹדָה זָרָה, שֶׁנֶּאֱמַר (דברים ז) וְלֹא תָבִיא תוֹעֵבָה אֶל בֵּיתֶךָ. וּבְכָל מָקוֹם לֹא יַשְׂכִּיר לוֹ אֶת הַמֶּרְחָץ, מִפְּנֵי שֶׁהוּא נִקְרָא עַל שְׁמוֹ: \n" + ], + [ + "אֵין מַעֲמִידִין בְּהֵמָה בְּפֻנְדְּקָאוֹת שֶׁל גּוֹיִם, מִפְּנֵי שֶׁחֲשׁוּדִין עַל הָרְבִיעָה. וְלֹא תִתְיַחֵד אִשָּׁה עִמָּהֶן, מִפְּנֵי שֶׁחֲשׁוּדִין עַל הָעֲרָיוֹת. וְלֹא יִתְיַחֵד אָדָם עִמָּהֶן, מִפְּנֵי שֶׁחֲשׁוּדִין עַל שְׁפִיכַת דָּמִים. בַּת יִשְׂרָאֵל לֹא תְיַלֵּד אֶת הַנָּכְרִית, מִפְּנֵי שֶׁמְּיַלֶּדֶת בֵּן לַעֲבוֹדָה זָרָה. אֲבָל נָכְרִית מְיַלֶּדֶת בַּת יִשְׂרָאֵל. בַּת יִשְׂרָאֵל לֹא תָנִיק בְּנָהּ שֶׁל נָכְרִית, אֲבָל נָכְרִית מְנִיקָה בְנָהּ שֶׁל יִשְׂרְאֵלִית בִּרְשׁוּתָהּ: \n", + "מִתְרַפְּאִין מֵהֶן רִפּוּי מָמוֹן, אֲבָל לֹא רִפּוּי נְפָשׁוֹת. וְאֵין מִסְתַּפְּרִין מֵהֶן בְּכָל מָקוֹם, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, בִּרְשׁוּת הָרַבִּים מֻתָּר, אֲבָל לֹא בֵינוֹ לְבֵינוֹ: \n", + "אֵלּוּ דְבָרִים שֶׁל גּוֹיִם אֲסוּרִין וְאִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה. הַיַּיִן, וְהַחֹמֶץ שֶׁל גּוֹיִם שֶׁהָיָה מִתְּחִלָּתוֹ יַיִן, וְחֶרֶס הַדְרִיָּנִי, וְעוֹרוֹת לְבוּבִין. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, בִּזְמַן שֶׁהַקֶּרַע שֶׁלּוֹ עָגוֹל, אָסוּר. מָשׁוּךְ, מֻתָּר. בָּשָׂר הַנִּכְנָס לַעֲבוֹדָה זָרָה, מֻתָּר. וְהַיּוֹצֵא, אָסוּר, מִפְּנֵי שֶׁהוּא כְזִבְחֵי מֵתִים, דִּבְרֵי רַבִּי עֲקִיבָא. הַהוֹלְכִין לַתַּרְפּוּת, אָסוּר לָשֵׂאת וְלָתֵת עִמָּהֶם. וְהַבָּאִין, מֻתָּרִין: \n", + "נוֹדוֹת הַגּוֹיִם וְקַנְקַנֵּיהֶן וְיַיִן שֶׁל יִשְׂרָאֵל כָּנוּס בָּהֶן, אֲסוּרִין, וְאִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין אִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה. הַחַרְצַנִּים וְהַזַּגִּין שֶׁל גּוֹיִם אֲסוּרִין, וְאִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לַחִין, אֲסוּרִין, יְבֵשִׁין, מֻתָּרִין. הַמֻּרְיָס וּגְבִינוֹת בֵּית אֻנְיָקִי שֶׁל גּוֹיִם אֲסוּרִין, וְאִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין אִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה: \n", + "אָמַר רַבִּי יְהוּדָה, שָׁאַל רַבִּי יִשְׁמָעֵאל אֶת רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, כְּשֶׁהָיוּ מְהַלְּכִין בַּדֶּרֶךְ. אָמַר לוֹ, מִפְּנֵי מָה אָסְרוּ גְבִינוֹת הַגּוֹיִם. אָמַר לוֹ, מִפְּנֵי שֶׁמַּעֲמִידִין אוֹתָהּ בְּקֵבָה שֶׁל נְבֵלָה. אָמַר לוֹ, וַהֲלֹא קֵבַת עוֹלָה חֲמוּרָה מִקֵּבַת נְבֵלָה, וְאָמְרוּ, כֹּהֵן שֶׁדַּעְתּוֹ יָפָה, שׂוֹרְפָהּ חַיָּה. וְלֹא הוֹדוּ לוֹ, אֲבָל אָמְרוּ, אֵין נֶהֱנִין וְלֹא מוֹעֲלִין. חָזַר, אָמַר לוֹ, מִפְּנֵי שֶׁמַּעֲמִידִין אוֹתָהּ בְּקֵבַת עֶגְלֵי עֲבוֹדָה זָרָה. אָמַר לוֹ, אִם כֵּן, לָמָּה לֹא אֲסָרוּהָ בַהֲנָאָה. הִשִּׂיאוֹ לְדָבָר אַחֵר, אָמַר לוֹ, יִשְׁמָעֵאל אָחִי, הֵיאַךְ אַתָּה קוֹרֵא (שיר השירים א), כִּי טוֹבִים דֹּדֶיךָ מִיָּיִן, אוֹ כִּי טוֹבִים דֹּדַיִךְ. אָמַר לוֹ, כִּי טוֹבִים דֹּדַיִךְ. אָמַר לוֹ, אֵין הַדָּבָר כֵּן, שֶׁהֲרֵי חֲבֵרוֹ מְלַמֵּד עָלָיו, לְרֵיחַ שְׁמָנֶיךָ טוֹבִים: \n", + "אֵלּוּ דְבָרִים שֶׁל גּוֹיִם אֲסוּרִין וְאֵין אִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה. חָלָב שֶׁחֲלָבוֹ גוֹי וְאֵין יִשְׂרָאֵל רוֹאֵהוּ, וְהַפַּת, וְהַשֶּׁמֶן שֶׁלָּהֶן. רַבִּי וּבֵית דִּינוֹ הִתִּירוּ בַשֶּׁמֶן. וּשְׁלָקוֹת, וּכְבָשִׁין שֶׁדַּרְכָּן לָתֵת לְתוֹכָן יַיִן וָחֹמֶץ, וְטָרִית טְרוּפָה, וְצִיר שֶׁאֵין בָּהּ דָּגָה כִלְבִּית שׁוֹטֶטֶת בּוֹ, וְהַחִלָּק, וְקֹרֶט שֶׁל חִלְתִּית, וּמֶלַח סַלְקוֹנְטִית, הֲרֵי אֵלּוּ אֲסוּרִין וְאֵין אִסּוּרָן אִסּוּר הֲנָאָה: \n", + "אֵלּוּ מֻתָּרִין בַּאֲכִילָה. חָלָב שֶׁחֲלָבוֹ גוֹי וְיִשְׂרָאֵל רוֹאֵהוּ. וְהַדְּבַשׁ. וְהַדַּבְדָּנִיּוֹת אַף עַל פִּי שֶׁמְּנַטְּפִין, אֵין בָּהֶם מִשּׁוּם הֶכְשֵׁר מַשְׁקֶה. וּכְבָשִׁין שֶׁאֵין דַּרְכָּן לָתֵת לְתוֹכָן יַיִן וָחֹמֶץ. וְטָרִית שֶׁאֵינָהּ טְרוּפָה. וְצִיר שֶׁיֶּשׁ בָּהּ דָּגָה. וְעָלֶה שֶׁל חִלְתִּית. וְזֵיתִים גְּלֻסְקָאוֹת הַמְגֻלְגָּלִין. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, הַשְּׁלוּחִין, אֲסוּרִין. הַחֲגָבִים הַבָּאִים מִן הַסְּלוּלָה, אֲסוּרִין. מִן הַהַפְתֵּק, מֻתָּרִין. וְכֵן לִתְרוּמָה: \n" + ], + [ + "כָּל הַצְּלָמִים אֲסוּרִים, מִפְּנֵי שֶׁהֵן נֶעֱבָדִין פַּעַם אַחַת בַּשָּׁנָה, דִבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵינוֹ אָסוּר אֶלָּא כָל שֶׁיֵּשׁ בְּיָדוֹ מַקֵּל אוֹ צִפּוֹר אוֹ כַדּוּר. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, כֹּל שֶׁיֵּשׁ בְּיָדוֹ כָל דָּבָר: ", + "הַמּוֹצֵא שִׁבְרֵי צְלָמִים, הֲרֵי אֵלּוּ מֻתָּרִים. מָצָא תַבְנִית יָד אוֹ תַבְנִית רֶגֶל, הֲרֵי אֵלּוּ אֲסוּרִים, מִפְּנֵי שֶׁכַּיּוֹצֵא בָהֶן נֶעֱבָד: ", + "הַמּוֹצֵא כֵלִים וַעֲלֵיהֶם צוּרַת חַמָּה, צוּרַת לְבָנָה, צוּרַת דְּרָקוֹן, יוֹלִיכֵם לְיָם הַמֶּלַח. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, שֶׁעַל הַמְכֻבָּדִין, אֲסוּרִים. שֶׁעַל הַמְבֻזִּין, מֻתָּרִין. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, שׁוֹחֵק וְזוֹרֶה לָרוּחַ אוֹ מַטִּיל לַיָּם. אָמְרוּ לוֹ, אַף הוּא נַעֲשֶׂה זֶבֶל, שֶׁנֶּאֱמַר (דברים יג) וְלֹא יִדְבַּק בְּיָדְךָ מְאוּמָה מִן הַחֵרֶם: ", + "שָׁאַל פְּרוֹקְלוֹס בֶּן פִלוֹסְפוֹס אֶת רַבָּן גַּמְלִיאֵל בְּעַכּוֹ, שֶׁהָיָה רוֹחֵץ בַּמֶּרְחָץ שֶׁל אַפְרוֹדִיטִי, אָמַר לוֹ, כָּתוּב בְּתוֹרַתְכֶם, וְלֹא יִדְבַּק בְּיָדְךָ מְאוּמָה מִן הַחֵרֶם. מִפְּנֵי מָה אַתָּה רוֹחֵץ בַּמֶּרְחָץ שֶׁל אַפְרוֹדִיטִי. אָמַר לוֹ, אֵין מְשִׁיבִין בַּמֶּרְחָץ. וּכְשֶׁיָּצָא אָמַר לוֹ, אֲנִי לֹא בָאתִי בִגְבוּלָהּ, הִיא בָאתָה בִגְבוּלִי, אֵין אוֹמְרִים, נַעֲשֶׂה מֶרְחָץ לְאַפְרוֹדִיטִי נוֹי, אֶלָּא אוֹמְרִים, נַעֲשֶׂה אַפְרוֹדִיטִי נוֹי לַמֶּרְחָץ. דָּבָר אַחֵר, אִם נוֹתְנִין לְךָ מָמוֹן הַרְבֵּה, אִי אַתָּה נִכְנָס לַעֲבוֹדָה זָרָה שֶׁלְּךָ עָרוֹם וּבַעַל קֶרִי וּמַשְׁתִּין בְּפָנֶיהָ, וְזוֹ עוֹמֶדֶת עַל פִּי הַבִּיב וְכָל הָעָם מַשְׁתִּינִין לְפָנֶיהָ. לֹא נֶאֱמַר אֶלָּא אֱלֹהֵיהֶם. אֶת שֶׁנּוֹהֵג בּוֹ מִשּׁוּם אֱלוֹהַּ, אָסוּר. וְאֶת שֶׁאֵינוֹ נוֹהֵג בּוֹ מִשּׁוּם אֱלוֹהַּ, מֻתָּר: ", + "הַגּוֹיִם הָעוֹבְדִים אֶת הֶהָרִים וְאֶת הַגְּבָעוֹת, הֵן מֻתָּרִין וּמַה שֶּׁעֲלֵיהֶם אֲסוּרִים, שֶׁנֶּאֱמַר (דברים ז) לֹא תַחְמֹד כֶּסֶף וְזָהָב עֲלֵיהֶם וְלָקַחְתָּ. רַבִּי יוֹסֵי הַגְּלִילִי אוֹמֵר, (שם יב) אֱלֹהֵיהֶם עַל הֶהָרִים, וְלֹא הֶהָרִים אֱלֹהֵיהֶם. אֱלֹהֵיהֶם עַל הַגְּבָעוֹת, וְלֹא הַגְּבָעוֹת אֱלֹהֵיהֶם. וּמִפְּנֵי מָה אֲשֵׁרָה אֲסוּרָה, מִפְּנֵי שֶׁיֶּשׁ בָּהּ תְּפִיסַת יָד אָדָם, וְכֹל שֶׁיֶּשׁ בָּהּ תְּפִיסַת יְדֵי אָדָם אָסוּר. אָמַר רַבִּי עֲקִיבָא, אֲנִי אוֹבִין וְאָדוּן לְפָנֶיךָ. כָּל מָקוֹם שֶׁאַתָּה מוֹצֵא הַר גָּבוֹהַּ וְגִבְעָה נִשָּׂאָה וְעֵץ רַעֲנָן, דַּע שֶׁיֶּשׁ שָׁם עֲבוֹדָה זָרָה: ", + "מִי שֶׁהָיָה בֵיתוֹ סָמוּךְ לַעֲבוֹדָה זָרָה וְנָפַל, אָסוּר לִבְנוֹתוֹ. כֵּיצַד יַעֲשֶׂה, כּוֹנֵס בְּתוֹךְ שֶׁלּוֹ אַרְבַּע אַמּוֹת וּבוֹנֶה. הָיָה שֶׁלּוֹ וְשֶׁל עֲבוֹדָה זָרָה, נִדּוֹן מֶחֱצָה עַל מֶחֱצָה. אֲבָנָיו עֵצָיו וַעֲפָרוֹ, מְטַמְּאִין כַּשֶּׁרֶץ, שֶׁנֶּאֱמַר (דברים ז) שַׁקֵּץ תְּשַׁקְּצֶנּוּ. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, כַּנִּדָּה, שֶׁנֶּאֱמַר (ישעיה ל) תִּזְרֵם כְּמוֹ דָוָה, צֵא תֹּאמַר לוֹ, מַה נִּדָּה מְטַמְּאָה בְמַשָּׂא, אַף עֲבוֹדָה זָרָה מְטַמְּאָה בְמַשָּׂא: ", + "שְׁלשָׁה בָתִּים הֵן. בַּיִת שֶׁבָּנוּי מִתְּחִלָּה לַעֲבוֹדָה זָרָה, הֲרֵי זֶה אָסוּר. סִיְּדוֹ וְכִיְּרוֹ לַעֲבוֹדָה זָרָה וְחִדֵּשׁ, נוֹטֵל מַה שֶּׁחִדֵּשׁ. הִכְנִיס לְתוֹכָה עֲבוֹדָה זָרָה וְהוֹצִיאָהּ, הֲרֵי זֶה מֻתָּר. שָׁלשׁ אֲבָנִים הֵן. אֶבֶן שֶׁחֲצָבָהּ מִתְּחִלָּה לְבִימוֹס, הֲרֵי זוֹ אֲסוּרָה. סִיְּדָהּ וְכִיְּרָהּ לְשֵׁם עֲבוֹדָה זָרָה וְחִדֵּשׁ, נוֹטֵל מַה שֶּׁחִדֵּשׁ. הֶעֱמִיד עָלֶיהָ עֲבוֹדָה זָרָה וְסִלְּקָהּ, הֲרֵי זוֹ מֻתֶּרֶת. שָׁלשׁ אֲשֵׁרוֹת הֵן. אִילָן שֶׁנְּטָעוֹ מִתְּחִלָּה לְשֵׁם עֲבוֹדָה זָרָה, הֲרֵי זֶה אָסוּר. גִּדְּעוֹ וּפִסְּלוֹ לְשֵׁם עֲבוֹדָה זָרָה וְהֶחֱלִיף, נוֹטֵל מַה שֶּׁהֶחֱלִיף. הֶעֱמִיד תַּחְתֶּיהָ עֲבוֹדָה זָרָה וּבִטְּלָהּ, הֲרֵי זֶה מֻתָּר. אֵיזוֹ הִיא אֲשֵׁרָה, כֹּל שֶׁיֵּשׁ תַּחְתֶּיהָ עֲבוֹדָה זָרָה. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, כֹּל שֶׁעוֹבְדִין אוֹתָהּ. וּמַעֲשֶׂה בְצַיְדָּן בְּאִילָן שֶׁהָיוּ עוֹבְדִין אוֹתוֹ, וּמָצְאוּ תַחְתָּיו גָּל. אָמַר לָהֶן רַבִּי שִׁמְעוֹן, בִּדְקוּ אֶת הַגַּל הַזֶּה, וּבְדָקוּהוּ וּמָצְאוּ בוֹ צוּרָה. אָמַר לָהֶן, הוֹאִיל וְלַצּוּרָה הֵן עוֹבְדִין, נַתִּיר לָהֶן אֶת הָאִילָן: ", + "לֹא יֵשֵׁב בְּצִלָּהּ. וְאִם יָשַׁב, טָהוֹר. וְלֹא יַעֲבֹר תַּחְתֶּיהָ. וְאִם עָבַר, טָמֵא. הָיְתָה גוֹזֶלֶת אֶת הָרַבִּים, וְעָבַר תַּחְתֶּיהָ, טָהוֹר. וְזוֹרְעִין תַּחְתֶּיהָ יְרָקוֹת בִּימוֹת הַגְּשָׁמִים אֲבָל לֹא בִימוֹת הַחַמָּה. וְהַחֲזָרִין, לֹא בִימוֹת הַחַמָּה וְלֹא בִימוֹת הַגְּשָׁמִים. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אַף לֹא יְרָקוֹת בִּימוֹת הַגְּשָׁמִים, מִפְּנֵי שֶׁהַנְּמִיָּה נוֹשֶׁרֶת עֲלֵיהֶן וְהֹוָה לָהֶן לְזָבֶל: ", + "נָטַל מִמֶּנָּה עֵצִים, אֲסוּרִים בַּהֲנָאָה. הִסִּיק בָּהֶן אֶת הַתַּנּוּר, אִם חָדָשׁ, יֻתַּץ. וְאִם יָשָׁן, יֻצַּן. אָפָה בוֹ אֶת הַפַּת, אֲסוּרָה בַהֲנָאָה. נִתְעָרְבָה בַאֲחֵרוֹת, כֻּלָּן אֲסוּרוֹת בַּהֲנָאָה. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, יוֹלִיךְ הֲנָאָה לְיָם הַמֶּלַח. אָמְרוּ לוֹ, אֵין פִּדְיוֹן לַעֲבוֹדָה זָרָה. נָטַל הֵימֶנָּה כַרְכֹּר, אָסוּר בַּהֲנָאָה. אָרַג בּוֹ אֶת הַבֶּגֶד, הַבֶּגֶד אָסוּר בַּהֲנָאָה. נִתְעָרֵב בַּאֲחֵרִים וַאֲחֵרִים בַּאֲחֵרִים, כֻּלָּן אֲסוּרִין בַּהֲנָאָה. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, יוֹלִיךְ הֲנָאָה לְיָם הַמֶּלַח. אָמְרוּ לוֹ, אֵין פִּדְיוֹן לַעֲבוֹדָה זָרָה: ", + "כֵּיצַד מְבַטְּלָהּ. קִרְסֵם, וְזֵרַד, נָטַל מִמֶּנָּה מַקֵּל אוֹ שַׁרְבִיט, אֲפִלּוּ עָלֶה, הֲרֵי זוֹ בְטֵלָה. שְׁפָיָהּ לְצָרְכָּהּ, אֲסוּרָה. שֶׁלֹּא לְצָרְכָּהּ, מֻתֶּרֶת: " + ], + [ + "רַבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר, שָׁלשׁ אֲבָנִים זוֹ בְצַד זוֹ בְּצַד מַרְקוּלִיס, אֲסוּרוֹת. וּשְׁתַּיִם, מֻתָּרוֹת. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, שֶׁנִּרְאוֹת עִמּוֹ, אֲסוּרוֹת. וְשֶׁאֵין נִרְאוֹת עִמּוֹ, מֻתָּרוֹת: \n", + "מָצָא בְרֹאשׁוֹ מָעוֹת, כְּסוּת אוֹ כֵלִים, הֲרֵי אֵלּוּ מֻתָּרִין. פַּרְכִּילֵי עֲנָבִים וַעֲטָרוֹת שֶׁל שִׁבֳּלִים וְיֵינוֹת וּשְׁמָנִים וּסְלָתוֹת וְכָל דָּבָר שֶׁכַּיּוֹצֵא בוֹ קָרֵב עַל גַּבֵּי הַמִּזְבֵּחַ, אָסוּר: \n", + "עֲבוֹדָה זָרָה שֶׁהָיָה לָהּ גִנָּה אוֹ מֶרְחָץ, נֶהֱנִין מֵהֶן שֶׁלֹּא בְטוֹבָה וְאֵין נֶהֱנִין מֵהֶן בְּטוֹבָה. הָיָה שֶׁלָּהּ וְשֶׁל אֲחֵרִים, נֶהֱנִין מֵהֶן בֵּין בְּטוֹבָה וּבֵין שֶׁלֹּא בְטוֹבָה: \n", + "עֲבוֹדָה זָרָה שֶׁל נָכְרִי, אֲסוּרָה מִיָּד. וְשֶׁל יִשְׂרָאֵל, אֵין אֲסוּרָה עַד שֶׁתֵּעָבֵד. נָכְרִי מְבַטֵּל עֲבוֹדָה זָרָה שֶׁלּוֹ וְשֶׁל חֲבֵרוֹ, וְיִשְׂרָאֵל אֵינוֹ מְבַטֵּל עֲבוֹדָה זָרָה שֶׁל נָכְרִי. הַמְבַטֵּל עֲבוֹדָה זָרָה, בִּטֵּל מְשַׁמְּשֶׁיהָ. בִּטֵּל מְשַׁמְּשֶׁיהָ, מְשַׁמְּשֶׁיהָ מֻתָּרִין וְהִיא אֲסוּרָה: \n", + "כֵּיצַד מְבַטְּלָהּ, קָטַע רֹאשׁ אָזְנָהּ, רֹאשׁ חָטְמָהּ, רֹאשׁ אֶצְבָּעָהּ, פְּחָסָהּ אַף עַל פִּי שֶׁלֹּא חִסְּרָהּ, בִּטְּלָהּ. רָקַק בְּפָנֶיהָ, הִשְׁתִּין בְּפָנֶיהָ, גְּרָרָהּ, וְזָרַק בָּהּ אֶת הַצּוֹאָה, הֲרֵי זוֹ אֵינָהּ בְּטֵלָה. מְכָרָהּ אוֹ מִשְׁכְּנָהּ, רַבִּי אוֹמֵר, בִּטֵּל. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לֹא בִטֵּל: \n", + "עֲבוֹדָה זָרָה שֶׁהִנִּיחוּהָ עוֹבְדֶיהָ בִּשְׁעַת שָׁלוֹם, מֻתֶּרֶת. בִּשְׁעַת מִלְחָמָה, אֲסוּרָה. בִּימוֹסְיָאוֹת שֶׁל מְלָכִים, הֲרֵי אֵלּוּ מֻתָּרוֹת, מִפְּנֵי שֶׁמַּעֲמִידִין אוֹתָם בְּשָׁעָה שֶׁהַמְּלָכִים עוֹבְרִים: \n", + "שָׁאֲלוּ אֶת הַזְּקֵנִים בְּרוֹמִי, אִם אֵין רְצוֹנוֹ בַּעֲבוֹדָה זָרָה, לָמָה אֵינוֹ מְבַטְּלָהּ. אָמְרוּ לָהֶן, אִלּוּ לְדָבָר שֶׁאֵין צֹרֶךְ לָעוֹלָם בּוֹ הָיוּ עוֹבְדִין, הָיָה מְבַטְּלוֹ. הֲרֵי הֵן עוֹבְדִין לַחַמָּה וְלַלְּבָנָה וְלַכּוֹכָבִים וְלַמַּזָּלוֹת. יְאַבֵּד עוֹלָמוֹ מִפְּנֵי הַשּׁוֹטִים. אָמְרוּ לָהֶן, אִם כֵּן, יְאַבֵּד דָּבָר שֶׁאֵין צֹרֶךְ לָעוֹלָם בּוֹ וְיַנִּיחַ דָּבָר שֶׁצֹּרֶךְ הָעוֹלָם בּוֹ. אָמְרוּ לָהֶן, אַף אָנוּ מַחֲזִיקִין יְדֵי עוֹבְדֵיהֶם שֶׁל אֵלּוּ, שֶׁאוֹמְרִים, תֵּדְעוּ שֶׁהֵן אֱלוֹהוֹת, שֶׁהֲרֵי הֵן לֹא בָטָלוּ: \n", + "לוֹקְחִין גַּת בְּעוּטָה מִן הַגּוֹי אַף עַל פִּי שֶׁהוּא נוֹטֵל בְּיָדוֹ וְנוֹתֵן לַתַּפּוּחַ. וְאֵינוֹ נַעֲשֶׂה יֵין נֶסֶךְ, עַד שֶׁיֵּרֵד לַבּוֹר. יָרַד לַבּוֹר, מַה שֶּׁבַּבּוֹר אָסוּר, וְהַשְּׁאָר מֻתָּר: \n", + "דּוֹרְכִין עִם הַגּוֹי בַּגַּת, אֲבָל לֹא בוֹצְרִין עִמּוֹ. יִשְׂרָאֵל שֶׁהוּא עוֹשֶׂה בְטֻמְאָה, לֹא דוֹרְכִין וְלֹא בוֹצְרִין עִמּוֹ, אֲבָל מוֹלִיכִין עִמּוֹ חָבִיּוֹת לַגַּת, וּמְבִיאִין עִמּוֹ מִן הַגָּת. נַחְתּוֹם שֶׁהוּא עוֹשֶׂה בְטֻמְאָה, לֹא לָשִׁין וְלֹא עוֹרְכִין עִמּוֹ, אֲבָל מוֹלִיכִין עִמּוֹ פַת לַפַּלְטֵר: \n", + "גּוֹי שֶׁנִּמְצָא עוֹמֵד בְּצַד הַבּוֹר שֶׁל יַיִן, אִם יֶשׁ לוֹ עָלָיו מִלְוָה, אָסוּר. אֵין לוֹ עָלָיו מִלְוָה, מֻתָּר. נָפַל לַבּוֹר וְעָלָה, וּמְדָדוֹ בַקָּנֶה, הִתִּיז אֶת הַצִּרְעָה בַקָּנֶה אוֹ שֶׁהָיָה מְטַפֵּחַ עַל פִּי חָבִית מְרֻתַּחַת, בְּכָל אֵלּוּ הָיָה מַעֲשֶׂה, וְאָמְרוּ יִמָּכֵר. וְרַבִּי שִׁמְעוֹן מַתִּיר. נָטַל אֶת הֶחָבִית וּזְרָקָהּ בַּחֲמָתוֹ לַבּוֹר, זֶה הָיָה מַעֲשֶׂה וְהִכְשִׁירוּ: \n", + "הַמְטַהֵר יֵינוֹ שֶׁל נָכְרִי וְנוֹתְנוֹ בִרְשׁוּתוֹ בְּבַיִת הַפָּתוּחַ לִרְשׁוּת הָרַבִּים, בְּעִיר שֶׁיֶּשׁ בָּהּ גּוֹיִם וְיִשְׂרְאֵלִים, מֻתָּר. בְּעִיר שֶׁכֻּלָּהּ גּוֹיִם, אָסוּר, עַד שֶׁיּוֹשִׁיב שׁוֹמֵר. וְאֵין הַשּׁוֹמֵר צָרִיךְ לִהְיוֹת יוֹשֵׁב וּמְשַׁמֵּר. אַף עַל פִּי שֶׁהוּא יוֹצֵא וְנִכְנָס, מֻתָּר. רַבִּי שִׁמְעוֹן בֶּן אֶלְעָזָר אוֹמֵר, כָּל רְשׁוּת גּוֹיִם אַחַת הִיא: \n", + "הַמְּטַהֵר יֵינוֹ שֶׁל נָכְרִי וְנוֹתְנוֹ בִרְשׁוּתוֹ, וְהַלָּה כוֹתֵב לוֹ, הִתְקַבַּלְתִּי מִמְּךָ מָעוֹת, מֻתָּר. אֲבָל אִם יִרְצֶה יִשְׂרָאֵל לְהוֹצִיאוֹ וְאֵינוֹ מַנִּיחוֹ עַד שֶׁיִּתֵּן לוֹ אֶת מְעוֹתָיו, זֶה הָיָה מַעֲשֶׂה בְבֵית שְׁאָן, וְאָסְרוּ חֲכָמִים: \n" + ], + [ + "הַשּׂוֹכֵר אֶת הַפּוֹעֵל לַעֲשׂוֹת עִמּוֹ בְיֵין נֶסֶךְ, שְׂכָרוֹ אָסוּר. שְׂכָרוֹ לַעֲשׂוֹת עִמּוֹ מְלָאכָה אַחֶרֶת, אַף עַל פִּי שֶׁאָמַר לוֹ הֲעֲבֵר לִי חָבִית שֶׁל יֵין נֶסֶךְ מִמָּקוֹם לְמָקוֹם, שְׂכָרוֹ מֻתָּר. הַשׂוֹכֵר אֶת הַחֲמוֹר לְהָבִיא עָלֶיהָ יֵין נֶסֶךְ, שְׂכָרָהּ אָסוּר. שְׂכָרָהּ לֵישֵׁב עָלֶיהָ, אַף עַל פִּי שֶׁהִנִּיחַ הַגּוֹי לְגִינוֹ עָלֶיהָ, שְׂכָרָהּ מֻתָּר: \n", + "יֵין נֶסֶךְ שֶׁנָּפַל עַל גַּבֵּי עֲנָבִים, יְדִיחֵן וְהֵן מֻתָּרוֹת. וְאִם הָיוּ מְבֻקָּעוֹת, אֲסוּרוֹת. נָפַל עַל גַבֵּי תְאֵנִים אוֹ עַל גַּבֵּי תְמָרִים, אִם יֵשׁ בָּהֶן בְּנוֹתֵן טַעַם, אָסוּר. מַעֲשֶׂה בְּבַיְתוֹס בֶּן זוֹנָן שֶׁהֵבִיא גְרוֹגָרוֹת בִּסְפִינָה, וְנִשְׁתַּבְּרָה חָבִית שֶׁל יֵין נֶסֶךְ וְנָפַל עַל גַּבֵּיהֶן, וְשָׁאַל לַחֲכָמִים וְהִתִּירוּם. זֶה הַכְּלָל, כֹּל שֶׁבַּהֲנָאָתוֹ בְּנוֹתֵן טַעַם, אָסוּר. כֹּל שֶׁאֵין בַּהֲנָאָתוֹ בְּנוֹתֵן טַעַם, מֻתָּר, כְּגוֹן חֹמֶץ שֶׁנָּפַל עַל גַּבֵּי גְרִיסִין: \n", + "נָכְרִי שֶׁהָיָה מַעֲבִיר עִם יִשְׂרָאֵל כַּדֵּי יַיִן מִמָּקוֹם לְמָקוֹם, אִם הָיָה בְחֶזְקַת הַמִּשְׁתַּמֵּר, מֻתָּר. אִם הוֹדִיעוֹ שֶׁהוּא מַפְלִיג, כְּדֵי שֶׁיִּשְׁתֹּם וְיִסְתֹּם וְיִגֹּב. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, כְּדֵי שֶׁיִּפְתַּח וְיָגוּף וְתִגֹּב: \n", + "הַמַּנִּיחַ יֵינוֹ בְקָרוֹן אוֹ בִסְפִינָה וְהָלַךְ לוֹ בְקַפַּנְדַּרְיָא, נִכְנַס לַמְּדִינָה וְרָחַץ, מֻתָּר. אִם הוֹדִיעוֹ שֶׁהוּא מַפְלִיג, כְּדֵי שֶׁיִּשְׁתֹּם וְיִסְתֹּם וְיִגֹּב. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, כְּדֵי שֶׁיִּפְתַּח וְיָגוּף וְתִגֹּב. הַמַּנִּיחַ נָכְרִי בַחֲנוּת, אַף עַל פִּי שֶׁהוּא יוֹצֵא וְנִכְנָס, מֻתָּר. וְאִם הוֹדִיעוֹ שֶׁהוּא מַפְלִיג, כְּדֵי שֶׁיִשְׁתֹּם וְיִסְתֹּם וְיִגֹּב. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, כְּדֵי שֶׁיִּפְתַּח וְיָגוּף וְתִגֹּב: \n", + "הָיָה אוֹכֵל עִמּוֹ עַל הַשֻּׁלְחָן וְהִנִּיחַ לְגִינָה עַל הַשֻּׁלְחָן, וּלְגִינָה עַל הַדֻּלְבְּקִי, וְהִנִּיחוֹ וְיָצָא, מַה שֶּׁעַל הַשֻּׁלְחָן, אָסוּר. וּמַה שֶּׁעַל הַדֻּלְבְּקִי, מֻתָּר. וְאִם אָמַר לוֹ הֱוֵי מוֹזֵג וְשׁוֹתֶה, אַף שֶׁעַל הַדֻּלְבְּקִי אָסוּר. חָבִיּוֹת פְּתוּחוֹת, אֲסוּרוֹת. סְתוּמוֹת, כְּדֵי שֶׁיִּפְתַּח וְיָגוּף וְתִגֹּב: \n", + "בַּלֶּשֶׁת גּוֹיִם שֶׁנִּכְנְסָה לָעִיר בִּשְׁעַת שָׁלוֹם, חָבִיּוֹת פְּתוּחוֹת, אֲסוּרוֹת. סְתוּמוֹת, מֻתָּרוֹת. בִּשְׁעַת מִלְחָמָה, אֵלּוּ וָאֵלּוּ מֻתָּרוֹת, לְפִי שֶׁאֵין פְּנַאי לְנַסֵּךְ: \n", + "אֻמָּנִין שֶׁל יִשְׂרָאֵל שֶׁשָּׁלַח לָהֶם נָכְרִי חָבִית שֶׁל יֵין נֶסֶךְ בִּשְׂכָרָן, מֻתָּרִים לוֹמַר לוֹ תֵּן לָנוּ אֶת דָּמֶיהָ. וְאִם מִשֶּׁנִּכְנְסָה לִרְשׁוּתָן, אָסוּר. הַמּוֹכֵר יֵינוֹ לַנָּכְרִי, פָּסַק עַד שֶׁלֹּא מָדַד, דָּמָיו מֻתָּרִין. מָדַד עַד שֶׁלֹּא פָסַק, דָּמָיו אֲסוּרִין. נָטַל אֶת הַמַּשְׁפֵּךְ וּמָדַד לְתוֹךְ צְלוֹחִיתוֹ שֶׁל נָכְרִי, וְחָזַר וּמָדַד לְתוֹךְ צְלוֹחִיתוֹ שֶׁל יִשְׂרָאֵל, אִם יֶשׁ בּוֹ עַכֶּבֶת יַיִן, אָסוּר. הַמְעָרֶה מִכְּלִי אֶל כְּלִי, אֶת שֶׁעֵרָה מִמֶּנּוּ, מֻתָּר. וְאֶת שֶׁעֵרָה לְתוֹכוֹ, אָסוּר: \n", + "יֵין נֶסֶךְ אָסוּר, וְאוֹסֵר בְּכָל שֶׁהוּא. יַיִן בְּיַיִן וּמַיִם בְּמַיִם, בְּכָל שֶׁהוּא. יַיִן בְּמַיִם וּמַיִם בְּיַיִן, בְּנוֹתֵן טָעַם. זֶה הַכְּלָל, מִין בְּמִינוֹ, בְּמַשֶּׁהוּ. וְשֶׁלֹּא בְמִינוֹ, בְּנוֹתֵן טָעַם: \n", + "אֵלּוּ אֲסוּרִין, וְאוֹסְרִין בְּכָל שֶׁהֵן. יֵין נֶסֶךְ, וַעֲבוֹדָה זָרָה, וְעוֹרוֹת לְבוּבִין, וְשׁוֹר הַנִּסְקָל, וְעֶגְלָה עֲרוּפָה, וְצִפֹּרֵי מְצֹרָע, וּשְׂעַר נָזִיר, וּפֶטֶר חֲמוֹר, וּבָשָׂר בְּחָלָב, וְשָׂעִיר הַמִּשְׁתַּלֵּחַ, וְחֻלִּין שֶׁנִּשְׁחֲטוּ בָעֲזָרָה, הֲרֵי אֵלּוּ אֲסוּרִין וְאוֹסְרִין בְּכָל שֶׁהֵן: \n", + "יֵין נֶסֶךְ שֶׁנָּפַל לְבוֹר, כֻּלּוֹ אָסוּר בַּהֲנָאָה. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, יִמָּכֵר כֻּלּוֹ לְנָכְרִי, חוּץ מִדְּמֵי יֵין נֶסֶךְ שֶׁבּוֹ: \n", + "גַּת שֶׁל אֶבֶן שֶׁזִּפְּתָהּ גּוֹי, מְנַגְּבָהּ וְהִיא טְהוֹרָה. וְשֶׁל עֵץ, רַבִּי אוֹמֵר, יְנַגֵּב. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, יִקְלֹף אֶת הַזֶּפֶת. וְשֶׁל חֶרֶס, אַף עַל פִּי שֶׁקָּלַף אֶת הַזֶּפֶת, הֲרֵי זוֹ אֲסוּרָה: \n", + "הַלּוֹקֵחַ כְּלֵי תַשְׁמִישׁ מִן הַגּוֹי, אֶת שֶׁדַּרְכּוֹ לְהַטְבִּיל, יַטְבִּיל. לְהַגְעִיל, יַגְעִיל. לְלַבֵּן בָּאוּר, יְלַבֵּן בָּאוּר. הַשַּׁפּוּד וְהָאַסְכְּלָה, מְלַבְּנָן בָּאוּר. הַסַּכִּין, שָׁפָהּ וְהִיא טְהוֹרָה: \n" + ] + ], + "versions": [ + [ + "Torat Emet 357", + "http://www.toratemetfreeware.com/index.html?downloads" + ] + ], + "heTitle": "משנה עבודה זרה", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git "a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/English/Mischnajot mit deutscher \303\234bersetzung und Erkl\303\244rung. 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Ordnung Moed, von Eduard Baneth. 1887-1927.
Ordnung Naschim, von Marcus Petuchowski u. Simon Schlesinger. 1896-1933.
Ordnung Nesikin, von David Hoffmann. 1893-1898.
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Die Unreinheit tritt zwar schon mit dem Zeitpunkte ein, da das Blut aus dem Muttermunde herausgekommen, obwohl es sich noch im Innern (der Scheide, בית החיצון) befindet (Nidda V, 1) und nicht wahrgenommen wird; dennoch aber haben die Weisen (so meint Schammai) nicht die von ihr vor der Wahrnehmung berührten Gegenstände für unrein erklärt; denn wenn so jede Frau schon vor der Menstruation für unrein gälte, so würde jeder Gatte wegen Gewissensskrupel (er könnte das schwere Verbot von Lev. 18, 19 übertreten) sich von seiner Frau stets fernhalten und das Gebot von Gen. 1, 28 nicht beobachten. Hillel sagt: (Sie gelten für unrein) rückwärts die Zeit vom (letzten) Untersuchen4 Bei dem sie die Unreinheit wahrgenommen hat. bis zum (vorletzten) Untersuchen5 Bei dem sie sich noch rein gefunden hatte. Hillel meint, es sei zu befürchten, dass sofort nach der vorletzten Untersuchung Blut aus dem Muttermunde gekommen sei, das längere Zeit von den Seiten des Gebärmutterhalses (כותלי בית הרחם) zurückgehalten und nicht wahrgenommen wurde. Diese Unreinheits-Erklärung gilt aber nach Hillel nur Betreffs der von der Frau berührten reinen Gegenstände (לטהרות), nicht aber für den Gatten (לבעלה), der also nicht jene in Note 3 erwähnten Gewissensskrupel hegen würde., wenn auch viele Tage dazwischen waren.6 Zwischen der vorletzten und letzten Untersuchung. Die Weisen aber sagen: Nicht wie die Worte Dieses und nicht wie die Worte Jenes;7 Ist zu entscheiden. Schammai erleichtert zu sehr; nach Hillel wieder müsste man mitunter (wenn seit der vorletzten Untersuchung viele Tage verflossen) allzu sehr erschweren. sondern sie gilt für unrein rückwärts eine Zeit von vierundzwanzig Stunden,8 מעת לעת von Zeit zu Zeit, d. h. von der Zeit der heutigen Wahrnehmung rückwärts bis gestern um dieselbe Tageszeit, also 24 Stunden. wenn diese weniger ist als die Zeit vom letzten bis zum vorletzten Untersuchen;9 Wenn die vorletzte Untersuchung vor mehr als 24 Stunden stattgefunden hat. Wörtlich übersetzt lautet der Satz: „Die Zeit von 24 Stunden vermindert (die Geltungs-Dauer der Unreinheit) an der Seite (על יד) der Zeit vom Untersuchen bis zum Untersuchen.“ sie gilt dagegen für unrein die Zeit vom letzten bis zum vorletzten Untersuchen, wenn diese kürzer ist als vierundzwanzig Stunden.10 Wenn die vorletzte Untersuchung vor weniger als 24 Stunden stattgefunden hat. Die Frau gilt also für unrein höchstens 24 Stunden vor der Wahrnehmung der Menstruation; die Zeit der Unreinheit kann aber geringer sein, wenn sie sich innerhalb der letzten 24 Stunden bei einer Untersuchung rein gefunden, in welchem Falle sie nur rückwärts bis zu dieser Zeit für unrein gilt. Bei jeder Frau, welche eine regelmäßige Periode11 וסת (vom gr. ἦϑος) Gewohnheit, Art und Weise, die Periode (bibl. אורח). — Hier ist eine regelmäßige nach einer bestimmten Zeit (etwa alle 30 Tage) wiederkehrende Periode (וסת קבוע) gemeint. Der וסת wird ein regelmäßiger (קבוע) genannt, wenn er bereits dreimal hintereinander in ein und derselben bestimmten Zeit eingetroffen ist. hat, genügt es,1a די Genüge, דין ihr Genüge, d. h. es genügt ihnen. (dass sie) zu ihrer Zeit (für unrein gilt).12 Wenn sie zur bestimmten Zeit der Periode sich unrein findet, so gilt sie nur von dieser Zeit ab für unrein, da in solchem Falle anzunehmen ist, die Periode sei erst zur bestimmten Zeit eingetroffen (אורח בזמנו בא). Bei Einer, weiche unter Anwendung von Tüchern13 עדים in der Mischna entspricht dem Ausdr. בגדי עדים im bibl. Hebr. (vgl. Jes. 64, 5); die Mischna hat davon die Einz. עד (= בגד עדים) gebildet, mit der Bedeut. „Untersuchungstüchlein“, das die Frau dazu gebraucht, zu untersuchen, ob sie rein oder unrein ist. den ehelichen Umgang gepflegt hat,14 Was in den Zeiten, da man noch bei den Speisen auch die Reinheitsvorschriften genau beobachtete, jeder Frau zur Pflicht gemacht wurde (s. Nidda I, 7). gilt dies15 Nach dem Talmud (Nidda 4a) waren zwei Untersuchungen nötig, vor und nach dem ehelichen Umgang: hier ist von letzterer Untersuchung die Rede. wie eine Untersuchung,16 Wie jede andere Untersuchung. Wenn sie sich zu dieser Zeit rein gefunden, kann sie bei später wahrgenommener Unreinheit höchstens nur bis zu dieser Zeit rückwärts für unrein erklärt werden, wenn seitdem auch weniger als 24 Stunden verflossen sind. Dass diese Untersuchung wie jede andere gilt, muss nach dem Talm. (das.) deshalb gelehrt werden, weil man sonst gemeint hätte, es könnte das Blut vom semen virile bedeckt gewesen und deshalb nicht wahrgenommen worden sein. so dass es die Zeit von vierundzwanzig Stunden sowohl, als die von der letzten bis zur vorletzten Untersuchung vermindert.17 Diese ganze Mischna befindet sich auch in Nidda I, 1.", + "Schammai sagt: (Ein Teig) aus einem Kab (Mehl) unterliegt der Challa17a חלה, Teighebe, Num. 15, 20. -Pflicht.18 Da ein Kab = 4 Log, à 6 Eigrößen (ביצים), also 24 Eigrößen beträgt, so würde die Challa davon (die ¹⁄₂₄ vom Teige sein soll, vgl. Challa II, 7) gerade eine Eigröße haben, was als „eine Gabe“ bezeichnet werden kann (ר״ת, רשב״א). Hillel sagt: (Erst einer) aus zwei Kab.18a Nach Hillel ist die Quantität des Teiges so bestimmt worden, dass auch die Challa des Bäckers (die nur ¹⁄₄₈ des Teiges beträgt) gleich einer Eigröße sein soll. Die Weisen aber sagen: Nicht wie die Worte Dieses und nicht wie die Worte Jenes, sondern anderthalb Kab unterliegen der Challa-Pflicht.19 Denn es heißt (Num. 15, 20): „Die Erstlinge eures Teiges u. s. w.“ Darunter ist ein Teig von einer Omergröße verstanden, wie er für jeden Kopf der Israeliten in der Wüste als täglicher Bedarf bemessen war (Exod. 16, 16). Nun war der Omer = ⅒ Epha. Ein Epha hat 3 Sea à 6 Kab à 4 Log à 6 Eigrößen; daher ist 1 Omer = ¹⁸⁄₁₀ Kab = 43⅕ Eigrößen (ungefähr 3, 6 Liter) nach dem Maaße der Kinder Israel in der Wüste (Tosephta). Später aber sind in Jerusalem die Maaße um ⅙ vergrößert worden derart, dass 6 Kab der Wüste nur 5 jerusalemische Kab betrugen. Ein Omer ist also nach jerusalemischem Maaße = ¹⁸⁄₁₀.⅚ Kab = 1½ Kab. Als die Maaße größer geworden,19a Dies geschah nach der Tosephta und einer Baraita im Talmud (Erubin 83b) zu Sepphoris, wobei aus 6 jerusalemischen 5 sepphorische Kab wurden. Vielleicht war dies von den in B. batra VI, 7 erwähnten דיני צפורי angeordnet worden. sagte man: Fünf Viertel20 ⅒ Kab = 5 Log. unterliegen dieser Pflicht.20a Da ⁵⁄₄ Kab nach dem vergrößerten Maaße von Sepphoris = 1½ jerusalemische Kab sind. R. Jose sagt: Bei fünf ist man frei, erst bei fünf und noch (etwas dazu)21 So viel als die Challa beträgt, damit nach Absonderung der Challa noch ein Omer übrig bleibe (Erubin 83 b Tos. v. שבעה). ist man verpflichtet.", + "Hillel sagt: Ein Hin22 1 Hin = 3 Kab = 12 Log. -Maaß23 מלא הין ist auch im aram. Targum zu Exod. 30, 24 gebraucht. geschöpften Wassers24 Das in eine Wassersammlung, die weniger als 40 Sea beträgt, gefallen ist. macht eine Wassersammlung (zum Tauchbade) ungeeignet25 Weil das Hin das größte in der Tora erwähnte Maaß für Flüssigkeiten ist, deshalb haben die Weisen bei ihrer Verordnung, dass geschöpftes Wasser eine Wassersammlung zum Tauchbade unbrauchbar mache, das Hin-Maaß festgesetzt. Nur26 אלא bis רבו ist eine Glosse des Mischnaredaktors (רבי), um sich zu rechtfertigen, dass er bei Hillel den Ausdruck מלא הין und nicht vielmehr שלשה קבין gebraucht hat, wie bei שמאי nach קבין bestimmt wird. In einigen Codd. fehlt אלא. (deshalb wird dieser Ausdruck gebraucht), weil man verpflichtet ist, (die Tradition) mit dem Ausdruck seines Lehrers mitzuteilen.27 Und Hillel hat (vielleicht nach dem Targ.) מלא הין gesagt. (So erklärt R. Elia Wilna im אליה רבא zu Negaïm I, 2.). Schammai sagt: Neun Kab.28 Dasselbe Maaß, welches ein durch nächtlichen Zufall Verunreinigter (בעל קרי) zu seiner Reinigung bedarf (nach Berachot 22 ab). Die Weisen aber sagten weder wie die Worte Dieses noch wie die Worte Jenes,29 Sie entschieden für keinen von beiden, da deren Aussprüche einander widersprachen. bis zwei Weber vom Misttore zu Jerusalem30 Nach der Tosephta war dies ihr Wohnort. Doch finden wir später R. Jochanan b. Sakkai und R. Simon b. Gamliel auch am שער האשפות, wo sie ihre Sendschreiben anfertigen lassen (vgl. m. Likkute Mechilta zu Deut. S. 30). kamen und im Namen Schemaja’s und Abtaljon’s bezeugten, dass drei Log31 Ein viertel Hin, das Maaß des kleinsten Trankopfers, Num. 15, 5. geschöpften Wassers die Wassersammlung ungeeignet machen,32 Wenn jedoch ein Tauchbad das gesetzliche Maaß von 40 Sea hat, kann es selbst durch eine große Menge geschöpften Wassers nicht mehr unbrauchbar werden. da bestätigen die Weisen33 Alle Weisen, auch Hillel und Schammai, wie dies aus folgender Mischna hervorgeht. Nach der Tosephta haben die Hillel und Schammai opponierenden Weisen sofort ihre Ansicht dahin ausgesprochen, dass 3 Log das Mikwah unbrauchbar machen, und diese Ansicht wurde dann allgemein bestätigt, nachdem sie von den beiden Webern als die Schemaja’s und Abtaljons bezeugt wurde. deren Aussage.", + "Warum erwähnt man die Worte Schammai’s und Hillel’s, um sie aufzuheben?34 לבטלן so lesen die besten Codd. Die gewöhnlichen Ausgg. haben לבטלה (unnützer Weise). Gemeint ist: da Schammai und Hillel selbst ihre Worte aufgehoben hatten, so hätten dieselben gar nicht erwähnt werden sollen. Um die kommenden Geschlechter zu belehren, dass Niemand auf seiner Meinung beharren solle,35 Die Tos. fügt hinzu: במקום שמועה „wenn eine Überlieferung dagegen spricht“. da doch die größten Lehrer36 Eig. „die Väter der Welt“. Die vorzüglichsten Lehrer werden oft אבות העולם genannt. So hier Hillel und Schammai; Jerusch. Sekalim III, 47b (R. Ismaël und R. Akiba); Jerusch. Chagiga II,77d (alle „Paare“ in Abot I). In Tos. Tebul Jom I, 10 heissen die alten Lehrer אבות הראשונים. nicht auf ihrer Meinung beharrten.36 Eig. „die Väter der Welt“. Die vorzüglichsten Lehrer werden oft אבות העולם genannt. So hier Hillel und Schammai; Jerusch. Sekalim III, 47b (R. Ismaël und R. Akiba); Jerusch. Chagiga II,77d (alle „Paare“ in Abot I). In Tos. Tebul Jom I, 10 heißen die alten Lehrer אבות הראשונים.", + "Und warum erwähnt man die Ansicht eines Einzelnen gegen die der Mehrheit, da doch die Halacha nur nach den Worten der Mehrheit entschieden wird? Damit, wenn einem Gerichte die Ansicht des Einzelnen einleuchtet,37 ראה sehen, sich etwas ausersehen, einleuchtend finden ,vgl. B. batra IX, 1 Ende. es sich darauf stützen könne,38 Selbst nach der LA. ויסמוך kann dies Wort dennoch als Beginn des Nachsatzes genommen werden, da der Nachsatz oft mit ו׳ beginnt, vgl. z. B. Gen. 28, 22; Ps. 78, 34. da ein Gericht nicht die Worte eines andern Gerichtes39 Der früheren Zeit. aufheben kann,40 Wenn nicht bereits beim früheren Gerichtshofe wenigstens eine Einzelansicht mit dem jetzigen Beschlusse übereinstimmte, auf die sich das jetzige Gericht stützen könnte. es sei denn, dass es jenes41 Das frühere Gericht. an Weisheit42 Der Vorsitzende dieses Gerichtes übertrifft den des anderen an Weisheit. und Anzahl43 Die Anzahl der Weisen, welche dem Beschlusse dieses Gerichtes beistimmen, übertrifft die Anzahl derer, die dem anderen Gerichte beipflichteten. Nach ראב״ד ist מנין „die Anzahl der Lebensjahre“, das Alter (wohl des Vorsitzenden). übertrifft. Übertrifft es jenes an Weisheit, aber nicht an Zahl, oder an Zahl und nicht an Weisheit, so kann es dessen Worte nicht aufheben, sondern nur, wenn es dasselbe an Weisheit und Anzahl übertrifft.", + "Es sagt R. Jehuda:44 Nach ראב״ד kontroversiert R. Jehuda gegen die vorhergehende Mischna und meint, die Einzelansicht wurde nicht deshalb aufbewahrt, damit Spätere sie wieder zur Geltung bringen könnten, sondern im GegenTeil damit, wenn sie Jemand einmal als eine Überlieferung geltend machen wollte, man ihn darauf hinweisen könnte, dass dies eine bereits längst durch einen Mehrheits-Beschluss annullierte Einzelansicht sei. Indessen sprechen die Worte אם כן, mit denen R. Jehuda beginnt, für die Erklärung des Maimonides, wonach R. Jehuda die vorhergehende Mischna ergänzen und noch für die Fälle einen Grund angeben will, wo die Ansicht eines Einzelnen nur erwähnt wird, um sie für immer aufzuheben (לבטלן), wobei die Annahme, dass die Einzelansicht später einmal zur Geltung kommen könne, völlig ausgeschlossen ist. Über derartige Fälle vgl. Tos. Jom Tob. Wenn dem so ist, warum erwähnt man die Ansicht eines Einzelnen gegen die der Mehrheit, um jene aufzuheben?44 Nach ראב״ד kontroversiert R. Jehuda gegen die vorhergehende Mischna und meint, die Einzelansicht wurde nicht deshalb aufbewahrt, damit Spätere sie wieder zur Geltung bringen könnten, sondern im GegenTeil damit, wenn sie Jemand einmal als eine Überlieferung geltend machen wollte, man ihn darauf hinweisen könnte, dass dies eine bereits längst durch einen Mehrheits-Beschluss annullierte Einzelansicht sei. Indessen sprechen die Worte אם כן, mit denen R. Jehuda beginnt, für die Erklärung des Maimonides, wonach R. Jehuda die vorhergehende Mischna ergänzen und noch für die Fälle einen Grund angeben will, wo die Ansicht eines Einzelnen nur erwähnt wird, um sie für immer aufzuheben (לבטלן), wobei die Annahme, dass die Einzelansicht später einmal zur Geltung kommen könne, völlig ausgeschlossen ist. Über derartige Fälle vgl. Tos. Jom Tob. Damit wenn Jemand sagt: „So45 Wie der Einzelne entschieden hat. ist mir überliefert worden !“46 Und er wird diese Ansicht zur Geltung bringen wollen. man ihm sagen könne: „Du hast (deine Überlieferung) wie die Ansicht jenes (Einzelnen) vernommen.“47 Die aber durch den Majoritätsbeschluss aufgehoben wurde.", + "Beth-Schammai48 Die Schüler Schammai’s. sagen: Ein viertel Kab Gebein49 Vgl. Oholot II, 1. von (beliebigen) Gebeinen,50 Selbst wenn sie nicht den größten Teil des Körperbaues oder den größten Teil der Gliederzahl ausmachen. selbst von zweien (Toten) oder von dreien, (verunreinigt im Zelte51 Alles was sich mit unter ein und derselben Bedachung befindet. Weniger als ¼ Kab kann nur den verunreinigen, der es berührt oder trägt.. Bet-Hillel aber sagen: Ein viertel Kab Gebein vom Körper52 Es muss von Einem Körper sein. vom größten Teil des Baues,53 Von den Gebeinen, die den größten Teil des Körperbaues bilden. Nach Bechorot 45 sind dies z. B. zwei Schenkel und eine Hüfte. Selbst je ein Teil von jedem dieser Gebeine, die ¼ Kab messen, oder diese Gebeine im Ganzen, wenn sie auch kein viertel Kab betragen, verunreinigen im Zelte. oder vom größten Teil der Zahl.54 Die Anzahl der Glieder im Menschen beträgt (nach Oholot I, 8) 248; der größte Teil der Gliederzahl sind demnach 125 Glieder. Selbst wenn man von jedem der 125 Glieder einen Teil abgeschnitten und damit ¼ Kab voll gemacht hat, so verunreinigt dies im Zelte. Dagegen verunreinigen 125 ganze Glieder selbst, wenn sie nicht ¼ Kab betragen. (Tosaphot Nasir 52b v. ת״ש). Schammai sagt: Selbst von Einem Knochen.55 ¼ Kab, von Einem Totenknochen gefüllt, verunreinigt auch im Zelte.", + "Wicken56 כרשינה (ar. كرسنة) Wicke ist ein Viehfutter (Terumot XI, 9), das im Notfalle auch von Menschen gegessen wird und deshalb teruma-pflichtig ist. von Teruma57 Vgl. dieselbe Mischna in Maaser scheni II, 4. darf man nach Bet-Schammai nur in Reinheit58 D. h. mit gewaschenen Händen. weichen und reiben,59 Den Körper damit reiben. Nach ר״ש reiben oder vielmehr klopfen, um die Schale abzustreifen. aber (auch) in Unreinheit60 Mit ungewaschenen Händen, die hinsichtlich der Teruma für unrein gelten. (dem Viehe) zu essen geben. Bet-Hillel sagen: Man darf sie nur in Reinheit weichen,61 Nur das Weichen, wobei die Wicke durch das Wasser sofort verunreinigungsfähig wird (Lev. 11, 88) muss mit gewaschenen Händen vorgenommen werden. aber (auch in Unreinheit reiben oder (dem Viehe) zu essen geben. Schammai sagt: Sie sollen trocken62 Viell, vom arab. صلد hart, trocken. gegessen werden.63 Damit man nicht erkenne, dass sie bereits fähig sind, unrein zu werden. R. Akiba sagt:64 Nach der Mischna des R. Akiba ist Folgendes die Ansicht der für die Halacha maßgebenden Bet-Hillel (Tosephta M. scheni II, 1). Man darf Alles damit in Unreinheit verrichten.65 Da Wicke als Viehfutter gar nicht terumapflichtig ist, (vgl. Challa IV, 9).", + "Wenn66 Diese und die folgende Mischna findet man auch in Maaser scheni II, 8—9. Jemand vom Gelde des zweiten Zehnts einen Sela‘ wechseln will,67 Man pflegte den zweiten Zehnt gleich nach der Absonderung auszulösen. Bei den einzelnen kleinen Quantitäten war das Lösegeld oft nur kleines Geld. Nachdem man aber nach und nach eine größere Summe des heiligen Geldes angesammelt hatte, wurde dies zur Erleichterung der Last in Silber-Sela‘ umgewechselt und nach Jerusalem hinaufgeführt. so sagen Bet-Schammai: Er muss für den ganzen Sela‘ Kupfergeld geben.68 Er darf nicht für den Sela‘ (der 4 Denare beträgt) etwa einen Silber-Denar und nur 3 Denar Kupfergeld geben; denn außerhalb Jerusalems ist behufs Erleichterung der Last nur gestattet, Kupfergeld in Silber umzuwechseln, aber nicht Silbergeld in anderes Silbergeld (und umso weniger Silbergeld in Kupfergeld). Den Grund davon s. in Note 74. Bet-Hillel aber sagen: Er kann für einen Schekel69 Ein Schekel = ½ Sela‘. Silber und für einen Schekel Kupfergeld geben.70 Wenn er einen halben Sela‘ Kupfergeld umwechseln will, darf er noch einen halben Sela‘ in Silber dazu geben, um einen ganzen Silber-Sela‘ zu erhalten. R. Meïr sagt: Man darf nicht Silber und Früchte (zusammen) durch (anderes) Silber auslösen.71 Obwohl man nach Bet-Hillel Silber- und Kupfergeld zusammen in anderes Silbergeld umwechseln darf, so dürfen etwa ein Schekel Silber und für einen Schekel Früchte zusammen nicht in einen Sela‘ umgewechselt werden. Die Weisen aber erlauben dies.72 Ebenso wie mit Kupfergeld darf man mit Früchten kleinere Silbermünzen verbinden, um alles zusammen in eine größere Silbermünze umzuwechseln. — Diese 9. Mischna fehlt übrigens im Münchener Mscr. (vgl. Rabbinowitz ד״ס), und wie es scheint mit Recht, da hier nur solche Fälle aufgeführt werden, in denen Schammai selbst mit Bet-Schammai kontroversiert, vgl. aber weiter Note 82. —", + "Wenn Jemand einen Sela‘ vom zweiten Zehnt in Jerusalem73 In Jerusalem war es gestattet, das Silbergeld vom zweiten Zehnt in Kupfermünzen umzuwechseln, die man nach und nach für Lebensmittel auszugeben hatte. umwechseln will, so sagen Bet-Schammai: Er muss für den ganzen Sela‘ Kupfergeld nehmen.74 Man darf aber nicht einen Teil davon in Silbergeld nehmen, weil man Silbergeld in anderes Silbergeld auch in Jerusalem nicht umwechseln darf, selbst in dem Falle, wo man für einen Sela‘ einen Teil in Kupfer und einen Teil in Silber nehmen will. Der Grund dieser Vorschrift mag vielleicht darin liegen, dass immer beim Wechseln eine Kleinigkeit als Wechslergeld abgezogen wurde. Man sollte daher den Sela‘ auf einmal in die zum Kaufen von Lebensmitteln nötigen Kupfermünzen umwechseln, denn sonst müsste man später, wenn man die etwa erhaltenen Denare wieder umwechselt, nochmals Wechslergeld sich abziehen lassen, wodurch der heilige zweite Zehnt Schaden leiden würde. Aus demselben Grunde musste überhaupt alles unnötige Wechseln vermieden werden. Bet-Hillel aber sagen: Er kann einen Schekel69 Ein Schekel = ½ Sela‘. Silber und für einen Schekel Kupfergeld nehmen.75 Um Kupfergeld zum Einkauf von Genussmitteln zu erhalten, darf man auch die Hälfte in Silber nehmen. Die vor den Weisen Richtenden76 Die Jünger, die vor dem Synedrion auf der Erde saßen, aus deren Mitte sich das Synedrion nötigenfalls kooptierte (Sanhedrin IV, 4). Nach dem Talmud (Sanh. 17 b) sind unter diesem Ausdrucke stets bestimmte Tannaïm (Simon b. Assai, Simon b. Soma u. A.) gemeint. sagen: Drei Denar Silber und für Einen Denar Kupfergeld.77 Es genügt also ¼ Sela‘ in Kupfergeld zu nehmen. R. Akiba sagt: Drei Denar Silber, und vom vierten ein Viertel in Kupfergeld .78 Also ¹⁄₁₆ in Kupfer; so nach den meisten Erkl.; nach ראב״ר: „vom vierten die Hälfte (also ⅛ Sela‘) in Kupfer“. R. Tarphon sagt: Vier Aspern79 Eine sonst nicht vorkommende Silbermünze. Im Mittelalter hieß eine Silbermünze asprum (Weißpfennig, vom neugr. ἄσπρος, weiß), die den Wert von 30—40 Pfennig hatte. Silber80 Nach Bart. betrug ein Denar 5 Aspern, 1 Sela‘ also = 20 Aspern. Nach R. Tarphon konnte man nun 3 Denar und vom vierten Denar 4 Aspern in Silber nehmen. Das Kupfergeld braucht nur ein Asper, also ¹⁄₂₀ Sela‘ zu sein. Übrigens scheinen alle hier nach Bet-Hillel genannten Tannaïm nur jeder eine andere Version der Meinung von Bet-Hillel zu geben, vgl. oben Note 64. Schammai sagt: Man soll ihn81 Den Sela. in einen Laden niederlegen und ihn (nach und nach) aufzehren.82 Man soll ihn nicht wechseln, da man dadurch leicht aus Versehen das Geld für profan (חולין) halten könnte. — Nach R. Elia Wilna (im שנות אליהו) darf nach Schammai der zweite Zehnt überhaupt nur einmal durch Geld ausgelöst werden; dieses Geld darf aber nicht weiter umgewechselt, sondern muss nach Jerusalem geführt und dort aufgezehrt werden. Schammai kontroversiert demnach auch gegen Bet-Schammai in Mischna 9, weshalb diese letztere Mischna hier gebracht wird.", + "Den83 Vgl. diese M. in Kelim XXII,4. Sessel83a Jeder Sessel hatte nach Kelim XXII folgende wesentliche Bestandteile: a) das Untergestell, bestehend aus 4 Füßen, die an ihrem obern Ende durch 4 Leisten so mit einander verbunden waren, dass die Leisten ein Oblongum bildeten, das einer Ziegelform ähnlich war, weshalb das ganze Untergestell מלבן (Ziegelform) genannt wurde, b) Der Sitz, gewöhnlich aus 3 Brettchen bestehend und daher (in der Mehrz.) חפויים (Decken) genannt. Die drei Sitzbrettchen waren gewöhnlich länger und breiter als das Gestell, so dass sie an demselben von allen Seiten hervorragten; mitunter aber waren sie nur ebenso groß, wie der מלבן (אין חפויו יוצאין, Kelim XXII, 5). einer Braut,84 Bei dem Sessel einer Braut hatte die Ziegelform mitunter einen Boden, so dass, wenn der Sitz abgenommen wurde, dem מלבן noch ein leeres Behältnis (בית קבול, Kelim XXII, 7) verblieb, in das man Gegenstände hineinlegen konnte. dessen Sitz weggenommen ist, erklären Bet-Schammai für verunreinigungsfähig;85 Er kann als Sitz (מדרס) unrein werden (nach Lev. 15, 4 u. 20), weil es vor der Wegnahme des Sitzes מדרס war und man im Notfalle auch jetzt auf dem Gestell (מלבן) sitzen kann. Bet Hillel aber erklären ihn für rein.86 Selbst wenn das Gestell durch Umlegen zum Sitzen gebraucht werden könnte (nach Kelim XXII, 5), ist es doch nicht verunreinigungsfähig, da dies kein passender Sitz für eine Braut wäre. Aber auch wenn ein Behältnis zurückblieb (Note 84), kann es nach R. Jehuda nicht unrein werden, denn die Hauptbestimmung des Sessels ist, zum Sitzen zu dienen; als Behältnis dient er nur nebenbei (Kelim XXII, 7). Schammai sagt: Auch das Untergestell eines Stuhles87 Das vom Handwerker gebracht wurde und niemals mit einem Sitze verbunden war (Tosephta Kelim B. batra I, 12). ist verunreinigungsfähig.88 Während nach Bet-Schammai nur das מלבן, das vom fertigen Stuhl übrig geblieben, nachdem der Sitz weggenommen ist, als verunreinigungsfähig gilt. Einen Stuhl, den man in einen Backtrog89 עריבה, (syr. ܥܳܪܒܳܐ) Backtrog, Mulde. Es gab deren sehr große, vgl. Kelim XXIV, 3. eingesetzt hat,89a Um die zum Kneten nötigen Gegenstände darauf zu legen. erklären Bet-Schammai für verunreinigungsfähig;90 Als מדרס (Note 85); denn da der Stuhl vorher מדרס war, so kann er durch dessen Einsetzung in den Backtrog nicht dem Backtrog gleich werden. Bet-Hillel aber erklären ihn für rein.91 Er kann nicht als מדרס unrein werden; denn er ist jetzt dem Backtrog gleich, der, weil zu einem andern Gebrauche bestimmt, nicht als מדרס unrein werden kann. Schammai sagt: Auch der am Backtrog selbst angebrachte (Stuhl ist verunreinigungsfähig).92 Während nach Bet-Schammai nur der Stuhl מדרס werden kann, der vorher als Sitz gedient hat (vgl. Note 88).", + "In folgenden Dingen haben Bet-Hillel ihre Ansicht widerrufen, um wie Bet-Schammai zu entscheiden:92a Einige Codd. lesen להודות (zuzugestehen) statt להורות. Wenn93 Vgl. Jebamot XV, 2—3. eine Frau aus fernem Lande94 Eig. Land des Meeres, überseeisches Land. kommt und sagt: „mein Mann ist gestorben“, so darf sie wieder heiraten; (ebenso wenn sie sagt:) „mein Mann ist (ohne Nachkommen zu hinterlassen) gestorben“, so darf sie in die Leviratsehe treten.95 Deut. 25, 5. Dies die Worte von Bet-Schammai. Bet-Hillel aber sagen: Wir haben (diese Lehre) nur gehört für den Fall, dass sie von der Ernte kommt.96 Wie sich dies einmal zugetragen hat, dass eine Frau von der Ernte kam und erzählte, dass ihr Mann durch einen Schlangenbiss gestorben sei; man untersuchte darauf und fand ihre Aussage wahr. Daher ist stets nur in solchem Falle die Aussage der Frau für glaubhaft zu halten, da während der Ernte Viele von der Hitze und von Schlangenbissen getötet werden. Da sagten Bet-Schammai zu ihnen: Es ist einerlei, ob sie von der Ernte, von der Olivenlese oder aus fernem Lande kommt; man sagte nur deshalb: „von der Ernte“, weil der Fall sich so zutrug.97 Vgl. Erubin I, Note 35; anders in B. kama V, Ende u. sonst. Darauf haben Bet-Hillel wieder wie Bet-Schammai entschieden. — Bet-Schammai sagen: Diese Frau98 Die den Tod ihres Mannes bezeugt. kann heiraten und erhält ihre Ketuba.99 Ketubot IV, 7. Bet-Hillel aber sagen: Sie kann heiraten, aber ihre Ketuba erhält sie nicht. Da sagten Bet-Schammai zu ihnen: Ihr erlaubet Betreffs des schweren Eheverbots,100 Da, wenn ihr Mann noch lebte, ihre Heirat bei Todesstrafe verboten wäre. und gestattet nicht die leichtere Geldsache! Da sagten Bet-Hillel zu ihnen: Wir finden, dass die Brüder101 Die Kinder des angeblich Verstorbenen. auf ihre101a Der Frau. bloße Aussage hin nicht die Erbschaft antreten können.102 Denn nur durch die Aussage zweier Zeugen darf eine Entscheidung getroffen werden; bloß zu heiraten hat man ihr auf ihre Aussage hin erlaubt, damit sie nicht als durch die Ehe Gebundene (עגונה) ewig vereinsamt bleibe. Da sagten Bet-Schammai zu ihnen: Wir können es ja aus ihrer Ketuba-Urkunde103 Aus der Formel, welche man für die Ketuba-Urkunde angeordnet hat. lernen; denn er verschreibt ihr: „Falls du einen Anderen heiratest, empfängst du, was dir verschrieben ist“.104 Da sie nun einen Andern heiraten darf, so erhält sie auch ihre Ketuba. Darauf haben Bet-Hillel wieder wie Bet-Schammai entschieden.", + "Wer105 Gittin IV, 5. halb Sklave und halb Freier ist,106 Wenn z. B. dem Herrn das halbe Lösegeld für ihn gegeben wurde. soll Einen Tag für seinen Herrn und Einen Tag für sich selbst arbeiten. So nach Bet-Hillel. Da sagten Bet-Schammai zu ihnen: Ihr habt für seinen Herrn gesorgt, aber für ihn selbst habt ihr nicht gesorgt; er kann weder eine Sklavin107 Weil er halb frei ist und ein Freier keine Sklavin heiraten darf. noch eine Freie108 Weil er halb Sklave ist und ein Sklave keine Freie heiraten darf. heiraten. Soll er ledig bleiben?109 st. ליבטל lies: יבטל, wie in Gittin. Die Welt ist ja nur zur Fortpflanzung geschaffen worden, wie es heißt (Jes. 45, 18): „Nicht zur Wüste schuf er sie, sondern zum Bewohnen bildete er sie!“ Vielmehr zwingt man des allgemeinen Wohles110 חקון העולם die Ordnung, das Heil der Welt, das allgemeine Wohl. wegen seinen Herrn, ihn gänzlich frei zu lassen, und er110a Der Sklave. schreibt ihm einen Schuldschein auf die Hälfte seines Wertes. Darauf haben Bet-Hillel wieder wie Bet-Schammai entschieden.", + "Ein irdenes Gerät kann111 Im Zelte eines Toten. Alles112 Sowohl Speisen und Getränke, als Menschen und Geräte. (vor Verunreinigung) bewahren;113 Wenn ein Toter in einem Zimmer liegt, aus dem eine Luke nach einem Obergemach geht, so kann man durch ein irdenes Gerät, dessen Rückseite dem Toten-Zimmer zugewendet wird, die Luke verschließen (vgl. Sabbat XXIV, Note 25) und dadurch Alles, was im Obergemache sich befindet, vor Verunreinigung durch den Toten bewahren (Oholot V, 3—4.) Ebenso kann ein im Totenzelte befindliches mit fest anschließendem Deckel versehenes irdenes Gefäß alles von ihm Eingeschlossene (nach Num. 19, 15) vor Unreinheit bewahren (Kelim IX, 2). so nach Bet-Hillel. Bet-Schammai aber sagen: Es bewahrt nur Speisen, Getränke und irdene Geräte.114 Aber nicht andere Geräte oder Menschen. Da sagten Bet-Hillel zu ihnen: Weswegen? Da sagten Bet-Schammai zu ihnen: Weil es beim Am-ha-Arez115 עם הארץ Einer vom gemeinen Volke, der nicht gesetzkundig ist und auch die Reinheitsvorschriften nicht genau beobachtet. Näheres s. Chagiga II, 7. als unrein zu betrachten ist116 Da Alles, was beim Am-ha-Arez sich befindet, vom Chaber (dem Gesetzeskundigen) für unrein betrachtet werden muss. und ein unreines Gerät nicht als Scheidendes117 Vor Verunreinigung im Zelte Bewahrendes. dienen kann.118 Bei Am-ha-Arez könnten demnach gar keine Gegenstände durch sein (weil unreines) irdenes Gerät vor Verunreinigung im Totenzelte bewahrt werden. Da sagten Bet-Hillel zu ihnen: Ihr habt doch die darin befindlichen Speisen und Getränke für rein erklärt! Da sagten Bet-Schammai zu ihnen: Wenn wir die darin befindlichen Speisen und Getränke für rein erklärt haben, so haben wir sie nur für ihn selbst119 Für den Am-ha-Arez. für rein erklärt;120 Da ein Chaber diese, sowie irdene Geräte, nicht vom Am-ha-Arez entlehnt; denn er betrachtet sie als unrein, und diese können nicht durch ein Tauchbad (טבילה) gereinigt werden. aber wenn du das Gerät121 Alle nichtirdenen Geräte, die, weil sie durch Untertauchen in ein Tauchbad gereinigt werden können, בלי שטף (abspülbare Geräte) genannt werden. für rein erklärtest, da würdest du es für dich122 Da der Chaber solche Geräte vom Am-ha-Arez entlehnt (ebenso den Am-ha-Arez selbst als Tagelöhner nimmt) und in der Meinung, sie seien nur in gewöhnlicher Weise durch den Am-ha-Arez verunreinigt, sich damit begnügt, sie durch Untertauchen (טבילה) zu reinigen, während sie Tatsächlich durch einen Toten verunreinigt sind und der in Num. 19, 18 f. vorgeschriebenen sieben Tage in Anspruch nehmenden Reinigung mit der Asche der roten Kuh bedürfen. und für ihn für rein erklären.123 Man hat deshalb allgemein angeordnet, dass Menschen und nichtirdene Geräte nicht durch ein irdenes Gerät im Totenzelte vor Verunreinigung bewahrt werden können. Denn hätte man dies nur für den Am-ha-Arez und nicht auch für den Chaber angeordnet, so würden die Amme-ha-Arez diese Anordnung nicht beachtet haben. Darauf haben Bet-Hillel wieder wie Bet-Schammai entschieden.124 Nach der Tosephta geschah dies zur Zeit des R. Josua, der durch eine Disputation mit einem Schammaïten von der Richtigkeit der Ansicht der Bet-Schammai überzeugt wurde." + ], + [ + "Rabbi Chanina, Vorsteher1 סגן der Vorsteher, der zugleich unter Umständen den Hohenpriester vertrat, Joma 39a. der Priester, bezeugte vier Lehren: Niemals2 Vgl. die ausführliche Erklärung in Pesachim I, 6. haben die Priester Bedenken getragen, Fleisch, welches durch eine erzeugte Unreinheit3 Die Quelle der Unreinheit heißt: אב הטומאה Vater. Erzeuger der Unreinheit; was von diesem durch Berühren, Tragen oder in anderer Weise verunreinigt worden, heißt: ולד הטומאה Kind der Unreinheit, erzeugte Unreinheit. Was unmittelbar vom אב הטומאה verunreinigt wird, heißt ראשון לטומאה (erzeugte) Unreinheit ersten Grades; das vom ראשון Verunreinigte ist שני לטומאה Unreinheit zweiten Grades. Soviel Unreinheitsgrade können bei חולין (Profanem) vorkommen. Bei תרומה (Hebe) gibt es noch einen dritten Grad (שלישי) und beim Opfer noch einen vierten (רביעי). verunreinigt worden ist,4 Selbst wenn das Fleisch nur durch einen שני verunreinigt wurde, so dass es nur שלישי geworden ist. zusammen zu verbrennen mit Fleisch, welches durch einen Unreinheits-Erzeuger3 Die Quelle der Unreinheit heißt: אב הטומאה Vater. Erzeuger der Unreinheit; was von diesem durch Berühren, Tragen oder in anderer Weise verunreinigt worden, heißt: ולד הטומאה Kind der Unreinheit, erzeugte Unreinheit. Was unmittelbar vom אב הטומאה verunreinigt wird, heißt ראשון לטומאה (erzeugte) Unreinheit ersten Grades; das vom ראשון Verunreinigte ist שני לטומאה Unreinheit zweiten Grades. Soviel Unreinheitsgrade können bei חולין (Profanem) vorkommen. Bei תרומה (Hebe) gibt es noch einen dritten Grad (שלישי) und beim Opfer noch einen vierten (רביעי). verunreinigt worden ist,5 Das doch ראשון ist und das damit zusammen verbrannte שלישי wieder zum שני macht, also dessen Unreinheit erhöht. obwohl sie (dadurch) Unreinheit zu seiner Unreinheit hinzufügen.6 Denn da Beides verbrannt wird, hat es nichts zu sagen, wenn die Unreinheit des Einen vermehrt wird. R. Akiba setzte hinzu: Niemals haben die Priester Bedenken getragen, Öl,7 Von תרומה. das durch einen Tebul-Jom8 טבול יום (das am Tage Untergetauchte) heißt ein Mensch oder ein Gerät, die durch Untertauchen in ein Tauchbad von ihrer Unreinheit zwar hinsichtlich profaner Gegenstände (חולין) rein geworden sind, aber Betreffs der Hebe (תרומה) noch bis nach Sonnenuntergang als unrein gelten (Lev. 22, 7). Ein solcher Tebul-Jom gilt als שני, und das davon berührte Öl ist ein שלישי. unbrauchbar9 Die vom Tebul-Jom berührte Teruma heißt פסול (unbrauchbar) und nicht טמא (unrein), weil es nicht etwas Anderes unrein machen kann. geworden ist, in einer Lampe10 Aus Metall. Aus den Worten „בחלל חרב den Schwert-Erschlagenen“ in Num. 19, 16 wird die Lehre deduziert, dass das „Schwert“ dem „Erschlagenen“ gleich sei (חרב הרי הוא בחלל), d. h.: jedes Metallgerät, das eine Leiche oder einen an einer Leiche Verunreinigten (טמא מת) berührt, erhält denselben Unreinheitsgrad, wie ihn die Leiche oder der טמא מת besitzt, und es wird die Unreinheit nicht (wie bei Berührung anderer טומאות) um einen Grad abgeschwächt. Nach Maimonides u. A. findet diese Lehre nicht nur bei Metallgeräten Anwendung, sondern auch bei allen andern Geräten und Kleiderstoffen; ausgenommen sind bloß Tongeräte (כלי חרס). zu verbrennen, die durch einen an einem Toten Verunreinigten11 Der an einer Leiche Verunreinigte gilt noch als אב הטומאה (Erzeuger der Unreinheit). Daher wird die Leiche selbst אבי אבות הטומאה (Erzeuger von Unreinheits-Erzeugern) genannt. unrein geworden ist,12 Also nach Note 10 ein אב הטומאה ist und das davon berührte Öl zum ראשון macht. obwohl sie (dadurch) Unreinheit zu seiner Unreinheit hinzufügen13 Es wird hierbei aus dem שלישי (Note 8) ein ראשון, die Unreinheit also um zwei Grade gesteigert.", + "Es sagt R. Chanina, Vorsteher der Priester (ferner):14 Sebachim XII, 4. Meine Lebtage habe ich nicht gesellen, dass die Haut15 Eines unbrauchbaren Opfertieres. zur Brandstätte16 Wo die unbrauchbar gewordenen Opfertiere verbrannt wurden. Näheres hierüber in Sebachim 104b. hinausgeführt wurde.17 Wenn die Unbrauchbarkeit erst nach dem Abziehen der Haut erkannt wurde. Es sagt R. Akiba: Aus seinen Worten lernen wir, dass, wenn man dem erstgeborenen Viehe die Haut abgezogen und es (hernach) trepha18 Mit einer Verletzung behaftet, wodurch es nach Cholin III, 1 zum Essen verboten und so auch als Opfer unbrauchbar wird. befunden wird, die Priester die Haut benutzen19 שיאותו, nach Samuel im Jerusch. Berachot VIII, 6 muss es heissen: שיעותו von עות (Jes. 50, 4). dürfen.20 Selbst wenn das Erstgeborene einen Fehler hatte, so dass es außerhalb des Heiligtums geschlachtet ward; so darf dennoch, falls die Trepha-Verletzung erst nach dem Abziehen der Haut bekannt wurde, letztere von den Priestern benutzt werden, ebenso wie beim Opfer, dessen Blut auf den Altar gesprengt wurde. Die Weisen aber sagen: (Der Ausspruch:) „Wir haben nicht gesehen!“ ist kein Beweis;21 Es mag damals ein derartiger Fall nicht vorgekommen, oder von R. Chanina nicht bemerkt worden sein. die Haut muss vielmehr zur Brandstätte hinausgeführt werden.", + "Derselbe bezeugte ferner: In einem kleinen Dorfe bei Jerusalem war ein Greis, der allen Dorfbewohnern (Geld) lieh und (den Schuldschein) mit eigener Hand schrieb und von Andern22 Den Zeugen. unterzeichnen ließ, und als diese Sache vor die Weisen kam, erklärten sie es für erlaubt.23 So zu verfahren. Du kannst nebenbei24 Eig.: auf deinem Wege. hieraus entnehmen, dass eine Frau ihren Scheidebrief25 Der aber von vollgütigen Zeugen unterzeichnet werden muss. Die Frau muss darauf den Scheidebrief ihrem Manne zueignen, der ihr denselben übergibt. und der Mann seine Quittung26 Über die der Frau ausbezahlte Ketuba. schreiben darf; denn die Bestätigung des Dokumentes27 גט ein schriftliches Dokument, B. batra X. Note 1. geschieht nur durch die Unterzeichneten.28 Die unterschriebenen Zeugen, welche die Wahrheit des Inhalts bestätigen. Vgl. Gittin 20b f; 22b. (Er bezeugte endlich), dass wenn eine Nadel29 Von der man weiß, dass sie durch eine Leiche verunreinigt worden ist. im Fleische30 Eines Opfers, das Jemand mit einem Messer geschnitten hatte; wobei es aber zweifelhaft ist, ob der Mensch und das Messer die Nadel berührt haben oder nicht. gefunden wird,31 Im Vorhofe des Heiligtums, der als öffentliches Gebiet (רשות הרבים) betrachtet wird. Messer und Hände rein sind,32 Da bei zweifelhafter Verunreinigung im öffentlichen Gebiete Alles für rein erklärt wird (Teharot IV, 7; 11). das Fleisch aber unrein ist;33 Da dies sicherlich von der unreinen Nadel berührt worden ist. wird sie im Miste gefunden, so ist Alles rein.34 Da dann die Nadel auch das Fleisch nicht berührt hat. Zum Ganzen vgl. Pesachim 19 a f.", + "Drei Lehren hat Rabbi Ismael vor den Weisen in dem Weinberge35 כרם so hieß das von R. Jochanan b. Sakkai nach der Zerstörung des Tempels zu Jabneh gegründete Lehrhaus; nach Jerusch. Berachot IV, 7d, weil dort die Gelehrten reihenweise saßen, gleich den Weinstöcken im Weinberge. zu Jabneh ausgesprochen: dass ein eingeschlagenes36 טרף (syr. ܛܪܰܦ) schlagen, schütteln, zusammenschlagen, durcheinandermischen. ביצה טרופה ein Ei, dessen Weiß und Dotter durcheinander gemischt wurden. Ei, welches auf Kraut von Teruma gegeben worden, eine Verbindung37 Mit dem Kraut. bildet;38 So dass wenn ein Tebul-Jom (oben Note 8) das Ei berührt, auch das Kraut פסול (Note 9) wird. war es aber wie ein Helm (geworden),39 Durch das kochende Kraut ist das Ei aufgeblasen worden, so dass es hohl über dem Kraut liegt. so bildet es keine Verbindung;40 S. Tebul-Jom III, 2. dass eine41 Pech V, 2. in der Ernte stehen gebliebene Ähre, deren Spitze zum stehenden Getreide reicht, wenn sie mit dem stehenden Getreide zusammen abgeschnitten werden kann,42 Die Hand kann sie mit dem stehenden Getreide zusammenfassen und abschneiden. dem Hausherrn gehört;43 Nach der Regel in Peah VI, 4. wo aber nicht, gehört sie den Armen;44 Als Vergessenes (שכחה). und dass ein kleiner Garten,45 Der mit einem Zaune umgeben ist. welcher mit aufgezogenen Weinstöcken46 ערים, arab. عريشLaube, Geländer mit aufgezogenen Weinstöcken. S. Kilajim VI, 1. umgeben ist, wenn darin so viel Raum ist, dass ein Winzer mit seinem Korbe an der einen Seite und ein Winzer mit seinem Korbe an der andern Seite47 An der gegenüberliegenden Seite. stehen kann,48 Der Winzer mit seinem Korbe braucht zwei Ellen Raum. Der Garten ist demnach 4 Ellen lang und ebenso breit. besäet werden darf;49 Mit Sämereien. Es ist nicht כלאים (Deut. 22, 9), da die Weinstöcke von den Sämereien durch einen Zaun geschieden sind. wo aber nicht, so darf er nicht besäet werden.50 Da dann Alles wie Eine Weinpflanzung aussieht, in deren Mitte Sämereien gesäet sind, was als כלאים verboten ist.", + "Drei Dinge hat man R. Ismael vorgetragen, und er hat Betreffs derselben weder ein Verbot noch eine Erlaubnis ausgesprochen;51 Er hat weder erschwerend noch erleichternd entscheiden wollen. R. Josua ben Mathia hat dazu die Erklärung gegeben:52 Dass in Einem Falle erschwerend und im andern Falle erleichternd zu entscheiden ist. Wer53 S. Sabbat 107a. am Sabbat eine Blatter54 מורסא (von רסם träufeln) ein eiterndes Geschwür. aufsticht,55 מפיס, st. פוס = פסס spalten, abschneiden. der ist, wenn (seine Absicht war) daran eine Öffnung zu machen,56 Dass die Blatter offen bleibe. schuldig;57 Eine Öffnung (פתח) zu machen ist am Sabbat verboten; es gehört dies zu der Klasse von Arbeiten, die dem Bauen (בונה) ähnlich sind, s. Sabbat XII, 1. wenn aber, Eiter daraus zu entfernen,58 Er beabsichtigt also nicht, eine bleibende Öffnung herzustellen. frei.59 Wenn das Produkt der Arbeit (hier die Öffnung) nicht gebraucht und daher nicht Zweck der Tätigkeit ist (מלאכה שאינה צריכה לגופה) ist der Täter straffrei, wiewohl die Tätigkeit selbst mit Absicht geschah. Sonst ist dies zwar dennoch rabbinisch verboten; in unserem Falle aber hat man es, um den Schmerz zu lindern, erlaubt. (Ferner erklärte er:) Wer eine Schlange am Sabbat fängt, ist, wenn er bloß bewirken will, dass sie ihn nicht beiße, frei;60 Da hier ebenfalls das Produkt der Arbeit (der Besitz des gefangenen Tieres) nicht bezweckt wird. Auch hier haben es die Rabbinern vollständig erlaubt. wenn er es aber Tat, um sie als Heilmittel za gebrauchen,61 Oder um damit zu spielen. so ist er schuldig. (Endlich entschied er:) Heronische Tigel62 לפסין vom gr. λοπάς. S. Bezah 32a. Für אירוניות findet man hier und in Bezah die Varianten הירניות ,חרניות ,עירניות u. a. Die meisten Kommentare erklären nach עירניות städtisch, kleinstädtisch, die man in kleinen Städten (עיר entgegenges. von כרך) gebraucht, wo man nicht so wählerisch in den Geräten ist, wie in den Großstädten. Wahrscheinlicher stammt das Wort von einem nomen propr., dem Fabrikanten dieser Geräte (אורון = Heron, vgl. סלע נירונית Bechorot 38a). Auch irdene Öfen werden mitunter nach ihrem Fabrikanten benannt, vgl. תנור של עכנאי, בן דינאי, Kelim V, 9. sind rein im Totenzelte,63 Weil sie verschlossen sind, vgl. Num. 19, 15. Für לפסין אירוניות hat die Tosephta (Sabbat XVI, 13, Bezah III, 13) geradezu לפסין סתומות (verschlossene Tigel). Nach Maimonides u. Bart, wurden diese Gefäße zuerst wie eine hohle Kugel geformt und gebrannt und dann in zwei Hälften zerschnitten, so dass zwei Schüsseln daraus wurden; rein sind sie nach der Mischna nur, bevor sie zerschnitten werden. werden aber unrein, wenn sie ein Flüssiger trägt.64 Oder bewegt (Lev. 15, 12). Denn dadurch können auch verschlossene irdene Gefäße unrein werden. R. Elieser b. Zadok sagt: Auch wenn sie ein Flüssiger trägt, bleiben sie rein, weil die Arbeit daran noch nicht fertig ist.65 Weil es erst zu zwei Schüsseln zerschnitten werden muss (Maimon.) oder weil der verschließende Deckel erst abgesägt werden muss, bevor es gebraucht werden kann (Raed).", + "Über drei Dinge hat R. Ismael (eine Entscheidung) gesprochen, und R. Akiba hat ihm nicht beigestimmt: Wenn man Knoblauch, unreife Trauben und Körner66 מלילה (von מלל, reiben) grüne Ähren, oder die davon herausgetriebenen Körner. am Vorabend (zum Sabbat) zerstoßen67 רסק aram. zerstückeln, zerstoßen. hat,68 Und mit Steinen beschwert hat, damit deren Saft herausgepresst werde. so sagt R. Ismael: Man darf es auch, nachdem es Nacht geworden, fertig werden69 Man darf die Presssteine darauf liegen lassen und das Herausgepresste am Sabbat gemessen. lassen.70 Es ist der Saft nicht zum Genusse verboten, wie andere am Sabbat aus Früchten herausgelaufene Getränke (Sabbat XXII, 1), welche zum Genusse verboten sind, damit man nicht dazu komme, die Früchte auszupressen. Denn in unserem Falle würde man selbst durch das Auspressen am Sabbat kein Tora-Verbot übertreten, da der Saft auch von selbst herausfließen würde. R. Akiba sagt: Man darf es nicht fertig werden lassen.71 D. h. der Saft ist zum Genusse verboten, wie andere herausgelaufene Getränke. S. Sabbat 19a u. Tosaphot das.", + "Drei Lehren hat man R. Akiba vorgetragen, zwei im Namen des R. Elieser und Eine im Namen des R. Josua. Zwei im Namen des R. Elieser: Eine Frau darf (am Sabbat) mit einer Gold-Stadt72 Ein goldener Schmuck; nach dem Talmud ein Kranz mit dem Bilde der Stadt Jerusalem. ausgehen,73 Gegen Mischna Sabbat VI. 1, wo es verboten wird; vgl. Talmud das. 59b, wonach R. Elieser es erlaubt, weil ein solcher Schmuck nur von einer vornehmen Frau getragen wird, bei der nicht zu befürchten steht, sie würde denselben, um ihn zu zeigen, ausziehen und auf der Straße in der Hand tragen. und die, welche Tauben fliegen lassen,74 S. Sanhedrin III, Note 24. sind zum Zeugnis untauglich. Eine im Namen des R Josua: Wenn ein Wiesel75 Teharot IV, 2. ein Kriechtier76 Ein Totes Kriechtier, das nach Lev. 11, 29 ff. durch Berührung verunreinigt. im Maule hat, und über Brote von Teruma geht, so dass es zweifelhaft ist, ob es77 Das Tote Kriechtier. (die Brote) berührt hat oder nicht, so ist das Zweifelhafte für rein zu erklären.78 Da bei einer vorüberziehenden, nicht an einem Orte ruhenden Unreinheit das Zweifelhafte für rein erklärt wird.", + "Drei Lehren hat R. Akiba vorgetragen, wobei man Betreffs zweier ihm beigestimmt, und Betreffs Einer ihm nicht beigestimmt hat. (Er sagte nämlich,) dass eine Sandale79 Aus Stroh oder Holz, die der Kalkarbeiter während der Arbeit anzieht, um seine Füße oder Schuhe vor dem Kalke zu schützen. In manchen Ausgg. steht: כסא (ein Stuhl); doch alle Kommentare wissen nichts von dieser LA. der Kalktüncher80 סייד, von סיד, Kalk. als Midras81 מדרס (von דרס, treten) heißt das Gerät, worauf Einer der in Lev. 12, 2; 15, 2; 19; 25 erwähnten unreinen Personen tritt, sitzt, liegt oder sich stützt, falls es zu solchem Gebrauche bestimmt ist. unrein werden kann;82 Denn wiewohl diese Sandale gewöhnlich nur zum Schutze während der Arbeit dient, so wird sie als zum Darauftreten bestimmt betrachtet, weil der Arbeiter mitunter mit ihr nach Hause geht (vgl. Sabbat 66a). dass die Reste eines Backofens83 Der früher, als er noch ganz war, unrein geworden, dann aber derart zerbrochen wurde, dass nur noch ein Rest übrig blieb. vier Handbreit hoch sein müssen (am unrein zu bleiben),84 Ist aber der Rest weniger als 4 Handbreit hoch, so ist der Ofen rein, da ein unreines irdenes Gefäß durch Zerbrechen rein wird (Kelim II, 1). während man (früher) sagte: Drei Handbreit.85 Vgl. Kelim V, 1. Hierin stimmte man ihm bei. Betreffs Einer Lehre stimmte man ihm nicht bei, nämlich Betreffs eines Stuhles, wovon zwei nebeneinander liegende Sitzbrettchen weggenommen sind;86 S. oben I, Note 83a. denn R. Akiba erklärt ihn für verunreinigungsfähig,87 Als מדרס (Note 81), da man mit Not noch darauf sitzen kann. während die Weisen ihn für rein erklären.88 Oben I, Note 85-86; vgl. Kelim XXII, 7.", + "Derselbe pflegte zu sagen: Des Vaters Verdienst steht dem Sohne bei89 Eig.: Der Vater erwirbt (Verdienste) für seinen Sohn; s. Joma 87a. hinsichtlich der Schönheit, der Kraft, des Reichtums, der Weisheit und der Lebensjahre;90 Langer Lebensdauer. ferner darin, dass er90a Der Vater. die91 Anstatt הדורות לפניו והוא הקץ ובמספר lesen Mscr. München u. A.: מספר הדורות לפניו הוא הקץ. Nach dieser LA. erklären auch R. Nissim in Megillath Setharim (abgedruckt in der Mainzer Ausg. von Scherira’s Sendschreiben 1873) und Rabed. Auch in Tosephta, sowie in Jerusch. Kidduschin I, 61a heißt es בחמשה דברים האב זוכה לבן (in 5 Dingen steht das Verdienst des Vaters dem Sohne bei), wonach mit ובשנים der erste Ausspruch schließt und das Folgende als ein neuer Spruch gefasst werden muss. Indessen mag auch nach unserer LA., der die meisten Kommentare u. auch der Gaon R. Haî (bei Scher. Sendschr. l. c., vgl. auch תשובת הגאונים ed. Harkavy p. 175 f.) beipflichten, das הדורות ובו׳ ובמספר nicht als ein sechstes Benefiz, das der Vater dem Sohne erwirbt, gerechnet worden sein, da dies in der langen Lebensdauer (בשנים) mit enthalten ist und ובמספר nur sagt, dass in einer bestimmten Zeit diese lange Lebensdauer den Sohn „das Ende“ erleben lassen kann. Nach ילקוט המכירי zu Jesaja 41, 4 heißt es in der Tosephta zu unserer Mischna: מספר הדורות להגיע לבניו הקץ („Die Anzahl der Geschlechter“, um seine Söhne das Ende erreichen zu lassen). Hiernach gibt die Tos. eine Erklärung zur Mischna, die ungefähr mit unserer Übersetzung übereinstimmt. Anzahl der Geschlechter vor ihm91a Vor dem Sohne. Nach Rabed u. A.: Vor Gott, dem allein „das Ende“ bekannt ist. vollendet, so dass dieser92 Der Sohn selbst, als das letzte der Geschlechter. das Ende93 קץ, in Daniel קץ הימין (das Ende der Tage), die Zeit des Messias und der Auferstehung. erleben könne;94 Wir erklären: והוא הקץ und er (der Sohn) ist das Ende, d. h. mit ihm tritt das Ende ein, da er die ietzte Generation ist, in deren Zeit nach Gottes Vorherbestimmung das Ende eintreten muss, indem sein Vater die Anzahl der von Gott für die vorangehende Zeit bestimmten Generationen vollendet hat (האב זכה במספר הדורות לפניו). denn es heißt (Jesaja 41, 4): „Er berief die Menschengeschlechter vom Anbeginn“,95 Die Tosephta fügt erklärend hinzu: אעפ״י שהימים והלילות כחוט השערה לפני המקום אינו מונה אלא לדורות שנאמר קורא הדורות מראש . Obwohl die Tage und Nächte (die Zeit bis zum Ende) auf ein Haar von Gott bestimmt sind, so zählt er dennoch nur nach Geschlechtern, denn so heißt es: Er berief (bestimmte) die Geschlechter vom Anbeginn. Da nun die Anzahl der Generationen sowohl, als auch die Zeit bis zum Ende genau im Voraus bestimmt ist, so muss auch die Zeit jeder Generation genau bemessen sein. Aber nur den Auserwählten werden die Lebensjahre nach dieser Vorherbestimmung zugeteilt. Daher fügt die Tos. (cit. in Jebamot 50a) zu unserer Mischna hinzu: את מספר ימיך אמלא אלו שני דורות Die Verheißung (Exod. 23, 26): „Die Zahl deiner Tage werde ich voll machen“, bezieht sich auf die für jede Generation bestimmten Jahre. und obwohl96 Dies soll beweisen, dass das von Gott verheißene Heil in einer vorher bestimmten Generation eintrifft, wiewohl dafür eine genaue Zeit festgesetzt ist. es heißt (Gen. 15, 13): „Man wird sie knechten und bedrücken vierhundert Jahre“, so heißt es doch (das. 16): „Das vierte Geschlecht wird wieder hierher kommen“.97 Dies ging auch in Erfüllung; denn Kehat gehört zu denen, die nach Ägypten zogen, und von ihm ab gerechnet kam die vierte Generation wieder zurück ins verheißene Land (Kehat, Amram, Mose und Ahron, deren Söhne). Andere nennen: Kaleb, Sohn Chezrons, Sohnes Perez’, Sohnes Jehuda’s; vgl. Raschi zu Gen. 15, 16.", + "Ferner sagt er: Es gibt fünf Dinge, die zwölf Monate98 Nach Rabed ein Sonnenjahr, also um 11 Tage mehr als 12 Mondmonate, wie die Dauer der Sintflut zeigt. dauern. Das Strafgericht über das Geschlecht der Sintflut dauerte zwölf Monate;99 Gen. 7, 11; 8, 14 das Gericht über Job dauerte zwölf Monate;100 Der Schriftbeweis hierzu und zu den beiden folgenden Sätzen findet sich in Seder Olam rabba c. 3. das Strafgericht über die Ägypter dauerte zwölf Monate; das Strafgericht über Gog und Magog101 S. Ezech. 38, 2. in der Zukunft wird zwölf Monate dauern, und das Strafgericht über die Frevler in der Hölle dauert zwölf Monate, denn es heißt (Jes. 66, 23): „Es102 Da der folgende Vers (24) von den gottlosen Abtrünnigen spricht, die der ewigen Verdammnis verfallen sind (Rosch Haschana 17a), so ist in diesem Verse von den gewöhnlichen Frevlern die Rede. wird sein von dem Monate bis za seinem Monate.“103 bis derselbe Monat wiederkehrt. R. Jochanan, Sohn Nuri’s, sagt: (So viele Tage wie) vom Pesachfeste bis zum Wochenfeste,104 49 Tage. denn es heißt (das.): „Von dem Sabbat105 Vom Pesachfeste, das (Lev. 23, 11) „Sabbat“ genannt wird bis zu seinem Sabbat.“106 Bis zum folgenden Sabbat (Festtag), der vom Pesachfeste abhängt und zu ihm als Schlussfest (עצרת) gehört." + ], + [ + "Wenn1 Oholot III, 1. eines von den im Zelte verunreinigenden Dingen1a Die sämtlich in Oholot II, 1f. aufgezählt werden. geteilt2 So dass jedes einzelne Stück nicht die gesetzlich bestimmte Größe hat; es ist z. B. eine Olivengröße vom Toten (das Minimal-Quantum für die Zelt-Unreinheit) in zwei halbe Olivengrößen geteilt worden. und ins Haus3 Unter eine Überdachung. gebracht wird, so erklärt R. Dosa, Sohn Archinos’,4 ארכינס (Ms. München) = ’Αρχῖνος. (Alles, was dort5 Unter derselben Bedachung. ist) für rein;6 Da jedes einzelne Stück nicht das gesetzliche Quantum (שיעור) hat. die Weisen aber erklären es für unrein.7 Nach ihrer Ansicht werden die beiden Stücke, die zusammen das erforderliche Quantum ergeben, als verbunden betrachtet. In welcher Weise? Berührt8 Nach ר״ש zu Oholot III, 1 sind hier 9 Wörter ובמתהנוגע בכשני zu streichen. In der Tat passt das Beispiel von נבלה nicht zur obigen Bestimmung, die von מת handelt. Nach unserer LA. muss man annehmen, es werde in dem zuerst angeführten Beispiele gezeigt, dass R. Dosa und die Weisen auch bei נבלה kontroversieren. oder trägt Jemand zwei Stücke vom Aase, deren jedes eine halbe Olivengröße hat,9 Das gesetzliche Quantum hinsichtlich der Verunreinigung durch Aas ist eine Olivengröße (Nidda 42b). oder berührt er eine halbe Olivengröße vom Toten, (während10 Die eingeklammerten Worte fehlen in den Talmud-Ausgaben. er eine [andere] halbe Olivengröße überdacht;11 מאהיל על מת er bildet ein Zelt über dem Toten, d. h. er befindet sich in senkrechter Richtung über dem Toten. Dass ein solcher unrein wird, deduziert der Talmud (Nasir 53b) aus Num. 19, 16. oder berührt er eine halbe Olivengröße,) während eine [andere] halbe Olivengröße ihn überdacht;12 Über ihm in senkrechter Richtung sich befindet. Es hat dies dieselbe Wirkung, wie wenn er oben und das Verunreinigende unten ist (Note 11). oder überdacht er eine halbe Olivengröße, während eine [andere] halbe Olivengröße ihn überdacht; so erklärt R. Dosa, Sohn Archinos’, ihn für rein, die Weisen aber erklären ihn für unrein. Wenn er aber eine halbe Olivengröße berührt, während eine andere Sache13 Z. B. ein Brett oder ein Balken. ihn und eine [andere] halbe Olivengröße [vom Toten] überdacht;14 Dies ist die in der Tora als טומאת אהל bezeichnete Unreinheit, dass eine Person oder eine Sache mit dem Toten unter Einer Bedachung sich befindet. Im Talmud (Cholin 125b) heißt dies טומאת אהל כהמשכה (Zelt-Unreinheit durch Überleitung), indem hier durch die Bedachung die Unreinheit vom Toten auf die reinen Gegenstände übergeleitet wird. Die oben in Note 11 und 12 erwähnten Zelt-Unreinheiten dagegen nennt der Talmud (Raba) אהל נגיעה, eine der Berührung gleich geachtete Überdachung. (oder10 Die eingeklammerten Worte fehlen in den Talmud-Ausgaben. er überdacht eine halbe Olivengröße, während eine andere Sache ihn und eine andere halbe Olivengröße überdacht); so ist er rein.15 Selbst nach den Weisen. Die hier in Betracht kommende „Zelt-Unreinheit durch Überleitung“ kann selbst nach den Weisen mit der ihr ungleichartigen Berührungs-Unreinheit (מגע) nicht verbunden werden; obwohl diese Weisen die oben in Note 11 u. 12 erwähnte Überdachung als mit der Berührung gleichartig betrachten (Note 14) und jene mit dieser verbinden. R. Meïr sagt: Auch hierbei erklärt ihn R. Dosa, Sohn Archinos’, für rein und die Weisen für unrein.16 Nach R. Meïr verbinden die Weisen beim Toten die Berührungs-Unreinheiten mit allen Zelt-Unreinheiten ohne Unterschied, da Berührung und Überdachung stets als gleichartig betrachtet werden. Alles17 Fortsetzung der Worte des R. Meïr. „Alles“ d. h. alle Fälle, wo es gilt, zwei halbe Quanta mit einander zu verbinden. macht unrein,18 Nach den Weisen. außer Berührung mit Tragen,19 Wenn Jemand ein halbes Quantum berührt, während er ein anderes halbes Quantum trägt oder bewegt; so wird beides nicht mit einander verbunden. oder Tragen mit Überdachung.20 Wenn Jemand ein halbes Quantum trägt, während er ein anderes halbes Quantum „überdacht“. Das ist die Regel: Alles, was zu Einem Namen gehört,21 Wie Berührung mit Berührung, Tragung mit Tragung, Überdachung mit Überdachung. macht unrein;22 Es werden dabei zwei halbe Quanta zusammengerechnet. was zu zwei Namen gehört,23 Wie Berührung mit Tragung. lässt rein.", + "Getrennte Esswaren24 Kleine Stücke, oder gesonderte kleine Früchte. Einige lesen אוכל פרור, zerbröckelte Esswaren. werden nicht zusammengerechnet,25 Zu einer Eigröße, welches Quantum erforderlich ist, damit eine unreine Speise ihre Unreinheit auf andere Dinge übertragen könne. Nach einigen ist auch eine reine Speise nur in solcher Quantität für die Unreinheit empfänglich; vgl. Mischna Meïla IV, 5 so R. Dosa, Sohn Archinos’. Die Weisen aber sagen: Sie werden zusammengerechnet.26 Nach Teharot VIII,8 jedoch nur dann, wenn sie durch eine Flüssigkeit (משקה) verbunden sind. Man darf zweiten Zehnt gegen ungeprägtes Geld27 אסימון B. mezia IV, Note 7. auslösen, so R. Dosa. Die Weisen aber sagen: Man darf nicht auslösen.28 Maaser scheni I, 2. Man braucht wegen des Entsündigungswassers29 Wenn man Entsündigungswasser berühren will, das zur Besprengung eines Unreinen bestimmt ist; Num. 19, 17 ff. bloß die Hände30 Wenn Dieselben (nach Jadajim III,1) durch Berührung unreiner Speisen oder Getränke unrein geworden sind. unterzutauchen31 In ein Tauchbad.; so R. Dosa. Die Weisen aber sagen: Wenn die Hände unrein sind, ist der (ganze) Körper unrein32 Man muss also den ganzen Körper untertauchen. Dies gilt aber nur hinsichtlich des Entsündigungswassers, wofür die Rabbinen diese besondere Bevorzugung (מעלה) angeordnet haben, Chagiga II, 5..", + "Das Kerngehäuse33 מעי von מעים, das Innere. einer Melone sowie das Abgestreifte34 קנב (ar. قنب, Reben beschneiden) vom Kraut die schlechten Blätter abschneiden. vom Kraut ist als Teruma nach R. Dosa Nichtpriestern erlaubt; die Weisen aber verbieten es. Von35 Chullin XI, 2. fünf Schafen, die je anderthalb Mine36 Das Gewicht von 1½ Mine = 150 Sus = 14 400 Gerstenkörner, da ein Sus soviel wie 96 Gerstenkörner wiegt. Das Ganze entspricht einem Gewichte von c. 600 Gramm. Wolle liefern, ist man verpflichtet, die Erstlinge der Schur abzusondern; dies die Worte des R. Dosa. Die Weisen aber sagen: Von fünf Schafen, wenn sie auch wenig37 Doch jedes nicht weniger als 12 Sela‘ = 48 Sus. liefern.", + "Alle37a Diese und die folgende Mischna vgl. in Tosephta Kelim B. batra IV, 14. Matten38 חוצלות (vom ar. خصلة, weicher Zweig) eine Matte aus weichem Gezweige, Rohr oder Binsen, mit einem etwas höheren Saume umgeben, so dass dieselbe ein Behältnis (בית קבול) hat (Sukka 20 b). können nur eine Toten-Unreinheit annehmen39 Nicht aber die Midras-Unreinheit, weil sie zum Lager oder zum Sitzen nicht geeignet sind.; so R. Dosa. Die Weisen aber sagen: Auch die Midras-Unreinheit40 Da sie im Notfalle auch zum Lager brauchbar sind.. Alle Geflechte41 Was geflochten oder netzartig mit der Häkelnadel gearbeitet ist. sind rein42 Sie können nicht, wie ein gewebter Stoff, Unreinheit annehmen., ausgenommen die von einem Gürtel43 Für גלגילון steht oft גנגלין. In Tosephta Kelim B. batra V, 9 heißt es: שפה שפרשה מן הבגד והתקינה לחגור בה את מתניו טמאה מפני שהוא כגנגלין, „wenn Jemand einen von einem Kleide abgetrennten Saum hergerichtet hat, um damit seine Lenden zu gürten, so ist dieser Gürtel verunreinigungsfähig, weil er dem גנגלין gleich ist.“ Hiernach ist גנגלין ein Gegenstand zum Umgürten. So erklären auch alle Kommentare, das Wort bezeichne einen schmalen Gürtel, nach Maimonides speziell ein Geflecht, das man an die Beinkleider anbringt, vgl. auch Negaïm XI, 11. Die Etymologie ist unsicher (γογγύλος, rund; γαγγαλίας zusammengedrehte Wolle?).; so R. Dosa44 Da nur der Gürtel als Kleidungsstück betrachtet wird, nicht aber andere Geflechte.. Die Weisen aber sagen: Alle sind unrein, ausgenommen, die der Wollhandler45 Die geflochtenen Schnüre, mit denen Bündel Wolle zusammengebunden werden..", + "Eine Schleuder, deren Behältnis46 Die Höhlung (כף הקלע), in welche der Schleuderstein gelegt wird. gewebt ist47 Von Leinen., kann Unreinheit annehmen; ist es aber von Leder, so erklärt R. Dosa, Sohn Archinos’, sie für rein48 Sie kann keine Unreinheit annehmen, da das Leder erst bei einem Quantum von 5 Handbreiten im Quadrat unrein werden kann (Kelim XXVII, 2). Die Schleuder wird aber nicht als Gerät mit Behältnis betrachtet, da sie nur dazu dient, den Stein fortzuschleudern.; die Weisen aber erklären sie für verunreinigungsfähig49 Indem sie dieselbe als Gerät mit Behältnis betrachten, bei dem das Quantum von 5 Handbreiten im Quadrat nicht erforderlich ist.. Ist das Fingerloch50 An einem Ende der Schleuder befindet sich eine Schleife, in welche man beim Schleudern den Finger steckt. davon abgerissen, so ist sie rein51 Da sie dann nicht mehr zu gebrauchen ist.; ist aber nur der Schleuder-Griff52 Am andern Ende der Schleuder ist eine Schnur angebracht, die man mit der Hand festhält, während man die Schleuder im Kreise schwingt, und dann beim Schleudern loslässt. Diese Schnur heißt בית הפקיע, nach manchen Kommentaren von פקע tönen, sausen (syr. ܦܩܰܠ), weil es beim Losgehen saust; richtiger aber von פקע springen, abspringen, losgehen, (vgl. syr. ܡܰܦܩܰܥܬܳܐ die Schleuder). abgerissen, so ist sie verunreinigungsfähig53 Da die Schleuder noch zu gebrauchen ist..", + "Eine Gefangene54 Die eines Priesters Frau ist. darf Teruma essen55 Es ist nicht zu befürchten, dass sie vergewaltigt und dadurch entweiht wurde., so R. Dosa56 Ausführlicher in einer Baraita Ketubot 36b.. Die Weisen aber sagen: Manche Gefangene darf essen und manche Gefangene darf nicht essen. Wieso? Sagt eine Frau57 Ketubot II, 5. „Ich bin gefangen worden, aber ich bin rein geblieben“; so darf sie (Teruma) essen (weil58 Die eingeklammerten Worte werden von Einigen nicht gelesen. derselbe Mund59 Ihre eigene Aussage., der es verbietet60 Indem sie sagt, dass sie gefangen war., es wieder erlauben kann61 Indem sie hinzufügt, dass sie rein geblieben.. Sind aber Zeugen vorhanden, dass sie gefangen wurde, und sie sagt: „ich bin rein geblieben“; so darf sie nicht (Teruma) essen.", + "In vier Zweifel-Fällen62 Teharot VI, 2. erklärt R. Josua für unrein, und die Weisen für rein: Wenn ein Unreiner63 Ein Aussätziger. steht64 Unter einem Baume. und ein Reiner vorübergeht; wenn ein Reiner steht64 Unter einem Baume. und ein Unreiner63 Ein Aussätziger. vorübergeht65 In diesem Falle findet die Zelt-Unreinheit nur statt, wenn der Aussätzige stehen bleibt; vgl. Negaïm XIII, 7.; wenn Unreines im Gebiete des Einzelnen66 Etwa in einem Laden. und Reines im öffentlichen Gebiete67 Auf der Straße an der Türe des Ladens. ist68 Und ein Vorübergehender nicht weiß, ob er den reinen oder unreinen Gegenstand berührt, bewegt oder überdacht hat.; wenn Reines im Gebiete des Einzelnen66 Etwa in einem Laden. und Unreines im öffentlichen Gebiete67 Auf der Straße an der Türe des Ladens. ist68 Und ein Vorübergehender nicht weiß, ob er den reinen oder unreinen Gegenstand berührt, bewegt oder überdacht hat.; ist es nun (in diesen Fällen) zweifelhaft, ob Eins das Andere berührt hat, oder nicht; ob Eins vom Andern durch Überdachung unrein geworden ist69 In der Weise, wie oben Noten 11, 12, 14 auseinandergesetzt. oder nicht, oder ob Eins das Andere bewegt hat,70 הסיט rütteln, bewegen (ar. ساط Flüssigkeiten durcheinander schütteln, mischen). oder nicht; so erklärt R. Josua für unrein71 Weil dieser Zweifel sich auch auf ein Privatgebiet (רשות היחיד) erstreckt, in welchem jeder Unreinheits-Zweifelfall für unrein erklärt wird., und die Weisen erklären für rein72 Da in unseren Fällen beim Zweifel auch das öffentliche Gebiet (רשות הרבים) beteiligt ist, vgl. oben II Note 32..", + "Drei72a Im Mscr. München steht richtig diese M. nach M. 9, da dann angemessen zuerst 2 Gruppen zu 4, darauf 4 Gruppen von je 3 Lehren mitgeteilt werden. Dinge73 Kelim XII, 5. erklärt R. Zadok für verunreinigungsfähig, und die Weisen erklären sie für rein: Den Nagel des Geldwechslers74 Woran er die Wage hängt; nach ראב״ד: womit er den Fall-Laden an eine Bank befestigt., den Kasten der Gräupner75 Der nicht so gut wie andere Kasten gearbeitet ist (Maimon.) oder: der groß ist und gefüllt nicht getragen werden kann (Bart.). Nach ראב״ד bezieht sich מסמר auch auf ארון של גרוסות, wonach hier vom „Nagel des Gräupner-Kastens“ die Rede ist, d. i. der Nagel, womit dieser Kasten an den Wagen befestigt wird, wenn darin Graupen zum Markte gefahren, werden. und den Stift an der Stein-Uhr76 Der Sonnenuhr, die aus einem an der Erde befestigten breiten, glatten Steine bestand, auf dessen Fläche der Schatten dieses in den Mittelpunkt eines Kreises eingeschlagenen Stiftes die Stunden anzeigte.; diese erklärt R. Zadok für verunreinigungsfähig77 Er betrachtet sie als Geräte., und die Weisen erklären sie für rein78 Nach ihrer Ansicht sind diese nicht als Geräte zu betrachten..", + "Vier Dinge78a Kelim XII, 6. erklärt R. Gamliel für verunreinigungsfähig, und die Weisen erklären sie fur rein: Den Deckel eines metallenen Korbes der Hausherrn79 Der im Haushalt zum Aufbewahren verschiedener Gegenstände gebraucht wird. Dem entgegengesetzt wird (Kelim XII, 3) כסוי טני של רופאים der Deckel des Korbes der Ärzte, der wahrscheinlich zum Aufbewahren von Arzneien dient, wobei auch der Deckel als Gerät betrachtet wird und nach Aller Übereinstimmung verunreinigungsfähig ist., den Henkel80 S. Kelim XV, 4. der Striegel81 Der Badestriegel, Schabeisen, vgl. Tosephta Kelim B. mez. II, 12., noch nicht fertige Metallgefäße82 Die man noch polieren, verzieren oder sonst vervollkommnen will (Chullin 25a). und eine in zwei Teile83 Die gleich groß sind. geteilte Tafel84 Eine irdene mit einem Rande versehene Platte.. Doch gestehen die Weisen dem R. Gamliel zu, dass wenn eine Tafel in zwei Stücke geteilt ist, von denen eines größer als das andere ist, das größere verunreinigungsfähig und das kleinere rein sei.", + "In drei Dingen85 Bezah II, 6. entscheidet R. Gamliel erschwerend, wie die Ansicht von Bet-Schammai: Man darf nicht86 Wenn man nicht bereits am Werktag (ערב יום טוב) etwas von den warmen Speisen für den Sabbat eingehüllt hatte, so dass man speziell diese Art der Speisebereitung schon am Werktage begonnen. an einem Festtage für den Sabbat Warmes87 Warme Speisen und Getränke. einhüllen;88 Um sie warm zu halten; s. Sabbat IV, 1. Nach Bet-Hillel ist dies schon gestattet, wenn man nur ein Brod und eine gekochte Speise am Werktage für den Sabbat bereitet hatte (עירוב תבשילין). Näheres s. Bezah II, 1. man darf keinen Leuchter89 Der aus Gliedern besteht und zerlegt worden ist. am Festtage aufstellen;90 Wieder zusammenstellen. ebenso darf man keine dicken Brotkuchen,91 גריצין, aram. Übers. des hebr. חלות (arab. جروض dick). Statt פתין lesen Einige: פיתן (ihr Brod). sondern nur dünne Brote backen. Es sagte R. Gamliel: Seit ihrem Bestehen hat meines Vaters Familie (am Festtage) keine dicken Brotkuchen, sondern nur dünne Brote gebacken. Da sagten sie zu ihm: Was sollen wir von deines Vaters Familie schließen, die für sich selbst erschwerend, für Andere aber erleichternd entschied, das sie dicke Brotkuchen und Weißbrot92 Vgl. Gen. 40, 16. Im Talmud steht: חררין (Kohlenkuchen). backen dürfen.", + "Derselbe hat wieder in drei Dingen erleichternd entschieden:93 Beza II, 7. Man darf am Festtage zwischen den Sophas94 Auf welchen man bei der Mahlzeit hingelehnt war. ausfegen;95 Mit dem Fegbesen, wiewohl dies im ganzen Hause auf nichtgepflastertem Fußboden verboten ist (Sabbat 95a). ebenso Räucherwerk96 מָגְמָר (vom aram. גומרא Kohle) das auf Kohlen gelegte Räucherwerk, welches man nach der Mahlzeit zu bringen pflegte (Berachot VI, 6). (auf Kohlen) legen, und man darf ein ausgerüstetes97 Eig.: behelmtes. מקולס ist Denom. von קולס Helm (קולס = קונס vom gr. ϰῶνος, Helmspitze). Böcklein98 D. i. ein Böcklein, das wie das Pesach-Opfer mit seinen Fußstücken und Eingeweiden gebraten wurde, die man wie eine Rüstung über dasselbe an den Bratspieß hängte, s. Pesachim VII, 1. am Pesach-Abend bereiten. Die Weisen aber verbieten dies Alles.99 Das Ausfegen, weil man dabei die Gruben am Fußboden ebnen könnte; das Räucherwerk, weil dies nicht von allen Menschen, sondern nur von Vornehmen und Verwöhnten gebraucht wird, und das behelmte Böcklein, weil dies den Schein erweckt, dass man heilige Opfer außerhalb des Tempels bereite.", + "Drei Dinge100 Beza II, 8. erlaubt R. Eleasar, Sohn Asaria’s, welche die Weisen verbieten: Seine101 Nach dem Talmud war es die Kuh seiner Nachbarin, sie wird jedoch als die seinige bezeichnet, weil er es nicht verboten hatte. Kuh durfte mit dem Riemen zwischen den Hörnern102 Den sie als Zierat trug. Die Weisen aber betrachten dies als eine Last und verbieten es. (am Sabbat) ausgehen; man darf103 Auch mit einem dünnzähnigen Kamme. das Vieh am Festtage striegeln;104 קרד = גרד kratzen. Wiewohl man eine Wunde macht, so ist es dennoch erlaubt, weil man die Wunde nicht wünscht. und man darf Pfeffer in der Pfeffermühle mahlen. R. Jehuda sagt: Man darf das Vieh am Festtage nicht striegeln, weil man eine Wunde macht; aber man darf es kämmen.105 Mit einem dickzähnigen Holzkamme, der keine Wunde macht. קרצף aram., kratzen. Die Weisen aber sagen: Man darf weder striegeln noch kämmen.106 Man hat Letzteres wegen des Ersteren verboten." + ], + [ + "In folgenden Dingen haben Bet-Schammai erleichternd und Bet-Hillel erschwerend entschieden.1 Während sonst Bet-Schammai erschweren und Bet-Hillel erleichtern. Wenn2 Beza I, 1. ein Ei am Festtage gelegt wurde, so sagen Bet-Schammai: Es darf3 Noch an diesem Tage. gegessen werden; Bet Hillel aber sagen: Es darf nicht gegessen werden.4 Der Grund dafür wird im Talmud (Beza 2 b f.) verschieden angegeben. Nach dem Einen wird das am Sabbat oder Festtage gelegte Ei wie eine an einem solchen Tage vom Baume herabgefallene Frucht betrachtet, die man bis zum Ausgang des Feiertags nicht essen darf (Pesachim IV, Note 34). Ein anderer vergleicht dies Ei mit dem aus Früchten am Feiertage ausgeflossenen Safte (oben II, Note 70). Nach einer dritten Ansicht ist nach der Tora das Ei für den Festtag verboten, der unmittelbar nach dem Sabbat fällt, und zwar deshalb, weil das am Festtage gelegte Ei bereits am Tage vorher, also am Sabbat, fertig geworden ist und das an einem heiligen Tage für den andern heiligen Tag Vorbereitete an letzterem zum Genusse verboten ist, selbst wenn die Vorbereitung von selbst (בידי שמים) und nicht durch Menschenhände geschehen ist. Die Rabbinen haben aber (als גזרה) dieses Verbot für jeden Sabbat und Feiertag angeordnet. — Nach einer vierten Ansicht spricht die Mischna nur von dem Falle, dass die Henne zum Eierlegen und nicht zum Genusse bestimmt ist, wobei sowohl die Henne als auch das von ihr am Festtage gelegte Ei als Etwas, das beim Eintritt des Festtages nicht zum Gebrauche bestimmt war (מוקצה, s. weiter Note 16) verboten ist. Bet-Schammai sagen: Sauerteig5 Muss zum Pesachfeste fortgeschafft werden. bei einer Olivengröße und Gesäuertes bei einer Dattelgröße;6 Doch gestehen Bet-Schammai zu, dass hinsichtlich des Essens eine Olivengröße als das gesetzliche Quantum gilt. Bet-Hillel aber sagen: Beides5 Muss zum Pesachfeste fortgeschafft werden. bei einer Olivengröße.7 Da für die Fortschaffung (ביעור) dasselbe Quantum, wie für das Essen, festgesetzt ist (Note 6).", + "(Wenn8 Die eingeklammerten Worte fehlen in manchen Codices, vgl. Tos. Jomtob. ein Vieh am Festtage geboren wurde, so stimmen Alle überein, dass es3 Noch an diesem Tage. erlaubt ist,9 Wenn man sicher weiß, dass das Junge vollständig ausgetragen ist; sonst muss man warten, bis es den achten Tag erlebt hat, weil erst dadurch dessen Lebensfähigkeit konstatiert ist. bei einem Küchlein aber, das am Festtag aus dem Ei gekrochen, stimmen alle überein, dass es verboten ist.)10 Als Etwas, das beim Eintritt des Festtages nicht zum Gebrauche bestimmt (מוקצה) war. Das am Festtage geborene Vieh ist dagegen nicht מוקצה, da es mit dessen Mutter zusammen für den Gebrauch bestimmt war. Wenn11 Beza I, 2. Jemand Wild oder Geflügel am Festtage schlachten will, so sagen Bet-Schammai: Er darf mit dem Spaten12 דקר Spaten, Grabscheit (Raschi Ab. sara 15b); Pflugmesser (Tos. das.). Nach Jerusch. Sota 18a wäre vielleicht auch hier דקל (= δίϰελλα, Karst) zu lesen. graben und (das Blut) zudecken;13 Nach Jerusch. darf man das Werk-Verbot am Feiertage übertreten, um das Blut nach der Vorschrift in Lev. 17, 13 zuzudecken. Nach Babli dagegen ist es nur gestattet, mit einem im Boden schon steckenden Spaten die lockere Erde aufzuwerfen. Bet-Hillel aber sagen; Er darf nur dann schlachten, wenn er vorbereitete Erde hat. Doch gestehen sie zu, dass, wenn er schon geschlachtet hat, er mit dem Spaten graben und (das Blut) zudecken darf;13 Nach Jerusch. darf man das Werk-Verbot am Feiertage übertreten, um das Blut nach der Vorschrift in Lev. 17, 13 zuzudecken. Nach Babli dagegen ist es nur gestattet, mit einem im Boden schon steckenden Spaten die lockere Erde aufzuwerfen. auch ist14 St. שאפר ist nach dem Talmud ואפר zu lesen, da hier eine neue Bestimmung gelehrt wird. Nach R. Elia Wilna meint der Talmud nur, dass שאפר als ein neuer assyndetisch angefügter von ומודים abhängiger Satz zu betrachten sei (Sie gestehen ferner zu, das Asche vom Heerde u. s. w.), s. aber folgende Note. Asche15 Dies ist nur die Ansicht von Bet-Hillel, denn nach Bet-Schammai darf man nur mit Erde, aber nicht mit Asche zudecken, Chullin 88 b (vgl. Tos. das. v. מציגו u. Beza 8a v. הכי). vom Heerde als vorbereitet16 מוכן, das Vorbereitete, d. i. dasjenige, von dem vorausgesetzt ist, dass es beim Eintritt des heiligen Tages zum Gebrauche bestimmt war; im Gegensatze zu מוקצה (von קצה), dem Abgesonderten, dass zu dieser Zeit nicht zum Gebrauche bestimmt war und das man deshalb am heiligen Tage nicht einmal mit der Hand von seiner Stelle wegnehmen (טלטל) darf. anzusehen17 Nach dem Talmud jedoch nur dann, wenn das Material bereits vor dem Feiertage zu Asche verbrannt war..", + "Bet-Schammai sagen:18 Pea VI, 1. Was (nur) für Arme freigegeben wird,19 הבקר (so zumeist in Jerusch.; im Babli dafür הפקר) Freigegebenes, herrenloses Gut. gilt als herrenloses Gut;20 Und man braucht davon keinen Zehnten zu geben. Bet-Hillel aber sagen: Es gilt nur als herrenlos,20 Und man braucht davon keinen Zehnten zu geben. wenn es auch für Reiche freigegeben wird, wie die Erlassjahr-Frucht.21 Exod. 23, 11 und Lev. 25, 6. Sind21a Diese Kontroverse von ב״ש und ב״ה scheint dem Jerusch. hier nicht vorgelegen zu haben, s. Tos. R. Akiba Eger zu Pea VI, 2. alle Garben eines Feldes jede zu einem Kab, Eine aber zu vier Kab, und man hat diese vergessen, so sagen Bet-Schammai: Es gilt nicht als Vergessenes;22 Die Eine Garbe wird wie vier Garben betrachtet, die nach Bet-Schammai (in Pea VI, 5) dem Eigentümer gehören. Bet - Hillel aber sagen: Es gilt als Vergessenes.23 Die Eine Garbe gilt nicht wie vier Garben.", + "Liegt24 Pea VI, 2. Diese ganze Mischna fehlt in Ms. München. Auch ר״ש (zu Pea VI, 2) hatte sie in Edujot nicht vorgefunden. eine Garbe neben der Wand,25 גפה s. B. mezia II, Note 22. dem Getreidehaufen, den Rindern oder den Ackergeräten, und man vergisst sie, so sagen Bet-Schammai: Es gilt nicht als Vergessenes;26 Da die Garbe neben einem markanten Gegenstande (דבר המסויים) liegt, so ist anzunehmen, dass der Eigentümer sich derselben wieder erinnern wird. Bet-Hillel aber sagen: Es gilt als Vergessenes.27 Nach der Tosephta (Pea III, 2) entspricht die Version unserer Mischna der Ansicht des R. Josua; dagegen meint R. Elieser, Bet-Schammai gestehen zu, dass die neben einem markanten Gegenstande liegende vergessene Garbe auch als Vergessenes gilt; sie kontroversieren mit Bet-Hillel nur in dem Falle, dass der Eigentümer eine Garbe ergriffen hat, um sie nach der Stadt zu tragen, und sie dann neben einen markanten Gegenstand gelegt und vergessen hat, (s. M. Pea VI, 3 und שנות אליה das.).", + "Hinsichtlich28 Maaser scheni V, 3; Pea VII, 6, wo ausführlich erklärt ist. der vierjährigen Wein-Pflanzung29 Nach der Halacha auch jedes andern vierjährigen Baumes (נטע רבעי), s. B. mezia IV, 8. sagen Bet-Schammai, dass dabei kein Fünftel-Zusatz30 Sie stellen diese nicht dem zweiten Zehnten gleich (Lev. 27,31). und keine Fortschaffung31 Nach Mischna Maaser scheni V, 6. erforderlich ist; Bet-Hillel aber sagen: Sie erfordert Fünftel-Zusatz sowohl als Fortschaffung.32 Wie der zweite Zehnt. Bet - Schammai sagen: Es gilt dabei33 Bei den vierjährigen Bäumen, die nach Bet-Schammai in mancher Hinsicht wie Profanes (חולין) betrachtet werden. die Pflicht von Peret und ‘Olelot,34 Nach Lev. 19, 10 und M. Pea VII, 3—4. und die Armen lösen für sich aus;35 Die gesammelten Früchte, wenn sie dieselben nicht nach Jerusalem führen wollen. Bet-Hillel aber sagen: Alles (kommt) in die Kelter.36 Der Eigentümer muss Alles pressen und den ganzen Wein nach Jerusalem führen, wie den zweiten Zehnten.", + "Ein Fass mit eingelegten37 גלגל wälzen, drehen, daher auch mischen (ar. جلجل), Oliven in Salz einlegen, damit sie den bittern Geschmack verlieren. Oliven braucht man nach Bet-Schammai nicht zu durchlöchern;38 Obgleich die Oliven in dem herausschwitzenden Safte (מוהל) liegen, so werden sie doch dadurch nicht verunreinigungsfähig (Machschirin VI, 5), da man es nicht wünscht, dass aus den Oliven der Saft herauskomme (vgl. Lev. 11, 38 u. Machschirin Anf.). Bet-Hillel aber sagen: Man muss es durchlöchern.39 Um zu zeigen, dass der Saft nicht erwünscht ist. Doch gestehen sie zu, dass, wenn es durchlöchert worden ist und die Hefen (das Loch) verstopft haben, es rein40 Nicht verunreinigungsfähig. bleibt.41 Da man mit der Durchlöcherung des Fasses bereits gezeigt, dass man den Saft nicht wünscht. Wenn sich Jemand mit reinem Öle gesalbt hat und dann unrein geworden, (ins Tauchbad) hinabgestiegen und untergetaucht hat, so sagen Bet-Schammai: Obwohl er (noch vom Öle) trieft, ist es rein;42 Denn das Öl, womit der Körper gesalbt ist, gehört zum Körper und wird durch die Reinigung des Körpers mit rein. Bet-Hillel aber sagen: (das Öl43 Welches durch ein Tauchbad nicht rein werden kann. ist unrein)43a Und macht auch das davon Berührte unrein. wenn es reicht, ein kleines Glied44 Den kleinsten Finger der Hand. damit zu salben. War es schon vorher45 Bevor er sich damit gesalbt hat. unrein, so sagen Bet-Schammai: (Es bleibt46 Auch nach dem Untertauchen des Mannes. unrein) wenn es reicht, ein kleines Glied damit zu salben; Bet-Hillel aber sagen: Schon wenn es ihn im Geringsten benetzt.47 טפח, syr. ܛܦܰܚ befeuchten, benetzen. R. Jehuda sagt im Namen von Bet-Hillel: Wenn es ihn so benetzt, dass er damit (Anderes) benetzen kann.", + "Eine Frau48 Kidduschin I, 1. wird nach der Ansicht von Bet-Schammai durch einen Denar oder den Wert eines Denars49 Nach den Kommentaren: Silber, das so viel wie 96 Gerstenkörner wiegt. (dem Manne) angetraut; Bet-Hillel aber sagen: Schon durch eine Peruta50 Ein Denar=192 Peruta. oder den Wert einer Peruta. Wie viel ist eine Peruta? Ein Achtel eines italischen Issar.51 איסר=as, ἀσσάριον. Bet-Schammai sagen: Man52 Gittin VIII,4. kann vermittels eines alten Scheidebriefes sich von seiner Frau scheiden; Bet-Hillel aber verbieten dies. Was heißt ein alter Scheidebrief? Wenn der Mann, nachdem er denselben geschrieben,53 Bevor er ihn der Frau gegeben. mit seiner Frau allein gewesen ist.54 Es könnte in diesem Falle die Frau vor der Scheidung dem Manne ein Kind gebären. Da nun der Scheidebrief ein Datum trägt, das älter ist als die Zeugung des Kindes, so würde man dieses für nach der Scheidung im Konkubinate erzeugt halten. Deshalb erklären Bet-Hillel einen solchen Scheidebrief für unbrauchbar. Wenn Jemand55 Gittin VIII, 9. sich von seiner Frau geschieden und nachher mit ihr zusammen in einer Herberge56 פונדקי, gr. πανδοϰεῖον, Gasthaus. übernachtet hat,57 Es sind Zeugen da, dass beide allein in der Herberge zusammen gewesen sind. so sagen Bet-Schammai: Sie bedarf von ihm keines zweiten Scheidebriefes; Bet-Hillel aber sagen: Sie bedarf von ihm eines zweiten Scheidebriefes.58 Denn die Zeugen für das Alleinsein (עדי ייחוד) gelten so viel, wie wenn es bezeugt wäre, dass der Mann seiner ehemaligen Frau beigewohnt (עדי ביאה), und zwar sicherlich in der Absicht, sie sich (nach Kidduschin I, 1) dadurch wieder anzutrauen. Wann (gilt dies)? Wenn sie nach der Verheiratung sich geschieden haben; wenn sie aber nach der Verlobung sich geschieden haben, bedarf sie von ihm keines zweiten Scheidebriefes, weil er gegen sie noch nicht dreist59 לבו גס sein Herz ist groß, er ist hochmütig, d. h. dreist. ist.60 Es ist nicht anzunehmen, dass er ihr beigewohnt hat.", + "Bet-Schammai61 Jebamot I, 4. erlauben die Nebenfrauen61a Wiewohl Eine Frau des verstorbenen Bruders dem überlebenden Bruder als Blutsverwandte zur Ehe bei Todesstrafe verboten ist. (zur Leviratsehe)62 Vgl. Deut. 25, 5. den Brüdern;63 Hatte z. B. der verstorbene Ruben die Tochter seines Bruders Simon und noch eine Andere geheiratet, so ist die Leviratsehe mit dieser andern Frau dem Simon gestattet, wiewohl sie die Nebenfrau seiner Tochter (צרת הבת) war und die Tochter auch zur Leviratsehe bei Todesstrafe verboten ist. Bet-Hillel aber verbieten dies.64 Bei Strafe der Ausrottung (כרת). Haben sie64a Die Nebenfrauen. die Chaliza65 Nach Deut. 25, 7 ff. vollzogen,66 Um dadurch von der Leviratsehe befreit zu werden. so erklären Bet-Schammai dieselben für ungeeignet, Priester zu heiraten;67 Da eine Chaluza keinen Priester heiraten darf (Makkot I, Note 5). nach Bet-Hillel aber sind dieselben hierzu geeignet.68 Denn die Chaliza war in diesem Falle ganz unnötig, da nach Bet-Hillel die Leviratsehe verboten war. Sind sie68 Denn die Chaliza war in diesem Falle ganz unnötig, da nach Bet-Hillel die Leviratsehe verboten war. in die Leviratsehe getreten, so erklären sie69 Nachdem sie wieder verwitwet wurden. Bet-Schammai für geeignet70 Zur Priesterehe Denn die Leviratsehe war nach ihrer Ansicht eine erlaubte. und Bet-Hillel für ungeeignet71 Denn die nach Bet Hillel bei Ausrottungs-Strafe verbotene Leviratsehe stempelte die Frau zur Buhlerin (זונה), die einem Priester zur Ehe verboten ist, Lev. 21, 7. (zu einer Priester-Ehe). Wiewohl die Einen Manche (zur Ehe) für ungeeignet erklären, welche die Andern für geeignet halten,72 Und manche Leviratsehe nach Bet-Schammai erlaubt ist, während sie nach Bet-Hillel bei כרת-Strafe verboten ist (Note 64). so hielt sich dennoch das Haus Schammai’s73 Die Männer aus der Schule Schammai’s. nicht zurück, Frauen vom Hause Hillels74 Die Töchter der Hilleliten. zu heiraten, und ebenso vermied nicht das Haus Hillels, Frauen vom Hause Schammai’s zu heiraten.75 Obgleich die Kinder aus den Ehen, die nach Bet-Hillel bei כרת-Strafe verboten sind (Note 64), von ihnen als ממזרות nicht geheiratet werden durften (Jebamot IV, 13), so haben sie dennoch die eheliche Verbindung mit den Töchtern der Schammaïten nicht gescheut, weil sie sich darauf verlassen konnten, dass die Schammaïten ihnen im betreffenden Falle mitteilen werden, dass nach der Ansicht von Bet-Hillel die Ehe verboten sei. Auch hinsichtlich alles Reinen und Unreinen, wobei die Einen für rein erklärten, was die Anderen für unrein hielten, haben die Einen kein Bedenken getragen, die Geräte der Anderen zur Bereitung von Reinem zu gebrauchen.76 Da die Einen den Andern immer mitteilten, was nach der Letzteren Ansicht unrein sei.", + "Wenn77 Jebamoth III, 5. zwei von drei Brüdern zwei Schwestern zu Frauen haben, der dritte aber ledig ist, und es stirbt einer der Männer der Schwestern78 Dem ledigen Bruder liegt es nun ob, an dessen Witwe die Leviratsehe zu vollziehen., der Ledige macht (an dessen Witwe) einen Maamar79 מאמר eig. der Spruch; darunter versteht man die nach Bet-Hillel nur rabbinisch gültige Antrauung der zur Leviratsehe verpflichteten Schwägerin durch einen Wertgegenstand, den der Levir ihr überreicht, indem er dabei, wie bei sonstigen Trauungen, die Formel הרי את מקודשת לי וכו׳ spricht. מאמר (Spruch) heißt diese Antrauung im Gegensatz zu der in der Tora erwähnten Beiwohnung (יבא עליה, Deut. 25, 5), welche (ebenso wie die Chaliza) מעשה, Tat, genannt wird (Jebamot IV, 9) und die Leviratsehe vollendet. und darauf stirbt der andere Bruder80 Der Mann der anderen Schwester., so sagen Bet-Schammai: Seine Frau81 Die der Ledige sich durch den Maamar angetraut hat. bleibe bei ihm82 Er kann sie heiraten. Bet-Schammai sind der Ansicht, durch den Maamar habe der Levir sich die Jebama (Schwägerin) vollständig angeeignet, so dass deren Schwester nicht mehr zur Leviratsehe verpflichtet werden kann., die andere aber ist als Schwester seiner Frau83 Die ihm nach Lev. 18, 18 zur Ehe verboten ist. (von der Leviratsehe-Pflicht) befreit. Bet-Hillel aber sagen: Er muss seine Frau84 Die durch den מאמר ihm nur rabbinisch angetraut, nach der Tora aber noch nicht seine Frau ist. Da aber jetzt durch den Tod seines Bruders ihn die Pflicht der Leviratsehe mit dessen Witwe verbindet, so verbietet ihm dieses Band (זיקה) die Ehe mit seiner Angetrauten, als der Schwester der mit ihm Verbundenen (אחות זקוקתו), die (rabbinisch) wie die Schwester einer Frau betrachtet wird. durch Scheidebrief85 Um die Antrauung (מאמר) aufzulösen. und Chaliza86 Um das Band der Leviratsehe-Pflicht zu lösen. und die Frau seines Bruders durch Chaliza86 Um das Band der Leviratsehe-Pflicht zu lösen. entlassen. Das ist der Fall, wobei man sagt87 Es ist dies ein Sprichwort über Jemand, der neben seiner Frau durch das Leviratsehe-Gesetz noch die Frau des Bruders haben sollte, und statt dessen keine von beiden behalten darf.: Wehe ihm wegen88 Des Verlustes. seiner Frau, und wehe ihm wegen88 Des Verlustes. seines Bruders Frau89 Vgl. denselben Spruch in Jebamot XIII, 7..", + "Wenn90 Ketubot V, 6. Jemand seine Frau durch ein Gelübde verpflichtet91 הדיר durch ein Gelübde (Jemand zu etwas) veranlassen, zwingen oder verpflichten., seiner Beiwohnung92 תשמיש oder תשמיש המ׳ (eig. Bedienung des Bettes) für „Beiwohnung“. zu entsagen93 Nach Nedarim 15b gilt ein solches Gelübde nur in der Form: קונם הנאת תשמישך עלי (der Genuss deiner „Bedienung“ sei mir versagt)., so sagen Bet-Schammai: Zwei Wochen94 Da diese Enthaltsamkeit mitunter zwei Wochen von der Tora vorgeschrieben ist, Lev. 12, 5. (muss sie dies zugeben)95 Nach zwei Wochen muss er entweder das Gelübde lösen, oder sich von ihr durch einen Scheidebrief scheiden lassen.; Bet-Hillel aber sagen: Nur eine Woche96 Wie dies bei der Geburt eines männlichen Kindes (Lev. 12, 2) und bei נדה (Lev. 15, 19) gesetzlich vorgeschrieben ist.. Wenn97 Keritot I, 6. eine Frau am Vorabend des einundachtzigsten Tages98 Nach der Geburt eines weiblichen Kindes, wobei sie (nach Lev. 12, 6) am 81. Tage ein Opfer zu bringen hat. abortiert, so befreien sie Bet-Schammai vom Opfer99 Sie braucht wegen dieser zweiten (unzeitigen) Geburt kein Opfer zu bringen. Wiewohl am Vorabend des 81. Tages die Tage der Reinigung von der ersten Geburt bereits vollbracht sind, so ist dennoch diese Zeit, weil des Nachts überhaupt kein Opfer dargebracht werden darf, als die Zeit vor Eintritt der Opferpflicht zu betrachten, in welcher eine zweite Geburt nicht zu einem neuen Opfer verpflichtet.; Bet-Hillel aber verpflichten sie hierzu100 Sie betrachten die Nacht zum 81. Tage wie die Zeit nach dem Eintritt der Opferpflicht, obgleich das Opfer erst am folgenden Tage dargebracht werden kann. Die Frau muss deshalb wegen der zweiten (wenn auch unzeitigen) Geburt ein besonderes Opfer bringen.. Bei einem leinenen Kleide101 Dabei müsste man das Verbot von Deut. 22, 11 (שעטנז) übertreten, wenn daran Schaufäden wären, da zu letzteren auch himmelblaue Wolle (תכלת Num. 15, 38) gehört. befreien Bet-Schammai vom Schaufäden-Gebot102 Obgleich behufs Erfüllung des Zizit-Gebotes die Übertretung des שעטנז-Verbotes nach der Tora gestattet wäre, so haben Bet-Schammai dies dennoch nicht erlaubt, weil sie befürchten, man könnte das שעטנז-Kleid auch in der Nachtzeit tragen, in welcher die Übung des Zizit-Gebotes nicht Pflicht ist (Berachot II, Note 3)., Bet-Hillel aber verpflichten dazu103 Sie befürchten nicht, dass man dieses Kleid auch Nachts tragen würde; vgl. Sabbat 25b u. Tos. das. gegen Raschi.. Einen Korb (mit Früchten)104 Maaserot IV, 2., der für den Sabbat bestimmt ist, befreien Bet-Schammai (von der Zehnt-Absonderung)105 D. h. man darf davon ein Wenig (עראי) vor dem Sabbath essen, ohne dass man es vorher verzehntet; vgl. Maaserot I, 5.; Bet-Hillel aber verpflichten dazu106 Die Bestimmung für den Sabbat macht es sofort zehntpflichtig, so dass man vor der Zehnt-Absonderung nichts davon essen darf..", + "Wenn Einer107 Nasir III, 6. für längere Zeit108 Für mehr als 30 Tage. ein Nasirat109 Num. 6, 2 ff. gelobt hat und, nachdem er sein Nasirat vollendet110 Im Auslande, dessen Boden die Rabbinen für unrein erklärt haben., nach dem Lande (Israels) kommt, so sagen Bet-Schammai: Er muss (nur noch) dreißig Tage ein Nasir sein111 Obwohl ein auf unreinem Boden abgehaltenes Nasirat nicht gültig ist (Nasir III, 5), so wird dennoch durch das im Auslande vollendete Nasirat, da dort der Boden nur rabbinisch unrein ist, sein Gelübde als erfüllt betrachtet, so dass er im Lande Israels nur zur Strafe noch ein Nasirat von 30 Tagen zu halten braucht.; Bet-Hillel aber sagen: Er muss (wieder) von vorn das Nasirat beginnen112 Die Rabbinen haben dem Nasir die Strafe auferlegt dass das im Auslande gehaltene Nasirat ihm gar nicht angerechnet wird, wie wenn er es auf einem Begräbnisplatze abgehalten hätte.. Wenn113 Nasir III, 7. zwei Zeugenpaare114 כת Makkot I, Note 47. von Jemandem (verschieden) aussagen; das Eine sagt, er habe zwei (Nasirate) gelobt, und das andere sagt, er habe115 Zur selben Zeit. fünf gelobt116 Und er selbst behauptet, gar kein Gelübde getan zu haben., so sagen Bet-Schammai: Da das Zeugnis verschieden ist, so braucht er gar kein Nasirat zu beobachten117 Das Zeugnis beider Paare ist ungültig, da sie einander widersprechen.; Bet-Hillel aber sagen: In fünf ist zwei enthalten; er muss daher zweimal Nasir sein118 Vgl. Sanhedrin 31a..", + "Wenn119 Ohalot XI, 3. ein Mensch unter der Spalte120 Vorher steht dort (Ohalot XI, 2): Wenn eine Vorhalle oben durchgespalten ist und es befindet sich eine Toten-Unreinheit auf der Einen Seite, so sind die auf der andern Seite befindlichen Geräte rein, (da die Spalte das Dach Teilt, so dass die Geräte sich nicht mit der Unreinheit unter Einer Überdachung befinden). Unsere Mischna behandelt nun den Fall, dass gerade senkrecht unter der Spalte des Daches auf dem Fußboden der Vorhalle ein Mensch steht. sich befindet, so sagen Bet-Schammai: Er bringt nicht die Unreinheit121 Er stellt keine Verbindung her zwischen den beiden getrennten Teilen des Daches, so dass die Unreinheit von der Einen Seite auf die Geräte der andern Seite übergeleitet werden könnte, (oben III, Note 14). Denn nur ein Gegenstand, der einen Raum von mindestens einem Kubik-טפח überdacht, kann, unter der Spalte stehend, wie bis zum Dache reichend befrachtet werden und so die getrennten Teile des Daches mit einander verbinden, (Ohalot XI, 2).; Bet-Hillel aber sagen: Der Mensch ist hohl122 Er wird wie hohl betrachtet, obgleich sein Inneres von den Eingeweiden ausgefüllt ist., und dessen obere Seite123 Welche die innere Höhlung überdacht. bringt die Unreinheit124 Verbindet die beiden Teile des Daches der Vorhalle, so dass die Unreinheit auf die Geräte übergeleitet wird. — Im Ganzen sind in unserem Abschnitt 23 Fälle der קולי ב״ש וחומרי ב״ה aufgezählt. Die Tosephta fügt noch einen Fall hinzu, vgl. ראב״ד.." + ], + [ + "R. Jehuda1 Die im vorigen Abschnitt aufgezählten 23 Lehren sind nach Jerusch. (Beza I, 60b) von R. Meïr vorgetragen worden. sagte sechs Lehren, bei denen Bet-Schammai erleichternd und Bet-Hillel erschwerend entscheiden. Das Blut vom Aase erklärten Bet-Schammai für rein2 Es wird nicht wie Fleisch vom Aase betrachtet., Bet-Hillel aber für unrein3 Vgl. weiter VIII, 1.. Das Ei eines Aases4 Ein in einem Toten Vogel gefundenes Ei. ist, wenn es so beschaffen ist, wie man es auf dem Markte verkauft5 Es hat bereits eine harte Schale., erlaubt, sonst aber verboten6 Wie das Fleisch des Aases.; so nach Bet-Schammai; nach Bet-Hillel aber ist es (immer)7 Auch wenn es eine harte Schale hat. verboten8 Nach Tosaphot (Chullin 58a) nur rabbinisch, damit man nicht auch das Ei von Trepha erlaube.. Doch gestehen Jene9 Bet-Schammai. zu, dass das Ei von Trepha10 Oben II, Note 18. verboten ist, weil es im verbotenen Zustande11 Während der Vogel bereits trepha war. ausgebildet12 גדילה es ist groß geworden, s. Chullin 58a. worden ist. Der13 Nidda IV, 3. Blut-Abgang14 Das Menstruationsblut oder das דם זיבה (Lev. 15, 25). einer Heidin und das Reinheits-Blut14a Lev. 12, 4—5. einer Aussätzigen15 Einer aussätzigen israelitischen Wöchnerin. erklären Bet- Schammai für rein16 Denn das Gesetz über Gonorrhöa und Hämorrhöa in Lev. 15 gilt nur von Israeliten. Wiewohl nun die Rabbinen verordnet haben, dass die Heiden in jeder Beziehung wie זבים betrachtet werden, so gilt diese Bestimmung nicht Betreffs des Blutabgangs der Heidinnen. Ebenso gilt der Blutabgang einer Wöchnerin, auch wenn sie aussätzig ist, während der Reinheitstage für rein.; Bet-Hillel aber sagen: Es ist wie ihr Speichel und Urin17 Der auch nach Bet-Schammai unrein ist. zu beurteilen18 Es verunreinigt in feuchtem Zustande, aber nicht nachdem es trocken geworden. Dadurch unterscheidet es sich von dem nach dem Tora-Gesetze unreinen Geblüte, indem letzteres auch im trockenen Zustande verunreinigt.. Die Früchte19 Schebiit IV, 2, vgl. das. des siebenten Jahres19a Welche für Alle preisgegeben werden müssen (Lev. 25, 6; Exod. 23, 11). darf man sowohl mit als ohne Dankesbezeugung20 בטובה eig. „mit Güte“, d. h. indem man es dem Eigentümer als eine Güte anrechnet und ihm dafür dankt. essen; so nach Bet-Schammai. Bet-Hillel aber sagen: Man darf sie nicht essen mit Dankesbezeugung21 Denn es könnte dann scheinen, als hätte der Eigentümer sie nicht preisgegeben; solche vom Besitzer im שביעית „gehüteten“ (שמור) Früchte sind aber zum Essen verboten. Nach einer andern LA. sagen Bet-Hillel: אין אוכלין אלא בטובה (Man darf nur mit Dankesbezeugung essen). Sonst könnte man sich gewöhnen, auch in anderen Jahren die Früchte eines fremden Feldes zu nehmen.. Der Schlauch22 Tosephta Kelim B. M. XI, cit. im ר״ש zur M. Kelim XX, 2. (nimmt Unreinheit23 Midras-Unreinheit, nach Kelim XX, 1. an) nach Bet-Schammai, wenn er zugebunden ist und Bestand hat24 D. h. er faltet sich nicht zusammen (wie חמת חלילין Kelim XX, 2), wenn man ihn als Kopf-Unterlage gebraucht (s. M. rabba zu Echa 1, 2). Nach der Tos. Kelim l. c, muss auch der Schlauch מלאה, voll, mit etwas gefüllt sein; unsere Mischna scheint dies für selbstverständlich zu halten.; nach Bet-Hillel aber auch wenn er nicht zugebunden ist25 Doch muss derselbe (nach Tos. l. c.) wenigstens מלאה ועומדת (voll und zur Unterlage geeignet) sein. Dies könnte bei nicht zugebundenen Schläuchen der Fall sein, wenn dieselben z. B. mit Wolle u. dgl. gefüllt sind, vgl. Kelim XVII, 2. — Nach ראב״ד u. A. spricht unsere Mischna von einem schadhaft gewordenen Schlauche, dessen Risse man durch Zubinden ausgebessert hat, wobei nach B. Sch. das Gerät nur dann verunreinigungsfähig ist, wenn es fest für die Dauer zugebunden wurde, nach B. H. auch, wenn es nur zum momentanen Gebrauch repariert worden ist, s. Kelim XXVI, 4..", + "R. Jose sagte sechs Lehren, bei denen Bet-Schammai erleichternd und Bet-Hillel erschwerend entscheiden. Geflügel26 Chullin VIII, 1. darf mit Käse zugleich auf den Tisch gebracht27 Geflügel in Milch gekocht ist nur rabbinisch zu essen verboten; deshalb hat man nicht die Präventivbestimmung (גזירה) getroffen, auch das gleichzeitige Auftragen von Geflügel mit Käse zu verbieten., aber nicht zusammen gegessen werden; so Bet-Schammai. Bet-Hillel aber sagen: Es darf weder zugleich gebracht28 Man könnte sonst dazu kommen, auch Fleisch von Vieh in kochend heißem Zustande zusammen mit Käse aufzutragen, was auch nach der Tora verboten ist., noch zusammen gegessen werden. Man29 In anderer Version Terumot I, 4; vgl. Tosephta Ter. III, 14 und Jer. Ter. I, 40d, f. darf von Oliven die Hebe für Öl und von Weintrauben die Hebe für Wein absondern30 Wenn Jemand Oliven und Öl besitzt, welche beide teruma-pflichtig sind; so darf er seiner Pflicht sich dadurch entledigen, dass er von den Oliven ein den beiden Terumot entsprechendes Quantum als Hebe für die Oliven und das Öl absondert.; so Bet-Schammai. Bet-Hillel aber sagen: Man darf nicht absondern31 Da man die Teruma für vollständig zubereitete Frucht nicht in unzubereiteten Früchten geben darf.. Wenn32 Vgl. Kilajim IV, 5. Einer die vier Ellen des Weinberges33 Zum Anbau eines Weinberges sind 4 Ellen leerer Raum nötig, Kilajim IV, 1, Note 4. (mit Sämereien) besäet, so sagen Bet-Schammai: Er hat eine Reihe34 Nach B. Sch. wird eine Reihe von Weinstöcken schon „Wein-berg“ (כרם) genannt, Kilajim IV, 5. geheiligt35 Wie es heißt (Deut. 22, 9): „Damit nicht heilig werde der Same . . samt dem Ertrage des Weinbergs (הכרם).“; Bet-Hillel aber sagen: Er hat zwei Reihen36 Nach B. H. versteht man unter „Weinberg“ mindestens zwei Reihen (Kilajim l. c.) geheiligt. Den37 Challah I, 6. Mehlbrei38 מעיסה = מעריסה (wie עיסה = עריסה) ein Gemisch von Mehl und siedendem Wasser, von ערס mischen (arab. مغروسة Vermischung, Verwirrung); ebenso ist das in Challa I, 6 daneben genannte חליטה vom syr. ܚܠܰܛ mischen, abzuleiten. מעיסה unterscheidet sich nach einer Baraita in Babli Pesachim 37b von חליטה dadurch, dass bei ersterem das Mehl in das siedende Wasser geschüttet, bei letzterem aber das heiße Wasser in das Mehl gegossen wurde. Nach Jerusch, und Tosephta (zu Challa l. c.) ist umgekehrt חליטה Mehl in heißes Wasser geschüttet und מעיסה Mehl, in das man siedendes Wasser gegossen. Die Erklärung der Worte war also schwankend, und es ist nur das gewiss, dass beide ein Gemisch von Mehl mit heißem Wasser bezeichnen. Um so berechtigter ist die vom Babli und Jerusch. zugleich aufgestellte Behauptung, dass zwischen מעיסה und חליטה gesetzlich kein Unterschied obwaltet und dass demnach die verschiedenen Bestimmungen, welche in M. Challa I, 6 in Bezug auf diese beiden Arten Mehlbrei sich vorfinden, zwei verschiedenen Autoren angehören. erklären Bet-Schammai für frei (von Challah)39 Da dies als Gekochtes und nicht als „Brot“ (לחם Num. 15, 19) zu betrachten ist.; Bet-Hillel aber erklären ihn für pflichtig40 Denn dies ist auch unter לחם verstanden.. Man41 Mikwaot V, 6. darf42 Um sich zu reinigen. in einen Sturzbach43 חרדלית (vom gr. χαράδρα) ein Bach, der ohne Quelle durch das von einem Berge herabfließende Regenwasser entstanden ist. untertauchen44 Wenn nur alles Wasser zusammen 40 Sea beträgt. nach den Worten von Bet - Schammai; Bet-Hillel aber sagen: Man darf nicht untertauchen45 Der Untertauchende wird nicht rein; denn Regenwasser ist in fließendem Zustande nicht zum Tauchbade geeignet, sondern nur wenn es in gesperrtem Raume steht.. Wenn46 Pesachim VIII, 8. Jemand am Tage vor Pesach47 Am 14. Nissan. Proselyt geworden ist, so sagen Bet-Schammai: Er darf untertauchen48 Wie jeder Proselyt, der nach der Beschneidung noch durch ein Tauchbad sich reinigen muss. und Abends sein Pesach - Opfer essen49 Er braucht sich nicht der in Num. cap. 19 für den an einer Leiche Verunreinigten vorgeschriebenen Reinigung zu unterziehen, da ein Nicht-Israelit durch Berührung einer Leiche nicht unrein wird.. Bet-Hillel aber sagen: Wer sich von seiner Vorhaut abgesondert50 Ein Proselyt, der sich beschneiden lässt., gleicht51 Nach rabbinischer Anordnung (Pesachim 92a). Einem, der sich von einem Grabe abgesondert52 Der von einem Grabe kommt, der sich am 3. und 7. Tage mit Entsündigungswasser besprengen lassen muss, Num. 19, 19. — Den Grund s. in Pesachim l. c..", + "R. Ismael53 Einige Codd. haben hier richtiger: R. Simon (רבי שמעון), s. Note 66. sagte drei Lehren, bei denen Bet-Schammai erleichternd und Bet - Hillel erschwerend entscheiden. Das54 Vgl. Jadajim III, Ende. Buch Kohelet verunreinigt nicht55 Wie die kanonischen Schriften, nach Sabbat 14a. die Hände55a Nach Bet-Schammai ist dies Buch bloß als Weisheitslehre Salomo’s zu betrachten und nicht per inspirationem (ברוח הקדש) verfasst, Megilla 7a.; so Bet-Schammai. Bet-Hillel aber sagen: Es verunreinigt die Hände56 Es gehört zu den kanonischen Schriften.. Entsündigungswasser57 מי חטאת = מי נדה Num. 19, 9, vgl. 19, 17., das man bereits dem Gesetze gemäß verwendet hat58 Auf den Unreinen nach Num. 19, 18 gesprengt hat., erklären Bet-Schammai für rein59 Es verunreinigt nicht den es Berührenden und Tragenden, vgl. Num. 19, 21 und Raschi das.; nach Bet-Hillel aber kann es verunreinigen60 Vgl. dagegen Para XII, 4 Ende.. Schwarzkümmel61 קצח, Jesaja 28, 25, Nigella sativa, Schwarzkümmel. Rabed erklärt es als كرويا Carum carvi, Wiesenkümmel; der etwas längere Gartenkümmel heißt: כמון; vgl. ar. قزح Gewürz. erklären62 Ukzin III, 6. Bet-Schammai für rein63 Er nimmt keine Unreinheit an, weil er nicht für sich allein als Speise (אוכל) dient., Bet-Hillel aber für verunreinigungsfähig64 Er wird als אוכל betrachtet.. Ebenso (kontroversieren dieselben) hinsichtlich dessen Verzehntung65 Nach B. Sch. ist er frei vom Zehnten, während B. H. ihn für zehntpflichtig erklären..", + "R. Elieser66 Ms. München liest: R. Eleasar (רבי אלעזר); so las auch T. B. Jebamot 28a. Diese LA. ist der andern vorzuziehen, denn R. Eleasar (nicht R. Elieser) ist der Zeitgenosse aller bisherigen Referenten: R. Jehuda, R. Jose, R. Simon (und R. Meïr). sagte zwei Lehren, bei denen Bet-Schammai erleichternd und Bet - Hillel erschwerend entscheiden. Der67 Nidda IV, 3. Blutabgang einer Wöchnerin68 Nachdem 7 Tage, bei einem männlichen, resp. 14 Tage bei einem weiblichen Kinde verstrichen sind und somit die Reinheitstage (Lev. 12, 4 f) bereits begonnen haben, in denen ihr Blut rein ist., die nicht untergetaucht hat, ist nach Bet-Schammai (nur) wie ihr Speichel und ihr Urin zu beurteilen69 So dass es (weil noch keine טבילה stattgefunden) zwar im feuchten, aber nicht (wie דם נדה) auch im trockenen Zustande verunreinigt.; Bet-Hillel aber sagen: Es verunreinigt im feuchten und im trockenen Zustande70 So lange sie nicht untergetaucht hat, ist sie selbst in den Reinheitstagen einer נדה gleich.. Doch gestehen jene zu, dass es bei Einer, die im Blutfluss geboren hat71 Die zur Zeit der Geburt den in Lev. 15, 25 erwähnten außergewöhnlichen Blutfluss hatte., feucht und trocken verunreinigt72 Da sie in diesem Falle erst nach der Zählung von 7 reinen Tagen (שבעה נקיים) rein werden kann (Lev. 15, 28)..", + "Haben73 Jebamot III, 1. zwei von vier Brüdern zwei Schwestern geheiratet und es sterben die mit den Schwestern Verheirateten, so müssen letztere die Chaliza vollziehen und dürfen nicht in Leviratsehe genommen werden74 Denn jede der beiden Schwestern ist mit jedem der beiden Brüder durch das Band der Leviratsehe-Pflicht verbunden (s. oben IV, Note 84); eine derart Verbundene (זקוקה) wird aber (rabbinisch) wie eine Ehefrau betrachtet, so dass deren Schwester, wie eine Schwester der Ehefrau zur Ehe verboten ist.. Haben sie dieselben voreilig geehelicht75 Ein jeder der beiden Brüder hat Eine von beiden Schwestern geehelicht., so müssen sie dieselben wieder entlassen. R. Elieser66 Ms. München liest: R. Eleasar (רבי אלעזר); so las auch T. B. Jebamot 28a. Diese LA. ist der andern vorzuziehen, denn R. Eleasar (nicht R. Elieser) ist der Zeitgenosse aller bisherigen Referenten: R. Jehuda, R. Jose, R. Simon (und R. Meïr). sagt: Nach Bet-Schammai dürfen sie dieselben behalten, und nach Bet-Hillel müssen sie dieselben entlassen76 Nach der Relation des Abba Saul in Jebamot 28a haben Bet-Hillel die erleichternde Ansicht; vgl. das. noch eine dritte Relation..", + "Akabja, Sohn Mahalalels, bezeugte vier Lehren. Da sagten sie77 Die Weisen. zu ihm: Akabja, widerrufe die vier Lehren, die Du gesagt hast, — und wir wollen Dich zum Gerichtsvorsitzenden für Israel78 Zum zweiten Präsidenten des Synedrion, vgl. Chagiga II, 2 Ende. machen! Da sagte er zu ihnen: Lieber möchte ich mein Leben lang ein Thor genannt werden, als dass ich eine Stunde vor Gott ein Frevler werde79 Dass ich die von einer Majorität empfangenen Traditionen (s. M. 7) verleugne.; man soll nicht sagen80 Dies ist noch ein zweiter Grund (Tos. Jom Tob)., er hat um eines Amtes willen widerrufen. — Er81 Negaïm V, 3. hatte nämlich ein (vom Aussatze) zurückgelassenes82 פקודה von פקד suchen, hier (wie das arab. فقد) in der Bedeut. verlieren, zurücklassen. Nach Bart.: Das (vom Aussatze der Haut) in Verwahrung gegebene Haar. weißes Haar83 Nach Lev. 13, 3 ist weißes Haar im Aussatze als Unreinheitszeichen zu betrachten; jedoch nur dann, wenn der Aussatz das Haar in Weiß verwandelt hat, nicht aber, wenn das weiße Haar dem Aussatze vorangegangen ist. Ist nun ein Aussatz, der das Haar in Weiß verwandelt hatte, geheilt, hat aber das weiße Haar zurückgelassen, und um dieses hat sich dann ein neuer Aussatzschaden gebildet; so erklären die Weisen dies für rein, da dem neuen Aussatze das weiße Haar vorangegangen ist. Akabja dagegen erklärt es für unrein, da immerhin ein Aussatz das Haar in Weiß verwandelt hat. und84 Nidda II, 6. gelbes85 ירוק schlechthin heißt in der Mischna: gelb; „grün“ wird ירוק בכרתי (ירוק wie Lauch) genannt (Sukka III, 6). Blut (einer Frau) für unrein erklärt, während die Weisen (beides) für rein erklärten. Er hatte ferner86 Bechorot III, 4. das von einem fehlerhaften erstgeborenen Viehe87 Das bereits von einem Chacham (Gelehrten) wegen seines Fehlers außerhalb des Heiligtums zu schlachten erlaubt ward. ausgefallene88 Die Wolle oder das Haar abzuscheren ist selbst beim fehlerhaften Erstgeborenen verboten. Haar, das man in eine Wandnische gelegt hatte, (zur Benutzung) erlaubt, nachdem man das Vieh geschlachtet89 Denn sowie das Schlachten die am Viehe haftende Wolle erlaubt macht, ebenso bewirkt es, dass die ausgefallene Wolle benutzt werden darf., während die Weisen es verboten90 Es ist dies eine Präventivbestimmung (גזירה), auf dass man nicht behufs Benutzung der ausgefallenen Wolle die fehlerhaften Erstgeborenen lange Zeit im Hause behalte, wobei man leicht dazu kommen könnte, gegen die Vorschrift des Gesetzes das Tier zu scheren oder zur Arbeit zu benutzen. — Unsere M. hat die Version des R. Jehuda in Bechorot III, 4; dagegen hat dort R. Jose betreffs vorliegender Kontroverse eine andere Version.. Endlich hatte er gesagt: Man gibt keiner Proselytin und keiner freigelassenen Sklavin (das bittere Wasser)90a Nach Num. 5, 18ff. zu trinken91 Denn in den Worten: „Söhne Israels“ (Num. 5, 12) sind nur geborene Israeliten verstanden.; die Weisen aber sagen: Man gibt (es ihnen) zu trinken92 Vgl. Jerusch. Sota II, 18b.. Sie sagten zu ihm: Es geschah doch einmal93 מעשה (eine Tatsache) leitet oft die Erzählung einer Begebenheit ein. bei der Karkemit94 Nach Jerusch. (l. c.): כורכמית., einer freigelassenen Sklavin zu Jerusalem, dass Schemaja und Abtalion ihr (das bittere Wasser) zu trinken geben ließen! Da sagte er zu ihnen: Sie haben ihr nur etwas Ähnliches95 דוגמא gr. δεῖγμα Probestück, Muster (Sabbat X, 1), daher etwas, das einer andern Sache ähnlich ist (vgl. דוגמתן ihresgleichen, Sabbat 30b). Er hat ihr etwas zu trinken gegeben, was dem Bitterwasser ähnlich ist (gefärbtes Wasser, Aruch), um sie zum Geständnis ihres Ehebruchs zu bewegen. Jerusch. Moed katan III, 81d liest דכמה und erklärt dies mit דכוותה, ihresgleichen. Er scheint דִכְמָהּ (= כָּמוֹהָ) gelesen zu haben. Hiernach erklären auch manche Kommentare; Männer wie sie (ihresgleichen) haben ihr zu trinken gegeben; d. h. da Schemaja und Abtalion Proselyten und, ebenso wie die Freigelassenen, keine geborenen Israeliten waren, so haben sie jene wie eine geborene Israelitin behandelt. zu trinken geben lassen. Darauf Taten sie96 Die Weisen. ihn97 Akabja. in den Bann98 נדה stoßen, fortstoßen, exkommunizieren. Man legt ihn in den Bann, weil er Schemaja und Abtalion beleidigt hatte (Jerusch. das., Babli Berachot 19a). Auch nach der ersten Erkl. in Note 95 liegt in den Worten eine Verunglimpfung des Schemaja und Abtalion, dass sie das Gesetz zu einer Täuschung missbraucht hätten.; erstarb auch in dem Banne, und das Gericht steinigte seinen Sarg99 Man muss einen großen Stein auf den Sarg legen, s. weiter.. Es sagt R. Jehuda: Gott bewahre100 חס ושלום eig.: Erbarmen und Friede! d. h. man muss wegen einer solchen Äußerung um Erbarmen und Versöhnung bitten., dass Akabja in den Bann gelegt sein sollte; denn es ward hinter Keinem in Israel der Tempel-Vorhof geschlossen101 Bei der Darbringung des Pesach-Opfers, s. Pesachim V, 5., der an Weisheit und Sünden-Scheu dem Akabja, Sohn Mahalalels, gliche! Wen denn hat man in den Bann getan? Den Elieser, Sohn Chanoch’s102 Andere LA.: אלעזר בן הנך od. אלעזר בן הנד., weil er an (der Satzung) der Hände-Reinigung103 Die Verordnung, dass mitunter die Hände einer Reinigung bedürfen, wiewohl der ganze Körper nicht unrein geworden ist, wie z. B. in Jadajim III, 2. Andere LA.: בנטילת ידים (an der Verordnung des Hände-Waschens). rüttelte103a פקפק (Pilpel von פוק) erschüttern, wankend machen, Zweifel erregen.. Als er gestorben war, schickte das Gericht hin und ließ auf dessen Sarg einen Stein legen. Dies lehrt (uns), dass man, wenn ein Gebannter im Banne stirbt, dessen Sarg steinigt.", + "In seiner104 Dies bezieht sich auf Akabja b. M. Todesstunde sprach er zu seinem Sohne: Mein Sohn! Gehe du von den vier Lehren, die ich ausgesprochen habe, ab! Da sprach er zu ihm: Warum bist du nicht selbst davon abgegangen? Da erwiderte er: Ich habe aus dem Munde einer Mehrheit vernommen, und Jene haben aus dem Munde einer Mehrheit vernommen105 Entweder hat einmal die Mehrheit wie Akabja und ein anderes Mal wie die Weisen entschieden, oder es glaubte jeder der Kontroversanten die Mehrheit auf seiner Seite zu haben.; ich blieb bei meiner Überlieferung, und Jene blieben bei ihrer Überlieferung; du aber hast aus dem Munde eines Einzelnen und aus dem Munde der Mehrheit vernommen106 Du hast von mir meine Ansicht und von den Weisen das Entgegengesetzte vernommen., besser also107 Wenn auch die Vorschrift, der Mehrheit zu folgen, auf unsern Fall nicht anzuwenden ist, da ich (Akabja) meine Überlieferung auch von einer Mehrheit empfangen habe; so ist es doch besser, dass du die Ansicht meiner Gegner akzeptierst., die Worte des Einzelnen zu lassen und die Worte der Mehrheit festzuhalten. Er sprach zu ihm: Vater, empfiehl mich108 Eig.: Befiehl meinetwegen. deinen Kollegen! Da sprach er zu ihm: Ich empfehle (dich) nicht! Jener sagte: Hast Du vielleicht was Unrechtes109 Einige Codd. lesen richtiger: עִילָה (= עלילה, Handlung) Vorwand, Ursache. an mir gefunden? Darauf antwortete dieser: Nein! allein deine Taten sollen dich (ihnen) nähern oder es sollen deine Taten dich (von ihnen) entfernen110 Du sollst dich durch deine Führung selbst empfehlen; wo nicht, so mögest du von Allen verstoßen werden, auf dass du dich besserst.." + ], + [ + "R. Jehuda, Sohn Baba’s,1 Berachot 27 a. M. ed. Neapel liest אבא st. בבא. bezeugte fünf Lehren: Man bewegt1a Manchmal. minderjährige Mädchen2 Die als vaterlose Waisen von der Mutter oder den Brüdern verheiratet worden sind, deren Ehe nur rabbinisch gültig ist und daher von dem Mädchen, bevor es großjährig wird, durch eine Weigerungs-Erklärung (Jebamot XIII, 1) annulliert werden kann. zu einer Weigerungs- Erklärung.3 Die Fälle, in denen eine solche noting erscheint, findet man in Jebamot XIII, 7 und 11. Hier wird die dort von R. Elieser ausgesprochene Ansicht bestätigt. Man erlaubt einer Frau auf die Aussage Eines Zeugen,4 Der den Tod ihres Mannes bezeugt wieder zu heiraten.5 S. Jebamot XVI, 7 u. weiter VIII, 5. In Jerusalem sei ein Hahn gesteinigt worden,6 Obwohl dies von der Tora (Exod. 21, 28) nur beim Ochsen vorgeschrieben wird, so gilt die Bestimmung dennoch bei allen Tieren; vgl. Deut. 5, 14. weil er einen Menschen getötet hatte.7 Er hatte mit dem Schnabel einem Kinde die Hirnhaut durchlöchert. Es sei vierzig Tage alter Wein8 Vor 40 Tagen darf der aus der Kelter kommende Most nicht zur Libation verwendet werden (B. batra 97 a). auf den Altar als Spende gegossen worden. Das tägliche Morgenopfer sei9 Nach dem jerus. Talmud (Berachot IV, 1) einmal, als Jerusalem von den Syrern belagert wurde, (vgl. aber Tosaphot Menachot 64 b v. ועל). Nach ראב״ד wird hier nicht eine Tatsache, sondern eine Traditionslehre bezeugt. um vier Tagesstunden10 Am Ende der vierten Tagesstunde, nach Zeitstunden (שעות זמניות) gerechnet, vgl. Berachot I, Note 3, und Einl. zu Pesachim S. 167. dargebracht worden.", + "Es bezeugten R. Josua und R. Nechunja, Sohn Elinathan’s, aus Kephar Hababli,11 Ms. München l. בבלי st. הבבלי. dass ein Glied eines Toten12 Wiewohl dasselbe keine Olivengröße hat, vgl. oben III, Note 2. verunreinige;13 Im Zelte, Ohalot II, 1. denn R. Elieser sagte, man habe dies14 Dass ganze Glieder auch bei geringster Quantität die Zelt-Unreinheit bewirken, (Ohalot I, 7.) nur Betreffs eines Gliedes vom Lebenden gelehrt.15 Dagegen ist beim Gliede eines Toten Menschen, ebenso wie beim Fleische, das Minimal-Quantum einer Olivengröße bestimmt. Da sprächen Jene zu ihm: Man kann dies ja durch einen Schluss vom Leichteren auf das Schwerere16 Vgl. B. kamma II, Note 26. folgern: Wenn beim Lebenden, der doch rein ist, das von ihm abgesonderte Glied unrein ist, um wie viel mehr muss bei einem Toten, der [an sich] unrein ist, das von ihm abgesonderte Glied unrein sein! Da erwiderte er17 R. Elieser. ihnen: Man hat dies14 Dass ganze Glieder auch bei geringster Quantität die Zelt-Unreinheit bewirken, (Ohalot I, 7.) [dennoch]18 Trotz des קל וחומר-Schlusses. nur Betreffs eines Gliedes vom Lebenden gelehrt. Eine andere Erwiderung.19 Des R. Elieser. Die Unreinigkeit der Lebenden ist größer als die der Toten, denn der Lebende20 Der flussleidend ist. macht das, was unter ihm ist,20a Selbst hundert Unterlagen, wenn er auch nur die oberste berührt. zum Lager und Sitz,21 Auch „Midras“ genannt, oben II Note 81. welche einen Menschen samt dessen Kleidern verunreinigen können,22 Nach Lev. 15,5f. ferner das, was über ihm liegt,23 Selbst hundert Geräte, obwohl er nur das unterste berührt. zur Auflage,24 מדף = מנדף heißt das, was auf dem זב liegt, ohne dass er es berührt. Ähnlich wie מדרס (die Unterlage) von דרס (drücken, treten) ist מדף von נדף (stoßen, treiben) gebildet und bezeichnet das, was über Jemand sich befindet, woran er stösst. Es ist danach מדף ähnlich dem biblischen משקוף, (vgl. das aram. שקף, schlagen und שקפא Schwelle, Oberschwelle). welche Speisen und Getränke25 Aber nicht Menschen und Geräte; מדף ist leichter als מדרס. Nach Maim. zu Para X, 1 bed. מדף etwas leise Bewegtes, vgl. auch Maim. zu Sabim IV, 6. verunreinigen kann,26 Vgl. Schriftbeweise hierzu in Maimon. Comment. zu Sabim IV, 6 und Talmud Nidda 32 a. welche Unreinigkeit der Tote nicht bewirkt.27 Beim Toten können nur drei Geräte unrein werden, und zwar wird das den Toten unmittelbar berührende Gerät ein אבי אבות הטומאה (nach II, Note 10 u. 11); das zweite, welches letzteres berührt, wird אב הטומאה. und das dieses berührende dritte Gerät ראשון לטומאה (nach II, Note 3). Das vierte Gerät wird nicht mehr unrein, weil Menschen und Geräte nur durch einen אב הטומאה unrein werden können.", + "Fleisch von Olivengröße,27a Chullin 129b. das sich von einem vom Lebenden getrennten Gliede abgesondert, erklärt R. Elieser für unrein;28 Es verunreinigt durch Berührung, Tragung und Bedachung (weiter Note 44), wie ein vom lebenden Menschen getrenntes ganzes Glied. R. Josua und R. Nechunja aber erklären es für rein.29 Nach Maimonides in jeder Beziehung, nach ראב״ד aber nur hinsichtlich der Zelt-Unreinheit. Einen Knochen von der Größe eines Gerstenkornes, der sich von einem vom Lebenden getrennten Gliede abgesondert, erklärt R. Nechunja für unrein;30 Verunreinigend, durch Berührung und Tragung, aber nicht im Zelte, vgl. Ohalot II, 3. R. Elieser und R. Josua aber erklären ihn für rein. Sie30a Seine beiden Kontroversanten. sprachen zu R. Elieser: Was bewog dich,31 מה ראית eig.: was hast du gesehen, vgl. Gen. 20, 10. ein vom getrennten Gliede eines Lebenden abgesondertes olivengroßes Stückchen Fleisch für unrein zu erklären? Da sprach er zu ihnen: Wir finden, dass ein Glied vom Lebenden wie ein ganzer Leichnam betrachtet wird;32 Ohalot II, 1. wie daher beim Leichnam eine von ihm abgesonderte Olivengröße Fleisches unrein ist,32 Ohalot II, 1. ebenso muss beim Gliede vom Lebenden das davon abgesonderte olivengroße Stückchen Fleisch für unrein erklärt werden. Da sprachen sie zu ihm: Nein!33 Die Schluss-Folgerung ist nicht richtig, sie lässt sich widerlegen. Wohl kannst du eine vom Toten abgesonderte Olivengröße Fleisches für unrein erklären, da du ja einen davon abgesonderten gerstenkorngroßen Knochen für unrein erklärst; willst du aber auch eine von einem Gliede vom Lebenden abgesonderte Olivongröße Fleisches für unrein erklären, während du doch34 Oben gegen R. Nechunja. einen davon abgesonderten gerstenkorngroßen Knochen für rein erklärst?!35 Sie widerlegen ihn ad hominem. Sie30a Seine beiden Kontroversanten. sprachen zu R. Nechunja: Was bewog dich,31 מה ראית eig.: was hast du gesehen, vgl. Gen. 20, 10. einen von einem Gliede vom Lebenden abgesonderten gerstenkorngroßen Knochen für unrein zu erklären? Da sprach er zu ihnen: Wir finden, dass ein Glied vom Lebenden wie ein ganzer Leichnam betrachtet wird; wie daher beim Leichnam ein Knochen von der Größe eines Gerstenkornes, der sich von demselben abgesondert hat, unrein ist,30 Verunreinigend, durch Berührung und Tragung, aber nicht im Zelte, vgl. Ohalot II, 3. ebenso muss beim Gliede vom Lebenden der davon abgesonderte gerstenkorngroße Knochen für unrein erklärt werden. Da sprachen sie zu ihm: Nein!33 Die Schluss-Folgerung ist nicht richtig, sie lässt sich widerlegen. Mit Recht kannst du einen vom Toten abgesonderten gerstenkorngroßen Knochen für unrein erklären, da du ja eine davon abgesonderte Olivengröße Fleisches für unrein erklärst; willst du aber auch einen vom Gliede vom Lebenden abgesonderten gerstenkorngroßen Knochen für unrein erklären, während du doch36 Oben gegen R. Elieser. eine davon abgesonderte Olivengröße Fleisches für rein erklärst?!35 Sie widerlegen ihn ad hominem. Sie30a Seine beiden Kontroversanten. sprachen zu R. Elieser: Was bewog dich,31 מה ראית eig.: was hast du gesehen, vgl. Gen. 20, 10. verschiedene Normen37 מדות Normen, B. kamma VII, Note 1. aufzustellen?38 Eig.: deine Normen zu teilen, scheiden. Erkläre entweder Beides für unrein, oder Beides für rein! Er erwiderte ihnen: Die Unreinigkeit des Fleisches ist ausgedehnter als die Unreinigkeit der Knochen, denn die des Fleisches gilt bei Äsern39 Ein olivengroßes Stückchen Fleisch eines Aases verunreinigt durch Berührung und Tragung, Kelim I, 2. und Kriechtieren,40 Die in Lev. 11, 29—30 erwähnt sind, von denen ein linsengroßes Stückchen Fleisch durch Berührung verunreinigt, Kelim I, 1. was bei der der Knochen nicht der Fall ist.41 Chullin 77b; daher ist beim Fleische mehr zu erschweren, als bei Knochen. Eine andere Erwiderung: Ein Glied,42 Vom Lebenden, nach R. Josua und R. Nechunia (oben M. 2) auch vom Toten. an dem gehöriges Fleisch ist,43 Genauer bestimmt in Kelim I, 5. verunreinigt durch Berührung, Tragung und Bedachung;44 D. i. die Zelt-Unreinheit, oben III, Note 14. fehlt [etwas] vom Fleische, so ist es [dennoch] unrein,45 Es verunreinigt wenigstens durch Berührung und Tragung, wenn auch nicht durch Bedachung, Kelim I, 5. fehlt [aber etwas] vom Knochen, so ist es rein.46 Es verunreinigt nicht mehr als Glied (אבר). Ist es nun ein Glied vom Lebenden, so ist es vollständig rein; ein Glied vom Toten verunreinigt bei solchem Defekte nur wie Fleisch und Gebein vom Toten. Die Unreinheit des Fleisches hat demnach mehr Erschwerung, als die der Knochen. Sie30a Seine beiden Kontroversanten. sprachen zu R. Nechunja: Was bewog dich31 מה ראית eig.: was hast du gesehen, vgl. Gen. 20, 10. verschiedene Normen37 מדות Normen, B. kamma VII, Note 1. aufzustellen?38 Eig.: deine Normen zu teilen, scheiden. Erkläre entweder Beides für unrein, oder Beides für rein! Er erwiderte ihnen: die Unreinigkeit der Knochen ist ausgedehnter als die Unreinigkeit des Fleisches, denn das vom Lebenden abgesonderte Fleisch ist rein,47 Es verunreinigt gar nicht. während ein von ihm abgesondertes Glied, das in seiner natürlichen Beschaffenheit48 Mit Fleisch, Sehnen und Knochen. sich befindet, unrein ist.49 Kelim I, 5. Eine andere Erwiderung: Eine Olivengröße Fleisches50 Von einem Toten. verunreinigt durch Berührung, Tragung und Bedachung;44 D. i. die Zelt-Unreinheit, oben III, Note 14. ebenso verunreinigt die Mehrzahl der Knochen51 Oben I, Note 54. durch Berührung, Tragung und Bedachung;44 D. i. die Zelt-Unreinheit, oben III, Note 14. fehlt [etwas] vom Fleische, so ist es rein; fehlt aber [etwas] von der Mehrzahl der Knochen, so ist es, obgleich insofern rein, dass es nicht durch Bedachung verunreinigt, dennoch verunreinigend durch Berührung und Tragung.52 Denn hierzu genügt ja ein Knochen von der Größe eines Gerstenkornes. Eine andere Erwiderung: Das gesamte Fleisch eines Toten ist, wenn es weniger als eine Olivengröße beträgt,53 Was bei einem Abortus vorkommen kann, Chullin 89 b. rein; dagegen ist der größte Teil des Baues54 Oben I, Note 53. oder der größte Teil der Zahl [der Knochen] eines Toten,51 Oben I, Note 54. wenn er auch kein viertel Kab55 Oben I, 7. ausmacht, unrein.56 Auch hinsichtlich der Zelt-Unreinheit. Sie30a Seine beiden Kontroversanten. sprachen zu R. Josua: Was bewog dich,31 מה ראית eig.: was hast du gesehen, vgl. Gen. 20, 10. Beides für rein zu erklären? Er erwiderte ihnen: Nein!33 Die Schluss-Folgerung ist nicht richtig, sie lässt sich widerlegen. Wenn ihr beim Toten [für unrein] erkläret, bei dem die Bestimmungen: „Mehrzahl“,57 Note 51 und 54. „Viertel“,58 Note 55. „Verwestes“59 Ein Löffel (= 2 Hände voll) Verwestes von einem Toten, der ohne Bekleidung in einem verschlossenen Marmorsarge begraben worden, verunreinigt bei „Tragung und Bedachung“, Ohalot II, 1. gelten, wollet ihr dies auch beim Lebenden erklären, bei dem die Bestimmungen: „Mehrzahl“, „Viertel“, „Verwestes“ keine Geltung haben.60 Bei der Unreinheit des Lebenden ist also weniger zu erschweren, als bei der des Toten." + ], + [ + "R. Josua und R. Zadok bezeugten,1 Bechorot I, 6. dass, wenn das Lösungs-Lamm eines Esels-Erstlings2 Exod. 13, 13. stirbt,3 Nachdem es der Eigentümer als Lösungslamm abgesondert hat. der Priester nichts dafür [zu beanspruchen] hat;4 Er bekommt nur das Aas des Lammes ohne jeden weiteren Ersatz. denn R. Elieser hatte gesagt: Man müsse dafür haften,5 אחריות, Sicherheit, Bürgschaft, B. mezia I, 29; Schebuot VI, Note 45. wie für die fünf Sela’ [Lösegeld] eines erstgeborenen Sohnes.6 Bechorot VIII, 8. Die Weisen aber sagen: Man muss nicht dafür haften; [es ist] nur wie das Lösegeld des zweiten Zehnten7 Die Begründung beider Ansichten s. in Bechorot 12b.", + "R. Zadok bezeugte,8 Terumot X, 9; Sifra, Schmini, Per. V, Ende. dass die Lake9 ציר Saft, die Salzlake (صير), die gewöhnlich mit Wasser gemischt und als Tunke oder als Zusatz zu Speisen gebraucht wurde (Bechorot 22 a). von unreinen10 Verbotenen, Lev. 11, 20. Heuschrecken rein sei;11 Sie ist zum Essen erlaubt. Außerdem macht sie trotz des beigemischten Wassers eine damit benetzte Speise nicht (nach Lev. 11, 38) fähig, Unreinheit anzunehmen (טהור = אינו מכשיר, s. weiter VIII, 4). Vgl. ראב״ד am Ende des Traktats. denn die erste Mischna12 S. Sanhedrin III, Note 39. [hatte gelehrt]: Wenn unreine Heuschrecken mit reinen eingemacht worden sind, machen sie nur13 Es ist mit Cod. München (vgl. auch ראב״ד zum Sifra) לא פסלו אלא צירן zu lesen. die Lake13a Nicht aber die reinen Heuschrecken. unbrauchbar.14 Nach Maimon. u. A., die לא פסלו צירן lesen, ist zu erklären, dass die „erste Mischna“ die Lake der verbotenen Heuschrecken nur dann erlaubt hatte, wenn sie mit Anderem vermischt war, während R. Zadok sie auch unvermischt erlaubte. — Dass die „Mischung“ (עירוב) durch die unreinen Heuschrecken nicht verboten wird, ist im Sifra aus der Schrift deduziert.", + "R. Zadok bezeugte,15 Mikwaot V, 5. Dort steht vorher der Lehrsatz: הזוחלין כמעין והנוטפין כמקוה. Das fließende Wasser ist wie die Quelle, das Tropfwasser aber wie eine Wassersammlung. dass fließendes Wasser,16 Wasser, das stetig ohne Unterbrechung aus einer Quelle fließt, (wie z. B. Ströme, Bäche), das wie die Quelle betrachtet wird und auch zu solchen Reinigungen gebraucht werden darf, für die in der Tora Quellwasser (מים חיים) vorgeschrieben ist (Lev 14, 5; 15, 13; Num. 19, 17). wenn es mehr ist als das [damit vermischte] Tropfwasser,17 Wasser, das aus einer hochgelegenen Quelle nicht stetig, sondern in (wenn auch rasch hintereinander folgenden) Tropfen herabkommt, das nicht wie Quellwasser betrachtet wird; so Maim. Nach R. Simson ist נוטפין Regenwasser. tauglich ist.18 Auch zu den Reinigungsakten, die מים חיים erfordern, Note 16. Ist aber das Tropfwasser mehr, so kann die Mischung nicht mehr zu diesen Akten gebraucht werden, wohl aber zu anderen Reinigungen, gleich einer Wassersammlung (מקוה, Lev. 11, 36). Es ereignete sich dies zu Birat Happelija, der Fall kam vor die Weisen und sie erklärten es für tauglich.", + "R Zadok bezeugte,19 Sebachim 25b. dass fließendes Wasser, welches man20 Um es an eine bestimmte Stelle zu leiten. durch Nuss-Laub21 Das, weil nicht essbar, keiner Verunreinigung fähig ist. — Nach Maimon. ist עלה אגוז die grüne Nusschale, die trotz ihres Behältnisses nicht als Gerät betrachtet wird. strömen lässt, tauglich bleibt.22 Wie Quellwasser (Note 16). — Würde aber das Wasser über essbare (und deshalb verunreinigungsfähige) Krautblätter fließen, so wäre es zu Reinigungen untauglich; nach ראב״ד aber nur zu solchen, die מים חיים erfordern. Dies kam vor zu Ahalija, die Sache wurde [den Weisen]23 לפני חכמים בלשכת, so in Seb. 25b. in der Quaderhalle24 Sanhedrin XI, Note 14. vorgelegt, und sie erklärten es für tauglich.", + "Es bezeugten R Josua und R. Jakim aus Haddar,25 Nach M. ed. Neapel: חריר, eine alte Festung, Arachin IX, 6. dass26 Para X, 3. ein Krug27 קלל (aram. קולתא, arab. قلة) ein irdener Krug. mit Sühnasche,28 Asche der roten Kuh, Num. 19, 9. den man auf ein Kriechtier29 Oben VI, Note 40. gestellt,30 Der Krug wird dadurch nicht unrein, da ein irdenes Gefäß an seiner Rückseite nicht verunreinigungsfähig ist (Kelim II, 1). unrein sei,31 Die Asche wird unrein, denn es heißt (Num. 19, 9): „er lege sie (die Asche) an einen reinen Ort“; in diesem Falle aber liegt sie an einem unreinen Orte. was R. Elieser für rein erklärt.32 Nach R. E. wird die Asche als an einem reinen Orte liegend betrachtet, da der Krug rein bleibt, Note 30. R. Papios bezeugte,33 Nasir III, 2. dass, wenn Jemand zwei Nasirate34 Ein auf unbestimmte Zeit gelobtes Nasirat gilt für 30 Tage, Nasir I, 3. gelobt und das erste Mal am dreißigsten Tage sich35 Zum Abschluss seines ersten Nasirats nach Num. 6, 18. geschoren hat,36 Er hätte eigentlich erst nach 30 vollen Tagen, also am 31. Tage sein erstes Nasirat abschließen sollen; indessen hat er geschehenen Falls (בדיעביד) auch dann seiner Pflicht genügt, wenn er schon am 30. Tage sich geschoren hat, Nasir III, 1. derselbe sich das zweite Mal am sechzigsten Tage scheren könne,37 Da der 30. Tag, der letzte Tag des ersten Nasirats, zugleich als erster Tag des zweiten Nasirats gilt. und, wenn er sich am neunundfünfzigsten Tage geschoren, auch seiner Pflicht genügt hat,38 Nach Note 36. denn der dreißigste Tag wird ihm mitgerechnet.39 Für beide Nasirate, Note 37.", + "Es bezeugten R. Josua und R. Papios,40 Temura III, 1. das ein Junges von einem Friedensopfer als Friedensopfer dargebracht wird; denn R. Elieser41 In Ms. München fehlt שר׳ אליעזר bis וחכ״א יקרב. sagte: Ein Junges von einem Friedensopfer kann nicht als Friedensopfer dargebracht werden,42 Man schließt es vielmehr in einen engen Raum (כיפה Sanhedrin IX, Note 44) ein und lässt es verhungern (Kidduschin 55b). — Man hat verboten das Junge darzubringen, damit man nicht ein Friedensopfer-Tier stehen lasse, bis es Junge gebiert, und so die Vorschrift Deut. 23, 22 übertrete. während die Weisen behaupteten, es könne [als Friedensopfer] dargebracht werden. Es sagte R. Papios: Ich bezeuge, dass wir eine Friedensopfer-Kuh hatten, sie am Pesach assen und deren Junges am [folgenden] Feste43 Am Wochenfeste, denn hätte man bis zum Hüttenfeste gewartet, so würde man das Gebot von Deut. 12, 5f. übertreten haben. Nach Raba ist hier wie gewöhnlich חג das Hüttenfest, und man konnte am Wochenfeste das Tier nicht darbringen, weil es damals krank war (Rosch Hasch. 6a f.). als Friedensopfer assen.", + "Dieselben bezeugten,44 Kelim XV, 2. dass die Backbretter45 ארוכות lange Bretter, auf welche die Brote zum Aufgehen gelegt werden. Andere LA. ארובות (runde Bretter). Nach ראב״ד: ערוכות glatte abgehobelte Bretter, auf denen der Teig mit dem Treibe oder Walgerholz (מערוך, Kelim XV, 2) aufgetrieben wird. der Bäcker46 Weil sie die Form eines Gerätes haben (Maimon.) oder weil sie zum Gebrauche als Geräte fest bestimmt sind (ראב״ד). Dagegen sind die im gewöhnlichen Haushalte gebrauchten Bretter nicht wie ein Gerät geformt, resp. nicht einzig zum Gebrauche als Gerät, sondern mitunter auch zu anderweitiger Verwendung bestimmt. verunreinigungsfähig sind,47 Nach rabbinischer Anordnung, da nach dem Tora-Gesetze hölzerne Geräte, die kein Behältnis haben, nicht verunreinigungsfähig sind (Kelim II, 1). denn R. Elieser erklärte sie für rein.48 Er betrachtet sie nicht als Geräte, (vgl. aber Kelim XV, 2). Dieselben bezeugten, dass ein49 Kelim V, 10. Backofen,50 תנור ein großer runder irdener Backtopf ohne Boden. wenn man ihn in Ringe51 חוליא ein runder Abschnitt. zerschnitten52 Nach seiner Breite, Kelim V, 8. und zwischen einen Ring und den andern Sand getan hat,52a Ein solcher Ofen wird (nach dessen Fabrikanten) Achinaï- oder Chachinaï-Ofen genannt, vgl. auch B. mezia 59ab. verunreinigungsfähig ist;53 Denn der Ofen wird von Außen mit einer Bekleidung von Lehm überzogen, der alle Teile mit einander verbindet, so dass er als ganz betrachtet wird. denn R. Elieser erklärte ihn für rein.54 Da der Sand die Teile von einander trennt, so gilt der Ofen als zerbrochen und ist nicht verunreinigungsfähig. Dieselben bezeugten, dass man den ganzen Monat Adar55 Bis zum 29. Adar; jedoch nicht mehr am 30. Adar, weil dieser Tag (wenn der Monat Adar defekt wäre) schon der erste Nissan sein könnte, Sanhedrin 12b. das Jahr als Schaltjahr erklären kann,56 Indem man den folgenden Monat als zweiten Adar (אדר שני) erklärt. während man [früher] behauptet hatte: [Nur] bis zum Purimfeste.57 Da man von dieser Zeit an (30 Tage vor Pesach) die Halachot über das Pesachfest zu lehren beginnt, und durch die Interkalation das Pesachfest weiter hinausgeschoben würde (Rosch Haschana 7a). Dieselben bezeugten, dass man das Jahr bedingungsweise als Schaltjahr erklären kann. Einst58 Sanhedrin 11a. geschah es, dass R Gamliel verreist war, um sich vom Statthalter59 הגמון gr. ἡγεμών. in Syrien eine Erlaubnis60 Wohl die Erlaubnis, die Nasi-Würde zu übernehmen. auszuwirken, und lange ausblieb; da erklärte man das Jahr als Schaltjahr unter der Bedingung, dass R. Gamliel es genehmigen würde. Als dieser zurückkam, sprach er: „Ich genehmige es“, und das Jahr galt als Schaltjahr.", + "Menachem, Sohn Signaï’s,61 Nach der Tosephta war er ein Färber. bezeugte,62 Kelim V, 5. dass der Ansatz des Kessels63 Der Lehmansatz, den man oben am kupfernen Kessel anbrachte, um das Auslaufen der darin gekochten Flüssigkeit zu verhindern. der Olivensieder verunreinigungsfähig,64 Der Ansatz nimmt, gleich einem irdenen Gefäße, vom innern Raume aus (מאוירו Kelim II, 1) Unreinheit an, weil derselbe beim Gebrauche des Kessels unumgänglich nötig ist, um das Auslaufen der Olivenbrühe zu verhindern. der der Färber aber rein ist;65 Beim Färbe-Kessel wird der Ansatz nicht als notwendiges Zubehör zum Geräte betrachtet, da beim Kochen die zu färbenden Stoffe im Kessel an die Oberfläche emporsteigen und die Flüssigkeit nicht ausläuft. denn man hatte [vorher] umgekehrt gelehrt.66 Man glaubte, beim Färbe-Kessel sei der Ansatz weniger entbehrlich, als beim Olivenkessel, weil die Färber darauf achten, dass von der Farbe auch nicht eine geringe Quantität verloren gehe, während den Olivensiedern nichts daran liegt, wenn ein Teil der Olivenbrühe ausläuft.", + "Es bezeugte R. Nechunja,67 Ms. München hat יוחנן. Sohn Gudgeda’s,68 Jebamot XIV, 2; Gittin V, 5. dass eine Taubstumme, welche der Vater verheiratet hatte,69 Während sie minderjährig, also noch unter väterlicher Gewalt war. durch einen Scheidebrief geschieden werden kann;70 Obwohl die Heirat nach dem Toragesetze (Deut. 22, 16) gültig ist, kann sie dennoch durch einen Scheidebrief gelöst werden, denn nach der Tora kann eine Frau auch gegen ihren Willen geschieden werden, und es ist daher auch bei der nicht als vollsinnig geltenden Taubstummen eine Scheidung zulässig. dass eine minderjährige Tochter eines Israël,71 D. h. eines Nichtpriesters. die an einen Priester verheiratet worden,72 Als vaterlose Waise, so dass deren Heirat nur rabbinisch gültig ist. Theruma73 Nach dem Talmud nur die rabbinisch gebotene Hebe. essen darf, und dass, wenn eine solche stirbt, ihr Mann sie beerbt;74 Ganz so, wie wenn sie ihm nach dem Toragesetze angetraut gewesen wäre. dass Jemand, der einen geraubten Balken75 מריש chald. מרישא Balken, Bohle. in einen Palast eingebaut hat, [nur] dessen Wert bezahlen muss;76 Er braucht nicht das Gebäude zu zerstören, um den Balken selbst zurückzugeben; es würde sonst der Räuber sich nicht zur Busse und Besserung entschließen. dass endlich ein Sündopfer, das geraubt wurde,77 Es hat Jemand ein Tier geraubt und dasselbe als Sündopfer dargebracht. wenn dies78 Der Raub. nicht Vielen79 Drei Leuten. bekannt ist, als versöhnend gilt,80 Und der Sünder braucht kein anderes Sündopfer zu bringen. [was man] zum Besten des Altars81 Damit nicht die Priester aus Betrübnis darüber, dass sie ein im Heiligtum geschlachtetes profanes Tier gegessen, sich vom Altardienste fernhalten. [verordnet hat]." + ], + [ + "R. Josua ben Bethera bezeugte, dass Blut der Äser rein ist.1 Gegen Bet-Hillel nach R. Jehuda’s Version, oben V, Note 3; vgl, Menachot 103 b. Anders erklärt Jerusch. Sabbat VIII, 1, vgl. Maimon. Es bezeugte R. Simon ben Bethera,2 Chagiga 23 b. dass Sühn-Asche,3 Oben VII, Note 28. von der ein Unreiner3a Ms. München liest טבול יום st. טמא. einen Teil4 Der in einem Geräte befindlichen Asche. berührt hat, gänzlich unrein ist.5 Weil das Gerät alles darin Befindliche zu einer Einheit verbindet. Nach Einigen ist dies nur eine rabbinische Verordnung. R. Akiba fügte noch hinzu,6 Pesachim 19a. dass feines Mehl,7 Heiliges, das zum Opfer bestimmt ist. Räucherwerk, Weihrauch und Kohlen,8 Die der Hohepriester am Versöhnungstage ins Heiligtum trägt, Lev. 16,12. von denen ein Tebul-Jom9 Oben II, Note 8. einen Teil berührt hat, gänzlich unbrauchbar10 פסול, s. oben II, Note 9. sind.11 Nach Maimon. fügt R. Akiba hinzu, dass diese heiligen Gegenstände, selbst wenn sie nicht in einem Geräte mit Behältnis, sondern auf einer Tafel liegen, dennoch als zu einer Einheit verbunden gelten.", + "Es bezeugten R Jehuda, Sohn Baba’s12 Einige Codd. lesen אבא st. בבא. und R. Jehuda, der Priester, dass eine minderjährige Tochter eines Israël,13 S. oben VII, Noten 71 und 72. die an einen Priester verheiratet worden,14 S. oben VII, Noten 71 und 72. sobald sie unter den Trauhimmel15 חופה; was hierunter zu verstehen ist, s. Sch. Ar. Eben Haëser 55, 1. eingegangen, wenn ihr auch noch nicht beigewohnt worden,16 Während man aus dem Zeugnis des R. Nechunja (VII, 9) nur schließen könnte, dass sie erst nach der Beiwohnung vollständig als Priestersfrau gilt. Theruma17 S. oben VII, Note 73. essen darf. Es bezeugten R. Jose, der Priester, und R. Secharja ben Hakkazzab18 Ketubot 26b. Betreffs eines kleinen Mädchens, das zu Aschkelon verpfändet worden19 Für eine Geldschuld. und das ihre Familien-Mitglieder20 Die Priester waren. von sich entfernten,21 Sie wollten sie nicht heiraten, weil sie befürchteten, sie könnte geschändet und dadurch zur Priesterehe verboten sein, Lev. 22, 7. obschon die Zeugen hierüber22 Die Zeugen, welche die Verpfändung bezeugten. zugleich aussagten, dass sie sich mit Niemand verborgen und nicht geschändet worden, dass die Weisen zu Jenen23 Zu den Familien-Gliedern. gesagt haben: Wenn ihr glaubet, dass sie verpfändet worden, so glaubet auch, dass sie sich nicht verborgen hat und nicht geschändet worden ist; glaubet ihr aber nicht, dass sie sich nicht verborgen hat und nicht geschändet worden ist, so glaubet auch nicht, dass sie verpfändet worden.", + "Es bezeugten R. Josua und R. Jehuda24 Ms. München: יהושע. ben Bethera,25 Ketubot 14a, Kidduschin 75a. dass eine Witwe aus einer ‘Issah26 עיסה = עריסה, eine Mischung (von ערס mischen, s. oben V, Note 38, vgl. auch das gr. φύραμα, Gemischtes, Teig) bezeichnet eine Familie, mit der eine oder mehrere Personen vermengt sind, deren legitime Abstammung in Zweifel steht. zur Priesterehe geeignet ist;27 Unser Zeugnis bezieht sich nach der Erklärung einer Tosephta in Kidduschin V, 2 auf eine solche Familie, aus deren Mitte eine Frau einen Priester geheiratet hätte, der ein ספק חלל (zweifelhaft Entweihter, s. Kidduschin IV, 6) war. Wenn nun später nicht mehr bekannt ist, welche Frau aus dieser Familie eine solche Heirat eingegangen war, so ist jede Witwe aus dieser Familie zur Priesterehe geeignet, weil bei jeder ein doppelter Zweifel (ספק ספיקא) obwaltet: vielleicht war jener Priester kein חלל, und falls er ein solcher war, so ist es noch zweifelhaft, ob er der Gatte der in Frage stehenden Witwe war. während28 In der Tosephta steht (wie es scheint, statt dieses Satzes) folgender Passus: עיסה לא נגעו בית דין שלאחריהם אמרו נאמנת עיסה לטמא ולטהר לאסר ולהתיר לרתק ולקרב אבל באלמנת Der spätere Gerichtshof hat entschieden: „Die ‘Issah ist beglaubigt, für unrein oder rein zu erklären, zu verbieten oder zu erlauben, zu entfernen oder zu nähern; aber [die Entscheidung] hinsichtlich der ‘Issah-Witwe hat man nicht angetastet.“ Wahrend also der ältere Gerichtshof, der das Zeugnis über die ‘Issah-Witwe angenommen, die ‘Issah selbst (d. h. die Töchter aus der ‘Issali-Familie) für ungeeignet zur Priesterehe hielt, hat der spätere Gerichtshof dieser Familie die Glaubwürdigkeit zuerkannt, durch ihre Aussage zu bestimmen, ob ein Familienglied für rein oder unrein (d. h. als ממזר) zu erklären, ob es (zur Ehe) erlaubt oder verboten (als Sklave od. Sklavin עבד), zu nähern oder zu entfernen (von einer Priesterehe als חללה) sei (vgl. Tosaphot Ketubot 14 a v. ת״ר). Betreffs der ‘Issah-Witwe jedoch ließ der spätere Gerichtshof die Entscheidung des älteren bestehen, dass nur eine solche, bei der bloß die Priesterehe in Frage steht (ספק חלל, Note 27), für geeignet zu erklären sei, da für die aus anderer Familie stammende Witwe die Aussage der ‘Issah-Familie nicht maßgebend ist. die ‘Issah29 Soll die Mischna mit der Tosephta in Einklang sein, so müssen die Worte שהעיסה bis לקרב als Zusatz des Redaktors gefasst werden, der zu dem ältern Zeugnisse die Entscheidung des späteren Gerichtshofes Betreffs der ‘Issah selbst hinzufügt. Nach Schitta mekubbezet zu Ketubot 14a lautet übrigens dieser Passus folgendermaßen: העיסה כשרה לטמא ולטהר לרחק ולקרב ולאסור ולהתיר; hiernach ist also der Satz entschieden eine besondere Bestimmung und nicht eine Begründung des vorhergehenden Zeugnisses. Diese LA. scheint auch Maimon. vorgelegen zu haben. geeignet ist,30 Durch ihre Aussage. Der Ausdruck כשרה (statt נאמנת der Tosephta) wird wegen des vorhergehenden כשרה (im Zeugnisse) gebraucht. sowohl für unrein oder rein zu erklären,31 Bei ספק ממזר. als Betreffs Entfernung und Annäherung zu bestimmen.32 Bei ספק חלל, s. Note 28. Hierauf sagte R. (Simon ben)33 שמעון בן ist nach vielen Codd. zu streichen. Gamliel: Wir nehmen euer Zeugnis an; aber was sollen wir tun, da R. Jochanan, Sohn Sakkai’s, entschieden hat, hierüber keine Gerichts-Sitzungen abzuhalten,34 Keinen Gerichtsbeschluss über diesen Punkt zu veranlassen. denn die Priester werden euch wohl zur Entfernung,35 Wenn eine Ehe mit einer solchen Witwe ihnen verboten würde. aber nicht zur Annäherung36 Wenn sie ihnen erlaubt wird. Vgl. noch über עיסה Rosenthal in Grätz, Monatsschr. 1881, S. 38 ff. Gehör schenken.", + "Es bezeugte37 Aboda sara 37a wird diese M. eingehend erklärt. (R.)38 רבי ist nach den besten Codd. zu streichen. Jose, Sohn Joësers, aus Zereda,39 Wenn dieser mit dem in Abot I, 4 genannten Jose identisch wäre, so müsste angenommen werden, dass dessen Zeugnis vor beinahe 300 Jahren im Lehrhause überliefert und zur Zeit der Redaktion des Tr. Edujot (c. 100 p.) unter den andern Zeugnissen vorgetragen wurde. Vielleicht aber ist איש הבירה st. איש צרירה zu lesen und dieser Jose ein Sohn des in M. Orla II, 12 erwähnten Joeser, demnach ein Zeitgenosse der Veranstalter der Edujot-Sammlung. dass die Ajil-Heuschrecke rein40 Zu essen erlaubt. ist, dass die Flüssigkeiten41 Wasser und Blut. im Schlachthause42 Des Tempelhofes. rein sind43 Sie nehmen keine Unreinheit an, da Flüssigkeiten überhaupt nur nach rabbinischer Verordnung unrein werden, und diese für das Heiligtum nicht festgesetzt ward. Nach Einigen können diese Flüssigkeiten zwar selbst unrein werden, nur nicht die Unreinheit auf andere Gegenstände übertragen. Viele Codd. haben richtiger דכן statt דאינון דכיין. und dass wer einen Toten berührt, unrein ist;44 Gegen diesen Satz erhebt der Talmud (Ab. sara 37b) zwei Einwände: 1. Enthält dieser Ausspruch eine Erschwerung, und man könnte den Autor deshalb nicht als „Erlaubenden“ (שריא) bezeichnen! 2. Ist der Satz bereits in dem Schriftverse Num. 19, 16 ausgesprochen! Nach dem Talm. meint unser Satz daher, entweder dass nur der unmittelbar den Toten Berührende, nicht aber wer diesen Berührenden berührt, sieben Tage unrein wird; oder dass nur wer mit Gewissheit den Toten berührt hat, unrein ist, nicht aber wer zweifelt, ob er im öffentlichen Gebiete (רשות הרבים) einen Toten berührt hat, s. oben II, Note 32. und man nannte ihn: „Jose, der Erlaubende“.45 Weil er drei Dinge erlaubte, die man bis dahin für verboten gehalten.", + "Es bezeugte R. Akiba im Namen des Nehemia aus Beth-Deli,46 Vgl. Jebamot, letzte M. dass man einer Frau auf die Aussage Eines Zeugen hin erlaubt, sich wieder zu verheiraten.47 Oben VI, 1. Es bezeugte R. Josua Betreffs Knochen,48 Totenknochen; s. aber Note 50. die im Holzschuppen49 Holzhalle, לשכת העצים, s. Middot II,5. gefunden worden sind, (dass sie unrein sind),50 Die Worte שהם טמאים fehlen in vielen Mischna-Ausgaben, scheinen auch den Erklärern nicht Vorgelegen zu haben. Liest man diese Worte, so musste man über den Ursprung der Knochen zuerst im Zweifel gewesen sein, bis die Weisen sie für unrein erklärt, aber zugleich entschieden hatten, dass man durch Auflesen der Knochen den Platz reinigen könnte. dass die Weisen gesagt haben, man solle Bein für Bein auflesen,51 Man braucht nicht zu befürchten, dass in der Nähe Gräber sich befinden; s. Sebachim 113a. und Alles bleibt rein.52 Man braucht nicht die dort befindlichen Menschen und Geräte einer Reinigung zu unterziehen, s. oben II, Note 31—32.", + "Es spricht R. Elieser: Ich habe eine Überlieferung,53 Schebuot 16a. man habe, als man den Tempel54 Den zweiten Tempel. baute, Umhänge55 Wie bei der Stiftshütte, Exod. 27, 9. vor dem Tempel und Umhänge vor den Höfen gemacht; jedoch hat man beim Tempel [die Mauer] außerhalb [der Umhänge],56 Damit die Bauleute vom Tempelplatz durch die Umhänge abgesondert bleiben. bei den Vorhöfen aber innerhalb [derselben] gebaut. Es spricht R. Josua: Ich habe eine Überlieferung,57 Vgl. Sebachim 62a. man dürfe Opfer bringen, wenn auch der Tempel nicht da ist, Allerheiligstes58 Das man nur im Tempel-Vorhofe essen darf, Sebachim V,3; 5. essen, wenn auch keine Umhänge59 S. Makkot III, Note 38. vorhanden sind,60 Die den Tempelhof absondern. ebenso Minderheiliges61 S. Sebachim V, 6—7. und zweiten Zehnten, wenn die Stadtmauer62 Von Jerusalem. nicht da ist; denn die erste Weihung63 Die König Salomo vollbracht. hat sowohl für ihre Zeit, als für die Zukunft geheiligt.", + "Es spricht R. Josua: Ich habe [eine Überlieferung] empfangen von R. Jochanan, Sohn Sakkai’s, dass ihm von seinem Lehrer überliefert worden, der es wieder von seinem Lehrer als eine von Moses auf dem Sinai64 Nicht so wörtlich, sondern eine Lehre, die inhaltlich den folgenden Gedanken ausspricht (Maimon.). vernommene Lehre empfangen hat, dass Elija nicht kommen werde, für unrein oder rein zu erklären, zu entfernen oder nahe zu bringen,65 D. h. der Prophet Elias wird Nichts zur Tora hinzufügen und Nichts davon hinwegnehmen. sondern die mit Gewalt nahe gebrachten [Familien] zu entfernen und die mit Gewalt entfernten nahe zu bringen.66 Elias wird bloß Gewalt und Unrecht aus der Welt schaffen. Eine Familie, Namens Bet-Zerepha,67 Kidduschin 71a. war jenseits des Jardens, die Ben-Zion68 Andere LAA.: בת ציון, בני ציון, vgl. Kohut, Aruch v. בן ציון. mit Gewalt entfernt hatte, eine andere69 Diese Familie nennt er nicht mit Namen, um sie nicht zu beschämen. wieder war dort, die Ben-Zion68 Andere LAA.: בת ציון, בני ציון, vgl. Kohut, Aruch v. בן ציון. mit Gewalt nahe gebracht hatte; dergleichen kommt Elija unrein oder rein zu sprechen, zu entfernen oder nahe zu bringen. R. Jehuda sagt: Nur nahe zu bringen, aber nicht zu entfernen.70 Nicht einmal die durch Gewalt Eingedrungenen wird Elija entfernen. R. Simon sagt: [Er kommt], um die Meinungsverschiedenheiten71 Zwischen den Weisen. auszugleichen. Die Weisen aber sagen: [Elija kommt] nicht zu entfernen und nicht nahe zu bringen, sondern Frieden in der Welt72 Zwischen allen Menschen. zu stiften; denn es heißt73 Dieser Schriftbeweis bezieht sich auf alle oben angeführten Ansichten, vgl. Tos. Jom Tob. (Mal. 3, 23f.): Siehe ich sende euch den Propheten Elija u. s. w.; und er wird zurückführen das Herz der Väter zu den Kindern und das Herz der Kinder zu ihren Vätern.74 Der Prophet wird den Kindern sagen, wer ihre Ahnen sind (nach R. Josua u. R. Jehuda); er wird die Väter (die Lehrer) mit den Kindern (den Schülern) vereinigen, wodurch die Meinungsverschiedenheiten schwinden werden (nach R. Simon); Alle werden die Wahrheit und das Gottesgesetz als ihre Väter und sich selbst als deren Kinder betrachten, wodurch ewiger Friede walten wird (nach den Weisen)." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..ec0f50c38f59c71c60f4bb36fd2ff0f50eb24bb6 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json @@ -0,0 +1,116 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Eduyot", + "versionSource": "http://learn.conservativeyeshiva.org/mishnah/", + "versionTitle": "Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp", + "status": "locked", + "priority": 1.0, + "license": "CC-BY", + "shortVersionTitle": "Dr. Joshua Kulp", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה עדיות", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "Shammai says: “For all women [who begin to menstruate] it suffices [to reckon their impurity from] the time [of their discovering it].” And Hillel says: “[Their impurity is reckoned backwards] from the [last] examination to the [previous] examination, even if this covers many days.” But the Sages say: “Neither according to the opinion of this one nor according to the opinion of this one, but [they are considered impure for] the past twenty four hours when this lessens the period from the [last] examination to the [previous] examination, and for the period from the [last] examination to the [previous] examination when this lessens the past twenty-four hours.” Any woman who has a regular period, it suffices [to reckon her impurity from] her set time. She who uses testing-cloths [when she has sexual relations], behold this is like an examination: it lessens either the period of the [past] twenty four hours or the period from the [last] examination to the [previous] examination.", + "Shammai says: “[Dough] of a kav or more is subject to the law of hallah.” And Hillel says: “Of two kavs or more.” But the Sages say: “Neither according to the opinion of this one nor according to the opinion of this one, but [dough of] a kav and a half is subject to the law of hallah.” And after they increased the measures they said: “[Dough of] five quarters is subject. Rabbi Yose said: “Five are exempt, five and more are liable.”", + "Hillel says: “A hin full of drawn water renders the mikweh unfit.” (However, man must speak in the language of his teacher.) And Shammai says: “Nine kavs.” But the Sages say: “Neither according to the opinion of this one nor according to the opinion of this one;” But when two weavers from the dung-gate which is in Jerusalem came and testified in the name of Shemaiah and Avtalion, “Three logs of drawn water render the mikweh unfit,” the Sages confirmed their statement.", + "And why do they record the opinions of Shammai and Hillel for naught? To teach the following generations that a man should not [always] persist in his opinion, for behold, the fathers of the world did not persist in their opinion.", + "And why do they record the opinion of a single person among the many, when the halakhah must be according to the opinion of the many? So that if a court prefers the opinion of the single person it may depend on him. For no court may set aside the decision of another court unless it is greater than it in wisdom and in number. If it was greater than it in wisdom but not in number, in number but not in wisdom, it may not set aside its decision, unless it is greater than it in wisdom and in number.", + "Rabbi Judah said: “If so, why do they record the opinion of a single person among the many to set it aside? So that if a man shall say, ‘Thus have I received the tradition’, it may be said to him, ‘According to the [refuted] opinion of that individual did you hear it.’”", + "Beth Shammai says: “A quarter-kav of any bones, even from two limbs or from three.” And Beth Hillel says: “A quarter-kav of bones from a corpse, either from [the bones which form] the greater portion of the [body’s] build, or from the greater portion of the number [of the body’s bones]. Shammai says: “Even from a single bone.”", + "Vetches of terumah: Beth Shammai says, “They must be soaked and rubbed in purity, but can be given for food in impurity.” And Beth Hillel says: “They must be soaked in purity, but can be rubbed and given for food in impurity.” Shammai says: “They must be eaten dry.” Rabbi Akiva says: “All actions in connection with them [can be carried out] in impurity.”", + "One who changes for a sela copper coins from second tithe: Beth Shammai says: “Copper coin for the whole sela.” And Beth Hillel say: “Silver for one shekel and copper coin for one shekel.” Rabbi Meir says: “Silver and fruits may not be substituted for silver.” But the sages allow it.", + "One who exchanges a sela from second tithe in Jerusalem: Beth Shammai says: “Copper coin for the whole sela.” And Beth Hillel says: “Silver for one shekel and copper coin for one shekel.” The disputants before the Sages say: “Silver for three denars and copper coin for one denar.” Rabbi Akiva says: “Silver for three denars and for the fourth silver, copper coin.” Rabbi Tarfon says: “Four aspers in silver.” Shammai says: “He must leave it in the shop and eat on the credit thereof.”", + "A bride’s stool from which the covering-boards have been taken: Beth Shammai pronounces it [liable to become] unclean, And Beth Hillel pronounce it not [liable to become] unclean. Shammai says: “Even the framework of a stool [by itself is liable to become] unclean.” A stool which has been set in a baker’s trough: Beth Shammai pronounces it [liable to become] unclean, And Beth Hillel pronounces it not [liable to become] unclean. Shammai says: “Even one made therein [is liable to become unclean].”", + "These are subjects concerning which Beth Hillel changed their mind and taught according to the opinion of Beth Shammai:A woman who came from overseas and said: “My husband died” may be married again; “My husband died [without children]” she must be married by her husband’s brother (the levir). But Beth Hillel says: “We have heard so only in the case of one who came from the harvesting.” Beth Shammai said to them: “It is the same thing in the case of one who came from the harvesting or who came from the olive-picking or who came from overseas; they mentioned harvesting only because that is how it happened.” Then Beth Hillel changed their mind and taught according to Beth Shammai. Beth Shammai says: “She may be married again and take her kethubah payment.” But Beth Hillel says: “She may be married again but may not take her kethubah payment.” Beth Shammai said to them: “You have permitted the graver matter of a forbidden marriage, should you not permit the lighter matter of property?” Beth Hillel said to them: “We have found that brothers do not inherit on her statement.” Beth Shammai said to them: “Do we not infer it from her marriage document in which he writes to her ‘That if you be married to another you shall take what is written for you’?” Then Beth Hillel changed their mind and taught according to the opinion of Beth Shammai.", + "Whoever is half a slave and half a free man should work one day for his master and one day for himself, according to Beth Hillel. Beth Shammai said to them: “You have set matters in order with regards to his master, but you have not set matters in order with regards to himself. He is not able to marry a slave-woman, nor is he able [to marry] a woman who is free. Is he to refrain [from marrying]? [How can he] for is it not the case that the world was created in order for people to be fruitful and multiply? For it is said, “He did not create it to be a waste; but formed it for inhabitation” (Isaiah 45:18). But for the rightful ordering of the world his master is compelled to make him free, and he writes out a bond for half his value.” Then Beth Hillel changed their mind and taught according to the opinion of Beth Shammai.", + "A vessel of earthenware can protect everything [in it from contracting impurity], according to Beth Hillel. But Beth Shammai says: “It protects only food and liquids and [other] vessels of earthenware.” Beth Hillel said to them: “Why?” Beth Shammai said to them: “Because it is [itself] impure with respect to an ignoramus, and no impure vessel can screen [against impurity].” Beth Hillel said to them: “And did you not pronounce pure the food and liquids inside it?” Beth Shammai said to them: “When we pronounced pure the food and liquids inside it, we pronounced them pure for him [the ignoramus] only, but when you pronounced the vessel pure you pronounced it pure for yourself and for him.” Then Beth Hillel changed their mind and taught according to the opinion of Beth Shammai." + ], + [ + "Rabbi Hanina, chief of the priests, testified concerning four matters:Through all their days the priests never refrained from burning meat which had been defiled by an “offspring” of impurity with meat which had been made impure by a “father” of impurity, although they were [thereby] increasing its impurity by a [higher] impurity. Rabbi Akiba added: “Through all their days the priests never shrank from lighting oil which had been rendered unfit by a tevul yom in a lamp made impure by one who was made impure by a corpse, although they were [thereby] increasing its impurity by a [higher] impurity.”", + "Rabbi Hanina, chief of the priests, said: “All my days I never saw a hide taken out to the place of burning.” Rabbi Akiba said: “From his words we infer that whoever flays the hide of the firstborn beast and it is found to be trefah, the priests may enjoy the use of the hide.” But the Sages say: “[A testimony which consists of] ‘we didn’t see’ is not a proof; rather the hide must be taken out to the place of burning.", + "He also testified concerning a small village in the vicinity of Jerusalem in which there was an old man who used to lend to all the people of the village and write out [the bond] in his own handwriting and others signed it. And when the fact was brought before the Sages they pronounced it legal. Hence, incidentally, you may infer that a wife may write her own bill of divorcement, and a husband may write his own receipt; for the legality of a document depends only on those who sign it. And [he testified] concerning a needle which was found in flesh of a [sacrifice], that the knife and the hands [which had been employed on the flesh] are clean, but the flesh itself is defiled; and if it was found in the excrement, all are clean.", + "Rabbi Yishmael declared three things before the Sages in the vineyard at Yavneh: Concerning an egg which was beaten together, and placed on vegetables of terumah that it acts as a connection; but if it was in the form of a helmet it does not act as a connection. And concerning an ear of corn in the harvesting, the top of which reached the standing corn that if it can be reaped together with the standing corn, it belongs to the owner; and if not, it belongs to the poor. And concerning a small garden which was surrounded by a row of vines that if it has space for the grape-gatherer and his basket on one side, and space for the grape-gatherer and his basket on the other side, it may be sown with seed; but if not, it may not be sown with seed.", + "They stated three things before Rabbi Yishmael, and he pronounced none of them either unlawful or lawful; and Rabbi Joshua ben Matya explained them.One who lances an abscess on the Sabbath: if it was to make an opening he is liable; if it was to bring out the pus, he is exempt. And concerning one who hunts a snake on the Sabbath: that if he was occupied with it in order that it should not bite him, he is innocent; but if that he might use it as a remedy, he is guilty. And concerning Ironian stewpots: that they do not contract impurity when under the same tent as a corpse; but become impure if they are carried by a zav. Rabbi Eliezer ben Zadok says: “Even if they are carried by a zav they remain pure, because they are unfinished.”", + "Rabbi Yishmael said three things, and Rabbi Akiba disagreed with him.Garlic or unripe grapes or green ears of grain were being crushed [on the eve of the Sabbath] while it is yet day: Rabbi Yishmael says: “He may finish crushing after it grows dark.” But Rabbi Akiba says: “He may not finish.”", + "They said three things before Rabbi Akiva, two in the name of Rabbi Eliezer and one in the name of Rabbi Joshua. Two in the name of Rabbi Eliezer:A woman may go out [on the Sabbath adorned] with a “golden-city”; And they that fly pigeons are unfit to bear evidence. And one in the name of Rabbi Joshua: If there was a creeping thing in the mouth of a weasel when it walked over loaves of terumah, and it is doubtful whether it touched them or whether it did not touch them, that about which there is doubt remains pure.", + "Rabbi Akiba declared three things; about two they agreed with him, and about one they disagreed with him.About a lime-burner’s sandal, that it is liable to contract midras impurity; And about the remains of a [broken] oven, that they must be four handbreadths high [in order to retain impurity], whereas they used to say three and [when he said four] they agreed with him. And about one they disagreed with him About a stool, from which two of its covering-boards had been removed, the one beside the other, which Rabbi Akiba pronounces able to contract impurity, but the Sages declare unable to contract impurity.", + "He used to say: the father transmits to the son beauty, strength, wealth, wisdom and years. And the number of generations before Him, that shall be their appointed end: For it is said, “calling the generations from the beginning” (Isaiah 41:4) Although it is said, “And shall serve them, and they shall afflict them four hundred years” (Genesis 15:13), it is also said, “And in the fourth generation they shall come hither again” (Genesis 15:16).", + "Also he used to say that there are five things that last twelve months:The judgment of the generation of the flood [continued] twelve months; The judgment of Job [continued] twelve months; The judgment of the Egyptians [continued] twelve months; The judgment of Gog and Magog in the time to come [will continue] twelve months; The judgment of the wicked in gehinom [continues] twelve months, for it is said, and “It will be from one month until its [same] month” (Isaiah 66:23). Rabbi Yohanan ben Nuri says: “[As long as] from Passover to Shavuoth, for it is said, “And from one Sabbath until its [next] Sabbath” (ibid.)." + ], + [ + "[In the case of] all things which cause defilement in a “tent”, if they [the pieces of the corpse] were divided and brought into the house, Rabbi Dosa ben Harkinas pronounces [everything under the same roof-space] clean, but the Sages pronounce it unclean. How so? He who touches as much as two halves of an olive [in quantity] of an animal’s carcass or carries them; or in the case of a [human] corpse, he who touches as much as half an olive and stands over as much as half an olive; or touches as much as half an olive and as much as half an olive is above him; or if he stands over as much as two halves of an olive; or if he stands over as much as half an olive and as much as half an olive is above him Rabbi Dosa b. Harkinas pronounces him clean, and the Sages pronounce him unclean. But if he touches as much as half an olive [in quantity] and another thing was over him and over as much as half an olive; or if he stood over as much as half an olive and another thing was over him and over as much as half an olive, he is clean. Rabbi Meir said: “Also in this case Rabbi Dosa pronounces him clean and the sages pronounce him unclean. In all such cases a man is unclean unless there is an act of touching and also an act of carrying, or an act of carrying and also [the fact of] being under the same roof-space.” This is the general rule: in whatever case the means of causing defilement are of one category, he is unclean; if they are of two categories, he is clean.”", + "Food which is in separate pieces does not combine together [to receive impurity], according to Rabbi Dosa ben Harkinas. But the Sages say: “It does combines together.” One may exchange [ produce of] second tithe for uncoined metal, according to Rabbi Dosa. But the Sages say: “One may not so exchange it.” The hands [alone] need to be immersed for the waters of purification according to Rabbi Dosa. But the Sages say: “If his hands have become unclean his whole body becomes unclean.”", + "The insides of a melon and the discarded leaves of a vegetable of terumah: Rabbi Dosa permits [their] use to non-priests, and the Sages forbid it. Five ewes, their fleeces weighing each a mina and a half, are subject to [the law of] the first of the fleece, according to Rabbi Dosa. But the Sages say: “Five ewes [are subject] whatever [their fleeces weigh].”", + "All mats are [liable to become] impure by “corpse” impurity, the words of Rabbi Dosa. But the Sages say: “[Also by] “midras” impurity. All network is unsusceptible to impurity except a [network] girdle, the words of Rabbi Dosa. But the Sages say: “They are all liable to uncleanness, except those used by wool dealers [for carrying raw wool].”", + "A sling whose pocket is woven is susceptible to impurity. If it is of leather, Rabbi Dosa ben Harkinas pronounces it not susceptible to impurity, and the Sages pronounce it susceptible to impurity. If its finger-hold is broken off, it is not susceptible to impurity; [But if the] string-handle [only] is broken off it is susceptible to impurity.", + "A female captive may eat of terumah, according to the words of Rabbi Dosa b. Harkinas. But the Sages say: “There is a female captive who may eat, and there is a female captive who may not eat. How is this so? The woman who said: ‘I was taken captive but [nonetheless] I am pure’, she may eat; because the mouth that forbade is the same mouth that permit. But if there are witnesses [who declare] that she was made a captive, and she says: ‘[nonetheless] I am pure’, she may not eat.”", + "Four cases of doubt Rabbi Joshua pronounces impure, and the Sages pronounce them pure. How is this so? If the impure person stands and the pure person passes by him; or if the pure person stands and the impure person passes by him; or if impurity is in the private domain and something pure is in the public domain; Or if something pure is in the private domain and something impure is in the public domain; If it is doubtful [in all of these case] whether one touched or did not touch the other, or if it is doubtful whether one formed a tent over the other or did not form a tent over the other, or if it is doubtful whether one moved or did not move the other Rabbi Joshua pronounces such a case impure, and the Sages pronounce it pure.", + "Three things Rabbi Zadok pronounces [liable to receive] impurity and the Sages pronounce them not [liable to receive]: The nail of the money-changer; And the chest of grist makers; And the nail of a stone dial. Rabbi Zadok pronounces [liable to receive] impurity and the Sages pronounce them not [liable to receive].", + "Four things Rabban Gamaliel pronounces susceptible to impurity, and the Sages pronounce them not susceptible to impurity.The covering of a metal basket, if it belongs to householders; And the hanger of a strigil; And metals vessels which are still unshaped; And a plate that is divided into two [equal] parts. And the Sages agree with Rabban Gamaliel in the case of a plate that was divided into two parts, one large and one small, that the large one is susceptible to impurity and the small one is not susceptible to impurity.", + "In three cases Rabban Gamaliel was strict like the words of Beth Shammai.One may not wrap up hot food on a festival for the Sabbath; And one may not join together a lamp on a festival; And one may not bake [on festivals] thick loaves but only wafer-cakes. Rabban Gamaliel said: “In all their days, my father’s house never baked large loaves but only wafer-cakes.” They said to him: “What can we do with regards to your father’s house, for they were strict in respect to themselves but were lenient towards Israel to let them bake both large loaves and even charcoal-roasted loaves.”", + "Also he declared three decisions of a lenient character:One may sweep up [on a festival] between the couches, And put spices [on the coals] on a festival; And roast a kid whole on the night of Passover. But the sages forbid them.", + "Rabbi Eleazar ben Azariah allows three things and the Sages forbid them:His cow used to go out with the strap which she had between her horns; One may curry cattle on a festival; And one may grind pepper in its own mill. Rabbi Judah says: one may not curry cattle on a festival, because it may cause a wound, but one may comb them. But the Sages say: one may not curry them, and one may not even comb them." + ], + [ + "The following cases are [examples] of the lenient rulings of Beth Shammai and of the rigorous rulings of Beth Hillel.An egg which is laid on a festival Beth Shammai says: it may be eaten, and Beth Hillel says: it may not be eaten. Beth Shammai says: yeast as much as an olive [in quantity], and leavened food as much as a date, and Beth Hillel says: as much as an olive [in quantity] in both cases.", + "A beast which was born on a festival all agree that it is permitted; and a chicken which was hatched from the egg all agree that it is forbidden. He who slaughters a wild animal or a bird on a festival Beth Shammai says: he may dig with a pronged tool and cover up [the blood] , but Beth Hillel says: he may not slaughter unless he has had earth made ready. But they agree that if he did slaughter he should dig with a pronged tool and cover up [the blood, and] that the ashes of a stove count as being prepared for the holiday.", + "Beth Shammai says: [produce pronounced] ownerless with respect to the poor [only] is counted as ownerless. But Beth Hillel says: it is not counted as ownerless unless it is made ownerless also with respect to the rich, as in the year of release (shmittah). If all the sheaves of the field were of one kav each and one was of four kavs, and it was forgotten, Beth Shammai says: it does not count as forgotten, And Beth Hillel says: it counts as forgotten.", + "A sheaf which was close to a wall or to a stack or to the herd or to [field] utensils, and was forgotten, Beth Shammai says: it does not count as forgotten, And Beth Hillel says: it counts as forgotten.", + "A vineyard of the fourth year Beth Shammai says: it is not subject to the law of the fifth nor to the law of removal. And Beth Hillel says: it is subject to the law of the fifth and to the law of removal. Beth Shammai says: it is subject to the law of fallen grapes and to the law of gleanings, and the poor redeem them for themselves. And Beth Hillel says: all of it goes to the winepress.", + "A barrel of pickled olives: Beth Shammai says: one need not perforate it, And Beth Hillel say: one must perforate it. But they agree that if it was perforated and the dregs stopped it up, it is not liable to receive impurity. One who had anointed himself with clean oil and [then] became unclean, and he went down and immersed himself, Beth Shammai says: although he still drips [oil], it is clean. And Beth Hillel says: [only while there remains] enough for anointing a small limb. And if from the beginning it was unclean oil, Beth Shammai says: [it is unclean as long as there remains] enough for anointing a small limb, And Beth Hillel says: [even if there remains as much] as a moist liquid. Rabbi Judah says in the name of Beth Hillel: [provided it remains] moist [itself] and [can also] moisten [other things].", + "A woman is betrothed by a denar or the value of a denar, according to the opinion of Beth Shammai. But Beth Hillel says: by a perutah or the value of a perutah. And how much is a perutah? One-eighth of an Italian issar. Beth Shammai says: one may dismiss his wife with an old bill of divorcement, But Beth Hillel forbids it. What is an old bill of divorcement? Whenever he was secluded with her after he has written it for her. One who divorces his wife and she [afterwards] spends a night with him at the [same] inn: Beth Shammai says: she does not require a second bill of divorcement from him. But Beth Hillel says: she requires a second bill of divorcement from him. When [does she require a second bill of divorcement]? When she was divorced after marriage. But if she was divorced after betrothal she does not require from him a second bill of divorcement, since he is not [yet] familiar with her.", + "Beth Shammai permits the rival wives [of a deceased brother to be married] to the [surviving] brothers; But Beth Hillel forbids them. If they have performed halitzah, Beth Shammai pronounce them unfit to [marry into] the priesthood, But Beth Hillel pronounced them fit. If they have married their brother-in-law, Beth Shammai pronounce them fit [to marry into the priesthood], But Beth Hillel pronounced them unfit. And although these pronounce unfit and these pronounce fit, Beth Shammai did not refrain from marrying women from [the daughters of] Beth Hillel, nor did Beth Hillel refrain from marrying women from [the daughters of] Beth Shammai. And in the case of all matters of purity and impurity in respect to which these pronounce pure and these pronounce impure, they did not refrain from preparing foods requiring a condition of purity each by means of [the vessels of] the other.", + "[In the case of] three brothers, of whom two were married to two sisters and one was unmarried, if one of the husbands of the sisters died and the unmarried one betrothed her (maamar), and afterwards his other brother died, Beth Shammai says: his wife remains with him, and the other [widow] is released on the grounds of [the law forbidding] the wife’s sister. But Beth Hillel says: he should put away his wife with a get and halitzah, and the wife of his brother [he should put away] with halitzah. This is the case of which they said: woe to him because of his wife, and woe to him because of his brother’s wife!", + "One who takes a vow not to have intercourse with his wife: Beth Shammai says: [after] two weeks [he must divorce her and pay her kethubah], And Beth Hillel say: after one week. A woman has a miscarriage on the eve of the eighty first [day]: Beth Shammai exempt her from bringing the offering, And Beth Hillel do not exempt her. [With regards to the rules of] tzitzit (fringes) on linen sheet: Beth Shammai exempts, And Beth Hillel does not exempt. A basket of [fruit set aside for] the Sabbath: Beth Shammai exempts it [from tithes]. And Beth Hillel does not exempt it.", + "One who vowed [to keep] a longer naziriteship [than ordinary] and he completed his naziriteship and afterwards came to the [holy] land: Beth Shammai says: [he must be] a nazirite [only] thirty days, But Beth Hillel says: [he must be] a nazirite [the full time vowed as] in the beginning. One who has two groups of witnesses who testify about him, these testifying that he vowed two naziriteships and these testifying that he vowed five: Beth Shammai says: their testimony is divided, and there is no [obligation to perform] naziriteship. But Beth Hillel says: within the five, two are included, so that he must be a nazirite twice.", + "A man who was set beneath the gap: Beth Shammai says: he does not cause the impurity to pass over. But Beth Hillel says: a man is hollow, and the upper side causes the impurity to pass over." + ], + [ + "Rabbi Judah says: there are six instances of lenient rulings by Beth Shammai and stringent rulings by Beth Hillel.The blood of a carcass: Beth Shammai pronounces it clean, And Beth Hillel pronounces it unclean. An egg found in a [bird’s] carcass: if the like of it were sold in the market, it is permitted, and if not, it is forbidden, according to the opinion of Beth Shammai. And Beth Hillel forbids it. But they agree in the case of an egg found in a trefa [bird] that it is forbidden since it had its growth in a forbidden condition. 3+4) The blood of a non-Jewish woman and the blood of purity of a leprous woman: Beth Shammai pronounces clean; And Beth Hillel says: [it is] like her spittle and her urine. One may eat fruits of the seventh year with an expression of thanks and without an expression of thanks [to the owner of the field], according to the opinion of Beth Shammai. But Beth Hillel says: one may not eat with an expression of thanks. Beth Shammai says: a waterskin [is liable to become impure only if it is] tied up and remains unimpaired. And the school of Hillel says: even if it is not tied up.", + "Rabbi Yose says: there are six instances of lenient rulings by Beth Shammai and stringent rulings by Beth Hillel.A fowl may be put on a table [together] with cheese but may not be eaten [with it], according to the opinion of Beth Shammai. But Beth Hillel says: it may neither be put on [the table together with it] nor eaten [with it]. Olives may be given as terumah for oil and grapes for wine, according to the opinion of Beth Shammai. But Beth Hillel says: they may not be given. One who sows seed [within] four cubits of a vineyard: Beth Shammai says: he has caused one row [of vines] to be prohibited. But Beth Hillel says: he has caused two rows to be prohibited. Flour paste [flour that had been mixed with boiling water]: Beth Shammai exempts [from the law of hallah]; But Beth Hillel pronounces it liable. One may immerse oneself in a rain-torrent, according to the opinion of Beth Shammai; But Beth Hillel say: one may not immerse oneself [therein]. One who became a proselyte on the eve of Passover: Beth Shammai says: he may immerse himself and eat his Passover sacrifice in the evening. But Beth Hillel says: one who separates himself from uncircumcision is as one who separates himself from the grave.", + "Rabbi Yishmael says: there are three instances of lenient rulings by Beth Shammai and strict rulings by Beth Hillel.The book of Ecclesiastes does not defile the hands, according to the opinion of Beth Shammai; But Beth Hillel say: it defiles the hands. Water of purification which has done its duty: Beth Shammai pronounces it pure, But Beth Hillel pronounces it impure. Black cumin: Beth Shammai pronounces it not liable to become impure, But Beth Hillel pronounces it liable to become impure. So, too, with regard to tithes.", + "Rabbi Eliezer says: there are two instances of lenient rulings by Beth Shammai and strict rulings by Beth Hillel.The blood of a woman after childbirth who has not immersed herself, Beth Shammai says: [it is] like her spittle and her urine. But Beth Hillel says: it causes impurity whether wet or dry. However, they agree in the case of the blood of a woman who gave birth when she had non-menstrual discharge, that it causes defilement whether wet or dry.", + "[In the case of] four brothers of whom two were married to two sisters, if those married to the sisters died, behold, these should perform halitzah and not enter into levirate marriage (with the brothers-in-law). If they went ahead and married them, they must put them away (divorce them). Rabbi Eliezer says in the name of Beth Shammai: they may keep them. But Beth Hillel say: they must put them away.", + "Akavia ben Mahalalel testified concerning four things. They said to him: Akavia, retract these four things which you say, and we will make you the head of the court in Israel. He said to them: it is better for me to be called a fool all my days than that I should become [even] for one hour a wicked man before God; So they shouldn’t say: “he withdrew his opinions for the sake of power.” He used to pronounce impure the hair which has been left over [in leprosy], And green (yellow) blood (of vaginal discharge); But the Sages declared them clean. He used to permit the wool of a first-born animal which was blemished and which had fallen out and had been put in a niche, the first-born being slaughtered afterwards; But the sages forbid it. He used to say: a woman proselyte and a freed slave-woman are not made to drink of the bitter waters. But the Sages say: they are made to drink. They said to him: it happened in the case of Karkemith, a freed slave-woman who was in Jerusalem, that Shemaiah and Avtalion made her drink. He said to them: they made her drink an example (and not the real water). Whereupon they excommunicated him; and he died while he was under excommunication, and the court stoned his coffin. Rabbi Judah said: God forbid [that one should say] that Akavia was excommunicated; for the courtyard is never locked for any man in Israel who was equal to Avavia ben Mahalalel in wisdom and the fear of sin. But whom did they excommunicate? Eliezer the son of Hanoch who cast doubt against the laws concerning the purifying of the hands. And when he died the court sent and laid a stone on his coffin. This teaches that whoever is excommunicated and dies while under excommunication, his coffin is stoned.", + "At the time of his death he said to his son, “Retract the four opinions which I used to declare.” He (the said to him, “Why did not you retract them?” He said to him, “I heard them from the mouth of the many, and they heard [the contrary] from the mouth of the many. I stood fast by the tradition which I heard, and they stood fast by the tradition which they heard. But you have heard [my tradition] from the mouth of a single individual and [their tradition] from the mouth of the many. It is better to leave the opinion of the single individual and to hold by the opinion of the many.” He said to him, “Father commend me to your colleagues.” He said to him, “I will not commend you.” He said to him, “Have you found in me any wrong?” He said, “No; your own deeds will cause you to be near, and your own deeds will cause you to be far.”" + ], + [ + "Rabbi Judah ben Bava testified concerning five things:That women who are minors are made to declare an annulment of their marriage; That a woman is allowed to re-marry on the evidence of one witness; That a rooster was stoned in Jerusalem because it had killed a human being; And about wine forty days old, that it was used as a libation on the altar; And about the morning tamid offering, that it is offered at the fourth hour.", + "Rabbi Joshua and Rabbi Nehunia ben Elinathan, a man of Kefar Habavli, testified concerning a limb [separated] from a corpse that it is impure; whereas Rabbi Eliezer says: they declared [this] only of a limb from a living [man]. They said to him: is not there an inference from the minor to the major (kal vehomer): If in the case of a living man [who is himself pure] a limb severed from him is impure, how much more in the case of a corpse [which is itself impure] should a limb severed from it be impure! He said to them: they have [nevertheless] declared it only of a limb from a living man. Another answer: The impurity of living men is greater than the impurity of corpses, because a living man causes that on which he lies and sits to become capable of making impure a man and clothing, and [he causes also] what is over him to transfer impurity to foods and liquids- which is defilement that a corpse does not cause.", + "1) An olive’s quantity of flesh severed from a limb of a living man: 1) Rabbi Eliezer pronounces impure and Rabbi Joshua and Rabbi Nehunia pronounce pure. a) A barley-grain’s quantity of bone severed from a limb of a living man, b) Rabbi Nehunia pronounces impure and Rabbi Eliezer and Rabbi Joshua pronounce pure. 2) They said to Rabbi Eliezer: what reason have you found for pronouncing impure an olive’s quantity of flesh severed from a limb of a living man? 1) He said to them: we find that a limb from a living man is like an entire corpse; just as in the case of a corpse, an olive’s quantity of flesh severed from it is impure, so also in the case of a limb from a living man an olive’s quantity of flesh severed from it must be impure. 2) They said to him: No! When you pronounce impure an olive’s quantity of flesh severed from a corpse, it is because you have pronounced impure a barley-grain’s quantity of bone severed from it. But how can you also pronounce impure an olive’s quantity of flesh severed from a limb of a living man, seeing that you have pronounced pure a barley-grain’s quantity of bone severed from it? 3) They said to Rabbi Nehunia: what reason have you found for pronouncing impure a barley-grain’s quantity of bone severed from a limb of a living man? 1) He said to them: we find that a limb from a living man is like an entire corpse; just as in the case of a corpse, a barley-grain’s quantity of bone severed from it is impure, so also in the case of a limb from a living man, a barley-grain’s quantity of bone severed from it must be impure. 2) They said to him: No! When you pronounce impure a barley-grain’s quantity of bone severed from a corpse, it is because you have pronounced impure an olive’s quantity of flesh severed from it. But how can you also pronounce impure a barley-grain’s quantity of bone severed from a limb of a living man, seeing that you have pronounced pure an olive’s quantity of flesh severed from it? 1) They said to Rabbi Eliezer: what reason have you found for dividing your standards? Either pronounce them both impure, or pronounce them both pure! 1) He said to them: greater is the impurity of flesh than the impurity of bones, for the defilement of flesh applies both to (animal) carcasses and to creeping things, but it is not so in the case of bones. Another answer: a limb which has on it the proper quantity of flesh causes impurity by touching and by carrying and by being under the same roof-space (ohel); if the flesh is diminished it is still impure, while if the bone is diminished it is pure. They said to Rabbi Nehunia: what reason have you found for dividing your standards? Either pronounce them both impure, or pronounce them both pure! He said to them: greater is the impurity of bones than the impurity of flesh, for flesh severed from a living man is pure, whereas a limb severed from him, while in its natural condition, is impure. Another answer: an olive’s quantity of flesh (from a corpse) causes impurity by touching and by carrying and by being under the same roof-space (ohel); and a majority of a corpse’s bones causes impurity by touching and by carrying and by being under the same roof-space (ohel); if the flesh is diminished it is pure, but if a majority of the bones is diminished, although it does not cause impurity by being under the same roof-space, it yet causes defilement by touching and by carrying.Another answer: any flesh of a corpse less than an olive’s quantity is pure, but bones forming the greater portion of the body’ build or the greater portion of the number of the corpse’s bones, even though they do not fill a quarter-kav are yet impure. They said to Rabbi Joshua: what reason have you found for pronouncing them both pure? He said to them: No! When you pronounce impure in the case of a corpse, it is because the rules of “majority”, “quarter-kav”, and “decayed matter” apply to it. But how can you say the same of a living man, seeing that the rules of “majority”, “quarter-kav”, and “decayed matter” do not apply to him?" + ], + [ + "Rabbi Joshua and Rabbi Zadok testified concerning the redemption (lamb) of a firstborn donkey, that if it died, the priest receives nothing, Whereas Rabbi Eliezer says: the owner must bear the responsibility as with the five selas [in the case] of a [firstborn] son. But the Sages say: he bears no responsibility any more than in the case of the redemption of second tithes.", + "Rabbi Zadok testified concerning brine of unclean locusts that it is clean, Whereas the first mishnah [said]: unclean locusts that have been preserved together with clean locusts do not make their brine unfit.", + "Rabbi Zadok testified concerning flowing water which exceeded in quantity dripping water; that it was valid. There was such a case at Birath Hapilya, and when the case came before the Sages they declared it valid.", + "Rabbi Zadok testified concerning flowing water which was made to run in a stream through nut-leaves, that it was valid. There was such a case at Ahaliyya, and when the case came before [the Sages in] the Chamber of Hewn Stone they declared it valid.", + "Rabbi Joshua and Rabbi Yakim, a man of Hadar, testified concerning a jar of ashes of a red heifer which was put over a creeping thing, that they were unclean. Whereas Rabbi Eliezer had pronounced them clean. Rabbi Papias testified concerning one who had vowed two naziriteships, that if he cut his hair after the first one on the thirtieth day, he could cut his hair after the second one on the sixtieth day; and if he cut his hair on the fifty-ninth day he has also fulfilled his duty, for the thirtieth day counts towards the required number.", + "Rabbi Joshua and Rabbi Papias testified concerning the offspring of a peace-offering, that it can be brought as a peace-offering, whereas Rabbi Eliezer says that the offspring of a peace-offering cannot be brought as a peace-offering. But the sages say: it can be brought. Rabbi Papias said: “I testify that we had a cow, which was a peace-offering, and we ate it at Passover, and its offspring we ate as a peace-offering at the [next] festival.", + "They testified concerning the boards of bakers, that they are impure (they can receive impurity), whereas Rabbi Eliezer declares them pure (unable to receive impurity). They testified concerning an oven which was cut into rings and sand was put between the rings that it is impure (can receive impurity), whereas Rabbi Eliezer declares it pure (unable to receive impurity). They testified that the year may be intercalated throughout the whole of Adar, whereas they used to say: only until Purim. They testified that the year may be intercalated conditionally. There was such a case with Rabban Gamaliel who went to receive permission from the governor in Syria and he delayed in coming back; and they intercalated the year on condition that rabban gamaliel should approve; and when he came back he said: I approve, and the year was intercalated.", + "Menahem ben Signai testified concerning the ledge attached to an olive-boiler’s cauldron, that it is [liable to become] impure; and concerning that of dyers, that it is not [liable to become] impure, whereas they used to say the reverse.", + "Rabbi Nehunia ben Gudgada testified concerning a deaf-mute whose father had given her in marriage, that she could be sent away with a bill of divorcement; And concerning a minor, daughter of an Israelite who married a priest, that she could eat terumah, and if she died her husband inherited from her; And concerning a stolen beam that had been built into a palace, that it might be restored by the payment of its value; And concerning a sin-offering that had been stolen, and this was not known to many, that it caused atonement because of the welfare of the altar." + ], + [ + "Rabbi Joshua ben. Bathyra testified concerning the blood of carcasses that it was pure. Rabbi Shimon ben Bathyra testified concerning the ashes of purification, that if a defiled person had touched part of them he had defiled the whole of them. Rabbi Akiva added in regard to the fine flour, the incense, the frankincense, and the coals, that if a tevul yom had touched part of them he had made the whole of them unfit.", + "Rabbi Judah ben Baba and Rabbi Judah the priest testified concerning a minor, the daughter of an Israelite who married a priest, that she could eat terumah as soon as she entered the bridal chamber even though she had not engaged in marital intercourse. Rabbi Yose the priest and Rabbi Zechariah ben Hakatzav testified concerning a young girl who had been taken as collateral (by gentiles) in Ashkelon, and that her family had distanced her, even though her witnesses testified that she had not secluded herself [with any Man] and that she had not been defiled. The Sages said to them: if you believe that she had been taken as collateral, believe also that she did not seclude herself [with any man] and that she was not defiled; and if you do not believe that she did not seclude herself and that she was not defiled, neither believe that she had been taken as collateral.", + "Rabbi Joshua and Rabbi Judah ben Bathyra testified concerning the widow of [a man belonging to] a family of doubtful lineage (an issa), that she was fit to marry into the priesthood, [And that those of] a family of doubtful lineage are fit to declare who was unclean and who clean, who was to be put away and who was to be brought near. Rabban Gamaliel said: we accept your testimony, but what can we do since Rabban Yochanan ben Zakkai ordained that courts should not be commissioned for this purpose? The priests would listen to you concerning those who might be put away, but not concerning those who might be brought near!", + "Rabbi Yose ben Yoezer, a man of Zereda, testified concerning the ayal-locust, that it is pure; And concerning liquid in the slaughter-house (of the Temple), that it is pure; And that one who touches a corpse is impure. And they called him “Yose the permitter”.", + "Rabbi Akiva testified in the name of Nehemiah, a man of Beth Deli, that a woman is allowed to remarry on the evidence of one witness. Rabbi Joshua testified concerning bones found in the wood-shed that the Sages said: one may gather them, bone by bone, and they are all clean.", + "Rabbi Eliezer said: I have heard that when they were building the Temple [complex] they made curtains for the Temple and curtains for the Temple-courts; but in the case of the Temple they built from the outside, and in the case of the Temple-court they built from the inside. Rabbi Joshua said: I have heard that sacrifices may be offered even though there is no Temple, and that the most holy sacrifices may be eaten even though there are no curtains, and the less holy sacrifices and second tithes even though there is no wall [around Jerusalem]; because the first sanctification sanctified both for its own time and for the time to come.", + "Rabbi Joshua said: I have received a tradition from Rabban Yohanan ben Zakkai, who heard it from his teacher, and his teacher [heard it] from his teacher, as a halakhah [given] to Moses from Sinai, that Elijah will not come to pronounce unclean or to pronounce clean, to put away or to bring near, but to put away those brought near by force and to bring near those put away by force. The family of Beth Tzriphah was on the other side of the Jordan and Ben Zion put it away by force; and yet another family was there, and Ben Zion brought it near by force. It is such as these that Elijah will come to pronounce unclean or to pronounce clean, to put away or to bring near. Rabbi Judah says: to bring near, but not to put away. Rabbi Shimon says: to conciliate disputes. And the Sages say: neither to put away nor to bring near, but to make peace in the world, for it is said, “Behold I send to you Elijah the prophet”, etc., “and he shall turn the heart of the fathers to the children and the heart of the children to their fathers” (Malachi 3:23-2." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/English/Sefaria Community Translation.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/English/Sefaria Community Translation.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..c3283521ab7af9ea714cdb36ef120be59d9a049f --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/English/Sefaria Community Translation.json @@ -0,0 +1,115 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Eduyot", + "versionSource": "https://www.sefaria.org", + "versionTitle": "Sefaria Community Translation", + "status": "locked", + "license": "CC0", + "versionTitleInHebrew": "תרגום קהילת ספריא", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה עדיות", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "Shammai says: All women are judged [impure] from the time [they discover that their period has begun]; Hillel says: From the time of [one] examination [to the next] examination, even if [that spans] many days. But the Sages say: Not like the words of [Shammai] and not like the words of [Hillel]; rather, [she is judged impure] from the [day preceding the discovery] if this is less than [the span] between the last examination and the current examination; [she is judged impure] from [the span] between the last examination and the current examination if this is less than [a day preceding the discovery]. [For] all women who have regular periods, the usual onset time of her period is sufficient [to be judged impure]. Using cloth [to clean herself after sexual relations] is considered an examination, and [this act] lessens [either] the preceding day's span or [the span] between the last examination and the current examination.", + "Shammai says: [Dough] greater than a kav [a measure] [is obligated] in [the law of] challah [setting aside a portion of dough for the priests]. Hillel says: From two kabbim. The Sages say: Not like the words of [Shammai] and not like the words of [Hillel]; rather, one and a half kav is obligated in challah. After they made the measures larger they said: Five quarters are obligated. Rabbi Yossi says: Five are not obligated; five and more are obligated.", + "Hillel says: A full hin [a measure equal to three kabin] of drawn water renders a ritual bath unfit. One is obligated to transmit [oral traditions] in the language of his master [which explains why Hillel talks of hin and not kav units]. Shammai says: Nine kabin. But the Sages said: Not like the words of [Hillel] and not like the words of [Shammai], until two water drawers came from the dung gate in Jerusalem and testified in the names of Shama'ya and Avtalion: Three logim [a measure equal to a quarter of a hin] of drawn water render a ritual bath unfit; and the Sages upheld [Shama'ya and Avtalion's] words.", + "Why are the opinions of Hillel and Shammai recorded [only] to be nullified? To teach the generations that one should not be insistent in his/her opinions, for the fathers of the world were not insistent in their opinions.", + "And why do we record the words of an individual among the many, when the law is [according to] the words of the many? Because if the court sees [fit] the words of the individual, it may rely on them. But a court is not able to nullify the words of a fellow court unless they are greater in wisdom and number [than the fellow court]. If they are greater in wisdom but not number, or in number but not in wisdom, they are not able to nullify its words until they become greater in wisdom and number.", + "Rabbi Yehudah said: \"If so, why do we record the words of an individual among the majority [only] to be nullified? For if a person says \"Thus I have received [the law],\" another will say to him \"You heard it according to the words of So-and-So.\"", + "Beit Shammai says: \"A quarter of bones from any bones, whether from two or from three [limbs can render things under its same roof-space impure].\" Beit Hillel says: \"A quarter of bones from the corpse, whether from the [bones that constitute the main] structure [of the body] or from the [total] number [of bones of the body]. Shammai says: \"Even from one bone.\"", + "Vetches of terumah [the portion given to the priest]: Beit Shammai says: They must be soaked and rubbed in purity, but can be given for food in impurity.” And Beit Hillel says: They must be soaked in purity, but can be rubbed and given for food in impurity. Shammai says: They must be eaten dry. Rabbi Akiva says: All actions in connection with them [can be carried out] in impurity. ", + "One who exchanges [copper] coins from second tithe for a sela [a silver coin]: Beit Shammai says: Copper coins [worth] a whole sela. And Beit Hillel says: Silver [worth] one shekel [a coin worth half a sela] and copper coins [worth] one shekel. Rabbi Meir says: One may not substitute silver and produce for silver. But the Sages allow it. ", + "One who exchanges a sela from second tithe in Jerusalem:Beit Shammai says: Copper coins [worth] the whole sela. And Beit Hillel says: Silver [worth] one shekel and copper coins [worth] one shekel. The disputants before the Sages say: Silver [worth] three dinarim [a coin worth one-fourth of a sela] and copper coins [worth] one dinar. Rabbi Akiva says: Silver [worth] three dinarim and for the [leftover] fourth, copper coins. And Rabbi Tarfon says: Four silver asperim [a coin worth one-fifth of a dinar] [and the remaining fifth in copper]. Shammai says: He must leave it in the shop and eat on its credit. ", + "A bride’s chair from which the covering-boards have been taken: Beit Shammai considers it [liable to become] impure, and Beit Hillel [does not] consider it [liable to become] impure. Shammai says: Even the framework of a stool is [liable to become] impure. A stool which has been set in a [kneading] trough: Beit Shammai considers it [liable to become] impure, and Beit Hillel [does not] consider it [liable to become] impure. Shammai says: Even one made in it [is liable to become impure]. ", + "These are the matters concerning whichBeit Hillel went back and taught according to the opinion of Beit Shammai: A woman who came from overseas and said: \"My husband died,\" she may marry again; \"My husband died [without children],\" she must undergo levirate marriage. But Beit Hillel says: We have heard so only in [the case of a woman] who came from the harvesting. Beit Shammai said to them: It is the same thing in the case of [a woman] who came from the harvesting or [a woman] who came from the olive-picking or [a woman] who came from overseas; they mentioned harvesting only because that is how it happened. [Then] Beit Hillel went back and taught according to Beit Shammai. Beit Shammai says: She may be married and take her ketubah [marriage document] payment. But Beit Hillel says: She may be married, but she may not take her ketubah payment. Beit Shammai said to them: You have permitted the graver matter of a forbidden relationship, [but] you will not permit the lighter matter of property?Beit Hillel said to them: We have found that brothers do not enter into their inheritance based on her statement. Beit Shammai said to them: Do we not learn it from her ketubah scroll in which he writes to her: \"That if you be married to another you shall take what is written for you?\" [Then] Beit Hillel went back and taught according to the opinion of Beit Shammai. ", + "One who is half a slave and half a free man should work one day for his master and one day for himself, [according to] the words of Beit Hillel. Beit Shammai said to them: You have fixed [the problem] for his master, but you have not fixed [the problem] for himself. He is not able to marry a slave-woman, nor is he able [to marry] a free woman. Is he to refrain [from marrying]? But wasn't the world created for people to be fruitful and to multiply? For it is said, \"He did not create it to be an empty place; but established it to be inhabited\" (Isaiah 45:18). But for the rightful ordering of the world they force his master to free him, and he writes out a document for half his value. [Then] Beit Hillel went back and taught according to Beit Shammai. ", + "A vessel of earthenware [with a lid] protects everything [in it from contracting impurity], according to the words of Beit Hillel. But Beit Shammai says: It protects only food and liquids and [other] vessels of earthenware. Beit Hillel said to them: Why? Beit Shammai said to them: Because [the vessel of earthenware] is [itself] impure with respect to an ignoramus [who has presumably touched the vessel, rendering it impure], and no impure vessel interposes [against impurity]. Beit Hillel said to them: But did you not declare pure the food and liquids inside it? Beit Shammai said to them: When we declared pure the food and liquids inside it, we declared them pure for [the ignoramus] only, but when you declared the vessel pure you declared it pure for yourself and for him. [Then]Beit Hillel went back and taught according to the opinion of Beit Shammai. " + ], + [ + "Rabbi Hanina, vice-chief of the priests, testified concerning four matters: Through all their days the priests never refrained from burning meat which had been defiled by an \"offspring\" of impurity with meat which had been made impure by a \"father\" of impurity, even though they were [thereby] increasing its impurity by a [higher] impurity. Rabbi Akiva added: Through all their days the priests never refrained from lighting oil which had been disqualified by a tevul yom [one who has already immersed in a ritual bath but is waiting for the sun to set to become fully pure] in a lamp defiled by one who was defiled by a corpse, even though they were [thereby] increasing its impurity by a [higher] impurity. ", + "Rabbi Hanina, vice-chief of the priests, said: All my days I never saw a hide taken out to the place of burning. Rabbi Akiva said: From his words we infer that whoever flays the hide of the firstborn [animal] and [the animal] is found to be torn apart, the priests may enjoy the use of the hide. But the Sages say: \"We didn’t see\" is not a proof; rather, [the hide must be] taken out to the place of burning. ", + "He also testified concerning a village which was next to Jerusalem, where there was an old man who used to lend to all the people of the village and write out [the loan documents] in his own handwriting [but] others signed it. And when the case came before the Sages, they permitted it. In your way, you may infer that a wife may write her own bill of divorce, and a husband may write his own receipt, for the document is only upheld by those who sign it. And concerning a needle which was found in flesh of a [sacrifice]: that the knife and the hands [which had touched the flesh] are pure, but the flesh itself is impure; and if it was found in the excrement, all are pure. ", + "Rabbi Yishmael said three things before the Sages in the vineyard at Yavneh: Concerning an egg which was beaten and placed on vegetables of terumah [the portion given to the priest]: that it acts as a connection; but if it was in the form of a helmet [i.e. a more substantial covering over the vegetables], it does not act as a connection. And concerning an ear of grain in the harvesting, the top of which reached the [adjacent] standing grain [when bent]: that if it can be reaped together with the standing grain, it belongs to the owner; and if not, it belongs to the poor. And concerning a small garden which was surrounded by a row of vines: that if it has space for the grape-gatherer and his basket on [one] side and space for the grape-gatherer and his basket on [the other] side, it may be sown with seed; but if not, it may not be sown with seed. ", + "They said three things in front of Rabbi Yishmael, and he did not say [whether] any of them [were] permitted or forbidden; and Rabbi Joshua the son of Matya explained them: One who lances an abscess on Shabbat: if it was to make an opening, he is liable; if it was to bring out the pus, he is exempt. And concerning one who hunts a snake on Shabbat: if he was occupied with it so that it should not bite him, he is exempt; but if [he was occupied with it] so that he might use it for medicine, he is liable. And concerning Ironian stewpots [clay pots made by villagers by forming a hollow sphere and breaking it in half]: that they do not contract impurity when under the same tent as a corpse, but they become impure if they are carried by a zav [one with an abnormal genital discharge]. Rabbi Eliezer the son of Zadok says: Even if they are carried by a zav they remain pure, because they are unfinished. ", + "Rabbi Yishmael said three things, and Rabbi Akiva disagreed with him: Garlic or unripe grapes or green ears of grain which were being crushed [on the eve of the Sabbath] while it is yet day, Rabbi Yishmael says: He may finish crushing after it grows dark. But Rabbi Akiva says: He may not finish. ", + "Three things were said before Rabbi Akiva, two in the name of Rabbi Eliezer and one in the name of Rabbi Yehoshua. The two in the name of Rabbi Eliezer: A woman can go out [on the Sabbath] with a \"city of gold\" [a special, expensive headband], and those who race doves are invalid to testify. The one in the name of Rabbi Yehoshua: If there is a vermin in the mouth of a weasel and it is walking on top of loaves of terumah bread and it is unclear if it touched [the bread] or not, it is still pure. ", + "Rabbi Akiva said three things; about two they agreed with him, and about one they disagreed with him: About a lime-burner’s sandal, that it is liable to contract midras impurity [an impurity imparted by a zav on things upon which one normally walks]. And about the remains of a [broken] oven, [that they must be] four [handbreadths in order to retain impurity], whereas they used to say [the remains must be] three [handbreadths]. And they agreed with him. And about one they disagreed with him: About a chair, from which two of its adjacent covering-boards had been removed, which Rabbi Akiva declared [susceptible to] impurity, but the Sages declared not [susceptible to] impurity. ", + "He used to say: the father transmits to the son beauty, strength, wealth, wisdom, and years. And the number of generations before Him, and that shall be their appointed end: For it is said, \"calling the generations from the beginning\" (Isaiah 41:4). Although it is said, \"And shall serve them, and they shall afflict them four hundred years\" (Genesis 15:13), it is also said, \"And in the fourth generation they shall return again\" (Genesis 15:16). ", + "He also used to say that there are five things that [last] twelve months: The judgment of the generation of the flood, twelve months; The judgment of Job, twelve months; The judgment of the Egyptians, twelve months; The judgment of Gog and Magog in the time to come, twelve months; The judgment of the wicked in hell, twelve months, for it is said, \"And it will be from [one] month until the [next appearance of the same] month\" (Isaiah 66:23). Rabbi Yohanan the son of Nuri says: From Passover to Shavuot, for it is said, \"And from one sabbath until the [next] sabbath\" (ibid.). " + ], + [ + "All things that defile in a tent [i.e. anything that defiles that which is under its same roof-space], if [the pieces of the corpse] were divided and brought into the house: Rabbi Dosa the son of Harkinas [declares everything under the same roof-space] pure, but the Sages [declare it] impure. How so [i.e. what are they]? He who touches as much as two halves of an olive [in quantity] of an animal’s carcass or carries them; or in the case of a [human] corpse, he who touches as much as half an olive (and forms a tent over [i.e. stands over] as much as half an olive; or touches as much as half an olive) and as much as half an olive forms a tent above him; or if he forms a tent over as much as two halves of an olive; or if he forms a tent over as much as half an olive and as much as half an olive forms a tent above him: Rabbi Dosa the son of Harkinas [declares him] clean, and the Sages [declare him] unclean. But if he touches as much as half an olive [in quantity] and another thing forms a tent over him [that is] over as much as half an olive; (or if he forms a tent over as much as half an olive and another thing forms a tent over him and over as much as half an olive), [he is] clean [according to both Rabbi Dosa and the Sages]. Rabbi Meir said: Even in this case Rabbi Dosa [declares him] clean and the Sages [declare him] unclean. In all such cases [he is] unclean, unless there is an act of touching and also an act of carrying, or an act of carrying and also [the state of] being under the same tent. This is the general rule: [If in] whatever [case], [the means of transmitting impurity] are of one name [i.e. category], [he is] impure; if they are of two names, [he is] pure. ", + "Food [in] separate [pieces] does not combine [together to contract impurity]: the words of Rabbi Dosa the son of Harkinas. And the Sages say: It does combine. [One may] exchange [produce from] the second tithe for uncoined metal: the words of Rabbi Dosa. And the Sages say: [One may] not exchange. Hands [alone must be] immersed in order to [touch] the sin-cleansing [water]: These are the words of Rabbi Dosa. And the Sages say: If his hands have become impure, his body [also] becomes impure.", + "The inside of a melon and the leaves of a vegetable [reserved] for terumah [the portion given to the priest]: Rabbi Dosa permits them to outsiders [i.e. non-priests], but the Sages forbid it. Five ewes, their fleeces [each] weighing a maneh [a measure] and a half, are obligated in [the law pertaining to] the first of the fleece: the words of Rabbi Dosa. But the Sages say five ewes, whatever [their fleeces weigh]. ", + "All kinds of mattings [can become] impure through the impurity of death [i.e. contact with a corpse]: the words of Rabbi Dosa. And the Sages say: [Also through] midras [an impurity imparted by one with an abnormal genital discharge on things upon which one normally walks]. All things made of nets are pure, except for a girdle: the words of Rabbi Dosa. And the Sages say: [They] all [can become] impure, except those [nettings used by] wool-dealers.", + "A sling, the receptacle of which is made of woven material, can become impure. [If it is made] of skin, Rabbi Dosa the son of Harkinas [declares it] pure, and the Sages [declare it can become] impure. If its finger-hold was cut off, it is pure. [If its] string-handle [is cut off], it [can become] impure.", + "The female captive [presumably the wife or daughter of a priest] may eat terumah. These are the words of Rabbi Dosa. The Sages say: There are female captives who eat [terumah], and there are female captives who do not eat [terumah]. How so [i.e. who are they]? The woman who said, \"I was captured, but I am pure [i.e. I was not raped],\" may eat (because the mouth that forbade is the [same] mouth that permitted). If there were witnesses when she was captured and she says, \"I am pure,\" then she may not eat [terumah].", + "There are four [cases of] doubt [that] Rabbi Joshua [declares] impure, but the Sages [declare] pure. How so [i.e. what are they]? The impure stands and the pure passes by; the pure stands and the impure passes by; the impure is in the domain of the individual [i.e. private] and the pure is in the domain of the public; the pure is in the domain of the individual and the impure is in the domain of the public. [If there is] doubt [regarding whether one] touched or did not touch [the other], [or] there is doubt [regarding whether one] formed or did not form a tent over [the other], [or] there is doubt [regarding whether one] moved or did not move [the other]: Rabbi Joshua [declares these] impure, and the Sages [declare these] pure. ", + "Three things Rabbi Tzadok [declares able to become] impure, and the Sages [declare] pure: the nail of a money-changer, the closet of grinders, and the nail of a stone sundial. Rabbi Tzadok [declares that these can become] impure, and the Sages [declare these] pure. ", + "Four things Rabban Gamliel [declares able to become] impure, and the Sages [declare] pure: the covering of a metal basket, [if it] belongs to home-owners, the hanger of a strigil, unformed metal vessels, and a [clay] plate split in two [equal parts]. The Sages admit to Rabban Gamliel regarding a [clay] plate split in two [parts if] one [part was] big and one [part was] small. The bigger one [can become] impure, and the smaller one [is] pure.", + "[In] three things Rabban Gamliel was stringent like the words of Beit Shammai: [one may] not [keep] hot food insulated on a festival for the Sabbath, and [one may] not put together a lamp on the festival, and [one may] not bake thick loaves, only thin loaves [on a festival]. Said Rabban Gamliel: During all their days, my father's house would not bake thick loaves, only thin loaves. They said to him: What can we do about your father's house, who were stringent regarding themselves but were lenient regarding Israel to [allow] baking of thick loaves and [even] loaves on coal.", + "He [Rabban Gamliel] also declared three things leniently: [one can] sweep between couches [on a Sabbath/festival], and place spices [to roast] on a festival, and roast a [whole] kid during the night of Passover. And the Sages forbade them.", + "Three things Rabbi Elazar the son of Azariah permits, and the Sages forbid: his cow would go out with the strap that was between her horns [on a Sabbath], [one may] rigorously groom cattle on a festival, and [one may] grind pepper in its own mill [on a Sabbath/festival]. Rabbi Yehudah said: One may not rigorously groom cattle on the festival, because it creates a bruise, but one may lightly groom them. And the Sages say: One may not rigorously groom nor lightly groom [cattle]." + ], + [ + "The following are instances where Beit Shammai is more lenient and Beit Hillel is more strict: An egg which was laid on a festival, Beit Shammai says: It may be eaten. And Beit Hillel says: It may not be eaten. Beit Shammai says: [A person is liable for a violation of Passover eating prohibitions] with an olive-sized [portion] of yeast and a date-sized [portion] of leavened product. Beit Hillel says: With an olive-sized portion [each] of [yeast] and [leavened product].", + "(An animal that was born on a festival, everyone agrees that it is permitted [for eating on that day]. [However], a hatched chicken from an egg, all agree that it is forbidden to eat [on that day]). One who slaughters a wild animal or a bird on a festival, Beit Shammai says: He can dig with a spade and cover [the blood]. Beit Hillel says: One may not slaughter unless he had dirt already prepared [from before the festival]. Both agree that if he slaughtered it [and realized afterwards that he did not have dirt prepared], he may dig with a spade and cover [the blood], and that ash from the oven is considered prepared [from before the festival and is thus permitted to use on a festival].", + "Beit Shammai says: [That which was made] ownerless for [only] the poor is [considered] ownerless. Beit Hillel says: It is not [considered] ownerless until he also makes it ownerless for the rich, like in shemittah [the septennial \"year of release\" during which all produce is considered ownerless for everyone]. [If] all the sheaves of the field were just one kav [a measure], and one was of four kabin and it was forgotten, Beit Shammai says: It is not [considered] forgotten. And Beit Hillel says: It is [considered] forgotten.", + "A sheaf that is close to a wall, or to a stack, or to the herd, or to vessels, and it was forgotten, Beit Shammai says: It is not [considered] forgotten. And Beit Hillel says: It is [considered] forgotten.", + "A vineyard in its fourth year [the fruits of which must be brought to and consumed in Jerusalem], Beit Shammai says: [If one wishes to redeem its fruit for money], it is not [required to add] one-fifth [of its value, like it would be for second tithe], nor [is it required] to remove [the fruits of the vineyard before Passover, like it would be for other tithes in the fourth or seventh years of shemittah]. Beit Hillel says: It is [required to add] one-fifth [of its value] and [it is required] to remove [the fruits before Passover]. Beit Shammai says: The [law of] fallen grapes [still applies] to it [where the owner must leave any fallen grapes for the poor] and the [law of] gleanings [still applies] to it [where the owner may not pick the vines bare], and the poor may redeem [the grapes they pick] for themselves. And Beit Hillel says: All of it goes to the winepress [and no grapes need to be reserved for the poor].", + "A barrel of pickled olives, Beit Shammai says: One need not poke holes in it [as it is assumed that the oil in the barrel is undesirable, which immunizes the olives from the ritual impurity to which wet food is susceptible]. And Beit Hillel says: He must poke holes in it [to actively demonstrate that the oil in the barrel is undesirable]. They both agree that if it was perforated and the dregs blocked up [the holes], that it is pure [and one need not worry about the olives contracting ritual impurity]. One who anointed with pure oil and became impure, and [with the oil on him] went down [to the ritual bath] and immersed, Beit Shammai says: Even if he is dripping [oil], he is [considered] pure. And Beit Hillel says: [He is considered pure only if the oil on him is just] enough to cover a small limb. If the oil was impure from the start, Beit Shammai says: [He is pure as long as the oil on him is just] enough to cover a small limb. And Beit Hillel says: [He is impure if there is enough oil] as a moist liquid [to moisten whatever is in direct contact with it]. Rabbi Yehudah says in the name of Beit Hillel: [It needs to] moisten [whatever is in direct contact with it] and moisten [another area else as well].", + "A woman must be betrothed with a dinar [a coin worth about the same as a day's wages] or a dinar's worth, according to the words of Beit Shammai. And Beit Hillel says: With a perutah [a coin worth far less than a dinar] or a perutah's worth. And how much is a perutah? One-eighth of an Italian issar [a copper coin worth 1/24th of a dinar]. Beit Shammai says: One [may] dismiss his wife with an old divorce document, andBeit Hillel forbids it. What is an \"old divorce document?\" [It is a document written by] one who becomes confined with [his wife] after he has written [the document] for her [but has not yet given it to her]. One who divorces his wife, and then sleeps in an inn with her, Beit Shammai says: She does not need a second divorce document from him [i.e. the first divorce remains valid]. And Beit Hillel says: She needs a second divorce document from him. When? At a time when she was divorced from marriage. But if she was [merely] divorced from betrothal, she does not need a second divorce document from him, since his heart has not yet become familiar with her [and, thus, we do not suspect that they would have slept with each other].", + "Beit Shammai allow the rival wives [of a deceased brother] to [marry his surviving] brothers, and Beit Hillel forbids it. If they had done chalitzah [the ceremony of release, after which a levirate marriage is no longer required], Beit Shammai invalidate [the rival wives from marrying into] the priesthood. And Beit Hillel validate them. If they had done the levirate marriage, Beit Shammai validate the [rival wives to the priests, should the surviving brothers die as well], and Beit Hillel invalidate them. Even though [one House] invalidated and [the other House] validated, Beit Shammai did not refrain from marrying the women of Beit Hillel, and Beit Hillel did not [refrain] from marrying the women of Beit Shammai. And all the pure and impure that [one House] would declare pure and [the other House] would declare impure, they [still] did not refrain from making [sure] that [the vessels of one House] and [the vessels of the other House would remain] pure [according to both Houses].", + "Three brothers: two of them married to two sisters, and one is single. One of the sister's husbands died, and the single [brother] performed maamar [the act of betrothal required before a levirate marriage is consummated], and afterward the second brother died, Beit Shammai says: His [betrothed] wife [stays] with him, and the other [widowed wife] goes free on account of [the law of a] wife's sister [being forbidden]. And Beit Hillel says: He releases his [betrothed] wife with a divorce document and chalitzah, and his [betrothed] wife's sister with [just] chalitzah. This is what they used to say: Woe to him for his wife, and woe to him for his brother's wife.", + "If one vows [to abstain from] his wife in sexual intercourse,Beit Shammai says: [After] two weeks [of abstinence his wife may sue him for divorce]. And Beit Hillel says: [After just] one week. One who has a miscarriage on the [eve of the] eighty-first day [after giving birth]: Beit Shammai exempts her from the sacrifice [for the miscarriage], and Beit Hillel obligates her. A linen sheet with fringes: Beit Shammai exempts [the sheet from the law of fringes], and Beit Hillel obligates [in the law of fringes]. A basket [of fruit set aside] for the Sabbath: Beit Shammai exempt it [from tithes if one wishes to snack on it before the Sabbath], and Beit Hillel obligate it.", + "One who makes a nazarite vow [for] longer [than thirty days outside of the land of Israel] and he completes his nazarite [days], and afterward comes to the land [of Israel, where he must redo his nazarite vow], Beit Shammai says: he must be a nazarite for thirty days. And Beit Hillel says: He must be a nazarite [for the amount of time he vowed] in the beginning. If someone had two sets of witnesses testify about him, [one set] testifying he vowed two [nazarite vows, each thirty days], and [the other set] testifying he vowed five [nazarite vows, each thirty days], Beit Shammai says: The testimony is divided, and [thus] there is no nazarite [obligation] here. And Beit Hillel says: Included in the [claim of] five [vows] are two [vows], so he must be a nazarite twice.", + "A [dead] person who is set under the crack [of a portico], Beit Shammai says: He does not [act as a bridge to] bring the ritual impurity [into the area which is beyond the crack]. And Beit Hillel says: a person is hollow [and it is as if all he has is a head, empty space, and then feet. This results in his head being considered a bridge between the two sides of the crack], and the upper side [i.e. the person's head] brings the ritual impurity [to everything under the portico]." + ], + [ + "Rabbi Yehudah says: There are six things about which Beit Shammai is more lenient, and Beit Hillel is more stringent. The blood of an [improperly slaughtered] carcass: Beit Shammai declares ritually pure, and Beit Hillel declares ritually impure. The egg of [an improperly slaughtered bird's] carcass: if its like would be sold in the marketplace, it is permitted to eat. If not, it is forbidden, such are the words of Beit Shammai. And Beit Hillel forbids it [unequivocally]. They [both] agree that the egg of a treifah [an animal with a wound or illness that will cause it to die within twelve months] is forbidden, because it was grown in a forbidden [animal]. The blood of a gentile woman's [menstruation], and the blood of purity [i.e. blood that flows during the first forty (for a boy) or eighty (for a girl) days following childbirth] of a leprous [Jewish] woman:Beit Shammai declared pure. And Beit Hillel says: It is like their spit and urine [and is therefore impure]. One may eat seventh-year fruits whether with [giving] gratitude [to the owner] or without [giving] gratitude, such are the words of the House of Shammai. And the House of Hillel says: One may not eat them without [giving] gratitude [to the owner]. [Alternatively, the text is \"One may only eat them without giving gratitude to the owner\" since God made the food ownerless, and one should thank Him, not the owner]. A waterskin, Beit Shammai says: [It can become impure] if it is tied up and upright [so it can retain water]. And Beit Hillel says: [It can become impure] even if it is not tied up [as long as it is upright].", + "Rabbi Yose says: There are six things about which Beit Shammai was more lenient and Beit Hillel was more stringent. Poultry can be put on the [same] table [as] cheese, but cannot be eaten [with it], such are the words of Beit Shammai. And Beit Hillel says: It cannot be put [on the same table], and it cannot be eaten [with it]. One can take terumah [the portion given to the priest] from olives on behalf of oil, and from grapes on behalf of wine, such are the words of Beit Shammai. And Beit Hillel says: One does not take terumah [on behalf of oil and wine from their fruits of origin]. One who sows [seeds] within four cubits of a vineyard, Beit Shammai says: One row [of the vineyard that is closest to the area where one sowed the seeds] is rendered prohibited. And Beit Hillel says: Two rows are rendered prohibited. A water-flour mixture: Beit Shammai exempt [from the law of challah, where a portion of dough is set aside for the priest], and Beit Hillel obligate [it]. One may ritually immerse oneself in a waterfall, such are the words of Beit Shammai. And Beit Hillel says: One may not immerse oneself [there]. A convert who converts on the eve of Passover [which requires the eating of the Paschal lamb that night, only by those who are ritually pure], Beit Shammai says: He may immerse and eat the Paschal lamb that night. And Beit Hillel says: One who separates from the uncircumcised is like he who separates from the grave [i.e. he must wait seven days before he can immerse in a ritual bath, so he cannot eat the Paschal lamb that night].", + "Rabbi Yishmael says: Three items about which Beit Shammai are more lenient and Beit Hillel are more stringent. The book of Ecclesiastes does not make [a person's] hands ritually impure, such are the words of Beit Shammai. And Beit Hillel says: It [does] make the hands ritually impure. The waters of the [red heifer, biblically referred to as the waters of the] sin-offering, which have fulfilled their duty [by having been sprayed on a person who had come in contact with a dead person]: Beit Shammai declares ritually pure, and Beit Hillel declares ritually impure. Black cumin: Beit Shammai declares ritually pure [as they do not consider it a food], and Beit Hillel declares ritually impure [as they do consider it a food]. And the same [considerations about the black cumin's status as food apply] to [their positions on] tithing [for the black cumin].", + "Rabbi Eliezer says: Two things about which Beit Shammai was more lenient and Beit Hillel was more stringent. The blood of a woman who [had waited the week or two weeks after] giving birth [to a boy or a girl, respectively] who had yet to ritually immerse, Beit Shammai says: It [imparts impurity when it is wet] like her spit and her urine. And Beit Hillel says: It imparts impurity whether [it is] wet or dry. And they agree that if that woman after childbirth was a zavah [a woman with an abnormal genital discharge], [her discharge] would impart impurity whether wet or dry.", + "Four brothers, two of whom are married to two sisters, and those two brothers married to the sisters die, the [two surviving brothers] must perform chalitzah [the ceremony of release, after which a Levirate marriage is no longer required] and not [enter into] Levirate marriages. If they went and entered [into Levirate marriages anyway], they must leave [the marriages]. Rabbi Eliezer said in the name of Beit Shammai: [The Levirate marriages] stay upheld. And Beit Hillel says: They must leave [the marriages].", + "Akavya the son of Mehalelel testified about four things. They said to him: Akavya, retract the four things you have said and we will make you the head of the court of Israel. He said to them: Better I be called a fool all my days, so long as I do not do wickedness for even a single moment before the Omnipresent, so that they will not say \"he retracted because [he wanted] power.\" He used to declare impure the leftover hair [from leprous skin], and green [or yellow] blood. And the Sages declared [these things] pure. He would permit the [use of] wool that had fallen from a blemished firstborn animal and had been placed in a cavity [for safekeeping] and [the animal] was afterwards slaughtered, but the Sages forbade [the use of the wool]. He would say: One may not make a converted woman nor a freed maidservant drink [from the \"bitter waters\" that were drunk by a woman suspected of adultery as a test]. But the Sages say: [They are] made to drink. They said to him: There was the case of Karkamit, a freed maidservant in Jerusalem, who was made to drink by Shama'ya and Avtalyon! He said to them: They made her drink an \"example\" [i.e. the \"bitter waters\" they made her drink were not authentic]. They excommunicated him, and he died in excommunication, and the Court stoned his coffin. Said Rabbi Yehudah: God-forbid [one should say] that Akavya was excommunicated! For the [Temple] courtyard is never locked for any man of Israel who has wisdom and fear of sin like Akavya the son of Mehalelel [had]. So who did [the Court] excommunicate? It was Elazar the son of Khanoch, who mocked the [laws of] purity of hands. And when he died, the Court went and placed a stone on his coffin, teaching that anyone who was excommunicated and died in excommunication, they \"stone\" his coffin [i.e. they place a stone on his coffin].", + "In the hour of [Akavya's] death, he said to his son: My son, retract the four things that I used to say. [His son] said to him: And why did you not retract [these statements]? He said to him: I heard them from the mouths of many people, and they [i.e. the other Sages] heard [the opposite] from the mouths of many people. I stood by what I heard, and they stood by what they heard. But [now], you [only] heard [these things] from the mouth of a single person [i.e. me], and [the opposite] from the mouths of many people. It is better to leave the words of the single person, and to grab hold of the words of the many. [His son] said to him: Father, commend me to your colleagues [either referring to those on earth, or those in heaven]. He said to him: I cannot commend [you]. He said to him: Perhaps you do not find in me worthiness? He said to him: No! Your [own] actions will draw you near, or your [own] actions will distance you." + ], + [ + "Rabbi Yehudah the son of Bava testified about five things: [Girls who married as] minors [i.e. under the age of twelve and a half] are forced to do the \"refusal\" [when they come of age and annul their marriage]. A woman may remarry based on one witness [who saw her husband die]. A rooster in Jerusalem was stoned for killing a person. They used forty-day-old wine as libation for the Altar. And the [morning] daily offering was sacrificed at the fourth hour [into the day].", + "Rabbi Yehoshua and Rabbi Nechunya the son of Elinatan, the leader of Kfar Babylon, testified about the limb of a dead person that it is impure [i.e. it imparts impurity to anything under the same roof-space]. Rabbi Eliezer says: They [i.e. the Sages] only said this about a limb taken from a live person. They said to him: Can we not make [a logical inference that supports our view based on what you said]? If a live person is ritually pure, yet the limb from him is impure, is it not [logical to conclude] that [when] a dead person, who is impure, loses a limb, [that limb is also] impure? He said to them: [True, but] they only said [their law] in reference to a limb taken from a live person. Another answer: [There are] more [ways to impart] impurity while alive than while dead, for a live person can make that on which he lies and sits impart impurity to man and clothes, and he renders what is over him a medium that imparts impurity to food and drink, which are not impurities that a corpse can cause. [Thus, the previous logical inference of Rabbi Yehoshua and Rabbi Nechunya does not necessarily stand.]", + "An olive's size of flesh that separated from the limb of a living person: Rabbi Eliezer declares impure, and Rabbi Yehoshua and Rabbi Nechunya declare pure. A barley-grain's size of bone that separates from a limb of a living person: Rabbi Nechunya declares impure, and Rabbi Eliezer and Rabbi Yehoshua declare pure. They said to Rabbi Eliezer: Why did you see [fit] to declare an olive's worth of flesh that separated from the limb of a living person impure? He said to them: We find that the limb of a living person is like a complete dead person. Just like an olive's size of flesh that separates from a dead person is impure, so too an olive's size of flesh that separated from the limb of a living person is impure. They said to him: No. If you say that an olive's size of flesh that separated from a dead person is impure, as is a barley-grain's size of bone that separates from [a dead person], [how] will you also declare an olive's size of flesh that separated from the limb of a living person impure when you declare pure a barley-grain's size of bone that separates from [the limb of a living person]? [You yourself do not appear to judge these cases as parallel to each other, so how can you claim that to be your reasoning?] They said to Rabbi Nechunya: Why did you see fit to declare a barley-grain's size of bone that separated from the limb of a living person impure? He said to them: We find that the limb of a living person is like a complete dead person. Just like a barley-grain's worth of flesh that separates from a dead person is impure, so too a barley-grain's worth of bone that separated from the limb of a living person is impure. They said to him: No. If you say that a barley-grain's worth of bone that separated from a dead person is impure, as is an olive's size of flesh that separates from [a dead person], [how] will you also declare a barley-grain's size of bone that separated from the limb of a living person impure when you declare pure an olive's worth of flesh that separates from [a living person]? [You yourself do not appear to judge these cases as parallel to each other, so how can you claim that to be your reasoning?] They said to Rabbi Eliezer: Why did you see fit to divide your method [and be inconsistent in your reasoning]? Either they are both pure, or they are both impure! He said to them: [There are] more [chances for] flesh [to become] impure than [there are chances] for bones [to become] impure, for flesh applies to carcasses and insects, which is not so for bones. Another answer: A limb that has enough flesh on it [that were it still attached to a human being, it would be viable] imparts impurity by touching, carrying, and being under its [same] roof-space. If one diminishes the flesh [of the limb], it remains impure. If one diminishes the bone [of the limb], it [becomes] pure. They said to Rabbi Nechunya: Why did you see fit to divide your method [and be inconsistent in your reasoning]? Either they are both pure, or they are both impure! He said to them: [There are] more [chances for] bones [to become] impure than [there are chances] for flesh to become impure, for flesh separated from a living man is pure, but a limb that is separated from [a living man], and it is full [with flesh, bone, and sinews], it is impure. Another answer: An olive's worth of flesh [severed from a corpse] imparts impurity by touching, carrying, and being under its roof-space, and bones create a majority in making impure by touching, carrying, and being under its [same] roof-space, and a majority of a corpse's bones impart impurity by touching, carrying, and being under their [same] roof-space. If one diminishes [the] flesh [that has been severed from a corpse], it [becomes] pure. If one diminishes the majority of bone, even though they [now become] pure [and can no longer impart impurity on whatever is] under their same roof-space, they [still] impart impurity by touching and carrying. Another answer: Any flesh of a dead person which is less than an olive's worth is pure. But [bones that makes up] the majority of a dead person's build or [constitute] a majority of his [bone] count, even if they are only a quarter [kav (a measure)], they are impure. They said to Rabbi Yehoshua: Why did you see fit to declare both [bone and flesh from a dead person] pure? [Is not Rabbi Nechunya's reasoning correct?] He said to them: No. If you say about a corpse [that it is impure, it is because of] the laws of majority, quarter [kav], and decay [that apply to it], but [how can you] also say about a living person [that he is impure], [if] he does not have the laws of majority, quarter [kav], and decay [apply to him]? [You cannot compare that which was separated from a corpse with that which was separated from the limb of a living person, because the limbs severed from a living person are less likely to impart impurity than the corpse.]" + ], + [ + "Rabbi Yehoshua and Rabbi Tzadok testified about the redemption [sheep] of the first-born donkey, that if it had died, it is no longer the priests at all. But Rabbi Eliezer said that he is obligated in his responsibility [to give the priest the sheep], like [his obligation regarding] the five selaim [silver coins] [with which he redeems] his [first-born] son. The Sages say: He is only obligated in his responsibility in the same way [that he would be obligated] in the redemption of second tithes.", + "Rabbi Tzadok testified about the brine of impure locusts, that it is pure. But the first [i.e. earlier] Mishnah stated: If impure locusts were pickled along with pure locusts, their brine is not invalidated [for drinking].", + "Rabbi Tzadok testified about flowing water that was more [in quantity] than the dripping water [in a ritual bath], that it was fit [for use, even if the water was less than forty se'im (a measure)]. It happened once in Birat Happiliya, and the case came before the Sages and they declared it fit [for use].", + "Rabbi Tzadok testified about flowing water that was diverted into a stream using the leaves of nuts, that it was fit [for use as a ritual bath, even if the water was less than forty se'im]. It once happen in Ahaliya, and the case came before the Chamber of Hewn Stone [i.e. the Sanhedrin], and they declared it fit.", + "Rabbi Yehoshua and Rabbi Yakim, leader of Hadar, testified about an [earthenware] jar that contained [ashes of the red heifer, biblically referred to as] the sin-offering, which was passed over an insect, that it was impure. Rabbi Eliezer declared it pure. Rabbi Pappayis testified about one who vows two Nazarite vows [each thirty days long], that if he cut his hair on the thirtieth day of the first [vow], he could cut his hair on the sixtieth day of the second one. If he had cut his hair on the day before the sixtieth day [i.e. the fifty-ninth day], he [nevertheless] fulfilled his Nazarite vows, because the thirtieth day [when he cut his hair for the first time] counts for him from the count [as both the end of the first vow and the beginning of the second vow].", + "Rabbi Yehoshua and Rabbi Pappayis testified about the offspring of [an animal that was set aside as a] peace-offering, that it was offered as a peace-offering [as well, since it is consecrated through its mother when it was in the womb]. But Rabbi Eliezer says: The offspring of a peace-offering does not [need to be] offered as a peace-offering. Said Rabbi Pappayis: I testify that we had a cow to sacrifice as a peace-offering, and we ate it on Passover, and we ate its offspring as a peace-offering during the holiday [of Shavuot].", + "They testified that the boards of bakers are [capable of becoming] impure. But Rabbi Eliezer declared them pure. They testified about an oven that was cut into round pieces, and one puts sand between each piece, that it [was capable of becoming] impure. But Rabbi Eliezer declared it pure. They testified that they could intercalate a year throughout the whole Adar [i.e. they had until the end of Adar to declare a leap year]. For they used to say it was only until Purim. They testified that they could intercalate a year on condition [if the Nasi approved it]. And it once happened to Rabban Gamliel, that he went to take permission from the governor of Syria, and he delayed in coming [back], and they intercalated the year on condition that Rabban Gamliel would acquiesce [to it], and when he came back, he said \"I acquiesce [to it],\" and the year became a leap year. ", + "Menachem the son of Signai testified about the [plaster] ledge attached to the olive-boiler's cauldron, that it was [capable of becoming] impure, and [the ledge on the cauldron] of dyers, that it was pure. But they used to say the opposite [was true].", + "Rabbi Nechunya the son of Gidgeda testified about the deaf-mute woman whose father had married her off: that she can leave [the marriage] with a divorce document. And about a minor [orphaned] daughter of an Israelite [i.e. a non-priest] who married a priest: that she can eat terumah [the portion given to the priest], and if she dies, her husband inherits [from her]. And about a stolen beam that was built into a palace: that he [i.e. the one who stole the beam] gives its value [in repayment, as opposed to returning the actual beam, which would be impossible in this case]. And about a stolen sin-offering that many did not know about: that it can effect atonement, because of the welfare of the altar [because if it was invalid, then the priests would refuse to sacrifice all their offerings lest they were stolen]." + ], + [ + "Rabbi Yehoshua the son of Beteira testified about the blood of [an improperly slaughtered] carcass that it was pure. Rabbi Shimon the son of Beteira testified about [the ashes of a red heifer, biblically referred to as] the sin-offering, a little of which came in contact with something impure, that it causes the entire [batch of ashes] to become impure. Rabbi Akiva added: About fine flour, the incense, the frankincense, and the coals, a little of which came into contact with a tevul yom [one who has already immersed in a ritual bath but is waiting for the sun to set to become fully pure]: he invalidates them all.", + "Rabbi Yehudah the son of Bava and Rabbi Yehudah the Priest testified about a minor daughter of an Israelite [i.e. a non-priest] who married a priest: that she may eat the terumah [the portion given to the priests] as soon as they enter the wedding canopy, even if they have not yet consummated [the marriage]. Rabbi Yosi the Priest and Rabbi Zachariah the son of Haktzav testified about the baby girl who had been taken as collateral in Ashkelon [to gentiles], and her family members distance [themselves from her, thus preventing her from marrying], and witnesses testify that she was never secluded [with the gentiles] and that she was not defiled [by the gentiles]. The Sages said to them: If you believe that she was taken as collateral, then you [should] believe you that she was neither secluded [with] nor defiled [by the gentiles]. If you do not believe that she was not secluded [with] and not defiled [by the gentiles], then you [should not] believe that she was taken as collateral.", + "Rabbi Yehoshua and Rabbi Yehudah the son of Beteira testified about the widow of a man from a possibly illegitimate lineage: that she was fit for marrying a priest, and that those from a possibly illegitimate lineage are considered fit [to declare who is] pure and impure, [who] to bring close and [who] to distance. Rabban Shimon the son of Gamliel said: We have accepted your testimony, but what shall we do, for Rabbi Yochanan the son of Zakkai has decreed for courts to not be commissioned for this [i.e. for the widow of a man from a possibly illegitimate lineage to marry a priest]! The priests would listen to you on whom to distance, but not whom to bring close.", + "Rabbi Yosi the son of Yoezer, leader of Tzereda, testified about the ayil-locust: that it is pure. And about liquid in the slaughterhouse [of the Temple]: that it is pure. And about one who touches a dead body: he is impure. And they used to call him \"Yosi the Permitter.\"", + "Rabbi Akiva testified in the name of Nechemiah leader of Bet Dali, that a woman may remarry based on one witness [who confirms that her husband has died]. Rabbi Yehoshua testified about bones that were found in a wood-shed [of the Temple] that the Sages said: One may gather bone by bone, and it [i.e. the Temple and the things inside it] is all [still] pure.", + "Rabbi Eliezer said: I heard that when they built the Temple they made curtains for the Temple, and curtains for the courtyard [to demarcate where they were going to build the walls]. But the Temple was built from the outside [of the curtain border], while the courtyard was built from the inside [of the curtain border]. Rabbi Yehoshua said: I heard that we may sacrifice even without the Temple and eat the holy sacrifices even though there are no curtains, and [eat] the regular sacrifices and second tithes even though there is no wall [surrounding Jerusalem] because the first sanctification sanctified [the area] for its time and for the time to come. ", + "Rabbi Yehoshua said: I have a tradition from Rabbi Yochanan the son of Zakkai, who heard it from his teacher, and his teacher from his teacher - a law to Moses from Sinai! - that Eliyahu will not come to declare people pure or impure, to distance [i.e. make impure] people or to bring [into purity those who are declared impure], but rather to distance those who were brought near by force, and to bring close those who were distanced by force. The family Bet Tzreifa was across the Jordan, and Ben Tzion distanced them by force, and someone else was there and Ben Tzion brought them close by force. [It is cases] such as these [that] Eliyahu is coming to declare pure and impure, to bring near and to distance. Rabbi Yehudah says: to bring [people] close, but not to [make people] distant. Rabbi Shimon says: to resolve arguments. The Sages say: He will not come to make distant or to bring close, but to make peace in the world, as it says \"Behold, I will send you Elijah the prophet [before the coming of the great and terrible day of the LORD]. And he shall turn the heart of the fathers to the children, and the heart of the children to their fathers\" (Malachi 3:23-24)." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/English/Talmud Bavli. German. 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GENUG; HILLEL SAGT, [SIE SEI RÜCKWIRKEND UNREIN DIE ZWISCHENZEIT] SEIT DER UNTERSUCHUNG BIS ZUR [VORANGEHENDEN] UNTERSUCHUNG3Wenn sie bei der vorletzten Untersuchung kein Menstrualblut bemerkt hat, bei der letzten aber wohl, so ist alles, was sie während dieser Zeit berührt hat, unrein., AUCH WENN VIELE TAGE DAZWISCHEN LIEGEN. DIE WEISEN SAGEN WEDER WIE DER EINE NOCH WIE DER ANDERE, SONDERN [DIE ZWISCHENZEIT] SEIT DIESER TAGESSTUNDE BIS ZUR [VORANGEHENDEN] TAGESSTUNDE4Genau 24 Stunden vor der letzten Untersuchung., WENN DIES WENIGER IST ALS [DIE ZWISCHENZEIT] SEIT DER UNTERSUCHUNG BIS ZUR [VORANGEHENDEN] UNTERSUCHUNG, ODER [DIE ZWISCHENZEIT] SEIT DER UNTERSUCHUNG BIS ZUR [VORANGEHENDEN] UNTERSUCHUNG, WENN DIES WENIGER IST ALS [DIE ZWISCHENZEIT] SEIT DIESER TAGESSTUNDE BIS ZUR [VORANGEHENDEN TAGESSTUNDE]. HAT EINE FRAU EINE REGELMÄSSIGE PERIODE, SO HAT SIE AN IHRER ZEIT5Die Verunreinigung beginnt mit ihrer regelmäßigen Periode. GENUG. BENUTZT SIE BEIM BEISCHLAFE TÜCHER6Zum Zwischen, durch die gleichzeitig festgestellt werden kann, ob sie rein war. Möglicherweise ist die Lesart והמשתמשת der Erstausgabe richtig, u. zwar in der gewöhnlichen Bedeutung benutzen, sich bedienen : wenn sie sich der Tücher bedient., SO GILT DIES ALS UNTERSUCHUNG7Man nimmt nicht an, daß viell. Blutflecke mit Sperma bedeckt waren., SODASS SIE NUR DEN KLEINEREN ZEITRAUM UNREIN IST, ENTWEDER[DIE ZWISCHENZEIT] VON DIESER TAGESSTUNDE BIS ZUR [VORANGEHENDEN TAGESSTUNDE], ODER [DIE ZWISCHENZEIT] VON DIESER UNTERSUCHUNG BIS ZUR [VORANGEHENDEN] UNTERSUCHUNG.", + "ŠAMMAJ SAGT, EIN KAB [MEHL]8Der aus diesem Quantum bereitete Teig; cf. Num. 15,20. UNTERLIEGT DER PFLICHT DER TEIGNHEBE; HILLEL SAGT, ZWEI KAB. DIE WEISEN SAGEN WEDER WIE DER EINE NOCH WIE DER ANDERE, SONDERN ANDERTHALB KAB UNTERLIEGEN DER PFLICHT DER TEIGHEBE. NACHDEM DIE MASSE VERGRÖSSERT WORDEN9Cf. Er. Fol. 83a. SIND, BESTIMMTEN SIE, DASS FÜNF VIERTELLOG DIESER PFLICHT UNTERLIEGEN. R. JOSE SAGT, FÜNF SEIEN NICHT PFLICHTIG, FÜNF UND DARÜBER SEIEN PFLICHTIG.", + "HLLLEL SAGT, EIN HLN VOLL GESCHÖPFTES WASSER MACHT DAS RITUELLE TAUCHBAD10Das aus 40 Sea͑ angesammeltem Wasser bestehen muß.UNTAUGLICH. JEDER IST NÄMLICH VERPFLICHTET, DIE AUSDRUCKSWEISE SEINES LEHRERS11Dies erklärt, weshalb er hier nach dem biblischen Hin (3 Kab = 12 Log) rechnet, obgleich damals nicht mehr nach diesem Maße gerechnet worden war; nach anderen erklärt dies das unnötig gebrauchte Wort ‘voll’.ZU GEBRAUCHEN. ŠAMMAJ SAGT, NEUN KAB. DIE WEISEN SAGEN WEDER WIE DER EINE NOCH WIE DER ANDERE. ALS ZWEI WEBER VOM MISTTORE ZU JERUŠALEM KAMEN UND IM NAMEN VON ŠEMA͑JA UND PTOLLION BEKUNDETEN, DASS DREI LOG GESCHÖPFTES WASSER DAS TAUCHBAD UNTAUGLICH MACHEN, BESTÄTIGTEN DIE WEISEN IHRE AUSSAGE.", + "WESHALB WERDEN DIE WORTE VON ŠAMMAJ UND HILLEL UNNÖTIG12Da nach diesen doch nicht entschieden worden ist. ANGEFÜHRT? UM DIE KOMMENDEN GENERATIONEN ZU LEHREN, DASS NIEMAND AUF SEINEN WORTEN BEHARRE, DENN AUCH DIE VÄTER DER WELT BEHARRTEN NICHT AUF IHREN WORTEN.", + "WESHALB WIRD DIE ANSICHT EINES EINZELNEN GEGEN DIE DER MEHRHEIT ANGEFÜHRT, WO DOCH DIE HALAKHA NUR NACH DER MEHRHEIT ENTSCHIEDEN WIRD? DAMIT, WENN EINEM GERICHTE DIE ANSICHT DES EINZELNEN EINLEUCHTET, ES SICH DARAUF STÜTZEN KÖNNE. EIN GERICHT KANN NÄMLICH DIE BESTIMMUNG EINES ANDEREN GERICHTES NUR DANN AUFHEBEN, WENN ES JENES AN WEISHEIT UND ANZAHL13Darunter ist schwerlich die Anzahl der Mitglieder zu verstehen, denn 1. bestand das Gerichtskollegium aus einer festgesetzten Anzahl von Mitgliedern, u. 2. wird dieser Ausdruck auch von einzelnen Personen gebraucht. Nach anderer Erklärung: Anzahl der Jahre, Alter.ÜBERTRIFFT. ÜBERTRIFFT ES JENES NUR AN WEISHEIT UND NICHT AN ANZAHL, ODER NUR AN ANZAHL UND NICHT AN WEISHEIT, SO KANN ES DESSEN BESCHLÜSSE NICHT AUFHEBEN; NUR WENN ES JENES AN WEISHEIT UND ANZAHL ÜBERTRIFFT.", + "R. JEHUDA SAGTE: WESHALB WIRD DEMNACH DIE ANSICHT DES EINZELNEN GEGEN DIE DER MEHRHEIT ANGEFÜHRT? DAMIT MAN, WENN JEMAND SAGT, SO14Gegen die Halakha.SEI ES IHM ÜBERLIEFERT WORDEN, IHM ERWIDERN KÖNNE, ER HABE DIE ANSICHT VON JENEM15Einzelnen, dessen Ansicht von der Mehrheit widerlegt wurde.GEHÖRT.", + "DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, EIN VIERTEL [KAB] GEBEINE [IST VERUNREINIGEND16Sie übertragen die Unreinheit auf alles, was sich mit ihnen unter einem Dache befindet; durch Berührung ist auch das kleinste Teilchen verunreinigend.], AUCH VON ZWEI ODER DREI LEICHEN; DIE SCHULE HLLLELS SAGT, NUR EIN VIERTEL [KAB] VON EINER LEICHE, UND NUR WENN SIE DEM KÖRPERBAU ODER DER ANZAHL NACH DEN GRÖSSEREN TEIL BILDEN; ŠAMMAJ SAGT, AUCH EIN EINZIGER KNOCHEN.", + "WICKEN17Diese sind, obgleich Viehfutter, der Hebepflicht unterworfen, da sie in der Hungersnot auch von Menschen gegessen werden.VON HEBE DARF MAN, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, NUR IN REINHEIT18Unter Beobachtung der priesterlichen Reinheitsgesetze.EINWEICHEN UND ZERREIBEN19Nach anderer Erklärung: damit den Körper abreiben., UND AUCH IN UNREINHEIT [EINEM VIEH] ZU FRESSEN GEBEN, UND WIE DIE SCHULE HILLELS SAGT, NUR IN REINHEIT EINWEICHEN, UND AUEN IN UNREINHEIT [EINEM VIEH] ZU FRESSEN GEBEN. DLE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, MAN ESSE SIE NUR TROCKEN20Damit es nicht direkt in die Augen falle, daß sie verunreinigungsfähig sind.; R. A͑QIBA SAGT, IHRE GANZE BEHANDLUNG DARF IN UNREINHEIT ERFOLGEN21Da sie überhaupt nicht der Hebepflicht unterliegen..", + "WER EINEN SELA͑ SCHEIDEMÜNZE VOM ZWEITEN ZEHNTEN22Vom Erlöse des 2. Zehnten, der nur in Jerušalem gegessen werden darf.EINWECHSELT23Außerhalb Jerušalems., WECHSLE, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, FÜR EINEN GANZEN SELA͑ SCHEIDEMÜNZE24Dh. er darf sein ganzes Geld in Silber umsetzen, wegen der Erleichterung des Transportes.; DIE SCHULE HILLELS SAGT, FÜR EINEN SEQEL [NEHME ER] SILBER UND FÜR EINEN ŠEQEL [BEHALTE ER] SCHEIDEMÜNZE25Da er in Jerušalem das Silber zurück auf Scheidemünze wechseln und Wechselgeld zahlen muß; außerdem würde wegen der starken Nachfrage auch das Kupfergeld im Preise steigen.. R. MEÍR SAGT, MAN DÜRFE NICHT SILBER UND FRÜCHTE DURCH SILBER AUSWEIHEN, DIE WEISEN ERLAUBEN DIES.", + "WER EINEN SELA͑ VOM ZWEITEN ZEHNTEN IN JERUŠALEM WECHSELT, NEHME, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, FÜR DEN GANZEN SELA͑ SCHEIDEMÜNZE26Damit er nicht durch das häufige Wechseln zuviel an Wechselgeld verausgabe., UND WIE DIE SCHULE HLLLELS SAGT, [AUCH] FÜR EINEN ŠEQEL SILBER UND FÜR EINEN ŠEQEL SCHEIDEMÜNZE. DIE VOR DEN WEISEN DISPUTIERENDEN27Cf. Syn. Fol. 17b., SAGTEN, DREI DENARE SILBER UND FÜR EINEN DENAR SCHEIDEMÜNZE. R. A͑QIBA SAGT, DREI DENARE SILBER UND FÜR EIN VLERTEL28Nach Maimonides, eines Šeqel (= ½ Denar), nach anderen eines Denars. SCHEIDEMÜNZE; R. TRYPHON SAGT, FÜR VIER ASPER29Des 4. Denars; 1 D. = 5A.SILBER. ŠAMMAJ SAGT, ER HINTERLEGE IHN IN EINEM LADEN UND VERZEHRE SEINEN WERT.", + "WENN VON EINEM BRAUTSESSEL DER ÜBERZUG30Viell. Polsterkissen od. Besatz.FEHLT, SO IST ER NACH DER SCHULE ŠAMMAJS VERUNREINIGUNGSFÄHIG31Obgleich eine Sache nur dann verunreinigungsfähig ist, wenn sie als solche benutzt werden kann; dieser ist noch als gewöhnlicher Sessel benutzbar., UND NACH DER SCHULE HILLELS NICHT MEHR VERUNREINIGUNGSFÄHIG. ŠAMMAJ SAGT, SELBST DAS UNTERGESTELL EINES STUHLES SEI VERUNREINIGUNGSFÄHIG32Da es als Sitzgelegenheit zu benutzen ist.. WENN MAN EINEN STUHL AN EINE MULDE ANGEBRACHT HAT, SO IST ER NACH DER SCHULE ŠAMMAJS VERUNREINIGUNGSFÄHIG33Auch wenn er als Sitz verwendet wird.UND NACH DER SCHULE HILLELS NICHT VERUNREINIGUNGSFÄHIG. ŠAMMAJ SAGT, SOGAR WENN ER VON VORNHEREIN AN DIESE ANGEBRACHT WAR34Sei er als Sitz verunreinigungsfähig, u. umsomehr, wenn er ursprünglich als Stuhl angefertigt worden war..", + "BEI FOLGENDEN DINGEN TRAT DIE SCHULE HILLELS ZURÜCK UND LEHRTE WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS. WENN EINE FRAU AUS DEM ÜBERSEELANDE KOMMT UND SAGT, IHR MANN SEI GESTORBEN, SO DARF SIE HEIRATEN, UND AN IHR DIE SCHWAGERSEHE VOLLZOGEN WERDEN. HIERZU SAGTE DIE SCHULE HILLELS, SIE HABE DIES NUR VON DEM FALLE GEHÖRT, WENN SIE VON DER GETREIDEERNTE35Ein solcher Fall hatte sich zugetragen u. man erlaubte der Frau zu heiraten, nach Ansicht der Schule Hillels aus dem Grunde, weil bei der Ernte sehr oft Unfälle (Hitzschläge, Schlangenbisse) vorkommen.KOMMT. DIE SCHULE ŠAMMAJS ERWIDERTE: EINERLEI OB SIE VON DER GETREIDEERNTE, VON DER OLIVENLESE ODER AUS DEM ÜBERSEELANDE KOMMT; SIE SPRECHEN NUR DESHALB VON DER ERNTE, WEIL JENER FALL36Vgl. Bd. IV S. 736 Anm. 59.SICH DANN EREIGNETE. DA TRAT DIE SCHULE HLLLELS ZURÜCK UND LEHRTE WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS. DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGTE, SIE37Eine Frau, die keine Zeugen hat, daß ihr Mann gestorben ist. DÜRFE HEIRATEN UND ERHALTE AUCH IHRE MORGENGABE ; DIE SCHULE HILLELS SAGTE, SIE DÜRFE ZWAR HEIRATEN, JEDOCH ERHALTE SIE NICHT IHRE MORGENGABE. DA SPRACH DIE SCHULE ŠAMMAJS ZU DIESER: IHR HABT ES IHR HINSICHTLICH DES STRENGEN INZESTVERBOTES38Ist ihre Behauptung unwahr, so ist ihre neue Heirat Ehebruch.ERLAUBT, WIE WOLLT IHR ES IHR NICHT HINSICHTLICH DER LEICHTEREN GELDANGELEGENHEIT ERLAUBEN!? DIE SCHULE HILLELS ERWIDERTE: WIR FINDEN, DASS AUCH DIE BRÜDER39Die Erben. AUF IHRE AUSSAGE HIN DIE ERBSCHAFT NICHT ANTRETEN40Sondern nur auf Grund der Bekundung von 2 Zeugen. Die Heirat hat man ihr nur aus besonderer Berücksichtigung erlaubt, damit sie nicht zeitlebens einsam verbleibe, hinsichtlich der Morgengabe aber wurde das bestehende Gesetz beibehalten.KÖNNEN. DIE SCHULE ŠAMMAJS ENTGEGNETE: DIES IST JA AUS DER URKUNDE ÜBER IHRE MORGENGABE ZU ENTNEHMEN; IN DIESER SCHREIBT ER IHR: HEIRATEST DU EINEN ANDEREN, SO ERHÄLTST DU, WAS DIR VERSCHRIEBEN IST. DA TRAT DIE SCHULE HILLELS ZURÜCK UND LEHRTE WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS.", + "DER HALBSKLAVE DIENE, WIE DIE SCHULE HILLELS SAGT, EINEN TAG SEINEM HERRN UND EINEN TAG SICH SELBER. DIE SCHULE ŠAMMAJS ERWIDERTE: IHR HABT EINE VORSORGE FÜR SEINEN HERRN GETROFFEN, NICHT ABER FÜR IHN; EINE SKLAVIN HEIRATEN DARF ER NICHT41Da er zum Teil Freier bzw. Sklave ist., EINE FREIE HEIRATEN DARF ER EBENFALLS NICHT41Da er zum Teil Freier bzw. Sklave ist., [DIE HEIRAT] GANZ UNTERLASSEN, KANN ER EBENFALLS NICHT, DA DIE WELT ZUR FORTPFLANZUNG ERSCHAFFEN WORDEN IST, WIE ES HEISST:42Jes. 45,18.nicht zur Einöde hat er sie erschaffen, sondem daß sie bewohnt werde. ALS VORSORGENDE INSTITUTION ZWINGE MAN VIELMEHR SEINEN HERRN, IHN ZUM FREIEN ZU MACHEN, UND DIESER SCHREIBE IHM EINEN SCHULDSCHEIN ÜBER DIE HÄLFTE SEINES WERTES. DARAUF TRAT DIE SCHULE HILLELS ZURÜCK UND LEHRTE WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS.", + "DAS TONGEFÄSS SCHÜTZT43Was sich in diesem befindet, vor Verunreinigung, wenn es geschlossen sich mit einer Leiche in einem Raume befindet.ALLES – SO DIE SCHULE HILLELS; DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, ES SCHÜTZE NUR SPEISEN, GETRÄNKE UND TONGEFÄSSE. DIE SCHULE HILLELS SPRACH: WESHALB? DIE SCHULE ŠAMMAJS ERWIDERTE: DIESES IST DURCH DEN MANN AUS DEM GEMEINEN VOLKE44In deren Besitz es sich befindet. UNREIN, UND DAS UNREINE GEFÄSS HÄLT [DIE UNREINHEIT] NICHT ZURÜCK. DIE SCHULE HILLELS ENTGEGNETE: IHR HABT JA ABER DIE DARIN BEFINDLICHEN SPEISEN UND GETRÄNKE ALS REIN ERKLÄRT!? DIE SCHULE ŠAMMAJS ERWIDERTE: WENN WIR DIE DARIN BEFINDLICHEN SPEISEN UND GETRÄNKE ALS REIN ERKLÄRT HABEN, SO HABEN WIR SIE NUR FÜR IHN45Den Mann aus dem gemeinen Volke, da Gelehrte, die die Reinheitsgesetze beobachten, diese ohnehin nicht genießen würden.SELBST ALS REIN ERKLÄRT; WENN DU ABER AUCH DAS GEFÄSS46Od. sonst irgend ein Gerät.ALS REIN ERKLÄRT HAST, SO HAST DU ES FÜR DICH47Ein Gelehrter könnte diese Dinge von einem Manne aus dem gemeinen Volke entleihen u. im Glauben, sie seien nur einer leichten Verunreinigung (der Berührung ihres Eigentümers) ausgesetzt gewesen, sie untertauchen und benutzen, während bei der Verunreinigung durch eine Leiche eine viel radikalere Reinigung (cf. INum. 19,18ff.) erforderlich ist.UND FÜR IHN ALS REIN ERKLÄRT. DA TRAT DIE SCHULE HILLELS ZURÜCK UND LEHRTE WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS." + ], + [ + "iR.ANINA DER PRIESTERPRÄSES BEKUNDETE VIER DINGE. NIE IN IHREM LEBEN HABEN DIE PRIESTER ES VERMIEDEN, FLEISCH, DAS AN EINER ERSTGRADIGEN UNREINHEIT1Vgl. Bd. I S. 402 Anm. 7. UNREIN WURDE, ZUSAMMEN MIT FLEISCH, DAS AN EINER URUNREINHEIT UNREIN WURDE, ZU VERBRENNEN, OBGLEICH DADURCH DIE UNREINHEIT[DES ERSTEN] ERHÖHT WIRD. R. A͑QIBA FÜGTE HINZU: NIE IN IHREM LEBEN HABEN DIE PRIESTER ES VERMIEDEN, ÖL, DAS [DURCH BERÜHRUNG] MIT EINEM, DER AM SELBEN TAGE UNTERGETAUCHT2Obgleich der Unreine untergetaucht und sein Opfer dargebracht hat, so erlangt er dennoch völlige Reinheit erst nach Sonnen-untergang. IST, UNTAUGLICH WURDE, IN EINER LEUCHTE ZU BRENNEN, DIE [DURCH BERÜHRUNG] MIT EINEM LEICHENUNREINEN UNREIN WURDE, OBGLEICH DADURCH DIE UNREINHEIT [DES ERSTEN] ERHÖHT WIRD.", + "FERNER BEKUNDETE R. ÇANINA DER PRIESTERPRÄSES : NIE IN MEINEM LEBEN SAH ICH DIE HAUT3Eines untauglich gewordenen Opfertieres. NACH DEM VERBRENNUNGSRAUME4Wo die untauglichen Opfer verbrannt wurden. BRINGEN. R. ÄQIBA FÜGTE HINZU: AUS SEINEN WORTEN LERNEN WIR, DASS, WENN DAS ERSTGEBORENE ENTHÄUTET UND TOTVERLETZT5Dessen Genuß dann verboten ist. BEFUNDEN WIRD, DIE PRIESTER DIE HAUT BENUTZEN DÜRFEN. DIE WEISEN ABER SAGEN: NICHT GESEHEN IST KEIN BEWEIS; DIESE IST VIELMEHR NACH DEM VERBRENNUNGSRAUME ZU BRINGEN.", + "DERSELBE BEKUNDETE FERNER: IN EINEM KLEINEN DORF BEI JERUŠALEM WAR EIN GREIS, DER AN DIE LEUTE DES DORFES GELD ZU VERLEIHEN, [DEN SCHULDSCHEIN] MIT EIGENER HAND ZU SCHREIBEN UND VON ANDEREN UNTERZEICHNEN ZU LASSEN PFLEGTE, UND ALS DIE SACHE VOR DIE WEISEN KAM, ERLAUBTEN SIE DIES6In der Regel hat der Schuldner den Schuldschein zu schreiben.. HIERAUS IST ZU SCHLIESSEN, DASS DIE FRAU SELBER IHREN SCHEIDEBRIEF UND DER MANN SELBER SEINE QUITTUNG7Wenn er ihr die Morgengabe auszahlt. SCHREIBEN DÜRFE, DENN DIE BESTÄTIGUNG DER URKUNDE ERFOLGT NUR DURCH DIE UNTERZEICHNER. UND FERNER [BEKUNDETE ER], DASS, WENN EINE [UNREINE] NADEL IM FLEISCHE [EINES OPFERTIERES] GEFUNDEN8Und es zweifelhaft ist, ob die ISadel auch mit dem Messer oder der Person in Berührung gekommen ist. WIRD, DAS MESSER UND DIE HÄNDE REIN SEIEN, DAS FLEISCH ABER UNREIN, UND WENN IM MISTE, ALLES REIN SEI.", + "DREI LEHREN TRUG R. JIŠMA͑ÉL DEN WEISEN IN DER AKADEMIE9Wörtl. Weinberg; entspricht ganz dem griech. ᾽ Ακαδήμεια, Lusthain vor Athen, wo Plato lehrte. ZU JABNE VOR. WENN EIN ZERSCHLAGENES EI SICH AUF KRÄUTERN VON HEBE BEFINDET, SO BILDET ES EINE VERBINDUNG10Zwischen der Person, die das Ei berührt, mit dem Kraute; wenn beispielsweise jemand, der am selben Tage untergetaucht (vgl. Anm. 2) ist, dessen Berührung nur Heiliges untauglich macht, das Ei berührt, so bildet dieses eine Verbindung, sodaß die Kräuter untauglich werden., HAT ES SICH ABER ZU EINER BLASE11Sodaß die Kräuter von diesem unberührt bleiben.GEBILDET, SO BILDET ES KEINE VERBINDUNG. WENN BEI DER ERNTE EINE EINZELNE ÄHRE12Bleiben bei der Ernte einzelne Ähren zurück, so gehören sie den Armen und der Eigentümer darf sie nicht auflesen.STEHEN GEBLIEBEN IST UND DEREN SPITZE BIS ZUM STEHENDEN GETREIDE REICHT, SO GEHÖRT SIE, WENN SIE ZUSAMMEN MIT DEM STEHENDEN GETREIDE GEMÄHT WERDEN KANN, DEM EIGENTÜMER, WENN ABER NICHT, SO GEHÖRT SIE DEN ARMEN. WENN EIN KLEINER GEMÜSEGARTEN VON EINER SPALIERANLAGE13Von aufgezogenen Weinstöcken; cf. Kil. VI, 1.UMGEBEN IST, SO DARF ER, WENN ER SOVIEL[RAUM] HAT, DASS EIN WINZER MIT SEINEM KORBE AN DER EINEN SEITE UND EIN WINZER MIT SEINEM KORBE AN DER ANDEREN SEITE STEHEN KANN, BESÄET WERDEN, WENN ABER NICHT, SO DARF ER NICHT BESÄET WERDEN14Es ist verboten, Sämereien unmittelbar an Wein-Stöcken zu säen; cf. Dt. 22,9..", + "DREI RECHTSFRAGEN TRUG MAN R. JIŠMA͑ÉL VOR, UND ER ÄUSSERTE SICH DARÜBER NICHT, WEDER VERBIETEND, NOCH ERLAUBEND; R. JEHOŠUA͑ B. MATHJA ABER TRAF ÜBER DIESE EINE ENTSCHEIDUNG. WER AM ŠABBATH EINE BLATTER AUFSTICHT, IST, WENN ER EINE ÖFFNUNG MACHEN WOLLTE, SCHULDIG, WENN ABER EITER ENTFERNEN, FREI. WER AM ŠABBATH EINE SCHLANGE EINFÄNGT, IST, WENN ER DAMIT BEZWECKT, DASS SIE IHN NIGHT BEISSE, FREI, WENN ABER, UM SIE ZU HEILZWECKEN ZU GEBRAUCHEN, SCHULDIG. ERONISCHE TIEGEL15Vgl. Bd. III S. 505 Anm. 28.IN EINEM ZELTE MIT EINER LEICHE SIND REIN, WENN ABER EIN FLUSSBEHAFTETER SIE TRÄGT, UNREIN. R. ELIE͑ZER B. ÇADOQ SAGT, AUCH WENN EIN FLUSSBEHAFTETER SIE TRÄGT, SEIEN SIE REIN, WEIL IHRE HERSTELLUNG NOCH NICHT FERTIGE16Geräte werden nur nach ihrer vollständigen Herstellung verunreinigungsfähig.IST.", + "ÜBER DREI DINGE TRAF R. JIŠMA͑ÉL EINE ENTSCHEIDUNG, UND R. A͑QIBA PFLICHTETE IHM NICHT BEI. R. JIŠMA͑ÉL ENTSCHIED, WENN MAN KNOBLAUCH, HERLINGE ODER ÄHREN AM TAGE17Am Vorabend des Sabbaths vor Sonnenuntergang.ZERDRÜCKT HAT, DÜRFE MAN SIE NACH EINTRITT DER DUNKELHEIT AUSFLIESSEN18Man darf den Saft auch nach Eintritt des Šabbaths fließen lassen u. ihn am Šabbath genießen.LASSEN; R. A͑QIBA SAGT, MAN DÜRFE SIE NICHT AUSFLIESSEN LASSEN19Dh. man darf den ausfließenden Saft am Šabbath nicht genießen..", + "DREI LEHREN TRUG MAN R. AQIBA VOR, ZWEI IM NAMEN R. ELIE͑ZERS UND EINE IM NAMEN R. JEHOŠUA͑S. ZWEI IM NAMEN R. ELIE͑ZERS : EINE FRAU DARF [AM ŠABBATH] MIT EINER GOLDENEN STADT20Ein Frauenschmuck; vgl. Bd. I S. 603 Anm. 1 u. S. 871 Anm. 4.AUSGEHEN; UND LEUTE, DIE TAUBEN FLIEGEN21Cf. Syn. Fol. 29b.LASSEN, SIND ALS ZEUGEN UNZULÄSSIG. EINE IM NAMEN R. JEHOŠUA͑S : WENN EIN WIESEL MIT EINEM KRIECHTIERE IM MAULE ÜBER BROTE VON HEBE GEGANGEN IST, UND ES ZWEIFELHAFT IST, OB [DAS KRIECHTIER DAS BROT] BERÜHRT HAT ODER NICHT, SO IST ES BEI DIESEM ZWEIFEL REIN.", + "DREI LEHREN TRUG R. A͑QIBA VOR, HINSICHTLICH ZWEIER PFLICHTETE MAN IHM BEI UND HINSICHTLICH EINER PFLICHTETE MAN IHM NICHT BEI. DASS EINE SANDALE DER KALKTÜNCHER DURCH DAS AUFTRETEN22Eines Fluß behafteten; vgl. Bd. I S. 608 Anm. 26.UNREIN IST, UND DASS DIE RESTE EINES OFENS BEI VIER [HANDBREITEN UNREIN23Wenn eine levitisch unrein gewordene Sache zerbricht, so wird sie rein; wenn die Reste eines Ofens 4 Handbreiten hoch sind, so sind sie noch verwendbar u. bleiben daher unrein.BLEIBEN]; SIE SAGTEN NÄMLICH, BEI DREI. HIERBEI PFLICHTETE MAN IHM BEI. HINSICHTLICH EINER PFLICHTETE MAN IHM NICHT BEI, HINSICHTLICH EINES STUHLES, VON DEM ZWEI NEBENEINANDERLIEGENDE SITZBRETTCHEN ENTFERNT WORDEN SIND ; NACH R. A͑QIBA IST EIN SOLCHER VERUNREINIGUNGSFÄHIG UND NACH DEN WEISEN NICHT.", + "DERSELBE SAGTE: DER VATER IST VON EINFLUSS AUF DEN SOHN HINSICHTLICH DER SCHÖNHEIT, DER KRAFT, DES REICHTUMS, DER WEISHEIT, DER LEBENSJAHRE UND DER ANZAHL DER GENERATIONEN; DAS IST DAS ENDE24Wenn nämlich von Gott verheißen wird, etwas nach Ablauf einer bestimmten Anzahl von Generationen ein treffen zu lassen; in einem solchen Falle gewinnt der Sohn durch seinen Vater., DENN ES HEISST:25Jes. 41,4.er rief die Geschlechter von Anfang an. WENN ES AUCH HEISST:26Gen. 15,13.man wird sie knechten und bedrücken vierhundert Jahre27Hieraus wäre also zu schließen, daß das verheißene Ereignis nach Ablauf einer bestimmten Frist eintrifft, ohne Rücksicht auf die Anzahl der Generationen.lang, SO HEISST ES ABER:28Gen. 15,16.die vierte Generation wird hierher zurückkommen.", + "ER SAGTE FERNER : FÜNF DINGE HABEN EINE DAUER VON ZWÖLF MONATEN. DAS STRAFGERICHT ÜBER DAS ZEITALTER DER SINTFLUT WÄHRTE ZWÖLF MONATE; DAS STRAFGERICHT ÜBER IJOB WÄHRTE ZWÖLF MONATE; DAS STRAFGERICHT ÜBER DIE MIÇRIJIM WÄHRTE ZWÖLF MONATE; DAS DEREINSTIGE STRAFGERICHT ÜBER GOG UND MAGOG WIRD ZWÖLF MONATE WÄHREN ; DAS STRAFGERICHT ÜBER DIE GOTTLOSEN IM FEGEFEUER WÄHRT ZWÖLF MONATE, DENN ES HEISST:29Jes. 66,23.und es wird sein von Monat bis [zum gleichen] Monate30Des folgenden Jahres.. R. JOḤANAN B. NURI SAGT, WIE VOM PESAḤFESTE BIS ZUM WOCHENFESTE31Sieben Wochen., DENN ES HEISST:30Des folgenden Jahres.vom Šabbath bis Šabbath32Während dieser Zeit werden die Tage u. die Wochen gezählt; cf. Lev. 23,15.." + ], + [ + "iWENN MAN EINE DURCH BEZELTUNG VERUNREINIGENDE SACHE1Eine Sache, die alles, was sich mit dieser in einem Raume befindet, oder was zeltartig sich über ihr befindet, oder worüber sie sich zeltartig befindet, verunreinigt (cf. Ah. Abschn. II); für all diese Dinge ist ein Mindestquantum vorgeschrieben, sodaß sie nicht verunreinigend sind, wenn sie dieses Quantum nicht haben. GETEILT2Und beide Hälften zusammen das vorschriftsmäßige Quantum haben. IN EINEN RAUM BRINGT, SO IST SIE NACH R. DOSA B. ARCHINOS NICHT VERUNREINIGEND UND NACH DEN WEISEN VERUNREINIGEND. ZUM BEISPIEL : WENN JEMAND ZWEI STÜCKE VON EINEM AASE3Das Beispiel vom Berühren eines Aases ist hier nicht angebracht, da es nicht zu den Dingen gehört, die durch Bezeltung verunreinigen. IN DER GRÖSSE VON JE EINER HALBEN OLIVE BERÜHRT ODER TRÄGT, ODER EIN STÜCK IN DER GRÖSSE EINER HALBEN OLIVE VON EINER LEICHE BERÜHRT UND EIN STÜCK IN DER GRÖSSE EINER HALBEN OLIVE IHN ÜBERZELTET, ODER ZWEI STÜCKE IN DER GRÖSSE VON JE EINER HALBEN OLIVE ÜBERZELTET, ODER EIN STÜCK IN DER GRÖSSE EINEB HALBEN OLIVE ÜBERZELTET UND EIN STÜCK IN DER GRÖSSE EINER HALBEN OLIVE IHN ÜBERZELTET, SO IST ER NACH R. DOSA B. ARCHINOS REIN UND NACH DEN WEISEN UNREIN. WENN JEMAND ABER EIN STÜCK IN DER GRÖSSE EINER HALBEN OLIVE BERÜHRT UND EINE ANDERE SACHE4Die nicht verunreinigend ist. IHN UND EIN SOLCHES STÜCK ÜBERZELTET5Sodaß bei ausreichendem Quantum hierbei eine 2fache Verunreinigung vorliegen würde: Berührung und Bezeltung., SO IST ER REIN. R. MEÍR SAGT, AUCH IN DIESEM FALLE SEI ER NACH R. DOSA REIN UND NACH DEN WEISEN UNREIN. ES6In Fällen, wo 2 Verunreinigungen durch halbe Quantitäten vereinigt werden sollen.IST STETS VERUNREINIGEND, NUR NICHT BEI [EINER VEREINIGUNG VON] BERÜHREN UND TRAGEN ODER TRAGEN UND ÜBERZELTUNG. DIE REGEL HIERBEI IST: HABEN SIE DEN GLEICHEN NAMEN, SO SIND SIE VERUNREINIGEND, HABEN SIE VERSCHIEDENE NAMEN, SO SIND SIE NICHT VERUNREINIGEND.", + "GETRENNTE SPEISENSTÜCKE7Einzelne Stückeod. kleine Früchte, die einzeln das verunreinigungsfähige Quantum (Eigröße) nicht haben, wohl aber der ganze Haufe. WERDEN NICHT VEREINIGT – SO R. DOSA B. ARCHINOS; DIE WEISEN SAGEN, SIE WERDEN VEREINIGT. MAN DARF [FRÜCHTE VOM] ZWEITEN ZEHNTEN DURCH EIN ASEMON AUSLÖSEN – SO R. DOSA; DIE WEISEN VERBIETEN DIES. [ZUR BERÜHRUNG] DES ENTSUNDIGUNGSWASSERS8Cf. Num. Kap. 19. GENÜGT DAS UNTERTAUCHEN DER HÄNDE9Wenn diese levitisch unreine Speisen berührt haben.SO R. DOSA; DIE WEISEN SAGEN, SIND DIE HÄNDE UNREIN, SEI AUCH DER GANZE KÖRPER UNREIN.", + "DAS KERNGEHÄUSE DER MELONE UND DER ABFALL VON KRÄUTERN SIND ALS HEBE, WIE R. DOSA SAGT, GEMEINEN ERLAUBT, NACH DEN WEISEN ABER VERBOTEN. WENN VON FÜNF SCHAFEN JEDES ANDERTHALB MINEN WOLLE LIEFERT, SO HAT BEI DIESEN DAS GESETZ VON DER ERSTLINGSSCHUR GELTUNG – SO R. DOSA ; DIE WEISEN SAGEN, VON FÜNF SCHAFEN, WIEVIEL ES AUCH IST.", + "ALLE MATTEN SIND VERUNREINIGUNGSFÄHIG DURCH EINE LEICHE10Nicht aber durch das Auftreten, dh. wenn sie als Sitz od. Lager benutzt werden, da sie als solche nicht geeignet sind. – SO R.DOSA; DIE WEISEN SAGEN, AUCH DURCH DAS AUFTRETEN. KEIN GEFLECHT IST11Da nur ein richtiges Gewebe verunreinigungsfähig ist.VERUNREINIGUNGSFÄHIG, AUSGENOMMEN EIN GÜRTEL – SO R. DOSA; DIE WEISEN SAGEN, ALLE SIND SIE VERUNREINIGUNGSFÄHIG, AUSGENOMMEN DIE DER WOLLHÄNDLER12Die die Wolle mit einem Flechtwerke zusammenbinden; solche dienen nur als Stricke..", + "EINE SCHLEUDER, DEREN HÖHLUNG13Zur Aufnahme des Projektils.AUS EINEM GEWEBE BESTEHT, IST VERUNREINIGUNGSFÄHIG, WENN ABER AUS LEDER, SO IST SIE NACH R. DOSA B. ARCHINOS NICHT VERUNREINIGUNGSFÄHIG UND NACH DEN WEISEN VERUNREINIGUNGSFÄHIG. IST DIE FINGERÖSE ABGETRENNT, SO IST SIE NICHT VERUNREINIGUNGSFÄHIG14Da sie nicht mehr brauchbar ist., WENN ABER DIE RLEMENÖSE15Am anderen Ende der Schleuder befindet sich eine Öse zum Befestigen des Riemens., SO IST SIE VERUNREINIGUNGSFÄHIG.", + "EINE GEFANGENE DARF HEBE ESSEN16Wenn sie die Frau eines Priesters ist, obgleich sie der Notzucht ausgesetzt war. – SO R. DOSA; DIE WEISEN SAGEN, MANCHE GEFANGENE DARE DIES UND MANCHE DARF DIES NICHT, UND ZWAR: ERZÄHLT DIE FRAU SELBER, DASS SIE GEFANGEN WAR, JEDOCH REIN GEBLIEBEN SEI, SO DARF SIE [HEBE] ESSEN, DENN DER MUND, DER ES VERBOTEN MACHT, MACHT ES AUCH ERLAUBT, WENN ABER ZEUGEN BEKUNDEN, DASS SIE GEFANGEN WAR, UND SIE SAGT, SIE SEI REIN GEBLIEBEN, SO DARF SIE KEINE [HEBE] ESSEN.", + "IN VIER FÄLLEN DES ZWEIFELS17Hinsichtlich der Unreinheit.ERKLÄRT R. JEHOŠUA͑ ALS REIN UND DIE WEISEN ALS UNREIN, UND ZWAR: WENN DER UNREINE STEHT18Unter einem Baume, von dem er überzeltet wird.UND DER REINE VORÜBERGEHT, WENN DER REINE STEHT UND DER UNREINE VORÜBERGEHT, WENN DAS UNREINE AUF PRIVATGEBIET UND DAS REINE AUF ÖFFENTLICHEM GEBIETE19Nebeneinander, so daß eine Berührung erfolgt sein kann.SICH BEFINDET, ODER WENN DAS REINE AUF PRIVATGEBIET UND DAS UNREINE AUF ÖFFENTLICHEM GEBIETE SICH BEFINDET; IST ES ZWEIFELHAFT, OB SIE EINANDER BERÜHRT HABEN ODER NICHT, OB SIE ÜBERZELTET WORDEN SIND20Wenn er beim Vorübergehen unter dem Baume stehen geblieben ist.ODER NICHT, OB [EINES DAS ANDERE] BEWEGT HAT21Durch die Berührung.ODER NICHT, SO IST ER22Der Reine.NACH R. JEHOŠUA͑ UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN.", + "DREI DINGE SIND NACH R. ÇADOQ VERUNREINIGUNGSFÄHIG UND NACH DEN WEISEN NICHT VERUNREINIGUNGSFÄHIG: DER NAGEL DES WECHSLERS23An den er die Wage hängt., DER KASTEN DER GRÄUPNER24Solche waren sehr primitiv gearbeitet u. galten nicht als fertiger Gegenstand.UND DER ZEIGER DES STUNDENSTEINES25Eine Art Sonnenuhr.; DIESE SIND NACH R. ÇADOQ VERUNREINIGUNGSFÄHIG UND NACH DEN WEISEN NICHT VERUNREINIGUNGSFÄHIG.", + "VIER DINGE SIND NACH R. GAMLIÉL VERUNREINIGUNGSFÄHIG UND NACH DEN WEISEN NICHT VERUNREINIGUNGSFÄHIG: DER DECKEL EINES METALLKORBES FÜR DEN HAUSGEBRAUCH26Als Ggs. wird Kel. XII,3 der der Ärzte angeführt, der als richtiges Gefäß gilt., DER HENKEL DES STRIEGELS27Nach der Erkl. der Kommentare, der beim Baden zum Abreiben des Körpers verwendet wird. Die Mišna separata hat hier, als auch in der Parallelstelle Kel. XII,6 המגרדות, was richtiger erscheint., UNFERTIGE METALLGERÄTE UND EINE [GLEICHMÄSSIG] ENTZWEI GETEILTE PLATTE. JEDOCH PFLICHTEN DIE WEISEN R. GAMLIÉL BEI, DASS, WENN EINE PLATTE IN ZWEI TEILE, EINER GRÖSSER UND EINER KLEINER, GETEILT WURDE, DER GRÖSSERE VERUNREINIGUNGSFÄHIG UND DER KLEINERE NICHT VERUNREINIGUNGSFÄHIG SEI.", + "BEI DREI DINGEN IST R. GAMLIÉL ERSCHWERENDER ANSICHT, NACH DER SCHULE ŠAMMAJS: MAN DARF AM FESTE NICHTS FÜR DEN SABBATH WARMSTELLEN; MAN DARF AM FESTE KEINE LEUCHTE AUFSTELLEN28Die einzelnen Teile zusammenstellen.; MAN DARF29Am Feste. KEINE GROBEN BROTE, SONDERN NUR FLADEN BACKEN. R. GAMLIÉL SAGTE: IN DER FAMILIE MEINES VATERS BACKEN SIE NIEMALS GROBE BROTE, SONDERN NUR FLADEN. JENE ERWIDERTEN IHM: WAS SOLL UNS DIE FAMILIE DEINES VATERS; DIESE WAR ERSCHWEREND FÜR SICH SELBST, ABER ERLEICHTERND FÜR GANZ JISRAÉL, AUCH GROBES BROT UND KÜCHEN BACKEN ZU DÜRFEN.", + "DIESER LEHRTE AUCH DREI DINGE ERLEICHTERND : MAN DARF AM FESTE ZWISCHEN DEN LAGERN30Wo die Mahlzeit eingenommen wird u. Brocken auf die Erde fallen.FEGEN31Auch wenn der Fußboden keine Diele hat u. man dadurch eine Schramme macht. ; MAN DARF DAS RÄUCHERWERK HINSTELLEN; MAN DARF AN DEN PESAḤABENDEN EIN RUMPFGEBRATENES32Cf. Bd. II S. 466 Anm. 52.BÖCKCHEN BEREITEN. DIE WEISEN VERBIETEN DIES.", + "DREI DINGE ERLAUBT R. ELEA͑ZAR B. A͑ZARJA UND DIE WEISEN VERBIETEN SIE: SEINE KUH WURDE [AM ŠABBATH] MIT EINEM RIEMEN AN DEN HÖRNERN33Dieser wird also nicht als Last betrachtet.AUSGETRIEBEN; MAN DARF EIN VIEH AM FESTE STRIEGELN; MAN DARF PFEFFER IN EINER PFEFFERMÜHLE MAHLEN. R. JEHUDA SAGT, MAN DÜRFE AM FESTE KEIN VIEH STRIEGELN, WEIL MAN DABEI EINE WUNDE MACHT, WOHL ABER KÄMMEN. DIE WEISEN SAGEN, MAN DÜRFE WEDER STRIEGELN NOCH KÄMMEN." + ], + [ + "iIN FOLGENDEN DLNGEN IST DIE SCHULE ŠAMMAJS ERLEICHTERND UND DIE SCHULE HILLELS ERSCHWEREND1Während es sich sonst entgegengesetzt verhält.: EIN AM FESTE GELEGTES EI DARF, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, [AM FESTE] GEGESSEN WERDEN, UND WIE DIE SCHULE HILLELS SAGT, NICHT GEGESSEN2Cf. Jt. Fol. 2a. WERDEN. DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT. SAUERTEIG IN OLIVENGRÖSSE UND GESÄUERTES IN DATTELGRÖSSE, DIE SCHULE HILLELS SAGT, BEIDES IN OLIVENGRÖSSE3Sei am Pesaḥfeste verboten; cf. Ex. 12,19; 13,7 u. Dt. 16,4..", + "EIN AM FESTE GEBORENES VIEH IST, WIE ALLE ÜBEREINSTIMMEN, ERLAUBT; EIN AUS DEM EI GEKROCHENES KÜCHLEIN IST, WIE ALLE ÜBEREINSTIMMEN, VERBOTEN. WER AM FESTE EIN WILD ODER EIN GEFLÜGEL4Dessen Blut man mit Erde zudecken muß; cf. Lev. 17,13. SCHLACHTET, GRABE, WIE DIE SCHULE SAMMAJS SAGT, MIT EINEM SPATEN [ERDE] AUF UND DECKE [DAS BLUT] ZU; DIE SCHULE HILLELS SAGT, MAN DÜRFE NUR DANN SCHLACHTEN, WENN MAN ERDE VORRÄTIG HAT. DLESE PFLICHTET JEDOCH BEI, DASS, WENN MAN BEREITS GESCHLACHTET HAT, MAN [ERDE] MIT EINEM SPATEN AUFGRABE UND [DAS BLUT] ZUDECKE ; HERDASCHE GILT ALS VORRÄTIG5Cf. Jt. Fol. 8a..", + "DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, WAS FÜR ARME FREIGEGEBEN WIRD, IST FREIGUT6Von solchen ist der Zehnt nicht zu entrichten.; DIE SCHULE HILLELS SAGT, FREIGUT HEISSE ES NUR DANN, WENN ES AUCH FÜR REICHE FREIGEGEBEN IST, GLEICH [DEN FRÜCHTEN DES] ERLASSJAHRES. WENN ALLE GARBEN DES FELDES JE EINEN KAB GROSS SIND, EINE ABER VIER KAB, UND DIESE VERGESSEN WORDEN IST, SO GILT SIE, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, NICHT ALS VERGESSENES, UND WIE DIE SCHULE HILLELS SAGT, ALS VERGESSENES7Es gehört den Armen; cf. Dt. 24,19..", + "WENN EINE NEBEN DER WAND, DER DIEME, DEN RINDERN ODER DEN ACKERGERÄTEN LIEGENDE GARBE VERGESSEN WORDEN IST, SO GILT DIESE, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, NICHT ALS VERGESSENES, UND WIE DIE SCHULE HILLELS SAGT, ALS VERGESSENES.", + "BEIM VIERJÄHRIGEN WEINBERG8Und ebenso hei jedem anderen Baumgarten; cf. Lev. 19,23ff. IST, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, WEDER DAS FÜNFTEL9Das bei der Auslösung hinzuzufügen ist; cf. Bm. Fol. 55b. NOCH DIE FORTSCHAFFUNG10Im 4. und 7. Jahre des Septenniums, wie beim 2. Zehnten; cf. Dt. 26,12ff.ERFORDERLICH; DIE SCHULE HILLELS SAGT, BEI DIESEM SEI DIE FORTSCHAFFUNG ERFORDERLICH. DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, BEI DIESEM GELTE DAS GESETZ VOM ABFALL UND VON DER NACHLESE11Man lasse sie für die Armen zurück; cf. Lev. 19,10., UND DIE ARMEN LÖSEN SIE SELBER AUS; DIE SCHULE HILLELS SAGT, ALLES KOMME IN DIE KELTER12Und muß vom Eigentümer ausgelöst werden..", + "EIN FASS MIT EINGELEGTEN OLIVEN BRAUCHT MAN, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, NICHT ZU DURCHLÖCHERN; DIE SCHULE HILLELS SAGT, MAN MÜSSE SIE DURCHLÖCHERN13Früchte werden nur dann verunreinigungsfähig, wenn sie befeuchtet worden sind, u. zwar muß dies dem Eigentümer erwünscht sein. Da nun die Oliven einen Saft ausschwitzen, der zu den verunreinigungsfähigmachenden Flüssigkeiten gehört, so muß man das Faß durchlöchern, um zu zeigen, daß dies nicht erwünscht ist.. JEDOCH PFLICHTET DIESE BEI, DASS, WENN MAN SIE DURCHLÖCHERT HAT UND [DAS LOCH] DURCH HEFENSATZ VERSTOPFT WURDE, ES NICHT VERUNREINIGUNGSFÄHIG SEI. WER SICH MIT REINEM ÖL GESALBT UND UNREIN GEWORDEN IST, UND DARAUF [INS TAUCHBAD] HINABSTEIGT UND UNTERTAUCHT, IST, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, REIN, AUCH WENN ER [VON ÖL] TRIEFT14Obgleich das unrein gewordene Öl noch an seinem Körper haftet, weil das Öl zum Körper gehört u. dieser durch das Untertauchen rein geworden ist.; DIE SCHULE HILLELS SAGT, WENN ES NUR SO VIEL IST, UM DAMIT DAS KLEINSTE GLIED15Den kleinen Finger.SALBEN16Sei er rein, wenn mehr, so ist er unrein.ZU KÖNNEN. WAR ABER DAS ÖL SCHON VORHER UNREIN, SO IST ER, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, [REIN,] WENN ES NUR SOVIEL IST, UM DAS KLEINSTE GLIED SALBEN ZU KÖNNEN, UND WIE DIE SCHULE HILLELS SAGT, SCHON WENN DIE FLÜSSIGKEIT NUR [DEN KÖRPER] BEFEUCHTET17Sei er unrein. ; R. JEHUDA SAGTE IM NAMEN DER SCHULE HILLELS, WENN SO FEUCHT, UM ZU BEFEUCHTEN18Eine andere Körperstelle, die von dieser berührt wird..", + "EINE FRAU KANN NACH DER SCHULE ŠAMMAJS MIT EINEM DENAR19Nach den Kommentaren ein Silberdenar. ODER DEM WERTE EINES DENARS ANGETRAUT20Die Antrauung erfolgt, wenn der Mann der Frau vor Zeugen einen Wertgegenstand zu diesem Behufe gibt.WERDEN ; DIE SCHULE HILLELS SAGT, SCHON MIT EINER PERUTA ODER DEM WERTE EINER PERUTA. WLEVIEL BETRÄGT EINE PERUTA? ELN ACHTEL EINES ITALISCHEN A SS ARS. DLE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, MAN KÖNNE SEINE FRAU MIT EINEM ALTEN SCHEIDEBRIEFE ENTLASSEN; DIE SCHULE HILLELS VERBIETET DIES. WELCHES HEISST EIN ALTER SCHEIDEBRIEF? WENN ER, NACHDEM ER IHN GESCHRIEBEN HAT, MIT IHR ZUSAMMEN WAR. WENN JEMAND SICH VON SEINER FRAU SCHEIDEN LIESS UND DARAUF MIT IHR ZUSAMMEN IN EINER HERBERGE ÜBERNACHTET HAT, SO BENÖTIGT SIE, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, KEINES ANDEREN SCHEIDEBRIEFES, DIE SCHULE HILLELS SAGT, SIE BENÖTIGE EINES ANDEREN SCHEIDEBRIEFES. DIES NUR DANN, WENN DIE SCHEIDUNG NACH DER VERHEIRATUNG ERFOLGT IST, WENN ABER NACH DER VERLOBUNG, SO BRAUCHT SIE KEINES ANDEREN SCHEIDEBRIEFES, WEIL ER21Zwischen Verlobung u. Verheiratung.MIT IHR NICHT VERTRAUT IST.", + "DIE SCHULE ŠAMMAJS ERLAUBT DIE NEBENBUHLERINNEN22Der dem Eheschwager als inzestuös verbotenen Witwe. Wenn jemand kinderlos stirbt, so muß sein Bruder die Witwe heiraten (cf. Dt. 25,5ff.) od. an ihr die Ḥaliça vollziehen; hier wird von dem Falle gesprochen, wenn der verstorbene Bruder mehrere Frauen hinterläßt, von denen eine die Tochter des überlebenden Bruders ist.DEN ANDEREN BRÜDERN; DIE SCHULE HILLELS VERBIETET SIE. HABEN SIE DIEALIÇA VOLLZOGEN, SO IST [DIE WITWE] NACH DER SCHULE ŠAMMAJS FÜR DIE PRIESTERSCHAFT23Sie darf von keinem Priester geheiratet werden.UNGEEIGNET UND NACH DER SCHULE HILLELS GEEIGNET24Die Vollziehung der Ḥaliça war unnötig u. gilt als nicht geschehen.. HABEN SIE DIE SCHWAGEREHE VOLLZOGEN, SO SIND SIE NACH DER SCHULE ŠAMMAJS GEEIGNET25Wenn der 2. Bruder stirbt.UND NACH DER SCHULE HILLELS UNGEEIGNET26Wegen der unerlaubten Ehe.. UND OBGLEICH DIE EINEN ALS UNGEEIGNET ERKLÄRTEN, WAS DIE ANDEREN ALS GEEIGNET ERKLÄRTEN, UNTERLIESSEN ES [ANGEHÖRIGE DER] SCHULE ŠAMMAJS DENNOCH NICHT, FRAUEN [AUS FAMILIEN] DER SCHULE HILLELS, ODER [ANGEHÖRIGE DER] SCHULE HILLELS, FRAUEN [AUS FAMILIEN] DER SCHULE ŠAMMAJS ZU HEIRATEN. UND OBGLEICH BEI [FRAGEN ÜBER] REINHEIT UND UNREINHEIT DIE EINEN ALS REIN ERKLÄRTEN, WAS DIE ANDEREN ALS UNREIN ERKLÄRTEN, SO UNTERLIESS ES DENNOCH WEDER DIE EINE NOCH DIE ANDERE, BEI DER BEREITUNG VON REINEN [SPEISEN] SICH AUF DIE ANDERE ZU VERLASSEN27Bei strittigen Fällen teilten sie einander mit, daß es sich um einen solchen Fall handle.
27 Talmud IX
.", + "WENN VON DREI BRÜDERN ZWEI MIT ZWEI SCHWESTERN VERHEIRATET WAREN UND EINER LEDIG IST, UND NACHDEM DER LEDIGE NACH DEM TODE DES EINEN MIT EINER DER SCHWESTERN VERHEIRATETEN BRUDERS AN [DIE WITWE] DIE EHEFORMEL28An die die Eheformel gerichtet worden ist.GERICHTET HAT, AUCH DER ZWEITE BRUDER GESTORBEN IST, SO BLEIBE, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, SEINE FRAU28An die die Eheformel gerichtet worden ist.BEI IHM UND DIE ANDERE GEHE ALS SCHWESTER SEINER FRAU FREI29Sie benötigt auch nicht der Ḥaliça.AUS; DIE SCHULE HILLELS SAGT, ER ENTLASSE SEINE FRAU DURCH SCHEIDEBRIEF UNDALIÇA30Die Schwagerehe durch Eheformel ist in der Tora nicht vorgesehen, dies hat zur Folge, daß die 2. Witwe nicht als Schwester seiner Frau (die man nicht ehelichen darf) gilt, u. ferner, daß er die 1. nicht durch Scheidung allein (da die gültige Antrauung fehlt), sondern auch durch Ḥaliça entlassen muß. Die 2. darf er ebenfalls nicht ehelichen, weil die Ehe mit der 1. vielleicht gültig war., UND DIE FRAU SEINES BRUDERS DURCHALIÇA. DAS IST [DER FALL], WORÜBER SIE SAGTEN: WEHE IHM WEGEN SEINER FRAU, WEHE IHM WEGEN DER FRAU SEINES BRUDERS!", + "WER SICH DEN BEISCHLAF SEINER FRAU ABGELOBT, KANN DIES, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, ZWEI WOCHEN, UND WIE DIE SCHULE HILLELS SAGT, EINE WOCHE31So lange muß sie sich dies gefallen lassen, später kann sie Auflösung des Gelöbnisses od. Scheidung verlangen.. WENN [EINE FRAU] AM ABEND ZUM EINUNDACHTZIGSTEN [TAGE]32Die Wöchnerin hat 40 Tage nach der Geburt eines Knaben u. 80 Tage nach der Geburt eines Mädchens ein Opfer darzubringen (cf. Lev. 12,2ff.), selbst wegen einer Fehlgeburt; wenn sie innerhalb dieser Frist fehlgebiert, so hat sie nur ein Opfer darzubringen.FEHLGEBIERT, SO IST SIE NACH DER SCHULE ŠAMMAJS VOM OPFER FREI, UND NACH DER SCHULE HLLLELS DAZU VERPFLICHTET. EIN LAKEN33Das nur nachts benutzt wird. UNTERLIEGT NACH DER SCHULE ŠAMMAJS NICHT DEM ÇIÇITHGESETZE, UND NACH DER SCHULE HILLELS WOHL. EIN ŠABBATHFRUCHTKORB MACHT NACH DER SCHULE ŠAMMAJS NICHT ZEHENTPFLICHTIG34Man darf davon gelegentlich unverzehntet essen.UND NACH DER SCHULE HILLELS WOHL ZEHENTPFLICHTIG.", + "WER EIN LANGERES35Mehr als dreißig Tage.NAZIRAT36Cf. Num. 6,2ff.GELOBT UND ES ABSOLVIERT HAT, UND NACHHER NACH DEM [JISRAÉL]LANDE37Wenn jemand außerhalb des Jisraéllandes ein Nazirat gelobt, so muß er diese Zeit im Jisraéllande verbringen, da das Ausland als unrein gilt; cf. Sab. Fol. 14b.KOMMT, IST, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, NOCH DREISSIG TAGE NAZIR; DIE SCHULE HILLELS SAGT, ER MÜSSE DAS NAZIRAT VON NEUEM BEGINNEN. WENN ZWEI ZEUGENPARTIEN VON EINEM VERSCHIEDEN BEKUNDEN38Hinsichtlich seines Gelübdes, Nazir zu sein., EINE, DASS ER ZWEI [NAZIRATE39Das Nazirat währt, wenn keine Frist angegeben wird, 30 Tage.] UND EINE, DASS ER FÜNF40Zur selben Zeit; wenn die Aussagen einander widersprechen, und er selber überhaupt von nichts wissen will.GELOBT HAT, SO HAT SICH, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, DAS ZEUGNIS ZERSPLITTERT UND ES GIBT HIERBEI KEIN NAZIRAT; DIE SCHULE HILLELS SAGT, ER MUSS, DA IN FÜNF ZWEI ENTHALTEN SIND, ZWEI NAZIRATE ABSOLVIEREN.", + "WENN EIN MENSCH SICH UNTERHALB DES SPALTES41Ist die Überdachung eines Raumes, in dem reine u. unreine Sachen sich befinden (vgl. S. 412 Anm. 1), geteilt, so gilt der ganze Raum als geteilt, sodaß die Unreinheit auf die in der reinen Seite sich befindlichen Sachen nicht übertragen wird; legt man über den Spalt eine Sache, so wird dadurch eine Vereinigung des Raumes hergestellt; wenn aber unten, auf dem Fußboden, gegenüber dem Spalte eine Sache liegt, so wird dadurch eine Vereinigung nur dann hergestellt, wenn unter dieser ein eine Handbreite großer Hohlraum sich befindet.BEFINDET, SO LEITET ER, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, DIE UNREINHEIT NICHT HINÜBER42Von der unreinen nach der reinen Seite.; DIE SCHULE HILLELS SAGT, EIN MENSCH IST HOHL, UND SEINE OBERE HÄLFTE LEITET DIE UNREINHEIT HINÜBER." + ], + [ + "iR. JEHUDA LEHRTE SECHS DINGE, BEI DENEN DIE SCHULE ŠAMMAJS ERLEICHTERND UND DIE SCHULE HLLLELS ERSCHWEREND IST. DAS BLUT VON EINEM AASE IST NACH DER SCHULE ŠAMMAJS REIN UND NACH DER SCHULE HILLELS UNREIN. DAS EI VON EINEM AASE1Wenn das Geflügel beim Schlachten rituell ungenießbar geworden ist. IST NACH DER SCHULE ŠAMMAJS, WENN EIN SOLCHES AUF DEM MARKT VERKAUFT2Dh. Wenn es eine harte Schale hat. WIRD, ERLAUBT, WENN ABER NICHT, VERBOTEN; NACH DER SCHULE HILLELS ABER [IN JEDEM FALLE] VERBOTEN. JENE PFLICHTET JEDOCH BEI, DASS DAS EI VON EINEM TOTVERLETZTEN [GEFLÜGEL3Das schon vor dem Schlachten zum Gemisse verboten war.] VERBOTEN IST, WEIL ES ALS VERBOTENES AUSGEWACHSEN IST. DER BLUTFLUSS EINER NICHTJÜDIN4Der ßlutfluß einer jisraélitischen Frau, sowohl der menstruale (cf. Lev. 15,19ff.) als auch der krankhafte (cf. ib. 15,25ff.) ist verunreinigend, der einer Nichtjüdin ist es nur rabbanitisch, u. zwar in geringerem Grade; in weit höherem Grade verunreinigend sind nach rabbanitischer Bestimmung Speichel u. Urin einer Nichtjüdin, damit man sich, da diese häufiger Vorkommen, um so mehr von ihnen femhalte. UND DAS REINHEITSBLUT5Nach dem Wochenbette; cf. Lev. 12,4. EINER AUSSÄTZIGEN6Jisraélitin, die an u. für sich verunreinigend ist; cf. Lev. Kap. 13. SIND NACH DER SCHULE HILLELS REIN; DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, SIE GLEICHEN IHREM SPEICHEL UND IHREM URIN. DIE FRÜCHTE DES SIEBENTJAHRES7Aus einem fremden Garten. DARF MAN NACH DER SCHULE ŠAMMAJS GEGEN DANKESBEZEUGUNG UND AUCH OHNE DANKESBEZEUGUNG ESSEN; DIE SCHULE HILLELS SAGT, MAN DÜRFE SIE NICHT GEGEN DANKESBEZEUGUNG8Das in Handschriften fehlende אלא ist zu streichen. Die Früchte des Siebent- od. Erlaßjahres müssen vollständig freigegeben und dürfen nicht eingesammelt werden (cf. Ex. 23,11 u. Lev. 25,5); der Eigentümer darf für diese nicht einmal einen Dank entgegennehmen. ESSEN. EIN SCHLAUCH IST VERUNREINIGUNGSFÄHIG, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, WENN ER BLEIBEND ZUGEBUNDEN9Wenn die Mündung nicht zusammengenäht ist. IST, UND WIE DIE SCHULE HILLELS SAGT, AUCH WENN ER NICHT ZUGEBUNDEN IST.", + "R. JOSE LEHRTE SECHS DINGE, BEI DENEN DIE SCHULE ŠAMMAJS ERLEICHTERND UND DIE SCHULE HILLELS ERSCHWEREND IST. GEFLÜGEL DARF NACH DER SCHULE ŠAMMAJS ZUSAMMEN MIT KÄSE AUF DEN TISCH AUFGETRAGEN, ABER NICHT GEGESSEN WERDEN; DIE SCHULE HLLLELS SAGT, WEDER AUFGETRAGEN NOCH GEGESSEN WERDEN. MAN DARF NACH DER SCHULE ŠAMMAJS DIE HEBE VON OLIVEN FÜR ÖL UND VON WEINTRAUBEN FÜR WEIN ABSONDERN; DIE SCHULE HILLELS SAGT, MAN DÜRFE DIE HEBE [AUF DIESE WEISE] NICHT ABSONDERN. WENN JEMAND INNERHALB DER VIER ELLEN10Die vor einem Weinberg frei bleiben müssen; cf. Kil. IV, 1. VOR EINEM WEINBERG SÄMEREIEN11Cf. Dt. 22,9.SAÄET, SO HAT ER, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, EINE REIHE12Die 1. Reihe des Weinberges.VERBOTEN13Wörtl. geheiligt, welcher Ausdruck in der genannten Schriftstelle gebraucht wird, dh. dem Heiligtume, dem Banne verfallen.GEMACHT; DIE SCHULE HILLELS SAGT, ZWEI REIHEN. MEHLBREI IST NACH DER SCHULE ŠAMMAJS [VON DER TEIGHEBE] FREI UND NACH DER SCHULE HILLELS PFLICHTIG. MAN DARF NACH DER SCHULE ŠAMMAJS IN EINEM STURZBACHE14Eine von einer Anhöhe herabstürzende Wassermenge von 40 Sea͑.EIN TAUCHBAD NEHMEN; DIE SCHULE HILLELS SAGT, MAN DÜRFE IN EINEM SOLCHEN KEIN TAUCHBAD NEHMEN. WENN EIN PROSELYT SICH AM VORABEND DES PESAḤFESTES BEKEHRT, SO DARF ER, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, EIN TAUCHBAD NEHMEN UND ABENDS VOM PESAḤLAMME15Cf. Ex. 12,48.ESSEN; DIE SCHULE HILLELS SAGT, WER SICH VON DER VORHAUT TRENNT, GLEICHT DEM, DER SICH VON EINEM GRABE TRENNT16Er bleibt 7 Tage unrein..", + "R. JIŠMA͑ÉL LEHRTE DREI DINGE, BEI DENEN DIE SCHULE ŠAMMAJS ERLEICHTERND UND DIE SCHULE HILLELS ERSCHWEREND IST. [DAS BUCH] QOHELETH MACHT NACH DER SCHULE ŠAMMAJS DIE HÄNDE NICHT UNREIN17Während andere Bücher der hl. Schrift sie unrein machen; cf. Sab. Fol. 14a., DIE SCHULE HILLELS SAGT, ES MACHE DIE HÄNDE UNREIN. DAS ENTSÜNDIGUNGSWASSER, MIT DEM DAS GEBOT AUSGEÜBT WORDEN18Das zur Besprengung des Unreinen (cf. Num. 19,18) verwandt worden ist.IST, IST NACH DER SCHULE ŠAMMAJS REIN UND NACH DER SCHULE HILLELS UNREIN. SCHWARZKÜMMEL IST NACH DER SCHULE ŠAMMAJS NICHT VERUNREINIGUNGSFÄHIG19Da er allein keine Speise ist. UND NACH DER SCHULE HILLELS VERUNREINIGUNGSFÄHIG; EBENSO [STREITEN SIE] ÜBER DIE VERZEHNTUNG20Gilt er als Speise, so ist er auch zehntpflichtig..", + "R. ELIEZER LEHRTE ZWEI DINGE, BEI DENEN DIE SCHULE ŠAMMAJS ERLEICHTERND UND DIE SCHULE HILLELS ERSCHWEREND IST. DAS BLUT EINER WÖCHNERIN, DIE KEIN TAUCHBAD GENOMMEN HAT, GLEICHT, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, IHREM SPEICHEL UND IHREM URIN21Die nur im flüssigen Zustande, nicht aber eingetrocknet, verunreinigend sind.; DIE SCHULE HILLELS SAGT, ES VERUNREINIGE FEUCHT UND EINGETROCKNET. JEDOCH PFLICHTET JENE BEI, DASS, WENN SIE BEI DER GEBURT FLUSSBEHAFTET WAR, ES FEUCHT UND EINGETROCKNET VERUNREINIGE.", + "WENN VON VIER BRÜDERN ZWEI MIT ZWEI SCHWESTERN VERHEIRATET WAREN, UND (DIE MIT DEN SCHWESTERN VERHEIRATETEN) GESTORBEN SIND, SO IST AN DIESEN DIEALIÇA22Da jede der beiden Schwestern jedem der beiden Brüder zufallen sollte, sodaß die andere ihm dann als Schwester seiner Frau verboten wird.UND NICHT DIE SCHWAGEREHE22Da jede der beiden Schwestern jedem der beiden Brüder zufallen sollte, sodaß die andere ihm dann als Schwester seiner Frau verboten wird.ZU VOLLZIEHEN. HABEN JENE23Die überlebenden Brüder.SIE VOREILIG GEHEIRATET, SO MÜSSEN SIE SIE ENTFERNEN. R. ELIÉZER SAGT, DIE SCHULE ŠAMMAJS LEHRE, SIE DÜRFEN SIE BEHALTEN, UND DIE SCHULE HILLELS LEHRE, SIE MÜSSEN SIE ENTFERNEN.", + "A͑QABJA B. MAHALALÉL BEKUNDETE VIER LEHREN. MAN SPRACH ZUIHM: A͑QABJA, WIDERRUFE DIE VIER LEHREN, DIE DU BEKUNDET HAST, UND WIR WOLLEN DICH ZUM GERICHTSPRÄSIDENTEN IN JISRAÜL MACHEN! ER ERWIDERTE IHNEN: LIEBER WILL ICH LEBTAGS EIN TOR HEISSEN, ALS EINE STUNDE VOR GOTT EIN FREVLER24Durch eine Entscheidung gegen die innere Überzeugung.SEIN. MAN25Dieser Satz ist vom vorangehenden unabhängig, also ein Grund für sich.SOLL NICHT SAGEN, ER HABE SIE WEGEN EINES WÜRDENAMTES WIDERRUFEN. ER ERKLÄRTE DAS ZURÜCKBLEIBENDE HAAR26Das von einem Aussatze zurückbleibt, nachdem dieser geheilt ist; das weiße Haar gilt beim Aussatze als Unreinheitsmal; cf. Lev. 13,2ff.UND DAS GELBE BLUT27Beim Menstrualblut, bei dem hinsichtlich der Unreinheit mehrere Farben unterschieden werden.ALS UNREIN; DIE WEISEN ERKLÄRTEN SIE ALS REIN. ER ERLAUBTE DAS AUSGEFALLENE, IN EINEM FENSTER GESTECKTE HAAR VON EINEM GEBRECHENBEHAFTETEN ERSTGEBORENEN TIERE28Die Schur eines solchen Tieres ist verboten, die von selbst ausgefallene Wolle kann nur als besondere Vorbeugung verboten werden., NACHDEM MAN ES GESCHLACHTET HAT; DIE WEISEN VERBOTEN ES. ER SAGTE, MAN LASSE WEDER EINE PROSELYTIN NOCH EINE FREIGELASSENE SKLAVIN [DAS FLUCHWASSER]29Wenn sie ehebruchsverdächtig sind; cf. Num. 5,12ff.TRINKEN; DIE WEISEN ABER SAGTEN, MAN LASSE SIE ES WOHL TRINKEN. SIE SPRACHEN ZU IHM: EINST GESCHAH ES JA, DASS ŠEMA͑JA UND PTOLLION DIE KARKEMITH, EINE FREIGELASSENE SKLAVIN IN JERUŠALEM, [DAS FLUCHWASSER] TRINKEN LIESSEN. ER ERWIDERTE IHNEN: IHRESGLEICHEN30Sc. Leute; Š. Und P. waren ebenfalls Proselyten; cf. Syn. Fol. 96b. Nach anderer Erkl. heißt דוגמא Gleiches, dh. kein richtiges Fluchwasser (aus Erde vom Tempelboden), sondern etwas ähnliches.HABEN SIE ES TRINKEN LASSEN. HIERAUF TATEN SIE IHN31Wegen des beleidigenden Ausdrucks.IN DEN BANN, UND ER STARB AUCH IM BANNE; DA LIESS DAS GERICHT SEINEN SARG MIT STEINEN BE WERFEN. R. JEHUDA SAGTE: BEHÜTE UND BEWAHRE, DASSQABJA IN DEN BANN GETAN WORDEN SEI, DENN UNTER ALLEN MÄNNERN JISRAÉLS, HINTER DENEN DER TEMPELHOF GESCHLOSSEN WURDE, GAB ES KEINEN, DER A͑QABJA B. MAHALALÉL IN WEISHEIT UND SÜNDENSCHEU GLICHE; IN DEN BANN GETAN HABEN SIE VIELMEHR ELIE͑ZER B. ḤANOCH, DER AM [GESETZE VOM] HÄNDEWASCHEN GERÜTTELT HATTE, UND ALS ER STARB, LIESS DAS GERICHT EINEN STEIN AUF SEINEN SARG LEGEN. DIES LEHRT, DASS, WENN JEMAND IN DEN BANN GETAN WIRD UND IM BANNE STIRBT, SEIN SARG MIT STEINEN BEWORFEN WERDE.", + "BEI SEINEM STERBEN SPRACH ER ZU SEINEM SOHNE: MEIN SOHN, WIDERRUFE DU DIE VIER LEHREN, DIE ICH GELEHRT HABE. DIESER ENTGEGNETE: WESHALB HAST DU SIE NICHT WIDERRUFEN? JENER ERWIDERTE: ICH HABE [MEINE ANSICHT] VON EINER MEHRHEIT VERNOMMEN, UND JENE HABEN IHRE EBENFALLS VON EINER MEHRHEIT VERNOMMEN; ICH BESTAND AUF MEINER ÜBERLIEFERUNG UND SIE BESTANDEN AUF IHRER ÜBERLIEFERUNG. DU ABER HAST SIE VON EINEM EINZELNEN UND VON EINER MEHRHEIT VERNOMMEN, UND ES IST DAHER BESSER, DIE WORTE DES EINZELNEN FALLEN ZU LASSEN UND SICH AN DIE WORTE DER MEHRHEIT ZU HALTEN. HIERAUF SPRACH DIESER ZU IHM: VATER, EMPFIEHL MICH DEINEN KOLLEGEN. JENER ERWIDERTE: ICH EMPFEHLE NICHT. DIESER SPRACH: HAST DU ETWAS AN MIR AUSZUSETZEN? JENER ERWIDERTE: NEIN; DEINE TATEN WERDEN DICH EINFÜHREN UND DEINE TATEN WERDEN DICH ENTFERNEN." + ], + [ + "R. JEHUDA B. BABA BEKUNDETE FÜNF DINGE: DASS MAN EINE MINDERJÄHRIGE1Die durch ihre Mutter od. ihren Bruder verheiratet worden ist. ZUR WEIGERUNGSERKLÄRUNG VERANLASSE; DASS MAN EINER WITWE AUF DIE AUSSAGE EINES ZEUGEN2Der den Tod ihres Mannes bekundet. HIN ZU HEIRATEN ERLAUBE; DASS EINST IN JERUŠALEM EIN HAHN GESTEINIGT WORDEN IST, WEIL ER EINEN MENSCHEN GETÖTET3In der Schrift befindet sich diese Bestimmung nur von einem Ochsen; cf. Ex. 21,28. HATTE; DASS VIERZIGTÄGIGER WEIN AUF DEN ALTAR GEGOSSEN4Als Gußopfer; der neuere ist nicht zulässig. WERDEN DARF; DASS DAS BESTÄNDIGE MORGENOPFER IN DERVIERTEN TAGESSTUNDE DARGEBRACHT WORDEN IST5Dies hatte sich einmal (bei der Belagerung Jerušalems) ereignet..", + "R. JEHOŠUA͑ UND R. NEḤUNJA B. ELINATHAN AUS KEPHAR BABLI BEKUNDETEN, DASS EIN GLIED VON EINER LEICHE6Auch wenn es nicht die Größe einer Olive hat. UNREIN SEI; R. ELIE͑ZER SAGTE NÄMLICH, DIES GELTE NUR VON EINEM GLIEDE EINES LEBENDEN. JENE SPRA CHEN ZU: IHM: ES IST JA [DURCH EINEN SCHLUSS] VOM LEICHTEREN AUF DAS SCHWERERE ZU FOLGERN: WENN DAS ABGETRENNTE GLIED VON EINEM LEBENDEN, DER REIN IST, UNREIN IST, UM WIEVIEL MEHR IST DAS ABGETRENNTE GLIED VON EINER LEICHE, DIE UNREIN IST, UNREIN. ER ERWIDERTE IHNEN: SIE SAGTEN DIES7Daß ein Glied von einem Menschen in jeder Größe verunreinigend sei. ABER NUR VON EINEM GLIEDE EINES LEBENDEN. EINE ANDERE ERWIDERUNG: GRÖSSER IST DIE UNREINHEIT EINES LEBENDEN ALS DIE UNREINHEIT EINER LEICHE; EIN LEBENDER8Wenn er flußbehaftet ist; cf. Lev. 15,2ff. VERUNREINIGT LAGER UND SITZ UNTER9Dh. alle Stücke, die sich unter ihm in großer Anzahl befinden, obgleich er nur das erste berührt. IHM, SODASS DIESE AUCH MENSCHEN UND KLEIDER UNREIN MACHEN, AUCH ALLES, WAS SICHÜBER IHM10Ohne Beschränkung der Anzahl, obgleich er nur das berührt, was sich direkt über ihm befindet.BEFINDET, SODASS DIESE SPEISENUND GETRÄNKE11Jedoch nicht Mensehen u. Kleider.VERUNREINIGEN, WÄHREND EINE LEICHE KEINE VERUNREINIGUNG [DIESER ART] ERWIRKT12Der Tote verunreinigt nur 3 Stücke unter u. über ihm, u. zwar durch Übertragung der Unreinheit des einen auf das andere..", + "EIN OLIVENGROSSES STÜCK FLEISCH VON EINEM GLIEDE, DAS VON EINEM LEBENDEN ABGETRENNT WORDEN IST, IST NACH R. ELIE͑ZER UNREIN UND NACH R. JEHOŠUA͑ UND R. NEḤUNJA REIN. EIN GERSTENGROSSER KNOCHEN VON EINEM GLIEDE, DAS VON EINEM LEBENDEN ABGETRENNT WORDEN IST, IST NACH R. NEḤUNJA UNREIN UND NACH R. ELIE͑ZER UND R. JEHOŠUA͑ REIN. SIE SPRACHEN ZU R. ELIE͑ZER: WAS VERANLASST DICH, EIN OLIVENGROSSES STÜCK FLEISCH VON EINEM GLIEDE, DAS VON EINEM LEBENDEN ABGETRENNT WORDEN IST, ALS UNREIN ZU ERKLÄREN? ER ERWIDERTE IHNEN: WIR FINDEN, DASS EIN GLIED VON EINEM LEBENDEN EINER VOLLSTÄNDIGEN LEICHE GLEICHT13Hinsichtlich der Verunreinigung., WIE NUN EIN VON EINER LEICHE ABGETRENNTES OLIVENGROSSES STÜCK FLEISCH UNREIN IST, EBENSO IST AUCH EIN OLIVENGROSSES STÜCK FLEISCH VON EINEM GLIEDE, DAS VON EINEM LEBENDEN ABGETRENNT WORDEN IST, UNREIN. SIE ENTGEGNETEN IHM: NEIN, DU KANNST EIN VON EINER LEICHE ABGETRENNTES OLIVENGROSSES STÜCK FLEISCH ALS UNREIN ERKLÄREN, DA AUCH EIN VON DIESER ABGETRENNTER GERSTENGROSSER KNOCHEN UNREIN14Dessen Unreinheit ist also strenger. IST, WIESO ABER KANNST DU EIN OLIVENGROSSES STÜCK FLEISCH VON EINEM GLIEDE, DAS VON EINEM LEBENDEN ABGETRENNT WORDEN IST, ALS UNREIN ERKLÄREN, WO DU EINEN VON DIESEM ABGETRENNTEN GERSTENGROSSEN KNOCHEN ALS REIN ERKLÄRT HASTI? SIE SPRACHEN FERNER ZU R. NEḤUNJA: WAS VERANLASST DICH, EINEN GERSTENGROSSEN KNOCHEN VON EINEM GLIEDE, DAS VON EINEM LEBENDEN ABGETRENNT WORDEN IST, ALS UNREIN ZU ERKLÄREN? ER ERWIDERTE IHNEN: WIR FINDEN, DASS EIN GLIED VON EINEM LEBENDEN EINER VOLLSTÄNDIGEN LEICHE GLEICHT18Von einer Leiche; cf. Ed. I,7., WIE NUN EIN VON EINER LEICHE ABGETRENNTER [GERSTENGROSSER] KNOCHEN UNREIN IST, EBENSO IST AUCH EIN GERSTENGROSSER KNOCHEN VON EINEM GLIEDE, DAS VON EINEM LEBENDEN ABGETRENNT WORDEN IST, UNREIN. SIE ENTGEGNETEN IHM: NEIN, DU KANNST EINEN VON EINER LEICHE ABGETRENNTEN GERSTENGROSSEN KNOCHEN ALS UNREIN ERKLÄREN, DA AUCH EIN VON DIESER ABGETRENNTES OLIVENGROSSES STÜCK FLEISCH UNREIN IST, WIESO ABER KANNST DU EINEN GERSTENGROSSEN KNOCHEN VON EINEM GLIEDE, DAS VON EINEM LEBENDEN ABGETRENNT WORDEN IST, ALS UNREIN ERKLÄREN, WO DU EIN VON DIESEM ABGETRENNTES OLIVENGROSSES STÜCK FLEISCH ALS REIN ERKLÄRT HAST!? SIE SPRACHEN FERNER ZU R. ELIE͑ZER: WAS VERANLASST DICH, DEINE ANSICHT ZU TEILEN, ENTWEDER ERKLÄRE BEIDES ALS UNREIN ODER ERKLÄRE BEIDES ALS REIN? ER ERWIDERTE IHNEN! GRÖSSER IST DIE UNREINHEIT DES FLEISCHES ALS DIE UNREINHEIT DER KNOCHEN, DENN DIE [UNREINHEIT DES] FLEISCHES ERSTRECKT SICH AUCH AUF ÄSER UND KRIECHTIERE, WAS BEI DEN KNOCHEN NICHT DER FALL IST. EINE ANDERE ERKLÄRUNG. WENN AN EINEM GLIEDE DAS GEHÖRIGE FLEISCH VORHANDEN IST, SO IST ES DURCH BERÜHRUNG, TRAGEN UND BEZELTUNG VERUNREINIGEND, FEHLT ETWAS VOM FLEISCHE, SO IST ES DENNOCH UNREIN15Als Glied., FEHLT ABER ETWAS VOM KNOCHEN, SO IST ES REIN16Als Glied, wohl aber ist es als Fleisch, falls es von einer Leiche herrührt, unrein.. SIE SPRACHEN ZU R. NEḤUNJA: WAS VERANLASST DICH, DEINE ANSICHT ZU TEILEN, ENTWEDER ERKLÄRE BEIDES ALS UNREIN ODER ERKLÄRE BEIDES ALS REIN!? ER ERWIDERTE IHNEN: GRÖSSER IST DIE UNREINHEIT DER KNOCHEN ALS DIE UNREINHEIT DES FLEISCHES; DAS VON EINEM LEBENDEN ABGETRENNTE FLEISCH IST REIN, WÄHREND EIN VON IHM ABGETRENNTES GLIED IN SEINER NATÜRLICHEN BESCHAFFENHEIT17Mit den Knochen.UNREIN IST. EINE ANDERE ERKLÄRUNG: EIN OLIVENGROSSES STÜCK FLEISCH IST DURCH BERÜHRUNG, TRAGEN UND BEZELTUNG VERUNREINIGEND, UND DIE MEHRZAHL DER KNOCHEN18Von einer Leiche; cf. Ed. I,7.IST EBENFALLS DURCH BERÜHRUNG, TRAGEN UND BEZELTUNG VERUNREINIGEND; FEHLT ETWAS VOM FLEISCHE19Dh. vom vorschriftsmäßigen Quantum., SO IST ES REIN, FEHLT ABER VON DER MEHRZAHL DER KNOCHEN, SO SIND SIE ALLERDINGS DURCH BEZELTUNG NICHT VERUNREINIGEND, ABER IMMERHIN SIND SIE NOCH DURCH BERÜHRUNG UND TRAGEN VERUNREINIGEND. EINE ANDERE ERKLÄRUNG: HAT DAS GESAMTE FLEISCH VON EINER LEICHE KEINE OLIVENGRÖSSE20Soll nach Hol. Fol. 89b bei einem Abortus Vorkommen., SO IST ES REIN, DAGEGEN IST DER GRÖSSERE TEIL DES KÖRPERBAUES ODER DER GRÖSSERE TEIL [DER KNOCHEN] VON EINER LEICHE VERUNREINIGEND, SELBST WENN SIE ZUSAMMEN KEIN VIERTEL [KAB21Erforderliches Quantum hinsichtlich der Verunreinigung; cf. supra I, 7. Statt רוב ist mit der Mišna separata besser רזבע zu lesen.] BETRAGEN. SIE SPACHEN FERNER ZU R. JEHOŠUA͑: WAS VERANLASST DICH, BEIDES ALS REIN ZU ERKLÄREN? ER ERWIDERTE IHNEN: NEIN, WENN DIES22Die Verunreinigung durch ein olivengroßes Stück Fleisch od. einen gerstengroßen Knochen.VON EINER LEICHE GILT, DIE [VERUNREINIGEND] IST DURCH MEHRZAHL23Der Knochen od. des Körperbaues., EIN VIERTEL [KAB KNOCHEN] UND VERWESUNG24Auch wenn der Körper vollständig verwest u. in Staub verwandelt ist, ist er noch (ein Löffel voll) verunreinigend., SOLLTE DIES AUCH VON EINEM LEBENDEN GELTEN, DER DURCH MEHRZAHL, EIN VIERTEL [KAB KNOCHEN] UND VERWESUNG NICHT VERUNREINIGEND IST!?" + ], + [ + "iR. JEHOŠUA͑ UND R. ÇADOQ BEKUNDETEN, DASS, WENN DER LÖSERSATZ FÜR DAS ERSTGEBORENE EINES ESELS1Das Erstgeborene eines reinen Tieres gehört dem Priester, das eines unreinen Tieres muß auf ein reines (Lamm) umgetauscht werden; cf. Ex. 13,11ff. VERENDET2Nachdem ihn der Eigentümer zu diesem Behufe ausgehoben hat., DER PRIESTER DAVON NICHTS HABE; R. ELIE͑ZER SAGT NÄMLICH, [DER EIGENTÜMER] SEI HAFTBAR, WIE BEI DEN FÜNF SELA͑ FÜR EINEN [ERSTGEBORENEN] SOHN3Cf. Ex. 13,13., DIE WEISEN ABER SAGEN, ER SEI NICHT HAFTBAR, VIELMEHR GLEICHT DIESER DEM LÖSEGELDE DES ZWEITEN ZEHNTEN4Wenn das Geld abhanden kommt, so ist der Eigentümer nicht haftbar.
