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Dégage des mots clés dans le texte : Greffage de modèles de lignines sur polystyrène par lien imino La synthèse d'oligolignols fixés sur polymère (LFP) a été entreprise afin d'étudier les propriétés physicochimiques et les mécanismes de dégradation des différentes sous-unités structurales constitutives des lignines, dans des conditions plus proches de celles auxquelles le polymère naturel est soumis. Dans ce travail, des modèles simplifiés de lignine greffés par des liens imino et amino sur une résine fonctionnalisée à 1 % d'aminométhylpolystyrène, sans protection préalable des fonctions hydroxyle, sont proposés. | Lignine |
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite), Sr2Fe(Fe0,63Mg0,37)2Al4(PO4)4(OH)10 La structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite) a été résolue par étude d'un monocristal aux rayons X: - symétrie triclinique (P1); - paramètres de maille: a = 5,457(1) Å, b = 9,131(2) Å, c = 9,769(2) Å, α = 108,47(3)°, β = 91,72(3)° et γ = 97,44(3)°, - formule structurale: (Sr0.96Ba0.04)2Fe(Fe0.63Mg0.37)2Al4[(P0.98V0.02)O4]4(OH)10 (Z=1). La structure montre l'alternance selon l'axe b, d'une part, de chaînes infinies parallèles à l'axe a, dont le motif se compose d'un octaèdre Fe2+O6 suivi d'une paire d'octaèdres AlO6 et, d'autre part, de trimères formés d'un octaèdre AlO6 encadré par deux octaèdres (Fe2+,Mg)O6. Trimères et chaînes sont liés par les sommets d'un octaèdre AlO6 et de deux tétraèdres PO4. Les ions strontium occupent les tunnels formés par la structure. Cette structure est isotype de celle de la jamésite (arséniate de plomb). Des sous-motifs analogues se retrouvent dans certaines espèces minérales, les trimères dans la ludlamite (phosphate de fer), les chaînes dans différents hydroxosels. | Structure cristalline, Hydroxyphosphate, Phosphate, Strontium, Lulzacite, Formule structurale |
Extrais les mots clés importants du texte suivant : Structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite), Sr2Fe(Fe0,63Mg0,37)2Al4(PO4)4(OH)10 La structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite) a été résolue par étude d'un monocristal aux rayons X: - symétrie triclinique (P1); - paramètres de maille: a = 5,457(1) Å, b = 9,131(2) Å, c = 9,769(2) Å, α = 108,47(3)°, β = 91,72(3)° et γ = 97,44(3)°, - formule structurale: (Sr0.96Ba0.04)2Fe(Fe0.63Mg0.37)2Al4[(P0.98V0.02)O4]4(OH)10 (Z=1). La structure montre l'alternance selon l'axe b, d'une part, de chaînes infinies parallèles à l'axe a, dont le motif se compose d'un octaèdre Fe2+O6 suivi d'une paire d'octaèdres AlO6 et, d'autre part, de trimères formés d'un octaèdre AlO6 encadré par deux octaèdres (Fe2+,Mg)O6. Trimères et chaînes sont liés par les sommets d'un octaèdre AlO6 et de deux tétraèdres PO4. Les ions strontium occupent les tunnels formés par la structure. Cette structure est isotype de celle de la jamésite (arséniate de plomb). Des sous-motifs analogues se retrouvent dans certaines espèces minérales, les trimères dans la ludlamite (phosphate de fer), les chaînes dans différents hydroxosels. | Structure cristalline, Hydroxyphosphate, Phosphate, Strontium, Lulzacite, Formule structurale |
Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite), Sr2Fe(Fe0,63Mg0,37)2Al4(PO4)4(OH)10 La structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite) a été résolue par étude d'un monocristal aux rayons X: - symétrie triclinique (P1); - paramètres de maille: a = 5,457(1) Å, b = 9,131(2) Å, c = 9,769(2) Å, α = 108,47(3)°, β = 91,72(3)° et γ = 97,44(3)°, - formule structurale: (Sr0.96Ba0.04)2Fe(Fe0.63Mg0.37)2Al4[(P0.98V0.02)O4]4(OH)10 (Z=1). La structure montre l'alternance selon l'axe b, d'une part, de chaînes infinies parallèles à l'axe a, dont le motif se compose d'un octaèdre Fe2+O6 suivi d'une paire d'octaèdres AlO6 et, d'autre part, de trimères formés d'un octaèdre AlO6 encadré par deux octaèdres (Fe2+,Mg)O6. Trimères et chaînes sont liés par les sommets d'un octaèdre AlO6 et de deux tétraèdres PO4. Les ions strontium occupent les tunnels formés par la structure. Cette structure est isotype de celle de la jamésite (arséniate de plomb). Des sous-motifs analogues se retrouvent dans certaines espèces minérales, les trimères dans la ludlamite (phosphate de fer), les chaînes dans différents hydroxosels. | Structure cristalline, Hydroxyphosphate, Phosphate, Strontium, Lulzacite, Formule structurale |
Isoler les mots clés importants du texte suivant : Structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite), Sr2Fe(Fe0,63Mg0,37)2Al4(PO4)4(OH)10 La structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite) a été résolue par étude d'un monocristal aux rayons X: - symétrie triclinique (P1); - paramètres de maille: a = 5,457(1) Å, b = 9,131(2) Å, c = 9,769(2) Å, α = 108,47(3)°, β = 91,72(3)° et γ = 97,44(3)°, - formule structurale: (Sr0.96Ba0.04)2Fe(Fe0.63Mg0.37)2Al4[(P0.98V0.02)O4]4(OH)10 (Z=1). La structure montre l'alternance selon l'axe b, d'une part, de chaînes infinies parallèles à l'axe a, dont le motif se compose d'un octaèdre Fe2+O6 suivi d'une paire d'octaèdres AlO6 et, d'autre part, de trimères formés d'un octaèdre AlO6 encadré par deux octaèdres (Fe2+,Mg)O6. Trimères et chaînes sont liés par les sommets d'un octaèdre AlO6 et de deux tétraèdres PO4. Les ions strontium occupent les tunnels formés par la structure. Cette structure est isotype de celle de la jamésite (arséniate de plomb). Des sous-motifs analogues se retrouvent dans certaines espèces minérales, les trimères dans la ludlamite (phosphate de fer), les chaînes dans différents hydroxosels. | Structure cristalline, Hydroxyphosphate, Phosphate, Strontium, Lulzacite, Formule structurale |
Isole les mots clés importants du texte suivant : Structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite), Sr2Fe(Fe0,63Mg0,37)2Al4(PO4)4(OH)10 La structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite) a été résolue par étude d'un monocristal aux rayons X: - symétrie triclinique (P1); - paramètres de maille: a = 5,457(1) Å, b = 9,131(2) Å, c = 9,769(2) Å, α = 108,47(3)°, β = 91,72(3)° et γ = 97,44(3)°, - formule structurale: (Sr0.96Ba0.04)2Fe(Fe0.63Mg0.37)2Al4[(P0.98V0.02)O4]4(OH)10 (Z=1). La structure montre l'alternance selon l'axe b, d'une part, de chaînes infinies parallèles à l'axe a, dont le motif se compose d'un octaèdre Fe2+O6 suivi d'une paire d'octaèdres AlO6 et, d'autre part, de trimères formés d'un octaèdre AlO6 encadré par deux octaèdres (Fe2+,Mg)O6. Trimères et chaînes sont liés par les sommets d'un octaèdre AlO6 et de deux tétraèdres PO4. Les ions strontium occupent les tunnels formés par la structure. Cette structure est isotype de celle de la jamésite (arséniate de plomb). Des sous-motifs analogues se retrouvent dans certaines espèces minérales, les trimères dans la ludlamite (phosphate de fer), les chaînes dans différents hydroxosels. | Structure cristalline, Hydroxyphosphate, Phosphate, Strontium, Lulzacite, Formule structurale |
