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doc-0 | Fathallah Oualalou (), né le à Rabat, est un économiste et homme politique marocain, affilié à un parti de gauche, l'Union socialiste des forces populaires (USFP). Il a été maire de la ville de Rabat entre juin 2009 et septembre 2015.
Biographie
Après des études primaires à l'école M'hammed Guessous, il obtient en 1961 son baccalauréat en philosophie au lycée Moulay Youssef de Rabat. En 1964, il obtient une licence en sciences économiques à l'université Mohammed V de Rabat et un diplôme d'études supérieures (DES) en sciences économiques en 1966 à Paris.
Outre son activité en tant qu'assistant à l'Institut universitaire de la recherche scientifique, il devient dans les années 1960, président de l'Union nationale des étudiants du Maroc et responsable de la Confédération des étudiants du Maghreb.
En 1968, il soutient sa thèse de doctorat en économie à Paris, et devient par la suite, enseignant aux facultés de droit de Rabat et de Casablanca et à l'école nationale d'administration de Paris. De 1968 à 1977, il est membre du bureau du Syndicat national de l'enseignement supérieur (SNESup). En 1972, l'économiste et président Abdelaziz Belal avec plusieurs collègues Oualaalou, Sbihi, Germouni, Sebba et d'autres, créeront l'Association des économistes marocains, Oualaalou en est devenu président depuis la disparition tragique du premier.
De 1968 à 1997, il publie de nombreux travaux académiques dans les domaines de la théorie économique, l'économie financière et l'économie des pays du Maghreb et du monde arabe.
En 1975, il participe au lancement de l'Union socialiste des forces populaires (USFP). Lors de la tenue du congrès de l'USFP en 1989, il est élu membre du bureau politique du parti.
Parallèlement à cela, il est élu, à plusieurs reprises, conseiller municipal de sa ville natale et député à la Chambre des représentants.
Le , il est nommé ministre de l'Économie et des Finances dans le gouvernement el-Youssoufi I. Le , lors de la formation du gouvernement el-Youssoufi II, il devient ministre de l'Économie, des Finances, de la Privatisation et du Tourisme, puis, ministre des Finances et de la Privatisation du au dans les gouvernements Jettou I et II.
Le , lors de la tenue du congrès national de l'USFP, il perd la course au poste du Premier secrétaire, face à Abdelwahed Radi.
Le , il est élu conseiller municipal aux élections communales dans l'arrondissement d'Agdal-Ryad à Rabat.
Le , il est élu maire de Rabat par 47 voix contre 39 pour son concurrent Omar Bahraoui (maire sortant), grâce à une alliance atypique avec les islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD), les nationalistes de l'Istiqlal (PI), les communistes du Parti du progrès et du socialisme (PPS) et les centristes du Rassemblement national des indépendants (RNI).
Le à Marrakech, il est élu à l'unanimité, président du Réseau pour le développement économique local en Afrique (LEDNA).
Lors de la tenue du congrès national de l'USFP à Bouznika en décembre 2012, il se présente au poste du Premier secrétaire de son parti, et sort éliminé au premier tour de l'élection.
En , il prend position sur les élections municipales françaises. Il apporte son soutien à la candidate Anne Hidalgo (PS) face à Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP) à Paris. Il apporte également son soutien au candidat Gérard Collomb (PS) à Lyon.
Notes et références
Notes
Références
Voir aussi
Bibliographie
Fathallah Oualalou, La Chine & l'espace arabo-africain, éd. La Route de la Soie - Éditions, 2021, 352 pages
« Les 50 personnalités qui font le Maroc : Fathallah Oualalou. 67 ans, maire de Rabat », Jeune Afrique, 2545-2546, du 18 au ,
Steffen Wippel: Europa als Gegner, Vorbild, Partner? Sichtweisen eines marokkanischen Wissenschaftlers (i.e. F. Ou.) und Politikers über mehrfache Zäsuren in drei Jahrzehnten, en: Gerhard Höpp, Henner Fürtig: Wessen Geschichte? Muslimische Erfahrungen historischer Zäsuren im 20. Jahrhundert. Arbeitshefte des Zentrums moderner Orient, 16. Verlag Das arabische Buch, Berlin 1998 pp. 117 - 149
Articles connexes
Politique du Maroc
Liens externes
Économiste marocain
Ministre marocain des Finances
Ministre marocain de l'Économie
Député marocain
Président de conseil communal au Maroc
Personnalité de l'Union socialiste des forces populaires
Ministre sous Mohammed VI
Étudiant de l'université Mohammed-V de Rabat
Étudiant de la faculté de droit de Paris
Professeur à l'université Mohammed-V de Rabat
Professeur à l'université Hassan-II de Casablanca
Naissance en mars 1942
Naissance à Rabat |
doc-1 | L'université d'État du lac Supérieur (en anglais : Lake Superior State University ou Lake State, Lake Superior State ou bien encore LSSU) est une université américaine située à Sault Ste. Marie, au sud-est du lac Supérieur, dans le Michigan.
Notes et références
Voir aussi
Liens externes
Site officiel
Lac Superieur
Établissement scolaire fondé en 1946
Comté de Chippewa (Michigan)
Bâtiment universitaire inscrit au Registre national des lieux historiques
Registre national des lieux historiques au Michigan
Registre national des lieux historiques en 1972 |
doc-2 | Sickerode est une commune allemande située dans l'arrondissement d'Eichsfeld en Thuringe.
Géographie
Sickerode est située dans le sud de l'arrondissement. La commune fait partie de la Communauté d'administration d'Ershausen-Geismar et se trouve à au sud de Heilbad Heiligenstadt, le chef-lieu de l'arrondissement.
Histoire
Sickerodea appartenu à l'Électorat de Mayence jusqu'en 1802 et à son incorporation à la province de Saxe dans le royaume de Prusse. De 1807 à 1813, Geismar a fait partie de l'éphémère royaume de Westphalie.
Le village, occupé par les troupes américaines en avril 1945 fut inclus en juillet dans la zone d'occupation soviétique après la Seconde Guerre mondiale avant de rejoindre le district d'Erfurt en RDA.
Démographie
Notes et références
Commune en Thuringe |
doc-3 | Husayn Bayqara ou Hossein Bayqara (en Persan: حسین بایقرا / Husayn Bāyqarā; juillet 1438- 4 Mai 1506), également dénommé Sultan Hossein Mirza Bayqara, grand émir timouride de 1469 à sa mort en 1506, avec une brève interruption en 1470, installé à Hérat en Afghanistan, bénéficia d'un règne assez stable, mais son fils et successeur Badi az-Zaman fut renversé en 1507 lors de l'invasion finale des Chaybanides sur l'Empire timouride.
Ce fut un grand mécène qui fit travailler le poète mystique persan Djami, le poète turc de langue tchaghataï Mir Alisher Navoï, et le peintre Behzad, grand-maître de la miniature persane, dans les dernières décennies de la Renaissance timouride.
Biographie
Enfance
Né à Hérat en juin ou juillet 1438, les parents de Husayn Bayqara étaient Ghiyas ud-din Mansur Mirza de la maison turco-mongole des Barlas et son épouse, Firuza Sultan Begum. Ses parents ont eu quatre autres enfants ; un fils, Bayqara Mirza II, ainsi que trois filles, Aka Biki, Badi al-Jamal et Urun Sultan Khanum. De par ses deux parents, il était le descendant de Tamerlan. En plus de cela, il était le descendant à la neuvième génération de Khwaja Abdullah Ansari de Herat, également connu sous le nom de Pir-e-Herat (Sage d'Herat).
Le père de Husayn, Ghiyas ud-din, est décédé quand il avait 7 ou 8 ans. Étant donné que ce dernier n'était pas une personnalité remarquable dans la famille timouride, Husayn a adopté le nom de Bayqara en l'honneur de son grand-père plus illustre, Bayqara Mirza I. Après avoir consulté sa mère, le sultan Husayn entra au service de son cousin aîné, Abul-Qasim Babur Mirza, souverain d'Herat en 1452.
Instabilité politique du Khorassan
Après la mort de Babur en 1457, une période d'anarchie s'ensuivit au Khorassan. L'instabilité économique et le manque d'autorité centrale avec de fréquents changements de régime ont provoqué l'invasion de la région par le dirigeant de Samarkand, Abu Sa'id Mirza, qui a occupé Herat le 19 juillet 1457. Mais Abu Sa'id Mirza a immédiatement abandonné la ville pour faire face aux troubles intérieurs. Vint ensuite l'invasion du commandant des Kara Koyunlu, Jahan Shah, qui prit Mazandaran. Durant cette période chaotique, le Khorassan était divisé en de nombreux territoires ;
Asterabad à Sabzevar – Jahan Shah des Kara Koyunlu
Balkh – Abu Sa'id Mirza, souverain de Transoxiane
Abivard – Ala al-Dawla Mirza
Hérat – Ibrahim Mirza
Forteresse Tus & Imad – Shah Mahmud Mirza
Marv – Sultan Sanjar Mirza
Sistan, Farah et Isfizar – Malik Qasim ibn Amir Iskander Turkmène, un émir.
En Merv et Khwarazm
Husayn Bayqara, incapable de rivaliser avec ces rivaux, a adopté la vie d'un mercenaire et a rejoint le sultan Sanjar Mirza de Merv qui l'a marié à sa fille, Beqa Sultan Begum. C'est de cette union qu'est né Badi' al-Zaman.
Le sultan Sanjar Mirza et Husayn Bayqara s'entendaient bien, mais en juin/juillet 1457, lorsque Sanjar nomma Husayn responsable de la ville pendant son absence, Husayn tenta de prendre le pouvoir. Cela était dû au fait qu'il soupçonnait que le chef dignitaire, Hasan Arlat, complotait pour le tuer. Les émirs fidèles à Sanjar se révoltèrent et la tentative échoua. Husayn Bayqara a été contraint de s'échapper avec seulement cinq cavaliers. Mais à l'extérieur de la ville, il a été rejoint par le chef de la sécurité des caravanes commerciales du secteur Iranji, Hasan Charkas et ses 200 hommes. Cela deviendrait la première force mercenaire de Husayn Bayqara. Pour consolider cette nouvelle relation, il épousa la fille de Hasan Charkas, Afāk Begum.
Il a été pourchassé par Sanjar Mirza jusqu'au désert du Karakoum. Il fut continuellement poursuivi jusqu'à ce qu'il soit contraint de marcher vers Khwarazm, où il resta entre les déserts de Marv et de Khiva.
Conflit entre les Timurides et les Kara Koyunlu
Vu la faiblesse de l'autorité timouride à Herat, Jahan Shah envahit et prit la ville le 28 juin 1458, qui était désormais occupée par le père d'Ibrahim Mirza, Ala al-Dawla Mirza. Mais Abu Sa'id Mirza ne pouvait pas tolérer cela et après des négociations, Jahan Shah a décidé de ramener la démarcation territoriale de l'époque de Shah Rukh. Ainsi, Khorassan, Mazandaran et Jurjan furent rendus aux Timurides et Abu Sa'id Mirza revint et prit Herat une seconde fois le 22 décembre 1458.
Conflit avec Abu Sa'id Mirza
Husayn Bayqara avait maintenant rassemblé une force de 1 000 hommes et prit Jurjan le 19 octobre 1458 aux Kara Koyunlu. Abu Sa'id Mirza a envahi Jurjan, que Husayn Bayqara a abandonné à la hâte et s'est enfui à nouveau vers Khwarazm. Abu Sa'id Mirza a nommé son fils, le sultan Mahmud Mirza, gouverneur de Jurjan. Lorsque Husayn Bayqara apprit qu'Abu Sa'id Mirza avait quitté Herat pour écraser la rébellion de son parent Muhammad Juki, il attaqua à nouveau Jurjan et à la bataille de Jauzi Wali en mai 1461, il battit le sultan Mahmud Mirza et nomma Abdal-Rahman Arghun le gouverneur du territoire.
Cependant, il ne put donner suite à cette victoire lorsqu'il assiégea Herat d'août à octobre 1461. Abu Sa'id Mirza revint et Husayn Bayqara s'enfuit de nouveau vers Khwarazm, d'où il commença à faire des raids de pillage dans le Khorassan ; ces raids furent menés sérieusement à partir de 1464. Cherchant à se protéger contre Abu Sa'id, il demanda l'aide des Ouzbeks. Mais cette aide n'est jamais venue depuis la mort d'Abul-Khayr Khan, le dirigeant ouzbek, en 1468. Cette période de 8 à 10 ans fut la pire de la vie de Husayn Bayqara. Il errait parfois d’un endroit à l’autre dans des situations désespérées.
Devenir souverain du Khorassan
Quand Abu Sa'id Mirza entra en guerre contre les Aq Qoyunlu, il fut vaincu à la bataille de Qarabagh et capturé. Le chef de l'Aq Qoyunlu, Uzun Hasan l'a remis à Yadgar Muhammad Mirza, 19 ans, qui l'a fait exécuter. À la mort d'Abu Sa'id, l'empire timuride s'est effondré. Profitant de l'absence d'Abu Sa'id Mirza, Husayn Bayqara était de nouveau entré dans le Khorassan et assiégeait Herat qu'il captura finalement le 24 mars 1469. Il devint ainsi le dirigeant du Khorassan. Les fils de feu Abu Sa'id Mirza ont tenté de marcher contre lui, mais ont fait demi-tour lorsqu'ils ont appris que non seulement Husayn Bayqara avait consolidé son contrôle sur la ville, mais que l'armée vaincue de leur père l'avait rejoint.
Conflit avec Aq Qoyunlu et Yadgar Muhammad Mirza
Pendant ce temps, Uzun Hasan envoya son protégé, Yadgar Muhammad Mirza, conquérir le Khorassan. Husayn bat Yadgar à la bataille de Chenaran le 15 septembre 1469, mais ce dernier reçoit des renforts. Uzun Hasan a exigé que Husayn lui remette des aristocrates Kara Koyunlu qui s'étaient enfuis vers lui, une demande que Husayn a refusée. Yadgar a donc poursuivi son assaut et Husayn n'a pas pu égaler ses forces en raison de désertions massives. Il finit par fuir Herat, occupée le 7 juillet 1470. Six semaines plus tard, Husayn réoccupa la ville après avoir levé une nouvelle force et vaincu les fils d'Abou Sa'id, qui tentaient d'avancer dans la région. Il captura Yadgar et l'exécuta.
L'empire de Husayn était désormais sécurisé. Les Aq Qoyunlu ne firent aucune autre tentative contre lui et les Timourides de Transoxiane étaient trop affaiblis par les conflits internes pour avancer sur son territoire. Sa frontière avec les l'Aq Qoyunlu commençait à la limite sud de la mer Caspienne, s'étendant vers le sud, puis vers l'est à travers le nord du Dasht-e Lut, se terminant au lac Hamun. Sa frontière avec les Timurides était la rivière Oxus. Il respecta plus ou moins les deux frontières, refusant de traverser le nord pour tenter de capturer la Transoxiane à ses anciens ennemis. Il était probablement conscient de la menace ouzbèke qui pesait sur la région et a eu la sagesse de ne pas poursuivre une frontière avec ce dangereux peuple tribal.
Administration
Husayn était considéré comme « un bon roi, un amoureux de la paix et de la justice », et il construisit de nombreuses structures, dont une célèbre école ; cependant, il fut atteint de paralysie pendant vingt ans de son règne. Il fut contraint de faire face à plusieurs révoltes et incursions. En 1490, le frère du tuteur du fils de Husayn, Ibrahim Husain, Darvish 'Ali, conspira avec le sultan Mahmud, qui régnait à cette époque sur Hisar. Mahmud s'est déplacé contre Balkh, où résidait Ibrahim, forçant Husayn à se mobiliser contre lui. Quelques années plus tard, Husayn transféra son fils aîné, Badi' al-Zaman, d'Astarabad (rebaptisé Gorgan en 1937) à Balkh, mais Badi' se révolta lorsque son fils Muhammed Mu'min se vit refuser le pouvoir à Astarabad. Husayn a vaincu Muhammed, qu'il a exécuté, et Badi', avec qui il s'est réconcilié. Cependant, la trêve s'effondra par la suite et, en 1499, Badi' assiégea Herat.
Menace ouzbèke
En 1501, les Ouzbeks conquirent la Transoxiane aux mains du petit-fils d'Abu Sa'id, Babur. Sous Muhammad Shaybani, les Ouzbeks pouvaient désormais menacer le Khorassan. Souffrant des effets de son âge avancé, Husayn ne fit aucun geste contre eux, même après que Babur lui ait conseillé d'agir. Les Ouzbeks ont commencé à mener des raids dans son royaume. Changeant finalement d'avis, il commença à marcher contre eux mais mourut en 1506 juste après avoir commencé son avance. L'héritage de son empire était disputé entre ses fils Badi' et Muzaffar Husain. Babur, qui avait lancé une expédition pour soutenir Husayn, remarqua les luttes intestines entre les frères, décida que la zone était impossible à défendre et se retira. L'année suivante, Muhammad Shaybani conquit Herat et fit fuir les successeurs de Husayn, mettant fin à la domination timouride au Khurasan.
Famille
Epouses et enfants
Husayn avait douze épouses, 18 fils et 18 filles :
Bega Sultan Begum (décédée en 1457 - div., décédée en 1488), fille de Sanjar Mirza de Merv, fils de Mirak Ahmad Mirza, fils d'Umar Shaikh Mirza, fils de Timur ;
___Badi' al-Zaman Mirza, 1er fils — avec Bega Sultan Begum ;
Tulak Begum connue sous le nom de Chuli Begum (div.), fille de Husain Sufi, chef des Azaks, et sœur de l'Amir Yusuf Sufi Jandar ;
___Zainab Sultan Begum, 1ère fille, connue sous le nom de Sultanim Begum - avec Tulak Begum, a d'abord été mariée au sultan Wayis Mirza, fils de Bayqara Mirza et de Sa'adat Bakht Begum Miran Shah ;
Shahr Banu Begum (décédée en 1469 - div.), fille du sultan Abu Sa'id Mirza ;
Payanda Sultan Begum, une autre fille du sultan Abu Sa'id Mirza ;
___Haidar Muhammad Mirza, 9ème fils — avec Payanda Sultan Begum ;
___Ak Begum, 2ème fille - avec Payanda Sultan Begum, marié à Muhammad Qasim Mirza, fils d'Abu'l-Qasim Arlat et Bega Begum ;
___Kechek Begum, 3ème fille - avec Payanda Sultan Begum, marié au mollah Khwajah ;
___Bega Begum, 4ème fille - avec Payanda Sultan Begum, mariée à Babar Mirza, fils de Muhammad Qasim Mirza et Rabia Sultan Begum ;
___Agha Begum, 5ème fille - avec Payanda Sultan Begum, mariée au sultan Murad Mirza, fils de Muhammad Qasim Mirza et de Rabia Sultan Begum ;
Khadija Begi Agha, fille d'Amir Muhammad Sarik bin Amir Muhammad Khawaja et veuve d'Abu Sa'id Mirza ;
___Shah Gharib Mirza, deuxième fils — avec Khadija Begi Agha ;
___Muzaffer Hussain Mirza, troisième fils — avec Khadija Begi Agha ;
___Sultan Jahangir Mirza, 17ème fils — avec Khadija Begi Agha ;
___Jahangir Hussain Mirza, 18ème fils — avec Khadija Begi Agha ;
___Khanum Sultan Begum, 12ème fille - Khadija Begi Agna ;
Zainab Sultan Begum, fille de l'émir Taj-al-din Hasan bin Nizam-al-din Charkas ;
Afak Begum, une autre fille de l'émir Taj-al-din Hasan bin Nizam-al-din Charkas ;
Zobayda Sultan Aghacha, fille de Hasan bin Hussain Sheikh Taimur, de la race des sultans Shaban ;
___Aisha Sultan Begum, 11ème fille - avec Zobayda Sultan Aghacha, mariée d'abord à Qasim Sultan, un sultan Shaibani, mariée ensuite à Buran Sultan, un parent de Qasim ;
___Munisa Sultan Begum, 17ème fille - avec Zubayda Sultan Aghacha ;
Latifa Sultan Aghacha, fille de l'émir Sultan Hussain Chaharshanba et parent de Jahan Shah ;
___Abul Hassan Mirza, quatrième fils — avec Latifah Sultan Aghacha ;
___Muhammad Muhsin Mirza, cinquième fils — avec Latifa Sultan Aghacha ;
___Masum Ali Mirza, 16ème fils - Latifa Sultan Aghacha ;
___Badi-al-Mulk Begum, 15ème fille - avec Latifa Sultan Aghacha ;
___Umm Salima Begum, 16ème fille - Avec Latifa Sultan Aghacha ;
Mangeli Bi Aghacha, concubine ouzbèke et ancienne esclave de Shahar Banu Begum ;
___Abu Tarab Mirza, 6ème fils — avec La Bonne Nouvelle ;
___Muhammad Hussain Mirza, 7ème fils — avec l'Évangile des morts ;
___Feridun Hussain Mirza, 8ème fils — avec L'Évangile du Seigneur ;
___Fatima Sultan Begum, 6ème fille - avec Mengli Bi Aghach, mariée à Yadgar Farrukh Mirza, fils de Sidi Ahmad Mirza, fils de Miran Shah ;
___Maryam Sultan Begum, 7ème fille - avec Mengli Bi Aghacha, mariée à Sayyid Abdullah Mirza ;
Baba Aghacha, fille de Khawaja Muhammad Ataka et sœur adoptive d'Afak Begum ;
___Muhammad Ma'asum Mirza, 10ème fils — avec Baba Aghacha ;
___Farrukh Hussain Mirza, 11ème fils — avec Baba Aghacha ;
___Ibrahim Hussain Mirza, 12ème fils — avec Baba Aghacha ;
___Ibn Hussain Mirza, 13ème fils - avec Baba Aghacha ;
___Muhammad Qasim Mirza, 14ème fils — avec Baba Aghacha ;
___Sultan Nizhad Begum, 8ème fille - avec Baba Aghacha, marié à Iskandar Mirza, fils de Bayqara Mirza et Sa'adat Bakht Begum ;
___Sa'adat Bakht Begum, 9ème fille, connue sous le nom de Begum Sultan - a épousé le sultan Masud Mirza, fils du sultan Mahmud Mirza et de Khanzada Begum ;
___Munawar Sultan Begum, 10ème fille - avec Baba Aghacha, marié à Sayyid Mirza d'Andekhud, descendant d'Ulugh Beg ;
___Sa'adat Nizhad Begum, 13ème fille - avec Baba Aghacha ;
___Salima Sultan Begum, 14ème fille - Avec Baba Aghacha ;
___Khurshid Bakht Begum, 18ème fille - Avec Baba Aghacha ;
Begi Sultan Aghacha, concubine et mère d'Afrasiyab Mirza ;
___Afrasiyab Mirza, 15ème fils — avec Begi Sultan Aghacha ;
Ascendance
Généalogie ascendante
Références
Liens externes
Monarque d'Iran du XVe siècle
Monarque d'Iran du XVIe siècle
Timourides
Naissance en 1438
Décès en mai 1506
Décès à 67 ans |
doc-4 | La rivière des Pins est un affluent de la rivière Nicolet laquelle se déverse sur la rive sud du fleuve Saint-Laurent. La rivière des Pins coule dans les municipalités de Tingwick, Warwick et de Saint-Albert-de-Warwick, dans la municipalité régionale de comté (MRC) de Arthabaska, dans la région du Centre-du-Québec, au Québec, au Canada.
