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                File "parsers.pyx", line 2061, in pandas._libs.parsers.raise_parser_error
              pandas.errors.ParserError: Error tokenizing data. C error: Expected 2 fields in line 63372, saw 3
              
              
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                File "/src/services/worker/.venv/lib/python3.9/site-packages/datasets/builder.py", line 999, in _download_and_prepare
                  self._prepare_split(split_generator, **prepare_split_kwargs)
                File "/src/services/worker/.venv/lib/python3.9/site-packages/datasets/builder.py", line 1740, in _prepare_split
                  for job_id, done, content in self._prepare_split_single(
                File "/src/services/worker/.venv/lib/python3.9/site-packages/datasets/builder.py", line 1896, in _prepare_split_single
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L’art contemporain s’installe au jardin solidaire
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An arz a-vremañ staliet el liorzh kengret
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L’association Les Moyens du Bord s’est associée au Comité de Chômeurs et précaires du Pays de Morlaix pour inviter des artistes plasticiens pour une installation paysagère au jardin solidaire qui sera présentée au public les samedi 22 à partir de 14 heures jusqu’à la tombée de la nuit et dimanche 23 mai 2010 de 10 h à 18 h.
Ar gevredigezh Les Moyens du Bord zo aet a-gevret gant Bodad an Dud dilabour hag en arvar e Bro Montroulez evit pediñ arzourien-neuzierien d’ober ur staliadur-kinklañ el liorzh kengret, a vo diskouezet d’an dud d’ar Sadorn 22 adalek 14 eur betek ma serro an noz, ha d’ar Sul 23 a viz Mae 2010 eus 10e da 18e..
Pour fêter la Bretagne et la Saint-Yves, les Moyens du Bord ont convié plusieurs artistes à investir le jardin collectif du Comité des chômeurs et précaires.
Evit lidañ Breizh ha Gouel Erwan ez eus bet pedet meur a arzour gant Les Moyens du Bord evit aloubiñ liorzh stroll Bodad an dud dilabour hag en arvar.
Récemment acquis par le Comité, ce jardin collectif et solidaire est un espace de liberté, de création, de rencontres et d’échanges ouvert à tous.
Al liorzh stroll ha kengret-se a oa bet prenet nevez zo gant ar Bodad. Ul lec’h a frankiz eo, digor d’an holl, ma c’haller krouiñ, en em gavout gant tud all ha kaozeal ganto.
Ils proposeront une ballade originale aux visiteurs.
Kinnig a raint ur bourmenadenn dibar d’ar weladennerien.
Anne Dano et Grégoire Varin, « plasticiens du paysage », présenteront des propositions de cheminement et d’aménagements paysagers.
Anne Dano ha Grégoire Varin, « neuzierien eus an dremmvro » anezho, a ziskouezo kinnigoù hentadoù ha terkadurioù-dremmvro.
Pierre Pitrou mêlera plantation de végétaux et récupération d’eau de pluie ; Bertrand Menguy, pour sa part, revisitera la signalétique du site, y créera un abri pour les gallinacés (poules, dindes,...) et y installera son « camion atelier itinérant de « l’Urgence de l’Art » pour le transformer en résidence d’artistes.
Pierre Pitrou a vesko ar plantañ struzh hag an adtapout dour glav ; evit Bernard Menguy a adwelo panelloù al lec’hienn, a grouo ur goudor evit ar c’hilhogeged (yer, yer-Indez,…) hag a stalio eno e « sammgar atalier war vale » eus « l’Urgence de l’Art » evit ober anezhañ un annez arzourien.
En prolongement de ces propositions et interventions artistiques, de nombreux partenaires associatifs (le Centre Permanent d’Initiation à l’Environnement, Vert le Jardin, Arrée Succulentes…) présenteront des expositions, projections vidéo, des ateliers pour petits et grands …
Ouzhpenn ar c’hinnigoù hag an abadennoù arzel-se, e vo kalz kevelerien eus ar c’hevredigezhioù (le Centre Permanent d’Initiation à l’Environnement, Vert le Jardin, Arrée Succulentes…) o kinnig diskouezadegoù, videoioù, atalieroù evit ar re vihan hag ar re vras …
Le jardin solidaire, rue du Moulin de la Chèvre dans le quartier de la Fouasserie, à proximité du centre ville
Al liorzh kengret, straed Milin ar C’havr e karter ar Fouasiri, tost da greiz kêr.