3. Cf. Ex. 13,13.
4. Wenn das Geld abhanden kommt, so ist der Eigentümer nicht haftbar.
.", + "R. ÇADOQ BEKUNDETE, DASS DIE TUNKE VON UNREINEN HEUSCHRECKEN REIN SEI; DIE ERSTE [VERSION DER] MIŠNA LAUTETE NÄMLICH: WENN UNREINE HEUSCHRECKEN ZUSAMMEN MIT REINEN EINGELEGT WORDEN SIND, SO IST DIE TUNKE NICHT UNBRAUCHBAR5Also nur bei einer Mischung von reinen u. unreinen. Einleuchtender ist jed. die Lesart: so haben sie nur die Tunke unbrauchbar gemacht..", + "R. ÇADOQ BEKUNDETE, DASS, WENN DAS FLUSSWASSER MEHR IST ALS DAS TROPFWASSER, ES TAUGLICH6Als Flußwasser; bei manchen rituellen Handlungen, wie zBs. beim Besprengen des Flußbehafteten, ist durchaus Quellwasser vorgeschrieben; als solches gilt jedes sich stetig bewegende Gewässer. SEI. EINST EREIGNETE SICH EIN SOLCHER FALL IN BIRATH PELIJA, UND ALS DIE SACHE VOR DIE WEISEN KAM, ERKLÄRTEN SIE ES ALS TAUGLICH.", + "R. ÇADOQ BEKUNDETE, DASS, WENN MAN FLUSSWASSER DURCH NUSSBLÄTTER7Wahrscheinlich, wenn man aus diesen Blättern eine Art Rinne bildet. LAUFEN LÄSST, ES TAUGLICH8Diese Blätter sind nicht verunreinigungsfähig; dagegen wird das Wasser untauglich, wenn es durch eßbare, also verunreinigungsfähige Kräuter fließt.SEI. ELNST EREIGNETE SICH EIN SOLCHER FALL IN AHALAJA, UND ALS DIE SACHE IN DIE QÜADERHALLE9Vor das Synedrium. KAM, ERKLÄRTEN SIE ES ALS TAUGLICH.", + "R. JEHOSÜA UND R. JAQIM AUS HADAR BEKUNDETEN, DASS, WENN MAN EINEN KRUG MIT ENTSÜNDIGUNGSASCHE10Von der roten Kuh; cf. Num. 19,2ff.AUF EIN KRIECHTIER GESTELLT11Ein irdenes Gefäß wird nur dann unrein, wenn die Innenseite unrein wird; auch ln diesem Falle bleibt der Krug rein und nur die Asche wird unrein, da von dieser ausdrücklich hervorgehoben wird, daß man sie nur an eine reine Stelle lege ; cf. Num. 19,9.HAT, DIESE UNREIN SEI; R. ELIE͑ZER ERKLÄRTE SIE NÄMLICH ALS REIN. R. PAPJAS BEKUNDETE, DASS, WENN JEMAND ZWEI NAZIRATE12Ohne Zeitbestimmung, also je 30 Tage.GELOBT UND WEGEN DES ERSTEN SICH AM DREISSIGSTEN TAGE DAS HAAR GESCHNITTEN13Am letzten Tage muß sich der Nazir das Haar schneiden; cf. Num. 6,18.HAT, ER ES SICH WEGEN DES ZWEITEN AM SECHZIGSTEN TAGE SCHNEIDE; UND DASS, WENN ER DIES AM NEUNUNDFÜNFZIGSTEN TAGE GETAN HAT, ER SEINER PFLICHT GENÜGT HABE, DENN DER DREISSIGSTE TAG WERDE IHM ANGERECHNET14Der 30. Tag des ersten gilt gleichzeitig als 1. des zweiten..", + "R. JEHOŠUA͑ UND R. PAPJAS BEKUNDETEN, DASS DAS JUNGE VON EINEM HEILSOPFER15Das das Opfertier nach seiner Aushebung geworfen hat.ALS HEILSOPFER DARGEBRACHT WERDE. R. ELIE͑ZER SAGTE NÄMLICH, DAS JUNGE VON EINEM HEILSOPFER WERDE NICHT ALS HEILSOPFER DARGEBRACHT, DIE WEISEN ABER SAGTEN, ES WERDE WOHL ALS SOLCHES DARGEBRACHT. HLERZU SAGTE R. PAPJAS: ICH BEKUNDE, DASS WIR EINST EINE HEILSOPFERKUH HATTEN, DIE WIR AM PESAḤFESTE VERZEHRTEN, UND AUCH DAS JUNGE DERSELBEN VERZEHRTEN WIR AM FESTE16Dem darauffolgenden, am Wochenfeste.ALS HEILSOPFER.", + "DIESELBEN BEKUNDETEN, DASS DIE ROLLBRETTER17Richtiger ist die Lesart der Mišna separata ארוכות, wie sie in dieser Bedeutung auch an anderer Stelle im T. vorkommt.DER BÄCKER VERUNREINIGUNGSFÄHIG SIND; R. ELIE͑ZER SAGTE NÄMLICH, SIE SEIEN NICHT18Da sie keine Geräte sind. VERUNREINIGUNGSFÄHIG. DIESELBEN BEKUNDETEN AUCH, DASS, WENN MAN EINEN OFEN19Dieser hatte die Form eines Topfes u. war transportabel; er galt daher hinsichtlich der Verunreinigung als Gefaß.IN EINZELNE RINGE ZERSCHNITTEN UND ZWISCHEN DIE RINGE SAND GETAN20Und oben mit Lehm bestrichen, damit er nicht auseinanderfalle.HAT, ER UNREIN SEI; R. ELIE͑ZER ERKLÄRTE NÄMLICH EINEN SOLCHEN ALS REIN21Da die Ringe von einander durch Sand getrennt sind, so gilt er als zerbrochenes Gefäß.. DIESELBEN BEKUNDETEN FERNER, DASS MAN DAS JAHR WÄHREND DES GANZEN [MONATS] ADAR INTERKALIEREN22Vgl. Bd. VIII S. 3 Anm. 10.KÖNNE; SIE SAGTEN NÄMLICH, NUR BIS ZUM PURIMFESTE23Dem 14. dieses Monats.. DIESELBEN BEKUNDETEN FERNER, DASS MAN DAS JAHR BEDINGUNG S WEISE24Daß der Fürst seine Zustimmung geben werde; cf. Syn. Fol. 11a.INTERKALIEREN KÖNNE. EINST WAR R. GAMLIÉL VERREIST, UM ERLAUBNIS ÜBER ETWAS VOM HEGEMON IN SYRIEN EINZUHOLEN, UND VERSPÄTETE SICH MIT SEINER RÜCKKEHR; DA INTERKALIERTEN SIE DAS JAHR UNTER DER BEDINGUNG, DASS, WENN R. GAMLIÉL EINVERSTANDEN SEIN WÜRDE, DAS JAHR INTERKALIERT SEI.", + "R. MENAḤEM B. SIGNAJ BEKUNDETE, DASS DER ANSATZ EINES KESSELS25Damit der Kessel nicht überlaufe, wird oben ein Ansatz aus Lehm angestückt.DER OLIVENSIEDER VERUNREINIGUNGSFÄHIG UND DER DER FÄRBER NICHT VERUNREINIGUNGSFÄHIG SEI; SIE SAGTEN NÄMLICH, DIE SACHE VERHALTE SICH ENTGEGENGESETZT26Nach der einen Ansicht ist der Ansatz am ersteren unentbehrlich u. daher ver unreinigungsfähig, nicht aber am zweiten, u. nach der anderen Ansicht entgegengesetzt..", + "R. NEḤUNJA B. GUDGADA BEKUNDETE, DASS EINE DURCH IHREN VATER VERHEIRATETE TAUBSTUMME DURCH EINEN SCHEIDEBRIEF GESCHIEDEN27Obgleich die Verheiratung durch den Vater erfolgt u. sie selbst nicht vollsinnig ist.WERDEN KÖNNE, DASS EINE AN EINEN PRIESTER VERHEIRATETE MINDERJÄHRIGE JISRAÉLITIN28Dh. keine Priesterstochter.HEBE ESSEN29Auch in dem Falle, wenn sie keinen Vater hat und von ihren Angehörigen verheiratet worden ist, obgleich diese Heirat nur rabbanitisch gültig ist.DÜRFE, UND DASS, WENN EINE SOLCHE30Eine durch ihre Verwandten verheiratete Minderjährige.GESTORBEN IST, IHR MANN SIE BEERBE. FERNER, DASS MAN FÜR EINEN GERAUBTEN, IN EINEN PALAST EINGEBAUTEN BALKEN NUR DEN WERT ZU ERSETZEN31Er braucht wegen der Rückgäbe des Balkens das Gebäude nicht zu zerstören. Dies, um ihm die Büßfertigkeit zu erleichtern.HABE, UND DASS EIN SÜNDOPFER, WENN ES GERAUBT UND DIES DEN LEUTEN UNBEKANNT IST, SÜHNE SCHAFFE; EINE VORSORGLICHE BESTIMMUNG FÜR DEN ALTAR32Dh. für den Altardienst; wird das Sündopfer als ungültig erklärt, so haben die Priester durch den Genuß desselben eine Sünde begangen, (durch das Essen von Profanem, das im Tempelhofe geschlachtet wurde,) und um solchen Sünden vorzubeugen, würden sie sich weigern, den Altardienst zu verrichten.." + ], + [ + "iR. JEHOŠUA͑ B. BETHERA BEKUNDETE, DASS DAS BLUT VON ÄSERN REIN SEI. R. ŠIMO͑N B. BETHERA BEKUNDETE, DASS, WENN EIN TEIL DER ENTSÜNDIGUNGSASCHE1Vgl. S. 426 Anm. 10. VON EINEM UNREINEN BERÜHRT WORDEN IST, DAS GANZE UNREIN SEI. R. A͑QIBA FÜGTE NOCH DAS FEINMEHL2Zum Speisopfer., DAS RÄUCHERWERK, DEN WEIHRAUCH UND DIE KOHLEN3Die der Hochpriester am Versöhnungstage in das Allerheiligste bringt; cf. Lev. 16,12. HINZU; WENN NÄMLICH EIN AM SELBEN TAGE UNTERGETAUCHTER4Vgl. S. 409 Anm. 2. VON DIESEM EINEN TEIL BERÜHRT HAT, SO HAT ER DAS GANZE UNTAUGLICH GEMACHT.", + "R. JEHUDA B. ABBA UND R. JEHUDA DER PRIESTER BEKUNDETEN, DASS EINE AN EINEN PRIESTER VERHEIRATETE MINDERJÄHRIGE JISRAÉLITIN5Vgl. S. 427 Anm. 29. HEBEESSEN DÜRFE, SOBALD SIE UNTER DEN BALDACHIN6Zur Antrauung. GEKOMMEN, NOCH BEVOR SIE BESCHLAFEN WORDEN IST. R. JOSE DER PRIESTER UND R. ZEKHARJA B. HAQAÇAB BEKUNDETEN FOLGENDES: EINST WURDE IN AŠQELON EIN MINDERJÄHRIGES MÄDCHEN VERPFÄNDET, UND DIE ANGEHÖRIGEN IHRER FAMILIE STIESSEN SIE7In der Annahme, sie sei geschändet worden. AUS, OBGLEICH IHRE ZEUGEN8Die ihre Pfändung bekundeten. BEKUNDET HATTEN, DASS SIE MIT NIEMAND ISOLIERT WAR UND NICHT VERUNREINIGT WORDEN IST. DA SPRACHEN DIE WEISEN ZU IHNEN: GLAUBT IHR IHNEN, DASS SIE VERPFÄNDET WAR, SO GLAUBT IHNEN AUCH, DASS SIE MIT NIEMAND ISOLIERT WAR UND NICHT VERUNREINIGT WORDEN IST, UND GLAUBT IHR IHNEN NICHT, DASS SIE MIT NIEMAND ISOLIERT WAR UND NICHT VERUNREINIGT WORDEN IST, SO GLAUBT IHNEN AUCH NICHT, DASS SIE VERPFÄNDET WAR.", + "R. JEHOŠUA͑ UND R. JEHUDA B. BETHERA BEKUNDETEN, DASS DIE WITWE [EINES MENSCHEN AUS] EINER MISCHFAMILIE9Wenn die Familie ein Mitglied hat, hinsichtlich dessen ein Zweifel der Illegitimität besteht; die Illegitimität der Mitglieder einer solchen Familie ist doppelt zweifeihaft: 1. ist die Illegitimität der in Betracht kommenden Person überhaupt fraglich, 2. weiß man nicht, wer diese Person ist. FÜR PRIESTER TAUGLICH10Dh. einen Priester zu heiraten. SEI, DENN DIE MISCHFAMILIE IST ZUSTÄNDIG, [HIRE MITGLIEDER] ALS UNREIN ODER ALS REIN11In geschlechtlicher Beziehung, hinsichtlich der Legitimität.ZU ERKLÄREN, AUSZUSTOSSEN12Aus der Familie, damit die Familie ihre Reinheit nicht verliere.ODER AUFZUNEHMEN. R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SPRACH : WIR WOLLEN EURE BEKUNDUNG ENTGEGENNEHMEN, WAS ABER KÖNNEN WIR TUN GEGEN DIE BESTIMMUNG DES R. JOHANAN B. ZAKKAJ, ZU DIESEM BEHUFE13Um einer solchen Witwe die Heirat mit einem Priester zu erlauben.KEIN GERICHTSKOLLEGIUM EINZUSETZEN; DIE PRIESTER WÜRDEN NÄMLICH NUR HINSICHTLICH DER AUSSTOSSUNG GEHORCHEN, NICHT ABER HINSICHTLICH DER AUFNAHME.", + "R. JOSE B. JOE͑ZER AUS ÇEREDA BEKUNDETE, DASS DIE WIDDERHEUSCHRECKE14Cf. Az. Fol. 37a.REIN SEI, DASS DIE FLÜSSIGKEITEN IM SCHLACHTHAUSE15Des Tempelhofes; cf. ib. Fol. 37b.REIN SEIEN, UND DASS, WER EINEN TOTEN BERÜHRT, UNREIN16Cf. ib. ib.SEI; MAN NANNTE IHN DAHER JOSE DEN ERLAUBENDEN.", + "R. A͑QIBA BEKUNDETE IM NAMEN DES NEḤEMJA AUS BEDALI17Vgl. Bd. IV. S. 732 Amm. 15., DASS MAN AUF DIE AUSSAGE EINES ZEUGEN18Der den Tod ihres Mannes bekundet.HIN EINER FRAU ZU HEIRATEN ERLAUBE. R. JEHOŠUA͑ BEKUNDETE, DASS KNOCHEN, DIE IN DER HOLZKAMMER19Des Tempelhofes.GEFUNDEN WERDEN UNREIN20Weil sie vielleicht von Leichen herrühren. In den den Kommentaren vorgelegenen Texten scheinen diese Worte (unrein seien) gefehlt zu haben.SEIEN. DIE WEISEN SAGTEN, MAN LESE SIE EINZELN AUF, UND ALLES BLEIBE REIN21Da der Raum, in dem diese Kammer sich befand, als öffentliches Gebäude gilt, u. bei einem solchen ist bei einem Zweifel hinsichtlich der Unreinheit erleichternd zu entscheiden..", + "R. ELIE͑ZER SAGTE: ICH HÖRTE, DASS MAN BEI DER ERBAUUNG DES TEMPELS22Unter Èzra.VORHÄNGE VOR DEM TEMPEL UND VOR DEN VORHÖFEN GEMACHT HATTE, NUR WURDEN [DIE WÄNDE] DES TEMPELS AUSSERHALB DERSELBEN UND DIE DER VORHÖFE INNERHALB DERSELBEN GEBAUT. R. JEHOŠUA͑ SAGTE: ICH HÖRTE, DASS MAN DIE OPFER DARBRINGE, AUCH WENN DER TEMPEL NICHT VORHANDEN IST, DASS MAN HOCHHEILIGES ESSE, AUCH WENN DIE TEMPELMAUER23Obgleich diese innerhalb derselben gegessen werden müssen.NICHT VORHANDEN IST, UND MLNDERHEILIGES UND ZWEITEN ZEHNTEN, AUCH WENN DIE STADTMAUER23Obgleich diese innerhalb derselben gegessen werden müssen.NICHT VORHANDEN IST, WEIL DIE ERSTE HEILIGUNG24Bei Erbauung des 1. Tempels.FÜR DIE DAMALIGE ZEIT UND FÜR DIE ZÜKUNFT GALT.", + "R. JEHOŠUA͑ SAGTE: ICH HABE EINE ÜBERLIEFERUNG VON R. JOḤANAN B. ZAKKAJ, DER SIE VON SEINEM LEHRER UND SEIN LEHRER VON DESSEN LEHRER HATTE, ES SEI EINE MOŠE AM SINAJ ÜBERLIEFERTE LEHRE, ELIJAHU WERDE NICHT KOMMEN, ALS REIN ODER ALS UNREIN25Personen, deren Legitimität zweifelhaft ist. Von anderen Zweifeln heißt es oft, der Prophet Elijahu werde sie bei seiner Ankunft lösen.ZU ERKLÄREN, AUSZUSTOSSEN26Aus einer legitimen Familie.ODER AUFZUNEHMEN, SONDERN DIEJENIGEN AUSZUSTOSSEN, DIE DURCH GEWALT AUFGENOMMEN WORDEN SIND, UND DIEJENIGEN AUFZUNEHMEN, DIE DURCH GEWALT AUSGESTOSSEN WORDEN SIND. IN TRANSJARDEN WAR EINE FAMILIE BETH ÇERIPHA, DIE DURCH BEN ÇIJON GEWALTSAM AUSGESTOSSEN27Als illegitim erklärt.WURDE; DASELBST WAR AUCH EINE ANDERE FAMILIE, DIE DURCH BEN ÇIJON GEWALTSAM AUFGENOMMEN WURDE. SOLCHE BEISPIELSWEISE WIRD ELIJAHU BEI SEINER ANKUNFT ALS UNREIN ODER REIN ERKLÄREN, AUSSTOSSEN ODER AUFNEHMEN. R. JEHUDA SAGTE, NUR AUFZUNEHMEN, ABER NICHT AUSZUSTOSSEN. R. ŠIMO͑N SAGTE, [ER WERDE KOMMEN,] UM STREITIGKEITEN ZU SCHLICHTEN28Viell, als Gegensatz zu Matth. 10,34.. DIE WEISEN SAGEN, WEDER AUSZUSTOSSEN NOCH AUFZUNEHMEN, SONDERN FRIEDEN UNTER IHNEN ZU STIFTEN, DENN ES HEISST:29Mal. 3,23,24.siehe, ich sende euch den Propheten Elija &c., daß er die Väter mit den Söhnen und die Söhne mit den Vätern aussöhne." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/English/The Mishna with Obadiah Bartenura by Rabbi Shraga Silverstein.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/English/The Mishna with Obadiah Bartenura by Rabbi Shraga Silverstein.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..6243738cb6aef9e2071caf1e36532611820eb634 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/English/The Mishna with Obadiah Bartenura by Rabbi Shraga Silverstein.json @@ -0,0 +1,117 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Eduyot", + "versionSource": "http://www.sefaria.org/shraga-silverstein", + "versionTitle": "The Mishna with Obadiah Bartenura by Rabbi Shraga Silverstein", + "status": "locked", + "license": "CC-BY", + "versionNotes": "To enhance the quality of this text, obvious translation errors were corrected in accordance with the Hebrew source", + "versionTitleInHebrew": "המשנה עם פירושי רבי עובדיה מברטנורא, רבי שרגא זילברשטיין", + "versionNotesInHebrew": "כדי לשפר את איכות הטקסט הזה, שונו שגיאות תרגום ברורות בהתאם למקור העברי", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה עדיות", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "\tBeth Shammai says: \"All women — their time is sufficient.\" [All women who see blood, their time is sufficient to render unclean levitically clean food (taharoth) which they had touched, from the time of sighting (blood) and thenceforward. And we do not say that there was also blood before them, but the walls of the woman had prevented it from coming out, and that she was unclean even before her sighting. For all women render taharoth unclean (when they find blood) in the outer orifice, even though the blood has not come out. The reason that Shammai is not concerned that blood may have been there before her examination is that one would always be worried during intercourse that blood had issued forth and he would separate from his wife, thereby keeping the daughters of Israel from having children.] Hillel says: \"From examination to examination, even for many days.\" [i.e., If she examined herself today and found herself clean and examined herself again at the end of the week and found herself unclean, we are concerned about what she had touched from the first examination on. Perhaps with the withdrawal of her hands (from the first examination) blood had appeared and had been prevented from coming out by the walls of the womb. And we are not concerned about suspension of cohabitation. For it is only in resepct to taharoth that we render (them) unclean from one examination to the next. But (we do) not (render her unclean) in respect to (cohabitation with) her husband. And Shammai holds that if you render her unclean in respect to taharoth, he will be uneasy and will also separate from intercourse.] And the sages say: \"Neither like the one nor like the other.\" [Neither like Shammai, who is too lenient and does not make a fence for his words; nor like Hillel, who is overly stringent. For the womb does not hold in the blood for so long a period of time.] But \"me'eth le'eth\" [i.e., twenty-four hours] (sometimes) shortens al yad (i.e., after) \"examination to examination,\" and \"examination to examination\" (sometimes) shortens al yad \"me'eth le'eth\" [i.e., Two time periods are mentioned in respect to a woman relative to rendering taharoth unclean retroactively, and the more lenient option is followed in both instances. That is, if \"examination to examination\" is longer than \"me'eth le'eth,\" \"me'eth le'eth\" is followed and only the taharoth that she touched at this time yesterday are rendered unclean. And if \"me'eth le'eth\" is longer than \"examination to examination,\" as when she examined herself in the morning and found herself clean, and in the evening and found herself unclean, only those taharoth from the first examination to the second are rendered unclean. And the halachah is in accordance with the sages. (\"al yad\" here is to be understood as \"after,\" as in Nechemiah 3:8, 10, 12)]. Every woman who has a [regular] period, [established by three sightings; and she examined herself at her expected time and found herself unclean], her [expected] time is sufficient [and we do not fear that her flow had come before her time, for, certainly, the \"guest\" comes on time.] And if one uses cloths, this is considered an examination. [We are taught two things here, viz.: It is a mitzvah for every woman to use two examination cloths for intercourse, one before and one after. \"This (the second cloth) is considered an examination,\" viz.] It \"shortens\" through \"me'eth le'eth\" or \"examination to examination\" (respectively). [For I might think that there might have been a drop of blood the size of a mustard-seed, which had been covered by semen, so that this would not constitute an examination; the Mishnah, therefore, apprises us that the ed (cloth) after intercourse is considered an examination. But the ed before intercourse is not considered an examination. For, in her haste for cohabitation, she may not be careful to insert the ed into all the crevices].", + "\tShammai says: \"From a kav, for challah\" [i.e., a kav of dough is subject to challah (the Cohein's share of the dough)]. Hillel says: \"From two kavim.\" And the sages say: \"Neither like the one nor like the other; but a kav and a half are subject to challah.\" [\"a kav and a half\" — seven logs, an egg, and a fifth of an egg by the measure of the desert, this being the omer for a head\" (Exodus 16:16), half of an ephah, which is subject to challah, as it is written (Numbers 15:20): \"The first of your dough, challah, etc.\" according to the dough of the desert.\" And they added a sixth in Yerushalmiyoth. It is found, then, that six desert logs are contained in five Yerushalmiyoth; and the remaining log, and an egg, and a fifth of an egg add up to a Yerushalmi log. For the desert log was six eggs. Place them in five big eggs and you find that the log is lacking a big egg. Give an egg and a fifth for the big egg, the fifth of the egg being a sixth in addition to the egg, we find six big eggs, which are a big log, so that (altogether) we find six big logs — a kav and a half (which are subject to challah.)] And when the sizes were enlarged [to the Sepphoris standard, a sixth more than the Yerushalmith, so that the six logs became five, which are five quarters of a kav, a kav being four logs,] they said: \"Five quarters of a kav are subject (to challah\"). R. Yossi says: \"Five (quarters) are exempt (from challah), five and above are subject to it.\" [R. Yossi holds that the desert measure was (eggs) larger than ours, one-twentieth of an egg for each egg. And the halachah is in accordance with the sages, that the shiur (the minimum measurement) for challah is a Yerushalmith kav and a half; that is, six Yerushalmith logs, which, by the desert standard, are seven logs, and an egg and a fifth of an egg — altogether, forty-three eggs and a fifth of an egg. And the Rambam weighed and searched and adjusted and examined and found that the weight of five hundred and twenty derahams of wheat flour is the shiur of flour subject to challah. And the deraham weight is known in Egypt today and in Eretz Yisrael to be the weight of about sixty-one barley grains.]", + "\tHillel says a whole hin [twelve logs] of drawn water invalidates a mikveh [if they fall into it before its shiur (its minimum amount of non-drawn water) has been completed. But after it has been completed, even if he threw into it all the drawn water in the world, it is not invalidated.] One must use the terminology of his teacher [i.e., \"hin\" is not Mishnah terminology but Torah terminology. But this is what he heard from his teachers, Shemayah and Avtalyon. And the Rambam received it from his father, of blessed memory, that Shemayah and Avtalyon, being righteous converts (gerei tzedek) could not pronounce \"hin\" and said \"in\" instead, (like [many] people today, who cannot enunciate aleph, cheth, heh, and ayin), so that Hillel also said \"in,\" as his teachers, the gerei tzedek, Shemayah and Avtalyon did.] Shammai says nine kavin. And the sages say: Neither like the one nor like the other; but until there came two weavers from the Dung Gate in Jerusalem and testified in the name of Shemayah and Avtalyon that three logs of drawn water invalidate the mikveh, and the sages substantiated their words. [\"the Dung Gate\": The Tanna mentioned their occupation and their locality to teach that one should not keep himself from the house of study. For there is no trade more menial than that of a weaver, who is not appointed a king or a high-priest. And there is no gate in Jerusalem inferior to the Dung Gate, and yet, they outweighed in their testimony all the sages of Israel.]", + "\tAnd why are the words of Shammai and Hillel mentioned in vain? To teach future generations that one should not stand fast upon his words, [i.e., that he should not be intransigent in his opinion]; for \"the fathers of the world\" [Hillel and Shammai] did not stand fast upon their words.", + "\tAnd why do we mention the words of the one, among the many, if the halachah is only in accordance with the many? So that if beth-din holds with the view of the one, and relies upon it [against the view of the many], a [future] beth-din cannot annul the words of its fellow beth-din unless it be greater in wisdom than that of the first], and in number [i.e., that the number of disciples in the second be greater than the number of disciples in the first.] If it were greater in wisdom but not in number, or in number but not in wisdom, it cannot annul its words unless it be greater (than the first) both in wisdom and in number.", + "\tR. Yehudah said: If so, why do we mention in vain the words of the individual, [in accordance with whose view no beth-din has acted], among the many? So that if a man say [in wonderment, when he sees that he is not being upheld by beth-din]: \"But so have I received it,\" they can say to him: \"You have received it according to this and this man's view,\" [but it has been rejected.]", + "\tBeth Shammai say: A quarter [of a kav] of the bones [of the dead], whether from two or three, [cause tent-uncleanliness. And fewer than a quarter cause uncleanliness only by touching or carrying, but not in a tent. And Beth Shammai hold that a quarter of a kav cause tumah (uncleanliness) even if they are from many dead.] And Beth Hillel say: A quarter (of a kav) of the bones of the body. [That is, from the body of one dead man and not from many dead. And, even from one dead man, there is no tumah unless there be in the quarter of a kav either] the majority of the built [i.e., the majority of the built of the body] or the majority of the number [of the bones of a man — one hundred and twenty-five, a man's bones numbering two hundred and forty-eight.] Beth Shammai say: Even one bone. [i.e., If one bone of the dead man fills a quarter of a kav, it causes tent-uncleanliness. The halachah is in accordance with Beth Hillel.]", + "\tKarshinim (vetch) of terumah — [In Arabic they are called \"karshena.\" They are camel feed, and are used for human consumption only in a famine year. Terumah is separated from them, since men sometimes eat them, when forced to do so. And they are not sanctified, as other terumoth are] — Beth Shammai say: They are soaked [in water] and rubbed [on one's skin] in cleanliness [i.e., after cleansing one's hands, (netilath yadayim), according to the din of all other terumah food. For hands have the status of second-degree uncleanliness, and invalidate terumah]; and they are fed [to animals] in uncleanliness, [there being no concern about his making them unclean with his hands when feeding them to animals. But when they are not fed to animals, it is forbidden to render them unclean by the hands.] Beth Hillel say: They are soaked, in cleanliness, [for soaking them in water renders them susceptible to acquiring uncleanliness; and if he soaks them in uncleanliness, their tumah and their susceptibility come together. And this alone is what Beth Hillel forbid, as a sign, so that it be known that they are terumah], and they are rubbed (on the skin) and fed (to animals) in uncleanliness. Shammai says: Let them be eaten tzarid, [\"dry,\" as in \"tzarid of menachoth,\" there being a place in the meal-offerings where the oil did not reach. Here, too, let them be eaten dry, so there not be liquid upon them when they are eaten, so that it not be recognized that they were made susceptible of acquiring uncleanliness.] R. Akiva says: All that is done with them [even soaking] may be done in uncleanliness. [The halachah is in accordance with Beth Hillel.]", + "\tOne who exchanges a sela-worth of second-tithe money [i.e., one who has copper coins of second-tithe (ma'aser sheni) money, and he comes to exchange them for a silver sela to take up to Jerusalem because of the burden of the way] — Beth Shammai say: For the whole sela, coins. [i.e., If he comes to exchange them, he exchanges all of them, and he gives (copper) coins for the whole sela.] And Beth Hillel say: (He should take with him) a shekel [half a sela] in silver, and a shekel in (copper) coins. [For when he comes to Jerusalem, he will need coins immediately to buy what he needs to eat; and if all run to the money changer to change (a whole sela for copper coins), the coins will become dear and ma'aser sheni will suffer a loss. Therefore, they should take (copper) coins with them for their immediate needs, and, when they give out, he should exchange the silver that he has, little by little.] R. Meir says: Silver and fruits are not to be redeemed for silver [i.e., if one has half a silver dinar of second-tithe money and second-tithe fruits worth half a dinar, he should not combine them to redeem them for a dinar.] And the sages permit it [in such an instance, by combining it with fruits, since he has only half a dinar of silver. But to redeem a silver dinar and fruits worth a dinar for half a sela, which is worth two dinars — the sages agree that this is not to be done. The halachah is in accordance with the sages.]", + "\tOne who exchanges a sela of second-tithe money in Jerusalem [i.e., if he exchanged a sela that he had for copper coins to expend them for the needs of a second-tithe meal — Beth Shammai say: For the whole sela, coins [i.e., if he wishes to exchange all the selaim that he has for coins, he may do so.] And Beth Hillel say: A shekel in silver and a shekel in coins. [i.e., he should exchange only half, lest he not remain in the city until he has spent all of them and he deposit them in the city until the next holiday and the coins deteriorate. And if he re-exchanges them for selaim, the money changer will profit twice, and ma'aser sheni will lose.] Those who deliberate in the presence of the sages, [i.e., Shimon b. Azzai, Shimon b. Zoma and Chanan Hamitzri] say: For three dinars, silver, and for one dinar, coins. [i.e., he should take coins only for one dinar, and three silver dinarim should remain.] R. Akiva says: For three dinars, silver; and for the fourth, a quarter in coins. [i.e., For the fourth silver dinar, he should take only a fourth in copper coins, and three-quarters, silver, so that he ends up with one-sixteenth of a sela in copper coins alone.] R. Tarfon says: Four esperi, silver. [A silver dinar equals five esperi (a Greek coin, which is still called by the same name), so that a sela equals twenty esperi. Therefore, in exchange for a dinar, he receives four silver esperi and one espero of copper (coins), and he ends up with one-twentieth of a sela in copper coins alone.] Shammai says: Let him leave it in the shop and eat in accordance with it. [i.e., He should not exchange it for coins at all, lest he forget and render them chullin (i.e., non-sanctified); but let him leave the sela with the shopkeeper and eat corresponding to its worth, until it is used up. The halachah is in accordance with Beth Hillel alone.]", + "\tA bridal chair whose chipuyim were removed — Beth Shammai rule it unclean (if sat upon by a zav), and Beth Hillel rule it clean. [(\"whose chipuyim were removed\":) Our rabbis understand \"chipuyim\" as in \"chafei pothachath\" (Shabbath 81a), which are teeth (i.e., projections) protruding from keys that they make in the Arab lands. Here, too, they make projections on the bridal chair on which to lean. The Rambam understands it as carvings and figures made of wood or stone affixed upon the bridal chair. \"Beth Shammai rule it unclean\" (tamei): for it is still fit for sitting. \"And Beth Hillel rule it clean\" (tahor): for it is unfit for a bride and considered broken.] Shammai says: Even the frame (malbein) of the chair is tamei. [That is, even the frame itself without the seat is tamei; how much more so the seat itself without its appurtenances. (\"malbein\":) the form of a square brick made upon the seat, on which one sits.] A seat affixed to a kneading trough [If one brought a seat from a different place and affixed it to a kneading trough to be sat upon (and a kneading trough itself is not rendered tamei if sat upon, for it is made for kneading and not for sitting)] — Beth Shammai rule it tamei, [for the seat is not \"neutralized\" (batel) by the kneading trough.] And Beth Hillel rule it tahor [if sat upon, for the seat is neutralized by the kneading trough. (But if the seat is built into the kneading trough itself, both Beth Shammai and Beth Hillel agree that it is tahor)]. Shammai says: Even if it were built into it [i.e., even if the seat were built into the kneading trough itself, it is tamei if sat upon by a zav.]", + "\tThese are the cases where Beth Hillel reversed (their ruling) to teach in accordance with Beth Shammai: If a woman came from abroad and said: \"My husband died,\" she may remarry; \"my husband died,\" she may perform levirate marriage. And Beth Hillel say: We did not hear (that she is permitted to remarry) except when she came from the wheat harvest) [as in the event that occurred, where men went to harvest wheat, and a snake bit and killed one of them, and his wife came and apprised beth-din of it, whereupon they sent and found her account to be correct. And they permitted it only in like circumstances; but she was not believed (to testify) about what had happened abroad.] (At this,) Beth Shammai said to them: (She may remarry) whether she came from the wheat harvest or the olive harvest, and from abroad. The sages stated \"wheat harvest\" only in that this happened to be the case, [but the same applies to all places] — whereupon Beth Hillel retracted (their ruling) to rule according to Beth Shammai. Beth Shammai say: She marries and she takes her kethubah (payment). Beth Hillel say: She marries, but does not take her kethubah — whereupon Beth Shammai said to them: You permitted an ervah (i.e., remarrying), which is more stringent, and you did not permit money, which is less stringent! Beth Hillel answered: We have found that her brothers do not enter the inheritance [of her husband] by her testimony, [it being written (Deuteronomy 19:15): \"By word of two witnesses, etc.\", but vis-à-vis her marrying, the rabbis were lenient, so that she not remain an agunah.] Beth Shammai responded: But should we not learn (the ruling) from the scroll of her kethubah [i.e., from the formula of the kethubah deed], where he writes to her: \"If you marry another, take what is written (over) to you\" [and she did remarry, wherefore she should take her kethubah (payment)!] — whereupon Beth Hillel retracted (their ruling) to rule according to Beth Shammai.", + "\tIf one were half-slave, half-free, [as the slave of two partners, who was freed by one of them, or as one whose master received from him half of his (redemption) money, by which half of him was freed], he serves his master one day and himself another day. These are the words of Beth Hillel. Beth Shammai said to them: You have aided his master, [who loses nothing], but you have not aided him! He cannot marry a maidservant, [because of the part of him that is free], and he cannot (marry) a free woman, [because of the part of him that is slave]. Shall he abstain (from marriage)? Was the world not created for having children? viz. (Isaiah 5:18): \"Not for naught did He create it; to be settled did He form it!\" But, for the world's amendment (tikkun haolam), we force his master to free him, and he writes (his master) a note (of indebtedness) for half his worth. [(The same applies if he were the slave of a hundred partners; all of them are forced to free him)] — whereupon Beth Hillel retracted, to rule in accordance with Beth Shammai.", + "\tAn earthenware vessel [whose cover is (completely) fastened upon it] protects all that is in it (from tent-uncleanliness) according to Beth Hillel, [it being written (Numbers 19:15): \"And every open vessel whose cover is not fastened upon it is unclean.\" But if its cover is fastened upon it, it and what is in it, whether vessels or food and drink, is clean. And the verse speaks of an earthenware vessel, it being written: \"And every open vessel,\" connoting a vessel that contracts tumah through its opening and not through its back (i.e., an earthenware vessel).] And Beth Shammai say: It protects only food and drink and earthenware vessels (that are in it), [but not other vessels]. Beth Hillel asked them: Why? Beth Shammai answered: Because it (the earthenware vessel containing them) is tamei through an am ha'aretz (ignoramus) [For everything found with an am ha'aretz, both vessels and food and drink, are all in a status of tamei, because they are not versed in the halachoth of tumah and taharah, and think that what is tamei is tahor], and an unclean vessel does not intervene [i.e., it does not protect against tumah, but only a clean vessel does. An unclean vessel does not protect what is in it (from tent-uncleanliness). And the vessels of an am ha'aretz, since they are in a status of tamei, do not protect.] (At this,) Beth Hillel asked them: But did you not rule \"tahor\" the food and drink in it? Beth Shammai answered: When we ruled the food and drink in it \"tahor,\" we did so for him, [the am ha'aretz himself. And we have no fear that a Torah scholar will come to use them, for they separate themselves from them. And even without this, all of their food is tamei. Therefore, as to food and drink and earthenware vessels, which cannot be purified in a mikveh, which were in the vessel of an am ha'aretz, whose cover was (completely) fastened — we tell them that they are tahor. And we have no fear that a Torah scholar will borrow from them and use them, for they are in the status of tamei to them and can never be made tahor. But with vessels that can be immersed (in a mikveh), we fear that a Torah scholar may borrow from them and use them without haza'ah (sprinkling the purification waters) on them the third and seventh days, not knowing that they had become tamei in a tent of the dead and thinking that immersion (in a mikveh) itself is sufficient for them, to free them of their tumah that they had contracted through the am ha'aretz], but when you (Beth Hillel) ruled the vessel \"tahor,\" you did so for you and for him. [For a Torah scholar might come to use it. Therefore, they (Beth Shammai) ruled the same for all, that a vessel that could be immersed is not protected by a sealed covering, neither for a Torah scholar nor for an am ha'aretz. If they came to decree that the earthenware vessel of an am ha'aretz never \"protects\" (even) with a fastened cover, because it is in the status of tamei, the amei ha'aretz would never accept this, thinking that they are expert (in these laws) and that they keep their vessels tahor, and that their vessels \"protect.\"] And Beth Hillel retracted, to rule in accordance with Beth Shammai." + ], + [ + "\tR. Chanina, the adjutant high-priest, testified as to four things: In all the days of the Cohanim they did not refrain from burning flesh that had become tamei through the \"offspring\" (velad) of tumah together with flesh that had become tamei through an av hatumah (proto[\"father\"]-tumah,) even though they thereby added tumah to its tumah. [(\"offspring\":) velad of velad is meant, i.e., flesh of third-degree tumah, having become tamei through a velad of a velad, having touched second-degree tumah and become third-degree tumah. They did not refrain from burning it together with flesh that had become tamei through an av hatumah (and had thus become first-degree tumah). And when this flesh, which in the beginning had been third-degree tumah, touches the flesh which had touched the av hatumah, it becomes second-degree tumah, having touched first-degree tumah. It is found, then, that tumah has been added to its tumah, it first having been third-degree, and now being second-degree — in spite of which they did not refrain from burning it together with a higher degree of tumah. For since this lesser degree is also to be burnt they were not concerned if it thereby became a higher degree of tumah. And even though, according to the Torah, food does not render other foods tamei¸ it being written in this regard: \"It is tamei\" — it is tamei, but it does not render tamei food like it — still, the Rabbis decreed that food does render other food unclean.]", + "\tR. Chanina, the adjutant high-priest, testified: In all of my days I never saw the hide (of a bechor [a first-born animal]) going out to the burning site [after it had been flayed, if it were found to be treifah, even though the p'sul (the disqualifying factor) were in it before the flaying — since it was not recognized until after the flaying]. R. Akiva said: From his words we learn that if one flays a bechor and it is found to be a treifah, the Cohanim may enjoy its hide, and it is not burned. [R. Akiva comes to let us hear that even a blemished bechor, which is slaughtered outside of the sanctuary because of its blemish, the Torah (not having allowed it to be sacrificed but) only to be eaten, it being written (Deuteronomy 15:21): \"In your gates (i.e., outside of the sanctuary) shall you eat it\" — if it died, its hide is forbidden and it requires burial. And R. Akiva apprised us that when its being a treifah is not recognized until after it is flayed, its shechitah and its flaying permits its hide as if its blood had been sprinkled in the sanctuary.] The sages say: \"We have not seen\" is no proof [i.e., perhaps it never happened in his days that it was found to be treifah after flaying, and if it happened and they burned it, he did not see it]; but it goes out to the burning site.", + "\tHe, too, [R. Chanina, the adjutant high-priest,] testified about a small village near Jerusalem where there was an old man who lent (money) to all the men of the village and wrote with his own hand a note of indebtedness [on the borrower], and others signed [i.e., kosher witnesses signed the note]; and it (a case of such a note) came before the sages and they permitted it, [even though the writer of the note was the lender and an \"interested party.\"] Correspondingly, you learn that a woman writes her get (bill of divorce) [and kosher witnesses sign], and a man writes his receipt, [a note of \"waiving,\" his wife waiving her kethubah payments.] For there is no authorization of a get except by its signatures [i.e., the witnesses signed on the get are the essential cause of the confirmation of the get. Therefore, when kosher witnesses sign it, it is kosher, even though it is written by the woman.]", + "\tR. Yishmael said three things before the sages in Kerem Beyavneh [The sages used to sit in rows, like a vineyard (kerem) planted row on row of vines]: (He said) about a scrambled egg [in a pot, the white being intermixed with the yoke], placed over a green of terumah, that it is considered chibbur (\"connection\"). [i.e., If a tevul yom touches the egg, even though it is chullin (i.e., non-terumah), terumah not obtaining with an egg, and a tevul yom not invalidating chullin, still it is considered \"chibbur\" (a connection of the egg with the green) and the green is invalidated as if he had touched it.] And if it were like a dome [i.e., If the egg had \"swollen\" and become like a dome over the green (nothing intervening between it and the green)], it is not chibbur.", + "\tThree questions were asked before R. Yishmael, and he did not rule \"forbidden\" or \"permitted,\" and R. Yehoshua b. Matiya explicated them [i.e., when, liable; and when, not liable]: puncturing an abscess on the Sabbath — if to make an opening for it, he is liable [for \"boneh\" (\"building\")]; and if to remove pus from it, he is not liable. [For it is \"a labor that is not needed for its own sake\", (the labor being the opening.) And this (abscess) does not require an opening henceforward, so that only a rabbinic issur obtains, which, because of the pain factor was not decreed. He is, therefore, not liable, and it is permitted.]", + "\tThree items were mentioned by R. Yishmael, and R. Akiva did not concur with him, viz.: Garlic, unripe grapes, and unripe ears, which were weighted [with stones] on the eve of Sabbath [so that their juice run from them to be dipped in (on Sabbath)] — R. Yishmael says: [since he has weighted and crushed them before Sabbath,] he may finish [and eat them] after dark, [on the Sabbath. And these are not like juices that flowed (from fruits), which are forbidden (to be eaten on the Sabbath) lest he come to squeeze (the fruit). For here, even if he does squeeze it, he does not transgress a Torah issur, since the juice flows out, of itself.] And R. Akiva sys: He may not finish, [in order to eat it after he sanctified the day, for they are forbidden like all juices that have flowed out (of fruits). The halachah is in accordance with R. Yishmael.]", + "\tThree things were said before R. Akiva, two by R. Eliezer and one by R. Yehoshua. Two by R. Eliezer: A woman may walk out (on the Sabbath) with \"a golden city\" [a golden crown in the form of the city of Jerusalem; and we do not fear that she may take it off and show it to someone and come to carry it four amoth in the public domain]. And (he said): Pigeon-flyers are unacceptable as witnesses. [\"pigeon-flyers\" — \"gamers,\" i.e., If your pigeon beats my pigeon, I will give you this and this.\" Or, one who trains a pigeon to divert other pigeons to his coop, (which is \"theft\" vis-à-vis \"the ways of peace\" (darkei shalom), but not actual theft)].", + "\tR. Akiva said three things. About two, they (the sages) concurred with him; about one, they did not concur with him. (He said) about the shoe of those who work in lime [(The lime workers wore wooden shoes to protect their feet from being burnt by the lime)], that it (the shoe) contracts midras (\"treading\"-) uncleanliness [if worn by a zav]. And (he said) about what was left of an oven [that was very large and became tamei and was afterwards broken, that it does not become tahor unless what was left over was less than] four [(tefachim) in height. (An \"oven\" in the Mishnah was made like a big pot without a bottom, connected with clay to the ground, which was its \"bottom.\")] For they (the sages) (originally) had said (\"less than) three,\" and (now) they concurred with him.", + "\tHe [R. Akiva] was wont to say: A father endows his son with beauty, strength, wealth, wisdom, and years [i.e., long life. Because the nature of the son is likely to be similar to that of the father, from the beginning of his creation he is endowed with beauty, strength, wisdom, and years; and wealth is bequeathed him by his father. To me, the Mishnah seems to mean that if a man merits it, his sons come to acquire all of these things], and (he endows him) with the number of generations before him. [Sometimes, the Holy One Blessed be He assures the father that He will grant some favor to his children in the third or fourth generation, and it is the father's merit that secures that favor for his children]; and that is the \"ketz\" (\"ending\"). [i.e., that is the meaning of the \"ketz\" assigned by the Holy One Blessed be He to arrive at a certain time or at a certain generation], as in (Isaiah 41:4): \"He calls out the generations from the beginning.\" Even though it is written (Genesis 15:3): \"And they will serve them, and they will afflict them four hundred years,\" it is written (afterwards, Ibid. 16): \"And the fourth generation will return here.\" [so that the number of generations, which is \"the fourth generation,\" is the ketz of the \"four hundred years\" (referred to above).]", + "\tHe [R. Akiva] was also wont to mention five things as being of twelve months duration: the judgment of the generation of the flood — twelve months. The judgment of the Egyptians — twelve months. The judgment of Job — twelve months. The judgment of Gog and Magog in time to come — twelve months. The judgment of the wicked in Gehinnom — twelve months, viz. (Isaiah 6:23): \"And it shall be, from the month [of his death] until its month\" [one year later in Gehinnom, that he will come (from Gehinnom) to bow down before the L rd.] R. Yochanan b. Nuri says: [He will be in Gehinnom] from Pesach [i.e., the first day of Pesach, which is called \"Sabbath,\" it being written (Leviticus 23:15): \"And you shall count for yourselves from the morrow of the Sabbath, etc.\"] until Atzereth [(Leviticus, Ibid.) \"the morrow of the seventh week\"], viz. (Isaiah, Ibid.): \"and from the Sabbath [(the first day of Pesach)] in its Sabbath (Atzereth).\"" + ], + [ + "\tAll (things) that cause tumah in a tent, [such as a corpse, or netzel (decomposed matter of a corpse), or a tarvad (a type of spoon) full of decayed matter, and all those things mentioned in the beginning of Chapter II of Ohaloth], whose [minimum size for uncleanliness] have been divided into two and brought into a house [i.e., into a tent] — R. Dossa b. Hyrcanus rules it tahor, [holding that the parts to not combine into the required size], and the sages rule it tamei. How so? If one touches or carried two half-olive sizes of neveilah (carrion) [(He opens with \"tent-\" (uncleanliness) and explains \"neveilah,\" to teach that just as R. Dossa holds that they do not combine for tent-uncleanliness, he also holds that they do not combine for \"touching and carrying\" uncleanliness, both for a dead body and for neveilah)], and, with a dead body, if one touches a half-olive size and \"tents\" over a half-olive size, [for one who tents over a dead body is tamei, just as if he were with the dead body in a tent. (And all of these \"tentings\" in the first part, speak of \"compressed\" tumah (\"tumah retzutzah), where there is not, between the tumah and the tent, the space of a tefach, for which reason the sages rule it tamei. For a \"tent\" of this kind is considered \"touching.\" And the second part, viz.: \"But if one touches a half-olive size and something else tents over him and a half-olive size, etc.,\" where the sages concur that it is tahor — this obtains where there is a space of (at least) a tefach between the tumah and the tent, in which instance the sages concur that they do not combine — \"touching\" and \"tent\" (uncleanliness) being two separate \"names\" (i.e., categories), and all that are of \"two names\" do not combine. And R. Dossa holds that even in \"compressed tumah\" they do not combine.)], or if he touches a half-olive size, and a half-olive size tents over him; or if he tents over two half-olive sizes, tenting over a half-olive size, and a half-olive size tenting over him — R. Dossa b. Hyrcanus rules tahor and the sages rule tamei. But if one touches a half-olive size and something tents over him and a half-olive size; or if he tents over a half-olive size and something else tents over him and a half-olive size, he is tahor. R. Meir says: Even in such an instance R. Dossa rules tahor, and the sages, tamei. [R. Meir disagrees with the first tanna, who says that when there is a tefach space between the tumah and the tent, the sages concur that it is tahor, the pieces not combining, (R. Meir) saying that even in such an instance the sages disagree with R. Dossa, holding that \"touching\" and \"tent\" are one name, wherefore they combine to make the (required) minimum size (for tumah), and they rule tamei. (The halachah is not in accordance with R. Meir)]. Everything is tamei, except \"touching\" with \"moving,\" [as when he \"touched\" a half-olive size and \"moved\" (heset) a half-olive size], and \"carrying\" with \"tent\", [as when he moved a half-olive size and tented over a half-olive size.] This is the rule: Everything which is of \"one name\" [as in \"touching\" with \"touching,\" \"moving\" with \"moving,\" \"tent\" with \"tent\"] is tamei; of two names, tahor.", + "\tSeparated food [e.g., a clump of nuts, pistachios, and almonds, which, when they are separated from each other, do not contain the size of an egg, (the minimum size for making other foods tamei)], do not combine, each with the other, [(if they are tamei, and clean food touched them when they are clumped together) to make clean food tamei, since there is not in each one of them the minimum size for making food tamei.] These are the words of R. Dossa b. Hyrcanus. And the sages say that they do combine.", + "\tR. Dossa permits the innards [i.e., the seeds and the juice] of a melon and the discards of greens (of terumah) to zarim (non-Cohanim), and the sages forbid them. The shearings of five lambs, [each lamb] yielding a maneh and a half of wool, [less than that not being considered \"shearings,\" this being the minimum] are subject to the mitzvah of \"the first of the shearings\" — These are the words of R. Dossa. The sages say: five lambs, any amount (of shearings). [Not really, for the rabbis did not mandate \"the first of the shearings\" for less than sixty selaim. But since R. Dossa required a (relatively) large amount, the tanna called the small amount of the sages \"any amount.\" (The weight of a sela is twenty-four ma'im, and the weight of each ma'ah, sixteen barley grains.)]", + "\tAll kinds of mattings [made of rubber and the like, which have a border roundabout, and being a \"receptacle\"] are susceptible of dead-body uncleanliness, [but not of mishkav (\"lying down\") and moshav (\"sitting\") uncleanliness, not being fit for those functions)] — These are the words of R. Dossa. And the sages say: midras. [i.e., they are also susceptible of mishkav uncleanliness, being also fit for lying down].", + "\tA sling whose receptacle [(where the stone is placed)] is woven, is tamei. And one of leather — R. Dossa b. Hyrcanus rules it tahor, and the sages, tamei. If its finger-hole, [where the finger is placed to fling the stone], is severed, it is tahor; if its handle, it is tamei.", + "\tA captive woman [i.e., the wife of a Cohein, who had been taken captive,] eats terumah [and we do not fear that the gentile lived with her and rendered her a zonah, to whom terumah is forbidden.] These are the words of R. Dossa. And the sages say: There is a captive woman that eats, and a captive woman that does not eat. How so? A woman who says: \"I was taken captive, but I am clean\" eats. For \"the tongue that forbids\" [i.e., her saying \"I was taken captive\"] is the tongue that permits, [when she says \"but I am clean.\" ] And if there were witnesses [that she was taken captive], and she says \"I am clean,\" she does not eat.", + "\tFour doubts (i.e., in four cases of doubt): — R. Yehoshua rules tamei and the sages rule tahor. How so? The tamei stands [under a tent or under a tree] and the tahor passes by [that way. There is a doubt as to whether he touched or did not touch; or whether or not the tree \"tented\" over both of them and the tahor became tamei — This is one doubt.] The tahor stands and the tamei passes by. [This is a second doubt.] Tumah (an object that is tamei) in a private domain, and taharah in the public domain, [as in the instance of a shop that is open to the public domain, and he is in doubt as to whether he entered it or not]; or taharah in a private domain and tumah in the public domain, [two other doubts] — If there is a doubt as to whether he touched or did not touch, tented or did not tent, moved (hesit) or did not move, R. Yehoshua rules tamei, [holding that since a private domain is involved in this doubt, it is considered \"a doubt of tumah in a private domain,\" which is ruled tamei.] And the sages rule tahor, [holding that since the public domain is involved in this doubt, it is considered \"a doubt of tumah in the public domain,\" which is ruled tahor. The halachah is not in accordance with R. Yehoshua.]", + "\tThree things, R. Tzaddok rules tamei [i.e., susceptible of tumah], and the sages, tahor: the nail of the money changer, [on which he hangs his scales. Our rabbis have explicated it as a nail fixed into a post before the money changer on which he hangs the shutter of the shop, and which they rule tahor because it is ground-based], and the grist-maker's closet [(Those who make grist of beans in their mill have a wooden closet (in which to deposit them)], and an hour-stone [a stone which has lines on which are inscribed the signs of the hours into which is stuck a nail by which they indicate the hours.] R. Tzaddok rules [the closet] tamei [because it is considered a \"vessel\"], and the sages rule it tahor, [for it is a wooden vessel intended to remain stationary and not to be moved. (R. Tzaddok holds that sometimes it is made to be movable.) The halachah is not in accordance with R. Tzaddok.]", + "\tFour things, R. Gamliel rules tamei, and the sages, tahor: the teni-cover of the metals of home-owners [(\"teni\":) a metal vessel into which home-owners place refuse or shards of metal. R. Gamliel rules the cover tamei, for it (the cover), too, is considered a vessel, a cover also having a receptacle. And the sages rule it tahor, holding that since it was made only for covering it is not considered a vessel], and the strigil hooks [on which are hung the strigils (\"scratchers\") in the bath houses. (Each of the clients takes a strigil and scratches his feet and his body)], and unfinished metal vessels, [which still require to be smoothed or scraped or hammered, or which lack a rim or an ear. They are not susceptible of tumah according to the sages until they are finished], and a table of two halves [i.e., a clay table which has rims and which is made in such a way that one part is not larger than the other. It is in such an instance that R. Gamliel and the sages differ.] And the sages concur with R. Gamliel that in a table of two parts, where one part is large and the other small, the large part is tamei and the small part, tahor. [The halachah is in accordance with the sages.]", + "\tIn three things R. Gamliel takes the stringent view, according to the words of Beth Shammai: Hot foods are not stored from Yom Tov to Shabbath. [Beth Shammai hold that one may not bake (from Yom Tov to Shabbath) unless he has made an eruv tavshilin with a loaf. And he may not cook unless he has made an eruv tavshilin with something cooked. And he may not store food (for warmth) unless he had stored something from the eve of Yom Tov). And Beth Hillel hold that one may bake and cook and store on an eruv of cooked food alone], and a menorah is not assembled on Yom Tov [i.e., a menorah whose parts have been disassembled may not be restored, this being like \"building,\" which obtains with vessels. And Beth Hillel hold that \"building\" does not obtain with vessels], and thick loaves are not baked (on Yom Tov), but only thin ones. [Beth Shammai hold that much bread is not baked on Yom Tov because of \"exertion.\" And Beth Hillel say that it is baked, for when there is more bread it bakes better.] R. Gamliel said: From the days of Beth Shammai they did not bake thick loaves but only thin ones. They said to him: What shall we do for your father's house, who were stringent with themselves and lenient with Israel, allowing them to bake thick breads and chari? [(ample dough baked over coals.) The halachah is not in accordance with R. Gamliel in all of his stringencies according to the words of Beth Shammai.]", + "\tHe (R. Gamliel) also stated three leniencies: It is permitted (on Yom Tov) to sweep between the beds [on which they used to recline to eat], and mugmar (frankincense) may be placed [on coals, to be inhaled] on Yom Tov. [But all hold that it is forbidden to do so to \"scent\" the vessels], and it is permitted to eat a \"helmeted\" (mekulass) goat on Pesach night. [Its legs and innards hung at its side when they roasted it. They would do this as a remembrance of the Pesach offering, in respect to which it is written (Exodus 12:9): \"its head with its legs with its innards.\" (\"mekulas\":) like a warrior, whose weapons are at his side. The targum of \"a copper helmet\" is \"kulsa denachsha.\"] And the sages forbid [all three: sweeping, because of the making of holes; mugmar, because it is not needed by all, but only by the very delicate or those with body odor; a \"helmeted\" goat, because it gives the impression of consecrated food being eaten outside (the sanctuary). The halachah is in accordance with the sages.]", + "\tThree things were permitted by R. Elazar b. Azaryah and forbidden by the sages: His cow went out (into the public domain on Shabbath) with the strap between her horns [for adornment. And the sages said that it is a \"burden\" and not \"adornment\" to her. (It was not the cow of R. Elazar b. Azaryah, but that of his neighbor, but because he did not protest, it was called by his name.)], and a beast may be curried on Yom Tov [with a kind of iron comb with small teeth. One may comb and scratch a beast with it even though he thereby makes a sore], and he may crush peppers with their [small] mills [made for this purpose]. R. Yehudah says: A beast is not curried on Yom Tov because he thereby makes a sore; but he may scrape [it with a wooden comb, whose teeth are large and do not make a sore.] And the sages say: They are not curried and also not scraped, scraping being decreed against because of currying. The halachah is not in accordance with R. Elazar b. Azaryah, except in the instance of currying a beast alone; for in this he follows the view of R. Shimon, who says that something not intended (like making a sore, in this instance) is permitted, and we rule according to him. And the sages who differ with him hold with R. Yehudah, who says that something not intended is forbidden, and this is not the halachah.]" + ], + [ + "\tThese things are of the lenient rulings of Beth Shammai and the stringent rulings of Beth Hillel: An egg that was hatched on Yom Tov — Beth Shammai say: It may be eaten and Beth Hillel say: It may not be eaten. [We are speaking of a Yom Tov after Shabbath. Beth Hillel says that it may not be eaten, for every egg that is hatched today is completed the day before, so that Shabbath is found to have \"prepared\" for Yom Tov. But Scripture stated (Exodus 16:5): \"And it shall be on the sixth day, that they shall prepare (for Shabbath) what they shall bring\" — and the sixth day is generally chol (mundane, not a holy day) — whence: Chol prepares for Shabbath, and chol prepares for Yom Tov (which is also called \"Shabbath\"), but Yom Tov does not prepare for Shabbath, and Shabbath does not prepare for Yom Tov. And preparation of the type of (the preparation of) the egg, even though it is in the hands of Heaven, is, nonetheless called \"preparation.\"]", + "\tA beast that was born on Yom Tov — all agree that it is permitted to be eaten, [this, provided that its gestation period has been completed.] and a chick that emerged from its egg (on Yom Tov) — all agree that it is forbidden. If one would slaughter an animal and a bird [on Yom Tov, and inquires of beth-din how it should be done] — Beth Shammai say: [Beth-din instructs him to slaughter ab initio and] to dig with a mattock (\"deker\") [that he had stuck in the ground before Yom Tov] and cover (the blood). [That is, he is to remove it from the place where he had stuck it, take up earth, and cover (the blood) with it. We are speaking of an instance where it is stuck in moist earth which is fit for covering, not lacking crumbling. (\"deker\") as in (Numbers 25:8): \"And he thrust through ('vayidkor') both of them.\"] And Beth Hillel say: He may not slaughter unless he had earth prepared. And they agree that if he had (already) slaughtered, he may dig with a mattock and cover it. And oven ashes are (considered) \"prepared.\" [This does not refer to the instance of Beth Hillel and Beth Shammai, but is an independent statement, viz.: \"Oven ashes are (considered) 'prepared.'\" And this obtains only when the oven had been fired before Yom Tov; but if it has been fired on Yom Tov it is forbidden, for it cannot be said that his mind was set on it from yesterday. And if an egg can be roasted in it, the ashes still being hot, it is permitted to cover (the blood) with it. Since they may still be stirred for roasting an egg, he may also use them for covering.]", + "\tBeth Shammai say: Hefker for the poor is hefker. [If one made (his produce) hefker (i.e., \"renounced\") for the poor but not for the rich, it has the din of hefker and is not subject to leket, shikchah, and peah or to ma'aser, it being written with respect to leket and peah (Leviticus 19:10): \"To the poor man and to the stranger shall you leave them.\" What is the intent of \"them\"? To apprise us of another \"leaving,\" i.e., hefker, which is like this. Just as this is to the poor and not to the rich, so, hefker is (i.e., can be) to the poor and not to the rich.] And Beth Hillel say: It is not hefker until it is made hefker to the rich, too, like shemitah, [it being written (Exodus 23:11): \"And the seventh year it shall lie fallow and you shall leave it.\" What is the intent of \"and you shall leave it\"? To apprise us that there is another \"leaving,\" i.e., hefker, which is like shevi'ith. Just as shevi'ith is for both rich and poor, so, hefker.] If all the sheaves in the field were (the size of) a kav, and one, four kabin, and it were forgotten, Beth Shammai say that it is not shikchah, and Beth Hillel say that it is shikchah. And, similarly, if all the sheaves were two kabin, and one, eight kabin, and he forgot it, it is shikchah. More than this is not shikchah.]", + "\tIf the sheaf were near a gappah [a fence of stones placed one upon the other without loam], a stack, cattle, or [plowing] implements, Beth Shammai say that it is not shikchah, and Beth Hillel say that it is shikchah. [The argument between Beth Shammai and Beth Hillel concerned a sheaf that he took hold of to take to the city and which he placed beside a gappah or a stack, where he forgot it. Beth Shammai say that it is not shikchah because he took hold of it, and Beth Hillel say that it is shikchah. Another interpretation: Beth Shammai say that it is not shikchah even with a sheaf that he did no take hold of at all. For since he placed it next to a particular object, he will come to remember it; and Beth Hillel say that it is shikchah, so long as he did not take hold of it. And Beth Hillel concede that if he took hold of it and then forgot it, it is not shikchah.]", + "\tKerem revai (a vineyard in its fourth year), [which requires redemption if he wishes to eat its fruits outside of Jerusalem (and the same applies for every fruit tree)] — Beth Shammai say: It does not require a chomesh (the addition of a fifth of its value), [it not being written thereof in the Torah that a fifth is to be added, as it is written in respect to the second tithe]; and it does not require removal [from the house on the eve of Pesach of the fourth and seventh years, when he removes the tithes, viz. (Deuteronomy 26:13): \"I have removed the holy thing (ma'aser sheni and neta revai) (see Leviticus 27:30 and 19:24) from the house.\"] And Beth Hillel say: It does require a chomesh and it does require removal. [Beth Hillel derive it (by identity) \"holy\"-\"holy\" from ma'aser — Just as ma'aser requires a chomesh and removal, so kerem revai requires a chomesh and removal; and Beth Shammai do not derive it from there.] Beth Shammai say: It [kerem revai] is subject to peret (the taking of individual [fallen] grapes by the poor) and it is subject to oleloth (the taking of single [fallen] bunches by the poor), [for they are considered chullin (non-sacred) re the owner]; and the poor redeem for themselves (the peret and the oleloth that they picked), and eat them in their places and bring up their (redemption) monies to Jerusalem.] And Beth Hillel say: They all go to the wine-press, [for they derive (kerem revai) from ma'aser, and hold that ma'aser sheni is considered sacred re the owner. Therefore, the poor have no share in it. And the owners press the olelim together with the rest of the grapes and bring everything up to Jerusalem.]", + "\tA cask of olives, pickled [in salt in order to sweeten them] — Beth Shammai say: It is not necessary to make holes (in the cask). [And even though the mohal (the sap) exuded from them floats upon them, it does not condition them to receive tumah (uncleanliness), for he does not desire that mohal, and we require (for such conditioning) a liquid that he desires, it being written (in that connection, Leviticus 11:38): \"And if water YTN upon a seed.\" It is written \"ki yiten\" (\"if he place\"), but it is read \"yutan\" (\"if it be placed.\") Just as \"y‎iten\" connotes his desiring it, so \"yutan\" implies his desiring it.] Beth Hillel say: He must make holes in it. [He must perform an act to indicate that he does not desire that mohal to float on the olives, desiring it to leave through the hole that he made in the cask.] And they concede that if he made a hole in it and the lees obstructed it that it is pure (i.e., not conditioned to receive tumah) [for since he did so, he thereby revealed that he did not desire the mahol, so that it no longer conditions them to receive tumah.] If one anointed himself with clean oil and became unclean, and he immersed himself (in a mikveh) — Beth Shammai say: Even if he is dripping [i.e., even if the oil is dripping from his flesh after he immersed], he is clean. And Beth Hillel say: [Even if there remained on his flesh] enough for the anointing of a small limb, [he is clean; but if more, he is unclean. For the oil became unclean when he did, and it remained upon his flesh and rendered him unclean. And the oil on his flesh does not become clean in a mikveh. For there is no liquid which becomes clean in a mikveh but water alone, by hashakah (being dipped in a mikveh while in a vessel)]. And if the oil were tamei in the beginning, Beth Shammai say: If there is enough for the anointing of a small limb, [but not more, it is clean], and Beth Hillel say: Liquid is moist (alone). R. Yehudah says in the name of Beth Hillel: It is moist and moistens (other objects). [The halachah is not in accordance with R. Yehudah.]", + "\tA woman is betrothed with a dinar [ninety-six barley-corns weight of silver] or with the worth of a dinar, according to the words of Beth Shammai. And Beth Hillel say: with a p'rutah [a half barley-corn weight of silver] or with the worth of a p'rutah. And how much is a p'rutah? One-eighth of an Italian issar [four barley-corns weight of silver, so called because it was issued in Italy.] Beth Shammai say: A man may divorce his wife with an old get [which he wrote to divorce his wife, continuing to live with her after he wrote the get. Beth Shammai hold that we do not decree against it lest people say: \"Her get preceded her son,\" i.e., lest a year or two pass between the writing and the giving and she have children from him in the interim and then be divorced with that get — so that people, seeing the get as antedating the birth of her son, might come to think that the get were given her at the time of writing and come to cast a blemish upon the child, saying that it was born of an unmarried woman.] And Beth Hillel forbid it. Which is \"an old get\"? A get, after the writing of which he continued living with her. [The halachah: One may not divorce his wife with an old get. And if he divorced her and went to a different country, she may remarry by it ab initio.] If one divorced his wife, and she spent the night with him at an inn, [there being witnesses to their having been alone together, but not to their having cohabited], Beth Shammai say: She does not require a second get from him. Beth Hillel say: she requires a second get from him. [Beth Hillel hold that witnesses to their being alone together are (considered) witnesses to cohabitation. And since a man does not cohabit promiscuously when he can do so legitimately, (we assume that) he betrothed her with this cohabitation. And Beth Shammai hold that we do not consider witnesses to their being alone witnesses to cohabitation until they actually observe her in the act.] When is this so? If she were divorced from marriage. But if she were divorced from betrothal, she does not require a second get from him, for he is not that familiar with her (and is assumed not to have cohabited with her.)", + "\tBeth Shammai permit tzaroth (co-wives) to brothers. [They permit the tzarah of an ervah to be taken in yibum (levirate marriage) by one's brother, not expounding (Leviticus 18:8): \"And a woman together with her sister you shall not take to be rivals (litzror),\" which implies: take neither her, her tzarah, nor the tzarah of her tzarah.] And Beth Hillel forbid them. If they [the tzaroth] received chalitzah (release from yibum) [from the brothers], Beth Shammai regard them [the tzaroth] as unfit for marriage within) the priesthood, [their chalitzah being valid (and a chalutzah being forbidden to a Cohein)], and Beth Hillel regard them as fit, [their chalitzah having been unnecessary, and akin to chalitzah from a gentile.] If they were taken in yibum [by the brothers], Beth Shammai regard them as fit [for marriage to Cohanim if they are widowed from their husbands], and Beth Hillel as unfit, [living with those forbidden to them rendering them \"zonah,\" and thus forbidden to a Cohein]. And even though these regard as unfit, and these as fit, Beth Shammai did not keep from marrying women from Beth Hillel, and Beth Hillel did not keep from marrying women from Beth Shammai. [And even though the children of the tzaroth who were taken in yibum according to the ruling of Beth Shammai are mamzerim according to Beth Hillel, (the interdict against a brother's wife applying to them, the punishment for transgression being kareth, and the children of a kareth union being mamzerim), still, Beth Hillel did not keep from marrying women from Beth Shammai, for they would apprise them which came from tzaroth and they would avoid them.] And in all those instances where these ruled clean and the others unclean, they would not keep from observing ritual cleanliness among each other. [i.e., they would lend their vessels to each other.]", + "\tIf there were three brothers, two of them married to two sisters, and one of them single — if one of the sisters' husbands died, and the single brother made a ma'amar (a verbal declaration of marriage) in her [(ma'amar - betrothal of a yevamah, which \"takes\" only according to the words of the scribes)], and then the second brother died — Beth Shammai say: His (the third brother's wife) remains with him [For Beth Shammai hold that the woman betrothed by ma'amar is regarded as his wife, so that when her sister falls before him (for yibum) afterwards, she (the first sister) is not forbidden by reason of \"the sister of his linked one\"], and the other goes out [even from chalitzah, by reason of \"the sister of his wife.\"] And Beth Hillel say: — He must send his wife away by get and by chalitzah, and his brother's wife by chalitzah. [For ma'amar is not sufficient to give her (the first) the status of a married woman, and the other (the second) is forbidden by reason of \"the sister of his linked one.\" A get is necessary because of the ma'amar, which is partial betrothal (and betrothal is not dissolved without a get.) and she also requires chalitzah, for since the ma'amar is not bona fide betrothal, she is still linked to him (for yibum) and requires chalitzah to dissolve that linkage; so that first he gives her a get, and then chalitzah.] and this is the instance of which they said (13:7): \"Woe to him by reason of his wife, [whom he must divorce], and woe to him by reason of his brother's wife!\" [whom he must give chalitzah]", + "\tIf one forbids his wife by vow from cohabitation [as when he says: \"Let the enjoyment of your cohabitation be forbidden to me\" (But if he says: \"The enjoyment of my cohabitation is forbidden to you,\" she is not forbidden, for he is obligated to her, it being written (Exodus 21:10): \"…and her (conjugal) time he shall not withhold\")] — Beth Shammai say: Two weeks. [If he vowed thus, he must wait two full weeks (before resuming relations); for thus do we find with a woman who gave birth to a female, that she is unclean for two weeks.] And Beth Hillel say: one week. [For thus do we find with respect to a niddah, that she is unclean for seven days; and we derive what is common (a man's becoming angry with his wife and forbidding her by vow) from what is common (niddah, which is a common occurrence) — as opposed to childbirth, which is not that common. And Beth Shammai hold that we derive something which he causes (the vow of the man, which causes her to desist), from something that he causes (childbirth, which comes through him) — as opposed to niddah, which comes of itself. If (he forbids her) more than one week according to Beth Hillel, or more than two weeks according to Beth Shammai, he must send her away and give her her kethubah — even if he were a camel driver, whose conjugal time is once in thirty days, or a mariner, whose conjugal time is once in six months.] If a woman miscarried on the eve of the eighty-first day [of her having given birth to a female, in which instance she brings an offering of atonement on the eighty-first day (for the first birth)], Beth Shammai exempt her from an offering [for the second (miscarried) birth, even though it took place after the \"consummation\" (of her days of purification [viz. Leviticus 12:6]) since it took place at night, when an offering may not be brought, it being written (Ibid. 7:38): \"…on the day that He commanded… to present their offerings,\" wherefore, in respect to the offering, it (the eighty-first day) is considered the day of \"consummation.\"] And Beth Hillel rule it liable (for a second offering) [since she miscarried after the time of \"consummation.\"] A (linen) night-garment with tzitzith, [(which contain a cord of tcheleth, (wool dyed in the (purple) blood of a chilazon)] is kilayim (a forbidden admixture [wool and linen]). Beth Shammai exempt [such a garment from tzitzith in the daytime], and Beth Hillel does not. [In the daytime, the time of the mitzvah (of tzitzith), the positive commandment comes and overrides the negative commandment (against wearing sha'atnez (viz. [Deuteronomy 22:11]: \"You shall not wear sha'atnez, wool and linen together\"). But in the night-time, when the mitzvah of tzitzith does not obtain, it being written (Numbers 15:39): \"And you shall see it (the tcheleth),\" excluding (from the mitzvah) a night-garment, if he wears a linen night-garment with tzitzith attached, he is in transgression of \"You shall not wear sha'atnez.\" Beth Shammai hold that we decree against wearing a (linen) night-garment with tzitzith even in the daytime, so that it not be worn at night when, (the mitzvah of tzitzith not obtaining,) he would be liable for kilayim. And Beth Hillel hold that we do not make such a decree.] The basket of the Sabbath [i.e., a basket full of fruits designated for the Sabbath] — Beth Shammai exempt them [from tithing, holding that Sabbath \"takes hold\" only when it arrives.] And Beth Hillel obligate [them to be tithed immediately, even before the arrival of the Sabbath. For since he designated them for the Sabbath, it so \"took hold\" immediately.]", + "\tIf one assumed many Naziritisms and completed his Naziritism and then came to Eretz Yisrael [(For Naziritism obtains only in Eretz Yisrael because of the uncleanliness of \"the lands of the nations.\" And if one vowed Naziritism outside Eretz Yisrael, he is obliged to go up to Eretz Yisrael and observe his Naziritism there)], Beth Shammai say: He becomes a Nazirite for thirty days, and Beth Hillel say: He becomes a Nazirite from the beginning. [He must observe in Eretz Yisrael the number of days of Naziritism that he vowed. And the days of Naziritism that he observed outside of Eretz Yisrael are not regarded as such at all.]", + "\t[In a vestibule whose roof split in two, where there are vessels (on the ground) on one side of the split and an unclean object (tumah) on the other side,] if a man were lying (on the ground) [directly] under the split — Beth Shammai say: [The vessels are clean, for] the man does not conduct tumah [from the object to the vessels, only something having a cavity the size of a tefach doing so, (and the air under the split acting as a \"barrier\" between the object and the vessels)]. And Beth Hillel say: A man is [considered as having] a cavity [And even though his intestines are within it, the cavity within the body is regarded as a cavity of a tefach], and the upper part (of his body) conducts the tumah (to the vessels)." + ], + [ + "\tR. Yehudah says: six things are of the leniencies of Beth Shammai and the stringencies of Beth Hillel: the blood of neveiloth — Beth Shammai rule it clean [entirely, it not being considered neveilah], and Beth Hillel unclean. The egg of a neveilah [as when it (the bird) became neveilah in shechitah (slaughtering), and eggs were found in it after shechitah] — If its (the egg's) like were sold in the marketplace, [its shell being hard and finished, like other eggs sold in the marketplace], it is permitted; and if not, it is forbidden, as per the words of Beth Shammai, [it being considered like its intestines]. Beth Hillel forbid it. And they concede that the egg of a treifah (an organically defective bird) is forbidden, it having developed in (a state of) issur (forbiddenness). The blood of a gentile and the \"clean\" blood of a woman leper [the clean blood that she saw in giving birth after seven (\"unclean\") days for (the birth of) a male, and two weeks for a female] — Beth Shammai rule it clean, [it being written in the parshah of zav — (a genital discharge) (Leviticus 15:2): \"Speak to the children of Israel\" — the children of Israel become unclean with zivah, but gentiles do not become unclean with zivah. And the Rabbis decreed that they become like zavin in all respects. Beth Shammai hold: In respect to what did the Rabbis decree? In respect to her spittle and her urine, which are a constant. But they did not decree thus in respect to zivah blood, which is of rarer occurrence. (The Rabbis made a \"sign\" and did not rule it unclean, so that they realize that \"gentile tumah\" is a rabbinic phenomenon and not come to burn terumah and kodshim (consecrated food) because of it.)] And Beth Hillel say: [The blood of a gentile woman is unclean] when it is like her spittle and her urine; [that is, when it is wet and not when it is dry. And it is this \"reminder\" alone that they made for her. For if her tumah were Torah mandated, her blood would be unclean both wet and dry. But now that it is unclean only when wet, we realize that her tumah is rabbinically ordained.]", + "\tR. Yossi says: Six things are of the leniencies of Beth Shammai and the stringencies of Beth Hillel: According to Beth Shammai, chicken may be brought up with cheese upon the table, [its issur being only a scribal one], but not eaten. And Beth Hillel say: It may not be brought up (there), [a decree lest he bring up cheese with meat in a boiling pot, which is forbidden according to the Torah, being \"cooking\"]; and it is not eaten (together).", + "\tR. Yishmael adduces three instances of the leniencies of Beth Shammai and the stringencies of Beth Hillel: The Book of Koheleth does not render one's hands unclean, [it being Solomon's wisdom and not having been stated by the Holy Spirit.] And Beth Hillel say: It does render the hands unclean. [They hold that Koheleth, too, was stated by the Holy Spirit, wherefore it renders one's hands unclean, as do the other holy writings.] The waters of cleansing (of the red heifer), whose mitzvah has been completed [i.e., after they were sprinkled on the unclean one and he were cleansed by them, if they dripped from his body upon a man or upon vessels], Beth Shammai rules (them) clean, and Beth Hillel, unclean.", + "\tR. Eliezer adduces two instances of the leniencies of Beth Shammai and the stringencies of Beth Hillel: The blood of a woman who gave birth [and waited in her blood of uncleanliness (one week for a male and two weeks for a female)] but did not (yet) immerse — Beth Shammai say: [Her blood is] like her spittle and her urine, [which cause tumah when they are wet but not when they are dry. Her blood, too, causes tumah when wet, but not when dry, unlike the blood of a niddah, which causes tumah both (when it is) wet or dry.] And Beth Hillel say: It causes tumah whether wet or dry. [So long as she did not immerse, it is considered like niddah blood, even in the days of cleanliness.] And they concede that if she had a zav discharge while giving birth, [(in which instance she must count seven clean days, as do all other zavoth) that if she did not count and did not immerse and saw blood in her days of cleanliness,] that it causes tumah whether wet or dry, [it being considered zivah blood so long as she has not counted and not immersed.]", + "\tIf there were four brothers, two of them married to two sisters, and they died, the surviving two perform chalitzah, but not yibum, [for since both women are linked to each brother, the first to perform yibum violates \"the sister of his linked one,\" who is like his wife.] If they were beforehand and married them, they must send them away. R. Eliezer says in the name of Beth Shammai: They may keep them, and Beth Hillel say: They must send them away. [The Gemara in Yevamoth reverses this, viz.: Beth Shammai say: They must send them away, and Beth Hillel say: They may keep them. And this is the halachah, that if they were beforehand and married them, they may keep them.]", + "\tAkavya ben Mahalalel testified in four instances. They said to him: Akavya, retract the four things that you said and we will make you a chief justice of Israel, whereupon he said: \"Better to be called a dolt all of my life and not to be wicked one moment before the L rd,\" so that they not say: \"He retracted because of 'position.'\" He would declare unclean a \"deposited hair,\" [a bahereth (a kind of plague-spot) having \"deposited,\" (as it were) the hair in the skin of the flesh and having departed. As in an instance of a bahereth with a white hair in it. If the bahereth departed and left (i.e., \"deposited\") the white hair in its place and then it (the bahereth) returned — Akavya ben Mehalalel rules it unclean. Since the hair turned white in the bahereth, even though the bahereth that is there now is not the one that turned it white, still, he is unclean.], and (he declared unclean) the 'green' blood (of a niddah.) And the sages rule them clean, [it being written (Leviticus 13:10): \"…and it (the bahereth) turned the hair white\" — only if it turned it white, and not its neighbor. And (Akavya ben Mahalalel) declared unclean the 'green' blood of a niddah, holding it to be like the color of the bright-colored crocus, one of the \"unclean\" colors, which had faded (from the red)]. And he would permit derivation of benefit to a Cohein of the wool of a first-born blemished animal, that had fallen (to the ground) and which he had placed on the window, after which he slaughtered it. And the sages forbade it. [For if you permit to him its wool that falls (to the ground) while it is alive, they will come to delay (the slaughtering of) a firstling so that its wool fall always, and they will (also) come to shear and work with it; and it is forbidden to shear and to work with unfit consecrated animals, it being written (Deuteronomy 12:11): \"…you shall slaughter and eat flesh\" — you shall slaughter, and not shear. And Akavya permits it. For since shechitah avails for (enjoyment of) the wool, which is attached to it, afterwards, it also avails for the wool that has been torn off and placed in the window.] He would say: [The sotah's draught] is not administered to a proselytess or an emancipated maidservant, [it being written (in the oath administered to the sotah [Numbers 5:21]): \"May the L rd render you a curse and an oath in the midst of your people,\" excluding those who are not \"in the midst of your people.\"] And the sages say: They do make them drink. They said to him: There was once an incident of this kind in Jerusalem involving a freed maidservant, Carcamith, and the draught was administered to her by Shemaya and Avtalyon!, whereupon he (Akavya) said to them: \"They made her drink the like!\" [i.e., they did so because they were (proselytes) like her, and not because this was the law. Another interpretation: They gave her the impression that they were giving her the bitter waters to drink, but they were not really doing so.] And they excommunicated him (Akavya), [for having cheapened the honor of Shemaya and Avtalyon]. And he died in his state of excommunication and beth-din stoned his coffin. R. Yehudah said: G d forbid that Akavya was excommunicated. For the (doors of the) azarah (the Temple court) closed on no man in Israel [on Pesach eve, when they went in to slaughter their Pesach offerings, (viz.: \"When the first contingent went in, they closed the doors of the azarah, etc.\")] greater in wisdom and fear of sin than Akavya ben Mahalalel. Who, then, was it that they excommunicated? It was Elazar ben Chanoch, who made light of [the rabbinical ordinances of] washing one's hands. And when he died, beth-din sent and placed a large stone on his coffin, [betokening their separation from him], whence we learn that if one is excommunicated and died in that state, his coffin is \"stoned.\"", + "\tAt the time of his death he said to his son: \"My son, retract the four things that I said [re: \"a deposited hair,\" \"'green' blood,\" the torn-off wool of a first-born animal, and the draught of a proselytess and an emancipated maidservant.] He (the son): \"Why did you not retract them?\" Akavya: \"I heard it from the majority and they heard it (the opposite) from the majority. I upheld what I had heard, and they upheld what they had heard. But you heard it from an individual [i.e. from me] and from a majority [against me]. It is better to forsake the words of the individual and to adopt the words of the majority.\" [For he (Akavya), too, had also received it from a majority, so that his words were like those of the majority — wherefore he told him \"Better to forsake, etc.\" For if not so, why \"it is better\"? Is it not explicitly written (Exodus 23:2): \"After the many to incline (the judgment),\" so that it is perforce mandated to forsake the words of the individual? But (in this instance) the reason for saying \"'Better', etc.\" rather than \"One must, etc.\" is that he (Akavya), too, had heard it from a majority. (The halachah is not in accordance with Akavya ben Mahalalel in all of these four instances.)] He (the son): \"Father, commend me to your friends.\" Akavya: \"I will not do so.\" The son: \"Have you, perhaps, found some fault in me?\" Akavya: \"No — your deeds will draw you near (to them), and your deeds will distance you.\"" + ], + [ + "\tR. Yehudah ben Bava testified in five instances, viz.: minors are taught to refuse [If two brothers were married to two (orphaned) sisters, one an adult and the other, a minor — if the adult's husband died, so that she was \"linked\" for yibum to the husband of the minor, her linkage overrides the marriage of her sister, the minor, and forbids her to him, the marriage of the minor being reckoned naught. (In this instance,) the minor is taught to \"refuse\" him, and her refusal (\"miun\") dissolves his first marriage and he is permitted to take the older sister in yibum. And there is another instance similar to this one in Yevamoth, in the chapter \"Beth Shammai.\"] And (he testified) that a woman may be married on the testimony of one witness. [If her husband went abroad and one witness alone came and said that he had died, she is married on the strength of his testimony.] And (he testified) that a rooster was stoned in Jerusalem because it had killed someone [(It had gnawed out an infant's brain.) And even though it is written (Exodus 21:18): \"If an ox gore, etc.,\" the same applies to all beasts, animals, and birds. For wherever \"ox\" is written, we derive \"ox\" - \"ox\" from Shabbath. Just as there, all beasts, animals, and birds are included, so, here.] And (he testified that) wine must be forty days old for altar libations. [Before then it is forbidden, being considered \"wine from his wine-press.\"] And [he testified about the morning daily burnt-offering that it may be sacrificed in the fourth hour of the day. [For once, in the days of the kingdom of Greece, they had no lambs for burnt-offerings, and they waited to sacrifice the daily morning burnt-offering until the Holy One Blessed be He enlightened their eyes and they found two approved lambs in the lamb pen and sacrificed the morning daily burnt-offering in the fourth hour of the day.]", + "\tR. Yehoshua and R. Nechunia b. Elinathan of Kfar Habavli testified about a part [less than an olive-size], which had become separated from a dead body, that it is tamei. [(For all agree that an olive-size of a dead body is tamei like the body itself. They argue only about a small part, less than the size of an olive)]. For R. Eliezer says: They (the sages) said [that body parts have no (minimum) size (for tumah] only about a part from a living animal, [but a part from a dead animal requires a (minimum) size for tumah]. They said to him: Is it not derivable by kal vachomer (a fortiori) [that a part from a dead animal (even less than an olive-size) is tamei, viz.] If from a living animal, which is tahor (clean), a part (even less than an olive-size) which separates from it is tamei — a dead animal, which is tamei, does it not follow (a fortiori) that a part which separates from it is tamei? He said to them: They spoke only about a part from a living animal. And, furthermore, [in rebuttal of the kal vachomer], the tumah of the living is greater than that of the dead! For the living [i.e., a zav, when he is alive,] renders unclean via mishkav and moshav (couch and seat uncleanliness) [all of the vessels] beneath him, [even one hundred of them] to render a man unclean and to render garments unclean, [viz. (Leviticus 15:5): \"And a man who touches what he (a zav) lay upon shall wash his clothes.\"] And he renders what is above him \"madaf\" [All the vessels above the zav, though they be a hundred, one above the other, acquire madaf uncleanliness; that is \"light\" tumah, not rendering men and vessels unclean, as do mishkav and moshav which are beneath him, but (only) food and drink. (\"madaf\" as in Leviticus 26:36: \"the sound of a driven [nidaf] leaf\") — that is, \"light\" tumah. Or, as in \"its open nodef (spreads),\" the \"odor\" of the tumah of the zav spreading far to render unclean all of the vessels above him, even though he did not touch them] —- which is not effected by a dead body. [For of the vessels beneath a dead body, only the first, second, and third acquire uncleanliness, by maga (contact). The vessel touching the dead body becomes like the dead body itself, rendering the vessel that touches it \"av\" (a \"father\" of uncleanliness.) And the third that touches becomes a rishon (\"first\"), after which vessels are not rendered tamei in turn, vessels acquiring tumah only from the av of tumah. Likewise, of the vessels above the dead body, only the first, second, and third are tamei, by way of maga, (contact), and not by way of mishkav and moshav.]", + "\tAn olive-size of flesh which separates from the limb of a living man — R. Eliezer rules it tamei, and R. Yehoshua and R. Nechunia, tahor (clean). [A limb which separates from a living man is ruled to he tamei, so long as it is a whole limb — by maga (contact), masa (lifting), and ohel (tent-uncleanliness) — like the dead man himself, it being written (Numbers 16:19): \"And all who touch on the face of the field, one slain by the sword or a dead body\" — a limb separated from a living man by the sword is considered like the dead body itself. And flesh separated from a living man does not cause tumah unless it be (separated from) a whole limb. And when an olive-size of flesh separates from the limb of a living man, R. Eliezer rules it tamei and R. Yehoshua and R. Nechunia, tahor, as will be explained.] A bone the size of a barley-corn which separates from the limb of a living man — R. Nechunia rules it tamei and R. Eliezer and R. Yehoshua, tahor. [A bone the size of a barley-corn from a dead body causes tumah by maga and masa, but does not cause ohel-uncleanliness, it being written (Ibid. 18): \"and upon him who touched a bone.\" And it is a law to Moses from Sinai that it causes tumah when it is the size of a barley-corn. And when it is separated from the limb of a living man, R. Nechunia rules it tamei, etc.] They said to R. Eliezer: Why did you see fit to rule tamei an olive-size of flesh which separates from the limb of a living man? He answered: We find a limb (separated) from a living man to be like a dead body [(see Numbers 16:19 above)]. Just as with a dead body, an olive-size of flesh which separates from it is tamei, so with a limb (separated) from a living man — an olive-size of flesh which separates from it should be tamei. They: No, it follows that an olive-size of flesh separated from a dead body is tamei, for [it (a dead body) has another stringency, viz.] a bone the size of a barley-corn, separated from it is [also] tamei. But would you, therefore, rule tamei an olive-size of flesh separated from a living man [which lacks such a stringency] when you have ruled tahor a bone the size of a barley-corn which separates from it? [viz. above: \"A bone the size of a barley-corn which separates from the limb of a living man — R. Nechunia rules it tamei and R. Eliezer and R. Yehoshua, tahor.\" From his own words they challenge his inference; and thus with R. Nechunia.] They said to R. Nechunia: Why did you see fit to rule tamei a bone the size of a barley-corn that separates from the limb of a living man? He answered: We find a limb (separated) from a living man to be like a dead body. Just as with a dead body, a bone the size of a barley-corn that separates from it is tamei, so with a limb (separated) from a living man — a bone the size of a barley-corn that separates from it should be tamei. They: No, it follows that a bone the size of a barley-corn that separates from a dead body is tamei, for an olive-size of flesh separated from it is [also] tamei. But would you, therefore, rule tamei an olive-size of flesh separated from the limb of a living man, when you have ruled tahor an olive-size of flesh that separates from it? They said to R. Eliezer: Why did you see fit to divide your rulings (to rule tamei an olive-size of flesh separated from the limb of a living man and to rule tahor a bone the size of a barley-corn separated from the limb of a living man?) It should be either tamei in both case or tahor in both cases. He answered: Greater is the tumah of the flesh than the tumah of the bones. For flesh (uncleanliness) obtains with carrion and creeping things (sharatzim), as opposed to bone (uncleanliness), [it being written (Leviticus 11:36): \"And one who touches their carcass\" — their carcass, and not their bones, and not their horns, and not their hooves — whence we see that bones are not subject to carrion (neveilah) uncleanliness]. Another proof [that the tumah of flesh is more prevalent than that of bones]: A limb that has upon it sufficient flesh causes tumah by maga, masa, and ohel. If it is lacking flesh it is tamei; if it is lacking bone, it is tahor. [A limb does not cause tumah unless it has flesh, sinews, and bones, it being written (Numbers 19:16): \"or the bone of a man\" — Just as a man has flesh, sinews, and bones, so, all that has flesh, sinews, and bones. And if it were deficient in the flesh that was upon it, but there were left on it enough flesh that would heal if it were connected to a living man, it would cause tumah by reason of \"a limb.\" And this is the intent of \"If it is lacking flesh it is tamei.\" But if it is missing anything of the bone in the limb, it no longer causes tumah by reason of \"limb.\" And this is the intent of \"If it is lacking bone, it is tahor.\" That is, it is tahor by reason of \"limb,\" but tamei by reason of \"flesh.\" We therefore find the tumah of \"flesh\" to be more prevalent than that of \"bone.\"] They said to R. Nechunia: Why did you see fit to divide your rulings? It should be either tamei in both cases or tahor in both cases. He answered: Greater is the tumah of the bones than the tumah of the flesh. For the flesh that separates from a living man is tahor, but if a limb separates from him, and it is in its natural state, [having flesh, sinews, and bones], it is tamei. Another proof (that the tumah of bones is more prevalent than that of flesh) is that an olive-size of flesh causes tumah by maga, masa, and ohel [(Because the beginning of the creation of a man is an olive-size, his tumah is an olive-size)], and the majority [125] of a man's bones [248] cause tumah by maga, masa, and ohel. If the flesh is lacking [an olive-size], it is tahor [entirely, from causing tumah — either by maga, or by masa, or by ohel.] If the majority of the bones are missing, even though he is tahor from causing tumah by ohel, he causes it by maga and masa. [For a bone the size of a barley-corn causes tumah by maga and masa — whence we see that the tumah of bones is more prevalent than that of flesh. For bones, (even) when their quantity (125) is lacking, tumah remains in them, whereas flesh, when its (minimum) size is lacking, is absolutely tahor.] Another proof: All the flesh of a dead body which is less than an olive-size is tahor, but the rov (majority) of the (bony) structure of a dead body [such as two forelegs and one thigh, (all of his structure being two forelegs and the thighs and the ribs and the spine)], and the rov of its number, though they lack a rova (a quarter), [(a rova of a kav of the bones of a dead body causes tumah in an ohel), still, even if they have neither the majority of the number nor the majority of the structure (but they have a rova); or if they have a majority of the number or a majority of the structure, but they lack a rova], they cause tumah. They said to R. Yehoshua: Why did you see fit to rule tahor in both cases? He answered: No, it follows that an olive-size of flesh [and a bone that separate from a dead body be tamei] for it has [stringencies like] \"rov,\" \"rova,\" and \"rakav.\" Would you say the same thing about a living man, who does not have [the stringencies of] \"rov,\" \"rova,\" and \"rakav\"? [It does not follow that an olive-size of flesh or a barley-corn size of bone which separate from a living man should be tamei, but they are tahor. The halachah is in accordance with R. Yehoshua. (\"rakav\":) the dead body, when its moisture dissipates, becomes a kind of rotten (rakuv) earth, a full tarod of which (about a full hand-hollow of the average man) causes tumah. A full tarod causes tumah only (when taken) from a body buried naked in a marble coffin and covered with a marble cover, until it be known of a certainty that there is no admixture of the rottenness of a garment or of wood or of other earth. But a dead body that is buried in its garment or in a coffin of wood or earth has no rakav, and, likewise, a dead body buried without a limb.]" + ], + [ + "\tR. Yehoshua and R. Tzaddok testified about the redemption (lamb) [which one set aside for the redemption of the firstling of an ass], which (lamb) died, that the Cohein has no claim in it. For R. Eliezer says: He (the owner) is liable to restore it, as [he is liable to restore (if they were lost)] the five selaim for [the redemption of his (first-born) son.] And the sages say: He is not liable to restore it, but it is like the (lost) redemption (money) for the second tithe, [which the Torah required him (to spend on food) to eat in Jerusalem — but he has lost it! The rationale of R. Eliezer: We find that the Torah compared the redemption of the firstling of an ass to (that of) the first-born son of a man, it being written (Exodus 34:20): \"And the firstling of an ass shall you redeem with a lamb … All the first-born of your sons shall you redeem.\" And the sages say: It is written (Numbers 18:15): \"But redeem shall you redeem the first-born of the man, and the first-born of the unclean beast (an ass) shall you redeem\" — I have likened it (to a man) for purposes of redemption, and not for other things.]", + "\tR. Tzaddok testified about the brine of unclean locusts that it is clean. For an earlier Mishnah (taught): Unclean locusts which were pickled with clean locusts do not invalidate their brine. [They were lenient in respect to unclean locusts not to forbid their admixture, for they have no blood, but only a kind of moistness. This was the first Mishnah. And the testimony of R. Tzaddok added to this Mishnah to say that it is clean. Not only does it not forbid its admixture, but it itself is clean.]", + "\tR. Tzaddok testified — that they are kosher — about running waters [zochalin viz. (Deuteronomy 32:24): \"zochalei afar\" (\"the 'crawlers' in the dust\"), which, halachically, are equivalent to a well, which purifies with any amount of running water, and which are kosher for the consecration of the waters of the sin-offering (the red heifer) and for the immersion of zavim], which (zochalin) (intermixed with and) \"outnumbered\" the notfim [\"dripping waters,\" like rain water, which, halachically, is like a mikveh, which purifies, with forty sa'ah and in an eshboren (a water collection pit), and which are unfit for the consecration of the waters of the sin-offering, not being \"living waters,\" and likewise, for the immersion of zavim — When the running waters have mixed with the dripping waters and \"outnumbered\" the dripping waters, they are halachically like running waters and are kosher for the consecration of the waters of purification (of the red heifer) and for the immersion of zavim, and they cleanse, as running waters do, with any amount.] It (such an \"outnumbering\") once occurred in Biryath Hapilya, and they brought it to the attention of the sages, who pronounced them (the waters) kosher.", + "\tR. Tzaddok testified — that they are kosher — about zochalin which were made to jet through the leaf of a nut [i.e., the outer shell of a nut, the green shell. If, when it was moist, he made it like a tube through which the zochalim would run and jet outside of it, the jetted waters are halachically zochalim, and they are kosher for the waters of purification (the red heifer), and the immersion of zavim. And we do not say that since they entered through this shell, which acts as a receptacle through which they are jetted out, they are not halachically zochalin — for that shell is not considered a vessel.] This once happened in Ahalya, and it came before the lishkath hagazith (the seat of the Great Sanhedrin in Jerusalem), and they ruled it kosher.", + "\tR. Yehoshua and R. Yakim Ish Hadar testified about the [earthen] pitcher of the (ashes of) purification (of the red heifer), which was placed upon a sheretz (a creeping thing), that it [i.e., what it contains, (the ashes)] is tamei. [The pitcher itself does not become tamei, for an earthenware vessel does not contract tumah from the outside. Still, the ashes are tamei, it being written (Numbers 19:9): \"And he shall place it outside the encampment in a clean place.\" [(For R. Eliezer had ruled it clean, holding that since the vessel containing it was clean, it could be called \"a clean place.\" The halachah is not in accordance with R. Eliezer.)] R. Papiyas testified about one who resumed two [unqualified] Naziritisms [and every unqualified Naziritism lasts for thirty days] that if he shaved for the first on the thirtieth day, he shaves for the second on the sixtieth day. [For ab initio, he should shave on the thirty-first day, so that his Naziritism be thirty whole days; but if he shaved on the thirtieth day, he has satisfied his Naziritism for we say that \"part of the day is like the whole day.\" And if he shaves on the fifty-ninth day, he has satisfied (his Naziritism), for the thirtieth day is reckoned as part of the counting (for the second Naziritism). [That is, the thirtieth day of the first Naziritism counts for both reckonings. And since the thirtieth day of the first Naziritism is counted also as (the first day of) the second Naziritism, it is found that the thirty days of the second Naziritism end on the fifty-ninth day.]", + "\tR. Yehoshua and R. Papyas testified about the offspring of a shelamim (peace-offering) that it is sacrificed as a shelamim. For R. Eliezer says that the offspring of a shelamim is not sacrificed as a shelamim, [but it is placed into the stable (and left there) until it dies — a decree; for if you say that the offspring of a shelamim has amendment (by being sacrificed), he will come to delay the (sacrifice of the) mother until she gives birth, and raise flocks of offspring and come to shear (their wool) and work them]. And the sages say (that the offspring of a shelamim) is sacrificed. R. Papyas said: I testify that we had a cow for a shelamim (sacrifice), which we ate on Pesach, and we ate its offspring as a shelamim on the festival [of Shavuoth. For if he waited until Succoth he would be in transgression of the positive commandment, viz. (Deuteronomy 12: 5-6): \"…and you shall come there… and you shall bring there,\" the implication being that the first festival that you come there (after the vow), bring there all the vows binding upon you. (However, he is not in transgression of [Ibid. 23:22]: \"…you shall not delay to pay it\" until three festivals have passed.)]", + "\tThey testified that the aruchoth [(the long, flat, wooden ranging boards of bakers on which they range loaves of bread for baking), \"a (aleph) ruchoth\" (\"boards\") like \"a (ayin) ruchoth\" (\"ranged\")] are tamei [susceptible, rabbinically, of acquiring tumah. For though, according to the Torah, flat boards are not thus susceptible, the Rabbis decreed that they are (viz. Kelim, Chapter II)]. For R. Eliezer ruled them clean, [holding that they are not considered vessels at all, not even like flat wooden vessels. The halachah is not in accordance with R. Eliezer.]", + "\tMenachem b. Signai testified about the rim of the vat of the boilers of olives that it is tamei; and of dyers, that it is tahor. For there were those that said the opposite. [The olive boilers and the dyers used to have large vats on whose rims they placed a border of clay to contain the water when it boiled over. That (i.e., the rim) of the olive boilers was tamei because that addition was needed for the vessel and was used; and the Torah stated in respect to an oven or a stove (Leviticus 11:31): \"They shall be unclean to you\" — \"to you,\" to all that you need; that is, the thing in the vessel that you need and use — it is that which is susceptible of tumah. (\"and of dyers, that it is tahor\":) The dyers do not make use of that addition, for they are afraid that it will spoil their dye.]", + "\tR. Yochanan b. Gudgeda testified that a deaf-mute whose father married her is given a divorce. [Even though she was a bona-fide married woman, her father having accepted her betrothal when she was a minor, still, she is given a get, and she receives her get when she is a deaf-mute, even though her consent is lacking. For a woman can be divorced perforce, so that her consent is not required.]; and (he testified) that the minor daughter of an Israelite [an orphan, whose marriage is rabinically (and not Scripturally) sanctioned] eats terumah [rabbinically mandated terumah, this not being decreed against by reason of (the possibility of her coming to eat) Scripturally mandated terumah]; and that if she died, her husband inherits her; and that if one built a beam that he had stolen into a building, monetary reimbursements is sufficient, [for the good of the penitent; for if he were required to raze his building and return the beam itself, he would be deterred from repenting.]; and that a stolen sin-offering which was not known to the public [as being stolen] atones [and another need not be brought], for \"the good of the altar,\" [that the Cohanim not be distressed by (the thought of) having eaten chullin (non-consecrated food) from (an animal) slaughtered in the azarah (the Temple court) and the altar be \"deserted,\" the Cohanim refraining from performing the (sacrificial) service.]" + ], + [ + "\tR. Yehudah b. Betheira testified about the blood of carrion (nevilah) that it is tahor, [and does not cause tumah, as carrion itself does, with an olive-size, but it does cause tumah with a revi'ith (one-fourth of a log of vital blood). For there is nothing but the sheretz (a creeping thing) which causes tumah with (the same quantity of) its blood as with (that of) its flesh. As to our having learned above (5:1): \"The blood of neveiloth — Beth Shammai rule it tahor\" — Beth Shammai ruled it tahor entirely. \"And Beth Hillel ruled it tamei\" — but not as (the flesh of) a neveilah, an olive-size of which is tamei, but only with a revi'ith.]", + "\tR. Yehudah b. Bava and R. Yehudah Hakohen testified about the minor daughter [an orphan] of an Israelite, who married a Cohein, that she eats terumah as soon as she enters the chupah, even though she had not yet had conjugal relations (see 7:9). [It is added here that once she enters the chupah, even though she had not yet had conjugal relations, (she may eat terumah). For from the preceding testimony, we can conclude that she eats terumah only when she has had conjugal relations]. R. Yossi Hakohen and R. Zecharyah ben Hakatzav testified about a minor who was taken as a pledge [by gentiles] in Ashkelon and whose family \"distanced\" her (from marrying a Cohein), and whose witnesses (to her having been taken as a pledge) testify that she had not been secreted and had not been violated — the sages said to them (the family): If you believe (the witnesses) that she had been taken as a pledge, then believe that she had not been secreted and had not been violated. And if you do not believe that she had not been secreted and not been violated, then do not believe that she had been taken as a pledge. [And it is only of this one, about whom the witnesses testify that she had not been violated, that the rabbis said — \"Believe her,\" and that she had been wrongfully distanced by her family. But if she had no witnesses (that she had not been violated), then a woman who had been taken as a pledge for money at a time when the gentiles had the upper hand is forbidden to her husband, a Cohein, whether she had been taken willingly or forcibly.]", + "\tR. Yehoshua and R. Yehudah b. Betheira testified about an issah (\"dough\") widow that she is permitted to (marry) a Cohein. [In a family into which a safek (possible) chalal (one unfit for the priesthood) has become intermixed, each one of that family is suspect of being that chalal. And if a woman married one of that family and her husband died, she is called an \"issah\" widow. For just as dough is kneaded and intermixed, so this widow is \"mixed\" with (i.e., compounded of) doubts: one, her husband might not be that safek chalal; and,(the other), even if he is, perhaps he is not a chalal in reality. R. Yehoshua permits her to the priesthood, for we have a \"a doubt of a doubt,\" in which instance we rule leniently.] And R. Gamliel holds that even though generally we rule leniently in \"a doubt of a doubt,\" here it is different, for \"a special eminence is accorded to family lineage.\"] (And they testified) that an issah (family) is kosher both for (declaring) tamei or declaring tahor, for distancing or for drawing near. [That is, a family in which a safek chalal has become intermixed is in a status of kashruth as are all of the pedigreed families. And just as the other families may say: \"This one is tamei,\" and they distance themselves from her, and: \"This one is tahor,\" and they draw her near, so, (about) this family in which a safek chalal has become intermixed, we cannot say that since a safek has become intermixed in it they need no longer examine, when they marry women, which is tamei and which is tahor in order to distance her who is tamei and to draw near her who is tahor.] R. Gamliel said: We have accepted your testimony, but what can we do? For R. Yochanan b. Zakkai has decreed not to convene batei-din for this [i.e., for permitting an issah widow ab initio. For] the Cohanim will heed you to distance her [if you rule her forbidden], but not to draw her near [if you rule her permitted. The halachah is that an issah widow is forbidden to marry a Cohein ab initio, but if she does, she is not divorced.]", + "\tR. Yossi b. Yoezer, Ish Tz'raidah, testified about ayal kamtza [a type of locust] that it is clean [and may be eaten. (The Targum of \"kachagavim\" [\"like locusts\" (Numbers 13:33)] is \"kekamtzin\")]; and (he testified) about the liquids [i.e., the blood and the water] of the slaughtering house, [in the azarah] that they are clean. [According to one view they are entirely clean; for the tumah of liquids is not Torah-based, but of rabbinic decree, and in this instance they did not decree thus. According to another view they are \"clean\" in that they do not defile others; but they are tamei in themselves, for the tumah of liquids in themselves is Torah-based, and the Rabbis cannot permit what the Torah has proscribed]; and (he testified) that one who touches a dead body becomes tamei. [That is, one who, of a certainty, touches a dead body becomes tamei, but, in an instance of doubt (safek), even vis-à-vis the stringent tumah of a dead body, he is tahor — how much more so does he come to permit the lesser tumah of a sheretz and a safek of tumah in the public domain. And even though a safek of tumah in the public domain is tahor (even) according to the Torah — for the entire issur of safek tumah is derived from sotah, viz. (Numbers 5:13): \"…and she had secreted herself and she be defiled,\" Scripture telling us that she is forbidden in an instance of doubt (\"secreted, etc.\"), and just as sotah obtains only in the private domain, there being no \"secreting\" in the public domain, so the tumah of safek obtains only in the private domain — still, before the ruling of Yossi ben Yoezer, they said: \"It is a halachah (that tumah does not obtain in the public domain), but we do not teach it.\" And he came and testified that we do teach it ab initio, to render tahor every safek of tumah in the public domain.] And they called him \"Yossi, the permitter.\" [For he permitted three things vis-à-vis which they deported themselves as being forbidden. For every beth-din which permits three things whose heter (permit) is not apparent is called \"a permitting beth-din.\"]", + "\tR. Akiva testified in the name of Nechemiah, Ish Beth D'li, that a woman may be married on the testimony of one witness. [If her husband went abroad and one witness came and said that he had died, she is married on the strength of his testimony. R. Yehoshua testified about bones that were found in dir etzim [(the wood storage compartment (of the Temple) where they stored all the wood for the wood pile. It was in the northeast corner of the ezrath nashim. Some bones of dead bodies were found there) ]: The sages said: They are removed bone by bone and all is tahor [i.e., We do not fear that men or vessels may have become tamei through them, for this constitutes \"safek tumah in the public domain,\" which is tahor. And in the last chapter of Zevachim the Gemara adduces that they wished to decree tumah in all of Jerusalem because of the bones which were found in the wood compartment, but R. Yehoshua said to them: \"Would it not be a shame and a mortification for us to decree tumah upon the city of our fathers!\"]", + "R. Eliezer said: I heard that when they were building in the sanctuary (in the days of Ezra) they made curtains for the sanctuary and curtains for the azaroth (the courtyards); but in the sanctuary they built from outside (the curtains) and in the azarah they built inside. R. Yehoshua said: I heard that sacrifices are offered even when there is no Temple, and that holy of holies are eaten even where there are no curtains; lesser order sacrifices and second tithe, even when there is no wall. For the first consecration [of the Temple by Solomon] was for that time and for future time. [But the consecration of the rest of Eretz Yisrael at the time of the first conquest was only for its time until the Babylonian exiles returned and consecrated it a second time. And that consecration was for time to come.]", + "\tR. Yehoshua said: I have received it from R. Yochanan b. Zakkai, who heard it from his master, and his master from his master, \"a halachah to Moses upon Sinai,\" [the Holy One Blessed be He having shown to Moses upon Sinai, each generation and its expounders,] that Eliyahu will not come to rule tamei and to rule tahor, to distance and to draw near [i.e., to resolve genealogical doubts — which families suffered assimilation and which did not — but he will leave them in their status of kashruth for the future, the halachah being that \"a family that was breached was breached, etc.\"], but [he will come] to distance those who had intruded themselves by force [i.e., those who all knew to be pasul (unfit), but who had insinuated themselves forcibly. (But a family that had been \"infiltrated\" because the p'sul was not known will be left in its status of kashruth)], and [he will come] to draw near all who had been (wrongly) distanced by force. The family of Beth Tzerifah was across the Jordan and Ben Tziyon [a man of violence] distanced it [i.e., proclaimed it pasul] by force. And another family was there [which was pasul], and Ben Tziyon drew it near by force [i.e., he proclaimed them to be kosher for marriage. The tanna was solicitous of men's honor and did not mention the name of the family that Ben Tziyon drew near by force as he did mention the name of the family that was kasher, to teach how much one should take care not to speak in denigration of his friend and \"to cover shame.\" If thus with those who are pasul, how much more so with those who are kasher!] Such as these [whose kashruth and p'sul are known but who have been distanced by force or drawn near by force] Eliyahu will come to pronounce tamei and tahor, to distance and to draw near. R. Yehudah says: (He will come) to distance, but not to draw near. [He will draw near the kosher family, which was distanced by force, but he will not distance the family that was drawn near by force.] R. Shimon says: He will come to resolve disputes (among the sages). And the sages say: Neither to distance nor to draw near, but to make peace, as it is written (Malachi 3:24): \"Behold, I am sending to you Eliyahu the prophet… and he will return the heart of the fathers to the sons and the heart of the sons to their fathers.\" [He (Eliyahu) is destined to say through the Holy Spirit: \"This one is a descendant of that one.\" And according to R. Shimon, \"fathers\" are the sages, and \"sons,\" the disciples — their hearts will be attuned to each other and dispute (machloketh) will not befall them.]" + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/English/merged.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/English/merged.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..dcaf86b1d82b7a0fa80d3a4a50642f26500b0a57 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/English/merged.json @@ -0,0 +1,113 @@ +{ + "title": "Mishnah Eduyot", + "language": "en", + "versionTitle": "merged", + "versionSource": "https://www.sefaria.org/Mishnah_Eduyot", + "text": [ + [ + "Shammai says: “For all women [who begin to menstruate] it suffices [to reckon their impurity from] the time [of their discovering it].” And Hillel says: “[Their impurity is reckoned backwards] from the [last] examination to the [previous] examination, even if this covers many days.” But the Sages say: “Neither according to the opinion of this one nor according to the opinion of this one, but [they are considered impure for] the past twenty four hours when this lessens the period from the [last] examination to the [previous] examination, and for the period from the [last] examination to the [previous] examination when this lessens the past twenty-four hours.” Any woman who has a regular period, it suffices [to reckon her impurity from] her set time. She who uses testing-cloths [when she has sexual relations], behold this is like an examination: it lessens either the period of the [past] twenty four hours or the period from the [last] examination to the [previous] examination.", + "Shammai says: “[Dough] of a kav or more is subject to the law of hallah.” And Hillel says: “Of two kavs or more.” But the Sages say: “Neither according to the opinion of this one nor according to the opinion of this one, but [dough of] a kav and a half is subject to the law of hallah.” And after they increased the measures they said: “[Dough of] five quarters is subject. Rabbi Yose said: “Five are exempt, five and more are liable.”", + "Hillel says: “A hin full of drawn water renders the mikweh unfit.” (However, man must speak in the language of his teacher.) And Shammai says: “Nine kavs.” But the Sages say: “Neither according to the opinion of this one nor according to the opinion of this one;” But when two weavers from the dung-gate which is in Jerusalem came and testified in the name of Shemaiah and Avtalion, “Three logs of drawn water render the mikweh unfit,” the Sages confirmed their statement.", + "And why do they record the opinions of Shammai and Hillel for naught? To teach the following generations that a man should not [always] persist in his opinion, for behold, the fathers of the world did not persist in their opinion.", + "And why do they record the opinion of a single person among the many, when the halakhah must be according to the opinion of the many? So that if a court prefers the opinion of the single person it may depend on him. For no court may set aside the decision of another court unless it is greater than it in wisdom and in number. If it was greater than it in wisdom but not in number, in number but not in wisdom, it may not set aside its decision, unless it is greater than it in wisdom and in number.", + "Rabbi Judah said: “If so, why do they record the opinion of a single person among the many to set it aside? So that if a man shall say, ‘Thus have I received the tradition’, it may be said to him, ‘According to the [refuted] opinion of that individual did you hear it.’”", + "Beth Shammai says: “A quarter-kav of any bones, even from two limbs or from three.” And Beth Hillel says: “A quarter-kav of bones from a corpse, either from [the bones which form] the greater portion of the [body’s] build, or from the greater portion of the number [of the body’s bones]. Shammai says: “Even from a single bone.”", + "Vetches of terumah: Beth Shammai says, “They must be soaked and rubbed in purity, but can be given for food in impurity.” And Beth Hillel says: “They must be soaked in purity, but can be rubbed and given for food in impurity.” Shammai says: “They must be eaten dry.” Rabbi Akiva says: “All actions in connection with them [can be carried out] in impurity.”", + "One who changes for a sela copper coins from second tithe: Beth Shammai says: “Copper coin for the whole sela.” And Beth Hillel say: “Silver for one shekel and copper coin for one shekel.” Rabbi Meir says: “Silver and fruits may not be substituted for silver.” But the sages allow it.", + "One who exchanges a sela from second tithe in Jerusalem: Beth Shammai says: “Copper coin for the whole sela.” And Beth Hillel says: “Silver for one shekel and copper coin for one shekel.” The disputants before the Sages say: “Silver for three denars and copper coin for one denar.” Rabbi Akiva says: “Silver for three denars and for the fourth silver, copper coin.” Rabbi Tarfon says: “Four aspers in silver.” Shammai says: “He must leave it in the shop and eat on the credit thereof.”", + "A bride’s stool from which the covering-boards have been taken: Beth Shammai pronounces it [liable to become] unclean, And Beth Hillel pronounce it not [liable to become] unclean. Shammai says: “Even the framework of a stool [by itself is liable to become] unclean.” A stool which has been set in a baker’s trough: Beth Shammai pronounces it [liable to become] unclean, And Beth Hillel pronounces it not [liable to become] unclean. Shammai says: “Even one made therein [is liable to become unclean].”", + "These are subjects concerning which Beth Hillel changed their mind and taught according to the opinion of Beth Shammai:A woman who came from overseas and said: “My husband died” may be married again; “My husband died [without children]” she must be married by her husband’s brother (the levir). But Beth Hillel says: “We have heard so only in the case of one who came from the harvesting.” Beth Shammai said to them: “It is the same thing in the case of one who came from the harvesting or who came from the olive-picking or who came from overseas; they mentioned harvesting only because that is how it happened.” Then Beth Hillel changed their mind and taught according to Beth Shammai. Beth Shammai says: “She may be married again and take her kethubah payment.” But Beth Hillel says: “She may be married again but may not take her kethubah payment.” Beth Shammai said to them: “You have permitted the graver matter of a forbidden marriage, should you not permit the lighter matter of property?” Beth Hillel said to them: “We have found that brothers do not inherit on her statement.” Beth Shammai said to them: “Do we not infer it from her marriage document in which he writes to her ‘That if you be married to another you shall take what is written for you’?” Then Beth Hillel changed their mind and taught according to the opinion of Beth Shammai.", + "Whoever is half a slave and half a free man should work one day for his master and one day for himself, according to Beth Hillel. Beth Shammai said to them: “You have set matters in order with regards to his master, but you have not set matters in order with regards to himself. He is not able to marry a slave-woman, nor is he able [to marry] a woman who is free. Is he to refrain [from marrying]? [How can he] for is it not the case that the world was created in order for people to be fruitful and multiply? For it is said, “He did not create it to be a waste; but formed it for inhabitation” (Isaiah 45:18). But for the rightful ordering of the world his master is compelled to make him free, and he writes out a bond for half his value.” Then Beth Hillel changed their mind and taught according to the opinion of Beth Shammai.", + "A vessel of earthenware can protect everything [in it from contracting impurity], according to Beth Hillel. But Beth Shammai says: “It protects only food and liquids and [other] vessels of earthenware.” Beth Hillel said to them: “Why?” Beth Shammai said to them: “Because it is [itself] impure with respect to an ignoramus, and no impure vessel can screen [against impurity].” Beth Hillel said to them: “And did you not pronounce pure the food and liquids inside it?” Beth Shammai said to them: “When we pronounced pure the food and liquids inside it, we pronounced them pure for him [the ignoramus] only, but when you pronounced the vessel pure you pronounced it pure for yourself and for him.” Then Beth Hillel changed their mind and taught according to the opinion of Beth Shammai." + ], + [ + "Rabbi Hanina, chief of the priests, testified concerning four matters:Through all their days the priests never refrained from burning meat which had been defiled by an “offspring” of impurity with meat which had been made impure by a “father” of impurity, although they were [thereby] increasing its impurity by a [higher] impurity. Rabbi Akiba added: “Through all their days the priests never shrank from lighting oil which had been rendered unfit by a tevul yom in a lamp made impure by one who was made impure by a corpse, although they were [thereby] increasing its impurity by a [higher] impurity.”", + "Rabbi Hanina, chief of the priests, said: “All my days I never saw a hide taken out to the place of burning.” Rabbi Akiba said: “From his words we infer that whoever flays the hide of the firstborn beast and it is found to be trefah, the priests may enjoy the use of the hide.” But the Sages say: “[A testimony which consists of] ‘we didn’t see’ is not a proof; rather the hide must be taken out to the place of burning.", + "He also testified concerning a small village in the vicinity of Jerusalem in which there was an old man who used to lend to all the people of the village and write out [the bond] in his own handwriting and others signed it. And when the fact was brought before the Sages they pronounced it legal. Hence, incidentally, you may infer that a wife may write her own bill of divorcement, and a husband may write his own receipt; for the legality of a document depends only on those who sign it. And [he testified] concerning a needle which was found in flesh of a [sacrifice], that the knife and the hands [which had been employed on the flesh] are clean, but the flesh itself is defiled; and if it was found in the excrement, all are clean.", + "Rabbi Yishmael declared three things before the Sages in the vineyard at Yavneh: Concerning an egg which was beaten together, and placed on vegetables of terumah that it acts as a connection; but if it was in the form of a helmet it does not act as a connection. And concerning an ear of corn in the harvesting, the top of which reached the standing corn that if it can be reaped together with the standing corn, it belongs to the owner; and if not, it belongs to the poor. And concerning a small garden which was surrounded by a row of vines that if it has space for the grape-gatherer and his basket on one side, and space for the grape-gatherer and his basket on the other side, it may be sown with seed; but if not, it may not be sown with seed.", + "They stated three things before Rabbi Yishmael, and he pronounced none of them either unlawful or lawful; and Rabbi Joshua ben Matya explained them.One who lances an abscess on the Sabbath: if it was to make an opening he is liable; if it was to bring out the pus, he is exempt. And concerning one who hunts a snake on the Sabbath: that if he was occupied with it in order that it should not bite him, he is innocent; but if that he might use it as a remedy, he is guilty. And concerning Ironian stewpots: that they do not contract impurity when under the same tent as a corpse; but become impure if they are carried by a zav. Rabbi Eliezer ben Zadok says: “Even if they are carried by a zav they remain pure, because they are unfinished.”", + "Rabbi Yishmael said three things, and Rabbi Akiba disagreed with him.Garlic or unripe grapes or green ears of grain were being crushed [on the eve of the Sabbath] while it is yet day: Rabbi Yishmael says: “He may finish crushing after it grows dark.” But Rabbi Akiba says: “He may not finish.”", + "They said three things before Rabbi Akiva, two in the name of Rabbi Eliezer and one in the name of Rabbi Joshua. Two in the name of Rabbi Eliezer:A woman may go out [on the Sabbath adorned] with a “golden-city”; And they that fly pigeons are unfit to bear evidence. And one in the name of Rabbi Joshua: If there was a creeping thing in the mouth of a weasel when it walked over loaves of terumah, and it is doubtful whether it touched them or whether it did not touch them, that about which there is doubt remains pure.", + "Rabbi Akiba declared three things; about two they agreed with him, and about one they disagreed with him.About a lime-burner’s sandal, that it is liable to contract midras impurity; And about the remains of a [broken] oven, that they must be four handbreadths high [in order to retain impurity], whereas they used to say three and [when he said four] they agreed with him. And about one they disagreed with him About a stool, from which two of its covering-boards had been removed, the one beside the other, which Rabbi Akiba pronounces able to contract impurity, but the Sages declare unable to contract impurity.", + "He used to say: the father transmits to the son beauty, strength, wealth, wisdom and years. And the number of generations before Him, that shall be their appointed end: For it is said, “calling the generations from the beginning” (Isaiah 41:4) Although it is said, “And shall serve them, and they shall afflict them four hundred years” (Genesis 15:13), it is also said, “And in the fourth generation they shall come hither again” (Genesis 15:16).", + "Also he used to say that there are five things that last twelve months:The judgment of the generation of the flood [continued] twelve months; The judgment of Job [continued] twelve months; The judgment of the Egyptians [continued] twelve months; The judgment of Gog and Magog in the time to come [will continue] twelve months; The judgment of the wicked in gehinom [continues] twelve months, for it is said, and “It will be from one month until its [same] month” (Isaiah 66:23). Rabbi Yohanan ben Nuri says: “[As long as] from Passover to Shavuoth, for it is said, “And from one Sabbath until its [next] Sabbath” (ibid.)." + ], + [ + "[In the case of] all things which cause defilement in a “tent”, if they [the pieces of the corpse] were divided and brought into the house, Rabbi Dosa ben Harkinas pronounces [everything under the same roof-space] clean, but the Sages pronounce it unclean. How so? He who touches as much as two halves of an olive [in quantity] of an animal’s carcass or carries them; or in the case of a [human] corpse, he who touches as much as half an olive and stands over as much as half an olive; or touches as much as half an olive and as much as half an olive is above him; or if he stands over as much as two halves of an olive; or if he stands over as much as half an olive and as much as half an olive is above him Rabbi Dosa b. Harkinas pronounces him clean, and the Sages pronounce him unclean. But if he touches as much as half an olive [in quantity] and another thing was over him and over as much as half an olive; or if he stood over as much as half an olive and another thing was over him and over as much as half an olive, he is clean. Rabbi Meir said: “Also in this case Rabbi Dosa pronounces him clean and the sages pronounce him unclean. In all such cases a man is unclean unless there is an act of touching and also an act of carrying, or an act of carrying and also [the fact of] being under the same roof-space.” This is the general rule: in whatever case the means of causing defilement are of one category, he is unclean; if they are of two categories, he is clean.”", + "Food which is in separate pieces does not combine together [to receive impurity], according to Rabbi Dosa ben Harkinas. But the Sages say: “It does combines together.” One may exchange [ produce of] second tithe for uncoined metal, according to Rabbi Dosa. But the Sages say: “One may not so exchange it.” The hands [alone] need to be immersed for the waters of purification according to Rabbi Dosa. But the Sages say: “If his hands have become unclean his whole body becomes unclean.”", + "The insides of a melon and the discarded leaves of a vegetable of terumah: Rabbi Dosa permits [their] use to non-priests, and the Sages forbid it. Five ewes, their fleeces weighing each a mina and a half, are subject to [the law of] the first of the fleece, according to Rabbi Dosa. But the Sages say: “Five ewes [are subject] whatever [their fleeces weigh].”", + "All mats are [liable to become] impure by “corpse” impurity, the words of Rabbi Dosa. But the Sages say: “[Also by] “midras” impurity. All network is unsusceptible to impurity except a [network] girdle, the words of Rabbi Dosa. But the Sages say: “They are all liable to uncleanness, except those used by wool dealers [for carrying raw wool].”", + "A sling whose pocket is woven is susceptible to impurity. If it is of leather, Rabbi Dosa ben Harkinas pronounces it not susceptible to impurity, and the Sages pronounce it susceptible to impurity. If its finger-hold is broken off, it is not susceptible to impurity; [But if the] string-handle [only] is broken off it is susceptible to impurity.", + "A female captive may eat of terumah, according to the words of Rabbi Dosa b. Harkinas. But the Sages say: “There is a female captive who may eat, and there is a female captive who may not eat. How is this so? The woman who said: ‘I was taken captive but [nonetheless] I am pure’, she may eat; because the mouth that forbade is the same mouth that permit. But if there are witnesses [who declare] that she was made a captive, and she says: ‘[nonetheless] I am pure’, she may not eat.”", + "Four cases of doubt Rabbi Joshua pronounces impure, and the Sages pronounce them pure. How is this so? If the impure person stands and the pure person passes by him; or if the pure person stands and the impure person passes by him; or if impurity is in the private domain and something pure is in the public domain; Or if something pure is in the private domain and something impure is in the public domain; If it is doubtful [in all of these case] whether one touched or did not touch the other, or if it is doubtful whether one formed a tent over the other or did not form a tent over the other, or if it is doubtful whether one moved or did not move the other Rabbi Joshua pronounces such a case impure, and the Sages pronounce it pure.", + "Three things Rabbi Zadok pronounces [liable to receive] impurity and the Sages pronounce them not [liable to receive]: The nail of the money-changer; And the chest of grist makers; And the nail of a stone dial. Rabbi Zadok pronounces [liable to receive] impurity and the Sages pronounce them not [liable to receive].", + "Four things Rabban Gamaliel pronounces susceptible to impurity, and the Sages pronounce them not susceptible to impurity.The covering of a metal basket, if it belongs to householders; And the hanger of a strigil; And metals vessels which are still unshaped; And a plate that is divided into two [equal] parts. And the Sages agree with Rabban Gamaliel in the case of a plate that was divided into two parts, one large and one small, that the large one is susceptible to impurity and the small one is not susceptible to impurity.", + "In three cases Rabban Gamaliel was strict like the words of Beth Shammai.One may not wrap up hot food on a festival for the Sabbath; And one may not join together a lamp on a festival; And one may not bake [on festivals] thick loaves but only wafer-cakes. Rabban Gamaliel said: “In all their days, my father’s house never baked large loaves but only wafer-cakes.” They said to him: “What can we do with regards to your father’s house, for they were strict in respect to themselves but were lenient towards Israel to let them bake both large loaves and even charcoal-roasted loaves.”", + "Also he declared three decisions of a lenient character:One may sweep up [on a festival] between the couches, And put spices [on the coals] on a festival; And roast a kid whole on the night of Passover. But the sages forbid them.", + "Rabbi Eleazar ben Azariah allows three things and the Sages forbid them:His cow used to go out with the strap which she had between her horns; One may curry cattle on a festival; And one may grind pepper in its own mill. Rabbi Judah says: one may not curry cattle on a festival, because it may cause a wound, but one may comb them. But the Sages say: one may not curry them, and one may not even comb them." + ], + [ + "The following cases are [examples] of the lenient rulings of Beth Shammai and of the rigorous rulings of Beth Hillel.An egg which is laid on a festival Beth Shammai says: it may be eaten, and Beth Hillel says: it may not be eaten. Beth Shammai says: yeast as much as an olive [in quantity], and leavened food as much as a date, and Beth Hillel says: as much as an olive [in quantity] in both cases.", + "A beast which was born on a festival all agree that it is permitted; and a chicken which was hatched from the egg all agree that it is forbidden. He who slaughters a wild animal or a bird on a festival Beth Shammai says: he may dig with a pronged tool and cover up [the blood] , but Beth Hillel says: he may not slaughter unless he has had earth made ready. But they agree that if he did slaughter he should dig with a pronged tool and cover up [the blood, and] that the ashes of a stove count as being prepared for the holiday.", + "Beth Shammai says: [produce pronounced] ownerless with respect to the poor [only] is counted as ownerless. But Beth Hillel says: it is not counted as ownerless unless it is made ownerless also with respect to the rich, as in the year of release (shmittah). If all the sheaves of the field were of one kav each and one was of four kavs, and it was forgotten, Beth Shammai says: it does not count as forgotten, And Beth Hillel says: it counts as forgotten.", + "A sheaf which was close to a wall or to a stack or to the herd or to [field] utensils, and was forgotten, Beth Shammai says: it does not count as forgotten, And Beth Hillel says: it counts as forgotten.", + "A vineyard of the fourth year Beth Shammai says: it is not subject to the law of the fifth nor to the law of removal. And Beth Hillel says: it is subject to the law of the fifth and to the law of removal. Beth Shammai says: it is subject to the law of fallen grapes and to the law of gleanings, and the poor redeem them for themselves. And Beth Hillel says: all of it goes to the winepress.", + "A barrel of pickled olives: Beth Shammai says: one need not perforate it, And Beth Hillel say: one must perforate it. But they agree that if it was perforated and the dregs stopped it up, it is not liable to receive impurity. One who had anointed himself with clean oil and [then] became unclean, and he went down and immersed himself, Beth Shammai says: although he still drips [oil], it is clean. And Beth Hillel says: [only while there remains] enough for anointing a small limb. And if from the beginning it was unclean oil, Beth Shammai says: [it is unclean as long as there remains] enough for anointing a small limb, And Beth Hillel says: [even if there remains as much] as a moist liquid. Rabbi Judah says in the name of Beth Hillel: [provided it remains] moist [itself] and [can also] moisten [other things].", + "A woman is betrothed by a denar or the value of a denar, according to the opinion of Beth Shammai. But Beth Hillel says: by a perutah or the value of a perutah. And how much is a perutah? One-eighth of an Italian issar. Beth Shammai says: one may dismiss his wife with an old bill of divorcement, But Beth Hillel forbids it. What is an old bill of divorcement? Whenever he was secluded with her after he has written it for her. One who divorces his wife and she [afterwards] spends a night with him at the [same] inn: Beth Shammai says: she does not require a second bill of divorcement from him. But Beth Hillel says: she requires a second bill of divorcement from him. When [does she require a second bill of divorcement]? When she was divorced after marriage. But if she was divorced after betrothal she does not require from him a second bill of divorcement, since he is not [yet] familiar with her.", + "Beth Shammai permits the rival wives [of a deceased brother to be married] to the [surviving] brothers; But Beth Hillel forbids them. If they have performed halitzah, Beth Shammai pronounce them unfit to [marry into] the priesthood, But Beth Hillel pronounced them fit. If they have married their brother-in-law, Beth Shammai pronounce them fit [to marry into the priesthood], But Beth Hillel pronounced them unfit. And although these pronounce unfit and these pronounce fit, Beth Shammai did not refrain from marrying women from [the daughters of] Beth Hillel, nor did Beth Hillel refrain from marrying women from [the daughters of] Beth Shammai. And in the case of all matters of purity and impurity in respect to which these pronounce pure and these pronounce impure, they did not refrain from preparing foods requiring a condition of purity each by means of [the vessels of] the other.", + "[In the case of] three brothers, of whom two were married to two sisters and one was unmarried, if one of the husbands of the sisters died and the unmarried one betrothed her (maamar), and afterwards his other brother died, Beth Shammai says: his wife remains with him, and the other [widow] is released on the grounds of [the law forbidding] the wife’s sister. But Beth Hillel says: he should put away his wife with a get and halitzah, and the wife of his brother [he should put away] with halitzah. This is the case of which they said: woe to him because of his wife, and woe to him because of his brother’s wife!", + "One who takes a vow not to have intercourse with his wife: Beth Shammai says: [after] two weeks [he must divorce her and pay her kethubah], And Beth Hillel say: after one week. A woman has a miscarriage on the eve of the eighty first [day]: Beth Shammai exempt her from bringing the offering, And Beth Hillel do not exempt her. [With regards to the rules of] tzitzit (fringes) on linen sheet: Beth Shammai exempts, And Beth Hillel does not exempt. A basket of [fruit set aside for] the Sabbath: Beth Shammai exempts it [from tithes]. And Beth Hillel does not exempt it.", + "One who vowed [to keep] a longer naziriteship [than ordinary] and he completed his naziriteship and afterwards came to the [holy] land: Beth Shammai says: [he must be] a nazirite [only] thirty days, But Beth Hillel says: [he must be] a nazirite [the full time vowed as] in the beginning. One who has two groups of witnesses who testify about him, these testifying that he vowed two naziriteships and these testifying that he vowed five: Beth Shammai says: their testimony is divided, and there is no [obligation to perform] naziriteship. But Beth Hillel says: within the five, two are included, so that he must be a nazirite twice.", + "A man who was set beneath the gap: Beth Shammai says: he does not cause the impurity to pass over. But Beth Hillel says: a man is hollow, and the upper side causes the impurity to pass over." + ], + [ + "Rabbi Judah says: there are six instances of lenient rulings by Beth Shammai and stringent rulings by Beth Hillel.The blood of a carcass: Beth Shammai pronounces it clean, And Beth Hillel pronounces it unclean. An egg found in a [bird’s] carcass: if the like of it were sold in the market, it is permitted, and if not, it is forbidden, according to the opinion of Beth Shammai. And Beth Hillel forbids it. But they agree in the case of an egg found in a trefa [bird] that it is forbidden since it had its growth in a forbidden condition. 3+4) The blood of a non-Jewish woman and the blood of purity of a leprous woman: Beth Shammai pronounces clean; And Beth Hillel says: [it is] like her spittle and her urine. One may eat fruits of the seventh year with an expression of thanks and without an expression of thanks [to the owner of the field], according to the opinion of Beth Shammai. But Beth Hillel says: one may not eat with an expression of thanks. Beth Shammai says: a waterskin [is liable to become impure only if it is] tied up and remains unimpaired. And the school of Hillel says: even if it is not tied up.", + "Rabbi Yose says: there are six instances of lenient rulings by Beth Shammai and stringent rulings by Beth Hillel.A fowl may be put on a table [together] with cheese but may not be eaten [with it], according to the opinion of Beth Shammai. But Beth Hillel says: it may neither be put on [the table together with it] nor eaten [with it]. Olives may be given as terumah for oil and grapes for wine, according to the opinion of Beth Shammai. But Beth Hillel says: they may not be given. One who sows seed [within] four cubits of a vineyard: Beth Shammai says: he has caused one row [of vines] to be prohibited. But Beth Hillel says: he has caused two rows to be prohibited. Flour paste [flour that had been mixed with boiling water]: Beth Shammai exempts [from the law of hallah]; But Beth Hillel pronounces it liable. One may immerse oneself in a rain-torrent, according to the opinion of Beth Shammai; But Beth Hillel say: one may not immerse oneself [therein]. One who became a proselyte on the eve of Passover: Beth Shammai says: he may immerse himself and eat his Passover sacrifice in the evening. But Beth Hillel says: one who separates himself from uncircumcision is as one who separates himself from the grave.", + "Rabbi Yishmael says: there are three instances of lenient rulings by Beth Shammai and strict rulings by Beth Hillel.The book of Ecclesiastes does not defile the hands, according to the opinion of Beth Shammai; But Beth Hillel say: it defiles the hands. Water of purification which has done its duty: Beth Shammai pronounces it pure, But Beth Hillel pronounces it impure. Black cumin: Beth Shammai pronounces it not liable to become impure, But Beth Hillel pronounces it liable to become impure. So, too, with regard to tithes.", + "Rabbi Eliezer says: there are two instances of lenient rulings by Beth Shammai and strict rulings by Beth Hillel.The blood of a woman after childbirth who has not immersed herself, Beth Shammai says: [it is] like her spittle and her urine. But Beth Hillel says: it causes impurity whether wet or dry. However, they agree in the case of the blood of a woman who gave birth when she had non-menstrual discharge, that it causes defilement whether wet or dry.", + "[In the case of] four brothers of whom two were married to two sisters, if those married to the sisters died, behold, these should perform halitzah and not enter into levirate marriage (with the brothers-in-law). If they went ahead and married them, they must put them away (divorce them). Rabbi Eliezer says in the name of Beth Shammai: they may keep them. But Beth Hillel say: they must put them away.", + "Akavia ben Mahalalel testified concerning four things. They said to him: Akavia, retract these four things which you say, and we will make you the head of the court in Israel. He said to them: it is better for me to be called a fool all my days than that I should become [even] for one hour a wicked man before God; So they shouldn’t say: “he withdrew his opinions for the sake of power.” He used to pronounce impure the hair which has been left over [in leprosy], And green (yellow) blood (of vaginal discharge); But the Sages declared them clean. He used to permit the wool of a first-born animal which was blemished and which had fallen out and had been put in a niche, the first-born being slaughtered afterwards; But the sages forbid it. He used to say: a woman proselyte and a freed slave-woman are not made to drink of the bitter waters. But the Sages say: they are made to drink. They said to him: it happened in the case of Karkemith, a freed slave-woman who was in Jerusalem, that Shemaiah and Avtalion made her drink. He said to them: they made her drink an example (and not the real water). Whereupon they excommunicated him; and he died while he was under excommunication, and the court stoned his coffin. Rabbi Judah said: God forbid [that one should say] that Akavia was excommunicated; for the courtyard is never locked for any man in Israel who was equal to Avavia ben Mahalalel in wisdom and the fear of sin. But whom did they excommunicate? Eliezer the son of Hanoch who cast doubt against the laws concerning the purifying of the hands. And when he died the court sent and laid a stone on his coffin. This teaches that whoever is excommunicated and dies while under excommunication, his coffin is stoned.", + "At the time of his death he said to his son, “Retract the four opinions which I used to declare.” He (the said to him, “Why did not you retract them?” He said to him, “I heard them from the mouth of the many, and they heard [the contrary] from the mouth of the many. I stood fast by the tradition which I heard, and they stood fast by the tradition which they heard. But you have heard [my tradition] from the mouth of a single individual and [their tradition] from the mouth of the many. It is better to leave the opinion of the single individual and to hold by the opinion of the many.” He said to him, “Father commend me to your colleagues.” He said to him, “I will not commend you.” He said to him, “Have you found in me any wrong?” He said, “No; your own deeds will cause you to be near, and your own deeds will cause you to be far.”" + ], + [ + "Rabbi Judah ben Bava testified concerning five things:That women who are minors are made to declare an annulment of their marriage; That a woman is allowed to re-marry on the evidence of one witness; That a rooster was stoned in Jerusalem because it had killed a human being; And about wine forty days old, that it was used as a libation on the altar; And about the morning tamid offering, that it is offered at the fourth hour.", + "Rabbi Joshua and Rabbi Nehunia ben Elinathan, a man of Kefar Habavli, testified concerning a limb [separated] from a corpse that it is impure; whereas Rabbi Eliezer says: they declared [this] only of a limb from a living [man]. They said to him: is not there an inference from the minor to the major (kal vehomer): If in the case of a living man [who is himself pure] a limb severed from him is impure, how much more in the case of a corpse [which is itself impure] should a limb severed from it be impure! He said to them: they have [nevertheless] declared it only of a limb from a living man. Another answer: The impurity of living men is greater than the impurity of corpses, because a living man causes that on which he lies and sits to become capable of making impure a man and clothing, and [he causes also] what is over him to transfer impurity to foods and liquids- which is defilement that a corpse does not cause.", + "1) An olive’s quantity of flesh severed from a limb of a living man: 1) Rabbi Eliezer pronounces impure and Rabbi Joshua and Rabbi Nehunia pronounce pure. a) A barley-grain’s quantity of bone severed from a limb of a living man, b) Rabbi Nehunia pronounces impure and Rabbi Eliezer and Rabbi Joshua pronounce pure. 2) They said to Rabbi Eliezer: what reason have you found for pronouncing impure an olive’s quantity of flesh severed from a limb of a living man? 1) He said to them: we find that a limb from a living man is like an entire corpse; just as in the case of a corpse, an olive’s quantity of flesh severed from it is impure, so also in the case of a limb from a living man an olive’s quantity of flesh severed from it must be impure. 2) They said to him: No! When you pronounce impure an olive’s quantity of flesh severed from a corpse, it is because you have pronounced impure a barley-grain’s quantity of bone severed from it. But how can you also pronounce impure an olive’s quantity of flesh severed from a limb of a living man, seeing that you have pronounced pure a barley-grain’s quantity of bone severed from it? 3) They said to Rabbi Nehunia: what reason have you found for pronouncing impure a barley-grain’s quantity of bone severed from a limb of a living man? 1) He said to them: we find that a limb from a living man is like an entire corpse; just as in the case of a corpse, a barley-grain’s quantity of bone severed from it is impure, so also in the case of a limb from a living man, a barley-grain’s quantity of bone severed from it must be impure. 2) They said to him: No! When you pronounce impure a barley-grain’s quantity of bone severed from a corpse, it is because you have pronounced impure an olive’s quantity of flesh severed from it. But how can you also pronounce impure a barley-grain’s quantity of bone severed from a limb of a living man, seeing that you have pronounced pure an olive’s quantity of flesh severed from it? 1) They said to Rabbi Eliezer: what reason have you found for dividing your standards? Either pronounce them both impure, or pronounce them both pure! 1) He said to them: greater is the impurity of flesh than the impurity of bones, for the defilement of flesh applies both to (animal) carcasses and to creeping things, but it is not so in the case of bones. Another answer: a limb which has on it the proper quantity of flesh causes impurity by touching and by carrying and by being under the same roof-space (ohel); if the flesh is diminished it is still impure, while if the bone is diminished it is pure. They said to Rabbi Nehunia: what reason have you found for dividing your standards? Either pronounce them both impure, or pronounce them both pure! He said to them: greater is the impurity of bones than the impurity of flesh, for flesh severed from a living man is pure, whereas a limb severed from him, while in its natural condition, is impure. Another answer: an olive’s quantity of flesh (from a corpse) causes impurity by touching and by carrying and by being under the same roof-space (ohel); and a majority of a corpse’s bones causes impurity by touching and by carrying and by being under the same roof-space (ohel); if the flesh is diminished it is pure, but if a majority of the bones is diminished, although it does not cause impurity by being under the same roof-space, it yet causes defilement by touching and by carrying.Another answer: any flesh of a corpse less than an olive’s quantity is pure, but bones forming the greater portion of the body’ build or the greater portion of the number of the corpse’s bones, even though they do not fill a quarter-kav are yet impure. They said to Rabbi Joshua: what reason have you found for pronouncing them both pure? He said to them: No! When you pronounce impure in the case of a corpse, it is because the rules of “majority”, “quarter-kav”, and “decayed matter” apply to it. But how can you say the same of a living man, seeing that the rules of “majority”, “quarter-kav”, and “decayed matter” do not apply to him?" + ], + [ + "Rabbi Joshua and Rabbi Zadok testified concerning the redemption (lamb) of a firstborn donkey, that if it died, the priest receives nothing, Whereas Rabbi Eliezer says: the owner must bear the responsibility as with the five selas [in the case] of a [firstborn] son. But the Sages say: he bears no responsibility any more than in the case of the redemption of second tithes.", + "Rabbi Zadok testified concerning brine of unclean locusts that it is clean, Whereas the first mishnah [said]: unclean locusts that have been preserved together with clean locusts do not make their brine unfit.", + "Rabbi Zadok testified concerning flowing water which exceeded in quantity dripping water; that it was valid. There was such a case at Birath Hapilya, and when the case came before the Sages they declared it valid.", + "Rabbi Zadok testified concerning flowing water which was made to run in a stream through nut-leaves, that it was valid. There was such a case at Ahaliyya, and when the case came before [the Sages in] the Chamber of Hewn Stone they declared it valid.", + "Rabbi Joshua and Rabbi Yakim, a man of Hadar, testified concerning a jar of ashes of a red heifer which was put over a creeping thing, that they were unclean. Whereas Rabbi Eliezer had pronounced them clean. Rabbi Papias testified concerning one who had vowed two naziriteships, that if he cut his hair after the first one on the thirtieth day, he could cut his hair after the second one on the sixtieth day; and if he cut his hair on the fifty-ninth day he has also fulfilled his duty, for the thirtieth day counts towards the required number.", + "Rabbi Joshua and Rabbi Papias testified concerning the offspring of a peace-offering, that it can be brought as a peace-offering, whereas Rabbi Eliezer says that the offspring of a peace-offering cannot be brought as a peace-offering. But the sages say: it can be brought. Rabbi Papias said: “I testify that we had a cow, which was a peace-offering, and we ate it at Passover, and its offspring we ate as a peace-offering at the [next] festival.", + "They testified concerning the boards of bakers, that they are impure (they can receive impurity), whereas Rabbi Eliezer declares them pure (unable to receive impurity). They testified concerning an oven which was cut into rings and sand was put between the rings that it is impure (can receive impurity), whereas Rabbi Eliezer declares it pure (unable to receive impurity). They testified that the year may be intercalated throughout the whole of Adar, whereas they used to say: only until Purim. They testified that the year may be intercalated conditionally. There was such a case with Rabban Gamaliel who went to receive permission from the governor in Syria and he delayed in coming back; and they intercalated the year on condition that rabban gamaliel should approve; and when he came back he said: I approve, and the year was intercalated.", + "Menahem ben Signai testified concerning the ledge attached to an olive-boiler’s cauldron, that it is [liable to become] impure; and concerning that of dyers, that it is not [liable to become] impure, whereas they used to say the reverse.", + "Rabbi Nehunia ben Gudgada testified concerning a deaf-mute whose father had given her in marriage, that she could be sent away with a bill of divorcement; And concerning a minor, daughter of an Israelite who married a priest, that she could eat terumah, and if she died her husband inherited from her; And concerning a stolen beam that had been built into a palace, that it might be restored by the payment of its value; And concerning a sin-offering that had been stolen, and this was not known to many, that it caused atonement because of the welfare of the altar." + ], + [ + "Rabbi Joshua ben. Bathyra testified concerning the blood of carcasses that it was pure. Rabbi Shimon ben Bathyra testified concerning the ashes of purification, that if a defiled person had touched part of them he had defiled the whole of them. Rabbi Akiva added in regard to the fine flour, the incense, the frankincense, and the coals, that if a tevul yom had touched part of them he had made the whole of them unfit.", + "Rabbi Judah ben Baba and Rabbi Judah the priest testified concerning a minor, the daughter of an Israelite who married a priest, that she could eat terumah as soon as she entered the bridal chamber even though she had not engaged in marital intercourse. Rabbi Yose the priest and Rabbi Zechariah ben Hakatzav testified concerning a young girl who had been taken as collateral (by gentiles) in Ashkelon, and that her family had distanced her, even though her witnesses testified that she had not secluded herself [with any Man] and that she had not been defiled. The Sages said to them: if you believe that she had been taken as collateral, believe also that she did not seclude herself [with any man] and that she was not defiled; and if you do not believe that she did not seclude herself and that she was not defiled, neither believe that she had been taken as collateral.", + "Rabbi Joshua and Rabbi Judah ben Bathyra testified concerning the widow of [a man belonging to] a family of doubtful lineage (an issa), that she was fit to marry into the priesthood, [And that those of] a family of doubtful lineage are fit to declare who was unclean and who clean, who was to be put away and who was to be brought near. Rabban Gamaliel said: we accept your testimony, but what can we do since Rabban Yochanan ben Zakkai ordained that courts should not be commissioned for this purpose? The priests would listen to you concerning those who might be put away, but not concerning those who might be brought near!", + "Rabbi Yose ben Yoezer, a man of Zereda, testified concerning the ayal-locust, that it is pure; And concerning liquid in the slaughter-house (of the Temple), that it is pure; And that one who touches a corpse is impure. And they called him “Yose the permitter”.", + "Rabbi Akiva testified in the name of Nehemiah, a man of Beth Deli, that a woman is allowed to remarry on the evidence of one witness. Rabbi Joshua testified concerning bones found in the wood-shed that the Sages said: one may gather them, bone by bone, and they are all clean.", + "Rabbi Eliezer said: I have heard that when they were building the Temple [complex] they made curtains for the Temple and curtains for the Temple-courts; but in the case of the Temple they built from the outside, and in the case of the Temple-court they built from the inside. Rabbi Joshua said: I have heard that sacrifices may be offered even though there is no Temple, and that the most holy sacrifices may be eaten even though there are no curtains, and the less holy sacrifices and second tithes even though there is no wall [around Jerusalem]; because the first sanctification sanctified both for its own time and for the time to come.", + "Rabbi Joshua said: I have received a tradition from Rabban Yohanan ben Zakkai, who heard it from his teacher, and his teacher [heard it] from his teacher, as a halakhah [given] to Moses from Sinai, that Elijah will not come to pronounce unclean or to pronounce clean, to put away or to bring near, but to put away those brought near by force and to bring near those put away by force. The family of Beth Tzriphah was on the other side of the Jordan and Ben Zion put it away by force; and yet another family was there, and Ben Zion brought it near by force. It is such as these that Elijah will come to pronounce unclean or to pronounce clean, to put away or to bring near. Rabbi Judah says: to bring near, but not to put away. Rabbi Shimon says: to conciliate disputes. And the Sages say: neither to put away nor to bring near, but to make peace in the world, for it is said, “Behold I send to you Elijah the prophet”, etc., “and he shall turn the heart of the fathers to the children and the heart of the children to their fathers” (Malachi 3:23-2." + ] + ], + "versions": [ + [ + "Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp", + "http://learn.conservativeyeshiva.org/mishnah/" + ] + ], + "heTitle": "משנה עדיות", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/Hebrew/Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/Hebrew/Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..9993cf9b751e3d764c20c35d4fc6fc965a9bb30e --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/Hebrew/Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri.json @@ -0,0 +1,115 @@ +{ + "language": "he", + "title": "Mishnah Eduyot", + "versionSource": "https://archive.org/details/MishnaCorrectedKaufman00WHOLE", + "versionTitle": "Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri", + "status": "locked", + "license": "PD", + "digitizedBySefaria": true, + "actualLanguage": "he", + "languageFamilyName": "hebrew", + "isSource": true, + "isPrimary": true, + "direction": "rtl", + "heTitle": "משנה עדיות", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "א\nשַׁמַּי אוֹמֵר: \nכָּל הַנָּשִׁין דַּיָּן שַׁעְתָן. \nהֶלֵּל אוֹמֵר: \nמִפְּקִידָה לִפְקִידָה, \nאֲפִלּוּ לְיָמִים הַרְבֵּה. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nלֹא כְדִבְרֵי זֶה וְלֹא כְדִבְרֵי זֶה, \nאֶלָּא מֵעֵת לְעֵת מְמַעֶטֶת עַל יָד מִפְּקִידָה לִפְקִידָה, \nוּמִפְּקִידָה לִפְקִידָה מְמַעֶטֶת עַל יָד מֵעֵת לְעֵת. \n\nב\nכָּל אֶשָּׁה שֶׁיֶּשׁ לָהּ וֶסֶת, דַּיָּהּ שַׁעְתָהּ. \nמְשַׁמֶּשֶׁת בְּעֵדִין הֲרֵי זוֹ כִפְקִידָה, \nוּמְמַעֶטֶת עַל יָד מֵעֵת לְעֵת, \nוְעַל יָד מִפְּקִידָה לִפְקִידָה. \n", + "ג\nשַׁמַּי אוֹמֵר: \nמִקַּב חַלָּה. \nהֶלֵּל אוֹמֵר: \nמִקַּבַּיִם. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nלֹא כְדִבְרֵי זֶה וְלֹא כְדִבְרֵי זֶה, \nאֶלָּא קַב וּמַחְצָה חַיָּבִין בַּחַלָּה. \nוּמִשֶּׁהִגְדִּילוּ הַמִּדּוֹת, אָמְרוּ: \nחֲמֵשֶׁת רְבָעִים חַיָּבִין. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nחֲמִשָּׁה, פְּטוּרִין, \nחֲמִשָּׁה וָעוֹד, חַיָּבִין. \n", + "ד\nהֶלֵּל אוֹמֵר: \nמְלֹא הִין מַיִם שְׁאוּבִין פּוֹסְלִין אֶת הַמִּקְוֶה, \nשֶׁאָדָם חַיָּב לוֹמַר כִּלְשׁוֹן רַבּוֹ. \nוְשַׁמַּאי אוֹמֵר: \nתִּשְׁעַת קַבִּים. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nלֹא כְדִבְרֵי זֶה וְלֹא כְדִבְרֵי זֶה, \nאֶלָּא עַד שֶׁבָּאוּ שְׁנֵי גִרְדִּיִּים \nמִשַּׁעַר הָאַשְׁפּוֹת שֶׁבִּירוּשָׁלַיִם, \nוְהֵעִידוּ מִשֵּׁם שְׁמַעְיָה וְאַבְטַלְיוֹן: \nשְׁלֹשֶׁת לָגִּים מַיִם שְׁאוּבִין פּוֹסְלִין אֶת הַמִּקְוֶה, \nוְקִיְּמוּ אֶת דִּבְרֵיהֶן. \n", + "ה\nוְלָמָּה מַזְכִּירִין אֶת דִּבְרֵי שַׁמַּי וְהֶלֵּל לְבַטְּלָן? \nלְלַמֵּד לַדּוֹרוֹת הַבָּאִים, \nשֶׁלֹּא יְהֵא אָדָם עוֹמֵד עַל דְּבָרוֹ, \nשֶׁהֲרֵי אֲבוֹת הָעוֹלָם לֹא עָמְדוּ עַל דִּבְרֵיהֶן. \n", + "ו\nוְלָמָּה מַזְכִּירִין אֶת דִּבְרֵי יָחִיד בֵּין הַמְרֻבִּין, \nהוֹאִיל וְאֵין הֲלָכָה אֶלָּא כְדִבְרֵי הַמְרֻבִּין? \nשֶׁאִם יִרְאֶה בֵית דִּין אֶת דִּבְרֵי הַיָּחִיד וְיִסְמֹךְ עָלָיו, \nשֶׁאֵין בֵּית דִּין יָכוֹל לְבַטֵּל אֶת דִּבְרֵי בֵית דִּין חֲבֵרוֹ, \nעַד שֶׁיְּהֵא גָדוֹל מִמֶּנּוּ בַחָכְמָה וּבַמִּנְיָן. \nהָיָה גָדוֹל מִמֶּנּוּ בַחָכְמָה אֲבָל לֹא בַמִּנְיָן, \nבַּמִּנְיָן אֲבָל לֹא בַחָכְמָה, \nאֵינוּ יָכוֹל לְבַטֵּל אֶת דְּבָרוֹ, \nעַד שֶׁיְּהֵא גָדוֹל מִמֶּנּוּ בַחָכְמָה וּבַמִּנְיָן. \n", + "ז\nאָמַר רְבִּי יְהוּדָה: \nאִם כֵּן, \nלָמָּה מַזְכִּירִין אֶת דִּבְרֵי הַיָּחִיד בֵּין הַמְרֻבִּין לְבַטְּלָן? \nשֶׁאִם יֹאמַר אָדָם: \n\"כָּךְ אֲנִי מְקֻבָּל\", \nיֹאמַר לוֹ: \n\"מִדִּבְרֵי אִישׁ פְּלוֹנִי שָׁמַעְתָּ\". \n", + "ח\nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nרֹבַע הָעֲצָמוֹת מִן הָעֲצָמִים, \nבֵּין מִשְּׁנַיִם בֵּין מִשְּׁלֹשָׁה. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nרֹבַע הָעֲצָמוֹת מִן הַגְּוִיָּה, \nמֵרֹב הַבִּנְיָן אוֹ מֵרֹב הַמִּנְיָן. \nשַׁמַּי אוֹמֵר: \nאֲפִלּוּ מֵעֶצֶם אֶחָד. \n", + "ט\nכַּרְשִׁינֵי תְרוּמָה, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nשׁוֹרִים וְשָׁפִים בְּטַהֲרָה, \nוּמַאֲכִילִין בְּטֻמְאָה. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nשׁוֹרִים בְּטַהֲרָה, \nוְשָׁפִים וּמַאֲכִילִין בְּטֻמְאָה. \nשַׁמַּי אוֹמֵר: \nיֹאכְלוּ צְרִיד. \nרְבִּי עֲקִיבָה אוֹמֵר: \nכָּל מַעֲשֵׂיהֶן בְּטֻמְאָה. \n", + "י\nהַפּוֹרֵט סֶלַע מִמָּעוֹת שֶׁלְּמַעֲשֵׂר שֵׁנִי בִירוּשָׁלַיִם, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nכָּל הַסֶּלַע מָעוֹת. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nשֶׁקֶל כֶּסֶף וְשֶׁקֶל מָעוֹת. \nרְבִּי מֵאִיר אוֹמֵר: \nאֵין מְחַלְּלִין כֶּסֶף וּפֵרוֹת עַל הַכֶּסֶף. \nוַחֲכָמִים מַתִּירִין. \n", + "יא\nהַפּוֹרֵט סֶלַע שֶׁלְּמַעֲשֵׂר שֵׁנִי בִירוּשָׁלַיִם, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nבְּכָל הַסֶּלַע מָעוֹת. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nשֶׁקֶל כֶּסֶף וְשֶׁקֶל מָעוֹת. \nהַדָּנִים לִפְנֵי חֲכָמִים אוֹמְרִים: \nבִּשְׁלֹשָׁה דִינָרִין כֶּסֶף, וּבְדִינָר מָעוֹת. \nוּרְבִּי עֲקִיבָה אוֹמֵר: \nבִּשְׁלֹשָׁה דִינָרִין כֶּסֶף וּבִרְבִיעִית כֶּסֶף וּבִרְבִיעִית מָעוֹת. \nוּרְבִּי טַרְפוֹן אוֹמֵר: \nאַרְבָּעָה אָסְפְּרֵי כֶסֶף. \nשַׁמַּי אוֹמֵר: \nיַנִּיחֶנָּה בֶחָנוּת וְיֹאכַל כְּנֶגְדָּהּ. \n", + "יב\nכִּסֵּא שֶׁלַּכַּלָּה שֶׁנִּטְּלוּ חִפּוּיָו, \nבֵּית שַׁמַּי מְטַמִּין, \nוּבֵית הֶלֵּל מְטַהֲרִין. \nשַׁמַּי אוֹמֵר: \nאַף מַלְבֵּן שֶׁלַּכִּסֵּא, טָמֵא. \nכִּסֵּא שֶׁקְּבָעוֹ בַעֲרֵבָה, \nבֵּית שַׁמַּי מְטַמִּין, \nוּבֵית הֶלֵּל מְטַהֲרִין. \nשַׁמַּי אוֹמֵר: \nאַף הֶעָשׁוּי בָּהּ. \n", + "יג\nאֵלּוּ דְבָרִים \nשֶׁחָזְרוּ בֵית הֶלֵּל לְהוֹרוֹת כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּי: \nהָאִשָּׁה שֶׁבָּאת מִמְּדִינַת הַיָּם, וְאָמְרָה: \n\"מֵת בַּעְלִי\", תִּנָּשֵׂא; \n\"מֵת בַּעְלִי\", תִּתְיַבֵּם. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nלֹא שָׁמַעְנוּ אֶלָּא בְְּבָאָה מִן הַקָּצִיר בִּלְבַד. \nאָמְרוּ לָהֶן בֵּית שַׁמַּי: \nאַחַת הַבָּאָה מִן הַקָּצִיר, \nוְאַחַת הַבָּאָה מִן הַזֵּיתִים, \nוְאַחַת הַבָּאָה מִמְּדִינַת הַיָּם. \nלֹא דִבְּרוּ בַקָּצִיר אֶלָּא בַהוֹוֶה. \nחָזְרוּ בֵית הֶלֵּל לְהוֹדוֹת כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּי. \n\nיד\nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nתִּנָּשֵׂא וְתִטֹּל כְּתֻבָּה. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nתִּנָּשֵׂא וְלֹא תִטֹּל כְּתֻבָּה. \nאָמְרוּ לָהֶם בֵּית שַׁמַּי: \nהִתַּרְתֶּם אֶת הָעֶרְוָה הַחֲמוּרָה, <עֶרְיָיה>\nוְלֹא תַתִּירוּ אֶת הַמָּמוֹן הַקַּל? \nאָמְרוּ לָהֶן בֵּית הֶלֵּל: \nמָצִינוּ שֶׁאֵין הָאַחִים נִכְנָסִים בְּנַחֲלָה עַל פִּיהָ. \nאָמְרוּ לָהֶן בֵּית שַׁמַּי: \nוַהֲלֹא מִסֵּפֶר כְּתֻבָּתָהּ נִלְמַד, \nשֶׁהוּא כוֹתֵב לָהּ, \nשֶׁאִם תִּנָּשֵׂא לְאַחֵר, \nתִּטְּלִי מַה שֶּׁכָּתוּב לִיךְ. \nחָזְרוּ בֵית הֶלֵּל לְהוֹדוֹת כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּי. \n", + "יה\nמִי שֶׁחֶצְיוֹ עֶבֶד וְחֶצְיוֹ בֶן חֹרִים, \nעוֹבֵד אֶת רַבּוֹ יוֹם אֶחָד וְאֶת עַצְמוֹ יוֹם אֶחָד. \nכְּדִבְרֵי בֵית הֶלֵּל. \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nתִּקַּנְתֶּם אֶת רַבּוֹ, \nוְאֶת עַצְמוֹ לֹא תִקַּנְתֶּם: \nלִשָּׂא שִׁפְחָה, אֵינוּ יָכוֹל, \nבַּת חֹרִין, אֵינוּ יָכוֹל. \nיִבָּטֵל? \nוַהֲלֹא לֹא נִבְרָא הָעוֹלָם אֶלָּא לְפִרְיָה וְרִבְיָה? \nשֶׁנֶּאֱמַר: (ישעיה מה,יח) \n\"לֹא תֹהוּ בְרָאָהּ, לָשֶׁבֶת יְצָרָהּ\". \nאֶלָּא מִפְּנֵי תִקּוּן הָעוֹלָם, \nכּוֹפִין אֶת רַבּוֹ וְעוֹשֶׂה אוֹתוֹ בֶן חֹרִים, \nוְכוֹתֵב שְׁטָר עַל חֲצִי דָמָיו. \nחָזְרוּ בֵית הֶלֵּל לְהוֹדוֹת כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּי. \n", + "יו\nכְּלִי חֶרֶס מַצִּיל עַל הַכֹּל, \nכְּדִבְרֵי בֵית הֶלֵּל. \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nאֵינוּ מַצִּיל אֶלָּא עַל הָאֳכָלִים וְעַל הַמַּשְׁקִים, \nוְעַל כְּלִי חֶרֶס. \nאָמְרוּ לָהֶן בֵּית הֶלֵּל: \nמִפְּנֵי מָה? \nאָמְרוּ לָהֶן בֵּית שַׁמַּי: \nמִפְּנֵי שֶׁהוּא טָמֵא עַל גַּב עַם הָאָרֶץ, \nוְאֵין כְּלִי טָמֵא חוֹצֵץ. \nאָמְרוּ לָהֶן בֵּית הֶלֵּל: \nוַהֲלֹא טִהַרְתֶּם אֳכָלִים וּמַשְׁקִין שֶׁבְּתוֹכוֹ? \nאָמְרוּ לָהֶן בֵּית שַׁמַּי: \nכְּשֶׁטִּהַרְנוּ אֳכָלִים וּמַשְׁקִים שֶׁבְּתוֹכוֹ, \nלְעַצְמוֹ טִהַרְנוּ, \nאֲבָל כְּשֶׁטִּהַרְתָּ אֶת הַכֶּלִי, \nטִהַרְתָּ לָךְ וְלוֹ. \nחָזְרוּ בֵית הֶלֵּל לְהוֹדוֹת כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּי. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nרְבִּי חֲנַנְיָה סְגַן הַכֹּהֲנִים הֵעִיד אַרְבָּעָה דְבָרִים: \nמִימֵיהֶם שֶׁלַּכֹּהֲנִים, \nלֹא נִמְנְעוּ מִלִּשְׂרֹף אֶת הַבָּשָׂר שֶׁנִּטַּמָּא בִוְלַד הַטֻּמְאָה, \nעִם הַבָּשָׂר שֶׁנִּטַּמָּא בְאַב הַטֻּמְאָה, \nאַף עַל פִּי מוֹסִיפִין לוֹ טֻמְאָה עַל טֻמְאָתוֹ. \n\nב\nהוֹסִיף רְבִּי עֲקִיבָה: \nמִימֵיהֶם שֶׁלַּכֹּהֲנִים, \nלֹא נִמְנְעוּ מִלְּהַדְלִיק אֶת הַשֶּׁמֶן שֶׁנִּפְסַל בִּטְבוּל יוֹם, \nבְּנֵר שֶׁנִּטַּמָּא בִטְמֵא מֵת, \nאַף עַל פִּי מוֹסִיפִין לוֹ טֻמְאָה עַל טֻמְאָתוֹ. \n", + "ג\nאָמַר חֲנַנְיָה סְגַן הַכֹּהֲנִים: \nמִיָּמַי לֹא רָאִיתִי עוֹר יוֹצֵא לְבֵית הַשְּׂרִיפָה. \nאָמַר רְבִּי עֲקִיבָה: \nמִדְּבָרָיו לָמַדְנוּ, \nשֶׁהַמַּפְשִׁיט אֶת הַבְּכוֹר וְנִמְצָא טְרֵפָה, \nשֶׁיֵּאוֹתוּ הַכֹּהֲנִים בְּעוֹרוֹ. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nאֵין \"לֹא רָאִינוּ\" רְאָיָה, <הֵן>\nאֶלָּא יוֹצֵא לְבֵית הַשְּׂרִיפָה. \n", + "ד\nאַף הוּא הֵעִיד עַל כְּפָר קָטָן שֶׁהָיָה בְצַד יְרוּשָׁלַיִם, \nוְהָיָה בוֹ זָקֵן אֶחָד, \nוְהָיָה מַלְוֶה לְכָל בְּנֵי הַכְּפָר, \nוְכוֹתֵב בִּכְתָב יָדוֹ, וַאֲחֵרִין חוֹתְמִין. \nוּבָא מַעֲשֶׂה לִפְנֵי חֲכָמִין וְהִתִּירוּ. \nלְפִי דַרְכָּךְ אַתָּה לָמֵד, \nשֶׁהַאִשָּׁה כוֹתֶבֶת אֶת גִּטָּהּ, \nוְהָאִישׁ כּוֹתֵב אֶת שׁוֹבָרוֹ, \nשֶׁאֵין קִיּוּם הַגֵּט אֶלָּא בְחוֹתָמָיו. \nוְעַל הַמַּחַט שֶׁנִּמְצֵאת בַּבָּשָׂר, \nשֶׁהַסְּכִין וְהַיָּדַיִם טְהוֹרוֹת, \nוְהַבָּשָׂר טָמֵא. \nוְאִם נִמְצֵאת בַּפֶּרֶשׁ, \nהַכֹּל טָהוֹר. \n", + "ה\nשְׁלֹשָׁה דְבָרִין אָמַר רְבִּי יִשְׁמָעֵאל \nלִפְנֵי חֲכָמִים בַּכֶּרֶם בְּיַבְנֶה: \nעַל בֵּיצָה טְרוּפָה שֶׁהִיא נְתוּנָה עַל גַּבֵּי יָרָק שֶׁלַּתְּרוּמָה, \nשֶׁהִיא חִבּוּר. \nוְאִם הָיְתָה כְמִין כּוֹבַע, \nוְאֵינָה חִבּוּר. \nוְעַל שִׁבֹּלֶת שֶׁבַּקָּצִיר וְרֹאשָׁהּ מַגִּיעַ לַקָּמָה, \nאִם נִקְצֶרֶת עִם הַקָּמָה, \nהֲרֵי שֶׁלְּבַעַל הַבַּיִת; \nוְאִם לָאו, הֲרֵי שֶׁלָּעֲנִיִּים. \nוְעַל גַּנָּה קְטַנָּה שֶׁהִיא מֻקֶּפֶת עָרִיס, \nאִם יֶשׁ בָּהּ מְלֹא בוֹצֵר וְסַלּוֹ מִכָּן, \nמְלֹא בוֹצֵר וְסַלּוֹ מִכָּן, \nתִּזָּרַע, \nוְאִם לָאו, לֹא תִזָּרַע. \n", + "ו\nשְׁלֹשָׁה דְבָרִין אָמְרוּ לִפְנֵי רְבִּי יִשְׁמָעֵאל, \nוְלֹא אָמַר בָּהֶן אִסּוּר וְהֶתֵּר, \nוּפֵרְשָׁן יְהוֹשֻׁעַ בֶּן מַתְיָה: \nהַמֵּפֵישׂ מֻרְסָה בַשַּׁבָּת, \nאִם לַעֲשׁוֹת לָהּ פֶּה, \nחַיָּב, \nוְאִם לְהוֹצִיא מִמֶּנָּה לֵחָה, \nפָּטוּר. \nהַצָּד נָחָשׁ בַּשַּׁבָּת, \nאִם כְּמִתְעַסֵּק שֶׁלֹּא יִשְּׁכֶנּוּ, \nפָּטוּר; \nוְאִם לִרְפוּאָה, \nחַיָּב. \nוְעַל לַפָּסִים אֲרוֹנִיּוֹת, \nשֶׁהֵן טְהוֹרוֹת, \nמִפְּנֵי שֶׁלֹּא נִגְמְרָה מְלַאכְתָּן. \n", + "ז\nשְׁלֹשָׁה דְבָרִים אָמַר רְבִּי יִשְׁמָעֵאל, \nוְלֹא הוֹדָה לוֹ רְבִּי עֲקִיבָה: \nהַשּׁוּם וְהַבֹּסֶר וְהַמְלִילוֹת שֶׁרִסְּקָן מִבְּעוֹד יוֹם, \nשֶׁרְבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר: \nיִגְמֹר מִשֶּׁתֶּחְשַׁךְ, \nוּרְבִּי עֲקִיבָה אוֹמֵר: \nלֹא יִגְמֹר. \n", + "ח\nשְׁלֹשָׁה דְבָרִין אָמְרוּ לִפְנֵי רְבִּי עֲקִיבָה: \nשְׁנַיִם מִשֵּׁם רְבִּי אֱלִיעֶזֶר, \nוְאֶחָד מִשֵּׁם רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ. \nשְׁנַיִם מִשֵּׁם רְבִּי אֱלִיעֶזֶר: \nיוֹצָא אִשָּׁה בְעִיר שֶׁלַּזָּהָב, \nוּמַפְרִיחֵי יוֹנִים פְּסוּלִין מִן הָעֵדוּת. \nוְאֶחָד מִשֵּׁם רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ: \nהַשֶּׁרֶץ בְּפִי הַחֻלְדָּה, \nוּמְהַלֶּכֶת עַל גַּבֵּי כִכָּרוֹת שֶׁלַּתְּרוּמָה, \nסָפֵק נָגַע סָפֵק לֹא נָגַע, \nסְפֵקוֹ טָהוֹר. \n", + "ט\nשְׁלֹשָׁה דְבָרִים אָמַר רְבִּי עֲקִיבָה, \nעַל שְׁנַיִם הוֹדוּ לוֹ, \nוְעַל אֶחָד לֹא הוֹדוּ לוֹ. \nעַל סַנְדָּל שֶׁלַּסַּיָּדִין, \nשֶׁהוּא טָמֵא מִדְרָס; \nוְעַל שִׁירֵי תַנּוּר, אַרְבָּעָה, \nשֶׁהָיוּ אוֹמְרִים 'שְׁלֹשָׁה', \nוְהוֹדוּ לוֹ. \nוְעַל אֶחָד לֹא הוֹדוּ לוֹ: \nעַל כִּסֵּא שֶׁנִּטְּלוּ שְׁנַיִם מֵחִפּוּיָו זֶה בְצַד זֶה, \nשֶׁרְבִּי עֲקִיבָה מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \n", + "י\nהוּא הָיָה אוֹמֵר: \nהָאָב זָכֶה לַבֵּן בַּנּוֹי, <בנואי>\nוּבַכֹּחַ, וּבָעֹשֶׁר, וּבַחָכְמָה, וּבַשָּׁנִים, \nוּבְמִסְפַּר הַדּוֹרוֹת לְפָנָיו. \nהוּא הַקֵּץ, שֶׁנֶּאֱמַר: (ישעיה מא,ד) \n\"קֹרֶא הַדֹּרוֹת מֵרֹאשׁ\"; \nאַף עַל פִּי שֶׁנֶּאֱמַר: (בראשית טו,יג) \n\"וַעֲבָדוּם וְעִנּוּ אֹתָם אַרְבַּע מֵאוֹת שָׁנָה\", \nוְנֶאֱמַר: (שם שם,טז) \n\"וְדוֹר רְבִיעִי יָשׁוּבוּ הֵנָּה\". \n", + "יא\nאַף הוּא הָיָה אוֹמֵר חֲמִשָּׁה דְבָרִין שֶׁלִּשְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ: \nמִשְׁפַּט דּוֹר הַמַּבּוּל, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ; \nמִשְׁפַּט אִיּוֹב, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ; \nמִשְׁפַּט הַמִּצְרִים, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ; \nמִשְׁפַּט גּוֹג לֶעָתִיד לָבֹא, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ; \nמִשְׁפַּט רְשָׁעִים בְּגֵיהִנָּם, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ, \nשֶׁנֶּאֱמַר: (ישעיה סו,כג) \n\"וְהָיָה מִדֵּי חֹדֶשׁ בְּחָדְשׁוֹ\". \nרְבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי אוֹמֵר: \nמִן הַפֶּסַח עַד עֲצֶרֶת, \nשֶׁנֶּאֱמַר: (ישעיה סו,כג) \n\"וּמִדֵּי שַׁבָּת בְּשַׁבַּתּוֹ\". \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nכָּל הַמִּטַּמִּים בְּאָהֵל \nשֶׁנֶּחְלְקוּ וְהִכְנִיסָן לְתוֹךְ הַבַּיִת, \nרְבִּי דוֹסָא בֶן אַרְכִינס מְטַהֵר, \nוַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. \nכֵּיצַד? \nהַנּוֹגֵעַ בְּכִשְׁנֵי חֲצָאֵי זֵיתִין מִן הַנְּבֵלָה, אוֹ נוֹשְׂאָן, \nוּבַמֵּת, \nהַנּוֹגֵעַ בְּכַחֲצִי זַיִת, וּמַאֲהִיל עַל כַּחֲצִי זַיִת, \nאוֹ נוֹגֵע בְּכַחֲצִי זַיִת, \nוְכַחֲצִי זַיִת מַאֲהִיל עָלָיו. \nוּמַאֲהִיל עַל כִּשְׁנֵי חֲצָאֵי זֵיתִים, \nוּמַאֲהִיל עַד כַּחֲצִי זַיִת, \nוַחֲצִי זַיִת מַאֲהִיל עָלָיו; \nרְבִּי דוֹסָא בֶן אַרְכִינָס מְטַהֵר, \nוַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. \n\nב\nאֲבָל הַנּוֹגֵעַ בְּכַחֲצִי זַיִת, \nוְדָבָר אַחֵר מַאֲהִיל עָלָיו וְעַל כַּחֲצִי זַיִת; \nאוֹ מַאֲהִיל עַל כַּחֲצִי זַיִת, \nוְדָבָר אַחֵר מַאֲהִיל עָלָיו וְעַל כַּחֲצִי זַיִת, \nטָהוֹר. \nאָמַר רְבִּי מֵאִיר: \nאַף בָּזֶה רְבִּי דוֹסָה בֶן אַרְכִינָס מְטַהֵר, \nוַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. \nהַכֹּל טָמֵא, חוּץ מִן הַמַּגָּע, \nוְהַמַּשָּׂא עִם אָהֵל. \nזֶה הַכְּלָל: \nכָּל שֶׁהוּא מִשֵּׁם אֶחָד, טָמֵא; \nמִשְּׁנֵי שֵׁמוֹת, טָהוֹר. \n", + "ג\nאֹכֶל פָּרוּד אֵינוּ מִצְטָרֵף. \nדִּבְרֵי רְבִּי דוֹסָא. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nמִצְטָרֵף. \nמְחַלְּלִין מַעֲשֵׂר שֵׁנִי עַל אֲסִימוֹן. \nדִּבְרֵי רְבִּי דוֹסָא. \nוַחֲכָמִים אוֹסְרִין: \nמַטְבִּילִין יָדַיִם לַחַטָּאת. \nדִּבְרֵי רְבִּי דוֹסָא. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nאִם נִטַּמְּאוּ יָדָיו, נִטַּמָּא גוּפוֹ. \n", + "ד\nמְעֵי אֲבַטִּיחַ וּקְנֹבֶת יָרָק שֶׁלַּתְּרוּמָה, \nרְבִּי דוֹסָא מַתִּיר לַזָּרִים, \nוַחֲכָמִים אוֹסְרִין. \n\nה\nחָמֵשׁ רְחֵלוֹת גּוֹזְזוֹת מָנֶה מָנֶה וָפֶרֶס, \nחַיָּבוֹת בְּרֵאשִׁית הַגֵּז. \nדִּבְרֵי רְבִּי דוֹסָא. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nחָמֵשׁ רְחֵלוֹת גּוֹזְזוֹת כָּל שֶׁהֵן. \n", + "ו\nכָּל הַחוֹצָלוֹת טְמֵאוֹת טְמֵא מֵת. \nדִּבְרֵי רְבִּי דוֹסָא. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nמִדְרָס. \nכָּל הַקְּלִיעוֹת טְהוֹרוֹת, \nחוּץ מִשֶּׁלְּגִלְגִּילוֹן. \nדִּבְרֵי רְבִּי דוֹסָא. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nכֻּלָּם טְמֵאוֹת, \nחוּץ מִשֶּׁלַּצַּמָּרִים. \n", + "ז\nהַקֶּלַע שֶׁלְּבֵית קִבּוּל שֶׁלָּהּ אָרִיג, \nטְמֵאָה. \nוְשֶׁלָּעוֹר, \nרְבִּי דוֹסָא בֶן אַרְכִינָס מְטַהֵר, \nוַחֲכָמִים מְטַמִּים. \nנִפְסַק בֵּית אֶצְבַּע שֶׁלָּהּ, \nטְהוֹרָה; \nוּבֵית הַפָּקוּעַַ שֶׁלָּהּ, \nטְמֵאָה. \n", + "ח\nהַשְּׁבוּיָה אוֹכֶלֶת בִּתְרוּמָה. \nדִּבְרֵי רְבִּי דוֹסָא. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nיֵשׁ שְׁבוּיָה אוֹכֶלֶת, \nוְיֵשׁ שְׁבוּיָה שֶׁאֵינָה אוֹכֶלֶת. \nכֵּיצַד? \nהָאִשָּׁה שֶׁאָמְרָה: \nנִשְׁבֵּיתִי וּטְהוֹרָה אָנִי, \nאוֹכֶלֶת. \nאִם יֵשׁ עֵדִים שֶׁנִּשְׁבֵּית, \nוְהִיא אוֹמֶרֶת: \nטְהוֹרָה אָנִי, \nאֵינָה אוֹכֶלֶת. \n", + "ט\nאַרְבָּעָה סְפֵקוֹת רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \nכֵּיצַד? \nהַטָּמֵא עוֹמֵד וְהַטָּהוֹר עוֹבֵר, \nהַטָּהוֹר עוֹמֵד וְהַטָּמֵא עוֹבֵר, \nטֻמְאָה בִרְשׁוּת הַיָּחִיד וְטַהֲרָה בִרְשׁוּת הָרַבִּים, \nטַהֲרָה בִרְשׁוּת הַיָּחִיד וְטֻמְאָה בִרְשׁוּת הָרַבִּים. \nסָפֵק נָגַע, סָפֵק לֹא נָגַע, \nסָפֵק הֶאֱהִיל, סָפֵק לֹא הֶאֱהִיל, \nסָפֵק הֵסִיט, וְסָפֵק לֹא הֵסִיט, \nרְבִּי יְהוֹשֻׁעַ מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \n", + "י\nשְׁלֹשָׁה דְבָרִין רְבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: \nמַסְמֵר שֶׁלַַּשֻּׁלְחָנִי, \nוְאָרוֹן שֶׁלַּגָּרוֹסוֹת, <שֶׁלַּגְּרוּסוֹת>\nוּמַסְמֵר שֶׁלְּאֶבֶן שָׁעוֹת, \nרְבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \n", + "יא\nאַרְבָּעָה דְבָרִין רַבָּן גַּמְלִיאֵל מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: \nכְּסוּי טֶנִי שֶׁלְּמַתֶּכֶת שֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים, \nוּתְלוּי הַמַּגְרֵדוֹת, \nוְגָלְמֵי כְלֵי מַתְּכוֹת, \nוְטַבְלָה שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנַיִם. \nמוֹדִים חֲכָמִים לְרַבָּן גַּמְלִיאֵל, \nבְּטַבְלָה שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנַיִם, \nאֶחָד גָּדוֹל וְאֶחָד קָטֹן, \nהַגָּדוֹל טָמֵא, וְהַקָּטָן טָהוֹר. \n", + "יב\nשְׁלֹשָׁה דְבָרִין רַבָּן גַּמְלִיאֵל מַחְמִיר \nכְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּי: \nאֵין טוֹמְנִין אֶת הַחַמִּים מִיּוֹם טוֹב לַשַּׁבָּת, \nוְאֵין זוֹקְפִין אֶת הַמְּנוֹרָה בְיוֹם טוֹב, \nוְאֵין אוֹפִין פִּתָּן גְּרִיצוֹת, \nאֶלָּא רְקִיקִים. \nאָמַר רַבָּן גַּמְלִיאֵל: \n\"מִימֵיהֶם שֶׁלְּבֵית אַבָּא, \nלֹא הָיוּ אוֹפִין אֶת פִּתָּן גְּרִיצוֹת, \nאֶלָּא רְקִיקִים.\" \nאָמְרוּ לוֹ: \n\"מַה נַּעֲשֶׂה לָהֶם לְבֵית אָבִיךָ, \nשֶׁהָיוּ מַחְמִירִין עַל עַצְמָן, \nוּמְקִלִּים עַל כָּל יִשְׂרָאֵל, \nלִהְיוֹת אוֹפִין פִּתָּן גְּרִיצוֹת וָחֹרִי!\" \n", + "יג\nאַף הוּא אָמַר שְׁלֹשָׁה דְבָרִין לְהָקֵל: \nמְכַבְּדִין בֵּין הַמִּטּוֹת, \nוּמַנִּיחִין אֶת הַמִּגְמָר בְּיוֹם טוֹב, \nוְעוֹשִׂין גְּדִי מְקֻלָּס בְּלֵילֵי פְסָחִים. \nוַחֲכָמִים אוֹסְרִין. \n", + "יד\nשְׁלֹשָׁה דְבָרִין רְבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה מַתִּיר, \nוַחֲכָמִים אוֹסְרִין: \nפָּרָתוֹ יוֹצָא בִרְצוּעָה שֶׁבֵּין קְרָנֶיהָ, \nוּמְקָרְדִין אֶת הַבְּהֵמָה בְיוֹם טוֹב, \nוְשׁוֹחֲקִין אֶת הַפִּלְפְּלִין בָּרֵחַיִם שֶׁלָּהֶן. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nאֵין מְקָרְדִין אֶת הַבְּהֵמָה בְיוֹם טוֹב, \nמִפְּנֵי שֶׁהוּא עוֹשֶׂה חַבּוּרָה, \nאֲבָל מְקַרְצְפִין. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nאֵין מְקָרְדִין, \nאַף לֹא מְקַרְצְפִין. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nאֵלּוּ דְבָרִים מִקָּלֵּי בֵית שַׁמַּי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הֶלֵּל: \nבֵּיצָה שֶׁנּוֹלְדָה בְיוֹם טוֹב, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nתֵּאָכֵל; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nלֹא תֵאָכֵל. \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nשְׂאוֹר כַּזַּיִת וְחָמֵץ כַּכּוֹתֶבֶת; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nזֶה וָזֶה כַּזַּיִת. \n", + "ב\nהַשּׁוֹחֵט חַיָּה וָעוֹף בְּיוֹם טוֹב, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nיַחְפֹּר בַּדָּקָל וִיכַסֶּה; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nלֹא יִשְׁחֹט, \nאֶלָּא אִם כֵּן הָיָה לוֹ עָפָר מוּכָן. \nמוֹדִים שֶׁאִם שָׁחַט, \nשֶׁיַּחְפֹּר בַּדָּקָל וִיכַסֶּה; \nשֶׁאֵפֶר הַכִּירָה מוּכָן. \n", + "ג\nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nהֶבְקֵר לָעֲנִיִּים הֶבְקֵר; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nאֵינוּ הֶבְקֵר, \nעַד שֶׁיָּבְקַר אַף לָעֲשִׁירִים כִּשְׁמִטָּה. \nכָּל עֳמָרֵי הַשָּׂדֶה שֶׁלְּקַב קַב, \nאַחַת שֶׁלְּאַרְבַּעַת קַבִּים וּשְׁכֵחוֹ, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nאֵינוּ שִׁכְחָה; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nשִׁכְחָה. \n", + "ד\nהָעֹמֶר שֶׁהוּא סָמוּךְ לַגָּפָא \nוְלַגָּדִישׁ וְלַבָּקָר וְלַכֵּלִים וּשְׁכֵחוֹ, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nאֵינוּ שִׁכְחָה; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nשִׁכְחָה. \n", + "ה\nכֶּרֶם רְבָעִי, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nאֵין לוֹ חֹמֶשׁ וְאֵין לוֹ בֵעוּר; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nיֶשׁ לוֹ. \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nיֵשׁ לוֹ פֶרֶט וְיֵשׁ לוֹ עוֹלֵלוֹת, \nוַעֲנָוִים פּוֹדִין לְעַצְמָן; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nכֻּלּוֹ לַגַּת. \n", + "ו\nחָבִית שֶׁלַּזֵּיתִים מְגֻלְגָּלִים, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nאֵינוּ צָרִיךְ לְנַקֵּב; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nצָרִיךְ לְנַקֵּב; \nוּמוֹדִים, \nשֶׁאִם נִקָּבָה וּסְתָמוּהָא שְׁמָרִים, \nשֶׁהִיא טְהוֹרָה. \nהַסָּךְ שֶׁמֶן טָהוֹר וְנִטָּמָא, \nוְיָרַד וְטָבַל, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nאַף עַל פִּי מְנַטֵּף, \nטָהוֹר; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nכְּדֵי סִיכַת אֵבֶר קָטָן. \nאִם הָיָה שֶׁמֶן טָמֵא מִתְּחִלָּתוֹ, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nכְּדֵי סִיכַת אֵבֶר קָטָן; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nמַשְׁקֶה טוֹפֵיחַ. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר מִשֵּׁם בֵּית הֶלֵּל: \nטוֹפֵיחַ וּמַטְפִּיחַ. \n", + "ז\nהָאִשָּׁה מִתְקַדֶּשֶׁת בְּדִינָר וּבְשׁוֹוֶה דִינָר, \nכְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּי ; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nבִּפְרוּטָה וּבְשׁוֹוֶה פְרוּטָה. \nוְכַמָּה הִיא פְרוּטָה? \nאֶחָד מִשְּׁמוֹנָה בְאִסָּר הָאִיטַלְקִי. \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nפּוֹטֵר הוּא אָדָם אֶת אִשְׁתּוֹ בְגֵט יָשָׁן; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹסְרִין. \nוְאֵיזֶה הוּא גֵט יָשָׁן? \nכָּל שֶׁנִּתְיַחַד עִמָּהּ מֵאַחַר שֶׁכְּתָבוֹ לָהּ. \nהַמְגָרֵשׁ אֶת אִשְׁתּוֹ וְלָנָה עִמּוֹ בַפּוֹנְדְּקִי, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nאֵינָה צְרִיכָה מִמֶּנּוּ גֵט שֵׁנִי; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nצְרִיכָה מִמֶּנּוּ גֵט שֵׁנִי. \nאֶמָּתַי? \nבִּזְמַן שֶׁנִּתְגָרְשָׁה מִן הַנִּשּׂוּאִין; \nוּמוֹדִין בְּנִתְגָּרְשָׁה מִן הָאֵרוּסִים, \nשֶׁאֵינָה צְרִיכָה מִמֶּנּוּ גֵט שֵׁנִי, \nמִפְּנֵי שֶׁלִבּוֹ גַס בָּהּ. \n", + "[ח]\nבֵּית שַׁמַּי מַתִּירִין אֶת הַצָּרוֹת לְאַחִים, \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹסְרִין. \n(חָלְצוּ, בֵּית שַׁמַּי פּוֹסְלִין מִן הַכְּהֻנָּה; \nוּבֵית הֶלֵּל מַכְשִׁירִין. \nנִתְיַבְּמוּ, בֵּית שַׁמַּי מַכְשִׁירִין; \nוּבֵית הֶלֵּל פּוֹסְלִין. \nוְאַף עַל פִּי שֶׁאֵלּוּ פוֹסְלִין וְאֵלּוּ מַכְשִׁירִין, \nלֹא נִמְנְעוּ בֵית שַׁמַּי מִלִּשָּׂא נָשִׁים מִ בֵּית הֶלֵּל, \nוְלֹא בֵית הֶלֵּל מִלִּשָּׂא נָשִׁים מִ בֵּית שַׁמַּי. \nוְכָל הַטְּהָרוֹת וְהַטֻּמְאוֹת שֶׁהָיוּ אֵלּוּ מְטַהֲרִין וְאֵלּוּ מְטַמְּאִין, \nלֹא נִמְנְעוּ לִהְיוֹת עוֹשִׂים טְהָרוֹת אֵלּוּ עַל גַּב אֵלּוּ. )\n", + "שְׁלֹשָׁה אַחִין, \nשְׁנַיִם מֵהֶן נְשׁוּאִים לִשְׁתֵּי אַחְיוֹת, \nוְאֶחָד מֻפְנֶה; \nמֵת אֶחָד מִבַּעֲלֵי אַחְיוֹת, \nעָשָׂה בָהּ מֻפְנֶה מַאֲמָר, \nוְאַחַר כָּךְ מֵת אָחִיו הַשֵּׁנִי, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nאִשְׁתּוֹ עִמּוֹ, \nוְהַלָּז תֵצֵא מִשֵּׁם אֲחוֹת אִשָּׁה. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nמוֹצִיא אֶת אִשְׁתּוֹ בְגֵט וַחֲלִיצָה, \nוְאֶת אֵשֶׁת אָחִיו בַּחֲלִיצָה. \nזוֹ הִיא שֶׁאָמָרוּ: \nאִי לוֹ עַל אִשְׁתּוֹ, \nוְאִי לוֹ עַל אֵשֶׁת אָחִיו. \n", + "ט\nהַמַּדִּיר אֶת אִשְׁתּוֹ מִתַּשְׁמִישׁ הַמִּטָּה, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nשְׁתֵּי שַׁבָּתוֹת; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nשַׁבָּת אַחַת. \nהַמַּפֶּלֶת אוֹר לִשְׁמוֹנִים וְאֶחָד, \nבֵּית שַׁמַּי פּוֹטְרִין מִן הַקָּרְבָּן; <פוֹטְרִין>\nוּבֵית הֶלֵּל מְחַיְּבִין. \nסָדִין בְּצִיצִית, בֵּית שַׁמַּי פּוֹטְרִין, \nוּבֵית הֶלֵּל מְחַיְּבִין. \nכַּלְכַּלַּת הַשַּׁבָּת, \nבֵּית שַׁמַּי פּוֹטְרִין; \nוּבֵית הֶלֵּל מְחַיְּבִין. \n", + "י\nמִי שֶׁנָּדַר נְזִירוּת מְרֻבָּה וְהִשְׁלִים אֶת נְזִירוּתוֹ, \nוְאַחַר כָּךְ בָּא לָאָרֶץ, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nנָזִיר שְׁלֹשִׁים יוֹם; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nנָזִיר כַּתְּחִלָּה. \nמִי שֶׁהָיוּ לוֹ שְׁתֵּי כִתֵּי עֵדִים מְעִידוֹת אוֹתוֹ, \nאֵלּוּ מְעִידִים שֶׁנָּזַר שְׁתַּיִם, \nוְאֵלּוּ מְעִידִים שֶׁנָּזַר חָמֵשׁ, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nנֶחְלְקָה הָעֵדוּת, אֵין כָּאן נְזִירוּת; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nיֵשׁ בִּכְלַל חָמֵשׁ שְׁתַּיִם, \nשֶׁיְּהֶה נָזִיר שְׁתַּיִם. \n", + "יא\nאָדָן שֶׁהוּא נָתוּן תַּחַת הַסֶּדֶק, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nאֵינוּ מֵבִיא אֶת הַטֻּמְאָה; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nאָדָם, חָלוּל הוּא, \nוְהַצַּד הָעֶלְיוֹן מֵבִיא אֶת הַטֻּמְאָה. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nרְבִּי יוּדָה אוֹמֵר: \nשִׁשָּׁה דְבָרִין מִקּוֹלֵי בֵית שַׁמַּי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הֶלֵּל: \nדַּם נְבֵלוֹת, \nבֵּית שַׁמַּי מְטַהֲרִין, וּבֵית הֶלֵּל מְטַמִּים. \nבֵּיצַת הַנְּבֵלָה, \nאִם יֵשׁ כַּיּוֹצֵא בָהּ נִמְכֶּרֶת בַּשּׁוּק, \nמֻתֶּרֶת, \nוְאִם לָאו, אֲסוּרָה, \nכְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּי. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹסְרִין, \nוּמוֹדִים בְּבֵיצַת טְרוּפָה שֶׁהִיא אֲסוּרָה, <טריפה>\nמִפְּנֵי שֶׁגָּדְלָה בְאִסּוּר. \nדַּם נָכְרִית וְדַם טַהֲרָה שֶׁלַּמְּצֹרַעַת, \nבֵּית שַׁמַּי מְטַהֲרִין, \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nכְּרוֹקָהּ וּכְמֵימֵי רַגְלֶיהָ. \nאוֹכְלִין פֵּרוֹת שְׁבִיעִית בְּטוֹבָה וְשֶׁלֹּא בְטוֹבָה, \nכְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּי. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nאֵין אוֹכְלִין בְּטוֹבָה וְשֶׁלֹּא בְטוֹבָה. \nהַחֵמֶת, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nצְרוּרָה עוֹמֶדֶת. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nאַף עַל פִּי שֶׁאֵינָה צְרוּרָה. \n", + "ב\nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nשִׁשָּׁה דְבָרִין מִקָּלֵּי בֵית שַׁמַּי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הֶלֵּל: \nהָעוֹף עוֹלֶה עִם הַגְּבִנָּה עַל הַשֻּׁלְחָן וְאֵינוּ נֶאֱכָל, \nכְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּי.\nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nלֹא עוֹלֶה וְלֹא נֶאֱכָל. \nתּוֹרְמִין זֵיתִין עַל הַשֶּׁמֶן, \nוַעֲנָבִים עַל הַיַּיִן, \nכְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּי. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nאֵין תּוֹרְמִין. \nהַזּוֹרֵעַ אַרְבַּע אַמּוֹת שֶׁבַּכֶּרֶם, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nקִדֵּשׁ שׁוּרָה אַחַת. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nקִדֵּשׁ שְׁתֵּי שׁוּרוֹת. \nהַמְּעִיסָה, \nבֵּית שַׁמַּי פּוֹטְרִין וּבֵית הֶלֵּל מְחַיְּבִין. \nמַטְבִּילִין בְּחַרְדְּלִית, \nכְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּי. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nאֵין מַטְבִּילִין. \nגֵּר שֶׁנִּתְגַּיַּר עֶרֶב פְּסָחִים, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nטוֹבֵל וְאוֹכֵל אֶת פִּסְחוֹ לָעֶרֶב. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nהַפּוֹרֵשׁ מִן הָעָרְלָה, \nכְּפוֹרֵשׁ מִן הַקֶּבֶר. \n", + "ג\nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nשְׁלֹשָׁה דְבָרִין מִקָּלֵּי בֵית שַׁמַּי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הֶלֵּל: \nקֹהֶלֶת אֵינָה מְטַמָּא אֶת הַיָּדַיִם, \nכְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּי. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nמְטַמָּא אֶת הַיָּדַיִם. \nמֵי חַטָּאת שֶׁעָשׁוּ מִצְוָתָן, \nבֵּית שַׁמַּי מְטַהֲרִין וּבֵית הֶלֵּל מְטַמִּין. \nהַקֶּצַח, \nבֵּית שַׁמַּי מְטַהֲרִין וּבֵית הֶלֵּל מְטַמִּים. \nוְכֵן לַמַּעַשְׂרוֹת. \n", + "ד\nרְבִּי אֶלְעָזָר אוֹמֵר: \nשְׁנֵי דְבָרִין מִקָּלֵּי בֵית שַׁמַּי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הֶלֵּל: \nדַּם יוֹלֶדֶת שֶׁלֹּא טָבְלָה, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nכְּרוֹקָהּ וּכְמֵימֵי רַגְלֶיהָ. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nמְטַמֵּא לַח וְיָבֵשׁ. \nוּמוֹדִין בְּיוֹלֶדֶת בַּזּוֹב, \nשֶׁהוּא מְטַמֵּא לַח וְיָבֵשׁ. \n", + "ה\nוְאַרְבָּעָה אָחִים, \nשְׁנַיִם מֵהֶם נְשׁוּאִין לִשְׁתֵּי אַחְיוֹת, \nוּמֵתוּ הַנְּשׁוּאִין אֶת הָאַחְיוֹת, \nהֲרֵי אֵלּוּ חוֹלְצוֹת וְלֹא מִתְיַבְּמוֹת, \nוְאִם קָדְמוּ וְכָנְסוּ, יוֹצִיאוּ. \nרְבִּי אֶלְעָזָר אוֹמֵר מִשֵּׁם בֵּית שַׁמַּי: \nיְקַיְּמוּ. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nיוֹצִיאוּ. \n", + "ו\nעֲקַבְיָה בֶן מַהֲלַלְאֵל הֵעִיד אַרְבָּעָה דְבָרִים. \nאָמְרוּ לוֹ: \nעֲקַבְיָה, \nחֲזֹר בָּךְ בְּאַרְבָּעָה דְבָרִין שֶׁהָיִיתָ אוֹמֵר, \nוְנַעַשָׂךְ אַב בֵּית דִּין לְיִשְׂרָאֵל. \nאָמַר לָהֶן: \nמוּטָב לִי לִקָּרוֹת שׁוֹטֶה כָל יָמַי, \nוְלֹא לֵעָשׁוֹת שָׁעָה אַחַת רָשָׁע לִפְנֵי הַמָּקוֹם; \nשֶׁלֹּא יְהוּ אוֹמְרִין: \nבִּשְׁבִיל סְרָרָה חָזַר בּוֹ. \n\nז\nהוּא הָיָה מְטַמֵּא שְׂעַר הַפְּקֻדָּה וְדַם הַיָּרֹק; \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \nהוּא הָיָה מַתִּיר שְׂעַר בְּכוֹר בַּעַל מוּם \nשֶׁנָּשַׁר וְהִנִּיחוֹ בַחַלּוֹן, \nוְאַחַר כָּךְ שְׁחָטוֹ; \nוַחֲכָמִים אוֹסְרִין. \nהוּא הָיָה אוֹמֵר: \nאֵין מַשְׁקִים \nלֹא הַגִּיּוֹרֶת וְלֹא אֶת הַשִּׁפְחָה מְשֻׁחְרֶרֶת; \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nמַשְׁקִין. \nאָמְרוּ לוֹ: \nמַעֲשֶׂה בְּכַרְכְּמִית, \nשִׁפְחָה מְשֻׁחְרֶרֶת שֶׁהָיְתָה בִירוּשָׁלַיִם, \nוְהִשְׁקוּהָ שְׁמַעְיָה וְאַבְטַלְיוֹן. \nאָמַר לָהֶן: \nדִּכְמָא הִשְׁקוּהָ. <דיכגמה>\nוְנִדּוּהוּ, וּמֵת בְּנִדּוּיוֹ, \nוְסָקְלוּ בֵית דִּין אֶת אֲרוֹנוֹ. \n\nח\nאָמַר רְבִּי יְהוּדָה: \nחַס וְשָׁלוֹם שֶׁעֲקַבְיָה נִתְנַדָּה! \nשֶׁאֵין הָעֲזָרָה נִוּמִקְדָּשׁ נִטְמָא עַל כָל אָדָן מִיִּשְׂרָאֵל \nבְּחָכְמָה וּבְיִרְאוּת חֵטְא כַּעֲקַבְיָה בֶן מַהֲלַלְאֵל. \nוְאֶת מִי נִדּוּ? \nאֶת אֱלִיעֶזֶר בֶּן חַנָּךְ, \nשֶׁפִּקְפֵּק בְּטַהֲרַת יָדַיִם; \nוּכְשֶׁמֵּת, \nשָׁלְחוּ בֵית דִּין וְהִנִּיחוּ אֶבֶן עַל אֲרוֹנוֹ; \nמְלַמֵּד, שֶׁכָּל הַמְּנֻדֶּה וּמֵת, \nסוֹקְלִין אֶת אֲרוֹנוֹ. \n", + "ט\nוּבְשָׁעַת מִיתָתוֹ אָמַר לִבְנוֹ: \nבְּנִי, \nחֲזֹר בָּךְ בְּאַרְבָּעָה דְבָרִין שֶׁהָיִיתִי אוֹמֵר. \nאָמַר לוֹ: \nוְאַתָּה, לָמָּה לֹא חָזַרְתָּ בָּךְ? \nאָמַר לוֹ: \nאֲנִי שָׁמַעְתִּי מִפִּי מְרֻבִּין, \nוְהֵן שָׁמְעוּ מִפִּי מְרֻבִּין; \nאֲנִי עָמַדְתִּי עַל שְׁמוּעָתִי, \nוְהֵן עָמְדוּ בִשְׁמוּעָתָן; \nאֲבָל אַתָּה שָׁמַעְתָּ מִפִּי הַיָּחִיד, \nוּמִפִּי הַמְרֻבִּין, \nוּמוּטָב לְהַנִּיחַ אֶת דִּבְרֵי הַיָּחִיד, \nוְלֶאֱחוֹז בְּדִבְרֵי הַמְרֻבִּין. \nאָמַר לוֹ: \nאַבָּא, \nפַּקֵּד עָלַי לַחֲבֵרֶיךָ. \nאָמַר לוֹ: \nאֵינִי מְפַקֵּד. \nשֶׁמֵּא עַוְלָה מָצָאתָ בִּי? \nאָמַר לוֹ: \nלָאו, \nמַעֲשֶׂיךָ יְקָרְבוּךָ וּמַעֲשֶׂיךָ יְרַחֲקוּךָ. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nרְבִּי יְהוּדָה בֶן אָבָּא הֵעִיד חֲמִשָּׁה דְבָרִין: \nשֶׁמְּמָאֲנִים אֶת הַקְּטַנּוֹת; \nוְשֶׁמַּשִּׂיאִין אֶת הָאִשָּׁה עַל פִּי עֵד אֶחָד; \nוְשֶׁנִּסְקַל תַּרְנְגוֹל בִּירוּשָׁלַיִם עַל שֶׁהָרַג אֶת הַנֶּפֶשׁ; \nוְעַל הַיַּיִן בֶּן אַרְבָּעִים יוֹם, \nשֶׁנִּתְנַסַּךְ עַל גַּב הַמִּזְבֵּחַ; \nוְעַל תָּמִיד שֶׁלַּשַּׁחַר, \nשֶׁקָּרֵב בְּאַרְבַּע שָׁעוֹת. \n", + "ב\nהֵעִיד רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ וּרְבִּי נְחֶמְיָה בֶן אֶלְנָתָן \nאִישׁ כְּפַר הַבַּבְלִי עַל אֵבֶר מִן הַמֵּת, \nשֶׁהוּא טָמֵא; \nשֶׁרְבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר: \nלֹא אָמְרוּ אֶלָּא עַל אֵבֶר מִן הַחַי. \n\nג\nאָמְרוּ לוֹ: \nוַהֲלֹא קַל וָחֹמֶר הוּא! \nמָה אִם הַחַי, שֶׁהוּא טָהוֹר, \nאֵבֶר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ טָמֵא, \nהַמֵּת, שֶׁהוּא טָמֵא, \nאֵינוּ דִין שֶׁיְּהֵא אֵבֶר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ טָמֵא? \nאָמַר לָהֶן: \nלֹא אָמְרוּ אֶלָּא אֵבֶר מִן הַחַי. \n\nד\nדָּבָר אַחֵר: \nמְרֻבָּה טֻמְאַת הַחַיִּים מִטֻּמְאַת הַמֵּתִים, \nשֶׁהַחַי עוֹשֶׂה מִשְׁכָּב וּמוֹשָׁב מִתַּחְתָּיו, \nלְטַמֵּא אָדָם לְטַמֵּא בְגָדִים, \nעַל גַּבָּיו מַדָּף לְטַמֵּא אֳכָלִין וּמַשְׁקִין; \nמַה שֶּׁאֵין הַמֵּת מְטַמֵּא. \n", + "\nה\nכַּזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבֶר מִן הַחַי, \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַמֵּא, \nרְבִּי יְהוֹשֻׁעַ וּרְבִּי נְחוּנְיָא מְטַהֲרִים. \nעֶצֶם כִּשְׂעוֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבֶר מִן הַחַי, <כסעורה>\nרְבִּי נְחוּנְיָה מְטַמֵּא, \nוּרְבִּי אֱלִיעֶזֶר וּרְבִּי יְהוֹשֻׁעַ מְטַהֲרִים. \n\nו\nאָמְרוּ לוֹ לִרְבִּי אֱלִיעֶזֶר: \nמָה רָאִיתָ לְטַמֵּא כַזַּיִת בָּשָׂר \nהַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבֶר מִן הַחַי? \nאָמַר לָהֶן: \nמָצִינוּ שֶׁאֵבֶר מִן הַחַי כְּמֵת שָׁלֵם; \nמָה הַמֵּת, \nכַּזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ טָמֵא, \nוְאַף אֵבֶר מִן הַחַי, \nכַּזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ יְהֵי טָמֵא. \n\nז\nאָמְרוּ לוֹ: \nלֹא, \nאִם טִמֵּאתָ כַּזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִן הַמֵּת, \nשֶׁכֵּן טִמֵּאתָ עֶצֶם כִּשְׂעוֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ, \nתְּטַמֵּא כַזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבֶר מִן הַחַי, \nשֶׁכֵּן טִהַרְתָּ עֶצֶם כִּשְׂעוֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ? \n\nח\nאָמְרוּ לוֹ לִרְבִּי נְחוּנְיָה: \nמָה רָאִיתָ לְטַמֵּא עֶצֶם כִּשְׂעוֹרָה \nהַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבֶר מִן הַחַי? \nאָמַר לָהֶן: \nמָצִינוּ שֶׁאֵבֶר מִן הַחַי כְּמֵת שָׁלֵם; \nמָה הַמֵּת, עֶצֶם כִּשְׂעוֹרָה, \nהַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ טָמֵא, \nוְאַף אֵבֶר מִן הַחַי, עֶצֶם כִּשְׂעוֹרָה, \nהַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ יְהִי טָמֵא. \nאָמְרוּ לוֹ: \nלֹא, \nאִם טִמֵּאתָ עֶצֶם כִּשְׂעוֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מִן הַמֵּת, \nשֶׁכֵּן טִמֵּאתָ כַזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ; \nתְּטַמֵּא עֶצֶם כִּשְׂעוֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבֶר מִן הַחַי, \nשֶׁכֵּן טִהַרְתָּ כַזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ? \n\nט\nאָמְרוּ לוֹ לִרְבִּי אֱלִיעֶזֶר: \nמָה רָאִיתָ לַחֲלֹק מִדָּתָךָ? \nאוֹ טַמֵּא בִשְׁנֵיהֶן אוֹ טַהֵר בִּשְׁנֵיהֶן! \nאָמַר לָהֶן: \nמְרֻבָּה טֻמְאַת הַבָּשָׂר מִטֻּמְאַת הָעֲצָמוֹת, \nשֶׁהַבָּשָׂר נוֹהֵג בַּנְּבֵלוֹת וּבַשְּׁרָצִים, \nמַה שֶּׁאֵין כֵּן בָּעֲצָמוֹת. \nדָּבָר אַחֵר: \nאֵבֶר שֶׁיֵּשׁ עָלָיו בָּשָׂר כָּרָאוּי, \nמְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא וּבְאָהֵל. \nחֲסַר הַבָּשָׂר, טָמֵא, \nחֲסַר הָעֶצֶם, טָהוֹר. \n\nי\nאָמְרוּ לוֹ לִרְבִּי נְחוּנְיָה: \nמָה רָאִיתָ לַחֲלֹק מִדָּתָךָ? \nאוֹ טַמֵּא בִשְׁנֵיהֶן אוֹ טַהֵר בִּשְׁנֵיהֶן! \nאָמַר לָהֶן: \nמְרֻבָּה טֻמְאַת הָעֲצָמוֹת מִטֻּמְאַת הַבָּשָׂר, \nשֶׁהַבָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִן הַחַי, טָהוֹר, \nוְאֵבֶר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ וְהוּא כְבִרְיָתוֹ, טָמֵא. \nדָּבָר אַחֵר: \nכַּזַּיִת בָּשָׂר מְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא וּבְאָהֵל, \nוְרֹבַע עֲצָמוֹת מְטַמִּים בְּמַגָּע וּבְמַשָּׂא וּבְאָהֵל; \nחֲסַר הַבָּשָׂר, טָהוֹר, \nחֲסַר רֹבַע עֲצָמוֹת, \nאַף עַל פִּי שֶׁטָּהַר מִלְּטַמֵּא בְאָהֵל, \nמְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא. \nדָּבָר אַחֵר: \nכָּל בְּשַׂר הַמֵּת שֶׁהוּא פָחוּת מִכַּזַּיִת, טָהוֹר. \nרֹב בִּנְיָנוֹ, רֹב מִנְיָנוֹ שֶׁלַּמֵּת, \nאַף עַל פִּי שֶׁאֵין בָּהֶן רֹבַע, טְמֵאִים. \n\nיא\nאָמְרוּ לוֹ לִרְבִּי יְהוֹשֻׁעַ: \nמַה רָּאִיתָ לְטַהֵר בִּשְׁנֵיהֶן? \nאָמַר לָהֶן: \nלֹא, אִם אֲמַרְתֶּם בַּמֵּת, \nשֶׁיֶּשׁ בּוֹ רֹב וְרֹבַע וּרְקָב, \nתֹּאמְרוּ בְחַי, \nשֶׁאֵין בּוֹ רֹב וְרֹבַע וּרְקָב? \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהֵעִיד רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ וּרְבִּי צָדוֹק \nעַל פִּדְיוֹן פֶּטֶר חֲמוֹר שֶׁמֵּת, \nשֶׁאֵין כָּאן לַכֹּהֵן כְּלוּם. \nשֶׁרְבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר: \nחַיָּבִין בְּאַחְרָיוּתוֹ כְחָמֵשׁ סְלָעִים שֶׁלַּבֵּן. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nאֵין חַיָּבִין בְּאַחְרָיוּתוֹ, \nכְּפִדְיוֹן מַעֲשֵׂר שֵׁנִי. \n", + "ב\nהֵעִיד רְבִּי צָדוֹק \nעַל צֵיר חֲגָבִין טְמֵאִים, \nשֶׁהוּא טָהוֹר; \nשֶׁמִּשְׁנָה רִאשׁוֹנָה: \nחֲגָבִים טְמֵאִים שֶׁנִּכְבָּשׁוּ עִם חֲגָבִין טְהוֹרִים, \nלֹא פָסְלוּ אֶת צֵירָן. \n", + "ג\nהֵעִיד רְבִּי צָדוֹק \nעַל הַזּוֹחֲלִים שֶׁרָבוּ עַל הַנּוֹטְפִים, \nשֶׁהֵן כְּשֵׁרִין. \nמַעֲשֶׂה הָיָה בְבִירַת קַפִּלְיָא, \nוּבָא מַעֲשֶׂה לִפְנֵי חֲכָמִים, \nוְהִכְשִׁירוּ. \n", + "ד\nהֵעִיד רְבִּי צָדוֹק \nעַל הַזּוֹחֲלִים שֶׁקִּלְּחָן בַּעֲלֵה אֱגוֹז, \nשֶׁהֵן כְּשֵׁרִין. \nמַעֲשֶׂה הָיָה בְאָהָלִיָּא, \nוּבָא מַעֲשֶׂה לְלִשְׁכַּת הַגָּזִית, \nוְהִכְשִׁירוּ. \n", + "ה\nהֵעִיד רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ וּרְבִּי יָקִים אִישׁ חָדִיד \nעַל קְלָל שֶׁלַּחַטָּאת שֶׁנָּתְנוּ עַל גַּבֵּי הַשֶּׁרֶץ, \nשֶׁהוּא טָמֵא. \nשֶׁרְבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר. \nהֵעִיד רְבִּי פַפְּיַס עַל מִי שֶׁנָּזַר שְׁתֵּי נְזִירִיּוֹת, \nשֶׁאִם גִּלַּח אֶת הָרִאשׁוֹנָה יוֹם שְׁלֹשִׁים, \nמְגַלֵּחַ אֶת הַשְּׁנִיָּה יוֹם שִׁשִּׁים. \nוְאִם גִּלַּח יוֹם שִׁשִּׁים חָסֵר יוֹם אֶחָד, \nיָצָא, שֶׁיּוֹם שְׁלֹשִׁים עוֹלֶה מִן הַמִּנְיָן. \n", + "ו\nהֵעִיד רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ וּרְבִּי פַפְּיָס \nעַל וְלַד שְׁלָמִים שֶׁיִּקָּרֵב שְׁלָמִים. \nשֶׁרְבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר: \nוְלַד שְׁלָמִים לֹא יִקָּרֵב שְׁלָמִים. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nיִקָּרֵב. \nאָמַר רְבִּי פַפְּיַס: \nאֲנִי מֵעִיד, \nשֶׁהָיְתָה לָנוּ פָרָה זִבְחֵי שְׁלָמִים, \nוַאֲכַלְנוּהָ בַפֶּסַח, \nוְאָכַלְנוּ וַלְדָהּ שְׁלָמִים בֶּחָג. \n", + "ז\nהֵן הֵעִידוּ \nעַל אֲרֻכּוֹת שֶׁלַּנַּחְתּוֹמִים \nשֶׁהֵן טְמֵאוֹת. \nשֶׁרְבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר. \nוְהֵן הֵעִידוּ \nעַל תַּנּוּר שֶׁחִתְּכוֹ חֲלָיוֹת, \nוְנָתַן חוֹל בֵּין חָלְיָא לְחָלְיָא, \nשֶׁהוּא טָמֵא; \nשֶׁרְבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר. \nהֵן הֵעִידוּ \nשֶׁמְּעַבְּרִין אֶת הַשָּׁנָה בְּכָל אֲדָר. \nשֶׁהָיוּ אוֹמְרִין: \nעַד הַפּוּרִים. \nהֵן הֵעִידוּ \nשֶׁמְּעַבְּרִין אֶת הַשָּׁנָה עַל תְּנַי. \n\nח\nמַעֲשֶׂה בְרַבָּן גַּמְלִיאֵל, \nשֶׁהָלַךְ לִטּוֹל רְשׁוּת מֵהֶגְמוֹן שֶׁבְּסוּרְיָא, \nוְשָׁהָא לָבֹא, \nוְעִבְּרוּ אֶת הַשָּׁנָה \nעַל תְּנַי שֶׁיִּרְצֶה רַבָּן גַּמְלִיאֵל. \nוּכְשֶׁבָּא, אָמַר לָהֶן \"רוֹצֶה אֲנִי\", \nוְנִמְצָא הַשָּׁנָה מְעֻבֶּרֶת. \n", + "ט\nהֵעִיד מְנַחֵם בֶּן סַנְגַּי עַל מוּסַף הַיּוֹרָה, \nשֶׁלְּשׁוֹלְקֵי זֵיתִים, שֶׁהוּא טָמֵא, \nוְשֶׁלַּצַּבָּעִים, שֶׁהוּא טָהוֹר; \nשֶׁהָיוּ אוֹמְרִים חִלּוּף הַדְּבָרִין. \n", + "הֵעִיד רְבִּי יוֹחָנָן בֶּן גֻּדְגְּדָה, \nעַל הַחֵרֶשֶׁת שֶׁהִשִּׂיאָהּ אָבִיהָ, \nשֶׁהִיא יוֹצָא בַגֵּט. \nוְעַל קְטַנָּה בַת יִשְׂרָאֵל שֶׁנִּשֵּׂאת לַכֹּהֵן, \nשֶׁהִיא אוֹכֶלֶת בִּתְרוּמָה, \nוְאִם מֵתָה, בַּעֲלָה יוֹרְשָׁהּ. \nוְעַל הַמָּרִישׁ הַגָּזוּל שֶׁבְּנָאוֹ בַבִּירָה, \nשֶׁיִּתֵּן אֶת דָּמָיו. \nוְעַל הַחַטָּאת הַגְּזוּלָה שֶׁלֹּא נוֹדָעָה לָרַבִּים, \nשֶׁהִיא מְכַפֶּרֶת, \nמִפְּנֵי תִקּוּן הַמִּזְבֵּחַ. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהֵעִיד רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ בֶּן בְּתִירָה \nעַל דַּם נְבֵלוֹת, \nשֶׁהוּא טָהוֹר. \nהֵעִיד רְבִּי שִׁמְעוֹן בֶּן בְּתִירָה \nעַל אֵפֶר הַחַטָּאת שֶׁנָּגַע טָמֵא בְמִקְצָתוֹ, \nשֶׁטִּמֵּא אֶת כֻּלּוֹ. \nהוֹסִיף רְבִּי עֲקִיבָה: \nהַסֹּלֶת וְהַקְּטֹרֶת, הַלְּבוֹנָה וְהַגֶּחָלִים, \nשֶׁנָּגַע טְבוּל יוֹם בְּמִקְצָתָן, \nשֶׁפָּסַל אֶת כֻּלָּם. \n", + "ב\nהֵעִיד רְבִּי יְהוּדָה בֶן אַבָּא וּרְבִּי יְהוּדָה הַכֹּהֵן \nעַל קְטַנָּה בַת יִשְׂרָאֵל שֶׁנִּשֵּׂאת לַכֹּהֵן, \nשֶׁהִיא אוֹכֶלֶת בִּתְרוּמָה, \nכֵּיוָן שֶׁנִּכְנְסָה לַחֻפָּה, \nאַף עַל פִּי שֶׁלֹּא נִבְעָלָה. \nהֵעִיד רְבִּי יוֹסֵף הַכֹּהֵן וּרְבִּי זְכַרְיָה בֶן הַקַּצָּב \nעַל תִּינוֹקֶת שֶׁהָרְהָנָה בְאַשְׁקְלוֹן, \nוְרִחֲקוּהָ בְנֵי הַמִּשְׁפָּחָה, \nוְעֵדֶיהָ מְעִידִין אוֹתָהּ \nשֶׁלֹּא נִסְתָּרָה וְשֶׁלֹּא נִטְמָאָה. \nאָמְרוּ לָהֶן חֲכָמִים: \n\"אִם מַאֲמִינִים אַתֶּם שֶׁהָרְהָנָה, \nהַאֲמִינוּ שֶׁלֹּא נִסְתָּרָה וְשֶׁלֹּא נִטְמָאָה, \nוְאִם אֵין אַתֶּם מַאֲמִינִין \nשֶׁלֹּא נִסְתָּרָה וְשֶׁלֹּא נִטְמָאָה, \nאַל תַּאֲמִינוּ שֶׁהָרְהָנָה!\" \n", + "ג\nהֵעִיד רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ וּרְבִּי יְהוֹשֻׁעַ בֶּן בְּתִירָה \nעַל אַלְמְנַת עִסָּה, \nשֶׁהִיא כְשֵׁרָה לִכְהֻנָּה. \nהָעִסָּה כְשֵׁרָה לְטַמֵּא וּלְטַהֵר, \nלְרַחֵק וּלְקָרֵב. \nאָמַר רַבָּן [שִׁמְעוֹן בֶּן] גַּמְלִיאֵל: \nקִבַּלְנוּ עֵדוּתְכֶן, \nאֲבָל מַה נַּעֲשֶׂה וְגָזַר רַבָּן יוֹחָנָן בֶּן זַכַּי \nשֶׁלֹּא לְהוֹשִׂיב בֵּית דִּין עַל כָּךְ? \nהַכֹּהֲנִים שׁוֹמְעִין לָכֶם לְרַחֵק, \nאֲבָל לֹא לְקָרֵב. \n", + "ד\nהֵעִיד רְבִּי יוֹסֵה בֶן יוֹעֶזֶר אִישׁ צְרֵדָה \nעַל אַיָּל קַמְצָיָא, <קמיצייא>\nדְכֵי, \nוְעַל מַשְׁקֵה בֵית מַטְבְּחָיָא, \nדַּכְיָן, \nוְדִי יִקְרַב לְמִיתָה, \nמְסָאָב. \nוְקָרוֹן לֵיהּ \"יוֹסֵה שָׁרְיָא\". \n", + "ה\nהֵעִיד רְבִּי עֲקִיבָה מִשֵּׁם נְחֶמְיָה אִישׁ בֵּית בַּדְּלִי \nשֶׁמַּשִּׂיאִין אֶת הָאִשָּׁה עַל פִּי עֵד אֶחָד. \nהֵעִיד רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ עַל הָעֲצָמוֹת שֶׁנִּמְצְאוּ בְדֵיר הָעֵצִים, \nאָמְרוּ חֲכָמִים: \nמְלַקֵּט עֶצֶם עֶצֶם, \nהַכֹּל טָהוֹר. \n", + "ו\nאָמַר רְבִּי אֱלִיעֶזֶר: \nשָׁמַעְתִּי שֶׁיְּהוּ בוֹנִים בַּהֵיכָל, \nעוֹשִׂין קְלָעִים לַהֵיכָל וּקְלָעִים לָעֲזָרוֹת, \nאֶלָּא שֶׁבַּהֵיכָל בּוֹנִים מִבַּחוּץ, \nוּבַעֲזָרוֹת בּוֹנִים מִבִּפְנִים. \nאָמַר רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ: \nשָׁמַעְתִּי שֶׁמַּקְרִיבִין אַף עַל פִּי שֶׁאֵין בַּיִת, \nוְאוֹכְלִין קָדְשֵׁי קָדָשִׁין אַף עַל פִּי שֶׁאֵין קְלָעִים, \nקָדָשִׁים קַלִּים וּמַעֲשֵׂר שֵׁנִי אַף עַל פִּי שֶׁאֵין חוֹמָה. \nשֶׁקְּדֻשָּׁה רִאשׁוֹנָה קִדְּשָׁה לְשַׁעְתָהּ, \nוְקִדְּשָׁה לֶעָתִיד לָבֹא. \n", + "ז\nאָמַר רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ: \nמְקֻבָּל אֲנִי מֵרַבָּן יוֹחָנָן בֶּן זַכַּי, \nשֶׁשָּׁמַע מֵרַבּוֹ, וְרַבּוֹ מֵרַבּוֹ, \nהֲלָכָה לְמֹשֶׁה מִסִּינַי, \nשֶׁאֵין אֵלִיָּהוּ בָא \nלְטַמֵּא וּלְטַהֵר, לְרַחֵק וּלְקָרֵב, \nאֶלָּא לְרַחֵק אֶת הַמְקֹרָבִין בִּזְרוֹעַ, \nוּלְקָרֵב הַמְרׁחָקִין בִּזְרוֹעַ. \nמִשְׁפַּחַת בֵּית צְרִיפָה הָיְתָה בְעֵבֶר הַיַּרְדֵּן, \nוְרִחֲקָהּ בֶּן צִיּוֹן בִּזְרוֹעַ, \nוְעוֹד אַחֶרֶת הָיְתָה שָּׁם, \nוְקֵרְבָהּ בֶּן צִיּוֹן בִּזְרוֹעַ. \nכְּגוֹן אֵלּוּ אֵלִיָּהוּ בָא \nלְטַמֵּא וּלְטַהֵר, לְרַחֵק וּלְקָרֵב. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nלְקָרֵב, אֲבָל לֹא לְרַחֵק. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nלְהַשְׁווֹת אֶת הַמַּחְלְקוֹת. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nלֹא לְרַחֵק וְלֹא לְקָרֵב, \nאֶלָּא לַעֲשׁוֹת שָׁלוֹם בָּעוֹלָם, \nשֶׁנֶּאֱמַר: (מלאכי ג,כג-כד) \n\"הִנֵּה אָנֹכִי שֹׁלֵחַ לָכֶם אֵת אֵלִיָּה הַנָּבִיא, \nלִפְנֵי בּוֹא יוֹם יי הַגָּדוֹל וְהַנּוֹרָא.\nוְהֵשִׁיב לֵב אָבוֹת עַל בָּנִים,\nוְלֵב בָּנִים עַל אֲבוֹתָם\". \n\nחסל עדיות \n\n\n\n" + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/Hebrew/Mishnah, ed. Romm, Vilna 1913.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/Hebrew/Mishnah, ed. Romm, Vilna 1913.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..5b1451d849795be5777b7d3a71a3dd052db78f4d --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/Hebrew/Mishnah, ed. Romm, Vilna 1913.json @@ -0,0 +1,119 @@ +{ + "language": "he", + "title": "Mishnah Eduyot", + "versionSource": "https://www.nli.org.il/he/books/NNL_ALEPH001741739", + "versionTitle": "Mishnah, ed. 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", + "הפורט סלע של מעשר שני בירושלם. בית שמאי אומרים בכל הסלע מעות. ובית הלל אומרים בשקל כסף. ובשקל מעות. הדנים לפני חכמים אומרים בשלשה דינרים כסף ובדינר מעות. רבי עקיבא אומר בשלשה דינרים כסף וברביעית כסף ברביעית מעות ורבי טרפון אומר ארבעה אספרי כסף שמאי אומר יניחנה בחנות ויאכל כנגדה: ", + "כסא של כלה שנטלו חפויו. בית שמאי מטמאין. ובית הלל מטהרין. שמאי אומר אף מלבן של כסא טמא. כסא שקבעו בעריבה בית שמאי מטמאין ובית הלל מטהרין שמאי אומר אף העשוי בה. ", + "אלו דברים שחזרו בית הלל להורות כדברי בית שמאי. האשה שבאה ממדינת הים. ואמרה מת בעלי. תינשא. מת בעלי תתיבם. ובית הלל אומרים לא שמענו אלא בבאה מן הקציר בלבד. אמרו להם בית שמאי אחת הבאה מן הקציר. ואחת הבאה מן הזיתים. ואחת הבאה ממדינת הים. לא דברו בקציר אלא בהווה. חזרו בית הלל להורות כבית שמאי. בית שמאי אומרים תינשא ותטול כתובתה. ובית הלל אומרים תינשא ולא תטול כתובתה. אמרו להם בית שמאי התרתם את הערוה החמורה לא תתירו את הממון הקל. אמרו להם בית הלל מצינו שאין האחים נכנסין לנחלה על פיה אמרו להם בית שמאי והלא מספר כתובתה נלמוד שהוא כותב לה. שאם תינשאי לאחר תטלי מה שכתוב ליך, חזרו בית הלל להורות כדברי בית שמאי: ", + "מי שחציו עבד וחציו בן חורין. עובד את רבו יום אחד. ואת עצמו יום אחד. דברי בית הלל. אמרו להם בית שמאי תקנתם את רבו ואת עצמו לא תקנתם. לישא שפחה אינו יכול. בת חורין אינו יכול ליבטל והלא לא נברא העולם. אלא לפריה ורביה. שנאמר (ישעיה מה, יח) לא תהו בראה. לשבת יצרה. אלא מפני תקון העולם. כופין את רבו ועושה אותו בן חורין וכותב שטר על חצי דמיו. חזרו בית הלל להורות כבית שמאי: ", + "כלי חרס מציל על הכל כדברי בית הלל. ובית שמאי אומרים אינו מציל אלא על האוכלין. ועל המשקין. ועל כלי חרס. אמרו להם בית הלל מפני מה. אמרו להם בית שמאי מפני שהוא טמא על גב עם הארץ ואין כלי טמא חוצץ. אמרו להם בית הלל והלא טהרתם אוכלים ומשקין שבתוכו. אמרו להם בית שמאי כשטהרנו אוכלים ומשקין שבתוכו. לעצמו טהרנו. אבל כשטהרת את הכלי טהרת לך ולו. חזרו בית הלל להורות כדברי בית שמאי: " + ], + [ + "רבי חנינא סגן הכהנים העיד ארבעה דברים. מימיהם של כהנים לא נמנעו מלשרוף את הבשר שנטמא בולד הטומאה. עם הבשר שנטמא באב הטומאה. אף על פי שמוסיפין טומאה על טומאתו. הוסיף רבי עקיבא מימיהם של כהנים. לא נמנעו מלהדליק את השמן שנפסל בטבול יום. בנר שנטמא בטמא מת. אף על פי שמוסיפין טומאה על טומאתו: ", + "אמר רבי חנינא סגן הכהנים מימי לא ראיתי עור יוצא לבית השרפה. אמר רבי עקיבא מדבריו למדנו שהמפשיט את הבכור ונמצא טרפה. שיאותו הכהנים בעורו. וחכמים אומרים לא ראינו אינו ראיה אלא יוצא לבית השרפה: ", + "אף הוא העיד על כפר קטן שהיה בצד ירושלם. והיה בו זקן אחד והיה מלוה לכל בני הכפר. וכותב בכתב ידו ואחרים חותמים ובא מעשה לפני חכמים והתירו. לפי דרכך אתה למד שהאשה כותבת את גיטה. והאיש כותב את שוברו שאין קיום הגט אלא בחותמיו ועל מחט שנמצאת בבשר שהסכין. והידים טהורות. והבשר טמא. ואם נמצאת בפרש. הכל טהור: ", + "שלשה דברים אמר רבי ישמעאל לפני חכמים בכרם ביבנה. על ביצה טרופה. שהיא נתונה על גבי ירק של תרומה. שהיא חבור. ואם היתה כמין כובע. אינה חבור. ועל שבולת שבקציר. וראשה מגעת לקמה. אם נקצרה עם הקמה הרי היא של בעל הבית. ואם לאו. הרי היא של עניים. ועל גנה קטנה שהיא מוקפת עריס. אם יש בה כמלא בוצר וסלו מכאן. ומלא בוצר וסלו מכאן. תזרע. ואם לאו. לא תזרע: ", + "שלשה דברים אמרו לפני רבי ישמעאל ולא אמר בהם לא איסור והיתר. ופירשן רבי יהושע בן מתיא. המפיס מורסא בשבת. אם לעשות לה פה חייב. ואם להוציא ממנו לחה פטור. ועל הצד נחש בשבת. אם מתעסק שלא ישכנו פטור. ואם לרפואה. חייב. ועל לפסין אירוניות שהם טהורות באהל המת. וטמאות במשא הזב. רבי אלעזר בן צדוק אומר אף במשא הזב טהורות. מפני שלא נגמרה מלאכתן: ", + "שלשה דברים אמר רבי ישמעאל. ולא הודה לו רבי עקיבא. השום והבוסר. והמלילות. שריסקן מבעוד יום שרבי ישמעאל אומר יגמור משתחשך. ורבי עקיבא אומר לא יגמור. ", + "שלשה דברים אמרו לפני רבי עקיבא. שנים משום רבי אליעזר. ואחד משום רבי יהושע. שנים משום רבי אליעזר. יוצאת אשה בעיר של זהב. ומפריחי יונים פסולים לעדות. ואחד משום רבי יהושע. השרץ בפי חולדה. ומהלכת על גבי ככרות של תרומה. ספק נגע ספק לא נגע ספקו טהור: ", + "שלשה דברים אמר רבי עקיבא. על שנים הודו לו. ועל אחד לא הודו לו. על סנדל של סיידים. שהוא טמא מדרס. ועל שירי תנור ארבעה. שהיו אומרים שלשה. והודו לו. ועל אחד לא הודו לו. על כסא שנטלו שנים מחפוייו זה בצד זה. שרבי עקיבא מטמא. וחכמים מטהרין: ", + "הוא היה אומר האב זוכה לבן. בנוי. ובכח. ובעושר. ובחכמה. ובשנים. ובמספר הדורות לפניו. והוא הקץ. שנאמר (ישעיה מא, ד) קורא הדורות מראש. אף על פי שנאמר (בראשית טו, יג) ועבדום וענו אותם ארבע מאות שנה. ונאמר (בראשית טו, טז) ודור רביעי ישובו הנה: ", + "אף הוא היה אומר חמשה דברים של שנים עשר חדש. משפט דור המבול שנים עשר חדש. משפט איוב שנים עשר חדש. משפט המצריים שנים עשר חדש. משפט גוג ומגוג לעתיד לבא שנים עשר חדש. משפט רשעים בגיהנם שנים עשר חדש. שנאמר (ישעיה סו, כג) והיה מדי חדש בחדשו. רבי יוחנן בן נורי אומר מן הפסח ועד העצרת. שנאמר ומדי שבת בשבתו: " + ], + [ + "כל המטמאין באהל. שנחלקו והכניסן לתוך הבית. רבי דוסא בן הרכינס מטהר. וחכמים מטמאין. כיצד. הנוגע בכשני חצאי זיתים מן הנבילה. או נושאן. ובמת הנוגע בכחצי זית ומאהיל על כחצי זית. או נוגע בכחצי זית וכחצי זית מאהיל עליו. ומאהיל על כשני חצאי זיתים. מאהיל על כחצי זית. וכחצי זית מאהיל עליו. רבי דוסא בן הרכינס מטהר. וחכמים מטמאין. אבל הנוגע בכחצי זית. ודבר אחר מאהיל עליו. ועל כחצי זית או מאהיל על כחצי זית ודבר אחר מאהיל עליו. ועל כחצי זית טהור. אמר רבי מאיר אף בזה רבי דוסא מטהר וחכמים מטמאין. הכל טמא חוץ מן המגע עם המשא. והמשא עם האהל. זה הכלל כל שהוא משם אחד טמא. משני שמות טהור: ", + "אוכל פרוד אינו מצטרף. דברי רבי דוסא בן הרכינס. וחכמים אומרים מצטרף. מחללין מעשר שני על אסימון דברי רבי דוסא. וחכמים אומרים אין מחללין. מטבילין ידים לחטאת דברי רבי דוסא. וחכמים אומרים אם נטמאו ידיו נטמא גופו: ", + "מעי אבטיח וקניבת ירק של תרומה. רבי דוסא מתיר לזרים. וחכמים אוסרין. חמש רחלות גזוזות מנה מנה ופרס חייבות בראשית הגז. דברי רבי דוסא. וחכמים אומרים חמש רחלות כל שהן: ", + "כל החוצלות טמאות טמא מת דברי רבי דוסא. וחכמים אומרים מדרס. כל הקליעות טהורות חוץ משל גלגילון דברי רבי דוסא. וחכמים אומרים כולם טמאות. חוץ משל צמרים: ", + "הקלע שבית קבול שלה ארוג טמאה. ושל עור. רבי דוסא בן הרכינס מטהר. וחכמים מטמאין. נפסק בית אצבע שלה טהורה. בית הפקיע שלה טמאה: ", + "השבויה אוכלת בתרומה דברי רבי דוסא. וחכמים אומרים יש שבויה אוכלת. ויש שבויה שאינה אוכלת. כיצד. האשה שאמרה נשביתי וטהורה אני. אוכלת. שהפה שאסר הוא הפה שהתיר. ואם יש עדים שנשבית והיא אומרת טהורה אני. אינה אוכלת: ", + "ארבעה ספיקות. רבי יהושע מטמא. וחכמים מטהרין. כיצד הטמא עומד. וטהור עובר. הטהור עומד. והטמא עובר. טומאה ברשות היחיד וטהרה ברשות הרבים. טהרה ברשות היחיד וטומאה ברשות הרבים. ספק נגע ספק לא נגע ספק האהיל ספק לא האהיל ספק הסיט ספק לא הסיט. רבי יהושע מטמא. וחכמים מטהרין: ", + "שלשה דברים רבי צדוק מטמא וחכמים מטהרין. מסמר השולחני. וארון של גרוסות. ומסמר של אבן שעות. רבי צדוק מטמא. וחכמים מטהרין. ", + "ארבעה דברים רבן גמליאל מטמא. וחכמים מטהרין. כסוי טני של מתכות. של בעלי בתים. ותלוי המגרדות. וגולמי כלי מתכות. וטבלא שנחלקה לשנים. ומודים חכמים לרבן גמליאל בטבלא שנחלקה לשנים אחד גדול ואחד קטן. הגדול טמא והקטן טהור: ", + "שלשה דברים רבן גמליאל מחמיר כדברי בית שמאי. אין טומנין את החמין מיום טוב לשבת. ואין זוקפין את המנורה ביום טוב. ואין אופין פתין גריצין אלא רקיקין. אמר רבן גמליאל מימיהן של בית אבא לא היו אופין פתין גריצין אלא רקיקין. אמרו לו ומה נעשה לבית אביך. שהיו מחמירין על עצמן. ומקילין על ישראל להיות אופין פתין גריצין וחרי: ", + "אף הוא אמר שלשה דברים להקל. מכבדין בין המטות. ומניחין את המוגמר ביום טוב. ועושים גדי מקולס בלילי פסחים וחכמים אוסרים: ", + "שלשה דברים רבי אלעזר בן עזריה מתיר. וחכמים אוסרין. פרתו יוצאה ברצועה שבין קרניה. ומקרדין את הבהמה ביום טוב. ושוחקין את הפלפלין ברחים שלהן. רבי יהודה אומר אין מקרדין את הבהמה ביום טוב. מפני שהוא עושה חבורה. אבל מקרצפין. וחכמים אומרים אין מקרדין. אף לא מקרצפין: " + ], + [ + "אלו דברים מקולי בית שמאי. ומחומרי בית הלל. ביצה שנולדה ביום טוב. בית שמאי אומרים תאכל. ובית הלל אומרים לא תאכל. בית שמאי אומרים שאור בכזית. וחמץ בככותבת. ובית הלל אומרים זה וזה בכזית: ", + "בהמה שנולדה ביום טוב. הכל מודים שהיא מותרת. ואפרוח שיצא מן הביצה. הכל מודים שהוא אסור. השוחט חיה ועוף ביום טוב. בית שמאי אומרים יחפור בדקר ויכסה. ובית הלל אומרים לא ישחוט אלא אם כן היה לו עפר מוכן. ומודים שאם שחט שיחפור בדקר ויכסה. שאפר כירה מוכן הוא: ", + "בית שמאי אומרים הבקר לעניים הבקר. ובית הלל אומרים אינו הבקר. עד שיובקר אף לעשירים. כשמטה. כל עומרי השדה של קב קב ואחד של ארבעה קבין. ושכחו. בית שמאי אומרים אינו שכחה. ובית הלל אומרים שכחה: ", + "העומר שהוא סמוך לגפה. ולגדיש. ולבקר. ולכלים. ושכחו. בית שמאי אומרים אינו שכחה. ובית הלל אומרים שכחה: ", + "כרם רבעי. בית שמאי אומרים אין לו חומש. ואין לו ביעור. ובית הלל אומרים יש לו חומש ויש לו ביעור. בית שמאי אומרים יש לו פרט. ויש לו עוללות. והעניים פודים לעצמן. ובית הלל אומרים כולו לגת: ", + "חבית של זיתים מגולגלים. בית שמאי אומרים אינו צריך לנקב. ובית הלל אומרים צריך לנקב. ומודים שאם נקבה וסתמוה שמרים שהיא טהורה. הסך בשמן טהור ונטמא. ירד וטבל. בית שמאי אומרים אף על פי שהוא מנטף. טהור. ובית הלל אומרים כדי סיכת אבר קטן. ואם היה שמן טמא מתחלתו. בית שמאי אומרים כדי סיכת אבר קטן. ובית הלל אומרים משקה טופח. רבי יהודה אומר משום בית הלל טופח ומטפיח. ", + "האשה מתקדשת בדינר ובשוה דינר כדברי בית שמאי. ובית הלל אומרים בפרוטה. ובשוה פרוטה. וכמה היא פרוטה. אחד משמנה באיסר האיטלקי. בית שמאי אומרים פוטר הוא את אשתו בגט ישן. ובית הלל אוסרין. איזהו גט ישן. כל שנתייחד עמה אחר שכתבו לה. המגרש את אשתו ולנה עמו בפונדקי. בית שמאי אומרים אינה צריכה ממנו גט שני. ובית הלל אומרים צריכה ממנו גט שני. אימתי בזמן שנתגרשה מן הנשואין. אבל אם נתגרשה מן האירוסין. אינה צריכה ממנו גט שני. מפני שאין לבו גס בה: ", + "בית שמאי מתירין את הצרות לאחים. ובית הלל אוסרין. חלצו. בית שמאי פוסלין מן הכהונה ובית הלל מכשירין. נתיבמו. בית שמאי מכשירין ובית הלל פוסלין ואף על פי שאלו פוסלין ואלו מכשירין. לא נמנעו בית שמאי מלישא נשים מבית הלל. ולא בית הלל מלישא נשים מבית שמאי. וכל הטהרות והטמאות שהיו אלו מטהרין. ואלו מטמאין. לא נמנעו להיות עושים טהרות אלו על גב אלו: ", + "שלשה אחים. שנים מהם נשואים לשתי אחיות ואחד מופנה. מת אחד מבעלי אחיות ועשה בה מופנה מאמר. ואחר כך מת אחיו השני. בית שמאי אומרים אשתו עמו. והלה תצא משום אחות אשה. ובית הלל אומרים מוציא את אשתו בגט וחליצה. ואת אשת אחיו בחליצה. זו היא שאמרו אי לו על אשתו. ואי לו על אשת אחיו: ", + "המדיר את אשתו מתשמיש המטה. בית שמאי אומרים שתי שבתות. ובית הלל אומרים שבת אחת. המפלת לאור שמנים ואחד. בית שמאי פוטרין מן הקרבן. ובית הלל מחייבין. סדין בציצית. בית שמאי פוטרין. ובית הלל מחייבים. כלכלת השבת. בית שמאי פוטרין. ובית הלל מחייבין: ", + "מי שנדר נזירות מרובה. והשלים נזירותו. ואחר כך בא לארץ. בית שמאי אומרים נזיר שלשים יום. ובית הלל אומרים נזיר בתחלה. מי שהיו שתי כתי עדים מעידות אותו. אלו מעידים שנדר שתים. ואלו מעידים שנדר חמש. בית שמאי אומרים נחלקה העדות. ואין כאן נזירות ובית הלל אומרים יש בכלל חמש. שתים שיהיה נזיר שתים: ", + "אדם שהוא נתון תחת הסדק. בית שמאי אומרים אינו מביא את הטומאה. ובית הלל אומרים אדם חלול הוא. והצד העליון מביא את הטומאה: " + ], + [ + "רבי יהודה אומר ששה דברים מקולי בית שמאי ומחומרי בית הלל. דם נבלות. בית שמאי מטהרין. ובית הלל מטמאין. ביצת הנבלה אם יש כיוצא בה נמכרת בשוק. מותרת. ואם לאו. אסורה. כדברי בית שמאי. בית הלל אוסרין. ומודים בביצת טרפה שהיא אסורה. מפני שגדילה באיסור. דם נכרית. ודם טהרה של מצורעת. בית שמאי מטהרין. ובית הלל אומרים כרוקה וכמימי רגליה. אוכלין פירות שביעית בטובה. ושלא בטובה. כדברי בית שמאי. ובית הלל אומרים אין אוכלים אלא בטובה. החמת. בית שמאי אומרים צרורה עומדת. ובית הלל אומרים אף על פי שאינה צרורה: ", + "רבי יוסי אומר ששה דברים מקולי בית שמאי. ומחומרי בית הלל העוף עולה עם הגבינה על השלחן. ואינו נאכל כדברי בית שמאי. ובית הלל אומרים אינו עולה. ואינו נאכל. תורמין זיתים על שמן וענבים על יין. כדברי בית שמאי. ובית הלל אומרים אין תורמין. הזורע ארבע אמות שבכרם. בית שמאי אומרים קידש שורה אחת. ובית הלל אומרים קידש שתי שורות. המעיסה בית שמאי פוטרין ובית הלל מחייבין. מטבילין בחרדלית כדברי בית שמאי. ובית הלל אומרים אין מטבילין. גר שנתגייר ערבי פסחים. בית שמאי אומרים טובל ואוכל את פסחו לערב. ובית הלל אומרים הפורש מן הערלה כפורש מן הקבר: ", + "רבי ישמעאל אומר שלשה דברים מקולי בית שמאי ומחומרי בית הלל. קהלת אינו מטמא את הידים כדברי בית שמאי. ובית הלל אומרים מטמא את הידים. מי חטאת שעשו מצותן. בית שמאי מטהרין. ובית הלל מטמאין. הקצח בית שמאי מטהרין ובית הלל מטמאין. וכן למעשרות: ", + "רבי אליעזר אומר שני דברים מקולי בית שמאי ומחומרי בית הלל. דם יולדת שלא טבלה. בית שמאי אומרים כרוקה וכמימי רגליה. ובית הלל אומרים מטמא לח ויבש. ומודים ביולדת בזוב שהוא מטמא לח ויבש: ", + "ארבעה אחים שנים מהם נשואין שתי אחיות. מתו הנשואים לאחיות. הרי אלו חולצות ולא מתיבמות. ואם קדמו וכנסו יוציאו. רבי אליעזר אומר משום בית שמאי יקיימו. ובית הלל אומרים יוציאו: ", + "עקביא בן מהללאל העיד ארבעה דברים. אמרו לו עקביא חזור בך בארבעה דברים שהיית אומר. ונעשך אב בית דין לישראל. אמר להן מוטב לי להקרא שוטה כל ימי. ולא ליעשות שעה אחת רשע לפני המקום. שלא יהיו אומרים בשביל שררה חזר בו. הוא היה מטמא שער הפקודה. ודם הירוק. וחכמים מטהרין. הוא היה מתיר שער בכור בעל מום שנשר והניחו בחלון. ואחר כך שחטו וחכמים אוסרים. הוא היה אומר אין משקין לא את הגיורת ולא את שפחה המשוחררת. וחכמים אומרים משקין. אמרו לו מעשה בכרכמית שפחה משוחררת שהיתה בירושלים והשקוה שמעיה ואבטליון. אמר להם דוגמא השקוה. ונדוהו ומת בנדויו וסקלו בית דין את ארונו. אמר רבי יהודה חס ושלום שעקביא נתנדה שאין עזרה ננעלת בפני כל אדם מישראל בחכמה וביראת חטא כעקביא בן מהללאל ואת מי נדו. אליעזר בן חנוך שפקפק בטהרת ידים וכשמת שלחו בית דין והניחו אבן על ארונו. מלמד שכל המתנדה. ומת בנדויו סוקלין את ארונו: ", + "בשעת מיתתו אמר לבנו. בני חזור בך בארבעה דברים שהייתי אומר. אמר לו ולמה לא חזרת בך. אמר לו אני שמעתי מפי המרובים. והם שמעו מפי המרובים. אני עמדתי בשמועתי. והם עמדו בשמועתן. אבל אתה שמעת מפי היחיד ומפי המרובין. מוטב להניח דברי היחיד. ולאחוז בדברי המרובין. אמר לו. אבא פקוד עלי לחבירך. אמר לו איני מפקיד. אמר לו שמא עילה מצאת בי. אמר ליה לאו. מעשיך יקרבוך ומעשיך ירחקוך: " + ], + [ + "רבי יהודה בן בבא העיד חמשה דברים. שממאנים את הקטנות. ושמשיאין את האשה על פי עד אחד. ושנסקל תרנגול בירושלים על שהרג את הנפש. ועל היין בן ארבעים יום שנתנסך על גב המזבח. ועל תמיד של שחר שקרב בארבע שעות: \n", + "העיד רבי יהושע ורבי נחוניא בן אלינתן איש כפר הבבלי. על אבר מן המת שהוא טמא. שרבי אליעזר אומר לא אמרו אלא על אבר מן החי. אמרו לו והלא קל וחומר ומה מן החי שהוא טהור. אבר הפורש ממנו טמא. המת שהוא טמא. אינו דין שיהיה אבר הפורש ממנו טמא. אמר להם לא אמרו אלא על אבר מן החי. דבר אחר מרובה טומאת החיים מטומאת המתים. שהחי עושה משכב ומושב מתחתיו לטמא אדם ולטמא בגדים. ועל גביו מדף לטמא אוכלים ומשקין. מה שאין המת מטמא: \n", + "כזית בשר הפורש מאבר מן החי. רבי אליעזר מטמא. ורבי יהושע ורבי נחוניא מטהרים. עצם כשעורה הפורש מאבר מן החי. רבי נחוניא מטמא. ורבי אליעזר ורבי יהושע מטהרין. אמרו לו לרבי אליעזר מה ראית לטמא כזית בשר הפורש מאבר מן החי. אמר להם מצינו אבר מן החי כמת שלם. מה המת כזית בשר הפורש ממנו טמא. אף אבר מן החי. כזית בשר הפורש ממנו יהיה טמא. אמרו לו לא אם טמאת כזית בשר הפורש מן המת. שכן טמאת עצם כשעורה הפורש ממנו. תטמא כזית בשר הפורש מאבר מן החי שכן טהרת עצם כשעורה הפורש הימנו. אמרו לו לרבי נחוניא. מה ראית לטמא עצם כשעורה הפורש מאבר מן החי. אמר להם מצינו אבר מן החי. כמת שלם. מה המת עצם כשעורה הפורש ממנו טמא. אף אבר מן החי. עצם כשעורה הפורש ממנו. יהיה טמא. אמרו לו. לא. אם טמאת עצם כשעורה הפורש מן המת. שכן טמאת כזית בשר הפורש ממנו. תטמא עצם כשעורה הפורש מאבר מן החי. שכן טהרת כזית בשר הפורש ממנו. אמרו לו לרבי אליעזר מה ראית לחלוק מדתיך. או טמא בשניהם או טהר בשניהם. אמר להם מרובה טומאת הבשר מטומאת העצמות שהבשר נוהג בנבילות ובשרצים. מה שאין כן בעצמות. דבר אחר. אבר שיש עליו בשר כראוי מטמא במגע. ובמשא. ובאהל. חסר הבשר. טמא. חסר העצם. טהור. אמרו לו לרבי נחוניא. מה ראית לחלוק מדותיך. או טמא בשניהם. או טהר בשניהם. אמר להם מרובה טומאת העצמות. מטומאת הבשר. שהבשר הפורש מן החי טהור. ואבר הפורש ממנו והוא כברייתו טמא. דבר אחר כזית בשר מטמא במגע. ובמשא. ובאהל. ורוב עצמות מטמאים במגע. ובמשא. ובאהל. חסר הבשר. טהור. חסר רוב עצמות. אף על פי שטהור מלטמא באהל. מטמא במגע ובמשא. דבר אחר כל בשר המת שהוא פחות מכזית. טהור. רוב בנינו ורוב מנינו של מת. אף על פי שאין בהם רובע. טמאין. אמרו לו לרבי יהושע מה ראית לטהר בשניהם. אמר להם לא אם אמרתם במת שיש בו רוב. ורובע. ורקב. תאמרו בחי שאין בו רוב. ורובע. ורקב: \n" + ], + [ + "העיד רבי יהושע ורבי צדוק על פדיון פטר חמור שמת שאין בו לכהן כלום. שרבי אליעזר אומר חייבין באחריותן כחמש סלעים של בן. וחכמים אומרים אין חייבין באחריותן. אלא כפדיון של מעשר שני: ", + "העיד רבי צדוק על ציר חגבים טמאים שהוא טהור. שמשנה ראשונה חגבים טמאים שנכבשו עם חגבים טהורים. לא פסלו צירן: ", + "העיד רבי צדוק על זוחלין שרבו על הנוטפים שהם כשרים. מעשה היה בבירת הפליא. ובא מעשה לפני חכמים והכשירוהו: ", + "העיד רבי צדוק על זוחלין שקלחן בעלה אגוז. שהן כשרים. מעשה היה באהליא. ובא מעשה לפני לשכת הגזית. והכשירוהו: ", + "העיד רבי יהושע. ורבי יקים איש הדר. על קלל של חטאת שנתנו על גבי השרץ. שהוא טמא. שרבי אליעזר מטהר. העיד רבי פפייס על מי שנזר שתי נזירות. שאם גלח את הראשונה יום שלשים. שמגלח השניה יום ששים. ואם גילח יום ששים חסר אחד יצא. שיום שלשים עולה לו מן המנין: ", + "העיד רבי יהושע ורבי פפייס על ולד של שלמים. שיקרב שלמים. שרבי אליעזר אומר שולד שלמים לא יקרב שלמים. וחכמים אומרים יקרב. אמר רבי פפייס אני מעיד שהיתה לנו פרה זבחי שלמים ואכלנוה בפסח. ואכלנו ולדה שלמים בחג: ", + "הם העידו על ארוכות של נחתומים שהן טמאות. שרבי אליעזר מטהר. הם העידו על תנור שחתכו חוליות. ונתן חול בין חוליא לחוליא שהוא טמא. שרבי אליעזר מטהר. הם העידו שמעברין את השנה בכל אדר. שהיו אומרים עד הפורים. הם העידו שמעברים את השנה על תנאי. ומעשה ברבן גמליאל שהלך ליטול רשות מהגמון בסוריא. ושהה לבא ועברו את השנה על תנאי לכשירצה רבן גמליאל. וכשבא אמר רוצה אני ונמצאת השנה מעוברת: ", + "העיד מנחם בן סגנאי על מוסף היורה של שולקי זיתים שהוא טמא. ושל צבעים שהוא טהור. שהיו אומרים חלוף הדברים: ", + "העיד רבי נחוניא בן גודגדא על החרשת שהשיאה אביה שהיא יוצאה בגט. ועל קטנה בת ישראל שנשאת לכהן. שהיא אוכלת בתרומה. ואם מתה. בעלה יורשה. ועל המריש הגזול שבנאו בבירה שיתן את דמיו. ועל החטאת הגזולה שלא נודעה לרבים. שהיא מכפרת. מפני תיקון המזבח: " + ], + [ + "העיד רבי יהושע בן בתירא על דם נבלות שהוא טהור. העיד רבי שמעון בן בתירא על אפר חטאת שנגע טמא במקצתו. שטימא את כולו. הוסיף רבי עקיבא על הסולת ועל הקטורת. והלבונה. והגחלים. שנגע טבול יום במקצתם. שפסל את כולם: ", + "העיד רבי יהודה בן בבא. ורבי יהודה הכהן. על קטנה בת ישראל שנשאת לכהן. שהיא אוכלת בתרומה כיון שנכנסה לחופה אף על פי שלא נבעלה. העיד רבי יוסי הכהן ורבי זכריה בן הקצב. על תינוקת שהורהנה באשקלון ורחקוה בני משפחתה ועדיה מעידים אותה שלא נסתרה ושלא נטמאה. אמרו להם חכמים אם מאמינים אתם שהורהנה. האמינו שלא נסתרה ושלא נטמאה. ואם אין אתם מאמינים שלא נסתרה ושלא נטמאה. אל תאמינו שהורהנה: ", + "העיד רבי יהושע ורבי יהודה בן בתירא על אלמנת עיסה. שהיא כשרה לכהונה. שהעיסה כשרה לטמא ולטהר. לרחק ולקרב. אמר רבן שמעון בן גמליאל קבלנו עדותכם אבל מה נעשה שגזר רבן יוחנן בן זכאי שלא להושיב בתי דינין על כך. הכהנים שומעים לכם לרחק אבל לא לקרב: ", + "העיד רבי יוסי בן יועזר איש צרידה. על איל קמצא. דכן. ועל משקה בית מטבחייא דאינון דכיין. ודיקרב במיתא מסתאב. וקרו ליה יוסי שריא: ", + "העיד רבי עקיבא משום נחמיה איש בית דלי. שמשיאים האשה על פי עד אחד. העיד רבי יהושע על עצמות שנמצאו בדיר העצים אמרו חכמים מלקט עצם עצם והכל טהור: ", + "אמר רבי אליעזר שמעתי כשהיו בונים בהיכל עושים קלעים להיכל. וקלעים לעזרות. אלא שבהיכל בונים מבחוץ ובעזרה בונים מבפנים. אמר רבי יהושע שמעתי שמקריבין אף על פי שאין בית. ואוכלים קדשי קדשים אף על פי שאין קלעים. קדשים קלים ומעשר שני אף על פי שאין חומה. שקדושה ראשונה קדשה לשעתה וקדשה לעתיד לבא: ", + "אמר רבי יהושע מקובל אני מרבן יוחנן בן זכאי ששמע מרבו ורבו מרבו. הלכה למשה מסיני. שאין אליהו בא לטמא ולטהר לרחק ולקרב אלא לרחק המקורבין בזרוע. ולקרב המרוחקין בזרוע. משפחת בית צריפה היתה בעבר הירדן ורחקה בן ציון בזרוע ועוד אחרת היתה שם. וקרבה בן ציון בזרוע כגון אלו אליהו בא לטמא ולטהר. לרחק ולקרב. רבי יהודה אומר לקרב. אבל לא לרחק רבי שמעון אומר להשוות המחלוקת. וחכמים אומרים לא לרחק. ולא לקרב. אלא לעשות שלום בעולם. שנאמר (מלאכי ג, כג) הנני שולח לכם את אליהו הנביא וגומר והשיב לב אבות על בנים ולב בנים על אבותם: " + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/Hebrew/Torat Emet 357.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/Hebrew/Torat Emet 357.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..56c9de64732ec12bfaeb1bb7a84525ecedd15d64 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/Hebrew/Torat Emet 357.json @@ -0,0 +1,117 @@ +{ + "language": "he", + "title": "Mishnah Eduyot", + "versionSource": 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אוֹמְרִים, לֹא כְדִבְרֵי זֶה וְלֹא כְדִבְרֵי זֶה, אֶלָּא קַב וּמֶחֱצָה חַיָּבִים בְּחַלָּה. וּמִשֶּׁהִגְדִּילוּ הַמִּדּוֹת אָמְרוּ, חֲמֵשֶׁת רְבָעִים חַיָּבִין. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, חֲמִשָּׁה, פְּטוּרִין. חֲמִשָּׁה וָעוֹד, חַיָּבִין: \n", + "הִלֵּל אוֹמֵר, מְלֹא הִין מַיִם שְׁאוּבִין פּוֹסְלִין אֶת הַמִּקְוֶה, אֶלָּא שֶׁאָדָם חַיָּב לוֹמַר בִּלְשׁוֹן רַבּוֹ. וְשַׁמַּאי אוֹמֵר, תִּשְׁעָה קַבִּין. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לֹא כְדִבְרֵי זֶה וְלֹא כְדִבְרֵי זֶה, אֶלָּא עַד שֶׁבָּאוּ שְׁנֵי גַרְדִּיִּים מִשַּׁעַר הָאַשְׁפּוֹת שֶׁבִּירוּשָׁלַיִם וְהֵעִידוּ מִשּׁוּם שְׁמַעְיָה וְאַבְטַלְיוֹן, שְׁלֹשֶׁת לֻגִּין מַיִם שְׁאוּבִין פּוֹסְלִין אֶת הַמִּקְוֶה, וְקִיְּמוּ חֲכָמִים אֶת דִּבְרֵיהֶם: \n", + "וְלָמָּה מַזְכִּירִין אֶת דִּבְרֵי שַׁמַּאי וְהִלֵּל לְבַטָּלָה, לְלַמֵּד לַדּוֹרוֹת הַבָּאִים שֶׁלֹּא יְהֵא אָדָם עוֹמֵד עַל דְּבָרָיו, שֶׁהֲרֵי אֲבוֹת הָעוֹלָם לֹא עָמְדוּ עַל דִּבְרֵיהֶם: \n", + "וְלָמָּה מַזְכִּירִין דִּבְרֵי הַיָּחִיד בֵּין הַמְרֻבִּין, הוֹאִיל וְאֵין הֲלָכָה אֶלָּא כְדִבְרֵי הַמְרֻבִּין. שֶׁאִם יִרְאֶה בֵית דִּין אֶת דִּבְרֵי הַיָּחִיד וְיִסְמֹךְ עָלָיו, שֶׁאֵין בֵּית דִּין יָכוֹל לְבַטֵּל דִּבְרֵי בֵית דִּין חֲבֵרוֹ עַד שֶׁיִּהְיֶה גָדוֹל מִמֶּנּוּ בְחָכְמָה וּבְמִנְיָן. הָיָה גָדוֹל מִמֶּנּוּ בְחָכְמָה אֲבָל לֹא בְמִנְיָן, בְּמִנְיָן אֲבָל לֹא בְחָכְמָה, אֵינוֹ יָכוֹל לְבַטֵּל דְּבָרָיו, עַד שֶׁיִּהְיֶה גָדוֹל מִמֶּנּוּ בְחָכְמָה וּבְמִנְיָן: \n", + "אָמַר רַבִּי יְהוּדָה, אִם כֵּן לָמָּה מַזְכִּירִין דִּבְרֵי הַיָּחִיד בֵּין הַמְרֻבִּין לְבַטָּלָה. שֶׁאִם יֹאמַר הָאָדָם כָּךְ אֲנִי מְקֻבָּל, יֵאָמֵר לוֹ, כְּדִבְרֵי אִישׁ פְּלוֹנִי שָׁמָעְתָּ: \n", + "בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, רֹבַע עֲצָמוֹת מִן הָעֲצָמִים, בֵּין מִשְּׁנַיִם בֵּין מִשְּׁלֹשָׁה. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, רֹבַע עֲצָמוֹת מִן הַגְּוִיָּה, מֵרֹב הַבִּנְיָן אוֹ מֵרֹב הַמִּנְיָן. שַׁמַּאי אוֹמֵר, אֲפִלּוּ מֵעֶצֶם אֶחָד: \n", + "כַּרְשִׁינֵי תְרוּמָה, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, שׁוֹרִין וְשָׁפִין בְּטָהֳרָה, וּמַאֲכִילִין בְּטֻמְאָה. בֵּית הִלֵּל אוֹמְרִים, שׁוֹרִין בְּטָהֳרָה, וְשָׁפִין וּמַאֲכִילִין בְּטֻמְאָה. שַׁמַּאי אוֹמֵר, יֵאָכְלוּ צָרִיד. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, כָּל מַעֲשֵׂיהֶם בְּטֻמְאָה: \n", + "הַפּוֹרֵט סֶלַע מִמְּעוֹת מַעֲשֵׂר שֵׁנִי, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, בְּכָל הַסֶּלַע מָעוֹת, וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, בְּשֶׁקֶל כֶּסֶף וּבְשֶׁקֶל מָעוֹת. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, אֵין מְחַלְּלִין כֶּסֶף וּפֵרוֹת עַל הַכֶּסֶף. וַחֲכָמִים מַתִּירִין: \n", + "הַפּוֹרֵט סֶלַע שֶׁל מַעֲשֵׂר שֵׁנִי בִּירוּשָׁלַיִם, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, בְּכָל הַסֶּלַע מָעוֹת, וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, בְּשֶׁקֶל כֶּסֶף וּבְשֶׁקֶל מָעוֹת. הַדָּנִים לִפְנֵי חֲכָמִים אוֹמְרִים, בִּשְׁלֹשָׁה דִינָרִים כֶּסֶף וּבְדִינָר מָעוֹת. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, בִּשְׁלֹשָׁה דִינָרִים כֶּסֶף וּבִרְבִיעִית כֶּסֶף בִּרְבִיעִית מָעוֹת. וְרַבִּי טַרְפוֹן אוֹמֵר, אַרְבָּעָה אַסְפְּרֵי כָסֶף. שַׁמַּאי אוֹמֵר, יַנִּיחֶנָּה בַחֲנוּת וְיֹאכַל כְּנֶגְדָּהּ: \n", + "כִּסֵּא שֶׁל כַּלָּה שֶׁנִּטְּלוּ חִפּוּיָיו, בֵּית שַׁמַּאי מְטַמְּאִין, וּבֵית הִלֵּל מְטַהֲרִין. שַׁמַּאי אוֹמֵר, אַף מַלְבֵּן שֶׁל כִּסֵּא טָמֵא. כִּסֵּא שֶׁקְּבָעוֹ בַעֲרֵבָה, בֵּית שַׁמַּאי מְטַמְּאִין, וּבֵית הִלֵּל מְטַהֲרִין. שַׁמַּאי אוֹמֵר, אַף הֶעָשׂוּי בָּהּ: \n", + "אֵלּוּ דְבָרִים שֶׁחָזְרוּ בֵית הִלֵּל לְהוֹרוֹת כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. הָאִשָּׁה שֶׁבָּאָה מִמְּדִינַת הַיָּם וְאָמְרָה מֵת בַּעְלִי, תִּנָּשֵׂא. מֵת בַּעְלִי, תִּתְיַבֵּם. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, לֹא שָׁמַעְנוּ אֶלָּא בְּבָאָה מִן הַקָּצִיר בִּלְבָד. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית שַׁמַּאי, אַחַת הַבָּאָה מִן הַקָּצִיר וְאַחַת הַבָּאָה מִן הַזֵּיתִים וְאַחַת הַבָּאָה מִמְּדִינַת הַיָּם, לֹא דִבְּרוּ בַקָּצִיר אֶלָּא בַהֹוֶה. חָזְרוּ בֵית הִלֵּל לְהוֹרוֹת כְּבֵית שַׁמָּאי. בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, תִּנָּשֵׂא וְתִטֹּל כְּתֻבָּתָהּ. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, תִּנָּשֵׂא וְלֹא תִטֹּל כְּתֻבָּתָהּ. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית שַׁמַּאי, הִתַּרְתֶּם אֶת הָעֶרְוָה הַחֲמוּרָה, לֹא תַתִּירוּ אֶת הַמָּמוֹן הַקָּל. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית הִלֵּל, מָצִינוּ שֶׁאֵין הָאַחִים נִכְנָסִין לַנַּחֲלָה עַל פִּיהָ. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית שַׁמַּאי, וַהֲלֹא מִסֵּפֶר כְּתֻבָּתָהּ נִלְמֹד, שֶׁהוּא כוֹתֵב לָהּ, שֶׁאִם תִּנָּשְׂאִי לְאַחֵר, תִּטְּלִי מַה שֶּׁכָּתוּב לִיךְ. חָזְרוּ בֵית הִלֵּל לְהוֹרוֹת כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי: \n", + "מִי שֶׁחֶצְיוֹ עֶבֶד וְחֶצְיוֹ בֶּן חוֹרִין, עוֹבֵד אֶת רַבּוֹ יוֹם אֶחָד וְאֶת עַצְמוֹ יוֹם אֶחָד, דִּבְרֵי בֵית הִלֵּל. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית שַׁמַּאי, תִּקַּנְתֶּם אֶת רַבּוֹ, וְאֶת עַצְמוֹ לֹא תִקַּנְתֶּם. לִשָּׂא שִׁפְחָה, אֵינוֹ יָכוֹל. בַּת חוֹרִין, אֵינוֹ יָכוֹל. לִבָּטֵל, וַהֲלֹא לֹא נִבְרָא הָעוֹלָם אֶלָּא לִפְרִיָּה וּרְבִיָּה, שֶׁנֶּאֱמַר (ישעיה מה), לֹא תֹהוּ בְרָאָהּ לָשֶׁבֶת יְצָרָהּ. אֶלָּא, מִפְּנֵי תִקּוּן הָעוֹלָם, כּוֹפִין אֶת רַבּוֹ וְעוֹשֶׂה אוֹתוֹ בֶן חוֹרִין וְכוֹתֵב שְׁטָר עַל חֲצִי דָמָיו. חָזְרוּ בֵית הִלֵּל לְהוֹרוֹת כְּבֵית שַׁמָּאי: \n", + "כְּלִי חֶרֶס מַצִּיל עַל הַכֹּל, כְּדִבְרֵי בֵית הִלֵּל. וּבֵית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אֵינוֹ מַצִּיל אֶלָּא עַל הָאֳכָלִין וְעַל הַמַּשְׁקִין וְעַל כְּלֵי חָרֶס. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית הִלֵּל, מִפְּנֵי מָה. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית שַׁמַּאי, מִפְּנֵי שֶׁהוּא טָמֵא עַל גַּב עַם הָאָרֶץ, וְאֵין כְּלִי טָמֵא חוֹצֵץ. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית הִלֵּל, וַהֲלֹא טִהַרְתֶּם אֳכָלִים וּמַשְׁקִין שֶׁבְּתוֹכוֹ. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית שַׁמַּאי, כְּשֶׁטִּהַרְנוּ אֳכָלִים וּמַשְׁקִין שֶׁבְּתוֹכוֹ, לְעַצְמוֹ טִהַרְנוּ. אֲבָל כְּשֶׁטִּהַרְתָּ אֶת הַכְּלִי, טִהַרְתָּ לְךָ וָלוֹ. חָזְרוּ בֵית הִלֵּל לְהוֹרוֹת כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי: \n" + ], + [ + "רַבִּי חֲנִינָא סְגַן הַכֹּהֲנִים הֵעִיד אַרְבָּעָה דְבָרִים. מִימֵיהֶם שֶׁל כֹּהֲנִים לֹא נִמְנְעוּ מִלִּשְׂרֹף אֶת הַבָּשָׂר שֶׁנִּטְמָא בִּוְלַד הַטֻּמְאָה עִם הַבָּשָׂר שֶׁנִּטְמָא בְּאַב הַטֻּמְאָה, אַף עַל פִּי שֶׁמּוֹסִיפִין טֻמְאָה עַל טֻמְאָתוֹ. הוֹסִיף רַבִּי עֲקִיבָא, מִימֵיהֶם שֶׁל כֹּהֲנִים לֹא נִמְנְעוּ מִלְּהַדְלִיק אֶת הַשֶּׁמֶן שֶׁנִּפְסַל בִּטְבוּל יוֹם בְּנֵר שֶׁנִּטְמָא בִטְמֵא מֵת, אַף עַל פִּי שֶׁמּוֹסִיפִין טֻמְאָה עַל טֻמְאָתוֹ: ", + "אָמַר רַבִּי חֲנִינָא סְגַן הַכֹּהֲנִים, מִיָּמַי לֹא רָאִיתִי עוֹר יוֹצֵא לְבֵית הַשְּׂרֵפָה. אָמַר רַבִּי עֲקִיבָא, מִדְּבָרָיו לָמַדְנוּ, שֶׁהַמַּפְשִׁיט אֶת הַבְּכוֹר וְנִמְצָא טְרֵפָה, שֶׁיֵּאוֹתוּ הַכֹּהֲנִים בְּעוֹרוֹ. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לֹא רָאִינוּ אֵינוֹ רְאָיָה, אֶלָּא יוֹצֵא לְבֵית הַשְּׂרֵפָה: ", + "אַף הוּא הֵעִיד עַל כְּפָר קָטָן שֶׁהָיָה בְצַד יְרוּשָׁלַיִם, וְהָיָה בוֹ זָקֵן אֶחָד וְהָיָה מַלְוֶה לְכָל בְּנֵי הַכְּפָר וְכוֹתֵב בִּכְתַב יָדוֹ וַאֲחֵרִים חוֹתְמִים, וּבָא מַעֲשֶׂה לִפְנֵי חֲכָמִים וְהִתִּירוּ. לְפִי דַרְכְּךָ אַתָּה לָמֵד, שֶׁהָאִשָּׁה כּוֹתֶבֶת אֶת גִּטָּהּ וְהָאִישׁ כּוֹתֵב אֶת שׁוֹבְרוֹ, שֶׁאֵין קִיּוּם הַגֵּט אֶלָּא בְחוֹתְמָיו. וְעַל מַחַט שֶׁנִּמְצֵאת בַּבָּשָׂר, שֶׁהַסַּכִּין וְהַיָּדַיִם טְהוֹרוֹת, וְהַבָּשָׂר טָמֵא. וְאִם נִמְצֵאת בַּפֶּרֶשׁ, הַכֹּל טָהוֹר: ", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים אָמַר רַבִּי יִשְׁמָעֵאל לִפְנֵי חֲכָמִים בַּכֶּרֶם בְּיַבְנֶה. עַל בֵּיצָה טְרוּפָה שֶׁהִיא נְתוּנָה עַל גַּבֵּי יָרָק שֶׁל תְּרוּמָה, שֶׁהִיא חִבּוּר. וְאִם הָיְתָה כְמִין כּוֹבַע, אֵינָהּ חִבּוּר. וְעַל שִׁבֹּלֶת שֶׁבַּקָּצִיר וְרֹאשָׁהּ מַגִּיעַ לַקָּמָה, אִם נִקְצְרָה עִם הַקָּמָה, הֲרֵי הִיא שֶׁל בַּעַל הַבַּיִת, וְאִם לָאו, הֲרֵי הִיא שֶׁל עֲנִיִּים. וְעַל גִּנָּה קְטַנָּה שֶׁהִיא מֻקֶּפֶת עָרִיס, אִם יֶשׁ בָּהּ כִּמְלֹא בוֹצֵר וְסַלּוֹ מִכָּאן וּמְלֹא בוֹצֵר וְסַלּוֹ מִכָּאן, תִּזָּרֵעַ. וְאִם לָאו, לֹא תִזָּרֵעַ: ", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים אָמְרוּ לִפְנֵי רַבִּי יִשְׁמָעֵאל, וְלֹא אָמַר בָּהֶם לֹא אִסּוּר וְהֶתֵּר, וּפֵרְשָׁן רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ בֶּן מַתְיָא. הַמֵּפִיס מֻרְסָא בְּשַׁבָּת, אִם לַעֲשׂוֹת לָהּ פֶּה, חַיָּב, וְאִם לְהוֹצִיא מִמֶּנָּה לֵחָה, פָּטוּר. וְעַל הַצָּד נָחָשׁ בַּשַּׁבָּת, אִם מִתְעַסֵּק שֶׁלֹּא יִשְּׁכֶנּוּ, פָּטוּר, וְאִם לִרְפוּאָה, חַיָּב. וְעַל לְפָסִין אִירוֹנִיּוֹת, שֶׁהֵם טְהוֹרוֹת בְּאֹהֶל הַמֵּת וּטְמֵאוֹת בְּמַשָּׂא הַזָּב. רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן צָדוֹק אוֹמֵר, אַף בְּמַשָּׂא הַזָּב, טְהוֹרוֹת, מִפְּנֵי שֶׁלֹּא נִגְמְרָה מְלַאכְתָּן: ", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים אָמַר רַבִּי יִשְׁמָעֵאל וְלֹא הוֹדָה לוֹ רַבִּי עֲקִיבָא. הַשּׁוּם וְהַבֹּסֶר וְהַמְּלִילוֹת שֶׁרִסְּקָן מִבְּעוֹד יוֹם, שֶׁרַבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר, יִגְמֹר מִשֶּׁתֶּחְשָׁךְ, וְרַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, לֹא יִגְמֹר: ", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים אָמְרוּ לִפְנֵי רַבִּי עֲקִיבָא, שְׁנַיִם מִשּׁוּם רַבִּי אֱלִיעֶזֶר וְאֶחָד מִשּׁוּם רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ. שְׁנַיִם מִשּׁוּם רַבִּי אֱלִיעֶזֶר, יוֹצֵאת אִשָּׁה בְעִיר שֶׁל זָהָב, וּמַפְרִיחֵי יוֹנִים פְּסוּלִים לְעֵדוּת. וְאֶחָד מִשּׁוּם רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, הַשֶּׁרֶץ בְּפִי חֻלְדָּה וּמְהַלֶּכֶת עַל גַּבֵּי כִכָּרוֹת שֶׁל תְּרוּמָה, סָפֵק נָגַע סָפֵק לֹא נָגַע, סְפֵקוֹ טָהוֹר: ", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים אָמַר רַבִּי עֲקִיבָא, עַל שְׁנַיִם הוֹדוּ לוֹ וְעַל אֶחָד לֹא הוֹדוּ לוֹ. עַל סַנְדָּל שֶׁל סַיָּדִים, שֶׁהוּא טָמֵא מִדְרָס. וְעַל שְׁיָרֵי תַנּוּר אַרְבָּעָה, שֶׁהָיוּ אוֹמְרִים שְׁלֹשָׁה. וְהוֹדוּ לוֹ. וְעַל אֶחָד לֹא הוֹדוּ לוֹ, עַל כִּסֵּא שֶׁנִּטְּלוּ שְׁנַיִם מֵחִפּוּיָיו זֶה בְּצַד זֶה, שֶׁרַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: ", + "הוּא הָיָה אוֹמֵר, הָאָב זוֹכֶה לַבֵּן, בַּנּוֹי, וּבַכֹּחַ, וּבָעֹשֶׁר, וּבַחָכְמָה, וּבַשָּׁנִים, וּבְמִסְפַּר הַדּוֹרוֹת לְפָנָיו, וְהוּא הַקֵּץ, שֶׁנֶּאֱמַר (ישעיה מא) קֹרֵא הַדֹּרוֹת מֵרֹאשׁ, אַף עַל פִּי שֶׁנֶּאֱמַר (בראשית טו), וַעֲבָדוּם וְעִנּוּ אֹתָם אַרְבַּע מֵאוֹת שָׁנָה, וְנֶאֱמַר (שם), וְדוֹר רְבִיעִי יָשׁוּבוּ הֵנָּה: ", + "אַף הוּא הָיָה אוֹמֵר, חֲמִשָּׁה דְבָרִים שֶׁל שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ. מִשְׁפַּט דּוֹר הַמַּבּוּל, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ. מִשְׁפַּט אִיּוֹב, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ. מִשְׁפַּט הַמִּצְרִיִּים, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ. מִשְׁפַּט גּוֹג וּמָגוֹג לֶעָתִיד לָבֹא, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ. מִשְׁפַּט רְשָׁעִים בְּגֵיהִנֹּם, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ, שֶׁנֶּאֱמַר (ישעיה סו), וְהָיָה מִדֵּי חֹדֶשׁ בְּחָדְשׁוֹ. רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי אוֹמֵר, מִן הַפֶּסַח וְעַד הָעֲצֶרֶת, שֶׁנֶּאֱמַר וּמִדֵּי שַׁבָּת בְּשַׁבַּתּוֹ: " + ], + [ + "כָּל הַמְטַמְּאִין בְּאֹהֶל שֶׁנֶּחְלְקוּ, וְהִכְנִיסָן לְתוֹךְ הַבַּיִת, רַבִּי דוֹסָא בֶּן הַרְכִּינַס מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. כֵּיצַד. הַנּוֹגֵעַ בְּכִשְׁנֵי חֲצָאֵי זֵיתִים מִן הַנְּבֵלָה אוֹ נוֹשְׂאָן, וּבַמֵּת, הַנּוֹגֵעַ בְּכַחֲצִי זַיִת וּמַאֲהִיל עַל כַּחֲצִי זַיִת אוֹ נוֹגֵעַ בְּכַחֲצִי זַיִת וְכַחֲצִי זַיִת מַאֲהִיל עָלָיו, וּמַאֲהִיל עַל כִּשְׁנֵי חֲצָאֵי זֵיתִים, מַאֲהִיל עַל כַּחֲצִי זַיִת וְכַחֲצִי זַיִת מַאֲהִיל עָלָיו, רַבִּי דוֹסָא בֶּן הַרְכִּינַס מְטַהֵר וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. אֲבָל הַנּוֹגֵעַ בְּכַחֲצִי זַיִת וְדָבָר אַחֵר מַאֲהִיל עָלָיו וְעַל כַּחֲצִי זַיִת, אוֹ מַאֲהִיל עַל כַּחֲצִי זַיִת וְדָבָר אַחֵר מַאֲהִיל עָלָיו וְעַל כַּחֲצִי זַיִת, טָהוֹר. אָמַר רַבִּי מֵאִיר, אַף בָּזֶה רַבִּי דוֹסָא מְטַהֵר וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. הַכֹּל טָמֵא, חוּץ מִן הַמַּגָּע עִם הַמַּשָּׂא, וְהַמַּשָּׂא עִם הָאֹהֶל. זֶה הַכְּלָל, כֹּל שֶׁהוּא מִשֵּׁם אֶחָד, טָמֵא. מִשְּׁנֵי שֵׁמוֹת, טָהוֹר: \n", + "אֹכֶל פָּרוּד, אֵינוֹ מִצְטָרֵף, דִּבְרֵי רַבִּי דוֹסָא בֶּן הַרְכִּינַס. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, מִצְטָרֵף. מְחַלְּלִין מַעֲשֵׂר שֵׁנִי עַל אֲסִימוֹן, דִּבְרֵי רַבִּי דוֹסָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין מְחַלְּלִין. מַטְבִּילִין יָדַיִם לַחַטָּאת, דִּבְרֵי רַבִּי דוֹסָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אִם נִטְמְאוּ יָדָיו, נִטְמָא גוּפוֹ: \n", + "מְעֵי אֲבַטִּיחַ וּקְנִיבַת יָרָק שֶׁל תְּרוּמָה, רַבִּי דוֹסָא מַתִּיר לְזָרִים, וַחֲכָמִים אוֹסְרִין. חָמֵשׁ רְחֵלוֹת גְּזוּזוֹת מָנֶה מָנֶה וּפְרַס, חַיָּבוֹת בְּרֵאשִׁית הַגֵּז, דִּבְרֵי רַבִּי דוֹסָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, חָמֵשׁ רְחֵלוֹת כָּל שֶׁהֵן: \n", + "כָּל הַחוֹצָלוֹת טְמֵאוֹת טְמֵא מֵת, דִּבְרֵי רַבִּי דוֹסָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, מִדְרָס. כָּל הַקְּלִיעוֹת טְהוֹרוֹת, חוּץ מִשֶּׁל גַּלְגִּילוֹן, דִּבְרֵי רַבִּי דוֹסָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, כֻּלָּם טְמֵאוֹת, חוּץ מִשֶּׁל צַמָּרִים: \n", + "הַקֶּלַע שֶׁבֵּית קִבּוּל שֶׁלָּהּ אָרוּג, טְמֵאָה. וְשֶׁל עוֹר, רַבִּי דוֹסָא בֶּן הַרְכִּינָס מְטַהֵר וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. נִפְסַק בֵּית אֶצְבַּע שֶׁלָּהּ, טְהוֹרָה. בֵּית הַפָּקִיעַ שֶׁלָּהּ, טְמֵאָה: \n", + "הַשְּׁבוּיָה אוֹכֶלֶת בַּתְּרוּמָה, דִּבְרֵי רַבִּי דוֹסָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, יֵשׁ שְׁבוּיָה אוֹכֶלֶת וְיֵשׁ שְׁבוּיָה שֶׁאֵינָהּ אוֹכֶלֶת. כֵּיצַד. הָאִשָּׁה שֶׁאָמְרָה נִשְׁבֵּיתִי וּטְהוֹרָה אָנִי, אוֹכֶלֶת, שֶׁהַפֶּה שֶׁאָסַר הוּא הַפֶּה שֶׁהִתִּיר. וְאִם יֵשׁ עֵדִים שֶׁנִּשְׁבֵּית, וְהִיא אוֹמֶרֶת טְהוֹרָה אָנִי, אֵינָהּ אוֹכֶלֶת: \n", + "אַרְבָּעָה סְפֵקוֹת רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. כֵּיצַד. הַטָּמֵא עוֹמֵד וְהַטָּהוֹר עוֹבֵר, הַטָּהוֹר עוֹמֵד וְהַטָּמֵא עוֹבֵר, טֻמְאָה בִּרְשׁוּת הַיָּחִיד וְטָהֳרָה בִּרְשׁוּת הָרַבִּים, טָהֳרָה בִּרְשׁוּת הַיָּחִיד וְטֻמְאָה בִּרְשׁוּת הָרַבִּים, סָפֵק נָגַע סָפֵק לֹא נָגַע, סָפֵק הֶאֱהִיל סָפֵק לֹא הֶאֱהִיל, סָפֵק הֵסִיט סָפֵק לֹא הֵסִיט, רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: \n", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים רַבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. מַסְמֵר הַשֻּׁלְחָנִי, וְאָרוֹן שֶׁל גָּרוֹסוֹת, וּמַסְמֵר שֶׁל אֶבֶן שָׁעוֹת, רַבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: \n", + "אַרְבָּעָה דְבָרִים רַבָּן גַּמְלִיאֵל מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. כִּסּוּי טֶנִי שֶׁל מַתָּכוֹת שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, וּתְלוֹי הַמַּגְרֵדוֹת, וְגָלְמֵי כְלֵי מַתָּכוֹת, וְטַבְלָא שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנָיִם. וּמוֹדִים חֲכָמִים לְרַבָּן גַּמְלִיאֵל בְּטַבְלָא שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנַיִם, אֶחָד גָּדוֹל וְאֶחָד קָטָן, הַגָּדוֹל טָמֵא וְהַקָּטָן טָהוֹר: \n", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים רַבָּן גַּמְלִיאֵל מַחְמִיר כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. אֵין טוֹמְנִין אֶת הַחַמִּין מִיּוֹם טוֹב לְשַׁבָּת, וְאֵין זוֹקְפִין אֶת הַמְּנוֹרָה בְּיוֹם טוֹב, וְאֵין אוֹפִין פִּתִּין גְּרִיצִין אֶלָּא רְקִיקִין. אָמַר רַבָּן גַּמְלִיאֵל, מִימֵיהֶן שֶׁל בֵּית אַבָּא לֹא הָיוּ אוֹפִין פִּתִּין גְּרִיצִין אֶלָּא רְקִיקִין. אָמְרוּ לוֹ, מַה נַּעֲשֶׂה לְבֵית אָבִיךָ שֶׁהָיוּ מַחְמִירִין עַל עַצְמָן וּמְקִלִּין עַל יִשְׂרָאֵל לִהְיוֹת אוֹפִין פִּתִּין גְּרִיצִין וָחֹרִי: \n", + "אַף הוּא אָמַר שְׁלֹשָׁה דְבָרִים לְהָקֵל. מְכַבְּדִין בֵּין הַמִּטּוֹת, וּמְנִיחִין אֶת הַמֻּגְמָר בְּיוֹם טוֹב, וְעוֹשִׂים גְּדִי מְקֻלָּס בְּלֵילֵי פְסָחִים. וַחֲכָמִים אוֹסְרִים: \n", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה מַתִּיר, וַחֲכָמִים אוֹסְרִין. פָּרָתוֹ יוֹצְאָה בִרְצוּעָה שֶׁבֵּין קַרְנֶיהָ, וּמְקָרְדִין אֶת הַבְּהֵמָה בְּיוֹם טוֹב, וְשׁוֹחֲקִין אֶת הַפִּלְפְּלִין בָּרֵחַיִם שֶׁלָּהֶן. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אֵין מְקָרְדִין אֶת הַבְּהֵמָה בְּיוֹם טוֹב, מִפְּנֵי שֶׁהוּא עוֹשֶׂה חַבּוּרָה, אֲבָל מְקַרְצְפִין. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין מְקָרְדִין אַף לֹא מְקַרְצְפִין: \n" + ], + [ + "אֵלּוּ דְבָרִים מִקֻּלֵּי בֵית שַׁמַּאי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הִלֵּל. בֵּיצָה שֶׁנּוֹלְדָה בְיוֹם טוֹב, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, תֵּאָכֵל. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, לֹא תֵאָכֵל. בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, שְׂאֹר בְּכַזַּיִת וְחָמֵץ בְּכַכּוֹתֶבֶת. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, זֶה וָזֶה בְּכַזָּיִת: \n", + "בְּהֵמָה שֶׁנּוֹלְדָה בְיוֹם טוֹב, הַכֹּל מוֹדִים שֶׁהִיא מֻתֶּרֶת. וְאֶפְרוֹחַ שֶׁיָּצָא מִן הַבֵּיצָה, הַכֹּל מוֹדִים שֶׁהוּא אָסוּר. הַשּׁוֹחֵט חַיָּה וָעוֹף בְּיוֹם טוֹב, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, יַחְפֹּר בַּדֶּקֶר וִיכַסֶּה. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, לֹא יִשְׁחֹט אֶלָּא אִם כֵּן הָיָה לוֹ עָפָר מוּכָן. וּמוֹדִים שֶׁאִם שָׁחַט, שֶׁיַּחְפֹּר בַּדֶּקֶר וִיכַסֶּה. שֶׁאֵפֶר כִּירָה מוּכָן הוּא: \n", + "בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, הֶבְקֵר לָעֲנִיִּים, הֶבְקֵר. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, אֵינוֹ הֶבְקֵר, עַד שֶׁיֻּבְקַר אַף לָעֲשִׁירִים כַּשְּׁמִטָּה. כָּל עָמְרֵי הַשָּׂדֶה שֶׁל קַב קַב, וְאֶחָד שֶׁל אַרְבָּעָה קַבִּין, וּשְׁכָחוֹ, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אֵינוֹ שִׁכְחָה. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, שִׁכְחָה: \n", + "הָעֹמֶר שֶׁהוּא סָמוּךְ לַגַּפָּה וְלַגָּדִישׁ וְלַבָּקָר וְלַכֵּלִים, וּשְׁכָחוֹ, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אֵינוֹ שִׁכְחָה. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, שִׁכְחָה: \n", + "כֶּרֶם רְבָעִי, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אֵין לוֹ חֹמֶשׁ וְאֵין לוֹ בִעוּר. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, יֶשׁ לוֹ חֹמֶשׁ וְיֶשׁ לוֹ בִעוּר. בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, יֶשׁ לוֹ פֶרֶט וְיֶשׁ לוֹ עוֹלְלוֹת, וְהָעֲנִיִּים פּוֹדִים לְעַצְמָן. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, כֻּלּוֹ לַגָּת: \n", + "חָבִית שֶׁל זֵיתִים מְגֻלְגָּלִים, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אֵינוֹ צָרִיךְ לְנַקֵּב. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, צָרִיךְ לְנַקֵּב. וּמוֹדִים, שֶׁאִם נִקְּבָהּ וּסְתָמוּהָ שְׁמָרִים, שֶׁהִיא טְהוֹרָה. הַסָּךְ בְּשֶׁמֶן טָהוֹר וְנִטְמָא, יָרַד וְטָבַל, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אַף עַל פִּי שֶׁהוּא מְנַטֵּף, טָהוֹר. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, כְּדֵי סִיכַת אֵבֶר קָטָן. וְאִם הָיָה שֶׁמֶן טָמֵא מִתְּחִלָּתוֹ, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, כְּדֵי סִיכַת אֵבֶר קָטָן. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, מַשְׁקֶה טוֹפֵחַ. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר מִשּׁוּם בֵּית הִלֵּל, טוֹפֵחַ וּמַטְפִּיחַ: \n", + "הָאִשָּׁה מִתְקַדֶּשֶׁת בְּדִינָר וּבְשָׁוֶה דִינָר, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, בִּפְרוּטָה וּבְשָׁוֶה פְרוּטָה. וְכַמָּה הִיא פְרוּטָה, אֶחָד מִשְּׁמֹנָה בְאִסָּר הָאִיטַלְקִי. בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, פּוֹטֵר הוּא אֶת אִשְׁתּוֹ בְגֵט יָשָׁן, וּבֵית הִלֵּל אוֹסְרִין. אֵיזֶהוּ גֵט יָשָׁן. כָּל שֶׁנִּתְיַחֵד עִמָּהּ אַחַר שֶׁכְּתָבוֹ לָהּ. הַמְגָרֵשׁ אֶת אִשְׁתּוֹ וְלָנָה עִמּוֹ בְפֻנְדְּקִי, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אֵינָהּ צְרִיכָה מִמֶּנּוּ גֵט שֵׁנִי. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, צְרִיכָה מִמֶּנּוּ גֵט שֵׁנִי. אֵימָתַי, בִּזְמַן שֶׁנִּתְגָּרְשָׁה מִן הַנִּשּׂוּאִין. אֲבָל אִם נִתְגָּרְשָׁה מִן הָאֵרוּסִין, אֵינָהּ צְרִיכָה מִמֶּנּוּ גֵט שֵׁנִי, מִפְּנֵי שֶׁאֵין לִבּוֹ גַס בָּהּ: \n", + "בֵּית שַׁמַּאי מַתִּירִין אֶת הַצָּרוֹת לָאַחִים, וּבֵית הִלֵּל אוֹסְרִין. חָלְצוּ, בֵּית שַׁמַּאי פּוֹסְלִין מִן הַכְּהֻנָּה, וּבֵית הִלֵּל מַכְשִׁירִין. נִתְיַבְּמוּ, בֵּית שַׁמַּאי מַכְשִׁירִין, וּבֵית הִלֵּל פּוֹסְלִין. וְאַף עַל פִּי שֶׁאֵלּוּ פוֹסְלִין וְאֵלּוּ מַכְשִׁירִין, לֹא נִמְנְעוּ בֵית שַׁמַּאי מִלִּשָּׂא נָשִׁים מִבֵּית הִלֵּל, וְלֹא בֵית הִלֵּל מִלִּשָּׂא נָשִׁים מִבֵּית שַׁמָּאי. וְכָל הַטָּהֳרוֹת וְהַטֻּמְאוֹת שֶׁהָיוּ אֵלּוּ מְטַהֲרִין וְאֵלּוּ מְטַמְּאִין, לֹא נִמְנְעוּ לִהְיוֹת עוֹשִׂים טָהֳרוֹת אֵלּוּ עַל גַּב אֵלּוּ: \n", + "שְׁלֹשָׁה אַחִים, שְׁנַיִם מֵהֶם נְשׂוּאִים לִשְׁתֵּי אֲחָיוֹת וְאֶחָד מֻפְנֶה, מֵת אֶחָד מִבַּעֲלֵי אֲחָיוֹת וְעָשָׂה בָהּ מֻפְנֶה מַאֲמָר, וְאַחַר כָּךְ מֵת אָחִיו הַשֵּׁנִי, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אִשְׁתּוֹ עִמּוֹ, וְהַלָּה תֵּצֵא מִשּׁוּם אֲחוֹת אִשָּׁה. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, מוֹצִיא אֶת אִשְׁתּוֹ בְּגֵט וַחֲלִיצָה, וְאֶת אֵשֶׁת אָחִיו בַּחֲלִיצָה. זוֹ הִיא שֶׁאָמְרוּ, אִי לוֹ עַל אִשְׁתּוֹ וְאִי לוֹ עַל אֵשֶׁת אָחִיו: \n", + "הַמַּדִּיר אֶת אִשְׁתּוֹ מִתַּשְׁמִישׁ הַמִּטָּה, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, שְׁתֵּי שַׁבָּתוֹת. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, שַׁבָּת אֶחָת. הַמַּפֶּלֶת לְאוֹר שְׁמֹנִים וְאֶחָד, בֵּית שַׁמַּאי פּוֹטְרִין מִן הַקָּרְבָּן, וּבֵית הִלֵּל מְחַיְּבִין. סָדִין בְּצִיצִית, בֵּית שַׁמַּאי פּוֹטְרִין, וּבֵית הִלֵּל מְחַיְּבִים. כַּלְכָּלַת הַשַּׁבָּת, בֵּית שַׁמַּאי פּוֹטְרִין, וּבֵית הִלֵּל מְחַיְּבִין: \n", + "מִי שֶׁנָּדַר נְזִירוּת מְרֻבָּה וְהִשְׁלִים נְזִירוּתוֹ וְאַחַר כָּךְ בָּא לָאָרֶץ, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, נָזִיר שְׁלֹשִׁים יוֹם. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, נָזִיר בַּתְּחִלָּה. מִי שֶׁהָיוּ שְׁתֵּי כִתֵּי עֵדִים מְעִידוֹת אוֹתוֹ, אֵלּוּ מְעִידִים שֶׁנָּדַר שְׁתַּיִם וְאֵלּוּ מְעִידִים שֶׁנָּדַר חָמֵשׁ, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, נֶחְלְקָה הָעֵדוּת וְאֵין כָּאן נְזִירוּת. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, יֵשׁ בִּכְלָל חָמֵשׁ שְׁתַּיִם, שֶׁיִּהְיֶה נָזִיר שְׁתָּיִם: \n", + "אָדָם שֶׁהוּא נָתוּן תַּחַת הַסֶּדֶק, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אֵינוֹ מֵבִיא אֶת הַטֻּמְאָה. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, אָדָם חָלוּל הוּא, וְהַצַּד הָעֶלְיוֹן מֵבִיא אֶת הַטֻּמְאָה: \n" + ], + [ + "רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שִׁשָּׁה דְבָרִים מִקֻּלֵּי בֵית שַׁמַּאי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הִלֵּל. דַּם נְבֵלוֹת, בֵּית שַׁמַּאי מְטַהֲרִין, וּבֵית הִלֵּל מְטַמְּאִין. בֵּיצַת הַנְּבֵלָה, אִם יֵשׁ כַּיּוֹצֵא בָהּ נִמְכֶּרֶת בַּשּׁוּק, מֻתֶּרֶת. וְאִם לָאו, אֲסוּרָה, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. וּבֵית הִלֵּל אוֹסְרִין. וּמוֹדִים בְּבֵיצַת טְרֵפָה שֶׁהִיא אֲסוּרָה, מִפְּנֵי שֶׁגָּדְלָה בְאִסּוּר. דַּם נָכְרִית וְדַם טָהֳרָה שֶׁל מְצֹרַעַת, בֵּית שַׁמַּאי מְטַהֲרִין. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, כְּרֻקָּהּ וּכְמֵימֵי רַגְלֶיהָ. אוֹכְלִין פֵּרוֹת שְׁבִיעִית בְּטוֹבָה וְשֶׁלֹּא בְטוֹבָה, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, אֵין אוֹכְלִים אֶלָּא בְטוֹבָה. הַחֵמֶת, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, צְרוּרָה עוֹמֶדֶת. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, אַף עַל פִּי שֶׁאֵינָהּ צְרוּרָה: \n", + "רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, שִׁשָּׁה דְבָרִים מִקֻּלֵי בֵית שַׁמַּאי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הִלֵּל. הָעוֹף עוֹלֶה עִם הַגְּבִינָה עַל הַשֻּׁלְחָן וְאֵינוֹ נֶאֱכָל, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, אֵינוֹ עוֹלֶה וְאֵינוֹ נֶאֱכָל. תּוֹרְמִין זֵיתִים עַל שֶׁמֶן, וַעֲנָבִים עַל יַיִן, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, אֵין תּוֹרְמִין. הַזּוֹרֵעַ אַרְבַּע אַמּוֹת שֶׁבַּכֶּרֶם, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, קִדֵּשׁ שׁוּרָה אַחַת, וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, קִדֵּשׁ שְׁתֵּי שׁוּרוֹת. הַמְּעִיסָה, בֵּית שַׁמַּאי פּוֹטְרִין, וּבֵית הִלֵּל מְחַיְּבִין. מַטְבִּילִין בְּחַרְדָּלִית, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, אֵין מַטְבִּילִין. גֵּר שֶׁנִּתְגַּיֵּר עַרְבֵי פְסָחִים, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, טוֹבֵל וְאוֹכֵל אֶת פִּסְחוֹ לָעֶרֶב. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, הַפּוֹרֵשׁ מִן הָעָרְלָה, כְּפוֹרֵשׁ מִן הַקָּבֶר: \n", + "רַבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר, שְׁלֹשָׁה דְבָרִים מִקֻּלֵּי בֵית שַׁמַּאי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הִלֵּל. קֹהֶלֶת אֵינוֹ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, מְטַמֵּא אֶת הַיָּדָיִם. מֵי חַטָּאת שֶׁעָשׂוּ מִצְוָתָן, בֵּית שַׁמַּאי מְטַהֲרִין, וּבֵית הִלֵּל מְטַמְּאִין. הַקֶּצַח, בֵּית שַׁמַּאי מְטַהֲרִין וּבֵית הִלֵּל מְטַמְּאִין. וְכֵן לַמַּעַשְׂרוֹת: \n", + "רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, שְׁנֵי דְבָרִים מִקֻּלֵּי בֵית שַׁמַּאי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הִלֵּל. דַּם יוֹלֶדֶת שֶׁלֹּא טָבְלָה, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, כְּרֻקָּהּ וּכְמֵימֵי רַגְלֶיהָ. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, מְטַמֵּא לַח וְיָבֵשׁ. וּמוֹדִים בְּיוֹלֶדֶת בְּזוֹב שֶׁהוּא מְטַמֵּא לַח וְיָבֵשׁ: \n", + "אַרְבָּעָה אַחִים, שְׁנַיִם מֵהֶם נְשׂוּאִין שְׁתֵּי אֲחָיוֹת, מֵתוּ הַנְּשׂוּאִים לַאֲחָיוֹת, הֲרֵי אֵלּוּ חוֹלְצוֹת וְלֹא מִתְיַבְּמוֹת. וְאִם קָדְמוּ וְכָנְסוּ, יוֹצִיאוּ. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר מִשּׁוּם בֵּית שַׁמַּאי, יְקַיְּמוּ. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, יוֹצִיאוּ: \n", + "עֲקַבְיָא בֶּן מַהֲלַלְאֵל הֵעִיד אַרְבָּעָה דְבָרִים. אָמְרוּ לוֹ, עֲקַבְיָא, חֲזֹר בְּךָ בְאַרְבָּעָה דְבָרִים שֶׁהָיִיתָ אוֹמֵר וְנַעַשְׂךָ אַב בֵּית דִּין לְיִשְׂרָאֵל. אָמַר לָהֶן, מוּטָב לִי לְהִקָּרֵא שׁוֹטֶה כָּל יָמַי, וְלֹא לֵעָשׂוֹת שָׁעָה אַחַת רָשָׁע לִפְנֵי הַמָּקוֹם, שֶׁלֹּא יִהְיוּ אוֹמְרִים, בִּשְׁבִיל שְׂרָרָה חָזַר בּוֹ. הוּא הָיָה מְטַמֵּא שְׂעַר הַפְּקֻדָּה וְדַם הַיָּרוֹק. וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. הוּא הָיָה מַתִּיר שְׂעַר בְּכוֹר בַּעַל מוּם שֶׁנָּשַׁר וְהִנִּיחוֹ בְחַלּוֹן וְאַחַר כָּךְ שְׁחָטוֹ, וַחֲכָמִים אוֹסְרִים. הוּא הָיָה אוֹמֵר, אֵין מַשְׁקִין לֹא אֶת הַגִּיֹּרֶת וְלֹא אֶת שִׁפְחָה הַמְשֻׁחְרֶרֶת. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, מַשְׁקִין. אָמְרוּ לוֹ, מַעֲשֶׂה בְּכַרְכְּמִית, שִׁפְחָה מְשֻׁחְרֶרֶת שֶׁהָיְתָה בִירוּשָׁלַיִם, וְהִשְׁקוּהָ שְׁמַעְיָה וְאַבְטַלְיוֹן. אָמַר לָהֶם, דֻּגְמָא הִשְׁקוּהָ. וְנִדּוּהוּ, וּמֵת בְּנִדּוּיוֹ, וְסָקְלוּ בֵית דִּין אֶת אֲרוֹנוֹ. אָמַר רַבִּי יְהוּדָה, חַס וְשָׁלוֹם שֶׁעֲקַבְיָא נִתְנַדָּה, שֶׁאֵין עֲזָרָה נִנְעֶלֶת בִּפְנֵי כָל אָדָם מִיִּשְׂרָאֵל בְּחָכְמָה וּבְיִרְאַת חֵטְא כַּעֲקַבְיָא בֶּן מַהֲלַלְאֵל. וְאֶת מִי נִדּוּ, אֱלִיעֶזֶר בֶּן חֲנוֹךְ, שֶׁפִּקְפֵּק בְּטָהֳרַת יָדָיִם. וּכְשֶׁמֵּת, שָׁלְחוּ בֵית דִּין וְהִנִּיחוּ אֶבֶן עַל אֲרוֹנוֹ. מְלַמֵּד שֶׁכָּל הַמִּתְנַדֶּה וּמֵת בְּנִדּוּיוֹ, סוֹקְלִין אֶת אֲרוֹנוֹ: \n", + "בִּשְׁעַת מִיתָתוֹ אָמַר לִבְנוֹ, בְּנִי, חֲזֹר בְּךָ בְאַרְבָּעָה דְבָרִים שֶׁהָיִיתִי אוֹמֵר. אָמַר לוֹ, וְלָמָּה לֹא חָזַרְתָּ בָּךְ. אָמַר לוֹ, אֲנִי שָׁמַעְתִּי מִפִּי הַמְרֻבִּים, וְהֵם שָׁמְעוּ מִפִּי הַמְרֻבִּים. אֲנִי עָמַדְתִּי בִשְׁמוּעָתִי, וְהֵם עָמְדוּ בִשְׁמוּעָתָן. אֲבָל אַתָּה שָׁמַעְתָּ מִפִּי הַיָּחִיד, וּמִפִּי הַמְרֻבִּין. מוּטָב לְהַנִּיחַ דִּבְרֵי הַיָּחִיד, וְלֶאֱחֹז בְּדִבְרֵי הַמְרֻבִּין. אָמַר לוֹ, אַבָּא, פְּקֹד עָלַי לַחֲבֵרֶיךָ. אָמַר לוֹ, אֵינִי מַפְקִיד. אָמַר לוֹ, שֶׁמָּא עִילָה מָצָאתָ בִי. אָמַר לוֹ, לָאו. מַעֲשֶׂיךָ יְקָרְבוּךָ וּמַעֲשֶׂיךָ יְרַחֲקוּךָ: \n" + ], + [ + "רַבִּי יְהוּדָה בֶּן בָּבָא הֵעִיד חֲמִשָּׁה דְבָרִים. שֶׁמְּמָאֲנִים אֶת הַקְּטַנּוֹת, וְשֶׁמַּשִּׂיאִין אֶת הָאִשָּׁה עַל פִּי עֵד אֶחָד, וְשֶׁנִּסְקַל תַּרְנְגוֹל בִּירוּשָׁלַיִם עַל שֶׁהָרַג אֶת הַנֶּפֶשׁ, וְעַל הַיַּיִן בֶּן אַרְבָּעִים יוֹם שֶׁנִּתְנַסֵּךְ עַל גַּב הַמִּזְבֵּחַ, וְעַל תָּמִיד שֶׁל שַׁחַר שֶׁקָּרַב בְּאַרְבַּע שָׁעוֹת: \n", + "הֵעִיד רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ וְרַבִּי נְחוּנְיָא בֶּן אֱלִינָתָן אִישׁ כְּפַר הַבַּבְלִי, עַל אֵבֶר מִן הַמֵּת שֶׁהוּא טָמֵא, שֶׁרַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, לֹא אָמְרוּ אֶלָּא עַל אֵבֶר מִן הַחַי. אָמְרוּ לוֹ, וַהֲלֹא קַל וָחֹמֶר. וּמַה מִן הַחַי שֶׁהוּא טָהוֹר, אֵבֶר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ טָמֵא, הַמֵּת שֶׁהוּא טָמֵא, אֵינוֹ דִין שֶׁיִּהְיֶה אֵבֶר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ טָמֵא. אָמַר לָהֶם, לֹא אָמְרוּ אֶלָּא עַל אֵבֶר מִן הַחַי. דָּבָר אַחֵר, מְרֻבָּה טֻמְאַת הַחַיִּים מִטֻּמְאַת הַמֵּתִים, שֶׁהַחַי עוֹשֶׂה מִשְׁכָּב וּמוֹשָׁב מִתַּחְתָּיו, לְטַמֵּא אָדָם וּלְטַמֵּא בְגָדִים, וְעַל גַּבָּיו מַדָּף לְטַמֵּא אֳכָלִים וּמַשְׁקִין, מַה שֶּׁאֵין הַמֵּת מְטַמֵּא: \n", + "כַּזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבָר מִן הַחַי, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַמֵּא, וְרַבִּי יְהוֹשֻׁעַ וְרַבִּי נְחוּנְיָא מְטַהֲרִים. עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבָר מִן הַחַי, רַבִּי נְחוּנְיָא מְטַמֵּא, וְרַבִּי אֱלִיעֶזֶר וְרַבִּי יְהוֹשֻׁעַ מְטַהֲרִין. אָמְרוּ לוֹ לְרַבִּי אֱלִיעֶזֶר, מָה רָאִיתָ לְטַמֵּא כַזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבָר מִן הַחַי. אָמַר לָהֶם, מָצִינוּ אֵבֶר מִן הַחַי כְּמֵת שָׁלֵם. מַה הַמֵּת, כַּזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ טָמֵא, אַף אֵבֶר מִן הַחַי, כַּזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ יִהְיֶה טָמֵא. אָמְרוּ לוֹ, לֹא, אִם טִמֵּאתָ כַזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִן הַמֵּת, שֶׁכֵּן טִמֵּאתָ עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ, תְּטַמֵּא כַזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבָר מִן הַחַי, שֶׁכֵּן טִהַרְתָּ עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ הֵימֶנּוּ. אָמְרוּ לוֹ לְרַבִּי נְחוּנְיָא, מָה רָאִיתָ לְטַמֵּא עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבָר מִן הַחַי. אָמַר לָהֶם, מָצִינוּ אֵבֶר מִן הַחַי כְּמֵת שָׁלֵם. מַה הַמֵּת, עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ טָמֵא, אַף אֵבֶר מִן הַחַי, עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ יִהְיֶה טָמֵא. אָמְרוּ לוֹ, לֹא, אִם טִמֵּאתָ עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מִן הַמֵּת, שֶׁכֵּן טִמֵּאתָ כַזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ, תְּטַמֵּא עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבָר מִן הַחַי, שֶׁכֵּן טִהַרְתָּ כַזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ. אָמְרוּ לוֹ לְרַבִּי אֱלִיעֶזֶר, מָה רָאִיתָ לַחֲלֹק מִדּוֹתֶיךָ, אוֹ טַמֵּא בִשְׁנֵיהֶם אוֹ טַהֵר בִּשְׁנֵיהֶם. אָמַר לָהֶם, מְרֻבָּה טֻמְאַת הַבָּשָׂר מִטֻּמְאַת הָעֲצָמוֹת, שֶׁהַבָּשָׂר נוֹהֵג בַּנְּבֵלוֹת וּבַשְּׁרָצִים, מַה שֶּׁאֵין כֵּן בָּעֲצָמוֹת. דָּבָר אַחֵר, אֵבֶר שֶׁיֵּשׁ עָלָיו בָּשָׂר כָּרָאוּי, מְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא וּבְאֹהֶל. חָסֵר הַבָּשָׂר, טָמֵא. חָסֵר הָעֶצֶם, טָהוֹר. אָמְרוּ לוֹ לְרַבִּי נְחוּנְיָא, מָה רָאִיתָ לַחֲלֹק מִדּוֹתֶיךָ, אוֹ טַמֵּא בִשְׁנֵיהֶם אוֹ טַהֵר בִּשְׁנֵיהֶם. אָמַר לָהֶם, מְרֻבָּה טֻמְאַת הָעֲצָמוֹת מִטֻּמְאַת הַבָּשָׂר, שֶּׁהַבָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִן הַחַי טָהוֹר, וְאֵבָר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ, וְהוּא כִבְרִיָּתוֹ, טָמֵא. דָּבָר אַחֵר, כַּזַּיִת בָּשָׂר מְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא וּבְאֹהֶל, וְרֹב עֲצָמוֹת מְטַמְּאִים בְּמַגָּע וּבְמַשָּׂא וּבְאֹהֶל. חָסֵר הַבָּשָׂר, טָהוֹר. חָסֵר רֹב עֲצָמוֹת, אַף עַל פִּי שֶׁטָּהוֹר מִלְּטַמֵּא בְאֹהֶל, מְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא. דָּבָר אַחֵר, כָּל בְּשַׂר הַמֵּת, שֶׁהוּא פָחוֹת מִכַּזַּיִת, טָהוֹר. רֹב בִּנְיָנוֹ וְרֹב מִנְיָנוֹ שֶׁל מֵת, אַף עַל פִּי שֶׁאֵין בָּהֶם רֹבַע, טְמֵאִין. אָמְרוּ לוֹ לְרַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, מָה רָאִיתָ לְטַהֵר בִּשְׁנֵיהֶם. אָמַר לָהֶם, לֹא, אִם אֲמַרְתֶּם בַּמֵּת, שֶׁיֶּשׁ בּוֹ רֹב וְרֹבַע וְרָקָב, תֹּאמְרוּ בַחַי שֶׁאֵין בּוֹ רֹב וְרֹבַע וְרָקָב: \n" + ], + [ + "הֵעִיד רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ וְרַבִּי צָדוֹק עַל פִּדְיוֹן פֶּטֶר חֲמוֹר שֶׁמֵּת, שֶׁאֵין בּוֹ לַכֹּהֵן כְּלוּם, שֶׁרַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, חַיָּבִין בְּאַחֲרָיוּתָן כְּחָמֵשׁ סְלָעִים שֶׁל בֵּן. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין חַיָּבִין בְּאַחֲרָיוּתָן אֶלָּא כְפִדְיוֹן שֶׁל מַעֲשֵׂר שֵׁנִי: \n", + "הֵעִיד רַבִּי צָדוֹק עַל צִיר חֲגָבִים טְמֵאִים, שֶׁהוּא טָהוֹר. שֶׁמִּשְׁנָה רִאשׁוֹנָה, חֲגָבִים טְמֵאִים שֶׁנִּכְבְּשׁוּ עִם חֲגָבִים טְהוֹרִים, לֹא פָסְלוּ צִירָן: \n", + "הֵעִיד רַבִּי צָדוֹק עַל זוֹחֲלִין שֶׁרַבּוּ עַל הַנּוֹטְפִים, שֶׁהֵם כְּשֵׁרִים. מַעֲשֶׂה הָיָה בְּבִירַת הַפִּלְיָא, וּבָא מַעֲשֶׂה לִפְנֵי חֲכָמִים וְהִכְשִׁירוּהוּ: \n", + "הֵעִיד רַבִּי צָדוֹק עַל זוֹחֲלִין שֶׁקִּלְּחָן בַּעֲלֵה אֱגוֹז, שֶׁהֵן כְּשֵׁרִים. מַעֲשֶׂה הָיָה בְאָהֳלְיָא, וּבָא מַעֲשֶׂה לִפְנֵי לִשְׁכַּת הַגָּזִית, וְהִכְשִׁירוּהוּ: \n", + "הֵעִיד רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ וְרַבִּי יָקִים אִישׁ הֲדַר עַל קָלָל שֶׁל חַטָּאת שֶׁנְּתָנוֹ עַל גַּבֵּי הַשֶּׁרֶץ, שֶׁהוּא טָמֵא. שֶׁרַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר. הֵעִיד רַבִּי פַּפְּיַס עַל מִי שֶׁנָּזַר שְׁתֵּי נְזִירוּת, שֶׁאִם גִּלַּח אֶת הָרִאשׁוֹנָה יוֹם שְׁלֹשִׁים, שֶׁמְּגַלֵּחַ הַשְּׁנִיָּה יוֹם שִׁשִּׁים. וְאִם גִלַּח יוֹם שִׁשִּׁים חָסֵר אֶחָד, יָצָא, שֶׁיּוֹם שְׁלֹשִׁים עוֹלֶה לוֹ מִן הַמִּנְיָן: \n", + "הֵעִיד רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ וְרַבִּי פַּפְּיַס עַל וָלָד שֶׁל שְׁלָמִים, שֶׁיִּקְרַב שְׁלָמִים. שֶׁרַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר שֶׁוְּלַד שְׁלָמִים לֹא יִקְרַב שְׁלָמִים. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, יִקְרָב. אָמַר רַבִּי פַּפְּיַס, אֲנִי מֵעִיד שֶׁהָיְתָה לָנוּ פָרָה זִבְחֵי שְׁלָמִים, וַאֲכַלְנוּהָ בַפֶּסַח וְאָכַלְנוּ וְלָדָהּ שְׁלָמִים בֶּחָג: \n", + "הֵם הֵעִידוּ עַל אֲרוּכוֹת שֶׁל נַחְתּוֹמִים, שֶׁהֵן טְמֵאוֹת. שֶׁרַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר. הֵם הֵעִידוּ עַל תַּנּוּר שֶׁחִתְּכוֹ חֻלְיוֹת וְנָתַן חֹל בֵּין חֻלְיָא לְחֻלְיָא, שֶׁהוּא טָמֵא. שֶׁרַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר. הֵם הֵעִידוּ שֶׁמְּעַבְּרִין אֶת הַשָּׁנָה בְּכָל אֲדָר. שֶׁהָיוּ אוֹמְרִים עַד הַפּוּרִים. הֵם הֵעִידוּ שֶׁמְּעַבְּרִים אֶת הַשָּׁנָה עַל תְּנָאי. וּמַעֲשֶׂה בְרַבָּן גַּמְלִיאֵל שֶׁהָלַךְ לִטֹּל רְשׁוּת מֵהֶגְמוֹן בְּסוּרְיָא וְשָׁהָה לָבֹא, וְעִבְּרוּ אֶת הַשָּׁנָה עַל תְּנַאי לִכְשֶׁיִּרְצֶה רַבָּן גַּמְלִיאֵל, וּכְשֶׁבָּא אָמַר רוֹצֶה אָנִי, וְנִמְצֵאת הַשָּׁנָה מְעֻבָּרֶת: \n", + "הֵעִיד מְנַחֵם בֶּן סִגְנַאי עַל מוּסַף הַיּוֹרָה שֶׁל שׁוֹלְקֵי זֵיתִים שֶׁהוּא טָמֵא, וְשֶׁל צַבָּעִים שֶׁהוּא טָהוֹר. שֶׁהָיוּ אוֹמְרִים חִלּוּף הַדְּבָרִים: \n", + "הֵעִיד רַבִּי נְחוּנְיָא בֶן גֻּדְגְּדָא עַל הַחֵרֶשֶׁת שֶׁהִשִּׂיאָהּ אָבִיהָ, שֶׁהִיא יוֹצְאָה בְגֵט. וְעַל קְטַנָּה בַת יִשְׂרָאֵל שֶׁנִּשֵּׂאת לְכֹהֵן, שֶׁהִיא אוֹכֶלֶת בַּתְּרוּמָה, וְאִם מֵתָה, בַּעְלָהּ יוֹרְשָׁהּ. וְעַל הַמָּרִישׁ הַגָּזוּל שֶׁבְּנָאוֹ בַבִּירָה, שֶׁיִּתֵּן אֶת דָּמָיו. וְעַל הַחַטָּאת הַגְּזוּלָה שֶׁלֹּא נוֹדְעָה לָרַבִּים, שֶׁהִיא מְכַפֶּרֶת, מִפְּנֵי תִקּוּן הַמִּזְבֵּחַ: \n" + ], + [ + "הֵעִיד רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ בֶּן בְּתֵירָא עַל דַּם נְבֵלוֹת שֶׁהוּא טָהוֹר. הֵעִיד רַבִּי שִׁמְעוֹן בֶּן בְּתֵירָא עַל אֵפֶר חַטָּאת שֶׁנָּגַע טָמֵא בְמִקְצָתוֹ, שֶׁטִּמֵּא אֶת כֻּלּוֹ. הוֹסִיף רַבִּי עֲקִיבָא, עַל הַסֹּלֶת וְעַל הַקְּטֹרֶת וְהַלְּבוֹנָה וְהַגֶּחָלִים שֶׁנָּגַע טְבוּל יוֹם בְּמִקְצָתָם, שֶׁפָּסַל אֶת כֻּלָּם: \n", + "הֵעִיד רַבִּי יְהוּדָה בֶן בָּבָא וְרַבִּי יְהוּדָה הַכֹּהֵן עַל קְטַנָּה בַת יִשְׂרָאֵל שֶׁנִּשֵּׂאת לְכֹהֵן, שֶׁהִיא אוֹכֶלֶת בַּתְּרוּמָה כֵּיוָן שֶׁנִּכְנְסָה לַחֻפָּה אַף עַל פִּי שֶׁלֹּא נִבְעָלָה. הֵעִיד רַבִּי יוֹסֵי הַכֹּהֵן וְרַבִּי זְכַרְיָה בֶן הַקַּצָּב עַל תִּינוֹקֶת שֶׁהֻרְהֲנָה בְאַשְׁקְלוֹן, וְרִחֲקוּהָ בְנֵי מִשְׁפַּחְתָּהּ, וְעֵדֶיהָ מְעִידִים אוֹתָהּ שֶׁלֹּא נִסְתְּרָה וְשֶׁלֹּא נִטְמָאָה. אָמְרוּ לָהֶם חֲכָמִים, אִם מַאֲמִינִים אַתֶּם שֶׁהֻרְהֲנָה, הַאֲמִינוּ, שֶׁלֹּא נִסְתְּרָה וְשֶׁלֹּא נִטְמָאָה. וְאִם אֵין אַתֶּם מַאֲמִינִים שֶׁלֹּא נִסְתְּרָה וְשֶׁלֹּא נִטְמְאָה, אַל תַּאֲמִינוּ שֶׁהֻרְהָנָה: \n", + "הֵעִיד רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ וְרַבִּי יְהוּדָה בֶן בְּתֵירָא עַל אַלְמָנַת עִסָּה, שֶׁהִיא כְשֵׁרָה לַכְּהֻנָּה, שֶׁהָעִסָּה כְשֵׁרָה לְטַמֵּא וּלְטַהֵר, לְרַחֵק וּלְקָרֵב. אָמַר רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל, קִבַּלְנוּ עֵדוּתְכֶם, אֲבָל מַה נַּעֲשֶׂה, שֶׁגָּזַר רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן זַכַּאי שֶׁלֹּא לְהוֹשִׁיב בָּתֵּי דִינִין עַל כָּךְ. הַכֹּהֲנִים שׁוֹמְעִים לָכֶם לְרַחֵק, אֲבָל לֹא לְקָרֵב: \n", + "הֵעִיד רַבִּי יוֹסֵי בֶּן יוֹעֶזֶר, אִישׁ צְרֵדָה, עַל אַיִל קַמְצָא, דָּכָן. וְעַל מַשְׁקֵה בֵית מִטְבְּחַיָּא, דְּאִינּוּן דַּכְיָן. וּדְיִקְרַב בְּמִיתָא, מִסְתָּאָב. וְקָרוּ לֵיהּ, יוֹסֵי שָׁרְיָא: \n", + "הֵעִיד רַבִּי עֲקִיבָא מִשּׁוּם נְחֶמְיָה, אִישׁ בֵּית דְּלִי, שֶׁמַּשִּׂיאִים הָאִשָּׁה עַל פִּי עֵד אֶחָד. הֵעִיד רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ עַל עֲצָמוֹת שֶׁנִּמְצְאוּ בְדִיר הָעֵצִים, אָמְרוּ חֲכָמִים, מְלַקֵּט עֶצֶם עֶצֶם וְהַכֹּל טָהוֹר: \n", + "אָמַר רַבִּי אֱלִיעֶזֶר, שָׁמַעְתִּי, כְּשֶׁהָיוּ בוֹנִים בַּהֵיכָל, עוֹשִׂים קְלָעִים לַהֵיכָל וּקְלָעִים לָעֲזָרוֹת, אֶלָּא שֶׁבַּהֵיכָל בּוֹנִים מִבַּחוּץ, וּבָעֲזָרָה בּוֹנִים מִבִּפְנִים. אָמַר רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, שָׁמַעְתִּי, שֶׁמַּקְרִיבִין אַף עַל פִּי שֶׁאֵין בַּיִת, וְאוֹכְלִים קָדְשֵׁי קָדָשִׁים אַף עַל פִּי שֶׁאֵין קְלָעִים, קָדָשִׁים קַלִּים וּמַעֲשֵׂר שֵׁנִי, אַף עַל פִּי שֶׁאֵין חוֹמָה, שֶׁקְּדֻשָּׁה רִאשׁוֹנָה קִדְּשָׁה לִשְׁעָתָהּ וְקִדְּשָׁה לֶעָתִיד לָבֹא: \n", + "אָמַר רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, מְקֻבָּל אֲנִי מֵרַבָּן יוֹחָנָן בֶּן זַכַּאי, שֶׁשָּׁמַע מֵרַבּוֹ וְרַבּוֹ מֵרַבּוֹ, הֲלָכָה לְמשֶׁה מִסִּינַי, שֶׁאֵין אֵלִיָּהוּ בָא לְטַמֵּא וּלְטַהֵר, לְרַחֵק וּלְקָרֵב, אֶלָּא לְרַחֵק הַמְקֹרָבִין בִּזְרוֹעַ וּלְקָרֵב הַמְרֻחָקִין בִּזְרוֹעַ. מִשְׁפַּחַת בֵּית צְרִיפָה הָיְתָה בְעֵבֶר הַיַּרְדֵּן וְרִחֲקָהּ בֶּן צִיּוֹן בִּזְרוֹעַ, וְעוֹד אַחֶרֶת הָיְתָה שָׁם וְקֵרְבָהּ בֶּן צִיּוֹן בִּזְרוֹעַ. כְּגוֹן אֵלּוּ, אֵלִיָּהוּ בָא לְטַמֵּא וּלְטַהֵר, לְרַחֵק וּלְקָרֵב. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, לְקָרֵב, אֲבָל לֹא לְרַחֵק. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, לְהַשְׁווֹת הַמַּחֲלֹקֶת. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לֹא לְרַחֵק וְלֹא לְקָרֵב, אֶלָּא לַעֲשׂוֹת שָׁלוֹם בָּעוֹלָם, שֶׁנֶּאֱמַר (מלאכי ג) הִנֵּה אָנֹכִי שֹׁלֵחַ לָכֶם אֵת אֵלִיָּה הַנָּבִיא וְגוֹ' וְהֵשִׁיב לֵב אָבוֹת עַל בָּנִים וְלֵב בָּנִים עַל אֲבוֹתָם: \n" + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/Hebrew/merged.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/Hebrew/merged.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..867323ccf3585c0c96baebdceb6f0dd28a6b599b --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Eduyot/Hebrew/merged.json @@ -0,0 +1,113 @@ +{ + "title": "Mishnah Eduyot", + "language": "he", + "versionTitle": "merged", + "versionSource": "https://www.sefaria.org/Mishnah_Eduyot", + "text": [ + [ + "שַׁמַּאי אוֹמֵר, כָּל הַנָּשִׁים דַּיָּן שְׁעָתָן. וְהִלֵּל אוֹמֵר, מִפְּקִידָה לִפְקִידָה, אֲפִלּוּ לְיָמִים הַרְבֵּה. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לֹא כְדִבְרֵי זֶה וְלֹא כְדִבְרֵי זֶה, אֶלָּא מֵעֵת לְעֵת מְמַעֶטֶת עַל יַד מִפְּקִידָה לִפְקִידָה, וּמִפְּקִידָה לִפְקִידָה מְמַעֶטֶת עַל יַד מֵעֵת לְעֵת. כָּל אִשָּׁה שֶׁיֶּשׁ לָהּ וֶסֶת, דַּיָּהּ שְׁעָתָהּ. הַמְשַׁמֶּשֶׁת בְּעִדִּים, הֲרֵי זוֹ כִפְקִידָה, מְמַעֶטֶת עַל יַד מֵעֵת לְעֵת וְעַל יַד מִפְּקִידָה לִפְקִידָה: \n", + "שַׁמַּאי אוֹמֵר, מִקַּב לְחַלָּה. וְהִלֵּל אוֹמֵר, מִקַּבָּיִם. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לֹא כְדִבְרֵי זֶה וְלֹא כְדִבְרֵי זֶה, אֶלָּא קַב וּמֶחֱצָה חַיָּבִים בְּחַלָּה. וּמִשֶּׁהִגְדִּילוּ הַמִּדּוֹת אָמְרוּ, חֲמֵשֶׁת רְבָעִים חַיָּבִין. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, חֲמִשָּׁה, פְּטוּרִין. חֲמִשָּׁה וָעוֹד, חַיָּבִין: \n", + "הִלֵּל אוֹמֵר, מְלֹא הִין מַיִם שְׁאוּבִין פּוֹסְלִין אֶת הַמִּקְוֶה, אֶלָּא שֶׁאָדָם חַיָּב לוֹמַר בִּלְשׁוֹן רַבּוֹ. וְשַׁמַּאי אוֹמֵר, תִּשְׁעָה קַבִּין. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לֹא כְדִבְרֵי זֶה וְלֹא כְדִבְרֵי זֶה, אֶלָּא עַד שֶׁבָּאוּ שְׁנֵי גַרְדִּיִּים מִשַּׁעַר הָאַשְׁפּוֹת שֶׁבִּירוּשָׁלַיִם וְהֵעִידוּ מִשּׁוּם שְׁמַעְיָה וְאַבְטַלְיוֹן, שְׁלֹשֶׁת לֻגִּין מַיִם שְׁאוּבִין פּוֹסְלִין אֶת הַמִּקְוֶה, וְקִיְּמוּ חֲכָמִים אֶת דִּבְרֵיהֶם: \n", + "וְלָמָּה מַזְכִּירִין אֶת דִּבְרֵי שַׁמַּאי וְהִלֵּל לְבַטָּלָה, לְלַמֵּד לַדּוֹרוֹת הַבָּאִים שֶׁלֹּא יְהֵא אָדָם עוֹמֵד עַל דְּבָרָיו, שֶׁהֲרֵי אֲבוֹת הָעוֹלָם לֹא עָמְדוּ עַל דִּבְרֵיהֶם: \n", + "וְלָמָּה מַזְכִּירִין דִּבְרֵי הַיָּחִיד בֵּין הַמְרֻבִּין, הוֹאִיל וְאֵין הֲלָכָה אֶלָּא כְדִבְרֵי הַמְרֻבִּין. שֶׁאִם יִרְאֶה בֵית דִּין אֶת דִּבְרֵי הַיָּחִיד וְיִסְמֹךְ עָלָיו, שֶׁאֵין בֵּית דִּין יָכוֹל לְבַטֵּל דִּבְרֵי בֵית דִּין חֲבֵרוֹ עַד שֶׁיִּהְיֶה גָדוֹל מִמֶּנּוּ בְחָכְמָה וּבְמִנְיָן. הָיָה גָדוֹל מִמֶּנּוּ בְחָכְמָה אֲבָל לֹא בְמִנְיָן, בְּמִנְיָן אֲבָל לֹא בְחָכְמָה, אֵינוֹ יָכוֹל לְבַטֵּל דְּבָרָיו, עַד שֶׁיִּהְיֶה גָדוֹל מִמֶּנּוּ בְחָכְמָה וּבְמִנְיָן: \n", + "אָמַר רַבִּי יְהוּדָה, אִם כֵּן לָמָּה מַזְכִּירִין דִּבְרֵי הַיָּחִיד בֵּין הַמְרֻבִּין לְבַטָּלָה. שֶׁאִם יֹאמַר הָאָדָם כָּךְ אֲנִי מְקֻבָּל, יֵאָמֵר לוֹ, כְּדִבְרֵי אִישׁ פְּלוֹנִי שָׁמָעְתָּ: \n", + "בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, רֹבַע עֲצָמוֹת מִן הָעֲצָמִים, בֵּין מִשְּׁנַיִם בֵּין מִשְּׁלֹשָׁה. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, רֹבַע עֲצָמוֹת מִן הַגְּוִיָּה, מֵרֹב הַבִּנְיָן אוֹ מֵרֹב הַמִּנְיָן. שַׁמַּאי אוֹמֵר, אֲפִלּוּ מֵעֶצֶם אֶחָד: \n", + "כַּרְשִׁינֵי תְרוּמָה, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, שׁוֹרִין וְשָׁפִין בְּטָהֳרָה, וּמַאֲכִילִין בְּטֻמְאָה. בֵּית הִלֵּל אוֹמְרִים, שׁוֹרִין בְּטָהֳרָה, וְשָׁפִין וּמַאֲכִילִין בְּטֻמְאָה. שַׁמַּאי אוֹמֵר, יֵאָכְלוּ צָרִיד. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, כָּל מַעֲשֵׂיהֶם בְּטֻמְאָה: \n", + "הַפּוֹרֵט סֶלַע מִמְּעוֹת מַעֲשֵׂר שֵׁנִי, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, בְּכָל הַסֶּלַע מָעוֹת, וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, בְּשֶׁקֶל כֶּסֶף וּבְשֶׁקֶל מָעוֹת. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, אֵין מְחַלְּלִין כֶּסֶף וּפֵרוֹת עַל הַכֶּסֶף. וַחֲכָמִים מַתִּירִין: \n", + "הַפּוֹרֵט סֶלַע שֶׁל מַעֲשֵׂר שֵׁנִי בִּירוּשָׁלַיִם, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, בְּכָל הַסֶּלַע מָעוֹת, וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, בְּשֶׁקֶל כֶּסֶף וּבְשֶׁקֶל מָעוֹת. הַדָּנִים לִפְנֵי חֲכָמִים אוֹמְרִים, בִּשְׁלֹשָׁה דִינָרִים כֶּסֶף וּבְדִינָר מָעוֹת. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, בִּשְׁלֹשָׁה דִינָרִים כֶּסֶף וּבִרְבִיעִית כֶּסֶף בִּרְבִיעִית מָעוֹת. וְרַבִּי טַרְפוֹן אוֹמֵר, אַרְבָּעָה אַסְפְּרֵי כָסֶף. שַׁמַּאי אוֹמֵר, יַנִּיחֶנָּה בַחֲנוּת וְיֹאכַל כְּנֶגְדָּהּ: \n", + "כִּסֵּא שֶׁל כַּלָּה שֶׁנִּטְּלוּ חִפּוּיָיו, בֵּית שַׁמַּאי מְטַמְּאִין, וּבֵית הִלֵּל מְטַהֲרִין. שַׁמַּאי אוֹמֵר, אַף מַלְבֵּן שֶׁל כִּסֵּא טָמֵא. כִּסֵּא שֶׁקְּבָעוֹ בַעֲרֵבָה, בֵּית שַׁמַּאי מְטַמְּאִין, וּבֵית הִלֵּל מְטַהֲרִין. שַׁמַּאי אוֹמֵר, אַף הֶעָשׂוּי בָּהּ: \n", + "אֵלּוּ דְבָרִים שֶׁחָזְרוּ בֵית הִלֵּל לְהוֹרוֹת כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. הָאִשָּׁה שֶׁבָּאָה מִמְּדִינַת הַיָּם וְאָמְרָה מֵת בַּעְלִי, תִּנָּשֵׂא. מֵת בַּעְלִי, תִּתְיַבֵּם. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, לֹא שָׁמַעְנוּ אֶלָּא בְּבָאָה מִן הַקָּצִיר בִּלְבָד. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית שַׁמַּאי, אַחַת הַבָּאָה מִן הַקָּצִיר וְאַחַת הַבָּאָה מִן הַזֵּיתִים וְאַחַת הַבָּאָה מִמְּדִינַת הַיָּם, לֹא דִבְּרוּ בַקָּצִיר אֶלָּא בַהֹוֶה. חָזְרוּ בֵית הִלֵּל לְהוֹרוֹת כְּבֵית שַׁמָּאי. בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, תִּנָּשֵׂא וְתִטֹּל כְּתֻבָּתָהּ. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, תִּנָּשֵׂא וְלֹא תִטֹּל כְּתֻבָּתָהּ. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית שַׁמַּאי, הִתַּרְתֶּם אֶת הָעֶרְוָה הַחֲמוּרָה, לֹא תַתִּירוּ אֶת הַמָּמוֹן הַקָּל. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית הִלֵּל, מָצִינוּ שֶׁאֵין הָאַחִים נִכְנָסִין לַנַּחֲלָה עַל פִּיהָ. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית שַׁמַּאי, וַהֲלֹא מִסֵּפֶר כְּתֻבָּתָהּ נִלְמֹד, שֶׁהוּא כוֹתֵב לָהּ, שֶׁאִם תִּנָּשְׂאִי לְאַחֵר, תִּטְּלִי מַה שֶּׁכָּתוּב לִיךְ. חָזְרוּ בֵית הִלֵּל לְהוֹרוֹת כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי: \n", + "מִי שֶׁחֶצְיוֹ עֶבֶד וְחֶצְיוֹ בֶּן חוֹרִין, עוֹבֵד אֶת רַבּוֹ יוֹם אֶחָד וְאֶת עַצְמוֹ יוֹם אֶחָד, דִּבְרֵי בֵית הִלֵּל. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית שַׁמַּאי, תִּקַּנְתֶּם אֶת רַבּוֹ, וְאֶת עַצְמוֹ לֹא תִקַּנְתֶּם. לִשָּׂא שִׁפְחָה, אֵינוֹ יָכוֹל. בַּת חוֹרִין, אֵינוֹ יָכוֹל. לִבָּטֵל, וַהֲלֹא לֹא נִבְרָא הָעוֹלָם אֶלָּא לִפְרִיָּה וּרְבִיָּה, שֶׁנֶּאֱמַר (ישעיה מה), לֹא תֹהוּ בְרָאָהּ לָשֶׁבֶת יְצָרָהּ. אֶלָּא, מִפְּנֵי תִקּוּן הָעוֹלָם, כּוֹפִין אֶת רַבּוֹ וְעוֹשֶׂה אוֹתוֹ בֶן חוֹרִין וְכוֹתֵב שְׁטָר עַל חֲצִי דָמָיו. חָזְרוּ בֵית הִלֵּל לְהוֹרוֹת כְּבֵית שַׁמָּאי: \n", + "כְּלִי חֶרֶס מַצִּיל עַל הַכֹּל, כְּדִבְרֵי בֵית הִלֵּל. וּבֵית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אֵינוֹ מַצִּיל אֶלָּא עַל הָאֳכָלִין וְעַל הַמַּשְׁקִין וְעַל כְּלֵי חָרֶס. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית הִלֵּל, מִפְּנֵי מָה. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית שַׁמַּאי, מִפְּנֵי שֶׁהוּא טָמֵא עַל גַּב עַם הָאָרֶץ, וְאֵין כְּלִי טָמֵא חוֹצֵץ. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית הִלֵּל, וַהֲלֹא טִהַרְתֶּם אֳכָלִים וּמַשְׁקִין שֶׁבְּתוֹכוֹ. אָמְרוּ לָהֶם בֵּית שַׁמַּאי, כְּשֶׁטִּהַרְנוּ אֳכָלִים וּמַשְׁקִין שֶׁבְּתוֹכוֹ, לְעַצְמוֹ טִהַרְנוּ. אֲבָל כְּשֶׁטִּהַרְתָּ אֶת הַכְּלִי, טִהַרְתָּ לְךָ וָלוֹ. חָזְרוּ בֵית הִלֵּל לְהוֹרוֹת כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי: \n" + ], + [ + "רַבִּי חֲנִינָא סְגַן הַכֹּהֲנִים הֵעִיד אַרְבָּעָה דְבָרִים. מִימֵיהֶם שֶׁל כֹּהֲנִים לֹא נִמְנְעוּ מִלִּשְׂרֹף אֶת הַבָּשָׂר שֶׁנִּטְמָא בִּוְלַד הַטֻּמְאָה עִם הַבָּשָׂר שֶׁנִּטְמָא בְּאַב הַטֻּמְאָה, אַף עַל פִּי שֶׁמּוֹסִיפִין טֻמְאָה עַל טֻמְאָתוֹ. הוֹסִיף רַבִּי עֲקִיבָא, מִימֵיהֶם שֶׁל כֹּהֲנִים לֹא נִמְנְעוּ מִלְּהַדְלִיק אֶת הַשֶּׁמֶן שֶׁנִּפְסַל בִּטְבוּל יוֹם בְּנֵר שֶׁנִּטְמָא בִטְמֵא מֵת, אַף עַל פִּי שֶׁמּוֹסִיפִין טֻמְאָה עַל טֻמְאָתוֹ: ", + "אָמַר רַבִּי חֲנִינָא סְגַן הַכֹּהֲנִים, מִיָּמַי לֹא רָאִיתִי עוֹר יוֹצֵא לְבֵית הַשְּׂרֵפָה. אָמַר רַבִּי עֲקִיבָא, מִדְּבָרָיו לָמַדְנוּ, שֶׁהַמַּפְשִׁיט אֶת הַבְּכוֹר וְנִמְצָא טְרֵפָה, שֶׁיֵּאוֹתוּ הַכֹּהֲנִים בְּעוֹרוֹ. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לֹא רָאִינוּ אֵינוֹ רְאָיָה, אֶלָּא יוֹצֵא לְבֵית הַשְּׂרֵפָה: ", + "אַף הוּא הֵעִיד עַל כְּפָר קָטָן שֶׁהָיָה בְצַד יְרוּשָׁלַיִם, וְהָיָה בוֹ זָקֵן אֶחָד וְהָיָה מַלְוֶה לְכָל בְּנֵי הַכְּפָר וְכוֹתֵב בִּכְתַב יָדוֹ וַאֲחֵרִים חוֹתְמִים, וּבָא מַעֲשֶׂה לִפְנֵי חֲכָמִים וְהִתִּירוּ. לְפִי דַרְכְּךָ אַתָּה לָמֵד, שֶׁהָאִשָּׁה כּוֹתֶבֶת אֶת גִּטָּהּ וְהָאִישׁ כּוֹתֵב אֶת שׁוֹבְרוֹ, שֶׁאֵין קִיּוּם הַגֵּט אֶלָּא בְחוֹתְמָיו. וְעַל מַחַט שֶׁנִּמְצֵאת בַּבָּשָׂר, שֶׁהַסַּכִּין וְהַיָּדַיִם טְהוֹרוֹת, וְהַבָּשָׂר טָמֵא. וְאִם נִמְצֵאת בַּפֶּרֶשׁ, הַכֹּל טָהוֹר: ", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים אָמַר רַבִּי יִשְׁמָעֵאל לִפְנֵי חֲכָמִים בַּכֶּרֶם בְּיַבְנֶה. עַל בֵּיצָה טְרוּפָה שֶׁהִיא נְתוּנָה עַל גַּבֵּי יָרָק שֶׁל תְּרוּמָה, שֶׁהִיא חִבּוּר. וְאִם הָיְתָה כְמִין כּוֹבַע, אֵינָהּ חִבּוּר. וְעַל שִׁבֹּלֶת שֶׁבַּקָּצִיר וְרֹאשָׁהּ מַגִּיעַ לַקָּמָה, אִם נִקְצְרָה עִם הַקָּמָה, הֲרֵי הִיא שֶׁל בַּעַל הַבַּיִת, וְאִם לָאו, הֲרֵי הִיא שֶׁל עֲנִיִּים. וְעַל גִּנָּה קְטַנָּה שֶׁהִיא מֻקֶּפֶת עָרִיס, אִם יֶשׁ בָּהּ כִּמְלֹא בוֹצֵר וְסַלּוֹ מִכָּאן וּמְלֹא בוֹצֵר וְסַלּוֹ מִכָּאן, תִּזָּרֵעַ. וְאִם לָאו, לֹא תִזָּרֵעַ: ", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים אָמְרוּ לִפְנֵי רַבִּי יִשְׁמָעֵאל, וְלֹא אָמַר בָּהֶם לֹא אִסּוּר וְהֶתֵּר, וּפֵרְשָׁן רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ בֶּן מַתְיָא. הַמֵּפִיס מֻרְסָא בְּשַׁבָּת, אִם לַעֲשׂוֹת לָהּ פֶּה, חַיָּב, וְאִם לְהוֹצִיא מִמֶּנָּה לֵחָה, פָּטוּר. וְעַל הַצָּד נָחָשׁ בַּשַּׁבָּת, אִם מִתְעַסֵּק שֶׁלֹּא יִשְּׁכֶנּוּ, פָּטוּר, וְאִם לִרְפוּאָה, חַיָּב. וְעַל לְפָסִין אִירוֹנִיּוֹת, שֶׁהֵם טְהוֹרוֹת בְּאֹהֶל הַמֵּת וּטְמֵאוֹת בְּמַשָּׂא הַזָּב. רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן צָדוֹק אוֹמֵר, אַף בְּמַשָּׂא הַזָּב, טְהוֹרוֹת, מִפְּנֵי שֶׁלֹּא נִגְמְרָה מְלַאכְתָּן: ", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים אָמַר רַבִּי יִשְׁמָעֵאל וְלֹא הוֹדָה לוֹ רַבִּי עֲקִיבָא. הַשּׁוּם וְהַבֹּסֶר וְהַמְּלִילוֹת שֶׁרִסְּקָן מִבְּעוֹד יוֹם, שֶׁרַבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר, יִגְמֹר מִשֶּׁתֶּחְשָׁךְ, וְרַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, לֹא יִגְמֹר: ", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים אָמְרוּ לִפְנֵי רַבִּי עֲקִיבָא, שְׁנַיִם מִשּׁוּם רַבִּי אֱלִיעֶזֶר וְאֶחָד מִשּׁוּם רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ. שְׁנַיִם מִשּׁוּם רַבִּי אֱלִיעֶזֶר, יוֹצֵאת אִשָּׁה בְעִיר שֶׁל זָהָב, וּמַפְרִיחֵי יוֹנִים פְּסוּלִים לְעֵדוּת. וְאֶחָד מִשּׁוּם רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, הַשֶּׁרֶץ בְּפִי חֻלְדָּה וּמְהַלֶּכֶת עַל גַּבֵּי כִכָּרוֹת שֶׁל תְּרוּמָה, סָפֵק נָגַע סָפֵק לֹא נָגַע, סְפֵקוֹ טָהוֹר: ", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים אָמַר רַבִּי עֲקִיבָא, עַל שְׁנַיִם הוֹדוּ לוֹ וְעַל אֶחָד לֹא הוֹדוּ לוֹ. עַל סַנְדָּל שֶׁל סַיָּדִים, שֶׁהוּא טָמֵא מִדְרָס. וְעַל שְׁיָרֵי תַנּוּר אַרְבָּעָה, שֶׁהָיוּ אוֹמְרִים שְׁלֹשָׁה. וְהוֹדוּ לוֹ. וְעַל אֶחָד לֹא הוֹדוּ לוֹ, עַל כִּסֵּא שֶׁנִּטְּלוּ שְׁנַיִם מֵחִפּוּיָיו זֶה בְּצַד זֶה, שֶׁרַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: ", + "הוּא הָיָה אוֹמֵר, הָאָב זוֹכֶה לַבֵּן, בַּנּוֹי, וּבַכֹּחַ, וּבָעֹשֶׁר, וּבַחָכְמָה, וּבַשָּׁנִים, וּבְמִסְפַּר הַדּוֹרוֹת לְפָנָיו, וְהוּא הַקֵּץ, שֶׁנֶּאֱמַר (ישעיה מא) קֹרֵא הַדֹּרוֹת מֵרֹאשׁ, אַף עַל פִּי שֶׁנֶּאֱמַר (בראשית טו), וַעֲבָדוּם וְעִנּוּ אֹתָם אַרְבַּע מֵאוֹת שָׁנָה, וְנֶאֱמַר (שם), וְדוֹר רְבִיעִי יָשׁוּבוּ הֵנָּה: ", + "אַף הוּא הָיָה אוֹמֵר, חֲמִשָּׁה דְבָרִים שֶׁל שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ. מִשְׁפַּט דּוֹר הַמַּבּוּל, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ. מִשְׁפַּט אִיּוֹב, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ. מִשְׁפַּט הַמִּצְרִיִּים, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ. מִשְׁפַּט גּוֹג וּמָגוֹג לֶעָתִיד לָבֹא, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ. מִשְׁפַּט רְשָׁעִים בְּגֵיהִנֹּם, שְׁנֵים עָשָׂר חֹדֶשׁ, שֶׁנֶּאֱמַר (ישעיה סו), וְהָיָה מִדֵּי חֹדֶשׁ בְּחָדְשׁוֹ. רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי אוֹמֵר, מִן הַפֶּסַח וְעַד הָעֲצֶרֶת, שֶׁנֶּאֱמַר וּמִדֵּי שַׁבָּת בְּשַׁבַּתּוֹ: " + ], + [ + "כָּל הַמְטַמְּאִין בְּאֹהֶל שֶׁנֶּחְלְקוּ, וְהִכְנִיסָן לְתוֹךְ הַבַּיִת, רַבִּי דוֹסָא בֶּן הַרְכִּינַס מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. כֵּיצַד. הַנּוֹגֵעַ בְּכִשְׁנֵי חֲצָאֵי זֵיתִים מִן הַנְּבֵלָה אוֹ נוֹשְׂאָן, וּבַמֵּת, הַנּוֹגֵעַ בְּכַחֲצִי זַיִת וּמַאֲהִיל עַל כַּחֲצִי זַיִת אוֹ נוֹגֵעַ בְּכַחֲצִי זַיִת וְכַחֲצִי זַיִת מַאֲהִיל עָלָיו, וּמַאֲהִיל עַל כִּשְׁנֵי חֲצָאֵי זֵיתִים, מַאֲהִיל עַל כַּחֲצִי זַיִת וְכַחֲצִי זַיִת מַאֲהִיל עָלָיו, רַבִּי דוֹסָא בֶּן הַרְכִּינַס מְטַהֵר וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. אֲבָל הַנּוֹגֵעַ בְּכַחֲצִי זַיִת וְדָבָר אַחֵר מַאֲהִיל עָלָיו וְעַל כַּחֲצִי זַיִת, אוֹ מַאֲהִיל עַל כַּחֲצִי זַיִת וְדָבָר אַחֵר מַאֲהִיל עָלָיו וְעַל כַּחֲצִי זַיִת, טָהוֹר. אָמַר רַבִּי מֵאִיר, אַף בָּזֶה רַבִּי דוֹסָא מְטַהֵר וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. הַכֹּל טָמֵא, חוּץ מִן הַמַּגָּע עִם הַמַּשָּׂא, וְהַמַּשָּׂא עִם הָאֹהֶל. זֶה הַכְּלָל, כֹּל שֶׁהוּא מִשֵּׁם אֶחָד, טָמֵא. מִשְּׁנֵי שֵׁמוֹת, טָהוֹר: \n", + "אֹכֶל פָּרוּד, אֵינוֹ מִצְטָרֵף, דִּבְרֵי רַבִּי דוֹסָא בֶּן הַרְכִּינַס. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, מִצְטָרֵף. מְחַלְּלִין מַעֲשֵׂר שֵׁנִי עַל אֲסִימוֹן, דִּבְרֵי רַבִּי דוֹסָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין מְחַלְּלִין. מַטְבִּילִין יָדַיִם לַחַטָּאת, דִּבְרֵי רַבִּי דוֹסָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אִם נִטְמְאוּ יָדָיו, נִטְמָא גוּפוֹ: \n", + "מְעֵי אֲבַטִּיחַ וּקְנִיבַת יָרָק שֶׁל תְּרוּמָה, רַבִּי דוֹסָא מַתִּיר לְזָרִים, וַחֲכָמִים אוֹסְרִין. חָמֵשׁ רְחֵלוֹת גְּזוּזוֹת מָנֶה מָנֶה וּפְרַס, חַיָּבוֹת בְּרֵאשִׁית הַגֵּז, דִּבְרֵי רַבִּי דוֹסָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, חָמֵשׁ רְחֵלוֹת כָּל שֶׁהֵן: \n", + "כָּל הַחוֹצָלוֹת טְמֵאוֹת טְמֵא מֵת, דִּבְרֵי רַבִּי דוֹסָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, מִדְרָס. כָּל הַקְּלִיעוֹת טְהוֹרוֹת, חוּץ מִשֶּׁל גַּלְגִּילוֹן, דִּבְרֵי רַבִּי דוֹסָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, כֻּלָּם טְמֵאוֹת, חוּץ מִשֶּׁל צַמָּרִים: \n", + "הַקֶּלַע שֶׁבֵּית קִבּוּל שֶׁלָּהּ אָרוּג, טְמֵאָה. וְשֶׁל עוֹר, רַבִּי דוֹסָא בֶּן הַרְכִּינָס מְטַהֵר וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. נִפְסַק בֵּית אֶצְבַּע שֶׁלָּהּ, טְהוֹרָה. בֵּית הַפָּקִיעַ שֶׁלָּהּ, טְמֵאָה: \n", + "הַשְּׁבוּיָה אוֹכֶלֶת בַּתְּרוּמָה, דִּבְרֵי רַבִּי דוֹסָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, יֵשׁ שְׁבוּיָה אוֹכֶלֶת וְיֵשׁ שְׁבוּיָה שֶׁאֵינָהּ אוֹכֶלֶת. כֵּיצַד. הָאִשָּׁה שֶׁאָמְרָה נִשְׁבֵּיתִי וּטְהוֹרָה אָנִי, אוֹכֶלֶת, שֶׁהַפֶּה שֶׁאָסַר הוּא הַפֶּה שֶׁהִתִּיר. וְאִם יֵשׁ עֵדִים שֶׁנִּשְׁבֵּית, וְהִיא אוֹמֶרֶת טְהוֹרָה אָנִי, אֵינָהּ אוֹכֶלֶת: \n", + "אַרְבָּעָה סְפֵקוֹת רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. כֵּיצַד. הַטָּמֵא עוֹמֵד וְהַטָּהוֹר עוֹבֵר, הַטָּהוֹר עוֹמֵד וְהַטָּמֵא עוֹבֵר, טֻמְאָה בִּרְשׁוּת הַיָּחִיד וְטָהֳרָה בִּרְשׁוּת הָרַבִּים, טָהֳרָה בִּרְשׁוּת הַיָּחִיד וְטֻמְאָה בִּרְשׁוּת הָרַבִּים, סָפֵק נָגַע סָפֵק לֹא נָגַע, סָפֵק הֶאֱהִיל סָפֵק לֹא הֶאֱהִיל, סָפֵק הֵסִיט סָפֵק לֹא הֵסִיט, רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: \n", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים רַבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. מַסְמֵר הַשֻּׁלְחָנִי, וְאָרוֹן שֶׁל גָּרוֹסוֹת, וּמַסְמֵר שֶׁל אֶבֶן שָׁעוֹת, רַבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: \n", + "אַרְבָּעָה דְבָרִים רַבָּן גַּמְלִיאֵל מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. כִּסּוּי טֶנִי שֶׁל מַתָּכוֹת שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, וּתְלוֹי הַמַּגְרֵדוֹת, וְגָלְמֵי כְלֵי מַתָּכוֹת, וְטַבְלָא שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנָיִם. וּמוֹדִים חֲכָמִים לְרַבָּן גַּמְלִיאֵל בְּטַבְלָא שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנַיִם, אֶחָד גָּדוֹל וְאֶחָד קָטָן, הַגָּדוֹל טָמֵא וְהַקָּטָן טָהוֹר: \n", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים רַבָּן גַּמְלִיאֵל מַחְמִיר כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. אֵין טוֹמְנִין אֶת הַחַמִּין מִיּוֹם טוֹב לְשַׁבָּת, וְאֵין זוֹקְפִין אֶת הַמְּנוֹרָה בְּיוֹם טוֹב, וְאֵין אוֹפִין פִּתִּין גְּרִיצִין אֶלָּא רְקִיקִין. אָמַר רַבָּן גַּמְלִיאֵל, מִימֵיהֶן שֶׁל בֵּית אַבָּא לֹא הָיוּ אוֹפִין פִּתִּין גְּרִיצִין אֶלָּא רְקִיקִין. אָמְרוּ לוֹ, מַה נַּעֲשֶׂה לְבֵית אָבִיךָ שֶׁהָיוּ מַחְמִירִין עַל עַצְמָן וּמְקִלִּין עַל יִשְׂרָאֵל לִהְיוֹת אוֹפִין פִּתִּין גְּרִיצִין וָחֹרִי: \n", + "אַף הוּא אָמַר שְׁלֹשָׁה דְבָרִים לְהָקֵל. מְכַבְּדִין בֵּין הַמִּטּוֹת, וּמְנִיחִין אֶת הַמֻּגְמָר בְּיוֹם טוֹב, וְעוֹשִׂים גְּדִי מְקֻלָּס בְּלֵילֵי פְסָחִים. וַחֲכָמִים אוֹסְרִים: \n", + "שְׁלֹשָׁה דְבָרִים רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה מַתִּיר, וַחֲכָמִים אוֹסְרִין. פָּרָתוֹ יוֹצְאָה בִרְצוּעָה שֶׁבֵּין קַרְנֶיהָ, וּמְקָרְדִין אֶת הַבְּהֵמָה בְּיוֹם טוֹב, וְשׁוֹחֲקִין אֶת הַפִּלְפְּלִין בָּרֵחַיִם שֶׁלָּהֶן. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אֵין מְקָרְדִין אֶת הַבְּהֵמָה בְּיוֹם טוֹב, מִפְּנֵי שֶׁהוּא עוֹשֶׂה חַבּוּרָה, אֲבָל מְקַרְצְפִין. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין מְקָרְדִין אַף לֹא מְקַרְצְפִין: \n" + ], + [ + "אֵלּוּ דְבָרִים מִקֻּלֵּי בֵית שַׁמַּאי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הִלֵּל. בֵּיצָה שֶׁנּוֹלְדָה בְיוֹם טוֹב, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, תֵּאָכֵל. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, לֹא תֵאָכֵל. בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, שְׂאֹר בְּכַזַּיִת וְחָמֵץ בְּכַכּוֹתֶבֶת. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, זֶה וָזֶה בְּכַזָּיִת: \n", + "בְּהֵמָה שֶׁנּוֹלְדָה בְיוֹם טוֹב, הַכֹּל מוֹדִים שֶׁהִיא מֻתֶּרֶת. וְאֶפְרוֹחַ שֶׁיָּצָא מִן הַבֵּיצָה, הַכֹּל מוֹדִים שֶׁהוּא אָסוּר. הַשּׁוֹחֵט חַיָּה וָעוֹף בְּיוֹם טוֹב, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, יַחְפֹּר בַּדֶּקֶר וִיכַסֶּה. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, לֹא יִשְׁחֹט אֶלָּא אִם כֵּן הָיָה לוֹ עָפָר מוּכָן. וּמוֹדִים שֶׁאִם שָׁחַט, שֶׁיַּחְפֹּר בַּדֶּקֶר וִיכַסֶּה. שֶׁאֵפֶר כִּירָה מוּכָן הוּא: \n", + "בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, הֶבְקֵר לָעֲנִיִּים, הֶבְקֵר. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, אֵינוֹ הֶבְקֵר, עַד שֶׁיֻּבְקַר אַף לָעֲשִׁירִים כַּשְּׁמִטָּה. כָּל עָמְרֵי הַשָּׂדֶה שֶׁל קַב קַב, וְאֶחָד שֶׁל אַרְבָּעָה קַבִּין, וּשְׁכָחוֹ, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אֵינוֹ שִׁכְחָה. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, שִׁכְחָה: \n", + "הָעֹמֶר שֶׁהוּא סָמוּךְ לַגַּפָּה וְלַגָּדִישׁ וְלַבָּקָר וְלַכֵּלִים, וּשְׁכָחוֹ, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אֵינוֹ שִׁכְחָה. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, שִׁכְחָה: \n", + "כֶּרֶם רְבָעִי, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אֵין לוֹ חֹמֶשׁ וְאֵין לוֹ בִעוּר. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, יֶשׁ לוֹ חֹמֶשׁ וְיֶשׁ לוֹ בִעוּר. בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, יֶשׁ לוֹ פֶרֶט וְיֶשׁ לוֹ עוֹלְלוֹת, וְהָעֲנִיִּים פּוֹדִים לְעַצְמָן. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, כֻּלּוֹ לַגָּת: \n", + "חָבִית שֶׁל זֵיתִים מְגֻלְגָּלִים, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אֵינוֹ צָרִיךְ לְנַקֵּב. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, צָרִיךְ לְנַקֵּב. וּמוֹדִים, שֶׁאִם נִקְּבָהּ וּסְתָמוּהָ שְׁמָרִים, שֶׁהִיא טְהוֹרָה. הַסָּךְ בְּשֶׁמֶן טָהוֹר וְנִטְמָא, יָרַד וְטָבַל, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אַף עַל פִּי שֶׁהוּא מְנַטֵּף, טָהוֹר. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, כְּדֵי סִיכַת אֵבֶר קָטָן. וְאִם הָיָה שֶׁמֶן טָמֵא מִתְּחִלָּתוֹ, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, כְּדֵי סִיכַת אֵבֶר קָטָן. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, מַשְׁקֶה טוֹפֵחַ. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר מִשּׁוּם בֵּית הִלֵּל, טוֹפֵחַ וּמַטְפִּיחַ: \n", + "הָאִשָּׁה מִתְקַדֶּשֶׁת בְּדִינָר וּבְשָׁוֶה דִינָר, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, בִּפְרוּטָה וּבְשָׁוֶה פְרוּטָה. וְכַמָּה הִיא פְרוּטָה, אֶחָד מִשְּׁמֹנָה בְאִסָּר הָאִיטַלְקִי. בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, פּוֹטֵר הוּא אֶת אִשְׁתּוֹ בְגֵט יָשָׁן, וּבֵית הִלֵּל אוֹסְרִין. אֵיזֶהוּ גֵט יָשָׁן. כָּל שֶׁנִּתְיַחֵד עִמָּהּ אַחַר שֶׁכְּתָבוֹ לָהּ. הַמְגָרֵשׁ אֶת אִשְׁתּוֹ וְלָנָה עִמּוֹ בְפֻנְדְּקִי, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אֵינָהּ צְרִיכָה מִמֶּנּוּ גֵט שֵׁנִי. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, צְרִיכָה מִמֶּנּוּ גֵט שֵׁנִי. אֵימָתַי, בִּזְמַן שֶׁנִּתְגָּרְשָׁה מִן הַנִּשּׂוּאִין. אֲבָל אִם נִתְגָּרְשָׁה מִן הָאֵרוּסִין, אֵינָהּ צְרִיכָה מִמֶּנּוּ גֵט שֵׁנִי, מִפְּנֵי שֶׁאֵין לִבּוֹ גַס בָּהּ: \n", + "בֵּית שַׁמַּאי מַתִּירִין אֶת הַצָּרוֹת לָאַחִים, וּבֵית הִלֵּל אוֹסְרִין. חָלְצוּ, בֵּית שַׁמַּאי פּוֹסְלִין מִן הַכְּהֻנָּה, וּבֵית הִלֵּל מַכְשִׁירִין. נִתְיַבְּמוּ, בֵּית שַׁמַּאי מַכְשִׁירִין, וּבֵית הִלֵּל פּוֹסְלִין. וְאַף עַל פִּי שֶׁאֵלּוּ פוֹסְלִין וְאֵלּוּ מַכְשִׁירִין, לֹא נִמְנְעוּ בֵית שַׁמַּאי מִלִּשָּׂא נָשִׁים מִבֵּית הִלֵּל, וְלֹא בֵית הִלֵּל מִלִּשָּׂא נָשִׁים מִבֵּית שַׁמָּאי. וְכָל הַטָּהֳרוֹת וְהַטֻּמְאוֹת שֶׁהָיוּ אֵלּוּ מְטַהֲרִין וְאֵלּוּ מְטַמְּאִין, לֹא נִמְנְעוּ לִהְיוֹת עוֹשִׂים טָהֳרוֹת אֵלּוּ עַל גַּב אֵלּוּ: \n", + "שְׁלֹשָׁה אַחִים, שְׁנַיִם מֵהֶם נְשׂוּאִים לִשְׁתֵּי אֲחָיוֹת וְאֶחָד מֻפְנֶה, מֵת אֶחָד מִבַּעֲלֵי אֲחָיוֹת וְעָשָׂה בָהּ מֻפְנֶה מַאֲמָר, וְאַחַר כָּךְ מֵת אָחִיו הַשֵּׁנִי, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אִשְׁתּוֹ עִמּוֹ, וְהַלָּה תֵּצֵא מִשּׁוּם אֲחוֹת אִשָּׁה. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, מוֹצִיא אֶת אִשְׁתּוֹ בְּגֵט וַחֲלִיצָה, וְאֶת אֵשֶׁת אָחִיו בַּחֲלִיצָה. זוֹ הִיא שֶׁאָמְרוּ, אִי לוֹ עַל אִשְׁתּוֹ וְאִי לוֹ עַל אֵשֶׁת אָחִיו: \n", + "הַמַּדִּיר אֶת אִשְׁתּוֹ מִתַּשְׁמִישׁ הַמִּטָּה, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, שְׁתֵּי שַׁבָּתוֹת. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, שַׁבָּת אֶחָת. הַמַּפֶּלֶת לְאוֹר שְׁמֹנִים וְאֶחָד, בֵּית שַׁמַּאי פּוֹטְרִין מִן הַקָּרְבָּן, וּבֵית הִלֵּל מְחַיְּבִין. סָדִין בְּצִיצִית, בֵּית שַׁמַּאי פּוֹטְרִין, וּבֵית הִלֵּל מְחַיְּבִים. כַּלְכָּלַת הַשַּׁבָּת, בֵּית שַׁמַּאי פּוֹטְרִין, וּבֵית הִלֵּל מְחַיְּבִין: \n", + "מִי שֶׁנָּדַר נְזִירוּת מְרֻבָּה וְהִשְׁלִים נְזִירוּתוֹ וְאַחַר כָּךְ בָּא לָאָרֶץ, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, נָזִיר שְׁלֹשִׁים יוֹם. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, נָזִיר בַּתְּחִלָּה. מִי שֶׁהָיוּ שְׁתֵּי כִתֵּי עֵדִים מְעִידוֹת אוֹתוֹ, אֵלּוּ מְעִידִים שֶׁנָּדַר שְׁתַּיִם וְאֵלּוּ מְעִידִים שֶׁנָּדַר חָמֵשׁ, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, נֶחְלְקָה הָעֵדוּת וְאֵין כָּאן נְזִירוּת. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, יֵשׁ בִּכְלָל חָמֵשׁ שְׁתַּיִם, שֶׁיִּהְיֶה נָזִיר שְׁתָּיִם: \n", + "אָדָם שֶׁהוּא נָתוּן תַּחַת הַסֶּדֶק, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, אֵינוֹ מֵבִיא אֶת הַטֻּמְאָה. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, אָדָם חָלוּל הוּא, וְהַצַּד הָעֶלְיוֹן מֵבִיא אֶת הַטֻּמְאָה: \n" + ], + [ + "רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שִׁשָּׁה דְבָרִים מִקֻּלֵּי בֵית שַׁמַּאי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הִלֵּל. דַּם נְבֵלוֹת, בֵּית שַׁמַּאי מְטַהֲרִין, וּבֵית הִלֵּל מְטַמְּאִין. בֵּיצַת הַנְּבֵלָה, אִם יֵשׁ כַּיּוֹצֵא בָהּ נִמְכֶּרֶת בַּשּׁוּק, מֻתֶּרֶת. וְאִם לָאו, אֲסוּרָה, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. וּבֵית הִלֵּל אוֹסְרִין. וּמוֹדִים בְּבֵיצַת טְרֵפָה שֶׁהִיא אֲסוּרָה, מִפְּנֵי שֶׁגָּדְלָה בְאִסּוּר. דַּם נָכְרִית וְדַם טָהֳרָה שֶׁל מְצֹרַעַת, בֵּית שַׁמַּאי מְטַהֲרִין. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, כְּרֻקָּהּ וּכְמֵימֵי רַגְלֶיהָ. אוֹכְלִין פֵּרוֹת שְׁבִיעִית בְּטוֹבָה וְשֶׁלֹּא בְטוֹבָה, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, אֵין אוֹכְלִים אֶלָּא בְטוֹבָה. הַחֵמֶת, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, צְרוּרָה עוֹמֶדֶת. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, אַף עַל פִּי שֶׁאֵינָהּ צְרוּרָה: \n", + "רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, שִׁשָּׁה דְבָרִים מִקֻּלֵי בֵית שַׁמַּאי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הִלֵּל. הָעוֹף עוֹלֶה עִם הַגְּבִינָה עַל הַשֻּׁלְחָן וְאֵינוֹ נֶאֱכָל, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, אֵינוֹ עוֹלֶה וְאֵינוֹ נֶאֱכָל. תּוֹרְמִין זֵיתִים עַל שֶׁמֶן, וַעֲנָבִים עַל יַיִן, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, אֵין תּוֹרְמִין. הַזּוֹרֵעַ אַרְבַּע אַמּוֹת שֶׁבַּכֶּרֶם, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, קִדֵּשׁ שׁוּרָה אַחַת, וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, קִדֵּשׁ שְׁתֵּי שׁוּרוֹת. הַמְּעִיסָה, בֵּית שַׁמַּאי פּוֹטְרִין, וּבֵית הִלֵּל מְחַיְּבִין. מַטְבִּילִין בְּחַרְדָּלִית, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, אֵין מַטְבִּילִין. גֵּר שֶׁנִּתְגַּיֵּר עַרְבֵי פְסָחִים, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, טוֹבֵל וְאוֹכֵל אֶת פִּסְחוֹ לָעֶרֶב. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, הַפּוֹרֵשׁ מִן הָעָרְלָה, כְּפוֹרֵשׁ מִן הַקָּבֶר: \n", + "רַבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר, שְׁלֹשָׁה דְבָרִים מִקֻּלֵּי בֵית שַׁמַּאי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הִלֵּל. קֹהֶלֶת אֵינוֹ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, מְטַמֵּא אֶת הַיָּדָיִם. מֵי חַטָּאת שֶׁעָשׂוּ מִצְוָתָן, בֵּית שַׁמַּאי מְטַהֲרִין, וּבֵית הִלֵּל מְטַמְּאִין. הַקֶּצַח, בֵּית שַׁמַּאי מְטַהֲרִין וּבֵית הִלֵּל מְטַמְּאִין. וְכֵן לַמַּעַשְׂרוֹת: \n", + "רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, שְׁנֵי דְבָרִים מִקֻּלֵּי בֵית שַׁמַּאי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הִלֵּל. דַּם יוֹלֶדֶת שֶׁלֹּא טָבְלָה, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, כְּרֻקָּהּ וּכְמֵימֵי רַגְלֶיהָ. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, מְטַמֵּא לַח וְיָבֵשׁ. וּמוֹדִים בְּיוֹלֶדֶת בְּזוֹב שֶׁהוּא מְטַמֵּא לַח וְיָבֵשׁ: \n", + "אַרְבָּעָה אַחִים, שְׁנַיִם מֵהֶם נְשׂוּאִין שְׁתֵּי אֲחָיוֹת, מֵתוּ הַנְּשׂוּאִים לַאֲחָיוֹת, הֲרֵי אֵלּוּ חוֹלְצוֹת וְלֹא מִתְיַבְּמוֹת. וְאִם קָדְמוּ וְכָנְסוּ, יוֹצִיאוּ. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר מִשּׁוּם בֵּית שַׁמַּאי, יְקַיְּמוּ. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, יוֹצִיאוּ: \n", + "עֲקַבְיָא בֶּן מַהֲלַלְאֵל הֵעִיד אַרְבָּעָה דְבָרִים. אָמְרוּ לוֹ, עֲקַבְיָא, חֲזֹר בְּךָ בְאַרְבָּעָה דְבָרִים שֶׁהָיִיתָ אוֹמֵר וְנַעַשְׂךָ אַב בֵּית דִּין לְיִשְׂרָאֵל. אָמַר לָהֶן, מוּטָב לִי לְהִקָּרֵא שׁוֹטֶה כָּל יָמַי, וְלֹא לֵעָשׂוֹת שָׁעָה אַחַת רָשָׁע לִפְנֵי הַמָּקוֹם, שֶׁלֹּא יִהְיוּ אוֹמְרִים, בִּשְׁבִיל שְׂרָרָה חָזַר בּוֹ. הוּא הָיָה מְטַמֵּא שְׂעַר הַפְּקֻדָּה וְדַם הַיָּרוֹק. וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. הוּא הָיָה מַתִּיר שְׂעַר בְּכוֹר בַּעַל מוּם שֶׁנָּשַׁר וְהִנִּיחוֹ בְחַלּוֹן וְאַחַר כָּךְ שְׁחָטוֹ, וַחֲכָמִים אוֹסְרִים. הוּא הָיָה אוֹמֵר, אֵין מַשְׁקִין לֹא אֶת הַגִּיֹּרֶת וְלֹא אֶת שִׁפְחָה הַמְשֻׁחְרֶרֶת. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, מַשְׁקִין. אָמְרוּ לוֹ, מַעֲשֶׂה בְּכַרְכְּמִית, שִׁפְחָה מְשֻׁחְרֶרֶת שֶׁהָיְתָה בִירוּשָׁלַיִם, וְהִשְׁקוּהָ שְׁמַעְיָה וְאַבְטַלְיוֹן. אָמַר לָהֶם, דֻּגְמָא הִשְׁקוּהָ. וְנִדּוּהוּ, וּמֵת בְּנִדּוּיוֹ, וְסָקְלוּ בֵית דִּין אֶת אֲרוֹנוֹ. אָמַר רַבִּי יְהוּדָה, חַס וְשָׁלוֹם שֶׁעֲקַבְיָא נִתְנַדָּה, שֶׁאֵין עֲזָרָה נִנְעֶלֶת בִּפְנֵי כָל אָדָם מִיִּשְׂרָאֵל בְּחָכְמָה וּבְיִרְאַת חֵטְא כַּעֲקַבְיָא בֶּן מַהֲלַלְאֵל. וְאֶת מִי נִדּוּ, אֱלִיעֶזֶר בֶּן חֲנוֹךְ, שֶׁפִּקְפֵּק בְּטָהֳרַת יָדָיִם. וּכְשֶׁמֵּת, שָׁלְחוּ בֵית דִּין וְהִנִּיחוּ אֶבֶן עַל אֲרוֹנוֹ. מְלַמֵּד שֶׁכָּל הַמִּתְנַדֶּה וּמֵת בְּנִדּוּיוֹ, סוֹקְלִין אֶת אֲרוֹנוֹ: \n", + "בִּשְׁעַת מִיתָתוֹ אָמַר לִבְנוֹ, בְּנִי, חֲזֹר בְּךָ בְאַרְבָּעָה דְבָרִים שֶׁהָיִיתִי אוֹמֵר. אָמַר לוֹ, וְלָמָּה לֹא חָזַרְתָּ בָּךְ. אָמַר לוֹ, אֲנִי שָׁמַעְתִּי מִפִּי הַמְרֻבִּים, וְהֵם שָׁמְעוּ מִפִּי הַמְרֻבִּים. אֲנִי עָמַדְתִּי בִשְׁמוּעָתִי, וְהֵם עָמְדוּ בִשְׁמוּעָתָן. אֲבָל אַתָּה שָׁמַעְתָּ מִפִּי הַיָּחִיד, וּמִפִּי הַמְרֻבִּין. מוּטָב לְהַנִּיחַ דִּבְרֵי הַיָּחִיד, וְלֶאֱחֹז בְּדִבְרֵי הַמְרֻבִּין. אָמַר לוֹ, אַבָּא, פְּקֹד עָלַי לַחֲבֵרֶיךָ. אָמַר לוֹ, אֵינִי מַפְקִיד. אָמַר לוֹ, שֶׁמָּא עִילָה מָצָאתָ בִי. אָמַר לוֹ, לָאו. מַעֲשֶׂיךָ יְקָרְבוּךָ וּמַעֲשֶׂיךָ יְרַחֲקוּךָ: \n" + ], + [ + "רַבִּי יְהוּדָה בֶּן בָּבָא הֵעִיד חֲמִשָּׁה דְבָרִים. שֶׁמְּמָאֲנִים אֶת הַקְּטַנּוֹת, וְשֶׁמַּשִּׂיאִין אֶת הָאִשָּׁה עַל פִּי עֵד אֶחָד, וְשֶׁנִּסְקַל תַּרְנְגוֹל בִּירוּשָׁלַיִם עַל שֶׁהָרַג אֶת הַנֶּפֶשׁ, וְעַל הַיַּיִן בֶּן אַרְבָּעִים יוֹם שֶׁנִּתְנַסֵּךְ עַל גַּב הַמִּזְבֵּחַ, וְעַל תָּמִיד שֶׁל שַׁחַר שֶׁקָּרַב בְּאַרְבַּע שָׁעוֹת: \n", + "הֵעִיד רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ וְרַבִּי נְחוּנְיָא בֶּן אֱלִינָתָן אִישׁ כְּפַר הַבַּבְלִי, עַל אֵבֶר מִן הַמֵּת שֶׁהוּא טָמֵא, שֶׁרַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, לֹא אָמְרוּ אֶלָּא עַל אֵבֶר מִן הַחַי. אָמְרוּ לוֹ, וַהֲלֹא קַל וָחֹמֶר. וּמַה מִן הַחַי שֶׁהוּא טָהוֹר, אֵבֶר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ טָמֵא, הַמֵּת שֶׁהוּא טָמֵא, אֵינוֹ דִין שֶׁיִּהְיֶה אֵבֶר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ טָמֵא. אָמַר לָהֶם, לֹא אָמְרוּ אֶלָּא עַל אֵבֶר מִן הַחַי. דָּבָר אַחֵר, מְרֻבָּה טֻמְאַת הַחַיִּים מִטֻּמְאַת הַמֵּתִים, שֶׁהַחַי עוֹשֶׂה מִשְׁכָּב וּמוֹשָׁב מִתַּחְתָּיו, לְטַמֵּא אָדָם וּלְטַמֵּא בְגָדִים, וְעַל גַּבָּיו מַדָּף לְטַמֵּא אֳכָלִים וּמַשְׁקִין, מַה שֶּׁאֵין הַמֵּת מְטַמֵּא: \n", + "כַּזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבָר מִן הַחַי, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַמֵּא, וְרַבִּי יְהוֹשֻׁעַ וְרַבִּי נְחוּנְיָא מְטַהֲרִים. עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבָר מִן הַחַי, רַבִּי נְחוּנְיָא מְטַמֵּא, וְרַבִּי אֱלִיעֶזֶר וְרַבִּי יְהוֹשֻׁעַ מְטַהֲרִין. אָמְרוּ לוֹ לְרַבִּי אֱלִיעֶזֶר, מָה רָאִיתָ לְטַמֵּא כַזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבָר מִן הַחַי. אָמַר לָהֶם, מָצִינוּ אֵבֶר מִן הַחַי כְּמֵת שָׁלֵם. מַה הַמֵּת, כַּזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ טָמֵא, אַף אֵבֶר מִן הַחַי, כַּזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ יִהְיֶה טָמֵא. אָמְרוּ לוֹ, לֹא, אִם טִמֵּאתָ כַזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִן הַמֵּת, שֶׁכֵּן טִמֵּאתָ עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ, תְּטַמֵּא כַזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבָר מִן הַחַי, שֶׁכֵּן טִהַרְתָּ עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ הֵימֶנּוּ. אָמְרוּ לוֹ לְרַבִּי נְחוּנְיָא, מָה רָאִיתָ לְטַמֵּא עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבָר מִן הַחַי. אָמַר לָהֶם, מָצִינוּ אֵבֶר מִן הַחַי כְּמֵת שָׁלֵם. מַה הַמֵּת, עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ טָמֵא, אַף אֵבֶר מִן הַחַי, עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ יִהְיֶה טָמֵא. אָמְרוּ לוֹ, לֹא, אִם טִמֵּאתָ עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מִן הַמֵּת, שֶׁכֵּן טִמֵּאתָ כַזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ, תְּטַמֵּא עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה הַפּוֹרֵשׁ מֵאֵבָר מִן הַחַי, שֶׁכֵּן טִהַרְתָּ כַזַּיִת בָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ. אָמְרוּ לוֹ לְרַבִּי אֱלִיעֶזֶר, מָה רָאִיתָ לַחֲלֹק מִדּוֹתֶיךָ, אוֹ טַמֵּא בִשְׁנֵיהֶם אוֹ טַהֵר בִּשְׁנֵיהֶם. אָמַר לָהֶם, מְרֻבָּה טֻמְאַת הַבָּשָׂר מִטֻּמְאַת הָעֲצָמוֹת, שֶׁהַבָּשָׂר נוֹהֵג בַּנְּבֵלוֹת וּבַשְּׁרָצִים, מַה שֶּׁאֵין כֵּן בָּעֲצָמוֹת. דָּבָר אַחֵר, אֵבֶר שֶׁיֵּשׁ עָלָיו בָּשָׂר כָּרָאוּי, מְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא וּבְאֹהֶל. חָסֵר הַבָּשָׂר, טָמֵא. חָסֵר הָעֶצֶם, טָהוֹר. אָמְרוּ לוֹ לְרַבִּי נְחוּנְיָא, מָה רָאִיתָ לַחֲלֹק מִדּוֹתֶיךָ, אוֹ טַמֵּא בִשְׁנֵיהֶם אוֹ טַהֵר בִּשְׁנֵיהֶם. אָמַר לָהֶם, מְרֻבָּה טֻמְאַת הָעֲצָמוֹת מִטֻּמְאַת הַבָּשָׂר, שֶּׁהַבָּשָׂר הַפּוֹרֵשׁ מִן הַחַי טָהוֹר, וְאֵבָר הַפּוֹרֵשׁ מִמֶּנּוּ, וְהוּא כִבְרִיָּתוֹ, טָמֵא. דָּבָר אַחֵר, כַּזַּיִת בָּשָׂר מְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא וּבְאֹהֶל, וְרֹב עֲצָמוֹת מְטַמְּאִים בְּמַגָּע וּבְמַשָּׂא וּבְאֹהֶל. חָסֵר הַבָּשָׂר, טָהוֹר. חָסֵר רֹב עֲצָמוֹת, אַף עַל פִּי שֶׁטָּהוֹר מִלְּטַמֵּא בְאֹהֶל, מְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא. דָּבָר אַחֵר, כָּל בְּשַׂר הַמֵּת, שֶׁהוּא פָחוֹת מִכַּזַּיִת, טָהוֹר. רֹב בִּנְיָנוֹ וְרֹב מִנְיָנוֹ שֶׁל מֵת, אַף עַל פִּי שֶׁאֵין בָּהֶם רֹבַע, טְמֵאִין. אָמְרוּ לוֹ לְרַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, מָה רָאִיתָ לְטַהֵר בִּשְׁנֵיהֶם. אָמַר לָהֶם, לֹא, אִם אֲמַרְתֶּם בַּמֵּת, שֶׁיֶּשׁ בּוֹ רֹב וְרֹבַע וְרָקָב, תֹּאמְרוּ בַחַי שֶׁאֵין בּוֹ רֹב וְרֹבַע וְרָקָב: \n" + ], + [ + "הֵעִיד רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ וְרַבִּי צָדוֹק עַל פִּדְיוֹן פֶּטֶר חֲמוֹר שֶׁמֵּת, שֶׁאֵין בּוֹ לַכֹּהֵן כְּלוּם, שֶׁרַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, חַיָּבִין בְּאַחֲרָיוּתָן כְּחָמֵשׁ סְלָעִים שֶׁל בֵּן. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין חַיָּבִין בְּאַחֲרָיוּתָן אֶלָּא כְפִדְיוֹן שֶׁל מַעֲשֵׂר שֵׁנִי: \n", + "הֵעִיד רַבִּי צָדוֹק עַל צִיר חֲגָבִים טְמֵאִים, שֶׁהוּא טָהוֹר. שֶׁמִּשְׁנָה רִאשׁוֹנָה, חֲגָבִים טְמֵאִים שֶׁנִּכְבְּשׁוּ עִם חֲגָבִים טְהוֹרִים, לֹא פָסְלוּ צִירָן: \n", + "הֵעִיד רַבִּי צָדוֹק עַל זוֹחֲלִין שֶׁרַבּוּ עַל הַנּוֹטְפִים, שֶׁהֵם כְּשֵׁרִים. מַעֲשֶׂה הָיָה בְּבִירַת הַפִּלְיָא, וּבָא מַעֲשֶׂה לִפְנֵי חֲכָמִים וְהִכְשִׁירוּהוּ: \n", + "הֵעִיד רַבִּי צָדוֹק עַל זוֹחֲלִין שֶׁקִּלְּחָן בַּעֲלֵה אֱגוֹז, שֶׁהֵן כְּשֵׁרִים. מַעֲשֶׂה הָיָה בְאָהֳלְיָא, וּבָא מַעֲשֶׂה לִפְנֵי לִשְׁכַּת הַגָּזִית, וְהִכְשִׁירוּהוּ: \n", + "הֵעִיד רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ וְרַבִּי יָקִים אִישׁ הֲדַר עַל קָלָל שֶׁל חַטָּאת שֶׁנְּתָנוֹ עַל גַּבֵּי הַשֶּׁרֶץ, שֶׁהוּא טָמֵא. שֶׁרַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר. הֵעִיד רַבִּי פַּפְּיַס עַל מִי שֶׁנָּזַר שְׁתֵּי נְזִירוּת, שֶׁאִם גִּלַּח אֶת הָרִאשׁוֹנָה יוֹם שְׁלֹשִׁים, שֶׁמְּגַלֵּחַ הַשְּׁנִיָּה יוֹם שִׁשִּׁים. וְאִם גִלַּח יוֹם שִׁשִּׁים חָסֵר אֶחָד, יָצָא, שֶׁיּוֹם שְׁלֹשִׁים עוֹלֶה לוֹ מִן הַמִּנְיָן: \n", + "הֵעִיד רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ וְרַבִּי פַּפְּיַס עַל וָלָד שֶׁל שְׁלָמִים, שֶׁיִּקְרַב שְׁלָמִים. שֶׁרַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר שֶׁוְּלַד שְׁלָמִים לֹא יִקְרַב שְׁלָמִים. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, יִקְרָב. אָמַר רַבִּי פַּפְּיַס, אֲנִי מֵעִיד שֶׁהָיְתָה לָנוּ פָרָה זִבְחֵי שְׁלָמִים, וַאֲכַלְנוּהָ בַפֶּסַח וְאָכַלְנוּ וְלָדָהּ שְׁלָמִים בֶּחָג: \n", + "הֵם הֵעִידוּ עַל אֲרוּכוֹת שֶׁל נַחְתּוֹמִים, שֶׁהֵן טְמֵאוֹת. שֶׁרַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר. הֵם הֵעִידוּ עַל תַּנּוּר שֶׁחִתְּכוֹ חֻלְיוֹת וְנָתַן חֹל בֵּין חֻלְיָא לְחֻלְיָא, שֶׁהוּא טָמֵא. שֶׁרַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר. הֵם הֵעִידוּ שֶׁמְּעַבְּרִין אֶת הַשָּׁנָה בְּכָל אֲדָר. שֶׁהָיוּ אוֹמְרִים עַד הַפּוּרִים. הֵם הֵעִידוּ שֶׁמְּעַבְּרִים אֶת הַשָּׁנָה עַל תְּנָאי. וּמַעֲשֶׂה בְרַבָּן גַּמְלִיאֵל שֶׁהָלַךְ לִטֹּל רְשׁוּת מֵהֶגְמוֹן בְּסוּרְיָא וְשָׁהָה לָבֹא, וְעִבְּרוּ אֶת הַשָּׁנָה עַל תְּנַאי לִכְשֶׁיִּרְצֶה רַבָּן גַּמְלִיאֵל, וּכְשֶׁבָּא אָמַר רוֹצֶה אָנִי, וְנִמְצֵאת הַשָּׁנָה מְעֻבָּרֶת: \n", + "הֵעִיד מְנַחֵם בֶּן סִגְנַאי עַל מוּסַף הַיּוֹרָה שֶׁל שׁוֹלְקֵי זֵיתִים שֶׁהוּא טָמֵא, וְשֶׁל צַבָּעִים שֶׁהוּא טָהוֹר. שֶׁהָיוּ אוֹמְרִים חִלּוּף הַדְּבָרִים: \n", + "הֵעִיד רַבִּי נְחוּנְיָא בֶן גֻּדְגְּדָא עַל הַחֵרֶשֶׁת שֶׁהִשִּׂיאָהּ אָבִיהָ, שֶׁהִיא יוֹצְאָה בְגֵט. וְעַל קְטַנָּה בַת יִשְׂרָאֵל שֶׁנִּשֵּׂאת לְכֹהֵן, שֶׁהִיא אוֹכֶלֶת בַּתְּרוּמָה, וְאִם מֵתָה, בַּעְלָהּ יוֹרְשָׁהּ. וְעַל הַמָּרִישׁ הַגָּזוּל שֶׁבְּנָאוֹ בַבִּירָה, שֶׁיִּתֵּן אֶת דָּמָיו. וְעַל הַחַטָּאת הַגְּזוּלָה שֶׁלֹּא נוֹדְעָה לָרַבִּים, שֶׁהִיא מְכַפֶּרֶת, מִפְּנֵי תִקּוּן הַמִּזְבֵּחַ: \n" + ], + [ + "הֵעִיד רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ בֶּן בְּתֵירָא עַל דַּם נְבֵלוֹת שֶׁהוּא טָהוֹר. הֵעִיד רַבִּי שִׁמְעוֹן בֶּן בְּתֵירָא עַל אֵפֶר חַטָּאת שֶׁנָּגַע טָמֵא בְמִקְצָתוֹ, שֶׁטִּמֵּא אֶת כֻּלּוֹ. הוֹסִיף רַבִּי עֲקִיבָא, עַל הַסֹּלֶת וְעַל הַקְּטֹרֶת וְהַלְּבוֹנָה וְהַגֶּחָלִים שֶׁנָּגַע טְבוּל יוֹם בְּמִקְצָתָם, שֶׁפָּסַל אֶת כֻּלָּם: \n", + "הֵעִיד רַבִּי יְהוּדָה בֶן בָּבָא וְרַבִּי יְהוּדָה הַכֹּהֵן עַל קְטַנָּה בַת יִשְׂרָאֵל שֶׁנִּשֵּׂאת לְכֹהֵן, שֶׁהִיא אוֹכֶלֶת בַּתְּרוּמָה כֵּיוָן שֶׁנִּכְנְסָה לַחֻפָּה אַף עַל פִּי שֶׁלֹּא נִבְעָלָה. הֵעִיד רַבִּי יוֹסֵי הַכֹּהֵן וְרַבִּי זְכַרְיָה בֶן הַקַּצָּב עַל תִּינוֹקֶת שֶׁהֻרְהֲנָה בְאַשְׁקְלוֹן, וְרִחֲקוּהָ בְנֵי מִשְׁפַּחְתָּהּ, וְעֵדֶיהָ מְעִידִים אוֹתָהּ שֶׁלֹּא נִסְתְּרָה וְשֶׁלֹּא נִטְמָאָה. אָמְרוּ לָהֶם חֲכָמִים, אִם מַאֲמִינִים אַתֶּם שֶׁהֻרְהֲנָה, הַאֲמִינוּ, שֶׁלֹּא נִסְתְּרָה וְשֶׁלֹּא נִטְמָאָה. וְאִם אֵין אַתֶּם מַאֲמִינִים שֶׁלֹּא נִסְתְּרָה וְשֶׁלֹּא נִטְמְאָה, אַל תַּאֲמִינוּ שֶׁהֻרְהָנָה: \n", + "הֵעִיד רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ וְרַבִּי יְהוּדָה בֶן בְּתֵירָא עַל אַלְמָנַת עִסָּה, שֶׁהִיא כְשֵׁרָה לַכְּהֻנָּה, שֶׁהָעִסָּה כְשֵׁרָה לְטַמֵּא וּלְטַהֵר, לְרַחֵק וּלְקָרֵב. אָמַר רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל, קִבַּלְנוּ עֵדוּתְכֶם, אֲבָל מַה נַּעֲשֶׂה, שֶׁגָּזַר רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן זַכַּאי שֶׁלֹּא לְהוֹשִׁיב בָּתֵּי דִינִין עַל כָּךְ. הַכֹּהֲנִים שׁוֹמְעִים לָכֶם לְרַחֵק, אֲבָל לֹא לְקָרֵב: \n", + "הֵעִיד רַבִּי יוֹסֵי בֶּן יוֹעֶזֶר, אִישׁ צְרֵדָה, עַל אַיִל קַמְצָא, דָּכָן. וְעַל מַשְׁקֵה בֵית מִטְבְּחַיָּא, דְּאִינּוּן דַּכְיָן. וּדְיִקְרַב בְּמִיתָא, מִסְתָּאָב. וְקָרוּ לֵיהּ, יוֹסֵי שָׁרְיָא: \n", + "הֵעִיד רַבִּי עֲקִיבָא מִשּׁוּם נְחֶמְיָה, אִישׁ בֵּית דְּלִי, שֶׁמַּשִּׂיאִים הָאִשָּׁה עַל פִּי עֵד אֶחָד. הֵעִיד רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ עַל עֲצָמוֹת שֶׁנִּמְצְאוּ בְדִיר הָעֵצִים, אָמְרוּ חֲכָמִים, מְלַקֵּט עֶצֶם עֶצֶם וְהַכֹּל טָהוֹר: \n", + "אָמַר רַבִּי אֱלִיעֶזֶר, שָׁמַעְתִּי, כְּשֶׁהָיוּ בוֹנִים בַּהֵיכָל, עוֹשִׂים קְלָעִים לַהֵיכָל וּקְלָעִים לָעֲזָרוֹת, אֶלָּא שֶׁבַּהֵיכָל בּוֹנִים מִבַּחוּץ, וּבָעֲזָרָה בּוֹנִים מִבִּפְנִים. אָמַר רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, שָׁמַעְתִּי, שֶׁמַּקְרִיבִין אַף עַל פִּי שֶׁאֵין בַּיִת, וְאוֹכְלִים קָדְשֵׁי קָדָשִׁים אַף עַל פִּי שֶׁאֵין קְלָעִים, קָדָשִׁים קַלִּים וּמַעֲשֵׂר שֵׁנִי, אַף עַל פִּי שֶׁאֵין חוֹמָה, שֶׁקְּדֻשָּׁה רִאשׁוֹנָה קִדְּשָׁה לִשְׁעָתָהּ וְקִדְּשָׁה לֶעָתִיד לָבֹא: \n", + "אָמַר רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, מְקֻבָּל אֲנִי מֵרַבָּן יוֹחָנָן בֶּן זַכַּאי, שֶׁשָּׁמַע מֵרַבּוֹ וְרַבּוֹ מֵרַבּוֹ, הֲלָכָה לְמשֶׁה מִסִּינַי, שֶׁאֵין אֵלִיָּהוּ בָא לְטַמֵּא וּלְטַהֵר, לְרַחֵק וּלְקָרֵב, אֶלָּא לְרַחֵק הַמְקֹרָבִין בִּזְרוֹעַ וּלְקָרֵב הַמְרֻחָקִין בִּזְרוֹעַ. מִשְׁפַּחַת בֵּית צְרִיפָה הָיְתָה בְעֵבֶר הַיַּרְדֵּן וְרִחֲקָהּ בֶּן צִיּוֹן בִּזְרוֹעַ, וְעוֹד אַחֶרֶת הָיְתָה שָׁם וְקֵרְבָהּ בֶּן צִיּוֹן בִּזְרוֹעַ. כְּגוֹן אֵלּוּ, אֵלִיָּהוּ בָא לְטַמֵּא וּלְטַהֵר, לְרַחֵק וּלְקָרֵב. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, לְקָרֵב, אֲבָל לֹא לְרַחֵק. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, לְהַשְׁווֹת הַמַּחֲלֹקֶת. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לֹא לְרַחֵק וְלֹא לְקָרֵב, אֶלָּא לַעֲשׂוֹת שָׁלוֹם בָּעוֹלָם, שֶׁנֶּאֱמַר (מלאכי ג) הִנֵּה אָנֹכִי שֹׁלֵחַ לָכֶם אֵת אֵלִיָּה הַנָּבִיא וְגוֹ' וְהֵשִׁיב לֵב אָבוֹת עַל בָּנִים וְלֵב בָּנִים עַל אֲבוֹתָם: \n" + ] + ], + "versions": [ + [ + "Torat Emet 357", + "http://www.toratemetfreeware.com/index.html?downloads" + ] + ], + "heTitle": "משנה עדיות", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git "a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/Mischnajot mit deutscher \303\234bersetzung und Erkl\303\244rung. 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Ordnung Moed, von Eduard Baneth. 1887-1927.
Ordnung Naschim, von Marcus Petuchowski u. Simon Schlesinger. 1896-1933.
Ordnung Nesikin, von David Hoffmann. 1893-1898.
Ordnung Kodaschim, von John Cohn. 1910-1925.