Géographie
Les principaux bassins versants voisins de la rivière des Pins sont :
côté nord : rivière Nicolet ;
côté est : ruisseau Noir, rivière Nicolet ;
côté sud : cours d'eau Desrochers, rivière des Rosiers, ruisseau à la Truite ;
côté ouest : rivière Nicolet Sud-Ouest, rivière des Rosiers.
La rivière des Pins tire sa source de plusieurs ruisseaux de agricoles et forestiers dans la municipalité de Saint-Rémi-de-Tingwick. Cette zone est situé au nord-ouest de la route du rang et .
À partir de sa zone de tête, la rivière des Pins coule sur selon les segments suivants :
vers le sud-est, puis vers l'ouest, jusqu'à la limite municipale de Tingwick ;
vers le nord-ouest, jusqu'à la route du rang ;
vers le nord-ouest, jusqu'au Chemin Craig ;
vers le nord-ouest, jusqu'à chemin Gleasson ;
vers le nord-ouest, jusqu'à la limite municipale de Warwick ;
vers le sud-ouest, jusqu'au pont du chemin de Warwick, situé au sud-est du village de Warwick ;
vers l'ouest, en contournant par le sud le village de Warwick, jusqu'au pont du chemin de Warwick (situé au nord-ouest du village) ;
vers le nord-ouest, jusqu'à la confluence du cours d'eau Laroche (venant de l'est) ;
vers le nord-ouest, jusqu'à son embouchure.
La rivière des Pins se déverse dans un coude de rivière sur la rive sud de la rivière Nicolet à en amont du pont du village de Saint-Albert-de-Warwick et à en aval du pont du Ouest, au cœur de la ville de Victoriaville.
Toponymie
Le toponyme rivière des Pins a été officialisé le à la Commission de toponymie du Québec.
Notes et références
Annexes
Articles connexes
Rivière Nicolet
Warwick
Saint-Albert-de-Warwick
Tingwick
Saint-Rémi-de-Tingwick
MRC Arthabaska
Bassin du lac Saint-Pierre
Liens externes
Arthabaska
2Pins
Cours d'eau au Centre-du-Québec |
doc-5 | (1409) Isko est un astéroïde de la ceinture principale découvert le par l'astronome allemand Karl Wilhelm Reinmuth. Le lieu de découverte est Heidelberg (024). Sa désignation provisoire était 1937 AK.
Sa distance minimale d'intersection de l'orbite terrestre est de 1,531890 ua.
Annexes
Articles connexes
Liste des planètes mineures (1001-2000)
Ceinture d'astéroïdes
Lien externe
Astéroïde de la ceinture principale
Planète mineure découverte en 1937
Objet céleste découvert par Karl Wilhelm Reinmuth
Objet céleste découvert à l'observatoire du Königstuhl |
doc-6 | Seaford est une census-designated place du comté de Nassau, dans l'État de New York, aux États-Unis. En 2020, elle compte une population de .
Notes et références
Voir aussi
Liens externes
Comté de Nassau (New York)
Census-designated place dans l'État de New York |
doc-7 | Le pont d'Amercœur est un pont liégeois traversant la Dérivation pour relier Outremeuse à Amercœur.
Historique
Sans doute depuis le , il a existé un ancien pont du même nom. Il traversait l'Ourthe qui n'était pas encore le Dérivation et reliait la rue Puits-en-Sock aux rues d'Amercœur et Basse-Wez. Une porte monumentale est érigée de 1539 à 1541 à côté du pont sur la rive gauche. Cette porte d'Amercœur est définitivement détruite en 1846.
Un pont est construit en 1876 par la société John Cockerill afin de remplacer un passage en bois par une structure métallique. En 1927, ce pont est détruit car il était devenu trop étroit pour le trafic, le nouveau pont est achevé en 1929.
Dans le cadre de la modernisation des quais de la Dérivation dans les années 1970, un nouveau pont est inauguré en 1981, les rives sont équipées de passages sous le pont facilitant le transit automobile par les quais.
L'ouvrage est constitué de deux travées du type Cantilever, comme le pont de Longdoz.
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Anciens ponts d'Amercœur
Liste des ponts de Liège
Liens externes
Amercoeur
Amercoeur
Amercoeur
Amercoeur
Amercoeur
Amercoeur |
doc-8 | Dnipro (en ) ou Dniepr (en ) — jusqu'en 1926 Ekaterinoslav ou Iekaterinoslav, de 1926 à 2016 Dnipropetrovsk (retranscrit de l’ukrainien) ou Dniepropetrovsk (retranscrit du russe) — est une ville d'Ukraine et la capitale administrative de l'oblast de Dnipropetrovsk. Sa population, en diminution, s'élevait à en 2016 contre en 1989 à l’époque soviétique. Son agglomération est la troisième du pays, avec plus de d'habitants. Dnipro, réputée pour ses constructions aéronautiques, possède de nombreux espaces verts, d'immenses parcs, notamment le long du fleuve Dniepr qui traverse la ville du nord au sud.
Toponymie
De sa fondation en 1776 à 1796 et de 1802 à 1926, la ville porte le nom de « Iekaterinoslav » ou « Ekaterinoslav » (en russe et ) en l’honneur de . Durant le règne de son fils Paul , de 1796 à 1802, la ville était connue comme « Novorossiisk » (en ). En 1926, le pouvoir soviétique rebaptise la ville en « Dnipropetrovsk » (retranscription de l’) ou « Dniepropetrovsk » (retranscription du ), célébrant le fleuve et le révolutionnaire Grigori Petrovski. En vertu de la loi sur la décommunisation du pays, la ville est rebaptisée « Dnipro » (en ) en .
Géographie
Dnipro est située sur les bords du fleuve Dniepr, au sud du pays.
Géologie
C'est une ville de la plaine d'Europe orientale, située au sud-est du bouclier ukrainien, au sein du bassin Pripiat-Dniepr-Donetsk.
Le socle cristallin comporte surtout du granite et de la magmatite de l’Archéen moyen, entrecoupés de lits de gneiss à biotite et d’amphibolites.
La vieille-ville de Dnipro se dresse en rive droite, pour partie sur le , tandis que la rive gauche s'étend dans les . La divagation du lit mineur du Dniepr est contenue par un promontoire de la rive gauche du fleuve, dans le quartier Samarski qui se rattache au plateau d'Azov.
Le territoire communal est ponctué d'un chapelet d'îles et de presqu'îles, dont la plus célèbre est l’Île aux monastères. La rive droite du fleuve est séparée de l’Île aux monastères par un canal de dérivation long de , le canal de l'Archimandrite. La ligne de chemin de fer Merefa-Chersonèse franchit le fleuve à cet endroit par un pont en arc multiple long de .
Climat
Selon la Classification de Köppen, le climat de Dnipro est un climat continental à méditerranéen mais lors des rares périodes de sécheresse, il présente les caractères d'un climat semi-aride, situation comparable à celles de Yreka en Californie ou Reno au Nevada. Dans la vallée du Dniepr, l’humidité grimpe sensiblement. Les températures sont plus fraîches, avec une moyenne annuelle de , des hivers froids ( - ) et un gel très fréquent ( de gel par an en moyenne). La neige tombe en moyenne an, mais les fortes chutes sont rares. L'été est chaud, toutefois adouci par l'altitude de la ville (températures maximales d'environ ). Les records de température sont de (été 1950) et de (hiver 1955). Au cours du la température moyenne a monté de .
Démographie
La ville a enregistré en 2012 un taux de natalité de () contre en 2011 (pour ). Conséquence d'un taux de mortalité urbain parmi les plus élevés du pays, qui était de en 2012 () contre un taux de en 2011 (), la ville est passée sous la barre du million d'habitants en 2011.
Structure par âge
: 14,2 % ( et )
: 69,7 % ( et )
et plus : 16,1 % ( et ) (2016 officiel)
Histoire
Du Moyen Âge à l'« hetmanat » cosaque
Vers 750, les territoires situés à l'est de la ville tombèrent sous la domination du khaganat des Khazars, tout en formant le foyer du réseau commercial des Radhanites (c'est ainsi que l'on désignait les marchands juifs qui, du au , assuraient le trafic de marchandises entre les pays d’Occident et le monde musulman et même avec l'Inde et la Chine), réseau qui fut l'un des piliers de la puissance des Juifs au sein du khaganat des Khazars. À l'ouest, les Magyars établis depuis environ l'an 600 apr. J.-Chr. dans le bassin de la Volga s'étaient portés vers 900 apr. J.-Chr. dans la région comprise entre la vallée du Dniestr et celle du Dniepr, pays qu'eux-mêmes appelaient Etelköz (litt. le pays d'entre-deux-fleuves), aux confins orientaux du khaganat des Khazars, dont ils étaient tributaires. Ils fusionnèrent avec les Kabars (trois tribus qui s'étaient rebellées contre les Khazars) puis, par suite de la poussée conjuguée des Petchénègues, cavaliers venus de la steppe eurasienne, et de leurs alliés Bulgares, il émigrèrent à l'ouest vers les Carpathes sous le règne du tsar Siméon .
Du au la route commerciale entre Scandinavie et la Porte d'Or traversait la région (au passage du Dniepr) ; c'était l'une des plus importantes routes commerciales d'Europe orientale.
À la chute du khaganat des Khazars, le pays fut occupé par les cavaliers Petchénègues, puis par les Coumans, enfin par les Mongols de la Horde d'or. Après le démembrement de la Horde d'Or, la région de Dnipropetrovsk devint aux un refuge pour les Ruthènes fuyant la Pologne-Lituanie : là, ils purent créer des États cosaques autonomes, qui par la suite se fédérèrent en un « Hetmanat » (voir l'article Cosaques Zaporogues). Les Cosaques s'opposèrent à l'hégémonie polonaise et se défendirent contre les multiples raids des Tatars de Crimée.
De l'alliance russe à 1917
La conclusion de l’alliance des Cosaques avec la Russie, à la fin du , mit un frein à l’expansion de l’Empire ottoman en Ukraine orientale. Une fois l'influence de l’Empire ottoman éteinte au nord de la mer Noire, au terme de la guerre russo-turque de 1787-1792, un programme d'annexion systématique des terres conquises au sud, le « Projet grec » de la tsarine Catherine la Grande, entra en application. Sous la direction du prince Grigori Potemkine, il y fut instauré le Gouvernement de Nouvelle Russie, dont la capitale, fondée en 1776, reçut le nom de « Iekaterinoslav » en hommage à la souveraine. En 1805, on y dénombrait (dont ).
De 1802 à 1925, la ville fut la capitale du gouvernement de Iekaterinoslav, une division territoriale et administrative de l'Empire russe. Au , l’arrivée du chemin de fer depuis la Russie centrale vers la péninsule de Crimée offrit à cette ville une croissance démographique et industrielle rapide.
La ville à l'heure soviétique
Conséquence de l'étatisation de l'agriculture imposée par Staline, la grande famine de 1933 (le Holodomor) fut marquée par plusieurs cas de cannibalisme. À cette époque, plusieurs millions d'Ukrainiens périrent de faim.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la ville subit d'énormes dégâts et les habitants juifs furent exécutés en masse par les forces d'occupation allemandes : pour la seule journée du , furent massacrés. Le principal responsable de ces massacres est l'officier SS Friedrich Jeckeln. Lorsqu’à l'automne 1941 la disette en ville eut pris fin, le ministre de l'Alimentation du Reich, Herbert Backe, proclama, par l'« avis pour l'URSS » de l’ (), l'instauration de tickets de rationnement.
Pendant la période soviétique, son activité industrielle reposait sur la production d'armements, notamment de missiles (usine Ioujmach). Ville fermée, son accès était alors interdit aux étrangers. Deux Stalags, les et 460, avaient été établis en ville en 1949 pour surveiller les prisonniers allemands. Les plus malades étaient soignés à l'hôpital 5905.
Après la victoire sur l'Allemagne nazie, la ville fut le théâtre de travaux de reconstruction et reprit son développement industriel et sa croissance démographique, au point que dans les années 1980, Dnipro dépassa le million d'habitants.
Depuis l'indépendance de l'Ukraine
Depuis la dislocation de l'URSS, .
Le , plusieurs attentats à la bombe, frappant les quartiers les plus fréquentés de la ville, ont fait au moins vingt-neuf victimes. Les attentats n'ont pas été revendiqués.
Depuis 2012, le russe est devenu la seconde langue officielle de l'oblast et donc de la ville elle-même.
En mai 2016, dans le cadre de la loi de décommunisation, la ville prend le nom de Dnipro.
Fusillade de Dnipro en janvier 2022.
Administration
La ville est divisée en districts administratifs :
1 : raïon Amour-Nijnyodniprovsky
2 : Raïon de Chevtchenko
3 : raïon Soborny
4 : raïon Industriel
5 : raïon Central
6 : raïon Chechelivsky
7 : raïon Novokodatsky
8 : raïon Samarsky
Économie
Depuis l'époque soviétique, la ville s'est imposée comme un centre important de l'industrie aéronautique : elle abrite le siège de la compagnie aérienne Dniproavia et du bureau d'études Ioujnoïe, qui a produit entre autres les missiles Dnepr, R-16 (qui fut le premier missile balistique intercontinental soviétique) et plusieurs autres missiles balistiques. La ville est aussi le siège de la société Ioujmach, associée à Ioujnoïe, constructeur de fusées mais aussi d’autobus, de matériel agricole, de trolleybus, d’éoliennes et de satellites.
Les motrices Dniepropetrovsk ont équipé plusieurs lignes ferroviaires d'Union soviétique.
Transports
Le tramway d'Ekaterinoslav a été ouvert le . Au moment de son ouverture, il s'agissait du troisième système de tramway de l'Empire russe (ses prédécesseurs étaient le tramway Kiev et les tramways de Nijni Novgorod. La construction et l'exploitation ont été assurées par la Société belge Tramways électriques d'Ekaterinoslaw. À à la fin de 1897, deux millions de personnes avaient été transportées. Le système de tramway original était basé sur voie 1000 mm et comprenait 3 lignes de tramway depuis l'avenue Catherine la Grande. (le nom moderne est l'avenue Dmytro Yavornytskyi). Dnipro est desservie par une ligne de métro de six stations et par un aéroport international la reliant à des villes européennes (Vienne, Moscou, Thessalonique…) et moyen-orientales (Istanbul, Tel-Aviv, Dubaï, Bakou…).
Elle dispose de la gare de Dnipro et d'un port fluvial.
Architecture
La ville est largement dominée par l'architecture de l'époque stalinienne.
Culture
Synagogue de la Rose d'Or.
Musée d'Art de Dnipro.
Église Sainte-Catherine de Dnipro, classée
Musée d'histoire de Dnipro.
Musée de la maison de Dmytro Yavornytsky.
La Philharmonie Leonid Kogan de Dnipro.
Le théâtre académique dramatique et comique de Dnipro.
Enseignement
Université médicale d'État de Dnipro.
Université nationale Oles-Hontchar de Dnipro.
Personnalités
Helena Blavatsky (1831-1891), fondatrice de la théosophie.
Georges Alekseïev, grand chambellan de la cour impériale et citoyen d'honneur.
Lioudmila Stal (1872-1939), révolutionnaire russe et soviétique, journaliste, féministe
Vadim Chernoff (1887-1954), artiste-peintre.
Moses Schönfinkel (1889-1942), mathématicien soviétique
Oleksiy Fedorov (1901-1989), résistant soviétique.
Gregor Piatigorsky (1903-1976), violoncelliste russe puis américain.
Victor Kravtchenko (1905-1966), transfuge soviétique.
Ivan Kazanets, chef d'Etat ukrainien.
Boris Sagal (1917-1981), réalisateur et producteur américain.
Alexandre Matrosov (1924-1943), Héros de l'Union soviétique.
Leonid Kogan (1924-1982), violoniste soviétique.
Ilya Kabakov (1933-2023), artiste conceptuel russe.
Viktor Tchepijny (°1934), compositeur russe de problèmes d'échecs.
Ivan Koulitchenko (°1955), maire de la ville de 2000 à 2014
Ioulia Tymochenko (°1960), femme politique ukrainienne
Ina Belous (°1960), artiste ukrainienne
Inessa Kravets (°1966), athlète soviétique
Yevhen Braslavets (°1966), navigateur, champion olympique
Ihor Matviyenko (°1971), navigateur, champion olympique.
Serhiy Lebid (°1975), athlète ukrainien
Tatiana Navka (°1975), patineuse russe
Oleksiy Lukashevych (°1977), athlète ukrainien
Anastassia Karlovitch (1982), joueuse d'échec et journaliste
Julia Obertas (°1984), patineuse russo-ukrainienne
Tatiana Volosozhar (°1986), patineuse ukrainienne
Grigori Petrovski, qui travailla dans la ville et y eut des activités politiques, fut le représentant de l'Ukraine au sein du Soviet suprême de l'URSS. La ville a porté le nom de Petrovsk entre 1926 et 1957 en son honneur par aphérèse (Dnipropetrovsk / Petrovsk)
Eugen Tripolsky (°1962), maître international d'échecs
Iouri Mechkov (1945-2019), homme politique ukrainien
Victor Mirkin (1909-1944), résistant français, Compagnon de la Libération.
Jumelages
Voir aussi
Articles connexes
HK Dneprovskie Volki Dnepropetrovsk, club de hockey de la ville
BC Dnipro, club de basketball de la ville
SK Dnipro-1, club de football de la ville
FK Dnipro (1918-2019), ancien club de football de la ville
Liens externes
Cartes topographiques
Héraldique ukrainienne
Notes et références
Ville en Ukraine
Division administrative fondée en 1776
Changement de nom de ville dans l'Histoire |
doc-9 | Zevahim (hébreu : זבחים zeva'him « sacrifices ») est le premier traité de l’ordre Kodashim. Traitant des lois régissant les offrandes animales, il est appelé Korbanot (hébreu : קורבנות offrandes) dans la Tossefta et She'hitat kodashim (hébreu : שחיתת קודשים abattage des saintetés) dans le Talmud de Babylone (ainsi que dans quelques pièces de littérature rabbinique médiévale), afin de le différencier du traité Houllin.
Objet du traité
La Torah compte sept types d’offrandes animales que les rabbins divisent en deux catégories :
le korban ola (offrande en holocauste), le korban 'hattat (offrande expiatoire) et le korban asham (offrande délictive) — qui sont des kodshei kodashim (« offrandes très-saintes »),
le korban shelamim (offrande rémunératoire), le korban bekhor (offrande des premiers-nés du bétail), le ma'asser behema (dîme sur le bétail) et le korban pessa'h (offrande pascale) — qui sont, à l’exception des deux agneaux offerts en shelamim à Chavouot, des kodashim kalim (« petites saintetés »).
Ces offrandes sont, à l’exception du korban ola, destinées en partie ou en totalité à la consommation – les kodhei kodashim par les seuls cohanim (« prêtres) », les kodashim kalim par tous les membres de l’assemblée d’Israël, en des lieux et en des temps précis.
Le manquement à l’un de ces points, qu’il s’agisse du rite sacrificiel, de l’intention avec laquelle il est réalisé, du lieu ou du temps, invalident les offrandes à des degrés divers en tant que consommables, en tant qu’offrandes ou en tant qu’actes visant à (r)établir la relation adéquate entre l’offrant et Dieu.
Mishna
La Mishna du traité Zeva'him comprend selon les éditions 101 ou 102 mishnayot (articles), réparties en quatorze chapitres.
Premier chapitre
Le premier chapitre (kol hazeva'him) traite des offrandes qui n’ont pas été abattues avec l’intention convenable : en règle générale, elles demeurent valides en tant qu'offrandes et consommables (s’il y a lieu) mais elles sont disqualifiées dans leur fonction propitiatoire, votive ou autre et le ou les propriétaires doivent fournir une autre bête — offerte avec l’intention convenable — pour être acquittés de leur devoir.
Cette règle souffre deux exceptions : l’offrande pascale (en son temps, c’est-à-dire le 14 nissan, depuis la mi-journée jusqu’au soir) et l’offrande expiatoire (en tout temps) qui sont totalement invalides lorsque l’une des quatre étapes du rite sacrificiel (l’abattage, le recueil du sang, la procession du sang et l’aspersion du sang sur l’autel des offrandes) n’a pas été réalisée avec l’intention appropriée même si les autres l’ont été. Les offrandes pascales qui ont été offertes avant ou après le 14 nissan sont considérées comme valides en tant qu’offrandes rémunératoires (à l’exception de la seconde pâque, qui doit être offerte le 14 iyar par ceux qui n’avaient pu réaliser la première pour une raison légitime). Rabbi Yehoshoua inclut dans ce cas les offrandes pascales réalisées avec une intention impropre au matin du 14 nissan ; la Loi suit cependant l’opinion de Ben Bathyra qui invalide de telles offrandes, assimilées à des offrandes réalisées en leur temps avec une intention impropre.
Rabbi Eliezer ajoute à ces exceptions l’offrande délictive, Ben Azzaï l’offrande en holocauste, Yosse ben Honi toutes les offrandes qui ont été offertes par erreur en pâque ou en expiatoire et Shimon a'hi Azaria les offrandes très-saintes offertes en petites saintetés ; leurs opinions n’ont cependant pas été retenues.
Second chapitre
Le second chapitre (kol hazeva'him shekibel daman) discute de ce qui rend une offrande passoul (« invalide ») et de ce qui la rend piggoul (« abominable »).
Le recueil du sang ne peut, contrairement à l’abattage, être réalisé que par un cohen, membre (mâle) de la classe sacerdotale juive. Ce cohen ne peut être onen (« affligé » par le décès de l’un de ses proches parents) ni incirconcis ; il doit, en outre, être tahor (« pur ») et ne peut pas exercer au jour de son ablution purificatrice ni avant de s’être acquitté des offrandes l’expiant de son impureté ; il doit avoir revêtu ses habits de fonction et avoir sanctifié ses mains et ses pieds ; il doit recueillir le sang debout, de la main droite, sans intercession entre lui et le sol et sans le ramasser du sol. L’aspersion du sang doit elle aussi être effectuée de la main droite et viser des points précis de l’autel extérieur ou intérieur (différents selon le type d’offrande). Tout manquement à l’un de ces points invalide l’offrande en tant que telle mais sa consommation n’entraîne pas le retranchement du sein du peuple.
Est également invalide (passoul) une offrande abattue avec l’intention de jeter (tout ou partie de) son sang ou de faire fumer (tout ou partie de) ses graisses ou de consommer (tout ou partie de) sa chair en dehors du lieu où le rite sacrificiel doit être réalisé (la cour du Temple ou Jérusalem, comme l"explique la Mishna plus loin).En revanche, une offrande abattue avec l’intention de réaliser le rite sacrificiel ou de consommer la chair en dehors du temps prescrit (la question est également abordée plus loin) rend l’offrande abominable (piggoul) et entraîne le retranchement du sein du peuple.Cette règle comporte un important caveat : le reste du rite sacrificiel doit avoir été réalisé correctement et par conséquent, tout ce qui rend une offrande passoul (y compris l'abattage d'une offrande pascale ou expiatoire sans l'intention convenable) la soustrait au statut de piggoul.
Troisième chapitre
Le troisième chapitre (kol hapessoulim shesha'hatou) énumère les possibilités de réparation de divers erreurs et oublis qui rendent en théorie l’offrande passoul.
En effet, si l’abattage peut être réalisé par d’autres Israélites que les cohanim, les autres actes du rite sacrificiel ne peuvent l’être que par eux.
Notes et références
Annexes
Liens externes
Mishna, Tossefta et Guemara babylonienne du traité Zevahim, sur le site snunit.