L’environnement des images.
Endro ar skeudennoù.
Le titre de l’exposition fait référence à un ouvrage intitulé L’écologie des images (1982) d’Ernst Gombrisch.
Titl an diskouezadeg a ra dave d’ul levr anvet Ekologiezh ar skeudennoù (1982) gant Ernst Gombrisch.
L’historien d’art y opère un rapprochement entre l’écologie des êtres vivants et l’écologie des images.
Ennañ e tosta istorour an arz ekologiezh ar boudoù bev ouzh ekologiezh ar skeudennoù.
L’analogie permet, selon lui, de comprendre le moment où les images deviennent de l’art, en comprenant le « bain » culturel et social dans lequel certains styles ou thèmes artistiques ont pu émerger.
Gant an damheñvelded e c’haller, hervezañ, kompren ar c’houlz ma teu ar skeudennoù da vezañ arz pa intenter ar « soubenn » sevenadurel ha sokial m’o doa gallet stiloù pe temoù arzel zo dont war wel.
Essentiellement basé sur l’image, le travail d’Axelle Rioult explore les relations complexes de l’humain à son environnement.
War ar skeudennoù dreist-holl eo diazezet labour Axelle Rioult. Furchal a ra an darempredoù luziet a zo etre mab-den hag e endro.
Ce n’est pas tant la lecture « sociale » de l’image qui est centrale ici, puisque l’attrait des artistes contemporains pour l’écologie dans le contexte actuel est partagé et visible.
N’eo ket lenn ar skeudenn « ent sokial » a zo e-kreiz ar jeu amañ kement-se, peogwir eo dedennet an darn vrasañ eus an arzourien a vremañ gant an ekologiezh en deiz hiziv, ha gwelet splann e vez an dra-se.
L’exposition propose plutôt de regarder la façon dont l’image se forme et se comprend en résonance avec un contexte spécifique.
An diskouezadeg a ginnig kentoc’h sellet ouzh an doare m’en em stumm ar skeudenn ha ma vez komprenet en un endro difer.
L’environnement vient former et informer l’œuvre, dès le départ pensée comme telle, et ouvre à une lecture qui emmène l’œuvre vers une image qui n’appartient pas nécessairement au champ de l’art.
Dont a ra an endro da furmiñ ha da ditouriñ an oberenn, empentet evel-se adalek ar penn kentañ, ha digeriñ a ra ur sell hag a gas an oberenn d’ur skeudenn ha n’emañ ket dre ret war dachenn an arz.
C’est alors le mouvement inverse à celui que cherche à identifier Gombrisch qui se produit : non plus de l’image vers l’art, mais de l’art vers l’image.
Da neuze e weler ul lusk kontrol d’an hini a glask anavezout Gombrisch : n’eo ket eus ar skeudenn d’an arz, met eus an arz d’ar skeudenn.
Dans cette optique, certaines œuvres sont présentées sur les vitrines de la galerie, faisant dialoguer l’espace d’exposition avec l’extérieur.
Rak-se e kinniger oberennoù zo war gwerennoù ar palier, ma lakaont al lec’h-diskouez da gendivizout gant an diavaez.
La première salle ouvre sur la notion de circulation, entre les œuvres mais aussi entre l’humain et la nature.
Er sal gentañ e kaver naoutur an tremen, etre an oberennoù hag ivez etre mab-den hag an natur.
La construction de notre perception de la nature apparaît en filigrane dans les œuvres, à travers un travail sur la circulation des idées, des images, du temps et des espaces.
Damwelet a reer penaos e vez savet hon doare da verzout an natur en oberennoù, dre ul labour war tremen ar soñjoù, ar skeudennoù, an amzer hag an egorennoù.
Dans un deuxième espace, les images invitent à un cheminement dans différentes natures.
En un eil lec’h ez omp pedet gant ar skeudennoù da vale e meur a natur.