Isolez les mots clés importants du texte suivant : Structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite), Sr2Fe(Fe0,63Mg0,37)2Al4(PO4)4(OH)10 La structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite) a été résolue par étude d'un monocristal aux rayons X: - symétrie triclinique (P1); - paramètres de maille: a = 5,457(1) Å, b = 9,131(2) Å, c = 9,769(2) Å, α = 108,47(3)°, β = 91,72(3)° et γ = 97,44(3)°, - formule structurale: (Sr0.96Ba0.04)2Fe(Fe0.63Mg0.37)2Al4[(P0.98V0.02)O4]4(OH)10 (Z=1). La structure montre l'alternance selon l'axe b, d'une part, de chaînes infinies parallèles à l'axe a, dont le motif se compose d'un octaèdre Fe2+O6 suivi d'une paire d'octaèdres AlO6 et, d'autre part, de trimères formés d'un octaèdre AlO6 encadré par deux octaèdres (Fe2+,Mg)O6. Trimères et chaînes sont liés par les sommets d'un octaèdre AlO6 et de deux tétraèdres PO4. Les ions strontium occupent les tunnels formés par la structure. Cette structure est isotype de celle de la jamésite (arséniate de plomb). Des sous-motifs analogues se retrouvent dans certaines espèces minérales, les trimères dans la ludlamite (phosphate de fer), les chaînes dans différents hydroxosels. | Structure cristalline, Hydroxyphosphate, Phosphate, Strontium, Lulzacite, Formule structurale |
Dégager des mots clés dans le texte : Structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite), Sr2Fe(Fe0,63Mg0,37)2Al4(PO4)4(OH)10 La structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite) a été résolue par étude d'un monocristal aux rayons X: - symétrie triclinique (P1); - paramètres de maille: a = 5,457(1) Å, b = 9,131(2) Å, c = 9,769(2) Å, α = 108,47(3)°, β = 91,72(3)° et γ = 97,44(3)°, - formule structurale: (Sr0.96Ba0.04)2Fe(Fe0.63Mg0.37)2Al4[(P0.98V0.02)O4]4(OH)10 (Z=1). La structure montre l'alternance selon l'axe b, d'une part, de chaînes infinies parallèles à l'axe a, dont le motif se compose d'un octaèdre Fe2+O6 suivi d'une paire d'octaèdres AlO6 et, d'autre part, de trimères formés d'un octaèdre AlO6 encadré par deux octaèdres (Fe2+,Mg)O6. Trimères et chaînes sont liés par les sommets d'un octaèdre AlO6 et de deux tétraèdres PO4. Les ions strontium occupent les tunnels formés par la structure. Cette structure est isotype de celle de la jamésite (arséniate de plomb). Des sous-motifs analogues se retrouvent dans certaines espèces minérales, les trimères dans la ludlamite (phosphate de fer), les chaînes dans différents hydroxosels. | Structure cristalline, Hydroxyphosphate, Phosphate, Strontium, Lulzacite, Formule structurale |
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Génère des mots clés issus du texte suivant : Structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite), Sr2Fe(Fe0,63Mg0,37)2Al4(PO4)4(OH)10 La structure cristalline d'un nouvel hydroxyphosphate naturel de strontium, fer et aluminium (lulzacite) a été résolue par étude d'un monocristal aux rayons X: - symétrie triclinique (P1); - paramètres de maille: a = 5,457(1) Å, b = 9,131(2) Å, c = 9,769(2) Å, α = 108,47(3)°, β = 91,72(3)° et γ = 97,44(3)°, - formule structurale: (Sr0.96Ba0.04)2Fe(Fe0.63Mg0.37)2Al4[(P0.98V0.02)O4]4(OH)10 (Z=1). La structure montre l'alternance selon l'axe b, d'une part, de chaînes infinies parallèles à l'axe a, dont le motif se compose d'un octaèdre Fe2+O6 suivi d'une paire d'octaèdres AlO6 et, d'autre part, de trimères formés d'un octaèdre AlO6 encadré par deux octaèdres (Fe2+,Mg)O6. Trimères et chaînes sont liés par les sommets d'un octaèdre AlO6 et de deux tétraèdres PO4. Les ions strontium occupent les tunnels formés par la structure. Cette structure est isotype de celle de la jamésite (arséniate de plomb). Des sous-motifs analogues se retrouvent dans certaines espèces minérales, les trimères dans la ludlamite (phosphate de fer), les chaînes dans différents hydroxosels. | Structure cristalline, Hydroxyphosphate, Phosphate, Strontium, Lulzacite, Formule structurale |