Bibliographie
1.1 |
doc-10 | Benjamin Paul Akers, né le dans le village de Saccarappa, près de Westbrook, dans le Maine, mort le à Philadelphie, est un sculpteur américain.
En 1855, il s'installe à Rome, où il travaille pendant plusieurs années. Parmi ses œuvres, on peut citer les bustes d'Edward Everett et d'Henry Longfellow, une tête de Milton et Dead Pearl Diver, exposé au Museum d'Art de Portland, dans le Maine.
Liens externes
Sculpteur américain du XIXe siècle
Naissance en juillet 1825
Décès en mai 1861
Décès à Philadelphie
Décès à 35 ans |
doc-11 | Gala León García, née le à Madrid, est une joueuse de tennis espagnole, professionnelle du début des années 1990 à 2004.
Biographie
À deux occasions, elle a atteint les huitièmes de finale à Roland Garros, ses meilleures performances en simple dans une épreuve du Grand Chelem. Elle a d'abord réalisé cette performance en 1996, lors de sa première participation à un tournoi du Grand Chelem, sortant des qualifications puis battant notamment Barbara Paulus, tête de série . Elle a réédité cette performance en 1999, où elle a éliminé notamment Nathalie Tauziat, tête de série .
Au cours de sa carrière, elle a remporté un tournoi WTA en simple, à Madrid en 2000, année durant laquelle elle a atteint la mondiale. Elle a joué et perdu quatre autres finales en simple et deux finales en double sur le circuit principal.
Elle a fait partie de l'équipe espagnole de Fed Cup finaliste en 1996 contre les États-Unis.
Le 21 septembre 2014, elle est nommée capitaine de l'équipe d'Espagne de Coupe Davis à la suite de la démission de Carlos Moyà. Elle est la cinquième femme désignée capitaine d'une équipe de Coupe Davis (après les équipes de Moldavie, de Saint-Marin, de Syrie et du Panama, mais la première à la tête d'une équipe importante. Sa légitimité est contestée par les joueurs espagnols. Le 3 juillet 2015, elle est démise de ses fonctions par le nouveau président de la fédération espagnole de tennis (RFET), sans même avoir supervisé une rencontre. Elle est remplacée quelques jours plus tard par une autre ancienne joueuse : Conchita Martínez.
Palmarès
Titre en simple dames
Finales en simple dames
Titre en double dames
Aucun
Finales en double dames
Parcours en Grand Chelem
En simple dames
À droite du résultat, l’ultime adversaire.
En double dames
Sous le résultat, la partenaire ; à droite, l’ultime équipe adverse.
Parcours en Fed Cup
Classements WTA en fin de saison
En simple
Source :
En double
Source :
Notes et références
Liens externes
Naissance en décembre 1973
Naissance à Madrid
Joueuse espagnole de tennis
Joueuse de tennis gauchère
Capitaine espagnol d'équipe de Coupe Davis
Sportive madrilène |
doc-12 | MJT est un code qui peut signifier :
.
mjt est un code qui peut signifier :
Sauria paharia :
selon la norme ISO 639-3 des codes de langue ;
selon l’étiquette d'identification de langues IETF.
Code |
doc-13 | Francis Joseph Aloysius Selke (né le et mort le ) est un dirigeant de la Ligue nationale de hockey (LNH) en Amérique du Nord.
Biographie
Frank Selke commence sa carrière de dirigeant à l'âge de 14 ans lorsqu'il devient gérant des Iroquois Bantams de Berlin, une équipe bantam de l'Ontario. Au cours d'un tournoi de hockey, il rencontre Conn Smythe qui va lui permettre de faire ses débuts dans la Ligue nationale de hockey. En 1919, Selke est l'entraîneur de l'Université de Toronto qui remporte la première édition de la Coupe Memorial. Peu de temps après il entraîne les Ravinas de Toronto, une équipe semi-professionnelle de la .
En 1929, Smythe achète les Saint-Patricks de Toronto et les renomme Maple Leafs. Il engage Selke comme assistant directeur-général. La belle histoire entre Smythe et Selke dure une vingtaine d’années jusqu’au jour où Selke décide de procéder à un échange sans consulter Smythe au préalable. En échangeant le jeune prospect de 17 ans Frank Eddolls aux Canadiens de Montréal, en retour de Ted Kennedy, il s'attire les foudres du patron de l'équipe qui décide de reprendre le club en main. Il ne reste pas longtemps sans contrat, le 26 juillet 1946, Selke devient directeur-général des Canadiens de Montréal.
Ironiquement, les Maple Leafs remporteront quatre des cinq coupes Stanley suivantes mais Selke a sa revanche quand les Canadiens remportent cinq Coupes Stanley consécutives de 1956 à 1960. Il connaît un règne de 18 saisons avec l'équipe de Montréal en leur permettant de remporter un total de six coupes Stanley sur onze finales. Il prend sa retraite de l'équipe en 1964 à l'âge de 71 ans. Il contribue également à l’élaboration du Temple de la renommée.
Il meurt le à Rigaud à l'âge de 92 ans. En son honneur, sa dépouille est exposée au sein du Forum de Montréal pendant quelques heures. Deux trophées sont mis en place par la suite par la LNH et également la Ligue de hockey junior majeur du Québec. Dans la LNH, le trophée récompense l'attaquant « défensif » alors que le trophée de la LHJMQ récompense le joueur avec le meilleur esprit sportif
Références
Bibliographie
Liens externes
Naissance en mai 1893
Naissance à Berlin (Ontario)
Dirigeant canadien de hockey sur glace
Ligue nationale de hockey
Champion de la Coupe Stanley
Champion de la Coupe Memorial
Membre du Temple de la renommée du hockey
Membre du Panthéon des sports canadiens
Décès en juillet 1985
Décès en Vaudreuil-Soulanges
Décès à 92 ans |
doc-14 | Ernest Fenollosa, né le à Salem dans le Massachusetts et décédé le à Londres, est un universitaire, orientaliste, philosophe et japonologue américain qui fut conseiller étranger au Japon pendant l'ère Meiji. Professeur de philosophie et d'économie politique à l'université impériale de Tokyo, Fenollosa fait beaucoup pour préserver l'art japonais traditionnel.
Biographie
Fenollosa est le fils d'un pianiste espagnol, Manuel Francisco Ciriaco Fenollosa (né à Málaga en 1818), et de sa femme Mary Silsbee (Fenollosa), membre d'une famille éminente de Boston. Il est éduqué à la Hacker Grammar School à Salem dans le Massachusetts, puis dans le lycée de la ville, et enfin il étudie la philosophie et la sociologie au Harvard College, où il sort diplômé en 1874. Après un an à l'école d'art du musée des Beaux-Arts à Boston, où il se marie avec Elizabeth Goodhue Millett, il se rend au Japon en 1878 sur invitation du zoologiste et orientaliste américain Edward Sylvester Morse pour enseigner l'économie politique et la philosophie à l'université impériale de Tokyo. Il en profite pour étudier le patrimoine historique de ce pays, les anciens temples, sanctuaires et les œuvres d'art avec son assistant Okakura Kakuzō. Dès son arrivée au Japon en 1878, il est initié par le peintre Kanō Eitoku à .
Durant son séjour au Japon, Fenollosa participe à la création d'un style de la peinture japonaise appelé nihonga avec les peintres Kanō Hōgai (1828-1888) et Hashimoto Gahō (1835-1908). En , il fait une conférence intitulée « Une explication de la vérité de l'art » qui circule largement et est citée à de nombreuses reprises par la suite.
Après huit ans passés à l'université, il aide à fonder l'université des Arts de Tokyo et le musée impérial de Tokyo dont il devient le directeur en 1888. Durant cette période, il aide à réaliser le texte de loi sur la préservation des temples, sanctuaires et œuvres d'art.
Fenollosa se convertit ensuite au bouddhisme et reçoit le nom de Teishin. Il prend aussi le nom de Kano Eitan Masanobu, le plaçant ainsi dans la lignée de l'école Kanō, institution d'où sont issus les peintres des shoguns Tokugawa. Fenollosa réalise le premier inventaire des trésors nationaux du Japon menant à la découverte d'anciens rouleaux chinois rapportés du continent par des moines itinérants et sauve de la destruction de nombreuses œuvres bouddhistes (à cause du mouvement Haibutsu kishaku). Il semble aussi qu'à cette occasion, le Gouvernement lui accorde une autorisation spéciale pour analyser la statue de Shotoku Taishi en Guze Kannon du temple Hōryū-ji, le plus sacré et le plus mystérieux des Hibutsu (bouddha cachés) du Japon, que les moines avaient conservés caché pendant un millier d'années. Pour ses actes méritoires, l'empereur Meiji le décore de l'ordre du Soleil levant et de l'ordre du Trésor sacré.
Fenollosa accumule beaucoup d'œuvres d'art japonaises pendant son séjour au Japon. En 1886, il vend sa collection au médecin américain (1857–1911) à la condition qu'elle aille au musée des Beaux-Arts de Boston, et en 1890 il retourne à Boston pour devenir conservateur du département des arts orientaux. Fenollosa réussit à faire en sort que l'art japonais soit exposé à l'exposition universelle de 1893 de Chicago. Il organise aussi la première exposition de peinture chinoise à Boston en 1894. En 1896, il publie Masters of Ukioye, un compte-rendu historique sur les peintures et estampes japonaises exposées au New York Fine Arts Building. Néanmoins, son divorce public et son remariage immédiat en 1895 avec l'écrivain Mary McNeill Scott (1865–1954) scandalisent la société de Boston menant à sa démission du musée en 1896.
Il retourne au Japon en 1897 pour accepter un poste de professeur de littérature anglaise à l'école normale de Tokyo. Lafcadio Hearn est ami avec Fenollosa et vient même un peu trop souvent au domicile du professeur.
En 1900, il retourne aux États-Unis pour donner des conférences sur l'Asie. Son ouvrage en deux volumes sur l'art avant 1800 propose des estampes de Hokusai mais l'art japonais est devenu trop moderne pour le goûts de Fenollosa : « Hokusai est un grand dessinateur, comme Kipling et Whitman sont des grands poètes. Il est considéré comme le Dickens du Japon ».
Après sa mort à Londres en 1908, les notes non publiées de Fenollosa sur la poésie chinoise et le théâtre japonais nō sont confiées par sa veuve au poète Ezra Pound qui, avec William Butler Yeats, les utilise pour renforcer l’intérêt grandissant de l'Extrême-Orient chez les écrivains modernistes. Pound termine ensuite les travaux de Fenollosa avec l'aide d'Arthur Waley, un fameux sinologue britannique.
Le corps de Fenollosa est incinéré à Londres, et ses restes sont retournés au temple Mii-dera (où il s'est converti au Bouddhisme) pour être enterrés. Sa pierre tombale est financée par l'université des Arts de Tokyo.
Bibliographie
The Masters of Ukioye: a Complete Historical Description of Japanese Paintings and Color Prints of the Genre School, New York: The Knickerbocker Press, 1896
Epochs of Chinese and Japanese Art, London: William Heinemann, 1912
"Noh" or Accomplishment: A Study of the Classical Stage of Japan, with Ezra Pound, London: Macmillan and Co., 1916
The Chinese Written Character as a Medium for Poetry, composed by the Ernest Fenollosa, edited by Ezra Pound after the author's death, 1918.
Bisland, Elizabeth. (1906). The Life and Letters of Lafcadio Hearn. New York: Houghton, Mifflin and Company.
Brooks, Van Wyck, Fenollosa and His Circle, with Other Essays in Biography, New York: Dutton, 1962
Chisolm, Lawrence W., Fenollosa: the Far East and American Culture, New Haven: Yale University Press, 1963
Fenollosa, Mary McNeill. "Preface." Epochs of Chinese and Japanese Art: an Outline History of East Asiatic Design, New York: Frederick A. Stokes, 1912
Kurihara Shinichi, Fuenorosa to Meiji bunka, Tokyo: Rikugei Shobo, Showa 43,1968
Marra, Michael F. (2002). Japanese hermeneutics: Current Debates on Aesthetics and Interpretation. Honolulu: University of Hawai'i Press. ; OCLC 237578040
Tepfer, Diane, "Enest Fenollosa", in The Dictionary of Art, 10: 887
Warner, Langdon, "Ernest Francisco Fenollosa", in the Dictionary of American Biography, vol. 6. New York: C. Scribner's sons, 1931,
Lectures annexes
Ezra Pound, Cathay, 1915.
Notes et références
Source de la traduction
Liens externes
Orientaliste américain
Philosophe américain du XIXe siècle
Conseiller étranger auprès du gouvernement de Meiji
Étudiant de l'université Harvard
Enseignant étranger au Japon
Professeur à l'université de Tokyo
Américain au Japon
Japonologue américain
Musée des Beaux-Arts de Boston
Récipiendaire de l'ordre du Soleil levant
Récipiendaire de l'ordre du Trésor sacré
Personnalité liée au Massachusetts
Naissance à Salem (Massachusetts)
Naissance en février 1853
Décès à Londres
Décès en septembre 1908
Décès à 55 ans
Personnalité inhumée au cimetière de Highgate |
doc-15 | Donna lombarda est une chanson populaire italienne. Elle est considérée comme la plus ancienne du répertoire italien. Elle est particulièrement diffuse dans le nord de l'Italie, mais est aussi connue dans le centre-sud. Son thème est l'histoire d'une femme qui est invitée par son amant à tuer son mari avec du poison extrait d'un serpent, mais un enfant de quelques années ou quelques mois, selon la version, informe celui qu'il appelle « cher père » de la tentative de meurtre et oblige la femme infidèle à boire la boisson empoisonnée.
Histoire
Costantino Nigra dans son œuvre Canti popolari del Piemonte (1888), évoque la possibilité que l'origine du texte remonte au , identificant la protagoniste comme la reine des Longobards Rosemonde, qui empoisonna son mari , sur instigation de Longino.
Interprètes
Des artistes ont repris la chanson :
Original Occitana, album Polyphonies Sounds, Label : New Track Music (2009)
Caterina Bueno
Francesco De Gregori et Giovanna Marini, album Il fischio del vapore (2002)
Angelo Branduardi
Giovanna Daffini avec Vittoria Carpi
Mia Martini et Sergio Endrigo, album Canzoni venete (1976)
disque O nobil cavaliere (2003)
Véronique Chalot en français sous le titre L'empoisonneuse
Istranova (Capodistria) en dialecte, album Istranova (1982)
Nanni Svampa, Milanese - Antologia della canzone lombarda (vol. 1, 1970)
Malicorne en français, album Malicorne (1974), sous le titre Dame Lombarde
Notes et références
Chanson italienne |
doc-16 | Le Pot aux roses ou De stalen bloempot en néerlandais est le seizième album de bande dessinée de la série Bob et Bobette. Il porte le numéro 145 de la série actuelle.
Il a été écrit et dessiné par Willy Vandersteen et publié dans De Standaard et Het Nieuwsblad du au . L'histoire est plus ou moins une continuation de L'île d'Amphoria(1947).
Synopsis
Alors que Bob, Bobette et Lambique prennent du bon temps le long de l'Escaut, une péniche mystérieuse les suit. À son bord : les Pots de Fer. Ces derniers enlèvent Bob et l'emmènent sur Amphoria et exigent qu'il devienne roi. Ses amis le rejoignent et essaieront de faire tomber les comploteurs qui veulent instaurer la terreur sur l'île. Nos amis réussiront grâce à divers alliés tels que le troisième homme ou bien l'alchimiste. Lambique se verra, lui, à la tête de la construction d'une cathédrale sur l'île.
Personnages principaux
Bobette
Bob
Lambique
Sidonie
Les Pots de Fer
Personnages secondaires
Jacquot Lenflée
Le gouverneur
L'alchimiste
Lieux
Escaut
Amphoria (Île)
Autour de l'album
Les pots de fer veulent construire la tour de Babbil, un hommage au bavardage. Il s'agit de la tour de Babel .
Une grande partie de l'intrigue porte sur le retour du vrai roi d'Amphoria et est une allusion à la Question royale et Léopold III
Dans cet album, Lambique est déjà venu sur Amphoria et connait Jacquot Lenflée. Il s'agit là d'une erreur de cohérence puisque la seule aventure précèdent cet album qui se passe à Amphoria est L'île d'Amphoria, où Lambique n'apparait pas.
Éditions
De stalen bloempot, Standaart, 1951 : Édition originale en néerlandais
Le Pot aux roses, Erasme, 1973 : Édition française comme numéro 145 de la série actuelle en couleur.
Notes et références
Album de Bob et Bobette
Album de bande dessinée sorti en 1951 |
doc-17 | Ramsay MacMullen, né à New York le et mort le à New Haven, est un historien américain spécialisé dans l'histoire de l'Antiquité romaine, le christianisme primitif ainsi que les lettres classiques.
Professeur à l'Université Yale de 1967 jusqu'à sa retraite en 1993, il a enseigné comme Dunham Professor d'Histoire et d'Antiquité classique. Considéré comme l'un des meilleurs historiens de sa génération, ses recherches portent spécialement sur l'histoire sociale de Rome et les relations entre le paganisme et le christianisme.
Biographie
Né à Manhattan , Ramsay MacMullen est diplômé de la Phillips Exeter Academy et diplômé summa cum laude de l'université Harvard.
À partir de 1967, il mène une carrière d'enseignant universitaire en histoire de l'Antiquité romaine et en lettres classiques au sein des universités de l'Oregon, Brandeis et finalement Yale dont il se retire en 1993.
Spécialiste de l'Antiquité romaine, de l'Antiquité tardive, du christianisme ancien, de la religion romaine ou encore de l'empereur Constantin, MacMullen est l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages traduits en plusieurs langues et plus de quatre-vingt essais, monographies et articles. Il a notamment développé la thèse selon laquelle la corruption généralisée de ses élites politiques et militaires a largement contribué au délitement de l'Empire romain.
Après sa retraite académique, il continue de produire de nombreuses et importantes publications restant, parmi ceux qui étudient le monde romain, il un auteur de référence.
Ramsay MacMullen meurt le à son domicile de New Haven.
Distinctions
En 2001, lors de sa réunion annuelle, l'American Historical Association lui a rendu hommage en lui accordant le Award for Scholarly Distinction pour sa vie consacrée à la recherche et l'a désigné comme « le plus grand historien de l'Empire romain actuellement vivant ». En 1964, il reçoit le prix Arthur Kingsley Porter-College Art Association, et en 2014, la prestigieuse médaille Yale DeVane.
Œuvres principales
En langue française
Les Rapports entre les classes sociales dans l'Empire romain (50 – 284 ap. JC), Seuil, 1986.
Le Paganisme dans l'Empire romain, PUF, 1987.
Voter pour définir Dieu : trois siècles de conciles (253-553), Les Belles Lettres, 2008.
Les Émotions dans l'histoire, ancienne et moderne, Les Belles Lettres.
La Romanisation à l'époque d'Auguste, Les Belles Lettres, 2003.
Christianisme et paganisme du IVe au , Les Belles Lettres, 1998.
Le Déclin de Rome et la corruption du pouvoir, Les Belles Lettres.
En langue anglaise
Roman Social Relations, 50 B.C. to A.D. 284 (1974)
Paganism in the Roman Empire (1984)
Christianizing the Roman Empire: AD 100-400 (1989)
Soldier and Civilian in the Later Roman Empire (1963) Vie extra-militaire des légions.
Enemies of the Roman Order: Treason, Unrest and Alienation in the Empire
Corruption and the Decline of Rome.
Christianity and Paganism in the Fourth to Eighth Centuries (1997)
Romanization in the Time of Augustus (2000)
Voting About God in Early Church Councils (2006) Analyse des conciles œcuméniques de 253 à 553.
The Second Church: Popular Christianity A.D. 200-400 (2009)
Constantine (1970)
Feelings in History, Ancient and Modern
Ancient History: Recent Work and New Directions with Kurt A. Raaflaub, Allen M. Ward, Stanley Mayer Burstein, Carol G. Thomas
Changes in the Roman Empire: Essays in the Ordinary
Roman Government's Response to Crisis, A.D. 235-337
Notes et références
Liens externes
« Historiens, attention : motivation = émotion », article de Ramsay MacMullen publié en français dans Diogène, 203 2003/3, 23-31.
Source
Naissance en mars 1928
Étudiant de l'université Harvard
Boursier Guggenheim
Historien américain
Historien de la Rome antique
Prix de Rome américain en histoire de l'art
Décès à 94 ans
Décès en novembre 2022
Décès à New Haven
Naissance à New York |
doc-18 | Armando Castellazzi (1904-1968), joueur et entraîneur italien de football ;
Luca Castellazzi (1975-), footballeur italien. |
doc-19 | Biecz (prononciation : ) est un village polonais de la gmina de Brody dans le powiat de Żary de la voïvodie de Lubusz dans l'ouest de la Pologne.
Il se situe à environ à l'est de Brody (siège de la gmina), au nord-ouest de Żary (siège de le powiat) et à l'ouest de Zielona Góra (siège de la diétine régionale).
Le village compte approximativement une population de 252 habitants.
Histoire
Le nom allemand du village était Beitzsch et sous le régime de l'Allemagne nazie de 1937 à 1945 Beitsch.
Après la Seconde Guerre mondiale, avec les conséquences de la Conférence de Potsdam et la mise en œuvre de la ligne Oder-Neisse, le village est intégré à la République populaire de Pologne. La population d'origine allemande est expulsée et remplacée par des polonais.
De 1975 à 1998, le village est attaché administrativement à la voïvodie de Zielona Góra.
Depuis 1999, il fait partie de la voïvodie de Lubusz.
Références
Village dans la voïvodie de Lubusz
Powiat de Żary |
doc-20 | Nolina parviflora est une espèce végétale de la famille des Asparagaceae. Cette espèce est originaire du Mexique.
Notes et références
Liens externes
Espèce d'Angiospermes (nom scientifique)
Plante succulente
Asparagaceae |
doc-21 | Oligodon arenarius est une espèce de serpents de la famille des Colubridae.
Répartition
Cette espèce est endémique de la province de Bà Rịa-Vũng Tàu au Viêt Nam.
Description
Oligodon arenarius mesure de à de longueur totale.
Publication originale
Vassilieva, 2015 : A new species of the genus Oligodon Fitzinger, 1826 (Squamata: Colubridae) from coastal southern Vietnam. Zootaxa, , .
Liens externes
Notes et références
Serpent (nom scientifique)
Colubrinae
Faune endémique du Viêt Nam |
doc-22 | Lokpa peut désigner :
le lokpa, une langue gourounsi
les Lokpa, une population du Bénin. |
doc-23 | Certains systèmes d’écritures, tels que l’alphabet arabe et hébreu, s’écrivent de droite à gauche (, RTL, en anglais). Dans ce cas, le texte commence du côté droit de la page et se termine du côté gauche, au contraire du sens d’écriture occidental de gauche à droite (, LTR) des langues utilisant l’alphabet latin (telles que le français). Lorsqu’un texte LTR est mélangé avec un texte RTL dans le même paragraphe, chaque type de texte doit être écrit dans son propre sens, phénomène connu sous le nom de texte bidirectionnel.
Systèmes d’écriture
Cela peut devenir relativement complexe, lorsque plusieurs niveaux de citations sont utilisés. La plupart des systèmes d’écriture originaires de Moyen-Orient sont de cette nature. Par exemple, le nom hébreu Sarah () doit être épelé shin (), resh (), heh () de droite à gauche.