Les photographies soulignent la capacité d’imaginaire véhiculée par la nature.
Ar poltredoù a bouez war barregezh ar faltazi kaset gant an natur.
Selon Gombrisch, le mythe est une vision et une allégorie de la nature, créé afin de mieux l’appréhender.
Hervez Gombrisch ez eo ar vojenn ur weledigezh hag ur barabolenn eus an natur, krouet evit tapout krog enni gwelloc’h.
Sans reprendre les codes du paysage mythologique, Axelle Rioult présente des œuvres qui portent la trace du rapport imaginaire à la nature – lieu de fantasme, de drame comme de bien-être.
Ne adkemer ket Axelle Rioult kodoù an ardremezioù mojennel, met kinnig a ra oberennoù ma weler roudoù an darempred faltaziek gant an natur – ul lec’h ma kaver hunvreoù, gwall reuz hag ivez aezamant.
Dialoguant avec l’exposition du festival située sur la place Saint-Thomas, une première œuvre est placée sur les vitres de la galerie.
Ouzh gwerenn ar palier ez eus un oberenn gentañ o kendivizout gant diskouezadeg ar gouel war blasenn Sant Tomaz.
Elle combine des détails de nourriture qui viennent former un paysage abstrait.
Enni ez eus kemmesket munudoù boued hag a ya d’ober un ardremez difetis.
L’image qui apparaît est ambivalente car elle est à la fois attirante et repoussante.
Daoudu eo ar skeudenn a zeu war wel, rak dedennus hag euzhus eo war un dro.
Cette vitrophanie joue par ailleurs sur la transparence.
A-hend-all e c’hoari ar gwerlivadur-mañ gant ar voullded.
Elle permet une lecture mouvante de l’image, constamment recomposée par la lumière, les ombres, le passage des gens.
Gant-se e c’haller lenn ar skeudenn en un doare lusk-dilusk, adaozet dalc’hmat gant ar gouloù, ar skeudoù, an dud o tremen.
Installation en crépine de porc.
Staliadur e brozh voc’h.
Cette installation placée sur la verrière au-dessus des visiteurs dessine des formes alvéolées.
Emañ ar staliadur-mañ war an doenn wer a-us ar weladennerien, ma tres furmoù par da gevigoù.
Elle est réalisée avec de la crépine de porc.
Graet eo bet gant brozh voc’h.
Elle vient redessiner l’espace en projetant son ombre au sol.
Adtresañ a ra an egor en ur vannañ e skeud ouzh al leur.
L’aspect obtenu, avec un matériau a priori repoussant, souligne la richesse des formes qui peuvent surgir des éléments naturels.
An arvez anezhañ, gant dafar kentoc’h doñjerus, a ziskouez pegen puilh eo ar furmoù a c’hall difoupañ eus an danvezioù naturel.
Vidéo couleur, 1 minute en boucle.
Video a-liv, 1 vunutenn en ur boukl.
La vidéo présente un paysage désertique, partiellement masqué par un voile léger et des formes qui semblent organiques.
Er video e weler un ardremez digenvez, masklet un darn anezhañ gant ur ouel skañv ha furmoù hag a ziskouez bezañ organek.
La sensation qui se dégage est celle d’un monde post-apocalyptique, révélant sa fragilité.
Gant kement-se e santer ur bed war-lerc’h an apokalips, hag a ziskuilh pegen bresk eo.
18 tirages photographiques sur papier.
18 poltred tennet war baper.
Dans cette série de photographies, une attention particulière est portée à la trace laissée dans le paysage.
Er rummad poltredoù-mañ ez eus bet taolet evezh bras ouzh ar roudoù lezet en ardremez.
L’image évoque un détail de tableau, saisissant précisément les infimes mouvements de l’herbe.
Ar skeudenn a laka da soñjal en un tamm eus un daolenn, pa dap en un doare resis fiñvadennoù disterañ ar geot.
L’humain est absent - il est presque absent de l’ensemble de l’exposition - mais son passage furtif souligne un état de désordre.
Ne weler ket mab-den – ne vez ket gwelet, pe dost, en holl ziskouezadeg – met e dremen dre laer a laka ur stad a zizurzh war wel.