Ordnung Toharot, von David Hoffmann, John Cohn und Moses Auerbach. 1910-1933.", + "actualLanguage": "de", + "languageFamilyName": "german", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה שבועות", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "Es gibt zwei Arten1 Bejahende und Verneinende. von Eiden2 Es ist hier nur von Eiden die Rede, die keinem Andern zum Nutzen oder Schaden gereichen, womit man entweder für die Zukunft etwas gelobt oder eine Behauptung über etwas Vergangenes erhärtet. Solche Eide heißen: שבועות בטוי Ausspruch-Eide., weiche in vier zerfallen3 Da jede der beiden Arten promissorisch oder assertorisch sein kann. Näheres wird weiter Abschnitt III, M. 1 angegeben.. Das Wissen der Unreinheit4 In Lev. 5, 3 ff. wird bestimmt, dass man wegen Unreinheits-Sünden, die man aus Versehen begangen und dann erfahren hat, ein auf- und absteigendes Opfer bringen solle. Da die Opferpflicht, wie weiter M. 2 gelehrt wird, vom „Wissen“ abhängig ist, so werden die vier Fälle, in denen man zum Opfer verpflichtet ist, als ידיעות הטומאה bezeichnet. hat zwei Arten5 Der Unreine kann sich dadurch versündigen, dass er 1) ins Heiligtum geht, 2) heilige Opferspeise isst., welche in vier zerfallen6 Das Versehen bei jeder der beiden Sünden kann entweder darin bestehen, dass man die Unreinheit vergessen, oder darin, dass man die Heiligkeit des Ortes resp. der Speise nicht kennt. Näheres weiter Abschn. II, M. 1.. Das Hinaustragen7 Aus einem Gebiete in ein anderes, und zwar entweder aus einem Privatgebiet (רשות היחיד) in ein öffentliches Gebiet (רשות הרבים), oder umgekehrt. Ersteres heißt הוצאה (Austragen), letzteres הכנסה (Hineinbringen). am Sabbat hat zwei Arten8 Die Transportation kann durch einen Draußenstehenden (in der Mischna „עני der Arme“ genannt), oder durch einen im Hause Befindlichen (בעל הבית Hausherr) bewerkstelligt werden., welche in vier zerfallen9 Da die Transportation eine הוצאה oder eine הכנסה sein kann (Note 7). Hier werden nur die nach der Tora verbotenen 4 Arten der Transportation aufgezählt. Im Tr. Sabbat I, 1 wo die Details näher angegeben sind, werden noch 4 rabbinische Verbote hinzugefügt.. Das Ansehen der Aussatzschäden hat zwei Arten10 Nämlich 1) בהרת ein schneeweißer Aussatzschaden, 2) שאת ein wollweißer Schaden., welche in vier zerfallen11 Indem jeder der genannten Hauptschäden (אבות) noch eine Unterart תולדה hat, die in Lev. 13, 2 ספחת genannt wird. Die תולדה von בהרת ist kalkweiß, und die von שאת weiß wie ein Eihäutchen; näheres im Tr. Negaïm I, 1..", + "War12 Die Vorschriften über die Eide, die zahlreicher sind, werden erst später, von Abschn. III an, ausgeführt. Zuerst wird über ידיעות הטומאה abgehandelt, wobei nicht so viele Bestimmungen existieren. am Anfang13 Bevor er die Sünde begangen. und am Ende14 Nachdem er die Sünde begangen. das Wissen15 Nach der Sünde kann er selbstverständlich nur das Sühnopfer bringen, wenn ihm seine Sünde bewusst wird, wie es heißt (Lev. 5, 3): „Er aber erfährt es und ist schuldig“. Aber auch — und dies ist die charakteristische Eigentümlichkeit dieser Gesetzesbestimmung — vor der durch die Betretung des Heiligtums oder den Genuss der heiligen Speise begangenen Sünde muss ihm sowohl die Vorschrift seiner Unreinheit als auch die der Heiligkeit dieses Ortes resp. dieser Speise bekannt gewesen sein. Fehlte dieses „Wissen am Anfang“ (ידיעה בתחילה), so wird das betr. Opfer (עולה ויורד) nicht dargebracht; denn es heißt (Lev. 5, 3): ונעלם ממנו (und es entfällt ihm), daraus ist zu schließen, dass er es Anfangs gewusst hat. vorhanden, während in der Zwischenzeit16 Während der Versündigung. Unwissenheit17 Entweder über seine Unreinheit oder über die Heiligkeit des betretenen Ortes, resp. der genossenen Speise. stattfand; so ist man ein auf- und absteigendes Opfer18 Der Reiche bringt ein weibliches Schaf oder eine Ziege, der Arme zwei Tauben, der Allerärmste ein Mehlopfer (Lev. 5, 6 13). schuldig. War am Anfang das Wissen vorhanden, aber nicht am Ende; so bewirken der im Innern bereitete19 Dessen Blut im Allerheiligsten und im Tempel gesprengt wird. Sündopferbock20 Vom Versöhnungstage, Lev. 16, 15. und der Versöhnungstag21 Der Versöhnungstag bewirkt an und für sich, abgesehen von allen an diesem Tage ausgeübten Geboten, Versöhnung, resp. Suspension der Strafe. Aufschub der (Strafe)22 חולה es suspendiert (sc. die Strafe). Auch der aus Irrtum Sündigende ist strafwürdig, da er es an der nötigen Vorsicht fehlen ließ., bis es ihm bekannt wird23 Dass er in seiner Unreinheit das Heiligtum betreten, resp. Heiliges gegessen. und dann ein auf- und absteigendes Opfer bringt.", + "Fand am Anfang kein Wissen statt24 Nach dem Talmud ist dies nur bei Einem, der von seiner Kindheit an zwischen Heiden gefangen war (תינוק שנשבה לבין הנכרים), der Fall, da sonst durch die bei jedem Juden von der Schule her vorauszusetzende Gesetzeskunde (ידיעת בית רבו) allein auch der Anforderung von ידיעה בתחילה (Note 15) Genüge geleistet wird., aber am Ende war das Wissen vorhanden25 Nachdem er die Sünde begangen, wurde er über seine Verirrung aufgeklärt.; so versöhnen ihn der draußen bereitete26 Dessen Blut auf den Altar des Vorhofes gegeben wird. Sündopferbock27 Das Sündopfer des Versöhnungstages, das in Num. 29, 11 vorgeschrieben ist und zu den Mussaphim (Zusatzopfern für die Feste) gehört. und der Versöhnungstag21 Der Versöhnungstag bewirkt an und für sich, abgesehen von allen an diesem Tage ausgeübten Geboten, Versöhnung, resp. Suspension der Strafe., denn es heißt (Num. 29,11): „Außer28 Vorher steht: „ein Ziegenbock zum Sündopfer“; das ist das Mussaph-Sündopfer. dem Sündopfer der Versöhnung29 Das ist der im Innern bereitete Sündopferbock. Diese beiden Sündopfer werden sonach in gewisser Beziehung einander gleichgestellt. “, (dies lehrt), wie der eine versöhnt, in der Weise versöhnt auch der andere; so wie der Innere nur das versöhnt, wobei ein Wissen30 Am Anfang. vorhanden war31 Wie oben M. 2 angegeben ist., ebenso versöhnt auch der Äußere nur das, wobei ein Wissen32 Am Ende. vorhanden war.", + "War weder am Anfang noch am Ende33 Nämlich vor der Darbringung der im Folgenden erwähnten ihn versöhnenden Sündopfer; später mag er sich seiner Sünde bewusst geworden sein. das Wissen vorhanden; so versöhnen ihn die Sündopferböcke der Festtage und die der Neumond-Tage34 Die in Num. 28 und 29 vorgeschrieben sind.; dies die Worte R. Jehuda’s35 Denn beim Neumond-Sündopfer heißt es (Num. 28, 15): „zum Sündopfer dem Ewigen“, dies lehrt, dieses Opfer bewirkt Versöhnnng für die Sünden, die nur dem Ewigen allein bekannt sind. Die Sündopfer der Festtage sind wieder denen der Neumonde gleichgestellt. R. Simon sagt: Die Sündopferböcke der Festtage versöhnen ihn, aber nicht die der Neumond-Tage36 Wer also vor einem Neumond-Tage eine Unreinheitssünde begangen und nach demselben vor einem Festtage sich seiner Sünde bewusst geworden ist, muss ein Sündopfer darbringen.. Wofür versöhnen denn die Sündopferböcke der Neumond-Tage? Für einen Reinen, der Unreines37 Unrein gewordene Opferspeise. gegessen hat. R. Meir sagt: Alle Sündopferböcke38 Die als Mussaph-Opfer in Num. 28 und 29 für die Fest- und Neumond-Tage und für den Versöhnungstag vorgeschrieben sind. versöhnen in gleicher Weise über Unreinheit beim Heiligtum und seinen heiligen Opfer-Speisen39 Sowohl für den in voriger Mischna erwähnten Fall, dass wohl am Ende, aber nicht am Anfang Wissen stattfand, als auch für die in dieser Mischna erwähnten Fälle, dass weder am Anfang noch am Ende das Wissen vorhanden war, und dass ein Reiner unrein gewordene Opferspeise gegessen hatte. Bloß für den Fall, dass wohl am Anfang, aber nicht am Ende Wissen stattgefunden, bewirkt der im Innern bereitete Sündopferbock die Versöhnung, wie in M. 2 angegeben.. Es hatte R. Simon gesagt40 Die Worte R. Simons werden wiederholt, um dessen Diskussion mit den Weisen anzuschließen. Doch scheint die ganze Stelle: היה ר״ש אומר bis Ende Mischna 5 eine Interpolation zu sein, die erst nach Rabbi eingeschoben worden.: Die Sündopferböcke der Neumond-Tage versöhnen für den Reinen, der Unreines gegessen hat; die der Festtage versöhnen für den Fall, dass weder am Anfang noch am Ende das Wissen vorhanden war; und der des Versöhnungstages41 Der Mussaph-Sündopferbock, Note 27. versöhnt für den Fall, dass am Anfang kein Wissen vorhanden war, am Ende aber Wissen stattfand. Da sagten sie42 Die Weisen. zu ihm: Wie ist es43 מהו = מה הוא., darf der eine anstatt des anderen44 Eig. „darf der eine am Tage des andern“; בזה für ביום של זה. dargebracht werden45 קרב intr. statt pass. des transit. ? Da sagte er zu ihnen: Er darf dargebracht werden46 Wenn z. B. der Sündopferbock des Versöhnungstages verloren gegangen ist, und man an dessen Stelle einen andern dargebracht, so darf man, wenn der verlorene wieder gefunden wird, denselben an einem Neumond- oder Festtage als Mussaph dieses Tages darbringen.. Da sagten sie zu ihm: Da sie hinsichtlich ihrer Versöhnung einander nicht gleich sind, wie kann der Eine anstatt des Andern dargebracht werden47 Diesen Einwand kann nur R. Meïr mit Recht erheben, der oben behauptet: „Alle Sündopferböcke versöhnen in gleicher Weise“. Teilweise hätte er diesen Einwand auch gegen den ersten Tanna (R. Jehuda) richten können, da auch nach ihm wenigstens die Versöhnungskraft des Versöhnungstags-Mussaphs von der der Neumond- und Festtage verschieden ist, wenn auch die Mussaphim der beiden letzteren in dieser Beziehung einander gleich sind. ? Da sagte er zu ihnen: Alle kommen zu versöhnen für Unreinheits-Sünden beim Heiligtum und dessen heiligen Opferspeisen48 Da nun alle Sünden, für die durch die Mussaph-Opfer versöhnt wird, etwas Gemeinsames haben, so darf das eine Opfer anstatt des andern dargebracht werden..", + "R. Simon, Sohn Jehuda’s, sagt in seinem49 Des R. Simon. „R. Simon“ ohne weitere Bezeichnung ist R. Simon ben Jochaï. Namen: Die Sündopferböcke der Neumond-Tage versöhnen für einen Reinen der Unreines gegessen; die der Festtage wirken noch mehr als jene, denn sie versöhnen sowohl für einen Reinen, der Unreines gegessen, als für den Fall, dass (bei Unreinheit der Person) weder am Anfang noch am Ende das Wissen vorhanden war; der des Versöhnungstags wirkt noch mehr als jene, denn er versöhnt nicht nur für den Reinen, der Unreines gegessen und für den Fall, dass weder am Anfang noch am Ende Wissen stattfand, sondern auch für den Fall, dass das Wissen nicht am Anfang, wohl aber am Ende vorhanden war. Da sagten sie49 Des R. Simon. „R. Simon“ ohne weitere Bezeichnung ist R. Simon ben Jochaï. zu ihm50 Zu R. Simon ben Jehuda.. Wie ist es, hat auch der Rabbi51 R. Simon ben Jochaï. Im Talmud fehlen die Worte אומר היה רבי; danach ist hier die Diskussion der Weisen mit R. Simon ben Jochaï nach der Version des R. Simon ben Jehuda mitgeteilt. לו bezieht sich dann auf R. Simon b. Jochaï. gesagt, es dürfe der Eine anstatt des Anderen dargebracht werden? Da sagte er zu ihnen: Jawohl. Da sagten sie zu ihm: Wenn dem so wäre, so könnte wohl der des Versöhnungstags an den Neumond-Tagen dargebracht werden, aber wie kann der von Neumond-Tagen am Versöhnungstage dargebracht werden, um eine Versöhnung zu bewirken, die ihm nicht zukommt? Da sagte er zu ihnen: Alle kommen zu versöhnen für Unreinheits-Sünden beim Heiligtum und seinen heiligen Opferspeisen48 Da nun alle Sünden, für die durch die Mussaph-Opfer versöhnt wird, etwas Gemeinsames haben, so darf das eine Opfer anstatt des andern dargebracht werden..", + "52 Folgender Satz ist Fortsetzung der unbestrittenen Lehren der Mischna (סתם משנה). Für die vorsätzlich53 Aber ohne Verwarnung, bei einer Verwarnung kann nur die Geißelstrafe sühnen. begangenen Unreinheits-Sünden beim Heiligtum und dessen heiligen Opferspeisen versöhnen der im Innern bereitete Sündopferbock und der Versöhnungstag. Für die andern Übertretungen, (die) in der Tora (geschrieben stehen), sowohl die leichten als die schweren, die vorsätzlichen als die unvorsätzlichen, die54 Dies bezieht sich auf die unvorsätzlichen Sünden. bewussten55 Es ist ihm bewusst geworden, dass er möglicher Weise eine Ausrottungssünde begangen haben könnte. In solchem Falle hätte er vor dem Versöhnungstage das in Lev. 5, 17—19 vorgeschriebene Schuldopfer (אשם תלוי) darzubringen. Davon befreit ihn die Sühne des Versöhnungstages. Wenn ihm aber bewusst geworden ist, dass er ohne jeden Zweifel eine כרת-Sünde begangen, wofür er ein Sündopfer schuldig ist, so kann ihn die Sühne des Versöhnungstages nicht davon befreien (Talmud). als die nicht bewussten, die Gebote und Verbote56 Dies sind die leichten Übertretungen., auch die mit Ausrottung oder gerichtlicher Todesstrafe belegten,57 Dies sind die schweren. — für diese alle versöhnt der Ziegenbock, der58 Zum Asasel, Lev. 16, 22. fortgeschickt wird.59 Mischna 2—6 ist wörtlich in Siphra Achre-Moth Perek 6 zu finden.", + "Hierin60 Betreffs der Versöhnung durch den fortgeschickten Bock. sind Israeliten,61 D. h. Nichtpriester. Priester und der gesalbte Priester62 Der Hohepriester. einander gleich. Welcher Unterschied ist aber zwischen den Israeliten und den Priestern oder gesalbtem Priester? Darin, dass das Blut des Farren die Priester wegen deren Unreinheits-Sünden beim Heiligtum und dessen heiligen Opferspeisen63 Wegen aller Sünden, wobei sowohl der im Innern bereitete als der draußen bereitete Sündopferbock für die Nichtpriester Aufschub der Strafe, resp. Versöhnung bewirkt, Mischna 2, 6 und 3. versöhnt. R. Simon sagt: Sowie das Blut des im Innern bereiteten Sündopferbocks für die Israeliten versöhnt,64 Ohne Sündenbekenntnis, da bei diesem Sündopfer kein Sündenbekenntnis stattfindet. so versöhnt das Blut des Farren für die Priester,65 Ebenfalls ohne das Sündenbekenntnis, so dass das in Lev. 16, 6 bei dem Farren vorgeschriebene Sündenbekenntnis (s. Raschi das.) noch eine andere Versöhnung bewirken kann. und sowie das Sündenbekenntnis beim fortzusendenden Ziegenbock66 Lev. 16, 21. für die Israeliten versöhnt, so versöhnt das Sündenbekenntnis beim Farren für die Priester.67 Wegen aller übrigen leichten und schweren Übertretungen, Mischna 6." + ], + [ + "Das Wissen der Unreinheit hat zwei Arten, die in vier zerfallen:1 S. I, Note 4—6. Wenn nämlich Jemand unrein geworden2 Er berührte z. B. ein Totes Kriechtier (שרץ). und er es wusste3 S. I, Note 15., dann aber wird die Unreinheit von ihm vergessen, während er der Heiligkeit (der gegessenen Speise) sich bewusst ist,4 Dies ist der erste Fall. oder die Heiligkeit (der Speise) war ihm unbekannt, er war aber der Unreinheit sich bewusst,5 Dies ist der zweite Fall. oder Beides6 Sowohl die Unreinheit seiner Person als die Heiligkeit der Speise. wird von ihm vergessen,7 Dies ist eigentlich ein dritter Fall, und da weiter bei מקדש ebenfalls drei Fälle erwähnt werden, so hätte die Mischna 6 Arten zählen sollen. Allein es wird jedesmal der dritte Fall, dass beides ihm vergessen war, als in den ersten beiden Fällen enthalten betrachtet und nicht besonders gezählt. er isst darauf Heiliges8 Dies bezieht sich auf alle drei Fälle. und weiß nicht,9 Dass er eine Sünde begeht, da ihm seine Unreinheit oder die Heiligkeit der Speise oder beides zugleich vergessen war. und nach dem Essen erfährt er es; so ist er ein auf- und absteigendes Opfer schuldig. Wurde er unrein2 Er berührte z. B. ein Totes Kriechtier (שרץ). und wusste es,3 S. I, Note 15. dann aber wurde die Unreinheit von ihm vergessen, während er das Heiligtum kennt,10 Das ist nach der Zählung der Mischna der dritte Fall. oder das Heiligtum war ihm unbekannt, er war sich aber der Unreinheit bewusst,11 Dies ist der vierte Fall. oder Beides12 Seine Unreinheit und die Heiligkeit des Ortes ward von ihm vergessen13 Vgl. Note 7., und er geht darauf ins Heiligtum,14 S. Note 8. und weiß nicht,15 Vgl. Note 9. und nachdem er herauskommt, erfährt er es, so ist er ein auf- und absteigendes Opfer schuldig.", + "Es gilt gleich, ob er in den Vorhof selbst16 In den ursprünglichen Vorhof des Heiligtums, s. M. Kelim I, 8. oder in den zum Vorhofe17 In späterer Zeit. hinzugefügten Raum getreten ist, indem man zur (heiligen) Stadt und zu den Vorhöfen18 S. Sanhedrin I, Note 48—49. Nichts hinzufügen darf, außer mit Zustimmung eines Königs, eines Propheten, der Urim und Tumim19 S. Joma VII, 5. und des Synedrion von einundsiebzig.19 S. Joma VII, 5. Dazu gehören ferner zwei Dankopferbrote20 Nach Nehemia 12, 31, wo der Talmud שתי תודות als zwei „Dankopfer“ erklärt. (Die Neuern erklären תודות als „Lobchöre“). Das hinzugefügte גדולות sagt bestimmt, dass man zwei von den großen Broten der zwei Dankopfer herumgetragen hat; das waren die gesäuerten Brote, nach M. Menachot VII, 1. Die Dankopfer wurden nach der Vorschrift in Lev. 7, 12 ff. dargebracht. Diese brachte man jedoch nur, wenn man die Stadt Jerusalem erweitern wollte; bei Vergrößerung des Tempel-Vorhofes dagegen wurde ein Mehlopfer dargebracht, aus dessen Überresten (שיריים) man zwei Kuchen machte, mit denen man um den hinzugefügten Platz einen Umzug hielt. (Über die Erweiterung Jerusalems durch die Vorstadt Bezetha vgl. Grätz III4, 769 ff.). und Gesang.21 Die Leviten begleiteten die Dankopferbrote mit Musikinstrumenten und sangen Ps. 30; nach Einigen auch Ps. 91, VV. 1—9 und Ps. 3. Der Gerichtshof geht22 Rings um den hinzugefügten Platz. mit den zwei Dankopferbroten23 D. h.: die zwei Brote wurden, eines hinter dem andern, von zwei Priestern dem Gerichtshofe vorangetragen., und zwar hinter denselben,24 Das Wort אחריהם ist nach dem Talmud auf בית דין zu beziehen, wie aus Nehemia 12, 32 bewiesen wird. und ganz Israel folgt ihm.25 Dem Gerichtshofe. Das innere26 Das zweite, hinter dem der Gerichtshof unmittelbar einherzog. (Brot) wurde verzehrt,27 Dies geschah auf Befehl der Propheten. das äußere28 Das vorangetragene. verbrannt.27 Dies geschah auf Befehl der Propheten. Alles,29 Das hinzugefügte Territorium. was nicht mit allen diesen (Bedingungen) gemacht wurde,30 Feierlich konsekriert wurde. da war der dort hineingehende (Unreine) nicht schuldig.31 Wenn der Raum auch eine Appendix des Tempel-Vorhofes war. Die Konsekration zur Zeit des Nehemia (wobei König und Urim und Tumim fehlten), war demnach, wie der Talmud bemerkt, nur zum Andenken geschehen, da alle Räume die entsprechende Heiligkeit noch von der Zeit des ersten Tempels her besaßen.", + "Ist Jemand im Vorhofe32 Des Tempels. unrein geworden,33 Und hat gewusst, dass er unrein geworden. dann wurde die Unreinheit von ihm vergessen, er war sich aber bewusst, dass er im Heiligtume ist, oder er vergaß, dass er sich im Heiligtume befindet, er war aber seiner Unreinheit sich bewusst, oder Beides ward von ihm vergessen, und er verbeugte sich,34 Er machte eine bloße Kniebeugung nach innen gewendet; bei einer Verbeugung nach außen bedarf es der weiter bestimmten Zeitdauer (Talm.). oder er verweilte darin so lange, als eine Verbeugung35 Darunter ist nach dem Talmud das sich Niederwerfen mit Ausstrecken der Hände und Füße verstanden. dauert,36 Es ist dies eine Zeit, die man braucht, um den Vers 2. Chron. 7, 3 gelassen zu rezitieren. oder er kam den längern Weg heraus,37 Er hätte auf kürzerem Wege den heiligen Raum verlassen können, und er ging einen längern Weg. so ist er schuldig.38 Ein auf- und absteigendes Opfer. (Geht er aber) den kürzeren Weg, so ist er frei.39 Wenn er nur in Einem fort ohne zu verweilen, hinausgeht. Dies40 Dieser Satz und die folgende Mischna wollen eine Stelle in M. Horajot II, 4 erklären, die vom Gemeinde-Opfer (פר העלס דבר של צבור) handelt, vgl. das. ist ein Tat-Gebot41 Indem dem Unreinen geboten ist, das in erlaubter Weise betretene Heiligtum auf kürzestem Wege zu verlassen. Das Gebot wird aus der Schriftstelle וישלחו מן המחנה (Num. 5, 2) deduziert. betreffs des Heiligtums, wegen dessen Übertretung die Gemeinde42 Welche diese Sünde nach einer irrtümlichen Entscheidung des obersten Gerichtshofes begangen. nicht schuldig wird.43 Einen Stier zum Sündopfer zu bringen, nach Lev. 4, 13 ff.", + "Welches ist das Tat-Gebot betreffs der menstruierenden Frau,44 Die man verlassen muss, nachdem man sich ihr in erlaubter Weise genähert. wegen dessen Übertretung man45 Sowohl der Einzelne als auch die Gemeinde, nach Note 42. schuldig wird? Wenn Jemand einer reinen Frau beiwohnt, und sie sagt zu ihm: „ich bin unrein geworden!“, und er zieht sich sofort zurück,46 Während der Erektion. so ist er schuldig,47 Ausrottung, wenn es mit Vorsatz geschehen (nach Lev. 20, 18); tut er dies aus Versehen, so hat er ein Sündopfer zu bringen. weil das Weggehen ihm soviel Genuss gewährt, wie das Kommen.48 Er soll daher, wie der Talmud sagt, jede Wollust gewährende Regung vermeiden und sich erst entfernen, wenn Schlaffheit eingetreten ist.", + "R. Elieser sagt: (Es heißt in Lev. 5,2:) „Das Kriechtier . . und es wird von ihm vergessen“; dies lehrt:) nur beim Vergessen,49 Und er muss es auch Anfangs gewusst haben. dass es ein Kriechtier war,50 War ihm aber Anfangs bloß bekannt, dass er unrein geworden, er wusste aber nicht, ob durch ein Aas oder durch ein Kriechtier, so wird er nicht schuldig. ist er schuldig; er ist aber nicht schuldig beim Vergessen, dass er im Heiligtume ist. R. Akiba sagt: (Es heißt das.:) „es wird von ihm vergessen, und er ist unrein“; (dies lehrt:) nur beim Vergessen49 Und er muss es auch Anfangs gewusst haben. der Unreinheit ist er schuldig;51 Nach R. Akiba genügt es, wenn ihm vor der Vergessenheit seine Unreinheit bekannt war, obwohl er nicht wusste, wodurch er unrein geworden. er ist aber nicht schuldig beim Vergessen, dass er im Heiligtume ist.52 Darin stimmen R. Akiba und R. Elieser überein, gegen R. Ismael. R. Ismael sagt: Der Ausdruck „es wird vergessen“ steht (Lev. 5, 2—3) zweimal, um zu lehren, dass er sowohl beim Vergessen der Unreinheit als beim Vergessen des Heiligtums schuldig sei.53 Oben M. 1 ist wie R. Ismael entschieden." + ], + [ + "Es gibt zwei Arten von Eiden, welche in vier zerfallen,1 Hier wird der Anfang des 1. Abschnitts näher erklärt. nämlich: „Ich schwöre, dass ich essen werde,“1a שבועה שאוכל eig.: „Ein Schwur, dass ich essen werde; d. h. ich schwöre, dass u. s. w. oder: „dass ich nicht essen werde;“2 Diese beiden Fälle sind in den Schriftworten: „להרע או להטיב, zu Leide oder zu Liebe“ (Lev. 5, 4) enthalten. ferner: „dass ich gegessen habe“ oder: „dass ich nicht gegessen habe “3 Die letzteren beiden Fälle wurden durch die hermeneutischen Regeln von den Weisen aus der Schrift deduziert, vgl. weiter M. 5, Ende. (Sagt Jemand:) „ich schwöre, dass ich nicht essen werde,“ und er isst noch so wenig; so ist er schuldig.4 Denn wiewohl in der Tora der Ausdruck „Essen“ (nach trad. Erkl.) nur von einer Olivengröße (כזית) einer Speise gebraucht wird; so ist dennoch beim Schwure, nicht zu essen, nach der gewöhnlichen menschlichen Sprache zu urteilen und daher unter „Essen“ auch weniger als eine Olivengröße zu verstehen. Dies die Worte R. Akiba’s. Da sagten sie4a Die Weisen. zu R. Akiba: Wo finden wir denn,5 In der Tora. dass Einer, der eine Kleinigkeit isst, schuldig sei, dass dieser schuldig sein soll?6 Die Weisen meinen, das durch einen Schwur entstandene Verbot müsse den andern Tora-Verboten gleich sein. Da sagte R. Akiba zu ihnen: Wo finden wir denn, dass Einer wegen eines bloßen Wortes7 Das er gesprochen und nicht gehalten. ein Sündopfer zu bringen habe, während dieser doch wegen eines bloßen Wortes7 Das er gesprochen und nicht gehalten. ein Sündopfer bringen muss?8 Wer nun schwört, nicht zu essen, und auch nur eine Kleinigkeit isst, der hat seinen Schwur gebrochen. (Sagt Jemand:) „ich schwöre, dass ich nicht essen werde“, und er hat dann gegessen und getrunken; so ist er nur einmal schuldig.9 Wiewohl er auch mit dem Trinken den Schwur übertreten hat, da unter dem Ausdruck „Essen“ auch das Trinken verstanden ist; so ist er dennoch nur Ein Sündopfer schuldig, wie wenn er in Einer Vergessenheit zweimal gegessen hätte. (Sagt er aber:) „ich schwöre, dass ich nicht essen werde und dass ich nicht trinken werde“,10 Damit hat er zwei Schwüre getan. Er hat aber nicht mit dem zweiten Schwur („dass ich nicht trinken werde“) dasselbe beschworen, was nach Note 9 schon im ersten Schwur enthalten war; denn durch den zweiten Satz hat er gezeigt, dass er im ersten Satze nur vom Essen im engeren Sinne gesprochen hat. und hat gegessen und getrunken; so ist er zweimal schuldig.11 Wegen Übertretung zweier Schwüre.", + "(Sagt Jemand:) „ich schwöre, dass ich nicht essen werde,“ und er hat dann Weizenbrot, Gerstenbrot und Dinkelbrot gegessen; so ist er nur einmal schuldig. (Hatte er aber gesagt:) „ich schwöre, dass ich weder Brot von Weizen, noch Brot von Gerste, noch Brot von Dinkel essen werde;“ so ist er für jedes besonders schuldig.12 Die unnötige Wiederholung des Wortes פת (Brot) vor jeder Getreideart macht seine Aussage zu drei Schwüren.", + "(Sagt Jemand:) „ich schwöre, dass ich nicht trinken will,“ und er trinkt dann vielerlei Getränke; so ist er nur einmal schuldig. (Sagt er aber:) „ich schwöre, dass ich weder Wein, noch Öl, noch Honig trinken werde;“ und er trinkt dann; so ist er für jedes besonders schuldig.13 Nach dem Talmud gilt dies nur dann, wenn man vorher in ihn gedrungen hatte, diese Getränke zu trinken, wobei es genügt hätte, zu erwidern: „ich schwöre, dass ich nicht trinken werde;“ wenn er nun dennoch unnötiger Weise „Wein, Öl und Honig“ besonders nannte, so hat er damit drei Schwüre getan.", + "(Sagt Jemand:) „ich schwöre, dass ich nicht essen werde“, und er isst dann Speisen, die nicht zum Essen geeignet sind, oder er trinkt Getränke, die nicht zum Trinken geeignet sind; so ist er frei.14 Da er nur geeignete Speisen und Getränke sich verschwören wollte. Dagegen, (wenn er sagt:) „ich schwöre, dass ich nicht essen werde,“ und er isst Aas, Zerrissenes, Geschmeiss oder Gewürm;15 Makkot III, Note 26. so ist er schuldig.16 Denn diese sind an und für sich als Speise geeignet und bloß von der Tora zum Essen verboten. R. Simon erklärt ihn frei.17 Weil Israel bereits vom Berge Sinai her beschworen ist, die Tora zu halten (מושבע ועומד מהר סיני), und hinsichtlich dessen, was man bereits abgeschworen hat, ein zweiter Schwur ungültig ist (אין שבועה חלה על שבועה), vgl. Sanhedrin IX, Note 40. Der erste Tanna ist jedoch der Ansicht, dass ein Schwur auch hinsichtlich des Verbotenen Geltung hat, wenn man noch andere erlaubte Dinge in den Schwur einschließt (בכולל דברים המותרים עם דברים האסורים). Sagt Jemand: „Konam18 Ein Ausdruck, mit dem man sich oder einem Andern Etwas abgelobte; קונם ist Nebenbenennung von קרבן, Opfer, d. h. wie Heiliges verboten, s. Nedarim I, 2. soll jeder Genuss von Seiten meiner Frau mir sein,19 Nach Andern: „Konam soll meiner Frau jeder Genuss von mir sein.“ Dann aber gilt das Gelübde nur in Bezug auf das, was der Mann seiner Frau nicht zu leisten verpflichtet ist. wenn ich heute gegessen habe,“ und er hatte Aas, Zerrissenes, Geschmeiss oder Gewürm gegessen, so ist ihm20 Nach der andern Erklärung: „So ist es seiner Frau verboten (vom Manne einen Genuss zu haben).“ seine Frau verboten.21 Denn unter „Essen“ ist auch das Essen von verbotenen Speisen zu verstehen; dies gesteht auch R. Simon (oben Note 17) zu.", + "Es ist einerlei, ob die Dinge22 Das, worüber man schwört. ihn selbst23 Er sagt z. B.: „Ich schwöre, dass ich essen werde“. oder Andere24 Er schwört etwa, dass er einem Andern Etwas geben will. betreffen, ob an den Dingen etwas Greifbares25 ממש Sanhedrin V, Note 45. ist, oder nicht.26 Z. B. er schwört, dass er schlafen wird. דברים שאין בהן ממש heißt aber auch: „Dinge, an denen nichts Wesentliches ist“, die unerheblich sind; z. B. er schwört, einen Stein ins Meer zu werfen, vgl. weiter unten. Z. B. er sagt: „ich schwöre, dass ich dem N.27 Der reich ist; würde er schwören, einem Armen zu geben, so wäre der Schwur, als zur Erfüllung eines Tora-Gebotes, nicht gültig, wie M. 6 lehrt (Talm.). (Etwas) geben, oder Nichts geben werde; dass ich (ihm Etwas) gegeben, oder nicht gegeben habe; dass ich schlafen, oder nicht schlafen werde; dass ich ein Steinchen ins Wasser werfen, oder nicht werfen werde; dass ich (es ins Wasser geworfen, oder nicht geworfen habe.“ R. Ismael sagt: Er ist nur schuldig (für einen Schwur) auf die Zukunft, denn es heißt (Lev. 5,4; „zu Leide oder zu Liebe.“28 R. Ismael kontroversiert auch gegen M. 1.) Da sagte R. Akiba zu ihm: Wenn dem so wäre, so könnte ich nur solche Schwüre entnehmen, bei denen Angenehmes oder Unangenehmes ist; woher wissen wir die Schwüre, die nicht Angenehmes oder Unangenehmes betreffen? Da sagte er zu ihm: Aus der Erweiterungs-Aussage29רבוי Vermehrung“ heißt ein Wort oder eine Wort-Verbindung, wodurch ein Gesetz erweitert wird; Gegensatz: מיעוט (Verminderung) eine das Gesetz beschränkende Aussage. der Schrift.30 Denn es heißt (Lev. 5, 4): „In Allem, was der Mensch ausspricht mit einem Schwur.“ Eigentlich hat die Deduktion des R. Ismael den hermeneutischen Kanon: כלל ופרט וכלל וכו׳ zur Grundlage (vgl. B. mezia IV, Note 73). Hier sind die Worte: „So Jemand schwört durch Aussprechen mit den Lippen“ eine Kollektiv-Aussage (כלל), das darauf folgende: „Zu Leide oder zu Liebe“ beschränkt das Gesetz auf spezielle Fälle (פרט), zuletzt heißt es endlich: „In Allem, was der Mensch ausspricht mit einem Schwur“, also wieder eine Kollektiv-Aussage (חזר וכלל). Bei einer in solcher Form gegebenen Vorschrift gilt die Regel: דן אלא כעין הפרט אי אתה das, was der spezialisierenden Aussage ähnlich ist, kann aus der Vorschrift entnommen werden. Sowie nun die Worte: „zu Leide oder zu Liebe (להרע או להיטיב)“ nur von Schwüren auf die Zukunft sprechen, so sind auch alle Schwüre, welche eine zukünftige Handlung betreffen, in unserer Vorschrift einbegriffen. Da sagte er zu ihm: Wenn die Schrift in dieser Beziehung (das Gesetz) erweitert hat, so hat sie (es) auch in jener Beziehung erweitert.31 Nach R. Akiba ist eine Satzform wie die vorliegende als רבוי מיעוט ורבוי (Erweiterung, Beschränkung und Erweiterung) zu deuten, wonach die Erweiterungs-Aussage Alles in das Gesetz einschließt und die Beschränkung (מיעוט) nur auf eine einzige Art von Eiden, nämlich auf solche, die ein Tora-Gebot betreffen (שבועת מצוה), bezogen wird; diese letzteren allein sind von unserer Vorschrift ausgeschlossen.", + "Schwört Jemand ein Gebot zu verabsäumen,32 Oder ein Verbot zu übertreten. und er hat es nicht verabsäumt, so ist er frei.33 Es fällt dies nicht unter die Kategorie von שבועת בטוי (Ausspruch-Eid), sondern es ist ein vergeblicher Eid (שבועת שוא), vgl. M. 8, Ende. (Schwört er), ein Gebot zu erfüllen, und er hat es nicht erfüllt, so ist er frei.34 In diesem Falle wird er auch nicht wegen שבועת שוא bestraft, da es löblich ist, sich durch einen Schwur anzueifern, die Gebote zu erfüllen, und es wird dies nicht als ein vergeblicher Schwur betrachtet (Nedarim 8a). Es sollte eigentlich durch einen Schluss35 De minore ad majus (קל וחומר), s. B. kama II, Note 26. gefolgert werden, dass er schuldig sei, und zwar nach den Worten des R. Jehuda ben Bethera. Es sagte nämlich R. Jehuda ben Bethera: Wenn man schon wegen Schwüre über freiwillige Handlungen, wozu man nicht vom Berge Sinai her eidlich verpflichtet ist, schuldig wird; um wie viel mehr wird man schuldig wegen Schwüre über gebotene Handlungen, worauf man schon vom Berge Sinai her beschworen ist! Da sagten sie35a Die Weisen. zu ihm: Nein!36 Die Schlussfolgerung ist nickt statthaft; sie lässt sich widerlegen. Wenn Du es sagst bei einem Schwure über eine freiwillige Handlung, wobei die Verneinung der Bejahung gleich gesetzt ist, wirst Du es denn auch sagen bei einem Schwur (zur Erfüllung) eines Gebot es, wobei doch die Verneinung nicht der Bejahung gleichgesetzt werden kann?37 Die Worte: להרע או להיטיב (zu Leide oder zu Liebe) sprechen von zweierlei, einander entgegengesetzten Schwüren, von einer Verneinung und einer Bejahung. Würde die Vorschrift auch von einem Schwur zur Erfüllung eines Gebotes handeln, so müsste ein Schwur, ein Gebot nicht zu halten, ebenfalls gelten. Da letzteres aber nicht der Fall ist, so kann die Vorschrift überhaupt nicht als von Geboten handelnd erklärt werden. denn wenn Einer schwört, ein Gebot zu verabsäumen, und er verabsäumt es nicht, ist er ja frei!38 S. oben Note 33.", + "Sagt Jemand: „ich schwöre, dass ich diesen Laib Brot nicht essen werde.39 Dies ist so zu verstehen, als wenn er sagte: „ich schwöre, dass ich von diesem Laibe nicht essen werde!“ Unter „Essen“ ist aber, wie gewöhnlich, das Essen von einer Olivengröße verstanden, s. oben Note 5. ich schwöre, dass ich ihn40 D. h. den ganzen Laib. Dieser zweite Schwur ist bereits in dem ersten enthalten; denn nachdem er sich auch nur eine Olivengröße von diesem Brote verschworen hat, so ist ihm um so mehr das Essen des ganzen Laibes verboten. Der zweite Schwur ist deshalb nicht verpflichtend, und der Übertreter ist wegen beider nur einmal schuldig. Hätte er aber zuerst geschworen, den ganzen Laib nicht zu essen, darauf einen zweiten Schwur getan, keine Olivengröße davon zu essen, und dann den ganzen Laib gegessen; so wäre er zweimal schuldig, da in diesem Falle der zweite Schwur nicht im ersten enthalten und daher verpflichtend ist. nicht essen werde! (ich schwöre, dass ich ihn nicht essen werde!)41 Das ist ein dritter Schwur, der ebenfalls, weil schon im ersten enthalten, nicht von Neuem verpflichtet. Viele Codd. haben die eingeklammerten Worte nicht, da sie nichts Neues lehren. Diejenigen, welche die Worte lesen, meinen, dass aus diesem überflüssigen Satze die in folgender Note 42 angegebene Bestimmung entnommen wird. und er isst ihn (dennoch), so ist er nur einmal schuldig.42 Doch erhält der zweite resp. dritte Schwur Gültigkeit, wenn durch einen Weisen der erste resp. die beiden ersten gelöst würden (Talm.). Dies43 Der eben behandelte Fall. ist ein Ausspruch - Eid44 בטוי (von בטה ,בטא, hohl, leer sein) ein gleichgültiger unerheblicher Ausspruch, der Keinem Nutzen oder Schaden bringt, daher שבועת בטוי im Gegensatz zu den Eiden, mit denen man sich einen Gewinn verschafft und Andere schädigt., wegen dessen mutwilliger Verletzung44a Durch eine Tat; nicht aber bloß durch Unterlassung, z. B. es schwört Jemand, Etwas zu essen, und er isst es nicht; daher die beschränkende Bestimmung: זו היא. man Geißelhiebe und wegen unvorsätzlicher ein auf- und absteigendes Opfer schuldig wird; wegen eines vergeblichen Schwures ist man, wenn er mit Mutwillen ausgesprochen, der Geißelung schuldig, und wenn aus Versehen, ist man frei.", + "Was heißt ein vergeblicher Schwur? Wenn Einer schwört, dass Etwas anders sei, als es den Menschen45 Wenigstens drei Menschen (Talm.). bekannt ist; er schwört z B. Betreffs einer steinernen Säule, dass sie eine goldene sei;46 Ebenso ist es ein vergeblicher Schwur, wenn man allgemein Bekanntes eidlich bestätigt, z. B. man schwört betreffs einer bekannten steinernen Säule, dass sie von Stein sei. Betreffs eines Mannes, er sei ein Weib, oder Betreffs eines Weibes, es sei ein Mann; oder er beschwört, was unmöglich ist, etwa: „wenn ich nicht47 Die Form אם לא וכו׳ ist wohl nach M. Nedarim III, 2 hier gebraucht. Doch hat אם לא weiter IV, 5 beim Eide die Bedeutung „dass“. ein in der Luft48 אויר gr. <italic>ἀήρ</italic>. fliegendes Kamel gesehen habe“49 Nach dem Talmud ist zu ergänzen: „dann sollen alle Früchte der Welt mir durch einen Eid verboten sein. S. jedoch Note 47, womit wohl die Erklärung von Abaje übereinstimmt., „wenn ich nicht47 Die Form אם לא וכו׳ ist wohl nach M. Nedarim III, 2 hier gebraucht. Doch hat אם לא weiter IV, 5 beim Eide die Bedeutung „dass“. eine dem Balken der Ölpress.50 B. mezia X, Note 22, gleiche51 Nach dem Talmud gibt es Schlangen, die an Größe noch den Pressbalken übertreffen; die Mischna ist daher nur so zu verstehen, er habe geschworen, dass die Schlange so am ganzen Körper, auch auf dem Rücken, gestreift (nach Aruch: glatt) gewesen sei, wie ein Pressbalken. Schlange gesehen habe.“49 Nach dem Talmud ist zu ergänzen: „dann sollen alle Früchte der Welt mir durch einen Eid verboten sein. S. jedoch Note 47, womit wohl die Erklärung von Abaje übereinstimmt. — Sagt Jemand zu Zeugen: „kommet und zeuget für mich!“ (und sie erwidern:) „wir schwören, dass wir nicht zeugen wollen!“52 Dies ist, wie das unmittelbar Folgende, ein Eid zur Verletzung eines Tora-Gebotes, denn es heißt (Lev. 5,1): „Wenn er nicht aussagt, so trägt er seine Schuld.“ oder es schwört Jemand, ein Gebot zu verabsäumen,53 Oder ein Verbot zu übertreten. etwa: keine Laubhütte zu machen,54 Lev. 23, 42 keinen Lulab zu nehmen,55 Das. V. 40. oder keine Tephillin anzulegen;56 S. Sanhedrin XI, 3. so ist dies ein vergeblicher Schwur, wegen dessen man, wenn er mit Mutwillen ausgesprochen, der Geißelung schuldig wird, und wenn aus Versehen, frei ist.", + "(Sagt Jemand:) „ich schwöre, dass ich diesen Brotlaib essen werde! ich schwöre, dass ich ihn nicht essen werde!“; so ist der erstere ein Ausspruch-Eid, und der zweite ein vergeblicher Eid.57 Denn damit schwor er seinen Eid zu brechen und somit ein Tora-Gebot zu verletzen. Hat er ihn gegessen, so hat er (nur) durch vergebliches Schwören eine Übertretung verübt; hat er ihn nicht gegessen, so hat er (auch) einen Ausspruch-Eid verletzt.58 Er ist aber auch wegen des zweiten vergeblichen Eides strafbar; denn sobald Jemand schwört, ein Tora-Gebot zu verletzen, hat er einen vergeblichen Eid geschworen, ohne Unterschied ob er seinen Schwur hält, oder nicht.", + "Das Gesetz über den Ausspruch-Eid gilt.59 Zum Unterschiede vom Zeugnis-Eide, s. weiter IV, 1. sowohl bei Männern als bei Weibern; sowohl hinsichtlich Entfernter60 Nicht-Verwandter. als hinsichtlich Anverwandter;61 Schwört Jemand z. B., dem N. Etwas zu geben, so ist es einerlei, ob N. sein Anverwandter ist, oder nicht. sowohl bei (zum Zeugnis) Tauglichen als bei Untauglichen;62 S. Sanhedrin III, 3. sowohl vor dem Gerichte als außerhalb des Gerichtes; (doch muss der Schwur) durch seinen eigenen Mund (ausgesprochen sein).63 Eben dasselbe ist, wenn Andere ihn beschwören, und er erwidert darauf: „Amen!“, s. weiter M. 11, Ende. Es wird hier nur der Fall ausgeschlossen, dass Andere etwa zu ihm sagen: „schwöre uns, dass Du gegessen hast!“, und er bloß erwidert: „ich habe gegessen!“ Wegen dessen Mutwilliger Verletzung ist man der Geißelung schuldig, wegen unvorsätzlicher (bringt man) ein auf- und absteigendes Opfer.", + "Das Gesetz über den vergeblichen Schwur gilt59 Zum Unterschiede vom Zeugnis-Eide, s. weiter IV, 1. sowohl bei Männern als bei Weibern; sowohl hinsichtlich Entfernter als hinsichtlich Anverwandter;64 Es ist kein Unterschied, ob man etwa Betreffs eines verwandten oder fremden Weibes schwört, dass es ein Mann ist. sowohl bei (zum Zeugnis) Tauglichen als bei Untauglichen; sowohl vor dem Gerichte als außerhalb des Gerichtes; (doch muss der Schwur) durch seinen eigenen Mund (ausgesprochen sein).65 S. Note 63. Wenn er mutwillig ausgesprochen wurde, ist man seinetwegen der Geißelung schuldig; wenn aus Versehen, ist man frei. Sowohl bei diesem66 Dem vergeblichen Schwur. als bei jenem67 Dem Ausspruch-Eide. ist auch der schuldig, welcher von Andern beschworen wird. In welcher Weise? Sagt er: „ich habe heute Nichts gegessen“, oder: „ich habe heute keine Tephillin angelegt“ — (darauf sagt ein Anderer): „ich beschwöre dich (darüber)“, und er erwidert: „Amen!“; so ist er schuldig.68 Denn wenn man auf eine Beschwörung „Amen!“ erwidert, ist es so, als hätte man den Schwur selbst ausgesprochen; dies wird aus Num. 5, 22 erwiesen (Talm.)." + ], + [ + "Das Gesetz über den Zeugnis-Eid1 Lev. 5, 1. gilt nur2 Alle folgenden Bestimmungen beruhen auf dem Grundsatze, dass nur diejenigen, welche befähigt sind, Zeugnis abzulegen, ein Opfer wegen falschen Zeugnis-Eides schuldig sind. bei Männern, nicht bei Weibern;3 Da diese zum Zeugnis untauglich sind; denn es heißt (Deut. 19, 17): „Es sollen stehen die beiden Männer“, das sind (nach trad. Auslegung) die Zeugen. Daraus wird geschlossen, dass nur Männer, nicht Weiber zum Zeugnis befähigt sind (vgl. Joseph, ant. IV, 8, 15). nur bei Nicht-Verwandten, aber nicht bei Verwandten; nur bei (zum Zeugnis) Tauglichen, aber nicht bei Untauglichen4 Wegen ihrer Sündhaftigkeit; z. B solche, die Todsünden begangen oder der Geißelstrafe sich schuldig gemacht, oder Räuber.; es gilt auch nur bei solchen, die geeignet sind, Zeugnis abzulegen;5 Dies schließt den König aus, der nach Sanhedrin II, 2 kein Zeugnis ablegen kann; ferner auch diejenigen, die nur nach rabbinischer Anordnung zum Zeugnis untauglich sind, nach Sanhedrin III, Note 21. (es gilt sowohl) vor dem Gerichte als auch außerhalb des Gerichtes, (wenn der Schwur) durch seinen eigenen Mund (ausgesprochen wird); wenn aber durch Anderer Mund,6 Wenn ein Anderer zu den Zeugen gesagt hat: „ich beschwöre euch, dass ihr für mich Zeugnis ablegen sollt“, und sie darauf erwidern: „wir wissen kein Zeugnis für dich“. Vgl. aber oben III, Note 63. werden sie nur dann schuldig, wenn sie vor Gericht leugnen;7 Denn es heißt (Lev. 5, 1): „Wenn er nicht aussagt, so trägt er seine Schuld“; hiernach gilt diese Vorschrift nur, wenn man an der Stelle, wo die Aussage von Nutzen ist, nämlich vor Gericht, nach Vereidigung die Aussage verweigert. dies die Worte R. Meir’s.8 Vgl. Abschn. V, Note 6-7. Die Weisen aber sagen: Sowohl durch seinen, eigenen Mund, als durch den Mund Anderer werden sie nur dann schuldig, wenn sie vor Gericht leugnen.9 Der Schwur mag aber auch außerhalb des Gerichtes stattgefunden haben, vgl. M. 3.", + "Sie werden schuldig bei Vorsätzlichkeit hinsichtlich des Eides10 Wenn sie auch wussten, dass ihr Eid falsch ist und dass wegen eines solchen Falscheides ein Sündopfer dargebracht werden muss. und beim Irrtum betreffs desselben,11 Sie wissen nicht, dass man wegen eines solchen Eides ein Sündopfer schuldig wird. wenn Vorsätzlichkeit hinsichtlich des Zeugnisses12 Sie wissen Zeugnis abzulegen und auch, dass ihr Eid verboten ist. vorhanden war; nicht aber, wenn auch betreffs dieses ein Irrtum stattfand.13 Wenn sie während ihres Eides das Zeugnis vergessen hatten oder nicht wussten, dass ein solcher falscher Eid verboten sei. Im ersten Falle haben sie nach ihrem Bewusstsein gar nicht falsch geschworen. Aber auch im zweiten Falle wird der falsche Eid als unter dem Zwang eines Irrtums geleistet (אונם) betrachtet, da der Schwörende, dem das Bewusstsein fehlt, dass ein falscher Eid verboten sei, mit seinem Eide sich zu Nichts verpflichtet, sondern nur eine leere unverstandene Formel ausspricht. Was sind sie wegen des vorsätzlichen14 Wenn Vorsätzlichkeit nach der in Note 10 und 12 angegebenen Weise stattgefunden. Falscheides schuldig? Ein auf- und absteigendes Opfer.15 Absch. I, Note 18.", + "Wie ist ein Zeugnis-Eid? Wenn Jemand zu Zweien sagt: „Kommet und zeuget für mich!“ (sie aber sagen:) „wir schwören, dass wir für dich kein Zeugnis wissen!“; oder sie sagen: wir wissen für dich kein Zeugnis!“ (worauf Jener sagt:) „ich beschwöre euch!“, und sie sagen: „Amen!“; — so sind sie schuldig.16 Wenn ihr Schwur ein falscher war. Hat er sie außerhalb des Gerichtes fünfmal beschworen, und als sie vor Gericht gekommen, haben sie eingestanden,17 Dass sie Zeugnis abzulegen wissen. so sind sie frei;18 Denn die Leugnung muss vor Gericht stattfinden, oben Note 7. haben sie es aber (auch hier19 Vor Gericht. geleugnet, so sind sie auf jedes Beschwören besonders schuldig.20 Da sie außerhalb des Gerichts nach jeder Leugnung noch eingestehen hätten können. Hat er sie fünfmal vor Gericht beschworen. und sie haben geleugnet, so sind sie nur einmal schuldig. Es sagte R. Simon: Was ist der Grund? Weil sie nicht wiederum eingestehen können21 Wenn sie einmal vor Gericht geleugnet haben, ein Zeugnis über eine Tatsache zu wissen, so können sie nicht wiederum behaupten, dass sie es wüssten, da die Zeugen ihre vor Gericht deponierte Aussage nicht widerrufen können. Wenn sich also auch die Leugnung auf jedes Beschwören bezieht, können die Zeugen dennoch nur einmal schuldig werden, da sie, nachdem sie einmal vor Gericht geleugnet, nicht mehr geeignet sind, Zeugnis abzulegen..", + "Haben Beide gleichzeitig22 Die Leugnung des zweiten Zeugen begann sofort nach der des ersten, so dass man in der Zwischenzeit nicht mehr als die drei Worte: שלום עליך רבי sprechen konnte (s. Makkot I, Note 62). geleugnet, so sind Beide schuldig; (hat) Einer nach dem Andern (geleugnet),23 Es fand zwischen der Leugnung des ersten und der des zweiten Zeugen eine längere Zwischenpause statt, als die eben bezeichnete. so ist nur der erste schuldig, der zweite aber frei.24 Nachdem der erste Zeuge einmal behauptet hat, Nichts zu wissen, und bereits eine solche Pause nach dieser Behauptung stattgefunden, dass er diese nicht mehr widerrufen kann, würde das Zeugnis des zweiten, als das eines einzelnen Zeugen, nichts mehr nutzen. Er wird daher wegen seiner Leugnung nicht schuldig. Hat Einer geleugnet und der Andere eingestanden, so ist der Leugner schuldig. Waren zwei Zeugen-Parteien da, und es leugnete die erste, darauf leugnete die zweite, so sind beide schuldig; weil das Zeugnis durch jede von beiden bestehen könnte.25 Nach dem Talmud müsste in gewöhnlichem Falle die erste Partei frei sein, da sie ja behaupten kann, sie habe bei ihrer Leugnung sich darauf gestützt, dass das Zeugnis durch die zweite Partei allein bestehen könnte und ihre Aussage nicht nötig sein würde. Die Entscheidung der Mischna gälte hiernach nur in dem Falle, dass die zwei Zeugen der zweiten Partei zur Zeit, als die erste Partei leugnete, durch ihre Frauen einander anverwandt und so zum Zeugnis untauglich waren. Bald darauf aber starben ihre Frauen, so dass sie wieder zum Zeugnis geeignet wurden. Wiewohl nun während der Leugnung der ersten Partei diese Frauen schon im Sterben lagen, so werden ihre Gatten dennoch als zu dieser Zeit untauglich betrachtet, so dass die erste Partei sich nicht auf dieselben hätte stützen dürfen.", + "(Sagt Jemand): „ich beschwöre euch, dass25a אם לא „dass“ nach einem Schwur, Num. 14, 28. ihr kommet und für mich zeuget, dass ich bei N. ein Verwahrgut, ein Darlehen, Geraubtes26 Er hat mir Etwas geraubt. und Verlorenes27 Er hat eine von mir verlorene Sache gefunden, vgl. Lev. 5, 21 f. habe!“ ! (Darauf sagen sie:) „wir schwören, dass wir für Dich kein Zeugnis wissen!“, so sind sie nur einmal schuldig. (Sagen sie aber:) „wir schwören, dass wir nicht wissen, dass du bei N. ein Verwahrgut, ein Darlehen, Geraubtes und Verlorenes hast!“, so sind sie wegen jedes (Dinges) besonders schuldig. (Sagt Jemand:) „ich beschwöre euch, dass ihr kommet und für mich zeuget, dass ich bei N. ein Verwahrgut von Weizen, Gerste und Dinkel28 Im vorherigen Falle handelte es sich um verschiedene Arten von Forderungen bei einerlei Art der Objekte; dieser Fall handelt wieder von einerlei Forderung bei Objekten verschiedener Art. habe!“ (hierauf sagen sie:) „wir schwören, dass wir für Dich kein Zeugnis wissen!“, so sind sie nur einmal schuldig. (Sagen sie aber:) „wir schwören, dass wir für dich nicht zu zeugen wissen, dass du bei N. Weizen, Gerste und Dinkel hast!“, so sind sie wegen Jedes besonders schuldig.", + "(Sagt Jemand:) „ich beschwöre euch, dass ihr kommet und für mich bezeuget, dass ich von N. Schaden-Ersatz, halben Schaden- Ersatz,29 Hier handelt es sich nicht um den in Exod. 21, 35 für den תם (B. kama I, Note 33) vorgeschriebenen halben Schaden- Ersatz, denn dies ist eine Pön (קנס), wobei der Schuldige bei eigenem Geständnis frei ist (weiter V, 4) und daher auch die Zeugen wegen Zeugnis-Verweigerung nicht schuldig werden. Die Mischna meint hier vielmehr den halben Schaden-Ersatz bei indirekten Schädigungen durch den Fuß eines Tieres (צרורות), nach B. kama II, Note 5, was als gewöhnliche Geld-Schuld (ממון) und nicht als Pön betrachtet wird. Doppel-Ersatz30 Dies ist zwar auch eine Straf-Schuld (קנס), indes ist aber auch die einfache Schuld (קרן) darunter. vier- oder fünffachen Ersatz zu fordern habe; dass N. meine Tochter genotzüchtigt,31 Hierfür ist ein Strafgeld von 50 Schekel (Deut. 22, 29 und Exod. 22, 16), aber noch außerdem ein Geldersatz (ממון) zu zahlen (weiter V, 4). dass er meine Tochter verführt hat;31 Hierfür ist ein Strafgeld von 50 Schekel (Deut. 22, 29 und Exod. 22, 16), aber noch außerdem ein Geldersatz (ממון) zu zahlen (weiter V, 4). dass mich mein Sohn geschlagen hat,32 Ohne Verwundung, sodass keine Todesstrafe darauf steht (Sanhedrin XI, 1) und dafür Geld-Ersatz zu entrichten ist. dass mein Nächster am Versöhnungstage33 Darauf steht zwar die Strafe der himmlischen Ausrottung (כרת); diese befreit aber nicht vom Schaden-Ersatz, s. B. kama VII, Note 6. mich verwundet oder meinen Getreidehaufen angezündet hat!“; so sind sie34 Wenn sie unter Annahme des Eides leugnen, Etwas zu wissen. schuldig.", + "(Sagt Jemand:) „ich beschwöre euch, dass ihr kommet und mir bezeuget, dass ich ein Priester, ein Levite, kein Sohn einer Verstoßenen, kein Sohn einer Chaluza35 Makkot I, Note 5. bin;36 In diesen Fällen sind die Zeugen frei, weil es sich nicht um eine Geldforderung handelt, M. 8. dass N. ein Priester, ein Levite, kein Sohn einer Verstoßenen, kein Sohn einer Chaluza ist;37 Nach M. 12 sind die Zeugen nur dann schuldig, wenn sie vom Kläger selbst zur Zeugenschaft aufgefordert werden. Hier also, wo sie ein Anderer auffordert, würden sie selbst wegen Geldforderungen nicht schuldig sein. Der Talmud meint daher, die Mischna spricht von dem Falle, dass N. dem Auffordernden eine Vollmacht (הרשאה) erteilt hat, seine Sache zu führen, so dass die Zeugen schuldig wären, falls es sich um Geldforderungen handelte. dass der und der dessen Tochter genotzüchtigt, dass er dessen Tochter verführt hat;38 Wiewohl der Auffordernde vom Vater der Tochter zur Klage bevollmächtigt worden ist (Note 37), sind die Zeugen dennoch frei, weil man zur Einforderung von Geld, das man noch niemals in Händen gehabt hat, keine Vollmacht erteilen kann (Raschi). dass mein Sohn mich verwundet39 Hierbei findet wegen der Todesstrafe kein Schaden Ersatz statt, B. kama VII, Note 5.; dass N. am Sabbat mich verwundet oder meinen Getreidehaufen angezündet hat;“39 Hierbei findet wegen der Todesstrafe kein Schaden Ersatz statt, B. kama VII, Note 5. so sind sie frei.", + "(Sagt Jemand:) „ich beschwöre euch, dass ihr kommet und mir bezeuget, dass N. versprochen, mir zweihundert Sus zu geben, und mir sie nicht gegeben hat,“ so sind sie frei; denn sie sind nur wegen einer Geldforderung schuldig, die einem Verwahrgut gleich ist.40 Gleich den in Lev. 5, 21 f. aufgezählten Fällen; in unserem Falle aber ist der Beklagte rechtlich nicht verpflichtet, das Geschenk zu geben, wenn er es auch wirklich versprochen hätte.", + "(Sagt Jemand:) „ich beschwöre euch, dass sobald ihr für mich ein Zeugnis wissen werdet, ihr kommet und für mich zeuget;“ so sind sie41 Wenn sie auch den Schwur angenommen und darauf Etwas wahrgenommen haben, das sie zu bezeugen hätten. frei, weil der Schwur der Zeugen-Wahrnehmung vorangegangen ist.42 Es heißt aber (Lev. 5, 1): „Und er war Zeuge, hat gesehen oder erfahren“; es muss also zur Zeit der Beeidigung die Zeugen-Wahrnehmung bereits stattgefunden haben.", + "Wenn Jemand in der Synagoge steht und sagt: „ich beschwöre euch, dass wenn ihr mir ein Zeugnis wisset, ihr kommet und für mich zeuget;“ so sind sie42a Diejenigen, die ein Zeugnis für ihn wissen und es nicht ablegen. frei, (er müsste denn seine Worte an sie gerichtet haben).43 Sie sind nur dann schuldig, wenn die Aufforderung speziell an sie gerichtet war, denn es heißt (Lev. 5, 1): „Und er (der zum Zeugnis Aufgeforderte) war Zeuge“. Die Worte עד bis להס fehlen im Jerusch, u. a. Codd.", + "Sagt Jemand zu Zweien: „ich beschwöre euch N. und N., dass wenn ihr mir ein Zeugnis wisset, ihr kommet und für mich zeuget;“ (darauf sagen sie:) „wir schwören, dass wir kein Zeugnis für dich wissen!“; sie aber wissen für ihn ein Zeugnis, (das sie) aus dem Munde eines andern Zeugen vernommen,44 Ein solches Zeugnis ist ungültig, vgl. Sanhedrin IV, 6. oder Einer von ihnen ist ein Anverwandter oder (zum Zeugnis) Untauglicher; so sind sie frei.45 Da ihr Zeugnis unnütz wäre.", + "Schickt Jemand durch seinen Knecht,46 Und lässt durch ihn die Zeugen zur Zeugenschaft auffordern. oder der Verklagte sagt zu ihnen: „ich beschwöre euch, dass ihr, wenn ihr ihm ein Zeugnis wisset, kommen und für ihn zeugen möget;“ so sind sie frei; denn nur, wenn sie aus dem Munde des Klägers hören, (sind sie schuldig.)47 Nach dem Talmud wird dies daraus deduziert, dass in Lev. 5, 1 לוא (mit ו׳ und א׳) geschrieben steht, wonach der Vers so gedeutet wird, als hieße es: אם לו לא יגיד „wenn er ihm (dem Interessenten selbst) nicht Zeugnis ablegen will“.", + "(Sagt Jemand:) „ich beschwöre euch,“ — „ich gebiete euch,“ — „ich binde euch,“48 Mit Hinzufügung des Gottesnamens zu jedem dieser Ausdrücke, z. B.: Ich gebiete euch bei Gott. so sind sie schuldig. (Sagt er aber:) „bei Himmel und Erde,“ so sind sie frei. Beschwört er sie beim Gottesnamen „Aleph-Daleth,“49 „Adonai“. Nach Raschi sagt er bloß: „ich beschwöre euch beim Gottesnamen, der mit Aleph-Daleth beginnt“; ebenso weiter bei „Jud-Hé“. — „Jud-He,“50 Das Tetragrammaton (שם הויה), vgl. Tossaphot. „Schaddai,“ — „Zebaot,“ — beim Allgnädigen51 Dies und die folgenden sind Attribute Gottes. oder Allbarmherzigen, beim Langmütigen oder Huldreichen52 Exod. 34, 6. oder bei sonst einem der Attribute53 בנוי Beinamen; in anderer Bedeutung in Sanhedrin VII, Note 49. (Gottes,) so sind sie schuldig. Der Lästerer54 Wer Gott lästert. ist bei diesen allen55 Wenn er dabei Gott mit irgend einem dieser Namen nennt. schuldig;56 Steinigung. dies die Worte R. Meir’s. Die Weisen sprechen ihn frei.57 Er ist nur beim Aussprechen des Tetragrammaton schuldig, vgl. aber Sanhedrin VII, Note 46. Wer seinem Vater oder seiner Mutter mit einem von allen diesen Gottesnamen flucht, ist schuldig; dies die Worte R. Meir’s. Die Weisen sprechen ihn frei.58 Vgl. Sanhedrin VII, 8. Wer sich selbst59 Das Verbot wird aus Deut. 4, 9 („hüte Deine Seele!“) entnommen nach dem Kanon, dass השמר ein Verbot ausdrückt. oder seinem Nächsten60 Das Verbot geht aus Lev. 19, 14 hervor, wo nach der Deutung des Talmuds verboten wird, selbst einem Tauben, der nicht hört, zu fluchen; um so mehr einem Hörenden. mit einem von diesen allen flucht, übertritt ein Verbot. — „Gott schlage dich!“61 Wenn du für mich nicht zeugst. oder „so schlage dich Gott!“62 Er hörte Jemand die Flüche aus der Tora (etwa Deut. 28) lesen, und er sagt zu jedem Zeugen: „so schlage dich Gott, wenn du nicht zeugst“. Tos. Jom. Tob liest: יבכה ה׳ וכן יבכה אלהים, wonach zu übersetzen ist: „Der Ewige (Tetragrammaton) schlage dich!“ — und ebenso „Gott schlage dich !“ — das ist der Eidfluch etc. — Das ist der „Eidfluch,“ der in der Tora63 Lev. 5, 1: אלה. geschrieben steht. (Sagt man:) „Er schlage dich nicht!“64 Wenn du für mich Zeugnis ablegst. — „Er segne dich!“64 Wenn du für mich Zeugnis ablegst. — „Er lasse es dir wohl gehen !64 Wenn du für mich Zeugnis ablegst. — so erklärt R. Meir (die Zeugen) für schuldig;65 Da aus dem Verneinungssatze (Er schlage dich nicht, wenn du zeugst) der Bejahungssatz (er schlage dich, wenn du nicht zeugst) geschlossen werden kann. die Weisen aber sprechen sie frei.66 Nach ihrer Ansicht muss der Eidfluch ausdrücklich ausgesprochen werden, denn es heißt (Lev. 5, 1): „Er hört die Stimme eines Eidfluches“." + ], + [ + "Das Gesetz betreffs des Verwahrguts-Eides1 Lev. 5, 20 ff. „Verwahrguts-Eid“ (שבועת הפקדון) heißt hier jeder falsche Eid, unter dem man eine rechtliche Geld- oder Geldeswert-Forderung des Nächsten ableugnet. Da unter derartigen Forderungen in Lev. 5, 21 פקדון (Verwahrgut) zuerst erwähnt ist, so wird dieser Eid שבועת הפקדון genannt. Es ist hierbei kein Unterschied, ob der Beklagte zu diesem Eide gerichtlich aufgefordert wurde, oder ob er ihn von selbst geleistet hat. gilt sowohl bei Männern als bei Weibern;2 Im Gegensatz zum Zeugnis-Eide oben IV, 1. sowohl bei Entfernten als bei Anverwandten;2 Im Gegensatz zum Zeugnis-Eide oben IV, 1. sowohl bei (zur Zeugenschaft) Tauglichen als bei Untauglichen;2 Im Gegensatz zum Zeugnis-Eide oben IV, 1. sowohl vor dem Gerichte als außerhalb des Gerichtes, (wenn der Schwur) aus seinem eigenen Munde (gekommen);3 Oder wenn er auf das Beschwören des Nächsten mit „Amen!“ geantwortet, oben III, Note 63. (wenn aber) aus dem Munde Anderer,4 Es sagt Jemand zu ihm: „ich beschwöre dich, dass du mir mein Depositum zurückgebest!“, und er leugnet es ab mit den Worten: „du hast Nichts bei mir!“ ist er nur schuldig, wenn er es vor Gericht abgeleugnet hat;5 Für vorliegenden Fall wird nämlich die Opferpflicht nur aus dem vorangehenden Gesetz über den Zeugnis-Eid (שבועת העדות) vermittels einer Wort-Analogie (in beiden Gesetzen wird der Ausdruck תחטא gebraucht) deduziert; denn nur beim Zeugnis-Eid schreibt das Gesetz ausdrücklich die Opfer-Verpflichtung vor, wenn der Sünder durch Andere beschworen wurde (Lev. 5, 1: ושמעה קול אלה er hört die Stimme einer Beeidigung). Sowie nun dort diese Verpflichtung nur bei einer Leugnung vor Gericht eintritt, (oben IV, Note 7), ebenso ist bei שבועת הפקדון der von Anderen Beschworene nur dann schuldig, wenn er vor Gericht ableugnet. dies die Worte R. Meirs.6 Nach R. Meïr gilt die Regel: רון מינה ומינה (deduzierst Du davon, so deduziere auch ferner davon). Jede Deduktion, vermittels welcher die bei einem Gesetze vorgeschriebene Bestimmung für ein anderes Gesetz abgeleitet wird, erfordert es, dass im abgeleiteten Gesetze auch alle Modalitäten dieser Bestimmung von demselben Grundgesetze deduziert werden. Die Weisen aber sagen: Sowohl (wenn der Schwur) aus seinem eigenen Munde als (wenn er) aus dem Munde Anderer (gekommen), — sobald er es abgeleugnet hat, ist er schuldig.7 Die Weisen meinen: דון מינה ואוקי באתרה (deduziere etwas davon und setze es dann an seine Stelle!). Wenn auch aus einer Stelle eine Bestimmung für ein anderes Gesetz abgeleitet wird, so müssen dennoch einzelne Modalitäten dieser Bestimmung den im abgeleiteten Gesetze in anderen Fällen geltenden Normen entsprechen. Die deduzierte Bestimmung wird an die neue Stelle gesetzt und nach den hier geltenden Vorschriften modifiziert. In unserem Falle wird also zwar von שבועת העדות für שבועת הפקדון die Bestimmung abgeleitet, dass der Beklagte auch durch Andere beschworen werden kann; es ist aber dann nicht, wie bei שבועת העדות die Leugnung vor Gericht erforderlich, vielmehr ist dabei die sonst bei שבועת הפקדון geltende Norm maßgebend, wonach auch eine außergerichtliche Leugnung zum Opfer verpflichtet. Er ist schuldig bei Vorsätzlichkeit hinsichtlich des Eides8 Er weiß, dass er ein Depositum empfangen hat, sowie, dass eine mit einem Eide verbundene Ableugnung desselben ihn zu einem Opfer verpflichtet. und beim Irrtum betreffs desselben,9 Er weiß nicht, dass durch einen solchen Eid die Opferpflicht eintritt. Er muss aber wissen, das der Eid verboten ist, oben IV, Note 13. wenn Vorsätzlichkeit hinsichtlich des Verwahrgutes vorhanden war;10 Er weiß, dass der Nächste bei ihm ein Depositum hat. er ist aber nicht schuldig, wenn er auch hierüber im Irrtume war.11 Wenn er vergessen hat, dass ihm Jemand Etwas anvertraut hat; aber auch, wenn er gar nicht weiß, dass ein solcher Falscheid verboten ist, s. oben IV, Note 13. Was ist man wegen dieser vorsätzlich begangenen Sünde schuldig? Ein Schuldopfer für zwei Schekel.12 Dies folgt aus Lev. 5, 15.", + "Wie ist die Vorschrift über den Verwahrguts-Eid? Sagt Einer zum Andern: „gib mir mein Verwahrgut, das ich bei dir habe!“ (er erwidert darauf:) „ich schwöre, dass du Nichts bei mir hast!“ — oder er sagt bloß: „du hast Nichts bei mir!“ (worauf Jener sagt:) „ich beschwöre dich!“ und dieser sagt: „Amen!“; so ist er13 Wenn er später seine Schuld eingesteht, s. B. kama IX, 8. schuldig. Hat er ihn fünfmal, sei es vor Gericht sei es außerhalb des Gerichtes, beschworen, und er hat es abgeleugnet; so ist er für jedes Mal besonders schuldig. Es sagte R. Simon: Was ist der Grund? Weil er14 Nach einer Ableugnung. wiederum eingestehen könnte.15 Jede Beeidigung wird ihm sonach als besondere Schuld angerechnet.", + "Haben fünf (Leute) von ihm gefordert,16 Diese Bestimmung fehlt oben im 4. Abschn. beim Zeugnis-Eid; doch wird sie auch für dieses Gesetz im Sifra (ed. Weiß 23d) gelehrt. indem sie zu ihm sagten: „gib uns das Verwahrgut, das wir bei dir haben!“, (und er erwiderte:) „ich schwöre, dass ihr Nichts bei mir habet!“; so ist er nur einmal schuldig. (Sagte er aber:) „ich schwöre, dass du Nichts bei mir hast und auch nicht du und auch nicht du! (u. s. w.)“; so ist er wegen eines Jeden besonders schuldig. R. Elieser sagt: Nur wenn er den Schwur am Ende gesagt hat.17 Er sagte: אין לך בידי ולא לך ולא לך בשבועה „du hast Nichts bei mir und auch du nicht und auch du nicht, (dies sage ich) beim Eide “ R. Simon sagt: Nur wenn er bei Jedem den Schwur wiederholt hat.18 R. Elieser und R. Simon kontroversieren auch gegen den folgenden Satz der Mischna, sowie gegen den letzten Satz in Abschn. IV, Mischna 5 (Tos. Jom Tob). (Sagt Jemand:) „gib mir das Verwahrgut, das Darlehen, das Geraubte und das Verlorene, das ich bei dir habe!“ (und er erwidert:) „ich schwöre, dass du Nichts bei mir hast!“; so ist er nur einmal schuldig. (Erwidert er aber:) „ich schwöre, dass du weder ein Verwahrgut, noch ein Darlehen, noch Geraubtes, noch Verlorenes bei mir hast!“; so ist er wegen Jedes besonders schuldig. (Sagt Jemand:) „gib mir den Weizen, die Gerste und den Dinkel, was ich bei dir habe!“ (und er erwidert:) „ich schwöre, dass du Nichts bei mir hast!“; so ist er nur einmal schuldig. (Erwidert er aber:) „ich schwöre, dass du weder Weizen noch Gerste noch Dinkel bei mir hast!“; so ist er wegen Jedes besonders schuldig. R. Meïr sagt: Auch wenn er sagt: חטה ושעורה וכסמת,19 Diese Ausdrücke sind nach R. Meïr, wie in der Sprache der Bibel (Exod. 9, 31 f.), als Gattungsnamen (Weizen, Gerste, Dinkel) zu verstehen. Nach den Weisen bezeichnen sie aber (nach der Volkssprache): „ein Weizenkorn, Gerstenkorn, Dinkelkorn“. ist er wegen Jedes besonders schuldig.", + "(Sagt Jemand:) „du hast meine Tochter genotzüchtigt oder verführt!“, und er sagt: „ich habe sie nicht genotzüchtigt und nicht verführt!“ (Darauf sagt Jener:) „ich beschwöre dich!“, und er sagt: „Amen!“, so ist er schuldig.19a S. oben IV, 6. R. Simon spricht ihn frei, weil man kein Strafgeld durch eigenes Geständnis bezahlt.20 Da er beim Geständnis frei ist, so verpflichtet ihn die Ableugnung nicht zum Opfer. Da sagten sie20a Die Weisen zu ihm: Wenn er auch kein Strafgeld durch eigenes Geständnis bezahlt hätte, so hätte er doch Beschimpfungs- und Wertverlust-Geld21 S. Ketubot III, 4. beim Selbstverständnis bezahlen müssen.22 Die Weisen meinen nämlich, der Kläger hat hauptsächlich die Zahlung für die Beschimpfung und den Wertverlust gefordert, weil der Beklagte sich von dieser Forderung nicht durch Selbstverständnis befreien kann. Der Beklagte hat danach unter Meineid eine Geldforderung abgeleugnet und ist deshalb schuldig. R. Simon aber meint, der Kläger hatte gewiss bei seiner Forderung das Strafgeld von 50 Schekel im Auge, weil dessen Betrag fest bestimmt ist, und nicht das Geld für Schimpf und Wertverlust, dessen Betrag nicht bestimmt ist, sondern erst durch eine Schätzung des Gerichtes festgestellt werden muss. Der Beklagte hat somit unter Falscheid eine Pön (קנס) abgeleugnet und ist zu keinem Opfer verpflichtet. Allerdings würde hiernach R. Simon auch gegen IV, 6, Note 31 kontroversieren.", + "(Sagt Jemand:) „du hast meinen Ochsen gestohlen!“ und er sagt: „ich habe nicht gestohlen!“ (Darauf Jener:) „ich beschwöre dich “, und er sagt: „Amen!“; so ist er schuldig.23 Weil er außer der Pön auch die Hauptsumme (קין) ableugnet, s. oben IV, Note 30. (Sagte er aber:) „ich habe ihn zwar gestohlen, aber nicht geschlachtet und nicht verkauft!24 Ich brauche also nicht das Fünffache (nach Exod. 21, 37) zu bezahlen. (Darauf Jener:) „ich beschwöre dich!“, und er sagt: „Amen!“; so ist er frei.25 Weil er nur Straf-Geld abgeleugnet. (Sagt Jemand:) „dein Ochs26 Der bereits vorher dreimal gestoßen hatte, also מועד war, s. B. kamma II, 4. Als תם wäre die Schuld eine Pön, oben IV, Note 29. hat meinen Ochsen getötet“, und er sagt: „er hat nicht getötet“, (darauf Jener:) „ich beschwöre dich!“, und er sagt: „Amen!“, so ist er schuldig. (Sagt aber Jener:) „dein Ochs hat meinen Sklaven getötet!“27 Wofür 30 Schekel zu zahlen sind, Exod. 21, 32. und er sagt: „er hat nicht getötet!“ (darauf Jener:) „ich beschwöre dich!“, und er sagt: „Amen!“, so ist er frei.28 Weil die Forderung eine Pön betrifft, indem selbst wenn der Sklave nur einen Denar wert ist, 30 Schekel zu zahlen wären, s. B. kamma IV, 5. Sagt Jemand zu ihm: „du hast mich verwundet und hast mir eine Strieme beigebracht!“, und er sagt: „ich habe dich nicht verwundet und dir keine Strieme beigebracht!“ (darauf Jener:) „ich beschwöre dich!“, und er sagt: „Amen!“, so ist er schuldig. Sagt aber sein Sklave zu ihm: „du hast mir den Zahn ausgeschlagen oder das Auge geblendet!“,29 Und Du musst mich frei entlassen, Exod. 21, 26f. und er sagt: „ich habe ihn nicht ausgeschlagen und es nicht geblendet!“, (darauf Jener:) „ich beschwöre dich!“, und er sagt: „Amen!“, so ist er frei.30 Auch hier hat er nur eine Pön-Forderung abgeleugnet, B. kamma 74b. Die Regel ist: In allen Fällen, in denen man auf eigenes Geständnis bezahlen müsste, ist man schuldig; wo man aber auf eigenes Geständnis nicht zu zahlen brauchte,31 Vgl. Ketubot III, 9. ist man frei." + ], + [ + "Beim gerichtlichen Eide1 Der gerichtliche Eid wird nach dem Toragesetze, wie es von der Tradition erklärt wird, stets nur dem Verklagten auferlegt (weiter VII, 1), und zwar geschieht dies bei drei verschiedenen Arten des Klagestandes: 1) Wenn von Seiten des Beklagten ein Teil des Klage-Objektes zugestanden wird (מודה במקצת), s. B. mezia VIII, Note 8. 2) Bei den verschiedenen Hüter-Verhältnissen (שבועת השומרין), s. B. mezia VII, 8. 3) Wenn die Klage durch Einen Zeugen unterstützt wird (עד אחד). — Die folgende Bestimmung gilt nach Einigen nur bei der ersten Art von gerichtlichen Eiden (מודה במקצת); nach Andern muss auch bei der zweiten Art (שבועת השומרין) das Schwurobjekt zwei Maah wert sein (s. Ch. Mischpat 85, 5). muss mindestens das Klage-Objekt2 הטענה eig. die Forderung, von טען, beladen, belasten, (mit dopp. Accus.) Etwas von Jemand fordern. zwei Silberstücke3 Zwei der geringsten Silbermünzen, d. i. zwei Gera (Exod. 30, 13), neuhebr. Maah (מעה). Zwei Maah (= ⅓ Denar) wiegen nach den Kommentaren in reinem Silber soviel, wie 32 Gerstenkörner. und das Zugestandene4 Der Teil, den der Verklagte zugesteht. eine Peruta5 Eine Kupfermünze, die ¹⁄₃₂ Maah beträgt. wert sein;6 Nach der von der Halacha rezipierten Ansicht Rab’s (gegen Samuel) muss der abgeleugnete Teil des Klage Objektes, d. i. das Schwurobjekt, zwei Maah wert sein; הטענה ist danach als כפירת טענה (das Abgeleugnete des Klage-Objektes) zu erklären. Das Klage-Objekt im Ganzen maß demnach mindestens zwei Maah und eine Peruta wert sein, damit beim Zugeständnis von einer Peruta noch ein Wert von zwei Maah als Schwurobjekt bleibe. — Jedoch wird, wenn Geräte (mindestens zwei, nach Exod. 22, 6) das Objekt der Klage bilden, auch beim geringsten Geldeswert derselben, dem מודה במקצת oder שומר ein gerichtlicher Eid auferlegt. und wenn das Zugestandene nicht mit dem Klage-Objekte von ein und derselben Art ist,7 S. weiter M. 3. Statt מין hat Jerusch. hier und sonst: מן. Es heißt also: „Wenn das Zugestandene nicht ein Teil der Forderung ist u. s. w. so ist er frei. Auf welche Weise?8 Die Frage bezieht sich nach Rab (Note 6) auf die erste Bestimmung der Mischna, nach Andern (Samuel) dagegen auf das unmittelbar Vorhergehende, s. folgende Note. (Sagt Jemand:) „ich habe zwei Silberstücke bei dir!“, (und der Andere erwidert:) „du hast bei mir nur eine Peruta!“, so ist er frei.9 Nach Rab (Note 6) weil das Schwurobjekt (das Abgeleugnete) nicht ganz zwei Maah beträgt; nach Andern (Samuel) weil das Zugestandene mit dem Klage-Objekt nicht Einer Art angehören, indem ersteres Kupfergeld, letzteres Silbergeld ist. Rab aber ist der Ansicht, dass es bei Geldforderungen dem Klagenden nicht auf die Münzsorte, sondern nur auf den Wert des Geldes ankommt. (Sagt aber Jemand:) „zwei Silberstücke und eine Peruta habe ich bei dir!“ (und der Andere erwidert:) „du hast nur eine Peruta bei mir!“, so ist er schuldig.10 Nach Samuel (Note 9) weil hier in der Klage auch Kupfergeld gefordert wird, s. weiter Note 38. (Sagt Jemand:) „ich habe bei dir eine Mine “,11 מנה (gr. μνᾶ) = 100 Denar. (und der Andere entgegnet:) „du hast Nichts bei mir!“, so ist er frei.12 Doch haben später die Rabbinen (Rab Nachman) auch für diesen Fall der gänzlichen Ableugnung (כופר הכל) einen Eid angeordnet. Dieser rabbinische Eid heißt שבועת היסת „Antreibungs-Eid“ (von הסית verführen, antreiben), weil der Beklagte durch diesen Eid zum Geständnis der Wahrheit angetrieben werden soll. (Sagt Jemand:) „ich habe bei dir eine Mine!“, (und der Andere entgegnet:) „du hast nur fünfzig Denar bei mir!“, so ist er schuldig.13 Einen gerichtlichen Eid zu leisten, da er einen Teil der Forderung zugesteht, s. Note 1. (Sagt Jemand:) „du hast von meinem Vater eine Mine in Händen!“,14 Nach dem Talmud (42b) spricht die Mischna von dem Falle, dass der Sohn dies bloß vermutet, aber nicht mit Gewissheit (ברי) seine Forderung stellt, s. weiter Note 51. (und der Andere erwidert:) „du hast nur fünfzig Denar bei mir!“, so ist er frei, weil dies so ist, als wenn er Verlorenes zurückgäbe.15 Er hätte ja der ungewissen Aussage des Sohnes gegenüber Alles ableugnen können.", + "(Sagt Jemand:) „ich habe bei dir eine Mine!“ und der Andere erwidert ihm (vor Zeugen):16 Die eingeklammerten Worte fehlen in den Talmuden und sind bloß eine erklärende Glosse. „jawohl!“;17 Das Geständnis vor Zeugen gilt (nach Sanhedrin 29a) nur dann, wenn dieselben dafür als Zeugen designiert werden, indem entweder der Geständige selbst oder der Fordernde (unter schweigender Zustimmung des Geständigen) zu den Zeugen sagt: אתם עדי „ihr sollt dafür Zeugen sein!“; sonst kann der Geständige sagen: „ich habe bloß Scherz mit dir getrieben (משטה אני בך). am folgenden Tage sagt Jener zu ihm: „gib sie mir!“, (und dieser erwidert:) „ich habe sie dir bereits gegeben!“, so ist er frei.18 Doch muss er nach späterer Anordnung (Note 12) einen rabbinischen Eid schwören. (Erwidert er aber:)19 Vor Gericht. Dagegen wäre eine derartige, außerhalb des Gerichtes gemachte Einrede nicht maßgebend, und er kann dann vor Gericht wiederum behaupten: „ich habe sie dir bereits gegeben!“ „du hattest Nichts bei mir!“, so ist er schuldig.20 Er kann nicht nachher wiederum sagen, er habe die Schuld bereits bezahlt, da er einmal durch die seinem frühern Geständnisse widersprechende Einrede als Lügner erkannt worden ist. (Sagt Jemand:) „ich habe bei dir eine Mine!“, und der Andere erwidert ihm:21 Vor Zeugen. „jawohl!“, (darauf sagt Jener:22 Ebenfalls vor Zeugen. „gib sie mir nur vor Zeugen!“; am folgenden Tage sagte er zu ihm: „gib sie mir!“, (und dieser erwidert:) „ich habe sie dir bereits gegeben!“, so ist er schuldig, weil er sie (ihm) vor Zeugen geben musste.23 Wie es der Gläubiger ihm aufgetragen.", + "(Sagt Jemand: „ich habe ein Pfund24 ליטרא, gr. λίτρα. Gold bei dir!“, (und der Andere erwidert:) „du hast bei mir nur ein Pfund Silber!“, so ist dieser frei.25 Weil das Zugestandene nicht von der Art des Klage-Objektes ist. (Sagt aber Jemand:) „ich habe einen Gold-Denar26 Der 25 Silber Denar beträgt. bei dir!“ (und der Andere erwidert:) „du hast bei mir nur einen Silber-Denar, einen Tressis,27 טריסית lat. tressis = 3 as. einen Pondion,28 Dupondium = 2 as, s. B. mezia IV, Note 37— 39. oder eine Peruta!“, so ist dieser schuldig,13 Einen gerichtlichen Eid zu leisten, da er einen Teil der Forderung zugesteht, s. Note 1. weil alle Münz-Sorten einerlei Art sind.29 S. oben Note 9. (Sagt Jemand:) „ich habe einen Kor Getreide bei dir!“, (und der Andere erwidert:) „du hast bei mir nur einen Lethech30 Ein Lethech = ½ Kor = 15 Seah. Hülsenfrucht!“, so ist dieser frei.25 Weil das Zugestandene nicht von der Art des Klage-Objektes ist. (Sagt Jener aber:) „ich habe einen Kor Früchte bei dir!“, (und dieser erwidert:) „du hast bei mir nur einen Lethech Hülsenfrucht!“, so ist dieser schuldig,13 Einen gerichtlichen Eid zu leisten, da er einen Teil der Forderung zugesteht, s. Note 1. weil Hülsenfrucht unter „Früchte“ einbegriffen ist. Fordert man von Einem Weizen, und er gesteht Gerste ein, so ist er frei.31 Nach B. kamma 35 b braucht der Beklagte in den Fällen, wo er eine von dem Klage-Objekte verschiedene Art zugesteht, auch das Zugestandene nicht zu bezahlen. Der Grund davon ist nach Raschi, weil der Kläger, der Weizen forderte, damit eingestanden hat, das er keine Gerste zu fordern habe, und auf diese verzichtet hat; nach Andern, weil der Beklagte sagen kann, er habe mit dem Zugeständnis nur in spöttischer Weise die unwahre Behauptung des Klägers in Abrede stellen wollen, s. B. kamma III, Note 50. Rabban Gamliel aber erklärt ihn für schuldig.32 Einen Eid zu leisten. Nach R. Gamliel wird der gerichtliche Eid auch dann auferlegt, wenn das Zugestandene nicht von der Art des Geforderten ist. Fordert Jemand von seinem Nächsten Krüge Öl33 Er sagt z. B.: „ich habe 10 Krüge Öl bei dir!“ und dieser gesteht ihm leere Krüge34 קנקן scheint ein Onomatopoëtikon zu sein, nach dem Schall beim Klopfen an einen leeren Krug. So wird in Gittin 6a das Knistern des Schreibrohrs beim Schreiben ebenfalls mit קן קן bezeichnet. Eine andere Bedeutung von קנקן s. in B. mezia VI, Note 31. ein, so sagt Admon,35 S. über diesen Ketubot XIII, 1. weil er einen Teil von der Art36 In Ketubot XIII, 5 heißt es במקצת statt מקצת ממין. des Klage-Objektes eingestanden hat,37 Der Wortlaut der Klage ist so zu verstehen, dass das Öl samt den Krügen gefordert wird. so muss er schwören.38 Denn wenn man Weizen und Gerste fordert und der Verklagte die Gerste eingesteht, muss er schwören. Die Weisen aber sagen: das Eingestandene ist nicht von der Art des Klage-Objektes.39 Die Weisen meinen, der Kläger habe bloß Öl, aber nicht die Krüge gefordert. Es sagte Rabban Gamliel: Mir gefallen40 רואה אני ich ersehe, es ist mir einleuchtend. Admon’s Worte.41 Dasselbe in Ketubot XIII, 5. Fordert man von Einem Geräte und Grundstücke, dieser aber gesteht die Geräte ein und leugnet die Grundstücke ab, oder er gesteht die Grundstücke ein und leugnet die Geräte ab, so ist er frei.42 Weil man bei Grundstücken nicht zu schwören braucht, mögen sie Gegenstand des Zugeständnisses oder der Ableugnung sein, s. weiter M. 5. Gesteht er einen Teil der Grundstücke ein, so ist er (ebenfalls) frei. Gesteht er einen Teil der Geräte ein,43 So dass sowohl das Zugeständniss als die Ableugnung Mobilien zum Gegenstande haben. so ist er schuldig;44 Auch über die Grundstücke zu schwören, indem der Schwur von den Mobilien auch auf die Immobilien „hingewälzt“ wird (גלגול שבועה), s. B. mezia VIII, Note 11. denn die Güter, welche keine Sicherheit45 אחריות Sicherheit, B. mezia I, Note 29. gewähren,46 Das sind Mobilien. verbinden47 זקק binden, verbinden, verpflichten. die Sicherheit gewährenden Güter,48 D. s. Grundstücke. dass man (auch) über diese schwören muss.49 S. Kidduschin I, 5.", + "Man schwört nicht auf die Klage eines Taubstummen, eines Irrsinnigen oder eines Unmündigen.50 Denn im Abschnitt von gerichtlichen Eiden heißt es (Exod. 22, 6): „Wenn ein Mann seinem Nächsten gibt u. s. w.“ Doch muss man auf die Klage eines Unmündigen wenigstens den rabbinischen Eid (שבועת היסת Note 12) leisten. Man beschwört auch keinen Unmündigen; doch schwört man gegen einen Unmündigen51 Nach einer Erkl.: Wenn eine Waise (das bedeutet hier קטן) mit voller Gewissheit (s. oben Note 14) behauptet, Jemand sei ihrem Vater eine Summe Geldes schuldig, so muss der Schuldner, wenn er einen Teil eingesteht, über den Rest einen Eid leisten. Nach einer andern Erklärung: Wer vom Vermögen eines unmündigen Waisenkindes eine Schuld (des Vaters; bezahlt, haben will, muss schwören, dass der Vater noch nicht bezahlt hat, s. weiter VII, 7. und gegen Geheiligtes.52 Wenn Jemand Güter geheiligt hat, worauf eine Schuld haftet; so kann der Gläubiger nur mit einem Eide, dass er noch nicht Bezahlung erhalten, seine Schuld vom Geheiligten einziehen, s. aber auch Arachin VI, 6.", + "Über folgende Dinge schwört man nicht: Sklaven, schriftliche Urkunden, Grundstücke und geheiligte Sachen.53 Dies, sowie die folgende Bestimmung hinsichtlich des doppelten, resp. vier- oder fünffachen Ersatzes wird aus der Schriftstelle Exod. 22, 8 deduziert; Näheres s. B. mezia IV, Note 73. Bei diesen findet kein Doppel-Ersatz und nicht Ersatz des Vier- oder Fünffachen statt. Der unentgeltliche Hüter schwört nicht ihretwegen54 B. mezia IV, Note 74. und der Lohn-Hüter bezahlt nicht.55 Das. Note 75. R. Simon sagt: Über geheiligte Sachen, für welche man haften muss, schwört man; über diejenigen aber, für welche man nicht haften muss, schwört man nicht.56 Das. Note 76.", + "R. Meïr sagt: Es gibt Dinge, die am Boden haften, und dennoch nicht wie Grund und Boden betrachtet werden. Die Weisen aber pflichten ihm nicht bei. Wie ist dies? (Sagt Jemand:) „ich habe dir zehn beladene57 Mit Weintrauben, die bereits reif und zum Lesen bestimmt sind. Weinstöcke übergeben!“, und der Andere sagt: „es waren nur fünf!“, so verpflichtet ihn R. Meïr zu schwören.58 Denn die Trauben, die zur Lese reif sind, werden als bereits abgeschnitten angesehen; sie können daher wie bewegliches Gat zum Eide verpflichten. Die Weisen aber sagen: Alles, was am Boden haftet, ist wie Grund und Boden (anzusehen).59 Was zur Lese reif ist, wird nicht wie bereits abgeschnitten betrachtet. Man schwört nur über ein Objekt, das nach Maaß, Gewicht oder Zahl bestimmt ist;60 Sowohl das Geforderte als das Zugestandene muss genau bestimmt sein. z. B.: (Sagt Jemand:) „ich habe dir ein volles Haus (mit Frucht) übergeben!“ oder: „ich habe dir einen vollen Beutel (mit Geld) übergeben!“, und der Andere sagt: „ich weiß nicht; was du hineingelegt hast, magst du nehmen!“, so ist er frei. Sagt aber Jener: „(die Frucht reichte) bis an den Vorsprung “,61 זיז vgl. B. batra III, Note 79. Hier ist es ein über dem Fenster befindlicher Vorsprung. und dieser sagt: „nur bis ans Fenster!“, so ist dieser schuldig.62 Zu schwören", + "Hat Jemand seinem Nächsten auf ein Pfand geliehen,63 Der Gläubiger ist Betreffs des Pfandes als Lohn-Hüter zu betrachten, so dass er bei Diebstahl und Verlust Ersatz schuldig ist, vgl. B. mezia VI, 7. und das Pfand ist verloren gegangen; er64 Der Gläubiger. sagt nun zu ihm:65 Dem Schuldner. „ich habe dir einen Sela‘ darauf geliehen, es65a Das Pfand. war aber nur einen Schekel66 Ein Schekel ist in der Mischna-Sprache = 2 Denar = ½ Sela‘, während der biblische Schekel einem ganzen Sela‘ gleich ist. Wert!“,67 Du bist mir also noch 2 Denar schuldig! und dieser sagt: „nicht so,68 לא כי = לא כן, nicht so! sondern du hast mir einen Sela‘ darauf geliehen, und es war auch einen Sela‘ wert!“, so ist dieser frei. (Sagt Jener:) „ich habe dir einen Sela‘ darauf geliehen, es war aber nur einen Schekel wert!“67 Du bist mir also noch 2 Denar schuldig! und dieser sagt: „nicht so, sondern du hast mir einen Sela‘ darauf geliehen, und es war drei Denar wert!“;69 Du hast also nur noch Einen Denar von mir zu fordern! so ist dieser schuldig.70 Zu schwören, dass es 3 Denar wert war; denn er hat einen Teil der Forderung des Gläubigers eingestanden. Auch der Gläubiger muss, obgleich er das Pfand bezahlt, schwören, dass es nicht mehr in seinem Bereiche sich befindet, weil er möglicherweise sein Auge darauf gerichtet hat und den Gegenstand zu erwerben trachtet, vgl. B. mezia III, 4. (Sagt der Schuldner:) „du hast mir einen Sela‘ darauf geliehen, es war aber zwei Sela‘ wert!“,71 Du hast mir demnach noch einen Sela‘ (= 4 Denar) zu vergüten! und der Andere sagt: „nicht so, sondern ich habe dir einen Sela‘ darauf geliehen, und es war nur einen Sela‘ Wert!“; so ist dieser frei. (Sagt aber der Schuldner:) „du hast mir einen Sela‘ darauf geliehen, und es war zwei Sela‘ wert!“,71 Du hast mir demnach noch einen Sela‘ (= 4 Denar) zu vergüten! und der Andere sagt: „nicht so, sondern ich habe dir einen Sela darauf geliehen, und es war nur fünf Denar wert!“,72 Ich habe dir also nur noch Einen Denar zu vergüten! so ist dieser schuldig.73 Zu schwören, dass es nur 5 Denar wert war; da er einen Teil der Forderung des Schuldners eingestanden hat. Wer schwört?74 Diese Frage bezieht sich nach dem Talmud auf den ersten Fall, wo nach Note 70 beide, der Schuldner und der Gläubiger, schwören müssen, und die Frage ist nach einer Erklärung, wer zuerst schwören soll. Derjenige, bei dem das Verwahrgut75 Das Pfand. war;76 Der Gläubiger schwöre zuerst, dass das Pfand sich nicht in seinem Bereiche befindet. denn wenn der Andere77 Der Schuldner. schwöre,78 Wenn er zuerst schwöre, dass das Pfand 3 Denar wert war. so würde Jener vielleicht das Verwahrgut75 Das Pfand. hervorbringen.79 Und nachweisen, dass der Schuldner falsch geschworen. — Nach einer andern Erklärung wird hier gesagt, dass im ersten Falle (Note 70) anstatt des Schuldners der Gläubiger seine Behauptung beschwöre, dass das Pfand nur 2 Denar wert war (s. B. mezia 35a)." + ], + [ + "Alle, welche nach dem Toragesetze schwören müssen,1 Einen gerichtlichen Eid, nach VI, Note 1. schwören, um nicht zu bezahlen.2 Denn es heißt (Exod. 22, 10): „Der Eigentümer nehme (den Eid) an, und jener bezahle nicht“, woraus ersichtlich ist, dass der Verklagte schwört, um nicht bezahlen zu müssen. Folgende aber schwören,3 Nach Anordnung der Weisen der Mischna. um (Bezahlung) zu empfangen.4 Dieser von den Mischna-Lehrern angeordnete Eid (שבועת המשנה) ist insofern gleich dem Tora-Eide (שבועה דאורייתא), dass man bei diesem, wie bei Jenem, eine heilige Sache (eine Tora-Rolle oder Tephillin) in der Hand halten muss, was bei dem von den spätern Rabbinen angeordneten היסת-Eide (VI, Note 12) nicht nötig ist. Doch ist der Mischna-Eid in mancher Beziehung vom Tora-Eide unterschieden. Unter Anderem braucht man beim Mischna-Eide nicht wie beim Tora-Eide den Gottesnamen oder ein Attribut Gottes zu nennen. Ferner wird derjenige, der einen schuldigen Tora-Eid nicht leistet, vom Gerichte exequiert; dagegen wird Einer, der einen Mischna-Eid (oder einen היסת-Eid) zu leisten sich weigert, selbst in den Fällen, wo von ihm Bezahlung gefordert wird (vgl. Note 46) und er die Zahlung verweigert, nur mit dem Banne belegt, und wenn er dreißig Tage lang im Banne bei seiner Weigerung verharrt, mit מכות מרדות (vgl. Makkot III, Note 5) bestraft. Der Tagelöhner, der Beraubte, der Verwundete, der, dessen Gegner des Meineides verdächtig ist, und der Krämer auf sein Buch.5 פנקס, gr. πίναξ Schreibtafel, syr. ܦܶܢܩܺܝܬܳܐ dass. Der Tagelöhner6 Hiermit beginnt die nähere Erklärung aller eben aufgezählten Fälle. — auf welche Weise? Sagt er7 Der Tagelöhner. zu Einem: „gib mir meinen Lohn, den ich bei dir habe!“, dieser sagt! „ich habe (ihn bereits) gegeben:“, und Jener sagt: „ich habe Nichts empfangen!“; so schwört er7 Der Tagelöhner. und empfängt (seinen Lohn).8 Der Hausherr, der mit seinen Arbeitern vielfach beschäftigt ist, kann leicht irrtümlich meinen, einen Arbeiter schon bezahlt zu haben; daher haben die Weisen nicht dem Hausherrn, sondern dem Arbeiter den Eid auferlegt. R. Jehuda sagt: Nur9 Nur dann kann der Kläger durch einen Eid Bezahlung erlangen. wenn dabei ein Teil-Geständniss10 Von Seiten des Beklagten. stattfindet.11 Wo der Beklagte nach dem Tora-Gesetze (VI, Note 1) schwören müsste, da haben die Weisen in allen in unserem Abschnitt aufgezählten Fällen aus gewissen Zweckmäßigkeits-Rücksichten den Eid dem Kläger auferlegt. Auf welche Weise? Er sagt zu ihm: „gib mir meinen Lohn von fünfzig Denar, den ich bei dir habe!“, und dieser sagt: „du hast einen Gold-Denar12 D. i. 25 Silber-Denar. bereits erhalten!“", + "Der Beraubte — auf welche Weise? Zeugt man13 Zwei Zeugen. gegen Jemand, dass er in des Andern Haus gegangen, um ihn ohne Erlaubnis13a Des Eigentümers oder des Gerichts. auszupfänden;14 Die Zeugen sahen, wie er leer hineingegangen und mit unter seinem Gewande verborgenen Geräten herausgekommen ist; sie wissen aber nicht, was er getragen hat. dieser sagt: „du hast mir ein Gerät15 Ein bestimmtes Gerät, etwa einen goldenen Becher. genommen!“, und Jener sagt: „ich habe Nichts genommen!“; so schwört der Andere und empfängt.16 Das geforderte Gerät oder dessen Wert; vorausgesetzt ist, dass der Kläger so vermögend ist, dass man annehmen kann, er habe ein solches Gerät besessen. R. Jehuda sagt: Nur9 Nur dann kann der Kläger durch einen Eid Bezahlung erlangen. wenn dabei ein Teil-Geständniss17 Die Wunde ist derart, dass er sie möglicherweise sich selbst beigebracht haben kann. Ist dies nicht der Fall, so z. B. wenn auf seinem Rücken Bisse gefunden werden und es war kein Anderer als der Beklagte an jenem Orte, dann empfängt er ohne Eid die Bezahlung. stattfindet.11 Wo der Beklagte nach dem Tora-Gesetze (VI, Note 1) schwören müsste, da haben die Weisen in allen in unserem Abschnitt aufgezählten Fällen aus gewissen Zweckmäßigkeits-Rücksichten den Eid dem Kläger auferlegt. Auf weiche Weise? Er sagt zu ihm: „du hast zwei Geräte genommen!“, und Jener sagt: „ich habe nur Eins genommen!“", + "Der Verwundete — auf welche Weise? Zeugt man13 Zwei Zeugen. gegen Jemand, dass ein Anderer unversehrt zu ihm hineingegangen und von ihm verwundet herausgekommen ist; dieser sagt: „du hast mich verwundet!“, und Jener sagt: „ich habe dich nicht verwundet!“,17 Die Wunde ist derart, dass er sie möglicherweise sich selbst beigebracht haben kann. Ist dies nicht der Fall, so z. B. wenn auf seinem Rücken Bisse gefunden werden und es war kein Anderer als der Beklagte an jenem Orte, dann empfängt er ohne Eid die Bezahlung. so schwört der Andere und empfängt.18 Entschädigung nach B. kama VIII, 1. R. Jehuda sagt: Nur9 Nur dann kann der Kläger durch einen Eid Bezahlung erlangen. wenn dabei ein Teil-Geständniss10 Von Seiten des Beklagten. stattfindet.11 Wo der Beklagte nach dem Tora-Gesetze (VI, Note 1) schwören müsste, da haben die Weisen in allen in unserem Abschnitt aufgezählten Fällen aus gewissen Zweckmäßigkeits-Rücksichten den Eid dem Kläger auferlegt. Auf welche Weise? Er sagt zu ihm: „du hast mir zwei Wunden beigebracht!“, und Jener sagt: „ich habe dir nur Eine beigebracht!“", + "Der, dessen Gegner des Meineides verdächtig ist19 Und man weiß, dass er den Meineid vorsätzlich geschworen hat. — auf welche Weise? Er mag beim Zeugnis-Eide,20 Nach IV, 3. oder beim Verwahrguts-Eide21 Nach V, 2. oder auch nur durch einen vergeblichen Eid22 Nach III, 8. Diesem gleich ist auch der assertorische Ausspruch-Eid (s. I, Note 2—3). Dagegen kann derjenige, der einen promissorischen Eid gebrochen hat, nach Einigen zum gerichtlichen Eide zugelassen werden. Denn dieser mag während des Schwörens die Absicht gehabt haben, den Eid zu erfüllen, und nur später, von seinen Begierden überwältigt, ihn gebrochen haben; er ist darum nicht verdächtig einen Eid zu leisten, den er beim Schwören als Meineid erkennt. (verdächtig geworden sein).23 Wenn ein solcher Verdächtiger verklagt und (nach VI, Note 1) einen gerichtlichen Eid nach dem Toragesetze schuldig geworden, so wird statt seiner der Eid dem Kläger auferlegt, der schwört und dadurch Bezahlung erlangt. Ist Einer von ihnen24 Der Verklagte allein. ein Würfelspieler,25 Sanhedrin III, Note 22. ein Wucherer,26 Das. Note 23. Einer, der Tauben fliegen lässt,27 Das. Note 24. Einer, der mit Brachjahr-Frucht handelt;28 Das. Note 25. so schwört sein Gegner29 Der Kläger. und empfängt Bezahlung.30 Vorausgesetzt ist, dass der Beklagte nach VI, 1 einen Tora-Eid zu leisten hätte. Sind Beide31 Der Verklagte und der Kläger. verdächtig, so geht der Schwur zurück an seinen Ort;32 Zu dem Beklagten, der ursprünglich den Eid zu leisten verpflichtet war; da er aber als „Verdächtiger“ nicht schwören kann, so muss er bezahlen (vgl. B. mezia VIII, Note 8). Nach einer anderen Erklärung meint R, Jose: „Der Schwur kehrt zum Berge Sinai zurück“; d. h. das menschliche Gericht vermag in diesem Falle nicht einzuschreiten; es kann weder einen Eid auferlegen, noch ohne Eid den Verklagten zur Zahlung nötigen. Die Sache wird daher dem Gerichte Gottes überlassen, der am Berge Sinai die Israeliten beschworen hat, dass sie das Gesetz beobachten und nicht einander berauben, und der den Unrechttäter nicht ungestraft lassen wird. dies die Worte R. Jose’s. R. Meïr sagt: Sie teilen.33 Der Verklagte zahlt die Hälfte des Abgeleugneten.", + "Der Krämer auf sein Buch — auf welche Weise? Nicht wenn er zu Jemand sagt: „es steht in meinem Buche geschrieben, dass Du mir zweihundert Sus schuldig bist!“;34 In diesem Falle ist dessen Forderung, wenn sie vom Andern in Abrede gestellt wird, gar nicht begründet. sondern wenn Jemand zu ihm gesagt hat: „gib meinem Sohne zwei Seah Weizen!“— „gib meinen Arbeitern für einen Sela35 Den ich dir später geben will. kleines Geld!“, hierauf sagt er:36 Der Krämer. „ich habe es gegeben!“, Jene aber sagen: „wir haben Nichts erhalten!“;37 Beide Parteien fordern nun vom Hausherrn Bezahlung, und ihre Forderung ist begründet, indem Jener eingesteht, dem Krämer einen solchen Auftrag gegeben zu haben. (so schwören Beide)38 Diese Worte fehlen in den Handschr. und alten Ausgg. und sind erst später aus dem Kommentar des Bart. in den Text geraten. so schwört er36 Der Krämer. und empfängt, und Jene schwören und empfangen.39 Denn die Arbeiter können sagen, der Krämer sei ihnen selbst mit einem Eide nicht beglaubigt, und ebenso kann der Krämer behaupten, der Sohn, resp. die Arbeiter des Hausherrn seien ihm nicht glaubwürdig. Der Hausherr war es, der den Betreffenden Vertrauen schenkte, indem er den Auftrag ohne Zeugen ausführen ließ; er muss daher Jedem auf seinen Eid bezahlen. Da sagte Ben Nanos: Wie darf man Diese40 אלו ואלו eig. „diese und diese“, die beiden streitenden Parteien. Von beiden Parteien zusammen, die Entgegengesetztes beschwören, wird sicherlich ein falscher Eid geschworen, wenn wir auch nicht wissen, von welcher Partei dies geschieht. zum falschen Eide kommen lassen?!41 Es wird ja dadurch der Name Gottes entweiht! Vielmehr empfängt er36 Der Krämer. ohne Schwur, und Jene empfangen ohne Schwur.", + "Sagt Jemand zum Krämer: „gib mir um einen Denar Früchte!“ er gibt sie ihm,42 Der Käufer tut sie darauf in seinen Korb, den er über den Rücken hängt. dann sagt er zu ihm: „gib mir den Denar!“, und er erwidert: „ich habe ihn dir schon gegeben, und du hast ihn in die Geldkasse43 אונפלי oder אמפולי (Aruch), אמפלי (ed. Neapel), אינפולי (Tos. Maaser scheni IV, 11) ist schwerlich ampulla, eher gr. ἐμπολή (Einnahme für Verkauftes), daher Kasse, recette. getan!“, so schwört der Hausherr.44 Dass er schon bezahlt hat, und nimmt seine Früchte mit. Eigentlich gehörte dieser Fall nicht unter die in unserem Abschnitte aufgezählten Fälle, bei denen man schwört, um zu empfangen (נשבעין ונוטלין), da ja der Hausherr die Früchte bereits erworben hat und durch den Eid sich bloß von der Bezahlung befreit. Da jedoch, wenn er den Eid nicht leistete und eingestände, er habe die Früchte, ohne sie zu bezahlen, mitnehmen wollen, dann der ganze Kauf ungültig wäre und die Früchte dem Krämer zurückgegeben werden müssten; so kann der Eid als zum Zweck der Mitnahme der Früchte geleistet betrachtet werden. Hat dieser aber Jenem45 Dem Krämer in die Hand. den Denar gegeben und sagt zu ihm: „gib mir die Früchte!“, und Jener sagt: „ich habe sie dir schon gegeben, und du hast sie nach Hause schaffen lassen!“, so schwört der Krämer.46 Dass er die Früchte bereits gegeben, und er kann den Denar behalten und in seine Kasse legen. Würde er den Eid nicht leisten, so müsste er den Denar auf Verlangen zurückgeben (oder er würde mit dem Banne bestraft, oben Note 4); daher erwirbt er gleichsam durch den Eid den Denar, und er wird als נשבע ונוטל betrachtet. R. Jehuda sagt: Wer die Früchte in Händen hat, der hat die Oberhand.47 Dies bezieht sich auf den ersten Fall, und R. Jehuda meint, der Hausherr braucht da nicht zu schwören, da er die Früchte in Händen hat und seine Behauptung noch unterstützt wird durch die Annahme, dass ein Krämer, der nicht borgt (von einem solchen spricht die Mischna), nicht eher die Ware hergibt, bis er das Geld erhalten hat, wie dies R. Jehuda im folgenden Falle vom Geldwechsler annimmt. In der Tosephta lautet der Ausspruch R. Jehudas: במה דברים אמורים בזמן שהיתה קופה מונחת בנתים אבל אם היתה יוצאת מתחת יד אחד מהן המוציא מחבירו עליו הראיה „Wobei gilt dies? Wenn der Korb (mit Früchten) zwischen Beiden liegt, wenn er aber in der Hand des Einen (des Hausherrn) sich befindet, dann muss derjenige, der vom Andern etwas fortnehmen will, den Beweis erbringen“ (vgl. auch die Baraita im Talmud 48a). Sagt Jemand zu einem Geldwechsler: „gib mir für einen Denar kleines Geld!“, er gibt es ihm, dann sagt er zu ihm: „gib mir den Denar!“, und er erwidert: „ich habe ihn dir schon gegeben, und du hast ihn in die Geldkasse getan!“, so schwört der Hausherr.48 Vgl. Note 44. Hat dieser aber Jenem49 Dem Geldwechsler in die Hand. den Denar gegeben und sagt zu ihm: „gib mir das kleine Geld!“, und Jener sagt: „ich habe es dir schon gegeben, und du hast es in deinen Beutel geworfen, so schwört der Geldwechsler.50 Vgl. Note 46. R. Jehuda sagt: Es ist nicht die Weise, dass der Wechsler einen Issar51 Das kleine Geld. gibt, bevor er den Denar bekommen hat.52 Dies bezieht sich (vgl. oben Note 47) auf den ersten Fall, und R. Jehuda meint, der Hausherr brauche da nicht zu schwören, da sicher anzunehmen ist, er habe den Denar bereits gegeben. Vgl. ש״ך zu Ch. Mischpat 91, 9, der zu unserer M. sechs verschiedene Erklärungen bringt; vgl. auch Responsen חכם צבי 143.", + "Sowie man (auch) gesagt hat:53 Die Mischna fährt fort, die נשבעין ונוטלין aufzuzählen. Da aber die folgenden Bestimmungen bereits in Ketubot IX, 7 gelehrt sind, so wird mit כשם שאמרו darauf hingewiesen, woselbst M. 8 auch die ausführliche Erklärung zu finden ist. Eine Frau, die eine Teilzahlung54 פגם schadhaft machen, vermindern, für minderwertig erklären. Dies geschieht durch das Geständnis, dass ein Teil derselben schon bezahlt ist. ihrer Ketuba55 כתובה ist hier שטר כתובה die Verschreibung, das Dokument, worin der Mann sich verpflichtet, seiner Frau im Scheidungs- oder Todesfalle eine gewisse Summe zukommen zu lassen. zugesteht, kann56 Wenn der Mann behauptet, bereits die ganze Schuld bezahlt zu haben. (den Rest) nur durch einen Eid bezahlt bekommen; wenn ein Zeuge aussagt, sie57 Die Ketuba. sei bezahlt, so kann sie nur durch einen Eid bezahlt erhalten; von unterworfenen Gütern58 S. B. batra X, Note 77. und von Gütern der Waisen59 Wenn der Mann gestorben ist und sie von dessen Waisen Bezahlung fordert.; kann sie nur durch einen Eid Bezahlung erhalten; auch wenn sie in Abwesenheit des Mannes60 Wenn der Mann nach der Scheidung von seiner Frau ausgewandert ist und sie von dessen Gütern Bezahlung erhalten will. bezahlt werden will, kann sie nur durch einen Eid Bezahlung erlangen.61 Soweit die Bestimmungen aus Ketubot IX, 7 u. 8. Was hier von der Frau, welche ihre Ketuba fordert, bestimmt wird, das gilt auch von jedem andern Gläubiger, der seinen Schuldschein bezahlt haben will; wenn er z. B. eine Teilzahlung beim Schuldschein eingesteht, so kann er den Rest nur durch einen Eid bezahlt erhalten, wie dies in der Tosefta (VI, 5) ausdrücklich steht. Ebenso62 Nach den meisten Erklärern beginnt hier der Nachsatz, und כשם שאמרו bis hierher ist der Vordersatz; s. aber Note 53. können die Waisen63 Nach dem Talmud bezieht sich dies auf das vorhergehende: ומנכסי היתומים. Also: Wenn die Waisen des Gläubigers von den Waisen des Schuldners die Schuld einziehen wollen, so müssen sie den folgenden Eid leisten. nur durch einen Eid64 Selbst wenn sie von den Waisen des Schuldners nicht dazu aufgefordert werden. Dagegen brauchen sie dem Schuldner selbst nicht den folgenden Eid zu schwören, außer wenn er es verlangt. bezahlt erhalten, nämlich: „wir schwören, dass unser Vater uns nicht letztwillig erklärt,65 פקד (verordnen, befehlen) hat wie צוה (vgl. arab. وصّى) die Bedeutung, „eine letztwillige Verordnung treffen“. uns nicht (sonst)66 In früherer Zeit. gesagt hat, wir auch nicht unter den schriftlichen Urkunden unseres Vaters gefunden haben,67 Eine Quittung oder sonst einen Vermerk. dass dieser Schuldschein bezahlt sei!“68 Dieser Schwur שבועת היורשים (Erben-Eid) genannt, genügt nur in dem Falle, dass der Gläubiger vor dem Schuldner gestorben ist; starb aber der Schuldner zuerst, so waren dessen Waisen nach Note 59 (vgl. Note 61) berechtigt, vom Gläubiger einen bestimmten Eid zu verlangen, dass er noch keine Bezahlung erhalten hat. Da aber die Waisen des Gläubigers nicht einen solchen bestimmten Eid, sondern nur den hier erwähnten Erben-Eid leisten können, so erhalten sie überhaupt keine Bezahlung. Doch gibt es eine Ansicht, dass auch in letzterem Falle der Erben Eid genügt; und wenn ein Richter nach dieser Ansicht bereits entschieden hat, ist nach dem Talmud die Entscheidung gültig. R. Jochanan Ben Beroka sagt: Selbst wenn der Sohn nach dem Tode des Vaters geboren wurde, muss er schwören,69 „Dass ich nicht unter den schriftlichen Urkunden meines Vaters gefunden habe, dass dieser Schuldschein bezahlt sei!“ um Bezahlung zu erhalten. Es sagt R. Simon Sohn Gamliel’s: Wenn Zeugen vorhanden sind, dass der Vater in der Todesstunde gesagt hat, dieser Schuldschein sei nicht bezahlt, so empfängt er ohne Schwur.70 Nach dem ersten Tanna muss der Erbe auch in diesem Falle schwören, denn der Vater mag dies vielleicht nur gesagt haben, damit man seine Kinder für reich halte und sie mehr achte.", + "Folgende schwören ohne (bestimmte) Forderung:71 Wiewohl man an sie keine sichere Forderung stellen kann. Teilhaber,72 Wer Geld oder Waren seines Nächsten unter seiner Hand hat, die, weil nicht gemessen, gewogen oder gezählt, von ihm leicht veruntreut werden können. Feldbauer,73 S. B. mezia V, Note 73. Verwalter,74 אפוטרופוס gr. ἐπίτροπος Verwalter, der eines Anderen Vermögen verwaltet. Über den אפיטרופוס von Waisen-Geldern (Vormund) s. Gittin V, 4. eine Frau, die im Hause das Geschäft führt,75 נשא ונתן eig. nehmen und geben, d. h. Geschäfte machen. S. Ketubot IX, 4. und der Haus-Sohn.76 D. i. Einer, der für seine Brüder die Hinterlassenschaft des Vaters verwaltet. Sagt er77 Einer von den eben Genannten. zu ihm:78 Zu dem, dessen Vermögen er unter seiner Hand hatte. „was forderst du von mir?“, (und der Andere erwidert:) „ich will, dass du mir schwörest!“,79 Dass du nichts von meinem Vermögen für dich genommen habest. so ist er schuldig.80 Zu schwören. Denn alle diese erlauben sich manchmal, Etwas für ihre Bemühung zu nehmen; deshalb haben die Weisen dieselben zu einem solchen Eide verpflichtet. Haben die Teilhaber und die Feldbauer schon geteilt,81 Ohne dass man sie zu jener Zeit beschworen hat. so kann man sie82 In späterer Zeit. nicht beschwören.83 Weil man einmal darauf verzichtet hat. Dies gilt auch bei den anderen oben erwähnten Fällen. Wird ihm aber84 In späterer Zeit. ein Eid durch eine andere Forderung auferlegt, so kann man ihm einen Eid über Alles auferlegen.85 Über גלגול שבועה s. B. mezia VIII, Note 11. Das Erlassjahr86 Welches die Erlassung der Schulden bewirkt, Deut. 15, 1 f. bewirkt auch die Erlassung des Eides.87 Zu dem man durch ein Teil-Geständniss eines Darlehens verpflichtet wurde, es befreit aber nicht vom Eide der Teilhaber oder Verwalter." + ], + [ + "Es1 Diese ganze Mischna befindet sich auch in B. mezia VII, 8, vgl. die Erklärung das. Noten 41—49. gibt viererlei Hüter: ein unentgeltlicher Hüter, ein Entleiher, ein Lohnhüter und ein Mieter. Ein unentgeltlicher Hüter hat bei allen Fällen (nur) zu schwören; der Entleiher muss bei allen Fällen bezahlen; der Lohnhüter und der Mieter schwören, wenn das Vieh gebrochen oder gefangen worden oder gestorben ist, und bezahlen bei Verlust und Diebstahl.", + "Sagt er2 Der Deponent. zu dem unentgeltlichen Huter: „wo ist mein Ochs?“, dieser sagt zu ihm: „er ist gestorben!“, er ist aber3 והוא, es ist aber in der Tat der Fall, dass … gebrochen, gefangen, gestohlen oder verloren worden; (oder er sagt:) „er ist gebrochen worden!“, er ist aber gestorben, oder gefangen, gestohlen oder verloren worden; (oder er sagt.:) „er ist gefangen worden!“, er ist aber gestorben oder gebrochen, gestohlen oder verloren worden; (oder er sagt:) „er ist gestohlen worden!“, er ist aber gestorben oder gebrochen, gefangen oder verloren worden; (oder er sagt:) „er ist verloren gegangen!“, er ist aber gestorben oder gebrochen, gefangen oder gestohlen worden; (darauf Jener:) „ich beschwöre dich!“, und dieser sagt: „Amen!“, so ist er4 Obwohl er nachher eingesteht, dass er falsch geschworen hat. frei.5 Vom Schuldopfer wegen falschen Verwahrguts-Eides (V, 1). Denn zu einem solchen verpflichtet die Tora nur den, der unter falschem Eide seines Nächsten Gut abgeleugnet hat. In vorliegenden Fällen aber hätte der Hüter auch beim Geständnis der Wahrheit nicht bezahlen müssen; er hat also nicht des Nächsten Gut abgeleugnet. Indessen gilt doch sein falscher Eid als ein falscher Ausspruch-Eid (שבועת בטוי) und unterliegt den diesbezüglichen Bestimmungen (III, 10).", + "(Fragt der Eigentümer:) „wo ist mein Ochs?“, dieser sagt zu ihm: „ich weiß nicht, was du schwatzest!“,6 Er meint, Jener habe ihm gar Nichts in Verwahrung gegeben. er ist aber gestorben oder gebrochen, gefangen, gestohlen oder verloren worden, (darauf Jener:) „ich beschwöre dich“, und dieser sagt: „Amen!“, so ist er frei.7 Obwohl er sich durch seine Ableugnung vom Eide (M. 1) befreien wollte, so ist er dennoch frei, weil er kein Geld und Gut abgeleugnet hat (Note 5). (Fragt Jener:)8 Seinen unentgeltlichen Hüter. „wo ist mein Ochs?“, dieser sagt zu ihm: „er ist verloren gegangen!“, (darauf Jener:) „ich beschwöre dich!“, und dieser sagt: „Amen!“, es sagen aber Zeugen wider ihn aus, dass er ihn verzehrt hat, so muss er den Wert9 קרן, die Hauptschuld, d. h. nur den einfachen Wert, nicht, wie bei der Diebstahls-Behauptung, das Doppelte. bezahlen; gesteht er es von selbst ein, so muss er die Hauptschuld, (noch) ein Fünftel (dazu) und ein Schuldopfer entrichten.10 Nach Lev. 5, 20 ff. und Num. 5, 7; vgl. B. kama IX, Note 47. (Fragt Jener:) „wo ist mein Ochs?“, dieser sagt zu ihm: „er ist gestohlen worden!“, (darauf Jener:) „ich beschwöre dich!“, und dieser sagt: „Amen!“, es sagen aber Zeugen wider ihn aus, dass er ihn gestohlen hat, so muss er Doppel - Ersatz leisten; gesteht er es von selbst ein, so muss er die Hauptschuld, (noch) ein Fünftel (dazu) und ein Schuldopfer entrichten.11 S. B. kama IX, 8, Noten 48—51.", + "Sagt Jemand zu Einem auf der Straße: „wo ist mein Ochs, den du gestohlen hast?“, dieser sagt: „ich habe nicht gestohlen!“, es sagen aber Zeugen wider ihn aus, dass er ihn gestohlen hat; so muss er Doppel-Ersatz,12 Obwohl er nicht geschworen hat; nach Exod. 22, 3. und wenn er ihn geschlachtet oder verkauft hat, den vier- oder fünffachen Ersatz leisten.13 Exod. 21, 37. Sieht er aber, dass Zeugen langsam14 משמש = משש tasten. ממשמשין ובאין sie tasten und kommen, d. h. sie kommen langsam heran. herankommen, und sagt:15 Obgleich er nur aus Furcht vor den Zeugen den Diebstahl eingesteht, ist er dennoch von der Strafe frei. „ich habe (ihn) gestohlen, aber nicht geschlachtet und nicht verkauft!“,16 Die Zeugen aber sagen, er habe ihn auch geschlachtet oder verkauft. so bezahlt er nur die Hauptschuld.17 Denn da er den Diebstahl eingesteht und demnach keinen Doppel-Ersatz zu leisten braucht, so kann er wegen des Schlachtens oder Verkaufens, wiewohl er dies nicht zugestanden hat, nicht bestraft werden; denn die Tora hat (Exod. 21, 37) nur vier- oder fünffachen Ersatz vorgeschrieben, nicht aber drei- oder vierfachen Ersatz, wie es in unserem Falle erforderlich wäre, da die Strafe wegen des Diebstahls, weil eingestanden, in Abrechnung gebracht werden müsste.", + "Sagt Jemand zum Entleiher: „wo ist mein Ochs?“, dieser sagt zu ihm: „er ist gestorben!“,18 Er muss also auch nach seiner eigenen Aussage Ersatz leisten. er ist aber gebrochen, gefangen, gestohlen oder verloren worden; (oder er sagt:) „er ist gebrochen worden!“,18 Er muss also auch nach seiner eigenen Aussage Ersatz leisten. er ist aber gestorben oder gefangen, gestohlen oder verloren worden; (oder er sagt:) „er ist gefangen worden!“,18 Er muss also auch nach seiner eigenen Aussage Ersatz leisten. er ist aber gestorben oder gebrochen, gestohlen oder verloren worden; (oder er sagt:) „er ist gestohlen worden!“,18 Er muss also auch nach seiner eigenen Aussage Ersatz leisten. er ist aber gestorben oder gefangen, gebrochen oder verloren worden; (oder er sagt:) „er ist verloren gegangen!“18 Er muss also auch nach seiner eigenen Aussage Ersatz leisten. er ist aber gestorben oder gebrochen, gefangen oder gestohlen worden; (darauf Jener:) „ich beschwöre dich!“, und dieser sagt: „Amen!“, so ist er frei.19 Da er durch seinen falschen Eid sich nicht von der Ersatz-Pflicht befreit hat, so ist er vom Schuldopfer frei; s. aber Note 5.", + "(Fragt Jener) „wo ist mein Ochs?“,20 Den ich dir geliehen habe. dieser sagt zu ihm: „ich weiß nicht, was du schwatzest!“,21 Er behauptet Nichts entlehnt zu haben, um sich von der Ersatz-Pflicht zu befreien. er ist aber gestorben oder gebrochen, gefangen, gestohlen oder verloren worden, (darauf Jener?) „ich beschwöre dich!“, und dieser sagt: „Amen!“,22 Und später gesteht er seine Schuld ein. so ist er schuldig.23 Die Hauptschuld, noch ein Fünftel dazu und ein Schuldopfer. Sagt Jemand zum Lohn-Hüter oder zum Mieter: „wo ist mein Ochs?“, dieser sagt zu ihm: „er ist gestorben!“,24 „So dass ich vom Ersatz frei bin.“ er ist aber gebrochen oder gefangen worden;25 In welchen Fällen er ebenfalls keinen Ersatz zu leisten braucht. (oder er sagt:) „er ist gebrochen worden!“,24 „So dass ich vom Ersatz frei bin.“ er ist aber gestorben oder gefangen worden;25 In welchen Fällen er ebenfalls keinen Ersatz zu leisten braucht. (oder er sagt:) „er ist gefangen worden!“,24 „So dass ich vom Ersatz frei bin.“ er ist aber gestorben, oder gebrochen worden,25 In welchen Fällen er ebenfalls keinen Ersatz zu leisten braucht. (oder er sagt:) „er ist gestohlen worden!“,18 Er muss also auch nach seiner eigenen Aussage Ersatz leisten. er ist aber verloren gegangen; (oder er sagt:) „er ist verloren gegangen!“18 Er muss also auch nach seiner eigenen Aussage Ersatz leisten. er ist aber gestohlen worden; (darauf Jener:) „ich beschwöre dich!“, und dieser sagt: „Amen!“; so ist er frei.19 Da er durch seinen falschen Eid sich nicht von der Ersatz-Pflicht befreit hat, so ist er vom Schuldopfer frei; s. aber Note 5. (Sagt dieser aber:) „er ist gestorben“ — „er ist gebrochen worden“ — oder: „er ist gefangen worden“,24 „So dass ich vom Ersatz frei bin.“ er ist aber gestohlen oder verloren worden,26 Wobei er Ersatz leisten muss. (darauf Jener:) „ich beschwöre dich!“, und dieser sagt: „Amen!“;22 Und später gesteht er seine Schuld ein. so ist er schuldig.23 Die Hauptschuld, noch ein Fünftel dazu und ein Schuldopfer. (Sagt dieser:) „er ist verloren gegangen“ — oder: „er ist gestohlen worden“,27 Wonach er zum Ersatz verpflichtet ist. er ist aber gestorben, gebrochen oder gefangen worden,28 Wobei er vom Ersatz frei ist. (darauf Jener:) „ich beschwöre dich!“, und dieser sagt: „Amen!“, so ist er frei.19 Da er durch seinen falschen Eid sich nicht von der Ersatz-Pflicht befreit hat, so ist er vom Schuldopfer frei; s. aber Note 5. Dies ist die Regel:29 Diese erste Regel fehlt im Jeruschalmi; dort steht nur die folgende [eingeklammerte] Regel. Wer lügt30 שנה ändern, den Tatbestand anders darstellen, d. h. lügen. (und dadurch) von Schuld zur Schuld31 Er ist nach dem Tatbestande schuldig, und ebenso nach seiner lügenhaften Aussage, wie oben Note 18. oder von Freiheit zur Freiheit32 Er ist sowohl nach dem Tatbestande als nach seiner Aussage frei, wie oben Note 5, 7 und 24—25. oder von Freiheit zur Schuld (kommt)33 Wie in Note 27—28., der ist frei;34 Vom Schuldopfer, nach Note 5. (wenn er aber dadurch) von Schuld zur Freiheit (kommt),35 Wie oben Note 10, 23 und 26. so ist er schuldig.23 Die Hauptschuld, noch ein Fünftel dazu und ein Schuldopfer. [Dies36 Diese zweite Regel fehlt in einigen Manuskripten sowie in der Tosefta. In der Tat erscheint sie mit der ersten Regel im Widerspruch, da man aus dem letzten Satze schließen könnte, dass derjenige, der sich weder erleichtert noch erschwert, (wie in Note 31 und 32) schuldig sei, wie dies in der Tat nach dem Texte des Jerusch, geschlossen wird; vgl. aber Tos. Jom Tob. Wahrscheinlich sind die beiden זה הכלל nur zwei verschiedene Versionen von ein und derselben Regel, da Ein Satz zum Mindesten überflüssig erscheint. ist die Regel: Wer schwört, und sich dadurch Erleichterung verschafft, der ist schuldig; wer aber dadurch für sich Erschwerung bewirkt, der ist frei]." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..7b98204ce7fc4205739db1a14926b9ea168bc166 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json @@ -0,0 +1,104 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Shevuot", + "versionSource": "http://learn.conservativeyeshiva.org/mishnah/", + "versionTitle": "Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp", + "status": "locked", + "priority": 1.0, + "license": "CC-BY", + "shortVersionTitle": "Dr. Joshua Kulp", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה שבועות", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "Oaths are of two kinds, subdivided into four; The laws concerning the discovery of having contracted uncleanness are of two kinds, subdivided into four; The laws concerning carrying on the Sabbath are of two kinds, subdivided into four. The symptoms of negas are of two kinds, subdivided into four.", + "Where there is knowledge at the beginning and at the end but forgetfulness between, a “sliding scales” sacrifice is brought. Where there is knowledge at the beginning but not at the end, the goat which is [sacrificed and its blood sprinkled] within [the Holy of Holies on the Day of Atonement] together with the Day of Atonement itself hold the sin in suspense until it become known to the sinner, and he brings the “sliding scale” sacrifice.", + "Where there is no knowledge at the beginning but there is knowledge at the end, the goat sacrificed on the outer altar together with the day of atonement bring atonement, for it says: “[one he-goat for a sin-offering] beside the sin-offering of atonement” (Numbers 29:1: for that which this goat [prepared inside the Holy of Holies] atones this goat [prepared outside] atones: just as the ‘inner’ goat atones only for a sin where there was knowledge [at the beginning], so the “outer” goat atones only for a sin where there was knowledge [at the end].", + "Where there is no knowledge [of the impurity] either at the beginning or at the end, the goats offered as sin-offerings on festivals and new months bring atonement, the words of Rabbi Judah. Rabbi Shimon says: “The festival goats atone [for such sins] and not the new moon goats. And for what do the new month goats bring atonement? For a pure man who ate impure holy food.” Rabbi Meir says: “All the goats have equal powers of atonement for imparting impurity to the Temple and holy food. Rabbi Shimon used to say: “The new month goats bring atonement for a pure man who ate impure holy food; and the festival goats atone for transgression of the laws of impurity where there was no knowledge either at the beginning or at the end; and the ‘outer’ goat of the Day of Atonement atones for transgression of these laws where there was no knowledge at the beginning but there was knowledge at the end. They said to him: “Is it permitted to offer up the goat set apart for one day on another?” He said to them: “Let it be offered.” They said to him: “Since they are not equal in the atonement they bring how can they take each other's place?” He replied: “They are all at least equal [in the wider sense] in that they bring atonement for transgressions of the laws of impurity in connection with the temple and holy food.”", + "Rabbi Shimon ben Judah said in his name [of Rabbi Shimon (bar Yohai)]: “The new month goats bring atonement for a pure person who ate impure holy food; the festival goats, in addition to bringing atonement for a pure person who ate impure holy food, atone also for a case where there was no knowledge either at the beginning or at the end; the ‘outer’ goat of the Day of Atonement, in addition to bringing atonement for a pure person who ate impure holy food and for a case where there was no knowledge either at the beginning or at the end, atones also for a case where there was no knowledge at the beginning but there was knowledge at the end. They said to him: “Is it permitted to offer up the goat set apart for one day on another?” He said, “Yes.” They [further] said to him: “Granted that the Day of Atonement goat may be offered up on the new month, but how can the new month goat be offered up on the Day of Atonement to bring atonement for a sin that is not within its scope?” He replied: “They are all at least equal [in the wider sense] in that they bring atonement for transgressions of the laws of impurity in connection with the temple and holy food.”", + "For intentional transgressions of the laws of impurity in connection with the temple and holy food, the goat offered inside [the Holy of Holies] on the Day of Atonement together with the Day of Atonement itself bring atonement. For other transgressions of the Torah, light and grave, intentional and unintentional, known and unknown, positive and negative, those punishable by kareth and those punishable by death imposed by the court for all these the scapegoat [sent out on the Day of Atonement] brings atonement.", + "[The scapegoat] brings atonement to Israelites, priests, and the anointed high priest alike. What [then] is the difference between Israelites, priests, and the anointed high priest? [None], save that the bullock [offered on the Day of Atonement] brings atonement to the priests for transgressions of the laws of impurity in connection with the temple and holy food. Rabbi Shimon says: “Just as the blood of the goat that is offered within [the Holy of Holies] brings atonement for Israelites, so the blood of the bullock [offered on the Day of Atonement] brings atonement for priests; and just as the confession of sins pronounced over the scapegoat brings atonement for Israelites, so the confession pronounced over the bullock brings atonement for priests." + ], + [ + "The laws concerning the discovery of having contracted uncleanness are of two kinds, subdivided into four;[If] he became impure and was aware of it, then he forgot that he had been impure, though he remembered that the food was holy; [If the fact that it was] holy food was unknown to him, though he remembered that he was impure; [If] both were unknown to him; And he ate holy food, and was not aware, and after he had eaten, he became aware: in these cases he brings a sliding scale sacrifice. [[If] he became impure and was aware of it, then he forgot that he had been impure, though he remembered that [he was entering] the Temple; [If the fact that he was entering] the Temple was unknown to him, though he remembered that he was impure; [If] both were hidden from him; And he entered the Temple and was not aware, and after he had gone out, became aware: in these cases he brings a sliding scale sacrifice.", + "It is the same whether one [while impure] enters the Temple court or the addition to the Temple court, for additions are not made to the city [of Jerusalem], or to the Temple courts except by the king, prophet, Urim and Thummim, the Sanhedrin of seventy one, and with two [loaves] of thanksgiving, and with song. And the court walks in a procession, the two [loaves] of thanksgiving [being carried] after them, and all Israel [following] behind them. The inner one is eaten, and the outer one is burnt. And as to any addition that was made without all these he who enters it [while impure] is not liable.", + "If he became impure while in the Temple court [and was aware of it], and then forgot that he was impure, though he remembered that he was in the Temple; [Or] he forgot that he was in the Temple, though he remembered that he was impure; [Or,] he forgot both; And he prostrated himself, or waited [in the Temple] the time it takes to prostrate; Or went out the long way, he is liable; [If he went out] the shorter way, he is not liable; This is the positive precept concerning the temple for which they [the court] are not liable.", + "And which is the positive precept concerning a menstruant for which they are liable? [This:] if one cohabited with a [ritually] pure woman, and she said to him: “I have become impure”, and he withdrew immediately, he is liable, because his withdrawal is as pleasant to him as his entry.", + "Rabbi Eliezer said: “[Scripture says: ‘If any one touch… the carcass of] an impure creeping thing, and it be unknown to him’ (Leviticus 5:2), when the impure creeping thing is unknown to him, he is liable; but he is not liable, when the [fact that he is in the] Temple is unknown to him.” Rabbi Akiba said: “[Scripture says:] ‘and it be hidden from him that he is impure’: when his impurity is unknown to him, he is liable; but he is not liable, when the [fact that he is in the] Temple is unknown to him.” Rabbi Ishmael said: “[Scripture] twice [says:] ‘and it be hidden from him’, in order to make him liable both for the forgetfulness of the impurity and the forgetfulness of the Temple.”" + ], + [ + "Oaths are two, subdivided into four. “I swear I shall eat”, and “[I swear] I shall not eat”; “[I swear] I have eaten”, and “[I swear] I have not eaten”. “I swear I shall not eat”, and he ate [even] a minute quantity, he is liable, the words of Rabbi Akiva. They [the Sages] said to Rabbi Akiva: “Where do we find that he who eats a minute quantity is liable, that this one should be liable?” Rabbi Akiba said to them: “But where do we find that he who [merely] speaks brings a sacrifice, that this one should bring a sacrifice?” [If a man says,] “I swear I shall not eat” and he ate and drank, he is liable only once. “I swear I shall not eat and I shall not drink,” and he ate and drank, he is liable twice.", + "“I swear I shall not eat,” and he ate wheat bread, barley bread, and spelt bread, he is liable only once. “I swear I shall not eat wheat bread, barley bread, and spelt bread,” and he ate [all three], he is liable for each one.", + "“I swear I shall not drink,” and he drank many liquids, he is liable only once. “I swear I shall not drink wine, oil, and honey,” and he drank [all three], he is liable for each one.", + "“I swear I shall not eat,” and he ate foods which are not fit to be eaten, and drank liquids which are not fit to be drunk, he is exempt. “I swear I shall not eat,” and he ate carrion, trefot, and reptiles and creepy things, he is liable. Rabbi Shimon exempts him. He said, “I vow that my wife shall not benefit from me, if I have eaten today,” and he had eaten carrion, trefot, forbidden animals, or reptiles, his wife is prohibited to him.", + "It is the same [whether he swears of] things concerning himself, or of things concerning others, or of things which have substance, or of things which have no substance. How so? [If] he said, “I swear that I shall give to so-and-so”, or “I shall not give”; “I have given”, or “I have not given”; “I shall sleep”, or “I shall not sleep”; “I have slept”, or “I have not slept”; “I shall throw a pebble into the sea”, or “I shall not throw”; “I have thrown”, or “I have not thrown”; [he is liable.] Rabbi Ishmael says: “He is liable only for [an oath with regards to] the future, for it says, “To do bad or to do good” (Leviticus 5:4). Rabbi Akiva said to him: “If so, we would know only such cases where doing evil and doing good are applicable; but how do we know such cases where doing evil and doing good are not applicable? He said to him: “From the amplification of the verse.” He said to him: “If the verse amplifies for that, it amplifies for this also.”", + "If he swore to annul a commandment, and did not annul it, he is exempt. [If he swore] to fulfill [a commandment], and did not fulfill it, he is exempt. For it would have been logical [in the second instance] that he should have been liable, as is the opinion of Rabbi Judah ben Bathyra. [For] Rabbi Judah ben Bathyra said, “Now, if for [swearing with regards to] an optional matter, for which he is not adjured from Mount Sinai, he is liable [should he not fulfill his oath], for [swearing with regards to] a commandment, for which he is adjured from Mount Sinai, he should most certainly be liable [should he not fulfill his oath]! They said to him: “No! If you say that for an oath with regards to an optional matter [he is liable], it is because [Scripture] has in that case made negative equal to positive [for liability]; But how can you say that for an oath [to fulfill] a commandment [he is liable], since [Scripture] has not in that case made negative equal to positive, for if he swore to annul [a commandment], and did not annul it, he is exempt!", + "“I swear I shall not eat this loaf”; “I swear I shall not eat it”; “I swear I shall not eat it”; and he ate it, he is liable only once. This is the oath of utterance, for which one is liable, for its willful transgression, flogging; and for its unwitting transgression, a sliding scale sacrifice. For a vain oath one is liable for willful transgression, flogging, and for unwitting transgression one is exempt.", + "What is a vain oath?If he swore that which is contrary to the facts known to people, saying of a pillar of stone that it is of gold; or of a man that he is a woman; or of a woman that she is a man. If he swore concerning a thing which is impossible, [for instance if he said,] “If I have not seen a camel flying in the air”, or “If I have not seen a serpent as thick as the beam of the olive press”. If he said to witnesses, “Come and bear testimony for me”, [and they replied,] “We swear that we will not bear testimony for you”. If he swore to annul a commandment, [for example] not to make a sukkah, or not to take a lulav, or not to put on tefillin. These are vain oaths, for which one is liable, for intentional transgression, lashes, and for unintentional transgression one is exempt.", + "[If one said:] “I swear I shall eat this loaf”; [and then he said,] “I swear I shall not eat it,” the first is an oath of utterance, and the second is a vain oath. If he ate it, he transgressed the vain oath; if he did not eat it, he transgressed the oath of utterance.", + "The oath of utterance applies to men and women, to relatives and non-relatives, to those qualified [to bear witness] and those not qualified, [whether uttered] before the court, or not before the court, [but it must be uttered] with a man’s own mouth. And he is liable, for intentional transgression, lashes, and for unintentional transgression, a sliding scale sacrifice.", + "A vain oath applies to men and women, to relatives and non-relatives, to those qualified [to bear witness] and those not qualified, [whether uttered] before the court, or not before the court, [but it must be uttered] with a man's own mouth. And he is liable, for intentional transgression, stripes, and for unintentional transgression he is exempt. [In the case of] both this and that [oath], if he was adjured by the mouth of others, he is liable. How so? If he said, “I have not eaten today,” or, “I have not put on tefillin today” [and the another person said,] “I adjure thee,” and he said, “Amen!”, he is liable [if his oath was false]." + ], + [ + "The oath of testimony applies to men and not to women, to non-relatives and not to relatives, to those qualified [to bear witness] and not to those unqualified. And it applies only to those eligible to bear witness. Whether [uttered] in front of the court or not in front of the court, if [uttered] with his own mouth; [but if adjured] by the mouth of others he is not liable unless he denies it before the court, these are the words of Rabbi Meir. But the Sages say: “Whether [uttered] with his own mouth or [adjured] by the mouth of others he is not liable unless he denies it before the court.”", + "And they are liable for intentional transgression of the oath, and for its unintentional transgression coupled with intentional [denial of knowledge of] testimony, but they are not liable for unintentional transgression. And what are they liable for the intentional transgression of the oath? A sliding scale sacrifice.", + "The oath of testimony: How is it done? If he said to two [persons]: “Come and bear testimony for me”; [and they replied:] “We swear we know no testimony for you”; Or they said to him: “We know no testimony for you”, [and he said:] “I adjure you” and they said, “Amen! “, they are liable. If he adjured them five times outside the court, and the they came to the court and admitted [knowledge of testimony], they are exempt. If they denied, they are liable for each [oath]. If he adjured them five times before the court, and they denied [knowledge of testimony], they are liable only once. Said Rabbi Shimon: “What is the reason? Because they cannot afterwards admit [knowledge].", + "If both [persons] denied [knowledge] together, they are both liable. If one after another, the first is liable, and the second exempt. If one denied, and the other admitted, the one who denied is liable. If there were two sets of witnesses, and the first denied, and then the second denied, they are both liable, because the testimony could be upheld by [either of] the two.", + "“I adjure you that you come and bear testimony for me that there are of mine in the possession of so-and-so a deposit, a loan, a stolen object, and a lost object”; [And they respond]: “We swear we know no testimony for you”, they are liable only once. “We swear we know not that there are of yours in the possession of so-and-so a deposit, a loan, a stolen object, and a lost object”, they are liable for each one. “I adjure you that you bear testimony for me that there is of mine in the possession of so-and-so a deposit of wheat, barley, and spelt”; [And they respond]: “We swear we know no testimony for you”, they are liable only once. “We swear we know no testimony for you that there is of yours in the possession of so-and-so a deposit of wheat, barley, and spelt”, they are liable for each one.", + "“I adjure you that you come and bear testimony for me that so-and-so owes me full damages, or half damages, or double payment, or four or five payment; Or that so-and-so raped my daughter, or seduced my daughter; Or that my son struck me; Or that my neighbor injured me, or set fire to my haystack on the Day of Atonement”; [And they deny knowledge of testimony] they are liable.", + "\"I adjure you that you come and bear testimony for me that I am a priest, or, that I am a levite, or, that I am not the son of a divorced woman, or, that I am not the son of a halutzah; That so-and-so is a priest, or, that so-and-so is a levite, or, that he is not the son of a divorced woman, or, that he is not the son of a halutzah; That so-and-so violated his daughter, or seduced his daughter; That my son injured me; That my neighbor injured me, or set fire to my haystack on the Sabbath\" [And they deny knowledge of testimony] they are exempt.", + "[If a man said,] “I adjure you that you come and bear testimony for me that so-and-so promised to give me two hundred zuz, and did not give me”, they are exempt, for they are liable only for a money claim as [in the case of] deposit.", + "“I adjure you that, when you know any testimony for me, you should come and bear testimony for me,” they are exempt, because the oath preceded the testimony.", + "[If] he stood in the synagogue and said, “I adjure you that if you know any testimony for me you should come and bear testimony for me”, they are exempt unless he directs himself to them.", + "If he said to two [persons]: “I adjure you, so-and-so and so-and-so, that if you know any testimony for me you should come and bear testimony for me”: [And they replied,] “We swear we know no testimony for you”, and they did know testimony for him, [but it was evidence of] one witness from the mouth of another witness; or if one of them was a relative or [otherwise] ineligible [as a witness], they are exempt.", + "If he sent by the hand of his servant, or if the defendant said to them: “I adjure you that if you know any testimony for him you should come and bear testimony for him”, they are exempt, until they hear [the adjuration] direct from the claimant.", + " [If he said]: \"I adjure you\"; \"I command you\"; \"I bind you\"; they are liable. \"By heaven and earth!\", they are exempt. \"By Alef Daleth\"; \"By Yod He\"; \"By God Almighty\"; \"By The Lord of Hosts; \"By the Merciful and Gracious one\"; \"By the Long Suffering One\"; \"By the One Abounding in Kindness\"; or by any of the substitutes [for the name], they are liable. He who blasphemes by any of them is liable, according to the words of Rabbi Meir. And the Sages exempt him. He who curses his father or mother by any of them is liable according to the words of Rabbi Meir. And the Sages exempt him. He who curses himself or his neighbor by any of them transgresses a negative precept. [If he said,] \"May God smite you\"; or \"Yea, may God smite you\"; this is the curse written in the Torah. \"May [God] not smite you\"; or \"May he bless you\"; Or \"May he do good unto you [if you bear testimony for me]\": Rabbi Meir makes [them] liable, and the Sages exempt [them]." + ], + [ + "The oath of deposit applies to men and women, to non-relatives and relatives, to those qualified [to bear testimony] and those unqualified; before the court and not before the court, [if uttered] from his own mouth. And [if adjured] by the mouth of others, he is not liable unless he denies it before the court, according to the words of Rabbi Meir. But the Sages say, whether [uttered] from his own mouth or [adjured] by the mouth of others since he denied it, he is liable. And he is liable for intentional transgression of the oath, and for its unintentional transgression coupled with intentional [denial of having received the] deposit, but he is not liable for unintentional transgression. And what is he liable for the intentional transgression of the oath? A guilt offering of [the value of] two shekels of silver.", + "The oath of deposit how? If he said to him: “Give me my deposit which I have in your possession” [and the other replied:] “I swear that you have nothing in my possession”; or he replied to him; “You have nothing in my possession,” [and the depositor said:] “I adjure you”, and he responded, “Amen!”, he is liable. If he adjured him five times, whether before the court or not before the court, and he denied, he is liable for each one. Rabbi Shimon said: “What is the reason? Because he can retract and admit.”", + "If five claimed from him, and said to him: “Give us the deposit that we have in your possession,” [and he replied:] “I swear that you have nothing in my possession,” he is liable only once. [If he said:] “I swear that you have nothing in my possession, nor you, nor you,” he is liable for each one. Rabbi Eliezer says: “Only if he says, ‘I swear’ at the end.” Rabbi Shimon says: “Only if he says, ‘I swear’ to each one.” “Give me the deposit, loan, theft, and lost object that I have in your possession,” [and he replied], “I swear that you do not have these in my possession,” he is liable only once. “I swear that you do not have in my possession a deposit, a loan, a theft, and a lost object,” he is liable for each one. “Give me the wheat, barley, and spelt that I have in your possession”, [and he replied], “I swear that you do not have these in my possession,” he is liable only once. “I swear that you do not have in my possession wheat, barley, and spelt,” he is liable for each one. Rabbi Meir said: “Even if he said, ‘... A grain of wheat, barley and spelt,’ he is liable for each one.", + "“You raped or seduced my daughter” and the other says, “I did not rape, nor seduce,” “I adjure you,” and he responds, “Amen!” he is liable. Rabbi Shimon exempts him, for he does not pay a fine on his own admission. They said to him: “Even though he does not pay a fine on his own admission, he still pays for the shame and blemish [to the girl], based on his own admission.", + "“You stole my ox,” and he says, “I have not stolen it” “I adjure You,” and he responds, “Amen!” he is liable. “I have stolen it, but I have not killed it or sold it”, “I adjure you,” and he responds, “Amen!” he is exempt. “Your ox killed my ox,” and he says, “It did not kill [your ox]”, “I adjure you,” and he responds, “Amen!” he is liable. “Your ox killed my slave,” and he says, “It did not kill [your slave]”, “I adjure you,” and he responds, “Amen!” he is exempt. He said to him, “You injured me, or bruised me,” and the other says, “I have not injured you or bruised you,” “I adjure you,” and he responds, “Amen!” he is liable. His slave said to him, “You knocked out my tooth, or blinded my eye,” and he said, “I did not knock out [your tooth], or blind [your eye],’ “I adjure you,” and he responds, “Amen!” he is exempt. This is the principle: whenever he pays on his own admission, he is liable; and when he does not pay on his own admission, he is exempt." + ], + [ + "The oath of the judges [is imposed when] the claim is [at least] two silver coins, and the admission the equivalent of a perutah. And if the admission is not of the same kind as the claim, he is exempt. How is this so? “Two silver ma’ahs of mine are in your possession,” [and the other replies], “I have nothing of yours in my possession except a perutah,” he is exempt. “Two silver ma’ahs of mine and a perutah are in your possession,” [and the other replies,] “I have nothing of yours in my possession except a perutah,” he is liable. “A hundred denarii of mine are in your possession”, [and the other replies], “I have nothing of yours,” he is exempt. “A hundred denarii of mine are in your possession”, [and the other replies], “I have of yours only fifty denarii,” he is liable. “You have of my father’s a hundred denarii”, [and the other replies], “I have of his only fifty denarii”, he is exempt, because it is as if he restores a lost object.", + "“You have of mine a hundred denarii”, he said to him, “Yes.” The next day he said to him, “Give them to me”, [and he replied,] “I have given them to you,” he is exempt. [If he says,] “Nothing of yours is in my possession,” he is liable. “You have of mine a hundred denarii”, he said to him, “Yes”. [And then he said], “Do not give them to me except before witnesses.” The next day he said to him, “Give them to me;” [and he replied,] “I have given them to you,” he is liable, because he should have given them to him before witnesses.", + "“You have of mine a litra of gold”, [and he replies], “I have of yours only a litra of silver,” he is exempt. “You have of mine a golden denar”, [and he replies], “I have of yours only a silver denar, or a tresis, or a pundion, or a perutah”, he is liable, for all are one kind of coinage. “You have of mine a kor of grain”, [and he replies], “I have of yours only a letek of beans”, he is exempt. “You have of mine a kor of produce”, [and he replies], “I have of yours only a letek of beans,” he is liable, for beans are included in produce. If he claimed from him wheat, and the other admitted barley, he is exempt. But Rabban Gamaliel makes him liable. If he claims from his neighbor jars of oil, and he admits [his claim to the empty] jars, Admon says, since he admits to him a portion of the same kind as the claim, he must swear. But the sages say, the admission is not of the same kind as the claim. Rabban Gamaliel said, “I approve the words of Admon. If he claims from him vessels and lands, and he admits the vessels, but denies the lands; or admits the lands, but denies the vessels, he is exempt. If he admits a portion of the lands, he is exempt; a portion of the vessels, he is liable because properties for which there is no security bind properties for which there is security to take an oath for them.", + "No oath is imposed in a claim by a deaf-mute, imbecile, or minor. And no oath is imposed on a minor. But an oath is imposed when a claim is lodged against a minor, or against the Temple’s property.", + "And these are the things for which no oath is imposed: slaves, bonds, lands, and dedicated objects. [The law of] paying double, or four or five times the value, does not apply to them. An unpaid guardian does not take an oath, and a paid guardian does not pay. Rabbi Shimon says: “For dedicated objects for which he is responsible an oath is imposed and for [dedicated objects] for which he is not responsible an oath is not imposed.", + "Rabbi Meir says: “There are things which are [attached] to land, but are not like land.” But the sages do not agree with him. How so? [If one says,] “Ten vines laden with fruit I delivered to you” and the other says, “There were only five”; Rabbi Meir makes him take an oath; But the Sages say: “All that is attached to land is like land.” An oath is imposed only for a thing [defined] by size, weight, or number. How so? [If one says,] “A store room full [of produce] I delivered to you,” or “A purse full [of money] I delivered to you” – and the other says, “I do not know; but what you left you may take,” he is exempt. If one says, “[I gave you produce reaching] up to the moulding [above the window],” and the other says, “Only up to the window,” he is liable.", + "If a man lends [money] to his neighbor on a pledge, and the pledge was lost, and he said to him: “I lent you a sela on it, and it [the pledge] was worth a shekel,” and the other says, “No! You lent me a sela on it, and it was worth a sela”, he is exempt. “I lent you a sela” on it, and it was worth a shekel,” and the other says, “No! You lent me a sela on it, and it was worth three denarii,” he is liable. “You lent me a sela on it, and it was worth two,” and the other says, “No! I lent you a sela on it, and it was worth a sela”,” he is exempt. “You lent me a sela on it, and it was worth two,” and the other says: “No! I lent you a sela on it, and it was worth five denarii,” he is liable. And who takes the oath? He who had the deposit, lest, if the other take the oath, this one may bring out the deposit." + ], + [ + "All whom the Torah obligates to take an oath, take an oath, and do not pay. But these take an oath, and receive [payment]: the hired laborer, he who has been robbed, he who has been wounded, and he whose opponent is suspected of taking a false oath, and the shopkeeper with his account book. “The hired laborer” How so? [If] he says to him [his employer], “Give me my wages which you owe me,” and he replies, “I have given,” and the other says, “I have not received it,” he [the laborer] takes an oath and collects his wages. Rabbi Judah says: “[There is no oath] unless there is partial admission: How so? If he says to him, “Give me my wages, fifty denarii, which you owe me,” and the other says, “You have received a gold denar (25 silver denar).”", + "“He who has been robbed” How so? If they testified of a man that he entered into another’s house to take a pledge without permission, and the other says, “You have taken my vessels, and he says, “I have not taken them,” he takes an oath, and takes back his vessels. Rabbi Judah says: “[There is no oath] unless there is partial admission: How so? He said to him, “You have taken two vessels,” and the other says, “I have taken only one.”", + "“He who has been wounded,” How so? If they testified about a person that another went onto his property whole, and came out wounded, and he said to him, “You have wounded me,” and the other said, “I have not wounded you,” he takes an oath, and receives [damages]. R. Judah says: “[There is no oath] unless there is partial admission: How so? He said to him, you have inflicted on me two wounds,” and the other said, “I inflicted on you only one wound.”", + "“He whose opponent is suspected of taking a false oath,” How so? Whether it be the oath of testimony, or the oath of deposit, or even a vain oath. If one [of the litigants] was a dice-player, or usurer, or pigeon-flyer, or dealer in the produce of the seventh year, his opponent takes the oath and collects [his claim]. If both are suspect, the oath returns to its place, these are the words of Rabbi Yose. Rabbi Meir says: “They divide [the claim].”", + "“And the shopkeeper with his account book,” How so? Not that he [the shopkeeper] says to him [the customer], “It is written in my account book that you owe me two hundred zuz”. Rather he [the customer] says to him [the shopkeeper], “Give my son two seahs of wheat,” or, “Give my laborer small change to the value of a sela” and then he says, “I have given,” and they say, “We have not received”; he [the shopkeeper] takes an oath, and receives [his due from the customer]. And they take an oath, and receive [their due]. Ben Nanas said: “How can both be permitted to come to a vain oath? Rather he takes without an oath, and they take without an oath.”", + "If he said to a shopkeeper, “Give me fruit for a denar,” and he gave him, and then the shopkeeper said to him, “Give me the denar”, and he replied to him, “I gave it to you, and you placed it in the till”, the customer takes an oath. If he gave him the denar, and said to him, “Give me the fruit,” and the shopkeeper says to him, “I have given it to you, and you took it to your house,” the shopkeeper takes an oath. Rabbi Judah says: “He who has the fruit in his possession, has the advantage.” If he said to a money-changer, “Give me change for a denar,” and he gave him; and said to him, “Give me the denar,” and the other said, “I have given it to you, and you placed it in the till,” the customer takes an oath. If he gave him the denar, and said to him, “Give me the small change,” and the other said to him, “I have given it to you, and you threw it in your purse,” the money -changer takes an oath. Rabbi Judah says: “It is not usual for a money-changer to give [even] an issar until he receives the denar.”", + "So too they have said that she who impairs her kethubah [by admitting that it had already been partially paid] cannot receive [the remainder of the] payment except on oath; And that if one witness testifies against her that it [the kethubah] has been paid [in full], she cannot receive payment except on oath; And that from assigned property or orphans’ property she cannot exact payment [for her kethubah] except on oath; And that if she claims [her kethubah] not in his presence, she cannot receive payment except on oath. So, too, orphans cannot receive payment except on oath [namely]: “We swear that our father did not enjoin in his will, neither did our father say unto us, nor did we find [written] among the documents of our father that this document is paid.” Rabbi Yochanan ben Beroka says: “Even if the son was born after his father’s death he may take an oath, and collect his claim.” Rabban Shimon ben Gamaliel said: “If there are witnesses that the father said at the time of his death that this document was not paid, he receives [his claim] without an oath.”", + "And these take an oath though there is no [definite] claim: partners, tenants, guardians, the wife who transacts the affairs in the house, and the son of the house. [If] he said to him, “What do you claim of me?”, [and the other replied,] “I want you to swear to me”, he must take an oath. If the partners or tenants had divided, he cannot impose an oath upon them. If an oath was imposed upon him in another case, they impose upon him the whole. And the seventh year cancels the oath." + ], + [ + "There are four kinds of guardians: an unpaid guardian, a borrower, a paid guardian and a hirer. An unpaid guardian may take an oath [that he had not been neglectful] in every case [of loss or damage and be free of liability]. A borrower must make restitution in every case. A paid guardian or a hirer may take an oath if the beast was injured, or taken captive or dead, but he must make restitution if it was lost or stolen.", + "If he [the owner] said to the unpaid guardian, “Where is my ox?” and he replied to him, “It died,” whereas in reality it was injured or captured or stolen or lost; [Or he replied], “It was injured,” whereas in reality it died or was captured or stolen or lost; [Or he replied,] “It was captured,” whereas in reality it died or was injured or stolen or lost; [Or he replied,] “It was stolen,” whereas in reality it died or was injured or captured or lost; [Or he replied,] “It was lost,” whereas in reality it died or was injured or captured or stolen; [And the owner said,] “I adjure you,” and he said, “amen”, he is exempt [from having to bring a sacrifice for a false oath].", + "[If the owner said,] “Where is my ox?” and he replied to him, “I do not know what you are talking about,” whereas in reality it died or was injured or captured or stolen or lost, [and the owner said,] “I adjure you,” and he said, “Amen”, he is exempt. [If the owner said,] “Where is my ox?” and he replied to him, “It was lost”; [and the owner said,] “I adjure you”, and he said, “Amen”, and witnesses testify against him that he had consumed it, he pays the principal; if he confessed himself, he pays the principal, a fifth, and brings a guilt-offering. [If the owner said,] “Where is my ox?” and he replied to him, “It was stolen;” [and the owner said,] “I adjure you, and he said, “Amen”, and witnesses testify against him that he himself stole it, he pays double; if he confessed himself, he pays the principal, fifth, and brings a guilt-offering.", + "If a man said to one in the market, “Where is my ox which you have stolen?” and he replied, “I did not steal it,” and witnesses testified against him that he did steal it, he pays double. If he killed it or sold it, he pays four or five times its value. If he saw witnesses coming nearer and nearer, and he said, “I did steal it, but I did not kill or sell it,” he pays only the principal.", + "If he [the owner] said to the borrower, “Where is my ox?” and he replied to him, “It died,” whereas in reality it was injured or captured or stolen or lost; [Or he replied,] “It was injured,” whereas in reality it died or was captured or stolen or lost; [Or he replied,] “It was captured”, whereas in reality it died or was injured or stolen or lost; [Or he replied,] “It was stolen”, whereas in reality it died or was injured or captured or lost; [Or he replied,] “It was lost”, whereas in reality it died or was injured or captured or stolen; [And the owner said,] “I adjure you,” and he said, “Amen,” he is exempt.", + "[If the owner said,] “Where is my ox?” and he replied to him, “I do not know what you are talking about,” whereas in reality it died or was injured or captured or stolen or lost; [and the owner said,] “I adjure you,” and he said, “Amen,” he is liable. If he said to a paid guardian, or hirer, “Where is my ox?” and he replied to him, “It died,” whereas in reality it was injured or captured; [Or he replied,] “It was injured,” whereas in reality it died or was captured; [Or he replied,] “It was captured,” whereas in reality it died or was injured; [Or he replied,] “It was stolen”, whereas in reality it was lost; [Or he replied,] “It was lost,” whereas in reality it was stolen; [And the owner said,] “I adjure you,” and he said, “Amen,” he is exempt. [If he replied,] “It died,” or, “It was injured,” or, “It was captured,” whereas in reality it was stolen or lost; [And the owner said,] “I adjure you,” and he said, “Amen,” he is liable. [If he replied,] “It was lost,” or, “It was stolen,” whereas in reality it died or was injured or captured; [And the owner said,] “I adjure you,” and he said, “Amen,” he is exempt. This is the principle: he who [by lying] changes from liability to liability or from exemption to exemption, or from exemption to liability, is exempt; From liability to exemption, is liable. This is the principle: he who takes an oath to make it more lenient for himself, is liable; to make it more stringent for himself, is exempt." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/Open Mishnah.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/Open Mishnah.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..06a8dcea3aa84013575712af3af8074b4adb14c1 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/Open Mishnah.json @@ -0,0 +1,34 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Shevuot", + "versionSource": "http://en.wikisource.org/wiki/Mishnah", + "versionTitle": "Open Mishnah", + "status": "locked", + "license": "CC-BY-SA", + "versionTitleInHebrew": "משנה פתוחה", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה שבועות", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "[With regards to] oaths, there are two [types], which are [really] four; the [states of] awareness of impurity are of two [types], which are [really] four; the carrying [from one domain to the other] on Shabbat are of two [types], which are [really] four; the appearances of afflictions of the skin are of two [types], which are [really] four.", + "Any case where there is awareness at the beginning, and awareness at the end, and a period of unawareness in between, it is [atoned] by an Oleh veYored [a sliding-scale sin-offering where the economic status of the individual determines whether he brings an animal, a bird, or flour]. If there was awareness at the beginning, and not at the end, the goat which is performed inside [the Sanctuary] and the Day of Atonement defer [it]; until it becomes known to him [that he sinned], and he then must bring an Oleh veYored [a sliding-scale sin-offering where the economic status of the individual determines whether he brings an animal, a bird, or flour].", + "If there was no awareness at the beginning, but there awareness at the end, the goat which is performed outside [the Sanctuary] and the Day of Atonement atone; as the verse states \"Aside from the sin-offering of Atonement.\" (Bamidbar 29:11): for the one that this one atones, that one atones, just as the inside one only atones for a matter which has awareness, so the outside one only atones for a matter which has awareness.", + "Regarding [a case] when there was no awareness, neither at the beginning nor at the end, the goats of the Pilgrimage Festivals and the goats of the New Months atone; these are the words of Rabbi Yehudah. Rabbi Shimon says: The goats of the Pilgrimage Festivals atone, but not the goats of the New Months. What do the goats of the New Months atone? For a pure [clean] person who ate impure [food]. Rabbi Meir says: All the goats, their atonements are identical, regarding the impurity of the Temple and its sacred [objects]. Rabbi Shimon would say: The goats of the New Months atone for a pure person that ate impure [food], and those of the Pilgrimage Festivals atone for that which does not have awareness, neither at the beginning nor at the end, and those of the Day of Atonement atone for that which does not have awareness at the beginning, but has awareness at the end. They [the Sages] said to him [Rabbi Shimon]: What is [the ruling] whether they may offer one for the other? He said to them: They may be offered. They said to him: Since their atonements are not equivalent, how can they offer one for the other? He said to them: All of them come to atone for the impurity of the Temple and its sacred [objects].", + "Rabbi Shimon ben Yehudah says in his [Rabbi Shimon's] name, the goats of the New Months atone for a pure person who ate impure [food], in addition to them, those of the Pilgrimage Festivals, for it atones for a pure person who ate impure [food], and for that which does not have awareness neither at the beginning nor at the end; in addition to them, that of the Day of Atonement, for it atones for a pure person who ate impure [food], and for that which does not have awareness neither at the beginning nor at the end, and for that which does not have awareness at the beginning, but has awareness at the end; They said to him, What is [the ruling] whether they may offer one for the other? He said to them, \"Yes\". They said to him: If so, let those of the Day of Atonement be offered for the New Months, but how can those of the New Months be offered on the Day of Atonement to atone for an atonement that is not theirs? He said to them: All of them come to atone for the impurity of the Temple and its sacred [objects].", + "And regarding an intentional sin of the impurity of the Temple and its sacred [objects], the goat which was done inside and the Day of Atonement atone. Regarding the rest of transgressions that are in the Torah, minor ones and major ones, intentional ones and unintentional ones, whether he was cognizant or not cognizant, positive commandment and negative commandment, [sins punishable by] karetot [cut off from the Jewish nation] or the death penalty [imposed by the court] - the se'ir hamishtaleach [the scapegoat sent off a desert cliff for atonement on Yom Kippur] atones.", + "[This is the case] for Israelites, for Priests, and for an Anointed Priest. What is the difference between Israelites, Priests and an Anointed Priest? Only that the blood [service] of the bull atones for the Priests for the impurity of the Temple and its sacred [objects]. Rabbi Shimon says: Just as the blood [service] of the goat which was done inside atones for all Israel, so too the blood [service] of the bull atones for the Priests. Just as the confessions of the goat sent atones for Israel, so too the confessions of the bull atone for the Priests." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/Talmud Bavli. German. Lazarus Goldschmidt. 1929 [de].json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/Talmud Bavli. German. Lazarus Goldschmidt. 1929 [de].json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..9e8c8bc5124a50b82eb43da8cd8d15b418ad580e --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/Talmud Bavli. German. Lazarus Goldschmidt. 1929 [de].json @@ -0,0 +1,104 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Shevuot", + "versionSource": "https://www.nli.org.il/he/books/NNL_ALEPH001042448/NLI", + "versionTitle": "Talmud Bavli. German. Lazarus Goldschmidt. 1929 [de]", + "status": "locked", + "priority": 0.25, + "license": "Public Domain", + "digitizedBySefaria": true, + "actualLanguage": "de", + "languageFamilyName": "german", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה שבועות", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "BEI DEN SCHWÜREN1 Der T. unterscheidet 4 Klassen von Schwüren. 1. der Bekräftigungs- oder Beteuerungsschwur, (wörtlich Ausspruchsschwur, שבועת ביטוי), dh. wenn jemand eine gleichgültige, niemand betreffende Handlung promissorisch od. assertorisch beschwört; bei diesem gibt es 2 Arten: bejahend u. verneinend, die in 4 zerfallen: promissorisch u. assertorisch.GIBT ES ZWEI ARTEN, DIE IN VIER ZERFALLEN. BEI DER UNREINHEIT GIBT ES ZWEI ARTEN DES BEWUSSTSEINS2 der Nichtigkeitsschwur (שבועת שלא), dh. ein Schwur, der !an und für sich eine Verletzung der Heiligkeit des Eides ist; dieser zerfällt ebenfalls in 4 Abteilungen: X. wenn jemand ein Absurdum beschwört u. jedermann von der Unwahrheit überzeugt ist; 2. wenn jemand etwas Selbstverständliches beschwört; 3. wenn jemand schwört, er werde eine biblische Vorschrift unterlassen; 4. wenn jemand schwört, etwas Unmögliches zu tun. 3. der Beweiseid (שבועת הפקדון), der vom Gerichte dem Beklagten auf erlegte Eid. 4. der Zeugniseid (שבועת העדות), wenn ein als Zeuge Genannter nichts zu wissen behauptet, so hat er dies zu beschwören. Die aussagenden Zeugen werden nicht vereidigt. Unser Abschnitt handelt von der 1. Klasse. 2. Daß man unrein ist, bezw. daß man die betreffende Sache nicht unrein berühren darf., DIE IN VIER3 Die Erklärung folgt weiter.ZERFALLEN. BEIM SABBATHGESETZE GIBT ES ZWEI ARTEN DES HINAUSBRINGENS4 Es ist verboten, am S. eine Sache aus einem Gebiete nach einem anderen umzutragen., DIE IN VIER5 Herauslangen einer Sache aus der Wohnung nach der Straße, Hinausreichen einer Sache aus der Wohnung nach der Straße, Hereinlangen einer Sache aus der Straße in die Wohnung, Hineinreichen einer Sache aus der Straße nach der Wohnung.ZERFALLEN. BEI DEN AUSSATZMALEN GIBT ES ZWEI ARTEN, DIE IN VIER6 Glanzfleck (בהרת) und Hochfleck (שאת), u. jede hat noch eine Unterart (ספחת).ZERFALLEN.", + "WARAR BEWUSSTSEIN VORHANDEN VORHER7 Bevor, bezw. nachdem der Unreine mit dem Heiligen in Berührung gekommen ist.UND NACHHER8 Bevor, bezw. nachdem der Unreine mit dem Heiligen in Berührung gekommen ist., ZWISCHENDURCH ABER EIN ENTFALLEN, SO HAT MAN EIN AUF- UND ABSTEIGENDES OPFER9 Je nach den Vermögensverhältnissen der Person; der Reiche ein Viehopfer, der Ärmere ein Geflügelopfer u. der Ärmste ein Speisopfer; cf. Lev. 5,6ff.DARZUBRINGEN. WAR VORHER BEWUSSTSEIN VORHANDEN, NICHT ABER BEWUSSTSEIN NACHHER, SO BRINGEN DER INNERHALB HERGERICHTETE BOCK10 Dessen Blut am Versöhnungstage auf dem Altar im Allerheiligsten gesprengt wird; cf. Lev. Kap. 16.UND DER VERSÖHNUNGSTAG DIE SÜNDE IN DIE SCHWEBE, UND WENN ER SICH DERSELBEN BEWUSST WIRD, SO BRINGE ER EIN AUF- UND ABSTEIGENDES OPFER DAR.", + "WAR VORHER KEIN BEWUSSTSEIN VORHANDEN, WOHL ABER BEWUSSTSEIN NACHHER, SO SCHAFFEN IHM DER AUSSERHALB HERGERICHTETE BOCK UND DER VERSÖHNUNGSTAG SÜHNE, DENN ES HEISST:11 Num. 29,11. außer dem Sündopfer der Versöhnung, WOFÜR DER EINE SÜHNE SCHAFFT, SCHAFFT AUCH DER ANDERE SÜHNE: WIE DER INNERHALB HERGERICHTETE NUR FÄLLE SÜHNT, WOBEI BEWUSSTSEIN VORHANDEN WAR, EBENSO SÜHNT AUCH DER AUSSERHALB HERGERICHTETE NUR FÄLLE, WOBEI BEWUSSTSEIN VORHANDEN WAR.", + "WAR BEWUSSTSEIN WEDER VORHER NOCH NACHHER VORHANDEN, SO SCHAFFEN IHM DIE BÖCKE DER FESTTAGE UND DIE BÖCKE DER NEUMONDE SÜHNE – SO R. JEHUDA. R. ŠIMO͑N SAGT, DIE BÖCKE DER FESTTAGE SCHAFFEN IHM SÜHNE, NICHT ABER DIE BÖCKE DER NEUMONDE; DIE BÖCKE DER NEUMONDE SÜHNEN NUR DEN FALL, WENN EIN REINER UNREINES12 Ein reiner Gemeiner unreine Opferspeisen. GEGESSEN HAT. R. MEÍR SAGT, ALLE BÖCKE SÜHNEN GLEICHMÄSSIG DIE VERUNREINIGUNG DES HEILIGTUMS UND DER HEILIGEN OPFER. R. ŠIMO͑N SAGTE: DIE BÖCKE DER NEUMONDE SÜHNEN DEN FALL, WENN EIN REINER UNREINES GEGESSEN HAT, UND DIE DER FESTTAGE DEN FALL, WENN WEDER VORHER NOCH NACHHER BEWUSSTSEIN VORHANDEN WAR, UND DER DES VERSÖHNUNGSTAGES DEN FALL, WENN VORHER KEIN BEWUSSTSEIN VORHANDEN WAR, WOHL ABER NACHHER. DIE WEISEN SPRACHEN ZU IHM: DÜRFEN SIE FÜR EINANDER DARGEBRACHT13 Wenn beispielsweise das als Neumondopfer bestimmte Tier abhanden gekommen war und man ein anderes dargebracht hat, so darf das erste, wenn es sich später einfindet, als Festopfer dargebracht werden.WERDEN? ER ERWIDERTE IHNEN: SIE DÜRFEN DARGEBRACHT WERDEN. DA ENTGEGNETEN SIE IHM: WIESO DÜRFEN SIE FÜR EINANDER DARGEBRACHT WERDEN, WENN IHRE SÜHNE NICHT GLEICHMÄSSIG IST!? ER ERWIDERTE IHNEN: ALLE SIND DAZU BESTIMMT, DIE VERUNREINIGUNG DES HEILIGTUMS UND DER HEILIGEN OPFER ZU SÜHNEN.", + "R. ŠIMO͑N B. JEḤUDA SAGTE IN SEINEM NAMEN: DIE BÖCKE DER NEUMONDE SÜHNEN DEN FALL, WENN EIN REINER UNREINES GEGESSEN HAT; MEHR ALS DIESE DIE DER FESTTAGE, DENN SIE SÜHNEN DEN FALL, WENN EIN REINER UNREINES GEGESSEN HAT, UND DEN FALL, WENN WEDER VORHER NOCH NACHHER BEWUSSTSEIN VORHANDEN WAR; UND MEHR ALS DIESE DER DES VERSÖHNUNGSTAGES, DENN ER SÜHNT DEN FALL, WENN EIN REINER UNREINES GEGESSEN HAT, UND DEN FALL, WENN WEDER VORHER NOCH NACHHER BEWUSSTSEIN VORHANDEN WAR, UND DEN FALL, WENN VORHER KEIN BEWUSSTSEIN VORHANDEN WAR, WOHL ABER BEWUSSTSEIN NACHHER. DIE WEISEN SPRACHEN ZU IHM: DARF DER EINE FÜR DEN ANDEREN DARGEBRACHT WERDEN? ER ERWIDERTE IHNEN: JAWOHL. SIE ENTGEGNETEN IHM: WENN DEM SO IST, SO KÖNNEN ALLERDINGS DIE DES VERSÖHNUNGSTAGES AN NEUMONDEN DARGEBRACHT WERDEN, WIESO ABER KÖNNEN DIE DER NEUMONDE AM VERSÖHNUNGSTAGE DARGEBRACHT WERDEN UND EINE IHNEN NICHT INNEWOHNENDE SÜHNE ERWIRKEN!? ER ERWIDERTE IHNEN: ALLE SIND DAZU BESTIMMT, DIE VERUNREINIGUNG DES HEILIGTUMS UND DER HEILIGEN OPFER ZU SÜHNEN.", + "DIE VORSÄTZLICHE VERUNREINIGUNG DES HEILIGTUMS UND DER HEILIGEN OPFER SÜHNEN DER INNERHALB HERGERICHTETE BOCK UND DER VERSÖHNUNG STAG. ANDERE IN DER TORA GENANNTE SÜNDEN, LEICHTE UND SCHWERE, VORSÄTZLICHE UND UNVORSÄTZLICHE, BEWUSSTE UND UNBEWUSSTE, GEBOTE UND VERBOTE, MIT DER AUSROTTUNG ODER MIT DER TODESSTRAFE DURCH DAS GERICHT BELEGTE, SÜHNT DER FORTGESCHICKTE SÜHNEBOCK.", + "JISRAÉLITEN, PRIESTER UND DER GESALBTE HOCHPRIESTER SIND HIERIN EINANDER GLEICH. EIN UNTERSCHIED ZWISCHEN JISRAÉLITEN, PRIESTERN UND DEM GESALBTEN HOCHPRIESTER BESTEHT DARIN, INDEM DER FARRE14 Cf. Lev. 16,3ff.DEN PRIESTERN SÜHNE SCHAFFT FÜR VERUNREINIGUNG DES HEILIGTUMS UND DER HEILIGEN OPFER. R. ŠIMO͑N SAGTE: WIE DAS BLUT DES INNERHALB HERGERICHTETEN BOCKES DEN JISRAÉLITEN SÜHNE SCHAFFT, EBENSO SCHAFFT DAS BLUT DES FAHREN DEN PRIESTERN SÜHNE, UND WIE DAS SÜNDENBEKENNTNIS BEIM FORTZUSCIIICKENDEN BOCKE DEN JISRAÉLITEN SÜHNE SCHAFFT, EBENSO SCHAFFT DAS SÜNDENBEKENNTNIS BEIM FARREN DEN PRIESTERN SÜHNE." + ], + [ + "BEI DER UNREINHEIT GIBT ES ZWEI ARTEN DES BEWUSSTSEINS, DIE INVIER ZERFALLEN. WENN JEMAND WUSSTE, DASS ER UNREIN GEWORDEN, DIES IHM ABER ENTFALLEN IST, JEDOCH KENNTNIS VON DER HEILIGKE IT HAT, ODER IHM DIE KENNTNIS DER HEILIGKEIT FEHLTE, JEDOCH KENNTNIS DER UNREINHEIT HAT, ODER IHM VON BEIDEM DIE KENNTNIS FEHLTE, UND ER OHNE KENNTNIS HEILIGES GEGESSEN, UND NACH DEM ESSEN KENNTNIS ERLANGT HAT, SO MUSS ER EIN AUF- UND ABSTEIGENDES OPFER DARBRINGEN. WENN ER WUSSTE, DASS ER UNREIN GEWORDEN, DIES IHM ABER ENTFALLEN IST, JEDOCH KENNTNIS DES HEILIGTUMS HAT, ODER IHM DIE KENNTNIS DES HEILIGTUMS FEHLTE, JEDOCH KENNTNIS DER UNREINHEIT HAT, ODER IHM VON BEIDEM1 Der 3. Fall wird nicht besonders gezählt, da er in den ersten 2 enthalten ist, mithin sind es nur 4 Arten. DIE KENNTNIS FEHLTE, UND ER OHNE KENNTNIS IN DAS HEILIGTUM EINGETRETEN IST, UND NACH SEINEM HERAUSKOMMEN KENNTNIS ERLANGT HAT, SO MUSS ER EIN AUF- UND ABSTEIGENDES OPFER DARBRINGEN.", + "EINERLEI OB ER IN DEN TEMPELHOF SELBST ODER IN DEN ZU DIESEM HINZUGEFÜGTEN RAUM EINGETRETEN IST, DENN MAN DARF DIE STADT2 Jerušalem. UND DEN TEMPELHOF ERWEITERN NUR MIT ZUSTIMMUNG3 Sie müssen auch an der Prozession beteiligt sein. DES KÖNIGS, DES PROPHETEN, DES ORAKELS, UND DES AUS EINUNDSIEBZIG MITGLIEDERN BESTEHENDEN SYNEDRIUMS, AUCH GEHÖREN DAZU ZWEI DANKOPFER UND GESANG; IHNENFOLGT DAS GERICHTSKOLLEGTUM MIT ZWEI DANKOPFERN HINTER IHNEN, UND GANZ JISRAÉL FOLGT HINTERHER4 Somit haben auch die später hinzugefügten Räume dieselbe Heiligkeit.. DAS INNERE5 Der beiden Dankopfer. WURDE GEGESSEN UND DAS ÄUSSERE VERBRANNT. IST BEI DER ERWEITERUNG DIES ALLES NICHT ERLIL FOLGT, SO IST, WER DA EINTRITT, NICHT SCHULDIG.", + "WENN JEMAND IM TEMPELHOFE UNREIN GEWORDEN UND DIES IHM ENTFALLEN IST, JEDOCH KENNTNIS HAT, DASS ER SICH IM HEILIGTUME BEFINDET, ODER IHM DIE KENNTNIS DES HEILIGTUMS ENTFALLEN IST, JEDOCH KENNTNIS DER UNREINHEIT HAT, ODER BEIDES IHM ENTFALLEN IST, UND ER SICH DA NIEDERWIRFT ODER DIE DAUER EINER NIEDERWERFUNG VERWEILT, ODER ER BEIM HINAUSGEHEN DEN WEITEREN WEG WÄHLT, SO IST ER SCHULDIG, WENN ABER DEN KÜRZEREN, SO IST ER FREI6 Falls er da die oben bezeichnete Zeit nicht verweilt hat.. DIES IST EIN DAS HEILIGTUM BETREFFENDES GEIV BOT, WEGEN DESSEN ÜBERTRETUNG MAN7 Die Gemeinde, bei irrtümlicher Entscheidung (cf. Lev. 4,13), der es obliegt, die Unreinen zu entfernen (cf. Num. 5,2). NICHT SCHULDIG IST.", + "WELCHES IST DAS DIE MENSTRUATION BETREFFENDE GEBOT, WEGEN DESSEN ÜBERTRETUNG MAN SCHULDIG IST? WENN JEMAND DEN BEISCHLAF MIT EINER REINEN FRAU VOLLZIEHT UND SIE ZU IHM SAGT, SIE SEI UNREIN GEWORDEN, UND ER SICH SOFORT ZURÜCKZIEHT, SO IST ER SCHULDIG, DENN DAS HERAUSZIEHEN GEWÄHRT IHM EINEN EBENSOLCHEN GENUSS WIE DAS HINEINBRINGEN.", + "R. ELIEZ͑ER SAGTE: ES HEISST: 8 Lev. 5,2.das Kriechtier &c. und es ihm entfällt, BEIM ENTFALLEN9 Er muß also vorher gewußt haben, woran er sich verunreinigt hat. DES KRIECHTIERES IST MAN SCHULDIG, NICHT ABER IST MAN SCHULDIG BEIM ENTFALLEN DES HEILIGTUMS. R. A͑QIBA SAGTE: ES HEISST: 10 Lev. 5,2.und es ihm entfällt, und er ist unrein, BEIM ENTFALLEN DER UNREINHEIT IST MAN SCHULDIG, NICHT ABER IST MAN SCHULDIG BEIM ENTFALLEN DES HEILIGTUMS. R. JIŠMA͑ÉL SAGTE: ES HEISST ZWEIMAL und es ihm entfällt, DIES LEHRT, DASS MAN SOWOHL BEIM ENTFALLEN DER UNREINHEIT ALS AUCH BEIM ENTFALLEN DES HEILIGTUMS SCHULDIG SEI." + ], + [ + "ES GIBT ZWEI ARTEN VON SCHWÜREN, DIE IN VIER ZERFALLEN; EIN SCHWUR, DASS ICH ESSEN WERDE, ODER: DASS ICH NICHT ESSEN WERDE; DASS ICH GEGESSEN HABE, ODER: DASS ICH NICHT GEGESSEN HABE. WENN ER GESAGT HAT: EIN SCHWUR, DASS ICH NICHT ESSEN WERDE, UND EIN MINIMUM GEGESSEN HAT, SO IST ER SCHULDIGSO R. A͑QIBA. SIE SPRACHEN ZU R. A͑QIBA: WO FINDEN WIR DENN, DASS JEMAND WEGEN DES ESSENS EINES MINIMUMS SCHULDIG1 Wegen des Essens verbotener Speisen, bezw. an einem Tage, an dem das Essen verboten ist, ist man nur dann schuldig, wenn man ein oiivengroßes Quantum gegessen hat. SEI, DASS DIESER SCHULDIG SEIN SOLLTE!? R. A͑QIBA ERWIDERTE IHNEN: WO FINDEN WIR DENN, DASS JEMAND WEGEN DES SPRECHENS EIN OPFER DARZUBRINGEN HAT2 Wohl aber wegen der Eidesverletzung, somit bildet dieses Gesetz eine Ausnahme auch hinsichtlich des Quantums.!? WENN JEMAND GESAGT HAT: EIN SCHWUR, DASS ICH NICHT ESSEN WERDE, UND GEGESSEN UND GETRUNKEN HAT, SO IST ER NUR EINMAL SCHULDIG; WENN ABER: EIN SCHWUR, DASS ICH NICHT ESSEN UND NICHT TRINKEN WERDE, UND GEGESSEN UND GETRUNKEN HAT, SO IST ER ZWEIMAL SCHULDIG.", + "WENN JEMAND GESAGT HAT: EIN SCHWUR, DASS ICH NICHT ESSEN WERDE, UND WEIZENBROT, GERSTENBROT UND DINKELBROT GEGESSEN HAT, SO 1ST ER NUR EINMAL SCHULDIG; WENN ABER: EIN SCHWUR, DASS ICH WEDER WEIZENBROT NOCH GERSTENBROT NOCH DINKELBROT ESSEN WERDE, UND DIESE GEGESSEN HAT, SO IST ER WEGEN JEDES BESONDERS SCHULDIG.", + "WENN JEMAND GESAGT HAT: EIN SCHWUR, DASS ICH NICHT TRINKEN WERDE, UND VERSCHIEDENE GETRÄNKE GETRUNKEN HAT, SO IST ER NUR EINMAL SCHULDIG; WENN ABER: EIN SCHWUR, DASS ICH WEDER WEIN NOCH ÖL NOCH HONIG TRINKEN WERDE, UND DIESE GETRUNKEN HAT, SO IST ER WEGEN JEDES BEIV SONDERS SCHULDIG.", + "WENN JEMAND GESAGT HAT: EIN SCHWUR, DASS ICH NICHT ESSEN WERDE, UND ZUM ESSEN UNGEEIGNETE SPEISEN GEGESSEN HAT, ODER ZUM TRINKEN UNGEEIGNETE GETRÄNKE GETRUNKEN HAT, SO IST ER FREI. WENN JEMAND GESAGT HAT: EIN SCHWUR, DASS ICH NICHT ESSEN WERDE, UND AAS, TOTVERLETZTES, EKEL- UND KRIECHTIERE GEGESSEN HAT, SO IST ER SCHULDIG, UND NACH R. ŠIMO͑N FREI. SAGTE JEMAND: QONAM3 Vgl. S. 292 Anm. 26. SEI MIR DER GENUSS VON MEINER FRAU, WENN ICH HEUTE GEGESSEN HABE, UND ER HATTE AAS, TOTVERLETZTES, EKEL- UND KRIECHTIERE GEGESSEN, SO IST IHM SEINE FRAU VERBOTEN.", + "EINERLEI OB DIE DINGE IHN SELBST ODER ANDERE BETREFFEN, EINERLEI OB DIE DINGE KONKRETE ODER ABSTRAKTE SIND. ZUM BEISPIEL: SAGT JEMAND: EIN SCHWUR, DASS ICH JENEM ETWAS GEBEN WERDE, ODER: DASS ICH NICHT GEBEN WERDE; DASS ICH GEGEBEN HABE, ODER: DASS ICH NICHT GEGEBEN HABE; DASS ICH SCHLAFEN WERDE, ODER: DASS ICH NIGHT SCHLAFEN WERDE; DASS ICH GESCHLAFEN HABE, ODER: DASS ICH NICHT GESCHLAFEN HABE; DASS ICH EIN STEINCHEN INS MEER WERFEN WERDE, ODER: DASS ICH NICHT WERFEN WERDE; DASS ICH GEWORFEN HABE, ODER: DASS ICH NICHT GEWORFEN HABE. R. JIŠMA͑ÉL SAGT, MAN SEI NUR WEGEN DES PROMISSORISCHEN SCHWURES SCHULDIG, DENN ES HEISST:4 Lev. 5,4.Böses oder Gutes zu tun. R. A͑QIBA SPRACH ZU IHM: DEMNACH WEISS ICH DIES NUR VON FALLEN, WO ES ZUM BÖSEN ODER ZUM GUTEN ERFOLGT, WOHER DIES NUN VON FÄLLEN, WO ES NICHT ZUM BÖSEN ODER ZUM GUTEN ERFOLGT!? JENER ERWIDERTE: VON DER EINBEGREIFUNG5 Das W. ‘alles’ (Lev. 5,4) ist einbegreifend.DES SCHRIFTVERSES. DIESER ENTGEGNETE: WENN DIE SCHRIFT DAS EINE EINBEGREIFT, SO BEGREIFT SIE AUCH DAS ANDERE EIN.", + "WENN JEMAND GESCHWOREN HAT, EINE GESETZLICHE VORSCHRIFT ZU UNTERLASSEN, UND SIE NICHT UNTERLASSEN HAT, SO IST ER FREI; EINE AUSZUÜBEN, UND SIE NICHT AUSGEÜBT HAT, SO IST ER FREI. EIGENTLICH SOLLTE DURCH EINEN SCHLUSS GEFOLGERT WERDEN, DASS ER SCHULDIG SEI, UND ZWAR NACH EINER LEHRE DES R. JEHUDA B. BETHERA, DENN R. JEHUDA B. BETHERA SAGTE: WENN MAN SCHULDIG6 Wenn man geschworen hat, sie auszuüben, u. es unterlassen hat.IST WEGEN EINES SCHWURES BETREFFEND FREIGESTELLTE HANDLUNGEN, ZU DENEN MAN NICHT SEIT DER GESETZGEBUNG AM BERGE SINAJ EIDLICH VERPFLICHTET IST, UM WIEVIEL MEHR IST MAN SCHULDIG WEGEN EINES SCHWURES BETREFFEND GESETZLICHE VORSCHRIFTEN, ZU DENEN MAN SEIT DER GESETZGEBUNG AM BERGE SINAJ EIDLICH VERPFLICHTET IST. MAN ERWIDERTE IHM: NEIN, WENN DIES BEI EINEM FREIGESTELLTE HANDLUNGEN BETREFFENDEN SCHWURE, BEI DEM DIE VERNEINUNG DER BEJAHUNG GLEICHT, DER FALL IST, SOLLTE DIES AUCH BEI EINEM GESETZLICHE VORSCHRIFTEN BETREFFENDEN SCHWURE DER FALL SEIN, BEI DEM DIE VERNEINUNG NIGHT DER BEJAHUNG GLEICHT!? WENN NÄMLICH JEMAND GESCHWOREN HAT, EINE SOLCHE ZU UNTERLASSEN, UND SIE NICHT UNTERLASSEN HAT, IST ER FREI7 Nach aller Ansicht; ein solcher ist ein Nichtigkeitsschwur, der weiter Fol. 29a besonders behandelt wird..", + "WENN JEMAND GESAGT HAT: EIN SCHWUR, DASS ICH DIESEN LAIB NICHT ESSEN WERDE, EIN SCHWUR, DASS ICH IHN NICHT ESSEN WERDE, EIN SCHWUR, DASS ICH IHN NICHT ESSEN WERDE, UND IHN GEGESSEN HAT, SO IST ER NUR EINMAL8 Der 2. Schwur kann sich auf den betreffenden Laib nicht mehr erstrecken.SCHULDIG. DIES IST EIN BEKRÄFTIGUNGSSCHWUR, WEGEN DESSEN VERLETZUNG MAN BEI VORSÄTZLICHKEIT SICH DER GEISSELUNG SCHULDIG MACHT UND BEI UNVORSÄTZLICHKEIT EIN AUF- UND ABSTEIGENDES OPFER DARBRINGEN MUSS. WEGEN DES NICHTIGKEITSSCHWURES MACHT MAN SICH BEI VORSÄTZLICHKEIT DER GEISSELUNG SCHULDIG UND BEI UNVORSÄTZLICHKEIT IST MAN FREI.", + "WELCHER IST EIN NICHTIGKEITSSCHWUR? WENN JEMAND ETWAS BESCHWÖRT, UND ES DEN MENSCHEN BEKANNT IST, DASS ES ANDERS SEI: WENN ER VON EINER STEINSÄULE SAGT, SIE SEI AUS GOLD, VON EINEM MANNE, ER SEI EINE FRAU, ODER VON EINER FRAU, SIE SEI EIN MANN. FERNER, WENN JEMAND ETWAS UNMÖGLICHES BESCHWÖRT: WENN ICH NICHT EIN IN DER LUFT FLIEGENDES KAMEL GESEHEN HABE, WENN ICH NICHT EINE SCHLANGE WIE EIN ÖLPRESSBALKEN GESEHEN HABE. FERNER, WENN ZEUGEN ZU EINEM, DER SIE FÜR IHN ZEUGNIS ABZULEGEN AUFFORDERT, SAGEN: EIN SCHWUR, DASS WIR FÜR DICH KEIN ZEUGNIS ABLEGEN9 Und da sie dazu verpflichtet sind, so ist dies ein Nichtigkeitsschwur.WERDEN. FERNER, WENN JEMAND SCHWÖRT, EIN GEBOT ZU UNTERLASSEN: KEINE FESTNÜTTE ZU ERRICHTEN, KEINEN FESTSTRAUSS ZU NEHMEN, ODER KEINE TEPHILLIN ANZULEGEN. DIES IST EIN NICHTIGKEITSSCHWUR, WEGEN DESSEN MAN SICH BEI VORSÄTZLICHKEIT DER GEISSELUNG SCHULDIG MACHT UND BEI UNVORSÄTZLICHIXKEIT FREI IST.", + "SAGT JEMAND: EIN SCHWUR, DASS ICH DIESEN LAIB ESSEN WERDE, EIN SCHWUR, DASS ICH IHN NICHT ESSEN WERDE, SO IST DER ERSTE EIN BEKRÄFTIGUNGSSCHWUR UND DER ZWEITE10 Womit er schwört, ein Gebot zu übertreten.EIN NICHTIGKEITSSCHWUR; HAT ER IHN GEGESSEN, SO HAT ER EINEN NICHTIGKEITSSCHWUR GELEISTET, HAT ER IHN NICHT GEGESSEN, SO HAT ER EINEN BEKRÄFTIGUNGSSCHWUR ÜBERTRETEN.", + "DER BEKRÄFTIGUNGSSCHWUR GILT BEI MÄNNERN11 Dies ist selbstverständlich u. wird nur als Gegensatz zum Zeugniseide (cf. infra Fol. 30a) gelehrt.UND BEI FRAUEN, BEI VERWANDTEN UND BEI FREMDEN, BEI ALS ZEUGEN ZULÄSSIGEN UND BEI UNZULÄSSIGEN12 Cf. Syn. Fol. 24b., VOR GERICHT UND AUSSERHALB DES GERICHTES, JEDOCH MUSS DER SCHWUR AUS SEINEM MUNDE KOMMEN. MAN IST BEI VORSÄTZLICHKEIT GEISSELUNG SCHULDIG UND BEI UNVORSÄTZLICHKEIT EIN AUF- UND ABSTEIGENDES OPFER.", + "DER NICHTIGKEITSSCHWUR GILT BEI MÄNNERN UND BEI FRAUEN, BEI FREMDEN UND BEI VERWANDTEN, BEI ZULÄSSIGEN UND BEI UNZULÄSSIGEN, VOR GERICHT UND AUSSERHALB DES GERICHTES, JEDOCH MUSS DER SCHWUR AUS SEINEM MUNDE KOMMEN. MAN IST BEI VORSÄTZLICHKEIT GEISSELUNG SCHULDIG UND BEI UNVORSÄTZLICHKEIT FREI. SOWOHL BEI DIESEM ALS AUCH BEI JENEM IST MAN AUCH DANN SCHULDIG, WENN MAN VON ANDEREN BESCHWOREN WIRD. SAGTE JEMAND: ICH HABE HEUTE NICHT GEGESSEN, ODER: ICH HABE HEUTE KEINE TEPHILLIN ANGELEGT, UND ALS EIN ANDERER ZU IHM SAGTE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, SO IST ER SCHU?DIG." + ], + [ + "DER ZEUGNISEID1 Vgl. s. 239 Anm. 1. GILT BEI MÄNNERN UND NICHT BEI FRAUEN, BEI FREMDEN UND NICHT BEI VERWANDTEN2 Die hier ausgeschlossenen Personen sind auch als Zeugen unzulässig, u. sie bringen daher auch wegen des falschen Zeugniseides kein Opfer dar., BEI [ALS ZEUGEN] ZULÄSSIGEN UND NICHT BEI UNZULÄSSIGEN, AUCH NUR BEI SOLCHEN, DIE ALS ZEUGEN GEEIGNET3 Cf. infra Fol. 31a. SIND; SOWOHL VOR GERICHT ALS AUCH AUSSERHALB DES GERICHTES, WENN [DER EID] AUS IHREM4 Der Zeugen. MUNDE GEKOMMEN IST; WENN ABER AUS DEM MUNDE ANDERER5 Wenn der Kläger die Zeugen beschwört u. diese leugnen., SO SIND SIE NUR DANN SCHULDIG, WENN SIE VOR GERICHT GELEUGNET HABEN – SO R. MEÍR. DIE WEISEN SAGEN: EINERLEI OB [DER EID] AUS IHREM MUNDE GEKOMMEN IST, ODER AUS DEM MUNDE ANDERER, SIE SIND NUR DANN SCHULDIG, WENN SIE VOR GERICHT GELEUGNET HABEN.", + "SIE SIND SCHULDIG SOWOHL BEI VORSÄTZLICHKEIT HINSICHTLICH DES EIDES6 Wenn sie wußten, daß der Eid falsch, somit verboten sei, und daß dieserhalb ein Opfer dargebracht werden muß., ALS AUCH BEI UNVORSÄTZLICHKEIT7 Wenn sie wußten, daß der Eid falsch u. somit verboten sei, jedoch nicht, daß dieserhalb ein Opfer dargebracht werden muß. HINSICHTLICH DESSEN UND VORSÄTZLICHKEIT HINSICHTLICH DES ZEUGNISSES8 Wenn sie wußten, daß der Eid falsch u. somit verboten sei, jedoch nicht, daß dieserhalb ein Opfer dargebracht werden muß., NICHT ABER, WENN AUCH IN DIESER HINSICHT UNVORSÄTZLICHKEIT9 Wenn sie beim Schwören das Zeugnis vergessen hatten. VORLAG. WAS SIND SIE WEGEN DES VORSÄTZLICHEN [FALSCHEN] EIDES SCHULDIG? EIN AUF- UND ABSTEIGENDES OPFER.", + "WELCHER HEISST EIN ZEUGNISEID? WENN JEMAND ZU ZWEIEN GESAGT HAT: KOMMT UND LEGT FÜR MICH ZEUGNIS AB, UND SIE IHM ERWIDERT HABEN: EIN SCHWUR, DASS WIR FÜR DICH NICHTS ZU BEKUNDEN WISSEN, ODER WENN SIE IHM ERWIDERT HABEN: WIR WISSEN FÜR DICH NICHTS ZU BEKUNDEN, UND ALS ER ZU IHNEN SAGTE: ICH BESCHWÖRE EUCH, SIE ‘AMENSAGTEN, SO SIND SIE SCHULDIG10 Wenn der Schwur falsch war.. WENN ER SIE AUSSERHALB DES GERICHTES FÜNFMAL BESCHWOREN HAT, UND SIE DARAUF VOR GERICHT EINGESTANDEN HABEN, SO SIND SIE FREI, WENN SIE ABER GELEUGNET HABEN, SO SIND SIE WEGEN EINES JEDEN SCHWURES BESONDERS SCHULDIG. WENN ER SIE VOR GERICHT FÜNFMAL BESCHWOREN HAT, UND SIE GELEUGNET HABEN, SO SIND SIE NUR EINMAL SCHULDIG. R. ŠIMO͑N SAGTE: AUS WELCHEM GRUNDE? WEIL SIE NICHT MEHR EINGESTEHEN11 Das vor Gericht abgelegte Zeugnis kann nicht mehr widerrufen werden.KONNTEN.", + "HABEN BEIDE ZUSAMMEN GELEUGNET, SO SIND BEIDE SCHULDIG, WENN ABER NACHEINANDER, SO IST DER ERSTE SCHULDIG UND DER ANDERE FREI12 Leugnet der erste, so ist der andere nicht mehr in der Lage, Zeugnis abzulegen.; HAT EINER GELEUGNET UND DER ANDERE EINGESTANDEN, SO IST DER LEUGNENDE SCHULDIG. WENN ES ZWEI ZEUGENPARTIEN SIND, UND ZUERST DIE EINE UND NACHHER DIE ANDERE LEUGNETE, SO SIND BEIDE SCHULDIG, WEIL DAS ZEUGNIS DURCH JEDE VON BEIDEN BESTEHEN KÖNNTE.", + "WENN ER ZU IHNEN GESAGT HAT: ICH BESCHWÖRE EUCH, ZU KOMMEN UND ZU BEKUNDEN, DASS ICH BEI JENEM WEIZEN, GERSTE UND DINKEL IN VERWAHRUNG HABE, UND SIE IHM ERWIDERT HABEN: EIN SCHWUR, DASS WIR FÜR DICH NICHTS ZU BEKUNDEN WISSEN, SO SIND SIE NUR EINMAL SCHULDIG; WENN ABER: EIN SCHWUR, DASS WIR FÜR DICH NICHT ZU BEKUNDEN WISSEN, DASS DU BEI JENEM WEIZEN, GERSTE UND DINKEL HAST, SO SIND SIE WEGEN EINES JEDEN BESONDERS13 Obgleich es sich um eine Art der Forderung, um ein Depositum, handelt.SCHULDIG.", + "SAGTE JEMAND: ICH BESCHWÖRE EUCH, ZU KOMMEN UND ZU BEKUNDEN, DASS ICH VON JENEM SCHADENERSATZ, HALBEN14 Cf. Ex. 21,35,36.SCHADENERSATZ, DOPPELTES15 Cf. ib. 22,3.ODER VIER- UND FÜNFFACHES16 Cf. ib. 21,37.ZU ERHALTEN HABE, DASS JENER MEINE TOCHTER GENOTZÜCHTIGT17 Weswegen er eine Geldbuße zu zahlen hat; cf. Ex. 22,15,16 u. Dt. 22,28,29. Auch die vorher genannten Zahlung en sind Bußzahlungen, die der Beklagte bei einem Geständnisse ohne Zeugen nicht zu zahlen braucht; über den Fall, wenn Zeugen nachher auf treten, besteht weiter eine Meinungsverschiedenheit; cf. Bq. Fol. 75a.HAT, DASS ER MEINE TOCHTER VERFÜHRT18 Weswegen er eine Geldbuße zu zahlen hat; cf. Ex. 22,15,16 u. Dt. 22,28,29. Auch die vorher genannten Zahlung en sind Bußzahlungen, die der Beklagte bei einem Geständnisse ohne Zeugen nicht zu zahlen braucht; über den Fall, wenn Zeugen nachher auf treten, besteht weiter eine Meinungsverschiedenheit; cf. Bq. Fol. 75a.HAT, DASS MEIN SOHN MICH GESCHLAGEN19 Ohne Verwundung, u. da er dieserhalb nicht zum Tode verurteilt wird (cf. Syn. Fol. 85b), so hat er eine Geldentschädigung zu zahlen.HAT, DASS JENER AM VERSÖHNUNGSTAGE MICH GESCHLAGEN ODER MEINE TENNE IN BRAND GESTECKT20 Auf diese den Versöhnungstag entweihende Handlungen ist auch eine himmlische Strafe (die Ausrottung) gesetzt, dennoch befreit diese nicht von der Zahlung.HAT, SO SIND SIE SCHULDIG.", + "SAGTE JEMAND: ICH BESCHWÖRE EUCH, ZU KOMMEN UND ZU BEKUNDEN, DASS ICH EIN PRIESTER BIN, DASS ICH EIN LEVITE BIN, DASS ICH NICHT DER SOHN EINER GESCHIEDENEN BIN, DASS ICH NICHT DER SOHN EINER ḤALUÇA BIN, DASS JENER21 Der ihn zu dieser Aufforderung bevollmächtigt hat.EIN PRIESTER IST, DASS JENER EIN LEVITE IST, DASS ER NICHT DER SOHN EINER GESCHIEDENEN IST, DASS ER NICHT DER SOHN EINER ḤALUÇA IST, DASS JENER DIE TOCHTER VON DIESEM GENOTZÜCHTIGT HAT, DASS JENER DIE TOCHTER VON DIESEM VERFÜHRT HAT, DASS MEIN SOHN MICH VERWUNDET HAT, DASS MEIN NÄCHSTER AM ŠABBATH MICH VERWUNDET ODER MEINE TENNE IN BRAND GESTECKT HAT, SO SIND SIE FREI. ", + "SAGTE JEMAND: ICH BESCHWÖRE EUCH, ZU KOMMEN UND ZU BEKUNDEN, DASS JENER MIR ZWEIHUNDERT ZUZ ZU GEBEN VERSPROCHEN HAT, UND SIE MIR NICHT GEGEBEN HAT, SO SIND SIE FREI, WEIL SIE NUR WEGEN EINER GELDFORDERUNG22 Wenn der Beklagte zur Zahlung verurteilt worden wäre, in einem solchen Falle aber kann der Beklagte sein Versprechen zurücknehmen.SCHULDIG SIND, WIE BEIM DEPOSITENEIDE.", + "SAGTE JEMAND: ICH BESCHWÖRE EUCH, DASS IHR, SOBALD IHR FÜR MICH ZEUGNIS ABZULEGEN WISSEN WERDET, KOMMEN UND ES ABLEGEN SOLLT, SO SIND SIE FREI, WEIL DER EID DEM ZEUGNISSE23 Dh. der Wahrnehmung.VORANGING.", + "WENN JEMAND SICH IM BETHAUSE24 Eigentl. Versammlungshaus, wo ein großes Publikum versammelt ist.BEFAND UND SPRACH: ICH BESCHWÖRE EUCH, DASS IHR, WENN IHR25 Ohne die Aufforderung an bestimmte Personen zu richten. FÜR MICH ZEUGNIS WISSET, KOMMEN UND ES ABLEGEN SOLLT, SO SIND SIE26 Die für ihn Zeugnis ablegen könnten. FREI; NUR27 Dann sind sie schuldig.WENN ER DIE ZEUGEN DIREKT AUFFORDERT.", + "WENN JEMAND ZU ZWEIEN SAGTE: ICH BESCHWÖRE EUCH N. UND N., DASS IHR, FALLS IHR FÜR MICH ZEUGNIS ABZULEGEN WISSET, KOMMEN UND ES ABLEGEN SOLLT, UND SIE IHM ERWIDERT HABEN: EIN SCHWUR, DASS WIR FÜR DICH KEIN ZEUGNIS ABZULEGEN WISSEN, SIE ABER IHR ZEUGNIS AUS DEM MUNDE ANDERER ZEUGEN WUSSTEN, ODER EINER VON IHNEN VERWANDT ODER UNZULÄSSIG28 Cf. Syn. Fol. 24b.IST, SO SIND SIE29 Weil ein solches Zeugnis ungültig wäre; cf. ib. Fol. 37a.FREI.", + "WENN ER SIE DURCH SEINEN SKLAVEN AUFFORDERN LIESS, ODER WENN DER BEKLAGTE ZU IHNEN SAGTE: ICH BESCHWÖRE, EUCH, DASS IHR, WENN IHR FÜR IHN ZEUGNIS ABZULEGEN WISSET, KOMMEN UND ES ABLEGEN SOLLT, SO SIND SIE FREI; NUR30 Dann sind sie schuldig.WENN SIE DIE AUFFORDERUNG VOM KLÄGER GEHÖRT HABEN. ", + "SAGTE JEMAND: ICH BESCHWÖRE EUCH, ODER: ICH GEBIETE EUCH, ODER: ICH BINDE EUCH31 Sc. beim Namen Gottes., SO SIND SIE SCHULDIG, WENN ABER: BEI HIMMEL UND ERDE, SO SIND SIE FREI. WENN BEI ALEPH-DALETH, JOD-HE32 Beim Gottesnamen אדני bezw. יהוה., ŠADDAJ, ÇEBAOTH, BEIM GNÄDIGEN, BARMHERZIGEN, LANGMÜTIGEN, HULDREICHEN, ODER BEI ALLEN ANDEREN GÖTTLICHEN ATTRIBUTEN, SO SIND SIE SCHULDIG. DER GOTTESLÄSTERER IST WEGEN DIESER33 Wenn er Gott mit diesen Attributen bezeichnet.ALLER, WIE R. MEI͑R SAGT, SCHULDIG, UND NACH DEN WEISEN FREI. WER BEI DIESEN VATER UND MUTTER FLUCHT, IST, WIE R. MEÍR SAGT, SCHULDIG, UND NACH DEN WEISEN FREI. WER SICH SELBST ODER SEINEM NÄCHSTEN BEI ALL DIESEN FLUCHT, ÜBERTRITT EIN VERBOT. ‘GOTT SCHLAGE DICH,’ ODER:EBENSO34 Wenn jemand einen eine solche Schriftstelle (cf. Dt. Kap. 28) lesen hört u. dies den Zeugen zuruft. Diese Stelle wurde von manchen mißverstanden u. durch unnötige Korrekturen (ה׳ אלהים, auch ה׳ st. אלהים) korrumpiert.SCHLAGE GOTT AUCH DICH,’ DAS IST DIE EIDVERWÜNSCHUNG, DIE IN DER TORA GESCHRIEBEN IST. SAGTE ER: ER SCHLAGE DICH NICHT, ODER: ER SEGNE DICH, ODER: ER LASSE ES DIR GUT GEHEN35 Sc. wenn du Zeugnis ablegst., SO SIND SIE NACH R. MEÍR SCHULDIG UND NACH DEN WEISEN FREI." + ], + [ + "DER DEPOSITENEID1 Darunter ist der Eid zu verstehen, den der Beklagte (nach Lev. 5,21ff.) zu leisten hat, wenn er dem Kläger die Forderung abstreitet; in der angezogenen Schriftstelle wird das Depositum zuerst genannt, daher diese Bezeichnung. GILT BEI MÄNNERN UND BEI FRAUEN, BEI FREMDEN UND BEI VERWANDTEN, BEI ALS ZEUGEN ZULÄSSIGEN UND BEI UNZULÄSSIGEN, VOR GERICHT UND AUSSERHALB DES GERICHTES, WENN DER SCHWUR AUS SEINEM MUNDE KOMMT; WENN ABER AUS DEM MUNDE ANDERER, SO IST ER NUR DANN SCHULDIG, WENN ER VOR GERICHT GELEUGNET HATSO R. MEÍR. DIE WEISEN SAGEN, EINERLEI OB AUS SEINEM MUNDE ODER AUS DEM MÜNDE ANDERER; SOBALD ER GELEUGNET HAT, IST ER SCHULDIG. ER IST SCHULDIG BEI VORSATZ HINSICHTLICH DES EIDES UND BEI UNVORSÄTZLICHKEIT HINSICHTLICH DESSEN, JEDOCH VORSATZ HINSICHTLICH DES DEPOSITUMS; ER IST ABER NICHT SCHULDIG, WENN AUCH IN DIESER HINSICHT UNVORSÄTZLICHKEIT VORLAG.", + "WAS IST ER BEI VORSATZ SCHULDIG? EIN SCHULDOPFER FÜR ZWEI2 Das W. ‘zwei’ fehlt sowohl im Texte als auch in der Schrift (Lev. 5,15), jed. wird aus der Pluralform שקלים entnommen, daß es 2 sind. ŠEQEL. WELCHES HEISST EIN DEPOSITENEID? WENN JEMAND ZU EINEM SAGTE: GIB MIR DAS DEPOSITUM, DAS ICH BEI DIR HABE, UND DIESER IHM ERWIDERTE: EIN SCHWUR, DASS DU BEI MIR NICHTS HAST, ODER WENN ER IHM ERWIDERTE: DU HAST NICHTS BEI MIR, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, SO IST ER3 Wenn er nachher eingesteht, daß er falsch geschworen hat. SCHULDIG. WENN JENER IHN FÜNFMAL BESCHWOREN, EINERLEI OB VOR GERICHT ODER AUSSERHALB DES GERICHTES, UND ER GELEUGNET HAT, SO IST ER WEGEN EINES JEDEN EINZELNEN BESONDERS SCHULDIG. R. ŠIMO͑N SAGTE: AUS WELCHEM GRUNDE? WEIL ER JEDESMAL ZURÜCKTRETEN UND EINGESTEHEN KONNTE.", + "WENN FÜNF PERSONEN EINEN GEMAHNT UND ZU IHM GESAGT HABEN: GIB UNS DAS DEPOSITUM, DAS WIR BEI DIR HABEN, UND ER IHNEN ERWIDERT HAT: EIN SCHWUR, DASS IHR NICHTS BEI MIR HABT, SO IST ER NUR EINMAL SCHULDIG; WENN ABER: EIN SCHWUR, DASS DU BEI MIR NICHTS HAST, UND NICHT DU, UND NICHT DU, SO IST ER WEGEN EINES JEDEN BESONDERS SCHULDIG. R. ELIÊ͑ZER SAGT, NUR WENN ER DEN SCHWUR ZULETZT GESPROCHEN4 Sodann bezieht er sich auf jeden, wenn aber vorher, so bezieht er sich nur auf den ersten. HAT; R. ŠIMO͑N SAGT, NUR WENN ER BEI JEDEM BESONDERS EINEN SCHWUR GESPROCHEN5 Dieser Streit bezieht sich auch auf die übrigen Fälle. HAT. WENN JEMAND ZU EINEM SAGTE: GIB MIR DAS DEPOSITUM UND DAS HINTERLEGTE UND DAS GERAUBTE UND DAS VERLORENE, DIE ICH BEI DIR HABE, UND DIESER ERWIDERTE: EIN SCHWUR, DASS DU NICHTS BEI MIR HAST, SO IST ER NUR EINMAL SCHULDIG; WENN ABER: EIN SCHWUR, DASS DU BEI MIR KEIN DEPOSITUM, KEIN HINTERLEGTES, KEIN GERAUBTES UND KEIN VERLORENES HAST, SO IST ER WEGEN EINES JEDEN BESONDERS SCHULDIG. WENN JEMAND ZU EINEM SAGTE: GIB MIR DEN WEIZEN UND DIE GERSTE UND DEN DINKEL, DIE ICH BEI DIR HABE, UND DIESER IHM ERWIDERTE: EIN SCHWUR, DASS DU BEI MIR NICHTS HAST, SO IST ER NUR EINMAL SCHULDIG; WENN ABER: EIN SCHWUR, DASS DU BEI MIR KEINEN WEIZEN UND KEINE GERSTE UND KEINEN DINKEL HAST, SO IST ER WEGEN EINES JEDEN BESONDERS SCHULDIG; R. MEÍR SAGT, SELBST WENN ER GESAGT HAT, WEIZEN, GERSTE UND DINKEL6 Im Texte wird hier die Kollektivform gebraucht, was auch als Singular (dh. einzelne Körner) aufgefaßt werden kann., SEI ER WEGEN EINES JEDEN BESONDERS SCHULDIG.", + "WENN JEMAND ZU EINEM SAGTE: DU HAST MEINE TOCHTER GENOTZÜCHTIGT7 Der Verführer od. Notzüchter hat an den Vater eine Geldbuße von 50 Šeqel (cf. Ex. 22,16 u. Dt. 22,29) u. eine Entschädigung für Beschämung u. Wertminderung (da eine Deflorierte minderwertiger ist) zu zahlen; die Geldbuße braucht jed. bei einem Geständnisse nicht gezahlt zu werden., ODER: VERFÜHRT, UND DIESER IHM ERWIDERTE: ICH HABE SIE NICHT GENOTZÜCHTIGT, ODER: VERFÜHRT, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, SO IST ER SCHULDIG; NACH R. ŠIMO͑N IST ER FREI, WEIL MAN BEI EINEM GESTÄNDNISSE KEINE GELDBUSSE ZU ZAHLEN8 Mithin ist auch der Eid ganz irrelevant. BRAUCHT. SIE ENTGEGNETEN IHM: OBGLEICH MAN BEI EINEM GESTÄNDNISSE DIE GELDBUSSE NICHT ZU ZAHLEN BRAUCHT, SO MUSS MAN DENNOCH, AUCH BEI EINEM GESTÄNDNISSE DIE ENTSCHÄDIGUNG FÜR BESCHÄMUNG UND WERTMINDERUNG ZAHLEN.", + "WENN JEMAND ZU EINEM SAGTE: DU HAST MEINEN OCHSEN GESTOHLEN, UND DIESER IHM ERWIDERTE: ICH HABE IHN NICHT GESTOHLEN, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, SO IST ER SCHULDIG9 Der Dieb hat das Doppelte, also den Stammbetrag u. eine Geldbuße zu zahlen; er ist also wegen des ersteren schuldig; cf. supra Fol. 33a.; WENN ABER: ICH HABE IHN GESTOHLEN, ABER NICHT GESCHLACHTET ODER VERKAUFT, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, SO IST ER FREI10 Wenn der Dieb das gestohlene Vieh geschlachtet od. verkauft hat, so hat er das 4-, bezw. 5fache des Stammbetrages (cf. Ex. 21,37) zu zahlen; bestreitet er nur den Verkauf, bezw. das Schlachten, so handelt es sich nur um die Geldbuße, die er bei einem Geständnisse nicht zu zahlen braucht, mithin ist der Schwur irrelevant.. WENN JEMAND ZU EINEM SAGTE: DEIN RIND11 Wenn der Eigentümer verwarnt ist; er hat dann den vollen Ersatz zu leisten; cf. Ex. 21,36.HAT MEIN RIND GETÖTET, UND DIESER IHM ERWIDERTE: ES HAT ES NICHT GETÖTET, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, SO IST ER SCHULDIG. WENN JEMAND ZU EINEM SAGTE: DEIN OCHS HAT MEINEN SKLAVEN GETÖTET12 Der Ersatz (30 Šeqel, cf. Ex. 21,32), gilt als Bußgeld, da hierbei der Wert des Sklaven nicht berücksichtigt wird., UND DIESER IHM ERWIDERTE; ER HAT IHN NICHT GETÖTET, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, SO IST ER FREI. WENN JEMAND ZU EINEM SAGTE: DU HAST MICH VERWUNDET, MIR EINE VERLETZUNG BEIGEBRACHT, UND DIESER IHM ERWIDERTE: ICH HABE DICH NICHT VERWUNDET, DIR KEINE VERLETZUNG BEIGEBRACHT, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, SO IST ER SCHULDIG. WENN ABER ZU EINEM SEIN SKLAVE SAGT: DU HAST MIR EINEN ZAHN AUSGESCHLAGEN, EIN AUGE GEBLENDET13 Dieserhalb muß der Herr den Sklaven freilassen (cf. Ex. 21,26); dies gilt ebenfalls als Buße., UND DIESER IHM ERWIDERTE: ICH HABE IHN NICHT AUSGESCHLAGEN, ICH HABE ES NICHT GEBLENDET, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, SO IST ER FREI. DIE REGEL HIERBEI IST: WER BEI EINEM GESTÄNDNISSE ZAHLEN MUSS, IST SCHULDIG, UND WER BEI EINEM GESTÄNDNISSE NICHT ZU ZAHLEN BRAUCHT, IST FREI." + ], + [ + "BEIM GERICHTLICHEN EIDE1 Der Eid, den die Richter dem Beklagten in nicht aufgeklärten Fällen zuschieben; aus der Schrift werden nur 3 solcher Eide entnommen: 1. wenn der Beklagte einen Teil der Schuld eingesteht, 2. wenn der Kläger von einem Zeugen unterstützt wird, u. 3. wenn ein Hüter behauptet, die ihm anvertraute Sache sei ihm gestohlen worden. MUSS DIE FORDERUNG ZWEI SILBERLINGE2 Darunter ist die kleinste Silbermünze, also eine Maa͑ (24 Peruṭas) zu verstehen. UND DAS EINGESTANDENE EINE PERUṬA WERT SEIN; GEHÖRT DAS EINGESTANDENE NICHT ZUR ART DER FORDERUNG, SO IST ER FREI. ZUM BEISPIEL: WENN JEMAND ZU EINEM SAGT: ICH HABE BEI DIR ZWEI SILBERLINGE, UND DIESER IHM ERWIDERT: DU HAST BEI MIR NUR EINE PERUṬA, SO IST ER FREI; WENN ABERI: ICH HABE BEI DIR ZWEI SILBERLINGE UND EINE PERUṬA, UND DIESER IHM ERWIDERT: DU HAST BEI MIR NUR EINE PERUṬA, SO IST ER SCHULDIG3 Nach einer Auslegung des T. wird hier von dem Falle gesprochen, wenn es der Sohn nicht genau weiß, somit könnte dieser die ganze Schuld abstreiten.. WENN JEMAND ZU EINEM SAGT: ICH HABE BEI DIR EINE MINE UND DIESER IHM ERWIDERT: DU HAST NICHTS BEI MIR, SO IST ER FREI; WENN ABER: ICH HABE BEI DIR EINE MINE, UND DIESER IHM ERWIDERT: DU HAST BEI MIR NUR FÜNFZIG DENAR, SO IST ER SCHULDIG. WENN JEMAND ZU EINEM SAGT: DU HAST VON MEINEM VATER EINE MINE, UND DIESER IHM ERWIDERT: DU HAST BEI MIR NUR FÜNFZIG DENAR, SO IST ER FREI, WEIL ER ALS ABLIEFERER EINES FUNDES GILT.", + "WENN JEMAND ZU EINEM SAGTE: ICH HABE BEI DIR EINE MINE, UND DIESER IHM ERWIDERTE: JAWOHL, UND ALS ER AM FOLGENDEN TAGE ZU IHM SAGTE: GIB SIE MIR, ER IHM ERWIDERT: ICH HABE SIE DIR BEREITS GEGEBEN, SO IST ER FREI; WENN ABER: DU HAST NICHTS BEI MIR, SO IST ER SCHULDIG. WENN JEMAND ZU EINEM SAGTE: ICH HABE BEI DIR EINE MINE, UND DIESER IHM ERWIDERTE: JAWOHL, WORAUF JENER ENTGEGNETE: GIB SIE MIR NUR VOR ZEUGEN ZURÜCK, UND ALS EH AM FOLGENDEN TAGE ZU IHM SAGTE: GIB SIE MIR ZURÜCK, ER IHM ERWIDERT: ICH HABE SIE DIR BEREITS GEGEBEN, SO IST ER SCHULDIG, WEIL ER SIE IHM VOR ZEUGEN ZURÜCKGEBEN SOLLTE.", + "WENN JEMAND ZU EINEM SAGT: ICH HABE BEI DIR EINE LITRA GOLD, UND DIESER IHM ERWIDERT: DU HAST BEI MIR NUR EINE LITRA SILBER, SO IST ER FREI; WENN ABER: ICH HABE BEI DIR EINEN GOLD-DENAR, UND DIESER IHM ERWIDERT: DU HAST BEI MIR NUR EINEN SILBER-DENAR, EINEN TRESSIS, EINEN PONDION, ODER: EINE PERUṬA, SO IST ER SCHULDIG, WEIL SIE ALLE GELDMÜNZEN DERSELBEN ART SIND. WENN JEMAND ZU EINEM SAGT: ICH HABE BEI DIR EIN KOR GETREIDE, UND DIESER IHM ERWIDERT: DU HAST BEI MIR NUR EIN LATEKII HÜLSENFRÜCHTE, SO IST ER FREI; WENN ABER: ICH HABE BEI DIR EIN KOR FRÜCHTE, UND DIESER IHM ERWIDERT: DU HAST BEI MIR NUR EIN LATEKH HÜLSENFRÜCHTE, SO IST ER SCHULDIG, WEIL HÜLSENFRÜCHTE UNTER ‘FRÜCHTEEINBEGRIFFEN SIND. WENN ER VON IHM WEIZEN FORDERT, UND DIESER IHM GERSTE EINGESTEHT, SO IST ER FREI, UND NACH R. GAMLIÉL SCHULDIG. WENN JEMAND VON SEINEM NÄCHSTEN KRÜGE MIT ÖL FORDERT, UND DIESER IHM LEERE GEFÄSSE EINGESTEHT, SO MUSS ER, WIE ADMON SAGT, SCHWÖREN, WEIL ER EINEN TEIL DER FORDERUNG EINGESTEHT; DIE WEISEN SAGEN, DAS EINGESTANDENE GEHÖRT NICHT ZUR ART DER FORDERUNG4 Er fordert nur das Öl, die Krüge sind nebensächlich.. R. GAMLIÉL SAGTE: DIE WORTE ADMONS LEUCHTEN MIR EIN. WENN ER VON IHM GERÄTE UND GRUNDSTÜCKE FORDERT, UND DIESER IHM DIE GERÄTE EINGESTEHT UND DIE GRUNDSTÜCKE LEUGNET, ODER DIE GRUNDSTÜCKE EINGESTEHT UND DIE GERÄTE LEUGNET, SO IST ER FREI; GESTEHT ER IHM EINEN TEIL DER GRUNDSTÜCKE EIN, SO IST ER FREI, WENN ABER EINEN TEIL DER GERÄTE, SO IST ER SCHULDIG5 Auch wegen der Grundstücke., DENN DIE GÜTER, DIE KEINE SICHERHEIT6 Dh. Mobilien. GEWÄHREN, BINDEN SICH AN GÜTER, DIE SICHERHEIT GEWÄHREN, AUF DASS MAN AUCH WEGEN DIESER SCHWÖRE.", + "MAN SCHWÖRT NICHT WEGEN DER FORDERUNG EINES TAUBEN, BLÖDEN ODER MINDERJÄHRIGEN; AUCH BESCHWÖRT MAN KEINEN MINDERJÄHRIGEN; WOHL ABER SCHWÖRT MAN EINEM MINDERJÄHRIGEN UND DEM HEILIGTUME.", + "UEBER FOLGENDE DINGE SCHWÖRT MAN NICHT: SKLAVEN, SCHULDSCHEINE, GRUNDSTÜCKE UND HEILIGES. BEI DIESEN GIBT ES NICHT DIE ZAHLUNG DES DOPPELTEN UND VIER- UND FÜNFFACHEN. WEGEN DIESES BRAUCHT DER UNENTGELTLICHE HÜTER NICHT ZU SCHWÖREN, NOCH DER LOHNHÜTER ZU BEZAHLEN. R. ŠIMO͑N SAGTE: ÜBER HEILIGES, FÜR DAS MAN HAFTBAR7 Wenn jemand ein Opfer gelobt.IST, MUSS MAN SCHWÖREN, UND FÜR DAS MAN NICHT HAFTBAR8 Wenn jemand ein von ihnen bezeichnetes Tier als Opfer spendet.IST, BRAUCHT MAN NICHT ZU SCHWÖREN.", + "R. MEÍR SAGTE: ES GIBT DINGE, DIE GRUNDSTÜCKEN GLEICHEN, UND DIESEN DOCH NICHT GLEICH SIND. DIE WEISEN ABER PFLICHTEN IHM NICHT BEI. ZUM BEISPIEL: WENN JEMAND ZU EINEM SAGT: ICH HABE DIR ZEHN BELADENE WEINSTQCKE ÜBERGEBEN, UND DIESER IHM ERWIDERT: ES WAREN NUR FÜNF, SO MUSS ER, WIE R. MEÍR SAGT, SCHWÖREN, UND DIE WEISEN SAGEN, WAS AM BODEN HAFTET, GLEICHE DEM BODEN. MAN SCHWÖRT NUR ÜBER DAS, WAS NACH MASS, GEWICHT ODER ZAHL ÜBERGEBEN WIRD; ZUM BEISPIEL: WENN JEMAND ZU EINEM SAGT: ICH HABE DIR EINEN VOLLEN SPEICHER, ODER: EINEN VOLLEN BEUTEL ÜBERGEBEN, UND DIESER IHM ERWIDERT: ICH WEISS ES NICHT, NIMM DAS, WAS DU DARIN GELASSEN HAST, SO IST ER FREI; WENN ABER DER EINE SAGT: BIS ZUM VORSPRUNG, UND DER ANDERE SAGT: BIS ZUM FENSTER, SO IST ER SCHULDIG.", + "WENN JEMAND SEINEM NÄCHSTEN GELD AUF EIN PFAND GEBORGT HAT UND DAS PFAND ABHANDEN GEKOMMEN IST, UND DER EINE SAGT: ICH HABE DIR DARAUF EINEN SELA͑9 1 Sela͑ = gleich 2 Šeqel, 1 Šeqel = gleich 2 Denar.GEBORGT UND ES WAR NUR EINEN ŠEQEL WERT, UND DER ANDERE SAGT: NEIN, DU HAST MIR DARAUF EINEN SELA͑. GEBORGT UND ES WAR EINEN SELA͑ WERT, SO IST ER10 Der Schuldner, von der Leistung eines Eides (nach der weiter folgenden Erörterung des T.); in diesem Falle hat er ihm nichts eingestanden, im folgenden Falle hat er ihm einen Teil der Schuld eingestanden.FREI; WENN ABER: ICH HABE DIR DARAUF EINEN SELA͑ GEBORGT UND ES WAR NUR EINEN ŠEQEL WERT, UND DER ANDERE SAGT: NEIN, DU HAST MIR DARAUF EINEN SELA͑ GEBORGT UND ES WAR DREI DENAR WERT, SO IST ER SCHULDIG. WENN DER EINE SAGT: DU HAST MIR DARAUF EINEN SELA͑ GEBORGT UND ES WAR ZWEI WERT, UND DER ANDERE SAGT: NEIN, ICH HABE DIR DARAUF EINEN SELA͑ GEBORGT UND ES WAR EINEN SELA͑ WERT, SO IST ER11 Der Gläubiger; vgl. Anm. N. 113. mut. mut.FREI; WENN ABER: DU HAST MIR DARAUF EINEN SELA͑ GEBORGT UND ES WAR ZWEI WERT, UND DER ANDERE SAGT: NEIN, ICH HABE DIR DARAUF EINEN SELA͑ GEBORGT UND ES WAR FÜNF DENAR WERT, SO IST ER SCHULDIG. WER SCHWÖRT? BEI DEM DAS VERWAHRTE SICH BEFINDET, DAMIT NICHT, WENN JENER GESCHWOREN HAT, DIESER DAS VERWAHRTE HERVORHOLE12 Und ihn meineidig mache; es muß mit der Möglichkeit eines Irrtums in der Bewertung gerechnet werden.." + ], + [ + "ALLE, DIE NACH DER TORA ZU SCHWÖREN HABEN, SCHWÖREN UND ZAHLEN NICHT1 Dh. der Eid wird dem Beklagten zugeschoben., FOLGENDE ABER SCHWÖREN UND ERHALTEN BEZAHLUNG: DER LÖHNER, DER BERAUBTE, DER VERWUNDETE, DESSEN GEGNER EIDESVERDÄCHTIG IST, UND DER KRÄMER AUF GRUND SEINER KLADDE. DER LÖHNER ZUM BEISPIEL: WENN ER ZU JENEM SAGT: GIB MIR MEINEN LOHN, DEN ICH BEI DIR HABE, UND JENER SAGT: ICH HABE IHN DIR BEREITS GEGEBEN, DIESER ABER SAGT: ICH HABE IHN NICHT ERHALTEN, SO SCHWÖRT DIESER UND ERHÄLT IHN. R. JEHUDA SAGT, NUR WENN EIN TEIL EINGESTANDEN WIRD; WENN ZUM BEISPIEL DIESER ZU IHM SAGT: GIB MIR DIE FÜNFZIG DENAR, DIE ICH BEI DIR HABE, UND JENER SAGT: DU HAST BEREITS EINEN GOLD-DENAR2 Ein Gold-Denar hat 25 Silber-Denar. ERHALTEN.", + "DER BERAUBTE, ZUM BEISPIEL: WENN ZEUGEN BEKUNDEN, DASS ER UNBEFUGT IN SEIN HAÜS EINGETRETEN IST, UM IHN ZU PFÄNDEN, UND DIESER SAGT: DU HAST MEINE GERÄTE MITGENOMMEN, JENER ABER SAGT: ICH HABE NICHTS MITGENOMMEN, SO SCHWÖRT DIESER UND ERHÄLT BEZAHLUNG. R. JEHUDA SAGT, NUR WENN EIN TEIL EINGESTANDEN WIRD; WENN ZUM BEISPIEL DIESER SAGT: DU HAST ZWEI GERÄTE GENOMMEN, UND JENER SAGT: ICH HABE NUR EINES GENOMMEN.", + "DER VERWUNDETE, ZUM BEISPIEL: WENN ZEUGEN BEKUNDEN, DASS ER BEI IHM UNVERSEHRT HINEINGEGANGEN UND VERWUNDET HERAUSGEKOMMEN IST, UND DIESER SAGT: DU HAST MICH VERWUNDET, JENER ABER SAGT: ICH HABE DICH NICHT VERWUNDET, SO SCHWÖRT DIESER UND ERHÄLT ENTSCHÄDIGUNG. R. JEHUDA SAGT, NUR WENN EIN TEIL EINGESTANDEN WIRD, WENN ZUM BEISPIEL DIESER SAGT: DU HAST MIR ZWEI WUNDEN BEIGEBRACHT, UND JENER SAGT: ICH HABE DIR NUR EINE WUNDE BEIGEBRACHT.", + "DESSEN GEGNER EIDESVERDÄCHTIG IST, ZUM BEISPIEL: WENN ER3 Der Beklagte. HINSICHTLICH EINES ZEUGNISEIDES ODER EINES DEPOSITENEIDES ODER SOGAR EINES NICHTIGKEITSSCHWURES VERDÄCHTIG IST, ODER ER WÜRFELSPIELER, WUCHERER, TAUBENFLIEGENLASSER4 Cf. Syn Fol. 25a. ODER SIEBENTJAHRSFRUCHT-HÄNDLER5 Cf. Syn. Fol. 25b. IST, SO SCHWÖRT SEIN GEGNER UND ERHÄLT BEZAHLUNG. SIND BEIDE EIDESVERDÄCHTIG, SO KEHRT DER EID ZU SEINER URSPRÜNGLICHEN STELLE ZURÜCK – so R. JOSE; R. MEÍR SAGT, SIE TEILEN.", + "DER KRÄMER AUF GRUND SEINER KLADDE, ZUM BEISPIEL: NICHT ETWA, WENN ER SAGT: IN MEINER KLADDE STEHT GESCHRIEBEN, DASS DU MIR ZWEIHUNDERT ZUZ SCHULDEST, SONDERN, WENN JENER ZU IHM GESAGT HATTE: GIB MEINEM SOHNE ZWEI SEA͑ WEIZEN, GIB MEINEN ARBEITERN FÜR EINEN SELA͑ MÜNZE, UND DIESER SAGT: ICH HABE GEGEBEN, JENE ABER SAGEN: WIR HABEN NICHTS ERHALTEN, SO SCHWÖRT ER UND ERHÄLT BEZAHLUNG, UND JENE SCHWÖREN UND ERHALTEN SIE EBENFALLS. BEN NANNOS SAGTE: WIESO LASSE MAN BEIDE ZU EINEM MEINEIDE KOMMEN6 Dh. wieso sollte man es zulassen, daß durch das Schwören beider Parteien ein Meineid geleistet werde.!? VIELMEHR ERHÄLT SIE DIESER OHNE EID, UND JENE ERHALTEN SIE EBENFALLS OHNE EID.", + "WENN JEMAND ZU EINEM KRÄMER SAGTE: GIB MIR FÜR EINEN DENAR FRÜCHTE, UND ER SIE IHM GEGEBEN HAT, UND ALS DIESER DARAUF ZU IHM SAGTE: GIB MIR DEN DENAR, JENER IHM ERWIDERT: ICH HABE IHN DIR BEREITS GEGEBEN, UND DU HAST IHN IN DIE GELDKASSE GELEGT, SO SCHWÖRT DER HAUSHERR7 Dieser Ausdruck wird im T. überall als Ggs. zum Handwerker, Kaufmann, Arbeiter gebraucht., DASS ER IHM DEN DENAR GEGEBEN HAT. WENN ER ZU IHM8 Nachdem er ihm das Geld gegeben hat. SAGT: GIB MIR DIE FRÜCHTE, UND DIESER IHM ERWIDERT: ICH HABE SIE DIR GEGEBEN, UND DU HAST SIE NACH DEINER WOHNUNG GEBRACHT, SO SCHWÖRT DER KRÄMER. R. JEHUDA SAGT, WER DIE FRÜCHTE IN HÄNDEN HAT, HAT DIE OBERHAND9 Der Hausherr braucht also (im 1. Falle) nicht zu schwören.. WENN JEMAND ZU EINEM WECHSLER SAGTE: GIB MIR FÜR EINEN DENAR MÜNZE, UND ER SIE IHM GEGEBEN HAT, UND ALS DIESER DARAUF ZU IHM SAGTE: GIB MIR DEN DENAR, JENER IHM ERWIDERT, ICH HABE IHN DIR BEREITS GEGEBEN, UND DU HAST IHN IN DIE GELDICASSE GELEGT, SO SCHWÖRT DER HAUSHERR; WENN ER IHM ABER DEN DENAR GEGEBEN HAT, UND ALS JENER DARAUF ZU IHM SAGT: GIB MIR DAS KLEINGELD, DIESER IHM ERWIDERT: ICH HABE ES DIR BEREITS GEGEBEN, UND DU HAST ES IN DEINE TASCHE GELEGT, SO SCHWÖRT DER WECHSLER. R. JEHUDA SAGT, EIN WECHSLER PFLEGE NICHT EINEN ASSAR ZU GEBEN, BEVOR ER DEN DENAR erhalten hat.", + "WIE SIE AUCH GESAGT HABEN, WENN EINE FRAU IHRE MORGENGABE REDUZIERT10 Wenn sie zugibt, einen Teil derselben erhalten zu haben; cf. Ket. Fol. 87a., SEI SIE NUR GEGEN EID AUSZUZAHLEN; WENN EIN EINZELNER ZEUGE BEKUNDET, SIE SEI BEZAHLT, SEI SIE NUR GEGEN EID AUSZUZAHLEN; VON BELASTETEN GÜTERN UND VON GÜTERN DER WAISEN SEI SIE NUR GEGEN EID AUSZUZAHLEN; WENN SIE SIE IN SEINER11 Ihres geschiedenen Ehemannes.ABWESENHEIT AUSBEZAHLT HABEN WILL, SEI SIE NUR GEGEN EID AUSZUZAHLEN. FERNER KÖNNEN AUCH WAISEN NUR GEGEN EID BEZAHLUNG ERHALTEN, SIE SPRECHEN: EIN SCHWUR, DASS UNSER VATER UNS NICHT HINTERLASSEN HAT, DASS ER UNS NICHT GESAGT HAT, UND DASS WIR UNTER SEINEN SCHRIFTEN NICHT GEFUNDEN HABEN, DASS DIESER SCHULDSCHEIN BEZAHLT IST. R. JOḤANAN B. BEROOA SAGTE: SELBST WENN DER SOHN NACH DEM TODE DES VATERS GEBOREN WURDE, MUSS ER SCHWÖREN UND ERHÄLT ERST DANN BEZAHLUNG. R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGTE: SIND ZEUGEN VORHANDEN, DASS DER VATER VOR SEINEM TODE GESAGT HAT, DIESER SCHULDSCHEIN SET NICHT BEZAHLT, SO ERHÄLT ER BEZAHLUNG OHNE EID.", + "FOLGENDE SCHWÖREN, OHNE DASS AN SIE EINE FORDERUNG12 Sc. eine präzisierte; cf. infra Fol. 48b.GESTELLT WIRD: GEMEINSCHAFTER, TEILPÄCHTER, VORMUNDE, EINE FRAU, DIE IM HAUSE DAS GESCHÄFT13 Die der Ehemann dazu bevollmächtigt hat.FÜHRT, UND EIN HAUSFAKTOTUM. SAGT DIESER14 Einer der hier genannten Personen zum Kläger.ZU IHM: WAS VERLANGST DU VON MIR, UND ERWIDERT JENER: ICH WILL, DASS DU MIR EINEN EID LEISTEN SOLLST, SO IST ER SCHULDIG. HABEN DIE GEMEINSCHAFTER UND DIE TEILPÄCHTER BEREITS GETEILT, SO KANN ER IHM KEINEN EID MEHR ZUSCHIEBEN; HAT ER ABER EINEN EID WEGEN EINER ANDEREN SACHE ZU LEISTEN, SO WIRD ER IHM AUCH WEGEN DIESER ZUGESCHOBEN15 Vgl. S. 327 Anm. 50.. DAS ERLASSJAHR ERWIRKT AUCH DIE ERLASSUNG DES EIDES16 Bei präzisierten Geldforderungen.." + ], + [ + "ES GIBT VIELERLEI HÜTER1 Cf. Ex. 22,6ff.: DER UNENTGELTLICHE Hüter, DER ENTLEIHER, DER LOHNHÜTER UND DER MIETER. DER UNENTGELTLICHE HÜTER KANN IN ALLEN FÄLLEN2 Er ist selbst bei Verlust oder Diebstahl nicht ersatzpflichtig, obgleich bei sorgsamer Behandlung dies vermieden werden könnte. SCHWÖREN, DER ENTLEIHER MUSS IN ALLEN FÄLLEN3 Selbst bei einem unabwendbaren Unfälle. BEZAHLEN, DER LOHNHÜTER UND DER MIETER KÖNNEN SCHWÖREN, WENN DAS ANVERTRAUTE Vieh EINEN BRUCH ERLITTEN HAT, GEFANGEN WORDEN ODER VERENDET IST, UND MÜSSEN BEZAHLEN BEI ABHANDENKOMMEN UND DIEBSTAHL.", + "EMAND ZU EINEM UNENTGELTLICHEN HÜTER SAGTE: WO IST MEIN OCHS, UND DIESER IHM ERWIDERTE, ER SEI VERENDET, WÄHREND ER TATSÄCHLICH EINEN BRUCH ERLITTEN HAT, GEFANGEN WORDEN, GESTOHLEN WORDEN ODER ABHANDEN GEKOMMEN IST, ODER ER ERWIDERTE, ER HABE EINEN BRUCH ERLITTEN, WÄHREND ER TATSÄCHLICH VERENDET IST, GEFANGEN WORDEN, GESTOHLEN WORDEN ODER ABHANDEN GEKOMMEN IST, ODER ER ERWIDERTE, ER SEI GEFANGEN WORDEN, WÄHREND ER TATSÄCHLICH VERENDET IST, EINEN BRUCH ERLITTEN HAT, GESTOHLEN WORDEN ODER ABHANDEN GEKOMMEN IST, ODER ER ERWIDERTE, ER SEI GESTOHLEN WORDEN, WÄHREND ER TATSÄCHLICH VERENDET IST, EINEN BRUCH ERLITTEN HAT, GEFANGEN WORDEN ODER ABHANDEN GEKOMMEN IST, ODER ER ERWIDERTE, ER SEI ABHANDEN GEKOMMEN, WÄHREND ER TATSÄCHLICH VERENDET IST, EINEN BRUCH ERLITTEN HAT, GEFANGEN ODER GESTOHLEN WORDEN IST, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, SO IST ER FREI.", + "WENN ER ZU IHM SAGTE: WO IST MEIN OCHS, UND DIESER ERWIDERTE: ICH VERSTEHE NICHT4 Er tut so, als wüßte er von nichts., WAS DU SPRICHST, WÄHREND ER TATSÄCHLICH VERENDET IST, EINEN BRUCH ERLITTEN HAT, GEFANGEN WORDEN, GESTOHLEN WORDEN ODER ABHANDEN GEKOMMEN IST, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE I ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, SO IST ER FREI. WENN ER ZU IHM SAGTE: WO IST MEIN OCHS, UND DIESER IHM ERWIDERTE: ER IST ABHANDEN GEKOMMEN, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, UND ZEUGEN BEKUNDEN, DASS ER IHN VERZEHRT HAT, SO MUSS ER DEN STAMMBETRAG BEZAHLEN; GESTEHT ER DIES VON SELBST EIN, SO MUSS ER DEN STAMMBETRAG UND EIN FÜNFTEL5 Cf. Ley. 20ff. BEZAHLEN UND EIN SCHULDOPFER DARBRINGEN. WENN ER ZU IHM SAGTE: WO IST MEIN OCHS UND DIESER IHM ERWIDERTE: ER IST GESTOHLEN WORDEN, UND ALS ER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, UND ZEUGEN BEKUNDEN, DASS ER IHN GESTOHLEN HAT, SO MUSS ER DAS DOPPELTE6 Er tritt an Stelle des angeblichen Diebes, der das Doppelte zu bezahlen hätte. BEZAHLEN; GESTEHT ER ES VON SELBST EIN, SO MUSS ER DEN STAMMBETRAG UND EIN FÜNFTEL BEZAHLEN UND EIN SCHULDOPFER DARBRINGEN.", + "WENN JEMAND ZU EINEM VON DER STRASSE SAGT: WO IST MEIN OCHS, DEN DU GESTOHLEN HAST, UND DIESER IHM ERWIDERT: ICH HABE IHN NICHT GESTOHLEN, UND ZEUGEN BEKUNDEN, DASS ER IHN GESTOHLEN HAT, SO MUSS ER DAS DOPPELTE BE- ZAHLEN; HAT ER IHN GESCHLACHTET ODER VERKAUFT, SO MUSS ER DAS VIER- ODER FÜNFFACHE7 Cf. Ex. 21,37. BEZAHLEN. WENN ER, ALS ER DIE ZEUGEN SICH ANSCHICKEN UND KOMMEN SAH, SAGT: ICH HABE IHN GESTOHLEN, JEDOCH NICHT GESCHLACHTET ODER VERKAUFT, SO MUSS ER NUR DEN STAMMBETRAG BEZAHLEN8 Obgleich er ihn geschlachtet od. Verkauft hat, da mit dem Fortfalle des Doppelten auch das Vier- oder Fünffache fortfällt; cf. supra Fol. 42b..", + "WENN JEMAND ZU EINEM ENTLEIHER SAGTE: WO IST MEIN OCHSUND DIESER IHM ERWIDERTE, ER SEI VERENDET, WÄHREND ER TATSÄCHLICH EINEN BRUCH ERLITTEN HAT, GEFANGEN WORDEN, GESTOHLEN WORDEN ODER ABHANDEN GEKOMMEN IST, ODER ER ERWIDERTE, ER HABE EINEN BRÜCH ERLITTEN, WÄHREND ER TATSÄCHLICH VERENDET, GEFANGEN WORDEN, GESTOHLEN WORDEN ODER ABHANDEN GEKOMMEN IST, ODER ER ERWIDERTE, ER SEI GEFANGEN WORDEN, WÄHREND ER TATSÄCHLICH VERENDET IST, EINEN BRUCH ERLITTEN HAT, GESTOHLEN WORDEN ODER ABHANDEN GEKOMMEN IST, ODER ER ERWIDERTE, ER SEI GESTOHLEN WORDEN, WÄHREND ER TATSÄCHLICH VERENDET IST, EINEN BRUCH ERLITTEN HAT, GEFANGEN WORDEN ODER ABHANDEN GEKOMMEN IST, ODER ER ERWIDERTE, ER SEI ABHANDEN GEKOMMEN, WÄHREND ER TATSÄCHLICH VERENDET IST, EINEN BRUCH ERLITTEN HAT, GEFANGEN WORDEN ODER GESTOHLEN WORDEN IST, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMEN’ SAGTE, SO IST ER FREI.", + "WENN ER ZU IHM SAGTE: WO IST MEIN OCHS, UND DIESER IHM ERWIDERTE: ICH VERSTEHE NICHT, WAS DU SPRICHST, WÄHREND ER TATSÄCHLICH VERENDET IST, EINEN BRUCH ERLITTEN HAT, GEFANGEN WORDEN, GESTOHLEN WORDEN ODER ABHANDEN GEKOMMEN IST, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMEN’ SAGTE, SO IST ER SCHULDIG. WENN JEMAND ZU EINEM LOHNHÜTER ODER EINEM MIETER SAGTE: WO IST MEIN OCHS, UND DIESER IHM ERWIDERTE, ER SEI VERENDET, WÄHREND ER TATSÄCHLICH EINEN BRÜCH ERLITTEN HAT ODER GEFANGEN WORDEN IST, ODER ER ERWIDERTE, ER HABE EINEN BRUCH ERLITTEN, WÄHREND ER TATSÄCHLICH VERENDET ODER GEFANGEN WORDEN IST, ODER ER ERWIDERTE, ER SEI GEFANGEN WORDEN, WÄHREND ER TATSÄCHLICH VERENDET IST ODER EINEN BRUCH ERLITTEN HAT, ODER ER ERWIDERTE, ER SEI GESTOHLEN WORDEN, WÄHREND ER TATSÄCHLICH ABHANDEN GEKOMMEN IST, ODER ER ERWIDERTE, ER SEI ABHANDEN GEKOMMEN, WÄHREND ER TATSÄCHLICH GESTOHLEN WORDEN IST, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ’AMENSAGTE, SO IST ER FREI. WENN ER ERWIDERTE, ER SEI VERENDET, HABE EINEN BRUCH ERLITTEN ODER SEI GEFANGEN WORDEN, WÄHREND ER TATSÄCHLICH GESTOHLEN WORDEN ODER ABHANDEN GEKOMMEN IST, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, SO IST ER SCHULDIG. WENN ER ERWIDERTE, ER SEI ABHANDEN GEKOMMEN ODER GESTOHLEN WORDEN, WÄHREND ER TATSÄCHLICH VERENDET IST, EINEN BRUCH ERLITTEN HAT ODER GEFANGEN WORDEN IST, UND ALS JENER IHM ENTGEGNETE: ICH BESCHWÖRE DICH, ER ‘AMENSAGTE, SO IST ER FREI. DLE REGEL HIERBEI IST: WER STATT EINES FALLES, WEGEN DESSEN ER SCHULDIG IST, EINEN FALL, WEGEN DESSEN ER SCHULDIG IST, ODER STATT EINES FALLES, WEGEN DESSEN ER FREI IST, EINEN FALL, WEGEN DESSEN ER FREI IST, ODER STATT EINES FALLES, WEGEN DESSEN ER FREI IST, EINEN FALL, WEGEN DESSEN ER SCHULDIG IST, ANGIBT, IST FREI; WENN STATT EINES FALLES, WEGEN DESSEN ER SCHULDIG IST, EINEN FALL, WEGEN DESSEN ER FREI IST, SO IST ER SCHULDIG. DIE REGEL9 Eine der beiden Regeln ist überflüssig; tatsächlich fehlt in manchen Texten die erste u. in manchen die zweite. HIERBEI IST I WER DURCH SEIN SCHWÖREN SICH EINE ERLEICHTERUNG VERSCHAFFT, IST SCHULDIG; WER DURCH SEIN SCHWÖREN SICH EINE ERSCHWERUNG VERSCHAFFT, IST FREI." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/The Mishna with Obadiah Bartenura by Rabbi Shraga Silverstein.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/The Mishna with Obadiah Bartenura by Rabbi Shraga Silverstein.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..e73aee573eebf2b7b7c094241c13392d4ba6db79 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/The Mishna with Obadiah Bartenura by Rabbi Shraga Silverstein.json @@ -0,0 +1,104 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Shevuot", + "versionSource": "http://www.sefaria.org/shraga-silverstein", + "versionTitle": "The Mishna with Obadiah Bartenura by Rabbi Shraga Silverstein", + "status": "locked", + "license": "CC-BY", + "versionNotes": "To enhance the quality of this text, obvious translation errors were corrected in accordance with the Hebrew source", + "versionTitleInHebrew": "המשנה עם פירושי רבי עובדיה מברטנורא, רבי שרגא זילברשטיין", + "versionNotesInHebrew": "כדי לשפר את איכות הטקסט הזה, שונו שגיאות תרגום ברורות בהתאם למקור העברי", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה שבועות", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "\tOaths are two [i.e., Two are explicitly written in the Torah, viz. (Leviticus 5:4): \"Or if a soul swear, to pronounce with the lips, to do ill or to do good\": \"I shall eat\" — to do good; \"I shall not eat\" — to do ill, to deprive himself. The same applies with all things to be done or not to be done in the future, \"to do ill or to do good\" connoting the future.], which are four. [Another two, which are not written, are to be added: having done or not done in the past, e.g., \"I ate\" (when he did not eat); \"I did not eat\" (when he did eat)]. Awarenesses of uncleanliness [(Leviticus 5:2): \"Or if a soul touch any unclean thing,\" in respect to defiling the sanctuary and its sanctified objects] are two [Two are explicitly written (Ibid.): \"And it be hidden from him, and he is unclean,\" the implication being that his uncleanliness is \"hidden\" from him, for which reason he eats sanctified flesh — one; or enters the sanctuary — two], which are four. [Another two liabilities are to be added: \"hiddenness\" of sanctified flesh, and \"hiddenness\" of the sanctuary, when he is aware that he is unclean.] The yetzioth (forbidden acts of carrying) of Shabbath are two, which are four. [Carrying from the private to the public domain is derived from (Exodus 36:6): \"And Moses commanded and they passed a call through the camp, saying, etc.\" — Do not carry out from the private to the public domain. (\"two\":) one, for the man standing outside, who puts his hand inside, takes an object, and places it outside; and one for the man standing inside, who takes an object from its place and puts it outside. (\"which are four\":) There are to be added another two for placing inside, even though they are not written. For just as Scripture interdicted (transfer from) one domain to another by way of carrying out, so it interdicted placing within; one, for a man standing inside, stretching his hand outside, taking an object, and bringing it inside, and one for a man standing outside, taking an object from its place, and putting it down inside.] Observations of plague-spots are two [Two are explicitly written (Leviticus 13:2): \"se'eth\" and \"bahereth\"], which are four [the toldah (derivative) of se'eth and the toldah of bahereth, which are not explicitly written.]", + "\tWherever there is awareness in the beginning, awareness in the end, and hiddenness in the middle, there is oleh veyored (\"sliding scale\") liability. [(\"Wherever there is awareness, etc.\":) This refers to \"Awarenesses of uncleanliness\" (above). Since their provisions are few, they are adduced first, after which oaths are adduced, their provisions being many. And the yetzioth (of Shabbath) and observations (of plague-spots) are treated individually in their respective tractates, for which reason they are not discussed here. They are included here (above) only because they are similar to the others in being \"two which are four.\" (\"awareness in the beginning\":) awareness that he has become unclean. (\"awareness in the end\":) After eating the sanctified food in \"hiddenness\" or entering the sanctuary in \"hiddenness\" and leaving, it becomes known to him that he ate or entered in uncleanliness. (\"and hiddenness in the middle\":) When he eats the sanctified food, his uncleanliness or its being sanctified food is hidden from him. Or he enters the sanctuary, and his uncleanliness or its being the sanctuary is hidden from him. (\"oleh veyored liability\":) \"oleh\" (\"rising\") for a rich man; \"yored\" (\"descending\") for a poor man. A rich man brings a beast sin-offering, and a poor man, a bird sin-offering; and the poorest of the poor, a tenth of an ephah (of flour), the \"sinner's meal-offering\" mentioned in many places.] Where there is awareness in the beginning and not at the end, the he-goat [of Yom Kippur] which is presented within [i.e., whose blood is presented within (the holy of holies)] and Yom Kippur suspend (his judgment) [protecting him from affliction] until he becomes aware [of having eaten sanctified food in a state of uncleanliness], whereupon he brings an oleh veyored offering.", + "\tIf there were no awareness in the beginning [(i.e., If he never knew of this uncleanliness, this never becomes subject to an offering, an offering obtaining only where there was awareness in the beginning)], but there was awareness in the end, the kid presented outside [on the outer altar, with the additional Yom Kippur offerings] and Yom Kippur [itself] atone [with the kid], it being written (Numbers 29:11): \"…aside from the offering of atonement.\" Whatever the latter atones for, the former atones for. Just as the inner (altar sacrifice, \"the latter\") atones only where there was awareness, so the outer (altar sacrifice, \"the former\") atones only where there was awareness. [It is written of the kid presented outside: \"One kid of goats as a sin-offering, aside from the sin-offering of atonement.\" The sin-offering of atonement is the kid presented within. Scripture likens them to teach us that what one atones for, the other atones for, viz.: Just as the inner is presented only where there was awareness, (in that instance,) awareness in the beginning, as derived from (Leviticus 16:16): \"…for all of their sins,\" the implication being: for all that would be subject to a sin-offering if there were awareness at the end; and there is no sin-offering without awareness in the beginning — so the kid presented outside does not atone unless there was awareness, (in this instance,) awareness at the end, but not in the beginning, where it would never be subject to a sin-offering. And this atonement is absolute, without \"suspension\" (see 1:2)].", + "\tAnd where there is no awareness, neither in the beginning nor in the end, the kids of the festivals [(Kids for sin-offerings are prescribed for the additional (mussaf) offerings of all the festivals)] and the kids of Rosh Chodesh atone, [it being written in respect to the kid of Rosh Chodesh (Numbers 28:15): \"as a sin-offering to the L rd\" — For a sin that only the L rd knows of, this kid atones. That is, where there is awareness neither in the beginning nor in the end. And the kids of the festivals are derived by identity from the kid of Rosh Chodesh. For \"kid\" could have been written in respect to all the festivals, and it is written (in respect to the festivals) \"and a kid,\" to add to what precedes (i.e., the kid of Rosh Chodesh), to liken them, i.e., These atone for the same thing that the first atones for.] These are the words of R. Yehudah. R. Shimon says: The kids of the festivals atone (for non-awareness in the beginning and in the end), but not the Rosh Chodesh kids. And for what do the kids of Rosh Chodesh atone? For a tahor (one who is clean) eating (unwittingly) something unclean. R. Meir says: The atonement of all of the kids is the same, (all atoning for) defiling the sanctuary and its holy objects. [All of the additional kids, whether the kids of the festivals, or the kid of Rosh Chodesh, or the kid presented outside on Yom Kippur — their atonement is the same. They atone both for unawareness in the beginning and awareness in the end, unawareness neither in the beginning nor in the end, and for a tahor eating something unclean. The (only) difference is in respect to uncleanliness occurring between one (offering) and the other. But as regards the kid presented inside on Yom Kippur, all agree that it \"suspends\" where there is awareness in the beginning but not at the end, as stated.] R. Shimon was wont to say: The kids of Rosh Chodesh atone for a tahor eating something unclean; those of the festivals atone for unawareness neither in the beginning nor in the end; and that of Yom Kippur, for awareness in the beginning, but not in the end. [This is repeated for the sake of what follows, viz.: \"They asked him, etc.\"] They asked him: May this be offered up for the other? [If the kid designated for Yom Kippur were lost, and atonement was made with another, and the first were found on a festival or on Rosh Chodesh, may it be used as the kid offering of the day?] He answered: They may be offered. They asked him: But if their atonement is not the same, how can one be substituted for the other? [R. Meir asks this of R. Shimon: If you grant that their atonement is the same, he can do so, for they all effect the same atonement. But, according to you, this one (the kid of Yom Kippur), which was designated to atone for unawareness in the beginning and awareness in the end — how can it be offered on the festival to atone for unawareness both in the beginning and in the end? Or on Rosh Chodesh, to atone for a tahor eating something unclean?] He answered: They all come to atone for defiling the sanctuary and its objects. [And since they are the same in this respect, even though there are differences in the type of atonement, it may be substituted.]", + "\tR. Shimon b. Yehudah said in his [R. Shimon's] name [\"R. Shimon,\" unqualified, is R. Shimon b. Yochai]: The kids of Rosh Chodesh atone for a tahor eating something unclean. Over and above them are those of the festivals, which atone for a tahor eating something unclean and for unawareness in the beginning and in the end. Over and above them are those of Yom Kippur, which atone for a tahor eating something unclean, for unawareness in the beginning and in the end, and for unawareness in the beginning and awareness in the end. They asked him: May this be offered up for the other? He answered: Yes. They asked: If so, let those of Yom Kippur be offered on Rosh Chodesh; but how can those of Rosh Chodesh be offered on Yom Kippur for an atonement which is not of their kinds? (see 1:4) He answered: They all come to atone for defiling the sanctuary and its objects.", + "\tAnd for willful defiling of the sanctuary and its sanctified objects [(This is a generic teaching)], the kid presented within and Yom Kippur atone, [it being written (Leviticus 16:16): \"and from their offenses for all of their sins.\" \"offenses\" (peshaim) — these are acts of rebellion.] And for the other transgressions of the Torah: light and stringent, willful and unwitting, known and unknown, positive commandment and negative commandment, krithoth and judicial death penalties, the sent-away kid atones. [The Gemara explains the entire Mishnah thus: whether light or stringent; whether he transgressed willfully or unwittingly; (Of those which he transgressed unwittingly,) whether their doubtful status was known to him or unknown to him (e.g., whether it was known or not known to him that it might be forbidden fat and he ate it). Which are the \"light\"? Positive and negative commandments. Which are the \"stringent\"? Those punishable by krithuth (cutting-off) and by judicial death penalty.]", + "\tBoth Israelites, Cohanim, and the anointed priest (i.e., the high-priest) [are atoned for by the sent-away kid for the other transgressions (see above), there being no difference between them.] It is just that the blood of the bullock atones for the Cohanim for defiling of the sanctuary and of its sanctified objects. [i.e., Whatever the inner kid (of Yom Kippur) atones for on behalf of Israelites, i.e., suspending judgment for Israelites where there is awareness in the beginning but not at the end, and willful defiling of the sanctuary and its objects — likewise, whatever the outer kid atones for (on behalf of Israelites) — the bullock of the high-priest sacrificed on Yom Kippur atones for on behalf of the Cohanim.] R. Shimon says: Just as the blood of the kid presented within atones for Israel, so, the blood of the bullock atones for Cohanim. Just as the confession over the sent-away kid atones for Israel, so the confession over the bullock atones for the Cohanim. [i.e., You concede that the blood of the inner kid atones for Israel without confession, there being no confession over the inner kid, but over the sent-away kid — so the blood of the bullock atones for the Cohanim, without any confession, for defiling of the sanctuary and its objects, leaving the confession over the bullock (in place of the confession over the sent-away kid) to atone on behalf of the Cohanim for the other transgressions, and they have no atonement through the sent-away kid.]" + ], + [ + "\tAwarenesses of uncleanliness are two, which are four. If he became unclean and knew [that he was unclean, at the time of contact or afterwards], and the uncleanliness was (afterwards) hidden from him, and he remembered the sanctity, [and because of that \"hiddenness\" (of the uncleanliness) he ate sanctified food — one; or entered the sanctuary — two. These are the two that are written. (Leviticus 5:2): \"And it be hidden from him and he is unclean\" implies that the uncleanliness is hidden from him. And because he is not liable unless he is aware in the beginning that he became unclean, after which it was hidden from him, we have \"awarenesses.\"] If the sanctity were hidden from him [i.e., the fact of its being sanctified food or the fact of its being the sanctuary, and he ate the one or entered the other], and he remembered his uncleanliness [—These are the two others, which are not written.] If both were hidden from him and he ate sanctified food unawares, and after he ate he became aware, he is liable for an oleh veyored offering. [This is not part of the number. We are just being apprised that even though when he ate the sanctified food or entered the sanctuary he remembered neither the uncleanliness nor the sanctuary, he is liable for an oleh veyored offering.] If he became unclean and knew it, and the uncleanliness was hidden from him, and he remembered the sanctuary; if the sanctuary were hidden from him, and he remembered his uncleanliness; if both were hidden from him, and he entered the sanctuary unawares, and when he left he became aware, he is liable for an oleh veyored offering.", + "\t(He is liable for the offering) whether he enters the azarah [the first Temple court] or its [later]addition; for no addition is made to the city and to the azaroth without authorization [(for which reason it is sanctified as the first)] of the king, the prophet, the urim vetumim, the sanhedrin of seventy-one, the two thank-offerings, and song. The beth-din go, and the two thank-offerings behind them, and all of Israel behind them. The inner is eaten, and the outer burned. And if all of these do not obtain, if one enters there (in a state of uncleanliness), he is not liable (for an oleh veyored offering). [(\"with a king\":) it being written (Exodus 25:9): \"According to all that I show you: the form of the tabernacle, and the form of all its vessels, and thus shall you do.\" This (\"and thus shall you do\") is a superfluous verse, to be expounded as relating to future generations. And in the days of Moses, he was the king and the prophet, and his brother, the high-priest. And there were also the urim vetumim and the seventy elders — and thus for future generations. (\"two thank-offerings\":) two breads of thanksgiving. They would carry them in a circle until the end of the sanctified bound, where the first would be eaten, and the second burned. This is derived from (the rite of) Nechemiah ben Chachalyah, viz. (Nechemiah 12:31): \"Then I presented two great thanksgivings.\" (\"song\":) they would chant (Psalms 30) \"I shall extol You, O L rd, for You have uplifted me.\" And in the second Temple, even though there was neither king nor urim vetumim, the original sanctification of the Temple by Solomon \"took\" for its time and for the future, and what Nechemiah did was by way of commemoration alone.] And all (additions) that were made without all these (ceremonies) — If one (who were tamei) entered there, they (beth-din or the anointed high-priest as the case may be) are not liable (for a bullock of forgetfulness.)", + "\tIf one became unclean in the azarah [and knew that he had become unclean], and his uncleanliness became \"hidden\" from him, and he remembered (that it was) the sanctuary; or if the sanctuary became \"hidden\" to him, and he remembered his uncleanliness; or if both became hidden from him, and he bowed down [in this interval of hiddenness towards the inside, even if he did not wait], or if he waited the amount of time for bowing down, [i.e., or if he bowed down towards the outside; this, if he waited the amount of time for bowing down, that being the amount of time it takes one to recite the following verse at moderate speed (II Chronicles 7:3): \"And they kneeled down with their faces to the ground upon the pavement and prostrated themselves to give thanks to the L rd. For He is good; for His lovingkindness endures forever.\"]; or if he left the long way, [and not the shorter way, even if he did not wait in the beginning], he is liable. And by the shorter way [when he did not bow down or wait], he is not liable. This is a positive commandment in the sanctuary [(Numbers 5:2): \"And they shall send out of the camp … everyone that is unclean\"] for which they [beth-din] are not liable [to offer a \"bullock of forgetfulness.\" That is, if they erred in this and instructed him to leave by the longer way, they do not bring for this mistaken ruling a bullock for forgetfulness of the congregation (see Leviticus 4:14)].", + "\tAnd which is a positive commandment of niddah [comparable to that of the sanctuary, where the uncleanliness occurs after permitted entrance], where they [beth-din] are liable [for a bullock of forgetfulness if they erred in the ruling]? If he were cohabiting with a clean (non-niddah) woman [having \"entered\" permittedly], and she said to him: \"I have become unclean\" [now], and he withdrew immediately [with erect organ], he is liable, for his withdrawal is pleasurable to him as is his entry. [But he should wait without movement until the organ \"dies\" and withdraw when he has lost his erection. This is the positive commandment of niddah.]", + "\tR. Eliezer says (Leviticus 5:2): \"…creeping thing (sheretz) … and it be hidden from him\": He is liable for \"hiddenness\" of creeping thing, and he is not liable for hiddenness of the sanctuary. [It is written: \"…or (if he touch) the carcass of an unclean creeping thing and it be hidden from him.\" This is a superfluous verse, for above it is written: \"Or if a soul touch any unclean thing\" and \"sheretz\" is included in \"unclean thing.\" This is to apprise us that if he knew for a certainty that he had become unclean, but did not know if through a sheretz or though carrion (neveilah), he is not liable for an offering if he ate sanctified food; he must know through which he became unclean.] R. Akiva says: \"…and it be hidden from him and he is unclean\": He is liable for hiddenness of uncleanliness, but he is not liable for hiddenness of the sanctuary. R. Yishmael says: \"and it be hidden\" is written twice (verses 2 and 3), to make one liable for hiddenness of uncleanliness and for hiddenness of sanctuary. [R. Akiva holds that since he knew for a certainty that he had become unclean, even though the specific type of uncleanliness — sheretz or neveilah — is not known to him, he is liable. And both (R. Eliezer and R. Akiva) exempt him for hiddenness of sanctuary, and R. Yishmael holds him liable. The halachah is in accordance with R. Yishmael.]" + ], + [ + "\tOaths are two, which are four: I swear that I shall eat, or that I shall not eat [These are the two which are explicitly written. Viz. (Leviticus 5:4): \"to do ill or to do good,\" implying in the future: I shall not eat — \"to do ill\"; I shall eat — \"to do good.\"]; (I swear) that I have eaten, or that I have not eaten [These are the additional two derived by the sages.] \"I swear that I shall not eat,\" and he ate any amount, he is liable. These are the words of R. Akiva. They asked him: Where do we find that one who eats any amount is liable, that this one should be liable! He countered: And where do we find that one who speaks brings an offering [for breaking his word] that this one should speak and bring an offering! [And since it is because of breaking his word (that he is liable), this, too, is breaking his word. For when one says \"I shall not eat,\" he means any amount.] \"I swear that I shall not eat,\" and he ate and drank, he is liable only for one (offering). [Even though drinking is included in eating, he is liable only for one, for it is as if he eats, and eats again, in one act of forgetfulness.] \"I swear that I shall not eat and that I shall not drink,\" and he ate and drank, he is liable for two. [This constitutes two oaths. And even though when he said \"I shall not eat,\" drinking (too) was forbidden to him, drinking being included in eating, so that when he then said \"I shall not drink,\" there is reason to say that one oath does not \"take\" on another (of the same kind), it is different here. For since he first said \"I shall not eat,\" and then, \"I shall not drink,\" it is made manifest that by \"eat\" he meant eating alone.]", + "\t\"I swear that I shall not eat,\" and he ate a loaf of wheat, and a loaf of barley, and a loaf of spelt, he is liable only for one. \"I swear that I shall not eat a loaf of wheat, and a loaf of barley, and a loaf of spelt,\" and he ate, he is liable for each one. [His repeating \"loaf,\" \"loaf,\" indicates that he intended a distinct oath for each. For if he intended no more than to forbid these kinds to himself and no more, he would have said \"a loaf of wheat, and also of barley, and also of spelt.\"]", + "\t\"I swear that I shall not drink,\" and he drank many (different kinds of) drinks, he is liable only for one. \"I swear that I shall not drink wine, and oil, and honey,\" and he drank, he is liable for each one. [The Gemara construes this as an instance of one's urging him: \"Come and drink with me wine, oil, and honey.\" (If he intended one oath,) he would have said \"I swear I shall not drink with you,\" and no more, the oath applying to what was being urged upon him. Why \"wine, oil, and honey,\" if not to render them distinct?]", + "\t\"I swear that I shall not eat,\" and he ate things which are not fit for eating and drank things which are not fit for drinking, he is not liable. \"I swear that I shall not eat,\" and he ate carrion and treifoth, forbidden animals and reptiles, he is liable. [For they are fit for eating; it is just that the Torah forbids them.] R. Shimon rules not liable. [For he is already besworn (by the Torah) against them. And the dispute between R. Shimon and the first tanna obtains where he includes permitted things with forbidden ones, as where he says \"I swear that I shall not eat slaughtered meat and treifoth.\" The first tanna holds that since the oath \"takes\" with slaughtered meat, it also takes with treifoth, for one prohibition takes effect upon another in the instance of an inclusive prohibition. And R. Shimon holds that it does not. The halachah is not in accordance with R. Shimon.] If one says: \"I bevow my wife benefit from me if I have eaten today,\" and he had eaten carrion and treifoth, forbidden animals and reptiles, his wife is forbidden (to benefit from him). [For he had eaten foods. And even R. Shimon (agrees in this.) For the reason he rules not liable in the first instance is not that they are unfit for eating but because an oath does not take on something forbidden.]", + "\t(He is liable) both for things that relate to himself and for things that relate to others, [as follows: \"I shall give to that man, etc.\"], both for things of substance and for things lacking substance. [Two types are implied: Things like sleeping and things devoid of benefit, e.g. \"I shall throw a stone into the sea.\"] How so? I swear that I shall give that man or that I shall not give. That I have given or that I have not given. That I shall sleep or that I shall not sleep. That I have slept or that I have not slept. That I shall throw a rock into the sea or that I shall not throw. That I have thrown or that I have not thrown. R. Yishmael says: He is liable only for the future, it being written (Leviticus 5:4): \"to do ill or to do good.\" R. Akiva said to him: If so (he should be liable) only for things involving ill or good. Whence do I derive (that he is also liable for) things not involving ill or good? He answered: From the amplification of the verse, [(Ibid.): \"…for all that a man will pronounce.\"] R. Akiva: If the verse was amplified for this (i.e., all things), it was also amplified for that (i.e., to include the past). [The (rationale) of the dispute between R. Akiva and R. Yishmael: In all the Torah, R. Akiva expounds amplification and limitation, and R. Yishmael, general and particular. R. Akiva expounds: \"Or if a soul swear\" — amplification; \"to do ill or to do good\" — limitation; \"for all that a man will pronounce\" — reversion to amplification. Amplification - limitation - amplification — Everything is included. What is included? All past things are included (for oath liability) just as future (things are indicated.) And what is excluded? Oaths involving mitzvoth. And R. Yishmael expounds: \"Or if a soul swear\" — general; \"to do ill or to do good\" — particular; \"for all that a man will pronounce\" — reversion to general. General - particular - general — What is derived must accord with the nature of the particular. Just as the particular is explicitly in future state, so all must be in future state. The halachah is in accordance with R. Akiva.]", + "\tIf one swore to refrain from (the performance of) a mitzvah, but did not do so, he is not liable. If he swore to fulfill it, but did not do so, he is not liable [by reason of an oath of pronouncement, but he is liable by reason of a vain oath.] For according to R. Yehudah b. Betheira he should be liable [by reason of an oath of pronouncement.] (For) R. Yehudah b. Betheira said: Now if with something optional, for which he is not besworn from Mount Sinai, he is liable for it — a mitzvah, for which he is besworn from Mount Sinai, does it not follow that he should be liable for it! They said to him: No, it is so with an oath for something optional, where not doing is equated with doing, [it being written \"to do ill or to do good,\" implying something which may either be done or not done], as opposed to an oath for a mitzvah, where not doing is not equated with doing, so that if he swears to refrain from doing and does not do so, he should not be liable. [The halachah is not in accordance with R. Yehudah.]", + "\t\"I swear that I shall not eat this loaf. I swear that I shall not eat it. I swear that I shall not eat it,\" and he ate it, he is liable only for one. [The reason that he is liable only for one is that the (second) oath does not \"take\" on the first. But if he first said: \"I shall not eat it,\" and then: \"I shall not eat,\" and he ate the whole thing, he is liable for two. For when he says: \"I shall not eat it,\" he is not liable until he eats the whole thing, and when he then says: \"I shall not eat,\" once he eats an olive-size of it, he is liable. Therefore, the second oath takes, and he is liable when he eats an olive-size of it. And when he then eats the whole thing, he is liable by reason of the first oath. (\"I swear that I shall not eat it. I swear that I shall not eat it\":) Even though the second oath, \"I shall not eat it,\" is enough to apprise us that one oath does not \"take\" on the other, the third is still taught to apprise us that even though there is no liability for the latter oaths, they are nonetheless oaths, and not vain words, and if they can \"find a place,\" they take effect. For if a sage absolves him of the first, the second takes effect and it is forbidden to him by reason of the second oath. Likewise, if he is absolved of the first two, the third takes effect. For the sage uproots the vow completely, so that it is as if he had never vowed, and the second \"takes\" retroactively, the first being regarded as non-existent once he has been absolved of it.] This is an oath of pronouncement, where for willful transgression one is liable to stripes, and for unwitting transgression, to an oleh veyored offering. With a vain oath, for willful transgression one is liable to stripes, and for unwitting transgression, he is not liable.", + "\tWhich is a vain oath? Swearing to what is at variance with what is known to man: saying about a pillar of stone that it is gold; about a man, that he is a woman; about a woman, that she is a man. Swearing to the impossible: If I did not see a camel flying in the air. [i.e., Let all the fruits in the world be forbidden to me if I did not see a camel flying in the air] and if I did not see a snake like the beam of the olive press. [i.e., in the shape of the beam of the olive press. For (if he said) as thick as the beam of the olive press, this would not be a vain oath, there being many such.] If he said to witnesses: \"Come and testify for me,\" (and they said:) \"We swear that we will not testify for you,\" (this is a vain oath). [This is negating a mitzvah, for they are obliged to testify, it being written(Leviticus 5:1): \"If he does not tell (i.e., testify), then he shall bear his sin.\"] Swearing not to perform a mitzvah: not to make a succah, not to take a lulav, not to put on tefillin. This is a vain oath, where for willful transgression one is liable to stripes, and where for unwitting transgression, he is not liable.", + "\t\"I swear that I shall eat this loaf. I swear that I shall not eat it,\" the first is an oath of pronouncement; the second, a vain oath. If he eats it, he is in transgression of a vain oath. If he does not eat it, he is in transgression of an oath of pronouncement. [This is the intent: If he eats it, he transgresses a vain oath alone. If he does not eat it, he transgresses an oath of pronouncement as well. For when he swears \"I shall eat this loaf,\" he is obliged to eat it. So that when he then swears \"I shall not eat it,\" he is swearing not to perform a mitzvah, and he receives stripes by reason of a vain oath whether he does or does not eat it. And if he does not eat it, he is liable twice: by reason of a vain oath and by reason of an oath of pronouncement.]", + "\tAn oath of pronouncement obtains with men and with women. [Since it is to be taught (4:1): \"The oath of testimony obtains with men and not with women, etc.\", it is taught that an oath of pronouncement does obtain with all of these.], with non-kin and with kin, [e.g., \"I shall give that man,\" whether non-kin or kin], whether kasher [to testify] or not, both before beth-din and not before beth-din — by his own mouth. [He must utter the oath with his own mouth, but if others beswore him: \"Did you eat or did you not eat?\" and he said \"I did not eat,\" when he did, or the opposite — he is not liable if he did not answer \"Amen.\" And if he did answer \"Amen\" after another beswore him, it is as if he swore himself, and he is liable.] For willful transgression, one is liable to stripes; for unwitting transgression, to an oleh veyored offering.", + "\tA vain oath obtains with men and with women, with non-kin and with kin [e.g., if he swore about a man, whether non-kin or kin, that he is a woman], whether kasher (to testify) or not, both before beth-din and not before beth-din — by his own mouth. For willful transgression, one is liable to stripes; for unwitting transgression, he is not liable. With both [a vain oath and an oath of pronouncement], if he is besworn by others, he is liable [if he answers \"Amen.\"] How so? If he said: \"I did not eat today,\" or \"I did not put on tefillin today,\" (and another said:) \"I beswear you,\" and he answered \"Amen,\" he is liable." + ], + [ + "\tThe oath of testimony obtains with men, and not with women, [it being written (Leviticus 5:1): \"and he is a witness.\" Scripture speaks of one who is fit to testify, and a woman is not fit to testify, it being written (Deuteronomy 19:17): \"Then the two men shall stand\" — men and not women. And that verse speaks of witnesses, it being written there: \"two,\" and elsewhere (Ibid. 14): \"By word of two witnesses.\"], with non-kin, and not with kin, [kin being unfit to testify, it being written (Ibid. 24:16): \"Fathers shall not be put to death by sons\" — by the testimony of sons. And the same applies to the other kin.], with those who are kasher, and not with those who are pasul (\"rejected\"), [such as those liable to the death penalty, those liable to stripes, and robbers, these being called \"evildoers,\" and the Torah writing (Exodus 23:1): \"Do not make an evildoer a witness.\"] And it obtains only with those who are fit to testify, [to exclude a king, who does not testify, and those who are unfit to testify by rabbinic ordinance, such as gamblers and pigeon racers.], before beth-din and not before beth-din by his own mouth [i.e., If he himself says \"I swear that I know of no testimony for you,\" he is liable, whether he swore before beth-din or not before them.] And (if besworn) by others, they are not liable unless they deny (possessing testimony) in beth-din. [e.g., If one says to them: \"I beswear you to come and testify for me,\" and they say: \"We know of no testimony for you,\" they are not liable unless they deny it in beth-din, it being written (Leviticus 5:1): \"If he does not know, he shall bear his sin\" — in a place (beth-din), where if he told, it would avail. And the verse speaks of one who is besworn by others.] These are the words of R. Meir. [The halachah is not in accordance with R. Meir.] The sages say: whether swearing by himself or besworn by others, they are not liable unless they deny it in beth-din.", + "\tAnd they are liable [for an oleh veyored offering] for willfulness in the oath, [\"and it be hidden\" not being written in this connection], and for unwittingness with willfulness in (withholding) testimony, [i.e., where they know that the oath is forbidden, but not that it makes them liable for an offering.] And they are not liable for unwittingness [if they were completely unwitting, assuming that they had no testimony for him, and then remembered. For in that instance they could not help it, and (Leviticus 5:22): \"…and he swear falsely, etc.\" does not apply to them.] And for what are they liable for willfulness in the oath? For an oleh veyored offering.", + "\tThe oath of testimony. How so? If he said to two: \"Come and testify for me\" (and they responded:) \"We swear that we know no testimony for you\"; or if they responded: \"We know no testimony for you,\" (and he said:) \"I beswear you,\" and they said: \"Amen,\" they are liable. If he beswore them five times outside of beth-din, and they came to beth-din and admitted (that they knew testimony), they are not liable, [even if they denied it for every oath outside of beth-din. For denial outside of beth-din is not deemed denial.] If they denied it (in beth-din), they are liable for each one, [it being written (Leviticus 5:5): \"And it shall be, if he be guilty for one of these\" — to make him liable for each one.] If he beswore them five times before beth-din, and they denied it, they are liable only for one. R. Shimon said: Why is it [that they are liable only for one even if they kept silent and denied it at the end? Why do we not say that the denial applies to all of the oaths, to render them liable for each one?] (The answer:) Since [if they denied it in beth-din the first time], they cannot go back and admit it. [i.e., Since they already said that they know no testimony for him, they cannot go back and testify (otherwise), therefore, even though they denied it only at the end, all of the oaths were superfluous, except the first. For if their silence at the first is regarded as denial, it is no longer fit to beswear them; and if it is not regarded as denial, they are already besworn, and the subsequent oaths are \"oaths upon an oath.\" Perforce, then, \"'for one,' to make him liable for each one\" speaks of oaths outside of beth-din and denial in beth-din. For oaths by which he beswears them to come and testify in beth-din are not superfluous and lend themselves to division. For if they denied it there at the first, they could be besworn again.]", + "\tIf both denied it at the same time [i.e., in the same \"speaking span\"], both are liable. (If they denied it) one after the other, [i.e., after the \"speaking span\"], the first is liable, and the second, not. [For since the first denied it (i.e., that he could testify), the second can no longer testify, being only one.] If one of them denied and the other admitted, the denier is liable. If there were two sets of witnesses — If the first denied it and then the second denied it, they are both liable, because the testimony can obtain through both. [The Gemara asks: Why should the first set be liable if there is a second set? What loss did they cause him by their denial? And it answers that our Mishnah is speaking of an instance where the witnesses in the second set were kin through their wives, not being kasher to testify when the second set denied, and their wives were gosesoth (at the point of death). I might think that since the ruling is: \"most gosesim die,\" it is as if they are already dead, and the first set should not be liable, for there is still a second set; we are, therefore, apprised (that this is not so) for now (at the time of the denial) they had not yet died. It is found, then, that only the first set was there at the time of the denial, for which reason they are liable.]", + "\t\"I beswear you if you do not come and testify for me that that man owes me a pledge, and tsometh yad (lit., \"a placing in the hand\") [i.e., a loan, money \"placed in another's hand\"], and (restoration of) theft, and a lost object\" [i.e., He found something that I lost] — (If they say:) \"We swear that we do not know any testimony for you,\" they are liable only for one. (If they say:) \"We swear that we do not know that that man owes you a pledge, and a tsometh yad, and theft, and a lost object,\" they are liable for each one. \"I beswear you if you do not come and testify for me that that man owes me a pledge of wheat, barley, and spelt.\" \"We swear that we do not know any testimony for you,\" they are liable only for one. \"We swear that we do not know testimony for you that that man owes you wheat, and barley, and spelt, they are liable for each one. [The former apprises us of one kind (i.e., money) and distinct claims; the latter, of one claim — a pledge — and distinct kinds.]", + "\t\"I beswear you if you do not come and testify for me that that man owes me damages (or) half-damages\" [half-damages of tzroroth (stones flung from under the feet of walking animals), considered mamon (money, principal,) and not knass.]; \"four and five\" payment, [(beswearing them) by reason of the principal]; that he ravished or seduced my daughter, [(beswearing them) by reason of boseth (\"shame\") and p'gam (\"injury\"), which is monetary payment]; that my son struck me [a blow which did not cause a wound, in which instance there is no death penalty, in the absence of which monetary liability obtains]; and that my neighbor wounded me or that he set fire to my sheaves on Yom Kippur [This is included because even though he incurs kareth, he is still liable to pay] — they are liable (for transgression of the oath of testimony.)", + "\t\"I beswear you if you do not come and testify for me that I am a Cohein, that I am a Levite, that I am not the son of a divorcée, that I am not the son of a chalutzah, that that man is a Cohein, that that man is a Levite, that he is not the son of a divorcée, that he is not the son of a chalutzah,\" [they are not liable. For the witnesses are not liable unless they deny (knowing testimony) concerning something involving a monetary claim.], \"that that man ravished or seduced that man's daughter\" [\"his daughter\" refers to \"that man is a Cohein, etc.\" (above). Or it may refer to the daughter of the man spoken of until now. They are not liable because it is necessary that they (the witnesses) hear it from the claimant. The Gemara construes this as an instance of one's coming with power of attorney (harsha'ah). If it were a claim for other monies, they would be liable. We are here apprised that the one granted the harsha'ah is not regarded as the claimant himself here as he generally is. For since the monies being claimed were never in his (the claimant's) hand, he cannot write a harsha'ah upon them.], \"that my son wounded me\" [They are not liable, for if they testified, he would be liable to death and not to monetary payment], or \"that my neighbor wounded me or set fire to my sheaves on Shabbath,\" they are not liable [For both are liable to death and not to monetary payment.]", + "\t\"I beswear you if you do not come and testify for me that that man said he would give me two hundred zuz, and he did not,\" they are not liable. For they are liable only for a claim of money like a pledge, [it being written in respect to the oath of testimony (Leviticus 5:1): \"sin,\" and, in respect to the oath over a pledge, \"sin.\" Just as the oath over a pledge is for a claim of money owed him, so the oath of testimony must be for a claim of money owed him. And the above is not such a claim. For even if the other did say that he would give him two hundred zuz, this does not make him liable to do so.]", + "\t\"I beswear you that when you know testimony for me you come and testify for me,\" they are not liable, for (in such an instance) the oath precedes the testimony, [whereas the Torah states (Leviticus 5:1): \"…and he hear the voice of a curse (i.e., the oath) and he saw or knew, etc.\", the witnessing preceding the oath, and not the oath preceding the witnessing.]", + "\tIf he stood up in the house of prayer and said (to the congregation): \"I beswear you that if you know testimony for me, you come and testify for me,\" they are not liable, until he designates them, [it being written (Leviticus 5:1): \"…and he be a witness\" — he must designate his witnesses.]", + "\tIf he said to two: \"I beswear you and you, if you know testimony for me, that you come and testify for me.\" (They:) \"We swear that we do not know testimony for you\" — and they do know testimony for him, one witness by way of another — or if one of them were kin or pasul (unfit to testify) — they are not liable. [For if they did testify, their testimony would avail him naught.]", + "\tIf one sent his servant (to make his claim) or if the claimee said to them: \"I beswear you that if you know testimony for him you come and testify for him,\" they are not liable, until they hear it from the mouth of the claimant, [it being written (Leviticus 5:1): \"if he does not (lo) tell,\" (lamed, vav, aleph) to be expounded: If to him (lamed vav), i.e., to the claimant, he does not (lamed aleph) tell, then he shall bear his sin. But if he does not tell another, he is not liable.]", + "\t\"I beswear you,\" \"I command you,\" \"I ban you\" — they are liable. [This, if he says: \"I command you with an oath,\" \"I ban you with an oath.\"] \"By heaven and earth\" — they are not liable. \"By Aleph-daleth,\" \"By Yod-keh,\" \"By Shakkai,\" \"By Tzevakoth,\" \"By Chanun Verachum,\" \"By Erech Apayim Verav Chesed,\" and by all the (other) epithets — they are liable. One who curses [the L rd] with any one them is liable (to stoning). These are the words of R. Meir. The sages exempt him, [holding him to be liable to stoning for cursing the Name (the tetragrammaton) alone, it being written (Leviticus 24:6): \"If he blasphemes the Name, he shall be put to death.\" And for the epithets, he is in transgression of the exhortation (Exodus 22:27): \"Elokim you shall not revile.\" And in respect to the oath of testimony, the sages concur with R. Meir that they are liable for the epithets as well as for the Name, it being written (Leviticus 5:4): \"…and he hear the voice of a curse.\"] If one curses his father or mother with any one of them, he is liable. These are the words of R. Meir. The sages exempt him. If one curses himself or his neighbor with any one of them, he transgresses a negative commandment. [(\"himself\"): (Deuteronomy 4:9): \"Take heed to yourself, and heed your soul exceedingly.\" Wherever \"Take heed,\" \"Lest,\" or \"Do not,\" is written, a negative commandment is indicated. (\"his neighbor\":) (Leviticus 19:14): \"Do not curse a deaf man\" — Do not curse even the deaf man, who does not hear and is not offended by the curse. How much more so, those who hear and are offended.] \"May G d smite you,\" \"And so may G d smite you\" — this is the \"curse\" stated in the Torah (Leviticus 5:2). \"May He not smite you,\" \"May He bless you,\" \"May He do good to you\" — R. Meir rules liable, and the sages, not liable. [If he said to the witnesses: \"May G d smite you if you do not testify for me,\" or if he heard one reading in the (section of) the curses in the Torah (Deuteronomy 28:22): \"May G d smite you,\" and he said to the witnesses: \"And so may G d smite you if you do not testify for me\"; or \"May G d not smite you if you testify for me,\" or \"May the L rd bless you if you testify for me,\" (or) \"May He do good to you if you testify for me\" — In all of these instances, R. Meir rules liable, the negative implying the affirmative, e.g., \"May G d not smite you if you testify for me,\" implying: \"May He smite you if you do not testify for me\"; likewise: \"May G d bless you if you testify for me,\" implying: \"May He curse you if you do not testify for me.\" In all of these the halachah is not in accordance with R. Meir.]" + ], + [ + "\tThe oath over a pledge obtains with men and with women, [Since it was taught in respect to the oath of testimony \"with men and not with women, etc.\", here, too, all are taught.] with non-kin and with kin [i.e., where the owner of the pledge is kin to the one with whom it is deposited], with those fit (to testify) and with those unfit, before beth-din and not before beth-din by himself. [i.e., If he swore by himself or answered \"Amen\" after the oath and then admitted (that he had sworn falsely), he is liable for an offering, it being written (Leviticus 5:21): \"…and he denies to his neighbor\" — in any event.] And (if he is besworn) by others [and does not answer \"Amen,\" as when one says to him: \"I beswear you to return my pledge to me,\" and he says: \"I have nothing of yours\"], he is not liable until he denies it in beth-din. These are the words of R. Meir. The sages say: Whether by himself or by others, if he denies it, he is liable. [The halachah is in accordance with the sages.] And he is liable (for an offering) for willfulness in the oath, [\"and it be hidden\" not being written in this connection. (willfulness in the oath\":) He remembers the pledge and he knows that denying it makes him liable to an offering.], and (he is liable) for unwittingness with willfulness in respect to the pledge [i.e., He does not know that the oath makes him liable to an offering, but he remembers that he has the pledge], and he is not liable for unwittingness (in respect to the pledge)]. And for what is he liable for willfulness in it (the oath)? A guilt-offering with silver shekels, [i.e., one which is purchased with two selaim, it being written in respect to the guilt-offering ram (Leviticus 5:15): \"according to your valuation, shekels of silver.\"]", + "\tThe oath over a pledge. How so? If one said to him: \"Give me my pledge that you have,\" (and he said:) \"I swear that I do not have it,\" or: \"I do not have it,\" and the first said: \"I beswear you,\" and he said: \"Amen,\" he is liable. If he beswore him five times, whether before beth-din or not before beth-din, he is liable for each one. R. Shimon said: Why so? For he can go back and admit it [after he denies it, so that with each oath, he is denying money.]", + "\tIf five men claimed from him: \"Give us our pledge that you have,\" (and he said:) \"I swear that I do not have it,\" he is liable only for one. \"I swear that I have neither yours, nor yours, nor yours, he is liable for each one. R. Eliezer says: (He is not liable for each one) until he says \"upon oath\" at the end, [viz.: \"I have neither yours, nor yours, nor yours, upon oath,\" so that the oath appertains to all.] R. Shimon says: Until he says \"I swear\" for each one. [The halachah is neither in accordance with R. Eliezer nor with R. Shimon.] \"Give me my pledge, my loan, (restoration of) my theft, and my lost object that you have.\" \"I swear that I do not have it\" — he is liable only for one. \"I swear that I have neither pledge, nor loan, nor theft, nor lost object\" — he is liable for each one. \"Give me my wheat, my barley, and my spelt that you have.\" \"I swear that I do not have it\" — he is liable only for one. \"I swear that I have neither wheat, nor barley, nor spelt\" — he is liable for each one. R. Meir says: Even if he says \"a wheat, a barley, and a spelt,\" he is liable for each one. [R. Meir holds that if one claims \"a wheat,\" he means the wheat species (and not an individual grain). The same is true for barley and spelt, viz. (Exodus 9:32): \"And the wheat and the barley were not smitten.\" So that it is as if he were claiming \"wheat, barley, and spelt.\" The rabbis hold (that he means) one grain of wheat, of barley, and of spelt. The halachah is not in accordance with R. Meir.]", + "\t\"You ravished or seduced my daughter,\" and he says: \"I did not ravish or seduce.\" \"I beswear you,\" and he says: \"Amen,\" he is liable. R. Shimon says he is not liable (for an offering) for he does not pay knass (penalty payment) by his own admission. [And since if he admitted it, he would not be liable, when he denies it, too, he is not denying money.] They said to him: Even though he does not pay knass by his own admission, he pays bosheth (\"shame\") and p'gam (\"injury\") by his own admission. [Therefore, he is denying money. The (rationale of the) dispute between the rabbis and R. Shimon: R. Shimon holds that when he says: \"You have ravished or seduced my daughter,\" he is claiming knass, whose amount is fixed, fifty (pieces of) silver, and he is not claiming bosheth and p'gam, whose amount is not fixed. For one does not leave something determinate to claim something indeterminate. Therefore, he is denying knass, and he is not liable. And the rabbis hold that he is claiming bosheth and p'gam. For one does not leave something which, if he (the other) admits it, he is liable for it, in favor of something which, if he admits it, he is not liable. Therefore, when he denies it, he is denying money, and he is liable. The halachah is not in accordance with R. Shimon.]", + "\t\"You stole my ox.\" \"I did not steal it.\" \"I beswear you.\" \"Amen\" — he is liable. \"I stole it, but I did not slaughter it and I did not sell it.\" \"I beswear you.\" \"Amen\" — he is liable. \"Your ox killed my bondsman.\" \"It did not.\" \"I beswear you.\" \"Amen\" — he is not liable, [this being knass. For he pays thirty selaim even if he is worth only a dinar.] \"You struck me and wounded me.\" \"I did not strike and wound you.\" \"I beswear you.\" \"Amen\" — he is liable. If his bondsman said to him: \"You knocked out my tooth and blinded my eye.\" \"I did not.\" \"I beswear you.\" \"Amen\" — he is not liable, [this being knass. For his bondsman goes free for (loss of) one of his limbs.] This is the rule: Whoever pays by his own admission is liable; whoever does not pay by his own admission is not liable." + ], + [ + "\tThe oath of the judges [i.e., the oath by which the judges beswear him where there is acknowledgement of part of the claim], two silver [The claim must not be less than for two maoth of silver, a third of a dinar. For the dinar is six maoth, the weight of ninety-six medium sized se'oroth (barley-corns), so that the weight equivalent of two maoth is thirty-two se'oroth.], and the admission, the value of a p'rutah. [The admission which makes him liable to an oath must not be less than the value of a p'rutah. So that if what he denied was less than two (maoth of silver) or what he admitted, less than a p'rutah, he is not liable to a Torah mandated oath, but he is besworn a shvuath heseth (a consuetudinal oath) by rabbinical ordinance. One who is liable to a Torah mandated oath must hold an object in his hand (e.g., a Torah scroll or teffillin) when he swears; and one who is liable to a shvuath heseth does not hold an object in his hand, but the beadle of the congregation or the one who beswears him holds an object in his hand while the oath is being taken. There are only three Torah mandated oaths, and no more: (the oath for) one who admits part of the claim, (the oath administered) where one witness testifies against him and he swears in refutation of the witness, and the oath of the watchers (shomrim). All of the other oaths mentioned in the Mishnah are rabbinically prescribed, and are similar to Torah oaths in that an object is held. The only (substantive) difference between a Torah oath and those mentioned in the Mishnah is that if one is liable to a Torah oath and refuses to swear, beth-din go down to his property and exact payment in full, whereas if one is liable to a rabbinically prescribed oath and he refuses to swear, he is placed under the ban until he pays or swears. And if after thirty days of the ban he still refuses to either swear or pay, he is smitten \"stripes of rebellion\" (makkoth marduth), the ban is rescinded and he is \"let go,\" and they do not go down to his property.] And if the admission is not of the \"kind\" of the claim, he is exempt (from an oath). How so? (If one claims:) \"You owe me two silver (maoth,\" and he says:) \"I owe you only a p'rutah,\" he is exempt, [the admission not being of the \"kind\" of the claim, the claim being \"silver,\" and the admission copper. This, only when the claim is for the weight of two maoth of silver or more. But if he claims a coin of silver, the other had admitted a coin (of copper)!] \"You owe me two silver and a p'rutah\" — \"I owe you only a p'rutah,\" he is liable, [the premise being: If the claim is for wheat and barley, and the admission for any one of them, he is liable.] \"You owe me a maneh\" — \"I owe you nothing,\" he is exempt. \"You owe me a maneh\" — \"I owe you only fifty dinars,\" he is liable. \"You owe my father a maneh\" — \"I owe you only fifty dinars,\" he is exempt, for he is like the returner of a lost object, [who is exempt from an oath, as we learned: If one finds a lost object, he is not subject to an oath, for the public good. And this, only when the son does not claim positively that he owes his father a maneh, but only tentatively. But if he claimed it positively, and the other admitted to only fifty, he is subject to a Torah mandated oath, this not being like returning a lost object.]", + "\t\"You owe me a litra (a pound) of gold — \"I owe you only a litra of silver,\" he is exempt (from an oath), [the admission not being of the \"kind\" of the claim.] \"You owe me a dinar of gold\" — \"I owe you only a dinar of silver,\" or \"a pondion,\" or \"a p'rutah,\" he is liable, for all are a kind of coin. \"You owe me a kor of produce\" — \"I owe you only a lethech [a half-kor, fifteen sa'ah] of pulse,\" he is not liable. \"You owe me a kor of fruits\" — \"I owe you only a lethech of pulse,\" he is liable, for pulse is included in \"fruits.\" If he claimed wheat and the other admitted barley, he is exempt. R. Gamliel says that he is liable. If he claimed jugs [full of] oil, and the other admitted [empty] vessels — Admon says: Since he admitted part of the claim, he swears. [For it is like one's claiming wheat and barley, and the other admitting one of them. The halachah is in accordance with Admon, but it is not in accordance with R. Gamliel, who rules that there is liability with a claim of wheat and an admission of barley.] The sages say that the admission is not of the \"kind\" of the claim. R. Gamliel said: \"I see (i.e., concur with) the words of Admon.\" If he claimed vessels and land, and the other admitted vessels and denied land, (or he admitted) land and denied vessels, he is exempt[from a Torah mandated oath. (He swears) neither for land nor for vessels, admission of land not making one subject to an oath, no oath being mandated for land.] If he admitted some land, he is exempt. If he admitted some vessels, [there being admission and denial without land], he is liable [to swear also for the land, through a gilgul shvuah (a \"rolled on\" oath)], unbound property \"carrying along\" bound property for oath liability.", + "\tNo oath is taken on the claim of a cheresh, a shoteh (an imbecile), or a minor. [(\"cheresh\":) as when the cheresh claims by gesturing, for the \"cheresh\" spoken of by the sages in all places is one that neither hears nor speaks. (\"a minor\":) it being written (Exodus 22:6): \"If a man give to his neighbor, etc.\", and the \"giving\" of a minor is insubstantial. And cheresh and shoteh are like minor in this regard. And it is only with a Torah oath that one does not swear on the claim of a minor, but a shvuath heseth is imposed for his claim.] And a minor is not besworn, but one is besworn for a minor and for hekdesh (dedicated property). [If one comes to exact payment from the property of a minor, he may do so only with an oath. Likewise, if one makes his property hekdesh and a bill is issued against it and the holder of the bill comes to exact payment from that property, he requires an oath.]", + "\tAnd these are things for which one is not besworn: bondsmen, bills, land, and hekdeshoth (dedicated property), [it being written (Exodus 22:8): \"For every thing of violation\" — general; \"for an ox, for an ass, for a lamb, for a garment\" — particular; \"for every lost object\" — reversion to the general. \"General-particular-general\" — the ruling follows the nature of the particular, viz.: Just as the particular is explicitly something movable and of intrinsic monetary value, so all (to impose oath liability) must be movable and of intrinsic monetary value: to exclude land, which is not movable; to exclude bondsmen, which are likened to land; to exclude bills, which, though movable, are not of intrinsic monetary value (but only corroborative documents). For all of these, one is not besworn. And one is not besworn for hekdesh, it being written (Ibid. 9): \"If a man give to his neighbor\" — and not (property) of hekdesh.] They are not subject to double payment (kefel), [kefel being paid only for those things which are included in that section as being of the nature of the particular] and they are not (subject to) four and five payment. [For wherever kefel does not obtain, there is no four and five payment. For the absence of kefel makes it a payment of three and four; and the Torah specifies \"four and five\" payment, and not \"three and four.\"], a shomer chinam (an unpaid watcher) does not swear (for those things) [The only thing to which a shomer chinam is liable is an oath, it being written (Exodus 22:7): \"Then the master of the house (the shomer chinam) shall draw near to the judges (to take an oath) that he did not send his hand, etc.\"; and that section speaks of a shomer chinam. And he is not besworn for bondsmen, land, and bills, it being written (Ibid. 6): \"If a man give to his neighbor\" — general; \"money or vessels\" — particular; \"to watch\" — reversion to the general. \"General-particular-general\" — The ruling follows the nature of the particular, viz.: Just as the particular is explicitly something movable and of intrinsic monetary value, so all, etc.: to exclude land, which is not movable, etc. And for all of the aforementioned he is not subject to a Torah mandated oath, but he is always liable for a shvuath heseth.], a nosei sachar (a paid watcher) does not pay (for those things). [(He does not pay) for theft and loss for which Scripture makes him liable, viz. (Ibid. 11): \"If stolen it shall be stolen from him, he shall pay to its owner.\" But for bondsmen, land, and bills, he does not pay, it being written in respect to a shomer sachar (Ibid. 9): \"If a man give to his neighbor\" — general; \"an ass or an ox or a lamb or any beast\" — particular; \"to watch\" — reversion to the general, etc., as stated above. \"his neighbor\" is written both in respect to shomer chinam and shomer sachar, implying his neighbor, and not hekdesh. Shoel (a borrower and socher (a hirer) are not mentioned here to exclude bondsmen, land, bills, and hekdesh. For borrowing generally does not obtain with land and bills; much more so hiring, which cannot apply to bills. Likewise, borrowing and hiring do not obtain with hekdesh, which it is forbidden to borrow or to hire.] R. Shimon says: Kodshim (sanctified objects) which the owner is bound to restore (if they are lost) are subject to an oath; those which he is not bound to restore are not subject to an oath.", + "\tR. Meir says: There are things which are like land and which are not like land; and the sages do not concur with him. How so? (If one says:) \"I gave you ten laden vines,\" and the other says: \"They are only five,\" R. Meir requires an oath, and the sages say: Whatever is attached to the ground is like the ground. [Grapes awaiting harvest are the point of difference between the sages and R. Meir. According to R. Meir, grapes awaiting harvest are regarded as harvested, and according to the sages, they are not regarded as harvested. The halachah is in accordance with the sages. And this, only in respect to watchers (shomrim), but in respect to buying and selling and ona'ah (overcharging), and admitting part of the claim — in all of these they hold that what awaits harvesting is regarded as harvested. And this is the halachah.] An oath is taken only on something that can be measured or weighed. How so? (If one says:) \"I gave you a house full (of produce),\" or: \"I gave you a pouch full (of money),\" and the other says: \"I don't know, but take what you put down,\" he is exempt (from an oath). If one says: \"Until the ziz\" [a beam of the upper story projecting from inside the house], and the other: \"Until the window,\" he is liable. [The rule: One is never liable for a Torah mandated oath unless the claim is for something that can be measured, weighed, or counted, and there is admission of part of the measure, or weight, or count.]", + "\tIf one lent his neighbor on a pledge, [the lender becomes a shomer sachar for it, whether or not the pledge were taken at the time of the loan. If the pledge were lost or stolen, and it were as much as the (amount of) the debt, the (loss of) the pledge cancels the debt and neither has a claim against the other. If the debt were more than the pledge, the borrower pays the lender the difference. If the pledge were more than the debt, the lender pays the borrower. And if it were lost by accident, in which instance a shomer sachar is not liable, the lender, too, is not liable. He swears that it was lost by accident and collects the entire debt.] — If the pledge were lost: If he said: \"I lent you a sela for it, and it (the pledge) was worth a shekel [half a sela],\" and the other said: \"No, you lent me a sela and it was worth a sela,\" he is exempt (from an oath). (If one said:) \"I lent you a sela for it, and it was worth a shekel,\" and the other said: \"No, you lent me a sela for it and it was worth three dinars,\" he is liable. [For he admits part of the claim, a sela being four dinars.] (If one said:) \"You lent me a sela for it, and it was worth two (selaim),\" and the other said: \"No, I lent you a sela for it, and it was worth a sela,\" he is exempt. (If one said:) \"You lent me a sela for it, and it was worth two,\" and the other said: \"No, I lent you a sela for it, and it was worth five dinars,\" he is liable. And who swears [first]? The one who held the pledge. [i.e., The lender, who held the pledge, swears that he no longer has it], lest this one (the borrower) swear, and the other (the lender) produce the pledge. [Since the borrower must swear how much his pledge was worth, and the lender must swear that he does not have the pledge, even if he pays for it, (for we are afraid that he might have \"cast his gaze upon it\"), beth-din beswear the lender first that he does not have it, and then they beswear the borrower as to its worth, lest the borrower swear first without being particular about its true worth, and the lender then produce the pledge and disqualify him for testimony and oath.]" + ], + [ + "\tAll of those who are besworn by Torah mandate swear and do not pay. [The Torah did not mandate that the claimant swear and take, but that the claimee swear and not pay, it being written (Exodus 22:10): \"And its master shall take it, and he shall not pay\" — He who is being asked to pay takes the oath.] And these swear and take [The sages ordained that they swear and take. They are all explained later in the Mishnah:] a hired laborer, one who has been robbed, one who has been struck, one whose opposite is not trusted to take an oath, and a shopkeeper over his ledger. A hired laborer — how so? [The sages ordained that a hired laborer swear and take; for the employer is busy with his workers and may not remember. This, when he claims within the prescribed time: a day-laborer, all of the night following, and a night-laborer, all of the day following. But if he claimed after his time, the employer takes a shvuath heseth that he paid him and he is exempt. Also, if he did not hire him in the presence of witnesses, the hired laborer does not swear and take. For since he can tell him: \"I never hired you,\" he can also tell him: \"I hired you and I paid you.\"] If he said to him: \"Give me the pay that you owe me\" — If the other said: \"I gave it to you,\" and he: \"I did not receive it,\" he (the hired laborer) swears and takes it. [But if the laborer said to him: \"You stipulated that you would give me two,\" and the employer: \"I stipulated only one,\" the employer swears a Torah mandated oath that it is as he says, and he gives him only one.] R. Yehudah says: (He does not swear) unless there is partial admission. How so? As when he said: \"Give me my pay, fifty dinars, that you owe me,\" and the other said: \"You received a golden dinar (twenty-five silver dinars).\" [The halachah is not in accordance with R. Yehudah, neither in the instance of a hired laborer, nor in that of one who has been robbed or beaten.]", + "\tOne who has been robbed — how so? If they testified against him that he entered the other's house to take a pledge from him without being authorized to do so, [as when witnesses saw him enter the other's house with nothing in his hand and he left with vessels projecting from the folds of his garment] — He says: \"You took my vessels\"; the other says: \"I did not,\" he (the claimant) swears and takes. [For the indications are (that he did steal). For the witnesses testify that he took a pledge without authorization. This, when he claims something which he is likely to own, but if he claims \"a silver chalice,\" or the like, which he is not likely to own, it is not for him to swear and take (in all instances), but the claimee swears and exempts himself.] R. Yehudah says: (He does not swear) unless there is partial admission. How so? As when he said: \"You took two vessels,\" and the other said: \"I took only one.\"", + "\tOne who has been struck — how so? If they testified that he went into him whole and came out with a wound, and he said: \"You struck me,\" and the other said: \"I did not,\" he (the claimant) swears and takes (compensation). [This, only where the wound is in a place where it could have been self-inflicted, for which reason an oath is required. But where this is not possible, and it is evident that another must have caused it, as when tooth marks appear on his back and no one else (but the accused) was there, he collects without an oath.] R. Yehudah says: (He does not swear) unless there is partial admission. How so? As when he said: \"You struck me twice,\" and the other said: \"I struck you only once.\"", + "\tOne whose opposite is not trusted to take an oath — how so? (The other swears) whether (his opposite had transgressed in) an oath of testimony, or in an oath over a pledge, or even with a vain oath. [i.e., Not only where he has transgressed in an oath of testimony or in an oath over a pledge, where there is denial of money — \"evil to Heaven and evil to man\" — but even with a vain oath, where there is only evil to Heaven, his opposite swears and takes. An oath of pronouncement is not included, for it may be future-directed, such as \"I shall eat\" or \"I shall not eat,\" where the oath is a truthful one, his intent being to fulfill it, so that even though he is overcome by his evil inclination and transgresses, this does not render him not trusted to take an oath. But an oath of pronouncement concerning the past, such as \"I ate\" or \"I did not eat,\" is like a vain oath, for he swears falsely.] If one of them were a gambler, or a lender on interest, or a pigeon-flyer, or a dealer in [the fruits of] the sabbatical year (shevi'ith), his opposite swears and takes. [(If one of them were, etc.\":) First those unfit by Torah law are taught, and then those who are unfit by rabbinical ordinance. (\"a pigeon-flyer\":) some understand this as: \"If your pigeon comes in before mine, I will give you so much and so much,\" i.e., gambling. Others understand it as training a pigeon to fly other pigeons to one's coop, this being \"theft in violation of the ways of peace.\" (\"a dealer in shevi'ith\":) It is written (Leviticus 25:6): \"to eat\" — and not for trade.] If both of them were suspect (i.e., not trusted to swear), the oath returns to its place. These are the words of R. Yossi. [In the Gemara, some explain this as \"it returns to Sinai,\" i.e., to the oath of Mount Sinai, where the Holy One Blessed be He beswore Israel: \"Thou shalt not steal,\" and He will exact payment from the one who denies it to his neighbor; but beth-din need not resort either to oath or to (enforcement of) payment. And others explain it as: \"it returns to the one who is liable to it,\" i.e., the one who admits part; and since he is not trusted to swear, he pays.] R. Meir says: They divide.", + "\tAnd a shopkeeper over his ledger — how so? Not that he says to him: \"Write in my ledger that you owe me a hundred zuz,\" but (we are speaking of an instance in which) he said to him (the shopkeeper): \"Give my son two sa'ah of wheat,\" or \"Give my workers change of a sela.\" He says: \"I gave,\" and they say: \"We did not receive,\" he swears and takes, and they swear and take (from the employer). [For the shopkeeper says to him: \"I do not trust the workers to take an oath. You trusted them for you did not tell me to give it to them in the presence of witnesses.\" And the workers, likewise, say to the shopkeeper: \"We do not trust you to swear.\" And when they both swear and take from the employer, they swear before each other, so that either the shopkeeper (will be deterred) by shame before the workers, or the workers before the shopkeeper.] Ben Naness said: How can this be done? These will utter a vain oath or those will utter a vain oath! [For, perforce, one will swear falsely, and the Name of Heaven will be desecrated.] Rather, he takes without an oath and they take without an oath. [The halachah is not in accordance with Ben Naness.]", + "\tIf he said to the shopkeeper: \"Give me fruits for a dinar,\" and he gave them to him, [and the fruits are piled in the public domain, with neither of them in possession] — If he said: \"Give me the dinar,\" and the other said: \"I gave it to you, and you put it in your money-bag,\" the customer swears, [an oath similar to that of the Torah, and he takes (the fruits). For since the shopkeeper admits that he made the sale and the fruits are outside his shop, the customer swears and takes.] If he gave him the dinar and said: \"Give me the fruits,\" and he said: \"I gave them to you and you took them home, [and these piled up fruits are mine; I put them here to sell.\" And the other: \"These are the fruits that you sold me for a dinar,\" since the buyer admits the sale, and the shopkeeper denies having sold these], the shopkeeper swears an oath similar to that of the Torah and he takes (the fruits). R. Yehudah says: Whoever has possession of the fruits has the upper hand. [R. Yehudah differs with the last ruling, saying that in both cases the customer swears and takes. For since the fruits are outside the shop, it is as if they are in the customer's hand. And whoever has possession of the fruits has the upper hand, and he swears and takes.] If he said to a moneychanger: \"Give me change of a dinar,\" and he gave it to him — If he said to him: \"Give me your dinar,\" and he said to him: \"I gave it to you and you put it in your money-bag,\" the customer swears. If he gave him the dinar and he said: \"Give me the change,\" and he said: \"I gave it to you and you threw it into your pouch,\" the moneychanger swears. R. Yehudah says: It is not the way of a moneychanger to give an issar (small coin) before he takes the dinar. [The tanna apprises us of the difference between R. Yehudah and the rabbis both in respect to the change of the moneychanger and the fruits of the shopkeeper. For if he apprised us only of the latter, I might think that it is only with fruits that the rabbis said that if he said: \"I gave them to you and you took them home,\" the shopkeeper swears and takes, for a shopkeeper is wont to give the fruits before he takes the dinar; but with a moneychanger, who is not wont to give issarin before he takes the dinar, perhaps they would concur with R. Yehudah that the customer always swears and takes. And if he apprised us only of the former, I might think that the customer always swears and takes because the moneychanger is not wont to give issarin before he takes the dinar; but with a shopkeeper, who is wont to give the fruit before he takes the money, I might say that he concurs with the rabbis. We must, therefore, be apprised of both. The halachah is not in accordance with R. Yehudah.]", + "\tJust as they said (Kethuvoth 9:7) that a woman who \"impairs\" her kethubah [i.e., who produces her kethubah and admits that she has received partial payment] exacts payment only with an oath [if her husband claims that she has received the whole], and that if one witness testifies that it has been paid, she exacts payment only with an oath, and (that if she came to claim her kethubah) from bound property or from the property of the orphans, she exacts payment only with an oath, or that if she is paid not in his (her husband's) presence, she exacts payment only with an oath [(All revert to \"Just as\" (above), i.e., Just as none of these exacts payment without an oath)], so the orphans exact payment only with an oath. That is, orphans who exact payment from other orphans do so only with an oath. Our Mishnah speaks of an instance where the orphans who are being asked to pay say: We do not know whether or not our father paid this debt. But if they claim: Our father told us that he never borrowed this money and had never incurred this debt, then the orphans who produce the bill against the others exact payment without an oath. For saying \"I did not borrow\" is tantamount to saying \"I did not pay,\" and they cannot refute the witnesses who testify that their father did borrow this money. And we are taught that with an oath these orphans do exact payment from the others only in an instance where the creditor died in the debtor's lifetime; but if the debtor died in the creditor's lifetime, the creditor is already obliged to swear to the sons of the debtor that he received nothing. For one who exacts payment from orphans, even with a bill (of indebtedness) must swear. And one does not bequeath to his sons money for which he is obliged to swear, the sons not being able to take an oath for which their father is liable. But though this is the halachah, if a judge ruled that the orphans swear \"Our father did not charge us, etc.\" in order to exact payment from the other orphans thereby, what is done is done.[ (What is the oath?) \"We swear that father did not charge us [at the time of his death], and did not inform us [before that time, that the bill was paid], and we did not find among our father's bills (any indication) that this bill was paid.\" R. Yochanan b. B'roka says: Even if the son was born after the father's death, he swears and takes. [He swears that he did not find among his father's bills (any indication) that this bill was paid. This is the halachah.] R. Shimon b. Gamliel said: If there are witnesses that the father said at the time of his death: \"This bill has not been paid,\" he (the son) takes without swearing. [The halachah is in accordance with R. Shimon b. Gamliel.]", + "\tAnd these swear without a [definite] claim(against them) [but only with a tentative one, i.e., \"Is it possible that you withheld something of mine?\" And because all of these (that follow) are inclined to rationalize (appropriating things for themselves) in that they exert themselves with the property, the rabbis imposed an oath upon them]: partners, tenant-farmers, caretakers, [who manage one's money for him. But with a caretaker of orphans — if beth-din appoints him he swears; if the father of the orphans appoints him, he does not swear.], a woman who carries on trade in the house, [her husband having made her a shopkeeper or a caretaker for his property], and a \"son of the house\" [one of the brothers, who deals with the property after the father's death.] If he asks: \"What are you claiming from me\"? (and the other replies:) \"I want you to swear to me,\" he is liable (to do so). If the partners or the tenant-farmers divided [and did not make him swear at the time of the division], they cannot make him swear [thereafter]. If an oath were \"rolled on\" to him [by them, afterwards], for something else, they can \"roll\" everything [including this] upon him. [And just as \"rolling on\" obtains with a Torah mandated oath, and with an oath similar to a Torah oath, so does it obtain with a shvuath heseth.] And shevi'ith (the sabbatical year) \"releases\" the oath. [Not the oaths of partners, for shevi'ith dissolves neither partnership nor its oath. It is, rather, a loan and its oath that it releases.]" + ], + [ + "\tThere are four watchers [and their provisions are three]: an unpaid watcher, a borrower, a paid watcher, and a hirer. An unpaid watcher swears on everything [that he was not derelict], a borrower pays for everything [mentioned below, viz.: seized, died, stolen, or lost, but he does not pay if it died through working, for he did not borrow it to \"keep it under wraps.\" (This Mishnah is explicated in Bava Metzia 7:8)]. A paid watcher and a hirer swear that (the beast was) \"broken,\" or seized, or died (and they are exempt); and they pay for loss and theft.", + "\tIf one said to an unpaid watcher: \"Where is my ox?\" And he said: \"It died,\" when, in reality, it had been broken or seized or stolen or lost — \"It was broken,\" when, in reality, it had died, or been seized, or stolen or lost — \"It was seized,\" when, in reality, it had died or been broken or stolen or lost — \"It was stolen,\" when, in reality, it had died, or been broken, or seized, or lost — \"It was lost,\" when, in reality, it had died, or been broken or seized or stolen — \"I beswear you,\" and he answered: \"Amen,\" he is exempt (from an offering). [For if he had admitted (the truth), he would have paid nothing, so that there is no denial of money here. And even though he swore falsely, the Torah prescribed an offering only where there is a denial of money. Likewise a judge can impose an oath only where, if he would admit (the claim), he would be liable for payment.]", + "\t(If one said to an unpaid watcher:) \"Where is my ox?\" and he said: \"I don't know what you are talking about,\" when, in reality, it had died or been broken or seized or stolen or lost — \"I beswear you,\" and he answered: \"Amen,\" he is exempt. \"Where is my ox?\" and he said: \"It was lost.\" \"I beswear you,\" and he answered: \"Amen,\" and the witnesses testify that he ate it, he pays the principal [and not kefel.] And if he admitted it himself [before witnesses came], he pays the principal and a fifth and a guilt-offering [as with the oath over a pledge, it (the fifth and the guilt-offering) not obtaining until he confesses and repents of his evil and comes to make atonement.] \"Where is my ox?\" And he said: \"It was stolen.\" \"I beswear you,\" and he answered: \"Amen,\" and the witnesses testify that he (himself) stole it, he pays kefel. [For if an unpaid watcher exempts himself by claiming that it was stolen and swears (to that effect) and witnesses come and testify (that he himself stole it), he pays kefel, it being written (Exodus 22:7): \"If the thief not be found,\" i.e., If it not be found as he said, but that he himself stole it, (Ibid. 8): \"he shall pay double.\" But if he comes to exempt himself by claiming that it was lost, he does not pay kefel.] If he admitted it by himself, he pays the principal and a fifth and a guilt-offering, [but not kefel, one who admits to knass (penalty payment) being exempt from it.]", + "\tIf one said to another in the market place: \"Where is my ox that you stole?\" and he said: \"I did not steal it,\" and the witnesses testify that he (himself) stole it, he pays kefel. [Here, we do not have \"I beswear you,\" for being an actual thief, he is liable to kefel (even) without an oath, it being written (Exodus 22:6): \"He (a thief) shall pay double.\"] If he saw witnesses coming and he said: \"I stole it, but I did not slaughter or sell it, he pays only the principal. [We are being apprised here that even though he admits it out of fear of the witnesses, still, the admission avails and exempts him from kefel. And since there is no kefel, he is exempt, too, from (payment for) the slaughtering, which he denied, so that if witnesses come and say that he stole and slaughtered or sold (he does not pay \"four and five\"), the Torah prescribing \"four and five\" and not \"three and four.\" For in the absence of kefel there is a reduction of one.]", + "\tIf one said to a borrower: \"Where is my ox?\" And he said: \"It died,\" when, in reality, it had been broken or seized or stolen or lost — \"It was broken,\" when, in reality, it had died or been seized or stolen or lost — \"It was seized,\" when, in reality, it had died or been broken or stolen or lost — \"It was stolen,\" when, in reality, it had died or been broken or seized or lost — \"It was lost\" — when, in reality, it had died or been broken or seized or stolen — \"I beswear you,\" and he answered: \"Amen,\" he is exempt (from an oath). [For even though he swore falsely he made himself liable to pay, so that there is no denial of money in this oath.]", + "\t(If one said to a borrower:) \"Where is my ox?\" And he said: \"I don't know what you are talking about,\" when, in reality, it had died or been broken or seized or stolen or lost — \"I beswear you,\" and he answered: \"Amen,\" he is liable, [having denied money. For if he had admitted (the truth) he would have been liable.] If he said to a paid watcher or to a hirer: \"Where is my ox?\" And he said: \"It died,\" when, in reality, it had been broken or seized — \"It was broken,\" when, in reality, it had died or been seized — \"It was seized,\" when, in reality, it had died or been broken — \"It was stolen,\" when, in reality, it had been lost — \"It was lost,\" when, in reality, it had been stolen — \"I beswear you,\" and he answers: \"Amen,\" he is exempt. [For if he had admitted the truth, he would not have paid. Likewise, with \"It was stolen,\" when, in reality it had been lost,\" or vice versa, he is exempt, for he shifts from one liability to another and does not deny money with this oath.] It was lost or stolen,\" when, in reality, it had died or been broken or seized — \"I beswear you,\" and he answers: \"Amen,\" he is exempt, [for he shifts from non-liability (for payment) to liability, and loses by his oath.] This is the rule: Whoever shifts from liability to liability, from non-liability to non-liability, or from non-liability to liability is exempt (from the offering); from liability, to non-liability, he is liable. This is the rule: Whoever swears to decrease his (monetary) liability is liable (for the offering); to increase it, he is exempt." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/William Davidson Edition - English.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/William Davidson Edition - English.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..1ff27adf69da83b3468a6de0568aa47de1b26379 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/William Davidson Edition - English.json @@ -0,0 +1,105 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Shevuot", + "versionSource": "https://korenpub.com/collections/the-noe-edition-koren-talmud-bavli-1", + "versionTitle": "William Davidson Edition - English", + "status": "locked", + "priority": 2.0, + "license": "CC-BY-NC", + "versionNotes": "English from The William Davidson digital edition of the Koren Noé Talmud, with commentary by Rabbi Adin Even-Israel Steinsaltz", + "shortVersionTitle": "Koren - Steinsaltz", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה שבועות", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "text": [ + [ + "With regard to oaths on an utterance of the lips, there are two types that are actually four types. The Torah specifies only two types of oaths whose violation renders one liable to bring a sliding-scale offering to atone for his transgression (see Leviticus 5:4): Where a person takes an oath to perform some action, and where he takes an oath to refrain from performing some action. With regard to both types, the Torah explicitly mentions liability only for an oath pertaining to one’s future behavior. Nevertheless, the Sages derive that one is also liable for a violation of both types of oaths when they pertain to one’s past behavior. Accordingly, although only two types are explicitly mentioned in the Torah, the Sages derive that there are actually four types. The mishna lists similar groups of halakhot. With regard to cases of awareness of the defiling of the Temple by entering it while one is ritually impure, or defiling its sacrificial foods by partaking of them while one is ritually impure, there are two types that are actually four. It is prohibited for an impure person to enter the Temple (see Numbers 19:20) or to partake of its sacrificial foods (see Leviticus 7:19–20). If one transgressed either prohibition during a lapse of awareness, then upon becoming aware of his transgression, he is liable to bring a sliding-scale offering (see Leviticus 5:2). The Torah specifies that one is liable to bring the offering only in the case in which he had a lapse of awareness of the fact that he was impure. The Sages derive that one is liable not only in these two cases, but also where he was aware of his personal status but had a lapse of awareness concerning the identity of the place he was entering or the status of the foods he ate. With regard to acts of carrying out that are prohibited on Shabbat, there are two types that are actually four. On Shabbat, it is prohibited to transfer an item from domain to domain. The Torah explicitly refers to only two cases, both of which involve an item being transferred from a private domain to a public domain: Where the transfer is made by a person who remains in the public domain, and where the transfer is made by a person who remains in the private domain. The Sages derive that liability is incurred in these cases also if the item is transferred from the public domain to the private domain. Although only two types are mentioned by the Torah, the Sages derive that there are actually four types. With regard to shades of leprous marks on a person’s skin, there are two types that are actually four. The Torah specifies that if a leprous mark appears on a person’s skin, the afflicted person must undergo a process of purification and then bring various offerings. Part of the classification of these types of leprosy is based on their shade of white. Two types of marks are explicitly mentioned in the Torah, and the Sages derive that each of these two types has a secondary mark.", + "The mishna returns to the subject of defiling the Temple or its sacrificial foods. It elaborates on which offerings atone for different cases of defiling the Temple or its sacrificial foods: In cases in which one had awareness, i.e., he knew he was ritually impure and was aware of the sanctity of the Temple or foods involved at the beginning, i.e., before he transgressed, and had awareness at the end, i.e., after the transgression, but had a lapse of awareness of one of those two components in between, while he actually transgressed, this person is liable to bring a sliding-scale offering. For cases in which one had awareness at the beginning, transgressed during a lapse of awareness, and still had no awareness at the end, the goat whose blood presentation is performed inside the Sanctuary on Yom Kippur, and Yom Kippur itself, suspend any punishment that he deserves until he becomes aware of his transgression; and then to achieve atonement he brings a sliding-scale offering.", + "For cases in which one did not have awareness at the beginning but had awareness at the end, the goat whose blood presentation is performed outside the Sanctuary, i.e., the goat of the additional offerings of Yom Kippur, and Yom Kippur itself, atone, as it is stated with regard to the offerings brought on Yom Kippur: “One goat for a sin-offering aside from the sin-offering of the atonements” (Numbers 29:11). The verse juxtaposes the internal and external goats together to teach that for that which this one atones, that one atones. Just as the internal goat, i.e., the one whose blood presentation is performed inside the Sanctuary, atones only for a case in which there was awareness of the components of the transgression at some point, i.e., at the beginning, so too, the external goat, i.e., the goat of the additional offerings of Yom Kippur, atones only for a case in which there was awareness at some point, i.e., at the end.", + "And for cases in which one did not have awareness, neither at the beginning nor at the end, the goats brought as sin-offerings for the additional offerings of the Festivals and the goats brought as sin-offerings for the additional offerings of the New Moons atone. This is the statement of Rabbi Yehuda. Rabbi Shimon says: The goats of the Festivals atone for cases in which one never had awareness of the transgression, but the goats of the New Moons do not. But if so, for what do the goats of the New Moons atone? They atone for a ritually pure person who unwittingly partook of ritually impure sacrificial food. Rabbi Meir says: With regard to all the goats offered as additional offerings, those of the New Moons, Festivals, and Yom Kippur, their atonement, i.e., the atonement that they effect, is the same; they all atone for the defiling of the Temple by entering it while impure, or for the defiling of its sacrificial foods by partaking of them while impure. Rabbi Shimon would say, delineating his opinion as the mishna expresses it above: The goats of the New Moons atone for a ritually pure person who unwittingly partook of ritually impure sacrificial food. And with regard to the defiling of the Temple or its sacrificial foods, the goats of the Festivals atone for cases in which one did not have awareness, neither at the beginning nor at the end, and the goats of the additional offerings of Yom Kippur atone for cases in which one did not have awareness at the beginning but did have awareness at the end. The Rabbis said to him: What is the halakha with regard to whether goats consecrated for different days may be sacrificed, this one in place of that one? For example, if a goat was initially consecrated to be sacrificed as part of the Yom Kippur additional offerings, may it be sacrificed as part of the Festival additional offerings instead? Rabbi Shimon said to them: They may be sacrificed. They said to him: Since, according to you, their atonement is not the same, how could they possibly be sacrificed, this one in place of that one? Rabbi Shimon said to them: They can be interchanged, since ultimately all of them come to atone for the defiling of the Temple or its sacrificial foods.", + "Rabbi Shimon ben Yehuda says in the name of Rabbi Shimon a tradition of his opinion that differs from the way the mishna expresses it above: The goats of the New Moons atone for a ritually pure person who unwittingly partook of ritually impure sacrificial food. The goats of the Festivals exceed them, as they atone both for a pure person who partook of impure sacrificial food and also for cases of defiling the Temple or its sacrificial foods in which one did not have awareness, neither at the beginning nor at the end. The goats of Yom Kippur further exceed them, as they atone both for a ritually pure person who partook of ritually impure sacrificial food and for cases of defiling the Temple or its sacrificial foods in which one did not have awareness, neither at the beginning nor at the end; and they also atone for cases in which one did not have awareness at the beginning but did have awareness at the end. The Rabbis said to him: What is the halakha with regard to whether goats consecrated for different days may be sacrificed, this one in place of that one? Rabbi Shimon said to them: Yes, they can be interchanged. They said to him: If what you say is so, granted that the goats of Yom Kippur may be sacrificed on the New Moons, but how could the goats of the New Moons be sacrificed on Yom Kippur when they will need to effect atonement for that which they were not consecrated for? Rabbi Shimon said to them: They can all be interchanged, since ultimately all of them come to atone for the defiling of the Temple or its sacrificial foods, even if each one atones for a different case.", + "And for the intentional defiling of the Temple or its sacrificial foods, both the goat whose blood presentation is performed inside the Sanctuary on Yom Kippur, and Yom Kippur itself, atone. The mishna delineates how atonement is effected for other transgressions: For all other transgressions that are stated in the Torah, whether they are the minor ones or the major ones, whether they were intentional or unwitting, whether one became aware of them before Yom Kippur or did not become aware of them until after Yom Kippur, whether they involve a positive mitzva or a prohibition, whether the transgressors are subject to excision from the World-to-Come [karet] or to one of the court-imposed death penalties, the scapegoat sent to Azazel on Yom Kippur atones.", + "Israelites and priests and the anointed priest, i.e., the High Priest, achieve atonement from the scapegoat equally. What is the difference between Israelites, priests, and the anointed priest? The difference is only that the priests achieve atonement for their defiling of the Temple or its sacrificial foods through the bull that the High Priest offers on Yom Kippur, whereas the Israelites achieve atonement for defiling caused by them through the goats that are sacrificed on Yom Kippur. Rabbi Shimon says: With regard to the defiling of the Temple or its sacrificial foods, just as the blood of the goat, whose blood presentation is performed inside the Sanctuary, atones for Israelites, so too, the blood of the bull of the High Priest, whose blood presentation is also performed inside the Sanctuary, atones for the priests. And for all other transgressions, just as the confession made over the scapegoat atones for Israelites, so too, the confession made over the bull atones for the priests." + ], + [ + "With regard to cases of awareness of the defiling of the Temple by entering it while one is ritually impure, or defiling its sacrificial foods by partaking of them while one is ritually impure, there are two types that are actually four. How so? If one became ritually impure and he was aware that he was impure, but afterward his impurity was hidden from him, though he remembered that he was partaking of sacrificial food, which is forbidden to one who is in a state of ritual impurity; this is one of the four types of awareness of impurity. If the fact that he was partaking of sacrificial food was hidden from him, though he remembered the ritual impurity that he had contracted; this is the second of the four types of awareness of impurity. And the same halakha applies if both this and that were hidden from him, both the fact that he was impure and the fact that he was partaking of sacrificial food. In all these cases, if he partook of the sacrificial food and was unaware either that he was impure, or that the food was sacrificial food, or both, and after he partook of it he became aware of that which he had forgotten, he is required to bring a sliding-scale offering. In this type of offering, the sinner sacrifices an animal, bird, or meal-offering, depending on his financial status. And similarly with regard to entering the Temple: If one became ritually impure and he was aware that he was impure, but afterward his impurity was hidden from him, though he remembered that he was entering the Temple, which is prohibited for one who is in a state of ritual impurity; this is the third of the four types of awareness of impurity. If the fact that he was entering the Temple was hidden from him, though he remembered the ritual impurity that he had contracted; this is the fourth type of awareness of impurity. And the same halakha applies if both this and that were hidden from him, both the fact that he was impure and the fact that he was entering the Temple. In all these cases, if he entered the Temple and was unaware either that he was impure, or that he was entering the Temple, or both, and after he left he became aware of what was hidden from him, he is required to bring a sliding-scale offering.", + "As for the boundaries of the Temple with regard to the halakhot of impurity, the same halakha applies to one who enters the area that was part of the original Temple courtyard and to one who enters the later addition to the Temple courtyard, because the additional section is sanctified with the full sanctity of the Temple courtyard. The mishna notes: As, additions can be made to the city of Jerusalem or to the Temple courtyards only by a special body comprising the king, a prophet, the Urim VeTummim, and the Sanhedrin of seventy-one judges, and with two thanks-offerings and with a special song. Once the addition to the courtyard is made by this body and this process, it is given the full sanctity of the original courtyard area. The mishna provides certain details of the consecration ceremony. And the court would move forward, and two thanks-offerings would be brought after them, and all of the Jewish people would follow behind them. When they would reach the end of the place that they desired to consecrate, the inner thanks-offering would be eaten and the outer one would be burned. The details of this ceremony will be described in the Gemara. And with regard to any addition to the Temple that was not made with all these ceremonial procedures, one who enters there while ritually impure is not liable to bring an offering if his entry was unwitting, nor to be punished with karet, excision from the World-to-Come, if his entry was intentional.", + "The first part of the mishna discussed one who became ritually impure before entering the Temple. The mishna proceeds to consider a case involving one who was ritually pure when he entered the Temple but who became impure while in the Temple courtyard, and afterward, his impurity was hidden from him but he remembered that he was standing in the Temple, or the fact that he was standing in the Temple was hidden from him but he remembered his impurity, or both this fact and that fact were hidden from him. In all these cases, if he bowed down, or he tarried in the Temple courtyard long enough to bow down even though he did not actually bow, or he went out by way of a longer route when he could have taken a shorter route, he is liable to bring a sliding-scale offering. But if he left the Temple via the shortest way, he is exempt. This mitzva that the ritually impure must be sent out of the Temple is the positive mitzva concerning the Temple for which, as is taught elsewhere in the Mishna (Horayot 8b), the Sanhedrin is not liable to bring an offering for an erroneous ruling. A communal bull sin-offering is brought because of the unwitting transgression of a prohibition involving an action by the Jewish people resulting from an erroneous halakhic decision handed down by the Sanhedrin. But if the Sanhedrin mistakenly ruled that one who became impure while in the Temple may leave by way of a longer route, they do not bring this offering, as it is brought only for an erroneous ruling on a matter that requires the bringing of a fixed sin-offering, and not a sliding-scale offering, for its unwitting violation.", + "And which is the positive mitzva with regard to a menstruating woman for which, as is taught in Horayot there, the Sanhedrin is liable to bring a bull offering for an erroneous ruling? If a man was engaging in intercourse with a ritually pure woman, and during the course of their act of intercourse she experienced menstrual bleeding and said to him: I have become impure, and unwittingly he immediately withdrew from her and did not wait until his penis became flaccid, he is liable to bring a sin-offering for engaging in intercourse with a menstruating woman, because his withdrawal from her is as pleasant to him as his entry. If the Sanhedrin mistakenly ruled that one may withdraw immediately, they bring a bull offering for their erroneous ruling.", + "Rabbi Eliezer says: With regard to the sliding-scale offering the verse states: “Or if a person touches any impure thing, whether it is the carcass of a non-kosher undomesticated animal, or the carcass of a non-kosher domesticated animal, or the carcass of a non-kosher creeping animal, and it is hidden from him” (Leviticus 5:2). A precise reading of this verse indicates that in a case where one has a lapse of awareness that he had contracted ritual impurity by touching a creeping animal, he is liable to bring a sliding-scale offering for having defiled the Temple or the sacrificial food, but he is not liable to bring such an offering in a case where he has a lapse of awareness that he is entering the Temple or partaking of sacrificial food. Similarly, Rabbi Akiva says: The verse states: “And it is hidden from him, so that he is impure” (Leviticus 5:2), thereby teaching that in a case when one has a lapse of awareness that he had contracted ritual impurity, he is liable to bring a sliding-scale offering, but one is not liable to bring such an offering in a case when he has a lapse of awareness that he is entering the Temple or partaking of sacrificial food. Rabbi Yishmael says: The verse states: “And it is hidden from him” (Leviticus 5:2), and it states: “And it is hidden from him” (Leviticus 5:3), twice, in order to render one liable to bring a sliding-scale offering both in a case where one has a lapse of awareness that he had contracted ritual impurity and in a case where one has a lapse of awareness that he is entering the Temple." + ], + [ + "With regard to oaths attesting to the truth about an utterance, which, when violated, render one liable to bring a sliding-scale offering, there are two types that are actually four types. The initial two oaths, which relate to utterances about the future and are explicitly prohibited in the Torah, are: On my oath I will eat, or: On my oath I will not eat. These are expanded to four, to include oaths concerning utterances about the past: On my oath I ate, or: On my oath I did not eat. If one says: On my oath I will not eat, and he then ate any amount, even less than an olive-bulk, he is liable; this is the statement of Rabbi Akiva. The Rabbis said to Rabbi Akiva: Where do we find that one who eats any amount is liable, leading you to say that this person is liable? Rabbi Akiva said to them: And where do we find one who speaks and is liable to bring an offering for it, as this oath taker merely speaks, i.e., takes an oath, and brings an offering for it? If one said: On my oath I will not eat, and then he ate and drank, he is liable to bring only one offering, because an oath to refrain from eating includes refraining from drinking. If he said: On my oath I will not eat and I will not drink, and then he ate and drank, he is liable to bring two offerings.", + "If he said: On my oath I will not eat, and then he ate wheat bread and barley bread and spelt bread, he is liable to bring only one offering. If he said: On my oath I will not eat wheat bread or barley bread or spelt bread, and then he ate all of them, he is liable to bring an offering for each and every one. ", + "If he said: On my oath I will not drink, and then he drank several kinds of liquids, he is liable to bring only one offering. If he said: On my oath I will not drink wine or oil or honey, and then he drank all of them, he is liable to bring an offering for each and every one. ", + "If he said: On my oath I will not eat, and he ate foods that are inedible or drank liquids that are not potable, he is exempt. If he said: On my oath I will not eat, and then he ate the meat of unslaughtered carcasses or tereifot, repugnant creatures or creeping animals, he is liable. And Rabbi Shimon deems him exempt, since he is already under oath from Mount Sinai not to eat them and an oath cannot take effect where another oath is in force. But if he said: It is konam for my wife to derive benefit from me if I ate today, and he had eaten carcasses or tereifot, repugnant creatures or creeping animals, his wife is prohibited from deriving benefit from him. ", + "If one unwittingly takes a false oath about the past or breaks an oath he made about the future, both if it is an oath that addresses matters that concern oneself and if it is an oath that addresses matters that concern others, he is liable to bring a sliding-scale offering for an oath on an utterance. And likewise, an oath on an utterance may address both tangible matters and intangible matters. How so? Examples of oaths about future actions that concern others are if one said: On my oath I will give so-and-so a particular item, or: On my oath I will not give it to him. Examples of such oaths about the past are if one said: On my oath I gave another a particular item, or: On my oath I did not give it to him. Examples of oaths about the future that address intangible matters are where one said: On my oath I will sleep, or: On my oath I will not sleep. Examples of such oaths about the past are where one said: On my oath I slept, or: On my oath I did not sleep. Other examples of oaths about intangible matters are when one takes an oath, saying: I will throw a stone into the sea, or: I will not throw it, or: I threw it, or: I did not throw it. Rabbi Yishmael says: One is liable only for an oath on an utterance taken about the future, as it is stated: “Or if anyone take an oath clearly with his lips to do evil, or to do good, whatsoever it be that a man shall utter clearly with an oath” (Leviticus 5:4). The Torah refers explicitly only to oaths about what one will do in the future. Rabbi Akiva said to him: If so, and one is liable only for oaths explicitly mentioned in the verse, then I have derived only that one is liable for an oath on an utterance with regard to matters to which doing evil and doing good apply. From where do I derive that one is liable for an oath on an utterance with regard to matters to which doing evil and doing good do not apply? Rabbi Yishmael said to him: The halakha in these cases is derived by amplification of the meaning of the verse. Rabbi Akiva said to him: If the verse is amplified for this, i.e., to extend the halakha of an oath on an utterance to matters that do not involve doing evil or good, the verse is amplified for that, i.e., oaths about the past.", + "If one takes an oath to refrain from performing a mitzva and he does not refrain, he is exempt from bringing an offering for an oath on an utterance. If he takes an oath to perform a mitzva and he does not perform it, he is also exempt, though it would have been fitting to claim that he is liable to bring the offering, in accordance with the statement of Rabbi Yehuda ben Beteira. The mishna explains: Rabbi Yehuda ben Beteira said: What? If, with regard to an oath concerning an optional matter, for which one is not under oath from Mount Sinai, he is liable for breaking it, then with regard to an oath about a mitzva, for which he is under oath from Mount Sinai, is it not logical that he would be liable for breaking it?The Rabbis said to him: No, if you said that one is liable for breaking an oath concerning an optional action, where the Torah rendered one liable for a negative oath not to perform it like for a positive oath to perform it, shall you also say one is liable with regard to breaking an oath concerning a mitzva, where the Torah did not render one liable for a negative oath like for a positive oath, since if one takes an oath to refrain from performing a mitzva and did not refrain, he is exempt. ", + "If one says: On my oath I will not eat this loaf, and he then says again: On my oath I will not eat it, and again: On my oath I will not eat it, and he then ate it, he is liable only once. Once the first oath had taken effect, the subsequent oaths could not, as a prohibition cannot take effect where another prohibition is already in place. This is an oath on an utterance, for which one is liable to receive lashes for intentionally breaking it, and for unwittingly breaking it one is liable to bring a sliding-scale offering. For an oath taken in vain, one is liable to receive lashes when it is taken intentionally, and one is exempt when it is taken unwittingly. ", + "Which oath is an oath taken in vain, mentioned in the previous mishna (27b)? It is when one takes an oath to deny that which is known to people to be true, for example, one says about a stone column that it is made of gold, or about a man that he is a woman, or about a woman that she is a man. Another type of oath taken in vain is when one takes an oath about a matter that is impossible, e.g., if he says: If I did not see a camel flying through the air, or: If I did not see a snake as large as the beam of the olive press. In the case of one who said to witnesses: Come and testify for me, and they replied: On our oath we will not testify for you, that is an oath taken in vain, because it involves taking an oath to refrain from performing a mitzva. Other examples of this include an oath not to build a sukka, or not to take a lulav, or not to don phylacteries. This type of oath is an oath taken in vain, for which one is liable to receive lashes if he takes the oath intentionally, and for which he is exempt if he takes it unwittingly.", + " If one said: On my oath I will eat this loaf, and later said: On my oath I will not eat it, the first oath is an oath on an utterance, and the second is an oath taken in vain, as he took an oath to perform an action that would violate his previous oath. If he ate it, he violated the prohibition against taking an oath in vain. If he did not eat it, he violated the prohibition against breaking an oath on an utterance. ", + "As opposed to the halakhot of an oath of testimony, which will be discussed in the following chapter, the halakhot of an oath on an utterance apply to men and to women, to relatives and to non-relatives, to those who are fit to testify and to those who are disqualified, whether the oath is taken in the presence of a court or not in the presence of a court, i.e., when one takes an oath on his own, at his own initiative. And for violating an oath intentionally one is liable to receive lashes, and for doing so unwittingly he is liable to bring a sliding-scale offering. ", + "Liability for an oath taken in vain applies to men and to women, to relatives and to non-relatives, to those who are fit to bear witness and to those who are disqualified, whether the oath is taken in the presence of a court or not in the presence of a court, and also when one takes an oath on his own. And for violating an oath intentionally one is liable to receive lashes, and for doing so unwittingly he is exempt. With regard to both this, an oath on an utterance, and that, an oath taken in vain, even if he is administered the oath by others, he is liable. For example, if one said: If I did not eat today, or: I did not don phylacteries today, and another said to him: I administer an oath to you that your statement is true, and the former said: Amen, he is liable if the statement was false. " + ], + [ + "The oath of testimony is practiced with regard to men but not with regard to women, with regard to non-relatives of the litigants but not with regard to relatives, with regard to those fit to testify but not with regard to those unfit to testify due to a transgression that they performed. And the oath of testimony is practiced only with regard to those fit to testify. The oath of testimony is practiced both in the presence of a court and not in the presence of a court, when the potential witness takes the oath on his own. But if the oath is administered by others and those denying that they witnessed the incident in question neither take an oath nor answer amen to the administered oath, they are not liable until they deny any knowledge of the incident in question in court. This is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: Whether one of the witnesses takes the oath on his own or whether the oath is administered by others, the witnesses are not liable until they deny any knowledge of the incident in question before the litigants in court. ", + "And one is liable for the act of taking a false oath with intent and for an unwitting act of taking a false oath, i.e., he is unaware of the liability for taking a false oath, provided that he takes the oath with intent in terms of the testimony, i.e., he takes an oath that he has no knowledge of the matter even though he knows that he witnessed the incident. But witnesses are not liable for taking the oath if they were unwitting in terms of the testimony, i.e., they believe that they have no knowledge of the matter. And what are they liable for by taking a false oath with intent? They are liable to bring a sliding-scale offering.", + "Liability to bring a sliding-scale offering for taking a false oath of testimony, how so? In a case where the plaintiff said to two individuals: Come and testify on my behalf, and they replied: On our oath we do not know any testimony on your behalf, i.e., we do not have any knowledge of the matter you speak of, or in a case where they said to him: We do not know any testimony on your behalf, and he said to them: I administer an oath to you, and they said: Amen; if it was determined that they lied, these two witnesses are liable. If he administered an oath to them five times outside the court, and they came to court and admitted that they had knowledge of the incident in question and testified, they are exempt. But if they denied knowledge of the incident in court as well, they are liable for each and every one of the oaths administered to them outside the court. If he administered an oath to them five times before the court, and they denied knowledge of the incident, they are liable for taking only one false oath. Rabbi Shimon said: What is the reason for this ruling? Since once they denied that they had any knowledge of the incident they can no longer retract that denial and admit that they have knowledge of the matter. Therefore, there was only one oath of testimony, and there is no liability for the remaining oaths.", + "If both of the witnesses denied knowledge of the incident together, both of them are liable. If they denied knowledge one after the other, the first who denied knowledge is liable, and the second is exempt, as once the first witness denies knowledge of the incident, the second is an individual witness, whose testimony is not decisive. If one of the two witnesses denied knowledge of the incident, and the other one admitted that he had knowledge and proceeded to testify, the one who denies knowledge of the incident is liable. If there were two sets of witnesses that took the oath of testimony, and the first set denied knowledge of the matter and then the second set denied knowledge of the matter, both of the sets are liable, because the testimony can exist with either of them, as even after the first set denies knowledge of the incident, the second remains capable of providing decisive testimony.", + "In a case where the plaintiff said to the witnesses: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify on my behalf that I have in the possession of so-and-so a deposit, and an outstanding loan, and a stolen item, and a lost item, and they lied in reply: On our oath we do not know any testimony on your behalf, they are liable for taking only one false oath of testimony. But if they lied in reply: On our oath we do not know that you have in the possession of so-and-so a deposit, and an outstanding loan, and a stolen item, and a lost item, they are liable for each and every one of the components of the claim. It is as though they took a separate oath with regard to each of the details of the claim. In a case where the plaintiff said to the witnesses: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify that I have in the possession of so-and-so a deposit of wheat, and barley, and spelt, and they lied in reply: On our oath we do not know any testimony on your behalf, they are liable for taking only one false oath of testimony. But if they lied in reply: On our oath we do not know any testimony on your behalf that you have in the possession of so-and-so wheat, and barley, and spelt, they are liable for each and every one of the components of the claim.", + "In a case where the plaintiff said to the witnesses: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify on my behalf that I have in the possession of so-and-so an outstanding payment for damage; or an outstanding payment for half the damage, which the owner pays for damage caused by his innocuous ox goring another animal; or with regard to an outstanding payment of double the principal that a thief must pay the owner of the stolen item; or with regard to an outstanding payment of four or five times the principal that a thief pays when he stole a sheep or an ox, respectively, and then slaughtered or sold it; or in a case where the plaintiff said: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify that so-and-so raped my daughter; or, he seduced my daughter; or, that my son struck me; or, that another injured me; or, that he set my stack of grain on fire on Yom Kippur; if in any of these cases the witnesses took an oath falsely denying any knowledge of the matter on behalf of the plaintiff, these witnesses are liable for taking a false oath of testimony.", + "In a case where the plaintiff said to two witnesses: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify that I am a priest, or that I am a Levite, or that I am not the son of a priest and a divorced woman, or that I am not the son of a priest and a ḥalutza, or that so-and-so is a priest, or that so-and-so is a Levite, or that he is not the son of a priest and a divorced woman, or that he is not the son of a priest and a ḥalutza; in all these cases the witnesses are exempt from liability for taking a false oath of testimony, because these do not involve monetary claims. Likewise, if the plaintiff said to them: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify that so-and-so raped his daughter, or that he seduced his daughter, or that my son injured me, or that another person wounded me on Shabbat, or that he set my stack of grain on fire on Shabbat; in all these cases these witnesses are exempt, as each case is punishable with the death penalty, and therefore they are cases that do not involve monetary payment.", + "If one said to witnesses: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify on my behalf that so-and-so said he is going to give me two hundred dinars and he did not give them to me, and they take false oaths that they have no knowledge of the matter, they are exempt from liability to bring an offering for taking a false oath of testimony, as one is liable for taking a false oath of testimony only in a case involving a monetary claim like a deposit in the sense that were the witnesses to testify, the individual would be liable to pay. In the case of a promise to give a gift he could claim that he merely reconsidered.", + "If one said to witnesses: I administer an oath to you that when you will know testimony relevant to me you will come and testify on my behalf, these witnesses are exempt from liability for taking a false oath of testimony even if they do not testify, due to the fact that the oath preceded their knowledge of the relevant testimony.", + "If one stood in the synagogue and said for all to hear: I administer an oath to you that if you know testimony relevant to me you will come and testify on my behalf, these witnesses are exempt until he directs his demand to specific individuals.", + "If one said to two people: I administer an oath to you, so-and-so and so-and-so, that if you know testimony relevant to me you will come and testify on my behalf, and they respond: On our oath we do not know any testimony relevant to you, and they know testimony relevant to him, not based on an incident they witnessed but based on hearsay testimony, which is not valid testimony, or if one of the witnesses is found to be a relative or disqualified, these witnesses are exempt from liability for taking a false oath of testimony because they are unfit witnesses.", + "If the plaintiff sent the demand for their testimony by means of his slave, or in a case where the defendant said to the witnesses: I administer an oath to you that if you know any testimony relevant to the plaintiff that you will come and testify on his behalf, and they took a false oath that they have no knowledge of the matter, these witnesses are exempt from liability for taking a false oath of testimony until they will hear the demand to testify directly from the mouth of the plaintiff.", + "The mishna discusses the formula of an oath of testimony. If the plaintiff said to the witnesses: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify on my behalf, or even if he said: I command you, or I bind you, although he did not employ an unequivocal formula of an oath, these witnesses are liable for taking a false oath of testimony. If one administered the oath to the witnesses in the name of heaven and in the name of earth, these witnesses are exempt from liability for taking a false oath of testimony, as that is not an oath in the name of God. If one administered the oath to the witnesses in the name of alef dalet, i.e., Adonai; in the name of yod heh, the Tetragrammaton; in the name of the Almighty [Shaddai]; in the name of the Lord of Hosts [Tzevaot]; in the name of the Gracious and Compassionate One; in the name of He Who is Slow to Anger; in the name of He Who is Abounding in Loving-kindness; or in the name of any of the appellations of God, even though he did not mention the ineffable name of God, these witnesses are liable for taking a false oath of testimony. One who curses God employing any of these names or appellations of God is liable to be executed through stoning; this is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis deem him exempt, as they hold that one is liable for cursing God only if he employs the ineffable name of God. One who curses his father or his mother employing any of these names or appellations of God is liable to be executed through stoning; this is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis deem him exempt, as they hold that one is liable for cursing his father and his mother only if he employs the ineffable name of God. One who curses himself or another employing any of these names or appellations of God violates a prohibition. If one says: The Lord God shall strike you (see Deuteronomy 28:22), and likewise if one says: God shall strike you if you do not come to testify, that is a curse that is written in the Torah, and in such a case one is certainly liable if he fails to testify. If one says to the witnesses: God shall not strike you, or: God shall bless you, or: God shall benefit you if you come and testify, Rabbi Meir deems him liable, as one may infer from that statement that if he fails to testify God will strike him, or will not bless or benefit him. And the Rabbis deem him exempt because the curse is not explicitly stated." + ], + [ + "One who takes a false oath denying that he is in possession of an item that another deposited with him is liable to return the item with an additional one-fifth of its value and to bring a guilt-offering (see Leviticus 5:20–26). The halakhot of an oath on a deposit apply to men and to women, to non-relatives and to relatives, i.e., even if the owner of the deposit and the purported bailee are related, to those fit to serve as witnesses and to those disqualified from doing so. These halakhot apply when the oath is taken in the presence of a court and when taken not in the presence of a court, as long as the oath is taken on his own, i.e., stated by the defendant himself. But if the oath is administered by others, he is not liable unless he denies the claim in court; this is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: Both when the defendant takes an oath on his own and when the oath is administered by others, once he has falsely denied the claim against him, he is liable to bring a guilt-offering and to pay restitution and an additional one-fifth, even if the oath was not administered in the presence of a court. And one is liable to bring an offering for intentionally taking a false oath on a deposit and for unwittingly taking a false oath about the intentional misappropriation of the deposit, i.e., if one knowingly took a false oath but was unaware that he is liable to bring an offering for taking the oath. But he is not liable for unwittingly taking a false oath by itself, where he mistakenly thought that he did not owe anything. And what is he liable for when he intentionally takes a false oath? He must bring a guilt-offering worth at least two silver shekels.", + "The mishna continues: What is the case of an oath on a deposit? It is where the claimant said to the defendant: Give me my deposit, which is in your possession, and the defendant replied: On my oath nothing of yours is in my possession; or the defendant said to him: Nothing of yours is in my possession, the claimant responded: I administer an oath to you, and the defendant said: Amen. In either case this defendant is liable to bring a guilt-offering if he lied. If the claimant administered an oath to him five times, whether in the presence of a court or not in the presence of a court, and the defendant falsely denied each claim, he is liable to bring a guilt-offering for each and every denial. Rabbi Shimon said: What is the reason? It is due to the fact that he is able to retract and confess after each oath and repay the claimant. Since he did not do so, each oath is considered a separate denial of a monetary claim.", + "If five people were suing him and they said to him: Give us back our deposit that is in your possession, and the defendant says: On my oath nothing of yours is in my possession, he is liable for only one false oath. But if he responds to each claimant: On my oath nothing of yours is in my possession, and nothing of yours, and nothing of yours, he is liable for his oath concerning each and every claim that he denied. Rabbi Eliezer says: He is not liable for his oath concerning each claim unless he says: On my oath, at the end of the denial, i.e., he says: Nothing of yours is in my possession, and nothing of yours, on my oath, so that it is clear that he is taking an oath to each one. Rabbi Shimon says: He is not liable for his oath concerning each claim unless he says: On my oath, to each and every claimant, i.e., he says: On my oath nothing of yours is in my possession, and on my oath nothing of yours, to each claimant separately. In a case where the claimant said: Give me back my deposit, and pledge, stolen item, and lost item that are in your possession, and the defendant responds: On my oath nothing of yours is in my possession, he is liable for only one false oath. But if he responds: On my oath I do not have in my possession your deposit, or pledge, stolen item, or lost item, he is liable for his oath concerning each and every claim. In a case where the claimant said: Give me back my wheat, and barley, and spelt that are in your possession, if the defendant responds: On my oath nothing of yours is in my possession, he is liable for only one false oath. But if he responds: On my oath I do not have in my possession your wheat, barley, or spelt, he is liable for his oath concerning each and every claim. Rabbi Meir says: Even if the defendant says: On my oath I do not have in my possession your grain of wheat, or grain of barley, or grain of spelt, he is liable for his oath concerning each and every claim.", + "The mishna continues: If one accuses another: You raped or you seduced my daughter, and the other says: I did not rape and I did not seduce your daughter, to which the father replied: I administer an oath to you, and the defendant said: Amen, the defendant is liable to bring a guilt-offering if it is a false oath. Rabbi Shimon deems him exempt, since one does not pay a fine based on his own admission. Had he confessed he would have been exempt from paying the fine; he is therefore not liable for his denial. The Rabbis said to him: Even though he does not pay the fine based on his own admission, he does pay compensation for humiliation and compensation for degradation resulting from her being raped or seduced, which are monetary claims and not fines, based on his own admission. He is therefore liable for a false oath, as he denied a monetary claim.", + "Similarly, in a case where one person accuses another: You stole my ox, and the defendant says: I did not steal your ox, if the claimant replied: I administer an oath to you, and the defendant said: Amen, he is liable to pay for the ox due to the theft and to bring a guilt-offering if he lied, since by his oath he is denying that he owes the value of the ox that he would have to pay if he admitted to stealing it. But in a case where the claimant accuses the defendant of stealing the ox and slaughtering or selling it, and the defendant says: I stole the ox, but I did not slaughter or sell it, and this is a lie, if the claimant replied: I administer an oath to you, and he said: Amen, then the defendant is exempt from the fivefold payment for slaughtering or selling another’s ox, since it is a fine. If the claimant says: Your ox killed my ox, and the defendant lies and says: It did not kill your ox, to which the claimant replied: I administer an oath to you, and he said: Amen, then he is liable for his false oath. But if the claimant says: Your ox killed my Canaanite slave and you are therefore liable to pay me a fine of thirty shekels, and he lies and says: It did not kill your slave, to which the claimant replied: I administer an oath to you, and he said: Amen, then he is exempt, because payment for the slave is a fine. If the claimant said to him: You injured me and caused me a wound, and the defendant says: I did not injure you and I did not cause you a wound, to which the claimant replies: I administer an oath to you, and he said: Amen, he is liable. But if one’s Canaanite slave said to him: You knocked out my tooth, or: You blinded my eye, and you are therefore required to emancipate me, and he says: I did not knock out your tooth, or: I did not blind your eye, to which the slave replies: I administer an oath to you, and he said: Amen, he is exempt from bringing a guilt-offering even though he lied, since the obligation to emancipate one’s slave in these cases is a penalty. This is the principle: For any claim that the defendant would have to pay based on his own admission, he is liable to bring a guilt-offering for taking a false oath concerning that claim. And for any claim that he would not pay based on his own admission but would pay only by the testimony of witnesses, he is exempt from bringing a guilt-offering for taking a false oath concerning that claim." + ], + [ + "By Torah law, the oath imposed by the judges upon one who admits to part of a claim is administered only when the claim is for the value of at least two silver ma’a, and the defendant’s admission is for the value of at least one peruta. And furthermore, if the admission is not of the same type as the claim, i.e., the defendant admitted to a debt that the claimant did not claim, the defendant is exempt from taking an oath. How so? If the claimant said to the defendant: I have two silver ma’a in your possession, and the latter responded: You have only one peruta, a coin made from copper, in my possession, he is exempt from taking an oath (see 39b). But if the claimant said: I have two silver ma’a and one peruta in your possession, and the defendant responded: You have only one peruta in my possession, he is liable to take an oath. If the claimant said: I have one hundred dinars in your possession, and the defendant responded: Nothing of yours is in my possession, he is exempt, as he denies the entire claim. But if the claimant said: I have one hundred dinars in your possession, and the defendant responded: You have only fifty dinars in my possession, he is liable to take an oath, as he admitted to a part of the claim. If the claimant said: My late father had one hundred dinars in your possession, and I am now claiming them, and the defendant responded: You have only fifty dinars in my possession, he is exempt from taking an oath, as he is like one returning a lost item, since he could have easily denied the entire claim.", + "The mishna discusses other cases where the defendant denies an entire claim. In a case where one said to another: I have one hundred dinars in your possession, and the latter said to him: Yes, I acknowledge that claim; and the next day the claimant said to him: Give the money to me, and the defendant responded: I already gave it to you, he is exempt. But if he responded: Nothing of yours is in my possession, i.e., he denies that a debt ever existed, he is liable to pay, as he already admitted that he owed him the amount. In a case where the claimant said: I have one hundred dinars in your possession, and the defendant said to him: Yes, to which the claimant responded: Give the money to me only in the presence of witnesses, then if the next day the claimant said to him: Give the money to me, and the defendant responded: I already gave it to you, he is liable to pay, as he is required to give it to him in the presence of witnesses, and he cannot prove that he did so.", + "The mishna resumes discussion of the oath imposed by the court in a case where the defendant admits to a part of a claim. If the claimant said: I have a litra, i.e., a specific weight, of gold in your possession, and the defendant responded: You have only a litra of silver in my possession, he is exempt from taking an oath, as his admission relates to a different item than that which the claim relates to. But if the claimant said: I have a gold dinar in your possession, and the defendant responded: You have only a silver dinar, or a tereisit, or a pundeyon, or a peruta in my possession, he is liable to take an oath, as they are all of one type; they are all coins. Since the claim concerns money, the difference between the different types of coins is disregarded, as the claim is essentially referring to the monetary value, not to a specific type of coin. If the claimant said: I have a kor of grain in your possession, and the defendant responded: You have only a half-kor of legumes in my possession, he is exempt. But if the claimant said: I have a kor of produce in your possession, and the defendant responded: You have only a half-kor of legumes in my possession, he is liable, as legumes are included in produce. If one claimed that another owes him wheat, and the defendant admitted to owing him barley, he is exempt; and Rabban Gamliel deems him liable to take an oath. According to Rabban Gamliel, one who admits to a part of the claim is liable to take an oath even if the admission is not of the same type as the claim. With regard to one who claims that another owes him jugs of oil, and the latter then admitted that he owes him pitchers, i.e., the jugs themselves, but not the oil, Admon says: Since he admitted to him with regard to a part of the claim, and his admission was of the same type as the claim, i.e., the claim included both containers and oil and he admitted to owing him containers, he must take an oath. And the Rabbis say: The partial admission in this case is not of the same type as the claim, as he completely denied owing him oil. Rabban Gamliel said: I see the statement of Admon as correct. If one claimed that another owes him vessels and land, and the defendant admitted to owing him vessels but denied the claim of land, or conversely, he admitted to owing him land but denied the claim of vessels, he is exempt from taking an oath, as oaths are not taken concerning claims involving land. If he admitted to part of the claim about the land, he is exempt. If he admitted to part of the claim about the vessels, he is liable to take an oath concerning the entire claim, as property that does not serve as a guarantee, i.e., movable property, binds the property that serves as a guarantee, i.e., the land, so that the oath about the movable property can be extended to require him to take an oath concerning the land as well.", + "One does not take an oath concerning the claim of a deaf-mute, an imbecile, or a minor. And the court does not administer an oath to a minor. But one does take an oath to a minor, or to a representative of the Temple treasury with regard to consecrated property.", + "And these are items concerning which one does not take an oath by Torah law: Canaanite slaves, and financial documents, and land, and consecrated property. In a case where these items are stolen, there is no payment of double the principal, nor is there payment of four or five times the principal in a case where one stole a consecrated animal and slaughtered or sold it. An unpaid bailee who lost one of these items does not take an oath that he was not negligent in safeguarding it, and a paid bailee does not pay for the loss or theft of one of these items. Rabbi Shimon says there is a distinction between different types of consecrated property: With regard to consecrated property for which one bears the financial responsibility to compensate the Temple treasury in the event of their loss, such as in a case where he vowed to bring an offering and then set aside an animal to be sacrificed in fulfillment of the vow, one takes an oath concerning them, as they are considered his own property. But with regard to consecrated property for which he does not bear the financial responsibility for their loss, one does not take an oath concerning them.", + "Rabbi Meir says: There are certain items that are physically on the land but are not treated like land from a halakhic perspective, and the Rabbis do not concede to him concerning this point. How so? If one makes the claim: I assigned you ten grapevines laden with fruit to safeguard, and the other one says: They are only five vines, Rabbi Meir deems the defendant liable to take an oath, as he admitted to a part of the claim, and although the claim concerned grapevines, the primary aspect of the claim was the grapes. And the Rabbis say: The halakhic status of anything that is attached to the land is like the land itself, and therefore he is exempt from taking an oath. One takes an oath only concerning an item that is defined by size, by weight, or by number. How so? If the claimant says: I transferred to you a house full of produce, or: I transferred to you a pouch full of money, and the other person says: I do not know how much you gave me, but what you left in my possession you may take, and the amount in the house or pouch at that time is less than that claimed by the claimant, the defendant is exempt from taking an oath, as the amounts in the claim and the admission are undefined. But if this party says that the house was full up to the ledge, and that party says that it was full up to the window, the defendant is liable to take an oath, as the dispute relates to a defined amount.", + "There is a case of one who lends money to another on the basis of collateral, and the collateral was lost while in the possession of the creditor, and the creditor says to the debtor: I lent you a sela on the basis of that collateral and that collateral was worth a shekel, i.e., a half-sela. Therefore, you owe me a shekel. And the other individual, the debtor, says in response to that claim: That is not the case. Rather, you lent me a sela on the basis of that collateral, and the collateral was worth a sela; I owe you nothing. In this case, the debtor is exempt from payment. There is a case of a creditor who claims: I lent you a sela on the basis of that collateral and it was worth a shekel. And the other individual, the debtor, says: That is not the case; rather, you lent me a sela on the basis of that collateral, and the collateral was worth three dinars, i.e., three-quarters of a sela. In this case, the debtor is liable to take an oath, due to the fact that he responded to the claim of the creditor with a partial admission. If in that case the debtor said: You lent me a sela on the basis of that collateral and the collateral was worth two sela, so now you owe me a sela. And the other party, i.e., the creditor, said: That is not the case; rather, I lent you a sela on the basis of that collateral and the collateral was worth a sela. Here, the creditor is exempt. If in that case the debtor said: You lent me a sela on the basis of that collateral and the collateral was worth two sela. And the other party, i.e., the creditor, said: That is not the case; rather, I lent you a sela on the basis of that collateral and the collateral was worth five dinars. Here, the creditor is liable to take an oath due to the fact that he responded to the claim of the debtor with a partial admission. And who takes the oath? The one in whose possession the deposit had been located, i.e., the creditor, who took collateral from the debtor. The Sages instituted this provision lest this party, i.e., the debtor, take an oath and the other party, i.e., the creditor, produce the deposit and prove the oath false." + ], + [ + "All those who take an oath that is legislated by the Torah take an oath and do not pay. By Torah law, one takes an oath only in order to exempt himself from a monetary claim. And these litigants take a rabbinically instituted oath and receive possession of the disputed funds or property, i.e., their claim is upheld by means of the oath, even though they are not in possession of the property in question: A hired worker who claims that he has not received his wages; and one who was robbed and sues the person who robbed him; and one who was injured, who claims compensation from the person who injured him; and one whose opposing litigant is suspect with regard to the taking of an oath. When a person suspected of taking false oaths is liable to take an oath in order to exempt himself, the claimant takes an oath instead and receives payment. And a storekeeper relying on his ledger also takes an oath and is paid. How does this halakha apply to the hired worker? The case is where one says to his employer: Give me my wages that are still in your possession. The employer says: I already gave them to you. And that worker says: I have not received them. In such a case, the worker takes an oath that he has not received his wages, and he receives payment from his employer. Rabbi Yehuda says: This oath cannot be administered unless there is partial admission on the part of the employer. How so? The case is where the worker said to him: Give me my wages, fifty silver dinars, which are still in your possession. And the employer says: You have already received one golden dinar, which is worth twenty-five silver dinars. Since the employer has admitted that he owes part of the sum, the worker takes an oath and is paid the whole sum.", + "How does this halakha apply to one who was robbed? The case is where witnesses testified about the defendant that he entered the claimant’s house to seize collateral from him without the authority to do so. The claimant said: You took items that belong to me. And the defendant said: I did not take them. The claimant takes an oath and receives payment of his claim. Rabbi Yehuda says: This oath cannot be administered unless there is partial admission on the part of the defendant. How so? The case is where the claimant said to him: You took two items. And he says: I took only one. Since the defendant admits that he took one item from the house, the claimant takes an oath and receives payment of his whole claim.", + "How does this halakha apply to one who was injured? The case is where witnesses testified about the injured person that he entered into the domain of the defendant whole but left injured, and the claimant said to the defendant: You injured me. And the defendant says: I did not injure you. The injured party takes an oath and receives compensation. Rabbi Yehuda says: This oath cannot be administered unless there is partial admission. How so? The case is where the claimant said to the defendant: You injured me twice. And the other says: I injured you only once. In such a case, the injured party takes an oath that he was injured twice and receives compensation for both injuries.", + "How does this halakha apply to one whose opposing litigant is suspect with regard to the taking of an oath and therefore is not permitted to take the oath? One is considered suspect with regard to oaths if he has been found to have taken a false oath, whether it was an oath of testimony, or whether it was an oath on a deposit, or even an oath taken in vain, which is a less severe prohibition. There are also categories of people who by rabbinic decree are considered suspect with regard to oaths: If one of the litigants was a dice player, or one who lends with interest, or among those who fly pigeons, or among the vendors of produce of the Sabbatical Year, then the litigant opposing him takes an oath and receives payment of his claim. If both litigants were suspect, the oath returned to its place. This is the statement of Rabbi Yosei, and will be explained in the Gemara. Rabbi Meir says: Since neither can take an oath, they divide the disputed amount.", + "And how does this halakha apply to the storekeeper relying on his ledger? This ruling is not referring to the case where a storekeeper says to a customer: It is written in my ledger that you owe me two hundred dinars. Rather, it is referring to a case where a customer says to a storekeeper: Give my son two se’a of wheat, or: Give my laborers a sela in small coins. And later the storekeeper says: I gave it to them; but they say: We did not receive it. In such a case, where the father or employer admits that he gave those instructions and it is also recorded in the storekeeper’s ledger, the storekeeper takes an oath that he gave the son the wheat or paid the laborers, and he receives compensation from the father or employer; and the laborers take an oath that they were not paid and receive their wages from the employer. Ben Nannas said: How is it that both these and those come to take an oath in vain? One of them is certainly lying. Rather, the storekeeper receives his compensation without taking an oath, and the laborers receive their wages without taking an oath.", + "If one said to a storekeeper: Give me produce valued at a dinar, and he gave him the produce. And later the storekeeper said to him: Give me that dinar you owe me, and the customer said to him: I gave it to you, and you put it in your wallet [be’unpali], the customer shall take an oath that he gave him the dinar. If, after he gave the storekeeper the money, the customer said to him: Give me the produce, and the storekeeper said to him: I gave it to you and you transported it to your house, the storekeeper shall take an oath that he has already filled the order, and he is exempt from supplying the produce. Rabbi Yehuda says: Whoever has the produce in his possession has the advantage, and his claim is accepted without his taking an oath. Similarly, if one said to a money changer: Give me small coins valued at a dinar, and he gave him the coins, and subsequently the money changer said to him: Give me the dinar, and the customer said to him: I gave it to you, and you put it in your wallet; the customer shall take an oath that he paid. If the customer gave the money changer the dinar, and then said to him: Give me the coins, and the money changer said to him: I gave them to you and you cast them into your purse, the money changer shall take an oath. Rabbi Yehuda says: It is not a money changer’s way to give even an issar until he receives a dinar. Therefore, the fact that the customer received the coins indicates that the money changer already received his payment.", + "These cases of taking an oath are just like other cases where the Sages said that one takes an oath and receives payment. The mishna (see Ketubot 87a) teaches: A woman who vitiates her marriage contract by acknowledging receipt of partial payment may collect the remainder only by taking an oath; or if one witness testifies that her marriage contract has been paid, she may collect it only by taking an oath. She may collect it from liened property that has been sold to a third party, or from the property of orphans, only by taking an oath, and a woman who collects it from her husband’s property when not in his presence may collect it only by taking an oath. And likewise, orphans may collect a loan with a promissory note inherited from their father only by taking an oath. Orphans who wish to collect payment of money owed to their father must take the following oath: On our oath our father did not direct us on his deathbed not to collect with this promissory note, and our father did not say to us that this note was paid, and we did not find among our father’s documents a record showing that this promissory note was paid. After taking that oath, they may collect the money. Rabbi Yoḥanan ben Beroka says: Even if the son was born after the father’s death, he needs to take an oath in order to receive the money owed to his father. Rabban Shimon ben Gamliel said: If there are witnesses that the father said at the time of his death: This promissory note has not been paid, the son collects the debt without having to take an oath.", + "And these people are sometimes required to take an oath that they do not owe anything even when there is no explicit claim against them: Partners, sharecroppers, stewards [apotropin], a woman who does business from home, where she manages the property of orphans, and the member of the household appointed to manage the household’s affairs. For example, in a case where one of these people said to one of the people whose property he or she manages: What is your claim against me? If the other replied: It is simply my wish that you take an oath to me that you have not taken anything of mine, the former is liable to take that oath. Once the partners or the sharecroppers have divided the common property, each taking his share, then one side may not require an oath of the other absent a definite claim. But if an oath was imposed upon him due to some other situation, that oath can be extended to impose upon him any other oath, i.e., it can be extended to apply to any other of their disputes. The mishna adds: And the Sabbatical Year abrogates the obligation to take an oath about a debt, just like it abrogates a debt." + ], + [ + "There are four types of bailees, to whom different halakhot apply. They are as follows: An unpaid bailee, who receives no compensation for safeguarding the item in his care; and a borrower, who receives an item on loan for his own use without paying a rental fee; a paid bailee, who is paid a salary for safeguarding the deposited item; and a renter, i.e., one who pays a fee for the use of an item or animal. In the event that one of these bailees is unable to return the deposited item to its owner, the halakha with regard to liability is dependent upon what happened to the item, and upon the type of bailee: An unpaid bailee takes an oath attesting to the fact that he was not negligent with the care of the item and is then exempt from liability for everything, meaning for all types of damage, whether the item was lost, stolen, damaged, or if the animal died. Conversely, a borrower does not have the option of taking an oath, and pays for everything, whether the item was stolen, lost, damaged, or the animal died, even if it was by unavoidable accident. The halakhot of a paid bailee and a renter are the same: They take an oath concerning an injured animal, and concerning a captured one, and concerning a dead animal, attesting to the fact that these mishaps were not caused by negligence, but rather by unavoidable accident, and then are exempt from liability. But they must pay if the deposit cannot be returned due to loss or theft, even if these were not caused by negligence.", + "The mishna clarifies: If the owner of an ox said to an unpaid bailee: Where is my ox? And the unpaid bailee said to him: It died, but the truth was that it was injured or captured or stolen or lost; or if the bailee responded: It was injured, but the truth was that it died or was captured or stolen or lost; or if he responded: It was captured, but the truth was that it died or was injured or stolen or lost; or if he responded: It was stolen, but the truth was that it died or was injured or captured or lost; or if he responded: It was lost, but the truth was that it died or was injured or captured or stolen, in any of the above cases, if the owner of the ox then said: I administer an oath to you concerning your claim, and the unpaid bailee said: Amen, he is exempt from bringing a guilt-offering, despite the fact that he took a false oath. The reason is that his false oath did not render him exempt from liability to pay.", + "If the owner says to an unpaid bailee: Where is my ox? And the unpaid bailee said to him: I do not know what you are talking about, but the truth was that it died or was injured or captured or stolen or lost, and the owner said: I administer an oath to you concerning your claim, and the unpaid bailee said: Amen, he is exempt from bringing a guilt-offering, since he would not have been liable to pay in any of these cases. But if the owner said to the unpaid bailee: Where is my ox? And the unpaid bailee said to him: It is lost, and the owner said: I administer an oath to you concerning your claim, and the unpaid bailee said: Amen, and then witnesses testify that the bailee consumed it, he pays the owner the principal, since he took the ox for himself. But if there were no witnesses, but after he took the oath he admitted of his own accord that he stole the ox and took a false oath, then he pays the owner the principal and the additional one-fifth payment, and he brings a guilt-offering to achieve atonement, as in any other case where one takes a false oath with regard to a deposit. Similarly, if the owner said to the unpaid bailee: Where is my ox? And the unpaid bailee said to him: It was stolen, and the owner said: I administer an oath to you concerning your claim, and the unpaid bailee said: Amen, and then witnesses testify that the bailee stole it, he pays double the principal. If he admitted of his own accord that he stole it, then he is exempt from double payment for theft, but pays the principal and the additional one-fifth payment, and brings a guilt-offering to achieve atonement.", + "If the owner of an ox said to someone in the marketplace, i.e., a stranger who was not a bailee: Where is my ox that you stole? And the accused says: I did not steal it, and then witnesses testify that the accused did steal it, he pays the double payment. If he slaughtered or sold it, he pays the fourfold or fivefold payment. If the accused saw witnesses that were approaching to testify against him, and at that point he said: I admit that I stole the animal but I did not slaughter or sell it, he pays only the principal.", + "If the owner said to a borrower: Where is my ox? And the borrower said to him: It died, but the truth was that it was injured or captured or stolen or lost; or if he responded: It was injured, but the truth was that it died or was captured or stolen or lost; or if he responded: It was captured, but the truth was that it died or was injured or stolen or lost; or if he responded: It was stolen, but the truth was that it died or was injured or captured or lost; or if he responded: It was lost, but the truth was that it died or was injured or captured or stolen, in any of the above cases, if the owner of the ox said: I administer an oath to you concerning your claim, and the borrower said: Amen, he is exempt from bringing an offering for his false oath, since the oath did not render him exempt from liability to pay. He would have been liable to pay in any case.", + "But if the owner said to the borrower: Where is my ox? And the borrower said to him: I do not know what you are talking about, but the truth was that it died or was injured or captured or stolen or lost, and the owner said: I administer an oath to you concerning your claim, and the borrower said: Amen, the borrower is liable to bring a guilt-offering, as he took an oath that would render him exempt from liability to pay. If an owner said to a paid bailee or a renter: Where is my ox? And the latter said to him: It died, but the truth was that it was injured or captured; or if he said: It was injured, but the truth was that it died or was captured; or if he said: It was captured, but the truth was that it died or was injured; or if he said: It was stolen, but the truth was that it was lost; or if he said: It was lost, but the truth was that it was stolen, and the owner said: I administer an oath to you concerning your claim, and he said: Amen, the paid bailee or renter is exempt from bringing a guilt-offering. If the paid bailee or renter said: It died or was injured or captured, but the truth was that it was stolen or lost, and the owner said: I administer an oath to you concerning your claim, and he said: Amen, the paid bailee or renter is liable to bring a guilt-offering. If the paid bailee or renter said: It was lost or stolen, but the truth was that it died or was injured or captured, and the owner said: I administer an oath to you concerning your claim, and he said: Amen, he is exempt from bringing a guilt-offering. This is the principle: Anyone who changes from one claim of liability to another claim of liability or from one claim of exemption to another claim of exemption or from a claim of exemption to a claim of liability is exempt from bringing a guilt-offering. If he changes from a claim of liability to a claim of exemption, he is liable. This is the principle: Anyone who takes an oath to be lenient with himself is liable; if he takes an oath to be stringent with himself, he is exempt." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/merged.json b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/merged.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..9d7c49e6c0206878553d7cf355a89b66f210d1dd --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Nezikin/Mishnah Shevuot/English/merged.json @@ -0,0 +1,101 @@ +{ + "title": "Mishnah Shevuot", + "language": "en", + "versionTitle": "merged", + "versionSource": "https://www.sefaria.org/Mishnah_Shevuot", + "text": [ + [ + "With regard to oaths on an utterance of the lips, there are two types that are actually four types. The Torah specifies only two types of oaths whose violation renders one liable to bring a sliding-scale offering to atone for his transgression (see Leviticus 5:4): Where a person takes an oath to perform some action, and where he takes an oath to refrain from performing some action. With regard to both types, the Torah explicitly mentions liability only for an oath pertaining to one’s future behavior. Nevertheless, the Sages derive that one is also liable for a violation of both types of oaths when they pertain to one’s past behavior. Accordingly, although only two types are explicitly mentioned in the Torah, the Sages derive that there are actually four types. The mishna lists similar groups of halakhot. With regard to cases of awareness of the defiling of the Temple by entering it while one is ritually impure, or defiling its sacrificial foods by partaking of them while one is ritually impure, there are two types that are actually four. It is prohibited for an impure person to enter the Temple (see Numbers 19:20) or to partake of its sacrificial foods (see Leviticus 7:19–20). If one transgressed either prohibition during a lapse of awareness, then upon becoming aware of his transgression, he is liable to bring a sliding-scale offering (see Leviticus 5:2). The Torah specifies that one is liable to bring the offering only in the case in which he had a lapse of awareness of the fact that he was impure. The Sages derive that one is liable not only in these two cases, but also where he was aware of his personal status but had a lapse of awareness concerning the identity of the place he was entering or the status of the foods he ate. With regard to acts of carrying out that are prohibited on Shabbat, there are two types that are actually four. On Shabbat, it is prohibited to transfer an item from domain to domain. The Torah explicitly refers to only two cases, both of which involve an item being transferred from a private domain to a public domain: Where the transfer is made by a person who remains in the public domain, and where the transfer is made by a person who remains in the private domain. The Sages derive that liability is incurred in these cases also if the item is transferred from the public domain to the private domain. Although only two types are mentioned by the Torah, the Sages derive that there are actually four types. With regard to shades of leprous marks on a person’s skin, there are two types that are actually four. The Torah specifies that if a leprous mark appears on a person’s skin, the afflicted person must undergo a process of purification and then bring various offerings. Part of the classification of these types of leprosy is based on their shade of white. Two types of marks are explicitly mentioned in the Torah, and the Sages derive that each of these two types has a secondary mark.", + "The mishna returns to the subject of defiling the Temple or its sacrificial foods. It elaborates on which offerings atone for different cases of defiling the Temple or its sacrificial foods: In cases in which one had awareness, i.e., he knew he was ritually impure and was aware of the sanctity of the Temple or foods involved at the beginning, i.e., before he transgressed, and had awareness at the end, i.e., after the transgression, but had a lapse of awareness of one of those two components in between, while he actually transgressed, this person is liable to bring a sliding-scale offering. For cases in which one had awareness at the beginning, transgressed during a lapse of awareness, and still had no awareness at the end, the goat whose blood presentation is performed inside the Sanctuary on Yom Kippur, and Yom Kippur itself, suspend any punishment that he deserves until he becomes aware of his transgression; and then to achieve atonement he brings a sliding-scale offering.", + "For cases in which one did not have awareness at the beginning but had awareness at the end, the goat whose blood presentation is performed outside the Sanctuary, i.e., the goat of the additional offerings of Yom Kippur, and Yom Kippur itself, atone, as it is stated with regard to the offerings brought on Yom Kippur: “One goat for a sin-offering aside from the sin-offering of the atonements” (Numbers 29:11). The verse juxtaposes the internal and external goats together to teach that for that which this one atones, that one atones. Just as the internal goat, i.e., the one whose blood presentation is performed inside the Sanctuary, atones only for a case in which there was awareness of the components of the transgression at some point, i.e., at the beginning, so too, the external goat, i.e., the goat of the additional offerings of Yom Kippur, atones only for a case in which there was awareness at some point, i.e., at the end.", + "And for cases in which one did not have awareness, neither at the beginning nor at the end, the goats brought as sin-offerings for the additional offerings of the Festivals and the goats brought as sin-offerings for the additional offerings of the New Moons atone. This is the statement of Rabbi Yehuda. Rabbi Shimon says: The goats of the Festivals atone for cases in which one never had awareness of the transgression, but the goats of the New Moons do not. But if so, for what do the goats of the New Moons atone? They atone for a ritually pure person who unwittingly partook of ritually impure sacrificial food. Rabbi Meir says: With regard to all the goats offered as additional offerings, those of the New Moons, Festivals, and Yom Kippur, their atonement, i.e., the atonement that they effect, is the same; they all atone for the defiling of the Temple by entering it while impure, or for the defiling of its sacrificial foods by partaking of them while impure. Rabbi Shimon would say, delineating his opinion as the mishna expresses it above: The goats of the New Moons atone for a ritually pure person who unwittingly partook of ritually impure sacrificial food. And with regard to the defiling of the Temple or its sacrificial foods, the goats of the Festivals atone for cases in which one did not have awareness, neither at the beginning nor at the end, and the goats of the additional offerings of Yom Kippur atone for cases in which one did not have awareness at the beginning but did have awareness at the end. The Rabbis said to him: What is the halakha with regard to whether goats consecrated for different days may be sacrificed, this one in place of that one? For example, if a goat was initially consecrated to be sacrificed as part of the Yom Kippur additional offerings, may it be sacrificed as part of the Festival additional offerings instead? Rabbi Shimon said to them: They may be sacrificed. They said to him: Since, according to you, their atonement is not the same, how could they possibly be sacrificed, this one in place of that one? Rabbi Shimon said to them: They can be interchanged, since ultimately all of them come to atone for the defiling of the Temple or its sacrificial foods.", + "Rabbi Shimon ben Yehuda says in the name of Rabbi Shimon a tradition of his opinion that differs from the way the mishna expresses it above: The goats of the New Moons atone for a ritually pure person who unwittingly partook of ritually impure sacrificial food. The goats of the Festivals exceed them, as they atone both for a pure person who partook of impure sacrificial food and also for cases of defiling the Temple or its sacrificial foods in which one did not have awareness, neither at the beginning nor at the end. The goats of Yom Kippur further exceed them, as they atone both for a ritually pure person who partook of ritually impure sacrificial food and for cases of defiling the Temple or its sacrificial foods in which one did not have awareness, neither at the beginning nor at the end; and they also atone for cases in which one did not have awareness at the beginning but did have awareness at the end. The Rabbis said to him: What is the halakha with regard to whether goats consecrated for different days may be sacrificed, this one in place of that one? Rabbi Shimon said to them: Yes, they can be interchanged. They said to him: If what you say is so, granted that the goats of Yom Kippur may be sacrificed on the New Moons, but how could the goats of the New Moons be sacrificed on Yom Kippur when they will need to effect atonement for that which they were not consecrated for? Rabbi Shimon said to them: They can all be interchanged, since ultimately all of them come to atone for the defiling of the Temple or its sacrificial foods, even if each one atones for a different case.", + "And for the intentional defiling of the Temple or its sacrificial foods, both the goat whose blood presentation is performed inside the Sanctuary on Yom Kippur, and Yom Kippur itself, atone. The mishna delineates how atonement is effected for other transgressions: For all other transgressions that are stated in the Torah, whether they are the minor ones or the major ones, whether they were intentional or unwitting, whether one became aware of them before Yom Kippur or did not become aware of them until after Yom Kippur, whether they involve a positive mitzva or a prohibition, whether the transgressors are subject to excision from the World-to-Come [karet] or to one of the court-imposed death penalties, the scapegoat sent to Azazel on Yom Kippur atones.", + "Israelites and priests and the anointed priest, i.e., the High Priest, achieve atonement from the scapegoat equally. What is the difference between Israelites, priests, and the anointed priest? The difference is only that the priests achieve atonement for their defiling of the Temple or its sacrificial foods through the bull that the High Priest offers on Yom Kippur, whereas the Israelites achieve atonement for defiling caused by them through the goats that are sacrificed on Yom Kippur. Rabbi Shimon says: With regard to the defiling of the Temple or its sacrificial foods, just as the blood of the goat, whose blood presentation is performed inside the Sanctuary, atones for Israelites, so too, the blood of the bull of the High Priest, whose blood presentation is also performed inside the Sanctuary, atones for the priests. And for all other transgressions, just as the confession made over the scapegoat atones for Israelites, so too, the confession made over the bull atones for the priests." + ], + [ + "With regard to cases of awareness of the defiling of the Temple by entering it while one is ritually impure, or defiling its sacrificial foods by partaking of them while one is ritually impure, there are two types that are actually four. How so? If one became ritually impure and he was aware that he was impure, but afterward his impurity was hidden from him, though he remembered that he was partaking of sacrificial food, which is forbidden to one who is in a state of ritual impurity; this is one of the four types of awareness of impurity. If the fact that he was partaking of sacrificial food was hidden from him, though he remembered the ritual impurity that he had contracted; this is the second of the four types of awareness of impurity. And the same halakha applies if both this and that were hidden from him, both the fact that he was impure and the fact that he was partaking of sacrificial food. In all these cases, if he partook of the sacrificial food and was unaware either that he was impure, or that the food was sacrificial food, or both, and after he partook of it he became aware of that which he had forgotten, he is required to bring a sliding-scale offering. In this type of offering, the sinner sacrifices an animal, bird, or meal-offering, depending on his financial status. And similarly with regard to entering the Temple: If one became ritually impure and he was aware that he was impure, but afterward his impurity was hidden from him, though he remembered that he was entering the Temple, which is prohibited for one who is in a state of ritual impurity; this is the third of the four types of awareness of impurity. If the fact that he was entering the Temple was hidden from him, though he remembered the ritual impurity that he had contracted; this is the fourth type of awareness of impurity. And the same halakha applies if both this and that were hidden from him, both the fact that he was impure and the fact that he was entering the Temple. In all these cases, if he entered the Temple and was unaware either that he was impure, or that he was entering the Temple, or both, and after he left he became aware of what was hidden from him, he is required to bring a sliding-scale offering.", + "As for the boundaries of the Temple with regard to the halakhot of impurity, the same halakha applies to one who enters the area that was part of the original Temple courtyard and to one who enters the later addition to the Temple courtyard, because the additional section is sanctified with the full sanctity of the Temple courtyard. The mishna notes: As, additions can be made to the city of Jerusalem or to the Temple courtyards only by a special body comprising the king, a prophet, the Urim VeTummim, and the Sanhedrin of seventy-one judges, and with two thanks-offerings and with a special song. Once the addition to the courtyard is made by this body and this process, it is given the full sanctity of the original courtyard area. The mishna provides certain details of the consecration ceremony. And the court would move forward, and two thanks-offerings would be brought after them, and all of the Jewish people would follow behind them. When they would reach the end of the place that they desired to consecrate, the inner thanks-offering would be eaten and the outer one would be burned. The details of this ceremony will be described in the Gemara. And with regard to any addition to the Temple that was not made with all these ceremonial procedures, one who enters there while ritually impure is not liable to bring an offering if his entry was unwitting, nor to be punished with karet, excision from the World-to-Come, if his entry was intentional.", + "The first part of the mishna discussed one who became ritually impure before entering the Temple. The mishna proceeds to consider a case involving one who was ritually pure when he entered the Temple but who became impure while in the Temple courtyard, and afterward, his impurity was hidden from him but he remembered that he was standing in the Temple, or the fact that he was standing in the Temple was hidden from him but he remembered his impurity, or both this fact and that fact were hidden from him. In all these cases, if he bowed down, or he tarried in the Temple courtyard long enough to bow down even though he did not actually bow, or he went out by way of a longer route when he could have taken a shorter route, he is liable to bring a sliding-scale offering. But if he left the Temple via the shortest way, he is exempt. This mitzva that the ritually impure must be sent out of the Temple is the positive mitzva concerning the Temple for which, as is taught elsewhere in the Mishna (Horayot 8b), the Sanhedrin is not liable to bring an offering for an erroneous ruling. A communal bull sin-offering is brought because of the unwitting transgression of a prohibition involving an action by the Jewish people resulting from an erroneous halakhic decision handed down by the Sanhedrin. But if the Sanhedrin mistakenly ruled that one who became impure while in the Temple may leave by way of a longer route, they do not bring this offering, as it is brought only for an erroneous ruling on a matter that requires the bringing of a fixed sin-offering, and not a sliding-scale offering, for its unwitting violation.", + "And which is the positive mitzva with regard to a menstruating woman for which, as is taught in Horayot there, the Sanhedrin is liable to bring a bull offering for an erroneous ruling? If a man was engaging in intercourse with a ritually pure woman, and during the course of their act of intercourse she experienced menstrual bleeding and said to him: I have become impure, and unwittingly he immediately withdrew from her and did not wait until his penis became flaccid, he is liable to bring a sin-offering for engaging in intercourse with a menstruating woman, because his withdrawal from her is as pleasant to him as his entry. If the Sanhedrin mistakenly ruled that one may withdraw immediately, they bring a bull offering for their erroneous ruling.", + "Rabbi Eliezer says: With regard to the sliding-scale offering the verse states: “Or if a person touches any impure thing, whether it is the carcass of a non-kosher undomesticated animal, or the carcass of a non-kosher domesticated animal, or the carcass of a non-kosher creeping animal, and it is hidden from him” (Leviticus 5:2). A precise reading of this verse indicates that in a case where one has a lapse of awareness that he had contracted ritual impurity by touching a creeping animal, he is liable to bring a sliding-scale offering for having defiled the Temple or the sacrificial food, but he is not liable to bring such an offering in a case where he has a lapse of awareness that he is entering the Temple or partaking of sacrificial food. Similarly, Rabbi Akiva says: The verse states: “And it is hidden from him, so that he is impure” (Leviticus 5:2), thereby teaching that in a case when one has a lapse of awareness that he had contracted ritual impurity, he is liable to bring a sliding-scale offering, but one is not liable to bring such an offering in a case when he has a lapse of awareness that he is entering the Temple or partaking of sacrificial food. Rabbi Yishmael says: The verse states: “And it is hidden from him” (Leviticus 5:2), and it states: “And it is hidden from him” (Leviticus 5:3), twice, in order to render one liable to bring a sliding-scale offering both in a case where one has a lapse of awareness that he had contracted ritual impurity and in a case where one has a lapse of awareness that he is entering the Temple." + ], + [ + "With regard to oaths attesting to the truth about an utterance, which, when violated, render one liable to bring a sliding-scale offering, there are two types that are actually four types. The initial two oaths, which relate to utterances about the future and are explicitly prohibited in the Torah, are: On my oath I will eat, or: On my oath I will not eat. These are expanded to four, to include oaths concerning utterances about the past: On my oath I ate, or: On my oath I did not eat. If one says: On my oath I will not eat, and he then ate any amount, even less than an olive-bulk, he is liable; this is the statement of Rabbi Akiva. The Rabbis said to Rabbi Akiva: Where do we find that one who eats any amount is liable, leading you to say that this person is liable? Rabbi Akiva said to them: And where do we find one who speaks and is liable to bring an offering for it, as this oath taker merely speaks, i.e., takes an oath, and brings an offering for it? If one said: On my oath I will not eat, and then he ate and drank, he is liable to bring only one offering, because an oath to refrain from eating includes refraining from drinking. If he said: On my oath I will not eat and I will not drink, and then he ate and drank, he is liable to bring two offerings.", + "If he said: On my oath I will not eat, and then he ate wheat bread and barley bread and spelt bread, he is liable to bring only one offering. If he said: On my oath I will not eat wheat bread or barley bread or spelt bread, and then he ate all of them, he is liable to bring an offering for each and every one. ", + "If he said: On my oath I will not drink, and then he drank several kinds of liquids, he is liable to bring only one offering. If he said: On my oath I will not drink wine or oil or honey, and then he drank all of them, he is liable to bring an offering for each and every one. ", + "If he said: On my oath I will not eat, and he ate foods that are inedible or drank liquids that are not potable, he is exempt. If he said: On my oath I will not eat, and then he ate the meat of unslaughtered carcasses or tereifot, repugnant creatures or creeping animals, he is liable. And Rabbi Shimon deems him exempt, since he is already under oath from Mount Sinai not to eat them and an oath cannot take effect where another oath is in force. But if he said: It is konam for my wife to derive benefit from me if I ate today, and he had eaten carcasses or tereifot, repugnant creatures or creeping animals, his wife is prohibited from deriving benefit from him. ", + "If one unwittingly takes a false oath about the past or breaks an oath he made about the future, both if it is an oath that addresses matters that concern oneself and if it is an oath that addresses matters that concern others, he is liable to bring a sliding-scale offering for an oath on an utterance. And likewise, an oath on an utterance may address both tangible matters and intangible matters. How so? Examples of oaths about future actions that concern others are if one said: On my oath I will give so-and-so a particular item, or: On my oath I will not give it to him. Examples of such oaths about the past are if one said: On my oath I gave another a particular item, or: On my oath I did not give it to him. Examples of oaths about the future that address intangible matters are where one said: On my oath I will sleep, or: On my oath I will not sleep. Examples of such oaths about the past are where one said: On my oath I slept, or: On my oath I did not sleep. Other examples of oaths about intangible matters are when one takes an oath, saying: I will throw a stone into the sea, or: I will not throw it, or: I threw it, or: I did not throw it. Rabbi Yishmael says: One is liable only for an oath on an utterance taken about the future, as it is stated: “Or if anyone take an oath clearly with his lips to do evil, or to do good, whatsoever it be that a man shall utter clearly with an oath” (Leviticus 5:4). The Torah refers explicitly only to oaths about what one will do in the future. Rabbi Akiva said to him: If so, and one is liable only for oaths explicitly mentioned in the verse, then I have derived only that one is liable for an oath on an utterance with regard to matters to which doing evil and doing good apply. From where do I derive that one is liable for an oath on an utterance with regard to matters to which doing evil and doing good do not apply? Rabbi Yishmael said to him: The halakha in these cases is derived by amplification of the meaning of the verse. Rabbi Akiva said to him: If the verse is amplified for this, i.e., to extend the halakha of an oath on an utterance to matters that do not involve doing evil or good, the verse is amplified for that, i.e., oaths about the past.", + "If one takes an oath to refrain from performing a mitzva and he does not refrain, he is exempt from bringing an offering for an oath on an utterance. If he takes an oath to perform a mitzva and he does not perform it, he is also exempt, though it would have been fitting to claim that he is liable to bring the offering, in accordance with the statement of Rabbi Yehuda ben Beteira. The mishna explains: Rabbi Yehuda ben Beteira said: What? If, with regard to an oath concerning an optional matter, for which one is not under oath from Mount Sinai, he is liable for breaking it, then with regard to an oath about a mitzva, for which he is under oath from Mount Sinai, is it not logical that he would be liable for breaking it?The Rabbis said to him: No, if you said that one is liable for breaking an oath concerning an optional action, where the Torah rendered one liable for a negative oath not to perform it like for a positive oath to perform it, shall you also say one is liable with regard to breaking an oath concerning a mitzva, where the Torah did not render one liable for a negative oath like for a positive oath, since if one takes an oath to refrain from performing a mitzva and did not refrain, he is exempt. ", + "If one says: On my oath I will not eat this loaf, and he then says again: On my oath I will not eat it, and again: On my oath I will not eat it, and he then ate it, he is liable only once. Once the first oath had taken effect, the subsequent oaths could not, as a prohibition cannot take effect where another prohibition is already in place. This is an oath on an utterance, for which one is liable to receive lashes for intentionally breaking it, and for unwittingly breaking it one is liable to bring a sliding-scale offering. For an oath taken in vain, one is liable to receive lashes when it is taken intentionally, and one is exempt when it is taken unwittingly. ", + "Which oath is an oath taken in vain, mentioned in the previous mishna (27b)? It is when one takes an oath to deny that which is known to people to be true, for example, one says about a stone column that it is made of gold, or about a man that he is a woman, or about a woman that she is a man. Another type of oath taken in vain is when one takes an oath about a matter that is impossible, e.g., if he says: If I did not see a camel flying through the air, or: If I did not see a snake as large as the beam of the olive press. In the case of one who said to witnesses: Come and testify for me, and they replied: On our oath we will not testify for you, that is an oath taken in vain, because it involves taking an oath to refrain from performing a mitzva. Other examples of this include an oath not to build a sukka, or not to take a lulav, or not to don phylacteries. This type of oath is an oath taken in vain, for which one is liable to receive lashes if he takes the oath intentionally, and for which he is exempt if he takes it unwittingly.", + " If one said: On my oath I will eat this loaf, and later said: On my oath I will not eat it, the first oath is an oath on an utterance, and the second is an oath taken in vain, as he took an oath to perform an action that would violate his previous oath. If he ate it, he violated the prohibition against taking an oath in vain. If he did not eat it, he violated the prohibition against breaking an oath on an utterance. ", + "As opposed to the halakhot of an oath of testimony, which will be discussed in the following chapter, the halakhot of an oath on an utterance apply to men and to women, to relatives and to non-relatives, to those who are fit to testify and to those who are disqualified, whether the oath is taken in the presence of a court or not in the presence of a court, i.e., when one takes an oath on his own, at his own initiative. And for violating an oath intentionally one is liable to receive lashes, and for doing so unwittingly he is liable to bring a sliding-scale offering. ", + "Liability for an oath taken in vain applies to men and to women, to relatives and to non-relatives, to those who are fit to bear witness and to those who are disqualified, whether the oath is taken in the presence of a court or not in the presence of a court, and also when one takes an oath on his own. And for violating an oath intentionally one is liable to receive lashes, and for doing so unwittingly he is exempt. With regard to both this, an oath on an utterance, and that, an oath taken in vain, even if he is administered the oath by others, he is liable. For example, if one said: If I did not eat today, or: I did not don phylacteries today, and another said to him: I administer an oath to you that your statement is true, and the former said: Amen, he is liable if the statement was false. " + ], + [ + "The oath of testimony is practiced with regard to men but not with regard to women, with regard to non-relatives of the litigants but not with regard to relatives, with regard to those fit to testify but not with regard to those unfit to testify due to a transgression that they performed. And the oath of testimony is practiced only with regard to those fit to testify. The oath of testimony is practiced both in the presence of a court and not in the presence of a court, when the potential witness takes the oath on his own. But if the oath is administered by others and those denying that they witnessed the incident in question neither take an oath nor answer amen to the administered oath, they are not liable until they deny any knowledge of the incident in question in court. This is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: Whether one of the witnesses takes the oath on his own or whether the oath is administered by others, the witnesses are not liable until they deny any knowledge of the incident in question before the litigants in court. ", + "And one is liable for the act of taking a false oath with intent and for an unwitting act of taking a false oath, i.e., he is unaware of the liability for taking a false oath, provided that he takes the oath with intent in terms of the testimony, i.e., he takes an oath that he has no knowledge of the matter even though he knows that he witnessed the incident. But witnesses are not liable for taking the oath if they were unwitting in terms of the testimony, i.e., they believe that they have no knowledge of the matter. And what are they liable for by taking a false oath with intent? They are liable to bring a sliding-scale offering.", + "Liability to bring a sliding-scale offering for taking a false oath of testimony, how so? In a case where the plaintiff said to two individuals: Come and testify on my behalf, and they replied: On our oath we do not know any testimony on your behalf, i.e., we do not have any knowledge of the matter you speak of, or in a case where they said to him: We do not know any testimony on your behalf, and he said to them: I administer an oath to you, and they said: Amen; if it was determined that they lied, these two witnesses are liable. If he administered an oath to them five times outside the court, and they came to court and admitted that they had knowledge of the incident in question and testified, they are exempt. But if they denied knowledge of the incident in court as well, they are liable for each and every one of the oaths administered to them outside the court. If he administered an oath to them five times before the court, and they denied knowledge of the incident, they are liable for taking only one false oath. Rabbi Shimon said: What is the reason for this ruling? Since once they denied that they had any knowledge of the incident they can no longer retract that denial and admit that they have knowledge of the matter. Therefore, there was only one oath of testimony, and there is no liability for the remaining oaths.", + "If both of the witnesses denied knowledge of the incident together, both of them are liable. If they denied knowledge one after the other, the first who denied knowledge is liable, and the second is exempt, as once the first witness denies knowledge of the incident, the second is an individual witness, whose testimony is not decisive. If one of the two witnesses denied knowledge of the incident, and the other one admitted that he had knowledge and proceeded to testify, the one who denies knowledge of the incident is liable. If there were two sets of witnesses that took the oath of testimony, and the first set denied knowledge of the matter and then the second set denied knowledge of the matter, both of the sets are liable, because the testimony can exist with either of them, as even after the first set denies knowledge of the incident, the second remains capable of providing decisive testimony.", + "In a case where the plaintiff said to the witnesses: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify on my behalf that I have in the possession of so-and-so a deposit, and an outstanding loan, and a stolen item, and a lost item, and they lied in reply: On our oath we do not know any testimony on your behalf, they are liable for taking only one false oath of testimony. But if they lied in reply: On our oath we do not know that you have in the possession of so-and-so a deposit, and an outstanding loan, and a stolen item, and a lost item, they are liable for each and every one of the components of the claim. It is as though they took a separate oath with regard to each of the details of the claim. In a case where the plaintiff said to the witnesses: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify that I have in the possession of so-and-so a deposit of wheat, and barley, and spelt, and they lied in reply: On our oath we do not know any testimony on your behalf, they are liable for taking only one false oath of testimony. But if they lied in reply: On our oath we do not know any testimony on your behalf that you have in the possession of so-and-so wheat, and barley, and spelt, they are liable for each and every one of the components of the claim.", + "In a case where the plaintiff said to the witnesses: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify on my behalf that I have in the possession of so-and-so an outstanding payment for damage; or an outstanding payment for half the damage, which the owner pays for damage caused by his innocuous ox goring another animal; or with regard to an outstanding payment of double the principal that a thief must pay the owner of the stolen item; or with regard to an outstanding payment of four or five times the principal that a thief pays when he stole a sheep or an ox, respectively, and then slaughtered or sold it; or in a case where the plaintiff said: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify that so-and-so raped my daughter; or, he seduced my daughter; or, that my son struck me; or, that another injured me; or, that he set my stack of grain on fire on Yom Kippur; if in any of these cases the witnesses took an oath falsely denying any knowledge of the matter on behalf of the plaintiff, these witnesses are liable for taking a false oath of testimony.", + "In a case where the plaintiff said to two witnesses: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify that I am a priest, or that I am a Levite, or that I am not the son of a priest and a divorced woman, or that I am not the son of a priest and a ḥalutza, or that so-and-so is a priest, or that so-and-so is a Levite, or that he is not the son of a priest and a divorced woman, or that he is not the son of a priest and a ḥalutza; in all these cases the witnesses are exempt from liability for taking a false oath of testimony, because these do not involve monetary claims. Likewise, if the plaintiff said to them: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify that so-and-so raped his daughter, or that he seduced his daughter, or that my son injured me, or that another person wounded me on Shabbat, or that he set my stack of grain on fire on Shabbat; in all these cases these witnesses are exempt, as each case is punishable with the death penalty, and therefore they are cases that do not involve monetary payment.", + "If one said to witnesses: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify on my behalf that so-and-so said he is going to give me two hundred dinars and he did not give them to me, and they take false oaths that they have no knowledge of the matter, they are exempt from liability to bring an offering for taking a false oath of testimony, as one is liable for taking a false oath of testimony only in a case involving a monetary claim like a deposit in the sense that were the witnesses to testify, the individual would be liable to pay. In the case of a promise to give a gift he could claim that he merely reconsidered.", + "If one said to witnesses: I administer an oath to you that when you will know testimony relevant to me you will come and testify on my behalf, these witnesses are exempt from liability for taking a false oath of testimony even if they do not testify, due to the fact that the oath preceded their knowledge of the relevant testimony.", + "If one stood in the synagogue and said for all to hear: I administer an oath to you that if you know testimony relevant to me you will come and testify on my behalf, these witnesses are exempt until he directs his demand to specific individuals.", + "If one said to two people: I administer an oath to you, so-and-so and so-and-so, that if you know testimony relevant to me you will come and testify on my behalf, and they respond: On our oath we do not know any testimony relevant to you, and they know testimony relevant to him, not based on an incident they witnessed but based on hearsay testimony, which is not valid testimony, or if one of the witnesses is found to be a relative or disqualified, these witnesses are exempt from liability for taking a false oath of testimony because they are unfit witnesses.", + "If the plaintiff sent the demand for their testimony by means of his slave, or in a case where the defendant said to the witnesses: I administer an oath to you that if you know any testimony relevant to the plaintiff that you will come and testify on his behalf, and they took a false oath that they have no knowledge of the matter, these witnesses are exempt from liability for taking a false oath of testimony until they will hear the demand to testify directly from the mouth of the plaintiff.", + "The mishna discusses the formula of an oath of testimony. If the plaintiff said to the witnesses: I administer an oath to you concerning your refusal to testify if you do not come and testify on my behalf, or even if he said: I command you, or I bind you, although he did not employ an unequivocal formula of an oath, these witnesses are liable for taking a false oath of testimony. If one administered the oath to the witnesses in the name of heaven and in the name of earth, these witnesses are exempt from liability for taking a false oath of testimony, as that is not an oath in the name of God. If one administered the oath to the witnesses in the name of alef dalet, i.e., Adonai; in the name of yod heh, the Tetragrammaton; in the name of the Almighty [Shaddai]; in the name of the Lord of Hosts [Tzevaot]; in the name of the Gracious and Compassionate One; in the name of He Who is Slow to Anger; in the name of He Who is Abounding in Loving-kindness; or in the name of any of the appellations of God, even though he did not mention the ineffable name of God, these witnesses are liable for taking a false oath of testimony. One who curses God employing any of these names or appellations of God is liable to be executed through stoning; this is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis deem him exempt, as they hold that one is liable for cursing God only if he employs the ineffable name of God. One who curses his father or his mother employing any of these names or appellations of God is liable to be executed through stoning; this is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis deem him exempt, as they hold that one is liable for cursing his father and his mother only if he employs the ineffable name of God. One who curses himself or another employing any of these names or appellations of God violates a prohibition. If one says: The Lord God shall strike you (see Deuteronomy 28:22), and likewise if one says: God shall strike you if you do not come to testify, that is a curse that is written in the Torah, and in such a case one is certainly liable if he fails to testify. If one says to the witnesses: God shall not strike you, or: God shall bless you, or: God shall benefit you if you come and testify, Rabbi Meir deems him liable, as one may infer from that statement that if he fails to testify God will strike him, or will not bless or benefit him. And the Rabbis deem him exempt because the curse is not explicitly stated." + ], + [ + "One who takes a false oath denying that he is in possession of an item that another deposited with him is liable to return the item with an additional one-fifth of its value and to bring a guilt-offering (see Leviticus 5:20–26). The halakhot of an oath on a deposit apply to men and to women, to non-relatives and to relatives, i.e., even if the owner of the deposit and the purported bailee are related, to those fit to serve as witnesses and to those disqualified from doing so. These halakhot apply when the oath is taken in the presence of a court and when taken not in the presence of a court, as long as the oath is taken on his own, i.e., stated by the defendant himself. But if the oath is administered by others, he is not liable unless he denies the claim in court; this is the statement of Rabbi Meir. And the Rabbis say: Both when the defendant takes an oath on his own and when the oath is administered by others, once he has falsely denied the claim against him, he is liable to bring a guilt-offering and to pay restitution and an additional one-fifth, even if the oath was not administered in the presence of a court. And one is liable to bring an offering for intentionally taking a false oath on a deposit and for unwittingly taking a false oath about the intentional misappropriation of the deposit, i.e., if one knowingly took a false oath but was unaware that he is liable to bring an offering for taking the oath. But he is not liable for unwittingly taking a false oath by itself, where he mistakenly thought that he did not owe anything. And what is he liable for when he intentionally takes a false oath? He must bring a guilt-offering worth at least two silver shekels.", + "The mishna continues: What is the case of an oath on a deposit? It is where the claimant said to the defendant: Give me my deposit, which is in your possession, and the defendant replied: On my oath nothing of yours is in my possession; or the defendant said to him: Nothing of yours is in my possession, the claimant responded: I administer an oath to you, and the defendant said: Amen. In either case this defendant is liable to bring a guilt-offering if he lied. If the claimant administered an oath to him five times, whether in the presence of a court or not in the presence of a court, and the defendant falsely denied each claim, he is liable to bring a guilt-offering for each and every denial. Rabbi Shimon said: What is the reason? It is due to the fact that he is able to retract and confess after each oath and repay the claimant. Since he did not do so, each oath is considered a separate denial of a monetary claim.", + "If five people were suing him and they said to him: Give us back our deposit that is in your possession, and the defendant says: On my oath nothing of yours is in my possession, he is liable for only one false oath. But if he responds to each claimant: On my oath nothing of yours is in my possession, and nothing of yours, and nothing of yours, he is liable for his oath concerning each and every claim that he denied. Rabbi Eliezer says: He is not liable for his oath concerning each claim unless he says: On my oath, at the end of the denial, i.e., he says: Nothing of yours is in my possession, and nothing of yours, on my oath, so that it is clear that he is taking an oath to each one. Rabbi Shimon says: He is not liable for his oath concerning each claim unless he says: On my oath, to each and every claimant, i.e., he says: On my oath nothing of yours is in my possession, and on my oath nothing of yours, to each claimant separately. In a case where the claimant said: Give me back my deposit, and pledge, stolen item, and lost item that are in your possession, and the defendant responds: On my oath nothing of yours is in my possession, he is liable for only one false oath. But if he responds: On my oath I do not have in my possession your deposit, or pledge, stolen item, or lost item, he is liable for his oath concerning each and every claim. In a case where the claimant said: Give me back my wheat, and barley, and spelt that are in your possession, if the defendant responds: On my oath nothing of yours is in my possession, he is liable for only one false oath. But if he responds: On my oath I do not have in my possession your wheat, barley, or spelt, he is liable for his oath concerning each and every claim. Rabbi Meir says: Even if the defendant says: On my oath I do not have in my possession your grain of wheat, or grain of barley, or grain of spelt, he is liable for his oath concerning each and every claim.", + "The mishna continues: If one accuses another: You raped or you seduced my daughter, and the other says: I did not rape and I did not seduce your daughter, to which the father replied: I administer an oath to you, and the defendant said: Amen, the defendant is liable to bring a guilt-offering if it is a false oath. Rabbi Shimon deems him exempt, since one does not pay a fine based on his own admission. Had he confessed he would have been exempt from paying the fine; he is therefore not liable for his denial. The Rabbis said to him: Even though he does not pay the fine based on his own admission, he does pay compensation for humiliation and compensation for degradation resulting from her being raped or seduced, which are monetary claims and not fines, based on his own admission. He is therefore liable for a false oath, as he denied a monetary claim.", + "Similarly, in a case where one person accuses another: You stole my ox, and the defendant says: I did not steal your ox, if the claimant replied: I administer an oath to you, and the defendant said: Amen, he is liable to pay for the ox due to the theft and to bring a guilt-offering if he lied, since by his oath he is denying that he owes the value of the ox that he would have to pay if he admitted to stealing it. But in a case where the claimant accuses the defendant of stealing the ox and slaughtering or selling it, and the defendant says: I stole the ox, but I did not slaughter or sell it, and this is a lie, if the claimant replied: I administer an oath to you, and he said: Amen, then the defendant is exempt from the fivefold payment for slaughtering or selling another’s ox, since it is a fine. If the claimant says: Your ox killed my ox, and the defendant lies and says: It did not kill your ox, to which the claimant replied: I administer an oath to you, and he said: Amen, then he is liable for his false oath. But if the claimant says: Your ox killed my Canaanite slave and you are therefore liable to pay me a fine of thirty shekels, and he lies and says: It did not kill your slave, to which the claimant replied: I administer an oath to you, and he said: Amen, then he is exempt, because payment for the slave is a fine. If the claimant said to him: You injured me and caused me a wound, and the defendant says: I did not injure you and I did not cause you a wound, to which the claimant replies: I administer an oath to you, and he said: Amen, he is liable. But if one’s Canaanite slave said to him: You knocked out my tooth, or: You blinded my eye, and you are therefore required to emancipate me, and he says: I did not knock out your tooth, or: I did not blind your eye, to which the slave replies: I administer an oath to you, and he said: Amen, he is exempt from bringing a guilt-offering even though he lied, since the obligation to emancipate one’s slave in these cases is a penalty. This is the principle: For any claim that the defendant would have to pay based on his own admission, he is liable to bring a guilt-offering for taking a false oath concerning that claim. And for any claim that he would not pay based on his own admission but would pay only by the testimony of witnesses, he is exempt from bringing a guilt-offering for taking a false oath concerning that claim." + ], + [ + "By Torah law, the oath imposed by the judges upon one who admits to part of a claim is administered only when the claim is for the value of at least two silver ma’a, and the defendant’s admission is for the value of at least one peruta. And furthermore, if the admission is not of the same type as the claim, i.e., the defendant admitted to a debt that the claimant did not claim, the defendant is exempt from taking an oath. How so? If the claimant said to the defendant: I have two silver ma’a in your possession, and the latter responded: You have only one peruta, a coin made from copper, in my possession, he is exempt from taking an oath (see 39b). But if the claimant said: I have two silver ma’a and one peruta in your possession, and the defendant responded: You have only one peruta in my possession, he is liable to take an oath. If the claimant said: I have one hundred dinars in your possession, and the defendant responded: Nothing of yours is in my possession, he is exempt, as he denies the entire claim. But if the claimant said: I have one hundred dinars in your possession, and the defendant responded: You have only fifty dinars in my possession, he is liable to take an oath, as he admitted to a part of the claim. If the claimant said: My late father had one hundred dinars in your possession, and I am now claiming them, and the defendant responded: You have only fifty dinars in my possession, he is exempt from taking an oath, as he is like one returning a lost item, since he could have easily denied the entire claim.", + "The mishna discusses other cases where the defendant denies an entire claim. In a case where one said to another: I have one hundred dinars in your possession, and the latter said to him: Yes, I acknowledge that claim; and the next day the claimant said to him: Give the money to me, and the defendant responded: I already gave it to you, he is exempt. But if he responded: Nothing of yours is in my possession, i.e., he denies that a debt ever existed, he is liable to pay, as he already admitted that he owed him the amount. In a case where the claimant said: I have one hundred dinars in your possession, and the defendant said to him: Yes, to which the claimant responded: Give the money to me only in the presence of witnesses, then if the next day the claimant said to him: Give the money to me, and the defendant responded: I already gave it to you, he is liable to pay, as he is required to give it to him in the presence of witnesses, and he cannot prove that he did so.", + "The mishna resumes discussion of the oath imposed by the court in a case where the defendant admits to a part of a claim. If the claimant said: I have a litra, i.e., a specific weight, of gold in your possession, and the defendant responded: You have only a litra of silver in my possession, he is exempt from taking an oath, as his admission relates to a different item than that which the claim relates to. But if the claimant said: I have a gold dinar in your possession, and the defendant responded: You have only a silver dinar, or a tereisit, or a pundeyon, or a peruta in my possession, he is liable to take an oath, as they are all of one type; they are all coins. Since the claim concerns money, the difference between the different types of coins is disregarded, as the claim is essentially referring to the monetary value, not to a specific type of coin. If the claimant said: I have a kor of grain in your possession, and the defendant responded: You have only a half-kor of legumes in my possession, he is exempt. But if the claimant said: I have a kor of produce in your possession, and the defendant responded: You have only a half-kor of legumes in my possession, he is liable, as legumes are included in produce. If one claimed that another owes him wheat, and the defendant admitted to owing him barley, he is exempt; and Rabban Gamliel deems him liable to take an oath. According to Rabban Gamliel, one who admits to a part of the claim is liable to take an oath even if the admission is not of the same type as the claim. With regard to one who claims that another owes him jugs of oil, and the latter then admitted that he owes him pitchers, i.e., the jugs themselves, but not the oil, Admon says: Since he admitted to him with regard to a part of the claim, and his admission was of the same type as the claim, i.e., the claim included both containers and oil and he admitted to owing him containers, he must take an oath. And the Rabbis say: The partial admission in this case is not of the same type as the claim, as he completely denied owing him oil. Rabban Gamliel said: I see the statement of Admon as correct. If one claimed that another owes him vessels and land, and the defendant admitted to owing him vessels but denied the claim of land, or conversely, he admitted to owing him land but denied the claim of vessels, he is exempt from taking an oath, as oaths are not taken concerning claims involving land. If he admitted to part of the claim about the land, he is exempt. If he admitted to part of the claim about the vessels, he is liable to take an oath concerning the entire claim, as property that does not serve as a guarantee, i.e., movable property, binds the property that serves as a guarantee, i.e., the land, so that the oath about the movable property can be extended to require him to take an oath concerning the land as well.", + "One does not take an oath concerning the claim of a deaf-mute, an imbecile, or a minor. And the court does not administer an oath to a minor. But one does take an oath to a minor, or to a representative of the Temple treasury with regard to consecrated property.", + "And these are items concerning which one does not take an oath by Torah law: Canaanite slaves, and financial documents, and land, and consecrated property. In a case where these items are stolen, there is no payment of double the principal, nor is there payment of four or five times the principal in a case where one stole a consecrated animal and slaughtered or sold it. An unpaid bailee who lost one of these items does not take an oath that he was not negligent in safeguarding it, and a paid bailee does not pay for the loss or theft of one of these items. Rabbi Shimon says there is a distinction between different types of consecrated property: With regard to consecrated property for which one bears the financial responsibility to compensate the Temple treasury in the event of their loss, such as in a case where he vowed to bring an offering and then set aside an animal to be sacrificed in fulfillment of the vow, one takes an oath concerning them, as they are considered his own property. But with regard to consecrated property for which he does not bear the financial responsibility for their loss, one does not take an oath concerning them.", + "Rabbi Meir says: There are certain items that are physically on the land but are not treated like land from a halakhic perspective, and the Rabbis do not concede to him concerning this point. How so? If one makes the claim: I assigned you ten grapevines laden with fruit to safeguard, and the other one says: They are only five vines, Rabbi Meir deems the defendant liable to take an oath, as he admitted to a part of the claim, and although the claim concerned grapevines, the primary aspect of the claim was the grapes. And the Rabbis say: The halakhic status of anything that is attached to the land is like the land itself, and therefore he is exempt from taking an oath. One takes an oath only concerning an item that is defined by size, by weight, or by number. How so? If the claimant says: I transferred to you a house full of produce, or: I transferred to you a pouch full of money, and the other person says: I do not know how much you gave me, but what you left in my possession you may take, and the amount in the house or pouch at that time is less than that claimed by the claimant, the defendant is exempt from taking an oath, as the amounts in the claim and the admission are undefined. But if this party says that the house was full up to the ledge, and that party says that it was full up to the window, the defendant is liable to take an oath, as the dispute relates to a defined amount.", + "There is a case of one who lends money to another on the basis of collateral, and the collateral was lost while in the possession of the creditor, and the creditor says to the debtor: I lent you a sela on the basis of that collateral and that collateral was worth a shekel, i.e., a half-sela. Therefore, you owe me a shekel. And the other individual, the debtor, says in response to that claim: That is not the case. Rather, you lent me a sela on the basis of that collateral, and the collateral was worth a sela; I owe you nothing. In this case, the debtor is exempt from payment. There is a case of a creditor who claims: I lent you a sela on the basis of that collateral and it was worth a shekel. And the other individual, the debtor, says: That is not the case; rather, you lent me a sela on the basis of that collateral, and the collateral was worth three dinars, i.e., three-quarters of a sela. In this case, the debtor is liable to take an oath, due to the fact that he responded to the claim of the creditor with a partial admission. If in that case the debtor said: You lent me a sela on the basis of that collateral and the collateral was worth two sela, so now you owe me a sela. And the other party, i.e., the creditor, said: That is not the case; rather, I lent you a sela on the basis of that collateral and the collateral was worth a sela. Here, the creditor is exempt. If in that case the debtor said: You lent me a sela on the basis of that collateral and the collateral was worth two sela. And the other party, i.e., the creditor, said: That is not the case; rather, I lent you a sela on the basis of that collateral and the collateral was worth five dinars. Here, the creditor is liable to take an oath due to the fact that he responded to the claim of the debtor with a partial admission. And who takes the oath? The one in whose possession the deposit had been located, i.e., the creditor, who took collateral from the debtor. The Sages instituted this provision lest this party, i.e., the debtor, take an oath and the other party, i.e., the creditor, produce the deposit and prove the oath false." + ], + [ + "All those who take an oath that is legislated by the Torah take an oath and do not pay. By Torah law, one takes an oath only in order to exempt himself from a monetary claim. And these litigants take a rabbinically instituted oath and receive possession of the disputed funds or property, i.e., their claim is upheld by means of the oath, even though they are not in possession of the property in question: A hired worker who claims that he has not received his wages; and one who was robbed and sues the person who robbed him; and one who was injured, who claims compensation from the person who injured him; and one whose opposing litigant is suspect with regard to the taking of an oath. When a person suspected of taking false oaths is liable to take an oath in order to exempt himself, the claimant takes an oath instead and receives payment. And a storekeeper relying on his ledger also takes an oath and is paid. How does this halakha apply to the hired worker? The case is where one says to his employer: Give me my wages that are still in your possession. The employer says: I already gave them to you. And that worker says: I have not received them. In such a case, the worker takes an oath that he has not received his wages, and he receives payment from his employer. Rabbi Yehuda says: This oath cannot be administered unless there is partial admission on the part of the employer. How so? The case is where the worker said to him: Give me my wages, fifty silver dinars, which are still in your possession. And the employer says: You have already received one golden dinar, which is worth twenty-five silver dinars. Since the employer has admitted that he owes part of the sum, the worker takes an oath and is paid the whole sum.", + "How does this halakha apply to one who was robbed? The case is where witnesses testified about the defendant that he entered the claimant’s house to seize collateral from him without the authority to do so. The claimant said: You took items that belong to me. And the defendant said: I did not take them. The claimant takes an oath and receives payment of his claim. Rabbi Yehuda says: This oath cannot be administered unless there is partial admission on the part of the defendant. How so? The case is where the claimant said to him: You took two items. And he says: I took only one. Since the defendant admits that he took one item from the house, the claimant takes an oath and receives payment of his whole claim.", + "How does this halakha apply to one who was injured? The case is where witnesses testified about the injured person that he entered into the domain of the defendant whole but left injured, and the claimant said to the defendant: You injured me. And the defendant says: I did not injure you. The injured party takes an oath and receives compensation. Rabbi Yehuda says: This oath cannot be administered unless there is partial admission. How so? The case is where the claimant said to the defendant: You injured me twice. And the other says: I injured you only once. In such a case, the injured party takes an oath that he was injured twice and receives compensation for both injuries.", + "How does this halakha apply to one whose opposing litigant is suspect with regard to the taking of an oath and therefore is not permitted to take the oath? One is considered suspect with regard to oaths if he has been found to have taken a false oath, whether it was an oath of testimony, or whether it was an oath on a deposit, or even an oath taken in vain, which is a less severe prohibition. There are also categories of people who by rabbinic decree are considered suspect with regard to oaths: If one of the litigants was a dice player, or one who lends with interest, or among those who fly pigeons, or among the vendors of produce of the Sabbatical Year, then the litigant opposing him takes an oath and receives payment of his claim. If both litigants were suspect, the oath returned to its place. This is the statement of Rabbi Yosei, and will be explained in the Gemara. Rabbi Meir says: Since neither can take an oath, they divide the disputed amount.", + "And how does this halakha apply to the storekeeper relying on his ledger? This ruling is not referring to the case where a storekeeper says to a customer: It is written in my ledger that you owe me two hundred dinars. Rather, it is referring to a case where a customer says to a storekeeper: Give my son two se’a of wheat, or: Give my laborers a sela in small coins. And later the storekeeper says: I gave it to them; but they say: We did not receive it. In such a case, where the father or employer admits that he gave those instructions and it is also recorded in the storekeeper’s ledger, the storekeeper takes an oath that he gave the son the wheat or paid the laborers, and he receives compensation from the father or employer; and the laborers take an oath that they were not paid and receive their wages from the employer. Ben Nannas said: How is it that both these and those come to take an oath in vain? One of them is certainly lying. Rather, the storekeeper receives his compensation without taking an oath, and the laborers receive their wages without taking an oath.", + "If one said to a storekeeper: Give me produce valued at a dinar, and he gave him the produce. And later the storekeeper said to him: Give me that dinar you owe me, and the customer said to him: I gave it to you, and you put it in your wallet [be’unpali], the customer shall take an oath that he gave him the dinar. If, after he gave the storekeeper the money, the customer said to him: Give me the produce, and the storekeeper said to him: I gave it to you and you transported it to your house, the storekeeper shall take an oath that he has already filled the order, and he is exempt from supplying the produce. Rabbi Yehuda says: Whoever has the produce in his possession has the advantage, and his claim is accepted without his taking an oath. Similarly, if one said to a money changer: Give me small coins valued at a dinar, and he gave him the coins, and subsequently the money changer said to him: Give me the dinar, and the customer said to him: I gave it to you, and you put it in your wallet; the customer shall take an oath that he paid. If the customer gave the money changer the dinar, and then said to him: Give me the coins, and the money changer said to him: I gave them to you and you cast them into your purse, the money changer shall take an oath. Rabbi Yehuda says: It is not a money changer’s way to give even an issar until he receives a dinar. Therefore, the fact that the customer received the coins indicates that the money changer already received his payment.", + "These cases of taking an oath are just like other cases where the Sages said that one takes an oath and receives payment. The mishna (see Ketubot 87a) teaches: A woman who vitiates her marriage contract by acknowledging receipt of partial payment may collect the remainder only by taking an oath; or if one witness testifies that her marriage contract has been paid, she may collect it only by taking an oath. She may collect it from liened property that has been sold to a third party, or from the property of orphans, only by taking an oath, and a woman who collects it from her husband’s property when not in his presence may collect it only by taking an oath. And likewise, orphans may collect a loan with a promissory note inherited from their father only by taking an oath. Orphans who wish to collect payment of money owed to their father must take the following oath: On our oath our father did not direct us on his deathbed not to collect with this promissory note, and our father did not say to us that this note was paid, and we did not find among our father’s documents a record showing that this promissory note was paid. After taking that oath, they may collect the money. Rabbi Yoḥanan ben Beroka says: Even if the son was born after the father’s death, he needs to take an oath in order to receive the money owed to his father. Rabban Shimon ben Gamliel said: If there are witnesses that the father said at the time of his death: This promissory note has not been paid, the son collects the debt without having to take an oath.", + "And these people are sometimes required to take an oath that they do not owe anything even when there is no explicit claim against them: Partners, sharecroppers, stewards [apotropin], a woman who does business from home, where she manages the property of orphans, and the member of the household appointed to manage the household’s affairs. For example, in a case where one of these people said to one of the people whose property he or she manages: What is your claim against me? If the other replied: It is simply my wish that you take an oath to me that you have not taken anything of mine, the former is liable to take that oath. Once the partners or the sharecroppers have divided the common property, each taking his share, then one side may not require an oath of the other absent a definite claim. But if an oath was imposed upon him due to some other situation, that oath can be extended to impose upon him any other oath, i.e., it can be extended to apply to any other of their disputes. The mishna adds: And the Sabbatical Year abrogates the obligation to take an oath about a debt, just like it abrogates a debt." + ], + [ + "There are four types of bailees, to whom different halakhot apply. They are as follows: An unpaid bailee, who receives no compensation for safeguarding the item in his care; and a borrower, who receives an item on loan for his own use without paying a rental fee; a paid bailee, who is paid a salary for safeguarding the deposited item; and a renter, i.e., one who pays a fee for the use of an item or animal. In the event that one of these bailees is unable to return the deposited item to its owner, the halakha with regard to liability is dependent upon what happened to the item, and upon the type of bailee: An unpaid bailee takes an oath attesting to the fact that he was not negligent with the care of the item and is then exempt from liability for everything, meaning for all types of damage, whether the item was lost, stolen, damaged, or if the animal died. Conversely, a borrower does not have the option of taking an oath, and pays for everything, whether the item was stolen, lost, damaged, or the animal died, even if it was by unavoidable accident. The halakhot of a paid bailee and a renter are the same: They take an oath concerning an injured animal, and concerning a captured one, and concerning a dead animal, attesting to the fact that these mishaps were not caused by negligence, but rather by unavoidable accident, and then are exempt from liability. But they must pay if the deposit cannot be returned due to loss or theft, even if these were not caused by negligence.", + "The mishna clarifies: If the owner of an ox said to an unpaid bailee: Where is my ox? And the unpaid bailee said to him: It died, but the truth was that it was injured or captured or stolen or lost; or if the bailee responded: It was injured, but the truth was that it died or was captured or stolen or lost; or if he responded: It was captured, but the truth was that it died or was injured or stolen or lost; or if he responded: It was stolen, but the truth was that it died or was injured or captured or lost; or if he responded: It was lost, but the truth was that it died or was injured or captured or stolen, in any of the above cases, if the owner of the ox then said: I administer an oath to you concerning your claim, and the unpaid bailee said: Amen, he is exempt from bringing a guilt-offering, despite the fact that he took a false oath. The reason is that his false oath did not render him exempt from liability to pay.", + "If the owner says to an unpaid bailee: Where is my ox? And the unpaid bailee said to him: I do not know what you are talking about, but the truth was that it died or was injured or captured or stolen or lost, and the owner said: I administer an oath to you concerning your claim, and the unpaid bailee said: Amen, he is exempt from bringing a guilt-offering, since he would not have been liable to pay in any of these cases. But if the owner said to the unpaid bailee: Where is my ox? And the unpaid bailee said to him: It is lost, and the owner said: I administer an oath to you concerning your claim, and the unpaid bailee said: Amen, and then witnesses testify that the bailee consumed it, he pays the owner the principal, since he took the ox for himself. But if there were no witnesses, but after he took the oath he admitted of his own accord that he stole the ox and took a false oath, then he pays the owner the principal and the additional one-fifth payment, and he brings a guilt-offering to achieve atonement, as in any other case where one takes a false oath with regard to a deposit. Similarly, if the owner said to the unpaid bailee: Where is my ox? And the unpaid bailee said to him: It was stolen, and the owner said: I administer an oath to you concerning your claim, and the unpaid bailee said: Amen, and then witnesses testify that the bailee stole it, he pays double the principal. If he admitted of his own accord that he stole it, then he is exempt from double payment for theft, but pays the principal and the additional one-fifth payment, and brings a guilt-offering to achieve atonement.", + "If the owner of an ox said to someone in the marketplace, i.e., a stranger who was not a bailee: Where is my ox that you stole? And the accused says: I did not steal it, and then witnesses testify that the accused did steal it, he pays the double payment. If he slaughtered or sold it, he pays the fourfold or fivefold payment. If the accused saw witnesses that were approaching to testify against him, and at that point he said: I admit that I stole the animal but I did not slaughter or sell it, he pays only the principal.", + "If the owner said to a borrower: Where is my ox? And the borrower said to him: It died, but the truth was that it was injured or captured or stolen or lost; or if he responded: It was injured, but the truth was that it died or was captured or stolen or lost; or if he responded: It was captured, but the truth was that it died or was injured or stolen or lost; or if he responded: It was stolen, but the truth was that it died or was injured or captured or lost; or if he responded: It was lost, but the truth was that it died or was injured or captured or stolen, in any of the above cases, if the owner of the ox said: I administer an oath to you concerning your claim, and the borrower said: Amen, he is exempt from bringing an offering for his false oath, since the oath did not render him exempt from liability to pay. He would have been liable to pay in any case.", + "But if the owner said to the borrower: Where is my ox? And the borrower said to him: I do not know what you are talking about, but the truth was that it died or was injured or captured or stolen or lost, and the owner said: I administer an oath to you concerning your claim, and the borrower said: Amen, the borrower is liable to bring a guilt-offering, as he took an oath that would render him exempt from liability to pay. If an owner said to a paid bailee or a renter: Where is my ox? And the latter said to him: It died, but the truth was that it was injured or captured; or if he said: It was injured, but the truth was that it died or was captured; or if he said: It was captured, but the truth was that it died or was injured; or if he said: It was stolen, but the truth was that it was lost; or if he said: It was lost, but the truth was that it was stolen, and the owner said: I administer an oath to you concerning your claim, and he said: Amen, the paid bailee or renter is exempt from bringing a guilt-offering. If the paid bailee or renter said: It died or was injured or captured, but the truth was that it was stolen or lost, and the owner said: I administer an oath to you concerning your claim, and he said: Amen, the paid bailee or renter is liable to bring a guilt-offering. If the paid bailee or renter said: It was lost or stolen, but the truth was that it died or was injured or captured, and the owner said: I administer an oath to you concerning your claim, and he said: Amen, he is exempt from bringing a guilt-offering. This is the principle: Anyone who changes from one claim of liability to another claim of liability or from one claim of exemption to another claim of exemption or from a claim of exemption to a claim of liability is exempt from bringing a guilt-offering. If he changes from a claim of liability to a claim of exemption, he is liable. This is the principle: Anyone who takes an oath to be lenient with himself is liable; if he takes an oath to be stringent with himself, he is exempt." + ] + ], + "versions": [ + [ + "William Davidson Edition - English", + "https://korenpub.com/collections/the-noe-edition-koren-talmud-bavli-1" + ] + ], + "heTitle": "משנה שבועות", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Nezikin" + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git "a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/English/Mischnajot mit deutscher \303\234bersetzung und Erkl\303\244rung. Berlin 1887-1933 [de].json" "b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/English/Mischnajot mit deutscher \303\234bersetzung und Erkl\303\244rung. 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Ordnung Moed, von Eduard Baneth. 1887-1927.
Ordnung Naschim, von Marcus Petuchowski u. Simon Schlesinger. 1896-1933.
Ordnung Nesikin, von David Hoffmann. 1893-1898.
Ordnung Kodaschim, von John Cohn. 1910-1925.