Très peu d’écritures peuvent être écrites dans les deux sens. C’était le cas des hiéroglyphes égyptiens, où l’on employait un hiéroglyphe « tête », orientée dans le sens de lecture, marquant le début d’une ligne, et un hiéroglyphe « queue » pour marquer la fin. L’orientation des hiéroglyphes renseigne sur le sens de lecture : les figures (par exemple les oiseaux) « regardent » en effet vers le début de la ligne.
Certaines inscriptions grecques, touaregs, et runiques hongroises ont utilisé un système original, appelé boustrophédon, dans lequel le sens de lecture est inversé à chaque ligne.
Prise en charge de l’écriture bidirectionnelle
La prise en charge de l’écriture bidirectionnelle (en anglais ) est la capacité d’un logiciel à afficher correctement le texte bidirectionnel. Dans le jargon informatique, on abrège ce terme par BiDi ou bidi. Peu de logiciels affichent correctement les textes bidirectionnels. Certains navigateur web peuvent afficher le texte hébreu de cet article en sens inverse.
Les premiers systèmes informatiques étaient conçus pour ne prendre en charge qu’un unique sens d’écriture, en particulier le sens LTR (ainsi qu’une unique fonte basée sur l’ASCII et l’alphabet latin). L’ajout de nouveaux jeux de caractères et d’encodages a permis le support d’autres écritures de gauche à droite, mais peu aisément de droite à gauche, par exemple pour l’arabe ou l’hébreu, et le mélange des deux irréalisable. Le support bidirectionnel a permis d’utiliser les deux sens d’écriture dans une même page, voire dans un même paragraphe.
En particulier, le standard Unicode fournit des bases pour un support BiDi complet, avec des règles détaillées définissant comment doivent être enchaînés les textes de droite à gauche et de gauche à droite pour leur codage et affichage. En codage Unicode, tous les caractères sont stockés dans l’ordre d’écriture, et le logiciel trouve dans quelle direction le texte doit être affiché.
Subtilités techniques en Unicode
Les niveaux
Les morceaux de textes sont numérotés en fonction de leur niveau d’imbrication. Le niveau 0 est celui de l’écriture du texte dans sa langue principale depuis le début du texte, par exemple en français écrit de gauche à droite, le niveau 1 est du simple texte quand son écriture doit changer de direction (par exemple passer du français à l'arabe), possiblement embarqué à l’intérieur de texte français de niveau 0. Le niveau 2 est quand le texte embarqué à l’intérieur de texte arabe de niveau 1 s'écrit à nouveau dans la direction initiale, et ainsi de suite.
Sauf exceptions, le texte et les nombres français seront toujours d’un niveau pair ; les textes arabes (à l’exception des nombres) seront d’un niveau impair.
Par exemple, en notant par des lettres latines majuscules le texte de droite à gauche (ÉCRIT EN ARABE) et par des minuscules le texte de gauche à droite (comme du français ou du catalan écriture latine), sans tenir compte de la casse du texte réel :
Les caractères neutres (espaces) entre les caractères écrits dans la même direction (dans « un texte » ou dans « ÉCRIT EN ARABE » ou dans « et en français ») prennent par défaut le niveau des caractères les entourant. Quand des caractères neutres figurent entre des caractères de direction différente, ils adoptent la direction des caractères de niveau inférieur.
Caractères en miroir
Certains caractères apparaissent dans leur forme miroir lorsqu’ils sont écrits de droite à gauche.
Par exemple, la parenthèse gauche U+0028 qui est interprétée par le standard Unicode comme une parenthèse ouvrante apparaît comme « ( » quand elle est résolue en tant que paire, et comme son glyphe miroir « ) », lorsqu’elle est considérée comme impaire.
Contrôle de la direction d'écriture
Des marques directionnelles peuvent être ajoutées autour des caractères neutres, afin d’en changer leur effet : par exemple pour forcer un caractère à prendre une direction donnée, ou pour marquer explicitement le début et la fin d'une séquence encapsulée qui doit conserver sa direction interne propre, indépendamment de la direction du texte placé avant ou après : de tels textes encapsulés sont appelés des « isolats bidirectionnels »), le texte écrit après n'est pas altéré par le texte encapsulé (notamment les caractères pouvant être écrits en miroir, ou les ponctuations séparatrices d'éléments dans une liste dont les éléments inclus peuvent être dans des écritures différentes et ne doivent pas être réordonnés en plusieurs parties).
Alors que le sens d’écriture est le plus souvent détecté automatiquement, des marques de contrôle sont prévues afin de pouvoir changer le sens d’écriture.
Le marqueur de gauche à droite (abrégé LRM en anglais) a le code hexadécimal U+200E pour indiquer la direction des caractères suivants de direction neutre (il n'a aucun effet si le caractère suivant a une autre direction bien définie ; il a le même effet que l’attribut dir="ltr" d’un élément HTML quelconque, c’est un simple indicateur suggérant la direction par défaut à adopter pour la suite.
Le marqueur de droite à gauche (abrégé RLM en anglais) a le code hexadécimal U+200F pour indiquer la direction des caractères suivants de direction neutre (il n'a aucun effet si le caractère suivant a une autre direction bien définie ; il a le même effet que l’attribut dir="rtl" d’un élément HTML quelconque, c’est un simple indicateur suggérant la direction par défaut à adopter pour la suite.
Les marqueurs de forçage de gauche à droite (abrégé LRO en anglais) U+202D et de forçage de droite à gauche (abrégé RLO en anglais) U+202E ont le même effet, mais forcent la direction de tous les caractères qui suivent (à moins que ce texte soit interrompu par un contrôle directionnel).
Les marqueurs d’enchâssement de gauche à droite (abrégé LRE en anglais) U+202A et d’enchâssement de droite à gauche (abrégé RLE en anglais) U+202B ont le même effet, mais incrémentent le niveau vers le niveau suivant ayant la parité souhaitée et le marqueur de dépilement de forçage U+202C permet de rétablir le niveau initial avant l'enchâssement (cependant la direction de la fin du texte enchâssé avant le dépilement s'applique encore après, pour les caractères ayant une direction neutre comme s'ils faisaient partie intégrante du texte enchâssé).
Les marqueurs d’isolat de gauche à droite (abrégé LRI en anglais) U+2066 et d’isolat de droite à gauche (abrégé RLI en anglais) U+2067 ont le même effet, mais incrémentent le niveau vers le niveau suivant ayant la parité souhaitée et le marqueur de dépilement d'isolat U+2069 permet de rétablir le niveau initial avant l'isolat (mais cette fois la direction de la fin du texte isolé ne s'applique plus pour les caractères ayant une direction neutre). Le marqueur d’isolat à direction indéterminée (abrégé FSI en anglais) U+2068 a le même effet que les deux premiers marqueurs d'isolat, mais cependant ne fournit aucune direction par défaut pour le texte inclus au début de l'isolat, dont la direction sera déterminée automatiquement par le premier caractère inclus ayant une direction bien définie.
Généralement, le forçage ou l'enchâssement de direction n'est pas recommandé et on lui préfère le plus souvent les isolats directionnels, notamment dans les listes d'éléments dont les écritures sont variables (ou encore pour encapsuler un texte écrit dans une langue quelconque), mais qui doivent préserver un même ordre logique pour la liste complète et pour éviter des coupures indésirables (par exemple dans des noms propres de personnes, des toponymes, des marques commerciales ou des noms d'œuvre).
Le même effet peut aussi être induit dans des textes en balisage enrichi, par exemple en HTML au moyen d'éléments comme <bdi>... </bdi> (pour encapsuler un isolat bidirectionnel, pris en charge depuis HTML5) ou bien <bdo>... </bdo> (pour marquer un forçage de direction au début du texte encapsulé, mais la direction induite pour le texte situé après est induite de la direction du dernier caractère visible dans le texte encapsulé; l'élément de forçage directionnel est cependant à éviter dans la plupart des cas, sauf pour les navigateurs anciens ne prenant pas en charge les isolats directionnel). L'utilisation des marques de contrôle au sein du texte n'est pas recommandé en HTML, qui leur préfère les éléments de balisage.
Voir aussi
Liens externes
Articles connexes
Table des caractères Unicode/U2000
Wikipédia:Unicode/Test/hébreu
Wikipédia:Unicode/Test/arabe
Localisation (linguistique)
Unicode |
doc-24 | Hassen est un patronyme, prénom et toponyme pouvant désigner:
Patronyme
Abdallahi Hassen Ben Hmeida (né en 1954), homme politique et diplomate mauritanien
Abdulahi Hassen, homme politique éthiopien
Adel Ben Hassen (né en 1964), homme politique tunisien
Baba Hassen (mort en 1683), dey d'Alger
Abdelkader Ben Hassen (né en 1969), joueur tunisien de football
Jonas Hassen Khemiri (né en 1978), écrivain suédois
Marie-Reine Hassen (née en 1954), économiste et femme politique centrafricaine
Mehammed Hassen, homme politique éthiopien
Mohamed Hassen (né en 1953), historien et archéologue tunisien
Mohamed Lemine Ould El-Hassen (1981-2013), djihadiste mauritanien
Mouez Hassen (né en 1995), joueur franco-tunisien football
Noredin Hassen, homme politique éthiopien
Tahar Ben Hassen (né en 1941), boxeur tunisien
Prénom
Hassen Abid (mort en 2019), tortionnaire tunisien
Hassen Akacha (1914-?), joueur tunisien de football
Hassen Annabi (né en 1950), historien et homme politique tunisien
Hassen Bayou (né en 1949), joueur tunisien de football
Hassen Béjaoui (né en 1975), joueur tunisien de football
Hassen Belkhodja (1916-1981), homme politique et d'affaires tunisien
Hassen Ben Nasser (né en 1986), coureur cycliste tunisien
Hassen Bouabdellah (né en 1947), réalisateur et écrivain franco-algérien
Hassen Chabri (né en 1931), joueur algérien de football
Hassen Chalghoumi (né en 1972), responsable associatif et religieux franco-tunisien
Hassen Doss, chanteur d'opéra tunisien
Hassen El Karrèche (1882-1962), boxeur tunisien
Hassen El Kout, joueur tunisien de football
Hassen El Memmi (1927-2020), homme politique tunisien
Hassen Gabsi (né en 1974), joueur tunisien de football
Hassen Ghoula (né en 1968), joueur algérien de football
Hassen Guellaty (1880-1966), homme politique et journaliste tunisien
Hassen Harbaoui (né en 1987), joueur tunisien de football
Hassen Khalsi (1931-2007), acteur tunisien
Hassen Meddad (né en 1967), acteur et humoriste français
Hassen Nouisseri (1898-1970), joueur tunisien de football
Hassen Ogbi (né en 1989), joueur algérien de football
Hassen Rahma (mort vers 1295), chimiste arabe de Syrie
Hassen Tahir (né en 1946), joueur algérien de football
Hassen Toumi (né en 1942), joueur tunisien de football
Hassen Zlassi (né en 1935), joueur tunisien de football
El-Hassen Ould Khalill Jouleibib (1981-2013), djihadiste mauritanien
Toponyme
Baba Hassen, commune dans la banlieue sud-ouest d'Alger
Beni Hassen, ville du Sahel tunisien
Parc Hassen Belkhodja, centre d'entrainement de football de Tunis
Voir aussi
Beni Hassen (délégation), délégation tunisienne du gouvernorat de Monastir
Homonymie de patronyme
Homonymie de prénom
Homonymie de toponyme |
doc-25 | Radio Charivari Würzburg (aussi Charivari.fm) est une radio allemande émettant sur Wurtzbourg et sa région.
Histoire
La station commence à émettre le . Sous un premier nom de "Mainradio", elle partage sa fréquence FM avec et Radio Gong Mainland (qui deviendra 106,9 Radio Gong). En 1988, Radio Charivari obtient sa propre fréquence et émet un programme musical sur 24 heures. Elle change de studio en 1993.
Dans ses premières années, la musique cible les adultes contemporains, en 1989 elle s'oriente vers la Volkstümliche Musik, le schlager et les "oldies" ("Mehr Melodie"). À la fin des années 1990, il reste le schlager et les oldies. En 2003, avec le slogan "La meilleure musique de tous les temps", Chaviri diffuse principalement des classiques de la musique rock et pop.
Programme
Radio Charivari diffuse sur la région de la Franconie un bulletin d'information régionale suivi des nouvelles du monde à chaque heure, et toutes les demi-heures le matin et en fin d'après-midi.
Par ailleurs, de dimanche à jeudi, de 21h à 22h, est diffusé un programme culturel de .
Fréquences
Wurtzbourg et la plus grande partie de la Basse-Franconie : 102.4 FM
Kitzingen : 88.5 FM
Gemünden am Main-Lohr am Main : 90.4 FM
Karlstadt : 88.6 FM
Marktheidenfeld : 99 FM
Ochsenfurt : 92.6 FM
Notes et références
Source
Voir aussi
Article connexe
Liste des stations de radio en Allemagne
Lien externe
Wurtzbourg
Station de radio locale en Allemagne
Station de radio en allemand
Station de radio d'informations
Station de radio diffusant du rock
Station de radio de musique pop
Station de radio fondée en 1987 |
doc-26 | Édouard Bargedé, né à Corbigny et mort à Nevers, est un prélat français, évêque de Nevers.
Biographie
Édouard Bargedé est issu d'une famille dévote. Il est le fils de Gaspard Bargedé, bailli de Corbigny et de Marguerite Goussot. Il commence ses études à Nevers et obtient son doctorat de théologie en 1680 sans doute à l'université de Bourges. Ordonné prêtre en septembre 1682, il obtient successivement la cure de Montreuillon et celle de Saint-Arigle de Nevers. L'évêque Édouard Vallot de Nevers le nomme vicaire général et official en 1694, puis grand-chantre et chanoine de la cathédrale en 1701. Avant de mourir, l'évêque Vallot obtient qu'il soit nommé par le roi son coadjuteur en août 1705. Il est pourvu en commende de l'abbaye de Beaulieu. Louis XIV le désigne à l'évêché de Nevers comme titulaire la même année. Il est confirmé le et consacré en mai suivant par l'évêque d'Aire
En 1709, il établit son séminaire diocésain dans les bâtiments de l'abbaye Saint-Sauveur de Nevers et en confie la direction aux jésuites. En 1710, il est abbé commendataire de Saint-Cyran en Braine en 1710. Il publie un mandement contre Pasquier Quesnel dès 1707 ce qui montre qu'il se range résolument dans le parti anti-janséniste. Il est signataire avec trente-neuf autres prélats qui, à l'Assemblée du clergé à Paris en janvier 1714, approuvèrent le vingt-trois du même mois la bulle Unigenitus, sous la présidence du cardinal de Rohan. Ses positions entrainent un conflit avec les chanoines du chapitre de sa cathédrale qui signent en 1717 l'appel à la réunion d'un concile. Il meurt deux ans plus tard en pleine discorde avec son clergé .
Armoiries et sceau
L'évêque Bargedé est le premier évêque de Nevers à avoir adopté pour ses armoiries, le type encore usité à la fin du de l'écu posé sur un cartouche est surmonté d'une couronne de comte entre la mitre et la crosse, au-dessus, se trouve le chapeau à glands. Il se disait comte de Prémery et il fut le seul à revendiquer ce titre qu'il mentionne sur son sceau. Celui-ci est identique aux armoiries avec mention du titre de comte de Prémery.
Notes et références
Annexes
Bibliographie
Honoré Jean P. Fisquet, La France pontificale, Métropole de Sens, Paris, 1864.
Jules Charrier, « Le jansénisme dans l'ancien diocèse de Nevers », Revue de l'histoire de l'Église de France, t.5. , 1914, .
Évêque de Nevers
Évêque catholique français du XVIIIe siècle
Personnalité liée au Morvan
Naissance en Nivernais
Décès en juillet 1719
Décès à Nevers
Naissance en mars 1651
Décès à 68 ans |
doc-27 | Bevere est une section de la ville belge d'Audenarde située en Région flamande dans la province de Flandre-Orientale. C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1965.
Démographie
Évolution démographique
Sources : INS, Rem. : 1831 jusqu'en 1961 = recensements.
Références
Commune avant fusion dans l'arrondissement d'Audenarde
Audenarde |
doc-28 | Le sport-boules (encore appelé boule lyonnaise, jeu de boules, jeu national, la lyonnaise, jeu lyonnais ou la longue par confusion avec le jeu provençal de la pétanque), ainsi renommé en 1981, d'origine lyonnaise, est un sport d'équipe en doublette ou quadrette, qui consiste à placer le maximum de boules le plus près possible d'une petite sphère de bois servant de but. Le joueur est tireur ou pointeur. La Fédération française du sport-boules comptait en 2009.
Il est surtout pratiqué dans les régions de Lyon, Dauphiné, Savoie, Auvergne, Pyrénées, et Île-de-France.
Cette pratique est répertoriée par l'Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France depuis 2012.
Historique
Sous les noms de « jeu de boules » ou « jeu national » cette discipline voit le jour au dans la région de Lyon, d’où son surnom de « boule lyonnaise ». C’est en 1850 que ce jeu est élevé au rang de sport, avec la création de la première société officielle : « le Clos Jouve ». Le premier concours dûment réglementé a lieu à Lyon les 3, 4 et sur où évolueront . Puis, en 1900, les joueurs commencent à se regrouper en secteurs puis en fédérations régionales. En 1922, les fédérations régionales du Rhône, du Dauphiné, de l'Ain, des deux Savoie, des Alpes-Maritimes et de la Loire se regroupent sous l'appellation « Union nationale des fédérations boulistes ». En 1933, sur décision de l'assemblée générale, l'UNFB devient la Fédération nationale des boules (FNB). En 1942, la FNB devient Fédération française de boules (FFB). Elle met en place une nouvelle structure avec de bas en haut : associations sportives, les comités départementaux, les comités boulistes régionaux et le comité directeur de la FFB. En 1946, création de la Fédération internationale de boules. En 1957, la FFB est admise au Comité olympique français. Les boules y sont reconnues comme sport de démonstration. En 1972, la FFB fête son cinquantenaire, elle compte et dont . En 1980, la FFB est affiliée au ministère de la Jeunesse et des Sports et deviendra en 1981 la Fédération Française du sport-boules. En 1984, premier championnat de France des clubs sportifs.
Depuis 1997, le sport-boules est au programme des jeux méditerranéens et des jeux mondiaux. On note beaucoup de grands sportifs, parmi lesquels les noms de Jars, champion du monde, ou de Vedrine, entraîneur national, qui animent les championnats divers, entre autres.
Le terrain
La partie se déroule, sur un terrain délimité. Celui-ci doit mesurer de long et de de large. Il est divisé en trois zones principales : au milieu, une aire libre de de long et à chaque extrémité deux autres espaces mesurant chacun de long. Ces deux zones (l'une de jeu, l'autre où le joueur peut lancer sa boule) sont compartimentées de façon identique : à l'intérieur du cadre, une ligne située à du bord délimite une partie neutre dans laquelle les boules et le but sont considérés comme perdus.
Une deuxième ligne, située à de la première, est appelée raie de but ; elle indique la distance maximale à laquelle le but peut être lancé.
La troisième ligne, ou raie de pied, tracée à de la précédente (à du bord du cadre) limite la zone dans laquelle le joueur peut évoluer pour lancer sa boule.
Lorsque le but est jeté, celui-ci doit s'arrêter entre la raie de but et la raie de pied, c'est-à-dire qu'il se trouve toujours à une distance minimale de du joueur.
Les boules et le but
Les joueurs choisissent leurs boules en fonction de la taille de leur main, de leur poste et de leur technique. Ce choix doit cependant s'opérer dans certaines limites : le diamètre de la boule varie de (mais les boules de plus sont très rares), et son poids doit être compris entre . Elles sont donc sensiblement plus lourdes que celles de la pétanque. La distance étant également plus grande, l'effort impulsé doit être plus important, ce qui explique la course nécessaire avant le lancer, permettant de gagner de la vitesse. Pour les catégories féminine () et d'âges inférieures à , il est autorisé des boules plus petites et plus légères. Les boules sont constituées de bronze (avec ou sans remplissage). Ces boules doivent être bien équilibrées, et le plombage, qui consiste à ajouter une petite charge sur l'une des faces de la sphère, est interdit.
Les boules sont creuses, mais certaines, dites comportent un rembourrage, une ou plusieurs masses internes noyées dans un matériel élastique. Cette conception permet d'amortir très sensiblement les rebonds par transfert d'énergie vers la masse interne.
Le but lui-même est toujours en bois (en principe du buis) d'un diamètre compris entre ; il ne doit être ni ferré ni gravé.
Les équipes
On peut jouer aux boules en simple un contre un, et chaque joueur dispose alors de quatre boules. Deux équipes peuvent également s'affronter. Lorsqu'elles ont chacune deux joueurs, on les appelle des doubles et chaque équipier possède . Des équipes à trois joueurs sont des triples et à quatre joueurs, ce sont des quadrettes. Dans ces cas, chaque équipier possède deux boules. On peut aussi jouer en triple avec trois boules au tireur (dans ce cas, il est le seul à pouvoir tirer une boule) et deux aux pointeurs. C'est ce que l'on appelle le système Charton du nom de son créateur.
Le principe du jeu
Le principe du jeu est très simple. Il s'agit pour chaque équipe d'envoyer un maximum de boules plus près du but que ne le sont celles de l'équipe adverse. Chaque boule ainsi placée vaut et la partie se joue en .
Au début de la partie, l'équipe désignée jouer la première lance une boule le plus près possible du but : c'est ce qu'on appelle pointer. Un joueur de l'autre équipe tente alors de ravir le point en envoyant une de ses boules plus près encore du but en évitant de déplacer une boule ou le but de plus de car dans ce cas la boule jouée est perdue et l'adversaire a le choix de remettre en place l'objet déplacé ou de le laisser à son nouvel emplacement selon son avantage. La même équipe continue ainsi à lancer ses boules jusqu'à ce qu'elle ait fait mieux que la première. Si elle y parvient avant épuisement de ses boules, l'autre équipe essaye de lui reprendre le point, soit en pointant à nouveau, soit en tirant pour chasser une ou plusieurs des boules de l'adversaire. Lorsque toutes les boules ont été ainsi pointées ou tirées, les équipes comptent le nombre de points, qui correspond au nombre de boules qu'une équipe a réussi à placer plus près du but que la boule adverse la plus proche.
Une réglementation particulière au sport-boules concerne le tir. Le tireur désigne l'objet (boule ou but) qu'il annonce. Il peut alors s'attacher à cet objet dans son tir ou à une boule autre mais située à l'intérieur d'un cercle de centre l'objet annoncé, y compris les boules de sa propre équipe. Ses adversaires tracent donc un arc de cercle de de rayon et de longueur variable en amont de l'objet annoncé. Ils tracent également une raie à et de longueur en amont de tous les objets sans distinction de camp situés dans le rayon de et en aval de l'objet annoncé.
Un tir est régulier lorsque :
la boule n'a pas été sifflée par l'arbitre (pour faute de pied, mauvais placement des partenaires…) ;
le point de chute n'est pas à plus de de l'objet annoncé ;
il n'est pas à plus de de l'objet frappé en premier et se trouvant dans le 50 de l'objet annoncé ;
l'objet frappé en premier n'est pas à plus de de l'objet annoncé.
Sinon la boule est annulée, ainsi que ses effets : comme l'emplacement des autres boules a été marqué, celles qui ont été illégalement déplacées sont remises à leur place, sauf si l'adversaire y trouve son avantage.
Les compétitions de sport boules (locales, régionales, nationales, internationales) sont soumises à une réglementation très stricte, un ou plusieurs arbitres étant désignés pour chaque compétition.