Le mouvement souligne l’impermanence du vivant tout autant que son dynamisme.
Gant ar fiñv e pouezer ken war an dibad m’eo ar vuhez, ken war al lusk anezhi.
Des fossiles en céramique sont posés sur un sol de cendres.
Lakaet ez eus fosiloù pri-poazh war ul leur ludu.
Les formes primitives des fossiles rappellent une mémoire enfouie qui, dévoilée, interrogent notre construction intellectuelle de la nature.
Furmoù kentidik ar fosiloù a zegas da soñj eus ur memor ankounac’haet.
Celle-ci, quand elles sont dévoilée, interrogent notre construction intellectuelle de la nature.
Hennezh, pa vez diskuliet, a ra goulennoù diwar-benn an doare ma savomp an natur en hor spered.
Le vrai fossile, le faux fossile se confondent et,
Kemmesket eo ar fosiloù gwir hag ar fosiloù faos.
Posés ostensiblement sur de la cendre, ils semblent jouer le rôle d’un memento mori.
Lakaet a-wel-kaer war al ludu, e seblantont c’hoari roll ur memento mori.
Le mur de photographies vient interroger cette construction visuelle qui nous guide dans la perception et compréhension du monde.
Ar vogeriad poltredoù a ra deomp klask gouzout petra a savomp gant hor gweled, a stur ac’hanomp en hor mod da verzout ha da gompren ar bed.
Ces photographies soulignent des tensions entre intérieur et extérieur, suppriment les distances entre passé, présent et futur, esquissent des passages, mettent en avant des éléments délaissés par le regard.
Ar poltredoù-mañ a laka stennadurioù etre an diabarzh hag an diavaez war wel, a lam an hed etre an amzer-dremenet, an amzer-vremañ hag an amzer da zont, a zamskeudenn tremenioù, a gas war-raok elfennoù dilezet gant ar sell.
L’ensemble recompose une image globale, révélant une vision fragile et déséquilibrée de l’environnement faisant écho à la perception chaotique actuelle de notre environnement.
Gant kement-se ez eus adaozet ur skeudenn hollek, hag a ziskuilh ur gwel bresk ha digempouez eus an endro a laka da hekleviñ an doare mil rouestlet ma verzomp hon endro bremañ.
Photographie sur dibbond.
Poltred war dibbond.
L’arbre est le personnage principal de ce « tableau » qui rejoue les codes de la peinture romantique du 19e siècle.
Ar wezenn eo an elfenn bennañ en « daolenn »-mañ a adc’hoari gant kodoù al livouriezh romantel eus an 19vet kantved.
Torturé, l’arbre occupe le centre de l’image nous invitant à y projeter des gestes et expressions humaines.
Emañ ar wezenn, kamm da vat, e-kreiz ar skeudenn, hag e ped ac’hanomp da vannañ outi jestroù ha doareoù mab-den.
Agrandie et appliquée comme un papier peint, cette photographie propose une immersion dans un paysage d’arbres aux tonalités froides.
Brasaet ha lakaet evel paper-moger eo ar poltred-mañ. Kinnig a ra d’an nen ober ur soubañ en ur maeziad gwez o livioù yen.
L’image est partiellement fragmentée, ce qui renforce l’impression d’une nature étrange et angoissante.
Un darn eus ar skeudenn zo a-dammoù, ar pezh a ra da santadur un natur iskis hag ankenius bezañ kreñvoc’h c’hoazh.
Le très grand format permet de souligner la menace d’une nature incontrôlable et débordante qui est tant bien que mal cadrée.
Gant ar bras-bras m’eo-hi e c’hall pouezañ war gourdourz un natur gouez ha puilh, lakaet well-wazh e-barzh ur stern.
Photographies imprimées sur tissu.
Poltredoù moullet war lien.
Ces images plus apaisées ont été prises dans des fermes fonctionnant en biodynamie en Toscane (Italie) et dans la Manche (France).
Tennet e oa bet ar skeudennoù habaskoc’h-mañ e-barzh mereurioù hag a ya en-dro gant ar viodinamiezh, e Toskana (Italia) hag er Manche (Frañs).