Ordnung Toharot, von David Hoffmann, John Cohn und Moses Auerbach. 1910-1933.", + "actualLanguage": "de", + "languageFamilyName": "german", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה כלים", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Tahorot" + ], + "text": [ + [ + "Quellen-Unreinheiten1 S. Vorb. 1. sind: Das (tote) Kriechtier,2 Die in Lev. 11, 31 erwähnten 8 Kriechtiere. Ein Stückchen von einer Linsengrösse oder ein ganzes Glied derselben (wenn auch noch so klein) verunreinigt Menschen und Geräte durch Berührung. der (männliche) Samen,3 Von einem Israeliten im Alter von mindestens neun Jahren und einem Tage. der durch eine Leiche Verunreinigte,4 Ein Israelit, der durch eine Leiche verunreinigt worden, ist ein אב הטומאה; die Leiche selbst heisst deshalb אבי אבות הטומאה (Vorb. 4). der Aussätzige in den Tagen seiner Zählung,5 Nachdem der Aussätzige von seinem Aussatz geheilt ist, bringt er zwei Vögel dar, lässt sich scheren und muss dann sieben Tage ausserhalb seines Zeltes weilen (Lev. 14, 8). Diese 7 Tage heissen „seine Zählungstage“. Entsündigungswasser,6 Quelwasser, das behufs der Reinigung einer Toten-Unreinheit mit Asche von der „roten Kuh“ gemischt ist, nach Num. 19, 17. das nicht so viel ist, als man zu einer Besprengung braucht.7 Dieses Quantum wird in Para 12, 5 genau bestimmt. Diese verunreinigen Menschen und Geräte durch Berührung, ein irdenes Gerät dadurch, dass sie in dessen Hohlraum sich befinden.8 Selbst wenn sie das Gefäss nicht berühren (Vorb. 26.) Sie verunreinigen aber nicht dadurch, dass sie getragen werden.", + "Höher als diese9 Der Ausdruck למעלה wird in diesem Abschnitte auch da gebraucht, wo die Unreinheit bloss in einer Beziehung schwerer, in anderer Beziehung aber leichter ist. ist [die Unreinheit von] Aas10 Von Vieh und Wild, sowohl dem zu essen erlaubten als dem unerlaubten. und Entsündigungswasser, das so viel ist, als man zu einer Besprengung braucht;7 Dieses Quantum wird in Para 12, 5 genau bestimmt. denn diese verunreinigen auch den Menschen, der sie trägt,11 Auch wenn er sie nicht berührt. derart, dass er auch die Kleider,12 Ebenso auch andere Geräte. (die er berührt)13 Während des Tragens jener Unreinheit, s. Vorb. 25. A, L und M lesen nicht במגע; ebenso Raschi in B. Batra 9 b, vgl. תוספות אנשי שם und מלאכת שלמה. verunreinigt; doch werden die Kleider nicht unrein,14 L u. N: וחסוכי בגדים. Nach Analogie von חסוכי בנים, Kinderlose (Erubin 28 a) müsste חסוכי בגדים Kleiderlose, Nackte bedeuten, was aber hier keinen Sinn gäbe. Es ist daher חסוכי בגדים als Abkürzung von חסוכי טומאת בגדים zu fassen. Der Kleider-Verunreinigung sind sie los (wörtl.: sie sind davon abgehalten), wenn man sie bloss berührt (und nicht trägt). wenn er jene bloss berührt.", + "Höher als diese9 Der Ausdruck למעלה wird in diesem Abschnitte auch da gebraucht, wo die Unreinheit bloss in einer Beziehung schwerer, in anderer Beziehung aber leichter ist. ist (die Unreinheit desjenigen) der einer Menstruirenden beigewohnt hat;15 Lev. 15, 24. denn er verunreinigt das untere Lager in gleicher Art wie die Oberdecke (beim Flüssigen.)16 Es ist bloss ראשון לטומאה vgl. Vorb. 34. Höher als diese ist die Unreinheit von dem Fluss des Flüssigen, von seinem Speichel, Samen und Urin, und die des Menstruations-Blutes, denn diese verunreinigen durch Berührung und durch Tragen.17 Die Unreinheit durch Berührung ist ebenso schwer wie die durch Tragen, auch jene verunreinigt zugleich die Kleider des Berührenden; sie ist also schwerer als die in Mischna 2 genannte Unreinheit. Höher als diese9 Der Ausdruck למעלה wird in diesem Abschnitte auch da gebraucht, wo die Unreinheit bloss in einer Beziehung schwerer, in anderer Beziehung aber leichter ist. ist (die Unreinheit vom) Reitzeug des Flüssigen,18 Vgl. Vorb. 33. denn dieser verunreinigt jenes selbst, wenn es unter einem grossen Steine19 מסמא, L: מסאמא, M: מְשָמָא, Rabed im Comment. zum Sifra: מוסמא. Im Talmud Nidda 69 b wird das Wort mit ושמת in Dan. 6, 18 zusammengestellt, und es ist nach Raschi das. ein schwerer Stein, der zum Liegen bestimmt ist und nicht hin und her getragen werden kann. Die Etymologie ist unsicher (vgl. verschiedene Erkl. in den Lexicis). Vielleicht heisst אבן מְסַמָּא ein Stein, der etwas bedeckt, dem Auge entzieht, vgl. דבר הסמוי מן העין, eine Sache, die dem Auge entzogen ist (Taanit 8b). Über den Begriff s. Vorb. 21 u. 31. liegt.20 Wenn das מרכב unter einem schweren Steine sich befindet, auf dem der זב sitzt, so wird das מרכב unrein und verunreinigt wieder jeden, der sich auf jenen Stein setzt, obgleich der Stein selbst nicht die Unreinheit annehmen kann (Vorb. 15). Höher als die Unreinheit des Reitzeugs ist die des Lagers, dessen Berührung gleiche Wirkung hat wie dessen Tragung.21 Sowohl dessen Träger als der, welcher es berührt, werden samt den Kleidern unrein. Höher als die Unreinheit des Lagers ist die des Flüssigen; denn er bewirkt die Unreinheit des Lagers, aber das Lager kann nicht eine Lager-Unreinheit bewirken.22 Wird ein vom זב verunreinigtes Lager auf ein anderes Lager gelegt, so ist letzteres bloss ראשון לטומאה.", + "Höher9 Der Ausdruck למעלה wird in diesem Abschnitte auch da gebraucht, wo die Unreinheit bloss in einer Beziehung schwerer, in anderer Beziehung aber leichter ist. als die Unreinheit des Flüssigen ist die einer am Blutfluss leidenden Frau; denn sie verunreinigt den ihr Beiwohnenden.23 So dass er 7 Tage unrein ist (Lev. 15, 24). Dagegen wird die Frau, der ein זב beigewohnt, nur bis zum Abend unrein (nach Sabim 5, 2). Höher9 Der Ausdruck למעלה wird in diesem Abschnitte auch da gebraucht, wo die Unreinheit bloss in einer Beziehung schwerer, in anderer Beziehung aber leichter ist. als die Unreinheit der Flussleidenden ist die des Aussätzigen; denn er verunreinigt (ein Haus) durch hineingehen.24 Nach Vorb. 28. Diese Vorschrift gilt aber nicht für die „Zählungstage“ des Aussätzigen, oben Note 5. Höher9 Der Ausdruck למעלה wird in diesem Abschnitte auch da gebraucht, wo die Unreinheit bloss in einer Beziehung schwerer, in anderer Beziehung aber leichter ist. als die Unreinheit des Aussätzigen ist die eines Totenknochens von der Grösse eines Gerstenkorns; denn er verunreinigt auf sieben Tage.25 Denjenigen, der ihn berührt. Am schwersten9 Der Ausdruck למעלה wird in diesem Abschnitte auch da gebraucht, wo die Unreinheit bloss in einer Beziehung schwerer, in anderer Beziehung aber leichter ist. ist die Unreinheit des Toten; denn er verunreinigt durch Bedachung,26 Nach Vorb. 27 und 28. was bei allen anderen Unreinen nicht der Fall ist.", + "Zehn Grade von Unreinheiten gehen vom Mensehen aus. Wer bloss noch der Sühne ermangelt,27 Es sind dies נדה ,זבה ,זב, die Wöchnerin und der Aussätzige, die ausser טבילה und הערב שמש noch der Sühnopfer bedürfen (Vorb. 9). dem ist Heiliges verboten, Hebe und Zehnt jedoch erlaubt. Wird er ein Unreiner, der heute untergetaucht ist28 Vor dem Sonnenuntergang dieses Tages (Vorb. 9)., so ist ihm Heiliges und Hebe verboten,29 Selbst nur zu berühren. Zehnt jedoch erlaubt. Wird er durch einen nächtlichen Zufall unrein, so sind ihm alle drei verboten. Hat er einer Menstruirenden beigewohnt, so verunreinigt er das untere Lager in gleicher Weise wie die Oberdecke (beim Flüssigen).16 Es ist bloss ראשון לטומאה vgl. Vorb. 34. Wird er ein Flüssiger, der bloss zwei Wahrnehmungen gehabt, so verunreinigt er Lager und Sitz und muss in Quellwasser untertauchen,30 Während andere Unreine sich auch in einer anderen Wassersammlung (מקוה) reinigen können (vgl. m. Komment. zu Lev. 11, 36). ist aber frei vom Opfer.31 Er muss jedoch 7 reine Tage zählen (Lev. 15, 13). Hatte er drei Wahrnehmungen, so ist er auch zum Opfer verpflichtet. Wird er ein Aussätziger, der bloss eingeschlossen wird,32 Nach Lev. 13, 4 f. verunreinigt er (ein Haus) durch Hineingehen,24 Nach Vorb. 28. Diese Vorschrift gilt aber nicht für die „Zählungstage“ des Aussätzigen, oben Note 5. ist aber frei von der Pflicht, sein Haar wild wachsen zu lassen, die Kleider einzureissen,33 Lev. 13, 45. sich scheren zu lassen und Vögel zu bringen;34 Lev. 14, 4; 8f. wird er aber entschieden als Aussätziger erklärt, so ist er zu allem Obigen verpflichtet. Sondert sich von ihm ein Glied ab, woran nicht gehörig Fleisch ist, so verunreinigt es35 Das Glied. beim Berühren und Tragen,36 Ist aber gar kein Fleisch daran, so verunreinigt es nicht. aber nicht durch Bedachung. Ist gehörig Fleisch daran, so verunreinigt es beim Berühren und Tragen und durch Bedachung. Gehörig Fleisch ist ein Quantum, das am Gliede heilbar war. Rabbi Jehuda sagt: Wenn an einer Stelle so viel Fleisch vorhanden ist, dass man37 Wenn man das Fleisch in lauter Fäden von solcher Dicke zerschnitte. damit in der Dicke eines Einschlagfadens38 Der doppelt so dick ist als ein Zettelfaden. das Glied umgeben könnte, so genügt dies, um Heilung zu bewirken.", + "Zehn Heiligkeitsgrade gibt es: Das Land Israel ist heilig vor allen andern Ländern. Worin besteht dessen Heiligkeit? Darin, dass man von ihm das Omer-Opfer,39 Lev. 23, 10. die Erstlinge40 Deut. 26, 2. und die zwei Brote41 Lev. 23, 17. darbringen kann, was bei allen andern Ländern nicht der Fall ist.", + "Mit Mauern42 Seit der Eroberung des Landes durch Josua. Dass auch die Stadt Schomron zu diesen Städten gehört, ersieht man aus 2. Kön. 7, 3, vgl. תרע׳׳א. umgebene Städte sind heiliger, indem man aus ihnen die Aussätzigen ausweisen muss, und eine Leiche zwar darin so lange umhergetragen werden darf, bis man sie bestatten will;43 Sie darf nach Maimonides auch in der Stadt bestattet werden, wiewohl in der Regel die Begräbnisplätze von der Stadt entfernt lagen, M. Baba batra 2, 9. ist sie aber einmal hinausgekommen, so darf man sie nicht wieder hineinbringen.", + "Innerhalb der Mauern (Jerusalems) ist der Raum noch heiliger, denn daselbst darf man leichter Heiliges44 Hochheilig sind Ganzopfer, Sündopfer, Schuldopfer, Speiseopfer und die am Wochenfeste dargebrachten Gemeindefriedensopfer; dagegen sind Dank- und Friedensopfer, Erstgeburten, Pesachopfer und Viehzehnten sowie Erstlinge leichtere Heiligtümer. und zweiten Zehnt essen. Der Tempelberg45 Ein Platz von 500 Ellen im Quadrat, auf welchem der Tempel stand (s. Middot 2, 1). Dieser Platz entspricht dem Lager der Leviten in der Wüste. ist noch heiliger, denn diesen dürfen keine Flüssigen , keine am Blutfluss leidenden oder menstruierenden Frauen und keine Wöchnerinnen46 Zu diesen gehört auch der Polluierte (בעל קרי). betreten. Der Zwinger47 Ein Raum innerhalb des Tempelberges, der in M. Middot 2, 3 näher bezeichnet ist. ist noch heiliger; denn dort darf kein Nichtisraelit47a Nach Josephus ant. XV 11, 5 stand dort auf einer steinernen Mauer geschrieben, dass jedem Nichtjuden der Eintritt bei Todesstrafe verboten sei (vgl. auch Jos. bel. V 5, 2; VI 2, 4 und Philo Leg. ad Caj. 31). Die durch Clermont-Ganneau 1871 entdeckte griechische Inschrift lautete: „Kein Fremder (ἀλλογενής, von anderem Volke) darf innerhalb des Gitterwerks und der Umwallung um das Heiligtum eintreten. Wer betroffen würde, der hätte es selbst verschuldet, dass der Tod ihm nachfolge“. Vgl. Grätz, Gesch. III, 225. und kein an Toten Verunreinigter hinkommen.48 Nach rabbinischer Bestimmung (vgl. Joma 44 b). Über die Thoravorschrift vgl. Vorb. 37. Der Frauen-Vorhof49 Die genauere Bezeichnung dieses Raumes in Middot 2, 5. עֶזְרַת ist zu punktieren nach תיו״ט Middot 2, 6. ist noch heiliger; denn da darf kein Unreiner, der heute untergetaucht ist,28 Vor dem Sonnenuntergang dieses Tages (Vorb. 9). eintreten,50 Dies ist eine Verordnung des Königs Josaphat, nach Pesachim 92 a. doch ist man deswegen kein Sündopfer schuldig. Der Israeliten-Vorhof51 Vgl. Middot 2, 5—6. ist noch heiliger, denn diesen darf keiner betreten, welcher noch der Sühne ermangelt,52 Selbst ein Reiner, der keine Sühnopfer schuldig war, durfte dort nicht eintreten, ohne vorher gebadet zu haben, doch ist letzteres nur rabbinische Bestimmung, Joma 30a. und man ist deshalb ein Sündopfer schuldig.53 Der Unreine, der diesen Raum aus Versehen betreten hat, vgl. Lev. 5, 2 ff. Der Priester-Vorhof51 Vgl. Middot 2, 5—6. ist noch heiliger,48 Nach rabbinischer Bestimmung (vgl. Joma 44 b). Über die Thoravorschrift vgl. Vorb. 37. denn kein Jisraël (Nichtpriester) darf dahin kommen, ausser wenn er es nötig hat, um (beim Opfer) die Handauflegung, Schlachtung oder Schwingung vorzunehmen.", + "Der Raum zwischen der Vorhalle und dem Altar54 Der Ausdruck, wie Joël 2, 16. ist noch heiliger48 Nach rabbinischer Bestimmung (vgl. Joma 44 b). Über die Thoravorschrift vgl. Vorb. 37., denn dahin dürfen keine fehlerhaften Priester und keine mit wild wachsendem Haupthaare kommen. Der Tempel55 Ebenso auch die Vorhalle. ist noch heiliger, denn dahin darf niemand kommen, der nicht vorher seine Hände und Füsse gewaschen hat.56 Ebenso kein Priester, der Wein getrunken hat oder nicht mit den priesterlichen Gewändern bekleidet ist. Das Allerheiligste ist heiliger als jene (genannten Räume), denn dies darf bloss der Hohepriester am Versöhnungstage zur Zeit des Dienstes betreten.57 Nach Lev. 16, 2ff. Es sagt R. Jose: In fünf Dingen ist der Raum zwischen der Vorhalle und dem Altar dem Tempel gleich, nämlich dass kein fehlerhafter Priester, keiner mit wild wachsendem Haupthaar, keiner, der Wein getrunken hat, und keiner, der nicht Hände und Füsse gewaschen hat,58 Nach Tosefta ist dies die Ansicht der חכמים, und R. Meïr ist ihr Controversant. Doch durften die Priester jedenfalls dort hinkommen, um Hände und Füsse zu waschen, da das Waschbecken dort seinen Platz hatte (Exod. 30, 18). dahin kommen darf, und ferner, dass man sich während der Opferung des Räucherwerks59 Auch während der Räucherung im Allerheiligsten am Versöhnungstage; nach dem ersten Tanna dagegen brauchte man sich während dieser Zeit nur vom Tempel zu entfernen. auch von dem Raume zwischen der Vorhalle und dem Altar fernhalten muss.60 Dass es nach M. 6 nur 10 Heiligkeitsgrade gibt, während nachher 11 aufgezählt werden, kann entweder darin seinen Grund haben, dass der Mischnalehrer, der im heiligen Lande weilte, den ersten Grad (ארץ ישראל) nicht mitzählte, oder dass die Zahl 10 von R. Jose herrührt, der den Tempel mit בין האולם ולמזבח gleichstellt. Merkwürdig ist, dass in M. 1—4 auch 11 טומאה-Grade aufgezählt werden." + ], + [ + "Von hölzernen, ledernen, knöchernen1 Zu diesen gehören auch die aus Hörnern und Klauen verfertigten Geräte. und gläsernen Geräten sind die flachen2 Diejenigen, die nicht zur Aufnahme von Gegenständen (לקבלה) bestimmt sind. rein,3 Sie können keine Unreinheit annehmen. Dies ist zumeist die Bedeutung des Ausdrucks טהור bei Geräten. Nach Maimon. sind die flachen Geräte von Holz, Leder und Knochen nach rabbinischer Bestimmung verunreinigungsfähig; R. Ascher jedoch meint, letzteres gilt nur für solche flache Geräte, die geeignet sind, dass man etwas darauf lege, z. B. ein Tisch, vgl. weiter 27, 1. aber die mit einem Behälter versehenen verunreinigungsfähig.4 Einerlei ob die Unreinheit von der Innen- oder Aussenseite sie berührt. Zerbrechen sie, so werden sie rein.5 Selbst wenn sie vor der Zerbrechung unrein geworden sind. Macht man wieder Geräte aus denselben, so nehmen sie von nun ab und weiter Unreinheit an.6 Aber die Unreinheit, die vor der Zerbrechung an ihnen gehaftet, kehrt nicht nach der Reparatur wieder zurück. Dies ist jedoch bei Metallgeräten der Fall, wenn auch nur nach rabbinischer Bestimmung (11, 1). Irdene Geräte und Geräte aus Nether7 Das auch in der Bibel als Reinigungsmittel erwähnte נתר wird in verschiedener Weise erklärt (vgl. תשב״ץ Nr. 28). Nach Babli Ab. sara 33b ist es Alaunerde; Jerusch. Sabbat 9, 5 erklärt es als ניטרון (nitron). R. Jona Ibn Ganach im השרשים ספר bringt drei Erklärungen: 1) Alaun; 2) Nitron, 3) das arab. טֲפַל (Boluserde). Diese letzte Erklärung gibt auch Maimonides, indem er genauer beschreibt, wie aus dem wenig im Feuer gebrannten Taphal (einer Tonart von blauer Farbe, die in Wasser sich schnell auflöst), Trinkgefässe verfertigt werden, in denen das Wasser einen besonders angenehmen und manchem Kranken wohltuenden Geruch bekommt. Die Farbe dieser Gefässe ist gleich dem rohen ungebrannten Taphal; man könnte sie daher wie כלי אדמה (Geräte aus ungebrannter Erde) betrachten, die keine Unreinheit annehmen. Die Mischna belehrt uns aber, dass es wie כלי חרס verunreinigungsfähig ist, da es doch ein wenig gebrannt wird. (Vgl. auch Rieger, Spinnen, Färben, Weben, Walken in der Mischna S. 41). sind betreffs der Unreinheit, einander gleich;7a Die Schule Schammai’s ist nach Tosefta I, 2, 1 abweichender Ansicht. sie können von ihrem hohlen Raume aus verunreinigt werden8 Wenn sich eine Unreinheit in ihrem hohlen Raume befindet, obgleich sie das Gefäss nicht berührt. und verunreinigen;9 Speisen und Getränke, die, nachdem das Gefäss unrein geworden, in dessen hohlen Raum gelangen, obgleich sie das Gefäss nicht berühren. Geräte können aber durch das unreine כלי חרס nicht verunreinigt werden (Vorb. 16). sie können von ihrer Hinterseite aus verunreinigt werden,10 Nach dieser LA. muss man unter אחורים die Fusshöhlung verstehen. Diese wird auch durch Berührung einer טומאה unrein, aber nicht wenn letztere bloss in deren Hohlraum sich befindet. Denn die Fusshöhlung wird nicht vollständig als Behältnis betrachtet, weil man nur zuweilen das Gefäss umstülpt und diese Höhlung benutzt. Indessen aber ist es richtiger, mit M. und den alten Druckausgaben ומְטמאין מאחוריהן (sie können von ihrer Hinterseite aus verunreinigen) zu lesen. Ist nämlich ein irdenes Gefäss einmal durch die in seinen Hohlraum gekommene טומאה unrein geworden, so ist auch die Rückseite unrein und verunreinigt die sie berührenden Speisen und Getränke. Hiernach bezeichnen אחורים und גב einunddasselbe, nämlich die Aussenseite. Nur heisst, wenn es sich um die Annahme der Unreinheit handelt, diese Seite: גב (Rücken), während hinsichtlich der Übertragung der Unreinheit auf andere Dinge dieselbe Seite אחורים (Hinterseite) genannt wird. Vgl. noch Sabbat 16 a. aber nicht von ihrer Aussenseite aus,11 Hier lesen Alle ואינן מיטמאין מגביהן , sie können von der Aussenseite ans keine Unreinheit annehmen (Vorb. 26). und ihre Zerbrechung12 Nur diese, aber nicht טבילה, Vorb. 10. bewirkt ihre Reinigung.", + "Von Rest-Stücken der irdenen Geräte,13 Einige Erklärer lesen וקרקרותיהן, mit ו׳, wonach unter דקין שבכלי חרס kleine irdene Geräte verstanden und auch diese nur bei einem bestimmten שיעור verunreinigungsfähig sind. Wir lesen aber mit M. קרקרותיהן (ohne ו׳) und fassen mit Maimon. הדקין שבכלי חרס als die noch ein gewisses Quantum von Flüssigkeit fassenden Reststücke eines zerbrochenen irdenen Gerätes, die, weil sie wie kleine Geräte zu betrachten sind, דקין genannt werden. קרקרותיהן ובו׳ ist dann Apposition zu דקין. nämlich von den Böden14 In Chullin 54 b heisst es הן וקרקרותיהן (vgl. auch Sifra שמיני VII, 2). Danach erklärt R. Elia Wilna, הן seien irdene Geräte, von denen nur ein kleiner Teil oben abgebrochen, so dass noch fast das ganze Gefäss als Reststück geblieben. oder Seitenstücken, falls sie ohne Stütze stehen können, gilt als Mass, (dass sie genug Öl enthalten können),15 Babli Chullin 55a: בכדי סיכת. um damit ein kleinos Glied16 Nach Maim. ist קטן hier „ein kleines Kind“. Doch ist wohl קטן dasselbe wie אבר קטן (Sabbat 76b u. 77b; Edujot 4, 6), wonach Bart. erklärt: der kleine Finger eines einen Tag alten Kindes. zu salben, bei den Geräten, die bis17 R. Elia Wilna liest: עד (ohne ו׳). Nach unserer LA. muss das ועד לוג so erklärt werden, als wenn stände: מכל שהוא ועד לוג (von der kleinsten Grösse bis zu einem Log). Nach Maimon. ist ועדמכדי zu lesen und der שיעור erst im folgenden ברביעית gegeben. Es wäre also zu übersetzen: „Es gilt als Mass ¼ Log sowohl bei den Geräten, deren Inhalt von כדי סיכת קטן bis zu einem Log betrug, als bei denjenigen, die ein Log bis ein Seah enthielten.“ כדי סיכת קטן muss hiernach erklärt werden: soviel als zur Salbung eines kleinen Kindes nötig ist. Nach Dünner (חגהות V, S. 42) ist im ersten Satze der שיעור ausgefallen, und es wäre zu lesen: מכדי סיכת קטן ועד לוג בכל שהוא. ein Log Inhalt hatten; bei Geräten, die18 Solange sie ganz waren. über ein Log bis ein Seah19 Ein Seah = 24 Log. Inhalt hatten, (gilt als Mass) ein viertel Log; bei Geräten von einem Seah bis zwei Seah, ein halbes Log; bei solchen von zwei oder drei bis fünf Seah, ein Log. So die Worte R. Ismaels. R. Akiba sagt: Ich gebe nicht das Inhaltsmass der (ursprünglichen) Geräte an20 Ich bestimme nicht das Mass des Reststückes nach Verhältnis des Masses, welches das Gefäss im ganzen Zustande gehabt hat., (vielmehr sage ich:) Von den Reststücken der irdenen Geräte, nämlich von den Böden oder Seitenstücken, falls sie ohne Stütze stehen können, gilt als Mass, (dass sie genug Öl enthalten können)15 Babli Chullin 55a: בכדי סיכת., um damit ein kleines Glied zu salben, bei Geräten bis17 R. Elia Wilna liest: עד (ohne ו׳). Nach unserer LA. muss das ועד לוג so erklärt werden, als wenn stände: מכל שהוא ועד לוג (von der kleinsten Grösse bis zu einem Log). Nach Maimon. ist ועדמכדי zu lesen und der שיעור erst im folgenden ברביעית gegeben. Es wäre also zu übersetzen: „Es gilt als Mass ¼ Log sowohl bei den Geräten, deren Inhalt von כדי סיכת קטן bis zu einem Log betrug, als bei denjenigen, die ein Log bis ein Seah enthielten.“ כדי סיכת קטן muss hiernach erklärt werden: soviel als zur Salbung eines kleinen Kindes nötig ist. Nach Dünner (חגהות V, S. 42) ist im ersten Satze der שיעור ausgefallen, und es wäre zu lesen: מכדי סיכת קטן ועד לוג בכל שהוא. zur Grösse von kleinen Töpfen; bei grösseren Geräten bis zur Grösse der Krüge21 חבית, ein Vorratsgefäss, das oft mit כד vertauscht wird (vgl. B. kamma 27a). von Lud22 Lydda. (gilt als Mass) ein viertel Log; bei noch grösseren bis zur Grösse der Krüge von Beth-Lechem, ein halb Log; bei noch grössern bis zur Grösse von grossen Kannen23 חצב, aram. חצבא Krug, Kanne., ein Log. R. Jochanan, Sohn Sakkai’s sagt: Bei grossen Kannen gilt als Mass zwei Log. Bei galiläischen Krüglein und kleinen Fässchen24 חביונה Dimin. von חבית. Andere LA. אביונות. kann das Mass der Böden noch so klein sein25 Weil sie unten eng sind.; dagegen sind die Seitenstücke von diesen gar nicht verunreinigungsfähig26 Weil die Seitenwände nicht bauchig, deren Bruchstücke daher flach sind..", + "Rein sind unter den irdenen Geräten27 Nach Lev. 11, 33 (jedes irdene Gerät, in dessen Inneres etwas hineinfällt“) ist ein solches Gerät nur dann verunreinigungsfähig, wenn es einen inneren Hohlraum (תוך oder בית קבול) hat.: Eine Platte28 טבלה tabula, eine Tafel, eine flache irdene Platte. ohne Leisten29 Andere LA. לזוויז, auch לבזבז. Hiermit wird nach Maim. die Leiste eines viereckigen Gefässes bezeichnet. Die Etym. ist unbekannt; vielleicht ist es Redupl. von לוז, biegen, eine Biegung am Rande., eine offene Kohlenschippe30 Wiewohl sie nur an einer Seite offen ist. Nach Maimon. ist מ׳ פ׳ eine Räucherpfanne, deren Ränder weggenommen sind., ein Rohr31 אבוב (das auch „Flöte“ bedeutet) ist wohl ein hohles mit vielen Löchern versehenes rohrförmiges Gefäss, das zwar von allen Seiten mit Wänden umgeben ist, aber weil diese durchlöchert sind, nicht מקבל טומאה ist. der Röster32 קלאין Mehrz. von קַלָּא, die Röster (von Aehren oder Hülsenfrüchten). L. hat קליון (der Röster)., Rinnen33 סילון (σωλήν) Rinne, Kanal., obgleich sie gebogen sind34 Nach oben, so dass unten Wasser bleiben kann. oder eine Höhlung haben35 Es ist durch das Wasser eine Vertiefung ausgehöhlt worden. Dennoch gilt diese nicht als בית קבול, weil sie nicht zur Aufnahme eines Dinges gemacht worden ist., eine Stürze36 כבכב, a. LA.: כפכף (Redupl. v. כפה, umstürzen), ein Gefäss, das nur umgestürzt gebraucht wird, weshalb dessen Behältnis nicht als בית קבול gilt., die man für den Brotkorb37 L.: סל לפת; alte Ausgg. סל הפת. Danach würde es heissen: Selbst wenn man das Gefäss als Brotkorb verwenden will, ist es nicht מקבל טומאה, weil es in der Regel nur umgestürzt gebraucht wird (מלאכת שלמה). gemacht hat, ein Krug38 טפי ist, nach Maimon., Apoc. von טפיח (Krug, Eimer zum Wasserschöpfen, anders weiter 3, 2). R. Hai Gaon liest hier טפיח., den man (als Deckel) für Weintrauben zugerichtet hat, ein Fass der Schwimmer39 Ein von allen Seiten verschlossenes Fass, womit man schwimmen lernt., ein am Boden eines Zobers angebrachtes Fass40 Nach Maimon. ist שולי המחץ der Henkel des Zobers, in welchen man das חבית (ein kleines Gefäss) hineinschiebt, um darin beim Aufheben des Zobers die Hand hineinzustecken. R. Simeon dagegen erklärt, das חבית ist in den Erdboden versenkt und dient dem מחץ als Boden. דפונה vom arab. دفن, verbergen (Aruch)., ein Bett, ein Stuhl, eine Bank41 ספסל = subsellium., ein Tisch, ein Schiff42 Dies ist nicht verunreinigungsfähig, obgleich es zur Aufnahme von Gegenständen bestimmt ist, vgl. hierüber Sabbat 9, 1., ein Leuchter43 Das Gestell, worauf die Lampe mit dem Öl gesetzt wird. von Ton — diese sind rein. Dies ist die Regel: Bei allen irdenen Gefässen, die keinen innern Raum haben, kommt auch die Hinterseite nicht in Betracht.44 Dem einfachen Sinne nach bezieht sich diese Regel auf diejenigen Gegenstände, die auf der hintern Seite eine Höhlung haben, die אחורים genannt wird (s. oben Note 10). Diese Höhlung nimmt aber nur dann die טומאה an, wenn das Gefäss einen Behälter (תוך) hat, der zur Aufnahme von Gegenständen (לקבלה) dient. Bei den Gefässen aber, die z. B. als Deckel dienen und kein Inneres haben, in das etwas hineingelegt wird, kann die rückseitige Höhlung keine טומאה annehmen. Maimon. u. Bart. erklären aber unsere Regel in anderer Weise. Weiter 25, 6 wird nämlich gelehrt, dass nach einer rabbinischen Bestimmung auch die Rückseite der irdenen Gefässe durch Flüssigkeiten (משקין) unrein werden könne. Es wird nun hier die Regel aufgestellt, dass diese rabbinische Bestimmung nur für Geräte gilt, die ein Inneres haben, aber nicht für solche, die nicht mit einem innern Behälter versehen sind. Nach Sifra Schemini VII, 4 hat diese Regel חזקיה אבי עקש Namens Rabban Gamliel Hasaken bezeugt. Doch wird dazu in Bechorot 38a eine andere Erklärung als die obigen gegeben.", + "Eine Laterne45 פנס, gr. φανός., die einen Öl-Behälter hat, ist verunreinigungsfähig; die keinen solchen hat, ist rein.46 Obgleich man eine Lampe mit Öl und Docht hineinstellt, gilt die Laterne nicht als Behälter, da deren Wände nur dazu dienen, das Licht vor dem Winde zu schützen. Die Form47 מ׳׳ש zitert eine Punktation מַגוֹפָת, vielleicht von גוף, Körper. der Töpfer, auf welcher er ein Gefäss anfängt,48 Die Scheibe, auf welcher er die Gefässe formt. ist rein; die, worin er es beendigt,49 Die Form, womit die Gefässe geglättet werden, vgl. die Beschreibung der Formen im Komment. יכין ובועז. ist verunreinigungsfähig50 Weil diese einen Behälter hat, den man über die Aussenseite der Gefässe deckt, um sie zu glätten.. Der Trichter der Privatleute ist rein51 Ebenso wie die Rinnen., der der Gewürzkrämer ist verunreinigungsfähig, weil er (auch) als Mass dient52 Sie enthalten ein gewisses Mass, so dass der Krämer, wenn er die untere Öffnung mit dem Finger verschliesst, damit messen kann.. So R. Jehuda ben Bethera. R. Akiba sagt: Weil man ihn umlegt und den Käufer daran52a An den an der Seite befindlichen Tropfen Öls. ) riechen lässt.", + "Die Deckel von Wein- und Ölkrügen und die Deckel von papiernen Tonnen53 Tonnen aus der Papyrusstaude (L. Löw, Graph. Requis. I, 99). Manche erklären ניירות von einem Orte נייר, andere lesen והניירות (und die Papierdeckel). sind rein54 Weil die Deckel nicht לקבלה gemacht sind. Sonst ist auch ein papiernes Gefäss verunreinigungsfähig (17, 15, vgl. תרעק״א). ); hat man sie aber zu anderem Gebrauche zugerichtet, so sind sie verunreinigungsfähig. Der Deckel eines Tiegels55 לפס = אלפס (gr. λοκας) Tiegel. ist, wenn er ein Loch56 So dass er keine Flüssigkeit aufnehmen kann. oder eine Spitze hat57 Einen spitzen Knopf als Griff, so dass er nicht mit dem Behältnis nach oben niedergelegt werden kann., rein; hat er kein Loch und keine Spitze, so ist er verunreinigungsfähig, weil die Frau das Kraut darin seiht.58 Sie drückt das Wasser darauf aus. R. Elieser bar Zadok sagt: Weil sie darauf das Gemüse59 L.: רוקני, And.: רומקי, nach Maimon. das ausgepresste, eine zusammenhängende Masse bildende Gemüse. Etym. unbekannt; viell. von rumex, Sauerampfer, Spinat. umschüttet.60 Um es zu zerdrücken.", + "Ein beschädigtes Gefäss61 גסטרא (von γαστήρ, γάστρα) bedeutet ein irdenes Gefäss, von dem etwas, wenn auch nur ein kleines Stück, abgebrochen ist., das im Brennofen gefunden wird, ist rein, wenn die Arbeit daran nicht fertig war62 Als es gebrannt wurde, so dass es während der Vollendung der Arbeit kein ganzes Gefäss war.; wenn aber die Arbeit schon fertig war63 Und erst nachher ist ein Stück davon abgebrochen. Dies ist an der Bruchfläche zu erkennen (vgl. Tosefta)., ist es verunreinigungsfähig64 Denn man benutzt noch das beschädigte Gefäss, um es unter ein tropfendes Fass zu stellen, und da es einmal ein ganzes Gefäss war, behält es diesen Charakter, solange es noch irgendwie zur Aufnahme (לקבלת) dient.. Der Titros65 Die magische Giesskanne oder das Sieb der Vestalin, ein Stechheber, der unten in ein Gefäss mit durchlöchertem Boden ausgeht. Hält man die obere Öffnung mit dem Finger verschlossen, so läuft das Wasser unten nicht aus, und erst wenn der Finger entfernt wird, kann das Wasser durch die kleinen Löcher am Boden ausfliessen. Die Etym. von טיטרוס ist unsicher. Bart. liest סיטרוס, wonach es viell. σῆστρον (Sieb) wäre. ist nach R. Elieser bar Zadok rein66 Weil das Gefäss durchlöchert ist., nach R. Jose verunreinigungsfähig, weil er nur tropfenweise herausfliessen lässt.67 Weil das Wasser durch Verschluss der oberen Öffnung mit dem Finger zurückbehalten wird, und selbst nach Entfernung des Fingers nur tropfenweise abfliesst. תוי״ט zitiert eine Punktation פְרוֹטוֹת.", + "Verunreinigungsfähig unter den irdenen Geräten sind: Eine Platte mit Leisten68 An allen vier Seiten., eine ganze Kohlenschippe69 S. oben Note 30. und eine Platte, die ganz mit schüsselartigen Gefässen70 Die ursprünglich vom Töpfer an der Platte angebracht und befestigt sind. vorsehen ist. Ist eines von diesen durch ein (totes) Kriechtier verunreinigt worden, so sind alle andern nicht unrein. Hat sie aber einen hervorragenden Rand71 Der alle Gefässe überragt., dann sind, wenn eines von den Gefässen verunreinigt worden, alle unrein72 Denn sobald das Kriechtier innerhalb der vom Rande umgebenen Platte kommt, wird die ganze Platte samt allen mit ihr verbundenen Gefässen unrein, da alles als ein Gerät betrachtet wird.. Ebendasselbe gilt von einem irdenen Gewürzbehälter73 Der in mehrere Fächer geteilt ist, in denen die verschiedenen Gewürze sich befinden. und einem Zwillings-Tintenfass.74 ϰαλαμάριον, Federbüchse, auch Tintenfass. Das Zwillings-Tintenfass diente wahrscheinlich zu schwarzer und roter Tinte (L. Löw, Gr. Requis. I, 185). L. liest: המותאמת; ר״ש: המתויימת (Einz.). Auch bei einem hölzernen Gewürzbehälter ist, wenn ein Fach davon durch Flüssigkeit75 Die selbst bloss ראשון לטומאת ist. verunreinigt worden76 Diese Unreinheit ist bloss durch eine rabbinische Bestimmung verordnet (Sabbat 14 b), da nach dem Thoragesetze Geräte nur durch einen אב הטומאה verunreinigt werden können (Vorb. 16). Das Innere des Gefässes wird daher nicht unrein, wenn die Flüssigkeit bloss die Rückseite berührt., das Nebenfach nicht unrein.77 Würde ein Fach aber durch einen אב הטומאה verunreinigt werden, so wäre das Nebenfach auch unrein, da ein hölzernes Gerät auch von der Rückseite aus טומאה annimmt und die innere Seite des einen Faches zugleich die Rückseite des Nebenfaches ist. R. Jochanan, Sohn Nuri’s sagt: Man teilt die Scheidewand; die Hälfte neben dem Unreinen ist unrein, die neben dem Reinen ist rein.78 Denn die eine Hälfte der Dicke der Scheidewand gehört zu dem einen Fache und die andere Hälfte zum andern. Ist aber79 Dies ist nicht Fortsetzung der Worte R. Jochanans, sondern die Ansicht aller Tannaim. ein überragender Rand daran, so sind, wenn ein Gefäss unrein geworden, auch die Nebengefässe unrein.80 Denn der Rand vereinigt alle Fächer zu einem Geräte.", + "Ein Fackel-Napf81 Ein Napf, in den mit Öl oder Naphta gesättigte Zeugstücke gelegt und angezündet werden. Das Gefäss hat ein zugespitztes Ende, mit dem es in einen Schaft gesteckt und als Leuchtfackel gebraucht wird. ist verunreinigungsfähig,82 Wiewohl es wegen der Spitze für sich allein nicht stehen kann (s. Note 57), so nimmt es doch טומאה an, weil es von vorne herein verfertigt ist, zusammen mit dem Schafte gebraucht zu werden. und der Lampenbehälter83 Ein schalenartiger Untersatz, auf welchen die Lampe gestellt wird, damit das herabtropfende Öl hineintriefe. kann von seinem Hohlraume aus unrein werden84 Er wird als Behältnis betrachtet, obgleich nur ein kleiner Teil der Lampe in der Vertiefung stehen kann.. Der kammförmige Rand des Trinkkrugdeckels85 צרצור ist ein Trinkgefäss mit einem siebartig gelöcherten Deckel. Dieser Deckel hat oben als Verzierung ringsum einen zackigen Rand. Nach R. El. Wilna ist צרצור eine Giesskanne zum Bewässern der Felder. ist nach R. Elieser rein86 Wenn ein שרץ bloss in den von den Zacken eingeschlossenen Raum gekommen ist., nach den Weisen verunreinigungsfähig.87 Da der Deckel unterhalb der Zacken ein Behältnis hat, so wird der obere von den Zacken umgebene Raum auch als בית קבול betrachtet." + ], + [ + "Das Mass eines Loches, wodurch ein irdenes Gerät rein wird1 Es kann nicht mehr טומאה annehmen, und wenn es vorher bereits verunreinigt worden, wird es rein., ist, wenn es für Speisen1a M. und L.: לאבלים lies: לֶאֳכָלִים, Mehrz. von אֹכֶל. diente,2 Selbst wenn es für Früchte bestimmt war, die grösser als Oliven sind, z. B. für Feigen. so gross, dass Oliven durchfallen können; diente es für Getränke, (so ist jenes Mass) so, dass Flüssigkeit eindringen kann; diente es für beide Zwecke,3 Auch wenn das Gerät zu gleicher Zeit für Speise und Flüssiges gebraucht wurde, z. B. ein Topf, in welchem gewöhnlich Fleisch mit Brühe gekocht wurde. so gilt das erschwerende Oliven-Mass.", + "Beim Fass ist das Mass eine getrocknete Feige.4 Weil dieses Gerät gewöhnlich für getrocknete Feigen gebraucht wird. So R. Simon. R. Jehuda sagt: eine Nuss5 Die grösser ist als eine getrocknete Feige. (R. Elia Wilna. Anders תוי״ט). R Jehuda meint nämlich, da das Gerät mitunter auch zu Nüssen gebraucht wird, so gilt dabei das erschwerende Mass, wie bei einem Gerät, das für zwei Zwecke dient.. R. Meïr sagt: eine Olive6 Nach R. Meïr gilt für alle Geräte, die für Speisen dienen, das gleiche Mass einer Olive.. Beim Tiegel und Topf (ist das Mass) eine Olive7 Nach Note 3.. Beim Krüglein und Tropffläschchen8 Ein Ölfläschchen mit enger Öffnung, aus der das Öl nur tropfenweise herauskommt. (ist das Mass) so, dass Öl eindringen kann; beim Trinkkrug9 S. II. Note 85. so, dass Wasser eindringt. R. Simon sagt: Bei diesen dreien so, dass Sämereien10 Nach Maimon. Bohnen oder Erbsen und dgl. durchfallen. Bei der Lampe ist das Mass so, dass Öl eindringt. R. Elieser11 Bart. liest ר׳ שמעון. sagt: so, dass eine kleine Münze durchfällt12 Da in das Gefäss mitunter kleine Münzen gelegt werden.. Wenn an der Lampe die Dochtschnauze weggenommen wird, ist sie rein13 Denn es kann nicht mehr als Lampe bezeichnet werden.. Eine Lampe aus (ungebranntem) Ton ist rein14 Nach Vorb. 15., wenn auch die Schnauze durch den Docht gebrannt worden ist.15 Dadurch ist das Gefäss noch nicht wie ein im Brennofen bereitetes irdenes Gefäss zu betrachten.", + "Wenn ein Fass durchlöchert war16 In dem in M. 2 angegebenen Masse, so dass es dadurch rein geworden., und man hatte es mit Pech verklebt17 Dadurch wird es wieder verunreinigungsfähig., und es zerbricht wieder18 In viele Stücke.; so ist das verpichte Stück, wenn es ein Viertel Log fasst,19 Es handelt hier von dem Falle, dass das Fass im ganzen Zustande ein Log bis ein Sea fassen konnte; dann ist ein Bruchstück davon verunreinigungsfähig, wenn dieses ¼ Log fasst (oben 2, 2). verunreinigungsfähig, weil der Name eines Gerätes bei demselben noch nicht aufgehoben war20 Es war das Fass trotz der Durchlöcherung noch immer ein Gerät zu nennen.. Wenn man aber eine gelöcherte Scherbe21 Das Loch macht die Scherbe rein, wenn es auch nur so gross ist, dass Flüssigkeit hinausfliesst (כמוציא משקה), vgl. Sabbat 96 a. mit Pech verklebt, so ist sie, selbst wenn sie ein Viertel Log fasst22 L.: מחזיק, ebenso alle alten Agg., vgl. oben 2, 3: אע״פ כפופין., rein, weil der Name eines Gefässes bei dieser bereits aufgehoben war23 Eine Scherbe heisst גסטרא und nicht כלי (Sabbat l. c.), so nach ר״ש. Nach Maimon. wird bei der Scherbe erst durch das Loch der Name כלי aufgehoben..", + "Wenn ein Fass gesprungen ist24 Derart dass es ganz zerbrechen würde, wenn man darin einen halben Kab getrockneter Feigen fortbrächte (s. weiter 4, 2). und mit Rindermist beklebt wird25 Um das Gefäss auszubessern und zu festigen., so ist es, obgleich die Scherben auseinanderfallen würden, wenn man den Mist wegnähme, dennoch verunreinigungsfähig26 Obgleich Geräte aus גללים nicht verunreinigungsfähig sind (Vorb. 15), so kann dennoch ein vermittels dieser gefestigtes irdenes Gefäss טומאה annehmen., weil bei demselben der Name eines Geräts noch nicht aufgehoben war.27 Da das Gefäss noch nicht zerbrochen war. Ist aber das Fass gebrochen und man leimt die Scherben28 L. und N. lesen חרסים statt חרסית; ebenso Bart. davon wieder zusammen, oder man bringt Scherben28 L. und N. lesen חרסים statt חרסית; ebenso Bart. von einer anderen Stelle (und setzt sie in das gebrochene Gefäss ein) und beklebt dann das (wieder hergestellte) Gefäss mit Rindermist,29 Um dadurch das Gefäss noch mehr zu festigen. so ist dasselbe rein, obgleich die Scherben trotz der Wegnahme des Mistes zusammenhalten würden, weil einmal der Name eines Gerätes bei demselben aufgehoben war.30 Nachdem es zerbrochen war. Ist daran eine Scherbe, die ein Viertel Log fasst,19 Es handelt hier von dem Falle, dass das Fass im ganzen Zustande ein Log bis ein Sea fassen konnte; dann ist ein Bruchstück davon verunreinigungsfähig, wenn dieses ¼ Log fasst (oben 2, 2). so sind alle Teile31 Die als Handhabe zu der ein רביעית fassenden Scherbe betrachtet werden. durch Berührung32 Wenn eine טומאה sie berührt. Maimon. erklärt: Wenn eine טומאה das Innere des Gefässes berührt, dann werden alle Teile unrein. verunreinigungsfähig, durch den Hohlraum kann es aber bloss vom Raume jener Scherbe aus33 Aber nicht wenn die טומאת in den Raum der anderen Teile gekommen ist; denn die Handhaben können nicht von ihrem Hohlraume aus die טומאה annehmen. Nach Maimon. ist, wenn die טומאה in den Hohlraum der רביעית-Scherbe kommt, bloss diese unrein, nicht aber die anderen Teile. unrein werden.", + "Wenn man ein wohlerhaltenes irdenes Gerät beklebt hat, so kann nach R. Meir und R. Simon die Beklebung verunreinigen.34 Wenn das Gefäss vom Innern aus unrein geworden war, so verunreinigt auch die Beklebung alle sie berührenden Speisen und Getränke (vgl. II Note 10). Die Weisen aber sagen: Die Beklebung eines wohlerhaltenen Gefässes ist rein, die eines gebrechlichen kann verunreinigen35 Nur bei gebrechlichen Gefässen, welche die Beklebung nötig haben, wird diese wie das Gefäss selbst betrachtet, nicht aber bei wohlerhaltenen Gefässen, die keiner Beklebung bedürfen.. Dasselbe gilt36 Dieselbe Controverse hat stattgefunden. von dem Reifen37 Andere LA. בהידוק; L.: בחירוק. — הידוק vom arab. حدق umgeben, überziehen, ein Reifen, mit dem ein Gefäss umgeben wird, um es zu festigen. eines Kürbisses38 Ein ausgehöhlter und getrockneter Kürbis, dessen man sich zum Wasserschöpfen bediente (M. הקֵרוּיה). — Nach R. Meïr und R. Simon kann der Reifen verunreinigen, wenn auch der Kürbis so fest war, dass er der Einfassung nicht bedurfte: nach den Weisen aber nur, wenn der Kürbis schadhaft war und den Reifen nötig hatte..", + "Das Jablith39 Ein Kraut, das zerrieben, zu einem Brei gemacht und zum Bekleben irdener Gefässe benutzt wird. Nach R. Hai heisst es arab. חייל (lies תייל, ثيل, Löw, Ar. Pflanzennamen)., womit man die Weinfässer40 פיטום, auch פיתום (gr. πίϑος), grosses Weinfass. beklebt, verunreinigt41 Wenn das Fass unrein war., was es berührt42 Trotzdem das Fass nicht schadhaft ist, bedarf es doch der Beklebung, weil es gross und schwer ist.. Der Spund eines Fasses wird nicht als mit diesem verbunden betrachtet43 So dass, wenn eines von beiden unrein wird, das andere rein bleibt.. Was die Beklebung des Ofens44 Der unrein geworden ist. berührt, wird unrein45 Denn der Ofen bedarf der Beklebung zur Bewahrung seiner Wärme, selbst wenn er unversehrt ist..", + "Wenn man einen Wärmekessel mit Lehm und mit Töpferton46 חרסית ist der Ton, der zu irdenen Geräten (כלי חרס) gebraucht wird, während חומר zum Mauern verwendet wird. beklebt hat, so wird, was den Lehm47 Derklebrig und mit dem Gefässe fest verbunden ist. berührt, unrein48 Wenn der Kessel unrein war.; was aber den Töpferthon49 Der nicht dem Gefässe fest anhaftet. berührt, bleibt rein. Wenn man einen Kessel,50 קומקום ϰουϰϰούμιον, cucuma) ein grosser Kessel. der gelöchert war, mit Poch verklebt hat, so erklärt ihn R. Jose für rein, weil er nicht heisses Wasser ebenso gut wie kaltes fassen kann51 Da das Pech im heissen Wasser zergeht.; dasselbe meint er auch von Pechgeräten52 Damit sind nach Einigen Geräte aus Pech, nach Andern verpichte Geräte gemeint. Die Pechgeräte sind rein, weil sie Heisses nicht vertragen können.. Wenn man kupferne Gefässe verpicht,53 Wenn auch nur von innen. so ist das Pech rein54 Wenn eine טומאה das Pech berührt, wird das Gefäss nicht unrein. Ebenso wenn das Gefäss unrein war, so wird das, was das Pech berührt, nicht unrein.; wenn man sie aber zu Wein55 Ebenso wenn man sie zu andern kalten Dingen gebraucht (Bart.). Nach Anderen gilt dies nur vom Wein, weil man eherne Weingefässe gewöhnlich verpichte, das Pech daher als zum Gefässe gehörig betrachtet wird. gebraucht, so ist es verunreinigend56 Wenn das Gefäss unrein war. Ebenso wird das Gefäss unrein, wenn eine טומאה das Pech berührt..", + "Wenn man ein gelöchertes Fass mit Pech mehr, als nötig ist,57 Das Pech verbreitet sich auch über die unversehrten Stellen. verklebt hat, so ist, was den nötigen Teil berührt, unrein58 Wenn das Fass unrein war.; was aber das überflüssige Pech berührt, ist rein. Wenn Pech auf ein Fass troff, so ist das, was dasselbe berührt, rein.59 Auch wenn das Fass unrein war; denn das Pech gilt nicht als mit dem Fass verbunden. Wenn man einen hölzernen oder irdenen Trichter60 Eines Privatmanns, der nach 2, 4 nicht verunreinigungsfähig ist. mit Pech verstopft, so ist er nach R. Eleasar b. Asarja verunreinigungsfähig,61 Denn durch die Verstopfung ist das Gefäss zur Aufnahme von Flüssigkeit geeignet. nach R. Akiba nur der hölzerne,62 Weil daran das Pech fest klebt. aber nicht der irdene.63 Das Pech kann zwar an gebrochenen Stellen irdener Gefässe fest haften bleiben, aber nicht an glatten unversehrten Stellen. R. Jose erklärt beide für rein.64 Denn die Verstopfung macht den Trichter nicht zum כלי קבול, da man jene entfernt, sobald man den Trichter gebraucht. Nach R. Elia Wilna: weil der verpichte Trichter nicht Heisses vertragen kann, wie R. Jose oben in Mischna 7." + ], + [ + "Eine Scherbe, die nicht allein stehen kann, weil ein Ohr daran ist, oder eine Spitze,1 Andere LA.: הדד, der Hahn am Geschirr. durch die sie umgebogen wird, ist rein.2 Sie kann keine טומאה annehmen, und auch wenn das Gefäss unrein war, ist diese davon abgebrochene Scherbe rein. Wird das Ohr weggenommen oder die Spitze abgebrochen, so ist sie ebenfalls rein;3 Denn eine Scherbe (גסטרא), die einmal rein geworden, kann nicht wieder verunreinigungsfähig werden (s. 3, 3). nach R. Jehuda aber ist sie da verunreinigungsfähig4 Nach R. Jehuda kann sie wieder unrein werden, wenn sie so hergerichtet wird, dass sie allein stehen kann.. Ein Fass, dessen Boden durchbrochen ist, das aber, auf die Seite gelegt, (etwas) fassen kann5 Da die Seite bauchig ist., oder das in zwei Mulden sich geteilt hat6 Die auch nur auf die Seite gelegt etwas fassen können., erklärt R. Jehuda für rein7 Das Bruchstück vom Gefäss (גסטרא) ist nur dann verunreinigungsfähig, wenn es, wie früher das ganze Gefäss, auf dem Boden liegend etwas aufnehmen kann., die Weisen aber für verunreinigungsfähig8 Es genügt auch, wenn es auf der Seite liegend etwas fassen kann (s. oben 2, 2)..", + "Ein Fass, das derart gebrechlich geworden ist, dass man es nicht, mit einem halben Kab getrockneter Feigen9 So viel braucht man zu einer Mahlzeit (Pea 8, 5). belastet, fortbewegen kann,10 Das Fass würde zerbrechen, wenn man es mit solcher Last transportierte. ist rein.11 Denn es wird wie zerbrochen betrachtet. Eine Gastra,12 N: גצטרא, ein Bruchstück eines Gefässes (oben 2, 6). die so gesprungen ist, dass sie keine Flüssigkeit fassen kann, ist, obgleich sie noch Speisen aufzunehmen vermag, rein, denn man beachtet nicht Überbleibsel von Übelbleibseln.13 Die Gastra war selbst nur ein Überbleibsel; wird diese beschädigt, so wird das Überbleibsel davon nicht mehr gebraucht, sondern weggeworfen.", + "Was heisst eine Gastra14 Bei welcher obige Bestimmung gilt. ? Ein Gefäss, von dem auch nur die Ohren weggenommen sind.15 Selbst wenn das Gefäss sonst ganz geblieben. Sind daran hinausragende Spitzen,16 Der obere Teil des Gefässes ist derart abgebrochen, dass oben Zacken hinausragen. so ist alles was mit dem Anderen zugleich Oliven halten kann17 Wo die Zacken so nahe bei einander sind, dass zwischen einer und der anderen keine Olive durchfallen würde (wie R. Meïr 3, 2)., der Verunreinigung18 Nach יו״ב ist מִטּמָּא zu lesen. durch Berührung fähig,19 Wenn eine טומאה den Zacken von innen berührt, so wird die Gastra unrein. und es kann auch von dem ihm gegenüber befindlichen Hohlraume aus unrein werden;20 Denn dieser Raum wird wie der Hohlraum der Gastra betrachtet. was aber nicht Oliven mithalten kann,21 Wo die Zacken weit auseinander sind. ist bloss der Verunreinigung durch Berührung fähig,22 Da diese Zacken wenigstens als Handhabe der Gastra dienen. kann aber nicht von dem ihm gegenüber befindlichen Luftraume aus unrein werden.23 Eine Handhabe kann nur durch Berührung unrein werden; so auch oben 3, 4. Ist sie auf die Seite hingebogen24 Die Gastra kann nicht aufrecht stehen, indem eine Seite schwerer ist als die andere und das Stück umbiegt, aber es kann auch auf der Seite liegend etwas fassen, so dass es nach den חכמים in M. 1 verunreinigungsfähig ist. gleich einem Lehnsessel,25 קתדרה, gr. ϰαϑέδρα. Es ist derart gebrochen, dass eine Seite, wie die Lehne eines Sessels, emporragt. so ist, was Oliven mitfassen kann, fähig der Verunreinigung durch Berührung und von dem ihm gegenüber befindlichen Hohlraume aus; was aber nicht Oliven mithalten kann, ist bloss der Verunreinigung durch Berührung fähig,26 Als Handhabe. kann aber nicht von dem ihm gegenüber befindlichen Luftraume aus unrein werden.23 Eine Handhabe kann nur durch Berührung unrein werden; so auch oben 3, 4. Die Böden der zugespitzten Wassereimer27 A: קרפיות. Nach Maimon. ein Gefäss zum Wasserschöpfen mit spitzem Boden; vielleicht von ϰορυφή, Spitze (Kohut). Nach Andern ist קורפי ein Ortsname. und die Böden der Sidonischen Becher28 קוסים, nach Maim. wie כוסים, Becher; nach Andern von קסוה, Schale, vgl. Sanhedrin 9, 6. sind, obgleich sie ungestützt nicht stehen können, dennoch verunreinigungsfähig, weil sie ursprünglich so verfertigt worden sind.29 Wie לפיד, oben 2, 8.", + "Wenn ein irdenes Gefäss drei Ränder30 מ״ש citiert eine Punktation שְֹפַיוֹת. hat, so ist, wenn der innere über die anderen hinausragt, alles Weitere31 Was ausserhalb des innern Randes sich befindet. rein;32 Da dies als die Rückseite des Gefässes betrachtet wird, die keine טומאה annimmt (Vorb. 26). überragt der äussere, so ist alles verunreinigungsfähig;33 Denn das ganze Gefäss gilt da als Inneres (תוך). überragt der mittlere, so ist es innerhalb dieses Randes der Verunreinigung fähig, ausserhalb desselben aber rein.34 Weil alles, was ausserhalb des höchsten Randes liegt, als Aussenseite (גב) betrachtet wird. Sind alle Ränder gleich hoch, so sagt R. Jehuda: Man betrachtet den mittleren als geteilt.35 Wenn eine טומאה in das Innere kommt, so ist alles bis zur Mitte des mittleren Randes unrein, von da ab rein (vgl. 2, 7 ר׳׳י בן נורי). Nach Maim. wird der mittlere Hohlraum geteilt und alles bis zur Mitte ist unrein, von da an nach aussen hin ist alles rein. Die Weisen aber sagen: [Wenn einer der drei Räume verunreinigt worden] ist alles Andere rein.36 So erklärt Maimon. Nach der Tosefta ist die Bestimmung hier wie im ersten Fall, dass nur der innerste Raum unrein, alles Weitere aber rein ist. Von wann ab nehmen irdene Gefässe die Unreinheit an? Von der Zeit, da sie im Ofen gebrannt sind, denn dies heisst ihre Vollendung.37 Obgleich noch nachher daran gefeilt und geglättet werden muss. In der Tosefta ist dies die Ansicht des R. Jehuda, während nach R. Meïr schon nach Vollendung durch den Töpfer, auch wenn es noch nicht im Ofen gebrannt ist, das Gefäss die Unreinheit annimmt (vgl. Beza 32a, wo Tosafot diese Baraita anders erklärt)." + ], + [ + "Beim Backofen1 תנור, ein irdener Backtopf ohne Boden. Er wurde mit Lehm an den Erdboden befestigt, so dass dieser seinen Unterboden bildete. gilt als gesetzliches Mass2 Das Mindestmass, um verunreinigungsfähig zu sein. beim Anfang3 Beim ursprünglichen Ofen, wenn er verfertigt wird. vier Handbreiten (Höhe),4 Wenn von der Wandung nicht mindestens 4 טפחים hoch fertig ist, ist der Ofen nicht verunreinigungsfähig. und bei seinem Überbleibsel (ebenfalls) vier Handbreiten;5 Wenn ein Teil der Wandung eines unrein gewordenen Ofens abgebrochen ist, so bleibt das Überbleibsel noch unrein, so lange es noch die Höhe von 4 Handbreiten hat. so R. Meïr. Die Weisen aber sagen: Dies gilt nur von einem grossen Backofen6 Der zum Backen und Braten dient., bei einem kleinen aber7 Der für Kinder zum Spielen gemacht ist. kann8 Um verunreinigungsfähig zu sein. am Anfang die Höhe noch so gering9 Nach dem Talmud in Chullin 124a jedoch mindestens eine Handbreite. sein, beim Überbleibsel muss der grösste Teil davon noch bestehen.10 Ist aber weniger als der grösste Teil der Höhe des Ofens übrig geblieben, so ist das Überbleibsel rein. Nach dem Talmud l. c. bezieht sich ושיריו ברובו auf den grossen Ofen. Wenn aber vorher bestimmt wurde, dass beim grossen Ofen das gesetzliche Mass des Überbleibsels 4 טפחים beträgt, so spricht dies von einem Ofen, der 9 טפחים hoch ist; da kann schon ein Überbleibsel von 4 טפחים unrein werden, trotzdem es nicht der grösste Teil des Ganzen ist. Dagegen genügt es bei einem Ofen von 7 טפחים Höhe, wenn der grösste Teil (etwas über 3½ טפחים) übrig bleibt. So nach Bart. und ר״ש, gegen Raschi (vgl. יו״ב). Wenn dessen Arbeit vollendet ist (nimmt der Ofen Unreinheit an).11 Dies bezieht sich auf alle oben erwähnten Fälle. Der Talmud l. c. liest: משתגמר מלאכתו שיריו ברובו, und Raschi verbindet משתגמר מלאכתו mit תחלתו כל שהוא (כל שהוא = טפח). Was heisst die Vollendung seiner Arbeit? Sobald man ihn so geheizt hat, dass man schwammigen Kuchen12 סופגן von ספוג (σπόγγος) Schwamm, ein lockeres Gebäck, das nicht viel Hitze braucht. darin backen könnte.13 Ob das Brennen im Ofen (צירוף כבשן) auch genügt, ist unter den Kommentatoren streitig. R. Jehuda sagt: Sobald man den neuen Ofen so geheizt hat, dass man (bei dieser Hitze) in einem alten Ofen14 Der dazu weniger Feuer braucht als ein neuer Ofen. schwammigen Kuchen backen könnte.", + "Bei einem Kochherd15 כירה (bibl. כירים), ein irdenes Gerät, in welchem man Feuer anmacht. Dies hatte oben zwei Öffnungen, auf deren jede man einen Topf setzen konnte; manchmal stellte man auch die Töpfe in den Herd hinein. gilt als Mass2 Das Mindestmass, um verunreinigungsfähig zu sein. Anfangs (eine Höhe von) drei Fingerbreiten, und bei dessen Überbleibsel (ebenfalls) drei Fingerbreiten. Wenn dessen Arbeit vollendet ist (nimmt der Kochherd Unreinheit an). Was heisst die Vollendung seiner Arbeit? Sobald man ihn so geheizt hat, dass man darauf das leichteste unter allen Eiern16 Das ist ein Hühnerei, das schneller als andere Eier gekocht werden kann. kochen könnte, wenn es eingeschlagen und in einen Tiegel17 Nach Maim. und Bart.: in einem etwas erwärmten Tiegel. getan wird. — Beim Kuppach18 כופה, and. LA. כופה (vielleicht verw. mit כיפה, Wölbung, wie fornix und fornax), ein Back- und Kochgefäss, das sich von כירה hauptsächlich dadurch unterschied, dass es oben bloss eine Öffnung hatte. gilt, wenn man ihn zum Backen gemacht hat, das Mass des Ofens;19 Sowohl in Bezug auf die Höhe als hinsichtlich der Vollendung seiner Arbeit. hat man ihn zum Kochen gemacht, so gilt dabei das Mass des Herdes.19 Sowohl in Bezug auf die Höhe als hinsichtlich der Vollendung seiner Arbeit. Ein aus dem Ofen herausragender Stein20 Der dem Ofen als Handhabe dient, wenn man ihn forttragen will. bildet bis zu einer Handbreite (mit jenem) eine Verbindung,21 So dass wenn der Ofen unrein geworden ist, auch dieser Stein unrein ist (vgl. Sifra שמיני 10, 10). beim Herde bis zu drei Fingerbreiten. Bei dem aus dem Kuppach herausragenden Stein gilt, wenn man jenen zum Backen gemacht, das Mass wie beim Ofen; hat man ihn zum Kochen gemacht, so ist das Mass wie beim Herde giltig. Es sagt R. Jehuda: Nur wenn der Stein zwischen dem Ofen und der Wand sich befindet,22 Wo der Stein hindert, den Ofen an die Wand zu rücken, und so den Raum des Zimmers beschränkt. hat man bei demselben das Mass auf eine Handbreite beschränkt.23 Da was darüber ist, bestimmt ist, abgeschnitten zu werden. Befindet sich aber der Stein an der Zimmerseite, so wird er, auch wenn er grösser ist, als Teil des Ofens betrachtet. — Stehen zwei Öfen neben einander (durch einen Stein verbunden), so wird jedem eine Handbreite zugerechnet, und das Übrige ist rein.24 Das ist die Ansicht des ersten Tanna. Nach Einigen gesteht dies auch R. Jehuda zu, da auch ein langer Stein, der zwei Öfen verbindet, den Raum des Zimmers beschränkt, vgl. יו׳׳ב. (Vgl. auch Sifra 10, 10).", + "Der Kranz25 Nach Maim. ein Leisten um die Öffnung des Herdes, der dazu dient, die Hitze zu bewahren. Dieser Kranz scheint nicht mit dem Herde verbunden gewesen zu sein, wenigstens gilt er nicht als mit dem Herde verbunden. des Herdes ist rein.26 Er nimmt keine טומאה an, und auch, wenn der Herd unrein geworden, bleibt der Kranz rein. Der Hof des Backofens27 Vor dem Ofen wurde ein Raum von Wänden umgeben, um dahin das vom Ofen herausgenommene Brod zu legen; dieser Bau hiess טירה (vgl. Gen. 25, 16). ist, wenn er vier Handbreiten28 Wie das gesetzliche Mass des Ofens, oben Mischna 1. hoch ist, verunreinigungsfähig sowohl durch Berührung, als vom Hohlraume aus;29 Nach Maim. gilt der Hof als ein Teil des Ofens, so dass, wenn der Ofen durch Berührung einer טומאה oder durch eine in dessen Hohlraum gelangte Unreinheit verunreinigt wurde, auch der Hof als unrein gilt. Indessen ist diese Erklärung schwierig, da wie aus dem Folgenden ersichtlich ist, der Hof mit dem Ofen nicht verbunden ist. Es dürfte daher hier sich um den Fall handeln, dass der Hof selbst durch Berührung einer טומאה oder durch eine טומאה in dessen Hohlraum verunreinigt wird. bei geringerer Höhe ist er rein.30 Er gilt nicht als ein Teil des Ofens, weil er nicht geeignet ist, dass Brot hineingelegt werde (Maim.) Hat man ihn mit dem Ofen verbunden, wenn auch nur auf drei Steinen,31 Die Stelle ist dunkel. Nach Maim. soll dies heissen: Wenn auch die Verbindung äusserst schwach ist, indem er bloss drei Steine an die Seite des Ofens legt und den Hof auf diese Steine setzt. (Vgl. eine andere Erkl. in יו״ב, die aber auch nicht befriedigt). Vielleicht ist gemeint: er hat drei Wände des Hofes mit einer Seite des Ofens, die als vierte Wand dienen soll, verbunden, dann gilt der Hof als Teil des Ofens, selbst wenn die drei Wände auf drei Steinen ruhen und nur durch diese Stütze einen Halt haben, die Verbindung mit dem Ofen also keine feste ist. so ist er verunreinigungsfähig.32 Auch wenn er keine Höhe von 4 טפחים hat. Die am Herde befindlichen Ölkrug-, Gewürz- und Lampen-Behälter33 Diese Behälter befinden sich an der Seite des Herdes und sind mit demselben verbunden. können wohl durch Berührung unrein werden,34 Es ist nach מִטּמאין מ״ש zu lesen. In Bezug auf die Unreinheit durch Berührung gelten sie als Teile des Herdes (vgl. Sabbat 48b). aber nicht durch den Hohlraum.35 Wenn eine טומאה im Hohlraum des Herdes hängt, ohne ihn zu berühren, werden diese Behälter nicht mit unrein. Diese gelten nämlich bloss nach rabbinischer Bestimmung als Teile des Herdes; es sollte nun durch die Ausschliessung der טומאת אויר zu erkennen sein, dass wir es hierbei nur mit einer rabbinischen Unreinheit zu tun haben, um derentwillen man keine Hebe und heilige Speisen verbrennen darf. So R. Meïn R. Simon36 Nach and. LA.: R. Ismael. erklärt sie für rein.37 Sie gelten nicht als Teile des Herdes. Nach ר״ש und Bart. kann aber jeder Behälter für sich unrein werden.", + "Ein Ofen, der von aussen,38 Und nicht von innen. oder ohne Absicht, oder im Hause39 Alte Ausgg. lesen מבית, ebenso L. des Werkmeisters40 Bevor noch die Arbeit vollendet war. geheizt worden,41 In der Weise, wie es nach Mischna 1 zu seiner Vollendung erforderlich ist. ist verunreinigungsfähig.42 And. LA.: טהור (vgl. ר״ש und מ״ש). Einst geschah es, dass bei den Öfen von Kephar Signah43 Σωγάνη ϰώμη in Galiläa (Hildesheimer, Beiträge S. 40). Feuer ausgebrochen war, und als die Sache (zur Entscheidung) nach Jabneh44 Vor das Synedrium daselbst. kam, erklärte R. Gamliel sie für verunreinigungsfähig.", + "Der Aufsatz45 Ein Lehmansatz an den Ofen ringsum, durch den dessen Höhe vergrössert und dessen Hitze länger bewahrt wird. des Backofens der Privatleute ist rein;46 Weil der Privatmann ihn weiter nicht benutzt. der der Bäcker ist verunreinigungsfähig, weil er den Bratspiess daran lehnt.47 Mitunter wird vom Bäcker im Ofen Fleisch zum Verkauf gebraten, und der Bratspiess, woran das Fleisch steckt, wird an den Ofenansatz gelehnt, damit es warm bleibe. R. Jochanan ha-Sandelar sagt: Weil er im Notfalle darin bäckt.48 Nach dieser Ansicht ist es nötig, dass der Ansatz in gleicher Weise, wie der Ofen selbst, gebraucht werde, wenn er, wie dieser, verunreinigungsfähig sein soll. In ähnlicher Weise (hat man gesagt):49 Der folgende Lehrsatz wurde von Menachem ben Signaï bezeugt, nachdem vorher andere gelehrt worden war (Edujot 7, 8). Der Aufsatz des Kessels50 Der Lehmansatz, den man oben am kupfernen Kessel anbrachte, damit die aufwallende Flüssigkeit nicht auslaufe. der Olivensieder ist verunreinigungsfähig,51 Er nimmt gleich einem irdenen Gefässe Unreinheit an, weil derselbe beim Gebrauche des Kessels unumgänglich nötig ist, um das Auslaufen der Olivenbrühe zu verhindern. der der Färber ist rein.52 Beim Färbe-Kessel ist der Ansatz kein notwendiges Zubehör, da beim Kochen die zu färbenden Stoffe an die Oberfläche emporsteigen und die Flüssigkeit nicht ausläuft.", + "Von einem Backofen, den man zur Hälfte mit Erde gefüllt hat,53 Um dessen Höhe zu vermindern. kann der Teil von der Erde abwärts nur durch Berührung,54 Wenn ein Kriechtier in der Erde gefunden wird, so ist der Ofen nur unrein, wenn jenes den Ofen berührt, sonst nicht, trotzdem es sich im Raume des Ofens befindet, denn wegen der Erde wird dieser Raum nicht mehr als Hohlraum (אויר) betrachtet. Nun erhebt sich aber die Frage, es müsste doch der Ofen dadurch unrein geworden sein, dass das Kriechtier durch den oberen Hohlraum in die Erde gekommen ist. Die Antwort ist: Der Fall liegt so, dass das Tier lebend in den Ofen kroch und sich in die Erde eingrub und da verendete. der Teil oberhalb der Erde aber auch durch den Hohlraum unrein werden.55 Nach R. Elia Wilna wird, wenn ein totes Kriechtier in den oberen Hohlraum gelangt, der ganze Ofen unrein; nach Maim. bloss der obere Teil. Letztere Ansicht ist schwierig, vgl. יו״ב. Hat man einen Ofen56 Vgl. Sabbat 125 a und die Erkl. von Raschi das. über die Öffnung einer Grube oder einer Zisterne57 חדות, L u. M: החדות, ist eine ausgemauerte Zisterne, nach Einigen ein auf der Erde gebauter Behälter. gesetzt und dort einen Stein hingelegt,58 Nach Raschi u. A. wurde der Stein zwischen die Grube und die Wand des Ofens geschoben, um diesen oben zu befestigen, auf dass er nicht hinunterfalle. Nach Maim. (ebenso א״ר) sollte der Stein dem Ofen als Boden dienen. so sagt R. Jehuda: Wenn derselbe dadurch, dass man unten59 In der Grube. heizt,59a Bei der ersten Heizung, durch welche die Arbeit am Ofen vollendet wird. auch oben geheizt wird,60 Indem der Boden des Ofens dem Boden der Grube nahe ist. so ist er verunreinigungsfähig.61 Denn in diesem Falle gilt der Ofen als mit der Erde verbunden (מחובר לקרקע). Wenn er aber bei der ersten Heizung nicht vom Erdboden aus geheizt werden kann und der Ofen somit nicht als mit der Erde verbunden betrachtet wird, so ist er nicht verunreinigungsfähig, denn es heisst (Lev. 11, 35): Ofen und Herd muss man einreissen (יתץ); der Ausdruck נתץ passt aber nur auf Geräte, die an dem Erdboden befestigt sind; bei beweglichen Geräten wird שבר gebraucht. Die Weisen aber sagen: Sobald er geheizt worden ist, in welcher Weise immer (dies geschah),62 Selbst wenn der Ofen ganz vom Erdboden losgetrennt war. ist er verunreinigungsfähig.63 Wenn einmal die Arbeit des Ofens durch die erste Heizung am Erdboden vollendet ward, so stimmen Alle überein, dass er dann auch, wenn er am Halse eines Kamels hängt, verunreinigungsfähig ist (Sabbat 125a).", + "Wie kann64 Chullin 123b. Sifra Schemini 10, 2. man einen Ofen, der unrein geworden ist, wieder rein machen? Man teilt ihn65 Von oben nach unten, der Länge (Höhe) nach. in drei Teile, und man sägt (auch) die Beklebung66 Den Lehm-Überwurf, mit welchem die Wände überzogen sind, damit die Hitze im Ofen bewahrt bleibe. durch67 Es genügt nicht, dass man den gebrannten Ton des Backtopfs von innen durchschneide; sondern man muss auch bie äussere Lehmbekleidung durchsägen., bis er auf der Erde steht.68 Dieser Satz ist dunkel. Nach Raschi soll dies sagen, man müsse den Lehmüberwurf ganz bis zum Erdboden fortschaffen. Bart. meint, es gehört zum ersten Satze: man soll den Ofen ganz bis an die Erde teilen (durchschneiden). Es hätte aber dann bloss עד הארץ stehen sollen. Am besten ist noch die Erklärung von Maim. und א״ר, wonach unter טפלה auch der Lehm verstanden ist, der zwischen dem Backtopf und dem Erdboden sich befindet und ersteren an den Boden fest macht. Dieser Lehm muss ebenfalls weggesägt werden, so dass der Ofen auf dem blossen Erdboden steht. L. liest: לגור. R. Meïr sagt: Man braucht nicht die Beklebung durchzusägen,69 auch nicht bis er auf der Erde steht,70 Man braucht nicht den Lehm zwischen dem Ofen und dem Erdboden fortzuschaffen. sondern man vermindert ihn nur inwendig,71 Man schneidet den gebrannten Ton des Backtopfs inwendig durch, so weit, dass keine 4 Handbreiten unversehrt übrig bleiben; vgl. Mischna 1. bis er nicht vier72 Talmud Chullin 24a liest: מארבעה. Handbreiten hoch ist.73 Nach Talm. das. meint R. Meïr nur, dass man durch ein solches Verfahren von vorne herein den Ofen vor Unreinheit bewahren kann. Ist der Ofen aber bereite unrein geworden, so stimmt R. Meïr betreffs dessen Reinigung der Ansicht des ersten Tanna bei. R. Simon sagt: Man muss ihn auch74 Ausserdem, was der erste Tanna fordert. So nach den Erklärern, die, wie die meisten Ausgg., וצריך mit ו׳ lesen. L. liest aber צריך. (von seiner Stelle) wegrücken.75 So nach Tosefta I 4, 17: משיסיענו ממקומו. Hat man ihn in zwei Teile so geteilt, dass einer grösser und einer kleiner ist, so ist der grössere unrein und der kleinere rein.76 Sind beide gleich, so sind beide unrein, Tosefta, vgl. Bechorot 17 b. Hat man ihn in drei Teile so geteilt, dass der eine so gross ist, wie die beiden anderen, so ist der grösste unrein77 Nur dann sind alle drei Teile rein, wenn jeder kleiner als die Hälfte ist. und die beiden kleineren rein.", + "Hat man ihn der Breite nach in Ringe78 חוליא, ein runder, ringförmiger Abschnitt. L u. M: חליות. zerschnitten so, dass jeder weniger als vier Handbreit hoch ist,79 S. Mischna 1. so ist er rein.80 S. oben Note 10. Hat man ihn wieder mit Lehm bestrichen,81 Man hat zuerst die Ringe aufeinander gesetzt und den Ofen in seiner ursprünglichen Gestalt wieder hergestellt und ihn dann an den Schnittstellen mit Lehm verschmiert. so nimmt er Unreinheit an, sobald man ihn so geheizt hat, dass man schwammige Kuchen82 Oben Note 12. darin backen könnte.83 Er wird wie ein neuer Ofen betrachtet. Hat man die Beklebung von ihm abstehend gemacht84 Man hat eine Lehmwand rings um den Ofen, in einiger Entfernung von demselben, aufgeführt. und Sand oder Steinchen dazwischen85 Zwischen diese Wand und dem Ofen. getan,86 Dadurch hat der Ofen, trotzdem er zerschnitten ist, einen festen Halt bekommen, und man kann darin backen. — von diesem hat man gesagt: die Nidda87 Die menstruirende Frau, obgleich sie unrein ist. und die Reine können darin backen, und er bleibt rein.88 Da der Ofen selbst zerschnitten ist, kann er keine Unreinheit annehmen.", + "Wenn ein Ofen88a Sifra שמיני 10, 4. in Stücke geteilt89 Der Länge nach von oben nach unten, wie die Fassdauben. aus dem Hause des Werkmeisters kommt und man ihm Reifen90 Wie die Reifen eines Fasses. למוד ist wohl ein Reifen oder eine Klammer, nach Mussaphia von der Form des gr. Lambda (Λ). gemacht91 Aus gebranntem Ton. und92 L liest נותנן (ohne ו׳), ebenso ר״ש und רא״ש. Danach muss anders übersetzt und erklärt werden, s. weiter Note 98. daran angebracht hat, als er rein war,93 Bevor man die Reifen daran angebracht hatte, war er, weil in Stücke geteilt, nicht verunreinigungsfähig. und er ist verunreinigt worden;94 Nachdem die Stücke durch die Reifen miteinander verbunden sind, ist der Ofen verunreinigungsfähig. so wird er, wenn man die Reifen von ihm abnimmt, wieder rein.95 Ebenso, wie wenn man ihn zerbrochen hätte. Legt man dieselben wieder daran, so bleibt er rein.96 Denn die Reifen machen ihn bloss zum ersten Male, wenn er aus der Werkstatt kommt, verunreinigungsfähig. Wenn man ihn nun mit Lehm bestreicht,97 An den Schnittstellen. so nimmt er Unreinheit an, ohne dass man ihn abermals zu heizen braucht, weil er bereits geheizt worden ist.98 Nicht wie oben Note 83. Der Grund davon ist nach יו״ב, dass hier die Stücke auch durch die Reifen miteinander fest verbunden sind. — Nach ר״ש und רא״ש (vgl. auch ראב״ד zum Sifra l. c.) machen die Reifen auch am Anfang den Ofen nicht verunreinigungsfähig, denn es heisst: נותנן עליו והוא טהור (er kann die Reifen anbringen, und der Ofen bleibt dennoch rein). Das folgende נטמא handelt von dem Fall, dass der Ofen dann durch מירות (Verschmieren) verunreinigungsfähig geworden ist. Trotzdem macht ihn die Entfernung der Reifen wieder rein, was auch durch Wiederanbringung der Reifen nicht aufgehoben wird, es sei denn, dass man nachher nochmals den Ofen verschmiert hat. — Für diese Erklärung spricht auch die Tosefta I 4, 12, vgl. א״ר.", + "Hat99 Vgl. B. mezia 59a und Edujot 7, 7. man ihn in Ringe zerschnitten und Sand zwischen einen Ring und den andern getan,100 Nachher hat man den Ofen mit Lehm überzogen, so dass die Stücke mit einander fest verbunden sind (Maim.) so erklärt ihn R. Elieser für rein,101 Denn da ein Ring vom anderen durch Sand getrennt ist, so gilt der Ofen als zerbrochen und ist nicht verunreinigungsfähig. die Weisen aber erklären ihn für verunreinigungsfähig;102 Denn da der Lehm-Überzug die Teile des Ofens fest miteinander verbindet, gilt er als ganz, trotzdem die Teile durch Sand von einander getrennt sind. dies ist der Backofen von Achnai.103 And. LA. חכינאי. Wahrscheinlich ist dies der Name des Fabrikanten, der solche Öfen, die nach R. Elieser nicht unrein werden können, verfertigt hat (vgl. יו״ב). Im Talm. B. Mez. 59 wird der Name עכנאי agadisch gedeutet. Die Kessel der Araber,104 Nach ר׳׳ש heissen sie so nach dem Orte ערב. wobei man eine Vertiefung in die Erde gräbt und sie mit Lehm beklebt,105 Die kesselartige mit Lehm ausgeklebte und dann ausgebrannte Vertiefung diente zum Backen. sind, wenn die Beklebung für sich allein bestehen kann,106 Sie ist eine dicke Lehmschicht. verunreinigungsfähig, wenn nicht, rein. Dies ist der Backofen von Ben Dinai.107 Name eines Räuberhauptmanns, der auch in Mischna Sota 9, 9 erwähnt ist; vgl. Josephus ant. 20, 6, 1; 20, 8, 5 und Bellum 2, 12, 4f. Andere LA.: בית דינאי.", + "Ein108 Sifra שמיני 10, 7—8. steinerner109 Steinerne Geräte nehmen keine Unreinheit an (Vorb. 15). oder metallener Ofen ist rein.110 Der Metall-Ofen oder Herd kann nicht, wie ein irdenes Gerät, vom Hohlraum aus unrein werden (Vorb. 26); ferner kann er durch טבילה wieder rein werden (Vorb. 10). Der letztere jedoch ist111 Wenn er nicht mit dem Boden verbunden ist. Was aber mit dem Erdboden verbunden ist, nimmt keine טומאה an, mit Ausnahme vom irdenen Ofen und Herd (so nach Bart. und Maim., vgl. aber מ״א). als Metall-Gerät verunreinigungsfähig.112 Er kann auch von der Rückseite aus unrein werden unter Umständen sogar ein אב הטומאה (Vorb. 5). Ist er113 Der Ofen von Stein oder, Metall. gelöchert, beschädigt114 Es ist ein Stückchen am Rande herausgebrochen. oder gespalten worden und man hat eine Beklebung115 Von Lehm. über denselben gemacht116 Dadurch ist der gelöcherte oder gespaltene Ofen wieder brauchbar geworden. oder einen Lehm-Aufsatz darauf gesetzt,117 Dadurch ist das Schadhafte am Rande (נפגם) repariert worden (מ״א). so ist er verunreinigungsfähig.118 Wie ein irdener Ofen, da er erst durch die Lehm-Beklebung, resp. durch den Lehm-Aufsatz wieder brauchbar geworden ist. Wie gross muss das Loch sein119 Damit dadurch der Ofen als unbrauchbar gilt und durch die oben erwähnte Reparatur als irdener Ofen betrachtet wird. ? Dass das Feuer120 Die Flamme. herausschlägt. Ebenso ist es beim Herde: Ein steinerner109 Steinerne Geräte nehmen keine Unreinheit an (Vorb. 15). oder metallener Herd ist rein;110 Der Metall-Ofen oder Herd kann nicht, wie ein irdenes Gerät, vom Hohlraum aus unrein werden (Vorb. 26); ferner kann er durch טבילה wieder rein werden (Vorb. 10). letzterer jedoch ist111 Wenn er nicht mit dem Boden verbunden ist. Was aber mit dem Erdboden verbunden ist, nimmt keine טומאה an, mit Ausnahme vom irdenen Ofen und Herd (so nach Bart. und Maim., vgl. aber מ״א). als Metall-Gerät verunreinigungsfähig.112 Er kann auch von der Rückseite aus unrein werden unter Umständen sogar ein אב הטומאה (Vorb. 5). War er gelöchert, beschädigt114 Es ist ein Stückchen am Rande herausgebrochen. oder gespalten [und man hat ihn mit Lehm beklebt]121 Hier fehlen in unseren Ausgaben die Worte ועשאה בטיט, die nach dem Zeugnis des ר״ש in einer korrekten Hschr. gestanden haben. Dies entspricht dem עשה לו טפלה beim תנור. und man hat Zacken122 פטפוטין (s. weiter Anf. Abschn. VI) sind hier Zacken oder Vorragungen aus Lehm, die man am obern Rande des Herdes angebracht hat, um den Topf darauf zu stellen (R. Hai Gaon und Maim.). daran gemacht,123 Dadurch wurde das Schadhafte am Rande repariert (wie oben Note 117.) so ist er verunreinigungsfähig.124 Wie ein irdener Herd; s. oben Note 118. Hat man ihn125 Den unversehrten steinernen oder metallenen Herd. So nach ר״ש, dessen Erklärung wir in Note 120 gefolgt sind. Nach Maimonides und Bart. bezieht sich dies auch auf den gelöcherten Herd. Danach hat eine Beklebung von Lehm nur beim Ofen die Wirkung, ihn zum כלי חרס zu stempeln, weil diese die Hitze bewahrt, so dass man dadurch im Ofen backen kann. Dagegen hat das Bestreichen mit Lehm beim Herde keine solche Bedeutung, da man nicht in demselben kocht, sondern nur den Topf darauf setzt. mit Lehm bestrichen, sei es innerhalb oder ausserhalb, so bleibt er rein.126 Er wird dadurch nicht als irdener Herd betrachtet. — Nach ר״ש gilt das, was hier vom unversehrten Herde gesagt wird, auch von einem ganzen unversehrten Ofen; so auch die Tosefta. R. Jehuda sagt: Wenn dies von innen geschieht, ist er verunreinigungsfähig,127 Denn da der Herd von innen durch die Lehm-Beklebung vor Beschädigung durch das Feuer geschützt wird, so gilt er als irdener Herd. wenn von aussen, bleibt er rein." + ], + [ + "Wenn man drei Untersätze1 פטפוט ist eine kleine Erhöhung aus Lehm (vielleicht wie arab. فطاة, ein Brusthöcker, oder فدفد, ein erhöhter Ort). פטפוטים hier Untersätze, auf die der Topf gestellt werden kann, (vgl. Sabbat 102a). am Erdboden macht und sie mit Lehm verbindet,2 Nach einer Erklärung (Bart.) verbindet er die Untersätze an ihrer Spitze, so dass sie einem Dreifuss gleich sind; nach einer anderen Erkl. befestigt er die Untersätze an die Erde mit Lehm (Maimon., א״ר, vgl. תוי״ט). um einen Topf darauf3 Über dem Feuer, das zwischen den פטפוטין brennt. zu setzen, so ist dies verunreinigungsfähig.4 Es wird wie ein Herd betrachtet. Hat man drei Nägel5 Von Metall. in die Erde eingeschlagen, um den Topf darauf zu setzen, so ist dies, obgleich man oben eine Vorrichtung,6 Nach der ersten Erkl. in Note 2 ist hier ein Ring aus Lehm gemeint, wodurch die drei Nägel miteinander verbunden wurden. Nach der anderen Erkl. hat er die Köpfe der Nägel so breit gemacht, dass ein Topf darauf stehen kann. worauf der Topf stehen sollte, gemacht hat, dennoch rein.7 Denn ein metallenes Gerät ist nicht verunreinigungsfähig, wenn es am Boden befestigt ist. Das Femin. טמאה und טהורה wird gebraucht, weil eine derartige Vorrichtung die Stelle einer כירה vertritt (תוי׳׳ט). Wenn man zwei Steine zu einem Herde macht8 Er stellt sie nebeneinander, um einen Topf darauf zu setzen. und sie mit Lehm verbindet9 Miteinander oben an der oberen Fläche. Andere Erkl.: unten an den Boden, wie in Note 2., so ist er10 Der Herd. verunreinigungsfähig.11 Die Lehm-Verbindung macht sie einem irdenen Herde gleich. R. Jehuda erklärt ihn für rein, es sei denn, dass man einen dritten Stein dazu nimmt,12 Ebenso wie oben bei den Untersätzen. Nach den Weisen aber genügen zwei Steine, weil die Steine breiter sind als die פטפוטין. oder sie13 Die beiden Steine. nahe an die Wand stellt.14 So dass auch die Wand dem Topf als Stütze dient. Ist ein Stein mit Lehm verbunden und einer nicht,15 Nach der ersten Erkl. in Note 2 und 9 ist dies die Fortsetzung der Worte des R. Jehuda, und der Sinn ist: Ist ein Stein mit dem zweiten oben durch Lehm verbunden, mit dem dritten aber nicht. Nach der anderen Erkl. sagen dies die Weisen, und es ist zu erklären: Ist ein Stein am Boden mit Lehm befestigt, der zweite aber nicht. Dasselbe gilt nach R. Jehuda, wenn der dritte Stein nicht am Boden befestigt ist. so ist er rein.", + "Ein Stein,16 Der am Boden mit Lehm befestigt ist. Nach der ersten Erkl. in Note 9 ist auch hier der Stein mit dem Ofen oder Herde durch Lehm verbunden. auf den man den Topf setzt, so dass dieser auf jenem und zugleich auf dem Ofen oder Herde oder Kuppach17 S. oben Abschn. 5, Note 18. steht, ist verunreinigungsfähig. Steht der Topf aber auf dem Steine18 Der durch Lehm am Boden festsitzt. und zugleich auf einem anderen Steine19 Der nicht am Boden befestigt ist. Dieser Fall ist derselbe, wie der in Note 15 nach der zweiten Erklärung. Nach der ersten Erkl. daselbst ist unser Satz schwierig. Es müsste angenommen werden, dass beide Steine oben miteinander durch Lehm verbunden sind und dass dieser Satz die Meinung des R. Jehuda ausspricht, was sehr gezwungen ist. oder auf einem Felsen20 Einem Urfelsen. oder an einer Wand, so ist er20a Dieser Herd. rein,21 Weil bei diesem Herde nicht die Vorschrift יותץ (er soll eingerissen werden) anwendbar ist, Sifra שמיני 10, 9 (vgl. יו״ב hier und מ״א zu 5, 11). und so war der an einen Felsen gelehnte Herd der Nasiräer.22 In der Halle der Nasiräer (Middot 2, 5), wo diese das Friedensopferfleisch kochten und ihr Haar verbrannten. Wenn am Herde der Schlächter23 Die gekochtes Fleisch verkaufen. ein Stein neben den andern24 Es werden viele Steine nebeneinander gestellt und oben durch Lehm miteinander verbunden; oder unten durch Lehm am Boden befestigt. Jeder Stein (mit Ausnahme der äusseren) bildet hier mit den beiden Nachbarsteinen zwei Herde. angebracht wird, so sind, wenn einer von ihnen unrein wird, alle übrigen nicht unrein.25 Wie beim Zwillingstintenfass, oben 2, 7.", + "Hat man drei Steine zu zwei Herden eingerichtet26 So dass der mittlere Stein zu beiden Herden gehört, wie oben in Note 24. und einer der äusseren Steine ist unrein geworden, so ist vom mittleren der dem unreinen (Herde) dienende Teil27 Die an diesem Herde liegende Hälfte. unrein und der dem reinen dienende27 Die an diesem Herde liegende Hälfte. rein.28 Es wird hier vorausgesetzt, dass der Stein so gross ist, dass die Hälfte gerade zum Zustellen eines Topfes nötig ist. Wenn der Stein aber grösser ist, so ist die Bestimmung wie weiter unten angegeben. Über den Wiederspruch mit 2, 7 vgl. יו״ב. Wird der reine29 Der äussere Stein des reinen Herdes. weggenommen, so ist der mittlere Stein vollständig dem unreinen30 And. LA. לטומאה, er ist gänzlich der Unreinheit verfallen. zugehörig31 Als hätte man den reinen Herd zertrümmert und den mittlern Stein ganz mit dem unreinen verbunden.; wird der unreine weggenommen, so ist der mittlere entschieden dem reinen zugehörig.32 In diesem Falle gilt der unreine Herd als zerbrochen, wodurch die unreine Hälfte des mittlern Steines rein geworden (vgl. 7, 3). Sind die beiden äusseren Steine unrein geworden, so wird, wenn der mittlere gross ist,33 Grösser als zwei Handbreiten dick. von der einen Seite soviel, als zum Zustellen nötig ist,34 Eine Handbreite, nach Tosefta I 5, 3. dem einen Herde, und von der anderen Seite soviel, als zum Zustellen nötig ist, dem anderen Herde zugerechnet, und das Übrige ist rein. Ist er aber klein, so ist er ganz unrein. Wird der mittlere Stein weggenommen, so ist das ganze, wenn man einen grossen Kessel darauf35 עליה, auf den Herd, der durch die zwei übrig gebliebenen Steine gebildet wird. Bart. liest: עליהן, auf die zwei Steine. stellen kann, verunreinigungsfähig.36 Und wenn die beiden Herde unrein waren, so bleibt der jetzt daraus entstandene grosse Herd ebenfalls unrein, יו״ב. Stellt man jenen Stein wieder zurück, so ist alles rein.37 Es wird so angesehen, als hätte man dadurch den grossen Herd niedergerissen und zwei kleine an dessen Stelle eingerichtet. Bestreicht man ihn38 Den wieder eingesetzten mittlern Stein. mit Lehm,39 Und macht ihn dadurch fest mit der Erde verbunden so nimmt es40 Das Ganze, das wie zwei neue Herde betrachtet wird. Unreinheit an, sobald man es so heizt, dass man ein Ei41 Ein Hühnerei, nach 5, 2. darauf kochen kann.", + "Wenn man zwei Steine zum Herde eingerichtet hat und sie verunreinigt worden sind, und man darauf einen Stein an der einen Seite und einen Stein an der anderen Seite daneben setzt,42 Und sie mit Lehm au den Boden befestigt, so dass nun die 4 Steine 3 Herde bilden, von denen der mittlere unrein und die beiden äusseren rein sind. so ist von jedem der mittleren Steine die Hälfte43 Die zum unreinen Herd gehört, unrein und die Hälfte44 Die zum reinen gehört. rein. Werden die reinen Steine45 Die beiden äusseren. weggenommen, so werden die anderen46 Die beiden mittleren. wieder ganz unrein.47 Da sie jetzt bloss dem unreinen Herde angehören." + ], + [ + "Wenn ein Kochkorb1 קלתות, von ϰάλαϑος, nach א״ר und יו״ב ein korbförmiger Kochapparat mit dickem Boden, auf welchem Kohlen brennen, über denen ein Topf zum Kochen gestellt werden kann. Nach R. Hai Gaon, Maim. u. A. ist קלת ein Untergestell des Herdes. Einige punktieren קַלְתּוּת. Es muss jedenfalls ein Singular sein, wie das folgende verb. zeigt. von Privatleuten am Boden weniger als drei Handbreiten tief ausgehöhlt ist2 So die meisten Comment. Nach ר״ש und מ״א heisst שנפחתה, es ist an der Seite ein Stück herausgebrochen; dafür spricht auch die Tosefta I, 5, 5., so ist er noch verunreinigungsfähig, weil, wenn man unten heizt, der Topf oben noch kochen kann; ist er aber tiefer ausgehöhlt, so ist er rein.3 Wenn das Feuer vom Topfe 3 Handbreiten entfernt ist, kann es nicht kochen. Hat man Blei4 אבר, so ist nach L zu lesen. Die anderen Texte haben אבן, einen Stein. oder kleine Steine hinein5 In die Vertiefung. getan, so bleibt er noch rein6 Da die Füllung nicht mit dem Gefässe fest verbunden ist.; wenn man es7 Das, womit man die Vertiefung ausfüllt. aber mit Lehm verschmiert, so nimmt er von nun an und weiter Unreinheit an. Das war es, woraus R. Jehuda den Einwand erhoben hat bei der Bestimmung8 Oben 5, 6. über den Ofen, den man über die Öffnung einer Grube oder einer Zisterne gesetzt hat.9 Sowie hier das Gefäss als zerbrochen gilt, wenn der Topf durch das unten befindliche Feuer nicht gekocht werden kann, ebenso sollte auch dort der Ofen als vom Boden losgetrennt betrachtet werden, wenn oben das Brod nicht durch die Heizung von unten gebacken werden kann. Die Weisen aber sind dort der Ansicht, der Ofen sei auch verunreinigungsfähig, wenn er vom Boden losgetrennt ist, s. das. Note 62.", + "Ein Wärme-Kasten,10 M: דָכוּן, viell. von δοχεῖον, Behälter, ist nach Maim. ein langer rechteckiger Kasten, dessen oberer deckel mit mehreren runden Löchern versehen ist. Mann füllt den Kasten mit heisser Asche und setzt die Töpfe auf die Löcher, um die Speisen zu wärmen oder warm zu halten. Nach ר״ש, Bart. u. A. ist דכון ein Ansatz am Herde; danach ist die ganze Mischna anders zu erklären. an welchem ein Behälter für Töpfe sich befindet, ist rein in Bezug auf die bei einem Herde geltenden Bestimmungen, aber als mit einem Behältnis versehenes Gefäss verunreinigungsfähig.11 Als solches kann es nicht verunreinigt werden, wenn es am Erdboden befestigt ist, und wird, wenn es unrein geworden, durch ein Loch von der in 3, 1—2 angegebenen Grösse wieder rein. Was12 Speisen oder Getränke. dessen Seiten13 Von aussen. berührt,14 Nachdem das Gefäss verunreinigt worden ist. ist nicht unrein wegen der beim Herde geltenden Bestimmungen.15 Sondern nach den Bestimmungen, die beim כלי קבול gelten, s. Note 11. Das Breite16 Nach Maim. ist dies eine mit dem Gefässe verbundene breite Platte, worauf man während des Kochens (soll wohl heissen: während des Aufwärmens) sitzt. Dagegen erklärt Aruch (v. דכן) das הרחב שלו mit: תוכו שהוא רחב (dessen Inneres, das breit ist). Das Breite ist danach wohl derjenige Teil der Oberfläche des Gefässes, der nicht mit Behältern für Töpfe versehen ist. davon ist nach R. Meïr rein, nach R. Jehuda unrein17 Wenn das Gefäss verunreinigt worden ist, ist die breite Platte mit unrein.. Ebenso ist es, wenn man einen Korb18 Von Holz. umstülpt und auf der Rückseite einen Herd macht.19 So ist der Korb bloss als hölzernes Gerät, nicht als Herd verunreinigungsfähig, obgleich er dem Herde als Zubehör dient.", + "Wenn ein Herd20 Vgl. oben 5, Note 15. der Länge nach zerteilt ist,21 Von oben nach unten; wird er aber durch einen horizontalen Schnitt zerteilt, so wird er rein, sobald dessen Höhe keine drei Fingerbreiten beträgt (5, 2). so ist er rein,22 Denn dadurch sind beide Öffnungen zerstört, und der Herd ist unbrauchbar. wenn der Breite nach, so ist er noch verunreinigungsfähig.23 Denn da kann man noch wenigstens einen Topf darauf setzen. Nach יו״ב ist er bloss unrein, wenn er vorher im ganzen Zustande unrein geworden war, er kann aber von nun ab keine Unreinheit annehmen. Doch ist dies gegen Maim. H. Kelim 16, 13. Wenn ein Kuppach24 Oben 5, Note 18. zerteilt ist, sei es der Länge oder der Breite nach, so ist er rein.25 Da er bloss eine Öffnung hat. Der Hof des Herdes26 Eine grosse mit Wänden umgebene Tonplatte, in deren Mitte der Herd steht. Letzterer kann mit der Platte ursprünglich fest verbunden oder auch davon getrennt sein. Unsere Mischna handelt vom ersteren Falle, die folgende Mischna (4) von letzterem Falle. ist, wenn er drei Fingerbreiten27 Wie das gesetzliche Mass des Herdes. hoch ist, verunreinigungsfähig durch Berührung und vom Hohlraume aus;28 Gemeint ist nach den Comment.: Wenn einer von beiden, der Herd oder der Hof, durch Berührung oder vom Hohlraum aus unrein geworden, so ist der andere ebenfalls unrein. (Nach מ״ש ist in der ganzen Mischna hier und in der folgenden מִטַּמְּאָה zu lesen). ist er niedriger, so kann er nur durch Berührung, aber nicht vom Hohlraume aus unrein werden.29 In diesem Falle gilt der חצר nur als Handhabe (יד) des Herdes, die nicht vom Hohlraume des Herdes her unrein werden kann, vgl. 3, Note 33. Wenn wieder ein שרץ in den Hohlraum des חצר kommt, so ist nur dieser unrein, der Herd aber rein; so Maimon. H. Kelim 17, 6. Wie bestimmt man denselben?30 Den Hohlraum des Hofes, da ja gewöhnlich die Wand des Herdes viel höher ist als die des Hofes. R. Jsmael sagt: Man legt den Bratspiess31 Es kann selbstverständlich auch ein anderer langer Gegenstand sein; nur ist der Bratspiess gewöhnlich beim Herde zur Hand. von oben nach unten an,32 So, dass das eine Ende auf der Wand des Herdes und das andere auf der Wand des Hofes liegt; der Spiess bildet da mit der Herdwand einen spitzen Winkel und mit der Hofwand einen stumpfen. und diesem gegenüber kann er33 Der Hof und wenn dieser 3 Fingerbreiten hoch ist, auch der Herd. im Hohlraume unrein werden.34 Folgende Figur, ein senkrechter Höhen-Durchschnitt des Hofes und des Herdes, mag unseren Satz veranschaulichen. Das von dem Trapez a b c d Eingeschlolssene gilt als Hohlraum des Hofes, so dass ein שרץ s, welches innerhalb dieses Trapezes sich befindet, den Hof verunreinigt, nicht aber ein ausserhalb desselben befindliches שרץ s1. — So ist diese Stelle nach ר״ש zu erklären. R. Elieser b. Jakob sagt: Wenn der Herd unrein geworden, ist der Hof auch unrein; ist aber der Hof unrein geworden, so ist der Herd nicht unrein.35 Denn der Hof gilt als Zubehör zum Herde, nicht aber umgekehrt.", + "Wenn er36 Der Hof. vom Herd gesondert ist,37 Oben, Note 26.— so ist er, wenn er drei Fingerbreiten hoch ist,27 Wie das gesetzliche Mass des Herdes. fähig der Verunreinigung durch Berührung und vom Hohlraume aus;28 Gemeint ist nach den Comment.: Wenn einer von beiden, der Herd oder der Hof, durch Berührung oder vom Hohlraum aus unrein geworden, so ist der andere ebenfalls unrein. (Nach מ״ש ist in der ganzen Mischna hier und in der folgenden מִטַּמְּאָה zu lesen). ist er niedriger, oder wenn es eine blosse Platte ist,38 Die keine Seitenwände hat. so ist er rein.39 Er kann nicht durch den Herd unrein werden, selbst wenn dieser durch Berührung einer טומאה verunreinigt worden ist. Drei vorragende Zacken40 S. oben 5, Note 122. Nach ר״ש und Bart. sind פטפוטים die Füsse des Herdes. des Herdes zu je drei Fingerbreiten Höhe sind fähig der Verunreinigung durch Berührung und vom Lufttraume aus;41 Nach Maim. ist hier ebenso, wie oben Note 27, zu erklären: Wenn einer von beiden Teilen, entweder der Herd oder die Zacken, unrein geworden ist, so ist der andere Teil auch unrein. sind sie niedriger, so sind sie umsomehr41a Nach מ״ש ist כל שהן statt כל שכן zu lesen, verunreinigungsfähig,42 Denn dann ist der darauf gestellte Topf dem Feuer näher und kann noch besser gekocht werden, so dass die פטפוטין umsomehr als ein Teil des Herdes zu betrachten sind. (Vgl. übrigens über diese Stelle Schwarz, der hermeneutische Syllogismus S. 145 f.). selbst wenn es vier sind.43 Und sie sind bloss 3 Fingerbreiten hoch oder niedriger, so gelten sie auch als ein Teil des Herdes, obgleich eine Zacke darunter überflüssig ist.", + "Wird eine von den Dreien weggenommen, so können sie nur durch Berührung, aber nicht vom Hohlraume aus unrein werden.44 Sie sind dann bloss als Handhabe (יד) des Herdes in betrachten, wie oben Note 29. Nach Maim. ist die Unreinheit hier nur eine rabbinische Anordnung, wie oben 5, Note 35. So R. Meïr; R. Simon erklärt sie für ganz rein.45 Vgl. oben 5, 3. Die Tosefta (I 5 Ende) fügt hinzu: R. Simon hat nämlich gesagt: Alle Zacken des Herdes, die nicht vom Hohlraume aus unrein werden können, werden auch durch Berührung nicht unrein. Machte man von vorne herein nur zwei einander gegenüberstehende Zacken,46 Die so breit sind, dass man den Topf darauf setzen kann. so sind sie nach R. Meïr verunreinigungsfähig durch Berührung und vom Luftraume aus,47 Maim H. Kelim 17 sagt: Sie werden nur durch Berührung, aber nicht vom Hohlraume aus unrein; er hat also ולא באויר statt ובאויר gelesen, nach R. Simon rein. Sind die Zacken höher als drei Fingerbreiten, so sind sie von drei Fingerbreiten an unterhalb fähig der Verunreinigung durch Berührung und vom Luftraume aus, oberhalb aber, nach R. Meïr nur durch Berührung, aber nicht vom Luftraume aus; nach R. Simon sind sie da rein. Sind die Zacken vom Rande (des Herdes) weiter hinausgezogen,48 Sie entfernen sich in schräger Richtung vom Rande des Herdes weiter hinaus. so ist, was vom Rande nur drei Fingerbreiten entfernt ist, verunreinigungsfähig durch Berührung und vom Luftraume aus; was sich weiter hinaus zieht,49 Das gilt nicht mehr als ein Teil des Herdes. kann, nach R. Meïr, nur durch Berührung aber nicht vom Luftraume aus unrein werden, nach R. Simon ist dies rein.", + "Wie bestimmt man dies?50 Da die Zacken in schräger Richtung nach der Seite und zugleich nach oben sich erstrecken, so würden 3 אצבעות, in der Länge der Zacke gemessen, keineswegs einer Entfernung von 3 אצבעות vom Rande des Herdes entsprechen. Wenn z. B. in nebenstehender Figur die Linie ab 3 אצבעות beträgt, so ist die horizontale Linie bc (d. i. die Entfernung vom Rande des Herdes) weniger als 3 אצבעות. Wie ermittelt man nun die Entfernung von 3 אצבעות bei dem Raume zwischen den Zacken? R. Simon b. Gamliel sagt: Man legt das Gestell51 כנח ist nach R. Hai Gaon und Maim. ein Gestell (wie das bibl. כן). Der hier in Betracht kommende Teil ist ein Ring, dessen äusserer Radius um 3 אצבעות grösser ist, als der des Herdrandes. Legt man nun diesen Ring so zwischen die drei Zacken, dass dessen äussere Peripherie von der Peripherie des Herdrandes überall gleich weit entfernt ist, so ist der Raum innerhalb des Ringes, der Ort des Ringes selbst mitgerechnet, als der innerhalb dreier אצבעות vom Rande des Herdes entfernt befindliche Raum der פטפוטים zu betrachten, der במגע ובאויר verunreinigungsfähig ist. Der obere Rand dieses Raumes ist danach ein Kreis. Nach ר״ש und Bart. ist כנה ein Lineal, das man zwischen die פטפוטים legt. Danach würde dieser Raum durch ein Dreieck bestimmt, was aber seine Schwierigkeiten hat, vgl. יו״ב. zwischen sie; was ausserhalb des Gestells ist, ist rein, was innerhalb des Gestells ist, und auch der Ort, wo das Gestell liegt, ist unrein." + ], + [ + "Wenn1 Sebachim 3a. man einen Ofen durch eine Scheidewand2 Die bis an die Öffnung hinauf reicht. von Brettern oder Teppichen (in zwei Teile) geteilt hat, so ist, wenn ein Kriechtier in einer Abteilung gefunden wird, alles unrein.3 Auch die Speisen und Getränke, die in der andern Abteilung sich befinden. Hat4 Sifra, Schemini VII 10. man einen runden Korb, der durchbrochen,5 Entweder unten am Boden oder an der Seite (Rabed). Wäre das Gefäss ganz, so würde es die darin befindlichen Speisen vor Verunreinigung schützen. wenn auch mit Stroh wieder zugestopft6 Eine solche Verstopfung hilft nichts. ist, in den innern Raum eines Opfens hinabgelassen,7 Wiewohl der obere Rand des Korbes den des Ofens überragt. so ist, wenn ein Kriechtier sich im Korbe befindet, der Ofen unrein; befindet sich das Kriechtier im Ofen, so sind die Speisen im Korbe unrein. R. Elieser aber erklärt sie für rein. Es sagt R. Elieser: Wenn dies vor der schweren Toten-Unreinheit schützt,8 Nach der Mischna in Oholot 9, 3; 7. sollte es nicht vor der leichten im irdenen Gefässe schützen? Darauf entgegnete man ihm: Wohl kann dies vor der schweren Toten-Unreinheit schützen, weil man Zelte abteilen kann,9 Wenn man ein Zelt mit Brettern, die bis an die Decke reichen, in zwei Teile teilt, und es befindet sich eine Toten-Unreinheit in der einen Abteilung, so sind die Gegenstände in der andern Abteilung rein, nach Oholot 15, 4. — sollte dies aber vor der, wenn auch leichten, (Unreinheit) im irdenen Gefässe schützen, da man doch diese nicht abteilen kann.10 Die Abteilung hilft hier nichts, s. Note 3. Im Sifra und in der Tosefta entgegnet R. Jose hierauf, dass diese letztere Bestimmung auch von R. Elieser auf Grund seines קל וחומר bestritten wird, und nach seiner Ansicht kann auch beim irdenen Gefäss eine Abteilung durch Bretter vor der Unreinheit schützen.", + "Ist der Korb ganz,11 Oben, Note 5. oder ist es eine Kufe oder ein Schlauch,12 Aus Leder. so ist, wenn darin sich ein Kriechtier befindet, der Ofen noch rein;13 Denn es heisst (Lev. 11, 33): Bei jedem irdenen Geräte, in dessen Inneres (תוכו) etwas von ihnen (den Krichtieren) hineinfällt u. s. w.; aus dem Ausdruck תוכו wird im Sifra gefolgert: ולא תוך תוכו, dass ein irdenes Gerät nicht unrein wird, wenn ein שרץ in das Innere eines in seinem Innern befindlichen anderen Gerätes hineinfällt. Doch gilt diese Bestimmung nicht in dem Falle, dass der Rand des äusseren Gefässes den des inneren überragt. In diesem Falle verunreinigt die in einem Gefässe befindliche טומאה auch die Speisen im anderen Gefässe, es sei denn, dass das innere Gerät mit einem fest anschliessenden Deckel (צמיד פתיל) verschlossen ist. findet es sich im Ofen, so sind die Speisen in jenen rein.14 Denn es heisst (l. c.): „Alles, was im Innern (בתוכו) ist, sei unrein,“ — nicht aber was im Innern des Innern (בתוך תוכו) sich befindet. Sind sie15 Die im Innern des Ofens befindlichen Gefässe. gelöchert, so ist das (gesetzliche) Mass des Loches bei dem Gefässe, das für Speisen diente, so gross, dass Oliven durchfallen können;16 Es ist dasselbe Mass, wobei das Loch nach 3, 1 die Reinheit des Gefässes bewirkt. Dadurch hat es die Eigenschaft eines כלי verloren, und es kann nicht vor der טומאה schützen. diente es für Getränke, so ist jenes Mass so, dass Flüssigkeit eindringen kann;16 Es ist dasselbe Mass, wobei das Loch nach 3, 1 die Reinheit des Gefässes bewirkt. Dadurch hat es die Eigenschaft eines כלי verloren, und es kann nicht vor der טומאה schützen. diente es für beide Zwecke, so gilt das erschwerende Mass, nämlich das, dass Flüssigkeit eindringen kann.17 Hier ist es erschwerend, wenn man sich nach dem kleineren Masse richtet, während oben 3, 1 das grössere Mass die Erschwerung mit sich bringt.", + "Hat man auf die Öffnung eines Ofens ein Siebwerk18 סרדח, aram. wie das hebr. מכבר (Siebwerk). so gelegt, dass es hineinsinkt,19 Die Mitte des Siebes ist in den Raum des Ofens etwas hinabgesenkt. es hat aber keine Leisten,20 גפים (von גַפֵּף, umschliesen) Umschliessung, Leisten. so ist, wenn in demselben21 In dem im Hohlraum des Ofens befindlichen Teile des Siebwerks. ein Kriechtier sich befindet, der Ofen unrein;22 Das Siebwerk kann ihn vor der Unreinheit nicht schützen. ist im Ofen ein Kriechtier, so sind die Speisen in jenem unrein, weil nur Geräte23 Das Siebwerk ohne Leisten ist aber kein Gerät. vor einem irdenen Geräte schützen. Wenn ein Fass, das voll ist mit reinem Getränke,24 Von Speisen gilt dasselbe umsomehr, יו״ב. — unterhalb des untersten Teiles25 נחשת, der unterste Teil eines Gegenstandes, vgl. Ez. 16, 36; 24, 11 und Kimchi das. eines Ofens gesetzt ist,26 In den vom Erdboden gebildeten Unterboden des Ofens (s. Abschn. 5, Note 1) ist eine Vertiefung gegraben, in welche das Fass mit dem Getränke eingesetzt ist. so ist, wenn ein Kriechtier im Ofen27 Im Hohlraume oder an der Wand des Ofens. sich befindet, das Fass nebst dem Getränke rein.28 Denn da die Öffnung des Fasses nicht im Ofen-Hohlraume, sondern unterhalb desselben sich befindet, kann der Ofen das Fass mit dessen Inhalt nicht verunreinigen. Der Umstand, dass der Luftraum des Fasses mit dem des Ofens verbunden ist, überträgt nicht die im Raume des letzteren befindliche Unreinheit auf den ersteren Raum. War ein Fass umgestülpt und dessen Öffnung liegt an dem Hohlraum des Ofens,29 So dass der Luftraum des Fasses an dem Luftraum des Ofens liegt. so ist, wenn ein Kriechtier im Ofen sich befindet, die den Boden des Fasses benetzende30 טופח, von טפח, befeuchten. Flüssigkeit rein.31 Nach א״ר selbst wenn ein Teil des Fasses in den Ofenraum hineinreicht, wenn nur die Flüssigkeit nicht im Ofenraum sich befindet. Das Fass kann vom Hohlraume des Ofens nicht unrein werden, da dieser bloss ein ולד הטומאה ist, ein Gefäss aber nur durch einen אב הטומאה verunreinigt werden kann, s. Vorb. 16. —", + "Wenn ein Topf in einen Ofen eingesetzt ist, so ist, wenn ein Kriechtier im Ofen sich befindet, der Topf rein, weil ein irdenes Gerät nicht Geräte verunreinigen kann.32 Da ein irdenes Gerät niemals ein אב הטומאה werden kann; wohl aber andere Geräte, nach Vorb. 5. Ist er aber im Innern von Flüssigkeit benetzt, so ist diese unrein33 Weil die Öffnung des Topfes innerhalb des Ofenraumes sich befindet und nicht durch einen fest anschliessenden Deckel verschlossen ist, s. oben Note 13. und durch sie auch der Topf.34 Eine Flüssigkeit kann, obwohl sie nur ולד הטומאה ist, nach rabbinischer Bestimmung auch ein Gerät verunreinigen, s. Sabbat 14b. Der Topf kann also sagen35 Zur Flüssigkeit.: Was dich unrein gemacht hat,36 Der Ofenraum. konnte mich nicht verunreinigen, du aber hast mich verunreinigt.", + "Wenn ein Huhn ein Kriechtier verschlungen hat, und in den Raum eines Ofens fällt, so ist dieser noch rein.37 Denn eine im Innern eines lebenden Wesens befindliche Unreinheit (טומאה בלועה) verunreinigt nicht, s. Chullin 71a. Wenn aber das Huhn da stirbt,38 Das tote Huhn kann zwar den Ofen nicht verunreinigen (vgl. Vorb. 36), aber das darin befindliche Kriechtier wird nicht als טומאה בלועה betrachtet, s. Sifra Schemini VII 3, vgl. Rabed das. wird er39 Der Ofen, aber nicht das Huhn, vgl מ״א. unrein.40 Aber nur dann, wenn das Kriechtier nicht im lebenden Huhn 24 Stunden gelegen hat; nach 24 Stunden ist es bereits verzehrt, vgl. Oholot 11, 7. Wenn41 Sabbat 138a und Parallelst. — Nach R. Elia Wilna sollte dieser Satz vor dem vorherigen Satze תרנגול שבלע וכו׳ stehen, vgl. die Begründung in תא״ש. ein Kriechtier in einem Ofen sich findet, so hat das Brot darin den zweiten Grad der Unreinheit, denn der Ofen hat den ersten Grad.42 Es wird nicht angenommen, dass der ganze innere Raum des Ofens durch das dort befindliche Kriechtier mit der Unreinheit dieses Tieres angefüllt ist (wie dies bei einer in einem Zelte befindlichen Toten-Unreinheit der Fall ist), sondern es wird so beurteilt, wie wenn das שרץ den Ofen berührt; das שרץ ist אב, der Ofen ראשון und das Brod שני, s. Vorb. 2.", + "Wenn ein Sauerteig-Gefäss,43 Aus Ton. mit einem fest anschliessenden Deckel verschlossen,44 In der Weise, wie es in Abschn. 10, 2 bestimmt wird. in einen Ofen getan wird, während in jenem45 Im Gefässe. Sauerteig und ein Kriechtier sich befinden, die durch eine Scheidewand46 קרץ (von קרץ, schneiden) eine Scheidewand aus Lehm, nach Job. 33, 6; so Maim. und ר״ש. Nach R. Hai heisst קרץ ein runder Kuchen, vom aram. גריץ. getrennt sind,47 Die Scheidewand reicht bis an den Deckel, so dass beide Behälter des Gefässes vollständig von einander getrennt und durch den Deckel von aussen abgeschieden sind. so ist der Ofen unrein48 Denn der Deckel schützt bloss die im Gefässe befindlichen Dinge vor Verunreinigung, verhindert aber nicht, dass eine im Gefässe befindliche טומאה hinausdringe und andere Dinge verunreinige. So heisst es in Tosefta I 6, 12: צמיד פתיל ואהלין מצילין על הטהורין טליטמא ואין מצילין על הטמאים מלטמא, ein anschliessender Deckel und Zelte schützen reine Dinge vor Verunreinigung, verhindern aber nicht Unreines am Verunreinigen. So nach dem Zitat bei Maim. und ר״ש; in unseren Ausgaben ist die Stelle korrupt. und der Sauerteig rein.49 Da er unter Verschluss liegt. Obgleich oben in Mischna 1 (s. Noto 10) die Scheidewand nichts hilft, so schützt sie hier dennoch, weil sie von der Werkstatt her am Gefässe angebracht ist (מ״א). War eine Olivengrösse vom Toten50 Eine solche Grösse verunreinigt das Zelt, Oholot Abschn. 2 Anf. darin, so sind der Ofen und das Haus unrein und der Sauerteig rein.51 Der fest anschliessende Deckel schützt den Inhalt eines irdenen Gefässes auch vor der Toten-Unreinheit, Num. 19, 15. Ist aber52 In der Scheidewand, so Maim. und Bart; anders ר״ש. dort eine Handbreite im Quadrat offen,53 Eine Öffnung (פוֹתַח) von einer Quadrat-Handbreite bringt die Toten-Unreinheit von einem Raume in den anderen, vgl. Oholot 3, 6. so ist alles unrein.54 Diese Bestimmung bezieht sich nach obiger Erklärung bloss auf den Fall von מת, nicht auf den Fall von שרץ, wo die Öffnung nicht schadet, vgl. die folgende Mischna; anders nach der Erklärung des ר״ש.", + "Wenn ein Kriechtier im Auge55 Eine Öffnung nahe am Boden, dazu gemacht, um den Rauch entweichen zu lassen (ר״ש und Bart.) oder dort Luft einzulassen (R. Hai) oder Holz hineinzustecken (Maim. und רא״ש). Gegen letztere Erklärung spricht aber Mischna 8. Der Name „Auge“ soll daher rühren, dass dieses Loch wie das Auge manchmal offen, manchmal geschlossen war (R. Hai). des Ofens oder des Herdes oder des Kuppach56 5, Note 18. von dem innern Rand nach aussen57 Es liegt in dem Loche auf der Dicke der Ofenwand (Maim.). sich findet, so ist er58 Der Ofen. rein.59 Der Raum dieses Loches gehört nicht zum innern Ofenraum. Nach יו״ב, weil dieser Raum, wenn die Öffnung verschlossen wird, ausserhalb des Ofenraumes bleibt. Dass die beiden Lufträume, der des Loches und der des Ofens, miteinander verbunden sind, leitet nicht die טומאה von einem zum andern, s. oben Mischna 3. Befindet er60 Der Ofen. sich im freien Luftraume,61 Unter freiem Himmel, nicht unter einem überdachten Zelte (ר״ש, anders Maim.). so ist er60 Der Ofen., selbst wenn es62 Das im Loche des Ofens befindliche unreine Ding. eine Olivengrösse von einem Toten ist, dennoch rein.63 Die Unreinheit dringt nicht vom Loch in den Ofen, da die Öffnung nicht die Grösse von einer Quadrat-Handbreite hat. Ist aber dort eine Öffnung von einer Quadrat-Handbreite,64 Das Loch ist so gross, und die Dicke der Wand ragt vom Ofen derart hervor, dass das מן המת כזית unter einem Zelte von der Grösse einer Kubik-Handbreite liegt. so ist alles unrein.65 Nicht bloss das Loch, sondern auch der Ofen, weil ein Zelt vom Rauminhalt einer Kubik-Handbreite die Toten-Unreinheit in den angrenzenden Raum bringt, s. Oholot 3, 7.", + "Findet es66 Das Kriechtier. sich an der Stelle,67 Nach Maim. und Bart. spricht diese Mischna bloss vom Herde. wo man das Holz hineintut,68 Es ist eine Öffnung an der Seite unten am Herde, wo das Holz hineingesteckt und angezündet wird. Diese Öffnung ist vom עין verschieden. so sagt R. Jehuda: Wenn es66 Es ist eine Öffnung an der Seite unten am Herde, wo das Holz hineingesteckt und angezündet wird. Diese Öffnung ist vom עין verschieden. vom äussersten Rande weiter hinein liegt, so ist er unrein.69 Die ganze Dicke der Wand an dieser Öffnung gehört hiernach zum innern Raum des Herdes. Die Weisen sagen: Wenn es66 Das Kriechtier. vom innern Rande nach aussen liegt, so ist er rein.70 Nach ihrer Ansicht gehört diese Dicke nicht zum Herdraume, R. Jose sagt: Liegt es66 Das Kriechtier. von der dem Orte, wo der Topf steht, gegenüberliegenden Stelle weiter hinein, so ist er unrein, wenn aber von dort nach aussen, ist er rein.71 R. Jose hat eine vermittelnde Ansicht. In dem מקים הנחת עצים ist eine Stelle, die dem äussersten untern Rande des auf dem Herde stehenden Topfes gegenüberliegt (כנגד שפיתת הקדרה). Der Raum von dieser Stelle einwärts gehört zum Herdraume, der von da auswärts nicht. Nach תוי״ט erleichtert R. Jose noch mehr als die Weisen, da der Herd unten breiter ist als oben, wo er sich bis zum Masse des untern Topfrandes verengt, so ist nach R. Jose auch vom Raume des Feuerplatzes nur der Teil verunreinigungsfähig, welcher der Topfstelle gegenübersteht (vgl. רא״ש). Findet es sich da, wo der Bademeister,72 בלן (von βαλανεύς) der Bademeister, der dort das Badewasser wärmt. der Färber oder der Olivensieder73 Oben 5, 5. sitzt,73a Dieser Sitz ist oben am Herde (oder Ofen) angebracht, hat eine concave Oberfläche, und dessen Höhlung steht mit dem obern Luftraum des Herdes in Verbindung (רא״ש).. ist er74 Der Ofen oder Herd. rein.75 Es wird dieser Sitz bloss als Handhabe (יד) des Ofens betrachtet, vgl. 3, Note 31, und 7, Note 29. Er74 Der Ofen oder Herd. ist nur dann unrein, wenn es66 Das Kriechtier. sich vom Verschluss und weiter hinein findet.76 Von der Stelle an, die den Topf umgibt, wo der Herd vom Topfe verschlossen wird, gilt der Raum als Herdraum, der auch vom Hohlraume aus (באויר) unrein werden kann. Dagegen die frei liegende Fläche, wozu auch jene Sitze gehören, gelten nur als יד und können bloss durch Berührung unrein werden, s. oben 7 Note 29. So nach Tosefta I 6, 15 Ende.", + "Ein Schmelzofen,77 Andere LA. בור, eine Grube, die in der Erde gegraben und mit einer dicken Lehmschicht beklebt ist, wie der Ofen von Ben Dinai, oben 5, 10. an welchem ein Ort zum Zusetzen (eines Topfes) sich befindet, ist verunreinigungsfähig;78 Wie ein Herd; wiewohl der Ofen hauptsächlich nicht zum Kochen dient. ebenso ist der Ofen der Glas-Erzeuger, wenn an ihm ein Ort zum Zusetzen sich befindet, verunreinigungsfähig. Der Brennofen der Kalk-Erzeuger,79 Wo Steine zu Kalk gebrannt werden. der Glaser und der Töpfer ist rein.80 Da diese nicht zum Backen und Kochen verwendet werden. Der grosse Backofen81 פורנה = furnus. Er war aus Ton gefertigt, hatte an der Seite eine Türe, und das Brot wurde da auf dem Boden gebacken. Die Tosefta (I 6, 7) lehrt daher: Der furnus ist rein, denn er ist nur bestimmt, mit dem Erdboden benutzt zu werden, s. 11, 2, ist, wenn er Leisten82 S. Abschn. 2, Note 29. hat,83 Einen Behälter, um dort Töpfe hineinzustellen. verunreinigungsfähig. R. Jehuda sagt: Wenn er ein Dach84 אסטגי, στέγη, Dach. hat. Rabban Gamliël sagt: Wenn er einen Saum85 Die Tosefta (l. c.) bemerkt hierzu: וכולן שם אחד הן, die drei Ausdrücke haben ein und dieselbe Bedeutung (vgl. auch Jerusch. Ab. sara 2, 9). Es gebrauchte nur jeder Tanna den Ausdruck, den er von seinem Lehrer vernommen, nach Edujot 1, 3, vgl. ebenso Para 1, 3. hat.", + "Wenn86 Vgl. Jeruschalmi Chagiga 3, 3. jemand, den ein an einem Toten Verunreinigter berührt hat,87 Dieser ist ראשון, Vorb. 2 und 4. Speisen88 Das Wort אוכלין ist hier überflüssig, es steht nur wegen des folgenden Falles. und Getränke89 Vgl. Para 8, 5, wonach Getränke, selbst wenn sie nur שני sind, Geräte verunreinigen können, vgl. auch oben Note 34. im Munde hat und den Kopf in den Raum eines reinen Ofens steckt, so verunreinigen sie90 Die Getränke im Munde. ihn.91 Den Ofen. Wiewohl der Mund verschlossen ist, wird dennoch der Ofen durch die im Munde befindlichen Getränke unrein, da selbst ein Deckel (צמיד פתיל) nicht das Hinausdringen der טומאה verhindern kaun (oben Note 48). Wohl kann eine im Innern eines lebenden Wesens befindliche Unreinheit (טומאה בלועה) nicht verunreinigen (oben Note 37), aber das im Munde des Menschen Befindliche wird nicht als בלוע (verschlungen) betrachtet (s. Tosefta I 6, 5). Wenn wieder ein Reiner Speisen und Getränke im Munde hat und den Kopf in den Raum eines unreinen Ofens steckt, so werden sie92 Die Speisen und Getränke im Munde. unrein.93 Der verschlossene Mund wird nicht als צמיד פתיל betrachtet, und das im Munde des Menschen Befindliche ist auch nicht als בלוע anzusehen. Wenn94 Erubin 99a u. Jerusch. Chagiga 3, 3. jemand Feigenkuchen95 Nach Raschi (Erubin l. c.) handelt es sich hier um תרומה (Hebe), nach Tosafot auch um חולין (Profanes). mit unreinen Händen96 D. h. mit ungewaschenen Händen. Diese gelten nach einer rabbinischen Bestimmung als לטומאה שני (Sabbat 13b), das noch die תרומה unbrauchbar macht (Vorb. 2 u. 3). isst97 Der Feigenkuchen ist aber noch nicht mit Flüssigkeit benetzt, so dass er noch keine טומאה annehmen kann (Vorb. 17). und die Hand in den Mund steckt, um ein Steinchen98 Das im Feigenkuchen eingeknetet war. herauszunehmen, so erklärt ihn R. Meïr99 Nach א״ר ist zu lesen: ר״מ מטהר ורבי יוסי מטמא רבי יהודה אומר אם הפך טמא אם לא הפך טהור. für unrein,100 Selbst wenn der Feigenkuchen חולין ist, wird er unrein (שני) durch den Speichel, der durch die ihn berührende unreine Hand ראשון geworden ist. Es gilt nämlich als rabbinische Bestimmung: כל הפוסל את התרומה מטמא משקין לחיות תחלה, Alles, was תרומה unbrauchbar machen kann (das ist ein שני, Note 96), macht eine Flüssigkeit (משקה) so unrein, dass sie eine Unreinheit ersten Grades (ראשון) wird (Para 8, 7). R. Jehuda für rein.101 Denn solange der Speichel im Munde ist, gilt er nicht als משקה. R. Jose sagt: Wenn er ihn gewendet hat,102 Er hat den Feigenkuchen im Munde nach der anderen Seite hingewendet (ר״ש). Nach Maim. bezieht es sich auf den Finger, nach Raschi auf den Speichel. ist er unrein,103 Denn durch das Wenden wird der Speichel vom Munde losgetrennt und gilt als משקה. wenn nicht, ist er rein. Hatte er dabei einen Pondion104 פונדיון, Dupondium, eine Münze. im Munde, so sagt R. Jose, wenn dies des Durstes wegen geschah,105 Durch die Münze wird der Speichel im Munde vermehrt und der Durst gelöscht. Nach Jerusch. Ab. sara 8, 3 ist dies wegen Lebensgefahr zu tun verboten. so ist jener unrein.106 Der durch die Münze vermehrte Speichel gilt als משקה.", + "Wenn einer (unreinen) Frau107 Sie hat z. B. ein Kriechtier berührt und ist ראשונה (Vorb. 2). Milch aus der Brust108 Die Milch ist so, wie wenn sie von der Frau berührt würde (Tebul Jom 2, 1), also ebenfalls ראשון, Note 100. trieft und in den Hohlraum des Ofens fällt, so ist dieser unrein;109 Da unreine Flüssigkeiten auch Geräte verunreinigen, Note 34. denn unreine Flüssigkeit110 א״ר liest mit Recht שמשקה טמא. verunreinigt, mag sie mit Willen oder unwillkürlich auf etwas gegeben worden sein.111 Machschirin 1, 1. Fegt sie112 Die unreine Frau. (den Ofen) aus, und sticht sich112a L und N lesen והכה. an einem Splitter, so dass Blut herauskommt113 Das Blut ist ראשון, wie oben, Note 108, die Milch., oder sie verbrennt sich114 Am Finger. und steckt den Finger in den Mund,115 Um den Schmerz zu lindern. Wenn sie den Finger wieder herauszieht, ist der Speichel daran unrein. so wird er116 Der Ofen. unrein.117 Durch das Blut, oder durch den Speichel Note 109. Maim. (ebenso L und N) liest נטמאת, bezieht dies auf die תרומה, welche die Frau im Munde hat, und erklärt ausserdem, dass unser Satz von dem Falle spricht, dass die Frau rein und der Ofen, den sie ausfegt, unrein ist." + ], + [ + "Wenn eine Nadel oder ein Ring1 Die durch einen Toten verunreinigt wurden, so dass sie אב הטומאה geworden sind (Vorb. 4). in dem untersten Teile2 Oben 8, Note 25. eines Ofens3 Im Fussboden, der den Unterboden des Ofens bildet. gefunden werden, und sie sind sichtbar,4 An der Oberfläche des Bodens. aber nicht hinausragend,5 In den innern Raum des Ofens. so ist der Ofen, wenn der Teig beim Backen sie6 Die Nadel oder den Ring. berühren würde, unrein7 Wenn aber der Teig die Nadel nicht berühren würde, ist der Ofen rein, da der unreine Gegenstand nicht im Hohlraume des Ofens sich befindet. Doch gilt dies nur in dem Falle, dass die Nadel vermutlich bereits im Boden versenkt war, als der Ofen hingesetzt wurde. War aber der Ofen vorher dort, so ist er durch die Nadel, die durch seinen Hohlraum hindurchgegangen, unrein geworden.. Von welchem Teige hat man dies gesagt? Von mittlerem Teige8 Der nicht zu weich und nicht zu hart ist.. Finden sie sich in der Beklebung9 In der äusseren Beklebung, s. 5, Note 66. eines Ofens10 Der sich im Zelte eines Toten befindet., der mit einem fest anschliessenden Deckel zugemacht ist, so sind sie, wenn dieser11 Der Ofen. unrein ist12 Wenn er etwa bereits vorher unrein geworden, bevor der Deckel daran war (מ״ש), oder wenn der Verschluss nicht vollkommen war (Maim.)., unrein13 Weil die Beklebung des Ofens zum Ofen gehört.; ist dieser rein14 Indem der Ofen nach Vorschrift verschlossen war., so sind sie rein15 Die Nadel gehört zum Fass und wird wie dieses durch den Deckel vor Verunreinigung geschützt.. Finden sie sich in dem Spund16 Der aus Lehm verfertigt, oben dick ist und unten sich zuspitzt, um mit dem untern Ende das Fass verschliessen zu können. eines Fasses, so sind sie, wenn sie an seiner Seite17 In dem Teil der dicken Seite, der nicht gegen die Mündung zu, sondern gegen den Rand derselben liegt. sich finden, unrein18 Denn dieser Teil des Spundes wird, da das Fass denselben nicht braucht, nicht zum Fass gerechnet; die dort steckende Nadel wird daher nicht vor Verunreinigung geschützt, ebenso wie Geräte, die in Lehm eingehüllt sind, s. weiter Mischna 5.; wenn aber gegen die Mündung zu19 Sie stecken in dem der Mündung des Fasses gegenüberliegenden Teile des Spundes und sind vollständig vom Lehm eingehüllt., sind sie rein20 Sie gehören da zum Spunde und werden zusammen mit dem verschlossenen Fasse vor Verunreinigung bewahrt.. Sind sie von innen21 Im Innern des Fasses. sichtbar, sie ragen aber nicht in den Hohlraum hinein, so sind sie rein. Sinken sie hinein22 In den Hohlraum des Fasses., aber unter denselben ist noch (Lehm)23 Vom Lehm des Spundes., wenn auch so dünn, wie eine Knoblauch-Schale, so sind sie rein24 Weil sie als zum Spunde gehörig betrachtet werden. Wenn aber ein Teil des Gefässes, ohne mit Lehm verdeckt zu sein, in den Raum des Fasses hineinragt, so wird es trotz des Verschlusses unrein; denn ein verschlossenes irdenes Gerät kann wohl ein anderes irdenes Gerät vor Unreinheit schützen, aber nicht ein כלי שטף (Vorb. 10), s. weiter 10, 1..", + "Wenn ein Fass, das voll ist mit reinen Getränken, während ein Heber25 Ein zweischenkeliger gekrümmter Heber aus gebranntem Ton. darin steckt26 Der eine kürzere Schenkel steckt im Fasse., mit einem anschliessenden Deckel verschlossen ist und in einem Totenzelte steht, so sagen Bet-Schammai: das Fass und die Getränke sind rein27 Der anschliessende Deckel schützt sie vor Verunreinigung., der Heber28 dessen längerer Schenkel offen ist und in einem Totenzelte sich befindet. aber ist unrein29 Die Krümmung wird zwar bezüglich des Fasses und der Getränke als Verschluss betrachtet, nicht aber bezüglich des Hebers (כסף משנה). Wiewohl aber der Heber kein Behältnis hat, ist er dennoch verunreinigungsfähig, da, wenn man die eine Öffnung mit dem Finger verschliesst, die Flüssigkeit am andern Ende nicht ausläuft, wie beim Titros, oben 2, 6 (מי נפתוח). So nach Maim.s Erklärung, die zwar einfach ist, bei der man aber vielen Schwierigkeiten begegnet (vgl. מ״א). Nach ר״ש und A. handelt es sich in unserer Mischna um denselben Fall, wie in Edujot 1, 14, wo ebenfalls Bet-Hillel nachträglich sich zur Ansicht Bet-Schammai’s bekennen. Der Heber in unserer Mischna ist ein metallener Heber, der in einem mit צמיד פתיל versehenen irdenen Gefässe sich befindet. Die Geräte gehören einem Am ha-Arez, der die Reinheitsvorschriften nicht genau beobachtet. Da entschieden nun Bet-Schammai, dass ein irdenes Gerät mit צמיד פתיל bloss die Speisen und Getränke, aber nicht ein Metallgerät vor טומאה schützen kann. Die nähere Begründung vgl. in meinem Kommentar zu Edujot 1, 14.. Bet Hillel sagen: Auch der Heber ist rein. Bet Hillel haben ihre Ansicht (später)30 Es geschah dies nach Tosefta Oholot 5, 12 zu Zeit des R. Josua, vgl. Edujot 1, Note 124. widerrufen, um wie Bet-Schammai zu entscheiden.", + "Wenn ein Kriechtier unterhalb des untersten Teiles eines Ofens31 Oben 8, 3 Note 25—26. sich findet, so ist dieser rein32 Selbst wenn das Tier noch feucht und die Annahme, dass es vor der Hinsetzung des Offene dort vergraben war, ausgeschlossen ist.; denn ich nehme an, es ist lebend33 Ein lebendes Kriechtier verunreinigt nicht. hineingefallen34 Und hat sich dort in den Boden eine Vertiefung gegraben. und jetzt erst gestorben. Wenn eine Nadel oder ein Ring35 Die unrein sind, wie in Note 1. unterhalb des untersten Teiles eines Ofens gefunden werden, so ist dieser rein; denn ich nehme an, sie waren dort, bevor der Ofen hingesetzt wurde36 So dass sie niemals im Hohlraume des Ofens waren.. Finden sie sich in der Brennasche37 Asche von dem im Ofen verbranntem Holze, eig. Asche der Brandstätte (מקלה)., so ist er unrein38 Selbst wenn sie unterhalb des Ofenraumes gefunden worden sind., weil da die Möglichkeit irgend einer anderen Annahme nicht vorhanden ist39 Die unreinen Gegenstände müssen durch den Ofenraum hierhergekommen sein; die Möglichkeit, dass sie vor dem Ofen da waren, ist ausgeschlossen, da doch damals keine Asche an diesem Platze war. אין לו במה יתלה, wörtlich: er hat nichts, woran er es (das Vorhandensein des unreinen Gegenstandes an diesem Platze) hängen soll, welchem Umstande er es zuschreiben soll..", + "Wenn ein Schwamm40 ספוג σπόγγος., der unreine Getränke eingesogen hat, von aussen aber trocken geworden ist, in den Hohlraum eines Ofens fällt, so ist dieser unrein, weil am Ende die Flüssigkeit herauskommen wird41 Deshalb gilt es so, als wäre sie bereits herausgekommen. Unreine Flüssigkeit vermag nach einer rabbinischen Bestimmung Geräte zu verunreinigen, oben 8, Note 34.. Ebenso ein Stück Rübe42 לפת, syr. ܠܰܦܬܳܐ, Rübe. oder Schilf43 גמי, das bibl. גמא, Papyrusschilf.. R. Simon erklärt ihn bei diesen beiden44 Bei Rübe und Schilf. Nach יו״ב weil diese ihre eigene Flüssigkeit in sich haben, die mehr ist als die eingesogene unreine Flüssigkeit, vgl. Machschirin 4 Ende. für rein.", + "Wenn45 Nidda 62 b. Scherben, die man zu unreinen Flüssigkeiten gebraucht hat46 So dass sie unreine Flüssigkeit eingesogen haben., in den Hohlraum eines Ofens gefallen sind, so ist der Ofen, wenn er geheizt wird, unrein, weil dann47 Durch die Hitze. die Flüssigkeit herauskommt. Ebenso48 Jerusch. Sabbat 4, 1. ist es bei frischen49 Die keine 12 Monate alt sind. Öltrestern50 גפת, arab. جغت, die Überreste von ausgepressten Oliven., bei alten51 Die 12 Monate alt sind. aber ist er rein52 Weil da gewöhnlich die Trestern schon vertrocknet sind.. Ist jedoch anzunehmen, dass davon noch Flüssigkeit herauskommt, so ist er53 der Ofen, der mit ihnen geheizt wird, oder in dem sie, während er geheizt ist, sich befinden., auch wenn sie über drei Jahre alt sind, unrein.", + "Wenn auf Öltrestern und Weinbeerhülsen, die in Reinheit bereitet waren54 Sie sind von reinen Personen und durch reine Geräte ausgepresst worden., unreine Personen gegangen sind, und dann55 Nach א״ר und יו״ב ist statt ואח״כ יצאו zu lesen ויצאו, d. h. dadurch, dass die unreinen Personen auf ihnen gegangen sind, ist die Flüssigkeit herausgekommen. Flüssigkeit von ihnen herausgekommen ist, so sind sie56 Sowohl die Trestern und Hülsen, als die Flüssigkeit. rein57 Erstere sind überhaupt nicht verunreinigungsfähig; die Flüssigkeit ist wieder nicht mit Absicht ausgepresst worden und wird nicht als משקה betrachtet, die Unreinheit annehmen kann., weil sie anfangs in Reinheit bereitet waren58 Wären sie aber Anfangs in Unreinheit ausgepresst worden, so würde die mit Absicht ausgepresste und dann wieder von den Trestern und Hülsen eingesogene Flüssigkeit unrein geworden sein und unrein bleiben, wenn sie auch später unwillkürlich ausgepresst wird, wie oben in Mischna 4.. Wenn in eine Spindelstange59 כוש (syr. ܟܽܘܫܳܐ oder ܟܒܳܫܳܐ) die Stange der Spindel. der Haken60 צנורא L. und M. צנירה (arab. صنارة صنار) der Haken, der oben an der Spindelstange zum Festhalten des Fadens angebracht ist., in einen Ochsenstecken61 מלמד, Richter 3, 31,, der Stachel62 דרבן. Sam. 13, 21, die eiserne Spitze, welche in das obere Ende des Ochsensteckens eingelassen wird., oder in einen Ziegelstein ein Ring63 Der Ring ist in den Lehm eingeknetet und der Ziegelstein mit ihm gebrannt worden. gänzlich eingesunken ist64 שבלעה, wörtlich: er hat den Ring verschlungen., während sie65 Die genannten Metallgeräte. rein waren, und sie66 Die Geräte, während sie eingesunken sind. in ein Totenzelt gekommen sind, so sind sie unrein67 Sie gelten nur dann als בלוע (verschlungen), wenn sie von einem lebenden Wesen verschlungen sind, s. 8, 5, Note 37—38.. Bewegt sie68 הסיט, s. Vorb. 22. ein Flüssiger69 זב, Lev. 15, 2., so sind sie (ebenfalls) unrein70 Hierbei würde selbst ein mit anschliessendem Deckel ( צמיד פתיל) versehenes irdenes Gerät nicht vor der Verunreinigung schützen.. Fallen sie dann in den Hohlraum eines reinen Ofens, so verunreinigen sie ihn71 Selbst wenn sie in einem irdenen Gefässe mit צמיד פתיל eingeschlossen wären, da dieses nicht das Hinausdringen der טומאה verhindern kann, s. oben 8, 6, Note 48.. Berührt sie72 Die Spindelstange u. a., während der Haken u. a. darin eingesunken sind. aber ein Brot von Teruma73 Hebe, die doch selbst durch einen שני unrein werden kann; umsomehr gilt dies von profanem Brote, s. Vorb. 2., so bleibt es rein74 Selbst wenn die metallenen Geräte אב הטומאה geworden wären, wären die Stange, der Stecken und der Ziegelstein (welche die Hebe berührt haben) nicht unrein geworden, da diese Geräte nicht verunreinigungsfähig sind. Über den Grund vgl. Tos. Sabbat 17a. v. ועל..", + "Wenn ein Deckel75 Aus Ton. Es ist ein siebartig gelöcherter Deckel, s. 8, 3 Note 18. Trotz der Löcher gilt der Ofen durch diesen Deckel als fest verschlossen, weil dieselben notwendig sind, um der Luft Einlass zu gewähren, auf die Öffnung eines Ofens so gesetzt wird, dass diese damit fest verschlossen ist76 צמיד פתיל, Num. 19, 15. פתיל heisst der Deckel, der den Raum vollständig von ausserhalb absondert. Wenn man dann die Berührungsflächen des Gefässes (hier des Ofens) und des Deckels durch eine sich verhärtende weiche Masse (etwa durch Lehm) verstreicht, so dass der abschliessende Deckel mit dem Gefässe stofflich verbunden wird, so heisst dieser Verschluss צמיד פתיל, s. 10, 2., und vom Ofen zum Deckel hin eine Spalte entsteht77 Es hat der Ofen eine senkrechte Spalte, die bis an den Deckel reicht, so dass die Verstreichung ebenfalls gespalten ist., so ist deren Mass78 Das Mass der Spalte, wenn sie die Wirkung haben soll, dass der Deckel nicht als צמיד פתיל gilt und daher nicht vor Verunreinigung im Toten-Zelte schützen kann. die Breite79 Der Durchmesser, d. i. ⅓ Handbreite; so Bart. Nach Maim. ist hier das Mass des Umfangs gemeint, d. i. eine Handbreite, etwa 9 Zentimeter, vgl. 17, 8. des Endes eines Rindersteckens80 מרדע ist nach Lev. rabba c. 29 dasselbe wie מלמד in Mischna 6. Nach א״ר bezeichnet מרדע den Stecken mit dem Stachel zusammen. Der Ochsenstecken (מלמד) hatte am obern Ende einen Umfang von einer Handbreite. An diesem war der Stachel (דרבן) eingelassen. Dieses Ende hiess daher פי המרדע, der Mund des Steckens (vgl. Mischna 6: „Der Stecken, der den Stachel verschlang“). Das untere Ende des Steckens war wohl etwas dicker. An diesem war eine kleine Schaufel angebracht (חרחור genannt) in deren Öhr (קוף) das untere Ende des Ochsensteckens gesteckt wurde (vgl. 13, 8)., wenn es81 Das Ende des Steckens, wenn dies auch so zugespitzt würde, dass nur der schmale Durchmesser des Umfangs von ⅓ טפח Länge und minimaler Dicke dieses Ende bildete. auch nicht hineingeht82 Die Länge der Spalte ist knapp ⅓ טפח, so dass ein Gegenstand, der eben so lang ist, nicht hineingeht.. R. Jehuda sagt: Nur wenn es hineingeht83 Die Spalte muss etwas grösser als ⅓ טפח sein, so dass ein ⅓ טפח langer Gegenstand hineingeht. Nach Maim. (Note 79) ist überall das Mass 1 טפח anstatt ⅓ טפח zu setzen; אינו נכנס, resp נכנס bedeutet dann bloss: knapp gemessen, resp. mit etwas Übermass.. Hat der Deckel eine Spalte, so ist deren Mass die Breite79 Der Durchmesser, d. i. ⅓ Handbreite; so Bart. Nach Maim. ist hier das Mass des Umfangs gemeint, d. i. eine Handbreite, etwa 9 Zentimeter, vgl. 17, 8. des Endes eines Rinder-Steckens, so dass es81 Das Ende des Steckens, wenn dies auch so zugespitzt würde, dass nur der schmale Durchmesser des Umfangs von ⅓ טפח Länge und minimaler Dicke dieses Ende bildete. hineingeht84 Nach den Weisen nimmt man es in diesem Falle, wo der Deckel eine Spalte hat, leichter; daher kann die Spalte etwas grösser sein.. R. Jehuda sagt: Wenn es auch nicht hineingeht85 R. Jehuda nimmt es in diesem Falle schwerer.. War sie86 Die Spalte. Als Subjekt zu היה ist das Subst. סדק aus dem verb. נסדקה zu denken. gerundet87 Etwa in Form eines Kreisbogens., betrachtet man sie nicht als länglich88 Man denkt sich nicht den Kreisbogen als gerade Linie ausgezogen., sondern das Mass ist so, dass die Breite des Endes eines Rindersteckens hineingeht89 Der Ausdruck ist unklar; denn in eine bogenförmige Spalte würde eine gerade Linie niemals hineingehen, sie würde bloss eine Tangente bilden. Vielleicht ist gemeint, dass die Länge der Sehne des Kreisbogens gemessen wird. Viele Erklärer verstehen unter עגול ein rundes Loch. Da aber gerade in ein rundes Loch der Ochsenstecken besser bineingeht, so korrigieren Einige (vgl. רא״ש): היה ארוך אין רואין אותו עגול. Allein unsere Mischna spricht bloss von einer Spalte (נסדק); erst die folgende Mischna handelt von ניקב..", + "Wenn ein Ofen an seinem Ange90 Oben 8, 7, Note 55. ein Loch bekommt91 Man hatte das „Auge“ mit Lehm verstrichen, um den Ofen durch allseitigen Verschluss vor Verunreinigung zu schützen. Dann hat diese Verstreichung ein Loch bekommen., so ist dessen Mass so, dass eine brennende Spindelstange92 Oben Nota 59. Diese Stange war gewöhnlich ein dünner Stab. hinein- und hinausgeht93 Nach מ״א ist zu übersetzen: „dass die Spindelstange hineingeht und brennend herauskommt“. Die Stange wird in den Ofen gesteckt und dort angezündet und kann durch das Loch noch brennend herausgezogen werden.. R. Jehuda sagt: Eine nichtbrennende94 Nach מ״א: „auch wenn sie nichtbrennend herauskommt“.. Ist das Loch an der Seite desselben95 Des Auges; d. h. die Verstreichung hat ein Loch an der Wand des Auges (רא״ש) oder nach מ״א: die Wand des Auges selbst ist gelöchert, nicht die Verstreichung., so ist dessen Mass78 Das Mass der Spalte, wenn sie die Wirkung haben soll, dass der Deckel nicht als צמיד פתיל gilt und daher nicht vor Verunreinigung im Toten-Zelte schützen kann. so, dass eine nichtbrennende Spindelstange hinein- und hinausgeht. R. Jehuda96 Die Controverse der Weisen und des R. Jehuda ist hier ebenso wie oben in Mischna 7, vgl. Note 84 und 85. sagt: Eine brennende93 Nach מ״א ist zu übersetzen: „dass die Spindelstange hineingeht und brennend herauskommt“. Die Stange wird in den Ofen gesteckt und dort angezündet und kann durch das Loch noch brennend herausgezogen werden.. R. Simon sagt: Wenn in der Mitte97 Der Verstreichung., so muss sie hineingehen, wenn aber an der Seite, so braucht sie nicht hineinzugehen98 D. h. knapp so gross, wie oben Note 82. In keinem Falle aber ist es nötig, dass die Stange brennend hinein- und hinausgeht.. Ebenso hat er auch bei dem Loche im Spunde des Fasses bestimmt, wo das Mass ist die Dicke des zweiten Knotens99 מיצה (von arab. موص, Stroh) der Strohalm. מיצה שנייה, der Halm vom ersten bis zum zweiten Knoten, von der Wurzel an gerechnet. am Roggen-Halm100 שיפון, nach Raschi und A. Roggen, vgl. Pesachim 2, 5.; ist es101 Das Loch. in der Mitte102 Des Spundes., so muss er hineingehen, ist es an der Seite, so braucht er nicht hineinzugehen. Ebenso hat er auch beim Loche der grossen Kannen103 Oben 2, 2. Gemeint sind die Spunde der grossen Kannen, die man mit Lehm verstrichen hat. bestimmt, dessen Mass ist, die Dicke des zweiten Knotens am Rohre; ist es101 Das Loch. in der Mitte102 Des Spundes., so muss er hineingehen, ist es an der Seite, so braucht er nicht hineinzugehen. Wobei sind diese Worte gesagt? Wenn sie104 Die Fässer und die Kannen. zu Wein gemacht sind105 Da ist das Loch gewiss gegen seinen Willen entstanden, weil der Wein dadurch verdirbt; daher ist nur bei einem grösseren Loche der צמיד פתיל als zerstört zu betrachten.; sind sie aber zu anderen Getränken gemacht, so sind sie bei noch so kleiner106 Nach Maim. jedoch wenigstens so gross, dass Flüssigkeit eindringen kann. Öffnung107 Im Spunde. verunreinigungsfähig108 Im Totenzelte. Der צמיד פתיל kann sie nicht mehr schützen.. Ferner ist dies nur gesagt, wenn die Öffnungen109 In der Verstreichung. nicht durch Menschenhände gemacht sind110 Man hat die Öffnung nicht absichtlich gemacht.; sind sie aber durch Menschenhände gemacht worden, so sind sie bei noch so kleiner Öffnung verunreinigungsfähig111 Diese Unterscheidung zwischen absichtlich gemachten und ohne Absicht entstandenen Öffnungen gilt nur für die Verstreichung; dagegen kommt es bei Löchern im Gefässe selbst bloss auf das gesetzliche Mass an, einerlei ob jene mit oder ohne Absicht entstanden sind.. Sind die Gefässe gelöchert112 Nur ein ganzes irdenes Gefäss kann, mit einem צמיד פתיל versehen, vor der Unreinheit des Toten-Zeltes schützen. Wenn daher das Gefäss derart gelöchert ist, dass es nach 3, 1 als zerbrochen gilt und rein wird, kann es nicht mehr schützen., so gilt bei einem solchen, das für Speisen dient, das Oliven-Mass113 Vgl. 3, 1.; dient es für Getränke, so ist das Mass so, dass Flüssigkeit eindringt; dient es für beide Zwecke, so gilt die erschwerende Bestimmung, dass nämlich hinsichtlich des fest anschliessenden Deckels114 D. h. hinsichtlich der Vorschrift, dass ein irdenes Gefäss mit fest anschliessendem Deckel Schutz vor der Totenzelt Unreinheit gewährt. das Mass des Eindringens von Flüssigkeit genügt115 Eine solche kleine Öffnung bewirkt, dass das Gefäss keinen Schutz mehr gewährt, es sei denn, dass man diese Öffnung verschmiert. Manche Beschädigungen bewirken, dass selbst ein Verstreichen derselben dem Gefässe nicht den Charakter eines ganzen Gefässes verleiht, vgl. hierüber Sabbat 96 a, Tosafot v. ולענין.." + ], + [ + "Folgende Gefässe schützen1 Wenn sie im Toten-Zelte verschlossen stehen, schützen sie sich selbst und alles, was in ihnen sich befindet, vor Verunreinigung. mittelst des fest anschliessenden Deckels2 Vgl. 9, Note 76.: Gefässe aus Rindermist3 Mit Erde gemischt, Maim., Gefässe aus Stein, Gefässe aus (ungebrannter) Erde3a Diese drei Arten können keine Unreinheit annehmen, Vorb. 15., Gefässe aus Ton4 Diese und die folgende Art können zwar Unreinheit annehmen, jedoch nur von innen, aber nicht von der Aussenseite, Vorb. 26. Daher genügt es, wenn das Innere fest abgeschlossen ist. und Nether-Gefässe5 Vgl. 2, Note 7.. Ferner Bein und Haut vom Fisch, Knochen und Haut von Seetieren6 Überhaupt von allen Wassertieren; diese nehmen keine Unreinheit an, 17, 13. Auch Geräte aus Vogelknochen nehmen keine Unreiheit an; doch gibt es hierin Ausnahmen, vgl. 17, 14. und die rein bleibenden7 Die nicht verunreinigungsfähigen. hölzernen Geräte8 Diejenigen nämlich, die so gross sind, dass sie vierzig Seah Flüssiges fassen können, s. 15, 1. Sie schützen sowohl, wenn der Deckel oben9 Wörtlich: An ihrer Mündung., als wenn er an der Seite10 Sie haben an der Seite ein Loch bekommen, das man mit צמיד פתיל verschlossen hat. angebracht ist; sowohl wenn die Gefässe auf ihrem Boden stehen, als wenn sie auf die Seite gelegt sind. Sind sie auf die Öffnung umgestülpt11 Und man befestigt die Öffnung an die Erde durch Lehm u. dgl., so schützen sie12 Vor Verunreinigung, wenn sie sich im Toten-Zelte befinden. alles, was unter ihnen liegt13 Sei es in ihrem innern Raume, sei es senkrecht unter ihnen in der Erde vergraben. bis zum Tehom14 Bis zum Abgrund, d. h. bis in die tiefsten Tiefen hinab. Wäre das Gefäss nicht über dem Boden gestülpt, so wären alle im Toten-Zelte noch so tief vergrabenen Gegenstände unrein, Oholot 15, 5. — Nach Maim. schützt ein umgestülptes Gefäss nicht als צמיד פתיל, sondern als „Zelt“; denn wenn ein Zelt in einem anderen Zelte steht, so ist, wenn das äussere Zelt unrein geworden, das innere Zelt nicht unrein. Dies gilt aber nicht von einem irdenen Gefässe; dieses wird auch als „Zelt“ unrein und schützt nicht (Sifra Schemini VII, 1). Unser Satz היו כפויים וכו׳ spricht daher nur von den andern in der Mischna genannten Gefässen, nicht von den irdenen; ferner handelt es sich hier um eine Umstülpung ohne Verstreichung. hinab. R. Elieser erklärt es15 Was unter dem umgestülpten Gefässe sich befindet. für unrein16 Im Toten-Zelte. Es gilt nicht als צמיד פתיל, denn nur wenn der Deckel auf dem Gefässe liegt, schützt er (vgl. Sifre Num. 126). Nach Maim. meint R. Elieser, das umgestülpte Gefäss kann nicht als „Zelt“ schützen.. Sie17 Alle oben genannten Gefässe mit צמיד פתיל. vermögen alles zu schützen, mit der Ausnahme, dass irdene Gefässe18 Die mit צמיד פתיל versehen sind. nur Speisen, Getränke und irdene Gefässe schützen können19 Ausführliches über diese Bestimmung in Edujot 1, 14; vgl. auch oben 9, 2. —.", + "Womit kann man fest anschliessend machen20 Dass es die Wirkung hat, im Toten-Zelte vor der Unreinheit zu schützen. ? Mit Kalk, Gips21 גפסים gr. γύψος, Gips., Pech, Wachs, Lehm22 טיט, Schlamm, Lehm zur Bereitung von Ziegeln., Kot23 צואה, Exkremente., Mauer-Lehm24 And. LA. חֵמָר. S. oben 3, 7 und א״ר das., Töpferton25 Nach Andern: zerstossene Scherbe, die mit Wasser wieder zu Lehm geknetet wird. und mit jeder Sache, die sich zum Verstreichen eignet. Man kann nicht fest anschliessend machen mit Zinn26 בעץ chald., hebr. בדיל. oder Blei27 Sonst אבר = עפרת., weil dies wohl ein Deckel ist, aber nicht fest anschliessend28 Vgl. 9, Note 76.. Man soll ferner nicht fest anschliessend machen29 Nach Maim. ist dies als Verbot, nach רא״ש dagegen bloss als ein guter Rat (עצת טובה) zu fassen. mit fettem Feigenkuchen oder mit Teig, der mit Fruchtsaft30 Der nicht zu den 7 Arten von Flüssigkeiten gehört, die für die Unreinheit empfänglich machen, s. Vorb. 17. geknetet ist, damit man es31 Was im Gefäss liegt. nicht zur Verunreinigung bringe32 Es könnte eine von den 7 Flüssigkeiten auf die Verstreichung kommen, so dass sie für die טומאה empfänglich und sofort im Toten-Zelte unrein wird, und da eine unreine Sache vor Verunreinigung nicht schützt, so würde alles im Gefässe Verschlossene unrein werden. Nach Maim. hält es unsere Mischna für verboten, in Palästina selbst für חולין die Verunreinigung herbeizuführen; doch hat die spätere Mischna (משנה אחרונה) dies erlaubt, vgl. Aboda sara 4, 9 Note 43.. Hat man aber mit diesen (etwas) fest anschliessend gemacht, so schützt es33 Solange die Verstreichung nicht mit einer der 7 Flüssigkeiten benetzt worden ist..", + "Ein Spund eines Fasses, der lose geworden ist34 Eig.: der erschüttert ist, von חלחל, erschüttern (Esther 4, 4)., aber nicht abgeht35 Er fällt nicht hinaus, wenn man das Fass umbiegt. Nach ראב״ד (zu טומאת מת 22, 9) heisst מחולחלת hohl, und es handelt sich hier um einen hohlen überfassenden Deckel, in den die obere schmale Mündung des Fasses (Kruges) so fest hineingeht, dass der Deckel beim Umbiegen des Kruges nicht abfällt (אינה נשמטת). Dies heisst nach R. Jehuda ein צמיד פתיל, auch wenn es nicht verstrichen ist., kann nach R. Jehuda schützen; die Weisen aber sagen: Er schützt nicht36 Weil der Spund lose ist; nach ראב״ד, weil der Deckel nicht verstrichen ist.. Geht dessen Griffhöhlung37 Eine Vertiefung oben im Spunde, in welche man den Finger steckte (daher בית אצבע), wenn man den Spund vom Fasse herausziehen wollte. tief bis ins Innere des Fasses hinein, so ist, wenn ein Kriechtier in derselben38 In der Griffhöhlung. sich befindet, das Fass unrein39 Wie wenn der Raum der Höhlung mit dem innern Raum des Fasses verbunden wäre. Es ist der Raum der Höhlung nicht als תוך תוכו (8, Note 13) zu betrachten, da der Spund wie ein Teil des Fasses angesehen wird (Bart.). Auch gilt der Spund nicht als Gerät, um wegen תוך תוכו zu schützen (8, 3).; ist ein Kriechtier im Fasse, so sind die in derselben befindlichen Speisen unrein.", + "Wenn man einen Ball40 כדור, (wahrsch. Jes. 22, 18; 29, 3) ein Ball. oder einen Knäuel41 פקעת (vgl. פקעים, 1. Kön. 6, 18; 7, 24), ein Knäuel. von Schilf42 של גמי bezieht sich auch auf כדור (א״ר), s. 9, Note 43. Feuchtes Schilf ist zu einer runden Kugel oder zu einem Knäuel gewickelt. auf die Fassöffnung getan und bloss an den Seiten verstrichen hat43 Statt אם מרח ist zu lesen ומרח (L u. א״ר) oder מרח (M)., so schützt es nicht44 Da der Ball und der Knäuel hohl und vielfach gelöchert ist (יו״ב)., sondern man muss darüber und darunter45 Nach יו״ב ,א״ר und מ״א: entweder darüber oder darunter, so dass alle Löcher im Knäuel vollständig verstrichen sind. רא״ש liest מלמטן למעלן (ebenso L), er muss verstreichen von unten (d. h. vom Rande des Fasses an) bis nach oben über den ganzen Ball, soviel davon ausserhalb des Fasses liegt. bestreichen. Eben dasselbe gilt von einem Stück46 מטלית (von טלא flicken) ein Fleck, ein kleines Stück. Es darf nicht so gross sein, dass es verunreinigungsfähig ist, vgl. 27, 2. Zeug47 Auch dieses muss ganz verstrichen werden, weil es auch gelöchert ist.. Ist es aber ein Stück Papier48 ניר Papier aus Papyrusstauden. oder Leder, und man bindet eine Schnur49 משיחה (vom chald. משח, messen) Messschnur, Schnur. darum50 Die Fässer hatten an der Mündung einen nach aussen gebogenen Rand, wodurch es möglich war, ein über die Mündung gespanntes Stück Papier oder Leder durch eine Schnur am Fasse zu befestigen., so schützt es, wenn man bloss an den Seiten verstreicht51 Man braucht nicht oben zu verstreichen, da Papier und Leder nicht gelöchert sind..", + "Wenn von einem (gepichten) Fasse sich Scherben losgelöst haben52 Wörtlich: Es ist abgeschält worden, es sind einzelne Scherben vom Pech abgesprungen., dessen Pech aber noch dort53 Wo die Scherben sich losgelöst haben. steht54 So dass das Loch durch das Pech verklebt ist. Dieser Fall ist demnach ähnlich dem am Anfang der folgenden Mischna, wo ein gelöchertes Fass durch Hefen verstopft wird. In der Tat stellt die Tosefta (I 7, 8) diese beiden Fälle zusammen. Es heisst das.: „Nach R. Jehuda schützt ein צמיר פתיל nicht von innen, nach den Weisen schützt es. Z. B. wenn ein Fass gelöchert ist und Hefen es verstopfen, so schützt dies nach R. Jehuda nicht, wohl aber nach den Weisen. Wenn von einem Fasse Scherben sich abgelöst haben und die Verpichung ist noch ganz, so schützt dies nicht nach R. Jehuda, wohl aber nach den Weisen.“ Diese Tosefta gibt den authentischen Kommentar zu unserer Mischna., oder wenn man Salzbrühe-55 מוריים = muries, Salzbrühe, worin Thunfische und andere Fische eingemacht wurden. Krüge56 קבותים (die Tosefta כפותין) vom gr. ϰιβωτός, wohl ein Behälter zum Einmachen der Fische. am Rande57 Der nach aussen gebogen ist. vergipst58 Lies: שגפסן. גפם, ein verb. gebildet aus dem subst. גפסיס. hat59 Der Gips ist im Innern des Behälters verstrichen, aber der Rand liegt frei. So heisst es in der Tosefta (I 7, 7): של מורייס שגפסן עם השפה ושפתותיהן נראין כפותין Muries-Behälter, die man am Rande vergipst hat, deren Ränder aber sichtbar sind., so sagt R. Jehuda: Es schützt nicht60 In beiden Fällen, weil der Verschluss im Innern und nicht oben auf dem Gefässe (צמיד פתיל עליו) ist.; die Weisen aber sagen: Es schützt.", + "Wenn61 B. kamma 105 a.— ein Fass gelöchert ist und die Hefen es verstopfen, so schützen sie es.62 Das ist nach der Ansicht der Weisen in der vorigen Mischna, wie ja in der oben Note 54 angeführten Tosefta R. Jehuda ausdrücklich dagegen entscheidet. Verstopft man es mit einer Weinrebe, so schützt sie nur, wenn man sie an den Seiten63 Oben auf der Rebe bedarf es keiner Verstreichung. verstreicht. Waren es zwei Reben,64 Mit denen man das Fass verstopft hat. so schützen sie nur, wenn man an den Seiten und zwischen einer Rebe und der andern verstreicht. Wenn man ein Brett65 Dies ist als flaches hölzernes Gerät nicht verunreinigungsfähig. auf die Öffnung des Ofens legt, so schützt es nur, wenn man es an den Seiten verstreicht. Sind es zwei Bretter, so schützen sie nur, wenn man an den Seiten und zwischen einem Brett und dem andern verstreicht. Hat man sie mittelst Zapfen66 סן od. סין, nach Maim. ein Zapfen, verw. mit שֵֹן. Am Anfang der Baraita von מלאכת המשכן wird gesagt, dass je zwei nebeneinander stehende Bretter der Stiftshütte durch סינין mit einander verbunden waren; dies wird aus Exod. 26, 17 gefolgert. oder Fugen67 שוגמין oder שיגמין (viell. von شمج, zusammennähen) Fugen oder Falzen. Das verb. שגס wird vom Zusammenfügen der Bretter gebraucht, 22, 10. In Erubin 101a heisst גשמא nach Raschi „ein verbindender Riegel“. Nach Maim. sind שיגמין Korkstücke (von שעם, Kork). verbunden, so braucht man dazwischen68 Eig. „in der Mitte“. Es steht hier nicht, wie oben (בין נסר לחברו), da die Bretter so zusammengefügt sind, dass kein Zwischenraum zwischen einem Brett und dem anderen vorhanden ist. nicht zu verstreichen.", + "Steht ein alter Ofen69 D. i. ein Ofen, der nach der Bestimmung in 5, 1 geheizt worden. Ein solcher gilt als Gefäss und kann nur durch צמיד פתיל vor der Totenzelt-Unreinheit geschützt werden, Oholot 12, 1. — in einem neuen70 Der noch nicht geheizt worden. Ein solcher ist kein Gerät, kann daher als Zelt im Totenzelte schützen und bedarf keines צמיד פתיל, Oholot das., und ein Deckel71 S. 9, 7. Der Deckel ist nicht mit Lehm verstrichen, ist also kein צמיד פתיל. liegt auf der Öffnung des alten;72 רא״ש u. A. lesen ע״פ החדש, vgl. תוי״ט und מ״א. ist dies derart, dass durch Wegnehmen des alten der Deckel herunterfiele,73 Indem der Deckel nicht breit genug ist, um den Rand des neuen Ofens zu bedecken. so ist74 Wenn die Öfen im Totenzelte stehen. alles75 Was sich in beiden Öfen befindet, und auch der alte Ofen. unrein;76 Der alte Ofen kann nicht schützen, weil er kein צמיד פתיל hat; der neue wieder kann nicht als Zelt schützen, weil der Deckel nicht durch ihn, sondern durch den alten Ofen gestützt ist. ist aber dies nicht der Fall,77 Vielmehr ist der Deckel breit genug, dass derselbe beim Wegnehmen des alten durch den neuen Ofen gestützt bliebe. so ist alles75 Was sich in beiden Öfen befindet, und auch der alte Ofen. rein.78 Indem der neue Ofen als Zelt alles schützt. Steht ein neuer in einem alten, und ein Deckel liegt auf dem alten, so ist, wenn zwischen dem neuen79 Dem oberen Rand des neuen Ofens. und dem Deckel kein Zwischenraum80 Wörtl.: Öffnung. von einer Handbreite ist, alles im neuen Befindliche rein.81 Es wird so betrachtet, als wenn der Deckel auf dem neuen Ofen läge, wodurch dieser ein schützendes Zelt wird.", + "Wenn mehrere Tiegel82 לפס = λοπάς. Es sind irdene Gefässe. ineinander stehen und ihre Ränder oben gleich sind,83 Es ragt nicht ein Rand über dem andern hervor. so ist, falls sich ein Kriechtier im obersten84 Das ist der innerste, der auf allen anderen liegt. oder untersten85 Der äusserste. befindet, dieser eine86 In dem das שרץ sich befindet. unrein87 Nebst den darin befindlichen Speisen und Getränken. und alle andern88 Die Tiegel nebst dem darin Befindlichen. rein.89 Nach den Bestimmungen über תוך תוכו in 8, 2, Note 13 und 14, vgl. das. Sind sie90 Alle Tiegel. aber so gelöchert, dass Flüssigkeit eindringen kann,91 Die Tiegel dienen für Speisen und Getränke zugleich und verlieren daher durch ein solches Loch die Eigenschaft eines vor Unreinheit schützenden Gefässes. vgl. 8, 2, Note 16 und 17.— so gilt folgendes: Ist ein Kriechtier im obersten,84 Das ist der innerste, der auf allen anderen liegt. so sind alle unrein92 Denn hinsichtlich der Verunreinigung des Gefässes gilt das Olivenmass nach 3, 1, so dass das Gefäss trotz des kleinen Loches noch unrein werden kann. Dagegen gelten die so gelöcherten Gefässe nicht als כלים, um nach den Bestimmungen von תוך תוכו vor Unreinheit zu schützen, vgl. א״ר.; ist es im untersten85 Der äusserste., so ist dieser unrein93 Denn nur ein כזית-Loch könnte es rein machen (3, 1). und alle andern94 Nur die Gefässe, aber nicht die etwa darin befindlichen Speisen und Getränke. rein95 Denn gelten sie trotz des Loches als כלים, so sind sie als תוך תוכו geschützt; gelten sie wieder nicht als כלים, so sind sie überhaupt nicht verunreinigungsfähig. Doch sind bei letzterer Annahme die in diesen befindlichen Speisen und Getränke unrein, wie wenn sie im Raume des äussersten Gefässes wären.. Befindet sich96 Dieser und der folgende Satz handeln wieder von Tiegeln, die ganz und nicht gelöchert sind. ein Kriechtier im obersten84 Das ist der innerste, der auf allen anderen liegt., während der unterste85 Der äusserste. überragend97 Höher als die andern. ist, so ist jener98 Der innerste. und der unterste85 Der äusserste. unrein99 Denn sobald der Rand des äussersten alle Gefässe überragt, ist das im innersten befindliche שרץ wie im Raum des äussersten liegend zu betrachten, 8 Note 13. Die mittlern Tiegel jedoch sind rein, denn ein irdenes Gerät kann vom unreinen Raume eines andern irdenen Gerätes nicht verunreinigt werden, 8, 4, Note 32. —. In diesem Falle100 Nur in diesem letzteren Falle gilt die folgende Bestimmung, dass die Feuchtigkeit dem Gefässe Unreinheit verursacht, nicht aber in dem unmittelbar vorhergehenden, wo von gelöcherten Gefässen ככונס משקה gesprochen wird. Da gilt der Satz: „ist ein Kriechtier im untersten, so ist dieser unrein und alle anderen rein“ auch dann, wenn die anderen von Flüssigkeit benetzt sind. Sie können nicht durch die Flüssigkeit unrein werden. Denn gelten die anderen Gefässe trotz des kleinen Loches als ganz, dann wird die in denselben befindliche Flüssigkeit selbst nicht unrein, sie wird vom Gefässe (als תוך תוכו) geschützt; um so weniger kann das Gefäss durch die Flüssigkeit unrein werden. Gelten die gelöcherten Gefässe aber als zerbrochen, so können sie überhaupt nicht unrein werden. — Deshalb muss hier die Fallbestimmung בעליונה והתחתונה עודפת wiederholt werden, damit man nicht den Satz כל שיש בה משקה טופח auf alle vorhergehenden Fälle beziehe, vgl. ausführliches in א״ר. — Indessen lesen L, N. und and. העליונה statt בעליונה. Die Erklärung dieser LA. vgl. in מ״א und תא״ש., wo sich ein Kriechtier im obersten befindet, während der unterste85 Der äusserste. überragend97 Höher als die andern. ist, sind auch von den mittlern alle, die von Flüssigkeit benetzt sind, unrein101 S. 8, 4, Note 34.." + ], + [ + "Von Metall-Geräten sind die flachen, wie die mit einem Behälter versehenen verunreinigungsfähig1 Im Gegensatz zu den Geräten von Holz u. s. w., von denen die flachen rein sind, nach 2, 1.. Zerbrechen sie, so werden sie rein2 S. 2, 1, Note 5.. Macht man wieder Geräte aus denselben, so kehren sie wieder in ihre alte Unreinheit zurück3 Nach rabbinischer Bestimmung; und zwar hat dies Simon ben Schetach angeordnet. Es werden in Sabbat 16 b verschiedene Gründe dafür angegeben.. R. Simon ben Gamliel sagt4 Diesen Satz zitiert Tosafot Sabbat 16 b v. הניחא als Tosefta, wo er in der Tat II, 1, 1 sich findet. Er scheint ihnen also in der Mischna nicht vorgelegen zu haben.: Dies gilt nicht für jede Unreinheit, sondern nur für die Toten-Unreinheit5 Die eine sieben Tage währende Zeit bis zum Reinwerden bedürfen (Num. 19, 19). Da man also oft nicht so lange warten will, so wird man lieber die Metallgeräte löchern und dann wieder herstellen, um sie sofort rein zu haben. Dadurch würde die Thora-Vorschrift von der Reinigung durch Entsündigungswasser (מי חטאת, Num. 19, 9) in Vergessenheit geraten..", + "Jedes Metall-Gerät, das einen Namen für sich allein hat6 Ausgeschlossen sind solche, die als Teile anderer Geräte bezeichnet werden (רא״ש)., ist verunreinigungsfähig7 Auch wenn es kein Behältnis hat; die mit einem Behältnis versehenen sind auch als Teile eines andern Gerätes verunreinigungsfähig.; ausgenommen ist: die Türe, der Riegel8 Der Querriegel, Maim., das Schloss9 Hohel. 5, 5., die Pfanne10 L. u. M פותה (1. Kön. 7, 50), eine becherförmige Vertiefung aus Eisen, die in die Ober- und Unterschwelle eingelassen wurde. unter der Türangel, die Türangel11 Spr. 26, 14; die Türe hatte oben und unten je einen Zapfen, mittelst deren sie sich in der Pfanne (Angelmutter) hin und her drehte., der Klopfer12 קורא. Nach יו״ב und תא״ש ein an der Türe befestigter Klopfer, womit man jemand zum Öffnen der Türe herbeirief; doch haben die alten Ausgg. הקורה. Vgl. sogen. Raschi zu Moëd katan 11a. und die Rinne13 צנור Ps. 42, 8; 2. Sam. 5, 8, eine Wasserröhre (Maim. u. A.). Nach R. Hai ist hier die צינורא דדשא (Berachot 18 b) gemeint, ein Metallrohr, das in das Loch der untern Türschwelle eingelassen war, ähnlich wie die פותח (Note 10), nur dass es unten keinen Boden hatte (יו״ב)., weil sie zur Befestigung an die Erde bestimmt sind14 Deshalb nehmen sie auch vor ihrer Befestigung am Boden keine Unreinheit an..", + "Wenn man Geräte macht aus Roheisen15 עשת, Ez. 27, 19, nach Maim. rohes Eisen, wie es vom Schacht kommt., aus Eisenklumpen16 חררה, ein Kuchen; daher etwas Rundes, ein Eisenklumpen, der aus dem geschmolzenen Eisen gemacht wird. Nach א״ר ist חררה ein Klumpen, wie er aus dem Schacht kommt, und עשת ein neues Stück Eisen., aus dem Reifen eines Rades17 Eines hölzernen Rades, das mit einem eisernen Reifen beschlagen ist., aus Platten18 טס, ein dünnes Blech, vgl. Targ. O. zu Num. 17, 3., aus Überzügen von Gefässen, aus Gestellen von Gefässen, aus Rändern19 אוגן, and. LA. הוגן, der Rand, der das Gefäss umringt, nach R. Hai Metath. von חנג (חינגין, Reigentanz). von Gefässen, oder aus Henkeln von Gefässen, aus Abfällen20 שחולת (von שחל, abfallen, Hif. השחיל, abwerfen), die Abfälle., oder aus Feilspänen21 גרורות (von גרד, abkratzen, abschaben), das Abgefeilte. M und L: גרודת., so sind sie rein22 Bei diesem Material steht nicht zu befürchten, dass es von einem unreinen Geräte herrührt und dass jetzt, wenn daraus ein neues Gefäss gemacht wird, die alte Unreinheit wiederkehrt, da diese Materialien teils noch keine Gefässe waren, teils von unvollendeten Gefässen kommen, die nicht verunreinigungsfähig sind.. R. Jochanan, Sohn Nuri’s, sagt: Auch von zerschnittenen Gefässen23 קצוצות, L und M: קצוצת, zerschnittene Gefässe. Bei den ganz in Stücke zerschnittenen Gefässen hat man die Bestimmung der Wiederkehr der früheren Unreinheit nicht angeordnet.. Macht man aber Geräte aus Bruchstücken von Gefässen, aus altem Gerümpel24 גרוטים, and. LA. גרוטות; L. u. M גרוטי, gr. γρύτη Gerümpel. oder aus Nägeln, von denen man weiss, dass sie aus Gefässen25 Wiewohl man nicht weiss, ob dies reine oder unreine Gefässe waren. gemacht wurden, so sind sie unrein26 Vielleicht kommt das Material von unreinen Gefässen, und bei den neuen Gefässen kehrt die alte Unreinheit wieder.. Gefässe aus Nägeln (schlechthin)27 Von denen nicht bekannt ist, ob sie aus Gefässen oder aus rohem Eisen gemacht sind. sind nach Bet-Schammai unrein27a Damit man nicht dazu komme, auch die Gefässe aus Nägeln, die von Gefässen herrühren, für rein zu erklären., nach Bet-Hillel rein28 Nach Bet Hillel hat man keine solche Vorbeugungsbestimmung getroffen..", + "Hat man unreines Eisen29 Eisen, das von einem unreinen Gefässe herrührt. mit reinem Eisen gemischt30 Man hat es zusammen eingeschmolzen und daraus ein neues Gerät gemacht., so ist dies, falls das Meiste vom Unreinen ist, unrein31 Es kehrt die alte Unreinheit wieder.; falls das Meiste vom Reinen, rein; wenn von jedem zur Hälfte, unrein. Ebenso ist es, wenn man aus Zement32 חלמא, L u. M חלמה, nach den Erklärern ein stark klebriger Lehm. und Mist33 Die man zusammengemischt und gebrannt hat. ein Gerät gemacht34 Ist das Meiste vom Lehm, dann gilt es als irdenes Gerät und ist verunreinigungsfähig; ist aber das Meiste von den Exkrementen, so kann es keine Unreinheit annehmen, Vorb. 15.. Der Metall-Riegel35 קלוסטרא (claustrum) ist ein Vertikal-Riegel, dessen Spitze die Form eines Apfels hatte und den man mitunter auch als Stössel zum Stossen des Gewürzes gebrauchte In Erubin 10, 10 wird dieser Knopf am obern Ende גלוסטרא (קלוסטרא) genannt. ist unrein36 Er ist verunreinigungsfähig und ist unrein, wenn er aus unreinem Eisen gemacht ist (Bart.). Obgleich der Riegel an die Erde befestigt wird, so ist er dennoch verunreinigungsfähig, weil er auch als Stössel gebraucht wird.; der (mit Metall) überzogene37 Der hölzerne Riegel, der bloss mit Metall überzogen ist. ist rein.38 Da das Gerät selbst von Holz ist, kann es als flaches hölzernes Gerät trotz des metallenen Überzugs keine Unreinheit annehmen, nach Mischna Chagiga, Ende.. Die Zapfen39 הפין ist nach R. Hai als Mehrzahl zu fassen und ist dasselbe, wie weiter 13, 6, wo die meisten Kommentare חפין lesen. Die Einz. davon (חף) ist in Sabb. 8, 6, zu finden. Es sind Zähne oder Zapfen, die in die Löcher des Querriegels hineingeschoben waren und denselben an dem Türpfosten festhielten. Da R. Hai und Maim. הפין mit ريش übersetzen, das „Feder“ bedeutet, so könnte man הפין auch mit penna zusammenstellen. und der Querriegel40 הפורנה (R. Hai: הפרנא) wird von Maim. mit القغل (Querriegel) übersetzt. Eine Etymologie ist noch nicht gefunden (vielleicht von περόνη, eine Nadel zum Feststecken). תוס׳ חדשים und יו׳׳ב fassen הפין והפורנא als ein Vorhängeschloss. הפין ist der Bügel und הפורנה der Bauch des Hängeschlosses. sind unrein41 Sie sind verunreinigungsfähig.. Den Riegel42 Den Vertikal-Riegel. darf man nach R. Josua am Sabbat von einer Türe fortziehen und an eine andere43 Daneben befindliche Türe im Hause. hängen44 Aber in den Hof hinaus darf man den Riegel nicht tragen, falls man keinen Erub gemacht und die Geräte des Hauses nicht in den Hof hinaustragen darf, vgl. Baneth, Einleitung zu Erubin.. R. Tarfon sagt: Er ist wie alle andern Geräte45 Wie ein im Hofe befindliches Gerät, da der Raum zwischen den Türpfosten, wo der Riegel gewöhnlich hängt, als zum Hofe gehörig betrachtet wird. zu betrachten und darf im Hofe fortbewegt werden46 Denn die Geräte des Hofes dürfen im Hofe hin und her getragen werden, vgl. Sabbat 124a..", + "Der Skorpion47 Ein skorpionförmiges Eisen, das als Gebiss dem Tiere in den Mund getan wird. der Halfter48 פרומביא φορβειά. ist unrein49 Es ist ein Gerät, das der Mensch gebraucht, um das Tier zu lenken. Die Bleche an den Kinnbacken50 Die buntbemalt sind und als Schmuck des Tieres gelten. sind rein51 Denn Tierschmuck-Gegenstände sind rein, 12, 1.. R. Elieser erklärt die Bleche für verunreinigungsfähig52 Weil sie dazu bestimmt sind, mit dem עקרב, der verunreinigungsfähig ist, verbunden zu werden.. Die Weisen sagen: Nur der Skorpion ist unrein53 In dieser Beziehung entscheiden die Weisen so wie der erste Tanna; doch fügen sie folgenden Satz noch hinzu. und wenn sie aneinander befestigt sind, ist alles unrein54 Nach dem ersten Tanna sind die Bleche auch in diesem Falle rein (תוס׳ חדשים). Nach Anderen ist zwischen den Weisen und dem ersten Tanna keinerlei Differenz, vgl. Tos. Menachot 12a v. וחכמים..", + "Ein metallener Wirtel55 Der Ring oder der Knopf am unteren Ende der Spindel, der diese beschwert und den gleichförmigen Umschwung befördert (Nuss der Spindel). ist nach R. Akiba verunreinigungsfähig; die Weisen aber erklären ihn für rein.56 Weil dieser Wirtel keinen Namen für sich allein hat (Mischna 2), sondern nur als Teil der Spindelstange (כוש 9, 6 Note 59) bezeichnet wird. Der (mit Metall) überzogene57 Der hölzerne Wirtel, der mit Metall überzogen ist. ist rein38 Da das Gerät selbst von Holz ist, kann es als flaches hölzernes Gerät trotz des metallenen Überzugs keine Unreinheit annehmen, nach Mischna Chagiga, Ende.. Die Stange58 Oben 9, 6, Note 59., der Wocken59 Auch Rocken, Spinnrocken genannt, ein Stab, um den der Flachs, den man spinnt, gewickelt wird., der Stecken60 Aus Metall., die Doppelflöte61 סימפוניה, συμφωνία (Dan. 3, 5). — und die Pfeife sind, wenn sie aus Metall bestehen, verunreinigungsfähig; sind sie aber bloss (mit Metall) überzogen, so sind sie rein38 Da das Gerät selbst von Holz ist, kann es als flaches hölzernes Gerät trotz des metallenen Überzugs keine Unreinheit annehmen, nach Mischna Chagiga, Ende.. Wenn die Doppelflöte mit einem Behälter für Flügel62 Flügelartige Gefässe, die einen schönen Klang hervorbringen. versehen ist, so ist sie in beiden Fällen verunreinigungsfähig63 Der hölzerne Behälter, der mit dem Spielinstrument verbunden ist, macht das ganze Gerät verunreinigungsfähig..", + "Ein rundes Horn64 Eine Trompete, die aus mehreren Gliedern zusammengesetzt und zerlegbar ist. Das runde Horn bedarf zu seiner Zusammensetzung eines Sachverständigen (אומן), während das gerade von jedem zusammengesetzt werden kann (Sabbat 47 a). ist verunreinigungsfähig65 Weil es ein Behältnis hat., ein gerades ist rein66 Weil es kein Behältnis hat. Horngeräte sind, ebenso wie Holzgeräte, ohne Behälter nicht verunreinigungsfähig (2, 1, Note 1).; ist sein Mundstück67 מצופית (von צפן, beengt sein) die enge Seite, auf welcher geblasen wird (Abot 5, 5, Note 22). von Metall, so ist es68 Das Mundstück. verunreinigungsfähig. Den unteren Ansatz69 Die breite Seite, wenn sie aus Metall ist. קב, von קבב höhlen, die Höhlung. And. L. A. קו (viell. der Klang, nach Ps. 19, 5) die Seite, aus der der Klang ertönt. desselben erklärt R. Tarfon für verunreinigungsfähig, die Weisen aber für rein70 Weil dieser keinen Namen für sich allein hat, wie oben Note 56. —. Wenn sie71 Alle Stücke, das Horn mit dem untern Ansatz und dem Mundstück. miteinander verbunden sind, ist alles verunreinigungsfähig72 Wegen des Mundstückes, vgl. 12, 2 Ende.. Desgleichen (hat man gelehrt): Die Röhren73 Die Seitenarme. des Leuchters sind rein74 Weil sie keinen Namen für sich allein haben., der Aufsatz75 In welchen der mittlere Ölbehälter gesetzt wird. פרח (Blumenkelch) wird er wegen seiner Verzierungen genannt. und die Basis sind verunreinigungsfähig76 Beide zusammen (welche die mittlere Lampe tragen), obgleich die Seitenarme woggenommen sind (מ״א)., und wenn sie miteinander verbunden sind, ist alles verunreinigungsfähig77 Auch die Seitenarme,.", + "Der Helm78 קסדא = cassis-idis. ein Helm. ist verunreinigungsfähig, die Wangen-Schienen79 Eherne Bleche, mit denen die Krieger ihre Wangen schützen. aber sind rein74 Weil sie keinen Namen für sich allein haben.. Ist jedoch an diesen ein Behältnis Wasser aufzunehmen80 Um daraus im Kriege Wasser zu trinken., so sind sie verunreinigungsfähig. Alle Kriegsgeräte sind verunreinigungsfähig: der Speer, der Mauerbrecher,81 ניקון, νίϰων, der Mauerbrecher (Krauss, Lehnwörter II 363). Nach den Erklärern ist ניקון Transpos. von קין, Lanze (2. Sam. 21, 16). die Beinschienen82 מגפים (von גפף einschliessen) Beinschienen, welche die Beine umschliessen (hebr. מצחה, 1, Sam. 17. 6). und der Panzer sind verunreinigungsfähig. Alle Schmuckgegenstände der Frauen sind verunreinigungsfähig83 Dies wird aus Num. 31, 23 deduziert (vgl. Sifre sutta ed. Horovitz 179, cit. von ר״ש).: Die goldene Stadt84 Eine goldene Krone mit dem Bilde der Stadt Jerusalem (Sabbat 59a. Tos. v. ולא)., Halsketten85 קטלה = catella., Ohrringe, Fingerringe, ein Ring sowohl, wenn er mit Petschaft versehen ist, als wenn kein Petschaft daran ist86 Wiewohl hinsichtlich des Tragens am Sabbat ersterer nicht als Frauen-Schmuck angesehen wird, vgl. Sabbat 60a. —, und Nasenringe. Bei einer Halskette, deren Glieder87 תליות, oben 5, 8. — von Metall sind, welche ein Faden von Leinen oder Wolle verbindet88 Die Glieder sind auf dem Faden aneinander gereiht., sind, wenn der Faden gerissen, die Glieder verunreinigungsfähig, weil jedes einzelne89 Metallene Glied. als besonderes Gerät betrachtet wird. Ist der Faden von Metall, und die Glieder von Edelsteinen, Perlen oder Glas, so ist, (selbst) wenn die Glieder zerbrochen sind und der Faden allein geblieben ist, dieser verunreinigungsfähig. Der Rest einer Halskette90 Es ist ein Teil des Fadens mit den daran hängenden Gliedern abgerissen, und nur ein Teil ist zurückgeblieben. (ist noch verunreinigungsfähig), wenn er für den Hals eines kleinen Mädchens ausreicht. R. Elieser sagt: Selbst wenn nur ein einzelner Ring geblieben91 Wenn an dem Faden, der für den Hals eines kleinen Mädchens ausreicht, auch nur ein Ring geblieben (רא״ש). Nach א״ר spricht unser Fall von dem metallenen Faden der Kette; nach dem ersten Tanna muss davon soviel geblieben sein, dass es für den Hals eines Kindes reicht; nach R. Elieser dagegen genügt so viel, dass man daraus einen Ring machen kann, den man an den Hals hängt., ist er verunreinigungsfähig, weil man ihn an den Hals hängt.", + "Wenn an einem Ohrgehänge, das unten topfförmig92 Wie ein hohles Gerät. und oben linsenförmig93 Wie ein Linsenkorn; daran ist das Häkchen angebracht, womit das Gehänge an das Ohr gehängt wird. gemacht ist, die Teile auseinander gerissen sind, so ist der topfförmige Teil als Gerät mit Behälter94 Aber nicht als Schmuckgegenstand, weil er als solcher für sich allein nicht zu gebrauchen ist. verunreinigungsfähig, und auch der linsenförmige Teil ist für sich verunreinigungsfähig95 Als Schmucksache, weil man diesen mit seinem Häkchen ans Ohr hängen kann.. Das Häkchen96 צינורא, s. oben 9, 6, Note 60. ist97 Wenn es von der Linse getrennt ist. rein. Ist ein Gehänge, das traubenförmig gemacht ist98 Es hängen mehrere Goldkörner traubenartig an einem Häkchen., auseinander gerissen, so ist es rein99 Da die einzelnen Körner nicht als Schmuck gebraucht werden.." + ], + [ + "Der1 Sabbat 52a. Ring des Menschen2 Den der Mensch als Schmuck trägt. ist verunreinigungsfähig; aber ein Ring für Vieh3 Etwa solche, die am Halse von Pferden angebracht sind (Maim.). oder für Geräte4 Zur Zierde der Geräte, oder zum Aufhängen derselben. Doch gilt dies nur so lange, als sie nicht mit den Geräten verbunden sind; wenn sie aber mit Geräten verbunden sind, können sie mit diesen zusammen unrein werden. und sonstige Ringe5 Etwa Ringe für Lendengurte. sind rein, der Balken für Pfeile6 Der als Zielscheibe für Pfeile dient und zum Teil mit Eisen beschlagen ist (Maim.). ist verunreinigungsfähig, der für Gefangene7 Der Fussblock, hebr. סד. Nach Maim. u. Bart. ist hier von einem Metall-Balken die Rede. aber ist rein8 Er wird nicht als Gerät betrachtet.. Das Halseisen9 הקולר = collare. ist verunreinigungsfähig10 Da der Gefangene damit umhergeht, gilt es als Gebrauchsgerät (כלי מעשה, Num. 31, 51); nicht so der Fussblock.. Eine Kette, an der ein Schloss sich befindet11 Um Tiere damit an die Wand zu schliessen, damit sie nicht gestohlen werden (ר״ש)., ist verunreinigungsfähig, dagegen ist die, welche zum Binden12 Von Tieren oder anderen Gegenständen. dient, rein13 Es wird nicht als Gerät, sondern wie eine Schnur betrachtet.. Die Kette der Getreide-Händler14 סיטון, σίτώνης, Getreidekäufer. Mit der Kette wird das Mass an die Wand angeschlossen (Bart.). ist verunreinigungsfähig, die der Privatleute aber ist rein15 Weil sie gewöhnlich zur Zierde eines Gerätes dient (Bart.).. Es sagt R. Jose: Wann gilt dies? Wenn nur ein Schlüssel16 N liest nicht מפתח. Danach wird unterschieden zwischen den Fällen, ob die Kette aus einem Stück oder aus zwei Stücken besteht (vgl. א״ר). Nach Maim. diente die Kette bei den Händlern zum Verschliessen der Ladentüre; die Privatleute aber liessen sie bloss zur Zierde am Tore hängen. Wenn aber an beiden Enden ein schlüsselförmiges Eisen angebracht war, dann diente die Kette jedenfalls zum Verschliessen der Türe. daran ist, sind aber deren zwei oder hat man ans Ende eine Schnecke17 חלזון (ebenso syr. und arab.), ein Muscheltier, die Purpurschnecke. Hier ist es ein schneckenförmiges Eisen am Ende der Kette, womit diese an eine Wand oder Türe angehängt wird. Wegen dieser Schnecke wird die Kette als Gerät angesehen (Bart.). angebracht, so ist sie verunreinigungsfähig.", + "Der Wage-Balken18 Der Wagebalken der Schnellwagen. der Wollkämmer ist verunreinigungsfähig19 Obgleich er ein flaches hölzernes Gerät ist (vgl. Vorb. 12.). wegen der Haken20 Der eisernen Haken, die an dem kürzern Arm des Balkens angebracht sind, um die Last daran zu hängen. אונקליות, syr. ܐܶܘܩܺܝܢܳܐ von ὄγϰινος (ἀγϰύλη), Haken. M. u. L haben אונקיות, von ὄγϰος., der der Privatleute21 Die gewöhnlich die Last mit einer Schnur an den Wagebalken hängen und keine Haken gebrauchen. ist nur, wenn Haken daran sind, verunreinigungsfähig. Die Tragstange22 Die an beiden Enden mit Widerhaken versehen ist, an welche Lasten gehängt werden. der Lastträger ist rein23 Denn die Stange ist das eigentliche Gerät, und die Widerhaken dienen bloss dem Holzgeräte (vgl. 13, 6)., die der Gewürzkrämer24 An den Enden dieser Stange sind Gewürzbehälter angebracht. verunreinigungsfähig25 Wegen der Behälter.. R. Jehuda sagt: Nur der von den Gewürzkrämern vorn getragene Behälter ist verunreinigungsfähig, der hinten getragene ist rein26 Denn es wird nichts hineingetan, indem er bloss dazu dient, dem vorn getragenen das Gleichgewicht zu halten.. Der Haken einer Bettstelle27 דרגש (Sanhedrin 2, 3 Ende) eine kleine Bettstelle mit ledernem Unterbett, das an den Säumen mit Schleifen versehen ist, vermittelst welcher das Unterbett an den an den Seitenbrettern der Bettstelle angebrachten Haken angehängt wird. ist verunreinigungsfähig28 Da auch die Bettstelle verunreinigungsfähig ist., der der Bettstangen29 נקליטין (ἀνάϰλιτα, angelehnte Gegenstände) sind zwei Bettstangen, deren eine an der Mitte der Kopf-, die andere an der Mitte der Fussseite sich befindet, über welche eine Querstange gelegt wurde, und darüber ein von beiden Seiten herabhängender Vorhang. Die Haken dienten dazu, die Querstange oder die Vorhänge zu halten. Nach Maim. (zu 18, 3) befanden sich die beiden נקליטין an der Kopfseite des Bettes. ist rein30 Er gehört zur Stange.. Der (Haken) am Kasten ist verunreinigungsfähig31 Wie der Kasten selbst., der der Fischreuse32 אקון (R. Hai עקון) ein Korb oder Kasten zum Fangen der Fische. Gr. ὀγϰίον, Kasten, Korb. ist rein33 Wie die Fischreuse selbst (23, 5).. Der des Tisches ist verunreinigungsfähig34 Wie der Tisch selbst (Vorb. 12)., der am hölzernen Leuchter35 Dieser ist als Holzgerät ohne Behälter rein. ist rein. Dies ist die Regel: Jeder (Haken), der mit Verunreinigungsfähigem verbunden ist, ist verunreinigungsfähig, der mit Reinem verbundene ist rein. Alle aber, einzeln für sich allein36 Wenn der Haken von seinem Geräte losgetrennt ist., sind rein37 Da er für sich allein kein Gerät ist (מ״א)..", + "Den metallenen Deckel38 S. Mischna 6. des Korbes39 טני = טנא Korb, vgl. Tamid 3, 6. der Hausherren erklärt Rabban Gamliel für verunreinigungsfähig40 Dieser Deckel hat von der Innenseite eine Vertiefung und gilt daher als Gerät.; die Weisen aber erklären ihn für rein;41 Er ist, wie die anderen Deckel, rein (14, 3), da die Vertiefung nur selten benutzt wird. der der Ärzte aber ist verunreinigungsfähig42 Die Ärzte benutzen häufig den Deckel, um Medikamente darauf zu legen.. Die Türe43 Von Metall. am Schranke44 Von Holz. der Hausherrn ist rein45 S. 13, 6. Die Türe für sich allein nimmt keine Unreinheit an, weil sie keinen Namen für sich hat, sondern Schranktüre genannt wird., die an dem der Ärzte ist verunreinigungsfähig46 Der Arzt gebraucht die Türe, um Pflaster und Instrumente daran zu hängen.. Die Zangen47 יתוך od. יתיך (von יתך oder נתך, giessen od. schmelzen) ein eisernes Gerät, womit man den Topf fasst, um ihn auszugiessen, oder eine Zange, womit man ein Gefäss, in welchem Metall geschmolzen wird, nimmt und ausleert (ר״ש). sind verunreinigungsfähig, die Herdeisen48 פרכין, nach Tos. II. 2, 10 (cit. von ר״ש) Eisen, die am Herde befestigt sind. Nach and. LA., „die an den Wänden befestigt sind.“ St. פרך, brechen. Die Eisen dienen dazu, etwas daran zu brechen. sind rein49 Sie gelten nicht als Geräte für sich.. Der Skorpion50 עקרב ein krummer skorpionförmiger Haken am Pressbalken der Ölkelter. an der Ölkelter ist verunreinigungsfähig51 Er gilt als besonderes Gerät und nicht als Zubehör zum Pressbalken., die Haken an den Wänden sind rein52 Weil sie zusammen mit der Wand, die fest mit dem Boden verbunden ist (מחובר לקרקע), gebraucht werden..", + "Die Lanzette des Aderlassers53 גרע (von גרע, abziehen) der Aderlasser, der das Blut abzieht. Nach Einigen ist מסמר הג׳ der Ambos-Nagel der Schmiede, was יו״ב richtiger findet (vgl. das.). ist verunreinigungsfähig; der Stift an der Sonnenuhr54 Die aus einem an der Erde befestigten breiten, glatten Steine bestand (daher אבן השעות), auf dessen Fläche der Schatten des in den Mittelpunkt eines Kreises eingeschlagenen Stiftes die Stunden anzeigte. ist rein. R. Zadok erklärt ihn für verunreinigungsfähig55 s. Edujot 3, 8.. Der Nagel des Webers56 Ein Nagel, den der Weber in ein Stück Rohr steckt, auf welches der Einschlagfaden aufgewickelt wird. Nach יו״ב dient der Nagel dazu, die auf dem Webstuhl aufgespannten Zettelfäden gerade zu richten. ist verunreinigungsfähig; den Kasten der Gräupner57 גרוסות. Einz. גרוס, der Gräupner (von גריס Graupenkorn). erklärt R. Zadok für verunreinigungsfähig, die Weisen erklären ihn für rein58 Er gilt nicht als Gerät, weil er nicht gut gearbeitet ist (Maim.). Nach Anderen ist er rein, weil er so gross ist, dass er gefüllt nicht getragen werden kann (Vorb. 13.) Nach ראב״ד (s. Edujot 3, 8) bezieht sich מסמר auch auf ארון של גרוסות, wonach hier vom „Nagel des Gräupner-Kastens“ die Rede ist, d. i. der Nagel, womit man diesen Kasten an den Wagen befestigt, wenn darin Graupen zum Markte gefahren werden.. Wenn dessen Wagen von Metall ist, so ist er verunreinigungsfähig59 Wie der Wagen, der als Metall-Gerät auch, wenn er nicht getragen werden kann, verunreinigungsfähig ist (Vorb. 14)..", + "Ein Nagel60 Ein gewöhnlicher Nagel ist nicht verunreinigungsfähig (Maim. H. Kelim 10. 1)., den man zugerichtet hat61 Man hat die Spitze gekrümmt (ר״ש). Nach Einigen genügt es, dass man den Nagel zu diesem Zwecke bestimmt (מ״א)., um damit auf- und zuzuschliessen, ist verunreinigungsfähig63 Er gilt als Gerät, wie ein Schlüssel).; der, welcher blos behufs Merkzeichens angebracht wird64 Um zu beobachten, ob jemand sich ins Haus geschlichen und die Lage des Nagels verschoben hat., ist rein. Einen Nagel, den man zugerichtet hat, ein Fass damit zu öffnen, erklärt R. Akiba für verunreinigungsfähig; die Weisen aber erklären ihn für rein, bis man ihn geschmiedet hat65 Um ein Fass damit zu öffnen, muss der Nagel am Ende dünn und geschärft sein; er muss daher gehärtet, werden, damit er nicht breche. Nach R. Akiba ist er auch ohne Härtung ein Gerät, da er zur Not auch so gebraucht werden kann (מ״א.). Der Nagel des Geldwechslers66 Woran er die Wage hängt (Maim.), oder (nach ראב״ד) womit er den Fall-Laden an eine Bank befestigt, oder womit er die Münzen vom Roste reinigt (מ״א, ist rein; R. Zadok erklärt ihn für verunreinigungsfähig. Drei Dinge67 Edujot 3, 8. erklärt R. Zadok für verunreinigungsfähig, und die Weisen erklären sie für rein: Den Nagel des Geldwechslers, den Kasten der Gräupner68 Oben Mischna 4. und den Stift an der Sonnenuhr; diese erklärt R. Zadok für verunreinigungsfähig, und die Weisen erklären sie für rein.", + "Vier Dinge69 Edujot 3, 9. erklärt R. Gamliel für verunreinigungsfähig, und die Weisen erklären sie für rein: Den Metall-Deckel des Korbes der Hausherrn70 Oben Mischna 3., den Henkel71 Siehe weiter 15, 4 der Striegel72 Der Badestriegel, Schabeisen vgl. Tos. II 2, 12., noch nicht fertige Metall-Gefässe73 Die man noch polieren, verzieren oder sonst vervollkommnen will (Chullin 25a). und eine in zwei Teile74 Die gleich gross sind. geteilte Tafel75 Eine irdene mit einem Rande versehene Platte.. Doch gestehen die Weisen dem R. Gamliel zu, dass, wenn eine Tafel in zwei Stücke geteilt ist, von denen eines grösser als das andere ist, das grössere verunreinigungsfähig und das kleinere rein ist76 Denn das kleine Stück ist nur ein Bruchstück von einem Geräte, s. Tos. II 2, 13..", + "Wenn ein Denar77 דינר = denarius. ungiltig geworden ist78 Er ist durch Abreiben defekt geworden, oder er ist von der Regierung für ungiltig erklärt worden. und man ihn zugerichtet hat79 Man hat ihn gelöchert, vgl. aber oben Note 61., um ihn einem kleinen Mädchen an den Hals zu hängen, so ist er verunreinigungsfähig80 Eine gewöhnliche Münze aber ist nicht verunreinigungsfähig, denn sie gilt nicht als Gerät.. Ebenso ist ein Sela81 Baba mezia 52a., der ungiltig geworden und zugerichtet worden ist, um damit zu wägen82 Gold oder Silber (Bart.)., verunreinigungsfähig. Bis wieviel kann ihm abgehen83 Der Talm. l. c. liest תיפחת. Auch תפסל muss hier die Bedeutung von תיפחת haben., dass man ihn noch behalten kann? Bis auf zwei Denare84 Das ist die Hälfte, denn ein סלע hat 4 Denare.. Ist er weniger, so muss er zerschnitten werden85 Auf dass die Leute nicht damit betrogen werden, indem man ihn für einen Schekel (d. i. ½ סלע) ausgibt. Nach Rab Huna (B. mez. 52 a) muss man ihn auch zerschneiden, wenn er mehr als zwei Denare ist, weil man ihn dann für einen סלע ausgeben könnte. Es muss demnach פחות מכאן sowohl auf das Fehlende als auf den Rest bezogen werden (vgl. יו״ב)..", + "Das Federmesser86 Nach der trad. Erkl. ein Messer oder eine Scheere zum Zurichten der Rohrfedern, was auch neben קולמוס gut passt. Andere unannehmbare Erklärungen vgl. bei Krauss-Löw s. v., die Feder87 קולמוס = ϰάλαμος ist das Schreibrohr. Nach Maimonides ist aber hier (was auch der Zusammenhang zeigt) von einer Metall-Feder die Rede. Es gab auch in alter Zeit Metall-Federn (ἐλατήρ genannt), s. L. Löw, Gr. Requisiten II 141., das Senkblei88 מטופלת, A. מטולטלת (von טלל, herabhängen), das Senkblei., die Gewichte89 Nach Maim. ist משקולת ebenfalls ein Senkblei, nur von anderer Art, vgl. Mikwaot 2, 10., die Pressplatten90 הכורים a. LA. הכירים (von כור. rund sein) nach mehreren Erklärern dasselbe wie עכירין in B. batra 4, 5; nur sind es hier Metall-Platten, die man auf die zerstossenen Oliven legt, um sie vermittelst des Pressbalkens auszupressen. L: כירון, N: כידון, M: כידים. Nach Maim. ist es eine eiserne Keule, mit der man die Oliven zerstösst. das Lineal91 כן, von ϰανών, Lineal. und die Liniertafel92 כנה ist nach den meisten Erklärern eine Liniertafel; nach einigen eine Wagschale. sind verunreinigungsfähig. Auch alle noch nicht fertigen93 Wenn nur das Behältnis fertig ist. hölzernen Geräte sind verunreinigungsfähig94 Chullin 25a ausser den von Buchsbaumholz95 אשברוע, aram. für hebr. תאשור (Jes. 41, 19), das Gerät aus diesem Holze kann erst, nachdem es poliert ist, gebraucht werden.. R. Jehuda sagt: Auch die von Ölbaum-Reisern96 גרופית, ein Reis des Ölbaums, viell. von גרף, fegen, wie מכבד (der Zweig einer Palme) von כבד (ausfegen). sind rein, es sei denn, dass man diese gesotten hat.97 Wodurch das Fett ausgekocht wird.." + ], + [ + "Das Schwert1 Vgl. B. mez. 84a. —, das Messer, der Dolch2 פגיון = pugio, Dolch., der Spiess, die Handsichel3 Mit glatter Schneide., die Erntesichel4 Mit Zacken. Vgl. auch Chullin 15a und Raschi das., das Schermesser5 שחור (von שחר herabwerfen) das Schermesser, womit man die Haare abfallen macht. und die Schere der Barbiere6 Die aus zwei Teilen (daher זוג = ein Paar) bestehende Schere. sind, wenn sie auch geteilt sind7 Beza 35b: אעפ״י שנחלקו, obgleich sie geteilt sind., verunreinigungsfähig8 Diese Geräte können auch, wenn sie geteilt sind, zu ihrem gewöhnlichen Gebrauche verwendet werden.. R. Jose sagt: Der dem Handgriff nahe Teil ist verunreinigungsfähig, der der Spitze nahe ist rein9 Diesen Teil gebraucht man nicht, da man fürchtet, sich damit in die Hand zu schneiden. Von der Schere spricht R. Jose nicht, da diese aus zwei gleichen Gliedern besteht (מ״א).. Ein Zwickmesser10 So nach ר״ש und רא״ש; nach א״ר ist מספרת eine grosse Schere, womit man Baumzweige abschneidet, nach Tos. II 3, 3., das in zwei Teile geteilt worden, erklärt R. Jehuda für verunreinigungsfähig11 Weil jeder Teil noch zur Not gebraucht werden kann.. Die Weisen aber erklären es für rein.", + "Eine Schaufel-Gabel12 קוליגריפון, ein eisernes Gefäss, von dem ein Ende als Schaufel zum Ausscharren der Asche aus dem Ofen diente, während das andere Ende zackig war und zum Aufspiessen des Gebackenen oder Gebratenen gebraucht wurde. Die Etym. ist unbekannt., deren Schippe abgebrochen wurde, ist verunreinigungsfähig wegen ihrer Zacken; sind die Zacken abgebrochen, so ist sie verunreinigungsfähig wegen der Schippe. Ein Schminkstift13 מכחול, ein Schminkstift, mit dessen stumpfer Spitze man die Schminke unter die Augenlider brachte und dessen anderes Ende als Ohrlöffelchen diente., dessen Ohrlöffel abgenommen wurde, ist verunreinigungsfähig wegen der Spitze; ist die Spitze abgenommen, so ist er verunreinigungsfähig wegen des Ohrlöffels. Ein Schreibstil14 מַכתב, der Stilus, mit dem man auf die Wachstafeln schrieb, dessen eines Ende spitzig war, um die Buchstaben in die Wachstafeln hineinzugraben, das andere Ende war flach, um damit das Geschriebene durch Ebnung wieder tilgen zu können., dessen Schreibgriffel abgenommen wurde, ist verunreinigungsfähig wegen des Löschers; ist der Löscher weggenommen, so ist er verunreinigungsfähig wegen des Schreibgriffels. Ein Schaumschöpfer15 זומאלסטרא (= ζωμήρυσις) Schaumschöpfer, vgl. B. mez. 33a. Das Gefäss hatte an einem Ende einen Löffel und am anderen eine Gabel., dessen Löffel abgenommen wurde, ist verunreinigungsfähig wegen der Gabel; ist die Gabel abgenommen, so ist er verunreinigungsfähig wegen des Löffels. Ebenso ist es bei den Zinken des Karstes16 מעדר ist ein zweizinkiger Karst (Vogelstein, Landwirtschaft zur Zeit der Mischna 37). Wenn eine Zinke fehlt, ist er noch verunreinigungsfähig, da er auch mit einer Zinke gebraucht werden kann. Nach den Erklärern ist מעדר eine Doppel-Hacke, deren eine Seite spitzig ist und zum Aufwühlen der Erde dient, während die andere Seite als Hammer gebraucht wird.. Das Mass aller dieser Dinge17 Von denen die Bestimmung gilt, dass sie geteilt auch unrein werden können. ist, wenn es18 Das Übriggebliebene. noch soviel ist, dass man die gewöhnliche Arbeit damit verrichten kann.", + "Wenn die Rinderstecken-Schaufel19 חרחור ist eine kleine Schaufel, die am untern Ende des Rindersteckens angebracht ist (Abschn. 9, Note 80), s. 25, 2. schadhaft geworden20 Es ist ein Stück davon abgebrochen worden., ist sie verunreinigungsfähig, bis das meiste daran fehlt; ist das Öhr21 מקוף = קוף (קופא), das Öhr, in welches das Ende des Rindersteckens gesteckt wurde. daran zerbrochen, so ist sie rein22 Weil sie dann nicht mehr zu ihrer Arbeit gebraucht werden kann.. Wenn an der Axt23 קורדם, eine Doppelaxt, deren eine Seite בית בקוע, und die andere עושף heisst. die spitze Seite24 ר״ש ,עושפו liest אשפו (arab. اشغى, eine Pfrieme), seine spitzige Seite, die dazu diente, den Boden zu behacken. fehlt, so ist sie verunreinigungsfähig wegen der scharfen Seite25 בית בקועו, die scharfe Seite, mit der man Holz spalten konnte. Nach Maim. und ר״ש waren beide Seiten scharf; nur war die eine (בית בקוע) schmal und diente zum Holzspalten, während die andere (עושף) breit war und von den Zimmerleuten zu Holzschneide-Arbeiten verwendet wurde. Sie weisen darauf hin, dass 1. Sam. 13, 20 מחרשתו vom Targ. mit עושפיה übersetzt wird (vgl. Kimchi das.). Syr. ܥܶܫܦܳܐ, Beil, Axt.; fehlt die scharfe Seite, so ist sie verunreinigungsfähig wegen der spitzen Seite. Ist das Öhr21 מקוף = קוף (קופא), das Öhr, in welches das Ende des Rindersteckens gesteckt wurde. zerbrochen, so ist sie rein.", + "Wenn von einer Schaufel das Blatt26 Der untere breite Teil. abgenommen wurde, ist sie nach verunreinigungsfähig, weil sie noch einem Hammer26a קורנס = ϰορύνη. gleicht27 Da der Stiel einen dicken Knopf am obern Ende hat und als Hammer gebraucht werden kann., so R. Meïr; die Weisen aber erklären sie für rein28 Da, wenn die Hauptbestimmung aufgehört hat, die Nebenbestimmung nicht beachtet wird, s. weiter 19, 9—10.. Eine Säge, von der zwischen je zwei Zähnen einer weggenommen wurde29 So dass auf ihrer ganzen Länge nicht zwei Zähne zusammen geblieben sind., ist rein30 Da sie nicht mehr zum Sägen benutzt werden kann.. Ist aber daran an einer Stelle ein Sit31 סיט, syr. ܣܺܝܛܳܐ, ist ein Längenmass, das gleich der Entfernung zwischen Daumen und Zeigefinger ist (ר״ש). Nach Maim. heisst diese Entfernung רוחב הסיט, dagegen ist מלוא הסיט bloss gleich der Entfernung zwischen Zeigefinger und Mittelfinger oder gleich vier Daumenbreiten. lang ganz geblieben, so ist sie verunreinigungsfähig. Das Beil32 Nach Einigen ist מעצר der Hobel., das Messerchen33 איזמל (gr. σμίλη) ein kleines Messer, das gewöhnlich zur Circumcision gebraucht wurde., der Hobel34 מפסלת, nach יו״ב Meissel. und der Bohrer, die schadhaft geworden20 Es ist ein Stück davon abgebrochen worden., sind noch verunreinigungsfähig35 Da sie noch zur Not gebraucht werden können.. Ist aber deren Stahl36 היסום (von חסם, verschliessen) der Verschluss, der feine Stahl, der an der Schneide eines Werkzeugs angebracht ist. weggenommen, so sind sie rein. Alle sind, auch wenn sie in zwei Teile geteilt sind, verunreinigungsfähig37 Wie oben Mischna 1. ר״ש scheint טהורים gelesen zu haben. mit Ausnahme des Bohrers. Das Hobelgehäuse38 הרוקני; gr. ῥυϰάνη Hobel. Nach ר״ש und Bart. bezeichnet das Wort hier das Hobelgehäuse; dagegen ist das Hobeleisen (איזמל של מקני) nach Tosefta verunreinigungsfähig. für sich allein ist rein.", + "Wenn an einer Nähnadel39 Sabbat 52 b. das Öhr40 חרירה, im Talm. das.: חורה, eig. ihr Loch. oder die Spitze41 עוקץ, Stiel, Spitze. abgebrochen, so ist sie rein. Hat man sie zum Ausspannen42 למתוח, etwas damit festzustecken, um es auszuspannen. N. למיתון, M. u. L. למיתא u. למיתה. — מחט של מיתון (Orla 1, 4) ist nach Maim. eine Nadel, die von Seidenwebern zum Aufwickeln der Seidenfäden gebraucht wird. Vielleicht ist dann מיתון vom gr. μίτος Faden, abzuleiten. zugerichtet, so ist sie wieder verunreinigungsfähig. Eine Packnadel43 Womit man Säcke aus Ziegenhaaren näht., deren Öhr fehlt, ist verunreinigungsfähig, weil man damit schreiben kann44 Auf eine Wachstafel.. Fehlt die Spitze, so ist sie rein. Die zum Ausspannen bestimmte45 של מיתות, and. L. A. של מיתון, s. Note 42. ist jedenfalls46 Sowohl wenn das Öhr als wenn die Spitze fehlt. verunreinigungsfähig. Eine Nadel39 Sabbat 52 b., an welche sich Rost angesetzt hat, ist, wenn er das Nähen hindert47 Indem die Spuren des Rostes an dem genähten Stoffe sichtbar werden., rein, wenn nicht, verunreinigungsfähig. Wenn man einen Haken48 Vgl. 9, 6 Note 60. Hier ist von einem krummen Haken die Rede, der zu einem bestimmten Zwecke dient. gerade gemacht hat, so ist er rein49 Weil es so nicht zum gewöhnlichen Gebrauche taugt.; hat man ihn wieder gekrümmt, so kehrt er in den Unreinheits-Zustand zurück50 Wenn er früher unrein war, wird er wieder unrein..", + "Holz, welches dem Metallgeräte dient51 Das ihm zu seinem Gebrauche zugehört., ist verunreinigungsfähig52 Solange es mit ihm verbunden ist, vgl. 12, 2 Ende., Metall, das dem Holzgeräte dient, ist rein, wie z. B.? Ein Schloss53 Es spricht hier von einem Schloss, das für Geräte bestimmt ist, z. B. für Kasten und Schränke, vgl. Sabbat 81a. Einige Erklärer fassen hier פותחת als Schlüssel und חפין als die Zähne des Schlüssels. von Holz, dessen Zapfen54 הפין, and. LA. חפין, s. oben 11, 4 Note 39. von Metall sind, auch wenn nur einer so ist55 Ein Zapfen ist von Metall und die anderen von Holz., ist verunreinigungsfähig55a Denn die Zapfen sind die Hauptteile.. Ist das Schloss von Metall und die Zapfen von Holz, so ist es rein. Ein metallener Ring56 Sabbat 52 b; 59 b; Jer. das. 6, 3. mit einem Siegel aus Korallen57 אלמוג (I. Kön. 10, 11) ist nach Rosch ha-Schanah 23 a כסיתא, was als Koralle erklärt wird. Nach den Neuern ist es rotes Sandelholz. Auch in B. Batra 80 b wird es zu den Zedern gezählt. ist verunreinigungsfähig58 Denn der Ring ist der Hauptteil.. Ein Korallen-Ring mit metallenem Siegel ist rein59 Die Koralle ist nicht verunreinigungsfähig, weil es ein Meeresprodukt ist (vgl. 17, 13), oder weil sie wie ein flaches Holzgerät betrachtet wird, vgl. יו״ב.. Der Zahn von der Platte des Schlosses60 So nach יו״ב, was unserer LA. entspricht, wo שבפוחחת (ohne ו׳) steht. L. hat aber ושבפותחת; auch die meisten Erklärer trennen שבטם von שבפותחת. Nach יו״ב ist שבפותחה טם das Schloss selbst, das wegen seiner breiten Form טם genannt wird. שן ist aber der Zapfen des Riegels, den der Schlüssel beim Öffnen und Schliessen fasst, um den Riegel hin oder her zu schieben. oder vom Schlüssel61 Am Schlüsselbart. für sich allein ist verunreinigungsfähig62 Es ist nicht klar, in welcher Weise der Zahn für sich allein als Gerät benutzt werden kann. Was יו״ב sagt, befriedigt nicht..", + "Wenn Askelonische Hebewerkzeuge63 הכדומין (R. Hai und L.: הכרומים). Nach Maim. ist כדום ein Werkzeug, vermittelet dessen man die in einen Brunnen gefallenen Eimer wieder heraushebt. Es besteht aus einem grossen eisernen Ring, an dessen Umfang rings herum mehrere ungefähr eine Spanne lange Ketten hängen. Am Ende einer jeden Kette ist ein Widerhaken angebracht, womit die Eimer aus dem Wasser gezogen werden. Nach Aruch ist unser Gerät ein metallener Ring, mit Haken ringsumher versehen, an welche mit Wasser gefüllte irdene Gefässe zum Abkühlen aufgehängt werden. zerbrochen sind und deren Haken64 Vgl. 12, 2 Note 20. noch bestehen, so sind sie verunreinigungsfähig65 Denn sie sind noch zu ihrer Arbeit zu gebrauchen.. Wenn man an einer Strohgabel66 מעבר eine dreizinkige Gabel, womit das Stroh aus dem Getreide entfernt wird (von העבר, fortschaffen). R. Hai bringt eine LA. המעדר (oben Note 16). N. hat המתבר, vielleicht für המתבן (von תבן, Stroh)., einer Worfelgabel67 מזרח (Jes. 30, 24), die Worfelgabel (von זרת, worfeln.), einem Rechen68 מגוב (von גבב zusammenlesen), ein vielzackiger Rechen, womit die Spreu vom Getreide ausgesondert wird. Nach R. Hai (vgl. Aruch) stammt das Wort von נגב, trocknen, und bezeichnet ein Gerät, das zum Trocknen des Getreides gebraucht wird. oder einem Haarkamm, woran ein Zahn abgenommen war, einen metallenen gemacht hat, so sind sie verunreinigungsfähig. Auf alle diese sagte R. Josua: Die Sopherim69 Die Schriftgelehrten, γραμματεῖς. haben hier eine Neuerung gemacht70 Diese Geräte sollten rein sein, da sie doch flache hölzerne Geräte sind, und wegen eines einzelnen metallenen Zahnes könnten sie nicht unrein werden., die ich nicht erklären kann71 Eig. ich weiss nicht, was ich erwidern soll (wenn man mich nach dem Grunde befragt). Unsere Mischna ist wörtlich wiederholt in Tebul Jom 4, 6. Vgl. auch Tos. II 3,14. —.", + "Eine72 Jebamot 43a. Flachshechel, deren Zähne73 Diese sind länger und dicker als beim Wollkamme. weggenommen sind, ist, wenn auch nur zwei daran geblieben sind, verunreinigungsfähig74 Sie ist noch zu ihrer Arbeit zu gebrauchen.; ist aber nur einer geblieben, so ist sie rein. Jeder einzelne75 Der Zähne, die von Metall sind. für sich jedoch ist verunreinigungsfähig76 Weil man ihn zum Schreiben auf eine Wachstafel verwenden kann, wie oben in Mischna 5; dagegen kann man, solange er mit der Hechel verbunden ist, nicht damit schreiben. In Jebamot 43 a sagt der Talmud, dass die דווקני (die genauen Tradenten der Mischna) hier noch die Worte: זו דברי רבי שמעון (das sind die Worte des R. Simon) hinzufügen, vgl. Tos. II, 3, 15. —. Ein Wollkamm, bei dem zwischen je zwei Zähnen einer weggenommen wurde, ist rein. Sind drei nebeneinander daran geblieben77 Es genügt nicht, wie oben bei der Flachshechel, dass bloss zwei Zähne übrig bleiben. Über den Grund vgl. Talm. Jebamot 43a und יו״ב., so ist er verunreinigungsfähig. War aber einer von diesen der äusserste78 Dieser ist breit und kann nicht zum Kämmen verwendet werden., so ist er rein79 Weil nur zwei brauchbare Zähne vorhanden sind.. Hat man zwei davon abgenommen und daraus ein Zänglein80 מלקטת, eine kleine Zange, wie מלקט in Makkot 3, 5, Note 60. gemacht, so sind sie verunreinigungsfähig. Hat man einen davon für die Lampe81 Den Docht damit herauszuziehen, oder die Lampe zu putzen. oder zum Aufspannen82 Über die anderen LAA. s. oben Note 42. zugerichtet, so ist er verunreinigungsfähig83 Nur wenn er zu diesem Zwecke zugerichtet worden; sonst ist er rein, weil er dünn ist und nicht wie der Zahn der Flachshechel (oben Note 76) als Schreibstift gebraucht werden kann.." + ], + [ + "Welches Mass gilt bei Metallgeräten1 Wenn ein Metallgerät zerbrochen ist, resp. ein Loch bekommen hat, wie muss der Rest beschaffen sein, um noch als Gerät verunreinigungsfähig zu sein, oder unrein zu bleiben, falls es vorher unrein geworden ist? ? Beim Eimer, wenn man damit schöpfen kann2 Wasser zum Trinken.; beim grossen Kessel3 Oben 3, 7., wenn man darin (Wasser) wärmen kann; beim Wärmekessel4 Dieser Kessel wird auch zum Aufbewahren von grossen Silbermünzen (Selaïm) gebraucht., wenn er Selaïm aufnehmen kann; beim Kochkessel5 לבס = λέβης. In diesem Kessel wurden auch kleinere Gefässe abgespült., wenn er Becher6 קיתון = ϰώϑων, ein Trinkgefäss. aufnehmen kann; beim Becher7 Den man auch zum Aufbewahren von kleinen Münzen (Perutoth) gebrauchte., wenn er Perutoth aufnehmen kann. Bei Weinmassen, wenn man Wein, und bei Ölmassen, wenn man Öl damit messen kann8 Wenn man auch die Getränke nicht darin aufbewahren kann (da sie durch das Loch nach und nach hinaustropfen würden); es genügt, dass man auf kurze Zeit die Getränke, um sie zu messen, hineingiessen kann.. R. Elieser sagt: Bei allen (gilt als Mass), wenn sie Perutoth9 Mehrere Perutoth. Nach Tos. II 4, 2 bezieht sich dies auf die Masse. aufnehmen können10 Oben 3, 2 bei der irdenen Lampe genügt es nach R. Elieser, wenn sie eine kleine Peruta fassen kann (יו״ב).. R. Akiba sagt11 R. Ak. fügt eine neue Bestimmung hinzu, ohne mit dem ersten Tanna zu controversieren.: Dasjenige (Gerät), das noch des Abschabens12 חטיפה (diese LA. ist die besser bezeugte), nach Aruch Abkratzen, Abschaben (and. LA. הטפח, R. Hai), Bart. liest הגפה, ein Verschluss, Deckel. bedarf, ist verunreinigungsfähig13 Weil dies jeder selbst besorgen kann und es keines Handwerkers bedarf., was aber noch der Abglättung14 לטישה, von לטש, schärfen, glätten. bedarf, ist rein15 Denn dazu braucht man einen Handwerker; das Gerät gilt demnach als noch nicht fertig, גולם, oben 12, 6. —.", + "Ein Stock, an dessen Spitze man einen keulenartigen16 חזיינא, L, M u. And.: חזינא, nach Maim. ein granatapfelförmiger eiserner Knauf, den man an der Spitze des Stockes anbringt, um damit einen kräftigen Schlag versetzen zu können. In Ägypten wird er אלדבוס (دبوس, Keule) genannt. Nagel anbringt, ist verunreinigungsfähig17 Wie ein Metallgerät, da der hölzerne Stock nur der eisernen Keule dient (13 ,6).; ebenso ist er, wenn man ihn mit Nägeln beschlägt, verunreinigungsfähig18 Weil die Nägel ebenfalls zum Schlagen gebraucht werden und der Stock ihnen dient.. R. Simon sagt: Nur wenn man drei Reihen daran angebracht hat19 Nur in diesem Falle gilt der Stock als Metallgerät, dem das Holz bloss als Zubehör dient.. Alle aber, an denen es zur Zierde gemacht ist20 Z. B. wenn er den Stock mit kleinen bunten Nägeln beschlagen hat., sind rein21 Denn in diesem Falle dient das Metall dem Holze als Zierde (13, 6).. Hat man an dessen Ende ein Rohr22 L. und M. : מניקית, eig. ein Heber (oben 9, 2); hier ein Rohr aus Metall, das mit Nägeln an dem Stock befestigt wird und diesem als Zierde dient. angebracht, ebenso wenn ein solches an einer Türe angebracht ist23 Damit die Türe nicht durch die Erde beschädigt werde (Bart.). Nach יו״ב dient das Rohr als Pfanne, in der die Türangel sich dreht. (Es müsste dann aber anders geartet sein als פותת in 11, 2, oder es könnte hier von der Türe eines Gerätes die Rede sein., so ist es rein24 Vgl. Note 21.. War es aber vorher ein Gerät25 Das für sich allein zum Gebrauche diente., und man hat es nun mit jenen26 Mit dem Stocke oder der Türe, resp. der Schwelle. verbunden, so ist es verunreinigungsfähig27 Denn durch diese Verbindung verliert es nicht den Charakter eines Gerätes.. Wann wird es28 Dieses Rohr, wenn es als Gerät für sich unrein geworden ist. wieder rein? Bet-Schammai sagen: Sobald man es beschädigt29 Wenn man es mit dem Hammer so zerschlägt, dass es seine Gestalt verliert.; Bet-Hillel aber sagen: Sobald man es (an jenen) befestigt30 Mit Nägeln, obgleich man es nicht beschädigt. In Note 27 handelt es sich um den Fall, dass man das Rohr nicht mit Nägeln an den Stock befestigt, sondern diesen bloss in jenes hineingesteckt hat. Vgl. auch 20, 6..", + "Das Brecheisen31 קנטר, gr. ϰέντρον, Stachel, oder Stecher. Nach Maim. ist קנטר ein Brecheisen, vgl. Fleischer bei Levy I S. 286. des Maurers und die Spitzhacke32 דקור (von דקר durchbohren) ein spitzes Werkzeug. Die hier genannten Werkzeuge haben hölzerne Griffe. Doch heisst es in der Tosefta (II 4, 5) ר׳ יוסי בר יהודה אומר קנתור של בנאי טהור שלא נעשה אלא לשמש עם הקרקע R. Jose b. Jehuda sagt: Der קנתור des Maurers ist rein, weil er nur bestimmt ist, mit dem Erdboden gebraucht zu werden. Hiernach ist קנתור ein am Erdboden befestigter Gegenstand. Demgemäss erklärt R. El. Wilna (Comment. zur Tos.), קנתור ist entweder ein eiserner Pflock, den der Maurer in die Erde steckt, um daran seine Werkzeuge zu hängen, oder es ist ein schweres Werkzeug, das nur an den Boden befestigt gebraucht werden kann. Es müsste dann דקור ebenfalls ein Werkzeug sein, das an den Boden befestigt wird. des Zimmermanns sind verunreinigungsfähig33 Da das Holz dem Eisen dient.. Die Zeltpflöcke34 Eiserne Pflöcke, die in die Erde gesteckt werden, um daran die Zeltteppiche fest zu binden. und die Pflöcke der Feldmesser35 An welche die Messschnur gebunden wird. sind verunreinigungsfähig36 Wiewohl sie an die Erde befestigt werden (11, 2), nehmen sie dennoch Unreinheit an, weil sie stets wieder herausgezogen werden (מ״א).. Die Kette der Feldmesser ist verunreinigungsfähig; die, welche für Holz dient37 Um Holz zusammen zu binden., ist rein38 Weil sie dem Holze dient (vgl. יו״ב, warum diese nicht mit einer Axt, die zum Holzhacken dient, zu vergleichen ist).. Die Kette eines grossen Eimers ist bis zu vier Handbreiten39 Nur so weit gilt die Kette als Handhabe (יד) des Eimers, da man wegen der Schwere des Eimers keine längere Kette gebrauchen kann. (mit dem Eimer unrein), die eines kleinen Eimers bis zu zehn40 Beim kleinen Eimer gebraucht man eine längere Kette.. Der Bock41 Ein grosser Block, auf welchem der Blasebalg ruht; nach Andern, worauf der Schmied reitet, wenn er grosse Gefässe anzufertigen hat. Nach Maim. besteht dieses Gerät aus Holz und Metall (vgl. יו״ב). der Schmiede ist verunreinigungsfähig. Eine Säge, deren Zähne man in Löcher eingesetzt hat42 Man hat nicht, wie gewöhnlich, die Zähne aus dem Eisen der Säge, sondern besonders gemacht und sie einzeln in Löcher eingesetzt., ist verunreinigungsfähig43 Es ist ein brauchbares Gerät.. Hat man dieselben von unten nach oben gewendet44 In anderer Richtung als die Zähne gebraucht werden., so ist sie rein45 Weil man nicht damit sägen kann. So Maim. Nach ר״ש und Bart. ist zu erklären: Wenn eine Säge unrein geworden ist und man hat deren Zähne in ein Loch der Türe (Oberschwelle, יו״ב) hineingesetzt bleibt sie unrein, solange man sie nicht dort mit Nägeln befestigt hat (Tosefta II 4, 0). —. Alle Deckel46 Aus Metall; ebenso die von Holz und von Ton (מ״א). sind rein47 Weil sie keinen Namen für sich allein haben (11, 2), vgl. 2, 5., ausser dem des Wärmekessels48 Weil man diesen für sich allein gebrauchen konnte, wie den Deckel des Korbes der Ärzte, 12, 3..", + "Am Wagen sind verunreinigungsfähig: der metallene Jochbalken49 Welcher den Tieren auf den Nacken gelegt wurde. Nach Einigen soll unter עול hier die Deichsel verstanden sein, was mit Recht von א״ר zurückgewiesen, wird., die Querstange50 קטרב (a. LA. קרטב) im Arab. ein Querholz, welches in das durch den Ring des Jochbalkens gehende Ende der Deichsel gesteckt wird, um diese dort festzuhalten, dass sie nicht herausgleite (s. Kohut, Aruch). Hier muss eine metallene Querstange gemeint sein. Nach Maim. ist קטרב der Jochbalken, in dessen Mitte die Deichsel (עול nach Maim.) steckte., die Ansätze (am Joche)51 בנפים, nach Maim. u. A. die eisernen Enden des Jochbalkens. Tos. (II 4, 11) hat dafür טבעות (Ringe). Es mögen an den Enden angebrachte ringförmige Ansätze sein, an welche Riemen befestigt wurden., die zur Aufnahme der Riemen52 Die um den Hals der Tiere gingen und das Joch festhielten. dienen, das Eisen, das unter dem Halse des Tieres angebracht ist53 Damit das Tier nicht durch den Riemen gewürgt werde., der Ring54 סומך, nach R. Hai und Bart. der eiserne Ring in der Mitte des Jochbalkens, durch welchen die Spitze der Deichsel gesteckt wird; nach Maim. und יו״ב der Nagel, welcher die Deichsel mit dem Wagen zusammenhält., der Gurt55 מתגר nach ר״ש u. A. das Halsseil des Zugochsen. Da aber hier nur von Metallgeräten die Rede ist, so müsste das Wort als eine Halskette gefasst werden (תוי״ט). Nach א״ר ist es ein eiserner Gurt, der das Tier umgürtet. Vielleicht sind an demselben Stränge zum Ziehen angebracht gewesen. N. und Bart. lesen המסגר, eine Halskette, wie סוגר, Sabbat 51 b., die Schüsseln56 תמחוי ist eine Schüssel. Was hier darunter zu verstehen sei, ist unklar. Nach R. Hai sind es die Vertiefungen am Joche. Dann mussten dort besondere Geräte vorhanden gewesen sein, da sie ja sonst unter עול begriffen wären. Vielleicht sind es Schüsseln, die für das Futter der Tiere am Wagen angebracht waren., die Schellenklöppel57 ענבל oder אמבול (gr. ἔμβολον) heisst gewöhnlich der Klöppel in der Schelle; hier jedoch, meinen manche Erklärer, dass darunter die ganze Schelle zu verstehen sei, da nach Sabbat 58 b der Klöppel nur zusammen mit dem Mantel der Schelle ein Gerät ist (מ״א). Die meisten Erklärer indessen meinen, der Klöppel für sich allein sei verunreinigungsfähig (vgl. יו״ב)., der Haken58 צינורא s. oben 9, Note 60. Hier ist es dasselbe wie אונקלי (12, 2), ein Haken, mit dem die Last an den Wagen befestigt wird. und der Nagel, der irgendwelche Teile zusammenhält59 Nur solche Nägel sind verunreinigungsfähig; dagegen sind andere Nägel, z. B. die zur Zierde dienenden, rein..", + "Rein sind am Wagen: der (mit Metall) überzogene (hölzerne) Jochbalken60 Vgl. 11, Note 88., die Ansätze61 Statt ובכפים liest N. וטסים (Bleche)., die zur Zierde gemacht sind, die Röhren62 שפופרת (verw. mit שופר) ein Rohr., die zum Tönen dienen63 Nach Sabbat 58 b sind alle tönenden Metallgeräte verunreinigungsfähig. Doch scheint dies nur von solchen Geräten zu gelten, deren Schall für die Menschen tönt (Maim. H. Kelim 8, 7); die hier erwähnten Röhren sollen aber durch ihr Tönen das Tier antreiben (vgl. auch יו״ב)., das Blei64 Bleikügelchen, die zum Schmuck angehängt werden. an der Seite des Halses des Tieres, der Reifen des Rades65 11, Note 17., die Bleche66 11, Note 18., die Beschläge67 Womit verschiedene Teile des Wagens beschlagen werden, s. 11, 3. und die sonstigen Nägel68 Die nicht zum Zusammenhalten der Teile dienen, s. Note 59. — alle diese sind rein. Die metallenen69 Sabbat 59a. Sandalen70 Sandalenähnliche Hufeisen. eines Tieres sind verunreinigungsfähig71 Weil die Soldaten im Kriege diese manchmal als Trinkgefässe gebrauchen.; die aus Kork72 שעם, nach den Erkl. ein weiches biegsames Holz, Kork. sind rein73 Diese werden nicht von den Menschen gebraucht (Tosafot).. Von wann an nimmt das Schwert Unreinheit an? Sobald man es geglättet hat74 שוף, reiben, glätten, auch bestreichen (mit Öl). Nach Tosafot in B. mezia 84a v. הסכין handelt es sich hier bloss um den Fall, dass die Geräte verrostet sind und man sie wieder gebrauchsfähig macht (vgl. auch Tosefta II 3, 10).; das Messer erst, wenn man es geschärft hat75 Weil es erst dann gebraucht werden kann..", + "Wenn man in einem metallenen Korbdeckel76 Der nach den Weisen in 12, 6 rein ist. einen Spiegel gemacht hat77 Indem man ihn geschliffen hat., so erklärt ihn R. Jehuda für rein78 Da er immerhin hauptsächlich als Deckel und nur nebensächlich als Spiegel gebraucht wird; vgl. 19, 9—10.; die Weisen aber erklären ihn für verunreinigungsfähig79 Da er durch eine Tat zu einem Spiegel, also zu einem selbständigen Gefässe gemacht wurde.. Ein zerbrochener Spiegel ist, wenn er nicht mehr den grössten Teil des Gesichts80 Des Besitzers des Spiegels (מ״א). zeigt, rein.", + "Metallgeräte81 Bei denen, nach 11, 1, die Bestimmung gilt, dass sie durch Zerbrechen rein werden, aber in ihre alte Unreinheit zurückkehren, wenn man sie wiederherstellt. können verunreinigt und wieder rein gemacht werden, auch, wenn sie zerbrochen sind82 Dieser Satz ist schwierig; denn da sie, selbst wenn sie früher unrein geworden, durch Zerbrechen rein werden, so können sie doch im zerbrochenen Zustande nicht verunreinigt werden. Es muss daher das שבורין bloss auf מיטהרין bezogen werden, und der Sinn ist: Metallgeräte, die verunreinigt worden sind (während sie noch ganz waren), können, auch wenn sie zerbrochen sind, gereinigt werden. Obgleich das Zerbrochene ja schon von selbst rein ist und keiner Reinigung bedarf, so ist doch die Unreinheit noch latent darin, so dass sie wieder zur Geltung kommt, wenn das Gerät zusammengelötet wird. Von dieser latenten טומאה kann das Gerät auch, während es zerbrochen ist, durch טבילה resp. הזייה, gereinigt werden, so dass es dann repariert werden kann, ohne zur alten Unreinheit zurückzukehren. Man könnte zwar שבורין auch auf מיטמאין beziehen und erklären, dass ein reines Metallgerät zerbrochen durch einen אב הטומאה die latente Unreinheit bekommen kann, die zur Geltung kommt, wenn das Gerät repariert wird. Allein abgesehen davon, dass für eine solche Anordnung sich kein Grund angeben liesse (vgl. oben 11, 1), so wäre auch nicht einzusehen, warum R. Josua bloss מיטהרין und nicht auch מיטמאין erwähnt.; dies die Worte R. Eliesers. R. Josua sagt, sie können nur rein gemacht werden, wenn sie ganz sind83 Aber nicht während sie zerbrochen sind; die latente טומאה kann nicht gereinigt werden. א״ר corr. מטמאין statt מיטמאין und erklärt: Die alte Unreinheit, welche die Metallgeräte nach der Reparatur erhalten, ist rückwirkend derart, dass sie auch die Gegenstände, welche sie im zerbrochenen Zustande berührt haben, verunreinigen. Demgemäss liest א״ר auch bei R. Josua: אין מטמאין ואין מיטהרין. Doch haben diese Emendationen in keinem Texte eine Stütze.. In welcher Weise84 א״ר und יו״ב streichen das כיצד, da das Folgende eine neue Halacha und keine Erklärung der vorhergehenden enthält. Indessen findet man כיצד oft auch da, wo keine Erklärung, sondern eine Erweiterung eines vorhergehenden Satzes gegeben wird, z. B. Nasir 4, 6, wo Tosafot allerdings auch das כיצד streicht; vgl. noch Orla 3, 8 (wo ebenfalls Einige das כיצד streichen). ? Hat man sie85 Die Metallgeräte, die durch einen Toten verunreinigt worden sind. besprengt86 Am dritten Tage nach der Verunreinigung, vgl. Num. 19, 18. f., und sie sind an demselben Tage87 Am Tage der ersten Sprengung. zerbrochen worden, dann hat man an demselben Tage87 Am Tage der ersten Sprengung. sie wieder zusammengelötet und zum zweiten Male besprengt87 Am Tage der ersten Sprengung., so sind sie rein88 Wiewohl sonst die zweite Sprengung erst am siebenten Tage der Verunreinigung, also vier Tage nach der ersten Sprengung, stattfinden kann, so reinigt hier dennoch die am Tage der ersten Sprengung vorgenommene zweite Sprengung, weil die zwischen beiden Sprengungen stattgefundene Zerbrechung und Wiederherstellung des Gerätes ebenso viel wie eine Zwischenzeit von vier Tagen gilt.; dies die Ansicht des R. Elieser. R. Josua sagt: Die Besprengung kann nur frühestens am dritten89 Am dritten Tage nach der Zusammenlötung und der dadurch erfolgten Wiederkehr der alten Unreinheit muss die erste Sprengung stattfinden. und siebenten Tage90 Am siebenten Tage erfolgt die zweite Sprengung. vorgenommen werden91 Wir haben die Worte R. Josua’s nach Maim. erklärt. Nach Rabed zu H. Kelim 12, 3 sagt R. Josua nur, dass die Zerbrechung und Wiederherstellung des Gerätes nicht als Zwischenzeit von vier Tagen gilt. Es bedarf daher nach der Zusammenlötung bloss einer Sprengung am siebenten Tage, d. h. vier Tage nach der ersten Sprengung vor dem Zerbrechen. Vgl. auch Tosefta II 4, 14..", + "Wenn ein knieförmiger Schlüssel92 Ein Schlüssel mit langem Kniestück, an dessen Ende der Schlüsselbart sich befindet. Nach Bart. ist dieser Schlüssel ein zusammenzulegender. in seiner Knie-Biegung zerbrochen ist, so ist er rein. R. Jehuda erklärt ihn für verunreinigungsfähig, weil man noch von innen damit öffnen kann93 Da von innen der Schliessriegel in der Nähe des Schlüsselloches sich befindet und demgemäss der Schlüssel nicht tief hineingesteckt wird, so kann man auch mit diesem abgebrochenen Schlüssel öffnen.. Wenn ein gammaförmiger Schlüssel94 Ein Schlüssel mit kurzem Kniestück, der die Form eines Gamma (Γ) hat. in seiner Knie-Biegung95 גומו, and. LA. גמו (eig. sein Gamma); gemeint ist die Knie-Biegung. zerbrochen ist, so ist er rein96 Auch nach R. Jehuda; denn mit dem kurzen Kniestück kann man auch von innen nicht öffnen.. Sind Zähne97 Vgl. oben 11, Note 39 und 13, 6. und Löcher daran98 Die meisten Commentare beziehen dies auf den zerbrochenen Gamma-Schlüssel. Doch lässt sich nicht gut erklären, wieso durch die Zähne und Löcher das abgebrochene Schlüsselstück gebraucht werden kann. Es müsste denn angenommen werden, dass ausser dem kurzen Kniestück noch Zähne und Löcher an dem Schlüssel waren. Indessen kann man das היו בו als besonderen Fall nehmen, der von einem ganzen Schlüssel spricht, welcher kein Kniestück, sondern Zähne und Löcher hatte, die in entsprechende Teile des Schlüssellochs eingriffen., so ist er verunreinigungsfähig. Sind die Zähne weggenommen, so kann er noch unrein werden wegen der Löcher99 Die Löcher griffen in Zapfen des Schlosses, wodurch die Türe geöffnet werden konnte; ebenso griffen die Zähne in Löcher am Schlosse.; sind die Löcher verstopft, so kann er noch unrein werden wegen der Zähne. Sind die Zähne weggenommen und die Löcher verstopft, oder jene sind bis in diese gebrochen100 Bart. erklärt: die Zähne sind gekrümmt und die Löcher sind erweitert, so dass beide aneinander liegen., so ist er rein. Eine Senfseihe, in welcher unten101 Am gelöcherten Boden. drei Löcher in einander gebrochen sind, ist rein102 Da man nicht mehr damit seihen kann.. Ein metallener Mühlentrichter103 אפרכס, and. LA. (L. und bei Hai) ארפכס, od. ארפקם. Die Etym. ist unsicher, vielleicht ἃρπαξ, wie die Wasseruhr ἁρπάγιον genannt wurde. ist verunreinigungsfähig104 Obgleich er unten gelöchert ist, wie der Trichter, oben 2, 4, so ist er dennoch verunreinigungsfähig, weil er einen Namen für sich hat (Maim.).." + ], + [ + "Von1 N: כל כלי עץ. hölzernen2 Die Mischna bis ולהבא hat bereits oben 2, 1 gestanden; sie wird hier nur wiederholt, um daran die Vorschriften über כלי עץ anzureihen., ledernen, knöchernen und gläsernen Geräten sind die flachen rein, die mit Behältern versehenen aber verunreinigungsfähig. Zerbrechen sie, so werden sie rein. Macht man wieder Geräte aus denselben, so nehmen sie von nun ab und weiter Unreinheit an. Eine Kiste3 שדה, nach Raschi zu Sabbat 44 b und B. kamma 98 b eine Sänfte oder ein Kasten eines kleinen Wagens; doch die meisten Erklärer fassen das Wort als eine Kiste oder einen Kasten., ein Kasten, ein Schrank4 מגדל, Turm, ein hoher Behälter, Schrank., ein runder Korb5 כורת, ar. كوارة, ein grosser runder Behälter, gewöhnlich ein Bienenkorb. aus Stroh6 Geräte aus Stroh, wie überhaupt aus Bodengewächsen, gelten als Holzgeräte (Maim. H. Kelim I Ende). oder aus Rohr und der Brunnen7 Ein grosser hölzerner Wasserbehälter. eines Alexandrinischen Schiffes8 So heisst ein grosses Schiff, das zu weiten Seereisen dient., welche einen Boden9 שולים (eig. Saum) hier ein breiter flacher Boden, so dass das Gefäss zum Ruhen bestimmt ist (vgl. Vorb. 13). — haben und vierzig Seah10 Etwa 5—6 Hektoliter. Der Rauminhalt ist 3 Kubik-Ellen. Flüssiges, oder zwei Kor11 Das sind 60 Seah. Trockenes12 Ein Gefäss fasst vom Trockenen, das man aufhäufen kann, 1½ mal so viel als vom Flüssigen. Doch gilt dies nur bei cylinderförmigen Gefässen, deren Durchmesser doppelt so gross als die Höhe ist (Sabbat 35 a und Raschi das.). fassen können, sind rein13 Weil diese Geräte, wenn sie voll sind, nicht fortgetragen werden können (Vorb. 13).. Alle anderen Geräte, sie mögen so viel14 40 Seah. fassen können oder nicht, sind verunreinigungsfähig15 Da sie dazu bestimmt sind, auch voll getragen zu werden, indem man sie entweder rollt oder auf einem Wagen fortbewegt.. Dies die Worte R. Meïrs. R. Jehuda sagt: Ein Wagen-Fass16 Nach R. Hai und Bart. ein aus mehreren Dauben bestehendes rundes hölzernes Fass, das gewöhnlich auf einem Wagen durch Ochsen transportiert wird, vgl. Sabbat 84 a. — Das Fass ist wohl auch gewälzt oder gerollt worden (arab. دردر, wälzen, rollen, Fleischer bei Levy I 444)., ein Speisekasten17 קוסטות, L. und A. קסתות (ebenso Sifra), gr. ϰίστη, nach Maim. ein grosser, in mehrere Fächer abgeteilter Kasten, der im Wagen der Könige sich befand und Speisen und Getränke für die Reise enthielt. der Könige, ein Gerber-Trog18 עריבה (syr. ܥܰܪܒܳܐ) Trog, Mulde. Ein solches Gefäss gebrauchten die Gerber zum Einweichen der Felle., ein Brunnen eines kleinen Schiffes und die Lade19 ארון, gew. Lade. Hier scheint aber ein grosser Kasten darunter verstanden zu sein. Vielleicht ist es ein Sarg. sind, selbst wenn sie so viel14 40 Seah. fassen, verunreinigungsfähig, weil man sie nur mit dem, was darin ist, fortzubringen pflegt20 Sie werden nur voll transportiert.. Alle anderen Geräte sind, wenn sie so viel14 40 Seah. fassen, rein; wenn sie nicht so viel fassen, verunreinigungsfähig. Zwischen R. Meïr und R. Jehuda besteht nur die Meinungsverschiedenheit21 Die Controverse des R. Meïr und R. Jehuda findet man im Sifra Schemini Par. VI, 6 mit folgenden Worten erklärt: R. Meïr sagt: Alles, was die Weisen unter den Reinen aufgezählt haben, ist rein, das Übrige ist unrein. R. Jehuda sagt: Alles, was die Weisen unter den Unreinen aufgezählt haben, ist unrein, alles Übrige ist rein. Zwischen R. Meïr und R. Jehuda besteht nur die Meinungsverschiedenheit usw. bezüglich eines Troges des Hausherrn22 Dieses Gerät wurde weder unter den Reinen noch unter den Unreinen aufgezählt. Nach R. Meïr ist dieses daher, selbst wenn es 40 Seah fast, verunreinigungsfähig; nach R. Jehuda aber ist es, wenn es so viel fasst, rein..", + "Die Backbretter23 ארוכות, lange Bretter, auf welche die Brote zum Aufgehen gelegt werden. And. LA. ארובות, runde Bretter. Nach ראב״ד (zu Edujot): ערוכות, glatte, abgehobelte Bretter, auf denen der Teig mit dem Walgerholz aufgetrieben wird. (Nach and. LA. עריבות, Mulden). des Bäckers sind verunreinigungsfähig24 Weil sie die Form eines Gerätes haben (Maim.). Nach Maim. Bart. und תוי״ט ist dies nur eine rabbinische Bestimmung. In Edujot 7, 7 wird diese Halacha von R. Josua und R. Papios bezeugt, gegen R. Elieser, der diese Geräte für rein erklärt., die der Hausherren aber sind rein25 Die im gewöhnlichen Haushalte gebrauchten Bretter sind nicht wie ein Gerät geformt. Nach ראב״ד sind die Bretter des Bäckers verunreinigungsfähig, weil sie zum Gebrauche als Gerät fest bestimmt sind, während im sonstigen Haushalte dieselben mitunter auch anderweitig verwendet werden.. Hat man sie jedoch hellrot26 סרק (bibl. שרק) hellrot färben. Nach Bart, ist שרק = ששר, Mennige. oder mit Safranfarbe27 כרכם, den. von כרכום, Safran. gefärbt, sind sie verunreinigungsfähig28 Denn dadurch haben sie die Form eines Geräts erhalten, resp. sind sie zu diesem Gebrauche fest bestimmt worden.. Die Tafel29 Nach B. batra 66 b handelt es sich hier um eine eherne Tafel, auf welche der Bäcker das gebackene Brot hinlegt. der Bäcker, die man an die Wand befestigt hat, erklärt R. Elieser für rein30 Weil es mit dem Grundstück fest verbunden ist, wie die Haken an den Wänden, oben 12, 3. —, die Weisen aber für verunreinigungsfähig31 Weil etwas, das vor der Befestigung den Namen eines Gerätes hat, auch nach der Verbindung mit dem Boden als Gerät gilt, so lange man nicht daran eine Veränderung gemacht hat, s. 20, 5—6.. Das Anrichtebrett32 סרוד A. סריד, L. סרור, Rabed zu Sifra Mezora Sabim 2, 3: סדור. Nach letzterem ist es ein Anrichtebrett, auf das die Brote vor dem Backen gelegt und zum Ofen getragen werden. Nach Maim. ist es ein Waschgefäss, aus dem der Bäcker Wasser nimmt, um sich die Hände zu waschen und die Oberfläche des Brotes zu befeuchten. סרוד soll gleich כלי שמוש (Gebrauchsgerät) sein (wie בגדי שרד mit לבושי שמושא übersetzt wird). Einige nehmen es wie סרדה in 8, 3. der Bäcker ist verunreinigungsfähig33 Die Gestalt dieser Geräte, die ihnen damals bekannt war, führte sie dazu, die einen für verunreinigungsfähig und die andern für rein zu erklären (Maim.)., das der Hausherren ist rein33 Die Gestalt dieser Geräte, die ihnen damals bekannt war, führte sie dazu, die einen für verunreinigungsfähig und die andern für rein zu erklären (Maim.).. Hat er dieses aber von allen vier Seiten mit einer Einfassung umschlossen34 גפף, umschliessen, s. oben 8, Note 20., so ist es verunreinigungsfähig. Ist sie34a Die Einfassung. an einer Seite wieder zerbrochen worden, so ist es rein. R. Simon sagt: Wenn man es zugerichtet hat, um den Teig darauf zu schneiden35 קרץ, schneiden, den Teig in Stücke zerschneiden., ist es verunreinigungsfähig36 In Tosefta II 5, 4 heisst es (nach der LA. des R. El. Wilna): R. Simon sagt: Warum kann das סרוד der Bäcker, der offen (ohne Leisten) ist, unrein werden, (doch nur) weil er darauf den Teig schneidet und auf demselben die Stücke zum Ofen bringt, daher ist auch das der Hausherren, wenn man es zugerichtet hat, darauf den Teig zu schneiden und die Stücke zum Ofen zu bringen, verunreinigungsfähig.; ebenso ist das Walgerholz37 מערוך, nach A. das Treib- oder Walgerholz; nach Maim. ein Brett, worauf der Bäcker das Brot ordnet. verunreinigungsfähig.", + "Der Siebboden38 ים נפה (das Meer des Siebes) ist nach R. Hai der aus Haar (nach ראב״ד aus Lederstreifen) geflochtene Siebboden; er heisst ים, weil er von einer hölzernen Einfassung umgeben ist, wie das Meer vom Trockenen. Nach Maim. ist es ein viereckiger Kasten, in welchen das feine Mehl hineinfällt. Nach der ersten Erklärung, die in der Tosefta eine Stütze hat, handelt es sich hier um einen Siebboden, der von der hölzernen Umgebung behufs Reinigung getrennt wurde (מ״א). der Kernmehlmacher ist verunreinigungsfähig39 Tos. II, 5, 5: Warum ist der Siebboden des Kernmehlmachers verunreinigungsfähig? Weil er ihn wieder zum Geräte zurückbringt., der der Hausherren ist rein40 Tos. das.: Der des Haushalts ist so lange rein, bis man ihn wieder an das Gerät angebracht hat. R. Simon, Sohn Jehuda’s, sagt im Namen R. Simons: Auch der des Kernmehlbereiters ist so lange rein, bis er ihn wieder mit dem Geräte verbunden hat.. R. Jehuda sagt: Auch der der Haarflechterinnen ist als Sitz41 Nach Vorb. 29. verunreinigungsfähig, weil die Mädchen beim Haarflechten darin sitzen42 Die Haarflechterinnen haben wohl einen siebartigen Sitz mit Lehne gehabt, auf dem sie das Haar der Mädchen nach dem Waschen trockneten und flochten. Tos. II 5, 5 lautet: Das der Haarflechterin ist verunreinigungsfähig als Sitz, weil dies, während es ein Gerät ist, dazu dient, dass die Mädchen beim Haarflechten darin sitzen..", + "Alle Henkel sind verunreinigungsfähig43 Sie werden als Teile der Geräte betrachtet, an denen sie angebracht sind., ausser dem Henkel des Siebes und des Reuters44 Des groben Siebes. des Haushalts45 Weil diese Henkel manchmal vom Geräte entfernt werden (יו״ב).. Dies die Worte R. Meïrs. Die Weisen sagen: Alle sind rein46 Nach den Weisen ist der Henkel nur dann verunreinigungsfähig, wenn er zum Gebrauche des Gerätes behilflich ist., ausser dem Henkel des Siebes der Kernmehlmacher, dem Henkel des Reuters der Tennen, dem Henkel der Handsichel und dem Henkel des Stockes der Zoll-Aufseher47 בלש (vom aram. בלש, suchen), der mit einem Stocke das Gepäck der Reisenden durchsucht, ob keine zollpflichtigen Gegenstände darin verborgen sind., weil dieselben bei der Arbeit mithelfen48 Man steckt oft während der Arbeit die Hand in den Henkel, wodurch die Arbeit leichter wird.. Dies ist die Regel: Derjenige (Henkel), welcher zum Mithelfen bei der Arbeit bestimmt ist, ist verunreinigungsfähig, der aber bloss zum Anhängen dient, ist rein.", + "Die Schaufel49 רחת, die Wurfschaufel, womit man Getreide und Hülsenfrüchte worfelt. der Gräupner50 Oben 12, Note 57. ist verunreinigungsfähig, die der Kornkammern51 Mit der die zerstreuten Getreidekörner zusammengescharrt werden. ist rein, die der Keltern52 Mit welcher die Körner und Hülsen aus dem Weine entfernt werden. ist verunreinigungsfähig, die der Tennen53 Diese dient bloss zum Zusammenscharren der Körner (מ״א). rein. Dies ist die Regel: Diejenige, welche zum Aufnehmen bestimmt ist, ist verunreinigungsfähig, die zum Zusammenscharren dienende ist rein.", + "Gesanges-Harfen54 Die dazu dienen, den Gesang zu begleiten. sind verunreinigungsfähig55 Weil sie hohl sind und deren Behältnis dazu dient, das Geld aufzunehmen, das den Musikanten zugeworfen wird., die Harfen der Söhne Lewi’s aber sind rein56 Da die Leviten nur im Tempel spielten und kein Geld in ihre Harfen legten.. Alle Flüssigkeiten57 Die 7 Flüssigkeiten (Vorb. 17—18), nach Maim. sind verunreinigungsfähig, aber die Flüssigkeiten im Schlachthause58 Des Tempel-Vorhofes, s. Edujot 8, 4. sind rein. Alle heiligen Schriften59 Die 24 Bücher der Bibel. verunreinigen die Hände60 S. Jadajim 4, 5 und Sabim 5, 12. Als Grund dieser rabbinischen Bestimmung wird von den Erkl. angegeben, dass man die heiligen Schriften gewöhnlich zusammen mit den heiligen Hebe-Speisen verwahrte, und dadurch wurden auch erstere von den Mäusen beschädigt; deshalb verordnete man, dass die heiligen Schriften auf die Teruma eine verunreinigende Wirkung (פסול) üben sollen, und ferner dass die Hände, welche die heilige Schrift berühren, dieselbe Wirkung haben. Nach dem T. Babli (Sabbat 14 a) hat man dies verordnet, damit man die heiligen Schriften nicht mit blossen Händen anfassen solle., ausser dem Gesetzbuche des Tempel-Vorhofes61 Aas dem der Hohepriester am Versöhnungstage und der König am Ausgang des Schemittajahres vorlesen (s. Mischna Joma 7, 1 und Sota 7, 8). Dieses Buch stand in so hoher Achtung, dass nicht zu befürchten war, man würde Teruma-Speise daneben legen (Maim.) Tosefta hat: ספר עזרא.. Der Markoph62 Nach den Erklärern „ein hölzernes Pferd“, auf welchem die Possenreisser sassen und die Leute durch Gesänge belustigten, vgl. R. Hai, der diese Erklärung im Namen eines Talmud zu Kelim, den man im Lande Roma (בארץ רומא) gefunden haben soll, citiert. R. Hai selbst meint, es sei dies ein Pferd aus Zedernholz (von ריכפת im Targum zu 1. Kön. 6, 9), vgl. noch weiter 16, 9. Einige lesen המרכוב und erklären, es sei das Holz an der Harfe, um welches die Saite gewickelt wird (Aruch). ist rein, die Guitarre63 בטנון (von בטן, Leib) ein Spielinstrument, das der Spielende vor dem Leibe trägt, Guitarre (R. Hai und Bart.)., der Niktemon64 נקטמון in M. Sabbat 6, 8: אנקטמין. Nach Jerusch. das. ist es אונוסקטמון (ὄνος ϰατ’ ῶμον) eine Eselsfigur, die von Komödianten zur Belustigung auf der Schulter getragen wurde. Im Babli Sabbat 66 b (die LA. ist dort לוקטמין) werden ausser dieser noch zwei andere Erklärungen gegeben: „Stelzfüsse“ oder „Larve.“ Über den Widerspruch zwischen der Bestimmung hier und der in Sabbat vgl. ר״ש. und die Trommel65 אירוס (auch M. Sota 9, 1) nach den Erklärern, eine Handtrommel. sind verunreinigungfähig. R. Jehada sagt: Die Trommel kann verunreinigt werden als Sitz66 Vgl. oben 15, 3., weil die Klagefrau67 אלית (von אלי, wehklagen, Joel 1, 8) das Trauerweib, das die Trauermusik spielt, vgl. 16, 7. darauf sitzt. Eine Wiesel-Falle ist verunreinigungsfähig68 Es ist ein Gerät, das zum Aufnehmen bestimmt ist, weil man das Fell des Wiesels benutzen kann (א״ר).. Eine Mausefalle ist rein69 Man fängt nur die Maus, um sie zu töten und wegzuwerfen.." + ], + [ + "Jedes hölzerne Gerät, das in zwei Teile geteilt worden, ist rein1 Nach 17, 1 ist es schon rein, wenn es ein Loch hat, durch das ein Granatapfel durchfallen kann.; ausgenommen sind: Der Doppeltisch2 Ein Tisch mit zwei Platten, die durch Angeln mit einander verbunden sind und auf- und zusammengeklappt werden können., die zu verschiedenen Frucht-Arten eingerichteten Schüsseln3 Eine grosse hölzerne Schüssel mit Fächern für verschieden e Fruchtarten. מזנון (von זן, Art) verschiedene Arten enthaltend. und der Fussschemel4 Lies: אפיפודין, ὑποπόδιον, ein Fussschemel. des Hausherrn5 Es waren dies solche, die zum Auf- und Zusammenklappen eingerichtet waren, vgl. Sachs, Beiträge I 165.. R. Jehuda sagt: Auch die Schale6 מגס (syr. ܡܰܓܣܳܐ) Schale. Hier ist eine Doppelschale gemeint, die manche auch, wenn sie entzwei gegangen, noch gebrauchen. Über die Etym. s. Pesachim V Anm. 42. und die babylonische Schüssel7 קוד, ein hölzernes Essgerät, das man auf der Reise mit sich führte und das in zwei oder mehrere Fächer geteilt war, vgl. Gittin 68 b und Raschi das. sind diesen gleich. Von wann an8 Nedarim 56 b und Parallelst. nehmen hölzerne Geräte Unreinheit an9 Wann sind sie als fertig zu betrachten. ? Das Bett und die Wiege10 עריסה (dimin. von ערס = ערש, Bett) kleines Bett, Wiege., sobald man sie mit der Fischhaut11 Von einem Fische mit rauher und stacheliger Haut. abgerieben hat12 Um die Splitter von der Oberfläche zu beseitigen.; beschliesst man, sie nicht abzureiben, so sind sie verunreinigungsfähig13 Auch ohne abgerieben zu sein.. R. Meïr sagt: Das Bett (nimmt Unreinheit an), sobald man drei Maschenreihen14 Um die Stangen des Bettrahmens wurden der Länge und der Breite nach Stricke gezogen, die so ein Netz bildeten, wovon jede Maschenreihe בית (Haus, Gehäuse) genannt wurde (vgl. Krengel, Hausgerät in der Mischna I 23). darin geflochten hat15 סרג = שרג, flechten (Job 40, 17)..", + "Die hölzernen Körbe16 Werden als fertig gearbeitet betrachtet., sobald man den Verschluss gemacht17 חסם, verstopfen, verbinden, einen Verschluss machen. Hier ist der Verschluss am oberen Rande gemeint. und sie beschnitten hat18 קנב (arab. قنب, Reben beschneiden), hier: die aus dem Geflechte hervorstehenden Späne abschneiden.; die aus Palmzweigen geflochtenen sind auch, wenn man sie nicht von innen19 Sondern bloss von aussen. beschnitten hat, verunreinigungsfähig, weil man sie so schon bestehen lässt20 Da die Palmzweige weich sind und der Korb auch ohne Beschneidung von innen gebraucht werden kann.. Der Frachtkorb21 כלכלת (von כול, fassen) ein Korb, der gewöhnlich zum Aufbewahren von Feigen und anderen Früchten dient und aufgehängt wird., sobald man den Verschluss gemacht, ihn beschnitten und den Henkel vollendet hat. Ein Flaschenkorb22 לגין, gr. λάγυνος, Flasche. und ein Becherbehälter sind auch, wenn man sie nicht von innen beschnitten hat, verunreinigungsfähig, weil man sie so schon bestehen lässt23 Nach der Tosefta (II 5, 13) werden diese Behälter aus Palmzweigen gemacht, s. Note 20..", + "Die kleinen Tischkörbchen24 קנון, gr. ϰανοῦν, ein Korb zu Brod, Früchten u. dgl. (canistrum). und die Handkörbe25 קלת, gr. ϰάλαϑος, ein geflochtener Handkorb., sobald man den Verschluss gemacht und sie beschnitten hat. Die grossen Brodkörbe und die grossen Getreidekörbe26 סוגין (von סוג umzäunen, einschliessen) Körbe für Getreide, Mehl und dgl. R. Hai hat eine LA. סואים (Tos.: סאין), wie das Hebr. סאה, ein Getreidemass., sobald man zwei Kreise27 דור, ein Kreis. an ihrer Breite28 Zwei Kreise rund um den ganzen Korb. Nach den Commentaren sind hier die untersten zwei Windungen am Boden des Korbes gemeint. Doch ist nicht einzusehen, warum diese Körbe schon beim geringsten Anfang Unreinheit annehmen, während bei den vorhergehenden erst nach seinem Verschluss das Gerät als fertig gilt. Man müsste annehmen, dass dieser Korb auch schon bei einer so geringen Höhe gebraucht wird. Es wäre aber auch möglich in שני דורין zwei besonders starke Kreise zu erblicken, die oben den Abschluss des Korbes bildeten, und da die Körbe oben am breitesten waren, wird diese Stelle mit לרוחב שלהן bezeichnet. gemacht hat. Der Boden29 S. oben 15, 3. des feinen und groben Siebes und der Wagschale30 Eine aus Weiden geflochtene Wagschale. Bart. liest וכן statt וכף, das Gestell der Wage., sobald man einen Kreis31 Bei diesen Geräten genügt dies, um es gebrauchen zu können. an ihrer Breite gemacht hat. Der Weidenkorb32 קופח (arab. قغة, cophinus) ein grosser Korb, gewöhnlich aus Weiden geflochten., sobald man zwei Windungen33 צפירות, vom arab. ضغر, flechten, sind nach Maim. die Windungen, die man mit einem aus Ruten geflochtenen langen Seile über dem Boden des Korbes in beliebiger Anzahl über einander legte. Diese Windungen wurden zusammengenäht und bildeten die Wandung des Korbes; vgl. Jer. Sabb. 7, 2 (10 c). Die Tosefta hat צבירות (vielleicht von صبر, Rand). nach seiner Breite gemacht hat; der Korkkorb34 ערק, nach Bart. ein Korb aus Kork, von geringerer Höhe als die קופה. Arab. عرق, ein aus Palmblättern geflochtener Korb., sobald man eine Windung31 Bei diesen Geräten genügt dies, um es gebrauchen zu können. daran gemacht hat.", + "Wann nehmen lederne Geräte Unreinheit an? Die Tasche35 תורמל, aram. und syr. Hirtentasche, vgl. Targ. zu 1. Sam. 17, 40., sobald man den Verschluss gemacht36 D. h. gesäumt hat., sie beschnitten37 Man entfernt mit einem Beschneidemesser die Narben des Ledere. und ihre Schleifen38 קיחות, and. LA. קיהות, sind nach Bart. u. A. die an den Enden angebrachten Schleifen, durch welche man Schnüre zum Zuschnüren der Tasche durchzieht. Nach R. Hai und Maim. ist es mit קיח in Jes. 61, 1 zusammenzustellen, dass „Verschluss“ bedeuten soll. verfertigt hat. R. Jehuda sagt: Sobald man die Ohren39 Nach יו״ב und מ״א sind die אזנים in den קיחות mit enthalten. Es sind zwei grosse Schleifen, die an zwei entgegengesetzten Seiten der Tasche angebracht sind und auseinander gezogen werden, wenn man die Tasche öffnen will. daran gemacht hat40 Auch wenn die kleinen Schleifen nicht daran sind, da man die Tasche mit einer Schnur umwickeln kann.. Das Schurzfell41 סקורטיא (scortea), Lederzeug. Nach Ned. 45 b ist darunter ein ledernes Schurzfell der Gerber verstanden. R. Hai und Maim. erklären es hier als eine Lederdecke, auf der man speist., sobald man den Verschluss gemacht36 D. h. gesäumt hat., es beschnitten und die Schnüre42 צצתה, L. ציציתה, wie die ציציה am Talith, Schnüre, womit man die Schürze um den Leib bindet. Nach Maim. ist es ein runder Schmuck in der Mitte der Lederdecke (vgl. aber יו״ב und מ״א). daran gemacht hat. R. Jehuda sagt: Sobald man die Ringe43 An denen die Schnüre befestigt sind. daran gemacht hat. Eine Bett-Unterlage44 קטבוליא, gr. ϰαταβολή, Unterlage (vgl. Oholot 8, 1)., sobald man den Verschluss gemacht36 D. h. gesäumt hat. und sie beschnitten hat. R. Jehuda sagt: Sobald man die Schleifen45 S. oben Note 38. daran46 Womit man sie an die Bettstelle befestigt. gemacht hat47 Obgleich man sie noch nicht gesäumt hat.. Die Decke48 Vgl. weiter 20, 1. und das Kissen von Leder, sobald man den Verschluss gemacht und sie beschnitten hat. R. Jehuda sagt: Sobald man sie zugenäht und weniger als fünf Handbreiten offen gelassen hat49 Um sie mit Wolle oder Heu zu füllen..", + "Ein Feigenkorb50 פטיליה (gr. πατέλλιον, dim. von πατέλλα, eine Schüssel), ein Weidenkorb zum Aufbewahren getrockneter Feigen, Tos. Sabb. 12 (13), 15. ist verunreinigungsfähig, aber der grosse Getreide-Behälter51 חסינה, nach Maim. ein hausgrosser weidener Behälter, in welchem man Weizen aufbewahrt. ממגורות (Joël 1, 17) wird vom Targ. mit חוסניא übersetzt. St. חסן, aufbewahren. ist rein52 Er gilt nicht als Gerät, weil er wegen seiner Grösse nicht hin und her getragen wird.. Fruchtkörbchen53 סגניות nach den Comment. ein kleines Behältnis zu frischen nassen Früchten (vom St. סוג, einschliessen; Kohut: σαγάνη Netz?). aus Blättern sind rein54 Weil diese keine dauerhaften Geräte sind., die aus Gerten sind verunreinigungsfähig. Ein Geflechte für Datteln55 חותל, ein Geflechte aus Palmzweigen, in welches die unreifen Datteln getan werden, damit sie dort zur Reife kommen. Die unreife Dattel heisst תוחלא, aus dem (nach R. Hai) חותל transp. ist. Nach Maim. stammt es vom Hebr. חתל, einwickeln. ist, wenn man leicht hineintun und herausnehmen kann56 Es ist ein dauerhaftes Gerät, das man auf- und zumachen kann., verunreinigungsfähig; wenn dies aber nicht anders geschehen kann, als bis man es zerreisst oder auftrennt, so ist es rein57 Weil man dies nur für kurze Zeit gebraucht und dann wegwirft..", + "Der lederne Handschuh58 So erklären das Wort die meisten Commentare. קסיה wäre dann gleich כסיה, Bedeckendes (vgl. קוס = כוס, oben 4, 3). Andere erklären es mit „Schürze“ oder „Kopfbedeckung“ (eine Art Helm = cassis), vgl. תוי״ט. der Worfler59 Maim. (H. כלים 7, 5) las זורעי גינות (der Gärtner)., der Reisenden, der Flachsarbeiter ist verunreinigungsfähig; dagegen ist der der Färber und der Schmiede rein. R. Jose sagt: Auch der der Gräupner60 S. oben 12. Note 57. ist letzteren gleich. Dies ist die Regel: Dasjenige, das zum Aufnehmen61 Um etwas damit fassen zu können, ohne dass ein Dorn oder Splitter die Hand verwandet. dient, ist verunreinigungsfähig; was nur des Schweisses wegen62 Damit die Sache, woran er arbeitet, nicht durch den Schweiss seiner Hand beschädigt werde; oder: um damit den Schweiss abzutrocknen. gebraucht wird, ist rein.", + "Der Mistsack63 מלקוט (a. LA. מקלוט, auch מיקלוט) nach Maim. ein lederner Sack, um den Mist des Dreschtieres aufzunehmen, damit das Getreide nicht besudelt wird. Nach Aruch u. A. ist es ein Leder, das man dem Rinde vor die Augen bindet, damit es im Kreise herumgehe und dresche. des Rindes und dessen Maulkorb64 חסים, (bessere LA. חסום L. חיסום), Sabbat 53 a., das Räuchergefäss65 מדף, nach den meisten Comment. ein Räuchergefäss, womit man die Bienen wegtreibt, wenn man den Honig aus dem Bienenkorbe nehmen will (von נדף, vertreiben). Nach R. Hai ein Brett (von דף) vor dem Bienenkorbe, auf welchem die Bienen sich niederlassen (vgl. gegen diese Erkl. Fleischer bei Levy III 305). für die Bienen und der Fächer66 מנפה (von נוף, wehen, fächeln) Fächer. sind rein. Der Deckel des Schmuckkastens67 קופסא (M. קפצה, L. קפסה), gr. ϰάψα, ein Behälter für Schmucksachen oder Kleidungsstücke. ist verunreinigungsfähig68 Weil man mitunter den Deckel für sich gebrauchte (s. oben 12, 3)., der der Kleiderkiste69 קמטרא, gr. ϰάμπτοα, Targ. zu מלתחת (2. Kön. 10, 22). ist rein. Der Deckel einer Lade, der Deckel eines Korbes70 Diese Deckel sind nicht mit dem Geräte verbunden., die Presse des Zimmermanns71 Womit er krumme Bretter gerade presst., der Stuhl72 הכסא, and. LA. הכסת, das Kissen. unter der Lade73 Man stellt ihn unter die Lade, damit sie nicht durch die Feuchtigkeit der Erde Schaden leide. und die Wölbung74 קמרון, gr. ϰαμάριον, Wölbung, eine gewölbte Decke, die zeltartig über der Lade liegt, um diese vor dem Regen zu schützen. über derselben, das Lesepult75 אנגלין, andere LA. אנלגין, gr. ἀναλογεῖον, ein Lesepult, so ר״ש und Aruch. And. Erkl.: ein Futteral (Bart.) oder die Form, auf der man das Futteral für die Gesetzrolle macht (Maim). Eine and. Erklärung in den Comment. zu Jerusch. Megilla 3, 1. für Bücher, das Gehäuse zum Riegel76 Das Riegelloch, worin man den Riegel hineinschob., das Gehäuse des Schlosses77 Das Gehäuse, wo man den Schlüssel hineinsteckte (Tosefta Erubin 10, 1)., die Kapsel der Mesusah78 Das Pergamentstück, worauf die Abschnitte Deut. 6, 4—9 und 11, 13—21 geschrieben sind, das in einer Kapsel an den Türpfosten befestigt wird. Die letztgenannten drei Gehäuse sind rein, weil sie am Grundstück befestigt sind, so dass sich die Regel des R. Jehuda am Ende dieser Mischna nicht hierauf bezieht (מ״א). Nach den and. Erklärern sind hier Futterale gemeint, die nicht am Grundstück befestigt sind., das Futteral zu Psaltern, zu Harfen79 Vgl. oben 15, 6 und Erubin 10 Note 71., der Block80 אמום, syr. ܐܰܡܽܘܡܳܐ, eine Form (arab. امام, Muster) Figur eines Menschenkopfes, auf der man die Turbane verfertigte. der Turban-Verfertiger, der Markoph81 S. oben 15, Note 62. Ar. gibt hier noch die Erklärung: „der Griff des Winzermessers;“ vgl. Tosefta I 5, 10 (die aber auch nach der anderen Auffassung erklärt werden kann). des Musikanten, das Spielinstrument82 רביעית das Targ. übers. מנענעים (2. Sam. 6, 5) mit רביעין. Nach Maim. sind es zwei Hölzer, die taktmässig aneinander geschlagen wurden; nach And. besteht das Instrument aus viereckigen Brettern. der Klagefrau83 S. oben 15, Note 67., der Sonnenschirm84 גנוגנות, M.: גנונת (von גנן, schirmen.) Nach Maim. ist unter עני der Handwerker zu verstehen, nach Deut. 24, 15. Ar., ר״ש und Bart. erklären גנוגנה als eine Tasche. des Armen, die Stützen85 Balken, mit denen man das Bett stützte, dass es nicht zerbreche. des Bettes, die Form86 טפוס = typus. der Tephilla87 תפלה, Einz. von תפלין (Phylakterien). Gemeint ist die Form für die Gehäuse (בתים) der Tephillin., das Modell der Kleider-Weber88 סותות, M.: סות, nach Maim. Gewand, Gürtel, wie Gen. 49, 11. Bart. liest: סאגות und erkl.: Ketten. Gemeint sind (wie aus R. Hai und ר״ש zu ersehen ist) die geflochtenen Kettchen (תיכי חלילאתה, Sabb. 57 a), in welche das Kopfhaar der Frauen hineingeflochten wird. Es gibt hier noch eine Menge Varianten.. — alle diese sind rein. Dies ist die Regel, sagt R. Jose: Alles88a Vgl. Sifra Schemini Par. VI, 4., was den dem Menschen dienenden Geräten sowohl während des Gebrauches derselben dient89 Unter den flachen hölzernen Geräten (פשוטי כלי עץ) sind dreierlei Arten zu unterscheiden (vgl. Tosefta II 10, 7): 1. משמשי אדם, solche sind rein. 2. משמשי אדם ומשמשי אדם ; über diese beiden vgl. Vorb. 12. — 3. משמשי משמשיו של אדם, Gegenstände, die nur den vom Menschen gebrauchten Geräten dienen. Über diese stellt R. Jose seine Regel auf., als auch während sie nicht gebraucht werden90 Es bleibt stets mit dem Geräte verbunden, auch wenn dieses nicht gebraucht wird, wie z. B. der Deckel des Schmuckkästchens., ist verunreinigungsfähig91 Es wird wie das Gerät selbst betrachtet, selbst wenn es nicht mit dem Geräte verbunden ist.; dient es ihnen aber nur, während sie gebraucht werden92 Wie etwa die verschiedenen Modelle der Handwerker., so ist es rein93 Umso mehr gilt dies von den flachen Gegenständen, die den Geräten bloss, während sie nicht gebraucht werden, dienen, wie das Futteral einer Harfe (יו״ב)..", + "Die Scheide des Schwertes, des Messers, des Dolches94 Oben 13, Note 2., das Futteral des Zwickmessers95 Das. Note 10., der Scheere, des Scheermessers, das Futteral des Schminkstifts96 Das. Note 13., die Schminkdose das Futteral des Schreibstils97 Das. Note 14. und das Futteral mit mehreren Fächern98 תרונתק, zusammengesetzt aus תרין und תיק (zwei Futterale), ein Futteral mit mehreren Fächern (Maim.)., das Futteral einer Tafel99 Nach כף נחת (bei תוי״ט) ist hier eine Metalltafel, auf welcher der Lauf der Gestirne gezeichnet ist, gemeint. Nach מ״א, ebenso Levy, soll טבלא hier eine Handpauke sein (gr. τάβαλα)., die Lederdecke100 Oben Note 41., der Köcher und das Behältnis für die Geschosse101 פגוש, M.: פגוז Targ. zu קבל (Ez. 26, 9), Wurfgeschoss. — diese sind verunreinigungsfähig102 Weil sie ein Behältnis haben (יו׳׳ב). Nach Maim. und א״ר dienen diese Futterale den Geräten auch, während sie gebraucht werden, was aber יו״ב mit Recht unbegreiflich findet.; das Futteral der Doppelflöte103 Oben 11, Note 61. ist, wenn man diese von oben hineinlegt104 Die Öffnung des Futterals ist oben., verunreinigungsfähig, wenn von der Seite, rein105 In diesem Falle wird das Futteral nicht als ein Behältnis sondern bloss als eine Decke betrachtet.. Ein Futteral für Pfeifen erklärt R. Jehuda für rein, weil man sie von der Seite hineinlegt. Der Überzug des Spiesses106 אלה, arab. الة, ein kurzer Spiess. Nach And. ist אלה ein Streitkolben oder ein runder Schild., des Bogens, der Lanze ist rein. Dies ist die Regel: Was zum Behältnis gemacht ist, ist verunreinigungsfähig; was zum Überzug dient, ist rein107 Nach Sifra Schemini Par. VIII, 7.." + ], + [ + "Bei1 Berachot 41 a. allen Geräten2 Von Holz. Über irdene Geräte s. 3, 1 f; über Metallgeräte 14, 1. der Privatleute2a S. Raschi zu Sukka 6 a. gilt als Mass3 Des Loches, wodurch das Gerät rein wird. der Granatapfel4 Wenn das Loch so gross ist, dass ein Granatapfel durchfällt, s. M. 4.. R. Elieser sagt: Es kommt auf die Bestimmung der Geräte an5 Nach Maim. und Bart. sind hier die Worte des R. Elieser zu Ende. Nach ihm kommt es bei jedem Geräte auf seine Bestimmung an, so dass z. B. ein Gerät, das zu Oliven bestimmt ist, rein wird, wenn es ein Loch bekommt, durch welches eine Olive durchfällt. Das folgende קופות הגננים sagt wieder der erste Tanna, der damit Ausnahmefälle anführt, bei denen nicht der Granatapfel als Mass gilt. Nach ר״ש und יו״ב ist קופות הגננים u. w. Fortsetzung der Worte des R. Elieser, der damit Exempel für seinen Lehrsatz anführt.: Bei den Körben der Gärtner (gilt als Mass) ein Kraut-Bündel6 Wenn ein Kraut-Bündel durch das Loch fallen kann.; bei den der Hausherren Stroh7 Ein Stroh-Bündel.; bei den der Bademeister Holzspäne8 גבבה, (von גבב, zusammenlesen) nach א״ר Holzspäne; nach And. Stoppeln. Auch hier ist ein Bündel gemeint.. R. Josua8a Das ist (nach ר״ש) der erste Tanna, der mit R. Elieser kontroversiert. Nach And. geht R. Josua noch weiter als der erste Tanna, indem er nicht bloss bei den Geräten der Privatleute, sondern auch bei den der Fabrikanten die Granate als Mass gelten lässt. sagt: Bei allen (gilt als Mass) der Granatapfel.", + "Beim Schlauche9 Von Leder. ein Knäuel10 פקעיות Mehrz. von פקעת, oben 10, Note 41. Aufzuggarn11 Oben 1, Note 38. Dies ist die Ansicht des R. Elieser b. Jakob in der Tosefta, vgl. Chullin 138 a.. Wenn er diesen nicht hält, wohl aber12 Anstatt אעפ״י שמקבלת liest L.: אעפ״י כן מקבלת. Danach ist der Sinn einfach der: „Wenn er Aufzuggarn nicht hält, trotzdem aber Einschlaggarn hält, so ist er noch unrein. Nach unserer LA. muss hier אף על פי den Sinn von הואיל (weil) haben, wie in Megilla 4 b (Ende), vgl. מ״ש. Es ist daraus zu schliessen, dass er wohl rein wird, wenn er auch Einschlaggarn nicht halten kann. (Nach Maim. H. Kelim 7, 6 dagegen ist er erst rein, wenn dessen grösster Teil gelöchert ist). Es ist aber unbegreiflich, welchen Zweck das Mass בפקעיות של שתי hat, da der Schlauch bei einem Loch von dieser Grösse doch nicht rein ist. Was die Kommentare zur Erklärung dieser Auffälligkeit sagen, befriedigt nicht. Es ist die Annahme notwendig, dass bis בפקעיות של שתי die Ansicht von R. Elieser b. Jakob, von אם אינה u. s. w. die Ansicht eines anderen Tanna vorliegt. א״ר liest טהורה statt טמאה, ebenso weiter; doch findet diese LA. nirgends eine Bestätigung. einen Knäuel Einschlaggarn, ist er verunreinigungsfähig. Ein Schalen-Behälter, der Schalen nicht hält, wohl aber Schüsseln13 תמחוי ist eine grosse Schüssel. Über die Etym. vgl. Baneth in Pesachim V, Note 42., ist verunreinigungsfähig. Ein Nachtgeschirr14 רעי, L.: ראי, Nahum 3, 6., das nicht Flüssiges, wohl aber den Unrat halten kann, ist verunreinigungsfähig. Rabban Gamliel erklärt es für rein15 R. Gamliel bezieht sich bloss auf בית הרעי (יו״ב)., weil man es so nicht bestehen lässt16 And. LA.: מפני שהן מקיימין אותו . Dann bezieht es sich nach Bart. auf die Worte des ersten Tanna, der es für unrein erklärt, weil man es so noch bestehen lässt, (vgl. aber מ״א)..", + "Bei den Brotkörben (gilt als Mass) ein Laib Brot.17 Wenn das Loch so gross ist, dass ein Laib Brot durchfällt, ist der Korb rein. Die Laibe Brot waren rund und jeder so gross, dass er für zwei Mahlzeiten ausreichte, Peah 8, 7 (יו״ב). Wenn man am Papyrus-Geräte18 אפיפיירות, Tosefta: פיפיארות, R. Hai: עפיירות. Letzterer erklärt: „Ein Gerät, das aus Papyrus-Stauden gemacht ist, und zwar ist dies ein grosser Korb, der wie Gitter- und Netzwerk gemacht ist und kein Getreide aufnehmen kann, sondern nur etwa Äpfel, Birnen oder Granatäpfel.“ Rohr von unten nach oben zur Befestigung19 Nach Bart. handelt es sich hier um ein Gerät, dessen Boden durchbrochen war und dadurch wieder repariert wurde, dass man von unten am Boden bis nach oben Rohr eingesetzt hat. Maim. (H. Kelim 6, 4) hat: מלמעלה ומלמטה (oben und unten). Nach יו״ב spricht die Mischna hier von einer gitterartigen Tafel (wie in Kilajim 6, 3), in welche man an den Rändern senkrecht nach oben gerichtetes Rohr angebracht hat, לחיזוק, damit das Gerät, das bisher ein flaches Holzgerät (פשוטי כלי עץ) war, nun etwas fassen könnte. angebracht hat, ist es rein. Hat man irgendwelche Handhaben20 גפיים sind nach Ar. hier dasselbe wie אזניים, Handhaben. And. erklären, wie das Wort sonst bedeutet: Ränder ringsum. daran gemacht, so ist es verunreinigungsfähig21 Es wird dadurch ein vollkommenes Gerät.. R. Simon sagt: Wenn es mit den Handhaben nicht weggetragen werden kann22 Die Handhaben oder die Ränder sind nicht stark genug, dass man vermittelst derselben das Gerät aufheben und wegtragen könnte. Nach Maim. ist dieses Gerät auch bei einem Loche, durch das eine Granate durchfällt, verunreinigungsfähig, weil es von vorn herein so gemacht wird. Dadurch würde sich die Stellung dieser Halacha in diesem Perek erklären., ist es rein.", + "Unter Granatäpfeln, von denen man gesprochen hat23 Oben Mischna 1., sind solche gemeint, deren drei mit einander verbunden sind24 Und einer von den dreien durch das Loch herausfällt. Hierzu muss das Loch grösser sein, als wenn bloss eine einzelne, nicht mit andern verbundene Granate durchfallen soll. So erklärt Bart., vgl. תוי״ט. Viele andere Erklärungen zu diesem Satze sind zusammengestellt im מי נפתוח.. R. Simon, Sohn Gamliels, sagt: Beim Sieb und Reuter25 Die gewöhnlich so gebraucht werden, dass man sie schüttelt. genügt es, (dass der Granatapfel durchfällt), wenn man sie26 Das Sieb und den Reuter. nimmt und damit hin und her geht27 Wobei durch das Schütteln die Granate auch durch ein kleineres Loch herausfällt.; beim Korbe28 Der gewöhnlich auf dem Rücken getragen wird, so dass, während man ihn an den Rücken hängt, durch die Bewegung die Frucht auch durch ein kleineres Loch herausfällt., wenn man ihn an den Rücken hängt29 פשל, vgl. B. mezia 3, Note 53.. Bei30 Von hier ab sind es nicht mehr die Worte des B. Simon b. Gamliel. allen anderen Geräten, die keine Granatäpfel aufnehmen können31 Sie sind so klein, dass sie nicht drei Granaten fassen., z. B. beim Viertel32 ¼ Kab., beim Halbviertel33 ⅛ Kab., bei den kleinen Körbchen34 Oben 16, 3., gilt als Mass deren grösster Teil35 Wenn der grösste Teil des Bodens durchlöchert ist, sind sie rein.. Dies die Worte R. Meïrs. R. Simon sagt: Eine Olive36 Sobald durch das Loch am Boden eine Olive durchfallen kann, sind sie rein.. Sind sie durchbrochen37 An den Seitenwänden, und zwar bis an den Boden herab (מ״ש)., so gilt als Mass eine Olive; ist ein Teil von ihnen abgeschnitten38 גמם (syr. ܓܰܡ) abschneiden., so gelten sie als Geräte, wenn sie auch nur etwas halten können39 Nach R. Ephraim Aschkenasi (im מ״ש) bedeutet hier במח שהן: „Es kommt auf die Bestimmung des Gerätes an“, wie oben in Mischna 1..", + "Unter dem Granatapfel, von dem sie39a Die Weisen. gesprochen haben, ist nicht ein kleiner oder ein grosser, sondern ein mittlerer40 Vgl. Mischna 6. zu verstehen. Inwiefern aber sind die Granatäpfel von Baddan41 בראן, ein Ort in Samaria, nordöstlich von Sichem gelegen (Schwarz, Heil. Land 127). genannt worden42 Vgl. Orla 3, 7. ? Insofern, als diese43 Wenn sie verbotene Früchte sind, etwa als Orla (Lev. 19, 23). das mit ihnen Vermengte in jedem Verhältnisse44 Wenn auch nur ein verbotener Granatapfel mit tausend anderen vermengt worden. heiligen45 D. h. verboten machen.. Dies die Worte R. Meïrs46 Vgl. Orla 3, 7, wo B. Meïr anderer Ansicht zu sein scheint; doch ist dies in Wahrheit nicht der Fall, wie א״ר bereits gezeigt hat.. R. Jochanan, Sohn Nuri’s, sagt: In der Hinsicht, dass sie als Mass für die Geräte gelten47 Das Gerät wird erst rein, wenn es ein Loch hat, durch welches der Baddan-Granatapfel durchfällt.. R. Akiba sagt: In beiden Hinsichten sind sie genannt worden, dass sie als Mass der Geräte gelten und dass sie in jedem Verhältnisse heiligen. Es sagt R. Jose48 Viele Comment. haben hier: R. Jehuda (vgl. מ״ש).: Die Granatäpfel48a Jerusch. Demai 2, 1; Orla 3, 4. von Baddan und die Lauchgewächse von Geba49 גבע ist ebenso wie בדאן ein samaritanischer Ort. Die Tosefta II 6, 10 nennt ihn: גבע של בין הכותים (Geba des Gebietes der Kuthäer). sind bloss genannt worden, insofern sie an jedem Orte als gewiss (noch nicht verzehntet)50 Da die Samaritaner (Kuthim) die Früchte, die sie verkaufen, gewiss nicht verzehnten. verzehntet werden müssen51 Dagegen sind die sonstigen von einem עם הארץ gekauften Früchte bloss דמאי, d. h. im Zweifel, ob sie verzehntet sind oder nicht, vgl. die Vorbemerkungen zum Tr. דמאי..", + "Die Ei-Grösse52 Die Grösse eines Hühnereies (Maim., vgl. מ״א ,מ״ש und תא״ש)., von der sie39a Die Weisen. gesprochen haben53 An verschiedenen Stellen wird dies als Mass angegeben, z. B. Berachot 7, 2; Sukka 2, 5; 3, 7, und in Bezug auf die Unreinheit der Speisen in Joma 80 a., ist nicht nach einem grossen oder kleinen, sondern nach einem mittleren Ei zu bestimmen. R. Jehada sagt: Man bringt das allergrösste und das allerkleinste Ei, tut (beide) ins Wasser54 In ein Gefäss, das bis an den Rand mit Wasser gefüllt ist. und teilt das (dadurch verdrängte) Wasser55 Das aus dem Gefäss herausgeflossen.. Da sagte R. Jose: Wer tut mir denn kund, welches das grösste and welches das kleinste Ei sei56 Vielleicht gibt es noch grössere oder noch kleinere. ? Es mass daher alles nach dem Augenmasse57 Wörtlich: nach dem Gedanken des Sehenden (Bestimmenden). bestimmt werden.", + "Das Mass „wie eine getrocknete Feige“, von dem sie39a Die Weisen. gesprochen haben58 In Sabbat 7, 4; Erubin 7, 8., ist nicht nach einer grossen oder kleinen, sondern nach einer mittleren Feige zu bestimmen. R. Jehuda sagt: Die grösste59 Einige lesen: הקטנה, die kleinste (א״ר ,מ״ש und יו״ב), weil sie es seltsam finden, dass im gelobten Lande die Feigen am kleinsten sein sollen. Doch ist diese LA. nicht bezeugt und blosse Konjektur. im Lande Israels ist gleich der mittleren in anderen Ländern.", + "Das Oliven-Mass60 Berachot 39a., von dem sie gesprochen haben61 Bei sehr vielen Massbestimmungen, z. B. bei allen verbotenen Speisen, vgl. Erubin 4 b., wird nicht nach einer grossen oder kleinen, sondern nach der mittleren Art, das ist die Egori-Olive62 אגורי, nach Berachot 39 a heisst sie so, weil das Öl in der Frucht gesammelt ist, d. h. (nach Raschi) die Flüssigkeit ist nicht in der Frucht eingesogen, wie etwa bei Äpfeln, sondern sie ist darin gesammelt, wie bei den Weinbeeren; abweichend davon Jerusch. Bikkurim 1, 3. Nach Rapoport, Erech Millin 14, heisst sie אמרי nach der Handelsstadt Egra am aelanitischen Meerbusen. Vgl. auch Löw bei Krauss, Lehnwörter II 7., bestimmt. Das Mass „wie ein Gerstenkorn“, von dem sie gesprochen haben63 Oben 1, 4; Ohalot 2, 3., wird nicht nach einem grossen oder kleinen, sondern nach dem mittleren, das ist dem der Wüste64 Diese Gerste wuchs wohl in der Wüste Jehuda; vgl. „Wüsten-Ysop“ in Negaïm 14, 6., bestimmt. Die Linsen-Grösse, von der sie gesprochen haben65 Negaïm 4, 6; Chagiga 11a., wird nicht nach einer grossen oder kleinen, sondern nach einer mittleren Linse bestimmt, das ist die ägyptische. Alles66 Ohalot 16, 1. Bewegliche bringt67 Auf den Menschen, der dasselbe trägt (s. Vorb. 27). die Unreinheit, (wenn es so breit ist), wie die Dicke eines Rinder-Steckens68 Oben 9, Note 80.. Damit ist nicht ein grosser oder kleiner, sondern ein mittlerer gemeint. Was ist ein mittlerer? Derjenige, dessen Umfang eine Handbreite beträgt69 Die Dicke ist demnach ⅓ Handbreite..", + "Unter der Elle, von der sie39a Die Weisen. gesprochen haben70 Z. B. Erubin Anf.; Sukka Anf., ist die mittlere Elle71 Von 6 Handbreiten. Über die grosse Elle s. weiter unten; über die kleine s. Mischna 10. zu verstehen. Zwei72 Pesachim 86 a. Ellen72a Zwei grosse Ellen. waren in „Residenz-Schuschan“73 So hiess das östliche Tor des Tempelberges, weil darüber die persische Residenz Schuschan abgebildet war (Middot 1, 3)., eine im nordöstlichen und eine im südöstlichen Winkel; die im nordöstlichen Winkel war um eine halbe Fingerbreite grösser als die mosaische74 Die von Moses beim Baue der Stiftshütte gebrauchte, die 6 Handbreiten betrug Maim.). Elle, die im südöstlichen Winkel war grösser als jene um eine halbe Fingerbreite, sodass sie um eine Fingerbreite grösser als die mosaische war. Zu welchem Zwecke hat man eine grössere75 Damit sind die zwei grossen Ellen am Schuschan-Tore gemeint, von denen, wie in Menachot 98 a angegeben, die kleinere bei Silber- und Goldarbeiten und die grössere bei Bauwerken gebraucht wurde. Darum heisst es: „eine grössere“, weil bei jeder Arbeit nur eine der beiden grösseren Verwendung fand. und eine kleinere Elle76 Die mosaische Elle. angeordnet? Bloss damit die Handwerker nach der kleineren77 Der mosaischen. Elle übernehmen78 D. h. abschliessen. Sie haben sich vertragsmässig verpflichtet, zu einem festgesetzten Preise eine mosaische Elle zu arbeiten. und nach der grösseren wiedergeben79 Sie gaben zu jeder Elle eine halbe resp. eine ganze Fingerbreite hinzu., auf dass sie nicht zu einer Veruntreuung (des Heiligen) kommen80 Wenn sie knapp messen, könnten sie mitunter zu wenig geben und eine Untreue am Heiligen begehen..", + "R. Meïr sagt81 Erubin 4 b.: Alle Ellenmasse82 Am Heiligtum. waren nach der mittleren83 Von 6 Handbreiten., ausgenommen die des goldenen Altars, der Hörner (des Altars)84 Im Vorhof des Tempels., des Umgangs und des Grundes (des Altars)85 Bei diesen allen betrug die Elle bloss 5 Handbreiten.. R. Jehuda sagt: Bei den Gebäuden (des Tempels)86 Z. B. die Mauer des Tempels und des Vorhof-Altars. betrug die Elle sechs Handbreiten, bei den Geräten87 Der Tisch, der goldene Altar und die Bundeslade. fünf Handbreiten.", + "Manches hat man88 Erubin 30 b. nach kleinem Masse89 Dem Masse der Wüste, nicht nach dem später eingeführten grösseren Masse von Jerusalem und Sepphoris, vgl. hierüber Edujot 1, Note 19. bestimmt: Die Masse für Flüssiges und Trockenes90 Z. B. das Seah, Hin und Log im Heiligtum. bestimmte man nach dem italischen, das ist dem Wüsten-Masse91 Das zur Zeit Moses’ die Israeliten in der Wüste hatten.. Manches wieder bestimmte man nach dem, wie der Mensch gerade ist92 Mag er gross oder klein sein.: Der die Handvoll vom Speiseopfer abhebt93 Wie es heisst (Lev. 2, 2): Er nehme seine Hand voll., der die beiden Hände voll Räucherwerk nimmt94 Wie es heisst (Lev. 16, 12): Er nehme … seine Hände voll Räucherwerk., der einen Mund voll am Versöhnungstag trinkt95 S. Joma 8, 2. und das Mass der Speise für zwei Mahlzeiten96 Erubin 8, 2. zum Erub97 Wenn jemand über die Sabbatgrenze (תחום) hinaus gehen will, muss er einen Erub machen. Näheres hierüber in den Vorb. zu Erubin., und zwar nach seiner Kost am Wochentage und nicht nach der am Sabbat98 Am Werktage isst man weniger, als am Sabbat, wo die Speisen feiner sind.. So R. Meïr. R. Jehuda sagt: Wie (die Kost) am Sabbat, nicht wie die am Wochentage99 R. Jehuda meint umgekehrt, am Sabbat isst man bei jeder Mahlzeit weniger, weil man 3 Mahlzeiten isst, während am Werktage nur 2 Mahlzeiten eingenommen werden.. Beide bezwecken (das Mass) zu erleichtern100 Beide meinen, zum Erub genügt Speise für kleinere Mahlzeiten.. R. Simon sagt: (Die 2 Mahlzeiten bestehen) aus zwei Dritteln eines Laibes, wovon drei auf einen Kab gehen101 D. i. ⅔ von einem Drittel Kab, oder ²⁄₉ Kab. Ein Kab = 4 Log; ein Log = 6 Eier. Das Brod ist also 5 ⅓ Eier gross.. R. Jochanan, Sohn Beroka’s, sagt: Aus einem Laibe um einen Pondion102 Dupondium., wenn man vier Seah103 4 Seah = 24 Kab. (Weizen) für einen Sela104 Ein Sela = 48 Dupondia. bekommt105 Für ein Dupondium erhielte man somit ½ Kab Weizen. Bis man aber aus dem Weizen Brod bekommt, reduzirt sich das Quantum auf die Hälfte, also auf ¼ Kab = 6 Eiern (Ketubot 64 b)..", + "Manches hat man nach grossem Masse bestimmt: Ein Löffel voll Verwestes106 S. Ohalot 2, 1; Nasir 50 b., das ist nach dem grossen Löffel der Ärzte107 Der so gross ist, wie zwei Hände voll. gemeint; die Bohnengraupen-Grösse bei den Aussatzschäden108 Negaïm 6, 1. wird nach der kilikischen Bohnengraupe109 Wie ein Quadrat von 3 Linsen in der Länge und ebensoviel in der Breite. bestimmt; wer am Versöhnungstage110 Joma 8, 2. isst, (ein Mass) wie eine grosse Dattel, und zwar wie sie und ihr Kern111 Das ist etwas weniger als eine Ei-Grösse (Joma 79 b).; bei Schläuchen112 Von Leder. zu Wein und Öl ist das Mass113 Des Loches, durch welches sie rein werden. wie der grosse Knopf114 פיקה, Knopf, auch Spindelknopf (oben 11, 6). Nach Aruch ist es gleich פקעה, Knäuel, vgl. Raschi zu Berachot 22 a und oben Mischna 2. an denselben115 Nach Maim. ist es der Knopf, den man gewöhnlich an jedes Ende des Schlauches bindet; und wenn der Schlauch ein Loch hat, das grösser ist als dieser Knopf, ist er rein. Nach Bart. ist פיקח hier ein Spindelknopf. שלהן hat er nicht gelesen. Tosefta II 7, 3: ואיזו היא פיקח גדולה שלהן הנכנס דרך פיהם . Welches ist ihr grosser Knopf? Der, welcher durch ihre Mündung hindurchgeht (vgl. Krengel, Hausgerät 46).. Bei einer Lichtöffnung116 Bechorot 37 b., dio nicht durch Menschenhände gemacht worden117 Sondern Wasser oder Kriechtiere haben sie ausgehöhlt; vgl. Ohalot 13, 1., ist das Mass118 Damit die Unreinheit des Totenzeltes durch diese Öffnung von diesem Zimmer in das Nebenzimmer komme. wie eine grosse Faust119 מלא אגרוף, wörtlich: die Füllung einer Faust, d. h. die Grösse einer Faust, vgl. מלא הין, Edujot 1, 3.; damit ist eine Faust, wie die des Ben Batiach120 Ein Riese jener Zeit. Nach M. rabba zu Thr. 1, 5 und zu Hohel. 7, 11 lebte er zur Zeit der Zerstörung des Tempels und war ein Schwestersohn des R. Jochanan b. Sakkai, vgl. Rapoport Erech Millin 257. gemeint. R. Jose sagte: Diese ist so gross wie ein grosser Menschenkopf. Bei einer durch Menschenhände gemachten Öffnung ist das Mass wie der grosse Bohrer der Tempelhalle121 Der in einer Tempelhalle lag (Raschi)., das ist wie ein italischer Pondion, oder wie ein Neronischer122 So genannt nach dem Kaiser Nero. Die Namen Ben Batiach und Nero bekunden, dass diese Mischna aus der Zeit des grossen jüdischen Krieges stammt. Sela, oder wie123 In Bechorot 37 b heisst es וישנו כמלא statt ונמלא. das Loch im Jochbalken124 Oben 14, Note 49..", + "Alle Geschöpfe im Meere125 Sifra Schemini Par. VI 10. sind rein126 Sowohl sie selbst (auch die toten Seetiere), als auch die Geräte, die aus ihren Knochen oder Häuten verfertigt sind (oben 10, 1)., ausser dem Seehunde, weil er aufs Land sich flüchtet127 Wenn er verfolgt wird.. Dies die Worte des R. Akiba. Wenn man Geräte macht aus dem, was im Meere wächst, und damit etwas, das auf dem Lande entsteht, verbindet128 Die Verbindung muss aber derart sein, dass, wenn beide Dinge verunreinigungsfähig wären, die Unreinheit des einen auch das andere unrein machen würde., sei es auch nur ein Faden oder eine Schnur129 משיחה (von משח, messen,) Messschnur, Schnur., wenn es etwas ist, das Unreinheit annimmt130 Wenn es aus einem Stoffe besteht, der, wenn er das nötige Mass hätte, Unreinheit annehmen könnte (יו״ב, vgl. aber מ״א). Vgl. Sifra Schemini Par. VI 10., so ist es131 Auch das Meerprodukt. verunreinigungsfähig.", + "Manches von dem, was am ersten Tage erschaffen worden ist132 Nach Maim. ist damit das Wasser gemeint (vgl. Chagiga 12a). Nach Bart. meint man die aus der Erde gemachten irdenen Geräte., kann unrein werden; von dem am zweiten Tage Erschaffenen133 Das ist der Himmel. kann nichts unrein werden; unter den Geschöpfen des dritten Tages134 Das Land und die Pflanzen. gibt es Verunreinigungsfähiges; dagegen sind die Geschöpfe des vierten135 Sonne, Mond und Sterne. und fünften Tages136 Seetiere und Vögel. Die Unreinheit des Aases vom reinen Geflügel wird nach Maim. hier nicht in Betracht gezogen, weil diese von besonderer Art ist, vgl. Vorb. 36. nicht verunreinigungsfähig, ausgenommen das Gefieder137 Den Geräten, die aus den grossen starken Federn verfertigt werden. Diese werden wie Knochen-Geräte betrachtet; ebenso das folgende. des Os138 עוז ist gleich עזניה in Lev. 11, 13. Wahrscheinlich versteht die Mischna unter diesem Vogel den Seeadler (wie auch 70 und Vulg. übersetzen). und das Straussei139 נעמית; so übersetzen die Targg. תיענה in Lev. 11, 16., das überzogen ist140 Mit Metall (Aruch). Nur bei diesem Ei, das auch ohne Überzug bestehen kann, haben die Rabbinen verordnet, dass es unrein werden kann, aber nicht bei andern mit Metall überzogenen Eiern, die ohne Überzug gar nicht bestehen können (Bart.). Nach Einigen bezieht sich המצופה auch auf כנף תעוז. So scheint auch aus Tosefta II 7, 4 hervorzugehen (תיו״ט). Nach R. Simon b. Elasar, Namens R. Meïr, ist auch jedes andere überzogene Ei verunreinigungsfähig in der Mischna werden bloss deshalb die Geräte בנף העוז וביצת הנעמית genannt, weil diese gewöhnlich vorkommen (Tos. das.).. Es sagt R. Jochanan, Sohn Nuri’s: Warum soll das Gefieder des Os von allen anderen Federn unterschieden sein141 Auch wenn man aus anderen Federn dauerhafte Geräte macht, sind sie verunreinigungsfähig (Tosefta, cit. von ר״ש). ? Alles, was am sechsten Tage erschaffen worden ist142 Landtiere und Menschen., kann unrein werden143 Wenn sie tot sind; oder wenn man aus Tierfellen oder Knochen Geräte macht, so können diese unrein werden..", + "Wenn man ein Gerät mit Behältnis macht, wie immer es sein mag144 Selbst wenn man in der Regel nicht solche Geräte macht; vgl. die folgenden Beispiele., ist es verunreinigungsfähig. Wenn man ein Lager oder einen Sitz145 S. Vorb. 29., wie immer sie seien146 Wenn man auch in der Regel nicht solche Dinge als Lager oder Sitz gabraucht. macht, sind sie verunreinigungsfähig. Wenn man einen Beutel aus rohem Fell147 עור המצה, ein rohes Fell. Vgl. Sabbat 79 a: Mazza ist ein Fell, das weder mit Salz, noch mit Mehl, noch mit Galläpfeln gegerbt wurde. Nach Sifra Schemini Par. VI, 11 ist ein Gerät aus solchem Fell nicht verunreinigungsfähig. Wenn man aber selbst ein Gerät mit Behälter daraus macht, kann es unrein werden. oder aus Papier148 Über die Unreinheit des Papiers vgl. תום׳ des R. Akiba Eger zu 2, 5. macht, so ist er verunreinigungsfähig. Ein Granatapfel149 Chullin 12 b., eine Eichel oder eine Nuss, welche Kinder, um Staub damit zu messen, ausgehöhlt oder zu Wagschalen zubereitet haben150 Sie haben Fäden daran gebunden, um sie als Wagschalen zu gebrauchen., sind verunreinigungsfähig; denn von Kindern ist nur die Tat von Bedeutung151 Wenn sie etwas durch eine Tat zum Geräte gestalten., aber nicht der blosse Gedanke152 Ihr Gedanke, etwas als Gerät zu gebrauchen, macht es nicht verunreinigungsfähig. Dagegen genügt hierzu der Gedanke eines Grossjährigen, weiter 25, 9..", + "Ein Wagebalken153 An dessen Enden die Wagschalen hängen., ein Abstreicher154 Ein Holz, womit man das Übermass abstreicht. Dies darf nicht mit Metall beschwert werden, weil es dann zu tief hineinsinkt und zu viel abstreicht (B. batra 89 b)., worin ein Behälter zum Metall155 Die Betrüger pflegten den Wagebalken hohl zu machen und Quecksilber in die Höhlung zu tun, wodurch sie zu ihrem Vorteil die eine oder die andere Wagschale sinken machen konnten. Ebenso konnten sie mit dem beschwerten Streichholz übervorteilen. ist, eine Tragstange156 אסל (gr. ἄσιλλα) die Trage. במוט (Num. 13, 24) übers. Jon. באסלא., worin ein Behälter zum Gelde157 Worin der Betrüger gestohlenes Geld versteckt. ist, ein Rohr des Bettlers, worin ein Behälter für Wasser ist158 In dem Wasser verbirgt er die Dinge, die er stiehlt., und ein Stock, worin ein Behälter für eine Mesusa und für Perlen ist159 Der Schmuggler legte die Perlen in einen hohlen Stock; über dieselben steckte er eine Mesusa, die er angeblich aus Frömmigkeit mit sich führte, und so gelang es ihm, den Zoll zu hinterziehen., diese sind verunreinigungsfähig160 Obgleich man gewöhnlich obige Geräte nicht mit Behältern versieht.. Auf alle diese sagte Rabban Jochanan, Sohn Sakkai’s161 B. batra 89b.: Wehe mir162 L hat: אילי = אי לי., wenn ich davon spreche, und wehe mir, wenn ich davon nicht spreche163 Tosefta II 7, 9: Wenn ich davon spreche, so könnte ich damit die Leute betrügen lehren; wenn ich wieder nicht davon spreche, so würde ich die Lehre verschweigen und dadurch bewirken, dass man Reines verunreinigt. Eine andere Version: (Ich muss davon sprechen) damit die Betrüger nicht denken, die Weisen kennen ihre Handlungen nicht. Nach dem Talmud (l. c.) hat er schliesslich doch davon gesprochen im Hinblick auf den Schriftvers (Hosea 14, 10): Grade sind die Wege des Herrn, die Gerechten wandeln darin, und die Frevler straucheln darüber. !", + "Der Untersatz164 תחתית, nach Maim. ein Holzklotz, in den der Amboss eingelassen ist, (der Ambossstock). der Goldarbeiter ist verunreinigungsfähig165 Weil man den Amboss aus dem Untersatz oft herausnimmt, um die Abfälle von Gold und Silber, die sich dort ansammeln, herauszunehmen; dieser Untersatz dient demnach als Behälter., der der Schmiede ist rein166 Dieser Untersatz dient nicht als Behälter. Jedoch, meint Maim., ist er, während der eiserne Amboss darin steckt, verunreinigungsfähig als Holz, welches dem Metallgeräte dient, oben 13, 6.. Ein Polierbrett167 משחזת (von שחז, arab. شحذ, schärfen) Schleifstein; hier kann damit nur ein hölzernes Polierbrett gemeint sein (Maim.)., in dem sich ein Behälter für Öl168 Womit das Polierbrett bestrichen wird. befindet, ist verunreinigungsfähig; ist kein solcher darin, ist er rein. Ein Schreibtafelheft169 פנקס (πίναξ), die mit Wachs überzogenen Schreibtafeln, die buchförmig zusammengeheftet waren (Löw, graph. Requis. 102)., in dem sich ein Behälter für Wachs170 Um das nötige Wachs jederzeit zur Hand zu haben. befindet, ist verunreinigungsfähig; ist kein solcher darin, so ist es rein. Eine Strohmatte171 מחצלת, eine Matte, aus Stroh, Rohr, zarten Baumzweigen u. dgl. (vom arab. خصلة, frische zarte Baumzweige, Kohut). und einen hohlen Strohhalm172 Obgleich dessen Behälter nur klein ist, heisst er doch „ein Gerät mit Behälter“ (Maim.). erklärt R. Akiba für verunreinigungsfähig173 Die Strohmatte, wenn sie ein Behältnis hat; oder wenn sie zum Lager bestimmt ist, als Midras (Vorb. 29); den Strohhalm als Behältnis-Gerät (מ״א)., R. Jochanan, Sohn Nuri’s, für rein174 Er betrachtet die Strohgeräte als solche, die keinen Bestand haben (oben Note 140).. R. Simon sagt: Auch von Koloquinten175 פקועות (2. Kön. 4, 39) Koloquinten, nach And. Gurken. gilt dasselbe176 Auch bei Geräten aus diesem Gewächse controversiren R. Ak. und R. J. b. Nuri.. Eine Matte von Rohr oder Riedgras177 חלף, Schilf, Riedgras (Löw, aram. Pfl. 167). ist rein178 Doch, meint Maim., kann sie als Lager Midras-Unreinheit annehmen, wenn sie nicht eine andere Bestimmung hat, z. B. als Decke einer Laubhütte. Nach מ״א kann sie nur מדרס-unrein werden, wenn sie direkt zum Lager bestimmt wird (weiter 24, 10).. Ein Schilfrohr, das man abgeschnitten hat, auf dass es etwas aufnehme179 Um Schminke u. dgl. hineinzutun., bleibt rein, bis man das ganze Mark180 ככיי, nach den Erkl.: das innere Mark im Rohr. herausgenommen hat." + ], + [ + "Die Kiste1 S. oben 15, 1 und Menachot 31a. wird2 Hinsichtlich des Masses von 40 Seah oder 3 Kubikellen, wobei das Gerät unfähig ist, die Unreinheit anzunehmen (Vorb. 13). nach Bet-Schammai von innen3 Die innere Höhlung muss 4 Seah Flüssiges fassen; die Dicke der Wände wird nicht mitgerechnet., nach Bet-Hillel von aussen gemessen4 Man denkt sich die Kiste in eine andere grössere Kiste hineingesetzt, und wenn letztere 40 Seah fasst, ist erstere nicht für die Unreinheit empfänglich (Raschi, Sabbat 44 b).. Beide stimmen darin überein, dass die Dicke der Füsse und der Leisten5 לזבזין, der Kranz um den obern Rand, s. oben 2, Note 29. nicht mitgemessen wird. R. Jose sagt: Sie stimmen darin überein, dass die Dicke der Füsse und der Leisten mitgemessen wird, dass aber der Raum zwischen ihnen6 Zwischen den Füssen und unter dem Boden der Kiste. nicht mitgemessen wird7 Wir betrachten es nicht so, wie wenn der Boden der Kiste bis an das Ende der Füsse reichte (Raschi Men. 31a).. R. Simon Schesori8 שזורי L: השיזורי, aus Schesor oder Schisor (vgl. H. Hildesheimer, Beitr. Note 279). sagt: Wenn die Füsse eine Handbreite hoch sind9 Dann ist dazwischen ein bedeutender Raum., wird der Raum zwischen ihnen nicht mitgemessen; wenn aber nicht, wird der Zwischenraum auch mitgemessen10 Das Volumen der Kiste wird so gemessen, wie wenn ihr Boden bis zur Erde reichte..", + "Die Maschine11 מוכני, L: מכני, A: מיכני, gr. μηχανή, Maschine. Eine derartige Maschine wird auch beim Schrank erwähnt, Ohalot 4, 3. Es scheint, dass die Maschine zum Fortbewegen der schweren Geräte diente, vgl. Joma 3, 10. Näheres darüber lässt sich nicht ermitteln. Die Erklärung von מוכני = מכונה, Fussgestell ist unzulässig. dazu gilt, wenn sie abzunehmen ist12 Sie ist nicht mit der Kiste fest verbunden., nicht als damit verbunden13 So dass, wenn die eine unrein geworden ist, die andere nicht mit unrein wird., wird nicht mitgemessen2 Hinsichtlich des Masses von 40 Seah oder 3 Kubikellen, wobei das Gerät unfähig ist, die Unreinheit anzunehmen (Vorb. 13)., schützt nicht mit ihr14 Der Kiste. im Totenzelte15 Wenn die Kiste fest verschlossen ist und sich im Totenzelte befindet, so schützt sie die darin befindlichen Geräte vor der Toten-Unreinheit (oben 10, 1). Hat aber die Kiste ein Loch von einer Handbreite im Quadrat, so kann die Unreinheit dort eindringen und die Geräte verunreinigen, trotzdem das Loch durch die Maschine teilweise verdeckt ist und dadurch das Mass desselben vermindert wird. Die Maschine kann, weil sie nicht mit der Kiste als verbunden gilt, die in letzterer befindlichen Geräte nicht vor der Unreinheit schützen (vgl. ר״ש)., und man darf sie16 Die Maschine. nicht am Sabbat fortziehen, wenn Geld darin17 In der Maschine. Man hat wahrscheinlich dort Geld verborgen, weil es niemand dort suchte, sondern in der Kiste. ist18 Da sie als Besonderes gilt und wenn darin Geld ist, darf sie als Basis für einen zum Tragen verbotenen Gegenstand am Sabbat nicht fortbewegt werden (vgl. Sabbat 21, 2).. Wenn sie aber nicht abzunehmen ist, so gilt sie als damit verbunden, wird mitgemessen, schützt mit ihr14 Der Kiste. im Totenzelte, und man darf sie18 Da sie als Besonderes gilt und wenn darin Geld ist, darf sie als Basis für einen zum Tragen verbotenen Gegenstand am Sabbat nicht fortbewegt werden (vgl. Sabbat 21, 2). am Sabbat fortziehen, auch wenn Geld darin17 In der Maschine. Man hat wahrscheinlich dort Geld verborgen, weil es niemand dort suchte, sondern in der Kiste. ist18a Da in diesem Falle die Maschine bloss als Anhängsel der Kiste betrachtet wird, die doch nur für Kleider und Geräte und nicht für Geld bestimmt, also keine Basis für Verbotenes geworden ist. Anders sind diese Sabbat-Bestimmungen nach Magen Abraham 310, 7 zu erklären, vgl. gegen ihn מ״א.. Der gewölbte Aufsatz19 קמרון, vgl. 16, 7, Note 74. dazu gilt, wenn er (daran) befestigt ist19a Mit starken Nägeln (Maim.)., als damit verbunden und wird mitgemessen; ist er nicht (daran) befestigt, so gilt er nicht als damit verbunden und wird nicht mitgemessen. Wie misst man ihn20 Den Aufsatz, wenn er an der Kiste befestigt ist. ? Wie ein gleichschenkliges Dreieck21 ראש תור, ein Ochsenkopf, der oben an den Hörnern breit ist und sich nach unten hin zuspitzt; daher Bezeichnung für ein gleichschenkliges Dreieck, oder dessen Spitze, auch für eine Winkelspitze überhaupt, wie in Kilajim 2, 7; 3, 3. Nach And. ist תור ein Schmuckstück der Frauen, das die Gestalt eines Dreiecks hatte (Hohel. 1, 10; 11); daher ראש תור Winkelspitze. An unserer Stelle ist es nach Maim. ein gleichschenkliges Dreieck. Zur Messung des Volumens des gewölbten Aufsatzes hätte man eigentlich den Flächeninhalt einer der Seitenflächen desselben (die von der geraden Linie a b und der darauf ruhenden krummen Wölbungs-Linie begrenzt ist) mit der Länge des Aufsatzes zu multipliziren. Da aber die Wölbungs-Linie verschiedenartig gestaltet sein kann und demnach auch die Seitenfläche schwer zu berechnen sein würde, so hat man die Bestimmung getroffen, nur den Flächeninhalt des gleichschenkligen Dreiecks a b c (das aus a b, als Basis, und den beiden nach dem Scheitelpunkt der Wölbungs-Linie gezogenen gleichen Schenkeln ac und bc gebildet wird) zu berechnen und diesen mit der Länge des Aufsatzes zu multipliziren, so dass der Aufsatz wie ein dreikantiges Prisma betrachtet wird (Maim.). . R. Jehuda sagt: Wenn sie22 Die Kiste. für sich23 Ohne Stütze. nicht stehen kann24 Weil sie durch den schweren Aufsatz nach der Seite hingebogen wird., ist sie22 Die Kiste. rein25 Selbst wenn sie klein ist, ist sie dennoch rein, wie ein Gerät ohne Behältnis (Maim.)..", + "Eine Kiste, ein Kasten oder Schrank, von denen einer ihrer Füsse weggenommen ist26 Wiewohl sie dadurch kein Loch bekommen haben., sind, wenngleich sie etwas aufnehmen können, rein27 Da sie sich nach der Seite hinbiegen, werden sie wie zerbrochen angesehen., weil sie nicht auf gewöhnliche Weise aufnehmen können28 Maim. liest ושאינן (mit ו׳) statt שאינן. Danach muss übersetzt werden: Diejenigen Geräte aber, die nicht auf gewöhnliche Weise (40 Seah Flüssiges) aufnehmen können (sondern nur, wenn man sie stützt oder auf die Seite legt), erklärt R. Jose für verunreinigungsfähig. Nach den Weisen aber wären diese rein, da sie doch immerhin, wenn auch in ungewöhnlicher Weise, 40 Seah fassen können.. R. Jose erklärt sie für verunreinigungsfähig. Die Stangen29 Oben 12, Note 29. Nach Maim. sind die נקליטין zwei Stangen an der Kopfseite des Bettes, über welche der Vorhang gelegt wurde, der den Schlafenden vor den Fliegen schützte. Die Stangen mögen auch als Lehne für das Kopfkissen gedient haben, daher ihr Name (Krengel, Hausgerät 22). des Bettes, der Bock30 חמור ist ein Gerät, auf dem ein anderer Gegenstand sitzt, vgl. oben 14, 3. Hier ist es nach den Kommentaren ein hölzerner Untersatz, der unter dem Bette als Stütze desselben angebracht war. Es scheint dies Gerät zugleich als Tritt gedient zu haben, auf dem man das Bett erstieg. und die Bedeckung31 Was man hier unter חפוי versteht, ist nicht klar. Nach Maim. sind darunter alle Verzierungen begriffen, mit denen man das Bett schmückte. Nach ר״ש und Bart. ist es ein Überzug (wie oben Abschn. 16, Ende), womit man das Bett und die Stangen überzog. Nach יו״ב ein viereckiges Brett, das auf vier an den vier Winkeln des Bettes hervorragende Stangen gelegt wurde und ein Zelt über dem Bett bildete. sind rein32 Weil sie nicht mit dem Bette fest verbunden sind und daher nicht zusammen mit dem Bette die Unreinheit annehmen (יו״ב). Mach Maim. und Bart. nehmen diese Dinge auch, wenn sie aus Metall sind, keine Unreinheit an, weil das Metall dem Holze dient. Indessen gilt dies nur, wenn das hölzerne Gerät selbst keine טומאה annimmt, was doch beim Bett nicht der Fall ist (יו״ב und מ״א). Es muss daher nach Maim. und Bart. ein anderer Grund angegeben werden: weil es bloss ein Schmuck oder ein Überzug des Gerätes ist (14, 5).. Verunreinigungsfähig sind bloss das Bett33 Nach Maim. zu Mischna 5 besteht das zerlegbare Bett, von dem in diesem Abschnitt gehandelt wird, aus folgenden Teilen: 1) ארוכות und קצרות, 2 lange und 2 kürzere Bohlen. Letztere bilden die Breitseiten, erstere die Längsseiten des Bettes. 2) לשונות, 4 viereckige ungefähr 1½ Ellen lange Säulen, welche an den 4 Winkeln des Bettes ihren Platz hatten und vermittels derer die 4 Bohlen durch Einzapfung zu einem Rechteck mit einander verbunden wurden. Die לשונות ragten ungefähr eine halbe Elle über das Bettgestelle hervor. 3) כרעים oder רגלים, 4 Füsse, die man an den 4 Winkeln des Bettes unter den לשונות befestigte, so dass das Bett hoch über dem Erdboden stand. 4) מלבן, ein langes viereckiges Brett, das durch Zapfen an der vordem Längsseite des Bettes zwischen den beiden vorderen לשונות befestigt, aber abnehmbar war und, mit Verzierungen versehen, der Vorderseite des Bettes ein schönes Aussehen verlieh. selbst34 Das Gestelle mit den לשונות und den Füssen (Nr. 1, 2, 3 der vorigen Note). und der Rahmen35 מלבן wäre nach Maim. Nr. 4 von Note 33. Es würde aber dann die folgende Mischna (מלבן שנתנו על לשונות ) schwierig sein; ebenso unverständlich wäre חמור שתחת המלבן (Tos. II 8, 3), ebenso שהוא מלובש בפיקות . . מלבן u. w. (Tos. II 8, 4). Es ist daher besser mit יו״ב den מלבן hier als einen Rahmen zu fassen, der, mit Ringen (פיקות) versehen und mit Stricken (חבלים) bespannt, in das Innere des Bettgestelles auf Leisten gesetzt wurde und den Boden des Bettes bildete. Dieser מלבן wurde mitunter durch einen חמור, mitunter durch besondere Füsse (רגלים, vgl. Tos.) gestützt.. Die Rahmen der Söhne Lewi’s36 Sie mussten den Rahmen oft auf ihren Reisen mitnehmen, den sie im Notfalle auf zwei Stühle legten, um darauf zu schlafen; daher ist er nicht als Teil des Bettes zu betrachten (יו״ב). Nach Maim. ist der מלבן der Leviten ein auf zwei Säulen ruhendes viereckiges Bett, an den die Leviten ihre Spielinstrumente aufhängten. aber sind rein.", + "Einen Bettrahmen, den man auf Säulen37 לשונות, hier kurze Säulen, vgl. Note 33 Nr. 2. gelegt hat38 Anstatt den Rahmen auf die Leisten der Seitenbretter zu legen, hat man ihn durch vier an die 4 Winkel gesetzte Säulen gestützt., erklären R. Meir und R. Jehuda für verunreinigungsfähig39 Er wird auch so als ein Teil des Bettes betrachtet.; R. Jose und R. Simon erklären ihn für rein40 Da er nicht durch das Bett gestützt wird, ist er nicht ein Teil des Bettes.. Es sagt R. Jose: Warum sollte dieser verschieden sein von den Rahmen der Söhne Lewi’s41 Note 36., die doch rein sind?", + "Wenn von einem durch Midras42 S. Vorb. 29, unrein gewordenen Bette eine Breitseite mit den beiden Füssen43 Die unter dieser Seite an beiden Enden angebracht sind. weggenommen sind, so bleibt es noch unrein44 Es gilt noch nicht als völlig zerbrochen, da es noch zur Not gebraucht werden kann.; ist aber eine Längsseite mit den beiden Füssen weggenommen, so ist es rein45 Es gilt als zerbrochen, und wird deshalb rein, oben 15, 1.. R. Nechemja erklärt es für verunreinigungsfähig46 Weil man es an ein anderes Bett oder an die Wand lehnen und darauf schlafen kann, Tosefta II 8, 6, vgl. Sukka 16a.. Wenn man zwei der Bettsäulen an der einen Diagonale47 לוכסן, auch אלכסון (gr. λοξόν, schief, schräge) wird die Diagonale eines Quadrates oder Rechtecks genannt. Das Bett-Rechteck hat 2 Diagonalen. An jedem Ende derselben ist eine Säule (oder Pfosten) angebracht. Wenn nun an den beiden Enden der einen Diagonale die Säulen weggeschnitten werden, so wird dadurch das Bett in 2 Teile geteilt, deren jeder aus einer Längenseite (ארוכה) und einer Breitseite (קצרה) besteht. weggeschnitten hat, oder wenn man zwei Füsse an der einen Diagonale48 Ebenso wie vorher, 2 an 2 einander gegenüber liegenden Winkeln des Bett-Rechtecks befindliche Füsse. (eine Handbreite im Quadrat)49 Die eingeklammerten Worte (טפח על טפח) fehlen in den Talmud-Ausgaben; sie geben absolut keinen Sinn. Maim. gibt dafür: עד שנעשו שתיהן פחות מטפח, bis beide (Füsse) weniger als eine Handbreite hoch sind. Das kann aber טפח על טפח nicht bedeuten. Ebenso wenig kann טפח על טפח mit Bart. erklärt werden: Von jedem Fusse eine Handbreite (vgl. מ״א). Man muss also die Worte mit א״ר streichen. Sie scheinen aus der Tosefta zu stammen (vgl. מ״א). abgeschnitten hat, oder wenn man es bis weniger als eine Handbreite erniedrigt hat50 So dass zwischen dem Bettboden und der Erde kein Zwischenraum von einer Handbreite geblieben., so ist es rein51 Es gilt als zerbrochen..", + "Wenn52 S. Tosafot Sabbat 112 b v. רבי. an einem durch Midras42 S. Vorb. 29, unrein gewordenen Bette eine Längsseite gebrochen ist und man sie wieder hergestellt hat53 Auch wenn sie nicht wieder hergestellt wurde, bleibt das Bett unrein, da es erst, wenn auch die beiden Füsse weggenommen sind, rein wird (nach M. 5). ותקנה steht bloss als Bedingung für die folgenden Bestimmungen (מ״א, anders יו״ב)., so bleibt es midras-unrein. Ist dann die zweite gebrochen und man hat sie wieder hergestellt54 D. h. trotzdem man sie wieder hergestellt hat, ist das Bett dennoch nicht midras-unrein (יו״ב)., ist es von der Midras-Unreinheit rein55 Obgleich das ganze Bett wieder hergestellt ist. Es ist jetzt als ein neues Bett zu betrachten, das zwar von neuem Unreinheit annehmen kann, die alte Unreinheit aber verloren hat., aber noch unrein als ein von der Midras-Unreinheit Berührtes56 Denn die erste wieder hergestellte Längsseite ist durch Berührung des noch midras-unreinen Bettes auch als von Midras-Unreinheit Berührtes unrein geworden. Wenn nun auch durch das Zerbrechen der zweiten Seite die Midras-Unreinheit aufgehoben wurde, so bleibt noch die Unreinheit der Berührung an der ersten Seite haften, die sie dann, weil mit dem Bette verbanden, auf das ganze Bett überträgt.. Hat er aber die erste nicht eher herzustellen vermocht, bis die zweite gebrochen war, so ist es57 Das ganze Bett. rein.", + "Wenn ein durch Midras unrein gewordener Fuss58 Es hat ein Flüssiger (זב) darauf getreten (Maim.) oder sich darauf gestützt (מ״א). Nach א״ר handelt es sich hier um einen Fuss, den man von einem midras-unreinen Bette losgelöst hat mit der Absicht, ihn später wieder mit dem Bette zu verbinden; in diesem Falle bleibt der Fuss, auch während er vom Bette getrennt ist, midras-unrein. an ein Bett59 Das rein ist. befestigt wird, so ist das Ganze midras-unrein60 Das ganze Bett gilt jetzt als ein Körper, und da ein Teil unrein ist, so ist das ganze unrein. Die Talm.-Ausg. hat nicht כולה; der Sinn ist aber doch derselbe.. Wird er wieder abgemacht, so ist er midras-unrein61 Wie zuvor vor der Verbindung mit dem Bette, vgl. auch 19, 5., das Bett aber gilt nur als von der Midras-Unreinheit Berührtes62 Da es vom Fusse während der Verbindung berührt worden. Es ist also nur ראשון לטומאה (Vorb. 2).. Hat er eine siebentägige Unreinheit bekommen63 Durch eine Toten-Unreinheit, nach Num. 19, 11. Näheres hierüber in den Vorb. zu Ohaloth. und man befestigt ihn an ein Bett, so ist das Ganze siebentägig unrein63 Durch eine Toten-Unreinheit, nach Num. 19, 11. Näheres hierüber in den Vorb. zu Ohaloth.. Macht man ihn wieder ab, so ist er siebentägig unrein64 Nach Note 60., das Bett aber ist nur bis zum Abend unrein65 Wie das, was ein siebentägig Unreiner berührt (Num. 19, 22).. Hat man einen bis zum Abend unrein gewordenen Fuss66 Er hat einen אב הטומאה (s. Vorb. 1) berührt und ist dadurch ראשון לטומאה (Vorb. 2) geworden. Dieser kann, wie ein Mensch, durch טבילה und הערב שמש (Vorb. 9) wieder rein werden. an ein Bett befestigt, so ist das Ganze bis zum Abend unrein64 Nach Note 60.. Hat man ihn wieder abgemacht, so ist er bis zum Abend unrein61 Wie zuvor vor der Verbindung mit dem Bette, vgl. auch 19, 5., und das Bett ist rein67 Da ein Gerät nur durch einen אב הטומאה, aber nicht durch einen ראשון לטומאה unrein werden kann (Vorb. 16).. Dasselbe gilt von den Zinken des Karstes68 S. oben 13, Note 16. Wenn eine Zinke unrein geworden ist und man verbindet sie mit einem Karste, der rein ist, gelten dabei dieselben Bestimmungen, wie wenn man einen unreinen Fuss mit einem reinen Bette verbindet..", + "Die Tefillah69 תפלה, Mehrz. חפלין, vgl. hierüber Näheres in Menachot 4, 1. Hier ist von der Kopftefillah (תפלה של ראש) die Rede. Ursprünglich mag man die Kopftefillah allein תפלה genannt haben, da die Targumim nur טוטפות (Exod. 13, 16) mit תפלין übersetzen. besteht aus vier Geräten70 Aus 4 von einander abgeteilten Fächern, deren jedes קציצה (Abteilung) genannt wird.. Löst man eine Abteilung ab71 Nachdem die ganze Tefillah durch eine Toten-Unreinheit ein אב הטומאה geworden war (vgl. Vorb. 5). und stellt sie wieder her72 Man setzt dafür ein anderes Fach an (Bart. und א״ר)., so behält sie73 Die ganze Tefillah, auch das neue Fach. noch die Toten-Unreinheit74 Das neue Fach ist mit den anderen zu einem Körper verbunden, wie oben Note 60.; ebenso bei der zweiten, ebenso bei der dritten75 Solange noch ein Fach übrig bleibt, das ein אב הטומאה ist, gelten alle mit ihm verbundenen Fächer als אב הטומאה.. Löst man auch die vierte ab75a Und setzt dafür ein anderes Fach an., so wird sie76 Die Tefillah. rein von der Toten-Unreinheit, ist aber noch unrein als etwas von der Toten-Unreinheit Berührtes77 Denn die drei ersten wieder hergestellten Fächer sind durch Berührung des vierten (das noch אב הטומאה war) unrein geworden, und das vierte wieder hergestellte gilt, weil mit den drei ersten zu einem Körper verbunden, ebenso wie jene, als ראשון לטומאה.. Wenn man nun abermals die erste ablöst und sie wieder herstellt, so ist sie als Berührtes unrein78 D. h. ראשון, weil sie mit den anderen, die ראשונים sind, verbunden ist., ebenso bei der zweiten. Löst man aber auch die dritte ab79 Obgleich man es durch ein anderes Fach ersetzt., so ist alles rein; denn die vierte war nur durch Berührung unrein80 D. h. durch Verbindung mit den 3 ersten, s. Note 77., und eine Berührungs-Unreinheit kann nicht wieder eine Berührungs-Unreinheit bewirken81 D. h. die 3 ersten können nicht wegen ihrer Verbindung mit der vierten unrein sein, da doch die vierte selbst nur wegen ihrer Verbindung mit der ersten unrein geworden, diese letzteren aber durch ihre Ablösung und Ersetzung durch neue von ihrer Unreinheit befreit wurden. Vgl. Ausführliches in יו״ב..", + "Ein Bett82 Das unrein war. Vgl. Berachot 50 b., von dem die Hälfte83 Eine Längsseite, eine Breitseite und 2 Füsse. gestohlen oder verloren worden ist, oder das Brüder oder Gesellschafter unter sich geteilt haben, ist rein84 Weil man anfangs nicht die Absicht hatte, das Bett wieder zusammenzusetzen, vgl. oben Note 58.. Hat man es zusammengesetzt, so nimmt es von nun ab weiter Unreinheit an85 Die frühere Unreinheit aber ist durch die Teilung beseitigt, da man früher nicht die Absicht hatte, das Bett wieder zusammenzusetzen (vgl. 15, 1).. Das Bett86 Sukka 16 a. kann nur als Ganzes87 חבילה, ein Bündel, etwas Zusammengebundenes, Verbundenes; hier im Gegensatz zu אברים: als ein Ganzes, dessen Glieder sämtlich mit einander verbunden sind. unrein88 Wenn es aber zerlegt ist, nehmen die einzelnen Stücke keine Unreinheit an. und nur so wieder gereinigt werden89 Wenn es aber im ganzen Zustande unrein geworden und dann zerlegt wird, kann es so nicht gereinigt werden; es muss bei der Reinigung (durch טבילה, resp. הזיה, Vorb. 10) ganz sein.. So R. Elieser. Die Weisen sagen: Es kann auch gliederweise90 Nach Sukka 16 a kann jedoch nur eine Längsseite mit 2 Füssen, oder eine Breitseite mit 2 Füssen Unreinheit annehmen. unrein und auch gliederweise91 Jedes einzelne Glied kann durch Untertauchen gereinigt werden. Hierbei ist nicht erforderlich, dass eine Seite mit 2 Füssen verbunden bleibe (יו״ב). wieder gereinigt werden92 Wir haben nach Maim. und Talm. babli erklärt. Die Tosefta (II 8, 8) fasst diese Mischna anders auf. Doch scheint die Tosefta selbst verschiedene Auffassungen zu bieten.." + ], + [ + "Wenn man das Bett1 Das entweder durch einen Toten oder als Unterlage eines Flüssigen verunreinigt worden ist. zerlegt, um es unterzutauchen2 Nach der Ansicht der Weisen (18, Ende), dass das Bett auch gliederweise gereinigt werden kann., so ist der, welcher die Stricke berührt3 Anstatt והנוגע ist nach L Maim. und A. הנוגע zu lesen. Bart. u. A. lesen והנוגע, wonach auch der Zerleger rein wäre, was aber nur gezwungen erklärt werden kann, vgl. ט״א., rein4 Obgleich die Stricke, solange sie mit dem Bette verbunden waren, mit unrein waren, so werden sie doch, nachdem das Bett zerlegt wird, rein, da die Stricke für sich keine Unreinheit annehmen.. Von wann an gilt5 Wenn man ein neues Bett mit Stricken bespannt. der Strick als mit dem Bette verbunden6 So dass, wenn eines derselben von einer Unreinheit berührt wird, auch das andere unrein wird. ? Sobald man drei Maschenreihen7 S. oben 16, Note 14. damit geflochten hat8 Nachdem dies geschehen ist, wird auch der noch herabhängende Strick als mit dem Bette verbunden betrachtet.. Was vom Knoten an9 Nach Tosefta (II 9,4) handelt es sich hier um den Fall, dass man an den einen Bettstrick einen anderen Strick angeknüpft hat. einwärts berührt, ist unrein, was vom Knoten an auswärts (berührt), ist rein10 Dieser zweite Strick gilt vom Knoten an auswärts nicht als mit dem Bette verbunden.. Was10a Sifra Sabim Par. II 5. die Fäden11 נימא, gr. νῆμα, Faden. des Knotens12 Wenn man zwei Stricke zusammenbindet, lässt man gewöhnlich am Knoten die Enden etwas hinausragen. betrifft, so ist, was das zum Knoten Nötige13 Damit der Knoten sich nicht löse. berührt, unrein14 Dies ist wie der Knoten selbst zu betrachten, der wie der Strick vom Knoten einwärts, als mit dem Bette verbunden gilt (יו׳׳ב).. Wie viel ist das Nötige? R. Jehuda sagt: Drei Fingerbreiten.", + "Der14a Sifra Sabim Par. II 4. aus dem Bette herausragende Strick15 Nachdem man die Bespannung des Bettrahmens vollendet hatte, blieb zuweilen noch ein Stück von dem Stricke übrig, das aus dem Bette herausragte. ist, wenn er bis fünf Handbreiten16 Die Länge von 5 Handbr. nicht miteinbegriffen (Chullin 54b nach Tosefta). lang ist17 Wenn auch das Bett unrein geworden ist., rein18 Er gilt nicht als mit dem Bette verbunden, da er zu nichts brauchbar ist.; beträgt er von fünf bis zehn19 Zehn Handbr. inclusive (Chullin das.). Handbreiten, so ist er unrein20 Das Ganze gilt da als mit dem Bette verbunden.; was von zehn und darüber hinausragt, ist21 Das überschüssige Stück. rein22 Denn dieses Stück ist bestimmt, abgeschnitten zu werden, und gehört nicht zum Bette.. Dieses Strickes23 Bis zur Länge von 10 Handbreiten. bediente man sich nämlich, die Pesach-Lämmer anzubinden24 Vgl. Tur Orach Chajim 430. oder die Betten hinabzulassen25 Von dem obern Stock nach unten, oder um es in ein Tauchbad unterzutauchen (ר״ש)..", + "Ein aus dem Bette herabhängender Gurt26 מזרן, nach Maim., Bart. u. A. ein aus Wolle, Flachs oder Haaren gewebter Gurt, mit welchem man die Bettstelle umwickelte, um deren Teile zusammenzuhalten. Nach R. Hai und Aruch ist es eine wollene oder lederne Decke (von מזר, spinnen, oder مزر, ausbreiten). ist27 Wenn das Bett unrein geworden. bei noch so viel unrein28 Er gilt als mit dem Bette verbunden.; so R. Meïr. R. Jose sagt: Nur bis zehn Handbreiten29 Wie der Strick, (oben M. 2).. Das Überbleibsel eines Bettgurtes30 Der zerrissen und unbrauchbar geworden ist. ist verunreinigungsfähig, wenn es sieben Handbreiten lang ist31 Wenn soviel noch unversehrt geblieben.; weil man daraus einen Gurt32 חבק, ein Gurt, den Sattel des Esels festzuhalten, Maim. (vgl. Barth, Etym. St. 25). Nach And. ist es eine Decke, die den Esel vor Erkältung schützt. für den Esel machen kann.", + "Wenn der Flüssige auf dem Bette und dem Bettgurte33 Auf einem Bette, das mit einem Gurte umwickelt ist, von dem ein Teil herabhängt. getragen wird, so macht dieser in noch zwei Graden unrein34 Das Bett wird als Lagerstätte des זב ein אב הטומאה (Vorb. 29 und 32). Der Gurt (auch der herabhängende Teil), als zum Bette gehörig, ist gleichfalls אב הטומאה. Was von ihm berührt wird, ist ראשון (erster Grad), was von letzterem berührt wird, ist שני (zweiter Grad, Vorb. 2). und im dritten Grade unbrauchbar35 Der zweite Grad macht die Hebe (תרומה) unbrauchbar (Vorb. 2 und 3).. Dies die Worte R. Meïrs36 Nach seiner oben (M. 3) ausgesprochenen Ansicht, wonach der aus dem Bette herabhängende Gurt bei noch so viel als mit dem Bette verbunden gilt.. R. Jose sagt: Wenn der Flüssige auf dem Bette und dem Bettgurte33 Auf einem Bette, das mit einem Gurte umwickelt ist, von dem ein Teil herabhängt. getragen wird, so macht dieser bis zehn Handbreiten37 Nach seiner oben (M. 3) ausgesprochenen Ansicht. in zwei Graden unrein34 Das Bett wird als Lagerstätte des זב ein אב הטומאה (Vorb. 29 und 32). Der Gurt (auch der herabhängende Teil), als zum Bette gehörig, ist gleichfalls אב הטומאה. Was von ihm berührt wird, ist ראשון (erster Grad), was von letzterem berührt wird, ist שני (zweiter Grad, Vorb. 2). und im dritten Grade unbrauchbar35 Der zweite Grad macht die Hebe (תרומה) unbrauchbar (Vorb. 2 und 3)., was über zehn Handbreiten hinausragt38 Dieser Teil gilt nur als ראשון, da er die ersten zehn Handbreiten, die als אב הטומאה gelten, berührt hat., macht nur in einem Grade unrein39 Als ראשון macht er noch das, was er berührt, zum שני. und im zweiten unbrauchbar40 Dieser שני macht noch die תרומה unbrauchbar (Note 35).. Wird er40a Der Flüssige. vom Bettgurte41 Während dieser mit dem Bette verbunden ist. getragen auf den zehn Handbreiten neben dem Bette,42 Die wie das Bett selbst betrachtet werden. so ist es43 Das Bett. unrein44 Nach Maim. und Bart. ist טמאה zu lesen, wonach es sich auf das Bett bezieht, da dies, als mit dem Gurte verbunden, mit diesem zusammen midras-unrein wird. Nach ר״ש ist טמא zu lesen. Er meint, nur der Gurt wird unrein, aber nicht das Bett, weil der Gurt als Nebenteil nicht die Unreinheit auf den Hauptteil bringen kann (מ״א).; wenn auf dem Teile, der über zehn Handbreiten vom Bette entfernt ist, so ist es43 Das Bett. rein.45 Nach Maim. und Bart. ist טהורה, nach ר״ש ist טהור zu lesen. Nach beiden Ansichten ist der Gurt auch rein; denn dieser Teil des Gurtes kann, als nicht zum Bette gehörig, nicht midras-unrein werden. Es handelt sich hier nämlich um einen Fall, wo der זב auf dem Gurte nur getragen wurde, aber denselben nicht mit hem blossen Körper berührt hat.", + "Wenn46 Vgl. oben 18, 7. man um ein Bett, das midras-unrein geworden war, einen Gurt gewickelt hat, so ist das Ganze47 Das Bett mit dem Gurte. midras-unrein48 Nach 18, Note 60.. Nimmt man ihn wieder ab, so ist jenes49 Das Bett. midrasunrein50 Wie zuvor vor der Verbindung mit dem Gurte., der Gurt aber gilt nur als von der Midras-Unreinheit Berührtes51 Da es von dem Bette während der Verbindung mit demselben berührt wurde. Es ist also jetzt ראשון לטומאה (Vorb. 2).. Hatte jenes eine siebentägige Unreinheit bekommen52 S. 18, Note 63., und man umwickelte es mit einem Gurte, so ist das Ganze siebentägig unrein53 Wie oben Note 48.. Nimmt man ihn wieder ab, so ist jenes49 Das Bett. siebentägig unrein50 Wie zuvor vor der Verbindung mit dem Gurte., der Gurt aber ist nur bis zum Abend unrein.54 Wie 18, Note 65. Hat man ein bis zum Abend unrein gewordenes Bett55 S. 18, Note 66. mit einem Gurt umwickelt, so ist das Ganze bis zum Abend unrein48 Nach 18, Note 60.. Nimmt man ihn wieder ab, so ist jenes49 Das Bett. bis zum Abend unrein, und der Gurt ist rein56 Nach 18, Note 67..", + "Wenn man ein Bett mit einem Gurte umwickelt hat, und sie57 Eines von beiden, das Bett oder der Gurt. werden von einem Toten berührt, so sind sie58 Beide, das Bett und der Gurt, selbst wenn letzterer mehr als 10 Handbreiten aus dem Bette herausragt. siebentägig unrein59 Selbst nach R. Jose oben in M. 4; denn nur hinsichtlich der Midras-Unreinheit gilt nach R. Jose der heraushängende Gurt bloss bis 10 Handbreiten als mit dem Bette verbunden, aber nicht hinsichtlich der Toten-Unreinheit oder hinsichtlich der Unreinheit durch Berührung eines Kriechtieres. Die Begründung s. in יו״ב.. Trennt man sie von einander, so bleiben sie noch siebentägig unrein60 Wie vor der Trennung, wo auch jeder Teil für sich als Gerät gilt, obgleich sie verbunden nur als ein Gerät betrachtet werden.. Berührt sie ein Kriechtier,61 Ein totes. so sind sie bis zum Abend unrein.62 Nach Lev. 11, 31 f. Werden sie von einander getrennt, so bleiben sie noch bis zum Abend unrein60 Wie vor der Trennung, wo auch jeder Teil für sich als Gerät gilt, obgleich sie verbunden nur als ein Gerät betrachtet werden.. Wenn zwei Längsseiten eines Bettes63 Das unrein geworden. abgenommen sind,64 Sie sind aber noch ganz geblieben, so dass man sie wieder an das Bett anmachen kann. Daher ist das Bett durch die Wegnahme dieser Seiten nicht rein geworden. und man dafür neue gemacht hat, ohne die Löcher65 In welchen die alten Längsseiten gesteckt hatten. zu ändern66 So dass man die alten Seiten ohne weiteres wieder einsetzen kann., und die neuen Bretter zerbrechen, so bleibt das Bett unrein67 Da noch die alten Längsseiten vorhanden sind, und somit das ganze ursprüngliche Bett noch besteht, vgl. א״ר zu 18, 5. Nach Maim. ist auch nach הנקבים das Wort טמאה zu setzen (vgl. מ״ש).. Zerbrechen die alten, so ist es rein68 Trotzdem die neuen noch vorhanden und mit dem Bette verbunden sind., denn alles richtet sich nach den alten69 Wir haben also hier einen Fall, dass ein unreines Bett, ohne dass etwas daran geschieht, wieder rein werden kann (יו״ב)..", + "Ein Kasten, dessen Öffnung oben ist, kann durch Toten-Unreinheit70 Ebenso durch jede andere Quelle der Unreinheit (אב הטומאה). Ausgeschlossen ist bloss die Midras-Unreinheit, weil der Kasten nicht zum Sitze bestimmt ist, vgl. Vorb. 30. verunreinigt werden. Ist er oben schadhalt geworden71 Es ist der Deckel zerbrochen., bleibt er noch so verunreinigungsfähig72 Da noch ein Gerät mit Behältnis übrig geblieben.. Wird er unten73 Am Boden. beschädigt, so ist er rein74 Da das Behältnis zerstört ist.. Die Fächer-Behältnisse75 מגורה, Vorratshaus (Hagg. 2, 19), Behältnis. desselben76 Des Kastens, dessen Boden beschädigt ist; es sind aber noch ganze Behältnisse (etwa Schubladen) daran vorhanden. sind aber unrein77 Wenn der Kasten unrein war und durch Beschädigung rein wird, bleiben diese Behältnisse unrein. Ebenso können sie von neuem unrein werden. und gelten nicht als mit demselben verbunden78 So dass, trotzdem der Kasten rein geworden, diese Fächer dennoch unrein bleiben (vgl. מ״א)..", + "Wenn die Hirtentasche79 Nachdem sie unrein geworden. beschädigt ist, so bleibt der Beutel darin80 In der grossen Tasche sind mehrere kleine Beutel angebracht, wie die מגורות im Kasten (M. 7). מ״ש liest שנפחת הכיס שבתוכו: der Beutel darin ist schadhaft geworden, ebenso M. und L. unrein81 Und kann auch fernerhin Unreinheit annehmen. und gilt nicht als mit jener82 Mit der grossen Tasche. verbunden83 Wie oben Note 78.. Wenn in einem Schlauche84 Aus einer Schaf- oder Bockshaut verfertigt., dessen Hodenhäute mit ihm aufnehmen können85 Sie bilden zwei kleine Beutelchen an der Seite des Schlauches, die, wenn der Schlauch mit einer Flüssigkeit gefüllt wird, ebenfalls sich füllen., diese beschädigt sind86 Ebenso auch, wenn der Schlauch beschädigt ist (מ״א)., so sind sie rein, weil sie nicht mehr wie gewöhnlich87 Vom Innern des Schlauches aus. aufnehmen können.", + "Ein Kasten, dessen Öffnung an der Seite ist, kann durch Midras88 Da man den Kasten, auch wenn jemand darauf sitzt, benutzen kann und nicht zu sagen braucht: Stehe auf, da wir das Gerät zu unserer Arbeit brauchen (Vorb. 30). und durch Toten-Unreinheit verunreinigt werden. Es sagt R. Jose: Wann gilt jenes? Wenn er nicht zehn Handbreiten hoch ist89 Da ist es bequem sich darauf zu setzen. oder keinen Leisten von einer Handbreite90 Ein solcher würde am Sitzen hindern. hat91 Ist eines von diesen beiden der Fall, so kann der Kasten nur die Toten-Unreinheit annehmen, aber nicht midras-unrein werden.. Ist er oben beschädigt, so kann er noch die Toten-Unreinheit annehmen92 Wie oben M. 7.. Ist er unten73 Am Boden. beschädigt, so erklärt ihn R. Meïr für verunreinigungsfähig93 Durch Midras, da man noch oben darauf sitzen kann. Nach יו״ב nimmt es auch die Toten-Unreinheit an (vgl. das.).. Die Weisen erklären ihn für rein; denn da dessen Hauptbestimmung94 Als Behältnis zu dienen. zerstört ist, gilt auch der Nebengebrauch95 Als Sitz. als aufgehoben.", + "Wenn ein Mistkorb96 Vgl. 24, 9. so zerstört ist, dass er keine Granatäpfel mehr fasst97 Vgl. 17, 1., so erklärt ihn R. Meïr noch für verunreinigungsfähig98 Durch Midras, weil er noch zum Sitze gebraucht werden kann., die Weisen aber für rein; denn da die Hauptbestimmung94 Als Behältnis zu dienen. zerstört ist, gilt auch der Nebengebrauch95 Als Sitz. als aufgehoben99 Hat man ihn jedoch nachher zum Sitze bestimmt, so kann er midras-unrein werden, vgl. 20, 4 (מ״א).." + ], + [ + "Die Decken und die Kissen1 כר ist die Unterdecke, worauf man liegt; כסת das kleinere Kopfkissen (vgl. Tosafot Ab. sara 65 a u. B. mez. 79 b)., die Säcke und die Beutel2 מרצוף (gr. μάρσυπος), ein grosser lederner Beutel, in welchem man Waren in die Ferne versendet., welche beschädigt sind3 Trotzdem sie beschädigt sind und nicht mehr als Behältnis dienen können., können durch Midras unrein werden4 Da sie auch als Sitz und Unterlage dienen.. Der Fattersack5 קלוסתר, and. LA. קרסטל ,קלסטר (viell. ϰάρταλος), ein lederner Sack, oder Korb, der mit Futter gefüllt und dem Tiere am Maule angehängt wird., der vier Kab fasst6 Nur wenn er soviel fasst, kann er durch Midras unrein werden, aber nicht, wenn er kleiner ist., die Hirtentasche, die fünf Kab, der Reisesack7 כרתית, and. LA. כרסית, syr. ܟܽܘܪܣܬܳܐ, ein Reisesack., der ein Seah8 Das sind 6 Kab. and der Schlauch, der sieben Kab hält9 Vgl. auch Sifra, Sabim Per. 2, 4., nach R. Jehuda, auch der Gewürzbeutel10 רבצל oder רובצל, nach R. Hai ein Gewürzbeutel. und die Reisetasche11 מזורה, eine Tasche für Reisezehrung (זוודא = צידה Reisezehrung)., wie klein sie auch sind — diese sind durch Midras verunreinigungsfähig12 Weil man auch mitunter darauf sitzt oder sich darauf legt.. Alle diese aber sind, wenn sie schadhaft geworden, rein; denn da die Hauptbestimmung13 Als Behälter gebraucht zu werden. zerstört ist, gilt auch der Nebengebrauch14 Als Sitz oder Lager. als aufgehoben15 Dagegen können die ersten vier Behälter, die in dieser Mischna genannt werden, auch, wenn ihr Behältnis beschädigt und unbrauchbar ist, durch Midras unrein werden, weil diese von vorne herein in gleicher Weise als Behälter und als Lager zu dienen bestimmt sind..", + "Die Sackpfeife16 חמת חלילין, ein Schlauch mit Pfeifen, eine Sackpfeife. ist betreffs des Midras rein17 Da diese nicht zum Sitze gebraucht wird.. Eine Mörtel-18 פיסון (von פיסא, Stein, Sandstein), der Mörtel-Arbeiter. Mulde kann nach Bet-Schammai die Midras-Unreinheit19 Da man manchmal sich darauf setzt., nach Bet-Hillel nur die Toten-Unreinheit annehmen20 Als ein Behältnis-Gerät, da man es nur im Notfalle zum Sitzen gebraucht.. Eine21 Jadajim 4, 1; Sifra Sabim Per. 2, 5. Mulde22 Die zum Waschen der Füsse bestimmt ist (ר׳׳ש). von zwei Log23 Ist sie kleiner, dann ist sie, nach Tosefta II 11, 1, gleich einer Schüssel, die nicht zum Sitzen gebraucht werden kann. bis neun Kab24 Ist sie grösser, dann gilt sie nicht als Sitz-Gerät, bis sie dazu zugerichtet wird, vgl. weiter M. 4. Inhalt, die gespalten ist25 So dass man nicht einen Fuss darin waschen kann (Sifra)., kann durch Midras unrein werden26 Weil sie nun zum Sitze gebraucht wird.. Stellt man sie in den Regen und sie schwillt an27 So dass der Sprung wieder verschlossen wird., so kann sie nur Toten-Unreinheit28 Aber keine Midras-Unreinheit, denn man sagt: Stehe auf, wir wollen das Gerät zu seiner Bestimmung gebrauchen (Vorb. 30). annehmen. Stellt man sie wieder unter Ostwind29 Der alles vertrocknet (Hosea 13, 15). und sie wird wieder gespalten, so nimmt sie wieder Midras-Unreinheit an30 Da sie wieder nur zum Sitzen gebraucht wird.. In dieser Hinsicht ist ein Überbleibsel31 Ein Gerät, das so beschädigt ist, dass es nicht mehr zu seiner ursprünglichen Bestimmung gebraucht werden kann. von hölzernen Geräten strenger als diese am Anfang sind32 Am Anfange können diese Geräte nicht durch Midras unrein werden, wohl aber nachdem sie gesprungen sind.. Ebenso ist ein Überbleibsel von Geräten aus Gerten33 Die korbartig geflochten sind. Statt בשירי כלי נצרים liest L. und M. (ebenso R. Bezalel Aschkenasi bei מ״ש) בכלי נצרים. strenger als diese am Anfang sind; denn am Anfang nehmen diese nicht eher Unreinheit an, bis deren Verschluss gemacht ist34 Vgl. oben 16, Note 17.; ist aber einmal deren Verschluss gemacht, dann sind sie, wenn auch die Ränder abgefallen sind und noch so wenig zurückgeblieben35 Vgl. 17, 4 Ende., verunreinigungsfähig.", + "Wenn man einen Stock als Stil35a Statt בית יד ist nach L und M יד zu lesen. zu einer Axt genommen hat36 Bloss zum momentanen Gebrauch, ohne ihn daran zu befestigen., so gilt er als damit verbunden betreffs der Unreinheit37 Wiewohl der Stock als flaches Holzgerät keine Unreinheit annimmt (Vorb. 12), so kann er doch mit der Axt verbunden Unreinheit annnehmen. während der Arbeit38 Nachdem man aber die Arbeit mit der Axt verrichtet hat, kann der Stock nicht unrein werden, trotzdem er noch mit der Axt verbunden ist, weil man ihn dann gewöhnlich wegwirft.. Die Haspel39 דיוסטר (and. LA דיסטר) nach ר״ש und Bart. devidoir, die Haspel. Sie besteht aus einem Holzstabe, an dessen beiden Enden durch Löcher Pflöcke hineingestekt werden, die sich in ihrer Richtung kreuzen (an einem Ende geht ein Pflock von Osten nach Westen, am anderen von Norden nach Süden). Diese Pflöcke macht man mitunter aus Eisen, so dass sie verunreinigungsfähig sind. Nach den Erklärern ist דיוסטר zusammengesetzt aus דיו (= δύο) zwei und סטר (aram.) Seite, ein zweiseitiges Gerät. Neuere wollen es vom gr. διωστήρ (Stange) ableiten. (Nach Maim. ist דיוסטר ein Webe-Gerät). gilt als verbunden40 Die Eisenteile gelten als mit dem Holzstabe verbunden, und wenn eine Unreinheit auch bloss das Holz berührt, ist das ganze Gerät unrein. betreffs der Unreinheit während der Arbeit41 Während das Garn damit abgehaspelt wird. Sonst ist das Holz nicht verunreinigungsfähig, weil die Eisenpflöcke gewöhnlich aus dem Holzstabe herausgezogen werden.. Hat man dieselbe42 Die Haspel. an eine Stange43 כלונס (von columna) Pfahl, Stange. befestigt, so ist sie verunreinigungsfähig44 Auch während man nicht damit arbeitet, da man, wenn sie an der Stange befestigt ist, die Eisenteile nicht davon trennt., diese bildet45 Die Stange. aber mit ihr46 Mit der Haspel. keine Verbindung47 Wenn eine Unreinheit die Stange berührt, wird die Haspel nicht unrein. Die Stange selbst kann, auch wenn sie nicht an den Erdboden befestigt ist, als פשוטי כלי עץ keine Unreinheit annehmen (Vorb. 12).. Hat man an diese48 An die Stange. eine Haspel gemacht49 Man hat die Eisenpflöcke in die Stange derart hineingesteckt, dass man diese als Haspel gebrauchen kann,, so ist davon50 Von der Stange. nur so viel verunreinigungsfähig, als dazu51 Zur Haspel. gebraucht wird52 Der Teil zwischen den beiden Eisenpflöcken; die anderen Teile der Stange, (sowohl der oberhalb als der unterhalb der Pflöcke befindliche) sind nicht verunreinigungsfähig.. Wenn man einen Stuhl an eine Stange befestigt, so ist er verunreinigungsfähig53 Durch Midras, wie vorher, bevor er befestigt war. sie45 Die Stange. bildet aber mit ihm54 Mit dem Stuhl. keine Verbindung55 Die Stange ist als flaches hölzernes Gerät nicht verunreinigungsfähig.. Macht man einen Stuhl aus derselben56 Aus der Stange, die nicht am Erdboden befestigt ist. Es ist hier die Rede von einer dicken Säule, deren oberes Ende man zum Sitze hergerichtet hat. so ist nur dessen Platz57 Der Sitzplatz. Nach יו׳׳ב noch eine Handbreite ringsumher. verunreinigungsfähig. Hat man den Stuhl an den Balken der Ölpresse58 בית הבד, das Haus der Ölpresse (syr. ܒܰܕܳܐ). befestigt, so ist er verunreinigungsfähig53 Durch Midras, wie vorher, bevor er befestigt war., bildet aber keine Verbindung mit ihm59 Der Pressbalken ist nicht verunreinigungsfähig.. Macht man aus dessen Ende einen Stuhl60 Indem man dort einen Sitz herrichtet., so ist er rein61 Er kann nicht durch Midras unrein werden.; denn man sagt zu dem darauf Sitzenden: Stehe auf, damit wir unsere Arbeit verrichten können62 Vorb. 30; vgl. Sifra, Sabim, Per. 2, 5. —.", + "Wenn man eine grosse Mulde63 Die mehr als 9 Kab fasst (oben M. 2)., die derart beschädigt ist, dass sie nicht mehr Granatäpfel halten kann64 Dadurch kann sie nicht mehr als Hausgerät Unreinheit annehmen (17, 1)., zum Sitzen eingerichtet hat65 Indem man etwas daran verrichtet hat (Tos. B. mezia 52 b v. והתקינה)., so erklärt sie R. Akiba für verunreinigungsfähig66 Durch Midras.; die Weisen aber erklären sie für rein, bis er sie zugeschnitten hat67 Bis das Gerät durch eine bedeutende Arbeit diese neue Bestimmung als Sitz erhalten hat.. Hat man daraus68 Aus der gelöcherten Mulde. eine Krippe für das Vieh69 Worin Bündel Stroh und Gras gelegt werden, die grösser als Granatäpfel sind. gemacht, so ist sie, obgleich man sie an die Wand befestigt hat, verunreinigungsfähig70 Durch Toten-Unreinheit oder durch ein Kriechtier. Wiewohl sie am Boden befestigt ist, nimmt sie dennoch Unreinheit an, weil sie ursprünglich vom Boden getrennt war und auch nicht, wie der Riegel und das Schloss (11, 2), zusammen mit dem Grundstücke gebraucht wird..", + "Wenn man einen Block71 כופת (von كغت, zusammenziehen) eine feste Masse, eine Teigmasse (Pesachim 45b), oder ein Holzblock (vgl. auch כיפתא oder כופתא im Targ. zu Jer. 20, 2). in eine Steinreihe der Mauer72 נדבך (Esra 6, 4), Steinlage, Bauschicht. Maim. erklärt hier נדבך als ein Holzbrett, vgl. Levy v. נדבך und Fleischer das. S. 716. — eingesetzt und man ihn befestigt73 Mit Nägeln an die darunter befindliche Mauer., aber noch nicht darüber gebaut, oder darüber gebaut und ihn nicht befestigt hat, so ist er noch verunreinigungsfähig74 Durch Midras, wie zuvor, da der Block als Sitz diente. Selbst wenn man über dem nicht befestigten Block gebaut hat und ein זב sich auf die Bauschicht setzt, so ist der Block midras-unrein nach Vorb. 31.. Hat man ihn aber befestigt und darüber gebaut, so ist er rein75 Weil er dann als Teil der Wand betrachtet wird, die keine Unreinheit annimmt.. Wenn man eine Matte76 מפץ (von נפץ, ausbreiten), eine aus Rohr oder Binsen geflochtene Matte. über die Dachbalken gelegt und sie befestigt77 Mit Nägeln an die Balken., aber keinen Estrich78 מעזיבה (von עזב, Neh. 3, 8, arab. زعب, stossen, füllen, gefüllt sein), der Estrich, der über das Gebälk gelegt wird, vgl. M. B. mezia 10, 2. darüber gelegt, oder den Estrich darüber gelegt und sie nicht befestigt hat, so ist sie noch verunreinigungsfähig79 Durch Midras, wie zuvor, als sie zum Lager gebraucht wurde. Vgl. auch Note 74.. Hat man sie aber befestigt und den Estrich darüber gelegt, so ist sie rein80 Sie gilt als Teil des Daches.. Eine Schüssel, die man an eine Kiste, einen Kasten oder einen Schrank81 Die 40 Seah fassen und daher nicht verunreinigungsfähig sind, 15, 1. befestigt hat, ist, wenn sie so steht, wie sie gewöhnlich etwas aufnimmt82 Sie steht aufrecht., verunreinigungsfähig83 Wie zuvor, bevor sie befestigt war.; wenn sie aber nicht so steht, wie sie gewöhnlich aufnimmt84 Sondern mit dem Boden aufwärts., ist sie rein85 Denn da sie nicht ihrem früheren Gebrauche dienen kann, wird sie als Teil des grossen Gerätes betrachtet, das nicht verunreinigungsfähig ist, Note 81.,", + "Wenn man aus einem Leintuch86 Das zum Lager bestimmt war. Vgl. weiter 27, 9 und Menachot 24 a b., das midras-unrein werden könnte, einen Vorhang87 וילון = velum, Vorhang, Tür-Vorhang (auch Segel eines Schiffes). gemacht hat, so kann es nicht mehr durch Midras unrein werden,88 Da es nicht mehr zum Lager gebraucht werden kann. wohl aber durch Toten-Unreinheit.89 Der Tür-Vorhang gilt nicht wie die Wand des Hauses (die keine Unreinheit annimmt), weil der Türhüter sich oft damit die Hand umhüllt und erwärmt (Beza 14 b). Wann wird es rein90 Dass es nicht mehr midras-unrein werden kann. ? Bet-Schammai sagen: Sobald man es genäht hat.91 Man hat es zum Vorhang zugeschnitten, einen Saum daran genäht und Schleifen daran gemacht. Maim. und Aruch lesen משיתבר, nach Maim. von תבר, brechen; nach A. von חוברה, Schleife, s. 25,1. Bet-Hillel sagen: Sobald es angebunden wird.92 An die Oberschwelle, um als Vorhang zu dienen. Nach Maim. bedeutet משיקשור, sobald man die Schleifen daran gebunden, mit denen der Vorhang aufgehängt wird. R. Akiba sagt: Sobald es befestigt wird.93 An den Eingang.", + "Eine Matte,94 מחצלת (vgl. 17, 17 Note 171) eine Matte aus weichem Stoff. woran man Rohre95 Die hart sind und auf denen man nicht liegen kann. der Länge nach gelegt hat, ist rein.96 Sie kann nicht midras-unrein werden, da sie nicht mehr zum Lager gebraucht wird. Die Weisen sagen: Nur wenn man sie96a Die Bohre. wie ein Chi(X) gelegt hat.97 wie ein griechisches X, d. h. man hat die beiden Diagonalen aus hartem Rohr gemacht; dann ist die Matte nicht mehr zum Lager zu gebrauchen. Hat man sie96a Die Bohre. der Breite nach gelegt und es ist zwischen einem Rohr und dem anderen kein Raum von vier Handbreiten,98 Wenn aber der Raum 4 Handbreiten beträgt, so kann man zwischen einem Rohr und dem anderen sich hinlegen. so ist sie rein. Wird sie99 Die Schlafmatte. Gewöhnlich war diese mehrere Ellen laug; die Breite war gleich einer Mannslänge, so dass man sich längs der Breite darauf hinlegte. An beiden Enden der Breite war das Geflecht in Quasten zusammengeknotet, so dass die zu einem Knoten vereinigten Fäden sich auf zwei Handbreiten erstreckten, und da der Knoten in der Mitte war, so betrug auch die Entfernung von einem Knoten bis zum anderen zwei Handbreiten. in der Breite geteilt, so erklärt sie R. Jehuda für rein.100 Da dann die Breitenfäden nur an einem Ende verknotet sind und das Gewebe sich leicht löst. Ebenso wenn man die Endknoten101 מעדנין (Tosefta: מדן, das ע׳ elidiert) die Bande, transp. von ענד, binden. auflöst, ist sie rein.102 Da das Gewebe dann leicht auseinandergeht. Wird sie in der Länge geteilt und es sind daran drei Endknoten von sechs Handbreiten103 „Zwei Handbreiten zwischen je zwei Knoten, und eine Handbreite rechts und eine Handbreite links“ (Tosefta II, 11), vgl. Note 99. übrig geblieben, so ist sie verunreinigungsfähig,104 Durch Midras, da sie noch zum Lager brauchbar ist. Von wann an nimmt eine Matte Unreinheit an? Sobald sie beschnitten worden ist;105 An den Enden, vgl. 16, 2, Note 18. und das ist ihre Vollendung.106 Trotzdem man später noch etwas daran zum Schmucke anbringt (יו״ב)." + ], + [ + "Wer1 Es handelt sich hier (nach Maim.) um den Fall, dass ein Kleiderstoff, während er gewoben wird, im Totenzelte sich befand und dadurch unrein geworden ist. Es kann aber (ausser durch Aussatz) bloss das gewebte Zeug unrein werden, weil nur dieses unter בגד (Lev. 11, 32) verstanden wird. Wer nun das, was mit dem בגד als verbunden betrachtet wird, berührt, ist unrein, nicht aber, wer dasjenige berührt, was mit dem Gewebe nicht als verbunden gilt. den obern Weberbaum,2 Die Walze, um welche die Zettelfäden gewickelt sind. den untern Weberbaum,3 Die Walze, um welche das gewebte Zeug gewickelt ist. Letzterer lag niedriger als der obere Weberbaum, und vor demselben sass der Weber während der Arbeit (יו״ב). Es kann aber auch hier von dem vertikalen Webestuhl die Rede sein, vor welchem der Weber stehend arbeitete (Rieger, Spinnen, Färben, Weben S. 27). die Schäfte4 נירים, die zwei Schäfte, an deren einen die Fäden 1, 3, 5, 7 u. s. w., am anderen wieder die Fäden 2, 4, 6, 8 u. s. w. vermittelst Schlingen (Litzen) befestigt wurden. Es konnte bald der eine bald der andere Schaft durch eine Tretvorrichtung gehoben und so dem Einschlagfaden ein Weg gemacht werden. ניר, arab. نير, licium., den Kamm5 קידום, das Weberblatt, oder der Kamm, durch dessen Zähne die Zettelfäden hindurchgehen und der zum jedesmaligen Heranschieben des durchgezogenen Einschlagfadens gegen das fertige Gewebe dient. So Maimon. (vgl. Rieger l. c. 34)., den über Purpur gezogenen Faden,6 Die Fäden, die man über ein Purpurgewebe zieht, um es vor Verunreinigung zu schützen, und die man später wieder entfernt, weshalb sie nicht als mit dem Gewebe verbunden gelten. oder ein Fadenende,7 עירה = אירא, von עור (Dan. 2, 35) Spreu, Wollflocke oder Fadenende. das man nicht wieder (in das Gewebe) bringen will,8 Sondern abschneiden will. berührt, ist rein.9 S. Anm. 1. Wer aber den eingeschlagenen Faden,10 נפש המסכת, Seele des Gewebes, ist der eingeschlagene Faden, bevor er mit dem Kamm gegen das Gewebe herangeschoben wurde (Maim.) die stehende Kette,11 Mit welcher der Webestuhl bespannt ist. den über Purpur gezogenen Doppelfaden,12 Ein gezwirnter Faden, der mit dem Purpur zusammengewirkt und nicht entfernt wird. oder ein Fadenende, das man wieder (in das Gewebe) bringen will, berührt, ist unrein.13 Da diese Dinge als Teile des Gewebes betrachtet werden. Wer die Wolle an dem Spinnrocken,14 S. 11, 6 Anm. 59. oder an der Spule15 Tosefta: בצמר שעל גבי האשויה . Die Bedeutung von אשויה ist unsicher. Kohut vergleicht das syr. ܫܽܘܘܳܝܬܳܐ, Spule, um welche man die Wolle windet. berührt, ist rein.16 Diese Wolle gilt nicht als mit dem Geräte verbunden, dass sie die Unreiheit des Gerätes anderen Dingen bringen könnte. Wer den Kreisel17 S. 11, 6 Anm. 55, berührt, solange er ihn nicht vom Faden entblösst hat,18 Solange nicht der gesponnene Faden von der Spindel abgewickelt wurde. ist unrein;19 Wenn die Spindel unrein ist, weil der Kreisel als Handhabe der Spindel betrachtet wird (רא״ש). wenn aber, nachdem er ihn entblösst hat, so ist er rein.20 Er gilt dann nicht mehr als mit der Spindel verbunden.", + "Wer21 Vgl. Vogelstein, Die Landwirtschaft in Palästina zur Zeit der Mischnah, Berlin 1894. den Jochbalken,22 Siehe 14, 4, Anm. 49. die Querstange,23 Das. Anm. 50. den Halsring,24 עין, ein gepolsterter lederner Ring (Sifra Schemini 8, 6), den man dem Tiere um den Hals legte, damit es nicht vom Joche gedrückt werde. oder den Strick,24a עבות (Hosea 11, 4) der dick geflochtene Strick, mittelst dessen man das Joch der Ackertiere mit dem Pfluge verband. selbst während der Arbeit25 Wobei alle Geräte doch miteinander verbunden sind., berührt, ist rein.26 Trotzdem der Pflug verunreinigt worden ist, bleiben diese Dinge rein, weil sie nicht als wesentliche Teile des Pfluges zu betrachten sind. Wer die Sterze,27 חרב, Pflugsterze (stiva), das Holz am Ackerwagen, das der Pflüger während des Pflügens mit der Hand hält. Es hat die Form eines Schwertes, daher der Name (Maim.). den Pflugbaum28 בורך, der Pflugbaum (oder die Grindel, temo), der knieförmig gebogen war (daher der Name) und an seinem untern Ende von der Sterze durchbohrt wurde (s. die Abbildung bei Vogelstein). oder die Deichsel29 יצול, die Deichsel, die mit dem oberen Ende des Pflugbaums verbunden war. Arab. ياصول, vgl. Wetzstein bei Levy II 404. berührt, ist unrein.30 Wenn einer dieser Teile oder ein anderer wesentlicher Teil des Pfluges verunreinigt worden ist, sind alle Teile unrein. Sie gelten alle als miteinander verbunden. Wer den metallennen Ring,31 Vermittelst dessen die in das Ohr der Pflugschar gesteckte Sterze festgehalten wird (Vogelst. 28). die Streichbretter32 לחיין, die Streichbretter (aures), die an den beiden Flügeln der Pflugschar angebracht gewesen zu sein scheinen. oder die Pflugschar-Flügel33 עדיין, zwei auseinanderstehende Flügel, welche die Pflugschar nach rückwärts hatte und welche die Furchen verbreitem und die Schollen zerkleinern sollten (Vogelst. das.). berührt, ist unrein.30 Wenn einer dieser Teile oder ein anderer wesentlicher Teil des Pfluges verunreinigt worden ist, sind alle Teile unrein. Sie gelten alle als miteinander verbunden. R. Jehuda erklärt den die Streichbretter Berührenden für rein, denn sie dienen nur die Erde zu vermehren.34 לרבות, and. LA. לרכך (aufzulockern). Sie sind daher keine wesentlichen Teile des Pfluges.", + "Wer den einen oder andern Griff35 Einen der beiden Arme des Säge-Gestelles. der Säge berührt,36 Nachdem das Sägeblatt unrein geworden ist. ist unrein.37 Weil der hölzerne Arm dem Metallgeräte (dem Blatt) dient (s. 13, 6), יו״ב. Wer die Schnur oder das Seil,38 Durch welche die beiden Arme des Säge-Gestells oben mit einander vereinigt werden. das Querholz39 Welches die beiden Arme in der Mitte miteinander verbindet. oder die Spannhölzer,40 Von denen man das eine Ende in die Schnur steckt, das andere Ende an das mittlere Querholz anlegt. Mit diesen Hölzern kann die Schnur herumgedreht und gespannt werden. Bei kürzern Sägen genügt ein Spannholz. Nach Maim. sind unter סניפין ausser dem Spannholz noch die zwei kleinen runden Hölzer verstanden, welche an beiden Enden des Sägeblattes befestigt sind und welche unten in den beiden Armen des Gestells stecken. Vermittelst dieser Hölzer kann das Säge-Blatt gedreht werden. סניפין sind Ansätze, Anhängsel. die Presse des Zimmermanns,41 Oben 16, 7 Anm. 71. oder den Bogen42 קשטגית, and. LA. קשתנית (von קשת, Bogen), ein bogenförmiger hölzerner Griff, womit der Bohrer gedreht wird. des Bohrers berührt, ist rein.43 Diese hölzernen Geräte gelten nicht als mit dem Eisen verbunden, werden daher nicht unrein, wenn eine Unreinheit das Eisen berührt. R. Jehuda sagt: Auch wer den Rahmen44 מלבן, ein rechteckiger Rahmen. Nach den Erklärern wurde die grosse Säge in die Mitte dieses Rahmens eingesetzt. der grossen Säge45 מסר, bibl. משור. berührt, ist rein.43 Diese hölzernen Geräte gelten nicht als mit dem Eisen verbunden, werden daher nicht unrein, wenn eine Unreinheit das Eisen berührt. Wer die Sehne oder den Bogen, selbst wenn er gespannt ist,46 Und der eherne Pfeil an dem Bogen liegt. berührt, ist rein.47 Obgleich der Pfeil unrein geworden ist. Eine Maulwurfsfalle48 אישות (Ar. אשות) chald. אשותא, Maulwurf. Die Falle bestand aus Holz- und Eisenteilen. ist rein.49 Das Holz ist rein, wenn auch das Eisen unrein geworden ist, weil ersteres mit letzterem nicht als verbunden betrachtet wird.. R. Jehuda sagt: So lange sie ausgespannt ist, gelten die Teile als verbunden.50 Und wenn das Eisen unrein geworden ist, ist die ganze Falle unrein." + ], + [ + "Wenn1 Chagiga 26 b. ein Speisetisch2 Trotzdem der Tisch ein Gerät ohne Behälter ist, kann er dennoch Unreinheit annehmen, weil er sowohl für den Menschen (sich darauf zu stützen) als für die letzterem dienenden Geräte bestimmt ist (Vorb. 12). oder ein Anrichtetisch3 דלפקי = δελφιϰή, ein dreifüssiger Tisch zum Anrichten von Speisen und Getränken. beschädigt sind4 Die Platte ist teilweise zerbrochen. oder man sie mit Marmor belegt hat5 Ein ganz mit Marmor belegter Tisch ist nicht verunreinigungsfähig, weil man sich nach dem Überzug richtet, der als Steingerät keine Unreinheit annimmt. Über den scheinbaren Widerspruch mit 11, 6 vgl. מ״א das., doch noch Platz daran geblieben ist6 Der nicht zerbrochen und nicht belegt ist., um Becher darauf zu setzen, so sind sie verunreinigungsfähig7 Nach א״ר ist das die Ansicht des R. Jose oben 16, 6.. R. Jehuda sagt: Platz, um Stücke8 Von Speisen. darauf zu legen9 Nach א״ר ist zu lesen: אף מקום הנחת חתיכות (so erklären auch רש״י und ר״ש); denn nach R. Jehuda ist erforderlich, dass der Tisch dem Menschen (durch die Speisen) und den Dienstgeräten des Menschen dienen könne, wie dies Sifra (Schemini VI, 4) lehrt. Doch ist die LA. אף nirgends bezeugt, vgl. יו״ב. Merkwürdig ist die Ansicht des Jeruschalmi in ע״ז II Ende: היא מקום הנחת כוסות היא מקום הנחת חתיכות, wonach die beiden Ansichten dem Inhalte nach identisch sind und bloss im Wortlaut differieren..", + "Ein Tisch10 Ein dreifüssiger Tisch., dem ein Fuss weggenommen wird, ist rein11 Weil er nicht mehr gebraucht werden kann.; wird auch der zweite weggenommen, so ist er ebenfalls rein; wird auch der dritte weggenommen, so ist er verunreinigungsfähig, wenn man darüber den Gedanken hegte (ihn als Platte zu gebrauchen12 Vgl. 25, 9. ). R. Jose sagt: Es bedarf nicht dieses Gedankens13 Da er als Platte gebraucht werden kann.. Dasselbe gilt vom Anrichtetisch14 Dabei findet dieselbe Meinungsverschiedenheit statt..", + "Eine Bank15 ספסל, συμψελλιον, subsellium, Sitzbank., der einer ihrer Füsse16 Eines der Seitenbretter, die an beiden Enden des Sitzbrettes als Füsse befestigt sind. entfernt wurde, ist rein17 Weil man nicht mehr darauf sitzen kann. Maim. liest טמא (vgl. H. כלים 26, 2), wie beim Bett, oben 18, 5 Anm. 46.; wird auch der zweite entfernt, so ist sie ebenfalls rein18 Da man auf einem dünnen Sitzbrett ohne Füsse nicht sitzen kann.. Ist daran eine Handbreit Höhe19 Es ist das Sitzbrett eine Handbreit dick, oder es ist noch etwas von den Füssen daran geblieben., so ist sie verunreinigungsfähig.20 In diesem Falle kann sie noch zum Sitzen gebraucht werden. Eine Fussbank,21 שרפרף = שרשיפא, Schemel. Etym. unsicher. von der eines der Seitenbrettchen22 Ein Fuss. entfernt worden, ist verunreinigungsfähig.23 Da man noch immer die Füsse darauf stützen kann. Dasselbe gilt von dem Schemel vor dem Lehnsessel.24 קתדרה = ϰαϑέδρα, Lehnsessel.", + "Einen25 Vgl. Edujot 1, 11. Braut-Sessel, dessen Sitz26 חפויו, eig. „die Bedeckungen“, das, womit das Stuhl-Gestell bedeckt ist. Bei dem Braut-Sessel werden es wohl feine Kissen gewesen sein. Diese Kissen sind nun weggenommen worden, so dass der Stuhl nicht mehr zum Sitze der Braut geeignet ist. Nach Maim. sind hier חפויו Bedeckungen von Elfenbein und Ebenholz. Nach ר״ש sind darunter Seiten-Lehnen zu verstehen, wie חפין (Zapfen eines Schlüssels), oben 13, 6. weggenommen ist, erklären Bet-Schammai für verunreinigungsfähig27 Als Sitz (מדרס), weil man auch ohne Bedeckung darauf sitzen kann (s. M. 5).; Bet-Hillel aber erklären ihn für rein28 Weil er für seine Hauptbestimmung, nämlich zum Sitz für die Braut, nicht brauchbar ist.. Schammai sagt: Auch der Stuhlrahmen29 Der vierseitige Rahmen, durch den die vier Füsse miteinander verbunden sind. ist verunreinigungsfähig30 Selbst wenn er vom Handwerker gebracht wurde und niemals mit einem Sitze verbunden war, kann er auch, weil im Notfalle zum Sitz brauchbar, unrein werden (Tosefta III 1, 12).. Einen Stuhl, den man in einen Backtrog eingesetzt hat31 Um die zum Kneten nötigen Gegenstände darauf zu legen., erklären Bet-Schammai für verunreinigungsfähig32 Als Midras; denn da der Stuhl vorher als Sitz diente, so kann er durch die Einsetzung in den Backtrog nicht diesem gleich werden., Bet-Hillel aber erklären ihn für rein33 Er ist dem Backtrog gleich, der nicht Midras werden kann, weil er zu einem anderen Gebrauche bestimmt ist (Vorb. 30).. Schammai sagt: Auch der am Backtrog selbst angebrachte (Stuhl ist verunreinigungsfähig)34 Obgleich er niemals als Sitz gedient hat, kann er doch midras-unrein werden, weil er mitunter auch zum Sitzen dient..", + "Ein Stuhl, dessen Sitzbrettchen35 Der Sitz des Stuhls bestand gewöhnlich aus drei Sitzbrettchen, die hier חסויים (Decken) genannt werden. Diese waren in der Regel länger als der Rahmen des Gestells, so dass sie an demselben von allen Seiten hervorragten. Deshalb konnte der Stuhl nicht umgelegt und so als Sitz gebraucht werden, weil er dadurch eine schiefe Stellung gehabt hätte. nicht (von den Seiten) hervorragen36 Sie sind ausnahmsweise nur ebenso lang wie der Rahmen., ist, wenn diese auch entfernt werden, verunreinigungsfähig, weil man ihn gewöhnlich auf seine Seite legt und sich darauf setzt37 Auf die Brettchen, die an den Seiten befestigt sind. Der Stuhl kann also noch eben so, wie früher, gebraucht werden..", + "Ein Stuhl, dessen mittleres Sitzbrettchen38 Von den dreien (Note 35). weggenommen ist und die äusseren39 Von den beiden Seiten des mittleren. noch bestehen, ist verunreinigungsfähig40 Da man noch darauf sitzen kann.; sind die äusseren weggenommen und das mittlere besteht, so ist er (ebenfalls) verunreinigungsfähig40 Da man noch darauf sitzen kann.. R. Simon sagt: Nur wenn dieses eine Handbreite breit ist41 Sonst kann man nicht darauf sitzen..", + "Einen42 Vgl. Edujot 2, 8. Stuhl, wovon zwei nebeneinanderliegende Sitzbrettchen43 Vgl. Note 35. weggenommen sind, erklärt R. Akiba für verunreinigungsfähig44 Als Midras, da man zur Not noch darauf sitzen kann., die Weisen aber erklären ihn für rein45 Weil man auf einem solchen Stuhl in der Regel nicht sitzt.. Es sagt R. Jehuda: Auch ein Braut-Sessel, dessen Sitz weggenommen ist und an dem noch ein Behältnis verblieb46 Bei dem Braut-Sessel hatte der Rahmen mitunter einen Boden, so dass, wenn der Sitz abgenommen wurde, ein Behältnis verblieb, in das man Gegenstände hineinlegen konnte, ist rein; denn da die Hauptbestimmung47 Die Bestimmung zum Sitze der Braut. aufgehört hat, wird der Nebengebrauch nicht beachtet48 Vgl. oben 19, 9—10 und 20, 1..", + "Eine Kiste49 Oben 15, 1. — Es ist hier von einer kleinen Kiste die Rede, die fähig ist, Unreinheit anzunehmen., deren oberer Teil50 Nach Bart. wäre עליון der obere Deckel und תחתון der Boden. Doch fasst man besser mit Maim. und רא״ש die beiden Teile als zwei Behälter oder Schubladen, die an der hier in Rede stehenden שידה sich befinden. weggenommen worden, ist noch verunreinigungsfähig wegen des untern50 Nach Bart. wäre עליון der obere Deckel und תחתון der Boden. Doch fasst man besser mit Maim. und רא״ש die beiden Teile als zwei Behälter oder Schubladen, die an der hier in Rede stehenden שידה sich befinden.; ist der untere Teil weggenommen, so ist sie verunreinigungsfähig wegen des obern; ist der obere und untere Teil weggenommen, so erklärt sie R. Jehuda noch für verunreinigungsfähig wegen der Seitenbretter51 Die man ebenfalls noch (etwa zum Sitzen) gebrauchen kann.. Die Weisen aber erklären sie für rein.52 Da die Hauptbestimmung aufgehört hat. Der Sitz des Steinmetzen53 Es scheint hier von einem hölzernen Sitz die Rede zu sein, den der Steinmetz an den zu bearbeitenden Stein befestigt, denn die Tosefta (III 1, 13) bemerkt: ישיבת הסתת התירה טהורה קשרה טמאה Der Sitz des Steinmetzen ist, wenn er ihn losgebunden hat, rein; wenn er ihn aber festgebunden hat, verunreinigungsfähig. Dasselbe wird dort von den am Wagen festgebundenen Sitz des Kutschers gesagt. kann midras-unrein54 S. Vorb. 29. werden.", + "Wenn man einen Block55 Oben 20, 5. rot oder gelb gefärbt56 Oben 15, 2. oder glatt gehobelt hat57 עשאו פנים, er hat ihm ein (schönes) Ansehen gemacht (durch Glättung mit dem Hobel); so die Commentare. L. liest פכים, was wohl (φανής = φανός) „glänzend weise“ bedeutet.. so erklärt R. Akiba ihn für verunreinigungsfähig58 Als Midras, wenn er ihn als Sitz zu gebrauchen gedenkt.; die Weisen aber erklären ihn für rein, es sei denn, dass man daran (einen Sitz) ausgehöhlt hat59 Er muss durch eine Tat zu einem Sitz gemacht werden, vgl. oben 20, 4. Die hier gegebene Erklärung zu dieser Stelle ergibt sich aus Tosefta III 2, 2.. Wenn man einen kleinen oder grossen Korb60 Oben 16, 2. mit Stroh oder Wollflocken61 מוכין, Wollflocken (B. kamma 10, 10) oder andere weiche Dinge. gefüllt und (dadurch)62 Bloss durch die Füllung. zum Sitze hergerichtet hat, sind sie noch rein63 Sie können nicht als Sitz durch Midras unrein werden, da dies kein rechter Sitz ist, indem die Füllung jederzeit herausfallen kann.. Hat man sie aber mit Binsen64 Oben 9, 4 Note 43. oder Schnüren überflochten65 So dass die Füllung nicht herausfallen kann., so sind sie verunreinigungsfähig66 Durch Midras..", + "Der Nachtstuhl67 אסלה (Erubin 10b: עסלה), sella, Nachtstuhl. Er besteht aus einem eisernen Gestell mit Füssen und einem ledernen Überzug, der in der Mitte gelöchert ist (vgl. Aruch u. מפתח des R. Nissim zu Erubin). ist verunreinigungsfähig durch Midras und durch Toten-Unreinheit68 Vgl. Nidda 6, 3.. Wird er getrennt69 Es wird das Leder vom Eisen abgesondert, ohne dass man beabsichtigt, die Teile wieder mit einander zu verbinden (יו״ב)., so ist das Leder durch Midras70 Da das Leder auch an und für sich als Sitz gebraucht werden kann. und das Eisen71 Das zwar nicht als Sitz, aber zu anderen Gebrauchszwecken dienen kann. durch Toten-Unreinheit72 Vgl. 18, 8. verunreinigungsfähig. Ein dreifüssiger Stuhl73 טרסקל ist hier τρισϰελής (dreischenklig, dreifüssig), dasselbe wie כסא טרסקל in Sabbat 138a (vgl. auch Bamidb. rabba 12, 12). Es war ein zusammenlegbarer Feldstuhl. mit lederner Bedeckung ist verunreinigungsfähig durch Midras und durch Toten-Unreinheit. Wird er getrennt74 Es wird die lederne Bedeckung vom Fussgestell entfernt., so ist das Leder durch Midras70 Da das Leder auch an und für sich als Sitz gebraucht werden kann. verunreinigungsfähig, der Stuhl aber ist ganz rein75 Das Gestell ohne Sitz ist zu nichts zu gebrauchen.. Die Bank76 ספסלין ist Einzahl, συμψέλλιον. im Badehause77 Die gewöhnlich eine Marmorplatte zum Sitze hatte., deren zwei Füsse78 Oben M. 3 heisst der Bankfuss ראש, weil er aus einem Seitenbrett bestand; hier aber heisst er רגל, da die eine Längenseite der Sitzplatte an der Wand angebaut war und nur die andere Seite an jedem Ende einen Fuss hatte. von Holz sind, ist verunreinigungsfähig79 Als Midras. Nach Maim. und Bart. können nur die Füsse unrein werden, aber nicht die Marmorplatte, da Steingeräte keine Unreinheit annehmen (Vorb. 15). Nach יו״ב ist auch die Platte unrein, weil wir die Füsse als den Hauptteil des Sitzes betrachten.. Ist einer von Holz und einer von Stein, so ist sie rein80 Denn dann ist es so zu beurteilen, wie wenn die Bank ganz aus Stein bestände.. Die Bretter im Badehause, die man zusammengefügt hat81 שגם, zusammenfügen, vgl. oben 10, 6 Note 67. — Nach רא״ש ,ר״ש und Bart. bedeutet שיגמן hier: er hat sie mit dem Hobel zurecht gemacht., erklärt R. Akiba für verunreinigungsfähig82 Als Midras, weil man auf ihnen zu sitzen pflegt., die Weisen aber erklären sie für rein, da sie nur dazu dienen, dass das Wasser darunter abfliesse83 Man setzt sich nur darauf, um nicht mit dem schmutzigen Badewasser in Berührung zu kommen.. Ein Räuchergefäss84 קנקילין (L.: קנקילן) ϰάγϰελον (von cancellus) Gitter; hier ein netz- oder gitterartiges Gefäss, das dazu dient, Kleider und andere Gegenstände zu beräuchern., an welchem ein Behältnis für Kleider85 כסות, and. LA. כוסות, Becher. sich befindet, ist verunreinigungsfähig86 Trotzdem die Löcher am Boden des Gefässes so gross sind, dass ein Granatapfel durchfallen kann, nimmt es dennoch Unreinheit an, da es für Kleider bestimmt ist, die nicht durchfallen, vgl. 17, 3 (יו״ב).; ist es aber wie ein Bienenkorb geformt87 Es ist von beiden Seiten offen und hat keinen Boden (so die meisten Comment.). Doch widerspricht dies den Angaben in Oholot 9 und Sabbat 8a (רא״ש). Es scheint daher bei diesen Gefässen bloss das Kleider-Behältnis gefehlt zu haben., so ist es rein." + ], + [ + "Wenn ein Ball, ein Schuhleisten1 אמום (vgl, oben 16, 7, Note 80), hier die Form eines Fusses, daher Schuhleisten. Alle hier genannten Geräte bestehen aus Leder, das mit Haaren oder Wollflocken gefüllt ist; vgl. auch Sanhedrin 68a., ein Amulet2 קמיע (syr. ܩܡܺܝܥܳܐ) Amulet (Sabbat 6, 2), eine lederne Kapsel, welche Kräuter oder ein beschriebenes Pergamentstück enthält und als Schutz- oder Heilmittel getragen wird. oder Tefillin3 Deren Gehäuse die bekannten 4 Abschnitte der Thora auf Pergament geschrieben enthalten, vgl. 18, 8. zerrissen worden sind4 Es ist die Naht aufgerissen worden, nachdem diese Dinge vorher durch einen Toten unrein geworden waren., so wird der, welcher sie berührt, unrein5 Denn sie gelten noch immer als Gerät mit Behältnis, da bloss die Naht aufgerissen ist.; wer aber deren Inhalt berührt, bleibt rein6 Denn da die Naht aufgerissen ist, wird der Inhalt nicht mehr als mit dem Gerät verbunden betrachtet und trägt nicht die Unreinheit des Gerätes.. Wenn ein Sattel7 אוכף, arab. اكاف, Sattel. Bart. liest הכאוף. zerrissen wird4 Es ist die Naht aufgerissen worden, nachdem diese Dinge vorher durch einen Toten unrein geworden waren., so wird auch der, welcher das Innere berührt, unrein, weil die Naht es8 Das Innere mit dem Äussern. verbindet9 Das Innere ist also mit der Hülle zu einem Geräte verbunden..", + "Folgende Dinge können als Reitzeug10 מרכב, s. Vorb. 33. — Vgl. auch Sifra Sabim 3, 11. unrein werden: der askalonische Gurt11 זריז and. LA. זרז (von aram. זרז rüsten, gürten), ein breiter Gurt, der dem Esel um den Leib gebunden wurde., der medische Mörser12 Nach ר״ש ein dickes langes Holz, in dessen Mitte ein Mörser ausgehöhlt ist und auf dessen beiden Enden der Stossende reitet. Maim. liest: מדיכח und erklärt das Wort als einen gewissen Sattel, der in Medien gebraucht wurde., der Tragsessel des Kamels13 Vgl. Gen. 31, 34, wo כר הגמל von Onk. mit עביטא דגמלא übersetzt wird. Vgl. Herzog, Real-Encycl. und Riehm, Handwörterb. Art. Kamel. und die Decke14 טפיטן = τάπης (ητος) Teppich, Decke (syr. ܛܳܦܺܝܛܳܐ). des Pferdes. R. Jose sagt: die Decke des Pferdes ist auch als Sitz verunreinigungsfähig, weil man auf dem Spielplatz15 קומפון, ϰάμπος, campus, Spielplatz, wo Kampfspiele stattfinden. darauf steht, aber der Sattel des weiblichen Kamels16 נאקה, (arab. ناقة) weibliches Kamel, das schon Lasten tragen kann. ist verunreinigungsfähig17 Als Sitz, auch nach dem ersten Tanna (תנא קמא. Nach And. ist er nur als Reitzeug verunreinigungsfähig, auch nach R. Jose..", + "Was ist der Unterschied zwischen (der Unreinheit als) Reitzeug und (der als) Sitz? Beim Reitzeug ist die Berührung (in ihrer Wirkung) unterschieden vom Tragen18 Wer das Reitzeug des זב trägt, ist אב הטומאה und verunreinigt die zu gleicher Zeit berührten Kleider und Geräte; dagegen ist der das Reitzeug Berührende bloss ראשון und kann nicht Kleider und Geräte verunreinigen., beim Sitz aber wird zwischen Berührung und Tragen nicht unterschieden19 Auch der den Sitz Berührende kann wie der Tragende gleichzeitig Kleider und Geräte verunreinigen (nicht aber Menschen und irdene Gefässe). Nachdem aber der Träger sich vom Sitz oder vom Reitzeug getrennt hat, ist er bloss ראשון und kann keinerlei Gerät verunreinigen.. Der Saumsattel20 תפית ist nach Maimonides ein persischer Saumsattel, der aus Hölzern (wohl hölzernen Bogen, die mit Querhölzern verbunden waren) besteht, die man auf den Rücken des Tieres legt, um ihm darauf Lasten aufzuladen. Die genauere Beschaffenheit dieses persischen Sattels wird nicht angegeben. des Esels, worauf man sitzt21 Mitunter sitzt man zur Not darauf., ist rein22 Weil dieser gewöhnlich nicht zum Reiten und nicht zum Sitzen dient. Vgl. Tosefta III 2, 7.. Hat man daran die Löcher geändert, oder sie in einander eingebrochen23 Dadurch wurde er zum Sitze geeignet., so ist er verunreinigungsfähig24 Als Sitz..", + "Die Bahre, die Decke und das Kissen25 Vgl. 20, 1. für den Toten26 Die nur für einen Toten bestimmt sind. sind verunreinigungsfähig durch Midras27 Obschon das Lager eines Toten nicht midras-unrein werden kann, so werden diese Dinge, wenn ein זב darauf sitzt, dennoch Midras, weil sie auch den Frauen, die den Toten beweinen, als Sitz dienen.. Der Sessel einer Braut28 Vgl. 22, 4., der Gebärstuhl29 משבר (bibl.: Muttermund) in der Mischna: Gebärstuhl. der Wöchnerin30 חיה, Gebärerin (auch Hebamme)., der Sessel des Wäschers, auf welchem er die Kleider aufhäuft31 כרם ist nach unserer LA. in Sabbat 88 b mit מכנש sammeln, aufhäufen zu erklären. Ar. liest: מיכבש, pressen. Über die Etym. vgl. Fleischer bei Levy II 456., sagt R. Jose, sind nicht als Sitz zu betrachten32 Hinsichtlich des Brautsessels ist oben 22, 4 gegen R. Jose entschieden; so Bart. und יו״ב, vgl. aber מ״א..", + "Das Fischnetz33 חרם, bibl. Fischernetz. Dies ist an sich nicht verunreinigungsfähig, s. weiter 28, 9. ist verunreinigungsfähig wegen des Beutels34 חזוטו (Hai: הזוטן), der untere Teil des Netzes (der Beutel), der gewebt war.. Die Netze, die Garne, die Vogelfalle35 מדף (von נרף, stossen), eine Vogelfalle, bestehend in einem schräg aufgestellten Brett, das durch einen Sparren gestützt wird. Unter das Brett wird Vogelfutter gelegt. Der Vogel, der das Futter auflest, rüttelt an dem Sparren, das Brett fällt nieder, und der Vogel ist gefangen. Anders מדף oben 16, 7., die Schlinge36 פְּלָצוּר (so bei Maim.) (von pressorium); vgl. Löw bei Krauss S. 462), eine Schlinge, die man über den Kopf des Tieres wirft, um es zu erdrosseln (R. Hai)., die Fangkästen der Schleusenbauer37 סַכָּר (von סכר verschliessen). sind verunreinigungsfähig38 Durch ein Kriechtier oder eine Toten-Unreinheit, aber nicht durch Midras.. Die Fischreuse39 Oben 12, 2 Note 32., der Vogelkorb40 רטוב, ein Korb, der zum Vogelfang diente (ob von רטב, grün, wie Jastrow meint, ein Korb aus grünen Zweigen?). und der Käfig41 Jer. 5, 27. sind rein42 Weil sie durchaus gelöchert sind und nicht als Geräte mit Behältnis betrachtet werden." + ], + [ + "Dreierlei Schilde1 תריס gr. ϑυρεός, Schild. gibt es1a Die in Bezug auf deren gesetzliche Bestimmungen von einander zu unterscheiden sind.: Der gebogene Schild2 D. i. der gewöhnliche Schild, der den Krieger von drei Seiten beschützt. ist verunreinigungsfähig durch Midras3 Weil man im Kriege darauf schläft. Was midras-unrein werden kann, ist umsomehr durch Toten-Unreinheit verunreinigungsfähig (Nidda 6, 3)., der, mit welchem man auf dem Spielplatz4 קונפון = קומפון, oben 23, 2. spielt5 Ein kleiner runder Schild, der nicht zum Lager oder Sitz gebraucht wird., ist verunreinigungsfähig durch Toten-Unreinheit6 Ebenso kann er durch jeden הטומאה אב unrein werden; jedoch ist er dann nur ראשון, während er durch Berührung eines Toten ein אב הטומאה wird (Vorb. 2 u. 4)., und der Schild7 דיצה (eig. Freude), ein sehr kleiner Schild, der nur zur Belustigung der Kinder dient. der Araber ist ganz rein8 Denn er ist kein Gebrauchs-Gerät..", + "Es gibt dreierlei Wagen: Der wie ein Sessel9 Oben 4, 3 und 22, 3. geformt ist10 Kurz und zum Sitzen einer Person eingerichtet., ist verunreinigungsfähig durch Midras; der wie ein Bett (geformt ist)11 Lang und bestimmt, Waare darauf zu legen., ist verunreinigungsfähig durch Toten-Unreinheit12 Aber nicht durch Midras, weil man zu dem, der sich darauf setzt, spricht: stehe auf, lasse uns unsere Arbeit hier verrichten (Vorb. 30).; der für Steine (gemacht ist), ist ganz rein13 Weil dieser durchaus mit Löchern versehen ist, durch welche ein Granatapfel durchfallen kann, vgl. 17, 1 und יו״ב..", + "Dreierlei Backtröge gibt es: Ein Backtrog, der von zwei Log bis 9 Kab fasst, ist, wenn er gespalten ist14 So dass man ihn nicht mehr zum Kneten gebrauchen kann und zum Sitzen bestimmt., verunreinigungsfähig durch Midras15 Vgl. 20, 2.; ist er ganz, so kann er verunreinigt werden durch Toten-Unreinheit16 Einerlei ob er wenig oder viel fasst, wenn nur keine 40 Sea.; und der das (grosse) Mass enthält17 40 Sea Flüssiges oder 6 Sea Trockenes., ist ganz rein18 Vgl. 15, 1..", + "Dreierlei Kasten gibt es: Ein Kasten mit der Öffnung an der Seite ist19 So dass man den Kasten auch, wenn jemand darauf sitzt, benutzen kann. verunreinigungsfähig durch Midras20 Weil man zu dem darauf Sitzenden nicht sagt: steh’ auf, damit wir unsere Arbeit verrichten!; ist dieselbe oben, so ist er verunreinigungsfähig durch Toten - Unreinheit12 Aber nicht durch Midras, weil man zu dem, der sich darauf setzt, spricht: stehe auf, lasse uns unsere Arbeit hier verrichten (Vorb. 30)., und der das (grosse) Maas enthält17 40 Sea Flüssiges oder 6 Sea Trockenes., ist ganz rein21 Wenn der Kasten jedoch zum Sitzen bestimmt ist, kann er trotz seiner Grösse midrasunrein werden (Bart.)..", + "Dreierlei Felldecken22 תרכוס, bessere LA. תרכוס, ein Fell oder ein Gerät aus Fell (so die ältern Erkl.), nach Mussafia von tergus. gibt es: Das der Barbiere23 Worauf derjenige sitzt, der sich das Haar schneiden lässt. ist verunreinigungsfähig durch Midras; das, worauf man isst24 Worauf man die Speisen setzt., ist verunreinigungsfähig durch Toten-Unreinheit, und das für Oliven25 Worauf man Oliven vor dem Pressen ausbreitet. ist ganz rein26 Vgl. 16, 7 Ende..", + "Dreierlei Untersätze27 בסיס = basis. gibt es: Der vor dem Bette und vor den Schreibern28 Welcher zum Sitzen gebraucht wird. ist verunreinigungsfähig durch Midras; der des Anrichtetisches29 דלפקי, 22, 1. ist verunreinigungsfähig durch Toten-Unreinheit30 Da er nicht bloss als Untergestell für den Tisch dient, sondern auch zum Daraufstellen von Geschirr., und der des Schrankes ist ganz rein31 Man stellt den Schrank darauf bloss, damit er nicht durch die Feuchtigkeit des Erdbodens beschädigt werde..", + "Dreierlei Schreibtafeln gibt es: Die Papyrus-Tafel32 אפיפורין, nach Löw (Gr. Requis. 97) und Sachs (Beitr. I, 165) von papyrus, s. oben 17, 3, Note 18. Andere nehmen es als Fussschemel (also אפיפודין), wie oben 16, 1, der auch als Schreibrequisit diente (?). ist verunreinigungsfähig durch Midras33 Die Tafel muss wohl auch zum Sitzen gedient haben.; die, in der sich ein Behälter für Wachs befindet34 S. oben 17, 17. Nach ר״ש hatte die Tafel eine Randerhöhung, innerhalb welcher sich das Wachs befand. Doch hat man nicht das Behältnis ganz ausgefüllt (vgl. יו״ב)., ist verunreinigungsfähig durch Toten-Unreinheit, und eine glatte35 Worauf man mit Tinte oder mit Kreide schrieb. ist ganz rein.", + "Dreierlei Betten gibt es: Das, welches zum Lager gemacht ist, kann verunreinigt werden durch Midras; das der Glaser36 Die darauf Glas-Geräte legen. זגג (von זגג = זכך, klar sein) der Glaser. ist verunreinigungsfähig durch Toten-Unreinheit, und das der Sattler37 סרג, von ܣܰܪܓܳܐ, eine Pferdedecke, der Pferdedecken-Macher. And. (von סורג, Gitter) der Gittermacher. ist ganz rein38 Da es bloss zur Arbeitszeit gebraucht wird, s. 16, 7..", + "Dreierlei Lastkörbe39 משפלת (von שפל, gering) ein Behältnis für geringe Gegenstände, sp. ein Lastkorb, worin geringwertige Dinge, wie Dünger, Stroh transportiert werden. gibt es: Der zum Dünger ist verunreinigungsfähig durch Midras40 Weil er auch zum Sitzen dient. Die Öffnung dieses Korbes war an der Seite (ר״ש).; der zu Stroh ist verunreinigungsfähig durch Toten - Unreinheit41 Bei diesem war der Deckel oben, man konnte also nicht darauf sitzen, wie in M. 4., und der Strick-Korb42 פוחלץ ist nach Maim. ein netzartig aus dicken Stricken geflochtener Korb, in welchem man den Kamelen Lasten auflud. der Kamele ist ganz rein43 Der פוחלץ hatte so grosse Löcher, dass er nicht als Behältnis-Gerät betrachtet werden konnte, und auch zum Daraufsitzen war er nicht geeignet..", + "Dreierlei Matten44 S. oben 20, 5, Note 76; vgl. noch 27, 2. gibt es: Die zum Sitzen gemachte ist verunreinigungsfähig durch Midras; die der Färber45 Die zum Einwickeln des gefärbten Kleides dient. ist verunreinigungsfähig durch Toten- Unreinheit45a Vgl. Sabbat 84a., und die der Keltern46 Womit man die Weintrauben bedeckt. ist ganz rein.", + "Dreierlei Schläuche und dreierlei Hirtentaschen gibt es: Die das (bestimmte) Mass enthalten47 Wie dies in 20, 1 bestimmt wird., sind verunreinigungsfähig durch Midras; die nicht dieses Mass enthalten, sind verunreinigungsfähig durch Toten-Unreinheit, und die aus Fischhaut sind ganz rein48 Nach 17, 13, Note 126..", + "Dreierlei Felle gibt es: Das zum Ausbreiten gemachte ist verunreinigungsfähig durch Midras49 Auf die Erde hinzubreiten, um darauf zu sitzen (s. Bezah 11b). Über andere lederne Geräte, die midras-unrein werden können, vgl. 26, 5.; das, welches zum Einwickeln von Geräten dient, ist verunreinigungsfähig durch Toten-Unreinheit50 Wie oben Note 45., und das zu Riemen und Sandalen zu verwendende51 Das aber noch nicht in Riemen zerschnitten ist. Die bereits hergerichteten Riemen aber sind verunreinigungfähig, Negaïm 11, 1. ist ganz rein.", + "Dreierlei Leintücher gibt es: Das zur Unterlage gemachte ist verunreinigungsfähig durch Midras; das als Vorhang52 Ein Vorhang ist verunreinigungsfähig, weil der Diener sich manchmal damit wärmt, vgl. 20, 6. dienende ist verunreinigungsfähig durch Toten-Unreinheit, und das, worauf Figuren gezeichnet sind53 Als Vorlagen zum Sticken. Nach א״ר: Tapeten, die man an die Wände hängt., ist ganz rein.", + "Dreierlei54 Jerusch. Kilajim 9, 2. Tücher55 מטפחת (von טפח, ausgebreitet sein) eine Hülle, ein Tuch. gibt es: Das (gewöhnliche) Handtuch ist verunreinigungsfähig durch Midras56 Weil man es zuweilen auf das Kissen legt und darauf schläft (Jerusch. das.).; das zu Büchern57 Lies: ספרים (L), so auch Jerusch. l. c. und fast alle Erkl. Nach der LA. ספרין wäre es ein Tuch der Barbierer (vgl. מ״א und 28, 4). dienende ist verunreinigungsfähig durch Toten-Unreinheit58 Weil man das Tuch manchmal, wie ein Futteral, auf den Schoss legt und sich damit wärmt (Jerusch. das.), so dass es den Büchern und dem Menschen dient (vgl. Vorb. 12)., das zum Einwickeln59 Nach Maim. (s. תוי״ט) zum Einhüllen von Toten. Die Totenkleider werden תכריכין genannt. Bart. liest: ושל תכריך נבלי בני לוי das zum Einwickeln der Psalter der Leviten dient. und das zu den Harfen der Söhne Lewi’s60 Die nach 15, 6 nicht verunreinigungsfähig sind. gebrauchte61 Dieselben einzuwickeln oder zu bedecken. ist ganz rein.", + "Dreierlei Lederhandschuhe62 פרקלינין, Maim., ebenso weiter 26, 3: פרקנימין ר״ש ,פרקלימין), nach den Erklärern hier: ein grosser Lederhandschuh; nach Muss, von περιϰαλύμμα, Bedeckung durch etwas Herumgelegtes. Nach Fränkel bei Krauss s. v. ist es περίϰνήμιον, Beinschiene, Gamasche. gibt es: Die der Wild- und Vogel-Fänger63 Sie tragen diesen Handschuh, um darauf den Falken zu setzen, den sie bei der Jagd gebrauchen. sind verunreinigungsfähig durch Midras64 Weil sich der Jäger darauf stützt (Bart.) oder zuweilen darauf setzt (יו״ב). Anders Tos. III, 2, 11.; Die der Heuschrecken - Fänger sind verunreinigungsfähig durch Toten-Unreinheit65 Er dient dem Menschen und wird auch beim Heuschreckenfang gebraucht., und die der Sommerfrucht-Trockner66 Man zieht ihn beim Hantieren mit den fetten Früchten an, um die Hände vor Schmutz zu bewahren. And. LA.: קוצים, Dornensammler, die sich durch das Leder vor den Dornenstichen schützen. sind ganz rein67 Nach 16, 7 Ende..", + "Dreierlei Kopfnetze68 סבכח = שבכח (von סבך, flechten) Netz (Job 18, 8), hier: Kopfnetz. gibt es: das einer jungen Frau ist verunreinigungsfähig durch Midras69 Weil es geeignet ist, darauf zu sitzen, und auch zu diesem Gebrauche bestimmt ist.; das einer alten ist verunreinigungsfähig durch Toten-Unreinheit70 Aber nicht durch Midras, da es nicht zum Daraufsitzen geeignet ist. Die Tosefta III 2, 10 entscheidet umgekehrt., und das einer Dirne71 יוצאת לחוץ ist das aram. נפקת ברא = זונח, eine Buhldirne, vgl. Ramban zu Gen. 38, 15 und מ״ש. ist ganz rein72 Weil dies weder zum Sitzen noch zur Kopfbedeckung, sondern bloss zum Schmucke getragen wird..", + "Dreierlei Vorratskörbe73 Oben 16, 3, Note 32. gibt es74 Dreierlei Bestimmungen sind bei der Kupha zu beachten.: Wenn man einen abgenutzten75 מחה (verw. mit מחה abwischen) abnutzen (arab. مها, dünn machen). einem noch starken (Korbe) als Fleck aufgesetzt hat76 שטלייה (טלא, flicken), er hat den alten abgenutzten Korb auf den starken geheftet, um ihn noch stärker zu machen., so richtet man sich nach dem starken77 War dieser rein, so ist das Ganze rein; war dieser unrein, so ist das Ganze unrein.; hat man einen kleinen einem grossen aufgesetzt78 Einerlei ob beide stark oder abgenutzt sind., so richtet man sich nach dem grossen77 War dieser rein, so ist das Ganze rein; war dieser unrein, so ist das Ganze unrein.; waren beide gleich79 An Grösse und an Beschaffenheit., so richtet man sich nach dem innern77 War dieser rein, so ist das Ganze rein; war dieser unrein, so ist das Ganze unrein.. R. Simon sagt: Wenn man eine Wagschale80 Die unrein war. auf den Boden eines Wärmekessels inwendig aufgesetzt hat, so wird dieser81 Der Kessel. unrein82 Weil man sich nach der Wagschale richtet.; hat man sie83 Die Wagschale. von aussen angeheftet, so bleibt er81 Der Kessel. rein; hat man sie83 Die Wagschale. an dessen Seite84 Nicht an den Boden. angeheftet, einerlei ob von innen oder von aussen, so bleibt er81 Der Kessel. rein85 Da man sich in diesem Falle nach dem Grösseren (d. i. der Kessel) richtet.." + ], + [ + "Bei1 Vgl. Pesachim 17b. allen Geräten ist2 Falls sie durch unreine Flüssigkeit verunreinigt worden sind, wobei sie bloss nach rabbinischer Verordnung unrein sind, da nach dem Thoragesetze ein Gerät nur durch einen אב הטומאה verunreinigt werden kann (Vorb. 16). die Rückseite von der Innenseite zu unterscheiden3 Wenn die unreine Flüssigkeit die Rückseite berührt, ist wohl diese unrein, die Innenseite aber ist noch rein; wenn dagegen die Innenseite verunreinigt wird, ist anch die Aussenseite unrein., so bei den Decken, Kissen, Säcken and Beuteln4 S. 20, 1. Obgleich man diese Geräte umwenden kann, so dass die Aussenseite zur Innenseite gemacht wird, so ist dennoch die innere Seite rein, wenn bloss die Aussenseite von unreiner Flüssigkeit berührt worden.; dies sind die Worte des R. Jehuda. R. Meïr sagt: Bei allen, die Schleifen5 תוכרות, nach R. Hai „Schleifen“. Das Wort kommt in der ברייתא דמלאכת המשכן Abschn. 4 in dieser Bedeutung vor. Nach Maim. ist תוכר ein Saum, der durch das Umschlagen des Sack-Randes nach der Rückseite zu (תבר = שכר, brechen) entsteht, wo derselbe angenäht wird. Durch die Schleifen oder den Saum ist die Rückseite von der Innenseite leicht zu unterscheiden. haben, ist die Rückseite von der Innenseite zu unterscheiden6 Hinsichtlich der Reinheitsbestimmungen.; bei allen aber, die keine Schleifen haben, ist die Rückseite, nicht von der innern Seite zu unterscheiden7 Wenn auch nur die Aussenseite verunreinigt worden, ist auch die innere Seite unrein.. Beim Tisch und Anrichtetisch ist die Rückseite von der innern Seite8 Die obere Seite der Tischplatte, die gewöhnlich durch den Hobel geglättet ist und worauf Speisen und Getränke gelegt werden, wird als die Innenseite, die untere als die Aussenseite betrachtet. Die Füsse werden überhaupt durch Berührung unreiner Flüssigkeiten nicht unrein (יו״ב). zu unterscheiden, dies die Worte des R. Jehuda; R. Meïr sagt: Die Rückseite ist hier nicht besonders zu beurteilen9 Sie unterliegt denselben Bestimmungen wie die obere Seite.. Dasselbe10 Dieselbe Controverse zwischen R. Jehuda und R. Meïr. gilt von einer Platte, die keinen Rand11 Und auch keine Füsse (יו׳׳ב). hat.", + "Am Rinderstecken12 Über חרחור ,מרדע und דרבן s. Abschn. 9, Note 80. ist die Rückseite von der innern Seite13 Die beiden eisernen Geräte, חרחור und דרבן selbst werden als תוך betrachtet. zu unterscheiden, und zwar (gehört zu ersterer)14 Zur Rückseite sieben Handbreiten neben der Schaufel und vier Handbreiten neben dem Stachel15 Der Teil des Steckens zwischen den sieben und den vier Handbreiten gilt als Griff (יד), der durch unreine Flüssigkeit nicht unrein wird (M. 6). Nach Maim. gilt dieser Teil als אחורים, während die sieben und vier Handbreiten, wie die eisernen Geräte selbst, als תוך gelten.; dies die Worte des R. Jehuda; R. Meïr sagt: Man unterscheidet bei diesen nicht (eine Rückseite und innere Seite)17 Vielmehr ist auch, wenn die 7 und 4 Handbreiten durch Flüssigkeit verunreinigt wurden, das Eisen unrein. Nach Maim. ist auch, wenn der Teil zwischen den 7 und 4 Handbreiten verunreinigt worden, der ganze Rinderstecken unrein., die Masse von vier und sieben Handbreiten sind nur betreffs der Überbleibsel erwähnt worden18 Dass nämlich wenn der Rinderstecken zerbrochen worden und noch sieben Handbreiten am חרחור oder vier Handbreiten am דרבן übrig geblieben sind, dies als Gerät betrachtet wird und noch verunreinigungsfähig ist, s. Abschn. 29. 7—8..", + "Die Masse zu Wein und Öl, der Schaumschöpfer19 S. 13, 2, Note 15., die Senfseihe und der Weindurchschlag haben eine Rückseite und eine Innenseite20 Betreffs des Schaumschöpfers wird diese Bestimmung in der Tosefta III 3, 6 durch folgende Sätze näher präzisiert: Ist (unreine) Flüssigkeit in das Innere (des Löffels) gefallen, so ist das Ganze unrein. Ist dieselbe auf die Rückseite (des Löffels) gefallen, so ist bloss diese Rückseite unrein, dagegen sind die Innenseite, die Gabel und der Griff rein. Ist sie auf die Gabel gefallen, so teilt man den Griff, und soweit er dem Unreinen dient, ist er unrein, und was dem Reinen dient, ist rein. Ist dieselbe auf den Griff gefallen, so trocknet man ihn ab, und er ist rein.; so R. Meïr; R. Jehuda sagt: Sie haben keine21 Es ist bei allen diesen Geräten kein Unterschied zwischen der Rückseite und der Innenseite zu machen; vielmehr ist, wenn irgendwohin unreine Flüssigkeit gefallen, das ganze Gerät unrein. Der Grund dieser Bestimmung ist, weil diese Gefässe stets zu Flüssigem benutzt werden, wobei, wenn das Innere gebraucht wird, auch die Aussenseite benetzt wird (רא״ש).. R. Simon sagt: Sie haben dieselben insofern, dass, wenn die Rückseite verunreinigt wird, was im Innern ist, rein bleibt; jedoch muss man (das ganze Gerät) untertauchen22 Wenn man es wieder rein machen will. Dagegen braucht man bei den anderen Geräten, wenn die Aussenseite durch Flüssigkeit verunreinigt worden, nicht das Ganze unterzutauchen (רא״ש), vgl. auch מ״א..", + "Beim Viertel und Halbviertel23 Die aus einem Stück Holz bestehen, auf dessen einer Seite eine Höhlung von einem Viertel Kab und auf der anderen Seite eine solche, die ein Halbviertel Kab misst, sich befindet. Nach Einigen sind diese beiden Masse nebeneinander befindlich und durch eine Wand von einander getrennt, wie beim Zwillings-Tintenfass, oben 2, 7. ist, wenn das Viertel verunreinigt worden24 Durch unreine Flüssigkeit., das Halbviertel nicht unrein; ist das Halbviertel unrein geworden24 Durch unreine Flüssigkeit., so ist das Viertel nicht unrein. Man sagte hierauf vor R. Akiba: Da doch das Halbviertel die Rückseite des Viertels ist25 Das Viertel, als das grössere Mass, ist das Hauptgerät, und das Halbviertel ist als die Rückseite des grösseren Masses zu betrachten., sollte denn bei einem Geräte, dessen Innenseite unrein geworden, nicht auch die Rückseite unrein sein! Darauf erwiderte er26 R. Akiba.: Muss man denn gerade dies27 Den Satz: „Das Halbviertel ist die Rückseite des Viertels“. vorausgehen lassen28 Wörtlich: Gehört denn diese (diese Behauptung) zu der Klasse (כת) der Vorangehenden (קודמין)? Vielleicht ist hier auf die Mischna Pesachim 5, 5 angespielt, wo von 3 כתות die Rede ist, die nach einander zur Bereitung des Pesach-Opfers in die עזרה treten. Anstatt של כת lesen einige: של בת, Andere שלבת oder שלות, Aruch: שלחת. Im Jerusch. Ende Terumot wird in demselben Sinne gefragt: של בית קודמין היא, gehört dies denn zum Hause der Vorangehenden? ? Oder (man kann auch sagen): Es ist das Viertel die Rückseite des Halbviertels29 Da ja das Halbviertel ebenso häufig wie das Viertel im Gebrauch ist, so könnte letzteres als die Rückseite betrachtet werden., und bei einem Geräte, dessen Rückseite verunreinigt worden, ist die Innenseite nicht unrein30 Da es zweifelhaft ist, welches Gerät als die Rückseite betrachtet werden soll, so wird, da es sich bloss um eine rabbinische Anordnung handelt, erleichternd entschieden..", + "Ist das Viertel verunreinigt worden31 Von innen durch unreine Flüssigkeit., so ist das Viertel samt dessen Rückseite32 Die Rückseite der Wände, die dieses umgeben. unrein, das Halbviertel aber samt dessen Rückseite32 Die Rückseite der Wände, die dieses umgeben. ist rein33 Auch die Rückseite des Bodens des Viertels wird als Innenseite des Halbviertels betrachtet und ist rein.. Ist das Halbviertel unrein geworden31 Von innen durch unreine Flüssigkeit., so ist das Halbviertel samt dessen Rückseite unrein, das Viertel aber samt dessen Rückseite32 Die Rückseite der Wände, die dieses umgeben. ist rein34 Aach die Rückseite des Halbviertels wird als Innenseite des Viertels betrachtet und ist rein.. Ist die Rückseite32 Die Rückseite der Wände, die dieses umgeben. des Viertels unrein geworden, so ist die Rückseite des Halbviertels rein35 Die Anssenseite der Seitenwände ist also bloss bis zum Boden des Viertels unrein, von da ab und weiter rein.; dies die Worte R. Meïrs. Die Weisen aber sagen: Man kann die Rückseite36 גביין ist hier dasselbe, was oben אחורים genannt wird. Warum hier ein anderer Ausdruck gebraucht wird, vgl. מ״א. nicht als geteilt betrachten37 Da die Aussenseite der Wand unrein geworden ist, so muss die ganze Aussenseite für unrein erklärt werden. Ob die Weisen dies auch in den vorhergehenden Fällen behaupten, wo die Aussenseite bloss durch das Innere unrein geworden, ist zweifelhaft (יו״ב). Nach מ״א gestehen da die Weisen zu, dass bloss der entsprechende Teil der Aussenseite unrein ist.. Wenn man es untertaucht, muss man das Ganze untertauchen38 Dies bezieht sich nach תוי״ט auch auf die vorhergehenden Fälle, wo bloss eines von den beiden Geräten unrein ist; dennoch muss das Ganze untergetaucht werden, wenn man es reinigen will. יו״ב findet dies auffällig; doch wird es von מ״א gerechtfertigt. Wie in dem Falle, wenn die beiden Masse nebeneinander und durch eine Wand getrennt sind (oben Note 24) betreffs dieser Wand zu bestimmen ist, vgl. 2, 7 (Bart.); doch ist nach יו״ב und מ״א hier nicht wie oben zu entscheiden..", + "Wenn auf die Gestelle der Gefässe, ihre Ränder39 אונן, oben 11, 3, Note 19., ihre Henkel oder auf die Griffe40 Unter יד versteht man einen längeren Griff an der Aussenseite des Gefässes. der Gefässe, welche zum Aufnehmen bestimmt sind41 Die Beifügung המקבלים (d. h. die ein Behältnis haben, das zum Aufnehmen bestimmt ist), bezieht sich auf alle bisher genannten Dinge. Nur wenn diese Teile von כלים המקבלים sind, gilt die folgende Bestimmung. Hat das Gerät aber kein Behältnis, so gelten diese Teile, wie אחורים, und sind wenigstens selbst unrein, wenn unreine Flüssigkeit auf sie gekommen., (unreine) Flüssigkeit gekommen ist, so trocknet man sie ab, und sie bleiben rein. Bei andern Geräten aber, (welche keine Granatäpfel halten können)42 Das Eingeklammerte ist zu streichen; es ist aus 17, 4 hierher geraten (יו״ב)., bei denen man nicht die Rückseite von der Innenseite unterscheidet43 Wie manche in M. 1—3 genannten Geräte. חא״ש liest שאין להם אונים ותוך (die keine Henkel und kein Behältnis haben)., ist wenn (unreine) Flüssigkeit auf einen Teil davon44 Sei es auch nur der Rand oder der Griff u. s. w. gekommen, das Ganze unrein45 Denn sowie man nicht zwischen der Innen- und Aussenseite unterscheidet, ebenso ist zwischen dem Gestell, dem Rand u. s. w. und dem eigentlichen Geräte nicht zu unterscheiden.. Von einem Gefässe46 S. Berachot 52a und Parallelstellen., dessen Rückseite durch (unreine) Flüssigkeit unrein geworden47 Dieser Satz hängt mit dem unmittelbar vorhergehenden nicht zusammen, sondern gibt die nähere Erklärung zur ersten Bestimmung unseres Abschnittes, wonach bei allen Geräten die Rückseite von der innern Seite zu unterscheiden ist., ist (nur) die Rückseite unrein, die Innenseite aber, der Rand, der Henkel und die Griffe bleiben rein48 Diese Erleichterung ist deshalb getroffen worden, damit man wisse, dass die Unreinheit bloss von den Rabbinen angeordnet wurde und dass wegen einer solchen Unreinheit nicht Hebe (תרומה) und Heiliges (קדשים) verbrannt werden dürfen.. Ist die Innenseite verunreinigt worden, so ist das Ganze unrein.", + "Alle Geräte48a Jerusch. Chag. 3, 1. haben eine Rückseite und eine Innenseite49 Dies ist so wie am Anfang unseres Abschnitts zu verstehen; es wird bloss hier deshalb wiederholt, um das Folgende daran anzuschliessen.; sie haben ferner einen Anfassungsort50 בית צביעה, and. LA. בית הצביטה (vgl Chagiga 22b). Die Bedeutung beider LAA. wird wohl gleich sein. בית הצביעה (von אצבע, Finger) der Ort, wo man die Finger hineinsteckt, um das Gerät anzufassen. בית הצביטה (צבט, arab. ضمط, festhalten, ergreifen), der Ort, wo man das Gerät ergreift. Es ist nicht klar, worin sich das בית הצביעה von dem in M. 6 genannten Henkeln und Griffen unterscheidet. Nach Maim. ist ersteres eine am Rande des Gefässes befindliche kleine Vertiefung, wo man den Finger hineinsteckt, um das Gefäss nicht von innen anzufassen. Nach יו״ב ist darunter ein Bügel verstanden, der, wie beim Handkorb, über dem Innern des Gefässes von einer Stelle des obern Randes zur gegenüberstehenden Stelle des Randes geht. Es scheint aber בית הצביעה ein allgemeiner Name für alle die verschiedenen Handgriffe zu sein, die nicht bereits oben in M. 6 genannt sind. Das בית הצביעה ist gesetzlich nicht bloss von תוך, sondern auch von אחורים unterschieden. Wenn unreine Flüssigkeit auf חצב׳ בית fällt, bleibt אחורים noch rein, und wenn jene auf אחורים fällt, bleibt בית חצב׳ noch rein.. R. Tarfon sagt: (dies gilt nur) für einen grossen hölzernen Backtrog51 Nur bei diesen gilt die Bestimmung, dass, wenn אחורים durch משקין verunreinigt worden, das בית הצביטה rein bleibt, nicht aber bei andern Geräten, weil bei letzteren zu befürchten ist, man würde beim Anfassen des בית הצב׳ auch die Rückseite berühren, die mit unreiner Flüssigkeit benetzt ist, und dann mit den feuchten Händen andere reine Stellen des Gerätes verunreinigen; daher hat man auch das בית חצב׳ für unrein erklärt.. R. Akiba sagt: Für Becher52 Die zum Trinken gebraucht werden und stets mit Flüssigkeit benetzt sind, welche leicht Unreinheit annimmt. Nach Bart. und יו״ב meint R. Akiba: Auch für Becher (also auch für die grossen Backtröge). Doch spricht die Tosefta III 3, 7 gegen diese Erklärung (vgl. מ״א).. R. Meïr sagt: Für unreine und reine Hände53 In der Hinsicht ist בית הצב׳ von אחורים zu unterscheiden, dass wenn man mit nassen unreinen Händen eine von diesen beiden Stellen berührt, die andere Stelle nicht unrein wird, dass ferner, wenn eine von diesen beiden Stellen unrein ist und man mit nassen reinen Händen die andere Stelle berührt, die Hände nicht unrein werden.. Es sagt R. Jose: Man hat es nur für reine Hände gesagt54 D. h nur in dem letzten der in Note 53 erwähntes Fälle werden die reinen Hände nicht unrein; dagegen wird im ersten dort erwähnten Falle, wo mit nassen unreinen Händen die eine Stelle berührt wird, auch die andere Stelle unrein..", + "Wie ist dies zu verstehen? Sind die Hände rein und die Rückseite des Bechers unrein55 Und die Hände sind nass, oder die Rückseite des Bechers ist nass., und er ergreift denselben an seiner Anfassungsstelle, so hat man nicht zu besorgen, dass vielleicht seine Hände durch die Rückseite des Bechers unrein geworden seien56 Da das בית הצב׳ als rein gilt. Die hier vorausgesetzte Ansicht, dass die Hände durch ein Gerät, welches mit unreiner Flüssigkeit benetzt ist, verunreinigt werden können, ist die Meinung des R. Josua in Jadajim 3, 1. Dagegen lehren die Weisen das., dass die Hände nur durch ein Gerät, das von einem אב הטומאה verunreinigt worden ist, unrein werden können; so Maim. Doch bemerkt מ״א, dass die Weisen dort nur in dem Falle mit R. Josua controversieren, wo das Gerät trocken ist; unsere Mischna aber handelt von einem Falle, wo entweder das Gerät oder die Hände nass sind. Da wird die Flüssigkeit ein ראשון (nach 8, 10, Note 99) und verunreinigt die Hände nach Aller Ansicht.. Trinkt jemand57 Hier fängt eine neue Bestimmung an, die mit dem vorhergehenden כיצר nicht in Verbindung steht. aus einem Becher, dessen Rückseite unrein ist58 Vgl. die Controverse zwischen R. Meïr, R. Jehuda und R. Jose in 8, 10., so hat man nicht zu besorgen, dass vielleicht die Flüssigkeit in seinem Munde durch die Rückseite des Bechers unrein geworden ist und dann wieder den Becher (von innen) verunreinigt hat58 Vgl. die Controverse zwischen R. Meïr, R. Jehuda und R. Jose in 8, 10.. Wenn ein Kessel59 Oben 3, 7, Note 50. siedet, hat man nicht zu besorgen, dass vielleicht Flüssigkeit von innen übergelaufen sei, die Rückseite60 Die durch unreine Flüssigkeit verunreinigt ist. berührt habe und dann wieder hineingekommen sei61 Daher bleibt das Innere des Kessels und dessen Inhalt rein..", + "Bei heiligen Geräten62 Vgl. M. Chagiga 3, 1. unterscheidet man nicht die Rückseite von der Innenseite; ebenso nicht den Anfassungsort63 Vielmehr ist, wenn auch nur einer dieser Teile unrein geworden ist, das ganze Gerät unrein. Nur für Hebe (תרומה) ist die oben (M. 7) gemachte Unterscheidung in Geltung.. Man darf nicht (zum Gebrauche) für Heiliges Geräte, die in einander gesetzt sind64 Wenn beide Geräte unrein sind., zusammen untertauchen65 Weil das im Innern des anderen befindliche Gerät durch seine Schwere das Wasser an die Stelle, wo es aufliegt, nicht hingelangen lässt. Wenn das Gerät bloss zur Hebe (תרומה) gebraucht wird, braucht man dies nicht zu beachten. Diese Bestimmung, die nicht hierhergehört, steht hier, weil dieselbe in Chagiga 3, 1 neben der vorhergehenden Bestimmung am Platze ist, vgl. das.. Alle Geräte können durch Gedankenhegung Verunreinigungs - Fähigkeit erlangen66 Wenn man z. B. den Gedanken hegte, einen für ein Tier bestimmten Ring, der nach 12, 1 nicht verunreinigungefähig ist, für einen Menschen zu gebrauchen, so erlangt der Ring dadurch die Verunreinigungsfähigkeit, vgl. aber 26, 7.; sie verlieren aber diese erst, wenn sie durch eine Tat verändert werden67 Wenn man den Gedanken hegt, einen für einen Menschen bestimmten Ring für ein Tier zu gebrauchen, so verliert er dadurch nicht seine Verunreinigungsfähigkeit, wenn man nicht den Ring durch eine Tat verändert, vgl. 17, 15 Ende.. Denn die Tat vermag sowohl die (frühere) Tat68 Hat man zuerst einen Ring für einen Menschen gemacht und ihn nachher durch eine Tat-Veränderung für ein Tier zugerichtet, so verliert der Ring seine Verunreinigungsfähigkeit. Umsomehr kann eine Tat einen Gedanken aufheben., als auch einen (gehegten) Gedanken aufzuheben; ein (gehegter) Gedanke aber kann weder eine Tat noch einen (früher gehegten) Gedanken69 Selbst wenn man bloss den Gedanken hegte, einen Ring des Tieres für einen Menschen zu bestimmen (wodurch doch der Ring nach Note 66 verunreinigungsfähig wird) kann ein späterer Gedanke, den Ring für ein Tier zu bestimmen, die Verunreinigungsfähigkeit nicht beseitigen. aufheben70 Vgl. Kidduschin 59ab.." + ], + [ + "Eine1 Hier werden lederne Geräte aufgezählt, die aus einem am Saume mit Löchern oder mit Schleifen versehenen Stück Leder bestehen, das durch Schnüre oder Riemen, welche in die Löcher gezogen sind, zugezogen werden kann und so ein Behältnis-Gerät wird, das verunreinigungsfähig ist (2, 1). amkische2 Die in dem Dorfe כפר עמיקו (Taanit 21a) verfertigt wird. Es ist wohl identisch mit dem bibl. בית העמק (Jos. 19, 27), dem heutigen Amka, nordöstlich von Akko. Nach Maim. bedeutet עמקי „für tiefen, morastigen Boden bestimmt“. Sandale3 Sie besteht aus einem flachen Stück Leder (mit Riemen, Note 1), auf das die Fusssohle gesetzt wird. Zieht man dann die durch die Löcher am Saume gehenden Riemen, so wird auch der Fussrücken und die Ferse mit dem Leder bedeckt., ein Schnürbeutel4 שנץ, nach R. Hai und ר״ש der umgeschlagene Rand des Beutels, durch welchen die Riemen zum Zuziehen gezogen werden. Nach Maim. Raschi (Sabb. 92a) Bart. und יו״ב heissen die Riemen oder Schnüre, durch die der Beutel zugezogen wird, שנצות. Vielleicht stammt es von שנס, gürten, zusammenbinden., nach R. Jehuda auch ein Korb aus Palmfasern5 Nach den meisten Erklärern ein Korb aus Palmzweigen oder Palmfasern, צורי דקל (Ab. sara 75a)., nach R. Simon, Sohn Gamliëls, ist auch eine laodikäische Sandale6 Diese Sandale besteht ebenso aus einem Stück Leder, wie die amkische (Note 3); doch gehört bei dieser mehr Kunstfertigkeit dazu, die Riemen in die Löcher am Saum hineinzubringen. jenen gleich, — diese werden verunreinigungsfähig7 Sobald man die Schnüre in die Schleifen gebracht hat, so dass man es als ein Behältnis-Gerät (כלי קבול ) gebrauchen kann. und wieder rein8 Wenn man die Schnüre aus den Löchern gezogen hat und ein flaches Gerät daraus wird (2, 1). ohne Zutat des Handwerkers9 Da dies auch durch einen Privatmann gemacht werden kann.. Es sagt R. Jose: Es werden ja alle Geräte verunreinigungsfähig10 Wenn sie die Form eines verunreinigungsfähigen Gerätes haben, auch wenn sie von einem Privatmann verfertigt werden. und wieder rein11 Wenn jene Form zerstört wird. ohne Zutat des Handwerkers12 Wenn auch das Gerät nicht so vollkommen ist, wie das Werk eines Handwerkers.; aber diese sind, auch wenn sie aufgelöst sind13 Selbst wenn die Riemen aus den Löchern herausgezogen sind und die Gegenstände nicht mehr die Form eines Gerätes besitzen., verunreinigungsfähig, weil sie auch ein Privatmann wieder herstellen kann; man hat obiges14 Dass durch Entfernung der Schnüre die Unreinheit beseitigt wird. nur von dem Palmfasern-Korb gesagt, den selbst der Handwerker nicht wieder herstellen kann15 Bloss mit grosser Mühe kann er es wieder herstellen (vgl. Sabbat 58b u. 83b)..", + "Ein Schnürbeutel, dessen Schnüre weggenommen sind16 Sie sind gänzlich beseitigt worden., ist noch verunreinigungsfähig17 Wenn der Beutel noch ein Behältnis hat.. Wird er flach ausgebreitet18 So dass er kein Behältnis hat., so ist er rein. Hatte man aber daran unten19 Am Boden von aussen. einen Fleck20 מטלת (von טלא, flicken), ein kleiner (lederner) Fleck. angenäht21 So dass dadurch, auch wenn das Leder ausgebreitet wird, die Form eines Behältnis-Gerätes verbleibt, so bleibt er noch verunreinigungsfähig22 Auch wenn man die Schnüre entfernt und das Leder flach ausgebreitet wird.. Wenn ein Beutel im andern steckt23 Und sie an einem Ende zusammennäht. Das folgende gilt umsomehr, wenn die beiden Beutel neben einander zusammengeheftet sind., so wird, wenn der eine durch Flüssigkeit unrein geworden24 In welchem Falle die Unreiheit nur eine rabbinische Verordnung ist (2, 7, Note 76)., der andere nicht unrein25 Das gilt nur für eine rabbinische Unreinheit; dagegen gelten bezüglich einer Thora-Unreinheit zwei miteinander verbundene Geräte wie ein Gerät (Tosefta III 4, 2). Auch wenn ein Beutel den andern überragt, gelten andere Bestimmungen (vgl. Tos. das. und מ״א).. Das Perl - Bündel26 Ein Stück Leder, worin eine Perle zur Verwahrung eingebunden wird und lange Zeit dort verbleibt, so dass auch nachdem die Perle herausgenommen wird im Leder eine Vertiefung zurückbleibt. ist verunreinigungsfähig27 Es wird als ein Behältnis-Gerät betrachtet, obgleich man nicht beabsichtigt hat, das Behältnis zu machen. Vgl. auch Sanhedrin 68a.. Das Geld-Bündel28 Ein Leder, worin Geld eingebunden wird. erklärt R. Elieser für verunreinigungsfähig; die Weisen aber erklären es für rein29 Da Geld oft gebraucht und das Bündel oft geöffnet wird, so hat das Behältnis nicht lange Bestand, und das Bündel ist wie ein flaches Stück Leder zu betrachten..", + "Der Handschuh der Dornen-Leser30 Ein Stück Leder, das die Dornen-Leser wie einen Handschuh zum Schutze um die Hand binden. ist rein31 Da er kein Behältnis hat.. Der Gürtel32 זון, gr. ζώνη, Gürtel, ein lederner Gürtel. und das Schurzleder33 ברכייר, (βραχιάριον = brachiale, ein Armschmuck) ist wohl ein lederner Schurz, den man an den Armen beim Arbeiten anzog. Nach Maim. und Bart. ein Knie-Schutzfell, das die Lahmen gebrauchen, die auf den Knieen einhergehen. sind verunreinigungsfähig34 Weil sie die Form eines Geräts haben (Maim., s. תוי׳׳ט).; auch die Ärmelhalter35 שרוולים, and. LA. שרבלים, nach R. Hai und Maim. enge Ärmel, welche die Handwerker während der Arbeit über die weiten Kleider-Ärmel legen, um diese in die Höhe zu ziehen und nicht durch dieselben bei der Arbeit behindert zu werden. (Im Arab. bedeutet سروال „Beinkleider“). Nach einer Erklärung im ר״ש ist שרבל ein Fell, das der Arbeiter während der Erntezeit zum Schutze vor der Hitze auf dem Herzen trägt (also von שרב, Hitze). sind verunreinigungsfähig34 Weil sie die Form eines Geräts haben (Maim., s. תוי׳׳ט).; die Lederhandschuhe36 Andere LAA. und Erklärungen vgl. oben 24, 15 Note 62. Nach ר״ש und Bart. (die hler פרקנימין oder פרקמינין lesen) ist das Wort nicht identisch mit פרקלינין oben 24, 15; es bedeutet vielmehr „Stirnband“. aber sind rein37 And. LA. טהורים. Es sind hier die oben 24, 15 genannten Lederhandschuhe der קייצים gemeint, s. oben (Maim.).. Alle Finger - Handschuhe38 בית חאצב׳, Maim. und מ״ש lesen בית הצביעות, s. oben 25, 7. Nach א״ר sind hier von einander getrennte Hüllen für einzelne Finger gemeint. sind rein39 Da das Behältnis nicht zum Aufnehmen von Gegenständen bestimmt ist., ausser den der Sommerfrüchte-Trockener40 And. LA. קוצין; s. oben 24, 15 Note 66., weil er die roten Beeren41 אוג bedeutet nach Bart. Kornelkirschen (Baum und Frucht). Dagegen erklären Ar. und Maim. dies mit Sumak, die Schmacke oder der Gerberbaum (rhus coriaria), dessen rote linsengrosse Beeren als Heilmittel gegen Diarrhoe und dessen Zweige und Blätter zum Gerben der Häute gebraucht wurden. aufnimmt. Ist er zerrissen, so ist er, wenn er nicht den grössten Teil der roten Beere42 Vielleicht aber: „die Mehrheit der Beeren“, d. b. mehrere Beeren, oder die Mehrzahl der Beeren eines Strauchs. aufnehmen kann, nicht verunreinigungsfähig.", + "Eine43 Sabbat 112b. Sandale44 סנדל, gr. σάνδαλον, die Sandale. Sie bestand aus einer Sohle aus hartem Leder, an der noch an den Seiten und an der Ferse ein schmaler Streifen aus hartem Leder sich befand. An der Spitze hatte die Sandale noch ein Oberleder (חוטם), welches die Fusszehen bedeckte. An beiden Seiten befanden sich Ohren (אזנים), an welchen Riemen angebracht waren, mittelst deren die Sandale an den Fuss festgebunden wurde., an der45 Nachdem sie midras-unrein geworden war. eines seiner Ohren46 Nach Raschi (Sabb. 112a) die Handhaben, die man beim Anziehen der Sandalen anfasst. Richtiger wohl die an den Seiten befindlichen ledernen Ansätze, woran die Riemen oder Schnüre zum Festbinden angebracht waren (יר״ב). abgerissen werden ist und man es wieder angemacht hat47 Auch wenn man es nicht wieder zurecht gemacht hat, bleibt die Sandale unrein; ותקנה steht bloss als Bedingung für die folgende Bestimmung., bleibt midras-unrein48 Denn die Sandale kann noch angezogen werden dadurch, dass man eine längere Schnur an das andere Ohr bindet und diese um den Fuss wickelt und befestigt.. Reisst dann das zweite auch ab und man macht es wieder an, so ist sie vom Midras rein49 Obgleich jetzt die ganze Sandale wieder hergestellt ist, so gilt doch die Midras-Unreinheit als beseitigt. Es ist jetzt als eine neue Sandale zu betrachten, die zwar von neuem Unreinheit annehmen kann, die alte Unreinheit aber verloren hat., aber unrein als vom Midras Berührtes50 Denn das erste wieder angemachte Ohr ist durch Berührung der noch midras-unreinen Sandale als von einer Midras-Unreinheit Berührtes unrein geworden. Wenn nun auch durch das Abreissen des zweiten Ohres die Midras-Unreinheit aufgehoben wurde, so bleibt doch die Unreinheit der Berührung an dem ersten Ohre haften, die es dann, weil mit der Sandale verbunden, auf die ganze Sandale überträgt.. Hat man aber das erste nicht eher angemacht, bis das zweite abgerissen ist, so ist sie rein51 Von der alten Unreinheit, sie kann aber von neuem unrein werden (ד״ש, vgl. יו״ב). — Vgl. dieselben Bestimmungen oben 18, 6 betreffs eines zerbrochenen Bettes. Anstatt טהורה ist טהור zu lesen, da סנדל masc. ist.. Ist das Fersenleder52 Nach Bart. nicht das Fersenleder der Sohle, sondern das, welches die Höhe der Ferse an dem Unterschenkel bedeckt. Vgl. aber יו״ב. abgerissen, oder ist die Spitze53 Welche die Zehen bedeckt. weggenommen, oder ist sie54 Die Spitze ist der Länge nach in zwei geteilt, so dass es hässlich aussieht und man mit einer solchen Sandale nicht einhergeht. entzwei gerissen, so ist sie rein55 Von der frühern Unreinheit, sie kann aber von neuem unrein werden (Bart), anders ר״ש (s. יו״ב).. Eine Schnürsohle56 סוליים, die besten Zeugnisse lesen סולייס (soleae, Sohlen), einfache Sohlen, die man mit Schnüren an den Fuss befestigte. ist, wo immer etwas daran abgerissen ist, rein57 Weil sie in solchem Zustande nicht brauchbar ist.. Ein zerrissener Schuh58 מנעל, ein Schuh, hat auch weiches Oberleder, das den Fussrücken bedeckt. ist, wenn er nicht den grössten Teil des Fusses umfasst59 Indem das Oberleder so zerrissen ist, dass es nicht den grössten Teil des Fussrückens bedeckt., rein60 Von der früheren Unreinheit, und er kann ferner keine Unreinheit annehmen, da er nicht brauchbar ist.. Einen noch auf dem Leisten61 אימום, s. oben 23, 1 Note 1. befindlichen Schuh erklärt R. Elieser für rein62 Weil er noch nicht als vollkommen fertig betrachtet wird, Sabbat 141b., die Weisen aber erklären ihn für verunreinigungsfähig63 Sie betrachten ihn als fertig, da ihn jedermann vom Leisten herunternehmen kann.. Alle63a Menachot 37b. Schläuche, die64 Nachdem sie ein Loch bekommen hatten, wodurch sie rein werden, nach 17, 2. zugebunden worden, sind rein65 Sie bleiben rein, wie vorher, da sie, obgleich sie zugebunden sind, nicht als ganze Geräte betrachtet werden., ausser den der Araber66 Die es verstehen einen festen nicht leicht lösbaren Knoten zu machen.. R. Meïr sagt: lst der Verband nur ein zeitweiliger67 Den man später auflösen will., so sind sie rein68 Selbst bei den Verbänden der Araber.; ist er aber ein dauerhafter, so sind sie verunreinigungsfähig69 Selbst bei gewöhnlichen Verbänden.. R. Jose sagt: Alle zugebundenen Schläuche sind rein70 Selbst die der Araber und auch wenn der Verband für die Dauer gemacht ist. Im Jerusch. Kilajim 6, 3 wird von Einigen unsere Mischna in anderer LA. tradiert. Vgl. auch Edujot 5, 1 Ende..", + "Folgende Fell-Sachen sind fähig midras-unrein zu werden: Ein Fell, welches man auszubreiten71 Auf der Erde, um darauf zu sitzen, wie oben 24, 12. gedenkt, das Gerber-Schurzfell72 S. oben 16, 4, Note 41 und 44., das Fell zur Bett-Unterlage72 S. oben 16, 4, Note 41 und 44., das Fell des Eseltreibers73 Womit er sich, während er das Vieh treibt, umgürtet. L. und Maim. lesen noch ausserdem עור החמור, das Fell, das man dem Esel unter seine Last legt., das Fell des Flachs-Arbeiters74 Das er sich beim Hecheln wie eine Schürze vorbindet, damit nicht kleine Wergteile an den Kleidern hängen bleiben., das Fell des Lastträgers75 das er sich auf die Schulter legt, damit sie nicht durch die Last beschädigt werde., das Fell des Arztes76 Der Schurz, den der Chirurg bei der Operation anlegt., das Fell einer Wiege77 Eine Lederdecke, die als Unterlage für den Körper des Kindes diente (vgl. Parah 12, 8)., das dem Kinde über das Herz gelegte Fell78 Um es vor dem Schlage einer Katze zu beschützen. Nach andern ist es ein Brustlatz zum Schutze der Kleider vor dem Beschmutzen. Die Tosefta hat: עור הלוף של קטן, vielleicht (von לפן, einwickeln) das Leder, worin man das Kind einwickelt, damit die Gliedmassen gerade bleiben, vgl. Sabb. 129 b., das Fell der Unterdecke79 Das man auf die Decken und Kissen legt, um sie vor Beschmutzen zu bewahren., das Fell des Kissens79 Das man auf die Decken und Kissen legt, um sie vor Beschmutzen zu bewahren. —diese können midrasunrein werden80 Weil alle diese Dinge mitunter zum Sitze oder zur Unterlage gebraucht werden.. Das Fell für gekämmte Wolle81 Worin gekämmte Wolle eingewickelt wird. und das Fell der Wollkämmer82 Das er auf die Kniee legt, während er die Wolle kämmt. können nach R. Elieser durch Midras unrein werden83 Und umsomehr durch Toten-Unreinheit, nach Nidda 6, 3., nach den Weisen aber nur durch Toten-Unreinheit84 Aber nicht durch Midras, da sie nicht zum Sitze bestimmt sind..", + "Ein Felleisen85 עב (syr. ܥܰܝܒܳܐ, arab. عيبة) ein lederner Sack oder Korb für Kleider. Es ist also עֵב zu punktieren, vgl. מ״ש. für Kleider und eine Hülle86 תכריך (von כרך, einwickeln) eine Hülle, worin etwas eingewickelt wird. für Kleider sind verunreinigungsfähig durch Midras87 Weil man sich manchmal darauf setzt.. Ein Behälter für Purpurwolle und eine Hülle für Purpurwolle sind nach Bet-Schammai verunreinigungsfähig durch Midras, nach Bet-Hillel aber nur durch Toten-Unreinheit88 Als Behältnis-Gerät; aber nicht durch Midras; denn man setzt sich nicht darauf, weil man befürchtet, die kostbare Purpurwolle könnte dadurch Schaden leiden.. Ein Fell89 S. Sucka 20 b, Tos. v. חזיין לנזייתא., das man zum Überzug über Geräte gemacht hat, ist rein90 Vgl. oben 16, 8, Note 107.; wenn zu Gewichten91 Damit das Gewicht nicht abgerieben werden soll., so ist es verunreinigungsfähig92 Durch Toten-Unreinheit, da es ein Behältnis hat.. R. Jose erklärt im Namen seines Vaters93 R. Chalafta. auch dies für rein94 Ebenso wie die anderen Überzüge..", + "Alle Dinge, bei denen an der Arbeit nichts mangelt95 Das Ding ist fertig und kann sofort zu einem Gebrauche verwendet werden., macht schon der Gedanke96 Es als Gerät zu gebrauchen, z. B. ein Fell auf dem Boden auszubreiten. verunreinigungsfähig97 Nach 25, 9, Note 66, wenn auch an dem Dinge noch etwas des Schmuckes halber zu machen ist, vgl. oben 12, 9 Note 93.; alle Dinge aber, bei denen an der Arbeit noch etwas mangelt98 Um zu dem im Gedanken gehegten Gebrauche geeignet zu sein., macht der Gedanke nicht verunreinigungsfähig, ausgenommen99 אלא bedeutet manchmal dasselbe wie חוץ מן, vgl. Gittin 82a. die Leder-Decke100 עוצבה, nach Maim. eine lederne Satteldecke; nach Raschi, in B. Kamma 66b, eine lederne Tischdecke. Der Talmud das. erklärt das Wort durch אברזין, vgl. Fleischer bei Levy I S. 277 und Kohut s. v. אכרזין. Diese Decke ist verunreinigungsfähig, wiewohl sie noch nicht beschnitten ist, also an der Arbeit noch etwas mangelt. Der Grund ist, weil diese Decke auch unbeschnitten gebraucht werden kann, vgl. Sebachim 94a..", + "Die Felle des Hausvaters101 Die für den eigenen Gebrauch und nicht zum Verkauf bestimmt sind. macht der Gedanke96 Es als Gerät zu gebrauchen, z. B. ein Fell auf dem Boden auszubreiten. verunreinigungsfähig, die des Gerbers macht der Gedanke nicht verunreinigungsfähig102 Denn da er gewöhnlich die Felle verkauft, so ist es möglich, dass der Käufer das Fell etwa zu Schuhen gebrauchen wird, so dass noch viel daran zu arbeiten ist und der Gedanke es nicht verunreinigungsfähig machen kann.. Die des Diebes macht der Gedanke verunreinigungsfähig103 Wenn etwas von einem Diebe gestohlen wird, so ist anzunehmen, dass der Eigentümer es bereits aufgegeben und der Dieb es infolge dessen erworben hat und bloss Geldersatz schuldig ist. Daher kann es sein Gedanke zu einem Geräte und verunreinigungsfähig machen. Aber selbst nach der Ansicht (die auch als Halacha rezipiert ist), dass der Dieb durch das Besitz-Aufgeben (ייאוש) des Eigentümers den Gegenstand nicht erworben hat, erwirbt der Dieb in unserem Falle dennoch das Fell durch seinen Gedanken, es etwa als Decke zu gebrauchen, weil dadurch eine Namensveränderung (שינוי השם) eintritt; das „Fell“ wird jetzt „Decke“ genannt. Durch ייאוש und שינוי השם erwirbt es aber der Dieb nach allgemeiner Ansicht, und er ist bloss Geldersatz schuldig; vgl. B. kamma 66b., die des Räubers macht der Gedanke nicht verunreinigungsfähig104 Denn da der Eigentümer den Räuber kennt, gibt er den Gegenstand gewiss nicht auf; vielmehr denkt er, ihn bei gelegener Zeit durch das Gericht zur Rückgabe desselben zwingen zu lassen. Der Räuber hat daher das Fell nicht erworben und kann es nicht durch seinen Gedanken zu einem Geräte umwandeln.. R. Simon sagt: Die Gesetzesbestimmung ist umgekehrt: Die des Räubers macht der Gedanke verunreinigungsfähig105 Da ein Räuber ein starker gewalttätiger Mann ist, gibt der Eigentümer seinen Besitz auf, denn er hofft nicht, ihn von einem solchen Menschen wieder herauszubekommen., die des Diebes macht der Gedanke nicht verunreinigungsfähig, weil diese der Eigentümer noch nicht aufgegeben hat106 Denn er hofft immer, den Dieb zu finden und sein Eigentum wieder zu erlangen. Vgl. B. Kamma 114 a und Sifra Sabim II 6—8..", + "Wenn ein Fell107 Etwa eine Decke. midrasunrein ist und man es im Gedanken zu Riemen und Sandalen bestimmt, so ist es, sobald man das Messer108 אומל, gr. σμίλη, Messer, oben 13, 4. daran angesetzt hat109 Er hat das Messer zum Zerschneiden hineingesteckt. Damit hat er die frühere Bestimmung annulliert (Raschi in Chullin 123b)., rein110 S. oben 24, 12, Note 51.; dies die Worte des R. Jehuda. Die Weisen sagen: Erst wenn man es so vermindert hat, dass weniger als fünf Handbreiten111 Im Quadrat. Soviel ist das gesetzliche Mass für ein Fell, das unrein werden soll, nach 27, 2. davon übrig geblieben112 Das blosse Hineinstecken des Messers behufs Zerschneidens hebt die Midras-Unreinheit nicht auf.. R. Eleasar, Sohn R. Zadoks, sagt: Auch wenn man ein Handtuch113 מטפחת, oben 24, 14 Note 55. Hier ist ein Handtuch gemeint. aus einem solchen Felle114 Das midras unrein ist. macht115 Obgleich man so das Fell zu einem anderen Geräte gemacht hat., bleibt es unrein116 Weil dies nicht als vollständige Umwandlung betrachtet wird, da es vorher ebenso ein flaches Gerät war, wie jetzt., macht man dies117 Ein Handtuch aber aus einem Kissen118 Ein mit Wollstücken ausgestopftes ledernes Kissen wird seiner Füllung entleert, auf beiden Seiten aufgetrennt und so in ein Handtuch umgewandelt., so ist es rein119 Da mit dem Gerät eine vollständige Umwandlung vorgenommen worden ist, indem aus einem Behältnis-Gerät ein flaches gemacht wurde, Tosefta III 6, 1; vgl. auch weiter 28, 5.." + ], + [ + "Der Kleiderstoff1 Hier ist speziell von einem aus Wolle oder Leinen gewebten Zeug die Rede. Ein aus anderen Stoffen gewebtes Zeug gilt nur bei einer Grösse von drei Faustbreiten im Quadrat als נגד, vgl. Sabb. 26bf. kann verunreinigungsfähig sein wegen fünf Namen2 Und zwar: a) als Behältnis (כלי קבול), b) als Sitz (מושב), c) als Zelt (אהל), d) als Gewebtes (אריג), e) als Stoff in der Grösse von drei Fingerbreiten im Quadrat (שלש על שלש). Die nähere Erklärung folgt weiter.; der Sack3 Unter שק versteht man sowohl ein Gewebe aus Ziegenhaaren (מעשה עזים, Num. 31, 20), als auch ein solches aus andern Landtier-Stoffen, mit Ausnahmen des aus Schafwolle, das נגד heisst. wegen vier4 Nämlich nur die ersten vier Benennungen, die in Note 2 aufgezählt sind.; das Fell wegen drei5 Die ersten drei Namen in Note 2.; das Holz6 Darunter sind (mit Ausnahme von Leinen) auch alle sonstigen Pflanzen-Stoffe verstanden, wie Baumwolle, Hanf, vgl. M. Sabbat. 