Épreuves sportives
Le sport-boules, à part les parties connues traditionnelles, est aussi un sport physique qui nécessite un entrainement spécifique. Les épreuves comme le tir progressif ou le tir rapide en double en sont les exemples représentatifs où les Français font partie des meilleures nations mondiales avec des coureurs comme Sébastien Grail et Fabien Amar, multiples champions du monde de ces disciplines.
L'objectif est de toucher un maximum de boules, placées de part et d'autre du terrain, pendant une durée de .
Ces épreuves nécessitent d'effectuer des courses en aller-retour (courses similaires au test de Léger) tout en réalisant sa technique de tir.
Le record mondial actuel de tir progressif est de sur effectué par Sébastien Grail, et égalé par Guillaume Abelfo.
Pour le tir en relais, il est de sur 61 tirs.
Palmarès des championnats de France Quadrettes
Les grands rendez-vous
Durant toutes les saisons ont lieu de grandes compétitions nationales (super 16) ou internationales (Tournois de Pentecôte de Lyon se déroulant sur plus de trois jours, plus grosse compétition de boules au monde avec plus de et plus de ). À la fin de l'année 2011, le meeting « GDP Vendôme » a été créé par Fabrice La Posta et Sébastien Grail, champions du monde en doublette en 2011, à Feltre, en Italie. C'est une compétition sur réunissant les équipes, constituées des joueurs les plus titrés du monde. Au , le Tournoi de Pentecôte à Lyon s'est déroulé souvent place Bellecour, alors entourée de palissades en bois. Toutefois les amplificateurs et sonorisations du tournoi mettaient en évidence les confrontations, avec un animateur, Jo Darlay's, qui habitait du reste dans le clos bouliste Albert Thomas. Très connu des fêtes lyonnaises, il avait aussi réalisé une chanson spéciale pour '"la longue" (Attention j'tire la boule) avec le pianiste Paul Rivier de Radio-Lyon sur une de ses musiques (Ya un serin dans l'buisson).
Super 16
Le Super 16 est une compétition bouliste regroupant les meilleures équipes de France. Les équipes quadrettes ou les équipes doublettes du championnat s'affrontent durant les différentes étapes du Super 16, qui ont lieu tout au long de la saison.
Les compétitions en double ou en quadrette se déroulent sur deux jours. Regrouper l'élite traditionnelle a pour but de développer et médiatiser le Sport-Boules auprès d'un plus large public avec l'ambition de susciter l'intérêt de la presse sportive et des télévisions.
Saison 2005/2006
Super 16 en doubles les 24 et à Mâcon
Super 16 en quadrettes les 1 et à Nice
Super 16 en quadrettes les 10 et à Belley
Super 16 en quadrettes les 18 et à Eybens
Super 16 en quadrettes les 1 et à Montauban
Super 16 en quadrettes les 29 et à Romans
Le sport-boules au niveau international
Chaque année un championnat du monde a lieu dans les catégories et tandis que le championnat du monde adulte a lieu une année sur deux, étant donné qu'un championnat d'Europe a lieu lors des années sans championnats mondiaux.
Les nations les mieux représentées lors de ces championnats sont l'Italie et la France en première ligne, accompagnées de nombreuses nations d'Europe centrale (Croatie, Slovénie, Serbie, BIH, Monténégro...)
L'émergence impressionnante de la Chine a bouleversé la hiérarchie féminine mondiale, puisqu'elle surclasse les championnats principalement de catégorie sportives depuis .
Depuis quelques éditions certaines nations émergent lors de ces championnats telles que l'Argentine et ou les pays du Maghreb même si ce sont la plupart du temps les nations phares du sport-boules qui récoltent le plus grand nombre de médailles.
Le sport-boules est désormais représenté dans les du monde, où de nombreuses délégations participent désormais aux compétitions internationales (Brésil, Australie, Chine, États-Unis...).
(Pour mémoire à Paris en 1900 dans le cadre de l'exposition universelle liée aux jeux olympiques, premiers et seconds furent des équipes françaises de quadrettes ( Mouranchon, commis ambulant des postes à Paris, Clapier, commis rédacteur à Paris, Gaud, restaurateur parisien, et Bouvier de Lyon; Carrier, Correiller, Billard et Jussel, de Levallois-Perret) ; en partie de berges, la quadrette Lugno, Chevallier, Couffon, et Guilloteau, de Saint-Mandé l'emporta sur l'équipe Schmitt du président de la société de Saint-Mandé, cette dernière fournissant ses terrains aux participants olympiens.)
Philatélie
En 1958, un timbre intitulé Jeu de boules rouge et brun-orange de 12 francs gravé par Raoul Serres est émis par la Poste. Il fait partie d'une série Jeux traditionnels et porte le numéro YT 1161.
Notes et références
Voir aussi
Articles connexes
La boule de fort : (jeu traditionnel de boule en Anjou).
La boule bretonne : (jeu traditionnel de boule en Bretagne).
Liens externes
Toute l'actualité du sport-boules
Fédération française du sport-boules
Championnat de France de tirs
LE SPORT-BOULES
Le Centre de Formation du Club Bouliste du Rocher à Monaco
Le site du Challenge International Denis Ravera
Site de vidéos en direct et en différé
Sport collectif
Sport de boule
Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France |
doc-29 | La Malédiction de Julia est un téléfilm français réalisé par Bruno Garcia en 2013. Il a concouru au Festival du Luchon qui s’est déroulé du 12 au dans la catégorie « Unitaires Mini-Série ».
Le film, diffusé le sur France 3, a réalisé une très belle audience en attirant près de , soit 13,8 % de part de marché.
La Malédiction de Julia offre à la chaîne publique sa meilleure audience « fiction unitaire » de la saison dans la case du mardi soir.
Synopsis
La vie de Julia Gramont, directrice d'une entreprise familiale dans la région de Lille, a viré au cauchemar. De nombreux sabotages semblent viser directement son entreprise de l'agrolimentaire. Sa fille est suspectée de meurtre. Peut-être que la réponse à ces multiples attaques est à chercher dans le sombre passé de Julia. Pour se sauver, elle doit affronter un passé douloureux et élucider un crime ancien dont elle est la principale suspecte alors qu'elle est innocente.
Fiche technique
Titre original : La Malédiction de Julia
Réalisation : Bruno Garcia
Scénario : Luc ChaumarJean-Marie Chavent et Yann Le Gal
Musique: Axelle Renoir Sathy Ngouane
Dialogues: Luc Chaumar Jean-Marie Chavent Yann Le Gal
Son : Daniel Banaszak
Production: AbrafilmsBarjac ProductionLaurence Bachman Emmanuelle Samoyault
Pays d’origine : France
Langue : Français
Durée :
Genre : Policier
Dates de diffusion :
: sur RTBF
: sur RTS Deux
: et sur France 3
Distribution
Corinne Touzet : Julia Gramont
Georges Corraface : François
Bruno Slagmulder : Étienne
Sophie de Fürst : Esther
Sarah-Laure Estragnat : Marie Duroy
Philippe Nahon : Julien Gramont
Jack Claudany : Robert
Notes et références
Liens externes
Téléfilm français des années 2010
Téléfilm diffusé en 2014
Téléfilm tourné en France
Téléfilm policier
Téléfilm de France Télévisions |
doc-30 | La rue de Locarno est une voie marseillaise située dans le de Marseille.
Situation et accès
Elle prolonge la rue Benoît-Malon à partir de la rue Goudard jusqu’à la rue du Docteur-Simone-Sedan.
Elle est située à la limite des quartiers du Camas et de la Conception et longe de petites résidences.
Origine du nom
La rue doit son nom à la commune de Locarno, en Suisse.
Historique
Elle est classée dans la voirie de Marseille le .
Elle prend sa dénomination actuelle par délibération du Conseil municipal du . Elle s'appelait auparavant « Traverse de l'Olivier ».
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
Au numéro 32 se trouve la clinique Phénicia.
Bibliographie
Références
Locarno |
doc-31 | Francesca Bortolozzi-Borella est une fleurettiste italienne née le à Padoue. Elle est mariée au fleurettiste Andrea Borella.
Carrière
La fleurettiste italienne participe à l'épreuve de fleuret par équipe lors des Jeux olympiques d'été de 1988 à Séoul et remporte la médaille d'argent olympique avec ses coéquipières Annapia Gandolfi, Lucia Traversa, Dorina Vaccaroni et Margherita Zalaffi. Aux Jeux olympiques d'été de 1992 à Barcelone, Francesca Bortolozzi-Borella décroche la médaille d'or par équipe avec Giovanna Trillini, Diana Bianchedi, Margherita Zalaffi et Dorina Vaccaroni, et se classe dix-neuvième de l'épreuve individuelle. Elle concourt aux Jeux olympiques d'été de 1996 à Atlanta et est à nouveau sacrée championne olympique dans l'épreuve de fleuret par équipe avec Valentina Vezzali et Giovanna Trillini.
Liens externes
Profil sur raisport.rai.it
Naissance à Padoue
Sportive italienne du XXe siècle
Fleurettiste italienne
Championne olympique d'escrime
Championne olympique italienne
Médaillée d'argent olympique italienne
Escrimeuse aux Jeux olympiques d'été de 1988
Escrimeuse aux Jeux olympiques d'été de 1992
Escrimeuse aux Jeux olympiques d'été de 1996
Naissance en mai 1968 |
doc-32 | Remaclus Fuchs ou Remacle Fusch, aussi connu sous le nom de Remacle de Limbourg, est un médecin allemand né à Limbourg vers 1510 et mort à Liège en 1587. Il exerça la médecine à Liège, après avoir voyagé en Allemagne, et s'occupa beaucoup, en même temps, d'histoire naturelle.
Œuvres
Morbi hispanici curandi methodus, (Paris, 1541, in-8°) ;
Illustrium medicorum qui superiore sæculo floruerunt vitæ (Paris, 1541, in-8°) ;
De herbarum notitia, natura atque earum viribus (Anvers, 1544, in-12).
Hommages
En Belgique, la rue Fusch qui longe le Jardin botanique de Liège commémore son nom.
Source
Grand Dictionnaire universel du
Liens externes
Médecin allemand du XVIe siècle
Date de naissance non renseignée (XVIe siècle)
Naissance à Limbourg (ville)
Décès en 1587
Décès à Liège |
doc-33 | On désigne sous le terme de pays ABC les puissances sud-américaines que sont l'Argentine, le Brésil et le Chili, ceux-ci étant considérés comme les trois pays les plus puissants, les plus influents et les plus riches d'Amérique du Sud. Le terme a surtout été utilisé dans la première moitié du , lorsque ces pays ont travaillé ensemble pour développer des intérêts communs et une approche coordonnée des problèmes de la région, avec relativement peu d'influence de la part des puissances extérieures.
Histoire
Au début du , l'Argentine, le Brésil et le Chili se sont engagés dans une course aux armements navals, en commençant par l'achat par le Brésil de trois dreadnoughts en réponse à la course aux armements navals argentino-chilienne récemment conclue.
La conférence de paix de Niagara Falls voit la première utilisation certaine du terme « ABC ». Le 20 mai 1914, les trois pays se sont rencontrés à Niagara Falls, au Canada, pour servir de médiateur entre les États-Unis et le Mexique après des tensions croissantes liées à l'affaire Tampico, à l'occupation américaine de Veracruz et au développement de problèmes qui ont conduit à la révolution mexicaine. Lors de la conférence, les États-Unis étaient représentés par Frederick William Lehmann, ancien solliciteur général des États-Unis, et Joseph Rucker Lamar, juge associé à la Cour suprême des États-Unis.
En 1942, les pays ABC, avec les États-Unis, ont négocié les termes de paix de la guerre équatorienne-péruvienne. Cela a conduit à la perte de tous les territoires contestés du bassin amazonien revendiqués par l’Équateur avant la guerre.
Voir également
Communauté andine
Relations Argentine-Brésil
Relations Argentine-Chili
Mercosur
Cône Sud
Course aux dreadnoughts en Armérique du Sud
Références
Liens externes
La résurrection des pays ABC, 2003
nations dites « ABC »
Mentionné dans : Storming Media, Chile Consultants, UMaryland, Carlisle
Hélène Veber : Pacte ABC (Alliance entre l'Argentine, le Brésil et le Chili), In : 1914-1918 En ligne. Encyclopédie internationale de la Première Guerre mondiale
Relations entre l'Argentine et le Chili
Relations entre l'Argentine et le Brésil
Guerre des Bananes
Révolution mexicaine
Politique étrangère du Mexique
Politique étrangère du Brésil
Politique étrangère de l'Argentine
Lexique politique
ABC |
doc-34 | Le drapeau de l’Union africaine (UA) est le dessin du continent africain sur un fond vert, entouré de 55 étoiles et plaqué sur un soleil stylisé. Le fond vert symbolise l'espoir de l'Afrique et les étoiles représentent les États membres du bloc.
Nouveau drapeau
Un concours avait été lancé en 2000 pour en trouver un nouveau, mais l’UA a finalement renoncé à ce projet. Relancé lors de l'UA en 2007, le projet a abouti en janvier 2010. Le nouveau drapeau de l'UA a été adopté lors de la ordinaire de l'Assemblée des chefs d'État et de gouvernement tenue à Addis-Abeba en Éthiopie. Lorsque le Soudan-du-Sud a rejoint l'union, le drapeau fut modifié pour porter le nombre d'étoiles à 54, le puis à 55 avec le retour du Maroc au sein de l'organisation, le .
Ancien drapeau
L'ancien drapeau de l'Union africaine se composait d’une large bande horizontale verte en haut, bordée d’une mince bande jaune. En dessous se trouve une large bande blanche portant l’emblème de l’organisation, bordée d’une mince bande jaune, elle-même bordée une large bande verte tout en bas.
Le vert symbolise l’espoir et l’aspiration à l’unité des pays africains, le jaune la richesse et l’avenir souriant du continent et le blanc la pureté du désir de l’Afrique d’avoir des amis dans le monde.
L’emblème central se compose d’une carte du continent africain jaune, sans aucune frontière marquée, afin de représenter l’unité, entourée d’un mince cercle vert, et d’un autre cercle jaune. Des feuilles de palmier sortent du cercle jaune pour symboliser la paix. En dessous, sept cercles enlacés rouges incarnent le sang versé pour la libération de l’Afrique et la solidarité africaine.
Ce drapeau était le même que celui de l’Organisation de l'unité africaine, dont est héritière l'UA, qui l’avait adopté en 1970, sept ans après sa fondation.
Références
Articles connexes
Couleurs panafricaines
Panafricanisme
Symbole de l'Union africaine
Union africaine
Union africaine
Étoile (symbole) |
doc-35 | Le Grupo Desportivo de Maputo (GDM) est un club omnisports mozambicain basé à Maputo.
Historique
1921 : fondation du club sous le nom de Grupo Desportivo de Lourenço Marques
1976 : le club est renommé Grupo Desportivo de Maputo
Palmarès
Football
Championnat du Mozambique (6)
Champion : 1977, 1978, 1983, 1988, 1995, 2006
Vice-champion : 1976, 1984, 1989, 2004, 2007, 2008, 2009
Coupe du Mozambique (2)
Vainqueur : 1981, 2006
Finaliste : 1989
Supercoupe du Mozambique (1)
Vainqueur : 2007
Basket-ball
Féminin
Coupe d'Afrique des clubs champions
Vainqueur : 2007 et 2008
Finaliste : 2010
Championnat du Mozambique
Vainqueur : 1968, 1969, 1973, 1989, 2008, 2009 et 2010
Finaliste : 1966, 1971 et 2004
Masculin
Championnat du Mozambique
Vainqueur : 1960, 1961, 1963, 1964, 1968, 1969, 1977, 1978, 1980, 1982, 1990, 2002, 2003 et 2015
Finaliste : 1966, 1971, 1979, 2010 et 2011
Références
Sport à Maputo
Maputo
Club sportif fondé en 1921 |
doc-36 | Stéphane Lemelin est un pianiste canadien né le à Mont-Joli (Québec).
Biographie
Stéphane Michel Lemelin naît le à Mont-Joli.
Il étudie auprès d'Yvonne Hubert à Montréal puis avec Karl Ulrich Schnabel à New York (1978-1979), Leon Fleisher au Peabody Conservatory de Baltimore (1979-1983) et Paul Badura-Skoda à l'Académie de musique et des arts du spectacle de Vienne. En 1990, il obtient son doctorat à l'Université Yale, sous la direction de Boris Berman et Claude Frank.
Stéphane Lemelin est lauréat de plusieurs prix, deuxième de la Chopin Youth Pianist Competition de Buffalo en 1976, premier du Concours de musique du Canada (Tremplin international) en 1977, deuxième prix de la Compétition nationale de la SCR en 1979, vainqueur de la Kingsport Symphony Competition au Tennessee en 1982, et lauréat du Concours international de piano de Cleveland en 1983.
Depuis lors, il s'est distingué comme récitaliste, chambriste et soliste, dans un répertoire large, recouvrant Ravel, Schubert, Schumann et Fauré, notamment, et marqué par un intérêt particulier pour les compositeurs français du début du , tels Gustave Samazeuilh et Guy Ropartz. Directeur de la collection « Musique française 1890-1939 : Découvertes » chez Atma Classique, il a enregistré au disque Samazeuilh, Ropartz, Gabriel Pierné, Georges Migot, Gabriel Dupont, Théodore Dubois, Rhené-Bâton, Manuel Rosenthal, Ernest Alder, Guillaume Lekeu et Louis Vierne.
Comme interprète, Stéphane Lemelin s'est produit en soliste avec l'Orchestre symphonique de Québec, l'Orchestre du Centre national des arts et l'Orchestre symphonique de Montréal sous la direction de Charles Dutoit, a travaillé avec les chefs d'orchestre James DePreist et Franz-Paul Decker, et joué au Wigmore Hall de Londres, à la Phillips Collection de Washington, au Ladies' Morning Musical Club de Montréal, à la Vancouver Recital Society ainsi que dans divers festivals internationaux de musique, Lanaudière, Parry Sound, Domaine Forget, Ottawa et Vancouver. Il est aussi directeur artistique du Prince Edward County Music Festival entre 2004 et 2017.
Comme chambriste, il est membre du Trio Hochelaga, entre 2003 et 2012, et se produit avec le ou les quatuors Muir, Vlach et Arthur-Leblanc.
Comme pédagogue, il enseigne à l'Université de l'Alberta de 1990 à 2001, avant de devenir professeur de musique à l'Université d'Ottawa à compter de 2001, puis directeur de l’École de musique de l'établissement entre 2007 et 2012. Depuis 2014, Stéphane Lemelin est professeur titulaire et directeur du Département d’interprétation de l’École de musique Schulich de l’Université McGill.
Discographie
La discographie de Stéphane Lemelin comprend :
Piano solo
Schumann, Schubert. Schumann : Waldszenen, op. 82 ; Fantasiestücke, op. 111 ; Schubert : Sonate en la majeur, D. 959, SRI 003 CD, 1991 ;
Fauré, 13 Nocturnes, CBC MVCD 1075 (CD), 1994 ;
Samazeuilh, Le Chant de la Mer, Suite en sol, Trois petites inventions, Naïades au soir, Esquisses, Évocation, Atma 2 2210, 1999 ;
Ropartz, Musiques au jardin, Jeunes filles, Scherzo, Nocturne , et , ATMA 2 2255, 2001 ;
Georges Migot, Le Zodiaque, Prélude, Salut et Danse, Deux pièces, ATMA 2 2381, 2006 ;
Gabriel Dupont, Les Heures dolentes, La Maison dans les dunes, ATMA Classique ACD2 2544, 2007/2011 ;
Manuel Rosenthal : L'intégrale pour piano, Atma, 2007/2013.
Musique de chambre
After Hours, avec James Campbell (clarinette), The Gene DiNovi Trio : Poulenc, Ellington, Schickele, Shearing, Gould, Ravel, Baker, Glick, Huang, DiNovi, Reinhardt, Tailleferre, 1993, Marquis ERAD 153 (production de la SCR), 1993 ;
, Mostly RAILROAD MUSIC, avec The Atlantic Brass Quintet, Eric Weissberg, Billy Keith, Julian Armour et Ross Edwards, Crystal CD 520, 1994 ;
Poulenc, Fauré, Saint-Saëns. Poulenc : Sonate pour violoncelle et piano ; Fauré : Pieces for cello and piano ; Saint-Saëns : Sonate pour violoncelle et piano, op. 123, ATMA ATM 2 9733, 1994 ;
L'histoire de Babar - La boîte à joujoux, Poulenc et Debussy, avec Kim Yaroshevkaya (récitante), ATMA ACD 2 2161, 1997 ;
American Cello Masterpieces, avec Tanya Prochazka (violoncelle) : Aaron Copland, Ernest Bloch, Lukas Foss, George Gershwin, Elliott Carter et Samuel Barber, ATMA ACD 2 1004, 1998 ;
Frühlingslieder; avec (soprano) : Fanny Mendelssohn, Brahms, Schubert, Felix Mendelssohn, Schumann, Liszt, Wolf, ATMA ACD 2 2165, 1998 ;
Debussy, Mélodies de jeunesse, avec Donna Brown (soprano), ATMA 2 2209, 2000 ;
Gabriel Fauré et Gabriel Pierné, Trios, au sein du Trio Hochelaga, ATMA 2 2355, 2004 ;
Théodore Dubois, Trios, Trio Hochelaga, ATMA 2 2362, 2006.
Musique concertante
Saint-Saëns, Fauré, Roussel. Saint-Saëns : Concerto pour piano no 2 en sol mineur, op. 22. Fauré : Ballade pour piano et orchestre, op. 19 ; Fantaisie en sol majeur pour piano et orchestre, op. 111. Roussel : Concerto pour piano en sol majeur, op. 36, CBC SMCD 5178, 1995.
Références
Liens externes
Pianiste canadien
Pianiste classique
Naissance en avril 1960
Naissance à Mont-Joli |
doc-37 | est une chanson écrite par Dave Bartholomew, et interprétée pour la première fois par Smiley Lewis in 1954.
Elle a été popularisée par un enregistrement de 1956 par Fats Domino, chez Imperial Records (numéro 5417), sur lequel elle est créditée à Bartholomew et Domino. La plupart des versions ultérieures indiqueront Bartholomew et Domino comme co-auteurs. Le solo au saxophone baryton est assuré par Herbert Hardesty.
La version par Fats Domino figure dans le film La Blonde et moi, de 1956. Elle devient l'une des premières chansons de rhythm and blues à apparaître dans les classements du Billboard magazine, atteignant le numéro 5 du classement pop, et la première position des R&B Best Sellers. Elle est incluse dans l'album de 1957 album et celui de 1959 .
Autres versions
Buddy Holly a été l'un des premiers à interpréter cette chanson, ainsi que Cat Stevens. Tim Curry l'a enregistrée pour devenir le thème du téléfilm britannique de 1986 . Gene Summers l'a incluse dans son album de 1981 pour l'éditeur français Big Beat. Bob Seger l'a interprétée pour le film de 1989 , ainsi que Dr. John pour son album de 1992 . Huey Lewis and the News l'ont interprétée pour leur album de 1994 . Keith Almgren a écrit des paroles en suédois, la chanson étant renommée ; elle est interprétée en 1994 par Sten & Stanley.