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Hypothèse cristallochimique des mécanismes de formation de CuO(s) et de Cu(OH)2(s) à partir de Na2Cu(OH)4(s) L'addition d'eau à des systèmes contenant le solide Na2Cu(OH)4(s) en équilibre avec sa solution saturée peut conduire à la formation de deux solides différents: CuO(s) et Cu(OH)2(s). L'oxyde est obtenu lorsque l'addition est lente; il correspond à l'état d'équilibre; l'hydroxyde est obtenu par addition rapide d'une grande quantité d'eau et est une phase métastable du système. Pour expliciter ces comportements différents, nous proposons des hypothèses de mécanismes réactionnels. Lors de la dilution lente, les ions Na+ quittent la structure de Na2Cu(OH)4(s) et passent en solution. Parallèlement, les deux liaisons Cu-O les plus longues de l'environnement octaédrique du cuivre se brisent pour donner naissance aux ions complexes Cu(OH)4 2-(aq), stables en solution et qui constituent les briques élémentaires permettant la formation de CuO(s). En revanche, la synthèse de Cu(OH)2(s) à partir de Na2Cu(OH)4(s) n'est possible que si la dilution est effectuée en introduisant une grande quantité d'eau dans le but de diminuer très rapidement la concentration des ions OH-, cette opération permettant d'éviter la formation des ions complexes Cu(OH)4 2- (aq), précurseurs de CuO(s) Dans ces conditions, Na2Cu(OH)4(s) donne naissance à l'hydroxyde de cuivre divalent Cu(OH)2(s) par une réaction supposée topotactique. | Cristallochimie, Solution saturée, Oxyde, Hydroxyde, Dilution, Réaction topotactique, Mécanisme formation, Cuivre oxyde, Cuivre hydroxyde |
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Isole les mots clés importants du texte suivant : Hypothèse cristallochimique des mécanismes de formation de CuO(s) et de Cu(OH)2(s) à partir de Na2Cu(OH)4(s) L'addition d'eau à des systèmes contenant le solide Na2Cu(OH)4(s) en équilibre avec sa solution saturée peut conduire à la formation de deux solides différents: CuO(s) et Cu(OH)2(s). L'oxyde est obtenu lorsque l'addition est lente; il correspond à l'état d'équilibre; l'hydroxyde est obtenu par addition rapide d'une grande quantité d'eau et est une phase métastable du système. Pour expliciter ces comportements différents, nous proposons des hypothèses de mécanismes réactionnels. Lors de la dilution lente, les ions Na+ quittent la structure de Na2Cu(OH)4(s) et passent en solution. Parallèlement, les deux liaisons Cu-O les plus longues de l'environnement octaédrique du cuivre se brisent pour donner naissance aux ions complexes Cu(OH)4 2-(aq), stables en solution et qui constituent les briques élémentaires permettant la formation de CuO(s). En revanche, la synthèse de Cu(OH)2(s) à partir de Na2Cu(OH)4(s) n'est possible que si la dilution est effectuée en introduisant une grande quantité d'eau dans le but de diminuer très rapidement la concentration des ions OH-, cette opération permettant d'éviter la formation des ions complexes Cu(OH)4 2- (aq), précurseurs de CuO(s) Dans ces conditions, Na2Cu(OH)4(s) donne naissance à l'hydroxyde de cuivre divalent Cu(OH)2(s) par une réaction supposée topotactique. | Cristallochimie, Solution saturée, Oxyde, Hydroxyde, Dilution, Réaction topotactique, Mécanisme formation, Cuivre oxyde, Cuivre hydroxyde |