Le tissu sur lequel les photographies sont imprimées apporte une certaine légèreté et se laisse transpercer par la lumière.
Al lien a zo bet moullet al luc’hskeudennoù warnañ a ra dezho bezañ skañv un tamm bennak, ha lezel ar gouloù da dremen.
L’histoire de l’art est là encore perceptible notamment à travers un travail sur la brume (sfumato), sur les lumières et les contrastes (chiaroscuro).
Aze e weler c’hoazh istor an arz, da skouer dre ul labour war ar vrumenn (sfumato), war ar gouleier hag ar c’hemmoù liv (chiaroscuro).
Photographies sur dibbond, caissons en plexiglas
Poltredoù war dibbond, koufroù pleksiglas.
Les images de cette série sont visibles depuis la rue et semblent flotter dans l’espace de la galerie.
Skeudennoù ar rummad-mañ a c’haller gwelet adalek ar straed, hag a seblant flodañ e-barzh ar palier.
Des graines de pavot rapportées de Tunisie recouvrent des photographies familiales anciennes, alors partiellement cachées.
Had roz-moc’h degaset eus Tunizia a c’holo poltredoù-familh kozh hag ar re-se en em gav kuzhet a-zarn.
La mémoire peut être pensée comme espace en friche, laissée à l’abandon.
Ar memor a c’hall bezañ empentet evel un dachenn fraost, lezet war an dispalu.
Elle permet le surgissement d’autres éléments inattendus.
Anezhi e c’hall difoupañ elfennoù dic’hortoz all.
Bac en bois, volubilis.
Bailh koad, troell.
Des liserons ont été mis dans un bac et s’invitent sur la façade de la galerie.
Lakaet ez eus bet troell en ur bailh, ha kavout a reont o flas ouzh fasadenn ar palier.
L’approche de la nature comme ornementation est visible, et permet de s’interroger sur la classification de certaines espèces animales et végétales comme nuisibles.
Splann eo implij an natur evit kinklañ, ha dre-se e c’haller klask gouzout perak e konter spesadoù loened ha plant zo da vezañ noazus.
Eléments biographiques.
Diwar-benn buhez an dud.
Camille Prunet est docteur en esthétique et science de l'art.
Camille Prunet zo doktorez war ar genedoniezh ha skiant an arz.
Elle est critique d'art, commissaire d'exposition et enseignante à l'Université de Caen et à l'IESA Paris.
Burutellerez-arz eo-hi, hag ivez komiserez diskouezadegoù ha kelennerez e Skol-veur Caen hag e SUBA Pariz.
Ses recherches portent sur les œuvres qui s'inspirent de questionnements scientifiques ou écologiques pour développer de nouvelles formes plastiques.
Enklaskoù a ra diwar-benn an oberennoù a zo bet awenet gant goulennoù skiantel pe ekologel evit diorren furmoù plastek nevez.
Axelle Rioult est artiste visuelle,
Un arzourez eus ar gweled eo Axelle Rioult.
Elle utilise essentiellement la photographie depuis une dizaine d'années.
Un dek vloaz bennak zo e ra dreist-holl gant al luc’hskeudennerezh.
Elle expose et travaille en France et à l'étranger.
Diskouez he oberennoù ha labourat a ra e Frañs hag en estrenvro.
Le travail de l'artiste souligne les endroits de passage, les rapports entre intérieur et extérieur comme les traces laissées par les activités humaines dans la nature.  
En he labourioù e pouez an arzourez war al lec’hioù ma tremener, an darempredoù etre an diabarzh hag an diavaez evel ar roudoù lezet gant obererezh mab-den en natur.
Elle mène depuis deux ans un projet artistique au sein de domaines agricoles biologiques situés dans différents pays.
Daou vloaz zo emañ o ren ur mennad arz e-barzh tachennoù labour-douar biologel e meur a vro.
La ligne et le volume.
Al linenn hag an ec’honenn.
Œuvres de la collection du Frac Bretagne.
Oberennoù eus dastumad Drab Breizh.
Exposition du 11 juillet au 1er novembre 2015.
Diskouezadeg eus an 11 a viz Gouere d’ar 1añ a viz Du 2015.