Références
Voir aussi
Paroles sur MetroLyrics
Chanson de 1954
Chanson interprétée par Fats Domino
Chanson interprétée par Cat Stevens
Single numéro un dans le Hot R&B/Hip-Hop Songs
Single publié par Imperial Records
Bleu dans l'art et la culture |
doc-38 | Joint Base Elmendorf - Richardson est une installation militaire américaine située à Anchorage, la plus grande ville d'Alaska. Il s'agit d'une fusion de la base aérienne d'Elmendorf de l'armée de l'air des États-Unis et de de l'armée des États-Unis, qui ont fusionné en 2010.
Présentation
Les installations adjacentes sont officiellement regroupées par la Base Closure and Realignment Commission. Sa mission est de soutenir et de défendre les intérêts des États-Unis dans la région Asie-Pacifique et dans le monde en fournissant des unités prêtes pour la projection de la puissance aérienne mondiale, et une base capable de répondre aux exigences du PACOM.
C'est le siège du (ALCOM), de la région du NORAD de l'Alaska (ANR), de la (JTF-AK), de la Eleventh Air Force (11 AF), de la , de la 3rd Wing, la et d'autres unités.
Unités
Joint Base Elmendorf - Richardson (JBER), a la distinction d'être l'une des 12 bases conjointes créées lors du BRAC 2005. La 673d ABW se compose de quatre groupes qui exploitent et maintiennent la base conjointe pour la souveraineté aérienne, la formation, l'organisation des forces et les opérations dans le monde entier.
L'installation héberge le quartier général de l'United States Alaskan Command, de la 11th Air Force, de l'U.S. Army Alaska, et la région de commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord de l'Alaska.
Les principales unités attribuées sont:
Crée le 30 juillet 2010 en tant qu'unité hôte combinant les fonctions de gestion de l'installation de la 3rd Wing d'Elmendorf AFB et de la garnison de l'armée américaine de Fort Richardson. La 673d ABW comprend plus de 5 500 militaires et civils, soutenant les soldats américains et leurs familles. L'unité prend en charge et met en service trois wings de l'Air Force, deux brigades de l'armée et 55 autres unités. En outre, l'unité fournit des soins médicaux à plus de 35 000 membres des services, personnes à charge, patients rattachés et retraités à travers l'Alaska. La 673d ABW maintient une infrastructure de 11,4 milliards de dollars couvrant 33994 hectares.
Responsable de maximiser l'état de préparation de la force pour 21000 membres en service en Alaska et d'accélérer les déploiements de forces dans le monde entier à partir et à travers l'Alaska selon les instructions du commandant NORTHCOM.
(US)
L'armée américaine de l'Alaska exécute la formation continue et assure la préparation de la force de l'armée en Alaska. Elle soutient le programme de coopération en matière de sécurité du commandement américain du Pacifique. Sur commande, elle exécute les fonctions de commandement de la composante terrestre de la Force interarmées en l'appui de la défense et de la sécurité du territoire en Alaska.
Elle mène une action décisive pour intervenir en tant que Force d'intervention d'urgence de l'armée alignée avec PACOM afin de promouvoir la sécurité et le développement pacifique dans la région Asie-Pacifique.
3d Wing (USAF)
Soutenir et défendre les intérêts américains dans la région Asie-Pacifique et dans le monde en fournissant des unités prêtes pour la projection de la puissance aérienne, et une base capable de répondre aux exigences du PACOM.
Alaskan Norad Region
La région du NORAD de l'Alaska (ANR) assure le contrôle aérospatial dans sa zone d'opérations et contribue à la mission d'alerte aérospatiale du NORAD.
Eleventh Air Force
Fournir des soldats et une infrastructure prêts pour la défense du pays, la projection de force et le commandement et le contrôle aérospatiaux
Grands commandements
Pacific Air Forces, (depuis 2010)
Unités de base
(depuis juillet 2010)
Unités majeurs affectées
(depuis 2010)
3rd Wing (depuis 2010)
(depuis 2011)
Accidents d'aviation notables
Le 22 septembre 1995, un avion d'alerte avancée Boeing E-3 Sentry de l'US Air Force s'écrase au départ de la base aérienne d'Elmendorf avec la perte des 24 personnels à bord. L'avion, numéro de série 77-0354 et utilisant l'indicatif d'appel Yukla 27, heurte des oiseaux pendant le décollage et perd la puissance de deux des quatre moteurs de l'avion, puis s'écrase dans une zone boisée à moins de de l'extrémité de la piste.
Le 28 juillet 2010, un avion cargo Boeing C-17 Globemaster III s'entraînant pour un prochain meeting aérien s' dans une zone boisée de la base, tuant les quatre membres d'équipage; trois de la Garde nationale aérienne de l'Alaska et un de l'USAF. On signale que la cause de l'accident est une erreur du pilote. Le pilote effectue un virage à droite agressif et ignore l'avertissement de décrochage de l'avion, poursuivant le virage jusqu'à ce que l'avion décroche en raison d'un manque de vitesse. La faible altitude du virage empêche l'équipage de se remettre du décrochage à temps pour éviter de heurter le sol. Le C-17 s'écrase à seulement du site de l'accident de l'E-3 AWACS de 1995.
Le 16 novembre 2010, un Lockheed Martin F-22 Raptor décolle pour une mission d'entraînement. Vers 19 h, la base signale que l'aéronef est en retard et manquant. Les équipes de sauvetage de l'armée de l'air concentrent leurs recherches sur l'avion et le pilote disparus dans le parc national de Denali. Le site de l'écrasement du F-22 est retrouvé à environ au nord d'Anchorage, près de la ville de Cantwell, en Alaska. Le pilote, qui fait partie du de l'US Air Force, est tué dans l'accident.
Notes et références
Voir aussi
United States Pacific Air Forces
Base militaire en Alaska
Base de l'United States Air Force
Camp militaire de l'United States Army
Installation de la United States Air National Guard |
doc-39 | Marc Duncan, né en 1581 à Maxpoffle (Roxburghshire) et mort à Saumur en 1640, est un philosophe et médecin écossais.
Biographie
Gentilhomme fort estimé du roi Jacques I, Duncan vint s’établir, sur l’appel de l’académie protestante de cette ville, à Saumur, en 1606. Les cours de grec, de métaphysique et de philosophie lui furent confiés. En 1616, il accepta les fonctions de Principal du collège, qu’il conserva vingt-cinq ans, et qui comportaient l’obligation de faire chaque semaine deux leçons de philosophie, deux d’histoire et d’éloquence et de lire en outre, aux heures restées libres, la géométrie d’Euclide.
Sa sévérité ne le fit aimer ni des régents ni des écoliers. Le synode de Charenton de septembre 1623 ayant supprimé la charge de principal, il quitta ses fonctions le 22 mai suivant, ce dont l’académie lui témoigna ses regrets et elle lui maintint son titre tant qu’il vécut. Il partageait ses fonctions de professeur avec un autre médecin, Jean Benoît, mais d’aigres discordes régnèrent entre eux et se prolongèrent longtemps. Il fallut que l’intervention synode de Charenton de 1631 pour leur imposer une réconciliation publique.
Sa femme, Suzanne Gorrín, avec qui il s’était marié en janvier 1611 étant morte le , il prit une seconde épouse le et les écoliers saisirent l’occasion, le jour de ses noces, de faire « quelques insolences ». Ce fut une affaire. Le conseil académique ordonna que les plus coupables des « classiques », jusqu’au nombre de douze, seraient punis du fouet en leurs classes et que la faute serait remise aux autres pour incliner à la clémence plutôt qu’à la rigueur, et que ceux des « philosophes » qui y avaient participé seraient appelés au Conseil de l’académie pour y recevoir les remontrances condignes à leur faute. Le 26 décembre, châtiment fut fait des classiques coupables.
Quel que fut son mérite de professeur de grec, d’humanités et de mathématiques, Duncan n’abandonna pourtant jamais la pratique de la médecine et il était fort habile en tant que tel. Sa réputation était si grande que Jacques I l’appela auprès de lui en qualité de médecin ordinaire, mais sa femme n’ayant pu se résoudre à quitter les bords de la Loire pour ceux de la Tamise, Duncan renonça, par amour pour elle, à un emploi aussi honorable qu’avantageux et il passa le reste de ses jours à Saumur jusqu’à sa mort.
Duncan joue un grand rôle dans l'affaire des possessions de Loudun de 1632. Saumur se trouvant à 50 km de la ville de Loudun, il fut appelé, avec d'autres médecins, pour juger de la possession des sœurs ursulines. Il assista donc aux séances d'exorcisme et osa dire haut et fort ce que d'autres pensaient tout bas : ce n'était pas un cas de possession. Il met en lumière cette thèse dans son ouvrage, Discours de la possession des religieuses ursulines de Loudun, édité en 1634. Comme il s'opposait directement à Laubardemont et, de ce fait, au cardinal de Richelieu, il dut compter sur la protection de la maréchale de Brézé dont il était le médecin.
Marc Duncan laissa trois fils. L’ainé, aussi prénommé Marc, s’est rendu célèbre sous le nom de Cérisantes ou sieur de Cérisantes, par ses talents et sa vie aventureuse. Les deux autres, François et Jehan, sont peu connus.
Principaux ouvrages
Thesis ex logicis et ethicis selectæ, Salm., 1610, in-4°.
Discours de la possession des religieuses ursulines de Loudun, Paris, 1634, in-8°.
Logica, Saumur., 1643, in-8°.
Sources
E. Haag, La France protestante, t. , Paris, Librairie Sandoz et Fischbacher, 1886, 834-836.
J-F. Bodin, Recherches historiques sur la ville de Saumur, ses monumens et ceux de son arrondissement, Volume 2, Saumur, Degouy, 1814, 220-224.
Liens externes
Notes et références
Médecin écossais du XVIIe siècle
Théologien écossais
Philosophe écossais du XVIIe siècle
Théologien protestant du XVIIe siècle
Professeur à l'académie de Saumur
Naissance en 1581
Décès en 1640
Décès à Saumur |
doc-40 | Jotun est un jeu vidéo d'action-aventure développé et édité par Thunder Lotus Games, sorti en 2015 sur Windows, Mac, Linux, Wii U, PlayStation 4 et Xbox One. Le jeu sort également le 26 mai 2020 sur Google Stadia. Il s'agit d'un Souls-Like, c'est-à-dire un jeu inspiré des Souls, basé sur la mythologie nordique. Le joueur y incarne Thora, une nordique qui rejoint le monde des dieux et doit les abattre un à un. En avançant avec elle, il découvre les raisons de son arrivée et son histoire.
Système de jeu
Jotun utilise un style artistique dessiné à la main, image par image. En plus des batailles de boss, le jeu tourne autour de l'exploration et de la résolution de casse-tête, avec quelques ennemis à combattre. L'exploration implique généralement l'exploration de différentes étapes, avec des géants à combattre et divers énigmes à résoudre. Les puzzles utilisent souvent des balançoires à la hache pour interagir avec des objets (arbres, rochers et vignes, par exemple) et avec d’autres types de puzzles. À chaque étape, il y a une rune, un objet que le joueur doit atteindre pour continuer l'histoire, et un sanctuaire divin, où Thora peut déverrouiller et améliorer les pouvoirs divins. Il existe également des emplacements secrets contenant des pommes d'Ithunn, qui procurent un bonus permanent à la santé de Thora. Le combat dans le jeu est relativement rudimentaire, les actions principales étant un coup de hache, un hachage à la hache et une esquive. Le coup de hache est l'attaque lourde du jeu: sa réalisation prend beaucoup de temps, mais elle fait plus de dégâts que la hache. Le hachage à la hache est une attaque légère, qui peut être effectuée en combo à 2 coups ou en combo à 3 coups et inflige de petits dégâts. Enfin, l'esquive est un lancer que les joueurs peuvent utiliser pour éviter les attaques et (après le combo à deux coups) pour esquiver et se balancer pour une troisième frappe. Les joueurs peuvent également utiliser l'un des pouvoirs divins: Guérison de Frigg, Vitesse de Freya, Marteau de Thor's, Lance d'Odin, Leurre de Loki ou Bouclier de Heimdall. Les Pouvoirs divins commencent par deux accusations, mais seules quelques-unes peuvent être portées à trois, mais toutes peuvent être reconstituées à Mimir's Wells.
Le centre du jeu est connu sous le nom de Ginnungagap (le vide), à partir duquel les joueurs peuvent accéder à cinq zones. Chaque zone comprend deux étapes, à l’exception de Jera (qui n’a qu’une étape). Une fois que Thora a récupéré la rune des deux étapes, elle peut accéder au combat contre son boss, où elle combat l'un des cinq géants. Après avoir vaincu le patron de la région, Thora donnera des informations sur sa vie avant sa mort.
Développement
Jotun est premier jeu du studio Thunder Lotus Games. L'animation du jeu est basée sur une technique de dessin à la main réalisés par Alexandre Boyer. Il sort le sur Windows, Mac et Linux, puis le sur Wii U et enfin le sur PlayStation 4 et Xbox One.
Accueil
GameSpot : 8/10
IGN : 8/10
Notes et références
Article connexe
Sundered
Jeu vidéo sorti en 2015
Jeu Windows
Jeu macOS
Jeu Linux
Jeu Wii U
Jeu PlayStation 4
Jeu Stadia
Jeu Xbox One
Jeu d'action-aventure
Jeu vidéo développé au Canada
Jeu vidéo de fantasy
Jeu vidéo s'inspirant de la mythologie nordique
Projet Kickstarter
Jeu vidéo sur les Vikings
Jeu Unity
Portail:Haut Moyen Âge/Articles liés
Jeu vidéo se déroulant au haut Moyen Âge |
doc-41 | August Hermann Niemeyer (Halle, - Magdebourg, ) est un pédagogue et universitaire allemand.
Il est professeur de théologie en 1780, puis recteur de l'université de sa ville natale.
Œuvres
Timothée, imitation de l'Émile de Rousseau, mais au point de vue chrétien ;
La Pédagogique allemande et son histoire ;
Principes de l'éducation et de l'enseignement, considéré comme le plus important de ses ouvrages : il a été en partie traduit par Darivau, 1832.
Théologie populaire et pratique.
Bibliographie
Johann Gottfried Gruber, : August Hermann Niemeyer. (Halle 1831).
Jochen Lengemann: Biographisches Handbuch der Reichsstände des Königreichs Westphalen und der Ständeversammlung des Großherzogtums Frankfurt, Frankfurt am Main 1991, , S. 169–170
Liens externes
Universitaire allemand du XVIIIe siècle
Universitaire allemand du XIXe siècle
Naissance en septembre 1754
Naissance à Halle-sur-Saale
Naissance dans le duché de Magdebourg
Décès en juillet 1828
Décès à Magdebourg
Décès dans la province de Saxe
Décès à 73 ans |
doc-42 | Vincent Demarconnay, né le à Poitiers, est un footballeur français qui évolue au poste de gardien de but.
Depuis le , il est le plus capé de l'histoire du Paris FC en détrônant Lamri Laachi.
Biographie
C'est lorsqu'il accompagne son grand frère pour un tournoi de poussin qu'il découvre le poste de gardien, et il intègre rapidement le SO Châtellerault.
Mais en début de carrière, il connaît le chômage à 21 ans, une période où il a également perdu son père, et connaît de graves blessures (deux ruptures des ligaments croisés du genou gauche, une opération d'un ménisque). Il décide cependant de poursuivre sa carrière et retourne même jouer en amateur avec les Sables d'Olonnes, après avoir pourtant joué un match en professionnel avec le Mans FC, où il a été formé. Il se relance avec le SO Romorantin en 2007, en National.
En 2008, il signe avec l'équipe du Paris FC, avec qui il joue 7 saisons en National, avant de monter en Ligue 2. Au total, il a joué plus de 250 matchs en championnat.
Régulièrement nommé joueur du mois de son équipe ou du championnat, il est respecté par ses adversaires notamment grâce à sa gentillesse et son fair-play.
Il est élu meilleur gardien de la saison 2018-2019 de Ligue 2.
En 2020, il attaque à 37 ans une saison de suite au Paris FC, toujours en tant que titulaire. Il prolonge à nouveau en 2021 et 2022.
À l'issue de la fin de la saison 2022-2023, Vincent Demarconnay prend sa retraite sportive avec 372 apparitions au compteur du club de la capitale parisienne.
Statistiques
Distinctions
En , il remporte le trophée UNFP du joueur du mois de Ligue 2.
Lors des trophées UNFP du football 2019, il est désigné meilleur gardien de Ligue 2.
Notes et références
Liens externes
Gardien de but français de football
Gardien de but du Mans FC
Joueur du SO Romorantin
Gardien de but du Paris FC
Naissance en avril 1983
Naissance à Poitiers |
doc-43 | Sophie et Donald Mac Donald est le de la série Sophie de Jidéhem, paru en 1980. Il reprend la cinquante-et-unième histoire des aventures de Sophie, publiée pour la première fois dans le journal Spirou en 1979 ( à ).
Synopsis
Personnages
Historique
Annexes
Lien externe
Album de Sophie
Album de bande dessinée sorti en 1980
Album Dupuis
Histoire de Sophie
Histoire publiée dans Spirou
Histoire publiée pour la première fois en 1979 |
doc-44 | Tamás Vásáry pianiste et chef d'orchestre suisse, né en 1933 à Debrecen
André Vásáry chanteur soprano hongrois né en 1982 à Debrecen
István Vásáry Ministre hongrois né et décédé à Debrecen (1887-1955) |
doc-45 | L'élection du président du Parti travailliste écossais en 2014 a eu lieu du au pour élire le nouveau président et président adjoint du Parti travailliste écossais à la suite de la démission de Johann Lamont et d'Anas Sarwar. Jim Murphy est élu président du parti et Kezia Dugdale, vice-présidente.
Présidence
Candidats
Résultats
Vice-Présidence
Candidats
Résultats
Références
Articles connexes
Parti travailliste écossais
Politique en novembre 2014
Politique en décembre 2014
2014 en Écosse
Élection en Écosse |
doc-46 | Mes deux maris est un téléfilm français réalisé par Henri Helman et diffusé en 2005.
Il s'agit d'un remake du film La Cuisine au beurre de 1963 avec Bourvil et Fernandel.
Synopsis.
Après plusieurs années d'absence, un homme retourne chez lui sans savoir qu'il est considéré comme mort et que sa femme s'est remariée. Son restaurant La Belle Rascasse est devenu Le Kadran.
Fiche technique
Scénario : Jean-Claude Islert, Dan Mitrecey
Durée : 100 min
Pays :
Distribution
Natacha Amal : Christine
Patrick Bosso : Fabien
Bruno Slagmulder : Daniel
Pascale Roberts : Josiane
Guillaume Romain : Denis
Christine Citti : Muriel
Jean-Luc Borras : Jeff
Xavier Aubert : Baptiste
Gérard Dubouche : Antoine
Emmanuelle Bataille : Madame Bertoux
Stéphane Lévêque : Sylvain
Claude Sese : Le maire
Yann Roussier : Le conducteur accident
Candide Sanchez : Le passant
Georges Neri : Le chauffeur de taxi
Pierre Béziers : Le docteur
Clarisse Tennessy : La réceptionniste hôpital
Valentine Teisseire : L'infirmière
Edmonde Franchi : L'employée de mairie
Dominick Breuil : Le patron brasserie
Audience
Le téléfilm rassemble 9,7 millions de téléspectateurs en France. Il est la fiction du mercredi sur TF1 la plus regardée de l'année 2005.
Références
Liens externes
Téléfilm français des années 2000
Téléfilm belge des années 2000
Téléfilm diffusé en 2005
Téléfilm de comédie
Remake français de film français
Remake français de film italien |
doc-47 | Aphrophora pectoralis est une espèce d'insectes hémiptères de la famille des Aphrophoridae.
Synonymes
Omalophora pectoralis Matsumura, 1903
Aphrophora costalis Matsumura, 1903
Notes et références
Liens externes
Espèce d'Hémiptères (nom scientifique)
Aphrophoridae
Insecte décrit en 1903 |
doc-48 | Élie Chamard, né à Cholet (Maine-et-Loire) le et mort dans cette même ville le , est un homme de lettres, historien et industriel français.
Biographie
Élie Jean-Baptiste Louis Chamard, né le à Cholet, est le fils de Constant Louis Chamard et de Johanna Loiret.
Il se marie avec Madeleine Marguerite Marie Furgé (1895-1985) le à Châtellerault (Vienne).
Industriel et homme de lettres, il participe durant presque cinquante ans aux activités de la Société des sciences, lettres et arts de Cholet et de sa région dont il est aussi le secrétaire. On le surnomme également l'historien de Cholet car il a écrit de nombreux articles et huit ouvrages. Il a collaboré à plusieurs publications : la Revue des Deux Mondes, Miroir de l'histoire, la revue Ecclesia , la Revue du Bas-Poitou et celle du Souvenir vendéen.
Élie Chamard est incorporé, soldat de classe, au régiment d’infanterie à compter du et nommé musicien-brancardier le . Il est présent au corps lors de la mobilisation. Le , il est dirigé vers le front. Pendant la Première Guerre mondiale, il participe, entre autres comme brancardier, à la bataille de Mondement et ses premiers écrits sur cette période apparaissent alors d'une portée historique nationale.
Une caricature en pied dessinée par Maurice Siaudeau est publiée dans l'Intérêt public de l'arrondissement de Cholet entre 1935 et 1940.
Il meurt le à Cholet.
Publications
Parmi une quarantaine d'articles qu'il a écrit pour le bulletin de la Société des sciences, lettres et arts de Cholet (SLA), on peut citer :
Une page glorieuse du 77ème d'infanterie : La bataille de Mondement (1924, pages 86 à 103) ;
Le à Zonnebeke - octobre- (1926, pages 107 à 148) ;
La prise du bois de Sénécat par le d'infanterie (1927-28, pages 148 à 171) ;
Deux pages de guerre (1929-30, pages 92 à 98) ;
Un poète choletais : Eugène Hublet (1931, pages 81 à 105) ;
Le Cardinal Luçon - curé de Notre-Dame de Cholet - à (1932 pages 71 à 110) ;
Héroïque combat défensif du d'infanterie à Belloy et à Lataule - (1933, pages 261 à 298) ;
Le combat de Mondement (1934, pages 203 à 255) ;
Bataille de Verdun, le 77ème à la cote 304 - - (1936, pages 173 à 208) :
En marge du chemin des Dames : La prise des bastions de Chevreux par le 77ème - (1937, pages 217 à 246) ;
En 1789 - Taxe des députés de l'assemblée préliminaire du Tiers-Etat (1938, pages 207 à 217) ;
Une œuvre de charité choletaise : Nazareth (1939, pages 130 à 154) ;
Quelques notes sur le comité des écoles de Cholet et sur l'école Notre-Dame, dite du Bretonnais (1940, pages 169 à 185) ;
Il y a cent ans (1941, pages 81 à 89) ;
Un centenaire : quelques notes sur l'école Saint-Joseph dite "La Maison Jaune" 1843-1943 (1943-44, pages 87 à 110) ;
Un industriel choletais sous la révolution : Louis Toussaint Richard, d'après sa correspondance 1824-1834 (1948-49, pages 59 à 77) ;
Le général Mangin, ancien du d'infanterie (1950, pages 109 à 126) ;
Cholet et ses lanternes à huile 1830-1860 (1951, pages 73 à 93) ;
Souvenirs de Cholet par Monsieur Charles Arnault (1952, page 177) ;
Les orignines du 77ème régiment d'infanterie (1953, pages 63 à 75) ;
Les casernes à Cholet 1780-1923 (1954, pages 97 à 110) ;
Frédéric Lemot - Baron de Clisson, sculpteur, selon sa correspondance inédite avec son régisseur 1805-1827 (1955-56, pages 87 à 124) ;
Les premiers conseils municipaux et maires de Cholet 1790-1830 - Construction de l'Hôtel de Ville 1824-1828 (1957, pages 63 à 81) ;
L'église Notre-Dame de Cholet (1958-59, pages 27 à 71) ;
Roland Garros et l'Aéro-Club Choletais (1960, pages 23 à 32) ;
Les origines de la Chambre de Commerce de Cholet (1962, pages 23 à 40) ;
Jean Dupas et le "Remembertisme" (1962, page 119) ;
Montfaucon-sur-Moine, Centre du Monde - La jarrie et Alexandre Dumas Père (1963, pages 69 à 79) ;
Le révérendissime Père Dom Gabriel Sortais (1964, pages 21 à 37) ;
Joseph Milliasseau, capitaine au long cours (1965, pages 27 à 37) ;
Les drapeaux du d'infanterie (1966, pages 67 à 70) ;
Le chemin de fer à Cholet (1966, pages 137 à 141) ;
Carnet de route d'un brancardier du d'infanterie aux gaz asphyxiants de l'Yser - (1967, pages 102 à 106) ;
Louis Monnier 1771-1851 (1970-71, pages 115-137).