2, 3. wegen zwei7 Die ersten zwei in Note 2., und ein irdenes Gefäss wegen eines8 Als Behältnis-Gerät. Sonst kann es keine Unreinheit annehmen, auch nicht als Sitz eines Flüssigen (Midras), Vorb. 26.. Ein irdenes Gefäss kann als Behältnis-Gerät unrein werden9 Wenn das Behältnis noch so klein ist. Nur bei einem Bruchstücke eines irdenen Gerätes ist ein bestimmtes Mass festgesetzt, oben 2, 2.. Alle unter den irdenen Gefässen, die keinen innern Raum haben, haben auch keine Hinterseite10 D. h. die Hinterseite kommt nicht in Betracht. Der Satz ist hier aus 2, 3 Ende wiederholt, vgl. das.. Beim Holz kommt noch hinzu, dass es auch als Sitz11 D. h. durch Midras, s. Vorb. 29. unrein werden kann12 Wenn es auch kein Behältnis hat.. Ferner ist eine hölzerne Platte ohne Leisten13 Oben 3, 3, Note 29. verunreinigungsfähig14 Trotzdem sie ein flaches hölzernes Gerät ohne Behältnis ist, nach Vorb. 12, vgl. 22, 1 Note 2., während eine solche irdene rein ist15 Oben 2, 3.. Beim Fell kommt noch hinzu, dass es als Zelt16 Wenn es in senkrechter Richtung über einem Toten sich befindet, s. Vorb. 27. unrein werden kann. Beim Sack8 Als Behältnis-Gerät. Sonst kann es keine Unreinheit annehmen, auch nicht als Sitz eines Flüssigen (Midras), Vorb. 26. kommt noch hinzu, dass es als Gewebtes17 Wenn man aus Haaren ein ganzes Kleidungsstück webt, wie einen Gürtel und desgleichen, ist es verunreinigungsfähig, obgleich es keine drei Fingerbreiten in der Breite hat (Sabbat 64a). verunreinigungsfähig ist18 Dagegen ist Gewebtes aus Leder nicht verunreinigungsfähig, selbst wenn man aus schmalen Riemen ein Gewebe verfertigt.. Beim Kleiderstoff1 Hier ist speziell von einem aus Wolle oder Leinen gewebten Zeug die Rede. Ein aus anderen Stoffen gewebtes Zeug gilt nur bei einer Grösse von drei Faustbreiten im Quadrat als נגד, vgl. Sabb. 26bf. kommt noch das hinzu, dass es schon bei drei Fingerbreiten im Quadrat19 Wenn ein Stück von dieser Grösse von einem grossen Stücke ohne Absicht abgerissen worden, oder wenn ein solches Stückchen von einem ganzen Kleide übrig geblieben. verunreinigungsfähig ist20 Wenn es aber keine drei Fingerbreiten im Quadrate hat, kann es als בגר nicht unrein werden, es sei denn dass es ein ganzes Kleidungsstück, wie ein Gürtel u. dgl., ist, das als אריג unrein werden kann..", + "Der Kleiderstoff ist bei drei Handbreiten21 Zu שלשה (masc.) muss stets טפחים, und zu שלש (fem.) אצבעות ergänzt werden. im Quadrat verunreinigungsfähig durch Midras22 Weniger als dieses Quantum ist nicht zum Sitze geeignet., und schon bei drei Fingerbreiten23 Ein Stückchen Kleiderstoff von dieser Quantität ist für arme Leute noch brauchbar. im Quadrat durch Toten - Unreinheit24 Ebenso durch alle anderen Quellen-Unreinheiten (1, 1); ausgenommen ist bloss die Midras-Unreinheit.. Der Sack3 Unter שק versteht man sowohl ein Gewebe aus Ziegenhaaren (מעשה עזים, Num. 31, 20), als auch ein solches aus andern Landtier-Stoffen, mit Ausnahmen des aus Schafwolle, das נגד heisst. bei vier Handbreiten im Quadrat, das Fell bei fünf Handbreiten im Quadrat, eine Matte25 Eine aus Schilf oder Bast geflochtene oder gewebte Matte (B. Kamma 25 b), die gewöhnlich als Unterlage dient (oben 24, 10). bei sechs Handbreiten — diese26 Die drei zuletzt genannten. sind einander gleich, insofern sie sowohl durch Midras als durch Toten-Unreinheit verunreinigt werden können27 Sowie durch alle anderen Quellen-Unreinheiten.. R. Meïr sagt: Nur beim Sack-Überbleibsel28 Wenn ein Sack-Gerät verwest und zerrissen worden und noch ein Stück davon übriggeblieben ist. ist das Mass29 Das gesetzliche Mass für die Verunreinigungs-Fähigkeit. vier Handbreiten, der ursprüngliche Sack aber wird erst, wenn er fertig ist, verunreinigungsfähig30 Aber auch da nur, wenn es die Grösse von vier Handbreiten im Quadrat hat (vgl. 5, 1)..", + "Macht man31 Bei einem Stück Zeug von drei Handbreiten im Quadrat. zwei Handbreiten32 Von der Breite. vom Kleiderstoff und eine Handbreite32 Von der Breite. vom Sack, oder33 Bei einem Stück von vier Handbreiten im Quadrat. drei Handbreiten32 Von der Breite. vom Sack und eine32 Von der Breite. vom Fell, oder34 Bei einem Stück von fünf Handbreiten im Quadrat. vier32 Von der Breite. vom Fell und eine32 Von der Breite. vom Mattenstoff, so ist es35 Das so hergestellte Stück Zeug. rein36 Es handelt sich hier im ersten Falle nur um die Reinheit bezüglich des Midras; denn für andere Unreinheiten ist ja das Mass bei בגד bloss drei Fingerbreiten im Quadrat. Aber auch bezüglich anderer Unreinheiten ist wenigstens die Handbreite vom שק rein (vgl. יו״ב).. Macht man aber37 Bei einem Stück Zeug von sechs Handbreiten im Quadrat. fünf32 Von der Breite. vom Mattenstoff und eine32 Von der Breite. vom Fell, oder34 Bei einem Stück von fünf Handbreiten im Quadrat. vier32 Von der Breite. vom Fell und eine32 Von der Breite. vom Sack, oder33 Bei einem Stück von vier Handbreiten im Quadrat. drei32 Von der Breite. vom Sack und eine32 Von der Breite. vom Kleiderstoff, so ist es verunreinigungsfähig38 Doch nur wenn es nach der Ordnung, wie die Mischna die Stoffe aufzählt, zusammengesetzt wurde; hat mau aber z. B, בגד mit עור verbunden, so wird dies nicht verunreinigungsfähig (ר״ש und Bart.), vgl. jedoch Tos. in Sukka 17b v. וחני.. Dies ist die Regel39 Pesachim 110b.: Wenn man einen Stoff durch einen andern Stoff ergänzt40 Zu dem für die Verunreinigungs-Fähigkeit festgesetzten Masse., der schwerer ist41 D. h. bei dem ein kleineres Mass zur Verunreinigungs-Fähigkeit genügt. als jener42 Der zu ergänzende Stoff., so ist es verunreinigungsfähig; ist dieser43 Der ergänzende Stoff. aber leichter44 Es bedarf dabei eines grösseren Masses zur Verunreinigungs-Fähigkeit. als jener45 Der zu ergänzende Stoff., so ist es rein.", + "Wenn man von einem dieser Dinge46 Die in Mischna 2 genannt sind. eine Handbreite im Quadrat abschneidet47 In der Absicht, das Stück als Sitz zu gebrauchen., so ist dies verunreinigungsfähig48 Als Sitz eines Flüssigen. Als Lager müsste es drei Handbreiten im Quadrat haben (Meïla 18a). Die in M. 2 genannten Masse gelten nur für den Fall, dass ein Fleck ohne Absicht von einem grossen Stücke abgetrennt wurde und man nichts daran behufs Bereitung zum Sitzen gemacht hat.. Wenn man von dem Boden eines Korbes eine Handbreite im Quadrat (abschneidet), ist dies ebenso verunreinigungsfähig; von den Seiten eines Korbes aber erklärt es R. Simon für rein49 Denn ein Stück von der Seite ist nicht zum Sitzen geeignet, da die Seiten rund und nicht gerade sind.. Die Weisen sagen: Wenn man wo immer50 Auch von den Seiten eines Korbes. eine Handbreite im Quadrat abschneidet, ist es verunreinigungsfähig.", + "Alte Flecke von einem Sieb oder einem Reuter51 Die aus Leder, Haar oder Schilf gefertigt sind., die man zum Sitzen zugerichtet hat, erklärt R. Akiba für verunreinigungsfähig52 Nach seiner oben 20, 4 (vgl. auch 22, 9) ausgesprochenen Ansicht, dass eine kleine Verrichtung genügt.; Die Weisen aber erklären sie für rein, es sei denn, dass man sie zugeschnitten hat53 Erst durch eine bedeutende Arbeit erhält es diese neue Bestimmung (vgl. auch 12, 5).. Ein Kinderstuhl, der Füsse hat, ist, selbst wenn seine Höhe keine Handbreite beträgt54 Ein Stuhl, der für einen Erwachsenen bestimmt ist, kann nur, wenn er eine Handbreite hoch ist, unrein werden (oben 22, 3)., verunreinigungsfähig. Ein Hemd eines Kindes55 Es ist hier von einem neugeborenen Kinde die Rede, dessen Hemdchen nicht das für die Midras-Unreinheit nötige Mass hat., sagt R. Elieser, wenn es noch so klein ist (kann es unrein werden); die Weisen sagen: Nur wenn es das erforderliche Mass hat56 Drei Handbreiten für Midras und drei Fingerbreiten für Toten-Unreinheit, wie oben in M. 2 bestimmt wird. Hier wird nicht, wie beim Stuhl, unterschieden zwischen Dingen, die für Kinder, und denen, die für Grosse bestimmt sind. Über den Grund vgl. יו״ב., und es wird doppelt gemessen57 Es muss das Mass doppelt vorhanden sein, drei Handbreiten im Quadrat an der Vorderseite und ebenso viel an der Hinterseite, so dass es ausgebreitet sechs Handbreiten in der Länge und drei Handbreiten in der Breite messen würde..", + "Folgende Dinge werden doppelt gemessen58 Sie sind nur dann verunreinigungsfähig, wenn sie doppelt gelegt das nötige Mass haben,: Socken59 אמפליא oder אנפליא = impilia, Socken, Strümpfe., Kniehosen60 פמוליניא (oder פימליניא) = feminalia (femoralia), Kniehosen; nach Bart. sind es Pumphosen. Beinkleider, Mütze und Gürtelbeutel61 פנדיא (Bart.: פונדא) = funda, ein Gurt, an welchem mehrere kleine Geldbeutel (כים) sich befinden.. Ein am Rande angenähtes Stück62 פטלית, ein Fleck, ein Stück Zeug. Nach Bart. ist es als Halskragen angenäht worden. Nach רא״ש und יו״ב handelt es sich hier um ein Stück Zeug, das bloss bestimmt ist, am Rande als Halskragen angenäht zu werden; denn wenn es bereits am Kleide angenäht ist, kann es jedenfalls durch das Kleid Unreinheit annehmen. Vgl. aber 8, 7. wird, wenn es einfach ist63 Es ist nur an einer Seite des Kleid-Randes angenäht (oder nur dazu bestimmt) worden, entweder an der Vorder- oder an der Hinterseite., einfach, wenn es doppelt ist,64 Der Kragen geht rings um den Hals. doppelt gemessen.", + "Wenn man vom Kleiderstoff drei Handbreiten im Quadrat gewebt hat65 Ein Mass, das für die Annahme der Midras-Unreinheit genügt, Mischna 2. und er midras-unrein geworden ist, man hierauf den ganzen Stoff fertig gewebt66 Dadurch ist der ganze Stoff midras-unrein geworden, da er mit dem midras-unreinen Stücke zu einem Stück verbunden ist (vgl. 18, 7). Manche lesen hier ausdrücklich: הבגד כולו טמא מדרס (der ganze Stoff wird midras-unrein). und dann vom ersten Stück67 Von den zuerst gewebten drei Handbreiten. wieder einen Faden weggenommen hat68 So dass es nicht mehr das zur Midras-Unreinheit erforderliche Mass hat., so ist er69 Der ganze Stoff. nicht mehr unrein als Midras70 Das erste Stück hört durch Verminderung des Masses auf, Midras zu sein, und dadurch ist auch das damit zu einer Einheit Verbundene kein Midras mehr., aber als von der Midras-Unreinheit Berührtes71 Das zweite Stück hat das erste berührt, als es noch Midras war, ist also מגע מדרס. Das erste Stück sollte zwar nach R. Jose (weiter Mischna 10) an und für sich nicht מגע מדרס sein, ist es hier aber dennoch, weil es mit einem מגע מדרס (dem zweiten Stück) zu einer Einheit verbunden ist.. Hat man erst den Faden weggenommen68 So dass es nicht mehr das zur Midras-Unreinheit erforderliche Mass hat. und dann den ganzen Stoff fertig gewebt, so ist er (ebenfalls) unrein als von der Midras-Unreinheit Berührtes72 Dies gilt nur nach R. Meïr (weiter in M. 10), wonach das erste Stück nach der Verminderung noch מגע טררם bleibt. Das zweite Stück ist es ebenfalls, weil mit dem מגע מדרס verbunden..", + "Ebenso wenn man vom Kleiderstoff1 Hier ist speziell von einem aus Wolle oder Leinen gewebten Zeug die Rede. Ein aus anderen Stoffen gewebtes Zeug gilt nur bei einer Grösse von drei Faustbreiten im Quadrat als נגד, vgl. Sabb. 26bf. drei Fingerbreiten im Quadrat23 Ein Stückchen Kleiderstoff von dieser Quantität ist für arme Leute noch brauchbar. gewebt hat und er durch eine Toten-Unreinheit24 Ebenso durch alle anderen Quellen-Unreinheiten (1, 1); ausgenommen ist bloss die Midras-Unreinheit. verunreinigt worden ist, man hierauf den ganzen Stoff fertig gewebt73 Dadurch ist der ganze Stoff toten-unrein geworden, da er mit dem so unrein gewordenen Stücke zu einer Einheit verbunden ist (vgl. 18, 8). Manche lesen hier (vgl. oben Note 66) ausdrücklich: הבגד כולו טמא טמא מת (das ganze Kleid wird toten-unrein). und dann vom ersten Stück74 Von den zuerst gewebten drei Fingerbreiten. einen Faden weggenommen hat75 So dass es nicht mehr das zur Unreinheits-Fähigkeit erforderliche Mass besitzt., so ist er69 Der ganze Stoff. nicht mehr toten-unrein76 Wie oben in Note 70., aber unrein als von der Toten-Unreinheit Berührtes77 Wie oben in Note 71.. Hat man erst den Faden weggenommen und dann den ganzen Stoff fertig gewebt, so ist er rein, weil man gesagt hat: Ein Stück von drei Fingerbreiten, das vermindert worden, ist rein78 Es ist gar nicht verunreinigungsfähig, da es zu nichts brauchbar ist.; dagegen ein Stück von drei Handbreiten, das vermindert worden ist, kann zwar nicht mehr midras-unrein werden, aber jede andere Unreinheit annehmen.", + "Wenn79 Menachot 24a. man aus einem Leintuch, das midras-unrein ist, einen Vorhang80 S. oben 20, 6. gemacht hat, so ist dieser nicht mehr midras-unrein81 Nachdem man ihn in der oben 20, 6 angegebenen Weise hergerichtet hat., aber unrein als von der Midras-Unreinheit Berührtes82 Der Vorhang bleibt als Gerät verunreinigungsfähig durch Berührung einer טומאה, wie oben 20, 6, Note 89 bemerkt. Da er nun die Teile des סדין, während letzterer in einen וילון verwandelt wurde, berührt hat, so ist er als מגע מדרס zu betrachten.. Da sagte R. Jose: Welche Midras-Unreinheit hat denn dieser berührt83 Nachdem der Gegenstand eine nicht midras-unreine Form erhalten hat, ist die Midras-Unreinheit vollständig davon beseitigt worden. Über den Grund der Differenz zwischen dem ersten Tanna (R. Meïr) und R. Jose vgl. die Bemerkung des R. Akiba Eger. ? Vielmehr blos wenn ein Flüssiger es84 Das Leintuch, bevor er noch einen Vorhang daraus gemacht hat. berührt hat85 Z. B. er hat darauf mit nacktem Körper gelegen, so dass das Leintuch gleichzeitig durch den Druck (Midras) und durch die Berührung des Flüssigen unrein geworden ist., wird es durch diese Berührung unrein86 Und diese Berührungs-Unreinheit bleibt, selbst nachdem er einen Vorhang daraus gemacht und dadurch die Midras-Unreinheit beseitigt hat (vgl. Raschi und Tosafot zu Menachot 24 b)..", + "Wenn87 Chullin 72 b. ein Stück von drei Handbreiten im Quadrat88 Das midras-unrein geworden war. geteilt worden ist89 So dass jedes einzelne Stück zwar nicht mehr das zur Midras-Unreinheit erforderliche Mass, aber wenigstens ein Quantum von drei Fingerbreiten hat und als מגע מדרס unrein werden kann., so ist es nicht mehr midras-unrein, aber unrein als von der Midras-Unreinheit Berührtes90 Da jeder Teil sich selbst berührt hat, als das Stück noch ganz war und Midras-Unreinheit besass. Im Talmud (Chullin 72b) steht hier: דברי ר׳ מאיר (das ist die Ansicht des R. Meïr).. Da sagte R. Jose: Welche Midras-Unreinheit hat denn dies berührt91 Nachdem die Teile nicht die zur Midras Unreinheit erforderliche Grösse besitzen, gilt die Midras-Unreinheit als vollständig beseitigt (vgl. oben Note 83). ?! Vielmehr blos wenn ein Flüssiger dies92 Das Ganze, bevor es geteilt wurde. berührt hat93 So dass es gleichzeitig zwei Unreinheiten erhalten hat, wie oben Note 85., wird es durch diese Berührung unrein94 Und diese Berührungs-Unreinheit bleibt auch nach der Teilung bestehen, wie oben Note 86..", + "Ein auf den Mist geworfenes Stück Zeug von drei Handbreiten im Quadrat (kann midrasunrein werden), wenn es noch unversehrt95 בריא, gesund, d. h. unversehrt. ist und man darin Salz einbinden kann96 Es ist stark genug, dass es nicht reisst, wenn man Salz einbindet. Nach יו״ב muss das Gewebe dicht sein und nicht wie Flor, dessen Fäden, wenn auch stark, bald reissen, wenn man Salz einbindet.. Liegt es aber im Hause, so braucht es nur entweder unversehrt97 Wenn es auch nicht stark genug ist. oder zum Salz-Einbinden brauchbar98 Wenn es auch etwas abgerieben ist. Es genügt eine von beiden Eigenschaften. Nur wenn man es auf den Mist geworfen hat, kann es bloss, wenn es beide Eigenschaften in sich vereinigt, als בגד betrachtet werden. zu sein. Wieviel Salz muss man einbinden können? Ein viertel Kab99 Das ist eine Grösse von sechs Eiern.. R. Jehuda sagt: Feines Salz100 Dazu braucht man stärkeres Zeug, weil dies schwerer ist und auch die Fäden mehr angreift.; Die Weisen sagen: Grobes Salz101 Dazu muss das Zeug stärker sein, weil es sonst durch seine Ecken und Spitzen den Stoff zerreisst.. Beide beabsichtigen zu erleichtern102 Dass das Zeug erst bei grösserer Stärke verunreinigungsfähig durch Midras sei.. R. Simon sagt: Ein Stück von drei Handbreiten, das man auf den Mist geworfen103 Selbst wenn es unversehrt ist und man darin Salz einbinden kann., ist (gesetzlich) gleich einem Stücke von drei Fingerbreiten, das sich im Hause befindet104 Es kann bloss die Toten-Unreinheit, aber keine Midras-Unreinheit annehmen..", + "Wenn ein Stück Zeug von drei Handbreiten im Quadrat eingerissen ist105 Die Teile sind aber nicht von einander gesondert worden; der Riss reicht nicht einmal bis über die Hälfte der Breite (vgl. 28, 8)., so ist es, falls jemand, der es auf einen Stuhl legte (und sich darauf setzte), mit dem Körper den Stuhl berühren würde106 Indem beim Riss die Teile auseinander gehen. Das geschieht bei einem dicken Stoffe eher als bei einem dünnen Zeug., rein; wenn aber nicht, verunreinigungsfähig. Wenn an einem Stück von drei Fingerbreiten im Quadrat ein Faden abgerieben ist107 מחח, oben 24, 17, Note 75. oder sich daran108 Statt בו ist כח zu lesen (L. und מ״ש). Danach bezieht es sich auf das Stück Zeug. Nach der LA. בו bezieht es sich auf חוט. Die Stelle, wo der Knoten sich befindet, wird als nichtvorhanden betrachtet, so dass das erforderliche Mass nicht da ist. Die Erklärung von ר״ש und Bart., dass hier von zwei neben einander befindlichen Knoten die Rede ist, erscheint gezwungen. ein Knoten befindet, oder zwei Fäden neben einander laufen109 Es sind zwei Einschlagfäden neben einander geworfen worden, wobei der eine als nicht vorhanden betrachtet wird., so ist es rein110 Es kann keine Unreinheit annehmen, weil vom erforderlichen Quantum etwas fehlt.. Hat man ein Stück von drei Fingerbreiten im Quadrat auf den Mist geworfen, so ist es rein. Nimmt man es wieder zurück, so ist es verunreinigungsfähig111 Es kann von jetzt ab Unreinheit annehmen; die frühere Unreinheit kommt aber nicht darauf zurück (יו״ב).. Das Wegwerfen macht es immer rein, und das Wiederzurücknehmen verunreinigungsfähig112 Selbst wenn dies zehnmal im Tage abwechselnd geschehen ist.. Ausgenommen sind Zeuge aus Purpur oder gutem Karmesin113 Diese feinen Stoffe bleiben, selbst wenn sie auf den Mist geworfen wurden, verunreinigungsfähig. זהורית ist dasselbe wie שָנִי (Karmesin), vgl. Joma 6, 8. —. R. Elieser114 Jerusch. Sabbat 2, 3. sagt: Auch jedes neue Stück ist diesen115 Dem Purpur und Karmesin. gleich116 Auch dies bleibt verunreinigungsfähig, trotzdem man es auf den Mist geworfen hat.. R. Simon sagt: Alle117 Auch Purpur und Karmesin. werden rein118 Wenn man sie auf den Mist geworfen hat.. Jene119 Purpur- und Karmesinzeuge. sind nur (als von andern unterschieden) erwähnt hinsichtlich der Pflicht, Verlorenes wiederzugeben120 Diese muss man, selbst wenn man sie auf einem Misthaufen gefunden hat, ausrufen lassen, um sie dem Eigentümer zurückzugeben, während man andere auf dem Mist gefundene Stücke Zeug nicht ausrufen zu lassen braucht, da sie der Eigentümer sicherlich aufgegeben hat, vgl. B. mezia 2, 1.." + ], + [ + "Wenn man ein Stück von drei Fingerbreiten im Quadrat in einen Ball tut1 So dass es nicht mehr als בגד betrachtet werden kann., oder daraus selbst einen Ball-Überzug macht2 Wobei es noch durch die Naht vermindert wird., ist es rein3 Die frühere Unreinheit wird aufgehoben, weil es die Form verloren hat. Doch kann der Ball als solcher von neuem unrein werden, nach 23, 1.. Hat man aber ein Stück von drei Handbreiten im Quadrat4 Das midras-unrein geworden war. in einen Ball getan, so bleibt es unrein5 Da es dadurch nicht an seiner Bedeutung verliert, es wird bloss als in dem Ball verwahrt betrachtet. Nach Maimonides kann es auch, wenn es rein war, in dem Ball die Midras-Unreinheit annehmen. Doch ist dies nach Vorb. 30 auffällig, vgl. יו״ב und מ״א.. Hat man es dagegen selbst zu einem Ball-Überzug gemacht, so ist es rein6 Von der Midras-Unreinheit. Es kann aber eine sonstige Unreinheit annehmen (27, 8). Ebenso bleibt auch jede andere Unreinheit daran haften., weil die Naht es verringert.", + "Wenn7 Sabbat 29a, Jerusch. das. 2,3. man ein Stück, das weniger als drei Handbreiten8 Aber wenigstens drei Fingerbreiten. im Quadrat beträgt, zugerichtet hat, um damit ein Loch im Bade zu verstopfen9 Damit die Hitze nicht hinausgehe., den Topf damit auszuleeren10 Einen heissen Topf damit anzufassen, um ihn auszuleeren., oder die Mühle damit auszuwischen11 Vom Staube zu reinigen., es möge bereitet worden sein12 Nach dem Talmud (Sabbat 29b) ist dies der Fall, wenn man es an einen Nagel gehängt hat, damit es so zum Gebrauche bereit steht., oder nicht13 Dies ist der Fall, wenn man es hinter die Türe gelegt hat., so ist es verunreinigungsfähig14 Dagegen gesteht R. Elieser zu, das es, wenn man es auf den Mist geworfen hat, rein ist, nach 27, 12.. Dies die Worte R. Eliesers. R. Josua sagt: Es möge bereitet worden sein12 Nach dem Talmud (Sabbat 29b) ist dies der Fall, wenn man es an einen Nagel gehängt hat, damit es so zum Gebrauche bereit steht., oder nicht13 Dies ist der Fall, wenn man es hinter die Türe gelegt hat., ist es rein15 Dagegen gesteht R. Josua zu dass es, wenn man es im Kasten verwahrt, verunreinigungsfähig ist.. R. Akiba sagt: Ist es bereitet worden12 Nach dem Talmud (Sabbat 29b) ist dies der Fall, wenn man es an einen Nagel gehängt hat, damit es so zum Gebrauche bereit steht., so ist es verunreinigungsfähig, wenn nicht13 Dies ist der Fall, wenn man es hinter die Türe gelegt hat., ist es rein16 Später hat R. Akiba der Ansicht des R. Josua beigestimmt (Talm. das.), vgl. aber תא״ש..", + "Wenn man auf Kleiderzeug oder auf Leder ein Pflaster17 אספלנית (von σπλήνιον, Verband), ein Pflaster, mit Arznei bestrichen. gestrichen hat, ist es rein18 Trotzdem es das Mass für Verunreinigungs-Fähigkeit hat; denn, da es schmutzig geworden, ist es zu keinem Gebrauche verwendbar.. (R. Jose sagt: Nur wenn auf Leder, ist es rein)19 Das Eingeklammerte fehlt in L und sonst. Es ist nach תוי״ט zu streichen, da es wahrscheinlich aus Mischna 6 irrtümlich hierher geraten ist (vgl. aber יו״ב).. Macht man einen Umschlag20 מלוגמא (von μάλαγμα), ein Breiumschlag zur Erweichung verhärteter Teile. auf Kleiderzeug, so ist es rein21 Weil es für jeden andern Gebrauch ekelhaft geworden.; wenn auf Leder, so bleibt es verunreinigungsfähig22 Da es gereinigt und wieder zu anderm Gebrauche verwendet werden kann.. R. Simon, Sohn Gamliels, sagt: Auch wenn auf Kleiderzeug, bleibt es verunreinigungsfähig, weil es wieder abgeschüttelt werden kann23 Nachdem der Brei vertrocknet ist..", + "Die Tücher zu Büchern24 Vgl. oben 24, 14. sind, mögen sie figuriert sein25 Mit eingewebten Figuren versehen., oder nicht, nach der Ansicht von Bet-Schammai verunreinigungsfähig26 Weil sie oft wie ein Futteral zum Einwickeln des ספר gebraucht werden (vgl. Jerusch. Kilajim 9,3).. Bet-Hillel aber sagen: Die figurierten sind rein27 Da sie nur zum Schmucke und nicht als Futteral dienen, vgl. 16, Ende., die nichtfigurierten sind verunreinigungsfähig. Rabban Gamliel sagt: Beiderlei sind rein28 Da sie nur für andere Gegenstände, während sie nicht gebraucht werden, dienen (vgl. 16,7, Note 93)..", + "Wenn man ein Kopftuch29 Das Frauen als Bedeckung auf dem Haupte tragen (Ketubot 5,8) und worauf sie manchmal sitzen. Statt כפה liest Maimon. und L. כפח., das midras-unrein geworden, um ein Buch gewickelt hat30 Und man hat es von nun an zu diesem Gebrauche bestimmt. In Sanhedrin 48a heist es: ונחנתו לספר (sie hat es für das Buch bestimmt)., so wird es vom Midras rein31 Nach Maimon. und רא״ש handelt es sich hier um ein Kopftuch, das bloss fähig war, midras-unrein zu werden; und durch diese Gebrauchsänderung verliert es diese Fähigkeit., kann aber noch Toten-Unreinheit annehmen32 In Sanhedrin 48a heisst es: מגע מדרס (statt טמא מת). Dies gilt aber nur nach dem ersten Tanna in 27, 9—10, aber nicht nach R. Jose daselbst. Toten-unrein kann es aber jedenfalls werden, da es ein Behältnis hat (יו״ב).. Ein Schlauch33 Der midras-unrein geworden, nach 20,1. den man zur Bodendecke34 Um darauf zu sitzen., oder eine Bodendecke, die man zum Schlauch gemacht hat, ist rein35 Obgleich der neue Gegenstand ebenfalls durch Midras verunreinigungsfähig ist, so wird doch durch die Veränderung die frühere Unreinheit beseitigt, wie wenn ein Gerät zerbrochen wird. Doch kann es von neuem midras-unrein werden.. Macht man einen Schlauch zur Hirtentasche36 Die auch in einer bestimmten Grösse midras-unrein werden kann (20,1)., oder eine Hirtentasche zum Schlauche37 In beiden Fällen hat der Gegenstand nur eine geringe Veränderung erfahren, indem er jetzt ebenso, wie vorher, ein Gerät mit Behältnis ist.; eine Unterdecke zu einem Tuche38 Das zur Unterlage dient., oder ein Tuch zu einer Unterdecke; einen Kissen-Überzug zu einem Einwickeltuch, oder ein Einwickeltuch zu einem Kissen-Überzug, so bleibt es verunreinigungsfähig39 טמא, so liest Maimon. (und die meisten Commentare). ר״ש und Bart. lesen טחור.. Dies ist die Regel: Alles, was man zu (einem Geräte mit) ein und demselben Namen40 Man macht ans einem Gerät mit Behältnis ein anderes Behältnis-Gerät, oder aus einem flachen Geräte ein anderes flaches; oder selbst wenn man aus einem Behältnis-Gerät ein flaches Gerät macht, das dieselbe Bestimmung hat, wie das frühere Gerät (wie bei Note 38), verändert, bleibt unrein; verändert man es aber zu (einem Geräte mit) anderem Namen41 Das zu einer andern Bestimmung dient und wobei zugleich ein Behältnis-Gerät in ein flaches verändert wird (oder umgekehrt) wie in Note 35., so wird es rein42 Vgl. Tosefta III 6,1..", + "Wenn man einen Fleck43 Von drei Handbreiten im Quadrat, der midras-unrein war. auf einen Korb44 Der doch nicht der Midras-Unreinheit fähig ist. geflickt hat45 Dadurch ist der Fleck mit dem Korbe ein Gerät geworden und hat die Midras-Unreinheit verloren., so kann dies46 Dieses Gerät, nämlich der Korb mit dem Fleck, welche beide als מגע מדרס, d. h. ראשון לטומאה, gelten. Denn der Korb hat den Fleck berührt, als dieser noch Midras war, ist also ראשון geworden (Vorb. 32), und der Fleck hat, als mit dem Korbe zu einer Einheit verhunden, denselben Unreinheitsgrad. in einem Grade unrein47 Da das Ganze ראשון ist, so ist das von ihm Berührte noch urein als שני (Vorb. 2). und im zweiten unbrauchbar machen48 Das שני vermag nur noch die Hebe (תרומה) unbrauchbar zu machen (Vorb. 2 und 8).. Hat er ihn wieder vom Korbe abgenommen49 Dies wird dann so betrachtet, als hätte er ein Stück von der Wand des Korbes abgeschnitten., so kann der Korb in einem Grade unrein und im zweiten unbrauchbar machen50 Der Korb bleibt ראשון, wie zuvor., und der Fleck ist rein51 Denn ein Stück Korbwand ist nicht verunreinigungsfähig. Hat er jedoch nach der Abtrennung gedacht, den Fleck wieder zum Sitze zu gebrauchen, so kann er von neuem Midras-Unreinheit annehmen.. Hat er ihn auf Kleiderstoff52 Der doch selbst der Midras-Unreinheit fähig ist. geflickt53 Da hat der Fleck seine Midras-Unreinheit nicht bloss beibehalten, sondern dieselbe auch auf den mit ihm zu einer Einheit verbundenen Stoff übertragen (vgl. 18, 7 und 19, 5)., so kann dies54 Der Stoff mit dem Fleck. in noch zwei Graden unrein und im dritten unbrauchbar machen55 Ganz wie ein אב הטומאה (vgl. 19, 7, Note 34 und 35); so nach Maimon.; andere ר״ש und Bart, vgl. מ״א.. Hat er ihn vom Kleiderstoff wieder abgenommen, so kann der Kleiderstoff in einem Grade unrein und im zweiten unbrauchbar machen56 Er ist ראשון, da er einen Midras berührt hat (wie 18, 7 und 19, 5)., und der Fleck kann in zwei Graden unrein und im dritten unbrauchbar machen57 Der Fleck bleibt Midras, wie vor der Verbindung mit dem Kleiderstoff.. Ebenso (verhält es sich) wenn man ihn auf Sack-Stoff oder auf Leder flickt58 Trotzdem diese nicht mit dem Fleck von einundderselben Art sind, werden sie dennoch durch Verbindung mit diesem midras-unrein, da sie der Midras-Unreinheit fähig sind.; so R. Meïr. R. Simon erklärt diese für rein59 Da der Fleck mit ungleichartigem Stoffe verbunden ist, so verhält es sich so, wie wenn er auf einen Korb geflickt worden wäre. Hiernach aber sind diese nicht vollständig rein, sondern nur rein von der Midras-Unreinheit, aber unrein als מגע מדרס (so יו״ב, anders מ״א).. R. Jose sagt: Auf Leder ist es rein60 Weil dieses ganz anderer Art ist., auf Sack-Stoff unrein, weil dies ein Gewebe ist61 Wie der Fleck, und daher als mit ihm gleichartig betrachtet wird..", + "Das Mass von drei Fingerbreiten im Quadrat62 Sabbat 29a., das man festgesetzt hat63 Für die Verunreinigungs-Fähigkeit des Kleiderstoffes (oben 27, 2)., ist ohne den Saum64 מלל, das Ende, das beim Annähen an ein anderes Stück umgeschlagen wird; das Stück muss ohne das ungeschlagene Ende drei Fingerbreiten im Quadrat betragen. Nach Einigen bedeutet מלל die Fransen am Ende des Stoffes. gemeint; so R. Simon. Die Weisen aber sagen: Die drei Fingerbreiten im Quadrat sind genau gemessen zu verstehen65 Der umgeschlagene Rand (resp. die Franse) wird mitgemessen. Dasselbe gilt beim Masse von drei Handbreiten im Quadrat (יו״ב).. Hat man einen Fleck66 Einen Fleck von drei Handbreiten im Quadrat, der midrasunrein geworden war. Es soll dadurch ein Loch im Kleide verdeckt werden. Dasselbe gilt bei einem Fleck von drei Fingerbreiten, der toten-unrein geworden. auf ein Kleid an einer Seite67 Des viereckigen Flecks. angenäht68 So dass drei Seiten des Flecks noch vom Kleide gesondert sind., so ist dies keine Verbindung69 Und das Kleid ist nicht midras unrein.; wenn an zwei einander gegenüber liegenden Seiten67 Des viereckigen Flecks., so ist es eine Verbindung70 Und das Kleid ist midras unrein.. Hat er es wie ein Gamma gemacht71 Er hat zwei in einem Winkel zusammenstossende Seiten des Flecks angenäht, und so wie ein griechisches Gamma (Γ) gemacht., so erklärt es72 Das Kleid. R. Akiba für unrein73 Midrasunrein; denn dies ist eine Verbindung., die Weisen erklären es72 Das Kleid. für rein74 Das ist keine rechte Verbindung.. Es sagt R. Jehuda: Wobei sind diese Worte75 Dass die Verbindung an einer Seite keine rechte Verbindung ist. gesagt? Bei einem Mantel76 Das ist eine Tuchhülle (gleich unserem Talis), mit der man sich umhüllt und bei der man bald die eine, bald die andere Seite nach oben wendet.; bei einem Hemd77 Bei dem stets eine Seite nach oben (dem Halse zu), die andere nach unten gerichtet ist. aber ist es, wenn oben78 Die Seite des Flecks, die dem Halse zugewendet ist. angenäht, eine Verbindung79 Da der Fleck in diesem Falle das Loch am Hemde verdeckt., wenn unten80 Die dem untern Saume zugewendete Seite des Flecks. angenäht, keine Verbindung.", + "Kleider81 Vgl. Sabbat 47a, Tos. v. בגדי. der Armen82 Die aus lauter kleinen Stücken zusammengesetzt sind. können, wenn auch kein einziges Stück daran drei Fingerbreiten im Quadrat83 Tos. in Sebachin 95a v. מעיל liest: שלשה על שלשה (3 Handbreiten im Quadrat); doch rechtfertigt ר״ש unsere LA. misst, midras-unrein werden84. Weil die Stückchen, zusammengenäht, wie ein Stück betrachtet werden.. Wenn85 Chullin 123a und Tos. das. 73a v. בשעת. man einen Mantel86 Der unrein geworden war. angefangen hat zu zerreissen87 Um dadurch den Mantel rein zu machen (wie man ein irdenes Gerät durchs Zerbrechen rein macht); so Raschi in Chullin 123 a., so gelten die Teile, sobald sie zum grössten Teil voneinander gerissen sind, nicht als verbunden88 Der Mantel ist rein, weil er nicht mehr seiner früheren Bestimmung dienen kann. Nach Bart. und A. gelten sie nicht als verbunden insofern, dass, wenn der eine Teil unrein wird, der andere noch rein bleibt.. Bei89 Sebachim 95 a, Jerusch. Sabbat 2. 3. den sehr dicken90 Z. B. Filz. und sehr dünnen Stoffen91 Z. B. feines Leinen (Byssus). gilt nicht die Massbestimmung von drei Fingerbreiten im Quadrat92 Sie nehmen nur in der Grösse von drei Handbreiten im Quadrat Unreinheit an, weil kleinere Stücke zu nichts verwendbar sind..", + "Das Kissen der Lastträger93 Das sie auf den Kopf oder auf die Schulter legen, damit die Last sie nicht drücke. kann durch Midras-unrein werden94 Weil sie zuweilen darauf sitzen (vgl. oben 26, 5).. Ein Weindurchschlag95 Ein Stück Filz, das man zum Durchseihen des Weines gebraucht. kann nicht als Sitz unrein werden96 Da es von den Hefen beschmutzt wird und man in der Regel sich nicht darauf setzt.. Das Kopfnetz97 Oben 24, 16, Note 68. einer alten Frau kann als Sitz unrein werden98 Dies steht im Widerspruch mit 24, 16, wonach dieses Netz nicht midras-unrein werden kann. Nach Bart. ist hier von einem Netz die Rede, auf das man sich zuweilen setzt, Besser ist, mit א״ר die obige Mischna nach der Tosefta zu korrigieren (vgl. das. Note 70).. Das Hemd einer Buhldirne99 Oben 24, 16, Note 71., das wie ein Netz gewebt ist100 Damit man den Körper durchsehen könne., ist rein101 Weil es von den meisten Menschen nicht zum Anziehen gebraucht werden kann.. Wenn man ein Kleid aus einem Fischnetze macht, so ist es rein102 Da man es in der Regel, weil es durchsichtig ist, nicht anzieht. Nach מ״א, weil es nicht gesponnen und gewebt ist., wenn aus dessen Beutel103 Oben 23, 5, Note 34., ist es verunreinigungsfähig104 Da der untere Teil des Netzes dicht und als Kleiderstoff brauchbar ist.. R. Elieser, Sohn Jakobs, sagt: Auch wenn man ein Kleid aus dem Fischnetze macht und es doppelt nimmt105 So dass es nicht so durchsichtig ist., ist es verunreinigungsfähig106 Da es dann als Kleiderstoff zu gebrauchen ist. Nach מ״א wird es durch die doppelte Lage wie gewebt betrachtet..", + "Wenn man ein Kopfnetz vom Rande107 Der an der Stirne und rings um den Kopf fest sitzt. angefangen, so bleibt es rein, bis man den Boden108 Der Teil, der oben am Kopfe liegt. fertig gemacht hat. Hat man vom Boden angefangen, so bleibt es rein, bis man den Rand fertig gemacht hat. Das Stirnband109 שביס (Jes. 3, 18) ein Stirnschmuck, der von einem Ohre bis zum andern reicht und am Kopfnetz befestigt ist. daran ist für sich allein verunreinigungsfähig110 Selbst wenn es vom Netz abgenommen wird, kann es für sich allein unrein werden; es wird nicht als Teil des Netzes betrachtet, da man es gewöhnlich von einem Netz abnimmt, um es an ein anderes zu befestigen.. Die Schnüre daran111 Womit man das Netz am Kopfe anbindet. sind verunreinigungsfähig als Verbindung112 Da sie mit dem Netz stets verbunden sind, so gelten sie als ein Teil des letzteren, so dass, wenn das Netz unrein wird, auch die Schnüre unrein sind. Würden die Schnüre aber vom Netz abgenommen, so könnten sie für sich allein keine Unreinheit annehmen.. Ein Kopfnetz, das zerrissen worden, ist, wenn es nicht den grössten Teil des Haares in sich halten kann, rein113 Wie ein Gerät, das zerbrochen worden und nicht mehr zu seiner Bestimmung gebraucht werden kann.." + ], + [ + "Von den Fäden1 נימה = νῆμα, Faden. Gemeint sind die an den Seiten, oder am untern und obern Ende heraushängenden Fäden. des Leintuchs, des Schweisstuchs2 סודרין = σουδάριον, Schweisstuch, auch Kopf- oder Halstuch., der Mütze3 טרטין, unbekannt. Nach Maim. ein grosser Schleier, nach R. Hai ein Hut. Fleischer (bei Levy) vermutet darin das arab. طرطور, eine Art hoher Mütze, als männliche und weibliche Kopfbedeckung., und der Filzkappe4 פליון, πιλίον, pileum, eine runde Filzkappe. (ist das Mass) sechs Fingerbreiten5 Bis zu einer Länge von sechs Fingerbreiten gehören die Fäden zum betr. Kleidungsstück (nach מ״א als Handhaben, ידות, vgl. 3, 2, Note 20), so dass wenn das eine unrein geworden, auch das andere unrein ist.; von den des Unterkleides6 אפקרסין = ἐπιϰάρσιον, nach Maimon. ein enges Unterkleid, ebenso R. Hai. zehn Fingerbreiten. Von den Fäden des Sagos7 סגוס = σάγος, ein Soldatenmantel, ein Mantel aus grobem Zeug., des Schleiers, des Hemdes und des Mantels drei Fingerbreiten. Die Fäden des Kopftuchs8 כפה, oben 28, 5. einer alten Frau9 Nach Maim. wird jede כפה so bezeichnet, nicht etwa, weil es auch eine כפה einer jungen Frau gab; vgl. aber סבכה 24, 16., der Gesichtsdecke10 גומדין (von גומד, Elle) eine Decke, die eine Quadratelle misst, womit die Araber zur Zeit der Kälte das Gesicht bedecken. der Araber, des Kilikion11 קולקין = ϰιλίϰιον, cilicium, eine Decke aus cilicischen Ziegenhaaren., des Geldgürtels12 פונרא, oben 27, 6., des Turbans13 מעפורת (von غغر, bedecken), eine Kopfhülle, deren unterer Teil auch als Überwurf diente. und des Vorhangs14 פרגוד, Targ. Jon. zu Exod. 26, 31 übers. פרכת mit פרגודא., deren Fäden auch noch so lang sie sind15 Wenn die Fäden noch so lang sind, gehören sie zum betr. Geräte und werden unrein, wenn jenes unrein geworden..", + "Drei wollene Kissen16 Die entweder zusammengenäht sind, wie sie die Wäscher zusammennähen, oder sie sind zusammengewebt, wie man mehrere Tücher zusammenzuweben pflegt und zwischen einem und dem andern die Zettelfäden ohne Einschlag lässt., sechs leinene Kissen, drei Leintücher, zwölf Handtücher, zwei Überärmel17 סובריקין, in Sabbat 120a ספרקין (Jerusch. das. סבריקין), nach Bart. (dort zur Mischna 16, 4) Überärmel, welche man bei verschiedenen Beschäftigungen anlegt, um die Kleider zu schützen. Nach R. Hai, Senkelhosen (vgl. Fleischer bei Levy)., ein Hemd, ein Mantel, eine Winterdecke18 קלובקרין, nach fast allen Kommentaren, eine dicke, wollene Decke, womit man sich im Winter vor der Kälte schützt. Die Etymologie ist dunkel. bilden je eine Verbindung betreffs der Verunreinigung19 Wenn eines unrein geworden, ist das andere ebenfalls unrein. und der Besprengung20 Wenn die verbundenen Stücke durch einen Toten verunreinigt worden, so braucht man nur eines zu besprengen (nach Num. 19, 18), und das andere wird ebenfalls rein.; mehr als diese Zahl von jedem bildet eine Verbindung in Bezug auf die Verunreinigung19 Wenn eines unrein geworden, ist das andere ebenfalls unrein., aber nicht betreffs der Besprengung21 Wenn eines besprengt wird, wird das andere nicht rein.. R. Jose sagt: Auch nicht betreffs der Verunreinigung.", + "Bei der (gewöhnlichen) Senkblei-Schnur22 Die Schnur an sich nimmt keine Unreinheit an, nur durch die Verbindung mit dem Blei kann sie unrein werden, nach der Regel in 12, 2., ist das Mass23 Wobei sie als zum Senkblei gehörig betrachtet wird. zwölf Handbreiten24 So Maim. und רא׳׳ש; nach יו״ב sind hier Ellen gemeint, ebenso im folgenden. Doch müsste dann das Zahlwort femin. korrigiert werden.; bei der der Zimmerleute25 Die Holzwände bauen. achtzehn; bei der der Baumeister26 Die sehr hohe Mauern aufführen. fünfzig Ellen. Was darüber ist, ist, selbst wenn man es daran lassen will, rein27 Wiewohl das oben bestimmte Mass unrein ist, bleibt doch das, was darüber, rein.. Die Schnur28 Des Senkbleies. der Tüncher29 Welche die Wände mit Kalk (סיד) übertünchen. Nach Maim. sind סיידין Kalkarbeiter, die aus Kalk und Erde gerade Flächen machen. und der Stuck-Arbeiter30 Die Gipsfiguren an Wänden und Zimmerdecken anbringen. kann so lang wie immer sein31 Sie gilt immer als zum Senkblei gehörig und wird mit diesem unrein..", + "Bei der Schnur an der Wage32 Die an der Mitte des Wagbalkens angebrachte, die man beim Wiegen in der Hand hält. der Goldarbeiter und derjenigen, die feinen Purpur wägen, (ist das Mass) drei Fingerbreiten33 Bei diesen kostbaren Dingen muss die Haltschnur kurz sein, damit man mit Genauigkeit das Gewicht feststelle.. Vom hinten34 Nach ר״ש und Bart. (ebenso יי״ב) wird der Stiel der Axt in einiger Entfernung vom Ende mit der Hand angefasst. Der Teil des Stiele, der zwischen der Hand und dem Eisen sich befindet, heisst (in der folgenden Mischna) מלפניו, während der hinter der Hand liegende Teil מלאחריו heisst. Nach Maimon. heisst מאחריו der Teil, der hinter dem Oer hinausragt; מלפניו müsste demnach den ganzen vordern Stiel bis zum Eisen bezeichnen. hinausragenden Stiele einer Axt (ist das Mass) drei Fingerbreiten35 Ist dieser Teil länger, oder kürzer, so gilt der Stiel als nicht mit dem Eisen verbunden, weil man ihn sicherlich bald entfernen wird, da er bei der Arbeit unbequem ist (יו״ב).. R. Jose sagt: Wenn er eine Handbreite hinausragt36 Während nach dem ersten Tanna schon bei einem Masse über drei Fingerbreiten der Stiel rein ist. Es wäre demnach die Differenz zwischen den Massen der beiden Tannaim bloss etwas weniger als eine Fingerbreite, da ein טפח = 4 Fingerbreiten ist., ist er rein37 Maimonides scheint das Wort טהור nicht gelesen zu haben. Danach ist also das Mass nach R. Jose eine Handbreite. Deshalb erklärt auch Maimon.: Der טפח, der neben dem Eisen (von hinten) liegt, ist unrein, was darüber ist, ist rein..", + "Bei38 Nach ר״ש und Bart. soll Mischna 5 vor Mischna 4 stehen. der Schnur an der Krämer- oder Hauswage39 Wenn man im Hause auch kostbare Sachen damit wiegt, so nimmt man es doch nicht so genau damit, und die Haltschnur kann länger sein. (ist das Mass) eine Handbreite. Bei dem40 Dieser Satz hätte eigentlich oben in Mischna 4 stehen sollen (neben יד הקורדום מאחריו); allein es werden alle Handbreit-Masse nebeneinander gestellt. Stiele der Axt nach vorn34 Nach ר״ש und Bart. (ebenso יי״ב) wird der Stiel der Axt in einiger Entfernung vom Ende mit der Hand angefasst. Der Teil des Stiele, der zwischen der Hand und dem Eisen sich befindet, heisst (in der folgenden Mischna) מלפניו, während der hinter der Hand liegende Teil מלאחריו heisst. Nach Maimon. heisst מאחריו der Teil, der hinter dem Oer hinausragt; מלפניו müsste demnach den ganzen vordern Stiel bis zum Eisen bezeichnen. (ist das Mass) eine Handbreite. Das Überbleibsel des Schenkels eines Zirkels41 פרגול oder פרגל (gr. περίγρα) Zirkel. יד הפרגול ist ein Schenkel des Zirkels. ist eine Handbreite42 Wenn ein Schenkel abgebrochen wird, und es bleibt davon noch wenigstens eine Handbreite übrig, so gilt dieser Rest noch als Teil des Zirkels; ist der Rest aber kleiner, so gehört er nicht mehr zum Zirkel.; beim Stiel eines Meissels43 מקבת (von נקב, löchern), ein Werkzeug zum Gravieren. In vielen Mischna-Ausgaben steht: מקבת של יד, Hand-Meissel; wohl zur Unterscheidung von מקבת in Mischna 7. der Steinschneider (ist das Mass) eine Handbreite44 Um es in der Hand halten zu können..", + "Bei der Schnur der Wage der Wollhändler und der Glas-Wäger (ist das Mass) zwei Handbreiten45 Da man von diesen Gegenständen viel auf einmal wiegt und die Schnur mit beiden Händen hält, ist das Mass doppelt so gross als bei der Wage in Mischna 5.. Der Griff des Mühlstein-Meisseis46 מקור (von נקר bohren, graben) ein Werkzeug, womit der Mühlstein bearbeitet wird. zwei Handbreiten. Der Stiel der Streitaxt47 מעצד (von عضد, hauen), Axt. der Legionen zwei Handbreiten. Der Griff des Hammers47a קורנס = ϰορύνη. der Goldschläger48 Die das Gold zu dünnen Blechen schlagen. zwei Handbreiten49 Alle genannten Werkzeuge werden mit beiden Händen gehalten., der des Hammers der Eisenschmiede drei Handbreiten50 Da das geschlagene Eisen heiss ist, muss man die Hände vom Eisen des Hammers einen טפח weit entfernen..", + "Beim Überbleibsel des Rinderstachels51 Vgl. hierüber 9, 7, Note 80. oben (ist das Mass) vier Handbreiten52 Wenn der Rinderstecken zerbrochen ist und oben am Stachel noch vier טפחים übrig geblieben sind, so bildet dies eine Verbindung mit dem Stachel, nicht aber, wenn weniger übrig geblieben. Vgl. auch 25, 2.. Beim Stiel eines Spatens53 בדיד (Einige lesen בריר, s. מ״ש) nach den Erklärern ein Spaten, womit man Gruben an den Wurzeln der Bäume gräbt, um dort das Regenwasser zu sammeln. Diese Gruben heissen בדידין. Vgl. Jerusch. Moëd katan 1, 1 Ende. (ist das Mass) vier Handbreiten54 Mit diesem und den folgenden in dieser Mischna angegebenen Massen ist das Maximum gemeint; was darüber ist, gehört nicht zum Geräte.; beim Stiel einer Jäthacke55 נבוש, von נכש, jäten. fünf; beim Stiel eines kleinen Hammers, bei dem eines grossen Hammers sechs; beim Stiel einer Holz- oder Erdhacke sechs56 Wenn oben in Mischna 4 und 6 für den Stiel der קרדום ein טפח und drei אצבעות als Mass angegeben ist, so muss dort von einer Axt die Rede sein, die nicht zum Holzspalten, sondern zum Zerteilen kleinerer Gegenstände dient (יו״ב).; und beim Stiel des Hammers der Steinhauer sechs.", + "Beim Überbleibsel der Schaufel (am Rinderstecken51 Vgl. hierüber 9, 7, Note 80. ) unten (ist das Mass) sieben Handbreiten57 Dies ist nach Note 52 zu erklären. חרחור hätte eigentlich oben neben דרבן stehen sollen. Die Mischna will jedoch die gleichen Masse zusammenstellen, vgl. oben Note 40.. Beim Stiel einer Kohlenschaufel der Hausväter58 Nach Maimon. ist hier ein Rührlöffel gemeint, womit das Essen herumgerührt wird., sagen Bet-Schammai: (Das Mass ist) sieben Handbreiten; Bet-Hillel sagen: Acht59 Nach Bet-Schammai würden demnach nur 7 טפהים, nach Bet-Hillel aber 8 טפחים mit dem Gerät unrein werden. Bet-Schammai haben also hier eine erleichternde Ansicht, und es müsste diese Controverse im 4. Abschnitt des Tr. Edujot unter den Dingen aufgezählt werden, bei denen Bet-Schammai erleichternd und Bet-Hillel erschwerend entscheiden. Doch war ursprünglich ihre Controverse bezüglich der Besprengung (vgl. oben 29, 2), wobei nach der Ansicht von Bet-Schammai eine erschwerende Entscheidung sich ergibt.. Beim Stiele der Schaufel der Tüncher60 Womit man den Kalk zusammenschaufelt., sagen Bet-Schammai: Neun; Bet-Hillel sagen: Zehn61 S. Note 59.. Was darüber ist62 Dies bezieht sich auf alle die Masse, die nach dem Satze אם רצת לקיים טהור (in Mischna 3) angegeben werden., kann nur, wenn man es daran lassen will, mit unrein werden63 Nicht wie oben Note 27, da hier auch das Überschüssige, wenn er denkt es daran zu lassen, als zum Geräte gehörig betrachtet wird.. Der Stiel der Geräte, deren man sich am Feuer bedient64 Wie Bratspiess, Bratrost, Feuerzange u. dgl., mag so lang wie immer sein65 Er gilt, wenn er noch so lang ist, als Teil des Gerätes, weil man sich je nach der Grösse des Feners einmal mehr, das andere Mal weniger davon entfernt.." + ], + [ + "Von gläsernen Geräten sind die flachen rein, aber die mit einem Behälter versehenen verunreinigungsfähig. Zerbrechen sie, so werden sie rein. Macht man wieder Geräte aus denselben, so nehmen sie von nun ab und weiter Unreinheit an1 Vgl. oben 2, 1 und 15, 1. — Es wird hier die Halacha wiederholt, um daran noch andere Bestimmungen über die verschiedenen Glas-Geräte anzureihen. Die Platte2 Eine viereckige Tafel. und der flache Teller3 אסקוטלא (scutella, eine kleine Schüssel), ein Teller. Hier ist von einem flachen Teller die Rede. Diese haben aber an der Hinterseite einen kleinen schmalen Behälter, auf dem das Gerät gut sitzen kann. aus Glas sind rein4 Trotz des Behältnisses auf der Hinterseite (vgl. 2, 1, Note 10) nehmen sie keine Unreinheit an, weil sie an der Vorderseite keinen Behälter haben (nach 2, 3, Note 44). Glasgeräte gleichen in dieser Beziehung den irdenen Geräten.. Sind sie5 An der gewöhnlich benutzten Vorderseite. mit einem Leisten6 לזביז, s. 2, 3, Note 29. versehen, so sind sie verunreinigungsfähig. Hat man den Boden der gläsernen Schüssel oder des gläsernen Tellers7 Den kleinen Behälter an der Hinterseite. zum Gebrauche bestimmt8 Nachdem das Gerät zerbrochen worden und nur dieser Boden ganz geblieben ist., so bleiben sie9 Trotzdem ein Gerät durch blosse Bestimmung im Gedanken Verunreinigungs-Fähigkeit erlangt (s. 25, 9). noch rein10 Weil die Scharten an den Bruch-Stellen die Hände beschädigen und erst abgerieben werden müssen, bevor man das Gerät gebraucht (s. 26, 7).. Hat man sie aber abgerieben11 קירטסן, and. LA. (bei מ״ש) קרטן, (von creta, Kreide), man hat sie mit Kreide (oder einer Tonart) abgerieben, oder mit einer Feile12 שופין (aram. שופינא) Feile. glatt gefeilt, so sind sie verunreinigungsfähig.", + "Ein Spiegel13 אספקלריא, (σπεϰλάϱιον) ein gläserner Spiegel. ist rein14 Selbst wenn er mit einem Rande versehen ist und etwas aufnehmen könnte, ist er dennoch rein, weil er nicht zum Aufnehmen bestimmt ist.. Eine grosse Schüssel15 Aus Glas. Vgl. 17, 2, Note 13., die man zu einem Spiegel gemacht hat16 Er hat sie dazu bestimmt., ist verunreinigungsfähig17 Da die blosse Bestimmung, ohne dass etwas daran durch die Tat geändert wird, die Unreinheits-Fähigkeit nicht beseitigt (25, 9).. Hat man sie18 Die Schüssel. aber gleich Anfangs zu einem Spiegel gemacht19 Ihre Hauptbestimmung ist, als Spiegel gebraucht zu werden., so ist sie rein20 Obgleich sie mitunter als Schüssel gebraucht wird (Tosefta).. Ein Löffel21 Aus Glas., der, wenn man ihn auf den Tisch legt, etwas22 Flüssiges. halten kann, ist verunreinigungsfähig23 Er gilt als Behältnis-Gerät.; wo aber nicht24 Wenn er so gestaltet ist, dass er, auf den Tisch gelegt, keinen Tropfen Flüssigkeit behält., so erklärt ihr R. Akiba für verunreinigungsfähig25 Da er doch, wenn man ihn in der Hand hält, aufnahmefähig ist, ebenso wie der לפיד oben 2, 8.; R. Johanan, Sohn Nuris, aber erklärt ihn für rein26 Er meint, der Glaslöffel sei nicht mit dem לפיד zu vergleichen (vgl. יו״ב und מ״א)..", + "Ein Becher21 Aus Glas., dessen grösster Teil schadhaft geworden ist27 Am Rande ist eine schadhafte Stelle, die sich auf den grössten Teil des Umfangs erstreckt., bleibt rein. Sind daran28 Am Rande. drei schadhafte Stellen, die durch den grössten Teil desselben29 Des Umfangs. durchgehen30 Maimon. liest שליש (ein Drittel) statt שלש und erklärt: Es ist ein Drittel der Höhe im grössten Teil des Umfangs abgebrochen. In seinem Codex (H. כלים 12, 13) erklärt er umgekehrt: . Es ist ein Drittel des Umfangs im grössten Teil der Höhe abgebrochen., so ist er rein31 Diese Bestimmung gilt nur für Glasgefässe, von denen die zerbrochenen nicht brauchbar sind, da man sich an den Brüchen beschädigen könnte. Dagegen sind andere zerbrochene Geräte, wenn nur ein Behältnis davon zurückgeblieben, noch verunreinigungsfähig (יו״ב).. R. Simon sagt: Wenn er den grössten Teil des (hineingeschütteten) Wassers ausfliessen lässt32 Wenn der Bruch unterhalb der Mitte des Bechers sich befindet, so dass der grösste Teil des Inhalts des Bechers ausfliessen würde., ist er rein. Wenn er34 Der Becher. ein Loch bekommen hat und man hat es wieder verklebt, es sei mit Zinn35 בעץ = עבץ, chald. אבצא, Zinn. oder Pech, so bleibt er rein36 Weil die Verklebung am Glas nicht haften bleibt.. R. Jose sagt: Mit Zinn wird er verunreinigungsfähig37 Da es wenigstens einige Zeit hält.; ist er mit Pech verklebt worden, so bleibt er rein38 Weil es kein warmes Wasser fassen kann, wie oben 3, 7, (s. Note 51) ebenfalls R. Jose sagt..", + "Eine kleine Flasche39 Aus Glas; mit langem Halse., deren Hals weggenommen ist, bleibt verunreinigungsfähig40 Da man diese mit einer Hand tragen und sie so anfassen kann, dass man sich an den Brüchen nicht die Hand ritzt. Anders ist es in M. 3 beim Becher, aus dem man trinkt.; eine grosse Flasche aber41 Die man mit beiden Händen tragen muss., deren Hals weggenommen ist, bleibt rein42 Da man daran sich leicht die Hand ritzt und sie deshalb nicht gebraucht.. Eine Flasche zu wohlriechendem Öl43 פלייטין (foliatum, wohlriechendes Öl aus Narden), nach Bart. Balsam-Öl., deren Hals weggenommen ist, bleibt rein, da sie die Hand aufritzen würde44 סורחה, von סרח (syr. ܣܪܰܚ, schaden, verwunden) ritzen. Aruch und Bart. Vergleichen es mit סרך, festansitzen.. Wenn von grossen Krügen45 לגין, gr. λάγυνος, Flasche, Krug. Diese werden gar nicht hin und hergetragen, sondern bleiben auf der Erde stehen (א״ר). der Hals weggenommen ist, so bleiben sie verunreinigungsfähig, weil man sie zu Einmachgefässen einrichtet46 Und man sich nicht daran ritzt, da man sie nicht in die Hand nimmt.. Der gläserne Mühlentrichter47 Oben 14, 8, Note 103. ist rein48 Da er unten gelöchert ist und kein Behältnis hat.. Es sagt R. Jose: Heil dir Kelim49 Gemeint ist der Traktat Kelim, der demnach dem R. Jose schon vollständig redigiert vorlag., da du mit Unreinheit hereingekommen und mit Reinheit ausgegangen bist50 Der Traktat beginnt mit אבות הטומאות und schliesst mit טחורה. Dies ist wohl ein Vorbild für einen frommen tugendhaften Menschen, der zwar mit Unreinheit in die Welt kommt (indem er der Mutter Unreinheit bringt), aber geläutert und rein aus der Welt scheidet. Vgl. B. mez. 86 a: אשריך רבה בר נחמני שגופך טהור ויצאתה נשמתך בטהור. Heil dir Rabba bar Nachmani, dein Körper ist rein, und deine Seele ist mit „rein“ von hinnen geschieden !." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..dfb3acfe550820855e8a8fd9c39fa7729faa439a --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json @@ -0,0 +1,340 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Kelim", + "versionSource": "http://learn.conservativeyeshiva.org/mishnah/", + "versionTitle": "Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp", + "status": "locked", + "priority": 1.0, + "license": "CC-BY", + "shortVersionTitle": "Dr. Joshua Kulp", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה כלים", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Tahorot" + ], + "text": [ + [ + "The fathers of impurity are a: sheretz, semen, [an Israelite] who has contracted corpse impurity, a metzora during the days of his counting, and the waters of purification whose quantity is less than the minimum needed for sprinkling. Behold, these convey impurity to people and vessels by contact and to earthenware by presence within their airspace, But they do not convey impurity by being carried.", + "Above them are nevelah and waters of purification whose quantity is sufficient to be sprinkled, for these convey impurity to a person [even] by being carried so that he in turn conveys impurity to clothing by contact. Clothing, however, is free from impurity where there was contact alone.", + "Above them is one who had intercourse with a menstruant, for he defiles the bottom [bedding] upon which he lies as he does the top [bedding]. Above them is the issue of a zav, his spit, his semen and his urine, and the blood of a menstruant, for they convey impurity both by contact and by carrying. Above them is an object on which one can ride, for it conveys impurity even when it lies under a heavy stone. Above the object on which one can ride is that on which one can lie, for contact is the same as its carrying. Above the object on which one can lie is the zav, for a zav conveys impurity to the object on which he lies, while the object on which he lies cannot convey the same impurity to that upon which it lies.", + "Above the zav is the zavah, for she conveys impurity to the man who has intercourse with her. Above the zavah is the metzora, for he conveys impurity by entering into a house. Above the metzora is a [human] bone the size of a barley grain, for it conveys impurity for seven days. More strict than all these is a corpse, for it conveys impurity by ohel (tent) whereby all the others convey no impurity.", + "There are ten [grades of] impurity that emanate from a person:A person before the offering of his obligatory sacrifices is forbidden to eat holy things but permitted to eat terumah and [second] tithe. If he is a tevul yom he is forbidden to eat holy things and terumah but permitted to eat [second] tithe. If he emitted semen he is forbidden to eat any of the three. If he had intercourse with a menstruant he defiles the bottom [bedding] upon which he lies as he does the top [bedding]. If he is a zav who has seen two discharges he conveys impurity to that on which he lies or sits and is required to undergo immersion in running water, but he is exempt from the sacrifice. If he saw three discharges he must bring the sacrifice. If he is a metzora that was only enclosed he conveys impurity by entry [into an ohel] but is exempt from loosening his hair, from rending his clothes, from shaving and from the birds offering. But if he was a confirmed metzora, he is liable for all these. If a limb on which there was not the proper quantity of flesh was severed from a person, it conveys impurity by contact and by carriage but not by ohel. But if it has the proper quantity of flesh it conveys impurity by contact, by carriage and by ohel. A \"proper quantity of flesh\" is such as is capable of healing. Rabbi Judah says: if in one place it has flesh sufficient to surround it with [the thickness of] a thread of the woof it is capable of healing.", + "There are ten grades of holiness: the land of Israel is holier than all other lands. And what is the nature of its holiness? That from it are brought the omer, the firstfruits and the two loaves, which cannot be brought from any of the other lands.", + "Cities that are walled are holier, for metzoras must be sent out of them and a corpse, though it may be carried about within them as long as it is desired, may not be brought back once it has been taken out.", + "The area within the wall [of Jerusalem] is holier, for it is there that lesser holy things and second tithe may be eaten. The Temple Mount is holier, for zavim, zavot, menstruants and women after childbirth may not enter it. The chel is holier, for neither non-Jews nor one who contracted corpse impurity may enter it. The court of women is holier, for a tevul yom may not enter it, though he is not obligated a hatat for doing so. The court of the Israelites is holier, for a man who has not yet offered his obligatory sacrifices may not enter it, and if he enters he is liable for a hatat. The court of the priests is holier, for Israelites may not enter it except when they are required to do so: for laying on of the hands, slaying or waving.", + "The area between the porch (ulam) and the altar is holier, for [priests] who have blemishes or unkempt hair may not enter it. The Hekhal is holier, for no one whose hands or feet are unwashed may enter it. The Holy of Holies is holier, for only the high priest, on Yom Kippur, at the time of the service, may enter it. Rabbi Yose said: in five respects the area between the porch and the altar is equal to the Hekhal, for those afflicted with blemishes or with a wild growth of hair, or who have drunk wine or whose hands or feet are unwashed may not enter there, and the people must keep away from the area between the porch and the altar when the incense is being burned." + ], + [ + "Vessels of wood, vessels of leather, vessels of bone or vessels of glass: If they are simple they are clean If they form a receptacle they are unclean. If they were broken they become clean again. If one remade them into vessels they are susceptible to impurity henceforth. Earthen vessels and vessels of sodium carbonate are equal in respect of impurity: they contract and convey impurity through their air-space; they convey impurity through the outside but they do not become impure through their backs; and when broken they become clean.", + "As regards the smallest earthen vessels, and the bottoms and sides [of the larger but broken vessels] that can stand unsupported: The prescribed size is a capacity to hold oil sufficient for the anointing of a little finger of a child [if their former capacity] was that of a log. If [their former capacity] was from one log to a se'ah [their present capacity] must be a quarter of a log. If it was from a se'ah to two se'ah it must be half a log. If from two se'ah to three se'ah or as much as five se'ah it must be a log, the words of Rabbi Ishmael. Rabbi Akiva says: I do not prescribe any size for the unbroken vessels, rather: as regards the smallest earthen vessels, and the bottoms and sides [of larger but broken ones] that can stand unsupported: The prescribed size is a capacity to hold enough oil to anoint the little finger of a child. [This size is prescribed for pots] that are not bigger than the small cooking-pots. For small cooking-pots and for those between these and the jars from Lydda the prescribed capacity is a quarter of a log. For those which have a size between that of Lydda jars and Bethlehem jars the capacity must be that of half a log. For those between Bethlehem jars and large stone jars the capacity must be that of a log. Rabbi Yohanan ben Zakkai says: [the prescribed capacity for the fragments] of large stone jars is two logs, and that for the bottoms of broken Galilean flasks and small jars is any whatsoever, but the fragments of their sides are not susceptible to impurity", + "The following are not susceptible to impurity among earthen vessels: A tray without a rim, A broken incense-pan, A pierced pan for roasting corn, Gutters even if they are bent and even if they have some form of receptacle, A cooking vessel that was turned into a bread-basket cover, A bucket that was turned into a cover for grapes, A barrel used for swimmers, A small jar fixed to the sides of a ladle, A bed, a stool, a bench, a table, a ship, and an earthen lamp, behold these are no susceptible to impurity. The following is a general rule: any among earthen vessels that has no inner part is not susceptible to impurity on its outer sides.", + "A lantern that has a receptacle for oil is susceptible to impurity, but one that has none is not susceptible. A potter's mould on which one begins to shape the clay is not susceptible to impurity, but that on which one finishes it is susceptible. A funnel for home use is not susceptible to impurity, but that of merchants is susceptible because it also serves as a measure, the words of Rabbi Judah ben Batera. Rabbi Akiva says: because he puts it on its side to let the buyer smell it.", + "The covers of wine jars and oil jars and the covers of papyrus jars are not susceptible to impurity But if he adapted them for use as receptacles they are susceptible. The cover of a pot: When it has a hole or it has a point, it is not susceptible to impurity, But if it does not have a hole or a pointed top it is susceptible because she drains the vegetables into it. Rabbi Eliezer bar Zadok says: because she turns out the contents [of the pot] on to it.", + "A damaged jar found in a furnace: Before its manufacture was complete it is not susceptible to impurity, But if after its manufacture was complete it is susceptible. A sprinkler: Rabbi Eliezer bar Zadok holds it is not susceptible to impurity; But Rabbi Yose holds it to be susceptible because it lets the liquid out in drops only.", + "The following among earthen vessels are susceptible to impurity:A tray with a rim, An unbroken fire-pan, And a tray made up of dishes, If one of them was defiled by a [dead] creeping thing they do not all become unclean, But if it had a rim that projected above the rims of the dishes and one of them was defiled all are unclean. Similarly with an earthen spice-box and a double ink-pot. If one container was defiled from a liquid, the other is not unclean. Rabbi Yohanan ben Nuri says: its thickness is divided and that side which serves the unclean one is unclean while that which serves the clean one remains clean. If its rim projects above the others and one of them contracted impurity the other is unclean.", + "A torch is susceptible to impurity. And the reservoir of a lamp contracts impurity through its air- space. The comb of a tzartzur: Rabbi Eliezer says: it is not susceptible to impurity, But the sages say that it is susceptible." + ], + [ + "The size of a hole that renders an earthen vessel clean:If the vessel was made for food, the hole must be big enough for olives [to fall through]. If it was used for liquids it suffices for the hole to be big enough for liquids [to go through it]. And if it was used for both, we apply the greater stringency, that olives must be able to fall through.", + "A jar: the size of the hole must be such that a dried fig [will fall through], the words of Rabbi Shimon. Rabbi Judah said: walnuts. Rabbi Meir said: olives. A stew-pot or a cooking pot: such that olives [will fall through]. A bucket and a pitcher: such that oil [will fall through]. A tzartzur: such that water [will fall through]. Rabbi Shimon says: in the case of all three, [the hole] must be such that seedlings [will fall through]. A lamp: the size of the hole must be such that oil [will fall through]. Rabbi Eliezer says: such that a small perutah [will fall through]. A lamp whose nozzle has been removed is clean. And one made of earth whose nozzle has been burned by the wick is also clean.", + "A jar that had a hole and was mended with pitch and then was broken again: If the fragment that was mended with the pitch can hold a quarter of a log it is unclean, since the designation of a vessel has never ceased to be applied to it. A potsherd that had a hole and was mended with pitch, it is clean though it can contain a quarter of a log, because the designation of a vessel has ceased to be applied to it.", + "If a jar was about to be cracked but was strengthened with cattle dung, although the potsherds would fall apart were the dung to be removed, it is unclean, because the designation of vessel never ceased to apply. If it was broken and some of its pieces were stuck together again, or if he brought other pieces of clay from elsewhere, and it was also lined with cattle dung, even though the potsherds hold together when the dung is removed, it is clean, because the designation of vessel ceased to apply. If it contained one potsherd that could hold a quarter of a log, all its parts contract impurity by contact, but that potsherd contracts impurity through its air-space.", + "One who lines a sound vessel: Rabbi Meir and Rabbi Shimon say: [the lining] contracts impurity. But the sages say: a lining over a sound vessel is not susceptible to impurity, and only one over a cracked vessel is susceptible. And the same dispute applies to the hoop of a pumpkin shell.", + "As to dog's tooth which which they line large jars: anything that touches it becomes unclean. The plug of a jar is not regarded as connected. That which touches the lining of an oven is unclean.", + "A cauldron which was lined with mortar or with potter's clay: That which touches the mortar is unclean; But that which touches the potter's clay is clean. A kettle which was punctured and the hole was stopped with pitch: Rabbi Yose rules that it is clean since it cannot hold hot water as cold. The same ruling he also gave concerning vessels made of pitch. Copper vessels which were lined with pitch the lining is clean, But if they are used for wine, it is unclean.", + "A jar which which was pierced and the hole stopped up with more pitch than was necessary: That which touches the needed portion is unclean, But that which touches the unneeded portion is clean. Pitch which dripped upon a jar, that which touches it is clean. A wooden or earthen funnel which was stopped up with pitch: Rabbi Elazar ben Azariah says that it is unclean. Rabbi Akiva says that it is unclean when it is of wood and clean when it is of earthenware. Rabbi Yose says that both are clean." + ], + [ + "A potsherd that cannot stand unsupported on account of its handle, or a potsherd whose bottom is pointed and that point causes it to overbalance, is clean. If the handle was removed or the point was broken off it is still clean. Rabbi Judah says that it is unclean. If a jar was broken but is still capable of holding something in its sides, or if it was split into a kind of two troughs: Rabbi Judah says it is clean But the sages say it is unclean.", + "If a jar was cracked and cannot be moved with half a kav of dried figs in it, it is clean. If a damaged vessel (gistera) was cracked and it cannot hold any liquid, even though it can hold foodstuffs, it is clean, since remnants do not have remnants.", + "What is meant by a \"damaged vessel\" (gistera)? One whose handles were removed. If sharp ends projected from it: Any part of it which can contain olives contracts impurity by contact, while any impurity opposite an end conveys impurity to the vessel through its air-space, But any part of it which cannot contain olives contracts impurity by contact, while an impurity opposite an end does not convey impurity through its air-space. If it was leaning on its side like a kind of cathedra, Any part of it which can contain olives contracts impurity by contact, while any impurity opposite an end conveys impurity to the vessel through its air-space, But any part of it which cannot contain olives contracts impurity by contact, while an impurity opposite an end does not convey impurity to the vessel through its air-space. Bowls with Korfian [bottoms], and cups with Zidonian bottoms, although they cannot stand unsupported, are susceptible to impurity, because they were originally fashioned in this manner.", + "An earthenware vessel that has three rims: If the innermost one projects above the others, all outside it is not susceptible to impurity. If the outermost one projects above the others all within it is susceptible to impurity; And if the middle one projects above the others, that which is within it is susceptible to impurity, while that which is without it is not susceptible to impurity. If they were equal in height: Rabbi Judah says: the middle one is deemed to be divided. But the sages ruled: all are not susceptible to impurity. When do earthenware vessels become susceptible to impurity? As soon as they are baked in the furnace, that being the completion of their manufacture." + ], + [ + "A baking oven originally must be no less than four handbreadths [high] and what is left of it four handbreadths, the words of Rabbi Meir. But the sages say: this applies only to a large oven but in the case of a small one it originally can be [any height] and what is left is the greater part of it. [Its susceptibility to impurity begins] as soon as its manufacture is completed. What is regarded as the completion of its manufacture? When it is heated to a degree that suffices for the baking of spongy cakes. Rabbi Judah says: when a new oven has been heated to a degree that sufficed for the baking of spongy cakes in an old one.", + "A double stove: its original height must be no less than three fingerbreadths and what is left of it three fingerbreadths. [Its susceptibility to impurity begins] as soon as its manufacture is completed. What is regarded as the completion of its manufacture? When it is heated to a degree that suffices for the cooking of the lightest of eggs when scrambled and put in a saucepan. A single stove: if it was made for baking its prescribed size is the same as that for a baking-oven, and if it was made for cooking its prescribed size is the same as that for a double stove. A stone that projects one handbreadth from a baking-oven or three fingerbreadths from a double stove is considered a connection. One that projects from a single stove, if it was made for baking, the prescribed size is the same as that for a baking-oven, and if it was made for cooking the prescribed size is the same as that for a double stove. Rabbi Judah said: they spoke of a ‘handbreadth’ only where the projection was between the oven and a wall. If two ovens were adjacent to one another, they allot one handbreadth to this one and one to the other and the remainder is clean.", + "The crown of a double stove is clean. The fender around an oven: if it is four handbreadths high it contracts impurity by contact and through its air-space, but if it was lower it is clean. If it was joined to it, even if only by three stones, it is unclean. The place [on the stove] for the oil cruse, the spice-pot, and the lamp contract impurity by contact but not through their air-space, the words of Rabbi Meir. Rabbi Ishmael rules that they are clean.", + "An oven that was heated from its outside, or one that was heated without the owner's knowledge, or one that was heated while still in the craftsman's house is susceptible to impurity. It once happened that a fire broke out among the ovens of Kefar Signah, and when the case was brought up at Yavneh Rabban Gamaliel ruled that they were unclean.", + "The additional piece of a householder's oven is clean, but that of bakers is unclean because he rests the roasting spit on it. Rabbi Yohanan Hasandlar said: because one bakes on it when pressed [for space]. Similarly the additional part of the boiler used by olive cookers is susceptible to impurity, but that of one used by dyers is not susceptible.", + "If an oven was half filled with earth, the part from the earth downwards contracts impurity by contact only while the part from the earth upwards contracts impurity [also] from its air- space. If he put the oven over the mouth of a cistern or over that of a cellar and he put a stone at its side: Rabbi Judah says: if when heated below it becomes also heated above it is susceptible to impurity. But the sages say: since it was heated, no matter how, it is susceptible to impurity.", + "If an oven contracted impurity how is it to be cleansed? He must divide into three parts and scrape off the plastering so that [the oven] touches the ground. Rabbi Meir says: he does not need to scrape off the plastering nor is it necessary for [the oven] to touch the ground. Rather he reduces it within to a height of less than four handbreadths. Rabbi Shimon says: he must move it [from its position]. If it was divided into two parts, one large and the other small, the larger remains unclean and the smaller becomes clean. If it was divided into three parts one of which was as big as the other two together, the big one remains unclean and the two small ones become clean.", + "If an oven was cut up by its width into rings that are each less than four handbreadths in height, it is clean. If he subsequently plastered it over with clay, it becomes susceptible to impurity when it is heated to a degree that suffices for the baking of spongy cakes. If he distanced the plastering, and sand or gravel was put between it and the oven sides of such an oven it has been said, \"A menstruant as well as a clean woman may bake in it and it remains clean.\"", + "An oven which came cut up in sections from the craftsman's house and he made for it hoops and put them on it, it is clean. If it contracts impurity, and then he removed its hoops it is clean. If he put them back on, it is still clean. If he plastered it with clay, it becomes susceptible to impurity and there is no need to heat it since it was once heated.", + "If he cut the oven up into rings, and then he put sand between each pair of rings, Rabbi Eliezer says: it is clean. But the sages say: it is unclean. This is the oven of Akhnai. As regards Arabian vats, which are holes dug in the ground and plastered with clay, if the plastering can stand of itself it is susceptible to impurity; Otherwise it is not susceptible. This is the oven of Ben Dinai.", + "An oven of stone or of metal is clean, But the latter is unclean as a metal vessel. If a hole was made in it, or if it was damaged or cracked, and he lined it with plaster or with a rim of clay, it is unclean. What must be the size of the hole [for it to be pure]? It must be big enough for the flame to come through. The same applies also to a stove. A stove of stone or of metal is clean. But the latter is unclean as a metal vessel. If a hole was made in it or if it was damaged or cracked but was provided with props it is unclean. If it was lined with clay, whether inside or outside, it remains clean. Rabbi Judah says: if [the lining was] inside it is unclean but if outside it remains clean." + ], + [ + "If he put three props into the ground and joined them [to the ground] with clay so that a pot could be set on them, [the structure] is susceptible to impurity. If he set three nails in the ground so that a pot could be set on them, even though a place was made on the top for the pot to rest, [the structure] is not susceptible to impurity. One who made a stove of two stones, joining them [to the ground] with clay: It is susceptible to impurity. Rabbi Judah says that it is not susceptible to impurity, unless a third stone is added or [the structure] is placed near a wall. If one stone was joined with clay and the other was not joined with clay, [the structure] is not susceptible to impurity.", + "A stone on which he placed a pot, [on it] and on an oven, or on it and a double stove, or on it and on a stove, is susceptible to impurity. [If he set the pot] on it and on another stone, on it and on a rock, or on it and on a wall, it is not susceptible to impurity. And such was the stove of the Nazirites in Jerusalem which was set up against a rock. As regards the stove of the butchers, where the stones are placed side by side, if one of the stoves contracted impurity, the others do not become unclean.", + "If one made two stoves of three stones and one of the outer ones was defiled the half of the middle one that serves the unclean one is unclean but the half of it that serves the clean one remains clean. If the clean one was removed, the middle one is regarded as completely transferred to the unclean one. If the unclean one was removed, the middle one is regarded as completely transferred to the clean one. Should the two outer ones become defiled, if the middle stone was large, each outer stone is allowed such a part of it as suffices for the support of a pot and the remainder is clean. But if it was small all of it is unclean. Should the middle stone be removed, if a big kettle can be set on the two outer stones they are unclean. If the middle stone is returned they all become clean again. If it was plastered with clay it becomes susceptible to impurity when it is heated to a degree that suffices for the cooking of an egg.", + "If two stones were made into a stove and they became defiled, and a stone was set up near the outer side of the one and another stone near the outer side of the other, [the inner half] of each [inner stones] remains unclean while [the outer] half of each [of these stones] is clean. If the clean stones are removed the others revert to their impurity." + ], + [ + "The fire-basket of a householder which was lessened by less than three handbreadths is susceptible to impurity because when it is heated from below a pot above would still boil. If [it was lessened] to a lower depth it is not susceptible to impurity. If subsequently a stone or gravel was put into it, it is still not susceptible to impurity. If it was plastered over with clay, it may contract impurity from that point and onwards. This was Rabbi Judah's reply in connection with the oven that was placed over the mouth of a cistern or over that of a cellar.", + "A hob that has a receptacle for pots is clean as a stove but unclean as a receptacle. As to its sides, whatever touches them does not become unclean as if the hob had been a stove, But as regards its wide side: Rabbi Meir holds it to be clean But Rabbi Judah holds it to be unclean. The same law applies also where a basket was inverted and a stove was put upon it.", + "A double stove which was split into two parts along its length is clean. Through its breadth is unclean. A single stove which was split into two parts, by its length or by its width, it is not susceptible to impurity. As to the extension around a stove, whenever it is three fingerbreadths high it contracts impurity by contact and also through its air-space, but if it is less it contracts impurity through contact and not through its air- space. How is the air-space determined? Rabbi Ishmael says: He puts a spit from above to below and opposite it contracts impurity through the air-space. Rabbi Eliezer ben Jacob says: if the stove contracted impurity the extension is also unclean, but if the fender contracts impurity the stove does not become unclean.", + "If it [the extension] was detached from the stove, whenever it was three fingerbreadths high it contracts impurity by contact and through its air-space, If it was lower or if it was smooth it is clean. If three props on a stove were three fingerbreadths high, they contract impurity by contact and through their air-space. If they were lower, all the more so they contract impurity, even where they were four in number.", + "If one of them [i.e. the props] was removed, the remaining ones contract impurity by contact but not through air-space, the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says that they are clean. If originally he made two props, one opposite the other, they contract impurity by contact and through air-space; the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says that they are clean. If they were more than three fingerbreadths high, the parts that are three fingerbreadths high and below contract impurity by contact and through air-space but the parts that are more than three fingerbreadths high contract impurity by contact and not through air-space; the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says that they are clean. If they were withdrawn from the rim [of the stove], the parts which are within three fingerbreadths contract impurity by contact and through air-space, and those parts that are removed more than three fingerbreadths contract impurity by contact but not through air-space, the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says that they are clean.", + "How do we measure them? Rabban Shimon ben Gamaliel says: he puts the measuring-rod between them, and any part that is outside the measuring-rod is clean while any part inside the measuring-rod, including the place of the measuring-rod itself, is unclean." + ], + [ + "An oven which they partitioned with boards or hangings, and in it was found a sheretz in one compartment, the entire oven is unclean. A hive which was broken and its gap was stopped up with straw and was suspended within the air-space of an oven while a sheretz was within it, the oven becomes unclean. If a sheretz was within the oven, any food within the hive becomes unclean. But Rabbi Eliezer says that it is clean. Rabbi Eliezer said: if it affords protection in the case of a corpse which is more consequential, should it not afford protection in the case of an earthenware vessel which is less consequential? They said to him: if it affords protection in the case of corpse impurity, this is because tents are divided, should it also afford protection in the case of an earthenware vessel which is not divided?", + "If the hive was complete, and so too in the case of a basket or a skin-bottle, and a sheretz was within it the oven remains clean. If the sheretz was in the oven, any food in the hive remain clean. If a hole was made in it: A vessel that is used for food must have a hole large enough for olives to fall through, If it is used for liquids the hole must be large enough for liquids to pass into it, And if it is used for either it is subjected to the greater restriction: the hole need only be large enough for liquids to pass into it.", + "Netting placed over the mouth of an oven and slightly sinking into it, and having no frame: If a sheretz was in it, the oven becomes unclean; If the sheretz was in the oven, the food in the netting becomes unclean, since only vessels afford protection against an impurity in an earthen vessel. A jar full of pure liquids placed beneath the bottom of an oven, and a sheretz in the oven – the jar and the liquids remain clean. If it was inverted, with its mouth projecting into the air-space of the oven, and a sheretz was in the oven, the liquid that clings to the sides of the jar remains clean.", + "A pot which was placed in an oven if a sheretz was in the oven, the pot remains clean since an earthen vessel does not impart impurity to vessels. If it contained dripping liquid, the latter contracts impurity and the pot also becomes unclean. It is as if this one says, \"That which made you unclean did not make me unclean, but you have made me unclean.\"", + "If a rooster that swallowed a sheretz fell within the air-space of an oven, the oven remains clean; If the rooster died, the oven becomes unclean. If a sheretz was found in an oven, any bread in it contracts second degree impurity since the oven is of the first degree.", + "A leavening pot with a tightly fitting lid which was put in an oven, and there was some leaven and a sheretz within the pot, but there was a partition (of inedible bread) between them, the oven is unclean but the leaven is clean. But if it was an olive's bulk of corpse, both the oven and the house are unclean, and the leaven remains clean. If in the partition there was an opening of one handbreadth, all become unclean.", + "A sheretz which was found in the eye-hole of an oven or of a double stove or of a single stove: If it was outside the inner edge, it is clean. If it [the oven] was in the open air, even if it was an olive's bulk of corpse it is clean. If there was [in the eye-hole] an opening of one handbreadth, it is all unclean.", + "If a sheretz was found in the [place in a stove] where wood is put: Rabbi Judah says: if it was within the outer edge, [the stove] becomes unclean. But the sages say: if it was outside the inner edge [the stove] remains clean. Rabbi Yose says: if it was found beneath the spot where the pot is placed and inwards, the stove becomes unclean, but if beneath the spot where the pot is set and outwards, it remains clean. If it was found on the place where the bath-keeper sits, or where the dyer sits, or where the olive-boilers sit, the stove remains clean. It only becomes unclean only [when the sheretz] is found in the enclosed part and inwards.", + "A pit which has a place on which a pot may be set is unclean. And so also an oven of glass-blowers, if it has a place on which a pot may be set, it is unclean. The furnace of lime-burners, or of glaziers, or of potters is clean. A purna: If it has a frame is unclean. Rabbi Judah says: if it has coverings [for compartments.] Rabban Gamaliel says: if it has edges.", + "If a person who came in contact with one who has contracted corpse impurity had (food liquids in his mouth and he put his head into the air-space of an oven that was clean, they cause the oven to be unclean. If a person who was clean had food or liquids in his mouth and he put his head into the air-space of an oven that was unclean, they become unclean. If a person was eating a pressed fig with impure hands and he put his hand into his mouth to remove a small stone: Rabbi Meir considers the fig to be unclean But Rabbi Judah says it as clean. Rabbi Yose says: if he turned it over [in his mouth] the fig is unclean but if he did not turn it over the fig is clean. If the person had a pondion in his mouth, Rabbi Yose says: if he kept it there to relieve his thirst it becomes unclean.", + "If milk [of an impure woman] dripped from a woman's breasts and fell into the air-space of an oven, the oven becomes unclean, since a liquid conveys impurity regardless of whether one wanted it there or not. If she was sweeping it out and a thorn pricked her and she bled, or if she burnt herself and put her finger into her mouth, the oven becomes unclean." + ], + [ + "If a needle or a ring was found in the ground of an oven, and they can be seen but they don't stick out into the oven, if one bakes dough and it touches them, the [oven] is unclean. Regarding which dough did they speak? Medium dough. If they are found in the plaster of an oven with a tightly fitting lid: If the oven is unclean, they are unclean, If the oven is clean, they are clean. If they are found in the stopper of a jar: If on the sides, they are unclean. If opposite the mouth, they are clean. If they can be seen in it, but they do not enter its airspace, they are clean. If they sink into it, and there is [plaster] underneath them as thick as garlic peel, they are clean.", + "A jar that was full of clean liquids, with a siphon in it, and it had a tightly fitting cover and was in a tent in which there was a corpse: Bet Shammai says: both the jar and the liquids are clean but the siphon is unclean. And Bet Hillel says: the siphon also is clean. Bet Hillel changed their mind and ruled in agreement with Bet Shammai.", + "If a sheretz was found beneath the bottom of an oven, the oven remains clean, for I can assume that it fell there while it was still alive and that it died only now. If a needle or a ring was found beneath the bottom of an oven, the oven remains clean, for I can assume that they were there before the oven arrived. If it was found in the wood ashes, the oven is unclean since one has no ground on which to base an assumption of cleanness.", + "A sponge which had absorbed unclean liquids and its outer surface became dry and it fell into the air-space of an oven, the oven is unclean, for the liquid would eventually come out. And the same with regard to a piece of turnip or reed grass. Rabbi Shimon says: the oven is clean in both these cases.", + "Potsherds that had been used for unclean liquids which fell into the air-space of an oven, if the oven was heated, it becomes unclean, for the liquid would eventually come out. And the same with regard to fresh olive peat, but if it was old, the oven remains clean. If it was known that liquid emerges, even after the lapse of three years, the oven becomes unclean.", + "If olive peat or grape skins had been prepared in conditions of cleanness, and unclean persons trod upon them and afterwards liquids emerged from them, they remain clean, since they had originally been prepared in conditions of cleanness. If a spindle hook was sunk into the spindle, or the iron point into the ox goad, or a ring into a brick, and all these were clean, and then they were brought into a tent in which was a corpse, they become unclean. If a zav caused them to move they become unclean. If they then fell into the air-space of a clean oven, they cause it to be unclean. If a loaf of terumah came in contact with them, it remains clean.", + "If there was netting placed over the mouth of an oven, forming a tightly fitting lid, and a split appeared between the oven and the colander, the minimum size [to allow impurity to enter] is that of the circumference of the tip of an ox goad that cannot actually enter it. Rabbi Judah says: it must be one into which the tip can actually enter. If a split appeared in the netting, the minimum size is the circumference of the tip of an ox goad that can enter it. Rabbi Judah says: even if it cannot enter. If the split was curved it must not be regarded as straight, and still the minimum size must be the circumference of the tip of an ox goad that can actually enter.", + "If there was a hole in the \"eye\" of an oven, the minimum size [for it to leave the category of being tightly closed] is the circumference of a burning spindle staff that can enter and come out [without being extinguished]. Rabbi Judah says: one that is not burning. If the hole appeared at its side, the minimum size must be that of the circumference of a spindle staff that can enter and come out while it is not burning. Rabbi Judah says: while burning. Rabbi Shimon says: if the hole is in the middle its size must be such that a spindle staff can enter it, but if it was at the side it need only be such as the spindle staff cannot actually enter. And similarly he used to rule concerning the stopper of a jar in which a hole appeared: the minimum size is the circumference of the second knot in an oat stalk. If the hole was in the middle the stalk should be able to enter, and if at the side it need not be able to enter. And similarly he used to rule concerning large stone jars in the stoppers of which appeared a hole. The minimum size is the circumference of the second knot in a reed. If the hole was in the middle the reed must be able to enter it, and if it was at the side the reed need not be able to enter it. When is this so? When the jars were made for wine, but if they were made for other liquids, if they have even the smallest hole, they are unclean. When is this so? When the holes were not made by a person, but if they were made by a person, if they have even the smallest hole, they are unclean. If a hole appeared [in other vessels its prescribed size ] is as follows: if the vessel was used for food, [the hole must be one] through which olives can fall out; if for liquids, one that lets out liquids; If for either, the greater restriction is imposed [even with regard to the issue of] a tightly fitting cover [the size of the hole need only be] one that admits a liquid." + ], + [ + "The following vessels protect their contents when they have a tightly fitting cover: those made of cattle dung, of stone, of clay, of earthenware, of sodium carbonate, of the bones of a fish or of its skin, or of the bones of any animal of the sea or of its skin, and wooden vessels that are always clean. They protect whether the covers close their mouths or their sides, whether they stand on their bottoms or lean on their sides. If they were turned over with their mouths downwards they afford protection to all that is beneath them to the nethermost deep. Rabbi Eliezer declares this unclean. These protect everything, except that an earthen vessel protects only foods, liquids and earthen vessels.", + "How may it be tightly covered? With lime or gypsum, pitch or wax, mud or excrement, crude clay or potter's clay, or any substance that is used for plastering. One may not make a tightly fitting cover with tin or with lead because though it is a covering, it is not tightly fitting. One may not make a tightly fitting cover with swollen fig-cakes or with dough that was kneaded with fruit juice, since it might cause it to become unfit. If he did make a tightly fitting cover [from such material] it protects.", + "A stopper of a jar that is loose but does not fall out: Rabbi Judah says: it protects. But the sages say: it does not protect. If its finger-hold was sunk within the jar and a sheretz was in it, the jar becomes unclean. If the sheretz was in the jar, any food in it, become unclean.", + "If a ball or coil of reed grass was placed over the mouth of a jar, and only its sides were plastered, it does not protect unless it was also plastered above or below. The same is true with regard to a patch of cloth. If it was of paper or leather and bound with a cord, if he plastered it from the sides, it protects.", + "If [the outer layer] a jar had been peeled off but its pitch [lining] remained intact, And similarly if pots of fish brine were sealed up with gypsum at a level with the brim: Rabbi Judah says: they do not protect. But the sages say: they do protect.", + "If a jar had a hole in it and wine lees stopped it up, they protect it. If one stopped it up with a vine shoot [it does not protect] until he plasters it at the sides. If there were two vine shoots, [it does not protect] unless he plastered it at the sides and also between the one shoot and the other. If a board was placed over the mouth of an oven, it protects if he plastered it at the sides. If there were two boards [it does not protect] unless he plastered at the sides and also between the one board and the other. If they were fastened together with pegs or with bamboo joints there is no need for them to be plastered in the middle.", + "An old oven was within a new one and netting was over the mouth of the old [new] one: If [it was placed such that if] the old one were to be removed the netting would drop, all [the contents of both ovens] are unclean; But if it would not drop, all are clean. A new oven was within an old one and netting was over the mouth of the old one if there was not a handbreadth of space between the new oven and the netting, all the contents of the new one are clean.", + "If [earthenware] pans were placed one within the other and their rims were on the same level, and there was a sheretz in the upper one or in the lower one, that pan alone becomes unclean but all the others remain clean. If [they were perforated] to the extent of admitting a liquid, and the sheretz was in the uppermost one, all become unclean. If in the lowest one, that one is unclean while the others remain clean. If the sheretz was in the uppermost one and the lowest projected above it, both are unclean. If the sheretz was in the uppermost one and the lowest projected above it, any one that contained dripping liquid becomes unclean." + ], + [ + "Metal vessels, whether they are flat or form a receptacle, are susceptible to impurity. On being broken they become clean. If they were re-made into vessels they revert to their former impurity. Rabban Shimon ben Gamaliel says: this does not apply to every form of impurity but only to that contracted from a corpse.", + "Every metal vessel that has a name of its own [is susceptible to impurity,] Except for a door, a bolt, a lock, a socket under a hinge, a hinge, a clapper, and the [threshold] groove under a door post, since these are intended to be attached to the ground.", + "If vessels are made from iron ore, from smelted iron, from the hoop of a wheel, from sheets, from plating, from the bases, rims or handles of vessels, from chippings or filings, they are clean. Rabbi Yohanan ben Nuri says: even those made of pieces of vessels. From [vessels that are made] of fragments of vessels, from pieces of old vessels, or from nails that were known to have been made from vessels, are unclean. [If they were made] from ordinary nails: Bet Shammai says: they are unclean, And Bet Hillel says that they are clean.", + "If unclean iron was smelted together with clean iron and the greater part was from the unclean iron, [the vessel made of the mixture] is unclean; If the greater part was from the clean iron, the vessel is clean. If each was half, it is unclean. The same law also applies to a mixture of cement and cattle dung. A door bolt is susceptible to impurity, but [one of wood] that is only plated with metal is not susceptible to impurity. The clutch and the crosspiece [of a lock] are susceptible to impurity. A door-bolt: Rabbi Joshua says: he may remove it from one door and hang it on another on Shabbat. Rabbi Tarfon says: it is like all other vessels and may be carried about in a courtyard.", + "The scorpion [-shaped] bit of a bridle is susceptible to impurity, but the cheek-pieces are clean. Rabbi Eliezer says that the cheek-pieces are susceptible to impurity. But the sages says that the scorpion-bit alone is susceptible to impurity, When they are joined together it is all susceptible to impurity.", + "A metal spindle-knob:Rabbi Akiva says it is susceptible to impurity But the sages say it is not susceptible. If it was only plated [with metal] it is clean. A spindle, a distaff, a rod, a double flute and a pipe are susceptible to impurity if they are of metal, but if they are only plated [with metal] they are clean. If a double flute has a receptacle for the wings it is susceptible to impurity in either case.", + "A curved horn is susceptible to impurity but a straight one is clean. If its mouthpiece was covered with metal it is unclean. If its broad side [is covered with metal]: Rabbi Tarfon says it is susceptible to impurity But the sages say it is clean. While they are joined together the whole is susceptible to impurity. Similarly: the branches of a candlestick are clean. And the cups and the base are susceptible to impurity, But while they are joined together the whole is susceptible to impurity.", + "A helmet is susceptible to impurity but the cheek-pieces are clean, But if they have a receptacle for water they are susceptible to impurity. All weapons of war are susceptible to impurity: a javelin, a spear-head, metal boots, and a breastplate are susceptible to impurity. All women's ornaments are susceptible to impurity: a golden city (a tiara), a necklace, ear-rings, finger-rings, a ring whether it has a seal or does not have a seal, and nose-rings. If a necklace has metal beads on a thread of flax or wool and the thread broke, the beads are still susceptible to impurity, since each one is a vessel in itself. If the thread was of metal and the beads were of precious stones or pearls or glass, and the beads were broken while the thread alone remained, it is still susceptible to impurity. The remnant of a necklace [is susceptible] as long as there is enough for the neck of a little girl. Rabbi Eliezer says: even if only one ring remained it is unclean, since it also is hung around the neck.", + "If an earring was shaped like a pot at its bottom and like a lentil at the top and the sections fell apart, the pot-shaped section is susceptible to impurity because it is a receptacle, while the lentil shaped section is susceptible to impurity in itself. The hooklet is clean. If the sections of an ear-ring that was in the shape of a cluster of grapes fell apart, they are clean." + ], + [ + "A man's ring is susceptible to impurity. A ring for cattle or for vessels and all other rings are clean. A beam for arrows is susceptible to impurity, but one for prisoners is clean. A prisoner's collar is susceptible to impurity. A chain that has a lock-piece is susceptible to impurity. But that used for tying up cattle is clean. The chain used by wholesalers is susceptible to impurity. That used by householders is clean. Rabbi Yose said: When is this so? When it attaches to one door, but if it attaches to two doors or if it had a snail[-shaped] piece at its end it is susceptible to impurity.", + "The beam of a wool-combers’ balance is susceptible to impurity on account of the hooks. And that of a householder, if it has hooks is also susceptible to impurity. The hooks of porters are clean but those of peddlers are susceptible to impurity. Rabbi Judah says: in the case of the peddlers' [hooks], [the hook] that is in front is susceptible to impurity but that which is behind is clean. The hook of a couch is susceptible to impurity but that of bed poles is clean. [The hook of] a chest is susceptible to impurity but that of a fish trap is clean. That of a table is susceptible to impurity but that of a wooden candlestick is clean. This is the general rule: any hook that is attached to a susceptible vessel is susceptible to impurity, but one that is attached to a vessel that is not susceptible to impurity is clean. All these, however, are by themselves clean.", + "The metal cover of a basket of householders: Rabban Gamaliel says: it is susceptible to impurity, The sages say that it is clean. But that of physicians is susceptible to impurity. The door of a cupboard of householders is clean but that of physicians is susceptible to impurity. Tongs are susceptible to impurity but stove-tongs are clean. The scorpion [-shaped] hook in an olive-press is susceptible to impurity but the hooks for the walls are clean.", + "A blood-letters’ nail is susceptible to impurity. But [the nail] of a sundial is clean. Rabbi Zadok says that it is susceptible to impurity. A weaver's nail is susceptible to impurity. The chest of a grist-dealer: Rabbi Zadok says: it is susceptible to impurity, But the sages say that it is clean. If its wagon was made of metal it is susceptible to impurity.", + "A nail which he adapted to be able to open or to shut a lock is susceptible to impurity. But one used for guarding is clean. A nail which he adapted to open a jar: Rabbi Akiva says that it is susceptible to impurity, But the sages say that it is clean unless he forges it. A money-changer's nail is clean, But Rabbi Zadok says: it is susceptible to impurity. There are three things which Rabbi Zadok holds to be susceptible to impurity and the sages hold clean: The nail of a money-changer, The chest of a grist-dealer And the nail of a sundial. Rabbi Zadok rules that these are susceptible to impurity and the sages rule that they are clean.", + "There are four things which Rabban Gamaliel says are susceptible to impurity, and the sages say are not susceptible to impurity.The covering of a metal basket, if it belongs to householders; And the hanger of a strigil; And metal vessels which are still unshaped; And a plate that is divided into two [equal] parts. And the sages agree with Rabban Gamaliel in the case of a plate that was divided into two parts, one large and one small, that the large one is susceptible to impurity and the small one is not susceptible to impurity.", + "If a dinar had been invalidated and then was adapted for hanging around a young girl's neck it is susceptible to impurity. So, too, if a sela had been invalidated was adapted for use as a weight, it is susceptible to impurity. How much may it depreciate while one is still permitted to keep it? As much as two denars. Less and he must be cut it up.", + "A pen-knife, a writing pen, a plummet, a weight, pressing plates, a measuring-rod, and a measuring-table are susceptible to impurity. All unfinished wooden vessels also are susceptible to impurity, excepting those made of boxwood. Rabbi Judah says: one made of an olive-tree branch is also clean unless it was first heated." + ], + [ + "The sword, knife, dagger, spear, hand-sickle, harvest-sickle, clipper, and barbers’ whose component parts were separated, are susceptible to impurity. Rabbi Yose says: the part that is near the hand is susceptible to impurity, but that which is near the top is clean. The two parts of shears which were separated: Rabbi Judah says: they are still susceptible to impurity; But the sages say that they are clean.", + "A koligrophon whose spoon has been removed is still susceptible to impurity on account of its teeth. If its teeth have been removed it is still susceptible on account of its spoon. A makhol whose spoon is missing is still susceptible to impurity on account of its point; If its point was missing it is still susceptible on account of its spoon. A stylus whose writing point is missing is still susceptible to impurity on account of its eraser; If its eraser is missing it is susceptible on account of its writing point. A zomalister whose spoon is lost is still susceptible to impurity on account of its fork; If its fork is missing, it is still susceptible on account of its spoon. So too with regard to the prong of a mattock. The minimum size for all these instruments: so that they can perform their usual work.", + "A harhur that is damaged is still susceptible to impurity until its greater part is removed. But if its shaft-socket is broken it is clean. A hatchet whose cutting edge is lost remains susceptible to impurity on account of its splitting edge. If its splitting edge is lost it remains susceptible on account of its cutting edge. If its shaft-socket is broken it is clean.", + "An ash-shovel whose spoon was missing is still susceptible to impurity, since it is still like a hammer, the words of Rabbi Meir. But the sages rule that it is clean. A saw whose teeth are missing one in every two is clean. But if a hasit length of consecutive teeth remained it is susceptible to impurity. An adze, scalpel, plane, or drill that was damaged remains susceptible to impurity, but if its steel edge was missing it is clean. In all these cases if it was split into two parts both remain susceptible to impurity, except for the drill. The block of a plane by itself is clean.", + "A needle whose eye or point is missing is clean. If he adapted it to be a stretching-pin it is susceptible to impurity. A pack-needle whose eye was missing is still susceptible to impurity since one writes with it. If its point was missing it is clean. A stretching-pin is in either case susceptible to impurity. A needle that has become rusty: If this hinders it from sewing it is clean, But if not it remains susceptible to impurity. A hook that was straightened out is clean. If it is bent back it resumes its susceptibility to impurity.", + "Wood that serves a metal vessel is susceptible to impurity, but metal that serves a wooden vessel is clean. How so? If a lock is of wood and its clutches are of metal, even if only one of them is so, it is susceptible to impurity, but if the lock is of metal and its clutches are of wood, it is clean. If a ring was of metal and its seal of coral, it is susceptible to impurity, but if the ring was of coral and its seal of metal, it is clean. The tooth in the plate of a lock or in a key is susceptible to impurity by itself.", + "If Ashkelon grappling-irons were broken but their hooks remained, they remain susceptible to impurity. If a pitch-fork, winnowing-fan, or rake, and the same applies to a hair-comb, lost one of its teeth and it was replaced by one of metal, it is susceptible to impurity. And concerning all these Rabbi Joshua said: the scribes have here introduced a new principle of law, and I have no explanation to offer.", + "A flax-comb: if the teeth were missing but two remained, it is still susceptible to impurity. If only one remained it is clean. As regards all the teeth, each one individually is susceptible to impurity. A wool-comb: if one tooth out of every two is missing it is clean. If three consecutive teeth remained, it is susceptible to impurity. If the outermost tooth was one of them, the comb is clean. If two teeth were removed from the comb and made into a pair of tweezers, they are susceptible to impurity. Even if only one was removed but it was adapted to be used for a lamp or as a stretching-pin, it is susceptible to impurity." + ], + [ + "What is the minimum size of [broken] metal vessels [for them to be susceptible to impurity]? A bucket must be of such a size as to draw water with it. A kettle must be such as water can be heated in it. A boiler, such as can hold selas. A cauldron, such as can hold jugs. Jugs, such as can hold perutahs. Wine-measures, such as can measure wine; and oil-measures, such as can measure oil. Rabbi Eliezer says: the size for all these is such as can hold perutahs. Rabbi Akiva says: a vessel that lacks trimming is susceptible to impurity, but one that lacks polishing is clean.", + "A staff to the end of which he attached a nail like an axe is susceptible to impurity. If the staff was studded with nails it is susceptible to impurity. Rabbi Shimon ruled: only if he put in three rows. In all cases where he put them in as ornamentation the staff is clean. If he attached a tube to its end, and so also in the case of a door, it is clean. If it was once an independent vessel and then it was fixed to the staff, it remains susceptible to impurity. When does it become pure? Bet Shammai says: when it is damaged; And Bet Hillel says: when it is joined on.", + "A builder's staff and a carpenter's axes are susceptible to impurity. Tent-pegs and surveyors’ pegs are susceptible to impurity. A surveyor's chain is susceptible to impurity, but one used for wood is clean. The chain of a big bucket [is susceptible to impurity to a length of] four handbreadths, and that of a small one [to a length of] ten handbreadths. A blacksmith's jack is susceptible to impurity. A saw whose teeth were made in a hole susceptible to impurity, but if they were turned from below upwards it is clean. All covers are clean except that of a boiler.", + "The parts of a wagon that are susceptible to impurity: the metal yoke, the cross-bar, the side-pieces that hold the straps, the iron bar under the necks of the cattle, the pole-pin, the metal girth, the trays, the clapper, the hook, and any nail that holds any of its parts together.", + "The clean parts of a wagon are the following: the yoke that is only plated [with metal], side-pieces made for ornamentation, tubes that give out a noise, the lead at the side of the necks of the cattle, the rim of the wheel, the plates and mountings, and all other nails, all of these are clean. Metal shoes of cattle are susceptible to impurity but those made of cork are clean. When does a sword become susceptible to impurity? When it has been polished. And a knife? When it has been sharpened.", + "A metal basket-cover which was turned into a mirror: Rabbi Judah rules that it is clean. And the sages rule that it is susceptible to impurity. A broken mirror, if it does not reflect the greater part of the face, is clean.", + "Metal vessels remain unclean and become clean even when broken, the words of Rabbi Eliezer. Rabbi Joshua says: they can be made clean only when they are whole. How so? If they were sprinkled upon and on the same day they were broken and then they were recast and sprinkled upon on the same day, they are clean, the words of Rabbi Eliezer. Rabbi Joshua says: there can be no effective sprinkling earlier than on the third and the seventh day.", + "A knee-shaped key that was broken off at the knee is clean. Rabbi Judah says that it is unclean because one can open with it from within. A gamma-shaped key that was broken off at its shorter arm is clean. If it retained the teeth and the gaps it remains unclean. If the teeth were missing it is still unclean on account of the gaps; if the gaps were blocked up it is unclean on account of the teeth. If the teeth were missing and the gaps were blocked up, or if they were merged into one another, it is clean. If in a mustard-strainer three holes in its bottom were merged into one another the strainer is clean. A metal mill-funnel is unclean." + ], + [ + "Vessels of wood, leather, bone or glass: those that are flat are clean and those that form a receptacle are susceptible to impurity. If they are broken they become clean again. If one remade them into vessels they are susceptible to impurity henceforth. A chest, a box, a cupboard, a straw basket, a reed basket, or the tank of an Alexandrian ship, that have flat bottoms and can hold a minimum of forty se'ah in liquid measure which represent two kor in dry measure, are clean. All other vessels whether they can contain the minimum or cannot contain it, are susceptible to impurity, the words of Rabbi Meir. Rabbi Judah says: the tub of a wagon, the food chests of kings, the tanners trough, the tank of a small ship, and an ark, even though they are able to contain the minimum, are susceptible to impurity, since they are intended to be moved about with their contents. As to all other vessels, those that can contain the minimum are clean and those that cannot contain it are susceptible to impurity. There is no difference between Rabbi Meir and Rabbi Judah except a baking trough which belongs to a householder.", + "Bakers’ baking-boards are susceptible to impurity, but those used by householders are clean. But if he dyed them red or saffron they are susceptible to impurity. If a bakers’ shelf was fixed to a wall: Rabbi Eliezer rules that it is clean And the sages rule that it is susceptible to impurity. The bakers' frame is susceptible to impurity but one used by householders is clean. If he made a rim on its four sides it is susceptible to impurity, but if one side was open it is clean. Rabbi Shimon says: if he fixed it so that one can cut the dough upon it, it is susceptible to impurity. Similarly, a rolling-pin is susceptible to impurity.", + "The container of the flour-dealers’ sifter is susceptible to impurity, but the one of a householder is clean. Rabbi Judah says: also one that is used by a hairdresser is susceptible to impurity as a seat, since girls sit in it when their hair is dressed.", + "All hangers are susceptible to impurity, except for those of a sifter and a sieve that are used by householders, the words of Rabbi Meir. But the sages say: all hangers are clean, excepting those of a sifter of flour-dealers, of a sieve used in threshing-floors, of a hand-sickle and of a detective's staff, since they aid when the instrument is in use. This is the general rule: [a hanger] that is intended to aid when the instrument is in use is susceptible to impurity and one intended to serve only as a hanger is clean.", + "The grist-dealers’ shovel is susceptible to impurity but the one used in grain stores is clean. The one used in wine- presses is susceptible to impurity but that used in threshing- floors is clean. This is the general rule: [a shovel] that is intended to hold anything is susceptible to impurity but one intended only to heap stuff together is clean.", + "Ordinary harps are susceptible to impurity, but the harps of Levites are clean. All liquids are susceptible to impurity, but the liquids in the Temple slaughtering house are clean. All scrolls convey impurity to the hands, excepting the scroll of the Temple courtyard. A wooden toy horse is clean. The belly-lute, the donkey-shaped musical instrument and the erus are susceptible to impurity. Rabbi Judah says: the erus is susceptible to sitting impurity since the wailing woman sits on it. A weasel-trap is susceptible to impurity, but a mouse- trap is clean." + ], + [ + "A wooden vessel that was broken into two parts becomes clean, except for a folding table, a dish with compartments for [different kinds of] food, and a householder's footstool. Rabbi Judah says: a double dish and a Babylonian drinking vessel are subject to the same law. When do wooden vessels begin to be susceptible to impurity? A bed and a cot, after they are sanded with fishskin. If the owner determined not to sand them over they are susceptible to impurity. Rabbi Meir says: a bed becomes susceptible to impurity as soon as three rows of meshes have been knitted in it.", + "Wooden baskets [become susceptible to impurity] as soon as their rims are rounded off and their rough ends are smoothed off. But those that are made of palm-branches [become susceptible to impurity] even though their ends were not smoothed off on the inside, since they are allowed to remain in this condition. A basket [of reed-grass becomes susceptible to impurity] as soon as its rim is rounded off, its rough ends are smoothed off, and its hanger is finished. A wicker basket flasks or for cups [is susceptible to impurity] even if the rough ends were not smoothed off on the inside, since these are allowed to remain in this condition.", + "Small reed baskets and baskets [become susceptible to impurity] as soon as their rims are rounded off and their rough ends are smoothed off. Large reed baskets and large hampers, as soon as two rows have been made round their sides. The container of a sifter or a sieve and a cup of the balances, as soon as one circling band has been made round their sides. A willow basket, as soon as two twists have been made around its wide sides. And a rush basket, as soon as one twist has been made round it.", + "When do leather vessels become susceptible to impurity?A leather pouch, as soon as its hem has been stitched, its rough ends trimmed and its straps sewn on. Rabbi Judah says: so soon as its ears have been sewn on. A leather apron [becomes susceptible to impurity] as soon as its hem has been stitched, its rough end trimmed and its strings sewn on. Rabbi Judah says: as soon as its loops have been sewn on. A leather bed cover [becomes susceptible] as soon as its hem has been stitched and its rough ends trimmed. Rabbi Judah says: as soon as its straps have been sewn on. A leather cushion or mattress [becomes susceptible] as soon as its hem has been stitched and its rough ends trimmed. Rabbi Judah says: as it has been sew up and less than five handbreadths remained open.", + "A basket [for figs] is susceptible to uncleanness but a basket for wheat is clean. Small baskets made of leaves are clean, but those made of branches are susceptible to uncleanness. The palm wrapping [in which dates are left] and into which they can be easily put and from which they can easily be taken out is susceptible to uncleanness, but if this cannot be done without tearing it or undoing it, it is clean.", + "The leather glove of winnowers, travelers, or flax workers is susceptible to uncleanness. But the one for dyers or blacksmiths is clean. Rabbi Yose says: the same law applies to the glove of grist dealers. This is the general rule: that which is made for holding anything is susceptible to uncleanness, but that which only affords protection against perspiration is clean.", + "The dung bag of a bull and its muzzle, a bee shelf, and a fan are clean. The cover of a small box is susceptible to uncleanness; The cover of a clothes chest is clean. The cover of a box, the cover of a basket, a carpenter's vice, a cushion under a box or its arched cover, a reading-desk for a book, a bolt-socket, a lock-socket, a mezuzah case, a lyre case, a violin case, the block of the turban-makers, a wooden musical toy horse, the clappers of a wailing woman, a poor man's parasol, bed posts, a tefillin mould, and the mould of string makers all these are clean. This is the general rule which Rabbi Yose stated: all objects that serve as a protection to objects that a man uses, both when the latter are in use and when they are not in use, are susceptible to uncleanness; but those that serve them as a protection only when the latter are in use are clean.", + "The sheath of a sword, a knife or a dagger, the case for scissors, or shears or a razor, the case of make-up and the make-up box, the stylus case, the compass case, the tablet case, the case for a board, a quiver and a javelin case all these are susceptible to uncleanness. The case for a double flute is susceptible to uncleanness if the instrument is put in from above, but if it is put in from the side it is clean. A case for flutes Rabbi Judah says it is clean because these are put in from the side. The covering of a club, a bow or a spear is clean. This is the general rule: that which serves as a case is susceptible to uncleanness, but that which is merely a covering is clean." + ], + [ + "All [wooden] vessels that belong to householder [become clean if the holes in them are] the size of pomegranates. Rabbi Eliezer says: [the size of the hole depends] on what it is used for. Gardeners’ vegetable baskets [become clean if the holes in them are] the size of bundles of vegetables. Baskets of householders [become clean if the holes in them are] the size of [bundles] of straws. Those of bath-keepers, if bundles of chaff [will drop through]. Rabbi Joshua says: in all these the size is that of pomegranates.", + "A skin bottle [becomes clean if the holes in it are of] a size through which warp-stoppers [can fall out]. If a warp-stopper cannot be held in, but it can still hold a woof-stopper it remains unclean. A dish holder that cannot hold dishes but can still hold trays remains unclean. A chamber- pot that cannot hold liquids but can still hold excrements remains unclean. Rabban Gamaliel rules that it is clean since people do not usually keep one that is in such a condition.", + "Bread-baskets [become clean if] the size [of their hole is such] that loaves of bread [would fall through]. Papyrus frames through into which reeds were inserted from the bottom upwards to strengthen them, are clean. If he fixed walls to it, they are susceptible to impurity. Rabbi Shimon says: if it cannot be lifted up by these walls it is clean.", + "The pomegranates of which they have spoken--three attached to one another. Rabban Shimon ben Gamaliel says: in a sifter or a sieve [the size of the hole must be such that a pomegranate will drop out] when one picks it up and walks about with it. In a basket it must be such [as would allow a pomegranate] to fall through while one hangs it behind him. And all other vessels which cannot hold pomegranates as, for instance, the quarter kav measure and the half quarter kav measure, and small baskets, the size [of their holes must be] such as would extend over the greater part of them, the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says: [the size of their hole must be such that] olives [could fall through]. If their sides were broken [the size of their hole must be] such as olives would drop through. If they are worn away the size must be such as would allow the objects which are usually kept in them [to drop through].", + "The pomegranate of which they spoke refers to one that is neither small nor big but of moderate size. And why did they mention the pomegranates of Baddan? That whatever their quantity they cause [other pomegranates] to be forbidden, the words of Rabbi Meir. Rabbi Yohanan ben Nuri said: to use them as a measure for holes in vessels. Rabbi Akiva said: they were mentioned for both reasons: that they are to be used as a measure for holes in vessels and that whatever their quantity they cause [other pomegranates] to be forbidden. Rabbi Yose said: the pomegranates of Baddan and the leeks of Geba were mentioned only to indicate that they must be tithed everywhere with certain tithe.", + "The egg of which they spoke it is one that is neither big nor small but of moderate size. Rabbi Judah says: the largest and the smallest must be brought and put in water and the displaced water is then divided. Rabbi Yose says: but who can tell me which is the largest and which is the smallest? Rather, it all depends on the observer's estimate.", + "The dried fig of which they spoke--- it is one that is neither big nor small but of moderate size. Rabbi Judah says: the biggest in the land of Israel is like one of medium size in other lands.", + "The olive of which they spoke it is one that is neither big nor small but of moderate size the egori. The barleycorn of which they spoke it is one that is neither big nor small but of moderate size the midbarit The lentil of which they spoke it is one that is neither big nor small but of moderate size--the egyptian kind. \"Any movable object conveys uncleanness if it is of the thickness of an ox goad\" it is one that is neither big nor small but of moderate size. What is meant by \"one of moderate size?\" One whose circumference is just a handbreadth.", + "The cubit of which they spoke is one of medium size. There were two standard cubits in Shushan Habirah, one in the north-eastern corner and the other in the south-eastern corner. The one in the north-eastern corner exceeded that of Moses by half a fingerbreadth, while the one in the south-eastern corner exceeded the other by half a fingerbreadth, so that the latter exceeded that of Moses by a fingerbreadth. But why were there a larger and a smaller cubit? Only for this reason: so that craftsmen might take their orders according to the smaller cubit and return their finished work according to the larger cubit, so that they might not be guilty of any possible trespassing of Temple property.", + "Rabbi Meir says: all cubits were of the moderate length except that for the golden altar, the horns, the surround and the base. Rabbi Judah says: the cubit used for the building was one of six handbreadths and that for the vessels one of five handbreadths.", + "Sometimes they stated a smaller measure: Liquid and dry measures were measured with the Italian standard which was the one that was used in the wilderness. Sometimes they stated a measure that varied according to the individual concerned: One who takes the handful of a minhah, One who takes both hands full of incense, One who drinks a cheek full on Yom Kippur, And the two meals for an eruv, The quantity being the food one eats on weekdays and not on Shabbat, the words of Rabbi Meir. Rabbi Judah says: as on Shabbat and not as on weekdays. And both intended to give the more lenient ruling. Rabbi Shimon says: two thirds of a loaf, when three [loaves] are made of a kav. Rabbi Yohanan ben Beroka says: not less than a loaf that is purchased for a pundium when the price of wheat is four se'ah for a sela’.", + "And sometimes they stated a large measure:A ladleful of corpse mould refers to the big ladle of physicians; The split bean in the case of skin disease refers to the Cilician kind; One who eats on Yom Kippur a quantity of the bulk of a large date, refers to the size of the date and its pit; In the case of skins of wine and oil [the holes] must be as big as their large stopper; In the case of a light hole that was not made by man's hands the prescribed size of which is that of a large fist, the reference is to the fist of Ben Batiah Rabbi Yose said: and it is as big as a large human head. And in the case of one made by human hands the prescribed size is that of the large drill in the Temple chamber which is the size of the Italian pondium or the Neronian sela or like the hole in a yoke.", + "All that live in the sea are clean, except the sea-dog because it seeks refuge on dry land, the words of Rabbi Akiba. If one made vessels from what grows in the sea and joined to them anything that grows on land, even if only a thread or a cord, if it is susceptible to uncleanness, they are unclean.", + "The laws of uncleanness can apply to what was created on the first day. There can be no uncleanness in what was created on the second day. The laws of uncleanness can apply to what was created on the third day. No there can be no uncleanness in what was created on the fourth day and on the fifth day, except for the wing of the vulture or an ostrich-egg that is plated. Rabbi Yohanan ben Nuri said: why should the wing of a vulture be different from all other wings? The laws of uncleanness can apply to all that was created on the sixth day.", + "If one made a receptacle whatever its size it is susceptible to uncleanness. If one made a couch or a bed whatever its purpose it is susceptible to uncleanness. If one made a wallet from untanned hide or from papyrus it is susceptible to uncleanness. A pomegranate, an acorn and a nut which children hollowed out to measure dust or fashioned them into a pair of scales, are susceptible to uncleanness, since in the case of children an act is valid though an intention is not.", + "The beam of a balance and a leveler that contain a receptacle for metal, carrying-stick that has a receptacle for money, a beggar's cane that has a receptacle for water, and a stick that has a receptacle for a mezuzah and for pearls are susceptible to uncleanness. About all these Rabbi Yohanan ben Zakkai said: Oy to me if I should mention them, Oy to me if I don't mention them.", + "The base of the goldsmiths’ anvil is susceptible to uncleanness, but that of the blacksmiths is clean. A whetting-board which has a receptacle for oil is susceptible to uncleanness, but one that has none is clean. A writing-tablet that has a receptacle for wax is susceptible to uncleanness, but one that has none is clean. A straw mat or a tube of straw: Rabbi Akiva rules it is susceptible to uncleanness; But Rabbi Yohanan ben Nuri rules that is it clean. Rabbi Shimon says: the hollow stalk of colocynth is subject to the same law. A mat of reeds or rushes is clean. A reed-tube that was cut for holding anything remains clean until all the pith has been removed." + ], + [ + "A wooden chest: Beth Shammai says: it is measured on the inside; And Bet Hillel says: on the outside. Both agree that the thickness of the legs and the thickness of the rim are not included in the measurement. Rabbi Yose says: both agree that the thickness of the legs and the thickness of the rim are included in the measurement, but the space between them is not included. Rabbi Shimon Shezuri ruled: if the legs are one handbreadth high the space between them is not included in the measurement, otherwise it is included.", + "Its carriage: if it can be slipped off, is not regarded as connected, nor is it included in its measurement, nor does it afford protection together with it in the tent of a corpse, nor may it be drawn along on Shabbat if it contains money. If it cannot be slipped off, it is regarded as connected, it is included in its measurement, it affords protection together with it in the tent of a corpse, it may be drawn along on Shabbat even if it contains money. Its arched top, if it is fixed [to the box], is considered connected and is measured with it, but if it is not fixed it is not connected and is not measured with it. How is it measured? As an ox-head. Rabbi Judah says: if it cannot stand by itself it is clean.", + "If one of the legs was missing from a chest, a box or a cupboard, even though it is still capable of holding [things], it is clean, since it cannot hold [things] in the usual manner. But Rabbi Yose says: it is susceptible to impurity. The poles of a bed, its base, and [its] covering are clean. Only the bed itself and its rectangle [frame] are susceptible to uncleanness. The rectangle frames of the Levites are clean.", + "A bed frame that was put on props: Rabbi Meir and Rabbi Judah say it is susceptible to uncleanness. But Rabbi Yose and Rabbi Shimon say that it is clean. Rabbi Yose said: Why is this different from the rectangle frames of the Levites which are clean?", + "A bed that had contracted midras uncleanness: If a short side was removed and its two legs still remains it is unclean. But if a long side and two legs were removed it becomes clean. Rabbi Nehemiah says: it is unclean. If two props at opposite corners were cut off, or if two legs at opposite corners were cut off, or if the bed was reduced to a level of less than a handbreadth, it becomes clean.", + "A bed that had contracted midras impurity:If a long side of it was broken and then he repaired it, it still retains its midras impurity. If the second side was also broke and then he repaired it, it becomes pure from midras impurity but is unclean by virtue of contact with midras. If before one could manage to repair the first side the second one broke, the bed becomes clean.", + "If a [bed] leg that had contracted midras uncleanness was joined to a bed, all the bed contracts midras uncleanness. If it was subsequently taken off, it retains its midras uncleanness while the bed is unclean from contact with midras. If a bed leg that was subject to a seven-day uncleanness was joined to a bed, all the bed contracts seven-day uncleanness. If it was subsequently taken off it remains subject to seven-day uncleanness while the bed is only subject to evening-uncleanness. If a leg that was subject to evening uncleanness was joined to a bed, all the bed contracts evening uncleanness. If it was subsequently taken off it is still subject to evening uncleanness while the bed becomes clean. The same law applies also to the prong of a mattock.", + "A tefillin box consisting of four vessels: if the first compartment was unloosed, and then he mended it, it retains its corpse uncleanness. So is it also the case with the second and the third. If he unloosed the fourth it becomes free from corpse uncleanness but it is still unclean from contact with corpse uncleanness. If he went back to the first compartment and unloosed and mended it, it remains unclean from contact. So also in the case of the second compartment. If he then unloosed the third compartment and mended it becomes clean, since the fourth is unclean from contact, and what is unclean from contact cannot convey uncleanness by contact.", + "A bed half of which was stolen or lost, or one which brothers or joint owners divided between themselves, becomes clean. If it was restored it is susceptible to uncleanness henceforth. A bed may contract uncleanness and be rendered clean when all its parts are bound together, the words of Rabbi Eliezer. But the sages say: it can contract uncleanness and is rendered clean in single parts." + ], + [ + "One who dismantles a bed in order that he might immerse it and [while doing so] touches the ropes remains clean. When does the rope begin to constitute a connective with the bed? As soon as three rows of meshes of it have been knotted. And [if another rope was tied to this one] and a person touches it: If from the knot inwards he becomes unclean; But if from the knot outwards he remains clean. As to the loose ends of the knot, any one that touches that part which is needed for it becomes unclean. And how much is needed for it? Rabbi Judah says: three fingerbreadths.", + "A rope that hangs out from a bed:If it is shorter than five handbreadths, it is clean, If it is from five to ten handbreadths long, it is unclean. From ten handbreadths and longer is clean; For it is with [this rope] that paschal lambs were tied and beds were lowered down.", + "If a part of a mattress hangs over, it is unclean whatever its length, the words of Rabbi Meir. Rabbi Yose says: only that which is shorter than ten handbreadths. The remnant of a mattress remains unclean if the length is at least seven handbreadths from which a donkey's covering can be made.", + "If a zav was carried on a bed and on its mattress, the latter causes an uncleanness of two grades and an unfitness of one grade, the words of Rabbi Meir. Rabbi Yose says: if a zav was carried on a bed and on its mattress the part that is shorter than ten handbreadths causes an uncleanness of two grades and an unfitness of one grade, but that which is over the ten handbreadths causes only an uncleanness of one grade and an unfitness of one grade. If he was carried on the mattress, [on the overhanging part] that was shorter than ten handbreadths, it becomes unclean, but if on the part that was longer than ten handbreadths it remains clean.", + "If around a bed that had contracted midras uncleanness one wrapped a mattress, the whole becomes subject to midras uncleanness. If it was removed, the bed remains subject to midras uncleanness but the mattress is unclean only from contact with midras. If around a bed that had contracted seven-day uncleanness one wrapped a mattress, the whole becomes subject to seven-day uncleanness. If it was removed, the bed remains subject to seven-day uncleanness but the mattress is unclean until the evening. If the bed was subject to evening uncleanness and around it he wrapped a mattress, the whole becomes subject to evening uncleanness; If it was removed, the bed remains subject to evening uncleanness but the mattress becomes clean.", + "If a mattress was wrapped around a bed and a corpse touched them, they are subject to a seven-day uncleanness; If they are taken apart they are still subject to a seven-day uncleanness. If a sheretz touched them they are subject to an evening uncleanness; If they are taken apart they are still subject to evening uncleanness. A bed from which the two longer sides were removed and two new ones were prepared for it but the original sockets were not changed: If the new sides were broken the bed retains its uncleanness, But if the old ones were broken it becomes clean, since all depends on the old ones.", + "A box whose opening is at the top is susceptible to corpse uncleanness. If a piece fell out above it is still susceptible to corpse uncleanness. If it was damaged below, it becomes clean. The compartments within it remain unclean and are not regarded as a connected to it.", + "If a shepherd's bag was damaged, the pocket within it retains its uncleanness and is not regarded as a connected to it. A skin whose testicle bags serve also as receptacles and they were damaged, they become clean, since they will no longer serve their original purpose.", + "A box whose opening is at the side is susceptible to both midras uncleanness and corpse uncleanness. Rabbi Yose said: When does this apply? When it is less than ten handbreadths in height or when it does not have a rim one handbreadth deep. If it was damaged above it is still susceptible to corpse uncleanness. If it was damaged below: Rabbi Meir rules that it is susceptible to uncleanness. But the sages rule that it is clean because if the primary function ceases the secondary one also ceases.", + "A dung-basket that was so damaged that it will not hold pomegranates: Rabbi Meir says is still susceptible to uncleanness, But the sages say that it is clean because if the primary function ceases the secondary one also ceases." + ], + [ + "Pillows, bed coverings, sacks and packing cases that were damaged are still susceptible to midras uncleanness. A fodder-bag that can hold four kav, a shepherd's bag that can hold five kav, a traveling bag that can hold a se'ah, a skin that can hold seven kav, Rabbi Judah adds: also a spice-bag, and a food wallet that can hold the smallest quantity are susceptible to midras uncleanness. If any of them was damaged it becomes clean, since if the primary function ceases the secondary function also ceases.", + "A bagpipe is not susceptible to midras uncleanness. A trough for mixing mortar: Bet Shammai says: it is susceptible to midras uncleanness , And Bet Hillel says it is susceptible to corpse uncleanness only. If a trough of a capacity from two log to nine kav is split, it becomes susceptible to midras uncleanness. If he left it out in the rain and it swelled it is susceptible to corpse uncleanness alone. [If he left it out] during the east wind and it split, it is susceptible to midras uncleanness. In this respect the law is stricter in the case of remnants of wooden vessels than in [that of such vessels] in their original condition. It is also stricter in regard to the remnants of wicker vessels than [to such vessels] as are in their original condition, for when they are in their original condition they are insusceptible to uncleanness until their rim is finished, but after their rim has been finished, even though their edges fell away leaving only the slightest trace of them, they are unclean.", + "If a stick was used as a handle for a hatchet, it is regarded as connected for uncleanness at the time of use. A yarn winder is regarded as connected for uncleanness at the time of its use. If it was fixed to a pole it is susceptible to uncleanness, but it is not considered connected to it. If the pole itself was converted into a yarn winder, only that part which is needed for use is susceptible to uncleanness. A seat that was fixed to the pole is susceptible to uncleanness, but the latter is not regarded as connected to it. If the pole itself was turned into a seat, only the place of the seat is susceptible to uncleanness. A seat that was fixed to the beam of an olive-press is susceptible to uncleanness, but it is not connected to it. If the end of a beam was turned into a seat it remains clean, because people would tell him, \"Get up and let us do our work.\"", + "If a large trough was so damaged that it could no longer hold pomegranates and he fixed it to be used as a seat: Rabbi Akiva says that it is susceptible to uncleanness, But the sages say that it remains clean unless its rough parts have been smoothed. If it was turned into a feeding bowl for cattle, even if it was fixed to a wall, it is susceptible to uncleanness.", + "A wood block that was fixed to a row on a wall, whether he fixed it and did not built upon it or built upon it but did not fix it, it is susceptible to uncleanness. If he fixed it and also built upon, it is clean. Matting that was spread over the roof-beams, whether he fixed it but did not put on the plasterwork or whether he put on the plasterwork but did not fix it, it is susceptible to uncleanness. If it was fixed and he laid plasterwork over it, it is clean. A dish that was fixed to a chest, box or cupboard: If in such a manner as to hold its contents in the usual way, it is susceptible to uncleanness, But if it was in a manner that it cannot hold its contents in the usual way it is clean.", + "If a sheet that was susceptible to midras uncleanness made into a curtain, it becomes clean from midras uncleanness but it is still susceptible to corpse uncleanness. When does it become insusceptible to [midras] uncleanness? Bet Shammai says: when the loops have been tied to it. . Bet Hillel says: when it has been attached. Rabbi Akiva says: when it has been fixed.", + "A mat whose reeds stretched lengthwise is insusceptible to uncleanness; But the sages rule: only if they lay in the shape of [the Greek letter] chi. If they were laid along its width and there was a distance of less than four handbreadths between the two reeds, it is insusceptible to uncleanness. If it was divided along its width, Rabbi Judah rules that is clean. So also, where the end-knots are untied, it is clean. If it was divided along its length but three end-knots remained intact across a stretch of six handbreadths, it is susceptible to uncleanness. When does a mat become susceptible to uncleanness? When its rough ends are trimmed, this being the completion of its manufacture." + ], + [ + "One who touches the upper beam, the lower beam, the harnesses, the sley, the thread that is drawn over purple material, or a spool which is not to be shot back, remains clean. If he touches the woof, the standing warp, the double thread that is drawn over purple material or a spool which is to be shot back, he becomes unclean. If one touches the wool that is on the distaff, or on the spool, he remains clean. If he touches the spinner: Before it was uncovered he is unclean, After it was uncovered he remains clean.", + "One who touches the yoke, the crossbar, the collar-piece, or the thick ropes, even when they are being used, he remains clean. If he touched the tail piece, knee or handle, he becomes unclean. If he touched the metal rings, the guides, or the flanks, he becomes unclean. Rabbi Judah says that he remains clean if he touched the guides since they only serve to increase the soil.", + "One who touches the handle of a saw at either end becomes unclean; [If he touched] its string, cord, cross-piece or side-pieces, a carpenter's vice, or the bow-handle of a bow-drill, he remains clean. Rabbi Judah says: so too he who touches the frame of a large saw remains clean. One who touches the bow-string or the bow, even though it was stretched, he remains clean. A mole-trap is clean. Rabbi Judah says: when it is stretched, the separate parts are [regarded as] connected." + ], + [ + "If a table or a side-board was damaged or he covered them with marble but room was left for cups to be set, it is unclean. Rabbi Judah ruled: there must be room enough for pieces of food.", + "A table one of whose legs was removed is clean. If a second leg was removed it is still clean. But if a third was removed it becomes unclean where the owner has the intention of using it. Rabbi Yose says: no intention is necessary. The same law applies also to the side-board.", + "A bench, one of whose legs was removed, is clean. If its second leg also was removed it is still clean. If it was one handbreadth high it is unclean. A footstool one of whose legs was removed is unclean. The same applies to the stool in front of a cathedra.", + "A bride's stool which lost the coverings for the seatboards: Bet Shammai rules that it still susceptible to uncleanness, And Bet Hillel rules that it is clean. Shammai rules: even the frame of the stool is susceptible to uncleanness. A stool which was fixed to a kneading-trough, Bet Shammai rules that it susceptible to uncleanness, And Bet Hillel rules that it is clean. Shammai rules: even one made out of it is susceptible to uncleanness.", + "A chair whose seat boards did not project and then they were removed, it is still susceptible to uncleanness, for it is usual to turn it on its side and to sit on it.", + "A chair whose middle seat board was removed but the outer ones remained, it is still susceptible to uncleanness. If the outer ones were removed and the middle seat board remained it is also susceptible to uncleanness. Rabbi Shimon says: only if it was a handbreadth wide.", + "A chair, of which two seat boards were removed, this one next to this one: Rabbi Akiva says: it is susceptible to impurity; And the sages say that it is clean. Rabbi Judah said: so too if the seat boards of a bride's chair were lost, though the receptacle under remained, it is clean, since where the primary function has ceased, the secondary one also ceases.", + "A chest whose top part was removed is still susceptible to uncleanness on account of its bottom; If its bottom was removed it is still susceptible to uncleanness on account of its top part. If both the top part and the bottom part were removed: Rabbi Judah says that it is susceptible to uncleanness on account of its sides, But the sages rule that it is clean. A stonecutter's seat is subject to midras uncleanness.", + "A [wooden] block which was painted red or saffron, or was polished: Rabbi Akiva says that it is susceptible to uncleanness, But the sages say that it remains clean unless [a seat] was carved out. A small basket or a big one that was filled with straw or other soft material remains clean [even] if it was prepared as a seat. But if it was plaited over with reed-grass or with a cord it becomes susceptible to uncleanness.", + "A toilet is subject to both midras and corpse uncleanness. If the leather seat was separated, the leather is subject to midras uncleanness and the iron is subject only to corpse uncleanness. A folding stool whose cover is of leather is subject to both midras and corpse uncleanness. If it was taken apart, the leather is subject to midras uncleanness while the stool is altogether clean. A bath-house bench that has two wooden legs is susceptible to uncleanness. If one leg was of wood and the other of stone it is clean. Boards in a bath-house which were joined together: Rabbi Akiva says that they are susceptible to [midras] uncleanness; But the sages say that they are clean, since they are made only for the water to flow under them. A fumigation-cage that contains a receptacle for garments is susceptible to uncleanness, But one that is made like a bee-hive is clean." + ], + [ + "If a ball, a mould, an amulet or tefillin were torn, one that touches them becomes unclean, But one that touches what is inside them remains clean. If a saddle was torn, one that touches its contents unclean, because the stitching joins them.", + "The following are susceptible to uncleanness as objects that are fit for riding upon (merkav): an Ashkelon donkey belt, a Medean saddle, a camel's pillow, and a horse-cloth. Rabbi Yose says: a horse-cloth is susceptible to uncleanness as a seat, since people stand on it in the arena. But a saddle of a female camel is susceptible to [sitting] uncleanness.", + "What is the practical difference between [the uncleanness of an object used for] riding upon and [one used for] sitting upon? In the case of the former the effect of contact with it is different from the effect of carrying it, but in the case of the latter there is no difference between the effect of coming in contact with it or carrying it. The pack-frame of a donkey on which a zav sat is clean; But if the size of the spaces has been changed or if they have been broken one into another it is susceptible to uncleanness.", + "A bier, the mattress and the pillow of a corpse are susceptible to the uncleanness of midras. A bride's stool, a midwife's stool, and a launderer's stool on which he piles the clothes: Rabbi Yose says: it is not regarded as a seat.", + "A fishing net is susceptible to uncleanness on account of its bag. Nets, snares, bird-traps, slings and fishermen's skeins are susceptible to uncleanness. A fish-trap, a bird-basket and a bird-cage are not susceptible to uncleanness." + ], + [ + "There are three different types of shields:A bent shield is susceptible to midras uncleanness; A shield used in the arena is susceptible to corpse uncleanness; And the Arabian toy shield is pure from all uncleanness.", + "There are three different types of wagons:The one made like a cathedra is susceptible to midras uncleanness; The one made like a bed is susceptible to corpse uncleanness, And the one for [the transport of] stones is free from all uncleanness.", + "There are three different types of baking-troughs:If a baking-trough of a capacity from two log to nine kav was split it is susceptible to midras uncleanness; If it was whole it is susceptible to corpse uncleanness; And if it holds the prescribed measure it is free from all uncleanness.", + "There are three different types of boxes:A box whose opening is at the sides is susceptible to midras uncleanness; If it is on the top it is susceptible to corpse uncleanness; And if it holds the prescribed measure it is free from all uncleanness.", + "There are three different types of leather covers:That of barbers is susceptible to midras uncleanness; That on which people eat is susceptible to corpse uncleanness. And that for [spreading out] olives is free from all uncleanness.", + "There are three different types of bases:One which lies before a bed or before a scribe is susceptible to midras uncleanness; One for a side-table is susceptible to corpse uncleanness; And one for a cupboard is free from all uncleanness.", + "There are three different types of writing tablets:That of papyrus is susceptible to midras uncleanness; That which had a receptacle for wax is susceptible to corpse uncleanness; And that which is smooth is free from all uncleanness.", + "There are three different types of beds:One that is used for lying upon is susceptible to midras uncleanness; One used by glass makers is susceptible to corpse uncleanness; And one used by weavers is free from all uncleanness.", + "There are three different types of baskets:The one for dung is susceptible to midras uncleanness; The one for straw is susceptible to corpse uncleanness; And a camel's rope bag is free from all uncleanness.", + "There are three different types of mats:One used for sitting upon is susceptible to midras uncleanness; One used by dyers is susceptible to corpse uncleanness. And one used in wine-presses is free from all uncleanness.", + "There are three different types of water skins and three different types of shepherds' wallets:Those that can hold the prescribed quantity are susceptible to midras uncleanness; Those that cannot hold the prescribed quantity are susceptible to corpse uncleanness; And those made of fish skin are free from all uncleanness.", + "There are three different types of hides:That which is used as a rug is susceptible to midras uncleanness; That which is used as a wrapper for vessels is susceptible to corpse uncleanness; And that which is intended for straps and sandals is free from all uncleanness.", + "There are three different types of sheets:One used for lying upon is susceptible to midras uncleanness; One used as a curtain is susceptible to corpse uncleanness; And one used as a mural decoration is free from all uncleanness.", + "There are three different types of napkins:One used for hands is susceptible to midras uncleanness; One used for books is susceptible to corpse uncleanness; And the one used as a shroud or a covering for the harps of the Levites is free from all uncleanness.", + "There are three different types of hip-boots:Those used by the hunters of animals and birds are susceptible to midras uncleanness; Those used by locust gatherers are susceptible to corpse uncleanness. And those used by fig-pickers are free from all uncleanness.", + "There are three different types of hair nets:A girl's is susceptible to midras uncleanness; An old woman's is susceptible to corpse uncleanness; And [the hair net] of a woman who \"goes out\" is free from all uncleanness.", + "There are three different types of baskets: If a worn-out basket is patched on to a sound one, all is determined by the sound one; If a small basket is patched on to a large one all is determined by the large one; If they are equal all is determined by the inner one. Rabbi Shimon says: if the cup of a balance was patched on to the bottom of a boiler on the inside, the latter becomes unclean; but if on the outside it remains clean. If it was patched on to the side, whether on the inside or the outside, it remains clean." + ], + [ + "All vessels have [different laws] for outer and inner sides, as for instance, cushions, coverings, sacks and packing-bags, the words of Rabbi Judah. Rabbi Meir says: any vessel that has loops has [different laws] for inner and outer sides but one that has no loops does not have different laws for outer and inner sides. A table and a side-board have [different laws] for outer and inner sides, the words of Rabbi Judah. Rabbi Meir says: they do not have a different law for their outer sides. The same applies to a frame.", + "An ox-goad has different laws for its outer and inner parts, [The outer part is] the seven handbreadths from the broad blade and four handbreadths from the point, the words of Rabbi Judah. Rabbi Meir says: it is not to [subject to such distinction], the four and the seven handbreadths were mentioned only in regard to its remnants.", + "Measures of wine or oil, a fork-ladle, a mustard-strainer and a wine-filter have an outer and inner side, the words of Rabbi Meir. Rabbi Judah says: they do not have. Rabbi Shimon says: they do have, for if their outer parts contracted uncleanness that which is inside remains clean, and immersion is required.", + "If [in a measure consisting of] a quarter [of a log] and half a quarter [of a log] the quarter measure contracted uncleanness, the half-quarter measure does not become unclean, and if the half-quarter contracted uncleanness the quarter does not become unclean. They argued before Rabbi Akiva: since the half quarter measure is the outer part of the quarter measure, should not the outer side of the vessel whose inner side contracted uncleanness become unclean? He answered them: Are you sure that it belongs to the category [of vessels] that have inner [and outer] parts? Perhaps the quarter is to be regarded as the outer side of the half quarter and, surely, the inner side of a vessel does not become unclean if the outer side contracted uncleanness.", + "If the [inside of the] quarter contracted uncleanness, the quarter and its outer side are unclean, but the half quarter and its outer side remain clean. If the [inside of the] half quarter contracted uncleanness, the half quarter and its outer side are unclean, but the quarter and its outer side remain clean. If the outer side of the quarter contracted uncleanness,the outer side of the half quarter remains clean, the words of Rabbi Meir. But the sages say: the outer side cannot be divided. When he immerses the vessel, he must immerse the whole thing.", + "The bases, rims, hangers or handles of vessels that have a receptacle upon which an unclean liquid fell, one dries them and they remain clean. But [if unclean liquid fell] on any part of any other vessel which cannot hold pomegranates (or in which no distinction is made between its outer and inner sides), the whole becomes unclean. If the outer side of a vessel contracted uncleanness from a liquid, only its outer side is unclean but its inner side, rim, hanger and handles remain clean. If its inner side contracted uncleanness the whole is unclean.", + "All vessels have outer and inner sides and have a part by which they are held. Rabbi Tarfon says: this applies only to a large wooden [kneading] trough. Rabbi Akiva says: it applies to cups. Rabbi Meir says: it applies to unclean and clean hands. Rabbi Yose says: they said this only concerning clean hands.", + "How so?If one's hands were clean and the outer side of a cup was unclean, one may hold it by its holding-place and need not be concerned lest his hands have contracted uncleanness from the outer side of the cup. If one was drinking from a cup whose outer side was unclean he need not be concerned lest the liquid in his mouth contracted uncleanness from the outer side of the cup and that it then conveyed uncleanness to the cup. If a kettle was boiling one need not be concerned lest liquid should come out from it and touch its outer side and return again within it.", + "Holy vessels do not have outer and inner sides or a part by which they are held. One may not immerse vessels within one another for sacred use. All vessels become susceptible to uncleanness by intention, but they cannot be rendered insusceptible except by a change-effecting act, for an act annuls an earlier act as well as an earlier intention, but an intention annuls neither an earlier act nor an earlier intention." + ], + [ + "An Imki sandal and a laced-up bag, Rabbi Judah says: also an Egyptian basket; Rabban Shimon ben Gamaliel says: also to a Lattakian sandal can be made susceptible to uncleanness and again be made insusceptible without the aid of a craftsman. Rabbi Yose said: But can't all vessels be made susceptible to uncleanness and again insusceptible without the aid of a craftsman? Rather, these, even when they are unlaced are susceptible to uncleanness since a layman is able to restore them. They spoke only of an Egyptian basket which even a craftsman cannot [easily] restore.", + "A laced-up bag whose laces were removed is still susceptible to uncleanness; But if it was made flat it is pure. If a strip of cloth has been put on it below, it is susceptible. If a bag was within another bag and one of them became unclean from a liquid, the other does not become unclean. A pearl pouch is susceptible to uncleanness. A money pouch: Rabbi Eliezer says that it is susceptible to uncleanness, But the sages say that it is pure.", + "The hand-coverings of thorn-pickers are pure. A belt and leg guards are susceptible to uncleanness. Sleeves are susceptible to uncleanness. But hand-coverings are pure. All finger-coverings are pure except that of fig-pickers, since the latter holds the sumac berries. If it was torn, if it cannot hold the greater part of a sumac berry it is pure.", + "A sandal, one of whose holes was broken but was then fixed, retains its midras uncleanness. If a second hole was broken and it was fixed, it is free from midras uncleanness but is unclean from contact with midras. If the second hole was broken before the first could be mended, it is clean. If its heel was torn off, or if its toe-piece was removed, or if it was torn in two, it becomes clean. A heel-less slipper that was torn anywhere becomes clean. A shoe that was damaged becomes clean if it cannot contain the greater part of the foot. A shoe that is still on the last: Rabbi Eliezer says: it is insusceptible to uncleanness, But the sages say that it is susceptible. All water skins whose holes have been tied up are insusceptible to uncleanness, except for Arabian ones. Rabbi Meir says: if they are tied up for a while, they are clean; but if they are tied with a permanent knot they are unclean. Rabbi Yose says: all tied up water skins are clean.", + "The following hides are susceptible to midras uncleanness: A hide which he intended to use as a rug, A hide used as an apron, A hide used as the lower covering of a bed, A hide used by a donkey-driver, A hide used by a flax-worker, A hide used by a porter, A hide used by a doctor, A hide used for a crib, A hide put over a child's chest, A hide for a cushion. A hide for a covering. All these are susceptible to midras uncleanness. A hide for wrapping up combed wool and a hide worn by a wool-comber: Rabbi Eliezer says it is susceptible to midras, But the sages say that it is susceptible to corpse uncleanness only.", + "A bag or wrapper for garments is susceptible to midras. A bag or wrapper for purple wool: Bet Shammai says: it is susceptible to midras, But Bet Hillel says: it is susceptible only to corpse uncleanness. A hide which was made to be a covering for vessels is not susceptible to uncleanness, but for weights it is susceptible. Rabbi Yose says in the name of his father that it is pure.", + "Whenever no act is lacking, intention alone causes a vessel to be susceptible to uncleanness, But whenever an act is lacking, intention alone does not render it susceptible to uncleanness, except for a fur cover.", + "The hides of a householder become susceptible to uncleanness by intention, but those that belong to a tanner do not become susceptible by mere intention. Those taken by a thief become susceptible by intention, but those taken by a robber do not become susceptible by mere intention. Rabbi Shimon says: the rule is to be reversed; those taken by a robber become susceptible by mere intention, but those taken by a thief do not become susceptible by intention, since in the latter case the owner does not abandon hope for recovery.", + "If a hide had contracted midras uncleanness and its owner then intended it to be used for straps or sandals, it becomes clean as soon as he put the knife to it, the words of Rabbi Judah. But the sages say: it does not become clean until he has reduced its size to less than five handbreadths. Rabbi Elazar bar Zadok says: even if one made a napkin from a hide it remains unclean, But if [he made one from] a covering it becomes clean." + ], + [ + "Cloth is susceptible to five categories of uncleanness; Sack-cloth is susceptible to four; Leather to three; Wood to two; And an earthenware vessel to one. An earthenware vessel is susceptible to uncleanness [only] as a receptacle; any earthen vessel that has no inner part is not susceptible to uncleanness from its outer part. Wood is subject to an additional form of uncleanness in that it is also susceptible to uncleanness as a seat. Similarly a tablet which has no rim is susceptible to uncleanness if it is a wooden object and insusceptible if it is an earthenware one. Leather is susceptible to an additional form of uncleanness in that it is also susceptible to the uncleanness of a tent. Sack-cloth has an additional form of uncleanness in that it is susceptible to uncleanness as woven work. Cloth has an additional form of uncleanness in that it is susceptible to uncleanness when it is only three by three fingerbreadths.", + "Cloth is susceptible to midras uncleanness when it is three handbreadths by three handbreadths, and to corpse uncleanness when it is three fingerbreadths by three fingerbreadths. Sack-cloth when it is four handbreadths by four handbreadths. Leather, five handbreadths by five handbreadths. And matting, six handbreadths by six handbreadths. [All of these] are equally susceptible to both midras and corpse uncleanness. Rabbi Meir says: what remains of sack-cloth is susceptible to uncleanness if it is four handbreadths, but when in its first condition [it becomes susceptible only after its manufacture] is completed.", + "If one made up a piece of material from two handbreadths of cloth and one of sack-cloth, or of three of sack-cloth and one of leather or four of leather and one of matting, it is not susceptible to uncleanness. If the piece of material was made up of five handbreadths of matting and one of leather or four of leather and one of sack-cloth, or three of sack-cloth and one of cloth it is susceptible to uncleanness. This is the general rule: if the material added is subject to greater restrictions it is susceptible to uncleanness, but if the material added was subject to lesser restrictions it is not susceptible.", + "If one cut off from any of these a piece one by one handbreadth it is susceptible to uncleanness. [If one cut off a one by one handbreadth piece] from the bottom of a basket it is susceptible to uncleanness. If one cut off from the sides of the basket: Rabbi Shimon says that it is not susceptible to uncleanness, But the sages say one who cuts off a square handbreadth from anywhere, it is susceptible to uncleanness.", + "Worn-out pieces of a sifter or a sieve that were adapted for use as a seat: Rabbi Akiva rules that they are susceptible to uncleanness, But the sages rule that they are not susceptible unless their rough ends were cut off. A child's stool that has legs, even though it is less than a handbreadth high, is susceptible to uncleanness. A child's shirt: Rabbi Eliezer rules it is susceptible to uncleanness at any size. But the sages rule: it is susceptible only if it is of the prescribed size, and it is measured when doubled over.", + "The following are measured when doubled: Felt socks, long stockings, pants, a cap and a money-belt. As regards a patch sewn on the hem, if it was simple it is measured simple, but if it was doubled it is measured when doubled.", + "If a piece of cloth was woven to the size of three by three handbreadths, and then it contracted midras uncleanness, and then he completed the rest of the piece, and then one removed a single thread from the original part, it is free from midras uncleanness but is still unclean from contact with midras uncleanness. If he removed a thread from the original part and then he finished the whole cloth, it is still unclean from contact with midras uncleanness.", + "Similarly, if a piece of cloth was woven to the size of three [fingerbreadths] square, and it contracted corpse uncleanness, and afterwards he finished the entire piece, and then he removed a single thread from its original part, it is free from corpse uncleanness but is still unclean from contact with corpse uncleanness. If a thread was removed from the original part and then all the cloth was finished it remains clean, for the sages have ruled: if a piece of three [fingerbreadths] square is lessened it becomes clean. But if one of three handbreadths square is lessened, even though it is released from midras, it is still susceptible to all other forms of uncleanness.", + "If a sheet that had contracted midras uncleanness was made into a curtain, it is pure from midras uncleanness but is still unclean from contact with midras uncleanness. Rabbi Yose said: but what midras uncleanness has this touched! Only if a zav had touched it is it unclean from contact with a zav.", + "If a piece of cloth three [handbreadths] square was divided, it is pure from midras uncleanness but is still unclean from contact with midras uncleanness. Rabbi Yose said: but what midras uncleanness has this touched! Only if a zav had touched it is it unclean from contact with a zav.", + "If a piece of cloth three [handbreadths] square [was found] in a rubbish heap it must be both sound and capable of wrapping up salt; But [if it was found] in the house it need only be either sound or capable of wrapping up salt. How much salt must it be capable of wrapping up? A quarter of a kav. Rabbi Judah says: this refers to fine salt, But the sages stated: it refers to coarse salt. Both intended to be lenient. Rabbi Shimon says: the law concerning a piece of cloth three [handbreadths] square found in a rubbish heap is the same as that for a piece of cloth that was three [fingerbreadths] square in a house.", + "[A piece of cloth] three [handbreadths] square that was torn: if he put it on a chair, and his skin touches the chair, it is pure; And if not, it remains impure. [A piece of cloth] three [fingerbreadths] square one thread of which was worn away, or in which a knot was found, or in which two threads ran alongside each other, is pure. [A piece of cloth] three [fingerbreadths] square that was thrown on the rubbish heap becomes pure. If he brought it back, it it becomes susceptible to uncleanness. Throwing it away always renders it pure and taking it back renders it susceptible to uncleanness, except when it is of purple or fine crimson. Rabbi Eliezer says: a patch of new cloth is also subject to the same law. Rabbi Shimon says: all these materials become pure; they were mentioned only in connection with the return of lost property." + ], + [ + "[A piece of cloth] three [fingerbreadths] square that was stuffed into a ball or was itself made into a ball is clean. But [a piece of cloth] three [handbreadths] square that was stuffed into a ball remains unclean. If he made it into a ball itself, it is clean because the sewing reduces its size.", + "[A piece of cloth] less than three [handbreadths] square that was adapted for the purpose of stopping up a hole in a bath house, of emptying a cooking-pot or of wiping with it the mill stones, whether it was or was not kept in readiness for any such use, is susceptible to uncleanness, the words of Rabbi Eliezer. Rabbi Joshua says: whether it was or was not kept in readiness it is pure. Rabbi Akiba ruled: if it was kept in readiness it is susceptible, and if it was not kept in readiness it is pure.", + "If a bandage is made of cloth or leather it is pure. (Rabbi Yose says: with leather it is pure.) A poultice is pure if it is on cloth, but if on leather it is susceptible. Rabban Shimon ben Gamaliel says: even if it was on cloth it remains susceptible to uncleanness because it can be shaken off.", + "Covers of scrolls, whether they are decorated or not, are susceptible to uncleanness according to the view of Bet Shammai. Bet Hillel says: those that are decorated are pure, but those that are not decorated are susceptible. Rabban Gamaliel says: both the former and the latter are pure.", + "If a head-wrap that had contracted midras uncleanness was wrapped around a scroll, it is released from midras uncleanness but it remains susceptible to corpse uncleanness. A skin that was made into a rug or a rug that was made into a skin becomes clean. A skin that was made into a [shepherd's] wallet or a [shepherd's] wallet that was made into a skin; Or a cushion cover that was made into a sheet or a sheet that was made into a cushion cover; Or a sheet cover that was made into a plain sheet or a plain sheet that was made into a sheet cover, remains unclean. This is the general rule: any object that has been changed into one of the same class remains unclean, but if into one of another class it becomes clean.", + "If a patch was sewn on to a basket, it conveys one grade of uncleanness and one of unfitness. If it was separated from the basket, it conveys one grade of uncleanness and one of unfitness, but the patch becomes clean. If it was sewn on to cloth it conveys two grades of uncleanness and one of unfitness. If it was separated from the cloth, it conveys one grade of uncleanness and one of unfitness, while the patch conveys two grades of uncleanness and one of unfitness. The same law applies to a patch was sewn on to sacking or leather, the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says that it is clean. Rabbi Yose says: if [it was sewn] on leather it becomes clean; but if on sacking it remains unclean, since the latter is a woven material.", + "The three (fingerbreadths) square of which they have spoken do not include the hem, the words of Rabbi Shimon. But the sages say: exactly three [fingerbreadths] square. If a patch was sewn on to a cloth by one side only, it is not considered as connected. If it was sewn on by two opposite sides, it is considered connected. If it was sewn on the shape of a gamma: Rabbi Akiva says that the cloth is unclean, But the sages say that it is clean. Rabbi Judah stated: When does this apply? To a cloak, but in the case of an undershirt the patch is regarded as connected if it was sewn by its upper side, but if by its lower side it is not connected.", + "Poor men's clothes, though made up of pieces none of which is three [fingerbreadths] square are susceptible to midras uncleanness. If a cloak began to be torn, as soon as its greater part is torn [the pieces] are not regarded as connected. Exceptionally thick or thin materials are not governed by the prescribed minimum of three [fingerbreadths] square.", + "A porter's pad is susceptible to midras uncleanness. A wine filter is not susceptible to uncleanness as a seat. An old woman's hair-net is susceptible to uncleanness as a seat. A prostitute's shirt which is woven like a net is not susceptible to uncleanness. A garment made of fishing net is not susceptible to uncleanness, but one made of its bag is susceptible. Rabbi Eliezer ben Jacob says: if a garment is made out of a fishing net but is made double it is susceptible to uncleanness.", + "A hair-net that one began to make from its upper hem remains pure until its bottom section is finished. If one began from its bottom section, it remains pure until its hem is finished. Its head band is susceptible to uncleanness in itself. Its strings are susceptible to uncleanness because they are connected. A hair-net that is torn becomes pure if it cannot contain the greater part of the hair." + ], + [ + "The fringe strings of a sheet, a scarf, a head-wrap and a felt cap [are regarded as connected] up to a length of six fingerbreadths; Those of an undergarment up to ten [fingerbreadths]. The fringes of a thick wool cloak, a veil, a shirt, or a light cloak [are regarded as connected] up to a length of three fingerbreadths. The fringes of an old woman's head-wrap, of Arabian face wraps, of Cilician goat's-hair clothing, of a money-belt, of a turban or of a curtain are regarded as connected whatever their length may be.", + "Three woolen pillow-covers, six linen ones, three sheets, twelve handkerchiefs, two pant-sleeves, one shirt, one cloak, or one winter-cloak, can be regarded as connected in respect of both uncleanness and sprinkling. If they exceed this number they are regarded as connected in respect of uncleanness but not in respect of sprinkling. Rabbi Yose says: not even in respect of uncleanness.", + "The string of a [common] plumb-line is regarded as connected up to a length of twelve [cubits]; That of the carpenters’ plumb-line, up to eighteen [cubits]; And that of the builders’ plumb-line up to fifty cubits. The parts that exceed these lengths, even if it was desired to retain them, are pure. The plumb-line of plasterers or moulders is regarded as connected whatsoever its length.", + "The cord of the balances of goldsmiths or the weighers of fine purple cloth is regarded as a connective up to a length of three fingerbreadths, The handle of an axe behind the grip, up to a length of three fingerbreadths. Rabbi Yose says: if the length behind the grip is no less than one handbreadth the entire handle is unsusceptible to uncleanness.", + "The cord of the balances of shopkeepers or householders is regarded as connected up to a length of one handbreadth. The shaft of an axe in front of the grip, up to one handbreadth. The projection of the shaft of a compass, up to one handbreadth. That of the shaft of the stone-masons’ chisel, one handbreadth.", + "The cord of the balances of wool dealers or of glass-weighers is regarded as connected up to a length of two handbreadths. The shaft of a millstone chisel, up to a length of two handbreadths. The shaft of the battle-axe of the legions, up to a length of two handbreadths. The shaft of the goldsmiths’ hammer, up to a length of two handbreadths. And that of the blacksmiths' hammer, up to three handbreadths.", + "The remnant of the shaft of an ox-goad at its upper end is regarded as connected up to a length of four [handbreadths]. The shaft of a spade, to a length of four [handbreadths]. The shaft of a weeding-spade, to five handbreadths. The shaft of a small hammer, to five handbreadths. That of a common hammer, to six handbreadths. The shaft of an axe used for splitting wood or of one used for digging, to six [handbreadths]. The shaft of the stone-trimmers’ axe, up to six handbreadths.", + "The remnant of the shaft of an ox-goad at its lower end is regarded as connected up to a length of seven handbreadths. The shaft of a householders' shovel Bet Shammai says: to a length of seven handbreadths, And Bet Hillel says: eight handbreadths. That of the plasterers: Bet Shammai says: nine handbreadths And Bet Hillel says: ten handbreadths. Any parts exceeding these lengths, if he wanted to retain it, is also susceptible to uncleanness. The shafts of fire instruments are susceptible to uncleanness whatsoever their length." + ], + [ + "Glass vessels--those that are flat are pure and those that have receptacles are susceptible. After they are broken they become clean. If he again made vessels of them they become susceptible to uncleanness from that point and onward. A glass tray or a flat dish is pure. If it has a rim it is susceptible. The concave bottom of a glass bowl or plate which was adapted for use is pure. If it was polished or scraped with a file it becomes susceptible to uncleanness.", + "A mirror is pure. A tray that was made into a mirror remains susceptible, but if it was originally made to serve as a mirror it is pure. A large [glass] spoon that has been placed on a table is susceptible to uncleanness if it can hold anything whatsoever. But if it cannot do so: Rabbi Akiva says that it is susceptible, And Rabbi Yohanan ben Nuri says that it is pure.", + "A cup the greater part of which is broken off is pure. If it was broken in three places extending over its greater part it is pure. Rabbi Shimon says: if it lets the greater part of the water leak out it is pure. If a hole appeared in it and it was mended with tin or pitch it is pure. Rabbi Yose says: if with tin it is susceptible to uncleanness, but if with pitch it is pure.", + "A small flask whose neck was removed remains susceptible to uncleanness, But a large one whose neck was removed becomes pure. [A small flask] of spikenard oil whose neck was removed becomes pure, since it scratches the hand. Large flagons whose necks were removed remain susceptible to uncleanness, since they are adapted for the use of holding pickled foods. A glass funnel is clean. Rabbi Yose said: Happy are you Kelim; for you began with uncleanness, but you ended with cleanness." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/English/Sefaria Community Translation.json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/English/Sefaria Community Translation.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..522983f8ae319deed2080b80b44e06ff7ad44a9a --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/English/Sefaria Community Translation.json @@ -0,0 +1,339 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Kelim", + "versionSource": "https://www.sefaria.org", + "versionTitle": "Sefaria Community Translation", + "status": "locked", + "license": "CC0", + "versionTitleInHebrew": "תרגום קהילת ספריא", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה כלים", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Tahorot" + ], + "text": [ + [ + "The Origins of impurity: the sheretz [one of eight creeping creatures, whose identities are debated, and whose carcasses transmit ritual impurity upon contact], semen, that which is rendered impure by a dead body, the metzora [victim of a Divinely inflicted skin disease] while he is in his days of counting, a small amount of purifying water that is not enough to perform the sprinkling ceremony - can render persons and vessels impure through touch, and pottery vessels through the air, but they do not render impure when they are carried.", + "Higher than these: the nevelah [an animal which died without proper slaughter] and purifying water of which there is enough to perform the sprinkling ceremony, as they render impure a person through carrying and clothing through touch, and without clothes [on an unclothed area of a person], by touch.", + "Higher than these: one who has intercourse with a niddah [a woman who is menstruating or has menstruated, but has not yet immersed], for he renders impure the bottom [layer] of what lies beneath him in like degree to the top. Higher than this: the abnormal genital discharge of a zav [man with an abnormal genital discharge], his spittle, his semen, and his urine, and the blood of the menstruant, for they convey impurity both by contact and by carrying. Higher than these: the impurity of a saddle, for it conveys impurity even to what lies beneath a heavy stone. Higher than a saddle: what one lies upon, since contact with it is equal to carrying it. Higher than what one lies upon: a zav; for a zav conveys impurity to what he lies upon, while what he lies upon does not convey the same level of impurity to that upon which it lies.", + "Higher than the zav is the zavah [a woman with an abnormal genital discharge], for she conveys impurity to one who has intercourse with her. Higher than the zavah: the metzora, for he renders impure by entering. Higher than the metzora: bone the size of a barley grain, for it coneys seven-day impurity. More severe than all of these: a corpse, for it conveys impurity via overshadowing, which nothing else can do. ", + "Ten degrees of impurity are derived from a person: the one whose atonement is incomplete [who has not brought a required sacrifice] is prohibited to eat kodesh [portions of offerings assigned to the priests], but permitted to eat terumah [portion of crops, wine, etc. required to be given to a priest] and ma'aser [tithes]. Should he become a tevul yom [immerses in the day and becomes pure upon nightfall], he is forbidden to eat kodesh and terumah, but permitted to eat ma'aser. Should he have a nocturnal emission, he is prohibited in all three. Should he have intercourse with a niddah, he transmits impurity to the bottom layer lying beneath him as he does to the top. Should he become a zav and has seen two appearances [of discharge], he transmits impurity to the bed and the chair and needs to immerse in running water, but he is exempt from [bringing] an offering. If he sees a third [appearance], he is bound [to bring] an offering. Should he become a quarantined [suspected] metzora, he transmits impurity by entering [a house], but is exempt from loosening [hair], from tearing [of clothing], from shaving, and from the [offering of the] birds. But if he is declared a metzora, he is obligated in all of them. If a limb without enough flesh on it is separated from him, it transmits impurity through contact and through carrying, but it does not transmit impurity in a tent. And if there is enough flesh on it, then it transmits impurity through contact, and through carrying and in the tent. The measure of flesh that is sufficient is enough to bring up a scab. Rabbi Yehuda says, If there is enough [flesh] in one place to surround it with the thread of the woof, it is able to bring up a scab. ", + "There are ten degrees of holiness. The land of Israel is holier than any other land. Wherein lies its holiness? In that from it are brought the omer [barley offering brought on the second day of Passover], the first fruits, and the two loaves [offered on Shavuot], which may not be brought from any other land.", + "The walled cities are still more holy, in that they must send forth the metzoraim from their midst, and they may carry around a corpse therein as far as necessary, but once it is taken out, they may not bring it back.", + "Inside the wall [of Jerusalem] is more holy than these, because there the less holy [offerings] and the second tithe are eaten. The Temple Mount has greater sanctity, because men and women with discharges, menstruating women, and women who have given birth may not enter there. The Cheil [a low fence around the Temple, which served as a boundary, beyond which entry to those impure was prohibited] has higher sanctity, because gentiles and people contaminated with corpse impurity may not enter there. The women's courtyard has higher sanctity, because a tevul yom may not enter there, but they are not liable for a sin offering for doing so. The Israelites' courtyard has higher sanctity, because one who lacks atonement may not enter there, and is liable for a sin offering for doing so. The priests' courtyard has higher sanctity, because the Israelites may not enter there except at the time of their [ritual] requirements: the laying on of hands, the slaughter, and the wave-offering. ", + "Between the porch and the altar has still higher sanctity, because [priests] with blemishes and loosened hair may not enter there. The sanctuary has higher sanctity, because no one may enter there who has not washed their hands and feet. The holy of holies has greater sanctity than these, because no one may enter there except the High Priest on the Day of Atonement at the time of the service. Rabbi Yose said: In five ways [the area] between the porch and the altar is equal to the sanctuary because [priests] with blemishes, loosened hair, who have consumed wine, and who have not washed their hands and feet may not enter there, and they separate themselves from between the porch and the altar at the time of [the offering of the] incense. " + ], + [ + "Wooden vessels, leather vessels, bone vessels and glass vessels - their flat surfaces are pure and their concave surfaces are impure. If they break [and are impure], they become pure. If someone went back and made vessels from [the broken pieces], they can be rendered impure from then and onward. Clay vessels and lye vessels are equal in [the manner of their] impurity - they can be rendered and render [objects] impure in its interior space; and render impure by [contact] with its exterior, but do not become impure by [contact] from its outside; and their breaking [if they are impure] is their purification.", + "The smaller clay vessels or their bottoms or their sides - [if they] sit upright without something to support them - their measurement [to be eligible for impurity] is enough [to store oil] to smear an infant. [This is in the case that these items only ever had the capacity of] up to a log (about a third of liter); from a log to a seah (slightly over eight liters), [the measurement required for eligibility] is a revi'it (about 86 cubic centimeters); from one seah to two seah, half a log; from two seah to three [or even] to five seah, a log - these are the words of Rabbi Yishmael. Rabbi Akiva says, \"I do not give them a measurement [to determine what is required for eligibility], but rather the smaller clay vessels or their bottoms or their sides - [if they] sit upright without something to support them - their measurement is enough to smear an infant. [This is in the case that these items were ever only] up to a small pot; from small pots to Lyddean barrels, [the measurement required] is a revi'it; from Lyddean [barrels] to Bethlehemite ones, half a log; from Bethlehemite ones to large vats, a log.\" Rabban Yochanan be Zakkai says, \"The measurement for large vats is two log.\" Gallilean jars and firkins - the [required measurement] of their bottoms is any bit, but they do not have sides [that can become impure by themselves].", + "The pure ones (that cannot be rendered impure) among clay vessels are: a tray that does not have a rim; a split poker; a roaster's rack; pipes - even though [they are] bent, [or] even though [they have sections that] accumulate; a cover that is made for a bread basket; jars that are designed [to cover] grapes; a sailor's [floating] barrel; inner barrels at the bottom of the crushing [vats]; a bed; a chair; a bench, a table; a boat; a clay lamp - behold, these are pure. This is the general principle - every clay vessel that does not have an interior does not have an exterior [that can become impure]. ", + "A lantern that has a receptacle for oil [can become] impure; and one that does not is pure. A mold of craftsmen - when he begins [his work] with it - it is pure; and when he finishes with it - it [can become] impure. A funnel of homeowners is pure; and of peddlers [can become] impure, because it is [used] for measurement. These are the words of Rabbi Yehuda ben Betira. Rabbi Akiva says, \"Because he leans it on its side and has the customer smell from it.\" ", + "The covers of wine jugs and oil jugs and covers of Nurean barrels are pure. But if they are made fit for usage [in their own right], they [can become] impure. A pan cover - when it is perforated or [its back] is pointed - is pure. If it is not perforated and does not have a pointed [back], it [can become] impure, because [a woman] strains the vegetable into it. Rabbi Eliezer bar Tsadok says, \"Because she flips the vegetable concentrate onto it.\" ", + "A chipped vessel found in the kiln - until its production is finished - is pure; from when its production is finished - it [can become] impure. A titros (a particular type of perforated vessel) - Rabbi Eliezer bar Tsadok determines it to be pure; Rabbi Yose determines it to be [able to become] impure because it releases [slowly].", + "The impure ones (that can be rendered impure) among clay vessels are: a tray with a rim; a full (unsplit) poker; a tray full of pans (connected to it). If one of [the pans] is rendered impure by a crawling creature (sherets), not all of them became impure. If there is surplus to the lid (above the tops of the pans), if one of them became impure, they all became impure. And so [too] a spice-tray of clay and quillsets. And a spice-tray of wood in which one [compartment] became impure from a liquid, its fellow did not become impure. Rabbi Yochanan ben Nuri says, \"We divide its thickness - that [part] which serves the pure is pure and that which serves the impure is impure. If there is a surplus rim - if one [compartment] becomes impure, its fellow becomes impure. ", + "A lamphead [can become] impure. And the hollow of a lamp renders [objects] impure in its interior space. The comb of a holding vessel - Rabbi Eliezer determines it to be pure and the sages determine it to be [able to become] impure." + ], + [ + "The measure of [a hole in] a clay vessel to make it pure, if it is used for foods, its measure is with olives. If it is used for liquids, its measure is with liquids. If it is used for this [foods] and for that [liquids], they impose the stringent ruling on it, with olives. ", + "Concerning a jug, its measure [of a hole large enough to render it ritually pure] is with dried figs, [these are] the words of Rabbi Shimon. Rabbi Yehudah says, with nuts. Rabbi Meir says, with olives. Concerning a stew pot and a cooking pot, their measure is with olives. Concerning an [oil] cruse and a pitcher, their measure is with oil. Concerning a jug [for oil or wine], its measure is with water. Rabbi Shimon says, concerning these three, [their measure] is with seeds. Concerning a lamp, its measure is with oil. R. Eliezer says \"with a small perutah.\" Concerning a lamp whose spout has been taken, it is clean. And one [made] of clay whose spout is burned by the wick, it is clean. ", + "A jug which had a hole which was repaired with pitch, and it was then broken: if there is in the place of the pitch [an area large] enough to hold a revi'it, it is still impure because it did not lose the status of a vessel. If it was made of earthenware and it was pierced and repaired with pitch, even if it holds a revi'it it is pure because it lost the status of a vessel. ", + "A jar that is broken, and it is plastered with dung, even if when the dung is removed the shards will fall apart, [can become] impure because it retains the status of a vessel. If it was broken and shards from it are stuck together, or shards are brought from another place and plastered with dung, even if when the dung is removed the shards remain together, it is pure, because it has lost the status of a vessel. If there is a shard that can hold a revi'it, the whole [vessel] is susceptible to impurity by contact, and [what is] opposite from it is made impure through the air. ", + "If an intact clay vessel is plastered, Rabbi Meir and Rabbi Shimon [declare] it susceptible to impurity. The Sages say, if an intact clay vessel is plastered, it is not subject to impurity. And an unsound vessel may become impure [if plastered]. And so also for the [clay] lining of a gourd. ", + "The pulp used to line large jars is subject to ritual impurity through touch. The stopper of a jar is not [considered] connected [to the jar]. Whatever touches the plaster of the oven [may become] impure. ", + "If a vessel for heating water is plastered with potter's clay or kaolin, whatever touches the clay is subject to impurity, but whatever touches the kaolin is not subject to impurity. A kettle that was perforated and repaired with pitch, Rabbi Yose [declares it] pure because it is not able to hold hot water as [it can hold] cold [water]. And so he says with regard to vessels of pitch. Vessels of copper plastered with pitch, they are pure. But if [they are] for wine, they are subject to impurity. ", + "A jar which was perforated and repaired with more pitch than needed, whatever touches the [pitch that is] necessary may become impure. [Whatever touches] the extra pitch remains pure. Pitch that drops on a jar, whatever touches it is pure. A funnel [made of] wood or of clay which is plugged with pitch, Rabbi Eliezer ben Azariah declares it subject to become impure. Rabbi Akiva declares it subject to become impure if it is of wood, but not if it is of clay. Rabbi Yose declares both of them pure. " + ], + [ + "A piece of pottery, which cannot stand because of its handle or because it has a pointed bottom, is pure [i.e., not susceptible to ritual impurity]. If the handle broke off or the point was broken off, it is pure. Rabbi Yehudah says it is impure [i.e., capable of contracting ritual impurity]. A jug which lost a piece but can still contain with its sides, or became divided like two troughs - Rabbi Yehudah says it is pure, but the Sages say it is impure. ", + "A jug which broke and cannot be carried while holding half a kav of dried figs is pure. A defective vessel which cracked and can no longer hold liquids, even though it can still hold food, is pure, because a broken utensil cannot be considered to become further broken. ", + "What is considered a defective vessel? Any whose handles were broken off. If it had hollow knobs, if it can hold olives it can become impure by touching and can make things opposite it impure through the air. If it cannot hold olives it can become impure by touching but does not make things opposite it impure. If it was laying on its side like a katedrah chair - if it can hold olives, it can become impure by touching and can make things opposite it impure through the air; if it cannot hold olives, it can become impure by touching but does not make things opposite it impure through the air. The bottom of a pointed vessel and the bottom of Sidonian cups, even though they cannot rest without support, they are impure because they were made this way. ", + "An earthenware vessel that has three lips, if the inner one extends, everything is pure; if the outer one extends, everything is impure. If the middle one extends, from it to the inside is impure, and from it to the outside is pure. If they were all even, Rabbi Yehudah says the middle one is divided, but the Sages say the entire vessel is pure. When does an earthenware vessel become susceptible to impurity? When it is fired in the kiln, and this completes its work. " + ], + [ + "An oven's minimum size [to be able to become ritually impure] is four tefachim [handbreadths in height] and its remainder [that remains impure when it is broken] is four tefachim; the words of Rabbi Meir. The Sages say, this is only true regarding a large oven; regarding a small oven, however, it beginning [point] is any [size] and its remainder is a majority [of its size] once its manufacture has been completed. What is the completion of its manufacture? Once it is kindled enough to bake a sponge cake in it. Rabbi Yehudah says, once it is kindled enough to bake a sponge cake [as] in an old oven.", + "A stove's minimum size [to become ritually impure] is three [fingerbreadths in height] and its remainder [that remains impure when it is broken] is three [fingerbreadths , once its manufacture is complete. What is the completion of its manufacture? When it is kindled enough to cook the easiest-cooking of eggs on it, scrambled and placed in a pot. A kupach [small stove or brazier] that is made to bake has the same measurement requirements as an oven. If it was made to cook, its measurement requirements are that of a stove. A stone that protrudes a tefach from the oven or a distance of three fingers from a stove is connected. If it protrudes from a kupach made for baking, the measurement is that of the oven. If from a kupach made to cook, its measurement is that of a stove. Rabbi Yehudah says, they did not say tefach except [when the protrusion is] between the oven and the wall. If there were two ovens next to each other, give each one a tefach and the rest is pure.", + "The rim of a stove is pure. The surrounding brickwork of an oven, when it is [at least] four tefachim tall, becomes impure through [an impure object's] touch or through [the object] in its air[space]. Less than this, it is pure. If it is attached [to the oven], even if on three stones, it is impure. The holder for an oil jug, the holder for a spicebox or the holder of a light on a stove, become impure through [an impure object's] contact [with the stove] but are not impure through its air[space]. These are the words of Rabbi Meir. Rabbi Yishmael says they are pure.", + "An oven that was heated from its outside, or that was that was heated without intent to complete it, or that was heated [while still] in the craftsman's house, is susceptible to impurity. There was a story that a fire fell on the ovens of Kfar Signa, and the story came to Yavneh, and Raban Gamliel ruled them susceptible to impurity.", + "The extension on a householder's oven [a thick rim on top] is pure. But that of a baker's oven is impure because he rests a spit on it. Rabbi Yochanan Hasandlar says: [It is impure] because he bakes with it [by placing dough on the inside of the rim] when he is pressured. Similarly, the extension of an olive cooker's cauldron is impure. But that of a dyer's cauldron is pure.", + "An oven half filled with earth - the part from the earth downwards contracts impurity by contact; the part from the earth upwards contracts impurity [also] from its air-space. If the oven is placed over the mouth of a cistern or over that of a cellar and a stone is placed at its side: Rabbi Yehudah says: if when heated from below it becomes also heated above it is susceptible to impurity. But the Sages say: since it was heated in any case it is susceptible to impurity. ", + "An oven which contracted impurity - how is it purified? It is divided into three parts and the plastering is scraped off so that [the oven] touches the ground. Rabbi Meir says: it is not necessary to scrape off the plastering nor is it necessary for [the oven] to touch the ground. Rather he reduces it within to a height of less than four tefachim. Rabbi Shimon says: it must be moved [from its position]. If it is divided into two parts, one large and the other small, the larger remains impure and the smaller becomes pure. If it is divided into three parts one of which was as big as the other two together, the big one remains impure and the two small ones become pure. ", + "If [the oven] is cut up by its width into rings that are each less than four tefachim in height, it is pure. If it is subsequently plastered over with clay, it becomes susceptible to impurity when it is heated to a degree that is enough for baking sponge cakes. If he distanced the plastering, and he put sand or gravel between it and the oven sides — of such an oven they said, \"A menstruant as well as a ritually pure woman may bake in it and it remains ritually pure.\" ", + "An oven which came cut up in sections from the craftsman's house and hoops are made for it and put on it, is pure. If it contracts impurity, and then the hoops are removed, it is pure. If he put them back on, it remains pure. If it is plastered with clay, it becomes susceptible to impurity, and there is no need to heat it since it was once heated. ", + "If an oven is cut into rings, and sand is placed between the rings, Rabbi Eliezer says it is pure. But the sages say it is susceptible to impurity. This is the oven of Akhnai. Arabian vats, which are holes dug in the ground and plastered with clay - if the plastering can stand by itself it is susceptible to impurity; otherwise, it is not susceptible. This is the oven of Ben Dinai. ", + "An oven of stone or of metal is pure [according to the rules applied to ovens], but [the metal one] is subject to impurity as a metal vessel. If a hole was made in it, or if it was damaged or cracked, and lined with plaster or with a rim of clay, it is subject to impurity. What must be the size of the hole [for it to be pure]? It must be big enough for the flame to come through. The same applies also to a stove: a stove of stone or of metal is not subject to impurity [according to the laws for a stove]. But [the metal one] is subject to impurity as a metal vessel. If a hole was made in it or if it was damaged or cracked but he made props for it, it is impure. If he lined it with clay, whether inside or outside, it remains pure. Rabbi Yehudah says: if [the lining was] inside, it is subject to impurity; but if outside, it remains pure. " + ], + [ + "One who puts three props into the ground and joins them [to the ground] with clay so that he can set a pot on them, [the structure] is susceptible to impurity. If he set three nails in the ground so that he could set a pot on them, even though he made a place on the top for the pot to rest, [the structure] is not susceptible to impurity. One who makes a stove of two stones, and joins them [to the ground] with clay, it is susceptible to impurity. Rabbi Yehudah says it is not susceptible to impurity unless he makes a third stone or he places it against a wall. If one stone [was joined] with clay and the other was not joined with clay, it is not susceptible to impurity. ", + "A stone on which he placed [a pot] on it and on an oven, or on it and on a double stove, or on it and on a stove, is susceptible to impurity. [If he set the pot] on it and on another stone, on it and on a rock, or on it and on a wall, it is not susceptible to impurity. And such was the stove of the Nazirites in Jerusalem which was set up against a rock. The stove of the butchers: when the stones are placed side by side, if one of the stoves contracted impurity, the others do not become impure. ", + "Three stones on which two ovens are made: if one of the outer ones became impure, the half of the middle one that serves the impure one is impure, but the [half of it] that serves the pure one remains pure. If he removed the pure one, the middle one is completely transferred to the impure one. If he removed the impure one, the middle one is completely transferred to the pure one. If the two outer ones become impure, if the middle stone was large, one outer stone is assigned a part of it that suffices for the support of a pot and the other outer stone a part of it that suffices for the support of a pot, and the remainder is pure. But if it was small, all of it is impure. If he removes the middle stone, if he can set a big pot on it [the stove], they [the outer stones] are impure. If he put it back, they all are pure. If he plastered it [the middle stone] with clay, it becomes susceptible to impurity when it is heated to a degree that suffices for the cooking of an egg. ", + "Two stones upon which a stove is made that become impure: if he put a stone near the outer side of the one and another stone near the outer side of the other, [the inner half] of each [of the inner stones] remains impure while [the outer] half of each [of these stones] is pure. If he removed the pure stones, the others return to their impurity. " + ], + [ + "The fire-basket of a householder which was decreased in size to less than three tefachim is susceptible to impurity, because when it is heated from below a pot above would still boil. If [it was decreased in size] further, it is not susceptible to impurity. If [subsequently] a stone or gravel was put into it, it is still not susceptible to impurity. If it was plastered over with clay, it may contract impurity from that point onward. This was Rabbi Yehudah's reply regarding the oven that was placed over the mouth of a cistern or over that of a cellar. ", + "A hob that has a receptacle for pots is not subject to impurity under the laws of a stove, but subject to impurity as a receptacle. Whatever touches its sides does not become impure under the laws of a stove. Its wide side: Rabbi Meir holds it to be pure, but Rabbi Yehudah holds it to be impure. The same law applies also when one turns over a basket and makes a stove upon it. ", + "A double stove which was split into two parts along its length is not subject to impurity. [If it is split along] its breadth, it is subject to impurity. A one-pot stove which was split into two parts, by its length or by its width, is not susceptible to impurity. The extension around a stove, whenever it is three finger-breadths high, contracts impurity by contact and also through its air-space, but if it is less than this it contracts impurity through contact and not through its air-space. How do they determine the air-space ? Rabbi Yishmael says: He puts a spit from above to below and through that distance it contracts impurity through the air-space. Rabbi Eliezer ben Ya'acov says: If the stove contracted impurity, the extension is also impure, but if the extension becomes impure, the stove does not become impure. ", + "If it [the extension] was detached from the stove, if it is three finger-breadths high it contracts impurity by contact and through its air-space; if it was lower or if it was smooth, it is not subject to impurity. If the clay tripod of a stove is three finger-breadths high, it contracts impurity by contact and through its air-space. If it is lower, all the more so does it contract impurity, even if [its props] were four in number. ", + "If he removed one of them [i.e. the props of the tripod], the remaining ones contract impurity by contact but not through air-space; the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says that they are not subject to impurity. If he made two props, one opposite the other, they contract impurity by contact and through air-space; the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says that they are pure. If they were more than three finger-breadths high, the parts that are three finger-breadths high and below contract impurity by contact and through air-space, but the parts that are more than three finger-breadths high contract impurity by contact and not through air-space; the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says that they are pure. If they extend beyond the rim [of the stove], the parts which are within three finger-breadths [of the rim] contract impurity by contact and through air-space, and those parts that extend out more than three finger-breadths contract impurity by contact but not through air-space; the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says that they are pure. ", + "How do they measure them [the three finger-breadths at issue]? Rabban Shimon ben Gamaliel says: he puts the measuring-rod between them, from the measuring-rod and outwards is pure; from the measuring-rod and inwards, including the place of the measuring-rod itself, is impure. " + ], + [ + "An oven which they partitioned with boards or hangings, and in it was found a sheretz [one of a number of species of reptiles and rodents] in one compartment, the entire oven is impure. If a hive is broken and its gap stopped up with straw, and it was suspended within the air-space of an oven while a sheretz was within it [the hive], the oven becomes impure. If a sheretz was within the oven, any food within the hive becomes impure. But Rabbi Eliezer says that it is pure. Rabbi Eliezer said: If it affords protection in the case of a corpse, which is more consequential, should it not afford protection in the case of an earthenware vessel, which is less consequential? They said to him: If it affords protection in the case of a corpse, it is because tents may be divided; should it also afford protection in the case of an earthenware vessel, which may not be divided? ", + "If the hive was complete, and so too in the case of a basket or a skin-bottle, and a sheretz was within it, the oven remains pure. If the sheretz was in the oven, any food in the hive remains pure. If a hole was made in it: A vessel that is used for food must have a hole large enough for olives to fall through. If it is used for liquids the hole must be large enough for liquids to pass through it. And if it is used for either, they place upon it the greater restriction: the hole need only be large enough for liquids to pass through it. ", + "Netting placed over the mouth of an oven and slightly sinking into it, and having no frame: If a sheretz was in it, the oven becomes impure; if the sheretz was in the oven, the food in the netting becomes impure, since only vessels afford protection against an impurity in an earthen vessel. If a barrel full of pure liquids is placed beneath the bottom of an oven, and a sheretz is in the oven – the barrel and the liquids remain pure. If it was inverted, with its mouth over the air-space of the oven, and a sheretz was in the oven, the liquid that clings to the sides of the barrel remains pure. ", + "A pot which was placed in an oven—if a sheretz was in the oven, the pot remains pure, since an earthenware vessel does not impart impurity to vessels. If it contained dripping liquid, it [the liquid] contracts impurity and the pot also becomes impure. It is as if this one says, \"That which made you unclean did not make me unclean, but you have made me unclean.\" ", + "If a rooster swallowed a sheretz and fell within the air-space of an oven, the oven remains pure. If the rooster died, the oven becomes impure. If a sheretz was found in an oven, any bread in it contracts second degree impurity since the oven is of the first degree. ", + "If a leavening pot with a tightly fitting lid was put in an oven, and there was some leaven and a sheretz within the pot, but there was a partition of inedible bread between them, the oven is impure but the leaven is pure. But if there was an olive's bulk of a corpse [in the pot] both the oven and the house are impure, but the leaven remains pure. If in the partition [in the leaven pot] there was an opening of one handbreadth, all become impure. ", + "If a sheretz was found in the eye-hole of an oven or of a double stove or of a single stove: If it was outside the inner edge, [the oven or stove] is pure. If it [the oven] was in the open air, even if it was an olive's bulk of corpse, it is pure. If there was [in the eye-hole] an opening of one handbreadth, it is all impure. ", + "If [a sheretz] was found in the [place in a stove] where wood is put - Rabbi Yehudah says: If it was within the outer edge, [the stove] becomes impure. But the Sages say: If it was outside the inner edge [the stove] remains pure. Rabbi Yose says: If it was found beneath the spot where the pot is placed and inwards, [the stove] becomes impure, but if it is beneath the spot where the pot is set and outwards, it remains pure. If it was found on the place where the bath-keeper sits, or where the dyer sits, or where the olive-boilers sit, [the stove] remains pure. It only becomes impure when [the sheretz] is found in the enclosed part and inwards. ", + "A pit [smelting furnace] which has a place on which a pot may be set is subject to ritual impurity. And so also an oven of glass-blowers, if it has a place on which a pot may be set, it is subject to impurity. The furnace of lime-burners, or of glaziers, or of potters is not subject to impurity. A large oven: If it has a rim, it is subject to impurity. Rabbi Yehudah says: If it has coverings. Rabban Gamliel says: if it has edges. ", + "If a person who came in contact with one who has contracted corpse impurity had food or liquids in his mouth, and he put his head into the air-space of an oven that was pure, they cause the oven to become impure. If a person who was ritually pure had food or liquids in his mouth, and he put his head into the air-space of an oven that was impure, [the food and drink] become impure. If a person was eating a pressed fig with impure hands, and he put his hand into his mouth to remove a small stone: Rabbi Meir declares [the fig] to be impure. But Rabbi Yehudah declares it pure. Rabbi Yose says: If he turned it over [in his mouth] it [the fig] is impure, but if he did not turn it over [the fig] is pure. If the person had a coin in his mouth, Rabbi Yose says: if he kept it there to relieve his thirst, it becomes impure. ", + "If [an impure] woman had milk dripping from her breasts, and it fell into the air-space of an oven, the oven becomes impure, since a liquid conveys impurity regardless of whether one wanted it there or not. If she was sweeping [the oven] out, and a thorn pricked her and she bled, or if she burnt herself and put her finger into her mouth, the oven becomes impure. " + ], + [ + "A needle or a ring which was found in the floor of an oven, and they can be seen but do not protrude into the oven - if one bakes dough and it touches them, [the oven] is impure. Regarding which dough did they speak? With regard to ordinary dough. If they are found in the plaster of an oven with a tightly fitting lid: If [the oven is] impure, they are impure; if [the oven is] pure, they are pure. If they are found in the stopper of a jar: If on the sides, they are impure. If opposite the mouth, they are pure. If they can be seen in it, but they do not enter its airspace, they are pure. If they sink into it, and there is [plaster] underneath them as thick as garlic peel, they are pure. ", + "A jar that was full of pure liquids, with a siphon in it, and it had a tightly fitting cover and it was in a tent in which there was a corpse: Beit Shammai says: Both the jar and the liquids are pure, but the siphon is impure. And Beit Hillel says: The siphon also is clean. Beit Hillel reversed its position and ruled in agreement with Beit Shammai. ", + "If a sheretz [one of a number of small creatures which transmit impurity] is found beneath the bottom of an oven, the oven remains pure, for I can say that it fell there while it was still alive and that it died only now. If a needle or a ring is found beneath the bottom of an oven, the oven remains pure, for I can say that they were there before the oven arrived. If they were found in the wood ashes, the oven is impure since there is nothing upon which to base an assumption [of purity]. ", + "If a sponge absorbed impure liquids and its outer surface became dry, and it fell into the air-space of an oven, the oven is impure, for the liquid would eventually come out. And the same with regard to a piece of turnip or reed grass. Rabbi Shimon declares [the oven] pure in both these cases. ", + "If potsherds that had been used for unclean liquids fell into the air-space of an oven, if the oven was heated, it becomes impure, for the liquid would eventually come out. And the same with regard to fresh olive pomace, but if it was old, the oven remains pure. If it was known that liquid comes out, even after three years, the oven becomes impure. ", + "If olive or grape pomace was prepared in purity, and unclean persons trod upon them and afterwards liquids came out from them, they remain pure, since they had originally been prepared in conditions of purity. A spindle hook which was sunk into the spindle, or the iron point into the ox goad, or a ring into a brick, and all these were pure, and then they went into a tent in which there was a corpse, they become impure. If a zav [male suffering from abnormal genital discharge] shifted them they become impure. If they then fell into the air-space of a clean oven, they cause it to be impure. If a loaf of terumah bread [made from the priest's portion, which must remain ritually pure] came in contact with them, it remains pure. ", + "If netting was placed over the mouth of an oven, forming a tightly fitting lid, and a split appeared between the oven and the netting, the minimum size [to allow impurity to enter] is that of the circumference of the tip of an ox goad that cannot actually enter it. Rabbi Yehudah says: [Even if it] can enter. If the netting was split, the minimum size is the circumference of the tip of an ox goad that can enter it. Rabbi Yehudah says: [Even if it] cannot enter. If the split was round they do not regard it as straight, and still the minimum size must be the circumference of the tip of an ox goad that can actually enter. ", + "If an oven has a hole made in its \"eye\", the minimum size [for it to leave the category of being tightly closed] is the circumference of a spindle staff that can enter and come out while burning [without being extinguished]. Rabbi Yehudah says: [Even if it] cannot burn. If the hole was at its side, the minimum size must be that of the circumference of a spindle staff that can enter and come out while it is not burning. Rabbi Judah says: While burning. Rabbi Shimon says: if the hole is in the middle its size must be large enough so that it can actually enter, but if it was at the side it need not be able to actually enter. And similarly he used to say concerning the stopper of a jar which was pierced: The minimum size is the circumference of the second knot in a rye stalk. If the hole was in the middle the stalk must be able to enter, and if at the side it need not be able to enter. And similarly he used to say concerning large stone jars whose stoppers became pierced. The minimum size is the circumference of the second knot in a reed. If the hole was in the middle the reed must be able to enter it, and if it was at the side the reed need not be able to enter it. When is this so? When the jars were made for wine, but if they were made for other liquids, if they have even the smallest hole, they are impure. When is this so? When the holes were not made by a person, but if they were made by a person, if they have even the smallest hole, they are impure. If [a different vessel] was pierced [the rule to render it not tightly covered] is as follows: If the vessel was used for food, [the hole] must be large enough to let olives fall out; if for liquids, [a hole] that lets out liquids; if for both, they impose the greater restriction, that for a tightly fitting cover, [the size of the hole need only be] one that admits a liquid. " + ], + [ + "The following vessels protect their contents when they have a tightly fitting cover: those made of cattle dung, of stone, of clay, of earthenware, of sodium carbonate, of the bones of a fish or of its skin, or of the bones of any animal of the sea or of its skin, and wooden vessels that not subject to impurity. They protect whether [the covers close] their mouths or their sides, whether they stand on their bottoms or lean on their sides. If they were turned over with their mouths downwards they afford protection to all that is beneath them to the deep. Rabbi Eliezer declares this impure. These protect everything, except that an earthen vessel protects only foods, liquids and earthen vessels. ", + "How do they tightly fit the cover? With lime or gypsum, pitch or wax, mud or excrement, crude clay or potter's clay, or any substance that is used for plastering. One may not make a tightly fitting cover with tin or with lead because though it is a covering, it is not tightly fitting. One may not make a tightly fitting cover with swollen fig-cakes or with dough that was kneaded with fruit juice, since it might cause it to become unfit. If he did make a tightly fitting cover [from such material] it protects. ", + "A stopper of a jar that is loose but does not fall out: Rabbi Yehudah says: it protects. But the Sages say: it does not protect. If its finger-hold was sunk within the jar and a sheretz was in it, the jar becomes unclean. If the sheretz was in the jar, any food in it becomes unclean. ", + "A ball or coil of reed grass which was placed over the mouth of a jar: if its sides were plastered, it does not protect unless it was also plastered above and below. The same is true with regard to a patch of cloth. If it was of paper or leather and bound with a cord - if he plastered it from the sides, it protects. ", + "A jar whose outer layer had been peeled off but its pitch [lining] remained intact, or also pots of fish brine which were sealed up with gypsum at a level with the brim: Rabbi Yehudah says: they do not protect. But the Sages say: they do protect. ", + "A jar which had a hole in it and wine lees stopped it up, they protect it. If he stopped it up with a vine shoot [it does not protect] until he plasters it at the sides. If there were two vine shoots, [it does not protect] unless he plastered it at the sides and also between the one shoot and the other. If a planed board was placed over the mouth of an oven, it protects if he plastered it at the sides. If there were two planed boards [it does not protect] unless he plastered at the sides and also between the one board and the other. If they were fastened together with pegs or with bamboo joints there is no need for them to be plastered in the middle. ", + "If an old oven was within a new one, and netting was over the mouth of the old [some versions: new] one: If removing the old one would cause the netting to drop, all of it it is impure; but if not, it is all pure. If a new oven was within an old one and netting was over the mouth of the old one: If there was not a tefach of space between the new oven and the netting, all the contents of the new one are pure. ", + "[Earthenware] pans one placed within the other and their rims were on the same level, and there was a sheretz in the upper one or in the lower one, that pan alone becomes impure but all the others remain pure. If [they were perforated] to the extent of admitting a liquid, and the sheretz was in the uppermost one, all become impure. If in the lowest one, that one is impure while the others remain pure. If the sheretz was in the uppermost one and the lowest projected above it, both are impure [and any between them are pure]. If the sheretz was in the uppermost and the lowest projected above it, any that have liquid enough to wet a hand in them become impure." + ], + [ + "Metal vessels, whether they are simple or form a receptacle, are susceptible to impurity. If they break, they become clean. If they were re-made into vessels, they revert to their former impurity. Rabban Shimon ben Gamliel says: this does not apply to every form of impurity but only to that contracted from a corpse. ", + "Every metal vessel that has a name of its own is susceptible to impurity, except for a door, a bolt, a lock, a socket under a hinge, a hinge, a clapper, and the [threshold] groove under a door post, since these are intended to be attached to the ground. ", + "One who makes vessels from iron ore, from smelted iron, from the hoop of a wheel, from sheets, from plating, from the bases, rims or handles of vessels, from chippings or filings, they are pure. Rabbi Yochanan ben Nuri says: even from those made of pieces of vessels. From pieces of vessels, from pieces of old vessels, or from nails that were known to have been made from vessels, are impure. From ordinary nails: Beit Shammai says: they are impure; and Beit Hillel says that they are pure. ", + "Ritually impure iron which was smelted together with pure iron: if the greater part was from the impure iron, [the vessel made from the mixture] is impure; if the greater part was from the pure [iron], [the vessel is] pure. If each was half, it is impure. The same law also applies to a mixture of cement and cattle dung. A door bolt is susceptible to impurity, but [one of wood] that is covered with metal is not susceptible to impurity. The clutch and the crosspiece [of a lock] are susceptible to impurity. A door-bolt: Rabbi Yehoshua says: he may remove it from one door and hang it on another on Shabbat. Rabbi Tarfon says: it is to him like all other vessels and it may be carried about in a courtyard. ", + "The scorpion [-shaped] bit of a bridle is susceptible to impurity, but the cheek-pieces are not susceptible. Rabbi Eliezer declares the cheek-pieces susceptible to impurity. But the Sages say that only the scorpion-bit is susceptible to impurity. And when they are joined together it is all susceptible to impurity. ", + "A metal spindle-knob: Rabbi Akiva declares it susceptible to impurity, but the Sages declare it not susceptible. If it was only plated [with metal] it is pure. A spindle, a distaff, a rod, a double flute and a pipe: if they are of metal they are susceptible to impurity, but if they are only plated [with metal] they are pure. A double flute: if it has a receptacle for the wings it is susceptible to impurity in either case. ", + "A curved horn is susceptible to impurity but a straight one is not susceptible to impurity. If its mouthpiece was covered with metal it is impure. If its broad side [is covered with metal]: Rabbi Tarfon says it is susceptible to impurity, but the Sages say it is not susceptible to impurity. When they are joined together it is all susceptible to impurity. Similarly: the branches of a candlestick are not susceptible to impurity, but the cups and the base are susceptible to impurity. When they are joined together it is all susceptible to impurity. ", + "A helmet is susceptible to impurity but the cheek-pieces are not susceptible. But if they have a receptacle for water they are susceptible to impurity. All weapons of war are susceptible to impurity: a javelin, a spear-head, metal boots, and a breastplate are susceptible to impurity. All women's ornaments are susceptible to impurity: a \"city of gold\" [a kind of tiara], a necklace, earrings, finger-rings, a ring whether it has a seal or does not have a seal, and nose-rings. A necklace which has metal beads on a thread of flax or wool and the thread broke, the beads are still susceptible to impurity, since each one is a vessel in itself. A thread of metal and the beads were of precious stones or pearls or glass, and the beads were broken while the thread alone remained, it is still susceptible to impurity. The remnants of a necklace [are susceptible] as long as there is enough for the neck of a little girl. Rabbi Eliezer says: even if only one ring remained it is susceptible, for they hang it around the neck. ", + "If an earring was shaped like a pot at its bottom and like a lentil at the top and it fell apart, the pot-shaped section is susceptible to impurity because it is a receptacle, while the lentil shaped section is susceptible to impurity in itself. The hook is pure. If it was in the shape of a cluster of grapes and it fell apart, they are pure. " + ], + [ + "A ring for a person is susceptible to impurity. A ring for cattle or for vessels and all other rings are not susceptible to impurity. A beam for arrows is susceptible to impurity, but one for prisoners is pure. A prisoner's collar is susceptible to impurity. A chain that has a lock-piece is susceptible to impurity. But that used for tying up cattle is pure. The chain used by wholesalers is susceptible to impurity. That used by householders is pure. Rabbi Yose said: When is this so? When it comes from one door, but when it comes from two doors or if it had a snail[-shaped] piece at its end, it is susceptible to impurity. ", + "If one purchases the scales of wool-dealers, they are subject to impurity, because of the hooks. Of householders, if they have hooks, they are impure. Carriers' hooks are pure. Of merchants, impure. Rabbi Yehudah says, [hooks] of merchants, what is before him is impure, and what is behind him is pure. The hooks of a footstool are impure. Of poles on a bedstead, pure. Of a strongbox, impure. Of a reed-basket, pure. Of a table, impure. Of a wooden lamp, pure. This is the rule: All [hooks] that are attached to something subject to impurity are also subject to impurity. All [hooks] that are attached to something not subject to impurity are also not subject to impurity. All [hooks] that are [detached so that] each one is by itself, are pure.", + "The metal cover of a householder's box: Rabban Gamliel declares it impure, and the Sages declare it pure. [Covers of boxes] belonging to doctors are impure. The door to a cabinet: belonging to householders, pure. Belonging to doctors, impure. Potholders are impure. Bars of a grate are pure. The iron-shod press beam of an olive press is impure. Hooks that are in the wall are pure.", + "A blood letter's lancet is impure. The style of a sundial is pure. Rabbi Zadok declares it impure. The pin of a weaver is impure. The chest of grist-makers: Rabbi Zadok declares it impure and the Sages declare it pure. If its wagon is made of metal, it is impure.", + "A pin that was prepared to be used [as a key] to open and shut is impure. One that is made for guarding is pure. A pin that was prepared to open a jug: Rabbi Akiva declares it impure and the Sages declare it pure, unless they are attached. The pin of a money changer is pure; Rabbi Zadok declares it impure. Three things Rabbi Zadok declares impure that the Sages declare pure: The pin of a money changer, the chest of grist-makers, and the style of a sundial; Rabbi Zadok declares them impure and the Sages declare them pure. ", + "Four things Rabban Gamliel declares impure that the Sages declare pure: The metal cover of a householder's box, the hooked handle of a scraper, unfinished metal utensils, and a plank that has split in two. The Sages agree with Rabban Gamliel on a plank split in two, one [part] large and one small, that the large is impure and the small is pure.", + "An invalid dinar that was prepared to be hung around a child's neck is impure. So too, an invalid sela that was prepared to be used as a weight is impure. How much can be invalid and be permissible to use? Up until [a] two dinar [coin]. Less than that, it should be cut up.", + "The pen-knife, the writing pen, the plumb-line, the plummet, the tool for crowding olives into a vat, the ruler, and the base of the scale are impure. All unfinished wooden instruments are impure except those made of [wood of] the boxwood tree. Rabbi Yehudah says, even one made of an olive shoot is pure until it is trimmed." + ], + [ + "The sword, the knife, the dagger, the spear, the hand sickle, the grain sickle, the hair-pincers, the pair of scissors that were separated - these are subject to impurity. Rabbi Yosi says: [the portion] close to the hand is impure; [the portion] close to the head is pure. Scissors that have been separated in two - Rabbi Yehuda declares them impure, but the Sages declare them pure.", + "A koligrifon [tool with one end for placing bread into, and removing it from, the oven, and the other end for raking coals] whose spoon has been removed is susceptible to impurity on account of its teeth [of the rake end]. If its teeth have been removed, it is still susceptible on account of its spoon. A mikchol [used for cleaning out ears and applying eye makeup] whose spoon is missing is susceptible to impurity on account of its point; if its point was missing, it is still susceptible on account of its spoon. A stylus whose writing point is missing is susceptible to impurity on account of its eraser; if its eraser is missing, it is susceptible on account of its writing point. A zoma listra [kitchen tool with a ladle at one end and fork at the other] whose ladle is removed is susceptible to impurity on account of its fork; if its fork is missing, it is susceptible on account of its ladle. So too with regard to the prong of a mattock. The minimum for all these instruments [to render them subject to ritual impurity]: so long as they can perform their usual work. ", + "A coulter [of a plow] that is damaged is susceptible to impurity until its greater part is removed. But if its shaft-socket is broken it is pure. A hatchet whose cutting edge is lost is susceptible to impurity on account of its splitting edge. If its splitting edge is removed, it remains susceptible on account of its cutting edge. If its shaft-socket is broken it is pure. ", + "An ash-rake whose shovel end was removed is susceptible to impurity, since it is like a hammer: the words of Rabbi Meir. The Sages declare it pure. A saw missing every other tooth is pure. But if a m'lo hasit [distance between the splayed thumb and forefinger] of consecutive teeth remained, it is susceptible to impurity. An adze, scalpel, plane, or drill that was damaged is susceptible to impurity. If its steel edge was missing it is clean. In all these cases if it was split into two, both [parts] remain susceptible to impurity, except for the drill. The block of a plane by itself is pure. ", + "A needle whose eye or point was removed is pure. If he fixed it for stretching [a garment] it is susceptible to impurity. A pack-[needle] whose eye was removed is still susceptible to impurity since one writes with it. If its point was removed it is pure. A stretching-pin is in either case susceptible to impurity. A needle that has become rusty: If the rust blocks it from sewing it is pure, but if not it remains susceptible to impurity. A hook that was straightened out is pure; if it is bent back it resumes its susceptibility to impurity. ", + "Wood that serves a metal vessel is susceptible to impurity, but metal that serves a wooden vessel is pure. How so? If a lock is of wood and its clutches are of metal, even if only one of them is so, it is susceptible to impurity; but if the lock is of metal and its clutches are of wood, it is pure. If a ring was of metal and its seal of coral, it is susceptible to impurity; but if the ring was of coral and its seal of metal, it is pure. The tooth in the plate of a lock or in a key is susceptible to impurity by itself. ", + "Ashkelon grappling-irons which broke, but their hooks remained, are susceptible to impurity. If a pitch-fork, winnowing-fan, or rake, and similarly a hair-comb, lost one of its teeth and it was replaced by one of metal, it is susceptible to impurity. And concerning all these Rabbi Yehoshua said: The scribes have here introduced a new principle of law, and I have no explanation to offer. ", + "A flax-comb whose teeth were removed but two remained is still susceptible to impurity. If only one [remained] it is pure. As regards all the teeth, each one individually is susceptible to impurity. A wool-comb: if one tooth out of every two was removed it is pure. If three consecutive teeth remained, it is susceptible to impurity. If the outermost tooth was one of them, [the comb] is pure. If two teeth were removed from the comb and made into a pair of tweezers, they are susceptible to impurity. Even if one [was removed] but it was fixed it to be used for a lamp or as a stretching-pin, it is susceptible to impurity. " + ], + [ + "[Broken] metal vessels: what is the minimum size of [for them to be susceptible to impurity]? A bucket - large enough to draw water with it. A kettle - large enough so that water can be heated in it. A boiler - large enough to hold selaim [coins]. A cauldron - large enough to hold jugs. Jugs - large enough to hold perutot [small coins]. Wine-measures - [large enough to hold] wine, and oil-measures - [large enough to hold] oil. Rabbi Eliezer says: for all these, large enough to hold perutot. Rabbi Akiva says: a vessel that lacks trimming its edges is susceptible to impurity, but one that lacks polishing is pure. ", + "A staff that he attached to its end a pin like an adze is susceptible to impurity. If he studded it with nails it is susceptible to impurity. Rabbi Shimon says: [it is not subject] until he makes three rows. In all cases if he put them in as ornamentation the staff is pure. If he made a tube on its end, and so also in the case of a door, it is pure. If it was once an independent vessel and then it was fixed to the staff, it remains susceptible to impurity. When does it become pure? Beit Shammai says: when it is damaged; Bet Hillel says: when it is joined on. ", + "A builder's staff and a carpenter's axe are susceptible to impurity. Tent-pegs and surveyors’ pegs are susceptible to impurity. A surveyor's chain is susceptible to impurity. One used for wood is clean. The chain of a big bucket [is susceptible to impurity to a length of] four tefachim [handbreadths], and that of a small one [to a length of] ten tefachim. A blacksmith's stand is susceptible to impurity. A saw whose teeth he made in a hole susceptible to impurity. If he made them from below upwards it is pure. All covers are pure except that of a boiler.", + "The parts of a wagon that are susceptible to impurity: the metal yoke, the cross-bar, the side-pieces that hold the straps, the iron bar under the necks of the cattle, the pole-pin, the neck-chain, the trays, the clapper, the hook, and any nail that holds any of its parts together.", + "The parts of a wagon not subject to impurity: the yoke that is plated [with metal], side-pieces made for ornamentation, tubes that make noise, the lead at the side of the necks of the cattle, the rim of the wheel, the plates and mountings, and all other nails, all of these are pure. Metal shoes for cattle are susceptible to impurity but those made of cork are pure. A sword: when does it become susceptible to impurity? When it has been polished. And a knife? When it has been sharpened. ", + "A metal basket-cover which he made into a mirror: Rabbi Yehudah rules that it is pure, but the Sages rule that it is susceptible to impurity. A broken mirror: if it does not reflect the greater part of the face, it is pure. ", + "Metal vessels become impure and are purified even when broken: the words of Rabbi Eliezer. Rabbi Yehoshua says: they can be made pure only when they are whole. How so? If he sprinkled upon them [the purifying water made with ashes of the red heifer] and on the same day they were broken, and then they were recast, and he sprinkled upon them again on the same day, they are pure, the words of Rabbi Eliezer. Rabbi Yehoshua says: there can be no effective sprinkling except on the third and the seventh day. ", + "A knee-shaped key that was broken off at the knee is pure. Rabbi Yehudah declares it impure because he can open with it from within. A gamma-shaped [key] that was broken off at its gamma (shorter) arm is pure. If it had the teeth and the gaps it remains impure. If the teeth were removed it is still impure on account of the gaps; if the gaps were blocked up it is impure on account of the teeth. If the teeth were removed and the gaps were blocked up, or if they were merged into one another, it is pure. A mustard-strainer in which three holes opened up in its bottom, and they merged into one another, is pure. And a metal mill-funnel is impure. " + ], + [ + "Wooden vessels, leather vessels, bone vessels or glass vessels: those that are simple are clean and those that have a receptacle are susceptible to impurity. If they are broken they become pure again. If he remade them into vessels they are susceptible to impurity from that point on. A chest, a box, a cupboard, a straw basket, a reed basket, or the tank of an Alexandrian ship, that have flat bottoms and can hold a minimum of forty se'ah in liquid measure, which is equivalent to two kor in dry measure, are pure. All other vessels, whether they can contain the minimum or cannot contain it, are susceptible to impurity: the words of Rabbi Meir. Rabbi Yehudah says: the large barrel [fixed to] a wagon, the food chests of kings, the tanners trough, the tank of a small ship, and an ark, even though they are able to contain [the minimum], are susceptible to impurity, since they were made to be moved around only with their contents. As to all other vessels, those that can contain [the minimum] are pure and those that cannot contain it are susceptible to impurity. There is no difference between Rabbi Meir and Rabbi Yehudah except a baking trough which belongs to a householder. ", + "Bakers’ baking-boards are susceptible to impurity, but those of householders are clean. If he dyed them red or saffron they are susceptible to impurity. A bakers’ shelf which was fixed to a wall: Rabbi Eliezer rules that it is pure, and the Sages rule that it is susceptible to impurity. The bakers' frame is susceptible to impurity but one used by a householder is pure. If he made a rim for it on four sides it is susceptible to impurity. If one side was opened it is pure. Rabbi Shimon says: if he fixed it so that he could cut dough on it, it is susceptible to impurity. Similarly, a rolling-pin is susceptible to impurity. ", + "The container of the flour-dealers’ sifter is susceptible to impurity, but the one of a householder is pure. Rabbi Yehudah says: also one that is used by a hair braider is susceptible to seat impurity, since girls sit in it and have their hair braided. ", + "All hangers are susceptible to impurity, except for a hanger used for a sifter or a sieve that belong to householders: the words of Rabbi Meir. But the Sages say: all hangers are clean, except for a hanger used for a sifter of flour-dealers, a hanger used for a sieve used on threshing-floors, a hanger used for a hand-sickle and a hanger for a constable's staff, since they aid when the instrument is in use. This is the general rule: [a hanger] that is made to aid when the instrument is in use is susceptible to impurity and one made only for hanging is pure. ", + "The grist-dealers’ shovel is susceptible to impurity. The one used in grain stores is pure. The one used in wine-presses is susceptible to impurity. The one used on threshing- floors is clean. This is the general rule: [a shovel] that is intended to hold anything is susceptible to impurity but one intended only to gather together is pure. ", + "Ordinary harps are susceptible to impurity, but the harps of the Levites are pure. All liquids are susceptible to impurity, but the liquids in the [Temple] slaughtering house are clean. All sefarim [books of the Tanach written in holiness, on parchment, and used for personal or public study, or for reading aloud in public. Sometimes the intent is specifically Torah scrolls] convey impurity to the hands, except the scroll [kept in] the Temple courtyard. A wooden toy horse is clean. The belly-lute, the donkey-shaped musical instrument and the erus [a musical instrument used at weddings and funerals] are susceptible to impurity. Rabbi Judah says: the erus is susceptible to sitting impurity since the wailer sits on it. A weasel-trap is susceptible to impurity, but a [trap] for mice is pure. " + ], + [ + "A wooden vessel that was broken into two becomes clean, except for a folding table, a dish with compartments for [different kinds of] food, and a householder's footstool. Rabbi Yehudah says: also a double dish and a Babylonian drinking vessel are the same. When do wooden vessels begin to be susceptible to impurity? A bed and a cot, after they are sanded with fish skin. If the owner determined not to sand them they are susceptible to impurity. Rabbi Meir says: a bed [becomes susceptible to impurity] when he knits three rows of meshes.", + "Wooden baskets [become susceptible to impurity] as soon as he rounds their rims and smooths the edges. But those that are made of palm-branches [become susceptible to impurity] even though their ends were not smoothed off on the inside, since they leave them like this. A basket [of reed-grass becomes susceptible to impurity] as soon as he rounds its rims and smooths the edges, and finishes its hanger. A wicker basket for flasks or for cups [is susceptible to impurity] even if he did not smooth the rough ends on the inside, since they leave them like this. ", + "Small reed baskets and baskets [become susceptible to impurity] as soon as he rounds off their rims and smooths their rough ends. Large reed baskets and large hampers, as soon he makes two rows for their wide sides. The container of a sifter or a sieve and a cup of the balances, as soon as he makes one circling band for their wide sides. A willow basket, as soon as he makes two twists around its wide sides. And a rush sieve basket, as soon as he makes one twist around it. ", + "When do leather vessels become susceptible to impurity? A leather pouch, as soon as he stitches its hem, and smooths its rough ends and makes its straps. Rabbi Yehudah says: so soon as he makes its ears. A leather apron [becomes susceptible to impurity] as soon as he stitches its hem, and smooths its rough ends and makes its strings. Rabbi Yehudah says: as soon as he makes its loops. A leather bed cover [becomes susceptible] as soon as he stitches its hem and smooths its rough ends. Rabbi Yehudah says: as soon as he makes its straps. A leather cushion or mattress [becomes susceptible] as soon as he stitches its hem and smooths its rough ends. Rabbi Yehudah says: as soon as he sews it up and leaves open less than five tefachim. ", + "A basket [for figs] is susceptible to impurity, but a basket for wheat is not susceptible. Small baskets made of leaves are pure, but those made of branches are susceptible to impurity. The palm wrapping [in which dates are left] and into which they can be easily put and from which they can easily be taken out is susceptible to impurity, but if this cannot be done without tearing it or untying it, it is pure. ", + "The leather glove of winnowers, of travelers, or of flax workers is susceptible to impurity. But the one for dyers or blacksmiths is pure. Rabbi Yose says: the same applies to the glove of grist dealers. This is the general rule: that which is made for receiving anything is susceptible to impurity, but that which only offers protection against perspiration is pure. ", + "The dung bag of a bull, its muzzle, the bottom board of a beehive, and a fan are pure. The cover of a small box is susceptible to impurity; the cover of a clothes chest is pure. The cover of a box, the cover of a basket, a carpenter's vice, a cushion under a box or its arched cover, a reading-desk for a book, a bolt-socket, a lock-socket, a mezuzah case, a lyre case, a violin case, the block of the turban-makers, a wooden musical toy horse, the clappers of a wailing woman, a poor man's parasol, bed posts, a tefillin mold, and the mold of string makers — all these are pure. This is the general rule, Rabbi Yose said: all objects that serve as a protection to objects that a person uses, both when they are being used and when they are not being used, are susceptible to impurity; but those that [serve them as a protection] only when they are in use are pure. ", + "The sheath of a sword, a knife or a dagger, the case for scissors, or shears or a razor, the case for make-up and the make-up box, the stylus case, the compass case, the tablet case, the case for a board, a quiver and a javelin case — all these are susceptible to impurity. The case for a double flute is susceptible to impurity if the instrument is put in from above, but if it is put in from the side it is pure. A case for flutes—Rabbi Yehudah declares it is pure because he puts it in from the side. The covering of a club, a bow or a spear are all pure. This is the general rule: that which serves as a case is susceptible to impurity, but that which is a covering is pure. " + ], + [ + "All vessels [of wood, leather or bone] that belong to householders [become pure if they become pierced with holes] the size of pomegranates. Rabbi Eliezer says: [the size of the required hole depends] on what it is used for. Gardeners’ vegetable baskets [become pure if the holes in them are] the size of bundles of vegetables. Baskets of householders [become clean if the holes in them are] the size of [bundles] of straws. Those of bath-keepers, if bundles of chaff [will drop through]. Rabbi Yehoshua says: in all these the size is that of pomegranates. ", + "A skin bottle [becomes clean if the holes in it are of] a size through which warp-stoppers [can fall out]. If a warp-stopper cannot be held in, but it can still hold a woof-stopper, it remains impure. A dish holder that cannot hold dishes but can still hold trays remains impure. A chamber-pot that cannot hold liquids but can still hold excrement remains impure. Rabban Gamliel declares it pure since people do not usually keep one that is in such a condition. ", + "Bread-baskets [become pure if] the size [of their hole is such] that loaves of bread [would fall through]. Papyrus frames into which he inserted reeds from the bottom upwards to strengthen them, are pure. If he made walls for them, they are susceptible to impurity. Rabbi Shimon says: if it cannot be lifted up by these walls it is pure. ", + "The pomegranates of which they have spoken--three attached to one another. Rabban Shimon ben Gamliel says: in a sifter or a sieve [the size of the hole must be such that a pomegranate will drop out] when one picks it up and walks about with it. In a basket it must be such [as would allow a pomegranate] to fall through while he hangs it behind him. And all other vessels which cannot hold pomegranates as, for instance, the quarter kav measure and the half quarter kav measure, and small baskets, the size [of their holes must be] such as would extend over the greater part of them, the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says: [the size of their hole must be such that] olives [could fall through]. If their sides were broken [the size of their hole must be] such as olives would drop through. If they are worn away the size must be such as would allow the objects which are usually kept in them [to drop through]. ", + "The pomegranate that is spoken of is neither small nor big, but medium-sized. Why is a Badan pomegranate mentioned? Because they consecrate [i.e., if they are orlah they forbid a mixture to which they are added] even with the smallest amount, these are the words of Rabbi Meir. Rabbi Yohanan ben Nuri says, to measure the utensils with them. Rabbi Akiva says, they were mentioned for both reasons, to measure the utensils with them and because they consecrate even with the smallest amount. Rabbi Yose said, Badan pomegranates and Geba leeks were only mentioned because they need to be tithed with certainty in every case [e.g., when bought from amei ha'aretz]. ", + "[The measurement of] the egg that was mentioned is neither large nor small, but medium-sized. Rabbi Yehudah says, Bring the biggest of the big and the smallest of the small, put them in water, and divide the water [that is displaced]. Rabbi Yose said, Who will tell me which is big and which is small? Rather, it is according to the understanding of the observer. ", + "[The measurement of] the dried fig that was mentioned is neither large nor small, but medium-sized. Rabbi Yehudah says, The biggest in the land of Israel is the medium-sized of other lands.", + "[The measurement of] the olive that was mentioned is neither large and not small, but medium-sized; this is the egori [olive]. The barley-grain that was mentioned is not large and not small, but medium-sized; this is midbarit [barley]. The lentil that was mentioned is neither large nor small, but medium-sized; this is the Egyptian [lentil]. All movable goods impart impurity [by forming a \"tent\" over a dead body and other items] if they are the thickness of a shepherd's staff - neither large nor small, but average. What is average? Any which has a circumference of a tefach. ", + "The amah [cubit] that was mentioned is an average amah, and two amah measures were at the Shushan Habirah [area of the Temple], one in the northeastern corner and one in the southeastern corner. The one which was in the northeastern corner was greater than that of Moses by half a fingerbreadth. The one that was in the southeastern corner was greater than it by half a fingerbreadth; therefore, it is greater than that of Moses by a fingerbreadth. And why did they say [there must be] one large and one small? So that the workmen could take according to the small and return according to the large, so that they would not misappropriate consecrated goods. ", + "Rabbi Meir says: all amot were of the medium length except for that of the golden altar, [and] the horns, the surround and the base [of the copper altar]. Rabbi Yehudah says: the cubit used for building was one of six tefachim and that for the vessels was of five tefachim. ", + "And sometimes they stated a smaller measure: Liquid and dry measures were measured with the Italian standard which was the one that was used in the wilderness. Sometimes they stated [a measure] according to the individual concerned: One who takes the handful of a grain offering; one who takes both hands full of incense; one who drinks a cheekful on Yom Kippur; and the two meals for an eruv: food for the weekday and not Shabbat, the words of Rabbi Meir. Rabbi Yehudah says: for Shabbat but not for the weekday. And both intended to give the more lenient ruling. Rabbi Shimon says: two thirds of a loaf, when three [loaves] are made of a kav [of flour]. Rabbi Yochanan ben Beroka says: a loaf that is purchased for a pundion [when the price of wheat] is four se'ah for a sela. ", + "And sometimes they stated a large measure: A ladleful of corpse mold refers to the big ladle of doctors; the split bean in the case of skin disease refers to the Cilician kind; one who eats on Yom Kippur a quantity of the bulk of a large date, refers to the size of the date and its pit; in the case of skins of wine and oil [the holes] must be as big as their large stopper; in the case of a hole for light that was not made by human hands, the minimum size of it is that of a large fist, referring to the fist of Ben Batiah. Rabbi Yose said: And it is as big as a large human head. And in the case of one made by human hands, the prescribed size is that of the large drill in the Temple chamber, which is the size of the Italian pundion, or the Neronian sela, or like the hole in a yoke. ", + "Anything that lives in the sea is pure, except the sea-dog, because it seeks refuge on dry land: the words of Rabbi Akiva. If one made vessels from what grows in the sea and joined to them anything that grows on land, even if only a thread or a cord, if it is susceptible to impurity, they are impure. ", + "There are things that were created on the first day that are susceptible to impurity. On the second day, nothing created is susceptible to impurity. On the third day, there are things susceptible to impurity. On the fourth day and on the fifth day, nothing created is susceptible to impurity except for the wing of the vulture or an ostrich-egg that is plated. Rabbi Yohanan ben Nuri said: Why should the wing of a vulture be different from all other wings? Anything created on the sixth day is susceptible to impurity. ", + "If one makes a receptacle, whatever its size it is susceptible to impurity. If one makes a couch or a bed, whatever its purpose it is susceptible to impurity. If one makes a wallet from untanned hide or from papyrus, it is susceptible to impurity. A pomegranate, an acorn or a nut which children hollowed out to measure dust, or fixed into a pair of scales, are susceptible to impurity, since the children did the act without intention [to fix the scales to the ground]. ", + "An arm of a scale or the leveling-rod that has a compartment in it for metal, and the yoke that has a compartment in it for money, and a poor person's cane that has a compartment in it for water, and a walking stick that has a compartment in it for a mezuzah or pearls - these are susceptible to impurity. And about all of these Rabbi Yochanan ben Zakkai said, \"Woe is me if I speak! Woe is me if I do not speak!\"", + "The base of the goldsmiths’ anvil is susceptible to impurity, but that of the blacksmiths is pure. A sharpening-board which has a receptacle for oil is susceptible to impurity, but one that has none is pure. A writing-tablet that has a receptacle for wax is susceptible to impurity, but one that has none is pure. A straw mat or a tube of straw: Rabbi Akiva declares it is susceptible to impurity, but Rabbi Yohanan ben Nuri declares it pure. Rabbi Shimon says: the hollow stalk of colocynth is subject to the same law. A mat of reeds or rushes is pure. A reed-tube that he cut for receiving anything remains pure until he removes all the pith. " + ], + [ + "A wooden chest: Beit Shammai says: it is measured on the inside; and Beit Hillel says: it is measured on the outside. Both agree that the thickness of the legs and the thickness of the rim are not measured. Rabbi Yose says: both agree that the thickness of the legs and the thickness of the rim are measured but the space between them is not measured. Rabbi Shimon Shezuri says: if the legs are one handbreadth high the space between them is not measured, and if not, [the space is] measured. ", + "Its carriage: if it can be slipped off, it is not regarded as connected, nor is it included in its measurement, nor does it afford protection together with it in the tent of a corpse, nor may it be dragged on Shabbat when there is money in it. If it cannot be slipped off, it is regarded as connected, it is included in its measurement, it affords protection together with it in the tent of a corpse, and it may be dragged on Shabbat even if it contains money. Its arched top, if it is fixed [to the box], is considered connected and is measured with it, but if it is not fixed it is not connected and is not measured with it. How is it measured? By triangulating with a string. Rabbi Yehudah says: if it cannot stand by itself it is pure. ", + "A chest, a box or a cupboard from which one of the legs was removed, even though it is still capable of holding [things], it is pure, as it cannot hold [things] in the usual manner. Rabbi Yose says: it is susceptible to impurity. The poles of a bed, its base, and [its] covering are pure. Only the bed itself and its frame are susceptible to impurity. The bed frames of the Levites are pure. ", + "A bed frame that is put on props: Rabbi Meir and Rabbi Yehudah say it is susceptible to impurity, but Rabbi Yose and Rabbi Shimon say that it is pure. Rabbi Yose said: Why is this different from the bed frames of the Levites, which are pure? ", + "A bed that had contracted midras impurity [transmitted by sitting]: If a short side was removed and its two legs it is impure. But if a long side and two legs were removed it becomes pure. Rabbi Nehemiah says: it is impure. If he chopped off two props at opposite corners, or if he chopped off two legs at opposite corners, or if he reduced the bed to less than a tefach [handbreadth] high, it becomes pure. ", + "A bed that had contracted midras impurity: If the long side of it was broken and then he repaired it, it still retains its midras impurity. If the second side was also broken and then he repaired it, it becomes purified from midras impurity, but is impure due to contact with [an object impure through] midras. If he did not have a chance to repair the first side before the second side broke, the bed becomes pure. ", + "If a [bed] leg that had contracted midras impurity is attached to a bed, all the bed contracts midras impurity. If he removed [the leg], it retains its midras impurity, while the bed is [impure due to] contact with [an object impure through] midras. If a bed leg that was subject to a seven-day impurity [through exposure to a corpse] was joined to a bed, all the bed contracts seven-day impurity. If he removed it, it retains its seven-day impurity, while the bed is only subject to evening impurity. If a leg that was subject to evening impurity was joined to a bed, all the bed contracts evening impurity. If he subsequently removed it, it is still subject to evening impurity, and the bed becomes pure. The same law applies also to the prong of a mattock. ", + "A tefillin box [worn on the head] consisting of four compartments: if he removed the first compartment, and then he affixed [another], it retains its corpse impurity, and so too with the second and the third [compartments]. If he removed the fourth [compartment], it becomes purified from corpse impurity, but it remains impure from contact with [an object impure through] corpse impurity. If he went back to the first compartment and removed it and affixed [another], it remains impure from contact [with an object impure through corpse impurity]. So too with the second [compartment]. If he then removed the third compartment and affixed [another], it becomes pure, since the fourth was impure from contact, and what is impure from contact cannot convey impurity by contact. ", + "A bed, half of which was stolen or lost, or one which brothers or joint owners divided, becomes pure. If it is restored [to its former state], it is susceptible to impurity from that point onward. A bed may contract impurity when all its parts are bound together and be purified [through immersion in a mikveh in that state], the words of Rabbi Eliezer. But the sages say: it contracts impurity in its individual parts, and must be purified [by immersing] its individual parts. " + ], + [ + "One who takes apart a bed in order to immerse it and [while doing so] touches the ropes remains pure. The rope: when does it begin to be considered connected with the bed? Once he knots three rows of meshes. And [if another rope was tied to this one] and a person touches it: If from the knot inwards, he becomes impure, but if from the knot outwards, he remains pure. As to the loose ends of the knot, one who touches that part which is needed for [the knot] becomes impure. And how much is needed for it? Rabbi Yehudah says: three fingerbreadths. ", + "A rope that hangs out from a bed: If it is shorter than five tefachim [handbreadths], it is pure; if it is from five to ten tefachim long, it is impure. From ten tefachim and longer, it is pure, for it is with [this rope] that they tie paschal lambs [to the bed, to control them until Pesah], and lower down beds. ", + "A mattress strap that hangs over the bed [is impure] whatever its length; the words of Rabbi Meir. Rabbi Yose says: up to ten tefachim. The remnant of a mattress strap remains unclean if the length is at least seven tefachim, enough to make a donkey's saddle girth. ", + "If he carried a zav [a male with an abnormal genital discharge] on a bed [with] its mattress strap, [the latter] causes impurity [onward] to the second degree and unfitness [onward] to the first degree; the words of Rabbi Meir. Rabbi Yose says: if he carried a zav on a bed with its mattress strap, [if its length is up to] ten tefachim it causes impurity to the second degree and unfitness to the first degree, but if it is over ten tefachim, it causes only impurity to the first degree and unfitness to the first degree. If he carried [a zav] on the mattress strap [but the zav did not touch the actual bed], [if the strap is] shorter than ten tefachim, it becomes impure, but if it was longer than ten tefachim, it remains pure. ", + "If a bed had midras impurity and one wrapped a mattress strap around it, the whole becomes impure through midras impurity. If he removed it, the bed remains impure through midras impurity, but the mattress strap is impure only from contact with midras impurity. If it had seven-day impurity [from exposure to a corpse] and one wrapped a mattress strap around it, the whole becomes impure from seven-day impurity. If he removed it, the bed remains impure through seven-day impurity, but the mattress strap is impure [only] until the evening. If the bed was impure until evening, and he wrapped a mattress strap around it, the whole becomes impure until evening. If he removed it, the bed remains impure until evening, but the mattress strap becomes pure. ", + "If he wrapped a mattress strap around a bed, and a corpse touched them, they become impure from seven-day impurity. If they are taken apart, they are still impure from seven-day impurity. If a sheretz [one of a number of creeping creatures mentioned in the Torah as causing impurity] touched them, they are impure until evening. If they are taken apart, they are still impure until evening. If a bed [which is impure] has its two longer sides removed, and two new ones made for it, but its original sockets were not changed - if the new sides become broken, the bed remains impure, but if the old ones were broken, it becomes pure, since everything depends on the old ones. ", + "A box whose opening is at the top is susceptible to corpse impurity. If it was damaged above, it is still susceptible to corpse impurity. If it was damaged below, it becomes pure. The compartments within it remain impure, and are not regarded as connected to it. ", + "A shepherd's bag whose pocket was damaged, [the pocket] within it retains its impurity and [the set of pouches within] is not regarded as connected to it. If a skin vessel has scrotal sacs that serve also as receptacles and they were damaged, they become pure, since they will no longer serve their original purpose.", + "A box whose opening is at its side is susceptible to both midras impurity and corpse impurity. Rabbi Yose said: When does this apply? When it is less than ten tefachim in height or when it does not have a rim one tefach deep. If it was damaged above, it is still susceptible to corpse impurity. If it was damaged below: Rabbi Meir declares it susceptible to impurity. But the Sages declare it pure, because if its primary function is annulled, the secondary one is also annulled. ", + "A dung-basket that was damaged so that it will not hold pomegranates: Rabbi Meir declares it susceptible to impurity, but the Sages say that it is pure, because if its primary function is annulled, the secondary one is also annulled. " + ], + [ + "Pillows, bed coverings, sacks and packing cases that were damaged are still susceptible to midras impurity [transmitted by sitting or lying]. A fodder-bag that can hold four kav, a shepherd's bag that can hold five kav, a traveling bag that can hold a se'ah, a skin that can hold seven kav, Rabbi Yehudah adds: also a spice-bag, and a food wallet that can hold the smallest quantity are susceptible to midras impurity. If any of them was damaged it becomes pure, since if the primary function is annulled, the secondary function is also annulled. ", + "A bagpipe is not susceptible to midras impurity. A trough for mixing mortar: Beit Shammai says: it is susceptible to midras impurity, and Beit Hillel says it is susceptible to corpse impurity [only]. A trough that can hold two log to nine kav which becomes split, becomes susceptible to midras impurity. If he left it out in the rain and it became damaged, it is susceptible to corpse impurity [only]. [If he left it out] during the east wind and it split, it is susceptible to midras impurity. This is a stringency in the case of remnants of wooden vessels [that is more severe] than [that of such vessels] in their original condition. There is also a stringency in regard to the remnants of wicker vessels [that is more severe] than [to such vessels] in their original condition, for when they are in their original condition they are not susceptible to impurity until their rim is finished, but after their rim has been finished, even though their edges fell away leaving only the smallest amount, they are susceptible to impurity. ", + "A stick which was made into a handle for a hatchet is regarded as connected for [purposes of susceptibility to] impurity at the time of use. A yarn winder is regarded as connected for [purposes of susceptibility to] impurity at the time of its use. If he fixed it to a pole, it is susceptible to impurity, but it is not considered connected to [the pole]. If he made the pole itself into a yarn winder, only that part which is needed for use is susceptible to impurity. A seat that he fixed to a pole is susceptible to impurity, but it is not regarded as connected to [the pole]. If he made the pole itself into a seat, only the place of the seat is susceptible to impurity. [If he fixed a seat] to the beam of an olive-press, it is susceptible to impurity, but it is not regarded as connected to [the beam]. If he made the end of a beam into a seat it remains pure, because people would say to him, \"Get up and let us do our work.\" ", + "A large trough, which was so damaged that it could no longer hold pomegranates, and which he repaired it to be used as a seat: Rabbi Akiva declares it susceptible to impurity, but the Sages declare it pure until he trims it. If he made it into a feeding bowl for cattle, even if he fixed it to a wall, it is susceptible to impurity. ", + "A wood block that he fixed to a row on a wall, whether he fixed it and did not built upon it, or built upon it but did not fix it, is susceptible to impurity. If he fixed it and also built upon it, it is pure. Matting that he spread over roof-beams, whether he fixed it but did not put on the plasterwork, or whether he put on the plasterwork but did not fix it, is susceptible to impurity. If he fixed it and he laid plasterwork over it, it is pure. A dish that he fixed to a chest, box or cupboard: If [he did so] so that it holds [its contents] in the usual way, it is susceptible to impurity, but if it cannot hold [its contents] in the usual way, it is pure. ", + "A sheet that is susceptible to impurity by midras and is used as a curtain is not susceptible to midras impurity, but it is susceptible to corpse impurity. When is it not susceptible to [midras impurity]? Beit Shammai says, when it is torn. Beit Hillel says, when it is tied. Rabbi Akiva says, when it is hung.", + "A mat in which reeds are run lengthwise is not susceptible to impurity. The Sages say, only if they are in the form of [the Greek letter] chi. If they were run through its width and there were not four tefachim [handbreadths] between each reed, it is not susceptible to impurity. If it were divided along its width, Rabbi Yehuda [says] it is not susceptible to impurity. So, too, if the end knots [of reed matting] are untied, it is not susceptible to impurity. If it were divided along its length, and three knots of six tefachim were left on it, it is susceptible to impurity. A mat - when does it become susceptible to impurity? When it is trimmed, as this completes its production." + ], + [ + "One who touches the upper beam [of a loom], the lower beam, the heddles, the warp fringe, the thread that they draw over the purple material, or thread on the shuttle which will not be woven in, remains pure. [If he touches] the woof, the standing warp, the double thread that is drawn over purple material or thread on the shuttle that will be woven in, he becomes impure. One who touches the wool that is on the distaff, or on the spool, he remains pure. If he touches the spindle's coil: Before it was uncovered he is impure; after it was uncovered he remains pure. ", + "One who touches the yoke, the crossbar, the collar-piece, or the thick ropes, even when they are being used, he remains pure. If he touched the handle, knee beam or cross-piece, he becomes impure. [If he touched] the metal rings, the guides, or the mouldboards, he becomes unclean. Rabbi Yehudah says that he remains clean if he touched the guides since they are only made to pierce the soil. ", + "One who touches the handle of a saw at this end or that end becomes impure; [If he touched] its string, cord, cross-piece or side-pieces, a carpenter's vise, or the bow-handle of a bow-drill, he remains pure. Rabbi Yehudah says: also one who touches the frame of a large saw remains pure. One who touches the bow-string or the bow, even though it was stretched, he remains pure. A mole-trap is pure. Rabbi Yehudah says: as long as it is stretched, the separate parts are [regarded as] connected. " + ], + [ + "If a table or a side-board was damaged, or he covered them with marble but room was left for cups to be set, it is susceptible to impurity. Rabbi Yehudah ruled: [if he left] room enough for pieces of food.", + "A table one of whose legs was removed is not susceptible to impurity. If a second leg was removed it is still pure. But if a third was removed it becomes susceptible to impurity when the owner has the intention of using it. Rabbi Yose says: no intention is necessary. The same applies also to the side-board.", + "A bench, one of whose legs was removed, is not susceptible to impurity. If its second leg also was removed it is still pure. If it was one tefach [handbreadth] high, it is impure. A footstool, one of whose legs was removed, is impure. The same applies to the chair in front of a cathedra. ", + "A bridal chair whose seat has been removed: Beit Shammai rules that it still susceptible to impurity, and Bet Hillel rules that it is not susceptible. Shammai rules: even the frame of the chair is susceptible to impurity. A stool which was fixed to a kneading-trough - Beit Shammai rules that it susceptible to impurity, and Beit Hillel rules that it is pure. Shammai rules: even one made [in this way originally] is susceptible to impurity.", + "A chair whose seat boards did not project, and then were removed, is still susceptible to impurity, for it is usual to turn it on its side and to sit on it.", + "A chair whose middle seat board was removed, but the outer ones remained, is still susceptible to impurity. If the outer ones were removed and the middle seat board remained, it is also susceptible to impurity. Rabbi Shimon says: only if it was a tefach wide.", + "A chair from which two adjoining seat boards were removed - Rabbi Akiva says: it is susceptible to impurity; and the Sages say that it is pure. Rabbi Yehudah said: so too the seat boards of a bride's chair which were removed and a receptacle remained - it is clean, because when the primary function is annulled, the secondary one is also annulled. ", + "A chest whose top part was removed is still susceptible to impurity on account of its bottom; if its bottom was removed, it is still susceptible to impurity on account of its top part. If both the top part and the bottom part were removed: Rabbi Yehudah says that it is susceptible to impurity on account of its sides; but the Sages rule that it is pure. A stonecutter's seat is subject to midras impurity [transmitted by sitting or lying]. ", + "A [wooden] block which was painted red or saffron, or was polished: Rabbi Akiva says that it is susceptible to impurity, but the Sages say that it remains pure until he carves out [a seat]. A small basket or a large one that was filled with straw or other soft material, [even] if he set it up to be a seat, remains pure. But if he plaited it over with reed-grass or with a cord, it becomes susceptible to impurity. ", + "A toilet is subject to both midras and corpse impurity. If it was taken apart, the leather is subject to midras impurity, but the iron is subject [only] to corpse impurity. A folding stool whose seat covering is of leather is subject to both midras and corpse impurity. If it was taken apart, the leather is subject to midras impurity, while the stool is altogether pure. Benches in the bathhouse that have two wooden legs are susceptible to impurity. If one leg was of wood and the other of stone, it is pure. Boards in a bath-house which he joined together: Rabbi Akiva says that they are susceptible to [midras] impurity; but the Sages say that they are pure, since they are made only for the water to flow under them. A fumigation-cage that contains a receptacle for garments is susceptible to impurity, but one that is made like a bee-hive is pure. " + ], + [ + "A ball, a mold, an amulet or tefillin which were torn [after becoming impure]: one that touches them becomes impure, but one that touches what is inside them remains pure. A saddle which was torn: one that touches its contents becomes impure, because the stitching joins them. ", + "The following are susceptible to impurity as objects that are fit for riding upon: an Ashkelonian saddle, a Medean saddle, a camel's cushion, and a horse-cloth. Rabbi Yose says: a horse-cloth is susceptible to impurity as a seat, since people stand on it in the arena. But a saddle of a camel is susceptible to [sitting] impurity. ", + "What is the practical difference between [the uncleanness of an object used for] riding upon and [one used for] sitting upon? [An object] ridden upon has a distinction between contact with it and carrying it, but in the case of [an object that is] sat upon, there is no difference between contact with it and carrying it. The pack-frame of a donkey on which he sat is pure, but if he changed the size of the spaces or if they have been broken one into another, it is susceptible to impurity. ", + "The bier, the mattress and the pillow of a corpse are susceptible to midras uncleanness [transmitted by sitting or lying]. A bridal chair, a birthing stool, and a launderer's stool on which he piles the clothes: Rabbi Yose says: they are not regarded as a seat. ", + "A fishing net is susceptible to uncleanness on account of its bag. Nets, snares, bird-traps, slings and fishermen's skeins are susceptible to impurity. A fish-trap, a bird-basket and a bird-cage are not susceptible to impurity. " + ], + [ + "There are three types of shields [with regard to purity status]: a rounded shield is susceptible to midras impurity [a type of impurity due to being sat on by certain types of impure individuals, rendering something an Origin of impurity]; and one that is sported with in the arena is susceptible to corpse impurity; and the Arabian toy shield is pure from all [types of impurities]. ", + "There are three types of wagons: one fashioned like a cathedra [i.e. shorter, and with walls on its sides] is susceptible to midras impurity; [one fashioned] like a bed [i.e. longer] is susceptible to corpse impurity; and one for [transporting] stones is pure from all [types of impurities]. ", + "There are three types of troughs: a trough [which can hold] between two log [a specific unit of volume] to nine kav [a larger unit of volume, four times the size of a log] which is cracked is susceptible to midras impurity; [a trough that size which is] whole is susceptible to corpse impurity; and one that holds a [sufficiently great] measure is pure from all [types of impurities]. ", + "There are three types of chests: a chest which has its opening is on its side is susceptible to midras impurity; [one which has its opening] on its top it is susceptible to corpse impurity; and one that holds a [sufficiently great] measure is pure from all [types of impurities]. ", + "There are three types of leather covers: one used by barbers [for their customers to sit upon] is susceptible to midras impurity; one which people eat upon is susceptible to corpse impurity; and one which is for [spreading out] olives is pure from all [types of impurities].", + "There are three types of bases [i.e. small tables]: that which is [used as a footrest] before a bed or before scholars is susceptible to midras impurity; that which is of a serving table [i.e. nested below it, for bringing out foods] is susceptible to corpse impurity; and that which is [used as the base] of a tower [i.e. a tall cabinet resembling a tower] is pure from all [types of impurities].", + "There are three types of notebooks: an afiforin [a large writing tablet which can be folded and used as a chair] is susceptible to midras impurity; and one that has a hollowed space to hold wax [which can then be carved into] is susceptible to corpse impurity; and one which is flat [and written upon with ink or charcoal, not wax] is pure from all [types of impurities].", + "There are three types of beds: one made for lying upon is susceptible to midras impurity; one used by glass makers is susceptible to corpse impurity; and one used by weavers is pure from all [types of impurities].", + "There are three types of baskets: one which is for fertilizer is susceptible to midras impurity; one which is for straw is susceptible to corpse impurity; and a camel's rope bag is pure from all [types of impurities].", + "There are three types of mats: one made for sitting upon is susceptible to midras impurity; one belonging to dyers is susceptible to corpse impurity; and one used in wine-presses is pure from all [types of impurities].", + "There are three types of water skins and three types of pouches: those which can hold the prescribed measure are susceptible to midras uncleanness; those which cannot hold the prescribed measure are susceptible to corpse impurity; and that which is made of fish hide is pure from all [types of impurities].", + "There are three types of hides: one made to be a rug is susceptible to midras impurity; [one made] to be a wrapping for vessels is susceptible to corpse impurity; and that which is to be [cut into strips and] used for straps or for sandals is pure from all [types of impurities].", + "There are three types of sheets: one made for lying upon is susceptible to midras impurity; [one made] to be a curtain is susceptible to corpse impurity; and one with designs is pure from all [types of impurities].", + "There are three types of kerchiefs: one used for [wiping] hands is susceptible to midras impurity; one used for [wrapping] sefarim [books of the Tanach written in holiness, on parchment, and used for personal or public study, or for reading aloud in public. Sometimes the intent is specifically Torah scrolls]is susceptible to corpse impurity; and one used as a shroud or for [wrapping] the harps of the Levites is pure from all [types of impurities].", + "There are three types of mitts: one used by hunters of [wild] animals and fowl is susceptible to midras impurity; one used by [hunters of] locusts is susceptible to corpse impurity; and one used by fig-driers is pure from all [types of impurities].", + "There are three types of hairnets: one belonging to a girl is susceptible to midras impurity; one belonging to an old woman's is susceptible to corpse impurity; and one of a woman who goes out is pure from all [types of impurities]. ", + "There are three different types of containers: a worn-out basket which one patched onto a sound one follows after [the purity status of] the sound one; a small one [patched] onto a large follows after [the purity status] the large one; those [baskets, patched onto each another] which are equal [in size] follow after the inner one. Rabbi Shimon says: Regarding an [impure] cup of a scale which one patched onto the bottom of a boiler, if [it was patched] from the inside, it [i.e. even the boiler] is impure; if from the outside, it is pure; if one patched it from the side, whether on the inside or on the outside, it is pure. " + ], + [ + "All vessels have [a distinction, with regard to purity status, between their] outsides and insides, for instance: cushions, and blankets, and sacks, and packing-bags, according to Rabbi Yehuda. Rabbi Meir says: anything which has loops [through which to thread a drawstring] has [such a distinction, with regard to purity status, between its] outsides and insides; but any which does not have loops, does not have [such a distinction between its] outsides and insides. A table and a serving table have [such a distinction between their] outsides and insides, according to Rabbi Yehuda. Rabbi Meir says: they do not have outsides [i.e. they have no such distinction]. And similarly regarding a board that has no rim.", + "An cattle-prod has [a distinction, with regard to purity status, between its] outsides and insides: the seven [handbreadths] from the spade [attached to the back end of the prod, are considered to be the outside], and the four [handbreadths] from [the pointed end of] the prod [are considered to be the inside], according to Rabbi Yehuda. Rabbi Meir says: they do not have [such a distinction]; the four and the seven were only mentioned for the purposes of remnants [i.e. if it breaks, these are measures of how much must remain in order for it to still be considered an implement, for purity purposes]. ", + "Measuring cups for wine or oil, and a fork-ladle, and a mustard-strainer, and a wine-filter all have [a distinction, with regard to purity status, between their] insides and outsides, according to Rabbi Meir. Rabbi Yehuda says: they do not have [such a distinction]. Rabbi Shimon says: they do have [such a distinction], for if they are rendered impure from their outsides, that which is inside them is pure; and one is required to immerse [the vessel in its entirety, in order to purity it]. ", + "Regarding a [vessel which has two sections in which can be measured a] rova [a specific measure of volume, a quarter of a log] and a half rova, if the rova [section] was rendered impure, the half rova [section] is not rendered impure; if the half rova was rendered impure, the rova is not rendered impure. They [i.e. the students] said before Rabbi Akiva, \"Since the half rova is the outside of the rova, should not the outside of a vessel whose inside was rendered impure [thereby also] be rendered impure?\" He said to them, \"Is it surely of the former category? Or perhaps the rova is the outside of the half rova, and regarding a vessel the outsides of which were rendered impure, its insides are not rendered impure!\"", + "If the [inside of the] rova [measure] was rendered impure, the rova and its outsides are impure, [and] the half rova and its outsides are pure. If the [inside of the] half rova was rendered impure, the half rova and its outsides are impure, [and] the rova and its outsides are pure. If the outsides of the rova were rendered impure, the outsides of the half rova are pure, according to Rabbi Meir. And the Sages say: the outer sides cannot be divided [in purity status]. And when one immerses it [for purification], he must immerse it in its entirety. ", + "Regarding the bases of vessels, and their rims, and their hangers, and the handles of vessels that can contain [thnig], if [impure] liquids fell onto them, one may dry them and they are pure. And regarding all remaining vessels, which cannot [even] hold pomegranates, which do not have [a distinction between their] insides and outsides, if [impure] liquids fell on a part of it, it is rendered impure in its entirety. If the outsides of a vessel were rendered impure by liquids, its outsides are impure; its insides, its rim, its hanger, and its handle are pure. If its inside was rendered impure, it is impure in its entirety.", + "All vessels have [a distinction, with regard to purity status, between their] outsides and insides and a [similar distinction for their] holding-place. Rabbi Tarfon says: [this is the case] regarding a trough. Rabbi Akiva says: regarding cups. Rabbi Meir says: [the distinction of a holding-place was only said] regarding impure and pure hands. Rabbi Yose says: they said this only regarding pure hands.", + "How so? If one's hands were pure, and the outsides of a cup were impure, one who grasps it by its holding-place need not be concerned that his hands may have been rendered impure by the outsides of the cup. If one was drinking from a cup whose outsides were impure, he need not be concerned that the liquids in his mouth may have been rendered impure by the outsides of the cup, and then gone on to render [the inside of] the cup impure. Regarding a boiling kettle [whose outsides are impure], one need not be concerned that liquids may have emerged from it and touched its outsides and then returned to its inside [and rendered it impure].", + "Sacred vessels do not have [a distinction, with regard to purity status, between their] outsides and insides, nor do they have a [similar distinction for their] holding-place. And one may not immerse vessels within vessels [such that they can be used] for [handling] sacred things [i.e. rather each vessel must be immersed independently in order to achieve the required level of purity]. All vessels may descend to impurity [status] through intentional thought, but they may only rise out of their impurity through a change-effecting action; for an action may annul [the effects of] an action or an intentional thought, but an intentional thought cannot annul [the effects of] either an action nor an intentional thought." + ], + [ + "Regarding an Imki sandal [a sandal from the Imki valley, consisting of a piece of leather with attached straps], and a draw-string pouch, Rabbi Yehudah says: also an Egyptian basket, Rabbi Shimon ben Gamaliel says: also a Ladiki sandal [from Ludkia], anything similar to them can thereby be made [susceptible or insusceptible to being rendered] impure or pure without [the aid of] a craftsman. Rabbi Yose said: but are not all vessels able to be rendered [susceptible or insusceptible to being rendered] impure or pure and without a craftsman? Rather, these, even when they are unlaced are [susceptible to being rendered] impure, since a layperson can restore them. They said this [that unlacing something can make it insusceptible to impurity] only regarding an Egyptian basket which even a craftsman cannot [easily] restore. ", + "A draw-string pouch whose laces were removed is still [susceptible to being rendered] impure; if it flattened out, it is pure [insusceptible to impurity]. If one hung a flap on it from below [such that it can still hold something, even when flattened out], it is [susceptible to being rendered] impure. Regarding a pouch within a pouch, if one of them was rendered impure by a liquid, the other is not rendered impure. A [leather] bundle for a gem is [susceptible to being rendered] impure. Regarding a bundle for money, Rabbi Eliezer considers it [susceptible to being rendered] impure; and the Sages consider it pure [insusceptible to impurity].", + "A glove of thorn-pickers is pure [i.e. insusceptible to impurity]. A [leather] belt or knee-guard is [susceptible to being rendered] impure. And [leather] sleeves are [susceptible to being rendered] impure. And hand-coverings are pure [i.e. insusceptible to impurity]. And all finger-coverings are pure, except one of thorn-pickers [alternatively: pickers of Summer fruit], since it can [be used as vessels to] hold the sumac berry. If it was torn, if it cannot hold the majority of a sumac berry, it is pure [i.e. insusceptible to impurity]. ", + "Regarding a sandal with a hole [for a strap] that was broken, if one fixed it, it [retains prior impurities and thus] is impure with midras impurity [a type of impurity due to being sat on by certain types of impure individuals, rendering something an Origin of impurity]. If the second hole was broken and one fixed it, it is pure from [and can no longer retain] midras impurity, but is [still susceptible to be being rendered] impure from contact with midras impurity. If one was unable to fix the first [hole] before the second was broken, it is pure. If its heel broke off, or if its toe-piece was removed, or if it was split in two, it is pure. A heel-less slipper that was torn anywhere is pure. A shoe that was diminished [by damage], if it cannot hold the majority of the foot, it is pure. Regarding a shoe [still] on the last, Rabbi Eliezer considers it pure [i.e. insusceptible to impurity], and the Sages consider it impure. All [punctured] water skins which are tied up in a bundle are pure [insusceptible to impurity, due to being punctured], except for Arabian ones [since their ties are stronger]. Rabbi Meir says: if [they are tied in] a temporary bundle, they are pure; if [in] a permanent bundle, they are impure. Rabbi Yose says: all water skins tied up in bundles are pure. ", + "The following hides are susceptible to midras impurity: a hide which one intended to use as a rug, a hide used as an apron, a hide used as a bed-covering, a hide used by a donkey-driver, a hide used by a flax-worker, a hide used by a porter [who carries burdens on his shoulders], a hide used by a physician, a hide used for a cradle, a hide [used as a bib] for a child's chest, a hide for a cushion, a hide for a blanket; [all these are susceptible to] midras impurity. Regarding a hide used for [wrapping] combed wool, and a hide used by a wool-comber [to place upon his knees], Rabbi Eliezer says: [it is susceptible to] midras impurity; and the Sages say: [it is susceptible only to] corpse impurity. ", + "A cover or wrapper for garments is susceptible to midras impurity. Regarding a bag or wrapper for purple [garments], Beit Shammai say: [it is susceptible to] midras impurity; and Beit Hillel say: [it is susceptible only to] corpse impurity. A hide which one made to be a covering for a vessel is pure; [if one made it to be a covering] for weights, it is [susceptible to being rendered] impure. Rabbi Yose considers it pure, in the name of his father.", + "Whenever no act is lacking [in order to make vessels fit for use], intentional thought [to use them as they are] renders them [susceptible to becoming] impure. But whenever an act is lacking [in order to make vessels fit for use], intentional thought does not render them impure, except with regard to a [leather] seat-covering [for a wagon or a saddle, which is sometimes used as such even before being fully trimmed or finished].", + "The hides of a householder are rendered [susceptible to becoming] impure by intentional thought, but those of a tanner are not rendered [susceptible to becoming] impure by intentional thought. Those of a thief are rendered impure by intentional thought; but those of a robber are not rendered impure by intentional thought. Rabbi Shimon says: the matter should be reversed: those of a robber are rendered impure by intentional thought; but those of a thief are not rendered impure by intentional thought, since [in the latter case] the owners have not abandoned hope [for recovery]. ", + "Regarding a hide that has contracted midras impurity, if one then thought to use it for straps or sandals, as soon as he put the knife to it, it is pure, according to Rabbi Yehuda. And the Sages say: [it is not pure] until he has reduced it to less than five handbreadths. Rabbi Elazar bar Tzadok says: even if one made a napkin from a hide it is [still susceptible to being rendered] impure; if [one made one] from a blanket, it is pure [and insusceptible to impurity]. " + ], + [ + "Clothing may be rendered impure due to five different reasons; sack-cloth [may be rentered impure] due to four; leather due to three; wood due to two; and an earthenware vessel due to one. An earthenware vessel may be rendered impure [only] due to [being] a receptacle. Regarding earthenware vessels, any that has no inside, has no outside [which can be rendered impure]. Wood, in addition to this, can also be rendered impure due to [being] a seat. Similarly, regarding a tablet which has no rim, if it is a wooden vessel it is [susceptible to being rendered] impure; and if it is an earthenware vessel it is pure. Leather, in addition to this, may be rendered impure due to tents [if it forms an enclosure over certain impure things]. Sack-cloth, in addition to this, may be rendered impure due to [being] a woven work. Clothing, in addition to this, may be rendered impure due to [being] a three by three [fingerbreadths piece of fabric].", + "Clothing may be rendered impure as a [piece which is] three by three [handbreadths] with midras impurity [a type of impurity due to being sat on by certain impure individuals, rendering something an Origin of impurity], and at three by three [fingerbreadths] with corpse impurity. Sack-cloth [may be rendered impure] at four by four [handbreadths]; Leather, five by five; matting, six by six; these are all equally [susceptible to being rendered impure] with midras and corpse impurity. Rabbi Meir says: regarding sack-cloth, its scraps [may be rendered impure] at four [by four handbreadths], but initially [it can be rendered impure only] once it is completed. ", + "One who makes a piece of material from two [handbreadths] of cloth and one [handbreadth] of sack-cloth, or three of sack-cloth and one of leather, or four of leather and one of matting, it is pure [insusceptible to impurity]. If [one made something] of five [handbreadths] of matting and one of leather, or four of leather and one of sack-cloth, or three of sack-cloth and one of cloth, it is [susceptible to being rendered] impure. This is the general rule: anything to which one attached something of a higher level of stringency is [susceptible to being remdered] impure; [anything to which one attached something] of a lesser level of stringency is pure. ", + "If one cuts off [a piece of] one square handbreadth from each of these [materials, and then fashions them into a single piece], it is [susceptible to being rendered] impure. If [one cuts off a piece which is] one square handbreadth from the bottom of a basket, it is [susceptible to being rendered] impure. If from the sides of a basket, Rabbi Shimon considers it pure, and the Sages say: if one cuts off a square handbreadth from anywhere, it is [susceptible to being rendered] impure. ", + "Regarding worn-out pieces of a sifter or a sieve that one adapted for use as a seat, Rabbi Akiva consideres them [susceptible to being rendered] impure, and the Sages consider them pure until one trims them [for use as a seat]. A child's chair which has legs, even if it is less than a handbreadth high, is [susceptible to being rendered] impure. Regarding a child's robe, Rabbi Eliezer says: [it is susceptible to impurity] at any size; and the Sages say: only once it is of the prescribed measure; and it is measured doubled [i.e. folded] over [such that it must actually be twice the required measure].", + "The following are measured when doubled over: cloth slippers, and knee-breeches, and pants, and a hat, and a hollow [in a belt which functions as a] pouch. Regarding a piece of fabric which one sewed onto the hem [of the collar of a garment], if it is [sewn on] unfolded it is measured unfolded; and if doubled over it is measured doubled over. ", + "Regarding a piece of cloth which one wove to be three by three [handbreadths] which was rendered impure with midras impurity, and one then completed the whole garment upon it, if afterwards one then removed a thread from its initial portion, it is pure from midras impurity, but it is impure from contact with midras impurity. If one removed a thread from its initial portion and then afterwards completed the whole garment upon it, it is [still] impure from contact with midras impurity. ", + "And likewise regarding a piece of cloth which one wove to be three by three [fingerbreadths] which contracted corpse impurity, and one then completed the whole garment upon it, and then afterwards removed a thread from its initial portion, it is pure of corpse impurity, but is still impure from contact with corpse impurity. If one removed a thread from its initial portion and then afterwards completed the whole garment upon it, it is pure; for They said: a [piece of cloth of] three by three [fingerbreadths] which was diminished is pure. But one of three by three [handbreadths] which was diminished, even though it is pure of midras impurity, is [susceptible to being] impure from all the [other] impurities.", + "Regarding a sheet which contracted midras impurity, which one then fashioned into a curtain, it is pure from midras impurity, but is impure from contact with midras impurity. Rabbi Yose said, \"And yet which midras impurity has touched it?! [Rather] only if a zav [a male with a genital discharge that renders him an Origin of impurity] touched it is it [rendered] impure from contact with a zav.\"", + "A [piece of cloth] three by three [handbreadths] which was divided, is pure from midras impurity, but is impure from contact with midras impurity. Rabbi Yose said, \"And yet which midras impurity has touched it?! [Rather] only if a zav touched it is it [rendered] impure from contact with a zav.\"", + "Regarding a [piece of cloth] three by three [handbreadths], if [it was found] in the trash heaps, [it is susceptible to retaining impurity only] if it is sound and capable of storing salt; if [it was found] in the house, [it is susceptible to impurity] if it is either sound or capable of storing salt. How much salt must it be capable of storing? A rova [a specific unit of volume, a quarter of a kav]. Rabbi Yehudah says: this is with regard to fine salt. And the Sages say: it is with regard to coarse salt. Both of their intentions were to rule leniently. Rabbi Shimon says: [pieces which are] three by three [handbreadths, which were found] in a trash heap, are [legally] equivalent to [pieces which are] three by three [fingerbreadths, which were found] in a house.", + "Regarding a [piece of cloth of] three by three [handbreadths] which was torn, if one places it on a chair and [when he sits down upon it] his skin touches the chair, it is pure; and if not, it is impure [i.e. it can retain impurity]. Regarding a [piece of cloth of] three by three [fingerbreadths], if one of its threads was worn away, or if a knot was found in it, or if two of its threads ran alongside each other [i.e. as an imperfection in its weave], it is pure. A [piece of cloth of] three by three [fingerbreadths] which was cast to the trash heap is pure. If one brought it back [from the trash], it is [once more susceptible to being rendered] impure. Its having been thrown away always renders it pure, and its being brought back renders it [susceptible to becoming] impure, except when it is of purple or fine crimson [which can still be rendered impure even after being cast into the trash]. Rabbi Eliezer says: the same applies also to a piece of new cloth. Rabbi Shimon says: all of these are pure; they were mentioned [as exceptions] only with regard to the returning of lost property." + ], + [ + "A [piece of cloth] three by three [fingerbreadths] which was stuffed into a ball, or was itself made into a ball, is pure. But a [piece of cloth] three by three [handbreadths] which was stuffed into a ball is [susceptible to being rendered] impure. If it was itself made it into a ball, it is pure, because the sewing diminishes it. ", + "Regarding a [piece of cloth] less than three by three [handbreadths] which one adapted for plugging bathhouse with it, for emptying a cooking-pot with it [by using it on a handle to protect from the heat], or for wiping the mill stones with it, whether or not it is [set aside and] ready for such use, is [susceptible to being rendered] impure, according to Rabbi Eliezer. Rabbi Yehoshua says: whether or not it is ready for such use, it is pure. Rabbi Akiva says: if it is ready, it is [susceptible to being rendered] impure; and if it is not ready, it is pure. ", + "If one makes a bandage, whether of cloth or of leather, it is pure. Rabbi Yose says, regarding leather, that it is pure. Regarding a poultice, with cloth it is pure, and with leather it is [susceptible to becoming] impure. Rabban Shimon ben Gamaliel says: even with cloth it is [susceptible to becoming] impure because it can be shaken off [once it dries, and then appropriated for other uses]. ", + "Covers of ,sefarim [books of the Tanach written in holiness, on parchment, and used for personal or public study, or for reading aloud in public. Sometimes the intent is specifically Torah scrolls] whether or not [the covers] are embroidered, are [susceptible to being rendered] impure, in accordance with Beit Shammai. Beit Hillel say: those which are embroidered pure, and those which are not embroidered are [susceptible to being rendered] impure. Rabban Gamaliel says: these and those are pure. ", + "Regarding a head-covering which was rendered impure with midras impurity [a type of impurity due to being sat on by certain types of impure individuals, rendering something an Origin of impurity], if one placed it [as a covering] on a book, it is pure from midras impurity, but it is [susceptible to being rendered] impure from corpse impurity. A skin which one fashioned into a rug, or a rug which one fashioned into a skin, is pure. A skin which one fashioned into a satchel, or a satchel which one fashioned into a skin, a cushion which one fashioned into a sheet, or a sheet which one fashioned into a cushion, a blanket which one fashioned into a kerchief, or a kerchief which one fashioned into a blanket, it is [susceptible to being rendered] impure. This is the general rule: any object which one changed into one with the same name [the same general use] is impure; if [one changed it into something] of another name, it is pure.", + "A piece of cloth which one patched onto a basket renders one item impure [with a second degree level of impurity, upon coming into contact with it], and invalidates one [for terumah, the priestly tithe; i.e. if the second item comes into contact with a third item, it renders it impure with a third degree level of impurity, which invalidates it with regard to terumah]. If one separated it from the basket, the basket renders one item impure [with a second degree level of impurity], and renders one invalid [with regard to terumah], and the piece of cloth is pure. If one patched it onto a garment, it renders two items impure [i.e. it renders one impure upon contact, with a first degree impurity, and that item, in turn, renders a second item impure with a second degree level of impurity], and renders one invalid [i.e. the second item then renders a third item invalid for the purposes of terumah]. If one separated it from the garment, it renders one impure [upon contact, with a second degree of impurity], and [that one, in turn] invalidates one [for the purposes of terumah], and the piece of cloth renders two items impure [i.e. it renders one impure with a first degree impurity, and that item renders a second item impure with a second degree impurity], and renders one invalid [i.e. the second item then renders a third item invalid for the purposes of terumah]. And such is the case regarding one who attaches [a piece of fabric as a patch] onto sack-cloth or leather, according to Rabbi Meir. Rabbi Shimon considers it pure. Rabbi Yose says, with regard to leather, that it is pure, and with regard to sack-cloth that is it impure because it is a woven material. ", + "The [piece of fabric of] three by three [fingerbreadths] of which They spoke does not include the hem, according to Rabbi Shimon. And the Sages say: it is precisely three by three [including the hem]. If one patched it onto a garment on one side [only], it is not considered a connection [for the purposes of impurity]; if on two sides, one opposite the other, it is considered to be a connection. If one fashioned it like a gamma [in an L-shape], Rabbi Akiva considers it impure, and the Sages consider it pure. Rabbi Yehudah said, \"With regard to what do these things apply? To a cloak. But regarding a robe, if [it was patched on] from above [the tear], it is considered a connection; and if from below [the tear], it is not considered a connection.\" ", + "Poor people's garments, even if they contain less than three by three [fingerbreadths], can thereby be rendered impure with midras impurity. Regarding a cloak which one began to tear, once the majority of it is torn, it [i.e. its two halves] is not considered a connection. Those [materials] which are coarse or fine are not subject to [the minimum measure of] three by three [fingerbreadths; they are instead subject to the larger minimum of three by three handbreadths]. ", + "A porter's blanket [used as shoulder padding] is [susceptible to being rendered] impure with midras impurity. A [cloth] wine strainer is not susceptible to [contracting the impurity of] a seat. An old woman's hair-net is [susceptible to being rendered] impure as a seat. The robe of a prostitute [literally: she who goes out] which is woven like a net is pure [i.e. insusceptible to being rendered impure]. If one makes a garment out of a fishing net, it is pure; if [one makes it] out of its bottom part [which is more tightly woven] it is [susceptible to being rendered] impure. Rabbi Eliezer ben Yaakov says: even one who makes a garment out of a fishing net and doubles it over, it is [susceptible to being rendered] impure. ", + "A hair-net which one began [to knit] from its opening is pure [and insusceptible to impurity] until he complete its base section. If one began from its base section, it is pure until he completes its opening. Its headband is [susceptible to being rendered] impure on its own [even if separated from the hair-net]. Its ribbons are [susceptible to being rendered] impure by way of connection. A hair-net which was torn, if it cannot hold the majority of the hair, it is pure. " + ], + [ + "Regarding the fringes of a sheet, or of a scarf, or of a cap, or of a head-scarf, if they are six fingerbreadths [long, or shorter, they are considered connected to the garment, for the purposes of impurity]; and regarding those of undergarments, [their measure for being considered connected is up to] ten [fingerbreadths]. The fringes of a thick wool cloak, or of a veil, or of a robe, or of a cloak are [considered connected if they are up to a length of] three fingerbreadths. Regarding the fringes of an old woman's cap, of Arabian face scarves, or of a goat-hair garment, or of a hollow [in a belt which functions as a] pouch, or of a turban, or of a dividing-curtain, their fringes [are considered connected] at any length.", + "Three woolen covers [stitched together, i.e. in order to keep track of them], six of linen, three sheets, twelve handkerchiefs, two pant-sleeves, one robe, one cloak, or one thick wool garment, are considered connected with regard to impurity and with regard to sprinkling [the waters of the red heifer, as part of the purification ritual]. If more than these [are sewn together], they are considered connected with regard to impurity, but they are not considered connected with regard to sprinkling. Rabbi Yose says: not even with regard to impurity. ", + "The string of a plumb-line [is considered connected up to a length of] twelve [handbreadths]. That of the carpenters’ [plumb-line is considered connected up to a length of up to] eighteen [handbreadths]. That of the builders’ [is considered connected up to a length of] fifty cubits. Exceeding that, if one wanted to retain it [at that length], it is pure [i.e. the excess string beyond that measure is insusceptible to being rendered impure]. Those of plasterers or of [wall] illustrators [are considered connected] at any length.", + "The cord of the scales of gold weighers or of those who weigh fine purple fabric is [considered connected to the scale, with regard to impurity, up to a length of] three fingerbreadths. The shaft of an axe, behind the grip, is [considered connected up to a length of] three fingerbreadths. Rabbi Yose says: if [its length is] one handbreadth [past the grip], it is pure [and is not considered connected as a handle to the axe].", + "The cord of the scales of shopkeepers or of householders is [considered connected up to a length of] one handbreadth. The shaft of an axe, in front of the grip, is [considered connected up to the length of] one handbreadth. The remnants of a compass are [considered connected to the compass at a length of up to] one handbreadth. The handle of a stone-mason's chisel is [considered connected to the chisel at a length of] one handbreadth. ", + "The cord of the scales of wool dealers or of glass-weighers is [considered connected up to a length of] two handbreadths. The shaft of a millstone chisel is [considered connected up to] two handbreadths. The shaft of the battle-axe of [military] legions is [considered connected up to] two handbreadths. The shaft of the goldsmiths’ hammer is [considered connected up to] two handbreadths. And that of blacksmiths, [up to] three handbreadths. ", + "The remnant of the shaft of an ox-goad at its upper end is [considered connected up to a length of] four [handbreadths]. The shaft of a spade is [considered connected up to] four [handbreadths]. The shaft of a weeding-spade is [considered connected up to] five [handbreadths]. The shaft of a small hammer is [considered connected up to] five [handbreadths], and that of a [regular] hammer, six [handbreadths]. The shaft of a hatchet used for splitting [wood] or of one used for hoeing is [considered connected up to] six [handbreadths]. The shaft of a stonemasons' sledgehammer is [considered connected up to] six [handbreadths]. ", + "The remnant of the shaft of an ox-goad at its lower end is considered connected [to that end up to a length of] seven [handbreadths]. Regarding the shaft of a householders' [oven] rake, Beit Shammai say: [it is considered connected up to] seven [handbreadths]; and Beit Hillel say: eight. Regarding that [i.e. the shaft of a rake] of plasterers, Beit Shammai say: nine; Beit Hillel say: ten. Exceeding that, if one wants to retain [it at its length], it is [susceptible to being rendered] impure. The shafts of fire tools [are susceptible to being rendered impure] at any length." + ], + [ + "Regarding glass vessels, those that are flat are pure [i.e. insusceptible to being rendered impure], and those that have receptacles are [susceptible to being rendered] impure. If they are broken, they become pure; if one then went back and fashioned them into vessels, they are able to retain impurity from then and onward. A tray or a flat dish made of glass are pure [i.e. insusceptible to impurity]; if they have a rim, they are [susceptible to being rendered] impure. The [concave] bottoms of a glass plate or a flat dish which one adapted for use [as receptacles] are pure. If one polished them or sanded them with a file, they are [susceptible to being rendered] impure. ", + "A mirror is pure. A cauldron which one fashioned into a mirror is [susceptible to being rendered] impure but if from the outset it was made to serve as a mirror, it is pure. Regarding a large [glass] spoon which one places on a table, if it can hold any amount [when it stands on its own], it is [susceptible to being rendered] impure; but if not, Rabbi Akiva considers it [susceptible to being rendered] impure, and Rabbi Yohanan ben Nuri considers it pure [i.e. insusceptible]. ", + "Regarding a cup, if the majority of it [i.e. of its circumference] has been damaged, it is pure. If it is damaged in three places extending over the majority of it, it is pure. Rabbi Shimon says: if it disperses the majority of the water [put into it], it is pure. If it was punctured and one fixed it, whether with tin or pitch, it is pure. Rabbi Yose says: if with tin it is [susceptible to being rendered] impure; and if with pitch, it is pure. ", + "A small [glass] flask, the neck of which was removed, is [susceptible to being rendered] impure; and a large one, the neck of which was removed, is pure [i.e. insusceptible]. One of spikenard oil, the neck of which was removed, is pure, because it injures the hand. Large [glass] flagons whose necks have been removed are [susceptible to being rendered] impure, because one adapts them for holding pickled foods. A glass funnel is pure. Rabbi Yose said, \"Joyous are you, Kelim, for you entered in impurity, and you departed in purity!\"" + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/English/Talmud Bavli. German. Lazarus Goldschmidt. 1929 [de].json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/English/Talmud Bavli. German. Lazarus Goldschmidt. 1929 [de].json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..f6cbcf3d88872b5f0883352f7d1dcd8d48986e4e --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/English/Talmud Bavli. German. 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SIND DAS KRIECHTIER, DER SAMENERGUSS, DER LEICHENUNREINE, DER AUSSÄTZIGE WÄHREND SEINER ZÄHLTAGE2Die 7 Tage seit seiner Heilung bis zu seiner Reinsprechung nach der Darbringung seiner Opfer: cf. Lev. Kap. 14. UND DAS ENTSÜNDIGUNGSWASSER3Aus der Asche der roten Kuh; cf. Num. 19,9ff., DAS DAS ZUR BESPRENGUNG ERFORDERLICHE QUANTUM4Cf. Para XII,5. NICHT HAT. DIESE VERUNREINIGEN MENSCHEN UND GERÄTE5Für Gerät u. Gefäß, od. Sache, hat der Text das gleiche Wort (כלי), u. ist in der Übersetzung nach dem Zusammenhange wiedergegeben.DURCH BERÜHRUNG UND TONGEFÄSSE IM LUFTRAUME6Wenn sie sich in diesem schwebend befinden, ohne sie zu berühren.; SIE VERUNREINIGEN ABER NICHT DURCH TRAGEN7Von Ort zu Ort, ohne direkt zu berühren..", + "HÖHER8In der Intensität der Unreinheit. ALS DIESE SIND DAS AAS UND DAS ENTSÜNDIGUNGSWASSER, DAS DAS ZUR BESPRENGUNG ERFORDERLICHE QUANTUM HAT; DIESE VERUNREINIGEN AUCH EINEN MENSCHEN DURCH TRAGEN, SODASS ER AUCH DIE KLEIDER UNREIN MACHT, NICHT ABER KLEIDER DURCH BERÜHRUNG9Wenn er das Unreine nur berührt hat..", + "HÖHER ALS DIESE IST [DIE UNREINHEIT DESSEN,] DER EINER MENSTRUIERENDEN BEIGEWOHNT HAT; ER VERUNREINIGT DAS UNTERPOLSTER WIE DIE OBER[DECKE]10Cf. Nid. Fol. 32b.. HÖHER ALS DIESE IST DER FLUSS DES FLUSSBEHAFTETEN, SEIN SPEICHEL, SEIN SAMENERGUSS, SEIN URIN UND DAS BLUT DER MENSTRUIERENDEN; SIE VERUNREINIGEN DURCH BERÜHREN UND TRAGEN. HÖHER ALS DIESE IST DAS REITZEUG11Des Flußbehafteten; die beim Reiten erforderlichen Geräte; cf. infra XXIII,2.; ES VERUNREINIGT AUCH UNTER EINEM BLOCKSTEINE12Vgl. S. 527 Anm. 9.. HÖHER ALS DAS REITZEUG IST DAS LAGER; BEI DIESEM GLEICHT DIE BERÜHRUNG DEM TRAGEN13Es verunreinigt die Person samt den Kleidern.. HÖHER ALS DAS LAGER IST DER FLUSSBEHAFTETE; DER FLUSSBEHAFTETE MACHT DAS LAGER [UNREIN], NICHT ABER DAS LAGER DAS LAGER14Es überträgt auf ein anderes Lager nicht die intensive Lager-Unreinheit, sondern nur die vorher genannte erstgradige Unreinheit..", + "HÖHER ALS [DIE UNREINHEIT DES] FLUSSBEHAFTETEN IST DIE DER FLUSSBEHAFTETEN; SIE VERUNREINIGT DEN IHR BEIWOHNENDEN. HÖHER ALS DIE DER FLUSSBEHAFTETEN IST DIE DES AUSSÄTZIGEN; ER VERUNREINIGT DURCH DAS EINTRETEN15In einen geschlossenen Raum; was sich darin befindet, ist unrein.. HÖHER ALS DIE DES AUSSÄTZIGEN IST DIE EINES GERSTENGROSSEN KNOCHENS16Von einem Toten.; ER VERUNREINIGT SIEBENTÄGIG. HÖHER ALS ALLE IST DIE EINES TOTEN; ER VERUNREINIGT DURCH BEZELTUNG, WODURCH JENE ALLE NICHT VERUNREINIGEN.", + "ZEHN GRADE VON UNREINHEIT GEHEN VOM MENSCHEN AUS. DEM DER SÜHNE ERMANGELNDEN17Der reingesprochene Unreine (Aussätziger, Flußbehafteter), der bereits das Reinigungsbad genommen, aber noch am folgenden Tage seine Opfer darzubringen hat; cf. Lev. 14,10ff. u. ib. 15,14ff.IST HEILIGES VERBOTEN, JEDOCH HEBE UND ZEHNT ERLAUBT18Nach Sonnenuntergang.. DEM, DER AM SELBEN TAGE UNTERGETAUCHT IST, SIND19Vor Sonnenuntergang.HEILIGES UND HEBE VERBOTEN, DER ZEHNT ABER ERLAUBT. IST JEMAND ERGUSSBEHAFTET, SO SIND IHM ALLE DREI VERBOTEN. HAT JEMAND EINER MENSTRUIERENDEN BEIGEWOHNT, SO VERUNREINIGT ER DAS UNTERPOLSTER WIE DIE OBER[DECKE]. IST JEMAND FLUSSBEHAFTETER NACH ZWEI WAHRNEHMUNGEN, SO VERUNREINIGT ER LAGER UND SITZ UND BENÖTIGT DES UNTERTAUCHENS IN QUELLWASSER, IST JEDOCH VON EINEM OPFER FREI. HAT JEMAND DREIMAL WAHRGENOMMEN, SO IST ER AUCH EIN OPFER SCHULDIG. IST JEMAND ABGESCHLOSSENER AUSSÄTZIGER20Zur Untersuchung des Aussatzes, wenn er noch nicht als solcher festgestellt ist; cf. Lev. 13,5., SO VERUNREINIGT ER DURCH EINTRETEN15In einen geschlossenen Raum; was sich darin befindet, ist unrein., JEDOCH IST ER FREI VOM WACHSENLASSEN DES HAARES, VOM EINREISSEN21Cf. Lev. 13,45. DER KLEIDER, VON DER HAARSCHUR22Cf. ib. 14,4ff.UND [DER DARBRINGUNG] DER VÖGEL. IST JEMAND ABSOLUTER UNREINER, SO IST ER ZU ALL DIESEM VERPFLICHTET. WIRD VON EINEM EIN GLIED ABGESONDERT, WORAN NICHT GEHÖRIG FLEISCH IST, SO VERUNREINIGT ES DURCH BERÜHRUNG UND TRAGEN, NICHT ABER VERUNREINIGT ES DURCH BEZELTUNG. IST DARAN GEHÖRIG FLEISCH, SO VERUNREINIGT ES DURCH BERÜHRUNG, DURCH TRAGEN UND DURCH BEZELTUNG. GEHÖRIG FLEISCH HEISST ES, WENN ES SOVIEL IST, DASS ES HEILEN KANN. R. JEHUDA SAGT, IST AN EINER STELLE SOVIEL VORHANDEN, DASS ES IN DER DICKE EINES EINSCHLAGFADENS23Wenn man das Fleisch dehnen würde.[DAS GLIED] UMGEBEN WÜRDE, SO GENÜGT ES, UM HEILEN ZU KÖNNEN.", + "ES GIBT ZEHN GRADE DER HEILIGKEIT: DAS JISRAÉLLAND IST HEILIGER ALS ALLE ANDEREN LÄNDER. WORIN BESTEHT SEINE HEILIGKEIT? DASS MAN AUS DIESEM DIE SCHWINGEGARBE, DIE ERSTLINGE UND DIE ZWEI BROTE24Cf. Lev. 23,10,17 u. Dt. 26,2.BRINGT, WÄHREND MAN SIE VON ALLEN ANDEREN LÄNDERN NICHT BRINGT.", + "HEILIGER ALS DIESES SIND DIE MIT EINER MAUER UMRINGTEN STÄDTE25Seit der Zeit vor der Einwanderung., AUS DIESEN SIND DIE AUSSÄTZIGEN HINAUSZUWEISEN, UND IN DIESEN DARF MAN ZWAR EINEN TOTEN UMHERTRAGEN SOLANGE MAN WILL26Dh. bis zu seiner Bestattung., IST ER ABER HINAUSGEKOMMEN, SO DARF MAN IHN NICHT WIEDER HINEINBRINGEN.", + "HEILIGER ALS DIESE IST [DAS GEBIET] INNERHALB DER MAUER27Der Stadt Jerušalem.; IN DIESEM DARF MAN MINDERHEILIGES UND ZWEITEN ZEHNTEN ESSEN. HEILIGER ALS DIESES IST DER TEMPELBERG; DIESEN DÜRFEN MÄNNLICHE UND WEIBLICHE FLUSSBEHAFTETE, MENSTRUIERENDE UND WÖCHNERINNEN NICHT BETRETEN. HEILIGER ALS DIESER IST DER ZWINGER; DIESEN DÜRFEN NICHTJUDEN UND LEICHENUNREINE NICHT BETRETEN. HEILIGER ALS DIESER IST DER FRAUENVORHOF28Cf. Mid. II,5.; DIESEN DARF JEMAND, DER AM SELBEN TAGE UNTERGETAUCHT IST, NICHT BETRETEN, JEDOCH IST MAN DIESERHALB KEIN SÜNDOPFER SCHULDIG. HEILIGER ALS DIESER IST DER JISRAÉLITENVORHOF; DIESEN DARF EIN DER SÜHNE ERMANGELNDER17Der reingesprochene Unreine (Aussätziger, Flußbehafteter), der bereits das Reinigungsbad genommen, aber noch am folgenden Tage seine Opfer darzubringen hat; cf. Lev. 14,10ff. u. ib. 15,14ff.NICHT BETRETEN, AUCH IST MAN DIESERHALB EIN SÜNDOPFER SCHULDIG. HEILIGER ALS DIESER IST DER PRIESTERVORHOF; DIESEN DÜRFEN JISRAÉLITEN NICHT BETRETEN, AUSSER WENN SIE ES MÜSSEN, ZUM STÜTZEN, ZUM SCHLACHTEN UND ZUM SCHWINGEN29Der Opferstücke..", + "HEILIGER ALS DIESER IST [DER RAUM] ZWISCHEN DER VORHALLE UND DEM ALTAR; DIESEN DÜRFEN FEHLERBEHAFTETE UND ZAUSHAARIGE30Cf. Lev. 13,45.NICHT BETRETEN. HEILIGER ALS DIESER IST DAS TEMPELSCHIFF; WER HÄNDE UND FÜSSE NICHT GEWASCHEN HAT, DARF ES NICHT BETRETEN. HEILIGER ALS ALLE IST DAS ALLERHEILIGSTE; DIESES DARF NUR DER HOCHPRIESTER AM VERSÖHNUNGSTAGE BEIM TEMPELDIENSTE BETRETEN. R. JOSE SAGTE: IN FÜNF HINSICHTEN GLEICHT [DER RAUM] ZWISCHEN DER VORHALLE UND DEM ALTAR DEM TEMPELSCHIFFE: IHN DÜRFEN FEHLERBEHAFTETE, ZAUSHAARIGE, WEINTRUNKENE UND, WER HÄNDE UND FÜSSE NICHT GEWASCHEN HAT, NICHT BETRETEN, AUCH ENTFERNE MAN SICH AUS [DEM RAUME] ZWISCHEN DER VORHALLE UND DEM ALTAR WÄHREND DER RÄUCHERUNG31Des Räucherwerkes am Versöhnungstage.." + ], + [ + "VON GERÄTEN AUS HOLZ, GERÄTEN AUS LEDER, GERÄTEN AUS KNOCHEN UND GERÄTEN AUS GLAS SIND DIE FLACHEN REIN1Unter ‘rein’ u. ‘unrein’ ist hier u. in den weiter folgenden entsprechenden Fällen die Verunretnigungsunfähigkeit, bezw. die Verunreinigungsfähigkeit zu verstehen. UND DIE VERTIEFTEN2Wörtl. die Aufnehmenden, die eine Vertiefung zur Aufnahme haben. UNREIN1Unter ‘rein’ u. ‘unrein’ ist hier u. in den weiter folgenden entsprechenden Fällen die Verunretnigungsunfähigkeit, bezw. die Verunreinigungsfähigkeit zu verstehen.. ZERBRECHEN SIE3Wenn sie nicht mehr gebrauchsfähig sind., SO WERDEN SIE REIN; MACHT MAN WIEDER AUS IHNEN GERÄTE, SO SIND SIE VON DANN AB WIEDER FÜR DIE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH. GERÄTE AUS TON UND AUS NATRON4Mineralisches Alkali, in der Bibel (Jer. 2,22) als Reinigungsmittel bekannt; der T. (Az. Fol. 33b) erklärt alaunhaltige Erde u. unterscheidet (Nid. Fol. 62a) zwischen alexandrinischem u. antipatrischem N. GLEICHEN EINANDER HINSICHTLICH DER UNREINHEIT: SIE WERDEN UNREIN UND MACHEN UNREIN VON IHREM HOHLRAUME5Wenn die unreine, bezw. reine Sache sich in ihrem Hohlraume befindet, ohne sie zu berühren. AUS; SIE WERDEN UNREIN VON IHRER HINTERSEITE6Die äußere Vertiefung im Boden oder Fuße des Gefäßes. AUS UND NICHT VON IHRER AUSSENSEITE AUS, UND IHR ZERBRECHEN IST IHRE REINIGUNG7Das Tauchbad ist wirkungslos..", + "FÜR WINZIGE VON TONGEFÄSSEN8Ganz kleine oder Bruchstücke von größeren., VON DEN BÖDEN UND VON DEN WÄNDEN, DIE UNGESTÜTZT STEHEN KÖNNEN, GILT ALS MASS9Für die Verunreinigungsfähigkeit., WENN SIE [VORHER] BIS ZU EINEM LOG FASSTEN, DER INHALT ZUM SALBEN EINES KLEINEN [KINDES10Des kleinsten Gliedes eines solchen. קטן schlechthin kann sich nur auf das Kind u. nicht auf das Glied beziehen.], WENN SIE VON EINEM LOG BIS ZU EINER SEÁ FASSTEN, DER EINES VIERTELLOG, WENN SIE VON EINER SEÁ BIS ZWEI SEÁ FASSTEN, DER EINES HALBEN LOG, UND WENN SIE VON ZWEI SEÁ BIS DREI UND BIS FÜNF SEÁ FASSTEN, DER EINES LOGSO R. JIŠMA͑ÉL. R. A͑QIBA SAGTE: ICH RICHTE MICH NICHT NACH DEM [FRÜHEREN] MASSINHALT; VIELMEHR, WINZIGE VON TONGEFÄSSEN, VON DEN BÖDEN UND VON DEN WÄNDEN, DIE UNGESTÜTZT STEHEN KÖNNEN, BIS ZUR GRÖSSE VON KLEINEN TÖPFEN, WENN SIE GENÜGEND ZUM SALBEN EINES KLEINEN [KINDES] FASSEN; VON KLEINEN TÖPFEN BIS ZU DEN FÄSSERN VON LUD, WENN SIE EIN VIERTELLOG FASSEN; VON SOLCHEN AUS LUD BIS ZU SOLCHEN VON BETH LEḤEM, WENN SIE EIN HALBES LOG FASSEN; VON SOLCHEN AUS BETH LEḤEM BIS ZU DEN GROSSEN KANNEN, WENN SIE EIN LOG FASSEN. R. JOANAN B. ZAKKAJ SAGT, DAS MASS BEI SOLCHEN VON GROSSEN KANNEN SEI ZWEI LOG. BEI SOLCHEN VON GALILÄISCHEN KRÜGLEIN UND FÄSSCHEN GENÜGT FÜR DIE BÖDEN IRGENDWELCHE GRÖSSE, UND [STÜKKE VON DEN] WÄNDEN SIND ÜBERHAUPT NICHT [VERUNREINIGUNGSFÄHIG].", + "FOLGENDE SIND VON TONGEFÄSSEN REIN: EINE PLATTE OHNE RANDLEISTEN, EINE RANDLOSE KOHLENSCHIPPE, EIN RÖSTEROHR, RINNEN, AUCH WENN SIE GEBOGEN11Nach oben, sodaß Wasser darin bleibt.SIND, AUCH WENN SIE EINE VERTIEFUNG12Eine Spalte, die nicht von vornherein zur Aufnahme gemacht wurde.HABEN, EINE ALS BROTKORB VERWANDTE STÜRZE13Die nicht zur Aufnahme, sondern zum Zudecken bestimmt ist., EINE FÜR TRAUBEN14Zum Zudecken derselben.HERGERICHTETE KUMME, EIN SCHWIMMFASS15Von allen Seiten geschlossen, ähnl. der Schwimmblase., EIN AM BODEN EINES ZOBERS HAFTENDES FASS16Nach den Kommentaren, unten am Boden haftend, um den Zober hochheben zu können., EIN BETT, EIN STUHL, EINE BANK, EIN TISCH, EIN BOOT UND EIN TONLEUCHTER. DIESE SIND REIN. DIE REGEL HIERBEI IST: TONGEFÄSSE, DIE KEINEN INNENRAUM HABEN, HABEN AUCH KEINE AUSSENSEITE17Hinsichtl. der Unreinheit; sie bleiben rein, wenn diese von einer Unreinheit berührt wird..", + "EINE LATERNE, DIE EINEN ÖLBEHÄLTER HAT, IST UNREIN, UND DIE KEINEN HAT, IST REIN. DIE TÖPFERSCHEIBE, MIT DER ER BEGINNT, IST REIN, UND MIT DER ER ENDET, IST UNREIN18Erstere ist flach, letztere ist vertieft.. EIN TRICHTER FÜR DEN HAUSGEBRAUCH IST REIN, EINER DER GEWÜRZKRÄMER IST UNREIN, WEIL ER ZUGLEICH ALS MASS19Er schließt dabei das Loch mit dem Finger.DIENTSO R. JEHUDA B. BETHERA. R. A͑QIBA SAGT, WEIL ER IHN AUF DIE SEITE NEIGT20Und einen Tropfen hineintut.UND DEN KÄUFER DARAN RIECHEN21Handschriften u. die allen Drucke haben ומדיח, für den Käufer ausspült.LÄSST.", + "DECKEL VON WEINKRÜGEN UND ÖLKRÜGEN, EBENSO DECKEL VON PAPIERFÄSSERN22Wohl aus Papyrusstauden; nach anderen ist ניירות Ortsname.SIND REIN; HAT MAN SIE ZUR BENUTZUNG HERGERICHTET, SO SIND SIE UNREIN. DER DECKEL EINER KASSEROLLE IST, WENN ER EIN LOCH ODER EINE SPITZE23Oben, sodaß man ihn nicht umkippen u. benutzen kann.HAT, REIN, UND WENN ER KEIN LOCH UND KEINE SPITZE HAT, UNREIN, WEIL [DIE KÖCHIN] DARIN KRAÚT SEIHT. R. ELIE͑ZER B. R. ÇADOQ SAGT, WEIL SIE DARAUF MUS UMSCHÜTTET.", + "EIN IM BRENNOFEN GEFUNDENES BRAKSTÜCK IST, WENN ES24Beim Brennen.NOCH UNFERTIG IST, REIN, UND WENN ES FERTIG IST, UNREIN. DER TITAROS25Eine Art Stoehheber; ein unten durchlöchertes Gefäß, in dem die Flüssigkeit sich nur dann hält, wenn die obere Öffnung verschlossen ist.IST NACH R. ELIE͑ZER B. R. ÇADOQ REIN UND NACH R. JOSE UNREIN, WEIL ER NUR TROPFENWEISE AUSFLIESSEN LÄSST.", + "FOLGENDE SIND VON TONGEFÄSSEN UNREIN: EINE PLATTE MIT RANDLEISTEN, EINE VOLLSTÄNDIGE KOHLENSCHIPPE UND EINE SCHÜSSELPLATTE26Eine Art Kabarett, eine aus einzelnen Schüsseln zusammengesetzte Platte.; IST EINE VON IHNEN DURCH EIN KRIECHTIER UNREIN GEWORDEN, SO SIND NICHT ALLE UNREIN; HAT SIE ABER EINE ÜBERSTEHENDE RANDLEISTE, SO SIND, WENN EINE UNREIN GEWORDEN IST, ALLE UNREIN. EBENSO AUCH EIN IRDENER GEWÜRZBEHÄLTER UND EIN DOPPELTINTENFASS. IST VON EINEM HÖLZERNEN GEWÜRZBEHÄLTER EIN [FACH] UNREIN GEWORDEN, SO IST DAS ANDERE NICHT UNREIN. R. JOḤANAN B. NURI SAGT, MAN TEILE DIE ZWISCHENWAND; WAS FÜR DAS UNREINE DIENT, IST UNREIN, UND WAS FÜR DAS REINE DIENT, IST REIN. HAT ER EINE ÜBERSTEHENDE RANDLEISTE, SO IST, WENN EINES UNREIN GEWORDEN IST, AUCH DAS ANDERE UNREIN.", + "DER FACKELNAPF IST UNREIN; DER LAMPENUNTERSATZ IST IN SEINEM HOHLRAUME UNREIN. DER KAMM27Der kammartige Deckel zum Verteilen des Wassers.DES GIESSKRUGES IST NACH R. ELIE͑ZER REIN UND NACH DEN WEISEN UNREIN." + ], + [ + "DIES IST DAS GRÖSSENMASS1Eines Loches, das das Gefäß gebrauchsunfähig macht. BEI TONGEFÄSSEN, WODURCH SIE REIN WERDEN: DIENEN SIE FÜR SPEISEN, IN DER GRÖSSE, DASS OLIVEN [DURCHFALLEN], DIENEN SIE FÜR FLÜSSIGKEITEN, IN DER GRÖSSE, DASS FLÜSSIGKEITEN [EINDRINGEN], UND WENN FÜR DIESE UND JENE, DANN ERSCHWEREND, WENN OLIVEN [DURCHFALLEN].", + "EIN FASS, BEI DER GRÖSSE EINER DÖRRFEIGESO R. ŠIMO͑N; R. JEHUDA SAGT, EINER NUSS; R. MEÍR SAGT, EINER OLIVE. EINE KASSEROLLE UND EIN KOCHTOPF, BEI DER GRÖSSE EINER OLIVE. EIN KRÜGLEIN UND EIN TROPFGEFÄSS, DASS ÖL [EINDRINGT]; EIN GIESSKRUG, DASS WASSER [EINDRINGT]. R. ŠIMO͑N SAGT, ALLE DREI, DASS SAATKÖRNER [DURCHFALLEN]. EINE LAMPE, DASS ÖL [EINDRINGT]. R. ELIE͑ZER SAGT, DASS EINE KLEINE MÜNZE [DURCHFÄLLT]. FEHLT VON EINER LAMPE DIE DILLE, SO IST SIE REIN; IST VON EINER IRDENEN DIE DILLE DURCH DEN DOCHT ANGEBRANNT WORDEN, SO IST SIE REIN.", + "WENN EIN FASS, DAS DURCHLÖCHERT WAR UND MIT PECH HERGERICHTET WORDEN IST, ZERBRICHT, SO IST EIN VERPICHTES STÜCK, WENN ES EIN VIERTELLOG FASST, UNREIN, WEIL DER NAME EINES GEFÄSSES VON IHM NICHT GESCHWUNDEN IST. WENN ABER EINE SCHERBE DURCHLÖCHERT WAR UND MAN SIE MIT PECH HERGERICHTET HAT, SO IST SIE, AUCH WENN SIE EIN VIERTELLOG FASST, REIN, WEIL SIE NICHT MEHR DEN NAMEN EINES GEFÄSSES HATTE.", + "WENN EIN FASS ZERPLATZT WAR UND MAN ES MIT RINDERMIST VERSCHMIERT HAT, SO IST ES, SELBST WENN DIE SCHERBEN, FALLS MAN DEN RINDERMIST ENTFERNT, AUSEINANDERFALLEN, UNREIN, WEIL DER NAME EINES GEFÄSSES DAVON NICHT GESCHWUNDEN WAR. WENN ES ABER ZERBROCHEN WAR UND MAN SCHERBEN DAVON ZUSAMMENGEKLEBT HAT, ODER WENN MAN SCHERBEN VON ANDERWÄRTS GEHOLT UND SIE MIT RINDERMIST ZUSAMMENGEKLEBT HAT, SO IST ES, SELBST WENN DIE SCHERBEN, FALLS MAN DEN RINDERMIST ENTFERNT, ZUSAMMENHALTEN, REIN, WEIL DER NAME EINES GEFÄSSES DAVON GESCHWUNDEN WAR. IST DARAN EINE EIN VIERTELLOG FASSENDE SCHERBE, SO IST DAS GANZE DURCH BERÜHREN UNREIN, UND DER HOHLRAUM [NUR] DIESER GEGENÜBER.", + "HAT MAN EIN UNVERSEHRTES TONGEFÄSS ÜBERKLEBT, SO IST [DAS ÜBERKLEBTE] NACH R. MEÍR UND R. ŠIMO͑N UNREIN; DIE WEISEN SAGEN, DAS ÜBERKLEBTE EINES UNVERSEHRTEN SEI REIN, UND EINES BESCHÄDIGTEN SEI UNREIN. DASSELBE GILT AUCH VOM REIFEN EINER KÜRBISFLASCHE.", + "DAS JABLITH2Eine Pflanze, die zu einem Brei verrieben zum Verkleben von Tongefäßen dient., WOMIT MAN DIE WEINFÄSSER VERSCHMIERT, VERUNREINIGT, WAS ES BERÜHRT. DER SPUND EINES FASSES GILT NICHT ALS VERBUNDEN. WER DEN PUTZ EINES [UNREINEN] OFENS BERÜHRT, IST UNREIN3Der Putz gegehört wegen der Erhaltung der Wärme zum Ofen..", + "HAT MAN EINEN WÄRMEKESSEL MIT LEHM UND MIT TÖPFERTON ÜBERKLEBT, SO IST, WER DEN LEHM BERÜHRT, UNREIN, UND WER DEN TÖPFERTON BERÜHRT, REIN. WENN EIN WASSERKESSEL EIN LOCH BEKOMMEN HATTE UND MAN ES MIT PECH HERGERICHTET HAT, SO IST ER, WIE R. JOSE SAGT, REIN, WEIL ER NICHT HEISSES WIE KALTES AUFNEHMEN KANN; DASSELBE SAGTE ER AUCH VON PECHGEFÄSSEN. HAT MAN EIN KUPFERNES GEFÄSS MIT PECH ÜBERZOGEN, SO IST ES4Weil es entfernt wird. REIN; WENN ABER FÜR WEIN, SO IST ES UNREIN.", + "WENN EIN FASS EIN LOCH BEKOMMEN HATTE UND MAN ES MEHR ALS NÖTIG MIT PECH VERKLEBT HAT, SO IST, WAS DAS NÖTIGE BERÜHRT HAT, UNREIN, UND WAS DAS UNNÖTIGE, REIN. IST PECH AUF EIN FASS GETROPFT, SO IST, WAS ES BERÜHRT, REIN. HAT MAN EINEN TRICHTER AUS HOLZ ODER AUS TON MIT PECH VERSTOPFT, SO IST ER, WIE R. ELEA͑ZAR B. A͑ZARJA SAGT, UNREIN. NACH R. A͑QIBA IST EINER AUS HOLZ UNREIN UND EINER AUS TON REIN. NACH R. JOSE SIND BEIDE REIN." + ], + [ + "WENN EINE SCHERBE WEGEN DES OHRS NICHT STEHEN KANN, ODER WENN EINE ZACKE DARAN IST UND SIE DURCH DIE ZACKE SICH NEIGT, SO IST SIE REIN. WIRD DAS OHR ENTFERNT, ODER DIE ZACKE ABGEBROCHEN, SO IST SIE REIN, UND NACH R. JEHUDA UNREIN. WENN EIN FASS [AM BODEN] DURCHBROCHEN IST, ABER DIE SEITENWÄNDE NOCH ETWAS FASSEN KÖNNEN, ODER ES SICH IN ZWEI MULDEN GETEILT HAT, SO IST ES NACH R. JEHUDA REIN UND NACH DEN WEISEN UNREIN.", + "WENN EIN FASS MORSCH IST UND NICHT MIT EINEM HALBEN KAB DÖRRFEIGEN FORTBEWEGT WERDEN KANN, SO IST ES REIN. WENN EIN BRAKSTÜCK MORSCH IST UND KEINE FLÜSSIGKEIT FASSEN KANN, OBGLEICH ES SPEISEN FASSEN KANN, SO IST ES REIN, DENN ES GIBT KEINE ÜBERBLEIBSEL VON ÜBERBLEIBSELN1Schon das Brakstück ist ein Überbleibsel eines Gefäßes, u. ebenso ist es auch das Morsche..", + "WELCHES HEISST EIN BRAK? WENN AUCH NUR DIE OHREN FEHLEN. STEHEN ZACKEN HERVOR2An der Stelle, wo oben abgebrochen ist., SO IST ALLES, WAS OLIVEN MITFASSEN KANN, DURCH BERÜHREN UNREIN, UND EBENSO UNREIN DER HOHLRAUM GEGENÜBER, UND WAS NICHT OLIVEN MITFASSEN KANN, DURCH BERÜHREN UNREIN, JEDOCH IST DER HOHLRAUM GEGENÜBER NICHT UNREIN. IST ES AUF DIE SEITE GENEIGT3Dh. wenn eine Seite der Wandung fehlt u. die übriggebliebene eine Art Lehne bildet., WIE EIN LEHNSESSEL, SO IST ES, SOWEIT ES OLIVEN MITFASSEN KANN, DURCH BERÜHRUNG UNREIN, UND EBENSO UNREIN DER HOHLRAUM GEGENÜBER, UND SOWEIT ES NICHT OLIVEN MITFASSEN KANN, DURCH BERÜHRUNG UNREIN, JEDOCH IST NICHT DER HOHLRAUM GEGENÜBER UNREIN. DIE BÖDEN DER SPITZBECHER UND DIE BÖDEN DER ÇIDONISCHEN SCHALEN4Die unten spitz waren u. nicht allein stehen konnten. SIND UNREIN, OBGLEICH SIE UNGESTÜTZT NICHT STEHEN KÖNNEN, DENN SIE SIND VON ANFANG AN SO GEFERTIGT WORDEN.", + "WENN EIN TONGEFÄSS DREI RÄNDER HAT, SO IST, WENN DER INNERE ÜBERSTEHT, ALLES5Außerhalb dieses Randes. REIN, WENN DER ÄUSSERE ÜBERSTEHT, ALLES UNREIN, UND WENN DER MITTELSTE ÜBERSTEHT, WAS VON DIESEM EINWÄRTS, UNREIN, UND WAS VON DIESEM AUSWÄRTS, REIN. SIND ALLE GLEICH, SO IST, WIE R. JEHUDA SAGT, DER MITTELSTE ZU TEILEN6Die Hälfte nach innen ist unrein, u. die Hälfte nach außen ist rein., UND WIE DIE WEISEN SAGEN, ALLES REIN. VON WANN AB SIND TONGEFÄSSE FÜR DIE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH? SOBALD SIE IM OFEN GEBRANNT SIND. DIES IST DIE VOLLENDUNG IHRER HERSTELLUNG." + ], + [ + "EIN BACKOFEN1Ist verunreinigungsfähig. ANFANGS BEI VIER [HANDBREITEN] UND SEIN ÜBERBLEIBSEL BEI VIERSO R. MEÍR. DIE WEISEN SAGEN, DIES GELTE NUR VON EINEM GROSSEN, EIN KLEINER ABER ANFANGS BEI IRGEND WELCHER GRÖSSE UND SEIN ÜBERBLEIBSEL BEI DER GRÖSSEREN HÄLFTE. SOBALD SEINE HERSTELLUNG VOLLENDET IST. WANN ERFOLGT DIE VOLLENDUNG SEINER HERSTELLUNG? SOBALD MAN IHN SO GEHEIZT HAT, DASS MAN DARIN SCHWAMMKUCHEN BACKEN KANN. R. JEHUDA SAGT, SOBALD MAN EINEN NEUEN SO GEHEIZT HAT, WIE MAN IN EINEM ALTEN SCHWAMMKUCHEN BACKEN KANN.", + "DER KOCHHERD BEI DREI [HANDBREITEN] UND SEIN ÜBERBLEIBSEL BEI DREI. SOBALD SEINE HERSTELLUNG VOLLENDET IST. WANN ERFOLGT DIE VOLLENDUNG SEINER HERSTELLUNG? SOBALD MAN IHN SO GEHEIZT HAT, DASS MAN DAS LEICHTESTE UNTER DEN EIERN KOCHEN KANN, ZERSCHLAGEN UND IN DEN TIEGEL GETAN. BEI EINEM KOCHOFEN2Kleiner Herd mit nur einem Kochloche. GILT, WENN ER ZUM BACKEN GEMACHT IST, DAS MASS DES BACKOFENS, UND WENN ER ZUM KOCHEN GEMACHT IST, DAS MASS DES HERDES. EIN STEIN, DER AUS DEM OFEN EINE HANDBREITE UND AUS DEM HERDE DREI FINGER HERAUSRAGT, GILT ALS VERBUNDEN3Sodaß er mit dem Ofen unrein wird; größer gehört er nicht mehr zum Ofen, da er entfernt wird.. BEI DEM, DER AUS EINEN KOCHOFEN HERAUSRAGT, GILT, WENN ER ZUM BACKEN GEMACHT IST, DAS MASS DES OFENS, UND WENN ER ZUM KOCHEN GEMACHT IST, DAS MASS DES HERDES. R. JEHUDA SAGTE: DAS MASS EINER HANDBREITE GILT NUR ZWISCHEN DEM OFEN UND DER WAND4Da er das Heranrücken hindert u. größer entfernt wird.. BEFINDEN SICH ZWEI ÖFEN NEBEN EINANDER, SO GEHÖRT EINE HANDBREITE ZU EINEM UND EINE HANDBREITE ZUM ANDEREN, UND DAS ÜBRIGE IST REIN.", + "DER KRANZ DES HERDES IST REIN. DIE UMFRIEDUNG DES OFENS IST, WENN SIE VIER HANDBREITEN HOCH IST, UNREIN DURCH BERÜHRUNG UND DURCH DEN HOHLRAUM, UND WENN WENIGER, REIN; IST ER MIT DIESEM VERBUNDEN, AUCH WENN NUR AUF DREI STEINEN5Der Sinn ist dunkel, da auch die Bauart dieser Öfen unbekannt ist., SO IST ER UNREIN. DER ÖLBEHÄLTER, DER GEWÜRZBEHÄLTER UND DER LAMPENBEHÄLTER AM HERDE WERDEN UNREIN DURCH BERÜHRUNG UND WERDEN NICHT UNREIN DURCH DEN HOHLRAUMSO R. MEÍR; NACH R. JIŠMA͑ÉL SIND SIE REIN.", + "IST EIN OFEN VON AUSSEN GEHEIZT WORDEN, ODER IST ER OHNE SEIN WISSEN GEHEIZT WORDEN, ODER IST ER IM HAUSE DES MEISTERS GEHEIZT WORDEN, SO IST ER UNREIN. EINST EREIGNETE ES SICH, DASS UNTER DEN ÖFEN VON KEPHAR SIGNA FEUER AUSBRACH, UND ALS DIE SACHE NACH JABNE KAM, ERKLÄRTE SIE R. GAMLIÉL ALS UNREIN.", + "DER ANSATZ DES OFENS FÜR DEN HAUSGEBRAUCH IST REIN UND FÜR DEN DER BÄCKER IST UNREIN, WEIL ER DARAN DEN BRATSPIESS LEHNT. R. JOḤANAN DER SCHUSTER SAGT, WEIL ER IM BEDARFSFALLE DARIN BACKT. DESGLEICHEN IST DER KESSELANSATZ DER OLIVENSIEDER UNREIN UND DER DER FÄRBER REIN.", + "HAT MAN IN EINEN OFEN BIS ZUR HÄLFTE ERDE GETAN, SO IST ER VON DER ERDE ABWÄRTS UNREIN DURCH BERÜHRUNG, UND VON DER ERDE AUFWÄRTS UNREIN [AUCH] DURCH DEN HOHLRAUM. HAT MAN IHN ÜBER DIE MÜNDUNG EINER GRUBE ODER EINER ZISTERNE GESTELLT UND DA[RUNTER] EINEN STEIN6Zur Befestigung. GESETZT, SO IST ER, WIE R. JEHUDA SAGT, FALLS ER, WENN MAN IHN UNTEN HEIZT, OBEN MITGEHEIZT WIRD, UNREIN; WIE DIE WEISEN SAGEN, WENN ER NUR GEHEIZT WORDEN IST, IN WELCHER WEISE AUCH, SEI ER UNREIN.", + "WIE IST EIN UNREIN GEWORDENER OFEN REIN ZU MACHEN? MAN TEILE IHN IN DREI TEILE UND KRATZE AUCH DEN PUTZ WEG, BIS ER SICH AUF DER ERDE5Der Sinn ist dunkel, da auch die Bauart dieser Öfen unbekannt ist. BEFINDET. R. MEÍR SAGT, MAN BRAUCHE DEN PUTZ NICHT WEGZUKRATZEN, AUCH NICHT BIS ER SICH AUF DER ERDE BEFINDET, VIELMEHR VERRINGERE MAN IHN INWENDIG AUF UNTER VIER HANDBREITEN. R. ŠIMO͑N SAGT, MAN MÜSSE IHN AUCH WEGRÜCKEN. HAT MAN IHN IN ZWEI TEILE GETEILT, EINER GRÖSSER UND EINER KLEINER, SO IST DER GRÖSSERE UNREIN UND DER KLEINERE REIN. HAT MAN IHN IN DREI GETEILT, EINER ABER SO GROSS WIE DIE BEIDEN ANDEREN, SO IST DER GROSSE UNREIN7Weil er viell. etwas größer als die Hälfte ist. UND DIE BEIDEN KLEINEN SIND REIN.", + "HAT MAN IHN IN DER BREITE IN RINGE8Wie schon oft erklärt, bildete der Backofen eine Art Zylinder, an dessen Wände die Brotfladen geklebt wurden. UNTER VIER HANDBREITEN ZERSCHNITTEN, SO IST ER REIN. HAT MAN IHN WIEDER MIT LEHM ÜBERSTRICHEN, SO IST ER FÜR DIE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH, SOBALD MAN IHN SO GEHEIZT HAT, DASS MAN DARIN SCHWAMMKUCHEN BACKEN KANN. HAT MAN DEN PUTZ ABSTEHEND AUFGETRAGEN UND DAZWISCHEN9Zwischen dem Putze u. der Wand des Ofens. SAND ODER GERÖLL GETAN, – VON EINEM SOLCHEN SAGTEN SIE, EINE MENSTRUIERENDE UND EINE REINE DÜRFEN DARIN BACKEN, UND ER BLEIBE REIN10Er ist für die Unreinheit nicht empfänglich..", + "WENN EIN OFEN ZERSCHNITTEN AUS DEM HAUSE DES WERKMEISTERS GEKOMMEN IST UND MAN IHN, ALS ER NOCH REIN WAR, MIT KLAMMERN BEFESTIGT HAT UND ER DARAUF UNREIN GEWORDEN IST, SO IST ER, WENN MAN DIE KLAMMERN ENTFERNT, REIN; LEGT MAN SIE WIEDER AN, SO BLEIBT ER REIN. VERSCHMIERT MAN IHN ABER MIT LEHM, SO IST ER FÜR DIE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH, OHNE GEHEIZT WERDEN ZU MÜSSEN, WEIL ER BEREITS GEHEIZT WORDEN IST.", + "HAT MAN IHN IN RINGE ZERSCHNITTEN UND ZWISCHEN DIE RINGE SAND GETAN, SO IST ER NACH R. ELIE͑ZER REIN UND NACH DEN WEISEN UNREIN. DIES IST DER OFEN DESKHNAJ11Wohl Name eines Ofenbauers; nach der Erklärung des T. Schlangenofen: cf. Bm. Fol. 59b.. ARABISCHE KESSEL, DIE MAN IN DIE ERDE EINGRÄBT UND MIT LEHM ÜBERSTREICHT, SIND, WENN DER LEHMBEWURF ALLEIN STEHEN KANN, UNREIN, WENN ABER NICHT, REIN. DIES IST DER OFEN DES BETH DINAJ.", + "EIN OFEN AUS STEIN ODER AUS METALL IST REIN, JEDOCH [IST LETZTERER] UNREIN ALS METALLGERÄT. WENN ER EIN LOCH BEKOMMEN HAT, BESCHÄDIGT WORDEN ODER GEPLATZT IST UND MAN IHN MIT PUTZ ODER EINEM AUFSATZ AUS LEHM VERSEHEN HAT, SO IST ER UNREIN. WIE GROSS MUSS DAS LOCH SEIN12Um den Ofen unbrauchbar u. rein zu machen.? DASS DAS FEUER DURCHSCHLÄGT. DASSELBE GILT AUCH VON EINEM KOCHHERDE. EIN KOCHHERD AUS STEIN ODER AUS METALL IST REIN, JEDOCH [IST LETZTERER] UNREIN ALS METALLGERÄT. WENN ER EIN LOCH BEKOMMEN HAT, BFSCHÄDIGT WORDEN ODER GEPLATZT IST UND MAN IHN MIT HALTEFÜSSEN13Zum Aufsetzen des Kochtopfes.VERSEHEN HAT, SO IST ER UNREIN. HAT MAN IHN MIT LEHM ÜBERSCHMIERT, OB INNEN ODER AUSSEN, SO BLEIBT ER REIN. R. JEHUDA SAGT, WENN INNEN, SEI ER UNREIN, WENN AUSSEN, SEI ER REIN." + ], + [ + "HAT MAN AUF DER ERDE DREI HALTEFÜSSE GEMACHT UND SIE MIT LEHM VERBUNDEN, UM DARAUF EINEN KOCHTOPF ZU SETZEN, SO IST ES UNREIN. HAT MAN DREI NÄGEL IN DIE ERDE GESCHLAGEN, UM DARAUF EINEN KOCHTOPF ZU SETZEN, SO IST DIES, OBGLEICH MAN OBEN EINE VORRICHTUNG ZUM AUFSETZEN DES KOCHTOPFES GEMACHT HAT, REIN. HAT MAN ZWEI STEINE MIT LEHM VERBUNDEN UND DARAUS EINEN KOCHHERD GEMACHT, SO IST ES, WIE R. JEHUDA SAGT, REIN, BIS MAN EINEN DRITTEN DAZU NIMMT, ODER SIE NAHE AN DIE WAND SETZT. WENN EINEN MIT LEHM UND EINEN OHNE LEHM, SO IST ES REIN.", + "EIN STEIN, AUF DEN MAN MIT DEM OFEN ZUSAMMEN, MIT DEM KOCHHERDE ZUSAMMEN ODER MIT DEM KOCHOFEN ZUSAMMEN [DEN KOCHTOPF] AUFSETZT, IST UNREIN; WENN AUF DIESEN UND EINEN STEIN, AUF DIESEN UND EINEN FELSEN ODER AUF DIESEN UND DIE WAND, SO IST ER REIN. SOLCHES WAR DER FELSENHERD DER NAZIRÄER1Im Tempelhofe, wo sie ihre Heilsopfer kochen; cf. Mid. II,5. IN JERUŠALEM. WENN VOM SCHLÄCHTERHERDE, BEI DEM MAN EINEN STEIN NEBEN DEN ANDEREN2Die Schlächter verkauften gekochtes Fleisch, u. die vielen Töpfe wurden neben einander auf je 2 Steine gesetzt. SETZT, EINER VON IHNEN UNREIN GEWORDEN IST. SO SIND ALLE ÜBRIGEN NICHT UNREIN.", + "WENN MAN AUS DREI STEINEN ZWEI KOCHHERDE HERGERICHTET HAT, SO IST, WENN EINER VON DEN ÄUSSEREN UNREIN GEWORDEN IST, VOM MITTELSTEN DER DEM UNREINEN DIENENDE TEIL UNREIN, UND DER DEM REINEN DIENENDE TEIL REIN. WIRD DER REINE FORTGENOMMEN, SO GEHÖRT DER MITTELSTE VOLLSTÄNDIG ZUM UNREINEN, UND WIRD DER UNREINE FORTGENOMMEN, SO GEHÖRT DER MITTELSTE VOLLSTÄNDIG ZUM REINEN. SIND DIE BEIDEN ÄUSSEREN UNREIN GEWORDEN, SO GEHÖRT, WENN DER MITTELSTE GROSS3Größer als zum Aufsetzen der Töpfe an beiden Seiten nötig. IST, ZU DEM EINEN AN DER EINEN SEITE SOVIEL, ALS ZUM AUFSETZEN NÖTIG IST, UND ZUM ANDEREN AN DER ANDEREN SOVIEL, ALS ZUM AUFSETZEN NÖTIG IST, UND DAS ÜBRIGE IST REIN; IST ER ABER KLEIN, SO IST ER VOLLSTÄNDIG UNREIN. WIRD DER MITTELSTE FORTGENOMMEN, SO IST DAS GANZE, WENN MAN DARAUF EINEN GROSSEN KESSEL AUFSETZEN KANN, UNREIN. STELLT MAN IHN WIEDER HIN, SO IST ALLES REIN4Die beiden äußeren Steine bildeten einen großen Kochherd, der nunmehr zerstört worden ist.. ÜBERSTREICHT MAN IHN MIT LEHM, SO IST [DER KOCHHERD] FÜR DIE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH, SOBALD MAN IHN SO HEIZT, DASS MAN DARAUF EIN EI KOCHEN KANN.", + "WENN MAN ZWEI STEINE ZU EINEM KOCHHERDE HERGERICHTET HAT UND SIE UNREIN GEWORDEN SIND, SO IST, WENN MAN AN DER EINEN SEITE EINEN STEIN NEBEN DEN EINEN UND AN DER ANDEREN SEITE EINEN STEIN NEBEN DEN ANDEREN GESETZT HAT, DER EINE ZUR HÄLFTE UNREIN UND ZUR HÄLFTE REIN, UND DER ANDERE ZUR HÄLFTE UNREIN UND ZUR HÄLFTE REIN. WERDEN DIE REINEN FORTGENOMMEN, SO GELANGEN DIE ANDEREN ZURÜCK ZU IHRER UNREINHEIT." + ], + [ + "WENN EIN HEIZKORB1Eine Art Gestell zum Aufsetzen des Kochtopfes; nach anderer Erklärung Untersatz für den Kochherd. FÜR DEN HAUSGEBRAUCH WENIGER ALS DREI HANDBREITEN DURCHBROCHEN WIRD, SO IST ER UNREIN, WEIL MAN UNTEN HEIZEN UND DER TOPF OBEN KOCHEN KANN; WENN MEHR, SO IST ER REIN. HAT MAN EINEN STEIN2Die Lesart אבר (Blei) in der ed. Lowe ist nichts weiter als ein Schreibfehler. ODER GERÖLL HINEINGETAN3Zum Ausfüllen der durchbrochenen Stelle., SO BLEIBT ER REIN; HAT MAN IHN MIT LEHM VERSCHMIERT, SO IST ER VON DANN AB FÜR DIE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH. DIES WAR ES, WORAUF R. JEHUDA SICH BEZOG BEI SEINER ERWIDERUNG HINSICHTLICH EINES OFENS, DEN MAN AUF EINE GRUBE ODER EINE ZISTERNE GESETZT HAT4Ob. V,6..", + "DIE WÄRMEPLATTE5An der Seite des Kochherdes; diese war dreieckig u. hatte 2 freie Seiten, während die 3. durch die Breitseite des Herdes gebildet wurde. Nach anderer Erklärung ist דכון eine Art längliche Wärmekiste, die mit heißer Asche gefüllt wurde., DIE VERTIEFUNGEN FÜR DIE TÖPFE HAT, IST ALS KOCHHERD REIN UND ALS AUFNEHMENDES GEFÄSS UNREIN; WAS DIE SEITEN BERÜHRT, IST NICHT WIE BEIM KOCHHERDE UNREIN, UND DIE BREITE6Die Seite am Herde.IST NACH R. MEÍR REIN UND NACH R. JEHUDA UNREIN. DESGLEICHEN AUCH, WENN MAN EINEN KORB UMSTÜLPT UND OBEN EINEN KOCHHERD HERRICHTET7Er gehört nicht zum Herde..", + "IST EIN KOCHHERD IN DER LÄNGE GETEILT8Von oben nach unten. WORDEN, SO IST ER REIN, UND WENN IN DER BREITE, UNREIN9Da man auf die einzelnen Teile einen Topf aufsetzen kann.. IST EIN KOCHOFEN GETEILT WORDEN10Der nur einen Topf fassen kann., OB IN DER LÄNGE ODER IN DER BREITE, SO IST ER REIN. DER HOF DES KOCHHERDES11Ein mit Seitenrändern versehener Tonuntersatz.IST, WENN ER DREI FINGERBREITEN HOCH IST, DURCH BERÜHRUNG UND DURCH DEN HOHLRAUM UNREIN; WENN WENIGER, SO IST ER DURCH BERÜHRUNG UNREIN UND DURCH DEN ḤOHLRAUM NICHT UNREIN. WIE BERECHNET MAN DIES? R. JIŠMA͑ÉL SAGTE, MAN LEGE DEN BRATSPIESS VON OBEN NACH UNTEN12Ein Ende auf den Herd u. ein Ende auf die Hofwand, sodaß der Hohlraum dazwischen abgeschrägt wird.AN, UND DIESEM ENTSPRECHEND IST DER HOHLRAUM UNREIN. R. ELIE͑ZER B. JA͑QOB SAGT, WIRD DER KOCHHERD UNREIN, SEI AUCH DER HOF UNREIN, WIRD DER HOF UNREIN, SEI DER KOCHHERD NICHT UNREIN.", + "IST ER VOM KOCHHERDE GETRENNT13Lose, nicht mit diesem verbunden., SO IST ER, WENN ER DREI FINGERBREITEN HOCH IST, DURCH BERÜHRUNG UND DURCH DEN HOHLRAUM UNREIN, WENN ABER WENIGER, ODER WENN ER FLACH IST, REIN. DREI HALTEFÜSSE EINES KOCHHERDES14Auf die der Kochtopf gesetzt wird.SIND, WENN SIE DREI FINGERBREITEN HOCH SIND, DURCH BERÜHRUNG UND DURCH DEN HOHLRAUM UNREIN, UND WENN WENIGER, SO SIND SIE ERST RECHT UNREIN, AUCH WENN ES VIER SIND15Sie gehören zum Kochherde..", + "IST EINER VON IHNEN FORTGENOMMEN WORDEN, SO SIND SIE UNREIN DURCH BERÜHRUNG, NICHT ABER SIND SIE UNREIN DURCH DEN HOHLRAUMSO R. MEÍR; NACH R. ŠIMO͑N SIND SIE REIN. WAREN ES [VON VORNHEREIN] NUR ZWEI, EINER GEGENÜBER DEM ANDEREN, SO SIND SIE UNREIN DURCH BERÜHRUNG UND DURCH DEN HOHLRAUMSO R. MEÍR; NACH R. ŠIMO͑N SIND SIE REIN. SIND SIE HÖHER ALS DREI FINGERBREITEN, SO SIND SIE UNTERHALB DREI UNREIN DURCH BERÜHRUNG UND DURCH DEN HOHLRAUM, OBERHALB DREI ABER SIND SIE UNREIN DURCH BERÜHRUNG, NICHT ABER UNREIN DURCH DEN HOHLRAUMSO R. MEÍR; NACH R. ŠIMO͑N SIND SIE REIN. RAGEN SIE ÜBER DEN RAND HINAUS, SO SIND SIE INNERHALB DREI FINGERBREITEN UNREIN DURCH BERÜHRUNG UND DURCH DEN HOHLRAUM, AUSSERHALB DREI FINGERBREITEN ABER UNREIN DURCH BERÜHRUNG UND NICHT UNREIN DURCH DEN HOHLRAUMSO R. MEÍR; NACH R. ŠIMO͑N SIND SIE REIN.", + "WIE BERECHNET MAN DIES? R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGTE, MAN LEGE DAS LINEAL ZWISCHEN DIESE16Von einem Haltefuße zum anderen., WAS AUSSERHALB DES LINEALS IST, IST REIN, UND WAS INNERHALB DES LINEALS IST, UND DER RAUM DES LINEALS, SIND UNREIN." + ], + [ + "HAT MAN EINEN BACKOFEN DURCH EINE SCHEIDEWAND VON BRETTERN ODER HÄNGETEPPICHEN GETEILT, SO IST, WENN EIN KRIECHTIER AN EINER STELLE GEFUNDEN WIRD, ALLES UNREIN. WENN MAN EINEN BESCHÄDIGTEN, ABER MIT STROH VERSTOPFTEN BIENENKORB, IN DEM EIN KRIECHTIER SICH BEFINDET, IM HOHLRAUME EINES OFENS HÄNGEN LÄSST, SO IST DER OFEN UNREIN; BEFINDET SICH EIN KRIECHTIER IM OFEN, SO SIND DIE SPEISEN IN JENEM UNREIN; NACH R. ELIE͑ZER ABER REIN. R. ELIE͑ZER SPRACH: WENN DIES VOR DER SCHWEREN LEICHEN[UNREINHEIT] SCHÜTZT1Cf. Ah. IX,3., WIE SOLLTE ES NICHT VOR DER LEICHTEREN DES TONGEFÄSSES SCHÜTZEN!? MAN ERWIDERTE IHM: WENN DIES AUCH VOR DER SCHWEREN LEICHEN[UNREINHEIT] SCHÜTZT, WOBEI ABER DIE BEZELTUNG2Wodurch die Übertragung der Unreinheit erfolgt. GETEILT WIRD, SOLLTE DIES DENN BEI DER LEICHTEN DES TONGEFÄSSES SCHÜTZEN, WO DOCH DAS TONGEFÄSS NICHT GETEILT WERDEN KANN!?", + "IST ER GANZ, EBENSO EINE KIEPE ODER EIN SCHLAUCH, SO IST, WENN EIN KRIECHTIER SICH IN DIESEM BEFINDET, DER OFEN REIN, UND WENN EIN KRIECHTIER IM OFEN SICH BEFINDET, SO SIND DIE SPEISEN IN JENEM REIN. HABEN SIE EIN LOCH, SO GILT BEI DIESEN, WENN SIE FÜR SPEISEN DIENEN, DAS GRÖSSENMASS EINER OLIVE, WENN SIE FÜR FLÜSSIGKEITEN DIENEN, DAS BEI FLÜSSIGKEITEN BESTIMMTE GRÖSSENMASS3Wenn solche durch das Loch eindringen; ob. III,1ff., UND WENN FÜR DIESE UND FÜR JENE, DAS ERSCHWERENDE [MASS], WENN FLÜSSIGKEITEN EINDRINGEN KÖNNEN4Schon dann dringt die Unreinheit durch..", + "LIEGT AUF DER MÜNDUNG EINES OFENS EIN IN DIESEN HINEINSINKENDER LÖCHERDECKEL OHNE RAND, SO IST, WENN EIN KRIECHTIER SICH IN DIESEM BEFINDET, DER OFEN UNREIN, UND WENN EIN KRIECHTIER SICH IM OFEN BEFINDET, SIND DIE SPEISEN IN DIESEM UNREIN, DENN NUR GEFÄSSE5Was ein randloser Löcherdeckel nicht ist. SCHÜTZEN VOR [DER UNREINHEIT] DES TONGEFÄSSES. WENN EIN MIT REINEN FLÜSSIGKEITEN GEFÜLLTES FASS UNTERHALB DER SOHLE EINES OFENS GESETZT IST UND IM OFEN EIN KRIECHTIER SICH BEFINDET, SO SIND DAS FASS UND DIE FLÜSSIGKEITEN REIN. IST ES UMGESTÜLPT6Über dem Ofen, ohne diesen zu berühren. MIT DER MÜNDUNG GEGEN DEN HOHLRAUM DES OFENS, SO IST, WENN EIN KRIECHTIER SICH IM OFEN BEFINDET, DIE DEN BODEN DES FASSES BEFEUCHTENDE FLÜSSIGKEIT REIN.", + "WIRD EIN KOCHTOPF IN EINEN OFEN GESETZT, SO IST, WENN EIN KRIECHTIER SICH IM OFEN BEFINDET, DER KOCHTOPF REIN, DENN EIN TONGEFÄSS MACHT GERÄTE NICHT UNREIN; IST ABER DARIN EINE BEFEUCHTENDE FLÜSSIGKEIT, SO WIRD SIE UNREIN UND MACHT UNREIN. DIESER7Der Topf, der durch den unreinen Ofen nicht unrein wird. KANN ALSO SAGEN: WAS DICH UNREIN GEMACHT HAT, MACHT MICH NICHT UNREIN, DU ABER HAST MICH UNREIN GEMACHT.", + "WENN EIN HAHN EIN KRIECHTIER VERSCHLUNGEN HAT UND IN DEN HOHLRAUM EINES OFENS GEFALLEN IST, SO IST DER OFEN REIN; VERENDET ER, SO IST ER UNREIN. WIRD EIN KRIECHTIER IN EINEM OFEN GEFUNDEN, SO IST DAS IN DIESEM BEFINDLICHE BROT ZWEITGRADIG [UNREIN], DENN DER OFEN IST ERSTGRADIG.", + "WENN EIN MIT EINEM FESTSCHLIESSENDEN DECKEL VERSEHENER SAUERTEIGBEHÄLTER, IN DEM DURCH DIE TEILUNGSWAND GETRENNT SAUERTEIG UND EIN KRIECHTIER SICH BEFINDEN, IN EINEN OFEN GETAN WIRD, SO IST DER OFEN UNREIN UND DER SAUERTEIG REIN. IST ES8Was sich in dem einen Abteile des Behälters befindet. EIN OLIVENGROSSES VON EINEM TOTEN, SO SIND DER OFEN UND DAS HAUS UNREIN UND DER SAUERTEIG REIN; IST [AM BEHÄLTER] EINE ÖFFNUNG VON FAUSTWEITE, SO IST ALLES UNREIN.", + "WIRD EIN KRIECHTIER IM AUGE9Ein Zugloch unten am Ofen. DES BACKOFENS GEFUNDEN, IM AUGE DES KOCHHERDES ODER IM AUGE DES KOCHOFENS, SO IST ER, WENN VOM INNEREN RANDE NACH AUSSEN, REIN. BEFINDET SICH [DER OFEN] IM FREIEN, SO IST ER, SELBST WENN ES EIN OLIVENGROSSES VON EINEM TOTEN IST, REIN; HAT ER EINE ÖFFNUNG VON FAUSTWEITE10Wenn die Wand so dick ist, daß das Kriechtier eine Handbreite bedeckt ist., SO IST ALLES UNREIN.", + "FINDET ES SICH AN DER STELLE, WO DAS HOLZ HINEINGETAN WIRD, SO IST ER, WIE R. JEHUDA SAGT, WENN VOM ÄUSSEREN RANDE NACH INNEN, UNREIN. DIE WEISEN SAGEN, WENN VOM INNEREN RANDE NACH AUSSEN, REIN11Sie streiten über die Dicke der Wand. Unter Faustweite ist ein Hohlraum von einer Handbreite in Länge, Breite u. Höhe zu verstehen, der in dieser Dimension den Charakter eines selbständigen Raumes hat.. R. JOSE SAGT, WENN GEGENÜBER DER STELLE, WO DER KOCHTOPF AUFGESETZT WIRD, NACH INNEN, SEI ER UNREIN, UND WENN GEGENÜBER DER STELLE, WO DER KOCHTOPF AUFGESETZT WIRD, NACH AUSSEN, REIN. FINDET ES SICH AUF DEM SITZPLATZE DES BADERS, AUF DEM SITZPLATZE DES FÄRBERS, AUF DEM SITZPLATZE DES OLIVENSIEDERS12Wohl am Ofen od. Herde angebaut., SO IST ER REIN; ER IST NUR DANN UNREIN, WENN ES SICH VOM VERSCHLUSSE13Wo die Öffnung durch den Kochtopf geschlossen wird.NACH INNEN BEFINDET.", + "EIN SCHMELZLOCH14Ein in die Erde gemauertes Loch., DAS EINE VORRICHTUNG ZUM AUFSETZEN15Eines Kochtopfes.HAT, IST UNREIN; EBENSO IST [DER OFEN] DER GLASMACHER, WENN ER EINE VORRICHTUNG ZUM AUFSETZEN HAT, UNREIN. DER SCHMELZOFEN DER KALKBRENNER, DER GLASER UND DER TÖPFER IST REIN. DER BÄCKEROFEN16Ein großer Backofen mit einer Tür an der Seite, in dem das Brot auf der Sohle gebacken wird.IST, WENN ER LEISTEN17Und fortbewegt werden kann.HAT, UNREIN. R. JEHUDA SAGT, WENN ER EIN LÖCHERDACH18So nach manchen Erklärern; auch die anders lautenden Erklärungen sind nicht befriedigend.HAT. R. GAMLIÉL SAGT, WENN ER EINEN SAUM18So nach manchen Erklärern; auch die anders lautenden Erklärungen sind nicht befriedigend.HAT.", + "WENN JEMAND, DER EINEN LEICHENUNREINEN BERÜHRT HAT, SPEISEN UND FLÜSSIGKEITEN IM MUNDE HAT UND DEN KOPF IN DEN HOHLRAUM EINES REINEN OFENS STECKT, SO HABEN SIE IHN UNREIN GEMACHT. WENN EIN REINER SPEISEN UND FLÜSSIGKEITEN IM MUNDE HAT UND DEN KOPF IN DEN HOHLRAUM EINES UNREINEN OFENS STECKT, SO WERDEN SIE UNREIN. WENN JEMAND EINE PRESSFEIGE MIT NICHT REINEN HÄNDEN ISST UND DIE HAND IN DEN MUND STECKT, UM EIN SPÄNCHEN HERAUSZUNEHMEN, SO IST ER NACH R. MEÍR UNREIN UND NACH R. JEHUDA REIN. R. JOSE SAGT, HAT ER IHN UMGEWENDET, SEI ER UNREIN, UND HAT ER IHN NICHT UMGEWENDET, SEI ER REIN. HATTE ER EINEN PONDION IM MUNDE, SO IST ER, WIE R. JOSE SAGT, WENN WEGEN DES DURSTES19Damit sich Speichel im Munde ansammle., UNREIN.", + "WENN EINEM [UNREINEN] WEIBE MILCH AUS DER BRUST GETROPFT UND IN DEN HOHLRAUM EINES BACKOFENS GEFALLEN IST, SO IST ER UNREIN, DENN DIE [UNREINE] FLÜSSIGKEIT MACHT UNREIN OB GEWOLLT ODER UNGEWOLLT. WENN SIE EINEN AUSRAFFT, SICH AN EINEM SPLITTER STICHT UND BLUT HERAUSKOMMT, ODER SIE SICH VERBRENNT UND DEN FINGER IN DEN MUND STECKT, SO IST ER UNREIN." + ], + [ + "WENN EINE NADEL ODER EIN RING AUF DER SOHLE EINES OFENS GEFUNDEN WIRD, SIE ZU SEHEN SIND, ABER NICHT HERAUSRAGEN, SO IST ER, FALLS DER TEIG SIE BEIM BACKEN BERÜHREN WÜRDE, UNREIN. VON WELCHEM TEIGE SPRECHEN SIE? VON MITTELMÄSSIGEM1Nicht sehr hart u. nicht sehr weich. TEIGE. FINDEN SIE SICH IM PUTZ DES OFENS, DER MIT EINEM FESTSCHLIESSENDEN DECKEL VERSEHEN IST, SO SIND SIE, WENN IN EINEM UNREINEN, UNREIN, UND WENN IN EINEM REINEN, REIN. FINDEN SIE SICH IM SPUNDE EINES FASSES, SO SIND SIE, WENN AN DER SEITE2Im dicken Teile des konischen Spundes, der nicht in das Spundloch dringt u. daher nicht zum Fasse gehört; was sich darin befindet, ist daher vor der Unreinheit geschützt., UNREIN, UND WENN GEGEN DIE MÜNDUNG, REIN. WENN SIE INNEN ZU SEHEN SIND, ABER NICHT IN DEN HOHLRAUM [RAGEN], SO SIND SIE REIN. WENN SIE HINEINSINKEN3In das Faß, dh. wenn sie am Spunde vorstehen., ABER DARUNTER NOCH WIE EINE KNOBLAUCHSCHALE [LEHM] IST, SO SIND SIE REIN.", + "WENN EIN FASS VOLL MIT REINEN FLÜSSIGKEITEN, DER HEBER DARIN, MIT EINEM FESTSCHLIESSENDEN DECKEL VERSEHEN, SICH IN EINEM TOTENZELTE BEFINDET, SO SIND, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, DAS FASS UND DIE FLÜSSIGKEITEN REIN UND DER HEBER4Dessen längerer Schenkel herausragt. UNREIN, UND WIE DIE SCHULE HILLELS SAGT, AUCH DER HEBER REIN. DIE SCHULE HILLELS TRAT ABER ZURÜCK UND LEHRTE WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS.", + "WIRD EIN KRIECHTIER UNTERHALB DER SOHLE EINES OFENS GEFUNDEN, SO IST ER REIN, DENN ICH NEHME AN, ES SEI LEBEND HINEINGEKOMMEN UND ERST JETZT5Das tote Tier war nicht im Hohlraume. VERENDET. WENN EINE NADEL ODER EIN RING6Die unrein sind. UNTERHALB DER SOHLE EINES OFENS GEFUNDEN WERDEN, SO IST ER REIN, DENN ICH NEHME AN, SIE WAREN DORT, BEVOR DER OFEN HINGESETZT WURDE. WERDEN SIE IN DER BRANDASCHE GEFUNDEN, SO IST ER UNREIN, WEIL ES HIERBEI KEINE DERARTIGE ANNAHME GIBT7Sie waren entschieden im Hohlraume..", + "WENN EIN SCHWAMM, DER UNREINE FLÜSSIGKEITEN EINGESOGEN HAT, AUSSEN ABER TROCKEN IST, IN DEN HOHLRAUM EINES OFENS GEFALLEN IST, SO IST DIESER UNREIN, WEIL ENDLICH DIE FLÜSSIGKEIT HERAUSKOMMT. EBENSO EIN STÜCK KOHLRÜBE ODER SCHILF. NACH R. ŠIMO͑N IST ER BEI DIESEN BEIDEN REIN.", + "WENN SCHERBEN, DIE ZU UNREINEN FLÜSSIGKEITEN VERWENDET WORDEN SIND, IN DEN HOHLRAUM EINES OFENS GEFALLEN SIND UND ER GEHEIZT WORDEN IST, SO IST DER OFEN UNREIN, WEIL ENDLICH DIE FLÜSSIGKEIT HERAUSKOMMT. DASSELBE GILT AUCH VON FRISCHEN TRESTERN; WENN ABER ALTE, SO IST ER REIN. IST ES ABER SICHER, DASS AUS IHNEN NOCH FLÜSSIGKEIT HERAUSKOMMT, SO IST ER, AUCH WENN NACH DREI JAHREN, UNREIN.", + "WENN AUF TRESTERN UND SCHLAUBEN, DIE IN REINHEIT ZUBEREITET WORDEN SIND, UNREINE GEGANGEN SIND, UND NACHHER FLÜSSIGKEITEN AUS IHNEN HERAUSGEKOMMEN SIND, SO SIND SIE REIN, WEIL SIE ANFANGS IN REINHEIT ZUBEREITET WORDEN SIND. WENN IN EINE SPINDEL DER HAKEN, IN EINEN OCHSENSTECKEN DER STACHEL ODER IN EINEN ZIEGELSTEIN EIN RING HINEINGESUNKEN SIND, ALS SIE REIN WAREN, UND DIESE IN EIN TOTENZELT KOMMEN, SO SIND SIE UNREIN. SCHÜTTELT SIE EIN FLUSSBEHAFTETER, SO SIND SIE UNREIN. FALLEN SIE DANN IN DEN HOHLRAUM EINES REINEN OFENSSO MACHEN SIE IHN UNREIN. BERÜHRT SIE EIN LAIB VON HEBE8Und um so mehr Profanes., SO BLEIBT ER REIN.", + "WENN EIN LÖCHERDECKEL AUF DER MÜNDUNG EINES OFENS FESTSCHLIESSEND LIEGT UND ZWISCHEN DEM OFEN UND DEM LÖCHERDECKEL EINE SPALTE ENTSTEHT, SO GILT FÜR DIESE ALS MASS10Bei deren Größe der Deckel nicht als festschließend gilt.DAS ENDE EINES OCHSENSTECKENS11Das einen Umfang von einer Handbreite hat; die Spalte muß also ⅓ Handbreite betragen., WENN ER AUCH NICHT HINEINGEHT. R. JEHUDA SAGT, DASS ER HINEINGEHT. HAT DER LÖCHERDECKEL EINE SPALTE BEKOMMEN, SO GILT FÜR DIESE ALS MASS DAS ENDE EINES OCHSENSTECKENS, DASS ER HINEINGEHT. R. JEHUDA SAGT, WENN ER AUCH NICHT HINEINGEHT. IST SIE RUND, SO WIRD SIE NICHT ALS LÄNGLICH12Sodaß die Spalte länger sein würde.ANGESEHEN, VIELMEHR GILT FÜR DIESE ALS MASS DAS ENDE EINES OCHSENSTECKENS, DASS ES HINEINGEHT.", + "HAT EIN OFEN AM AUGE13Vgl. S. 605 Anm. 9; wenn man es verklebt hat.EIN LOCH BEKOMMEN, SO GILT DAFÜR ALS MASS, DASS EINE SPINDEL BRENNEND HINEIN UND HERAUS KANN; R. JEHUDA SAGT, NICHT BRENNEND. HAT ER DAS LOCH AN DER SEITE DESSELBEN BEKOMMEN, SO GILT DAFÜR ALS MASS, DASS EINE SPINDEL NICHT BRENNEND HINEIN UND HERAUS KANN; R. JEHUDA SAGT, BRENNEND. R. ŠIMO͑N SAGT, WENN IN DER MITTE, MÜSSE SIE HINEINGEHEN KÖNNEN, WENN AN DER SEITE, BRAUCHT SIE NICHT HINEINGEHEN ZU KÖNNEN. EBENSO SAGT ER ES VOM SPUNDE EINES FASSES, DER EIN LOCH BEKOMMEN HAT, WOBEI DIE DICKE DES ZWEITEN KNOTENS AM ROGGENHALME ALS MASS GILT: WENN IN DER MITTE, MUSS ER HINEINGEHEN KÖNNEN, WENN AN DER SEITE, BRAUCHT ER NICHT HINEINGEHEN ZU KÖNNEN. UND EBENSO SAGTE ER ES [VON DEN SPUNDEN] DER GROSSEN KANNEN, DIE EIN LOCH BEKOMMEN HABEN, WOBEI DIE DICKE DES ZWEITEN KNOTENS AM SCHILFROHRE ALS MASS GILT: WENN IN DER MITTE, MUSS ER HINEINGEHEN KÖNNEN, WENN AN DER SEITE, BRAUCHT ER NICHT HINEINGEHEN ZU KÖNNEN. DIES NUR IN DEM FALLE, WENN SIE FÜR WEIN DIENEN, DIENEN SIE ABER FÜR ANDERE FLÜSSIGKEITEN, SO SIND SIE BEIM KLEINSTEN [LOCHE] VERUNREINIGUNGSFÄHIG. FERNER GILT DIES NUR IN DEM FALLE, WENN SIE NICHT DURCH MENSCHENHAND ENTSTANDEN SIND, SIND SIE ABER DURCH MENSCHENHAND ENTSTANDEN, SO SIND SIE BEIM KLEINSTEN VERUNREINIGUNGSFÄHIIG. HABEN [DIE GEFÄSSE SELBST] EIN LOCH BEKOMMEN, SO GILT DABEI, WENN SIE FÜR SPEISEN DIENEN, DAS GRÖSSENMASS EINER OLIVE, UND WENN SIE FÜR FLÜSSIGKEITEN DIENEN, DAS BEI FLÜSSIGKEITEN BESTIMMTE GRÖSSENMASS; WENN FÜR DIESE UND FÜR JENE, DANN ERSCHWEREND: EIN FESTSCHLIESSENDER DECKEL, UND DASS FLÜSSIGKEITEN EINDRINGEN." + ], + [ + "FOLGENDE GEFÄSSE SIND DURCH EINEN FESTSCHLIESSENDEN DECKEL GESCHÜTZT1Vor der Unreinheit in einem Totenzelte.. GEFÄSSE AUS RINDERMIST, GEFÄSSE AUS STEIN, GEFÄSSE AUS ERDE, GEFÄSSE AUS TON, GEFÄSSE AUS NATRON, AUS GRÄTEN UND HAUT VON EINEM FISCHE, AUS KNOCHEN UND HAUT VON EINEM SEETIERE UND REINBLEIBENDE2Wegen ihrer Größe; weiter XV,1. HOLZGERÄTE. SIE SCHÜTZEN, EINERLEI OB [DER DECKEL] SICH AN DER MÜNDUNG ODER AN DER SEITE BEFINDET, OB SIE AUF IHREM BODEN STEHEN ODER AUF DER SEITE LIEGEN; AUF DIE MÜNDUNG GESTÜLPT SCHÜTZEN SIE ALLES UNTER IHNEN BIS ZUM ABGRUNDE. NACH R. ELIE͑ZER IST ES3Was sich unter ihrer Mündung befindet. UNREIN. SIE SCHÜTZEN ALLES, AUSGENOMMEN DAS TONGEFÄSS, DAS NUR SPEISEN, GETRÄNKE UND TONGEFÄSSE SCHÜTZT.", + "WOMIT KANN MAN VERBINDEN4Den Deckel mit dem Gefäße, daß die Unreinheit nicht eindringe.? MIT KALK, GIPS, PECH, WACHS, LEHM, KOT, MÖRTEL, TÖPFERLEHM UND ALLEM ANDEREN, WAS SICH VERSTREICHEN LÄSST. MAN KANN NICHT VERBINDEN MIT ZINN ODER BLEI, WEIL DIESE EIN VERSCHLUSS SIND, ABER KEINE BINDUNG. MAN VERBINDE NICHT MIT EINER FETTEN PRESSFEIGE ODER MIT TEIG, DER MIT FRUCHTSAFT GEKNETET IST, DAMIT MAN ES NICHT ZUR UNTAUGLICHWERDUNG5Speisen werden, wenn sie befeuchtet werden, verunreinigungsfühig. BRINGE. HAT MAN DAMIT VERBUNDEN, SO SCHÜTZT ES.", + "DER GELOCKERTE SPUND EINES FASSES, DER ABER NICHT HERAUSFÄLLT, SCHÜTZT, WIE R. JEHUDA SAGT; DIE WEISEN SAGEN, ER SCHÜTZE NICHT. RAGT DIE FINGERVERTIEFUNG6Am Spunde, zum Anfassen beim Herausziehen. IN [DAS FASS] HINEIN, SO IST, WENN EIN KRIECHTIER DARIN IST, DAS FASS UNREIN, UND WENN EIN KRIECHTIER IM FASSE IST, SIND DIE SPEISEN DARIN UNREIN.", + "HAT MAN EINEN BALL ODER EINEN KNÄUEL AUS SCHILF AUF DIE MÜNDUNG DES FASSES GELEGT UND NUR DIE SEITEN VERSTRICHEN, SO SCHÜTZT DIES NICHT; NUR WENN MAN DARÜBER UND DARUNTER VERSTRICHEN HAT. DASSELBE GILT AUCH VON EINEM STOFFLAPPEN. IST ES ABER AUS RAPIER ODER LEDER UND MIT EINER SCHNUR FESTGEBUNDEN, SO SCHÜTZT ES, AUCH WENN MAN NUR DIE SEITEN VERSTRICHEN HAT.", + "EIN ABGEBLÄTTERTES FASS, DESSEN PECH SICH NOCH HÄLT, EBENSO AM RANDE7Der beschädigt ist. VERGIPSTE SALZBRÜHE-KRÜGE, SCHÜTZEN, WIE R. JEHUDA SAGT, NICHT; DIE WEISEN SAGEN, SIE SCHÜTZEN WOHL.", + "WENN EIN FASS EIN LOCH BEKOMMEN UND DIE HEFE ES VERSTOPFT HAT, SO SCHÜTZT SIE ES. HAT MAN ES MIT EINEM BÜSCHEL VERSTOPFT, DANN NUR WENN MAN ES AN DEN SEITEN VERSTRICHEN HAT; SIND ES ZWEI, NUR DANN, WENN MAN ES AN DEN SEITEN UND ZWISCHEN DEM EINEN BÜSCHEL UND DEM ANDEREN VERSTRICHEN HAT. IST EIN BRETT AUF DIE MÜNDUNG EINES OFENS GELEGT, SO SCHÜTZT ES, WENN MAN ES AN DEN SEITEN VERSTRICHEN HAT; SIND ES ZWEI, NUR DANN, WENN MAN AN DEN SEITEN UND ZWISCHEN DEM EINEN BRETT UND DEM ANDEREN VERSTRICHEN HAT, SIND SIE DURCH ZAPFEN ODER FUGEN VERBUNDEN, SO BRAUCHT MAN IN DER MITTE NICHT ZU VERSTREICHEN.", + "WENN EIN ALTER OFEN SICH IN EINEM NEUEN OFEN BEFINDET UND EIN LÖCHERDECKEL AUF DEM ALTEN IST, SO IST, WENN BEIM FORTNEHMEN DES ALTEN DER LÖCHERDECKEL HINEINFÄLLT, ALLES UNREIN, WENN ABER NICHT, ALLES REIN. BEFINDET SICH DER NEUE IM ALTEN, UND DER LÖCHERDECKEL AUF DEM ALTEN, SO IST, WENN ZWISCHEN DEM NEUEN UND DEM LÖCHERDECKEL KEINE FAUSTWEITE IST, ALLES, WAS SICH IM NEUEN BEFINDET, UNREIN.", + "WENN KASSEROLLEN SICH IN EINANDER BEFINDEN UND IHRE RÄNDER OBEN GLEICH SIND, SO IST, WENN IN DER OBEREN ODER IN DER UNTEREN EIN KRIECHTIER SICH BEFINDET, DIESE UNREIN UND DIE ANDEREN SIND REIN. LASSEN SIE ABER FLÜSSIGKEITEN EINDRINGEN, SO SIND, WENN DAS KRIECHTIER SICH IN DER OBEREN BEFINDET, ALLE UNREIN; WENN IN DER UNTEREN, SO IST DIESE UNREIN UND ALLE ANDEREN SIND REIN; UND WENN DAS KRIECHTIER SICH IN DER OBEREN BEFINDET, UND DIE UNTERE DIESE ÜBERRAGT, SO SIND DIESE UND DIE UNTERE UNREIN. WENN IN DER OBEREN UND DIE UNTERE DIESE ÜBERRAGT, SO IST ALLES DARIN, WAS VON EINER FLÜSSIGKEIT BEFEUCHTET IST, UNREIN." + ], + [ + "METALLGERÄTE, OB FLACH ODER VERTIEFT, SIND UNREIN; ZERBRECHEN SIE, SO SIND SIE REIN, MACHT MAN WIEDER AUS IHNEN GERÄTE, SO GELANGEN SIE ZURÜCK IN IHRE ALTE UNREINHEIT. R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGT, DIES GELTE NICHT VON JEDER UNREINHEIT, SONDERN NUR VON DER LEICHENUNREINHEIT1Die 7 Tage dauert..", + "JEDES METALLGERÄT, DAS EINEN EIGENEN NAMEN HAT2Und nicht Teile eines Gerätes sind., IST UNREIN, AUSGENOMMEN DIE TÜR, DER RIEGEL, DAS SCHLOSS, DIE PFANNE UNTER DER TÜRANGEL, DIE TÜRANGEL, DER BALKEN3Wohl der Vorlegebalken zum Abschließen der Tür; nach Raschi (Mq. Fol. 11a), ein Querbalken über der Tür. הקורא hat keine bekannte Handschrift u. keine alte Ausgabe, u. die Übersetzung Klopfer ist falsch. UND DIE RINNE4Nach Raschi (lc.), Angelloch., DIE AN DEN BODEN BEFESTIGT WERDEN.", + "WENN MAN GERÄTE GEFERTIGT HAT AUS ROHEISEN, AUS BLOCKEISEN, AUS EINEM RADREIFEN, AUS PLATTEN, AUS ÜBERZÜGEN, AUS GESTELLEN VON GEFÄSSEN, AUS RÄNDERN VON GEFÄSSEN, AUS HENKELN VON GEFÄSSEN, AUS ABFÄLLEN ODER AUS FEILENSPÄNEN, SO SIND SIE REIN. R. JOANAN B. NURI SAGT, AUCH WENN AUS ZERSCHNITTENEN GEFÄSSEN. WENN AUS BRUCHSTÜKKEN VON GEFÄSSEN, AUS SCHROTEISEN ODER AUS NÄGELN, VON DENEN BEKANNT IST, DASS SIE AUS GEFÄSSEN GEMACHT WURDEN, SO SIND SIE UNREIN. WENN AUS NÄGELN5Von denen dies nicht bekannt ist., SO SIND SIE NACH DER SCHULE ŠAMMAJS UNREIN UND NACH DER SCHULE HILLELS REIN.", + "HAT MAN UNREINES EISEN MIT REINEM EISEN GEMENGT, SO IST ES, WENN DAS UNREINE MEHR IST, UNREIN, WENN DAS REINE MEHR IST, REIN, UND WENN HÄLFTE GEGEN HÄLFTE, UNREIN. EBENSO AUCH BEI [EINEM GERÄTE] AUS ZEMENT UND RINDERMIST. DER SCHIEBERIEGEL6Aus Metall, der an der einen Seite einen Knauf hatte u. als Mörserkeule benutzt wurde.