Amuse-toi à remplir ce cahier de jeux, seul ou avec l’aide de ta famille.
Kemer plijadur ’ta o leuniañ ar c’haierad c’hoarioù-mañ, da-unan-penn pe gant sikour da familh.
Pour cela, observe attentivement les œuvres et les explications à côté.
Evit se, sell pizh ouzh an oberennoù hag ouzh an displegadennoù en o c’hichen.
Bonne visite et à toi de jouer !
Kae da ebatal : dit-te da c’hoari bremañ !
Une touche de couleur !
Un tamm liv !
Dans chacune des lignes verticales de l’œuvre Xylophone d’Aurelie Nemours, deux rectangles colorés ont été inversés.
E pep hini eus al linennoù a-blom en oberenn Xylophone gant Aurelie Nemours, ez eus bet eilpennet div hirgarrezenn a liv.
À toi de les retrouver !
Dit-te eo da adkavout anezho !
Les formes rectangulaires colorées de Xylophone semblent se répondre et s’apparenter aux touches d’un clavier ou d’un instrument à percussion comme le xylophone.
Krediñ a rafed e respont ar furmoù hirgarrezek a liv an eil re d’ar re all e Xylophone. Heñvel int ouzh touchennoù ur c’hlavier pe ouzh re ur benveg tos evel ar zilofon.
D’après Aurelie Nemours, Xylophone, 1991, collection privée, dépôt au Frac Bretagne.
Diwar Aurelie Nemours, Xylophone, 1991, dastumad prevez, fiziet e Drab Breizh.
Le jeu des 7 différences.
C’hoari ar 7 kemm.
Observe attentivement l’Ange Oiseau d’Olivier Mourgue et retrouve les 7 différences dans la reproduction ci-dessous.
Sell pizh ouzh an Ange Oiseau gant Olivier Mourgue hag adkav ar 7 kemm a zo en eilskeudenn amañ dindan.
D’après Olivier Mourgue, Ange Oiseau, 2005 - 2006, collection Frac Bretagne, crédit photo : droits réservés.
Diwar Olivier Mourgue, Ange Oiseau, 2005 - 2006, dastumad Drab Breizh, kredad luc’hskeudenniñ : gwirioù miret strizh.
Intrus, où es-tu ?
An nostant, pelec’h emañ ?
Regarde les œuvres de la série Citadelles d’André Léocat et trouve l’intrus qui ne figure pas dans l’exposition.
Sell ouzh an oberennoù eus ar rummad Citadelles gant André Léocat, ha kav an direnker n’emañ ket e-barzh an diskouezadeg.
Du volume à la ligne.
Eus an ec’honenn d’al linenn.
Essaie de dessiner les contours de cette statuette féminine de Jan krizek d’un seul tracé sans t’arrêter !
Klask ’ta tresañ stumm an delwennig maouez-se gant Jan Krizek war-bouez ul linenn hepken, hep sevel da greion !
Invente-lui un nom.
Ijin un anv eviti.
Jeu de construction !
C’hoari sevel !
À partir des formes de la sculpture Croquets de Nicolas Fédorenko, invente et dessine un objet ou une architecture de ton choix !
Diwar furmoù ar c’hizelladur Croquets gant Nicolas Fédorenko, ijin ha tres un dra pe un tamm savadur evel a gari !
Vue du dessus !
Gwelet a-ziwar-lein !
Aide les régisseurs du Frac à construire l’œuvre Dessin espace de Stanislav Kolibal en complétant la partie manquante sur le schéma.
Sikour mererien Drab da sevel an oberenn Dessin espace gant Stanislav Kolibal dre glokaat al lodenn a vank war ar brastres.
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Korpus-divyezhek-brezhoneg-galleg

Le corpus bilingue breton- français de l'Office public de la langue bretonne est un corpus de textes traduits par des traducteurs humains.

Il est composé de 62 861 phrases alignées en breton et en français. Il s'agit principalement de documents administratifs, d'articles ou d'expositions.

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Usage

from datasets import load_dataset
dataset = load_dataset("Bretagne/Korpus-divyezhek-brezhoneg-galleg")
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