Parmi les ouvrages consacrés à Cholet on peut citer :
(Arch. munic. Cholet - dossier des tirés-à-part de la SLA) ;
, Dépôt légal : II-1946 n° 50 ;
(Archives municipales de Cholet - Bib 24) ;
(Archives municipales de Cholet - dossier des tirés-à-part de la SLA) ;
(Archives municipales de Cholet - Bib 51) ;
(Archives municipales de Cholet - dossier des tirés-à-part de la SLA) ;
réédité en 1981.
Élie Chamard a écrit plusieurs récits inspirés par la guerre à laquelle il a participé :
- Prix Boudenoot 1940 de l'Académie française ;
;
;
;
;
;
- Prix Montyon 1949 de l'Académie Française ;
;
. Extrait en partie de la "Revue des deux mondes", .
Distinctions
Élie Chamard est titulaire de :
(décret du publié au journal officiel du ) ;
avec deux étoiles de bronze ;
la carte du combattant ().
Il a droit au port de la médaille de la victoire ().
Hommages
Selon , archiviste en chef du Maine-et-Loire en 1965 : .
En 1976, sous l'administration du maire Maurice Ligot, son nom est donné à la bibliothèque de Cholet puis plus tard à la médiathèque de cette même ville.
En 2014 sa fille, Anne-Marie Decelle, déclare : .
Notes et références
Notes
Références
Bibliographie
, dépôt légal : IV-1974
Liens externes
Origines
Sa tombe
Historien français du XXe siècle
Écrivain français du XXe siècle
Naissance à Cholet
Naissance en janvier 1891
Décès en mai 1971
Décès à Cholet
Décès à 80 ans
Lauréat du prix Montyon |
doc-49 | La théorie de la priorité des droits est une théorie du droit formulée par Ronald Dworkin dans son ouvrage Prendre les droits au sérieux.
Cette théorie demeure influente parmi les juges et avocats et elle est citée dans plusieurs décisions de la Cour suprême du Canada. Il s'agit d'une théorie constitutionnelle qui accorde systématiquement priorité aux droits sur les considérations utilitaires d'intérêt général et sur les autres règles de droit.
Ainsi, si un droit est un droit, il constitue un atout qui bloque toutes les autres considérations et le tribunal a par conséquent l'obligation d'y donner effet.
Références
Théorie du droit |
doc-50 | La Ferrière (Kerhouarn en breton) est une ancienne commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne, devenue, le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Plémet.
Géographie
Histoire
Le
Les guerres du
Le monument aux morts porte les noms des 37 soldats morts pour la Patrie :
34 sont morts durant la Première Guerre mondiale ;
3 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
Politique et administration
Démographie
Lieux et monuments
Abbaye Notre-Dame de Lanthénac ;
Église Notre-Dame ;
Vitrail de la vie de la Vierge ;
Vierge à l'Enfant ;
Croix de La Ferrière.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Liste des communes des Côtes-d'Armor
Notes et références
Liens externes
La Ferrière sur le site de l'Institut géographique national
Ferriere
Ferriere
Ferriere |
doc-51 | Les Îles Raevski sont un groupe d'atolls au centre de l'archipel des Tuamotu, en Polynésie française. Il se constitue de trois petits atolls inhabités : Hiti, Tepoto Sud et Tuanake, rattachés administrativement à la commune de Makemo et à la commune associée de Katiu. La superficie cumulée des trois atoll est de .
Histoire
La première mention par un Européen des îles Raevski date du lorsque Fabian Gottlieb von Bellingshausen, explorateur allemand au service de la Russie, leur attribue ce nom en mémoire du général russe Nikolaï Raïevski.
Notes et références
Liens externes
Île des Tuamotu
Archipel inhabité
Toponyme évoquant une personnalité |
doc-52 | Hayter est un nom propre.
Patronyme
Charles Hayter (1761-1835), peintre anglais ;
David Hayter (1969-), acteur, scénariste et producteur américain ;
Dianne Hayter, baronne Hayter de Kentish Town (1949-), femme politique britannique ;
Ethan Hayter (1998-), coureur cycliste britannique ;
George Hayter (1792-1871), peintre anglais ;
Georges Albert Bazaine-Hayter (1843-1914), général français ;
(1825-1898), ingénieur britannique ;
, musicien britannique ;
James Hayter (1907-1983), acteur britannique ;
James Hayter (1979-), footballeur anglais ;
John Hayter (1800–1895), peintre anglais ;
Leo Hayter (2001-), coureur cycliste britannique ;
Sparkle Hayter (1958-), femme de lettres et journaliste canadienne, auteure de roman policier ;
Stanley William Hayter (1901-1988), peintre non figuratif britannique ;
(1792-1878), homme politique britannique.
Toponyme
Hayter, hameau situé dans la province canadienne d'Alberta. |
doc-53 | La Pacific 231 C ou SuperPacific est la dénomination d'un ensemble de séries de locomotives à vapeur de vitesse qui servirent de longues années, de 1923 à la fin de la vapeur vers 1968, sur le réseau Nord de la France et en Belgique.
Histoire et Description
Après la Première Guerre mondiale, le poids des trains ne cessant de s’accroître, la Compagnie du Nord cherche à améliorer ses Pacific d'avant Guerre qui ne sont plus suffisantes face à des trains qui vont bientôt dépasser les 500 ou 600 tonnes.
Les ingénieurs du Nord, reprennent donc des études commencées avant guerre par Gaston du Bousquet et commandent dès 1920 une nouvelle série de locomotives : les 3.1201 à 3.1240 qui seront livrées en 1923.
Dérivées en partie du type Nord de 1911, elles se montrent rapidement de bonnes locomotives et prennent en charge la majeure partie des Express les plus prestigieux et lourds comme la Flèche d'Or.
Comme toutes les machines Compound les plus prestigieuses, elles étaient décorées en couleur chocolat avec des filets crème qui, dit-on, rappelaient la livrée des employés de la famille Rothschild ayant des intérêts dans cette compagnie.
Trois séries composent les Pacific Nord. Numérotées 3.1201 à 3.1290 puis 2-231 C 1 à 88 à la SNCF (le "2" précédant le tiret indiquant la région Nord), elles sont conçues pour remorquer des trains rapides et express de plus de 600 tonnes sur de longues distances et ce en dépassant 110 ou 120 km/h. Leurs exceptionnelles performances leurs valurent rapidement le surnom de Super Pacific, nom officiellement adopté par la Compagnie.
Première série 3.1201 à 3.1240
Numéros SNCF 2-231 C 1 à 40. Réceptionnées entre 1923 et 1925.
Deuxième série 3.1241 à 3.1248
Numéros SNCF 2-231 C 41 à 48. Réceptionnées en 1930.
Troisième série 3.1251 à 3.1290
Numéros SNCF 2-231 C 49 à 88. Réceptionnées entre 1930 et 1931.
Prototypes 3.1249 et 3.1250
Numéros SNCF 2-231 D 1 et 2. Réceptionnées en 1930 et 1931. Elles se distinguent par leur distribution par cames rotatives Dabeg et Caprotti puis Cossard.
Succession
Ces séries ne furent surpassée sur le réseau Nord que par la Pacific 231 E, conçue par André Chapelon par modification d'une série de locomotives du réseau du PO.
Cet autre ingénieur de grand talent aimait à dire qu'il avait « nordifié » cette série de locomotives par une recherche constante du plus haut rendement possible.
En particulier, Chapelon avait contribué à un meilleur échappement des fumées par un modèle d'échappement (le Kylchap, dont le nom reprenait celui des deux ingénieurs qui l'ont créé, Kylälä et Chapelon) et par la diminution des pertes de charges dans les conduits de vapeur au moyen de plus grandes sections de passage.
Machine préservée
Un seul exemplaire d'une 3.1200 (231 C 78 anciennement 3.1280) DE CASO reste à ce jour visible. Elle est en cours de restauration au C.M.C.F à OIGNIES dans le Pas-de-Calais. Elle devrait être remise en état de rouler sur le réseau Français dans quelques années. Comme toutes les machines à vapeur en cours de restauration, les coûts sont importants.
Notes et références
Voir aussi
Articles connexes
Locomotives à vapeur françaises
231 Nord 3.1151 à 3.1170
231 Nord 3.1201 à 3.1240
231 Nord 3.1241 à 3.1248
231 Nord 3.1249 et 3.1250
231 Nord 3.1251 à 3.1290
Lien externe
CMCF Oignies
AAATV St Pierre des Corps
231 Pacific Nord sur loco-ho
Bibliographie
Aurélien Prévot, « Les 2-231 C Nord : pourquoi le prestige des Super-Pacific s’est-il si vite terni ? », Ferrovissime, , , Auray, LR Presse, pages 8-18.
231 C Nord
Locomotive à vapeur du Chemin de fer du Nord
Locomotive 231 |
doc-54 | Le phare de Mull of Galloway est un phare situé sur la péninsule de Mull of Galloway (en gaélique écossais : Maol nan Gall) qui le point le plus au sud de l'Écosse, dans le comté de Dumfries and Galloway dans le sud-ouest de l'Écosse.
La péninsule est l'un des derniers habitats naturels côtiers du littoral du Wigtownshire et contient une grande variété d'espèces de la fore et de la faune. C'est maintenant une réserve naturelle gérée par la Royal Society for the Protection of Birds (RSPB).
Ce phare est géré par le Northern Lighthouse Board (NLB) à Édimbourg,l'organisation de l'aide maritime des côtes de l'Écosse.
Histoire
Ce phare a été construit en 1830 par l'ingénieur civil écossais Robert Stevenson. C'est une tour ronde peinte en blanc mesurant 26 mètres de haut. Il émet, 99 mètres au-dessus du niveau de la mer, un flash blanc toutes les vingt secondes visible jusqu'à 52 km par temps clair.
Le phare est automatique depuis 1988, et une ancienne dépendance de la station a été transformée en un centre d'accueil, géré par le , un groupe de personnes et d'entreprises locales. En 2004, un nouveau café a été construit au Mull of Galloway, appelé «Gallie Craig». Sa conception s'intègre dans le paysage avec son toit de gazon, et donne une vue panoramique sur l'Irlande et au sud sur l'île de Man. En 2013, le Mull of Galloway Trust a racheté les terrains et les bâtiments, à l'exception du phare qui est resté la propriété du Northern Lighthouse Board.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le à 19h30, un pilote français de l'ATA (British Air Transport Auxiliary), Cladius Echallier, est décédé en percutant le phare aux commandes d'un Bristol Beaufighter, tout en effectuant une prise de vue de la mer d'Irlande.
Notes et références
Voir aussi
Lien connexe
Liste des phares en Écosse
Liens externes
Lighthouses of Southwestern Scoland (Dumfries and Galloway, Ayrshire)
Mull of Galloway - site Northern Lighthouse Board
Crammag Head - Site Canmore
Phare en Écosse
Phare du XIXe siècle
Dumfries and Galloway
Réserve naturelle nationale en Écosse |
doc-55 | Le Vallée d'Aoste Nus Malvoisie est un vin blanc italien de la région autonome Vallée d'Aoste doté d'une appellation DOC depuis le . Seuls ont droit à la DOC les vins récoltés à l'intérieur de l'aire de production définie par le décret. Les vignobles autorisés se situent en Vallée d'Aoste dans les communes d’Aoste, Nus, Quart, Saint-Christophe et Verrayes.
Caractéristiques organoleptiques
couleur: jaune paille avec des reflets dorés.
odeur: fin, intense, légèrement épicé
saveur: sec, facile à boire, harmonieux, agréable.
Le Vallée d'Aoste Nus Malvoisie se déguste à une température de 8 à 10 °C et il se gardera 1 – 3 ans.
Détails historiques
Association de plats conseillée
Production
Province, saison, volume en hectolitres :
pas de données disponibles
Voir aussi
Viticulture en Italie.
Vin de la Vallée d'Aoste |
doc-56 | La crèche vivante de l’abbaye de Saint-Ferme est une crèche animée par des figurants, qui se déroule dans l’abbaye de Saint-Ferme située à Saint-Ferme dans le Département français de la Gironde.
La crèche vivante de l’abbaye de Saint-Ferme est inscrite à l’Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France.
Création de la crèche
Les habitants du village de Saint-Ferme souhaitant un peu plus d’animation dans leur bourg, décidèrent de créer une association liée à l’abbaye. C’est ainsi que l’une des premières animations à apparaitre fut la crèche vivante. Il fut proposé qu’elle soit jouée en occitan, ce que tout le monde approuva. Ainsi tous les ans, l’association s’attèle pendant de longues semaines à la préparation de l’évènement, avec la participation de ses membres mais aussi de bénévoles.
La crèche vivante
La crèche vivante a lieu chaque année début janvier, aux environs de l’Épiphanie depuis sa création au début des années 1990. Elle se déroule dans l'abbaye de Saint-Ferme.
Le texte de la scène jouée fut écrit par le curé de l’époque, le Père Rosticher et traduit en occitan, puis la mise en scène a été imaginée. Elle présente l’épisode biblique de la Nativité et comprend une soixantaine de personnages, dont bien sûr Marie, Joseph, Jésus, les bergers ou encore les Rois Mages.
La scène se déroule comme telle : les figurants de tous âges arrivent en procession jusqu’à l’autel où ils vont jouer en occitan et vêtus de costumes d’époque. Tout est animé et vivant, y compris les animaux. Le bébé est également un vrai nouveau-né. La seule touche moderne est la venue de La Poste pour annoncer la « Bonne Nouvelle ». Une chorale complète également la scène, avec ses danseurs et musiciens.
Le spectacle est assez long, il dure une heure trente environ et attire beaucoup de spectateurs (environ 800) soit plus du double de la population résidente de Saint-Ferme ( en ).
L’évènement se poursuit par une messe en occitan et un vin d’honneur. Un repas est également organisé.
Références
Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France
Crèche de Noël
Nativité
Épiphanie |
doc-57 | L'Abléphare à deux bandes (Ablepharus bivittatus) est une espèce de sauriens de la famille des Scincidae.
Description
Cette espèce est ovipare.
Répartition
Cette espèce se rencontre de à d'altitude en Turquie, en Arménie, en Azerbaïdjan, en Iran et au Turkménistan.
Taxinomie
La sous-espèce Ablepharus bivittatus lindbergi décrite par Wettstein en 1960 a été élevée au rang d'espèce par Yeriomtschenko et Shcherbak.
L'épithète spécifique, bivittatus, est formé du latin bi-, « deux », et de , « ligne » ou « rayure », en référence aux deux bandes sombres de l'animal.
Publication originale
Ménétries, 1832 : Catalogue raisonné des objets de zoologie recueillis dans un voyage au Caucase et jusqu’aux frontières actuelles de la Perse. L’Académie Impériale des Sciences. Saint-Pétersbourg, (texte intégral).
Notes et références
Liens externes
Saurien (nom scientifique)
Eugongylinae |
doc-58 | Georges Borwin de Mecklembourg, né le à Fribourg-en-Brisgau, est prétendant à la succession des grands-duchés de Mecklembourg-Schwerin et Mecklembourg-Strelitz et chef de la Maison de Mecklembourg.
Biographie
Georges-Borwin est le plus jeune enfant et le seul fils de Georges-Alexandre de Mecklembourg et d’Ilona de Habsbourg-Hongrie. Il descend du grand-duc Georges de Mecklembourg-Strelitz par son père, ainsi que du roi Frédéric-Auguste III de Saxe et de l'empereur François-Joseph d'Autriche par sa mère.
Après avoir suivi des études de viticulture, il travaille pour une société de boissons suisse.
Mariage et descendance
Le , le duc Georges-Borwin de Mecklembourg épouse Alice Wagner, née en 1959.
Trois enfants sont nés de cette union :
La duchesse Hélène, née en 1988.
Le prince héréditaire , né en 1991.
Le duc Charles-Michel, né en 1994.
Succession
En 1928, Georges-Alexandre de Mecklembourg (1899-1962), comte de Carlow, issu d'un mariage non dynaste, est adopté par son oncle Charles-Michel de Mecklembourg-Strelitz, officier dans l'armée impériale russe qui avait renoncé à ses droits au trône. Georges-Alexandre est donc reconnu duc de Mecklembourg par le grand-duc Cyrille Vladimirovitch de Russie en 1929. Vingt ans plus tard, le , il est reconnu cette fois-ci par le grand-duc Frédéric-François de Mecklembourg-Schwerin et reçoit le prédicat d'altesse.
Après la mort du grand-duc Frédéric-François de Mecklembourg-Schwerin survenue le , la lignée de Mecklembourg-Schwerin s'éteint. La lignée von Carlow est issue d'un mariage morganatique ce qui l'exclut de la succession de Mecklembourg. À moins que cette lignée von Carlow soit reconnue dynaste, la Maison de Mecklembourg est éteinte et le titre de grand-duc revient à la Maison de Hohenzollern.
L'extinction de la Maison de Mecklembourg est contestée par Georges-Borwin, qui serait ainsi dynaste, ainsi que ses descendants.
Selon le traité de Wittstock, en 1442, signé par les membres des Maisons de Mecklembourg et de Hohenzollern, Georges-Frédéric de Prusse, comme margrave de Brandebourg serait le grand-duc titulaire du Mecklembourg (c’est-à-dire des duchés de Schwerin et Strelitz), mais ce traité donne la condition suivante : la succession revient de droit à la Maison de Hohenzollern qu'en cas d'extinction de la Maison de Mecklembourg, qui, d'après la généalogie, est encore existante.
Georges Borwin de la Maison de Mecklembourg, Georges Frédéric de Prusse de la Maison de Hohenzollern se déclarent héritiers de Louise de Mecklembourg-Strelitz malgré l'extinction de sa descendance. À l'heure actuelle, Georges-Frédéric de Prusse n'a pas reconnu publiquement et n'a réclamé aucun droit ou titres sur la Maison de Mecklembourg.
Généalogie
Georges Borwin est issue de la lignée morganatique von Carlow, malgré tout il appartient à la troisième branche (Mecklembourg-Strelitz) issue de la première branche de la Maison de Mecklembourg.
Voir aussi
Prétendant au trône
Georges-Alexandre de Mecklembourg (1899-1962)
Duché de Mecklembourg-Strelitz
Liens externes
mecklenburg-strelitz.org
Georges-Borwin
Grand commandeur de l'ordre de Hohenzollern
Naissance en juin 1956
Naissance à Fribourg-en-Brisgau
Mecklembourg |
doc-59 | David Eugene Heineman, dit Dave Heineman, né le à Falls City (Nebraska), est un homme politique américain, membre du Parti républicain et gouverneur du Nebraska de 2005 à 2015. Il est auparavant lieutenant-gouverneur du Nebraska de 2001 à 2005, remplaçant Mike Johanns au gouvernorat après sa nomination comme secrétaire à l'Agriculture des États-Unis par le président George W. Bush.
Biographie
Enfance et études
David Heineman grandit dans la partie orientale du Nebraska, faisant ses études secondaires à Wahoo. Il sort diplômé de l'Académie militaire de West Point en 1970 et sert dans l'armée américaine jusqu'en 1975 au rang de capitaine.
Premiers mandats politiques
Élu au conseil municipal de Fremont en 1990, Dave Heineman est trésorier de l'État à partir de 1994. En , il est nommé lieutenant-gouverneur par le gouverneur Mike Johanns, en remplacement du démissionnaire David Maurstad, poste auquel il est confirmé par les électeurs en 2002. Le , il devient gouverneur, Mike Johanns étant nommé secrétaire à l'Agriculture dans l'administration du président George W. Bush.
Gouverneur du Nebraska
En , Dave Heineman est le quatorzième gouverneur le plus populaire du pays avec un taux d'approbation de son action de 63 % selon un sondage SurveyUSA portant sur de chaque État.
Le , il annonce son intention de concourir pour le poste de gouverneur lors des élections de novembre, recevant le soutien du sénateur Chuck Hagel. Néanmoins, il est mis en difficulté lors des primaires républicaines par le représentant fédéral . Il l'emporte cependant avec 49 % des suffrages contre 45 % à Osborne grâce aux voix républicaines des ruralités du Nebraska, contre celles des républicains d'Omaha et de Lincoln. Le , il est triomphalement élu pour un mandat complet de gouverneur avec 74 % des suffrages, contre 24 % au candidat démocrate David Hahn.
Quatre ans plus tard, il remporte un nouveau mandat lors des élections du avec un score équivalent à celui de 2006. En juin 2011, il devient le premier gouverneur en fonction à apporter son soutien à Mitt Romney en vue des primaires présidentielles de 2012. Il ne peut se représenter pour un troisième mandat lors des élections de qui voient la victoire du républicain Pete Ricketts qui succède à Heineman le . Ses mandats sont marqués par des baisses d'impôts, la défense du secteur agraire et de l'oléoduc Keystone via les prairies mixtes des Sand Hills du Nebraska, ainsi que la restriction de l'accès à l'avortement.
Références
Article connexe
Liste des gouverneurs du Nebraska
Naissance dans le comté de Richardson
Naissance en mai 1948
Lieutenant-gouverneur du Nebraska
Gouverneur du Nebraska
Personnalité du Parti républicain au Nebraska
Élève de l'Académie militaire de West Point
Capitaine de l'United States Army |
doc-60 | Charles Ateba Eyene (1972-2014), un écrivain, homme politique et enseignant camerounais ;
Christine Eyene (1970-), une critique d’art, une historienne d’art et une commissaire d’exposition camerounaise. |
doc-61 | Le Centre d'études sociologiques et politiques Raymond Aron (CESPRA) est un centre d'études de l'École des hautes études en sciences sociales de Paris (). Il accueille des étudiants aux niveaux master et doctorat.
Le Centre est actuellement dirigé par Vincent Duclert et Stéphane Audoin-Rouzeau.
Histoire
En 1977, François Furet, devenu président de l'EHESS, crée un groupe informel de réflexion politique. À partir de ce petit groupe, il fonde en 1984 l'Institut Raymond Aron, ayant pour projet d'abriter des recherches en philosophie politique et d'être le dépositaire des archives Raymond Aron. En 1992, le rapprochement entre l'Institut et le Centre d'études transdisciplinaires Sociologie, Anthropologie, Politique (CETSAP) alors animé par Claude Lefort et Pierre Rosanvallon aboutit à la création du Centre de recherches politiques Raymond Aron (CRPRA).