7. So nach manchen Erklärern; nach anderen, Riegelstift u. Riegel.
IST UNREIN, DER [MIT METALL] ÜBERZOGENE IST REIN. DER SCHLOSSBÜGEL UND DAS HÄNGESCHLOSS SIND UNREIN. DEN SCHIEBERIEGEL DARF MAN, WIE R. JEHOŠUA͑ SAGT, AM ŠABBATH AUS DER EINEN TÜR HERAUSZIEHEN UND IN EINE ANDERE TÜR EINSETZEN. R. TRYPHON SAGT, ER GLEICHE JEDEM ANDEREN GERÄTE UND DÜRFE [AM ŠABBATH] IM HOFE UMHERGETRAGEN WERDEN.", + "DAS GEBISS DER TRENSE IST UNREIN, DIE KNEBEL SIND REIN; NACH R. ELIE͑ZER SIND DIE KNEBEL UNREIN. DIE WEISEN SAGEN, UNREIN SEI NUR DAS GEBISS, UND WENN SIE ZUSAMMEN SIND, SEI ALLES UNREIN.", + "DIE SPINDELKUGEL AUS METALL IST NACH R. A͑QIBA UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN; IST SIE [MIT METALL] ÜBERZOGEN, SO IST SIE REIN. DIE SPINDELSTANGE, DER ROCKEN, DER STECKEN8Aus Metall., DIE SACKPFEIFE UND DIE FLÖTE AUS METALL SIND UNREIN; SIND SIE [MIT METALL] ÜBERZOGEN, SO SIND SIE REIN. HAT DIE SACKPFEIFE EINEN FLÜGELBEHÄLTER, SO IST SIE OB SO ODER SO UNREIN.", + "EIN RUNDES BLASHORN IST UNREIN, EIN GESTRECKTES IST REIN; IST DAS MUNDSTÜCK AUS METALL, SO IST ES UNREIN. DIE BREITSEITE DERSELBEN IST NACH R. TRYPHON UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN. IST SIE ZUSAMMENGESETZT, SO IST ALLES UNREIN. DESGLEICHEN SIND DIE ARME DES ARMLEUCHTERS REIN, DIE KELCHE UND DIE BASIS UNREIN, SIND SIE ZUSAMMENGESETZT, SO IST ALLES UNREIN.", + "DER HELM IST UNREIN, DIE STURMSCHIENEN SIND REIN; HABEN SIE EINEN BEHÄLTER FÜR WASSER, SO SIND SIE UNREIN. ALLE KRIEGSGERÄTE SIND UNREIN; DER SPEER, DIE LANZE, DIE BEINSCHIENEN UND DER PANZER SIND UNREIN. ALLE SCHMUCKSACHEN DER FRAUEN SIND UNREIN: DIE GOLDENE STADT9Eine Art Kopfschmuck od. Brosche mit dem Bilde der Stadt Jerušalem; cf. Sab. Fol. 59a., HALSKETTEN, OHRRINGE. FINGERRINGE, EINERLEI OB DER RING EIN SIEGEL HAT ODER KEIN SIEGEL HAT, UND NASENRINGE. WENN DIE GLIEDER DER KETTE AUS METALL SIND UND DER FADEN AUS LINNEN ODER WOLLE IST, SO SIND, WENN DER FADEN REISST, DIE GLIEDER UNREIN, DENN JEDES IST EIN GERÄT FÜR SICH. IST DER FADEN AUS METALL UND DIE GLIEDER AUS EDELSTEINEN, PERLEN ODER GLAS, SO IST, AUCH WENN DIE GLIEDER ZERBROCHEN SIND UND DER FADEN GANZ, DIESER UNREIN. DER REST EINER HALSKETTE10Sc. ist noch verunreinigungsfähig., WENN ER FÜR DEN HALS EINES KLEINEN MÄDCHENS REICHT. R. ELIE͑ZER SAGT, AUCH EIN EINZELNES RINGELCHEN SEI UNREIN, WEIL MAN ES AN DEN HALS HÄNGT.", + "WENN EIN OHRGEHÄNGE, UNTEN TOPFFÖRMIG11Breit u. hohl.UND OBEN LINSENFÖRMIG, AUSEINANDERGEBROCHEN IST, SO IST DER TOPFFÖRMIGE TEIL ALS AUFNEHMENDES GEFÄSS UNREIN, DER LINSENFÖRMIGE FÜR SICH ALLEIN UNREIN, UND DAS HÄKCHEN IST REIN. IST ES TRAUBENFÖRMIG UND AUSEINANDERGEBROCHEN, SO IST ES REIN." + ], + [ + "DER RING FÜR MENSCHEN1Ein Fingerring zum Schmuck. IST UNREIN, DER RING FÜR VIEH, GERÄTE UND ALLE SONSTIGEN RINGE SIND REIN. DER BALKEN FÜR PFEILE2Nach den Kommentaren, der als Ziel bei Schießübungen dient u. zum Teil mit Eisen beschlagen ist. IST UNREIN, DER FÜR GEFANGENE3Woran der Gefangene geschmiedet wird. IST REIN. DAS HALSEISEN IST UNREIN. EINE KETTE, DIE EINEN VERSCHLUSS HAT, IST UNREIN, DIE ZUM FESSELN DIENT, IST REIN. DIE KETTE DER GETREIDEHÄNDLER4Zum Befestigen der Meßgeräte. IST UNREIN, DIE FÜR DEN HAUSGEBRAUCH IST REIN. R. JOSE SAGTE: DIES NUR DANN, WENN SIE NUR EINEN VERSCHLUSS HAT, WENN ABER ZWEI, ODER EINE SCHNECKE5Wohl ein schneckenförmiger Haken. AM ENDE ANGEBRACHT IST, SO IST SIE UNREIN.", + "DER WAGEBALKEN DER WOLLKÄMMER IST UNREIN WEGEN DER HAKEN; DER FÜR DEN HAUSGEBRAUCH IST, WENN ER HAKEN HAT, UNREIN. DIE TRAGE DER LASTTRÄGER IST REIN UND DIE DER GEWÜRZKRÄMER IST UNREIN. R. JEHUDA SAGT, BEI DER DER GEWÜRZKRÄMER SEI DER VORDERE TEIL UNREIN UND DER HINTERE TEIL6Der nichts aufnimmt, sondern nur als Gegengewicht dient. REIN. DER HAKEN DES RUHEBETTES7Woran die Ledergurte befestigt werden; vgl. jed. Syn. Fol. 20a. IST UNREIN, DER DER BETTSTANGEN8Die die Stange für den Vorhang tragen. IST REIN. DER DES KASTENS IST UNREIN, DER DER FISCHREUSE IST REIN, DER DES TISCHES IST UNREIN, DER DES HÖLZERNEN LEUCHTERS IST REIN. DIE REGEL HIERBEI IST: DER MIT ‘UNREINEM VERBUNDEN IST, IST UNREIN, UND DER MIT REINEM VERBUNDEN IST, IST REIN. SIE ALLE ABER SIND ALLEIN REIN.", + "DER METALLENE DECKEL EINES KORBES FÜR DEN HAUSGEBRAUCH IST NACH R. GAMLIÉL UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN; DER DER ÄRZTE9Die einen solchen auch als Gefäß für Medikamente benutzen. IST UNREIN. DIE TÜR EINES SCHRANKES FÜR DEN HAUSGEBRAUCH IST REIN, DIE EINES DER ÄRZTE IST10Da er daran Instrumente hängt.UNREIN. DIE ZANGEN11Zum Halten des Kochtopfes od. des Schmelztiegels über dem Feuer.SIND UNREIN, DIE ROSTEISEN SIND REIN. DER BALKENHAKEN12Wörtl. Skorpion, wohl wegen der diesem ähnlichen Form.DER ÖLKELTER IST UNREIN, DIE HAKEN AN DEN WÄNDEN SIND REIN.", + "DER STIFT DES ADERLASSERS13Zum Schröpfen.IST UNREIN; DER DES STUNDENSTEINES14Eine Art Sonnenuhr.IST REIN, NACH R. ÇADOQ ABER UNREIN. DER STIFT DES WEBERS IST UNREIN. DER KASTEN DER GRÄUPNER IST NACH R. ÇADOQ UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN; IST DER WAGEN DAZU AUS METALL, SO IST ER UNREIN.", + "EIN NAGEL15Der sonst nicht verunreinigungsfähig ist., DEN MAN ZUM ÖFFNEN UND ZUM SCHLIESSEN HERGERICH TET HAT, IST UNREIN, DEN MAN ZUR KONTROLLE16Wörtl. zum Bewachen; durch den festgestellt wird, ob jemand in der Wohnung war u. ihn verschoben hat.BENUTZT, IST REIN. EIN NAGEL, DEN MAN ZUM ÖFFNEN EINES FASSES HERGERICHTET HAT, IST NACH R. A͑QIBA UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN, BIS MAN IHN GESCHMIEDET HAT. DER NAGEL DES GELDWECHSLERS17Die Verwendung wird von den Kommentaren verschieden erklärt: zum Reinigen der Münzen vom Schimmel, zum Anhängen der Geldwage, zum Befestigen der Schalter.IST REIN, NACH R. ÇADOQ ABER UNREIN. DREI DINGE SIND NACH R. ÇADOQ UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN: DER NAGEL DES GELDWECHSLERS, DER KASTEN DER GRÄUPNER UND DER STIFT DES STUNDENSTEINES. DIESE SIND NACH R. ÇADOQ UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN.", + "VIER DINGE SIND NACH R. GAMLIÉL UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN: DER METALLENE DECKEL EINES KORBES FÜR DEN HAUSGEBRAUCH, DER HENKEL DES STRIEGELS, UNGEFORMTE METALLGEUÄTE18Die noch nicht fertig sind.UND EINE IN ZWEI [HÄLFTEN] GETEILTE PLATTE. DIE WEISEN PFLICHTEN JEDOCH R. GAMLIÉL BEI, DASS, WENN EINE PLATTE IN ZWEI [HÄLFTEN] GETEILT WORDEN IST, EINE GRÖSSERE UND EINE KLEINERE, DIE GRÖSSERE UNREIN UND DIE KLEINERE REIN SEI.", + "WENN EIN DENAR UNGÜLTIG GEWORDEN IST UND MAN IHN HERGERICHTET HAT, IHN EINEM KLEINEN MÄDCHEN AN DEN HALS ZU HÄNGEN, SO IST ER UNREIN. WENN EIN SELA͑ UNTAUGLICH GEWORDEN IST UND MAN IHN HERGERICHTET HAT, DAMIT ZU WÄGEN, SO IST ER UNREIN. BIS AUF WIEVIEL DARF ER REDUZIERT SEIN, UM IHN NOCH HALTEN ZU DÜRFEN? BIS AUF ZWEI DENARE19Der S. hat 4 D.; HAT ER WENIGER, SO IST ER ZU ZERSCHNEIDEN.", + "DAS FEDERMESSER, DAS SCHREIBROHR, DER PENDEL, DAS SENKBLEI, DIE PRESSPLATTEN, DAS LINEAL UND DIE LINIERTAFEL SIND UNREIN. ALLE UNGEFORMTEN HOLZGERÄTE SIND UNREIN, AUSGENOMMEN DIE AUS BUCHSBAUMHOLZ. R. JEHUDA SAGT, AUCH DIE AUS OLIVENZWEIGEN SEIEN REIN, BIS MAN SIE GEKOCHT HAT." + ], + [ + "DAS SCHWERT, DAS MESSER, DER DOLCH, DER SPEER, DIE HANDSICHEL, DIE ERNTESICHEL, DAS SCHERMESSER UND DIE BARBIERSCHERE, AUCH WENN SIE GETEILT SIND, SIND UNREIN. R. JOSE SAGT, WAS NAHE DEM GRIFFE IST, SEI UNREIN, UND WAS NAHE DER SPITZE IST, SEI REIN1Dieser Teil ist nicht zu benutzen, da man ihn nicht anfassen kann.. IST EINE FEDERSCHERE IN ZWEI [TEILE] GETEILT WORDEN, SO IST SIE NACH R. JEHUDA UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN.", + "FEHLT VON EINER SCHAUFELGABEL2Ein Heizgerät mit einem Blatte zum Schaufeln an der einen Seite u. Zinken an der anderen. DAS BLATT, SO IST SIE UNREIN WEGEN DER ZINKEN; FEHLEN DIE ZINKEN, SO IST SIE UNREIN WEGEN DES BLATTES. FEHLT VON EINEM SCHMINKSTIFTE DAS LÖFFELCHEN, SO IST ER UNREIN WEGEN DER SPITZE; FEHLT DIE SPITZE, SO IST ER UNREIN WEGEN DES LÖFFELCHENS. FEHLT VON EINEM GRIFFEL3Dieser, aus Metall, auf Wachs zu schreiben, hatte auf der einen Seite eine Spitze zum Schreiben u. auf der anderen einen Spatel zum Radieren. DER SCHREIBSTIFT, SO IST ER UNREIN WEGEN DES RADIERERS, FEHLT DER RADIERER, SO IST ER UNREIN WEGEN DES STIFTES. FEHLT VON EINEM SCHAUMLÖFFEL4Mit einer Gabel am anderen Ende. DIE KELLE, SO IST ER UNREIN WEGEN DER GABEL; FEHLT DIE GABEL, SO IST ER UNREIN WEGEN DER KELLE. DASSELBE GILT AUCH VOM ZINKEN DES KARSTES5An beiden Seiten verwendbar.. DIESE ALLE IN DER GRÖSSE6Wenn beim Fehlen der einen Seite vom Stiele soviel zurückbleibt; nur dann sind sie verunreinigungsfähig., DASS SIE FÜR IHRE VERWENDUNG BRAUCHBAR SIND.", + "IST DAS SCHAUFELBLATT BESCHÄDIGT, SO IST [DIE SCHAUFEL] UNREIN, BIS DIE GRÖSSERE HÄLFTE FEHLT; IST DAS ÖHR ZERBROCHEN, SO IST SIE REIN. FEHLT VON EINER HACKE DIE SPITZE, SO IST SIE UNREIN WEGEN DER SCHNEIDE: FEHLT DIE SCHNEIDE, SO IST SIE UNREIN WEGEN DER SPITZE. IST DAS ÖHR ZERBROCHEN, SO IST SIE REIN.", + "FEHLT VON EINER SCHIPPE DAS BLATT, SO IST SIE UNREIN, WEIL SIE NOCH EINEM HAMMER GLEICHT7Die andere Seite kann als solcher verwendet werden.SO R. MEÍR; NACH DEN WEISEN IST SIE REIN. WENN VON EINER SÄGE DIE ZÄHNE EINER ZWISCHEN [ZWEI] FEHLEN, SO IST SIE REIN; SIND ABER IN DER LÄNGE EINES SIṬ AN EINER STELLE ALLE ZURÜCKGEBLIEBEN, SO IST SIE UNREIN. WENN EIN HOBEL, EIN SCHNEIDEMESSER, EIN MEISSEL ODER EIN BOHRER BESCHÄDIGT WORDEN SIND, SO SIND SIE UNREIN; FEHLT IHNEN DIE SCHNEIDE8Die aus härterern Eisen (Stahl) angeschweifte Schneide., SO SIND SIE REIN. SIE ALLE SIND, WENN SIE IN ZWEI [TEILE] GETEILT WORDEN SIND, UNREIN, AUSGENOMMEN DER BOHRER. DER HOBELKASTEN IST AUCH ALLEIN UNREIN.", + "FEHLT VON EINER NÄHNADEL DAS ÖHR ODER DIE SPITZE, SO IST SIE REIN. HAT MAN SIE ZUM SPANNEN HERGERICHTET, SO IST SIE UNREIN. FEHLT VON EINER PACKNADEL DAS ÖHR, SO IST SIE UNREIN, WEIL MAN DAMIT SCHREIBEN KANN; FEHLT IHR DIE SPITZE, SO IST SIE REIN. EINE SPANNADEL IST OB SO ODER SO UNREIN. HAT EINE NÄHNADEL ROST ANGESETZT, SO IST SIE, WENN ER BEIM NÄHEN HINDERT, REIN, WENN ABER NICHT, UNREIN. HAT MAN EINE SPANGE GESTRECKT, SO IST SIE REIN; HAT MAN SIE WIEDER GEKRÜMMT, SO GELANGT SIE ZURÜCK IN IHRE UNREINHEIT.", + "DAS DEM METALL[GERÄTE ALS GRIFF] DIENENDE HOLZ IST UNREIN UND DAS DEM HOLZ[GERÄTE] DIENENDE METALL IST REIN. IST BEISPIELSWEISE DER ÖFFNER9Wahrscheinl. Schlüssel eines Schiebeschlosses, nach anderen das Schloß. AUS HOLZ UND SEINE ZAPFEN AUS METALL, WENN AUCH NUR EINER, SO IST ER UNREIN; WENN ABER DER ÖFFNER AUS METALL UND DIE ZAPFEN AUS HOLZ, SO IST ER REIN. IST DER RING AUS METALL UND DAS SIEGEL AUS KORALLE, SO IST ER UNREIN; IST ABER DER RING AUS KORALLE UND DAS SIEGEL AUS METALL, SO IST ER REIN. DER ZAHN DER PLATTE10Ist dunkel; als Status constructus gegen die Syntax., DES ÖFFNERS UND DES SCHLÜSSELS IST ALLEIN UNREIN.", + "WENN VON ZERBROCHENEN AŠQELONISCHEN HEBESTANGEN11Wie die Lesart ist auch die Bedeutung unsicher; nach den Kommentaren eine mit vielen Haken versehene Stange od. Ring zum Herausholen der Schöpfgefäße aus dem Brunnen.DIE HAKEN NOCH ERHALTEN SIND, SO SIND SIE UNREIN. WENN VON EINER HEUGABEL, EINER WORFEL, EINER HARKE UND EBENSO EINEM KOPFKAMME EINER VON DEN ZÄHNEN GEFEHLT HATTE UND MAN EINEN AUS METALL EINGESETZT HAT, SO SIND SIE UNREIN. ÜBER DIES ALLES SAGTE R. JEHOŠUA͑: DIE SCHRIFTKUNDIGEN HABEN HIERBEI EINE NEUERUNG GETROFFEN12Es sind ‘flache Holzgeräte’, die keine Vertiefung haben, u. dennoch werden sie durch den eingesetzten Zahn verunreinigungsfähig., UND ICH KANN DAGEGEN NICHTS EINWENDEN.", + "WENN VON EINEM FLACHSKAMME DIE ZÄHNE FEHLEN UND NUR ZWEI ZURÜCKGEBLIEBEN SIND, SO IST ER UNREIN, WENN NUR EINER, SO IST ER REIN. VON DIESEN IST JEDER EINZELNE ALLEIN UNREIN13Ein einzelner Metallzahn ist als Schreibstift für eine Wachstafel verwendbar.. FEHLT VON EINEM WOLLKAMME ZWISCHEN JE ZWEI ZÄHNEN EINER, SO IST ER REIN. BLEIBEN DREI AN EINER STELLE ZURÜCK, SO IST ER UNREIN; IST EINER VON IHNEN DER ÄUSSERSTE14Der breit ist u. nur als Schutz dient., SO IST ER REIN. HAT MAN ZWEI DAVON GENOMMEN UND DARAUS EINE PINZETTE GEMACHT, SO SIND SIE UNREIN; WENN EINEN UND IHN FÜR EINE LAMPE15Zum Putzen u. Herausziehen des Dochtes.ODER ZUM SPANNEN HERGERICHTET, SO IST ER UNREIN." + ], + [ + "WELCHES MASS GILT FÜR METALLGEFÄSSE1Wenn sie beschädigt sind, od. für Bruchstücke von solchen, um noch verunreinigungsfähig zu sein.? EIN EIMER2Sc. ist noch verunreinigungsfähig., WENN MAN MIT IHM NOCH SCHÖPFEN KANN; EIN WASSERKESSEL, WENN MAN DARIN NOCH WÄRMEN KANN; EIN WÄRMEKESSEL3Ein kleiner Kessel, der auch als Geldbüchse diente., WENN ER SELAI͑M AUFNEHMEN KANN; EIN KOCHKESSEL, WENN ER BECHER4Die darin gespült werden.AUFNEHMEN KANN; EIN BECHER, WENN ER MÜNZEN5Wörtl. Peruṭoth, Name einer kleinen Scheidemünze. AUFNEHMEN KANN; WEINMASSE, WENN MAN WEIN, UND ÖLMASSE, WENN MAN ÖL MIT IHNEN MESSEN KANN. R. ELIE͑ZER SAGT, SIE ALLE, WENN SIE MÜNZEN [AUFNEHMEN KÖNNEN]. R. A͑QIBA SAGT, [EIN GEFÄSS], DEM NOCH DER DECKEL6So nach unserer Lesart; nach anderen, das Schaben, Schleifen. FEHLT, SEI UNREIN, DEM NOCH DAS GLÄTTEN FEHLT, SEI REIN.", + "EIN STOCK, AN DESSEN ENDE EINE ART KEULENSPITZE ANGEBRACHT IST, IST UNREIN7Er gilt dann als Metallgerät.; IST ER MIT NÄGELN BESCHLAGEN, SO IST ER UNREIN. R. ŠIMO͑N SAGT, NUR WENN DARAN DREI REIHEN ANGEBRACHT SIND. ALLE ABER SIND REIN, WENN SIE ZUR VERZIERUNG ANGEBRACHT SIND. IST AM ENDE EIN ROHR8Wörtl. Sauger, Heber; wahrscheinl. eine Art Metallgriff. ANGEBRACHT, EBENSO AN EINER TÜR, SO IST ES REIN9Es ist kein selbständiges Metallgerät.. WENN ES ABER VORHER EIN GERÄT WAR UND MAN ES DARAN ANGEBRACHT HAT, SO IST ES UNREIN. WANN ERLANGT ES REINHEIT? DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, SOBALD MAN ES BESCHÄDIGT HAT, UND DIE SCHULE HILLELS SAGT, SOBALD MAN ES DARAN BEFESTIGT HAT10Mit Nägeln, während vorangehend von dem Falle gesprochen wird, wenn nur leicht angebracht..", + "DAS BRECHEISEN DER BAUARBEITER UND DAS STEMMEISEN DER ZIMMERER SIND UNREIN. ZELTPFLÖCKE UND ABSTECKPFLÖCKE SIND UNREIN. DIE KETTE DER FELDMESSER IST UNREIN; DIE FÜR HOLZ DIENENDE11Zum Befestigen von Holzkloben.IST REIN. DIE KETTE EINES GROSSEN EIMERS BIS VIER HANDBREITEN12Sc. gehört zum Eimer u. ist mit diesem unrein.UND DIE EINES KLEINEN BIS ZEHN. DER SCHMIEDEBOCK13Wörtl. Esel; wohl Untersatz für den Blasebalg.IST UNREIN. EINE SÄGE, DEREN ZÄHNE IN LÖCHER EINGESETZT14Nicht aus einem Stücke mit dem Blatte. Gegen diese Erklärung der Kommentare sprechen der Singular החור mit dem bestimmten Artikel u. der folgende Satz.SIND, IST UNREIN; HAT MAN SIE VON UNTEN NACH OBEN EINGESETZT, SO IST SIE REIN. ALLE DECKEL SIND REIN, AUSGENOMMEN DER DES WÄRMEKESSELS.", + "VON EINEM WAGEN IST FOLGENDES UNREIN: DIE METALLENE JOCHSTANGE15Auf dem Nacken der Zugtiere; nach anderen, die Deichsel., DIE QUERSTANGE, DIE SEITENTEILE ZUR AUFNAHME DER SIELEN, DAS EISEN UNTER DEM HALSE DES TIERES, DIE STÜTZE16Der Pflock, der die Deichsel mit dem Wagen zusammenhält; nach anderen, der eiserne Ring in der Mitte des Jochbalkens., DER GURT, DIE SCHÜSSELCHEN17Nach manchen Erklärern, Vertiefungen am Joche., DER KLÖPPEL18Der Schelle, die auch allein verunreinigungsfähig ist., DER HAKEN19Zum Befestigen der Ladung.UND DER NAGEL, DER [DIE TEILE] ZUSAMMENHÄLT.", + "FOLGENDES IST VON EINEM WAGEN REIN: DAS [METALL]ÜBERZOGENE JOCH, DIE ZUR VERZIERUNG DIENENDEN SEITENTEILE, DIE ZUM TÖNEN DIE NENDEN RÖHREN, DAS BLEI20Wahrscheinl. Verzierungen.AN DEN HALSSEITEN DES TIERES, DER RADREIFEN, DIE BLECHE, DIE BESCHLÄGE UND ALLE SONSTIGEN NÄGEL21Die nicht zum Zusammenhalten dienen.SIND REIN. DIE METALLENEN HUFVERKLEIDUNGEN DES TIERES SIND UNREIN, DIE AUS KORK SIND REIN. WANN WIRD DAS SCHWERT FÜR DIE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH? SOBALD MAN ES GEGLÄTTET HAT: DAS MESSER, [ERST] WENN MAN ES GESCHLIFFEN HAT.", + "HAT MAN AN EINEM METALLENEN KORBDECKEL EINEN SPIEGEL GEMACHT, SO IST ER NACH R. JEHUDA REIN UND NACH DEN WEISEN UNREIN. EIN ZERBROCHENER SPIEGEL IST, WENN ER NICHT DEN GRÖSSEREN TEIL DES GESICHTES ZEIGT, REIN.", + "METALLGERÄTE KÖNNEN AUCH ZERBROCHEN UNREIN UND WIEDER REIN WERDEN – SO R. ELIE͑ZER. R. JEHOŠUA͑ SAGT, SIE WERDEN NUR VOLLSTÄNDIG REIN. UND ZWAR: WENN MAN SIE BESPRENGT22Zur Reinigung, am 3. Tage; cf. Lev. 19,17ff.HAT UND SIE AM SELBEN TAGE ZERBROCHEN SIND, WORAUF MAN SIE ZUSAMMENGELÖTET UND AM SELBEN TAGE ABERMALS BESPRENGT HAT, SO SIND SIE REIN – SO R. ELIE͑ZER. R. JEHOŠUA͑ SAGT, DIE BESPRENGUNG KÖNNE NICHT VOR DEM DRITTEN UND SIEBENTEN [TAGE] ERFOLGEN.", + "WENN EIN KNIESCHLÜSSEL23Mit einer knieförmigen Verlängerung.AM KNIE ZERBROCHEN IST, SO IST ER REIN; NACH R. JEHUDA ABER UNREIN, WEIL MAN DAMIT INNEN ÖFFNEN KANN; IST EIN GAMMAFÖRMIGER24In der Form eines griech. Gamma, eine Art Dietrich.AM GAMMAWINKEL ZERBROCHEN, SO IST ER REIN. SIND DARAN ZÄHNE UND LÖCHER, SO IST ER UNREIN; FEHLEN DIE ZÄHINE, SO IST ER UNREIN WEGEN DER LÖCHER; SIND DIE LÖCHER VERSTOPFT, SO IST ER UNREIN WEGEN DER ZÄHNE. WENN ABER DIE ZÄHNE FEHLEN UND DIE LÖCHER VERSTOPFT SIND, ODER WENN SIE IN EINANDER DURCHGEBROCHEN25Nach den Kommentaren, gebogen, wenn die Zähne in die Löcher hineingebogen sind.SIND, SO IST ER REIN. SIND AN EINEM SENFSEIHER UNTEN DREI LÖCHER IN EINANDER DURCHGEBROCHEN, SO IST ER REIN. EIN MÜHLENTRICHTER AUS METALL IST26Obgleich er unten offen ist.UNREIN." + ], + [ + "VON HOLZGERÄTEN, LEDERGERÄTEN, KNOCHENGERÄTEN UND GLASGERÄTEN SIND DIE FLACHEN REIN UND DIE VERTIEFTEN UNREIN; ZERBRECHEN SIE, SO SIND SIE REIN; MACHT MAN WIEDER AUS IHNEN GERÄTE, SO SIND SIE VON DANN AB WIEDER UNREIN. EIN KASTEN, EINE TRUHE, EIN SCHRANK, EIN BIENENKORB AUS STROH, EIN BIENENKORB AUS ROHR, UND DER WASSERBEHÄLTER EINES ALEXANDRIINISCHEN SCHIFFES1Ein größeres Schiff für Auslandsreisen, von Palästina nach Alexandrien., DIE EINEN BODEN HABEN UND VIERZIG S FLÜSSIGES FASSEN, DAS SIND ZWEI KOR TROKKENES, SIND REIN. ALLE ANDEREN GEFÄSSE, OB SIE [SOVIEL] FASSEN ODER NICHT [SOVIEL] FASSEN, SIND UNREIN – SO R. MEÍR. R. JEHUDA SAGT, DER WAGENBOTTICH, DER SPEISESCHRANK DER KÖNIGE2Der im Staatswagen befindliche Vorratsschrank., DER GERBERTROG, DER WASSERBEHÄLTER EINES KLEINEN SCHIFFES UND EINE LADE SEIEN, AUCH WENN SIE [SOVIEL] FASSEN, UNREIN, DENN MAN PFLEGT SIE NUR MIT INHALT FORTZUBEWEGEN. ALLE ANDEREN GEFÄSSE SEIEN, WENN SIE [SOVIEL] FASSEN, REIN, UND WENN SIE NICHT [SOVIEL] FASSEN, UNREIN. EIN UNTERSCHIED ZWISCHEN R. MEÍR UND R. JEHUDA BESTEHT NUR HINSICHTLICH EINES TROGES FÜR DEN HAUSGEBRAUCH.", + "DIE BACKBRETTER DER BÄCKER SIND UNREIN UND DIE FÜR DEN HAUSGEBRAUCH SIND REIN; HAT MAN SIE MIT RÖTEL ODER SAFRAN ANGESTRICHEN, SO SIND SIE UNREIN. EINE AN DIE WAND BEFESTIGTE BÄCKERPLATTE3Aus Metall; cf. Bb. Fol. 66b. IST NACH R. ELIE͑ZER REIN UND NACH DEN WEISEN UNREIN. DAS ANRICHTEBRETT4So nach der Lesart der Erstausgabe. Nach den übrigen Texten: kleine Mulde.DER BÄCKER IST UNREIN UND DAS FÜR DEN HAUSGEBRAUCH IST REIN. HAT ES EINE EINFASSUNG AN DEN VIER SEITEN, SO IST ES UNREIN; IST SIE AN EINER SEITE DURCHBROCHEN, SO IST ES REIN. R. ŠIMO͑N SAGT, HAT MAN ES ZUGERICHTET, DARAUF [DEN TEIG] ZU ZERTEILEN, SO IST ES UNREIN. EBENSO IST DAS WALGERHOLZ5Zum Rollen des Teiges; nach anderer Erklärung, das Brett, worauf das Gebäck gelegt wird. UNREIN.", + "DER SIEBUNTERSATZ DER FEINMEHLSIEBER IST UNREIN UND DER FÜR DEN HAUSGEBRAUCH REIN. R. JEHUDA SAGT, AUCH DER DER HAARFLECHTERINNEN6Zum Aufnehmen des Abfalls. IST ALS SITZ7Den der Flußbehaftete unrein macht. UNREIN, WEIL DIE MÄDCHEN DARAUF SITZEN UND FLECHTEN.", + "ALLE HENKEL SIND UNREIN, AUSGENOMMEN DER HENKEL EINER SCHWINGE UND EINES SIEBES FÜR DEN HAUSGEBRAUCH – SO R. MEÍR; DIE WEISEN SAGEN, SIE ALLE SEIEN REIN, AUSGENOMMEN DER HENKEL EINER SCHWINGE DER FEINMEHLSIEBER, DER HENKEL DES TENNENSIEBES, DER HENKEL DER HANDSICHEL UND DER HENKEL DES ZOLLFAHNDER-STOCKES, WEIL SIE BEI DER ARBEIT MITBENUTZT WERDEN. DIE REGEL HIERBEI IST: DER BEI DER ARBEIT MITBENUTZT WIRD, IST UNREIN, UND DER NUR ZUM AUFHÄNGEN DIENT, IST REIN.", + "DIE: GRÄUPNERSCHAUFEL IST UNREIN, DIE DER SPEICHER IST REIN, DIE DER KELTERN IST UNREIN, DIE DER TENNEN IST REIN. DIE REGEL HIERBEI IST: DIE ZUM AUFNEHMEN DIENT, IST UNREIN, UND DIE ZUM ZUSAMMENSCHAR REN DIENT, IST REIN.", + "MUSIKHARFEN8Weil sie eine Vertiefung zur Aufnahme von Geldmünzen haben. SIND UNREIN, DIE HARFEN DER LEVITEN9Für die Tempelmusik. SIND REIN. ALLE FLÜSSIGKEITEN SIND UNREIN, DIE FLÜSSIGKEITEN IM SCHLACHTRAUME10Im Vorhofe des Tempels. SIND REIN. ALLE BÜCHER11Der heiligen Schrift.MACHEN DIE HÄNDE UNREIN12Damit man sie nicht neben heilige Speisen lege., AUSGENOMMEN DAS BUCH IM TEMPELVORHOFE13Das mit besonderer Verehrung behandelt wurde. Manche lesen ספר עזרא, das von E͑zra geschriebene Exemplar.. DAS HOLZPFERD14Nach den Kommentaren, ein hölzernes Pferd der Possenreißer.IST REIN, DIE GUITARRE, DAS STELZENINSTRUMENT15Wohl ein Musikinstrument in der Form einer Stelze.UND DIE HANDTROMMEL SIND UNREIN. R. JEHUDA SAGT, DIE HANDTROMMEL SEI ALS SITZ7Den der Flußbehaftete unrein macht. UNREIN, WEIL DIE KLAGEFRAU DARAUF SITZT. DIE WIESELFALLE16Die, weil man das Fell braucht, als Gefäß gilt.IST UNREIN, DIE MAUSEFALLE IST REIN." + ], + [ + "JEDES HOLZGERÄT, DAS IN ZWEI [TEILE] GETEILT WORDEN IST, IST REIN, AUSGENOMMEN DER DOPPELTISCH, DIE FÄCHERSCHÜSSEL1Eine Schüssel aus mehreren Abteilen für verschiedene Speisen. UND DER SCHEMEL FÜR DEN HAUSHERRN. R. JEHUDA SAGT, DIE DOPPELSCHÜSSEL UND DER BABYLONISCHE NAPF GLEICHEN DIESEN. WANN SIND HOLZGERÄTE FÜR DIE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH? DAS BETT UND DIE WIEGE, SOBALD MAN SIE MIT FISCHHAUT GEGLÄTTET HAT; HAT MAN SIE NICHT ZU GLÄTTEN BESCHLOSSEN, SO SIND SIE UNREIN. R. MEÍR SAGT, DAS BETT, SOBALD MAN DREI MASCHENREIHEN2Vom Netze des Bettrahmens. GEFLOCHTEN HAT.", + "HÖLZERNE KÖRBE, SOBALD MAN DEN RAND GEMACHT UND GLATTGESCHNITTEN HAT; SOLCHE AUS PALMENZWEIGEN SIND UNREIN, AUCH WENN MAN SIE INNEN NICHT GLATTGESCHNITTEN HAT, WEIL MAN SIE SO LÄSST. EIN FRUCHTKORB, SOBALD MAN DEN RAND GEMACHT, IHN GLATTGESCHNITTEN UND DEN BÜGEL FERTIG GEMACHT HAT. EIN FLASCHENKORB UND EIN BECHERKORB SIND UNREIN, AUCH WENN MAN KEINEN RAND GEMACHT UND INNEN NICHT GLATTGESCHNITTEN HAT, WEIL MAN SIE SO LÄSST.", + "KLEINE TISCHKÖRBCHEN UND HANDKÖRBCHEN, SOBALD MAN EINEN RAND GEMACHT UND GLATTGESCHNITTEN HAT; GROSSE TISCHKÖRBE UND GETREIDEKÖRBE, SOBALD MAN ZWEI KREISUNGEN UM IHRE BREITE GEMACHT HAT. DER UNTERSATZ DER SCHWINGE, DES SIEBES UND DER WAGESCHALE, SOBALD MAN EINE KREISUNG UM IHRE BREITE GEMACHT HAT. DIE KIEPE, SOBALD MAN ZWEI WINDUNGEN UM DIE BREITE GEMACHT HAT; DER BASTKORB, SOBALD MAN EINE WINDUNG GEMACHT HAT.", + "WANN WERDEN LEDERNE GERÄTE FÜR DIE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH? DIE HIRTENTASCHE, SOBALD MAN EINEN RAND GEMACHT, GLATTGESCHMTTEN UND DARAN SCHLAUFEN GEMACHT HAT. R. JEHUDA SAGT, SOBALD MAN DARAN DIE OHREN GEMACHT HAT. DIE LEDERSCHÜRZE3Od. Lederkittel; Cf. Ned. 55b., SOBALD MAN EINEN SAUM GEMACHT, GLATTGESCHNITTEN UND DARAN DIE BINDEBÄNDER GEMACHT HAT. R. JEHUDA SAGT, SOBALD MAN DARAN DIE RINGE GEMACHT HAT. DIE LEDERDECKE, SOBALD MAN DARAN EINEN SAUM GEMACHT UND GLATTGESCHNITTEN HAT. R. JEHUDA SAGT, SOBALD MAN DARAN DIE SCHLAUFEN GEMACHT HAT. KISSEN UND POLSTER AUS LEDER, SOBALD MAN EINEN SAUM GEMACHT UND GLATTGESCHNITTEN HAT. R. JEHUDA SAGT, SOBALD MAN SIE ZUSAMMENGENÄHT UND WENIGER ALS FÜNF HANDBREITEN ZURÜCKGELASSEN4Zum Hineintun der Füllung. HAT.", + "DER FEIGENKORB IST UNREIN, DER GETREIDEKORB IST REIN; KÖRBCHEN AUS BLÄTTERN SIND REIN, AUS WEIDENRUTEN UNREIN. DAS DATTEL GEFLECHT IST, WENN MAN HINEINTUN UND HERAUSNEHMEN KANN, UNREIN, WENN MAN DIES ABER NICHT EHER KANN, ALS BIS MAN ES AUFREISST ODER AUFLÖST, SO IST ES REIN.", + "DER LEDERHANDSCHUH DER TENNENWORFLER, DER REISENDEN UND DER FLACHSARBEITER IST UNREIN, DER DER FÄRBER ABER UND DER SCHMIEDE IST REIN. R. JOSE SAGT, DIESEN GLEICHE AUCH DER DER GRÄUPNER. DIE REGEL HIERBEI IST: DER ZUM AUFNEHMEN5Als Schutz der Hände beim Anfassen. DIENT, IST UNREIN, UND DER NUR VOR SCHWEISS [SCHÜTZT]6Als Schutz der angefaßten Sache., IST REIN.", + "DER MISTSACK DES RINDES7Der ihm heim Dreschen angehängt wird, damit das Getreide nicht beschmutzt werde. UND SEIN MAULKORB, DAS RÄUCHERGEFÄSS DER IMKER UND DER FÄCHER SIND REIN. DER DECKEL EINES SCHMUCKKASTENS IST UNREIN, DER DECKEL EINER KLEIDERTRUHE IST REIN. DER DECKEL EINER TRUHE, DER DECKEL EINES KORBES, DIE PRESSE DES ZIMMERMANNES, DES STUHL UNTER DER TRUHE UND DEREN AUFSATZ, DAS BÜCHERFUTTERAL8Nach anderen Lesepult., DAS RIEGELGEHÄUSE, DAS SCHLOSSGEHÄUSE, DIE MEZUZAKAPSEL, DAS PSALTERIONFUTTERAL, DAS HARFENFUTTERAL, DER FORMBLOCK DER KAPPENFLECHTER, DAS MUSIKANTENPFERDCHEN9Aus Holz; vgl. ob. S. 620 Anm. 14., DAS SPIELINSTRUMENT DER KLAGEFRAUEN, DER BETTLERSCHIRM10Wohl eine Art Kopfschutz gegen Sonne u. Regen; nach anderen Bettlertasche., DIE BETTSTÜTZEN, DIE TEPHILLINFORM11Zur Herstellung der Tephillinkapsel.UND DIE PUPPE DER KLEIDERARBEITER, SIE ALLE SIND REIN. FOLGENDE REGEL SAGTE R. JOSE: ALLES, WAS FÜR GEBRAUCHSGEGENSTÄNDE DES MENSCHEN SOWOHL BEI BENUTZUNG ALS AUCH AUSSERHALB DER BENUTZUNG [ALS SCHUTZ] DIENT, IST UNREIN, UND WAS NUR BEI BENUTZUNG, IST REIN.", + "DIE SCHEIDE DES SCHWERTES, DES MESSERS, DES DOLCHES, DAS FUTTERAL DER FEDERSCHERE, DER SCHARNIERSCHERE UND DES SCHERMESSERS, DAS FUTTERAL DES SCHMINKSTIFTES UND DIE SCHMINKDOSE, DAS FUTTERAL DES SCHREIBHALTERS UND DES TINTENFASSES12Eigentl Doppelgefäß; ein aus zwei Abteilen bestehendes Gefäß., DAS FUTTERAL EINER TAFEL, DIE LEDERDECKE, DER PFEILKÖCHER UND DIE GESCHOSSTASCHE, SIE ALLE SIND UNREIN. DAS FUTTERAL DER SACKPFEIFE IST, WENN MAN SIE VON OBEN HINEINLEGT, UNREIN, UND WENN VON DER SEITE, REIN. DAS FLÖTENFUTTERAL IST NACH R. JEHUDA REIN, WEIL MAN SIE VON DER SEITE HINEINLEGT. DER ÜBERZUG DES SPEERES, DES BOGENS UND DER LANZE IST REIN. DIE REGEL HIERBEI IST: WAS ALS FUTTERAL DIENT, IST UNREIN, WAS ALS ÜBERZUG DIENT, IST REIN." + ], + [ + "BEI ALLEN GEFÄSSEN FÜR DEN HAUSGEBRAUCH GILT DAS MASS EINES GRANATAPFELS1Hat das Gefäß ein Loch, daß ein solcher durchfällt, so ist es rein.. R. ELIE͑ZER SAGT, JE NACHDEM, WOFÜR SIE BESTIMMT2Ist es für kleinere Früchte bestimmt, so gelten diese als Maß. SIND. BEI KÖRBEN DER GÄRTNER GILT EIN KRAUTBÜNDEL ALS MASS, EIN STROH[BÜNDEL] BEI SOLCHEN FÜR DEN HAUSGEBRAUCH, UND STREU BEI SOLCHEN FÜR BADEMEISTER. R. JEHOŠUA͑ SAGT, BEI ALLEN EIN GRANATAPFEL.", + "BEIM SCHLAUCHE GILT ALS MASS EIN KNÄUEL AUFZUGGARN. WENN ER AUCH DIESEN NICHT HÄLT, WOHL ABER EINEN KNÄUEL EINSCHLAGGARN, SO IST ER UNREIN. EIN TELLERBEHÄLTER, WENN ER AUCH KEINE TELLER HÄLT, WOHL ABER SCHÜSSELN HÄLT, IST UNREIN. EIN KOTBECKEN, WENN ES AUCH KEINE FLÜSSIGKEITEN HÄLT, WOHL ABER KOT HÄLT, IST UNREIN. NACH R. GAMLIÉL IST ES REIN, WEIL MAN EIN SOLCHES NICHT HÄLT.", + "BEI BROTKÖRBEN GILT EIN LAIB BROT ALS MASS. HAT MAN AN PAPYRUSKÖRBEN ZUR BEFESTIGUNG VON UNTEN NACH OBEN LAUFENDE ROHRSTÄBE ANGEBRACHT, SO SIND SIE REIN; HAT MAN DARAN HANDHABEN3Nach anderen, Ränder. IRGENDWELCHER ART ANGEBRACHT, SO SIND SIE UNREIN. R. ŠIMO͑N SAGT, KANN ES NICHT AN DEN HANDHABEN GETRAGEN WERDEN, SEI ES REIN.", + "UNTER GRANATÄPFELN, VON DENEN SIE SPRECHEN, IST ZU VERSTEHEN, WENN DREI EINANDER HALTEN. R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGT, BEI EINER SCHWINGE ODER EINEM SIEBE, DASS MAN SIE NIMMT UND DAMIT UMHERGEHT4Wenn die Früchte dann durchfallen., BEI EINER KIEPE, WENN MAN SIE ÜBER DEN RÜCKEN HÄNGT. BEI ALLEN ANDEREN GEFÄSSEN, DIE KEINE GRANATÄPFEL AUFNEHMEN KÖNNEN, BEISPIELSWEISE EIN VIERTEL[KAB], EIN HALBES VIERTEL[KAB], KLEINE KÖRBCHEN, GILT DER GRÖSSERE TEIL5Des Bodens, wenn dieser durchgebrochen ist. ALS MASS – SO R. MEÍR. R. ŠIMO͑N SAGT, BEI OLIVENGRÖSSE. SIND SIE DURCHGEBROCHEN6An der Seite., SO GILT EINE OLIVE ALS MASS; IST EIN TEIL WEGGESCHNITTEN, WENN SIE NUR ETWAS HALTEN7Gelten sie als verwendbare Gefäße..", + "DER GRANATAPFEL, VON DEM SIE SPRECHEN, IST NICHT KLEIN UND NICHT GROSS ZU VERSTEHEN, SONDERN MITTELGROSS. WESHALB ABER WERDEN BADENISCHE GRANATÄPFEL GENANNT8Als Norm bei manchen Lehren, beispielsweise Ori. III,7.? DASS SIE HEILIG9Zum Genüsse verboten, wenn sie verboten sind u. anderen Früchten beigemischt worden sind. MACHEN, IN WELCHEM VERHÄLTNISSE SIE AUCH SIND – SO R. MEÍR ; R. JOḤANAN B. NURI SAGT, DASS SIE ALS MASS FÜR GEFÄSSE10Unter Granatapfel schlechthin sind tatsächlich diese zu verstehen.DIENEN. R. A͑QIBA SAGT, SIE WERDEN IN DIESER UND IN JENER HINSICHT GENANNT: DASS SIE ALS MASS FÜR GEFÄSSE DIENEN, UND DASS SIE IN JEDEM VERHÄLTNISSE HEILIG MACHEN. R. JOSE SAGTE: BADENISCHE GRANATÄPFEL UND LAUCHGEWÄCHSE VON GEBA͑ WERDEN NUR DESHALB GENANNT, DASS SIE NÄMLICH ÜBERALL ALS SICHER UNVERZEHNTET ZU VERZEHNTEN SIND11Geba͑ u. Baddan waren samaritanische Orte, u. von den Samaritanern ist anzunehmen, daß sie diese nicht verzehntet haben..", + "DAS EI, VON DEM SIE SPRECHEN12Als Größennorm bei manchen Gesetzen., IST NICHT GROSS UND NICHT KLEIN ZU VERSTEHEN, SONDERN MITTELGROSS. R. JEHUDA SAGT, MAN HOLE DAS GRÖSSTE UNTER DEN GROSSEN UND DAS KLEINSTE UNTER DEN KLEINEN UND LEGE SIE INS WASSER, UND DAS WASSER13Das aus dem vollgefüllten Gefäße überläuft.TEILE MAN. R. JOSE SPRACH: WER BEAYEIST MIR, WELCHES DAS GRÖSSTE UND WELCHES DAS KLEINSTE14Es gibt vieil, noch größere od. kleinere.IST!? VIELMEHR, ALLES NACH DER BEURTEILUNG DES SCHAUENDEN.", + "DIE DÖRRFEIGE, VON DER SIE SPRECHEN12Als Größennorm bei manchen Gesetzen., IST NICHT GROSS UND NICHT KLEIN ZU VERSTEHEN, SONDERN MITTELGROSS. R. JEHUDA SAGTE : DIE GRÖSSTE IM JISRAÉLLANDE GLEICHT DER MITTELGROSSEN IN ANDEREN LÄNDERN.", + "DIE OLIVE, VON DER SIE SPRECHEN12Als Größennorm bei manchen Gesetzen., IST NACHT GROSS UND NICHT KLEIN ZU VERSTEHEN, SONDERN MITTELGROSS, DAS IST DIE EGURI15Besonders gute Sorte; cf. Ber. Fol. 39a.. DAS GERSTENKORN, VON DEM SIE SPRECHEN12Als Größennorm bei manchen Gesetzen., IST NICHT GROSS UND NICHT KLEIN ZU VERSTEHEN, SONDERN MITTELGROSS, DAS DER WÜSTE. DIE LINSE, VON DER SIE SPRECHEN12Als Größennorm bei manchen Gesetzen., IST NICHT GROSS UND NICHT KLEIN ZU VERSTEHEN, SONDERN MITTELGROSS, DAS IST DIE ÄGYPTISCHE. «ALLE16Zitat aus Ah. XVI, 1, der da erklärt wird.BEWEGLICHEN SACHEN ÜBERTRAGEN DIE UNREINHEIT BEI DER DICKE EINES OCHSENSTECKENS», NICHT GROSS UND NICHT KLEIN17Soll wohl heißen: nicht dick u. nicht dünn., SONDERN MITTELGROSS; MITTELGROSS HEISST ER, WENN DER UMFANG EINE HANDBREITE BETRÄGT.", + "UNTER ELLE, VON DER SIE SPRECHEN12Als Größennorm bei manchen Gesetzen., IST DIE MITTELGROSSE ZU VERSTEHEN. ZWEI ELLENMASSE WAREN IN DER ŠUŠANKAMMER18Cf. Mid. I,3., EINE IN DER NORDÖSTLICHEN ECKE UND EINE IN DER SÜDÖSTLICHEN ECKE; DIE DER NORDÖSTLICHEN ECKE WAR UM EINEN HALBEN FINGER GRÖSSER ALS DIE [ELLE ZUR ZEIT] MOŠES, UND DIE DER SÜDÖSTLICHEN ECKE WAR EINEN HALBEN FINGER GRÖSSER ALS JENE, MITHIN EINEN FINGER GRÖSSER ALS DIE [ELLE ZUR ZEIT] MOŠES. WOZU BESTIMMTEN SIE EINE GRÖSSERE UND EINE KLEINERE? DAMIT DIE HANDWERKER MIT DER KLEINEREN ÜBERNEHMEN UND MIT DER GRÖSSEREN ABLIEFERN, UM NICHT ZU EINER VERUNTREUUNG19Am Heiligturae, was beim genauen Messen vorkommen könnte.ZU KOMMEN.", + "R. MEÍR SAGTE : ALLE ELLENMASSE WAREN MITTELGROSS, AUSGENOMMEN DAS DES GOLDENEN ALTARS, DER HÖRNER, DES RUNDGANGES UND DES FUNDAMENTES. R. JEHUDA SAGT, DIE ELLE BEIM BAUWERKE HATTE SECHS HANDBREITEN UND BEI DEN GERÄTEN FÜNF.", + "ZUWEILEN MEINEN SIE KLEINE HOHLMASSE: BEI DEN FLÜSSIGKEITS UND TROCKENMASSEN IST DAS ITALISCHE MASS ZU VERSTEHEN, DAS IST DAS DER WÜSTE. ZUWEILEN20Wenn, wie in den folgenden Fällen, nicht mit einem Meßgeräte, sondern nach einem Körpergliede gemessen wird.AUCH BESTIMMTEN SIE DAS MASS INDIVIDUELL : BEIM HAUFEN DES SPEISOPFERS, BEI DEN VOLLEN HÄNDEN DES RÄUCHERWERKES, BEIM TRINKEN EINES MUNDVOLLS AM VERSÖHNUNGSTAGE21An dem das Trinken verboten ist., BEI DER SPEISE FÜR ZWEI MAHLZEITEN FÜR DENRUB, DAS SPEISEQUANTUM AM WOCHENTAGE UND NICHT AM ŠABBATH22An dem man mehr ißt.SO R. MEÍR. R. JEHUDA SAGT, AM ŠABBATH UND NICHT AM WOCHENTAGE. BEIDE WOLLEN ERLEICHTERND23Am Š. ißt man eine Mahlzeit mehr, somit bei jeder weniger.SEIN. R. ŠIMO͑N SAGT, ZWEI DRITTEL24Dies ist das Quantum für 2 Mahlzeiten.EINES LAIBES, DIE DREI AUF EINEN KAB GEHEN. R. JOḤANAN B. BEROQA SAGT, EINES PONDIONBROTES25Ein Brot im Preise eines Pondions., WENN VIER S [MEHL] EINEN SELA͑ KOSTEN.", + "ZUWEILEN SPRECHEN SIE VON EINEM GROSSEN MASSE. «EIN LÖFFEL VOLL MODER»26Sc. ist verunreinigend; Zitat aus Ah. II,1., WIE DER GROSSE LÖFFEL DER ÄRZTE. DIE GRAUPENGRÖSSE BEIM AUSSATZE27Cf. Neg. VI,1., WIE DIE KILIKISCHE BOHNENGRAUPE. «WER AM VERSÖHNUNGSTAGE IM QUANTUM EINER GROSSEN DATTEL ISST»28Ist strafbar; cf. Jom. Fol. 73b., WIE DIESE MIT DEM STEINE. BEI SCHLÄUCHEN FÜR WEIN UND ÖL GILT DAS MASS29Des Loches, bei dem sie nicht verunreinigungsfähig sind.DES GROSSEN KNOPFES30Wo der Schlauch zugebunden wird.AN DIESEN. BEIM NICHT DURCH MENSCHENHÄNDE ENTSTANDENEN LICHTLOCHE31Cf. Bek. Fol. 37b.GILT DIE GRÖSSE EINER GROSSEN FAUST32Od. wie die Faust eines Erwachsenen.. DAS IST DIE FAUST DES BEN BAṬIAḤ. R. JOSE SAGTE: ES GIBT AUCH EINE WIE EIN GROSSER MENSCHENKOPF. BEIM DURCH MENSCHENHÄNDE ENTSTANDENEN GILT DIE GRÖSSE DES GROSSEN BOHRERS IN DER TEMPELKAMMER, DAS IST WIE EIN ITALISCHER PONDION ODER WIE EIN NERONISCHER SELA͑, ODER WIE DAS LOCH AM JOCHBALKEN.", + "ALLE [GESCHÖPFE] IM MEERE SIND REIN, AUSGENOMMEN DER SEEHUND, WEIL ER SICH AUFS FESTLAND FLÜCHTET – SO R. A͑QIBA. WENN MAN GERÄTE FERTIGT AUS DEM, WAS IM MEERE WÄCHST, UND DARAN HAFTET ETWAS AUS DEM, WAS AUF DEM FESTLANDE WÄCHST, SEI ES AUCH NUR EIN FADEN ODER EINE SCHNUR, WENN ES NUR FÜR DIE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH IST, SO IST ES UNREIN.", + "MANCHES NOCH: BEI DEM, WAS AM ERSTEN TAGE ERSCHAFFEN WORDEN IST33Wasser u. Erde., GIBT ES EINE UNREINHEIT; BEI DEM, WAS AM ZWEITEN TAGE34Der Himmel., GIBT ES KEINE UNREINHEIT ; BEI DEM, WAS AM DRITTEN35Die Vegetation., GIBT ES EINE UNREINHEIT ; BEI DEM, WAS AM VIERTEN UND AM FÜNFTEN36Die Himmelskörper u. die Seetiere., GIBT ES KEINE UNREINHEIT, AUSSER DEM GEFIEDER DESZ37Wohl eino Kürzung von עזניה (Lev. 11,13), der schwarze od. Seeadler.UND DEM STRAUSSENEI, DAS ÜBERZOGEN38Mit Metall; da es auch ohne Überzug haltbar ist, ist es verunreinigungsfähig.IST. R. JOḤANAN B. NURI SPRACH: WARUM SOLLTE DAS GEFIEDER DESZ ANDERS SEIN ALS JEDES ANDERE GEFIEDER? BEI DEM, WAS AM SECHSTEN TAGE ERSCHAFFEN WURDE, GIBT ES EINE UNREINHEIT.", + "WENN MAN IRGENDWELCHES GERÄT39Auch wenn solche sonst gar nicht angefertigt werden, wie die weiter genannten.MIT VERTIEFUNG MACHT, SO IST ES UNREIN; WENN MAN IRGEND EIN LAGER ODER EINEN SITZ MACHT, SO SIND SIE UNREIN. MACHT MAN EINEN BEUTEL AUS ROHEM FELL ODER, AUS PAPIER, SO IST ER UNREIN. WENN KINDER EINEN GRANATAPFEL, EINE EICHEL, ODER EINE NUSS AUSGEHÖHLT HABEN, UM DAMIT ERDE ZU MESSEN, ODER SIE SOLCHE ALS WAGESCHALEN HERGERICHTET HABEN, SO SIND SIE UNREIN, DENN BEI DIESEN IST DIE HANDLUNG WIRKSAM UND NICHT DIE ABSICHT.", + "EIN WAGEBALKEN ODER EIN ABSTREICHER, DER EINEN BEHÄLTER FÜR METALL HAT, EINE TRAGSTANGE, DIE EINEN BEHÄLTER FÜR GELD HAT, EIN BETTLERSTAB, DER EINEN BEHÄLTER FÜR WASSER HAT, UND EIN STOCK, DER EINEN BEHÄLTER FÜR EINE MEZUZA UND PERLEN HAT, SIND UNREIN. ÜBER ALL DIESE DINGE SAGTE R. JOHANAN B. ZAKKAJ : WEHE MIR, WENN ICH ES SAGE, UND WEHE MIR, WENN ICH ES NICHT SAGE40Solche Behälter werden zu betrügerischen Manipulationen benutzt (zum Beschweren der einen Seite der Wagschale od. des Abstreichers, od. zum Verstecken von gestohlenem Gelde u. zu anderen Schwindeleien, wie beispielsweise Bd. IX. S. 320 Anm. 192), u. durch das Verraten dieser Manipulationen sind einerseits die Menschen gewarnt, andererseits aber können andere dies lernen; cf. Bb. Fol. 89b..", + "DER UNTERSATZ DER GOLDSCHMIEDE41Zum Aufsammeln des Goldabfalls.IST UNREIN UND DER GROBSCHMIEDE IST REIN. EIN SCHLEIF[BRETT], DAS EINEN ÖLBEHÄLTER HAT, IST UNREIN, UND DAS KEINEN HAT, IST REIN. EINE SCHREIBTAFEL, DIE EINEN WACHSBEHÄLTER HAT, IST UNREIN, DIE KEINEN HAT, IST REIN. EINE STROHMATTE UND EIN STROHHALM SIND NACH R. A͑QIBA UNREIN UND NACH R. JOḤANAN B. NURI REIN. R. ŠIMO͑N SAGT, DASSELBE GELTE AUCH VON SOLCHEN AUS KOLOQUINTEN42Nach anderen, wilde Gurken.. EINE MATTE AUS BINSEN ODER SCHILF IST REIN. HAT MAN EINE ROHRHÜLSE ZUGESCHNITTEN, DAMIT SIE ETWAS AUFNEHME, SO BLEIBT SIE REIN, BIS MAN DAS GANZE MARK HERAUSGENOMMEN HAT." + ], + [ + "DER KASTEN IST1Hinsichtl. der Verunreinigungsfähigkeit, die bei einer Größe von 3 Quadratellen (40 Seá) aufhört., WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, VON INNEN ZU MESSEN, UND WIE DIE SCHULE HILLELS SAGT, VON AUSSEN ZU MESSEN. DIESE UND JENE STIMMEN ÜBEREIN, DASS DIE DICKE DER FÜSSE UND DIE DICKE DER LEISTEN NICHT MITZUMESSEN SEIEN. R. JOSE SAGT, SIE STIMMEN ÜBEREIN, DASS DIE DICKE DER FÜSSE UND DIE DICKE DER LEISTEN MITZUMESSEN SEIEN, [DER RAUM] DAZWISCHEN ABER NICHT MITZUMESSEN SEI. R. ŠIMO͑N ŠEZORI SAGT, SIND DIE FÜSSE EINE HANDBREITE HOCH, SEI [DER RAUM] DAZWISCHEN NICHT MITZUMESSEN, WENN ABER NICHT, SEI [DER RAUM] DAZWISCHEN MITZUMESSEN.", + "DIE VORRICHTUNG2Nach den Kommentaren ein Rad od. eine Walze zur leichteren Fortbewegung. DAZU GILT, WENN SIE ABNEHMBAR IST, NICHT ALS MIT DIESEM VERBUNDEN : SIE IST MIT DIESEM NICHT MITZUMESSEN, SIE SCHÜTZT NICHT BEI DER TOTENBEZELTUNG3Der fest verschlossene Kasten schützt den Inhalt vor Verunreinigung in einem Raume, in dem ein Toter sich befindet; ein Loch in Größe einer Handbreite hebt den Schutz auf (ob. X,1) u. wird durch eine derartige Vorrichtung nicht reduziert. UND MAN DARF SIE, WENN GELD DARIN IST, AM ŠABBATH NICHT FORTSCHLEIFEN. IST SIE NICHT ABNEHMBAR, SO GILT SIE ALS MIT DIESER VERBUNDEN: SIE IST MIT DIESEN MITZUMESSEN, SIE SCHÜTZT BEI DER TOTENBEZELTUNG UND MAN DARF SIE, AUCH WENN GELD DARIN IST, AM ŠABBATH FORTSCHLEIFEN. DER AUFSATZ DAZU GILT, WENN ER BEFESTIGT IST, ALS VERBUNDEN UND IST MITZUMESSEN, UND WENN ER NICHT BEFESTIGT IST, ALS NICHT VERBUNDEN UND IST NICHT MITZUMESSEN. WIE MESSE MAN IHN? ALS DREIECK4Die Rundung des Aufsatzes wird nicht voll mitgemessen, od. gar zur Höhe des Kastens mitgerechnet, vielmehr wird von der Höhe der Rundung bis zur Kasten wand eine gerade Linie gezogen.. R. JEHUDA SAGT, WENN ER NICHT ALLEIN5Der Kasten ohne Stütze. STEHEN KANN, SEI ER REIN.", + "WENN VON EINEM KASTEN, EINER TRUHE ODER EINEM SCHRANKE EINER DER FÜSSE FEHLT, SO SIND SIE, OBGLEICH SIE NOCH AUFNEHMEN KÖNNEN, REIN; DIE AUF GEWÖHNLICHE WEISE NICHT AUFNEHMEN KÖNNEN, SIND NACH R. JOSE UNREIN. DIE STANGEN DES BETTES6Am Kopfende, für den Vorhang., DER BOCK7Wohl Stütze unter dem Bette; vgl. S. 617 Anm. 13. UND DER ÜBERZUG8Nach den Kommentaren Betthimmel oder Verzierungen. SIND REIN; UNREIN IST NUR DAS BETT SELBST UND DER RAHMEN. DIE RAHMEN DER LEVITEN9Der Zugehörigen der nach Jerušalem ziehenden Priesterwache. SIND REIN.", + "HAT MAN EINEN BETTRAHMEN AUF DIE ECKSTÜCKE10Wörtl. Zungen; nach manchen Kommentaren die Eckverbindungen der Längs u. Querbretter des Bettes; wahrscheinl. aber Untersätze für ein Rahmenbett.GELEGT, SO SIND SIE NACH R. MEÍR UND R. JEHUDA UNREIN UND NACH R. JOSE UND R. ŠIMO͑N REIN. R. JOSE SPRACH : WIESO SOLLTEN DIESE ANDERS SEIN ALS DIE RAHMEN DER LEVITEN, UND DIE RAHMEN DER LEVITEN SIND JA REIN!?", + "WENN VON EINEM DURCH AUFTRETEN UNREIN GEWORDENEN BETTE EIN QUERBRETT MIT DEN BEIDEN FÜSSEN FEHLT, SO BLEIBT ES UNREIN ; WENN EIN LÄNGSBRETT MIT DEN BEIDEN FÜSSEN, SO IST ES REIN. NACH R. NEḤEMJA IST ES UNREIN. HAT MAN ZWEI ECKSTÜCKE SCHRÄGÜBER WEGGESCHNITTEN, ODER HAT MAN ZWEI FÜSSE SCHRÄGÜBER WEGGESCHNITTEN, ODER HAT MIN SIE11Alle Füße, sodaß das Bett kaum von der Erde absteht.AUF WENIGER ALS EINE HANDBREITE REDUZIERT, SO IST ES REIN.", + "WENN VON EINEM DURCH AUFTRETEN UNREIN GEWORDENEN BETTE EIN LÄNGSBRETT ZERBROCHEN WAR UND MAN ES WIEDER HERGESTELLT HAT, SO IST ES DURCH AUFTRETEN UNREIN; WENN ABER AUCH DAS ANDERE ZERBROCHEN WURDE UND MAN ES HERGESTELLT HAT, SO IST ES VON DER UNREINHEIT DURCH AUFTRETEN REIN, WOHL ABER DURCH BERÜHRUNG DES DURCH AUFTRETEN UNREINEN UNREIN. ZERBRACH ABER DAS ANDERE, BEVOR MAN DAZU KAM, DAS ERSTE HERZUSTELLEN, SO IST ES REIN.", + "HAT MAN EINEN DURCH AUFTRETEN UNREIN GEWORDENEN FUSS AN EIN BETT ANGEBRACHT, SO IST ES DURCH AUFTRETEN UNREIN; WIRD ER ABGE NOMMEN, SO IST ER DURCH AUFTRETEN UNREIN, DAS BETT ABER DURCH BERÜHRUNG DES DURCH AUFTRETEN UNREINEN UNREIN. WENN IHM EINE SIEBENTÄGIGE UNREINHEIT12Durch Berührung eines Toten.ANHAFTET UND MAN IHN AN DAS BETT ANGEBRACHT HAT, SO IST DAS GANZE SIEBENTÄGIG UNREIN; WIRD ER ABGENOMMEN, SO IST ER SIEBENTÄGIG UNREIN, DAS BETT ABER BIS ZUM ABEND UNREIN. HAT MAN EINEN BIS ZUM ABEND UNREINEN AN EIN BETT ANGEBRACHT, SO IST DAS GANZE BIS ZUM ABEND UNREIN; WIRD ER ABGENOMMEN, SO IST ER BIS ZUM ABEND UNREIN, DAS BETT ABER IST REIN. DASSELBE GILT AUCH VON EINEM ZINKEN DES KARSTES.", + "DIE TEPHILLINKAPSEL13Des Kopfes, die aus 4 Fächern besteht.BESTEHT AUS VIER GERÄTEN. HAT MAN EIN GEHÄUSE ABGELÖST UND WIEDER HERGESTELLT, SO BLEIBT SIE NOCH LEI CHENUNREIN14Falls sie mit einer solchen Unreinheit behaftet ist., EBENSO BEI DER ZWEITEN UND EBENSO BEI DER DRITTEN; HAT MAN DIE VIERTE ABGELÖST, SO IST SIE VON DER LEICHENUNREINHEIT REIN, WOHL ABER DURCH BERÜHRUNG EINES LEICHENUNREINEN UNREIN. HAT MAN ABERMALS DAS ERSTE ABGELÖST UND WIEDER HERGESTELLT, SO IST SIE DURCH BERÜHRUNG UNREIN, UND EBENSO BEI DER ZWEITEN; HAT MAN DAS DRITTE ABGELÖST, SO IST SIE REIN, DENN DIE VIERTE IST ES NUR DURCH BERÜHRUNG, UND DAS DURCH BERÜHRUNG UNREINE MACHT NICHT DURCH BERÜHRUNG UNREIN.", + "EIN BETT, VON DEM DIE HÄLFTE GESTOHLEN WORDEN IST, ODER DIE HÄLFTE ABHANDEN GEKOMMEN IST, ODER DAS BRÜDER ODER GESELLSCHAFTER UNTER SICH GETEILT HABEN, IST REIN; HABEN SIE ES WILDER ZUSAMMENGE SETZT, SO IST ES VON DANN AB FÜR DIE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH. DAS BETT WIRD NUR ALS GANZES UNREIN UND ALS GANZES WIEDER REIN – SO R. ELIE͑ZER. DIE WEISEN SAGEN, ES WERDE AUCH GLIEDWEISE UNREIN UND GLIEDWEISE REIN." + ], + [ + "HAT MAN DAS BETT AUSEINANDERGENOMMEN, UM ES UNTERZUTAUCHEN1Wenn es unrein war, nach der vorangehenden Mišna., SO IST, WER DIE STRICKE2Das Netz im Bettrahmen. BERÜHRT, REIN. VON WANN AB GILT DER STRICK ALS MIT DEM BETTE VERBUNDEN3Hinsichtl. der Unreinheit.? SOBALD MAN DREI MASCHENREIHEN GEFLOCHTEN HAT. WAS VOM KNOTEN EINWÄRTS4Nach den Kommentaren, wenn man an den genannten Strick einen anderen gebunden hat. BERÜHRT, IST UNREIN, UND WAS VOM KNOTEN AUSWÄRTS, IST REIN. WAS DIE ENDEN DES KNOTENS BERÜHRT, SOWEIT SIE FÜR DIESEN ERFORDERLICH5Damit er sich nicht auflöse. SIND, IST UNREIN. WIEVIEL HEISST ERFORDERLICH? R. JEHUDA SAGT, DREI FINGERBREITEN.", + "DER VOM BETTE HERAUSRAGENDE STRICK6Was vom Netzgeflechle zurückbleibt. IST BEI [EINER LÄNGE VON] FÜNF HANDBREITEN REIN7Es ist nicht verwendbar., BEI FÜNF BIS ZEHN UNREIN, UND VON ZEHN UND DARÜBER REIN. MIT DIESEM PFLEGTE MAN DAS PESAḤLAMM ANZUBINDEN8Mehrere Tage vor dem Schlachten. UND DIE BETTEN HINABZULASSEN9Von einem Stockwerke zum anderen..", + "DER AUS DEM BETTE HERAUSRAGENDE GURT10Zum Zusammenhalten der Bettstelle, sc. ist unrein.BEI JEDER GRÖSSE – SO R. MEÍR. R. JOSE SAGT, NUR BIS ZEHN HANDBREITEN. DAS ÜBERBLEIB SEL EINES GURTES [IST UNREIN] BEI SIEBEN HANDBREITEN, WORAUS MAN EINEN HALTEGURT11Den Sattel od. die Decke zu befestigen.FÜR EINEN ESEL MACHEN KANN.", + "WIRD EIN FLUSSBEHAFTETER VOM BETTE UND DEM GURTE GETRAGEN, SO MACHT DIESER ZWEI GRADE UNREIN12Was vom zum Bette gehörigen Gurte berührt wird, wird erstgradig unrein u. macht andere zweitgradig unrein; letzteres macht Profanes nicht mehr unrein, sondern nur Hebe untauglich, dh. zum Genusse verboten.UND EINMAL UNTAUGLICH – SO R. MEÍR. R. JOSE SAGT, WIRD DER FLUSSBEHAFTETE VOM BETTE UND DEM GURTE GETRAGEN, MACHE ER ZEHN HANDBREITEN ZWEI GRADE UNREIN UND EINMAL UNTAUGLICH, VON ZEHN UND DARÜBER ABER MACHE ER EINEN GRAD UNREIN13Dieser Teil ist nicht Hauptunreinheit, sondern nur durch Berührung des ersteren erstgradig unrein.UND EINMAL UNTAUGLICH. WIRD ER NUR VOM GURTE GETRAGEN, SO IST ER, WENN INNERHALB ZEHN [HANDBREITEN], UNREIN, UND WENN AUSSERHALB ZEHN14Die nicht mehr zum Bette gehören; der Gurt allein gilt nicht als Sitz od. Lager u. wird nicht durch Auftreten (dh. durch einen Flußbehafteten) unrein., REIN.", + "WENN EIN BETT DURCH AUFTRETEN UNREIN IST UND MAN DARAN EINEN GURT GEWICKELT HAT, SO IST DAS GANZE15Auch der Gurt.DURCH AUFTRETEN UNREIN; NIMMT MAN IHN AB, SO IST JENES DURCH AUFTRETEN UNREIN UND DER GURT DURCH BERÜHRUNG DES DURCH AUFTRETEN UNREINEN [UNREIN]. WENN IHM EINE SIEBENTÄGIGE UNREINHEIT16Durch Berührung eines Leichenunreinen.ANHAFTET UND MAN DARAN EINEN GURT GEWICKELT HAT, SO IST DAS GANZE SIEBENTÄGIG UNREIN; NIMMT MAN IHN AB, SO IST JENES SIEBENTÄGIG UNREIN UND DER GURT BIS ZUM ABEND UNREIN. WENN ES BIS ZUM ABEND UNREIN WAR UND MAN DARAN EINEN GURT GEWICKELT HAT, SO IST DAS GANZE BIS ZUM ABEND UNREIN; NIMMT MAN IHN AB, SO IST JENES BIS ZUM ABEND UNREIN UND DER GURT REIN.", + "WENN MAN AN EIN BETT EINEN GURT GEWICKELT HAT UND SIE VON EINEM TOTEN BERÜHRT WORDEN SIND, SO SIND SIE SIEBENTÄGIG UNREIN; NIMMT MAN IHN AB, SO BLEIBEN SIE SIEBENTÄGIG UNREIN. SIND SIE VON EINEM KRIECHTIERE BERÜHRT WORDEN, SO SIND SIE BIS ZUM ABEND UNREIN; NIMMT MAN IHN AB, SO BLEIBEN SIE BIS ZUM ABEND UNREIN. SIND VON EINEM BETTE BEIDE LÄNGSBRETTER HERAUSGENOMMEN UND STATT DIESER NEUE EINGESETZT, DIE LÖCHER17An den Füßen, in die die Zapfen der Seitenbreiter eingelassen werden.ABER NICHT ABGEÄNDERT WORDEN, SO IST ES, WENN DIE NEUEN ZERBRECHEN, UNREIN18Da die alten eingesetzt werden können., UND WENN DIE ALTEN, REIN; MAN RICHTE SICH STETS NACH DEN ALTEN.", + "EIN KASTEN MIT DER ÖFFNUNG OBEN KANN LEICHENUNREIN WERDEN; WIRD ER OBEN BESCHÄDIGT, SO BLEIBT ER LEICHENUNREIN. WIRD ER UNTEN BESCHÄDIGT, SO IST ER REIN; DIE DARIN BEFINDLICHEN FÄCHER SIND UNREIN UND GELTEN NICHT ALS MIT DIESEM VERBUNDEN.", + "WIRD EINE HIRTENTASCHE BESCHÄDIGT, SO BLEIBT DER BEUTEL DARIN UNREIN UND ER GILT NICHT ALS MIT DIESER VERBUNDEN. WENN AN EINEM SCHLAUCHE DIE EIER19Kleine Beutclchen an beiden Seiten der Öffnung., DIE SICH MIT DIESEM ZUSAMMEN FÜLLEN, BESCHÄDIGT WERDEN, SO SIND SIE REIN, WEIL SIE NICHT AUF GEWÖHNLICHE WEISE20Vom Schlauche aus.AUFNEHMEN KÖNNEN.", + "EIN KASTEN MIT DER ÖFFNUNG AN DER SEITE KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN21Da er als Sitz für einen Flußbehafteten verwendbar ist.UND KANN LEICHENUNREIN WERDEN. R. JOSE SAGTE: NUR DANN, WENN ER KEINE ZEHN HANDBREITEN HOCH22Höher od. mit einer Leiste ist er als Sitz unbequem.IST ODER KEINE LEISTE VON EINER HANDBREITE HAT. IST ER OBEN BESCHÄDIGT, SO KANN ER NUR NOCH LEICHENUNREIN SEIN; IST ER UNTEN BESCHÄDIGT, SO IST ER NACH R. MEÍR UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN, DENN WENN DIE HAUPTSÄCHLICHE [VERWENDUNG] AUFHÖRT, HÖRT AUCH DIE NEBENSÄCHLICHE23Ein Kasten ist hauptsächlich Behälter, als welcher er nicht mehr zu gebrauchen ist; die Verwendung als Sitz erfolgt nur nebenbei.AUF.", + "IST EIN TRANSPORTKORB24Für Mist, Stroh udgl. (weit. XXIV,9), der zugleich als Sitz verwendet wird.SO BESCHÄDIGT, DASS ER KEINE GRANATÄPFEL AUFNIMMT, SO IST ER NACH R. MEÍR UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN, DENN WENN DIE HAUPTSÄCHLICHE [VERWENDUNG] AUFHÖRT, HÖRT AUCH DIE NEBENSÄCHLICHE AUF." + ], + [ + "BESCHÄDIGTE POLSTER, KISSEN, SÄCKE ODER BEUTEL SIND DURCH AUFTRETEN UNREIN. DER FUTTERSACK, WENN ER VIER KAB FASST; DIE HIRTENTASCHE, WENN FÜNF; DER REISESACK, WENN EINE SEÁ; DER SCHLAUCH, WENN SIEBEN KAB. R. JEHUDA SAGT, AUCH DER GEWÜRZSACK, UND DIE REISETASCHE, WIE GROSS SIE AUCH SIND. DIESE SIND DURCH AUFTRETEN1Weil sie auch als Sitz verwendet werden. UNREIN, UND SIE ALLE SIND, WENN SIE BESCHÄDIGT WERDEN, REIN, DENN WENN DIE HAUPTSÄCHLICHE [VERWENDUNG] AUFHÖRT, HÖRT AUCH DIE NEBENSÄCHLICHE AUF.", + "DER DUDELSACK IST NICHT UNREIN DURCH AUFTRETEN. DIE MULDE DER MÖRTELARBEITER IST, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, DURCH AUFTRETEN UNREIN, UND WIE DIE SCHULE HILLELS SAGT, NUR LEICHENUNREIN. WENN EINE MULDE VON ZWEI LOG BIS NEUN KAB GEPLATZT IST, SO IST SIE DURCH AUFTRETEN UNREIN. WENN MAN SIE IN DEN REGEN GESTELLT HAT UND SIE SICH GEDEHNT HAT2Sodaß der Riß sich verloren hat., SO KANN SIE LEICHENUNREIN WERDEN; WENN DARAUF IN DEN OSTWIND UND SIE GEPLATZT IST, SO NIMMT SIE WIEDER [UNREINHEIT] DURCH AUFTRETEN AN. HIERIN IST ES BEIM ÜBERBLEIBSEL VON HOLZGERÄTEN STRENGER ALS BEI SOLCHEN IN IHREM ERSTEN ZUSTANDE. UND STRENGER IST ES BEIM ÜBERBLEIBSEL VON WEIDENGERÄTEN ALS BEI SOLCHEN IN IHREM ERSTEN ZUSTANDE, DENN IN IHREM ERSTEN ZUSTANDE SIND SIE FÜR DIE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH, ERST WENN SIE AM RANDE BEFESTIGT SIND; SIND SIE ABER AM RANDE BEFESTIGT WORDEN, SO SIND SIE, WENN DER RAND ABGEFALLEN UND NUR ETWAS VORHANDEN IST, UNREIN.", + "HAT MAN AUS EINEM STOCKE EINEN STIEL FÜR EINE AXT GEMACHT, SO GILT ER WÄHREND DER ARBEIT HINSICHTLICH DER UNREINHEIT ALS VERBUNDEN3Nicht aber nachher, weil mau ihn dann fortwirft.. DER HASPEL GILT WÄHREND DER ARBEIT HINSICHTLICH DER UNREINHEIT ALS VERBUNDEN4Mit den darin steckenden Eisenstangen, die verunreinigungsfähig sind.. BEFESTIGT MAN IHN AN EINE STANGE, SO IST SIE UNREIN UND GILT NICHT ALS MIT DIESEM VERBUNDEN; MACHT MAN AN DIESER EINEN HASPEL, SO IST NUR SOVIEL UNREIN, WIE DAZU GEBRAUCHT WIRD. BEFESTIGT MAN EINEN STUHL AN EINE STANGE, SO IST ER UNREIN UND GILT NICHT ALS MIT DIESER VERBUNDEN. MACHT MAN EINEN STUHL5Dh. einen Sitz. AN DIESER, SO IST NUR DIESE STELLE UNREIN. BEFESTIGT MAN [EINEN STUHL] AN DEN BALKEN EINER ÖLPRESSE, SO IST ER UNREIN UND GILT NICHT ALS MIT DIESEM VERBUNDEN; MACHT MAN AN DESSEN ENDE EINEN STUHL5Dh. einen Sitz., SO IST ER REIN, WEIL MAN ZU IHM6Dem, der ihn als Sitz verwenden will. SAGT : STEH AUF, WIR WOLLEIN UNSERE ARBEIT VERRICHTEN.", + "WENN EINE GROSSE MULDE BESCHÄDIGT WORDEN IST, DASS SIE KEINE GRANATÄPFEL MEHR AUFNIMMT, UND MAN SIE ALS SITZ HERGERICHTET HAT, SO IST SIE NACH R. A͑QIBA UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN, ES SEI DENN, MAN HAT SIE ALS SOLCHE ZURECHTGESCHNITTEN. MACHT MAN DARAUS EINE KRIPPE FÜR DAS VIEH, SO IST SIE UNREIN, AUCH WENN MAN SIE AN DIE WAND BEFESTIGT HAT7Obgleich sie jetzt am Boden befestigt ist; ursprünglich war sie ein bewegliches Gefäß..", + "HAT MAN EINEN BLOCK8Aus Hotz od. einer anderen Masse, der als Sitz geeignet ist. AN EINE MAUERSCHICHT ANGEBRACHT, BEFESTIGT UND NICHT DARÜBER GEBAUT, ODER DARÜBER GEBAUT UND NICHT BEFESTIGT, SO IST ER UNREIN; HAT MAN IHN BEFESTIGT UND DARÜBER GEBAUT, SO IST ER REIN. HAT MAN EINE MATTE ÜBER DIE DECKENBALKEN GELEGT, BEFESTGIT UND KEINEN ESTRICH DARÜBER GELEGT, ODER DARÜBER EINEN ESTRICH GELEGT UND NICHT BEFESTIGT, SO IST SIE UNREIN; HAT MAN SIE BEFESTIGT UND DARÜBER EINEN ESTRICH GELEGT, SO IST SIE REIN. HAT MAN EINE SCHÜSSEL AN EINE KISTE, EINE TRUHE ODER EINEN SCHRANK BEFESTIGT, SO IST SIE, WENN SO, WIE SIE GEWÖHNLICH AUFNIMMT9Mit dem Boden nach unten., UNREIN, UND WENN SO, WIE SIE NICHT GEWÖHNLICH AUFNIMMT, REIN.", + "HAT MAN AUS EINEM DURCH AUFTRETEN UNREINEN BETTLAKEN EINEN VORHANG GEMACHT, SO IST ER NICHT MEHR DURCH AUFTRETEN UNREIN, WOHL ABER KANN ER LEICHENUNREIN WERDEN. WANN WIRD ES REIN? DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, SOBALD ES ZERTRENNT IST; DIE SCHULE HILLELS SAGT, SOBALD ES ANGEHEFTET IST; R. A͑QIBA SAGT, SOBALD ES BEFESTIGT IST.", + "HAT MAN AN EINE MATTE ÜBER DIE LÄNGE ROHRSTÄBE BEFESTIGT, SO IST SIE REIN10Da sie als Unterlage ungeeignet ist.. DIE WEISEN SAGEN, NUR WENN ES IN DER ART EINES CHI11Eines griechischen X, kreuz u. quer.ERFOLGT IST. WENN MAN SIE ÜBER DIE BREITE BEFESTIGT HAT UND ZWISCHEN DEM EINEN ROHRSTABE UND DEM ANDEREN KEINE VIER HANDBREITEN SIND, SO IST SIE REIN. WIRD SIE IN DER BREITE GETEILT, SO IST SIE NACH R. JEHUDA REIN. EBENSO IST SIE REIN, WENN MAN DIE ENDKNOTEN12Die das Geflecht zusammenhalten.AUFLÖST. WENN SIE IN DER LÄNGE GETEILT WIRD UND DREI ENDKNOTEN VON JE SECHS HANDBREITEN ZURÜCKBLEIBEN, SO IST SIE UNREIN. WANN IST DIE MATTE FÜR DIE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH? SOBALD SIE BESCHNITTEN WORDEN IST. DIES IST DER ABSCHLUSS IHRER HERSTELLUNG." + ], + [ + "WER DEN OBERBAUM1Des Wehstuhls., DEN UNTERBAUM1Des Wehstuhls., DIE SCHÄFTE2Zum Anzetteln der Kettenfäden., DEN KAMM3Od. Weberblalt, der die Einschlagfäden gegen das Gewehe drückt., EINEN ÜBER PURPUR GEZOGENEN FADEN4Zum Schutze des Purpurs, der nachher entfernt wird. ODER EIN FADENENDE, DAS MAN NICHT WIEDER5In das Gewebe. AUFNIMMT, BERÜHRT, IST REIN6Wenn das Gewehe unrein ist; ebenso macht der Unreine das Gewebe nicht unrein, weil diese nicht zum Gewebe gehören.. WENN ABER DU: SEELE DES GEWEBES7Den Anfang des Einschlagfadens., DIE STEHENDE KETTE8Die ganzo Reihe der Kettenfäden., DEN ÜBER PURPUR GEZOGENEN DOPPELFADEN9Der mitgewebt wird. ODER EIN FADENENDE, DAS MAN WIEDER AUFNIMMT, SO IST ER UNREIN. WER DIE WOLLE AM SPINNROCKEN ODER AN DER SPULE BERÜHRT, IST REIN; WER DEN WIRTEL BERÜHRT, BEVOR ER ENTBLÖSST10Vom aufgewickelten Faden.IST, IST UNREIN, WENN NACHDEM ER ENTBLÖSST IST, SO IST ER REIN.", + "WER DEN JOCHBALKEN, DIE QUERSTANGE, DAS KUMMT ODER DIE SIELEN BERÜHRT, SELBST WÄHREND DER ARBEIT, IST REIN; WER DIE STERZE, DEN PFLUGBAUM ODER DIE DEICHSEL, IST UNREIN. WENN DEN METALLENEN RING, DIE STREICHBRETTER ODER DIE PFLUGSCHARFLÜGEL, SO IST ER UNREIN. NACH R. JEHUDA IST ER, WENN DIE STREICHBRETTER, REIN, DENN SIE DIENEN NUR DAZU, DIE ERDE ZU VERMEHREN11Manche lesea לרכות, die Erde zu lockern, beim Pflügen unwesentlich..", + "WER DEN GRIFF DER SÄGE BERÜHRT, AN DER EINEN ODER AN DER ANDEREN SEITE, IST UNREIN ; WER DEN STRICK ODER DIE SCHNUR, DAS QUER-HOLZ ODER DIE SPANNHÖLZER, ODER DIE PRESSE DES ZIMMERMANNES ODER DEN BOHRERBOGEN BERÜHRT, IST REIN. R. JEHUDA SAGT, AUCH WER DEN RAHMEN DER GROSSEN SÄGE BERÜHRT, SEI REIN. WER DIE SEHNE ODER DEN BOGEN12Wenn der Pfeil unrein ist.BERÜHRT, SELBST WENN SIE GESPANNT IST, IST REIN. DIE MAULWURFSFALLE13Die aus zwei Holzbrettern besteht, die mit einer Eisenstange verbunden sind.IST REIN. R. JEHUDA SAGT, WENN SIE GESPANNT IST, GELTEN [DIE TEILE] ALS VERBUNDEN." + ], + [ + "WENN EIN TISCH ODER EINE ANRICHTE1Vgl. Bd. IX S. 639 Anm. 108. BESCHÄDIGT SIND, ODER MAN SIE MIT MARMOR BELEGT HAT, ABER NOCH RAUM VORHANDEN IST, UM BECHER HINZUSTELLEN, SO SIND SIE UNREIN. R. JEHUDA SAGT, RAUM, UM STÜCKE HINZULEGEN.", + "FEHLT VON EINEM TISCHE2Einem dreifüßigen. EINER DER FÜSSE, SO IST ER REIN, WIRD EIN ZWEITER FORTGENOMMEN, SO IST ER REIN; WIRD DER DRITTE FORTGE NOMMEN, SO IST ER, WENN MAN DIES3Ihn fußlos als Platte zu benutzen. BESTIMMT HAT, UNREIN. R. JOSE SAGT, DIE BESTIMMUNG SEI NICHT NÖTIG. DASSELBE GILT AUCH VON EINER ANRICHTE.", + "FEHLT VON EINER BANK EINER DER FÜSSE, SO IST SIE REIN, WIRD DER ZWEITE FORTGENOMMEN, SO IST SIE REIN. IST SIE4Die Dicke des Sitzbrettes, auch wenn dieses keine Füße hat, od. die Füße so niedrig sind. EINE HANDBREITE HOCH, SO IST SIE UNREIN. FEHLT VON EINER FUSSBANK EINER DER FÜSSE, SO IST SIE5Weil man auch auf eine solche die Füße stützen kann. UNREIN. DASSELBE GILT AUCH VOM SCHEMEL VOR DEM SESSEL.", + "EIN BRAUTSESSEL, DEM DER SITZ FEHLT, IST NACH DER SCHULE ŠAMMAJS UNREIN UND NACH DER SCHULE HILLELS REIN. ŠAMMAJ SAGT, AUCH DER STUHLRAHMEN6Der im Notfalle als Sitz verwendet wird. SEI UNREIN. EIN IN EINEM BACKTROGE BEFESTIGTER STUHL7Zum Abstellen von Knetutensilien. IST NACH DER SCHULE ŠAMMAJS UNREIN UND NACH DER SCHULE HILLELS REIN. ŠAMMAJ SAGT, AUCH DER DARAN GEFERTIGTE8Der am Backtroge selbst gefertigte Sitz, der nie eia selbständiges Gerät war..", + "WENN VON EINEM STUHLE, BEI DEM DIE SITZBRETTER [DEN RAHMEN] NICHT ÜBERRAGEN, DIESE FEHLEN, SO IST ER UNREIN, WEIL MAN EINEN SOLCHEN AUF DIE SEITE LEGT UND DARAUF SITZT.", + "WENN VON EINEM STUHLE DAS MITTELSTE SITZBRETT FEHLT UND DIE ÄUSSEREN VORHANDEN SIND, SO IST ER UNREIN; WENN DIE ÄUSSEREN FEHLEN UND DAS MITTELSTE VORHANDEN IST, SO IST ER UNREIN. R. ŠIMO͑N SAGT, WENN ES EINE HANDBREITE BREIT IST.", + "FEHLEN VON EINEM STUHLE ZWEI SITZBRETTER NEBENEINANDER, SO IST ER NACH R. A͑QIBA UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN. R. JEHUDA SAGT, AUCH EIN BRAUTSTUHL, VON DEM DER SITZ FEHLT, ABER NOCH EIN BEHÄLTER9Wenn beispielsweise unter dem Rahmen ein Boden ist. ZURÜCKGEBLIEBEN IST, SEI REIN, DENN WENN DIE HAUPTSÄCHLICHE [VERWENDUNG] AUFHÖRT, HÖRT AUCH DIE NEBENSÄCHLICHE AUF.", + "FEHLT VON EINEM KASTEN DAS OBERTEIL, SO IST ER UNREIN WEGEN DES UNTERTEILES, FEHLT DAS UNTERTEIL, SO IST ER UNREIN WEGEN DES OBERTEILES; FEHLEN DAS OBERTEIL UND DAS UNTERTEIL, SO IST ER NACH R. JEHUDA UNREIN, WEGEN DER SEITENWÄNDE, UND NACH DEN WEISEN REIN. DER STEINMETZSITZ IST DURCH AUFTRETEN UNREIN.", + "HAT MAN EINEN [HOLZ]BLOCK MIT RÖTEL ODER SAFRAN ANGESTRICHEN ODER GLATTGEHOBELT, SO IST ER NACH R. A͑QIBA UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN, ES SEI DENN, MAN HAT [EINEN SITZ] AUSGETIEFT. HAT MAN EINEN TRAGEKORB ODER EINEN FRUCHTKORB MIT STROH ODER WOLLFLOKKEN GEFÜLLT UND SO ZUM SITZE HERGERICHTET, SO SIND SIE REIN; HAT MAN SIE MIT BINSEN ODER SCHNUR ÜBERFLOCHTEN, SO SIND SIE UNREIN.", + "DER KAMMERSTUHL KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN UND LEICHENUNREIN WERDEN; WIRD ER GETRENNT10Ein solcher Stuhl bestand aus einem eisernen Sitze u. einem ledernen Überzuge., SO IST DAS LEDER DURCH AUFTRETEN UNREIN UND DAS EISEN LEICHENUNREIN. DER DREIFUSS-STUHL MIT LEDERSITZ KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN UND LEICHENUNREIN WERDEN; WIRD ER GETRENNT, SO IST DAS LEDER DURCH AUFTRETEN UNREIN UND DER DREIFUSS-STUHL11Der ohne Sitz nicht verwendbar ist. GÄNZLICH REIN. DIE BANK IM BADEHAUSE12Mit einem Sitze aus Stein., DEREN FÜSSE AUS HOLZ SIND, IST UNREIN, UND DEREN EINER AUS HOLZ UND EINER AUS STEIN IST, IST REIN. DIE BRETTER IM BADEHAUSE SIND, WENN MAN SIE ZUSAMMENGEFÜGT HAT, NACH R. A͑QIBA UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN, WEIL SIE NUR DAZU DIENEN, DASS DAS WASSER UNTER IHNEN ABFLIESSE. HAT EIN RÄUCHERGESTELL13Zum Schwefeln der Kleider nach der Wäsche.EINEN KLEIDERBEHÄLTER14Den aus der Erstausgabe in alle Ausgaben übergegangenen offenbaren Lapsus כוסות hat sonderbarerweise auch die ed. Lowe., SO IST ES UNREIN, UND IST ES BIENENKORBARTIG, SO IST ES REIN." + ], + [ + "WENN EIN BALL, EIN SCHUHLEISTEN1Aus Leder u. mit Werg ausgestopft., EIN AMULETT ODER TEPHILLIN AUFGERISSEN SIND, SO IST, WER SIE BERÜHRT, UNREIN2Wenn diese unrein sind; sie gelten noch immer als Behälter., UND WER DEN INHALT, REIN. IST EIN SATTEL AUFGERISSEN, SO IST, WER DEN INHALT BERÜHRT, UNREIN, WEIL DIE NAHT SIE VERBINDET3Die Polsterung wird nicht nur hineingestopft, sondern auch festgenäht..", + "FOLGENDES KANN ALS REITZEUG UNREIN WERDEN: DER AŠQELONISCHE GURT4Zur Befestigung des Sattels., DER MEDISCHE MÖRSER5Der aus einem Balken besieht, auf dem der Stoßende rittlings sitzt., DER KISSENSATTEL DES KAMELS, UND DIE PFERDEDECKE. R. JOSE SAGT, DIE PFERDEDECKE SEI ALS SITZ UNREIN, WEIL MAN BEIM TURNIER DARAUF STEHT. ABER DER SATTEL DES DROMEDARS IST UNREIN6Auch als Sitz..", + "WELCHEN UNTERSCHIED GIBT ES ZWISCHEN REITZEUG UND SITZ? BEIM REITZEUGE WIRD ZWISCHEN BERÜHRUNG UND TRAGEN UNTERSCHIEDEN7Die Berührung bewirkt erstgradige Unreinheit, sodaß der Berührende Kleider u. Geräte nicht unrein macht; das Tragen dagegen bewirkt Hauptunreinheit, sodaß der Berührende auch Kleider u. Geräte unrein macht., BEIM SITZE ABER WIUD ZWISCHEN BERÜHRUNG UND TRAGEN NICHT UNTERSCHIEDEN8Beides bewirkt Hauptunreinheit.. DER LASTENTRÄGER DES ESELS, WORAUF MAN [AUCH] SITZT, IST REIN9Da er kein richtiger Sitz ist u. nur im Notfalle als solcher verwendet wird.; HAT MAN DARAN DIE LÖCHER GEÄNDERT ODER SIE INEINANDER DURCHGEBROCHEN10Und so zu einem richtigen Sitze hergerichtet., SO IST ER UNREIN.", + "DIE BAHRE, DAS KISSEN UND DAS POLSTER EINES TOTEN SIND UNREIN DURCH AUFTRETEN. DER BRAUTSESSEL, DER GEBÄRSTUHL UND DER WÄSCHERSTUHL, AUF DEM ER DIE KLEIDER STAPELT, GELTEN, WIE R. JOSE SAGT, NICHT ALS SITZ.", + "DAS FISCHERNETZ IST UNREIN WEGEN DES BEUTELS11Am unteren Teile des Netzes, in den Speisen als Köder hineingetan werden.. FANG NETZE, GARNE, VOGELFALLEN, SCHLINGEN UND DIE FANGKÄSTEN DER SCHLEUSER SIND UNREIN. DIE FISCHREUSE, DER VOGELKORB UND DER KÄFIG SIND REIN." + ], + [ + "ES GIBT DREIERLEI SCHILDE : DER GEBOGENE SCHILD1Der den Träger an 3 Seiten schützt. KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; DER TURNIERSCHILD2Klein u. flach, daher nicht als Sitz od. Lager verwendbar. KANN [NUR] LEICHENUNREIN WERDEN; DER ARABERSCHILD3Nach den Kommentaren eine Art Spielzeug. IST GÄNZLICH UNREIN.", + "ES GIBT DREIERLEI WAGEN: DIE SESSELARTIGEN KÖNNEN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; DIE BETTARTIGEN KÖNNEN LEICHENUNREIN WERDEN ; DIE FÜR STEINE BESTIMMT SIND, SIND GÄNZLICH REIN.", + "ES GIBT DREIERLEI MULDEN: IST EINE ZWEI LOG BIS DREI KAB FASSENDE MULDE GEPLATZT, SO KANN SIE DURCH AUFTRETEN UNREIN4Weil sie als Sitz verwendet wird. WERDEN ; IST SIE GANZ, SO KANN SIE LEICHENUNREIN WERDEN; IST SIE BESONDERS GROSS5Wörtl. Maße enthaltend, sc. große., SO IST SIE GÄNZLICH REIN.", + "ES GIBT DREIERLEI TRUHEN: EINE TRUHE MIT DER ÖFFNUNG AN DER SEITE KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; IST SIE OBEN, SO KANN SIE LEICHENUNREIN WERDEN, IST SIE BESONDERS GROSS, SO IST SIE GÄNZLICH REIN.", + "ES GIBT DREIERLEI FELLDECKEN6Cod. Kaufmann u. ed. Lowe haben תרכוסן Etymologie unbekannt; nach den Kommentaren Felldecke od. Fellsack.: DIE DER BARBIERE7Od. der Bücher. KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; AUF DER MAN ISST, KANN LEICHENUNREIN WERDEN; DIE FÜR OLIVEN IST GÄNZLICH REIN.", + "ES GIBT DREIERLEI UNTERSÄTZE: DER VOR DEM BETTE UND VOR DEN SCHREIBERN KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; DER VOR DER ANRICHTE KANN LEICHENUNREIN WERDEN ; DER FÜR DEN SCHRANK8Als Untersatz, zum Schutze gegen Feuchtigkeit des Erdbodens. IST GÄNZLICH REIN.", + "ES GIBT DREIERLEI SCHREIBTAFELN : DIE PAPYRUSTAFEL KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; DIE EINEN WACHSBEHÄLTER HAT, KANN LEICHENUNREIN WERDEN; DIE GLATTE IST GÄNZLICH REIN.", + "ES GIBT DREIERLEI BETTEN: DAS ALS LAGER BESTIMMTE KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; DAS DER GLASER9Zum Auflegen ihrer Utensilien.KANN LEICHENUNREIN WERDEN; DAS DER SATTLER10So nach manchen Kommentaren; nach dem Wortlaute des Textes Gitterflechter.IST GÄNZLICH REIN.", + "ES GIBT DREIERLEI TRANSPORTKÖRBE : DER FÜR DÜNGER KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; DER FÜR STROH KANN LEICHENUNREIN WERDEN; DER LASTKORB DER KAMELE IST GÄNZLICH REIN.", + "ES GIBT DREIERLEI MATTEN : DIE ZUM SITZEN GEFERTIGTE KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; DIE DER FÄRBER KANN LEICHENUNREIN WERDEN; DIE DER KELTERN11Wohl zum Bedecken der Trauben.IST GÄNZLICH REIN.", + "ES GIBT DREIERLEI SCHLÄUCHE UND ES GIBT DREIERLEI HIRTENTASCHEN: DIE DAS FESTGESETZTE QUANTUM12Cf. supra XX, 1.FASSEN, KÖNNEN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; DIE DAS FESTGESETZTE QUANTUM NICHT FASSEN, KÖNNEN LEICHENUNREIN WERDEN; DIE AUS FISCHHAUT SIND GÄNZLICH REIN13Cf. supra XVII,13..", + "ES GIBT DREIERLEI FELLE : DAS ALS BODENDECKE DIENT, KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; DAS ZUM EINWICKELN VON GERÄTEN DIENT, KANN LEICHENUNREIN WERDEN; DAS FÜR RIEMEN UND SANDALEN14Zum Zerschneiden.BESTIMMT IST, IST GÄNZLICH REIN.", + "ES GIBT DREIERLEI LAKEN: DAS DARAUF ZU LIEGEN DIENT, KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; DAS ALS VORHANG DIENT, KANN LEICHENUNREIN WERDEN; DAS ZUR DEKORATION15Wörtl. die mit Figuren; sie gehören zur Wand.DIENENDE IST GÄNZLICH REIN.", + "ES GIBT DREIERLEI TÜCHER: DAS HANDTUCH KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; DAS DER BARBIERE7Od. der Bücher. KANN LEICHENUNREIN WERDEN; DAS EINSCHLAGETUCH UND DAS DER HARFEN DER LEVITEN16Zum Einschlagen der Musikinstrumente.SIND GÄNZLICH REIN.", + "ES GIBT DREIERLEI LEDERHANDSCHUHE17Ohne Fingerspitzen (anders als die weit. XXVI,3 genannten), die also nichts aufnehmen. So nach den Kommentaren.: DIE DER WILD- UND VOGELJÄGER18Die darauf den Falken setzen.KÖNNEN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; DIE DER HEUSCHRECKENFÄNGER KÖNNEN LEICHENUNREIN WERDEN; DIE DER DÖRROBST-ARBEITER19Die nur als Schulz dienen.SIND GÄNZLICH REIN.", + "ES GIBT DREIERLEI HAARNETZE : DAS DER JUNGEN [FRAU] KANN DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN; DAS DER ALTEN20Nach den Kommentaren pflegten die ersteren sie auch beim Sitzen zu verwenden.KANN LEICHENUNREIN WERDEN; DAS DER STRASSENSÄNGERIN21Nach manchen Erklärern der Buhldirne, nach anderen, der Keuschen, die auf der Straße ein solches Netz trägt, u. wieder nach anderen, das beim Ausgehen off benutzte und abgetragene Netz.IST GÄNZLICH REIN.", + "ES GIBT DREIERLEI VORRATSKÖRBE : HAT MAN EINEN VERBRAUCHTEN AUF EINEN HEILEN AUFGEFLICKT22Um ihn noch haltbarer zu machen., SO RICHTE MAN SICH NACH DEM HEILEN; WENN EINEN KLEINEN AUF EINEN GROSSEN, SO RICHTE MAN SICH NACH DEM GROSSEN; SIND BEIDE GLEICH, SO RICHTE MAN SICH NACH DEM INNEREN. R. ŠIMO͑N SAGTE : HAT MAN EINE [UNREINE] WAGSCHALE AUF DEN BODEN EINES WÄRMEKESSELS AUFGEFLICKT, SO IST ER, WENN INNEN, UNREIN, WENN AUSSEN, REIN, UND WENN AUF DIE SEITE, OB INNEN ODER AUSSEN, REIN." + ], + [ + "JEDE SACHE HAT EINE AUSSENSEITE UND EINE INNENSEITE1Dh. hinsichtl. der Unreinheit ist zwischen der Außenseite u. der Innenseite zu unterscheiden., BEISPIELSWEISE KISSEN, POLSTER, SÄCKE UND BEUTEL – SO R. JEHUDA. R. MEÍR SAGT, WAS SCHLEIFEN2Außen am Rande, zum Befestigen. HAT, HABE EINE AUSSENSEITE UND EINE INNENSEITE, UND WAS KEINE SCHLEIFEN HAT, HABE KEINE AUSSENSEITE UND INNENSEITE. DER TISCH UND DIE ANRICHTE HABEN EINE AUSSENSEITE UND EINE INNENSEITE – SO R. JEHUDA. R. MEÍR SAGT, SIE HABEN KEINE AUSSENSEITE. EBENSO AUCH EINE PLATTE OHNE RANDLEISTE.", + "DER OCHSENSTECKEN3Der an einem Ende eine kleine Schaufel zum Roden u. an der anderen einen Stachel zum Antreiben des Tieres hat. HAT EINE AUSSENSEITE UND EINE INNENSEITE; SIEBEN [HANDBREITEN] AN DER SCHAUFEL UND DREI AM STACHEL4Vom Stecken, gelten als Außenseite, während die Eisenteile als Innenseite gelten.SO R. JEHUDA. R. MEÍR SAGT, SIE HABEN KEINE; DIE MASSE VON VIER UND SIEBEN [HANDBREITEN] SEIEN NUR HINSICHTLICH DER ÜBERBLEIBSEL5Eines zerbrochenen Steckens; ist an der Schaufel od. am Stachel noch diese Länge vorhanden, so gilt es als Gerät. GENANNT WORDEN.", + "MASSE FÜR WEIN UND ÖL, DER SCHAUMLÖFFEL, DER SENFSEIHER UND DER WEINFILTER HABEN EINE AUSSENSEITE UND EINE INNENSEITE – SO R. MEÍR. R. JEHUDA SAGT, SIE HABEN KEINE. R. ŠIMO͑N SAGT, SIE HABEN WOHL: WERDEN SIE AN DER AUSSENSEITE UNREIN, SO BLEIBT DER INHALT REIN, JEDOCH MUSS MAN SIE UNTERTAUCHEN.", + "WENN VON EINEM EIN VIERTEL UND EIN HALBVIERTEL [FASSENDEN MESSGEFÄSSE]6In der Mitte durch einen Zwischenboden od. eine Wand geteilt. DAS VIERTEL UNREIN WIRD, SO IST DAS HALBVIERTEL NICHT UNREIN, UND WIRD DAS HALBVIERTEL UNREIN, SO IST DAS VIERTEL NICHT UNREIN. SIE SPRACHEN VOR R. A͑QIBA : DAS HALBVIERTEL DIENT JA ALS AUSSENSEITE FÜR DAS VIERTEL7Da dieses größer u. somit das Hauptgefäß ist.; WIRD DENN, WENN VON EINEM GEFÄSSE DIE INNENSEITE UNREIN WIRD, DIE AUSSENSEITE NICHT UNREIN!? ER ERWIDERTE IHNEN: ES IST VON DER VORHERIGEN KLASSE8Bereits hat diese es vorgebracht. So nach den kursierenden Ausgaben. Die Lesart variiert hier sehr, ebenso verschieden die Erklärungen, jed. alle nicht befriedigend.. VIELLEICHT DIENT VIELMEHR DAS VIERTEL ALS AUSSENSEITE FÜR DAS HALBVIERTEL, UND WENN VON EINEM GEFÄSS DIE AUSSENSEITE UNREIN WIRD, IST DIE INNENSEITE NICHT UNREIN.", + "WIRD DAS VIERTEL UNREIN, SO IST DAS VIERTEL MIT SEINER AUSSENSEITE UNREIN, DAS HALBVIERTEL ABER MIT SEINER AUSSENSEITE REIN; WIRD DAS HALBVIERTEL UNREIN, SO IST DAS HALBVIERTEL MIT SEINER AUSSENSEITE UNREIN, DAS VIERTEL ABER MIT SEINER AUSSENSEITE REIN. WIRD DIE AUSSENSEITE DES VIERTELS UNREIN, SO IST DIE AUSSENSEITE DES HALBVIERTELS REIN – SO R. MEÍR. DIE WEISEN SAGEN, MAN TEILE NICHT DIE AUSSENSEITEN; WENN MAN ES UNTERTAUCHT, TAUCHE MAN DAS GANZE UNTER.", + "WENN AUF DIE FUSSGESTELLE [DER GEFÄSSE], DIE RÄNDER, DIE HENKEL ODER DIE GRIFFE VON GEFÄSSEN, DIE ZUM AUFNEHMEN BESTIMMT SIND, [UNREINE] FLÜSSIGKEITEN GEKOMMEN SIND,SO TROCKNE MAN SIE AB, UND SIE BLEIBEN REIN. ANDERE GERÄTE, (DIE KEINEM GRANATAPFEL HALTEN,) BEI DENEN ES KEINE AUSSENSEITE UND INNENSEITE GIBT, SIND, WENN FLÜSSIGKEITEN AUF EINEN TEIL GEKOMMEN SIND, VOLLSTÄNDIG UNREIN. WIRD VON EINEM GEFÄSSE DIE AUSSENSEITE DURCH FLÜSSIGKEITEN UNREIN, SO IST DIE AUSSENSEITE UNREIN, DIE INNENSEITE ABER, DER RAND, DIE HENKEL UND DIE GRIFFE SIND REIN; WIRD DIE INNENSEITE UNREIN, SO IST DAS GANZE UNREIN.", + "JEDE SACHE HAT EINE AUSSENSEITE UND EINE INNENSEITE1Dh. hinsichtl. der Unreinheit ist zwischen der Außenseite u. der Innenseite zu unterscheiden., AUCH HAT SIE EINE ANFASSESTELLE9Von der Wandung des Gefäßes herausragend, wohl wenn sie keine Henkel haben. Auch diese wird nicht mit der Außenseite unrein.. R. TRYPHON SAGT, DIES GELTE NUR VOM GROSSEN HÖLZERNEN BACKTROGE. R. A͑QIBA SAGT, VON BECHERN. R. MEÍR SAGT, NUR BEI UNREINEN UND REINEN HÄNDEN10Wenn man sie mit unreinen Händen anfaßt.. R. JOSE SPRACH : SIE SAGTEN ES NUR HINSICHTLICH DER REINHEIT DER HÄNDE11Sie werden durch das Anfassen nicht unrein..", + "ZUM BEISPIEL. WENN SEINE HÄNDE REIN SIND UND DIE AUSSENSEITE DES BECHERS UNREIN, UND ER ES AN DER ANFASSESTELLE ANFASST, SO BRAUCHT ER NICHT ZU BEFÜRCHTEN, SEINE HÄNDE SEIEN VIELLEICHT DURCH DIE AUSSENSEITE DES BECHERS UNREIN GEWORDEN. HAT ER AUS EINEM BECHER GETRUNKEN, DESSEN AUSSENSEITE UNREIN IST, SO BRAUCHT ER NICHT ZU BEFÜRCHTEN, DAS GETRÄNK. IN SEINEM MUNDE SEI VIELLEICHT DURCH DIE AUSSENSEITE DES BECHERS UNREIN GEWORDEN UND HABE DEN BECHER UNREIN GEMACHT. HAT DER WASSERKESSEL GEKOCHT, SO BRAUCHT ER NICHT ZU BEFÜRCHTEN, DIE FLÜSSIGKEIT SEI VIELLEICHT VON INNEN ÜBERGELAUFEN, HABE DIE AUSSENSEITE BERÜHRT UND SEI WIEDER HINEINGEKOMMEN.", + "GERÄTE DES HEILIGTUMS HABEN KEINE AUSSENSEITE UND INNENSEITE, AUCH HABEN SIE KEINE ANFASSESTELLE. MAN DARF NICHT FÜR HEILIGES GERÄTE IN GERÄTEN12In einander befindlich, wenn beide unrein sind.UNTERTAUCHEN. ALLE GERÄTE ERLANGEN VERUNREINI GUNGSFÄHIGKEIT DURCH DIE BLOSSE ABSICHT13Sie für einen Zweck zu verwenden, der sie verunreinigungsfähig macht., KOMMEN ABER AUS DER VERUNREINIGUNGSFÄHIGKEIT NUR DURCH EINE TÄTLICHE ÄNDERUNG. DIE TAT HEBT NÄMLICH DIE TAT UND DIE ARSICHT AUF, DIE ABSICHT ABER HEBT WEDER DIE TAT NOCH DIE ABSICHT AUF." + ], + [ + "DIE A͑MQISCHE SANDALE1Die aus einer an den Seiten mil Löchern versehenen Sohle besteht, deren Enden durch ein Schnürband nach oben gezogen werden. Nach Maimonides ist עמקי nicht Ortsname (cf. Tan. Fol. 21a), sondern von עמק, Tiefe, abzuleiten, die für tiefen, dh. morastigen Boden geeignet ist. UND DER SCHNÜRBEUTEL2Der ebenfalls aus einem ringsum mit Schlaufen versehenen glatten Stück Leder besteht., WIE R. JEHUDA SAGT, AUCH DER WEIDENKORB, UND WIE R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGT, GLEICHE DIESEN AUCH DIE LAODIKÄISCHE SANDALE3Ebenfalls aus einer einfachen Sohle bestehend, jed. mit etwas komplizierteren Schnürbändern., SIND UNREIN UND WERDEN AUCH OHNE HANDWERKER4Nicht ganz kunstgerecht angefertigt. UNREIN. R. JOSE SPRACH: AUCH ALLE ANDEREN GERÄTE WERDEN JA OHNE HANDWERKER UNREIN UND REIN!? DIESE SIND VIELMEHR AUCH AUFGELÖST UNREIN, WEIL AUCH EIN LAIE SIE WIEDER HERSTELLEN KANN, UND SIE SAGTEN ES5Daß durch die Auflösung die Unreinheit schwinde. VON EINEM WEIDENKORBE NUR DESHALB, WEIL AUCH EIN HANDWERKER IHN NICHT [LEICHT] WIEDER HERSTELLEN KANN.", + "FEHLEN VON EINEM SCHNÜRBEUTEL DIE SCHNÜRE, SO IST ER NOCH UNREIN; IST ER FLACHGEDEIINT, SO IST ER REIN; HAT MAN UNTEN EINEN FLIKKEN AUFGESETZT, SO IST ER UNREIN. WENN VON EINEM BEUTEL IN EINEM ANDEREN BEUTEL6Am Rande zusammengenäht. EINER VON IHNEN DURCH FLÜSSIGKEIT UNREIN WIRD, SO IST DER ANDERE NICHT UNREIN. DER PERLENBINDEBEUTEL7Aus einem glatten Stücke Leder; da er aber nur selten geöffnet wird, bleibt eine Vertiefung zurück, auch wenn der Inhalt herausgenommen wird. IST UNBEIN ; DER GELDBINDEBEUTEL IST NACH R. ELIE͑ZEB UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN.", + "DER HANDSCHUTZ DEB DORNENSAMMLER8Ein glattes Stück Leder über die Innenfläche der Hand. IST REIN. DER LEDERGURT UND DER KNIESCHUTZ9Bei der knieenden Arbeit; so nach den Kommentaren. Etymol. ist wohl בורכייר od. ברכיר eher von βϱαχḯων, Arm, Oberarm, abzuleiten; eine Art Manschette, als Schutz für die Arme. SIND UNREIN, DIE ÄRMELHALTER SIND UNREIN, DIE LEDERHANDSCHUHE10Vgl. S. 638 Anm. 17.SIND REIN. ALLE FINGERHANDSCHUHE SIND REIN, AUSGENOMMEN DER DER DÖRROBSTARBEITER, WEIL ER DAS GERBERSUMACH AUFNIMMT; IST ER ZERRISSEN, SO IST ER, WENN ER NICHT DEN GRÖSSEREN TEIL DES GERBEBSUMACHS AUFNIMMT, REIN.", + "WENN VON EINER SANDALE EINES DER OHREN ABGEBISSEN WAR UND MAN ES ANGEBRACHT HAT, SO BLEIBT SIE DURCH AUFTRETEN UNREIN; WENN AUCH DAS ANDERE ABREISST UND MAN ES ANBRINGT, SO IST SIE NICHT UNREIN DURCH AUFTRETEN, WOHL ABER IST SIE DURCH BERÜHREN DES DURCH AUFTRETEN UNREINEN UNREIN. KAM MAN NICHT DAZU, DAS EINE ANZUBRINGEN, BIS AUCH DAS ANDERE ABGERISSEN IST, IST DIE FERSE ABGERISSEN, FEHLT DIE SPITZE, ODER IST SIE ENTZWEIGERISSEN, SO IST SIE REIN. EINE SCHNÜRSOHLE IST, WO AUCH DARAN GERISSEN IST, REIN. EIN ZERRISSENER SCHUH IST, WENN ER DEN GBÖSSEREN TEIL DES FUSSES NICHT FASST, REIN. EIN SCHUH AUF DEM LEISTEN IST NACH R. ELIE͑ZER REIN UND NACH DEN WEISEN UNREIN. ALLE SCHLÄUCHE SIND ZUGEBUNDEN11Wenn sie ein Loch haben, wodurch sie rein werden, u. dieses zugebunden ist.REIN, AUSGENOMMEN DIE DER ARABER. R. MEÍR SAGT, PROVISORISCH ZUGEBUNDEN SEI ER REIN, FÜR DIE DAUER ZUGEBUNDEN, SEI ER UNREIN. R. JOSE SAGT, JEDER ZUGEBUNDENE SCHLAUCH SEI REIN.", + "FOLGENDE FELLE SIND DURCH AUFTBETEN UNREIN: EIN FELL, DAS MAN ALS BODENDECKE BESTIMMT HAT, DAS GERBER-SCHURZFELL, DAS FELL ZUR BETTUNTERLAGE, DAS FELL DER ESELTREIBER, DAS FELL DER FLACHSARBEITER, DAS FELL DER LASTTRÄGER, DAS FELL DER ÄBZTE, DAS FELL DER WIEGE, DAS KINDERLATZ-FELL12Wörtl. am Herzen des Kindes., DAS KISSENFELL UND DAS POLSTERFELL. DIESE WERDEN DURCH AUFTRETEN UNREIN. DAS FELL DER GEKÄMMTEN WOLLE13Worin diese eingewickelt wird, bezw. das der Wollkämmer als Schürze trägt.UND DAS FELL DER WOLLKÄMMER13Worin diese eingewickelt wird, bezw. das der Wollkämmer als Schürze trägt.KANN, WIE R. ELIE͑ZER SAGT, DURCH AUFTRETEN UNREIN WERDEN, UND WIE DIE WEISEN SAGEN, [NUR] LEICHEN-UNREIN.", + "DIE KLEIDERTASCHE UND DIE KLEIDERHÜLLE SIND DURCH AUFTRETEN UNREIN; DIE PURPURTASCHE UND DIE PURPURHÜLLE SIND, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, DURCH AUFTRETEN UNREIN, UND WIE DIE SCHULE HILLELS SAGT, LEICHENUNREIN14Weil man den wertvollen Inhalt schont u. darauf nicht sitzt.. HAT MAN EIN FELL ZUM ÜBERZUGE FÜR GERÄTE GEMACHT, SO IST ES REIN, WENN FÜR GEWICHTE, SO IST ES UNREIN15Da es eine Ausbuchtung hat.; R. JOSE ERKLÄRT ES IM NAMEN SEINES VATERS ALS REIN.", + "IN ALLEN FÄLLEN, WO KEINE TÄTIGKEIT FEHLT16Um die Sache gebrauchsfertig zu machen., MACHT DIE ABSICHT17Die Sache für diesen Zweck in Gebrauch zu nehmen.[DIE SACHE] UNREIN, UND WENN NOCH EINE TÄTIGKEIT FEHLT, MACHT DIE ABSICHT SIE NICHT UNREIN, AUSGENOMMEN DIE LEDERDECKE18Die auch nicht zurechtgeschnitten in Gebrauch genommen wird..", + "FELLE EINES PRIVATMANNES19Der sie für sich nach Belieben verwendet.MACHT DIE ABSICHT UNREIN, DIE DES GERBERS MACHT DIE ABSICHT NICHT UNREIN. DIE DES DIEBES MACHT DIE ABSICHT UNREIN20Weil der Bestohlene den Dieb nicht kennt u. die Hoffnung auf Wiedererlangung aufgibt., DIE DES RÄUBERS MACHT DIE ABSICHT NICHT UNREIN. R. ŠIMO͑N SAGT, DIE SACHE VERHALTE SICH UMGEKEHRT: DIE DES RÄUBERS MACHT DIE ABSICHT UNREIN21Weil der Eigentümer damit rechnet, daß der Räuber die Sache nicht herausgeben wird., DIE DES DIEBES MACHT DIE ABSICHT NICHT UNREIN, WEIL DER EIGENTÜMER SIE NICHT AUFGEGEBEN HAT.", + "WENN EIN FELL DURCH AUFTRETEN UNREIN IST UND MAN DARAUS RIEMEN UND SANDALEN ZU MACHEN BEABSICHTIGT, SO IST ES, SOBALD MAN DARAN DAS MESSER ANSETZT, REIN – SO R. JEHUDA. DIE WEISEN SAGEN, ERST WENN MAN ES AUF WENIGER ALS FÜNF HANDBREITEN [ZERSCHNITTEN] HAT. R. ELIE͑ZER B. R. ÇADOQ SAGT, AUCH WENN MAN AUS EINEM FELLE EIN HANDTUCH MACHT, SEI ES UNREIN, WENN ABER AUS EINEM [LEDERNEN] POLSTER, SEI ES REIN22Dadurch ist eine vollständige Veränderung eingetreten; das Handtuch ist kein Behälter mehr.." + ], + [ + "KLEIDERSTOFF KANN UNREIN SEIN UNTER FÜNF NAMEN1Dh. Bezeichnung der Arten der Unreinheit, die in diesem Traktate behandelt werden (Behälter, Sitz, Bezeltung, Gewebe, 3 zu 3 Fingerbreiten großes Stück Stoff).; SACKZEUG2Aus Ziegenhaar u. ähnlichem, mit Ausnahme von Schafwolle. UNTER VIER3Es ist in der Größe von 3 zu 3 Fingerbreiten nicht unrein.; DAS FELL UNTER DREI4Es ist auch kein Gewebtes.; DAS HOLZ UNTER ZWEI5Es ist auch durch Bezeltung nicht unrein; cf. Sab. Fol. 27b.; TONGEFÄSSE UNTER EINEM6Es ist auch nicht als Sitz unrein.. DAS TONGEFÄSS KANN NUR ALS AUFNEHMENDES GEFÄSS UNREIN SEIN. WAS BEIM TONGEFÄSSE KEINE INNENSEITE HAT, HAT AUCH KEINE AUSSENSEITE7Sie ist nicht zu beachten; vgl. S. 595 Anm. 17.. BEIM HOLZE KOMMT NOCH DAZU, DASS ES ALS SITZ UNREIN SEIN KANN. EBENSO IST EINE PLATTE OHNE RANDLEISTE ALS HOLZGERÄT UNREIN UND ALS TONGERÄT REIN. BEIM FELLE KOMMT NOCH DAZU, DASS ES ALS ZELT8Über einen Toten. UNREIN SEIN KANN. BEIM SACKZEUGE KOMMT NOCH DAZU, DASS ES ALS GEWEBE UNREIN SEIN KANN. BEIM KLEIDERSTOFFE KOMMT NOCH DAZU, DASS ES BEI DREI ZU DREI [FINGERBREITEN] UNREIN SEIN KANN.", + "KLEIDERSTOFF IST UNREIN BEI DREI ZU DREI [HANDBREITEN] DURCH AUFTRETEN, UND BEI DREI ZU DREI [FINGERBREITEN] DURCH LEICHENUNREINHEIT. SACKZEUG BEI VIER ZU VIER [HANDBREITEN], FELL BEI FÜNF ZU FÜNF [HANDBREITEN], MATTE BEI SECHS ZU SECHS [HANDBREITEN]; ALLE GLEICH DURCH AUFTRETEN UND DURCH LEICHENUNREINHEIT. R. MEÍR SAGT, DIE ÜBERBLEIBSEL DES SACKZEUGS BEI VIER [HANDBREITEN]; ANFÄNGLICH ERST WENN ES FERTIG IST.", + "MACHT MAN ZWEI [HANDBREITEN] AUS KLEIDERSTOFF UND EINE AUS SACKZEUG, DREI AUS SACKZEUG UND EINE AUS LEDER, VIER AUS LEDER UND EINE AUS MATTE, SO IST ES REIN; WENN FÜNF AUS MATTE UND EINE AUS LEDER, VIER AUS LEDER UND EINE AUS SACKZEUG, ODER DREI AUS SACKZEUG UND EINE AUS KLEIDERSTOFF, SO IST ES UNREIN. DIE REGEL HIERBEI IST: ERGÄNZT MAN ES MIT DEM, WAS SCHWERER [UNREIN] IST ALS JENES, SO IST ES UNREIN, UND WENN MIT DEM, WAS LEICHTER [UNREIN] IST ALS JENES, SO IST ES REIN.", + "HAT MAN VON EINEM VON DIESEN EINE HANDBREITE ZU EINER HANDBREITE ZURECHTGESCHNITTEN9Zur Benutzung als Sitz., SO IST ES UNREIN; WENN EINE HANDBREITE ZU EINER HANDBREITE VOM BODEN EINES KORBES, SO IST ES UNREIN. WENN VON DER SEITE EINES KORBES, SO IST ES NACH R. ŠIMO͑N REIN, UND DIE WEISEN SAGEN, EINE HANDBREITE ZU EINER HANDBREITE ZURECHTGESCHNITTEN, WOHER AUCH, SEI UNREIN.", + "HAT MAN LUMPEN VON EINER SCHWINGE ODER EINEM SIEBE ZU EINEM SITZE HERGERICHTET, SO IST ER NACH R. A͑QIBA UNREIN UND NACH DEN WEISEN REIN, ES SEI DENN, MAN HAT IHN ZURECHTGESCHNITTEN. EIN KINDERSTUHL, DER FÜSSE HAT, IST, AUCH WENN ER KEINE HANDBREITE HOCH IST, UNREIN. EIN KINDERHEMD IST, WIE R. ELIE͑ZER SAGT, IN JEDER GRÖSSE, [UNREIN]; DIE WEISEN SAGEN, NUR WENN ES DIE ERFORDERLICHE GRÖSSE10Zur Verunreinigungsfähigkeit nach Mišna II.HAT, UND ES WIRD DOPPELT11Die Vorderseite und die Rückseite müssen die erforderliche Größe haben.GEMESSEN.", + "FOLGENDES WIRD DOPPELT GEMESSEN: SOCKEN, KNIEHOSEN, BEINKLEIDER, EINE MÜTZE UND EIN GÜRTELBEUTEL. EIN AM RANDE AUFGESETZ TES STÜCK STOFF WIRD, WENN ES EINSEITIG IST, EINFACH GEMESSEN, UND WENN ES ZWEISEITIG IST, DOPPELT GEMESSEN.", + "WENN MAN VOM KLEIDERSTOFFE DREI ZU DREI [HANDBREITEN] GEWEBT HAT UND ER DURCH AUFTRETEN UNREIN GEWORDEN IST, WORAUF MAN DEN GANZEN KLEIDERSTOFF FERTIG GEWEBT UND EINEN FADEN VOM ERSTEN FORTGENOMMEN12Sodaß dieser nicht mehr die erforderliche Größe hat.HAT, SO IST ER NICHT MEHR DURCH AUFTRETEN UNREIN, WOHL ABER UNREIN DURCH BERÜHRUNG DES DURCH AUFTRETEN UNREINEN. HAT MAN ZUERST EINEN FADEN FORTGENOMMEN UND NACHHER DEN GANZEN KLEIDERSTOFF FERTIG GEWEBT, SO IST ER UNREIN DURCH BERÜHRUNG DES DURCH AUFTRETEN UNREINEN.", + "DESGLEICHEN AUCH, WENN MAN VOM KLEIDERSTOFFE DREI ZU DREI [FINGERBREITEN] GEWEBT HAT UND ER LEICHENUNREIN GEWORDEN IST, DAR AUF DEN GANZEN KLEIDERSTOFF FERTIG GEWEBT UND EINEN FADEN VOM ERSTEN FORTGENOMMEN HAT; ER IST NICHT MEHR LEICHENUNREIN, WOHL ABER UNREIN DURCH BERÜHRUNG DES DURCH EINE LEICHENUNREINHEIT UNREINEN. HAT MAN ZUERST EINEN FADEN FORTGENOMMEN UND NACHHER DEN KLEIDERSTOFF FERTIG GEWEBT, SO IST ER REIN. SIE SAGTEN NÄMLICH : IST [EIN STÜCK VON] DREI ZU DREI [FINGERBREITEN] VERMINDERT WORDEN, SO IST ES REIN, WENN ABER EINES VON DREI ZU DREI [HANDBREITEN] VERMINDERT WORDEN IST, SO IST ES, WENN AUCH NICHT MEHR DURCH AUFTRETEN UNREIN, ABER IMMERHIN FÜR JEDE ANDERE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH.", + "HAT MAN AUS EINEM DURCH AUFTRETEN UNREINEN BETTLAKEN EINEN VORHANG GEMACHT, SO IST ER NICHT MEHR DURCH AUFTRETEN UNREIN, WOHL ABER IST ER UNREIN DURCH BERÜHRUNG DES DURCH AUFTRETEN UNREINEN. R. JOSE SPRACH : WELCHES DURCH AUFTRETEN UNREINE HAT DIESER DENN BERÜHRT13Nach der Änderung ist ja die Unreinheit geschwunden.!? VIELMEHR, HAT EIN FLUSSBEHAFTETER IHN BERÜHRT, SO IST ER DURCH DIE BERÜHRUNG DES FLUSSBEHAFTETEN UNREIN.", + "IST [EIN STÜCK STOFF] VON DREI ZU DREI [HANDBREITEN] GETEILT WORDEN, SO IST ES NICHT MEHR DURCH AUFTRETEN UNREIN, WOHL ABER UNREIN DURCH BERÜHRUNG DES DURCH AUFTRETEN UNREINEN. R. JOSE SPRACH: WELCHES DURCH AUFTRETEN UNREINE HAT DIESES DENN BERÜHRT13Nach der Änderung ist ja die Unreinheit geschwunden.!? VIELMEHR, HAT EIN FLUSSBEHAFTETER ES BERÜHRT, SO IST ES DURCH DIE BERÜHRUNG DES FLUSSBEHAFTETEN UNREIN.", + "[EIN STÜCK STOFF] VON DREI ZU DREI [HANDBREITEN] MUSS14Um für die Unreinheit empfänglich zu sein., WENN VOM MISTHAUFEN, UNVERSEHRT UND ZUM EINBINDEN VON SALZ GEEIGNET15Dh. ganz dicht. SEIN, UND WENN IM HAUSE, ENTWEDER UNVERSEHRT, ODER ZUM EINBINDEN VON SALZ GEEIGNET SEIN. WIEVIEL SALZ MUSS MAN EINBINDEN KÖNNEN? EIN VIERTEL [KAB], R. JEHUDA SAGT, FEINES; DIE WEISEN SAGEN, GROBES. BEIDE ABER WOLLEN DAMIT ERLEICHTERN16Zum feinen Salze muß das Gewebe dichter sein, zum groben muß es haltbarer sein.. R. ŠIMO͑N SAGTE: DREI ZU DREI [HANDBREITEN] BEI EINEM VOM MISTHAUFEN GLEICHEN DREI ZU DREI [FINGERBREITEN] BEI EINEM IM HAUSE.", + "IST [EIN STÜCK STOFF] VON DREI ZU DREI [HANDBREITEN] EINGERISSEN, SO IST ES, FALLS MAN ES AUF EINEN STUHL LEGT UND DER LEIB [BEIM SITZEN] DEN STUHL BERÜHRT, REIN, WENN ABER NICHT, UNREIN. IST AN EINEM [STÜCKE STOFF] VON DREI ZU DREI [FINGERBREITEN] EIN FADEN DURCHGERIEBEN ODER FINDET SICH DARAN EIN KNOTEN, ODER SIND ZWEI FÄDEN ZUSAMMEN, SO IST ES REIN. HAT MAN EINES VON DREI ZU DREI [FINGERBREITEN] AUF DEN MISTHAUFEN GEWORFEN, SO IST ES REIN. HOLT MAN ES WIEDER, SO IST ES UNREIN. IMMER MACHT DAS FORTWERFEN ES REIN UND DAS ZURÜCKHOLEN UNREIN, AUSGENOMMEN [STOFFE AUS] PURPUR UND WERTVOLLEM KARMESIN. R. ELIE͑ZER SAGT, AUCH JEDER NEUE FLICKEN GLEICHE DIESEN. R. ŠIMO͑N SAGT, ALLE WERDEN REIN17Durch das Fortwerfen auf den Misthaufen, auch die letztgenannten Stoffe., UND DIESE SEIEN NUR HINSICHTLICH DER WIEDERGABE DES VERLORENEN GENANNT WORDEN18Findet man solche auf dem Misthaufen, so gelten sie als Verlorenes u. müssen dem Eigentümer zurückgegeben werden.." + ], + [ + "HAT MAN [EIN STÜCK STOFF] VON DREI ZU DREI [FINGERBREITEN] IN EINEN BALL GETAN ODER DARAUS SELBST EINEN BALL GEMACHT, SO IST ES REIN; HAT MAN ABER EINES VON DREI ZU DREI [HANDBREITEN] IN EINEN BALL GETAN, SO IST ES UNREIN, UND HAT MAN DARAUS SELBST EINEN BALL GEMACHT, SO IST ES REIN, WEIL DIE NAHT ES VERRINGERT.", + "HAT MAN [EIN STÜCK STOFF] VON WENIGER ALS DREI ZU DREI [HANDBREITEN] ZUGERICHTET, DAMIT EIN LOCH IM BADEHAUSE1Ein Zug- od. Dampfloch, od. ein Loch an der Badewanne. ZU VERSTOPFEN, DAMIT EINEN KOCHTOPF UMZUGIESSEN, DAMIT EINE MÜHLE AUSZUWISCHEN, OB VORRÄTIG ZUM GEBRAUCHE2Cf. Sab. Fol. 29a. ODER NICHT VORRÄTIG ZUM GEBRAUCHE, SO IST ES UNREIN – SO R. ELIE͑ZER. R. JEHOŠUA͑ SAGT, OB VORRÄTIG ZUM GEBRAUCHE ODER NICHT VORRÄTIG ZUM GEBRAUCHE SEI ES REIN. R. A͑QIBA SAGT, VORRÄTIG ZUM GEBRAUCHE SEI ES UNREIN, NICHT VORRÄTIG ZUM GEBRAUCHE SEI ES REIN.", + "HAT MAN EIN PFLASTER GESTRICHEN, OB AUF KLEIDERSTOFF ODER AUF LEDER, SO IST ES REIN. R. JOSE SAGT, [NUR] AUF LEDER SEI ES REIN. EIN UMSCHLAG3Der nur mit einem Brei u. nicht mit beschmutzenden Arzneien bestricheri wird. IST AUF KLEIDERSTOFF REIN UND AUF LEDER UNREIN. R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGT, AUCH AUF KLEIDERSTOFF SEI ER UNREIN, WEIL [DER BREI] ABFÄLLT.", + "EINSCHLAGETÜCHER FÜR BÜCHER, OB MIT FIGUREN ODER OHNE FIGUREN, SIND NACH DER SCHULE ŠAMMAJS UNREIN; DIE SCHULE HILLELS SAGT, MIT FIGUREN SEIEN SIE REIN UND OHNE FIGUREN UNREIN. R. GAMLIÉL SAGT, DIESE UND JENE SEIEN REIN.", + "HAT MAN EIN DURCH AUFTRETEN UNREINES KOPFTUCH UM EIN BUCH GEWICKELT4Und für diesen Zweck bestimmt., SO IST ES NICHT MEHR DURCH AUFTRETEN UNREIN, WOHL ABER KANN ES LEICHENUNREIN WERDEN. HAT MAN AUS EINEM SCHLAUCHE EINE BODENDECKE ODER AUS EINER BODENDECKE EINEN SCHLAUCH GEMACHT, SO IST ES REIN. HAT MAN AUS EINEM SCHLAUCHE EINE HIRTENTASCHE ODER AUS EINER HIRTENTASCHE EINEN SCHLAUCH GEMACHT, AUS EINEM KISSEN EIN BETTLAKEN ODER AUS EINEM BETTLAKEN EIN KISSEN, AUS EINEM POLSTER EIN HANDTUCH ODER AUS EINEM HANDTUCH EIN POLSTER, SO IST ES UNREIN. DIE REGEL HIERBEI IST: HAT ES BEI DER ÄNDERUNG DENSELBEN NAMEN5Die gleiche Art der Verwendung, wie dies beispielsweise bei Schlauch u. Hirtentasche od. Kissen u. Polster der Fall ist., SO IST ES UNREIN, WENN EINEN ANDEREN NAMEN, SO IST ES REIN.", + "HAT MAN EINEN FLICKEN AUF EINEN KORB AUFGEFLICKT, SO MACHT ES6Das ganze; der Korb, der nicht durch Auftreten unrein werden kann, wird durch die Berührung des durch Auftreten unreinen Flickens unrein, während dieser durch den Korb seine Eigenbedeutung verliert. EINEN GRAD UNREIN UND EINMAL UNTAUGLICH7Vgl. S. 630 Anm. 12.; TRENNT MAN IHN VOM KORBE, SO MACHT DER KORB EINEN GRAD UNREIN UND EINMAL UNTAUGLICH, DER FLICKEN ABER IST REIN8Weil er nur als Stück vom Korbe gilt.. HAT MAN IHN AUF KLEIDERSTOFF AUFGEFLICKT, SO MACHT ES9Das ganze, da der Flikken seine Eigenheit nicht verliert. ZWEI GRADE UNREIN UND EINMAL UNTAUGLICH; TRENNT MAN IHN VOM KLEIDERSTOFFE, SO MACHT DER KLEIDERSTOFF EINEN GRAD UNREIN UND EINMAL UNTAUGLICH, DER FLICKEN ABER MACHT ZWEI GRADE UNREIN UND EINMAL UNTAUGLICH. EBENSO AUCH, WENN MAN IHN AUF SACKZEUG ODER AUF LEDER10Die ebenfalls durch Auftreten unrein werden können.AUFFLICKT – SO R. MEÍR; NACH R. ŠIMO͑N IST ER11Da er bei einem anderen Stoffe seine Eigenbedeutung verliert.REIN. R. JOSE SAGT, AUF LEDER SEI ER REIN, AUF SACKZEUG SEI ER UNREIN, WEIL DIESES EIN GEWEBE IST.", + "DIE DREI ZU DREI [FINGERBREITEN], VON DENEN SIE SPRECHEN, SIND OHNE SAUM ZU VERSTEHEN – SO R. ŠIMO͑N; DIE WEISEN SAGEN, GENAU DREI ZU DREI. HAT MAN DEN FLICKEN AN DAS KLEID AN EINER SEITE FESTGENÄHT, SO IST DIES KEINE VERBINDUNG, WENN AN ZWEI SEITEN GEGENÜBER, SO IST DIES EINE VERBINDUNG. HAT MAN ES WIE EIN GAMMA12An 2 Seiten, in einem Winkel.GEMACHT, SO IST ES NACH R. A͑QIBA UNREIN13Es gilt als Verbindung.UND NACH DEN WEISEN REIN. R. JEHUDA SPRACH: DIESE WORTE GELTEN NUR VON EINEM MANTEL14Einem glatten Überwurfe, von dem zuweilen die eine u. zuweilen eine andere Seite nach oben gewendet ist., BEI EINEM HEMDE15Einem dem Körper angepaßten Kleide.ABER IST ES OBEN16Wenn die obere Seite des Flickens zusammengenäht ist.EINE VERBINDUNG UND UNTEN KEINE VERBINDUNG.", + "KLEIDER VON ARMEN17Die aus Flicken bestehende Kleider tragen.SIND DURCH AUFTRETEN UNREIN, AUCH WENN SIE KEINE DREI ZU DREI [FINGERBREITEN] HABEN. HAT MAN EINEN MANTEL ZU ZERREISSEN BEGONNEN, SO IST ER, SOBALD DIE HÄLFTE DURCHGERISSEN IST, NICHT MEHR VERBUNDEN. BEI BESONDERS DICKEN UND BESONDERS DÜNNEN GILT NICHT DIE NORM VON DREI ZU DREI [FINGERBREITEN]18Weil sie auch in dieser Größe nicht verwendbar sind..", + "DAS POLSTER DER LASTTRÄGER IST DURCH AUFTRETEN UNREIN. EIN WEINFILTER KANN NICHT ALS SITZ UNREIN SEIN. DAS HAARNETZ EINER ALTEN [FRAU] IST ALS SITZ UNREIN. DAS HEMD EINER STRASSENGÄNGERIN19Vgl. S. 638 Anm. 21., DAS NETZARTIG GEWEBT IST, IST REIN. HAT MAN EIN KLEID AUS EINEM FISCHERNETZE GEMACHT, SO IST ES REIN, WENN AUS DEM BEUTEL20Vgl. S. 636 Anm. 11.DESSELBEN, SO IST ES UNREIN. R. ELIE͑ZER B. JA͑QOB SAGT, AUCH WENN MAN EIN KLEID AUS EINEM FISCHERNETZE GEMACHT UND ES VERDOPPELT21Sodaß es weniger durchsichtig ist.HAT, SEI ES UNREIN.", + "HAT MAN EIN HAARNETZ MIT DEM VORDERRANDE ANGEFANGEN, SO IST ES SOLANGE REIN, BIS DER HINTERRAND FERTIG IST; HAT MAN MIT DEM HINTERRANDE ANGEFANGEN, SO IST ES SOLANGE REIN, BIS DER VORDERRAND FERTIG IST. DAS BINDEBAND DARAN IST ALLEIN UNREIN; DIE SCHNÜRE DARAN SIND ALS VERBUNDEN UNREIN. IST EIN HAARNETZ ZERRISSEN, SO IST ES, WENN ES NICHT DEN GRÖSSEREN TEIL DES HAARES AUFNIMMT, REIN." + ], + [ + "DIE NOPPEN DES LAKENS, DES SUDARIUMS, DES KOPFTUCHES UND DES KOPFSCHLEIERS1So nach den Kommentaren; die etymolog. Versuche zur Erklärung sind verfehlt, da sie dem Zusammenhange nicht entsprechen. BEI SECHS FINGERBREITEN2Sc. gehören sie hinsiehtl. der Unreinheit zum Tuche.; DIE DES UNTERKLEIDES3Eine Art Schultertuch, das mit einem Knoten befestigt wird; cf. Miq. X,4. BEI ZEHN. DIE NOPPEN DER FRIESJACKE, DES SCHLEIERS, DES HEMDES UND DES MANTELS BEI DREI [FINGERBREITEN]. DIE NOPPEN DER HAUBE EINER ALTEN [FRAU], DER GESICHTSDECKE DER ARABER, DES KILIKIONS4Kilikisches Kleidungsstück, nach den Kommentaren eine Art Gürtel od. Tuch., DES GELDGÜRTELS, DES TURBANS UND DES VORHANGES; DEREN NOPPEN, WIE LANG SIE AUCH SIND.", + "DREI POLSTER AUS WOLLE, SECHS AUS LEINEN, DREI LAKEN, ZWÖLF HANDTÜCHER, ZWEI ÜBERÄRMEL, EIN HEMD, EIN MANTEL UND EINE WÄRMEDECKE BILDEN JE EINE VERBINDUNG HINSICHTLICH DER UNREINHEIT UND DES BESPRENGENS5Mit dem Entsündigungswasser (cf. Num. 19,18); die Besprengung des einen genügt für die anderen.; MEHR ALS IN DIESER ANZAHL BILDEN SIE EINE VERBINDUNG HINSICHTLICH DER UNREINHEIT, NICHT ABER EINE VERBINDUNG HINSICHTLICH DES BESPRENGENS. R. JOSE SAGT, AUCH NICHT HINSICHTLICH DER UNREINHEIT.", + "BEI DER SCHNUR DES [GEWÖHNLICHEN] SENKBLEIES ZWÖLF6Nach einigen, Handbreiten, nach anderen hingegen bezieht sich das zuletzt genannte W. ‘Ellen’ auf alles; bei dieser Länge gehört sie hinsichtl. der Unreinheit zum Senkblei., DER ZIMMERER ACHTZEHN, DER BAUMEISTER FÜNFZIG ELLEN. WAS DARÜBER IST, IST, AUCH WENN MAN ES DARAN LÄSST, REIN. BEI DER DER TÜNCHER UND DER MALER, SO LANG SIE AUCH IST.", + "BEI DER SCHNUR DER GOLDWAGE7In der Mitte des Wagebalkens, woran diese hängt. UND DER EDELPURPURWAGE DREI FINGERBREITEN. BEIM STIELE DER AXT VON HINTEN8Hinter dem Teile, den man in der Hand hält; ist der Stiel zu kurz od. zu lang, so gehört er nicht zur Axt, da er ausgewechselt wird. DREI FINGERBREITEN. R. JOSE SAGT, BEI EINER HANDBREITE SEI ER REIN.", + "BEI DER SCHNUR DER KRÄMERWAGE ODER DER HAUSHALTSWAGE EINE HANDBREITE. BEIM STIELE DER AXT NACH VORN9Zwischen der Hand u. der Axt. EINE HANDBREITE. BEIM ÜBERBLEIBSEL DES ZIRKELSCHENKELS EINE HANDBREITE10Cf. Anm. 8 mut. mut.. BEIM STIELE DES STEINMETZMEISSELS EINE HANDBREITE.", + "BEI DER SCHNUR DER WOLLWAGE UND DER GLASWAGE ZWEI HANDBREITEN. BEIM GRIFFE DES MÜHLSTEINMEISSELS ZWEI HANDBREITEN; BEIM GRIFFE DER STREITAXT ZWEI HANDBREITEN; BEIM GRIFFE DES GOLDSCHMIEDEHAMMERS ZWEI HANDBREITEN, UND BEI DEM DER GROBSCHMIEDEDREI HANDBREITEN.", + "BEIM ÜBERBLEIBSEL DES OCHSENSTECKENS OBEN11Am Stachclende; wenn daran vom zerbrochenen Stecken noch soviel vorhanden ist.VIER [HANDBREITEN]. BEIM STIELE DES SPATENS12Nach den Kommentaren, ein Gerät um die Bäume zu graben; jed. ist sogar die Lesart unsicher.VIER; BEIM STIELE DER JÄTEHACKE FÜNF; BEIM STIELE DES HÄMMERCHENS FÜNF; BEIM STIELE DES HAMMERS SECHS; BEIM STIELE DER SPALTEAXT UND DER GRABEAXT SECHS; BEIM STIELE DES STEINMETZHAMMERS SECHS.", + "BEIM ÜBERBLEIBSEL DES SCHAUFELCHENS UNTEN13Am Ochsenstecken; vgl. Anm. 11.SIEBEN [HANDBREITEN]. BEIM STIELE DER KOHLENSCHAUFEL FÜR DEN HAUSGEBRAUCH, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, SIEBEN, UND WIE DIE SCHULE HILLELS SAGT, ACHT; BEI DEM DER TÜNCHER, WIE DIE SCHULE ŠAMMAJS SAGT, NEUN, UND WIE DIE SCHULE HILLELS SAGT, ZEHN. WILL MAN DAS, WAS DARÜBER IST, DARAN LASSEN, SO IST ES UNREIN14Mit dem Geräte, wenn dieses unrein wird. Dieser Passus bezieht sich auf alle vorangehend genannten Dinge.. BEIM STIELE DER FEUERGERÄTE15Zum Braten u. zum Feuern., WIE GROSS ER AUCH IST." + ], + [ + "VON GLASGERÄTEN SIND DIE FLACHEN REIN UND DIE VERTIEFTEN UNREIN. ZERBRECHEN SIE, SO WERDEN SIE REIN; MACHT MAN AUS IHNEN WIEDER GERÄTE, SO SIND SIE VON DANN AB FÜR DIE UNREINHEIT EMPFÄNGLICH. DAS TABLETT UND DIE PLATTE AUS GLas sind rein; HABEN SIE EINE RANDLEISTE, SO SIND SIE UNREIN. HAT MAN DEN BODEN1Das Mittelteil, wenn sie ringsum zerbrochen sind. EINER SCHÜSSEL ODER EINER PLATTE AUS GLAS FÜR DEN GEBRAUCH HERGERICHTET, SO SIND SIE REIN ; HAT MAN SIE ABER GLATT GEWETZT2Das W. קרטסן ist wohl vom Mittellateinischen cratare, kratzen (auch in viele neuere Sprachen übergegangen) abzuleiten, die Bruchstelle glatt kratzen. Die von einem Abschreiber zumanderen übergegangene Ableitung von creta (Kreide), mit Kreide abreiben, ist kaum zu beachten. ODER MIT EINER FEILE GLATT GEFEILT, SO SIND SIE UNREIN.", + "EIN SPIEGEL IST REIN. HAT MAN EINE KUMME ZUM SPIEGEL GEMACHT, SO IST SIE UNREIN; WENN MAN SIE ABER VON VORNHEREIN ALS SPIEGEL GEFERTIGT HAT, SO IST SIE REIN. EIN LÖFFEL3Aus Glas; wahrscheinl. eine Art flacher Vorlegelöffel., DEN MAN AUF DEN TISCH LEGT, IST, WENN ER ETWAS FASST, UNREIN, UND WENN NICHT, NACH R. A͑QIBA UNREIN UND NACH R. JOḤANAN B. NURI REIN.", + "EIN IN SEINER GRÖSSEREN HÄLFTE4Wohl des Randes. BESCHÄDIGTER BECHER IST REIN. IST ER AUF DER GRÖSSEREN HÄLFTE AN DREI [STELLEN] BESCHÄDIGT, SO IST ER REIN. R. ŠIMO͑N SAGT, LÄSST ER DEN GRÖSSEREN TEIL DES WASSERS AUSLAUFEN, SEI ER REIN. WENN ER EIN LOCH HAT UND MAN ES VERSTOPFT HAT, OB MIT ZINN ODER MIT PECH, SO IST ER REIN. R. JOSE SAGT, WENN MIT ZINN, SEI ER UNREIN, WENN MIT PECH, SEI ER REIN.", + "FEHLT VON EINEM KLEINEN FLÄSCHCHEN DER HALS, SO IST ES UNREIN; FEHLT VON EINER GROSSEN [FLASCHE] DER HALS, SO IST SIE REIN5Ersteres kann man leicht benutzen, ohne sich daran zu verletzen.. FEHLT VON EINER RIECH[FLASCHE] DER HALS, SO IST SIE REIN, WEIL SIE DIE HAND RITZT. GROSSE KRÜGE, DENEN DER HALS FEHLT, SIND UNREIN, WEIL MAN SIE ZUM EINLEGEN HERRICHTET. EIN MÜHLENTRICHTER AUS GLAS IST REIN6Er ist unten offen u. faßt nichts.. R. JOSE SPRACH: HEIL DIR, [TRAKTAT VON DEN] GERÄTEN, MIT ‘UNREINHEITBIST DU EINGEZOGEN, MIT ‘REINHEITABER ZIEHST DU AUS7Mit diesen Worten beginnt, bezw. schließt dieser Traktat.." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/English/merged.json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/English/merged.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..2b41210f5f7c3a3d94994d549186cb02c52efc84 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/English/merged.json @@ -0,0 +1,337 @@ +{ + "title": "Mishnah Kelim", + "language": "en", + "versionTitle": "merged", + "versionSource": "https://www.sefaria.org/Mishnah_Kelim", + "text": [ + [ + "The fathers of impurity are a: sheretz, semen, [an Israelite] who has contracted corpse impurity, a metzora during the days of his counting, and the waters of purification whose quantity is less than the minimum needed for sprinkling. Behold, these convey impurity to people and vessels by contact and to earthenware by presence within their airspace, But they do not convey impurity by being carried.", + "Above them are nevelah and waters of purification whose quantity is sufficient to be sprinkled, for these convey impurity to a person [even] by being carried so that he in turn conveys impurity to clothing by contact. Clothing, however, is free from impurity where there was contact alone.", + "Above them is one who had intercourse with a menstruant, for he defiles the bottom [bedding] upon which he lies as he does the top [bedding]. Above them is the issue of a zav, his spit, his semen and his urine, and the blood of a menstruant, for they convey impurity both by contact and by carrying. Above them is an object on which one can ride, for it conveys impurity even when it lies under a heavy stone. Above the object on which one can ride is that on which one can lie, for contact is the same as its carrying. Above the object on which one can lie is the zav, for a zav conveys impurity to the object on which he lies, while the object on which he lies cannot convey the same impurity to that upon which it lies.", + "Above the zav is the zavah, for she conveys impurity to the man who has intercourse with her. Above the zavah is the metzora, for he conveys impurity by entering into a house. Above the metzora is a [human] bone the size of a barley grain, for it conveys impurity for seven days. More strict than all these is a corpse, for it conveys impurity by ohel (tent) whereby all the others convey no impurity.", + "There are ten [grades of] impurity that emanate from a person:A person before the offering of his obligatory sacrifices is forbidden to eat holy things but permitted to eat terumah and [second] tithe. If he is a tevul yom he is forbidden to eat holy things and terumah but permitted to eat [second] tithe. If he emitted semen he is forbidden to eat any of the three. If he had intercourse with a menstruant he defiles the bottom [bedding] upon which he lies as he does the top [bedding]. If he is a zav who has seen two discharges he conveys impurity to that on which he lies or sits and is required to undergo immersion in running water, but he is exempt from the sacrifice. If he saw three discharges he must bring the sacrifice. If he is a metzora that was only enclosed he conveys impurity by entry [into an ohel] but is exempt from loosening his hair, from rending his clothes, from shaving and from the birds offering. But if he was a confirmed metzora, he is liable for all these. If a limb on which there was not the proper quantity of flesh was severed from a person, it conveys impurity by contact and by carriage but not by ohel. But if it has the proper quantity of flesh it conveys impurity by contact, by carriage and by ohel. A \"proper quantity of flesh\" is such as is capable of healing. Rabbi Judah says: if in one place it has flesh sufficient to surround it with [the thickness of] a thread of the woof it is capable of healing.", + "There are ten grades of holiness: the land of Israel is holier than all other lands. And what is the nature of its holiness? That from it are brought the omer, the firstfruits and the two loaves, which cannot be brought from any of the other lands.", + "Cities that are walled are holier, for metzoras must be sent out of them and a corpse, though it may be carried about within them as long as it is desired, may not be brought back once it has been taken out.", + "The area within the wall [of Jerusalem] is holier, for it is there that lesser holy things and second tithe may be eaten. The Temple Mount is holier, for zavim, zavot, menstruants and women after childbirth may not enter it. The chel is holier, for neither non-Jews nor one who contracted corpse impurity may enter it. The court of women is holier, for a tevul yom may not enter it, though he is not obligated a hatat for doing so. The court of the Israelites is holier, for a man who has not yet offered his obligatory sacrifices may not enter it, and if he enters he is liable for a hatat. The court of the priests is holier, for Israelites may not enter it except when they are required to do so: for laying on of the hands, slaying or waving.", + "The area between the porch (ulam) and the altar is holier, for [priests] who have blemishes or unkempt hair may not enter it. The Hekhal is holier, for no one whose hands or feet are unwashed may enter it. The Holy of Holies is holier, for only the high priest, on Yom Kippur, at the time of the service, may enter it. Rabbi Yose said: in five respects the area between the porch and the altar is equal to the Hekhal, for those afflicted with blemishes or with a wild growth of hair, or who have drunk wine or whose hands or feet are unwashed may not enter there, and the people must keep away from the area between the porch and the altar when the incense is being burned." + ], + [ + "Vessels of wood, vessels of leather, vessels of bone or vessels of glass: If they are simple they are clean If they form a receptacle they are unclean. If they were broken they become clean again. If one remade them into vessels they are susceptible to impurity henceforth. Earthen vessels and vessels of sodium carbonate are equal in respect of impurity: they contract and convey impurity through their air-space; they convey impurity through the outside but they do not become impure through their backs; and when broken they become clean.", + "As regards the smallest earthen vessels, and the bottoms and sides [of the larger but broken vessels] that can stand unsupported: The prescribed size is a capacity to hold oil sufficient for the anointing of a little finger of a child [if their former capacity] was that of a log. If [their former capacity] was from one log to a se'ah [their present capacity] must be a quarter of a log. If it was from a se'ah to two se'ah it must be half a log. If from two se'ah to three se'ah or as much as five se'ah it must be a log, the words of Rabbi Ishmael. Rabbi Akiva says: I do not prescribe any size for the unbroken vessels, rather: as regards the smallest earthen vessels, and the bottoms and sides [of larger but broken ones] that can stand unsupported: The prescribed size is a capacity to hold enough oil to anoint the little finger of a child. [This size is prescribed for pots] that are not bigger than the small cooking-pots. For small cooking-pots and for those between these and the jars from Lydda the prescribed capacity is a quarter of a log. For those which have a size between that of Lydda jars and Bethlehem jars the capacity must be that of half a log. For those between Bethlehem jars and large stone jars the capacity must be that of a log. Rabbi Yohanan ben Zakkai says: [the prescribed capacity for the fragments] of large stone jars is two logs, and that for the bottoms of broken Galilean flasks and small jars is any whatsoever, but the fragments of their sides are not susceptible to impurity", + "The following are not susceptible to impurity among earthen vessels: A tray without a rim, A broken incense-pan, A pierced pan for roasting corn, Gutters even if they are bent and even if they have some form of receptacle, A cooking vessel that was turned into a bread-basket cover, A bucket that was turned into a cover for grapes, A barrel used for swimmers, A small jar fixed to the sides of a ladle, A bed, a stool, a bench, a table, a ship, and an earthen lamp, behold these are no susceptible to impurity. The following is a general rule: any among earthen vessels that has no inner part is not susceptible to impurity on its outer sides.", + "A lantern that has a receptacle for oil is susceptible to impurity, but one that has none is not susceptible. A potter's mould on which one begins to shape the clay is not susceptible to impurity, but that on which one finishes it is susceptible. A funnel for home use is not susceptible to impurity, but that of merchants is susceptible because it also serves as a measure, the words of Rabbi Judah ben Batera. Rabbi Akiva says: because he puts it on its side to let the buyer smell it.", + "The covers of wine jars and oil jars and the covers of papyrus jars are not susceptible to impurity But if he adapted them for use as receptacles they are susceptible. The cover of a pot: When it has a hole or it has a point, it is not susceptible to impurity, But if it does not have a hole or a pointed top it is susceptible because she drains the vegetables into it. Rabbi Eliezer bar Zadok says: because she turns out the contents [of the pot] on to it.", + "A damaged jar found in a furnace: Before its manufacture was complete it is not susceptible to impurity, But if after its manufacture was complete it is susceptible. A sprinkler: Rabbi Eliezer bar Zadok holds it is not susceptible to impurity; But Rabbi Yose holds it to be susceptible because it lets the liquid out in drops only.", + "The following among earthen vessels are susceptible to impurity:A tray with a rim, An unbroken fire-pan, And a tray made up of dishes, If one of them was defiled by a [dead] creeping thing they do not all become unclean, But if it had a rim that projected above the rims of the dishes and one of them was defiled all are unclean. Similarly with an earthen spice-box and a double ink-pot. If one container was defiled from a liquid, the other is not unclean. Rabbi Yohanan ben Nuri says: its thickness is divided and that side which serves the unclean one is unclean while that which serves the clean one remains clean. If its rim projects above the others and one of them contracted impurity the other is unclean.", + "A torch is susceptible to impurity. And the reservoir of a lamp contracts impurity through its air- space. The comb of a tzartzur: Rabbi Eliezer says: it is not susceptible to impurity, But the sages say that it is susceptible." + ], + [ + "The size of a hole that renders an earthen vessel clean:If the vessel was made for food, the hole must be big enough for olives [to fall through]. If it was used for liquids it suffices for the hole to be big enough for liquids [to go through it]. And if it was used for both, we apply the greater stringency, that olives must be able to fall through.", + "A jar: the size of the hole must be such that a dried fig [will fall through], the words of Rabbi Shimon. Rabbi Judah said: walnuts. Rabbi Meir said: olives. A stew-pot or a cooking pot: such that olives [will fall through]. A bucket and a pitcher: such that oil [will fall through]. A tzartzur: such that water [will fall through]. Rabbi Shimon says: in the case of all three, [the hole] must be such that seedlings [will fall through]. A lamp: the size of the hole must be such that oil [will fall through]. Rabbi Eliezer says: such that a small perutah [will fall through]. A lamp whose nozzle has been removed is clean. And one made of earth whose nozzle has been burned by the wick is also clean.", + "A jar that had a hole and was mended with pitch and then was broken again: If the fragment that was mended with the pitch can hold a quarter of a log it is unclean, since the designation of a vessel has never ceased to be applied to it. A potsherd that had a hole and was mended with pitch, it is clean though it can contain a quarter of a log, because the designation of a vessel has ceased to be applied to it.", + "If a jar was about to be cracked but was strengthened with cattle dung, although the potsherds would fall apart were the dung to be removed, it is unclean, because the designation of vessel never ceased to apply. If it was broken and some of its pieces were stuck together again, or if he brought other pieces of clay from elsewhere, and it was also lined with cattle dung, even though the potsherds hold together when the dung is removed, it is clean, because the designation of vessel ceased to apply. If it contained one potsherd that could hold a quarter of a log, all its parts contract impurity by contact, but that potsherd contracts impurity through its air-space.", + "One who lines a sound vessel: Rabbi Meir and Rabbi Shimon say: [the lining] contracts impurity. But the sages say: a lining over a sound vessel is not susceptible to impurity, and only one over a cracked vessel is susceptible. And the same dispute applies to the hoop of a pumpkin shell.", + "As to dog's tooth which which they line large jars: anything that touches it becomes unclean. The plug of a jar is not regarded as connected. That which touches the lining of an oven is unclean.", + "A cauldron which was lined with mortar or with potter's clay: That which touches the mortar is unclean; But that which touches the potter's clay is clean. A kettle which was punctured and the hole was stopped with pitch: Rabbi Yose rules that it is clean since it cannot hold hot water as cold. The same ruling he also gave concerning vessels made of pitch. Copper vessels which were lined with pitch the lining is clean, But if they are used for wine, it is unclean.", + "A jar which which was pierced and the hole stopped up with more pitch than was necessary: That which touches the needed portion is unclean, But that which touches the unneeded portion is clean. Pitch which dripped upon a jar, that which touches it is clean. A wooden or earthen funnel which was stopped up with pitch: Rabbi Elazar ben Azariah says that it is unclean. Rabbi Akiva says that it is unclean when it is of wood and clean when it is of earthenware. Rabbi Yose says that both are clean." + ], + [ + "A potsherd that cannot stand unsupported on account of its handle, or a potsherd whose bottom is pointed and that point causes it to overbalance, is clean. If the handle was removed or the point was broken off it is still clean. Rabbi Judah says that it is unclean. If a jar was broken but is still capable of holding something in its sides, or if it was split into a kind of two troughs: Rabbi Judah says it is clean But the sages say it is unclean.", + "If a jar was cracked and cannot be moved with half a kav of dried figs in it, it is clean. If a damaged vessel (gistera) was cracked and it cannot hold any liquid, even though it can hold foodstuffs, it is clean, since remnants do not have remnants.", + "What is meant by a \"damaged vessel\" (gistera)? One whose handles were removed. If sharp ends projected from it: Any part of it which can contain olives contracts impurity by contact, while any impurity opposite an end conveys impurity to the vessel through its air-space, But any part of it which cannot contain olives contracts impurity by contact, while an impurity opposite an end does not convey impurity through its air-space. If it was leaning on its side like a kind of cathedra, Any part of it which can contain olives contracts impurity by contact, while any impurity opposite an end conveys impurity to the vessel through its air-space, But any part of it which cannot contain olives contracts impurity by contact, while an impurity opposite an end does not convey impurity to the vessel through its air-space. Bowls with Korfian [bottoms], and cups with Zidonian bottoms, although they cannot stand unsupported, are susceptible to impurity, because they were originally fashioned in this manner.", + "An earthenware vessel that has three rims: If the innermost one projects above the others, all outside it is not susceptible to impurity. If the outermost one projects above the others all within it is susceptible to impurity; And if the middle one projects above the others, that which is within it is susceptible to impurity, while that which is without it is not susceptible to impurity. If they were equal in height: Rabbi Judah says: the middle one is deemed to be divided. But the sages ruled: all are not susceptible to impurity. When do earthenware vessels become susceptible to impurity? As soon as they are baked in the furnace, that being the completion of their manufacture." + ], + [ + "A baking oven originally must be no less than four handbreadths [high] and what is left of it four handbreadths, the words of Rabbi Meir. But the sages say: this applies only to a large oven but in the case of a small one it originally can be [any height] and what is left is the greater part of it. [Its susceptibility to impurity begins] as soon as its manufacture is completed. What is regarded as the completion of its manufacture? When it is heated to a degree that suffices for the baking of spongy cakes. Rabbi Judah says: when a new oven has been heated to a degree that sufficed for the baking of spongy cakes in an old one.", + "A double stove: its original height must be no less than three fingerbreadths and what is left of it three fingerbreadths. [Its susceptibility to impurity begins] as soon as its manufacture is completed. What is regarded as the completion of its manufacture? When it is heated to a degree that suffices for the cooking of the lightest of eggs when scrambled and put in a saucepan. A single stove: if it was made for baking its prescribed size is the same as that for a baking-oven, and if it was made for cooking its prescribed size is the same as that for a double stove. A stone that projects one handbreadth from a baking-oven or three fingerbreadths from a double stove is considered a connection. One that projects from a single stove, if it was made for baking, the prescribed size is the same as that for a baking-oven, and if it was made for cooking the prescribed size is the same as that for a double stove. Rabbi Judah said: they spoke of a ‘handbreadth’ only where the projection was between the oven and a wall. If two ovens were adjacent to one another, they allot one handbreadth to this one and one to the other and the remainder is clean.", + "The crown of a double stove is clean. The fender around an oven: if it is four handbreadths high it contracts impurity by contact and through its air-space, but if it was lower it is clean. If it was joined to it, even if only by three stones, it is unclean. The place [on the stove] for the oil cruse, the spice-pot, and the lamp contract impurity by contact but not through their air-space, the words of Rabbi Meir. Rabbi Ishmael rules that they are clean.", + "An oven that was heated from its outside, or one that was heated without the owner's knowledge, or one that was heated while still in the craftsman's house is susceptible to impurity. It once happened that a fire broke out among the ovens of Kefar Signah, and when the case was brought up at Yavneh Rabban Gamaliel ruled that they were unclean.", + "The additional piece of a householder's oven is clean, but that of bakers is unclean because he rests the roasting spit on it. Rabbi Yohanan Hasandlar said: because one bakes on it when pressed [for space]. Similarly the additional part of the boiler used by olive cookers is susceptible to impurity, but that of one used by dyers is not susceptible.", + "If an oven was half filled with earth, the part from the earth downwards contracts impurity by contact only while the part from the earth upwards contracts impurity [also] from its air- space. If he put the oven over the mouth of a cistern or over that of a cellar and he put a stone at its side: Rabbi Judah says: if when heated below it becomes also heated above it is susceptible to impurity. But the sages say: since it was heated, no matter how, it is susceptible to impurity.", + "If an oven contracted impurity how is it to be cleansed? He must divide into three parts and scrape off the plastering so that [the oven] touches the ground. Rabbi Meir says: he does not need to scrape off the plastering nor is it necessary for [the oven] to touch the ground. Rather he reduces it within to a height of less than four handbreadths. Rabbi Shimon says: he must move it [from its position]. If it was divided into two parts, one large and the other small, the larger remains unclean and the smaller becomes clean. If it was divided into three parts one of which was as big as the other two together, the big one remains unclean and the two small ones become clean.", + "If an oven was cut up by its width into rings that are each less than four handbreadths in height, it is clean. If he subsequently plastered it over with clay, it becomes susceptible to impurity when it is heated to a degree that suffices for the baking of spongy cakes. If he distanced the plastering, and sand or gravel was put between it and the oven sides of such an oven it has been said, \"A menstruant as well as a clean woman may bake in it and it remains clean.\"", + "An oven which came cut up in sections from the craftsman's house and he made for it hoops and put them on it, it is clean. If it contracts impurity, and then he removed its hoops it is clean. If he put them back on, it is still clean. If he plastered it with clay, it becomes susceptible to impurity and there is no need to heat it since it was once heated.", + "If he cut the oven up into rings, and then he put sand between each pair of rings, Rabbi Eliezer says: it is clean. But the sages say: it is unclean. This is the oven of Akhnai. As regards Arabian vats, which are holes dug in the ground and plastered with clay, if the plastering can stand of itself it is susceptible to impurity; Otherwise it is not susceptible. This is the oven of Ben Dinai.", + "An oven of stone or of metal is clean, But the latter is unclean as a metal vessel. If a hole was made in it, or if it was damaged or cracked, and he lined it with plaster or with a rim of clay, it is unclean. What must be the size of the hole [for it to be pure]? It must be big enough for the flame to come through. The same applies also to a stove. A stove of stone or of metal is clean. But the latter is unclean as a metal vessel. If a hole was made in it or if it was damaged or cracked but was provided with props it is unclean. If it was lined with clay, whether inside or outside, it remains clean. Rabbi Judah says: if [the lining was] inside it is unclean but if outside it remains clean." + ], + [ + "If he put three props into the ground and joined them [to the ground] with clay so that a pot could be set on them, [the structure] is susceptible to impurity. If he set three nails in the ground so that a pot could be set on them, even though a place was made on the top for the pot to rest, [the structure] is not susceptible to impurity. One who made a stove of two stones, joining them [to the ground] with clay: It is susceptible to impurity. Rabbi Judah says that it is not susceptible to impurity, unless a third stone is added or [the structure] is placed near a wall. If one stone was joined with clay and the other was not joined with clay, [the structure] is not susceptible to impurity.", + "A stone on which he placed a pot, [on it] and on an oven, or on it and a double stove, or on it and on a stove, is susceptible to impurity. [If he set the pot] on it and on another stone, on it and on a rock, or on it and on a wall, it is not susceptible to impurity. And such was the stove of the Nazirites in Jerusalem which was set up against a rock. As regards the stove of the butchers, where the stones are placed side by side, if one of the stoves contracted impurity, the others do not become unclean.", + "If one made two stoves of three stones and one of the outer ones was defiled the half of the middle one that serves the unclean one is unclean but the half of it that serves the clean one remains clean. If the clean one was removed, the middle one is regarded as completely transferred to the unclean one. If the unclean one was removed, the middle one is regarded as completely transferred to the clean one. Should the two outer ones become defiled, if the middle stone was large, each outer stone is allowed such a part of it as suffices for the support of a pot and the remainder is clean. But if it was small all of it is unclean. Should the middle stone be removed, if a big kettle can be set on the two outer stones they are unclean. If the middle stone is returned they all become clean again. If it was plastered with clay it becomes susceptible to impurity when it is heated to a degree that suffices for the cooking of an egg.", + "If two stones were made into a stove and they became defiled, and a stone was set up near the outer side of the one and another stone near the outer side of the other, [the inner half] of each [inner stones] remains unclean while [the outer] half of each [of these stones] is clean. If the clean stones are removed the others revert to their impurity." + ], + [ + "The fire-basket of a householder which was lessened by less than three handbreadths is susceptible to impurity because when it is heated from below a pot above would still boil. If [it was lessened] to a lower depth it is not susceptible to impurity. If subsequently a stone or gravel was put into it, it is still not susceptible to impurity. If it was plastered over with clay, it may contract impurity from that point and onwards. This was Rabbi Judah's reply in connection with the oven that was placed over the mouth of a cistern or over that of a cellar.", + "A hob that has a receptacle for pots is clean as a stove but unclean as a receptacle. As to its sides, whatever touches them does not become unclean as if the hob had been a stove, But as regards its wide side: Rabbi Meir holds it to be clean But Rabbi Judah holds it to be unclean. The same law applies also where a basket was inverted and a stove was put upon it.", + "A double stove which was split into two parts along its length is clean. Through its breadth is unclean. A single stove which was split into two parts, by its length or by its width, it is not susceptible to impurity. As to the extension around a stove, whenever it is three fingerbreadths high it contracts impurity by contact and also through its air-space, but if it is less it contracts impurity through contact and not through its air- space. How is the air-space determined? Rabbi Ishmael says: He puts a spit from above to below and opposite it contracts impurity through the air-space. Rabbi Eliezer ben Jacob says: if the stove contracted impurity the extension is also unclean, but if the fender contracts impurity the stove does not become unclean.", + "If it [the extension] was detached from the stove, whenever it was three fingerbreadths high it contracts impurity by contact and through its air-space, If it was lower or if it was smooth it is clean. If three props on a stove were three fingerbreadths high, they contract impurity by contact and through their air-space. If they were lower, all the more so they contract impurity, even where they were four in number.", + "If one of them [i.e. the props] was removed, the remaining ones contract impurity by contact but not through air-space, the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says that they are clean. If originally he made two props, one opposite the other, they contract impurity by contact and through air-space; the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says that they are clean. If they were more than three fingerbreadths high, the parts that are three fingerbreadths high and below contract impurity by contact and through air-space but the parts that are more than three fingerbreadths high contract impurity by contact and not through air-space; the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says that they are clean. If they were withdrawn from the rim [of the stove], the parts which are within three fingerbreadths contract impurity by contact and through air-space, and those parts that are removed more than three fingerbreadths contract impurity by contact but not through air-space, the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says that they are clean.", + "How do we measure them? Rabban Shimon ben Gamaliel says: he puts the measuring-rod between them, and any part that is outside the measuring-rod is clean while any part inside the measuring-rod, including the place of the measuring-rod itself, is unclean." + ], + [ + "An oven which they partitioned with boards or hangings, and in it was found a sheretz in one compartment, the entire oven is unclean. A hive which was broken and its gap was stopped up with straw and was suspended within the air-space of an oven while a sheretz was within it, the oven becomes unclean. If a sheretz was within the oven, any food within the hive becomes unclean. But Rabbi Eliezer says that it is clean. Rabbi Eliezer said: if it affords protection in the case of a corpse which is more consequential, should it not afford protection in the case of an earthenware vessel which is less consequential? They said to him: if it affords protection in the case of corpse impurity, this is because tents are divided, should it also afford protection in the case of an earthenware vessel which is not divided?", + "If the hive was complete, and so too in the case of a basket or a skin-bottle, and a sheretz was within it the oven remains clean. If the sheretz was in the oven, any food in the hive remain clean. If a hole was made in it: A vessel that is used for food must have a hole large enough for olives to fall through, If it is used for liquids the hole must be large enough for liquids to pass into it, And if it is used for either it is subjected to the greater restriction: the hole need only be large enough for liquids to pass into it.", + "Netting placed over the mouth of an oven and slightly sinking into it, and having no frame: If a sheretz was in it, the oven becomes unclean; If the sheretz was in the oven, the food in the netting becomes unclean, since only vessels afford protection against an impurity in an earthen vessel. A jar full of pure liquids placed beneath the bottom of an oven, and a sheretz in the oven – the jar and the liquids remain clean. If it was inverted, with its mouth projecting into the air-space of the oven, and a sheretz was in the oven, the liquid that clings to the sides of the jar remains clean.", + "A pot which was placed in an oven if a sheretz was in the oven, the pot remains clean since an earthen vessel does not impart impurity to vessels. If it contained dripping liquid, the latter contracts impurity and the pot also becomes unclean. It is as if this one says, \"That which made you unclean did not make me unclean, but you have made me unclean.\"", + "If a rooster that swallowed a sheretz fell within the air-space of an oven, the oven remains clean; If the rooster died, the oven becomes unclean. If a sheretz was found in an oven, any bread in it contracts second degree impurity since the oven is of the first degree.", + "A leavening pot with a tightly fitting lid which was put in an oven, and there was some leaven and a sheretz within the pot, but there was a partition (of inedible bread) between them, the oven is unclean but the leaven is clean. But if it was an olive's bulk of corpse, both the oven and the house are unclean, and the leaven remains clean. If in the partition there was an opening of one handbreadth, all become unclean.", + "A sheretz which was found in the eye-hole of an oven or of a double stove or of a single stove: If it was outside the inner edge, it is clean. If it [the oven] was in the open air, even if it was an olive's bulk of corpse it is clean. If there was [in the eye-hole] an opening of one handbreadth, it is all unclean.", + "If a sheretz was found in the [place in a stove] where wood is put: Rabbi Judah says: if it was within the outer edge, [the stove] becomes unclean. But the sages say: if it was outside the inner edge [the stove] remains clean. Rabbi Yose says: if it was found beneath the spot where the pot is placed and inwards, the stove becomes unclean, but if beneath the spot where the pot is set and outwards, it remains clean. If it was found on the place where the bath-keeper sits, or where the dyer sits, or where the olive-boilers sit, the stove remains clean. It only becomes unclean only [when the sheretz] is found in the enclosed part and inwards.", + "A pit which has a place on which a pot may be set is unclean. And so also an oven of glass-blowers, if it has a place on which a pot may be set, it is unclean. The furnace of lime-burners, or of glaziers, or of potters is clean. A purna: If it has a frame is unclean. Rabbi Judah says: if it has coverings [for compartments.] Rabban Gamaliel says: if it has edges.", + "If a person who came in contact with one who has contracted corpse impurity had (food liquids in his mouth and he put his head into the air-space of an oven that was clean, they cause the oven to be unclean. If a person who was clean had food or liquids in his mouth and he put his head into the air-space of an oven that was unclean, they become unclean. If a person was eating a pressed fig with impure hands and he put his hand into his mouth to remove a small stone: Rabbi Meir considers the fig to be unclean But Rabbi Judah says it as clean. Rabbi Yose says: if he turned it over [in his mouth] the fig is unclean but if he did not turn it over the fig is clean. If the person had a pondion in his mouth, Rabbi Yose says: if he kept it there to relieve his thirst it becomes unclean.", + "If milk [of an impure woman] dripped from a woman's breasts and fell into the air-space of an oven, the oven becomes unclean, since a liquid conveys impurity regardless of whether one wanted it there or not. If she was sweeping it out and a thorn pricked her and she bled, or if she burnt herself and put her finger into her mouth, the oven becomes unclean." + ], + [ + "If a needle or a ring was found in the ground of an oven, and they can be seen but they don't stick out into the oven, if one bakes dough and it touches them, the [oven] is unclean. Regarding which dough did they speak? Medium dough. If they are found in the plaster of an oven with a tightly fitting lid: If the oven is unclean, they are unclean, If the oven is clean, they are clean. If they are found in the stopper of a jar: If on the sides, they are unclean. If opposite the mouth, they are clean. If they can be seen in it, but they do not enter its airspace, they are clean. If they sink into it, and there is [plaster] underneath them as thick as garlic peel, they are clean.", + "A jar that was full of clean liquids, with a siphon in it, and it had a tightly fitting cover and was in a tent in which there was a corpse: Bet Shammai says: both the jar and the liquids are clean but the siphon is unclean. And Bet Hillel says: the siphon also is clean. Bet Hillel changed their mind and ruled in agreement with Bet Shammai.", + "If a sheretz was found beneath the bottom of an oven, the oven remains clean, for I can assume that it fell there while it was still alive and that it died only now. If a needle or a ring was found beneath the bottom of an oven, the oven remains clean, for I can assume that they were there before the oven arrived. If it was found in the wood ashes, the oven is unclean since one has no ground on which to base an assumption of cleanness.", + "A sponge which had absorbed unclean liquids and its outer surface became dry and it fell into the air-space of an oven, the oven is unclean, for the liquid would eventually come out. And the same with regard to a piece of turnip or reed grass. Rabbi Shimon says: the oven is clean in both these cases.", + "Potsherds that had been used for unclean liquids which fell into the air-space of an oven, if the oven was heated, it becomes unclean, for the liquid would eventually come out. And the same with regard to fresh olive peat, but if it was old, the oven remains clean. If it was known that liquid emerges, even after the lapse of three years, the oven becomes unclean.", + "If olive peat or grape skins had been prepared in conditions of cleanness, and unclean persons trod upon them and afterwards liquids emerged from them, they remain clean, since they had originally been prepared in conditions of cleanness. If a spindle hook was sunk into the spindle, or the iron point into the ox goad, or a ring into a brick, and all these were clean, and then they were brought into a tent in which was a corpse, they become unclean. If a zav caused them to move they become unclean. If they then fell into the air-space of a clean oven, they cause it to be unclean. If a loaf of terumah came in contact with them, it remains clean.", + "If there was netting placed over the mouth of an oven, forming a tightly fitting lid, and a split appeared between the oven and the colander, the minimum size [to allow impurity to enter] is that of the circumference of the tip of an ox goad that cannot actually enter it. Rabbi Judah says: it must be one into which the tip can actually enter. If a split appeared in the netting, the minimum size is the circumference of the tip of an ox goad that can enter it. Rabbi Judah says: even if it cannot enter. If the split was curved it must not be regarded as straight, and still the minimum size must be the circumference of the tip of an ox goad that can actually enter.", + "If there was a hole in the \"eye\" of an oven, the minimum size [for it to leave the category of being tightly closed] is the circumference of a burning spindle staff that can enter and come out [without being extinguished]. Rabbi Judah says: one that is not burning. If the hole appeared at its side, the minimum size must be that of the circumference of a spindle staff that can enter and come out while it is not burning. Rabbi Judah says: while burning. Rabbi Shimon says: if the hole is in the middle its size must be such that a spindle staff can enter it, but if it was at the side it need only be such as the spindle staff cannot actually enter. And similarly he used to rule concerning the stopper of a jar in which a hole appeared: the minimum size is the circumference of the second knot in an oat stalk. If the hole was in the middle the stalk should be able to enter, and if at the side it need not be able to enter. And similarly he used to rule concerning large stone jars in the stoppers of which appeared a hole. The minimum size is the circumference of the second knot in a reed. If the hole was in the middle the reed must be able to enter it, and if it was at the side the reed need not be able to enter it. When is this so? When the jars were made for wine, but if they were made for other liquids, if they have even the smallest hole, they are unclean. When is this so? When the holes were not made by a person, but if they were made by a person, if they have even the smallest hole, they are unclean. If a hole appeared [in other vessels its prescribed size ] is as follows: if the vessel was used for food, [the hole must be one] through which olives can fall out; if for liquids, one that lets out liquids; If for either, the greater restriction is imposed [even with regard to the issue of] a tightly fitting cover [the size of the hole need only be] one that admits a liquid." + ], + [ + "The following vessels protect their contents when they have a tightly fitting cover: those made of cattle dung, of stone, of clay, of earthenware, of sodium carbonate, of the bones of a fish or of its skin, or of the bones of any animal of the sea or of its skin, and wooden vessels that are always clean. They protect whether the covers close their mouths or their sides, whether they stand on their bottoms or lean on their sides. If they were turned over with their mouths downwards they afford protection to all that is beneath them to the nethermost deep. Rabbi Eliezer declares this unclean. These protect everything, except that an earthen vessel protects only foods, liquids and earthen vessels.", + "How may it be tightly covered? With lime or gypsum, pitch or wax, mud or excrement, crude clay or potter's clay, or any substance that is used for plastering. One may not make a tightly fitting cover with tin or with lead because though it is a covering, it is not tightly fitting. One may not make a tightly fitting cover with swollen fig-cakes or with dough that was kneaded with fruit juice, since it might cause it to become unfit. If he did make a tightly fitting cover [from such material] it protects.", + "A stopper of a jar that is loose but does not fall out: Rabbi Judah says: it protects. But the sages say: it does not protect. If its finger-hold was sunk within the jar and a sheretz was in it, the jar becomes unclean. If the sheretz was in the jar, any food in it, become unclean.", + "If a ball or coil of reed grass was placed over the mouth of a jar, and only its sides were plastered, it does not protect unless it was also plastered above or below. The same is true with regard to a patch of cloth. If it was of paper or leather and bound with a cord, if he plastered it from the sides, it protects.", + "If [the outer layer] a jar had been peeled off but its pitch [lining] remained intact, And similarly if pots of fish brine were sealed up with gypsum at a level with the brim: Rabbi Judah says: they do not protect. But the sages say: they do protect.", + "If a jar had a hole in it and wine lees stopped it up, they protect it. If one stopped it up with a vine shoot [it does not protect] until he plasters it at the sides. If there were two vine shoots, [it does not protect] unless he plastered it at the sides and also between the one shoot and the other. If a board was placed over the mouth of an oven, it protects if he plastered it at the sides. If there were two boards [it does not protect] unless he plastered at the sides and also between the one board and the other. If they were fastened together with pegs or with bamboo joints there is no need for them to be plastered in the middle.", + "An old oven was within a new one and netting was over the mouth of the old [new] one: If [it was placed such that if] the old one were to be removed the netting would drop, all [the contents of both ovens] are unclean; But if it would not drop, all are clean. A new oven was within an old one and netting was over the mouth of the old one if there was not a handbreadth of space between the new oven and the netting, all the contents of the new one are clean.", + "If [earthenware] pans were placed one within the other and their rims were on the same level, and there was a sheretz in the upper one or in the lower one, that pan alone becomes unclean but all the others remain clean. If [they were perforated] to the extent of admitting a liquid, and the sheretz was in the uppermost one, all become unclean. If in the lowest one, that one is unclean while the others remain clean. If the sheretz was in the uppermost one and the lowest projected above it, both are unclean. If the sheretz was in the uppermost one and the lowest projected above it, any one that contained dripping liquid becomes unclean." + ], + [ + "Metal vessels, whether they are flat or form a receptacle, are susceptible to impurity. On being broken they become clean. If they were re-made into vessels they revert to their former impurity. Rabban Shimon ben Gamaliel says: this does not apply to every form of impurity but only to that contracted from a corpse.", + "Every metal vessel that has a name of its own [is susceptible to impurity,] Except for a door, a bolt, a lock, a socket under a hinge, a hinge, a clapper, and the [threshold] groove under a door post, since these are intended to be attached to the ground.", + "If vessels are made from iron ore, from smelted iron, from the hoop of a wheel, from sheets, from plating, from the bases, rims or handles of vessels, from chippings or filings, they are clean. Rabbi Yohanan ben Nuri says: even those made of pieces of vessels. From [vessels that are made] of fragments of vessels, from pieces of old vessels, or from nails that were known to have been made from vessels, are unclean. [If they were made] from ordinary nails: Bet Shammai says: they are unclean, And Bet Hillel says that they are clean.", + "If unclean iron was smelted together with clean iron and the greater part was from the unclean iron, [the vessel made of the mixture] is unclean; If the greater part was from the clean iron, the vessel is clean. If each was half, it is unclean. The same law also applies to a mixture of cement and cattle dung. A door bolt is susceptible to impurity, but [one of wood] that is only plated with metal is not susceptible to impurity. The clutch and the crosspiece [of a lock] are susceptible to impurity. A door-bolt: Rabbi Joshua says: he may remove it from one door and hang it on another on Shabbat. Rabbi Tarfon says: it is like all other vessels and may be carried about in a courtyard.", + "The scorpion [-shaped] bit of a bridle is susceptible to impurity, but the cheek-pieces are clean. Rabbi Eliezer says that the cheek-pieces are susceptible to impurity. But the sages says that the scorpion-bit alone is susceptible to impurity, When they are joined together it is all susceptible to impurity.", + "A metal spindle-knob:Rabbi Akiva says it is susceptible to impurity But the sages say it is not susceptible. If it was only plated [with metal] it is clean. A spindle, a distaff, a rod, a double flute and a pipe are susceptible to impurity if they are of metal, but if they are only plated [with metal] they are clean. If a double flute has a receptacle for the wings it is susceptible to impurity in either case.", + "A curved horn is susceptible to impurity but a straight one is clean. If its mouthpiece was covered with metal it is unclean. If its broad side [is covered with metal]: Rabbi Tarfon says it is susceptible to impurity But the sages say it is clean. While they are joined together the whole is susceptible to impurity. Similarly: the branches of a candlestick are clean. And the cups and the base are susceptible to impurity, But while they are joined together the whole is susceptible to impurity.", + "A helmet is susceptible to impurity but the cheek-pieces are clean, But if they have a receptacle for water they are susceptible to impurity. All weapons of war are susceptible to impurity: a javelin, a spear-head, metal boots, and a breastplate are susceptible to impurity. All women's ornaments are susceptible to impurity: a golden city (a tiara), a necklace, ear-rings, finger-rings, a ring whether it has a seal or does not have a seal, and nose-rings. If a necklace has metal beads on a thread of flax or wool and the thread broke, the beads are still susceptible to impurity, since each one is a vessel in itself. If the thread was of metal and the beads were of precious stones or pearls or glass, and the beads were broken while the thread alone remained, it is still susceptible to impurity. The remnant of a necklace [is susceptible] as long as there is enough for the neck of a little girl. Rabbi Eliezer says: even if only one ring remained it is unclean, since it also is hung around the neck.", + "If an earring was shaped like a pot at its bottom and like a lentil at the top and the sections fell apart, the pot-shaped section is susceptible to impurity because it is a receptacle, while the lentil shaped section is susceptible to impurity in itself. The hooklet is clean. If the sections of an ear-ring that was in the shape of a cluster of grapes fell apart, they are clean." + ], + [ + "A man's ring is susceptible to impurity. A ring for cattle or for vessels and all other rings are clean. A beam for arrows is susceptible to impurity, but one for prisoners is clean. A prisoner's collar is susceptible to impurity. A chain that has a lock-piece is susceptible to impurity. But that used for tying up cattle is clean. The chain used by wholesalers is susceptible to impurity. That used by householders is clean. Rabbi Yose said: When is this so? When it attaches to one door, but if it attaches to two doors or if it had a snail[-shaped] piece at its end it is susceptible to impurity.", + "The beam of a wool-combers’ balance is susceptible to impurity on account of the hooks. And that of a householder, if it has hooks is also susceptible to impurity. The hooks of porters are clean but those of peddlers are susceptible to impurity. Rabbi Judah says: in the case of the peddlers' [hooks], [the hook] that is in front is susceptible to impurity but that which is behind is clean. The hook of a couch is susceptible to impurity but that of bed poles is clean. [The hook of] a chest is susceptible to impurity but that of a fish trap is clean. That of a table is susceptible to impurity but that of a wooden candlestick is clean. This is the general rule: any hook that is attached to a susceptible vessel is susceptible to impurity, but one that is attached to a vessel that is not susceptible to impurity is clean. All these, however, are by themselves clean.", + "The metal cover of a basket of householders: Rabban Gamaliel says: it is susceptible to impurity, The sages say that it is clean. But that of physicians is susceptible to impurity. The door of a cupboard of householders is clean but that of physicians is susceptible to impurity. Tongs are susceptible to impurity but stove-tongs are clean. The scorpion [-shaped] hook in an olive-press is susceptible to impurity but the hooks for the walls are clean.", + "A blood-letters’ nail is susceptible to impurity. But [the nail] of a sundial is clean. Rabbi Zadok says that it is susceptible to impurity. A weaver's nail is susceptible to impurity. The chest of a grist-dealer: Rabbi Zadok says: it is susceptible to impurity, But the sages say that it is clean. If its wagon was made of metal it is susceptible to impurity.", + "A nail which he adapted to be able to open or to shut a lock is susceptible to impurity. But one used for guarding is clean. A nail which he adapted to open a jar: Rabbi Akiva says that it is susceptible to impurity, But the sages say that it is clean unless he forges it. A money-changer's nail is clean, But Rabbi Zadok says: it is susceptible to impurity. There are three things which Rabbi Zadok holds to be susceptible to impurity and the sages hold clean: The nail of a money-changer, The chest of a grist-dealer And the nail of a sundial. Rabbi Zadok rules that these are susceptible to impurity and the sages rule that they are clean.", + "There are four things which Rabban Gamaliel says are susceptible to impurity, and the sages say are not susceptible to impurity.The covering of a metal basket, if it belongs to householders; And the hanger of a strigil; And metal vessels which are still unshaped; And a plate that is divided into two [equal] parts. And the sages agree with Rabban Gamaliel in the case of a plate that was divided into two parts, one large and one small, that the large one is susceptible to impurity and the small one is not susceptible to impurity.", + "If a dinar had been invalidated and then was adapted for hanging around a young girl's neck it is susceptible to impurity. So, too, if a sela had been invalidated was adapted for use as a weight, it is susceptible to impurity. How much may it depreciate while one is still permitted to keep it? As much as two denars. Less and he must be cut it up.", + "A pen-knife, a writing pen, a plummet, a weight, pressing plates, a measuring-rod, and a measuring-table are susceptible to impurity. All unfinished wooden vessels also are susceptible to impurity, excepting those made of boxwood. Rabbi Judah says: one made of an olive-tree branch is also clean unless it was first heated." + ], + [ + "The sword, knife, dagger, spear, hand-sickle, harvest-sickle, clipper, and barbers’ whose component parts were separated, are susceptible to impurity. Rabbi Yose says: the part that is near the hand is susceptible to impurity, but that which is near the top is clean. The two parts of shears which were separated: Rabbi Judah says: they are still susceptible to impurity; But the sages say that they are clean.", + "A koligrophon whose spoon has been removed is still susceptible to impurity on account of its teeth. If its teeth have been removed it is still susceptible on account of its spoon. A makhol whose spoon is missing is still susceptible to impurity on account of its point; If its point was missing it is still susceptible on account of its spoon. A stylus whose writing point is missing is still susceptible to impurity on account of its eraser; If its eraser is missing it is susceptible on account of its writing point. A zomalister whose spoon is lost is still susceptible to impurity on account of its fork; If its fork is missing, it is still susceptible on account of its spoon. So too with regard to the prong of a mattock. The minimum size for all these instruments: so that they can perform their usual work.", + "A harhur that is damaged is still susceptible to impurity until its greater part is removed. But if its shaft-socket is broken it is clean. A hatchet whose cutting edge is lost remains susceptible to impurity on account of its splitting edge. If its splitting edge is lost it remains susceptible on account of its cutting edge. If its shaft-socket is broken it is clean.", + "An ash-shovel whose spoon was missing is still susceptible to impurity, since it is still like a hammer, the words of Rabbi Meir. But the sages rule that it is clean. A saw whose teeth are missing one in every two is clean. But if a hasit length of consecutive teeth remained it is susceptible to impurity. An adze, scalpel, plane, or drill that was damaged remains susceptible to impurity, but if its steel edge was missing it is clean. In all these cases if it was split into two parts both remain susceptible to impurity, except for the drill. The block of a plane by itself is clean.", + "A needle whose eye or point is missing is clean. If he adapted it to be a stretching-pin it is susceptible to impurity. A pack-needle whose eye was missing is still susceptible to impurity since one writes with it. If its point was missing it is clean. A stretching-pin is in either case susceptible to impurity. A needle that has become rusty: If this hinders it from sewing it is clean, But if not it remains susceptible to impurity. A hook that was straightened out is clean. If it is bent back it resumes its susceptibility to impurity.", + "Wood that serves a metal vessel is susceptible to impurity, but metal that serves a wooden vessel is clean. How so? If a lock is of wood and its clutches are of metal, even if only one of them is so, it is susceptible to impurity, but if the lock is of metal and its clutches are of wood, it is clean. If a ring was of metal and its seal of coral, it is susceptible to impurity, but if the ring was of coral and its seal of metal, it is clean. The tooth in the plate of a lock or in a key is susceptible to impurity by itself.", + "If Ashkelon grappling-irons were broken but their hooks remained, they remain susceptible to impurity. If a pitch-fork, winnowing-fan, or rake, and the same applies to a hair-comb, lost one of its teeth and it was replaced by one of metal, it is susceptible to impurity. And concerning all these Rabbi Joshua said: the scribes have here introduced a new principle of law, and I have no explanation to offer.", + "A flax-comb: if the teeth were missing but two remained, it is still susceptible to impurity. If only one remained it is clean. As regards all the teeth, each one individually is susceptible to impurity. A wool-comb: if one tooth out of every two is missing it is clean. If three consecutive teeth remained, it is susceptible to impurity. If the outermost tooth was one of them, the comb is clean. If two teeth were removed from the comb and made into a pair of tweezers, they are susceptible to impurity. Even if only one was removed but it was adapted to be used for a lamp or as a stretching-pin, it is susceptible to impurity." + ], + [ + "What is the minimum size of [broken] metal vessels [for them to be susceptible to impurity]? A bucket must be of such a size as to draw water with it. A kettle must be such as water can be heated in it. A boiler, such as can hold selas. A cauldron, such as can hold jugs. Jugs, such as can hold perutahs. Wine-measures, such as can measure wine; and oil-measures, such as can measure oil. Rabbi Eliezer says: the size for all these is such as can hold perutahs. Rabbi Akiva says: a vessel that lacks trimming is susceptible to impurity, but one that lacks polishing is clean.", + "A staff to the end of which he attached a nail like an axe is susceptible to impurity. If the staff was studded with nails it is susceptible to impurity. Rabbi Shimon ruled: only if he put in three rows. In all cases where he put them in as ornamentation the staff is clean. If he attached a tube to its end, and so also in the case of a door, it is clean. If it was once an independent vessel and then it was fixed to the staff, it remains susceptible to impurity. When does it become pure? Bet Shammai says: when it is damaged; And Bet Hillel says: when it is joined on.", + "A builder's staff and a carpenter's axes are susceptible to impurity. Tent-pegs and surveyors’ pegs are susceptible to impurity. A surveyor's chain is susceptible to impurity, but one used for wood is clean. The chain of a big bucket [is susceptible to impurity to a length of] four handbreadths, and that of a small one [to a length of] ten handbreadths. A blacksmith's jack is susceptible to impurity. A saw whose teeth were made in a hole susceptible to impurity, but if they were turned from below upwards it is clean. All covers are clean except that of a boiler.", + "The parts of a wagon that are susceptible to impurity: the metal yoke, the cross-bar, the side-pieces that hold the straps, the iron bar under the necks of the cattle, the pole-pin, the metal girth, the trays, the clapper, the hook, and any nail that holds any of its parts together.", + "The clean parts of a wagon are the following: the yoke that is only plated [with metal], side-pieces made for ornamentation, tubes that give out a noise, the lead at the side of the necks of the cattle, the rim of the wheel, the plates and mountings, and all other nails, all of these are clean. Metal shoes of cattle are susceptible to impurity but those made of cork are clean. When does a sword become susceptible to impurity? When it has been polished. And a knife? When it has been sharpened.", + "A metal basket-cover which was turned into a mirror: Rabbi Judah rules that it is clean. And the sages rule that it is susceptible to impurity. A broken mirror, if it does not reflect the greater part of the face, is clean.", + "Metal vessels remain unclean and become clean even when broken, the words of Rabbi Eliezer. Rabbi Joshua says: they can be made clean only when they are whole. How so? If they were sprinkled upon and on the same day they were broken and then they were recast and sprinkled upon on the same day, they are clean, the words of Rabbi Eliezer. Rabbi Joshua says: there can be no effective sprinkling earlier than on the third and the seventh day.", + "A knee-shaped key that was broken off at the knee is clean. Rabbi Judah says that it is unclean because one can open with it from within. A gamma-shaped key that was broken off at its shorter arm is clean. If it retained the teeth and the gaps it remains unclean. If the teeth were missing it is still unclean on account of the gaps; if the gaps were blocked up it is unclean on account of the teeth. If the teeth were missing and the gaps were blocked up, or if they were merged into one another, it is clean. If in a mustard-strainer three holes in its bottom were merged into one another the strainer is clean. A metal mill-funnel is unclean." + ], + [ + "Vessels of wood, leather, bone or glass: those that are flat are clean and those that form a receptacle are susceptible to impurity. If they are broken they become clean again. If one remade them into vessels they are susceptible to impurity henceforth. A chest, a box, a cupboard, a straw basket, a reed basket, or the tank of an Alexandrian ship, that have flat bottoms and can hold a minimum of forty se'ah in liquid measure which represent two kor in dry measure, are clean. All other vessels whether they can contain the minimum or cannot contain it, are susceptible to impurity, the words of Rabbi Meir. Rabbi Judah says: the tub of a wagon, the food chests of kings, the tanners trough, the tank of a small ship, and an ark, even though they are able to contain the minimum, are susceptible to impurity, since they are intended to be moved about with their contents. As to all other vessels, those that can contain the minimum are clean and those that cannot contain it are susceptible to impurity. There is no difference between Rabbi Meir and Rabbi Judah except a baking trough which belongs to a householder.", + "Bakers’ baking-boards are susceptible to impurity, but those used by householders are clean. But if he dyed them red or saffron they are susceptible to impurity. If a bakers’ shelf was fixed to a wall: Rabbi Eliezer rules that it is clean And the sages rule that it is susceptible to impurity. The bakers' frame is susceptible to impurity but one used by householders is clean. If he made a rim on its four sides it is susceptible to impurity, but if one side was open it is clean. Rabbi Shimon says: if he fixed it so that one can cut the dough upon it, it is susceptible to impurity. Similarly, a rolling-pin is susceptible to impurity.", + "The container of the flour-dealers’ sifter is susceptible to impurity, but the one of a householder is clean. Rabbi Judah says: also one that is used by a hairdresser is susceptible to impurity as a seat, since girls sit in it when their hair is dressed.", + "All hangers are susceptible to impurity, except for those of a sifter and a sieve that are used by householders, the words of Rabbi Meir. But the sages say: all hangers are clean, excepting those of a sifter of flour-dealers, of a sieve used in threshing-floors, of a hand-sickle and of a detective's staff, since they aid when the instrument is in use. This is the general rule: [a hanger] that is intended to aid when the instrument is in use is susceptible to impurity and one intended to serve only as a hanger is clean.", + "The grist-dealers’ shovel is susceptible to impurity but the one used in grain stores is clean. The one used in wine- presses is susceptible to impurity but that used in threshing- floors is clean. This is the general rule: [a shovel] that is intended to hold anything is susceptible to impurity but one intended only to heap stuff together is clean.", + "Ordinary harps are susceptible to impurity, but the harps of Levites are clean. All liquids are susceptible to impurity, but the liquids in the Temple slaughtering house are clean. All scrolls convey impurity to the hands, excepting the scroll of the Temple courtyard. A wooden toy horse is clean. The belly-lute, the donkey-shaped musical instrument and the erus are susceptible to impurity. Rabbi Judah says: the erus is susceptible to sitting impurity since the wailing woman sits on it. A weasel-trap is susceptible to impurity, but a mouse- trap is clean." + ], + [ + "A wooden vessel that was broken into two parts becomes clean, except for a folding table, a dish with compartments for [different kinds of] food, and a householder's footstool. Rabbi Judah says: a double dish and a Babylonian drinking vessel are subject to the same law. When do wooden vessels begin to be susceptible to impurity? A bed and a cot, after they are sanded with fishskin. If the owner determined not to sand them over they are susceptible to impurity. Rabbi Meir says: a bed becomes susceptible to impurity as soon as three rows of meshes have been knitted in it.", + "Wooden baskets [become susceptible to impurity] as soon as their rims are rounded off and their rough ends are smoothed off. But those that are made of palm-branches [become susceptible to impurity] even though their ends were not smoothed off on the inside, since they are allowed to remain in this condition. A basket [of reed-grass becomes susceptible to impurity] as soon as its rim is rounded off, its rough ends are smoothed off, and its hanger is finished. A wicker basket flasks or for cups [is susceptible to impurity] even if the rough ends were not smoothed off on the inside, since these are allowed to remain in this condition.", + "Small reed baskets and baskets [become susceptible to impurity] as soon as their rims are rounded off and their rough ends are smoothed off. Large reed baskets and large hampers, as soon as two rows have been made round their sides. The container of a sifter or a sieve and a cup of the balances, as soon as one circling band has been made round their sides. A willow basket, as soon as two twists have been made around its wide sides. And a rush basket, as soon as one twist has been made round it.", + "When do leather vessels become susceptible to impurity?A leather pouch, as soon as its hem has been stitched, its rough ends trimmed and its straps sewn on. Rabbi Judah says: so soon as its ears have been sewn on. A leather apron [becomes susceptible to impurity] as soon as its hem has been stitched, its rough end trimmed and its strings sewn on. Rabbi Judah says: as soon as its loops have been sewn on. A leather bed cover [becomes susceptible] as soon as its hem has been stitched and its rough ends trimmed. Rabbi Judah says: as soon as its straps have been sewn on. A leather cushion or mattress [becomes susceptible] as soon as its hem has been stitched and its rough ends trimmed. Rabbi Judah says: as it has been sew up and less than five handbreadths remained open.", + "A basket [for figs] is susceptible to uncleanness but a basket for wheat is clean. Small baskets made of leaves are clean, but those made of branches are susceptible to uncleanness. The palm wrapping [in which dates are left] and into which they can be easily put and from which they can easily be taken out is susceptible to uncleanness, but if this cannot be done without tearing it or undoing it, it is clean.", + "The leather glove of winnowers, travelers, or flax workers is susceptible to uncleanness. But the one for dyers or blacksmiths is clean. Rabbi Yose says: the same law applies to the glove of grist dealers. This is the general rule: that which is made for holding anything is susceptible to uncleanness, but that which only affords protection against perspiration is clean.", + "The dung bag of a bull and its muzzle, a bee shelf, and a fan are clean. The cover of a small box is susceptible to uncleanness; The cover of a clothes chest is clean. The cover of a box, the cover of a basket, a carpenter's vice, a cushion under a box or its arched cover, a reading-desk for a book, a bolt-socket, a lock-socket, a mezuzah case, a lyre case, a violin case, the block of the turban-makers, a wooden musical toy horse, the clappers of a wailing woman, a poor man's parasol, bed posts, a tefillin mould, and the mould of string makers all these are clean. This is the general rule which Rabbi Yose stated: all objects that serve as a protection to objects that a man uses, both when the latter are in use and when they are not in use, are susceptible to uncleanness; but those that serve them as a protection only when the latter are in use are clean.", + "The sheath of a sword, a knife or a dagger, the case for scissors, or shears or a razor, the case of make-up and the make-up box, the stylus case, the compass case, the tablet case, the case for a board, a quiver and a javelin case all these are susceptible to uncleanness. The case for a double flute is susceptible to uncleanness if the instrument is put in from above, but if it is put in from the side it is clean. A case for flutes Rabbi Judah says it is clean because these are put in from the side. The covering of a club, a bow or a spear is clean. This is the general rule: that which serves as a case is susceptible to uncleanness, but that which is merely a covering is clean." + ], + [ + "All [wooden] vessels that belong to householder [become clean if the holes in them are] the size of pomegranates. Rabbi Eliezer says: [the size of the hole depends] on what it is used for. Gardeners’ vegetable baskets [become clean if the holes in them are] the size of bundles of vegetables. Baskets of householders [become clean if the holes in them are] the size of [bundles] of straws. Those of bath-keepers, if bundles of chaff [will drop through]. Rabbi Joshua says: in all these the size is that of pomegranates.", + "A skin bottle [becomes clean if the holes in it are of] a size through which warp-stoppers [can fall out]. If a warp-stopper cannot be held in, but it can still hold a woof-stopper it remains unclean. A dish holder that cannot hold dishes but can still hold trays remains unclean. A chamber- pot that cannot hold liquids but can still hold excrements remains unclean. Rabban Gamaliel rules that it is clean since people do not usually keep one that is in such a condition.", + "Bread-baskets [become clean if] the size [of their hole is such] that loaves of bread [would fall through]. Papyrus frames through into which reeds were inserted from the bottom upwards to strengthen them, are clean. If he fixed walls to it, they are susceptible to impurity. Rabbi Shimon says: if it cannot be lifted up by these walls it is clean.", + "The pomegranates of which they have spoken--three attached to one another. Rabban Shimon ben Gamaliel says: in a sifter or a sieve [the size of the hole must be such that a pomegranate will drop out] when one picks it up and walks about with it. In a basket it must be such [as would allow a pomegranate] to fall through while one hangs it behind him. And all other vessels which cannot hold pomegranates as, for instance, the quarter kav measure and the half quarter kav measure, and small baskets, the size [of their holes must be] such as would extend over the greater part of them, the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says: [the size of their hole must be such that] olives [could fall through]. If their sides were broken [the size of their hole must be] such as olives would drop through. If they are worn away the size must be such as would allow the objects which are usually kept in them [to drop through].", + "The pomegranate of which they spoke refers to one that is neither small nor big but of moderate size. And why did they mention the pomegranates of Baddan? That whatever their quantity they cause [other pomegranates] to be forbidden, the words of Rabbi Meir. Rabbi Yohanan ben Nuri said: to use them as a measure for holes in vessels. Rabbi Akiva said: they were mentioned for both reasons: that they are to be used as a measure for holes in vessels and that whatever their quantity they cause [other pomegranates] to be forbidden. Rabbi Yose said: the pomegranates of Baddan and the leeks of Geba were mentioned only to indicate that they must be tithed everywhere with certain tithe.", + "The egg of which they spoke it is one that is neither big nor small but of moderate size. Rabbi Judah says: the largest and the smallest must be brought and put in water and the displaced water is then divided. Rabbi Yose says: but who can tell me which is the largest and which is the smallest? Rather, it all depends on the observer's estimate.", + "The dried fig of which they spoke--- it is one that is neither big nor small but of moderate size. Rabbi Judah says: the biggest in the land of Israel is like one of medium size in other lands.", + "The olive of which they spoke it is one that is neither big nor small but of moderate size the egori. The barleycorn of which they spoke it is one that is neither big nor small but of moderate size the midbarit The lentil of which they spoke it is one that is neither big nor small but of moderate size--the egyptian kind. \"Any movable object conveys uncleanness if it is of the thickness of an ox goad\" it is one that is neither big nor small but of moderate size. What is meant by \"one of moderate size?\" One whose circumference is just a handbreadth.", + "The cubit of which they spoke is one of medium size. There were two standard cubits in Shushan Habirah, one in the north-eastern corner and the other in the south-eastern corner. The one in the north-eastern corner exceeded that of Moses by half a fingerbreadth, while the one in the south-eastern corner exceeded the other by half a fingerbreadth, so that the latter exceeded that of Moses by a fingerbreadth. But why were there a larger and a smaller cubit? Only for this reason: so that craftsmen might take their orders according to the smaller cubit and return their finished work according to the larger cubit, so that they might not be guilty of any possible trespassing of Temple property.", + "Rabbi Meir says: all cubits were of the moderate length except that for the golden altar, the horns, the surround and the base. Rabbi Judah says: the cubit used for the building was one of six handbreadths and that for the vessels one of five handbreadths.", + "Sometimes they stated a smaller measure: Liquid and dry measures were measured with the Italian standard which was the one that was used in the wilderness. Sometimes they stated a measure that varied according to the individual concerned: One who takes the handful of a minhah, One who takes both hands full of incense, One who drinks a cheek full on Yom Kippur, And the two meals for an eruv, The quantity being the food one eats on weekdays and not on Shabbat, the words of Rabbi Meir. Rabbi Judah says: as on Shabbat and not as on weekdays. And both intended to give the more lenient ruling. Rabbi Shimon says: two thirds of a loaf, when three [loaves] are made of a kav. Rabbi Yohanan ben Beroka says: not less than a loaf that is purchased for a pundium when the price of wheat is four se'ah for a sela’.", + "And sometimes they stated a large measure:A ladleful of corpse mould refers to the big ladle of physicians; The split bean in the case of skin disease refers to the Cilician kind; One who eats on Yom Kippur a quantity of the bulk of a large date, refers to the size of the date and its pit; In the case of skins of wine and oil [the holes] must be as big as their large stopper; In the case of a light hole that was not made by man's hands the prescribed size of which is that of a large fist, the reference is to the fist of Ben Batiah Rabbi Yose said: and it is as big as a large human head. And in the case of one made by human hands the prescribed size is that of the large drill in the Temple chamber which is the size of the Italian pondium or the Neronian sela or like the hole in a yoke.", + "All that live in the sea are clean, except the sea-dog because it seeks refuge on dry land, the words of Rabbi Akiba. If one made vessels from what grows in the sea and joined to them anything that grows on land, even if only a thread or a cord, if it is susceptible to uncleanness, they are unclean.", + "The laws of uncleanness can apply to what was created on the first day. There can be no uncleanness in what was created on the second day. The laws of uncleanness can apply to what was created on the third day. No there can be no uncleanness in what was created on the fourth day and on the fifth day, except for the wing of the vulture or an ostrich-egg that is plated. Rabbi Yohanan ben Nuri said: why should the wing of a vulture be different from all other wings? The laws of uncleanness can apply to all that was created on the sixth day.", + "If one made a receptacle whatever its size it is susceptible to uncleanness. If one made a couch or a bed whatever its purpose it is susceptible to uncleanness. If one made a wallet from untanned hide or from papyrus it is susceptible to uncleanness. A pomegranate, an acorn and a nut which children hollowed out to measure dust or fashioned them into a pair of scales, are susceptible to uncleanness, since in the case of children an act is valid though an intention is not.", + "The beam of a balance and a leveler that contain a receptacle for metal, carrying-stick that has a receptacle for money, a beggar's cane that has a receptacle for water, and a stick that has a receptacle for a mezuzah and for pearls are susceptible to uncleanness. About all these Rabbi Yohanan ben Zakkai said: Oy to me if I should mention them, Oy to me if I don't mention them.", + "The base of the goldsmiths’ anvil is susceptible to uncleanness, but that of the blacksmiths is clean. A whetting-board which has a receptacle for oil is susceptible to uncleanness, but one that has none is clean. A writing-tablet that has a receptacle for wax is susceptible to uncleanness, but one that has none is clean. A straw mat or a tube of straw: Rabbi Akiva rules it is susceptible to uncleanness; But Rabbi Yohanan ben Nuri rules that is it clean. Rabbi Shimon says: the hollow stalk of colocynth is subject to the same law. A mat of reeds or rushes is clean. A reed-tube that was cut for holding anything remains clean until all the pith has been removed." + ], + [ + "A wooden chest: Beth Shammai says: it is measured on the inside; And Bet Hillel says: on the outside. Both agree that the thickness of the legs and the thickness of the rim are not included in the measurement. Rabbi Yose says: both agree that the thickness of the legs and the thickness of the rim are included in the measurement, but the space between them is not included. Rabbi Shimon Shezuri ruled: if the legs are one handbreadth high the space between them is not included in the measurement, otherwise it is included.", + "Its carriage: if it can be slipped off, is not regarded as connected, nor is it included in its measurement, nor does it afford protection together with it in the tent of a corpse, nor may it be drawn along on Shabbat if it contains money. If it cannot be slipped off, it is regarded as connected, it is included in its measurement, it affords protection together with it in the tent of a corpse, it may be drawn along on Shabbat even if it contains money. Its arched top, if it is fixed [to the box], is considered connected and is measured with it, but if it is not fixed it is not connected and is not measured with it. How is it measured? As an ox-head. Rabbi Judah says: if it cannot stand by itself it is clean.", + "If one of the legs was missing from a chest, a box or a cupboard, even though it is still capable of holding [things], it is clean, since it cannot hold [things] in the usual manner. But Rabbi Yose says: it is susceptible to impurity. The poles of a bed, its base, and [its] covering are clean. Only the bed itself and its rectangle [frame] are susceptible to uncleanness. The rectangle frames of the Levites are clean.", + "A bed frame that was put on props: Rabbi Meir and Rabbi Judah say it is susceptible to uncleanness. But Rabbi Yose and Rabbi Shimon say that it is clean. Rabbi Yose said: Why is this different from the rectangle frames of the Levites which are clean?", + "A bed that had contracted midras uncleanness: If a short side was removed and its two legs still remains it is unclean. But if a long side and two legs were removed it becomes clean. Rabbi Nehemiah says: it is unclean. If two props at opposite corners were cut off, or if two legs at opposite corners were cut off, or if the bed was reduced to a level of less than a handbreadth, it becomes clean.", + "A bed that had contracted midras impurity:If a long side of it was broken and then he repaired it, it still retains its midras impurity. If the second side was also broke and then he repaired it, it becomes pure from midras impurity but is unclean by virtue of contact with midras. If before one could manage to repair the first side the second one broke, the bed becomes clean.", + "If a [bed] leg that had contracted midras uncleanness was joined to a bed, all the bed contracts midras uncleanness. If it was subsequently taken off, it retains its midras uncleanness while the bed is unclean from contact with midras. If a bed leg that was subject to a seven-day uncleanness was joined to a bed, all the bed contracts seven-day uncleanness. If it was subsequently taken off it remains subject to seven-day uncleanness while the bed is only subject to evening-uncleanness. If a leg that was subject to evening uncleanness was joined to a bed, all the bed contracts evening uncleanness. If it was subsequently taken off it is still subject to evening uncleanness while the bed becomes clean. The same law applies also to the prong of a mattock.", + "A tefillin box consisting of four vessels: if the first compartment was unloosed, and then he mended it, it retains its corpse uncleanness. So is it also the case with the second and the third. If he unloosed the fourth it becomes free from corpse uncleanness but it is still unclean from contact with corpse uncleanness. If he went back to the first compartment and unloosed and mended it, it remains unclean from contact. So also in the case of the second compartment. If he then unloosed the third compartment and mended it becomes clean, since the fourth is unclean from contact, and what is unclean from contact cannot convey uncleanness by contact.", + "A bed half of which was stolen or lost, or one which brothers or joint owners divided between themselves, becomes clean. If it was restored it is susceptible to uncleanness henceforth. A bed may contract uncleanness and be rendered clean when all its parts are bound together, the words of Rabbi Eliezer. But the sages say: it can contract uncleanness and is rendered clean in single parts." + ], + [ + "One who dismantles a bed in order that he might immerse it and [while doing so] touches the ropes remains clean. When does the rope begin to constitute a connective with the bed? As soon as three rows of meshes of it have been knotted. And [if another rope was tied to this one] and a person touches it: If from the knot inwards he becomes unclean; But if from the knot outwards he remains clean. As to the loose ends of the knot, any one that touches that part which is needed for it becomes unclean. And how much is needed for it? Rabbi Judah says: three fingerbreadths.", + "A rope that hangs out from a bed:If it is shorter than five handbreadths, it is clean, If it is from five to ten handbreadths long, it is unclean. From ten handbreadths and longer is clean; For it is with [this rope] that paschal lambs were tied and beds were lowered down.", + "If a part of a mattress hangs over, it is unclean whatever its length, the words of Rabbi Meir. Rabbi Yose says: only that which is shorter than ten handbreadths. The remnant of a mattress remains unclean if the length is at least seven handbreadths from which a donkey's covering can be made.", + "If a zav was carried on a bed and on its mattress, the latter causes an uncleanness of two grades and an unfitness of one grade, the words of Rabbi Meir. Rabbi Yose says: if a zav was carried on a bed and on its mattress the part that is shorter than ten handbreadths causes an uncleanness of two grades and an unfitness of one grade, but that which is over the ten handbreadths causes only an uncleanness of one grade and an unfitness of one grade. If he was carried on the mattress, [on the overhanging part] that was shorter than ten handbreadths, it becomes unclean, but if on the part that was longer than ten handbreadths it remains clean.", + "If around a bed that had contracted midras uncleanness one wrapped a mattress, the whole becomes subject to midras uncleanness. If it was removed, the bed remains subject to midras uncleanness but the mattress is unclean only from contact with midras. If around a bed that had contracted seven-day uncleanness one wrapped a mattress, the whole becomes subject to seven-day uncleanness. If it was removed, the bed remains subject to seven-day uncleanness but the mattress is unclean until the evening. If the bed was subject to evening uncleanness and around it he wrapped a mattress, the whole becomes subject to evening uncleanness; If it was removed, the bed remains subject to evening uncleanness but the mattress becomes clean.", + "If a mattress was wrapped around a bed and a corpse touched them, they are subject to a seven-day uncleanness; If they are taken apart they are still subject to a seven-day uncleanness. If a sheretz touched them they are subject to an evening uncleanness; If they are taken apart they are still subject to evening uncleanness. A bed from which the two longer sides were removed and two new ones were prepared for it but the original sockets were not changed: If the new sides were broken the bed retains its uncleanness, But if the old ones were broken it becomes clean, since all depends on the old ones.", + "A box whose opening is at the top is susceptible to corpse uncleanness. If a piece fell out above it is still susceptible to corpse uncleanness. If it was damaged below, it becomes clean. The compartments within it remain unclean and are not regarded as a connected to it.", + "If a shepherd's bag was damaged, the pocket within it retains its uncleanness and is not regarded as a connected to it. A skin whose testicle bags serve also as receptacles and they were damaged, they become clean, since they will no longer serve their original purpose.", + "A box whose opening is at the side is susceptible to both midras uncleanness and corpse uncleanness. Rabbi Yose said: When does this apply? When it is less than ten handbreadths in height or when it does not have a rim one handbreadth deep. If it was damaged above it is still susceptible to corpse uncleanness. If it was damaged below: Rabbi Meir rules that it is susceptible to uncleanness. But the sages rule that it is clean because if the primary function ceases the secondary one also ceases.", + "A dung-basket that was so damaged that it will not hold pomegranates: Rabbi Meir says is still susceptible to uncleanness, But the sages say that it is clean because if the primary function ceases the secondary one also ceases." + ], + [ + "Pillows, bed coverings, sacks and packing cases that were damaged are still susceptible to midras uncleanness. A fodder-bag that can hold four kav, a shepherd's bag that can hold five kav, a traveling bag that can hold a se'ah, a skin that can hold seven kav, Rabbi Judah adds: also a spice-bag, and a food wallet that can hold the smallest quantity are susceptible to midras uncleanness. If any of them was damaged it becomes clean, since if the primary function ceases the secondary function also ceases.", + "A bagpipe is not susceptible to midras uncleanness. A trough for mixing mortar: Bet Shammai says: it is susceptible to midras uncleanness , And Bet Hillel says it is susceptible to corpse uncleanness only. If a trough of a capacity from two log to nine kav is split, it becomes susceptible to midras uncleanness. If he left it out in the rain and it swelled it is susceptible to corpse uncleanness alone. [If he left it out] during the east wind and it split, it is susceptible to midras uncleanness. In this respect the law is stricter in the case of remnants of wooden vessels than in [that of such vessels] in their original condition. It is also stricter in regard to the remnants of wicker vessels than [to such vessels] as are in their original condition, for when they are in their original condition they are insusceptible to uncleanness until their rim is finished, but after their rim has been finished, even though their edges fell away leaving only the slightest trace of them, they are unclean.", + "If a stick was used as a handle for a hatchet, it is regarded as connected for uncleanness at the time of use. A yarn winder is regarded as connected for uncleanness at the time of its use. If it was fixed to a pole it is susceptible to uncleanness, but it is not considered connected to it. If the pole itself was converted into a yarn winder, only that part which is needed for use is susceptible to uncleanness. A seat that was fixed to the pole is susceptible to uncleanness, but the latter is not regarded as connected to it. If the pole itself was turned into a seat, only the place of the seat is susceptible to uncleanness. A seat that was fixed to the beam of an olive-press is susceptible to uncleanness, but it is not connected to it. If the end of a beam was turned into a seat it remains clean, because people would tell him, \"Get up and let us do our work.\"", + "If a large trough was so damaged that it could no longer hold pomegranates and he fixed it to be used as a seat: Rabbi Akiva says that it is susceptible to uncleanness, But the sages say that it remains clean unless its rough parts have been smoothed. If it was turned into a feeding bowl for cattle, even if it was fixed to a wall, it is susceptible to uncleanness.", + "A wood block that was fixed to a row on a wall, whether he fixed it and did not built upon it or built upon it but did not fix it, it is susceptible to uncleanness. If he fixed it and also built upon, it is clean. Matting that was spread over the roof-beams, whether he fixed it but did not put on the plasterwork or whether he put on the plasterwork but did not fix it, it is susceptible to uncleanness. If it was fixed and he laid plasterwork over it, it is clean. A dish that was fixed to a chest, box or cupboard: If in such a manner as to hold its contents in the usual way, it is susceptible to uncleanness, But if it was in a manner that it cannot hold its contents in the usual way it is clean.", + "If a sheet that was susceptible to midras uncleanness made into a curtain, it becomes clean from midras uncleanness but it is still susceptible to corpse uncleanness. When does it become insusceptible to [midras] uncleanness? Bet Shammai says: when the loops have been tied to it. . Bet Hillel says: when it has been attached. Rabbi Akiva says: when it has been fixed.", + "A mat whose reeds stretched lengthwise is insusceptible to uncleanness; But the sages rule: only if they lay in the shape of [the Greek letter] chi. If they were laid along its width and there was a distance of less than four handbreadths between the two reeds, it is insusceptible to uncleanness. If it was divided along its width, Rabbi Judah rules that is clean. So also, where the end-knots are untied, it is clean. If it was divided along its length but three end-knots remained intact across a stretch of six handbreadths, it is susceptible to uncleanness. When does a mat become susceptible to uncleanness? When its rough ends are trimmed, this being the completion of its manufacture." + ], + [ + "One who touches the upper beam, the lower beam, the harnesses, the sley, the thread that is drawn over purple material, or a spool which is not to be shot back, remains clean. If he touches the woof, the standing warp, the double thread that is drawn over purple material or a spool which is to be shot back, he becomes unclean. If one touches the wool that is on the distaff, or on the spool, he remains clean. If he touches the spinner: Before it was uncovered he is unclean, After it was uncovered he remains clean.", + "One who touches the yoke, the crossbar, the collar-piece, or the thick ropes, even when they are being used, he remains clean. If he touched the tail piece, knee or handle, he becomes unclean. If he touched the metal rings, the guides, or the flanks, he becomes unclean. Rabbi Judah says that he remains clean if he touched the guides since they only serve to increase the soil.", + "One who touches the handle of a saw at either end becomes unclean; [If he touched] its string, cord, cross-piece or side-pieces, a carpenter's vice, or the bow-handle of a bow-drill, he remains clean. Rabbi Judah says: so too he who touches the frame of a large saw remains clean. One who touches the bow-string or the bow, even though it was stretched, he remains clean. A mole-trap is clean. Rabbi Judah says: when it is stretched, the separate parts are [regarded as] connected." + ], + [ + "If a table or a side-board was damaged or he covered them with marble but room was left for cups to be set, it is unclean. Rabbi Judah ruled: there must be room enough for pieces of food.", + "A table one of whose legs was removed is clean. If a second leg was removed it is still clean. But if a third was removed it becomes unclean where the owner has the intention of using it. Rabbi Yose says: no intention is necessary. The same law applies also to the side-board.", + "A bench, one of whose legs was removed, is clean. If its second leg also was removed it is still clean. If it was one handbreadth high it is unclean. A footstool one of whose legs was removed is unclean. The same applies to the stool in front of a cathedra.", + "A bride's stool which lost the coverings for the seatboards: Bet Shammai rules that it still susceptible to uncleanness, And Bet Hillel rules that it is clean. Shammai rules: even the frame of the stool is susceptible to uncleanness. A stool which was fixed to a kneading-trough, Bet Shammai rules that it susceptible to uncleanness, And Bet Hillel rules that it is clean. Shammai rules: even one made out of it is susceptible to uncleanness.", + "A chair whose seat boards did not project and then they were removed, it is still susceptible to uncleanness, for it is usual to turn it on its side and to sit on it.", + "A chair whose middle seat board was removed but the outer ones remained, it is still susceptible to uncleanness. If the outer ones were removed and the middle seat board remained it is also susceptible to uncleanness. Rabbi Shimon says: only if it was a handbreadth wide.", + "A chair, of which two seat boards were removed, this one next to this one: Rabbi Akiva says: it is susceptible to impurity; And the sages say that it is clean. Rabbi Judah said: so too if the seat boards of a bride's chair were lost, though the receptacle under remained, it is clean, since where the primary function has ceased, the secondary one also ceases.", + "A chest whose top part was removed is still susceptible to uncleanness on account of its bottom; If its bottom was removed it is still susceptible to uncleanness on account of its top part. If both the top part and the bottom part were removed: Rabbi Judah says that it is susceptible to uncleanness on account of its sides, But the sages rule that it is clean. A stonecutter's seat is subject to midras uncleanness.", + "A [wooden] block which was painted red or saffron, or was polished: Rabbi Akiva says that it is susceptible to uncleanness, But the sages say that it remains clean unless [a seat] was carved out. A small basket or a big one that was filled with straw or other soft material remains clean [even] if it was prepared as a seat. But if it was plaited over with reed-grass or with a cord it becomes susceptible to uncleanness.", + "A toilet is subject to both midras and corpse uncleanness. If the leather seat was separated, the leather is subject to midras uncleanness and the iron is subject only to corpse uncleanness. A folding stool whose cover is of leather is subject to both midras and corpse uncleanness. If it was taken apart, the leather is subject to midras uncleanness while the stool is altogether clean. A bath-house bench that has two wooden legs is susceptible to uncleanness. If one leg was of wood and the other of stone it is clean. Boards in a bath-house which were joined together: Rabbi Akiva says that they are susceptible to [midras] uncleanness; But the sages say that they are clean, since they are made only for the water to flow under them. A fumigation-cage that contains a receptacle for garments is susceptible to uncleanness, But one that is made like a bee-hive is clean." + ], + [ + "If a ball, a mould, an amulet or tefillin were torn, one that touches them becomes unclean, But one that touches what is inside them remains clean. If a saddle was torn, one that touches its contents unclean, because the stitching joins them.", + "The following are susceptible to uncleanness as objects that are fit for riding upon (merkav): an Ashkelon donkey belt, a Medean saddle, a camel's pillow, and a horse-cloth. Rabbi Yose says: a horse-cloth is susceptible to uncleanness as a seat, since people stand on it in the arena. But a saddle of a female camel is susceptible to [sitting] uncleanness.", + "What is the practical difference between [the uncleanness of an object used for] riding upon and [one used for] sitting upon? In the case of the former the effect of contact with it is different from the effect of carrying it, but in the case of the latter there is no difference between the effect of coming in contact with it or carrying it. The pack-frame of a donkey on which a zav sat is clean; But if the size of the spaces has been changed or if they have been broken one into another it is susceptible to uncleanness.", + "A bier, the mattress and the pillow of a corpse are susceptible to the uncleanness of midras. A bride's stool, a midwife's stool, and a launderer's stool on which he piles the clothes: Rabbi Yose says: it is not regarded as a seat.", + "A fishing net is susceptible to uncleanness on account of its bag. Nets, snares, bird-traps, slings and fishermen's skeins are susceptible to uncleanness. A fish-trap, a bird-basket and a bird-cage are not susceptible to uncleanness." + ], + [ + "There are three different types of shields:A bent shield is susceptible to midras uncleanness; A shield used in the arena is susceptible to corpse uncleanness; And the Arabian toy shield is pure from all uncleanness.", + "There are three different types of wagons:The one made like a cathedra is susceptible to midras uncleanness; The one made like a bed is susceptible to corpse uncleanness, And the one for [the transport of] stones is free from all uncleanness.", + "There are three different types of baking-troughs:If a baking-trough of a capacity from two log to nine kav was split it is susceptible to midras uncleanness; If it was whole it is susceptible to corpse uncleanness; And if it holds the prescribed measure it is free from all uncleanness.", + "There are three different types of boxes:A box whose opening is at the sides is susceptible to midras uncleanness; If it is on the top it is susceptible to corpse uncleanness; And if it holds the prescribed measure it is free from all uncleanness.", + "There are three different types of leather covers:That of barbers is susceptible to midras uncleanness; That on which people eat is susceptible to corpse uncleanness. And that for [spreading out] olives is free from all uncleanness.", + "There are three different types of bases:One which lies before a bed or before a scribe is susceptible to midras uncleanness; One for a side-table is susceptible to corpse uncleanness; And one for a cupboard is free from all uncleanness.", + "There are three different types of writing tablets:That of papyrus is susceptible to midras uncleanness; That which had a receptacle for wax is susceptible to corpse uncleanness; And that which is smooth is free from all uncleanness.", + "There are three different types of beds:One that is used for lying upon is susceptible to midras uncleanness; One used by glass makers is susceptible to corpse uncleanness; And one used by weavers is free from all uncleanness.", + "There are three different types of baskets:The one for dung is susceptible to midras uncleanness; The one for straw is susceptible to corpse uncleanness; And a camel's rope bag is free from all uncleanness.", + "There are three different types of mats:One used for sitting upon is susceptible to midras uncleanness; One used by dyers is susceptible to corpse uncleanness. And one used in wine-presses is free from all uncleanness.", + "There are three different types of water skins and three different types of shepherds' wallets:Those that can hold the prescribed quantity are susceptible to midras uncleanness; Those that cannot hold the prescribed quantity are susceptible to corpse uncleanness; And those made of fish skin are free from all uncleanness.", + "There are three different types of hides:That which is used as a rug is susceptible to midras uncleanness; That which is used as a wrapper for vessels is susceptible to corpse uncleanness; And that which is intended for straps and sandals is free from all uncleanness.", + "There are three different types of sheets:One used for lying upon is susceptible to midras uncleanness; One used as a curtain is susceptible to corpse uncleanness; And one used as a mural decoration is free from all uncleanness.", + "There are three different types of napkins:One used for hands is susceptible to midras uncleanness; One used for books is susceptible to corpse uncleanness; And the one used as a shroud or a covering for the harps of the Levites is free from all uncleanness.", + "There are three different types of hip-boots:Those used by the hunters of animals and birds are susceptible to midras uncleanness; Those used by locust gatherers are susceptible to corpse uncleanness. And those used by fig-pickers are free from all uncleanness.", + "There are three different types of hair nets:A girl's is susceptible to midras uncleanness; An old woman's is susceptible to corpse uncleanness; And [the hair net] of a woman who \"goes out\" is free from all uncleanness.", + "There are three different types of baskets: If a worn-out basket is patched on to a sound one, all is determined by the sound one; If a small basket is patched on to a large one all is determined by the large one; If they are equal all is determined by the inner one. Rabbi Shimon says: if the cup of a balance was patched on to the bottom of a boiler on the inside, the latter becomes unclean; but if on the outside it remains clean. If it was patched on to the side, whether on the inside or the outside, it remains clean." + ], + [ + "All vessels have [different laws] for outer and inner sides, as for instance, cushions, coverings, sacks and packing-bags, the words of Rabbi Judah. Rabbi Meir says: any vessel that has loops has [different laws] for inner and outer sides but one that has no loops does not have different laws for outer and inner sides. A table and a side-board have [different laws] for outer and inner sides, the words of Rabbi Judah. Rabbi Meir says: they do not have a different law for their outer sides. The same applies to a frame.", + "An ox-goad has different laws for its outer and inner parts, [The outer part is] the seven handbreadths from the broad blade and four handbreadths from the point, the words of Rabbi Judah. Rabbi Meir says: it is not to [subject to such distinction], the four and the seven handbreadths were mentioned only in regard to its remnants.", + "Measures of wine or oil, a fork-ladle, a mustard-strainer and a wine-filter have an outer and inner side, the words of Rabbi Meir. Rabbi Judah says: they do not have. Rabbi Shimon says: they do have, for if their outer parts contracted uncleanness that which is inside remains clean, and immersion is required.", + "If [in a measure consisting of] a quarter [of a log] and half a quarter [of a log] the quarter measure contracted uncleanness, the half-quarter measure does not become unclean, and if the half-quarter contracted uncleanness the quarter does not become unclean. They argued before Rabbi Akiva: since the half quarter measure is the outer part of the quarter measure, should not the outer side of the vessel whose inner side contracted uncleanness become unclean? He answered them: Are you sure that it belongs to the category [of vessels] that have inner [and outer] parts? Perhaps the quarter is to be regarded as the outer side of the half quarter and, surely, the inner side of a vessel does not become unclean if the outer side contracted uncleanness.", + "If the [inside of the] quarter contracted uncleanness, the quarter and its outer side are unclean, but the half quarter and its outer side remain clean. If the [inside of the] half quarter contracted uncleanness, the half quarter and its outer side are unclean, but the quarter and its outer side remain clean. If the outer side of the quarter contracted uncleanness,the outer side of the half quarter remains clean, the words of Rabbi Meir. But the sages say: the outer side cannot be divided. When he immerses the vessel, he must immerse the whole thing.", + "The bases, rims, hangers or handles of vessels that have a receptacle upon which an unclean liquid fell, one dries them and they remain clean. But [if unclean liquid fell] on any part of any other vessel which cannot hold pomegranates (or in which no distinction is made between its outer and inner sides), the whole becomes unclean. If the outer side of a vessel contracted uncleanness from a liquid, only its outer side is unclean but its inner side, rim, hanger and handles remain clean. If its inner side contracted uncleanness the whole is unclean.", + "All vessels have outer and inner sides and have a part by which they are held. Rabbi Tarfon says: this applies only to a large wooden [kneading] trough. Rabbi Akiva says: it applies to cups. Rabbi Meir says: it applies to unclean and clean hands. Rabbi Yose says: they said this only concerning clean hands.", + "How so?If one's hands were clean and the outer side of a cup was unclean, one may hold it by its holding-place and need not be concerned lest his hands have contracted uncleanness from the outer side of the cup. If one was drinking from a cup whose outer side was unclean he need not be concerned lest the liquid in his mouth contracted uncleanness from the outer side of the cup and that it then conveyed uncleanness to the cup. If a kettle was boiling one need not be concerned lest liquid should come out from it and touch its outer side and return again within it.", + "Holy vessels do not have outer and inner sides or a part by which they are held. One may not immerse vessels within one another for sacred use. All vessels become susceptible to uncleanness by intention, but they cannot be rendered insusceptible except by a change-effecting act, for an act annuls an earlier act as well as an earlier intention, but an intention annuls neither an earlier act nor an earlier intention." + ], + [ + "An Imki sandal and a laced-up bag, Rabbi Judah says: also an Egyptian basket; Rabban Shimon ben Gamaliel says: also to a Lattakian sandal can be made susceptible to uncleanness and again be made insusceptible without the aid of a craftsman. Rabbi Yose said: But can't all vessels be made susceptible to uncleanness and again insusceptible without the aid of a craftsman? Rather, these, even when they are unlaced are susceptible to uncleanness since a layman is able to restore them. They spoke only of an Egyptian basket which even a craftsman cannot [easily] restore.", + "A laced-up bag whose laces were removed is still susceptible to uncleanness; But if it was made flat it is pure. If a strip of cloth has been put on it below, it is susceptible. If a bag was within another bag and one of them became unclean from a liquid, the other does not become unclean. A pearl pouch is susceptible to uncleanness. A money pouch: Rabbi Eliezer says that it is susceptible to uncleanness, But the sages say that it is pure.", + "The hand-coverings of thorn-pickers are pure. A belt and leg guards are susceptible to uncleanness. Sleeves are susceptible to uncleanness. But hand-coverings are pure. All finger-coverings are pure except that of fig-pickers, since the latter holds the sumac berries. If it was torn, if it cannot hold the greater part of a sumac berry it is pure.", + "A sandal, one of whose holes was broken but was then fixed, retains its midras uncleanness. If a second hole was broken and it was fixed, it is free from midras uncleanness but is unclean from contact with midras. If the second hole was broken before the first could be mended, it is clean. If its heel was torn off, or if its toe-piece was removed, or if it was torn in two, it becomes clean. A heel-less slipper that was torn anywhere becomes clean. A shoe that was damaged becomes clean if it cannot contain the greater part of the foot. A shoe that is still on the last: Rabbi Eliezer says: it is insusceptible to uncleanness, But the sages say that it is susceptible. All water skins whose holes have been tied up are insusceptible to uncleanness, except for Arabian ones. Rabbi Meir says: if they are tied up for a while, they are clean; but if they are tied with a permanent knot they are unclean. Rabbi Yose says: all tied up water skins are clean.", + "The following hides are susceptible to midras uncleanness: A hide which he intended to use as a rug, A hide used as an apron, A hide used as the lower covering of a bed, A hide used by a donkey-driver, A hide used by a flax-worker, A hide used by a porter, A hide used by a doctor, A hide used for a crib, A hide put over a child's chest, A hide for a cushion. A hide for a covering. All these are susceptible to midras uncleanness. A hide for wrapping up combed wool and a hide worn by a wool-comber: Rabbi Eliezer says it is susceptible to midras, But the sages say that it is susceptible to corpse uncleanness only.", + "A bag or wrapper for garments is susceptible to midras. A bag or wrapper for purple wool: Bet Shammai says: it is susceptible to midras, But Bet Hillel says: it is susceptible only to corpse uncleanness. A hide which was made to be a covering for vessels is not susceptible to uncleanness, but for weights it is susceptible. Rabbi Yose says in the name of his father that it is pure.", + "Whenever no act is lacking, intention alone causes a vessel to be susceptible to uncleanness, But whenever an act is lacking, intention alone does not render it susceptible to uncleanness, except for a fur cover.", + "The hides of a householder become susceptible to uncleanness by intention, but those that belong to a tanner do not become susceptible by mere intention. Those taken by a thief become susceptible by intention, but those taken by a robber do not become susceptible by mere intention. Rabbi Shimon says: the rule is to be reversed; those taken by a robber become susceptible by mere intention, but those taken by a thief do not become susceptible by intention, since in the latter case the owner does not abandon hope for recovery.", + "If a hide had contracted midras uncleanness and its owner then intended it to be used for straps or sandals, it becomes clean as soon as he put the knife to it, the words of Rabbi Judah. But the sages say: it does not become clean until he has reduced its size to less than five handbreadths. Rabbi Elazar bar Zadok says: even if one made a napkin from a hide it remains unclean, But if [he made one from] a covering it becomes clean." + ], + [ + "Cloth is susceptible to five categories of uncleanness; Sack-cloth is susceptible to four; Leather to three; Wood to two; And an earthenware vessel to one. An earthenware vessel is susceptible to uncleanness [only] as a receptacle; any earthen vessel that has no inner part is not susceptible to uncleanness from its outer part. Wood is subject to an additional form of uncleanness in that it is also susceptible to uncleanness as a seat. Similarly a tablet which has no rim is susceptible to uncleanness if it is a wooden object and insusceptible if it is an earthenware one. Leather is susceptible to an additional form of uncleanness in that it is also susceptible to the uncleanness of a tent. Sack-cloth has an additional form of uncleanness in that it is susceptible to uncleanness as woven work. Cloth has an additional form of uncleanness in that it is susceptible to uncleanness when it is only three by three fingerbreadths.", + "Cloth is susceptible to midras uncleanness when it is three handbreadths by three handbreadths, and to corpse uncleanness when it is three fingerbreadths by three fingerbreadths. Sack-cloth when it is four handbreadths by four handbreadths. Leather, five handbreadths by five handbreadths. And matting, six handbreadths by six handbreadths. [All of these] are equally susceptible to both midras and corpse uncleanness. Rabbi Meir says: what remains of sack-cloth is susceptible to uncleanness if it is four handbreadths, but when in its first condition [it becomes susceptible only after its manufacture] is completed.", + "If one made up a piece of material from two handbreadths of cloth and one of sack-cloth, or of three of sack-cloth and one of leather or four of leather and one of matting, it is not susceptible to uncleanness. If the piece of material was made up of five handbreadths of matting and one of leather or four of leather and one of sack-cloth, or three of sack-cloth and one of cloth it is susceptible to uncleanness. This is the general rule: if the material added is subject to greater restrictions it is susceptible to uncleanness, but if the material added was subject to lesser restrictions it is not susceptible.", + "If one cut off from any of these a piece one by one handbreadth it is susceptible to uncleanness. [If one cut off a one by one handbreadth piece] from the bottom of a basket it is susceptible to uncleanness. If one cut off from the sides of the basket: Rabbi Shimon says that it is not susceptible to uncleanness, But the sages say one who cuts off a square handbreadth from anywhere, it is susceptible to uncleanness.", + "Worn-out pieces of a sifter or a sieve that were adapted for use as a seat: Rabbi Akiva rules that they are susceptible to uncleanness, But the sages rule that they are not susceptible unless their rough ends were cut off. A child's stool that has legs, even though it is less than a handbreadth high, is susceptible to uncleanness. A child's shirt: Rabbi Eliezer rules it is susceptible to uncleanness at any size. But the sages rule: it is susceptible only if it is of the prescribed size, and it is measured when doubled over.", + "The following are measured when doubled: Felt socks, long stockings, pants, a cap and a money-belt. As regards a patch sewn on the hem, if it was simple it is measured simple, but if it was doubled it is measured when doubled.", + "If a piece of cloth was woven to the size of three by three handbreadths, and then it contracted midras uncleanness, and then he completed the rest of the piece, and then one removed a single thread from the original part, it is free from midras uncleanness but is still unclean from contact with midras uncleanness. If he removed a thread from the original part and then he finished the whole cloth, it is still unclean from contact with midras uncleanness.", + "Similarly, if a piece of cloth was woven to the size of three [fingerbreadths] square, and it contracted corpse uncleanness, and afterwards he finished the entire piece, and then he removed a single thread from its original part, it is free from corpse uncleanness but is still unclean from contact with corpse uncleanness. If a thread was removed from the original part and then all the cloth was finished it remains clean, for the sages have ruled: if a piece of three [fingerbreadths] square is lessened it becomes clean. But if one of three handbreadths square is lessened, even though it is released from midras, it is still susceptible to all other forms of uncleanness.", + "If a sheet that had contracted midras uncleanness was made into a curtain, it is pure from midras uncleanness but is still unclean from contact with midras uncleanness. Rabbi Yose said: but what midras uncleanness has this touched! Only if a zav had touched it is it unclean from contact with a zav.", + "If a piece of cloth three [handbreadths] square was divided, it is pure from midras uncleanness but is still unclean from contact with midras uncleanness. Rabbi Yose said: but what midras uncleanness has this touched! Only if a zav had touched it is it unclean from contact with a zav.", + "If a piece of cloth three [handbreadths] square [was found] in a rubbish heap it must be both sound and capable of wrapping up salt; But [if it was found] in the house it need only be either sound or capable of wrapping up salt. How much salt must it be capable of wrapping up? A quarter of a kav. Rabbi Judah says: this refers to fine salt, But the sages stated: it refers to coarse salt. Both intended to be lenient. Rabbi Shimon says: the law concerning a piece of cloth three [handbreadths] square found in a rubbish heap is the same as that for a piece of cloth that was three [fingerbreadths] square in a house.", + "[A piece of cloth] three [handbreadths] square that was torn: if he put it on a chair, and his skin touches the chair, it is pure; And if not, it remains impure. [A piece of cloth] three [fingerbreadths] square one thread of which was worn away, or in which a knot was found, or in which two threads ran alongside each other, is pure. [A piece of cloth] three [fingerbreadths] square that was thrown on the rubbish heap becomes pure. If he brought it back, it it becomes susceptible to uncleanness. Throwing it away always renders it pure and taking it back renders it susceptible to uncleanness, except when it is of purple or fine crimson. Rabbi Eliezer says: a patch of new cloth is also subject to the same law. Rabbi Shimon says: all these materials become pure; they were mentioned only in connection with the return of lost property." + ], + [ + "[A piece of cloth] three [fingerbreadths] square that was stuffed into a ball or was itself made into a ball is clean. But [a piece of cloth] three [handbreadths] square that was stuffed into a ball remains unclean. If he made it into a ball itself, it is clean because the sewing reduces its size.", + "[A piece of cloth] less than three [handbreadths] square that was adapted for the purpose of stopping up a hole in a bath house, of emptying a cooking-pot or of wiping with it the mill stones, whether it was or was not kept in readiness for any such use, is susceptible to uncleanness, the words of Rabbi Eliezer. Rabbi Joshua says: whether it was or was not kept in readiness it is pure. Rabbi Akiba ruled: if it was kept in readiness it is susceptible, and if it was not kept in readiness it is pure.", + "If a bandage is made of cloth or leather it is pure. (Rabbi Yose says: with leather it is pure.) A poultice is pure if it is on cloth, but if on leather it is susceptible. Rabban Shimon ben Gamaliel says: even if it was on cloth it remains susceptible to uncleanness because it can be shaken off.", + "Covers of scrolls, whether they are decorated or not, are susceptible to uncleanness according to the view of Bet Shammai. Bet Hillel says: those that are decorated are pure, but those that are not decorated are susceptible. Rabban Gamaliel says: both the former and the latter are pure.", + "If a head-wrap that had contracted midras uncleanness was wrapped around a scroll, it is released from midras uncleanness but it remains susceptible to corpse uncleanness. A skin that was made into a rug or a rug that was made into a skin becomes clean. A skin that was made into a [shepherd's] wallet or a [shepherd's] wallet that was made into a skin; Or a cushion cover that was made into a sheet or a sheet that was made into a cushion cover; Or a sheet cover that was made into a plain sheet or a plain sheet that was made into a sheet cover, remains unclean. This is the general rule: any object that has been changed into one of the same class remains unclean, but if into one of another class it becomes clean.", + "If a patch was sewn on to a basket, it conveys one grade of uncleanness and one of unfitness. If it was separated from the basket, it conveys one grade of uncleanness and one of unfitness, but the patch becomes clean. If it was sewn on to cloth it conveys two grades of uncleanness and one of unfitness. If it was separated from the cloth, it conveys one grade of uncleanness and one of unfitness, while the patch conveys two grades of uncleanness and one of unfitness. The same law applies to a patch was sewn on to sacking or leather, the words of Rabbi Meir. Rabbi Shimon says that it is clean. Rabbi Yose says: if [it was sewn] on leather it becomes clean; but if on sacking it remains unclean, since the latter is a woven material.", + "The three (fingerbreadths) square of which they have spoken do not include the hem, the words of Rabbi Shimon. But the sages say: exactly three [fingerbreadths] square. If a patch was sewn on to a cloth by one side only, it is not considered as connected. If it was sewn on by two opposite sides, it is considered connected. If it was sewn on the shape of a gamma: Rabbi Akiva says that the cloth is unclean, But the sages say that it is clean. Rabbi Judah stated: When does this apply? To a cloak, but in the case of an undershirt the patch is regarded as connected if it was sewn by its upper side, but if by its lower side it is not connected.", + "Poor men's clothes, though made up of pieces none of which is three [fingerbreadths] square are susceptible to midras uncleanness. If a cloak began to be torn, as soon as its greater part is torn [the pieces] are not regarded as connected. Exceptionally thick or thin materials are not governed by the prescribed minimum of three [fingerbreadths] square.", + "A porter's pad is susceptible to midras uncleanness. A wine filter is not susceptible to uncleanness as a seat. An old woman's hair-net is susceptible to uncleanness as a seat. A prostitute's shirt which is woven like a net is not susceptible to uncleanness. A garment made of fishing net is not susceptible to uncleanness, but one made of its bag is susceptible. Rabbi Eliezer ben Jacob says: if a garment is made out of a fishing net but is made double it is susceptible to uncleanness.", + "A hair-net that one began to make from its upper hem remains pure until its bottom section is finished. If one began from its bottom section, it remains pure until its hem is finished. Its head band is susceptible to uncleanness in itself. Its strings are susceptible to uncleanness because they are connected. A hair-net that is torn becomes pure if it cannot contain the greater part of the hair." + ], + [ + "The fringe strings of a sheet, a scarf, a head-wrap and a felt cap [are regarded as connected] up to a length of six fingerbreadths; Those of an undergarment up to ten [fingerbreadths]. The fringes of a thick wool cloak, a veil, a shirt, or a light cloak [are regarded as connected] up to a length of three fingerbreadths. The fringes of an old woman's head-wrap, of Arabian face wraps, of Cilician goat's-hair clothing, of a money-belt, of a turban or of a curtain are regarded as connected whatever their length may be.", + "Three woolen pillow-covers, six linen ones, three sheets, twelve handkerchiefs, two pant-sleeves, one shirt, one cloak, or one winter-cloak, can be regarded as connected in respect of both uncleanness and sprinkling. If they exceed this number they are regarded as connected in respect of uncleanness but not in respect of sprinkling. Rabbi Yose says: not even in respect of uncleanness.", + "The string of a [common] plumb-line is regarded as connected up to a length of twelve [cubits]; That of the carpenters’ plumb-line, up to eighteen [cubits]; And that of the builders’ plumb-line up to fifty cubits. The parts that exceed these lengths, even if it was desired to retain them, are pure. The plumb-line of plasterers or moulders is regarded as connected whatsoever its length.", + "The cord of the balances of goldsmiths or the weighers of fine purple cloth is regarded as a connective up to a length of three fingerbreadths, The handle of an axe behind the grip, up to a length of three fingerbreadths. Rabbi Yose says: if the length behind the grip is no less than one handbreadth the entire handle is unsusceptible to uncleanness.", + "The cord of the balances of shopkeepers or householders is regarded as connected up to a length of one handbreadth. The shaft of an axe in front of the grip, up to one handbreadth. The projection of the shaft of a compass, up to one handbreadth. That of the shaft of the stone-masons’ chisel, one handbreadth.", + "The cord of the balances of wool dealers or of glass-weighers is regarded as connected up to a length of two handbreadths. The shaft of a millstone chisel, up to a length of two handbreadths. The shaft of the battle-axe of the legions, up to a length of two handbreadths. The shaft of the goldsmiths’ hammer, up to a length of two handbreadths. And that of the blacksmiths' hammer, up to three handbreadths.", + "The remnant of the shaft of an ox-goad at its upper end is regarded as connected up to a length of four [handbreadths]. The shaft of a spade, to a length of four [handbreadths]. The shaft of a weeding-spade, to five handbreadths. The shaft of a small hammer, to five handbreadths. That of a common hammer, to six handbreadths. The shaft of an axe used for splitting wood or of one used for digging, to six [handbreadths]. The shaft of the stone-trimmers’ axe, up to six handbreadths.", + "The remnant of the shaft of an ox-goad at its lower end is regarded as connected up to a length of seven handbreadths. The shaft of a householders' shovel Bet Shammai says: to a length of seven handbreadths, And Bet Hillel says: eight handbreadths. That of the plasterers: Bet Shammai says: nine handbreadths And Bet Hillel says: ten handbreadths. Any parts exceeding these lengths, if he wanted to retain it, is also susceptible to uncleanness. The shafts of fire instruments are susceptible to uncleanness whatsoever their length." + ], + [ + "Glass vessels--those that are flat are pure and those that have receptacles are susceptible. After they are broken they become clean. If he again made vessels of them they become susceptible to uncleanness from that point and onward. A glass tray or a flat dish is pure. If it has a rim it is susceptible. The concave bottom of a glass bowl or plate which was adapted for use is pure. If it was polished or scraped with a file it becomes susceptible to uncleanness.", + "A mirror is pure. A tray that was made into a mirror remains susceptible, but if it was originally made to serve as a mirror it is pure. A large [glass] spoon that has been placed on a table is susceptible to uncleanness if it can hold anything whatsoever. But if it cannot do so: Rabbi Akiva says that it is susceptible, And Rabbi Yohanan ben Nuri says that it is pure.", + "A cup the greater part of which is broken off is pure. If it was broken in three places extending over its greater part it is pure. Rabbi Shimon says: if it lets the greater part of the water leak out it is pure. If a hole appeared in it and it was mended with tin or pitch it is pure. Rabbi Yose says: if with tin it is susceptible to uncleanness, but if with pitch it is pure.", + "A small flask whose neck was removed remains susceptible to uncleanness, But a large one whose neck was removed becomes pure. [A small flask] of spikenard oil whose neck was removed becomes pure, since it scratches the hand. Large flagons whose necks were removed remain susceptible to uncleanness, since they are adapted for the use of holding pickled foods. A glass funnel is clean. Rabbi Yose said: Happy are you Kelim; for you began with uncleanness, but you ended with cleanness." + ] + ], + "versions": [ + [ + "Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp", + "http://learn.conservativeyeshiva.org/mishnah/" + ] + ], + "heTitle": "משנה כלים", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Tahorot" + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/Hebrew/Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri.json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/Hebrew/Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..e98ad7f858681e63734ed30425c22b6fe972a0cc --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/Hebrew/Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri.json @@ -0,0 +1,339 @@ +{ + "language": "he", + "title": "Mishnah Kelim", + "versionSource": 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\nזוֹבוֹ שֶׁלַּזָּב, וְרוֹקוֹ, וְשִׁכְבַת זַרְעוֹ, וּמֵימֵי רַגְלָיו, \nוְדַם הַנִּדָּה, \nשֶׁהֵן מְטַמִּין בְּמַגָּע וּבְמַשָּׂא. \nלְמַעְלָה מֵהֶן: \nמִרְכָּב, \nשֶׁהוּא מְטַמֵּא תַחַת אֶבֶן מְסָמָא. \nלְמַעְלָה מִן הַמִּרְכָּב: \nמִשְׁכָּב, \nשֶׁשָּׁוֶה מַגָּעוֹ לְמַשָּׂאוֹ. \nלְמַעְלָה מִן הַמִּשְׁכָּב: \nהַזָּב, \nשֶׁהַזָּב עוֹשֶׂה מִשְׁכָּב, \nוְאֵין מִשְׁכָּב עוֹשֶׂה מִשְׁכָּב. \n", + "ד\nלְמַעְלָה מִן הַזָּב: \nזָבָה, \nשֶׁהִיא מְטַמָּא אֶת בּוֹעֲלָהּ. \nלְמַעְלָה מִן הַזָּבָה: \nמְצֹרָע, \nשֶׁהוּא מְטַמֵּא בַבִּיאָה. \nלְמַעְלָה מִן הַמְּצֹרָע: \nעֶצֶם כִּשְׂעוֹרָה, \nשֶׁהוּא מְטַמֵּא טֻמְאַת שִׁבְעָה. \nחָמוּר מִכֻּלָּם: \nהַמֵּת, \nשֶׁהוּא מְטַמֵּא בְאָהֵל, \nמַה שֶּׁאֵין כֻּלָּם מְטַמִּין. <מִיטַּמִּין>\n", + "ה\nעֶשֶׂר טְמָאוֹת פּוֹרְשׁוֹת מִן הָאָדָם: \nמְחֻסַּר כִּפּוּרִים, אָסוּר בַּקֹּדֶשׁ, \nוּמֻתָּר בִּתְרוּמָה וּבַמַּעֲשֵׂר. \nחָזַר לִהְיוֹת טְבוּל יוֹם, \nאָסוּר בַּקֹּדֶשׁ וּבַתְּרוּמָה, \nוּמֻתָּר בַּמַּעֲשֵׂר. \nחָזַר לִהְיוֹת בַּעַל קֶרִי, \nאָסוּר בִּשְׁלָשְׁתָּן. \n\nו\nחָזַר לִהְיוֹת בּוֹעֵל נִדָּה, \nמְטַמֵּא מִשְׁכָּב תַּחְתּוֹן כָּעֶלְיוֹן. \nחָזַר לִהְיוֹת זָב שֶׁרָאָה שְׁתֵּי רְאִיּוֹת, \nמְטַמֵּא מִשְׁכָּב וּמוֹשָׁב, \nוְצָרִיךְ בִּיאַת מַיִם חַיִּים, \nוּפָטוּר מִן הַקָּרְבָּן; \nרָאָה שָׁלוֹשׁ, חַיָּב בַּקָּרְבָּן. \n\nז\nחָזַר לִהְיוֹת מְצֹרָע מֻסְגָּר, \nמְטַמֵּא בַבִּיאָה, \nוּפָטוּר מִן הַפְּרִיעָה, \nוּמִן הַפְּרִימָה, \nוּמִן הַתִּגְלַחַת, \nוּמִן הַצִּפֳּרִין. \nוְאִם הָיָה מֻחְלָט, \nחַיָּב בְּכֻלָּן. \n\nח\nפָּרַשׁ מִמֶּנּוּ אֵבֶר שֶׁאֵין עָלָיו בָּשָׂר כָּרָאוּי, \nמְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא, \nוְאֵינוּ מְטַמֵּא בְאָהֵל. \nאִם יֵשׁ עָלָיו בָּשָׂר כָּרָאוּי, \nמְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא וּבְאָהֵל. \n\nט\nשֵׁעוּר הַבָּשָׂר, \nכְּדֵי לַעֲלוֹת אֲרוּכָה. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nאִם יֵשׁ בְּמָקוֹם אֶחָד כְּדֵי לְהַקִּיפוֹ בְחוּט עֵרֶב, \nיֵשׁ בּוֹ לַעֲלוֹת אֲרוּכָה. \n", + "י\nעֶשֶׂר קְדֻשּׁוֹת הֵן: \nאֶרֶץ יִשְׂרָאֵל מְקֻדֶּשֶׁת מִכָּל הָאֲרָצוֹת. \nמַה הִיא קְדֻשָּׁתָהּ? \nשֶׁמְּבִיאִין מִמֶּנָּה הָעֹמֶר, וְהַבִּכּוּרִים, וּשְׁתֵּי הַלֶּחֶם, \nמַה שֶּׁאֵין מְבִיאִין כֵּן מִכָּל הָאֲרָצוֹת. \n", + "עֲיָרוֹת מֻקָּפוֹת חוֹמָה מְקֻדָּשׁוֹת מִמֶּנָּה, \nשֶׁמְּשַׁלְּחִין מִתּוֹכָן מְצֹרָעִין, \nוּמְסַבְּבִין לְתוֹכָן מֵת עַד שֶׁיִּרְצוּ; \nיָצָא, אֵין מַחְזִירִין אוֹתוֹ. \n", + "יא\nלִפְנִים מִן הַחוֹמָה מְקֻדָּשׁ מֵהֶן, \nשֶׁאוֹכְלִים שָׁם קָדָשִׁים קַלִּים וּמַעֲשֵׂר שֵׁנִי. \nהַר הַבַּיִת מְקֻדָּשׁ מִמֶּנּוּ, \nשֶׁאֵין זָבִים וְזָבוֹת, נִדּוֹת וְיוֹלְדוֹת נִכְנָסִים לַשָּׁם. \nהַחֵיל מְקֻדָּשׁ מִמֶּנּוּ, \nשֶׁאֵין גּוֹיִם וּטְמֵא מֵת נִכְנָסִין לַשָּׁם. \n\nיב\nעֲזָרַת הַנָּשִׁים מְקֻדֶּשֶׁת מִמֶּנּוּ, \nשֶׁאֵין טְבוּל יוֹם נִכְנָס לַשָּׁם, \nוְאֵין חַיָּבִין עָלֶיהָ חַטָּאת. \nעֲזָרַת יִשְׂרָאֵל מְקֻדֶּשֶׁת מִמֶּנָּה, \nשֶׁאֵין מְחֻסַּר כִּפּוּרִין נִכְנָס לַשָּׁם, \nוְחַיָּבִין עָלֶיהָ חַטָּאת. \nעֲזָרַת הַכֹּהֲנִים מְקֻדֶּשֶׁת מִמֶּנָּה, \nשֶׁאֵין יִשְׂרָאֵל נִכְנָסִין לַשָּׁם אֶלָּא בְשָׁעַת צָרְכֵיהֶן: \nלִסְמִיכָה, לִשְׁחִיטָה, לִתְנוּפָה. \n", + "יג\nבֵּין הָאוּלָם וְלַמִּזְבֵּחַ מְקֻדָּשׁ מִמֶּנָּה, \nשֶׁאֵין בַּעֲלֵי מוּמִין וּפְרוּעֵי רֹאשׁ נִכְנָסִין לַשָּׁם. \nהַהֵיכָל מְקֻדָּשׁ מִמֶּנּוּ, \nשֶׁאֵין נִכְנָס לַשָּׁם אֶלָּא רְחוּץ יָדַיִם וְרַגְלַיִם. \n\nיד\nבֵּית קֹדֶשׁ הַקֳּדָשִׁים מְקֻדָּשׁ מֵהֶן, \nשֶׁאֵין נִכְנָס לַשָּׁם \nאֶלָּא כֹהֵן גָּדוֹל בְּיוֹם הַכִּפּוּרִים בְּשָׁעַת הָעֲבוֹדָה. \nאָמַר רְבִּי יוֹסֵה: \nחֲמִשָּׁה דְבָרִים בֵּין הָאוּלָם וְלַמִּזְבֵּחַ שָׁוֶה לַהֵיכָל: \nשֶׁאֵין בַּעֲלֵי מוּמִין וּפְרוּעֵי רֹאשׁ וּשְׁתוּיֵי יַיִן, \nוְשֶׁלֹּא רְחוּץ יָדַיִם וְרַגְלַיִם נִכְנָסִין לַשָּׁם. \nוּפוֹרְשִׁין בֵּין הָאוּלָם וְלַמִּזְבֵּחַ בְּשָׁעַת הַקְטָרָה. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nכְּלֵי עֵץ, כְּלֵי עוֹר, כְּלֵי עֶצֶם, כְּלֵי זְכוֹכִית, \nפְּשׁוּטֵיהֶן טְהוֹרִין, \nוּמְקַבְּלֵיהֶן טְמֵאִים. \nנִשְׁבָּרוּ, טָהָרוּ. \nחָזַר וְעָשָׂה מֵהֶן כֵּלִים, \nמְקַבְּלִין טֻמְאָה מִכָּן וְלַבָּא. \nכְּלֵי חֶרֶשׂ וּכְלֵי נֶתֶר טֻמְאָתָן שָׁוָה, \nמִטַּמִּין וּמְטַמִּין בְּאָוֵיר, \nוּמִטַּמִּין מֵאַחֲרֵיהֶן, \nוְאֵינָן מִטַּמִּין מִגַּבֵּיהֶן, \nוּשְׁבִירָתָן הִיא טַהֲרָתָן. \n", + "[ב]\nהַדַּקִּין שֶׁבִּכְלֵי חֶרֶשׂ, \nוְקַרְקְרוֹתֵיהֶן, וּדְפָנוֹתֵיהֶן, \nיוֹשְׁבִין עַל שׁוּלֵיהֶן,\nיוֹשְׁבִין שֶׁלֹּא מְסֻמָּכִין: \nשֵׁעוּרָן, מִכְּדֵי סִיכַת קָטָן, וְעַד לֹג. \nמִלֹּג וְעַד סְאָה, בָּרְבִיעִית. \nמִסְּאָה וְעַד סָאתַיִם, כַּחֲצִי לֹג. \nמִסָּאתַיִם וְעַד שָׁלוֹשׁ, וְעַד חָמֵשׁ סְאִים, בַּלֹּג. \nדִּבְרֵי רְבִּי יִשְׁמָעֵאל. \nרְבִּי עֲקִיבָה אוֹמֵר: \nאֲנִי אֵינִי נוֹתֵן בָּהֶן מִדָּה, \nאֶלָּא הַדַּקִּין שֶׁבִּכְלֵי חֶרֶשׂ, \nוְקַרְקְרוֹתֵיהֶן, וּדְפָנוֹתֵיהֶן, \nשֶׁלֹּא מְסֻמָּכִין, \nשֵׁעוּרָן מִכְּדֵי סִיכַת קָטָן, \nוְעַד קְדֵרוֹת הַדַּקּוֹת. \nמִקְּדֵרוֹת הַדַּקּוֹת וְעַד חֲבִיּוֹת לוּדִיּוֹת, \nבָּרְבִיעִית. \nמִלּוּדִיּוֹת וְעַד לַחְמִיּוֹת, בַּחֲצִי לֹג. \nמִלַּחְמִיּוֹת וְעַד חֲצָבִים גְּדוֹלִים, בַּלֹּג.\nרַבָּן יוֹחָנָן בֶּן זַכַּי אוֹמֵר: \nחֲצָבִים גְּדוֹלִים, \nשֵׁעוּרָן כִּשְׁנֵי לָגִּין; \nהַפַּכִּין הַגְּלִילִים וְהַחֲבִיּוֹנוֹת, \nשֵׁעוּר קַרְקְרוֹתֵיהֶן כָּל שֶׁהֵן, \nוְאֵין לָהֶן דְּפָנוֹת. \n", + "ג\nהַטְּהוֹרִים שֶׁבִּכְלֵי חֶרֶשׂ: \nוְטַבְלָה שֶׁאֵין לָהּ לִזְבֵּז, \nוּמַחְתָּה פְרוּצָה, \nוְאַבּוּב שֶׁלַּקַּלָּאִים, \nוְסִלּוֹנוֹת, אַף עַל פִּי כְפוּפִין, \nאַף עַל פִּי מְקַבְּלִין; \nוְכַבְכָּב שֶׁעֲשָׂאוֹ לְסַל הַפַּת, \nוְטָפֵי שֶׁהִתְקִינוֹ לָעֲנָבִים, \nוְחָבִית שֶׁלַּשַּׁיָּטִין, \nוְחָבִית דְּפוּנָה בְשׁוּלֵי הַמַּחַץ, \nוְהַמִּטָּה, \nוְהַכִּסֵּא, \nוְהַסַּפְסֵל, \nוְהַשֻּׁלְחָן, \nוְהַסְּפִינָה, \nוְהַמְּנוֹרָה שֶׁלַּחֶרֶשׂ, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִים. \nזֶה הַכְּלָל: \nכָּל שֶׁאֵין לוֹ תוֹךְ בִּכְלֵי חֶרֶשׂ, \nאֵין לוֹ אֲחוֹרַיִם. \n", + "ד\nפַּנֵס שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית קִבּוּל שֶׁמֶן, טָמֵא, \nוְשֶׁאֵין בּוֹ, טָהוֹר. \nמְגוּפַת הַיּוֹצְרִים שֶׁהוּא פוֹתֵחַ בָּהּ, טְהוֹרָה, \nוְשֶׁהוּא גּוֹמֵר בָּהּ, טְמֵאָה. \nמַשְׁפֵּךְ שֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים, טָהוֹר, \nוְשֶׁלָּרוֹכְלִין, טָמֵא, מִפְּנֵי שֶׁהוּא שֶׁלַמִּדָּה. \nדִּבְרֵי רְבִּי יְהוּדָה בֶן בְּתִירָה. \nרְבִּי עֲקִיבָה אוֹמֵר: \nמִפְּנֵי שֶׁהוּא מַטֵּהוּ עַל צִדּוֹ, \nוּמֵרֵיחַ בּוֹ לַלּוֹקֵחַ. \n", + "ה\nכְּסוּיֵי כַדֵּי יַיִן וְכַדֵּי שֶׁמֶן, \nוּכְסוּיֵי חֲבִית נְיָרוֹת, טְהוֹרִין. \nאִם הִתְקִינָן לְתַשְׁמִישׁ, טְמֵאִין. \nכְּסוּי הַלַּפָּס: \nבִּזְמַן שֶׁהוּא נָקוּב, וְיֵשׁ לוֹ חַדּוּד, טָהוֹר; \nאִם אֵינוּ נָקוּב וְאֵין לוֹ חַדּוּד, טָמֵא, \nמִפְּנֵי שֶׁהִיא מְסַנֶּנֶת לְתוֹכוֹ אֶת הַיָּרָק. \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר בִּרְבִּי צָדוֹק אוֹמֵר: \nמִפְּנֵי שֶׁהִיא הוֹפֶכֶת עָלָיו אֶת הָרוֹנְקֵי. \n", + "ו\nגִּצְטְרָה שֶׁנִּמְצֵאת בַּכִּבְשָׁן, \nעַד שֶׁלֹּא נִגְמְרָה מְלַאכְתָּהּ, טְהוֹרָה; \nמִשֶּׁנִּגְמְרָה מְלַאכְתָּהּ, טְמֵאָה. \nטִטְרוֹס, \nרְבִּי אֶלְעָזָר בִּרְבִּי צָדוֹק מְטַהֵר. \nרְבִּי יוֹסֵה מְטַמֵּא, \nמִפְּנֵי שֶׁהוּא מוֹצִיא פְּרוּטוֹת. \n", + "ז\nהַטְּמֵאִין שֶׁבִּכְלֵי חֶרֶשׂ: \nוְטַבְלָה שֶׁיֶּשׁ לָהֶן לִזְבֵּז, \nוּמַחְתָּה שְׁלֵמָה, \nוְטַבְלָה שֶׁהִיא מְלֵאָה קְעָרוֹת. \nנִטַּמָּאת אַחַת מֵהֶן בַּשֶּׁרֶץ, לֹא נִטַּמּוּ כֻלָּם. \nאִם יֶשׁ לָהּ לִזְבֵּז עוֹדֵף, \nנִטַּמָּאת אַחַת מֵהֶן, נִטַּמּוּ כֻלָּם. \n\nח\nוְכֵן בֵּית תַּבְלִין שֶׁלַּחֶרֶשׂ, \nוְקָלָמָרִין הַמַּתְאֶמֶת. \nבֵּית תַּבְלִין שֶׁלָּעֵץ שֶׁנִּטַּמָּא אֶחָד בְּמַשְׁקֶה, <אַחַת>\nלֹא נִטַּמָּא חֲבֵרוֹ. \nרְבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי אוֹמֵר: \nחוֹלְקִין אֶת עָבְיוֹ, \nהַמְשַׁמֵּשׁ לַטָּמֵא, טָמֵא, \nוְהַמְשַׁמֵּשׁ לַטָּהוֹר, טָהוֹר. \nאִם יֵשׁ עָלָיו לִזְבֵּז עוֹדֵף, \nנִטַּמָּא אֶחָד מֵהֶן, נִטַּמָּא חֲבֵרוֹ. \n", + "ט\nהַלַּפִּיד, טָמֵא. \nוּבֵית שֶׁקָעוֹ שֶׁלַּנֵּר, \nמְטַמֵּא בְאָוֵיר. \nהַמַּסְרֵק שֶׁלַּצַּרְצוּר, \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר, \nוַחֲכָמִים מְטַמִּין. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nשֵׁעוּר כְּלִי חֶרֶשׂ לִטַּהֵר: \nהֶעָשׂוּי לָאֳכָלִים, \nשֵׁעוּרוֹ בַזֵּיתִים. \nהֶעָשׂוּי לַמַּשְׁקִין, \nשֵׁעוּרוֹ בַמַּשְׁקִין. \nהֶעָשׂוּי לְכָךְ וּלְכָךְ, \nמְטִילִין אוֹתוֹ לְחָמְרוֹ בַזֵּיתִין. \n", + "ב\nחָבִית, \nשֵׁעוּרָהּ בִּגְרוֹגְרוֹת. <כִּגְרוֹגֶרֶת> \nדִּבְרֵי רְבִּי שִׁמְעוֹן. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nבָּאֱגוֹזִים. \nרְבִּי מֵאִיר אוֹמֵר: \nבַּזֵּיתִין. \nהַלַּפָּס וְהַקְּדֵרָה, \nשֵׁעוּרָן בַּזֵּיתִים. \nהַפַּךְ וְהַטָּפִי, \nשֵׁעוּרָן בַּשֶּׁמֶן. \nהַצַּרְצוּר, \nשֵׁעוּרוֹ בַמַּיִם. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nשְׁלָשְׁתָּן בַּזֵּרְעוֹנִים. \n\nג\nנֵר, שֵׁעוּרוֹ בַשֶּׁמֶן. \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר: \nבִּפְרוּטָה קְטַנָּה. \nנֵר שֶׁנִּטַּל פִּיו, \nטָהוֹר, \nוְשֶׁלָּאֲדָמָה שֶׁהֻסַּק פִּיו בַּפְּתִילָה, \nטָהוֹר. \n", + "ד\nחָבִית שֶׁנִּקָּבָה וַעֲשָׂאָהּ בַּזֶּפֶת, וְנִשְׁבָּרָה, \nאִם יֵשׁ בִּמְקוֹם הַזֶּפֶת מַחְזִיק רְבִיעִית, \nטְמֵאָה, \nמִפְּנֵי שֶׁלֹּא בָטַל שֵׁם כֶּלִי מֵעָלֶיהָ. \nחֶרֶשׂ שֶׁנִּקַּב וַעֲשָׂאוֹ בַזֶּפֶת, \nאַף עַל פִּי מַחֲזִיק רְבִיעִית, \nטָהוֹר, \nמִפְּנֵי שֶׁבָּטַל שֵׁם כֶּלִי מֵעָלָיו. \n", + "ה\nחָבִית שֶׁנִּתְרוֹעָעָה וּטְפָלָהּ בַּגְּלָלִים, \nאַף עַל פִּי שֶׁהוּא נוֹטֵל אֶת הַגְּלָלִים וַחֲרָשִׂים נוֹפְלִים, \nטְמֵאָה, \nמִפְּנֵי שֶׁלֹּא בָטַל שֵׁם כֶּלִי מֵעָלֶיהָ. \nנִשְׁבָּרָה וְדִבֵּק מִמֶּנָּה חֲרָשִׂין, \nאוֹ שֶׁהֵבִיא חֲרָשִׂין מִמָּקוֹם אַחֵר וּטְפָלָן בַּגְּלָלִים, \nאַף עַל פִּי שֶׁהוּא נוֹטֵל אֶת הַגְּלָלִים וַחֲרָשִׂים עוֹמְדִים, \nטְהוֹרָה, \nמִפְּנֵי שֶׁבָּטַל שֵׁם כֶּלִי מֵעָלֶיהָ. \nהָיָה בָהּ חֶרֶשׂ מַחֲזִיק רְבִיעִית, \nכֻּלָּהּ מְטַמָּא בְמַגָּע, \nוּכְנֶגְדּוֹ מְטַמֵּא בְאָוֵיר. \n", + "ו\nהַטּוֹפֵל כְּלִי חֶרֶשׂ הַבָּרִיא, \nרְבִּי מֵאִיר וּרְבִּי שִׁמְעוֹן מְטַמִּין. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nהַטּוֹפֵל אֶת הַבָּרִיא, \nטָהוֹר, \nוְאֶת הָרָעוּעַ, <הָרֹאוע>\nטָמֵא. \nוְכֵן בְּחִדּוּק קְרוּיָה. \n", + "ז\nיַבָּלִית שֶׁטּוֹפְלִים בָּהּ אֶת הַפִּדְסִים, \nהַנּוֹגֵעַ בָּהּ, טָמֵא. \nמְגוּפַת הֶחָבִית אֵינָה חִבּוּר. \nהַנּוֹגֵעַ בִּטְפֵלוֹ שֶׁלַּתַּנּוּר, טָמֵא. \n", + "ח\nמֵחַם שֶׁטְּפָלוֹ בַחֵמָר וּבַחַרְשִׂית, \nהַנּוֹגֵעַ בַּחֵמָר, טָמֵא, \nוּבַחַרְשִׂית, טָהוֹר. \nקֻמְקוּם שֶׁנִּקַּב וַעֲשָׂאוֹ בַזֶּפֶת, \nרְבִּי יוֹסֵה מְטַהֵר, \nשֶׁאֵינוּ יָכוֹל לְקַבֵּל אֶת הַחַמִּים כַּצּוֹנִין. \nוְכֵן הָיָה אוֹמֵר בִּכְלֵי זֶפֶת, \nכְּלֵי נְחֹשֶׁת שֶׁזְּפָתָם, טְהוֹרִין. \nוְאִם לַיַּיִן, טְמֵאִין. \n", + "ט\nחָבִית שֶׁנִּקָּבָה וַעֲשָׂאָהּ בַזֶּפֶת יָתֵר מִצָּרְכָהּ, \nהַנּוֹגֵעַ בְּצָרְכָהּ, טָמֵא, \nיָתֵר מִצָּרְכָהּ, טָהוֹר. \nזֶפֶת שֶׁנָּטְפָה עַל הֶחָבִית, \nהַנּוֹגֵעַ בָּהּ, טָהוֹר. \nמַשְׁפֵּךְ שֶׁלָּעֵץ וְשֶׁלַּחֶרֶשׂ שֶׁפְּקָקָן בַּזֶּפֶת, \nרְבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה מְטַמֵּא. \nרְבִּי עֲקִיבָה מְטַמֵּא בְשֶׁלָּעֵץ, \nוּמְטַהֵר בְּשֶׁלַּחֶרֶשׂ. \nרְבִּי יוֹסֵה מְטַהֵר בִּשְׁנֵיהֶן. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהַחֶרֶשׁ שֶׁאֵינוּ יָכוֹל לַעֲמֹד מִפְּנֵי אָזְנוֹ, \nאוֹ שֶׁהָיָה בוֹ חַדּוּד וְהַחַדּוּד מַכְרִיעוֹ, \nנִטְּלָה הָאֹזֶן, נִשְׁבַּר הַחַדּוּד, טָהוֹר. \nרְבִּי יוֹסֵה מְטַמֵּא. \nחָבִית שֶׁנִּפְחָתָה, \nוְהִיא מְקַבֶּלֶת עַל דְּפָנוֹתֶיהָ, \nאוֹ שֶׁנֶּחְלְקָה כְמִין שְׁתֵּי עֲרֵבוֹת, \nרְבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר, \nוַחֲכָמִים מְטַמִּין. \n", + "ב\nחָבִית שֶׁנִּתְרוֹעָעָה, \nוְאֵינָה יְכוּלָה לְהִטַּלְטֵל בַּחֲצִי קַב גְּרוֹגְרוֹת, \nטְהוֹרָה. \nגַּצְטְרָה שֶׁנִּתְרוֹעָעָה וְאֵינָה מְקַבֶּלֶת מַשְׁקִין, \nאַף עַל פִּי מְקַבֶּלֶת אֳכָלִים, \nטְהוֹרָה, שֶׁאֵין שִׁירִים לַשִּׁירִים. \n", + "ג\nוְאֵיזוֹ הִיא גַצְרָה? \nכָּל שֶׁנִּטְּלוּ אָזְנֶיהָ. \nהָיוּ בָהּ חַדּוּדִים יוֹצְאִין, \nכָּל הַמְקַבֵּל עִמָּהּ בַּזֵּיתִין, \nמְטַמֵּא בְמַגָּע, <מִטַּמֵּא>\nוּכְנֶגְדּוֹ מְטַמֵּא בְאָוֵיר; \nוְכָל שֶׁאֵינוּ מְקַבֵּל עִמָּהּ בַּזֵּיתִין, \nמְטַמֵּא בְמַגָּע, \nוְאֵין כְּנֶגְדּוֹ מְטַמֵּא בְאָוֵיר. \nהָיְתָה מֻטָּה עַל צִדָּהּ כְּמִין קָתֶדְרָה, \nכָּל הַמְקַבֵּל עִמָּהּ בַּזֵּיתִים, \nמְטַמֵּא בְמַגָּע, \nוּכְנֶגְדּוֹ מְטַמֵּא בְאָוֵיר; \nוְכָל שֶׁאֵינוּ מְקַבֵּל עִמָּהּ בַּזֵּיתִים, \nמְטַמֵּא בְמַגָּע, \nוְאֵין כְּנֶגְדּוֹ מְטַמֵּא בְאָוֵיר. \nשׁוּלֵי הַקָּרְפָּיוֹת, שׁוּלֵי הַקּוֹסִין הַצִּידוֹנִיִּין, \nאַף עַל פִּי שֶׁאֵינָם יְכוּלִין לֵישֵׁב שֶׁלֹּא מְסֻמָּכִין, \nטְמֵאִין, שֶׁלְּכֵן נֶעֱשׂוּ מִתְּחִלָּתָן. \n", + "ד\nכְּלִי חֶרֶשׂ שֶׁיֶּשׁ לוֹ שָׁלוֹשׁ סְפָיוֹת, \nהַפְּנִימִית עוֹדֶפֶת, הַכֹּל טָהוֹר; \nהַחִיצוֹנָה עוֹדֶפֶת, הַכֹּל טָמֵא; \nהָאֶמְצָעִית עוֹדֶפֶת, \nמִמֶּנָּה וְלִפְנִים טָמֵא, מִמֶּנָּה וְלַחוּץ טָהוֹר. \nהָיוּ שָׁווֹת, \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nחוֹלְקִין אֶת הָאֶמְצָעִית. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nהַכֹּל טָהוֹר. \nכְּלֵי חֶרֶס, מֵאֶמָּתַי מְקַבְּלִין טֻמְאָה? \nמִשֶּׁיִּצְטָרְפוּ בַכִּבְשָׁן, \nוְהִיא גְּמַר מְלַאכְתָּן. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nתַּנּוּר, \nתְּחִלָּתוֹ אַרְבָּעָה, וְשִׁירָיו אַרְבָּעָה. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nבַּמֵּי דְבָרִים אֲמוּרִים? \nבַּגָּדוֹל, אֲבָל בַּקָּטָן, \nתְּחִלָּתוֹ כָל שֶׁהוּא, וְשִׁירָיו וְרֻבּוֹ, \nמִשֶּׁתִּגָּמֵר מְלַאכְתּוֹ. \nאֵי זוֹ הִיא גְמַר מְלַאכְתּוֹ? \nמִשֶּׁיַּסִּיקֶנּוּ כְּדֵי לְאוֹפוֹת בּוֹ סִפְגָּנִים. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nמִשֶּׁיַּסִּיק אֶת הֶחָדָשׁ כְּדֵי לְאוֹפוֹת בַּיָּשָׁן סִפְגָּנִים. \n", + "ב\nכִּירָה, \nתְּחִלָּתָהּ שָׁלוֹשׁ, וְשִׁירֶיהָ שָׁלוֹשׁ, \nמִשֶּׁתִּגָּמֵר מְלַאכְתָּהּ. \nאֵי זוֹ הִיא גְמַר מְלַאכְתָּהּ? \nמִשֶּׁיַּסִּיקֶנָּה \nכְּדֵי לְבַשֵּׁל עָלֶיהָ בֵיצָה קַלָּה שֶׁבַּבֵּיצִים, \nטְרוּפָה וּנְתוּנָה בַלַּפָּס. \nכֻּפָּח: \nוַעֲשָׂאוֹ לַאֲפִיָּה, שֵׁעוּרוֹ כַתַּנּוּר; <וַעֲשָׂאָהּ>\nעֲשָׂאוֹ לְבִשּׁוּל, שֵׁעוּרוֹ כַכִּירָה. <שֵׁעוּר>\nהָאֶבֶן הַיּוֹצָא מִן הַתַּנּוּר טֶפַח, <הַיּוֹצֵא>\nוּמִן הַכִּירָה שָׁלוֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, חִבּוּר. \nהַיּוֹצָא מִן הַכֻּפָּח, <הַיּוֹצֵא>\nוַעֲשָׂאוֹ לַאֲפִיָּה, שֵׁעוּרוֹ כַתַּנּוּר; \nעֲשָׂאוֹ לְבִשּׁוּל, שֵׁעוּרוֹ כַכִּירָה. \nאָמַר רְבִּי יְהוּדָה: \nלֹא אָמְרוּ 'טֶפַח' אֶלָּא מִן הַתַּנּוּר לַכֹּתֶל. \nהָיוּ שְׁנֵי תַנּוּרִים סְמוּכִים זֶה לָזֶה, \nנוֹתֵן לָזֶה טֶפַח וְלָזֶה טֶפַח, \nוְהַשְּׁאָר טָהוֹר. \n", + "ג\nעֲטֶרֶת כִּירָה, טְהוֹרָה. \nטִירַת הַתַּנּוּר, \nבִּזְמַן שֶׁהִיא גְבוֹהָה עֲשָׂרָה טְפָחִים, \nמְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְאָוֵיר; \nפְּחוּתָה מִכֵּן, טְהוֹרָה. \nאִם חִבְּרָהּ לוֹ, \nאֲפִלּוּ עַל שָׁלוֹשׁ אֲבָנִים, טְמֵאָה. \nבֵּית הַפַּךְ, \nוּבֵית הַתַּבְלִים, \nוּבֵית הַנֵּר שֶׁבַּכִּירָה, \nמְטַמִּין בְּמַגָּע, \nוְאֵינָן מְטַמִּין בְּאָוֵיר. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nרְבִּי יִשְׁמָעֵאל מְטַהֵר. \n", + "ד\nתַּנּוּר שֶׁהֻסַּק מֵאֲחוֹרָיו, \nאוֹ שֶׁהֻסַּק שֶׁלֹּא לְדַעְתּוֹ, \nאוֹ שֶׁהֻסַּק מִבֵּית הָאֻמָּן, \nטָמֵא. \nמַעֲשֶׂה שֶׁנָּפְלָה דְלֵקָה \nבְתַנּוּרֵי כְפַר סִגְנָה, <סיגנייה>\nוּבָא מַעֲשֶׂה לְיַבְנֶה, \nוְטִמָּן רַבָּן גַּמְלִיאֵל. \n", + "ה\nמוּסַף הַתַּנּוּר שֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים, \nטָהוֹר, \nוְשֶׁלַּנַּחְתּוֹמִים, \nטָמֵא, מִפְּנֵי שֶׁהוּא סוֹמֵךְ עָלָיו אֶת הַשְּׁפוּד. \nרְבִּי יוֹחָנָן הַסַּנְדַּלָּר אוֹמֵר: \nמִפְּנֵי שֶׁהוּא אוֹפֶה בוֹ כְשֶׁהוּא נִדְחָק. \nכַּיּוֹצֵא בוֹ, \nמוּסַף הַיּוֹרָה שֶׁלְּשׁוֹלְקֵי זֵיתִים, טָמֵא. \nוְשֶׁלַּצַּבָּעִים, טָהוֹר. \n", + "ו\nתַּנּוּר שֶׁנָּתַן בּוֹ עָפָר עַד חֶצְיוֹ, \nמִן הֶעָפָר וּלְמַטָּן, מְטַמֵּא בְמַגָּע, \nמִן הֶעָפָר וּלְמַעְלָן, מְטַמֵּא בְאָוֵיר. \nנְתָנוֹ עַל פִּי הַבּוֹר, אוֹ עַל פִּי הַחַדּוּת, \nוְנָתַן שָׁם אֶבֶן, \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nאִם מַסִּיק מִלְּמַטָּן, \nוְהוּא נִסּוֹק מִלְמַעְלָן, \nטָמֵא. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nהוֹאִיל וְהוּא נִסּוֹק מִכָּל מָקוֹם, \nטָמֵא. \n", + "ז\nתַּנּוּר שֶׁנִּטַּמָּא, \nכֵּיצַד מְטַהֲרִין אוֹתוֹ? \nחוֹלְקוֹ לִשְׁלוֹשָׁה, \nוְגוֹרֵר אֶת הַטְּפֵלָה עַד שֶׁיְּהֵא בָאָרֶץ. \nרְבִּי מֵאִיר אוֹמֵר: \nאֵינוּ צָרִיךְ לָגוֹר אֶת הַטְּפֵלָה, \nוְלֹא עַד שֶׁיְּהֵא בָאָרֶץ, \nאֶלָּא מְמַעֲטוֹ מִבִּפְנִים אַרְבָּעָה טְפָחִים. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nצָרִיךְ לְהַסִּיעוֹ. \n\nח\nחֲלָקוֹ לִשְׁנַיִם, \nאֶחָד גָּדוֹל וְאֶחָד קָטֹן, \nהַגָּדוֹל טָמֵא, וְהַקָּטֹן טָהוֹר. \nחֲלָקוֹ לִשְׁלֹשָׁה, \nאֶחָד גָּדוֹל כִּשְׁנַיִם, \nהַגָּדוֹל טָמֵא, \nוּשְׁנַיִם קְטַנִּים טְהוֹרִים. \n", + "ט\nחִתְּכוֹ חֲלָיוֹת לְרָחְבּוֹ, \nפָּחוּת מֵאַרְבָּעָה טְפָחִים, \nטָהוֹר. \nמֵרְחוֹ בַטִּיט, \nמְקַבֵּל טֻמְאָה \nמִשֶּׁיַּסִּיקֶנּוּ כְּדֵי לְאוֹפוֹת בּוֹ סִפְגָּנִים. \nהִרְחִיק מִמֶּנּוּ אֶת הַטְּפֵלָה, \nוְנָתַן חוֹל אוֹ צְרוֹר בִּנְתַּיִם, \nבַּזֶּה אָמָרוּ: \nהַנִּדָּה וְהַטְּהוֹרָה אוֹפוֹת בּוֹ, \nוְהוּא טָהוֹר. \n", + "י\nתַּנּוּר שֶׁבָּא מְחֻתָּךְ מִבֵּית הָאֻמָּן, \nעָשָׂה בוֹ לִמּוּדִין, נוֹתְנָן עָלָיו, \nוְהוּא טָהוֹר. \nנִטַּמָּא, \nסִלֵּק אֶת הַלִּמּוּדִין, טָהוֹר. \nהֶחֱזִירָן לוֹ, טָהוֹר. \nמֵרְחוֹ בַטִּיט, מְקַבֵּל טֻמְאָה. \nאֵינוּ צָרִיךְ לְהַסִּיקֶנּוּ, \nשֶׁכְּבָר הֻסַּק. \n", + "יא\nחִתְּכוֹ חֲלָיוֹת וְנָתַן חוֹל בֵּין חָלְיָא לְחָלְיָא, \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר, \nוַחֲכָמִים מְטַמִּין. \nזֶה תַנּוּרוֹ שֶׁלַּחֲכִינַי. \nיוֹרוֹת הָעַרְבִיִּים, \nשֶׁהוּא חוֹפֵר בָּאָרֶץ וְטָח בַּטִּיט, \nאִם יָכוֹל הַטִּיחַ לַעֲמֹד בִּפְנֵי עַצְמוֹ, \nטָמֵא; \nוְאִם לָאו, טָהוֹר. \nוְזֶה תַנּוּרוֹ שֶׁלְּבֶן דִּינַאי. \n", + "תַּנּוּר שֶׁלָּאֶבֶן וְשֶׁלַּמַּתֶּכֶת, טָהוֹר; \nוְטָמֵא מִשֵּׁם כְּלֵי מַתְּכוֹת. \nנִקַּב, \nנִפְגַּם, \nנִסְדַּק; \nעָשָׂה לוֹ טְפֵלָה, \nאוֹ מוּסָף שֶׁל טִיט, טָמֵא. \nכַּמָּה יְהֵא בַנֶּקֶב? \nכְּדֵי שֶׁיֵּצֵא בוֹ הָאוּר. \nוְכֵן בְּכִירָה, \n\nיג\nכִּירָה שֶׁלָּאֶבֶן וְשֶׁלַּמַּתֶּכֶת, טְהוֹרָה; \nוּטְמֵאָה מִשֵּׁם כְּלִי מַתְּכוֹת. \nנִקָּבָה, נִפְגָּמָה, נִסְדָּקָה, \nעָשָׂה לָהּ פַּטְפּוּטִים, טְמֵאָה. \nמְרָחָהּ בַּטִּיט מִבִּפְנִים וּמִבַּחוּץ, טְהוֹרָה. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nמִבִּפְנִים, טְמֵאָה, \nוּמִבַּחוּץ, טְהוֹרָה. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהָעוֹשֶׂה שְׁלֹשָׁה פַטְפּוּטִים בָּאָרֶץ, \nוְחִבְּרָן בַּטִּיט, \nלִהְיוֹת שׁוֹפֵת עֲלֵיהֶן אֶת הַקְּדֵרָה, \nטְמֵאָה. \nקָבַע שְׁלֹשָׁה מַסְמְרִים בָּאָרֶץ, \nלִהְיוֹת שׁוֹפֵת עֲלֵיהֶן אֶת הַקְּדֵרָה, \nאַף עַל פִּי שֶׁעָשָׂה בָרִאשׁוֹן מָקוֹם \nשֶׁתְּהֵא הַקְּדֵרָה יוֹשֶׁבֶת, טְהוֹרָה. \n\nב\nהָעוֹשֶׂה שְׁתֵּי אֲבָנִים כִּירָה, \nוְחִבְּרָן בַּטִּיט, טְמֵאָה. \nרְבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר, \nעַד שֶׁיַּעֲשֶׂה שְׁלִישִׁי, \nאוֹ עַד שֶׁיִּסְמוֹךְ לַכֹּתֶל. \nאַחַת בַּטִּיט, \nוְאַחַת שֶׁלֹּא בַטִּיט, טְהוֹרָה. \n", + "ג\nהָאֶבֶן שֶׁהָיָה שׁוֹפֵת עָלֶיהָ וְעַל הַתַּנּוּר, \nעָלֶיהָ וְעַל הַכִּירָה, \nעָלֶיהָ וְעַל הַכֻּפָּח, \nטְמֵאָה. \nעָלֶיהָ וְעַל הָאֶבֶן, \nעָלֶיהָ וְעַל הַסֶּלַע, \nעָלֶיהָ וְעַל הַכֹּתֶל, \nטְהוֹרָה. \nזוֹ הָיְתָה כִּירַת נְזִירִים שֶׁבִּירוּשָׁלַיִם, \nשֶׁכְּנֶגֶד הַסֶּלַע. \nכִּירַת הַטַּבָּחִים, \nשֶׁהוּא נוֹתֵן אֶבֶן בְּצַד אֶבֶן, \nנִטַּמָּאת אַחַת מֵהֶן, \nלֹא נִטַּמּוּ כֻלָּם. \n", + "ד\nשָׁלוֹשׁ אֲבָנִים שֶׁעֲשָׂאָן שְׁתֵּי כִירַיִם, \nנִטַּמָּאת אַחַת מִן הַחִיצוֹנוֹת; \nהָאֶמְצָעִית, \nהַמְשַׁמֵּשׁ לַטָּמֵא, טָמֵא; \nהַמְשַׁמֵּשׁ לַטָּהוֹר, טָהוֹר. \nנִטְלָה טְהוֹרָה, הָחְלָטָה הָאֶמְצָעִית לַטֻּמְאָה. \nנִטְלָה טְמֵאָה, הָחְלָטָה הָאֶמְצָעִית לְטַהֲרָה. \nנִטַּמּוּ שְׁתַּיִם הַחִיצוֹנוֹת, \nאִם הָיְתָה הָאֶמְצָעִית גְּדוֹלָה, \nנוֹתֵן לָזוֹ כְדֵי שְׁפִיתָה מִכָּן, \nוְלָזוֹ כְדֵי שְׁפִיתָה מִכָּן, \nוְהַשְּׁאָר טָהוֹר; \nאִם הָיְתָה קְטַנָּה, הַכֹּל טָמֵא. \nנִטְּלָה הָאֶמְצָעִית, \nאִם יָכוֹל לִשְׁפּוֹת עָלֶיהָ יוֹרָה גְדוֹלָה, \nטְמֵאָה. \nהֶחֱזִירָהּ, טְהוֹרָה. \nמֵרְחָהּ בַּטִּיט, \nמְקַבֶּלֶת טֻמְאָה \nמִשֶּׁיַּסִּיקֶנָּה כְדֵי לְבַשֵּׁל עָלֶיהָ אֶת הַבֵּיצָה. \n", + "ה\nשְׁתֵּי אֲבָנִים שֶׁעֲשָׂאָן כִּירָה וְנִטַּמּוּ, \nסָמַךְ לָזוֹ אֶבֶן אַחַת מִכָּן, \nוְלָזוֹ אֶבֶן אַחַת מִכָּן, \nחֶצְיָהּ שֶׁלָּזוֹ טָמֵא וְחֶצְיָהּ טָהוֹר, \nוְחֶצְיָהּ שֶׁלָּזוֹ טָמֵא וְחֶצְיָהּ טָהוֹר. \nנִטְּלוּ טְהוֹרוֹת, חָזְרוּ לְטֻמְאָתָן. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהַקַּלָּתוֹת שֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים \nשֶׁנִּפְחֲתָה פָחוּת מִשְׁלֹשָׁה טְפָחִים, טְמֵאָה, \nשֶׁהוּא מַסִּיק מִלְּמַטָּן וּקְדֵרָה בְשֵׁלָה מִלְמַעְלָן; \nיָתֵר מִכֵּן, טְהוֹרָה. \nנָתַן אֶבֶן אוֹ צְרוֹר, טְהוֹרָה. \nמֵרְחָהּ בַּטִּיט, \nמְקַבֶּלֶת טֻמְאָה מִכָּן וְלַבָּא. \nזוֹ הָיְתָה תְשׁוּבַת רְבִּי יְהוּדָה, \nבַּתַּנּוּר שֶׁנְּתָנוֹ עַל פִּי הַבּוֹר אוֹ עַל פִּי הַחַדּוּת. \n", + "ב\nדָּכוֹן שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית קִבּוּל קְדֵרוֹת, \nטָהוֹר מִשֵּׁם כִּירָה, \nוְטָמֵא מִשֵּׁם כְּלִי קִבּוּל. \nהַצְּדָדִין שֶׁלּוֹ, \nהַנּוֹגֵעַ בָּהֶן אֵינוּ טָמֵא מִשֵּׁם כִּירָה. \nהָרַחַב שֶׁלּוֹ, \nרְבִּי מֵאִיר מְטַהֵר, \nרְבִּי יְהוּדָה מְטַמֵּא. \nוְכֵן הַכּוֹפֶה אֶת הַסַּל וְעוֹשֶׂה עַל גַּבָּיו כִּירָה. \n", + "ג\nכִּירָה שֶׁנֶּחְלְקָה לְאָרְכָּהּ, טְהוֹרָה; \nלְרָחְבָּהּ, טְמֵאָה. \nכֻּפָּח שֶׁנֶּחֱלַק, \nבֵּין לְאָרְכּוֹ בֵין לְרָחְבּוֹ, טָהוֹר. \nחֲצַר הַכִּירָה, \nבִּזְמַן שֶׁהִיא גְבוֹהָה שָׁלוֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, \nמְטַמָּא בְמַגָּע וּבְאָוֵיר. \nפְּחוּתָה מִכֵּן, \nמְטַמָּא בְמַגָּע וְאֵינָהּ מְטַמָּא בְאָוֵיר. \nכֵּיצַד מְשַׁעֲרִין אוֹתָהּ? \nרְבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר: \nנוֹתֵן אֶת הַשְּׁפוּד מִלְּמַטָּן לְמַעְלָן, \nוּכְנֶגְדּוֹ מְטַמֵּא בְאָוֵיר. \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר בֶּן יַעֲקֹב אוֹמֵר: \nנִטַּמָּאת הַכִּירָה, נִטַּמָּאת הֶחָצֵר; \nנִטַּמָּאת הֶחָצֵר, לֹא נִטַּמָּאת הַכִּירָה. \n", + "ד\nהָיְתָה מֻפְרֶשֶׁת מִן הַכִּירָה, \nבִּזְמַן שֶׁהִיא גְבוֹהָה שָׁלוֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, \nמְטַמָּא בְמַגָּע וּבְאָוֵיר; \nפְּחוּתָה מִכֵּן, אוֹ שֶׁהָיְתָה חֲלָקָה, \nטְהוֹרָה. \nפַּטְפּוּטֵי כִירָה, \nשְׁלֹשָׁה שֶׁלְּשָׁלוֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, \nמְטַמִּין בְּמַגָּע וּבְאָוֵיר. <מיטמין> \nפָּחוּת מִכֵּן, \nכָּל שֶׁכֵּן הֵן טְמֵאִין, \nאֲפִלּוּ הֵן אַרְבָּעָה. \n", + "ה\nנִטַּל אֶחָד מֵהֶן, \nמְטַמִּין בְּמַגָּע וְאֵינָן מְטַמִּין בְּאָוֵיר. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. \n\nו\nעָשָׂה שְׁנַיִם זֶה כְנֶגֶד זֶה, \nמְטַמִּין בְּמַגָּע וּבְאָוֵיר. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. \n\nז\nהָיוּ גְבוֹהִים שָׁלשׁ אֶצְבָּעוֹת, \nמִשָּׁלשׁ וּלְמַטָּן, \nמְטַמִּין בְּמַגָּע וּבְאָוֵיר; \nמִשָּׁלשׁ וּלְמַעְלָן, \nמְטַמִּין בְּמַגָּע, וְאֵינָן מְטַמִּין בְּאָוֵיר. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. \n\nח\nהָיוּ מְשׁוּכִין מִן הַשָּׂפָה, \nבְּתוֹךְ שָׁלוֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, \nמְטַמִּין בְּמַגָּע וּבְאָוֵיר; \nחוּץ מִשָּׁלשׁ אֶצְבָּעוֹת, <שָׁלֹשׁ>\nמְטַמִּין בְּמַגָּע, וְאֵין מְטַמִּין בְּאָוֵיר. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. \n", + "ט\nכֵּיצַד מְשַׁעֲרִין אוֹתָן? \nרַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר: \nנוֹתֵן כַּנָּה בֵינֵיהֶם, \nמִן הַכַּנָּה וְלַחוּץ, \nטָהוֹר; \nמִן הַכַּנָּה וְלִפְנִים, וּמְקוֹם הַכַּנָּה, \nטָמֵא. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nתַּנּוּר שֶׁחֲצָצוֹ בִנְסָרִים אוֹ בִירִיעוֹת, \nוְנִמְצָא הַשֶּׁרֶץ בְּמָקוֹם אֶחָד, \nהַכֹּל טָמֵא. \nכַּוֶּרֶת פְּחוּתָה וּפְקוּקָה בַקַּשׁ, \nוּמְשֻׁלְשֶׁלֶת לַאֲוֵיר הַתַּנּוּר, \nהַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכָהּ, \nהַתַּנּוּר טָמֵא; \nהַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, \nאֳכָלִין שֶׁבְּתוֹכָהּ טְמֵאִין. \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר. \nאָמַר רְבִּי אֱלִיעֶזֶר: \nאִם הִצִּילָה בְמֵת הֶחָמוּר, <הֶחָמַר>\nלֹא תַצִּיל בִּכְלִי חֶרֶשׂ הַקַּל? \nאָמְרוּ לוֹ: \nאִם הִצִּילָה בְמֵת הֶחָמוּר, <הֶחָמָר>\n[שֶׁכֵּן חוֹלְקִים אהָלִים, \nתַּצִּיל בִּכְלִי חֶרֶס הַקַּל,] \nשֶׁאֵין חוֹלְקִין כְּלִי חֶרֶשׂ? \n", + "ב\nהָיְתָה שְׁלֵמָה, \nוְכֵן הַקֻּפָּה, וְכֵן הַחֵמֶת, \nהַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכָהּ, \nהַתַּנּוּר טָהוֹר. \nהַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, \nאֳכָלִין שֶׁבְּתוֹכָהּ טְהוֹרִין. \nנִקָּבוּ, \nהֶעָשׂוּי לָאֳכָלִין, שֵׁעוּרוֹ בַזֵּיתִין. \nהֶעָשׂוּי לַמַּשְׁקִין, שֵׁעוּרוֹ בַמַּשְׁקִין. \nהֶעָשׂוּי לְכָךְ וּלְכָךְ, \nמְטִילִין אוֹתוֹ לְחָמְרוֹ, \nבְּכוֹנֵס מַשְׁקֶה. \n", + "ג\nסְרֵידָה שֶׁהִיא נְתוּנָה עַל פִּי הַתַּנּוּר, \nשׁוֹקַעַת בְּתוֹכוֹ וְאֵין לָהּ גַּפַּיִם, \nהַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכָהּ, הַתַּנּוּר טָמֵא. \nהַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, אֳכָלִים שֶׁבְּתוֹכָהּ טְמֵאִים, \nשֶׁאֵין מַצִּילִין מִיַּד כְּלִי חֶרֶשׂ אֶלָּא כֵלִים. \nחָבִית שֶׁהִיא מְלֵאָה מַשְׁקִין טְהוֹרִין, \nוּנְתוּנָה לְמַטָּן מִנְּחֻשְׁתּוֹ שֶׁלַּתַּנּוּר, \nהַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, \nחָבִית וְהַמַּשְׁקִין טְהוֹרִין. \nהָיְתָה כְפוּיָה וּפִיהָ לַאֲוֵיר הַתַּנּוּר, \nהַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, \nמַשְׁקֶה טוֹפֵחַ שֶׁבְּשׁוּלֵי הֶחָבִית טָהוֹר. \n", + "ד\nקְדֵרָה שֶׁהִיא נְתוּנָה בַתַּנּוּר, \nוְהַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, הַקְּדֵרָה טְהוֹרָה, \nשֶׁאֵין כְּלִי חֶרֶשׂ מְטַמֵּא כֵּלִים. \nהָיָה בָהּ מַשְׁקֶה טוֹפֵחַ, נִטַּמָּא, \nוְטִמְּאָהּ. \nהֲרֵי זֶה אוֹמֵר: \nמְטַמֶּיךָ לֹא טִמּוּנִי, \nוְאַתָּה טִמֵּאתַנִי. \n", + "ה\nתַּרְנְגוֹל שֶׁבָּלַע אֶת הַשֶּׁרֶץ, \nוְנָפַל לַאֲוֵיר הַתַּנּוּר, טָהוֹר. \nאִם מֵת, טָמֵא. \nהַשֶּׁרֶץ שֶׁנִּמְצָא בַתַּנּוּר, \nהַפַּת שֶׁבְּתוֹכוֹ שְׁנִיָּה, \nשֶׁהַתַּנּוּר תְּחִלָּה. \n", + "ו\nבֵּית שְׂאוֹר מֻקָּף צָמִיד פָּתִיל וְנָתוּן לְתוֹךְ הַתַּנּוּר, \nהַשְּׂאוֹר וְהַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכוֹ וְהַקֶּרֶץ בִּנְתַּיִם, \nהַתַּנּוּר טָמֵא, וְהַשְּׂאוֹר טָהוֹר. \nאִם הָיָה כַזַּיִת מִן הַמֵּת, \nהַתַּנּוּר וְהַבַּיִת טָמֵא, \nוְהַשְּׂאוֹר טָהוֹר. \nאִם יֶשׁ שָׁם פּוֹתֵחַ טֶפַח, \nהַכֹּל טָמֵא. \n", + "ז\nהַשֶּׁרֶץ שֶׁנִּמְצָא בְעַיִן שֶׁלַּתַּנּוּר, \nבְּעַיִן שֶׁלַּכִּירָה, בְּעַיִן שֶׁלַּכֻּפָּח, \nמִן הַשָּׂפָה הַפְּנִימִית וְלַחוּץ, טָהוֹר. \nוְאִם הָיָה בְאָוֵיר, \nאֲפִלּוּ כַזַּיִת מִן הַמֵּת, טָהוֹר. \nוְאִם יֶשׁ שָׁם פּוֹתֵחַ טֶפַח, \nהַכֹּל טָמֵא. \n", + "ח\nנִמְצָא לִמְקוֹם הַנָּחַת הָעֵצִים, \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nמִן הַשָּׂפָה הַחִיצוֹנָה וְלִפְנִים, \nטָמֵא. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nמִשָּׂפָה הַפְּנִימִית וְלַחוּץ, \nטָהוֹר. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nמִכְּנֶגֶד שְׁפִיתַת הַקְּדֵרָה וְלִפְנִים, \nטָמֵא; \nמִכְּנֶגֶד שְׁפִיתַת הַקְּדֵרָה וְלַחוּץ, \nטָהוֹר. \n\nט\nנִמְצָא מְקוֹם יְשִׁיבַת הַבַּלָּן, \nמְקוֹם יְשִׁיבַת הַצַּבָּע, \nמְקוֹם יְשִׁיבַת שֶׁלְּשׁוֹלְקֵי זֵיתִים, \nטָהוֹר; \nאֵין טָמֵא אֶלָּא מִן הַסְּתוּמָה וְלִפְנִים. \n", + "י\nבּוֹר שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית שְׁפִיתָה, \nטָמֵא. \nוְשֶׁלְּעוֹשֵׂי זְכוֹכִית, \nאִם יֶשׁ בּוֹ בֵית שְׁפִיתָה, \nטָמֵא. \nכִּבְשָׁן שֶׁלַּסַּיָּדִין, וְשֶׁלַּזַּגָּגִין, וְשֶׁלַּיּוֹצְרִין, \nטְהוֹרָה. \nפּוּרְנָה, אִם יֶשׁ לָהּ לִזְבֵּז, \nטְמֵאָה; \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nאִם יֶשׁ לָהּ אַסְטְגָיוֹת; \nרַבָּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר: \nאִם יֶשׁ לָהּ סְפִיּוֹת. \n", + "יא\nמַגַּע טְמֵא מֵת, \nשֶׁהָיוּ אֳכָלִין וּמַשְׁקִין לְתוֹךְ פִּיו, \nהִכְנִיס רֹאשׁוֹ לַאֲוֵיר הַתַּנּוּר טָהוֹר, \nטִמָּהוּ. \nוְטָהוֹר שֶׁהָיוּ אֳכָלִין וּמַשְׁקִין לְתוֹךְ פִּיו, \nהִכְנִיס רֹאשׁוֹ לַאֲוֵיר הַתַּנּוּר נִטְמָא, \nנִטַּמּוּ. \nהָיָה אוֹכֵל דְּבֵלָה בְיָדַיִן מְסֹאָבוֹת, \nהִכְנִיס יָדוֹ לְתוֹךְ פִּיו לִטּוֹל אֶת הַצְּרוֹר, \nרְבִּי מֵאִיר מְטַמֵּא. \nרְבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nאִם הָפַךְ, טָמֵא; \nאִם לֹא הָפַךְ, טָהוֹר. \nאִם הָיְתָה פוֹנְדְּיוֹן לְתוֹךְ פִּיו, \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nאִם לִצְמָאוֹ, טָמֵא. \n", + "יב\nהָאִשָּׁה שֶׁנָּטַף חָלָב מִדַּדֶּיהָ, \nוְנָפַל לַאֲוֵיר הַתַּנּוּר, \nטָמֵא, \nשֶׁהַמַּשְׁקֶה מְטַמֵּא לְרָצוֹן וְשֶׁלֹּא לְרָצוֹן. \nהָיְתָה גוֹרְפַתּוּ, וְהִכָּהּ הַקּוֹץ, \nוְיָצָא מִמֶּנָּה דָם, \nאוֹ שֶׁנִּכְוַת וְנָתְנָה אֶצְבָּעָהּ לְתוֹךְ פִּיהָ, \nנִטַּמָּא. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nמַחַט אוֹ טַבַּעַת שֶׁנִּמְצְאוּ בִנְחֻשְׁתּוֹ שֶׁלַּתַּנּוּר, \nנִרְאִין אֲבָל לֹא יוֹצְאִין, \nאִם אוֹפֶה אֶת הַבָּצֵק וְהוּא נוֹגֵעַ בָּהֶם, \nטָמֵא. \nבְּאֵיזֶה בָצֵק אָמָרוּ? \nבְּבָצֵק הַבֵּינוֹנִי. \nנִמְצְאוּ בִטְפֵלַת הַתַּנּוּר מֻקָּף צָמִיד פָּתִיל, \nבַּטָּמֵא, טְמֵאִין, וּבַטָּהוֹר, טְהוֹרִין. \nנִמְצְאוּ בִמְגוּפַת הֶחָבִית, \nמִצִּדֶּיהָ, טְמֵאִין; \nמִכְּנֶגֶד פִּיהָ, טְהוֹרִין. \nנִרְאִין בְּתוֹכָהּ, אֲבָל לֹא לַאֲוִירָהּ, \nטְהוֹרִין. \nשׁוֹקְעִין בְּתוֹכָהּ, וְתַחְתֵּיהֶן כִּקְלִפַּת הַשּׁוּם, \nטְהוֹרִין. \n", + "ב\nחָבִית שֶׁהִיא מְלֵאָה מַשְׁקִין טְהוֹרִין, \nוּמֵנֶקֶת בְּתוֹכָהּ, <ומניקית>\nמֻקֶּפֶת צָמִיד פָּתִיל וּנְתוּנָה בְאָהֵל הַמֵּת, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nהֶחָבִית וְהַמַּשְׁקִין טְהוֹרִין, \nוּמֵנֶקֶת טְמֵאָה. <ומניקית> \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nאַף וּמֵנֶקֶת טְהוֹרָה. <מניקית> \nחָזְרוּ בֵית הֶלֵּל לְהוֹרוֹת כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּי. \n", + "ג\nשֶׁרֶץ שֶׁנִּמְצָא לְמַטָּה מִנְּחֻשְׁתּוֹ שֶׁלַּתַּנּוּר, \nטָהוֹר, שֶׁאֲנִי אוֹמֵר: <שני> \nחַי נָפַל וְעַכְשָׁיו מֵת. \nמַחַט אוֹ טַבַּעַת, \nשֶׁנִּמְצְאוּ לְמַטָּה מִנְּחֻשְׁתּוֹ שֶׁלַּתַּנּוּר, \nטָהוֹר, שֶׁאֲנִי אוֹמֵר: <שני> \nשָׁם הָיוּ עַד שֶׁלֹּא בָא הַתַּנּוּר. \nנִמְצְאוּ בְאֵפֶר מַקְלָה, \nטָמֵא, שֶׁאֵין לוֹ בְמָה יִתְלֶה. \n", + "ד\nסְפוֹג שֶׁבָּלַע מַשְׁקִין טְמֵאִין וְנָגוּב מִבַּחוּץ, \nוְנָפַל לַאֲוֵיר הַתַּנּוּר, \nטָמֵא, שֶׁסּוֹף מַשְׁקֶה לָצֵאת. \nוְכֵן חֲתִכָּה שֶׁלַּלֶּפֶת וְשֶׁלַּגְּמִי. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר בִּשְׁנֵי אֵלּוּ. \n", + "ה\nחֲרָשִׂין שֶׁנִּשְׁתַּמַּשׁ בָּהֶן מַשְׁקִין טְמֵאִין \nוְנָפְלוּ לַאֲוֵיר הַתַּנּוּר, וְהֻסַּק הַתַּנּוּר, \nטָמֵא, שֶׁסּוֹף מַשְׁקֶה לָצֵאת. \nוְכֵן בְּגֶפֶת חֲדָשָׁה, \nאֲבָל בִּישָׁנָה, טָהוֹר. \nאִם יָדוּעַ שֶׁיּוֹצִיא מִמֶּנָּה מַשְׁקִין, <שֶׁיּוֹצִא>\nאֲפִלּוּ לְאַחַר שָׁלוֹשׁ שָׁנִים, \nנִטְמָא. \n", + "ו\nהַגֶּפֶת וְהַזֻּגִּין שֶׁנֶּעֱשׁוּ בְטַהֲרָה, \nוְהִלְּכוּ עֲלֵיהֶן טְמֵאִין, \nוְאַחַר כָּךְ יָצְאוּ מֵהֶן מַשְׁקִין, \nטְהוֹרִין, שֶׁמִּתְּחִלָּתָן נֶעֱשׂוּ בְטַהֲרָה. \nכּוּשׁ שֶׁבָּלַע אֶת הַצִּינֵירָה, \nמַלְמָד שֶׁבָּלַע אֶת הַדָּרְבָן, \nלְבֵנָה שֶׁבָּלְעָה אֶת הַטַּבַּעַת, \nהָיוּ טְהוֹרִין, \nנִכְנְסוּ לְאֹהֶל הַמֵּת, \nנִטַּמּוּ. \nהִסִּיטָן הַזָּב, נִטַּמּוּ. <הַסִּיטוֹן ְהַזָּב> \nנָפְלוּ לַאֲוֵיר הַתַּנּוּר טָהוֹר, טִמּוּהוּ. \nוְנָגַע בָּהֶן כִּכָּר שֶׁלִּתְרוּמָה, טָהוֹר. \n", + "ז\nסְרֵידָה שֶׁהִיא נְתוּנָה עַל פִּי הַתַּנּוּר מֻקָּף צָמִיד פָּתִיל, \nנִסְדַּק בֵּין הַתַּנּוּר לִסְרֵידָה, \nשֵׁעוּרוֹ מְלֹא פִי מַרְדֵּא שֶׁלֹּא נִכְנָס. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nנִכְנָס. \nנִסְדְּקָה סְרֵידָה, \nשֵׁעוּרוֹ מְלֹא פִי מַרְדֵּעַ נִכְנָס. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nשֶׁלֹּא נִכְנָס. \nהָיָה עָגֹל, \nאֵין רוֹאִין אוֹתוֹ אָרוּךְ, \nאֶלָּא שֵׁעוּר כִּמְלֹא פִי מַרְדֵּאַ נִכְנָס. \n", + "ח\nתַּנּוּר שֶׁנִּקַּב מֵעֵינוֹ, \nשֵׁעוּרוֹ מְלֹא כוּשׁ, \nנִכְנָס וְיוֹצֵא, \nדּוֹלֵק. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nשֶׁלֹּא דוֹלֵק. \nנִקַּב מִצִּדּוֹ, \nשֵׁעוּרוֹ כִמְלֹא כוּשׁ, \nנִכְנָס וְיוֹצֵא, \nשֶׁלֹּא דוֹלֵק. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nדּוֹלֵק. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nמִן הָאֶמְצַע, נִכְנָס; \nמִן הַצַּד, אֵינוּ נִכְנָס. \n\nט <ד>\nוְכֵן הָיָה אוֹמֵר בִּמְגוּפַת הֶחָבִית שֶׁנִּקָּבָה, \nשֵׁעוּרָהּ מְלֹא מִצָּה שְׁנִיָּה שֶׁלַּשִּׁיפוֹן, \nמִן הָאֶמְצַע, נִכְנָס; \nמִן הַצַּד, אֵינוּ נִכְנָס. \nוְכֵן הָיָה אוֹמֵר בַּחֲצָבִים גְּדוֹלִים שֶׁנִּקָּבוּ, \nשֵׁעוּרָן מְלֹא מִצָּה שֶׁלַּקָּנֶה, \nמִן הָאֶמְצַע, נִכְנָס; \nמִן הַצַּד, אֵינוּ נִכְנָס. \n\nי\nבַּמֵּי דְבָרִים אֲמוּרִים? \nבִּזְמַן שֶׁנֶּעֱשׁוּ לַיַּיִן, \nאֲבָל אִם נֶעֱשׂוּ לִשְׁאָר מַשְׁקִין, \nאֲפִלּוּ כָל שֶׁהֵן, טְמֵאִים. \nבַּמֵּי דְבָרִים אֲמוּרִים? \nבִּזְמַן שֶׁלֹּא נֶעֱשׂוּ בִידֵי אָדָם, \n[אֲבָל אִם נֶעֱשׂוּ בִידֵי אָדָם,] \nאֲפִלּוּ כָל שֶׁהֵן, טְמֵאִין. \nנִקָּבוּ, \nהֶעָשׂוּי לָאֳכָלִים, שֵׁעוּרוֹ בַּזֵּיתִין. \nהֶעָשׂוּי לַמַּשְׁקִין, שֵׁעוּרוֹ בְמַשְׁקִין. \nהֶעָשׂוּי לְכָךְ וּלְכָךְ, \nמְטִילִין אוֹתוֹ לְחָמְרוֹ בְצָמִיד פָּתִיל \nוּבְכוֹנֵס מַשְׁקֶה. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nאֵלּוּ כֵלִים מַצִּילִים בְּצָמִיד פָּתִיל: \nכְּלֵי גְלָלִים, \nכְּלֵי אֲבָנִים, \nכְּלֵי אֲדָמָה, \nכְּלֵי חֶרֶשׂ, \nכְּלֵי נֶתֶר, \nוְעַצְמוֹת חַיָּה שֶׁבַּיָּם וְעוֹרָהּ, \nוּכְלֵי הָעֵץ הַטְּהוֹרִין. \nמַצִּילִין בֵּין מִפִּיהֶם, בֵּין מִצְּדָדֵיהֶן, \nבֵּין יוֹשְׁבִין עַל שׁוּלֵיהֶם, \nבֵּין מֻטִּין עַל צִדְדֵיהֶם. \nהָיוּ כְפוּיִים עַל פִּיהֶם, \nמַצִּילִים כָּל שֶׁתַּחְתֵּיהֶם עַד הַתְּהוֹם. \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַמֵּא. \nעַל הַכֹּל מַצִּילִים, \nחוּץ מִכְּלִי חֶרֶשׂ, \nשֶׁאֵינוּ מַצִּיל \nאֶלָּא עַל הָאֳכָלִים וְעַל הַמַּשְׁקִין, \nוְעַל כְּלִי חֶרֶשׂ. \n", + "ב\nבַּמָּה מַקִּיפִים? \nבַּסִּיד, \nוּבַגִּפְּסַס, \nבַּזֶּפֶת, \nוּבְשַׁעֲוָה, \nבַּטִּיט, \nוּבַצּוֹאָה, \nבַּחֵמָר, \nוּבַחַרְסִית, \nוּבְכָל דָּבָר הַמִּתְמָרֵחַ. \nאֵין מַקִּיפִין לֹא בַבַּעַץ, \nוְלֹא בָעוֹפֶרֶת, \nמִפְּנֵי שֶׁהוּא פָתִיל וְאֵינוּ צָמִיד. \nאֵין מַקִּיפִין לֹא בִדְבֵלָה שְׁמֵנָה, \nוְלֹא בְּבָצֵק שֶׁנִּלּוֹשׁ בְּמֵי פֵרוֹת, \nשֶׁלֹּא יְבִיאֶנּוּ לִידֵי פְסוּל. \nוְאִם הִקִּיף, הִצִּיל. \n", + "ג\nמְגוּפַת הֶחָבִית הַמְחֻלְחֶלֶת וְאֵינָה נִשְׁמֶטֶת, \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nמַצֶּלֶת. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nאֵינָה מַצֶּלֶת. \nהָיָה בֵית אֶצְבַּע שֶׁלָּהּ שׁוֹקֵעַ בְּתוֹכָהּ, \nהַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכָהּ, הֶחָבִית טְמֵאָה; \nהַשֶּׁרֶץ בֶּחָבִית, אֳכָלִין שֶׁבְּתוֹכָהּ טְמֵאִין. \n", + "ד\nהַכַּדּוּר וְהַפַּקַּעַת שֶׁלַּגְּמִי, \nשֶׁנְּתָנָן עַל פִּי הֶחָבִית: \nמֵרַח מִן הַצְּדָדִין, \nלֹא הִצִּיל, \nעַד שֶׁיְּמָרַח מִלְּמַטָּן לְמַעְלָן. \nוְכֵן בְּמַטְלֵית שֶׁלַּבֶּגֶד; \nהָיְתָה שֶׁלַּנְּיָר אוֹ שֶׁלָּעוֹר, \nוּקְשָׁרָהּ בִּמְשִׁיחָה, \nמֵרַח מִן הַצְּדָדִין, \nהִצִּיל. \n", + "ה\nחָבִית שֶׁנִּתְקַלְּפָה, \nוְהַזֶּפֶת שֶׁלָּהּ עוֹמֶדֶת, \nוְכֵן קְבוּתִין שֶׁלְּמֻרְיָס שֶׁגְּפָסָן עִם הַשָּׂפָה, \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nאֵינָן מַצִּילִין; \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nמַצִּילִין. \n", + "ו\nחָבִית שֶׁנִּקָּבָה וּסְתָמוּהָ שְׁמָרִים, \nוְהִצִּילָהּ; \nפְּקָקָהּ בִּזְמוֹרָה, \nעַד שֶׁיִּמָּרַח מִן הַצְּדָדִין. \n[הָיוּ שְׁתַּיִם, \nעַד שֶׁיְּמָרַח מִן הַצְּדָדִין,] \nבֵּין זְמוֹרָה לַחֲבֶרְתָּהּ. \nנֶסֶר שֶׁהוּא נָתוּן עַל פִּי הַתַּנּוּר, \nאִם מֵרַח מִן הַצְּדָדִין, \nהִצִּיל. \nהָיוּ שְׁתַּיִם, \nעַד שֶׁיִּמָּרַח מִן הַצְּדָדִין, \nבֵּין נֶסֶר לַחֲבֵרוֹ. \nעֲשָׂאָן בְּסַנִּין, אוֹ בְשׁוֹגְמִין, \nאֵינוּ צָרִיךְ לְמָרַח מִן הָאֶמְצָעִי. \n", + "ז\nתַּנּוּר יָשָׁן בְּתוֹךְ הֶחָדָשׁ, \nוּסְרֵידָה עַל פִּי יָשָׁן, \nנִטַּל הַיָּשָׁן, סְרֵידָה נוֹפֶלֶת, \nהַכֹּל טָמֵא. \nוְאִם לָאו, הַכֹּל טָהוֹר. \nחָדָשׁ בְּתוֹךְ יָשָׁן, \nוּסְרֵידָה עַל פִּי יָשָׁן, \nאִם אֵין חָדָשׁ לִסְרֵידָה פוֹתֵחַ טֶפַח, \nכָּל שֶׁבֶּחָדָשׁ טָהוֹר. \n", + "ח\nלַפָּסִין זוֹ בְתוֹךְ זוֹ וְשִׂפְתוֹתֵיהֶן שָׁווֹת, \nהַשֶּׁרֶץ בָּעֶלְיוֹנָה אוֹ בַתַּחְתּוֹנָה, \nהִיא טְמֵאָה, וְכֻלָּם טְהוֹרוֹת. \nהָיוּ בְכוֹנֵס מַשְׁקֶה, \nהַשֶּׁרֶץ בָּעֶלְיוֹנָה, \nכֻּלָּם טְמֵאוֹת; \nבַּתַּחְתּוֹנָה, \nהִיא טְמֵאָה, וְכֻלָּם טְהוֹרוֹת. \nהַשֶּׁרֶץ בָּעֶלְיוֹנָה וְהַתַּחְתּוֹנָה עוֹדֶפֶת, \nהִיא וְהַתַּחְתּוֹנָה טְמֵאָה; \nהָעֶלְיוֹנָה וְהַתַּחְתּוֹנָה עוֹדֶפֶת, \nכָּל שֶׁיֶּשׁ בָּהּ מַשְׁקֶה טוֹפֵחַ, \nטְמֵאָה. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nכְּלֵי מַתְּכוֹת, \nפְּשׁוּטֵיהֶן וּמְקַבְּלֵיהֶן טְמֵאִין. \nנִשְׁבָּרוּ, טָהָרוּ. \nחָזַר וְעָשָׂה מֵהֶן כֵּלִים, \nחָזְרוּ לְטֻמְאָתָן הַיְשָׁנָה. \nרַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר: \nלֹא לְכָל טֻמְאָה, \nאֶלָּא לְטֻמְאַת נֶפֶשׁ. \n", + "ב\nכָּל כְּלִי מַתֶּכֶת שֶׁיֶּשׁ לוֹ שֵׁם בִּפְנֵי עַצְמוֹ, \nטָמֵא, \nחוּץ מִן הַדֶּלֶת, \nוְהַנֶּגֶר, \nוְהַמַּנְעוּל, \nוְהַפּוֹתָה שֶׁתַּחַת הַצִּיר, \nוְהַצִּיר, \nוְהַקּוֹרָה, \nוְהַצִּנּוֹר, \nשֶׁנֶּעֱשׁוּ לַקַּרְקַע. \n", + "ג\nהָעוֹשֶׂה כֵלִים מִן הָעֶשֶׁת, \nוּמִן הַחֲרָרָה, \nוּמִן הַסּוֹבֵב שֶׁלַּגַּלְגַּל, \nוּמִן הַטַּסִּין שֶׁלָּהּ, \nוּמִן הַצִּפּוֹיִין, \nמִכְנֵי כֵלִים, \nוּמֵהָגְנֵי כֵלִים, \nמֵאָזְנֵי כֵלִים, <מֹאזְנֵי>\nמִן הַשְּׁחֹלֶת, \nוּמִן הַגְּרֹדֶת, \nטְהוֹרִין. \nרְבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי אוֹמֵר: \nאַף מִן הַקְּצֹצֶת. \nמִשִּׁבְרֵי כֵלִים, <מִשְׁבְּרֵי>\nמִן הַגְּרוֹטֵי, \nוּמִן הַמַּסְמְרוֹת שֶׁיָּדוּעַ שֶׁנֶּעֱשׁוּ מִכֵּלִים, \nטְמֵאִים. \nמִן הַמַּסְמְרוֹת, \nבֵּית שַׁמַּי מְטַמִּין, \nוּבֵית הֶלֵּל מְטַהֲרִין. \n", + "ד\nבַּרְזֶל טָמֵא שֶׁבְּלָלוֹ עִם בַּרְזֶל טָהוֹר, \nאִם רֹב מִן הַטָּמֵא, טָמֵא, \nאִם רֹב מִן הַטָּהוֹר, טָהוֹר, \nמַחְצָה לְמַחְצָה, טָמֵא. \nוְכֵן מִן הַחַלָּמָה וּמִן הַגְּלָלִין. \nקְלוֹסְטְרָה, טְמֵאָה, \nוּמְצֻפָּה, טְהוֹרָה. \nהַפִּין, \nוְהַפּוּרְנָה, טְמֵאִין. \nקְלוֹסְטְרָה, \nרְבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר: \nשׁוֹמְטָהּ מִפֶּתַח זֶה וְתוֹלֶה בַחֲבֵרוֹ בַשַּׁבָּת. \nרְבִּי טַרְפוֹן אוֹמֵר: \nהֲרֵי הִיא לוֹ כְכָל הַכֵּלִים, \nוּמִטַּלְטֶלֶת בֶּחָצֵר. \n", + "ה\nעַקְרָב שֶׁלִּפְרָמְבְּיָה, טְמֵאָה, \nוּלְחָיַיִם, טְהוֹרִין. \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַמֵּא בִלְחָיַיִם. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nאֵין טָמֵא אֶלָּא עַקְרָב; \nבְּשָׁעַת חִבּוּרָן, הַכֹּל טָמֵא. \n", + "ו\nפִּיקָה שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, \nרְבִּי עֲקִיבָה מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \nוּמְצֻפָּה, טְהוֹרָה. \nהַכּוּשׁ וְהָעִימָה וְהַמַּקֵּל \nוְסוּמְפּוֹנְיָה וְחָלִיל שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, \nטְמֵאִין, \nוּמְצֻפִּין, טְהוֹרִים. \nסִימְפּוֹנְיָה, \nאִם יֶשׁ בָּהּ בֵּית קִבּוּל כְּנָפַיִם, \nבֵּין כָּךְ וּבֵין כָּךְ, טְמֵאָה. \n", + "ז\nקֶרֶן עֲגֻלָּה, טְמֵאָה, \nוּפְשׁוּטָה, טְהוֹרָה. \nאִם הָיְתָה מְצוּפִית שֶׁלָּהּ שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, \nטְמֵאָה. \nהַקַּב שֶׁלָּהּ, \nרְבִּי טַרְפוֹן מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \nוּבְשָׁעַת חִבּוּרָן, הַכֹּל טָמֵא. \nכַּיּוֹצֵא בוֹ: \nקְנֵי מְנוֹרָה, טְהוֹרִין. \nהַפֶּרַח וְהַבָּסִין, טְמֵאִים. \nוּבְשָׁעַת חִבּוּרָן, הַכֹּל טָמֵא. \n", + "ח\nקַסִּידָא, טְמֵאָה, \nוּלְחָיַיִם, טְהוֹרִין. \nאִם יֵשׁ בָּהֶן בֵּית קִבּוּל מַיִם, \nטְמֵאִים. \nכָּל כְּלֵי הַמִּלְחָמָה טְמֵאִים: \nהַכִּידוֹן, וְהַנִּקּוֹן, וְהַמַּגְּפַיִם, וְהַשִּׁרְיָן, \nטְמֵאִין. \nכָּל תַּכְשִׁיטֵי הָאִשָּׁה טְמֵאִין: \nעִיר שֶׁלַּזָּהָב, וּקְטַלָּיוֹת, \nנְזָמִים, וְטַבָּעוֹת, \nוְטַבַּעַת בֵּין שֶׁיֶּשׁ עָלֶיהָ חוֹתָם \nוּבֵין שֶׁאֵין עָלֶיהָ חוֹתָם; \nוְנִזְמֵי הָאַף. \n\nט\nקְטַלָּה שֶׁחֲלָיוֹת שֶׁלָּהּ שֶׁלַּמַּתֶּכֶת \nבְּחוּט שֶׁלַּפִּשְׁתָּן אוֹ שֶׁלַּצֶּמֶר, \nנִפְסַק הַחוּט, הַחֲלָיוֹת טְמֵאוֹת, \nשֶׁכָּל אֶחָד וְאֶחָד כְּלִי בִפְנֵי עַצְמוֹ. \nחוּט שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, \nוַחֲלָיוֹת שֶׁלָּאֲבָנִים טוֹבוֹת וְשֶׁלְּמַרְגָּלִיּוֹת, \nוְשֶׁלִּזְכוֹכִית, \nנִשְׁתַּבְּרוּ חֲלָיוֹת, וְהַחוּט בִּפְנֵי עַצְמוֹ קַיָּם, \nטָמֵא. \nשִׁירֵי קְטַלָּה, כִּמְלֹא צַוַּאר קְטַנָּה. \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר: \nאֲפִלּוּ טַבַּעַת אַחַת, \nטְמֵאָה, שֶׁכֵּן תְּלוּיִין בַּצַּוָּאר. \n", + "י\nנֶזֶם שֶׁהוּא עָשׁוּי כִּקְדֵרָה מִלְּמַטָּן, \nוְכַעֲדָשָׁה מִלְמַעְלָן, וְנִפְרַק, \nכִּקְדֵרָה, \nטָמֵא מִשֵּׁם כְּלִי קִבּוּל; \nוְכַעֲדָשָׁה, \nטָמֵא בִפְנֵי עַצְמוֹ. \nחוּט צִנֵּירָה, טְהוֹרָה. \nהֶעָשׂוּי כְּמִין אֶשְׁכּוֹל, וְנִפְרַק, \nטָהוֹר. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nטַבַּעַת אָדָם, טְמֵאָה. \nטַבַּעַת הַבְּהֵמָה וְהַכֵּלִים, \nוּשְׁאָר כָּל הַטַּבָּעוֹת, טְהוֹרוֹת. \nקוֹרַת הַחִצִּים, טְמֵאָה; \nוְשֶׁלָּאֲסִירִים, טְהוֹרָה. \nהַקּוֹלָר, טָמֵא. <הַקּוֹלַּר> \nשַׁלְשֶׁלֶת שֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית נְעִילָה, טְמֵאָה. \nהָעֲשׁוּיָה לִכְפִיתָה, טְהוֹרָה. \nשַׁלְשֶׁלֶת שֶׁלַּסִּיטוֹנוֹת, טְמֵאָה; \nשֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים, טְהוֹרָה. \nאָמַר רְבִּי יוֹסֵה: \nאֶמָּתַי? \nבִּזְמַן שֶׁהוּא מַפְתֵּחַ אֶחָד, \nאֲבָל אִם הָיוּ שְׁנַיִם, \nאוֹ שֶׁקָּשַׁר חַלָּזוֹן בְּרֹאשָׁהּ, טְמֵאָה. \n", + "ב\nקְנֵה מֹאזְנַיִם שֶׁלַּסָּרוֹקוֹת, טָמֵא, \nמִפְּנֵי אָנְקְיָיוֹת; \nוְשֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים, \nאִם יֶשׁ בּוֹ אָנְקְיָיוֹת, טָמֵא. \nאָנְקְלֵי שֶׁלַּכַּתָּפִין, טְהוֹרָה, \nשֶׁלָּרוֹכְלִים, טְמֵאָה. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nשֶׁלָּרוֹכְלִים, שֶׁלְּפָנָיו טְמֵאָה, \nוְשֶׁלְּאַחֲרָיו טְהוֹרָה. \n\nג\nאָנְקְלֵי שֶׁלַּדַּרְגֵּשׁ, טְמֵאָה; \nוְשֶׁלְּנִקְלִיטִים, טְהוֹרָה; \nשֶׁלַּשִּׁדָּה, טְמֵאָה; \nוְשֶׁלָּאָקוֹן, טְהוֹרָה; \nשֶׁלַּשֻּׁלְחָן, טְמֵאָה; \nוְשֶׁלִּמְנוֹרַת הָעֵץ, טְהוֹרָה. \nזֶה הַכְּלָל: \nהַמְחֻבָּר לַטָּמֵא, טָמֵא, \nהַמְחֻבָּר לַטָּהוֹר, טָהוֹר. \nוְכֻלָּם אַחַת וְאַחַת בִּפְנֵי עַצְמָן, טְהוֹרוֹת. \n", + "ד <ט>\nכְּסוּי טְנִי שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, שֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים, \nרַבָּן גַּמְלִיאֵל מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \nוְשֶׁלָּרוֹפְאִין, טָמֵא. \nהַדֶּלֶת שֶׁבַּמִּגְדָּל שֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים, טְהוֹרָה; \nוְשֶׁלָּרוֹכְלִין, טְמֵאָה. \nהַיַּתֶּכִּים, טְמֵאִין. \nוְהַפֵּרַכִּין, טְהוֹרִין. \nעַקְרַב בֵּית הַבַּד, טְמֵאָה. \nאָנְקְלֵי שֶׁבִּכְתָלִים, טְהוֹרָה. \n", + "ה\nמַסְמֵר הַגָּרָע, טָמֵא. \nשֶׁלְּאֶבֶן שָׁעוֹת, טָהוֹר. \nרְבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא. \nמַסְמֵר הַגִּרְדִּי, טָמֵא. \nוְאָרוֹן שֶׁלַּגָּרוֹסוֹת, \nרְבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \nהָיְתָה עֲגָלָה שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, טְמֵאָה. \n", + "ו\nמַסְמֵר שֶׁהִתְקִינוֹ לִהְיוֹת פּוֹתֵחַ וְנוֹעֵל בּוֹ, טָמֵא. \nהֶעָשׂוּי לִשְׁמִירָה, טָהוֹר. \nמַסְמֵר שֶׁהִתְקִינוֹ לִהְיוֹת פּוֹתֵחַ בּוֹ אֶת הֶחָבִית, \nרְבִּי עֲקִיבָה מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, \nעַד שֶׁיִּצְרְפֶנּוּ. \nמַסְמֵר שֶׁלַּשֻּׁלְחָנִי, טָהוֹר. \nרְבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא. \n\nז\nשְׁלֹשָׁה דְבָרִים \nרְבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: \nמַסְמֵר שֶׁלַּשֻּׁלְחָנִי, \nוְאָרוֹן שֶׁלַּגָּרוֹסוֹת, \nוּמַסְמֵר שֶׁלְּאֶבֶן שָׁעוֹת, \nרְבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \n", + "ח\nאַרְבָּעָה דְבָרִים רַבָּן גַּמְלִיאֵל מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: \nכְּסוּי טְנִי שֶׁלַּמַּתֶּכֶת שֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים, \nוּתְלוּי הַמַּגְרְדוֹת, \nוְגָלְמֵי כְלֵי מַתְּכוֹת, \nוְטַבְלָה שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנַיִם. \nוּמוֹדִים חֲכָמִים לְרַבָּן גַּמְלִיאֵל \nבְּטַבְלָה שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנַיִם, \nאֶחָד גָּדוֹל וְאֶחָד קָטָן, \nהַגָּדוֹל טָמֵא, וְהַקָּטָן טָהוֹר. \n", + "ט\nדִּינָר שֶׁנִּפְסַל, \nוְהִתְקִינוֹ לִתְלוֹתוֹ בְצַוַּאר קְטַנָּה, \nטָמֵא. \nסֶלַע שֶׁנִּפְסְלָה, \nוְהִתְקִינָהּ לִהְיוֹת שׁוֹקֵל בָּהּ, \nטְמֵאָה. \nעַד כַּמָּה תִפָּסֵל וִיהֵא רַשַּׁי לְקַיְּמָהּ? \nעַד שְׁנֵי דִינָרִים. \nפָּחוּת מִכֵּן, יָקֹץ. \n", + "י\nהָאוֹלָר וְהַקּוֹלְמוֹס, <הָאֵוֹלָר>\nוְהַמְּטֻלְטֶלֶת, וְהַמִּשְׁקָלוֹת, \nוְהַכּידִים וְהַכַּן וְהַכַּנָּה, \nטְמֵאִין. \nוְכָל גָּלְמֵי כְלֵי עֵץ, \nטְמֵאִים, \nחוּץ מִשֶּׁלַּפִרְשָׁע. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nגְּרוֹפִית שֶׁלַּזַּיִת, \nטְהוֹרָה, עַד שֶׁתִּשָּׁלֵק. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהַסַּיִף, וְהַסְּכִין, וְהַפִּגְיוֹן, וְהָרֹמַח, \nמַגַּל יָד, מַגַּל קָצִיר, וְהַשְּׁחִיר, \nזוֹג שֶׁלַּסַּפָּרִין, שֶׁנֶּחְלְקוּ, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. \nרְבִּי אוֹמֵר: \nסָמוּךְ לַיָּד, טָמֵא, \nסָמוּךְ לָרֹאשׁ, טָהוֹר. \nמַסְפֶּרֶת שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנַיִם, \nרְבִּי יְהוּדָה מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \n", + "ב\nקֳלִגְרָפוֹן שֶׁנִּטְּלָה כַפָּהּ, \nטְמֵאָה, מִפְּנֵי שִׁנָּהּ; \nנִטְּלָה שִׁנָּהּ, \nטְמֵאָה, מִפְּנֵי כַפָּהּ. \nמַכְחָל שֶׁנִּטְּלָה הַכַּף, \nטָמֵא, מִפְּנֵי הַזָּכָר; \nנִטַּל הַזָּכָר, \nטָמֵא, מִפְּנֵי הַכַּף. \nמִכְתָּב שֶׁנִּטַּל הַכּוֹתֵב, \nטָמֵא, מִפְּנֵי הַמּוֹחֵק. \nנִטַּל הַמּוֹחֵק, \nטָמֵא, מִפְּנֵי הַכּוֹתֵב. \nזוֹמָאנִצְטְרָה שֶׁנִּטְּלָה כַפָּהּ, \nטְמֵאָה, מִפְּנֵי הַמַּזְלֵג. \nנִטְּלָה הַמַּזְלֵג, \nטְמֵאָה, מִפְּנֵי כַפָּהּ. \nוְכֵן הַשֵּׁן שֶׁלַּמַּעְדֵּר. \nשֵׁעוּר כֻּלָּן, כְּדֵי לַעֲשׁוֹת מְלַאכְתָּן. \n", + "ג\nחַרְחוּר שֶׁנִּפְגַּם, \nטָמֵא, עַד שֶׁיִּנָּטֵל רֻבּוֹ. \nנִשְׁבַּר מַקּוּפוֹ, \nטָהוֹר. \nקָרְדֹּם שֶׁנִּטַּל עָשְׁפּוֹ, \nטָמֵא, מִפְּנֵי בֵית בִּקּוּעוֹ; \nנִטַּל בֵּית בִּקּוּעוֹ, \nטָמֵא, מִפְּנֵי עָשְׁפּוֹ. \nנִשְׁבַּר מַקּוּפוֹ, \nטָהוֹר. \n", + "ד\nמַגְרֵפָה שֶׁנִּטְּלָה כַפָּהּ, טְמֵאָה, \nמִפְּנֵי שֶׁהִיא כְקָרְנָס. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \nמְגֵרָה שֶׁנִּטְּלוּ שִׁנֶּיהָ אַחַת מִבִּנְתַּיִם, טְהוֹרָה. \nנִשְׁתַּיַּר בָּהּ מְלֹא הַסִּיט בְּמָקוֹם אֶחָד, טְמֵאָה. \nהַמַּעְצָד, וְהָאַזְמֵל, וְהַמַּפְסֶלֶת, \nוְהַמַּקְדֵּחַ שֶׁנִּפְגָּמוּ, טְמֵאִין. \nנִטַּל חַסוּמָּן, טְהוֹרִין. \nוְכֻלָּם שֶׁנֶּחְלְקוּ לִשְׁנַיִם, טְמֵאִין, \nחוּץ מִן הַמַּקְדֵּחַ. \nוְהָרוֹקְנָה בִפְנֵי עַצְמָהּ, טְהוֹרָה. \n", + "ה\nמַחַט שֶׁנִּטַּל חֲרִירָהּ אוֹ עָקְצָהּ, \nטְהוֹרָה. \nאִם הִתְקִינָהּ לְמִיתָה, \nטְמֵאָה. \nשֶׁלְּסַקָּיִין שֶׁנִּטַּל חֲרִירָהּ, \nטְמֵאָה, מִפְּנֵי שֶׁהוּא כוֹתֵב בָּהּ. \nנִטַּל עָקְצָהּ, \nטְהוֹרָה. \nשֶׁלַּמִתּוֹן, \nבֵּין כָּךְ וּבֵין כָּךְ טְמֵאָה. \n\nו\nמַחַט שֶׁהֶעֱלַת חֲלוּדָה, \nאִם מְעַכֶּבֶת אֶת הַתְּפִירָה, \nטְהוֹרָה; \nוְאִם לָאו, טְמֵאָה. \nצִנֵּירָה שֶׁפְּשָׁטָהּ, \nטְהוֹרָה. \nכְּפָפָהּ, \nחָזְרָה לְטֻמְאָתָהּ. \n", + "ז\nעֵץ הַמְשַׁמֵּשׁ אֶת הַמַּתֶּכֶת, \nטָמֵא. \nוְהַמַּתֶּכֶת וְהַמְשַׁמֶּשֶׁת אֶת הָעֵץ, \nטָהוֹר. \nכֵּיצַד? \nפּוֹתַחַת שֶׁלָּעֵץ, \nוְהַפִּין שֶׁלָּהּ שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, \nאֲפִלּוּ אַחַת, \nטְמֵאָה. \nפּוֹתַחַת שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, \nוְהַפִּין שֶׁלָּהּ שֶׁלָּעֵץ, \nטְהוֹרָה. \nטַבַּעַת שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, \nוְחוֹתָם שֶׁלָּהּ שֶׁלָּאַלְמוֹג, \nטְמֵאָה. \nטַבַּעַת שֶׁלָּאַלְמוֹג, \nוְחוֹתָם שֶׁלָּהּ שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, \nטְהוֹרָה. \nהַשֵּׁן שֶׁבַּטַּס שֶׁבַּפּוֹתַחַת, וְשֶׁבַּמַּפְתֵּחַ, \nטְמֵאָה בִפְנֵי עַצְמָהּ. \n", + "ח\nהַכְּדֻמִּים הָאַשְׁקְלוֹנִים שֶׁנִּשְׁבָּרוּ, \nוְהָאָנְקְלֵי שֶׁלָּהֶם קַיֶּמֶת, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. \nהַמַּעְבֵּר, וְהַמִּזְרֶה, וְהַמַּגּוֹב, \nוְכֵן מַשְׂרֵק שֶׁלָּרֹאשׁ, \nשֶׁנִּטְּלָה אַחַת מִשִּׁנֵּיהֶן, \nוַעֲשָׂאָן שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. \nוְעַל כֻּלָּם אָמַר רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ: \nדָּבָר חָדָשׁ חִדְּשׁוּ סוֹפְרִין, \nוְאֵין לִי מָה אָשִׁיב. \n", + "ט\nמַשְׂרֵק שֶׁלַּפִּשְׁתָּן שֶׁנִּטְּלוּ שִׁנָּיו, \nנִשְׁתַּיְּרוּ בוֹ שְׁתַּיִם, טָמֵא, \nוְאַחַת, טָהוֹר. \nוְכֻלָּם, אַחַת וְאַחַת בִּפְנֵי עַצְמָן, \nטְמֵאוֹת. \n\nי\nוְשֶׁלַּצֶּמֶר שֶׁנִּטְּלוּ שִׁנָּיו וְאַחַת מִבִּנְתַּיִם, \nטָהוֹר. \nנִשְׁתַּיַּר בּוֹ שָׁלוֹשׁ בְּמָקוֹם אֶחָד, \nטָמֵא. \nהָיְתָה הַחִיצוֹנָה אַחַת מֵהֶן, \nטָהוֹר. \nנִטְּלוּ מִמֶּנּוּ שְׁתַּיִם וַעֲשָׂאָן לַמַּלְקֶטֶת, \nטְמֵאוֹת; \nאַחַת, וְהִתְקִינָהּ לַנֵּר, אוֹ לַמִּיתָה, \nטְמֵאָה. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nכְּלֵי מַתְּכוֹת, \nכַּמָּה הוּא שֵׁעוּרָן? \nהַדְּלִי, כְּדֵי לְמַלֹּאות בּוֹ. \nקֻמְקוּמוֹס, כְּדֵי לָחוּם בּוֹ. \nמֵחַם, כְּדֵי לְקַבֵּל סְלָעִים. \nהַלְּבֵס, כְּדֵי לְקַבֵּל קִיתוֹנוֹת. \nקִיתוֹנוֹת, כְּדֵי לְקַבֵּל פְּרוּטוֹת. \nמִדּוֹת הַיַּיִן, בְּיַיִן, \nוּמִדּוֹת הַשֶּׁמֶן, בְּשֶׁמֶן; \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר: \nכֻּלָּם בִּפְרוּטוֹת. \nרְבִּי עֲקִיבָה אוֹמֵר: \nהַמְחֻסָּר חֲטָפָה, טָמֵא, \nוְהַמְחֻסָּר לְטִישָׁה, טָהוֹר. \n", + "ב\nמַקֵּל שֶׁעָשָׂה בְרֹאשׁוֹ מַסְמֵר כְּמִין חֲזַיְנָה, \nטָמֵא; \nסִמְּרוֹ, טָמֵא. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nעַד שֶׁיַּעֲשֶׂה בוֹ שְׁלֹשָׁה סְדָרִים. \nוְכֻלָּם, שֶׁעֲשָׂאָן לַנּוֹי, \nטְהוֹרִין. \nעָשָׂה בְרֹאשׁוֹ מְנִיקִית, וְכֵן בַּדֶּלֶת, \nטְהוֹרָה; \nהָיְתָה כֶלִי וְחִבְּרָהּ לוֹ, \nטְמֵאָה. \nמֵאֶמָּתַי הִיא טַהֲרַתּוּ? \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nמִשֶּׁיְּחַבֵּל. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nמִשֶּׁיְּחַבֵּר. \n", + "ג\nהַקַּנְטֵר שֶׁלַּבַּנַּאי, \nוְהַדָּקוֹר שֶׁלֶּחָרָשׁ, <חֶרֶשׂ>\nהֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. \nיִתְדוֹת אֲהָלִין, \nוְיִתְדוֹת הַמָּשׁוֹחוֹת, \nטְמֵאוֹת. \nשַׁלְשֶׁלֶת שֶׁלַּמָּשׁוֹחוֹת, \nטְמֵאָה. \nהָעֲשׁוּיָה לָעֵצִים, \nטְהוֹרָה. \nשַׁלְשֶׁלֶת דְּלִי גָדוֹל, \nאַרְבָּעָה טְפָחִים; \nוְשֶׁלַּקָּטוֹן, עֲשָׂרָה. \nחֲמוֹר שֶׁלַּנַּפָּחִים, \nטְמֵאָה. \nמְגֵרָה שֶׁעָשָׂה שִׁנֶּיהָ בְתוֹךְ הַחֹר, \nטְמֵאָה; \nעֲשָׂאָן מִלְּמַטָּן לְמַעְלָן, \nטְהוֹרָה. \nכָּל הַכְּסוּיִין טְהוֹרִין, \nחוּץ מִשֶּׁלַּמֵּחַם. <מִשַּׁלְּמֵּיחֶם>\n", + "ד\nהַטְּמֵאִין שֶׁבָּעֲגָלָה: \nהָעֹל שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, \nוְהַקַּטְרֵב, \nוְהַכְּנָפַיִם הַמְקַבְּלוֹת אֶת הָרְצוּעוֹת, <הַמְקַבֶּלֶות>\nוּבַרְזֶל שֶׁתַּחַת צַוְּארֵי בְהֵמָה, \nהַסּוֹמֵךְ, וְהַמְחַגֵּר, \nוְהַתַּמְחוּיוֹת, וְהָעַנְבוּל, וְהַצִּנֵּירָה, \nוּמַסְמֵר מְחַבֵּר אֶת כֻּלָּם. \n", + "ה\nהַטְּהוֹרִים שֶׁבָּעֲגָלָה, \nוְהָעֹל הַמְצֻפֶּה, \nוּכְנָפַיִם הָעֲשׁוּיוֹת לַנּוֹי, \nוּשְׁפוֹפְרוֹת הַמַּשְׁמִיעוֹת אֶת הַקּוֹל, \nוְהָאֲבָר שֶׁבְּצַד צַוְּארֵי בְהֵמָה, \nהַסּוֹבֵב שֶׁלַּגַּלְגַּל, \nוְהַטָּסִין, וְהַצִּפּוּיִין, \nוּשְׁאָר כָּל הַמַּסְמְרוֹת, \nטְהוֹרִין. \nסַנְדַּלֵּי בְהֵמָה שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, \nטְמֵאִין, \nשֶׁלַּשַּׁעַם, טְהוֹרִין. \nהַסֵּיף, מֵאֶמָּתַי מְקַבֵּל טֻמְאָה? \nמִשֶּׁיְּשׁוּפֶנּוּ. \nוְהַסְּכִין? \nמִשֶּׁיַּשְׁחִיזֶנָּה. \n", + "ו\nכְּסוּי טְנִי שֶׁלַּמַּתֶּכֶת שֶׁעָשָׂה בוֹ מַרְאָה, \nרְבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר, \nוַחֲכָמִים מְטַמִּין. \nמַרְאָה שֶׁנִּשְׁבָּרָה, \nאִם אֵינָה מַרְאָה אֶת רֹב הַפָּנִים, \nטְהוֹרָה. \n", + "ז\nכְּלֵי מַתְּכוֹת מִטַּמִּין וּמִטַּהֲרִין שְׁבָרִין. \nדִּבְרֵי רְבִּי אֱלִיעֶזֶר. \nרְבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר: \nאֵינָן מִטַּהֲרִין אֶלָּא שְׁלֵמִים. \nכֵּיצַד? \nהִזָּה עֲלֵיהֶן, \nוְנִשְׁבָּרוּ בוֹ בַיּוֹם, \nהִתִּיכָן, חָזַר וְהִזָּה עֲלֵיהֶן שְׁנִיָּה בוֹ בַיּוֹם, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִין. \nדִּבְרֵי רְבִּי אֱלִיעֶזֶר. \nרְבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר: \nאֵין הַזָּיָה פָחוּת מִשְּׁלִישִׁי וּמִשְּׁבִיעִי. \n", + "ח\nמַפְתֵּחַ שֶׁלָּאַרְכֻּבָּה שֶׁנִּשְׁבְּרָה מִתּוֹךְ אַרְכֻּבָּתוֹ, \nטָהוֹר. \nרְבִּי יְהוּדָה מְטַמֵּא, \nמִפְּנֵי שֶׁהוּא פוֹתֵחַ בּוֹ מִבִּפְנִים. \nוְשֶׁלַּגַּם שֶׁנִּשְׁבַּר מִתּוֹךְ גֻּמּוֹ, \nטָהוֹר. \nהָיוּ בוֹ חָפִין וּנְקָבִין, \nטָמֵא. \nנִטְּלוּ חָפִין, \nטָמֵא, מִפְּנֵי נְקָבִין. \nנִסְתַּתְּמוּ נְקָבִין, טָמֵא, \nמִפְּנֵי חָפִין; \nנִטְּלוּ חָפִין וְנִסְתַּתְּמוּ נְקָבִין, \nאוֹ שֶׁפְּרָצָן זֶה לְתוֹךְ זֶה, \nטָהוֹר. \nמַסְנֶנֶת שֶׁלַּחַרְדָּל \nשֶׁנִּפְרְצוּ בָהּ שְׁלֹשָׁה נְקָבִים מִלְּמַטָּן זֶה לְתוֹךְ זֶה, \nטְהוֹרָה. \nוְאַרְפַּכְס שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, \nטְמֵאָה. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nכְּלֵי עֵץ, \nכְּלֵי עוֹר, \nכְּלֵי עֶצֶם, \nכְּלֵי זְכוֹכִית, \nפְּשׁוּטֵיהֶן טְהוֹרִין, \nוּמְקַבְּלֵיהֶן טְמֵאִין. \nנִשְׁבָּרוּ, טָהָרוּ. \nחָזַר וְעָשָׂה מֵהֶן כֵּלִים, \nמְקַבְּלִין טֻמְאָה מִכָּן וְלַבָּא. \nהַשִּׁדָּה, \nוְהַתֵּבָה, \nוְהַמִּגְדָּל, \nכַּוֶּרֶת הַקַּשׁ, \nוְכַוֶּרֶת הַקָּנִים, \nוּבוֹר סְפִינָה אֲלֶכְּסַנְדְּרִית, \nשֶׁיֵּשׁ לָהֶם שׁוּלַיִם, \nוְהֵן מַחֲזִיקִים אַרְבָּעִים לַח, \nשֶׁהֵם כּוֹרַיִם בַּיָּבֵשׁ, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִין. \nוּשְׁאָר כָּל הַכֵּלִים, \nבֵּין מְקַבְּלִין בֵּין אֵינָן מְקַבְּלִין, \nטְמֵאִים. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nדַּרְדּוּר עֲגָלָה, \nוְקָסֻטּוֹת הַמְּלָכִים, <וקוסטות>\nוַעֲרֵבַת הָעֻבְּדָן, \nוּבוֹר סְפִינָה קְטַנָּה, \nוְהָאָרוֹן, \nאַף עַל פִּי מְקַבְּלִין, \nטְמֵאִין, \nשֶׁאֵינָן עֲשׁוּיִים לְהִטַּלְטֵל אֶלָּא בְמַה שֶּׁבְּתוֹכָן. \nוּשְׁאָר כָּל הַכֵּלִים, \nהַמְקַבְּלִין, טְהוֹרִין, \nוְשֶׁאֵינָן מְקַבְּלִין, טְמֵאִין. \nאֵין בֵּין דִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר לְדִבְרֵי רְבִּי יְהוּדָה \nאֶלָּא עֲרֵבַת בַּעַל הַבַּיִת. \n", + "ב\nאֲרֻבּוֹת שֶׁלַּנַּחְתּוֹמִים, טְמֵאוֹת, \nוְשֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים, טְהוֹרוֹת. \nסְרָקָן אוֹ כִרְכְּמָן, טְמֵאוֹת. <סירקן> \nדַּף שֶׁלַּנַּחְתּוֹמִים שֶׁקְּבָעוֹ בַכֹּתֶל, \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר, \nוַחֲכָמִים מְטַמִּין. \nסְרוּד שֶׁלַּנַּחְתּוֹמִים, טָמֵא, \nוְשֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים, טָהוֹר. \nגִּפְּפוֹ מֵאַרְבַּע רוּחוֹתָיו, טָמֵא. \nנִפְרַץ מֵרוּחַ אַחַת, טָהוֹר. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nאִם הִתְקִינוֹ לִהְיוֹת פּוֹרֵץ עָלָיו, טָמֵא. \nוְכֵן הַמַּעֲרוֹךְ, טָמֵא. \n", + "ג\nיָם נָפָה שֶׁלְּסַלָּתִים, טָמֵא, \nוְשֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים, טָהוֹר. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nאַף שֶׁלַּגַּדֶּלֶת טָמֵא מוֹשָׁב, \nמִפְּנֵי שֶׁהַבָּנוֹת יוֹשְׁבוֹת לְתוֹכוֹ וְגוֹדְלוֹת. \n", + "ד\nכָּל הַתְּלוּיִן טְמֵאִין, \nחוּץ מִתְּלוּי נָפָה וּכְבָרָה שֶׁלְּבַעַל הַבַּיִת. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nכֻּלָּם טְהוֹרִין, \nחוּץ מִתְּלוּי נָפָה שֶׁלְּסַלָּתִין, \nוּתְלוּי כְּבָרַת גֳּרָנוֹת, \nוּתְלוּי מַגַּל יָד, \nוּתְלוּי מַקֵּל הַבָּלְשִׁין, \nמִפְּנֵי שֶׁהֵן מְסַיְּעִין בְּשָׁעַת מְלָאכָה. \nזֶה הַכְּלָל: \nהֶעָשׂוּי לְסִיּוּעַ בְּשָׁעַת מְלָאכָה, טָמֵא; \nהֶעָשׂוּי לְתָלוּי, טָהוֹר. \n", + "ה\nרַחַת הַגָּרוֹסוֹת, טְמֵאָה, \nוְשֶׁלְּאוֹצָרוֹת, טְהוֹרָה. \nזֶה הַכְּלָל: \nהֶעָשׂוּי לְקַבָּלָה, טָמֵא, \nוּלְכִנּוּס, טָהוֹר. \n", + "ו\nנִבְלֵי הַשָּׁרָה, טְמֵאִין, \nוְנִבְלֵי בְנֵי לֵוִי, טְהוֹרִין. \nכָּל הַמַּשְׁקִין, טְמֵאִין, \nוּמַשְׁקֵה בֵית מַטְבְּחִיָּה, טְהוֹרִין. \nכָּל הַסְּפָרִים מְטַמִּין אֶת הַיָּדַיִם, \nחוּץ מִסֵּפֶר הָעֲזָרָה. \nהַמַּרְכּוּב טָהוֹר. \nהַבַּטְנוֹן וְהַנִּקְטְמוֹן וְהָאֵרוֹס, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nהָאֵרוֹס טָמֵא מוֹשָׁב, \nמִפְּנֵי שֶׁהָאַלָּאִית יוֹשֶׁבֶת עָלָיו. \nמְצוֹדַת הַחֻלְדָּה, טְמֵאָה, \nוְשֶׁלָּעַכְבָּרִין, טְהוֹרָה. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nכָּל כְּלִי עֵץ שֶׁנֶּחֱלַק לִשְׁנַיִם, טָהוֹר, \nחוּץ מִשֻּׁלְחָן הַסָּפוּל, \nוְתַמְחוּי הַמַּזְנוֹן, \nוָאַפִּיפּוֹדִין שֶׁלְּבַעַל הַבַּיִת. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nאַף הַמְּגֵס וְקוֹד הַבַּבְלִי כַּיּוֹצֵא בָהֶן. \nכְּלֵי עֵץ, מֵאֶמָּתַי מְקַבְּלִין טֻמְאָה? \nהַמִּטָּה וְהָעֲרִיסָה, מִשֶּׁיְּשׁוּפֵם בְּעוֹר הַדָּג. \nגָּמַר שֶׁלֹּא לָשׁוּף, טְמֵאָה. \nרְבִּי מֵאִיר אוֹמֵר: \nהַמִּטָּה, מִשֶּׁיְּסָרֵג בָּהּ שְׁלֹשָׁה בָתִּים. \n", + "ב\nהַסַּלִּים שֶׁלָּעֵץ, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב; \nוְשֶׁלַּתְּמָרָה, \nאַף עַל פִּי שֶׁלֹּא קִנֵּב מִבִּפְנִים, \nטָמֵא, שֶׁכֵּן מְקַיְּמִים. \nכַּלְכַּלָּה, \nמִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב וְיִגְמֹר אֶת הַתְּלוּיָה. \nבֵּית הַלָּגִינִין, וּבֵית הַכּוֹסוֹת, \nאַף עַל פִּי שֶׁלֹּא קִנֵּב מִבִּפְנִים, \nטָמֵא, שֶׁכֵּן מְקַיְּמִים. \n", + "ג\nהַקְּנוּנִין הַקְּטַנִּים, וְהַקְּלָתוֹת, \nמִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב. \nהַקְּנוּנִין הַגְּדוֹלִין, וְהַסּוֹגִין הַגְּדוֹלִים, \nמִשֶּׁיַּעֲשֶׂה שְׁנֵי דוּרִין לָרַחַב שֶׁלָּהֶן. \nיָם, נָפָה, וּכְבָרָה, וְכַף שֶׁלְּמֹאזְנַיִם, \nמִשֶּׁיַּעֲשֶׂה דוּר אֶחָד לָרַחַב שֶׁלָּהֶן. \nהַקֻּפָּה, \nמִשֶּׁיַּעֲשֶׂה שְׁתֵּי צְפִירוֹת לָרַחַב שֶׁלָּהּ. \nוְהָעֲרָק, \nמִשֶּׁיַּעֲשֶׂה בוֹ צְפִירָה אַחַת. \n", + "ד\nכְּלֵי עוֹר, מֵאֶמָּתַי מְקַבְּלִין טֻמְאָה? \nהַתָּרְמֵל, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב, \nוְיַעֲשֶׂה קֵיחוֹתָיו. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nמִשֶּׁיַּעֲשֶׂה אָזְנָיו. \nסְקֻרְטְיָה, \nמִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב, \nוְיַעֲשֶׂה אֶת צִיצִיתָהּ. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nמִשֶּׁיַּעֲשֶׂה אֶת טַבְּעוֹתֶיהָ. \nקָטְבֻלְיָה, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nמִשֶּׁיַּעֲשֶׂה אֶת קֵיחוֹתֶיהָ. \n\nה\nהַכַּר וְהַכֶּסֶת שֶׁלָּעוֹר, \nמִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nמִשֶּׁיִּתְפְּרֵם \nוִישַׁיֵּר בָּהֶן פָּחוּת מֵחֲמִשָּׁה טְפָחִים. \n", + "ו\nפָּטַלְיָה טְמֵאָה, <מחוק ומתוקן. כנראה היה פטילייא> \nוַחֲסִינָה טְהוֹרָה. \nסִגְנָיוֹת שֶׁלֶּעָלִים, טְהוֹרוֹת, \nוְשֶׁלִּנְצָרִין, טְמֵאוֹת. \nחוֹתָל שֶׁהוּא נוֹתֵן לְתוֹכוֹ וְנוֹטֵל מִתּוֹכוֹ, \nטָמֵא. \nאֵינוּ יָכוֹל עַד שֶׁיִּקְרָעֶנּוּ, עַד שֶׁיַּתִּירֶנּוּ, \nטָהוֹר. \n", + "ז\nקִסְיָה שֶׁלְּזוֹרֵי גֳרָנוֹת, \nשֶׁלְּהוֹלְכֵי דְרָכִים, \nשֶׁלְּעוֹשֵׂי פִשְׁתָּן, טְמֵאָה. \nאֲבָל שֶׁלַּצַּבָּעִים וְשֶׁלַּנַּפָּחִים, טְהוֹרָה. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nאַף שֶׁלַּגָּרוֹסוֹת כַּיּוֹצֵא בָהֶן. \nזֶה הַכְּלָל: \nהֶעָשׂוּי לְקַבָּלָה, טָמֵא; \nמִפְּנֵי הַזֵּעָה, טָהוֹר. \n", + "ח\nהַמַּקְלוֹט שֶׁלַּבָּקָר, \nוְהַחִסּוּם שֶׁלּוֹ, \nוְהַמַּדָּף שֶׁלַּדְּבוֹרִים, \nוְהַמְּנָפָה, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִין. \nכְּסוּי קַפְצָא, טָמֵא. \nכְּסוּי קַמְטְרָא, טָהוֹר. \nכְּסוּי תֵּבָה, כְּסוּי טְנִי, \nוְהַמַּכְבֵּשׁ שֶׁלֶּחָרָשׁ, \nוְהַכִּסֵּא שֶׁתַּחַת הַתֵּבָה, \nוְהַקַּמְּרוֹן שֶׁלָּהּ, \nוַאֲנַגְלִים שֶׁלַּסֵּפֶר, \nוּבֵית הַנַּגָּר, \nוּבֵית הַמַּנְעוּל, \nוּבֵית הַמְּזוּזָה, \nתֵּיק נְבָלִים, \nתֵּיק כִּנּוֹרוֹת, \nוְאָמוּם שֶׁלְּגוֹדְלֵי מִצְנְפוֹת, \nוְהַמַּרְכּוּג שֶׁלַּזַּמָּר, \nוּרְבִיעִין שֶׁלָּאַלָּאִית, \nוְגוֹגֶנֶת הֶעָנִי, \nוּסְמוּכוֹת הַמִּטָּה, \nוּטְפָס שֶׁלַּתְּפִלָּה, \nוַאֲמוּם שֶׁלְּעוֹשֵׂי סָבוֹת, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִין. \nזֶה הַכְּלָל אָמַר רְבִּי יוֹסֵה: \nכָּל מְשַׁמְּשֵׁי מְשַׁמְּשָׁיו שֶׁלָּאָדָם, \nבְּשָׁעַת מְלָאכָה וְשֶׁלֹּא בְשָׁעַת מְלָאכָה, \nטָמֵא. \nוְכָל שֶׁאֵינוּ אֶלָּא בְשָׁעַת מְלָאכָה, \nטָהוֹר. \n", + "ט\nתֵּיק הַסַּיִף וְהַסְּכִין וְהַפִּגְיוֹן, \nתֵּיק מִסְפֶּרֶת וּמִסְפְּרַיִם וְהַתַּעַר, \nתֵּיק מַכְחָל, \nוּבֵית הַכֹּחַל, \nתֵּיק מִכְתָּב, \nוּתְרֻנְתֵּק, \nתֵּיק טַבְלָה וּסְקוֹרְטְיָה, \nבֵּית הַחִצִּים, \nוּבֵית הַפָּגוֹשׁוֹת, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. \nתֵּיק סִימְפוֹנְיָא, \nבִּזְמַן שֶׁהוּא נוֹתְנָהּ מִלְמַעְלָה, טָמֵא; \nמִצִּדּוֹ, טָהוֹר. \nתֵּיק חֲלִילִים, \nרְבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר, \nמִפְּנֵי שֶׁהוּא נוֹתְנוֹ מִצִּדּוֹ. <נוֹתְנָהּ> \nחֲפוּי הָאַלָּה, \nוְהַקֶּשֶׁת, \nוְהָרֹמַח, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִין. \nזֶה הַכְּלָל: \nהֶעָשׂוּי לְתֵיק, טָמֵא, \nלַחֲפוּי, טָהוֹר. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nכָּל כְּלֵי בַעֲלֵי בָתִּים, \nשֵׁעוּרָן בָּרִמּוֹנִים; \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר: \nבְּמַה שֶּׁהֵן. \nקֻפּוֹת הַגַּנָּנִים, \nשֵׁעוּרָן בַּאֲגֻדּוֹת שֶׁלַּיָּרָק, \nשֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים, בַּתֶּבֶן, \nשֶׁלַּבַּלָּנִין, בַּגְּבָבָה. \nרְבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר: \nכֻּלָּם בָּרִמּוֹנִים. \n", + "ב\nהַחֵמֶת, \nשֵׁעוּרָהּ בְּפַקָּעִיּוֹת שֶׁלַּשֶּׁתִי. \nאִם אֵינָהּ מְקַבֶּלֶת שֶׁלַּשֶּׁתִי, \nאַף עַל פִּי מְקַבֶּלֶת שֶׁלָּעֵרֶב, \nטְמֵאָה. \nבֵּית קְעָרוֹת שֶׁאֵינוּ מְקַבֵּל קְעָרוֹת, \nאַף עַל פִּי מְקַבֵּל תַּמְחוּיִים, \nטָמֵא. \nבֵּית הָרֶאִי שֶׁאֵינוּ מְקַבֵּל מַשְׁקִים, <=הָרֵעִי>\nאַף עַל פִּי שֶׁמְּקַבֵּל אֶת הָרֶאִי, \nטָמֵא. \nרַבָּן גַּמְלִיאֵל מְטַהֵר, \nשֶׁהֵן מְקַיְּמִין אוֹתוֹ. \n", + "ג\nהַסַּלִּים שֶׁלַּפַּת, \nשֵׁעוּרָן בְּכִכָּרוֹת שֶׁלַּפַּת. \nפִּיפְּיָרוֹת \nשֶׁעָשָׂה לָהּ קָנִים מִלְּמַטָּן לְמַעְלָן לְחִזּוּק, \nטְהוֹרָה. \nעָשָׂה לָהּ גַּפַּיִם כָּל שֶׁהֵן, \nטְמֵאָה. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nאִם אֵינָה יְכוּלָה לְהִנָּטֵל בְּגַפַּיִם, \nטְהוֹרָה. \n", + "ד\nהָרִמּוֹנִים שֶׁאָמָרוּ, \nשְׁלֹשָׁה אֲחוּזִים זֶה בָזֶה. \nרַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר: \nבְּנָפָה וּבִכְבָרָה, כְּדֵי שֶׁיִטֹּל וִיהַלֵּךְ. \nוּבַקֻּפָּה, כְּדֵי שֶׁיַּפְשִׁיל לְאַחֲרָיו. \nוּשְׁאָר כָּל הַכֵּלִים שֶׁאֵינָן יְכוּלִים לְקַבֵּל רִמּוֹנִים, \nכְּגוֹן רֹבַע, וַחֲצִי הָרֹבַע, \nהַקְּנוֹנִין הַקְּטַנִּים, \nשֵׁעוּרָן בְּרֻבָּן. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nבַּזֵּיתִין. \nנִפְרָצוּ, שֵׁעוּרָן בַּזֵּיתִים. \nנִגְמָמוּ, שֵׁעוּרָן בְּמַה שֶּׁהֵן. \n", + "ה\nהָרִמּוֹן שֶׁאָמָרוּ, \nלֹא גָדוֹל וְלֹא קָטֹן, אֶלָּא בֵינוֹנִי. \nוּלְמָה הָזְכָּרוּ רִמּוֹנֵי בָדָן? \nשֶׁיְּהוּ מְקַדְּשִׁין כָּל שֶׁהֵן. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nרְבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי אוֹמֵר: \nלְשַׁעֵר בָּהֶם אֶת הַכֵּלִים. \nרְבִּי עֲקִיבָה אוֹמֵר: \nלְכָךְ וּלְכָךְ הָזְכָּרוּ: \nלְשַׁעֵר בָּהֶן אֶת הַכֵּלִים, \nוְשֶׁיְּהוּ מְקַדְּשִׁין כָּל שֶׁהֵן. \nאָמַר רְבִּי יוֹסֵה: \nלֹא שֶׁיְּהוּ רִמּוֹנֵי בָדָן וַחֲצִירֵי גֶבַע, \nאֶלָּא שֶׁיְּהוּ מִתְעַשְּׂרִין וַדַּי בְּכָל מָקוֹם. \n", + "ו <ז>\nכַּבֵּיצָה שֶׁאָמָרוּ, \nלֹא גְדוֹלָה וְלֹא קְטַנָּה, אֶלָּא בֵינוֹנִית. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nמֵבִיא גְדוֹלָה שֶׁבַּגְּדוֹלוֹת וּקְטַנָּה שֶׁבַּקְּטַנּוֹת, \nוְנוֹתֵן לְתוֹךְ הַמַּיִם, \nוְחוֹלֵק אֶת הַמַּיִם. \nאָמַר רְבִּי יוֹסֵה: \nוְכִי מִי מוֹדִיעֵנִי אֵי זוֹ גְדוֹלָה וְאֵי זוֹ קְטַנָּה? \nאֶלָּא הַכֹּל לְפִי דַעְתּוֹ שֶׁלָּרוֹאֶה. \n", + "ז <ח>\nכַּגְּרוֹגֶרֶת שֶׁאָמָרוּ, \nלֹא גְדוֹלָה וְלֹא קְטַנָּה, אֶלָּא בֵינוֹנִית. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nהַגְּדוֹלָה שֶׁבְּאֶרֶץ יִשְׂרָאֵל, \nהִיא הַבֵּינוֹנִית שֶׁבַּמְּדִינוֹת. \n", + "ח <ט>\nכַּזַּיִת שֶׁאָמָרוּ, \nלֹא גָדוֹל וְלֹא קָטֹן, אֶלָּא בֵינוֹנִי, \nזֶה אֲגוֹרִי. \nכִּשְׂעוֹרָה שֶׁאָמָרוּ, \nלֹא גְדוֹלָה וְלֹא קְטַנָּה, אֶלָּא בֵינוֹנִית, \nזוֹ מִדְבָּרִית. \nכָּעֲדָשָׁה שֶׁאָמָרוּ, \nלֹא גְדוֹלָה וְלֹא קְטַנָּה, אֶלָּא בֵינוֹנִית, \nזוֹ מִצְרִית. \nכָּל הַמִּטַּלְטְלִין \nמְבִיאִין אֶת הַטֻּמְאָה בְעֹבִי הַמַּרְדֵּעַ, \nלֹא גָדוֹל וְלֹא קָטֹן, אֶלָּא בֵינוֹנִי. \nוְאֵי זֶה הוּא הַבֵּינוֹנִי? \nכָּל שֶׁהֶקֵּפוֹ טֶפַח. \n", + "ט\nהָאַמָּה שֶׁאָמָרוּ, \nבָּאַמָּה הַבֵּינוֹנִית. \nשְׁתֵּי אַמּוֹת הָיוּ בְשׁוּשַׁן הַבִּירָה: \nאַחַת עַל קֶרֶן מִזְרָחִית צְפוֹנִית, \nוְאַחַת עַל קֶרֶן מִזְרָחִית דְּרוֹמִית; \nשֶׁעַל קֶרֶן מִזְרָחִית צְפוֹנִית, <דְּרוֹמִית>\nהָיְתָה יְתֵרָה עַל שֶׁלְּמֹשֶׁה חֲצִי אֶצְבַּע; \nוְשֶׁעַל קֶרֶן מִזְרָחִית דְּרוֹמִית, \nהָיְתָה יְתֵרָה עָלֶיהָ חֲצִי אֶצְבַּע. \nנִמְצֵאת יְתֵרָה עַל שֶׁלְּמֹשֶׁה אֶצְבַּע. \n\nי\nוְלָמָּה אָמָרוּ 'אַחַת גְּדוֹלָה וְאַחַת קְטַנָּה'? \nאֶלָּא שֶׁהָאֻמָּנִים נוֹטְלִים בַּקְּטַנָּה, \nוּמַחְזִירִין בַּגְּדוֹלָה, \nכְּדֵי שֶׁלֹּא יָבוֹאוּ לְבֵית הַמְּעִילָה. \n", + "רְבִּי מֵאִיר אוֹמֵר: \nכָּל הָאַמּוֹת הָיוּ בַּבֵּינוֹנִית, \nחוּץ מִמִּזְבַּח הַזָּהָב, \nוְקֶרֶן וְהַסּוֹבֵב וְהַיְסוֹד. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nאַמַּת הַבִּנְיָן, שִׁשָּׁה טְפָחִים, \nוְשֶׁלַּכֵּלִים, חֲמִשָּׁה. \n", + "יא\nוְיֵשׁ שֶׁאָמָרוּ בְּמִדָּה דַקָּה: \nמִדּוֹת הַלַּח וְהַיָּבֵשׁ, \nשֵׁעוּרָן בָּאִיטַלְקִי, \nזוֹ מִדְבָּרִית. \nוְיֵשׁ שֶׁאָמָרוּ: \nהַכֹּל לְפִי מַה שֶּׁהוּא אָדָם: \nקוֹמֵץ אֶת הַמִּנְחָה, <הקומץ>\nוְחוֹפְנֵי הַקְּטֹרֶת, \nוְהַשּׁוֹתֶה כִמְלֹא לָגְמָיו בְּיוֹם הַכִּפּוּרִים, \nכִּמְזוֹן שְׁתֵּי סְעוֹדוֹת לָעֵרוּב. \nמְזוֹנוֹ לַחֹל אֲבָל לֹא לַשַּׁבָּת, \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nלַשַּׁבָּת אֲבָל לֹא לַחֹל. \nאֵלּוּ וָאֵלּוּ מִתְכַּוְּנִין לְהָקֵל. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nמִשְּׁתֵי יָדוֹת לַכִּכָּר, \nמִשָּׁלשׁ לַקַּב. \nרְבִּי יוֹחָנָן בֶּן בְּרוֹקָה אוֹמֵר: \nמִכִּכָּר בְּפוֹנְדְּיוֹן וּמֵאַרְבַּע בַּסֶּלַע. \n", + "יב\nוְיֵשׁ שֶׁאָמָרוּ מִדָּה גַסָּה: \nמְלֹא תַרְוָד רָקָב, <תורווד>\nמְלֹא תַרְוָד גָּדוֹל שֶׁלָּרוֹפְאִים; \nגְּרִיס נְגָעִים, כְּגָרִיס הַקִּלְקִי; \nהָאוֹכֵל בְּיוֹם הַכִּפּוּרִים כְּכוֹתֶבֶת הַגַּסָּה, \nכָּמוֹהָ וּכְגַלְעַנָּתָהּ. \nנוֹדוֹת יַיִן וְשֶׁמֶן, \nשֵׁעוּרָן בְּפִיקָה גְדוֹלָה שֶׁלָּהֶן. \nוּמָאוֹר שֶׁלֹּא נֶעֱשָׂה בִידֵי אָדָם, \nשֵׁעוּרוֹ מְלֹא אֶגְרוֹף גָּדוֹל, \nזֶה אֶגְרוֹפוֹ שֶׁלְּבֶן בַּטִּיחַ. \nאָמַר רְבִּי יוֹסֵה: \nיֶשְׁנוֹ כְרֹאשׁ גָּדוֹל שֶׁלָּאָדָם. \n\nיג\nוְשֶׁנֶּעֱשָׂה בִידֵי אָדָם, \nשֵׁעוּרוֹ מְלֹא מַקְדֵּחַ גָּדוֹל שֶׁלַּלִּשְׁכָּה, \nשֶׁהוּא כְפוֹנְדְּיוֹן הָאִיטַלְקִי, \nוּכְסֶלַע נְרוֹנִית, \nכִּמְלֹא נֶקֶב שֶׁבָּעֹל. \n", + "יד\nכָּל שֶׁבַּיָּם טָהוֹר, \nחוּץ מִכֶּלֶב הַיָּם, \nמִפְּנֵי שֶׁהוּא בוֹרֵחַ לַיִּיבָשׁ. \nדִּבְרֵי רְבִּי עֲקִיבָה. \nהָעוֹשֶׂה כֵלִים מִן הַגָּדֵל בַּיָּם \nוְחִבֵּר לָהֶם מִן הַגָּדֵל בָּאָרֶץ, \nאֲפִלּוּ חוּט, אֲפִלּוּ מְשִׁיחָה, \nדָּבָר שֶׁהוּא מְקַבֵּל טֻמְאָה, \nטָמֵא. \n", + "יה\nוְיֵשׁ בְּמַה שֶּׁנִּבְרָא בַיּוֹם הָרִאשׁוֹן טֻמְאָה; \nבַּשֵּׁנִי, אֵין בּוֹ טֻמְאָה, \nבַּשְּׁלִישִׁי, יֶשׁ בּוֹ טֻמְאָה, \nבָּרְבִיעִי וּבַחֲמִישִׁי, אֵין בּוֹ טֻמְאָה, \nחוּץ מִכְּנַף הָעוּז וּבֵיצַת הַנַּעֲמִית הַמְצֻפָּה. \nאָמַר רְבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי: \nמַה שָּׁנַת כְּנַף הָעוּז מִכָּל כְּנָפַיִם? \nכָּל שֶׁנִּבְרָא בַיּוֹם הַשִּׁשִּׁי, טָמֵא. \n", + "יו\nהָעוֹשֶׂה כְלִי קִבּוּל מִכָּל מָקוֹם, \nטָמֵא. \nהָעוֹשֶׂה מִשְׁכָּב וּמוֹשָׁב מִכָּל מָקוֹם, \nטָמֵא. \nהָעוֹשֶׂה כִיס מִן הָעוֹר וּמִן הַמַּצָּה וּמִן הַנְּיָר, \nטָמֵא. \nהָרִמּוֹן, הָאַלּוֹן וְהָאֱגוֹז, \nשֶׁחֲקָקוּם הַתִּינוֹקוֹת לָמוֹד בָּהֶן אֶת הֶעָפָר, \nאוֹ שֶׁהִתְקִינוּם לְכַף מֹאזְנַיִם, \nטָמֵא, שֶׁיֵּשׁ לָהֶם מַעֲשֶׂה, \nוְאֵין לָהֶם מַחֲשָׁבָה. \n", + "יז\nקְנֵה מֹאזְנַיִם וְהַמָּחוֹק \nשֶׁיֵּשׁ בָּהֶן בֵּית קִבּוּל מַתֶּכֶת, \nוְהָאֲסָל שֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית קִבּוּל מָעוֹת, \nוְקָנֶה שֶׁלֶּעָנִי שֶׁיֶּשׁ לוֹ בֵית קִבּוּל מַיִם, \nמַקֵּל שֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית קִבּוּל מְזוּזָה וּמַרְגָּלִיּוֹת, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. \nוְעַל כֻּלָּם אָמַר רַבָּן יוֹחָנָן בֶּן זַכַּי: \nאִי לִי אִם אֹמַר, \nאִי לִי אִם לֹא אֹמַר. \n", + "יח\nתַּחְתִּית הַצּוֹרְפִין, טְמֵאָה, \nוְשֶׁלַּנַּפָּחִין, טְהוֹרָה. \nמַשְׁחֶזֶת שֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית קִבּוּל שֶׁמֶן, \nטְמֵאָה, \nוְשֶׁאֵין בָּהּ, טְהוֹרָה. \nפִּנְקֵס \nשֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית קִבּוּל שַׁעֲוָה, טְמֵאָה, \nוְשֶׁאֵין בָּהּ, טְהוֹרָה. \nמַחֲצֶלֶת הַקַּשׁ וּשְׁפוֹפֶרֶת הַקַּשׁ, \nרְבִּי עֲקִיבָה מְטַמֵּא, \nרְבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי מְטַהֵר. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nאַף שֶׁלַּפַּקּוֹעוֹת כַּיּוֹצֵא בָהֶן. \nמַחְצֶלֶת הַקָָּנִים וְשֶׁלַּחֵלָף, טְהוֹרָה. \nשְׁפוֹפֶרֶת שֶׁלַּקָּנֶה שֶׁחֲתָכָהּ לְקַבָּלָה, \nטְהוֹרָה, עַד שֶׁיּוֹצִיא אֶת כָּל הַכָּכַי. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהַשִּׁדָּה, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nנִמְדֶּדֶת מִבִּפְנִים, \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nנִמְדֶּדֶת מִבַּחוּץ. \nוּמוֹדִים אֵלּוּ וָאֵלּוּ, \nשֶׁאֵין עֹבִי הָרַגְלַיִם וְעֹבִי לִזְבֵּזִים נִמְדָּד. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nמוֹדִים שֶׁעֹבִי הָרַגְלַיִם וְעֹבִי לִזְבֵּזִים נִמְדָּד, \n[וּבֵינֵיהֶן אֵינוּ נִמְדָּד.]\nרְבִּי שִׁמְעוֹן הַשֵּׁזוּרִי אוֹמֵר: \nאִם הָיוּ הָרַגְלַיִם גְּבוֹהוֹת טֶפַח, \nאֵין בֵּינֵיהֶן נִמְדָּד, \nוְאִם לָאו, בֵּינֵיהֶם נִמְדָּד. \n", + "ב\nהַמֶּכְנֵי שֶׁלָּהּ, \nבִּזְמַן שֶׁהִיא נִשְׁמֶטֶת, \nאֵינָהּ חִבּוּר לָהּ, \nוְאֵינָה נִמְדֶּדֶת עִמָּהּ, \nוְאֵינָה מַצֶּלֶת עִמָּהּ בְּאֹהֶל הַמֵּת, \nוְאֵין גּוֹרְרִין אוֹתָהּ בַּשַּׁבָּת \nבִּזְמַן שֶׁיֵּשׁ בְּתוֹכָהּ מָעוֹת. \nוְאִם אֵינָה נִשְׁמֶטֶת, \nחִבּוּר לָהּ, \nוְנִמְדֶּדֶת עִמָּהּ, \nוּמַצֶּלֶת עִמָּהּ בְּאֹהֶל הַמֵּת, \nוְגוֹרְרִים אוֹתָהּ בַּשַּׁבָּת, \nאַף עַל פִּי שֶׁיֵּשׁ בְּתוֹכָהּ מָעוֹת. \nהַקַּמְּרוֹן שֶׁלָּהּ, \nבִּזְמַן שֶׁהוּא קָבוּעַ, \nחִבּוּר לָהּ וְנִמְדָּד עִמָּהּ. \nאִם אֵינוּ קָבוּעַ, \nאֵינוּ חִבּוּר לָהּ, וְאֵינוּ נִמְדָּד עִמָּהּ. \nכֵּיצַד מוֹדְדִין אוֹתוֹ? \nרֹאשׁ תּוֹר. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nאִם אֵינָה יְכוּלָה לַעֲמֹד בִּפְנֵי עַצְמָהּ, \nטְהוֹרָה. \n", + "ג\nהַשִּׁדָּה וְהַתֵּבָה וְהַמִּגְדָּל \nשֶׁנִּטְּלָה אַחַת מֵרַגְלֵיהֶן, \nאַף עַל פִּי מְקַבְּלִין, טְהוֹרִין, \nשֶׁאֵינָן מְקַבְּלִין כְּדַרְכָּן; \nרְבִּי יוֹסֵה מְטַמֵּא. \nנִקְלְטֵי הַמִּטָּה, וַחֲמוֹר, וַחֲפוּי, \nטְהוֹרִין. \nאֵין טָמֵא אֶלָּא מִטָּה וּמַלְבֵּן. \nוּמַלְבְּנֵי בְנֵי לֵוִי, טְהוֹרִין. \n", + "ד\nמַלְבֵּן שֶׁנְּתָנוֹ עַל לְשׁוֹנוֹת, \nרְבִּי מֵאִיר וּרְבִּי יְהוּדָה מְטַמִּין, \nרְבִּי יוֹסֵה וּרְבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֲרִין. \nאָמַר רְבִּי יוֹסֵה: \nמַה שָּׁנָה זֶה מִמַּלְבְּנֵי בְנֵי לֵוִי, \nשֶׁמַּלְבְּנֵי בְנֵי לֵוִי טְהוֹרִין? \n", + "ה\nמִטָּה שֶׁהָיְתָה טְמֵאָה מִדְרָס, \nנִטְּלָה קְצָרָה וּשְׁתֵּי כְרָעַיִם, \nטְמֵאָה, \nאֲרֻכָּה וּשְׁתֵּי כְרָעַיִם, \nטְהוֹרָה. \nרְבִּי נְחֶמְיָה מְטַמֵּא. \nגָּרַר שְׁתֵּי לְשׁוֹנוֹת לוֹכְסָן, \nגָּרַר שְׁתֵּי כְרָעַיִם טֶפַח עַל טֶפַח לוֹכְסָן, \nאוֹ שֶׁמִּעֲטָהּ פָּחוּת מִטֶּפַח, \nטְהוֹרָה. \n", + "ו\nמִטָּה שֶׁהָיְתָה טְמֵאָה מִדְרָס, \nנִשְׁבְּרָה אֲרֻכָּה וְתִקְּנָהּ, \nטְמֵאָה מִדְרָס; \nנִשְׁבְּרָה שְׁנִיָּה וְתִקְּנָהּ, \nטְהוֹרָה מִן הַמִּדְרָס, \nאֲבָל טְמֵאָה מַגַּע מִדְרָס. \nלֹא הִסְפִּיק לְתַקֵּן אֶת הָרִאשׁוֹנָה \nעַד שֶׁנִּשְׁבְּרָה שְׁנִיָּה, \nטְהוֹרָה. \n", + "ז\nכֶּרַע שֶׁהָיְתָה טְמֵאָה מִדְרָס, \nוְחִבְּרָהּ לַמִּטָּה, \nכֻּלָּהּ טְמֵאָה מִדְרָס. \nפָּרָשָׁה, הִיא טְמֵאָה מִדְרָס, <שֶׁהִיא>\n[וְהַמִּטָּה טְמֵאָה מַגַּע מִדְרָס.] \nהָיְתָה טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה, \nוְחִבְּרָהּ לַמִּטָּה, \nכֻּלָּהּ טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה. \nפָּרָשָׁה, הִיא טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה, \nוְהַמִּטָּה טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב. \n[הָיְתָה טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב,] \nוְחִבְּרָהּ לַמִּטָּה, \nכֻּלָּהּ טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב. \nפָּרָשָׁה, הִיא טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב, \nוְהַמִּטָּה טְהוֹרָה. \nוְכֵן הַשֵּׁן שֶׁלַּמַּעְדֵּר. \n", + "ח\nתְּפִלָּה אַרְבָּעָה כֵלִים, \nהִתִּיר קְצִיצָה רִאשׁוֹנָה וְתִקְּנָהּ, \nטְמֵאָה טְמֵא מֵת, \nוְכֵן שְׁנִיָּה, \nוְכֵן שְׁלִישִׁית. \nהִתִּיר אֶת הָרְבִיעִית, \nטְהוֹרָה מִטְּמֵא מֵת, \nאֲבָל טְמֵאָה מַגַּע טְמֵא מֵת. \nחָזַר לָרִאשׁוֹנָה, \nוְהִתִּירָהּ וְתִקְּנָהּ, \nטְמֵאָה בְמַגָּע, \nוְכֵן הַשְּׁנִיָּה. \nהִתִּיר אֶת הַשְּׁלִישִׁית, \nטְהוֹרָה, שֶׁהָרְבִיעִית בְּמַגָּע, \nוְאֵין מַגָּע עוֹשֶׂה מַגָּע. \n", + "ט\nמִטָּה שֶׁנִּגְנַב חֶצְיָהּ, \nאוֹ אָבַד חֶצְיָהּ, \nוַחֲלָקוּהָ אַחִים אוֹ שׁוּתָפִים, \nטְהוֹרָה. \nהֶחֱזִירוּהָ, \nמְקַבֶּלֶת טֻמְאָה מִכָּן וְלַבָּא. \nמִטָּה מִטַּמַּת חֲבִלָּה, \nוּמִטַּהֶרֶת חֲבִלָּה. \nדִּבְרֵי רְבִּי אֱלִיעֶזֶר. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nמִטַּמַּת אֵבָרִים וּמִטַּהֶרֶת אֵבָרִים. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהַמְפָרֵק אֶת הַמִּטָּה לְהַטְבִּילָהּ, \nוְהַנּוֹגֵעַ בַּחֲבָלִים, \nטָהוֹר. \nהַחֶבֶל, מֵאֶמָּתַי הוּא חִבּוּר לַמִּטָּה? \nמִשֶּׁיְּסָרֵג בָּהּ שְׁלֹשָׁה בָתִּים. \nהַנּוֹגֵעַ מִן הַקֶּשֶׁר וְלִפְנִים, \nטָמֵא; \nמִן הַקֶּשֶׁר וְלַחוּץ, \nטָהוֹר. \nנוּמֵי הַקֶּשֶׁר, \nהַנּוֹגֵעַ בְּצָרְכּוֹ, טָמֵא. \nוְכַמָּה הוּא צָרְכוֹ? \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nשָׁלוֹשׁ אֶצְבָּעוֹת. \n", + "ב\nהַחֶבֶל הַיּוֹצֵא מִן הַמִּטָּה, \nעַד חֲמִשָּׁה טְפָחִים, טָהוֹר; \nמֵחֲמִשָּׁה וְעַד עֲשָׂרָה, טָמֵא. \nמֵעֲשָׂרָה וְלַחוּץ, טָהוֹר, \nשֶׁבּוֹ קוֹשְׁרִין אֶת הַפְּסָחִין, \nוּמְשַׁלְשְׁלִין אֶת הַמִּטּוֹת. \n", + "ג\nמֵזְרָן הַיּוֹצֵא מִן הַמִּטָּה, \nכָּל שֶׁהוּא. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nעֲשָׂרָה טְפָחִים. \nשִׁירֵי מֵזְרָן, \nשִׁבְעָה טְפָחִים, \nכְּדֵי לַעֲשׁוֹתוֹ חֲבָק לַחֲמוֹר. \n", + "ד\nנִשָּׂא הַזָּב עַל הַמִּטָּה וְעַל הַמֵּזְרָן, \nמְטַמֵּא שְׁנַיִם וּפוֹסֵל אֶחָד. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nנִשָּׂא הַזָּב עַל הַמִּטָּה וְהַמֵּזְרָן, \nעֲשָׂרָה טְפָחִים, \nמְטַמֵּא שְׁנַיִם, וּפוֹסֵל אֶחָד. \nמֵעֲשָׂרָה וְלַחוּץ, \nמְטַמֵּא אֶחָד, וּפוֹסֵל אֶחָד. \nנִשָּׂא עַל הַמֵּזְרָן, \nמֵעֲשָׂרָה וְלִפְנִים, טָמֵא; \nמֵעֲשָׂרָה וְלַחוּץ, טָהוֹר. \n", + "ה\nמִטָּה שֶׁהָיְתָה טְמֵאָה מִדְרָס, \nוְכָרַךְ לָהּ מֵזְרָן, \nכֻּלָּהּ טְמֵאָה מִדְרָס. \nפָּרָשָׁה, \nהִיא טְמֵאָה מִדְרָס, \nוְהַמֵּזְרָן מַגַּע מִדְרָס. \nהָיְתָה טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה, \nוְכָרַךְ לָהּ מֵזְרָן, \nכֻּלָּהּ טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה. <מִדְרָס> \nפָּרָשָׁה, \nהִיא טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה, \nוְהַמֵּזְרָן טָמֵא טֻמְאַת עֶרֶב. \nהָיְתָה טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב, \nוְכָרַךְ לָהּ מֵזְרָן, \nכֻּלָּהּ טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב. \nפָּרָשָׁה, \nהִיא טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב, \nוְהַמֵּזְרָן טָהוֹר. \n", + "ו\nמִטָּה שֶׁכָּרַךְ לָהּ מֵזְרָן, \nוְנָגַע בָּהֶן הַמֵּת, \nטְמֵאִים טֻמְאַת שִׁבְעָה. \nפָּרָשׁוּ, \nטְמֵאִים טֻמְאַת שִׁבְעָה. \nנָגַע בָּהֶן הַשֶּׁרֶץ, \nטְמֵאִין טֻמְאַת עֶרֶב. <שִׁבְעָה ערב> \nפָּרָשׁוּ, \nטְמֵאִים טֻמְאַת עֶרֶב. \n\nז\nמִטָּה שֶׁנִּטְּלוּ שְׁתֵּי אֲרֻכּוֹת שֶׁלָּהּ, \nוְעָשָׂה לָהּ חֲדָשׁוֹת וְלֹא שִׁנָּה אֶת הַנְּקָבִים; \nנִשְׁתַּבְּרוּ חֲדָשׁוֹת, טְמֵאָה, \nוִישָׁנוֹת, טְהוֹרָה, \nשֶׁהַכֹּל הוֹלֵךְ אַחַר הַיְשָׁנוֹת. \n", + "ח\nתֵּבָה שֶׁפִּתְחָהּ מִלְּמַעְלָן, \nטְמֵאָה טְמֵא מֵת. \nנִפְחָתָה מִלְּמַעְלָן, \nטְמֵאָה טְמֵא מֵת. \nנִפְחָתָה מִלְּמַטָּן, \nטְהוֹרָה. \nמְגוֹרוֹת שֶׁבָּהּ, \nטְמֵאוֹת, וְאֵינָן חִבּוּר לָהּ. \n", + "ט\nתָּרְמֵל שֶׁנִּפְחַת, \nהַכִּיס שֶׁבְּתוֹכוֹ טָמֵא, \nוְאֵינוּ חִבּוּר לוֹ. \nהַחֵמֶת שֶׁהַבֵּיצִים שֶׁלָּהּ מְקַבְּלוֹת עִמָּהּ, \nוְנִפְחָתוּ, \nטְהוֹרוֹת, שֶׁאֵינָן מְקַבְּלוֹת כְּדַרְכָּן. \n", + "י\nתֵּבָה שֶׁנִּפְתְחָה מִצִּדָּהּ, \nטְמֵאָה מִדְרָס וּטְמֵא מֵת. \nאָמַר רְבִּי יוֹסֵה: \nאֵמָתַי? \nבִּזְמַן שֶׁאֵינָה גְבוֹהָה עֲשָׂרָה טְפָחִים, \nאוֹ שֶׁאֵין לָהּ לִיזְבֵן טֶפַח. \nנִתְפַּחֲתָה מִלְּמַעְלָן, \nטְמֵאָה טְמֵא מֵת. \nנִפְחָתָה מִלְּמַטָּן, \nרְבִּי מֵאִיר מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, \nמִפְּנֵי שֶׁבָּטַל הָעִקָּר, \nוּבָטְלָה הַטְּפֵלָה. \n", + "יא\nמַשְׁפֶּלֶת שֶׁנִּפְחָתָה מִלְּקַבֵּל רִמּוֹנִים, \nרְבִּי מֵאִיר מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִים, \nמִפְּנֵי שֶׁבָּטַל הָעִקָּר, \nוּבָטְלָה הַטְּפֵלָה. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהַכָּרִים וְהַכְּסָתוֹת, \nוְהַשַּׂקִים וְהַמַּרְצַפִּין שֶׁנִּפְחָתוּ, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין מִדְרָס. \nהַקְּלוֹסְטֵר אַרְבַּעַת קַבִּים, \nהַתָּרְמֵל חֲמֵשֶׁת קַבִּים, \nהַכְּרֵתִית סְאָה, \nהַחֵמֶת שֶׁלְּשִׁבְעַת קַבִּים. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nאַף הָרַבְצֵל וְהַמְּזָרָה כָל שֶׁהֵן, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין מִדְרָס. \nוְכֻלָּן שֶׁנִּפְחָתוּ, טְהוֹרִין, \nמִפְּנֵי שֶׁבָּטַל הָעִקָּר, \nוּבָטְלָה הַטְּפֵלָה. \n", + "ב\nחֲמַת חֲלִילִים, \nטְהוֹרָה מִן הַמִּדְרָס. \nעֲרֵבַת פִּסּוֹנוֹת, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nמִדְרָס. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nטְמֵא מֵת. \nעֲרֵבָה, \nמִשְּׁנֵי לֹג עַד תִּשְׁעַת קַבִּים שֶׁנִּסְדְּקָה, \nטְמֵאָה מִדְרָס. \nהִנִּיחָהּ בַּגְּשָׁמִים וְנִתְפְּחָה, \nטְמֵאָה טְמֵא מֵת. \nבַּקָּדִים וְנִסְדְּקָה, \nמְקַבֶּלֶת מִדְרָס. \nזֶה חֹמֶר בְּשִׁירֵי כְלֵי עֵץ מִבִּתְחִלָּתָן. \nוְחֹמֶר בִּכְלֵי נְצָרִין מִבִּתְחִלָּתָן, \nתְּחִלָּתָן אֵינָן מְקַבְּלִין טֻמְאָה עַד שֶׁיִּתְחַסְּמוּ. \nנִתְחַסְּמוּ, \nאַף עַל פִּי שֶׁנָּשְׁרוּ שִׂפְתוֹתֵיהֶן כָּל שֶׁהֵן, \nטְמֵאִין. \n", + "ג\nמַקֵּל שֶׁעֲשָׂאוֹ יָד לְקָרְדּוֹם, \nחִבּוּר לַטֻּמְאָה בְשָׁעַת מְלָאכָה. \nהַדְּיַסְטֵר, \nחִבּוּר לַטֻּמְאָה בְשָׁעַת מְלָאכָה. \nקְבָעוֹ בִכְלוֹנָס, \nטָמֵא, וְאֵינוּ חִבּוּר לוֹ. \nעָשָׂה בוֹ דְּיַסְטֵר, \nאֵין טָמֵא אֶלָּא צָרְכוֹ. \nכִּסֵּא שֶׁקְּבָעוֹ בִכְלוֹנָס, \nטָמֵא, וְאֵינוּ חִבּוּר לוֹ. \nעָשָׂה בוֹ כִסֵּא, \nאֵין טָמֵא אֶלָּא מְקוֹמוֹ. \nקְבָעוֹ בְקוֹרַת בֵּית הַבַּד, \nטָמֵא, וְאֵינוּ חִבּוּר לָהּ. \nעָשָׂה בְרֹאשָׁהּ כִּסֵּא, \nטְהוֹרָה, מִפְּנֵי שֶׁאוֹמְרִין לוֹ: \n\"עֲמֹד, וְנַעֲשֶׂה אֶת מְלָאכְתֵּנוּ!\" \n", + "ד\nעֲרֵבָה גְדוֹלָה שֶׁנִּפְחָתָה מִלְּקַבֵּל רִמּוֹנִים, \nהִתְקִינָהּ לִישִׁיבָה, \nרְבִּי עֲקִיבָה מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, \nעַד שֶׁיְּקַצַּע. \nעֲשָׂאָהּ אֵבוּס לַבְּהֵמָה, \nאַף עַל פִּי שֶׁקְּבָעָהּ בַּכּתֶל, \nטְמֵאָה. \n", + "ה\nכֹּפֶת שֶׁקְּבָעוֹ בַנִּדְבָּךְ, \nקְבָעוֹ וְלֹא בָנָה עָלָיו, \nבָּנָה עָלָיו וְלֹא קְבָעוֹ, \nטָמֵא. \nקְבָעוֹ וּבָנָה עָלָיו, \nטָהוֹר. \nמַפֵּץ שֶׁנְּתָנוֹ עַל גַּבֵּי הַקּוֹרוֹת, \nקְבָעוֹ וְלֹא נָתַן עָלָיו אֶת הַמַּעֲזֵיבָה, \nנָתַן עָלָיו אֶת הַמַּעֲזֵיבָה וְלֹא קְבָעוֹ, \nטָמֵא. \nקְבָעוֹ וְנָתַן עָלָיו אֶת הַמַּעֲזֵיבָה, \nטָהוֹר. \nקְעָרָה שֶׁקְּבָעָהּ בַּשִּׁדָּה, בַּתֵּבָה וּבַמִּגְדָּל, \nכְּדֶרֶךְ קַבָּלָתָהּ, טְמֵאָה; \nשֶׁלֹּא כְדֶרֶךְ קַבָּלָתָהּ, טְהוֹרָה. \n", + "ו\nסָדִין שֶׁהוּא טָמֵא מִדְרָס, \nוַעֲשָׂאוֹ וֵילָן, \nטָהַר מִן הַמִּדְרָס, \nאֲבָל טָמֵא טְמֵא מֵת. \nמֵאֵמָתַי הִיא טַהֲרָתוֹ? \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nמִשֶּׁיִּתָּבֵר. <מִשֶּׁיּתבֵּר> \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nמִשֶּׁיִּקָּשֵׁר. \nרְבִּי עֲקִיבָה אוֹמֵר: \nמִשֶּׁיִּקְבַּע. \n", + "ז\nמַחְצֶלֶת שֶׁעָשָׂה לָהּ קָנִים לְאָרְכָּהּ, \nטְהוֹרָה. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nעַד שֶׁיַּעֲשֶׂם כְּמִין כִי. \nעֲשָׂאָן לְרָחְבָּהּ, \nאִם אֵין בֵּין קָנֶה לַחֲבֵרוֹ אַרְבָּעָה טְפָחִים, \nטְהוֹרָה. \nנֶחְלְקָה לְרָחְבָּהּ, \nרְבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר. \nוְכֵן הַמַּתִּיר רָאשֵׁי הַמַּעֲדַנִּים, \nטְהוֹרָה. \nנֶחְלְקָה לְאָרְכָּהּ, \nנִשְׁתַּיְּרוּ בָהּ שְׁלֹשָׁה מַעֲדַנִּים שֶׁהֵן שִׁשָּׁה טְפָחִים, \nטְמֵאָה. \nמַחְצֶלֶת, מֵאֵמָתַי מְקַבֶּלֶת טֻמְאָה? \nמִשֶּׁתִּתְקַנֵּב, וְהִיא גְּמָר מְלַאכְתָּהּ. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהַנּוֹגֵעַ בַּכָּבֵד הָעֶלְיוֹן, \nבַּכָּבֵד הַתַּחְתּוֹן, \nבַּנִּירַיִם, \nוּבַקִּירוֹס, \nוּבַחוּט שֶׁהֶעֱבִירוֹ עַל גַּבֵּי אַרְגָּמָן, \nוּבָעִירָה שֶׁאֵינוּ עָתִיד לְהַחְזִירָהּ, \nטָהוֹר. \nבְּנֶפֶשׁ הַמַּסֶּכֶת, \nוּבִשְׁתִי הָעוֹמֵד, \nוּבַכָּפוּל שֶׁהֶעֱבִירוֹ עַל גַּבֵּי אַרְגָּמָן, \nוּבָעִירָה שֶׁהוּא עָתִיד לְהַחְזִירָהּ, \nטָמֵא. \nהַנּוֹגֵעַ בַּצֶּמֶר שֶׁעַל הָעִמָּה, בְּאַשְׁוְיָה, \nטָהוֹר. \nהַנּוֹגֵעַ בַּפִּקָּה, \nעַד שֶׁלֹּא פֵרֵעָה, טָמֵא; \nמִשֶּׁפֵּרֵעָה, טָהוֹר. \n", + "ב\nהַנּוֹגֵעַ בָּעֹל, \nוּבַקַּטְרֵב, \nבָּעַיִן, \nוּבָעֲבוֹת, \nאֲפִלּוּ בְשָׁעַת מְלָאכָה, \nטָהוֹר. \nבַּחֶרֶב, \nוּבַבֹּרֶךְ, \nוּבַיָּצוֹל, \nטָמֵא. \nבָּעַיִן שֶׁלַּמַּתֶּכֶת, \nוּבִלְחָיַיִם, \nוּבָעֲרָיִים, <אולי עדיים>\nטָמֵא. \nרְבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר בִּלְחָיַיִם, \nשֶׁאֵינָן עֲשׂוּיִים אֶלָּא לְרַבּוֹת אֶת הֶעָפָר. \n", + "ג\nהַנּוֹגֵעַ בְּיַד מְגֵרָה, \nמִכָּן וּמִכָּן, \nטָמֵא. \nבַּחוּט וּבַמְּשִׁיחָה, \nבָּאַמָּה וּבַסְּנִיפִין, \nבְּמַכְבֵּשׁ שֶׁלֶּחָרָשׁ וּבַקַּשְׁטָנִית, \nטָהוֹר. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nאַף הַנּוֹגֵעַ בַּמַּלְבֵּן שֶׁלְּמַסָּר הַגָּדוֹל, \nטָהוֹר. \nהַנּוֹגֵעַ בַּיֶּתֶר וּבַקֶּשֶׁת, \nאַף עַל פִּי מְתוּחָה, \nטָהוֹר. \nמְצוֹדוֹת הָאִשּׁוּת, \nטְהוֹרוֹת. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nכָּל זְמַן שֶׁהִיא מְתוּחָה, חִבּוּר. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהַשֻּׁלְחָן וְהַדַּלְפְקִי שֶׁנִּפְחָתוּ, \nאוֹ שֶׁחִפָּן בַּשַּׁיִשׁ \nוְשִׁיֵּר בָּהֶן מְקוֹם הַנָּחַת הַכּוֹסוֹת, \nטְמֵאִין. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nמְקוֹם הַנָּחַת חֲתִכּוֹת. \n", + "ב\nשֻׁלְחָן שֶׁנִּטְּלָה אַחַת מֵרַגְלָיו, טָהוֹר; \nנִטְּלָה שְׁנִיָּה, טָהוֹר; \nנִטְּלָה הַשְּׁלִישִׁית, \nטָמֵא עַד שֶׁיַּחְשֹׁב עָלָיו. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nאֵין צָרִיךְ מַחֲשָׁבָה. \nוְכֵן הַדָּלְפְקִי. \n", + "ג\nסַפְסֵל שֶׁנִּטַּל אֶחָד מֵרָאשָׁיו, טָהוֹר; \nנִטַּל הַשֵּׁנִי, טָהוֹר; \nאִם יֶשׁ בּוֹ גֹבַהּ טֶפַח, טָמֵא. \nשְׁרַפְרֵף שֶׁנִּטַּל אֶחָד מֵרָאשָׁיו, \nטָמֵא. \nוְכֵן כִּסֵּא שֶׁלִּפְנֵי קָתֶדְרָה. \n", + "ד\nכִּסֵּא שֶׁלַּכַּלָּה שֶׁנִּטְּלוּ חֲפוּיָיו, \nבֵּית שַׁמַּי מְטַמִּין, \nוּבֵית הֶלֵּל מְטַהֲרִין. \nשַׁמַּי אוֹמֵר: \nאַף מַלְבֵּן שֶׁלַּכִּסֵּא, טָמֵא. \nכִּסֵּא שֶׁקְּבָעוֹ בָעֲרֵבָה, \nבֵּית שַׁמַּי מְטַמִּין, \nוּבֵית הֶלֵּל מְטַהֲרִין. \nשַׁמַּי אוֹמֵר: \nאַף הֶעָשׂוּי בָּהּ. \n", + "ה\nכִּסֵּא שֶׁלֹּא הָיוּ חֲפוּיָיו יוֹצְאִין, וְנִטָּלוּ, \nטָמֵא, שֶׁכֵּן דַּרְכּוֹ \nלִהְיוֹת מַטֵּהוּ עַל צִדּוֹ וְיוֹשֵׁב עָלָיו. \n", + "ו\nכִּסֵּא שֶׁנִּטַּל חֲפוּיוֹ הָאֶמְצָעִי, \nוְהַחִיצוֹנִין קַיָּמִין, \nטָמֵא. \nנִטְּלוּ הַחִיצוֹנִין וְהָאֶמְצָעִי קַיָּם, \nטָמֵא. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nאִם הָיָה רָחָב טֶפַח. \n", + "ז\nכִּסֵּא שֶׁנִּטְּלוּ שְׁנַיִם מֵחֲפוּיָיו זֶה בְצַד זֶה, \nרְבִּי עֲקִיבָה מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \nאָמַר רְבִּי יְהוּדָה: \nאַף כִּסֵּא שֶׁלַּכַּלָּה שֶׁנִּטְּלוּ חֲפוּיָיו, \nנִשְׁתַּיַּר בּוֹ בֵית קַבָּלָה, \nטָהוֹר, \nמִפְּנֵי שֶׁבָּטַל הָעִקָּר, \nוּבָטְלָה הַטְּפֵלָה. \n", + "ח\nשִׁדָּה שֶׁנִּטַּל הָעֶלְיוֹן, \nטְמֵאָה, מִפְּנֵי הַתַּחְתּוֹן. \nנִטַּל הַתַּחְתּוֹן, \nטְמֵאָה, מִפְּנֵי הָעֶלְיוֹן. \nנִטַּל הָעֶלְיוֹן וְהַתַּחְתּוֹן, \nרְבִּי יְהוּדָה מְטַמֵּא, מִפְּנֵי הַדַּפִּים, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \nיְשִׁיבַת הַסַּתָּת, טְמֵאָה מִדְרָס. \n", + "כֹּפֶת שֶׁסְּרָקוֹ וְכִרְכְּמוֹ, וַעֲשָׂאוֹ פָנִים, \nרְבִּי עֲקִיבָה מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, \nעַד שֶׁיָּחֹק בּוֹ. \nהַסַּל וְהַכַּלְכַּלָּה שֶׁמִּלָן תֶּבֶן אוֹ מֻכִּין, \nהִתְקִינָן לִישִׁיבָה, טְהוֹרִין. \nסֵרְגָן בַּגְּמִי אוֹ בִמְשִׁיחָה, טְמֵאִין. \n", + "ט\nהַסַּלָּה טְמֵאָה מִדְרָס וּטְמֵא מֵת. \nפָּרָשָׁה, הִיא טְמֵאָה מִדְרָס, \nוְהַבַּרְזֶל טָמֵא טְמֵא מֵת. \nטְרַסְקֵל שֶׁחֲפוּיָיו שֶׁלָּעוֹר, \nטָמֵא מִדְרָס וְטָמֵא טְמֵא מֵת. \nפָּרָשָׁה, \nהָעוֹר טָמֵא מִדְרָס, \nוְהַטְּרַסְקֵל טָהוֹר מִכְּלוּם. <מִכֻּלָם> \nסַפְסֵלִים שֶׁבַּמַּרְחֵץ שֶׁשְּׁתֵּי רַגְלָיו שֶׁלָּעֵץ, \nטָמֵא. \nאַחַת שֶׁלָּעֵץ וְאַחַת שֶׁלָּאֶבֶן, \nטָהוֹר. \nנְסָרִין שֶׁבַּמַּרְחֵץ שֶׁשִּׁגְּמָן, \nרְבִּי מֵאִיר מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, \nשֶׁאֵינָם עֲשׁוּיִן אֶלָּא שֶׁיְּהוּ הַמַּיִם מְהַלְּכִין תַּחְתֵּיהֶן. \nקַנְקֵילָן \nשֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית קַבָּלַת כְּסוּת, \nטְמֵאָה; \nוְהָעֲשׁוּיָה כְּכַוֶּרֶת, \nטְהוֹרָה. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהַכַּדּוּר וְהָאֱמוֹן וְהַקָּמִיעַ וּתְפִלִּין שֶׁנִּקְרָעוּ, \nהַנּוֹגֵעַ בָּהֶן טָמֵא, \nוּמַה שֶּׁבְּתוֹכָן טָהוֹר. \nהָאֱכוֹף שֶׁנִּקְרַע, \nהַנּוֹגֵעַ בְּמַה שֶּׁבְּתוֹכוֹ טָמֵא, \nמִפְּנֵי שֶׁהַתָּפִיר מְחַבְּרוֹ. \n", + "ב\nאֵלּוּ טְמֵאִין מִשֵּׁם מֶרְכָּב: \nזֶרֶז הָאֶשְׁקְלוֹנִי, \nוּמְרֵיכָה הַמָּדִית, \nוְעָבִיט שֶׁלַּגָּמָל, \nוּטְפֵטָן שֶׁלַּסּוּס. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nאַף טַפֵּיטָן שֶׁלַּסּוּס טָמֵא מוֹשָׁב, \nמִפְּנֵי שֶׁעוֹמְדִין עָלָיו בְּקוֹמְפוֹן. \nאֲבָל אֱכוֹף שֶׁלַּנָּקָה, טָמֵא. \n", + "ג\nמַה בֵּין מֶרְכָּב לְמוֹשָׁב? \nמֶרְכָּב, חָלַק מַגָּעוֹ מִמַּשָּׂאוֹ, \nוּמוֹשָׁב, לֹא חָלַק. \nתָּפִית שֶׁלַּחֲמוֹר, \nשֶׁהוּא יוֹשֵׁב עָלֶיהָ, טְהוֹרָה. \nשִׁנָּה בָהּ אֶת הַנְּקָבִים, \nאוֹ שֶׁפְּרָצָן זֶה בְצַד זֶה, טְמֵאָה. \n", + "ד\nהַמִּטָּה, וְהַכַּר, וְהַכֶּסֶת שֶׁלַּמֵּת, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין מִדְרָס. \nכִּסֵּא שֶׁלַּכַּלָּה, \nוּמַשְׁבֵּר שֶׁלֶּחָיָה, \nוְכִסֵּא שֶׁלַּכּוֹבֵס \nשֶׁהוּא כוֹרֵם עָלָיו אֶת הַכֵּלִים, \nאָמַר רְבִּי יוֹסֵה: \nאֵין בּוֹ מִשֵּׁם מוֹשָׁב. \n", + "ה\nהַחֵרֶם טָמֵא מִפְּנֵי זוֹטוֹ. \nהָרְשָׁתוֹת וְהַמַּכְמְרוֹת, \nוְהַמַּדָּף וְהַפְּלָצוּר, \nמְצוֹדוֹת שְׂכָרִין, טְמֵאִין. \nהָאַקּוֹן וְהָרָטוֹב וְהַכְּלוּב, טְהוֹרִין. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nשְׁלֹשָׁה תְרִיסִים הֵם: \nתְּרִיס הַכָּפוּף, טָמֵא מִדְרָס; \nשֶׁמְּשַׂחֲקִין בַּקּוֹמְפּוֹן, טָמֵא טְמֵא מֵת; \nוְדֵיצַת הָעַרְבִיִּים, טְהוֹרָה מִכְּלוּם. \n", + "ב\nשָׁלֹשׁ עֲגָלוֹת הֵן: \nהָעֲשׁוּיָה כְּקָתֶדְרָה, טְמֵאָה מִדְרָס; \nכַּמִּטָּה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת; \nוְשֶׁלָּאֲבָנִים, טְהוֹרָה מִכְּלוּם. \n", + "ג\nשָׁלֹשׁ עֲרֵבוֹת הֵן: \nעֲרֵבָה מִשְּׁנֵי לֹג וְעַד תִּשְׁעַת קַבִּין שֶׁנִּסְדָּקָה, \nטְמֵאָה מִדְרָס; \nשְׁלֵמָה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת; \nוְהַבָּאָה בַמִּדָּה, טְהוֹרָה מִכְּלוּם. \n", + "ד\nשָׁלֹשׁ תֵּבוֹת הֵן: \nתֵּבָה שֶׁפִּתְחָהּ מִצִּדָּהּ, טְמֵאָה מִדְרָס; \nמִלְּמַעְלָן, טְמֵאָה טְמֵא מֵת; \nוְהַבָּאָה בַמִּדָּה, טְהוֹרָה מִכְּלוּם. \n", + "ה\nשְׁלֹשָׁה תַרְכּוּסִין הֵן: \nשֶׁלַּסַּפָּרִין, טָמֵא מִדְרָס; \nשֶׁאוֹכְלִין עָלָיו, טָמֵא טְמֵא מֵת; \nוְשֶׁלַּזֵּיתִין, טָהוֹר מִכְּלוּם. \n", + "ו\nשָׁלֹשׁ בָּסִיסָיוֹת הֵן: \nשֶׁלִּפְנֵי הַמִּטָּה, \nוְשֶׁלִּפְנֵי הַסּוֹפְרִים, \nטְמֵאָה מִדְרָס; \nוְשֶׁלַּדָּלְפְקֵי, \nטְמֵאָה טְמֵא מֵת; \nוְשֶׁלַּמִּגְדָּל, \nטְהוֹרָה מִכְּלוּם. \n", + "ז\nשָׁלוֹשׁ פִּנַקְסִיוֹת הֵן: \nהָאַפִּיפּוֹדִין, טְמֵאָה מִדְרָס; \nוְשֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית קִבּוּל שַׁעֲוָה, \nטְמֵאָה טְמֵא מֵת; \nוַחֲלָקָה, טְהוֹרָה מִכְּלוּם. \n", + "ח\nשָׁלֹשׁ מִטּוֹת הֵן: \nהָעֲשׁוּיָה לִשְׁכִיבָה, טְמֵאָה מִדְרָס; \nוְשֶׁלַּזַּגָּגִין, טְמֵאָה טְמֵא מֵת; \nוְשֶׁלַּסָּרָגִין, טְהוֹרָה מִכְּלוּם. \n", + "ט <ח>\nשָׁלוֹשׁ מַשְׁפְּלוֹת הֵן: \nשֶׁלַּזֶּבֶל, טְמֵאָה מִדְרָס; \nשֶׁלַּתֶּבֶן, טְמֵאָה טְמֵא מֵת; \nפּוֹחֲלָץ שֶׁלַּגְּמַלִּים, טָהוֹר מִכְּלוּם. \n", + "י <ט>\nשְׁלֹשָׁה מַפְּצִין הֵן: \nהֶעָשׂוּי לִישִׁיבָה, טָמֵא מִדְרָס; \nשֶׁלַּצַּבָּעִין, טָמֵא טְמֵא מֵת; \nוְשֶׁלֶַּגִּתּוֹת, טָהוֹר מִכְּלוּם. \n", + "יא <י>\nשָׁלוֹשׁ חֲמָתוֹת וּשְׁלֹשָׁה תָרְמָלִים הֵן: \nמְקַבְּלִין כַּשֵּׁעוּר, טְמֵאִין מִדְרָס; \nוְשֶׁאֵין מְקַבְּלִין כַּשֵּׁעוּר, טְמֵאִין טְמֵא מֵת; \nוְשֶׁלְּעוֹר הַדָּג, טָהוֹר מִכְּלוּם. \n", + "יב \nשְׁלֹשָׁה עוֹרוֹת הֵן: \nהֶעָשׂוּי לַשָּׁטִיחַ, טָמֵא מִדְרָס; \nשֶׁלְּתַכְרִיךְ כֵּלִים, טָמֵא טְמֵא מֵת; \nוְשֶׁלָּרְצוּעוֹת וְשֶׁלַּסַּנְדַּלִּים, טָהוֹר מִכְּלוּם. \n", + "יג\nשְׁלֹשָׁה סְדִינִים הֵן: \nהֶעָשׂוּי לִשְׁכִיבָה, טָמֵא מִדְרָס; \nלְוֵילָן, טָמֵא טְמֵא מֵת; \nוְשֶׁלַּצּוּרוֹת, טָהוֹר מִכְּלוּם. \n", + "יו\nשָׁלוֹשׁ מִטְפָּחוֹת הֵן: \nשֶׁלַּיָּדַיִם, טָמֵא מִדְרָס; \nוְשֶׁלַּסְּפָרִין, טָמֵא טְמֵא מֵת; \nוְשֶׁלְּתַכְרִיךְ וְנִבְלֵי בְנֵי לֵוִי, טָהוֹר מִכְּלוּם. \n", + "יד \nשְׁלֹשָׁה פְרַקְלִינוֹן הֵן: \nשֶׁלְּצָדֵי חַיָּה וָעוֹף, טָמֵא מִדְרָס; <שֶׁלְּצֵדֵי>\nשֶׁלַּחֲגָבִים, טָמֵא טְמֵא מֵת; \nוְשֶׁלַּקּוֹצִין, טָהוֹר מִכְּלוּם. \n", + "יה\nשָׁלוֹשׁ סְבָכוֹת הֵן: \nשֶׁלַּיַּלְדָּה, טְמֵאָה טֻמְאַת מִדְרָס; \nשֶׁלַּזְּקֵנָה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת; \nוְשֶׁלְּיוֹצֵאת הַחוּץ, טְהוֹרָה מִכְּלוּם. \n\n", + "יז\nשָׁלוֹשׁ קֻפּוֹת הֵן: \nמְהוּהָה שֶׁטְּלָיָהּ עַל הַבִּרְיָה, <מהודה! לא מנוקד>\nהוֹלְכִים אַחַר הַבִּרְיָה; \nקְטַנָּה עַל הַגְּדוֹלָה, \nהוֹלְכִים אַחַר הַגְּדוֹלָה; \nהָיוּ שָׁווֹת, הוֹלְכִים אַחַר הַפְּנִימִית. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nכַּף שֶׁלְּמֹאזְנַיִם שֶׁטְּלָיָהּ בְּשׁוּלֵי הַמֵּחַם, \nמִבִּפְנִים, טָמֵא, \nוּמִבַּחוּץ, טָהוֹר. \nטְלָיָהּ עַל צִדּוֹ, \nבֵּין מִבִּפְנִים, בֵּין מִבַּחוּץ, טָהוֹר. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nכָּל הַכֵּלִים יֵשׁ לָהֶם אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, \nכְּגוֹן: \nהַכָּרִים, וְהַכְּסָתוֹת, \nוְהַשַּׂקִין, וְהַמַּרְצַפִּים. \nדִּבְרֵי רְבִּי יְהוּדָה. \nרְבִּי מֵאִיר אוֹמֵר: \nכָּל שֶׁיֶּשׁ לוֹ תוֹבָרוֹת, \n[יֵשׁ לוֹ אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ; \nוְכָל שֶׁאֵין לוֹ תוֹבְרוֹת,] \nאֵין לוֹ אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ. \n\nב\nהַשֻּׁלְחָן וְהַדָּלְפְקֵי, \nיֵשׁ לוֹ אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ. \nדִּבְרֵי רְבִּי יְהוּדָה. \nרְבִּי מֵאִיר אוֹמֵר: \nאֵין לָהֶן. \nוְכֵן טַבְלָה שֶׁאֵין לָהּ לִזְבֵּז. \n", + "ג\nהַמַּרְדֵּעַ, \nיֵשׁ לוֹ אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ: \nמִשִּׁבְעָה לְחַרְחוּר, \nוּמֵאַרְבָּעָה לַדָּרְבָן. \nדִּבְרֵי רְבִּי יְהוּדָה. \nרְבִּי מֵאִיר אוֹמֵר: \nאֵין לָהֶן, \nלֹא הָזְכָּרוּ שִׁבְעָה וְאַרְבָּעָה אֶלָּא לַשִּׁירַיִם. \n", + "ד\nמִדּוֹת יַיִן וָשֶׁמֶן, \nוְזוֹמָנֶצְטְרָה, \nוּמְסַנֶּנֶת שֶׁלַּחַרְדָּל, \nוּמְשַׁמֶּרֶת שֶׁלַּיַּיִן, \nיֵשׁ לָהֶן אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nאֵין לָהֶן. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nיֵשׁ לָהֶן, \nנִטַּמּוּ מֵאֲחוֹרֵיהֶן, \nמַה שֶּׁבְּתוֹכָן טָהוֹר, \nוְצָרִיךְ לְהַטְבִּיל. \n", + "ה\nהָרֹבַע, וַחֲצִי רֹבַע; \nנִטַּמָּא הָרֹבַע, וְלֹא נִטַּמָּא חֲצִי הָרֹבַע, \nנִטַּמָּא חֲצִי הָרֹבַע, וְלֹא נִטַּמָּא הָרֹבַע, \nאָמְרוּ לִפְנֵי רְבִּי עֲקִיבָה: \nהוֹאִיל וַחֲצִי הָרֹבַע אֲחוֹרַיִם לָרֹבַע, \nכֶּלִי שֶׁנִּטַּמָּא תוֹכוֹ, \nלֹא נִטַּמּוּ אֲחוֹרָיו? \nאָמַר לָהֶן: \nשַׁלְחַת קוֹדְמִין הִיא? \nאוֹ שֶׁמֵּא הָרֹבַע אֲחוֹרַיִם לַחֲצִי הָרֹבַע, \nכְּלִי שֶׁנִּטַּמּוּ אֲחוֹרָיו, \nלֹא נִטַּמָּא תוֹכוֹ! \n", + "ו\nנִטַּמָּא הָרֹבַע, \nהָרֹבַע וַאֲחוֹרָיו טְמֵאִין, \nחֲצִי הָרֹבַע וַאֲחוֹרָיו טְהוֹרִין. \nנִטַּמָּא חֲצִי הָרֹבַע, \nחֲצִי הָרֹבַע וַאֲחוֹרָיו טְמֵאִין, \nוְהָרֹבַע וַאֲחוֹרָיו טְהוֹרִין. \nנִטַּמּוּ אֲחוֹרֵי הָרֹבַע, \nאֲחוֹרֵי חֲצִי הָרֹבַע טְהוֹרִין. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nאֵין חוֹלְקִין אֶת הַגַּבַּיִם. \nכְּשֶׁהוּא מַטְבִּיל, מַטְבִּיל אֶת כֻּלּוֹ. \n", + "ז\nכַּנֵּי כֵלִים, \nוְהָגְנֵיהֶם, \nוְאָזְנֵיהֶם, \nוִידוֹת הַכֵּלִים הַמְקַבְּלִים, \nשֶׁנָּפְלוּ עֲלֵיהֶן מַשְׁקִין, \nמְנַגְּבָן וְהֵן טְהוֹרִין. \nוּשְׁאָר כָּל הַכֵּלִים שֶׁאֵין לָהֶם אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, \nוְשֶׁנָּפְלוּ מַשְׁקִין עַל מִקְצָתוֹ, \nכֻּלּוֹ טָמֵא. \nכֶּלִי שֶׁנִּטַּמּוּ אֲחוֹרָיו בְּמַשְׁקִין, \nאֲחוֹרָיו טְמֵאִין; \nתּוֹכוֹ, וְהָגְנוֹ, וְאָזְנָיו, וְיָדָיו, \nטְהוֹרִין. \nנִטַּמָּא מִתּוֹכוֹ, כֻּלּוֹ טָמֵא. \n", + "ח\nכָּל הַכֵּלִים יֵשׁ לָהֶם אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, \nוְיֵשׁ לָהֶן בֵּית צְבִיעָה. \nרְבִּי טַרְפוֹן אוֹמֵר: \nלַעֲרֵבָה גְדוֹלָה שֶׁלָּעֵץ. \nרְבִּי עֲקִיבָה אוֹמֵר: \nלַכּוֹסוֹת. \nרְבִּי מֵאִיר אוֹמֵר: \nלַיָּדַיִם הַטְּמֵאוֹת וְהַטְּהוֹרוֹת. \nאָמַר רְבִּי יוֹסֵה: \nלֹא אָמְרוּ אֶלָּא לַיָּדַיִם הַטְּהוֹרוֹת בִּלְבַד. \n", + "ט\nכֵּיצַד? \nהָיוּ יָדָיו טְהוֹרוֹת, \nוַאֲחוֹרֵי הַכּוֹס טְמֵאִין, \nאֲחָזוֹ בְבֵית צְבִיעָתוֹ, \nאֵינוּ חוֹשֵׁשׁ שֶׁמֵּא נִטַּמּוּ יָדָיו בַּאֲחוֹרֵי הַכּוֹס. \nהָיָה שׁוֹתֶה בְּכוֹס שֶׁאֲחוֹרָיו טְמֵאִין, \nאֵינוּ חוֹשֵׁשׁ שֶׁמֵּא נִטַּמָּא מַשְׁקֶה שֶׁבְּפִיו \nבַּאֲחוֹרֵי הַכּוֹס, וְחָזַר וְטִמֵּא אֶת הַכּוֹס. \nקֻמְקוּם שֶׁהוּא מַרְתֵּחַ, \nאֵינוּ חוֹשֵׁשׁ שֶׁמֵּא יָצְאוּ מַשְׁקִים מִתּוֹכוֹ, \nוְנָגְעוּ בַאֲחוֹרָיו, וְחָזְרוּ לְתוֹכוֹ. \n", + "י\nכְּלֵי הַקֹּדֶשׁ, \nאֵין לָהֶן אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, \nוְאֵין לָהֶן בֵּית צְבִיעָה. \nוְאֵין מַטְבִּילִים כֵּלִים בְּתוֹךְ כֵּלִים בַּקֹּדֶשׁ. \nכָּל הַכֵּלִים יוֹרְדִים לִידֵי טֻמְאָתָן בְּמַחֲשָׁבָה, \nוְאֵינָן עוֹלִין מִידֵי טֻמְאָתָן אֶלָּא בְשִׁנּוּי מַעֲשֶׂה. \nהַמַּעֲשֶׂה מְבַטֵּל מִיַּד הַמַּעֲשֶׂה וּמִיַּד הַמַּחֲשָׁבָה, \nהַמַּחֲשָׁבָה אֵינָה מְבַטֶּלֶת \nלֹא מִיַּד הַמַּעֲשֶׂה וְלֹא מִיַּד הַמַּחֲשָׁבָה. \n\n\n \n\n" + ], + [ + "א\nסַנְדָּל עִמְקִי, וְכִיס שֶׁלִּשְׁנָצוֹת, \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nאַף קְפֵיפָה מִצְרִית; \nרַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר: \nאַף סַנְדָּל לַדִּיקִי כַיּוֹצֵא בָהֶן, \nהֲרֵי אֵלּוּ מִטַּמִּין וּמִטַּהֲרִין שֶׁלֹּא בָאֻמָּן. <מְטַמִּין וּמְטַהֲרִין> \nאָמַר רְבִּי יוֹסֵה: \nוַהֲלֹא כָל הַכֵּלִים מִטַּמִּין וּמִטַּהֲרִין שֶׁלֹּא בָאֻמָּן? \nאֲבָל אֵלּוּ, אַף עַל פִּי מֻתָּרִין, \nטְמֵאִין, שֶׁהַהֶדְיוֹט יָכוֹל לְהַחְזִירָן. \nלֹא אָמְרוּ אֶלָּא בִקְפֵיפָה מִצְרִית, \nשֶׁאַף הָאֻמָּן אֵינוּ יָכוֹל לְהַחְזִירָהּ. \n", + "ב\nכִּיס שֶׁלִּשְׁנָצוֹת שֶׁנִּטָּלוּ שְׁנָצָיו, טָמֵא; \nנִפְשַׁט, טָהוֹר. \nטָלָה עָלָיו מַטְלֵת מִלְּמַטָּן, טָמֵא. \nכִּיס בְּתוֹךְ כִּיס שֶׁנִּטַּמָּא אֶחָד מֵהֶן בְּמַשְׁקֶה, \nלֹא נִטַּמָּא חֲבֵרוֹ. \nצְרוֹר הַמַּרְגָלִית, טָמֵא. \nצְרוֹר הַמָּעוֹת, \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \n", + "ג\nכַּף לוֹקְטֵי קוֹצִים, טְהוֹרָה. \nהַזּוֹן וְהַבַּרְכְּיָר, טְמֵאִין, \nוְהַשַּׁרְוָלִין, טְמֵאִין. \nוְהַפְּרַקְנֵימִין, טְהוֹרִין. \nוְכָל בֵּית אֶצְבָּעוֹת, טְהוֹרוֹת, \nחוּץ מִשֶּׁלַּקַּיָּצִים, \nמִפְּנֵי שֶׁהִיא מְקַבֶּלֶת הָאוֹג. \nנִקְרָעָה, \nאִם אֵינָהּ מְקַבֶּלֶת אֶת רֹב הָאוֹג, \nטְהוֹרָה. \n", + "ד\nסַנְדָּל שֶׁנִּפְסְקָה אַחַת מֵאָזְנָיו, וְתִקְּנָהּ, \nטְמֵאָה מִדְרָס; <טמא>\nנִפְסְקָה שְׁנִיָּה, וְתִקְּנָהּ, \nטָהֲרָה מִן הַמִּדְרָס, <מחוק: טהור>\nאֲבָל טְמֵאָה מַגָּע. <טמא> \nלֹא הִסְפִּיק לְתַקֵּן אֶת הָרִאשׁוֹנָה \nעַד שֶׁנִּפְסְקָה שְׁנִיָּה, \nנִפְסַק עֲקֵבוֹ, \nנִטַּל חָטְמוֹ, אוֹ שֶׁנֶּחֱלַק לִשְׁנַיִם, \nטָהוֹר. \nסֶלְיָם שֶׁנִּפְסַק מִכָּל מָקוֹם, <סוליים>\nטָהוֹר. \nמַנְעָל שֶׁנִּפְחַת, וְאֵינוּ מְקַבֵּל אֶת רֹב הָרֶגֶל, \nטָהוֹר. \nמַנְעָל שֶׁעַל הָאָמוּם, \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר, \nוַחֲכָמִים מְטַמִּין. \n\nה\nכָּל חֲמָתוֹת צְרוּרוֹת, טְהוֹרוֹת, \nחוּץ מִשֶּׁלָּעַרְבִיִּים. \nרְבִּי מֵאִיר אוֹמֵר: \nצְרוֹר שָׁעָה, טְהוֹרוֹת. \nצְרוֹר עוֹלָם, טְמֵאוֹת. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nכָּל חֲמָתוֹת צְרוּרוֹת, טְהוֹרוֹת. \n", + "ו\nאֵלּוּ עוֹרוֹת טְמֵאִים מִדְרָס: \nעוֹר שֶׁחָשַׁב עָלָיו לַשָּׁטִיחַ, \nעוֹר סְקֻרְטְיָה, \nעוֹר קַטְבֻלְיָה, \nעוֹר הַחַמָּר, <הגהה מעל: עוֹר הַחֲמוֹר>\nעוֹר הַכַּתָּן, \nעוֹר הַכַּתָּף, <הַקֶּתֶף>\nעוֹר הָרוֹפֵא, \nעוֹר הָעֲרֵיסָה, \nעוֹר הַלֵּב שֶׁלְּקָטָן, \nעוֹר הַכַּר, \nוְעוֹר הַכֶּסֶת, \nמִדְרָס. \nעוֹר הַסָּרוֹק, \nוְעוֹר הַסּוֹרֵק, \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר: \nמִדְרָס. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nטְמֵא מֵת. \n", + "ז\nעַב כְּסוּת, וְתַכְרִיךְ כְּסוּת, \nמִדְרָס. \nעַב אַרְגָּמָן, וְתַכְרִיךְ אַרְגָּמָן, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nמִדְרָס. \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nטְמֵא מֵת. \nעוֹר שֶׁעֲשָׂאוֹ חֲפוּי לַכֵּלִים, טָהוֹר, \nוְלַמִּשְׁקָלוֹת, טָמֵא. \nרְבִּי יוֹסֵה מְטַהֵר מִשֵּׁם אָבִיו. \n", + "ח\nכָּל מָקוֹם שֶׁאֵין חֶסְרוֹן מְלָאכָה, \nהַמַּחֲשָׁבָה מְטַמְּאַתָּן. \nוְכָל מָקוֹם שֶׁיֵּשׁ חֶסְרוֹן מְלָאכָה, \nאֵין הַמַּחֲשָׁבָה מְטַמְּאַתָּן, \nאֶלָּא הָעַצְבָּה. <העוצבה>\n", + "ט\nעוֹרוֹת בַּעַל הַבַּיִת, \nהַמַּחֲשָׁבָה מְטַמְּאַתָּן. \nוְשֶׁלָּעָבְּדָן, \nאֵין הַמַּחֲשָׁבָה מְטַמְּאַתָּן, \nוְשֶׁלַּגַּנָּב, \nהַמַּחֲשָׁבָה מְטַמְּאַתָּן. \nוְשֶׁלַּגָּזְלָן, \nאֵין הַמַּחֲשָׁבָה מְטַמְּאַתָּן. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nחִלּוּף הַדְּבָרִים: \nשֶׁל גַּזְלָן, \nהַמַּחֲשָׁבָה מְטַמְּאַתָּן. \nוְשֶׁל גַּנָּב, \nאֵין הַמַּחֲשָׁבָה מְטַמְּאַתָּן, \nמִפְּנֵי שֶׁלֹּא נִתְיָאֲשׁוּ הַבְּעָלִים. \n", + "י\nעוֹר שֶׁהוּא טָמֵא מִדְרָס, \nוְחָשַׁב עָלָיו לִרְצוּעוֹת הַסַּנְדַּלִּים, \nכֵּיוָן שֶׁנָּתַן בּוֹ אֶת הָאַזְמֵל, \nטָהַר. \nדִּבְרֵי רְבִּי יְהוּדָה. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nעַד שֶׁיַּמְעִיטֶנּוּ פָחוּת מֵחֲמִשָּׁה טְפָחִים. \nרְבִּי אֶלְעָזָר בִּרְבִּי צָדוֹק אוֹמֵר: \nאַף הָעוֹשֶׂה מִטְפַּחַת מִן הָעוֹר, \nטְמֵאָה, \nמִן הַכְּסָתוֹת, טְהוֹרָה. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהַבֶּגֶד מִטַּמֵּא מִשֵּׁם חֲמִשָּׁה שֵׁמוֹת, <מְטַמֵּא>\nהַסַּק מִשֵּׁם אַרְבָּעָה, \nהָעוֹר מִשֵּׁם שְׁלֹשָׁה, \nהָעֵץ מִשֵּׁם שְׁנַיִם, \nכְּלִי חֶרֶשׂ מִשֵּׁם אֶחָד. \nכְּלִי חֶרֶשׂ מִטַּמֵּא מִשֵּׁם כְּלִי קִבּוּל. <מְטַמֵּא> \nוְכָל שֶׁאֵין לוֹ תוֹךְ בִּכְלִי חֶרֶשׂ, \nאֵין לוֹ אֲחוֹרַיִם. \n\nב\nמוֹסִיף עָלָיו הָעֵץ, <מוסף! גרסת הסופר מוסף, והנקדן ניקד מוסף>\nשֶׁהוּא מִטַּמֵּא מִשֵּׁם מוֹשָׁב. <מְטַמֵּא> \nוְכֵן טַבְלָה שֶׁאֵין לָהּ לִזְבֵּז, \nבִּכְלִי עֵץ, טְמֵאָה, \nוּבִכְלִי חֶרֶשׂ, טְהוֹרָה. \n\nג\nמוֹסִיף עָלָיו הָעוֹר, <מוסף>\nשֶׁהוּא מִטַּמֵּא מִשֵּׁם אֲהָלִים. <מְטַמֵּא> \nמוֹסִיף עָלָיו הַשַּׂק, <מוסף>\nשֶׁהוּא מִטַּמֵּא מִשֵּׁם אָרִיג. <מְטַמֵּא> \nמוֹסִיף עָלָיו הַבֶּגֶד, <מוסף>\nשֶׁהוּא מִטַּמֵּא מִשֵּׁם שָׁלוֹשׁ עַל שָׁלוֹשׁ. \n", + "ד\nהַבֶּגֶד מִטַּמֵּא מִשֵּׁם שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה <מְטַמֵּא>\nלְמִדְרָס, \nוּמִשּׁוּם שָׁלוֹשׁ עַל שָׁלוֹשׁ לִטְמֵא מֵת. \nהַשַּׂק, אַרְבָּעָה עַל אַרְבָּעָה, \nהָעוֹר, חֲמִשָּׁה עַל חֲמִשָּׁה, \nמַפָּץ, שִׁשָּׁה עַל שִׁשָּׁה, \nשָׁוִין לְמִדְרָס וְלִטְמֵא מֵת. \nרְבִּי מֵאִיר אוֹמֵר: \nהַשַּׂק, שִׁירָיו אַרְבָּעָה, \nוּתְחִלָּתוֹ מִשֶּׁיִּגָּמֵר. \n", + "ה\nהָעוֹשֶׂה שְׁנַיִם מִן הַבֶּגֶד וְאֶחָד מִן הַשַּׂק, \nשְׁלֹשָׁה מִן הַשַּׂק וְאֶחָד מִן הָעוֹר, \nאַרְבָּעָה מִן הָעוֹר וְאֶחָד מִן הַמַּפָּץ, \nטָהוֹר. \nחֲמִשָּׁה מִן הַמַּפָּץ וְאֶחָד מִן הָעוֹר, \nאַרְבָּעָה מִן הָעוֹר וְאֶחָד מִן הַשַּׂק, \nשְׁלֹשָׁה מִן הַשַּׂק וְאֶחָד מִן הַבֶּגֶד, \nטָמֵא. \nזֶה הַכְּלָל: \nכָּל שֶׁחִבֵּר לוֹ מִן הֶחָמוּר מִמֶּנּוּ, טָמֵא, \nוּמִן הַקַּל מִמֶּנּוּ, טָהוֹר. \n", + "ו\nהַמְקַצֵּעַ מִכֻּלָּם טֶפַח עַל טֶפַח, \nטָמֵא. \nמִשּׁוּלֵי הַקֻּפָּה טֶפַח עַל טֶפַח, \nטָמֵא. \nמִצִּדְדֵי הַקֻּפָּה, \nרְבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר, \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nהַמְקַצֵּעַ טֶפַח עַל טֶפַח בְּכָל מָקוֹם, \nטָמֵא. \n", + "ז\nבְּלוּיֵי נָפָה וּכְבָרָה שֶׁהִתְקִינָן לִישִׁיבָה, \nרְבִּי עֲקִיבָה מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, עַד שֶׁיְּקַצַּע. \nכִּסֵּא שֶׁלַּקָּטָן שֶׁיֶּשׁ לוֹ רַגְלַיִם, \nאַף עַל פִּי שֶׁאֵין בּוֹ גֹבַהּ טֶפַח, \nטָמֵא. \nחָלוּק שֶׁלַּקָּטָן, \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר: \nכָּל שֶׁהוּא. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nעַד שֶׁיְּהֵא בוֹ כַשֵּׁעוּר, \nוְנִמְדָּד כָּפוּל. \n", + "ח\nאֵלּוּ נִמְדָּדִין כְּפוּלִים: \nאֲנַפְלְיָה, <מחוק: אמפלייה> \nוּפִמְלַנְיָה, \nוּמִכְנְסַיִם, \nוְכוֹבַע, \nוְכִיס שֶׁלְּפֻנְדָּה. \nוּמַטְלֵית שֶׁטְּלָיָהּ עַל הַשָּׂפָה, \nאִם פְּשׁוּטָה, נִמְדֶּדֶת פְּשׁוּטָה, \nאִם כְּפוּלָה, נִמְדֶּדֶת כְּפוּלָה. \n", + "ט\nבֶּגֶד שֶׁאָרַג בּוֹ שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה, \nנִטַּמָּא מִדְרָס, \nוְהִשְׁלִים עָלָיו אֶת כָּל הַבֶּגֶד, \nנָטַל חוּט אֶחָד מִתְּחִלָּתוֹ, \nטָהַר מִן הַמִּדְרָס, \nאֲבָל טָמֵא מַגַּע מִדְרָס. \nנָטַל חוּט אֶחָד מִתְּחִלָּתוֹ, \nוְאַחַר כָּךְ הִשְׁלִים עָלָיו אֶת כָּל הַבֶּגֶד, \nטָמֵא מַגַּע מִדְרָס. \n", + "י\nוְכֵן בֶּגֶד שֶׁאָרַג בּוֹ שָׁלוֹשׁ עַל שָׁלוֹשׁ, \nנִטַּמָּא טְמֵא מֵת, \nוְהִשְׁלִים עָלָיו אֶת כָּל הַבֶּגֶד, \nנָטַל חוּט אֶחָד מִתְּחִלָּתוֹ, \nטָהַר מִטְּמֵא מֵת, \nאֲבָל טָמֵא מַגַּע טְמֵא מֵת. \nנָטַל חוּט אֶחָד מִתְּחִלָּתוֹ, \nוְאַחַר כָּךְ הִשְׁלִים עָלָיו אֶת כָּל הַבֶּגֶד, \nטָהוֹר. \n\nיא\nמִפְּנֵי שֶׁאָמָרוּ: \nשָׁלוֹשׁ עַל שָׁלוֹשׁ שֶׁנִּתְמָעֲטָה, טְהוֹרָה. \nאֲבָל שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה שֶׁנִּתְמָעַט, \nאַף עַל פִּי שֶׁטָּהַר מִן הַמִּדְרָס, \nטָמֵא בְכָל הַטְּמָאוֹת. \n", + "יב\nסָדִין שֶׁהוּא טָמֵא מִדְרָס, \nוַעֲשָׂאוֹ וֵילָן, \nטָהַר מִן הַמִּדְרָס, \nאֲבָל טָמֵא מַגַּע מִדְרָס. \nאָמַר רְבִּי יוֹסֵה: \nוְכִי בְּאֵי זֶה מִדְרָס נָגַע זֶה? \nאֶלָּא אִם כֵּן נָגַע בּוֹ זָב, \nטָמֵא מַגָּע זָב. \n", + "יג\nשְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה שֶׁנֶּחֱלַק, \nטָהַר מִן הַמִּדְרָס, \nאֲבָל טָמֵא מַגַּע מִדְרָס. \nאָמַר רְבִּי יוֹסֵה: \nוְכִי בְּאֵי זֶה מִדְרָס נָגַע זֶה? \nאֶלָּא אִם כֵּן נָגַע בּוֹ הַזָּב, \nוְטָמֵא מַגָּע זָב. \n", + "יד\nשְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה בָאַשְׁפּוֹת, \nבָּרִיא וְצוֹרֵר מֶלַח, \nוּבַבַּיִת, \nאוֹ בָרִיא, אוֹ צוֹרֵר מֶלַח. \nכַּמָּה מֶלַח יְהֵא צוֹרֵר? \nרֹבַע. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nדַּקָּה. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nגַּסָּה. \nאֵלּוּ וָאֵלּוּ מִתְכַּוְּנִין לְהָקֵל. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nשָׁוִים שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה בָאַשְׁפּוֹת \nלְשָׁלֹשׁ עַל שָׁלוֹשׁ שֶׁבַּבַּיִת. \n", + "יה\nשְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה שֶׁנִּקְרַע, \nאִם נוֹתְנוֹ עַל הַכִּסֵּא, \nוּבְשָׂרוֹ נוֹגֵעַ בַּכִּסֵּא, טָהוֹר; \nוְאִם לָאו, טָמֵא. \nשָׁלוֹשׁ עַל שָׁלוֹשׁ שֶׁנִּמְהָה מִמֶּנָּה חוּט אֶחָד, \nאוֹ שֶׁנִּמְצָא בָהּ קֶשֶׁר, \nאוֹ שְׁנֵי חוּטִין מַתְאִימִין, טְהוֹרָה. \nשָׁלוֹשׁ עַל שָׁלוֹשׁ שֶׁהִשְׁלִיכָהּ בָּאַשְׁפּוֹת, \nטְהוֹרָה. \nאִם הֶחֱזִירָהּ, טְמֵאָה. \nלְעוֹלָם הַשְׁלָכָתָהּ מְטַהֲרַתָּה, \nוַחֲזָרָתָהּ מְטַמְּאַתָּהּ, \nחוּץ מִשֶּׁלָּאַרְגָּמָן וְשֶׁלִּזְהוֹרִית טוֹבָה. \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר: \nאַף מַטְלֵת חֲדָשָׁה כַּיּוֹצֵא בָהֶן. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nכֻּלָּם טְמֵאִין, \nלֹא הָזְכָּרוּ אֶלָּא מִפְּנֵי הָשֵׁב אֲבֵדָה. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nשָׁלוֹשׁ עַל שָׁלוֹשׁ שֶׁנָּתְנָה בַכַּדּוּר, \nאוֹ שֶׁעֲשָׂאָהּ כַּדּוּר בִּפְנֵי עַצְמָהּ, \nטְהוֹרָה. \nאֲבָל שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה שֶׁנִּתָּנוּ בַכַּדּוּר, \nטָמֵא. \nעֲשָׂאוֹ כַדּוּר בִּפְנֵי עַצְמוֹ, \nטָהוֹר, מִפְּנֵי שֶׁהַתָּפִיר מְמַעֲטוֹ. \n", + "ב\nפָּחוּת מִשְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה \nשֶׁהִתְקִינוֹ לָפֹק בּוֹ אֶת הַמַּרְחֵץ, \nלְנַעֵר בּוֹ אֶת הַקְּדֵרָה, \nלְקַנַּח בּוֹ אֶת הָרֵחַיִם, \nבֵּין מִן מוּכָן וּבֵין שֶׁאֵינוּ מִן מוּכָן, \nטָמֵא. \nדִּבְרֵי רְבִּי אֱלִיעֶזֶר. \nרְבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר: \nבֵּין מִן מוּכָן וּבֵין שֶׁאֵינוּ מִן מוּכָן, \nטָהוֹר. \nרְבִּי עֲקִיבָה אוֹמֵר: \nבְּמוּכָן, טָמֵא, \nוּבְשֶׁאֵינוּ מוּכָן, טָהוֹר. \n", + "ג\nהָעוֹשֶׂה אַסְפְּלָנִית, \nבֵּין בַּבֶּגֶד וּבֵין בָּעוֹר, \nטְהוֹרָה. \nמְלֻגְמָה, \nבַּבֶּגֶד, טְהוֹרָה, \nוּבָעוֹר, טְמֵאָה. \nרַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר: \nאַף בַּבֶּגֶד, טְמֵאָה, \nמִפְּנֵי שֶׁהִיא נִנְעֶרֶת. \n", + "ד\nמִטְפְּחוֹת סְפָרִים, \nבֵּין מְצֻיָּרוֹת וּבֵין שֶׁאֵינָן מְצֻיָּרוֹת, \nטְמֵאוֹת. \nדִּבְרֵי בֵית שַׁמַּי. \nבֵּית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nמְצֻיָּרוֹת, טְהוֹרוֹת, \nוְשֶׁאֵינָן מְצֻיָּרוֹת, טְמֵאוֹת. \nרַבָּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר: \nאֵלּוּ וָאֵלּוּ טְהוֹרוֹת. \n", + "ה\nכַּפָּח שֶׁהוּא טָמֵא מִדְרָס, \nוּנְתָנוֹ עַל הַסֵּפֶר, \nטָהוֹר מִן הַמִּדְרָס, \nאֲבָל טָמֵא טְמֵא מֵת. \nחֵמֶת שֶׁעֲשָׂאָהּ שָׁטִיחַ, \nוְשָׁטִיחַ שֶׁעֲשָׂאוֹ חֵמֶת, \nטָהוֹר. \nחֵמֶת שֶׁעֲשָׂאָהּ תָּרְמֵל, \nוְתָרְמֵל שֶׁעֲשָׂאוֹ חֵמֶת, \nכַּר שֶׁעֲשָׂאוֹ סָדִין, \nוְסָדִין שֶׁעֲשָׂאוֹ כַר, \nכֶּסֶת שֶׁעֲשָׂאָהּ מִטְפַּחַת, \nוּמִטְפַּחַת שֶׁעֲשָׂאָהּ כֶּסֶת, \nטָמֵא. \nזֶה הַכְּלָל: \nכָּל שֶׁשִּׁנָּהוּ לִשְׁמוֹ, טָמֵא; \nלְשֵׁם אַחֵר, טָהוֹר. \n", + "ו\nמַטְלֵית שֶׁטְּלָיָהּ עַל הַקֻּפָּה, \nמְטַמָּא אֶחָד, וּפוֹסֶלֶת אֶחָד. \nהִפְרִישָׁהּ מִן הַקֻּפָּה, \nהַקֻּפָּה מְטַמָּא אֶחָד וּפוֹסֶלֶת אֶחָד, \nוְהַמַּטְלֵית טְהוֹרָה. \nטְלָיָהּ עַל הַבֶּגֶד, \nמְטַמָּא שְׁנַיִם וּפוֹסֶלֶת אֶחָד. \nהִפְרִישָׁהּ מִן הַבֶּגֶד, \nהַבֶּגֶד מְטַמֵּא אֶחָד וּפוֹסֵל אֶחָד, \nוְהַמַּטְלֵית מְטַמָּא שְׁנַיִם וּפוֹסֶלֶת אֶחָד. \nוְכֵן הַטּוֹלֶה עַל הַשַּׂק, אוֹ עַל הָעוֹר. \nדִּבְרֵי רְבִּי מֵאִיר. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nעַל הָעוֹר, טָהוֹר, \nוְעַל הַשַּׂק, טָמֵא, \nמִפְּנֵי שֶׁהוּא אָרִיג. \n", + "ז\nשָׁלוֹשׁ עַל שָׁלוֹשׁ שֶׁאָמָרוּ, \nחוּץ מִן הַמְּלָל. \nדִּבְרֵי רְבִּי שִׁמְעוֹן. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nשָׁלוֹשׁ עַל שָׁלוֹשׁ מְכֻוָּנוֹת. \nטְלָיָהּ עַל הַבֶּגֶד מֵרוּחַ אַחַת, אֵינוּ חִבּוּר; \nמִשְּׁתֵי רוּחוֹת זוֹ כְנֶגֶד זוֹ, חִבּוּר. \nעֲשָׂאָהּ כְמִין גַּם, \nרְבִּי עֲקִיבָה מְטַמֵּא, \nוַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. \nאָמַר רְבִּי יְהוּדָה: \nבַּמֵּי דְבָרִים אֲמוּרִים? \nבַּטַּלִּית, אֲבָל בֶּחָלוּק, \nמִלְמַעְלָן, חִבּוּר, וּמִלְּמַטָּן, אֵינָהּ חִבּוּר. \n", + "ח\nבִּגְדֵי עֲנִיִּים, \nאַף עַל פִּי שֶׁאֵין בָּהֶן שָׁלוֹשׁ עַל שָׁלוֹשׁ, \nהֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין מִדְרָס. \nטַלֵּית שֶׁהִתְחִיל בָּהּ לְקָרְעָהּ, \nכֵּיוָן שֶׁנִּקְרַע רֻבָּהּ, \nאֵינָה חִבּוּר. \nהֶעָבִים הָרַכִּים, \nאֵין בָּהֶן מִשֵּׁם שָׁלוֹשׁ עַל שָׁלוֹשׁ. \n", + "ט\nכֶּסֶת הַסַּבָּלִין, <הַסַּבַּלִּין>\nטְמֵאָה מִדְרָס. \nמְשַׁמֶּרֶת שֶׁלַּיַּיִן, \nאֵין בָּהּ מִשֵּׁם מוֹשָׁב. \nשְׂבָכָה שֶׁלַּזְּקֵנָה, \nטְמֵאָה מִדְרָס מִשֵּׁם מוֹשָׁב. \nחָלוּק שֶׁלְּיוֹצְאוֹת הַחוּץ, \nהֶעָשׂוּי כִּשְׂבָכָה, \nטָהוֹר. \nהָעוֹשֶׂה בֶגֶד מִן הַחֵרֶם, טָהוֹר; \nוּמִן הַזּוֹטוֹ, טָמֵא. \nרְבִּי אֱלִיעֶזֶר בֶּן יַעֲקֹב אוֹמֵר: \nאַף הָעוֹשֶׂה בֶגֶד מִן הַחֵרֶם וּכְפָלוֹ, \nטָמֵא. \n", + "י\nשְׂבָכָה שֶׁהִתְחִיל בָּהּ מִפִּיהָ, \nטְהוֹרָה, עַד שֶׁיִּגְמֹר אֶת קָרְקָרְתָּהּ. \nהִתְחִיל בָּהּ מִקָּרְקָרְתָּהּ, \nטְהוֹרָה, עַד שֶׁיִּגְמֹר אֶת פִּיהָ. \nשְׁבִיס שֶׁלָּהּ, \nטָמֵא בִפְנֵי עַצְמוֹ. \nחוּטִין שֶׁלָּהּ, \nטְמֵאִין מִשֵּׁם חִבּוּר. \nשְׂבָכָה שֶׁנִּקְרְעָה, \nאִם אֵינָה מְקַבֶּלֶת אֶת רֹב הַשֵּׂעָר, \nטְהוֹרָה. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nנוּמֵי הַסָּדִין וְהַסּוּדָרִין וְהַטַּרְטִין וְהַפַּלְיוֹן שֶׁלָּרֹאשׁ, \nשֵׁשׁ אֶצְבָּעוֹת; \nשֶׁלִּפְקַרְסִין, עֶשֶׂר. <אפיקרסין, סדין>\nנוּמֵי הַסָּגִי וְהָרָדִיד וְהֶחָלוּק וְהַטַּלֵּית, \nשָׁלוֹשׁ אֶצְבָּעוֹת. \nנוּמֵי הַכַּפָּח שֶׁלַּזְּקֵנָה, \nוְהַגֻּמְדִין שֶׁלָּעַרְבִיִּים, \nוְהַקֻּלְקִיס, וְהַפָּנְדָּה, \nוְהַמַּעְפֹּרֶת, וְהַפַּרְגּוֹד, \nנוּמֵיהֶן כָּל שֶׁהֵן. \n", + "ב\nשָׁלוֹשׁ כְּסָתוֹת שֶׁלַּצֶּמֶר, \nשֵׁשׁ שֶׁלַּפִּשְׁתָּן, \nשְׁלֹשָׁה סְדִינִים, \nשְׁתֵּים עֶשְׂרֵה מִטְפָּחוֹת, \nשְׁנֵי סֻוְרִיקִין, \nחָלוּק אֶחָד, \nטַלֵּית אַחַת, \nוּקְלֻבְקָרִין אַחַת, \nחִבּוּר לַטֻּמְאָה וְלַהַזָּיָה; \nיָתֵר מִכֵּן, \nחִבּוּר לַטֻּמְאָה, וְאֵינוּ חִבּוּר לַהַזָּיָה. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nאַף לֹא לַטֻּמְאָה. \n", + "ג\nחוּט מִשְׁקֶלֶת, שְׁנֵים עָשָׂר; \nשֶׁלֶּחָרָשִׁים, שְׁמוֹנָה עָשָׂר; \nוְשֶׁלַּבַּנָּיִין, חֲמִשִּׁים אַמָּה. \nיָתֵר מִכֵּן, \nאִם רָצָה לְקַיֵּם, טָהוֹר. \nוְשֶׁלַּסַּיָּדִים וְשֶׁלַּצַּיָּרִים, \nכָּל שֶׁהֵן. \n", + "ד\nחוּט מֹאזְנַיִם שֶׁלַּחַנְוָנִי, \nוְחוּט מֹאזְנַיִם שֶׁלִּזְהָבִים, \nוְשֶׁלְּשׁוֹקְלֵי אַרְגָּמָן טוֹב, \nשָׁלוֹשׁ אֶצְבָּעוֹת. \nיַד הַקָּרְדּוֹם מֵאַחֲרָיו, \nשָׁלוֹשׁ אֶצְבָּעוֹת. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nטֶפַח, טָהוֹר. \n", + "ה\nחוּט מֹאזְנַיִם שֶׁלַּשֻּׁלְחָנִי, \nשֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים, \nטֶפַח. \nיַד קָרְדּוֹם מִלְּפָנָיו, \nטֶפַח. \nשִׁירֵי יַד פַּרְגָּל, \nטֶפַח. \nיַד מַקֶּבֶת שֶׁלִּמְפַתְּחֵי אֲבָנִים, <שֶׁלְּמַפְתְּחֵי>\nטֶפַח. \n", + "ו\nחוּט מֹאזְנַיִם שֶׁלַּצַּמָּרִים, \nוְשֶׁלְּשׁוֹקְלֵי זְכוֹכִית, \nטִפְחַיִם. \nיַד הַמַּקּוֹר, \nטִפְחַיִם. \nיַד הַמַּעְצָד שֶׁלַּלִּגְיוֹנוֹת, \nטִפְחַיִם. \nיַד הַקָּרְנָס שֶׁלִּזְהָבִים, \nטִפְחַיִם; \nוְשֶׁלֶּחָרָשִׁין, \nשְׁלֹשָׁה טְפָחִים. \n", + "ז\nשִׁירֵי הַדָּרְבָן מִלְּמַעְלָן, אַרְבָּעָה. \nיַד הַבָּדִיד, יַד הַקָּרְדּוֹם שֶׁלַּנָּכִישׁ, חֲמִשָּׁה. \nיַד בֶּן הַפַּטִּישׁ, חֲמִשָּׁה; \nוְהַפַּטִּישׁ, שִׁשָּׁה. \nיַד קָרְדּוֹם שֶׁלַּבִּקּוּעַ וְשֶׁלֶּעָדִיר, שִׁשָּׁה. \nיַד מַקֶּבֶת, שִׁשָּׁה. \n", + "ח\nשִׁירֵי חַרְחוּר מִלְּמַטָּן, שִׁבְעָה. \nיַד מַגְרֵפָה שֶׁלְּבַעֲלֵי בָתִּים, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nשִׁבְעָה, \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nשְׁמוֹנָה. \nוְשֶׁלַּסַּיָּדִין, \nבֵּית שַׁמַּי אוֹמְרִים: \nתִּשְׁעָה; \nוּבֵית הֶלֵּל אוֹמְרִים: \nעֲשָׂרָה. \nיָתֵר מִכֵּן, אִם רָצָה לְקַיֵּם, טָמֵא. \nיַד מְשַׁמְּשֵׁי הָאוּר, כָּל שֶׁהֵן. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nכְּלֵי זְכוֹכִית, \nפְּשׁוּטֵיהֶן טְהוֹרִין, וּמְקַבְּלֵיהֶן טְמֵאִים. \nנִשְׁבָּרוּ, טָהָרוּ. \nחָזַר וְעָשָׂה מֵהֶן כֵּלִים, \nמְקַבְּלִין טֻמְאָה מִכָּאן וְלַבָּא. \nהַטַּבְלָה וְהָאַסְקֻטְלָא שֶׁלִּזְכוֹכִית, טְהוֹרִין. \nאִם יֶשׁ לָהֶן לִזְבֵּז, טְמֵאִין. \nוְשׁוּלֵי קְעָרָה וְשׁוּלֵי אַסְקֻטְלָא שֶׁלִּזְכוֹכִית \nשֶׁהִתְקִינָן לְתַשְׁמִישׁ, טְהוֹרִין. \nקִרְטְסָם, וְשָׁפָן בְּשׁוֹפִין, טְמֵאִין. \n", + "ב\nסְפַקְלַרְיָה, טְהוֹרָה. \nוְתַמְחוּי שֶׁעֲשָׂאוֹ סְפַקְלַרְיָה, טָמֵא. \nוְאִם מִתְּחִלָּה עֲשָׂאוֹ לְשֵׁם סְפֶקְלַרְיָה, טָהוֹר. \nתַּרְוָד שֶׁהוּא נָתוּן עַל הַשֻּׁלְחָן, \nאִם מְקַבֵּל כָּל שֶׁהוּא, טָמֵא, \nוְאִם לָאו, \nרְבִּי עֲקִיבָה מְטַמֵּא, \nרְבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי מְטַהֵר. \n", + "ג\nכּוֹס שֶׁנִּפְגַּם רֻבּוֹ, שָׁלוֹשׁ בְּרֻבּוֹ, \nטָהוֹר; \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nאִם מְפַזֵּר הוּא אֶת רֹב הַמַּיִם, \nטָהוֹר. \nנִקַּב, וַעֲשָׂאוֹ בֵּין בַּבַּעַץ בֵּין בַּזֶּפֶת, \nטָהוֹר. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nבַּבַּעַץ, טָמֵא, \nוּבַזֶּפֶת, טָהוֹר. \n", + "ד\nצְלוֹחִית קְטַנָּה שֶׁנִּטַּל פִּיהָ, טְהוֹרָה; \nשֶׁלְּפִלְיָטוֹס שֶׁנִּטַּל פִּיהָ, טְהוֹרָה, \nמִפְּנֵי שֶׁהִיא סוֹרַחַת אֶת הַיָּד. \nלָגִינִין גְּדוֹלִים שֶׁנִּטַּל פִּיהֶם, טְמֵאִין, \nמִפְּנֵי שֶׁהוּא מַתְקִינָן לִכְבָשִׁין. \nוְאַרְפַּקְס שֶׁלִּזְכוֹכִית, טְהוֹרָה. \n\nה\nאָמַר רְבִּי יוֹסֵה: \n\"אַשְׁרֵיךְ כֵּלִים, \nשֶׁנִּכְנְסַת בְּטֻמְאָה, \nוְיָצָאת בְּטַהֲרָה!\"\n\n\n\n\n" + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/Hebrew/Mishnah, ed. 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למעלה מן המרכב משכב. ששוה מגעו למשאו. למעלה מן המשכב. הזב. שהזב עושה משכב. ואין משכב עושה משכב: ", + "למעלה מן הזב. זבה. שהיא מטמאה את בועלה. למעלה מן הזבה. מצורע. שהוא מטמא בביאה. למעלה מן המצורע. עצם כשעורה. שהוא מטמא טומאת שבעה חמור מכולם. המת. שהוא מטמא באהל מה שאין כולם מטמאין: ", + "עשר טומאות פורשות מן האדם מחוסר כפורים אסור בקדש ומותר בתרומה ובמעשר חזר להיות טבול יום אסור בקדש ובתרומה ומותר במעשר חזר להיות בעל קרי אסור בשלשתן. חזר להיות בועל נדה מטמא משכב תחתון כעליון. חזר להיות זב שראה שתי ראיות. מטמא משכב ומושב. וצריך ביאת מים חיים. ופטור מן הקרבן. ראה שלש חייב בקרבן. חזר להיות מצורע מוסגר. מטמא בביאה. ופטור מן הפריעה ומן הפרימה ומן התגלחת ומן הצפרים. ואם היה מוחלט חייב בכולן. פירש ממנו אבר שאין עליו בשר כראוי. מטמא במגע ובמשא ואינו מטמא באהל. ואם יש עליו בשר כראוי. מטמא במגע ובמשא ובאהל. שיעור בשר כראוי. כדי להעלות ארוכה. רבי יהודה אומר אם יש במקום אחד. כדי להקיפו בחוט ערב יש בו להעלות ארוכה: ", + "עשר קדושות הן. ארץ ישראל מקודשת מכל הארצות. ומה היא קדושתה. שמביאים ממנה העומר והבכורים ושתי הלחם. מה שאין מביאים כן מכל הארצות: ", + "עיירות המוקפות חומה מקודשות ממנה. שמשלחים מתוכן את המצורעים. ומסבבין לתוכן מת עד שירצו.. יצא אין מחזירין אותו: ", + "לפנים מן החומה מקודש מהם. שאוכלים שם קדשים קלים ומעשר שני. הר הבית מקודש ממנו. שאין זבים וזבות נדות ויולדות נכנסים לשם. החיל מקודש ממנו. שאין עובדי כוכבים וטמא מת נכנסים לשם. עזרת נשים מקודשת ממנו. שאין טבול יום נכנס לשם. ואין חייבים עליה חטאת. עזרת ישראל מקודשת ממנה. שאין מחוסר כפורים נכנס לשם. וחייבין עליה חטאת. עזרת הכהנים מקודשת ממנה. שאין ישראל נכנסים לשם. אלא בשעת צרכיהם. לסמיכה. לשחיטה. לתנופה: ", + "בין האולם ולמזבח מקודש ממנה. שאין בעלי מומין ופרועי ראש נכנסים לשם. ההיכל מקודש ממנו. שאין נכנס לשם שלא רחוץ ידים ורגלים. קדש הקדשים מקודש מהם. שאין נכנס לשם אלא כהן גדול ביום הכפורים. בשעת העבודה. אמר רבי יוסי בחמשה דברים. בין האולם ולמזבח שוה להיכל. שאין בעלי מומין. ופרועי ראש. ושתויי יין. ושלא רחוץ ידים ורגלים נכנסים לשם. ופורשין מבין האולם ולמזבח. בשעת הקטרה: " + ], + [ + "כלי עץ. וכלי עור. וכלי עצם. וכלי זכוכית פשוטיהן טהורים. ומקבליהן טמאים. נשברו טהרו. חזר ועשה מהם כלים. מקבלין טומאה מיכן ולהבא. כלי חרס וכלי נתר טומאתן שוה. מיתטמאין ומטמאין באויר. ומיטמאין מאחוריהן. ואינן מיטמאין מגביהן ושבירתן היא טהרתן: ", + "הדקין שבכלי חרס. וקרקרותיהן. ודפנותיהן יושבין שלא מוסמכין. שיעורן מכדי סיכת קטן ועד לוג. מלוג ועד סאה. ברביעית. מסאה ועד סאתים. בחצי לוג. מסאתים ועד שלש ועד חמש סאין. בלוג. דברי רבי ישמעאל. רבי עקיבא אומר אני איני נותן בהן מדה. אלא הדקין שבכלי חרס. וקרקרותיהן. ודפנותיהן. יושבין שלא מסומכין. שיעורן מכדי סיכת קטן ועד קדירות הדקות. מהקדירות הדקות ועד חביות לודיות. ברביעית. מלודיות ועד לחמיות בחצי לוג. מלחמיות ועד חצבים גדולים. בלוג. רבן יוחנן בן זכאי אומר. חצבים גדולים שיעורן בשני לוגין. הפכים הגלילים והחביונות. שיעור קרקרותיהן כל שהן. ואין להם דפנות: ", + "הטהורין שבכלי חרס טבלה שאין לה לזביז. ומחתה פרוצה. ואבוב של קלאין. וסילונות. אף על פי כפופין. אף על פי מקבלין. וכבכב שעשאו לסל הפת. וטפי שהתקינו לענבים. וחבית של שייטין. וחבית דפונה בשולי המחץ. והמטה. והכסא. והספסל. והשלחן. והספינה. והמנורה של חרס. הרי אלו טהורים. זה הכלל כל שאין לו תוך בכלי חרס אין לו אחוריים: ", + "פנס שיש בו בית קבול שמן. טמא. ושאין בו. טהור. מגופת היוצרין. שהוא פותח בה. טהורה. ושהוא גומר בה טמאה. משפך של בעלי בתים. טהור. ושל רוכלין טמא. מפני שהוא של מדה. דברי ר' יהודה בן בתירא. ר' עקיבא אומר מפני שהוא מטהו על צדו. ומריח בו ללוקח: ", + "כסוי כדי יין. וכדי שמן וכסוי חביות ניירות. טהורין. ואם התקינו לתשמיש טמאים. כסוי הלפס. בזמן שהוא נקוב ויש לו חדוד. טהור. אם אינו נקוב. ואין לו חדוד. טמא. מפני שהיא מסננת לתוכו את הירק. רבי אליעזר בר צדוק אומר מפני שהיא הופכת עליו את הרונקי: ", + "גסטרא. שנמצאת בכבשן. עד שלא נגמרה מלאכתה. טהורה. משנגמרה מלאכתה טמאה. טיטרוס ר' אליעזר בר צדוק מטהר. רבי יוסי מטמא מפני שהוא כמוציא פרוטות: ", + "הטמאין שבכלי חרס. טבלה שיש לה לזביז. ומחתה שלמה. וטבלא. שהיא מלאה קערות. נטמאת אחת מהם בשרץ. לא נטמאו כולם. אם יש לה לזביז עודף. נטמאה אחת מהם נטמאו כולן. וכן בית תבלין של חרס וקלמרים המתואמות. ובית תבלין של עץ שנטמא אחד במשקה. לא נטמא חבירו. רבי יוחנן בן נורי אומר חולקין את עוביו. המשמש לטמא טמא. המשמש לטהור. טהור. אם יש לו לזביז עודף. נטמא אחד מהם נטמא חבירו: ", + "הלפיד. טמא. ובית שקעו של נר. מטמא באויר. המסרק של צרצור. רבי אליעזר מטהר. וחכמים מטמאין: " + ], + [ + "שיעור כלי חרס ליטהר. העשוי לאוכלין. שיעורו בזיתים. העשוי למשקין. שיעורו במשקין. העשוי לכך ולכך. מטילין אותו לחומרו בזיתים: ", + "חבית שיעורה בגרוגרות. דברי ר' שמעון. רבי יהודה אומר באגוזים. ר' מאיר אומר בזיתים הלפס. והקדירה שיעורן בזיתים. הפך והטפי שיעורן בשמן והצרצור שיעורו במים. ר' שמעון אומר שלשתן בזרעונים. נר שיעורו בשמן ר' אליעזר אומר בפרוטה קטנה. נר שניטל פיו. טהור. ושל אדמה שהוסק פיו בפתילה טהור: ", + "חבית שניקבה. ועשאה בזפת ונשברה. אם יש במקום הזפת מחזיק רביעית. טמאה. מפני שלא בטל שם כלי מעליה. חרס שניקב ועשאו בזפת אף על פי מחזיק רביעית. טהור מפני שבטל שם כלי מעליו: ", + "חבית שנתרועעה. וטפלה בגללים אף על פי שהוא נוטל את הגללים והחרסים נופלים טמאה. מפני שלא בטל שם כלי מעליה. נשברה ודבק ממנה חרסית. או שהביא חרסית ממקום אחר וטפלן בגללים. אף על פי שהוא נוטל הגללים והחרסין עומדים. טהורה. מפני שבטל שם כלי מעליה. היה בה חרס מחזיק רביעית. כולה מטמא במגע וכנגדו מטמא באויר: ", + "הטופל כלי חרס הבריא. רבי מאיר ורבי שמעון מטמאים. וחכמים אומרים הטופל את הבריא טהור. ואת הרעוע טמא. וכן בחידוק הקרויה: ", + "יבלית שטופלין בה הפטסין. הנוגע בה טמא. מגופת חבית אינה חיבור. הנוגע בטפולו של תנור. טמא: ", + "מיחם שטפלו בחומר ובחרסית. הנוגע בחומר טמא. ובחרסית טהור. קומקום שניקב ועשאו בזפת. ר' יוסי מטהר שאינו יכול לקבל את החמין כצונן. וכן היה אומר בכלי זפת. כלי נחשת שזפתן טהורין. ואם ליין טמאין: ", + "חבית שנקבה ועשאה בזפת יתר מצרכה. הנוגע בצרכה טמא. יתר מצרכה טהור. זפת שנטפה על החבית. הנוגע בה טהור. משפך של עץ ושל חרס שפקקו בזפת. ר' אלעזר בן עזריה מטמא. ר' עקיבא מטמא בשל עץ ומטהר בשל חרס. רבי יוסי מטהר בשניהם: " + ], + [ + "החרס שאינו יכול לעמוד מפני אזנו. או שהיה בו חדוד והחדוד מכריעו. טהור. נטלה האוזן. נשבר החדוד. טהור. רבי יהודה מטמא. חבית שנפחתה. והיא מקבלת על דפנותיה. או שנחלקה כמין שתי עריבות. רבי יהודה מטהר. וחכמים מטמאין: ", + "חבית שנתרועע' ואינה יכולה להטלטל בחצי קב גרוגרות. טהורה. גיסטרא שנתרועעה ואינה מקבלת משקין. אף על פי שהיא מקבלת אוכלין טהורה. (ספרים אחרים) שאין שירין לשירין: ", + "איזו היא גיסטרא. כל שניטלו אזניה. היו בה חדודים יוצאין. כל המקבל עמה בזיתים מטמא במגע. וכנגדו מטמא באויר. וכל שאינו מקבל עמה בזיתים. מטמא במגע. ואין כנגדו מטמא באויר. היתה מוטה על צדה כמין קתדרה. כל המקבל עמה בזיתים מטמא במגע. וכנגדו מטמא באויר. וכל שאינו מקבל עמה בזיתים. מטמא במגע. ואין כנגדו מטמא באויר. שולי קורפיות ושולי קוסים הצידוניים. אף על פי שאינם יכולים לישב שלא מסומכין. טמאין שלכך נעשו מתחילתן: ", + "כלי חרש שיש לו שלש שפיות. הפנימית עודפת. הכל טהור. החיצונה עודפת. הכל טמא. האמצעית עודפת. ממנה ולפנים טמא. ממנה ולחוץ טהור. היו שוות ר' יהודה אומר חולקין האמצעית וחכמים אומרים הכל טהור. כלי חרס מאימתי מקבלין טומאה. משיצרפו בכבשן. והיא גמר מלאכתן: " + ], + [ + "תנור תחלתו ארבעה ושיריו ארבעה דברי רבי מאיר. וחכמים אומרים במה דברים אמורים בגדול אבל בקטן תחלתו כל שהוא ושיריו רובו. משתגמר מלאכתו. איזהו גמר מלאכתו. משיסיקנו כדי לאפות בו סופגנין. רבי יהודה אומר משיסיק את החדש כדי לאפות בישן סופגנין: ", + "כירה תחלתה שלש. ושיריה שלש. משתגמר מלאכתה. איזוהי גמר מלאכתה משיסיקנה כדי לבשל עליה ביצה קלה שבביצים. טרופה ונתונה באלפס. הכופח עשאו לאפייה שיעורו כתנור. עשאו לבשול. שיעורו ככירה. האבן היוצא מן התנור טפח ומן הכירה שלש אצבעות. חבור. היוצא מן הכופח. עשאו לאפייה. שיעורו כתנור. עשאו לבשול. שיעורו ככירה. אמר רבי יהודה לא אמרו טפח. אלא בין התנור ולכותל. היו שני תנורין סמוכים זה לזה. נותן לזה טפח ולזה טפח והשאר טהור: ", + "עטרת כירה טהורה. טירת התנור בזמן שהיא גבוהה ארבעה טפחים מטמאה במגע ובאויר. פחותה מכאן. טהורה. אם חברה לו אפילו על שלש אבנים טמאה. בית הפך ובית התבלין ובית הנר שבכירה. מטמאין במגע ואינן מטמאין באויר דברי רבי מאיר. רבי ישמעאל מטהר: ", + "תנור שהוסק מאחוריו. או שהוסק שלא לדעתו. או שהוסק בבית האומן טמא. מעשה שנפלה דליקה בתנורי כפר סגנה. ובא מעשה ליבנה. וטימאן רבן גמליאל: ", + "מוסף התנור. של בעלי בתים טהור. ושל נחתומין טמא מפני שהוא סומך עליו את השפוד. רבי יוחנן הסנדלר אומר מפני שהוא אופה בו כשהוא נדחק. כיוצא בו מוסף היורה של שולקי זיתים. טמא. ושל צבעים. טהור: ", + "תנור שנתן בו עפר עד חציו. מעפר ולמטן מטמא במגע. מעפר ולמעלן מטמא באויר. נתנו. על פי הבור. או על פי הדות. ונתן שם אבן. ר' יהודה אומר אם מסיק מלמטן והוא נסוק מלמעלן טמא. וחכמים אומרים הואיל והוסק מכל מקום. טמא: ", + "תנור שנטמא כיצד מטהרין אותו. חולקו לשלשה וגורר את הטפלה עד שיהא בארץ. ר' מאיר אומר אינו צריך לגרור את הטפלה ולא עד שיהא בארץ אלא ממעטו מבפנים ארבעה טפחים. ר' שמעון אומר וצריך להסיעו. חלקו לשנים אחד גדול ואחד קטן. הגדול טמא. והקטן טהור. חלקו לשלשה. אחד גדול כשנים. הגדול טמא. ושנים הקטנים טהורין: ", + "חתכו חוליות לרחבו. פחות מארבעה טפחים. טהור. מרחו בטיט. מקבל טומאה משיסיקנו כדי לאפות בו סופגנין. הרחיק ממנו את הטפלה ונתן חול או צרור בינתיים. בזה אמרו הנדה והטהורה אופות בו. והוא טהור: ", + "תנור שבא מחותך מבית האומן. ועשה בו למודין. ונותנן עליו. והוא טהור. נטמא וסילק את למודיו טהור. החזירן לו טהור. מרחו בטיט מקבל טומאה. ואין צריך להסיקנו. שכבר הוסק: ", + "חתכו חוליות ונתן חול בין חוליא לחוליא. ר' אליעזר מטהר. וחכמים מטמאין. זה תנורו של עכנאי. יורות הערביין שהוא חופר בארץ וטח בטיט אם יכול הטיח לעמוד בפני עצמו טמא. ואם לאו טהור. וזה תנורו של בן דינאי: ", + "תנור של אבן. ושל מתכת. טהור. וטמא משום כלי מתכות. ניקב. נפגם. נסדק. עשה לו טפלה. או מוסף של טיט. טמא. כמה יהא בנקב כדי שיצא בו האור. וכן בכירה. כירה של אבן. ושל מתכת. טהורה. וטמאה משום כלי מתכות. נקבה. נפגמה. נסדקה. עשה לה פטפוטין טמאה. מרחה בטיט. בין מבפנים בין מבחוץ טהורה. רבי יהודה אומר מבפנים טמאה ומבחוץ טהורה: " + ], + [ + "העושה שלשה פטפוטים בארץ. וחברן בטיט להיות שופת עליהן את הקדירה. טמאה. קבע שלשה מסמרין בארץ להיות שופת עליהן הקדרה. אף על פי שעשה בראשו מקום שתהא הקדרה יושבת. טהורה. העושה שתי אבנים כירה. וחברם בטיט. טמאה. רבי יהודה מטהר עד שיעשה שלישית. או עד שיסמוך לכותל אחת בטיט ואחת שלא בטיט. טהורה: ", + "האבן שהיה שופת עליה ועל התנור. עליה ועל הכירה. עליה ועל הכופח. טמאה. עליה ועל האבן. עליה ועל הסלע עליה ועל הכותל. טהורה. וזו היתה כירת הנזירים שבירושלים שכנגד הסלע. כירת הטבחים. בזמן שהוא נותן אבן בצד אבן. נטמאת אחת מהם לא נטמאו כולן: ", + "שלש אבנים שעשאן שתי כירים. נטמאת אחת מן החיצונה. האמצעית המשמשת את הטמאה טמאה. המשמשת הטהורה טהורה. ניטלה הטהורה. הוחלטה האמצעית לטומאה. ניטלה הטמאה הוחלטה האמצעית לטהורה. נטמאו שתים החיצונות. אם היתה האמצעית גדולה. נותן לזו כדי שפיתה מכאן. ולזו כדי שפיתה מכאן. והשאר טהור. ואם היתה קטנה הכל טמא. ניטלה האמצעית. אם יכול לשפות עליה יורה גדולה. טמאה. החזירה. טהורה. מירחה בטיט. מקבלת טומאה משיסיקנה כדי לבשל עליה את הביצה: ", + "שתי אבנים שעשאם כירה. ונטמאו. סמך לזו אבן אחת מכאן. ולזו אבן אחת מכאן. חציה של זו טמאה וחציה טהורה. וחציה של זו טמאה וחציה טהורה. ניטלו טהורות. חזרו אלו לטומאתן: " + ], + [ + "הקלתות של בעלי הבתים שנפחתה פחות משלשה טפחים. טמאה. שהוא מסיק מלמטן וקדירה בשלה מלמעלן. יתר מכאן טהורה. נתן אבן או צרור. טהורה. מרחה בטיט מקבלת טומאה מכאן ולהבא. זו היתה תשובת ר' יהודה בתנור שנתנו על פי הבור או על פי הדות: ", + "דכון שיש בו בית קבול קדירות. טהור משום כירה וטמא משום כלי קבול. הצדדין שלו. הנוגע בהם אינו טמא משום כירה. הרחב שלו. רבי מאיר מטהר. ורבי יהודה מטמא. וכן הכופה את הסל ועושה על גביו כירה: ", + "כירה שנחלקה לארכה. טהורה. ולרחבה טמאה. כופח שנחלק. בין לארכו בין לרחבו. טהור. חצר הכירה בזמן שהיא גבוהה שלש אצבעות. מטמאה במגע ובאויר. פחותה מכאן. מטמאה במגע ואינה מטמאה באויר. כיצד משערין אותה. ר' ישמעאל אומר נותן את השפוד מלמעלן למטן. וכנגדו מטמאה באויר. רבי אליעזר בן יעקב אומר. נטמאה הכירה. נטמאת החצר. נטמאה החצר. לא נטמאת הכירה: ", + "היתה מופרשת מן הכירה. בזמן שהיא גבוהה שלש אצבעות מטמא במגע ובאויר. פחותה מכאן או שהיתה חלקה. טהורה. פטפוטי כירה שלשה. של שלש אצבעות. מטמאים במגע ובאויר. פחות מכאן. כל שכן הן טמאים. ואפילו הן ארבעה: ", + "ניטל אחד מהן. מטמאין במגע ואינם מטמאים באויר. דברי ר' מאיר. ר' שמעון מטהר. עשה שנים זה כנגד זה. מטמאין במגע ובאויר. דברי רבי מאיר. רבי שמעון מטהר. היו גבוהין משלש אצבעות. משלש ולמטן. מטמאים במגע ובאויר. משלש ולמעלן מטמאין במגע. ואינן מטמאין באויר. דברי ר' מאיר. ר' שמעון מטהר. היו משוכים מן השפה. בתוך שלש אצבעות. מטמאים במגע ובאויר. חוץ משלש אצבעות. מטמאים במגע. ואינם מטמאים באויר. דברי ר' מאיר. ר' שמעון מטהר: ", + "כיצד משערין אותן. רבן שמעון בן גמליאל אומר נותן את הכנה ביניהן. מן הכנה ולחוץ טהור. מן הכנה ולפנים ומקום הכנה טמא: " + ], + [ + "התנור שחצצו בנסרים. או ביריעות. נמצא שרץ במקום אחד הכל טמא. כוורת פחותה ופקוקה בקש. ומשולשלת לאויר התנור. השרץ בתוכה. התנור טמא. השרץ בתנור. אוכלין שבתוכה טמאין. ור' אליעזר מטהר. אמר ר' אליעזר אם הצילה במת החמור. אל תציל בכלי חרס הקל. אמרו לו אם הצילה במת החמור. שכן חולקים אהלים. תציל בכלי חרס הקל. שאין חולקים כלי חרס: ", + "היתה שלימה. וכן הקופה. וכן החמת. השרץ בתוכה. התנור טהור. השרץ בתנור אוכלין שבתוכה טהורין. נקבו. העשוי לאוכלין שיעורן בזיתים. העשוי למשקין שיעורן במשקים. העשוי לכך ולכך. מטילים אותו לחומרו. בכונס משקה: ", + "סרידה. שהיא נתונה על פי התנור. ושוקעת לתוכו ואין לה גפיים. השרץ בתוכה. התנור טמא. השרץ בתנור. אוכלים שבתוכה טמאין. שאין מצילין מיד כלי חרס אלא כלים. חבית שהיא מלאה משקין טהורין. ונתונה למטה מנחושתו של תנור. השרץ בתנור. החבית והמשקין טהורין. היתה כפויה. ופיה לאויר התנור. השרץ בתנור. משקה טופח שבשולי החבית טהור: ", + "קדירה שהיא נתונה בתנור. השרץ בתנור הקדירה טהורה. שאין כלי חרס מטמא כלים. היה בה משקה טופח נטמא וטמאה. הרי זה אומר מטמאיך לא טמאוני. ואתה טמאתני: ", + "תרנגול שבלע את השרץ. ונפל לאויר התנור. טהור. ואם מת טמא. השרץ שנמצא בתנור. הפת שבתוכו שניה. שהתנור תחלה: ", + "בית שאור מוקף צמיד פתיל. ונתון לתוך התנור. השאור והשרץ בתוכו. והקרץ בינתים. התנור טמא. והשאור טהור. ואם היה כזית מן המת. התנור והבית טמא. והשאור טהור. אם יש שם פותח טפח הכל טמא: ", + "השרץ שנמצא בעין של תנור. בעין של כירה. בעין של כופח. מן השפה הפנימית ולחוץ. טהור. ואם היה באויר. אפילו כזית מן המת. טהור. ואם יש שם פותח טפח. הכל טמא: ", + "נמצא מקום הנחת העצים. רבי יהודה אומר מן השפה החיצונה ולפנים טמא. וחכמים אומרים משפה הפנימית ולחוץ טהור. ר' יוסי אומר מכנגד שפיתת הקדירה ולפנים טמא. מכנגד שפיתת הקדירה ולחוץ טהור. נמצא מקום ישיבת הבלן. מקום ישיבת הצבע. מקום ישיבת של שולקי זיתים. טהור. אין טמא אלא מן הסתימה ולפנים: ", + "בור שיש בו בית שפיתה. טמא. ושל עושי זכוכית. אם יש בו בית שפיתה. טמא. כבשן של סיידין. ושל זגגין. ושל יוצרים. טהורה. פורנה. אם יש לה ליזבז. טמאה. ר' יהודה אומר אם יש לה אסטגיות. רבן גמליאל אומר. אם יש לה שפיות: ", + "מגע טמא מת. שהיו אוכלין ומשקין לתוך פיו. הכניס ראשו לאויר התנור טהור טמאוהו. וטהור שהיה אוכלין ומשקין לתוך פיו. והכניס ראשו לאויר התנור טמא נטמאו. היה אוכל דבילה בידים מסואבות. הכניס ידו לתוך פיו ליטול את הצרור. ר' מ איר מטמא. ר' יהודה מטהר. רבי יוסי אומר אם הפך טמא. אם לא הפך טהור. היה פונדיון לתוך פיו רבי יוסי אומר אם לצמאו טמא: ", + "האשה שנטף חלב מדדיה ונפל לאויר התנור. טמא. שהמשקה מטמא לרצון ושלא לרצון. היתה גורפתו. והכתה הקוץ. ויצא ממנה דם. או שנכוה ונתנה אצבעה לתוך פיה. נטמא: " + ], + [ + "מחט או טבעת שנמצאו בנחושתו של תנור. נראין. אבל לא יוצאים. אם אופה את הבצק והוא נוגע בהן טמא. באי זה בצק אמרו. בבצק הבינוני. נמצאו בטפילת התנור. מוקף צמיד פתיל. אם בטמא טמאין. ואם בטהור טהורים. נמצאו במגופת החבית. מצדיה טמאים. מכנגד פיה טהורים. נראין בתוכה אבל לא לאוירה. טהורין. שוקעים בתוכה. ותחתיהם כקליפת השום. טהורין: ", + "חבית שהיא מלאה משקין טהורין. ומניקת בתוכה. מוקפת צמיד פתיל. ונתונה באהל המת. בית שמאי אומרים החבית והמשקין טהורין ומניקת טמאה ובית הלל אומרים אף מניקת טהורה. חזרו בית הלל להורות כדברי בית שמאי: ", + "השרץ שנמצא למטה מנחושתו של תנור. טהור. שאני אומר חי נפל ועכשיו מת. מחט או טבעת שנמצאו למטה מנחושתו של תנור. טהור. שאני אומר שם היו עד שלא בא התנור. נמצאו באפר מקלה טמא. שאין לו במה יתלה: ", + "ספוג שבלע משקין טמאין ונגוב מבחוץ. ונפל לאויר התנור. טמא. שסוף משקה לצאת. וכן חתיכה של לפת ושל גמי. רבי שמעון מטהר בשני אלו: ", + "חרסין שנשתמש בהן משקין טמאין. ונפלו לאויר התנור. הוסק התנור טמא. שסוף משקה לצאת. וכן בגפת חדשה אבל בישנה טהור. ואם ידוע שיוצא מהן משקין. אפילו לאחר שלש שנים. נטמא: ", + "הגפת והזגין שנעשו בטהרה. והלכו עליהם טמאים. ואחר כך יצאו מהן משקין. טהורין. שמתחלתן נעשו בטהרה. כוש שבלע את הצינורא. מלמד שבלע את הדרבן. לבינה שבלעה את הטבעת. והן טהורים. נכנסו לאהל המת נטמאו. הסיטן הזב נטמאו. נפלו לאויר התנור טהור. טמאוהו. נגע בהן ככר של תרומה. טהור: ", + "סרידה שהיא נתונה על פי התנור מוקף צמיד פתיל. נסדק מן התנור לסרידה. שעורו מלא פי מרדע שלא נכנס. רבי יהודה אומר נכנס. נסדקה סרידה שעורו כמלא פי מרדע נכנס. רבי יהודה אומר שלא נכנס. היה עגול אין רואין אותו ארוך. אלא שיעורו כמלא פי מרדע נכנס: ", + "תנור שניקב מעינו. שיעורו מלא כוש. נכנס ויוצא דולק. רבי יהודה אומר שלא דולק. ניקב מצדו. שיעורו כמלא כוש. נכנס ויוצא שלא דולק. ר' יהודה אומר דולק. ר' שמעון אומר מן האמצע נכנס. מן הצד אינו נכנס. וכן היה אומר במגופת החבית שניקבה. שיעורה מלא מיצה שנייה של שיפון. מן האמצע נכנס. מן הצד אינו נכנס. וכן היה אומר בחצבים גדולים שנקבו. שיעורם מלא מיצה שנייה של קנה. מן האמצע נכנס. מן הצד אינו נכנס. במה דברים אמורים בזמן שנעשו ליין אבל אם נעשו לשאר משקין. אפילו כל שהוא טמאים. במה דברים אמורים בזמן שלא נעשו בידי אדם. אבל אם נעשו בידי אדם. אפילו כל שהוא טמאים. ניקבו. העשוי לאוכלים שיעורן בזיתים. העשוי למשקים שיעורן במשקים. העשוי לכך ולכך. מטילים אותו לחומרו. בצמיד פתיל. ובכונס משקה: " + ], + [ + "אלו כלים מצילין בצמיד פתיל. כלי גללים. כלי אבנים. כלי אדמה. כלי חרס. וכלי נתר. עצמות הדג ועורו. עצמות חיה שבם ועורה. וכלי עץ הטהורים מצילים. בין מפיהם. בין מצידיהן. בין יושבין על שוליהן. בין מוטין על צדיהן. היו כפויים על פיהן. מצילים כל שתחתיהן עד התהום. רבי אליעזר מטמא. על הכל מצילין חוץ מכלי חרס שאינו מציל. אלא על האוכלים ועל המשקין. ועל כלי חרס: ", + "במה מקיפים בסיד ובגפסיס בזפת ובשעוה בטיט ובצואה בחומר ובחרסית. ובכל דבר המתמרח. אין מקיפים לא בבעץ. ולא בעופרת. מפני שהוא פתיל ואינו צמיד. אין מקיפין לא בדבילה שמינה. ולא בבצק שנילוש במי פירות שלא יביאנו לידי פסול. ואם הקיף הציל: ", + "מגופת החבית המחולחלת. ואינה נשמטת. ר' יהודה אומר מצלת. וחכמים אומרים אינה מצלת. היה בית אצבע שלה שוקע בתוכה. השרץ בתוכה החבית טמאה. השרץ בחבית. אוכלין שבתוכה טמאים: ", + "הכדור. והפקעת של גמי שנתנן על פי החבית. אם מירח מן הצדדין. לא הציל. עד שימרח מלמעלן ומלמטן. וכן במטלית של בגד. היתה של נייר. או של עור. וקשרה במשיחה. אם מירח מן הצדדין הציל: ", + "חבית שנתקלפה והזפת שלה עומדת. וכן קבוסים של מורייס. שגפתן עם השפה. רבי יהודה אומר אינם מצילין. וחכמים אומרים מצילין: ", + "חבית שניקבה. וסתמוה שמרים. הצילוה. פקקה בזמורה. עד שימרח מן הצדדים. היו שתים. עד שימרח מן הצדדין ובין זמורה לחברתה. נסר שהוא נתון על פי התנור. אם מירח מן הצדדין הציל. היו שנים. עד שימרח מן הצדדין ובין נסר לחברו. עשאן בסינין. או בשוגמין. אינו צריך למרח מן האמצע: ", + "תנור ישן בתוך החדש. וסרידה על פי הישן. ניטל הישן וסרידה נופלת. הכל טמא. ואם לאו הכל טהור. חדש בתוך הישן וסרידה על פי הישן. אם אין בין חדש לסרידה פותח טפח. כל שבחדש טהור: ", + "לפסין זו בתוך זו. ושפתותיהן שוות. השרץ בעליונה או בתחתונה. היא טמאה וכולן טהורות. היו בכונס משקה. השרץ בעליונה כולן טמאות. בתחתונה. היא טמאה וכולן טהורות. השרץ בעליונה. והתחתונה עודפת. היא והתחתונה טמאה. בעליונה והתחתונה עודפת. כל שיש בה משקה טופח. טמאה: " + ], + [ + "כלי מתכות. פשוטיהן ומקבליהן. טמאין. נשברו טהרו. חזר ועשה מהן כלי חזרו לטומאתן הישנה. רבן שמעון בן גמליאל אומר. לא לכל טומאה. אלא לטומאת הנפש: ", + "כל כלי מתכות שיש לו שם בפני עצמו. טמא. חוץ מן הדלת. ומן הנגר ומן המנעול. והפותה שתחת הציר והציר והקורה והצינור שנעשו לקרקע: ", + "העושה כלים מן העשת. ומן החררה. ומן הסובב של גלגל. ומן הטסין. ומן הצפויין. מכני כלים. ומאוגני כלים. מאזני כלים. מן השחולת. ומן הגרודות. טהורין. רבי יוחנן בן נורי אומר אף מן הקצוצות. משברי כלים. מן הגרוטים. ומן המסמרות שידוע שנעשו מכלי. טמאין. מן המסמרות. בית שמאי מטמאין. ובית הלל מטהרין: ", + "ברזל טמא שבללו עם ברזל טהור. אם רוב מן הטמא. טמא. ואם רוב מן הטהור. טהור. מחצה למחצה. טמא. וכן מן החלמא ומן הגללים. קלוסטרא טמאה. ומצופה. טהורה. הפין והפורנה. טמאין. והקלוסטרא. ר' יהושע אומר. שומטה מפתח זה. ותולה בחברו בשבת. ר' טרפון אומר הרי היא לו ככל הכלים ומטלטלת בחצר: ", + "עקרב של פרומביא טמאה. ולחיים טהורים. ר' אליעזר מטמא בלחיים. וחכמים אומרים אין טמא אלא עקרב. ובשעת חבורן. הכל טמא: ", + "פיקה של מתכת. ר' עקיבא מטמא. וחכמים מטהרין. ומצופה טהורה. הכוש. והאימה. והמקל וסימפוניה. וחליל של מתכת טמאין. ומצופין טהורים. סימפוניה. אם יש בה בית קבול כנפים. בין כך ובין כך. טמאה: ", + "קרן עגולה טמאה. ופשוטה טהורה. אם היתה מצופית שלה של מתכת טמאה. הקב שלה. רבי טרפון מטמא. וחכמים מטהרין. ובשעת חבורן הכל טמא. כיוצא בו קני מנורה טהורין. הפרח והבסיס טמאים. ובשעת חבורן הכל טמא: ", + "קסדא טמאה. ולחיים טהורים. אם יש בהן בית קבול מים. טמאים. כל כלי המלחמה. טמאים. הכידון הניקון והמגפיין. והשריון. טמאין. כל תכשיטי נשים טמאים. עיר של זהב. קטליות נזמים וטבעות. וטבעת בין שיש לה חותם ובין שאין לה חותם. נזמי האף. קטלה שחוליות שלה של מתכות. בחוט של פשתן או של צמר. נפסק החוט החוליות טמאות. שכל אחת ואחת. כלי בפני עצמה. חוט של מתכות. וחוליות של אבנים טובות ומרגליות ושל זכוכית. נשתברו החוליות. החוט בפני עצמו קיים. טמא. שירי קטלא. כמלוא צואר קטנה. ר' אליעזר אומר. אפילו טבעת אחת. טמאה. שכן תולין בצואר: ", + "נזם שהוא עשוי כקדירה מלמטן. וכעדשה מלמעלן. ונפרק. כקדרה טמא משום כלי בית קבול. וכעדשה טמא בפני עצמו. צינורא טהורה. העשוי כמין אשכול. ונפרק. טהור: " + ], + [ + "טבעת אדם טמאה. טבעת בהמה וכלים ושאר כל הטבעות. טהורות. קורת החצים. טמאה ושל אסירין. טהורה. הקולר. טמאה. שלשלת שיש בה בית נעילה טמאה. העשוי' לכפיתה טהורה. שלשלת של סיטונות. טמאה. של בעלי בתים. טהורה. אמר ר' יוסי אימתי בזמן שהוא מפתח אחד. אבל אם היו שנים. או שקשר חלזון בראשה. טמאה: ", + "קנה מאזנים של סרוקות. טמא מפני אונקליות. ושל בעלי בתים. אם יש בו אונקליות טמא. אונקלין של כתפין. טהורה. ושל רוכלים. טמאה. ר' יהודה אומר. של רוכלים שלפניו טמאה. ושלאחריו טהורה. אונקלי דרגש. טמאה. ושל נקליטין טהורה. של שידה טמאה. ושל אקון טהורה. של שלחן טמא. של מנורת העץ טהור. זה הכלל כל המחובר לטמא טמא. והמחובר לטהור טהור. וכולן אחת אחת בפני עצמן. טהורות: ", + "כסוי טני של מתכת של בעלי בתים. ר' גמליאל מטמא וחכמים מטהרין. ושל רופאים טמא. הדלת שבמגדל. של בעלי בתים טהורה. ושל רופאים טמאה. הייתוכין טמאים. והפרכין טהורין. עקרב בית הבד טמאה. ואונקלי שבכותלים טהורה: ", + "מסמר הגרע טמא. ושל אבן השעות טהור. רבי צדוק מטמא. מסמר הגרדי טמא. וארון של גרוסות. ר' צדוק מטמא. וחכמים מטהרין. היתה עגלה שלה של מתכת טמאה: ", + "מסמר שהתקינו להיות פותח ונועל בו. טמא. העשוי לשמירה. טהור. מסמר שהתקינו להיות פותח בו את החבית. ר' עקיבא מטמא. וחכמים מטהרין עד שיצרפנו. מסמר של שלחני. טהור. ורבי צדוק מטמא. שלשה דברים ר' צדוק מטמא וחכמים מטהרין. מסמר של שלחני. וארון של גרוסות. ומסמר של אבן השעות. ר' צדוק מטמא. וחכמים מטהרין: ", + "ארבע דברים רבן גמליאל מטמא. וחכמים מטהרין. כסוי טני של מתכת של בעלי בתים. ותלוי המגרדות. וגולמי כלי מתכות. וטבלה שנחלקה לשנים. ומודים חכמים לרבן גמליאל. בטבלה שנחלקה לשנים. אחד גדול ואחד קטן. שהגדול טמא. והקטן טהור: ", + "דינר שנפסל. והתקינו לתלותו בצואר קטנה. טמא. וכן סלע שנפסלה. והתקינה להיות שוקל בה. טמאה. עד כמה תפסל ויהא רשאי לקיימה. עד שני דינרין. פחות מכאן יקוץ: ", + "האולר. והקולמוס. והמטוטלת. והמשקלות. והכורים. והכן. והכנא. טמאים. וכל גולמי כלי עץ. טמאים. חוץ משל אשכרוע. רבי יהודה אומר אף גרופית של זית טהורה. עד שתשלק: " + ], + [ + "הסייף . והסכין. והפגיון. והרומח. מגל יד. ומגל קציר. והשחור. וזוג של ספרים. שנחלקו. הרי אלו טמאין. רבי יוסי אומר הסמוך ליד. טמא. והסמוך לראש. טהור. מספרת שנחלקה לשנים. רבי יהודה מטמא. וחכמים מטהרין: ", + "קוליגריפון שניטלה כפה. טמאה מפני שינה. ניטלה שינה. טמאה מפני כפה. מכחול שניטל הכף. טמא מפני הזכר. ניטל הזכר. טמא מפני הכף. מכתב שניטל הכותב. טמא מפני המוחק. ניטל המוחק. טמא מפני הכותב. זומאלסטרא שניטלה כפה. טמאה מפני המזלג. ניטל המזלג. טמאה מפני. כפה. וכן השן של מעדר. שיעור כולן כדי לעשות מלאכתן: ", + "חרחור שנפגם טמא. עד שינטל רובו. נשבר מקופו טהור. קורדום שניטל עושפו טמא מפני בית בקועו. ניטל בית בקועו. טמא מפני עושפו. נשבר מקופו. טהור: ", + "מגריפה שניטלה כפה. טמאה מפני שהיא כקורנס. דברי ר' מאיר. וחכמים מטהרין. מגירה שניטלו שיניה אחת מבינתיים טהורה. נשתייר בה מלא הסיט במקום אחד. טמאה. המעצד והאזמל. והמפסלית. והמקדח. שנפגמו. טמאים. ניטל חיסומן. טהורין. וכולן שנחלקו לשנים. טמאים. חוץ מן המקדח. והרוקני בפני עצמה טהורה: ", + "מחט שניטל חרירה או עוקצה טהורה. אם התקינה למיתוח. טמאה. של סקיין שניטל חרירה טמאה. מפני שהוא כותב בה. ניטל עוקצה טהורה. של מיתוח בין כך ובין כך טמאה. מחט שהעלתה חלודה. אם מעכבת את התפירה טהורה. ואם לאו טמאה. צינורא שפשטה. טהורה. כפפה חזרה לטומאתה: ", + "עץ המשמש את המתכת טמא. והמתכת המשמש את העץ טהורה. כיצד. פותחת של עץ והפין שלה של מתכת אפילו אחת. טמאה. פותחת של מתכת והפין שלה של עץ. טהורה. טבעת של מתכת וחותם שלה של אלמוג. טמאה טבעת של אלמוג וחותם שלה של מתכת. טהורה. השן שבטס שבפותחת. ושבמפתח. טמאה בפני עצמה: ", + "הכדומין האשקלונין שנשברו והאונקלי שלהן קיימת. הרי אלו טמאין. המעבר. והמזרה. והמגוב. וכן מסרק של ראש שניטלה אחת משיניהן. ועשאן של מתכת. הרי אלו טמאין. ועל כולן אמר ר' יהושע דבר חדוש חדשו סופרים ואין לי מה אשיב: ", + "מסרק של פשתן שניטלו שיניו. ונשתייר בו שתים טמא. ואחת טהור. וכולן אחת אחת בפני עצמן טמאות. ושל צמר שניטלו שיניו אחת מבינתיים. טהור. נשתייר בו שלש במקום אחד. טמא. היתה החיצונה אחת מהן. טהור. ניטלו ממנו שתים ועשאן למלקטת טמאות. אחת. והתקינה לנר או למיתוח טמאה: " + ], + [ + "כלי מתכות כמה הוא שיעורן. הדלי כדי למלאות בו. קומקום כדי ליחם בו. מיחם כדי לקבל סלעים. הלפס כדי לקבל קיתונות. קיתונות כדי לקבל פרוטות. מדות יין ביין. ומדות שמן בשמן. ר' אליעזר אומר כולן בפרוטות. ר' עקיבא אומר המחוסר חטיפה טמא. והמחוסר לטישה טהור: ", + "מקל שעשה בראשו מסמר כמין חזיינא טמא. סימרו טמא. ר' שמעון אומר עד שיעשה בו שלשה סדרים. וכולן שעשאן לנוי. טהורין. עשה בראשו מניקת. וכן בדלת. טהורה. היתה כלי וחברה לו. טמאה. מאימתי היא טהרתה בית שמאי אומרים משיחבל. בית הלל אומרים משיחבר: ", + "הקנטר של בנאי. והדקור של חרש. הרי אלו טמאין. יתדות אהלים. ויתדות המשוחות. טמאות. שלשלת של משוחות. טמאה. העשויה לעצים. טהורה. שלשלת דלי גדול. ארבעה טפחים. ושל קטן. עשרה. חמור של נפחין. טמא. מגירה שעשה שיניה בתוך החור. טמאה. עשאה מלמטן למעלן. טהורה. וכל הכסוין טהורים. חוץ משל מיחם: ", + "הטמאין שבעגלה. העול של מתכת. והקטרב. והכנפים המקבלות את הרצועות. והברזל שתחת צוארי בהמה. הסומך. והמחגר. והתמחויות. הענבל והצינורה. ומסמר המחבר את כולן: ", + "הטהורין שבעגלה. העול המצופה. כנפים העשויות לנוי. ושפופרות המשמיעות את הקול. והאבר שבצד צוארי בהמה. הסובב של גלגל הטסים והצפויים. ושאר כל המסמרות. טהורין. סנדלי בהמה של מתכות. טמאין. של שעם טהורין. הסייף מאימתי מקבל טומאה. משישופינו. והסכין משישחיזנה: ", + "כסוי טני של מתכת. שעשה בו מראה. רבי יהודה מטהר. וחכמים מטמאין. מראה שנשברה. אם אינה מראה את רוב הפנים טהורה: ", + "כלי מתכות מיטמאין. ומיטהרין שבורין. דברי ר' אליעזר. רבי יהושע אומר אינן מיטהרין אלא שלימין. כיצד הזה עליהן נשברו בו ביום. התיכן. וחזר והזה עליהן שנית בו ביום. הרי אלו טהורין דברי ר' אליעזר. ר' יהושע אומר. אין הזיה פחות משלישי ושביעי: ", + "מפתח של ארכובה שנשבר מתוך ארכובתו. טהור. רבי יהודה מטמא. מפני שהוא פותח בו מבפנים. ושל גם. שנשבר מתוך גומו טהור. היו בו חפין ונקבין. טמא. נטלו חפין. טמא מפני נקבין. נסתתמו נקבין. טמא מפני חפין. נטלו חפין ונסתתמו נקבין. או שפרצו זה לתוך זה. טהור. מסננת של חרדל. שנפרצו בה שלשה נקבים מלמטן. זה לתוך זה. טהורה. והאפרכס של מתכות. טמאה: " + ], + [ + "כלי עץ. כלי עור. כלי עצם. כלי זכוכית. פשוטיהן טהורין. ומקבליהן טמאים. נשברו טהרו. חזר ועשה מהן כלים מקבלין טומאה מכאן ולהבא. השידה. והתיבה. והמגדל. כוורת הקש. וכוורת הקנים. ובור ספינה אלכסנדרית. שיש להם שולים. והן מחזיקין ארבעים סאה בלח שהם כורים ביבש. הרי אלו טהורין. ושאר כל הכלים. בין מקבלין. בין אינם מקבלין. טמאין. דברי ר' מאיר. רבי יהודה אומר. דרדור עגלה. וקוסטות המלכים. ועריבת העבדנין. ובור ספינה קטנה. והארון. אף על פי שמקבלין. טמאין. שאינן עשויין ליטלטל. אלא במה שבתוכן. ושאר כל הכלים המקבלים. טהורין. ושאינן מקבלין טמאין. אין בין דברי רבי מאיר לדברי רבי יהודה. אלא עריבת בעל הבית: ", + "ארובות של נחתומים טמאות. ושל בעלי בתים טהורות. סרקן או כרכמן. טמאות. דף של נחתומין. שקבעו בכותל. ר' אליעזר מטהר. וחכמים מטמאים. סרוד של נחתומין. טמא. ושל בעלי בתים. טהור. גיפפו מארבע רוחותיו. טמא. נפרץ מרוח אחת טהור. רבי שמעון אומר אם התקינו להיות קורץ עליו טמא. וכן המערוך. טמא: ", + "ים נפה של סילתין טמא. ושל בעלי בתים טהור. ר' יהודה אומר אף של גודלת טמא מושב. מפני שהבנות יושבות בתוכו וגודלות: ", + "כל התלוים טמאין. חוץ מתלוי נפה וכברה של בעל הבית דברי רבי מאיר. וחכמים אומרים כולם טהורין. חוץ מתלוי נפה של סלתין. ותלוי כברת גרנות. ותלוי מגל יד. ותלוי מקל הבלשין. מפני שהן מסייעין בשעת המלאכה. זה הכלל העשוי לסייע בשעת מלאכה טמא. העשוי לתלוי טהור: ", + "רחת של גרוסות טמאה. של אוצרות טהורה. של גתות טמאה. של גרנות טהורה. זה הכלל העשוי לקבלה. טמא. לכנוס. טהור: ", + "נבלי השרה טמאין. ונבלי בני לוי טהורין. כל המשקין טמאין. ומשקה בית מטבחייא טהורין. כל הספרים מטמאין את הידים. חוץ מספר העזרה. המרכוף טהור. הבטנון והניקטמון והאירוס. הרי אלו טמאים. רבי יהודה אומר האירוס טמא מושב. מפני שהאלית יושבת עליו. מצודת החולדה טמאה. ושל העכברין טהורה: " + ], + [ + "כל כלי עץ שנחלק לשנים. טהור. חוץ משלחן הכפול. ותמחוי המזנון. והאפיפורין של בעלי הבית. רבי יהודה אומר אף המגס. וקוד הבבלי. כיוצא בהן. כלי עץ מאימתי מקבלין טומאה. המטה והעריסה משישופם בעור הדג. גמר שלא לשוף. טמאה. רבי מאיר אומר המטה משיסרג בה שלשה בתים: ", + "הסלים של עץ. משיחסום ויקנב. ושל תמרה אף על פי שלא קינב מבפנים. טמא. שכן מקיימין. כלכלה משיחסום ויקנב. ויגמור את התלויה. בית הלגינין. ובית הכוסות. אף על פי שלא קינב מבפנים. טמא. שכן מקיימין: ", + "הקנונין הקטנים. והקלתות. משיחסום ויקנב. הקנונים הגדולים והסוגין הגדולים. משיעשה שתי דורים לרחב שלהם. ים נפה וכברה. וכף של מאזנים. משיעשה דור אחד לרחב שלהן. הקופה משיעשה שני צפירות לרחב שלה. והערק. משיעשה בו צפירה אחת: ", + "כלי עור. מאימתי מקבלין טומאה. התורמל. משיחסום ויקנב ויעשה קיחותיו. רבי יהודה אומר. משיעשה את אזניו. סקורטיא משיחסום ויקנב ויעשה את ציצתה. רבי יהודה אומר משיעשה את טבעותיה. קטבוליא. משיחסום ויקנב. רבי יהודה אומר. משיעשה את קיחותיה. הכר והכסת של עור. משיחסום ויקנב. ר' יהודה אומר. משיתפרם וישייר בהם פחות מחמשה טפחים: ", + "פטילייה. טמאה. וחסינה. טהורה. סגניות של עלין. טהורות. של נצרין. טמאות. חותל שהוא נותן לתוכו. ונוטל מתוכו. טמא. ואם אינו יכול עד שיקרענו. או עד שיתירנו. טהור: ", + "קסייה של זורי גרנות. של הולכי דרכים. של עושי פשתן טמאה. אבל של צבעין ושל נפחים. טהורה. ר' יוסי אומר. אף של גרוסות כיוצא בהן. זה הכלל. העשוי לקבלה טמא. מפני הזיעה טהור: ", + "המלקוט של בקר. והחסים שלו. והמדף של דבורים. והמנפה. הרי אלו טהורין. כסוי של קופסא טמא. כסוי קמטרא טהור. כסוי תיבה כסוי טני. והמכבש של חרש. והכסת שתחת התיבה. והקמרון שלה. ואנגלין של ספר. בית הנגר. בית המנעול. ובית המזוזה. ותיק נבלין. ותיק כנורת. והאמום של גודלי מצנפות. והמרכוף של זמר. ורביעית של אליית. וגנוגנית העני. וסמוכות המטה. וטפוס של תפלה. ואמום של עושה סותות. הרי אלו טהורים. זה הכלל אמר ר' יוסי. כל משמשי משמשיו של אדם בשעת מלאכה ושלא בשעת מלאכה. טמא. וכל שאינו אלא בשעת מלאכה. טהור: ", + "תיק הסיף. והסכין. והפיגיון. תיק מספרת. ומספריים. והתער. תיק מכחול. ובית הכוחל. תיק מכתב. ותרונתק. תיק טבלה. וסקורטיא. בית החצים. בית הפגושות. הרי אלו טמאים. תיק סמפונייא. בזמן שהוא נותן מלמעלה טמא. מצדו טהור. תיק חלילין. רבי יהודה מטהר. מפני שהוא נותנו מצדו. חפוי האלה. הקשת והרומח. הרי אלו טהורין. זה הכלל העשוי לתיק. טמא. לחפוי. טהור: " + ], + [ + "כל כלי בעלי בתים שיעורן ברמונים. ר' אליעזר אומר במה שהן. קופות הגננים. שעורן באגודות של ירק. של בעלי בתים בתבן. של בלנין בגבבה. רבי יהושע אומר כלן ברמונים: ", + "החמת שעורה בפקעיות של שתי. אם אינה מקבלת של שתי. אף על פי שמקבלת של ערב. טמאה. בית קערות שאינו מקבל קערות. אף על פי שמקבל את התמחויין. טמא. בית הרעי שאינו מקבל משקין. אף על פי שמקבל את הרעי טמא. ר' גמליאל מטהר. מפני שאין מקיימין אותו: ", + "הסלין של פת. שיעורן בככרות של פת. אפיפיירות שעשה להן קנים מלמטן למעלה לחיזוק. טהורה. עשה לה גפיים כל שהן טמאה. ר' שמעון אומר אם אינה יכולה להנטל בגפיים טהורה: ", + "הרמונים שאמרו שלשה אחוזין זה בזה. רבן שמעון בן גמליאל אומר. בנפה ובכברה כדי שיטול ויהלך. ובקופה כדי שיפשיל לאחוריו. ושאר כל הכלים שאינן יכולין לקבל רמונים. כגון הרובע. וחצי הרובע. הקנונים הקטנים. שיעורן ברובן. דברי רבי מאיר. ר' שמעון אומר בזיתים. נפרצו שעורן בזיתים. נגממו שעורן במה שהן: ", + "הרמון שאמרו לא קטן. ולא גדול. אלא בינוני. ולמה הוזכרו רמוני בדאן. שיהו מקדשין כל שהן. דברי ר' מאיר. רבי יוחנן בן נורי אומר לשער בהן את הכלים. ר' עקיבא אומר. לכך ולכך הוזכרו. לשער בהן את הכלים. ויהיו מקדשין כל שהן. אמר ר' יוסי לא הוזכרו רמוני בדאן. וחצירי גבע. אלא שיהיו מתעשרין ודאי בכל מקום: ", + "כביצה שאמרו לא גדולה ולא קטנה. אלא בינונית. רבי יהודה אומר. מביא גדולה שבגדולות. וקטנה שבקטנות ונותן לתוך המים. וחולק את המים. אמר ר' יוסי וכי מי מודיעני איזוהי גדולה. ואיזוהי קטנה. אלא הכל לפי דעתו של רואה: ", + "כגרוגרת שאמרו. לא גדולה ולא קטנה. אלא בינונית. ר' יהודה אומר הגדולה שבארץ ישראל. היא הבינונית שבמדינות: ", + "כזית שאמרו לא גדול ולא קטן. אלא בינוני. זה אגורי. כשעורה שאמרו. לא גדולה ולא קטנה. אלא בינונית. זו מדברית. כעדשה שאמרו. לא גדולה ולא קטנה. אלא בינונית. זו מצרית. כל המטלטלין מביאין את הטומאה בעובי המרדע. לא גדול ולא קטן. אלא בינוני. איזה הוא בינוני. כל שהקיפו טפח: ", + "האמה שאמרו. באמה הבינונית. ושתי אמות היה בשושן הבירה. אחת על קרן מזרחית צפונית. ואחת על קרן מזרחית דרומית. שעל קרן מזרחית צפונית היתה יתירה על של משה חצי אצבע. שעל קרן מזרחית דרומית היתה יתירה עליה חצי אצבע. נמצאת יתירה על של משה אצבע. ולמה אמרו. אחת גדולה. ואחת קטנה. אלא שהאומנין נוטלין בקטנה ומחזירין בגדולה. כדי שלא יבואו לידי מעילה: ", + "ר' מאיר אומר. כל האמות היו בינוניות. חוץ ממזבח הזהב. והקרן. והסובב. והיסוד. רבי יהודה אומר אמת הבנין ששה טפחים. ושל כלים חמשה: ", + "ויש שאמרו במדה דקה. מדות הלח והיבש שיעורן באיטלקי. זו מדברית. ויש שאמרו הכל לפי מה שהוא אדם. הקומץ את המנחה והחופן את הקטורת. והשותה כמלא לוגמיו ביום הכפורים. וכמזון שתי סעודות לערוב מזונו לחול אבל לא לשבת דברי ר' מאיר. רבי יהודה אומר לשבת אבל לא לחול. אלו ואלו מתכוונין להקל. ר' שמעון אומר משתי ידות לככר. משלש לקב. רבי יוחנן בן ברוקא אומר מככר בפונדיון. מארבע סאין בסלע: ", + "ויש שאמרו במדה גסה מלא תרווד רקב. כמלא תרווד גדול של רופאים. וגריס נגעים כגריס הקלקי. האוכל ביום הכפורים ככותבת הגסה כמוה וכגרעינתה. ונודות יין ושמן. שיעורן כפיקה גדולה שלהן. ומאור שלא נעשה בידי אדם שיעורו כמלא אגרוף גדול. זה הוא אגרופו של בן בטיח. אמר ר' יוסי ישנו כראש גדול של אדם. ושנעשה בידי אדם. שיעורו כמלא מקדח גדול של לשכה. שהוא כפונדיון האיטלקי. וכסלע הנירונית. וכמלא נקב שבעול: ", + "כל שבים טהור חוץ מכלב המים. מפני שהוא בורח ליבשה. דברי ר' עקיבא. העושה כלים מן הגדל בים. וחבר להם מן הגדל בארץ אפילו חוט. אפילו משיחה. דבר שהוא מקבל טומאה טמא: ", + "ויש במה שנברא ביום הראשון טומאה. בשני אין בו טומאה. בשלישי יש בו טומאה. ברביעי ובחמישי אין בהם טומאה. חוץ מכנף העוז וביצת נעמית המצופה. אמר ר' יוחנן בן נורי מה נשתנה כנף העוז מכל הכנפים. וכל שנברא ביום הששי טמא: ", + "העושה כלי קבול מכל מקום טמא. העושה משכב ומושב מכל מקום טמא. העושה כיס מעור המצה. מן הנייר. טמא. הרימון. האלון. והאגוז. שחקקום התינוקות. למוד בהם את העפר. או שהתקינום לכף מאזנים. טמא. שיש להם מעשה. ואין להם מחשבה: ", + "קנה מאזנים. והמחוק. שיש בהן בית קבול מתכות. והאסל שיש בו בית קבול מעות. וקנה של עני שיש בו בית קבול מים. ומקל שיש בו בית קבול מזוזה. ומרגליות. הרי אלו טמאין. ועל כולן אמר רבי יוחנן בן זכאי. אוי לי אם אומר. אוי לי אם לא אומר: ", + "תחתית הצורפים טמאה. ושל נפחין טהורה. משחזת שיש בה בית קבול שמן. טמאה. ושאין בה. טהורה. פנקס שיש בו בית קבול שעוה. טמאה. ושאין בה טהורה. מחצלת הקש. ושפופרת הקש. רבי עקיבא מטמא. ורבי יוחנן בן נורי מטהר. רבי שמעון אומר אף של פקועות כיוצא בהן. מחצלת קנים ושל חלף. טהורה. שפופרת הקנה שחתכה לקבלה. טהורה. עד שיוציא את כל הככיי: " + ], + [ + "השידה בית שמאי אומרים נמדדת מבפנים. ובית הלל אומרים נמדדת מבחוץ. מודים אלו ואלו שאין עובי הרגלים ועובי לזבזין נמדד. ר' יוסי אומר. מודים שעובי הרגלים ועובי לזבזין נמדד. וביניהם אינו נמדד. ר' שמעון שזורי אומר. אם היו הרגלים גבוהות טפח. אין ביניהם נמדד. ואם לאו. ביניהן נמדד: ", + "מוכני שלה בזמן שהיא נשמטת. אינה חבור לה. ואינה נמדדת עמה. ואינה מצלת עמה באהל המת. ואין גוררין אותה בשבת בזמן שיש בתוכה מעות. ואם אינה נשמטת. חבור לה. ונמדדת עמה. ומצלת עמה באהל המת. וגוררין אותה בשבת אף על פי שיש בתוכה מעות. הקמרון שלה בזמן שהוא קבוע. חבור לה. ונמדד עמה. ואם אינו קבוע. אינו חבור לה ואינו נמדד עמה. כיצד מודדין אותו. ראש תור. רבי יהודה אומר אם אינה יכולה לעמוד בפני עצמה. טהורה: ", + "השידה והתיבה והמגדל שנטלה אחד מרגליהן. אף על פי שמקבלין טהורין. ושאינן מקבלין כדרכן רבי יוסי מטמא ונקליטי המטה. וחמור. וחפוי טהורין אין טמא אלא מטה ומלבן. ומלבני בני לוי טהורין: ", + "מלבן שנתנו על לשונות. ר' מאיר ורבי יהודה מטמאין. ר' יוסי ור' שמעון מטהרין. אמר ר' יוסי מה שנה זה ממלבני בני לוי. שמלבני בני לוי טהורין: ", + "מטה שהיתה טמאה מדרס. נטלה קצרה. ושתי כרעים. טמאה ארוכה ושתי כרעים טהורה. ר' נחמיה מטמא. גדד שתי לשונות לוכסן גדד שתי כרעים (טפח על טפח) לוכסן או שמעטה פחות מטפח. טהורה: ", + "מטה שהיתה טמאה מדרס. נשברה ארוכה ותקנה. טמאה מדרס. נשברה שניה ותקנה. טהורה מן המדרס אבל טמאה מגע מדרס. לא הספיק לתקן את הראשונה עד שנשברה שניה טהורה: ", + "כרע שהיתה טמאה מדרס וחברה למטה כולה טמאה מדרס. פרשה היא טמאה מדרס והמטה מגע מדרס. היתה טמאה טומאת שבעה וחברה למטה כולה טמאה טומאת שבעה פרשה היא טמאה טומאת שבעה והמטה טמאה טומאת ערב. היתה טמאה טומאת ערב וחברה למטה כולה טמאה טומאת ערב. פרשה היא טמאה טומאת ערב והמטה טהורה. וכן השן של מעדר: ", + "תפלה ארבעה כלים התיר קציצה הראשונה ותקנה. טמאה טמא מת וכן שניה וכן שלישית. התיר את הרביעית טהורה מטמא מת. אבל טמאה מגע טמא מת חזר לראשונה והתירה ותקנה. טמאה במגע וכן שניה. התיר את השלישית טהורה. שהרביעית במגע. ואין מגע עושה מגע: ", + "מטה שנגנב חציה או אבד חציה. או חלקוה אחין או שותפין. טהורה. החזירוה. מקבלת טומאה מכאן ולהבא. מטה מיטמאה חבילה. ומיטהרת חבילה דברי רבי אליעזר וחכמים אומרים מיטמאה איברים ומיטהרת איברים: " + ], + [ + "המפרק את המטה להטבילה. והנוגע בחבלין. טהור. החבל מאימתי הוא חבור למטה. משיסרג בה שלשה בתים. והנוגע מן הקשר ולפנים. טמא. מן הקשר ולחוץ טהור. נימי הקשר הנוגע בצרכו. טמא. וכמה הוא צרכו. רבי יהודה אומר שלש אצבעות: ", + "החבל היוצא מן המטה עד חמשה טפחים טהור מחמשה ועד עשרה טמא. מעשרה ולחוץ טהור. שבו קושרין את הפסחים. ומשלשלין את המטות: ", + "מיזרן היוצא מן המטה כל שהוא. דברי ר' מאיר. רבי יוסי אומר עד עשרה טפחים. שירי מיזרן שבעה טפחים. כדי לעשותו חבק לחמור: ", + "נישא הזב על המטה ועל המיזרן מטמא שנים ופוסל אחד דברי ר' מאיר. רבי יוסי אומר נישא הזב על המטה ועל המיזרן עשרה טפחים מטמא שנים ופוסל אחד. מעשרה ולחוץ. מטמא אחד. ופוסל אחד. נישא על המיזרן. מעשרה ולפנים טמא מעשרה ולחוץ טהור: ", + "מטה שהיתה טמאה מדרס וכרך לה מיזרן כולה טמאה מדרס פרשה. היא טמאה מדרס והמיזרן מגע מדרס היתה טמאה טומאת שבעה וכרך לה מיזרן. כולה טמאה טומאת שבעה. פרשה. היא טמאה טומאת שבעה והמיזרן טמא טומאת ערב. היתה טמאה טומאת ערב וכרך לה מיזרן כולה טמאה טומאת ערב. פרשה. היא טמאה טומאת ערב והמיזרן טהור: ", + "מטה שכרך לה מיזרן ונגע בהן המת טמאין טומאת שבעה. פרשו טמאין טומאת שבעה נגע בהן השרץ טמאין טומאת ערב. פרשו. טמאין טומאת ערב. מטה שנטלו שתי ארוכות שלה ועשה לה חדשות. ולא שנה את הנקבים נשתברו חדשות טמאה. וישנות טהורה שהכל הולך אחר הישנות: ", + "תיבה שפתחה מלמעלה טמאה טמא מת. נפחתה מלמעלה טמאה טמא מת. נפחתה מלמטה טהורה. מגורות שבה טמאות ואינם חבור לה: ", + "התורמל שנפחתה כיס שבתוכו טמא. ואינו חבור לו. החמת שבצים שלה מקבלות עמה ונפחתו טהורות שאינם מקבלות כדרכן: ", + "תיבה שפתחה מצדה. טמאה מדרס. וטמא מת. אמר רבי יוסי אימתי בזמן שאינה גבוהה עשרה טפחים או שאין לה לזבז טפח. נפחתה מלמעלן טמאה טמא מת. נפחתה מלמטן ר' מאיר מטמא וחכמים מטהרין מפני שבטל העקר בטלה הטפלה: ", + "משפלת שנפחתה מלקבל רמונים רבי מאיר מטמא וחכמים מטהרים מפני שבטל העיקר בטלה הטפלה: " + ], + [ + "הכרים והכסתות והשקין והמרצופין. שנפחתו הרי אלו טמאים מדרס. הקלוסטר ארבע קבין התורמל חמשת קבין. הכריתית סאה. החמת של שבעת קבין רבי יהודה אומר אף הרבצל והמזודה כל שהן הרי אלו טמאין מדרס. וכולם שנפחתו טהורים. מפני שבטל העיקר ובטל הטפלה: ", + "חמת חלילין. טהורה מן המדרס. עריבת פיסונות בית שמאי אומרים מדרס. ובית הלל אומרים טמא מת. עריבה משני לוג ועד תשעה קבין שנסדקה. טמאה מדרס. הניחה בגשמים ונתפחה טמאה טמא מת. בקדים ונסדקה מקבלת מדרס. זה חומר בשירי כלי עץ מבתחלתן וחומר בשירי כלי נצרים מבתחלתן שמתחלתן אינם מקבלים טומאה עד שיתחסמו נתחסמו אף על פי שנשרו שפתותיהן כל שהן טמאין: ", + "מקל שעשאו בית יד לקורדום. חבור לטומאה בשעת מלאכה. הדיוסטר חבור לטומאה בשעת מלאכה. קבעו בכלונס. טמא ואינו חבור לה. עשה לודיוסטר. אין טמא אלא צרכו. כסא שקבעו בכלונס טמא. ואינו חבור לו. עשה בו כסא. אין טמא אלא מקומו. קבעו בקורת בית הבד. טמא. ואין חבור לה. עשה בראשה כסא. טהור. מפני שאומרין לו עמוד ונעשה את מלאכתנו: ", + "עריבה גדולה. שנפחתה מלקבל רמונים. והתקינה לישיבה. ר' עקיבא מטמא. וחכמים מטהרין. עד שיקצע. עשאה אבוס לבהמה. אף על פי שקבעה בכותל. טמאה: ", + "כופת שקבעו בנדבך. קבעו ולא בנה עליו. בנה עליו ולא קבעו. טמא. קבעו ובנה עליו. טהור. מפץ שנתנו על גבי הקורות. קבעו ולא נתן עליו את המעזיבה. נתן עליו את המעזיבה. ולא קבעו. טמא קבעו ונתן עליו את המעזיבה. טהור. קערה שקבעה בשידה תיבה ומגדל. כדרך קבלתה. טמאה. שלא כדרך קבלתה. טהורה: ", + "סדין שהוא טמא מדרס. ועשאו וילון טהור מן המדרס. אבל טמא טמא מת. מאימתי היא טהרתו בית שמאי אומרים משיתבר. בית הלל אומרים משיקשר. ר' עקיבא אומר משיקבע: ", + "מחצלת שעשה לה קנים לארכה טהורה. וחכמים אומרים עד שיעשה כמין כי עשאם לרחבה. ואין בין קנה לחבירו ארבעה טפחים טהור נחלקה לרחבה ר' יהודה מטהר. וכן המתיר ראשי המעדנין טהורה. נחלקה לארכה ונשתיירו בה שלשה מעדנים של ששה טפחים טמאה. מחצלת מאימתי מקבלת טומאה משתקנב והיא גמר מלאכתה: " + ], + [ + "הנוגע בכובד העליון בכובד התחתון. בנירים. ובקירוס. ובחוט שהעבירו על גבי ארגמן. ובעירה שאינו עתיד להחזירה טהור. בנפש המסכת. ובשתי העומד. ובכפול שהעבירו על גבי הארגמן. ובעירה שהיא עתידה להחזירה. טמא. הנוגע בצמר שעל האימה. באשוויה. טהור. הנוגע בפיקה. עד שלא פירעה. טמא. משפירעה. טהור: ", + "הנוגע בעול. ובקטרב. בעין. ובעבות. אפילו בשעת מלאכה. טהור. בחרב. ובבורך. וביצול. טמא. בעין של מתכת. בלחיין. ובעריין. טמא. רבי יהודה מטהר בלחיים שאינם עשויין אלא לרבות את העפר: ", + "הנוגע ביד מגרה מכאן ומכאן. טמא. בחוט ובמשיחה. באמה. ובסניפין. במכבש של חרש. ובקשטנית. טהור. רבי יהודה אומר אף הנוגע במלבן של מסר הגדול. טהור. הנוגע ביתר. ובקשת. אף על פי שהיא מתוחה. טהור. מצודת האישות. טהורה. ר' יהודה אומר כל זמן שהיא מתוחה. חבור: " + ], + [ + "השלחן והדלופקי. שנפחתו. או שחיפן בשיש ושייר בהם מקום הנחת הכוסות. טמאים. רבי יהודה אומר מקום הנחת חתיכות: ", + "השלחן שנטלה אחת מרגליו. טהור. נטלה שניה. טהור. נטלה השלישית. טמא כשיחשוב עליו. רבי יוסי אומר אין צריך מחשבה. וכן הדלופקי: ", + "ספסל שניטל אחד מראשיו. טהור. ניטל השני. טהור. אם יש בו גובה טפח. טמא. שרפרף שניטל אחד מראשיו. טמא. וכן הכסא שלפני קתדרא: ", + "כסא של כלה שניטלו חפויו. בית שמאי מטמאין. ובית הלל מטהרין. שמאי אומר אף מלבן של כסא טמא. כסא שקבעו בעריבה. בית שמאי מטמאין. ובית הלל מטהרין. שמאי אומר אף העשוי בה: ", + "כסא שלא היו חפויו יוצאין. וניטלו טמא. שכן דרכו להיות מטהו על צדו. ויושב עליו: ", + "כסא שניטל חפויו האמצעי. והחיצונים קיימים. טמא. נטלו החיצונים והאמצעי קיים. טמא. רבי שמעון אומר אם היה רחב טפח: ", + "כסא שניטלו שנים מחפויו זה בצד זה. ר' עקיבא מטמא. וחכמים מטהרין. אמר ר' יהודה אף כסא של כלה שנטלו חפויו ונשתייר בו בית קבלה. טהור. מפני שבטל העיקר. ובטלה הטפלה: ", + "שידה שניטל העליון. טמאה מפני התחתון. ניטל התחתון טמאה מפני העליון. ניטל העליון והתחתון. ר' יהודה מטמא מפני הדפין. וחכמים מטהרין. ישיבת הסתת. טמא מדרס: ", + "כופת שסירקו. וכרכמו. ועשאו פנים. רבי עקיבא מטמא. וחכמים מטהרין עד שיחוק בו. הסל והכלכלה שמילאן תבן. או מוכין. התקינן לישיבה. טהורין סירגן בגמי או במשיחה טמאין. ", + "האסלה טמאה מדרס. וטמא מת. פרשה העור טמא מדרס. והברזל טמא טמא מת. הטרסקל שחפויו של עור. טמא מדרס. וטמא מת. פרשה. העור טמא מדרס. והטרסקל טהור מכלום. ספסלין שבמרחץ. ושתי רגליו של עץ. טמא. אחת של עץ ואחת של אבן. טהור. הנסרין שבמרחץ ששיגמן. ר' עקיבא מטמא וחכמים מטהרין שאינם עשוין. אלא שיהיו המים מהלכין תחתיהן. קנקילין שיש בה בית קבלת כסות. טמאה. והעשויה ככורת. טהורה: " + ], + [ + "הכדור והאמום. והקמיע והתפילין שנקרעו. הנוגע בהן. טמא. ובמה שבתוכן. טהור. האוכף שנקרע. הנוגע במה שבתוכו. טמא. מפני שהתפר מחברו: ", + "אלו טמאין משום מרכב. זריז האשקלוני ומדוכה המדית. ועביט של גמל. וטפיטן של סוס. רבי יוסי אומר אף טפיטן של סוס טמא משום מושב. מפני שעומדין עליו בקומפון. אבל אוכף של נאקה. טמא: ", + "מה בין מרכב למושב. מרכב חלק מגעו ממשאו. ומושב לא חלק מגעו ממשאו. תפית של חמור. שהוא יושב עליה. טהור. שינה בה את הנקבין. או שפירצן זה לתוך זה. טמאה: ", + "המטה. והכר. והכסת. של מת הרי אלו טמאין מדרס. כסא של כלה. ומשבר של חיה. וכסא של כובס. שהוא כורם עליו את הכלים אמר ר' יוסי אין בהם משום מושב: ", + "החרם. טמא מפני הזוטו. הרשתות והמכמרות. והמדף והפלצור. ומצודות הסכרין. טמאין. והאקון. והרטוב. והכלוב. טהורין: " + ], + [ + "שלשה תריסין הם. תריס הכפוף טמא מדרס. ושמשחקין בו בקונפון טמא טמא מת. ודיצת הערביין טהורה מכלום: ", + "שלש עגלות הם. העשויה כקתדרא. טמאה מדרס. כמטה. טמאה טמא מת. ושל אבנים. טהורה מכלום: ", + "שלש עריבות הן. עריבה משני לוג ועד תשעה קבין שנסדקה. טמאה מדרס. שלימה. טמאה טמא מת. והבאה במדה. טהורה מכלום: ", + "שלש תיבות הן. תיבה שפתחה מצדה. טמאה מדרס. מלמעלן טמאה טמא מת. והבאה במדה. טהורה מכלום: ", + "שלשה תרבוסין הן. של ספרין טמא מדרס. שאוכלין עליו טמא טמא מת ושל זיתים טהור מכלום: ", + "שלש בססיות הן. שלפני המטה. ושלפני סופרים. טמאה מדרס. ושל דלפקי. טמאה טמא מת. ושל מגדל טהורה מכלום: ", + "שלש פנקסיות הן. האפיפורין. טמאה מדרס. ושיש בה בית קבול שעוה טמאה טמא מת. וחלקה. טהורה מכלום: ", + "שלש מטות הן. העשויה לשכיבה. טמאה מדרס. של זגגין טמאה טמא מת. ושל סרגין טהורה מכלום: ", + "שלש משפלות הן. של זבל טמאה מדרס. של תבן טמאה טמא מת. והפוחלץ של גמלים טהור מכלום: ", + "שלשה מפצים הן. העשויה לישיבה טמאה מדרס. של צבעין טמא טמא מת. ושל גתות טהור מכלום: ", + "שלש חמתות. ושלש תורמלין הן. המקבלים כשעור טמאין מדרס. ושאינן מקבלין כשעור טמאים טמא מת. ושל עור הדג טהור מכלום: ", + "שלשה עורות הן. העשוי לשטיח טמא מדרס. לתכריך הכלים טמא טמא מת. ושל רצועות ושל סנדלים טהורה מכלום: ", + "שלשה סדינין הן. העשוי לשכיבה. טמא מדרס. לוילון טמא טמא מת. ושל צורות טהור מכלום: ", + "שלש מטפחות הן. של ידים טמא מדרס. של ספרין. טמאה טמא מת ושל תכריך ושל נבלי בני לוי טהורה מכלום: ", + "שלשה פרקילינין הן. של צדי חיה ועוף טמא מדרס. של חגבין. טמא טמא מת ושל קייצין טהור מכלום: ", + "שלש סבכות הן. של ילדה. טמאה טומאת מדרס. של זקנה. טמאה טמא מת ושל יוצאת לחוץ טהורה מכלום: ", + "שלש קופות הן מהוהה שטלייה על הבריה. הולכין אחר הבריה קטנה על הגדולה. הולכין אחר הגדולה. היו שוות. הולכין אחר הפנימית. ר' שמעון אומר כף מאזנים שטלייה על שולי המיחם. מבפנים טמא. מבחוץ טהור. טליה על צדה. בין מבפנים בין מבחוץ טהור: " + ], + [ + "כל הכלים יש להם אחוריים ותוך. כגון הכרים והכסתות והשקין והמרצופין דברי רבי יהודה. ר' מאיר אומר כל שיש לו תוברות. יש לו אחוריים ותוך. וכל שאין לו תוברות אין לו אחוריים ותוך. השלחן והדלפקי. יש להן אחוריים ותוך. דברי רבי יהודה. רבי מאיר אומר אין להם אחוריים. וכן טבלה שאין לה לזביז: ", + "המרדע יש לו אחוריים ותוך. משבעה לחרחור. מארבעה לדרבן דברי רבי יהודה. ר' מאיר אומר. אין להם. לא הוזכרו ארבעה ושבעה אלא לשירים: ", + "מדות יין ושמן. וזומא ליסטרא. ומסננת של חרדל. ומשמרת של יין. יש להן אחוריים ותוך. דברי ר' מאיר. רבי יהודה אומר אין להם. רבי שמעון אומר יש להם. נטמאו מאחוריהן. מה שבתוכן טהור. וצריך להטביל: ", + "הרובע וחצי הרובע. נטמא הרובע לא נטמא חצי הרובע. נטמא חצי הרובע לא נטמא הרובע. אמרו לפני ר' עקיבא הואיל וחצי הרובע אחוריים לרובע. כלי שנטמא תוכו. לא נטמא אחוריו. אמר להן של כת קודמין היא. או שמא הרובע אחוריים לחצי הרובע. כלי שנטמאו אחוריו לא נטמא תוכו: ", + "נטמא הרובע. הרובע ואחוריו טמאין חצי הרובע ואחוריו טהורין. נטמא חצי הרובע חצי הרובע ואחוריו טמאין. הרובע ואחוריו טהורין. נטמאו אחורי הרובע. אחורי חצי הרובע טהורין. דברי ר' מאיר. וחכמים אומרים אין חולקין את הגביין וכשהוא מטביל מטביל את כולו: ", + "כני כלים ואוגניהם ואזניהם. וידות הכלים המקבלים שנפלו עליהן משקין מנגבן והם טהורים. ושאר כל הכלים. (שאינם יכולין לקבל רמונים) שאין להם אחוריים ותוך שנפלו משקין על מקצתו כולו טמא. כלי שנטמא אחוריו במשקין. אחוריו טמאים. תוכו ואוגנו ואזנו וידיו טהורין. נטמא תוכו. כולו טמא: ", + "כל הכלים יש להן אחוריים ותוך. ויש להם בית צביעה. ר' טרפון אומר לעריבה גדולה של עץ. רבי עקיבא אומר לכוסות. ר' מאיר אומר לידים הטמאות והטהורות. אמר ר' יוסי לא אמרו אלא לידים הטהורות בלבד: ", + "כיצד היו ידיו טהורות ואחורי הכוס טמאים. אחזו בבית צביעתו אינו חושש שמא נטמאו ידיו באחורי הכוס. היה שותה בכוס שאחוריו טמאים. אינו חושש שמא נטמא המשקה שבפיו באחורי הכוס וחזר וטימא הכוס. קומקום שהוא מרתיח. אינו חושש שמא יצאו משקין מתוכו ונגעו באחוריו וחזרו לתוכו: ", + "כלי הקדש אין להם אחוריים ותוך. ואין להם בית צביעה ואין מטבילים כלים בתוך כלים לקדש. כל הכלים יורדין לידי טומאתן במחשבה. ואינן עולים מידי טומאתן אלא בשינוי מעשה שהמעשה מבטל מיד המעשה ומיד מחשבה. ומחשבה אינה מבטלת. לא מיד מעשה ולא מיד מחשבה: " + ], + [ + "סנדל עמקי וכיס של שנצות. ר' יהודה אומר אף כפיפה מצרית. רבן שמעון בן גמליאל אומר אף סנדל לדיקי. כיוצא בהן. הרי אלו מיטמאין ומיטהרין שלא באומן. אמר רבי יוסי והלא כל הכלים מיטמאין ומיטהרין שלא באומן. אבל אלו אף על פי שהן מותרין טמאין. שההדיוט יכול להחזירם. לא אמרו אלא בכפיפה מצרית שאף האומן אינו יכול להחזירה: ", + "כיס של שנצות שנטלו שנציו טמא. נפשט טהור. טלה עליו את המטלת מלמטן טמא. כיס לתוך כיס שנטמא אחד מהן במשקה. לא נטמא חברו. צרור המרגלית טמא. צרור המעות. ר' אליעזר מטמא. וחכמים מטהרים: ", + "כף לוקטי קוצים. טהורה. הזון והברכייר טמאין. והשרוולים טמאין. והפרקליימין. טהורין. וכל בית אצבעות טהורות חוץ משל קייצין. מפני שהיא מקבלת את האוג. נקרעה אם אינה מקבלת את רוב האוג טהורה: ", + "סנדל שנפסקה אחת מאזניו ותקנה. טמא מדרס. נפסקה שניה ותקנה. טהור מן המדרס. אבל טמא מגע מדרס. לא הספיק לתקן את הראשונה עד שנפסקה שניה טהורה. נפסק עקבו. ניטל חוטמו. או שנחלק לשנים. טהור. סוליים שנפסק מכל מקום. טהור. מנעל שנפחת. אם אינו מקבל את רוב הרגל. טהור. מנעל שעל האמום ר' אליעזר מטהר וחכמים מטמאים. כל חמתות צרורות טהורות חוץ משל ערביין. ר' מאיר אומר צרור שעה טהורות. צרור עולם טמאות. ר' יוסי אומר כל חמתות צרורות טהורות: ", + "אלו עורות טמאין מדרס. עור שחשב עליו לשטיח. עור סקורטיא. עור קטבוליא. עור החמר. עור הכתן. עור הכתף. עור הרופא. עור העריסה. עור הלב של קטן. עור הכר. עור הכסת מדרס. עור הסרוק. עור הסורק. ר' אליעזר אומר מדרס. וחכמים אומרים טמא מת: ", + "עב כסות. ותכריך כסות. מדרס. עב ארגמן. ותכריך ארגמן. בית שמאי אומרים מדרס. ובית הלל אומרים טמא מת. עור שעשאו חפוי לכלי טהור. למשקלות טמא. רבי יוסי מטהר משום אביו: ", + "כל מקום שאין חסרון מלאכה מחשבה מטמאתן. וכל מקום שיש חסרון מלאכה אין מחשבה מטמאתן. אלא העוצבה: ", + "עורות בעל הבית. מחשבה מטמאתן. ושל עבדן אין מחשבה מטמאתן. של גנב מחשבה מטמאתן. ושל גזלן אין מחשבה מטמאתן. רבי שמעון אומר חלוף הדברים של גזלן מחשבה מטמאתן. ושל גנב אין מחשבה מטמאתן. מפני שלא נתיאשו הבעלים: ", + "עור שהוא טמא מדרס וחשב עליו לרצועות ולסנדלין כיון שנתן בו את האזמל טהור דברי ר' יהודה. וחכמים אומרים עד שימעטנו פחות מחמשה טפחים ר' אלעזר בר ר' צדוק אומר אף העושה מטפחת מן העור טמאה. ומן הכסת טהורה: " + ], + [ + "הבגד מטמא משום חמשה שמות. השק משום ארבעה. העור משום שלשה. העץ משום שנים וכלי חרס משום אחד. כלי חרס מטמא משום כלי קבול. כל שאין לו תוך בכלי חרס. אין לו אחוריים. מוסף עליו העץ שהוא מטמא משום מושב. וכן טבלה שאין לה לזביז. בכלי עץ טמאה. ובכלי חרס טהורה. מוסף עליו העור שהוא מטמא משום אהלים. מוסף עליו השק שהוא מטמא משום אריג. מוסף עליו הבגד שהוא מטמא משום שלש על שלש: ", + "הבגד מטמא משום שלשה על שלשה למדרס. ומשום שלש על שלש לטמא מת. השק ארבעה על ארבעה. העור חמשה על חמשה. מפץ. ששה על ששה. שוין למדרס ולטמא מת. רבי מאיר אומר השק שיריו ארבעה. ותחלתו משיגמר: ", + "העושה שנים מן הבגד ואחד מן השק שלשתן מן השק ואחד מן העור ארבעה מן העור ואחד מן המפץ. טהור. חמשה מן המפץ ואחד מן העור ארבעה מן העור ואחד מן השק. שלשה מן השק ואחד מן הבגד. טמא. זה הכלל כל שחבר לו מן החמור ממנו. טמא. מן הקל ממנו. טהור: ", + "המקצע מכולם טפח על טפח. טמא. משולי הקופה טפח על טפח. טמא. מצדדי הקופה ר' שמעון מטהר וחכמים אומרים המקצע טפח על טפח בכל מקום טמא: ", + "בלויי נפה וכברה שהתקינן לישיבה. ר' עקיבא מטמא. וחכמים מטהרין עד שיקצע. כסא של קטן שיש לו רגלים. אף על פי שאין בו גבוה טפח. טמא. חלוק של קטן. רבי אליעזר אומר כל שהוא. וחכמים אומרים עד שיהיה בו כשעור ונמדד כפול: ", + "אלו נמדדין כפולין. אמפליא ופמוליניא. ומכנסים. וכובע. וכיס של פנדיא. ומטלית שטלייה על השפה. אם פשוטה נמדדת פשוטה. ואם כפולה נמדדת כפולה: ", + "הבגד שארג בו שלשה על שלשה ונטמא מדרס. והשלים עליו את כל הבגד ואחר כך נטל חוט אחד מתחלתו. טהור מן המדרס. אבל טמא מגע מדרס. נטל חוט אחד מתחלתו. ואחר כך השלים עליו את כל הבגד. טמא מגע מדרס: ", + "וכן בגד שארג בו שלש על שלש. ונטמא טמא מת והשלים עליו את כל הבגד ואחר כך נטל חוט אחד מתחלתו. טהור מטמא מת. אבל טמא מגע טמא מת. נטל חוט אחד מתחלתו. ואחר כך השלים עליו את כל הבגד. טהור. מפני שאמרו שלש על שלש שנתמעט. טהור. אבל שלשה על שלשה שנתמעט. אף על פי שטהור ממדרס. טמא בכל הטומאות: ", + "סדין שהוא טמא מדרס ועשאו וילון. טהור מן המדרס. אבל טמא מגע מדרס. אמר רבי יוסי וכי באיזה מדרס נגע זה. אלא אם כן נגע בו הזב. טמא במגע הזב: ", + "שלשה על שלשה שנחלק. טהור מן המדרס. אבל טמא מגע מדרס. אמר ר' יוסי וכי באיזה מדרס נגע זה. אלא אם כן נגע בו הזב. טמא מגע הזב: ", + "שלשה על שלשה. באשפות. בריא וצורר מלח. בבית. או בריא. או צורר מלח. כמה מלח יהיו צורר. רובע. רבי יהודה אומר בדקה. וחכמים אומרים בגסה. אלו ואלו מתכונים להקל. רבי שמעון אומר שוים שלשה על שלשה באשפות. לשלש על שלש בבית: ", + "שלשה על שלשה שנקרע אם נתנו על הכסא ובשרו נוגע בכסא טהור. ואם לאו טמא. שלש על שלש שנמהה ממנה חוט אחד. או שנמצא בו קשר. או שני חוטין מתאימין. טהורה. שלש על שלש שהשליכה באשפות. טהורה. החזירה. טמאה. לעולם השלכתה מטהרתה וחזרתה מטמאתה. חוץ משל ארגמן ושל זהורית טובה. ר' אליעזר אומר אף מטלית חדשה כיוצא בהן. רבי שמעון אומר כולן טהורין. לא הוזכרו אלא מפני השבת אבדה: " + ], + [ + "שלש על שלש שנתנה בכדור. או שעשאה כדור בפני עצמה. טהורה. אבל שלשה על שלשה שנתנו בכדור. טמא. עשאו כדור בפני עצמו. טהור מפני שהתפר ממעטו: ", + "פחות משלשה על שלשה שהתקינו לפוק בו את המרחץ. לנער בו את הקדרה לקנח בו את הרחים. בין מוכן בין שאינו מוכן. טמא. דברי ר' אליעזר. ר' יהושע אומר בין מן המוכן בין שאינו מן המוכן. טהור. ר' עקיבא אומר מן המוכן טמא. שאינו מן המוכן. טהור: ", + "העושה אספלנית בין בבגד בין בעור טהורה. ר' יוסי אומר על העור טהור. מלוגמא בבגד טהורה. ובעור טמאה. ר' שמעון בן גמליאל אומר אף בבגד טמאה מפני שהיא ננערת: ", + "מטפחות ספרים. בין מצויירות בין שאינן מצויירות. טמאות כדברי בית שמאי. בית הלל אומרים מצויירות טהורות. ושאינם מצויירות טמאות. רבן גמליאל אומר. אלו ואלו טהורות: ", + "כפה שהוא טמא מדרס. ונתנו על הספר טהור מן המדרס. אבל טמא טמא מת. חמת שעשאה שטיח. ושטיח שעשאו חמת. טהור. חמת שעשאה תורמל. ותורמל שעשאו חמת. כר שעשאו סדין. וסדין שעשאו כר. כסת שעשאה מטפחת. ומטפחת שעשאה כסת. טמא. זה הכלל כל ששינהו לשמו. טמא. לשם אחר. טהור: ", + "מטלית שטלייה על הקופה. מטמאה אחד ופוסלת אחד. הפרישה מן הקופה הקופה מטמא אחד ופוסלת אחד. והמטלית טהורה. טלייה על הבגד. מטמא שנים ופוסלת אחד. הפרישה מן הבגד. הבגד מטמא אחד. ופוסל אחד והמטלית מטמאה שנים ופוסלת אחד. וכן הטולה על השק או על העור. דברי ר' מאיר. ר' שמעון מטהר. ר' יוסי אומר על העור. טהור. על השק. טמא. מפני שהוא אריג: ", + "שלש על שלש שאמרו. חוץ מן המלל. דברי ר' שמעון. וחכמים אומרים שלש על שלש מכוונת. טלייה על הבגד. מרוח אחת אינו חבור. משתי רוחות זו כנגד זו חבור. עשאו כמין גאם. ר' עקיבא מטמא. וחכמים מטהרין. אמר רבי יהודה במה דברים אמורים בטלית. אבל בחלוק. מלמעלן חבור. ומלמטן אינו חבור: ", + "בגדי עניים. אף על פי שאין בהם שלש על שלש. הרי אלו טמאין מדרס. טלית שהתחיל בה לקרעה. כיון שנקרע רובה אינו חבור. העבים והרכים. אין בהם משום שלש על שלש: ", + "כסת הסבלין טמאה מדרס. משמרת של יין אין בה משום מושב. סבכה של זקנה. טמאה משום מושב. חלוק של יוצאת החוץ. העשוי כסבכה. טהור. העושה בגד מן החרם טהור. ומזוטו. טמא. רבי אליעזר בן יעקב אומר. אף העושה בגד מן החרם וכפלו. טמא: ", + "סבכה שהתחיל בה מפיה. טהורה עד שיגמור את קורקורתה. התחיל בה מקורקורתה. טהורה עד שיגמור את פיה. שביס שלה טמא בפני עצמו. החוטין שלה. טמאין משום חבור. סבכה שנקרעה. אם אינה מקבלת את רוב השער. טהורה: " + ], + [ + "נומי הסדין. והסודרין. והטרטין. והפליון של ראש. שש אצבעות. של אפקרסין עשר. נימי סגוס. והרדיד. והחלוק. והטלית. שלש אצבעות. נימי כפה של זקנה. והגומדין של ערביין. והקולקין. והפונדא והמעפורת. והפרגוד. נימיהן כל שהן: ", + "שלש כסתות של צמר. שש של פשתן. שלשה סדינין. שתים עשרה מטפחות. שני סובריקין. חלוק אחד. טלית אחד. קלובקרין אחד. חבור לטומאה ולהזייה. יתר מכאן. חבור לטומאה ואין חבור להזייה. רבי יוסי אומר אף לא לטומאה: ", + "חוט המשקולת שנים עשר. של חרשין שמנה עשר. של בנין חמשים אמה. יתר מכאן. אם רצה לקיים טהור. של סיידין. ושל ציירין כל שהן: ", + "חוט מאזנים של זהבים. ושל שוקלי ארגמן טוב. שלש אצבעות. יד הקורדום מאחריו. שלש אצבעות. רבי יוסי אומר טפח טהור: ", + "חוט מאזנים של חנונים של בעלי בתים. טפח. יד הקרדום מלפניו. טפח. שירי יד הפרגול. טפח. יד מקבת של יד. של מפתחי אבנים. טפח: ", + "חוט מאזנים של צמרים. ושל שוקלי זכוכית. טפחים. יד המקור. טפחים. יד המעצד של לגיונות. טפחים. יד הקורנס של זהבים. טפחים. ושל חרשין. שלשה טפחים: ", + "שירי הדרבן מלמעלן. ארבעה. יד הבדיד. ארבעה. יד הקרדום של נכוש. חמשה. יד בן הפטיש. חמשה. ושל הפטיש. ששה. יד הקרדום של בקוע. ושל עדיר. ששה. ויד מקבת של סתתין. ששה: ", + "שירי חרחור מלמטן. שבעה. יד מגריפה. של בעלי בתים. בית שמאי אומרים שבעה. בית הלל אומרים שמנה. של סיידין בית שמאי אומרים תשעה. בית הלל אומרים עשרה. יתר מכאן. אם רצה לקיים. טמא. ויד משמשי האור. כל שהוא: " + ], + [ + "כלי זכוכית פשוטיהן טהורין. ומקבליהן טמאים. נשברו טהרו. חזר ועשה מהן כלים. מקבלין טומאה מכאן ולהבא. הטבלא. והאסקוטלא של זכוכית. טהורין. אם יש להן לזביז טמאים. שולי קערה ושולי אסקוטלא של זכוכית. שהתקינן לתשמיש. טהורין. קירטסן או שפן בשופין. טמאין: ", + "אספקלריא. טהורה. ותמחוי שעשאו אספקלריא. טמא. ואם מתחלה עשאו לשם אספקלריא טהור. תרווד שהוא נתנו על השלחן. אם מקבל כל שהוא. טמא. ואם לאו. ר' עקיבא מטמא. רבי יוחנן בן נורי מטהר. ", + "כוס שנפגם רובו. טהור. נפגם בו שלש ברובו. טהור. ר' שמעון אומר אם מפזר הוא את רוב המים. טהור. ניקב ועשאו. בין בבעץ בין בזפת טהור. רבי יוסי אומר בבעץ טמא. ובזפת. טהור: ", + "צלוחית קטנה שניטל פיה. טמאה. וגדולה שניטל פיה. טהורה. של פלייטון שניטל פיה. טהורה. מפני שהיא סורחת את היד. לגינין גדולים שניטל פיהן. טמאין. מפני שהוא מתקנן לכבשין. והארפכס של זכוכית טהורה. אמר רבי יוסי אשריך כלים שנכנסת בטומאה. ויצאת בטהרה: " + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/Hebrew/Torat Emet 357.json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/Hebrew/Torat Emet 357.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..3188fd5b1560a44500a2b98d82f9aa96e8596999 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/Hebrew/Torat Emet 357.json @@ -0,0 +1,341 @@ +{ + "language": "he", + "title": "Mishnah Kelim", + "versionSource": "http://www.toratemetfreeware.com/index.html?downloads", + "versionTitle": "Torat Emet 357", + "status": "locked", + "priority": 3.0, + "license": "Public Domain", + "versionTitleInHebrew": "תורת אמת 357", + "actualLanguage": "he", + "languageFamilyName": "hebrew", + "isBaseText": true, + "isSource": true, + "isPrimary": true, + "direction": "rtl", + "heTitle": "משנה כלים", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Tahorot" + ], + "text": [ + [ + "אֲבוֹת הַטֻּמְאוֹת, הַשֶּׁרֶץ, וְשִׁכְבַת זֶרַע, וּטְמֵא מֵת, וְהַמְּצֹרָע בִּימֵי סָפְרוֹ, וּמֵי חַטָּאת שֶׁאֵין בָּהֶם כְּדֵי הַזָּיָה, הֲרֵי אֵלּוּ מְטַמְּאִין אָדָם וְכֵלִים בְּמַגָּע, וּכְלֵי חֶרֶשׂ בַּאֲוִיר, וְאֵינָם מְטַמְּאִין בְּמַשָּׂא: \n", + "לְמַעְלָה מֵהֶם, נְבֵלָה, וּמֵי חַטָּאת שֶׁיֶּשׁ בָּהֶם כְּדֵי הַזָּיָה, שֶׁהֵם מְטַמְּאִין אֶת הָאָדָם בְּמַשָּׂא לְטַמֵּא בְגָדִים בְּמַגָּע, וַחֲשׂוּכֵי בְגָדִים בְּמַגָּע: \n", + "לְמַעְלָה מֵהֶן, בּוֹעֵל נִדָּה, שֶׁהוּא מְטַמֵּא מִשְׁכָּב תַּחְתּוֹן כָּעֶלְיוֹן. לְמַעְלָה מֵהֶן, זוֹבוֹ שֶׁל זָב וְרֻקּוֹ וְשִׁכְבַת זַרְעוֹ וּמֵימֵי רַגְלָיו, וְדַם הַנִּדָּה, שֶׁהֵן מְטַמְּאִין בְּמַגָּע וּבְמַשָּׂא. לְמַעְלָה מֵהֶן, מֶרְכָּב, שֶׁהוּא מְטַמֵּא תַּחַת אֶבֶן מְסָמָא. לְמַעְלָה מִן הַמֶּרְכָּב, מִשְׁכָּב, שֶׁשָּׁוֶה מַגָּעוֹ לְמַשָּׂאוֹ. לְמַעְלָה מִן הַמִּשְׁכָּב, הַזָּב, שֶׁהַזָּב עוֹשֶׂה מִשְׁכָּב, וְאֵין מִשְׁכָּב עוֹשֶׂה מִשְׁכָּב: \n", + "לְמַעְלָה מִן הַזָּב, זָבָה, שֶׁהִיא מְטַמְּאָה אֶת בּוֹעֲלָהּ. לְמַעְלָה מִן הַזָּבָה, מְצֹרָע, שֶׁהוּא מְטַמֵּא בְּבִיאָה. לְמַעְלָה מִן הַמְּצֹרָע, עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה, שֶׁהוּא מְטַמֵּא טֻמְאַת שִׁבְעָה. חָמוּר מִכֻּלָּם, הַמֵּת, שֶׁהוּא מְטַמֵּא בְאֹהֶל, מַה שֶּׁאֵין כֻּלָּם מְטַמְּאִין: \n", + "עֶשֶׂר טֻמְאוֹת פּוֹרְשׁוֹת מִן הָאָדָם. מְחֻסַּר כִּפּוּרִים, אָסוּר בַּקֹּדֶשׁ וּמֻתָּר בַּתְּרוּמָה וּבַמַּעֲשֵׂר. חָזַר לִהְיוֹת טְבוּל יוֹם, אָסוּר בַּקֹּדֶשׁ וּבַתְּרוּמָה וּמֻתָּר בַּמַּעֲשֵׂר. חָזַר לִהְיוֹת בַּעַל קֶרִי, אָסוּר בִּשְׁלָשְׁתָּן. חָזַר לִהְיוֹת בּוֹעֵל נִדָּה, מְטַמֵּא מִשְׁכָּב תַּחְתּוֹן כָּעֶלְיוֹן. חָזַר לִהְיוֹת זָב שֶׁרָאָה שְׁתֵּי רְאִיּוֹת, מְטַמֵּא מִשְׁכָּב וּמוֹשָׁב, וְצָרִיךְ בִּיאַת מַיִם חַיִּים, וּפָטוּר מִן הַקָּרְבָּן. רָאָה שָׁלֹשׁ, חַיָּב בַּקָּרְבָּן. חָזַר לִהְיוֹת מְצֹרָע מֻסְגָּר, מְטַמֵּא בְּבִיאָה, וּפָטוּר מִן הַפְּרִיעָה וּמִן הַפְּרִימָה וּמִן הַתִּגְלַחַת וּמִן הַצִּפֳּרִים. וְאִם הָיָה מֻחְלָט, חַיָּב בְּכֻלָּן. פֵּרַשׁ מִמֶּנּוּ אֵבָר שֶׁאֵין עָלָיו בָּשָׂר כָּרָאוּי, מְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא, וְאֵינוֹ מְטַמֵּא בְאֹהֶל. וְאִם יֵשׁ עָלָיו בָּשָׂר כָּרָאוּי, מְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא וּבְאֹהֶל. שִׁעוּר בָּשָׂר כָּרָאוּי, כְּדֵי לְהַעֲלוֹת אֲרוּכָה. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אִם יֵשׁ בְּמָקוֹם אֶחָד כְּדֵי לְהַקִּיפוֹ בְחוּט עֵרֶב, יֶשׁ בּוֹ לְהַעֲלוֹת אֲרוּכָה: \n", + "עֶשֶׂר קְדֻשּׁוֹת הֵן, אֶרֶץ יִשְׂרָאֵל מְקֻדֶּשֶׁת מִכָּל הָאֲרָצוֹת. וּמַה הִיא קְדֻשָּׁתָהּ, שֶׁמְּבִיאִים מִמֶּנָּה הָעֹמֶר וְהַבִּכּוּרִים וּשְׁתֵּי הַלֶּחֶם, מַה שֶּׁאֵין מְבִיאִים כֵּן מִכָּל הָאֲרָצוֹת: \n", + "עֲיָרוֹת הַמֻּקָּפוֹת חוֹמָה מְקֻדָּשׁוֹת מִמֶּנָּה, שֶׁמְּשַׁלְּחִים מִתּוֹכָן אֶת הַמְּצֹרָעִים, וּמְסַבְּבִין לְתוֹכָן מֵת עַד שֶׁיִּרְצוּ. יָצָא, אֵין מַחֲזִירִין אוֹתוֹ: \n", + "לִפְנִים מִן הַחוֹמָה מְקֻדָּשׁ מֵהֶם, שֶׁאוֹכְלִים שָׁם קָדָשִׁים קַלִּים וּמַעֲשֵׂר שֵׁנִי. הַר הַבַּיִת מְקֻדָּשׁ מִמֶּנּוּ, שֶׁאֵין זָבִים וְזָבוֹת, נִדּוֹת וְיוֹלְדוֹת נִכְנָסִים לְשָׁם. הַחֵיל מְקֻדָּשׁ מִמֶּנּוּ, שֶׁאֵין גּוֹיִם וּטְמֵא מֵת נִכְנָסִים לְשָׁם. עֶזְרַת נָשִׁים מְקֻדֶּשֶׁת מִמֶּנּוּ, שֶׁאֵין טְבוּל יוֹם נִכְנָס לְשָׁם, וְאֵין חַיָּבִים עָלֶיהָ חַטָּאת. עֶזְרַת יִשְׂרָאֵל מְקֻדֶּשֶׁת מִמֶּנָּה, שֶׁאֵין מְחֻסַּר כִּפּוּרִים נִכְנָס לְשָׁם, וְחַיָּבִין עָלֶיהָ חַטָּאת. עֶזְרַת הַכֹּהֲנִים מְקֻדֶּשֶׁת מִמֶּנָּה, שֶׁאֵין יִשְׂרָאֵל נִכְנָסִים לְשָׁם אֶלָּא בִשְׁעַת צָרְכֵיהֶם, לִסְמִיכָה לִשְׁחִיטָה וְלִתְנוּפָה: \n", + "בֵּין הָאוּלָם וְלַמִּזְבֵּחַ מְקֻדָּשׁ מִמֶּנָּה, שֶׁאֵין בַּעֲלֵי מוּמִין וּפְרוּעֵי רֹאשׁ נִכְנָסִים לְשָׁם. הַהֵיכָל מְקֻדָּשׁ מִמֶּנּוּ, שֶׁאֵין נִכְנָס לְשָׁם שֶׁלֹּא רְחוּץ יָדַיִם וְרַגְלָיִם. קֹדֶשׁ הַקֳּדָשִׁים מְקֻדָּשׁ מֵהֶם, שֶׁאֵין נִכְנָס לְשָׁם אֶלָּא כֹהֵן גָּדוֹל בְּיוֹם הַכִּפּוּרִים בִּשְׁעַת הָעֲבוֹדָה. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, בַּחֲמִשָּׁה דְבָרִים בֵּין הָאוּלָם וְלַמִּזְבֵּחַ שָׁוֶה לַהֵיכָל, שֶׁאֵין בַּעֲלֵי מוּמִין, וּפְרוּעֵי רֹאשׁ, וּשְׁתוּיֵי יַיִן, וְשֶׁלֹּא רְחוּץ יָדַיִם וְרַגְלַיִם נִכְנָסִים לְשָׁם, וּפוֹרְשִׁין מִבֵּין הָאוּלָם וְלַמִּזְבֵּחַ בִּשְׁעַת הַקְטָרָה: \n" + ], + [ + "כְּלֵי עֵץ, וּכְלֵי עוֹר, וּכְלֵי עֶצֶם, וּכְלֵי זְכוּכִית, פְּשׁוּטֵיהֶן טְהוֹרִים, וּמְקַבְּלֵיהֶן טְמֵאִים. נִשְׁבְּרוּ, טָהָרוּ. חָזַר וְעָשָׂה מֵהֶם כֵּלִים, מְקַבְּלִין טֻמְאָה מִכָּאן וּלְהַבָּא. כְּלֵי חֶרֶס וּכְלֵי נֶתֶר, טֻמְאָתָן שָׁוָה. מִטַּמְּאִין וּמְטַמְּאִין בַּאֲוִיר, וּמִטַּמְּאִין מֵאֲחוֹרֵיהֶן, וְאֵינָן מִטַּמְּאִין מִגַּבֵּיהֶן, וּשְׁבִירָתָן הִיא טָהֳרָתָן: \n", + "הַדַּקִּין שֶׁבִּכְלֵי חֶרֶס, וְקַרְקְרוֹתֵיהֶן, וְדָפְנוֹתֵיהֶן יוֹשְׁבִין שֶׁלֹּא מְסֻמָּכִין, שִׁעוּרָן, מִכְּדֵי סִיכַת קָטָן וְעַד לֹג. מִלֹּג וְעַד סְאָה, בִּרְבִיעִית. מִסְּאָה וְעַד סָאתַיִם, בַּחֲצִי לֹג. מִסָּאתַיִם וְעַד שָׁלֹשׁ וְעַד חָמֵשׁ סְאִין, בְּלֹג, דִּבְרֵי רַבִּי יִשְׁמָעֵאל. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, אֲנִי אֵינִי נוֹתֵן בָּהֶן מִדָּה, אֶלָּא, הַדַּקִּין שֶׁבִּכְלֵי חֶרֶס, וְקַרְקְרוֹתֵיהֶן, וְדָפְנוֹתֵיהֶן יוֹשְׁבִין שֶׁלֹּא מְסֻמָּכִין, שִׁעוּרָן מִכְּדֵי סִיכַת קָטָן וְעַד קְדֵרוֹת הַדַּקּוֹת. מֵהַקְּדֵרוֹת הַדַּקּוֹת וְעַד חָבִיּוֹת לוּדִיּוֹת, בִּרְבִיעִית. מִלּוּדִיּוֹת וְעַד לַחְמִיּוֹת, בַּחֲצִי לֹג. מִלַּחְמִיּוֹת וְעַד חֲצָבִים גְּדוֹלִים, בְּלֹג. רַבָּן יוֹחָנָן בֶּן זַכַּאי אוֹמֵר, חֲצָבִים גְּדוֹלִים, שִׁעוּרָן בִּשְׁנֵי לֻגִּין. הַפַּכִּים הַגְּלִילִים וְהֶחָבִיּוֹנוֹת, שִׁעוּר קַרְקְרוֹתֵיהֶן כָּל שֶׁהֵן, וְאֵין לָהֶם דְּפָנוֹת: \n", + "הַטְּהוֹרִין שֶׁבִּכְלֵי חֶרֶס, טַבְלָה שֶׁאֵין לָהּ לִזְבֵּז, וּמַחְתָּה פְרוּצָה, וְאַבּוּב שֶׁל קַלָּאִין, וְסִילוֹנוֹת, אַף עַל פִּי כְפוּפִין אַף עַל פִּי מְקַבְּלִין, וְכַבְכָּב שֶׁעֲשָׂאוֹ לְסַל הַפַּת, וּטְפִי שֶׁהִתְקִינוֹ לָעֲנָבִים, וְחָבִית שֶׁל שַׁיָּטִין, וְחָבִית דְּפוּנָה בְשׁוּלֵי הַמַּחַץ, וְהַמִּטָּה, וְהַכִּסֵּא, וְהַסַּפְסָל, וְהַשֻּׁלְחָן, וְהַסְּפִינָה, וְהַמְּנוֹרָה שֶׁל חֶרֶס, הֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִים. זֶה הַכְּלָל, כֹּל שֶׁאֵין לוֹ תוֹךְ בִּכְלֵי חֶרֶס, אֵין לוֹ אֲחוֹרָיִם: \n", + "פַּנָּס שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית קִבּוּל שֶׁמֶן, טָמֵא. וְשֶׁאֵין בּוֹ, טָהוֹר. מְגוּפַת הַיּוֹצְרִין שֶׁהוּא פוֹתֵחַ בָּהּ, טְהוֹרָה. וְשֶׁהוּא גוֹמֵר בָּהּ, טְמֵאָה. מַשְׁפֵּךְ שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, טָהוֹר. וְשֶׁל רוֹכְלִין, טָמֵא, מִפְּנֵי שֶׁהוּא שֶׁל מִדָּה, דִּבְרֵי רַבִּי יְהוּדָה בֶן בְּתֵירָא. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, מִפְּנֵי שֶׁהוּא מַטֵּהוּ עַל צִדּוֹ וּמֵרִיחַ בּוֹ לַלּוֹקֵחַ: \n", + "כִּסּוּי כַּדֵּי יַיִן וְכַדֵּי שֶׁמֶן, וְכִסּוּי חָבִיוֹת נְיָרוֹת, טְהוֹרִין. וְאִם הִתְקִינוֹ לְתַשְׁמִישׁ, טְמֵאִים. כְּסוּי הַלְּפָס, בִּזְמַן שֶׁהוּא נָקוּב וְיֶשׁ לוֹ חִדּוּד, טָהוֹר. אִם אֵינוֹ נָקוּב וְאֵין לוֹ חִדּוּד, טָמֵא, מִפְּנֵי שֶׁהִיא מְסַנֶּנֶת לְתוֹכוֹ אֶת הַיָּרָק. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר בַּר צָדוֹק אוֹמֵר, מִפְּנֵי שֶׁהִיא הוֹפֶכֶת עָלָיו אֶת הָרוּנְקִי: \n", + "גִּסְטְרָא שֶׁנִּמְצֵאת בַּכִּבְשָׁן, עַד שֶׁלֹּא נִגְמְרָה מְלַאכְתָּהּ, טְהוֹרָה. מִשֶּׁנִּגְמְרָה מְלַאכְתָּהּ, טְמֵאָה. טִיטְרוֹס, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר בַּר צָדוֹק מְטַהֵר. רַבִּי יוֹסֵי מְטַמֵּא, מִפְּנֵי שֶׁהוּא כְמוֹצִיא פְרוּטוֹת: \n", + "הַטְּמֵאִין שֶׁבִּכְלֵי חֶרֶס, טַבְלָה שֶׁיֶּשׁ לָהּ לִזְבֵּז, וּמַחְתָּה שְׁלֵמָה, וְטַבְלָה שֶׁהִיא מְלֵאָה קְעָרוֹת. נִטְמֵאת אַחַת מֵהֶם בְּשֶׁרֶץ, לֹא נִטְמְאוּ כֻלָּם. אִם יֶשׁ לָהּ לִזְבֵּז עוֹדֵף, נִטְמְאָה אַחַת מֵהֶם, נִטְמְאוּ כֻלָּן. וְכֵן בֵּית תְּבָלִין שֶׁל חֶרֶס, וְקַלְמָרִים הַמְּתֹאָמוֹת. וּבֵית תְּבָלִין שֶׁל עֵץ, שֶׁנִּטְמָא אֶחָד בְּמַשְׁקֶה, לֹא נִטְמָא חֲבֵרוֹ. רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי אוֹמֵר, חוֹלְקִין אֶת עָבְיוֹ. הַמְשַׁמֵּשׁ לַטָּמֵא, טָמֵא. הַמְשַׁמֵּשׁ לַטָּהוֹר, טָהוֹר. אִם יֶשׁ לוֹ לִזְבֵּז עוֹדֵף, נִטְמָא אַחַד מֵהֶם, נִטְמָא חֲבֵרוֹ: \n", + "הַלַּפִּיד, טָמֵא. וּבֵית שִׁקְעוֹ שֶׁל נֵר, מִטַּמֵּא בַאֲוִיר. הַמַּסְרֵק שֶׁל צַרְצוּר, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין: \n" + ], + [ + "שִׁעוּר כְּלִי חֶרֶס לִטַּהֵר, הֶעָשׂוּי לְאֳכָלִין, שִׁעוּרוֹ בְזֵיתִים. הֶעָשׂוּי לְמַשְׁקִין, שִׁעוּרוֹ בְמַשְׁקִין. הֶעָשׂוּי לְכָךְ וּלְכָךְ, מַטִּילִין אוֹתוֹ לְחֻמְרוֹ בְזֵיתִים: \n", + "חָבִית, שִׁעוּרָהּ בִּגְרוֹגָרוֹת, דִּבְרֵי רַבִּי שִׁמְעוֹן. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, בֶּאֱגוֹזִים. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, בְּזֵיתִים. הַלְּפָס וְהַקְּדֵרָה, שִׁעוּרָן בְּזֵיתִים. הַפַּךְ וְהַטְּפִי, שִׁעוּרָן בְּשָׁמֶן. וְהַצַּרְצוּר, שִׁעוּרוֹ בְמָיִם. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, שְׁלָשְׁתָּן בְּזֵרְעוֹנִין. נֵר, שִׁעוּרוֹ בְשָׁמֶן. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, בִּפְרוּטָה קְטַנָּה. נֵר שֶׁנִּטַּל פִּיו, טָהוֹר. וְשֶׁל אֲדָמָה שֶׁהֻסַּק פִּיו בַּפְּתִילָה, טָהוֹר: \n", + "חָבִית שֶׁנִּקְּבָה וַעֲשָׂאָהּ בְּזֶפֶת, וְנִשְׁבְּרָה, אִם יֵשׁ בִּמְקוֹם הַזֶּפֶת מַחֲזִיק רְבִיעִית, טְמֵאָה, מִפְּנֵי שֶׁלֹּא בָטַל שֵׁם כְּלִי מֵעָלֶיהָ. חֶרֶס שֶׁנִּקַּב וַעֲשָׂאוֹ בְזֶפֶת, אַף עַל פִּי מַחֲזִיק רְבִיעִית, טָהוֹר, מִפְּנֵי שֶׁבָּטַל שֵׁם כְּלִי מֵעָלָיו: \n", + "חָבִית שֶׁנִּתְרוֹעֲעָה וּטְפָלָהּ בִּגְלָלִים, אַף עַל פִּי שֶׁהוּא נוֹטֵל אֶת הַגְּלָלִים וְהַחֲרָסִים נוֹפְלִים, טְמֵאָה, מִפְּנֵי שֶׁלֹּא בָטַל שֵׁם כְּלִי מֵעָלֶיהָ. נִשְׁבְּרָה וְדִבֵּק מִמֶּנָּה חַרְסִית, אוֹ שֶׁהֵבִיא חַרְסִית מִמָּקוֹם אַחֵר וּטְפָלָן בִּגְלָלִים, אַף עַל פִּי שֶׁהוּא נוֹטֵל הַגְּלָלִים וְהַחֲרָסִין עוֹמְדִים, טְהוֹרָה, מִפְּנֵי שֶׁבָּטַל שֵׁם כְּלִי מֵעָלֶיהָ. הָיָה בָהּ חֶרֶס מַחֲזִיק רְבִיעִית, כֻּלָּהּ מִטַּמָּא בְמַגָּע, וּכְנֶגְדּוֹ מִטַּמֵּא בַאֲוִיר: \n", + "הַטּוֹפֵל כְּלִי חֶרֶס הַבָּרִיא, רַבִּי מֵאִיר וְרַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַמְּאִים. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, הַטּוֹפֵל אֶת הַבָּרִיא, טָהוֹר. וְאֶת הָרָעוּעַ, טָמֵא. וְכֵן בְּחִדּוּק הַקֵּרוּיָה: \n", + "יַבְּלִית שֶׁטּוֹפְלִין בָּהּ הַפִּטָּסִין, הַנּוֹגֵעַ בָּהּ, טָמֵא. מְגוּפַת חָבִית, אֵינָהּ חִבּוּר. הַנּוֹגֵעַ בְּטִפּוּלוֹ שֶׁל תַּנּוּר, טָמֵא: \n", + "מֵחַם שֶׁטְּפָלוֹ בְחֹמֶר וּבְחַרְסִית, הַנּוֹגֵעַ בַּחֹמֶר, טָמֵא. וּבַחַרְסִית, טָהוֹר. קוּמְקוּם שֶׁנִּקַּב וַעֲשָׂאוֹ בְזֶפֶת, רַבִּי יוֹסֵי מְטַהֵר, שֶׁאֵינוֹ יָכוֹל לְקַבֵּל אֶת הַחַמִּין כְּצוֹנֵן. וְכֵן הָיָה אוֹמֵר בִּכְלֵי זֶפֶת. כְּלֵי נְחֹשֶׁת שֶׁזְּפָתָן, טְהוֹרִין. וְאִם לְיַיִן, טְמֵאִין: \n", + "חָבִית שֶׁנִּקְּבָה וַעֲשָׂאָהּ בְּזֶפֶת יָתֵר מִצָּרְכָּהּ, הַנּוֹגֵעַ בְּצָרְכָּהּ, טָמֵא. יָתֵר מִצָּרְכָּהּ, טָהוֹר. זֶפֶת שֶׁנָּטְפָה עַל הֶחָבִית, הַנּוֹגֵעַ בָּהּ, טָהוֹר. מַשְׁפֵּךְ שֶׁל עֵץ וְשֶׁל חֶרֶס שֶׁפְּקָקוֹ בְזֶפֶת, רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה מְטַמֵּא. רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא בְשֶׁל עֵץ, וּמְטַהֵר בְּשֶׁל חֶרֶס. רַבִּי יוֹסֵי מְטַהֵר בִּשְׁנֵיהֶם: \n" + ], + [ + "הַחֶרֶס שֶׁאֵינוֹ יָכוֹל לַעֲמֹד מִפְּנֵי אָזְנוֹ, אוֹ שֶׁהָיָה בוֹ חִדּוּד וְהַחִדּוּד מַכְרִיעוֹ, טָהוֹר. נִטְּלָה הָאֹזֶן, נִשְׁבַּר הַחִדּוּד, טָהוֹר. רַבִּי יְהוּדָה מְטַמֵּא. חָבִית שֶׁנִּפְחֲתָה, וְהִיא מְקַבֶּלֶת עַל דָּפְנוֹתֶיהָ, אוֹ שֶׁנֶּחְלְקָה כְמִין שְׁתֵּי עֲרֵבוֹת, רַבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין: \n", + "חָבִית שֶׁנִּתְרוֹעֲעָה וְאֵינָהּ יְכוֹלָה לְהִטַּלְטֵל בַּחֲצִי קַב גְּרוֹגָרוֹת, טְהוֹרָה. גִּסְטְרָא שֶׁנִּתְרוֹעֲעָה וְאֵינָהּ מְקַבֶּלֶת מַשְׁקִין, אַף עַל פִּי שֶׁהִיא מְקַבֶּלֶת אֳכָלִין, טְהוֹרָה שֶׁאֵין שְׁיָרִין לִשְׁיָרִין: \n", + "אֵיזוֹ הִיא גִסְטְרָא, כֹּל שֶׁנִּטְּלוּ אָזְנֶיהָ. הָיוּ בָהּ חִדּוּדִין יוֹצְאִין, כֹּל הַמְקַבֵּל עִמָּהּ בְּזֵיתִים, מִטַּמֵּא בְמַגָּע וּכְנֶגְדּוֹ מִטַּמֵּא בַאֲוִיר. וְכֹל שֶׁאֵינוֹ מְקַבֵּל עִמָּהּ בְּזֵיתִים, מִטַּמֵּא בְמַגָּע וְאֵין כְּנֶגְדּוֹ מִטַּמֵּא בַאֲוִיר. הָיְתָה מֻטָּה עַל צִדָּהּ כְּמִין קַתֶּדְרָה, כֹּל הַמְקַבֵּל עִמָּהּ בְּזֵיתִים, מִטַּמֵּא בְמַגָּע וּכְנֶגְדּוֹ מִטַּמֵּא בַאֲוִיר. וְכֹל שֶׁאֵינוֹ מְקַבֵּל עִמָּהּ בְּזֵיתִים, מִטַּמֵּא בְמַגָּע וְאֵין כְּנֶגְדּוֹ מִטַּמֵּא בַאֲוִיר. שׁוּלֵי קוֹרְפִיּוֹת וְשׁוּלֵי קוֹסִים הַצִּידוֹנִיִּים, אַף עַל פִּי שֶׁאֵינָם יְכוֹלִים לֵישֵׁב שֶׁלֹּא מְסֻמָּכִין, טְמֵאִין, שֶׁלְּכָךְ נַעֲשׂוּ מִתְּחִלָּתָן: \n", + "כְּלִי חֶרֶשׂ שֶׁיֶּשׁ לוֹ שָׁלֹשׁ שְׂפָיוֹת, הַפְּנִימִית עוֹדֶפֶת, הַכֹּל טָהוֹר. הַחִיצוֹנָה עוֹדֶפֶת, הַכֹּל טָמֵא. הָאֶמְצָעִית עוֹדֶפֶת, מִמֶּנָּה וְלִפְנִים, טָמֵא. מִמֶּנָּה וְלַחוּץ, טָהוֹר. הָיוּ שָׁווֹת, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, חוֹלְקִין הָאֶמְצָעִית. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, הַכֹּל טָהוֹר. כְּלֵי חֶרֶס, מֵאֵימָתַי מְקַבְּלִין טֻמְאָה, מִשֶּׁיִּצָּרְפוּ בַכִּבְשָׁן, וְהִיא גְמַר מְלַאכְתָּן: \n" + ], + [ + "תַּנּוּר, תְּחִלָּתוֹ אַרְבָּעָה, וּשְׁיָרָיו אַרְבָּעָה, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, בַּמֶּה דְבָרִים אֲמוּרִים, בְּגָדוֹל. אֲבָל בְּקָטָן, תְּחִלָּתוֹ כָּל שֶׁהוּא, וּשְׁיָרָיו רֻבּוֹ, מִשֶּׁתִּגָּמֵר מְלַאכְתּוֹ. אֵיזֶהוּ גְמַר מְלַאכְתּוֹ, מִשֶּׁיַּסִּיקֶנּוּ כְּדֵי לֶאֱפוֹת בּוֹ סֻפְגָּנִין. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מִשֶּׁיַּסִּיק אֶת הֶחָדָשׁ, כְּדֵי לֶאֱפוֹת בַּיָּשָׁן סֻפְגָּנִין: \n", + "כִּירָה, תְּחִלָּתָהּ שָׁלֹשׁ, וּשְׁיָרֶיהָ שָׁלֹשׁ, מִשֶּׁתִּגָּמֵר מְלַאכְתָּהּ. אֵיזֶהוּ גְמַר מְלַאכְתָּהּ, מִשֶּׁיַּסִּיקֶנָּה, כְּדֵי לְבַשֵּׁל עָלֶיהָ בֵיצָה קַלָּה שֶׁבַּבֵּיצִים, טְרוּפָה וּנְתוּנָה בְאִלְפָּס. הַכֻּפָּח, עֲשָׂאוֹ לַאֲפִיָּה, שִׁעוּרוֹ כַּתַּנּוּר. עֲשָׂאוֹ לְבִשּׁוּל, שִׁעוּרוֹ כַּכִּירָה. הָאֶבֶן הַיּוֹצֵא מִן הַתַּנּוּר טֶפַח, וּמִן הַכִּירָה שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, חִבּוּר. הַיּוֹצֵא מִן הַכֻּפָּח, עֲשָׂאוֹ לַאֲפִיָּה, שִׁעוּרוֹ כַּתַּנּוּר. עֲשָׂאוֹ לְבִשּׁוּל, שִׁעוּרוֹ כַּכִּירָה. אָמַר רַבִּי יְהוּדָה, לֹא אָמְרוּ טֶפַח, אֶלָּא בֵין הַתַּנּוּר וְלַכֹּתֶל. הָיוּ שְׁנֵי תַנּוּרִין סְמוּכִים זֶה לָזֶה, נוֹתֵן לָזֶה טֶפַח וְלָזֶה טֶפַח, וְהַשְּׁאָר טָהוֹר: \n", + "עֲטֶרֶת כִּירָה, טְהוֹרָה. טִירַת הַתַּנּוּר, בִּזְמַן שֶׁהִיא גְבוֹהָה אַרְבָּעָה טְפָחִים, מִטַּמְּאָה בְמַגָּע וּבַאֲוִיר. פְּחוּתָה מִכָּאן, טְהוֹרָה. אִם חִבְּרָהּ לוֹ, אֲפִלּוּ עַל שָׁלֹשׁ אֲבָנִים טְמֵאָה. בֵּית הַפַּךְ וּבֵית הַתְּבָלִין וּבֵית הַנֵּר שֶׁבַּכִּירָה, מִטַּמְּאִין בְּמַגָּע וְאֵינָן מִטַּמְּאִין בַּאֲוִיר, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יִשְׁמָעֵאל מְטַהֵר: \n", + "תַּנּוּר שֶׁהֻסַּק מֵאֲחוֹרָיו, אוֹ שֶׁהֻסַּק שֶׁלֹּא לְדַעְתּוֹ, אוֹ שֶׁהֻסַּק בְּבֵית הָאֻמָּן, טָמֵא. מַעֲשֶׂה שֶׁנָּפְלָה דְלֵקָה בְתַנּוּרֵי כְפַר סִגְנָה, וּבָא מַעֲשֶׂה לְיַבְנֶה, וְטִמְּאָן רַבָּן גַּמְלִיאֵל: \n", + "מוּסַף הַתַּנּוּר שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, טָהוֹר. וְשֶׁל נַחְתּוֹמִין, טָמֵא, מִפְּנֵי שֶׁהוּא סוֹמֵךְ עָלָיו אֶת הַשַּׁפּוּד. רַבִּי יוֹחָנָן הַסַּנְדְּלָר אוֹמֵר, מִפְּנֵי שֶׁהוּא אוֹפֶה בוֹ כְּשֶׁהוּא נִדְחָק. כַּיּוֹצֵא בוֹ, מוּסַף הַיּוֹרָה שֶׁל שׁוֹלְקֵי זֵיתִים, טָמֵא. וְשֶׁל צַבָּעִים, טָהוֹר: \n", + "תַּנּוּר שֶׁנָּתַן בּוֹ עָפָר עַד חֶצְיוֹ, מֵעָפָר וּלְמַטָּן, מִטַּמֵּא בְמַגָּע. מֵעָפָר וּלְמַעְלָן, מִטַּמֵּא בַאֲוִיר. נְתָנוֹ עַל פִּי הַבּוֹר אוֹ עַל פִּי הַדּוּת, וְנָתַן שָׁם אֶבֶן, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אִם מַסִּיק מִלְּמַטָּן, וְהוּא נִסּוֹק מִלְמַעְלָן, טָמֵא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, הוֹאִיל וְהֻסַּק מִכָּל מָקוֹם, טָמֵא: \n", + "תַּנּוּר שֶׁנִּטְמָא, כֵּיצַד מְטַהֲרִין אוֹתוֹ. חוֹלְקוֹ לִשְׁלֹשָׁה, וְגוֹרֵר אֶת הַטְּפֵלָה עַד שֶׁיְּהֵא בָאָרֶץ. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, אֵינוֹ צָרִיךְ לִגְרֹר אֶת הַטְּפֵלָה, וְלֹא עַד שֶׁיְּהֵא בָאָרֶץ, אֶלָּא מְמַעֲטוֹ מִבִּפְנִים אַרְבָּעָה טְפָחִים. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, וְצָרִיךְ לְהַסִּיעוֹ. חִלְּקוֹ לִשְׁנַיִם, אֶחָד גָּדוֹל וְאֶחָד קָטָן, הַגָּדוֹל טָמֵא וְהַקָּטָן טָהוֹר. חֲלָקוֹ לִשְׁלֹשָׁה, אֶחָד גָּדוֹל כִּשְׁנַיִם, הַגָּדוֹל טָמֵא, וּשְׁנַיִם הַקְּטַנִּים טְהוֹרִין: \n", + "חֲתָכוֹ חֻלְיוֹת לְרָחְבּוֹ, פָּחוֹת מֵאַרְבָּעָה טְפָחִים, טָהוֹר. מֵרְחוֹ בְטִיט, מְקַבֵּל טֻמְאָה מִשֶּׁיַּסִּיקֶנּוּ כְּדֵי לֶאֱפוֹת בּוֹ סֻפְגָּנִין. הִרְחִיק מִמֶּנּוּ אֶת הַטְּפֵלָה וְנָתַן חֹל אוֹ צְרוֹר בֵּינְתַיִם, בָּזֶה אָמְרוּ, הַנִּדָּה וְהַטְּהוֹרָה אוֹפוֹת בּוֹ וְהוּא טָהוֹר: \n", + "תַּנּוּר שֶׁבָּא מְחֻתָּךְ מִבֵּית הָאֻמָּן, וְעָשָׂה בוֹ לִמּוּדִין, וְנוֹתְנָן עָלָיו וְהוּא טָהוֹר, נִטְמָא. וְסִלֵּק אֶת לִמּוּדָיו, טָהוֹר. הֶחֱזִירָן לוֹ, טָהוֹר. מֵרְחוֹ בְטִיט, מְקַבֵּל טֻמְאָה, וְאֵינוֹ צָרִיךְ לְהַסִּיקֶנּוּ, שֶׁכְּבָר הֻסָּק: \n", + "חֲתָכוֹ חֻלְיוֹת וְנָתַן חֹל בֵּין חֻלְיָא לְחֻלְיָא, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. זֶה תַנּוּרוֹ שֶׁל עַכְנָאי. יוֹרוֹת הָעַרְבִיִּין שֶׁהוּא חוֹפֵר בָּאָרֶץ וְטָח בְּטִיט, אִם יָכוֹל הַטִּיחַ לַעֲמוֹד בִּפְנֵי עַצְמוֹ, טָמֵא. וְאִם לָאו, טָהוֹר. וְזֶה תַנּוּרוֹ שֶׁל בֶּן דִּינָאי: \n", + "תַּנּוּר שֶׁל אֶבֶן וְשֶׁל מַתֶּכֶת, טָהוֹר, וְטָמֵא מִשּׁוּם כְּלֵי מַתָּכוֹת. נִקַּב, נִפְגַּם, נִסְדַּק, עָשָׂה לוֹ טְפֵלָה, אוֹ מוּסָף שֶׁל טִיט, טָמֵא. כַּמָּה יְהֵא בַנֶּקֶב, כְּדֵי שֶׁיֵּצֵא בוֹ הָאוּר. וְכֵן בְּכִירָה. כִּירָה שֶׁל אֶבֶן וְשֶׁל מַתֶּכֶת טְהוֹרָה, וּטְמֵאָה מִשּׁוּם כְּלֵי מַתָּכוֹת, נִקְּבָה, נִפְגְּמָה, נִסְדְּקָה, עָשָׂה לָהּ פִּטְפּוּטִין, טְמֵאָה. מֵרְחָהּ בְּטִיט בֵּין מִבִּפְנִים בֵּין מִבַּחוּץ, טְהוֹרָה. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מִבִּפְנִים טְמֵאָה, וּמִבַּחוּץ טְהוֹרָה: \n" + ], + [ + "הָעוֹשֶׂה שְׁלֹשָׁה פִטְפּוּטִים בָּאָרֶץ וְחִבְּרָן בְּטִיט לִהְיוֹת שׁוֹפֵת עֲלֵיהֶן אֶת הַקְּדֵרָה, טְמֵאָה. קָבַע שְׁלֹשָׁה מַסְמְרִין בָּאָרֶץ לִהְיוֹת שׁוֹפֵת עֲלֵיהֶן הַקְּדֵרָה, אַף עַל פִּי שֶׁעָשָׂה בְרֹאשׁוֹ מָקוֹם שֶׁתְּהֵא הַקְּדֵרָה יוֹשֶׁבֶת, טְהוֹרָה. הָעוֹשֶׂה שְׁתֵּי אֲבָנִים כִּירָה וְחִבְּרָם בְּטִיט, טְמֵאָה. רַבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר, עַד שֶׁיַּעֲשֶׂה שְׁלִישִׁית, אוֹ עַד שֶׁיִּסְמֹךְ לַכֹּתֶל. אַחַת בְּטִיט וְאַחַת שֶׁלֹּא בְטִיט, טְהוֹרָה: \n", + "הָאֶבֶן שֶׁהָיָה שׁוֹפֵת עָלֶיהָ וְעַל הַתַּנּוּר, עָלֶיהָ וְעַל הַכִּירָה, עָלֶיהָ וְעַל הַכֻּפָּח, טְמֵאָה. עָלֶיהָ וְעַל הָאֶבֶן, עָלֶיהָ וְעַל הַסֶּלַע, עָלֶיהָ וְעַל הַכֹּתֶל, טְהוֹרָה. וְזוֹ הָיְתָה כִּירַת הַנְּזִירִים שֶׁבִּירוּשָׁלַיִם, שֶׁכְּנֶגֶד הַסָּלַע. כִּירַת הַטַּבָּחִים, בִּזְמַן שֶׁהוּא נוֹתֵן אֶבֶן בְּצַד אֶבֶן, נִטְמֵאת אַחַת מֵהֶן, לֹא נִטְמְאוּ כֻלָּן: \n", + "שָׁלֹשׁ אֲבָנִים שֶׁעֲשָׂאָן שְׁתֵּי כִירַיִם, נִטְמֵאת אַחַת מִן הַחִיצוֹנָה, הָאֶמְצָעִית הַמְשַׁמֶּשֶׁת אֶת הַטְּמֵאָה, טְמֵאָה. הַמְשַׁמֶּשֶׁת הַטְּהוֹרָה, טְהוֹרָה. נִטְּלָה הַטְּהוֹרָה, הֻחְלְטָה הָאֶמְצָעִית לְטֻמְאָה. נִטְּלָה הַטְּמֵאָה, הֻחְלְטָה הָאֶמְצָעִית לִטְהוֹרָה. נִטְמְאוּ שְׁתַּיִם הַחִיצוֹנוֹת, אִם הָיְתָה הָאֶמְצָעִית גְּדוֹלָה, נוֹתֵן לָזוֹ כְדֵי שְׁפִיתָה מִכָּאן וְלָזוֹ כְדֵי שְׁפִיתָה מִכָּאן, וְהַשְּׁאָר טָהוֹר. וְאִם הָיְתָה קְטַנָּה, הַכֹּל טָמֵא. נִטְּלָה הָאֶמְצָעִית, אִם יָכוֹל לִשְׁפֹּת עָלֶיהָ יוֹרָה גְדוֹלָה, טְמֵאָה. הֶחֱזִירָהּ, טְהוֹרָה. מֵרְחָהּ בְּטִיט, מְקַבֶּלֶת טֻמְאָה מִשֶּׁיַּסִּיקֶנָּה כְּדֵי לְבַשֵּׁל עָלֶיהָ אֶת הַבֵּיצָה: \n", + "שְׁתֵּי אֲבָנִים שֶׁעֲשָׂאָם כִּירָה וְנִטְמְאוּ, סָמַךְ לָזוֹ אֶבֶן אַחַת מִכָּאן, וְלָזוֹ אֶבֶן אַחַת מִכָּאן, חֶצְיָהּ שֶׁל זוֹ טְמֵאָה וְחֶצְיָהּ טְהוֹרָה, וְחֶצְיָהּ שֶׁל זוֹ טְמֵאָה וְחֶצְיָהּ טְהוֹרָה. נִטְּלוּ טְהוֹרוֹת, חָזְרוּ אֵלּוּ לְטֻמְאָתָן: \n" + ], + [ + "הַקַּלָתוּת שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִים שֶׁנִּפְחֲתָה פָחוֹת מִשְּׁלֹשָׁה טְפָחִים, טְמֵאָה, שֶׁהוּא מַסִּיק מִלְּמַטָּן וּקְדֵרָה בְשֵׁלָה מִלְמַעְלָן. יָתֵר מִכָּאן, טְהוֹרָה. נָתַן אֶבֶן אוֹ צְרוֹר, טְהוֹרָה. מֵרְחָהּ בְּטִיט, מְקַבֶּלֶת טֻמְאָה מִכָּאן וּלְהַבָּא. זוֹ הָיְתָה תְשׁוּבַת רַבִּי יְהוּדָה בְתַנּוּר שֶׁנְּתָנוֹ עַל פִּי הַבּוֹר אוֹ עַל פִּי הַדּוּת: \n", + "דָּכוֹן שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית קִבּוּל קְדֵרוֹת, טָהוֹר מִשּׁוּם כִּירָה, וְטָמֵא מִשּׁוּם כְּלִי קִבּוּל. הַצְּדָדִין שֶׁלּוֹ, הַנּוֹגֵעַ בָּהֶם אֵינוֹ טָמֵא מִשּׁוּם כִּירָה. הָרַחַב שֶׁלּוֹ, רַבִּי מֵאִיר מְטַהֵר, וְרַבִּי יְהוּדָה מְטַמֵּא. וְכֵן הַכּוֹפֶה אֶת הַסַּל וְעוֹשֶׂה עַל גַּבָּיו כִּירָה: \n", + "כִּירָה שֶׁנֶּחְלְקָה לְאָרְכָּהּ, טְהוֹרָה. וּלְרָחְבָּהּ, טְמֵאָה. כֻּפָּח שֶׁנֶּחְלַק בֵּין לְאָרְכּוֹ בֵּין לְרָחְבּוֹ, טָהוֹר. חֲצַר הַכִּירָה, בִּזְמַן שֶׁהִיא גְבוֹהָה שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, מִטַּמְּאָה בְמַגָּע וּבַאֲוִיר. פְּחוּתָה מִכָּאן, מִטַּמְּאָה בְמַגָּע וְאֵינָהּ מִטַּמְּאָה בַאֲוִיר. כֵּיצַד מְשַׁעֲרִין אוֹתָהּ. רַבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר, נוֹתֵן אֶת הַשַּׁפּוּד מִלְמַעְלָן לְמַטָּן וּכְנֶגְדּוֹ מִטַּמְּאָה בַאֲוִיר. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר בֶּן יַעֲקֹב אוֹמֵר, נִטְמְאָה הַכִּירָה, נִטְמֵאת הֶחָצֵר. נִטְמְאָה הֶחָצֵר, לֹא נִטְמֵאת הַכִּירָה: \n", + "הָיְתָה מֻפְרֶשֶׁת מִן הַכִּירָה, בִּזְמַן שֶׁהִיא גְבוֹהָה שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, מִטַּמָּא בְמַגָּע וּבַאֲוִיר. פְּחוּתָה מִכָּאן אוֹ שֶׁהָיְתָה חֲלָקָה, טְהוֹרָה. פִּטְפּוּטֵי כִירָה, שְׁלֹשָׁה, שֶׁל שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, מִטַּמְּאִים בְּמַגָּע וּבַאֲוִיר. פָּחוֹת מִכָּאן, כָּל שֶׁכֵּן הֵן טְמֵאִים, וַאֲפִלּוּ הֵן אַרְבָּעָה: \n", + "נִטַּל אַחַד מֵהֶן, מִטַּמְּאִין בְּמַגָּע וְאֵינָם מִטַּמְּאִים בַּאֲוִיר, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. עָשָׂה שְׁנַיִם, זֶה כְנֶגֶד זֶה, מִטַּמְּאִין בְּמַגָּע וּבַאֲוִיר, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. הָיוּ גְבוֹהִין מִשָּׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, מִשָּׁלֹשׁ וּלְמַטָּן מִטַּמְּאִים בְּמַגָּע וּבַאֲוִיר, מִשָּׁלֹשׁ וּלְמַעְלָן מִטַּמְּאִין בְּמַגָּע וְאֵינָן מִטַּמְּאִין בַּאֲוִיר, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. הָיוּ מְשׁוּכִים מִן הַשָּׂפָה, בְּתוֹךְ שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, מִטַּמְּאִים בְּמַגָּע וּבַאֲוִיר, חוּץ מִשָּׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת מִטַּמְּאִים בְּמַגָּע וְאֵינָם מִטַּמְּאִים בַּאֲוִיר, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר: \n", + "כֵּיצַד מְשַׁעֲרִין אוֹתָן. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, נוֹתֵן אֶת הַכַּנָּה בֵּינֵיהֶן, מִן הַכַּנָּה וְלַחוּץ טָהוֹר, מִן הַכַּנָּה וְלִפְנִים, וּמְקוֹם הַכַּנָּה טָמֵא: \n" + ], + [ + "הַתַּנּוּר שֶׁחֲצָצוֹ בִנְסָרִים אוֹ בִירִיעוֹת, נִמְצָא שֶׁרֶץ בְּמָקוֹם אֶחָד, הַכֹּל טָמֵא. כַּוֶּרֶת פְּחוּתָה וּפְקוּקָה בְקַשׁ וּמְשֻׁלְשֶׁלֶת לַאֲוִיר הַתַּנּוּר, הַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכָהּ, הַתַּנּוּר טָמֵא. הַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, אֳכָלִין שֶׁבְּתוֹכָהּ טְמֵאִין. וְרַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר. אָמַר רַבִּי אֱלִיעֶזֶר, אִם הִצִּילָה בְמֵת הֶחָמוּר, לֹא תַצִּיל בִּכְלִי חֶרֶס הַקַּל. אָמְרוּ לוֹ, אִם הִצִּילָה בְמֵת הֶחָמוּר, שֶׁכֵּן חוֹלְקִים אֹהָלִים, תַּצִּיל בִּכְלִי חֶרֶס הַקַּל, שֶׁאֵין חוֹלְקִים כְּלִי חָרֶס: ", + "הָיְתָה שְׁלֵמָה, וְכֵן הַקֻּפָּה, וְכֵן הַחֵמֶת, הַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכָהּ, הַתַּנּוּר טָהוֹר. הַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, אֳכָלִין שֶׁבְּתוֹכָהּ טְהוֹרִין. נִקְּבוּ, הֶעָשׂוּי לְאֳכָלִין, שִׁעוּרָן בְּזֵיתִים. הֶעָשׂוּי לְמַשְׁקִין, שִׁעוּרָן בְּמַשְׁקִים. הֶעָשׂוּי לְכָךְ וּלְכָךְ, מַטִּילִים אוֹתוֹ לְחֻמְרוֹ, בְּכוֹנֵס מַשְׁקֶה: ", + "סְרֵידָה שֶׁהִיא נְתוּנָה עַל פִּי הַתַּנּוּר וְשׁוֹקַעַת לְתוֹכוֹ וְאֵין לָהּ גַּפַּיִם, הַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכָהּ, הַתַּנּוּר טָמֵא. הַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, אֳכָלִים שֶׁבְּתוֹכָהּ, טְמֵאִין, שֶׁאֵין מַצִּילִין מִיַּד כְּלִי חֶרֶס אֶלָּא כֵלִים. חָבִית שֶׁהִיא מְלֵאָה מַשְׁקִין טְהוֹרִין, וּנְתוּנָה לְמַטָּה מִנְּחֻשְׁתּוֹ שֶׁל תַּנּוּר, הַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, הֶחָבִית וְהַמַּשְׁקִין טְהוֹרִין. הָיְתָה כְפוּיָה וּפִיהָ לַאֲוִיר הַתַּנּוּר, הַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, מַשְׁקֶה טוֹפֵחַ שֶׁבְּשׁוּלֵי הֶחָבִית טָהוֹר: ", + "קְדֵרָה שֶׁהִיא נְתוּנָה בַתַּנּוּר, הַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, הַקְּדֵרָה טְהוֹרָה, שֶׁאֵין כְּלִי חֶרֶס מְטַמֵּא כֵלִים. הָיָה בָהּ מַשְׁקֶה טוֹפֵחַ, נִטְמָא וְטִמְּאָהּ. הֲרֵי זֶה אוֹמֵר, מְטַמְּאֶיךָ לֹא טִמְּאוּנִי וְאַתָּה טִמֵּאתָנִי: ", + "תַּרְנְגוֹל שֶׁבָּלַע אֶת הַשֶּׁרֶץ וְנָפַל לַאֲוִיר הַתַּנּוּר, טָהוֹר. וְאִם מֵת, טָמֵא. הַשֶּׁרֶץ שֶׁנִּמְצָא בַתַּנּוּר, הַפַּת שֶׁבְּתוֹכוֹ, שְׁנִיָּה, שֶׁהַתַּנּוּר תְּחִלָּה: ", + "בֵּית שְׂאֹר מֻקָּף צָמִיד פָּתִיל וְנָתוּן לְתוֹךְ הַתַּנּוּר, הַשְּׂאֹר וְהַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכוֹ וְהַקֶּרֶץ בֵּינְתַיִם, הַתַּנּוּר טָמֵא וְהַשְּׂאֹר טָהוֹר. וְאִם הָיָה כַזַּיִת מִן הַמֵּת, הַתַּנּוּר וְהַבַּיִת טָמֵא, וְהַשְּׂאֹר טָהוֹר. אִם יֶשׁ שָׁם פּוֹתֵחַ טֶפַח, הַכֹּל טָמֵא: ", + "הַשֶּׁרֶץ שֶׁנִּמְצָא בָעַיִן שֶׁל תַּנּוּר, בָּעַיִן שֶׁל כִּירָה, בָּעַיִן שֶׁל כֻּפָּח, מִן הַשָּׂפָה הַפְּנִימִית וְלַחוּץ, טָהוֹר. וְאִם הָיָה בָאֲוִיר, אֲפִלּוּ כַזַּיִת מִן הַמֵּת, טָהוֹר. וְאִם יֶשׁ שָׁם פּוֹתֵחַ טֶפַח, הַכֹּל טָמֵא: ", + "נִמְצָא מְקוֹם הַנָּחַת הָעֵצִים, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מִן הַשָּׂפָה הַחִיצוֹנָה וְלִפְנִים, טָמֵא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, מִשָּׂפָה הַפְּנִימִית וְלַחוּץ, טָהוֹר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, מִכְּנֶגֶד שְׁפִיתַת הַקְּדֵרָה וְלִפְנִים, טָמֵא. מִכְּנֶגֶד שְׁפִיתַת הַקְּדֵרָה וְלַחוּץ, טָהוֹר. נִמְצָא מְקוֹם יְשִׁיבַת הַבַּלָּן, מְקוֹם יְשִׁיבַת הַצַּבָּע, מְקוֹם יְשִׁיבַת שֶׁל שׁוֹלְקֵי זֵיתִים, טָהוֹר. אֵין טָמֵא אֶלָּא מִן הַסְּתִימָה וְלִפְנִים: ", + "בּוֹר שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית שְׁפִיתָה, טָמֵא. וְשֶׁל עוֹשֵׂי זְכוּכִית, אִם יֶשׁ בּוֹ בֵית שְׁפִיתָה, טָמֵא. כִּבְשָׁן שֶׁל סַיָּדִין וְשֶׁל זַגָּגִין וְשֶׁל יוֹצְרִים, טְהוֹרָה. פוּרְנָה, אִם יֶשׁ לָהּ לִזְבֵּז, טְמֵאָה. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אִם יֶשׁ לָהּ אִסְטְגִיּוֹת. רַבָּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, אִם יֶשׁ לָהּ שְׂפָיוֹת: ", + "מַגַּע טְמֵא מֵת, שֶׁהָיוּ אֳכָלִין וּמַשְׁקִין לְתוֹךְ פִּיו, הִכְנִיס רֹאשׁוֹ לַאֲוִיר הַתַּנּוּר טָהוֹר, טִמְּאוּהוּ. וְטָהוֹר שֶׁהָיוּ אֳכָלִין וּמַשְׁקִין לְתוֹךְ פִּיו וְהִכְנִיס רֹאשׁוֹ לַאֲוִיר הַתַּנּוּר טָמֵא, נִטְמָאוּ. הָיָה אוֹכֵל דְּבֵלָה בְיָדַיִם מְסֹאָבוֹת, הִכְנִיס יָדוֹ לְתוֹךְ פִּיו לִטֹּל אֶת הַצְּרוֹר, רַבִּי מֵאִיר מְטַמֵּא, רַבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אִם הָפַךְ, טָמֵא. אִם לֹא הָפַךְ, טָהוֹר. הָיָה פֻנְדְּיוֹן לְתוֹךְ פִּיו, רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אִם לִצְמָאוֹ, טָמֵא: ", + "הָאִשָּׁה שֶׁנָּטַף חָלָב מִדַּדֶּיהָ וְנָפַל לַאֲוִיר הַתַּנּוּר, טָמֵא, שֶׁהַמַּשְׁקֶה מְטַמֵּא לְרָצוֹן וְשֶׁלֹּא לְרָצוֹן. הָיְתָה גוֹרַפְתּוֹ וְהִכַּתָּהּ הַקּוֹץ וְיָצָא מִמֶּנָּה דָם, אוֹ שֶׁנִּכְוָת וְנָתְנָה אֶצְבָּעָהּ לְתוֹךְ פִּיהָ, נִטְמָא: " + ], + [ + "מַחַט אוֹ טַבַּעַת שֶׁנִּמְצְאוּ בִנְחֻשְׁתּוֹ שֶׁל תַּנּוּר, נִרְאִין אֲבָל לֹא יוֹצְאִים, אִם אוֹפֶה אֶת הַבָּצֵק וְהוּא נוֹגֵעַ בָּהֶן, טָמֵא. בְּאֵיזֶה בָצֵק אָמְרוּ, בְּבָצֵק הַבֵּינוֹנִי. נִמְצְאוּ בִטְפֵלַת הַתַּנּוּר מֻקָּף צָמִיד פָּתִיל, אִם בְּטָמֵא, טְמֵאִין. וְאִם בְּטָהוֹר, טְהוֹרִים. נִמְצְאוּ בִמְגוּפַת הֶחָבִית, מִצִּדֶּיהָ, טְמֵאִים, מִכְּנֶגֶד פִּיהָ, טְהוֹרִים. נִרְאִין בְּתוֹכָהּ אֲבָל לֹא לַאֲוִירָהּ, טְהוֹרִין. שׁוֹקְעִים בְּתוֹכָהּ וְתַחְתֵּיהֶם כִּקְלִפַּת הַשּׁוּם, טְהוֹרִין: \n", + "חָבִית שֶׁהִיא מְלֵאָה מַשְׁקִין טְהוֹרִין וּמְנִיקָת בְּתוֹכָהּ, מֻקֶּפֶת צָמִיד פָּתִיל וּנְתוּנָה בְאֹהֶל הַמֵּת, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, הֶחָבִית וְהַמַּשְׁקִין טְהוֹרִין, וּמְנִיקָת טְמֵאָה. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִין, אַף מְנִיקָת טְהוֹרָה. חָזְרוּ בֵית הִלֵּל לְהוֹרוֹת כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי: \n", + "הַשֶּׁרֶץ שֶׁנִּמְצָא לְמַטָּה מִנְּחֻשְׁתּוֹ שֶׁל תַּנּוּר, טָהוֹר, שֶׁאֲנִי אוֹמֵר, חַי נָפַל וְעַכְשָׁיו מֵת. מַחַט אוֹ טַבַּעַת שֶׁנִּמְצְאוּ לְמַטָּה מִנְּחֻשְׁתּוֹ שֶׁל תַּנּוּר, טָהוֹר, שֶׁאֲנִי אוֹמֵר, שָׁם הָיוּ עַד שֶׁלֹּא בָא הַתַּנּוּר. נִמְצְאוּ בְאֵפֶר מִקְלֶה, טָמֵא, שֶׁאֵין לוֹ בַמֶּה יִתְלֶה: \n", + "סְפוֹג שֶׁבָּלַע מַשְׁקִין טְמֵאִין וְנָגוּב מִבַּחוּץ וְנָפַל לַאֲוִיר הַתַּנּוּר, טָמֵא, שֶׁסּוֹף מַשְׁקֶה לָצֵאת. וְכֵן חֲתִיכָה שֶׁל לֶפֶת וְשֶׁל גֶּמִי. רַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר בִּשְׁנֵי אֵלּוּ: \n", + "חֲרָסִין שֶׁנִּשְׁתַּמֵּשׁ בָּהֶן מַשְׁקִין טְמֵאִין וְנָפְלוּ לַאֲוִיר הַתַּנּוּר, הֻסַּק הַתַּנּוּר, טָמֵא, שֶׁסּוֹף מַשְׁקֶה לָצֵאת. וְכֵן בְּגֶפֶת חֲדָשָׁה, אֲבָל בִּישָׁנָה, טָהוֹר. וְאִם יָדוּעַ שֶׁיּוֹצֵא מֵהֶן מַשְׁקִין, אֲפִלּוּ לְאַחַר שָׁלֹשׁ שָׁנִים, נִטְמָא: \n", + "הַגֶּפֶת וְהַזַּגִּין שֶׁנַּעֲשׂוּ בְטָהֳרָה וְהָלְכוּ עֲלֵיהֶם טְמֵאִים, וְאַחַר כָּךְ יָצְאוּ מֵהֶן מַשְׁקִין, טְהוֹרִין, שֶׁמִּתְּחִלָּתָן נַעֲשׂוּ בְטָהֳרָה. כּוּשׁ שֶׁבָּלַע אֶת הַצִּנּוֹרָא, מַלְמָד שֶׁבָּלַע אֶת הַדָּרְבָן, לְבֵנָה שֶׁבָּלְעָה אֶת הַטַּבַּעַת, וְהֵן טְהוֹרִים, נִכְנְסוּ לְאֹהֶל הַמֵּת, נִטְמָאוּ. הֱסִיטָן הַזָּב, נִטְמָאוּ. נָפְלוּ לַאֲוִיר הַתַּנּוּר טָהוֹר, טִמְּאוּהוּ. נָגַע בָּהֶן כִּכָּר שֶׁל תְּרוּמָה, טָהוֹר: \n", + "סְרֵידָה שֶׁהִיא נְתוּנָה עַל פִּי הַתַּנּוּר מֻקָּף צָמִיד פָּתִיל, נִסְדַּק מִן הַתַּנּוּר לַסְּרֵידָה, שִׁעוּרוֹ מְלֹא פִי מַרְדֵּעַ שֶׁלֹּא נִכְנָס. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, נִכְנָס. נִסְדְּקָה סְרֵידָה, שִׁעוּרוֹ כִמְלֹא פִי מַרְדֵּע נִכְנָס. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שֶׁלֹּא נִכְנָס. הָיָה עָגֹל, אֵין רוֹאִין אוֹתוֹ אָרֹךְ, אֶלָּא שִׁעוּרוֹ כִמְלֹא פִי מַרְדֵּעַ נִכְנָס: \n", + "תַּנּוּר שֶׁנִּקַּב מֵעֵינוֹ, שִׁעוּרוֹ מְלֹא כוּשׁ נִכְנָס וְיוֹצֵא דּוֹלֵק. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שֶׁלֹּא דוֹלֵק. נִקַּב מִצִּדּוֹ, שִׁעוּרוֹ כִמְלֹא כוּשׁ נִכְנָס וְיוֹצֵא שֶׁלֹּא דוֹלֵק. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, דּוֹלֵק. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, מִן הָאֶמְצָע, נִכְנָס. מִן הַצַּד, אֵינוֹ נִכְנָס. וְכֵן הָיָה אוֹמֵר בִּמְגוּפַת הֶחָבִית שֶׁנִּקְּבָה, שִׁעוּרָהּ מְלֹא מִיצָה שְׁנִיָּה שֶׁל שִׁיפוֹן. מִן הָאֶמְצָע, נִכְנָס. מִן הַצַּד, אֵינוֹ נִכְנָס. וְכֵן הָיָה אוֹמֵר בַּחֲצָבִים גְּדוֹלִים שֶׁנִּקְּבוּ, שִׁעוּרָם מְלֹא מִיצָה שְׁנִיָּה שֶׁל קָנֶה. מִן הָאֶמְצָע, נִכְנָס. מִן הַצַּד, אֵינוֹ נִכְנָס. בַּמֶּה דְבָרִים אֲמוּרִים, בִּזְמַן שֶׁנַּעֲשׂוּ לְיַיִן, אֲבָל אִם נַעֲשׂוּ לִשְׁאָר מַשְׁקִין, אֲפִלּוּ כָל שֶׁהוּא, טְמֵאִים. בַּמֶּה דְבָרִים אֲמוּרִים, בִּזְמַן שֶׁלֹּא נַעֲשׂוּ בִידֵי אָדָם. אֲבָל אִם נַעֲשׂוּ בִידֵי אָדָם, אֲפִלּוּ כָל שֶׁהוּא, טְמֵאִים. נִקְּבוּ, הֶעָשׂוּי לָאֳכָלִים, שִׁעוּרָן בְּזֵיתִים. הֶעָשׂוּי לְמַשְׁקִים, שִׁעוּרָן בְּמַשְׁקִים. הֶעָשׂוּי לְכָךְ וּלְכָךְ, מַטִּילִים אוֹתוֹ לְחֻמְרוֹ, בְּצָמִיד פָּתִיל וּבְכוֹנֵס מַשְׁקֶה: \n" + ], + [ + "אֵלּוּ כֵלִים מַצִּילִין בְּצָמִיד פָּתִיל, כְּלֵי גְלָלִים, כְּלֵי אֲבָנִים, כְּלֵי אֲדָמָה, כְּלֵי חֶרֶס, וּכְלֵי נֶתֶר, עַצְמוֹת הַדָּג וְעוֹרוֹ, עַצְמוֹת חַיָּה שֶׁבַּיָּם וְעוֹרָהּ, וּכְלֵי עֵץ הַטְּהוֹרִים. מַצִּילִים בֵּין מִפִּיהֶם בֵּין מִצִּדֵּיהֶן, בֵּין יוֹשְׁבִין עַל שׁוּלֵיהֶן בֵּין מֻטִּין עַל צִדֵּיהֶן. הָיוּ כְפוּיִים עַל פִּיהֶן, מַצִּילִים כֹּל שֶׁתַּחְתֵּיהֶן עַד הַתְּהוֹם. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַמֵּא. עַל הַכֹּל מַצִּילִין, חוּץ מִכְּלֵי חֶרֶס, שֶׁאֵינוֹ מַצִּיל אֶלָּא עַל הָאֳכָלִים וְעַל הַמַּשְׁקִין וְעַל כְּלֵי חָרֶס: \n", + "בַּמֶּה מַקִּיפִים. בְּסִיד וּבְגִפְּסִיס, בְּזֶפֶת וּבְשַׁעֲוָה, בְּטִיט וּבְצוֹאָה, בְּחֹמֶר וּבְחַרְסִית, וּבְכָל דָּבָר הַמִּתְמָרֵחַ. אֵין מַקִּיפִים לֹא בְּבַעַץ וְלֹא בְעוֹפֶרֶת, מִפְּנֵי שֶׁהוּא פָתִיל וְאֵינוֹ צָמִיד. אֵין מַקִּיפִין לֹא בִדְבֵלָה שְׁמֵנָה, וְלֹא בְּבָצֵק שֶׁנִּלּוֹשׁ בְּמֵי פֵרוֹת, שֶׁלֹּא יְבִיאֶנּוּ לִידֵי פְסוּל. וְאִם הִקִּיף, הִצִּיל: \n", + "מְגוּפַת הֶחָבִית הַמְחֻלְחֶלֶת וְאֵינָהּ נִשְׁמֶטֶת, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מַצֶּלֶת. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵינָהּ מַצֶּלֶת. הָיָה בֵית אֶצְבַּע שֶׁלָּהּ שׁוֹקֵעַ בְּתוֹכָהּ, הַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכָהּ, הֶחָבִית טְמֵאָה. הַשֶּׁרֶץ בֶּחָבִית, אֳכָלִין שֶׁבְּתוֹכָהּ טְמֵאִים: \n", + "הַכַּדּוּר וְהַפְּקַעַת שֶׁל גֶּמִי שֶׁנְּתָנָן עַל פִּי הֶחָבִית, אִם מֵרַח מִן הַצְּדָדִין, לֹא הִצִּיל, עַד שֶׁיְּמָרַח מִלְמַעְלָן וּמִלְּמַטָּן. וְכֵן בְּמַטְלִית שֶׁל בֶּגֶד. הָיְתָה שֶׁל נְיָר אוֹ שֶׁל עוֹר, וּקְשָׁרָהּ בִּמְשִׁיחָה, אִם מֵרַח מִן הַצְּדָדִין, הִצִּיל: \n", + "חָבִית שֶׁנִּתְקַלְּפָה וְהַזֶּפֶת שֶׁלָּהּ עוֹמֶדֶת, וְכֵן קְבוֹסִים שֶׁל מֻרְיָס שֶׁגְּפָתָן עִם הַשָּׂפָה, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אֵינָם מַצִּילִין. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, מַצִּילִין: \n", + "חָבִית שֶׁנִּקְּבָה וּסְתָמוּהָ שְׁמָרִים, הִצִּילוּהָ. פְּקָקָהּ בִּזְמוֹרָה, עַד שֶׁיְּמָרַח מִן הַצְּדָדִים. הָיוּ שְׁתַּיִם, עַד שֶׁיְּמָרַח מִן הַצְּדָדִין וּבֵין זְמוֹרָה לַחֲבֶרְתָּהּ. נֶסֶר שֶׁהוּא נָתוּן עַל פִּי הַתַּנּוּר, אִם מֵרַח מִן הַצְּדָדִין, הִצִּיל. הָיוּ שְׁנַיִם, עַד שֶׁיְּמָרַח מִן הַצְּדָדִין וּבֵין נֶסֶר לַחֲבֵרוֹ. עֲשָׂאָן בְּסִינִין אוֹ בְשֹׁגְמִין, אֵינוֹ צָרִיךְ לְמָרֵחַ מִן הָאֶמְצָע: \n", + "תַּנּוּר יָשָׁן בְּתוֹךְ הֶחָדָשׁ וּסְרֵידָה עַל פִּי הַיָּשָׁן, נִטַּל הַיָּשָׁן וּסְרֵידָה נוֹפֶלֶת, הַכֹּל טָמֵא. וְאִם לָאו, הַכֹּל טָהוֹר. חָדָשׁ בְּתוֹךְ הַיָּשָׁן וּסְרֵידָה עַל פִּי הַיָּשָׁן, אִם אֵין בֵּין חָדָשׁ לַסְּרֵידָה פוֹתֵחַ טֶפַח, כֹּל שֶׁבֶּחָדָשׁ טָהוֹר: \n", + "לְפָסִין זוֹ בְתוֹךְ זוֹ וְשִׂפְתוֹתֵיהֶן שָׁווֹת, הַשֶּׁרֶץ בָּעֶלְיוֹנָה אוֹ בַתַּחְתּוֹנָה, הִיא טְמֵאָה וְכֻלָּן טְהוֹרוֹת. הָיוּ בְכוֹנֵס מַשְׁקֶה, הַשֶּׁרֶץ בָּעֶלְיוֹנָה, כֻּלָּן טְמֵאוֹת. בַּתַּחְתּוֹנָה, הִיא טְמֵאָה וְכֻלָּן טְהוֹרוֹת. הַשֶּׁרֶץ בָּעֶלְיוֹנָה, וְהַתַּחְתּוֹנָה עוֹדֶפֶת, הִיא וְהַתַּחְתּוֹנָה טְמֵאָה. בָּעֶלְיוֹנָה, וְהַתַּחְתּוֹנָה עוֹדֶפֶת, כֹּל שֶׁיֶּשׁ בָּהּ מַשְׁקֶה טוֹפֵחַ, טְמֵאָה: \n" + ], + [ + "כְּלֵי מַתָּכוֹת, פְּשׁוּטֵיהֶן וּמְקַבְּלֵיהֶן טְמֵאִין. נִשְׁבְּרוּ, טָהָרוּ. חָזַר וְעָשָׂה מֵהֶן כְּלִי, חָזְרוּ לְטֻמְאָתָן הַיְשָׁנָה. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, לֹא לְכָל טֻמְאָה, אֶלָּא לְטֻמְאַת הַנָּפֶשׁ: \n", + "כָּל כְּלִי מַתָּכוֹת שֶׁיֶּשׁ לוֹ שֵׁם בִּפְנֵי עַצְמוֹ, טָמֵא, חוּץ מִן הַדֶּלֶת, וּמִן הַנֶּגֶר, וּמִן הַמַּנְעוּל, וְהַפּוֹתָה שֶׁתַּחַת הַצִּיר, וְהַצִּיר, וְהַקּוֹרָה, וְהַצִּנּוֹר, שֶׁנַּעֲשׂוּ לַקַּרְקָע: \n", + "הָעוֹשֶׂה כֵלִים מִן הָעֶשֶׁת, וּמִן הַחֲרָרָה, וּמִן הַסּוֹבֵב שֶׁל גַּלְגַּל, וּמִן הַטַּסִּין, וּמִן הַצִּפּוּיִין, מִכַּנֵּי כֵלִים, וּמֵאֹגְנֵי כֵלִים, מֵאָזְנֵי כֵלִים, מִן הַשְּׁחוֹלֶת, וּמִן הַגְּרוּדוֹת, טְהוֹרִין. רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי אוֹמֵר, אַף מִן הַקְּצוּצוֹת. מִשִּׁבְרֵי כֵלִים, מִן הַגְּרוּטִים, וּמִן הַמַּסְמְרוֹת, שֶׁיָּדוּעַ שֶׁנַּעֲשׂוּ מִכְּלִי, טְמֵאִין. מִן הַמַּסְמְרוֹת, בֵּית שַׁמַּאי מְטַמְּאִין, וּבֵית הִלֵּל מְטַהֲרִין: \n", + "בַּרְזֶל טָמֵא שֶׁבְּלָלוֹ עִם בַּרְזֶל טָהוֹר, אִם רֹב מִן הַטָּמֵא, טָמֵא. וְאִם רֹב מִן הַטָּהוֹר, טָהוֹר. מֶחֱצָה לְמֶחֱצָה, טָמֵא. וְכֵן מִן הַחֲלָמָא וּמִן הַגְּלָלִים. קְלוֹסְטְרָא, טְמֵאָה. וּמְצֻפָּה, טְהוֹרָה. הַפִּין, וְהַפּוּרְנָה, טְמֵאִין. וְהַקְּלוֹסְטְרָא, רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, שׁוֹמְטָהּ מִפֶּתַח זֶה וְתוֹלָהּ בַּחֲבֵרוֹ בְּשַׁבָּת. רַבִּי טַרְפוֹן אוֹמֵר, הֲרֵי הִיא לוֹ כְּכָל הַכֵּלִים, וּמִטַּלְטֶלֶת בֶּחָצֵר: \n", + "עַקְרָב שֶׁל פְּרֻמְבְּיָא, טְמֵאָה. וּלְחָיַיִם, טְהוֹרִים. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַמֵּא בַלְּחָיָיִם. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין טָמֵא אֶלָּא עַקְרָב. וּבִשְׁעַת חִבּוּרָן, הַכֹּל טָמֵא: \n", + "פִּיקָה שֶׁל מַתֶּכֶת, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. וּמְצֻפָּה, טְהוֹרָה. הַכּוּשׁ, וְהָאִימָּה, וְהַמַּקֵּל, וְסִמְפּוֹנְיָה, וְחָלִיל שֶׁל מַתֶּכֶת, טְמֵאִין. וּמְצֻפִּין, טְהוֹרִים. סִמְפּוֹנְיָה, אִם יֶשׁ בָּהּ בֵּית קִבּוּל כְּנָפַיִם, בֵּין כָּךְ וּבֵין כָּךְ טְמֵאָה: \n", + "קֶרֶן עֲגֻלָּה, טְמֵאָה. וּפְשׁוּטָה, טְהוֹרָה. אִם הָיְתָה מְצֻפִּית שֶׁלָּהּ שֶׁל מַתֶּכֶת, טְמֵאָה. הַקַּב שֶׁלָּהּ, רַבִּי טַרְפוֹן מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. וּבִשְׁעַת חִבּוּרָן, הַכֹּל טָמֵא. כַּיּוֹצֵא בוֹ, קְנֵי מְנוֹרָה, טְהוֹרִין. הַפֶּרַח וְהַבָּסִיס, טְמֵאִים. וּבִשְׁעַת חִבּוּרָן, הַכֹּל טָמֵא: \n", + "קַסְדָּא, טְמֵאָה. וּלְחָיַיִם, טְהוֹרִים. אִם יֵשׁ בָּהֶן בֵּית קִבּוּל מַיִם, טְמֵאִים. כָּל כְּלֵי הַמִּלְחָמָה, טְמֵאִים. הַכִּידוֹן, הַנִּיקוֹן, וְהַמַּגָּפַיִן, וְהַשִּׁרְיוֹן, טְמֵאִין. כָּל תַּכְשִׁיטֵי נָשִׁים, טְמֵאִים. עִיר שֶׁל זָהָב, קַטְלָיוֹת, נְזָמִים וְטַבָּעוֹת, וְטַבַּעַת, בֵּין שֶׁיֶּשׁ לָהּ חוֹתָם וּבֵין שֶׁאֵין לָהּ חוֹתָם, נִזְמֵי הָאָף. קַטְלָה שֶׁחֻלְיוֹת שֶׁלָּהּ שֶׁל מַתָּכוֹת בְּחוּט שֶׁל פִּשְׁתָּן אוֹ שֶׁל צֶמֶר, נִפְסַק הַחוּט, הַחֻלְיוֹת טְמֵאוֹת, שֶׁכָּל אַחַת וְאַחַת כְּלִי בִפְנֵי עַצְמָהּ. חוּט שֶׁל מַתָּכוֹת, וְחֻלְיוֹת שֶׁל אֲבָנִים טוֹבוֹת וּמַרְגָּלִיּוֹת, וְשֶׁל זְכוּכִית, נִשְׁתַּבְּרוּ הַחֻלְיוֹת, הַחוּט בִּפְנֵי עַצְמוֹ קַיָּם, טָמֵא. שְׁיָרֵי קַטְלָא, כִּמְלֹא צַוַּאר קְטַנָּה. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, אֲפִלּוּ טַבַּעַת אַחַת, טְמֵאָה, שֶׁכֵּן תּוֹלִין בַּצַּוָּאר: \n", + "נֶזֶם שֶׁהוּא עָשׂוּי כִּקְדֵרָה מִלְּמַטָּן וְכָעֲדָשָׁה מִלְמַעְלָן, וְנִפְרַק, כִּקְדֵרָה טָמֵא מִשּׁוּם כְּלִי בֵית קִבּוּל, וְכָעֲדָשָׁה טָמֵא בִפְנֵי עַצְמוֹ. צִנּוֹרָא, טְהוֹרָה. הֶעָשׂוּי כְּמִין אֶשְׁכּוֹל, וְנִפְרַק, טָהוֹר: \n" + ], + [ + "טַבַּעַת אָדָם, טְמֵאָה. טַבַּעַת בְּהֵמָה וְכֵלִים וּשְׁאָר כָּל הַטַּבָּעוֹת, טְהוֹרוֹת. קוֹרַת הַחִצִּים, טְמֵאָה. וְשֶׁל אֲסִירִין, טְהוֹרָה. הַקּוֹלָר, טְמֵאָה. שַׁלְשֶׁלֶת שֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית נְעִילָה, טְמֵאָה. הָעֲשׂוּיָה לִכְפִיתָה, טְהוֹרָה. שַׁלְשֶׁלֶת שֶׁל סִיטוֹנוֹת, טְמֵאָה, שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים טְהוֹרָה. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, אֵימָתַי, בִּזְמַן שֶׁהוּא מַפְתֵּחַ אֶחָד, אֲבָל אִם הָיוּ שְׁנַיִם, אוֹ שֶׁקָּשַׁר חִלָּזוֹן בְּרֹאשָׁהּ, טְמֵאָה: \n", + "קְנֵה מֹאזְנַיִם שֶׁל סָרוֹקוֹת, טָמֵא, מִפְּנֵי אֻנְקְלָיוֹת. וְשֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, אִם יֶשׁ בּוֹ אֻנְקְלָיוֹת, טָמֵא. אֻנְקְלִין שֶׁל כַּתָּפִין, טְהוֹרָה. וְשֶׁל רוֹכְלִים, טְמֵאָה. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שֶׁל רוֹכְלִים, שֶׁלְּפָנָיו טְמֵאָה, וְשֶׁלְּאַחֲרָיו טְהוֹרָה. אֻנְקְלִי דַרְגָּשׁ, טְמֵאָה. וְשֶׁל נַקְלִיטִין, טְהוֹרָה. שֶׁל שִׁדָּה, טְמֵאָה. וְשֶׁל אָקוֹן, טְהוֹרָה. שֶׁל שֻׁלְחָן, טָמֵא. שֶׁל מְנוֹרַת הָעֵץ, טָהוֹר. זֶה הַכְּלָל, כָּל הַמְחֻבָּר לַטָּמֵא, טָמֵא. וְהַמְחֻבָּר לַטָּהוֹר, טָהוֹר. וְכֻלָּן, אַחַת אַחַת בִּפְנֵי עַצְמָן, טְהוֹרוֹת: \n", + "כִּסּוּי טֶנִי שֶׁל מַתֶּכֶת, שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, רַבָּן גַּמְלִיאֵל מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. וְשֶׁל רוֹפְאִים, טָמֵא. הַדֶּלֶת שֶׁבַּמִּגְדָּל, שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, טְהוֹרָה. וְשֶׁל רוֹפְאִים, טְמֵאָה. הַיַּתּוּכִין, טְמֵאִים. וְהַפְּרָכִין, טְהוֹרִין. עַקְרַב בֵּית הַבַּד, טְמֵאָה. וְאֻנְקְלִי שֶׁבַּכְּתָלִים, טְהוֹרָה: \n", + "מַסְמֵר הַגָּרָע, טָמֵא. וְשֶׁל אֶבֶן הַשָּׁעוֹת, טָהוֹר. רַבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא. מַסְמֵר הַגַּרְדִּי, טָמֵא. וְאָרוֹן שֶׁל גָּרוֹסוֹת, רַבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. הָיְתָה עֲגָלָה שֶׁלָּהּ שֶׁל מַתֶּכֶת, טְמֵאָה: \n", + "מַסְמֵר שֶׁהִתְקִינוֹ לִהְיוֹת פּוֹתֵחַ וְנוֹעֵל בּוֹ, טָמֵא. הֶעָשׂוּי לִשְׁמִירָה, טָהוֹר. מַסְמֵר שֶׁהִתְקִינוֹ לִהְיוֹת פּוֹתֵחַ בּוֹ אֶת הֶחָבִית, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא. וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, עַד שֶׁיִּצְרְפֶנּוּ. מַסְמֵר שֶׁל שֻׁלְחָנִי, טָהוֹר. וְרַבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא. שְׁלֹשָׁה דְבָרִים רַבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. מַסְמֵר שֶׁל שֻׁלְחָנִי, וְאָרוֹן שֶׁל גָּרוֹסוֹת, וּמַסְמֵר שֶׁל אֶבֶן הַשָּׁעוֹת, רַבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: \n", + "אַרְבָּעָה דְּבָרִים רַבָּן גַּמְלִיאֵל מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. כִּסּוּי טֶנִי שֶׁל מַתֶּכֶת שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, וּתְלוֹי הַמַּגְרֵדוֹת, וְגֹלְמֵי כְלֵי מַתָּכוֹת, וְטַבְלָה שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנָיִם. וּמוֹדִים חֲכָמִים לְרַבָּן גַּמְלִיאֵל בְּטַבְלָה שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנַיִם, אֶחָד גָּדוֹל וְאֶחָד קָטָן, שֶׁהַגָּדוֹל טָמֵא וְהַקָּטָן טָהוֹר: \n", + "דִּינָר שֶׁנִּפְסַל וְהִתְקִינוֹ לִתְלוֹתוֹ בְצַוַּאר קְטַנָּה, טָמֵא. וְכֵן סֶלַע שֶׁנִּפְסְלָה וְהִתְקִינָהּ לִהְיוֹת שׁוֹקֵל בָּהּ, טְמֵאָה. עַד כַּמָּה תִפָּסֵל וִיהֵא רַשַּׁאי לְקַיְּמָהּ, עַד שְׁנֵי דִינָרִין. פָּחוֹת מִכָּאן, יָקֹץ: \n", + "הָאוֹלָר, וְהַקֻּלְמוֹס, וְהַמְּטוּטֶלֶת, וְהַמִּשְׁקָלוֹת, וְהַכּוּרִים, וְהַכַּן, וְהַכַּנָּא, טְמֵאִים. וְכָל גֹּלְמֵי כְלֵי עֵץ, טְמֵאִים, חוּץ מִשֶּׁל אֶשְׁכְּרוֹעַ. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַף גְּרוֹפִית שֶׁל זַיִת, טְהוֹרָה, עַד שֶׁתִּשָּׁלֵק: \n" + ], + [ + "הַסַּיִף, וְהַסַּכִּין, וְהַפִּגְיוֹן, וְהָרֹמַח, מַגַּל יָד וּמַגַּל קָצִיר, וְהַשְּׁחוֹר וְזוּג שֶׁל סַפָּרִים, שֶׁנֶּחֱלְקוּ, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, הַסָּמוּךְ לַיָּד, טָמֵא. וְהַסָּמוּךְ לָרֹאשׁ, טָהוֹר. מִסְפֶּרֶת שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנַיִם, רַבִּי יְהוּדָה מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: \n", + "קֹלִגְרִיפוֹן שֶׁנִּטְּלָה כַפָּהּ, טְמֵאָה מִפְּנֵי שִׁנָּהּ. נִטְּלָה שִׁנָּהּ, טְמֵאָה מִפְּנֵי כַפָּהּ. מִכְחוֹל שֶׁנִּטַּל הַכַּף, טָמֵא מִפְּנֵי הַזָּכָר. נִטַּל הַזָּכָר, טָמֵא מִפְּנֵי הַכָּף. מַכְתֵּב שֶׁנִּטַּל הַכּוֹתֵב, טָמֵא מִפְּנֵי הַמּוֹחֵק. נִטַּל הַמּוֹחֵק, טָמֵא מִפְּנֵי הַכּוֹתֵב. זוֹמָא לִסְטְרָא שֶׁנִּטְּלָה כַפָּהּ, טְמֵאָה מִפְּנֵי הַמַּזְלֵג. נִטַּל הַמַּזְלֵג, טְמֵאָה מִפְּנֵי כַפָּהּ. וְכֵן הַשֵּׁן שֶׁל מַעְדֵּר. שִׁעוּר כֻּלָּן, כְּדֵי לַעֲשׂוֹת מְלַאכְתָּן: \n", + "חַרְחוּר שֶׁנִּפְגַּם, טָמֵא, עַד שֶׁיִּנָּטֵל רֻבּוֹ. נִשְׁבַּר מְקוֹפוֹ, טָהוֹר. קֻרְדֹּם שֶׁנִּטַּל עֻשְׁפּוֹ, טָמֵא מִפְּנֵי בֵית בִּקּוּעוֹ. נִטַּל בֵּית בִּקּוּעוֹ, טָמֵא מִפְּנֵי עֻשְׁפּוֹ. נִשְׁבַּר מְקוֹפוֹ, טָהוֹר: \n", + "מַגְרֵפָה שֶׁנִּטְּלָה כַפָּהּ, טְמֵאָה מִפְּנֵי שֶׁהִיא כְקֻרְנָס, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. מְגֵרָה שֶׁנִּטְּלוּ שִׁנֶּיהָ אַחַת מִבֵּינְתַיִם, טְהוֹרָה. נִשְׁתַּיֵּר בָּהּ מְלֹא הַסִּיט בְּמָקוֹם אֶחָד, טְמֵאָה. הַמַּעֲצָד וְהָאִזְמֵל וְהַמַּפְסֶלֶת וְהַמַּקְדֵּחַ, שֶׁנִּפְגְּמוּ, טְמֵאִים. נִטַּל חִסּוּמָן, טְהוֹרִין. וְכֻלָּן שֶׁנֶּחְלְקוּ לִשְׁנַיִם, טְמֵאִים, חוּץ מִן הַמַּקְדֵּחַ. וְהָרוּקְנִי בִפְנֵי עַצְמָהּ, טְהוֹרָה: \n", + "מַחַט שֶׁנִּטַּל חֲרִירָהּ אוֹ עֻקְצָהּ, טְהוֹרָה. אִם הִתְקִינָהּ לְמִתּוּחַ, טְמֵאָה. שֶׁל סַקָּיִין שֶׁנִּטַּל חֲרִירָהּ, טְמֵאָה, מִפְּנֵי שֶׁהוּא כוֹתֵב בָּהּ. נִטַּל עֻקְצָהּ, טְהוֹרָה. שֶׁל מִתּוּחַ, בֵּין כָּךְ וּבֵין כָּךְ טְמֵאָה. מַחַט שֶׁהֶעֶלְתָה חֲלֻדָּה, אִם מְעַכֶּבֶת אֶת הַתְּפִירָה, טְהוֹרָה. וְאִם לָאו, טְמֵאָה. צִנּוֹרָא שֶׁפְּשָׁטָהּ, טְהוֹרָה. כְּפָפָהּ, חָזְרָה לְטֻמְאָתָהּ: \n", + "עֵץ הַמְשַׁמֵּשׁ אֶת הַמַּתֶּכֶת, טָמֵא. וְהַמַּתֶּכֶת הַמְשַׁמֵּשׁ אֶת הָעֵץ, טְהוֹרָה. כֵּיצַד, פּוֹתַחַת שֶׁל עֵץ וְהַפִּין שֶׁלָּהּ שֶׁל מַתֶּכֶת, אֲפִלּוּ אַחַת, טְמֵאָה. פּוֹתַחַת שֶׁל מַתֶּכֶת וְהַפִּין שֶׁלָּהּ שֶׁל עֵץ, טְהוֹרָה. טַבַּעַת שֶׁל מַתֶּכֶת וְחוֹתָם שֶׁלָּהּ שֶׁל אַלְמוֹג, טְמֵאָה. טַבַּעַת שֶׁל אַלְמוֹג וְחוֹתָם שֶׁלָּהּ שֶׁל מַתֶּכֶת, טְהוֹרָה. הַשֵּׁן שֶׁבַּטַּס, שֶׁבַּפּוֹתַחַת, וְשֶׁבַּמַּפְתֵּחַ, טְמֵאָה בִּפְנֵי עַצְמָהּ: \n", + "הַכַּדּוּמִין הָאַשְׁקְלוֹנִין שֶׁנִּשְׁבְּרוּ וְהָאֻנְקְלִי שֶׁלָּהֶן קַיֶּמֶת, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. הַמַּעְבֵּר, וְהַמַּזְרֶה, וְהַמַּגּוֹב, וְכֵן מַסְרֵק שֶׁל רֹאשׁ שֶׁנִּטְּלָה אַחַת מִשִּׁנֵּיהֶן, וַעֲשָׂאָן שֶׁל מַתֶּכֶת, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. וְעַל כֻּלָּן אָמַר רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, דְּבַר חִדּוּשׁ חִדְּשׁוּ סוֹפְרִים, וְאֵין לִי מָה אָשִׁיב: \n", + "מַסְרֵק שֶׁל פִּשְׁתָּן שֶׁנִּטְּלוּ שִׁנָּיו וְנִשְׁתַּיֵּר בּוֹ שְׁתַּיִם, טָמֵא. וְאַחַת, טָהוֹר. וְכֻלָּן, אַחַת אַחַת בִּפְנֵי עַצְמָן, טְמֵאוֹת. וְשֶׁל צֶמֶר שֶׁנִּטְּלוּ שִׁנָּיו אַחַת מִבֵּינְתַיִם, טָהוֹר. נִשְׁתַּיֵּר בּוֹ שָׁלֹשׁ בְּמָקוֹם אֶחָד, טָמֵא. הָיְתָה הַחִיצוֹנָה אַחַת מֵהֶן, טָהוֹר. נִטְּלוּ מִמֶּנּוּ שְׁתַּיִם וַעֲשָׂאָן לְמַלְקֶטֶת, טְמֵאוֹת. אַחַת וְהִתְקִינָהּ לְנֵר אוֹ לְמִתּוּחַ, טְמֵאָה: \n" + ], + [ + "כְּלֵי מַתָּכוֹת, כַּמָּה הוּא שִׁעוּרָן. הַדְּלִי, כְּדֵי לְמַלֹּאת בּוֹ. קֻמְקוּם, כְּדֵי לֵיחֵם בּוֹ. מֵחַם, כְּדֵי לְקַבֵּל סְלָעִים. הַלֶּפֶס, כְּדֵי לְקַבֵּל קִיתוֹנוֹת. קִיתוֹנוֹת, כְּדֵי לְקַבֵּל פְּרוּטוֹת. מִדּוֹת יַיִן, בְּיַיִן. וּמִדּוֹת שֶׁמֶן, בְּשָׁמֶן. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, כֻּלָּן בִּפְרוּטוֹת. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, הַמְחֻסָּר חֲטִיפָה, טָמֵא. וְהַמְחֻסָּר לְטִישָׁה, טָהוֹר: \n", + "מַקֵּל שֶׁעָשָׂה בְרֹאשׁוֹ מַסְמֵר כְּמִין חַזְיָנָא, טָמֵא. סִמְּרוֹ, טָמֵא. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, עַד שֶׁיַּעֲשֶׂה בוֹ שְׁלֹשָׁה סְדָרִים. וְכֻלָּן שֶׁעֲשָׂאָן לְנוֹי, טְהוֹרִין. עָשָׂה בְרֹאשׁוֹ מְנִיקָת, וְכֵן בַּדֶּלֶת, טְהוֹרָה. הָיְתָה כְלִי וְחִבְּרָהּ לוֹ, טְמֵאָה. מֵאֵימָתַי הִיא טָהֳרָתָהּ, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, מִשֶּׁיְּחַבֵּל. בֵּית הִלֵּל אוֹמְרִים, מִשֶּׁיְּחַבֵּר: \n", + "הַקַּנְטָר שֶׁל בַּנַּאי, וְהַדָּקוֹר שֶׁל חָרָשׁ, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. יִתְדוֹת אֹהָלִים וְיִתְדוֹת הַמָּשׁוֹחוֹת, טְמֵאוֹת. שַׁלְשֶׁלֶת שֶׁל מָשׁוֹחוֹת, טְמֵאָה. הָעֲשׂוּיָה לָעֵצִים, טְהוֹרָה. שַׁלְשֶׁלֶת דְּלִי גָדוֹל, אַרְבָּעָה טְפָחִים. וְשֶׁל קָטָן, עֲשָׂרָה. חֲמוֹר שֶׁל נַפָּחִין, טָמֵא. מְגֵרָה שֶׁעָשָׂה שִׁנֶּיהָ בְתוֹךְ הַחוֹר, טְמֵאָה. עֲשָׂאָהּ מִלְּמַטָּן לְמַעְלָן, טְהוֹרָה. וְכָל הַכְּסוּיִן טְהוֹרִים, חוּץ מִשֶּׁל מֵחָם: \n", + "הַטְּמֵאִין שֶׁבָּעֲגָלָה, הָעֹל שֶׁל מַתֶּכֶת, וְהַקַּטְרָב, וְהַכְּנָפַיִם הַמְקַבְּלוֹת אֶת הָרְצוּעוֹת, וְהַבַּרְזֶל שֶׁתַּחַת צַוְּארֵי בְהֵמָה, הַסּוֹמֵךְ, וְהַמַּחְגֵּר, וְהַתַּמְחוּיוֹת, הָעִנְבָּל, וְהַצִּנּוֹרָה, וּמַסְמֵר הַמְחַבֵּר אֶת כֻּלָּן: \n", + "הַטְּהוֹרִין שֶׁבָּעֲגָלָה, הָעֹל הַמְצֻפֶּה, כְּנָפַיִם הָעֲשׂוּיוֹת לְנוֹי, וּשְׁפוֹפָרוֹת הַמַּשְׁמִיעוֹת אֶת הַקּוֹל, וְהָאֲבָר שֶׁבְּצַד צַוְּארֵי בְהֵמָה, הַסּוֹבֵב שֶׁל גַּלְגַּל, הַטַּסִּים, וְהַצִּפּוּיִים, וּשְׁאָר כָּל הַמַּסְמְרוֹת, טְהוֹרִין. סַנְדְּלֵי בְהֵמָה שֶׁל מַתָּכוֹת, טְמֵאִין. שֶׁל שַׁעַם, טְהוֹרִין. הַסַּיִף מֵאֵימָתַי מְקַבֵּל טֻמְאָה, מִשֶּׁיְּשׁוּפֶנּוּ. וְהַסַּכִּין, מִשֶּׁיַשְׁחִיזֶנָּה: \n", + "כְּסוּי טֶנִי שֶׁל מַתֶּכֶת שֶׁעָשָׂה בוֹ מַרְאָה, רַבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. מַרְאָה שֶׁנִּשְׁבְּרָה, אִם אֵינָהּ מַרְאָה אֶת רֹב הַפָּנִים, טְהוֹרָה: \n", + "כְּלֵי מַתָּכוֹת מִטַּמְּאִין וּמִטַּהֲרִין שְׁבוּרִין, דִּבְרֵי רַבִּי אֱלִיעֶזֶר. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, אֵינָן מִטַּהֲרִין אֶלָּא שְׁלֵמִין. כֵּיצַד, הִזָּה עֲלֵיהֶן, נִשְׁבְּרוּ בוֹ בַיּוֹם, הִתִּיכָן וְחָזַר וְהִזָּה עֲלֵיהֶן שֵׁנִית בּוֹ בַיּוֹם, הֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִין, דִּבְרֵי רַבִּי אֱלִיעֶזֶר. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, אֵין הַזָּיָה פָּחוֹת מִשְּׁלִישִׁי וּשְׁבִיעִי: \n", + "מַפְתֵּחַ שֶׁל אַרְכֻּבָּה שֶׁנִּשְׁבַּר מִתּוֹךְ אַרְכֻּבָּתוֹ, טָהוֹר, רַבִּי יְהוּדָה מְטַמֵּא, מִפְּנֵי שֶׁהוּא פוֹתֵחַ בּוֹ מִבִּפְנִים. וְשֶׁל גַּם שֶׁנִּשְׁבַּר מִתּוֹךְ גֻּמּוֹ, טָהוֹר. הָיוּ בוֹ חָפִין וּנְקָבִין, טָמֵא. נִטְּלוּ חָפִין, טָמֵא מִפְּנֵי נְקָבִין. נִסְתַּתְּמוּ נְקָבִין, טָמֵא מִפְּנֵי חָפִין. נִטְּלוּ חָפִין וְנִסְתַּתְּמוּ נְקָבִין, אוֹ שֶׁפָּרְצוּ זֶה לְתוֹךְ זֶה, טָהוֹר. מְסַנֶּנֶת שֶׁל חַרְדָּל שֶׁנִּפְרְצוּ בָהּ שְׁלֹשָׁה נְקָבִים מִלְּמַטָּן זֶה לְתוֹךְ זֶה, טְהוֹרָה. וְהָאֲפַרְכֵּס שֶׁל מַתָּכוֹת, טְמֵאָה: \n" + ], + [ + "כְּלֵי עֵץ, כְּלֵי עוֹר, כְּלֵי עֶצֶם, כְּלֵי זְכוּכִית, פְּשׁוּטֵיהֶן טְהוֹרִין, וּמְקַבְּלֵיהֶן טְמֵאִים. נִשְׁבְּרוּ, טָהָרוּ. חָזַר וְעָשָׂה מֵהֶן כֵּלִים, מְקַבְּלִין טֻמְאָה מִכָּאן וּלְהַבָּא. הַשִּׁדָּה, וְהַתֵּבָה, וְהַמִּגְדָּל, כַּוֶּרֶת הַקַּשׁ, וְכַוֶּרֶת הַקָּנִים, וּבוֹר סְפִינָה אֲלֶכְּסַנְדְּרִית, שֶׁיֶּשׁ לָהֶם שׁוּלַיִם, וְהֵן מַחֲזִיקִין אַרְבָּעִים סְאָה בְלַח, שֶׁהֵם כּוֹרַיִם בְּיָבֵשׁ, הֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִין. וּשְׁאָר כָּל הַכֵּלִים, בֵּין מְקַבְּלִין, בֵּין אֵינָם מְקַבְּלִין, טְמֵאִין, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, דַּרְדּוּר עֲגָלָה, וְקֻסְטוֹת הַמְּלָכִים, וַעֲרֵבַת הָעַבְּדָנִין, וּבוֹר סְפִינָה קְטַנָּה, וְהָאָרוֹן, אַף עַל פִּי שֶׁמְּקַבְּלִין, טְמֵאִין, שֶׁאֵינָן עֲשׂוּיִן לִטַּלְטֵל אֶלָּא בְמַה שֶּׁבְּתוֹכָן. וּשְׁאָר כָּל הַכֵּלִים, הַמְּקַבְּלִים, טְהוֹרִין, וְשֶׁאֵינָן מְקַבְּלִין, טְמֵאִין. אֵין בֵּין דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר לְדִבְרֵי רַבִּי יְהוּדָה אֶלָּא עֲרֵבַת בַּעַל הַבָּיִת: \n", + "אֲרוּבוֹת שֶׁל נַחְתּוֹמִים, טְמֵאוֹת. וְשֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, טְהוֹרוֹת. סֵרְקָן אוֹ כִרְכְּמָן, טְמֵאוֹת. דַּף שֶׁל נַחְתּוֹמִין שֶׁקְּבָעוֹ בַכֹּתֶל, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִים. סְרוֹד שֶׁל נַחְתּוֹמִין, טָמֵא. וְשֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, טָהוֹר. גִּפְּפוֹ מֵאַרְבַּע רוּחוֹתָיו, טָמֵא. נִפְרַץ מֵרוּחַ אַחַת, טָהוֹר. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, אִם הִתְקִינוֹ לִהְיוֹת קוֹרֵץ עָלָיו, טָמֵא. וְכֵן הַמַּעֲרוֹךְ, טָמֵא: \n", + "יַם נָפָה שֶׁל סִלָּתִין, טָמֵא. וְשֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, טָהוֹר. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַף שֶׁל גּוֹדֶלֶת טָמֵא מוֹשָׁב, מִפְּנֵי שֶׁהַבָּנוֹת יוֹשְׁבוֹת בְּתוֹכוֹ וְגוֹדְלוֹת: \n", + "כָּל הַתְּלוֹיִים, טְמֵאִין, חוּץ מִתְּלוֹי נָפָה וּכְבָרָה שֶׁל בַּעַל הַבַּיִת, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, כֻּלָּן טְהוֹרִין, חוּץ מִתְּלוֹי נָפָה שֶׁל סִלָּתִין, וּתְלוֹי כִּבְרַת גְּרָנוֹת, וּתְלוֹי מַגַּל יָד, וּתְלוֹי מַקֵּל הַבַּלָּשִׁין, מִפְּנֵי שֶׁהֵן מְסַיְּעִין בִּשְׁעַת הַמְּלָאכָה. זֶה הַכְּלָל, הֶעָשׂוּי לְסַיֵּעַ בִּשְׁעַת מְלָאכָה, טָמֵא. הֶעָשׂוּי לִתְלוֹי, טָהוֹר: \n", + "רַחַת שֶׁל גָּרוֹסוֹת, טְמֵאָה. שֶׁל אוֹצָרוֹת, טְהוֹרָה. שֶׁל גִּתּוֹת, טְמֵאָה. שֶׁל גְּרָנוֹת, טְהוֹרָה. זֶה הַכְּלָל, הֶעָשׂוּי לְקַבָּלָה, טָמֵא. לְכִנּוּס, טָהוֹר: \n", + "נִבְלֵי הַשָּׁרָה, טְמֵאִין. וְנִבְלֵי בְנֵי לֵוִי, טְהוֹרִין. כָּל הַמַּשְׁקִין, טְמֵאִין. וּמַשְׁקֵה בֵית מַטְבְּחַיָּא, טְהוֹרִין. כָּל הַסְּפָרִים מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם, חוּץ מִסֵּפֶר הָעֲזָרָה. הַמַּרְכּוֹף, טָהוֹר. הַבַּטְנוֹן, וְהַנִּקְטְמוֹן, וְהָאֵרוּס, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִים. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, הָאֵרוּס טָמֵא מוֹשָׁב, מִפְּנֵי שֶׁהָאַלָּיִת יוֹשֶׁבֶת עָלָיו. מְצֻדַּת הַחֻלְדָּה, טְמֵאָה. וְשֶׁל הָעַכְבָּרִין, טְהוֹרָה: \n" + ], + [ + "כָּל כְּלִי עֵץ שֶׁנֶּחֱלַק לִשְׁנַיִם, טָהוֹר, חוּץ מִשֻּׁלְחָן הַכָּפוּל, וְתַמְחוּי הַמִּזְנוֹן, וְהָאֱפִיפוֹרִין שֶׁל בַּעֲלֵי הַבָּיִת. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַף הַמָּגֵס, וְקוֹד הַבַּבְלִי כַּיּוֹצֵא בָהֶן. כְּלֵי עֵץ, מֵאֵימָתַי מְקַבְּלִין טֻמְאָה. הַמִּטָּה וְהָעֲרִיסָה, מִשֶּׁיְּשׁוּפֵם בְּעוֹר הַדָּג. גָּמַר שֶׁלֹּא לָשׁוּף, טְמֵאָה. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, הַמִּטָּה, מִשֶּׁיְּסָרֵג בָּהּ שְׁלֹשָׁה בָתִּים: \n", + "הַסַּלִּים שֶׁל עֵץ, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב. וְשֶׁל תְּמָרָה, אַף עַל פִּי שֶׁלֹּא קִנֵּב מִבִּפְנִים, טָמֵא, שֶׁכֵּן מְקַיְּמִין. כַּלְכָּלָה, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב וְיִגְמֹר אֶת הַתְּלוֹיָה. בֵּית הַלְּגִינִין, וּבֵית הַכּוֹסוֹת, אַף עַל פִּי שֶׁלֹּא קִנֵּב מִבִּפְנִים, טָמֵא, שֶׁכֵּן מְקַיְּמִין: \n", + "הַקְּנוֹנִין הַקְּטַנִּים, וְהַקְּלָתוֹת, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב. הַקְּנוֹנִים הַגְּדוֹלִים, וְהַסּוּגִין הַגְּדוֹלִים, מִשֶּׁיַּעֲשֶׂה שְׁנֵי דוּרִים לָרֹחַב שֶׁלָּהֶם. יָם נָפָה, וּכְבָרָה, וְכַף שֶׁל מֹאזְנַיִם, מִשֶּׁיַּעֲשֶׂה דוּר אֶחָד לָרֹחַב שֶׁלָּהֶן. הַקֻּפָּה, מִשֶּׁיַּעֲשֶׂה שְׁתֵּי צְפִירוֹת לָרֹחַב שֶׁלָּהּ. וְהֶעָרָק, מִשֶּׁיַּעֲשֶׂה בוֹ צְפִירָה אֶחָת: \n", + "כְּלֵי עוֹר, מֵאֵימָתַי מְקַבְּלִין טֻמְאָה. הַתּוּרְמֵל, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב וְיַעֲשֶׂה קִיחוֹתָיו. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מִשֶּׁיַּעֲשֶׂה אֶת אָזְנָיו. סְקֹרְטְיָא, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב וְיַעֲשֶׂה אֶת צִיצָתָהּ. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מִשֶּׁיַּעֲשֶׂה אֶת טַבְּעוֹתֶיהָ. קָטָבוֹלְיָא, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מִשֶּׁיַּעֲשֶׂה אֶת קִיחוֹתֶיהָ. הַכַּר וְהַכֶּסֶת שֶׁל עוֹר, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מִשֶּׁיִּתְפְּרֵם וִישַׁיֵּר בָּהֶם פָּחוֹת מֵחֲמִשָּׁה טְפָחִים: \n", + "פָּטִילְיָה, טְמֵאָה. וַחֲסִינָה, טְהוֹרָה. סִגְנִיּוֹת שֶׁל עָלִין, טְהוֹרוֹת. שֶׁל נְצָרִין, טְמֵאוֹת. חוֹתָל שֶׁהוּא נוֹתֵן לְתוֹכוֹ וְנוֹטֵל מִתּוֹכוֹ, טָמֵא. וְאִם אֵינוֹ יָכוֹל עַד שֶׁיִּקְרָעֶנּוּ אוֹ עַד שֶׁיַּתִּירֶנּוּ, טָהוֹר: \n", + "קְסָיָה שֶׁל זוֹרֵי גְרָנוֹת, שֶׁל הוֹלְכֵי דְרָכִים, שֶׁל עוֹשֵׂי פִשְׁתָּן, טְמֵאָה. אֲבָל שֶׁל צַבָּעִין וְשֶׁל נַפָּחִין, טְהוֹרָה. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אַף שֶׁל גָּרוֹסוֹת כַּיּוֹצֵא בָהֶן. זֶה הַכְּלָל, הֶעָשׂוּי לְקַבָּלָה, טָמֵא. מִפְּנֵי הַזֵּעָה, טָהוֹר: \n", + "הַמַּלְקוֹט שֶׁל בָּקָר, וְהֶחָסִים שֶׁלּוֹ, וְהַמַּדָּף שֶׁל דְּבוֹרִים, וְהַמְּנָפָה, הֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִין. כְּסוּי שֶׁל קֻפְסָא, טָמֵא. כְּסוּי קַמְטְרָא, טָהוֹר. כְּסוּי תֵּבָה, כְּסוּי טֶנִי, וְהַמַּכְבֵּשׁ שֶׁל חָרָשׁ, וְהַכֶּסֶת שֶׁתַּחַת הַתֵּבָה, וְהַקִּמְרוֹן שֶׁלָּהּ, וְאַנְגְּלִין שֶׁל סֵפֶר, בֵּית הַנֶּגֶר, בֵּית הַמַּנְעוּל, וּבֵית הַמְּזוּזָה, וְתִיק נְבָלִין, וְתִיק כִּנּוֹרֶת, וְהָאֵמוּם שֶׁל גּוֹדְלֵי מִצְנָפוֹת, וְהַמַּרְכּוֹף שֶׁל זַמָּר, וּרְבִיעִית שֶׁל אַלָּיִת, וּגְנוֹגְנִית הֶעָנִי, וְסָמוֹכוֹת הַמִּטָּה, וּטְפוּס שֶׁל תְּפִלָּה, וְאֵמוּם שֶׁל עוֹשֵׂה סוּתוֹת, הֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִים. זֶה הַכְּלָל, אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, כָּל מְשַׁמְּשֵׁי מְשַׁמְּשָׁיו שֶׁל אָדָם בִּשְׁעַת מְלָאכָה וְשֶׁלֹּא בִשְׁעַת מְלָאכָה, טָמֵא. וְכֹל שֶׁאֵינוֹ אֶלָּא בִשְׁעַת מְלָאכָה, טָהוֹר: \n", + "תִּיק הַסַּיִף וְהַסַּכִּין וְהַפִּגְיוֹן, תִּיק מִסְפֶּרֶת וּמִסְפָּרַיִם וְהַתַּעַר, תִּיק מִכְחוֹל, וּבֵית הַכּוֹחַל, תִּיק מַכְתֵּב, וּתְרוּנְתֵּק, תִּיק טַבְלָא וּסְקֹרְטְיָא, בֵּית הַחִצִּים, בֵּית הַפָּגוֹשׁוֹת, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִים. תִּיק סִמְפּוֹנְיָא, בִּזְמַן שֶׁהוּא נוֹתֵן מִלְמַעְלָה, טָמֵא. מִצִּדּוֹ, טָהוֹר. תִּיק חֲלִילִין, רַבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר, מִפְּנֵי שֶׁהוּא נוֹתְנוֹ מִצִּדּוֹ. חִפּוּי הָאַלָּה, הַקֶּשֶׁת, וְהָרֹמַח, הֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִין. זֶה הַכְּלָל, הֶעָשׂוּי לְתִיק, טָמֵא. לְחִפּוּי, טָהוֹר: \n" + ], + [ + "כָּל כְּלֵי בַעֲלֵי בָתִּים, שִׁעוּרָן בְּרִמּוֹנִים. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, בְּמַה שֶּׁהֵן. קֻפּוֹת הַגַּנָּנִים, שִׁעוּרָן בַּאֲגֻדּוֹת שֶׁל יָרָק. שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, בְּתֶבֶן. שֶׁל בַּלָּנִין, בִּגְבָבָה. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, כֻּלָּן בְּרִמּוֹנִים: ", + "הַחֵמֶת, שִׁעוּרָהּ בִּפְקָעִיּוֹת שֶׁל שֶׁתִי. אִם אֵינָהּ מְקַבֶּלֶת שֶׁל שְׁתִי, אַף עַל פִּי שֶׁמְּקַבֶּלֶת שֶׁל עֵרֶב, טְמֵאָה. בֵּית קְעָרוֹת שֶׁאֵינוֹ מְקַבֵּל קְעָרוֹת, אַף עַל פִּי שֶׁמְּקַבֵּל אֶת הַתַּמְחוּיִין, טָמֵא. בֵּית הָרְעִי שֶׁאֵינוֹ מְקַבֵּל מַשְׁקִין, אַף עַל פִּי שֶׁמְּקַבֵּל אֶת הָרְעִי, טָמֵא. רַבָּן גַּמְלִיאֵל מְטַהֵר, מִפְּנֵי שֶׁאֵין מְקַיְּמִין אוֹתוֹ: ", + "הַסַּלִּין שֶׁל פַּת, שִׁעוּרָן בְּכִכָּרוֹת שֶׁל פָּת. אֱפִיפְיָרוֹת שֶׁעָשָׂה לָהֶן קָנִים מִלְּמַטָּן לְמַעְלָה לְחִזּוּק, טְהוֹרָה. עָשָׂה לָהּ גַּפַּיִם כָּל שֶׁהֵן, טְמֵאָה. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, אִם אֵינָהּ יְכוֹלָה לְהִנָּטֵל בַּגַּפַּיִם, טְהוֹרָה: ", + "הָרִמּוֹנִים שֶׁאָמְרוּ, שְׁלֹשָׁה, אֲחוּזִין זֶה בָזֶה. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, בְּנָפָה וּבִכְבָרָה, כְּדֵי שֶׁיִּטֹּל וִיהַלֵּךְ, וּבְקֻפָּה, כְּדֵי שֶׁיַּפְשִׁיל לַאֲחוֹרָיו. וּשְׁאָר כָּל הַכֵּלִים שֶׁאֵינָן יְכוֹלִין לְקַבֵּל רִמּוֹנִים, כְּגוֹן הָרֹבַע, וַחֲצִי הָרֹבַע, הַקְּנוֹנִים הַקְּטַנִּים, שִׁעוּרָן בְּרֻבָּן, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, בְּזֵיתִים. נִפְרְצוּ, שִׁעוּרָן בְּזֵיתִים. נִגְמְמוּ, שִׁעוּרָן בְּמַה שֶּׁהֵן: ", + "הָרִמּוֹן שֶׁאָמְרוּ, לֹא קָטָן וְלֹא גָדוֹל אֶלָּא בֵינוֹנִי. וּלְמָה הֻזְכְּרוּ רִמּוֹנֵי בָדָאן, שֶׁיְּהוּ מְקַדְּשִׁין כָּל שֶׁהֵן, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי אוֹמֵר, לְשַׁעֵר בָּהֶן אֶת הַכֵּלִים. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, לְכָךְ וּלְכָךְ הֻזְכְּרוּ, לְשַׁעֵר בָּהֶן אֶת הַכֵּלִים, וְיִהְיוּ מְקַדְּשִׁין כָּל שֶׁהֵן. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, לֹא הֻזְכְּרוּ רִמּוֹנֵי בָדָאן וַחֲצִירֵי גֶבַע, אֶלָּא שֶׁיִּהְיוּ מִתְעַשְּׂרִין וַדַּאי בְּכָל מָקוֹם: ", + "כַּבֵּיצָה שֶׁאָמְרוּ, לֹא גְדוֹלָה וְלֹא קְטַנָּה אֶלָּא בֵינוֹנִית. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מֵבִיא גְדוֹלָה שֶׁבַּגְּדוֹלוֹת וּקְטַנָּה שֶׁבַּקְּטַנּוֹת, וְנוֹתֵן לְתוֹךְ הַמַּיִם, וְחוֹלֵק אֶת הַמָּיִם. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, וְכִי מִי מוֹדִיעֵנִי אֵיזוֹהִי גְדוֹלָה וְאֵיזוֹהִי קְטַנָּה, אֶלָּא הַכֹּל לְפִי דַעְתּוֹ שֶׁל רוֹאֶה: ", + "כַּגְּרוֹגֶרֶת שֶׁאָמְרוּ, לֹא גְדוֹלָה וְלֹא קְטַנָּה אֶלָּא בֵינוֹנִית. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, הַגְּדוֹלָה שֶׁבְּאֶרֶץ יִשְׂרָאֵל הִיא הַבֵּינוֹנִית שֶׁבַּמְּדִינוֹת: ", + "כַּזַּיִת שֶׁאָמְרוּ, לֹא גָדוֹל וְלֹא קָטָן אֶלָּא בֵינוֹנִי, זֶה אֵגוֹרִי. כַּשְּׂעֹרָה שֶׁאָמְרוּ, לֹא גְדוֹלָה וְלֹא קְטַנָּה אֶלָּא בֵינוֹנִית, זוֹ מִדְבָּרִית. כָּעֲדָשָׁה שֶׁאָמְרוּ, לֹא גְדוֹלָה וְלֹא קְטַנָּה אֶלָּא בֵינוֹנִית, זוֹ מִצְרִית. כָּל הַמִּטַּלְטְלִין מְבִיאִין אֶת הַטֻּמְאָה בָּעֳבִי הַמַּרְדֵּעַ, לֹא גָדוֹל וְלֹא קָטָן אֶלָּא בֵינוֹנִי. אֵיזֶה הוּא בֵינוֹנִי, כֹּל שֶׁהֶקֵּפוֹ טֶפַח: ", + "הָאַמָּה שֶׁאָמְרוּ, בָּאַמָּה הַבֵּינוֹנִית. וּשְׁתֵּי אַמּוֹת הָיָה בְשׁוּשַׁן הַבִּירָה, אַחַת עַל קֶרֶן מִזְרָחִית צְפוֹנִית וְאַחַת עַל קֶרֶן מִזְרָחִית דְּרוֹמִית. שֶׁעַל קֶרֶן מִזְרָחִית צְפוֹנִית הָיְתָה יְתֵרָה עַל שֶׁל משֶׁה חֲצִי אֶצְבַּע. שֶׁעַל קֶרֶן מִזְרָחִית דְּרוֹמִית הָיְתָה יְתֵרָה עָלֶיהָ חֲצִי אֶצְבַּע, נִמְצֵאת יְתֵרָה עַל שֶׁל משֶׁה אֶצְבָּע. וְלָמָּה אָמְרוּ אַחַת גְּדוֹלָה וְאַחַת קְטַנָּה, אֶלָּא שֶׁהָאֻמָּנִין נוֹטְלִין בַּקְּטַנָּה וּמַחֲזִירִין בַּגְּדוֹלָה, כְּדֵי שֶׁלֹּא יָבֹאוּ לִידֵי מְעִילָה: ", + "רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, כָּל הָאַמּוֹת הָיוּ בֵינוֹנִיּוֹת, חוּץ מִמִּזְבַּח הַזָּהָב וְהַקֶּרֶן וְהַסּוֹבֵב וְהַיְסוֹד. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַמַּת הַבִּנְיָן שִׁשָּׁה טְפָחִים, וְשֶׁל כֵּלִים חֲמִשָּׁה: ", + "וְיֵשׁ שֶׁאָמְרוּ בְּמִדָּה דַקָּה, מִדּוֹת הַלַּח וְהַיָּבֵשׁ שִׁעוּרָן בָּאִיטַלְקִי, זוֹ מִדְבָּרִית. וְיֵשׁ שֶׁאָמְרוּ, הַכֹּל לְפִי מַה שֶּׁהוּא אָדָם, הַקּוֹמֵץ אֶת הַמִּנְחָה, וְהַחוֹפֵן אֶת הַקְּטֹרֶת, וְהַשּׁוֹתֶה כִמְלֹא לֻגְמָיו בְּיוֹם הַכִּפּוּרִים, וְכִמְזוֹן שְׁתֵּי סְעֻדּוֹת לָעֵרוּב, מְזוֹנוֹ לְחֹל אֲבָל לֹא לְשַׁבָּת, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, לְשַׁבָּת אֲבָל לֹא לְחֹל. אֵלּוּ וָאֵלּוּ מִתְכַּוְּנִין לְהָקֵל. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, מִשְּׁתֵּי יָדוֹת לְכִכָּר, מִשָּׁלֹשׁ לְקָב. רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן בְּרוֹקָא אוֹמֵר, מִכִּכָּר בְּפֻנְדְּיוֹן, מֵאַרְבַּע סְאִין בְּסָלַע: ", + "וְיֵשׁ שֶׁאָמְרוּ בְמִדָּה גַסָּה, מְלֹא תַרְוָד רָקָב, כִּמְלֹא תַרְוָד גָּדוֹל שֶׁל רוֹפְאִים. וּגְרִיס נְגָעִים, כַּגְּרִיס הַקִּלְקִי. הָאוֹכֵל בְּיוֹם הַכִּפּוּרִים כַּכּוֹתֶבֶת הַגַּסָּה, כָּמוֹהָ וּכְגַּרְעִינָתָהּ. וְנוֹדוֹת יַיִן וָשֶׁמֶן, שִׁעוּרָן כְּפִיקָה גְדוֹלָה שֶׁלָּהֶן. וּמָאוֹר שֶׁלֹּא נַעֲשָׂה בִידֵי אָדָם, שִׁעוּרוֹ כִמְלֹא אֶגְרוֹף גָּדוֹל, זֶה הוּא אֶגְרוֹפוֹ שֶׁל בֶּן בָּטִיחַ. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, יֶשְׁנוֹ כְרֹאשׁ גָּדוֹל שֶׁל אָדָם. וְשֶׁנַּעֲשָׂה בִידֵי אָדָם, שִׁעוּרוֹ כִמְלֹא מַקְדֵּחַ גָּדוֹל שֶׁל לִשְׁכָּה, שֶׁהוּא כְפֻנְדְּיוֹן הָאִיטַלְקִי, וּכְסֶלַע הַנֵּירוֹנִית, וְכִמְלֹא נֶקֶב שֶׁבָּעֹל: ", + "כֹּל שֶׁבַּיָּם טָהוֹר, חוּץ מִכֶּלֶב הַמַּיִם, מִפְּנֵי שֶׁהוּא בוֹרֵחַ לַיַּבָּשָׁה, דִּבְרֵי רַבִּי עֲקִיבָא. הָעוֹשֶׂה כֵלִים מִן הַגָּדֵל בַּיָּם וְחִבֵּר לָהֶם מִן הַגָּדֵל בָּאָרֶץ, אֲפִלּוּ חוּט, אֲפִלּוּ מְשִׁיחָה, דָּבָר שֶׁהוּא מְקַבֵּל טֻמְאָה, טָמֵא: ", + "וְיֵשׁ בְּמֶה שֶּׁנִּבְרָא בַיּוֹם הָרִאשׁוֹן טֻמְאָה, בַּשֵּׁנִי אֵין בּוֹ טֻמְאָה, בַּשְּׁלִישִׁי יֶשׁ בּוֹ טֻמְאָה, בָּרְבִיעִי וּבַחֲמִישִׁי אֵין בָּהֶם טֻמְאָה, חוּץ מִכְּנַף הָעוֹז וּבֵיצַת נַעֲמִית הַמְצֻפָּה. אָמַר רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי, מַה נִּשְׁתַּנָּה כְנַף הָעוֹז מִכָּל הַכְּנָפָיִם. וְכֹל שֶׁנִּבְרָא בַיּוֹם הַשִּׁשִּׁי, טָמֵא: ", + "הָעוֹשֶׂה כְלִי קִבּוּל, מִכָּל מָקוֹם, טָמֵא. הָעוֹשֶׂה מִשְׁכָּב וּמוֹשָׁב, מִכָּל מָקוֹם, טָמֵא. הָעוֹשֶׂה כִיס מֵעוֹר הַמַּצָּה, מִן הַנְּיָר, טָמֵא. הָרִמּוֹן, הָאַלּוֹן, וְהָאֱגוֹז, שֶׁחֲקָקוּם הַתִּינוֹקוֹת לָמֹד בָּהֶם אֶת הֶעָפָר אוֹ שֶׁהִתְקִינוּם לְכַף מֹאזְנַיִם, טָמֵא, שֶׁיֶּשׁ לָהֶם מַעֲשֶׂה וְאֵין לָהֶם מַחֲשָׁבָה: ", + "קְנֵה מֹאזְנַיִם וְהַמָּחוֹק שֶׁיֶּשׁ בָּהֶן בֵּית קִבּוּל מַתָּכוֹת, וְהָאֵסֶל שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית קִבּוּל מָעוֹת, וְקָנֶה שֶׁל עָנִי שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית קִבּוּל מַיִם, וּמַקֵּל שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית קִבּוּל מְזוּזָה וּמַרְגָּלִיּוֹת, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. וְעַל כֻּלָּן אָמַר רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן זַכַּאי, אוֹי לִי אִם אֹמַר, אוֹי לִי אִם לֹא אֹמַר: ", + "תַּחְתִּית הַצּוֹרְפִים, טְמֵאָה. וְשֶׁל נַפָּחִין, טְהוֹרָה. מַשְׁחֶזֶת שֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית קִבּוּל שֶׁמֶן, טְמֵאָה. וְשֶׁאֵין בָּהּ, טְהוֹרָה. פִּנְקָס שֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית קִבּוּל שַׁעֲוָה, טְמֵאָה. וְשֶׁאֵין בָּהּ, טְהוֹרָה. מַחֲצֶלֶת הַקַּשׁ וּשְׁפוֹפֶרֶת הַקַּשׁ, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא, וְרַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי מְטַהֵר. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, אַף שֶׁל פַּקּוּעוֹת כַּיּוֹצֵא בָהֶן. מַחֲצֶלֶת קָנִים וְשֶׁל חֵלֶף, טְהוֹרָה. שְׁפוֹפֶרֶת הַקָּנֶה שֶׁחֲתָכָהּ לְקַבָּלָה, טְהוֹרָה, עַד שֶׁיּוֹצִיא אֶת כָּל הַכָּכָי: " + ], + [ + "הַשִּׁדָּה, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, נִמְדֶּדֶת מִבִּפְנִים. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, נִמְדֶּדֶת מִבַּחוּץ. מוֹדִים אֵלּוּ וָאֵלּוּ שֶׁאֵין עֳבִי הָרַגְלַיִם וָעֳבִי לִזְבְּזִין נִמְדָּד. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, מוֹדִים שֶׁעֳבִי הָרַגְלַיִם וָעֳבִי לִזְבְּזִין נִמְדָּד, וּבֵינֵיהֶם אֵינוֹ נִמְדָּד. רַבִּי שִׁמְעוֹן שְׁזוּרִי אוֹמֵר, אִם הָיוּ הָרַגְלַיִם גְּבוֹהוֹת טֶפַח, אֵין בֵּינֵיהֶם נִמְדָּד. וְאִם לָאו, בֵּינֵיהֶן נִמְדָּד: \n", + "מוּכְנִי שֶׁלָּהּ, בִּזְמַן שֶׁהִיא נִשְׁמֶטֶת, אֵינָהּ חִבּוּר לָהּ, וְאֵינָהּ נִמְדֶּדֶת עִמָּהּ, וְאֵינָהּ מַצֶּלֶת עִמָּהּ בְּאֹהֶל הַמֵּת, וְאֵין גּוֹרְרִין אוֹתָהּ בְּשַׁבָּת בִּזְמַן שֶׁיֶּשׁ בְּתוֹכָהּ מָעוֹת. וְאִם אֵינָהּ נִשְׁמֶטֶת, חִבּוּר לָהּ, וְנִמְדֶּדֶת עִמָּהּ, וּמַצֶּלֶת עִמָּהּ בְּאֹהֶל הַמֵּת, וְגוֹרְרִין אוֹתָהּ בְּשַׁבָּת אַף עַל פִּי שֶׁיֶּשׁ בְּתוֹכָהּ מָעוֹת. הַקִּמְרוֹן שֶׁלָּהּ, בִּזְמַן שֶׁהוּא קָבוּעַ, חִבּוּר לָהּ וְנִמְדָּד עִמָּהּ. וְאִם אֵינוֹ קָבוּעַ, אֵינוֹ חִבּוּר לָהּ וְאֵינוֹ נִמְדָּד עִמָּהּ. כֵּיצַד מוֹדְדִין אוֹתוֹ, רֹאשׁ תּוֹר. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אִם אֵינָהּ יְכוֹלָה לַעֲמֹד בִּפְנֵי עַצְמָהּ, טְהוֹרָה: \n", + "הַשִּׁדָּה וְהַתֵּבָה וְהַמִּגְדָּל שֶׁנִּטְּלָה אַחַת מֵרַגְלֵיהֶן, אַף עַל פִּי שֶׁמְּקַבְּלִין, טְהוֹרִין. וְשֶׁאֵינָן מְקַבְּלִין כְּדַרְכָּן, רַבִּי יוֹסֵי מְטַמֵּא. וְנַקְלִיטֵי הַמִּטָּה וַחֲמוֹר וְחִפּוּי, טְהוֹרִין. אֵין טָמֵא אֶלָּא מִטָּה וּמַלְבֵּן. וּמַלְבְּנֵי בְנֵי לֵוִי, טְהוֹרִין: \n", + "מַלְבֵּן שֶׁנְּתָנוֹ עַל לְשׁוֹנוֹת, רַבִּי מֵאִיר וְרַבִּי יְהוּדָה מְטַמְּאִין, רַבִּי יוֹסֵי וְרַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֲרִין. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, מַה שָּׁנָה זֶה מִמַּלְבְּנֵי בְנֵי לֵוִי, שֶׁמַּלְבְּנֵי בְנֵי לֵוִי טְהוֹרִין: \n", + "מִטָּה שֶׁהָיְתָה טְמֵאָה מִדְרָס, נִטְּלָה קְצָרָה וּשְׁתֵּי כְרָעַיִם, טְמֵאָה. אֲרֻכָּה וּשְׁתֵּי כְרָעַיִם, טְהוֹרָה. רַבִּי נְחֶמְיָה מְטַמֵּא. גָּדַד שְׁתֵּי לְשׁוֹנוֹת לוֹכְסָן, גָּדַד שְׁתֵּי כְרָעַיִם (טֶפַח עַל טֶפַח) לוֹכְסָן, אוֹ שֶׁמִּעֲטָהּ פָּחוֹת מִטֶּפַח, טְהוֹרָה: \n", + "מִטָּה שֶׁהָיְתָה טְמֵאָה מִדְרָס, נִשְׁבְּרָה אֲרֻכָּה וְתִקְּנָהּ, טְמֵאָה מִדְרָס. נִשְׁבְּרָה שְׁנִיָּה וְתִקְּנָהּ, טְהוֹרָה מִן הַמִּדְרָס, אֲבָל טְמֵאָה מַגַּע מִדְרָס. לֹא הִסְפִּיק לְתַקֵּן אֶת הָרִאשׁוֹנָה עַד שֶׁנִּשְׁבְּרָה שְׁנִיָּה, טְהוֹרָה: \n", + "כֶּרַע שֶׁהָיְתָה טְמֵאָה מִדְרָס, וְחִבְּרָהּ לַמִּטָּה, כֻּלָּהּ טְמֵאָה מִדְרָס. פֵּרְשָׁה, הִיא טְמֵאָה מִדְרָס, וְהַמִּטָּה מַגַּע מִדְרָס. הָיְתָה טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה וְחִבְּרָהּ לַמִּטָּה, כֻּלָּהּ טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה. פֵּרְשָׁה, הִיא טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה, וְהַמִּטָּה טְמֵאָה טֻמְאַת עָרֶב. הָיְתָה טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב וְחִבְּרָהּ לַמִּטָּה, כֻּלָּהּ טְמֵאָה טֻמְאַת עָרֶב. פֵּרְשָׁה, הִיא טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב, וְהַמִּטָּה טְהוֹרָה. וְכֵן הַשֵּׁן שֶׁל מַעְדֵּר: \n", + "תְּפִלָּה, אַרְבָּעָה כֵלִים. הִתִּיר קְצִיצָה הָרִאשׁוֹנָה וְתִקְּנָהּ, טְמֵאָה טְמֵא מֵת, וְכֵן שְׁנִיָּה, וְכֵן שְׁלִישִׁית. הִתִּיר אֶת הָרְבִיעִית, טְהוֹרָה מִטְּמֵא מֵת, אֲבָל טְמֵאָה מַגַּע טְמֵא מֵת. חָזַר לָרִאשׁוֹנָה וְהִתִּירָהּ וְתִקְּנָהּ, טְמֵאָה בְמַגָּע, וְכֵן שְׁנִיָּה. הִתִּיר אֶת הַשְּׁלִישִׁית, טְהוֹרָה, שֶׁהָרְבִיעִית בְּמַגָּע, וְאֵין מַגָּע עוֹשֶׂה מַגָּע: \n", + "מִטָּה שֶׁנִּגְנַב חֶצְיָהּ, אוֹ אָבַד חֶצְיָהּ, אוֹ חֲלָקוּהָ אַחִין, אוֹ שֻׁתָּפִין, טְהוֹרָה. הֶחֱזִירוּהָ, מְקַבֶּלֶת טֻמְאָה מִכָּאן וּלְהַבָּא. מִטָּה מִטַּמְּאָה חֲבִילָה, וּמִטַּהֶרֶת חֲבִילָה, דִּבְרֵי רַבִּי אֱלִיעֶזֶר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, מִטַּמְּאָה אֵבָרִים, וּמִטַּהֶרֶת אֵבָרִים: \n" + ], + [ + "הַמְפָרֵק אֶת הַמִּטָּה לְהַטְבִּילָהּ, וְהַנּוֹגֵעַ בַּחֲבָלִין, טָהוֹר. הַחֶבֶל מֵאֵימָתַי הוּא חִבּוּר לַמִּטָּה, מִשֶּׁיְּסָרֵג בָּהּ שְׁלֹשָׁה בָתִּים. וְהַנּוֹגֵעַ מִן הַקֶּשֶׁר וְלִפְנִים, טָמֵא. מִן הַקֶּשֶׁר וְלַחוּץ, טָהוֹר. נִימֵי הַקֶּשֶׁר, הַנּוֹגֵעַ בְּצָרְכּוֹ, טָמֵא. וְכַמָּה הוּא צָרְכּוֹ, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת: ", + "הַחֶבֶל הַיּוֹצֵא מִן הַמִּטָּה, עַד חֲמִשָּׁה טְפָחִים, טָהוֹר. מֵחֲמִשָּׁה וְעַד עֲשָׂרָה, טָמֵא. מֵעֲשָׂרָה וְלַחוּץ, טָהוֹר, שֶׁבּוֹ קוֹשְׁרִין אֶת הַפְּסָחִים, וּמְשַׁלְשְׁלִין אֶת הַמִּטּוֹת: ", + "מִזְרָן הַיּוֹצֵא מִן הַמִּטָּה, כָּל שֶׁהוּא, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, עַד עֲשָׂרָה טְפָחִים. שְׁיָרֵי מִזְרָן, שִׁבְעָה טְפָחִים, כְּדֵי לַעֲשׂוֹתוֹ חֶבֶק לַחֲמוֹר: ", + "נִשָּׂא הַזָּב עַל הַמִּטָּה וְעַל הַמִּזְרָן, מְטַמֵּא שְׁנַיִם וּפוֹסֵל אֶחָד, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, נִשָּׂא הַזָּב עַל הַמִּטָּה וְעַל הַמִּזְרָן, עֲשָׂרָה טְפָחִים, מְטַמֵּא שְׁנַיִם וּפוֹסֵל אֶחָד. מֵעֲשָׂרָה וְלַחוּץ, מְטַמֵּא אֶחָד וּפוֹסֵל אֶחָד. נִשָּׂא עַל הַמִּזְרָן, מֵעֲשָׂרָה וְלִפְנִים, טָמֵא. מֵעֲשָׂרָה וְלַחוּץ, טָהוֹר: ", + "מִטָּה שֶׁהָיְתָה טְמֵאָה מִדְרָס, וְכָרַךְ לָהּ מִזְרָן, כֻּלָּהּ טְמֵאָה מִדְרָס. פֵּרְשָׁה, הִיא טְמֵאָה מִדְרָס, וְהַמִּזְרָן מַגַּע מִדְרָס. הָיְתָה טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה, וְכָרַךְ לָהּ מִזְרָן, כֻּלָּהּ טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה. פֵּרְשָׁה, הִיא טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה, וְהַמִּזְרָן טָמֵא טֻמְאַת עָרֶב. הָיְתָה טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב, וְכָרַךְ לָהּ מִזְרָן, כֻּלָּהּ טְמֵאָה טֻמְאַת עָרֶב. פֵּרְשָׁה, הִיא טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב, וְהַמִּזְרָן טָהוֹר: ", + "מִטָּה שֶׁכָּרַךְ לָהּ מִזְרָן, וְנָגַע בָּהֶן הַמֵּת, טְמֵאִין טֻמְאַת שִׁבְעָה. פֵּרְשׁוּ, טְמֵאִין טֻמְאַת שִׁבְעָה. נָגַע בָּהֶן הַשֶּׁרֶץ, טְמֵאִין טֻמְאַת עָרֶב. פֵּרְשׁוּ, טְמֵאִין טֻמְאַת עָרֶב. מִטָּה שֶׁנִּטְּלוּ שְׁתֵּי אֲרֻכּוֹת שֶׁלָּהּ וְעָשָׂה לָהּ חֲדָשׁוֹת, וְלֹא שִׁנָּה אֶת הַנְּקָבִים, נִשְׁתַּבְּרוּ חֲדָשׁוֹת, טְמֵאָה. וִישָׁנוֹת, טְהוֹרָה, שֶׁהַכֹּל הוֹלֵךְ אַחַר הַיְשָׁנוֹת: ", + "תֵּבָה שֶׁפִּתְחָהּ מִלְמַעְלָה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. נִפְחֲתָה מִלְמַעְלָה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. נִפְחֲתָה מִלְּמַטָּה, טְהוֹרָה. מְגוּרוֹת שֶׁבָּהּ, טְמֵאוֹת, וְאֵינָם חִבּוּר לָהּ: ", + "הַתּוּרְמֵל שֶׁנִּפְחֲתָה כִּיס שֶׁבְּתוֹכוֹ, טָמֵא, וְאֵינוֹ חִבּוּר לוֹ. הַחֵמֶת שֶׁבֵּיצִים שֶׁלָּהּ מְקַבְּלוֹת עִמָּהּ, וְנִפְחֲתוּ, טְהוֹרוֹת, שֶׁאֵינָם מְקַבְּלוֹת כְּדַרְכָּן: ", + "תֵּבָה שֶׁפִּתְחָהּ מִצִּדָּהּ, טְמֵאָה מִדְרָס וּטְמֵא מֵת. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, אֵימָתַי, בִּזְמַן שֶׁאֵינָהּ גְּבוֹהָה עֲשָׂרָה טְפָחִים, אוֹ שֶׁאֵין לָהּ לִזְבֵּז טֶפַח. נִפְחֲתָה מִלְמַעְלָן, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. נִפְחֲתָה מִלְּמַטָּן, רַבִּי מֵאִיר מְטַמֵּא. וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, מִפְּנֵי שֶׁבָּטַל הָעִקָּר, בָּטְלָה הַטְּפֵלָה: ", + "מִשְׁפֶּלֶת שֶׁנִּפְחֲתָה מִלְּקַבֵּל רִמּוֹנִים, רַבִּי מֵאִיר מְטַמֵּא. וַחֲכָמִים מְטַהֲרִים, מִפְּנֵי שֶׁבָּטַל הָעִקָּר, בָּטְלָה הַטְּפֵלָה: " + ], + [ + "הַכָּרִים וְהַכְּסָתוֹת וְהַשַּׂקִּין וְהַמַּרְצוּפִין שֶׁנִּפְחֲתוּ, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִים מִדְרָס. הַקְּלוּסְטָר, אַרְבָּעָה קַבִּין, הַתּוּרְמֵל חֲמֵשֶׁת קַבִּין, הַכְּרֵיתִית סְאָה. הַחֵמֶת שֶׁל שִׁבְעַת קַבִּין, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַף הָרִבְצָל וְהַמִּזְוָדָה כָּל שֶׁהֵן, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין מִדְרָס. וְכֻלָּם שֶׁנִּפְחֲתוּ, טְהוֹרִים, מִפְּנֵי שֶׁבָּטַל הָעִקָּר, וּבָטְלָה הַטְּפֵלָה: ", + "חֵמֶת חֲלִילִין, טְהוֹרָה מִן הַמִּדְרָס. עֲרֵבַת פִּיסוֹנוֹת, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, מִדְרָס. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, טְמֵא מֵת. עֲרֵבָה מִשְּׁנֵי לֹג וְעַד תִּשְׁעָה קַבִּין שֶׁנִּסְדְּקָה, טְמֵאָה מִדְרָס. הִנִּיחָהּ בַּגְּשָׁמִים וְנִתְפְּחָה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. בַּקָּדִים וְנִסְדְּקָה, מְקַבֶּלֶת מִדְרָס. זֶה חֹמֶר בִּשְׁיָרֵי כְלֵי עֵץ מִבִּתְחִלָּתָן. וְחֹמֶר בִּשְׁיָרֵי כְלֵי נְצָרִים מִבִּתְחִלָּתָן, שֶׁמִּתְּחִלָּתָן אֵינָם מְקַבְּלִים טֻמְאָה עַד שֶׁיִּתְחַסֵּמוּ. נִתְחַסְּמוּ, אַף עַל פִּי שֶׁנָּשְׁרוּ שִׂפְתוֹתֵיהֶן כָּל שֶׁהֵן, טְמֵאִין: ", + "מַקֵּל שֶׁעֲשָׂאוֹ בֵּית יָד לְקֻרְדֹּם, חִבּוּר לַטֻּמְאָה בִּשְׁעַת מְלָאכָה. הַדְּיוּסְטָר, חִבּוּר לַטֻּמְאָה בִּשְׁעַת מְלָאכָה. קְבָעוֹ בִכְלוֹנָס, טָמֵא, וְאֵינוֹ חִבּוּר לָהּ. עָשָׂה לוֹ דְיוּסְטָר, אֵין טָמֵא אֶלָּא צָרְכּוֹ. כִּסֵּא שֶׁקְּבָעוֹ בִכְלוֹנָס, טָמֵא, וְאֵינוֹ חִבּוּר לוֹ. עָשָׂה בוֹ כִסֵּא, אֵין טָמֵא אֶלָּא מְקוֹמוֹ. קְבָעוֹ בְקוֹרַת בֵּית הַבַּד, טָמֵא, וְאֵינוֹ חִבּוּר לָהּ. עָשָׂה בְרֹאשָׁהּ כִּסֵּא, טָהוֹר, מִפְּנֵי שֶׁאוֹמְרִין לוֹ, עֲמֹד וְנַעֲשֶׂה אֶת מְלַאכְתֵּנוּ: ", + "עֲרֵבָה גְדוֹלָה שֶׁנִּפְחֲתָה מִלְּקַבֵּל רִמּוֹנִים, וְהִתְקִינָהּ לִישִׁיבָה, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא. וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, עַד שֶׁיְּקַצֵּעַ. עֲשָׂאָהּ אֵבוּס לַבְּהֵמָה, אַף עַל פִּי שֶׁקְּבָעָהּ בַּכֹּתֶל, טְמֵאָה: ", + "כֹּפֶת שֶׁקְּבָעוֹ בְנִדְבָּךְ, קְבָעוֹ וְלֹא בָנָה עָלָיו, בָּנָה עָלָיו וְלֹא קְבָעוֹ, טָמֵא. קְבָעוֹ וּבָנָה עָלָיו, טָהוֹר. מַפָּץ שֶׁנְּתָנוֹ עַל גַּבֵּי הַקּוֹרוֹת, קְבָעוֹ וְלֹא נָתַן עָלָיו אֶת הַמַּעֲזִיבָה, נָתַן עָלָיו אֶת הַמַּעֲזִיבָה וְלֹא קְבָעוֹ, טָמֵא. קְבָעוֹ וְנָתַן עָלָיו אֶת הַמַּעֲזִיבָה, טָהוֹר. קְעָרָה שֶׁקְּבָעָהּ בְּשִׁדָּה תֵּבָה וּמִגְדָּל, כְּדֶרֶךְ קַבָּלָתָהּ, טְמֵאָה. שֶׁלֹּא כְדֶרֶךְ קַבָּלָתָהּ, טְהוֹרָה: ", + "סָדִין שֶׁהוּא טְמֵא מִדְרָס וַעֲשָׂאוֹ וִילוֹן, טָהוֹר מִן הַמִּדְרָס, אֲבָל טָמֵא טְמֵא מֵת. מֵאֵימָתַי הִיא טָהֳרָתוֹ. בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, מִשֶּׁיִּתָּבֵר. בֵּית הִלֵּל אוֹמְרִים, מִשֶּׁיִּקָּשֵׁר. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, מִשֶּׁיִּקָּבֵעַ: ", + "מַחֲצֶלֶת שֶׁעָשָׂה לָהּ קָנִים לְאָרְכָּהּ, טְהוֹרָה. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, עַד שֶׁיַּעֲשֶׂה כְמִין כִי. עֲשָׂאָם לְרָחְבָּהּ וְאֵין בֵּין קָנֶה לַחֲבֵרוֹ אַרְבָּעָה טְפָחִים, טָהוֹר. נֶחְלְקָה לְרָחְבָּהּ, רַבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר. וְכֵן הַמַּתִּיר רָאשֵׁי הַמַּעֲדַנִּין, טְהוֹרָה. נֶחְלְקָה לְאָרְכָּהּ וְנִשְׁתַּיְּרוּ בָהּ שְׁלֹשָׁה מַעֲדַנִּים שֶׁל שִׁשָּׁה טְפָחִים, טְמֵאָה. מַחֲצֶלֶת, מֵאֵימָתַי מְקַבֶּלֶת טֻמְאָה. מִשֶּׁתִּקָּנֵב, וְהִיא גְמַר מְלַאכְתָּהּ: " + ], + [ + "הַנּוֹגֵעַ בַּכֹּבֶד הָעֶלְיוֹן, בַּכֹּבֶד הַתַּחְתּוֹן, בַּנִּירִים, וּבַקֵּירוֹס, וּבְחוּט שֶׁהֶעֱבִירוֹ עַל גַּבֵּי אַרְגָּמָן, וּבְעִירָה שֶׁאֵינוֹ עָתִיד לְהַחֲזִירָהּ, טָהוֹר. בְּנֶפֶשׁ הַמַּסֶּכֶת, וּבַשְּׁתִי הָעוֹמֵד, וּבְכָפוּל שֶׁהֶעֱבִירוֹ עַל גַּבֵּי הָאַרְגָּמָן, וּבְעִירָה שֶׁהִיא עֲתִידָה לְהַחֲזִירָהּ, טָמֵא. הַנּוֹגֵעַ בַּצֶּמֶר שֶׁעַל הָאִימָּה, בָּאַשְׁוָיָה, טָהוֹר. הַנּוֹגֵעַ בַּפִּיקָה, עַד שֶׁלֹּא פֵרְעָהּ, טָמֵא. מִשֶּׁפֵּרְעָהּ, טָהוֹר: \n", + "הַנּוֹגֵעַ בָּעֹל, וּבַקַּטְרָב, בָּעַיִן, וּבָעֲבוֹת, אֲפִלּוּ בִשְׁעַת מְלָאכָה, טָהוֹר. בַּחֶרֶב, וּבַבֹּרֶךְ, וּבַיָּצוּל, טָמֵא. בָּעַיִן שֶׁל מַתֶּכֶת, בַּלְּחָיַיִן, וּבָעֲרָיִין, טָמֵא. רַבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר בַּלְּחָיַיִם, שֶׁאֵינָם עֲשׂוּיִן אֶלָּא לְרַבּוֹת אֶת הֶעָפָר: \n", + "הַנּוֹגֵעַ בְּיַד מְגֵרָה, מִכָּאן וּמִכָּאן, טָמֵא. בַּחוּט, וּבַמְּשִׁיחָה, בָּאַמָּה, וּבַסְּנִיפִין, בַּמַּכְבֵּשׁ שֶׁל חָרָשׁ, וּבַקַּשְׁטָנִית, טָהוֹר. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַף הַנּוֹגֵעַ בַּמַּלְבֵּן שֶׁל מַסָּר הַגָּדוֹל, טָהוֹר. הַנּוֹגֵעַ בַּיֶּתֶר וּבַקֶּשֶׁת, אַף עַל פִּי שֶׁהִיא מְתוּחָה, טָהוֹר. מְצֻדַּת הָאֵישׁוּת, טְהוֹרָה. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, כָּל זְמַן שֶׁהִיא מְתוּחָה, חִבּוּר: \n" + ], + [ + "הַשֻּׁלְחָן וְהַדְּלֻפְקִי שֶׁנִּפְחֲתוּ, אוֹ שֶׁחִפָּן בְּשַׁיִשׁ וְשִׁיֵּר בָּהֶם מְקוֹם הַנָּחַת הַכּוֹסוֹת, טְמֵאִים. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מְקוֹם הַנָּחַת חֲתִיכוֹת: \n", + "הַשֻּׁלְחָן שֶׁנִּטְּלָה אַחַת מֵרַגְלָיו, טָהוֹר. נִטְּלָה שְׁנִיָּה, טָהוֹר. נִטְּלָה הַשְּׁלִישִׁית, טָמֵא כְּשֶׁיַּחְשֹׁב עָלָיו. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אֵין צָרִיךְ מַחֲשָׁבָה. וְכֵן הַדְּלֻפְקִי: \n", + "סַפְסָל שֶׁנִּטַּל אַחַד מֵרָאשָׁיו, טָהוֹר. נִטַּל הַשֵּׁנִי, טָהוֹר. אִם יֶשׁ בּוֹ גֹבַהּ טֶפַח, טָמֵא. שְׁרַפְרַף שֶׁנִּטַּל אַחַד מֵרָאשָׁיו, טָמֵא. וְכֵן הַכִּסֵּא שֶׁלִּפְנֵי קַתֶּדְרָא: \n", + "כִּסֵּא שֶׁל כַּלָּה שֶׁנִּטְּלוּ חִפּוּיָו, בֵּית שַׁמַּאי מְטַמְּאִין, וּבֵית הִלֵּל מְטַהֲרִין. שַׁמַּאי אוֹמֵר, אַף מַלְבֵּן שֶׁל כִּסֵּא, טָמֵא. כִּסֵּא שֶׁקְּבָעוֹ בַעֲרֵבָה, בֵּית שַׁמַּאי מְטַמְּאִין, וּבֵית הִלֵּל מְטַהֲרִין. שַׁמַּאי אוֹמֵר, אַף הֶעָשׂוּי בָּהּ: \n", + "כִּסֵּא שֶׁלֹּא הָיוּ חִפּוּיָו יוֹצְאִין, וְנִטְּלוּ, טָמֵא, שֶׁכֵּן דַּרְכּוֹ לִהְיוֹת מַטֵּהוּ עַל צִדּוֹ וְיוֹשֵׁב עָלָיו: \n", + "כִּסֵּא שֶׁנִּטַּל חִפּוּיוֹ הָאֶמְצָעִי וְהַחִיצוֹנִים קַיָּמִים, טָמֵא. נִטְּלוּ הַחִיצוֹנִים וְהָאֶמְצָעִי קַיָּם, טָמֵא. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, אִם הָיָה רָחָב טָפַח: \n", + "כִּסֵּא שֶׁנִּטְּלוּ שְׁנַיִם מֵחִפּוּיָו זֶה בְצַד זֶה, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. אָמַר רַבִּי יְהוּדָה, אַף כִּסֵּא שֶׁל כַּלָּה שֶׁנִּטְּלוּ חִפּוּיָו וְנִשְׁתַּיֵּר בּוֹ בֵית קַבָּלָה, טָהוֹר, מִפְּנֵי שֶׁבָּטַל הָעִקָּר וּבָטְלָה הַטְּפֵלָה: \n", + "שִׁדָּה שֶׁנִּטַּל הָעֶלְיוֹן, טְמֵאָה מִפְּנֵי הַתַּחְתּוֹן. נִטַּל הַתַּחְתּוֹן, טְמֵאָה מִפְּנֵי הָעֶלְיוֹן. נִטַּל הָעֶלְיוֹן וְהַתַּחְתּוֹן, רַבִּי יְהוּדָה מְטַמֵּא מִפְּנֵי הַדַּפִּין, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. יְשִׁיבַת הַסַּתָּת, טָמֵא מִדְרָס: \n", + "כֹּפֶת שֶׁסֵּרְקוֹ, וְכִרְכְּמוֹ, וַעֲשָׂאוֹ פָנִים, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא. וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, עַד שֶׁיָּחֹק בּוֹ. הַסַּל וְהַכַּלְכָּלָה שֶׁמִּלְאָן תֶּבֶן אוֹ מוֹכִין, הִתְקִינָן לִישִׁיבָה, טְהוֹרִין. סֵרְגָן בְּגֶמִי אוֹ בִמְשִׁיחָה, טְמֵאִין: \n", + "הָאַסְלָה, טְמֵאָה מִדְרָס וּטְמֵא מֵת. פֵּרְשָׁה, הָעוֹר טָמֵא מִדְרָס, וְהַבַּרְזֶל טָמֵא טְמֵא מֵת. הַטְּרַסְקָל שֶׁחִפּוּיוֹ שֶׁל עוֹר, טָמֵא מִדְרָס וּטְמֵא מֵת. פֵּרְשָׁה, הָעוֹר טָמֵא מִדְרָס, וְהַטְּרַסְקָל טָהוֹר מִכְּלוּם. סַפְסָלִין שֶׁבַּמֶּרְחָץ וּשְׁתֵּי רַגְלָיו שֶׁל עֵץ, טָמֵא. אַחַת שֶׁל עֵץ וְאַחַת שֶׁל אֶבֶן, טָהוֹר. הַנְּסָרִין שֶׁבַּמֶּרְחָץ שֶׁשִּׁגְּמָן, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, שֶׁאֵינָם עֲשׂוּיִן אֶלָּא שֶׁיִּהְיוּ הַמַּיִם מְהַלְּכִין תַּחְתֵּיהֶן. קַנְקֵילִין שֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית קַבָּלַת כְּסוּת, טְמֵאָה. וְהָעֲשׂוּיָה כְּכַוֶּרֶת, טְהוֹרָה: \n" + ], + [ + "הַכַּדּוּר וְהָאִמּוּם וְהַקָּמֵעַ וְהַתְּפִלִּין שֶׁנִּקְרְעוּ, הַנּוֹגֵעַ בָּהֶן, טָמֵא. וּבְמַה שֶּׁבְּתוֹכָן, טָהוֹר. הָאֻכָּף שֶׁנִּקְרַע, הַנּוֹגֵעַ בְּמַה שֶּׁבְּתוֹכוֹ, טָמֵא, מִפְּנֵי שֶׁהַתֶּפֶר מְחַבְּרוֹ: ", + "אֵלּוּ טְמֵאִין מִשּׁוּם מֶרְכָּב, זָרֵיז הָאַשְׁקְלוֹנִי, וּמְדוֹכָה הַמָּדִית, וְעָבִיט שֶׁל גָּמָל, וְטַפֵּיטָן שֶׁל סוּס. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אַף טַפֵּיטָן שֶׁל סוּס טָמֵא מִשּׁוּם מוֹשָׁב, מִפְּנֵי שֶׁעוֹמְדִין עָלָיו בַּקֻּמְפּוֹן. אֲבָל אֻכָּף שֶׁל נָאקָה, טָמֵא: ", + "מַה בֵּין מֶרְכָּב לְמוֹשָׁב. מֶרְכָּב חָלַק מַגָּעוֹ מִמַּשָּׂאוֹ, וּמוֹשָׁב לֹא חָלַק מַגָּעוֹ מִמַּשָּׂאוֹ. תָּפִית שֶׁל חֲמוֹר שֶׁהוּא יוֹשֵׁב עָלֶיהָ, טָהוֹר. שִׁנָּה בָהּ אֶת הַנְּקָבִין, אוֹ שֶׁפֵּרְצָן זֶה לְתוֹךְ זֶה, טְמֵאָה: ", + "הַמִּטָּה וְהַכַּר וְהַכֶּסֶת שֶׁל מֵת, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין מִדְרָס. כִּסֵּא שֶׁל כַּלָּה, וּמַשְׁבֵּר שֶׁל חַיָּה, וְכִסֵּא שֶׁל כּוֹבֵס שֶׁהוּא כוֹרֵם עָלָיו אֶת הַכֵּלִים, אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, אֵין בָּהֶם מִשּׁוּם מוֹשָׁב: ", + "הַחֵרֶם, טָמֵא מִפְּנֵי הַזּוּטוֹ. הָרְשָׁתוֹת, וְהַמִּכְמָרוֹת, וְהַמַּדָּף, וְהַפְּלָצוּר, וּמְצֻדּוֹת הַסְּכָרִין, טְמֵאִין. וְהַאָקוֹן, וְהָרְטוֹב, וְהַכְּלוּב, טְהוֹרִין: " + ], + [ + "שְׁלֹשָׁה תְרִיסִין הֵם. תְּרִיס הַכָּפוּף, טָמֵא מִדְרָס. וְשֶׁמְּשַׂחֲקִין בּוֹ בַּקֻּנְפּוֹן, טָמֵא טְמֵא מֵת. וְדִיצַת הָעַרְבִיִּין, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ עֲגָלוֹת הֵן. הָעֲשׂוּיָה כְקַתֶּדְרָא, טְמֵאָה מִדְרָס. כְּמִטָּה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וְשֶׁל אֲבָנִים, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ עֲרֵבוֹת הֵן. עֲרֵבָה מִשְּׁנֵי לֹג וְעַד תִּשְׁעָה קַבִּין שֶׁנִּסְדְּקָה, טְמֵאָה מִדְרָס. שְׁלֵמָה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וְהַבָּאָה בַמִּדָּה, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ תֵּבוֹת הֵן. תֵּבָה שֶׁפִּתְחָהּ מִצִּדָּהּ, טְמֵאָה מִדְרָס. מִלְמַעְלָן, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וְהַבָּאָה בַמִּדָּה, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שְׁלֹשָׁה תַרְבּוּסִין הֵן. שֶׁל סַפָּרִין, טָמֵא מִדְרָס. שֶׁאוֹכְלִין עָלָיו, טָמֵא טְמֵא מֵת. וְשֶׁל זֵיתִים, טָהוֹר מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ בְּסָסִיּוֹת הֵן. שֶׁלִּפְנֵי הַמִּטָּה וְשֶׁלִּפְנֵי סוֹפְרִים, טְמֵאָה מִדְרָס. וְשֶׁל דְּלֻפְקִי, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וְשֶׁל מִגְדָּל, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ פִּנְקָסִיּוֹת הֵן. הָאֱפִיפוֹרִין, טְמֵאָה מִדְרָס. וְשֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית קִבּוּל שַׁעֲוָה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וַחֲלָקָה, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ מִטּוֹת הֵן. הָעֲשׂוּיָה לִשְׁכִיבָה, טְמֵאָה מִדְרָס. שֶׁל זַגָּגִין, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וְשֶׁל סָרָגִין, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ מַשְׁפֵּלוֹת הֵן. שֶׁל זֶבֶל, טְמֵאָה מִדְרָס. שֶׁל תֶּבֶן, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וְהַפֻּחְלָץ שֶׁל גְּמַלִּים, טָהוֹר מִכְּלוּם: ", + "שְׁלֹשָׁה מַפָּצִים הֵן. הָעֲשׂוּיָה לִישִׁיבָה, טְמֵאָה מִדְרָס. שֶׁל צַבָּעִין, טָמֵא טְמֵא מֵת. וְשֶׁל גִּתּוֹת, טָהוֹר מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ חֲמָתוֹת וְשָׁלֹשׁ תּוּרְמְלִין הֵן. הַמְקַבְּלִים כַּשִּׁעוּר, טְמֵאִין מִדְרָס. וְשֶׁאֵינָן מְקַבְּלִין כַּשִּׁעוּר, טְמֵאִים טְמֵא מֵת. וְשֶׁל עוֹר הַדָּג, טָהוֹר מִכְּלוּם: ", + "שְׁלֹשָׁה עוֹרוֹת הֵן. הֶעָשׂוּי לְשָׁטִיחַ, טָמֵא מִדְרָס. לְתַכְרִיךְ הַכֵּלִים, טָמֵא טְמֵא מֵת. וְשֶׁל רְצוּעוֹת וְשֶׁל סַנְדָּלִים, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שְׁלֹשָׁה סְדִינִין הֵן. הֶעָשׂוּי לִשְׁכִיבָה, טָמֵא מִדְרָס. לְוִילוֹן, טָמֵא טְמֵא מֵת. וְשֶׁל צוּרוֹת, טָהוֹר מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ מִטְפָּחוֹת הֵן. שֶׁל יָדַיִם, טָמֵא מִדְרָס. שֶׁל סְפָרִין, טְמֵאָה טְמֵא מֵת, וְשֶׁל תַּכְרִיךְ וְשֶׁל נִבְלֵי בְנֵי לֵוִי, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שְׁלֹשָׁה פְרָקִילִינִין הֵן. שֶׁל צָדֵי חַיָּה וָעוֹף, טָמֵא מִדְרָס. שֶׁל חֲגָבִין, טָמֵא טְמֵא מֵת. וְשֶׁל קַיָּצִין, טָהוֹר מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ סְבָכוֹת הֵן. שֶׁל יַלְדָּה, טְמֵאָה טֻמְאַת מִדְרָס. שֶׁל זְקֵנָה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וְשֶׁל יוֹצֵאת לַחוּץ, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ קֻפּוֹת הֵן. מְהוּהָה שֶׁטְּלָיָהּ עַל הַבְּרִיָּה, הוֹלְכִין אַחַר הַבְּרִיָּה. קְטַנָּה עַל הַגְּדוֹלָה, הוֹלְכִין אַחַר הַגְּדוֹלָה. הָיוּ שָׁווֹת, הוֹלְכִין אַחַר הַפְּנִימִית. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, כַּף מֹאזְנַיִם שֶׁטְּלָיָהּ עַל שׁוּלֵי הַמֵּחַם, מִבִּפְנִים, טָמֵא. מִבַּחוּץ, טָהוֹר. טְלָיָהּ עַל צִדָּהּ, בֵּין מִבִּפְנִים בֵּין מִבַּחוּץ, טָהוֹר: " + ], + [ + "כָּל הַכֵּלִים יֵשׁ לָהֶם אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, כְּגוֹן הַכָּרִים וְהַכְּסָתוֹת וְהַשַּׂקִּין וְהַמַּרְצוּפִין, דִּבְרֵי רַבִּי יְהוּדָה. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, כֹּל שֶׁיֶּשׁ לוֹ תוֹבְרוֹת, יֶשׁ לוֹ אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ. וְכֹל שֶׁאֵין לוֹ תוֹבְרוֹת, אֵין לוֹ אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ. הַשֻּׁלְחָן וְהַדְּלֻפְקִי, יֵשׁ לָהֶם אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, דִּבְרֵי רַבִּי יְהוּדָה. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, אֵין לָהֶם אֲחוֹרָיִם. וְכֵן טַבְלָא שֶׁאֵין לָהּ לִזְבֵּז: \n", + "הַמַּרְדֵּעַ יֶשׁ לוֹ אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, מִשִּׁבְעָה לַחַרְחוּר, מֵאַרְבָּעָה לַדָּרְבָן, דִּבְרֵי רַבִּי יְהוּדָה. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, אֵין לָהֶם, לֹא הֻזְכְּרוּ אַרְבָּעָה וְשִׁבְעָה אֶלָּא לַשְּׁיָרִים: \n", + "מִדּוֹת יַיִן וָשֶׁמֶן, וְזוֹמָא לִסְטְרָא, וּמְסַנֶּנֶת שֶׁל חַרְדָּל, וּמְשַׁמֶּרֶת שֶׁל יַיִן, יֶשׁ לָהֶן אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אֵין לָהֶם. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, יֶשׁ לָהֶם. נִטְמְאוּ מֵאֲחוֹרֵיהֶן, מַה שֶּׁבְּתוֹכָן טָהוֹר, וְצָרִיךְ לְהַטְבִּיל: \n", + "הָרֹבַע וַחֲצִי הָרֹבַע, נִטְמָא הָרֹבַע, לֹא נִטְמָא חֲצִי הָרֹבַע. נִטְמָא חֲצִי הָרֹבַע, לֹא נִטְמָא הָרֹבַע. אָמְרוּ לִפְנֵי רַבִּי עֲקִיבָא, הוֹאִיל וַחֲצִי הָרֹבַע אֲחוֹרַיִם לָרֹבַע, כְּלִי שֶׁנִּטְמָא תוֹכוֹ לֹא נִטְמְאוּ אֲחוֹרָיו. אָמַר לָהֶן, שֶׁל כַּת קוֹדְמִין הִיא, אוֹ שֶׁמָּא הָרֹבַע אֲחוֹרַיִם לַחֲצִי הָרֹבַע, כְּלִי שֶׁנִּטְמְאוּ אֲחוֹרָיו, לֹא נִטְמָא תוֹכוֹ: \n", + "נִטְמָא הָרֹבַע, הָרֹבַע וַאֲחוֹרָיו טְמֵאִין, חֲצִי הָרֹבַע וַאֲחוֹרָיו טְהוֹרִין. נִטְמָא חֲצִי הָרֹבַע, חֲצִי הָרֹבַע וַאֲחוֹרָיו טְמֵאִין, הָרֹבַע וַאֲחוֹרָיו טְהוֹרִין. נִטְמְאוּ אֲחוֹרֵי הָרֹבַע, אֲחוֹרֵי חֲצִי הָרֹבַע טְהוֹרִין, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין חוֹלְקִין אֶת הַגַּבָּיִין. וּכְשֶׁהוּא מַטְבִּיל, מַטְבִּיל אֶת כֻּלּוֹ: \n", + "כַּנֵּי כֵלִים, וְאֹגְנֵיהֶם, וְאָזְנֵיהֶם, וִידוֹת הַכֵּלִים הַמְקַבְּלִים, שֶׁנָּפְלוּ עֲלֵיהֶן מַשְׁקִין, מְנַגְּבָן וְהֵם טְהוֹרִים. וּשְׁאָר כָּל הַכֵּלִים (שֶׁאֵינָם יְכוֹלִין לְקַבֵּל רִמּוֹנִים), שֶׁאֵין לָהֶם אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, שֶׁנָּפְלוּ מַשְׁקִין עַל מִקְצָתוֹ, כֻּלּוֹ טָמֵא. כְּלִי שֶׁנִּטְמְאוּ אֲחוֹרָיו בְּמַשְׁקִין, אֲחוֹרָיו טְמֵאִים, תּוֹכוֹ וְאֹגְנוֹ וְאָזְנוֹ וְיָדָיו טְהוֹרִין. נִטְמָא תוֹכוֹ, כֻּלּוֹ טָמֵא: \n", + "כָּל הַכֵּלִים יֶשׁ לָהֶן אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, וְיֶשׁ לָהֶם בֵּית צְבִיעָה. רַבִּי טַרְפוֹן אוֹמֵר, לַעֲרֵבָה גְדוֹלָה שֶׁל עֵץ. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, לְכוֹסוֹת. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, לְיָדַיִם הַטְּמֵאוֹת וְהַטְּהוֹרוֹת. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, לֹא אָמְרוּ אֶלָּא לְיָדַיִם הַטְּהוֹרוֹת בִּלְבָד: \n", + "כֵּיצַד. הָיוּ יָדָיו טְהוֹרוֹת וַאֲחוֹרֵי הַכּוֹס טְמֵאִים, אֲחָזוֹ בְּבֵית צְבִיעָתוֹ, אֵינוֹ חוֹשֵׁשׁ שֶׁמָּא נִטְמְאוּ יָדָיו בַּאֲחוֹרֵי הַכּוֹס. הָיָה שׁוֹתֶה בְכוֹס שֶׁאֲחוֹרָיו טְמֵאִים, אֵינוֹ חוֹשֵׁשׁ שֶׁמָּא נִטְמָא הַמַּשְׁקֶה שֶׁבְּפִיו בַּאֲחוֹרֵי הַכּוֹס וְחָזַר וְטִמֵּא הַכּוֹס. קֻמְקוּם שֶׁהוּא מַרְתִּיחַ, אֵינוֹ חוֹשֵׁשׁ שֶׁמָּא יָצְאוּ מַשְׁקִין מִתּוֹכוֹ וְנָגְעוּ בַאֲחוֹרָיו וְחָזְרוּ לְתוֹכוֹ: \n", + "כְּלֵי הַקֹּדֶשׁ אֵין לָהֶם אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, וְאֵין לָהֶם בֵּית צְבִיעָה. וְאֵין מַטְבִּילִים כֵּלִים בְתוֹךְ כֵּלִים לְקֹדֶשׁ. כָּל הַכֵּלִים יוֹרְדִין לִידֵי טֻמְאָתָן בְּמַחֲשָׁבָה, וְאֵינָן עוֹלִים מִידֵי טֻמְאָתָן אֶלָּא בְשִׁנּוּי מַעֲשֶׂה, שֶׁהַמַּעֲשֶׂה מְבַטֵּל מִיַּד הַמַּעֲשֶׂה וּמִיַּד מַחֲשָׁבָה, וּמַחֲשָׁבָה אֵינָהּ מְבַטֶּלֶת לֹא מִיַּד מַעֲשֶׂה וְלֹא מִיַּד מַחֲשָׁבָה: \n" + ], + [ + "סַנְדָּל עִמְקִי, וְכִיס שֶׁל שְׁנָצוֹת, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַף כְּפִיפָה מִצְרִית, רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, אַף סַנְדָּל לָדִיקִי כַּיּוֹצֵא בָהֶן, הֲרֵי אֵלּוּ מִטַּמְּאִין וּמִטַּהֲרִין שֶׁלֹּא בְאֻמָּן. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, וַהֲלֹא כָל הַכֵּלִים מִטַּמְּאִין וּמִטַּהֲרִין שֶׁלֹּא בְאֻמָּן. אֲבָל אֵלּוּ, אַף עַל פִּי שֶׁהֵן מֻתָּרִין, טְמֵאִין, שֶׁהַהֶדְיוֹט יָכוֹל לְהַחֲזִירָם. לֹא אָמְרוּ אֶלָּא בִכְפִיפָה מִצְרִית, שֶׁאַף הָאֻמָּן אֵינוֹ יָכוֹל לְהַחֲזִירָהּ: \n", + "כִּיס שֶׁל שְׁנָצוֹת שֶׁנִּטְּלוּ שְׁנָצָיו, טָמֵא. נִפְשַׁט, טָהוֹר. טָלָה עָלָיו אֶת הַמַּטְלֵת מִלְּמַטָּן, טָמֵא. כִּיס לְתוֹךְ כִּיס, שֶׁנִּטְמָא אַחַד מֵהֶן בְּמַשְׁקֶה, לֹא נִטְמָא חֲבֵרוֹ. צְרוֹר הַמַּרְגָּלִית, טָמֵא. צְרוֹר הַמָּעוֹת, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִים: \n", + "כַּף לוֹקְטֵי קוֹצִים, טְהוֹרָה. הַזּוֹן וְהַבִּרְכְּיָר, טְמֵאִין. וְהַשַּׁרְווּלִים, טְמֵאִין. וְהַפְּרַקְלִימִין, טְהוֹרִין. וְכָל בֵּית אֶצְבָּעוֹת, טְהוֹרוֹת, חוּץ מִשֶּׁל קַיָּצִין, מִפְּנֵי שֶׁהִיא מְקַבֶּלֶת אֶת הָאוֹג. נִקְרְעָה, אִם אֵינָהּ מְקַבֶּלֶת אֶת רֹב הָאוֹג, טְהוֹרָה: \n", + "סַנְדָּל שֶׁנִּפְסְקָה אַחַת מֵאָזְנָיו וְתִקְּנָהּ, טָמֵא מִדְרָס. נִפְסְקָה שְׁנִיָּה וְתִקְּנָהּ, טָהוֹר מִן הַמִּדְרָס אֲבָל טָמֵא מַגַּע מִדְרָס. לֹא הִסְפִּיק לְתַקֵּן אֶת הָרִאשׁוֹנָה עַד שֶׁנִּפְסְקָה שְׁנִיָּה, טְהוֹרָה. נִפְסַק עֲקֵבוֹ, נִטַּל חוֹטְמוֹ, אוֹ שֶׁנֶּחֱלַק לִשְׁנַיִם, טָהוֹר. סוֹלְיָם שֶׁנִּפְסַק מִכָּל מָקוֹם, טָהוֹר. מִנְעָל שֶׁנִּפְחַת, אִם אֵינוֹ מְקַבֵּל אֶת רֹב הָרֶגֶל, טָהוֹר. מִנְעָל שֶׁעַל הָאֵמוּם, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִים. כָּל חֲמָתוֹת צְרוּרוֹת, טְהוֹרוֹת, חוּץ מִשֶּׁל עַרְבִיִּין. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, צְרוֹר שָׁעָה, טְהוֹרוֹת. צְרוֹר עוֹלָם, טְמֵאוֹת. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, כָּל חֲמָתוֹת צְרוּרוֹת, טְהוֹרוֹת: \n", + "אֵלּוּ עוֹרוֹת טְמֵאִין מִדְרָס, עוֹר שֶׁחִשַּׁב עָלָיו לְשָׁטִיחַ, עוֹר סְקֹרְטְיָא, עוֹר קָטָבֹלְיָא, עוֹר הַחַמָּר, עוֹר הַכַּתָּן, עוֹר הַכַּתָּף, עוֹר הָרוֹפֵא, עוֹר הָעֲרִיסָה, עוֹר הַלֵּב שֶׁל קָטָן, עוֹר הַכַּר, עוֹר הַכֶּסֶת, מִדְרָס. עוֹר הַסָּרוֹק, עוֹר הַסּוֹרֵק, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, מִדְרָס. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, טְמֵא מֵת: \n", + "עַב כְּסוּת, וְתַכְרִיךְ כְּסוּת, מִדְרָס. עַב אַרְגָּמָן, וְתַכְרִיךְ אַרְגָּמָן, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, מִדְרָס. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, טְמֵא מֵת. עוֹר שֶׁעֲשָׂאוֹ חִפּוּי לִכְלִי, טָהוֹר. לְמִשְׁקָלוֹת, טָמֵא. רַבִּי יוֹסֵי מְטַהֵר מִשּׁוּם אָבִיו: \n", + "כָּל מָקוֹם שֶׁאֵין חֶסְרוֹן מְלָאכָה, מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן. וְכָל מָקוֹם שֶׁיֶּשׁ חֶסְרוֹן מְלָאכָה, אֵין מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן, אֶלָּא הָעֻצְבָּה: \n", + "עוֹרוֹת בַּעַל הַבַּיִת, מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן. וְשֶׁל עַבְּדָן, אֵין מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן. וְשֶׁל גַּנָּב, מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן. וְשֶׁל גַּזְלָן, אֵין מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, חִלּוּף הַדְּבָרִים, שֶׁל גַּזְלָן, מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן. וְשֶׁל גַּנָּב, אֵין מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן, מִפְּנֵי שֶׁלֹּא נִתְיָאֲשׁוּ הַבְּעָלִים: \n", + "עוֹר שֶׁהוּא טָמֵא מִדְרָס, וְחִשַּׁב עָלָיו לִרְצוּעוֹת וּלְסַנְדָּלִין, כֵּיוָן שֶׁנָּתַן בּוֹ אֶת הָאִזְמֵל, טָהוֹר, דִּבְרֵי רַבִּי יְהוּדָה. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, עַד שֶׁיְּמַעֲטֶנּוּ פָחוֹת מֵחֲמִשָּׁה טְפָחִים. רַבִּי אֶלְעָזָר בַּר רַבִּי צָדוֹק אוֹמֵר, אַף הָעוֹשֶׂה מִטְפַּחַת מִן הָעוֹר, טְמֵאָה. וּמִן הַכֶּסֶת, טְהוֹרָה: \n" + ], + [ + "הַבֶּגֶד מִטַּמֵּא מִשּׁוּם חֲמִשָּׁה שֵׁמוֹת. הַשַּׂק, מִשּׁוּם אַרְבָּעָה. הָעוֹר, מִשּׁוּם שְׁלֹשָׁה. הָעֵץ, מִשּׁוּם שְׁנַיִם. וּכְלִי חֶרֶס, מִשּׁוּם אֶחָד. כְּלִי חֶרֶס מִטַּמֵּא מִשּׁוּם כְּלִי קִבּוּל. כֹּל שֶׁאֵין לוֹ תוֹךְ בִּכְלֵי חֶרֶס, אֵין לוֹ אֲחוֹרָיִם. מוּסָף עָלָיו הָעֵץ, שֶׁהוּא מִטַּמֵּא מִשּׁוּם מוֹשָׁב. וְכֵן טַבְלָא שֶׁאֵין לָהּ לִזְבֵּז, בִּכְלֵי עֵץ, טְמֵאָה, וּבִכְלֵי חֶרֶס, טְהוֹרָה. מוּסָף עָלָיו הָעוֹר, שֶׁהוּא מִטַּמֵּא מִשּׁוּם אֹהָלִים. מוּסָף עָלָיו הַשַּׂק, שֶׁהוּא מִטַּמֵּא מִשּׁוּם אָרִיג. מוּסָף עָלָיו הַבֶּגֶד, שֶׁהוּא מִטַּמֵּא מִשּׁוּם שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ: \n", + "הַבֶּגֶד מִטַּמֵּא מִשּׁוּם שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה, לְמִדְרָס, וּמִשּׁוּם שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ לִטְמֵא מֵת. הַשַּׂק אַרְבָּעָה עַל אַרְבָּעָה, הָעוֹר חֲמִשָּׁה עַל חֲמִשָּׁה, מַפָּץ שִׁשָּׁה עַל שִׁשָּׁה, שָׁוִין לְמִדְרָס וְלִטְמֵא מֵת. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, הַשַּׂק שְׁיָרָיו אַרְבָּעָה, וּתְחִלָּתוֹ מִשֶּׁיִּגָּמֵר: \n", + "הָעוֹשֶׂה שְׁנַיִם מִן הַבֶּגֶד וְאֶחָד מִן הַשַּׂק, שְׁלָשְׁתָּן מִן הַשַּׂק וְאֶחָד מִן הָעוֹר, אַרְבָּעָה מִן הָעוֹר וְאֶחָד מִן הַמַּפָּץ, טָהוֹר. חֲמִשָּׁה מִן הַמַּפָּץ וְאֶחָד מִן הָעוֹר, אַרְבָּעָה מִן הָעוֹר וְאֶחָד מִן הַשַּׂק, שְׁלֹשָׁה מִן הַשַּׂק וְאֶחָד מִן הַבֶּגֶד, טָמֵא. זֶה הַכְּלָל, כֹּל שֶׁחִבֵּר לוֹ מִן הֶחָמוּר מִמֶּנּוּ, טָמֵא. מִן הַקַּל מִמֶּנּוּ, טָהוֹר: \n", + "הַמְקַצֵּעַ מִכֻּלָּם טֶפַח עַל טֶפַח, טָמֵא. מִשּׁוּלֵי הַקֻּפָּה טֶפַח עַל טֶפַח, טָמֵא. מִצְּדָדֵי הַקֻּפָּה, רַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, הַמְקַצֵּעַ טֶפַח עַל טֶפַח בְּכָל מָקוֹם, טָמֵא: \n", + "בְּלוֹיֵי נָפָה וּכְבָרָה שֶׁהִתְקִינָן לִישִׁיבָה, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין עַד שֶׁיְּקַצֵּעַ. כִּסֵּא שֶׁל קָטָן שֶׁיֶּשׁ לוֹ רַגְלַיִם, אַף עַל פִּי שֶׁאֵין בּוֹ גָבֹהַּ טֶפַח, טָמֵא. חָלוּק שֶׁל קָטָן, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, כָּל שֶׁהוּא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, עַד שֶׁיִּהְיֶה בוֹ כַשִּׁעוּר, וְנִמְדָּד כָּפוּל: \n", + "אֵלּוּ נִמְדָּדִין כְּפוּלִין. אַמְפַּלְיָא, וּפְמוֹלִינְיָא, וּמִכְנָסַיִם, וְכוֹבַע, וְכִיס שֶׁל פֻּנְדִּיָּא. וּמַטְלִית שֶׁטְּלָיָהּ עַל הַשָּׂפָה, אִם פְּשׁוּטָה, נִמְדֶּדֶת פְּשׁוּטָה, וְאִם כְּפוּלָה, נִמְדֶּדֶת כְּפוּלָה: \n", + "הַבֶּגֶד שֶׁאָרַג בּוֹ שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה, וְנִטְמָא מִדְרָס, וְהִשְׁלִים עָלָיו אֶת כָּל הַבֶּגֶד, וְאַחַר כָּךְ נָטַל חוּט אֶחָד מִתְּחִלָּתוֹ, טָהוֹר מִן הַמִּדְרָס, אֲבָל טָמֵא מַגַּע מִדְרָס. נָטַל חוּט אֶחָד מִתְּחִלָּתוֹ, וְאַחַר כָּךְ הִשְׁלִים עָלָיו אֶת כָּל הַבֶּגֶד, טָמֵא מַגַּע מִדְרָס: \n", + "וְכֵן בֶּגֶד שֶׁאָרַג בּוֹ שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ, וְנִטְמָא טְמֵא מֵת, וְהִשְׁלִים עָלָיו אֶת כָּל הַבֶּגֶד, וְאַחַר כָּךְ נָטַל חוּט אֶחָד מִתְּחִלָּתוֹ, טָהוֹר מִטְּמֵא מֵת, אֲבָל טָמֵא מַגַּע טְמֵא מֵת. נָטַל חוּט אֶחָד מִתְּחִלָּתוֹ, וְאַחַר כָּךְ הִשְׁלִים עָלָיו אֶת כָּל הַבֶּגֶד, טָהוֹר, מִפְּנֵי שֶׁאָמְרוּ, שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ שֶׁנִּתְמַעֵט, טָהוֹר. אֲבָל שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה שֶׁנִּתְמַעֵט, אַף עַל פִּי שֶׁטָּהוֹר מִמִּדְרָס, טָמֵא בְכָל הַטֻּמְאוֹת: \n", + "סָדִין שֶׁהוּא טָמֵא מִדְרָס, וַעֲשָׂאוֹ וִילוֹן, טָהוֹר מִן הַמִּדְרָס, אֲבָל טָמֵא מַגַּע מִדְרָס. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, וְכִי בְאֵיזֶה מִדְרָס נָגַע זֶה. אֶלָּא אִם כֵּן נָגַע בּוֹ הַזָּב, טָמֵא בְמַגַּע הַזָּב: \n", + "שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה שֶׁנֶּחֱלַק, טָהוֹר מִן הַמִּדְרָס, אֲבָל טָמֵא מַגַּע מִדְרָס. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, וְכִי בְאֵיזֶה מִדְרָס נָגַע זֶה. אֶלָּא אִם כֵּן נָגַע בּוֹ הַזָּב, טָמֵא מַגַּע הַזָּב: \n", + "שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה, בָּאַשְׁפּוֹת, בָּרִיא וְצוֹרֵר מֶלַח. בַּבַּיִת, אוֹ בָרִיא אוֹ צוֹרֵר מֶלַח. כַּמָּה מֶלַח יְהֵא צוֹרֵר, רֹבַע. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, בְּדַקָּה. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, בְּגַסָּה. אֵלּוּ וָאֵלּוּ מִתְכַּוְּנִים לְהָקֵל. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, שָׁוִים שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה בָאַשְׁפּוֹת לְשָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ בַּבָּיִת: \n", + "שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה שֶׁנִּקְרַע, אִם נְתָנוֹ עַל הַכִּסֵּא וּבְשָׂרוֹ נוֹגֵעַ בַּכִּסֵּא, טָהוֹר, וְאִם לָאו, טָמֵא. שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ שֶׁנִּמְהָה מִמֶּנָּה חוּט אֶחָד, אוֹ שֶׁנִּמְצָא בוֹ קֶשֶׁר, אוֹ שְׁנֵי חוּטִין מַתְאִימִין, טְהוֹרָה. שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ שֶׁהִשְׁלִיכָהּ בָּאַשְׁפּוֹת, טְהוֹרָה. הֶחֱזִירָהּ, טְמֵאָה. לְעוֹלָם הַשְׁלָכָתָהּ מְטַהֲרַתָּה, וַחֲזָרָתָהּ מְטַמֵּאתָהּ, חוּץ מִשֶּׁל אַרְגָּמָן וְשֶׁל זְהוֹרִית טוֹבָה. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, אַף מַטְלִית חֲדָשָׁה כַּיּוֹצֵא בָהֶן. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, כֻּלָּן טְהוֹרִין, לֹא הֻזְכְּרוּ אֶלָּא מִפְּנֵי הֲשָׁבַת אֲבֵדָה: \n" + ], + [ + "שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ שֶׁנְּתָנָהּ בְּכַדּוּר, אוֹ שֶׁעֲשָׂאָהּ כַּדּוּר בִּפְנֵי עַצְמָהּ, טְהוֹרָה. אֲבָל שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה שֶׁנְּתָנוֹ בְכַדּוּר, טָמֵא. עֲשָׂאוֹ כַדּוּר בִּפְנֵי עַצְמוֹ, טָהוֹר, מִפְּנֵי שֶׁהַתֶּפֶר מְמַעֲטוֹ: \n", + "פָּחוֹת מִשְּׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה שֶׁהִתְקִינוֹ לָפוֹק בּוֹ אֶת הַמֶּרְחָץ, לְנַעֵר בּוֹ אֶת הַקְּדֵרָה, לְקַנֵּחַ בּוֹ אֶת הָרֵחַיִם, בֵּין מוּכָן בֵּין שֶׁאֵינוֹ מוּכָן, טָמֵא, דִּבְרֵי רַבִּי אֱלִיעֶזֶר. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, בֵּין מִן הַמּוּכָן, בֵּין שֶׁאֵינוֹ מִן הַמּוּכָן, טָהוֹר. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, מִן הַמּוּכָן, טָמֵא. שֶׁאֵינוֹ מִן הַמּוּכָן, טָהוֹר: \n", + "הָעוֹשֶׂה אִסְפְּלָנִית, בֵּין בְּבֶגֶד בֵּין בְּעוֹר, טְהוֹרָה. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, עַל הָעוֹר, טָהוֹר. מְלוּגְמָא, בְּבֶגֶד, טְהוֹרָה, וּבְעוֹר, טְמֵאָה. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, אַף בְּבֶגֶד, טְמֵאָה, מִפְּנֵי שֶׁהִיא נִנְעָרֶת: \n", + "מִטְפְּחוֹת סְפָרִים, בֵּין מְצֻיָּרוֹת בֵּין שֶׁאֵינָן מְצֻיָּרוֹת, טְמֵאוֹת, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּאי. בֵּית הִלֵּל אוֹמְרִים, מְצֻיָּרוֹת, טְהוֹרוֹת, וְשֶׁאֵינָם מְצֻיָּרוֹת, טְמֵאוֹת. רַבָּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, אֵלּוּ וָאֵלּוּ טְהוֹרוֹת: \n", + "כִּפָּה שֶׁהוּא טָמֵא מִדְרָס, וּנְתָנוֹ עַל הַסֵּפֶר, טָהוֹר מִן הַמִּדְרָס, אֲבָל טָמֵא טְמֵא מֵת. חֵמֶת שֶׁעֲשָׂאָהּ שָׁטִיחַ, וְשָׁטִיחַ שֶׁעֲשָׂאוֹ חֵמֶת, טָהוֹר. חֵמֶת שֶׁעֲשָׂאָהּ תּוּרְמֵל וְתוּרְמֵל שֶׁעֲשָׂאוֹ חֵמֶת, כַּר שֶׁעֲשָׂאוֹ סָדִין וְסָדִין שֶׁעֲשָׂאוֹ כַּר, כֶּסֶת שֶׁעֲשָׂאָהּ מִטְפַּחַת וּמִטְפַּחַת שֶׁעֲשָׂאָהּ כֶּסֶת, טָמֵא. זֶה הַכְּלָל, כֹּל שֶׁשִּׁנָּהוּ לִשְׁמוֹ, טָמֵא. לְשֵׁם אַחֵר, טָהוֹר: \n", + "מַטְלִית שֶׁטְּלָיָהּ עַל הַקֻּפָּה, מְטַמְּאָה אֶחָד וּפוֹסֶלֶת אֶחָד. הִפְרִישָׁהּ מִן הַקֻּפָּה, הַקֻּפָּה מְטַמָּא אֶחָד וּפוֹסֶלֶת אֶחָד, וְהַמַּטְלִית טְהוֹרָה. טְלָיָהּ עַל הַבֶּגֶד, מְטַמָּא שְׁנַיִם וּפוֹסֶלֶת אֶחָד. הִפְרִישָׁהּ מִן הַבֶּגֶד, הַבֶּגֶד מְטַמֵּא אֶחָד וּפוֹסֵל אֶחָד, וְהַמַּטְלִית מְטַמְּאָה שְׁנַיִם וּפוֹסֶלֶת אֶחָד. וְכֵן הַטּוֹלֶה עַל הַשַּׂק אוֹ עַל הָעוֹר, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, עַל הָעוֹר, טָהוֹר. עַל הַשַּׂק, טָמֵא, מִפְּנֵי שֶׁהוּא אָרִיג: \n", + "שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ שֶׁאָמְרוּ, חוּץ מִן הַמְּלָל, דִּבְרֵי רַבִּי שִׁמְעוֹן. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ מְכֻוָּנֶת. טְלָיָהּ עַל הַבֶּגֶד, מֵרוּחַ אַחַת, אֵינוֹ חִבּוּר. מִשְּׁתֵּי רוּחוֹת זוֹ כְנֶגֶד זוֹ, חִבּוּר. עֲשָׂאוֹ כְמִין גַּאם, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. אָמַר רַבִּי יְהוּדָה, בַּמֶּה דְבָרִים אֲמוּרִים, בְּטַלִּית. אֲבָל בְּחָלוּק, מִלְמַעְלָן, חִבּוּר. וּמִלְּמַטָּן, אֵינוֹ חִבּוּר: \n", + "בִּגְדֵי עֲנִיִּים, אַף עַל פִּי שֶׁאֵין בָּהֶם שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין מִדְרָס. טַלִּית שֶׁהִתְחִיל בָּהּ לְקָרְעָהּ, כֵּיוָן שֶׁנִּקְרַע רֻבָּהּ, אֵינוֹ חִבּוּר. הֶעָבִים וְהָרַכִּים, אֵין בָּהֶם מִשּׁוּם שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ: \n", + "כֶּסֶת הַסַּבָּלִין, טְמֵאָה מִדְרָס. מְשַׁמֶּרֶת שֶׁל יַיִן, אֵין בָּהּ מִשּׁוּם מוֹשָׁב. סְבָכָה שֶׁל זְקֵנָה, טְמֵאָה מִשּׁוּם מוֹשָׁב. חָלוּק שֶׁל יוֹצֵאת הַחוּץ הֶעָשׂוּי כִּסְבָכָה, טָהוֹר. הָעוֹשֶׂה בֶגֶד מִן הַחֵרֶם, טָהוֹר. וּמִזּוּטוֹ, טָמֵא. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר בֶּן יַעֲקֹב אוֹמֵר, אַף הָעוֹשֶׂה בֶגֶד מִן הַחֵרֶם וּכְפָלוֹ, טָמֵא: \n", + "סְבָכָה שֶׁהִתְחִיל בָּהּ מִפִּיהָ, טְהוֹרָה, עַד שֶׁיִּגְמֹר אֶת קוּרְקוּרְתָּהּ. הִתְחִיל בָּהּ מִקּוּרְקוּרְתָּהּ, טְהוֹרָה, עַד שֶׁיִּגְמֹר אֶת פִּיהָ. שָׁבִיס שֶׁלָּהּ, טָמֵא בִפְנֵי עַצְמוֹ. הַחוּטִין שֶׁלָּהּ, טְמֵאִין מִשּׁוּם חִבּוּר. סְבָכָה שֶׁנִּקְרְעָה, אִם אֵינָהּ מְקַבֶּלֶת אֶת רֹב הַשֵּׂעָר, טְהוֹרָה: \n" + ], + [ + "נוֹמֵי הַסָּדִין וְהַסּוּדָרִין וְהַטַּרְטִין וְהַפִּלְיוֹן שֶׁל רֹאשׁ, שֵׁשׁ אֶצְבָּעוֹת. שֶׁל אַפְקַרְסִין, עֶשֶׂר. נִימֵי סָגוֹס, וְהָרְדִיד, וְהֶחָלוּק, וְהַטַּלִּית, שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת. נִימֵי כִפָּה שֶׁל זְקֵנָה, וְהַגּוּמְדִין שֶׁל עַרְבִיִּין, וְהַקֻּלְקִין, וְהַפֻּנְדָּא, וְהַמַּעֲפֹרֶת, וְהַפַּרְגּוֹד, נִימֵיהֶן כָּל שֶׁהֵן: \n", + "שָׁלֹשׁ כְּסָתוֹת שֶׁל צֶמֶר, שֵׁשׁ שֶׁל פִּשְׁתָּן, שְׁלֹשָׁה סְדִינִין, שְׁתֵּים עֶשְׂרֵה מִטְפָּחוֹת, שְׁנֵי סוּבְרִיקִין, חָלוּק אֶחָד, טַלִּית אֶחָד, קְלֻבְקָרִין אֶחָד, חִבּוּר לַטֻּמְאָה וְלַהֲזָּיָה. יָתֵר מִכָּאן, חִבּוּר לַטֻּמְאָה, וְאֵין חִבּוּר לַהַזָּיָה. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אַף לֹא לַטֻּמְאָה: \n", + "חוּט הַמִּשְׁקֹלֶת, שְׁנֵים עָשָׂר. שֶׁל חָרָשִׁין, שְׁמֹנָה עָשָׂר. שֶׁל בַּנָּיִן, חֲמִשִּׁים אַמָּה. יָתֵר מִכָּאן, אִם רָצָה לְקַיֵּם, טָהוֹר. שֶׁל סַיָּדִין וְשֶׁל צַיָּרִין, כָּל שֶׁהֵן: \n", + "חוּט מֹאזְנַיִם שֶׁל זֶהָבִים וְשֶׁל שׁוֹקְלֵי אַרְגָּמָן טוֹב, שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת. יַד הַקֻּרְדֹּם מֵאַחֲרָיו, שָׁלשׁ אֶצְבָּעוֹת. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, טֶפַח, טָהוֹר: \n", + "חוּט מֹאזְנַיִם שֶׁל חֶנְוָנִים, שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים טֶפַח. יַד הַקֻּרְדֹּם מִלְּפָנָיו, טֶפַח. שְׁיָרֵי יַד הַפַּרְגּוֹל, טֶפַח. יַד מַקֶּבֶת שֶׁל יָד שֶׁל מְפַתְּחֵי אֲבָנִים, טָפַח: \n", + "חוּט מֹאזְנַיִם שֶׁל צַמָּרִים, וְשֶׁל שׁוֹקְלֵי זְכוּכִית, טְפָחַיִם. יַד הַמַּקּוֹר, טְפָחַיִם. יַד הַמַּעֲצָד שֶׁל לִגְיוֹנוֹת, טְפָחַיִם. יַד הַקֻּרְנָס שֶׁל זֶהָבִים, טְפָחַיִם. וְשֶׁל חָרָשִׁין, שְׁלֹשָׁה טְפָחִים: \n", + "שְׁיָרֵי הַדָּרְבָן מִלְמַעְלָן, אַרְבָּעָה. יַד הַבָּדִיד, אַרְבָּעָה. יַד הַקֻּרְדֹּם שֶׁל נִכּוּשׁ, חֲמִשָּׁה. יַד בֶּן הַפַּטִּישׁ, חֲמִשָּׁה. וְשֶׁל הַפַּטִּישׁ, שִׁשָּׁה. יַד הַקֻּרְדֹּם שֶׁל בִּקּוּעַ וְשֶׁל עָדִיר, שִׁשָּׁה. וְיַד מַקֶּבֶת שֶׁל סַתָּתִין, שִׁשָּׁה: \n", + "שְׁיָרֵי חַרְחוּר מִלְּמַטָּן, שִׁבְעָה. יַד מַגְרֵפָה שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, שִׁבְעָה. בֵּית הִלֵּל אוֹמְרִים, שְׁמֹנָה. שֶׁל סַיָּדִין, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, תִּשְׁעָה. בֵּית הִלֵּל אוֹמְרִים, עֲשָׂרָה. יָתֵר מִכָּאן, אִם רָצָה לְקַיֵּם, טָמֵא. וְיַד מְשַׁמְּשֵׁי הָאוּר, כָּל שֶׁהוּא: \n" + ], + [ + "כְּלֵי זְכוּכִית, פְּשׁוּטֵיהֶן טְהוֹרִין, וּמְקַבְּלֵיהֶן טְמֵאִים. נִשְׁבְּרוּ, טָהָרוּ. חָזַר וְעָשָׂה מֵהֶן כֵּלִים, מְקַבְּלִין טֻמְאָה מִכָּאן וּלְהַבָּא. הַטַּבְלָא וְהָאִסְקוּטְלָא שֶׁל זְכוּכִית, טְהוֹרִין. אִם יֶשׁ לָהֶן לִזְבֵּז, טְמֵאִים. שׁוּלֵי קְעָרָה וְשׁוּלֵי אִסְקוּטְלָא שֶׁל זְכוּכִית שֶׁהִתְקִינָן לְתַשְׁמִישׁ, טְהוֹרִין. קִרְטְסָן אוֹ שָׁפָן בְּשׁוּפִין, טְמֵאִין: \n", + "אַסְפַּקְלַרְיָא, טְהוֹרָה. וְתַמְחוּי שֶׁעֲשָׂאוֹ אַסְפַּקְלַרְיָא, טָמֵא. וְאִם מִתְּחִלָּה עֲשָׂאוֹ לְשֵׁם אַסְפַּקְלַרְיָא, טָהוֹר. תַּרְוָד שֶׁהוּא נוֹתְנוֹ עַל הַשֻּׁלְחָן, אִם מְקַבֵּל כָּל שֶׁהוּא, טָמֵא. וְאִם לָאו, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא, רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי מְטַהֵר: \n", + "כּוֹס שֶׁנִּפְגַּם רֻבּוֹ, טָהוֹר. נִפְגַּם בּוֹ שָׁלֹשׁ בְּרֻבּוֹ, טָהוֹר. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, אִם מְפַזֵּר הוּא אֶת רֹב הַמַּיִם, טָהוֹר. נִקַּב, וַעֲשָׂאוֹ בֵּין בְּבַעַץ בֵּין בְּזֶפֶת, טָהוֹר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, בְּבַעַץ, טָמֵא, וּבְזֶפֶת, טָהוֹר: \n", + "צְלוֹחִית קְטַנָּה שֶׁנִּטַּל פִּיהָ, טְמֵאָה. וּגְדוֹלָה שֶׁנִּטַּל פִּיהָ, טְהוֹרָה. שֶׁל פַּלְיָטוֹן שֶׁנִּטַּל פִּיהָ, טְהוֹרָה, מִפְּנֵי שֶׁהִיא סוֹרַחַת אֶת הַיָּד. לְגִינִין גְּדוֹלִים שֶׁנִּטַּל פִּיהֶן, טְמֵאִין, מִפְּנֵי שֶׁהוּא מְתַקְּנָן לִכְבָשִׁין. וְהָאֲפַרְכֵּס שֶׁל זְכוּכִית, טְהוֹרָה. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, אַשְׁרַיִךְ כֵּלִים, שֶׁנִּכְנַסְתְּ בְּטֻמְאָה, וְיָצָאת בְּטָהֳרָה: \n" + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/Hebrew/merged.json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/Hebrew/merged.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..c192d9037166dacedad9e0ee4f669ccd8771e087 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Kelim/Hebrew/merged.json @@ -0,0 +1,337 @@ +{ + "title": "Mishnah Kelim", + "language": "he", + "versionTitle": "merged", + "versionSource": "https://www.sefaria.org/Mishnah_Kelim", + "text": [ + [ + "אֲבוֹת הַטֻּמְאוֹת, הַשֶּׁרֶץ, וְשִׁכְבַת זֶרַע, וּטְמֵא מֵת, וְהַמְּצֹרָע בִּימֵי סָפְרוֹ, וּמֵי חַטָּאת שֶׁאֵין בָּהֶם כְּדֵי הַזָּיָה, הֲרֵי אֵלּוּ מְטַמְּאִין אָדָם וְכֵלִים בְּמַגָּע, וּכְלֵי חֶרֶשׂ בַּאֲוִיר, וְאֵינָם מְטַמְּאִין בְּמַשָּׂא: \n", + "לְמַעְלָה מֵהֶם, נְבֵלָה, וּמֵי חַטָּאת שֶׁיֶּשׁ בָּהֶם כְּדֵי הַזָּיָה, שֶׁהֵם מְטַמְּאִין אֶת הָאָדָם בְּמַשָּׂא לְטַמֵּא בְגָדִים בְּמַגָּע, וַחֲשׂוּכֵי בְגָדִים בְּמַגָּע: \n", + "לְמַעְלָה מֵהֶן, בּוֹעֵל נִדָּה, שֶׁהוּא מְטַמֵּא מִשְׁכָּב תַּחְתּוֹן כָּעֶלְיוֹן. לְמַעְלָה מֵהֶן, זוֹבוֹ שֶׁל זָב וְרֻקּוֹ וְשִׁכְבַת זַרְעוֹ וּמֵימֵי רַגְלָיו, וְדַם הַנִּדָּה, שֶׁהֵן מְטַמְּאִין בְּמַגָּע וּבְמַשָּׂא. לְמַעְלָה מֵהֶן, מֶרְכָּב, שֶׁהוּא מְטַמֵּא תַּחַת אֶבֶן מְסָמָא. לְמַעְלָה מִן הַמֶּרְכָּב, מִשְׁכָּב, שֶׁשָּׁוֶה מַגָּעוֹ לְמַשָּׂאוֹ. לְמַעְלָה מִן הַמִּשְׁכָּב, הַזָּב, שֶׁהַזָּב עוֹשֶׂה מִשְׁכָּב, וְאֵין מִשְׁכָּב עוֹשֶׂה מִשְׁכָּב: \n", + "לְמַעְלָה מִן הַזָּב, זָבָה, שֶׁהִיא מְטַמְּאָה אֶת בּוֹעֲלָהּ. לְמַעְלָה מִן הַזָּבָה, מְצֹרָע, שֶׁהוּא מְטַמֵּא בְּבִיאָה. לְמַעְלָה מִן הַמְּצֹרָע, עֶצֶם כַּשְּׂעֹרָה, שֶׁהוּא מְטַמֵּא טֻמְאַת שִׁבְעָה. חָמוּר מִכֻּלָּם, הַמֵּת, שֶׁהוּא מְטַמֵּא בְאֹהֶל, מַה שֶּׁאֵין כֻּלָּם מְטַמְּאִין: \n", + "עֶשֶׂר טֻמְאוֹת פּוֹרְשׁוֹת מִן הָאָדָם. מְחֻסַּר כִּפּוּרִים, אָסוּר בַּקֹּדֶשׁ וּמֻתָּר בַּתְּרוּמָה וּבַמַּעֲשֵׂר. חָזַר לִהְיוֹת טְבוּל יוֹם, אָסוּר בַּקֹּדֶשׁ וּבַתְּרוּמָה וּמֻתָּר בַּמַּעֲשֵׂר. חָזַר לִהְיוֹת בַּעַל קֶרִי, אָסוּר בִּשְׁלָשְׁתָּן. חָזַר לִהְיוֹת בּוֹעֵל נִדָּה, מְטַמֵּא מִשְׁכָּב תַּחְתּוֹן כָּעֶלְיוֹן. חָזַר לִהְיוֹת זָב שֶׁרָאָה שְׁתֵּי רְאִיּוֹת, מְטַמֵּא מִשְׁכָּב וּמוֹשָׁב, וְצָרִיךְ בִּיאַת מַיִם חַיִּים, וּפָטוּר מִן הַקָּרְבָּן. רָאָה שָׁלֹשׁ, חַיָּב בַּקָּרְבָּן. חָזַר לִהְיוֹת מְצֹרָע מֻסְגָּר, מְטַמֵּא בְּבִיאָה, וּפָטוּר מִן הַפְּרִיעָה וּמִן הַפְּרִימָה וּמִן הַתִּגְלַחַת וּמִן הַצִּפֳּרִים. וְאִם הָיָה מֻחְלָט, חַיָּב בְּכֻלָּן. פֵּרַשׁ מִמֶּנּוּ אֵבָר שֶׁאֵין עָלָיו בָּשָׂר כָּרָאוּי, מְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא, וְאֵינוֹ מְטַמֵּא בְאֹהֶל. וְאִם יֵשׁ עָלָיו בָּשָׂר כָּרָאוּי, מְטַמֵּא בְמַגָּע וּבְמַשָּׂא וּבְאֹהֶל. שִׁעוּר בָּשָׂר כָּרָאוּי, כְּדֵי לְהַעֲלוֹת אֲרוּכָה. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אִם יֵשׁ בְּמָקוֹם אֶחָד כְּדֵי לְהַקִּיפוֹ בְחוּט עֵרֶב, יֶשׁ בּוֹ לְהַעֲלוֹת אֲרוּכָה: \n", + "עֶשֶׂר קְדֻשּׁוֹת הֵן, אֶרֶץ יִשְׂרָאֵל מְקֻדֶּשֶׁת מִכָּל הָאֲרָצוֹת. וּמַה הִיא קְדֻשָּׁתָהּ, שֶׁמְּבִיאִים מִמֶּנָּה הָעֹמֶר וְהַבִּכּוּרִים וּשְׁתֵּי הַלֶּחֶם, מַה שֶּׁאֵין מְבִיאִים כֵּן מִכָּל הָאֲרָצוֹת: \n", + "עֲיָרוֹת הַמֻּקָּפוֹת חוֹמָה מְקֻדָּשׁוֹת מִמֶּנָּה, שֶׁמְּשַׁלְּחִים מִתּוֹכָן אֶת הַמְּצֹרָעִים, וּמְסַבְּבִין לְתוֹכָן מֵת עַד שֶׁיִּרְצוּ. יָצָא, אֵין מַחֲזִירִין אוֹתוֹ: \n", + "לִפְנִים מִן הַחוֹמָה מְקֻדָּשׁ מֵהֶם, שֶׁאוֹכְלִים שָׁם קָדָשִׁים קַלִּים וּמַעֲשֵׂר שֵׁנִי. הַר הַבַּיִת מְקֻדָּשׁ מִמֶּנּוּ, שֶׁאֵין זָבִים וְזָבוֹת, נִדּוֹת וְיוֹלְדוֹת נִכְנָסִים לְשָׁם. הַחֵיל מְקֻדָּשׁ מִמֶּנּוּ, שֶׁאֵין גּוֹיִם וּטְמֵא מֵת נִכְנָסִים לְשָׁם. עֶזְרַת נָשִׁים מְקֻדֶּשֶׁת מִמֶּנּוּ, שֶׁאֵין טְבוּל יוֹם נִכְנָס לְשָׁם, וְאֵין חַיָּבִים עָלֶיהָ חַטָּאת. עֶזְרַת יִשְׂרָאֵל מְקֻדֶּשֶׁת מִמֶּנָּה, שֶׁאֵין מְחֻסַּר כִּפּוּרִים נִכְנָס לְשָׁם, וְחַיָּבִין עָלֶיהָ חַטָּאת. עֶזְרַת הַכֹּהֲנִים מְקֻדֶּשֶׁת מִמֶּנָּה, שֶׁאֵין יִשְׂרָאֵל נִכְנָסִים לְשָׁם אֶלָּא בִשְׁעַת צָרְכֵיהֶם, לִסְמִיכָה לִשְׁחִיטָה וְלִתְנוּפָה: \n", + "בֵּין הָאוּלָם וְלַמִּזְבֵּחַ מְקֻדָּשׁ מִמֶּנָּה, שֶׁאֵין בַּעֲלֵי מוּמִין וּפְרוּעֵי רֹאשׁ נִכְנָסִים לְשָׁם. הַהֵיכָל מְקֻדָּשׁ מִמֶּנּוּ, שֶׁאֵין נִכְנָס לְשָׁם שֶׁלֹּא רְחוּץ יָדַיִם וְרַגְלָיִם. קֹדֶשׁ הַקֳּדָשִׁים מְקֻדָּשׁ מֵהֶם, שֶׁאֵין נִכְנָס לְשָׁם אֶלָּא כֹהֵן גָּדוֹל בְּיוֹם הַכִּפּוּרִים בִּשְׁעַת הָעֲבוֹדָה. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, בַּחֲמִשָּׁה דְבָרִים בֵּין הָאוּלָם וְלַמִּזְבֵּחַ שָׁוֶה לַהֵיכָל, שֶׁאֵין בַּעֲלֵי מוּמִין, וּפְרוּעֵי רֹאשׁ, וּשְׁתוּיֵי יַיִן, וְשֶׁלֹּא רְחוּץ יָדַיִם וְרַגְלַיִם נִכְנָסִים לְשָׁם, וּפוֹרְשִׁין מִבֵּין הָאוּלָם וְלַמִּזְבֵּחַ בִּשְׁעַת הַקְטָרָה: \n" + ], + [ + "כְּלֵי עֵץ, וּכְלֵי עוֹר, וּכְלֵי עֶצֶם, וּכְלֵי זְכוּכִית, פְּשׁוּטֵיהֶן טְהוֹרִים, וּמְקַבְּלֵיהֶן טְמֵאִים. נִשְׁבְּרוּ, טָהָרוּ. חָזַר וְעָשָׂה מֵהֶם כֵּלִים, מְקַבְּלִין טֻמְאָה מִכָּאן וּלְהַבָּא. כְּלֵי חֶרֶס וּכְלֵי נֶתֶר, טֻמְאָתָן שָׁוָה. מִטַּמְּאִין וּמְטַמְּאִין בַּאֲוִיר, וּמִטַּמְּאִין מֵאֲחוֹרֵיהֶן, וְאֵינָן מִטַּמְּאִין מִגַּבֵּיהֶן, וּשְׁבִירָתָן הִיא טָהֳרָתָן: \n", + "הַדַּקִּין שֶׁבִּכְלֵי חֶרֶס, וְקַרְקְרוֹתֵיהֶן, וְדָפְנוֹתֵיהֶן יוֹשְׁבִין שֶׁלֹּא מְסֻמָּכִין, שִׁעוּרָן, מִכְּדֵי סִיכַת קָטָן וְעַד לֹג. מִלֹּג וְעַד סְאָה, בִּרְבִיעִית. מִסְּאָה וְעַד סָאתַיִם, בַּחֲצִי לֹג. מִסָּאתַיִם וְעַד שָׁלֹשׁ וְעַד חָמֵשׁ סְאִין, בְּלֹג, דִּבְרֵי רַבִּי יִשְׁמָעֵאל. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, אֲנִי אֵינִי נוֹתֵן בָּהֶן מִדָּה, אֶלָּא, הַדַּקִּין שֶׁבִּכְלֵי חֶרֶס, וְקַרְקְרוֹתֵיהֶן, וְדָפְנוֹתֵיהֶן יוֹשְׁבִין שֶׁלֹּא מְסֻמָּכִין, שִׁעוּרָן מִכְּדֵי סִיכַת קָטָן וְעַד קְדֵרוֹת הַדַּקּוֹת. מֵהַקְּדֵרוֹת הַדַּקּוֹת וְעַד חָבִיּוֹת לוּדִיּוֹת, בִּרְבִיעִית. מִלּוּדִיּוֹת וְעַד לַחְמִיּוֹת, בַּחֲצִי לֹג. מִלַּחְמִיּוֹת וְעַד חֲצָבִים גְּדוֹלִים, בְּלֹג. רַבָּן יוֹחָנָן בֶּן זַכַּאי אוֹמֵר, חֲצָבִים גְּדוֹלִים, שִׁעוּרָן בִּשְׁנֵי לֻגִּין. הַפַּכִּים הַגְּלִילִים וְהֶחָבִיּוֹנוֹת, שִׁעוּר קַרְקְרוֹתֵיהֶן כָּל שֶׁהֵן, וְאֵין לָהֶם דְּפָנוֹת: \n", + "הַטְּהוֹרִין שֶׁבִּכְלֵי חֶרֶס, טַבְלָה שֶׁאֵין לָהּ לִזְבֵּז, וּמַחְתָּה פְרוּצָה, וְאַבּוּב שֶׁל קַלָּאִין, וְסִילוֹנוֹת, אַף עַל פִּי כְפוּפִין אַף עַל פִּי מְקַבְּלִין, וְכַבְכָּב שֶׁעֲשָׂאוֹ לְסַל הַפַּת, וּטְפִי שֶׁהִתְקִינוֹ לָעֲנָבִים, וְחָבִית שֶׁל שַׁיָּטִין, וְחָבִית דְּפוּנָה בְשׁוּלֵי הַמַּחַץ, וְהַמִּטָּה, וְהַכִּסֵּא, וְהַסַּפְסָל, וְהַשֻּׁלְחָן, וְהַסְּפִינָה, וְהַמְּנוֹרָה שֶׁל חֶרֶס, הֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִים. זֶה הַכְּלָל, כֹּל שֶׁאֵין לוֹ תוֹךְ בִּכְלֵי חֶרֶס, אֵין לוֹ אֲחוֹרָיִם: \n", + "פַּנָּס שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית קִבּוּל שֶׁמֶן, טָמֵא. וְשֶׁאֵין בּוֹ, טָהוֹר. מְגוּפַת הַיּוֹצְרִין שֶׁהוּא פוֹתֵחַ בָּהּ, טְהוֹרָה. וְשֶׁהוּא גוֹמֵר בָּהּ, טְמֵאָה. מַשְׁפֵּךְ שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, טָהוֹר. וְשֶׁל רוֹכְלִין, טָמֵא, מִפְּנֵי שֶׁהוּא שֶׁל מִדָּה, דִּבְרֵי רַבִּי יְהוּדָה בֶן בְּתֵירָא. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, מִפְּנֵי שֶׁהוּא מַטֵּהוּ עַל צִדּוֹ וּמֵרִיחַ בּוֹ לַלּוֹקֵחַ: \n", + "כִּסּוּי כַּדֵּי יַיִן וְכַדֵּי שֶׁמֶן, וְכִסּוּי חָבִיוֹת נְיָרוֹת, טְהוֹרִין. וְאִם הִתְקִינוֹ לְתַשְׁמִישׁ, טְמֵאִים. כְּסוּי הַלְּפָס, בִּזְמַן שֶׁהוּא נָקוּב וְיֶשׁ לוֹ חִדּוּד, טָהוֹר. אִם אֵינוֹ נָקוּב וְאֵין לוֹ חִדּוּד, טָמֵא, מִפְּנֵי שֶׁהִיא מְסַנֶּנֶת לְתוֹכוֹ אֶת הַיָּרָק. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר בַּר צָדוֹק אוֹמֵר, מִפְּנֵי שֶׁהִיא הוֹפֶכֶת עָלָיו אֶת הָרוּנְקִי: \n", + "גִּסְטְרָא שֶׁנִּמְצֵאת בַּכִּבְשָׁן, עַד שֶׁלֹּא נִגְמְרָה מְלַאכְתָּהּ, טְהוֹרָה. מִשֶּׁנִּגְמְרָה מְלַאכְתָּהּ, טְמֵאָה. טִיטְרוֹס, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר בַּר צָדוֹק מְטַהֵר. רַבִּי יוֹסֵי מְטַמֵּא, מִפְּנֵי שֶׁהוּא כְמוֹצִיא פְרוּטוֹת: \n", + "הַטְּמֵאִין שֶׁבִּכְלֵי חֶרֶס, טַבְלָה שֶׁיֶּשׁ לָהּ לִזְבֵּז, וּמַחְתָּה שְׁלֵמָה, וְטַבְלָה שֶׁהִיא מְלֵאָה קְעָרוֹת. נִטְמֵאת אַחַת מֵהֶם בְּשֶׁרֶץ, לֹא נִטְמְאוּ כֻלָּם. אִם יֶשׁ לָהּ לִזְבֵּז עוֹדֵף, נִטְמְאָה אַחַת מֵהֶם, נִטְמְאוּ כֻלָּן. וְכֵן בֵּית תְּבָלִין שֶׁל חֶרֶס, וְקַלְמָרִים הַמְּתֹאָמוֹת. וּבֵית תְּבָלִין שֶׁל עֵץ, שֶׁנִּטְמָא אֶחָד בְּמַשְׁקֶה, לֹא נִטְמָא חֲבֵרוֹ. רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי אוֹמֵר, חוֹלְקִין אֶת עָבְיוֹ. הַמְשַׁמֵּשׁ לַטָּמֵא, טָמֵא. הַמְשַׁמֵּשׁ לַטָּהוֹר, טָהוֹר. אִם יֶשׁ לוֹ לִזְבֵּז עוֹדֵף, נִטְמָא אַחַד מֵהֶם, נִטְמָא חֲבֵרוֹ: \n", + "הַלַּפִּיד, טָמֵא. וּבֵית שִׁקְעוֹ שֶׁל נֵר, מִטַּמֵּא בַאֲוִיר. הַמַּסְרֵק שֶׁל צַרְצוּר, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין: \n" + ], + [ + "שִׁעוּר כְּלִי חֶרֶס לִטַּהֵר, הֶעָשׂוּי לְאֳכָלִין, שִׁעוּרוֹ בְזֵיתִים. הֶעָשׂוּי לְמַשְׁקִין, שִׁעוּרוֹ בְמַשְׁקִין. הֶעָשׂוּי לְכָךְ וּלְכָךְ, מַטִּילִין אוֹתוֹ לְחֻמְרוֹ בְזֵיתִים: \n", + "חָבִית, שִׁעוּרָהּ בִּגְרוֹגָרוֹת, דִּבְרֵי רַבִּי שִׁמְעוֹן. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, בֶּאֱגוֹזִים. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, בְּזֵיתִים. הַלְּפָס וְהַקְּדֵרָה, שִׁעוּרָן בְּזֵיתִים. הַפַּךְ וְהַטְּפִי, שִׁעוּרָן בְּשָׁמֶן. וְהַצַּרְצוּר, שִׁעוּרוֹ בְמָיִם. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, שְׁלָשְׁתָּן בְּזֵרְעוֹנִין. נֵר, שִׁעוּרוֹ בְשָׁמֶן. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, בִּפְרוּטָה קְטַנָּה. נֵר שֶׁנִּטַּל פִּיו, טָהוֹר. וְשֶׁל אֲדָמָה שֶׁהֻסַּק פִּיו בַּפְּתִילָה, טָהוֹר: \n", + "חָבִית שֶׁנִּקְּבָה וַעֲשָׂאָהּ בְּזֶפֶת, וְנִשְׁבְּרָה, אִם יֵשׁ בִּמְקוֹם הַזֶּפֶת מַחֲזִיק רְבִיעִית, טְמֵאָה, מִפְּנֵי שֶׁלֹּא בָטַל שֵׁם כְּלִי מֵעָלֶיהָ. חֶרֶס שֶׁנִּקַּב וַעֲשָׂאוֹ בְזֶפֶת, אַף עַל פִּי מַחֲזִיק רְבִיעִית, טָהוֹר, מִפְּנֵי שֶׁבָּטַל שֵׁם כְּלִי מֵעָלָיו: \n", + "חָבִית שֶׁנִּתְרוֹעֲעָה וּטְפָלָהּ בִּגְלָלִים, אַף עַל פִּי שֶׁהוּא נוֹטֵל אֶת הַגְּלָלִים וְהַחֲרָסִים נוֹפְלִים, טְמֵאָה, מִפְּנֵי שֶׁלֹּא בָטַל שֵׁם כְּלִי מֵעָלֶיהָ. נִשְׁבְּרָה וְדִבֵּק מִמֶּנָּה חַרְסִית, אוֹ שֶׁהֵבִיא חַרְסִית מִמָּקוֹם אַחֵר וּטְפָלָן בִּגְלָלִים, אַף עַל פִּי שֶׁהוּא נוֹטֵל הַגְּלָלִים וְהַחֲרָסִין עוֹמְדִים, טְהוֹרָה, מִפְּנֵי שֶׁבָּטַל שֵׁם כְּלִי מֵעָלֶיהָ. הָיָה בָהּ חֶרֶס מַחֲזִיק רְבִיעִית, כֻּלָּהּ מִטַּמָּא בְמַגָּע, וּכְנֶגְדּוֹ מִטַּמֵּא בַאֲוִיר: \n", + "הַטּוֹפֵל כְּלִי חֶרֶס הַבָּרִיא, רַבִּי מֵאִיר וְרַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַמְּאִים. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, הַטּוֹפֵל אֶת הַבָּרִיא, טָהוֹר. וְאֶת הָרָעוּעַ, טָמֵא. וְכֵן בְּחִדּוּק הַקֵּרוּיָה: \n", + "יַבְּלִית שֶׁטּוֹפְלִין בָּהּ הַפִּטָּסִין, הַנּוֹגֵעַ בָּהּ, טָמֵא. מְגוּפַת חָבִית, אֵינָהּ חִבּוּר. הַנּוֹגֵעַ בְּטִפּוּלוֹ שֶׁל תַּנּוּר, טָמֵא: \n", + "מֵחַם שֶׁטְּפָלוֹ בְחֹמֶר וּבְחַרְסִית, הַנּוֹגֵעַ בַּחֹמֶר, טָמֵא. וּבַחַרְסִית, טָהוֹר. קוּמְקוּם שֶׁנִּקַּב וַעֲשָׂאוֹ בְזֶפֶת, רַבִּי יוֹסֵי מְטַהֵר, שֶׁאֵינוֹ יָכוֹל לְקַבֵּל אֶת הַחַמִּין כְּצוֹנֵן. וְכֵן הָיָה אוֹמֵר בִּכְלֵי זֶפֶת. כְּלֵי נְחֹשֶׁת שֶׁזְּפָתָן, טְהוֹרִין. וְאִם לְיַיִן, טְמֵאִין: \n", + "חָבִית שֶׁנִּקְּבָה וַעֲשָׂאָהּ בְּזֶפֶת יָתֵר מִצָּרְכָּהּ, הַנּוֹגֵעַ בְּצָרְכָּהּ, טָמֵא. יָתֵר מִצָּרְכָּהּ, טָהוֹר. זֶפֶת שֶׁנָּטְפָה עַל הֶחָבִית, הַנּוֹגֵעַ בָּהּ, טָהוֹר. מַשְׁפֵּךְ שֶׁל עֵץ וְשֶׁל חֶרֶס שֶׁפְּקָקוֹ בְזֶפֶת, רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה מְטַמֵּא. רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא בְשֶׁל עֵץ, וּמְטַהֵר בְּשֶׁל חֶרֶס. רַבִּי יוֹסֵי מְטַהֵר בִּשְׁנֵיהֶם: \n" + ], + [ + "הַחֶרֶס שֶׁאֵינוֹ יָכוֹל לַעֲמֹד מִפְּנֵי אָזְנוֹ, אוֹ שֶׁהָיָה בוֹ חִדּוּד וְהַחִדּוּד מַכְרִיעוֹ, טָהוֹר. נִטְּלָה הָאֹזֶן, נִשְׁבַּר הַחִדּוּד, טָהוֹר. רַבִּי יְהוּדָה מְטַמֵּא. חָבִית שֶׁנִּפְחֲתָה, וְהִיא מְקַבֶּלֶת עַל דָּפְנוֹתֶיהָ, אוֹ שֶׁנֶּחְלְקָה כְמִין שְׁתֵּי עֲרֵבוֹת, רַבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין: \n", + "חָבִית שֶׁנִּתְרוֹעֲעָה וְאֵינָהּ יְכוֹלָה לְהִטַּלְטֵל בַּחֲצִי קַב גְּרוֹגָרוֹת, טְהוֹרָה. גִּסְטְרָא שֶׁנִּתְרוֹעֲעָה וְאֵינָהּ מְקַבֶּלֶת מַשְׁקִין, אַף עַל פִּי שֶׁהִיא מְקַבֶּלֶת אֳכָלִין, טְהוֹרָה שֶׁאֵין שְׁיָרִין לִשְׁיָרִין: \n", + "אֵיזוֹ הִיא גִסְטְרָא, כֹּל שֶׁנִּטְּלוּ אָזְנֶיהָ. הָיוּ בָהּ חִדּוּדִין יוֹצְאִין, כֹּל הַמְקַבֵּל עִמָּהּ בְּזֵיתִים, מִטַּמֵּא בְמַגָּע וּכְנֶגְדּוֹ מִטַּמֵּא בַאֲוִיר. וְכֹל שֶׁאֵינוֹ מְקַבֵּל עִמָּהּ בְּזֵיתִים, מִטַּמֵּא בְמַגָּע וְאֵין כְּנֶגְדּוֹ מִטַּמֵּא בַאֲוִיר. הָיְתָה מֻטָּה עַל צִדָּהּ כְּמִין קַתֶּדְרָה, כֹּל הַמְקַבֵּל עִמָּהּ בְּזֵיתִים, מִטַּמֵּא בְמַגָּע וּכְנֶגְדּוֹ מִטַּמֵּא בַאֲוִיר. וְכֹל שֶׁאֵינוֹ מְקַבֵּל עִמָּהּ בְּזֵיתִים, מִטַּמֵּא בְמַגָּע וְאֵין כְּנֶגְדּוֹ מִטַּמֵּא בַאֲוִיר. שׁוּלֵי קוֹרְפִיּוֹת וְשׁוּלֵי קוֹסִים הַצִּידוֹנִיִּים, אַף עַל פִּי שֶׁאֵינָם יְכוֹלִים לֵישֵׁב שֶׁלֹּא מְסֻמָּכִין, טְמֵאִין, שֶׁלְּכָךְ נַעֲשׂוּ מִתְּחִלָּתָן: \n", + "כְּלִי חֶרֶשׂ שֶׁיֶּשׁ לוֹ שָׁלֹשׁ שְׂפָיוֹת, הַפְּנִימִית עוֹדֶפֶת, הַכֹּל טָהוֹר. הַחִיצוֹנָה עוֹדֶפֶת, הַכֹּל טָמֵא. הָאֶמְצָעִית עוֹדֶפֶת, מִמֶּנָּה וְלִפְנִים, טָמֵא. מִמֶּנָּה וְלַחוּץ, טָהוֹר. הָיוּ שָׁווֹת, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, חוֹלְקִין הָאֶמְצָעִית. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, הַכֹּל טָהוֹר. כְּלֵי חֶרֶס, מֵאֵימָתַי מְקַבְּלִין טֻמְאָה, מִשֶּׁיִּצָּרְפוּ בַכִּבְשָׁן, וְהִיא גְמַר מְלַאכְתָּן: \n" + ], + [ + "תַּנּוּר, תְּחִלָּתוֹ אַרְבָּעָה, וּשְׁיָרָיו אַרְבָּעָה, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, בַּמֶּה דְבָרִים אֲמוּרִים, בְּגָדוֹל. אֲבָל בְּקָטָן, תְּחִלָּתוֹ כָּל שֶׁהוּא, וּשְׁיָרָיו רֻבּוֹ, מִשֶּׁתִּגָּמֵר מְלַאכְתּוֹ. אֵיזֶהוּ גְמַר מְלַאכְתּוֹ, מִשֶּׁיַּסִּיקֶנּוּ כְּדֵי לֶאֱפוֹת בּוֹ סֻפְגָּנִין. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מִשֶּׁיַּסִּיק אֶת הֶחָדָשׁ, כְּדֵי לֶאֱפוֹת בַּיָּשָׁן סֻפְגָּנִין: \n", + "כִּירָה, תְּחִלָּתָהּ שָׁלֹשׁ, וּשְׁיָרֶיהָ שָׁלֹשׁ, מִשֶּׁתִּגָּמֵר מְלַאכְתָּהּ. אֵיזֶהוּ גְמַר מְלַאכְתָּהּ, מִשֶּׁיַּסִּיקֶנָּה, כְּדֵי לְבַשֵּׁל עָלֶיהָ בֵיצָה קַלָּה שֶׁבַּבֵּיצִים, טְרוּפָה וּנְתוּנָה בְאִלְפָּס. הַכֻּפָּח, עֲשָׂאוֹ לַאֲפִיָּה, שִׁעוּרוֹ כַּתַּנּוּר. עֲשָׂאוֹ לְבִשּׁוּל, שִׁעוּרוֹ כַּכִּירָה. הָאֶבֶן הַיּוֹצֵא מִן הַתַּנּוּר טֶפַח, וּמִן הַכִּירָה שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, חִבּוּר. הַיּוֹצֵא מִן הַכֻּפָּח, עֲשָׂאוֹ לַאֲפִיָּה, שִׁעוּרוֹ כַּתַּנּוּר. עֲשָׂאוֹ לְבִשּׁוּל, שִׁעוּרוֹ כַּכִּירָה. אָמַר רַבִּי יְהוּדָה, לֹא אָמְרוּ טֶפַח, אֶלָּא בֵין הַתַּנּוּר וְלַכֹּתֶל. הָיוּ שְׁנֵי תַנּוּרִין סְמוּכִים זֶה לָזֶה, נוֹתֵן לָזֶה טֶפַח וְלָזֶה טֶפַח, וְהַשְּׁאָר טָהוֹר: \n", + "עֲטֶרֶת כִּירָה, טְהוֹרָה. טִירַת הַתַּנּוּר, בִּזְמַן שֶׁהִיא גְבוֹהָה אַרְבָּעָה טְפָחִים, מִטַּמְּאָה בְמַגָּע וּבַאֲוִיר. פְּחוּתָה מִכָּאן, טְהוֹרָה. אִם חִבְּרָהּ לוֹ, אֲפִלּוּ עַל שָׁלֹשׁ אֲבָנִים טְמֵאָה. בֵּית הַפַּךְ וּבֵית הַתְּבָלִין וּבֵית הַנֵּר שֶׁבַּכִּירָה, מִטַּמְּאִין בְּמַגָּע וְאֵינָן מִטַּמְּאִין בַּאֲוִיר, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יִשְׁמָעֵאל מְטַהֵר: \n", + "תַּנּוּר שֶׁהֻסַּק מֵאֲחוֹרָיו, אוֹ שֶׁהֻסַּק שֶׁלֹּא לְדַעְתּוֹ, אוֹ שֶׁהֻסַּק בְּבֵית הָאֻמָּן, טָמֵא. מַעֲשֶׂה שֶׁנָּפְלָה דְלֵקָה בְתַנּוּרֵי כְפַר סִגְנָה, וּבָא מַעֲשֶׂה לְיַבְנֶה, וְטִמְּאָן רַבָּן גַּמְלִיאֵל: \n", + "מוּסַף הַתַּנּוּר שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, טָהוֹר. וְשֶׁל נַחְתּוֹמִין, טָמֵא, מִפְּנֵי שֶׁהוּא סוֹמֵךְ עָלָיו אֶת הַשַּׁפּוּד. רַבִּי יוֹחָנָן הַסַּנְדְּלָר אוֹמֵר, מִפְּנֵי שֶׁהוּא אוֹפֶה בוֹ כְּשֶׁהוּא נִדְחָק. כַּיּוֹצֵא בוֹ, מוּסַף הַיּוֹרָה שֶׁל שׁוֹלְקֵי זֵיתִים, טָמֵא. וְשֶׁל צַבָּעִים, טָהוֹר: \n", + "תַּנּוּר שֶׁנָּתַן בּוֹ עָפָר עַד חֶצְיוֹ, מֵעָפָר וּלְמַטָּן, מִטַּמֵּא בְמַגָּע. מֵעָפָר וּלְמַעְלָן, מִטַּמֵּא בַאֲוִיר. נְתָנוֹ עַל פִּי הַבּוֹר אוֹ עַל פִּי הַדּוּת, וְנָתַן שָׁם אֶבֶן, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אִם מַסִּיק מִלְּמַטָּן, וְהוּא נִסּוֹק מִלְמַעְלָן, טָמֵא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, הוֹאִיל וְהֻסַּק מִכָּל מָקוֹם, טָמֵא: \n", + "תַּנּוּר שֶׁנִּטְמָא, כֵּיצַד מְטַהֲרִין אוֹתוֹ. חוֹלְקוֹ לִשְׁלֹשָׁה, וְגוֹרֵר אֶת הַטְּפֵלָה עַד שֶׁיְּהֵא בָאָרֶץ. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, אֵינוֹ צָרִיךְ לִגְרֹר אֶת הַטְּפֵלָה, וְלֹא עַד שֶׁיְּהֵא בָאָרֶץ, אֶלָּא מְמַעֲטוֹ מִבִּפְנִים אַרְבָּעָה טְפָחִים. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, וְצָרִיךְ לְהַסִּיעוֹ. חִלְּקוֹ לִשְׁנַיִם, אֶחָד גָּדוֹל וְאֶחָד קָטָן, הַגָּדוֹל טָמֵא וְהַקָּטָן טָהוֹר. חֲלָקוֹ לִשְׁלֹשָׁה, אֶחָד גָּדוֹל כִּשְׁנַיִם, הַגָּדוֹל טָמֵא, וּשְׁנַיִם הַקְּטַנִּים טְהוֹרִין: \n", + "חֲתָכוֹ חֻלְיוֹת לְרָחְבּוֹ, פָּחוֹת מֵאַרְבָּעָה טְפָחִים, טָהוֹר. מֵרְחוֹ בְטִיט, מְקַבֵּל טֻמְאָה מִשֶּׁיַּסִּיקֶנּוּ כְּדֵי לֶאֱפוֹת בּוֹ סֻפְגָּנִין. הִרְחִיק מִמֶּנּוּ אֶת הַטְּפֵלָה וְנָתַן חֹל אוֹ צְרוֹר בֵּינְתַיִם, בָּזֶה אָמְרוּ, הַנִּדָּה וְהַטְּהוֹרָה אוֹפוֹת בּוֹ וְהוּא טָהוֹר: \n", + "תַּנּוּר שֶׁבָּא מְחֻתָּךְ מִבֵּית הָאֻמָּן, וְעָשָׂה בוֹ לִמּוּדִין, וְנוֹתְנָן עָלָיו וְהוּא טָהוֹר, נִטְמָא. וְסִלֵּק אֶת לִמּוּדָיו, טָהוֹר. הֶחֱזִירָן לוֹ, טָהוֹר. מֵרְחוֹ בְטִיט, מְקַבֵּל טֻמְאָה, וְאֵינוֹ צָרִיךְ לְהַסִּיקֶנּוּ, שֶׁכְּבָר הֻסָּק: \n", + "חֲתָכוֹ חֻלְיוֹת וְנָתַן חֹל בֵּין חֻלְיָא לְחֻלְיָא, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. זֶה תַנּוּרוֹ שֶׁל עַכְנָאי. יוֹרוֹת הָעַרְבִיִּין שֶׁהוּא חוֹפֵר בָּאָרֶץ וְטָח בְּטִיט, אִם יָכוֹל הַטִּיחַ לַעֲמוֹד בִּפְנֵי עַצְמוֹ, טָמֵא. וְאִם לָאו, טָהוֹר. וְזֶה תַנּוּרוֹ שֶׁל בֶּן דִּינָאי: \n", + "תַּנּוּר שֶׁל אֶבֶן וְשֶׁל מַתֶּכֶת, טָהוֹר, וְטָמֵא מִשּׁוּם כְּלֵי מַתָּכוֹת. נִקַּב, נִפְגַּם, נִסְדַּק, עָשָׂה לוֹ טְפֵלָה, אוֹ מוּסָף שֶׁל טִיט, טָמֵא. כַּמָּה יְהֵא בַנֶּקֶב, כְּדֵי שֶׁיֵּצֵא בוֹ הָאוּר. וְכֵן בְּכִירָה. כִּירָה שֶׁל אֶבֶן וְשֶׁל מַתֶּכֶת טְהוֹרָה, וּטְמֵאָה מִשּׁוּם כְּלֵי מַתָּכוֹת, נִקְּבָה, נִפְגְּמָה, נִסְדְּקָה, עָשָׂה לָהּ פִּטְפּוּטִין, טְמֵאָה. מֵרְחָהּ בְּטִיט בֵּין מִבִּפְנִים בֵּין מִבַּחוּץ, טְהוֹרָה. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מִבִּפְנִים טְמֵאָה, וּמִבַּחוּץ טְהוֹרָה: \n" + ], + [ + "הָעוֹשֶׂה שְׁלֹשָׁה פִטְפּוּטִים בָּאָרֶץ וְחִבְּרָן בְּטִיט לִהְיוֹת שׁוֹפֵת עֲלֵיהֶן אֶת הַקְּדֵרָה, טְמֵאָה. קָבַע שְׁלֹשָׁה מַסְמְרִין בָּאָרֶץ לִהְיוֹת שׁוֹפֵת עֲלֵיהֶן הַקְּדֵרָה, אַף עַל פִּי שֶׁעָשָׂה בְרֹאשׁוֹ מָקוֹם שֶׁתְּהֵא הַקְּדֵרָה יוֹשֶׁבֶת, טְהוֹרָה. הָעוֹשֶׂה שְׁתֵּי אֲבָנִים כִּירָה וְחִבְּרָם בְּטִיט, טְמֵאָה. רַבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר, עַד שֶׁיַּעֲשֶׂה שְׁלִישִׁית, אוֹ עַד שֶׁיִּסְמֹךְ לַכֹּתֶל. אַחַת בְּטִיט וְאַחַת שֶׁלֹּא בְטִיט, טְהוֹרָה: \n", + "הָאֶבֶן שֶׁהָיָה שׁוֹפֵת עָלֶיהָ וְעַל הַתַּנּוּר, עָלֶיהָ וְעַל הַכִּירָה, עָלֶיהָ וְעַל הַכֻּפָּח, טְמֵאָה. עָלֶיהָ וְעַל הָאֶבֶן, עָלֶיהָ וְעַל הַסֶּלַע, עָלֶיהָ וְעַל הַכֹּתֶל, טְהוֹרָה. וְזוֹ הָיְתָה כִּירַת הַנְּזִירִים שֶׁבִּירוּשָׁלַיִם, שֶׁכְּנֶגֶד הַסָּלַע. כִּירַת הַטַּבָּחִים, בִּזְמַן שֶׁהוּא נוֹתֵן אֶבֶן בְּצַד אֶבֶן, נִטְמֵאת אַחַת מֵהֶן, לֹא נִטְמְאוּ כֻלָּן: \n", + "שָׁלֹשׁ אֲבָנִים שֶׁעֲשָׂאָן שְׁתֵּי כִירַיִם, נִטְמֵאת אַחַת מִן הַחִיצוֹנָה, הָאֶמְצָעִית הַמְשַׁמֶּשֶׁת אֶת הַטְּמֵאָה, טְמֵאָה. הַמְשַׁמֶּשֶׁת הַטְּהוֹרָה, טְהוֹרָה. נִטְּלָה הַטְּהוֹרָה, הֻחְלְטָה הָאֶמְצָעִית לְטֻמְאָה. נִטְּלָה הַטְּמֵאָה, הֻחְלְטָה הָאֶמְצָעִית לִטְהוֹרָה. נִטְמְאוּ שְׁתַּיִם הַחִיצוֹנוֹת, אִם הָיְתָה הָאֶמְצָעִית גְּדוֹלָה, נוֹתֵן לָזוֹ כְדֵי שְׁפִיתָה מִכָּאן וְלָזוֹ כְדֵי שְׁפִיתָה מִכָּאן, וְהַשְּׁאָר טָהוֹר. וְאִם הָיְתָה קְטַנָּה, הַכֹּל טָמֵא. נִטְּלָה הָאֶמְצָעִית, אִם יָכוֹל לִשְׁפֹּת עָלֶיהָ יוֹרָה גְדוֹלָה, טְמֵאָה. הֶחֱזִירָהּ, טְהוֹרָה. מֵרְחָהּ בְּטִיט, מְקַבֶּלֶת טֻמְאָה מִשֶּׁיַּסִּיקֶנָּה כְּדֵי לְבַשֵּׁל עָלֶיהָ אֶת הַבֵּיצָה: \n", + "שְׁתֵּי אֲבָנִים שֶׁעֲשָׂאָם כִּירָה וְנִטְמְאוּ, סָמַךְ לָזוֹ אֶבֶן אַחַת מִכָּאן, וְלָזוֹ אֶבֶן אַחַת מִכָּאן, חֶצְיָהּ שֶׁל זוֹ טְמֵאָה וְחֶצְיָהּ טְהוֹרָה, וְחֶצְיָהּ שֶׁל זוֹ טְמֵאָה וְחֶצְיָהּ טְהוֹרָה. נִטְּלוּ טְהוֹרוֹת, חָזְרוּ אֵלּוּ לְטֻמְאָתָן: \n" + ], + [ + "הַקַּלָתוּת שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִים שֶׁנִּפְחֲתָה פָחוֹת מִשְּׁלֹשָׁה טְפָחִים, טְמֵאָה, שֶׁהוּא מַסִּיק מִלְּמַטָּן וּקְדֵרָה בְשֵׁלָה מִלְמַעְלָן. יָתֵר מִכָּאן, טְהוֹרָה. נָתַן אֶבֶן אוֹ צְרוֹר, טְהוֹרָה. מֵרְחָהּ בְּטִיט, מְקַבֶּלֶת טֻמְאָה מִכָּאן וּלְהַבָּא. זוֹ הָיְתָה תְשׁוּבַת רַבִּי יְהוּדָה בְתַנּוּר שֶׁנְּתָנוֹ עַל פִּי הַבּוֹר אוֹ עַל פִּי הַדּוּת: \n", + "דָּכוֹן שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית קִבּוּל קְדֵרוֹת, טָהוֹר מִשּׁוּם כִּירָה, וְטָמֵא מִשּׁוּם כְּלִי קִבּוּל. הַצְּדָדִין שֶׁלּוֹ, הַנּוֹגֵעַ בָּהֶם אֵינוֹ טָמֵא מִשּׁוּם כִּירָה. הָרַחַב שֶׁלּוֹ, רַבִּי מֵאִיר מְטַהֵר, וְרַבִּי יְהוּדָה מְטַמֵּא. וְכֵן הַכּוֹפֶה אֶת הַסַּל וְעוֹשֶׂה עַל גַּבָּיו כִּירָה: \n", + "כִּירָה שֶׁנֶּחְלְקָה לְאָרְכָּהּ, טְהוֹרָה. וּלְרָחְבָּהּ, טְמֵאָה. כֻּפָּח שֶׁנֶּחְלַק בֵּין לְאָרְכּוֹ בֵּין לְרָחְבּוֹ, טָהוֹר. חֲצַר הַכִּירָה, בִּזְמַן שֶׁהִיא גְבוֹהָה שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, מִטַּמְּאָה בְמַגָּע וּבַאֲוִיר. פְּחוּתָה מִכָּאן, מִטַּמְּאָה בְמַגָּע וְאֵינָהּ מִטַּמְּאָה בַאֲוִיר. כֵּיצַד מְשַׁעֲרִין אוֹתָהּ. רַבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר, נוֹתֵן אֶת הַשַּׁפּוּד מִלְמַעְלָן לְמַטָּן וּכְנֶגְדּוֹ מִטַּמְּאָה בַאֲוִיר. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר בֶּן יַעֲקֹב אוֹמֵר, נִטְמְאָה הַכִּירָה, נִטְמֵאת הֶחָצֵר. נִטְמְאָה הֶחָצֵר, לֹא נִטְמֵאת הַכִּירָה: \n", + "הָיְתָה מֻפְרֶשֶׁת מִן הַכִּירָה, בִּזְמַן שֶׁהִיא גְבוֹהָה שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, מִטַּמָּא בְמַגָּע וּבַאֲוִיר. פְּחוּתָה מִכָּאן אוֹ שֶׁהָיְתָה חֲלָקָה, טְהוֹרָה. פִּטְפּוּטֵי כִירָה, שְׁלֹשָׁה, שֶׁל שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, מִטַּמְּאִים בְּמַגָּע וּבַאֲוִיר. פָּחוֹת מִכָּאן, כָּל שֶׁכֵּן הֵן טְמֵאִים, וַאֲפִלּוּ הֵן אַרְבָּעָה: \n", + "נִטַּל אַחַד מֵהֶן, מִטַּמְּאִין בְּמַגָּע וְאֵינָם מִטַּמְּאִים בַּאֲוִיר, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. עָשָׂה שְׁנַיִם, זֶה כְנֶגֶד זֶה, מִטַּמְּאִין בְּמַגָּע וּבַאֲוִיר, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. הָיוּ גְבוֹהִין מִשָּׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, מִשָּׁלֹשׁ וּלְמַטָּן מִטַּמְּאִים בְּמַגָּע וּבַאֲוִיר, מִשָּׁלֹשׁ וּלְמַעְלָן מִטַּמְּאִין בְּמַגָּע וְאֵינָן מִטַּמְּאִין בַּאֲוִיר, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. הָיוּ מְשׁוּכִים מִן הַשָּׂפָה, בְּתוֹךְ שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת, מִטַּמְּאִים בְּמַגָּע וּבַאֲוִיר, חוּץ מִשָּׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת מִטַּמְּאִים בְּמַגָּע וְאֵינָם מִטַּמְּאִים בַּאֲוִיר, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר: \n", + "כֵּיצַד מְשַׁעֲרִין אוֹתָן. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, נוֹתֵן אֶת הַכַּנָּה בֵּינֵיהֶן, מִן הַכַּנָּה וְלַחוּץ טָהוֹר, מִן הַכַּנָּה וְלִפְנִים, וּמְקוֹם הַכַּנָּה טָמֵא: \n" + ], + [ + "הַתַּנּוּר שֶׁחֲצָצוֹ בִנְסָרִים אוֹ בִירִיעוֹת, נִמְצָא שֶׁרֶץ בְּמָקוֹם אֶחָד, הַכֹּל טָמֵא. כַּוֶּרֶת פְּחוּתָה וּפְקוּקָה בְקַשׁ וּמְשֻׁלְשֶׁלֶת לַאֲוִיר הַתַּנּוּר, הַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכָהּ, הַתַּנּוּר טָמֵא. הַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, אֳכָלִין שֶׁבְּתוֹכָהּ טְמֵאִין. וְרַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר. אָמַר רַבִּי אֱלִיעֶזֶר, אִם הִצִּילָה בְמֵת הֶחָמוּר, לֹא תַצִּיל בִּכְלִי חֶרֶס הַקַּל. אָמְרוּ לוֹ, אִם הִצִּילָה בְמֵת הֶחָמוּר, שֶׁכֵּן חוֹלְקִים אֹהָלִים, תַּצִּיל בִּכְלִי חֶרֶס הַקַּל, שֶׁאֵין חוֹלְקִים כְּלִי חָרֶס: ", + "הָיְתָה שְׁלֵמָה, וְכֵן הַקֻּפָּה, וְכֵן הַחֵמֶת, הַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכָהּ, הַתַּנּוּר טָהוֹר. הַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, אֳכָלִין שֶׁבְּתוֹכָהּ טְהוֹרִין. נִקְּבוּ, הֶעָשׂוּי לְאֳכָלִין, שִׁעוּרָן בְּזֵיתִים. הֶעָשׂוּי לְמַשְׁקִין, שִׁעוּרָן בְּמַשְׁקִים. הֶעָשׂוּי לְכָךְ וּלְכָךְ, מַטִּילִים אוֹתוֹ לְחֻמְרוֹ, בְּכוֹנֵס מַשְׁקֶה: ", + "סְרֵידָה שֶׁהִיא נְתוּנָה עַל פִּי הַתַּנּוּר וְשׁוֹקַעַת לְתוֹכוֹ וְאֵין לָהּ גַּפַּיִם, הַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכָהּ, הַתַּנּוּר טָמֵא. הַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, אֳכָלִים שֶׁבְּתוֹכָהּ, טְמֵאִין, שֶׁאֵין מַצִּילִין מִיַּד כְּלִי חֶרֶס אֶלָּא כֵלִים. חָבִית שֶׁהִיא מְלֵאָה מַשְׁקִין טְהוֹרִין, וּנְתוּנָה לְמַטָּה מִנְּחֻשְׁתּוֹ שֶׁל תַּנּוּר, הַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, הֶחָבִית וְהַמַּשְׁקִין טְהוֹרִין. הָיְתָה כְפוּיָה וּפִיהָ לַאֲוִיר הַתַּנּוּר, הַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, מַשְׁקֶה טוֹפֵחַ שֶׁבְּשׁוּלֵי הֶחָבִית טָהוֹר: ", + "קְדֵרָה שֶׁהִיא נְתוּנָה בַתַּנּוּר, הַשֶּׁרֶץ בַּתַּנּוּר, הַקְּדֵרָה טְהוֹרָה, שֶׁאֵין כְּלִי חֶרֶס מְטַמֵּא כֵלִים. הָיָה בָהּ מַשְׁקֶה טוֹפֵחַ, נִטְמָא וְטִמְּאָהּ. הֲרֵי זֶה אוֹמֵר, מְטַמְּאֶיךָ לֹא טִמְּאוּנִי וְאַתָּה טִמֵּאתָנִי: ", + "תַּרְנְגוֹל שֶׁבָּלַע אֶת הַשֶּׁרֶץ וְנָפַל לַאֲוִיר הַתַּנּוּר, טָהוֹר. וְאִם מֵת, טָמֵא. הַשֶּׁרֶץ שֶׁנִּמְצָא בַתַּנּוּר, הַפַּת שֶׁבְּתוֹכוֹ, שְׁנִיָּה, שֶׁהַתַּנּוּר תְּחִלָּה: ", + "בֵּית שְׂאֹר מֻקָּף צָמִיד פָּתִיל וְנָתוּן לְתוֹךְ הַתַּנּוּר, הַשְּׂאֹר וְהַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכוֹ וְהַקֶּרֶץ בֵּינְתַיִם, הַתַּנּוּר טָמֵא וְהַשְּׂאֹר טָהוֹר. וְאִם הָיָה כַזַּיִת מִן הַמֵּת, הַתַּנּוּר וְהַבַּיִת טָמֵא, וְהַשְּׂאֹר טָהוֹר. אִם יֶשׁ שָׁם פּוֹתֵחַ טֶפַח, הַכֹּל טָמֵא: ", + "הַשֶּׁרֶץ שֶׁנִּמְצָא בָעַיִן שֶׁל תַּנּוּר, בָּעַיִן שֶׁל כִּירָה, בָּעַיִן שֶׁל כֻּפָּח, מִן הַשָּׂפָה הַפְּנִימִית וְלַחוּץ, טָהוֹר. וְאִם הָיָה בָאֲוִיר, אֲפִלּוּ כַזַּיִת מִן הַמֵּת, טָהוֹר. וְאִם יֶשׁ שָׁם פּוֹתֵחַ טֶפַח, הַכֹּל טָמֵא: ", + "נִמְצָא מְקוֹם הַנָּחַת הָעֵצִים, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מִן הַשָּׂפָה הַחִיצוֹנָה וְלִפְנִים, טָמֵא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, מִשָּׂפָה הַפְּנִימִית וְלַחוּץ, טָהוֹר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, מִכְּנֶגֶד שְׁפִיתַת הַקְּדֵרָה וְלִפְנִים, טָמֵא. מִכְּנֶגֶד שְׁפִיתַת הַקְּדֵרָה וְלַחוּץ, טָהוֹר. נִמְצָא מְקוֹם יְשִׁיבַת הַבַּלָּן, מְקוֹם יְשִׁיבַת הַצַּבָּע, מְקוֹם יְשִׁיבַת שֶׁל שׁוֹלְקֵי זֵיתִים, טָהוֹר. אֵין טָמֵא אֶלָּא מִן הַסְּתִימָה וְלִפְנִים: ", + "בּוֹר שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית שְׁפִיתָה, טָמֵא. וְשֶׁל עוֹשֵׂי זְכוּכִית, אִם יֶשׁ בּוֹ בֵית שְׁפִיתָה, טָמֵא. כִּבְשָׁן שֶׁל סַיָּדִין וְשֶׁל זַגָּגִין וְשֶׁל יוֹצְרִים, טְהוֹרָה. פוּרְנָה, אִם יֶשׁ לָהּ לִזְבֵּז, טְמֵאָה. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אִם יֶשׁ לָהּ אִסְטְגִיּוֹת. רַבָּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, אִם יֶשׁ לָהּ שְׂפָיוֹת: ", + "מַגַּע טְמֵא מֵת, שֶׁהָיוּ אֳכָלִין וּמַשְׁקִין לְתוֹךְ פִּיו, הִכְנִיס רֹאשׁוֹ לַאֲוִיר הַתַּנּוּר טָהוֹר, טִמְּאוּהוּ. וְטָהוֹר שֶׁהָיוּ אֳכָלִין וּמַשְׁקִין לְתוֹךְ פִּיו וְהִכְנִיס רֹאשׁוֹ לַאֲוִיר הַתַּנּוּר טָמֵא, נִטְמָאוּ. הָיָה אוֹכֵל דְּבֵלָה בְיָדַיִם מְסֹאָבוֹת, הִכְנִיס יָדוֹ לְתוֹךְ פִּיו לִטֹּל אֶת הַצְּרוֹר, רַבִּי מֵאִיר מְטַמֵּא, רַבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אִם הָפַךְ, טָמֵא. אִם לֹא הָפַךְ, טָהוֹר. הָיָה פֻנְדְּיוֹן לְתוֹךְ פִּיו, רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אִם לִצְמָאוֹ, טָמֵא: ", + "הָאִשָּׁה שֶׁנָּטַף חָלָב מִדַּדֶּיהָ וְנָפַל לַאֲוִיר הַתַּנּוּר, טָמֵא, שֶׁהַמַּשְׁקֶה מְטַמֵּא לְרָצוֹן וְשֶׁלֹּא לְרָצוֹן. הָיְתָה גוֹרַפְתּוֹ וְהִכַּתָּהּ הַקּוֹץ וְיָצָא מִמֶּנָּה דָם, אוֹ שֶׁנִּכְוָת וְנָתְנָה אֶצְבָּעָהּ לְתוֹךְ פִּיהָ, נִטְמָא: " + ], + [ + "מַחַט אוֹ טַבַּעַת שֶׁנִּמְצְאוּ בִנְחֻשְׁתּוֹ שֶׁל תַּנּוּר, נִרְאִין אֲבָל לֹא יוֹצְאִים, אִם אוֹפֶה אֶת הַבָּצֵק וְהוּא נוֹגֵעַ בָּהֶן, טָמֵא. בְּאֵיזֶה בָצֵק אָמְרוּ, בְּבָצֵק הַבֵּינוֹנִי. נִמְצְאוּ בִטְפֵלַת הַתַּנּוּר מֻקָּף צָמִיד פָּתִיל, אִם בְּטָמֵא, טְמֵאִין. וְאִם בְּטָהוֹר, טְהוֹרִים. נִמְצְאוּ בִמְגוּפַת הֶחָבִית, מִצִּדֶּיהָ, טְמֵאִים, מִכְּנֶגֶד פִּיהָ, טְהוֹרִים. נִרְאִין בְּתוֹכָהּ אֲבָל לֹא לַאֲוִירָהּ, טְהוֹרִין. שׁוֹקְעִים בְּתוֹכָהּ וְתַחְתֵּיהֶם כִּקְלִפַּת הַשּׁוּם, טְהוֹרִין: \n", + "חָבִית שֶׁהִיא מְלֵאָה מַשְׁקִין טְהוֹרִין וּמְנִיקָת בְּתוֹכָהּ, מֻקֶּפֶת צָמִיד פָּתִיל וּנְתוּנָה בְאֹהֶל הַמֵּת, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, הֶחָבִית וְהַמַּשְׁקִין טְהוֹרִין, וּמְנִיקָת טְמֵאָה. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִין, אַף מְנִיקָת טְהוֹרָה. חָזְרוּ בֵית הִלֵּל לְהוֹרוֹת כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמָּאי: \n", + "הַשֶּׁרֶץ שֶׁנִּמְצָא לְמַטָּה מִנְּחֻשְׁתּוֹ שֶׁל תַּנּוּר, טָהוֹר, שֶׁאֲנִי אוֹמֵר, חַי נָפַל וְעַכְשָׁיו מֵת. מַחַט אוֹ טַבַּעַת שֶׁנִּמְצְאוּ לְמַטָּה מִנְּחֻשְׁתּוֹ שֶׁל תַּנּוּר, טָהוֹר, שֶׁאֲנִי אוֹמֵר, שָׁם הָיוּ עַד שֶׁלֹּא בָא הַתַּנּוּר. נִמְצְאוּ בְאֵפֶר מִקְלֶה, טָמֵא, שֶׁאֵין לוֹ בַמֶּה יִתְלֶה: \n", + "סְפוֹג שֶׁבָּלַע מַשְׁקִין טְמֵאִין וְנָגוּב מִבַּחוּץ וְנָפַל לַאֲוִיר הַתַּנּוּר, טָמֵא, שֶׁסּוֹף מַשְׁקֶה לָצֵאת. וְכֵן חֲתִיכָה שֶׁל לֶפֶת וְשֶׁל גֶּמִי. רַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר בִּשְׁנֵי אֵלּוּ: \n", + "חֲרָסִין שֶׁנִּשְׁתַּמֵּשׁ בָּהֶן מַשְׁקִין טְמֵאִין וְנָפְלוּ לַאֲוִיר הַתַּנּוּר, הֻסַּק הַתַּנּוּר, טָמֵא, שֶׁסּוֹף מַשְׁקֶה לָצֵאת. וְכֵן בְּגֶפֶת חֲדָשָׁה, אֲבָל בִּישָׁנָה, טָהוֹר. וְאִם יָדוּעַ שֶׁיּוֹצֵא מֵהֶן מַשְׁקִין, אֲפִלּוּ לְאַחַר שָׁלֹשׁ שָׁנִים, נִטְמָא: \n", + "הַגֶּפֶת וְהַזַּגִּין שֶׁנַּעֲשׂוּ בְטָהֳרָה וְהָלְכוּ עֲלֵיהֶם טְמֵאִים, וְאַחַר כָּךְ יָצְאוּ מֵהֶן מַשְׁקִין, טְהוֹרִין, שֶׁמִּתְּחִלָּתָן נַעֲשׂוּ בְטָהֳרָה. כּוּשׁ שֶׁבָּלַע אֶת הַצִּנּוֹרָא, מַלְמָד שֶׁבָּלַע אֶת הַדָּרְבָן, לְבֵנָה שֶׁבָּלְעָה אֶת הַטַּבַּעַת, וְהֵן טְהוֹרִים, נִכְנְסוּ לְאֹהֶל הַמֵּת, נִטְמָאוּ. הֱסִיטָן הַזָּב, נִטְמָאוּ. נָפְלוּ לַאֲוִיר הַתַּנּוּר טָהוֹר, טִמְּאוּהוּ. נָגַע בָּהֶן כִּכָּר שֶׁל תְּרוּמָה, טָהוֹר: \n", + "סְרֵידָה שֶׁהִיא נְתוּנָה עַל פִּי הַתַּנּוּר מֻקָּף צָמִיד פָּתִיל, נִסְדַּק מִן הַתַּנּוּר לַסְּרֵידָה, שִׁעוּרוֹ מְלֹא פִי מַרְדֵּעַ שֶׁלֹּא נִכְנָס. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, נִכְנָס. נִסְדְּקָה סְרֵידָה, שִׁעוּרוֹ כִמְלֹא פִי מַרְדֵּע נִכְנָס. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שֶׁלֹּא נִכְנָס. הָיָה עָגֹל, אֵין רוֹאִין אוֹתוֹ אָרֹךְ, אֶלָּא שִׁעוּרוֹ כִמְלֹא פִי מַרְדֵּעַ נִכְנָס: \n", + "תַּנּוּר שֶׁנִּקַּב מֵעֵינוֹ, שִׁעוּרוֹ מְלֹא כוּשׁ נִכְנָס וְיוֹצֵא דּוֹלֵק. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שֶׁלֹּא דוֹלֵק. נִקַּב מִצִּדּוֹ, שִׁעוּרוֹ כִמְלֹא כוּשׁ נִכְנָס וְיוֹצֵא שֶׁלֹּא דוֹלֵק. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, דּוֹלֵק. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, מִן הָאֶמְצָע, נִכְנָס. מִן הַצַּד, אֵינוֹ נִכְנָס. וְכֵן הָיָה אוֹמֵר בִּמְגוּפַת הֶחָבִית שֶׁנִּקְּבָה, שִׁעוּרָהּ מְלֹא מִיצָה שְׁנִיָּה שֶׁל שִׁיפוֹן. מִן הָאֶמְצָע, נִכְנָס. מִן הַצַּד, אֵינוֹ נִכְנָס. וְכֵן הָיָה אוֹמֵר בַּחֲצָבִים גְּדוֹלִים שֶׁנִּקְּבוּ, שִׁעוּרָם מְלֹא מִיצָה שְׁנִיָּה שֶׁל קָנֶה. מִן הָאֶמְצָע, נִכְנָס. מִן הַצַּד, אֵינוֹ נִכְנָס. בַּמֶּה דְבָרִים אֲמוּרִים, בִּזְמַן שֶׁנַּעֲשׂוּ לְיַיִן, אֲבָל אִם נַעֲשׂוּ לִשְׁאָר מַשְׁקִין, אֲפִלּוּ כָל שֶׁהוּא, טְמֵאִים. בַּמֶּה דְבָרִים אֲמוּרִים, בִּזְמַן שֶׁלֹּא נַעֲשׂוּ בִידֵי אָדָם. אֲבָל אִם נַעֲשׂוּ בִידֵי אָדָם, אֲפִלּוּ כָל שֶׁהוּא, טְמֵאִים. נִקְּבוּ, הֶעָשׂוּי לָאֳכָלִים, שִׁעוּרָן בְּזֵיתִים. הֶעָשׂוּי לְמַשְׁקִים, שִׁעוּרָן בְּמַשְׁקִים. הֶעָשׂוּי לְכָךְ וּלְכָךְ, מַטִּילִים אוֹתוֹ לְחֻמְרוֹ, בְּצָמִיד פָּתִיל וּבְכוֹנֵס מַשְׁקֶה: \n" + ], + [ + "אֵלּוּ כֵלִים מַצִּילִין בְּצָמִיד פָּתִיל, כְּלֵי גְלָלִים, כְּלֵי אֲבָנִים, כְּלֵי אֲדָמָה, כְּלֵי חֶרֶס, וּכְלֵי נֶתֶר, עַצְמוֹת הַדָּג וְעוֹרוֹ, עַצְמוֹת חַיָּה שֶׁבַּיָּם וְעוֹרָהּ, וּכְלֵי עֵץ הַטְּהוֹרִים. מַצִּילִים בֵּין מִפִּיהֶם בֵּין מִצִּדֵּיהֶן, בֵּין יוֹשְׁבִין עַל שׁוּלֵיהֶן בֵּין מֻטִּין עַל צִדֵּיהֶן. הָיוּ כְפוּיִים עַל פִּיהֶן, מַצִּילִים כֹּל שֶׁתַּחְתֵּיהֶן עַד הַתְּהוֹם. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַמֵּא. עַל הַכֹּל מַצִּילִין, חוּץ מִכְּלֵי חֶרֶס, שֶׁאֵינוֹ מַצִּיל אֶלָּא עַל הָאֳכָלִים וְעַל הַמַּשְׁקִין וְעַל כְּלֵי חָרֶס: \n", + "בַּמֶּה מַקִּיפִים. בְּסִיד וּבְגִפְּסִיס, בְּזֶפֶת וּבְשַׁעֲוָה, בְּטִיט וּבְצוֹאָה, בְּחֹמֶר וּבְחַרְסִית, וּבְכָל דָּבָר הַמִּתְמָרֵחַ. אֵין מַקִּיפִים לֹא בְּבַעַץ וְלֹא בְעוֹפֶרֶת, מִפְּנֵי שֶׁהוּא פָתִיל וְאֵינוֹ צָמִיד. אֵין מַקִּיפִין לֹא בִדְבֵלָה שְׁמֵנָה, וְלֹא בְּבָצֵק שֶׁנִּלּוֹשׁ בְּמֵי פֵרוֹת, שֶׁלֹּא יְבִיאֶנּוּ לִידֵי פְסוּל. וְאִם הִקִּיף, הִצִּיל: \n", + "מְגוּפַת הֶחָבִית הַמְחֻלְחֶלֶת וְאֵינָהּ נִשְׁמֶטֶת, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מַצֶּלֶת. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵינָהּ מַצֶּלֶת. הָיָה בֵית אֶצְבַּע שֶׁלָּהּ שׁוֹקֵעַ בְּתוֹכָהּ, הַשֶּׁרֶץ בְּתוֹכָהּ, הֶחָבִית טְמֵאָה. הַשֶּׁרֶץ בֶּחָבִית, אֳכָלִין שֶׁבְּתוֹכָהּ טְמֵאִים: \n", + "הַכַּדּוּר וְהַפְּקַעַת שֶׁל גֶּמִי שֶׁנְּתָנָן עַל פִּי הֶחָבִית, אִם מֵרַח מִן הַצְּדָדִין, לֹא הִצִּיל, עַד שֶׁיְּמָרַח מִלְמַעְלָן וּמִלְּמַטָּן. וְכֵן בְּמַטְלִית שֶׁל בֶּגֶד. הָיְתָה שֶׁל נְיָר אוֹ שֶׁל עוֹר, וּקְשָׁרָהּ בִּמְשִׁיחָה, אִם מֵרַח מִן הַצְּדָדִין, הִצִּיל: \n", + "חָבִית שֶׁנִּתְקַלְּפָה וְהַזֶּפֶת שֶׁלָּהּ עוֹמֶדֶת, וְכֵן קְבוֹסִים שֶׁל מֻרְיָס שֶׁגְּפָתָן עִם הַשָּׂפָה, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אֵינָם מַצִּילִין. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, מַצִּילִין: \n", + "חָבִית שֶׁנִּקְּבָה וּסְתָמוּהָ שְׁמָרִים, הִצִּילוּהָ. פְּקָקָהּ בִּזְמוֹרָה, עַד שֶׁיְּמָרַח מִן הַצְּדָדִים. הָיוּ שְׁתַּיִם, עַד שֶׁיְּמָרַח מִן הַצְּדָדִין וּבֵין זְמוֹרָה לַחֲבֶרְתָּהּ. נֶסֶר שֶׁהוּא נָתוּן עַל פִּי הַתַּנּוּר, אִם מֵרַח מִן הַצְּדָדִין, הִצִּיל. הָיוּ שְׁנַיִם, עַד שֶׁיְּמָרַח מִן הַצְּדָדִין וּבֵין נֶסֶר לַחֲבֵרוֹ. עֲשָׂאָן בְּסִינִין אוֹ בְשֹׁגְמִין, אֵינוֹ צָרִיךְ לְמָרֵחַ מִן הָאֶמְצָע: \n", + "תַּנּוּר יָשָׁן בְּתוֹךְ הֶחָדָשׁ וּסְרֵידָה עַל פִּי הַיָּשָׁן, נִטַּל הַיָּשָׁן וּסְרֵידָה נוֹפֶלֶת, הַכֹּל טָמֵא. וְאִם לָאו, הַכֹּל טָהוֹר. חָדָשׁ בְּתוֹךְ הַיָּשָׁן וּסְרֵידָה עַל פִּי הַיָּשָׁן, אִם אֵין בֵּין חָדָשׁ לַסְּרֵידָה פוֹתֵחַ טֶפַח, כֹּל שֶׁבֶּחָדָשׁ טָהוֹר: \n", + "לְפָסִין זוֹ בְתוֹךְ זוֹ וְשִׂפְתוֹתֵיהֶן שָׁווֹת, הַשֶּׁרֶץ בָּעֶלְיוֹנָה אוֹ בַתַּחְתּוֹנָה, הִיא טְמֵאָה וְכֻלָּן טְהוֹרוֹת. הָיוּ בְכוֹנֵס מַשְׁקֶה, הַשֶּׁרֶץ בָּעֶלְיוֹנָה, כֻּלָּן טְמֵאוֹת. בַּתַּחְתּוֹנָה, הִיא טְמֵאָה וְכֻלָּן טְהוֹרוֹת. הַשֶּׁרֶץ בָּעֶלְיוֹנָה, וְהַתַּחְתּוֹנָה עוֹדֶפֶת, הִיא וְהַתַּחְתּוֹנָה טְמֵאָה. בָּעֶלְיוֹנָה, וְהַתַּחְתּוֹנָה עוֹדֶפֶת, כֹּל שֶׁיֶּשׁ בָּהּ מַשְׁקֶה טוֹפֵחַ, טְמֵאָה: \n" + ], + [ + "כְּלֵי מַתָּכוֹת, פְּשׁוּטֵיהֶן וּמְקַבְּלֵיהֶן טְמֵאִין. נִשְׁבְּרוּ, טָהָרוּ. חָזַר וְעָשָׂה מֵהֶן כְּלִי, חָזְרוּ לְטֻמְאָתָן הַיְשָׁנָה. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, לֹא לְכָל טֻמְאָה, אֶלָּא לְטֻמְאַת הַנָּפֶשׁ: \n", + "כָּל כְּלִי מַתָּכוֹת שֶׁיֶּשׁ לוֹ שֵׁם בִּפְנֵי עַצְמוֹ, טָמֵא, חוּץ מִן הַדֶּלֶת, וּמִן הַנֶּגֶר, וּמִן הַמַּנְעוּל, וְהַפּוֹתָה שֶׁתַּחַת הַצִּיר, וְהַצִּיר, וְהַקּוֹרָה, וְהַצִּנּוֹר, שֶׁנַּעֲשׂוּ לַקַּרְקָע: \n", + "הָעוֹשֶׂה כֵלִים מִן הָעֶשֶׁת, וּמִן הַחֲרָרָה, וּמִן הַסּוֹבֵב שֶׁל גַּלְגַּל, וּמִן הַטַּסִּין, וּמִן הַצִּפּוּיִין, מִכַּנֵּי כֵלִים, וּמֵאֹגְנֵי כֵלִים, מֵאָזְנֵי כֵלִים, מִן הַשְּׁחוֹלֶת, וּמִן הַגְּרוּדוֹת, טְהוֹרִין. רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי אוֹמֵר, אַף מִן הַקְּצוּצוֹת. מִשִּׁבְרֵי כֵלִים, מִן הַגְּרוּטִים, וּמִן הַמַּסְמְרוֹת, שֶׁיָּדוּעַ שֶׁנַּעֲשׂוּ מִכְּלִי, טְמֵאִין. מִן הַמַּסְמְרוֹת, בֵּית שַׁמַּאי מְטַמְּאִין, וּבֵית הִלֵּל מְטַהֲרִין: \n", + "בַּרְזֶל טָמֵא שֶׁבְּלָלוֹ עִם בַּרְזֶל טָהוֹר, אִם רֹב מִן הַטָּמֵא, טָמֵא. וְאִם רֹב מִן הַטָּהוֹר, טָהוֹר. מֶחֱצָה לְמֶחֱצָה, טָמֵא. וְכֵן מִן הַחֲלָמָא וּמִן הַגְּלָלִים. קְלוֹסְטְרָא, טְמֵאָה. וּמְצֻפָּה, טְהוֹרָה. הַפִּין, וְהַפּוּרְנָה, טְמֵאִין. וְהַקְּלוֹסְטְרָא, רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, שׁוֹמְטָהּ מִפֶּתַח זֶה וְתוֹלָהּ בַּחֲבֵרוֹ בְּשַׁבָּת. רַבִּי טַרְפוֹן אוֹמֵר, הֲרֵי הִיא לוֹ כְּכָל הַכֵּלִים, וּמִטַּלְטֶלֶת בֶּחָצֵר: \n", + "עַקְרָב שֶׁל פְּרֻמְבְּיָא, טְמֵאָה. וּלְחָיַיִם, טְהוֹרִים. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַמֵּא בַלְּחָיָיִם. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין טָמֵא אֶלָּא עַקְרָב. וּבִשְׁעַת חִבּוּרָן, הַכֹּל טָמֵא: \n", + "פִּיקָה שֶׁל מַתֶּכֶת, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. וּמְצֻפָּה, טְהוֹרָה. הַכּוּשׁ, וְהָאִימָּה, וְהַמַּקֵּל, וְסִמְפּוֹנְיָה, וְחָלִיל שֶׁל מַתֶּכֶת, טְמֵאִין. וּמְצֻפִּין, טְהוֹרִים. סִמְפּוֹנְיָה, אִם יֶשׁ בָּהּ בֵּית קִבּוּל כְּנָפַיִם, בֵּין כָּךְ וּבֵין כָּךְ טְמֵאָה: \n", + "קֶרֶן עֲגֻלָּה, טְמֵאָה. וּפְשׁוּטָה, טְהוֹרָה. אִם הָיְתָה מְצֻפִּית שֶׁלָּהּ שֶׁל מַתֶּכֶת, טְמֵאָה. הַקַּב שֶׁלָּהּ, רַבִּי טַרְפוֹן מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. וּבִשְׁעַת חִבּוּרָן, הַכֹּל טָמֵא. כַּיּוֹצֵא בוֹ, קְנֵי מְנוֹרָה, טְהוֹרִין. הַפֶּרַח וְהַבָּסִיס, טְמֵאִים. וּבִשְׁעַת חִבּוּרָן, הַכֹּל טָמֵא: \n", + "קַסְדָּא, טְמֵאָה. וּלְחָיַיִם, טְהוֹרִים. אִם יֵשׁ בָּהֶן בֵּית קִבּוּל מַיִם, טְמֵאִים. כָּל כְּלֵי הַמִּלְחָמָה, טְמֵאִים. הַכִּידוֹן, הַנִּיקוֹן, וְהַמַּגָּפַיִן, וְהַשִּׁרְיוֹן, טְמֵאִין. כָּל תַּכְשִׁיטֵי נָשִׁים, טְמֵאִים. עִיר שֶׁל זָהָב, קַטְלָיוֹת, נְזָמִים וְטַבָּעוֹת, וְטַבַּעַת, בֵּין שֶׁיֶּשׁ לָהּ חוֹתָם וּבֵין שֶׁאֵין לָהּ חוֹתָם, נִזְמֵי הָאָף. קַטְלָה שֶׁחֻלְיוֹת שֶׁלָּהּ שֶׁל מַתָּכוֹת בְּחוּט שֶׁל פִּשְׁתָּן אוֹ שֶׁל צֶמֶר, נִפְסַק הַחוּט, הַחֻלְיוֹת טְמֵאוֹת, שֶׁכָּל אַחַת וְאַחַת כְּלִי בִפְנֵי עַצְמָהּ. חוּט שֶׁל מַתָּכוֹת, וְחֻלְיוֹת שֶׁל אֲבָנִים טוֹבוֹת וּמַרְגָּלִיּוֹת, וְשֶׁל זְכוּכִית, נִשְׁתַּבְּרוּ הַחֻלְיוֹת, הַחוּט בִּפְנֵי עַצְמוֹ קַיָּם, טָמֵא. שְׁיָרֵי קַטְלָא, כִּמְלֹא צַוַּאר קְטַנָּה. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, אֲפִלּוּ טַבַּעַת אַחַת, טְמֵאָה, שֶׁכֵּן תּוֹלִין בַּצַּוָּאר: \n", + "נֶזֶם שֶׁהוּא עָשׂוּי כִּקְדֵרָה מִלְּמַטָּן וְכָעֲדָשָׁה מִלְמַעְלָן, וְנִפְרַק, כִּקְדֵרָה טָמֵא מִשּׁוּם כְּלִי בֵית קִבּוּל, וְכָעֲדָשָׁה טָמֵא בִפְנֵי עַצְמוֹ. צִנּוֹרָא, טְהוֹרָה. הֶעָשׂוּי כְּמִין אֶשְׁכּוֹל, וְנִפְרַק, טָהוֹר: \n" + ], + [ + "טַבַּעַת אָדָם, טְמֵאָה. טַבַּעַת בְּהֵמָה וְכֵלִים וּשְׁאָר כָּל הַטַּבָּעוֹת, טְהוֹרוֹת. קוֹרַת הַחִצִּים, טְמֵאָה. וְשֶׁל אֲסִירִין, טְהוֹרָה. הַקּוֹלָר, טְמֵאָה. שַׁלְשֶׁלֶת שֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית נְעִילָה, טְמֵאָה. הָעֲשׂוּיָה לִכְפִיתָה, טְהוֹרָה. שַׁלְשֶׁלֶת שֶׁל סִיטוֹנוֹת, טְמֵאָה, שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים טְהוֹרָה. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, אֵימָתַי, בִּזְמַן שֶׁהוּא מַפְתֵּחַ אֶחָד, אֲבָל אִם הָיוּ שְׁנַיִם, אוֹ שֶׁקָּשַׁר חִלָּזוֹן בְּרֹאשָׁהּ, טְמֵאָה: \n", + "קְנֵה מֹאזְנַיִם שֶׁל סָרוֹקוֹת, טָמֵא, מִפְּנֵי אֻנְקְלָיוֹת. וְשֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, אִם יֶשׁ בּוֹ אֻנְקְלָיוֹת, טָמֵא. אֻנְקְלִין שֶׁל כַּתָּפִין, טְהוֹרָה. וְשֶׁל רוֹכְלִים, טְמֵאָה. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שֶׁל רוֹכְלִים, שֶׁלְּפָנָיו טְמֵאָה, וְשֶׁלְּאַחֲרָיו טְהוֹרָה. אֻנְקְלִי דַרְגָּשׁ, טְמֵאָה. וְשֶׁל נַקְלִיטִין, טְהוֹרָה. שֶׁל שִׁדָּה, טְמֵאָה. וְשֶׁל אָקוֹן, טְהוֹרָה. שֶׁל שֻׁלְחָן, טָמֵא. שֶׁל מְנוֹרַת הָעֵץ, טָהוֹר. זֶה הַכְּלָל, כָּל הַמְחֻבָּר לַטָּמֵא, טָמֵא. וְהַמְחֻבָּר לַטָּהוֹר, טָהוֹר. וְכֻלָּן, אַחַת אַחַת בִּפְנֵי עַצְמָן, טְהוֹרוֹת: \n", + "כִּסּוּי טֶנִי שֶׁל מַתֶּכֶת, שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, רַבָּן גַּמְלִיאֵל מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. וְשֶׁל רוֹפְאִים, טָמֵא. הַדֶּלֶת שֶׁבַּמִּגְדָּל, שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, טְהוֹרָה. וְשֶׁל רוֹפְאִים, טְמֵאָה. הַיַּתּוּכִין, טְמֵאִים. וְהַפְּרָכִין, טְהוֹרִין. עַקְרַב בֵּית הַבַּד, טְמֵאָה. וְאֻנְקְלִי שֶׁבַּכְּתָלִים, טְהוֹרָה: \n", + "מַסְמֵר הַגָּרָע, טָמֵא. וְשֶׁל אֶבֶן הַשָּׁעוֹת, טָהוֹר. רַבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא. מַסְמֵר הַגַּרְדִּי, טָמֵא. וְאָרוֹן שֶׁל גָּרוֹסוֹת, רַבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. הָיְתָה עֲגָלָה שֶׁלָּהּ שֶׁל מַתֶּכֶת, טְמֵאָה: \n", + "מַסְמֵר שֶׁהִתְקִינוֹ לִהְיוֹת פּוֹתֵחַ וְנוֹעֵל בּוֹ, טָמֵא. הֶעָשׂוּי לִשְׁמִירָה, טָהוֹר. מַסְמֵר שֶׁהִתְקִינוֹ לִהְיוֹת פּוֹתֵחַ בּוֹ אֶת הֶחָבִית, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא. וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, עַד שֶׁיִּצְרְפֶנּוּ. מַסְמֵר שֶׁל שֻׁלְחָנִי, טָהוֹר. וְרַבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא. שְׁלֹשָׁה דְבָרִים רַבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. מַסְמֵר שֶׁל שֻׁלְחָנִי, וְאָרוֹן שֶׁל גָּרוֹסוֹת, וּמַסְמֵר שֶׁל אֶבֶן הַשָּׁעוֹת, רַבִּי צָדוֹק מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: \n", + "אַרְבָּעָה דְּבָרִים רַבָּן גַּמְלִיאֵל מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. כִּסּוּי טֶנִי שֶׁל מַתֶּכֶת שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, וּתְלוֹי הַמַּגְרֵדוֹת, וְגֹלְמֵי כְלֵי מַתָּכוֹת, וְטַבְלָה שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנָיִם. וּמוֹדִים חֲכָמִים לְרַבָּן גַּמְלִיאֵל בְּטַבְלָה שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנַיִם, אֶחָד גָּדוֹל וְאֶחָד קָטָן, שֶׁהַגָּדוֹל טָמֵא וְהַקָּטָן טָהוֹר: \n", + "דִּינָר שֶׁנִּפְסַל וְהִתְקִינוֹ לִתְלוֹתוֹ בְצַוַּאר קְטַנָּה, טָמֵא. וְכֵן סֶלַע שֶׁנִּפְסְלָה וְהִתְקִינָהּ לִהְיוֹת שׁוֹקֵל בָּהּ, טְמֵאָה. עַד כַּמָּה תִפָּסֵל וִיהֵא רַשַּׁאי לְקַיְּמָהּ, עַד שְׁנֵי דִינָרִין. פָּחוֹת מִכָּאן, יָקֹץ: \n", + "הָאוֹלָר, וְהַקֻּלְמוֹס, וְהַמְּטוּטֶלֶת, וְהַמִּשְׁקָלוֹת, וְהַכּוּרִים, וְהַכַּן, וְהַכַּנָּא, טְמֵאִים. וְכָל גֹּלְמֵי כְלֵי עֵץ, טְמֵאִים, חוּץ מִשֶּׁל אֶשְׁכְּרוֹעַ. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַף גְּרוֹפִית שֶׁל זַיִת, טְהוֹרָה, עַד שֶׁתִּשָּׁלֵק: \n" + ], + [ + "הַסַּיִף, וְהַסַּכִּין, וְהַפִּגְיוֹן, וְהָרֹמַח, מַגַּל יָד וּמַגַּל קָצִיר, וְהַשְּׁחוֹר וְזוּג שֶׁל סַפָּרִים, שֶׁנֶּחֱלְקוּ, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, הַסָּמוּךְ לַיָּד, טָמֵא. וְהַסָּמוּךְ לָרֹאשׁ, טָהוֹר. מִסְפֶּרֶת שֶׁנֶּחְלְקָה לִשְׁנַיִם, רַבִּי יְהוּדָה מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: \n", + "קֹלִגְרִיפוֹן שֶׁנִּטְּלָה כַפָּהּ, טְמֵאָה מִפְּנֵי שִׁנָּהּ. נִטְּלָה שִׁנָּהּ, טְמֵאָה מִפְּנֵי כַפָּהּ. מִכְחוֹל שֶׁנִּטַּל הַכַּף, טָמֵא מִפְּנֵי הַזָּכָר. נִטַּל הַזָּכָר, טָמֵא מִפְּנֵי הַכָּף. מַכְתֵּב שֶׁנִּטַּל הַכּוֹתֵב, טָמֵא מִפְּנֵי הַמּוֹחֵק. נִטַּל הַמּוֹחֵק, טָמֵא מִפְּנֵי הַכּוֹתֵב. זוֹמָא לִסְטְרָא שֶׁנִּטְּלָה כַפָּהּ, טְמֵאָה מִפְּנֵי הַמַּזְלֵג. נִטַּל הַמַּזְלֵג, טְמֵאָה מִפְּנֵי כַפָּהּ. וְכֵן הַשֵּׁן שֶׁל מַעְדֵּר. שִׁעוּר כֻּלָּן, כְּדֵי לַעֲשׂוֹת מְלַאכְתָּן: \n", + "חַרְחוּר שֶׁנִּפְגַּם, טָמֵא, עַד שֶׁיִּנָּטֵל רֻבּוֹ. נִשְׁבַּר מְקוֹפוֹ, טָהוֹר. קֻרְדֹּם שֶׁנִּטַּל עֻשְׁפּוֹ, טָמֵא מִפְּנֵי בֵית בִּקּוּעוֹ. נִטַּל בֵּית בִּקּוּעוֹ, טָמֵא מִפְּנֵי עֻשְׁפּוֹ. נִשְׁבַּר מְקוֹפוֹ, טָהוֹר: \n", + "מַגְרֵפָה שֶׁנִּטְּלָה כַפָּהּ, טְמֵאָה מִפְּנֵי שֶׁהִיא כְקֻרְנָס, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. מְגֵרָה שֶׁנִּטְּלוּ שִׁנֶּיהָ אַחַת מִבֵּינְתַיִם, טְהוֹרָה. נִשְׁתַּיֵּר בָּהּ מְלֹא הַסִּיט בְּמָקוֹם אֶחָד, טְמֵאָה. הַמַּעֲצָד וְהָאִזְמֵל וְהַמַּפְסֶלֶת וְהַמַּקְדֵּחַ, שֶׁנִּפְגְּמוּ, טְמֵאִים. נִטַּל חִסּוּמָן, טְהוֹרִין. וְכֻלָּן שֶׁנֶּחְלְקוּ לִשְׁנַיִם, טְמֵאִים, חוּץ מִן הַמַּקְדֵּחַ. וְהָרוּקְנִי בִפְנֵי עַצְמָהּ, טְהוֹרָה: \n", + "מַחַט שֶׁנִּטַּל חֲרִירָהּ אוֹ עֻקְצָהּ, טְהוֹרָה. אִם הִתְקִינָהּ לְמִתּוּחַ, טְמֵאָה. שֶׁל סַקָּיִין שֶׁנִּטַּל חֲרִירָהּ, טְמֵאָה, מִפְּנֵי שֶׁהוּא כוֹתֵב בָּהּ. נִטַּל עֻקְצָהּ, טְהוֹרָה. שֶׁל מִתּוּחַ, בֵּין כָּךְ וּבֵין כָּךְ טְמֵאָה. מַחַט שֶׁהֶעֶלְתָה חֲלֻדָּה, אִם מְעַכֶּבֶת אֶת הַתְּפִירָה, טְהוֹרָה. וְאִם לָאו, טְמֵאָה. צִנּוֹרָא שֶׁפְּשָׁטָהּ, טְהוֹרָה. כְּפָפָהּ, חָזְרָה לְטֻמְאָתָהּ: \n", + "עֵץ הַמְשַׁמֵּשׁ אֶת הַמַּתֶּכֶת, טָמֵא. וְהַמַּתֶּכֶת הַמְשַׁמֵּשׁ אֶת הָעֵץ, טְהוֹרָה. כֵּיצַד, פּוֹתַחַת שֶׁל עֵץ וְהַפִּין שֶׁלָּהּ שֶׁל מַתֶּכֶת, אֲפִלּוּ אַחַת, טְמֵאָה. פּוֹתַחַת שֶׁל מַתֶּכֶת וְהַפִּין שֶׁלָּהּ שֶׁל עֵץ, טְהוֹרָה. טַבַּעַת שֶׁל מַתֶּכֶת וְחוֹתָם שֶׁלָּהּ שֶׁל אַלְמוֹג, טְמֵאָה. טַבַּעַת שֶׁל אַלְמוֹג וְחוֹתָם שֶׁלָּהּ שֶׁל מַתֶּכֶת, טְהוֹרָה. הַשֵּׁן שֶׁבַּטַּס, שֶׁבַּפּוֹתַחַת, וְשֶׁבַּמַּפְתֵּחַ, טְמֵאָה בִּפְנֵי עַצְמָהּ: \n", + "הַכַּדּוּמִין הָאַשְׁקְלוֹנִין שֶׁנִּשְׁבְּרוּ וְהָאֻנְקְלִי שֶׁלָּהֶן קַיֶּמֶת, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. הַמַּעְבֵּר, וְהַמַּזְרֶה, וְהַמַּגּוֹב, וְכֵן מַסְרֵק שֶׁל רֹאשׁ שֶׁנִּטְּלָה אַחַת מִשִּׁנֵּיהֶן, וַעֲשָׂאָן שֶׁל מַתֶּכֶת, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. וְעַל כֻּלָּן אָמַר רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, דְּבַר חִדּוּשׁ חִדְּשׁוּ סוֹפְרִים, וְאֵין לִי מָה אָשִׁיב: \n", + "מַסְרֵק שֶׁל פִּשְׁתָּן שֶׁנִּטְּלוּ שִׁנָּיו וְנִשְׁתַּיֵּר בּוֹ שְׁתַּיִם, טָמֵא. וְאַחַת, טָהוֹר. וְכֻלָּן, אַחַת אַחַת בִּפְנֵי עַצְמָן, טְמֵאוֹת. וְשֶׁל צֶמֶר שֶׁנִּטְּלוּ שִׁנָּיו אַחַת מִבֵּינְתַיִם, טָהוֹר. נִשְׁתַּיֵּר בּוֹ שָׁלֹשׁ בְּמָקוֹם אֶחָד, טָמֵא. הָיְתָה הַחִיצוֹנָה אַחַת מֵהֶן, טָהוֹר. נִטְּלוּ מִמֶּנּוּ שְׁתַּיִם וַעֲשָׂאָן לְמַלְקֶטֶת, טְמֵאוֹת. אַחַת וְהִתְקִינָהּ לְנֵר אוֹ לְמִתּוּחַ, טְמֵאָה: \n" + ], + [ + "כְּלֵי מַתָּכוֹת, כַּמָּה הוּא שִׁעוּרָן. הַדְּלִי, כְּדֵי לְמַלֹּאת בּוֹ. קֻמְקוּם, כְּדֵי לֵיחֵם בּוֹ. מֵחַם, כְּדֵי לְקַבֵּל סְלָעִים. הַלֶּפֶס, כְּדֵי לְקַבֵּל קִיתוֹנוֹת. קִיתוֹנוֹת, כְּדֵי לְקַבֵּל פְּרוּטוֹת. מִדּוֹת יַיִן, בְּיַיִן. וּמִדּוֹת שֶׁמֶן, בְּשָׁמֶן. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, כֻּלָּן בִּפְרוּטוֹת. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, הַמְחֻסָּר חֲטִיפָה, טָמֵא. וְהַמְחֻסָּר לְטִישָׁה, טָהוֹר: \n", + "מַקֵּל שֶׁעָשָׂה בְרֹאשׁוֹ מַסְמֵר כְּמִין חַזְיָנָא, טָמֵא. סִמְּרוֹ, טָמֵא. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, עַד שֶׁיַּעֲשֶׂה בוֹ שְׁלֹשָׁה סְדָרִים. וְכֻלָּן שֶׁעֲשָׂאָן לְנוֹי, טְהוֹרִין. עָשָׂה בְרֹאשׁוֹ מְנִיקָת, וְכֵן בַּדֶּלֶת, טְהוֹרָה. הָיְתָה כְלִי וְחִבְּרָהּ לוֹ, טְמֵאָה. מֵאֵימָתַי הִיא טָהֳרָתָהּ, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, מִשֶּׁיְּחַבֵּל. בֵּית הִלֵּל אוֹמְרִים, מִשֶּׁיְּחַבֵּר: \n", + "הַקַּנְטָר שֶׁל בַּנַּאי, וְהַדָּקוֹר שֶׁל חָרָשׁ, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. יִתְדוֹת אֹהָלִים וְיִתְדוֹת הַמָּשׁוֹחוֹת, טְמֵאוֹת. שַׁלְשֶׁלֶת שֶׁל מָשׁוֹחוֹת, טְמֵאָה. הָעֲשׂוּיָה לָעֵצִים, טְהוֹרָה. שַׁלְשֶׁלֶת דְּלִי גָדוֹל, אַרְבָּעָה טְפָחִים. וְשֶׁל קָטָן, עֲשָׂרָה. חֲמוֹר שֶׁל נַפָּחִין, טָמֵא. מְגֵרָה שֶׁעָשָׂה שִׁנֶּיהָ בְתוֹךְ הַחוֹר, טְמֵאָה. עֲשָׂאָהּ מִלְּמַטָּן לְמַעְלָן, טְהוֹרָה. וְכָל הַכְּסוּיִן טְהוֹרִים, חוּץ מִשֶּׁל מֵחָם: \n", + "הַטְּמֵאִין שֶׁבָּעֲגָלָה, הָעֹל שֶׁל מַתֶּכֶת, וְהַקַּטְרָב, וְהַכְּנָפַיִם הַמְקַבְּלוֹת אֶת הָרְצוּעוֹת, וְהַבַּרְזֶל שֶׁתַּחַת צַוְּארֵי בְהֵמָה, הַסּוֹמֵךְ, וְהַמַּחְגֵּר, וְהַתַּמְחוּיוֹת, הָעִנְבָּל, וְהַצִּנּוֹרָה, וּמַסְמֵר הַמְחַבֵּר אֶת כֻּלָּן: \n", + "הַטְּהוֹרִין שֶׁבָּעֲגָלָה, הָעֹל הַמְצֻפֶּה, כְּנָפַיִם הָעֲשׂוּיוֹת לְנוֹי, וּשְׁפוֹפָרוֹת הַמַּשְׁמִיעוֹת אֶת הַקּוֹל, וְהָאֲבָר שֶׁבְּצַד צַוְּארֵי בְהֵמָה, הַסּוֹבֵב שֶׁל גַּלְגַּל, הַטַּסִּים, וְהַצִּפּוּיִים, וּשְׁאָר כָּל הַמַּסְמְרוֹת, טְהוֹרִין. סַנְדְּלֵי בְהֵמָה שֶׁל מַתָּכוֹת, טְמֵאִין. שֶׁל שַׁעַם, טְהוֹרִין. הַסַּיִף מֵאֵימָתַי מְקַבֵּל טֻמְאָה, מִשֶּׁיְּשׁוּפֶנּוּ. וְהַסַּכִּין, מִשֶּׁיַשְׁחִיזֶנָּה: \n", + "כְּסוּי טֶנִי שֶׁל מַתֶּכֶת שֶׁעָשָׂה בוֹ מַרְאָה, רַבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין. מַרְאָה שֶׁנִּשְׁבְּרָה, אִם אֵינָהּ מַרְאָה אֶת רֹב הַפָּנִים, טְהוֹרָה: \n", + "כְּלֵי מַתָּכוֹת מִטַּמְּאִין וּמִטַּהֲרִין שְׁבוּרִין, דִּבְרֵי רַבִּי אֱלִיעֶזֶר. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, אֵינָן מִטַּהֲרִין אֶלָּא שְׁלֵמִין. כֵּיצַד, הִזָּה עֲלֵיהֶן, נִשְׁבְּרוּ בוֹ בַיּוֹם, הִתִּיכָן וְחָזַר וְהִזָּה עֲלֵיהֶן שֵׁנִית בּוֹ בַיּוֹם, הֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִין, דִּבְרֵי רַבִּי אֱלִיעֶזֶר. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, אֵין הַזָּיָה פָּחוֹת מִשְּׁלִישִׁי וּשְׁבִיעִי: \n", + "מַפְתֵּחַ שֶׁל אַרְכֻּבָּה שֶׁנִּשְׁבַּר מִתּוֹךְ אַרְכֻּבָּתוֹ, טָהוֹר, רַבִּי יְהוּדָה מְטַמֵּא, מִפְּנֵי שֶׁהוּא פוֹתֵחַ בּוֹ מִבִּפְנִים. וְשֶׁל גַּם שֶׁנִּשְׁבַּר מִתּוֹךְ גֻּמּוֹ, טָהוֹר. הָיוּ בוֹ חָפִין וּנְקָבִין, טָמֵא. נִטְּלוּ חָפִין, טָמֵא מִפְּנֵי נְקָבִין. נִסְתַּתְּמוּ נְקָבִין, טָמֵא מִפְּנֵי חָפִין. נִטְּלוּ חָפִין וְנִסְתַּתְּמוּ נְקָבִין, אוֹ שֶׁפָּרְצוּ זֶה לְתוֹךְ זֶה, טָהוֹר. מְסַנֶּנֶת שֶׁל חַרְדָּל שֶׁנִּפְרְצוּ בָהּ שְׁלֹשָׁה נְקָבִים מִלְּמַטָּן זֶה לְתוֹךְ זֶה, טְהוֹרָה. וְהָאֲפַרְכֵּס שֶׁל מַתָּכוֹת, טְמֵאָה: \n" + ], + [ + "כְּלֵי עֵץ, כְּלֵי עוֹר, כְּלֵי עֶצֶם, כְּלֵי זְכוּכִית, פְּשׁוּטֵיהֶן טְהוֹרִין, וּמְקַבְּלֵיהֶן טְמֵאִים. נִשְׁבְּרוּ, טָהָרוּ. חָזַר וְעָשָׂה מֵהֶן כֵּלִים, מְקַבְּלִין טֻמְאָה מִכָּאן וּלְהַבָּא. הַשִּׁדָּה, וְהַתֵּבָה, וְהַמִּגְדָּל, כַּוֶּרֶת הַקַּשׁ, וְכַוֶּרֶת הַקָּנִים, וּבוֹר סְפִינָה אֲלֶכְּסַנְדְּרִית, שֶׁיֶּשׁ לָהֶם שׁוּלַיִם, וְהֵן מַחֲזִיקִין אַרְבָּעִים סְאָה בְלַח, שֶׁהֵם כּוֹרַיִם בְּיָבֵשׁ, הֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִין. וּשְׁאָר כָּל הַכֵּלִים, בֵּין מְקַבְּלִין, בֵּין אֵינָם מְקַבְּלִין, טְמֵאִין, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, דַּרְדּוּר עֲגָלָה, וְקֻסְטוֹת הַמְּלָכִים, וַעֲרֵבַת הָעַבְּדָנִין, וּבוֹר סְפִינָה קְטַנָּה, וְהָאָרוֹן, אַף עַל פִּי שֶׁמְּקַבְּלִין, טְמֵאִין, שֶׁאֵינָן עֲשׂוּיִן לִטַּלְטֵל אֶלָּא בְמַה שֶּׁבְּתוֹכָן. וּשְׁאָר כָּל הַכֵּלִים, הַמְּקַבְּלִים, טְהוֹרִין, וְשֶׁאֵינָן מְקַבְּלִין, טְמֵאִין. אֵין בֵּין דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר לְדִבְרֵי רַבִּי יְהוּדָה אֶלָּא עֲרֵבַת בַּעַל הַבָּיִת: \n", + "אֲרוּבוֹת שֶׁל נַחְתּוֹמִים, טְמֵאוֹת. וְשֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, טְהוֹרוֹת. סֵרְקָן אוֹ כִרְכְּמָן, טְמֵאוֹת. דַּף שֶׁל נַחְתּוֹמִין שֶׁקְּבָעוֹ בַכֹּתֶל, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִים. סְרוֹד שֶׁל נַחְתּוֹמִין, טָמֵא. וְשֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, טָהוֹר. גִּפְּפוֹ מֵאַרְבַּע רוּחוֹתָיו, טָמֵא. נִפְרַץ מֵרוּחַ אַחַת, טָהוֹר. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, אִם הִתְקִינוֹ לִהְיוֹת קוֹרֵץ עָלָיו, טָמֵא. וְכֵן הַמַּעֲרוֹךְ, טָמֵא: \n", + "יַם נָפָה שֶׁל סִלָּתִין, טָמֵא. וְשֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, טָהוֹר. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַף שֶׁל גּוֹדֶלֶת טָמֵא מוֹשָׁב, מִפְּנֵי שֶׁהַבָּנוֹת יוֹשְׁבוֹת בְּתוֹכוֹ וְגוֹדְלוֹת: \n", + "כָּל הַתְּלוֹיִים, טְמֵאִין, חוּץ מִתְּלוֹי נָפָה וּכְבָרָה שֶׁל בַּעַל הַבַּיִת, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, כֻּלָּן טְהוֹרִין, חוּץ מִתְּלוֹי נָפָה שֶׁל סִלָּתִין, וּתְלוֹי כִּבְרַת גְּרָנוֹת, וּתְלוֹי מַגַּל יָד, וּתְלוֹי מַקֵּל הַבַּלָּשִׁין, מִפְּנֵי שֶׁהֵן מְסַיְּעִין בִּשְׁעַת הַמְּלָאכָה. זֶה הַכְּלָל, הֶעָשׂוּי לְסַיֵּעַ בִּשְׁעַת מְלָאכָה, טָמֵא. הֶעָשׂוּי לִתְלוֹי, טָהוֹר: \n", + "רַחַת שֶׁל גָּרוֹסוֹת, טְמֵאָה. שֶׁל אוֹצָרוֹת, טְהוֹרָה. שֶׁל גִּתּוֹת, טְמֵאָה. שֶׁל גְּרָנוֹת, טְהוֹרָה. זֶה הַכְּלָל, הֶעָשׂוּי לְקַבָּלָה, טָמֵא. לְכִנּוּס, טָהוֹר: \n", + "נִבְלֵי הַשָּׁרָה, טְמֵאִין. וְנִבְלֵי בְנֵי לֵוִי, טְהוֹרִין. כָּל הַמַּשְׁקִין, טְמֵאִין. וּמַשְׁקֵה בֵית מַטְבְּחַיָּא, טְהוֹרִין. כָּל הַסְּפָרִים מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם, חוּץ מִסֵּפֶר הָעֲזָרָה. הַמַּרְכּוֹף, טָהוֹר. הַבַּטְנוֹן, וְהַנִּקְטְמוֹן, וְהָאֵרוּס, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִים. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, הָאֵרוּס טָמֵא מוֹשָׁב, מִפְּנֵי שֶׁהָאַלָּיִת יוֹשֶׁבֶת עָלָיו. מְצֻדַּת הַחֻלְדָּה, טְמֵאָה. וְשֶׁל הָעַכְבָּרִין, טְהוֹרָה: \n" + ], + [ + "כָּל כְּלִי עֵץ שֶׁנֶּחֱלַק לִשְׁנַיִם, טָהוֹר, חוּץ מִשֻּׁלְחָן הַכָּפוּל, וְתַמְחוּי הַמִּזְנוֹן, וְהָאֱפִיפוֹרִין שֶׁל בַּעֲלֵי הַבָּיִת. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַף הַמָּגֵס, וְקוֹד הַבַּבְלִי כַּיּוֹצֵא בָהֶן. כְּלֵי עֵץ, מֵאֵימָתַי מְקַבְּלִין טֻמְאָה. הַמִּטָּה וְהָעֲרִיסָה, מִשֶּׁיְּשׁוּפֵם בְּעוֹר הַדָּג. גָּמַר שֶׁלֹּא לָשׁוּף, טְמֵאָה. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, הַמִּטָּה, מִשֶּׁיְּסָרֵג בָּהּ שְׁלֹשָׁה בָתִּים: \n", + "הַסַּלִּים שֶׁל עֵץ, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב. וְשֶׁל תְּמָרָה, אַף עַל פִּי שֶׁלֹּא קִנֵּב מִבִּפְנִים, טָמֵא, שֶׁכֵּן מְקַיְּמִין. כַּלְכָּלָה, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב וְיִגְמֹר אֶת הַתְּלוֹיָה. בֵּית הַלְּגִינִין, וּבֵית הַכּוֹסוֹת, אַף עַל פִּי שֶׁלֹּא קִנֵּב מִבִּפְנִים, טָמֵא, שֶׁכֵּן מְקַיְּמִין: \n", + "הַקְּנוֹנִין הַקְּטַנִּים, וְהַקְּלָתוֹת, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב. הַקְּנוֹנִים הַגְּדוֹלִים, וְהַסּוּגִין הַגְּדוֹלִים, מִשֶּׁיַּעֲשֶׂה שְׁנֵי דוּרִים לָרֹחַב שֶׁלָּהֶם. יָם נָפָה, וּכְבָרָה, וְכַף שֶׁל מֹאזְנַיִם, מִשֶּׁיַּעֲשֶׂה דוּר אֶחָד לָרֹחַב שֶׁלָּהֶן. הַקֻּפָּה, מִשֶּׁיַּעֲשֶׂה שְׁתֵּי צְפִירוֹת לָרֹחַב שֶׁלָּהּ. וְהֶעָרָק, מִשֶּׁיַּעֲשֶׂה בוֹ צְפִירָה אֶחָת: \n", + "כְּלֵי עוֹר, מֵאֵימָתַי מְקַבְּלִין טֻמְאָה. הַתּוּרְמֵל, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב וְיַעֲשֶׂה קִיחוֹתָיו. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מִשֶּׁיַּעֲשֶׂה אֶת אָזְנָיו. סְקֹרְטְיָא, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב וְיַעֲשֶׂה אֶת צִיצָתָהּ. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מִשֶּׁיַּעֲשֶׂה אֶת טַבְּעוֹתֶיהָ. קָטָבוֹלְיָא, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מִשֶּׁיַּעֲשֶׂה אֶת קִיחוֹתֶיהָ. הַכַּר וְהַכֶּסֶת שֶׁל עוֹר, מִשֶּׁיַּחְסֹם וִיקַנֵּב. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מִשֶּׁיִּתְפְּרֵם וִישַׁיֵּר בָּהֶם פָּחוֹת מֵחֲמִשָּׁה טְפָחִים: \n", + "פָּטִילְיָה, טְמֵאָה. וַחֲסִינָה, טְהוֹרָה. סִגְנִיּוֹת שֶׁל עָלִין, טְהוֹרוֹת. שֶׁל נְצָרִין, טְמֵאוֹת. חוֹתָל שֶׁהוּא נוֹתֵן לְתוֹכוֹ וְנוֹטֵל מִתּוֹכוֹ, טָמֵא. וְאִם אֵינוֹ יָכוֹל עַד שֶׁיִּקְרָעֶנּוּ אוֹ עַד שֶׁיַּתִּירֶנּוּ, טָהוֹר: \n", + "קְסָיָה שֶׁל זוֹרֵי גְרָנוֹת, שֶׁל הוֹלְכֵי דְרָכִים, שֶׁל עוֹשֵׂי פִשְׁתָּן, טְמֵאָה. אֲבָל שֶׁל צַבָּעִין וְשֶׁל נַפָּחִין, טְהוֹרָה. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אַף שֶׁל גָּרוֹסוֹת כַּיּוֹצֵא בָהֶן. זֶה הַכְּלָל, הֶעָשׂוּי לְקַבָּלָה, טָמֵא. מִפְּנֵי הַזֵּעָה, טָהוֹר: \n", + "הַמַּלְקוֹט שֶׁל בָּקָר, וְהֶחָסִים שֶׁלּוֹ, וְהַמַּדָּף שֶׁל דְּבוֹרִים, וְהַמְּנָפָה, הֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִין. כְּסוּי שֶׁל קֻפְסָא, טָמֵא. כְּסוּי קַמְטְרָא, טָהוֹר. כְּסוּי תֵּבָה, כְּסוּי טֶנִי, וְהַמַּכְבֵּשׁ שֶׁל חָרָשׁ, וְהַכֶּסֶת שֶׁתַּחַת הַתֵּבָה, וְהַקִּמְרוֹן שֶׁלָּהּ, וְאַנְגְּלִין שֶׁל סֵפֶר, בֵּית הַנֶּגֶר, בֵּית הַמַּנְעוּל, וּבֵית הַמְּזוּזָה, וְתִיק נְבָלִין, וְתִיק כִּנּוֹרֶת, וְהָאֵמוּם שֶׁל גּוֹדְלֵי מִצְנָפוֹת, וְהַמַּרְכּוֹף שֶׁל זַמָּר, וּרְבִיעִית שֶׁל אַלָּיִת, וּגְנוֹגְנִית הֶעָנִי, וְסָמוֹכוֹת הַמִּטָּה, וּטְפוּס שֶׁל תְּפִלָּה, וְאֵמוּם שֶׁל עוֹשֵׂה סוּתוֹת, הֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִים. זֶה הַכְּלָל, אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, כָּל מְשַׁמְּשֵׁי מְשַׁמְּשָׁיו שֶׁל אָדָם בִּשְׁעַת מְלָאכָה וְשֶׁלֹּא בִשְׁעַת מְלָאכָה, טָמֵא. וְכֹל שֶׁאֵינוֹ אֶלָּא בִשְׁעַת מְלָאכָה, טָהוֹר: \n", + "תִּיק הַסַּיִף וְהַסַּכִּין וְהַפִּגְיוֹן, תִּיק מִסְפֶּרֶת וּמִסְפָּרַיִם וְהַתַּעַר, תִּיק מִכְחוֹל, וּבֵית הַכּוֹחַל, תִּיק מַכְתֵּב, וּתְרוּנְתֵּק, תִּיק טַבְלָא וּסְקֹרְטְיָא, בֵּית הַחִצִּים, בֵּית הַפָּגוֹשׁוֹת, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִים. תִּיק סִמְפּוֹנְיָא, בִּזְמַן שֶׁהוּא נוֹתֵן מִלְמַעְלָה, טָמֵא. מִצִּדּוֹ, טָהוֹר. תִּיק חֲלִילִין, רַבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר, מִפְּנֵי שֶׁהוּא נוֹתְנוֹ מִצִּדּוֹ. חִפּוּי הָאַלָּה, הַקֶּשֶׁת, וְהָרֹמַח, הֲרֵי אֵלּוּ טְהוֹרִין. זֶה הַכְּלָל, הֶעָשׂוּי לְתִיק, טָמֵא. לְחִפּוּי, טָהוֹר: \n" + ], + [ + "כָּל כְּלֵי בַעֲלֵי בָתִּים, שִׁעוּרָן בְּרִמּוֹנִים. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, בְּמַה שֶּׁהֵן. קֻפּוֹת הַגַּנָּנִים, שִׁעוּרָן בַּאֲגֻדּוֹת שֶׁל יָרָק. שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, בְּתֶבֶן. שֶׁל בַּלָּנִין, בִּגְבָבָה. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, כֻּלָּן בְּרִמּוֹנִים: ", + "הַחֵמֶת, שִׁעוּרָהּ בִּפְקָעִיּוֹת שֶׁל שֶׁתִי. אִם אֵינָהּ מְקַבֶּלֶת שֶׁל שְׁתִי, אַף עַל פִּי שֶׁמְּקַבֶּלֶת שֶׁל עֵרֶב, טְמֵאָה. בֵּית קְעָרוֹת שֶׁאֵינוֹ מְקַבֵּל קְעָרוֹת, אַף עַל פִּי שֶׁמְּקַבֵּל אֶת הַתַּמְחוּיִין, טָמֵא. בֵּית הָרְעִי שֶׁאֵינוֹ מְקַבֵּל מַשְׁקִין, אַף עַל פִּי שֶׁמְּקַבֵּל אֶת הָרְעִי, טָמֵא. רַבָּן גַּמְלִיאֵל מְטַהֵר, מִפְּנֵי שֶׁאֵין מְקַיְּמִין אוֹתוֹ: ", + "הַסַּלִּין שֶׁל פַּת, שִׁעוּרָן בְּכִכָּרוֹת שֶׁל פָּת. אֱפִיפְיָרוֹת שֶׁעָשָׂה לָהֶן קָנִים מִלְּמַטָּן לְמַעְלָה לְחִזּוּק, טְהוֹרָה. עָשָׂה לָהּ גַּפַּיִם כָּל שֶׁהֵן, טְמֵאָה. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, אִם אֵינָהּ יְכוֹלָה לְהִנָּטֵל בַּגַּפַּיִם, טְהוֹרָה: ", + "הָרִמּוֹנִים שֶׁאָמְרוּ, שְׁלֹשָׁה, אֲחוּזִין זֶה בָזֶה. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, בְּנָפָה וּבִכְבָרָה, כְּדֵי שֶׁיִּטֹּל וִיהַלֵּךְ, וּבְקֻפָּה, כְּדֵי שֶׁיַּפְשִׁיל לַאֲחוֹרָיו. וּשְׁאָר כָּל הַכֵּלִים שֶׁאֵינָן יְכוֹלִין לְקַבֵּל רִמּוֹנִים, כְּגוֹן הָרֹבַע, וַחֲצִי הָרֹבַע, הַקְּנוֹנִים הַקְּטַנִּים, שִׁעוּרָן בְּרֻבָּן, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, בְּזֵיתִים. נִפְרְצוּ, שִׁעוּרָן בְּזֵיתִים. נִגְמְמוּ, שִׁעוּרָן בְּמַה שֶּׁהֵן: ", + "הָרִמּוֹן שֶׁאָמְרוּ, לֹא קָטָן וְלֹא גָדוֹל אֶלָּא בֵינוֹנִי. וּלְמָה הֻזְכְּרוּ רִמּוֹנֵי בָדָאן, שֶׁיְּהוּ מְקַדְּשִׁין כָּל שֶׁהֵן, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי אוֹמֵר, לְשַׁעֵר בָּהֶן אֶת הַכֵּלִים. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, לְכָךְ וּלְכָךְ הֻזְכְּרוּ, לְשַׁעֵר בָּהֶן אֶת הַכֵּלִים, וְיִהְיוּ מְקַדְּשִׁין כָּל שֶׁהֵן. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, לֹא הֻזְכְּרוּ רִמּוֹנֵי בָדָאן וַחֲצִירֵי גֶבַע, אֶלָּא שֶׁיִּהְיוּ מִתְעַשְּׂרִין וַדַּאי בְּכָל מָקוֹם: ", + "כַּבֵּיצָה שֶׁאָמְרוּ, לֹא גְדוֹלָה וְלֹא קְטַנָּה אֶלָּא בֵינוֹנִית. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מֵבִיא גְדוֹלָה שֶׁבַּגְּדוֹלוֹת וּקְטַנָּה שֶׁבַּקְּטַנּוֹת, וְנוֹתֵן לְתוֹךְ הַמַּיִם, וְחוֹלֵק אֶת הַמָּיִם. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, וְכִי מִי מוֹדִיעֵנִי אֵיזוֹהִי גְדוֹלָה וְאֵיזוֹהִי קְטַנָּה, אֶלָּא הַכֹּל לְפִי דַעְתּוֹ שֶׁל רוֹאֶה: ", + "כַּגְּרוֹגֶרֶת שֶׁאָמְרוּ, לֹא גְדוֹלָה וְלֹא קְטַנָּה אֶלָּא בֵינוֹנִית. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, הַגְּדוֹלָה שֶׁבְּאֶרֶץ יִשְׂרָאֵל הִיא הַבֵּינוֹנִית שֶׁבַּמְּדִינוֹת: ", + "כַּזַּיִת שֶׁאָמְרוּ, לֹא גָדוֹל וְלֹא קָטָן אֶלָּא בֵינוֹנִי, זֶה אֵגוֹרִי. כַּשְּׂעֹרָה שֶׁאָמְרוּ, לֹא גְדוֹלָה וְלֹא קְטַנָּה אֶלָּא בֵינוֹנִית, זוֹ מִדְבָּרִית. כָּעֲדָשָׁה שֶׁאָמְרוּ, לֹא גְדוֹלָה וְלֹא קְטַנָּה אֶלָּא בֵינוֹנִית, זוֹ מִצְרִית. כָּל הַמִּטַּלְטְלִין מְבִיאִין אֶת הַטֻּמְאָה בָּעֳבִי הַמַּרְדֵּעַ, לֹא גָדוֹל וְלֹא קָטָן אֶלָּא בֵינוֹנִי. אֵיזֶה הוּא בֵינוֹנִי, כֹּל שֶׁהֶקֵּפוֹ טֶפַח: ", + "הָאַמָּה שֶׁאָמְרוּ, בָּאַמָּה הַבֵּינוֹנִית. וּשְׁתֵּי אַמּוֹת הָיָה בְשׁוּשַׁן הַבִּירָה, אַחַת עַל קֶרֶן מִזְרָחִית צְפוֹנִית וְאַחַת עַל קֶרֶן מִזְרָחִית דְּרוֹמִית. שֶׁעַל קֶרֶן מִזְרָחִית צְפוֹנִית הָיְתָה יְתֵרָה עַל שֶׁל משֶׁה חֲצִי אֶצְבַּע. שֶׁעַל קֶרֶן מִזְרָחִית דְּרוֹמִית הָיְתָה יְתֵרָה עָלֶיהָ חֲצִי אֶצְבַּע, נִמְצֵאת יְתֵרָה עַל שֶׁל משֶׁה אֶצְבָּע. וְלָמָּה אָמְרוּ אַחַת גְּדוֹלָה וְאַחַת קְטַנָּה, אֶלָּא שֶׁהָאֻמָּנִין נוֹטְלִין בַּקְּטַנָּה וּמַחֲזִירִין בַּגְּדוֹלָה, כְּדֵי שֶׁלֹּא יָבֹאוּ לִידֵי מְעִילָה: ", + "רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, כָּל הָאַמּוֹת הָיוּ בֵינוֹנִיּוֹת, חוּץ מִמִּזְבַּח הַזָּהָב וְהַקֶּרֶן וְהַסּוֹבֵב וְהַיְסוֹד. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַמַּת הַבִּנְיָן שִׁשָּׁה טְפָחִים, וְשֶׁל כֵּלִים חֲמִשָּׁה: ", + "וְיֵשׁ שֶׁאָמְרוּ בְּמִדָּה דַקָּה, מִדּוֹת הַלַּח וְהַיָּבֵשׁ שִׁעוּרָן בָּאִיטַלְקִי, זוֹ מִדְבָּרִית. וְיֵשׁ שֶׁאָמְרוּ, הַכֹּל לְפִי מַה שֶּׁהוּא אָדָם, הַקּוֹמֵץ אֶת הַמִּנְחָה, וְהַחוֹפֵן אֶת הַקְּטֹרֶת, וְהַשּׁוֹתֶה כִמְלֹא לֻגְמָיו בְּיוֹם הַכִּפּוּרִים, וְכִמְזוֹן שְׁתֵּי סְעֻדּוֹת לָעֵרוּב, מְזוֹנוֹ לְחֹל אֲבָל לֹא לְשַׁבָּת, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, לְשַׁבָּת אֲבָל לֹא לְחֹל. אֵלּוּ וָאֵלּוּ מִתְכַּוְּנִין לְהָקֵל. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, מִשְּׁתֵּי יָדוֹת לְכִכָּר, מִשָּׁלֹשׁ לְקָב. רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן בְּרוֹקָא אוֹמֵר, מִכִּכָּר בְּפֻנְדְּיוֹן, מֵאַרְבַּע סְאִין בְּסָלַע: ", + "וְיֵשׁ שֶׁאָמְרוּ בְמִדָּה גַסָּה, מְלֹא תַרְוָד רָקָב, כִּמְלֹא תַרְוָד גָּדוֹל שֶׁל רוֹפְאִים. וּגְרִיס נְגָעִים, כַּגְּרִיס הַקִּלְקִי. הָאוֹכֵל בְּיוֹם הַכִּפּוּרִים כַּכּוֹתֶבֶת הַגַּסָּה, כָּמוֹהָ וּכְגַּרְעִינָתָהּ. וְנוֹדוֹת יַיִן וָשֶׁמֶן, שִׁעוּרָן כְּפִיקָה גְדוֹלָה שֶׁלָּהֶן. וּמָאוֹר שֶׁלֹּא נַעֲשָׂה בִידֵי אָדָם, שִׁעוּרוֹ כִמְלֹא אֶגְרוֹף גָּדוֹל, זֶה הוּא אֶגְרוֹפוֹ שֶׁל בֶּן בָּטִיחַ. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, יֶשְׁנוֹ כְרֹאשׁ גָּדוֹל שֶׁל אָדָם. וְשֶׁנַּעֲשָׂה בִידֵי אָדָם, שִׁעוּרוֹ כִמְלֹא מַקְדֵּחַ גָּדוֹל שֶׁל לִשְׁכָּה, שֶׁהוּא כְפֻנְדְּיוֹן הָאִיטַלְקִי, וּכְסֶלַע הַנֵּירוֹנִית, וְכִמְלֹא נֶקֶב שֶׁבָּעֹל: ", + "כֹּל שֶׁבַּיָּם טָהוֹר, חוּץ מִכֶּלֶב הַמַּיִם, מִפְּנֵי שֶׁהוּא בוֹרֵחַ לַיַּבָּשָׁה, דִּבְרֵי רַבִּי עֲקִיבָא. הָעוֹשֶׂה כֵלִים מִן הַגָּדֵל בַּיָּם וְחִבֵּר לָהֶם מִן הַגָּדֵל בָּאָרֶץ, אֲפִלּוּ חוּט, אֲפִלּוּ מְשִׁיחָה, דָּבָר שֶׁהוּא מְקַבֵּל טֻמְאָה, טָמֵא: ", + "וְיֵשׁ בְּמֶה שֶּׁנִּבְרָא בַיּוֹם הָרִאשׁוֹן טֻמְאָה, בַּשֵּׁנִי אֵין בּוֹ טֻמְאָה, בַּשְּׁלִישִׁי יֶשׁ בּוֹ טֻמְאָה, בָּרְבִיעִי וּבַחֲמִישִׁי אֵין בָּהֶם טֻמְאָה, חוּץ מִכְּנַף הָעוֹז וּבֵיצַת נַעֲמִית הַמְצֻפָּה. אָמַר רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי, מַה נִּשְׁתַּנָּה כְנַף הָעוֹז מִכָּל הַכְּנָפָיִם. וְכֹל שֶׁנִּבְרָא בַיּוֹם הַשִּׁשִּׁי, טָמֵא: ", + "הָעוֹשֶׂה כְלִי קִבּוּל, מִכָּל מָקוֹם, טָמֵא. הָעוֹשֶׂה מִשְׁכָּב וּמוֹשָׁב, מִכָּל מָקוֹם, טָמֵא. הָעוֹשֶׂה כִיס מֵעוֹר הַמַּצָּה, מִן הַנְּיָר, טָמֵא. הָרִמּוֹן, הָאַלּוֹן, וְהָאֱגוֹז, שֶׁחֲקָקוּם הַתִּינוֹקוֹת לָמֹד בָּהֶם אֶת הֶעָפָר אוֹ שֶׁהִתְקִינוּם לְכַף מֹאזְנַיִם, טָמֵא, שֶׁיֶּשׁ לָהֶם מַעֲשֶׂה וְאֵין לָהֶם מַחֲשָׁבָה: ", + "קְנֵה מֹאזְנַיִם וְהַמָּחוֹק שֶׁיֶּשׁ בָּהֶן בֵּית קִבּוּל מַתָּכוֹת, וְהָאֵסֶל שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית קִבּוּל מָעוֹת, וְקָנֶה שֶׁל עָנִי שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית קִבּוּל מַיִם, וּמַקֵּל שֶׁיֶּשׁ בּוֹ בֵית קִבּוּל מְזוּזָה וּמַרְגָּלִיּוֹת, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין. וְעַל כֻּלָּן אָמַר רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן זַכַּאי, אוֹי לִי אִם אֹמַר, אוֹי לִי אִם לֹא אֹמַר: ", + "תַּחְתִּית הַצּוֹרְפִים, טְמֵאָה. וְשֶׁל נַפָּחִין, טְהוֹרָה. מַשְׁחֶזֶת שֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית קִבּוּל שֶׁמֶן, טְמֵאָה. וְשֶׁאֵין בָּהּ, טְהוֹרָה. פִּנְקָס שֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית קִבּוּל שַׁעֲוָה, טְמֵאָה. וְשֶׁאֵין בָּהּ, טְהוֹרָה. מַחֲצֶלֶת הַקַּשׁ וּשְׁפוֹפֶרֶת הַקַּשׁ, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא, וְרַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי מְטַהֵר. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, אַף שֶׁל פַּקּוּעוֹת כַּיּוֹצֵא בָהֶן. מַחֲצֶלֶת קָנִים וְשֶׁל חֵלֶף, טְהוֹרָה. שְׁפוֹפֶרֶת הַקָּנֶה שֶׁחֲתָכָהּ לְקַבָּלָה, טְהוֹרָה, עַד שֶׁיּוֹצִיא אֶת כָּל הַכָּכָי: " + ], + [ + "הַשִּׁדָּה, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, נִמְדֶּדֶת מִבִּפְנִים. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, נִמְדֶּדֶת מִבַּחוּץ. מוֹדִים אֵלּוּ וָאֵלּוּ שֶׁאֵין עֳבִי הָרַגְלַיִם וָעֳבִי לִזְבְּזִין נִמְדָּד. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, מוֹדִים שֶׁעֳבִי הָרַגְלַיִם וָעֳבִי לִזְבְּזִין נִמְדָּד, וּבֵינֵיהֶם אֵינוֹ נִמְדָּד. רַבִּי שִׁמְעוֹן שְׁזוּרִי אוֹמֵר, אִם הָיוּ הָרַגְלַיִם גְּבוֹהוֹת טֶפַח, אֵין בֵּינֵיהֶם נִמְדָּד. וְאִם לָאו, בֵּינֵיהֶן נִמְדָּד: \n", + "מוּכְנִי שֶׁלָּהּ, בִּזְמַן שֶׁהִיא נִשְׁמֶטֶת, אֵינָהּ חִבּוּר לָהּ, וְאֵינָהּ נִמְדֶּדֶת עִמָּהּ, וְאֵינָהּ מַצֶּלֶת עִמָּהּ בְּאֹהֶל הַמֵּת, וְאֵין גּוֹרְרִין אוֹתָהּ בְּשַׁבָּת בִּזְמַן שֶׁיֶּשׁ בְּתוֹכָהּ מָעוֹת. וְאִם אֵינָהּ נִשְׁמֶטֶת, חִבּוּר לָהּ, וְנִמְדֶּדֶת עִמָּהּ, וּמַצֶּלֶת עִמָּהּ בְּאֹהֶל הַמֵּת, וְגוֹרְרִין אוֹתָהּ בְּשַׁבָּת אַף עַל פִּי שֶׁיֶּשׁ בְּתוֹכָהּ מָעוֹת. הַקִּמְרוֹן שֶׁלָּהּ, בִּזְמַן שֶׁהוּא קָבוּעַ, חִבּוּר לָהּ וְנִמְדָּד עִמָּהּ. וְאִם אֵינוֹ קָבוּעַ, אֵינוֹ חִבּוּר לָהּ וְאֵינוֹ נִמְדָּד עִמָּהּ. כֵּיצַד מוֹדְדִין אוֹתוֹ, רֹאשׁ תּוֹר. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אִם אֵינָהּ יְכוֹלָה לַעֲמֹד בִּפְנֵי עַצְמָהּ, טְהוֹרָה: \n", + "הַשִּׁדָּה וְהַתֵּבָה וְהַמִּגְדָּל שֶׁנִּטְּלָה אַחַת מֵרַגְלֵיהֶן, אַף עַל פִּי שֶׁמְּקַבְּלִין, טְהוֹרִין. וְשֶׁאֵינָן מְקַבְּלִין כְּדַרְכָּן, רַבִּי יוֹסֵי מְטַמֵּא. וְנַקְלִיטֵי הַמִּטָּה וַחֲמוֹר וְחִפּוּי, טְהוֹרִין. אֵין טָמֵא אֶלָּא מִטָּה וּמַלְבֵּן. וּמַלְבְּנֵי בְנֵי לֵוִי, טְהוֹרִין: \n", + "מַלְבֵּן שֶׁנְּתָנוֹ עַל לְשׁוֹנוֹת, רַבִּי מֵאִיר וְרַבִּי יְהוּדָה מְטַמְּאִין, רַבִּי יוֹסֵי וְרַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֲרִין. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, מַה שָּׁנָה זֶה מִמַּלְבְּנֵי בְנֵי לֵוִי, שֶׁמַּלְבְּנֵי בְנֵי לֵוִי טְהוֹרִין: \n", + "מִטָּה שֶׁהָיְתָה טְמֵאָה מִדְרָס, נִטְּלָה קְצָרָה וּשְׁתֵּי כְרָעַיִם, טְמֵאָה. אֲרֻכָּה וּשְׁתֵּי כְרָעַיִם, טְהוֹרָה. רַבִּי נְחֶמְיָה מְטַמֵּא. גָּדַד שְׁתֵּי לְשׁוֹנוֹת לוֹכְסָן, גָּדַד שְׁתֵּי כְרָעַיִם (טֶפַח עַל טֶפַח) לוֹכְסָן, אוֹ שֶׁמִּעֲטָהּ פָּחוֹת מִטֶּפַח, טְהוֹרָה: \n", + "מִטָּה שֶׁהָיְתָה טְמֵאָה מִדְרָס, נִשְׁבְּרָה אֲרֻכָּה וְתִקְּנָהּ, טְמֵאָה מִדְרָס. נִשְׁבְּרָה שְׁנִיָּה וְתִקְּנָהּ, טְהוֹרָה מִן הַמִּדְרָס, אֲבָל טְמֵאָה מַגַּע מִדְרָס. לֹא הִסְפִּיק לְתַקֵּן אֶת הָרִאשׁוֹנָה עַד שֶׁנִּשְׁבְּרָה שְׁנִיָּה, טְהוֹרָה: \n", + "כֶּרַע שֶׁהָיְתָה טְמֵאָה מִדְרָס, וְחִבְּרָהּ לַמִּטָּה, כֻּלָּהּ טְמֵאָה מִדְרָס. פֵּרְשָׁה, הִיא טְמֵאָה מִדְרָס, וְהַמִּטָּה מַגַּע מִדְרָס. הָיְתָה טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה וְחִבְּרָהּ לַמִּטָּה, כֻּלָּהּ טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה. פֵּרְשָׁה, הִיא טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה, וְהַמִּטָּה טְמֵאָה טֻמְאַת עָרֶב. הָיְתָה טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב וְחִבְּרָהּ לַמִּטָּה, כֻּלָּהּ טְמֵאָה טֻמְאַת עָרֶב. פֵּרְשָׁה, הִיא טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב, וְהַמִּטָּה טְהוֹרָה. וְכֵן הַשֵּׁן שֶׁל מַעְדֵּר: \n", + "תְּפִלָּה, אַרְבָּעָה כֵלִים. הִתִּיר קְצִיצָה הָרִאשׁוֹנָה וְתִקְּנָהּ, טְמֵאָה טְמֵא מֵת, וְכֵן שְׁנִיָּה, וְכֵן שְׁלִישִׁית. הִתִּיר אֶת הָרְבִיעִית, טְהוֹרָה מִטְּמֵא מֵת, אֲבָל טְמֵאָה מַגַּע טְמֵא מֵת. חָזַר לָרִאשׁוֹנָה וְהִתִּירָהּ וְתִקְּנָהּ, טְמֵאָה בְמַגָּע, וְכֵן שְׁנִיָּה. הִתִּיר אֶת הַשְּׁלִישִׁית, טְהוֹרָה, שֶׁהָרְבִיעִית בְּמַגָּע, וְאֵין מַגָּע עוֹשֶׂה מַגָּע: \n", + "מִטָּה שֶׁנִּגְנַב חֶצְיָהּ, אוֹ אָבַד חֶצְיָהּ, אוֹ חֲלָקוּהָ אַחִין, אוֹ שֻׁתָּפִין, טְהוֹרָה. הֶחֱזִירוּהָ, מְקַבֶּלֶת טֻמְאָה מִכָּאן וּלְהַבָּא. מִטָּה מִטַּמְּאָה חֲבִילָה, וּמִטַּהֶרֶת חֲבִילָה, דִּבְרֵי רַבִּי אֱלִיעֶזֶר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, מִטַּמְּאָה אֵבָרִים, וּמִטַּהֶרֶת אֵבָרִים: \n" + ], + [ + "הַמְפָרֵק אֶת הַמִּטָּה לְהַטְבִּילָהּ, וְהַנּוֹגֵעַ בַּחֲבָלִין, טָהוֹר. הַחֶבֶל מֵאֵימָתַי הוּא חִבּוּר לַמִּטָּה, מִשֶּׁיְּסָרֵג בָּהּ שְׁלֹשָׁה בָתִּים. וְהַנּוֹגֵעַ מִן הַקֶּשֶׁר וְלִפְנִים, טָמֵא. מִן הַקֶּשֶׁר וְלַחוּץ, טָהוֹר. נִימֵי הַקֶּשֶׁר, הַנּוֹגֵעַ בְּצָרְכּוֹ, טָמֵא. וְכַמָּה הוּא צָרְכּוֹ, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת: ", + "הַחֶבֶל הַיּוֹצֵא מִן הַמִּטָּה, עַד חֲמִשָּׁה טְפָחִים, טָהוֹר. מֵחֲמִשָּׁה וְעַד עֲשָׂרָה, טָמֵא. מֵעֲשָׂרָה וְלַחוּץ, טָהוֹר, שֶׁבּוֹ קוֹשְׁרִין אֶת הַפְּסָחִים, וּמְשַׁלְשְׁלִין אֶת הַמִּטּוֹת: ", + "מִזְרָן הַיּוֹצֵא מִן הַמִּטָּה, כָּל שֶׁהוּא, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, עַד עֲשָׂרָה טְפָחִים. שְׁיָרֵי מִזְרָן, שִׁבְעָה טְפָחִים, כְּדֵי לַעֲשׂוֹתוֹ חֶבֶק לַחֲמוֹר: ", + "נִשָּׂא הַזָּב עַל הַמִּטָּה וְעַל הַמִּזְרָן, מְטַמֵּא שְׁנַיִם וּפוֹסֵל אֶחָד, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, נִשָּׂא הַזָּב עַל הַמִּטָּה וְעַל הַמִּזְרָן, עֲשָׂרָה טְפָחִים, מְטַמֵּא שְׁנַיִם וּפוֹסֵל אֶחָד. מֵעֲשָׂרָה וְלַחוּץ, מְטַמֵּא אֶחָד וּפוֹסֵל אֶחָד. נִשָּׂא עַל הַמִּזְרָן, מֵעֲשָׂרָה וְלִפְנִים, טָמֵא. מֵעֲשָׂרָה וְלַחוּץ, טָהוֹר: ", + "מִטָּה שֶׁהָיְתָה טְמֵאָה מִדְרָס, וְכָרַךְ לָהּ מִזְרָן, כֻּלָּהּ טְמֵאָה מִדְרָס. פֵּרְשָׁה, הִיא טְמֵאָה מִדְרָס, וְהַמִּזְרָן מַגַּע מִדְרָס. הָיְתָה טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה, וְכָרַךְ לָהּ מִזְרָן, כֻּלָּהּ טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה. פֵּרְשָׁה, הִיא טְמֵאָה טֻמְאַת שִׁבְעָה, וְהַמִּזְרָן טָמֵא טֻמְאַת עָרֶב. הָיְתָה טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב, וְכָרַךְ לָהּ מִזְרָן, כֻּלָּהּ טְמֵאָה טֻמְאַת עָרֶב. פֵּרְשָׁה, הִיא טְמֵאָה טֻמְאַת עֶרֶב, וְהַמִּזְרָן טָהוֹר: ", + "מִטָּה שֶׁכָּרַךְ לָהּ מִזְרָן, וְנָגַע בָּהֶן הַמֵּת, טְמֵאִין טֻמְאַת שִׁבְעָה. פֵּרְשׁוּ, טְמֵאִין טֻמְאַת שִׁבְעָה. נָגַע בָּהֶן הַשֶּׁרֶץ, טְמֵאִין טֻמְאַת עָרֶב. פֵּרְשׁוּ, טְמֵאִין טֻמְאַת עָרֶב. מִטָּה שֶׁנִּטְּלוּ שְׁתֵּי אֲרֻכּוֹת שֶׁלָּהּ וְעָשָׂה לָהּ חֲדָשׁוֹת, וְלֹא שִׁנָּה אֶת הַנְּקָבִים, נִשְׁתַּבְּרוּ חֲדָשׁוֹת, טְמֵאָה. וִישָׁנוֹת, טְהוֹרָה, שֶׁהַכֹּל הוֹלֵךְ אַחַר הַיְשָׁנוֹת: ", + "תֵּבָה שֶׁפִּתְחָהּ מִלְמַעְלָה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. נִפְחֲתָה מִלְמַעְלָה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. נִפְחֲתָה מִלְּמַטָּה, טְהוֹרָה. מְגוּרוֹת שֶׁבָּהּ, טְמֵאוֹת, וְאֵינָם חִבּוּר לָהּ: ", + "הַתּוּרְמֵל שֶׁנִּפְחֲתָה כִּיס שֶׁבְּתוֹכוֹ, טָמֵא, וְאֵינוֹ חִבּוּר לוֹ. הַחֵמֶת שֶׁבֵּיצִים שֶׁלָּהּ מְקַבְּלוֹת עִמָּהּ, וְנִפְחֲתוּ, טְהוֹרוֹת, שֶׁאֵינָם מְקַבְּלוֹת כְּדַרְכָּן: ", + "תֵּבָה שֶׁפִּתְחָהּ מִצִּדָּהּ, טְמֵאָה מִדְרָס וּטְמֵא מֵת. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, אֵימָתַי, בִּזְמַן שֶׁאֵינָהּ גְּבוֹהָה עֲשָׂרָה טְפָחִים, אוֹ שֶׁאֵין לָהּ לִזְבֵּז טֶפַח. נִפְחֲתָה מִלְמַעְלָן, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. נִפְחֲתָה מִלְּמַטָּן, רַבִּי מֵאִיר מְטַמֵּא. וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, מִפְּנֵי שֶׁבָּטַל הָעִקָּר, בָּטְלָה הַטְּפֵלָה: ", + "מִשְׁפֶּלֶת שֶׁנִּפְחֲתָה מִלְּקַבֵּל רִמּוֹנִים, רַבִּי מֵאִיר מְטַמֵּא. וַחֲכָמִים מְטַהֲרִים, מִפְּנֵי שֶׁבָּטַל הָעִקָּר, בָּטְלָה הַטְּפֵלָה: " + ], + [ + "הַכָּרִים וְהַכְּסָתוֹת וְהַשַּׂקִּין וְהַמַּרְצוּפִין שֶׁנִּפְחֲתוּ, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִים מִדְרָס. הַקְּלוּסְטָר, אַרְבָּעָה קַבִּין, הַתּוּרְמֵל חֲמֵשֶׁת קַבִּין, הַכְּרֵיתִית סְאָה. הַחֵמֶת שֶׁל שִׁבְעַת קַבִּין, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַף הָרִבְצָל וְהַמִּזְוָדָה כָּל שֶׁהֵן, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין מִדְרָס. וְכֻלָּם שֶׁנִּפְחֲתוּ, טְהוֹרִים, מִפְּנֵי שֶׁבָּטַל הָעִקָּר, וּבָטְלָה הַטְּפֵלָה: ", + "חֵמֶת חֲלִילִין, טְהוֹרָה מִן הַמִּדְרָס. עֲרֵבַת פִּיסוֹנוֹת, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, מִדְרָס. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, טְמֵא מֵת. עֲרֵבָה מִשְּׁנֵי לֹג וְעַד תִּשְׁעָה קַבִּין שֶׁנִּסְדְּקָה, טְמֵאָה מִדְרָס. הִנִּיחָהּ בַּגְּשָׁמִים וְנִתְפְּחָה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. בַּקָּדִים וְנִסְדְּקָה, מְקַבֶּלֶת מִדְרָס. זֶה חֹמֶר בִּשְׁיָרֵי כְלֵי עֵץ מִבִּתְחִלָּתָן. וְחֹמֶר בִּשְׁיָרֵי כְלֵי נְצָרִים מִבִּתְחִלָּתָן, שֶׁמִּתְּחִלָּתָן אֵינָם מְקַבְּלִים טֻמְאָה עַד שֶׁיִּתְחַסֵּמוּ. נִתְחַסְּמוּ, אַף עַל פִּי שֶׁנָּשְׁרוּ שִׂפְתוֹתֵיהֶן כָּל שֶׁהֵן, טְמֵאִין: ", + "מַקֵּל שֶׁעֲשָׂאוֹ בֵּית יָד לְקֻרְדֹּם, חִבּוּר לַטֻּמְאָה בִּשְׁעַת מְלָאכָה. הַדְּיוּסְטָר, חִבּוּר לַטֻּמְאָה בִּשְׁעַת מְלָאכָה. קְבָעוֹ בִכְלוֹנָס, טָמֵא, וְאֵינוֹ חִבּוּר לָהּ. עָשָׂה לוֹ דְיוּסְטָר, אֵין טָמֵא אֶלָּא צָרְכּוֹ. כִּסֵּא שֶׁקְּבָעוֹ בִכְלוֹנָס, טָמֵא, וְאֵינוֹ חִבּוּר לוֹ. עָשָׂה בוֹ כִסֵּא, אֵין טָמֵא אֶלָּא מְקוֹמוֹ. קְבָעוֹ בְקוֹרַת בֵּית הַבַּד, טָמֵא, וְאֵינוֹ חִבּוּר לָהּ. עָשָׂה בְרֹאשָׁהּ כִּסֵּא, טָהוֹר, מִפְּנֵי שֶׁאוֹמְרִין לוֹ, עֲמֹד וְנַעֲשֶׂה אֶת מְלַאכְתֵּנוּ: ", + "עֲרֵבָה גְדוֹלָה שֶׁנִּפְחֲתָה מִלְּקַבֵּל רִמּוֹנִים, וְהִתְקִינָהּ לִישִׁיבָה, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא. וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, עַד שֶׁיְּקַצֵּעַ. עֲשָׂאָהּ אֵבוּס לַבְּהֵמָה, אַף עַל פִּי שֶׁקְּבָעָהּ בַּכֹּתֶל, טְמֵאָה: ", + "כֹּפֶת שֶׁקְּבָעוֹ בְנִדְבָּךְ, קְבָעוֹ וְלֹא בָנָה עָלָיו, בָּנָה עָלָיו וְלֹא קְבָעוֹ, טָמֵא. קְבָעוֹ וּבָנָה עָלָיו, טָהוֹר. מַפָּץ שֶׁנְּתָנוֹ עַל גַּבֵּי הַקּוֹרוֹת, קְבָעוֹ וְלֹא נָתַן עָלָיו אֶת הַמַּעֲזִיבָה, נָתַן עָלָיו אֶת הַמַּעֲזִיבָה וְלֹא קְבָעוֹ, טָמֵא. קְבָעוֹ וְנָתַן עָלָיו אֶת הַמַּעֲזִיבָה, טָהוֹר. קְעָרָה שֶׁקְּבָעָהּ בְּשִׁדָּה תֵּבָה וּמִגְדָּל, כְּדֶרֶךְ קַבָּלָתָהּ, טְמֵאָה. שֶׁלֹּא כְדֶרֶךְ קַבָּלָתָהּ, טְהוֹרָה: ", + "סָדִין שֶׁהוּא טְמֵא מִדְרָס וַעֲשָׂאוֹ וִילוֹן, טָהוֹר מִן הַמִּדְרָס, אֲבָל טָמֵא טְמֵא מֵת. מֵאֵימָתַי הִיא טָהֳרָתוֹ. בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, מִשֶּׁיִּתָּבֵר. בֵּית הִלֵּל אוֹמְרִים, מִשֶּׁיִּקָּשֵׁר. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, מִשֶּׁיִּקָּבֵעַ: ", + "מַחֲצֶלֶת שֶׁעָשָׂה לָהּ קָנִים לְאָרְכָּהּ, טְהוֹרָה. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, עַד שֶׁיַּעֲשֶׂה כְמִין כִי. עֲשָׂאָם לְרָחְבָּהּ וְאֵין בֵּין קָנֶה לַחֲבֵרוֹ אַרְבָּעָה טְפָחִים, טָהוֹר. נֶחְלְקָה לְרָחְבָּהּ, רַבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר. וְכֵן הַמַּתִּיר רָאשֵׁי הַמַּעֲדַנִּין, טְהוֹרָה. נֶחְלְקָה לְאָרְכָּהּ וְנִשְׁתַּיְּרוּ בָהּ שְׁלֹשָׁה מַעֲדַנִּים שֶׁל שִׁשָּׁה טְפָחִים, טְמֵאָה. מַחֲצֶלֶת, מֵאֵימָתַי מְקַבֶּלֶת טֻמְאָה. מִשֶּׁתִּקָּנֵב, וְהִיא גְמַר מְלַאכְתָּהּ: " + ], + [ + "הַנּוֹגֵעַ בַּכֹּבֶד הָעֶלְיוֹן, בַּכֹּבֶד הַתַּחְתּוֹן, בַּנִּירִים, וּבַקֵּירוֹס, וּבְחוּט שֶׁהֶעֱבִירוֹ עַל גַּבֵּי אַרְגָּמָן, וּבְעִירָה שֶׁאֵינוֹ עָתִיד לְהַחֲזִירָהּ, טָהוֹר. בְּנֶפֶשׁ הַמַּסֶּכֶת, וּבַשְּׁתִי הָעוֹמֵד, וּבְכָפוּל שֶׁהֶעֱבִירוֹ עַל גַּבֵּי הָאַרְגָּמָן, וּבְעִירָה שֶׁהִיא עֲתִידָה לְהַחֲזִירָהּ, טָמֵא. הַנּוֹגֵעַ בַּצֶּמֶר שֶׁעַל הָאִימָּה, בָּאַשְׁוָיָה, טָהוֹר. הַנּוֹגֵעַ בַּפִּיקָה, עַד שֶׁלֹּא פֵרְעָהּ, טָמֵא. מִשֶּׁפֵּרְעָהּ, טָהוֹר: \n", + "הַנּוֹגֵעַ בָּעֹל, וּבַקַּטְרָב, בָּעַיִן, וּבָעֲבוֹת, אֲפִלּוּ בִשְׁעַת מְלָאכָה, טָהוֹר. בַּחֶרֶב, וּבַבֹּרֶךְ, וּבַיָּצוּל, טָמֵא. בָּעַיִן שֶׁל מַתֶּכֶת, בַּלְּחָיַיִן, וּבָעֲרָיִין, טָמֵא. רַבִּי יְהוּדָה מְטַהֵר בַּלְּחָיַיִם, שֶׁאֵינָם עֲשׂוּיִן אֶלָּא לְרַבּוֹת אֶת הֶעָפָר: \n", + "הַנּוֹגֵעַ בְּיַד מְגֵרָה, מִכָּאן וּמִכָּאן, טָמֵא. בַּחוּט, וּבַמְּשִׁיחָה, בָּאַמָּה, וּבַסְּנִיפִין, בַּמַּכְבֵּשׁ שֶׁל חָרָשׁ, וּבַקַּשְׁטָנִית, טָהוֹר. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַף הַנּוֹגֵעַ בַּמַּלְבֵּן שֶׁל מַסָּר הַגָּדוֹל, טָהוֹר. הַנּוֹגֵעַ בַּיֶּתֶר וּבַקֶּשֶׁת, אַף עַל פִּי שֶׁהִיא מְתוּחָה, טָהוֹר. מְצֻדַּת הָאֵישׁוּת, טְהוֹרָה. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, כָּל זְמַן שֶׁהִיא מְתוּחָה, חִבּוּר: \n" + ], + [ + "הַשֻּׁלְחָן וְהַדְּלֻפְקִי שֶׁנִּפְחֲתוּ, אוֹ שֶׁחִפָּן בְּשַׁיִשׁ וְשִׁיֵּר בָּהֶם מְקוֹם הַנָּחַת הַכּוֹסוֹת, טְמֵאִים. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, מְקוֹם הַנָּחַת חֲתִיכוֹת: \n", + "הַשֻּׁלְחָן שֶׁנִּטְּלָה אַחַת מֵרַגְלָיו, טָהוֹר. נִטְּלָה שְׁנִיָּה, טָהוֹר. נִטְּלָה הַשְּׁלִישִׁית, טָמֵא כְּשֶׁיַּחְשֹׁב עָלָיו. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אֵין צָרִיךְ מַחֲשָׁבָה. וְכֵן הַדְּלֻפְקִי: \n", + "סַפְסָל שֶׁנִּטַּל אַחַד מֵרָאשָׁיו, טָהוֹר. נִטַּל הַשֵּׁנִי, טָהוֹר. אִם יֶשׁ בּוֹ גֹבַהּ טֶפַח, טָמֵא. שְׁרַפְרַף שֶׁנִּטַּל אַחַד מֵרָאשָׁיו, טָמֵא. וְכֵן הַכִּסֵּא שֶׁלִּפְנֵי קַתֶּדְרָא: \n", + "כִּסֵּא שֶׁל כַּלָּה שֶׁנִּטְּלוּ חִפּוּיָו, בֵּית שַׁמַּאי מְטַמְּאִין, וּבֵית הִלֵּל מְטַהֲרִין. שַׁמַּאי אוֹמֵר, אַף מַלְבֵּן שֶׁל כִּסֵּא, טָמֵא. כִּסֵּא שֶׁקְּבָעוֹ בַעֲרֵבָה, בֵּית שַׁמַּאי מְטַמְּאִין, וּבֵית הִלֵּל מְטַהֲרִין. שַׁמַּאי אוֹמֵר, אַף הֶעָשׂוּי בָּהּ: \n", + "כִּסֵּא שֶׁלֹּא הָיוּ חִפּוּיָו יוֹצְאִין, וְנִטְּלוּ, טָמֵא, שֶׁכֵּן דַּרְכּוֹ לִהְיוֹת מַטֵּהוּ עַל צִדּוֹ וְיוֹשֵׁב עָלָיו: \n", + "כִּסֵּא שֶׁנִּטַּל חִפּוּיוֹ הָאֶמְצָעִי וְהַחִיצוֹנִים קַיָּמִים, טָמֵא. נִטְּלוּ הַחִיצוֹנִים וְהָאֶמְצָעִי קַיָּם, טָמֵא. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, אִם הָיָה רָחָב טָפַח: \n", + "כִּסֵּא שֶׁנִּטְּלוּ שְׁנַיִם מֵחִפּוּיָו זֶה בְצַד זֶה, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. אָמַר רַבִּי יְהוּדָה, אַף כִּסֵּא שֶׁל כַּלָּה שֶׁנִּטְּלוּ חִפּוּיָו וְנִשְׁתַּיֵּר בּוֹ בֵית קַבָּלָה, טָהוֹר, מִפְּנֵי שֶׁבָּטַל הָעִקָּר וּבָטְלָה הַטְּפֵלָה: \n", + "שִׁדָּה שֶׁנִּטַּל הָעֶלְיוֹן, טְמֵאָה מִפְּנֵי הַתַּחְתּוֹן. נִטַּל הַתַּחְתּוֹן, טְמֵאָה מִפְּנֵי הָעֶלְיוֹן. נִטַּל הָעֶלְיוֹן וְהַתַּחְתּוֹן, רַבִּי יְהוּדָה מְטַמֵּא מִפְּנֵי הַדַּפִּין, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. יְשִׁיבַת הַסַּתָּת, טָמֵא מִדְרָס: \n", + "כֹּפֶת שֶׁסֵּרְקוֹ, וְכִרְכְּמוֹ, וַעֲשָׂאוֹ פָנִים, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא. וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, עַד שֶׁיָּחֹק בּוֹ. הַסַּל וְהַכַּלְכָּלָה שֶׁמִּלְאָן תֶּבֶן אוֹ מוֹכִין, הִתְקִינָן לִישִׁיבָה, טְהוֹרִין. סֵרְגָן בְּגֶמִי אוֹ בִמְשִׁיחָה, טְמֵאִין: \n", + "הָאַסְלָה, טְמֵאָה מִדְרָס וּטְמֵא מֵת. פֵּרְשָׁה, הָעוֹר טָמֵא מִדְרָס, וְהַבַּרְזֶל טָמֵא טְמֵא מֵת. הַטְּרַסְקָל שֶׁחִפּוּיוֹ שֶׁל עוֹר, טָמֵא מִדְרָס וּטְמֵא מֵת. פֵּרְשָׁה, הָעוֹר טָמֵא מִדְרָס, וְהַטְּרַסְקָל טָהוֹר מִכְּלוּם. סַפְסָלִין שֶׁבַּמֶּרְחָץ וּשְׁתֵּי רַגְלָיו שֶׁל עֵץ, טָמֵא. אַחַת שֶׁל עֵץ וְאַחַת שֶׁל אֶבֶן, טָהוֹר. הַנְּסָרִין שֶׁבַּמֶּרְחָץ שֶׁשִּׁגְּמָן, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין, שֶׁאֵינָם עֲשׂוּיִן אֶלָּא שֶׁיִּהְיוּ הַמַּיִם מְהַלְּכִין תַּחְתֵּיהֶן. קַנְקֵילִין שֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית קַבָּלַת כְּסוּת, טְמֵאָה. וְהָעֲשׂוּיָה כְּכַוֶּרֶת, טְהוֹרָה: \n" + ], + [ + "הַכַּדּוּר וְהָאִמּוּם וְהַקָּמֵעַ וְהַתְּפִלִּין שֶׁנִּקְרְעוּ, הַנּוֹגֵעַ בָּהֶן, טָמֵא. וּבְמַה שֶּׁבְּתוֹכָן, טָהוֹר. הָאֻכָּף שֶׁנִּקְרַע, הַנּוֹגֵעַ בְּמַה שֶּׁבְּתוֹכוֹ, טָמֵא, מִפְּנֵי שֶׁהַתֶּפֶר מְחַבְּרוֹ: ", + "אֵלּוּ טְמֵאִין מִשּׁוּם מֶרְכָּב, זָרֵיז הָאַשְׁקְלוֹנִי, וּמְדוֹכָה הַמָּדִית, וְעָבִיט שֶׁל גָּמָל, וְטַפֵּיטָן שֶׁל סוּס. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אַף טַפֵּיטָן שֶׁל סוּס טָמֵא מִשּׁוּם מוֹשָׁב, מִפְּנֵי שֶׁעוֹמְדִין עָלָיו בַּקֻּמְפּוֹן. אֲבָל אֻכָּף שֶׁל נָאקָה, טָמֵא: ", + "מַה בֵּין מֶרְכָּב לְמוֹשָׁב. מֶרְכָּב חָלַק מַגָּעוֹ מִמַּשָּׂאוֹ, וּמוֹשָׁב לֹא חָלַק מַגָּעוֹ מִמַּשָּׂאוֹ. תָּפִית שֶׁל חֲמוֹר שֶׁהוּא יוֹשֵׁב עָלֶיהָ, טָהוֹר. שִׁנָּה בָהּ אֶת הַנְּקָבִין, אוֹ שֶׁפֵּרְצָן זֶה לְתוֹךְ זֶה, טְמֵאָה: ", + "הַמִּטָּה וְהַכַּר וְהַכֶּסֶת שֶׁל מֵת, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין מִדְרָס. כִּסֵּא שֶׁל כַּלָּה, וּמַשְׁבֵּר שֶׁל חַיָּה, וְכִסֵּא שֶׁל כּוֹבֵס שֶׁהוּא כוֹרֵם עָלָיו אֶת הַכֵּלִים, אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, אֵין בָּהֶם מִשּׁוּם מוֹשָׁב: ", + "הַחֵרֶם, טָמֵא מִפְּנֵי הַזּוּטוֹ. הָרְשָׁתוֹת, וְהַמִּכְמָרוֹת, וְהַמַּדָּף, וְהַפְּלָצוּר, וּמְצֻדּוֹת הַסְּכָרִין, טְמֵאִין. וְהַאָקוֹן, וְהָרְטוֹב, וְהַכְּלוּב, טְהוֹרִין: " + ], + [ + "שְׁלֹשָׁה תְרִיסִין הֵם. תְּרִיס הַכָּפוּף, טָמֵא מִדְרָס. וְשֶׁמְּשַׂחֲקִין בּוֹ בַּקֻּנְפּוֹן, טָמֵא טְמֵא מֵת. וְדִיצַת הָעַרְבִיִּין, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ עֲגָלוֹת הֵן. הָעֲשׂוּיָה כְקַתֶּדְרָא, טְמֵאָה מִדְרָס. כְּמִטָּה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וְשֶׁל אֲבָנִים, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ עֲרֵבוֹת הֵן. עֲרֵבָה מִשְּׁנֵי לֹג וְעַד תִּשְׁעָה קַבִּין שֶׁנִּסְדְּקָה, טְמֵאָה מִדְרָס. שְׁלֵמָה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וְהַבָּאָה בַמִּדָּה, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ תֵּבוֹת הֵן. תֵּבָה שֶׁפִּתְחָהּ מִצִּדָּהּ, טְמֵאָה מִדְרָס. מִלְמַעְלָן, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וְהַבָּאָה בַמִּדָּה, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שְׁלֹשָׁה תַרְבּוּסִין הֵן. שֶׁל סַפָּרִין, טָמֵא מִדְרָס. שֶׁאוֹכְלִין עָלָיו, טָמֵא טְמֵא מֵת. וְשֶׁל זֵיתִים, טָהוֹר מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ בְּסָסִיּוֹת הֵן. שֶׁלִּפְנֵי הַמִּטָּה וְשֶׁלִּפְנֵי סוֹפְרִים, טְמֵאָה מִדְרָס. וְשֶׁל דְּלֻפְקִי, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וְשֶׁל מִגְדָּל, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ פִּנְקָסִיּוֹת הֵן. הָאֱפִיפוֹרִין, טְמֵאָה מִדְרָס. וְשֶׁיֶּשׁ בָּהּ בֵּית קִבּוּל שַׁעֲוָה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וַחֲלָקָה, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ מִטּוֹת הֵן. הָעֲשׂוּיָה לִשְׁכִיבָה, טְמֵאָה מִדְרָס. שֶׁל זַגָּגִין, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וְשֶׁל סָרָגִין, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ מַשְׁפֵּלוֹת הֵן. שֶׁל זֶבֶל, טְמֵאָה מִדְרָס. שֶׁל תֶּבֶן, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וְהַפֻּחְלָץ שֶׁל גְּמַלִּים, טָהוֹר מִכְּלוּם: ", + "שְׁלֹשָׁה מַפָּצִים הֵן. הָעֲשׂוּיָה לִישִׁיבָה, טְמֵאָה מִדְרָס. שֶׁל צַבָּעִין, טָמֵא טְמֵא מֵת. וְשֶׁל גִּתּוֹת, טָהוֹר מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ חֲמָתוֹת וְשָׁלֹשׁ תּוּרְמְלִין הֵן. הַמְקַבְּלִים כַּשִּׁעוּר, טְמֵאִין מִדְרָס. וְשֶׁאֵינָן מְקַבְּלִין כַּשִּׁעוּר, טְמֵאִים טְמֵא מֵת. וְשֶׁל עוֹר הַדָּג, טָהוֹר מִכְּלוּם: ", + "שְׁלֹשָׁה עוֹרוֹת הֵן. הֶעָשׂוּי לְשָׁטִיחַ, טָמֵא מִדְרָס. לְתַכְרִיךְ הַכֵּלִים, טָמֵא טְמֵא מֵת. וְשֶׁל רְצוּעוֹת וְשֶׁל סַנְדָּלִים, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שְׁלֹשָׁה סְדִינִין הֵן. הֶעָשׂוּי לִשְׁכִיבָה, טָמֵא מִדְרָס. לְוִילוֹן, טָמֵא טְמֵא מֵת. וְשֶׁל צוּרוֹת, טָהוֹר מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ מִטְפָּחוֹת הֵן. שֶׁל יָדַיִם, טָמֵא מִדְרָס. שֶׁל סְפָרִין, טְמֵאָה טְמֵא מֵת, וְשֶׁל תַּכְרִיךְ וְשֶׁל נִבְלֵי בְנֵי לֵוִי, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שְׁלֹשָׁה פְרָקִילִינִין הֵן. שֶׁל צָדֵי חַיָּה וָעוֹף, טָמֵא מִדְרָס. שֶׁל חֲגָבִין, טָמֵא טְמֵא מֵת. וְשֶׁל קַיָּצִין, טָהוֹר מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ סְבָכוֹת הֵן. שֶׁל יַלְדָּה, טְמֵאָה טֻמְאַת מִדְרָס. שֶׁל זְקֵנָה, טְמֵאָה טְמֵא מֵת. וְשֶׁל יוֹצֵאת לַחוּץ, טְהוֹרָה מִכְּלוּם: ", + "שָׁלֹשׁ קֻפּוֹת הֵן. מְהוּהָה שֶׁטְּלָיָהּ עַל הַבְּרִיָּה, הוֹלְכִין אַחַר הַבְּרִיָּה. קְטַנָּה עַל הַגְּדוֹלָה, הוֹלְכִין אַחַר הַגְּדוֹלָה. הָיוּ שָׁווֹת, הוֹלְכִין אַחַר הַפְּנִימִית. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, כַּף מֹאזְנַיִם שֶׁטְּלָיָהּ עַל שׁוּלֵי הַמֵּחַם, מִבִּפְנִים, טָמֵא. מִבַּחוּץ, טָהוֹר. טְלָיָהּ עַל צִדָּהּ, בֵּין מִבִּפְנִים בֵּין מִבַּחוּץ, טָהוֹר: " + ], + [ + "כָּל הַכֵּלִים יֵשׁ לָהֶם אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, כְּגוֹן הַכָּרִים וְהַכְּסָתוֹת וְהַשַּׂקִּין וְהַמַּרְצוּפִין, דִּבְרֵי רַבִּי יְהוּדָה. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, כֹּל שֶׁיֶּשׁ לוֹ תוֹבְרוֹת, יֶשׁ לוֹ אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ. וְכֹל שֶׁאֵין לוֹ תוֹבְרוֹת, אֵין לוֹ אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ. הַשֻּׁלְחָן וְהַדְּלֻפְקִי, יֵשׁ לָהֶם אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, דִּבְרֵי רַבִּי יְהוּדָה. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, אֵין לָהֶם אֲחוֹרָיִם. וְכֵן טַבְלָא שֶׁאֵין לָהּ לִזְבֵּז: \n", + "הַמַּרְדֵּעַ יֶשׁ לוֹ אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, מִשִּׁבְעָה לַחַרְחוּר, מֵאַרְבָּעָה לַדָּרְבָן, דִּבְרֵי רַבִּי יְהוּדָה. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, אֵין לָהֶם, לֹא הֻזְכְּרוּ אַרְבָּעָה וְשִׁבְעָה אֶלָּא לַשְּׁיָרִים: \n", + "מִדּוֹת יַיִן וָשֶׁמֶן, וְזוֹמָא לִסְטְרָא, וּמְסַנֶּנֶת שֶׁל חַרְדָּל, וּמְשַׁמֶּרֶת שֶׁל יַיִן, יֶשׁ לָהֶן אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אֵין לָהֶם. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, יֶשׁ לָהֶם. נִטְמְאוּ מֵאֲחוֹרֵיהֶן, מַה שֶּׁבְּתוֹכָן טָהוֹר, וְצָרִיךְ לְהַטְבִּיל: \n", + "הָרֹבַע וַחֲצִי הָרֹבַע, נִטְמָא הָרֹבַע, לֹא נִטְמָא חֲצִי הָרֹבַע. נִטְמָא חֲצִי הָרֹבַע, לֹא נִטְמָא הָרֹבַע. אָמְרוּ לִפְנֵי רַבִּי עֲקִיבָא, הוֹאִיל וַחֲצִי הָרֹבַע אֲחוֹרַיִם לָרֹבַע, כְּלִי שֶׁנִּטְמָא תוֹכוֹ לֹא נִטְמְאוּ אֲחוֹרָיו. אָמַר לָהֶן, שֶׁל כַּת קוֹדְמִין הִיא, אוֹ שֶׁמָּא הָרֹבַע אֲחוֹרַיִם לַחֲצִי הָרֹבַע, כְּלִי שֶׁנִּטְמְאוּ אֲחוֹרָיו, לֹא נִטְמָא תוֹכוֹ: \n", + "נִטְמָא הָרֹבַע, הָרֹבַע וַאֲחוֹרָיו טְמֵאִין, חֲצִי הָרֹבַע וַאֲחוֹרָיו טְהוֹרִין. נִטְמָא חֲצִי הָרֹבַע, חֲצִי הָרֹבַע וַאֲחוֹרָיו טְמֵאִין, הָרֹבַע וַאֲחוֹרָיו טְהוֹרִין. נִטְמְאוּ אֲחוֹרֵי הָרֹבַע, אֲחוֹרֵי חֲצִי הָרֹבַע טְהוֹרִין, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין חוֹלְקִין אֶת הַגַּבָּיִין. וּכְשֶׁהוּא מַטְבִּיל, מַטְבִּיל אֶת כֻּלּוֹ: \n", + "כַּנֵּי כֵלִים, וְאֹגְנֵיהֶם, וְאָזְנֵיהֶם, וִידוֹת הַכֵּלִים הַמְקַבְּלִים, שֶׁנָּפְלוּ עֲלֵיהֶן מַשְׁקִין, מְנַגְּבָן וְהֵם טְהוֹרִים. וּשְׁאָר כָּל הַכֵּלִים (שֶׁאֵינָם יְכוֹלִין לְקַבֵּל רִמּוֹנִים), שֶׁאֵין לָהֶם אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, שֶׁנָּפְלוּ מַשְׁקִין עַל מִקְצָתוֹ, כֻּלּוֹ טָמֵא. כְּלִי שֶׁנִּטְמְאוּ אֲחוֹרָיו בְּמַשְׁקִין, אֲחוֹרָיו טְמֵאִים, תּוֹכוֹ וְאֹגְנוֹ וְאָזְנוֹ וְיָדָיו טְהוֹרִין. נִטְמָא תוֹכוֹ, כֻּלּוֹ טָמֵא: \n", + "כָּל הַכֵּלִים יֶשׁ לָהֶן אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, וְיֶשׁ לָהֶם בֵּית צְבִיעָה. רַבִּי טַרְפוֹן אוֹמֵר, לַעֲרֵבָה גְדוֹלָה שֶׁל עֵץ. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, לְכוֹסוֹת. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, לְיָדַיִם הַטְּמֵאוֹת וְהַטְּהוֹרוֹת. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, לֹא אָמְרוּ אֶלָּא לְיָדַיִם הַטְּהוֹרוֹת בִּלְבָד: \n", + "כֵּיצַד. הָיוּ יָדָיו טְהוֹרוֹת וַאֲחוֹרֵי הַכּוֹס טְמֵאִים, אֲחָזוֹ בְּבֵית צְבִיעָתוֹ, אֵינוֹ חוֹשֵׁשׁ שֶׁמָּא נִטְמְאוּ יָדָיו בַּאֲחוֹרֵי הַכּוֹס. הָיָה שׁוֹתֶה בְכוֹס שֶׁאֲחוֹרָיו טְמֵאִים, אֵינוֹ חוֹשֵׁשׁ שֶׁמָּא נִטְמָא הַמַּשְׁקֶה שֶׁבְּפִיו בַּאֲחוֹרֵי הַכּוֹס וְחָזַר וְטִמֵּא הַכּוֹס. קֻמְקוּם שֶׁהוּא מַרְתִּיחַ, אֵינוֹ חוֹשֵׁשׁ שֶׁמָּא יָצְאוּ מַשְׁקִין מִתּוֹכוֹ וְנָגְעוּ בַאֲחוֹרָיו וְחָזְרוּ לְתוֹכוֹ: \n", + "כְּלֵי הַקֹּדֶשׁ אֵין לָהֶם אֲחוֹרַיִם וָתוֹךְ, וְאֵין לָהֶם בֵּית צְבִיעָה. וְאֵין מַטְבִּילִים כֵּלִים בְתוֹךְ כֵּלִים לְקֹדֶשׁ. כָּל הַכֵּלִים יוֹרְדִין לִידֵי טֻמְאָתָן בְּמַחֲשָׁבָה, וְאֵינָן עוֹלִים מִידֵי טֻמְאָתָן אֶלָּא בְשִׁנּוּי מַעֲשֶׂה, שֶׁהַמַּעֲשֶׂה מְבַטֵּל מִיַּד הַמַּעֲשֶׂה וּמִיַּד מַחֲשָׁבָה, וּמַחֲשָׁבָה אֵינָהּ מְבַטֶּלֶת לֹא מִיַּד מַעֲשֶׂה וְלֹא מִיַּד מַחֲשָׁבָה: \n" + ], + [ + "סַנְדָּל עִמְקִי, וְכִיס שֶׁל שְׁנָצוֹת, רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַף כְּפִיפָה מִצְרִית, רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, אַף סַנְדָּל לָדִיקִי כַּיּוֹצֵא בָהֶן, הֲרֵי אֵלּוּ מִטַּמְּאִין וּמִטַּהֲרִין שֶׁלֹּא בְאֻמָּן. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, וַהֲלֹא כָל הַכֵּלִים מִטַּמְּאִין וּמִטַּהֲרִין שֶׁלֹּא בְאֻמָּן. אֲבָל אֵלּוּ, אַף עַל פִּי שֶׁהֵן מֻתָּרִין, טְמֵאִין, שֶׁהַהֶדְיוֹט יָכוֹל לְהַחֲזִירָם. לֹא אָמְרוּ אֶלָּא בִכְפִיפָה מִצְרִית, שֶׁאַף הָאֻמָּן אֵינוֹ יָכוֹל לְהַחֲזִירָהּ: \n", + "כִּיס שֶׁל שְׁנָצוֹת שֶׁנִּטְּלוּ שְׁנָצָיו, טָמֵא. נִפְשַׁט, טָהוֹר. טָלָה עָלָיו אֶת הַמַּטְלֵת מִלְּמַטָּן, טָמֵא. כִּיס לְתוֹךְ כִּיס, שֶׁנִּטְמָא אַחַד מֵהֶן בְּמַשְׁקֶה, לֹא נִטְמָא חֲבֵרוֹ. צְרוֹר הַמַּרְגָּלִית, טָמֵא. צְרוֹר הַמָּעוֹת, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִים: \n", + "כַּף לוֹקְטֵי קוֹצִים, טְהוֹרָה. הַזּוֹן וְהַבִּרְכְּיָר, טְמֵאִין. וְהַשַּׁרְווּלִים, טְמֵאִין. וְהַפְּרַקְלִימִין, טְהוֹרִין. וְכָל בֵּית אֶצְבָּעוֹת, טְהוֹרוֹת, חוּץ מִשֶּׁל קַיָּצִין, מִפְּנֵי שֶׁהִיא מְקַבֶּלֶת אֶת הָאוֹג. נִקְרְעָה, אִם אֵינָהּ מְקַבֶּלֶת אֶת רֹב הָאוֹג, טְהוֹרָה: \n", + "סַנְדָּל שֶׁנִּפְסְקָה אַחַת מֵאָזְנָיו וְתִקְּנָהּ, טָמֵא מִדְרָס. נִפְסְקָה שְׁנִיָּה וְתִקְּנָהּ, טָהוֹר מִן הַמִּדְרָס אֲבָל טָמֵא מַגַּע מִדְרָס. לֹא הִסְפִּיק לְתַקֵּן אֶת הָרִאשׁוֹנָה עַד שֶׁנִּפְסְקָה שְׁנִיָּה, טְהוֹרָה. נִפְסַק עֲקֵבוֹ, נִטַּל חוֹטְמוֹ, אוֹ שֶׁנֶּחֱלַק לִשְׁנַיִם, טָהוֹר. סוֹלְיָם שֶׁנִּפְסַק מִכָּל מָקוֹם, טָהוֹר. מִנְעָל שֶׁנִּפְחַת, אִם אֵינוֹ מְקַבֵּל אֶת רֹב הָרֶגֶל, טָהוֹר. מִנְעָל שֶׁעַל הָאֵמוּם, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִים. כָּל חֲמָתוֹת צְרוּרוֹת, טְהוֹרוֹת, חוּץ מִשֶּׁל עַרְבִיִּין. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, צְרוֹר שָׁעָה, טְהוֹרוֹת. צְרוֹר עוֹלָם, טְמֵאוֹת. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, כָּל חֲמָתוֹת צְרוּרוֹת, טְהוֹרוֹת: \n", + "אֵלּוּ עוֹרוֹת טְמֵאִין מִדְרָס, עוֹר שֶׁחִשַּׁב עָלָיו לְשָׁטִיחַ, עוֹר סְקֹרְטְיָא, עוֹר קָטָבֹלְיָא, עוֹר הַחַמָּר, עוֹר הַכַּתָּן, עוֹר הַכַּתָּף, עוֹר הָרוֹפֵא, עוֹר הָעֲרִיסָה, עוֹר הַלֵּב שֶׁל קָטָן, עוֹר הַכַּר, עוֹר הַכֶּסֶת, מִדְרָס. עוֹר הַסָּרוֹק, עוֹר הַסּוֹרֵק, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, מִדְרָס. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, טְמֵא מֵת: \n", + "עַב כְּסוּת, וְתַכְרִיךְ כְּסוּת, מִדְרָס. עַב אַרְגָּמָן, וְתַכְרִיךְ אַרְגָּמָן, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, מִדְרָס. וּבֵית הִלֵּל אוֹמְרִים, טְמֵא מֵת. עוֹר שֶׁעֲשָׂאוֹ חִפּוּי לִכְלִי, טָהוֹר. לְמִשְׁקָלוֹת, טָמֵא. רַבִּי יוֹסֵי מְטַהֵר מִשּׁוּם אָבִיו: \n", + "כָּל מָקוֹם שֶׁאֵין חֶסְרוֹן מְלָאכָה, מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן. וְכָל מָקוֹם שֶׁיֶּשׁ חֶסְרוֹן מְלָאכָה, אֵין מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן, אֶלָּא הָעֻצְבָּה: \n", + "עוֹרוֹת בַּעַל הַבַּיִת, מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן. וְשֶׁל עַבְּדָן, אֵין מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן. וְשֶׁל גַּנָּב, מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן. וְשֶׁל גַּזְלָן, אֵין מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, חִלּוּף הַדְּבָרִים, שֶׁל גַּזְלָן, מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן. וְשֶׁל גַּנָּב, אֵין מַחֲשָׁבָה מְטַמֵּאתָן, מִפְּנֵי שֶׁלֹּא נִתְיָאֲשׁוּ הַבְּעָלִים: \n", + "עוֹר שֶׁהוּא טָמֵא מִדְרָס, וְחִשַּׁב עָלָיו לִרְצוּעוֹת וּלְסַנְדָּלִין, כֵּיוָן שֶׁנָּתַן בּוֹ אֶת הָאִזְמֵל, טָהוֹר, דִּבְרֵי רַבִּי יְהוּדָה. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, עַד שֶׁיְּמַעֲטֶנּוּ פָחוֹת מֵחֲמִשָּׁה טְפָחִים. רַבִּי אֶלְעָזָר בַּר רַבִּי צָדוֹק אוֹמֵר, אַף הָעוֹשֶׂה מִטְפַּחַת מִן הָעוֹר, טְמֵאָה. וּמִן הַכֶּסֶת, טְהוֹרָה: \n" + ], + [ + "הַבֶּגֶד מִטַּמֵּא מִשּׁוּם חֲמִשָּׁה שֵׁמוֹת. הַשַּׂק, מִשּׁוּם אַרְבָּעָה. הָעוֹר, מִשּׁוּם שְׁלֹשָׁה. הָעֵץ, מִשּׁוּם שְׁנַיִם. וּכְלִי חֶרֶס, מִשּׁוּם אֶחָד. כְּלִי חֶרֶס מִטַּמֵּא מִשּׁוּם כְּלִי קִבּוּל. כֹּל שֶׁאֵין לוֹ תוֹךְ בִּכְלֵי חֶרֶס, אֵין לוֹ אֲחוֹרָיִם. מוּסָף עָלָיו הָעֵץ, שֶׁהוּא מִטַּמֵּא מִשּׁוּם מוֹשָׁב. וְכֵן טַבְלָא שֶׁאֵין לָהּ לִזְבֵּז, בִּכְלֵי עֵץ, טְמֵאָה, וּבִכְלֵי חֶרֶס, טְהוֹרָה. מוּסָף עָלָיו הָעוֹר, שֶׁהוּא מִטַּמֵּא מִשּׁוּם אֹהָלִים. מוּסָף עָלָיו הַשַּׂק, שֶׁהוּא מִטַּמֵּא מִשּׁוּם אָרִיג. מוּסָף עָלָיו הַבֶּגֶד, שֶׁהוּא מִטַּמֵּא מִשּׁוּם שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ: \n", + "הַבֶּגֶד מִטַּמֵּא מִשּׁוּם שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה, לְמִדְרָס, וּמִשּׁוּם שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ לִטְמֵא מֵת. הַשַּׂק אַרְבָּעָה עַל אַרְבָּעָה, הָעוֹר חֲמִשָּׁה עַל חֲמִשָּׁה, מַפָּץ שִׁשָּׁה עַל שִׁשָּׁה, שָׁוִין לְמִדְרָס וְלִטְמֵא מֵת. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, הַשַּׂק שְׁיָרָיו אַרְבָּעָה, וּתְחִלָּתוֹ מִשֶּׁיִּגָּמֵר: \n", + "הָעוֹשֶׂה שְׁנַיִם מִן הַבֶּגֶד וְאֶחָד מִן הַשַּׂק, שְׁלָשְׁתָּן מִן הַשַּׂק וְאֶחָד מִן הָעוֹר, אַרְבָּעָה מִן הָעוֹר וְאֶחָד מִן הַמַּפָּץ, טָהוֹר. חֲמִשָּׁה מִן הַמַּפָּץ וְאֶחָד מִן הָעוֹר, אַרְבָּעָה מִן הָעוֹר וְאֶחָד מִן הַשַּׂק, שְׁלֹשָׁה מִן הַשַּׂק וְאֶחָד מִן הַבֶּגֶד, טָמֵא. זֶה הַכְּלָל, כֹּל שֶׁחִבֵּר לוֹ מִן הֶחָמוּר מִמֶּנּוּ, טָמֵא. מִן הַקַּל מִמֶּנּוּ, טָהוֹר: \n", + "הַמְקַצֵּעַ מִכֻּלָּם טֶפַח עַל טֶפַח, טָמֵא. מִשּׁוּלֵי הַקֻּפָּה טֶפַח עַל טֶפַח, טָמֵא. מִצְּדָדֵי הַקֻּפָּה, רַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, הַמְקַצֵּעַ טֶפַח עַל טֶפַח בְּכָל מָקוֹם, טָמֵא: \n", + "בְּלוֹיֵי נָפָה וּכְבָרָה שֶׁהִתְקִינָן לִישִׁיבָה, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין עַד שֶׁיְּקַצֵּעַ. כִּסֵּא שֶׁל קָטָן שֶׁיֶּשׁ לוֹ רַגְלַיִם, אַף עַל פִּי שֶׁאֵין בּוֹ גָבֹהַּ טֶפַח, טָמֵא. חָלוּק שֶׁל קָטָן, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, כָּל שֶׁהוּא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, עַד שֶׁיִּהְיֶה בוֹ כַשִּׁעוּר, וְנִמְדָּד כָּפוּל: \n", + "אֵלּוּ נִמְדָּדִין כְּפוּלִין. אַמְפַּלְיָא, וּפְמוֹלִינְיָא, וּמִכְנָסַיִם, וְכוֹבַע, וְכִיס שֶׁל פֻּנְדִּיָּא. וּמַטְלִית שֶׁטְּלָיָהּ עַל הַשָּׂפָה, אִם פְּשׁוּטָה, נִמְדֶּדֶת פְּשׁוּטָה, וְאִם כְּפוּלָה, נִמְדֶּדֶת כְּפוּלָה: \n", + "הַבֶּגֶד שֶׁאָרַג בּוֹ שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה, וְנִטְמָא מִדְרָס, וְהִשְׁלִים עָלָיו אֶת כָּל הַבֶּגֶד, וְאַחַר כָּךְ נָטַל חוּט אֶחָד מִתְּחִלָּתוֹ, טָהוֹר מִן הַמִּדְרָס, אֲבָל טָמֵא מַגַּע מִדְרָס. נָטַל חוּט אֶחָד מִתְּחִלָּתוֹ, וְאַחַר כָּךְ הִשְׁלִים עָלָיו אֶת כָּל הַבֶּגֶד, טָמֵא מַגַּע מִדְרָס: \n", + "וְכֵן בֶּגֶד שֶׁאָרַג בּוֹ שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ, וְנִטְמָא טְמֵא מֵת, וְהִשְׁלִים עָלָיו אֶת כָּל הַבֶּגֶד, וְאַחַר כָּךְ נָטַל חוּט אֶחָד מִתְּחִלָּתוֹ, טָהוֹר מִטְּמֵא מֵת, אֲבָל טָמֵא מַגַּע טְמֵא מֵת. נָטַל חוּט אֶחָד מִתְּחִלָּתוֹ, וְאַחַר כָּךְ הִשְׁלִים עָלָיו אֶת כָּל הַבֶּגֶד, טָהוֹר, מִפְּנֵי שֶׁאָמְרוּ, שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ שֶׁנִּתְמַעֵט, טָהוֹר. אֲבָל שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה שֶׁנִּתְמַעֵט, אַף עַל פִּי שֶׁטָּהוֹר מִמִּדְרָס, טָמֵא בְכָל הַטֻּמְאוֹת: \n", + "סָדִין שֶׁהוּא טָמֵא מִדְרָס, וַעֲשָׂאוֹ וִילוֹן, טָהוֹר מִן הַמִּדְרָס, אֲבָל טָמֵא מַגַּע מִדְרָס. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, וְכִי בְאֵיזֶה מִדְרָס נָגַע זֶה. אֶלָּא אִם כֵּן נָגַע בּוֹ הַזָּב, טָמֵא בְמַגַּע הַזָּב: \n", + "שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה שֶׁנֶּחֱלַק, טָהוֹר מִן הַמִּדְרָס, אֲבָל טָמֵא מַגַּע מִדְרָס. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, וְכִי בְאֵיזֶה מִדְרָס נָגַע זֶה. אֶלָּא אִם כֵּן נָגַע בּוֹ הַזָּב, טָמֵא מַגַּע הַזָּב: \n", + "שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה, בָּאַשְׁפּוֹת, בָּרִיא וְצוֹרֵר מֶלַח. בַּבַּיִת, אוֹ בָרִיא אוֹ צוֹרֵר מֶלַח. כַּמָּה מֶלַח יְהֵא צוֹרֵר, רֹבַע. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, בְּדַקָּה. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, בְּגַסָּה. אֵלּוּ וָאֵלּוּ מִתְכַּוְּנִים לְהָקֵל. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, שָׁוִים שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה בָאַשְׁפּוֹת לְשָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ בַּבָּיִת: \n", + "שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה שֶׁנִּקְרַע, אִם נְתָנוֹ עַל הַכִּסֵּא וּבְשָׂרוֹ נוֹגֵעַ בַּכִּסֵּא, טָהוֹר, וְאִם לָאו, טָמֵא. שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ שֶׁנִּמְהָה מִמֶּנָּה חוּט אֶחָד, אוֹ שֶׁנִּמְצָא בוֹ קֶשֶׁר, אוֹ שְׁנֵי חוּטִין מַתְאִימִין, טְהוֹרָה. שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ שֶׁהִשְׁלִיכָהּ בָּאַשְׁפּוֹת, טְהוֹרָה. הֶחֱזִירָהּ, טְמֵאָה. לְעוֹלָם הַשְׁלָכָתָהּ מְטַהֲרַתָּה, וַחֲזָרָתָהּ מְטַמֵּאתָהּ, חוּץ מִשֶּׁל אַרְגָּמָן וְשֶׁל זְהוֹרִית טוֹבָה. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, אַף מַטְלִית חֲדָשָׁה כַּיּוֹצֵא בָהֶן. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, כֻּלָּן טְהוֹרִין, לֹא הֻזְכְּרוּ אֶלָּא מִפְּנֵי הֲשָׁבַת אֲבֵדָה: \n" + ], + [ + "שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ שֶׁנְּתָנָהּ בְּכַדּוּר, אוֹ שֶׁעֲשָׂאָהּ כַּדּוּר בִּפְנֵי עַצְמָהּ, טְהוֹרָה. אֲבָל שְׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה שֶׁנְּתָנוֹ בְכַדּוּר, טָמֵא. עֲשָׂאוֹ כַדּוּר בִּפְנֵי עַצְמוֹ, טָהוֹר, מִפְּנֵי שֶׁהַתֶּפֶר מְמַעֲטוֹ: \n", + "פָּחוֹת מִשְּׁלֹשָׁה עַל שְׁלֹשָׁה שֶׁהִתְקִינוֹ לָפוֹק בּוֹ אֶת הַמֶּרְחָץ, לְנַעֵר בּוֹ אֶת הַקְּדֵרָה, לְקַנֵּחַ בּוֹ אֶת הָרֵחַיִם, בֵּין מוּכָן בֵּין שֶׁאֵינוֹ מוּכָן, טָמֵא, דִּבְרֵי רַבִּי אֱלִיעֶזֶר. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, בֵּין מִן הַמּוּכָן, בֵּין שֶׁאֵינוֹ מִן הַמּוּכָן, טָהוֹר. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, מִן הַמּוּכָן, טָמֵא. שֶׁאֵינוֹ מִן הַמּוּכָן, טָהוֹר: \n", + "הָעוֹשֶׂה אִסְפְּלָנִית, בֵּין בְּבֶגֶד בֵּין בְּעוֹר, טְהוֹרָה. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, עַל הָעוֹר, טָהוֹר. מְלוּגְמָא, בְּבֶגֶד, טְהוֹרָה, וּבְעוֹר, טְמֵאָה. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, אַף בְּבֶגֶד, טְמֵאָה, מִפְּנֵי שֶׁהִיא נִנְעָרֶת: \n", + "מִטְפְּחוֹת סְפָרִים, בֵּין מְצֻיָּרוֹת בֵּין שֶׁאֵינָן מְצֻיָּרוֹת, טְמֵאוֹת, כְּדִבְרֵי בֵית שַׁמַּאי. בֵּית הִלֵּל אוֹמְרִים, מְצֻיָּרוֹת, טְהוֹרוֹת, וְשֶׁאֵינָם מְצֻיָּרוֹת, טְמֵאוֹת. רַבָּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, אֵלּוּ וָאֵלּוּ טְהוֹרוֹת: \n", + "כִּפָּה שֶׁהוּא טָמֵא מִדְרָס, וּנְתָנוֹ עַל הַסֵּפֶר, טָהוֹר מִן הַמִּדְרָס, אֲבָל טָמֵא טְמֵא מֵת. חֵמֶת שֶׁעֲשָׂאָהּ שָׁטִיחַ, וְשָׁטִיחַ שֶׁעֲשָׂאוֹ חֵמֶת, טָהוֹר. חֵמֶת שֶׁעֲשָׂאָהּ תּוּרְמֵל וְתוּרְמֵל שֶׁעֲשָׂאוֹ חֵמֶת, כַּר שֶׁעֲשָׂאוֹ סָדִין וְסָדִין שֶׁעֲשָׂאוֹ כַּר, כֶּסֶת שֶׁעֲשָׂאָהּ מִטְפַּחַת וּמִטְפַּחַת שֶׁעֲשָׂאָהּ כֶּסֶת, טָמֵא. זֶה הַכְּלָל, כֹּל שֶׁשִּׁנָּהוּ לִשְׁמוֹ, טָמֵא. לְשֵׁם אַחֵר, טָהוֹר: \n", + "מַטְלִית שֶׁטְּלָיָהּ עַל הַקֻּפָּה, מְטַמְּאָה אֶחָד וּפוֹסֶלֶת אֶחָד. הִפְרִישָׁהּ מִן הַקֻּפָּה, הַקֻּפָּה מְטַמָּא אֶחָד וּפוֹסֶלֶת אֶחָד, וְהַמַּטְלִית טְהוֹרָה. טְלָיָהּ עַל הַבֶּגֶד, מְטַמָּא שְׁנַיִם וּפוֹסֶלֶת אֶחָד. הִפְרִישָׁהּ מִן הַבֶּגֶד, הַבֶּגֶד מְטַמֵּא אֶחָד וּפוֹסֵל אֶחָד, וְהַמַּטְלִית מְטַמְּאָה שְׁנַיִם וּפוֹסֶלֶת אֶחָד. וְכֵן הַטּוֹלֶה עַל הַשַּׂק אוֹ עַל הָעוֹר, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי שִׁמְעוֹן מְטַהֵר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, עַל הָעוֹר, טָהוֹר. עַל הַשַּׂק, טָמֵא, מִפְּנֵי שֶׁהוּא אָרִיג: \n", + "שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ שֶׁאָמְרוּ, חוּץ מִן הַמְּלָל, דִּבְרֵי רַבִּי שִׁמְעוֹן. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ מְכֻוָּנֶת. טְלָיָהּ עַל הַבֶּגֶד, מֵרוּחַ אַחַת, אֵינוֹ חִבּוּר. מִשְּׁתֵּי רוּחוֹת זוֹ כְנֶגֶד זוֹ, חִבּוּר. עֲשָׂאוֹ כְמִין גַּאם, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. אָמַר רַבִּי יְהוּדָה, בַּמֶּה דְבָרִים אֲמוּרִים, בְּטַלִּית. אֲבָל בְּחָלוּק, מִלְמַעְלָן, חִבּוּר. וּמִלְּמַטָּן, אֵינוֹ חִבּוּר: \n", + "בִּגְדֵי עֲנִיִּים, אַף עַל פִּי שֶׁאֵין בָּהֶם שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ, הֲרֵי אֵלּוּ טְמֵאִין מִדְרָס. טַלִּית שֶׁהִתְחִיל בָּהּ לְקָרְעָהּ, כֵּיוָן שֶׁנִּקְרַע רֻבָּהּ, אֵינוֹ חִבּוּר. הֶעָבִים וְהָרַכִּים, אֵין בָּהֶם מִשּׁוּם שָׁלֹשׁ עַל שָׁלֹשׁ: \n", + "כֶּסֶת הַסַּבָּלִין, טְמֵאָה מִדְרָס. מְשַׁמֶּרֶת שֶׁל יַיִן, אֵין בָּהּ מִשּׁוּם מוֹשָׁב. סְבָכָה שֶׁל זְקֵנָה, טְמֵאָה מִשּׁוּם מוֹשָׁב. חָלוּק שֶׁל יוֹצֵאת הַחוּץ הֶעָשׂוּי כִּסְבָכָה, טָהוֹר. הָעוֹשֶׂה בֶגֶד מִן הַחֵרֶם, טָהוֹר. וּמִזּוּטוֹ, טָמֵא. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר בֶּן יַעֲקֹב אוֹמֵר, אַף הָעוֹשֶׂה בֶגֶד מִן הַחֵרֶם וּכְפָלוֹ, טָמֵא: \n", + "סְבָכָה שֶׁהִתְחִיל בָּהּ מִפִּיהָ, טְהוֹרָה, עַד שֶׁיִּגְמֹר אֶת קוּרְקוּרְתָּהּ. הִתְחִיל בָּהּ מִקּוּרְקוּרְתָּהּ, טְהוֹרָה, עַד שֶׁיִּגְמֹר אֶת פִּיהָ. שָׁבִיס שֶׁלָּהּ, טָמֵא בִפְנֵי עַצְמוֹ. הַחוּטִין שֶׁלָּהּ, טְמֵאִין מִשּׁוּם חִבּוּר. סְבָכָה שֶׁנִּקְרְעָה, אִם אֵינָהּ מְקַבֶּלֶת אֶת רֹב הַשֵּׂעָר, טְהוֹרָה: \n" + ], + [ + "נוֹמֵי הַסָּדִין וְהַסּוּדָרִין וְהַטַּרְטִין וְהַפִּלְיוֹן שֶׁל רֹאשׁ, שֵׁשׁ אֶצְבָּעוֹת. שֶׁל אַפְקַרְסִין, עֶשֶׂר. נִימֵי סָגוֹס, וְהָרְדִיד, וְהֶחָלוּק, וְהַטַּלִּית, שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת. נִימֵי כִפָּה שֶׁל זְקֵנָה, וְהַגּוּמְדִין שֶׁל עַרְבִיִּין, וְהַקֻּלְקִין, וְהַפֻּנְדָּא, וְהַמַּעֲפֹרֶת, וְהַפַּרְגּוֹד, נִימֵיהֶן כָּל שֶׁהֵן: \n", + "שָׁלֹשׁ כְּסָתוֹת שֶׁל צֶמֶר, שֵׁשׁ שֶׁל פִּשְׁתָּן, שְׁלֹשָׁה סְדִינִין, שְׁתֵּים עֶשְׂרֵה מִטְפָּחוֹת, שְׁנֵי סוּבְרִיקִין, חָלוּק אֶחָד, טַלִּית אֶחָד, קְלֻבְקָרִין אֶחָד, חִבּוּר לַטֻּמְאָה וְלַהֲזָּיָה. יָתֵר מִכָּאן, חִבּוּר לַטֻּמְאָה, וְאֵין חִבּוּר לַהַזָּיָה. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אַף לֹא לַטֻּמְאָה: \n", + "חוּט הַמִּשְׁקֹלֶת, שְׁנֵים עָשָׂר. שֶׁל חָרָשִׁין, שְׁמֹנָה עָשָׂר. שֶׁל בַּנָּיִן, חֲמִשִּׁים אַמָּה. יָתֵר מִכָּאן, אִם רָצָה לְקַיֵּם, טָהוֹר. שֶׁל סַיָּדִין וְשֶׁל צַיָּרִין, כָּל שֶׁהֵן: \n", + "חוּט מֹאזְנַיִם שֶׁל זֶהָבִים וְשֶׁל שׁוֹקְלֵי אַרְגָּמָן טוֹב, שָׁלֹשׁ אֶצְבָּעוֹת. יַד הַקֻּרְדֹּם מֵאַחֲרָיו, שָׁלשׁ אֶצְבָּעוֹת. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, טֶפַח, טָהוֹר: \n", + "חוּט מֹאזְנַיִם שֶׁל חֶנְוָנִים, שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים טֶפַח. יַד הַקֻּרְדֹּם מִלְּפָנָיו, טֶפַח. שְׁיָרֵי יַד הַפַּרְגּוֹל, טֶפַח. יַד מַקֶּבֶת שֶׁל יָד שֶׁל מְפַתְּחֵי אֲבָנִים, טָפַח: \n", + "חוּט מֹאזְנַיִם שֶׁל צַמָּרִים, וְשֶׁל שׁוֹקְלֵי זְכוּכִית, טְפָחַיִם. יַד הַמַּקּוֹר, טְפָחַיִם. יַד הַמַּעֲצָד שֶׁל לִגְיוֹנוֹת, טְפָחַיִם. יַד הַקֻּרְנָס שֶׁל זֶהָבִים, טְפָחַיִם. וְשֶׁל חָרָשִׁין, שְׁלֹשָׁה טְפָחִים: \n", + "שְׁיָרֵי הַדָּרְבָן מִלְמַעְלָן, אַרְבָּעָה. יַד הַבָּדִיד, אַרְבָּעָה. יַד הַקֻּרְדֹּם שֶׁל נִכּוּשׁ, חֲמִשָּׁה. יַד בֶּן הַפַּטִּישׁ, חֲמִשָּׁה. וְשֶׁל הַפַּטִּישׁ, שִׁשָּׁה. יַד הַקֻּרְדֹּם שֶׁל בִּקּוּעַ וְשֶׁל עָדִיר, שִׁשָּׁה. וְיַד מַקֶּבֶת שֶׁל סַתָּתִין, שִׁשָּׁה: \n", + "שְׁיָרֵי חַרְחוּר מִלְּמַטָּן, שִׁבְעָה. יַד מַגְרֵפָה שֶׁל בַּעֲלֵי בָתִּים, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, שִׁבְעָה. בֵּית הִלֵּל אוֹמְרִים, שְׁמֹנָה. שֶׁל סַיָּדִין, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, תִּשְׁעָה. בֵּית הִלֵּל אוֹמְרִים, עֲשָׂרָה. יָתֵר מִכָּאן, אִם רָצָה לְקַיֵּם, טָמֵא. וְיַד מְשַׁמְּשֵׁי הָאוּר, כָּל שֶׁהוּא: \n" + ], + [ + "כְּלֵי זְכוּכִית, פְּשׁוּטֵיהֶן טְהוֹרִין, וּמְקַבְּלֵיהֶן טְמֵאִים. נִשְׁבְּרוּ, טָהָרוּ. חָזַר וְעָשָׂה מֵהֶן כֵּלִים, מְקַבְּלִין טֻמְאָה מִכָּאן וּלְהַבָּא. הַטַּבְלָא וְהָאִסְקוּטְלָא שֶׁל זְכוּכִית, טְהוֹרִין. אִם יֶשׁ לָהֶן לִזְבֵּז, טְמֵאִים. שׁוּלֵי קְעָרָה וְשׁוּלֵי אִסְקוּטְלָא שֶׁל זְכוּכִית שֶׁהִתְקִינָן לְתַשְׁמִישׁ, טְהוֹרִין. קִרְטְסָן אוֹ שָׁפָן בְּשׁוּפִין, טְמֵאִין: \n", + "אַסְפַּקְלַרְיָא, טְהוֹרָה. וְתַמְחוּי שֶׁעֲשָׂאוֹ אַסְפַּקְלַרְיָא, טָמֵא. וְאִם מִתְּחִלָּה עֲשָׂאוֹ לְשֵׁם אַסְפַּקְלַרְיָא, טָהוֹר. תַּרְוָד שֶׁהוּא נוֹתְנוֹ עַל הַשֻּׁלְחָן, אִם מְקַבֵּל כָּל שֶׁהוּא, טָמֵא. וְאִם לָאו, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא, רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי מְטַהֵר: \n", + "כּוֹס שֶׁנִּפְגַּם רֻבּוֹ, טָהוֹר. נִפְגַּם בּוֹ שָׁלֹשׁ בְּרֻבּוֹ, טָהוֹר. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, אִם מְפַזֵּר הוּא אֶת רֹב הַמַּיִם, טָהוֹר. נִקַּב, וַעֲשָׂאוֹ בֵּין בְּבַעַץ בֵּין בְּזֶפֶת, טָהוֹר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, בְּבַעַץ, טָמֵא, וּבְזֶפֶת, טָהוֹר: \n", + "צְלוֹחִית קְטַנָּה שֶׁנִּטַּל פִּיהָ, טְמֵאָה. וּגְדוֹלָה שֶׁנִּטַּל פִּיהָ, טְהוֹרָה. שֶׁל פַּלְיָטוֹן שֶׁנִּטַּל פִּיהָ, טְהוֹרָה, מִפְּנֵי שֶׁהִיא סוֹרַחַת אֶת הַיָּד. לְגִינִין גְּדוֹלִים שֶׁנִּטַּל פִּיהֶן, טְמֵאִין, מִפְּנֵי שֶׁהוּא מְתַקְּנָן לִכְבָשִׁין. וְהָאֲפַרְכֵּס שֶׁל זְכוּכִית, טְהוֹרָה. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, אַשְׁרַיִךְ כֵּלִים, שֶׁנִּכְנַסְתְּ בְּטֻמְאָה, וְיָצָאת בְּטָהֳרָה: \n" + ] + ], + "versions": [ + [ + "Torat Emet 357", + "http://www.toratemetfreeware.com/index.html?downloads" + ] + ], + "heTitle": "משנה כלים", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Tahorot" + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Parah/Hebrew/Mishnah, ed. 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לאחרים במנין. וכשאתה אומר רבעי בן ארבע שנים. כיוצא בו אמרו האוכל בבית המנוגע. פרס משלש לקב. אמרו לו אמור משמנה עשרה לסאה. אמר להם כך שמעתי סתם. אמר בן עזאי אני אפרש. אם אומר אתה משלש לקב. אין בו חלה. וכשאתה אומר משמנה עשרה לסאה. מיעטתו חלתו: ", + "ר' יוסי הגלילי אומר פרים בני שתים. שנאמר (במדבר ח, ח) ופר שני בן בקר תקח לחטאת. וחכמים אומרים אף בני שלש. ר' מאיר אומר. אף בני ארבע ובני חמש כשרים. אלא שאין מביאים זקנים. מפני הכבוד: ", + "כבשים בני שנה ואילים בני שתים. וכולם מיום ליום בן שלשה עשר חדש. אינו כשר לא לאיל ולא לכבש. ר' טרפון קורהו פלגס. בן עזאי קורהו נוקד. ר' ישמעאל קורהו פרכדיגמא. הקריבו מביא עליו נסכי איל ולא עלה לו מזבחו. בן שלשה עשר חדש ויום אחד. הרי זה איל:", + "חטאות הצבור ועולותיהן. חטאת היחיד ואשם נזיר ואשם מצורע כשרין מיום שלשים והלאה. ואף ביום שלשים. ואם הקריבום ביום שמיני כשרים. נדרים ונדבות. הבכור והמעשר והפסח כשרים מיום השמיני והלאה, ואף ביום השמיני:" + ], + [ + "רבי אליעזר אומר פרת חטאת המעוברת כשרה וחכמים פוסלין. ר' אליעזר אומר אינה נלקחת מן העכו\"ם. וחכמים מכשירים. ולא זו בלבד אלא כל קרבנות הצבור והיחיד. באין מהארץ ומחוצה לארץ. מן החדש ומן הישן. חוץ מן העומר ושתי הלחם שאינן באין אלא מן החדש ומן הארץ: ", + "פרה שקרניה וטלפיה שחורים. יגוד. גלגל העין והשינים והלשון אינם פוסלים בפרה והננסת כשרה. היתה בה יבלת וחתכה רבי יהודה פוסל. ר' שמעון אומר כל מקום שניטל ולא העלה מקומו שער אדום פסולה: ", + "יוצא דופן ואתנן ומחיר פסולה. רבי אליעזר מכשיר. שנאמר (דברים כג, יט) לא תביא אתנן זונה ומחיר כלב בית ה' אלהיך. ואין זו באה לבית. כל המומים הפוסלים במוקדשים פוסלים בפרה. רכב עליה נשען עליה נתלה בזנבה עבר בה את הנהר קיפל עליה את המוסרה. נתן טליתו עליה פסולה. אבל קשרה במוסרה. עשה לה סנדל בשביל שלא תחליק. פרס טליתו עליה מפני הזבובים כשרה. זה הכלל כל שהוא לצורכה כשרה. לצורך אחר פסולה: ", + "שכן עליה עוף כשרה. עלה עליה זכר פסולה. רבי יהודה אומר אם העלהו פסולה. ואם מעצמו כשרה: ", + "היו בה שתי שערות שחורות. או לבנות. בתוך גומא אחת. פסולה. רבי יהודה אומר אפילו בתוך כוס אחד. היו בתוך שני כוסות. והן מוכיחות זו את זו פסולה. ר' עקיבא אומר. אפילו ארבע אפילו חמש. והן מפוזרות. יתלוש. רבי אליעזר אומר אפילו חמשים. רבי יהושע בן בתירא אומר. אפילו אחת בראשה ואחת בזנבה. פסולה. היו בה שתי שערות. עיקרן משחיר. וראשן מאדים. עיקרן מאדים, וראשן משחיר. הכל הולך אחר הנראה. דברי רבי מאיר. וחכמים אומרים. אחר העיקר: " + ], + [ + "שבעת ימים קודם לשרפת הפרה. מפרישין כהן השורף את הפרה. מביתו ללשכה שעל פני הבירה צפונה מזרחה. ובית אבן היתה נקראת. ומזין עליו כל שבעת הימים מכל חטאות שהיו שם. ר' יוסי אומר לא היו מזין עליו אלא בשלישי ובשביעי בלבד. ר' חנינא סגן הכהנים אומר על הכהן השורף את הפרה מזין כל שבעת הימים ועל של יום הכפורים לא היו מזין עליו אלא בשלישי ובשביעי בלבד: ", + "חצרות היו בירושלים בנויות על גבי סלע ותחתיהם חלול מפני קבר התהום ומביאים נשים עוברות ויולדות שם ומגדלות שם את בניהן ומביאים שוורים ועל גביהן דלתות ותנוקות יושבין על גביהן וכוסות של אבן בידם. הגיעו לשלוח. ירדו ומלאום ועלו וישבו על גביהן. ר' יוסי אומר ממקומו היה משלשל וממלא: ", + "באו להר הבית וירדו. הר הבית והעזרות תחתיהם חלול מפני קבר התהום. ובפתח העזרה היה מתוקן קלל של חטאת. ומביאין זכר של רחלים. וקושרים חבל בין קרניו. וקושרים מקל ומסבך בראשו של חבל וזורקו לתוך הקלל ומכה את הזכר ונרתע לאחוריו. ונוטל ומקדש כדי שיראה על פני המים. רבי יוסי אומר אל תתנו מקום לצדוקים לרדות אלא הוא נוטל ומקדש: ", + "לא היו עושין לא חטאת על גבי חטאת ולא תינוק על גבי חברו וצריכין היו התנוקות להזות דברי רבי יוסי הגלילי. רבי עקיבא אומר לא היו צריכין להזות: ", + "לא מצאו משבע עושין משש. מחמש. מארבע. משלש. משנים. ומאחת. ומי עשאם. הראשונה עשה משה. והשניה עשה עזרא. וחמש מעזרא ואילך. דברי רבי מאיר. וחכמים אומרים שבע מעזרא ואילך. ומי עשאן שמעון הצדיק ויוחנן כהן גדול עשו שתים שתים אליהו עיני בן הקוף וחנמאל המצרי וישמעאל בן פיאני עשו אחת אחת: ", + "וכבש היו עושים מהר הבית להר המשחה. כיפין על גבי כיפין. וכיפה כנגד האוטם מפני קבר התהום. שבו כהן השורף את הפרה ופרה וכל מסעדיה יוצאין להר המשחה: ", + "לא היתה פרה רוצה לצאת אין מוציאין עמה שחורה. שלא יאמרו שחורה שחטו. ולא אדומה. שלא יאמרו שתים שחטו. רבי יוסי אומר לא משום זה. אלא משום שנאמר והוציא אותה לבדה. וזקני ישראל היו מקדימים ברגליהם להר המשחה. ובית טבילה היה שם. ומטמאים היו את הכהן השורף את הפרה מפני הצדוקים שלא יהיו אומרים במעורבי שמש היתה נעשית: ", + "סמכו ידיהם עליו ואומרים לו אישי כהן גדול טבול אחת. ירד וטבל ועלה ונסתפג. ועצים היו מסודרים שם עצי ארזים וארנים וברושים ועצי תאנה חלקה ועושין אותה כמין מגדל ומפתחין בה חלונות וחזיתה מערבה: ", + "כפתוה בחבל של מגג ונתנוה על גב המערכה ראשה בדרום ופניה למערב. הכהן עומד במזרח ופניו למערב. שחט בימינו וקבל בשמאלו. רבי יהודה אומר בימינו היה מקבל ונותן לשמאלו ומזה בימינו טבל והזה שבע פעמים כנגד בית קדש הקדשים על כל הזיה טבילה. גמר מלהזות קינח את ידו בגופה של פרה. ירד והצית את האש באליתות. ר' עקיבא אומר בחריות: ", + "נבקעה ועמד חוץ מגתה. נטל עץ ארז ואזוב ושני תולעת. אמר להן עץ ארז זה עץ ארז זה. אזוב זה אזוב זה. שני תולעת זה. שני תולעת זה. שלש פעמים על כל דבר ודבר. והם אומרים לו הין והין שלש פעמים על כל דבר ודבר: ", + "כרכן בשירי הלשון והשליך לתוך שרפתה. נשרפה. חובטין אותה במקלות. וכוברין אותה בכברות. ר' ישמעאל אומר במקבות של אבן. ובכברות של אבן היתה נעשית. שחור שיש בו אפר כותשין אותו ושאין בו מניחין אותו. העצם בין כך ובין כך היה נכתש. וחולקים אותו לשלש חלקים. אחד ניתן בחיל. ואחד ניתן בהר המשחה. ואחד היה מתחלק לכל המשמרות: " + ], + [ + "פרת חטאת. ששחטה שלא לשמה קבל והזה שלא לשמה או לשמה ושלא לשמה או שלא לשמה ולשמה פסול ר' אליעזר מכשיר. ושלא רחוץ ידים ורגלים פסולה. ר' אליעזר מכשיר ושלא בכהן גדול פסולה. ר' יהודה מכשיר ומחוסר בגדים פסולה. ובכלי לבן היתה נעשית: ", + "שרפה חוץ מגתה. או בשתי גתות או ששרף שתים בגת אחת פסולה הזה ולא כיון כנגד הפתח פסולה. הזה מששית שביעית. חזר והזה שביעית. פסולה. משביעית שמינית וחזר והזה שמינית כשרה: ", + "שרפה שלא בעצים או בכל עצים אפילו בקש או בגבבה כשרה. הפשיטה ונתחה. כשרה. שחטה על מנת לאכול מבשרה ולשתות מדמה. כשרה. ר' אליעזר אומר אין מחשבה פוסלת בפרה: ", + "כל העסוקין בפרה. מתחלה ועד סוף מטמאין בגדים. ופוסלים אותה במלאכה. אירע בה פסול בשחיטתה. אינה מטמאה בגדים. אירע בה בהזייתה כל העוסק בה לפני פסולה מטמאה בגדים לאחר פסולה אינה מטמאה בגדים. נמצאה חומרה קולה לעולם מועלין בה ומרבין לה עצים. ומעשיה ביום. ובכהן. המלאכה פוסלת בה עד שתעשה אפר. והמלאכה פוסלת במים. עד שיטילו את האפר: " + ], + [ + "המביא כלי חרס לחטאת טובל ולן על הכבשן. ר' יהודה אומר אף מן הבית הוא מביא וכשר שהכל נאמנים על החטאת. ובתרומה פותח את הכבשן ונוטל. ר' שמעון אומר מן הסדר השני. ר' יוסי אומר מן הסדר השלישי: ", + "המטביל כלי לחטאת במים שאינם ראוים לקדש צריך לנגב. במים שהם ראוים לקדש אינו צריך לנגב. אם להוסיף לתוכו מים מקודשין. בין כך ובין כך צריך לנגב: ", + "קרויה. שהטבילוה במים שאין ראוין לקדש. מקדשין בה עד שתטמא. נטמאה אין מקדשין בה. רבי יהושע אומר אם מקדש הוא בה בתחלה. אף בסוף יקדש בה. אם אינו מקדש בה בסוף. אף לא בתחלה. בין כך ובין כך. לא יוסיף לתוכה מים מקודשים: ", + "שפופרת שחתכה לחטאת. רבי אליעזר אומר יטביל מיד. רבי יהושע אומר יטמא ויטביל הכל כשרים לקדש. חוץ מחרש שוטה וקטן. ר' יהודה מכשיר בקטן. ופוסל באשה ובאנדרוגינוס: ", + "בכל הכלים מקדשים אפילו בכלי גללים. בכלי אבנים. ובכלי אדמה, ובספינה מקדשין בה. אין מקדשין לא בדפנות הכלים. ולא בשולי המחץ ולא במגופת החבית ולא בחפניו מפני שאין ממלאין. ואין מקדשין ואין מזין מי חטאת אלא בכלי. אין מצילין בצמיד פתיל אלא כלים שאין מצילים מיד כלי חרס אלא כלים: ", + "ביצת היוצרים כשרה. ר' יוסי פוסל. ביצת התרנגולת. ר' מאיר ור' יהודה מכשירין וחכמים פוסלין: ", + "השוקת שבסלע. אין ממלאין בה. ואין מקדשין בה. ואין מזין ממנה. ואינה צריכה צמיד פתיל. ואינה פוסלת את המקוה. היתה כלי וחברה בסיד ממלאין בה. ומקדשין בה. ומזין ממנה. וצריכה צמיד פתיל ופוסלת את המקוה. ניקבה מלמטן ופקקה בסמרטוט. המים שבתוכה פוסלין מפני שאינן עגולים כלי. מן הצד ופקקה בסמרטוט. המים שבתוכה כשרים. מפני שהם עגולים כלי. עשו לה עטרה של טיט והלכו המים לשם פוסלין. אם היה בריא כדי שינטל עמה כשרים: ", + "שתי שקתות שבאבן אחת. קדש אחת מהם. המים שבשניה. אינן מקודשין. היו נקובות זו לזו כשפופרת הנוד. או שהיו המים צפין על גביהן אפילו כקליפת השום וקדש את אחת מהן. המים שבשניה מקודשין: ", + "שתי אבנים שהקיפן זו לזו. ועשאן שוקת. וכן שתי ערבות וכן השוקת שנחלקה. המים שביניהם אין מקודשין. עשאן בסיד או בגפסים והן יכולות להנטל כאחת המים שביניהם מקודשין: " + ], + [ + "המקדש ונפל הקדוש על ידו. או על הצד. ואחר כך נפל על השוקת פסול. נפל מן השפופרת לשוקת פסול. נטל משפופרת וכסה או שהגיף את הדלת הקדוש כשר. והמים פסולים. זקפה בארץ פסול. לתוך ידו כשר מפני שאפשר: ", + "היה קדוש צף על פני המים. ר' מאיר ור' שמעון אומרים נוטל ומקדש. וחכמים אומרים כל שנגע במים אין מקדשין בו. זלף את המים. ונמצא קדש מלמטן. רבי מאיר ורבי שמעון אומרים מנגב ומקדש. וחכמים אומרים כל שנגע במים. אין מקדשין בו: ", + "המקדש בשוקת והטפי בתוכה אף על פי שפיו צר כל שהוא. המים שבתוכו מקודשין. אם היה ספוג המים שבתוכו פסולים. כיצד יעשה יזלף עד שהוא מגיע לספוג. נגע בספוג אף על פי שהמים צפין על גביו כל שהן פסולין: ", + "נתן ידו או רגלו או עלי ירקות. כדי שיעברו המים לחבית פסולים. עלי קנים ועלי אגוז כשרים. זה הכלל דבר שהוא מקבל טומאה פסול. ודבר שאינו מקבל טומאה כשר: ", + "המפנה את המעין לתוך הגת או לתוך הגבים פסולים לזבים ולמצורעים ולקדש בהן מי חטאת מפני שלא נתמלאו בכלי: " + ], + [ + "חמשה שמלאו חמשה חביות. לקדשן חמשה קדושין ונמלכו לקדשן קדוש אחד. או לקדשן קדוש אחד. ונמלכו לקדשן חמשה קדושין. הרי כולן כשרים. יחיד שמלא חמשה חביות לקדשן חמשה קדושין ונמלך לקדשן קדוש אחד. אין כשר אלא אחרון. לקדשן קדוש אחד. ונמלך לקדשן חמשה קדושין. אין כשר אלא זה שקדש ראשון. אמר לאחד קדש לך את אלו אין כשר אלא ראשון. קדש לי את אלו הרי כולם כשרים: ", + "הממלא באחת ידו. ועושה מלאכה באחת ידו. הממלא לו ולאחר. או שמלא לשנים כאחת. שניהן פסולין. שהמלאכה פוסלת במלוי בין לו בין לאחר: ", + "המקדש באחת ידו ועושה מלאכה באחת ידו. אם לו פסול. ואם לאחר כשר. המקדש לו ולאחר שלו פסול ושל אחר כשר. המקדש לשנים כאחד שניהן כשרין: ", + "קדש לי ואקדש לך. הראשון כשר. מלא לי ואמלא לך האחרון כשר. קדש לי ואמלא לך שניהם כשרים. מלא לי ואקדש לך. שניהם פסולים: ", + "הממלא לו ולחטאת. ממלא את שלו תחלה. וקושרו באסל ואחר כך ממלא את של חטאת. ואם מלא של חטאת תחלה. ואחר כך מלא את שלו. פסול. נותן את שלו לאחוריו. ואת של חטאת לפניו. ואם נתן את של חטאת לאחוריו פסול. היו שניהן של חטאת. נותן אחד לפניו ואחד לאחוריו כשר. מפני שאי אפשר: ", + "המוליך את החבל בידו לדרכו כשר. ושלא לדרכו פסול. זה הלך ליבנה שלשה מועדות. ובמועד שלישי הכשירו לו הוראת שעה: ", + "המכנן את החבל על יד על יד כשר ואם כננו באחרונה פסול. אמר ר' יוסי לזה הכשירו הוראת שעה: ", + "המצניע את החבית שלא תשבר. או שכפאה על פיה. על מנת לנגבה למלאות בה. כשר. להוליך בה את הקדוש. פסול. המפנה חרסין מתוך השוקת. בשביל שתחזיק מים הרבה. כשרין. ואם בשביל שלא יהיו מעכבין אותו בשעה שהוא זולף את המים. פסול: ", + "מי שהיו מימיו על כתפו. והורה הוראה והראה לאחרים את הדרך. והרג נחש ועקרב. ונטל אוכלים להצניעם. פסול. אוכלין לאכלן. כשר. הנחש והעקרב שהיו מעכבים אותו. כשר. אמר ר' יהודה זה הכלל כל דבר שהוא משום מלאכה. בין עמד בין לא עמד. פסול. דבר שאינו משום מלאכה. עמד פסול. ואם לא עמד. כשר: ", + "המוסר מימיו לטמא. פסולין. ולטהור. כשרין. ר' אליעזר אומר אף לטמא כשרין. אם לא עשו הבעלים מלאכה: ", + "שנים שהיו ממלאין לחטאת והגביהו זה על זה. ונטל זה לזה קוצו. בקדוש אחד כשר. בשני קדושין פסול. ר' יוסי אומר אף בשני קדושין כשר. אם התנו ביניהן: ", + "הפורץ על מנת לגדור כשר. ואם גדר פסול. האוכל על מנת לקצות. כשר. ואם קצה. פסול. היה אוכל והותיר. וזרק מה שבידו לתחת התאנה. או לתוך המוקצה. בשביל שלא יאבד. פסול: " + ], + [ + "שנים שהיו שומרים את השוקת. נטמא אחד מהם. כשרים. מפני שהן ברשותו של שני. טהר ונטמא שני כשרים. מפני שהן ברשותו של ראשון. נטמאו שניהן כאחת. פסולין. עשה אחד מהן מלאכה. כשרין. מפני שהן ברשותו של שני. עמד ועשה השני מלאכה. כשרין. מפני שהן ברשותו של ראשון. עשו שניהן כאחד פסולין: ", + "המקדש מי חטאת. לא ינעול את הסנדל שאם נפלו משקין על הסנדל נטמא. וטמאהו. הרי הוא אומר מטמאיך לא טמאוני. ואתה טמאתני. נפלו משקין על בשרו. טהור. נפלו על כסותו. נטמאת וטמאתו. הרי זה אומר. מטמאיך לא טמאוני. ואתה טמאתני: ", + "השורף פרה ופרים והמשלח את השעיר מטמא בגדים. פרה ופרים ושעיר המשתלח עצמן. אין מטמאין בגדים. הרי זה אומר מטמאיך לא טמאוני ואתה טמאתני: ", + "האוכל מנבלת העוף הטהור. והיא בבית הבליעה מטמא בגדים. הנבלה עצמה. אינה מטמאה בגדים. הדי זה אומר מטמאיך לא טמאוני. ואתה טמאתני: ", + "כל ולד הטומאות אינו מטמא כלים אלא משקה. נטמא משקה טימאן. הרי זה אומר מטמאיך לא טמאוני ואתה טמאתני: ", + "אין כלי חרש מטמא חבירו אלא משקה. נטמא משקה. טמאתו. הרי זה אומר מטמאיך לא טמאוני. ואתה טמאתני: ", + "כל הפוסל את התרומה. מטמא את המשקין להיות תחלה. לטמא אחד ולפסול אחד חוץ מטבול יום. הרי זה אומר מטמאיך לא טמאוני ואתה טמאתני: ", + "כל הימים כמקוה. שנאמר (בראשית א, י) ולמקוה המים קרא ימים. דברי ר' מאיר. רבי יהודה אומר הים הגדול כמקוה. לא נאמר ימים אלא שיש בו מיני ימים הרבה. רבי יוסי אומר כל הימים מטהרין בזוחלין ופסולין לזבים ולמצורעים ולקדש מהן מי חטאת: ", + "המים המוכים פסולים. אלו הן המוכים. המלוחים והפושרים. המים המכזבים פסולין. אלו הם המים המכזבים. המכזבים אחד בשבוע. המכזבים בפולמסיות. ובשני בצרון כשרים. ר' יהודה פוסל: ", + "מי קרמיון. ומי פוגה. פסולים. מפני שהם מי ביצים מי הירדן ומי ירמוך פסולים. מפני שהם מי תערובות. ואלו הן מי תערובות. אחד כשר ואחד פסול שנתערבו. שניהן כשרין ונתערבו. כשרין. ר' יהודה פוסל: ", + "באר אחאב ומערת פמייס. כשרה. המים שנשתנו. ושנויין מחמת עצמן כשרין. אמת המים הבאה מרחוק. כשרה. ובלבד שישמרנה שלא יפסיקנה אדם. ר' יהודה אומר הרי היא בחזקת מותרת. באר שנפל לתוכה חרסית או אדמה. ימתין לה עד שתצל. דברי רבי ישמעאל. ר' עקיבא אומר. אינו צריך להמתין: " + ], + [ + "צלוחית שנפל לתוכה מים כל שהן. ר' אליעזר אומר יזה שתי הזיות. וחכמים פוסלין. ירד לתוכה טל ר' אליעזר אומר יניחנה בחמה והטל עולה. וחכמים פוסלין. נפל לתוכה משקין ומי פירות יערה וצריך לנגב. דיו קומוס וקנקנתום. וכל דבר שהוא רושם יערה. ואינו צריך לנגב: ", + "נפל לתוכה שקצים ורמשים ונתבקעו או שנשתנו מראיהם פסולין. חפושית בין כך ובין כך פוסלת מפני שהיא כשפופרת. ר' שמעון ור' אליעזר בן יעקב אומרים. הדירה. והכנה שבתבואה כשרים מפני שאין בהם לחה: ", + "שתת מהן בהמה או חיה פסולין. כל העופות פוסלין. חוץ מן היונה מפני שהיא מוצצת. כל השרצים אינם פוסלין חוץ מן החולדה. מפני שהיא מלקת. רבן גמליאל אומר אף הנחש. מפני שהיא מקיאה. ר' אליעזר אומר אף העכבר: ", + "החושב על מי חטאת לשתות. רבי אליעזר אומר. פסול. רבי יהושע אומר כשיטה. אמר רבי יוסי במה דברים אמורים. במים שאינם מקודשים. אבל במים המקודשין. רבי אליעזר אומר כשיטה. רבי יהושע אומר כשישתה. ואם גרגר כשר: ", + "מי חטאת שנפסלו לא יגבלם בטיט. שלא יעשם תקלה לאחרים רבי יהודה אומר בטלו. פרה ששתת מי חטאת בשרה טמא מעת לעת. רבי יהודה אומר בטלו במעיה: ", + "מי חטאת ואפר חטאת. לא יעבירם בנהר ובספינה. ולא ישיטם על פני המים ולא יעמוד בצד זה ויזרקם לצד זה אבל עובר הוא במים עד צוארו. עובר הוא הטהור לחטאת. ובידיו כלי ריקם הטהור לחטאת. ובמים שאינם מקודשין: ", + "אפר כשר שנתערב באפר מקלה הולכין אחר הרוב ליטמא ואין מקדשין בו. ר' אליעזר אומר מקדשין בכלן: ", + "מי חטאת שנפסלו. מטמאין את הטהור לתרומה. בידיו ובגופו. ואת הטהור לחטאת. לא בידיו ולא בגופו. נטמאו. מטמאים את הטהור לתרומה בידיו ובגופו. ואת הטהור לחטאת. בידיו. אבל לא בגופו: ", + "אפר כשר שנתנו על גבי המים שאינן ראוין לקדש. מטמאין את הטהור לתרומה בידיו ובגופו. את הטהור לחטאת. לא בידיו ולא בגופו: " + ], + [ + "כל הראוי ליטמא מדרס מדף לחטאת. בין טמא בין טהור. ואדם כיוצא בו. כל הראוי ליטמא טמא מת בין טמא בין טהור ר' אליעזר אומר אינו מדף. רבי יהושע אומר מדף. וחכמים אומרים הטמא מדף. והטהור אינו מדף: ", + "הטהור לחטאת שנגע במדף טמא. לגין של חטאת שנגע במדף. טמא. הטהור לחטאת שנגע באוכלים ומשקים. בידו. טמא. וברגלו. טהור. הסיטן בידו. רבי יהושע מטמא. וחכמים מטהרים: ", + "קלל של חטאת. שנגע בשרץ. טהור. נתנו על גביו. רבי אליעזר מטהר. וחכמים מטמאים. נגע באוכלים ומשקין. ובכתבי הקדש. טהור. נתנו על גביהן. ר' יוסי מטהר. וחכמים מטמאים: ", + "הטהור לחטאת שנגע בתנור. בידו. טמא. וברגלו. טהור. היה עומד על גבי תנור. ופשט ידו חוץ לתנור. והלגין בתוכו. וכן האסל שהוא נתון על גבי התנור ובו שני קללות. אחד מכאן ואחד מכאן. ר' עקיבא מטהר. וחכמים מטמאין: ", + "היה עומד חוץ לתנור. ופשט ידיו לחלון. ונטל את הלגין. והעבירו על גבי התנור. ר' עקיבא מטמא. וחכמים מטהרין. אבל עומד הוא הטהור לחטאת. על גבי תנור. ובידו כלי ריקן הטהור לחטאת. ובמים שאין מקודשין: ", + "לגין של חטאת שנגע בשל קדש ושל תרומה. של חטאת טמא. ושל קדש ושל תרומה. טהורין. שניהן בשתי ידיו. שניהן טמאים. שניהם בשני ניירות. שניהם טהורים. של חטאת בנייר ושל תרומה בידו. שניהן טמאין. של תרומה בנייר ושל חטאת בידו. שניהן טהורין. ר' יהושע אומר של חטאת טמא. היו נתונין על גבי הארץ ונגע בהם. של חטאת. טמא. של קדש ושל תרומה טהורים. הסיטן. רבי יהושע מטמא. וחכמים מטהרין: " + ], + [ + "צלוחית שהניחה מגולה. ובא ומצאה מכוסה. פסולה. הניחה מכוסה. ובא ומצאה מגולה. אם יכולה החולדה לשתות הימנה. או נחש לדברי רבן גמליאל. או שירד בה טל בלילה. פסולה. החטאת אינה נצולה בצמיד פתיל. ומים שאינן מקודשין נצולין בצמיד פתיל: ", + "כל הספק טהור לתרומה טהור לחטאת. כל התלוי לתרומה. נשפך לחטאת. אם עשו על גביו טהרות. תלויות. הרפפות טהורות לקדש ולתרומה ולחטאת. רבי אליעזר אומר הרעדות טמאות לחטאת: ", + "דבלה של תרומה שנפלה לתוך מי חטאת. ונטלה ואכלה. אם יש בה כביצה. בין טמאה בין טהורה. המים טמאין. והאוכלה חייב מיתה. אין בה כביצה המים טהורין והאוכלה חייב מיתה. רבי יוסי אומר בטהורה. המים טהורים. הטהור לחטאת שהכניס ראשו ורובו לתוך מי חטאת. נטמא: ", + "כל הטעון ביאת מים מדברי תורה מטמא את הקדש ואת התרומה ואת החולין. ואת המעשר. ואסור על ביאת המקדש. לאחר ביאתו מטמא את הקדש. ופוסל את התרומה. דברי ר' מאיר. וחכמים אומרים פוסל בקדש ובתרומה ומותר בחולין ובמעשר ואם בא אל המקדש. בין לפני ביאתו. בין לאחר ביאתו. חייב: ", + "כל הטעון ביאת מים מדברי סופרים. מטמא את הקדש. ופוסל את התרומה. ומותר בחולין ובמעשר. דברי ר' מאיר. וחכמים אוסרים במעשר. לאחר ביאתו מותר בכולן. ואם בא אל המקדש בין לפני ביאתו ובין לאחר ביאתו. פטור: ", + "כל הטעון ביאת מים בין מדברי תורה בין מדברי סופרים. מטמא את מי חטאת ואת אפר חטאת ואת המזה מי חטאת במגע ובמשא. האזוב המוכשר. והמים שאינן מקודשים. וכלי ריקם הטהור לחטאת. במגע ובמשא. דברי רבי מאיר. וחכמים אומרים במגע אבל לא במשא: ", + "כל אזוב שיש לו שם לווי פסול. אזוב זה כשר. אזוב יון. אזוב כוחלית. אזוב רומי. אזוב מדברי פסול. ושל תרומה טמאה פסול. ושל טהורה לא יזה. ואם הזה. כשר. אין מזין לא ביונקות ולא בתמרות. אין חייבין על היונקות על ביאת המקדש. ר' אליעזר אומר אף לא על התמרות. אלו הן היונקות. גבעולין שלא גמלו: ", + "אזוב שהזה בו. כשר לטהר בו את המצורע. לקטו לעצים ונפלו עליו משקין מנגבו והוא כשר. לקטו לאוכלין ונפלו עליו משקין. אף על פי שנגבו פסול. לקטו לחטאת. כמלקט לאוכלין. דברי ר' מאיר. ר' יהודה ור' יוסי ור' שמעון אומרים כמלקט לעצים: ", + "מצות אזוב שלשה קלחים ובהם שלשה גבעולין. ר' יהודה אומר של שלשה שלשה. אזוב שיש בו שלשה קלחים מפסגו ואוגדו. פסגו ולא אגדו. אגדו ולא פסגו לא פסגו ולא אגדו. כשר. ר' יוסי אומר מצות אזוב שלשה קלחים. ובהם שלשה גבעולים ושיריו שנים. וגרדומיו כל שהוא: " + ], + [ + "האזוב הקצר. מספקו בחוט ובכוש. וטובל ומעלה ואוחז באזוב ומזה. רבי יהודה ור' שמעון אומרים כשם שהזייה באזוב. כך טבילה באזוב: ", + "הזה. ספק מן החוט. ספק מן הכוש. ספק מן הגבעול. הזייתו פסולה. הזה על שני כלים. ספק על שניהם הזה. ספק מחברו מיצה עליו. הזאתו פסולה. מחט שהיא נתונה על החרס והזה עליה. ספק על המחט הזה. ספק מן החרס מיצה עליה. הזייתו פסולה. צלוחית שפיה צר. טובל ומעלה כדרכו. ר' יהודה אומר הזייה ראשונה. מי חטאת שנתמעטו. טובל אפילו ראשי גבעולין. ומזה. בלבד שלא יספג. נתכוין להזות לפניו. והזה לאחריו. לאחריו והזה לפניו. הזייתו פסולה. לפניו. והזה על הצדדין שלפניו הזייתו כשרה. מזין על האדם מדעתו ושלא מדעתו. מזין על האדם ועל הכלים ואפילו הן מאה: ", + "נתכוין להזות על דבר שהוא מקבל טומאה. והזה על דבר שאינו מקבל טומאה. אם יש באזוב לא ישנה. על דבר שאינו מקבל טומאה. והזה על דבר שמקבל טומאה. אם יש באזוב ישנה. על האדם והזה על הבהמה. אם יש באזוב לא ישנה. על הבהמה והזה על האדם. אם יש באזוב ישנה. המים המנטפים כשרים. לפיכך הם מטמאין לשם מי חטאת: ", + "המזה מחלון של רבים ונכנס למקדש. ונמצאו המים פסולים פטור. מחלון של יחיד ונכנס למקדש. ונמצאו המים פסולין חייב. אבל כהן גדול בין מחלון של יחיד בין מחלון של רבים. פטור. שאין כהן גדול חייב על ביאת המקדש. מחליקין היו לפני חלון של רבים ודורסין ולא נמנעין. מפני שאמרו מי חטאת שעשו מצותן. אין מטמאין: ", + "אוחז הוא הטהור בקרדום הטמא בכנפו. מזה עליו. אף על פי שיש עליו כדי הזייה טהור. כמה יהא במים. ויהיה בהם כדי הזייה כדי שיטביל ראשי גבעולין ויזה. רבי יהודה אומר רואים אותם כאילו הן על אזוב של נחשת: ", + "המזה באזוב טמא אם יש בו כביצה המים פסולים והזיתו פסולה. אין בו כביצה המים כשרים והזיתו פסולה ומטמא את חבירו וחבירו את חבירו. אפילו הן מאה: ", + "הטהור לחטאת שנטמאו ידיו. נטמא גופו. ומטמא את חבירו. וחבירו את חבירו. אפילו הן מאה: ", + "לגין של חטאת שנטמאו אחוריו נטמא תוכו. ומטמא את חבירו. וחבירו את חבירו אפילו הן מאה. הזוג והענבל חבור. כוש של רובן לא יזה לא על הכוש. ולא על הפיקה. ואם הזה מוזה. של פשתן. חבור. עור של עריסה שהוא מחובר לפיקו' חבור. המלבן אינו חבור לא לטומאה ולא לטהרה. כל ידות הכלים הקדוחות חבור. רבי יוחנן בן נורי אומר אף החרוקות: ", + "הסלים שבקנתל. והמטה של טרבל. וקרן של כליבה וקרנין של יוצאי דרכים. ושלשלת המפתחות. ושלל הכובסים. והבגד שהוא תפור בכלאים חבור לטומאה. ואינו חבור להזייה: ", + "כסוי מיחם שהוא מחובר לשלשלת. בית שמאי אומרים חבור לטומאה. ואינו חבור להזייה. בית הלל אומרים הזה על המיחם הזה הכסוי. הזה על הכסוי לא הזה המיחם. הכל כשרים להזות חוץ מטומטום. ואנדרוגינוס והאשה. ותינוק שאין בו דעת. האשה מסעדתו ומזה. ואוחזת לו במים. והוא טובל ומזה. אם אחזה בידו אפילו בשעת הזייה. פסול: ", + "טבל את האזוב ביום והזה ביום. כשר. ביום והזה בלילה. בלילה והזה ביום. פסול. אבל הוא עצמו טובל בלילה. ומזה ביום. שאין מזין עד שתנץ החמה. וכלן שעשו משעלה עמוד השחר. כשר: " + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Parah/Hebrew/Torat Emet 357.json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Parah/Hebrew/Torat Emet 357.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..7baebdc6141e103b5ec708d5a28eaa4662d4d3e6 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Parah/Hebrew/Torat Emet 357.json @@ 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אֲפָרֵשׁ. אִם אוֹמֵר אַתָּה, שְׁלִישִׁית, לַאֲחֵרוֹת בְּמִנְיָן. וּכְשֶׁאַתָּה אוֹמֵר, שְׁלָשִׁית, בַּת שָׁלשׁ שָׁנִים. כַּיּוֹצֵא בוֹ אָמְרוּ, כֶּרֶם רְבָעִי. אָמְרוּ לוֹ, מַה הַלָּשׁוֹן רְבָעִי. אָמַר לָהֶם, כָּךְ שָׁמַעְתִּי סְתָם. אָמַר בֶּן עַזַּאי, אֲנִי אֲפָרֵשׁ. אִם אוֹמֵר אַתָּה, רְבִיעִי, לַאֲחֵרִים בְּמִנְיָן. וּכְשֶׁאַתָּה אוֹמֵר, רְבָעִי, בֶּן אַרְבַּע שָׁנִים. כַּיּוֹצֵא בוֹ אָמְרוּ, הָאוֹכֵל בְּבַיִת הַמְנֻגָּע פְּרָס, מִשָּׁלשׁ לְקָב. אָמְרוּ לוֹ, אֱמֹר מִשְּׁמֹנֶה עֶשְׂרֵה לִסְאָה. אָמַר לָהֶם, כָּךְ שָׁמַעְתִּי סְתָם. אָמַר בֶּן עַזַּאי, אֲנִי אֲפָרֵשׁ. אִם אוֹמֵר אַתָּה מִשָּׁלשׁ לְקָב, אֵין בּוֹ חַלָּה. וּכְשֶׁאַתָּה אוֹמֵר, מִשְּׁמֹנֶה עֶשְׂרֵה לִסְאָה, מִעֲטַתּוּ חַלָּתוֹ: \n", + "רַבִּי יוֹסֵי הַגְּלִילִי אוֹמֵר, פָּרִים, בְּנֵי שְׁתַּיִם, שֶׁנֶּאֱמַר (במדבר ח), וּפַר שֵׁנִי בֶן בָּקָר תִּקַּח לְחַטָּאת. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אַף בְּנֵי שָׁלשׁ. רַבִּי מֵאִיר אוֹמֵר, אַף בְּנֵי אַרְבַּע וּבְנֵי חָמֵשׁ כְּשֵׁרִים, אֶלָּא שֶׁאֵין מְבִיאִים זְקֵנִים, מִפְּנֵי הַכָּבוֹד: \n", + "כְּבָשִׂים, בְּנֵי שָׁנָה. וְאֵילִים, בְּנֵי שְׁתַּיִם. וְכֻלָּם מִיּוֹם לְיוֹם. בֶּן שְׁלשָׁה עָשָׂר חֹדֶשׁ אֵינוֹ כָשֵׁר לֹא לְאַיִל וְלֹא לְכֶבֶשׂ. רַבִּי טַרְפוֹן קוֹרֵהוּ פַּלְגָּס. בֶּן עַזַּאי קוֹרֵהוּ נוֹקֵד. רַבִּי יִשְׁמָעֵאל קוֹרֵהוּ פַּרְכָדִיגְמָא. הִקְרִיבוֹ, מֵבִיא עָלָיו נִסְכֵּי אַיִל, וְלֹא עָלָה לוֹ מִזִּבְחוֹ. בֶּן שְׁלשָׁה עָשָׂר חֹדֶשׁ וְיוֹם אֶחָד, הֲרֵי זֶה אָיִל: \n", + "חַטֹּאת הַצִּבּוּר וְעוֹלוֹתֵיהֶן, חַטַּאת הַיָּחִיד וַאֲשַׁם נָזִיר וַאֲשַׁם מְצֹרָע, כְּשֵׁרִין מִיּוֹם שְׁלשִׁים וָהָלְאָה, וְאַף בְּיוֹם שְׁלשִׁים. וְאִם הִקְרִיבוּם בְּיוֹם שְׁמִינִי, כְּשֵׁרִים. נְדָרִים וּנְדָבוֹת, הַבְּכוֹר וְהַמַּעֲשֵׂר וְהַפֶּסַח, כְּשֵׁרִים מִיּוֹם הַשְּׁמִינִי וָהָלְאָה, וְאַף בַּיּוֹם הַשְּׁמִינִי: \n" + ], + [ + "רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, פָּרַת חַטָּאת הַמְעֻבֶּרֶת, כְּשֵׁרָה. וַחֲכָמִים פּוֹסְלִין. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, אֵינָהּ נִלְקַחַת מִן הַנָּכְרִים. וַחֲכָמִים מַכְשִׁירִים. וְלֹא זוֹ בִלְבַד, אֶלָּא כָל קָרְבְּנוֹת הַצִּבּוּר וְהַיָּחִיד בָּאִין מֵהָאָרֶץ וּמִחוּץ לָאָרֶץ, מִן הֶחָדָשׁ וּמִן הַיָּשָׁן, חוּץ מִן הָעֹמֶר וּשְׁתֵּי הַלֶּחֶם שֶׁאֵינָן בָּאִין אֶלָּא מִן הֶחָדָשׁ וּמִן הָאָרֶץ: \n", + "פָּרָה שֶׁקַּרְנֶיהָ וּטְלָפֶיהָ שְׁחוֹרִים, יָגֹד. גַּלְגַּל הָעַיִן וְהַשִּׁנַּיִם וְהַלָּשׁוֹן אֵינָם פּוֹסְלִים בַּפָּרָה. וְהַנַּנֶּסֶת, כְּשֵׁרָה. הָיְתָה בָהּ יַבֶּלֶת וַחֲתָכָהּ, רַבִּי יְהוּדָה פוֹסֵל. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, כָּל מְקוֹם שֶׁנִּטַּל וְלֹא הֶעֱלָה מְקוֹמוֹ שֵׂעָר אָדֹם, פְּסוּלָה: \n", + "יוֹצֵא דֹפֶן וְאֶתְנָן וּמְחִיר, פְּסוּלָה. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מַכְשִׁיר, שֶׁנֶּאֱמַר (דברים כג), לֹא תָבִיא אֶתְנַן זוֹנָה וּמְחִיר כֶּלֶב בֵּית ה' אֱלֹהֶיךָ, וְאֵין זוֹ בָאָה לַבָּיִת. כָּל הַמּוּמִים הַפּוֹסְלִים בַּמֻּקְדָּשִׁים, פּוֹסְלִים בַּפָּרָה. רָכַב עָלֶיהָ, נִשְׁעַן עָלֶיהָ, נִתְלָה בִזְנָבָהּ, עָבַר בָּהּ אֶת הַנָּהָר, קִפֵּל עָלֶיהָ אֶת הַמּוֹסֵרָה, נָתַן טַלִּיתוֹ עָלֶיהָ, פְּסוּלָה. אֲבָל קְשָׁרָהּ בַּמּוֹסֵרָה, עָשָׂה לָהּ סַנְדָּל בִּשְׁבִיל שֶׁלֹּא תַחֲלִיק, פָּרַס טַלִּיתוֹ עָלֶיהָ מִפְּנֵי הַזְּבוּבִים, כְּשֵׁרָה. זֶה הַכְּלָל, כֹּל שֶׁהוּא לְצָרְכָּהּ, כְּשֵׁרָה. לְצֹרֶךְ אַחֵר, פְּסוּלָה: \n", + "שָׁכַן עָלֶיהָ עוֹף, כְּשֵׁרָה. עָלָה עָלֶיהָ זָכָר, פְּסוּלָה. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אִם הֶעֱלָהוּ, פְּסוּלָה. וְאִם מֵעַצְמוֹ, כְּשֵׁרָה: \n", + "הָיוּ בָהּ שְׁתֵּי שְׂעָרוֹת שְׁחוֹרוֹת אוֹ לְבָנוֹת בְּתוֹךְ גֻּמָּא אַחַת, פְּסוּלָה. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אֲפִלּוּ בְתוֹךְ כּוֹס אֶחָד. הָיוּ בְתוֹךְ שְׁנֵי כוֹסוֹת וְהֵן מוֹכִיחוֹת זוֹ אֶת זוֹ, פְּסוּלָה. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, אֲפִלּוּ אַרְבַּע, אֲפִלּוּ חָמֵשׁ, וְהֵן מְפֻזָּרוֹת, יִתְלֹשׁ. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, אֲפִלּוּ חֲמִשִּׁים. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ בֶּן בְּתֵירָא אוֹמֵר, אֲפִלּוּ אַחַת בְּרֹאשָׁהּ וְאַחַת בִּזְנָבָהּ, פְּסוּלָה. הָיוּ בָהּ שְׁתֵּי שְׂעָרוֹת, עִקָּרָן מַשְׁחִיר וְרֹאשָׁן מַאְדִּים, עִקָּרָן מַאְדִּים וְרֹאשָׁן מַשְׁחִיר, הַכֹּל הוֹלֵךְ אַחַר הַנִּרְאֶה, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אַחַר הָעִקָּר: \n" + ], + [ + "שִׁבְעַת יָמִים קֹדֶם לִשְׂרֵפַת הַפָּרָה מַפְרִישִׁין כֹּהֵן הַשּׂוֹרֵף אֶת הַפָּרָה מִבֵּיתוֹ לַלִּשְׁכָּה שֶׁעַל פְּנֵי הַבִּירָה, צָפוֹנָה מִזְרָחָה, וּבֵית אֶבֶן הָיְתָה נִקְרֵאת, וּמַזִּין עָלָיו כָּל שִׁבְעַת הַיָּמִים מִכָּל חַטָּאוֹת שֶׁהָיוּ שָׁם. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, לֹא הָיוּ מַזִּין עָלָיו אֶלָּא בַשְּׁלִישִׁי וּבַשְּׁבִיעִי בִּלְבָד. רַבִּי חֲנִינָא סְגָן הַכֹּהֲנִים אוֹמֵר, עַל הַכֹּהֵן הַשּׂוֹרֵף אֶת הַפָּרָה, מַזִּין כָּל שִׁבְעַת הַיָּמִים. וְעַל שֶׁל יוֹם הַכִּפּוּרִים, לֹא הָיוּ מַזִּין עָלָיו אֶלָּא בַשְּׁלִישִׁי וּבַשְּׁבִיעִי בִּלְבָד: \n", + "חֲצֵרוֹת הָיוּ בִירוּשָׁלַיִם בְּנוּיוֹת עַל גַּבֵּי סֶלַע וְתַחְתֵּיהֶם חָלוּל, מִפְּנֵי קֶבֶר הַתְּהוֹם. וּמְבִיאִים נָשִׁים עֻבָּרוֹת וְיוֹלְדוֹת שָׁם וּמְגַדְּלוֹת שָׁם אֶת בְּנֵיהֶן. וּמְבִיאִים שְׁוָרִים וְעַל גַּבֵּיהֶן דְּלָתוֹת, וְתִינוֹקוֹת יוֹשְׁבִין עַל גַּבֵּיהֶן וְכוֹסוֹת שֶׁל אֶבֶן בְּיָדָם. הִגִּיעוּ לַשִּׁלּוֹחַ, יָרְדוּ וּמִלְאוּם, וְעָלוּ וְיָשְׁבוּ עַל גַּבֵּיהֶן. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, מִמְּקוֹמוֹ הָיָה מְשַׁלְשֵׁל וּמְמַלֵּא: \n", + "בָּאוּ לְהַר הַבַּיִת וְיָרְדוּ. הַר הַבַּיִת וְהָעֲזָרוֹת, תַּחְתֵּיהֶם חָלוּל, מִפְּנֵי קֶבֶר הַתְּהוֹם. וּבְפֶתַח הָעֲזָרָה הָיָה מְתֻקָּן קָלָל שֶׁל חַטָּאת, וּמְבִיאִין זָכָר שֶׁל רְחֵלִים וְקוֹשְׁרִים חֶבֶל בֵּין קַרְנָיו, וְקוֹשְׁרִים מַקֵּל וּמְסַבֵּךְ בְּרֹאשׁוֹ שֶׁל חֶבֶל, וְזוֹרְקוֹ לְתוֹךְ הַקָּלָל, וּמַכֶּה אֶת הַזָּכָר וְנִרְתָּע לַאֲחוֹרָיו, וְנוֹטֵל וּמְקַדֵּשׁ, כְּדֵי שֶׁיֵּרָאֶה עַל פְּנֵי הַמָּיִם. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אַל תִּתְּנוּ מָקוֹם לַצְּדוֹקִים לִרְדּוֹת, אֶלָּא הוּא נוֹטֵל וּמְקַדֵּשׁ: \n", + "לֹא הָיוּ עוֹשִׂין, לֹא חַטָּאת עַל גַּבֵּי חַטָּאת, וְלֹא תִינוֹק עַל גַּבֵּי חֲבֵרוֹ. וּצְרִיכִין הָיוּ הַתִּינוֹקוֹת לְהַזּוֹת, דִּבְרֵי רַבִּי יוֹסֵי הַגְּלִילִי. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, לֹא הָיוּ צְרִיכִין לְהַזּוֹת: \n", + "לֹא מָצְאוּ מִשֶּׁבַע, עוֹשִׂין מִשֵּׁשׁ, מֵחָמֵשׁ, מֵאַרְבַּע, מִשָּׁלשׁ, מִשְּׁתַּיִם וּמֵאֶחָת. וּמִי עֲשָׂאָם. הָרִאשׁוֹנָה עָשָׂה משֶׁה, וְהַשְּׁנִיָּה עָשָׂה עֶזְרָא, וְחָמֵשׁ, מֵעֶזְרָא וָאֵילָךְ, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, שֶׁבַע מֵעֶזְרָא וָאֵילָךְ. וּמִי עֲשָׂאָן. שִׁמְעוֹן הַצַּדִּיק וְיוֹחָנָן כֹּהֵן גָּדוֹל עָשׂוּ שְׁתַּיִם שְׁתַּיִם, אֶלְיְהוֹעֵינַי בֶּן הַקּוֹף וַחֲנַמְאֵל הַמִּצְרִי וְיִשְׁמָעֵאל בֶּן פִּיאָבִי עָשׂוּ אַחַת אֶחָת: \n", + "וְכֶבֶשׁ הָיוּ עוֹשִׂים מֵהַר הַבַּיִת לְהַר הַמִּשְׁחָה, כִּפִּין עַל גַּבֵּי כִפִּין, וְכִפָּה כְנֶגֶד הָאֹטֶם, מִפְּנֵי קֶבֶר הַתְּהוֹם, שֶׁבּוֹ כֹהֵן הַשּׂוֹרֵף אֶת הַפָּרָה, וּפָרָה וְכָל מְסַעֲדֶיהָ, יוֹצְאִין לְהַר הַמִּשְׁחָה: \n", + "לֹא הָיְתָה פָרָה רוֹצָה לָצֵאת, אֵין מוֹצִיאִין עִמָּהּ שְׁחוֹרָה, שֶׁלֹּא יֹאמְרוּ, שְׁחוֹרָה שָׁחֲטוּ. וְלֹא אֲדֻמָּה, שֶׁלֹּא יֹאמְרוּ, שְׁתַּיִם שָׁחֲטוּ. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, לֹא מִשּׁוּם זֶה, אֶלָּא מִשּׁוּם שֶׁנֶּאֱמַר (במדבר יט), וְהוֹצִיא אֹתָהּ, לְבַדָּהּ. וְזִקְנֵי יִשְׂרָאֵל הָיוּ מַקְדִּימִים בְּרַגְלֵיהֶם לְהַר הַמִּשְׁחָה, וּבֵית טְבִילָה הָיָה שָׁם. וּמְטַמְּאִים הָיוּ אֶת הַכֹּהֵן הַשּׂוֹרֵף אֶת הַפָּרָה, מִפְּנֵי הַצְּדוֹקִים, שֶׁלֹּא יִהְיוּ אוֹמְרִים, בִּמְעֹרְבֵי שֶׁמֶשׁ הָיְתָה נַעֲשֵׂית: \n", + "סָמְכוּ יְדֵיהֶם עָלָיו וְאָמְרוּ לוֹ, אִישִׁי כֹּהֵן גָּדוֹל, טְבֹל אֶחָת. יָרַד וְטָבַל וְעָלָה וְנִסְתַּפֵּג. וְעֵצִים הָיוּ מְסֻדָּרִים שָׁם, עֲצֵי אֲרָזִים וָאֳרָנִים וּבְרוֹשִׁים וַעֲצֵי תְאֵנָה חֲלָקָה. וְעוֹשִׂין אוֹתָהּ כְּמִין מִגְדָּל, וּמְפַתְּחִין בָּהּ חַלּוֹנוֹת, וַחֲזִיתָהּ מַעֲרָבָה: \n", + "כְּפָתוּהָ בְחֶבֶל שֶׁל מֶגֶג וּנְתָנוּהָ עַל גַּב הַמַּעֲרָכָה, רֹאשָׁהּ בַּדָּרוֹם וּפָנֶיהָ לַמַּעֲרָב. הַכֹּהֵן עוֹמֵד בַּמִּזְרָח וּפָנָיו לַמַּעֲרָב. שָׁחַט בִּימִינוֹ וְקִבֵּל בִּשְׂמֹאלוֹ. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, בִּימִינוֹ הָיָה מְקַבֵּל וְנוֹתֵן לִשְׂמֹאלוֹ, וּמַזֶּה בִימִינוֹ. טָבַל וְהִזָּה שֶׁבַע פְּעָמִים כְּנֶגֶד בֵּית קֹדֶשׁ הַקֳּדָשִׁים. עַל כָּל הַזָּיָה, טְבִילָה. גָּמַר מִלְּהַזּוֹת, קִנַּח אֶת יָדוֹ בְּגוּפָהּ שֶׁל פָּרָה. יָרַד וְהִצִּית אֶת הָאֵשׁ בַּאֲלִיתוֹת. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, בַּחֲרִיּוֹת: \n", + "נִבְקְעָה, וְעָמַד חוּץ מִגִּתָּהּ. נָטַל עֵץ אֶרֶז וְאֵזוֹב וּשְׁנִי תוֹלַעַת. אָמַר לָהֶן, עֵץ אֶרֶז זֶה, עֵץ אֶרֶז זֶה. אֵזוֹב זֶה, אֵזוֹב זֶה. שְׁנִי תוֹלַעַת זֶה, שְׁנִי תוֹלַעַת זֶה. שָׁלשׁ פְּעָמִים עַל כָּל דָּבָר וְדָבָר. וְהֵם אוֹמְרִים לוֹ, הֵין וְהֵין, שָׁלשׁ פְּעָמִים עַל כָּל דָּבָר וְדָבָר: \n", + "כְּרָכָן בִּשְׁיָרֵי הַלָּשׁוֹן וְהִשְׁלִיךְ לְתוֹךְ שְׂרֵפָתָהּ. נִשְׂרְפָה, חוֹבְטִין אוֹתָהּ בְּמַקְלוֹת, וְכוֹבְרִין אוֹתָהּ בִּכְבָרוֹת. רַבִּי יִשְׁמָעֵאל אוֹמֵר, בְּמַקָּבוֹת שֶׁל אֶבֶן וּבִכְבָרוֹת שֶׁל אֶבֶן הָיְתָה נַעֲשֵׂית. שָׁחוֹר שֶׁיֶּשׁ בּוֹ אֵפֶר, כּוֹתְשִׁין אוֹתוֹ. וְשֶׁאֵין בּוֹ, מַנִּיחִין אוֹתוֹ. הָעֶצֶם, בֵּין כָּךְ וּבֵין כָּךְ הָיָה נִכְתָּשׁ. וְחוֹלְקִים אוֹתוֹ לִשְׁלשָׁה חֲלָקִים, אֶחָד נִתָּן בַּחֵיל, וְאֶחָד נִתָּן בְּהַר הַמִּשְׁחָה, וְאֶחָד הָיָה מִתְחַלֵּק לְכָל הַמִּשְׁמָרוֹת: \n" + ], + [ + "פָּרַת חַטָּאת שֶׁשְּׁחָטָהּ שֶׁלֹּא לִשְׁמָהּ, קִבֵּל וְהִזָּה שֶׁלֹּא לִשְׁמָהּ, אוֹ לִשְׁמָהּ וְשֶׁלֹּא לִשְׁמָהּ, אוֹ שֶׁלֹּא לִשְׁמָהּ וְלִשְׁמָהּ, פְּסוּלָה. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מַכְשִׁיר. וְשֶׁלֹּא רְחוּץ יָדַיִם וְרַגְלַיִם, פְּסוּלָה. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מַכְשִׁיר. וְשֶׁלֹּא בְכֹהֵן גָּדוֹל, פְּסוּלָה. רַבִּי יְהוּדָה מַכְשִׁיר. וּמְחֻסַּר בְּגָדִים, פְּסוּלָה. וּבִכְלֵי לָבָן הָיְתָה נַעֲשֵׂית: \n", + "שְׂרָפָהּ חוּץ מִגִּתָּהּ, אוֹ בִשְׁתֵּי גִתּוֹת, אוֹ שֶׁשָּׂרַף שְׁתַּיִם בְּגַת אַחַת, פְּסוּלָה. הִזָּה וְלֹא כִוֵּן כְּנֶגֶד הַפֶּתַח, פְּסוּלָה. הִזָּה מִשִּׁשִּׁית שְׁבִיעִית, חָזַר וְהִזָּה שְׁבִיעִית, פְּסוּלָה. מִשְּׁבִיעִית שְׁמִינִית וְחָזַר וְהִזָּה שְׁמִינִית, כְּשֵׁרָה: \n", + "שְׂרָפָהּ שֶׁלֹּא בְעֵצִים, אוֹ בְכָל עֵצִים, אֲפִלּוּ בְקַשׁ אוֹ בִגְבָבָה, כְּשֵׁרָה. הִפְשִׁיטָהּ וְנִתְּחָהּ, כְּשֵׁרָה. שְׁחָטָהּ עַל מְנָת לֶאֱכֹל מִבְּשָׂרָהּ וְלִשְׁתּוֹת מִדָּמָהּ, כְּשֵׁרָה. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, אֵין מַחֲשָׁבָה פוֹסֶלֶת בַּפָּרָה: \n", + "כָּל הָעֲסוּקִין בַּפָּרָה מִתְּחִלָּה וְעַד סוֹף, מְטַמְּאִין בְּגָדִים, וּפוֹסְלִים אוֹתָהּ בִּמְלָאכָה. אֵרַע בָּהּ פְּסוּל בִּשְׁחִיטָתָהּ, אֵינָהּ מְטַמְּאָה בְגָדִים. אֵרַע בָּהּ בְּהַזָּיָתָהּ, כֹּל הָעוֹסֵק בָּהּ לִפְנֵי פְסוּלָהּ, מְטַמְּאָה בְגָדִים. לְאַחַר פְּסוּלָהּ, אֵינָהּ מְטַמְּאָה בְגָדִים. נִמְצְאָה חֻמְרָהּ, קֻלָּהּ. לְעוֹלָם מוֹעֲלִים בָּהּ, וּמַרְבִּין לָהּ עֵצִים, וּמַעֲשֶׂיהָ בַיּוֹם, וּבְכֹהֵן, הַמְּלָאכָה פוֹסֶלֶת בָּהּ, עַד שֶׁתֵּעָשֶׂה אֵפֶר, וְהַמְּלָאכָה פוֹסֶלֶת בַּמַּיִם, עַד שֶׁיַּטִּילוּ אֶת הָאֵפֶר: \n" + ], + [ + "הַמֵּבִיא כְּלִי חֶרֶס לְחַטָּאת, טוֹבֵל וְלָן עַל הַכִּבְשָׁן. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, אַף מִן הַבַּיִת הוּא מֵבִיא וְכָשֵׁר, שֶׁהַכֹּל נֶאֱמָנִים עַל הַחַטָּאת. וּבַתְּרוּמָה, פּוֹתֵחַ אֶת הַכִּבְשָׁן וְנוֹטֵל. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, מִן הַסֵּדֶר הַשֵּׁנִי. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, מִן הַסֵּדֶר הַשְּׁלִישִׁי: \n", + "הַמַּטְבִּיל כְּלִי לְחַטָּאת בְּמַיִם שֶׁאֵינָם רְאוּיִים לְקַדֵּשׁ, צָרִיךְ לְנַגֵּב. בְּמַיִם שֶׁהֵם רְאוּיִים לְקַדֵּשׁ, אֵינוֹ צָרִיךְ לְנַגֵּב. אִם לְהוֹסִיף לְתוֹכוֹ מַיִם מְקֻדָּשִׁין, בֵּין כָּךְ וּבֵין כָּךְ צָרִיךְ לְנַגֵּב: \n", + "קֵרוּיָה שֶׁהִטְבִּילוּהָ בְמַיִם שֶׁאֵין רְאוּיִין לְקַדֵּשׁ, מְקַדְּשִׁין בָּהּ עַד שֶׁתִּטְמָא. נִטְמְאָה, אֵין מְקַדְּשִׁין בָּהּ. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, אִם מְקַדֵּשׁ הוּא בָהּ בַּתְּחִלָּה, אַף בַּסּוֹף יְקַדֵּשׁ בָּהּ. אִם אֵינוֹ מְקַדֵּשׁ בָּהּ בַּסּוֹף, אַף לֹא בַתְּחִלָּה. בֵּין כָּךְ וּבֵין כָּךְ, לֹא יוֹסִיף לְתוֹכָהּ מַיִם מְקֻדָּשִׁים: \n", + "שְׁפוֹפֶרֶת שֶׁחֲתָכָהּ לְחַטָּאת, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, יַטְבִּיל מִיָּד. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, יְטַמֵּא וְיַטְבִּיל. הַכֹּל כְּשֵׁרִים לְקַדֵּשׁ, חוּץ מֵחֵרֵשׁ שׁוֹטֶה וְקָטָן. רַבִּי יְהוּדָה מַכְשִׁיר בְּקָטָן, וּפוֹסֵל בְּאִשָּׁה וּבְאַנְדְּרוֹגִינוֹס: \n", + "בְּכָל הַכֵּלִים מְקַדְּשִׁים, אֲפִלּוּ בִכְלֵי גְלָלִים, בִּכְלֵי אֲבָנִים, וּבִכְלֵי אֲדָמָה. וּבִסְפִינָה, מְקַדְּשִׁין בָּהּ. אֵין מְקַדְּשִׁין לֹא בְדָפְנוֹת הַכֵּלִים, וְלֹא בְשׁוּלֵי הַמַּחַץ, וְלֹא בִמְגוּפַת הֶחָבִית, וְלֹא בְחָפְנָיו, מִפְּנֵי שֶׁאֵין מְמַלְּאִין וְאֵין מְקַדְּשִׁין וְאֵין מַזִּין מֵי חַטָּאת אֶלָּא בְכֶלִי. אֵין מַצִּילִין בְּצָמִיד פָּתִיל אֶלָּא כֵלִים, שֶׁאֵין מַצִּילִים מִיַּד כְּלֵי חֶרֶס אֶלָּא כֵלִים: \n", + "בֵּיצַת הַיּוֹצְרִים, כְּשֵׁרָה. רַבִּי יוֹסֵי פוֹסֵל. בֵּיצַת הַתַּרְנְגֹלֶת, רַבִּי מֵאִיר וְרַבִּי יְהוּדָה מַכְשִׁירִין, וַחֲכָמִים פּוֹסְלִין: \n", + "הַשֹּׁקֶת שֶׁבַּסֶּלַע, אֵין מְמַלְּאִין בָּהּ וְאֵין מְקַדְּשִׁין בָּהּ וְאֵין מַזִּין מִמֶּנָּה, וְאֵינָהּ צְרִיכָה צָמִיד פָּתִיל, וְאֵינָהּ פּוֹסֶלֶת אֶת הַמִּקְוֶה. הָיְתָה כְלִי וְחִבְּרָהּ בְּסִיד, מְמַלְּאִין בָּהּ וּמְקַדְּשִׁין בָּהּ וּמַזִּין מִמֶּנָּה, וּצְרִיכָה צָמִיד פָּתִיל, וּפוֹסֶלֶת אֶת הַמִּקְוֶה. נִקְּבָה מִלְּמַטָּן, וּפְקָקָהּ בִּסְמַרְטוּט, הַמַּיִם שֶׁבְּתוֹכָהּ פְּסוּלִין, מִפְּנֵי שֶׁאֵינָן עֲגֻלִּים כֶּלִי. מִן הַצַּד וּפְקָקָהּ בִּסְמַרְטוּט, הַמַּיִם שֶׁבְּתוֹכָהּ כְּשֵׁרִים, מִפְּנֵי שֶׁהֵם עֲגֻלִּים כֶּלִי. עָשׂוּ לָהּ עֲטָרָה שֶׁל טִיט, וְהָלְכוּ הַמַּיִם לְשָׁם, פְּסוּלִין. אִם הָיָה בָרִיא כְּדֵי שֶׁיִּנָּטֵל עִמָּהּ, כְּשֵׁרִים: \n", + "שְׁתֵּי שְׁקָתוֹת שֶׁבְּאֶבֶן אַחַת, קִדֵּשׁ אַחַת מֵהֶם, הַמַּיִם שֶׁבַּשְּׁנִיָּה אֵינָן מְקֻדָּשִׁין. הָיוּ נְקוּבוֹת זוֹ לָזוֹ כִּשְׁפוֹפֶרֶת הַנּוֹד, אוֹ שֶׁהָיוּ הַמַּיִם צָפִין עַל גַּבֵּיהֶן אֲפִלּוּ כִקְלִפַּת הַשּׁוּם, וְקִדֵּשׁ אֶת אַחַת מֵהֶן, הַמַּיִם שֶׁבַּשְּׁנִיָּה מְקֻדָּשִׁין: \n", + "שְׁתֵּי אֲבָנִים שֶׁהִקִּיפָן זוֹ לָזוֹ וַעֲשָׂאָן שֹׁקֶת, וְכֵן שְׁתֵּי עֲרֵבוֹת, וְכֵן הַשֹּׁקֶת שֶׁנֶּחְלְקָה, הַמַּיִם שֶׁבֵּינֵיהֶם אֵינָן מְקֻדָּשִׁין. עֲשָׂאָן בְּסִיד אוֹ בְגִפְסִים וְהֵן יְכוֹלוֹת לְהִנָּטֵל כְּאַחַת, הַמַּיִם שֶׁבֵּינֵיהֶם מְקֻדָּשִׁין: \n" + ], + [ + "הַמְקַדֵּשׁ וְנָפַל הַקִּדּוּשׁ עַל יָדוֹ אוֹ עַל הַצַּד וְאַחַר כָּךְ נָפַל עַל הַשֹּׁקֶת, פָּסוּל. נָפַל מִן הַשְּׁפוֹפֶרֶת לַשֹּׁקֶת, פָּסוּל. נָטַל מִשְּׁפוֹפֶרֶת וְכִסָּה, אוֹ שֶׁהֵגִיף אֶת הַדֶּלֶת, הַקִּדּוּשׁ כָּשֵׁר, וְהַמַּיִם פְּסוּלִים. זְקָפָהּ בָּאָרֶץ, פָּסוּל. לְתוֹךְ יָדוֹ, כָּשֵׁר, מִפְּנֵי שֶׁאֶפְשָׁר: \n", + "הָיָה קִדּוּשׁ צָף עַל פְּנֵי הַמַּיִם, רַבִּי מֵאִיר וְרַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמְרִים, נוֹטֵל וּמְקַדֵּשׁ. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, כֹּל שֶׁנָּגַע בַּמַּיִם, אֵין מְקַדְּשִׁין בּוֹ. זָלַף אֶת הַמַּיִם וְנִמְצָא קִדּוּשׁ מִלְּמַטָּן, רַבִּי מֵאִיר וְרַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמְרִים, מְנַגֵּב וּמְקַדֵּשׁ. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, כֹּל שֶׁנָּגַע בַּמַּיִם, אֵין מְקַדְּשִׁין בּוֹ: \n", + "הַמְקַדֵּשׁ בַּשֹּׁקֶת וְהַטְּפִי בְתוֹכָהּ, אַף עַל פִּי שֶׁפִּיו צַר כָּל שֶׁהוּא, הַמַּיִם שֶׁבְּתוֹכוֹ מְקֻדָּשִׁין. אִם הָיָה סְפוֹג, הַמַּיִם שֶׁבְּתוֹכוֹ פְסוּלִים. כֵּיצַד יַעֲשֶׂה, יְזַלֵּף עַד שֶׁהוּא מַגִּיעַ לַסְּפוֹג. נָגַע בַּסְּפוֹג, אַף עַל פִּי שֶׁהַמַּיִם צָפִין עַל גַּבָּיו כָּל שֶׁהֵן, פְּסוּלִין: \n", + "נָתַן יָדוֹ אוֹ רַגְלוֹ אוֹ עֲלֵי יְרָקוֹת כְּדֵי שֶׁיַּעַבְרוּ הַמַּיִם לֶחָבִית, פְּסוּלִים. עֲלֵי קָנִים וַעֲלֵי אֱגוֹז, כְּשֵׁרִים. זֶה הַכְּלָל, דָּבָר שֶׁהוּא מְקַבֵּל טֻמְאָה, פָּסוּל. וְדָבָר שֶׁאֵינוֹ מְקַבֵּל טֻמְאָה, כָּשֵׁר: \n", + "הַמְפַנֶּה אֶת הַמַּעְיָן לְתוֹךְ הַגַּת, אוֹ לְתוֹךְ הַגֵּבִים, פְּסוּלִים לַזָּבִים וְלַמְצֹרָעִים וּלְקַדֵּשׁ בָּהֶן מֵי חַטָּאת, מִפְּנֵי שֶׁלֹּא נִתְמַלְּאוּ בְכֶלִי: \n" + ], + [ + "חֲמִשָּׁה שֶׁמִּלְאוּ חֲמִשָּׁה חָבִיּוֹת לְקַדְּשָׁן חֲמִשָּׁה קִדּוּשִׁין, וְנִמְלְכוּ לְקַדְּשָׁן קִדּוּשׁ אֶחָד, אוֹ לְקַדְּשָׁן קִדּוּשׁ אֶחָד וְנִמְלְכוּ לְקַדְּשָׁן חֲמִשָּׁה קִדּוּשִׁין, הֲרֵי כֻלָּן כְּשֵׁרִים. יָחִיד שֶׁמִּלֵּא חָמֵשׁ חָבִיּוֹת לְקַדְּשָׁן חֲמִשָּׁה קִדּוּשִׁין, וְנִמְלַךְ לְקַדְּשָׁן קִדּוּשׁ אֶחָד, אֵין כָּשֵׁר אֶלָּא אַחֲרוֹן. לְקַדְּשָׁן קִדּוּשׁ אֶחָד וְנִמְלַךְ לְקַדְּשָׁן חֲמִשָּׁה קִדּוּשִׁין, אֵין כָּשֵׁר אֶלָּא זֶה שֶׁקִּדֵּשׁ רִאשׁוֹן. אָמַר לְאֶחָד, קַדֵּשׁ לְךָ אֶת אֵלּוּ, אֵין כָּשֵׁר אֶלָּא רִאשׁוֹן. קַדֵּשׁ לִי אֶת אֵלּוּ, הֲרֵי כֻלָּם כְּשֵׁרִים: \n", + "הַמְמַלֵּא בְאַחַת יָדוֹ וְעוֹשֶׂה מְלָאכָה בְאַחַת יָדוֹ, הַמְמַלֵּא לוֹ וּלְאַחֵר, אוֹ שֶׁמִּלֵּא לִשְׁנַיִם כְּאַחַת, שְׁנֵיהֶן פְּסוּלִין, שֶׁהַמְּלָאכָה פוֹסֶלֶת בַּמִּלּוּי, בֵּין לוֹ בֵּין לְאַחֵר: \n", + "הַמְקַדֵּשׁ בְּאַחַת יָדוֹ וְעוֹשֶׂה מְלָאכָה בְאַחַת יָדוֹ, אִם לוֹ, פָּסוּל. וְאִם לְאַחֵר, כָּשֵׁר. הַמְקַדֵּשׁ לוֹ וּלְאַחֵר, שֶׁלּוֹ פָּסוּל, וְשֶׁל אַחֵר כָּשֵׁר. הַמְקַדֵּשׁ לִשְׁנַיִם כְּאֶחָד, שְׁנֵיהֶן כְּשֵׁרִין: \n", + "קַדֵּשׁ לִי וַאֲקַדֵּשׁ לָךְ, הָרִאשׁוֹן כָּשֵׁר. מַלֵּא לִי וַאֲמַלֵּא לָךְ, הָאַחֲרוֹן כָּשֵׁר. קַדֵּשׁ לִי וַאֲמַלֵּא לָךְ, שְׁנֵיהֶם כְּשֵׁרִים. מַלֵּא לִי וַאֲקַדֵּשׁ לָךְ, שְׁנֵיהֶם פְּסוּלִים: \n", + "הַמְמַלֵּא לוֹ וּלְחַטָּאת, מְמַלֵּא אֶת שֶׁלּוֹ תְּחִלָּה וְקוֹשְׁרוֹ בָאֵסֶל וְאַחַר כָּךְ מְמַלֵּא אֶת שֶׁל חַטָּאת. וְאִם מִלֵּא שֶׁל חַטָּאת תְּחִלָּה וְאַחַר כָּךְ מִלֵּא אֶת שֶׁלּוֹ, פָּסוּל. נוֹתֵן אֶת שֶׁלּוֹ לַאֲחוֹרָיו וְאֶת שֶׁל חַטָּאת לְפָנָיו. וְאִם נָתַן אֶת שֶׁל חַטָּאת לַאֲחוֹרָיו, פָּסוּל. הָיוּ שְׁנֵיהֶן שֶׁל חַטָּאת, נוֹתֵן אֶחָד לְפָנָיו וְאֶחָד לַאֲחוֹרָיו, וְכָשֵׁר, מִפְּנֵי שֶׁאִי אֶפְשָׁר: \n", + "הַמּוֹלִיךְ אֶת הַחֶבֶל בְּיָדוֹ לְדַרְכּוֹ, כָּשֵׁר. וְשֶׁלֹּא לְדַרְכּוֹ, פָּסוּל. זֶה הָלַךְ לְיַבְנֶה שְׁלשָׁה מוֹעֲדוֹת, וּבְמוֹעֵד שְׁלִישִׁי הִכְשִׁירוּ לוֹ הוֹרָאַת שָׁעָה: \n", + "הַמְכַנֵּן אֶת הַחֶבֶל עַל יָד עַל יָד, כָּשֵׁר. וְאִם כִּנְּנוֹ בָאַחֲרוֹנָה, פָּסוּל. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, לָזֶה הִכְשִׁירוּ הוֹרָאַת שָׁעָה: \n", + "הַמַּצְנִיעַ אֶת הֶחָבִית שֶׁלֹּא תִשָּׁבֵר, אוֹ שֶׁכְּפָאָהּ עַל פִּיהָ עַל מְנָת לְנַגְּבָהּ לְמַלֹּאת בָּהּ, כָּשֵׁר. לְהוֹלִיךְ בָּהּ אֶת הַקִּדּוּשׁ, פָּסוּל. הַמְפַנֶּה חֲרָסִין מִתּוֹךְ הַשֹּׁקֶת בִּשְׁבִיל שֶׁתַּחֲזִיק מַיִם הַרְבֵּה, כְּשֵׁרִין. וְאִם בִּשְׁבִיל שֶׁלֹּא יִהְיוּ מְעַכְּבִין אוֹתוֹ בְשָׁעָה שֶׁהוּא זוֹלֵף אֶת הַמַּיִם, פָּסוּל: \n", + "מִי שֶׁהָיוּ מֵימָיו עַל כְּתֵפוֹ וְהוֹרָה הוֹרָאָה, וְהֶרְאָה לַאֲחֵרִים אֶת הַדֶּרֶךְ, וְהָרַג נָחָשׁ וְעַקְרָב, וְנָטַל אֳכָלִים לְהַצְנִיעָם, פָּסוּל. אֳכָלִין לְאָכְלָן, כָּשֵׁר. הַנָּחָשׁ וְהָעַקְרָב שֶׁהָיוּ מְעַכְּבִים אוֹתוֹ, כָּשֵׁר. אָמַר רַבִּי יְהוּדָה, זֶה הַכְּלָל, כָּל דָּבָר שֶׁהוּא מִשּׁוּם מְלָאכָה, בֵּין עָמַד בֵּין לֹא עָמַד, פָּסוּל. דָּבָר שֶׁאֵינוֹ מִשּׁוּם מְלָאכָה, עָמַד, פָּסוּל. וְאִם לֹא עָמַד, כָּשֵׁר: \n", + "הַמּוֹסֵר מֵימָיו לְטָמֵא, פְּסוּלִין. וּלְטָהוֹר, כְּשֵׁרִין. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, אַף לְטָמֵא כְּשֵׁרִין, אִם לֹא עָשׂוּ הַבְּעָלִים מְלָאכָה: \n", + "שְׁנַיִם שֶׁהָיוּ מְמַלְּאִין לְחַטָּאת, וְהִגְבִּיהוּ זֶה עַל זֶה וְנָטַל זֶה לָזֶה קוֹצוֹ, בְּקִדּוּשׁ אֶחָד, כָּשֵׁר. בִּשְׁנֵי קִדּוּשִׁין, פָּסוּל. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, אַף בִּשְׁנֵי קִדּוּשִׁין כָּשֵׁר, אִם הִתְנוּ בֵינֵיהֶן: \n", + "הַפּוֹרֵץ עַל מְנָת לִגְדֹּר, כָּשֵׁר. וְאִם גָּדַר, פָּסוּל. הָאוֹכֵל עַל מְנָת לִקְצוֹת, כָּשֵׁר. וְאִם קָצָה, פָּסוּל. הָיָה אוֹכֵל וְהוֹתִיר וְזָרַק מַה שֶּׁבְּיָדוֹ לְתַחַת הַתְּאֵנָה אוֹ לְתוֹךְ הַמֻּקְצֶה בִּשְׁבִיל שֶׁלֹּא יֹאבַד, פָּסוּל: \n" + ], + [ + "שְׁנַיִם שֶׁהָיוּ שׁוֹמְרִים אֶת הַשֹּׁקֶת, נִטְמָא אַחַד מֵהֶם, כְּשֵׁרִים, מִפְּנֵי שֶׁהֵן בִּרְשׁוּתוֹ שֶׁל שֵׁנִי. טָהַר, וְנִטְמָא שֵׁנִי, כְּשֵׁרִים, מִפְּנֵי שֶׁהֵן בִּרְשׁוּתוֹ שֶׁל רִאשׁוֹן. נִטְמְאוּ שְׁנֵיהֶן כְּאַחַת, פְּסוּלִין. עָשָׂה אַחַד מֵהֶן מְלָאכָה, כְּשֵׁרִין, מִפְּנֵי שֶׁהֵן בִּרְשׁוּתוֹ שֶׁל שֵׁנִי. עָמַד, וְעָשָׂה הַשֵּׁנִי מְלָאכָה, כְּשֵׁרִין, מִפְּנֵי שֶׁהֵן בִּרְשׁוּתוֹ שֶׁל רִאשׁוֹן. עָשׂוּ שְׁנֵיהֶן כְּאֶחָד, פְּסוּלִין: \n", + "הַמְקַדֵּשׁ מֵי חַטָּאת, לֹא יִנְעוֹל אֶת הַסַּנְדָּל. שֶׁאִם נָפְלוּ מַשְׁקִין עַל הַסַּנְדָּל, נִטְמָא וְטִמְּאָהוּ. הֲרֵי הוּא אוֹמֵר, מְטַמְּאֶיךָ לֹא טִמְּאוּנִי וְאַתָּה טִמֵּאתָנִי. נָפְלוּ מַשְׁקִין עַל בְּשָׂרוֹ, טָהוֹר. נָפְלוּ עַל כְּסוּתוֹ, נִטְמֵאת וְטִמְּאַתּוּ. הֲרֵי זֶה אוֹמֵר, מְטַמְּאֶיךָ לֹא טִמְּאוּנִי וְאַתָּה טִמֵּאתָנִי: \n", + "הַשּׂוֹרֵף פָּרָה, וּפָרִים, וְהַמְשַׁלֵּחַ אֶת הַשָּׂעִיר, מְטַמֵּא בְגָדִים. פָּרָה וּפָרִים וְשָׂעִיר הַמִּשְׁתַּלֵּחַ עַצְמָן אֵין מְטַמְּאִין בְּגָדִים. הֲרֵי זֶה אוֹמֵר, מְטַמְּאֶיךָ לֹא טִמְּאוּנִי וְאַתָּה טִמֵּאתָנִי: \n", + "הָאוֹכֵל מִנִּבְלַת הָעוֹף הַטָּהוֹר וְהִיא בְּבֵית הַבְּלִיעָה, מְטַמֵּא בְגָדִים. הַנְּבֵלָה עַצְמָהּ אֵינָהּ מְטַמְּאָה בְגָדִים. הֲרֵי זֶה אוֹמֵר, מְטַמְּאֶיךָ לֹא טִמְּאוּנִי, וְאַתָּה טִמֵּאתָנִי: \n", + "כָּל וְלַד הַטֻּמְאוֹת אֵינוֹ מְטַמֵּא כֵלִים, אֶלָּא מַשְׁקֶה. נִטְמָא מַשְׁקֶה, טִמְּאָן. הֲרֵי זֶה אוֹמֵר, מְטַמְּאֶיךָ לֹא טִמְּאוּנִי וְאַתָּה טִמֵּאתָנִי: \n", + "אֵין כְּלִי חֶרֶשׂ מְטַמֵּא חֲבֵרוֹ, אֶלָּא מַשְׁקֶה. נִטְמָא מַשְׁקֶה, טִמְּאַתּוּ. הֲרֵי זֶה אוֹמֵר, מְטַמְּאֶיךָ לֹא טִמְּאוּנִי וְאַתָּה טִמֵּאתָנִי: \n", + "כָּל הַפּוֹסֵל אֶת הַתְּרוּמָה, מְטַמֵּא אֶת הַמַּשְׁקִין לִהְיוֹת תְּחִלָּה לְטַמֵּא אֶחָד וְלִפְסֹל אֶחָד, חוּץ מִטְּבוּל יוֹם. הֲרֵי זֶה אוֹמֵר, מְטַמְּאֶיךָ לֹא טִמְּאוּנִי וְאַתָּה טִמֵּאתָנִי: \n", + "כָּל הַיַּמִּים כְּמִקְוֶה, שֶׁנֶּאֱמַר (בראשית א), וּלְמִקְוֵה הַמַּיִם קָרָא יַמִּים, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, הַיָּם הַגָּדוֹל כְּמִקְוֶה, לֹא נֶאֱמַר יַמִּים, אֶלָּא שֶׁיֶּשׁ בּוֹ מִינֵי יַמִּים הַרְבֵּה. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, כָּל הַיַּמִּים מְטַהֲרִין בְּזוֹחֲלִין, וּפְסוּלִין לַזָּבִים וְלַמְצֹרָעִים וּלְקַדֵּשׁ מֵהֶן מֵי חַטָּאת: \n", + "הַמַּיִם הַמֻּכִּים, פְּסוּלִים. אֵלּוּ הֵן הַמֻּכִּים, הַמְּלוּחִים וְהַפּוֹשְׁרִים. הַמַּיִם הַמְכַזְּבִים, פְּסוּלִין. אֵלּוּ הֵם הַמַּיִם הַמְכַזְּבִים, הַמְכַזְּבִים אֶחָד בַּשָּׁבוּעַ. הַמְכַזְּבִים בְּפֻלְמְסָיוֹת וּבִשְׁנֵי בִצָּרוֹן, כְּשֵׁרִים. רַבִּי יְהוּדָה פוֹסֵל: \n", + "מֵי קַרְמְיוֹן וּמֵי פוּגָה, פְּסוּלִין, מִפְּנֵי שֶׁהֵם מֵי בִצִּים. מֵי הַיַּרְדֵּן וּמֵי יַרְמוּךְ, פְּסוּלִים, מִפְּנֵי שֶׁהֵם מֵי תַעֲרֹבוֹת. וְאֵלוּ הֵן מֵי תַעֲרֹבוֹת, אֶחָד כָּשֵׁר וְאֶחָד פָּסוּל, שֶׁנִּתְעָרְבוּ. שְׁנֵיהֶן כְּשֵׁרִין וְנִתְעָרְבוּ, כְּשֵׁרִין. רַבִּי יְהוּדָה פוֹסֵל: \n", + "בְּאֵר אַחְאָב וּמְעָרַת פַּמְיָס, כְּשֵׁרָה. הַמַּיִם שֶׁנִּשְׁתַּנּוּ וְשִׁנּוּיָן מֵחֲמַת עַצְמָן, כְּשֵׁרִין. אַמַּת הַמַּיִם הַבָּאָה מֵרָחוֹק, כְּשֵׁרָה, וּבִלְבַד שֶׁיִּשְׁמְרֶנָּה שֶׁלֹּא יַפְסִיקֶנָּה אָדָם. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, הֲרֵי הִיא בְחֶזְקַת מֻתֶּרֶת. בְּאֵר שֶׁנָּפַל לְתוֹכָהּ חַרְסִית אוֹ אֲדָמָה, יַמְתִּין לָהּ עַד שֶׁתִּצַּל, דִּבְרֵי רַבִּי יִשְׁמָעֵאל. רַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, אֵינוֹ צָרִיךְ לְהַמְתִּין: \n" + ], + [ + "צְלוֹחִית שֶׁנָּפַל לְתוֹכָהּ מַיִם כָּל שֶׁהֵן, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, יַזֶּה שְׁתֵּי הַזָּיוֹת. וַחֲכָמִים פּוֹסְלִין. יָרַד לְתוֹכָהּ טַל, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, יַנִּיחֶנָּה בַחַמָּה וְהַטַּל עוֹלֶה. וַחֲכָמִים פּוֹסְלִין. נָפַל לְתוֹכָהּ מַשְׁקִין וּמֵי פֵרוֹת, יְעָרֶה וְצָרִיךְ לְנַגֵּב. דְּיוֹ, קוֹמוֹס, וְקַנְקַנְתּוֹם, וְכָל דָּבָר שֶׁהוּא רוֹשֵׁם, יְעָרֶה וְאֵינוֹ צָרִיךְ לְנַגֵּב: \n", + "נָפַל לְתוֹכָהּ שְׁקָצִים וּרְמָשִׂים וְנִתְבַּקְּעוּ, אוֹ שֶׁנִּשְׁתַּנּוּ מַרְאֵיהֶם, פְּסוּלִין. חִפּוּשִׁית, בֵּין כָּךְ וּבֵין כָּךְ פּוֹסֶלֶת, מִפְּנֵי שֶׁהִיא כִשְׁפוֹפֶרֶת. רַבִּי שִׁמְעוֹן וְרַבִּי אֱלִיעֶזֶר בֶּן יַעֲקֹב אוֹמְרִים, הַדִּירָה וְהַכִּנָּה שֶׁבַּתְּבוּאָה כְּשֵׁרִים, מִפְּנֵי שֶׁאֵין בָּהֶם לֵחָה: \n", + "שָׁתָת מֵהֶן בְּהֵמָה אוֹ חַיָּה, פְּסוּלִין. כָּל הָעוֹפוֹת פּוֹסְלִין, חוּץ מִן הַיּוֹנָה, מִפְּנֵי שֶׁהִיא מוֹצֶצֶת. כָּל הַשְּׁרָצִים אֵינָם פּוֹסְלִין, חוּץ מִן הַחֻלְדָּה, מִפְּנֵי שֶׁהִיא מַלֶּקֶת. רַבָּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, אַף הַנָּחָשׁ, מִפְּנֵי שֶׁהִיא מְקִיאָה. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, אַף הָעַכְבָּר: \n", + "הַחוֹשֵׁב עַל מֵי חַטָּאת לִשְׁתּוֹת, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, פָּסוּל. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, כְּשֶׁיַּטֶּה. אָמַר רַבִּי יוֹסֵי, בַּמֶּה דְבָרִים אֲמוּרִים, בְּמַיִם שֶׁאֵינָם מְקֻדָּשִׁים. אֲבָל בְּמַיִם הַמְקֻדָּשִׁין, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, כְּשֶׁיַּטֶּה. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, כְּשֶׁיִּשְׁתֶּה. וְאִם גִּרְגֵּר, כָּשֵׁר: \n", + "מֵי חַטָּאת שֶׁנִּפְסְלוּ, לֹא יְגַבְּלֵם בְּטִיט, שֶׁלֹּא יַעֲשֵׂם תַּקָּלָה לַאֲחֵרִים. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, בָּטְלוּ. פָּרָה שֶׁשָּׁתָת מֵי חַטָּאת, בְּשָׂרָהּ טָמֵא מֵעֵת לְעֵת. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, בָּטְלוּ בְמֵעֶיהָ: \n", + "מֵי חַטָּאת וְאֵפֶר חַטָּאת, לֹא יַעֲבִירֵם בְּנָהָר וּבִסְפִינָה, וְלֹא יְשִׁיטֵם עַל פְּנֵי הַמַּיִם, וְלֹא יַעֲמוֹד בְּצַד זֶה וְיִזְרְקֵם לְצַד זֶה. אֲבָל עוֹבֵר הוּא בַמַּיִם עַד צַוָּארוֹ. עוֹבֵר הוּא הַטָּהוֹר לְחַטָּאת וּבְיָדָיו כְּלִי רֵיקָם הַטָּהוֹר לְחַטָּאת, וּבְמַיִם שֶׁאֵינָם מְקֻדָּשִׁין: \n", + "אֵפֶר כָּשֵׁר שֶׁנִּתְעָרֵב בְּאֵפֶר מִקְלֶה, הוֹלְכִין אַחַר הָרֹב לְטַמֵּא, וְאֵין מְקַדְּשִׁין בּוֹ. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, מְקַדְּשִׁין בְּכֻלָּן: \n", + "מֵי חַטָּאת שֶׁנִּפְסְלוּ, מְטַמְּאִין אֶת הַטָּהוֹר לִתְרוּמָה, בְיָדָיו וּבְגוּפוֹ. וְאֶת הַטָּהוֹר לְחַטָּאת, לֹא בְיָדָיו וְלֹא בְגוּפוֹ. נִטְמְאוּ, מְטַמְּאִים אֶת הַטָּהוֹר לִתְרוּמָה בְיָדָיו וּבְגוּפוֹ. וְאֶת הַטָּהוֹר לְחַטָּאת, בְּיָדָיו, אֲבָל לֹא בְגוּפוֹ: \n", + "אֵפֶר כָּשֵׁר שֶׁנְּתָנוֹ עַל גַּבֵּי הַמַּיִם שֶׁאֵינָן רְאוּיִין לְקַדֵּשׁ, מְטַמְּאִין אֶת הַטָּהוֹר לִתְרוּמָה, בְּיָדָיו וּבְגוּפוֹ. אֶת הַטָּהוֹר לְחַטָּאת, לֹא בְיָדָיו וְלֹא בְגוּפוֹ: \n" + ], + [ + "כֹּל הָרָאוּי לִטַּמֵּא מִדְרָס, מַדָּף לְחַטָּאת, בֵּין טָמֵא בֵּין טָהוֹר. וְאָדָם, כַּיּוֹצֵא בוֹ. כֹּל הָרָאוּי לִטַּמֵּא טְמֵא מֵת, בֵּין טָמֵא בֵּין טָהוֹר, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, אֵינוֹ מַדָּף. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, מַדָּף. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, הַטָּמֵא, מַדָּף. וְהַטָּהוֹר, אֵינוֹ מַדָּף: \n", + "הַטָּהוֹר לְחַטָּאת שֶׁנָּגַע בְּמַדָּף, טָמֵא. לָגִין שֶׁל חַטָּאת שֶׁנָּגַע בְּמַדָּף, טָמֵא. הַטָּהוֹר לְחַטָּאת שֶׁנָּגַע בְּאֳכָלִים וּמַשְׁקִים, בְּיָדוֹ, טָמֵא. וּבְרַגְלוֹ, טָהוֹר. הֱסִיטָן בְּיָדוֹ, רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִים: \n", + "קָלָל שֶׁל חַטָּאת שֶׁנָּגַע בְּשֶׁרֶץ, טָהוֹר. נְתָנוֹ עַל גַּבָּיו, רַבִּי אֱלִיעֶזֶר מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִים. נָגַע בְּאֳכָלִים וּמַשְׁקִין וּבְכִתְבֵי הַקֹּדֶשׁ, טָהוֹר. נְתָנוֹ עַל גַּבֵּיהֶן, רַבִּי יוֹסֵי מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִים: \n", + "הַטָּהוֹר לְחַטָּאת שֶׁנָּגַע בְּתַנּוּר, בְּיָדוֹ, טָמֵא. וּבְרַגְלוֹ, טָהוֹר. הָיָה עוֹמֵד עַל גַּבֵּי תַנּוּר וּפָשַׁט יָדוֹ חוּץ לַתַּנּוּר, וְהַלָּגִין בְּתוֹכוֹ, וְכֵן הָאֵסֶל שֶׁהוּא נָתוּן עַל גַּבֵּי הַתַּנּוּר וּבוֹ שְׁנֵי קְלָלוֹת, אֶחָד מִכָּאן וְאֶחָד מִכָּאן, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַהֵר, וַחֲכָמִים מְטַמְּאִין: \n", + "הָיָה עוֹמֵד חוּץ לַתַּנּוּר וּפָשַׁט יָדָיו לַחַלּוֹן וְנָטַל אֶת הַלָּגִין וְהֶעֱבִירוֹ עַל גַּבֵּי הַתַּנּוּר, רַבִּי עֲקִיבָא מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין. אֲבָל עוֹמֵד הוּא הַטָּהוֹר לְחַטָּאת עַל גַּבֵּי תַנּוּר וּבְיָדוֹ כְּלִי רֵיקָן הַטָּהוֹר לְחַטָּאת, וּבְמַיִם שֶׁאֵין מְקֻדָּשִׁין: \n", + "לָגִין שֶׁל חַטָּאת שֶׁנָּגַע בְּשֶׁל קֹדֶשׁ וְשֶׁל תְּרוּמָה, שֶׁל חַטָּאת, טָמֵא. וְשֶׁל קֹדֶשׁ וְשֶׁל תְּרוּמָה, טְהוֹרִין. שְׁנֵיהֶן בִּשְׁתֵּי יָדָיו, שְׁנֵיהֶן טְמֵאִים. שְׁנֵיהֶם בִּשְׁנֵי נְיָרוֹת, שְׁנֵיהֶם טְהוֹרִים. שֶׁל חַטָּאת בִּנְיָר וְשֶׁל תְּרוּמָה בְּיָדוֹ, שְׁנֵיהֶן טְמֵאִין. שֶׁל תְּרוּמָה בִּנְיָר וְשֶׁל חַטָּאת בְּיָדוֹ, שְׁנֵיהֶן טְהוֹרִין. רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ אוֹמֵר, שֶׁל חַטָּאת, טָמֵא. הָיוּ נְתוּנִין עַל גַּבֵּי הָאָרֶץ וְנָגַע בָּהֶם, שֶׁל חַטָּאת, טָמֵא. שֶׁל קֹדֶשׁ וְשֶׁל תְּרוּמָה, טְהוֹרִים. הֱסִיטָן, רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ מְטַמֵּא, וַחֲכָמִים מְטַהֲרִין: \n" + ], + [ + "צְלוֹחִית שֶׁהִנִּיחָהּ מְגֻלָּה, וּבָא וּמְצָאָהּ מְכֻסָּה, פְּסוּלָה. הִנִּיחָהּ מְכֻסָּה וּבָא וּמְצָאָהּ מְגֻלָּה, אִם יְכוֹלָה הַחֻלְדָּה לִשְׁתּוֹת הֵימֶנָּה, אוֹ נָחָשׁ לְדִבְרֵי רַבָּן גַּמְלִיאֵל, אוֹ שֶׁיָּרַד בָּהּ טַל בַּלַּיְלָה, פְּסוּלָה. הַחַטָּאת אֵינָהּ נִצּוֹלָה בְּצָמִיד פָּתִיל. וּמַיִם שֶׁאֵינָן מְקֻדָּשִׁין נִצּוֹלִין בְּצָמִיד פָּתִיל: \n", + "כָּל הַסְּפֵק טָהוֹר לִתְרוּמָה, טָהוֹר לְחַטָּאת. כָּל הַתָּלוּי לִתְרוּמָה, נִשְׁפָּךְ לְחַטָּאת. אִם עָשׂוּ עַל גַּבָּיו טָהֳרוֹת, תְּלוּיוֹת. הָרְפָפוֹת, טְהוֹרוֹת לְקֹדֶשׁ וְלִתְרוּמָה וּלְחַטָּאת. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, הָרְעָדוֹת, טְמֵאוֹת לְחַטָּאת: \n", + "דְּבֵלָה שֶׁל תְּרוּמָה שֶׁנָּפְלָה לְתוֹךְ מֵי חַטָּאת וּנְטָלָהּ וַאֲכָלָהּ, אִם יֶשׁ בָּהּ כַּבֵּיצָה, בֵּין טְמֵאָה בֵּין טְהוֹרָה, הַמַּיִם טְמֵאִין, וְהָאוֹכְלָהּ חַיָּב מִיתָה. אֵין בָּהּ כַּבֵּיצָה, הַמַּיִם טְהוֹרִין, וְהָאוֹכְלָהּ חַיָּב מִיתָה. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, בִּטְהוֹרָה, הַמַּיִם טְהוֹרִים. הַטָּהוֹר לְחַטָּאת שֶׁהִכְנִיס רֹאשׁוֹ וְרֻבּוֹ לְתוֹךְ מֵי חַטָּאת, נִטְמָא: \n", + "כֹּל הַטָּעוּן בִּיאַת מַיִם מִדִּבְרֵי תוֹרָה, מְטַמֵּא אֶת הַקֹּדֶשׁ וְאֶת הַתְּרוּמָה וְאֶת הַחֻלִּין וְאֶת הַמַּעֲשֵׂר, וְאָסוּר עַל בִּיאַת הַמִּקְדָּשׁ. לְאַחַר בִּיאָתוֹ, מְטַמֵּא אֶת הַקֹּדֶשׁ, וּפוֹסֵל אֶת הַתְּרוּמָה, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, פּוֹסֵל בַּקֹּדֶשׁ וּבַתְּרוּמָה, וּמֻתָּר בַּחֻלִּין וּבַמַּעֲשֵׂר. וְאִם בָּא אֶל הַמִּקְדָּשׁ, בֵּין לִפְנֵי בִיאָתוֹ בֵּין לְאַחַר בִּיאָתוֹ, חַיָּב: \n", + "כֹּל הַטָּעוּן בִּיאַת מַיִם מִדִּבְרֵי סוֹפְרִים, מְטַמֵּא אֶת הַקֹּדֶשׁ, וּפוֹסֵל אֶת הַתְּרוּמָה, וּמֻתָּר בַּחֻלִּין וּבַמַּעֲשֵׂר, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹסְרִים בַּמַּעֲשֵׂר. לְאַחַר בִּיאָתוֹ, מֻתָּר בְּכֻלָּן. וְאִם בָּא אֶל הַמִּקְדָּשׁ, בֵּין לִפְנֵי בִיאָתוֹ וּבֵין לְאַחַר בִּיאָתוֹ, פָּטוּר: \n", + "כֹּל הַטָּעוּן בִּיאַת מַיִם, בֵּין מִדִּבְרֵי תוֹרָה בֵּין מִדִּבְרֵי סוֹפְרִים, מְטַמֵּא אֶת מֵי חַטָּאת וְאֶת אֵפֶר חַטָּאת וְאֶת הַמַּזֶּה מֵי חַטָּאת, בְּמַגָּע וּבְמַשָּׂא. הָאֵזוֹב הַמֻּכְשָׁר, וְהַמַּיִם שֶׁאֵינָן מְקֻדָּשִׁים, וּכְלִי רֵיקָם הַטָּהוֹר לְחַטָּאת, בְּמַגָּע וּבְמַשָּׂא, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, בְּמַגָּע אֲבָל לֹא בְמַשָּׂא: \n", + "כָּל אֵזוֹב שֶׁיֶּשׁ לוֹ שֵׁם לְוַי, פָּסוּל. אֵזוֹב זֶה, כָּשֵׁר. אֵזוֹב יָוָן, אֵזוֹב כּוֹחֲלִית, אֵזוֹב רוֹמִי, אֵזוֹב מִדְבָּרִי, פָּסוּל. וְשֶׁל תְּרוּמָה טְמֵאָה, פָּסוּל. וְשֶׁל טְהוֹרָה, לֹא יַזֶּה. וְאִם הִזָּה, כָּשֵׁר. אֵין מַזִּין לֹא בְיוֹנְקוֹת, וְלֹא בִתְמָרוֹת. אֵין חַיָּבִין עַל הַיּוֹנְקוֹת עַל בִּיאַת הַמִּקְדָּשׁ. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, אַף לֹא עַל הַתְּמָרוֹת. אֵלּוּ הֵן הַיּוֹנְקוֹת, גִּבְעוֹלִין שֶׁלֹּא גָמָלוּ: \n", + "אֵזוֹב שֶׁהִזָּה בוֹ, כָּשֵׁר לְטַהֵר בּוֹ אֶת הַמְּצֹרָע. לִקְּטוֹ לְעֵצִים וְנָפְלוּ עָלָיו מַשְׁקִין, מְנַגְּבוֹ וְהוּא כָשֵׁר. לִקְּטוֹ לְאֳכָלִין וְנָפְלוּ עָלָיו מַשְׁקִין, אַף עַל פִּי שֶׁנִּגְּבוֹ, פָּסוּל. לִקְּטוֹ לְחַטָּאת, כִּמְלֻקָּט לְאֳכָלִין, דִּבְרֵי רַבִּי מֵאִיר. רַבִּי יְהוּדָה וְרַבִּי יוֹסֵי וְרַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמְרִים, כִּמְלֻקָּט לְעֵצִים: \n", + "מִצְוַת אֵזוֹב, שְׁלשָׁה קְלָחִים וּבָהֶם שְׁלשָׁה גִבְעוֹלִין. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שֶׁל שְׁלשָׁה שְׁלשָׁה. אֵזוֹב שֶׁיֶּשׁ בּוֹ שְׁלשָׁה קְלָחִים, מְפַסְּגוֹ וְאוֹגְדוֹ. פִּסְּגוֹ וְלֹא אֲגָדוֹ, אֲגָדוֹ וְלֹא פִסְּגוֹ, לֹא פִסְּגוֹ וְלֹא אֲגָדוֹ, כָּשֵׁר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, מִצְוַת אֵזוֹב, שְׁלשָׁה קְלָחִים, וּבָהֶם שְׁלשָׁה גִבְעוֹלִים, וּשְׁיָרָיו שְׁנַיִם, וְגַרְדֻּמָּיו כָּל שֶׁהוּא: \n" + ], + [ + "הָאֵזוֹב הַקָּצָר, מְסַפְּקוֹ בְחוּט וּבְכוּשׁ, וְטוֹבֵל וּמַעֲלֶה, וְאוֹחֵז בָּאֵזוֹב וּמַזֶּה. רַבִּי יְהוּדָה וְרַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמְרִים, כְּשֵׁם שֶׁהַזָּיָה בָאֵזוֹב, כָּךְ טְבִילָה בָאֵזוֹב: \n", + "הִזָּה, סָפֵק מִן הַחוּט, סָפֵק מִן הַכּוּשׁ, סָפֵק מִן הַגִּבְעוֹל, הַזָּיָתוֹ פְסוּלָה. הִזָּה עַל שְׁנֵי כֵלִים, סָפֵק עַל שְׁנֵיהֶם הִזָּה, סָפֵק מֵחֲבֵרוֹ מִצָּה עָלָיו, הַזָּיָתוֹ פְסוּלָה. מַחַט שֶׁהִיא נְתוּנָה עַל הַחֶרֶס, וְהִזָּה עָלֶיהָ, סָפֵק עַל הַמַּחַט הִזָּה, סָפֵק מִן הַחֶרֶס מִצָּה עָלֶיהָ, הַזָּיָתוֹ פְסוּלָה. צְלוֹחִית שֶׁפִּיהָ צַר, טוֹבֵל וּמַעֲלֶה כְדַרְכּוֹ. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, הַזָּיָה רִאשׁוֹנָה. מֵי חַטָּאת שֶׁנִּתְמַעֲטוּ, טוֹבֵל אֲפִלּוּ רָאשֵׁי גִבְעוֹלִין וּמַזֶּה, וּבִלְבַד שֶׁלֹּא יְסַפֵּג. נִתְכַּוֵּן לְהַזּוֹת לְפָנָיו וְהִזָּה לְאַחֲרָיו, לְאַחֲרָיו וְהִזָּה לְפָנָיו, הַזָּיָתוֹ פְסוּלָה. לְפָנָיו, וְהִזָּה עַל הַצְּדָדִין שֶׁלְּפָנָיו, הַזָּיָתוֹ כְשֵׁרָה. מַזִּין עַל הָאָדָם מִדַּעְתּוֹ וְשֶׁלֹּא מִדַּעְתּוֹ. מַזִּין עַל הָאָדָם וְעַל הַכֵּלִים, וַאֲפִלּוּ הֵן מֵאָה: \n", + "נִתְכַּוֵּן לְהַזּוֹת עַל דָּבָר שֶׁהוּא מְקַבֵּל טֻמְאָה וְהִזָּה עַל דָּבָר שֶׁאֵינוֹ מְקַבֵּל טֻמְאָה, אִם יֵשׁ בָּאֵזוֹב, לֹא יִשְׁנֶה. עַל דָּבָר שֶׁאֵינוֹ מְקַבֵּל טֻמְאָה, וְהִזָּה עַל דָּבָר שֶׁמְּקַבֵּל טֻמְאָה, אִם יֵשׁ בָּאֵזוֹב, יִשְׁנֶה. עַל הָאָדָם, וְהִזָּה עַל הַבְּהֵמָה, אִם יֵשׁ בָּאֵזוֹב, לֹא יִשְׁנֶה. עַל הַבְּהֵמָה, וְהִזָּה עַל הָאָדָם, אִם יֵשׁ בָּאֵזוֹב, יִשְׁנֶה. הַמַּיִם הַמְנַטְּפִים, כְּשֵׁרִים. לְפִיכָךְ הֵם מְטַמְּאִין לְשֵׁם מֵי חַטָּאת: \n", + "הַמַּזֶּה מֵחַלּוֹן שֶׁל רַבִּים וְנִכְנַס לַמִּקְדָּשׁ וְנִמְצְאוּ הַמַּיִם פְּסוּלִים, פָּטוּר. מֵחַלּוֹן שֶׁל יָחִיד וְנִכְנַס לַמִּקְדָּשׁ וְנִמְצְאוּ הַמַּיִם פְּסוּלִין, חַיָּב. אֲבָל כֹּהֵן גָּדוֹל, בֵּין מֵחַלּוֹן שֶׁל יָחִיד בֵּין מֵחַלּוֹן שֶׁל רַבִּים, פָּטוּר, שֶׁאֵין כֹּהֵן גָּדוֹל חַיָּב עַל בִּיאַת הַמִּקְדָּשׁ. מַחֲלִיקִין הָיוּ לִפְנֵי חַלּוֹן שֶׁל רַבִּים וְדוֹרְסִין וְלֹא נִמְנָעִין, מִפְּנֵי שֶׁאָמְרוּ, מֵי חַטָּאת שֶׁעָשׂוּ מִצְוָתָן, אֵינָן מְטַמְּאִין: \n", + "אוֹחֵז הוּא הַטָּהוֹר בַּקַּרְדֹּם הַטָּמֵא בִּכְנָפוֹ, וּמַזֶּה עָלָיו. אַף עַל פִּי שֶׁיֵּשׁ עָלָיו כְּדֵי הַזָּיָה, טָהוֹר. כַּמָּה יְהֵא בַמַּיִם וְיִהְיֶה בָהֶם כְּדֵי הַזָּיָה. כְּדֵי שֶׁיַּטְבִּיל רָאשֵׁי גִבְעוֹלִין וְיַזֶּה. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, רוֹאִים אוֹתָם כְּאִלּוּ הֵן עַל אֵזוֹב שֶׁל נְחשֶׁת: \n", + "הַמַּזֶּה בְאֵזוֹב טָמֵא, אִם יֶשׁ בּוֹ כַבֵּיצָה, הַמַּיִם פְּסוּלִים, וְהַזָּיָתוֹ פְסוּלָה. אֵין בּוֹ כַבֵּיצָה, הַמַּיִם כְּשֵׁרִים, וְהַזָּיָתוֹ פְסוּלָה. וּמְטַמֵּא אֶת חֲבֵרוֹ, וַחֲבֵרוֹ אֶת חֲבֵרוֹ, אֲפִלּוּ הֵן מֵאָה: \n", + "הַטָּהוֹר לְחַטָּאת שֶׁנִּטְמְאוּ יָדָיו, נִטְמָא גוּפוֹ, וּמְטַמֵּא אֶת חֲבֵרוֹ, וַחֲבֵרוֹ אֶת חֲבֵרוֹ, אֲפִלּוּ הֵן מֵאָה: \n", + "לָגִין שֶׁל חַטָּאת שֶׁנִּטְמְאוּ אֲחוֹרָיו, נִטְמָא תוֹכוֹ, וּמְטַמֵּא אֶת חֲבֵרוֹ, וַחֲבֵרוֹ אֶת חֲבֵרוֹ, אֲפִלּוּ הֵן מֵאָה. הַזּוֹג וְהָעִנְבָּל, חִבּוּר. כּוּשׁ שֶׁל רוֹבָן, לֹא יַזֶּה לֹא עַל הַכּוּשׁ וְלֹא עַל הַפִּיקָה. וְאִם הִזָּה, מֻזֶּה. שֶׁל פִּשְׁתָּן, חִבּוּר. עוֹר שֶׁל עֲרִיסָה שֶׁהוּא מְחֻבָּר לַפִּיקוֹת, חִבּוּר. הַמַּלְבֵּן, אֵינוֹ חִבּוּר לֹא לְטֻמְאָה וְלֹא לְטָהֳרָה. כָּל יְדוֹת הַכֵּלִים הַקְּדוּחוֹת, חִבּוּר. רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן נוּרִי אוֹמֵר, אַף הַחֲרוּקוֹת: \n", + "הַסַּלִּים שֶׁבַּקַּנְתָּל, וְהַמִּטָּה שֶׁל טַרְבָּל, וְקֶרֶן שֶׁל כְּלִיבָה, וּקְרָנִין שֶׁל יוֹצְאֵי דְרָכִים, וְשַׁלְשֶׁלֶת הַמַּפְתְּחוֹת, וּשְׁלַל הַכּוֹבְסִים, וְהַבֶּגֶד שֶׁהוּא תָפוּר בְּכִלְאַיִם, חִבּוּר לַטֻּמְאָה וְאֵינוֹ חִבּוּר לַהַזָּיָה: \n", + "כִּסּוּי מֵחַם שֶׁהוּא מְחֻבָּר לְשַׁלְשֶׁלֶת, בֵּית שַׁמַּאי אוֹמְרִים, חִבּוּר לַטֻּמְאָה וְאֵינוֹ חִבּוּר לַהַזָּיָה. בֵּית הִלֵּל אוֹמְרִים, הִזָּה עַל הַמֵּחַם, הֻזָּה הַכִּסּוּי. הִזָּה עַל הַכִּסּוּי, לֹא הֻזָּה הַמֵּחָם. הַכֹּל כְּשֵׁרִים לְהַזּוֹת, חוּץ מִטֻּמְטוּם וְאַנְדְּרוֹגִינוֹס וְהָאִשָּׁה. וְתִינוֹק שֶׁאֵין בּוֹ דַעַת, הָאִשָּׁה מְסַעַדְתּוֹ וּמַזֶּה, וְאוֹחֶזֶת לוֹ בַמַּיִם וְהוּא טוֹבֵל וּמַזֶּה. אִם אָחֲזָה בְיָדוֹ, אֲפִלּוּ בִשְׁעַת הַזָּיָה, פָּסוּל: \n", + "טָבַל אֶת הָאֵזוֹב בַּיּוֹם וְהִזָּה בַיּוֹם, כָּשֵׁר. בַּיּוֹם וְהִזָּה בַלַּיְלָה, בַּלַּיְלָה וְהִזָּה בַיּוֹם, פָּסוּל. אֲבָל הוּא עַצְמוֹ טוֹבֵל בַּלַּיְלָה וּמַזֶּה בַיּוֹם, שֶׁאֵין מַזִּין עַד שֶׁתָּנֵץ הַחַמָּה. וְכֻלָּן שֶׁעָשׂוּ מִשֶּׁעָלָה עַמּוּד הַשַּׁחַר, כָּשֵׁר: \n" + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/English/Eighteen Treatises from the Mishna.json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/English/Eighteen Treatises from the Mishna.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..c08a964aaa8ab5c9c9014c2d83bdde0044f974ea --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/English/Eighteen Treatises from the Mishna.json @@ -0,0 +1,56 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Yadayim", + "versionSource": "http://www.sacred-texts.com/jud/etm/index.htm", + "versionTitle": "Eighteen Treatises from the Mishna", + "status": "locked", + "license": "Public Domain", + "versionTitleInHebrew": "שמונה עשרה מסכתות משנה", + "shortVersionTitle": "David Aaron Sola and Morris Jacob Raphall, 1845", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה ידים", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Tahorot" + ], + "text": [ + [ + "A quarter [of a log, a specific unit of volume] of water is to be poured onto the hands, for [the ritual washing of the hands for] one person, and even for two. Half of a log [is to be poured from] for three or four. And from [a vessel containing] one log [of water], five or ten or even one hundred [people may wash their hands]. Rabbi Yose says: but only provided there not be less than a quarter [of a log remaining] for the last one of them [to wash]. One may add [water, by pouring it onto the hands past where it had fallen] on the second [pouring of water; i.e. on a third pouring, one can pour past where the waters fell on the second pouring]. But one may not add on the first [pouring; i.e. on the second pouring, one may not pour past where the waters fell on the first pouring]. ", + "One may pour [water for washing] onto the hands from all [kinds of] vessels, even from vessels of bovine dung, from vessels of stone, or from earthen vessels. One may not pour [water for washing] onto the hands out of the sides of vessels [i.e. from vessel fragments], nor using the [broken off] bottom of a large jug, nor using the bung of a cask, nor may one pour [water] onto [the hands of] his fellow out of the hollow of his [own] hand, since one may only fill, sanctify, or sprinkle the chatat waters [the waters containing the ashes of the red heifer, used as part of the purification ritual] with a vessel, nor may one take them into one's hands. And nothing can be preserved [from being rendered impure, in cases of an impurity caused by being overshadowed by an enclosed area containing an Origin of impurity] by means of a tight seal [which can sometimes protect against an overshadowing impurity], unless it is [contained within] a [whole] vessel. And something can only be preserved from [being rendered impure by an impure object contained beside it within] an earthenware vessel if it is itself a vessel.", + "Regarding waters which have become unfit for animals to drink, if they are in [any kind of] vessels, they are invalid [for washing one's hands]; and if they are in the ground [i.e. in a ditch], they are valid [for washing with them, by immersing one's hands in them]. If ink, sap, or metallic dye fall into them and change their appearance, they are invalid [i.e. the waters are invalid for washing]. If they had been used for any occupation, or if one soaked one's bread in them, they are invalid. Shimon, the Teimani said: even if one intended to soak [one's bread] in these [waters], and it fell into those [waters instead], they are valid [for washing].", + "If one rinsed vessels in them, or if one cleaned out measuring vessels with them, they [i.e. the waters used] are invalid. If one rinsed out [already] rinsed or new vessels, they are valid [i.e. the waters are valid to be used for washing]. Rabbi Yose invalidates [the waters] regarding new ones.", + "Waters into which the baker has dipped [unbaked] rolls are invalid. And when he [instead] rinses his hands in them [and then splashes the rolls with water from his hands], they are valid [i.e. the waters in which he rinsed his hands]. Anyone is valid to pour onto the hands [of another person, in order to wash them], even a deaf-mute, shoteh, or a minor. A man may place a cask between his knees to pour [the water over his hands, to wash them], or tip a barrel onto its side and pour [onto his hands]. An ape may pour [water for washing] onto one's hands. Rabbi Yose considers these two [i.e. tipping a barrel or using an ape] to be invalid." + ], + [ + "If one poured [water] onto one of his hands in one washing [i.e. pouring only once], his hand is pure. If [one poured] onto both of his hands in one washing, Rabbi Meir considers them impure until one pours [onto one's hands, in one pouring,] a quarter [of a log, a specific unit of volume, of water]. If a loaf of terumah [a portion of a crop given to a priest, which can only be consumed by priests or their household] falls into them [i.e. into the quarter log of waters which one washed one's hands with] it is pure. Rabbi Yose considers it impure.", + "Regarding one who poured out the first [waters poured for washing] onto one place [i.e. the waters fell onto a certain area on the ground], and the second [waters poured for washing] onto another place, if a loaf of terumah falls into the first [waters], it is impure; and if [it falls] into the second [waters], it is pure. Regarding one who poured out the first and the second [waters] onto one place, if a loaf of terumah falls [into those waters], it is impure. If one poured out the first [waters], and finds [afterwards] a splinter or a pebble on his hands, his hands are impure [if he poured the second waters before removing them], since the latter [i.e. the second] waters only purify the waters on the hand [but not the waters on the splinter or pebble, which can then, in turn, render the hand impure once more]. Rabbi Shimon ben Gamliel says: anything produced from the water is pure [i.e. does not prevent hands from becoming pure if it is on them while they are being washed].", + "The hands may be rendered impure or pure up to the wrist. How so? If one poured the first [pouring] up to the wrist, and the second [pouring] beyond the wrist, and they [i.e. some of the waters flowed down and] ran back onto the hand, it is pure. If one poured the first and the second [pourings of water] beyond the wrist, and they ran back onto the hand, it is impure. If one poured the first over one hand, and then changed his mind and poured the second over both hands, they are impure. If one poured the first over both hands, and then changed his mind and poured the second over one hand, his hand is pure. If one poured over one hand, and then rubbed it against its fellow [hand], it is impure. If [one rubbed it] against one's head, or against a wall, it is pure. Four or five [people] may pour [water over their hands to wash them] alongside one another or [when their hands are] above one another, provided they be loose, so the waters can enter into them.", + "If there is an uncertainty as to whether they [i.e. the waters which one used to wash one's hands] have been used for any occupation or have not been used for any occupation, or an uncertainty as to whether they contained the required measure [for washing] or did not contain the required measure, or an uncertainty as to whether they were impure or pure [waters], their uncertainties [in all these cases] are pure, since they [i.e. the Sages] said: The uncertainty of hands regarding whether they can be rendered impure, or render impurity, or be rendered pure, is pure [i.e. in all those circumstances of uncertainty they are assumed to be pure]. Rabbi Yose says: regarding [the uncertainty as to] whether they can be rendered pure, they are impure. How so? If one's hands were pure, and before him are two impure loaves, and there is an uncertainty as to whether he touched or did not touch [the impure loaf]; or if one's hands were impure, and before him are two pure loaves, and there is an uncertainty as to whether he touched or did not touch [either of the loaves]; or if one of one's hands was impure and the other pure, and before him are two pure loaves, and he touched one of them, and there is an uncertainty as to whether he touched with the impure [hand] or with the pure one; or if one's hands were pure, and before him are two loaves, one impure and one pure, and he touched one of them, and there is an uncertainty as to whether he touched the impure one or the pure one; or if one of one's hands was impure and one pure, and before him are two loaves, one impure and one pure, and he touched both of them, and there is an uncertainty as to whether [he touched] the impure [loaf] with the impure [hand] and the pure [loaf] with the pure [hand], or the pure [loaf] with the impure [hand] and the impure [loaf] with the pure [hand]. The hands [in all of these cases of uncertainty] are as they were [i.e. with regard to their purity status, remaining either pure or impure], and the loaves [as well] are as they were." + ], + [ + "If one's hand enters into a blighted house [i.e. a leperous house], the hands are [rendered to be of a] primary [degree of impurity], according to Rabbi Akiva. And the Sages say: the hands are [rendered with a] secondary [degree of impurity]. Anything that renders garments impure instantly upon contact, renders the hands to be of a primary [degree of] impurity, according to Rabbi Akiva. And the Sages say: [it renders the hands] to be [of a] secondary [degree of impurity]. They said to Rabbi Akiva, \"Where is there any place that we find that the hands are [rendered impure in a] primary [degree]?\" He said to them, \"And how [else] is it possible that they can be rendered [impure in a] primary [degree] without one's body having been rendered impure, except in this instance!\" Food items and vessels which were rendered impure by liquids, render the hands to be of a secondary [degree of] impurity, according to Rabbi Yehoshua. And the Sages say: that which was rendered impure by an Origin of impurity renders the hands impure; [and that which was rendered impure] by a derivative impurity does not render the hands impure. Rabbi Shimon ben Gamliel said, \"It happened that a woman came before my father, and said to him, 'My hands entered into the air-space of an [impure] earthenware vessel.' He said to her, 'My daughter, through what was its impurity [caused]?' But I did not hear what she said to him.\" The Sages said, \"The matter is elucidated: that which was rendered impure by an Origin of impurity renders the hands impure; [and that which was rendered impure] by a derivative impurity does not render the hands impure.\"", + "Anything that invalidates terumah [a portion of a crop which must be given to a priest, and can only be consumed by priests or their household] renders the hands to be of a secondary [degree of] impurity. One hand renders its fellow [hand] impure, according to Rabbi Yehoshua. And the Sages say: something [of a] secondary [degree of impurity] cannot render something to be [of a] secondary [degree of impurity]. He said to them: Are not sacred scriptures [of a] secondary [degree of impurity], and they render hands to be impure [with a secondary degree of impurity]!? They said to him: we cannot infer Words of Torah [i.e. laws in the written Torah] from Words of Scholars [i.e. laws in the oral Torah], nor Words of Scholars from Words of Torah, nor Words of Scholars from Words of Scholars.", + "Tefillin straps with the Tefillin render the hands impure. Rabbi Shimon says: Tefillin straps do not render the hands impure.", + "The margins in a book [i.e. a Torah scroll], those at the top and those at the bottom and those at the beginning and at the end [of the scroll], render the hands impure. Rabbi Yose says: that [margin] which is at the end does not render the hands impure until a pole [i.e. a roller] is fashioned for it.", + "A book [i.e. a Torah scroll] which was erased leaving only eighty-five letters in it, like the portion of (Numbers 10:35-36), \"And it was when the Ark was raised...,\"‏ renders the hands impure. A scroll on which are written eighty-five letters, like the portion of, \"And it was when the Ark was raised...,\"‏ renders the hands impure. All sacred scriptures render the hands impure. The Song of Songs and Ecclesiastes render the hands impure. Rabbi Yehudah says: The Song of Songs renders the hands impure, but there is a dispute regarding Ecclesiastes. Rabbi Yose says: Ecclesiastes does not render the hands impure, and there is a dispute regarding The Song of Songs. Rabbi Shimon says: Ecclesiastes is among the [relative] leniencies of Beit Shammai, and the [relative] stringencies of Beit Hillel. Rabbi Shimon ben Azzai said, \"I have a recieved tradition from the mouths of seventy-two elders, on the day they inducted Rabbi Elazar ben Azaria into his seat [as head] at the Academy, that The Song of Songs and Ecclesiastes render the hands impure.\" Rabbi Akiva said, \"Mercy forbid! No one in Israel ever disputed that The Song of Songs renders the hands impure, since nothing in the entire world is worthy but for that day on which The Song of Songs was given to Israel; for all the Scriptures are holy, but The Song of Songs is the Holy of Holies! And if they did dispute, there was only a dispute regarding Ecclesiastes.\" Rabbi Yochanan ben Yehoshua, the son of Rabbi Akiva's father-in-law, said, \"In accordance with words of Ben Azzai, thus did they dispute, and thus did they conclude.\"" + ], + [ + "On that very day [on which Rabbi Elazar ben Azaria was inducted into his seat as head at the Academy], they voted and concluded regarding a trough for [the washing of] feet, [capable of containing] between two log [a specific measure of volume] to nine kav [a specific measure of volume, equivalent to four log, that if it became cracked it may [still] be rendered impure with midras impurity [a type of impurity due to being sat on by certain types of impure individuals, rendering something an origin of impurity]. For Rabbi Akiva [contrary to the conclusion reached that day] says: a trough for feet is as its name indicates [i.e. even though a cracked trough could technically be used to sit upon, its utility with regard to whether or not in can be rendered impure is determined by whether it can still be used for washing one's feet].", + "On that very day they said: \"All offerings which were offered not for their own sake [i.e. but rather with some other intention] are valid, only they are not counted to absolve the owners from their obligation, with the exception of the paschal offering and the sin-offering; [this is true of] the paschal offering in its [designated] time, and the sin-offering at all times. Rabbi Eliezar says: and even the guilt-offering [is an exception]; the paschal sacrifice in its [designated] time, and the sin-offering and the guilt-offering at all times. Rabbi Shimon ben Azzai said: \"I have a recieved tradition from the mouths of seventy-two elders, on the day they inducted Rabbi Elazar ben Azaria into his seat [as head] at the Academy, that all offerings which may [generally] be eaten and which have been offered not for their own sake [i.e. but rather with some other intention] are valid, only they are not counted to absolve the owners from their obligation, with the exception of the paschal offering and the sin-offering.\" Ben Azzai [by limiting the statement to offerings which may be eaten] only added the burnt-offering [as an exception], and the Sages did not concede to him.", + "On that very day they said: What is the status [of the lands] of Ammon and Moav on the Seventh [the Sabbatical year of agrarian rest]? Rabbi Tarphon decreed: [those residing in those lands must pay] tithes for the poor. And Rabbi Elazar ben Azaria decreed: [they must bring] ma'aser sheini [the second tithe of produce, which must be taken to Jerusalem and consumed there]. Rabbi Yishmael said, \"Elazar ben Azaria, the onus is upon you to prove your assertion, for you rule stringently, and anyone who rules more stringently, the onus is upon him to bring proof!\" Rabbi Elazar ben Azaria said to him, \"Yishmael, my brother, I have not deviated from the regular order of the years [with regard to the series indicating which tithes one is obligated to bring each year], but my brother Tarphon has deviated, therefore the onus to bring proof rests upon him!\" Rabbi Tarphon responded, \"Egypt is outside of the land [of Israel], and Ammon and Moav are outside of the land [of Israel]; just as Egypt [has a requirement that its inhabitants pay] tithes for the poor during the Seventh [the Sabbatical year], so too Ammon and Moav [should require their inhabitant to likewise pay] tithes for the poor during the Seventh.\" Rabbi Elazar ben Azaria responded, \"Babylon is outside of the land [of Israel], and Ammon and Moav are outside of the land [of Israel]; just as Babylon [pays] ma'aser sheni during the Seventh, so too Ammon and Moav [should likewise pay] ma'aser sheini during the Seventh.\" Rabbi Tarphon said, \"Egypt, being near [to the land of Israel], was made [to require the payment of] tithes for the poor, so that the poor of Israel may be supported by it during the Seventh; so too Ammon and Moav, which are near [the land of Israel], are made [to require the payment of] tithes for the poor, so that the poor of Israel may be supported by them during the Seventh.\" Rabbi Elazar ben Azaria said to him, \"You thereby are like one who provides them with increased money, yet truly only loses souls! Would you defraud the heavens from sending down neither dew nor rain, as it is said (Malachi 3:8), 'Shall a man defraud God? For you have defrauded Me. Yet you say: Through what have we defrauded You? Through tithes and terumah.'\" Rabbi Yehoshua said, \"I will thereby respond as to my brother Tarphon [i.e. expanding on his reasoning], although not regarding the [specific] matter of which he spoke: [the decree regarding the status of] Egypt is a new enactment, [whereas that regarding] Babylon is an old enactment, and the matter in question before us is a new enactment; let a conclusion regarding a new enactment be drawn from a new enactment, and do not let a conclusion regarding a new enactment be drawn from an old enactment! [Moreover, the decree regarding the status of] Egypt is an enactment of the elders, [whereas that regarding] Babylon is an enactment of the prophets, and the matter in question before us is an enactment of the elders; let a conclusion regarding an enactment of the elders be drawn from an enactment of the elders, and do not let a conclusion regarding an enactment of the elders be drawn from an enactment of the prophets!\" They [the Sages] voted and concluded: [The lands of] Ammon and Moav must tithe the tithes for the poor during the Seventh. When Rabbi Yose ben Durmaskit came to Rabbi Eliezer in Lod, he said to him, \"What innovative idea was there among you in the Beit Midrash today?\" He said to him, \"They voted and concluded that Ammon and Moav must tithe the tithes for the poor during the Seventh.\" Rabbi Eliezer wept and exclaimed, (Psalms 25:14) \"'The secrets of the Lord are for those who fear Him, and His covenant to be made known to them!' Go forth and tell them, 'Think nothing of your vote! I have a received tradition from Rabban Yochanan ben Zakkai, who heard it from his rabbi, and his rabbi from his rabbi, up to the law of Moshe from Sinai, that Ammon and Moab tithe the tithes for the poor during the Seventh.'\"", + "On that very day, Yehuda, an Ammonite convert, came and stood before them in the Beit Midrash, and said to them, \"What is my status with regard to whether I can enter [via marriage] into the congregation [of Israel]?\" Rabban Gamliel said to him, \"You are prohibited.\" Rabbi Yehoshua said to him, \"You are permitted.\" Rabban Gamliel said to him, \"The verse says, (Deuteronomy 23:4) 'An Ammonite and a Moavite may not enter into the congregation of the Lord, even to the tenth generation,' and so forth.\" Rabbi Yehoshua said to him, \"And are the Ammonites or Moavites still [dwelling] in their own place? Sancheriv, king of Assyria, already arose and blended all the nations, as the verse says, (Isaiah 10:13) 'I have removed the borders of nations, and I have plundered their treasures, and like a great warrior laid low the inhabitants.'\" Rabban Gamliel said to him, \"The verse [also] states, (Jeremiah 49:6) 'And afterwards I shall return the captives of the children of Ammon,' and they are already returned.\" Rabbi Yehoshua said to him, \"The verse [also] states, (Amos 9:14) 'And I shall return the captives of my nation Israel,' [and Judah], and they are not yet returned.\" They [the Sages, subsequently] permitted him [the Ammonite convert] to enter into the congregation.", + "The [Aramaic] translations which are in [the books of] Ezra and Daniel render the hands impure. [Aramaic] translations written in Hebrew, and Hebrew written in translation or in [ancient] Hebrew characters, do not render the hands impure. They [i.e. sacred Scriptures] never render impurity, unless they are written in Assyrian [i.e. square] characters, on parchment, and with ink.", + "The Sadducees say: We denounce you, Pharisees! For you say that holy Scriptures render the hands impure, but the books of Homer [literally: Hameiras, i.e. secular books] do not render the hands impure. Rabban Yochanan ben Zakkai said \"And is this alone all we have [to object to] over Pharisees? For they also say that the bones of a donkey are pure, but the bones of Yochanan the high priest are impure.\" They [the Sadducees] said to him, \"In accordance with their love is their impurity, so that one does not fashion the bones of his father or his mother into spoons.\" He said to them, \"So too regarding the sacred Scriptures; in accordance with their love is their impurity; and the books Homer, which are not beloved, do not render the hands impure.\"", + "The Sadducees say: We denounce you, Pharisees, for you declare pure the stream [which flows when a liquid is poured from a clean vessel into an unclean one]! The Pharisees say: We denounce you, Sadducees, for you declare pure a channel of water which flows from a cemetery! The Sadducees say: We denounce you, Pharisees, for you say, if my ox or my donkey cause any damage, I am liable [to compensate], but if my manservant or maidservant cause any damage, I am exempt [from compensating]! Just as with regard to my ox and my donkey, with which I am not obligated to perform any mitzvot, and I am thereby [still] liable [to compensate] for damages, does it not follow with regard to my manservant or maidservant, with whom I am obligated to perform mitzvot, that I should be liable [to compensate] for damages [which they cause]?! They [the Pharisees] said to them, \"No. If [i.e. just because] you stated this [law] with regard to my ox or my donkey, which do not have cognitive capabilities, would you say this with regard to my manservant or maidservant who do have cognitive capabilities?!\" For [if that logical leap is made], if I offend [one of] them, he may go and set fire to another's [grain] pile, and I will be liable to pay for damages!\"", + "A Galilean Sadducee said, \"I denounce you, Pharisees, for you inscribe [the name of] the sovereign alongside [the name of] Moshe on a bill of divorce! The Pharisees say: We denounce you, Galilean Sadducee, for you inscribe [the name of] the sovereign alongside the [Divine] Name on the [same] page! And not only that, but you inscribe [the name of] the sovereign on the top, and the [Divine] Name on the bottom, as the verse states, (Exodus 5:2) \"And Pharaoh said, 'Who is the Lord that I should hearken to his voice to release Israel?'\" And what did he says when he was smitten by [by the plagues]? (Exodus 9:11) \"The Lord is the Righteous One.\"" + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git "a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/English/Mischnajot mit deutscher \303\234bersetzung und Erkl\303\244rung. Berlin 1887-1933 [de].json" "b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/English/Mischnajot mit deutscher \303\234bersetzung und Erkl\303\244rung. 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Ordnung Moed, von Eduard Baneth. 1887-1927.
Ordnung Naschim, von Marcus Petuchowski u. Simon Schlesinger. 1896-1933.
Ordnung Nesikin, von David Hoffmann. 1893-1898.
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S. a. die Einleitung zum Traktat. für eine, auch für zwei (Personen)3 Für die beiden Hände einer Person ist ein viertel Log nötig; es genügt aber auch für zwei Personen, obwohl doch dann auf keinen von beiden ein viertel Log kommt. Vgl. Chul. 107a. Notwendig ist nur, dass in dem für eine oder zwei Personen bestimmten Gefäß beim Beginn des Ausgießens ein viertel Log war, und dass die beiden Hände eines jeden bis zur Handwurzel übergossen werden. — Nach Maim. im Komm. und הל׳ מקואות י״א ח׳ bezieht sich die Mischna nur auf das zweite Übergießen der Hände (vgl. II, 1 und Anm. 2 u. 5), wenn sie bereits durch das erste Übergießen rein geworden sind. Beim ersten Übergießen ist nach Maim. ein viertel Log für die Hände jeder einzelnen Person notwendig. — Nach den anderen Erklärern bezieht sich die Mischna auf das erste Übergießen; s. a. Rabed u. כ״מ a. a. O. ein halbes Log4 So nach der Lesart מחצית. Viele Ausgaben haben mit T., M. und L. מחצי לוג „von einem halben Log“. für drei5 Wenn für zwei Personen ¼ Log genügte, müssten für drei ⅜ ausreichen. Doch fürchteten die Weisen, man würde bei ⅜ Log für drei Personen zu sparsam sein und die Hände nicht ganz übergießen. Wenn man aber von ⅜ Log die Hände einer Person übergossen hat, und es ist noch ¼ übrig, so kann man damit zwei Personen übergießen (Rosch). — Vielleicht war kein Messgerät von ⅜ Log üblich, und deshalb musste man für 3 Personen ein halbes Log nehmen. oder vier, von einem Log für fünf und zehn und hundert6 Die hohen Zahlen sind nicht buchstäblich gemeint. Sie sollen nur ausdrücken, dass man mit einem ganzen Log vielen Menschen die Hände übergießen darf, sofern nur die Hände völlig mit Wasser bedeckt werden. (Rosch).. R. Jose sagt: Nur darf es für den letzten von ihnen nicht weniger als ein Viertel sein7 Obwohl es möglich ist, mit weniger als ¼ Log einem Menschen die Hände zu übergießen, muss nach R. Jose für den letzten ¼ übrig bleiben.. Man darf zum zweiten (Wasser)8 Nach Maim. (Einleitung zum Traktat) muss man vor Berührung der Priesterhebe die Hände zweimal übergießen. Beim ersten Übergießen wird das Wasser durch die Hände verunreinigt. Um dies unreine Wasser abzuspülen, muss man die Hände nochmals übergießen. (S. a. הל׳ מקואות י״א ח׳. Das Wasser vom ersten Übergießen heißt das erste Wasser, das vom zweiten das zweite. — Eigentlich müsste das unrein gewordene erste Wasser die Hände wieder verunreinigen und diese wieder das zweite Wasser. Aber die Weisen, die die Händeunreinheit nur aus Vorsicht eingeführt haben, bestimmten, dass diese Unreinheit durch zweimaliges Abspülen verschwindet. Vielleicht war ursprünglich der Zweck des zweiten Abspülens lediglich, das durch die mögliche Unsauberkeit der Hände unsauber gewordene erste Wasser abzuwaschen (vgl. Sabb. 14a Raschi s. v. עסקניות) und wurde dann auch auf die Reinigung der Hände übertragen, die nach Berührung der im dritten Abschnitt unseres Traktates angeführten Gegenstände für unrein erklärt wurden. (Vgl. תוי״ט zu II, 2 s. v. ועל). Nach den meisten Erklärern und Dezisoren ist das zweite Abspülen auch vor Genuss von profanem Brot notwendig, außer wenn man über jede Hand ein viertel Log gießt. S. II, 2 und Orach Chajim. 162. hinzufügen9 Beim Übergießen muss das Wasser die ganze Hand bis zum Handgelenk bespülen. Reichte das Wasser beim ersten Übergießen nicht aus, so hilft es nicht, wenn man noch Wasser nachgießt. Man muss die Hand abtrocknen und dann von neuem mit genügender Menge übergießen. Beim „zweiten Wasser“ (vgl. Anm. 8) kann man Wasser nachgießen, wenn es nicht ausreichte, um die ganze Hand zu bedecken., aber man darf zum ersten nicht hinzufügen9 Beim Übergießen muss das Wasser die ganze Hand bis zum Handgelenk bespülen. Reichte das Wasser beim ersten Übergießen nicht aus, so hilft es nicht, wenn man noch Wasser nachgießt. Man muss die Hand abtrocknen und dann von neuem mit genügender Menge übergießen. Beim „zweiten Wasser“ (vgl. Anm. 8) kann man Wasser nachgießen, wenn es nicht ausreichte, um die ganze Hand zu bedecken..", + "Mit allen Gefäßen darf man (Wasser) auf die Hände geben, sogar mit Gefäßen10 Die so wenig Gefäßcharakter haben, dass sie keine Unreinheit annehmen. Vgl. Vorb. zu Kelim § 15 u. Para V, 5. aus Mist11 Aus einem Gemenge von Rindermist und Erde. S. Kelim X, Anm. 3., aus Stein und aus Erde12 Aus ungebrannter Erde.. Man darf auf die Hände weder mit den Wänden von Gefäßen13 Vgl. Para V, 5 und die Anm. das. Zu שולי המחץ s. a. Kel. II, Anm. 40., noch mit dem Boden eines Zobers13 Vgl. Para V, 5 und die Anm. das. Zu שולי המחץ s. a. Kel. II, Anm. 40., noch mit dem Spund des Fasses13 Vgl. Para V, 5 und die Anm. das. Zu שולי המחץ s. a. Kel. II, Anm. 40. geben14 Nicht mit den Wänden eines zerbrochenen Gefäßes und dem Boden eines Zobers, weil sie nur Bruchstücke eines Gefäßes sind. Nicht mit dem Spund des Fasses, weil er nicht selbständiges Gefäß ist, sondern nur als Verschluss dient. — Wenn man den Spund aber so bearbeitet, dass er ein viertel Log fasst, so darf man mit ihm begießen. Tosefta I, 6 u. Chul. 107 a.. Man darf einen anderen (das Wasser auf die Hände) nicht mit den hohlen Händen geben, weil man das Entsündigungswasser nur mit einem Gefäße füllen, weihen und sprengen darf15 S. Para V, 5 und die Anm. das. und (Wasser) über die Hände (nur mit einem Gefäß) geben darf. Auch schützen nur Gefäße mittels des fest anschließenden Deckels15 S. Para V, 5 und die Anm. das., wie auch16 שאין hier und in Para V, 5 wie ואין: vgl. Beza I, 2 שאפר כירה und Bez. 8a הכי קאמר ואפר כירה. nur Gefäße vor (der Unreinheit) eines irdenen Gefäßes schützen15 S. Para V, 5 und die Anm. das..", + "Das Wasser, das zum Trinken des Viehes unbrauchbar wurde17 Z. B. übelriechendes oder bitteres Wasser., in Gefäßen18 Wenn es in Gefäßen ist, so dass man mit ihm die Hände nur durch Übergießen, nicht durch Eintauchen reinigen könnte., ist untauglich, aber im Boden19 Wenn das Wasser sich in einer Vertiefung in der Erde befindet, ist es dazu tauglich, dass man die Hände durch Hineintauchen reinigt; vgl. Chul. 106a. Wenn das Wasser aber vom Vieh nicht getrunken wird, weil es zu schlammig ist, dann ist es auch zum Eintauchen der Hände untauglich. Vgl. Mikw. II, 9 u. Seb. 22a., ist tauglich. Fiel Tinte20 S. die Anm. zu Para IX, 1., Gummi20 S. die Anm. zu Para IX, 1. oder Vitriol20 S. die Anm. zu Para IX, 1. hinein und seine Färbung veränderte sich, so ist es untauglich21 Auch zum Eintauchen der Hände, da es hierdurch den Wassercharakter verliert.. Hatte man mit ihm eine Arbeit ausgeführt22 Z. B. Wein in ihm gekühlt (Rosch)., oder sein Brot darin eingeweicht, so ist es untauglich23 Auch zum Eintauchen der Hände, weil es nach solcher Benutzung gewöhnlich weggegossen wird (Maim.). מ״א meint, Wasser, in dem Brot eingeweicht wurde, müsste eigentlich weiter als brauchbares Wasser gelten. Doch habe man es für untauglich erklärt, weil es dem Wasser, mit dem Arbeit verrichtet wurde, ähnlich ist.. Simon der Temani24 Nach Rosch aus dem Ort Timna. Vielleicht Timna in Gen. 38, 12 od Jos. 15, 10. — L. hat die von Rosch angeführte Lesart התבני. Vgl. hierzu E. Saphir, Haarez Nr. 1733, 1734, wo das arabische Tebna und Tebne mit Timna identifiziert werden. sagt: auch wenn er beabsichtigte, (das Brot) in dem einen (Gefäß) einzuweichen, es fiel aber in das andere, ist (das Wasser) tauglich.25 Nach Ansicht des ersten Lehrers wird das Wasser untauglich, wenn man mit Absicht das Brot in ihm einweichte; hatte man gar nicht beabsichtigt, Brot einzuweichen, sondern es fiel versehentlich hinein, so bleibt das Wasser tauglich. Hierzu bemerkt R. Simon: das Wasser bleibt auch dann tauglich, wenn man Brot wohl hatte einweichen wollen, aber in einem anderen Gefäß, es war aber versehentlich in dieses Wasser gefallen. — So erklären R. Meir aus Rothenburg und R. Joel Sirkes in ב״ח zu Tur Orach Chaj. 160) und R. Jehosef in מ״ש. — Rasch, Rosch und Maim. in seiner ersten Auffassung ändern אפילו in אם. Dann würde der erste Lehrer das Wasser vielleicht auch dann als untauglich betrachten, wenn das Brot ganz unbeabsichtigt hinein gefallen und eingeweicht wurde, während R. Simon das Wasser für tauglich hält, falls man nicht beabsichtigt hatte, das Brot in ihm einzuweichen. Es wäre dabei unwesentlich, ob man das Brot überhaupt nicht oder in anderem Wasser einweichen wollte. Vgl. hierzu טורי זהב ב׳ zu Orach Chaj. 160, 2.", + "Hatte man mit (dem Wasser) Gefäße abgespült oder Maßgefäße ausgewischt26 Vgl. Reg. II, 21, 13 כאשר ימחה את הצלחת. — Das Abspülen des Maßgefäßes, soll letzte Reste der früher gemessenen Flüssigkeit oder auch nur den Geruch beseitigen, so ist es untauglich. Hatte man mit ihm (bereits) abgespülte Gefäße oder neue abgespült, so ist es tauglich27 Da das Abspülen nicht nötig war, gilt es nicht als eine Arbeit.. R. Jose erklärt es bei neuen (Gefäßen) für untauglich28 Weil man neue Gefäße vor ihrer Benutzung gewöhnlich abspült, betrachtet R. Jose das Abspülen als Arbeit..", + "Das Wasser, in das der Bäcker die Brote29 גלוסקא wohl gr. κόλλιξ s. Krauß, Arch. I, S. 105 u. 472, und in Sokolow-Festschr. S. 409. — Nach dem R. Hai zugeschr. Kommentar ist גלוסקא ein rundes Brot. Hier ist גלוסקא nicht das fertige Brot, sondern der Teig, dem man bereits die Brotform gab. eintaucht30 Nachdem der Teig geformt war, wurde er mit Wasser, Wein od. anderer Flüssigkeit bestrichen oder in Wasser getaucht., ist untauglich23 Auch zum Eintauchen der Hände, weil es nach solcher Benutzung gewöhnlich weggegossen wird (Maim.). מ״א meint, Wasser, in dem Brot eingeweicht wurde, müsste eigentlich weiter als brauchbares Wasser gelten. Doch habe man es für untauglich erklärt, weil es dem Wasser, mit dem Arbeit verrichtet wurde, ähnlich ist., aber das, in dem er seine Hände nass macht31 Um mit ihm den Teig zu befeuchten. Maim., Rosch; s. aber Bet Jos. zu Tur Or. Ch. 160 s. v. ועל מים שהנחתום., ist tauglich32 Da er das im Gefäß zurückbleibende Wasser nicht benutzt hat.. Alle sind tauglich, (Wasser) über die Hände zu geben, sogar ein Taubstummer, ein Irrsinniger und ein Unmündiger. Man darf ein Fass zwischen seine Kniee legen und (die Hände) übergießen33 Da das Wasser auf die Hände nur dadurch laufen kann, dass man das Gefäß mit den Knieen hält, gestattet es auch R. Jose. Das ständige Ausfließen ist durch stets neu wirkende Menschenkraft כח גברא ermöglicht. Nach מגן אברהם zu Orach Ch. 159, 9 ist es nötig, dass das Wasser durch ständig erneute Bewegung der Füße ausgeschüttet wird. oder zur Seite neigen34 Obwohl das Wasser ohne weiteres Zutun des Menschen ausläuft. — Chul. 107a sagt R. Papa: Man darf die Hände nicht dadurch übergießen lassen, dass man sie unter die Berieselungsröhre eines Gartens hält, weil zum Übergießen Menschenkraft nötig ist. — Rasch meint, dies könne auch der nicht genannte erste Lehrer unserer Mischna zugeben. Auch er verlange Übergießen durch einen Menschen oder wenigstens ein Tier; hierzu genüge aber, dass die Kraft auf das Gefäß, aus dem übergossen wird, unmittelbar so einwirkt, dass das Wasser ausfließt. Auf die Berieselungsröhre wirkt aber Menschenkraft nicht unmittelbar ein. Der Mensch hebt zwar den Schöpfeimer, aus dem das Wasser in die Röhre fließt, an ihr selbst tut er aber nichts unmittelbar. — Doch sei es auch möglich, dass der erste Lehrer, der ja auch das Übergießen durch einen Affen gestatte, keine Menschenkraft verlange, während Chul. 107a der Ansicht R. Jose’s folge. — S. auch טורי זהב zu Orach Ch. 159, 9. und übergießen. Der Affe35 Oder auch ein anderes Tier. — Nach dieser Ansicht genügt es, dass ein Lebewesen das Wasser mit Bewusstsein über die Hände gießt. Aber Wasser, das in eine Röhre geschüttet war und in der Röhre oder beim Ausfließen die Hände bespült, genügt nicht; vgl. Maim. הל׳ ברכות פ״ו הל׳ י״ג י״ד. — S. aber die vor. Anm. darf die Hände übergießen. R. Jose erklärt in diesen beiden Fällen (das Übergießen) für untauglich36 Da er Menschenkraft zum Übergießen verlangt; allerdings braucht auch nach R. Jose der Gießende kein Vollsinniger zu sein. Er muss aber das Bewusstsein haben, dass er die Hände übergießt. So Rasch und Rosch nach Tosefta I.." + ], + [ + "Hatte man sich eine Hand1 Wenn nur eine Hand unrein war; vgl. Chagig. III, 2. mit einem Guss2 War nur eine Hand unrein, so genügt zur Reinigung ein einmaliges Übergießen bis zum Handgelenk, falls nur ursprünglich ein viertel Log Wasser im Gefäß war, selbst wenn man inzwischen davon auch die Hände eines anderen übergossen hatte. So nach Rasch u. Rosch. Nach Maimonides besagt der Ausdruck טהורה nur, dass das Wasser auf der Hand als rein gilt, auch wenn es nicht ein viertel Log war. Wenn man dann die Hand nochmals, auch mit weniger als einem viertel Log übergießt, so ist sie rein. Beim Übergießen beider Hände muss nach Maim. das erste Wasser mindestens ein viertel Log sein. Vgl. hierzu I, Anm. 3. übergossen, so ist seine Hand rein. Beide Hände mit einem Guss3 Hatte man beide Hände mit einem Guss übergossen., da erklärt R. Meir für unrein, bis er mit einem Viertel4 Viertel Log. übergießt5 Nach Rasch und Rosch streitet niemand gegen R. Meirs Ansicht, dass beim einmaligen Übergießen ein viertel Log notwendig ist. — Nach Maim. bezieht sich עד שיטול מרביעית auf das nach seiner Auffassung für Priesterhebe (הל׳ מקואות י״א ג׳) immer notwendige zweite Übergießen. Hierfür verlangt R. Meir ein viertel Log. Weil beim ersten Übergießen das Wasser durch die erste Hand verunreinigt wurde, gilt das auf die zweite Hand fließende bereits als verunreinigt. Dieses kann nur durch mindestens ein viertel Log gereinigt werden. Nach dem nicht genannten ersten Lehrer gilt das beim ersten Übergießen auf die zweite Hand geflossene Wasser nicht als verunreinigt. Daher genügt ihm beim zweiten Übergießen ein geringeres Quantum als ein viertel Log. S. a. הל׳ מקואות פ׳ י״א הל׳ ו׳ ח׳ sowie I, Anm. 3.. Fiel ein Laib von Priesterhebe (hinein)6 In das Wasser, das nach Reinigung der Hände auf die Erde floss. Nach Rasch und Rosch handelt es sich um das Wasser des einmaligen Übergießens, nach Maim. um das vom zweiten Übergießen. S. Anm. 2 u. 5., so bleibt er rein7 Wie den Händen gegenüber, gilt das Wasser auch dem Brot gegenüber als rein.. R. Jose erklärt (ihn) für unrein8 Nach R. Jose wird das Brot unrein, weil das von den Händen abgeflossene Wasser es verunreinigt, obwohl es in einem Guss ein viertel Log ausmachte. Er vergleicht diesen Fall mit dem in der nächsten Mischna erwähnten, dass Brot auf die Stelle fiel, wohin zuerst das Wasser vom ersten und dann das vom zweiten Übergießen geflossen war. Nach R. Meir ist unser Fall günstiger, weil das auf einmal in einer Menge von einem viertel Log gegossene Wasser nicht unrein wird (Rasch), bezw. weil es sich um das zweite Wasser handelt (Maim.)..", + "Hatte er das erste (Wasser)9 Das vom ersten Übergießen, nach Maim., auch wenn das Wasser ein viertel Log ausmachte, nach den anderen Erklärern, wenn es weniger als ein viertel Log war. Vgl. Anm. 5 u. 8 und I, Anm. 3. an eine Stelle übergossen und das zweite10 Das nach Maim. immer nötig ist, nach anderen Erklärern, wenn das erste kein viertel Log war; s. a. Anm. 5. an eine andere, und ein Laib von Priesterhebe fiel auf das erste (Wasser), so ist er unrein11 Weil dieses erste Wasser wohl die Hände reinigt, selbst aber unrein wird und Priesterhebe verunreinigt. Vgl. Maim. הל׳ מקואות י״א ג׳. Profanes Brot wird durch das Wasser wohl auch nach denen nicht verunreinigt, die auch für es ein zweimaliges Übergießen fordern. S. תוי״ט s. v. ונפל. — Die Priesterhebe wird auch unrein, wenn sie das Wasser auf der Hand berührt., auf das zweite, so ist er rein12 Da das zweite Wasser rein bleibt.. Hatte er das erste und zweite Wasser an dieselbe Stelle übergossen und ein Laib von Priesterhebe war (dorthin) gefallen, so ist er unrein13 Er wird durch das erste Wasser verunreinigt; denn das zweite reinigt das erste nur, solange es auf den Händen ist.. Hatte er das erste Wasser übergossen, es fand sich aber an seinen Händen ein Stückchen Holz oder ein Krümchen Erde14 Auch wenn es ganz lose auflag, so dass es keine Unterbrechung zwischen Wasser und Hand bildete. So nach Rasch und Rosch. Nach Maim. sind die Hände nur unrein, wenn das Holz oder die Erde fest auflag, so dass das erste Wasser nicht an die darunter liegende Handstelle kam. S. a. Maim. הל׳ מקואות י״א ג׳., so sind seine Hände unrein15 Nach Rasch und Rosch, weil das beim ersten Übergießen unrein gewordene Wasser auf dem Holz oder der Erde durch das zweite Übergießen nicht gereinigt wird und die Hand wieder verunreinigt. Nach Maim. bildete das Holz bezw. die Erde eine Unterbrechung zwischen dem ersten Wasser und der Hand. S. d. vorige Anm.; denn das spätere Wasser reinigt nur das Wasser, das auf seinen Händen ist16 Nach Rasch und Rosch: aber nicht das auf dem Holz oder der Erde. Nach Maim.: Der Zweck des zweiten Wassers ist nur die Reinigung des sich noch auf den Händen befindlichen ersten Wassers, nicht aber die Reinigung der infolge der Unterbrechung noch nicht gereinigten Hand.. R. Simon ben Gamliel sagt: Was im Wasser entstanden ist, (lässt) rein17 Wenn auf der Hand Tierchen sich finden, die im Wasser entstehen, so gelten sie nicht wie Holz oder Erde; daher bleibt die Hand rein. S. a. Mikw. VI, 7..", + "Die Hände werden unrein und rein18 Alle rabbinischen Vorschriften über Unreinheit der Hände und über ihre Reinigung gelten für die Hand bis zum Handgelenk. bis zum Handabschnitt19 Die Bestimmung des Abschnittes פרק ist unter den ersten Amoraim kontrovers, Chul. 106a/b lehrt eine Beraita נטילת ידים לחולין עד הפרק לתרומה עד הפרק קידוש ידים ורגלים במקדש עד הפרק . Nach Raschis Auffassung erklärt Rab לחולין עד הפלק bis zum zweiten Fingergelenk, לתרומה עד הפרק bis zum Ansatz der Finger an den Handrücken, d. h. die ganzen Finger, עד הפרקקידוש ידים bis zur Handwurzel, d. h. die ganze Hand. Samuel lässt für Profanes und Priesterhebe die gleiche Bestimmung in erschwerendem Sinne gelten; verlangt also auch für Profanes das Übergießen der ganzen Finger. Dieser Ansicht pflichtet auch R. Meischa, der Enkel des R. Josua ben Levi, bei. — Nach dieser Auffassung, der sich Rosch, Chul. VIII § 11 anschließt, ist פרק in unserer Mischna der Fingeransatz. Man braucht also vor Genuss von profanem Brot und vor Berührung von Priesterhebe nur die Finger zu übergießen. — Nach Auffassung von Rif (Ber. VIII geg. Ende; s. d. תר״י und Rosch, Chul. a. a. O.) ist עד הפרק immer bis zur Handwurzel. Man muss also auch für Profanes die ganze Hand übergießen. — S. a. Orach Ch. 161, 4.. Wie ist dies gemeint? Hatte er das erste (Wasser) bis zum Handabschnitt gegossen, das zweite über den Abschnitt hinaus, es floss aber auf die Hand zurück, so ist sie rein20 Da das zweite Wasser auf der Hand das erste reinigt und nicht von ihm verunreinigt wird. Es war also rein, als es über den Abschnitt lief. Dort kann es nicht unrein werden (s. Anm. 18); also ist es beim Zurückfließen auf die Hand rein.. Hatte er das erste und das zweite (Wasser) über den Abschnitt hinaus gegossen und sie flossen auf die Hand zurück, so ist sie unrein21 Das erste Wasser wurde auf der Hand unrein. Hier wird es wohl durch das zweite rein, wenn es aber über den Abschnitt hinausläuft, so wird das überlaufende Wasser von dem zweiten erst außerhalb der Hand erreicht. Dort kann es aber durch das zweite Wasser nicht gereinigt werden. Im Gegenteil auch der Teil vom zweiten Wasser, der außerhalb der Hand mit dem ersten in Berührung kommt, wird hierdurch unrein. Das jetzt zurückfließende Wasser vom ersten und zweiten Übergießen ist also unrein und verunreinigt die Hände. (Vgl. Rasch und א״ר). Nach Maim. (Komm. und הל׳ מקואות י״א ד׳) scheint das zweite Wasser außerhalb der Hand zwar nicht unrein zu werden, kann dieses aber nicht reinigen, so dass die Hand nur durch das zurückfließende erste Wasser unrein wird. — Raschi zu Sota 4 b liest in unserer Mischna נטל ראשונים ושניים חוץ לפרק וחזרו ליד טהורה נטל את הראשונים חוץ לפרק ואת השניים ער הפרק וחזרו ליד טמאה . So haben auch תוס׳ שאנץ und wohl auch שבלי הלקט סי׳ קל׳׳ו. Danach könnte das zweite Wasser das erste auch außerhalb der Hand reinigen. S. dagegen Rasch.. Hatte er das erste (Wasser) über seine eine Hand gegossen, dann überlegte er und goss das zweite über seine beiden Hände, so sind sie unrein22 Nach Maim.: weil das zweite Wasser durch die Hand, die er das erste Mal nicht übergossen hatte, unrein wird und dann die früher bereits übergossene Hand verunreinigt. — Rasch und Rosch erklären nach Tosefta II, 4: Auch wenn man beide Hände, aber einzeln, zum ersten Mal übergossen hatte und sie jetzt beim zweiten Übergießen aneinander hält, so verunreinigen sie sich gegenseitig, weil das Wasser des ersten Übergießens auf jeder Hand das der anderen Hand und dadurch diese selbst verunreinigt. Das Wasser des ersten Übergießens ist unrein, solange es nicht durch das zweite Übergießen auf derselben Hand gereinigt wird.. Hatte er das erste (Wasser) über seine beiden Hände gegossen, dann überlegte er und goss das zweite über seine eine Hand23 D. h. über jede seiner Hände einzeln., so ist seine Hand rein24 Wenn er beim ersten Übergießen beide Hände aneinander hält, so verunreinigt der gemeinsame Guss nicht gegenseitig die Hände. Es ist dann gleichgültig, ob beim zweiten Übergießen die Hände wieder gemeinsam oder jede für sich übergossen werden.. Hatte er nur seine eine Hand übergossen und sie dann an der anderen abgerieben, so ist sie unrein25 Das Wasser auf der übergossenen Hand wird durch die nicht übergossene unrein und verunreinigt wieder die übergossene Hand. Da diese Unreinheit nicht von der übergossenen Hand selbst stammt, kann sie nicht durch das zweite Übergießen getilgt werden., an seinem Kopfe26 Nach רמ״א zu Orach Ch. 162, 8 wird die Hand durch Abtrocknen am Haar nicht verunreinigt, nur durch Kratzen (vgl. Or. Ch. 164, 2). Danach ist ראש hier: Kopfhaar. Nach משנה אחרונה bedeutet es: die nicht mit Haar bedeckten Teile des Kopfes. oder an der Wand, so ist sie rein27 Das Wasser vom Übergießen der Hände verunreinigt keinen anderen Körperteil, wird daher durch Berührung mit dem Kopfe nicht unrein. S. a. Anm. 25. — Bleibt aber Wasser am Kopfe oder an der Wand haften, und man berührt es zum zweiten Mal, so wird die Hand unrein. Bart. nach Tosefta I, 3.. Vier oder fünf Menschen dürfen sich nebeneinander oder auch übereinander übergießen28 Das von den Händen des einen auf die des anderen — ohne Unterbrechung in einem Guss — abfließende Wasser gilt diesen gegenüber nicht als verunreinigt, auch nicht als durch Arbeit untauglich geworden oder als nicht aus einem Gefäß kommend und auch nicht als ein Quantum unter einem viertel Log. Rasch nach Tosefta II, 7.; nur müssen sie die Hände locker halten29 Damit das Wasser alle Hände ganz überfließen kann., so dass das Wasser an sie kommen können.", + "Wenn es zweifelhaft ist, ob mit dem Wasser eine Arbeit verrichtet ist30 So dass es untauglich zum Übergießen der Hände wäre. Vgl. I, 3., oder ob keine Arbeit mit ihm verrichtet ist, wenn es zweifelhaft ist, ob es das (notwendige) Maß hatte31 Vgl. I, 1. oder ob es nicht das Maß hatte, wenn es zweifelhaft, ob es unrein32 Nach Maim. haben hier טמאים und טהורים die gewöhnliche Bedeutung –unrein“ und „rein“ Unreines Wasser würde die Hände verunreinigen, so dass sie wieder Priesterhebe verunreinigen. Vgl. III, 2. Die Mischna lehrt nun, dass Wasser, dessen Reinheitscharakter zweifelhaft ist, die Hände nicht nur nicht verunreinigt, sondern sogar reinigen kann, so dass man mit ihnen Priesterhebe berühren darf. — Nach Rasch bedeutet hier טמאים und טהורים „untauglich“ bezw. „tauglich“ zum Übergießen. Die Mischna spricht dann auch vom Übergießen vor Genuss von profanem Brote. — S. a. I, Anm. 8. war, oder ob es rein32 Nach Maim. haben hier טמאים und טהורים die gewöhnliche Bedeutung –unrein“ und „rein“ Unreines Wasser würde die Hände verunreinigen, so dass sie wieder Priesterhebe verunreinigen. Vgl. III, 2. Die Mischna lehrt nun, dass Wasser, dessen Reinheitscharakter zweifelhaft ist, die Hände nicht nur nicht verunreinigt, sondern sogar reinigen kann, so dass man mit ihnen Priesterhebe berühren darf. — Nach Rasch bedeutet hier טמאים und טהורים „untauglich“ bezw. „tauglich“ zum Übergießen. Die Mischna spricht dann auch vom Übergießen vor Genuss von profanem Brote. — S. a. I, Anm. 8. war, so gilt im Zweifelsfall „rein“33 Die Hände würden durch das Übergießen rein., weil (die Weisen) sagten34 Tohor. IV, 7 u. 11.: (jeder) Zweifel betreffs der Hände hinsichtlich des Unreinwerdens und des Verunreinigens oder des Reinwerdens35 Hiermit ist begründet, dass in den bisher angeführten Fällen die Hände als rein gelten., gilt als rein. — R. Jose sagt: hinsichtlich des Reinwerdens gilt als unrein36 Also bestreitet R. Jose, dass die Hände in den bisher angeführten Fällen als rein gelten. Obwohl es sich nur um die leichte rabbinische Unreinheit der Hände handelt, wendet R. Jose den Grundsatz an, dass der einmal festgestellte Zustand durch einen Zweifel nicht als aufgehoben gelten kann. אין ספק מוציא מידי ודאי (יו״ב).. — Wie ist das37 Dass der Zweifel hinsichtlich des Unreinwerdens und der Verunreinigung als rein gilt. — Die Bemerkung, dass R. Jose die Hände im Zweifelsfalle an ihrer Reinigung nicht als rein betrachtet, ist nur eine Parenthese. כיצד schließt sich an den Satz מפני שאמרו an. gemeint? Waren seine Hände rein, und vor ihm lagen zwei unreine Laibe (Brot), und es ist nun ein Zweifel, ob er (sie) berührte oder nicht berührte38 Dies ist ein Beispiel für den Zweifel des Unreinwerdens der Hände. Zum Unreinwerden durch unreines Brot vgl. III, 2.. Waren seine Hände unrein, und vor ihm lagen zwei reine Laibe, und es ist nun ein Zweifel, ob er (sie) berührte oder nicht berührte39 Dies ist ein Beispiel für den Zweifel des Verunreinigens. — Es handelt sich hier um Priesterhebe; Profanes wird durch Unreinheit der Hände nicht unrein.. War eine seiner beiden Hände unrein, die andere rein, und vor ihm lagen zwei reine Laibe, und einen von ihnen berührte er, und es ist nun ein Zweifel, ob er ihn mit der unreinen (Hand) berührte oder mit der reinen berührte39 Dies ist ein Beispiel für den Zweifel des Verunreinigens. — Es handelt sich hier um Priesterhebe; Profanes wird durch Unreinheit der Hände nicht unrein.. Waren seine Hände rein, und vor ihm lagen zwei Laibe, ein unreiner und ein reiner, er berührte einen, es ist aber ein Zweifel, ob er den unreinen berührte oder den reinen berührte38 Dies ist ein Beispiel für den Zweifel des Unreinwerdens der Hände. Zum Unreinwerden durch unreines Brot vgl. III, 2.. War von seinen Händen die eine unrein, die andere rein, und vor ihm lagen zwei Laibe, ein unreiner und ein reiner, er berührte nun beide, es ist aber ein Zweifel, ob den unreinen mit der unreinen (Hand) und den reinen mit der reinen oder den reinen mit der unreinen und den unreinen mit der reinen38 Dies ist ein Beispiel für den Zweifel des Unreinwerdens der Hände. Zum Unreinwerden durch unreines Brot vgl. III, 2. u.39 Dies ist ein Beispiel für den Zweifel des Verunreinigens. — Es handelt sich hier um Priesterhebe; Profanes wird durch Unreinheit der Hände nicht unrein.. Dann bleiben die Hände, wie sie waren, und die Laibe, wie sie waren." + ], + [ + "1 Vgl. Nega’im XII—XIII. Wenn jemand seine Hände in das mit Aussatz behaftete Haus hinein hält, so sind seine Hände (unrein) ersten Grades2 Sie verunreinigen also sogar Profanes und lassen Priesterhebe unrein zweiten Grades werden, so dass die von dem Profanen oder der Hebe berührte Hebe untauglich wird.. Das sind die Worte des R. Akiba. Aber die Weisen sagen: zweiten Grades3 So dass sie wie gewöhnlich nur Priesterhebe untauglich machen.. — Jeder, der die Kleider im Augenblick seiner Berührung verunreinigt4 Wer einen Samenflüssigen oder seinen Samenfluss oder die anderen Sab. V, 6 u. 7 angeführten Unreinheiterzeuger anrührt., verunreinigt die Hände5 Obwohl der durch die Berührung mit diesen Unreinheiterzeugern Verunreinigte einen Menschen nicht verunreinigen kann, verunreinigt er die Hände., dass sie (unrein) ersten Grades werden2 Sie verunreinigen also sogar Profanes und lassen Priesterhebe unrein zweiten Grades werden, so dass die von dem Profanen oder der Hebe berührte Hebe untauglich wird.. Das sind die Worte des R. Akiba. Aber die Weisen sagen: zweiten Grades3 So dass sie wie gewöhnlich nur Priesterhebe untauglich machen.. Sie sagten zu R. Akiba: Wo finden wir irgendwo, dass die Hände ersten Grades werden? Er antwortete ihnen: Wie ist es möglich, dass sie ersten Grades werden, ohne dass sein Körper unrein wird, außer in diesem Falle6 Nur in den Fällen, dass die Hände in ein mit Aussatz behaftetes Haus hineingehalten werden (vgl. Neg. XIII, 10) oder jemanden berühren, der durch Berührung mit den in Sab. V, 6 u. 7 genannten Unreinheiten fähig wurde, auch seine Kleider zur Unreinheit ersten Grades zu verunreinigen, ist es überhaupt denkbar, dass sie unrein ersten Grades werden. In anderen Fällen findet man es nicht, weil die Voraussetzungen hierfür fehlen. Der Ausdruck חוץ מזה „außer in diesem Falle“, obwohl es zwei Fälle sind, ist wohl so zu erklären: außer in dem Falle, dass die Hände an einer Unreinheit anrühren, die unter Umständen als Unreinheiterzeuger gilt. Das mit Aussatz behaftete Haus würde einen Menschen, der mit seinem Kopfe und dem größten Teil seines Körpers hineinkommt, verunreinigen (s. Neg. XIII, 8), verunreinigt aber nicht, wenn sonst ein Körperteil hineinkommt, ביאה במקצת לא שמה ביאה. Die Unreinheit der hineingestreckten Hände ist nur rabbinisch. R. Akiba meint nun, man habe ihre Unreinheit so behandelt, wie sie für den ganzen Körper nach Thoravorschrift wäre, um Irrtum zu vermeiden. Vgl. hierzu Chul. 33 b. — Die Unreinheit der Hände durch Berührung mit dem durch die Sab. V genannten Unreinheiten Verunreinigten rührt ebenfalls von einer Unreinheit her, die unter Umständen nach Thoravorschrift Gegenstände (z. B. die Kleider, die er bei der Berührung an hat), unrein ersten Grades machen kann. ? Die Speisen und Geräte, die durch Flüssigkeiten7 Die nach rabbinischer Vorschrift Geräte verunreinigen, obwohl sie selbst nur unrein ersten Grades sind und Speisen auch dann, wenn sie nur durch Händeunreinheit unrein wurden. S. Sabb. 14 b. verunreinigt wurden, verunreinigen die Hände, dass sie (unrein) zweiten Grades werden. Das sind die Worte des R. Josua. Aber die Weisen sagen: Was durch einen Unreinheiterzeuger verunreinigt wurde8 Also selbst nach Thoravorschrift unrein ersten Grades ist., verunreinigt die Hände, (was) durch erzeugte Unreinheit9 Also selbst nach Thoravorschrift nur unrein zweiten Grades ist. Dieses verunreinigt nicht einmal die Hände, erst recht nicht Speisen und Geräte, die nach Thoravorschrift rein sind; vgl. Anm. 7., verunreinigt die Hände nicht. R. Simon ben Gamliel sagte: Es kam einmal eine Frau zu meinem Vater und sagte ihm: „Meine Hände gerieten in den Luftraum eines irdenen Gefäßes10 Das unrein war. Die Frau hatte bereits, ohne die Hände zu übergießen, Priesterhebe oder Heiliges berührt. Hätte es sich nur darum gehandelt, ob sie jetzt die Hände übergießen solle, so hätte R. Gamliel es wohl sicher bejaht (יו״ב). “. Da sagte er ihr: Meine Tochter: „Und woher rührte seine Unreinheit her?“ Ich habe aber nicht gehört, was sie ihm geantwortet hat. Da sagten die Weisen: Es ist klar11 Da R. Gamliel danach gefragt hat, woher die Unreinheit des irdenen Gefäßes kam, war er der Ansicht, dass die Hände nur dann unrein seien, wenn das Gefäß durch einen Unreinheiterzeuger verunreinigt war.: Was durch einen Unreinheiterzeuger verunreinigt wurde, verunreinigt die Hände, (was) durch erzeugte Unreinheit, verunreinigt die Hände nicht.", + "Alles, was die Priesterhebe untauglich macht12 Also auch Unreines zweiten Grades., verunreinigt die Hände, (unrein) zweiten Grades zu sein13 Auch auf diesen Satz bezieht sich die spätere Bemerkung „das sind die Worte der R. Josua“. Nach den Weisen können, wie die vorige Mischna lehrt, Hände nur durch Unreines ersten Grades verunreinigt werden.. Eine Hand verunreinigt die andere14 Durch Berührung mit der unrein gewordenen Hand wird auch die andere unrein. Maim.; s. aber Tos. Chagig. 24a s. v. בחיבורין. — Nach Maim. u. Bart. geht auch diese Kontroverse hinsichtlich etwaigen Untauglichwerdens von Priesterhebe. Nach Rasch und Rosch geht sie, entsprechend Chag. 24b, nur hinsichtlich Heiligem, während hinsichtlich der Priesterhebe auch R. Josua zugibt, dass eine Hand die andere nicht verunreinigt. — Maim. הל׳ אבות הטומאות פ״ח ז׳ ופ׳ י״ב הל׳ י״ב entscheidet, dass hinsichtlich Priesterhebe die reine Hand durch die Berührung mit der unreinen nicht verunreinigt wird. Hinsichtlich Heiligem wird sie wohl verunreinigt; sogar die Hand eines anderen, wird durch sie verunreinigt; auch ohne Berührung mit der unrein gewordenen wird die andere Hand verunreinigt, wenn die unreine befeuchtet ist. Vgl. hierzu auch Raschi und Tos. Chagiga 24a s. v. בחבורין. S. a. תוי״ט s. v. היד.. Das sind die Worte des R. Josua. Aber die Weisen sagen: (Unreines) zweiten Grades macht nicht (unrein) zweiten Grades15 Daher kann hinsichtlich Priesterhebe eine Hand die andere nicht verunreinigen, wohl aber wird die andere unrein dritten Grades hinsichtlich Heiligem, so dass sie Heiliges untauglich machen kann. S. א״ר und die vorige Anm. — Der Satz der Weisen gilt wohl nur für Unreinheitübertragung durch Berührung. Aber der Genuss einer Unreinheit zweiten Grades verunreinigt wohl auch nach ihnen im zweiten Grade. Vgl. Tohor. II, 2 u. Maim. הל׳ אבות הטומ׳ ח׳ י׳ und Rosch zu Mischna.. Da sagte er zu ihnen: Heilige Schriften sind doch (unrein) zweiten Grades16 Auch Priesterhebe gegenüber; s. Sabb. 14a. Es gehört dies zu den 18 Bestimmungen (Sabb. 13b). — Mischna 5 gilt demnach auch Priesterhebe gegenüber. — Die Weisen trafen diese Bestimmung, damit man nicht die Hebe neben den heiligen Schriften verwahre und hierdurch Mäuse auf die heiligen Schriften ziehe. und verunreinigen die Hände17 Nach der Auffassung, dass auch nach R. Josua die im ersten Teile der Mischna erwähnten Verunreinigungen nur hinsichtlich Heiligem gelten (vgl. Anm. 14), führt R. Josua die Verunreinigung durch heilige Schriften, die auch hinsichtlich der Priesterhebe gilt, an, um zu zeigen, dass der Satz אין שני עושה שני nicht einmal Priesterhebe gegenüber allgemeingültig ist, also gewiss nicht Heiligem gegenüber. Vgl. Tos. Chag. 24b s. v. דתנן. — Dass heilige Schriften die Hände verunreinigen sollen, wurde angeordnet, um zu verhindern, dass man heilige Schriften mit bloßen Händen berühre. S. Sabb. 14a; s. d. Tos. s. v. האוחז.. Da antworteten sie ihm: Man kann keinen Schluss auf Worte der Thora von Worten der Schriftgelehrten ziehen und nicht auf Worte der Schriftgelehrten von Worten der Thora und nicht auf Worte der Schriftgelehrten von Worten der Schriftgelehrten18 Man kann also von der Verunreinigung der Hände durch heilige Schriften nicht auf ihre sonstigen Verunreinigungen schließen..", + "Riemen von Tefillin mit den Tefillin verunreinigen die Hände19 Die Tefillin verunreinigen die Hände wegen der Thoraabschnitte in ihnen. Dann wurde weiter angeordnet, dass auch die Riemen verunreinigen, so lange sie mit den Tefillin verknüpft sind.. R. Simon sagt: Riemen von Tefillin verunreinigen nicht.", + "Der Rand am Buch20 Eines oder mehrere Bücher der Bibel., oben und unten, am Anfang und am Ende21 Der von Schrift freigelassene Teil des Buches am oberen und unteren Rand einer jeden Seite, sowie der unbeschriebene Anfang und das Ende der Buchrolle. verunreinigt die Hände. R. Jehuda sagt: (Der Rand) am Ende verunreinigt erst, wenn man den Rollstock22 Um den das Buch gerollt wird. anbringt.", + "Ein Buch20 Eines oder mehrere Bücher der Bibel., (dessen Schrift) verlöscht ist, es sind aber 85 Buchstaben übrig geblieben, (so viel) wie der Abschnitt ויהי בנסוע הארון23 Num. 10, 35—36. Diese beiden Verse mit insgesamt 85 Buchstaben bilden einen selbständigen Abschnitt, der nach Rabbis Ansicht (Sabb. 116a) als besonderes Buch zu betrachten ist., verunreinigt die Hände24 Da es noch als heiliges Buch gilt.. Eine Buchrolle, in der 85 Buchstaben geschrieben sind, (so viel) wie der Abschnitt ויהי בנסוע הארון23 Num. 10, 35—36. Diese beiden Verse mit insgesamt 85 Buchstaben bilden einen selbständigen Abschnitt, der nach Rabbis Ansicht (Sabb. 116a) als besonderes Buch zu betrachten ist., verunreinigt die Hände25 Da sie bereits als heiliges Buch gilt.. Alle heiligen Schriften26 Nicht nur die Bücher der Thora. verunreinigen die Hände. Das Hohelied und Kohelet verunreinigen die Hände27 Auch das Hohelied und Kohelet haben die Heiligkeit der biblischen Bücher, so dass auch für sie die rabbinische Vorschrift gilt, dass sie die Hände verunreinigen.. R. Jehuda sagt: Das Hohelied verunreinigt die Hände, aber bezüglich Kohelet’s ist ein Streit28 Ob es als heiliges Buch zu gelten hat.. R. Jose sagt: Kohelet verunreinigt die Hände nicht29 Weil es nicht als heiliges Buch gilt, sondern nur als Weisheitsbuch Salomos; s. Meg. 7a. Die dort angeführte Baraita entspricht nicht unserer Mischna S. תוי״ט., aber bezüglich des Hohenliedes ist ein Streit28 Ob es als heiliges Buch zu gelten hat.. R. Simon sagt: Kohelet gehört zu den erleichternden Erscheinungen der Bet Schammai und den erschwerenden der Bet Hillel30 Vgl. Edujot IV u. V. — Nach Bet Schammai verunreinigt es nicht die Hände, nach Bet Hillel wohl.. Es sagte R. Simon ben Asai31 Die gleiche Formel zur Bekräftigung seiner Tradition wendet R. Simon ben Asai auch Seb. I, 3 und Jad. IV, 2 an. Da die Aussprüche der bisher angeführten Lehrer mit אומר (ר״ש) ר״י eingeleitet sind, Ben Asai’s aber mit אמד ר״ש ב״ע scheint er nicht unmittelbar mit den Vorigen gestritten zu haben, sondern seine mit dem ersten Lehrer übereinstimmende Ansicht wurde der Wiedergabe der Kontroverse angefügt.: Ich habe eine Überlieferung von 72 Ältesten32 Die La. זקן haben die meisten Ausgaben, auch M. Sie soll nach Seb. 12b die Einheitlichkeit der Überlieferung ausdrücken (s. auch רש׳׳י und שטה מקובצת z. St.). T und L haben jedoch זקנים. — Auffällig ist die Zahl 72, da doch das Sanhedrin nur 71 Mitglieder hatte (s. Sanh. I, 4). Nach Tos. Sanh. 17b s. v. אחד kam zu den 71 Mitgliedern noch ein über ihnen stehender höchster Beamter, der in Hor. I, 4 erwähnte „Vorzüglichste des Gerichtshofes“ שבבית דין מופלא; s. aber Tos. Sukka 51b s. v. והיו בה — Vielleicht bestand damals ausnahmsweise das Sanhedrin aus 72 Mitgliedern, weil der jugendliche R. Elasar ben Asarja, der ihm seiner Jugend wegen bisher noch nicht angehörte, ihm als neuer Nassi beigetreten war. Vgl. Ber. 28a und רש״ש zu Sanh. 16b s. v. אחד. vom Tage33 Vgl. Ber. 27b. S. a. Halevy, Dor. Har. Ib, S. 318 ff., da man R. Elasar ben Asarja (zum Vorsitzenden) der Akademie einsetzte, dass das Hohelied und Kohelet die Hände verunreinigen34 Weil sie heilige Bücher sind. (und dass)35 Die Worte אמר ר״ע כו׳ gehören noch zu der Tradition Ben Asai’s. R. Akiba war Mitglied jenes Sanhedrin, auf das die Tradition zurückging; s. Ber. 27b. In der damaligen Sitzung tat er den von seinem Schüler Ben Asai zitierten Ausspruch. S. a. מ״ש. R. Akiba sagte: „Gott bewahre !36 Nach der traditionellen Vokalisation ist חַס ein Nomen wie רַב Num. 16, 3 und מַר Jes. 38, 15. Vielleicht ist mit ר״י ברצלוני הל׳ ס״ת לא (zit. bei Ben Jehuda, Thes. 1470) חוס ושלום = „Schonung und Frieden“ zu lesen. Niemand in Israel hat über das Hohelied gestritten, dass es etwa die Hände nicht verunreinige, denn die ganze Welt ist nicht des Tages würdig37 So nach der La. כדאי כיום. L und M lesen ביום danach ist zu erklären: Die ganze Welt war am Tage, da das Hohelied gegeben wurde, dieses Glückes nicht würdig., an dem das Hohelied Israel gegeben wurde; denn alle Hagiographen sind heilig, aber das Hohelied ist hochheilig“. Wenn sie also stritten, so stritten sie nur über Kohelet38 Entschieden aber, dass auch Kohelet als heiliges Buch die Hände verunreinigt. — Bis hierher geht der Ausspruch Ben Asai’s.. Da sagte R. Jochanan, Sohn Josuas39 T., L., M. haben ישוע. des Sohnes des Schwiegervaters R. Akibas: So wie Ben Asai sagt, so stritten sie und entschieden sie40 Über Kohelet hatten sie gestritten und schließlich entschieden, dass es als heiliges Buch die Hände verunreinige." + ], + [ + "An jenem Tage1 An dem in der letzten Mischna des vorigen Abschnittes erwähnten Tage der Einsetzung des R. Elasar ben Asarja; s. dort Anm. 33. stimmten sie ab und entschieden hinsichtlich der Fußbadewanne von einer Größe von zwei Log bis neun Kab, die einen Spalt2 Unten am Boden, so dass sie nicht mehr so viel Wasser fassen kann, wie zum Waschen eines Fußes nötig ist. — S. auch die Erklärung dieses Satzes zu Kel. XX, 2. bekam, dass sie midras — unrein sein kann3 Auch wenn die Wanne zum Fußbad benutzbar ist, kann sie umgestülpt als Sitz dienen. Da aber dann ihre eigentliche Bestimmung nicht zum Sitzen, sondern zum Fußwaschen ist, so gilt sie hinsichtlich der Midras-Unreinheit nicht als Sitzgelegenheit. Vgl. Vb zu Kel. 29 u. 30. — Wenn sie aber nicht mehr zum Waschen der Füße zu gebrauchen ist, so gilt sie als Sitzgelegenheit. Ist die Wanne kleiner als zwei Log, so kann sie nicht als Sitz in Betracht kommen, ist sie größer als 9 Kab, so kann sie nur nach besonderer Herrichtung als Sitz gelten. S. Kelim XX, 2 u. 4 nach Anm. das.. Denn4 Diese Halacha musste durch Abstimmung entschieden werden, weil R. Akiba sie bestritt. R. Akiba sagt: Die Fußbadewanne ist, wie ihr Name5 Auch die gespaltene Wanne, die noch Wanne genannt wird, gilt nicht als Sitzgelegenheit, sondern als zerbrochenes Gerät und wird nicht unrein..", + "An jenem Tage1 An dem in der letzten Mischna des vorigen Abschnittes erwähnten Tage der Einsetzung des R. Elasar ben Asarja; s. dort Anm. 33. sagten sie:6 Diese Mischna findet sich auch Sebachim I, 1 und 3. S. a. dort die Erklärung. Alle Opfer, die nicht für ihren Namen geopfert wurden7 Man hatte z. B. bei Darbringung (שחיטה קבלה הולכה זריקה) eines Friedensopfers (שלמים) gesagt (vgl. Raschi Pes. 63a s. v. והכא Tos. Seb. 4b und תוי״ט und תוס׳ רע״ק zu B. m. III, 12), es solle ein Emporopfer (עולה) sein., sind gültig8 Die weiteren Opferhandlungen haben wie sonst zu geschehen. Falls das Opfer nach seiner ursprünglichen Bestimmung gegessen werden durfte, so hat das auch trotz der Umnennung zu geschehen.. Nur wurden sie nicht ihren Eigentümern als Pflichterfüllung angerechnet9 Sie müssen das Opfer, zu dem sie verpflichtet waren, nochmals bringen.. Eine Ausnahme bilden das Pesachopfer und das Sündeopfer10 Sie sind bei Umnennung völlig ungültig., das Pesachopfer (nur) zu seiner Zeit11 Am Nachmittage des 14. Nisan. S. a. Seb. I, Anm. 5., aber das Sündeopfer jederzeit. R. Elieser sagt: auch das Schuldopfer, das Pesach zu seiner Zeit, das Sündopfer und das Schuldopfer jederzeit. Es sagte R.12 Seb. I, 3 hat nur שמעון בן עזאי, wie es Kid. 49b entspricht. S. dort Raschi s. v. בן עזאי. — L hat hier und III, 8 שמעון ב״ע. Simon ben Asai:13 Vgl. Abschnitt III, 5 und Anm. 31—33. Ich habe eine Überlieferung von 72 Ältesten vom Tage, da man R. Elasar ben Asarja (zum Vorsitzenden) der Akademie einsetzte, dass alle zum Essen bestimmten Opfer14 Also das Emporopfer nicht., die nicht für ihren Namen geopfert würden, gültig sind, nur ihren Eigentümern, nicht als Pflichterfüllung angerechnet werden, mit Ausnahme des Pesach- und Sündopfers.— Ben15 Dieser Schlusssatz ist eine Bemerkung des Redaktors unserer Mischna. Asai fügte (damit) nur das Emporopfer hinzu16 Zum Pesach- und Sündopfer.. Die Weisen stimmten ihm aber nicht zu.", + "An jenem Tage1 An dem in der letzten Mischna des vorigen Abschnittes erwähnten Tage der Einsetzung des R. Elasar ben Asarja; s. dort Anm. 33. sagten sie: Wie steht es mit Ammon und Moab im siebten Jahre17 In den Gebieten von Ammon und Moab, die nicht vom König Sichon erobert waren und daher nicht bei der israelitischen Eroberung Palästinas besetzt werden durften (vgl. Num. 21, 24; Bab. batr. 56a und Tos. s. v. הר; Jeb. 16a, Tos. s. v. עמון) galten nicht die Bestimmungen des Erlassjahres. Obwohl hier nach dem Thoragesetz auch die Priesterhebe und die Zehnten nicht abzuscheiden waren, so musste es nach rabbinischer Vorschrift wie in den anderen Nachbarländern Palästinas geschehen. Die Frage ist nun, ob im Erlassjahre der zweite Zehnte, der selbst oder dessen Auslösesumme in Jerusalem zu verzehren war, abzuscheiden ist oder der Armenzehnte, da doch nach dem Thoragesetz im Erlassjahre keine Abgaben zu leisten sind, also keine Bestimmung bestehen kann, welcher Zehnte zu geben ist. ? Da entschied R. Tarfon: der Armenzehnte (ist zu geben). Aber R. Elasar ben Asarja entschied: der zweite Zehnte. Da sagte R. Ismael: Elasar ben Asarja, du musst einen Beweis bringen, denn du erschwerst18 Der zweite Zehnte hat schwerere Bestimmungen als der Armenzehnte, da er in Jerusalem verzehrt werden muss und Heiligkeitscharakter hat., und wer erschwert, muss den Beweis bringen. Da sagte R. Elasar ben Asarja: Mein Bruder Ismael, ich habe die Reihenfolge der Jahre nicht abgeändert19 Da nach der Thoravorschrift immer auf die Jahre des Armenzehnten, das dritte und sechste Jahr des Jahrsiebentes, ein Jahr des zweiten Zehnten folgt, das vierte, bezw. das erste; denn im siebten, dem Erlassjahre, gibt es nach Thoravorschrift überhaupt keinen Zehnten. Wenn nun die Weisen für die Gebiete von Ammon und Moab auch im Erlassjahre die Abscheidung der Priesterhebe und der Zehnten vorschreiben, so ist anzunehmen, dass in diesem Jahre, das auf ein Jahr des Armenzehnten folgt, der zweite Zehnte zu geben ist., mein Bruder Tarfon hat (sie) abgeändert20 Da nach ihm für Ammon und Moab auf ein Jahr des Armenzehnten wieder ein solches folgt., also muss er den Beweis bringen. Da erwiderte R. Tarfon: Ägypten ist Ausland, Ammon und Moab sind Ausland. So wie in Ägypten der Armenzehnte im siebten Jahre (zu geben ist)21 So wurde damals bestimmt, als man zur Pflicht machte, hier Priesterhebe und die Zehnten zu geben. — In Ammon und Moab wohnten vielleicht damals keine Juden, so dass damals für diese Länder keine Bestimmungen getroffen wurden. Vielleicht gab es aber ursprünglich auch Bestimmungen für Ammon und Moab, da sie aber zeitweise keine jüdische Bevölkerung hatten, fehlte die sichere Überlieferung., so auch in Ammon und Moab der Armenzehnte im siebten Jahre. Da erwiderte R. Elasar ben Asarja: Babel ist Ausland, Ammon und Moab sind Ausland. Wie in Babel der zweite Zehnte im siebten Jahre (zu geben ist)21 So wurde damals bestimmt, als man zur Pflicht machte, hier Priesterhebe und die Zehnten zu geben. — In Ammon und Moab wohnten vielleicht damals keine Juden, so dass damals für diese Länder keine Bestimmungen getroffen wurden. Vielleicht gab es aber ursprünglich auch Bestimmungen für Ammon und Moab, da sie aber zeitweise keine jüdische Bevölkerung hatten, fehlte die sichere Überlieferung., so auch in Ammon und Moab der zweite Zehnte im siebten Jahre. Da sagte R. Tarfon: Für Ägypten, das nahe (zu Palästina) liegt, bestimmten sie den Armenzehnten, damit die Armen Israels sich im siebten Jahre auf es stützen könnten22 Um von den dortigen Juden den Armenzehnten zu erhalten., so wurde auch für Ammon und Moab, die nahe liegen, der Armenzehnte bestimmt, damit sich die Armen Israel im siebten Jahre auf sie stützen könnten. Da sagte R. Elasar ben Asarja: Scheinbar gibst du ihnen Vermögensvorteil23 מְהַנָּן pi. zu √הנה (Ben Jehuda, Thes. II 1129 liest מַהֲנָן hif. √(הנה also: gibst du ihnen einen Vorteil. Nach der Vokalisation ed. Livorno מְהַנֵּן wäre es pi. √הנןת die sonst nicht belegt scheint. (in Wirklichkeit) schädigst du die Seelen24 Du verleitest sie zur Sünde, dass sie nicht pflichtgemäß den zweiten Zehnten geben. In Wirklichkeit hilfst du auch nicht in wirtschaftlicher Hinsicht. Denn als Strafe für die Nichtabgabe des zweiten Zehnten wird der Regen ausbleiben.. Du zwingst den Himmel, dass er keinen Regen und Tau herabsendet. Denn es heißt: „Darf der Mensch denn Gott berauben, dass ihr mich beraubet? Und ihr sprechet: Womit haben wir dich beraubet? — Mit dem Zehnten und der Priesterhebe“25 Mal. 3, 8. Wie aus Vs. 9 u. 10 zu ersehen ist, war zur Zeit Mal’achi’s eine durch Dürre hervorgerufene Missernte als Strafe für die nicht richtige Abgabe der Priesterhebe und der Zehnten.. Da sagte R. Josua: Ich bin wie ein Antwortender für meinen Bruder Tarfon, aber nicht in der Art seiner Worte26 Ich stimme ihm zu und habe R. Elasar’s Einwand zurückzuweisen, aber mit einem anderen Argument. Denn gegen R. Tarfons Argument ist R. Elasar’s Einwand berechtigt. — על טרפון אחי hat dann die Bedeutung „neben …“: Ägypten ist eine neue Einrichtung, Babel eine alte Einrichtung und der uns vorliegende Fall27 Die Abgabenpflicht für Ammon und Moab. ist eine neue Einrichtung. Man soll eine neue Einrichtung von einer neuen Einrichtung ableiten und nicht eine neue Einrichtung von einer alten Einrichtung ableiten. Ägypten ist eine Einrichtung der Ältesten28 Wohl der Männer der großen Versammlung oder der Generationen nach ihnen. — Vielleicht wurde die Abgabenpflicht für Ägypten damals eingeführt, als es durch die Ptolemäer mit Palästina politisch verbunden war., Babel eine Einrichtung der Propheten29 Wohl durch die Propheten zur Zeit des bab. Exils., und der uns vorliegende Fall27 Die Abgabenpflicht für Ammon und Moab. ist Einrichtung der Ältesten. Man soll eine Einrichtung der Ältesten von einer Einrichtung der Ältesten ableiten, und nicht eine Einrichtung der Ältesten von einer Einrichtung der Propheten ableiten. — Sie30 Die Gelehrten des Lehrhauses in Jabne. stimmten ab und beschlossen: Ammon und Moab geben den Armenzehnten im siebten Jahre. — Und als R. Jose ben Durmaskis zu R. Elieser nach Lud31 Die meisten Mischnaausgaben lesen בלוד, aber T., M. und L. ללוד — R. Elieser hatte an der Sitzung im Lehrhaus nicht teilgenommen wegen des Bannes, der über ihn ausgesprochen war. Vgl. Bab. m. 59b; s. a. Halevy, Dor. Har. Ic, S, 286 ff. kam, fragte er ihn: Was gab es heute Neues bei euch im Lehrhaus. Da antwortete er ihm: Ammon und Moab geben den Armenzehnten im siebten Jahre. Da weinte32 Aus Rührung, dass die Gelehrten nach der Überlieferung entschieden hatten, obwohl sie ihnen unbekannt war. Vielleicht auch aus Schmerz, dass er an der Versammlung nicht hatte teilnehmen können. R. Elieser und sagte: Der Rat Gottes ist bei denen, die ihn fürchten, und sein Bund, dass er ihn ihnen kund tue32a Ps. 25, 14.. Gehe hinaus und sage ihnen: Habt kein Bedenken über eure Abstimmung33 Ihr habt das Richtige getroffen.. Ich habe eine Überlieferung von R. Jochanan ben Sakkai, der von seinem Lehrer hörte, und sein Lehrer von seinem Lehrer bis zur Halacha Mosche’s vom Sinai34 Wenn die Abgabenpflicht für Ammon und Moab nur rabbinische Vorschrift ist, kann der Ausdruck הלכה למשה מסיני nur uneigentlich gemeint sein und nur besagen, dass die Einrichtung des Armenzehnten für Ammon und Moab sehr alt ist. So Rasch und Bart. — Doch wäre es denkbar, dass R. Elieser der Ansicht war, dass die Abgabepflicht Thoragebot ist. Dann könnte die Bestimmung des Armenzehnten für das siebte Jahr sinaitische Überlieferung sein. So ist es auch nach dem Wortlaut der Tosefta II, 16. מקובלני מריב״ז שקיבל מן הזוגות והזוגות מן הנביאים והנביאים ממשה הלכה למשה מסיני , dass Ammon und Moab den Armenzehnten im siebten Jahre geben.", + "An jenem Tage kam Jehuda, ein ammonitischer Proselyt, und stand vor ihnen35 Den Weisen. im Lehrhaus und sagte zu ihnen: Darf ich in die Gemeinde kommen36 D. h. Eine israelitische Frau heiraten. ? Da sagte zu ihm R. Josua: Du darfst es. Da sagte zu ihm R. Gamliel: Der Schriftvers sagt:37 So die meisten Ausgaben, auch M, L. T. hat והכתיב: Es steht doch geschrieben. — Dt. 23, 4. „Ein Ammoniter und ein Moabiter dürfen nicht in die Gemeinde Gottes kommen. Auch das zehnte Geschlecht usw.“ Da sagte zu ihm R. Josua: Sind denn die Ammoniter und Moabiter noch an ihren Wohnorten ? Sancherib, der König von Aschur, ist doch schon hinaufgezogen und hat alle Völker durcheinander gewirbelt38 Also kann man auch von den aus ammonitischem Gebiet stammenden Proselyten nicht sagen, dass sie gebürtige Ammoniter sind. Da nun die Proselyten der meisten Völker — aller außer den Edomitern, Ägyptern, Ammonitern und Moabitern — israelitischer Frauen heiraten dürfen, kann man annehmen, dass auch der aus ammonitischem Gebiet stammende Proselyt ein Abkömmling eines der Völker ist, deren Proselyten israelitische Frauen heiraten dürfen.; denn es heißt38a Jes. 10, 13, ק׳.: „Ich verwischte die Grenzen der Völker, ihre Schätze plünderte ich und holte herab die in festen Burgen Wohnenden. Da sagte zu ihm R. Gamliel: Der Vers sagt39 Jer. 49, 6.: „Später werde ich die Gefangenen der Söhne Ammons zürückbringen“ (Jer 49, 6). Sie sind also bereits zurückgekehrt39a Also sind jetzt wieder die Bewohner des Ammoniterlandes Ammoniter.. Da sagte zu ihm R. Josua: Der Schriftvers40 Amos 9, 14. sagt (auch): „Ich werde die Gefangenen meines Volkes Israel zurückführen“ (Amos 9, 14). Und sie sind noch nicht zurückgekehrt40a Da diese Verheißung noch nicht eingetroffen ist, kann man auch nicht annehmen, dass die Rückkehr Ammons sich schon verwirklicht hat. — Ber. 28a wird darauf aufmerksam gemacht, dass, wie man aus unserer Mischna ersieht, R. Gamliel trotz seiner Absetzung das Lehrhaus weiter besuchte.. — Darauf hin erlaubten sie ihm, in die Gemeinde zu kommen36 D. h. Eine israelitische Frau heiraten..", + "Die aramäischen41 Wörtlich: die Übersetzung. Da aber z. Zt. der Mischna — allerdings mit Ausnahme der griechischen Übersetzung — die Übersetzungen der Bibel aramäisch waren, nahm תרגום die Bedeutung von aramäischer Sprache an. Stellen in Esra und Daniel verunreinigen die Hände42 Da sie als heilige Schrift zu betrachten sind. Vgl. III, 9 und Anm. 17.. Aramäische Stellen, die hebräisch43 In hebräischer Übersetzung. geschrieben sind, und hebräische Stellen, die aramäisch41 Wörtlich: die Übersetzung. Da aber z. Zt. der Mischna — allerdings mit Ausnahme der griechischen Übersetzung — die Übersetzungen der Bibel aramäisch waren, nahm תרגום die Bedeutung von aramäischer Sprache an. geschrieben sind, und die hebräische Schrift44 In den vulgär hebräischen Schriftzügen, deren man sich zur Zeit des ersten Tempels bediente, und die auch nach Esra bei den Samaritanern im Gebrauch war. Vgl. Sanh. 21b und 22a. — S. a. Anm. 45. verunreinigen die Hände nicht. Es44a Das heilige Buch. verunreinigt immer nur, wenn man es assyrisch45 In den „assyrischen“ Schriftzügen, der seit der Rückkehr aus dem babylonischen Exil für heilige Schriften allein zulässigen Quadratschrift. Sanh. 21b; s. auch 22a למה נקרא אשורית שעלה עמהם מאשור תניא רבי אומר בתחלה בכתב זה ניתנה תורה לישר' כיון שחטאו נהפך להם לרועץ וכיון שחזרו בהן החזירו להן ... למה נקרא שמה אשורית שמאושרת בכתב. Doch s. a. die dort angeführte Ansicht des R. Elasar Hamudai. auf Pergament und mit Tinte geschrieben hat.", + "Sadduzäer sagten: Wir klagen gegen46 קבל in der Bedeutung „klagen“ findet sich in der Mischna nur hier und in den folgenden Mischnajot. Im Aramäischen ist diese Bedeutung gewöhnlich. gegen euch Pharisäer, dass ihr behauptet, die heiligen Schriften verunreinigen die Hände47 Die Sadduzäer wussten die Bedeutung dieser Unreinheit nicht oder stellten sich so, als wüssten sie sie nicht., während die Bücher „Hameram“48 Die Lesart המירם in den meisten Ausgaben, auch in T., M. u. L. lässt die Erklärung „Bücher Homers“ als Prototyp nichtheiliger Schriften nicht zu. Der dem Gaon R. Hai zugeschriebene Kommentar liest allerdings דמרוס Maim., Rasch und Rosch bezeichnen ספרי מירם als ketzerische Schriften. I. Perles, R. I. E. III, 109 ff erklärt nach Saadja Gaon (Aruch s. v. המר) הומר als Allegorie (הומר = כמין חומר) und ספרי המירם als allegorische, nicht heilige Schriften, Kohut, I. Q. R. III, 546 המירם=ἵμϵρος Verlangen, Liebe, danach ספרי המירם = Unterhaltungs- oder Liebesschriften. — S. a. Kohut, Aruch compl. s. v. מרום. die Hände nicht verunreinigen. Da sagte R. Jochanan ben Sakkai: Haben wir49 Auffällig ist לנו על הפרושים da doch R. Jochanan selbst Pharisäer war. Vielleicht verstellte er sich als Sadduzäer, um die Gegner leichter ad absurdum führen zu können. gegen die Pharisäer denn nur dieses? Sie sagen doch die Knochen eines Esels sind rein, während die Kochen des Hohenpriesters Jochanan50 Gemeint ist wohl der Berach. 29a erwähnte Hohepriester Jochanan, der wegen seiner späteren Hinneigung zu den Sadduzäern auch bei ihnen sehr angesehen war. Über die Identifizierung des Hohenpriesters Jochanan vgl. Bondi, Jahrb. der J. L. G. VI, S. 374 ff. — Die Unreinheit von Menschenknochen und die Reinheit der Eselsknochen bestritten die Sadduzäer nicht. Um sie nach ihrer eigenen Ansicht zu schlagen, stellte sich R. Jochanan, als meinte er, diese Bestimmung gelte nur nach pharisäischer Auffassung. unrein sind. Da sagte sie: Entsprechend ihrer Wertschätzung ist ihre Unreinheit, damit man nicht etwa aus den Knochen51 Vgl. Kel. XVII, 12. seines Vaters oder seiner Mutter Löffel herstellte52 Diese platte Begründung der Thorabestimmung ist sadduzäisch.. Da sagte er zu ihnen: Auch bei den heiligen Schriften entspricht ihre Unreinheit ihrer Wertschätzung53 R. Jochanan benutzt die Begründung der Sadduzäer, um diese mit ihrer eigenen Ansicht zurückzuweisen. Den wirklichen Grund für die Händeunreinheit s. III, Anm. 17., während die Bücher „Hameram“, die nicht geschätzt werden, die Hände nicht verunreinigen.", + "Sadduzäer sagten: Wir klagen gegen euch Pharisäer, dass ihr den Strahl des (Gusses) für rein erklärt54 Vgl. Machschirim V, 9.. Da sagten die Pharisäer: Wir klagen gegen euch Sadduzäer, dass ihr den Wasserarm, der vom Friedhof kommt, für rein erklärt55 Vgl. Mikwaot I, 4. — Da der Wasserarm auch nach Ansicht der Pharisäer rein ist, bedeutet die Anklage nur: nach euerer Anklage gegen uns, müsste man auch euch anklagen.. Sadduzäer sagten: Wir klagen gegen euch Pharisäer, dass ihr sagt: „Wenn mein56 Der Eigentümer des Ochsen und des Esels bezw. des Knechtes und der Magd ist als redend gedacht. Ochs und mein56 Der Eigentümer des Ochsen und des Esels bezw. des Knechtes und der Magd ist als redend gedacht. Esel Schaden angerichtet haben, so sind sie57 Gemeint ist: ich bin für ihr Tun schuldig. Dies steht ausdrücklich in der Thora (Ex. 21, 35) wird also von den Sadduzäern zugegeben. schuldig57 Gemeint ist: ich bin für ihr Tun schuldig. Dies steht ausdrücklich in der Thora (Ex. 21, 35) wird also von den Sadduzäern zugegeben.; wenn aber mein Knecht und meine Magd Schaden angerichtet haben, so sind sie frei“58 Gemeint ist: bin ich frei von der Ersatzpflicht für den von ihnen angerichteten Schaden; vgl. Bab. k. VIII, 4. — Hiergegen wandten sich die Sadduzäer.. Wenn ich schon schuldig bin für die Schädigung meines Ochsen und meines Esels, für deren Gesetzeserfüllung ich nicht haftbar bin59 D. h. Es gibt für die Tiere keine Pflichten, so dass der Herr sie etwa dazu anhalten müsste. — Dagegen ist der Herr verpflichtet, sein Vieh am Sabbat ruhen zu lassen., ist da nicht zu folgern, dass ich schuldig bin für die Schädigung meines Knechtes und meiner Magd, für deren Gesetzeserfüllung ich haftbar bin60 Ich muss z. B. darauf achten, dass sie am Sabbat auch nicht für sich selbst arbeiten oder dass mein Knecht beschnitten wird. ? — Da antworteten sie ihnen: Nein, wenn ihr von meinem Ochsen und meinem Esel sprechet, die keinen Verstand besitzen, könnt ihr (deshalb) von meinem Knecht meiner Magd sprechen, die Verstand besitzen? Denn wenn ich ihn61 אקניטנו bezieht sich grammatisch nur auf den Knecht. Das gleiche gilt natürlich auch für die Magd. ärgere, würde er hingehen62 Falls ich für sein Tun haftbar wäre., und den Garbenhaufen eines anderen63 So die meisten Ausgaben, auch T. und M. Ed. Liv. und L אחד „irgendeinen Menschen“. anzünden, und ich wäre verpflichtet zu bezahlen64 Mein Knecht könnte mich zu unübersehbarem Schadenersatz verpflichten. Ich hätte dann eine Verantwortung, die ich nicht tragen könnte. Vgl. Bab. k. 4a..", + "Ein galiläischer Sadduzäer65 Die meisten Ausgaben haben wie auch M. צדוקי הגלילי. Bei T. fehlt, vielleicht mit Rücksicht auf die Zensur, גלילי. — Ed. Livorno hat אפיקורוס גלילי. Rosch hat מין, L. מין גלילי. sagte: Ich klage (den Namen) des Herrschers gegen euch Pharisäer, dass ihr mit dem Mosche’s im Scheidebrief schreibt66 Es handelt sich vielleicht um einen Vorwurf galiläischer Zeloten gegen die Pharisäer, die aus politischer Rücksicht den Scheidebrief nach den Regierungsjahren der römischen Kaiser datierten. Vgl. Git. VIII, 5 und 80a. Da die Schlussformel des Scheidebriefes כדת משה וישראל lautet, wurden also der Name des jeweiligen Herrschers und der Mosche’s geschrieben.. Da sagten die Pharisäer: Wir klagen67 D. h.: Nach deinen Worten müsste man auch euch Sadduzäer anklagen; vgl. Anm. 55. gegen dich, galiläischer Sadduzäer, dass ihr den Namen des Herrschers mit dem Gottes auf eine Seite schreibt. Und noch weiter: Ihr schreibt (den Namen) des Herrschers oben und den Gottes unten; denn es heißt: Da sagte Pharao: Wer ist Gott, dass ich auf seine Stimme hören soll, Israel zu entsenden68 Ex. 5, 2. — Es ist also falsch, in der gleichzeitigen Erwähnung mit dem nichtjüdischen Herrscher eine Herabsetzung Mosche’s zu sehen.. — Aber als er die Strafe erhielt, was sagte er: „Gott ist der Gerechte“69 Ex. 9, 27. — Dieser für die Diskussion entbehrliche Zusatz soll dem Traktat einen guten Abschluss geben.." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..2e8cf479cd3550b71e13a7bb19ee00a14d96ab37 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/English/Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp.json @@ -0,0 +1,56 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Yadayim", + "versionSource": "http://learn.conservativeyeshiva.org/mishnah/", + "versionTitle": "Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp", + "status": "locked", + "priority": 1.0, + "license": "CC-BY", + "shortVersionTitle": "Dr. Joshua Kulp", + "actualLanguage": "en", + "languageFamilyName": "english", + "isBaseText": false, + "isSource": false, + "direction": "ltr", + "heTitle": "משנה ידים", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Tahorot" + ], + "text": [ + [ + "[A minimum of] a quarter [of a log] of water must be poured over the hands for one [person] and even for two. A minimum of half a log must be poured over the hands for three or four persons. A minimum of one log [is sufficient] for five, ten, or one hundred persons. Rabbi Yose says: as long as there is not less than a quarter of a log left for the last person among them. More [water] may be added to the second water, but more may not be added to the first water.", + "Water may be poured over the hands out of any kind of vessel, even out of vessels made of animal dung, out of vessels made of stone or out of vessels made of clay. Water may not be poured from the sides of [broken] vessels or from the bottom of a ladle or from the stopper of a jar. Nor may one pour [water] over the hands of his fellow out of his cupped hands. Because one may not draw, nor sanctify, nor sprinkle the water of purification, nor pour water over the hands except in a vessel. And only vessels closely covered with a lid protect [their contents from uncleanness]. And only vessels protect [their contents from uncleanness] inside earthenware vessels.", + "Water which had become so unfit that it could not be drunk by a beast: If it was in a vessel it is invalid, But if it was in the ground it is valid. If there fell into [the water], dye, or gum or sulphate of copper and its color changed, it is invalid. If a person did any work with it or soaked his bread in it, it is invalid. Shimon of Teman says: even if he intended to soak his bread in one water and it fell into another water the water is valid.", + "If he cleansed vessels with the water or scrubbed measures with it, [the water] is invalid. If he rinsed with it vessels which had already been rinsed or new vessels, it is valid. Rabbi Yose declares [the water] invalid if they were new vessels.", + "Water in which the baker dips his loaves is invalid; but if he moistened his hands in the water it is valid. All are fit to pour water over the hands, even a deaf-mute, an imbecile, or a minor. A person may place the jug between his knees and pour out the water, or he may turn the jug on its side and pour it out. A monkey may pour water over the hands. Rabbi Yose declares these [latter] two cases invalid." + ], + [ + "If he poured water over one of his hands with a single rinsing his hand becomes clean. If over both his hands with a single rinsing: Rabbi Meir declares them to be unclean until he pours a minimum of a quarter of a log of water over them. If a loaf of terumah fell on the water the loaf is clean. Rabbi Yose declares it to be unclean.", + "If he poured the first water over his hands [while standing] in one place, and the second water over his hands [while standing] in another place, and a loaf of terumah fell on the first water, the loaf becomes unclean. But if it fell on the second water it remains clean. If he poured the first and the second water [while standing] in one place, and a loaf of terumah fell onto the water, the loaf becomes unclean. If he poured the first water over his hands and a splinter or a piece of gravel is found on his hands, [his hands] remain unclean, because the latter water only makes the first water on the hands clean. Rabban Shimon ben Gamaliel says: if any creature from the water [was on the hands while they are being cleaned] they are clean.", + "Hands become unclean and are made clean as far as the joint. How so? If he poured the first water over the hands as far as the joint and poured the second water over the hands beyond the joint and the latter flowed back to the hands, the hands are clean. If he poured the first and the second water over the hands beyond the joint and they flowed back to the hands, the hands remain unclean. If he poured the first water over one of his hands and then changed his mind and poured the second water over both his hands, they are unclean. If he poured the first water over both his hands and then changed his mind and poured the second water over one of his hands, his one hand becomes clean. If he poured water over one of his hands and rubbed it on the other hand it remains unclean. If he rubbed it on his head or on the wall it is clean. Water may be poured over the hands of four or five persons, each hand being by the side of the other, or being one above the other, provided that the hands are held loosely so that the water flows between them.", + "If there was a doubt whether any work has been done with the water or not, a doubt whether the water contains the requisite quantity or not, a doubt whether it is unclean or clean, in these cases the doubt is considered to be clean because they have said in a case of doubt concerning hands as to whether they have become unclean or have conveyed uncleanness or have become clean, they are considered to be clean. Rabbi Yose says: in a case [of doubt as to] whether they have become clean they are considered to be unclean. How so? If his hands were clean and there were two unclean loaves before him and there was a doubt whether he touched them or not; Or if his hands were unclean and there were two clean loaves before him and there was a doubt whether he touched them or not; Or if one of his hands was unclean and the other clean and there were two clean loaves before him and he touched one of them and there was a doubt whether he touched it with the unclean hand or with the clean hand; Or if his hands were clean and there were two loaves before him one of which was unclean and the other clean and he touched one of them and there was a doubt whether he touched the unclean one or the clean one; Or if one of his hands was unclean and the other clean and there were two loaves before him one of which was unclean and the other clean, and he touched both of them, and there is a doubt whether the unclean hand touched the unclean loaf or whether the clean hand touched the clean loaf or whether the clean hand touched the unclean loaf or whether the unclean hand touched the clean loaf The hands remain in the same state as they were before and the loaves remain in the same state as they were before." + ], + [ + "If a person puts his hands inside a house with scale disease, his hands have first degree uncleanness, the words of Rabbi Akiba. But the sages say: his hands have second degree uncleanness. Whoever defiles garments: at the time when he touches [the uncleanness], he defiles hands so that they have first degree uncleanness, the words of Rabbi Akiba. But the sages say: such that they have second degree of uncleanness. They said to Rabbi Akiba: where do we find anywhere that hands have first degree uncleanness? He said to them: but how is it possible for them to become unclean with first degree uncleanness without his whole body becoming unclean? Only in these cases [can they have first degree uncleanness]. Foods and vessels which have been defiled by liquids convey second degree of uncleanness to the hands, the words of Rabbi Joshua. But the sages say: that which has been defiled by a father of uncleanness conveys uncleanness to the hands, but that which has been defiled by an offspring of uncleanness does not defiled the hands. Rabban Shimon ben Gamaliel said: it happened that a certain woman came before my father and said to him, \"My hands went into the air-space inside an earthenware vessel.\" He said to her: \"My daughter, what was the cause of its uncleanness?\" But I did not hear what she said to him. The sages said: the matter is clear that which has been defiled by a father of uncleanness conveys uncleanness to the hands, but that which has been rendered unclean by an offspring of uncleanness does not defiled the hands.", + "Anything which disqualifies terumah defiles hands with a second degree of uncleanness. One [unwashed] hand defiles the other hand, the words of Rabbi Joshua. But the sages say: that which has second degree of uncleanness cannot convey second degree of uncleanness. He said to them: But do not the Holy Scriptures which have second degree of uncleanness defile the hands? They said to him: the laws of the Torah may not be argued from the laws of the scribes, nor may the laws of the scribes be argued from the laws of the Torah, nor may the laws of the scribes be argued from [other] laws of the scribes.", + "The straps of the tefillin [when connected] with the tefillin [boxes] defile the hands. Rabbi Shimon says: the straps of the tefillin do not defile the hands.", + "The margin on a scroll which is above or below or at the beginning or at the end defiles the hands. Rabbi Judah says: the margin at the end does not render unclean [the hands] until a handle is fastened to it.", + "A scroll on which the writing has become erased and eighty-five letters remain, as many as are in the section beginning, \"And it came to pass when the ark set forward\" (Numbers 10:35-36) defiles the hands. A single sheet on which there are written eighty-five letters, as many as are in the section beginning, \"And it came to pass when the ark set forward\", defiles the hands. All the Holy Scriptures defile the hands. The Song of Songs and Kohelet (Ecclesiastes) defile the hands. Rabbi Judah says: the Song of Songs defiles the hands, but there is a dispute about Kohelet. Rabbi Yose says: Kohelet does not defile the hands, but there is a dispute about the Song of Songs. Rabbi Shimon says: [the ruling about] Kohelet is one of the leniencies of Bet Shammai and one of the stringencies of Bet Hillel. Rabbi Shimon ben Azzai said: I have received a tradition from the seventy-two elders on the day when they appointed Rabbi Elazar ben Azariah head of the academy that the Song of Songs and Kohelet defile the hands. Rabbi Akiba said: Far be it! No man in Israel disputed that the Song of Songs [saying] that it does not defile the hands. For the whole world is not as worthy as the day on which the Song of Songs was given to Israel; for all the writings are holy but the Song of Songs is the holy of holies. If they had a dispute, they had a dispute only about Kohelet. Rabbi Yohanan ben Joshua the son of the father-in-law of Rabbi Akiva said in accordance with the words of Ben Azzai: so they disputed and so they reached a decision." + ], + [ + "On that day the votes were counted and they decided that a footbath holding from two logs to nine kavs which was cracked could contract midras uncleanness. Because Rabbi Akiva said a footbath [must be considered] according to its designation.", + "On that day they said: all animal sacrifices which have been sacrificed under the name of some other offering are [nevertheless] valid, but they are not accounted to their owners as a fulfillment of their obligations, with the exception of the pesah and the sin-offering. [This is true of] the pesah in its correct time and the sin-offering at any time. Rabbi Eliezer says: [with the exception] also of the guilt-offering; [so that this refers to] the pesah in its correct time and to the sin- and guilt-offerings at any time. Rabbi Shimon ben Azzai said: I received a tradition from the seventy-two elders on the day when they appointed Rabbi Elazar ben Azariah head of the college that all animal sacrifices which are eaten and which have not been sacrificed under their own name are nevertheless valid, but they are not accounted to their owners as a fulfillment of their obligations, with the exception of the pesah and the sin-offering. Ben Azzai only added [to these exceptions] the wholly burnt-offering, but the sages did not agree with him.", + "On that day they said: what is the law applying to Ammon and Moab in the seventh year? Rabbi Tarfon decreed tithe for the poor. And Rabbi Elazar ben Azariah decreed second tithe. Rabbi Ishmael said: Elazar ben Azariah, you must produce your proof because you are expressing the stricter view and whoever expresses a stricter view has the burden to produce the proof. Rabbi Elazar ben Azariah said to him: Ishmael, my brother, I have not deviated from the sequence of years, Tarfon, my brother, has deviated from it and the burden is upon him to produce the proof. Rabbi Tarfon answered: Egypt is outside the land of Israel, Ammon and Moab are outside the land of Israel: just as Egypt must give tithe for the poor in the seventh year, so must Ammon and Moab give tithe for the poor in the seventh year. Rabbi Elazar ben Azariah answered: Babylon is outside the land of Israel, Ammon and Moab are outside the land of Israel: just as Babylon must give second tithe in the seventh year, so must Ammon and Moab give second tithe in the seventh year. Rabbi Tarfon said: on Egypt which is near, they imposed tithe for the poor so that the poor of Israel might be supported by it during the seventh year; so on Ammon and Moab which are near, we should impose tithe for the poor so that the poor of Israel may be supported by it during the seventh year. Rabbi Elazar ben Azariah said to him: Behold, you are like one who would benefit them with gain, yet you are really as one who causes them to perish. Would you rob the heavens so that dew or rain should not descend? As it is said, \"Will a man rob God? Yet you rob me. But you: How have we robbed You? In tithes and heave-offerings\" (Malakhi 3:8). Rabbi Joshua said: Behold, I shall be as one who replies on behalf of Tarfon, my brother, but not in accordance with the substance of his arguments. The law regarding Egypt is a new act and the law regarding Babylon is an old act, and the law which is being argued before us is a new act. A new act should be argued from [another] new act, but a new act should not be argued from an old act. The law regarding Egypt is the act of the elders and the law regarding Babylon is the act of the prophets, and the law which is being argued before us is the act of the elders. Let one act of the elders be argued from [another] act of the elders, but let not an act of the elders be argued from an act of the prophets. The votes were counted and they decided that Ammon and Moab should give tithe for the poor in the seventh year. And when Rabbi Yose ben Durmaskit visited Rabbi Eliezer in Lod he said to him: what new thing did you have in the house of study today? He said to him: their votes were counted and they decided that Ammon and Moab must give tithe for the poor in the seventh year. Rabbi Eliezer wept and said: \"The counsel of the Lord is with them that fear him: and his covenant, to make them know it\" (Psalms 25:14). Go and tell them: Don't worry about your voting. I received a tradition from Rabbi Yohanan ben Zakkai who heard it from his teacher, and his teacher from his teacher, and so back to a halachah given to Moses from Sinai, that Ammon and Moab must give tithe for the poor in the seventh year.", + "On that day Judah, an Ammonite convert, came and stood before them in the house of study. He said to them: Do I have the right to enter into the assembly? Rabban Gamaliel said to him: you are forbidden. Rabbi Joshua said to him: you are permitted. Rabban Gamaliel said to him: the verse says, \"An Ammonite or a Moabite shall not enter into the assembly of the Lord: even to the tenth generation\" (Deuteronomy 23:4). R. Joshua said to him: But are the Ammonites and Moabites still in their own territory? Sanheriv, the king of Assyria, has long since come up and mingled all the nations, as it is said: \"In that I have removed the bounds of the peoples, and have robbed their treasures, and have brought down as one mighty the inhabitants\" (Isaiah 10:1. Rabban Gamaliel said to him: the verse says, \"But afterward I will bring back the captivity of the children of Ammon,\" (Jeremiah 49:6) they have already returned. Rabbi Joshua said to him: [another] verse says, \"I will return the captivity of my people Israel and Judah\" (Jeremiah 30:3). Yet they have not yet returned. So they permitted him to enter the assembly.", + "The Aramaic sections in Ezra and Daniel defile the hands. If an Aramaic section was written in Hebrew, or a Hebrew section was written in Aramaic, or [Hebrew which was written with] Hebrew script, it does not defile the hands. It never defiles the hands until it is written in the Assyrian script, on parchment, and in ink.", + "The Sadducees say: we complain against you, Pharisees, because you say that the Holy Scriptures defile the hands, but the books of Homer do not defile the hands. Rabban Yohanan ben Zakkai said: Have we nothing against the Pharisees but this? Behold they say that the bones of a donkey are clean, yet the bones of Yohanan the high priest are unclean. They said to him: according to the affection for them, so is their impurity, so that nobody should make spoons out of the bones of his father or mother. He said to them: so also are the Holy Scriptures according to the affection for them, so is their uncleanness. The books of Homer which are not precious do not defile the hands.", + "The Sadducees say: we complain against you, Pharisees, that you declare an uninterrupted flow of a liquid to be clean. The Pharisees say: we complain against you, Sadducees, that you declare a stream of water which flows from a burial-ground to be clean? The Sadducees say: we complain against you, Pharisees, that you say, my ox or donkey which has done injury is liable, yet my male or female slave who has done injury is not liable. Now if in the case of my ox or my donkey for which I am not responsible if they do not fulfill religious duties, yet I am responsible for their damages, in the case of my male or female slave for whom I am responsible to see that they fulfill mitzvot, how much more so that I should be responsible for their damages? They said to them: No, if you argue about my ox or my donkey which have no understanding, can you deduce from there anything concerning a male or female slave who do have understanding? So that if I were to anger either of them and they would go and burn another person's stack, should I be liable to make restitution?", + "A Galilean min said: I complain against you Pharisees, that you write the name of the ruler and the name of Moses together on a divorce document. The Pharisees said: we complain against you, Galilean min, that you write the name of the ruler together with the divine name on a single page [of Torah]? And furthermore that you write the name of the ruler above and the divine name below? As it is said, \"And Pharoah said, Who is the Lord that I should hearken to his voice to let Israel go?\" (Exodus 5:2) But when he was smitten what did he say? \"The Lord is righteous\" (Exodus 9:27)." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/English/Talmud Bavli. German. Lazarus Goldschmidt. 1929 [de].json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/English/Talmud Bavli. German. Lazarus Goldschmidt. 1929 [de].json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..96c2ef6521755715b572ac52e4e3720d123b0d78 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/English/Talmud Bavli. German. Lazarus Goldschmidt. 1929 [de].json @@ -0,0 +1,58 @@ +{ + "language": "en", + "title": "Mishnah Yadayim", + "versionSource": "https://www.nli.org.il/he/books/NNL_ALEPH001042448/NLI", + "versionTitle": "Talmud Bavli. German. 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MAN DARF HINZUFÜGEN BEIM ZWEITENBERGIESSEN]3Wenn das Wasser nicht bis zum Handgelenke reicht. Hier handelt es sich um das Händewaschen, dh. durch Aufgießen abspülen, zum Essen von Hebe, wobei ein zweimaliges Aufgießen erforderlich ist; nach manchen ist dies auch zur profanen Mahlzeit erforderlich., NICHT ABER BEIM ERSTEN4Reichte das Wasser nicht bis zum Handgelenke, so müssen sie die Hände abtrocknen u. es abermals bis zum Handgelenke gießen. Dies die einfachste u. leichtfaßlichste der mannigfachen Erklärungen dieser dunklen Mišna..", + "MAN DARF DIE HÄNDE WASCHEN MIT ALLEN GEFÄSSEN, AUCH MIT GEFÄSSEN AUS RINDERMIST, GEFÄSSEN AUS STEIN, GEFÄSSEN AUS ERDE. MAN DARF DIE HÄNDE NICHT WASCHEN MIT WANDUNGSSTÜCKEN VON GEFÄSSEN, DEM BODEN EINES ZOBERS ODER DEM SPUNDE5Der eine Vertiefung hat. EINES FASSES. MAN DARF AUCH NICHT SEINEM NÄCHSTEN [WASSER] MIT DER HOHLEN HAND AUFTUN, WEIL MAN NUR MIT EINEM GEFÄSSE DAS ENTSÜNDIGUNGSWASSER6Cf. Num. 19,9ff.SCHÖPFEN, WEIHEN UND SPRENGEN, UND [BEIM HÄNDEWASCHEN] DAS WASSER ÜBER DIE HÄNDE GIESSEN DARF. AUCH SCHÜTZT EIN FESTSCHLIESSENDER DECKEL7Gegen Verunreinigung des Inhalts; cf. Lev. 19,15. NUR BEI GEFÄSSEN, WIE AUCH VOR TONGEFÄSSEN8Vor der Unreinheit im Hohlraume eines Tongefäßes. NUR GEFÄSSE SCHÜTZEN.", + "WASSER, DAS ZUM TRINKEN FÜR EIN VIEH NICHT MEHR TAUGLICH IST, IST IN EINEM GEFÄSSE UNTAUGLICH UND AM BODEN TAUGLICH9Man darf damit nicht die Hände begießen, wohl aber darin die Hände durch Eintauchen reinigen.. IST DARIN TINTE, GUMMI ODER VITRIOL HINEINGEKOMMEN UND SEIN AUSSEHEN VERÄNDERT WORDEN, SO IST ES UNTAUGLICH; HAT MAN ES ZU EINER ARBEIT VERWENDET ODER SEIN BROT DARIN EINGEWEICHT, SO IST ES UNTAUGLICH. ŠIMON DER TEMANITE SAGT, SELBST10Das W. אפילו ist hier gänzlich unvcrständlich; statt der spitzfindigen Erklärungsversuche der Kommentare ist mit R. Šimšon entweder dieses Wort zu streichen od. פסולין st. כשרין zu lesen.WENN MAN BEABSICHTIGT HAT, [BROT] IN ANDERES EINZUWEICHEN, UND ES IN DIESES GEKOMMEN IST, SEI ES TAUGLICH.", + "HAT MAN DARIN GERÄTE ABGESPÜLT ODER MESSGEFÄSSE AUSGESPÜLT, SO IST ES UNTAUGLICH; HAT MAN DARIN ABGESPÜLTE GERÄTE ODER NEUE ABGESPÜLT, SO IST ES TAUGLICH. NACH R. JOSE IST ES, WENN NEUE, UNTAUGLICH.", + "DAS WASSER, WORIN DER BÄCKER DIE BREZELN11Vor dem Backen.EINTAUCHT, IST UNTAUGLICH; WORIN ER ABER NUR DIE HÄNDE ANFEUCHTET, IST TAUGLICH. ALLE SIND ZULÄSSIG, WASSER ÜBER DIE HÄNDE ZU GIESSEN, AUCH EIN TAUBER, EIN BLÖDER UND EIN MINDERJÄHRIGER. MAN KANN DAS FASS ZWISCHEN DIE KNIEE NEHMEN UND [ÜBER DIE HÄNDE] GIESSEN12Von selbst laufen lassen., EBENSO DARF MAN EIN FASS AUF DIE SEITE NEIGEN UND [ÜBER DIE HÄNDE] GIESSEN. AUCH EIN AFFE DARF DAS WASSER ÜBER DIE HÄNDE GIESSEN. NACH R. JOSE IST ES IN DIESEN BEIDEN FÄLLEN UNTAUGLICH13Das Übergießen muß durch menschliche Kraft erfolgen.." + ], + [ + "HAT MAN EINE HAND1Wenn nur eine unrein war. MIT EINEM GUSSE ÜBERGOSSEN, SO IST SEINE HAND REIN; WENN BEIDE HÄNDE MIT EINEM GUSSE, SO SIND SIE NACH R. MEÍR UNREIN, ES SEI DENN, MAN HAT AUS EINEM VIERTELLOG GEGOSSEN. FÄLLT DARIN2In das Wasser nach dem Händewaschen. EIN LAIB VON HEBE, SO IST ER REIN, UND NACH R. JOSE UNREIN.", + "WENN MAN DAS ERSTE MAL AN EINER STELLE UND DAS ZWEITE MAL3Vgl. S. 845 Anm. 3. AN EINER ANDEREN STELLE ÜBERGOSSEN HAT UND EIN LAIB VON HEBE IN DAS ERSTE [WASSER] FÄLLT, SO IST ES UNREIN, UND WENN IN DAS ZWEITE, SO IST ES REIN; WENN MAN DAS ERSTE UND DAS ZWEITE MAL AN EINER STELLE ÜBERGOSSEN HAT UND EIN LAIB VON HEBE HINEINFÄLLT2In das Wasser nach dem Händewaschen., SO IST ES UNREIN. WENN MAN DAS ERSTE MAL ÜBERGOSSEN HAT UND EIN SPÄNCHEN ODER EIN KLÜMPCHEN AN SEINEN HÄNDEN FINDET, SO SIND SEINE HÄNDE UNREIN4Auch nach dem 2. Übergießen., DENN DAS LETZTERE WASSER MACHT NUR DAS WASSER AN DER HAND REIN. R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGT, WAS IM WASSER ENTSTEHT5Wenn man solches nach dem Waschen an den Händen findet., SEI REIN.", + "DIE HÄNDE WERDEN UNREIN UND REIN BIS ZUM HANDGELENKE. ZUM BEISPIEL: WENN MAN DAS ERSTE MAL BIS ZUM HANDGELENKE UND DAS ZWEITE MAL AUSSERHALB DES HANDGELENKES GEGOSSEN HAT UND ES AUF DIE HAND ZURÜCKGEFLOSSEN IST, SO IST SIE REIN; WENN MAN ABER DAS ERSTE MAL UND DAS ZWEITE MAL AUSSERHALB DES HANDGELENKES GEGOSSEN HAT UND ES AUF DIE HAND ZURÜCKGEFLOSSEN IST, SO IST SIE UNREIN. WENN MAN DAS ERSTE MAL ÜBER EINE HAND GEGOSSEN HAT UND SICH DARAUF ÜBERLEGT UND DAS ZWEITE MAL ÜBER BEIDE HÄNDE GIESST, SO SIND SIE UNREIN6Das 1. Wasser ist unrein u. macht die andere unrein.; WENN MAN DAS ERSTE MAL ÜBER BEIDE HÄNDE GEGOSSEN HAT UND SICH DARAUF ÜBERLEGT UND DAS ZWEITE MAL ÜBER EINE HAND GIESST, SO IST SEINE HAND REIN. HAT MAN [DAS WASSER] ÜBER SEINE HAND GEGOSSEN UND SIE AN DER ANDEREN ABGERIEBEN, SO IST SIE UNREIN; WENN AM KOPFE ODER AN DER WAND, SO IST SIE REIN. VIER ODER FÜNF [PERSONEN] KÖNNEN NEBENEINANDER ODER ÜBEREINANDER DIE HÄNDE WASCHEN, NUR MÜSSEN SIE SIE LOSE HALTEN, DAMIT DAS WASSER AN SIE HERANKOMMEN KANN.", + "BESTEHT EIN ZWEIFEL, OB DAMIT EINE ARBEIT VERRICHTET WORDEN IST ODER DAMIT KEINE ARBEIT VERRICHTET WORDEN IST, EIN ZWEIFEL, OB ES DAS QUANTUM HATTE ODER DAS QUANTUM NICHT HATTE, EIN ZWEIFEL, OB ES UNREIN WAR ODER REIN WAR, SO SIND SIE IM ZWEIFEL REIN, DENN SIE SAGTEN, BEI JEDEM ZWEIFEL INBETREFF DER HÄNDE, OB HINSICHTLICH DES UNREIN WERDENS, DES UNREINMACHENS ODER DES REINWERDENS, SEIEN SIE REIN. R. JOSE SAGT, WENN HINSICHTLICH DES REINWERDENS, SEIEN SIE UNREIN. ZUM BEISPIEL: WENN SEINE HÄNDE REIN WAREN UND VOR IHM ZWEI UNREINE LAIBE LIEGEN, UND EIN ZWEIFEL BESTEHT, OB ER SIE BERÜHRT HAT ODER NICHT BERÜHRT HAT, ODER WENN SEINE HÄNDE UNREIN WAREN UND VOR IHM ZWEI REINE LAIBE LIEGEN, UND EIN ZWEIFEL BESTEHT, OB ER SIE BERÜHRT HAT ODER NICHT BERÜHRT HAT, ODER WENN SEINE EINE HAND REIN UND EINE HAND UNREIN WAR UND ER VON ZWEI VOR IHM LIEGENDEN LAIBEN EINEN BERÜHRT HAT, UND EIN ZWEIFEL BESTEHT, OB ER IHN MIT DER UNREINEN BERÜHRT HAT ODER MIT DER REINEN BERÜHRT HAT, ODER WENN SEINE HÄNDE REIN WAREN UND ER VON ZWEI VOR IHM LIEGENDEN LAIBEN, EINER REIN UND EINER UNREIN, EINEN BERÜHRT HAT, UND EIN ZWEIFEL BESTEHT, OB ER DEN UNREINEN BERÜHRT HAT ODER DEN REINEN BERÜHRT HAT, ODER WENN VON SEINEN HÄNDEN EINE UNREIN UND EINE REIN WAR UND ER VON ZWEI VOR IHM LIEGENDEN LAIBEN, EINER UNREIN UND EINER REIN, BEIDE BERÜHRT HAT, UND EIN ZWEIFEL BESTEHT, OB DEN UNREINEN MIT DER UNREINEN UND DEN REINEN MIT DER REINEN ODER DEN REINEN MIT DER UNREINEN UND DEN UNREINEN MIT DER REINEN, SO BLEIBEN DIE HÄNDE, WIE SIE WAREN, UND DIE LAIBE, WIE SIE WAREN." + ], + [ + "WENN JEMAND SEINE HÄNDE IN EIN AUSSÄTZIGES HAUS HINEINSTECKT, SO SIND SEINE HÄNDE ERSTGRADIG [UNREIN] SO R. A͑QIBA; DIE WEISEN SAGEN, SEINE HÄNDE SEIEN ZWEITGRADIG [UNREIN]. WAS BEI DER BERÜHRUNG1Der unreinen Sache, beispielsweise was von einem Flußbchafteten kommt. DIE KLEIDER UNREIN MACHT2Die zweitgradige Unreinheit., MACHT DIE HÄNDE ERSTGRADIG [UNREIN]SO R. A͑QIBA ; DIE WEISEN SAGEN, ZWEITGRADIG [UNREIN]. SIE SPRACHEN ZU R. A͑QIBA: WO FINDEN WIR IRGENDWO, DASS DIE HÄNDE ERSTGRADIG UNREIN WERDEN!? ER ERWIDERTE IHNEN: SIE KÖNNEN AUCH NICHT ANDERS ERSTGRADIG [UNREIN] WERDEN, ALS IN DEM FALLE, WENN SEIN KÖRPER UNREIN GEWORDEN IST. DURCH FLÜSSIGKEITEN UNREIN GEWORDENE SPEISEN UND GERÄTE MACHEN DIE HÄNDE ZWEITGRADIG [UNREIN] – SO R. JEHOŠUA͑ ; DIE WEISEN SAGEN, DIE DURCH EINE HAUPTUNREINHEIT UNREIN GEWORDEN SIND, MACHEN DIE HÄNDE UNREIN, UND DIE DURCH EINE ABSTAMMENDE UNREINHEIT, MACHEN DIE HÄNDE NICHT UNREIN. R. ŠIMO͑N B. GAMLIÉL SAGTE: EINST KAM EINE FRAU VOR MEINEN VATER UND SAGTE IHM, IHRE HÄNDE SEIEN IN DEN HOHLRAUM EINES [UNREINEN] TONGEFÄSSES GEKOMMEN. DA SPRACH ER ZU IHR: WOHER KAM SEINE UNREINHEIT? ICH HABE ABER NICHT GEHÖRT, WAS SIE IHM GEANTWORTET HAT. DIE WEISEN SPRACHEN: DIE SACHE IST KLAR; WAS DURCH EINE HAUPTUNREINHEIT UNREIN GEWORDEN IST, MACHT DIE HÄNDE UNBEIN, UND WAS DURCH EINE ABSTAMMENDE UNREINHEIT, MACHT DIE HÄNDE NICHT UNREIN.", + "WAS DIE HEBE UNTAUGLICH MACHT2Die zweitgradige Unreinheit., MACHT DIE HÄNDE ZWEITGRADIG UNREIN; EINE HAND MACHT DIE ANDERE UNREIN SO R. JEHOŠUA͑. DIE WEISEN SAGEN, ZWEITGRADIGES MACHE NICHT ZWEITGRADIG [UNREIN]. ER SPRACH ZU IHNEN: DIE HEILIGEN SCHRIFTEN SIND JA ZWEITGRADIG [UNREIN]3Cf. infra IV,6., UND SIE MACHEN DIE HÄNDE UNREIN!? SIE ERWIDERTEN IHM: MAN FOLGERE NICHT HINSICHTLICH WORTE DER TORA VON WORTEN DER SCHRIFTKUNDIGEN4Die die Unreinheit der heil. Schriften angeordnet haben; cf. Sab. Fol. 13b., NICHT HINSICHTLICH WORTE DER SCHRIFTKUNDIGEN VON WORTEN DER TORA, UND NICHT HINSICHTLICH WORTE DER SCHRIFTKUNDIGEN VON WORTEN DER SCHRIFTKUNDIGEN.", + "DIE RIEMEN DER TEPHILLIN MIT DEN TEPHILLIN MACHEN DIE HÄNDE UNREIN; R. ŠIMO͑N SAGT, DIE RIEMEN DER TEPIHLLIN MACHEN DIE HÄNDE NICHT UNREIN.", + "DER RAND EINES BUCHES5Der heil. Schrift., OBEN UND UNTEN, AM ANFANG UND AM ENDE, MACHT DIE HÄNDE UNREIN; R. JEHUDA SAGT, DER AM ENDE MACHE ERST DANN UNREIN, WENN MAN DIE ROLLWALZE6Worauf die Torarolle gewickelt wird; vorher kann der Rand am Schlusse weggeschnitten werden. ANGEBRACHT HAT.", + "WENN EIN BUCH VERWISCHT WORDEN IST UND FÜNFUNDACHTZIG BUCHSTABEN ZURÜCKGEBLIEBEN SIND, SOVIEL WIE IM ABSCHNITTE ‘UND WENN DIE LADE AUFBRACH7Num. 10,35., SO MACHT ES DIE HÄNDE UNREIN. EINE BUCHROLLE, IN DER FÜNFUNDACHTZIG BUCHSTABEN GESCHRIEBEN SIND, SOVIEL WIE IM ABSCHNITTE ‘UND WENN DIE LADE AUFBRACH’, MACHT DIE HÄNDE UNREIN. ALLE [BÜCHER DER] HEILIGEN SCHRIFT MACHEN DIE HÄNDE UNREIN. DAS LIED DER LIEDER UND QOHELETH MACHEN DIE HÄNDE UNREIN; R. JEHUDA SAGT, DAS LIED DER LIEDER MACHE DIE HÄNDE UNREIN UND ÜBER QOHELETH BESTEHE EIN STREIT. R. JOSE SAGT, QOHELETH MACHE DIE HÄNDE NICHT UNREIN UND ÜBER DAS LIED DER LIEDER BESTEHE EIN STREIT. R. ŠIMO͑N SAGTE: QOHELETH GEHÖRT ZU DEN ERLEICHTERUNGEN DER SCHULE ŠAMMAJS UND DEN ERSCHWERUNGEN DER SCHULE HILLELS8Die sonst entgegengesetzter Ansicht sind (cf. Ed. IV,1ff.); nach der ersteren macht es nicht unrein u. nach der letzteren wohl.. R. ŠIMO͑N B. A͑ZAJ SPRACH: ICH HABE EINE ÜBERLIEFERUNG VON DEN ZWEIUNDSIEBZIG ÄLTESTEN VOM TAGE, AN DEM SIE R. ELEA͑ZAR B. A͑ZARJA ZUM SCHULOBERHAUPTE EINSETZTEN9An dem sie alle versammelt waren; cf. Ber. Fol. 28a., DASS DAS LIED DER LIEDER UND QOHELETH DIE HÄNDE UNREIN MACHEN. R. A͑QIBA SPRACH: BEHÜTE UND BEWAHRE, NIEMAND IN JISRAÉL STREITET ÜBER DAS LIED DER LIEDER, OB ES NICHT DIE HÄNDE UNREIN MACHE; DIE GANZE WELT IST NICHT SO WÜRDIG, WIE AM TAGE, AN DEM DAS LIED DER LIEDER VERLIEHEN WURDE, DENN SIND AUCH ALLE HAGIOGRAPHEN HEILIG, ABER DAS LIED DER LIEDER IST HOCHHEILIG. BESTEHT ABER EIN STREIT, SO STREITEN SIE NUR ÜBER QOHELETH. R. JOḤANAN B. JEŠUA͑, DER SOHN DES SCHWIEGERVATERS R. A͑QIBAS, SAGTE: ES IST WIE BENZAJ GESAGT HAT; SO STRITTEN SIE UND SO ENTSCHIEDEN SIE." + ], + [ + "AN JENEM TAGE STIMMTEN SIE AB UND ENTSCHIEDEN ÜBER EINE FUSSWANNE, DIE VON ZWEI LOG BIS NEUN KAB FASST, DASS SIE, WENN SIE GEPLATZT IST, DURCH AUFTRETEN UNREIN IST1Weil sie als Sitz geeignet ist.. R. A͑QIBA SAGTE NÄMLICH, DIE FUSSWANNE SEI DAS, WAS DER NAME BESAGT2Sie ist dann nur ein zerbrochenes Gerät u. kein Sitz.
54 Talmud XII
.", + "AN JENEM TAGE SAGTEN SIE, ALLE OPFER, DIE GESCHLACHTET WORDEN SIND NICHT AUF IHREN NAMEN3Cf. Zeb. Fol. 2a., SEIEN TAUGLICH, NUR WERDEN SIE DEM EIGENTÜMER NICHT ALS PFLICHT ANGERECHNET, AUSGENOMMEN DAS PESAḤOPFER UND DAS SÜNDOPFER; DAS PESAḤOPFER ZUR FESTGESETZTEN ZEIT4Am Vorabend des Pesahfestes; außerhalb dieser Zeit gilt es als Heilsopfer. UND DAS SÜNDOPFER ZU JEDER ZEIT. R. ELIE͑ZER SAGT, AUCH DAS SCHULDOPFER; DAS PESAḤOPFER ZUR FESTGESETZTEN ZEIT UND DAS SÜNDOPFER UND DAS SCHULDOPFER ZU JEDER ZEIT. R. ŠIMO͑N B. A͑ZAJ SAGTE: ICH HARE EINE ÜBERLIEFERUNG VON DEN ZWEIUNDSIEBZIG ÄLTESTEN VOM TAGE, AN DEM SIE R. ELEA͑ZAR B. A͑ZARJA ZUM SCHULOBERHAUPTE EINSETZTEN, DASS ALLE ZU ESSENDEN SCHLACHTOPFER, DIE GESCHLACHTET WORDEN SIND NICHT AUF IHREN NAMEN, TAUGLICH SEIEN, NUR IHREM EIGENTÜMER NICHT ALS PFLICHT ANGERECHNET WERDEN. AUSGENOMMEN DAS PESAḤOPFER UND DAS SÜNDOPFER. BENZAJ FÜGTE NUR DAS BRANDOPFER5Das ebenfalls untauglich ist, da es nicht zu essen ist. HINZU, UND DIE WEISEN PFLICHTETEN IHM NICHT BEI.", + "AN JENEM TAGE SAGTEN SIE: WIE STEHT ES MITMMON UND MOÁB6An Palästina grenzende Staaten, die aber nicht zum eroberten Gebiete gehörten. IM SIEBENTJAHRE7Hinsichtl. der priesterl. u. levit. Abgaben von den Feldfrüchten; in Palästina sind sie in diesem Jahre nicht zu entrichten, weil dann die Felder nicht bestellt werden dürfen u. der Ertrag als Freigut gilt.? DA ENTSCHIED R. TRYPHON, DER ARMENZEHNT [SEI8Außer der Hebe u. dem Zehnten, die in jedemi Jahre zu entrichten sind; zweiter Zehnt u. Armenzehnt nur abwechselnd. ZU ENTRICHTEN]. R. ELEA͑ZAR B. A͑ZARJA ABER ENTSCHIED, DER ZWEITE ZEHNT [SEI8Außer der Hebe u. dem Zehnten, die in jedemi Jahre zu entrichten sind; zweiter Zehnt u. Armenzehnt nur abwechselnd. ZU ENTRICHTEN]. DA SPRACH R. JIŠMA͑ÉL ZU IHM: ELEA͑ZAR B. A͑ZARJA, DU HAST DIES ZU BEWEISEN; DU BIST ERSCHWEREND9Der 2. Zehnt ist heilig u. muß nach Jerušalem gebracht u. da verzehntet werden., UND WER ERSCHWEREND IST, MUSS DEN BEWEIS BRINGEN. DA SPRACH R. ELEA͑ZAR B. A͑ZARJA ZU IHM: MEIN BRUDER JIŠMA͑ÉL, ICH HABE AN DER REIHENFOLGE DER JAHRE NICHTS GEÄNDERT10Nach dem Gesetze ist im 6. Jahre des Septenniums der Armenzehnt zu entrichten, wonach im 7. der 2. Zehnt zu entrichten ist.; MEIN BRUDER TRYPHON HAT DARAN GEÄNDERT, UND ER HAT DEN BEWEIS ZU BRINGEN. DA ERWIDERTE R. TRYPHON: MIÇRAJIM IST AUSLAND UNDMMON UND MOÁB SIND AUSLAND; WIE NUN IN MIÇRAJIM IM SIEBENTT JAHRE DER ARMENZEHNT [ZU ENTRICHTEN11Dies war eine seit jeher bestehende Bestimmung.IST], EBENSO IST INMMON UND MOÁB IM SIEBENTJAHRE DER ARMENZEHNT [ZU ENTRICHTEN]. DA ENTGEGNETE R. ELEA͑ZAR B. A͑ZARJA: BABYLONIEN IST AUSLAND UNDMMON UND MOÁB SIND AUSLAND; WIE NUN IN BABYLONIEN IM SIEBENTJAHRE DER ZWEITE ZEHNT [ZU ENTRICHTEN11Dies war eine seit jeher bestehende Bestimmung.IST], EBENSO IST INMMON UND MOÁB IM SIEBENTJAHRE DER ZWEITE ZEHNT [ZU ENTRICHTEN]. DA ERWIDERTE R. TRYPHON: FÜR MIÇRAJIM HABEN SIE DEN ARMENZEHNTEN DESHALB BESTIMMT, WEIL ES NAHE [VON PALÄSTINA] IST, DAMIT DIE ARMEN JISRAÉLS SICH IM SIEBENTJAHRE DARAUF STÜTZEN KÖNNEN, UND AUCHMMUN UND MOÁB SIND NAHE, UND WIR MÜSSEN FÜR SIE DEN ARMENZEHNTEN BESTIMMEN, DAMIT DIE ARMEN JISRAÉLS SICH DARAUF IM SIEBENTJAHRE STÜTZEN KÖNNEN. DA SPRACH R. ELEA͑ZAR B. A͑ZARJA ZU IHM: DU WILLST IHNEN SCHEINBAR EINEN VERMÖGENSVORTEIL ZUKOMMEN LASSEN, IN WIRKLICHKEIT ABER SCHÄDIGST DU SIE AN IHREN SEELEN12Durch die Unterlassung der Heilighaltung des 2. Zehnten.. DU HÄLTST DEN HIMMEL ZURÜCK, ÜBER SIE TAU UND REGEN NIEDERFALLEN ZU LASSEN. ES HEISST NÄMLICH:13Mal. 3,8.Darf der Mensch Gott berauben, daß ihr mich beraubt? Ihr sprecht: Wieso haben wir dich beraubt? Mit dem Zehnten und der Hebe. DA SPRACH R. JEHOŠUA͑: ICH WILL DAGEGEN ERWIDERN, WIE FÜR MEINEN BRUDER TRYPHON, ABER NICHT AUF SEINE WORTE BEZUGNEHMEND. ÜBER MIÇRAJIM WAR ES14Daß da der Armenzehnt zu entrichten ist.EINE NEUE BESTIMMUNG UND ÜBER BABYLONIEN WAR ES EINE ALTE BESTIMMUNG, UND AUCH UNSERE SACHE15Die Abstimmung über Ammon u. Moáb.IST EINE NEUE BESTIMMUNG. MAN FOLGERE HINSICHTLICH EINER NEUEN BESTIMMUNG VON EINER NEUEN BESTIMMUNG, NICHT ABER FOLGERE MAN HINSICHTLICH EINER NEUEN BESTIMMUNG VON EINER ALTEN BESTIMMUNG, ÜBER MIÇRAJIM WAR ES EINE BESTIMMUNG DER ÄLTESTEN UND ÜBER BABYLONIEN WAR ES EINE BESTIMMUNG DER PROPHETEN, UND AUCH UNSERE SACHE15Die Abstimmung über Ammon u. Moáb.IST EINE BESTIMMUNG DERLTESTEN. MAN FOLGERE HINSICHTLICH EINER BESTIMMUNG DER ÄLTESTEN VON EINER BESTIMMUNG DER ÄLTESTEN, NICHT ABER FOLGERE MAN HINSICHTLICH EINER BESTIMMUNG DER ÄLTESTEN VON EINER BESTIMMUNG DER PROPHETEN. HIERAUF STIMMTEN SIE AB UND ENTSCHIEDEN, DASS INMMON UND MOÁB IM SIEBENTJAHRE DER ARMENZEHNT ZU ENTRICHTEN SEI. ALS R. JOSE B. DURMASQITH ZU R. ELIE͑ZER NACH LUD KAM, FRAGTE IHN DIESER16Der an jener Versammlung nicht beteiligt war, weil man ihn exkommuniziert hatte; cf. Ber. Fol. 59a.: WAS NEUES GAB ES HEUTE BEI EUCH IM LEHRHAUSE? JENER ERWIDERTE: MAN STIMMTE AB UND ENTSCHIED, DASS INMMON UND MOÁB IM SIEBENTJAHRE DER ARMENZEHNT ZU ENTRICHTEN SEI. DA WEINTE R. ELIE͑ZER UND SPRACH:17Ps. 25,14.Der Rat des Herrn bei denen, die ihn fürchten, und seinen Bund tut er ihnen kund. GEH UND SAGE IHNEN: HABT KEINE BEDENKEN ÜBER EUERE ABSTIMMUNG; MIR IST ES ÜBERLIEFERT VON R. JOḤANAN B. ZAKKAJ, DER ES VON SEINEM LEHRER GEHÖRT HAT, UND SEIN LEHRER VON SEINEM LEHRER, BIS AUF EINE HALAKHA MOSES AM SINAJ, DASS INMMON UND MOÁB IM SIEBENTJAHRE DER ARMENZEHNT ZU ENTRICHTEN SEI.", + "AN JENEM TAGE KAM JEHUDA, EIN A͑MMONITISCHER PROSELYT, INS LEHRHAUS, TRAT VOR UND SPRACH ZU IHNEN: WIE STEHT ES MIT MIR HINSICHTLICH DER AUFNAHME IN DIE GEMEINDE? DA SPRACH R. GAMLIÉL ZU IHM: DU BIST VERBOTEN18Für die jüd. Gemeinde, dh. für Heirat mit einer Jisraélitin.. HIERAUF SPRACH R. JEHOŠUA͑ ZU IHM: DU BIST ERLAUBT. DA SPRACH R. GAMLIÉL ZU IHM: DIE SCHRIFT SAGT:19Dt. 23,4.kein A͑mmoniter und kein Moa͑biter darf in die Gemeinde Gottes kommen, auch das zehnte Geschlecht &c. R. JEHOŠUA͑ ERWIDERTE: BEFINDEN SICH DENN DIEMMONITER UND DIE MOA͑BITER NOCH IN IHREN WOHNORTEN!? LÄNGST ZOG SANḤERIB, DER KÖNIG VON AŠUR, HERAUF UND MISCHTE DIE VÖLKER DURCHEINANDER, WIE ES HEISST:20Jes. 10,13.ich entfernte die Grenzen der Völker, plünderte ihre Vorräte und stürzte die Macht der Bewohner. R. GAMLIÉL ENTGEGNETE: DIE SCHRIFT SAGT ABER:21Jer. 49,6.hernach will ich die Gefangenschaft der Kinder A͑mmon zurÌckführen, UND SIE SIND BEREITS ZURÜCKGEKEHRT. DA ERWIDERTE R. JEHOŠUA͑: DIE SCHRIFT SAGT JA AUCH:22Am. 9,14.und die Gefangenschaft meines Volkes Jisraél führe ich zurück, UND NOCH SIND SIE NICHT ZURÜCKGEKEHRT23Wie bei diesen so ist bei jenen die richtige Zurückführung, die vollständige Besitznahme des Landes, nicht erfolgt.. HIERAUF ERLAUBTEN SIE SEINE AUFNAHME IN DIE GEMEINDE.", + "DAS TARGUM IN DEN BÜCHERN DANIÉL UNDZRA MACHT DIE HÄNDE UNREIN. TARGUM, DAS HEBRÄISCH GESCHRIEBEN IST, HEBRÄISCH24Hebr. Stellen aus der Bibel., DAS TARGUMISCH GESCHRIEBEN IST, UND DIE HEBRÄISCHE SCHRIFT25Die althebräische Schrift, die neben od. vor der Einführung der Quadratschrift im Gebrauche war; vgl. Bd. VIII Anm. 151.MACHEN DIE HÄNDE NICHT UNREIN. ES MACHT NUR DANN UNREIN, WENN ES IN ASSYRISCHER SCHRIFT, AUF HAUT UND MIT TINTE GESCHRIEBEN IST.", + "DIE SADUZÄER SAGTEN: WIR KLAGEN EUCH AN, PHARISÄER, DIE IHR SAGT, [BÜCHER DER] HEILIGEN SCHRIFT MACHEN DIE HÄNDE UNREIN, WÄHREND DOCH PROFANE BÜCHER26Diese Bedeutung muß das W. הסירם haben; das ה ist wohl Artikel, wie aus den abweichenden Lesarten מרון ,מירון ,מירם zu ersehen. Manche korrigieren הסירוס, die Bücher Homers, als Gattungsname für die griech. Profanliteratur.DIE HÄNDE NICHT UNREIN MACHEN. DA SPRACH R. JOḤANAN B. ZAKKAJ: HABEN WIR DENN NUR DIES GEGEN DIE PHARISÄER VORZUBRINGEN!? SIE SAGEN JA AUCH, DIE KNOCHEN VON EINEM ESEL SEIEN REIN, WÄHREND DIE KNOCHEN DES HOCHPRIESTERS JOḤANAN UNREIN27Dem pflichten auch die Saduzäer bei.SIND. SIE ERWIDERTEN: AUF IHRER VEREHRUNG BERUHT AUCH IHRE UNREINHEIT; DAMIT MAN NICHT ETWA AUS DEN KNOCHEN SEINES VATERS UND SEINER MUTTER LÖFFEL ANFERTIGE. DA SPRACH ER ZU IHNEN: AUCH BEI DEN [BÜCHERN DER] HEILIGEN SCHRIFT BERUHT IHRE UNREINHEIT AUF IHRER VEREHRUNG; PROFANE BÜCHER ABER, DIE NICHT VEREHRT WERDEN, MACHEN DIE HÄNDE NICHT UNREIN.", + "DIE SADUZÄER SPRACHEN: WIR KLAGEN EUCH AN, PHARISÄER, DIE IHR DEN STRAHL28Beim Gießen aus einem reinen Gefäße in ein unreines; cf. Makh. V,9.ALS REIN ERKLÄRT. DA SPRACHEN DIE PHARISÄER: WLR KLAGEN EUCH AN, SADUZÄER, DIE IHR29Dh. auch ihr ; sie pflichten bei, daß ein solcher rein ist, da die Schrift (cf. Lev. 11,36) dies bestimmt.EINEN AUS DEM BEGRÄBNISPLATZE KOMMENDEN WASSERARM ALS REIN ERKLÄRT. DLE SADUZÄER SPRACHEN: WIR KLAGEN EUCH AN, PHARISÄER30Die kursierenden Ausgaben der Mišna separata haben den Wortlaut der Anklage: für den von seinem Ochsen od. Esel angerichteten Schaden sei man haftbar, nicht aber für den von seinem Sklaven od. seiner Magd angerichteten; cf. Ex. 21,35 atque Bq. Fol. 87a.; WENN ICH SOGAR FÜR DIE SCHÄDIGUNG MEINES OCHSEN UND MEINES ESELS HAFTBAR BIN, FÜR DIE ICH KEINE HAFTBARKEIT FÜR GESETZESÜBUNG HABE, UM WIEVIEL MEHR BIN ICH FÜR DIE SCHÄDIGUNG MEINES SKLAVEN UND MEINER MAGD HAFTBAR, FÜR DIE ICH HAFTBARKEIT FÜR GESETZESÜBUNG HABE. SIE ERWIDERTEN IHNEN: NEIN, WENN IHR DIES VON MEINEM OCHSEN UND MEINEM ESEL SAGT, DIE KEINEN VERSTAND HABEN, WOLLT IHR DIES AUCH VON MEINEM SKLAVEN UND MEINER MAGD SAGEN, DIE VERSTAND HABEN!? WENN ICH SIE ERZÜRNE, KÖNNTEN SIE HINGEHEN UND DIE TENNE EINES ANDEREN IN BRAND STECKEN, UND ICH WÜRDE DANN ZUR ERSATZLEISTUNG VERPFLICHTET SEIN.", + "EIN GALILÄISCHER MINÄER31Im T. in der Bedeutung Häretiker; צדוקי in den kursierenden Ausgaben ist Zensuränderung, sodaß spitzfindige Erklärungen sich erübrigen; offenbar handelt es sich um einen Judenchristen, der außer Gott keinen Herrscher anerkannte.SPRACH: ICH KLAGE EUCH AN, PHARISÄER, DIE IHR DEN NAMEN DES HERRSCHERS MIT DEM NAMEN MOŠES IM SCHEIDEBRIEFE32Cf. Git. Fol. 79b.SCHREIBT. DIE PHARISÄER ERWIDERTEN: WIR KLAGEN DICH AN, GALILÄISCHER PHARISÄER, DIE IHR DEN NAMEN DES HERRSCHERS MIT DEM GOTTESNAMEN AUF EINE SEITE SCHREIBT. UND NOCH MEHR, IHR SCHREIBT DEN DES HERRSCHERS OBEN UND DEN GOTTESNAMEN UNTEN, DENN ES HEISST: 33Ex. 5,2.und der Pareo͑ sprach: Wer ist der Herr, auf dessen Stimme ich hÆren sollte, Jisraél zu entlassen. ALS ER ABER VON DER PLAGE HEIMGESUCHT WURDE, DA SAGTE ER:34Ex. 9,27.Gott ist der Gerechte." + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/English/merged.json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/English/merged.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..2c10293e34913488292122476b6d59584123292f --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/English/merged.json @@ -0,0 +1,53 @@ +{ + "title": "Mishnah Yadayim", + "language": "en", + "versionTitle": "merged", + "versionSource": "https://www.sefaria.org/Mishnah_Yadayim", + "text": [ + [ + "[A minimum of] a quarter [of a log] of water must be poured over the hands for one [person] and even for two. A minimum of half a log must be poured over the hands for three or four persons. A minimum of one log [is sufficient] for five, ten, or one hundred persons. Rabbi Yose says: as long as there is not less than a quarter of a log left for the last person among them. More [water] may be added to the second water, but more may not be added to the first water.", + "Water may be poured over the hands out of any kind of vessel, even out of vessels made of animal dung, out of vessels made of stone or out of vessels made of clay. Water may not be poured from the sides of [broken] vessels or from the bottom of a ladle or from the stopper of a jar. Nor may one pour [water] over the hands of his fellow out of his cupped hands. Because one may not draw, nor sanctify, nor sprinkle the water of purification, nor pour water over the hands except in a vessel. And only vessels closely covered with a lid protect [their contents from uncleanness]. And only vessels protect [their contents from uncleanness] inside earthenware vessels.", + "Water which had become so unfit that it could not be drunk by a beast: If it was in a vessel it is invalid, But if it was in the ground it is valid. If there fell into [the water], dye, or gum or sulphate of copper and its color changed, it is invalid. If a person did any work with it or soaked his bread in it, it is invalid. Shimon of Teman says: even if he intended to soak his bread in one water and it fell into another water the water is valid.", + "If he cleansed vessels with the water or scrubbed measures with it, [the water] is invalid. If he rinsed with it vessels which had already been rinsed or new vessels, it is valid. Rabbi Yose declares [the water] invalid if they were new vessels.", + "Water in which the baker dips his loaves is invalid; but if he moistened his hands in the water it is valid. All are fit to pour water over the hands, even a deaf-mute, an imbecile, or a minor. A person may place the jug between his knees and pour out the water, or he may turn the jug on its side and pour it out. A monkey may pour water over the hands. Rabbi Yose declares these [latter] two cases invalid." + ], + [ + "If he poured water over one of his hands with a single rinsing his hand becomes clean. If over both his hands with a single rinsing: Rabbi Meir declares them to be unclean until he pours a minimum of a quarter of a log of water over them. If a loaf of terumah fell on the water the loaf is clean. Rabbi Yose declares it to be unclean.", + "If he poured the first water over his hands [while standing] in one place, and the second water over his hands [while standing] in another place, and a loaf of terumah fell on the first water, the loaf becomes unclean. But if it fell on the second water it remains clean. If he poured the first and the second water [while standing] in one place, and a loaf of terumah fell onto the water, the loaf becomes unclean. If he poured the first water over his hands and a splinter or a piece of gravel is found on his hands, [his hands] remain unclean, because the latter water only makes the first water on the hands clean. Rabban Shimon ben Gamaliel says: if any creature from the water [was on the hands while they are being cleaned] they are clean.", + "Hands become unclean and are made clean as far as the joint. How so? If he poured the first water over the hands as far as the joint and poured the second water over the hands beyond the joint and the latter flowed back to the hands, the hands are clean. If he poured the first and the second water over the hands beyond the joint and they flowed back to the hands, the hands remain unclean. If he poured the first water over one of his hands and then changed his mind and poured the second water over both his hands, they are unclean. If he poured the first water over both his hands and then changed his mind and poured the second water over one of his hands, his one hand becomes clean. If he poured water over one of his hands and rubbed it on the other hand it remains unclean. If he rubbed it on his head or on the wall it is clean. Water may be poured over the hands of four or five persons, each hand being by the side of the other, or being one above the other, provided that the hands are held loosely so that the water flows between them.", + "If there was a doubt whether any work has been done with the water or not, a doubt whether the water contains the requisite quantity or not, a doubt whether it is unclean or clean, in these cases the doubt is considered to be clean because they have said in a case of doubt concerning hands as to whether they have become unclean or have conveyed uncleanness or have become clean, they are considered to be clean. Rabbi Yose says: in a case [of doubt as to] whether they have become clean they are considered to be unclean. How so? If his hands were clean and there were two unclean loaves before him and there was a doubt whether he touched them or not; Or if his hands were unclean and there were two clean loaves before him and there was a doubt whether he touched them or not; Or if one of his hands was unclean and the other clean and there were two clean loaves before him and he touched one of them and there was a doubt whether he touched it with the unclean hand or with the clean hand; Or if his hands were clean and there were two loaves before him one of which was unclean and the other clean and he touched one of them and there was a doubt whether he touched the unclean one or the clean one; Or if one of his hands was unclean and the other clean and there were two loaves before him one of which was unclean and the other clean, and he touched both of them, and there is a doubt whether the unclean hand touched the unclean loaf or whether the clean hand touched the clean loaf or whether the clean hand touched the unclean loaf or whether the unclean hand touched the clean loaf The hands remain in the same state as they were before and the loaves remain in the same state as they were before." + ], + [ + "If a person puts his hands inside a house with scale disease, his hands have first degree uncleanness, the words of Rabbi Akiba. But the sages say: his hands have second degree uncleanness. Whoever defiles garments: at the time when he touches [the uncleanness], he defiles hands so that they have first degree uncleanness, the words of Rabbi Akiba. But the sages say: such that they have second degree of uncleanness. They said to Rabbi Akiba: where do we find anywhere that hands have first degree uncleanness? He said to them: but how is it possible for them to become unclean with first degree uncleanness without his whole body becoming unclean? Only in these cases [can they have first degree uncleanness]. Foods and vessels which have been defiled by liquids convey second degree of uncleanness to the hands, the words of Rabbi Joshua. But the sages say: that which has been defiled by a father of uncleanness conveys uncleanness to the hands, but that which has been defiled by an offspring of uncleanness does not defiled the hands. Rabban Shimon ben Gamaliel said: it happened that a certain woman came before my father and said to him, \"My hands went into the air-space inside an earthenware vessel.\" He said to her: \"My daughter, what was the cause of its uncleanness?\" But I did not hear what she said to him. The sages said: the matter is clear that which has been defiled by a father of uncleanness conveys uncleanness to the hands, but that which has been rendered unclean by an offspring of uncleanness does not defiled the hands.", + "Anything which disqualifies terumah defiles hands with a second degree of uncleanness. One [unwashed] hand defiles the other hand, the words of Rabbi Joshua. But the sages say: that which has second degree of uncleanness cannot convey second degree of uncleanness. He said to them: But do not the Holy Scriptures which have second degree of uncleanness defile the hands? They said to him: the laws of the Torah may not be argued from the laws of the scribes, nor may the laws of the scribes be argued from the laws of the Torah, nor may the laws of the scribes be argued from [other] laws of the scribes.", + "The straps of the tefillin [when connected] with the tefillin [boxes] defile the hands. Rabbi Shimon says: the straps of the tefillin do not defile the hands.", + "The margin on a scroll which is above or below or at the beginning or at the end defiles the hands. Rabbi Judah says: the margin at the end does not render unclean [the hands] until a handle is fastened to it.", + "A scroll on which the writing has become erased and eighty-five letters remain, as many as are in the section beginning, \"And it came to pass when the ark set forward\" (Numbers 10:35-36) defiles the hands. A single sheet on which there are written eighty-five letters, as many as are in the section beginning, \"And it came to pass when the ark set forward\", defiles the hands. All the Holy Scriptures defile the hands. The Song of Songs and Kohelet (Ecclesiastes) defile the hands. Rabbi Judah says: the Song of Songs defiles the hands, but there is a dispute about Kohelet. Rabbi Yose says: Kohelet does not defile the hands, but there is a dispute about the Song of Songs. Rabbi Shimon says: [the ruling about] Kohelet is one of the leniencies of Bet Shammai and one of the stringencies of Bet Hillel. Rabbi Shimon ben Azzai said: I have received a tradition from the seventy-two elders on the day when they appointed Rabbi Elazar ben Azariah head of the academy that the Song of Songs and Kohelet defile the hands. Rabbi Akiba said: Far be it! No man in Israel disputed that the Song of Songs [saying] that it does not defile the hands. For the whole world is not as worthy as the day on which the Song of Songs was given to Israel; for all the writings are holy but the Song of Songs is the holy of holies. If they had a dispute, they had a dispute only about Kohelet. Rabbi Yohanan ben Joshua the son of the father-in-law of Rabbi Akiva said in accordance with the words of Ben Azzai: so they disputed and so they reached a decision." + ], + [ + "On that day the votes were counted and they decided that a footbath holding from two logs to nine kavs which was cracked could contract midras uncleanness. Because Rabbi Akiva said a footbath [must be considered] according to its designation.", + "On that day they said: all animal sacrifices which have been sacrificed under the name of some other offering are [nevertheless] valid, but they are not accounted to their owners as a fulfillment of their obligations, with the exception of the pesah and the sin-offering. [This is true of] the pesah in its correct time and the sin-offering at any time. Rabbi Eliezer says: [with the exception] also of the guilt-offering; [so that this refers to] the pesah in its correct time and to the sin- and guilt-offerings at any time. Rabbi Shimon ben Azzai said: I received a tradition from the seventy-two elders on the day when they appointed Rabbi Elazar ben Azariah head of the college that all animal sacrifices which are eaten and which have not been sacrificed under their own name are nevertheless valid, but they are not accounted to their owners as a fulfillment of their obligations, with the exception of the pesah and the sin-offering. Ben Azzai only added [to these exceptions] the wholly burnt-offering, but the sages did not agree with him.", + "On that day they said: what is the law applying to Ammon and Moab in the seventh year? Rabbi Tarfon decreed tithe for the poor. And Rabbi Elazar ben Azariah decreed second tithe. Rabbi Ishmael said: Elazar ben Azariah, you must produce your proof because you are expressing the stricter view and whoever expresses a stricter view has the burden to produce the proof. Rabbi Elazar ben Azariah said to him: Ishmael, my brother, I have not deviated from the sequence of years, Tarfon, my brother, has deviated from it and the burden is upon him to produce the proof. Rabbi Tarfon answered: Egypt is outside the land of Israel, Ammon and Moab are outside the land of Israel: just as Egypt must give tithe for the poor in the seventh year, so must Ammon and Moab give tithe for the poor in the seventh year. Rabbi Elazar ben Azariah answered: Babylon is outside the land of Israel, Ammon and Moab are outside the land of Israel: just as Babylon must give second tithe in the seventh year, so must Ammon and Moab give second tithe in the seventh year. Rabbi Tarfon said: on Egypt which is near, they imposed tithe for the poor so that the poor of Israel might be supported by it during the seventh year; so on Ammon and Moab which are near, we should impose tithe for the poor so that the poor of Israel may be supported by it during the seventh year. Rabbi Elazar ben Azariah said to him: Behold, you are like one who would benefit them with gain, yet you are really as one who causes them to perish. Would you rob the heavens so that dew or rain should not descend? As it is said, \"Will a man rob God? Yet you rob me. But you: How have we robbed You? In tithes and heave-offerings\" (Malakhi 3:8). Rabbi Joshua said: Behold, I shall be as one who replies on behalf of Tarfon, my brother, but not in accordance with the substance of his arguments. The law regarding Egypt is a new act and the law regarding Babylon is an old act, and the law which is being argued before us is a new act. A new act should be argued from [another] new act, but a new act should not be argued from an old act. The law regarding Egypt is the act of the elders and the law regarding Babylon is the act of the prophets, and the law which is being argued before us is the act of the elders. Let one act of the elders be argued from [another] act of the elders, but let not an act of the elders be argued from an act of the prophets. The votes were counted and they decided that Ammon and Moab should give tithe for the poor in the seventh year. And when Rabbi Yose ben Durmaskit visited Rabbi Eliezer in Lod he said to him: what new thing did you have in the house of study today? He said to him: their votes were counted and they decided that Ammon and Moab must give tithe for the poor in the seventh year. Rabbi Eliezer wept and said: \"The counsel of the Lord is with them that fear him: and his covenant, to make them know it\" (Psalms 25:14). Go and tell them: Don't worry about your voting. I received a tradition from Rabbi Yohanan ben Zakkai who heard it from his teacher, and his teacher from his teacher, and so back to a halachah given to Moses from Sinai, that Ammon and Moab must give tithe for the poor in the seventh year.", + "On that day Judah, an Ammonite convert, came and stood before them in the house of study. He said to them: Do I have the right to enter into the assembly? Rabban Gamaliel said to him: you are forbidden. Rabbi Joshua said to him: you are permitted. Rabban Gamaliel said to him: the verse says, \"An Ammonite or a Moabite shall not enter into the assembly of the Lord: even to the tenth generation\" (Deuteronomy 23:4). R. Joshua said to him: But are the Ammonites and Moabites still in their own territory? Sanheriv, the king of Assyria, has long since come up and mingled all the nations, as it is said: \"In that I have removed the bounds of the peoples, and have robbed their treasures, and have brought down as one mighty the inhabitants\" (Isaiah 10:1. Rabban Gamaliel said to him: the verse says, \"But afterward I will bring back the captivity of the children of Ammon,\" (Jeremiah 49:6) they have already returned. Rabbi Joshua said to him: [another] verse says, \"I will return the captivity of my people Israel and Judah\" (Jeremiah 30:3). Yet they have not yet returned. So they permitted him to enter the assembly.", + "The Aramaic sections in Ezra and Daniel defile the hands. If an Aramaic section was written in Hebrew, or a Hebrew section was written in Aramaic, or [Hebrew which was written with] Hebrew script, it does not defile the hands. It never defiles the hands until it is written in the Assyrian script, on parchment, and in ink.", + "The Sadducees say: we complain against you, Pharisees, because you say that the Holy Scriptures defile the hands, but the books of Homer do not defile the hands. Rabban Yohanan ben Zakkai said: Have we nothing against the Pharisees but this? Behold they say that the bones of a donkey are clean, yet the bones of Yohanan the high priest are unclean. They said to him: according to the affection for them, so is their impurity, so that nobody should make spoons out of the bones of his father or mother. He said to them: so also are the Holy Scriptures according to the affection for them, so is their uncleanness. The books of Homer which are not precious do not defile the hands.", + "The Sadducees say: we complain against you, Pharisees, that you declare an uninterrupted flow of a liquid to be clean. The Pharisees say: we complain against you, Sadducees, that you declare a stream of water which flows from a burial-ground to be clean? The Sadducees say: we complain against you, Pharisees, that you say, my ox or donkey which has done injury is liable, yet my male or female slave who has done injury is not liable. Now if in the case of my ox or my donkey for which I am not responsible if they do not fulfill religious duties, yet I am responsible for their damages, in the case of my male or female slave for whom I am responsible to see that they fulfill mitzvot, how much more so that I should be responsible for their damages? They said to them: No, if you argue about my ox or my donkey which have no understanding, can you deduce from there anything concerning a male or female slave who do have understanding? So that if I were to anger either of them and they would go and burn another person's stack, should I be liable to make restitution?", + "A Galilean min said: I complain against you Pharisees, that you write the name of the ruler and the name of Moses together on a divorce document. The Pharisees said: we complain against you, Galilean min, that you write the name of the ruler together with the divine name on a single page [of Torah]? And furthermore that you write the name of the ruler above and the divine name below? As it is said, \"And Pharoah said, Who is the Lord that I should hearken to his voice to let Israel go?\" (Exodus 5:2) But when he was smitten what did he say? \"The Lord is righteous\" (Exodus 9:27)." + ] + ], + "versions": [ + [ + "Mishnah Yomit by Dr. Joshua Kulp", + "http://learn.conservativeyeshiva.org/mishnah/" + ] + ], + "heTitle": "משנה ידים", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Tahorot" + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/Hebrew/Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri.json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/Hebrew/Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..95656a0c97960f1b8c8d3bf0697569500bdd5e4e --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/Hebrew/Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri.json @@ -0,0 +1,55 @@ +{ + "language": "he", + "title": "Mishnah Yadayim", + "versionSource": "https://archive.org/details/MishnaCorrectedKaufman00WHOLE", + "versionTitle": "Mishnah based on the Kaufmann manuscript, edited by Dan Be'eri", + "status": "locked", + "license": "PD", + "digitizedBySefaria": true, + "actualLanguage": "he", + "languageFamilyName": "hebrew", + "isSource": true, + "isPrimary": true, + "direction": "rtl", + "heTitle": "משנה ידים", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Tahorot" + ], + "text": [ + [ + "א\nמֵי רְבִיעִית נוֹתְנִין לַיָּדַיִם, \nלְאֶחָד, אַף לִשְׁנַיִם. \nמַחֲצִי לֹג, לִשְׁלֹשָׁה אוֹ לְאַרְבָּעָה. \nמִלֹּג, לַחֲמִשָּׁה וְלַעֲשָׂרָה וְלַמֵּאָה. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nוּבִלְבַד שֶׁלֹּא יִפְחֹת לְאַחֲרוֹן שֶׁבָּהֶם מֵרְבִיעִית. \nמוֹסִיפִין עַל הַשְּׁנִיִּים, \nוְאֵין מוֹסִיפִין עַל הָרִאשׁוֹנִים. \n", + "ב\nבְּכָל הַכֵּלִים נוֹתְנִין לַיָּדַיִם, \nאֲפִלּוּ בִכְלֵי גְלָלִים, \nבִּכְלֵי אֲבָנִים, בִּכְלֵי אֲדָמָה. \nוְאֵין נוֹתְנִין לַיָּדַיִם לֹא בְּדָפְנוֹת הַכֵּלִים, \nוְלֹא בְּשׁוּלֵי הַמַּחַץ, \nוְלֹא בִּמְגוּפַת הֶחָבִית. \nוְלֹא יִתֵּן לַחֲבֵרוֹ בְּחָפְנָיו, \nמִפְּנֵי שֶׁאֵין מְמַלִּין, \nוְאֵין מְקַדְּשִׁין, \nוְאֵין מַזִּין מֵי חַטָּאת, \nוְאֵין נוֹתְנִים לַיָּדַיִם אֶלָּא בְּכֶלִי. \nוְאֵין מַצִּילִין בְּצָמִיד פָּתִיל אֶלָּא כֵּלִים, \nשֶׁאֵין מַצִּילִין מִיַּד כְּלִי חֶרֶס אֶלָּא כֵּלִים. \n", + "ג\nהַמַּיִם שֶׁנִּפְסְלוּ מִשְּׁתִיַּת בְּהֵמָה, \nבַּכֵּלִים, פְּסוּלִין, \nוּבַקַּרְקָעוֹת, כְּשֵׁרִים. \nנָפַל לְתוֹכָן דְּיוֹ, קוּמוֹס, וְקַלַקַנְתּוֹס, \nוְנִשְׁתַּנּוּ מַרְאֵיהֶן, פְּסוּלִין. \nעָשָׂה בָּהֶן מְלָאכָה, \nאוֹ שֶׁשָּׁרָה בָהֶן פִּתּוֹ, \nפְּסוּלִין. \nשִׁמְעוֹן הַתִּמְנִי אוֹמֵר: \nאֲפִלּוּ נִתְכַּוַּן לִשְׁרוֹת בָּזֶה וְנָפַל לַשֵּׁנִי, \nכְּשֵׁרִין. \n", + "ד\nהֵדִיחַ בָּהֶן אֶת הַכֵּלִים, \nאוֹ שֶׁמֵּחָה בָהֶן אֶת הַמִּדּוֹת, \nפְּסוּלִין. \nהֵדִיחַ בָּהֶן כֵּלִים מוּדָחִין אוֹ חֲדָשִׁין, <בַּחֲדָשִׁין>\nכְּשֵׁרִים. \nרְבִּי יוֹסֵה פוֹסֵל בַּחֲדָשִׁין. \n", + "ה\nהַמַּיִם שֶׁהַנַּחְתּוֹם מַטְבִּיל בָּהֶן אֶת הַקְּלוֹסְקִין, \nפְּסוּלִין. \nכְּשֶׁהוּא מֵדִיחַ בָּהֶן אֶת יָדָיו, כְּשֵׁרִין. \nהַכֹּל כְּשֵׁרִין לִתֵּן לַיָּדַיִם, \nאֲפִלּוּ חֵרֵשׁ, שׁוֹטֶה וְקָטָן. \nמַנִּיחַ חָבִית בֵּין בִּרְכָּיו, וְנוֹטֵל, \nוּמַטֶּה חָבִית עַל צִדָּהּ, וְנוֹטֵל. \nוְהַקּוֹף נוֹתֵן לַיָּדַיִם. \nרְבִּי יוֹסֵה פּוֹסֵל בִּשְׁנֵי אֵלּוּ. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nנָטַל לְיָדוֹ אַחַת מִשְּׁטִיפָה אַחַת, \nיָדוֹ טְהוֹרָה. \nלִשְׁתֵּי יָדָיו מִשְּׁטִיפָה אַחַת, \nרְבִּי מֵאִיר מְטַמֵּא, עַד שֶׁיִטֹּל מֵרְבִיעִית. \nנָפַל כִּכָּר שֶׁלִּתְרוּמָה, טָהוֹר. \nרְבִּי יוֹסֵה מְטַמֵּא. \n", + "ב\nנָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִין לְמָקוֹם אֶחָד, \nוְאֶת הַשְּׁנִיִּים לְמָקוֹם אֶחָד, \nוְנָפַל כִּכָּר שֶׁלִּתְרוּמָה, \nעַל הָרִאשׁוֹנִין, טָמֵא, \nוְעַל הַשְּׁנִיִּים, טָהוֹר. \nנָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִין וְאֶת הַשְּׁנִיִּין לְמָקוֹם אֶחָד, \nוְנָפַל כִּכָּר שֶׁלִּתְרוּמָה, טָמֵא. \nנָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים, \nוְנִמְצָא עַל יָדָיו קֵיסָם אוֹ צְרוֹר, \nיָדָיו טְמֵאוֹת, \nשֶׁאֵין הַמַּיִם אַחֲרוֹנִין מְטַהֲרִין \nאֶלָּא מַיִם שֶׁעַל גַּבֵּי הַיָּד. \nרַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר: \nכָּל שֶׁהוּא מִבִּרְיַת הַמַּיִם, טָהוֹר. \n", + "ג\nהַיָּדַיִם מִטַּמּוֹת וּמִטַּהֲרוֹת עַד הַפֶּרֶק. <וּמֵי טַהֲרוֹת>\nכֵּיצַד? \nנָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִין עַד הַפֶּרֶק, \nוְאֶת הַשְּׁנִיִּין חוּץ לַפֶּרֶק, \nוְחָזְרוּ לְיָד, טְהוֹרָה. \nנָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִין וְאֶת הַשְּׁנִיִּין חוּץ לַפֶּרֶק, \nוְחָזְרוּ לְיָד, טְמֵאָה. \nנָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִין לְיָדוֹ אַחַת, \nוְנִמְלַךְ וְנָטַל אֶת הַשְּׁנִיִּין לִשְׁתֵּי יָדָיו, \nיָדָיו טְמֵאוֹת. \nנָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִין לִשְׁתֵּי יָדָיו, \nוְנִמְלַךְ וְנָטַל אֶת הַשְּׁנִיִּין לְיָדוֹ אַחַת, \nיָדוֹ טְהוֹרָה. \nנָטַל לְיָדוֹ אַחַת, \nוְשִׁפְשְׁפָהּ בַּחֲבַרְתָּהּ, טְמֵאָה. \nבְּרֹאשׁוֹ אוֹ בַכֹּתֶל, טְהוֹרָה. \nנוֹטְלִין אַרְבָּעָה חֲמִשָּׁה זֶה בְצַד זֶה, \nאוֹ זֶה עַל גַּבֵּי זֶה, \nוּבִלְבַד שֶׁיְּרָפוּ, \nשֶׁיָּבוֹאוּ בָהֶן הַמַּיִם. \n", + "ד\nסָפֵק נַעֲשָׂה בָהֶן מְלָאכָה, \nסָפֵק לֹא נַעְשָׂה בָהֶן מְלָאכָה, \nסָפֵק יֵשׁ בָּהֶן כַּשֵּׁעוּר, \nסָפֵק אֵין בָּהֶן כַּשֵּׁעוּר, \nסָפֵק טְמֵאִין, סָפֵק טְהוֹרִין, \nסְפֵקָן טָהוֹר, מִפְּנֵי שֶׁאָמְרוּ: \nסְפֵק הַיָּדַיִם לִטַּמֵּא וּלְטַמֵּא וְלִטְהַר, \nטָהוֹר. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nלִטְהַר, טָמֵא. \nה\nכֵּיצַד? \nהָיוּ טְהוֹרוֹת יָדָיו, \nוּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִין טְמֵאִין, \nסָפֵק נָגַע סָפֵק לֹא נָגַע; \nהָיוּ יָדָיו טְמֵאוֹת, \nוּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִין טְהוֹרִין, \nסָפֵק נָגַע סָפֵק לֹא נָגַע; \nהָיוּ יָדָיו (טְמֵאוֹת!) אַחַת טְמֵאָה וְאַחַת טְהוֹרָה, \nוּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִין טְהוֹרִין, \nנָגַע בְּאַחַת מֵהֶן, \nסָפֵק בִּטְמֵאָה נָגַע, סָפֵק בִּטְהוֹרָה נָגַע; \nהָיוּ יָדָיו טְהוֹרוֹת, \nוּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִין, \nאֶחָד טָמֵא וְאֶחָד טָהוֹר, \nנָגַע בְּאֶחָד מֵהֶן, <בְּאַחַד>\nסָפֵק בִּטְמֵאָה נָגַע, סָפֵק בִּטְהוֹרָה נָגַע; \nהָיוּ יָדָיו אַחַת טְמֵאָה וְאַחַת טְהוֹרָה, \nוּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִין, \nאֶחָד טָמֵא וְאֶחָד טָהוֹר, \nנָגַע בִּשְׁתֵּיהֶן, \nסָפֵק טְמֵאָה בִטְמֵאָה וּטְהוֹרָה בִּטְהוֹרָה, \nאוֹ טְהוֹרָה בִטְמֵאָה וּטְמֵאָה בִּטְהוֹרָה, <אוֹ טְמֵאָה בִּטְהוֹרָה בִטְמֵאָה>\nהַיָּדַיִם כְּמוֹת שֶׁהָיוּ, \nהַכִּכָּרִין כְּמוֹת שֶׁהָיוּ. \n\n\n\n" + ], + [ + "א\nהַמַּכְנִיס יָדָיו בְּבֵית הַמְנֻגָּע, \nיָדָיו תְּחִלָּה. \nדִּבְרֵי רְבִּי עֲקִיבָה. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nיָדָיו שְׁנִיּוֹת. \nכָּל הַמְּטַמֵּא בְּגָדִים בְּשָׁעַת מַגָּעוֹ, \nמְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם לִהְיוֹת תְּחִלָּה. \nדִּבְרֵי רְבִּי עֲקִיבָה. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nלִהְיוֹת שְׁנִיּוֹת. \nאָמְרוּ לוֹ לִרְבִּי עֲקִיבָה: \nהֵיכָן מָצִינוּ שֶׁהַיָּדַיִם [תְּחִלָּה] בְכָל מָקוֹם? \nאָמַר לָהֶן: \nוְכִי הֵיאָךְ אֵיפְשָׁר לָהֶן לִהְיוֹת תְּחִלָּה, \nאֶלָּא אִם כֵּן נִטַּמָּא גוּפוֹ? \nחוּץ מִזֶּה. \nהָאֳכָלִין וְהַכֵּלִים שֶׁנִּטַּמּוּ בַּמַשְׁקִים, <הָאֳכְלִין>\nמְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם לִהְיוֹת שְׁנִיּוֹת. \nדִּבְרֵי רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nאֶת שֶׁנִּטַּמָּא בְאַב הַטֻּמְאָה, \nמְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם; \nבִּוְלַד הַטֻּמְאָה, \nאֵינוּ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. \nב\nאָמַר רַבָּן גַּמְלִיאֵל: \nמַעֲשֶׂה בְאִשָּׁה אַחַת שֶׁבָּאָה לִפְנֵי אַבָּא, \nאָמְרָה לוֹ: \n\"נִכְנְסוּ יָדַי לַאֲוֵיר כְּלִי חֶרֶס\". \nאָמַר לָהּ: \n\"וּבַמָּה הָיְתָה טֻמְאָתוֹ?\" \nוְלֹא שָׁמַעְתִּי מָה אָמְרָה לוֹ. \nאָמְרוּ חֲכָמִים: \nמְבֹאָר הַדָּבָר! \nאֶת שֶׁנִּטַּמָּא בְּאַב הַטֻּמְאָה, \nמְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם; \nבִּוְלַד הַטֻּמְאָה, \nאֵינוּ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. \n", + "ג\nכָּל הַפּוֹסֵל אֶת הַתְּרוּמָה, \nמְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם לִהְיוֹת שְׁנִיּוֹת. \nוְהַיָּד מְטַמָּא אֶת חֲבַרְתָּהּ. \nדִּבְרֵי רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ. \nוַחֲכָמִים אוֹמְרִים: \nאֵין שֵׁנִי עוֹשֶׂה שֵׁנִי. \nאָמַר לָהֶן: \nוַהֲלֹא כִּתְבֵי הַקֹּדֶשׁ שְׁנִיִּין, \nוּמְטַמִּין אֶת הַיָּדַיִם? \nאָמְרוּ לוֹ: \nאֵין דָּנִין דִּבְרֵי תוֹרָה מִדִּבְרֵי סוֹפְרִין, \nוְלֹא דִבְרֵי סוֹפְרִים מִדִּבְרֵי תוֹרָה, \nוְלֹא דִבְרֵי סוֹפְרִין מִדִּבְרֵי סוֹפְרִין. \n", + "ד\nרְצוּעוֹת תְּפִלִּין עִם הַתְּפִלִּין, \nמְטַמּוֹת אֶת הַיָּדַיִם. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nרְצוּעוֹת תְּפִלִּין אֵינָן מְטַמְּאוֹת הַיָּדַיִם. \n", + "ה\nגִּלָּיוֹן שֶׁבַּסֵּפֶר, \nשֶׁמִּלְמַעְלָן וְשֶׁלְּמַטָּן, \nשֶׁבַּתְּחִלָּה וְשֶׁבַּסּוֹף, \nמְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. \nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nשֶׁבַּסּוֹף אֵינוּ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם, \nעַד שֶׁיַּעְשֶׂה לוֹ עַמּוּד. \n", + "ו\nסֵפֶר שֶׁנִּמְחַק, \nוְנִשְׁתַּיַּר בּוֹ שְׁמוֹנִים וַחֲמִשָּׁה אוֹתִיּוֹת, \nכְּפָרָשַׁת \"וַיְהִי בִנְסֹעַ הָאָרֹן\", (במדבר יא, לב-לו) \nמְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. \nמְגִלָּה שֶׁכָּתוּב בָּהּ שְׁמוֹנִים וַחֲמִשָּׁה אוֹתִיּוֹת, \nכְּפָרָשַׁת \"וַיְהִי בִנְסֹעַ הָאָרֹן\", \nמְטַמָּא אֶת הַיָּדַיִם. \nכָּל כִּתְבֵי הַקֹּדֶשׁ מְטַמִּין אֶת הַיָּדַיִם. \nוְשִׁיר הַשִּׁירִים וְקֹהֶלֶת מְטַמּוֹת אֶת הַיָּדַיִם. \nז\nרְבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר: \nשִׁיר הַשִּׁירִים מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם, \nוְקֹהֶלֶת, מַחְלֹקֶת. \nרְבִּי יוֹסֵה אוֹמֵר: \nקֹהֶלֶת אֵינָה מְטַמְּאָה אֶת הַיָּדַיִם, \nוְשִׁיר הַשִּׁירִים, מַחְלֹקֶת. \nרְבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר: \nקֹהֶלֶת מִקָּלֵּי בֵית שַׁמַּי וּמְחָמְרֵי בֵית הֶלֵּל. \nח\nאָמַר רְבִּי שִׁמְעוֹן בֶּן עַזַּי: \nמְקֻבָּל אֲנִי מִפִּי שִׁבְעִים וּשְׁנַיִם זְקֵנִים, \nבְּיוֹם שֶׁהוֹשִׁיבוּ אֶת רְבִּי לְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה, \nשֶׁשִּׁיר הַשִּׁירִים וְקֹהֶלֶת מְטַמּוֹת אֶת הַיָּדַיִם. \nט\nאָמַר רְבִּי עֲקִיבָה: \nחַס וְשָׁלוֹם! \nלֹא נֶחְלַק אָדָן מִיִּשְׂרָאֵל עַל שִׁיר הַשִּׁירִים, \nשֶׁלֹּא תְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם, \nשֶׁאֵין הָעוֹלָם כֻּלּוֹ כְּדַי, \nכְּיוֹם שֶׁנִּתְּנָה שִׁיר הַשִּׁירִים לְיִשְׂרָאֵל, \nשֶׁכָּל הַכְּתוּבִים קֹדֶשׁ, \nוְשִׁיר הַשִּׁירִים קֹדֶשׁ קָדָשִׁים. \nוְאִם נֶחְלָקוּ, לֹא נֶחְלְקוּ [אֶלָּא] עַל קֹהֶלֶת. \nאָמַר יוֹחָנָן בֶּן שַׁמּוּעַ בֶּן חָמִיו שֶׁלִּרְבִּי עֲקִיבָה: \nכְּדִבְרֵי בֶן עַזַּי, \nכֵּן נֶחְלָקוּ וְכֵן גָּמָרוּ. <נַחְלָקוּ>\n\n\n\n" + ], + [ + "א\nבּוֹ בַיּוֹם נִמְנוּ וְגָמְרוּ עַל עֲרֵבַת הָרַגְלַיִם, \nשֶׁהִיא מִשְּׁנֵי לֹג וְעַד תִּשְׁעָה קַבִּין, <וְעַל>\nשֶׁנִּסְדָּקָה, שֶׁהִיא טְמֵאָה מִדְרָס. \nשֶׁרְבִּי עֲקִיבָה אוֹמֵר: \nעֲרֵבַת הָרַגְלַיִם כִּשְׁמָהּ. \n", + "ב\nבּוֹ בַיּוֹם אָמְרוּ: \nכָּל זְבָחִים שֶׁנִּזְבָּחוּ שֶׁלֹּא לִשְׁמָן, \nכְּשֵׁרִים, \nאֶלָּא שֶׁלֹּא עָלוּ לַבְּעָלִין מִשֵּׁם חוֹבָה, \nחוּץ מִן הַפֶּסַח וּמִן הַחַטָּאת, \nהַפֶּסַח בִּזְמַנּוֹ, \nוְהַחַטָּאת בְּכָל זְמַן. \nרְבִּי אֶלְעָזָר אוֹמֵר: \nאַף הָאָשָׁם: \nהַפֶּסַח בִּזְמַנּוֹ, \nוְהַחַטָּאת וְהָאָשָׁם בְּכָל זְמַן. \nאָמַר שִׁמְעוֹן בֶּן עַזַּי: \nמְקֻבָּל אֲנִי מִפִּי שִׁבְעִים וּשְׁנַיִם זָקֵן, \nבְּיוֹם שֶׁהוֹשִׁיבוּ אֶת רְבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה בִּישִׁיבָה, \nשֶׁכָּל הַזְּבָחִין הַנֶּאֱכָלִין שֶׁנִּזְבָּחוּ שֶׁלֹּא לִשְׁמָן, \nכְּשֵׁרִין, \nאֶלָּא שֶׁלֹּא עָלוּ לַבְּעָלִים מִשֵּׁם חוֹבָה, \nחוּץ מִן הַפֶּסַח וּמִן הַחַטָּאת. \nלֹא הוֹסִיף בֶּן עַזַּי אֶלָּא הָעוֹלָה, \nוְלֹא הוֹדוּ לוֹ חֲכָמִים. \n", + "ג\nבּוֹ בַיּוֹם אָמְרוּ: \nעַמּוֹן וּמוֹאָב מַה הֵן בַּשְּׁבִיעִית? \nוְגָזַר רְבִּי טַרְפוֹן: \nמַעְשַׂר עָנִי; <מַעֲשֵׂר עָנִי! וכן כולם>\nוְגָזַר רְבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה: \nמַעֲשֵׂר שֵׁנִי. \nאָמַר רְבִּי יִשְׁמָעֵאל: \n\"אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה! \nעָלֶיךָ רְאָיָה לְלַמֵּד, שֶׁאַתָּה מַחֲמִיר! \nשֶׁכָּל הַמַּחֲמִיר, עָלָיו רְאָיָה לְלַמֵּד.\" \nד\nאָמַר לוֹ רְבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה: \n\"יִשְׁמָעֵאל אָחִי! \nאֲנִי לֹא שִׁנִּיתִי מִסֵּדֶר הַשָּׁנִים, \nרְבִּי טַרְפוֹן אָחִי שִׁנָּה, \nוְעָלָיו רְאָיָה לְלַמֵּד!\" \nה\nהֵשִׁיב רְבִּי טַרְפוֹן: \nמִצְרַיִם חוּץ לָאָרֶץ, \nוְעַמּוֹן וּמוֹאָב חוּץ לָאָרֶץ; \nמַה מִּצְרַיִם מַעְשַׂר עָנִי בַשְּׁבִיעִית, \nאַף עַמּוֹן וּמוֹאָב מַעְשַׂר [עָנִי] בַשְּׁבִיעִית. \nו\nהֵשִׁיב רְבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה: \nבָּבֶל חוּץ לָאָרֶץ, \nעַמּוֹן וּמוֹאָב חוּץ לָאָרֶץ; \nמַה בָּבֶל מַעֲשֵׂר שֵׁנִי בַּשְּׁבִיעִית, \nאַף עַמּוֹן וּמוֹאָב מַעֲשֵׂר שֵׁנִי בַּשְּׁבִיעִית. \nז\nאָמַר רְבִּי טַרְפוֹן: \nמִצְרַיִם מִפְּנֵי קְרוֹבָה, \nעֲשָׂאוּהָ מַעְשַׂר עָנִי, \nשֶׁיְּהוּא עֲנִיֵּי יִשְׂרָאֵל נִסְמָכִין עָלֶיהָ בַּשְּׁבִיעִית, <שֶׁיְּהֵא>\nאַף עַמּוֹן וּמוֹאָב שֶׁהֵן קְרוֹבִין, \nנֶעְשִׂין מַעְשַׂר עָנִי, \nשֶׁיְּהוּא עֲנִיֵּי יִשְׂרָאֵל נִסְמָכִין עֲלֵיהֶן בַּשְּׁבִיעִית. \nח\nאָמַר לוֹ רְבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה: \nהֲרֵי אַתָּה כְּמַהֲנָן מָמוֹן, \nוְאֵין אַתָּה אֶלָּא כְּמַפְסִידָן נְפָשׁוֹת! \nוְקוֹבֵעַ אַתָּה אֶת הַשָּׁמַיִם מִלְּהוֹרִיד טַל וּמָטָר, \nשֶׁנֶּאֱמַר: (מַלְאָכִי ג,ח) \n\"הֲיִקְבַּע אָדָם אֱלהִים? \nכִּי אַתֶּם קֹבְעִים אוֹתִי! \nוַאֲמַרְתֶּם: בַּמֶּה קְבַעֲנוּךָ? \nהַמַּעֲשֵׂר וְהַתְּרוּמָה\". \nט\nאָמַר רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ: \n\"הֲרֵי אֲנִי כְּמֵשִׁיב עַל דִּבְרֵי אָחִי טַרְפוֹן, \nאֲבָל לֹא לְעִנְיַן דְּבָרָיו: \nמִצְרַיִם מַעֲשֶׂה חָדָשׁ, \nוּבָבֶל מַעֲשֶׂה יָשָׁן, \nוְהַנָּדוֹן שֶׁלְּפָנֵינוּ מַעֲשֶׂה חָדָשׁ. \nיִדּוֹן מַעֲשֶׂה חָדָשׁ מִמַּעֲשֶׂה חָדָשׁ, \nוְאַל יִדּוֹן מַעֲשֶׂה חָדָשׁ מִמַּעֲשֶׂה יָשָׁן! \nמִצְרַיִם מַעֲשֵׂה זְקֵנִים, \nוּבָבֶל מַעֲשֵׂה נְבִיאִין, \nוְהַנָּדוֹן שֶׁלְפָנֵינוּ מַעֲשֵׂה זְקֵנִים. \nיִדּוֹן מַעֲשֵׂה זְקֵנִים מִמַּעֲשֵׂה זְקֵנִים, \nוְאַל יִדּוֹן מַעֲשֵׂה זְקֵנִים מִמַּעֲשֵׂה נְבִיאִים!\" \nנִמְנוּ וְגָמְרוּ: \nעַמּוֹן וּמוֹאָב מְעַשְּׂרִין מַעְשַׂר עָנִי בַּשְּׁבִיעִית. \nי\nוּכְשֶׁבָּא רְבִּי יוֹסֵה בֶן דָּרְמַסְקִית \nאֵצֶל רְבִּי אֱלִיעֶזֶר לְלוֹד, אָמַר לוֹ: \n\"מַה חִדּוּשׁ הָיָה לָכֶם בְּבֵית הַמִּדְרָשׁ הַיּוֹם?\" \nאָמַר לוֹ: \n\"נִמְנוּ וְגָמְרוּ, \nעַמּוֹן וּמוֹאָב מַעְשַׂר עָנִי בַּשְּׁבִיעִית.\" \nיא\nבָּכָה רְבִּי אֱלִיעֶזֶר וְאָמַר: (תהלים כה,יד) \n\"סוֹד יי לִירֵאָיו וּבְרִיתוֹ לְהוֹדִיעָם\", \nצֵא וֶאֱמֹר לָהֶן: \nאַל תָּחוּשׁוּ לְמִנְיַנְכֶם! \nמְקֻבָּל אֲנִי מֵרַבָּן יוֹחָנָן בֶּן זַכַּי, \nשֶׁשָּׁמַע מֵרַבּוֹ, וְרַבּוֹ מֵרַבּוֹ, \nהֲלָכָה לְמֹשֶׁה מִסִּינַי, \nשֶׁעַמּוֹן וּמוֹאָב מַעְשַׂר עָנִי בַּשְּׁבִיעִית.\" \n", + "יב\nבּוֹ בַּיּוֹם בָּא יְהוּדָה גֵר עַמּוֹנִי, \nוְעָמַד לִפְנֵיהֶן בְּבֵית הַמִּדְרָשׁ, \nאָמַר לָהֶן: \n\"מָה אֲנִי לָבֹא בַּקָּהָל?\" \nאָמַר לוֹ רַבָּן גַּמְלִיאֵל: \n\"אָסוּר אַתָּה.\" \nאָמַר לוֹ רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ: \n\"מֻתָּר אַתָּה.\" \nאָמַר לוֹ רַבָּן גַּמְלִיאֵל: \nהַכָּתוּב אוֹמֵר: (דברים כג,ד) \n\"לֹא יָבֹא עַמּוֹנִי וּמוֹאָבִי בִקְהַל יי, \n[גַּם דּוֹר עֲשִׂירִי]\". <עַד עוֹלָם> \nאָמַר לוֹ רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ: \nוְכִי עַמּוֹנִיִּין וּמוֹאָבִיִּין בִּמְקוֹמָן הֵן? \nכְּבָר עָלָה סַנְחֵרִיב מֶלֶךְ אַשּׁוּר, \nוּבִלְבֵּל אֶת הָאֻמּוֹת, \nשֶׁנֶּאֱמַר: (ישעיה י,יג) \n\"וְאָסִיר גְּבוּלת עַמִּים, \nוַעֲתוּדֹתֵיהֶם שׁוֹשֵׂתִי, \nוְאוֹרִיד כַּאבִּיר יוֹשְׁבִים\". \nאָמַר לוֹ רַבָּן גַּמְלִיאֵל: \n\"הֲרֵי הוּא אוֹמֵר: (ירמיה מט,ו) \n\"וְאַחֲרֵי כֵן אָשִׁיב אֶת שְׁבוּת בְּנֵי עַמּוֹן\", \nוּכְבָר חָזָרוּ.\" \nאָמַר לוֹ רְבִּי יְהוֹשֻׁעַ: \n\"הַכָּתוּב אוֹמֵר: (עמוס ט,יד) \n\"וְשַׁבְתִּי אֶת שְׁבוּת עַמִּי יִשְׂרָאֵל וִיהוּדָה, \nאָמַר יי\", \nוַעֲדַיִן לֹא שָׁבוּ.\" \nוְהִתִּירוּהוּ שֶׁיָּבֹא בַּקָּהָל. \n", + "יג\nתֶּרְגּוּם שֶׁבְּעֶזְרָא וְשֶׁבְּדָנִיֵּאל, \nמְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. \nתֶּרְגּוּם שֶׁכְּתָבוֹ עִבְרִית, \nוְעִבְרִי שֶׁכְּתָבוֹ תֶּרְגּוּם, \nוּכְתָב עִבְרִי, \nאֵינוּ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. \nלְעוֹלָם אֵינוּ מְטַמֵּא, \nעַד שֶׁיִּכְתְּבֶנּוּ אַשּׁוּרִית, עַל הָעוֹר, וּבַדְּיוֹ. \n", + "יד\nאוֹמְרִין צָדוֹקִין: \nקוֹבְלִין אָנוּ עֲלֵיכֶן פָּרוּשִׁין! \nשֶׁאַתֶּם אוֹמְרִים: \nכִּתְבֵי הַקֹּדֶשׁ מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם, \nוְסִפְרֵי מֵירוֹן אֵין מְטַמִּין אֶת הַיָּדַיִם! \nאָמַר רַבָּן יוֹחָנָן בֶּן זַכַּי: \nוְכִי אֵין לָנוּ עַל הַפָּרוּשִׁין אֶלָּא זוֹ בִּלְבַד? \nהֲרֵי הֵם אוֹמְרִים: \nעַצְמוֹת חֲמוֹר טְהוֹרִין, \nוְעַצְמוֹת יוֹחָנָן כֹּהֵן גָּדוֹל טְמֵאִין. \nאָמְרוּ לוֹ: \nלְפִי חִבָּתָן הִיא טֻמְאָתָן, \nשֶׁלֹּא יַעֲשֶׂה אָדָם עַצְמוֹת אָבִיו וְאִמּוֹ תָרְוָדוֹת. \nאָמַר לָהֶן: \nאַף כִּתְבֵי הַקֹּדֶשׁ, \nלְפִי חִבָּתָן הִיא טֻמְאָתָן. \nוְסִפְרֵי מֵירוֹן, שֶׁאֵינָן חֲבִיבִין, \nאֵינָן מְטַמִּין אֶת הַיָּדַיִם. \n", + "טו\nאוֹמְרִים צָדוּקִין: \nקוֹבְלִין אָנוּ עֲלֵיכֶן פָּרוּשִׁים! \nשֶׁאַתֶּם מְטַהֲרִין אֶת הַנָּצוֹק. \nאוֹמְרִים פָּרוּשִׁין: \nקוֹבְלִין אָנוּ עֲלֵיכֶם צָדוּקִים! \nשֶׁאַתֶּם מְטַהֲרִין אֶת אַמַּת הַמַּיִם \nהַבָּאָה מִבֵּית הַקְּבָרוֹת. \nאוֹמְרִים צָדוּקִים: \nקוֹבְלִין אָנוּ עֲלֵיכֶם פָּרוּשִׁין! \nמָה אִם שׁוֹרִי וַחֲמוֹרִי, \nשֶׁאֵינִי חַיָּב בָּהֶן מִצְוֹת, \nהֲרֵי אֲנִי חַיָּב בְּנִזְקָן, \nעַבְדִּי וַאֲמָתִי, שֶׁאֲנִי חַיָּב בָּהֶן מִצְוֹת, \nאֵינוּ דִין שֶׁאֲנִי חַיָּב בְּנִזְקָן? \nאָמְרוּ לָהֶם: \nלֹא! \nאִם אֲמַרְתֶּם בְּשׁוֹרִי וַחֲמוֹרִי, \nשֶׁאֵין בָּהֶן דַּעַת, \nתֹּאמְרוּ בְעַבְדִּי וַאֲמָתִי, \nשֶׁיֶּשׁ בָּהֶם דַּעַת? \nשֶׁאִם אַקְנִיטֶנּוּ, \nיֵלֵךְ וְיַדְלִיק גְּדִישׁוֹ שֶׁלְּאַחַד, \nוֶאֱהֵא חַיָּב לְשַׁלֵּם? \n", + "יז\nאָמַר מִין גְּלִילִי: \nקוֹבֵל אֲנִי עֲלֵיכֶן פָּרוּשִׁין! \nשֶׁאַתֶּם כּוֹתְבִין אֶת הַמּוֹשֵׁל עִם משֶׁה בַגֵּט. \nאוֹמְרִים פָּרוּשִׁין: \nקוֹבְלִין אָנוּ עָלֶיךָ מִין גְּלִילִי! \nשֶׁאַתָּה כּוֹתֵב אֶת הַשֵּׁם עִם הַמּוֹשֵׁל בַּדַּף, \nוְלֹא עוֹד, \nאֶלָּא שֶׁאַתֶּם כּוֹתְבִין אֶת הַמּוֹשֵׁל מִלְמַעְלָן, \nוְאֶת הַשֵּׁם מִלְּמַטָּן: (שמות ה,ב) \n\"וַיֹּאמֶר פַּרְעה, \nמִי יי אֲשֶׁר אֶשְׁמַע בְּקֹלוֹ לְשַׁלַּח אֶת יִשְׂרָאֵל\". \nוּכְשֶׁלָּקָה מַהוּ אוֹמֵר? (שמות ט,כז) \n\"יי הַצַּדִּיק\". \n\n\n" + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/Hebrew/Mishnah, ed. Romm, Vilna 1913.json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/Hebrew/Mishnah, ed. Romm, Vilna 1913.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..e465b83e46d7c099b8ed3dfadc3fa66012dac006 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/Hebrew/Mishnah, ed. Romm, Vilna 1913.json @@ -0,0 +1,59 @@ +{ + "language": "he", + "title": "Mishnah Yadayim", + "versionSource": "https://www.nli.org.il/he/books/NNL_ALEPH001741739", + "versionTitle": "Mishnah, ed. 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פתיל אלא כלים. שאין מצילין מיד כלי חרש אלא כלים: ", + "המים שנפסלו משתית הבהמה. בכלים פסולים. ובקרקעות כשרים. נפל לתוכן דיו. קומוס. וקנקנתום. ונשתנו מראיהן. פסולין. עשה בהם מלאכה. או ששרה בהן פתו. פסולין. שמעון התימני אומר אפילו נתכוין לשרות בזה. ונפל לשני. כשרים: ", + "הדיח בהם את הכלים. או שמיחה בהם את המדות. פסולים. הדיח בהם כלים מודחים. או חדשים. כשרים. ר' יוסי פוסל בחדשים: ", + "המים שהנחתום מטביל בהם את הגלוסקין פסולים. וכשהוא מדיח את ידיו בהן. כשרים. הכל כשרים ליתן לידים. אפילו חרש שוטה וקטן. מניח חבית בין ברכיו ונוטל. מטה חבית על צדה ונוטל. והקוף נוטל לידים. ר' יוסי פוסל בשני אלו: " + ], + [ + "נטל לידו אחת משטיפה אחת. ידו טהורה. לשני ידיו. משטיפה אחת. ר' מאיר מטמא עד שיטול מרביעית. נפל ככר של תרומה טהור. רבי יוסי מטמא: ", + "נטל את הראשונים למקום אחד. ואת השניים למקום אחר. ונפל ככר של תרומה על הראשונים טמא. ועל השניים טהור. נטל את הראשונים ואת השניים למקום אחד ונפל ככר של תרומה טמא. נטל את הראשונים ונמצא על ידיו קיסם. או צרור. ידיו טמאות. שאין המים האחרונים מטהרים אלא המים שעל גבי היד. ר' שמעון בן גמליאל אומר כל שהוא מבריית המים טהור: ", + "הידים מיטמאות. ומיטהרות. עד הפרק. כיצד נטל את הראשונים עד הפרק. ואת השניים חוץ לפרק. וחזרו ליד. טהורה. נטל את הראשונים ואת השניים. חוץ לפרק. וחזרו ליד. טמאה. נטל את הראשונים לידו אחת. ונמלך. ונטל את השניים לשתי ידיו. טמאות. נטל את הראשונים לשתי ידיו ונמלך ונטל את השניים לידו אחת. ידו טהורה. נטל לידו אחת. ושפשפה בחברתה. טמאה. בראשו או בכותל טהורה. נוטלין ארבעה וחמשה. זה בצד זה. או זה על גבי זה. ובלבד שירפו. שיבואו בהם המים: ", + "ספק נעשה בהם מלאכה ספק לא נעשה בהם מלאכה. ספק יש בהם כשיעור. ספק שאין בהם כשיעור. ספק טמאים. ספק טהורין. ספיקן טהור. מפני שאמרו ספק הידים ליטמא ולטמא וליטהר טהור. ר' יוסי אומר ליטהר. טמא. כיצד היו ידיו טהורות. ולפניו שני ככרים טמאים. ספק נגע ספק לא נגע. היו ידיו טמאות. ולפניו שני ככרים טהורים. ספק נגע ספק לא נגע. היו ידיו אחת טמאה ואחת טהורה. ולפניו שני ככרים טהורים. נגע באחד מהם. ספק בטמאה נגע. ספק בטהורה נגע. היו ידיו טהורות ולפניו שני ככרים. אחד טמא ואחד טהור. נגע באחד מהן. ספק בטמא נגע. ספק בטהור נגע. היו ידיו אחת טמאה ואחת טהורה. ולפניו שני ככרים. אחד טמא ואחד טהור. נגע בשתיהן. ספק טמאה בטמאה. וטהורה בטהורה. או טהורה בטמאה. וטמאה בטהורה. הידים כמו שהיו. והככרים כמות שהיו: " + ], + [ + "המכניס ידיו לבית המנוגע. ידיו תחלות דברי ר' עקיבא. וחכמים אומרים ידיו שניות. כל המטמא בגדים בשעת מגעו. מטמא את הידים. להיות תחלות. דברי ר' עקיבא. וחכמים אומרים להיות שניות. אמרו לו לר' עקיבא. היכן מצינו שהידים תחלה בכל מקום. אמר להם וכי היאך אפשר להן להיות תחלה. אלא אם כן נטמא גופו. חוץ מזה. האוכלין והכלים שנטמאו במשקין מטמאין את הידים להיות שניות. דברי ר' יהושע. וחכמים אומרים את שנטמא באב הטומאה. מטמא את הידים. בולד הטומאה אינו מטמא את הידים. אמר רבן שמעון בן גמליאל מעשה באשה אחת שבאת לפני אבא. אמרה לו נכנסו ידי לאויר כלי חרש. אמר לה בתי ובמה היתה טומאתה. ולא שמעתי מה אמרה לו. אמרו חכמים מבואר הדבר. את שנטמא באב הטומאה. מטמא את הידים. בולד הטומאה. אינו מטמא את הידים: ", + "כל הפוסל את התרומה. מטמא את הידים להיות שניות. היד מטמאה את חברתה. דברי ר' יהושע. וחכמים אומרים אין שני עושה שני. אמר להם והלא כתבי הקדש שניים. מטמאין את הידים. אמרו לו אין דנין דברי תורה מדברי סופרים. ולא דברי סופרים מדברי תורה. ולא דברי סופרים מדברי סופרים: ", + "רצועות תפילין עם התפילין מטמאות את הידים. ר' שמעון אומר רצועות תפילין. אינן מטמאות את הידים: ", + "גליון שבספר שמלמעלן ושמלמטן שבתחלה ושבסוף. מטמאין את הידים. ר' יהודה אומר שבסוף אינו מטמא. עד שיעשה לו עמוד: ", + "ספר שנמחק ונשתייר בו שמונים וחמש אותיות. כפרשת ויהי בנסוע הארון. מטמא את הידים. מגילה שכתוב בה שמונים וחמש אותיות. כפרשת ויהי בנסוע הארון. מטמא את הידים. כל כתבי הקדש מטמאין את הידים. שיר השירים וקהלת. מטמאין את הידים. ר' יהודה אומר שיר השירים מטמא את הידים. וקהלת מחלוקת. ר' יוסי אומר קהלת אינו מטמא את הידים. ושיר השירים מחלוקת. ר' שמעון אומר קהלת מקולי בית שמאי. ומחומרי בית הלל. אמר ר' שמעון בן עזאי. מקובל אני מפי שבעים שנים זקן ביום שהושיבו את ר' אלעזר בן עזריה בישיבה. ששיר השירים וקהלת מטמאים את הידים. אמר ר' עקיבא חס ושלום. לא נחלק אדם מישראל על שיר השירים. שלא תטמא את הידים. שאין כל העולם כלו כדאי כיום שניתן בו שיר השירים לישראל. שכל כתובים קדש. ושיר השירים קודש קדשים. ואם נחלקו. לא נחלקו אלא על קהלת. אמר ר' יוחנן בן יהושע בן חמיו של ר' עקיבא כדברי בן עזאי כך נחלקו וכן גמרו: " + ], + [ + "בו ביום נמנו וגמרו. על עריבת הרגלים שהוא משני לוגין. ועד תשעה קבין שנסדקה. שהיא טמאה מדרס. שר' עקיבא אומר עריבת הרגלים כשמה. ", + "בו ביום אמרו. כל הזבחים שנזבחו שלא לשמן כשרים. אלא שלא עלו לבעלים לשום חובה. חוץ מן הפסח. ומן החטאת. הפסח בזמנו. והחטאת בכל זמן. ר' אליעזר אומר אף האשם. הפסח בזמנו. והחטאת והאשם בכל זמן. אמר ר' שמעון בן עזאי. מקובלני מפי שבעים ושנים זקן ביום שהושיבו את ר' אלעזר בן עזריה בישיבה. שכל הזבחים הנאכלין. שנזבחו שלא לשמן. כשרים. אלא שלא עלו לבעלים לשם חובה. חוץ מן הפסח ומן החטאת. לא הוסיף בן עזאי אלא העולה. ולא הודו לו חכמים: ", + "בו ביום אמרו עמון ומואב מה הן בשביעית. גזר ר' טרפון מעשר עני. וגזר ר' אלעזר בן עזריה מעשר שני. אמר ר' ישמעאל. אלעזר בן עזריה עליך ראיה ללמד. שאתה מחמיר שכל המחמיר עליו ראיה ללמד. אמר לו ר' אלעזר בן עזריה. ישמעאל אחי. אני לא שניתי מסדר השנים. טרפון אחי שינה. ועליו ראיה ללמד. השיב ר' טרפון מצרים חוצה לארץ. עמון ומואב חוצה לארץ. מה מצרים מעשר עני בשביעית. אף עמון ומואב מעשר עני בשביעית. השיב ר' אלעזר בן עזריה. בבל חוצה לארץ. עמון ומואב חוצה לארץ. מה בבל מעשר שני בשביעית. אף עמון ומואב מעשר שני בשביעית. אמר ר' טרפון. מצרים שהיא קרובה עשאוה מעשר עני. שיהיו עניי ישראל נסמכים עליה בשביעית. אף עמון ומואב שהם קרובים נעשים מעשר עני. שיהיו עניי ישראל נסמכים עליהם בשביעית. אמר לו ר' אלעזר בן עזריה הרי אתה כמהנן ממון. ואין אתה אלא כמפסיד נפשות. קובע אתה את השמים. מלהוריד טל ומטר שנאמר (מלאכי ג, ח) היקבע אדם אלהים כי אתם קובעים אותי ואמרתם במה קבענוך המעשר והתרומה. אמר ר' יהושע הריני כמשיב על טרפון אחי. אבל לא לענין דבריו. מצרים מעשה חדש ובבל מעשה ישן והנדון שלפנינו מעשה חדש. ידון מעשה חדש ממעשה חדש. ואל ידון מעשה חדש ממעשה ישן. מצרים מעשה זקנים. ובבל מעשה נביאים. והנדון שלפנינו מעשה זקנים. ידון מעשה זקנים ממעשה זקנים. ואל ידון מעשה זקנים ממעשה נביאים. נמנו וגמרו עמון ומואב מעשרין מעשר עני בשביעית. וכשבא ר' יוסי בן דורמסקית אצל רבי אליעזר בלוד. אמר לו מה חדוש היה לכם בבית המדרש היום. אמר לו נמנו וגמרו. עמון ומואב מעשרים מעשר עני בשביעית. בכה רבי אליעזר ואמר (תהלים כה, יד) סוד ה' ליראיו ובריתו להודיעם. צא ואמור להם אל תחושו למנינכם. מקובל אני מרבן יוחנן בן זכאי ששמע מרבו. ורבו מרבו. עד הלכה למשה מסיני. שעמון ומואב מעשרין מעשר עני בשביעית: ", + "בו ביום בא יהודה גר עמוני. ועמד לפניהן בבית המדרש. אמר להם מה אני לבא בקהל. אמר לו ר' גמליאל אסור אתה. אמר לו ר' יהושע מותר אתה. אמר לו ר' גמליאל הכתוב אומר (דברים כג, ד) לא יבא עמוני ומואבי בקהל ה' גם דור עשירי וגו'. אמר לו רבי יהושע. וכי עמונים ומואבים במקומן הן. כבר עלה סנחריב מלך אשור. ובלבל את כל האומות. שנאמר (ישעיה י, יג) ואסיר גבולות עמים. ועתידותיהם שוסתי. ואוריד כביר יושבים. אמר לו ר' גמליאל. הכתוב אומר (ירמיה מט, ו) ואחרי כן אשיב את שבות בני עמון. וכבר חזרו. אמר לו ר' יהושע. הכתוב אומר (ירמיה ל, ג) ושבתי את שבות עמי ישראל ויהודה ועדיין לא שבו. התירוהו לבא בקהל: ", + "תרגום שבעזרא ושבדניאל מטמא את הידים. תרגום. שכתבו עברית ועברית שכתבו תרגום. וכתב עברי. אינו מטמא את הידים. לעולם אינו מטמא עד שיכתבנו אשורית על העור. ובדיו: ", + "אומרים צדוקים. קובלין אנו עליכם פרושים. שאתם אומרים כתבי הקודש מטמאין את הידים וספרי הומריס אינו מטמא את הידים. אמר ר' יוחנן בן זכאי וכי אין לנו על הפרושים אלא זו בלבד. הרי הם אומרים עצמות חמור טהורים ועצמות יוחנן כהן גדול טמאים. אמרו לו. לפי חבתן היא טומאתן שלא יעשה אדם עצמות אביו ואמו תרוודות. אמר להם אף כתבי הקדש לפי חבתן היא טומאתן. וספרי הומריס שאינן חביבין אינן מטמאין את הידים: ", + "אומרים צדוקין. קובלין אנו עליכם פרושים. שאתם מטהרים את הנצוק. אומרים הפרושים. קובלין אנו עליכם צדוקים. שאתם מטהרים את אמת המים הבאה מבית הקברות. אומרים צדוקין. קובלין אנו עליכם פרושים. שאתם אומרים שורי וחמורי שהזיקו חייבין. ועבדי ואמתי שהזיקו פטורין. מה אם שורי וחמורי שאיני חייב בהם מצות. הרי אני חייב בנזקן. עבדי ואמתי שאני חייב בהן מצות. אינו דין שאהא חייב בנזקן. אמרו להם לא. אם אמרתם בשורי וחמורי שאין בהם דעת. תאמרו בעבדי ובאמתי. שיש בהם דעת. שאם אקניטם. ילך וידליק גדישו של אחר. ואהא חייב לשלם: ", + "אמר צדוקי גלילי. קובל אני עליכם פרושים. שאתם כותבין את המושל עם משה בגט. אומרים פרושים. קובלין אנו עליך צדוקי גלילי. שאתם כותבים את המושל עם השם בדף. ולא עוד אלא שאתם כותבין את המושל מלמעלן. ואת השם מלמטן. שנאמר (שמות ה, ב) ויאמר פרעה מי ה' אשר אשמע בקולו לשלח את ישראל. וכשלקה מהו אומר (שמות ט, כז) ה' הצדיק: " + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/Hebrew/Torat Emet 357.json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/Hebrew/Torat Emet 357.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..41a0a9e0579c300cba3e356bab374c94f1af5232 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/Hebrew/Torat Emet 357.json @@ -0,0 +1,57 @@ +{ + "language": "he", + "title": "Mishnah Yadayim", + "versionSource": "http://www.toratemetfreeware.com/index.html?downloads", + "versionTitle": "Torat Emet 357", + "status": "locked", + "priority": 3.0, + "license": "Public Domain", + "versionTitleInHebrew": "תורת אמת 357", + "actualLanguage": "he", + "languageFamilyName": "hebrew", + "isBaseText": true, + "isSource": true, + "isPrimary": true, + "direction": "rtl", + "heTitle": "משנה ידים", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Tahorot" + ], + "text": [ + [ + "מֵי רְבִיעִית נוֹתְנִין לַיָּדַיִם, לְאֶחָד, אַף לִשְׁנַיִם. מַחֲצִית לֹג, לִשְׁלשָׁה אוֹ לְאַרְבָּעָה. מִלֹּג, לַחֲמִשָּׁה וְלַעֲשָׂרָה וּלְמֵאָה. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, וּבִלְבַד שֶׁלֹּא יִפְחֹת לָאַחֲרוֹן שֶׁבָּהֶם מֵרְבִיעִית. מוֹסִיפִין עַל הַשְּׁנִיִּים וְאֵין מוֹסִיפִין עַל הָרִאשׁוֹנִים: \n", + "בְּכָל הַכֵּלִים נוֹתְנִין לַיָּדַיִם, אֲפִלּוּ בִכְלֵי גְלָלִים, בִּכְלֵי אֲבָנִים, בִּכְלֵי אֲדָמָה. אֵין נוֹתְנִין לַיָּדַיִם, לֹא בְדָפְנוֹת הַכֵּלִים, וְלֹא בְשׁוּלֵי הַמַּחַץ, וְלֹא בִמְגוּפַת הֶחָבִית. וְלֹא יִתֵּן לַחֲבֵרוֹ בְחָפְנָיו, מִפְּנֵי שֶׁאֵין מְמַלְּאִין וְאֵין מְקַדְּשִׁין וְאֵין מַזִּין מֵי חַטָּאת וְאֵין נוֹתְנִים לַיָּדַיִם אֶלָּא בִכְלִי. וְאֵין מַצִּילִין בְּצָמִיד פָּתִיל אֶלָּא כֵלִים, שֶׁאֵין מַצִּילִין מִיַּד כְּלִי חֶרֶשׂ אֶלָּא כֵלִים: \n", + "הַמַּיִם שֶׁנִּפְסְלוּ מִשְּׁתִיַּת הַבְּהֵמָה, בְּכֵלִים, פְּסוּלִים. וּבְקַרְקָעוֹת, כְּשֵׁרִים. נָפַל לְתוֹכָן דְּיוֹ, קוֹמוֹס, וְקַנְקַנְתּוֹם וְנִשְׁתַּנּוּ מַרְאֵיהֶן, פְּסוּלִין. עָשָׂה בָהֶם מְלָאכָה אוֹ שֶׁשָּׁרָה בָהֶן פִּתּוֹ, פְּסוּלִין. שִׁמְעוֹן הַתִּמְנִי אוֹמֵר, אֲפִלּוּ נִתְכַּוֵּן לִשְׁרוֹת בָּזֶה וְנָפַל לַשֵּׁנִי, כְּשֵׁרִים: \n", + "הֵדִיחַ בָּהֶם אֶת הַכֵּלִים אוֹ שֶׁמִּחָה בָהֶם אֶת הַמִּדּוֹת, פְּסוּלִים. הֵדִיחַ בָּהֶם כֵּלִים מוּדָחִים אוֹ חֲדָשִׁים, כְּשֵׁרִים. רַבִּי יוֹסֵי פוֹסֵל בַּחֲדָשִׁים: \n", + "הַמַּיִם שֶׁהַנַּחְתּוֹם מַטְבִּיל בָּהֶם אֶת הַגְּלֻסְקִין, פְּסוּלִים. וּכְשֶׁהוּא מֵדִיחַ אֶת יָדָיו בָּהֶן, כְּשֵׁרִים. הַכֹּל כְּשֵׁרִים לִתֵּן לַיָּדַיִם, אֲפִלּוּ חֵרֵשׁ שׁוֹטֶה וְקָטָן. מַנִּיחַ חָבִית בֵּין בִּרְכָּיו וְנוֹטֵל. מַטֶּה חָבִית עַל צִדָּהּ וְנוֹטֵל. וְהַקּוֹף נוֹטֵל לַיָּדַיִם. רַבִּי יוֹסֵי פוֹסֵל בִּשְׁנֵי אֵלּוּ: \n" + ], + [ + "נָטַל לְיָדוֹ אַחַת מִשְּׁטִיפָה אַחַת, יָדוֹ טְהוֹרָה. לִשְׁתֵּי יָדָיו מִשְּׁטִיפָה אַחַת, רַבִּי מֵאִיר מְטַמֵּא, עַד שֶׁיִּטֹּל מֵרְבִיעִית. נָפַל כִּכָּר שֶׁל תְּרוּמָה, טָהוֹר. רַבִּי יוֹסֵי מְטַמֵּא: \n", + "נָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים לְמָקוֹם אֶחָד, וְאֶת הַשְּׁנִיִּים לְמָקוֹם אַחֵר, וְנָפַל כִּכָּר שֶׁל תְּרוּמָה עַל הָרִאשׁוֹנִים, טָמֵא, וְעַל הַשְּׁנִיִּים, טָהוֹר. נָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים וְאֶת הַשְּׁנִיִּים לְמָקוֹם אֶחָד, וְנָפַל כִּכָּר שֶׁל תְּרוּמָה, טָמֵא. נָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים וְנִמְצָא עַל יָדָיו קֵיסָם אוֹ צְרוֹר, יָדָיו טְמֵאוֹת, שֶׁאֵין הַמַּיִם הָאַחֲרוֹנִים מְטַהֲרִים אֶלָּא הַמַּיִם שֶׁעַל גַּבֵּי הַיָּד. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, כֹּל שֶׁהוּא מִבְּרִיַּת הַמַּיִם, טָהוֹר: \n", + "הַיָּדַיִם מִטַּמְּאוֹת וּמִטַּהֲרוֹת עַד הַפֶּרֶק. כֵּיצַד. נָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים עַד הַפֶּרֶק, וְאֶת הַשְּׁנִיִּים חוּץ לַפֶּרֶק, וְחָזְרוּ לַיָּד, טְהוֹרָה. נָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים וְאֶת הַשְּׁנִיִּים חוּץ לַפֶּרֶק וְחָזְרוּ לַיָּד, טְמֵאָה. נָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים לְיָדוֹ אַחַת וְנִמְלַךְ וְנָטַל אֶת הַשְּׁנִיִּים לִשְׁתֵּי יָדָיו, טְמֵאוֹת. נָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים לִשְׁתֵּי יָדָיו וְנִמְלַךְ וְנָטַל אֶת הַשְּׁנִיִּים לְיָדוֹ אַחַת, יָדוֹ טְהוֹרָה. נָטַל לְיָדוֹ אַחַת וְשִׁפְשְׁפָהּ בַּחֲבֶרְתָּהּ, טְמֵאָה. בְּרֹאשׁוֹ אוֹ בַכֹּתֶל, טְהוֹרָה. נוֹטְלִין אַרְבָּעָה וַחֲמִשָּׁה זֶה בְצַד זֶה אוֹ זֶה עַל גַּבֵּי זֶה, וּבִלְבַד שֶׁיְּרַפּוּ שֶׁיָּבֹאוּ בָהֶם הַמָּיִם: \n", + "סָפֵק נַעֲשָׂה בָהֶם מְלָאכָה סָפֵק לֹא נַעֲשָׂה בָהֶם מְלָאכָה, סָפֵק יֵשׁ בָּהֶם כַּשִּׁעוּר סָפֵק שֶׁאֵין בָּהֶם כַּשִּׁעוּר, סָפֵק טְמֵאִים סָפֵק טְהוֹרִין, סְפֵקָן טָהוֹר, מִפְּנֵי שֶׁאָמְרוּ, סְפֵק הַיָּדַיִם לִטָּמֵא וּלְטַמֵּא וְלִטָּהֵר, טָהוֹר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, לִטָּהֵר, טָמֵא. כֵּיצַד. הָיוּ יָדָיו טְהוֹרוֹת וּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִים טְמֵאִים, סָפֵק נָגַע סָפֵק לֹא נָגַע, הָיוּ יָדָיו טְמֵאוֹת וּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִים טְהוֹרִים, סָפֵק נָגַע סָפֵק לֹא נָגַע. הָיוּ יָדָיו אַחַת טְמֵאָה וְאַחַת טְהוֹרָה וּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִים טְהוֹרִים, נָגַע בְּאַחַד מֵהֶם, סָפֵק בַּטְּמֵאָה נָגַע סָפֵק בַּטְּהוֹרָה נָגַע. הָיוּ יָדָיו טְהוֹרוֹת וּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִים, אֶחָד טָמֵא וְאֶחָד טָהוֹר, נָגַע בְּאַחַד מֵהֶן, סָפֵק בַּטָּמֵא נָגַע סָפֵק בַּטָּהוֹר נָגַע. הָיוּ יָדָיו אַחַת טְמֵאָה וְאַחַת טְהוֹרָה וּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִים אֶחָד טָמֵא וְאֶחָד טָהוֹר, נָגַע בִּשְׁתֵּיהֶן, סָפֵק טְמֵאָה בַטָּמֵא וּטְהוֹרָה בַטָּהוֹר, אוֹ טְהוֹרָה בַטָּמֵא וּטְמֵאָה בַטָּהוֹר, הַיָּדַיִם כְּמוֹ שֶׁהָיוּ וְהַכִּכָּרִים כְּמוֹת שֶׁהָיוּ: \n" + ], + [ + "הַמַּכְנִיס יָדָיו לְבַיִת הַמְנֻגָּע, יָדָיו תְּחִלּוֹת, דִּבְרֵי רַבִּי עֲקִיבָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, יָדָיו שְׁנִיּוֹת. כֹּל הַמְטַמֵּא בְגָדִים בִּשְׁעַת מַגָּעוֹ, מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם לִהְיוֹת תְּחִלּוֹת, דִּבְרֵי רַבִּי עֲקִיבָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לִהְיוֹת שְׁנִיּוֹת. אָמְרוּ לוֹ לְרַבִּי עֲקִיבָא, הֵיכָן מָצִינוּ שֶׁהַיָּדַיִם תְּחִלָּה בְכָל מָקוֹם. אָמַר לָהֶם, וְכִי הֵיאַךְ אֶפְשָׁר לָהֶן לִהְיוֹת תְּחִלָּה אֶלָּא אִם כֵּן נִטְמָא גוּפוֹ, חוּץ מִזֶּה. הָאֳכָלִין וְהַכֵּלִים שֶׁנִּטְמְאוּ בְמַשְׁקִין, מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם לִהְיוֹת שְׁנִיּוֹת, דִּבְרֵי רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֶת שֶׁנִּטְמָא בְאַב הַטֻּמְאָה, מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. בִּוְלַד הַטֻּמְאָה, אֵינוֹ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. אָמַר רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל, מַעֲשֶׂה בְאִשָּׁה אַחַת שֶׁבָּאָת לִפְנֵי אַבָּא, אָמְרָה לוֹ, נִכְנְסוּ יָדַי לַאֲוִיר כְּלִי חֶרֶשׂ. אָמַר לָהּ, בִּתִּי, וּבַמֶּה הָיְתָה טֻמְאָתָהּ, וְלֹא שָׁמַעְתִּי מָה אָמְרָה לוֹ. אָמְרוּ חֲכָמִים, מְבֹאָר הַדָּבָר. אֶת שֶׁנִּטְמָא בְאַב הַטֻּמְאָה, מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. בִּוְלַד הַטֻּמְאָה, אֵינוֹ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדָיִם: \n", + "כֹּל הַפּוֹסֵל אֶת הַתְּרוּמָה, מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם לִהְיוֹת שְׁנִיּוֹת. הַיָּד מְטַמְּאָה אֶת חֲבֶרְתָּהּ, דִּבְרֵי רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין שֵׁנִי עוֹשֶׂה שֵׁנִי. אָמַר לָהֶם, וַהֲלֹא כִתְבֵי הַקֹּדֶשׁ שְׁנִיִּים מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם. אָמְרוּ לוֹ, אֵין דָּנִין דִּבְרֵי תוֹרָה מִדִּבְרֵי סוֹפְרִים, וְלֹא דִבְרֵי סוֹפְרִים מִדִּבְרֵי תוֹרָה, וְלֹא דִבְרֵי סוֹפְרִים מִדִּבְרֵי סוֹפְרִים: \n", + "רְצוּעוֹת תְּפִלִּין עִם הַתְּפִלִּין, מְטַמְּאוֹת אֶת הַיָּדַיִם. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, רְצוּעוֹת תְּפִלִּין אֵינָן מְטַמְּאוֹת אֶת הַיָּדַיִם: \n", + "גִּלָּיוֹן שֶׁבַּסֵּפֶר, שֶׁמִּלְּמַעְלָן וְשֶׁמִּלְּמַטָּן שֶׁבַּתְּחִלָּה וְשֶׁבַּסּוֹף, מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שֶׁבַּסּוֹף אֵינוֹ מְטַמֵּא, עַד שֶׁיַּעֲשֶׂה לוֹ עַמּוּד: \n", + "סֵפֶר שֶׁנִּמְחַק וְנִשְׁתַּיֵּר בּוֹ שְׁמוֹנִים וְחָמֵשׁ אוֹתִיּוֹת, כְּפָרָשַׁת וַיְהִי בִּנְסֹעַ הָאָרֹן, מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. מְגִלָּה שֶׁכָּתוּב בָּהּ שְׁמוֹנִים וְחָמֵשׁ אוֹתִיּוֹת כְּפָרָשַׁת וַיְהִי בִּנְסֹעַ הָאָרֹן, מְטַמָּא אֶת הַיָּדַיִם. כָּל כִּתְבֵי הַקֹּדֶשׁ מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם. שִׁיר הַשִּׁירִים וְקֹהֶלֶת מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שִׁיר הַשִּׁירִים מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם, וְקֹהֶלֶת מַחֲלֹקֶת. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, קֹהֶלֶת אֵינוֹ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם וְשִׁיר הַשִּׁירִים מַחֲלֹקֶת. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, קֹהֶלֶת מִקֻּלֵּי בֵית שַׁמַּאי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הִלֵּל. אָמַר רַבִּי שִׁמְעוֹן בֶּן עַזַּאי, מְקֻבָּל אֲנִי מִפִּי שִׁבְעִים וּשְׁנַיִם זָקֵן, בַּיּוֹם שֶׁהוֹשִׁיבוּ אֶת רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה בַּיְשִׁיבָה, שֶׁשִּׁיר הַשִּׁירִים וְקֹהֶלֶת מְטַמְּאִים אֶת הַיָּדַיִם. אָמַר רַבִּי עֲקִיבָא, חַס וְשָׁלוֹם, לֹא נֶחֱלַק אָדָם מִיִּשְׂרָאֵל עַל שִׁיר הַשִּׁירִים שֶׁלֹּא תְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם, שֶׁאֵין כָּל הָעוֹלָם כֻּלּוֹ כְדַאי כַּיּוֹם שֶׁנִּתַּן בּוֹ שִׁיר הַשִּׁירִים לְיִשְׂרָאֵל, שֶׁכָּל הַכְּתוּבִים קֹדֶשׁ, וְשִׁיר הַשִּׁירִים קֹדֶשׁ קָדָשִׁים. וְאִם נֶחְלְקוּ, לֹא נֶחְלְקוּ אֶלָּא עַל קֹהֶלֶת. אָמַר רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן יְהוֹשֻׁעַ בֶּן חָמִיו שֶׁל רַבִּי עֲקִיבָא, כְּדִבְרֵי בֶן עַזַּאי, כָּךְ נֶחְלְקוּ וְכָךְ גָּמְרוּ: \n" + ], + [ + "בּוֹ בַיּוֹם נִמְנוּ וְגָמְרוּ עַל עֲרֵבַת הָרַגְלַיִם, שֶׁהִיא מִשְּׁנֵי לֻגִּין וְעַד תִּשְׁעָה קַבִּין שֶׁנִּסְדְּקָה, שֶׁהִיא טְמֵאָה מִדְרָס. שֶׁרַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, עֲרֵבַת הָרַגְלַיִם כִּשְׁמָהּ: ", + "בּוֹ בַיּוֹם אָמְרוּ, כָּל הַזְּבָחִים שֶׁנִּזְבְּחוּ שֶׁלֹּא לִשְׁמָן, כְּשֵׁרִים, אֶלָּא שֶׁלֹּא עָלוּ לַבְּעָלִים לְשׁוּם חוֹבָה, חוּץ מִן הַפֶּסַח וּמִן הַחַטָּאת. הַפֶּסַח בִּזְמַנּוֹ, וְהַחַטָּאת בְּכָל זְמַן. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, אַף הָאָשָׁם. הַפֶּסַח בִּזְמַנּוֹ, וְהַחַטָּאת וְהָאָשָׁם בְּכָל זְמַן. אָמַר רַבִּי שִׁמְעוֹן בֶּן עַזַּאי, מְקֻבְּלַנִי מִפִּי שִׁבְעִים וּשְׁנַיִם זָקֵן, בַּיּוֹם שֶׁהוֹשִׁיבוּ אֶת רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה בַּיְשִׁיבָה, שֶׁכָּל הַזְּבָחִים הַנֶּאֱכָלִין שֶׁנִּזְבְּחוּ שֶׁלֹּא לִשְׁמָן, כְּשֵׁרִים, אֶלָּא שֶׁלֹּא עָלוּ לַבְּעָלִים לְשֵׁם חוֹבָה, חוּץ מִן הַפֶּסַח וּמִן הַחַטָּאת. לֹא הוֹסִיף בֶּן עַזַּאי אֶלָּא הָעוֹלָה, וְלֹא הוֹדוּ לוֹ חֲכָמִים: ", + "בּוֹ בַיּוֹם אָמְרוּ, עַמּוֹן וּמוֹאָב, מַה הֵן בַּשְּׁבִיעִית. גָּזַר רַבִּי טַרְפוֹן, מַעְשַׂר עָנִי. וְגָזַר רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה, מַעֲשֵׂר שֵׁנִי. אָמַר רַבִּי יִשְׁמָעֵאל, אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה, עָלֶיךָ רְאָיָה לְלַמֵּד, שֶׁאַתָּה מַחְמִיר, שֶׁכָּל הַמַּחְמִיר, עָלָיו רְאָיָה לְלַמֵּד. אָמַר לוֹ רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה, יִשְׁמָעֵאל אָחִי, אֲנִי לֹא שִׁנִּיתִי מִסֵּדֶר הַשָּׁנִים, טַרְפוֹן אָחִי שִׁנָּה, וְעָלָיו רְאָיָה לְלַמֵּד. הֵשִׁיב רַבִּי טַרְפוֹן, מִצְרַיִם חוּץ לָאָרֶץ, עַמּוֹן וּמוֹאָב חוּץ לָאָרֶץ, מַה מִּצְרַיִם מַעְשַׂר עָנִי בַשְּׁבִיעִית, אַף עַמּוֹן וּמוֹאָב מַעְשַׂר עָנִי בַשְּׁבִיעִית. הֵשִׁיב רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה, בָּבֶל חוּץ לָאָרֶץ, עַמּוֹן וּמוֹאָב חוּץ לָאָרֶץ, מַה בָּבֶל מַעֲשֵׂר שֵׁנִי בַשְּׁבִיעִית, אַף עַמּוֹן וּמוֹאָב מַעֲשֵׂר שֵׁנִי בַשְּׁבִיעִית. אָמַר רַבִּי טַרְפוֹן, מִצְרַיִם שֶׁהִיא קְרוֹבָה, עֲשָׂאוּהָ מַעְשַׂר עָנִי, שֶׁיִּהְיוּ עֲנִיֵּי יִשְׂרָאֵל נִסְמָכִים עָלֶיהָ בַּשְּׁבִיעִית, אַף עַמּוֹן וּמוֹאָב, שֶׁהֵם קְרוֹבִים, נַעֲשִׂים מַעְשַׂר עָנִי, שֶׁיִּהְיוּ עֲנִיֵּי יִשְׂרָאֵל נִסְמָכִים עֲלֵיהֶם בַּשְּׁבִיעִית. אָמַר לוֹ רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה, הֲרֵי אַתָּה כִמְהַנָּן מָמוֹן, וְאֵין אַתָּה אֶלָּא כְמַפְסִיד נְפָשׁוֹת. קוֹבֵעַ אַתָּה אֶת הַשָּׁמַיִם מִלְּהוֹרִיד טַל וּמָטָר, שֶׁנֶּאֱמַר (מלאכי ג), הֲיִקְבַּע אָדָם אֱלֹהִים כִּי אַתֶּם קֹבְעִים אֹתִי וַאֲמַרְתֶּם בַּמֶּה קְבַעֲנוּךָ הַמַּעֲשֵׂר וְהַתְּרוּמָה. אָמַר רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, הֲרֵינִי כְמֵשִׁיב עַל טַרְפוֹן אָחִי, אֲבָל לֹא לְעִנְיַן דְּבָרָיו. מִצְרַיִם מַעֲשֶׂה חָדָשׁ, וּבָבֶל מַעֲשֶׂה יָשָׁן, וְהַנִּדּוֹן שֶׁלְּפָנֵינוּ מַעֲשֶׂה חָדָשׁ. יִדּוֹן מַעֲשֶׂה חָדָשׁ מִמַּעֲשֶׂה חָדָשׁ, וְאַל יִדּוֹן מַעֲשֶׂה חָדָשׁ מִמַּעֲשֶׂה יָשָׁן. מִצְרַיִם מַעֲשֵׂה זְקֵנִים, וּבָבֶל מַעֲשֵׂה נְבִיאִים, וְהַנִּדּוֹן שֶׁלְּפָנֵינוּ מַעֲשֵׂה זְקֵנִים. יִדּוֹן מַעֲשֵׂה זְקֵנִים מִמַּעֲשֵׂה זְקֵנִים, וְאַל יִדּוֹן מַעֲשֵׂה זְקֵנִים מִמַּעֲשֵׂה נְבִיאִים. נִמְנוּ וְגָמְרוּ, עַמּוֹן וּמוֹאָב מְעַשְּׂרִין מַעְשַׂר עָנִי בַּשְּׁבִיעִית. וּכְשֶׁבָּא רַבִּי יוֹסֵי בֶּן דֻּרְמַסְקִית אֵצֶל רַבִּי אֱלִיעֶזֶר בְּלוֹד, אָמַר לוֹ, מַה חִדּוּשׁ הָיָה לָכֶם בְּבֵית הַמִּדְרָשׁ הַיּוֹם. אָמַר לוֹ, נִמְנוּ וְגָמְרוּ, עַמּוֹן וּמוֹאָב מְעַשְּׂרִים מַעְשַׂר עָנִי בַּשְּׁבִיעִית. בָּכָה רַבִּי אֱלִיעֶזֶר וְאָמַר, סוֹד ה' לִירֵאָיו וּבְרִיתוֹ לְהוֹדִיעָם (תהלים כה). צֵא וֶאֱמֹר לָהֶם, אַל תָּחֹשּׁוּ לְמִנְיַנְכֶם. מְקֻבָּל אֲנִי מֵרַבָּן יוֹחָנָן בֶּן זַכַּאי, שֶׁשָּׁמַע מֵרַבּוֹ, וְרַבּוֹ מֵרַבּוֹ עַד הֲלָכָה לְמשֶׁה מִסִּינַי, שֶׁעַמּוֹן וּמוֹאָב מְעַשְּׂרִין מַעְשַׂר עָנִי בַּשְּׁבִיעִית: ", + "בּוֹ בַיּוֹם בָּא יְהוּדָה, גֵּר עַמּוֹנִי, וְעָמַד לִפְנֵיהֶן בְּבֵית הַמִּדְרָשׁ. אָמַר לָהֶם, מָה אֲנִי לָבֹא בַקָּהָל. אָמַר לוֹ רַבָּן גַּמְלִיאֵל, אָסוּר אָתָּה. אָמַר לוֹ רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, מֻתָּר אָתָּה. אָמַר לוֹ רַבָּן גַּמְלִיאֵל, הַכָּתוּב אוֹמֵר (דברים כג), לֹא יָבֹא עַמּוֹנִי וּמוֹאָבִי בִּקְהַל ה' גַּם דּוֹר עֲשִׂירִי וְגוֹ'. אָמַר לוֹ רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, וְכִי עַמּוֹנִים וּמוֹאָבִים בִּמְקוֹמָן הֵן. כְּבָר עָלָה סַנְחֵרִיב מֶלֶךְ אַשּׁוּר וּבִלְבֵּל אֶת כָּל הָאֻמּוֹת, שֶׁנֶּאֱמַר (ישעיה י), וְאָסִיר גְּבוּלֹת עַמִּים וַעֲתוּדוֹתֵיהֶם שׁוֹשֵׂתִי וְאוֹרִיד כַּאבִּיר יוֹשְׁבִים. אָמַר לוֹ רַבָּן גַּמְלִיאֵל, הַכָּתוּב אוֹמֵר (ירמיה מט), וְאַחֲרֵי כֵן אָשִׁיב אֶת שְׁבוּת בְּנֵי עַמּוֹן, וּכְבָר חָזְרוּ. אָמַר לוֹ רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, הַכָּתוּב אוֹמֵר (ירמיה ל ג), וְשַׁבְתִּי אֶת שְׁבוּת עַמִּי יִשְׂרָאֵל וִיהוּדָה, וַעֲדַיִן לֹא שָׁבוּ. הִתִּירוּהוּ לָבֹא בַקָּהָל: ", + "תַּרְגּוּם שֶׁבְּעֶזְרָא וְשֶׁבְּדָנִיֵּאל, מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. תַּרְגּוּם שֶׁכְּתָבוֹ עִבְרִית וְעִבְרִית שֶׁכְּתָבוֹ תַּרְגּוּם, וּכְתָב עִבְרִי, אֵינוֹ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. לְעוֹלָם אֵינוֹ מְטַמֵּא, עַד שֶׁיִּכְתְּבֶנּוּ אַשּׁוּרִית, עַל הָעוֹר, וּבִדְיוֹ: ", + "אוֹמְרִים צְדוֹקִים, קוֹבְלִין אָנוּ עֲלֵיכֶם, פְּרוּשִׁים, שֶׁאַתֶּם אוֹמְרִים, כִּתְבֵי הַקֹּדֶשׁ מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם, וְסִפְרֵי הוֹמֵרִיס אֵינוֹ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. אָמַר רַבָּן יוֹחָנָן בֶּן זַכַּאי, וְכִי אֵין לָנוּ עַל הַפְּרוּשִׁים אֶלָּא זוֹ בִלְבָד. הֲרֵי הֵם אוֹמְרִים, עַצְמוֹת חֲמוֹר טְהוֹרִים וְעַצְמוֹת יוֹחָנָן כֹּהֵן גָּדוֹל טְמֵאִים. אָמְרוּ לוֹ, לְפִי חִבָּתָן הִיא טֻמְאָתָן, שֶׁלֹּא יַעֲשֶׂה אָדָם עַצְמוֹת אָבִיו וְאִמּוֹ תַּרְוָדוֹת. אָמַר לָהֶם, אַף כִּתְבֵי הַקֹּדֶשׁ לְפִי חִבָּתָן הִיא טֻמְאָתָן, וְסִפְרֵי הוֹמֵרִיס, שֶׁאֵינָן חֲבִיבִין, אֵינָן מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדָיִם: ", + "אוֹמְרִים צְדוֹקִין, קוֹבְלִין אָנוּ עֲלֵיכֶם, פְּרוּשִׁים, שֶׁאַתֶּם מְטַהֲרִים אֶת הַנִּצּוֹק. אוֹמְרִים הַפְּרוּשִׁים, קוֹבְלִין אָנוּ עֲלֵיכֶם, צְדוֹקִים, שֶׁאַתֶּם מְטַהֲרִים אֶת אַמַּת הַמַּיִם הַבָּאָה מִבֵּית הַקְּבָרוֹת. אוֹמְרִים צְדוֹקִין, קוֹבְלִין אָנוּ עֲלֵיכֶם, פְּרוּשִׁים, שֶׁאַתֶּם אוֹמְרִים, שׁוֹרִי וַחֲמוֹרִי שֶׁהִזִּיקוּ, חַיָּבִין. וְעַבְדִּי וַאֲמָתִי שֶׁהִזִּיקוּ, פְּטוּרִין. מָה אִם שׁוֹרִי וַחֲמוֹרִי, שֶׁאֵינִי חַיָּב בָּהֶם מִצְוֹת, הֲרֵי אֲנִי חַיָּב בְּנִזְקָן. עַבְדִּי וַאֲמָתִי, שֶׁאֲנִי חַיָּב בָּהֶן מִצְוֹת, אֵינוֹ דִין שֶׁאֱהֵא חַיָּב בְּנִזְקָן. אָמְרוּ לָהֶם, לֹא. אִם אֲמַרְתֶּם בְּשׁוֹרִי וַחֲמוֹרִי, שֶׁאֵין בָּהֶם דַּעַת, תֹּאמְרוּ בְּעַבְדִּי וּבַאֲמָתִי, שֶׁיֵּשׁ בָּהֶם דָּעַת. שֶׁאִם אַקְנִיטֵם, יֵלֵךְ וְיַדְלִיק גְּדִישׁוֹ שֶׁל אַחֵר וֶאֱהֵא חַיָּב לְשַׁלֵּם: ", + "אָמַר צְדוֹקִי גְלִילִי, קוֹבֵל אֲנִי עֲלֵיכֶם, פְּרוּשִׁים, שֶׁאַתֶּם כּוֹתְבִין אֶת הַמּוֹשֵׁל עִם משֶׁה בַּגֵּט. אוֹמְרִים פְּרוּשִׁים, קוֹבְלִין אָנוּ עָלֶיךָ, צְדוֹקִי גְלִילִי, שֶׁאַתֶּם כּוֹתְבִים אֶת הַמּוֹשֵׁל עִם הַשֵּׁם בַּדַּף, וְלֹא עוֹד, אֶלָּא שֶׁאַתֶּם כּוֹתְבִין אֶת הַמּוֹשֵׁל מִלְמַעְלָן וְאֶת הַשֵּׁם מִלְּמַטָּן, שֶׁנֶּאֱמַר (שמות ה) וַיֹּאמֶר פַּרְעֹה מִי ה' אֲשֶׁר אֶשְׁמַע בְּקֹלוֹ לְשַׁלַּח אֶת יִשְׂרָאֵל. וּכְשֶׁלָּקָה מַהוּ אוֹמֵר (שם ט), ה' הַצַּדִּיק: " + ] + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file diff --git a/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/Hebrew/merged.json b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/Hebrew/merged.json new file mode 100644 index 0000000000000000000000000000000000000000..d393fae1295aebe79ec03e2ee21becac7556c9b7 --- /dev/null +++ b/json/Mishnah/Seder Tahorot/Mishnah Yadayim/Hebrew/merged.json @@ -0,0 +1,53 @@ +{ + "title": "Mishnah Yadayim", + "language": "he", + "versionTitle": "merged", + "versionSource": "https://www.sefaria.org/Mishnah_Yadayim", + "text": [ + [ + "מֵי רְבִיעִית נוֹתְנִין לַיָּדַיִם, לְאֶחָד, אַף לִשְׁנַיִם. מַחֲצִית לֹג, לִשְׁלשָׁה אוֹ לְאַרְבָּעָה. מִלֹּג, לַחֲמִשָּׁה וְלַעֲשָׂרָה וּלְמֵאָה. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, וּבִלְבַד שֶׁלֹּא יִפְחֹת לָאַחֲרוֹן שֶׁבָּהֶם מֵרְבִיעִית. מוֹסִיפִין עַל הַשְּׁנִיִּים וְאֵין מוֹסִיפִין עַל הָרִאשׁוֹנִים: \n", + "בְּכָל הַכֵּלִים נוֹתְנִין לַיָּדַיִם, אֲפִלּוּ בִכְלֵי גְלָלִים, בִּכְלֵי אֲבָנִים, בִּכְלֵי אֲדָמָה. אֵין נוֹתְנִין לַיָּדַיִם, לֹא בְדָפְנוֹת הַכֵּלִים, וְלֹא בְשׁוּלֵי הַמַּחַץ, וְלֹא בִמְגוּפַת הֶחָבִית. וְלֹא יִתֵּן לַחֲבֵרוֹ בְחָפְנָיו, מִפְּנֵי שֶׁאֵין מְמַלְּאִין וְאֵין מְקַדְּשִׁין וְאֵין מַזִּין מֵי חַטָּאת וְאֵין נוֹתְנִים לַיָּדַיִם אֶלָּא בִכְלִי. וְאֵין מַצִּילִין בְּצָמִיד פָּתִיל אֶלָּא כֵלִים, שֶׁאֵין מַצִּילִין מִיַּד כְּלִי חֶרֶשׂ אֶלָּא כֵלִים: \n", + "הַמַּיִם שֶׁנִּפְסְלוּ מִשְּׁתִיַּת הַבְּהֵמָה, בְּכֵלִים, פְּסוּלִים. וּבְקַרְקָעוֹת, כְּשֵׁרִים. נָפַל לְתוֹכָן דְּיוֹ, קוֹמוֹס, וְקַנְקַנְתּוֹם וְנִשְׁתַּנּוּ מַרְאֵיהֶן, פְּסוּלִין. עָשָׂה בָהֶם מְלָאכָה אוֹ שֶׁשָּׁרָה בָהֶן פִּתּוֹ, פְּסוּלִין. שִׁמְעוֹן הַתִּמְנִי אוֹמֵר, אֲפִלּוּ נִתְכַּוֵּן לִשְׁרוֹת בָּזֶה וְנָפַל לַשֵּׁנִי, כְּשֵׁרִים: \n", + "הֵדִיחַ בָּהֶם אֶת הַכֵּלִים אוֹ שֶׁמִּחָה בָהֶם אֶת הַמִּדּוֹת, פְּסוּלִים. הֵדִיחַ בָּהֶם כֵּלִים מוּדָחִים אוֹ חֲדָשִׁים, כְּשֵׁרִים. רַבִּי יוֹסֵי פוֹסֵל בַּחֲדָשִׁים: \n", + "הַמַּיִם שֶׁהַנַּחְתּוֹם מַטְבִּיל בָּהֶם אֶת הַגְּלֻסְקִין, פְּסוּלִים. וּכְשֶׁהוּא מֵדִיחַ אֶת יָדָיו בָּהֶן, כְּשֵׁרִים. הַכֹּל כְּשֵׁרִים לִתֵּן לַיָּדַיִם, אֲפִלּוּ חֵרֵשׁ שׁוֹטֶה וְקָטָן. מַנִּיחַ חָבִית בֵּין בִּרְכָּיו וְנוֹטֵל. מַטֶּה חָבִית עַל צִדָּהּ וְנוֹטֵל. וְהַקּוֹף נוֹטֵל לַיָּדַיִם. רַבִּי יוֹסֵי פוֹסֵל בִּשְׁנֵי אֵלּוּ: \n" + ], + [ + "נָטַל לְיָדוֹ אַחַת מִשְּׁטִיפָה אַחַת, יָדוֹ טְהוֹרָה. לִשְׁתֵּי יָדָיו מִשְּׁטִיפָה אַחַת, רַבִּי מֵאִיר מְטַמֵּא, עַד שֶׁיִּטֹּל מֵרְבִיעִית. נָפַל כִּכָּר שֶׁל תְּרוּמָה, טָהוֹר. רַבִּי יוֹסֵי מְטַמֵּא: \n", + "נָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים לְמָקוֹם אֶחָד, וְאֶת הַשְּׁנִיִּים לְמָקוֹם אַחֵר, וְנָפַל כִּכָּר שֶׁל תְּרוּמָה עַל הָרִאשׁוֹנִים, טָמֵא, וְעַל הַשְּׁנִיִּים, טָהוֹר. נָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים וְאֶת הַשְּׁנִיִּים לְמָקוֹם אֶחָד, וְנָפַל כִּכָּר שֶׁל תְּרוּמָה, טָמֵא. נָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים וְנִמְצָא עַל יָדָיו קֵיסָם אוֹ צְרוֹר, יָדָיו טְמֵאוֹת, שֶׁאֵין הַמַּיִם הָאַחֲרוֹנִים מְטַהֲרִים אֶלָּא הַמַּיִם שֶׁעַל גַּבֵּי הַיָּד. רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל אוֹמֵר, כֹּל שֶׁהוּא מִבְּרִיַּת הַמַּיִם, טָהוֹר: \n", + "הַיָּדַיִם מִטַּמְּאוֹת וּמִטַּהֲרוֹת עַד הַפֶּרֶק. כֵּיצַד. נָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים עַד הַפֶּרֶק, וְאֶת הַשְּׁנִיִּים חוּץ לַפֶּרֶק, וְחָזְרוּ לַיָּד, טְהוֹרָה. נָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים וְאֶת הַשְּׁנִיִּים חוּץ לַפֶּרֶק וְחָזְרוּ לַיָּד, טְמֵאָה. נָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים לְיָדוֹ אַחַת וְנִמְלַךְ וְנָטַל אֶת הַשְּׁנִיִּים לִשְׁתֵּי יָדָיו, טְמֵאוֹת. נָטַל אֶת הָרִאשׁוֹנִים לִשְׁתֵּי יָדָיו וְנִמְלַךְ וְנָטַל אֶת הַשְּׁנִיִּים לְיָדוֹ אַחַת, יָדוֹ טְהוֹרָה. נָטַל לְיָדוֹ אַחַת וְשִׁפְשְׁפָהּ בַּחֲבֶרְתָּהּ, טְמֵאָה. בְּרֹאשׁוֹ אוֹ בַכֹּתֶל, טְהוֹרָה. נוֹטְלִין אַרְבָּעָה וַחֲמִשָּׁה זֶה בְצַד זֶה אוֹ זֶה עַל גַּבֵּי זֶה, וּבִלְבַד שֶׁיְּרַפּוּ שֶׁיָּבֹאוּ בָהֶם הַמָּיִם: \n", + "סָפֵק נַעֲשָׂה בָהֶם מְלָאכָה סָפֵק לֹא נַעֲשָׂה בָהֶם מְלָאכָה, סָפֵק יֵשׁ בָּהֶם כַּשִּׁעוּר סָפֵק שֶׁאֵין בָּהֶם כַּשִּׁעוּר, סָפֵק טְמֵאִים סָפֵק טְהוֹרִין, סְפֵקָן טָהוֹר, מִפְּנֵי שֶׁאָמְרוּ, סְפֵק הַיָּדַיִם לִטָּמֵא וּלְטַמֵּא וְלִטָּהֵר, טָהוֹר. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, לִטָּהֵר, טָמֵא. כֵּיצַד. הָיוּ יָדָיו טְהוֹרוֹת וּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִים טְמֵאִים, סָפֵק נָגַע סָפֵק לֹא נָגַע, הָיוּ יָדָיו טְמֵאוֹת וּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִים טְהוֹרִים, סָפֵק נָגַע סָפֵק לֹא נָגַע. הָיוּ יָדָיו אַחַת טְמֵאָה וְאַחַת טְהוֹרָה וּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִים טְהוֹרִים, נָגַע בְּאַחַד מֵהֶם, סָפֵק בַּטְּמֵאָה נָגַע סָפֵק בַּטְּהוֹרָה נָגַע. הָיוּ יָדָיו טְהוֹרוֹת וּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִים, אֶחָד טָמֵא וְאֶחָד טָהוֹר, נָגַע בְּאַחַד מֵהֶן, סָפֵק בַּטָּמֵא נָגַע סָפֵק בַּטָּהוֹר נָגַע. הָיוּ יָדָיו אַחַת טְמֵאָה וְאַחַת טְהוֹרָה וּלְפָנָיו שְׁנֵי כִכָּרִים אֶחָד טָמֵא וְאֶחָד טָהוֹר, נָגַע בִּשְׁתֵּיהֶן, סָפֵק טְמֵאָה בַטָּמֵא וּטְהוֹרָה בַטָּהוֹר, אוֹ טְהוֹרָה בַטָּמֵא וּטְמֵאָה בַטָּהוֹר, הַיָּדַיִם כְּמוֹ שֶׁהָיוּ וְהַכִּכָּרִים כְּמוֹת שֶׁהָיוּ: \n" + ], + [ + "הַמַּכְנִיס יָדָיו לְבַיִת הַמְנֻגָּע, יָדָיו תְּחִלּוֹת, דִּבְרֵי רַבִּי עֲקִיבָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, יָדָיו שְׁנִיּוֹת. כֹּל הַמְטַמֵּא בְגָדִים בִּשְׁעַת מַגָּעוֹ, מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם לִהְיוֹת תְּחִלּוֹת, דִּבְרֵי רַבִּי עֲקִיבָא. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, לִהְיוֹת שְׁנִיּוֹת. אָמְרוּ לוֹ לְרַבִּי עֲקִיבָא, הֵיכָן מָצִינוּ שֶׁהַיָּדַיִם תְּחִלָּה בְכָל מָקוֹם. אָמַר לָהֶם, וְכִי הֵיאַךְ אֶפְשָׁר לָהֶן לִהְיוֹת תְּחִלָּה אֶלָּא אִם כֵּן נִטְמָא גוּפוֹ, חוּץ מִזֶּה. הָאֳכָלִין וְהַכֵּלִים שֶׁנִּטְמְאוּ בְמַשְׁקִין, מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם לִהְיוֹת שְׁנִיּוֹת, דִּבְרֵי רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֶת שֶׁנִּטְמָא בְאַב הַטֻּמְאָה, מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. בִּוְלַד הַטֻּמְאָה, אֵינוֹ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. אָמַר רַבָּן שִׁמְעוֹן בֶּן גַּמְלִיאֵל, מַעֲשֶׂה בְאִשָּׁה אַחַת שֶׁבָּאָת לִפְנֵי אַבָּא, אָמְרָה לוֹ, נִכְנְסוּ יָדַי לַאֲוִיר כְּלִי חֶרֶשׂ. אָמַר לָהּ, בִּתִּי, וּבַמֶּה הָיְתָה טֻמְאָתָהּ, וְלֹא שָׁמַעְתִּי מָה אָמְרָה לוֹ. אָמְרוּ חֲכָמִים, מְבֹאָר הַדָּבָר. אֶת שֶׁנִּטְמָא בְאַב הַטֻּמְאָה, מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. בִּוְלַד הַטֻּמְאָה, אֵינוֹ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדָיִם: \n", + "כֹּל הַפּוֹסֵל אֶת הַתְּרוּמָה, מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם לִהְיוֹת שְׁנִיּוֹת. הַיָּד מְטַמְּאָה אֶת חֲבֶרְתָּהּ, דִּבְרֵי רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ. וַחֲכָמִים אוֹמְרִים, אֵין שֵׁנִי עוֹשֶׂה שֵׁנִי. אָמַר לָהֶם, וַהֲלֹא כִתְבֵי הַקֹּדֶשׁ שְׁנִיִּים מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם. אָמְרוּ לוֹ, אֵין דָּנִין דִּבְרֵי תוֹרָה מִדִּבְרֵי סוֹפְרִים, וְלֹא דִבְרֵי סוֹפְרִים מִדִּבְרֵי תוֹרָה, וְלֹא דִבְרֵי סוֹפְרִים מִדִּבְרֵי סוֹפְרִים: \n", + "רְצוּעוֹת תְּפִלִּין עִם הַתְּפִלִּין, מְטַמְּאוֹת אֶת הַיָּדַיִם. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, רְצוּעוֹת תְּפִלִּין אֵינָן מְטַמְּאוֹת אֶת הַיָּדַיִם: \n", + "גִּלָּיוֹן שֶׁבַּסֵּפֶר, שֶׁמִּלְּמַעְלָן וְשֶׁמִּלְּמַטָּן שֶׁבַּתְּחִלָּה וְשֶׁבַּסּוֹף, מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שֶׁבַּסּוֹף אֵינוֹ מְטַמֵּא, עַד שֶׁיַּעֲשֶׂה לוֹ עַמּוּד: \n", + "סֵפֶר שֶׁנִּמְחַק וְנִשְׁתַּיֵּר בּוֹ שְׁמוֹנִים וְחָמֵשׁ אוֹתִיּוֹת, כְּפָרָשַׁת וַיְהִי בִּנְסֹעַ הָאָרֹן, מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. מְגִלָּה שֶׁכָּתוּב בָּהּ שְׁמוֹנִים וְחָמֵשׁ אוֹתִיּוֹת כְּפָרָשַׁת וַיְהִי בִּנְסֹעַ הָאָרֹן, מְטַמָּא אֶת הַיָּדַיִם. כָּל כִּתְבֵי הַקֹּדֶשׁ מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם. שִׁיר הַשִּׁירִים וְקֹהֶלֶת מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם. רַבִּי יְהוּדָה אוֹמֵר, שִׁיר הַשִּׁירִים מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם, וְקֹהֶלֶת מַחֲלֹקֶת. רַבִּי יוֹסֵי אוֹמֵר, קֹהֶלֶת אֵינוֹ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם וְשִׁיר הַשִּׁירִים מַחֲלֹקֶת. רַבִּי שִׁמְעוֹן אוֹמֵר, קֹהֶלֶת מִקֻּלֵּי בֵית שַׁמַּאי וּמֵחֻמְרֵי בֵית הִלֵּל. אָמַר רַבִּי שִׁמְעוֹן בֶּן עַזַּאי, מְקֻבָּל אֲנִי מִפִּי שִׁבְעִים וּשְׁנַיִם זָקֵן, בַּיּוֹם שֶׁהוֹשִׁיבוּ אֶת רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה בַּיְשִׁיבָה, שֶׁשִּׁיר הַשִּׁירִים וְקֹהֶלֶת מְטַמְּאִים אֶת הַיָּדַיִם. אָמַר רַבִּי עֲקִיבָא, חַס וְשָׁלוֹם, לֹא נֶחֱלַק אָדָם מִיִּשְׂרָאֵל עַל שִׁיר הַשִּׁירִים שֶׁלֹּא תְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם, שֶׁאֵין כָּל הָעוֹלָם כֻּלּוֹ כְדַאי כַּיּוֹם שֶׁנִּתַּן בּוֹ שִׁיר הַשִּׁירִים לְיִשְׂרָאֵל, שֶׁכָּל הַכְּתוּבִים קֹדֶשׁ, וְשִׁיר הַשִּׁירִים קֹדֶשׁ קָדָשִׁים. וְאִם נֶחְלְקוּ, לֹא נֶחְלְקוּ אֶלָּא עַל קֹהֶלֶת. אָמַר רַבִּי יוֹחָנָן בֶּן יְהוֹשֻׁעַ בֶּן חָמִיו שֶׁל רַבִּי עֲקִיבָא, כְּדִבְרֵי בֶן עַזַּאי, כָּךְ נֶחְלְקוּ וְכָךְ גָּמְרוּ: \n" + ], + [ + "בּוֹ בַיּוֹם נִמְנוּ וְגָמְרוּ עַל עֲרֵבַת הָרַגְלַיִם, שֶׁהִיא מִשְּׁנֵי לֻגִּין וְעַד תִּשְׁעָה קַבִּין שֶׁנִּסְדְּקָה, שֶׁהִיא טְמֵאָה מִדְרָס. שֶׁרַבִּי עֲקִיבָא אוֹמֵר, עֲרֵבַת הָרַגְלַיִם כִּשְׁמָהּ: ", + "בּוֹ בַיּוֹם אָמְרוּ, כָּל הַזְּבָחִים שֶׁנִּזְבְּחוּ שֶׁלֹּא לִשְׁמָן, כְּשֵׁרִים, אֶלָּא שֶׁלֹּא עָלוּ לַבְּעָלִים לְשׁוּם חוֹבָה, חוּץ מִן הַפֶּסַח וּמִן הַחַטָּאת. הַפֶּסַח בִּזְמַנּוֹ, וְהַחַטָּאת בְּכָל זְמַן. רַבִּי אֱלִיעֶזֶר אוֹמֵר, אַף הָאָשָׁם. הַפֶּסַח בִּזְמַנּוֹ, וְהַחַטָּאת וְהָאָשָׁם בְּכָל זְמַן. אָמַר רַבִּי שִׁמְעוֹן בֶּן עַזַּאי, מְקֻבְּלַנִי מִפִּי שִׁבְעִים וּשְׁנַיִם זָקֵן, בַּיּוֹם שֶׁהוֹשִׁיבוּ אֶת רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה בַּיְשִׁיבָה, שֶׁכָּל הַזְּבָחִים הַנֶּאֱכָלִין שֶׁנִּזְבְּחוּ שֶׁלֹּא לִשְׁמָן, כְּשֵׁרִים, אֶלָּא שֶׁלֹּא עָלוּ לַבְּעָלִים לְשֵׁם חוֹבָה, חוּץ מִן הַפֶּסַח וּמִן הַחַטָּאת. לֹא הוֹסִיף בֶּן עַזַּאי אֶלָּא הָעוֹלָה, וְלֹא הוֹדוּ לוֹ חֲכָמִים: ", + "בּוֹ בַיּוֹם אָמְרוּ, עַמּוֹן וּמוֹאָב, מַה הֵן בַּשְּׁבִיעִית. גָּזַר רַבִּי טַרְפוֹן, מַעְשַׂר עָנִי. וְגָזַר רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה, מַעֲשֵׂר שֵׁנִי. אָמַר רַבִּי יִשְׁמָעֵאל, אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה, עָלֶיךָ רְאָיָה לְלַמֵּד, שֶׁאַתָּה מַחְמִיר, שֶׁכָּל הַמַּחְמִיר, עָלָיו רְאָיָה לְלַמֵּד. אָמַר לוֹ רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה, יִשְׁמָעֵאל אָחִי, אֲנִי לֹא שִׁנִּיתִי מִסֵּדֶר הַשָּׁנִים, טַרְפוֹן אָחִי שִׁנָּה, וְעָלָיו רְאָיָה לְלַמֵּד. הֵשִׁיב רַבִּי טַרְפוֹן, מִצְרַיִם חוּץ לָאָרֶץ, עַמּוֹן וּמוֹאָב חוּץ לָאָרֶץ, מַה מִּצְרַיִם מַעְשַׂר עָנִי בַשְּׁבִיעִית, אַף עַמּוֹן וּמוֹאָב מַעְשַׂר עָנִי בַשְּׁבִיעִית. הֵשִׁיב רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה, בָּבֶל חוּץ לָאָרֶץ, עַמּוֹן וּמוֹאָב חוּץ לָאָרֶץ, מַה בָּבֶל מַעֲשֵׂר שֵׁנִי בַשְּׁבִיעִית, אַף עַמּוֹן וּמוֹאָב מַעֲשֵׂר שֵׁנִי בַשְּׁבִיעִית. אָמַר רַבִּי טַרְפוֹן, מִצְרַיִם שֶׁהִיא קְרוֹבָה, עֲשָׂאוּהָ מַעְשַׂר עָנִי, שֶׁיִּהְיוּ עֲנִיֵּי יִשְׂרָאֵל נִסְמָכִים עָלֶיהָ בַּשְּׁבִיעִית, אַף עַמּוֹן וּמוֹאָב, שֶׁהֵם קְרוֹבִים, נַעֲשִׂים מַעְשַׂר עָנִי, שֶׁיִּהְיוּ עֲנִיֵּי יִשְׂרָאֵל נִסְמָכִים עֲלֵיהֶם בַּשְּׁבִיעִית. אָמַר לוֹ רַבִּי אֶלְעָזָר בֶּן עֲזַרְיָה, הֲרֵי אַתָּה כִמְהַנָּן מָמוֹן, וְאֵין אַתָּה אֶלָּא כְמַפְסִיד נְפָשׁוֹת. קוֹבֵעַ אַתָּה אֶת הַשָּׁמַיִם מִלְּהוֹרִיד טַל וּמָטָר, שֶׁנֶּאֱמַר (מלאכי ג), הֲיִקְבַּע אָדָם אֱלֹהִים כִּי אַתֶּם קֹבְעִים אֹתִי וַאֲמַרְתֶּם בַּמֶּה קְבַעֲנוּךָ הַמַּעֲשֵׂר וְהַתְּרוּמָה. אָמַר רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, הֲרֵינִי כְמֵשִׁיב עַל טַרְפוֹן אָחִי, אֲבָל לֹא לְעִנְיַן דְּבָרָיו. מִצְרַיִם מַעֲשֶׂה חָדָשׁ, וּבָבֶל מַעֲשֶׂה יָשָׁן, וְהַנִּדּוֹן שֶׁלְּפָנֵינוּ מַעֲשֶׂה חָדָשׁ. יִדּוֹן מַעֲשֶׂה חָדָשׁ מִמַּעֲשֶׂה חָדָשׁ, וְאַל יִדּוֹן מַעֲשֶׂה חָדָשׁ מִמַּעֲשֶׂה יָשָׁן. מִצְרַיִם מַעֲשֵׂה זְקֵנִים, וּבָבֶל מַעֲשֵׂה נְבִיאִים, וְהַנִּדּוֹן שֶׁלְּפָנֵינוּ מַעֲשֵׂה זְקֵנִים. יִדּוֹן מַעֲשֵׂה זְקֵנִים מִמַּעֲשֵׂה זְקֵנִים, וְאַל יִדּוֹן מַעֲשֵׂה זְקֵנִים מִמַּעֲשֵׂה נְבִיאִים. נִמְנוּ וְגָמְרוּ, עַמּוֹן וּמוֹאָב מְעַשְּׂרִין מַעְשַׂר עָנִי בַּשְּׁבִיעִית. וּכְשֶׁבָּא רַבִּי יוֹסֵי בֶּן דֻּרְמַסְקִית אֵצֶל רַבִּי אֱלִיעֶזֶר בְּלוֹד, אָמַר לוֹ, מַה חִדּוּשׁ הָיָה לָכֶם בְּבֵית הַמִּדְרָשׁ הַיּוֹם. אָמַר לוֹ, נִמְנוּ וְגָמְרוּ, עַמּוֹן וּמוֹאָב מְעַשְּׂרִים מַעְשַׂר עָנִי בַּשְּׁבִיעִית. בָּכָה רַבִּי אֱלִיעֶזֶר וְאָמַר, סוֹד ה' לִירֵאָיו וּבְרִיתוֹ לְהוֹדִיעָם (תהלים כה). צֵא וֶאֱמֹר לָהֶם, אַל תָּחֹשּׁוּ לְמִנְיַנְכֶם. מְקֻבָּל אֲנִי מֵרַבָּן יוֹחָנָן בֶּן זַכַּאי, שֶׁשָּׁמַע מֵרַבּוֹ, וְרַבּוֹ מֵרַבּוֹ עַד הֲלָכָה לְמשֶׁה מִסִּינַי, שֶׁעַמּוֹן וּמוֹאָב מְעַשְּׂרִין מַעְשַׂר עָנִי בַּשְּׁבִיעִית: ", + "בּוֹ בַיּוֹם בָּא יְהוּדָה, גֵּר עַמּוֹנִי, וְעָמַד לִפְנֵיהֶן בְּבֵית הַמִּדְרָשׁ. אָמַר לָהֶם, מָה אֲנִי לָבֹא בַקָּהָל. אָמַר לוֹ רַבָּן גַּמְלִיאֵל, אָסוּר אָתָּה. אָמַר לוֹ רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, מֻתָּר אָתָּה. אָמַר לוֹ רַבָּן גַּמְלִיאֵל, הַכָּתוּב אוֹמֵר (דברים כג), לֹא יָבֹא עַמּוֹנִי וּמוֹאָבִי בִּקְהַל ה' גַּם דּוֹר עֲשִׂירִי וְגוֹ'. אָמַר לוֹ רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, וְכִי עַמּוֹנִים וּמוֹאָבִים בִּמְקוֹמָן הֵן. כְּבָר עָלָה סַנְחֵרִיב מֶלֶךְ אַשּׁוּר וּבִלְבֵּל אֶת כָּל הָאֻמּוֹת, שֶׁנֶּאֱמַר (ישעיה י), וְאָסִיר גְּבוּלֹת עַמִּים וַעֲתוּדוֹתֵיהֶם שׁוֹשֵׂתִי וְאוֹרִיד כַּאבִּיר יוֹשְׁבִים. אָמַר לוֹ רַבָּן גַּמְלִיאֵל, הַכָּתוּב אוֹמֵר (ירמיה מט), וְאַחֲרֵי כֵן אָשִׁיב אֶת שְׁבוּת בְּנֵי עַמּוֹן, וּכְבָר חָזְרוּ. אָמַר לוֹ רַבִּי יְהוֹשֻׁעַ, הַכָּתוּב אוֹמֵר (ירמיה ל ג), וְשַׁבְתִּי אֶת שְׁבוּת עַמִּי יִשְׂרָאֵל וִיהוּדָה, וַעֲדַיִן לֹא שָׁבוּ. הִתִּירוּהוּ לָבֹא בַקָּהָל: ", + "תַּרְגּוּם שֶׁבְּעֶזְרָא וְשֶׁבְּדָנִיֵּאל, מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. תַּרְגּוּם שֶׁכְּתָבוֹ עִבְרִית וְעִבְרִית שֶׁכְּתָבוֹ תַּרְגּוּם, וּכְתָב עִבְרִי, אֵינוֹ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. לְעוֹלָם אֵינוֹ מְטַמֵּא, עַד שֶׁיִּכְתְּבֶנּוּ אַשּׁוּרִית, עַל הָעוֹר, וּבִדְיוֹ: ", + "אוֹמְרִים צְדוֹקִים, קוֹבְלִין אָנוּ עֲלֵיכֶם, פְּרוּשִׁים, שֶׁאַתֶּם אוֹמְרִים, כִּתְבֵי הַקֹּדֶשׁ מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדַיִם, וְסִפְרֵי הוֹמֵרִיס אֵינוֹ מְטַמֵּא אֶת הַיָּדַיִם. אָמַר רַבָּן יוֹחָנָן בֶּן זַכַּאי, וְכִי אֵין לָנוּ עַל הַפְּרוּשִׁים אֶלָּא זוֹ בִלְבָד. הֲרֵי הֵם אוֹמְרִים, עַצְמוֹת חֲמוֹר טְהוֹרִים וְעַצְמוֹת יוֹחָנָן כֹּהֵן גָּדוֹל טְמֵאִים. אָמְרוּ לוֹ, לְפִי חִבָּתָן הִיא טֻמְאָתָן, שֶׁלֹּא יַעֲשֶׂה אָדָם עַצְמוֹת אָבִיו וְאִמּוֹ תַּרְוָדוֹת. אָמַר לָהֶם, אַף כִּתְבֵי הַקֹּדֶשׁ לְפִי חִבָּתָן הִיא טֻמְאָתָן, וְסִפְרֵי הוֹמֵרִיס, שֶׁאֵינָן חֲבִיבִין, אֵינָן מְטַמְּאִין אֶת הַיָּדָיִם: ", + "אוֹמְרִים צְדוֹקִין, קוֹבְלִין אָנוּ עֲלֵיכֶם, פְּרוּשִׁים, שֶׁאַתֶּם מְטַהֲרִים אֶת הַנִּצּוֹק. אוֹמְרִים הַפְּרוּשִׁים, קוֹבְלִין אָנוּ עֲלֵיכֶם, צְדוֹקִים, שֶׁאַתֶּם מְטַהֲרִים אֶת אַמַּת הַמַּיִם הַבָּאָה מִבֵּית הַקְּבָרוֹת. אוֹמְרִים צְדוֹקִין, קוֹבְלִין אָנוּ עֲלֵיכֶם, פְּרוּשִׁים, שֶׁאַתֶּם אוֹמְרִים, שׁוֹרִי וַחֲמוֹרִי שֶׁהִזִּיקוּ, חַיָּבִין. וְעַבְדִּי וַאֲמָתִי שֶׁהִזִּיקוּ, פְּטוּרִין. מָה אִם שׁוֹרִי וַחֲמוֹרִי, שֶׁאֵינִי חַיָּב בָּהֶם מִצְוֹת, הֲרֵי אֲנִי חַיָּב בְּנִזְקָן. עַבְדִּי וַאֲמָתִי, שֶׁאֲנִי חַיָּב בָּהֶן מִצְוֹת, אֵינוֹ דִין שֶׁאֱהֵא חַיָּב בְּנִזְקָן. אָמְרוּ לָהֶם, לֹא. אִם אֲמַרְתֶּם בְּשׁוֹרִי וַחֲמוֹרִי, שֶׁאֵין בָּהֶם דַּעַת, תֹּאמְרוּ בְּעַבְדִּי וּבַאֲמָתִי, שֶׁיֵּשׁ בָּהֶם דָּעַת. שֶׁאִם אַקְנִיטֵם, יֵלֵךְ וְיַדְלִיק גְּדִישׁוֹ שֶׁל אַחֵר וֶאֱהֵא חַיָּב לְשַׁלֵּם: ", + "אָמַר צְדוֹקִי גְלִילִי, קוֹבֵל אֲנִי עֲלֵיכֶם, פְּרוּשִׁים, שֶׁאַתֶּם כּוֹתְבִין אֶת הַמּוֹשֵׁל עִם משֶׁה בַּגֵּט. אוֹמְרִים פְּרוּשִׁים, קוֹבְלִין אָנוּ עָלֶיךָ, צְדוֹקִי גְלִילִי, שֶׁאַתֶּם כּוֹתְבִים אֶת הַמּוֹשֵׁל עִם הַשֵּׁם בַּדַּף, וְלֹא עוֹד, אֶלָּא שֶׁאַתֶּם כּוֹתְבִין אֶת הַמּוֹשֵׁל מִלְמַעְלָן וְאֶת הַשֵּׁם מִלְּמַטָּן, שֶׁנֶּאֱמַר (שמות ה) וַיֹּאמֶר פַּרְעֹה מִי ה' אֲשֶׁר אֶשְׁמַע בְּקֹלוֹ לְשַׁלַּח אֶת יִשְׂרָאֵל. וּכְשֶׁלָּקָה מַהוּ אוֹמֵר (שם ט), ה' הַצַּדִּיק: " + ] + ], + "versions": [ + [ + "Torat Emet 357", + "http://www.toratemetfreeware.com/index.html?downloads" + ] + ], + "heTitle": "משנה ידים", + "categories": [ + "Mishnah", + "Seder Tahorot" + ], + "sectionNames": [ + "Chapter", + "Mishnah" + ] +} \ No newline at end of file