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Volumes molaires partiels de composés tensioactifs dans les milieux salins concentrés eau-KCl Les volumes molaires apparents de quatre détergents cationiques CH3(CH2)nN(CH3)3Br pour n=9, 11, 13 et 15 ont été déterminés dans les mélanges eau-chlorure de potassium à 298 K, pour des concentrations en électrolyte support comprises entre 0,5 et 3,5 mol L−1. La très faible dépendance des volumes molaires apparents des tensioactifs, une fois micellisés, avec la concentration du sel de fond laisse supposer que les interactions entre les amphiphiles eux-mêmes et entre les amphiphiles et leur environnement ne sont pas fondamentalement modifiées par l'addition de sel. L'utilisation de résultats antérieurs obtenus pour ces mêmes milieux, concernant le comportement des sels d'ammonium symétriques permet d'accéder aux volumes intrinsèques des amphiphiles et, par conséquence, d'estimer le volume réel occupé par la phase micellaire dans la solution. Des mesures des volumes molaires apparents du bromure de dodécyltriméthylammonium et du dodécylsulfate de sodium dans les mélanges eau-NaCl permettent de confirmer les rôles dissymétriques joués par les anions et les cations en milieu salin concentré | Volume molaire, Solution concentrée, Solution saline, Composé amphiphile |
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Une famille originale de complexes hétérodinucléaires Co(II)-Ln(III) : synthèse et étude magnétostructurale Le complexe du cobalt(II) avec le 3-méthoxy 2-hydroxybenzaldéhyde, L2Co(H2O)2, réagit avec les nitrates de lanthanides pour conduire à un complexe dinucléaire L2Co(H2O)2Ln(NO3)3. Une étude structurale par diffraction des rayons X a été réalisée sur le complexe L2Co(H2O)2Pr(NO3)3. Il cristallise dans le groupe d'espace monoclinique P21/c, avec une maille élémentaire de dimension à = 9,4832(11) Å, b = 18,319(2) Å, c = 14,6226(13) Å et β = 106,121(12)° et quatre motifs par maille. Le complexe L2Co(H2O)2Gd(NO3)3 a fait l'objet d'une étude magnétique qui révèle que l'interaction d'échange entre les ions Co2+ et Gd3+ est ferromagnétique. | Complexe dinucléaire, Complexe de lanthanide |
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Une famille d'aimants bimétalliques CuIIMnIIà précurseurs moléculaires et contre-cations chiraux : synthèse et propriétés magnétiques Une famille de trois composés, de formule générale Mn2[Cu(opba)]3(cat)x(solv)y, où opba, (solv) et (cat) représentent respectivement l'ortho-phenylenebis(oxamato), des molécules de solvant et les contre-cations chiraux N,N'-dimethyl-nicotinium (nicot), diméthyl-hydroxyméthyl-2-éthyl-hydroxyméthyl-1-propyl-ammonium (ambutol) et N,N-dimethyl-éphédrinium (dmeph), a été synthétisée. Les propriétés magnétiques des trois composés sont caractéristiques d'entités ferrimagnétiques, avec un minimum dans la courbe XM T en fonction de T et une transition vers un ordre magnétique aux alentours de 20 K. L'utilisation de l'expansion de la fonction de partition à haute température et du modèle du champ moléculaire a permis de montrer que ces composés adoptent une structure bidimensionnelle. | Aimant moléculaire, Magnétisme moléculaire |
Extrais les mots clés importants du texte suivant : Une famille d'aimants bimétalliques CuIIMnIIà précurseurs moléculaires et contre-cations chiraux : synthèse et propriétés magnétiques Une famille de trois composés, de formule générale Mn2[Cu(opba)]3(cat)x(solv)y, où opba, (solv) et (cat) représentent respectivement l'ortho-phenylenebis(oxamato), des molécules de solvant et les contre-cations chiraux N,N'-dimethyl-nicotinium (nicot), diméthyl-hydroxyméthyl-2-éthyl-hydroxyméthyl-1-propyl-ammonium (ambutol) et N,N-dimethyl-éphédrinium (dmeph), a été synthétisée. Les propriétés magnétiques des trois composés sont caractéristiques d'entités ferrimagnétiques, avec un minimum dans la courbe XM T en fonction de T et une transition vers un ordre magnétique aux alentours de 20 K. L'utilisation de l'expansion de la fonction de partition à haute température et du modèle du champ moléculaire a permis de montrer que ces composés adoptent une structure bidimensionnelle. | Aimant moléculaire, Magnétisme moléculaire |