Le CRPRA est alors composé de chercheurs venant de la tradition libérale (Pierre Manent), de la « deuxième gauche » (Marcel Gauchet, Pierre Rosanvallon), de la tradition antitotalitaire (Claude Lefort) et de la réflexion sur les origines du régime représentatif (Bernard Manin), qui se donnent pour mission de refonder les études politiques en France, où a longtemps dominé la théorie marxiste. Ainsi, à ses débuts, la réflexion porte sur les philosophes politiques modernes et sur la redécouverte de la pensée libérale française des et , peu à peu tombée dans l'oubli (Nicolas de Condorcet, Benjamin Constant, François Guizot, Alexis de Tocqueville).
Pierre Rosanvallon, ancien directeur du CRPRA, aujourd'hui professeur au Collège de France, indique en 2001 : .
Le centre a successivement été dirigé par Pierre Rosanvallon (1992-2005), Patrice Gueniffey (2006-2008), et enfin par Olivier Remaud en 2009.
Le , à la suite de la fusion du Centre d'études sociologiques du travail et des arts (CESTA) et du CRPRA, le laboratoire est devenu le Centre d'études sociologiques et politiques Raymond Aron (CESPRA). Le CESPRA a d'abord été dirigé par Philippe Urfalino (2010-2013), puis par Olivier Remaud (2013-2017). Vincent Duclert et Stéphane Audoin-Rouzeau en sont aujourd'hui les directeurs (2017-).
Membres statutaires actuels
Liste des membres statutaires actuels :
Agnès Antoine, professeur agrégée, EHESS
Yohann Aucante, maître de conférences, EHESS
Stéphane Audoin-Rouzeau, directeur d'études, EHESS
Gilles Bataillon, directeur d'études, EHESS
Frédéric Brahami, directeur d'études, EHESS
Julien Blanc, professeur agrégé, EHESS
Olivier Cayla, directeur d'études, EHESS
Yves Chevrier, directeur d'études, EHESS
Vincent Descombes, directeur d’études, EHESS (retraité)
Parand Danesh, doctorante contractuelle, EHESS
Vincent Duclert, inspecteur général de l'Education nationale
Hélène Dumas, chargée de recherche, CNRS
Élisabeth Dutartre-Michaut, ingénieure de recherche, EHESS
Ivan Emarkoff, directeur d'études, EHESS
Jean-Louis Fabiani, directeur d'études, EHESS (retraité)
Patricia Falguières, professeur agrégée, EHESS
Léo Florent, doctorant contractuel, EHESS
Luc Foisneau, directeur de recherche, CNRS
Marcel Gauchet, directeur d’études, EHESS (retraité)
Nilüfer Göle, directrice d'études, EHESS
Patrice Gueniffey, directeur d’études, EHESS
Nebiha Guiga, doctorante contractuelle, EHESS
Ran Halévi, directeur de recherche, CNRS (retraité)
Wassim Hassaneen, doctorant contractuel, EHESS
Christian Ingrao, directeur de recherche, CNRS
Catherine Maire, chargée de recherche, CNRS
Pierre Manent, directeur d’études, EHESS (retraité)
Bernard Manin, directeur d'études, EHESS (retraité)
Colin Marchika, ingénieur d'études, EHESS
Victor Mardellat, doctorant contractuel, EHESS
Nadia Marzouki, chargée de recherche, CNRS
Pierre-Michel Menger, directeur d'études, EHESS ; Professeur, Collège de France
Mona Ozouf, directrice de recherche, CNRS (retraitée)
Pasquale Pasquino, directeur de recherche, CNRS
Christophe Prochasson, directeur d'études EHESS
Olivier Remaud, directeur d'études, EHESS
Ionela Roharik, ingénieure d'études, CNRS
Emmanuel Saint-Fuscien, maître de conférences, EHESS
Dominique Schnapper, directrice d'études, EHESS (retraitée)
Anne Simonin, directrice de recherche, CNRS
Philippe Urfalino, directeur d'études, EHESS ; directeur de recherche, CNRS
Niccolo Valmori, post-doctorant, EHESS
Sophie Vigneron, ingénieure d'études EHESS
Anciens membres
Claude Lefort (1924-2010)
Monique Canto-Sperber
Philippe Raynaud
Bibliothèque
Le CESPRA abrite une bibliothèque spécialisée en histoire, philosophie et sociologie politiques (3200 volumes) constituée à partir du don de la bibliothèque personnelle de l'historien de la Révolution française, François Furet, ainsi qu'un fonds documentaire consacré à Raymond Aron.
Notes et références
Liens externes
Centre de recherche de l'École des hautes études en sciences sociales
Unité mixte de recherche
Raymond Aron
Centre ou institut de recherche en sociologie
Organisme fondé en 2010
Cacographie (trait d'union) |
doc-62 | Lenvironnement au Pakistan est l'environnement (ensemble des éléments - biotiques ou abiotiques - qui entourent un individu ou une espèce et dont certains contribuent directement à subvenir à ses besoins) du pays Pakistan, pays d'Asie. Le Pakistan est le 6 pays le plus peuplé au monde, avec en 2016. La population exerce de ce fait une pression importante sur les milieux et les ressources, avec une pression par habitant qui reste faible en comparaison d'autres pays plus développés. Les problématiques liés à la pollution de l'air, de l'eau, et aux métaux lourds sont parmi les plus importantes au monde.
La biodiversité du Pakistan
Le climat est de type tropical au sud et subtropical au nord, avec des moussons. Il existe deux saisons : la saison sèche (de novembre à avril) et la saison humide (de mai à octobre). En raison des différences de latitude et du relief varié, le climat diffère considérablement selon les régions.
Le sol est occupé à 43 % par la forêt.
Impacts sur les milieux naturels
Le Pakistan est le 6 pays le plus peuplé au monde, avec en 2016. La population exerce de ce fait une pression importante sur les milieux et les ressources, avec une pression par habitant qui reste faible en comparaison d'autres pays plus développés.
Activités humaines
Agriculture
Seule une minorité du sol (plaine alluviale) est cultivable, à l'est du pays. Au nord (amont), les cultures sont majoritairement du blé, mais aussi du coton, au sud du riz.
Le Pakistan exporte surtout du riz, à destination de l’Iran, de l’Arabie saoudite ou du Bangladesh. L'impact est important sur les ressources en eau souterraine, qui sont exploitées plus vite qu'elles ne se renouvellent. Les trois quarts des produits issus des cultures les plus gourmandes en eau souterraine sont exportés par trois pays : le Pakistan , les États-Unis (coton, blé, maïs et soja, vers la Chine, le Japon et le Mexique) et l’Inde (riz et coton, surtout vers la Chine).
Industries
Il y a plus de cinq mille usines au Pakistan, dont des usines textiles qui filent le coton (par exemple provenant de l'Inde, premier producteur mondial).
Dans la capitale, Shershah Colony est le quartier de l'électronique. On y recycle les déchets électroniques arrivés d'Europe ou d'ailleurs. Cette industrie polluante, déverse des produits toxiques tels que plomb, mercure, arsenic ou cadmium dissimulés dans les appareils. Cet impact est d'autant plus préoccupant que les usines emploient également des enfants, non protégés et particulièrement exposés du fait de leur sensibilité.
Chasse, pêche et braconnage
Transports
Le réseau de chemin de fer a une longueur totale de 8 163 kilomètres et dessert toutes les villes principales. En avril 2010, le total des autoroutes avait une longueur de 632 kilomètres. Le Pakistan possède 11 aéroports internationaux.
Pression sur les ressources non renouvelables
Pollutions
Les émissions de gaz à effet de serre (GES)
Le Pakistan se trouve sur la ligne de front du changement climatique, même s’il est responsable de moins de 1 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, une injustice soulignée par Sherry Rehman, la ministre pakistanaise du changement climatique.
La pollution de l'air
D'après une étude de l'OMS publiée en 2014, à Peshawar, au Pakistan, le taux moyen de particules fines d'un diamètre égal ou inférieur à 10 micromètres (PM10) s'élève à 540 microgrammes par mètre cube entre 2008 et 2013, soit l'un des taux les plus élevés au monde, bien au-delà du seuil maximal de 20 microgrammes par mètre cube fixé par cet organisme.
La pollution de l'eau
L'eau bu n'est souvent pas potable, les conséquences sanitaires sont catastrophiques dans ce pays où seulement 38 % des enfants sont nourris exclusivement au sein pendant leurs six premiers mois comme le recommande l'ONU - et ce d'autant plus que la pauvreté conduit à rationner les doses de lait artificiel en poudre mélangée à cette eau non potable.
La gestion des déchets
Impacts de l'urbanisation
Le Pakistan est la cinquième nation la plus peuplée au monde.
L'exposition aux risques
Inondations
Le Pakistan est fortement exposé aux inondations.
Durant l'été 2010, un cinquième du territoire pakistanais a été totalement recouvert par les eaux.
Les Inondations de 2022 au Pakistan provoquent au moins morts et blessés. 7,9 millions de personnes sont déplacés, dont vivent dans des campements d’urgence. La sécurité alimentaire est en péril, et un million de maisons au total sont à reconstruire.
Risques sanitaires
Le pays est également exposé à des risques sanitaires dépendant des facteurs environnementaux. Par exemple, le paludisme se développe à la suite des inondations et de l'augmentation du nombre d'insectes.
Politique environnementale au Pakistan
Actions nationales
Plantation d'arbres : en 2013, arbres ont été plantés en une seule journée. En 2015 et 2016, des centaines de millions d'arbres ont été plantés dans le nord-ouest du pays, afin de lutter contre la déforestation.
Évaluation environnementale globale
En 2015, l'organisation Global Footprint Network (GFN) indique que le Pakistan a un déficit en biocapacité. Les réserves agricole et en bois sont quasi nulles, et le bilan carbone est négatif avec une empreinte carbone dépassant de beaucoup la capacité forestière d'abosrption, quasi nulle.
Le Pakistan, avec le Bangladesh, Haïti, le Timor oriental et l’Erythrée, possède l’empreinte écologique la plus faible au monde ramenée par habitant, avec environ 0,6 hag (hectare globaux) par habitant.
Notes et références |
doc-63 | Ambulyx semifervens est une espèce d'insectes lépidoptères de la famille des Sphingidae, sous-famille des Smerinthinae, tribu des Ambulycini, et du genre Ambulyx.
Description
L'espèce est semblable à Ambulyx moorei et à Ambulyx dohertyi, mais les ailes sont plus larges et la marge distale de l'aile antérieure est plus convexe.
Distribution et habitat
Distribution
Il provient d'Indonésie (Moluques et à Sulawesi).
Systématique
L'espèce Ambulyx semifervens a été décrite par l'entomologiste britannique Francis Walker en 1865 sous le nom initial de Basiana semifervens.
Synonymie
Basiana semifervens Walker, 1865 Protonyme
Oxyambulyx felixi Clark, 1924
Taxinomie
Liste des sous-espèces
Ambulyx semifervens amboynensis (Rothschild, 1894).
Synonymie pour cette sous-espèce :
Ambulyx amboynensis Rothschild, 1894 .
Notes et références
Voir aussi
Liens externes
Bibliographie
Brechlin, R. & Kitching, I., 2010b: Einige Anmerkungen zur moorei-Gruppe der Gattung Ambulyx Westwood 1847 mit Beschreibung neuer Taxa (Lepidoptera, Sphingidae). Entomo-satsphingia, 3(3): 20-26.
Espèce de Lépidoptères (nom scientifique)
Sphingidae
Lépidoptère d'Asie |
doc-64 | Pamela Branch, née Pamela Byatt en à Ceylan, l'actuel Sri Lanka, et décédée en , est une auteure britannique de roman policier.
Biographie
Elle est née sur la plantation de thé de ses parents dans une région isolée du Ceylan. Son père, Leslie George Byatt, est directeur de Bois Bros. & C°., Ltd., une importante compagnie de culture et d’exportation de thé, café et cacao.
Enfant, Pamela Byatt quitte ses parents chaque année pendant la saison scolaire pour fréquenter des établissements privés du Sud de l’Angleterre. Elle parachève son éducation en étudiant les arts à Paris, puis le théâtre au Royal Academy of Dramatic Art. Elle joue dans une adaptation moderne de Hamlet de William Shakespeare et retourne au Ceylan, sa fortune ne lui donnant aucune nécessité de persévérer dans la carrière de comédienne. À cet égard, elle ne doit pas être confondue à l’actrice américaine Pamela Branch.
Elle réside au Cachemire pendant trois ans. Elle fait des randonnées à cheval l’été et du ski l’hiver, et s’adonne à la chasse à la carabine et au faucon. Elle élève également des chevaux de courses, fait de la peinture murale et apprend l’ourdou. Elle rencontre et épouse son premier mari, Newton Branch, à la fin des années 1940 ou au tout début des années 1950. Le couple retourne au Ceylan et élit domicile dans un ancien monastère orthodoxe qui surplombe la mer. C’est là que Pamela Branch, tout comme son mari, s’essaie à l’écriture. La tentative de son mari donne quelques livres pour jeunes garçons, alors qu’elle fait publier son premier roman policier Bienvenue au club en 1951, une œuvre qui, comme tous les autres de l'auteur, contient une bonne dose d'humour. Au début de cette même année, le couple loue un appartement à Londres dans le quartier de Kensington. L’atmosphère pesante et dépressive de la capitale anglaise d’après-guerre inspire à la jeune auteur le cadre d'un second roman policier : pendant l’été, Pamela Branch s’installe dans un petit cottage de pêcheur en Irlande où elle entreprend et achève Un lion dans la cave (1951).
Pendant que son mari siège à divers comités, dont le bureau de la Censure cinématographique britannique, elle décroche quelques petits rôles de figuration dans une poignée de films. Le couple continue de beaucoup voyager et, en dépit de ces déplacements incessants, Pamela Branch parvient à écrire un troisième roman Comme un lundi (1954), où apparaît de nouveau, après Bienvenue au club, le détective amateur Clifford Flush. Ce roman est dédié à Christianna Brand, une grande amie du couple.
Vers 1958, un peu avant ou après la publication de La Mort et sa petite sœur, le dernier roman policier de Pamela, les Branch divorcent. Pamela contractera un second mariage en avec le commandant James Edward Stuart-Lyon. En 1964, elle adapte son roman Comme un lundi pour le théâtre avec la collaboration de Philip Dale, pièce qui sera montée au de Chelmsford en .
Elle meurt d’un cancer en 1967.
Œuvre
Romans
Série Clifford Flush
The Wooden Overcoat (1951)
Murder Every Monday (1954)
Autres romans
Lion in Cellar (1951)
Murder’s Little Sister (1958)
Théâtre
Murder Every Monday (1964), adaptation du roman homonyme.
Liens externes
Bio-bibliographie
Biographie
Romancier britannique du XXe siècle
Romancière britannique
Auteur britannique de roman policier
Auteur de la collection Le Masque
Naissance au Ceylan britannique
Naissance en 1920
Décès en 1967
Mort d'un cancer au Royaume-Uni |
doc-65 | Lorenz Diefenbach, né le à Ostheim en Wetterau (landgraviat de Hesse-Darmstadt) et mort le à Darmstadt (Empire allemand), est un pasteur allemand, bibliothécaire, lexicographe, philologue et écrivain pangermaniste (du Mouvement national-allemand).
Biographie
Récompenses et distinctions
Bibliographie
Jürgen Storost, Lorenz Diefenbach. Sein Beitrag zur Entwicklung der romanischen Sprachwissenschaft. Dans: derselbe: In memoriam Vladimiro Macchi. Aspekte der Wissenschaftsgeschichte. Ausgewählte Sujets. Romanistischer Verlag Bonn, 2008, p. 169–193.
Notes et références
Liens externes
Pasteur allemand
Bibliothécaire allemand
Lexicographe allemand
Philologue allemand
Linguiste allemand
Romancier allemand
Ethnologue allemand
Écrivain allemand du XIXe siècle
Germaniste allemand
Romaniste allemand
Membre de l'Académie roumaine
Membre de l'Académie royale des sciences de Prusse
Naissance en juillet 1806
Naissance à Butzbach
Naissance dans le landgraviat de Hesse-Darmstadt
Décès en mars 1883
Décès à Darmstadt
Décès dans le grand-duché de Hesse
Décès à 76 ans |
doc-66 | Oswald van den Berghe, né à Schoten (Belgique) le et mort à Anvers le , est un prêtre catholique belge.
Biographie
Oswald van den Berghe obtient le grade de docteur en philosophie et lettres à Louvain et entre à l'Académie ecclésiastique des nobles à Rome, en 1857 ; il est ordonné prêtre en 1860 et bientôt proclamé docteur en théologie.
Il est choisi comme camérier secret du pape Pie IX et nommé protonotaire apostolique. Rentré en Belgique, en 1863, il séjourne à Ekeren, puis est chargé en septembre 1866 de la direction de l'Institut Saint-Boniface à Ixelles dont il devient le premier directeur. Le , il est nommé aumônier de la Visitation à Schaerbeek et, le , recteur de la basilique du Sacré-Cœur à Berchem (Anvers). Il obtient du pape Pie IX le bref d'érection en Basilique mineure: c'était la première basilique érigée en Belgique, et, pour le monde entier, la première consacrée au Sacré-Cœur.
Nommé curé de la paroisse Saint-Joseph à Anvers en 1878, il y reste jusqu'à son décès, le .
Ouvrages
Il est l'auteur des ouvrages :
Marie et le Sacerdoce, honoré d'une lettre-préface du pape Pie IX, Louis Vivès, 1875
Vie d'Anne-Madeleine de Remuzat, Paris, A. Roger & F. Chernoviz, 1877.
Liens externes
Écrivain catholique belge
Prêtre catholique belge
Protonotaire apostolique
Étudiant de l'université catholique de Louvain (1834-1968)
Naissance à Schoten
Naissance en octobre 1834
Décès en mars 1894
Décès à Anvers
Décès à 59 ans |
doc-67 | Le catalyseur CBS ou catalyseur de Corey-Bakshi-Shibata est un catalyseur asymétrique organoboré. Il est utilisé dans de nombreuses réactions organiques telles que la réduction CBS, certaines réactions de Diels-Alder et certaines cycloadditions [3+2].
Le catalyseur se base sur la proline, un composé naturel chiral disponible facilement et à peu de frais, dans laquelle est notamment introduit un cycle d'oxazaborolidine. Le centre stéréogène de la proline est conservé dans le catalyseur qui à son tour ne réagit qu'avec un seul énantiomère, donnant à la réaction organique catalysée un caractère énantiosélectif. Cette sélectivité vient du fait que la contrainte stérique empêche la formation d'un état de transition avec l'un des énantiomères mais pas l'autre.
L'oxazaborolidine fut d'abord développée comme agent réducteur de cétone par le laboratoire d'Itsuno, et est donc appelée oxazaborolidine d'Itsuno-Corey.
Synthèse
La synthèse est effectuée à partir de la (S)-proline ou d'un dérivé de la proline est énantiomériquement pur. Tout d'abord, le groupe amino de la proline est protégé par d'un groupe protecteur carboxybenzyle (Cbz), puis l'acide carboxylique est converti en ester de méthyle. Une réaction de Grignard avec le chlorure de phénylmagnésium conduit alors à l'alcool tertiaire. L'élimination du groupe protecteur et la réaction ultérieure avec l'acide méthylboronique aboutissent au catalyseur CBS.
Le catalyseur CBS peut également être préparé à partir du diphénylprolinol qui se condense avec l'acide phénylboronique ou le borane. Le catlyseur CBS ainsi obtenu se complexe in situ avec le borane pour donner la forme active du catalyseur.
Utilisation
Le utilisation du catalyseur CBS en synthèse organique suit en général ce protocole :
la réaction démarre par une déshydratation azéotropique de l'acide boronique, ici l'acide toluèneboronique (1), en boroxine (2) ;
parallèlement, la proline (3a) est estérifiée (3b), puis subit une réaction de Grignard avec un réactif de Grignard (ici le bromure de 3,5-diméthylphénylmagnésium) pour produire le dérivé de proline 3d.
la boroxine réagit avec le dérivé de proline (3d) pour former l'oxazaborolidine basique, c'est-à-dire le catalyseur CBS (4) ;
Un sel de superacide (6) peut être obtenu à l'aide de l'acide triflique (5).
D'autres catalyseurs similaires existent avec différents dérivés des réactifs.
Notes et références
Catalyseur
Azole
Composé organoboré |
doc-68 | Le Bakalov est un fusil d'assaut d'origine bulgare qui porte son nom de son créateur: Georgi Delchev Bakalov.
Constitué de 72 pièces, 46 soit 64 % proviennent d'une base type Kalachnikov, réaménagé en disposition bullpup.
L'arme est conçu pour tirer différentes munitions aussi bien de l'ancien bloc de l'Est, la 7,62 mm M43 de l'AK-47 que des munitions de l'OTAN, la 5,56 × 45 mm OTAN et la 7,62 x 51 mm OTAN.
Il est possible de monter sur le Bakalov un lance-grenades de 40 mm
Voir aussi
Liste des fusils d'assaut
Lien externe
Présentation et test du Bakalov
Fusil d'assaut
Bullpup |
doc-69 | est un album studio de breakcore, commercialisé le , composé par Venetian Snares au label discographique Planet Mu. Inspiré de la première journée d'Aaron Funk en Hongrie, le titre de l'album et toutes ses pistes sont en hongrois ; signifie littéralement . L'album mélange éléments de nouvelle musique et de breakbeat. L'album est bien, voire très bien, accueilli par la presse spécialisée. Tiny Mix Tapes le classe d'ailleurs à la de ses 100 albums préférés entre 2000 et 2009.
Développement
Le concept s'inspire de la première journée d'Aaron Funk (alias Venetian Snares) en Hongrie. Il s'imagine alors dans la peau d'un pigeon survolant le Királyi Palota (palais royal) de Budapest. signifie littéralement
Sa troisième chanson, est une reprise de la chanson du compositeur hongrois Rezső Seress, considérée comme la chanson suicidaire hongroise. Selon une légende urbaine, la chanson de Seress aurait poussé de nombreuses personnes au suicide, dont sa fiancée. La chanson est supposément bannie en Hongrie ; la voix de Billie Holiday y est également incluse. L'album reprend également des nombreux autres échantillons sonores (samples) dans ses titres. Le premier mouvement musical de Béla Bartók est reprise dans la seconde chanson de l'album.
Liste des pistes
Format CD
Accueil
L'album est généralement très bien accueilli par la presse spécialisée. Tiny Mix Tapes classe l'album à la de ses 100 albums préférés entre 2000 et 2009. Alan Ranta, du même site, attribue à une note générale de 5 sur 5. Sur Sputnikmusic, Nick Greer attribue une note de 4,5 sur 5 à l'album notant que Sur Pitchfork, il reçoit la note de 7,5 sur 10.
Sur AllMusic, William Tilland attribue une note de 4 étoiles sur 5. Sur BBC, il est accueilli avec 4 points sur 5 :
Bibliographie
.
Notes et références
Liens externes
sur Planet Mu
de Venetian Snares
Album musical sorti en 2005
Album de Venetian Snares
Album publié par Planet Mu
Breakcore |
doc-70 | Nassau est une ville américaine située dans le comté de Lac qui Parle, dans le Minnesota. Selon le recensement de 2010, sa population est de .
Notes et références
Liens externes
Ville au Minnesota
Comté de Lac qui Parle |
doc-71 | Baloi est une localité de la province de Lanao du Nord, aux Philippines. En 2015, elle compte .
Histoire
Démographie
Notes et références
Voir aussi
Listes des villes des Philippines par province
Municipalité dans la province de Lanao du Nord |
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