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d'caillé la ruelle par trois cinématographes mois fils du dernier; un train, en gare de La Rochelle, le voici écrasé, Latille, sans, est tombé de sa vigie et a été broyé par les roues d'un wagon. À la gare de Saint-Macaire, l'homme d'équine, Charlit, 50 ans, a été enseveli par un train en manoeuvre et tué sur le coup. À l'heure là même, une femme de 30 ans, Solange Delafalt, a mis le feu à ses habits en se chauffant. Atrocement brûlée, elle a succombé peu après. [VOIR LE SUITE, NOMBREUSES NOUVELLES EN 48 HEURES.] Celui qui avait glissé un | d'caillé la ruelle par trois cinématographes mois fils du dernier; un train, en gare de L Rochelle le voici écrasé, Latille, sans, est tombé de sa vigie et a été broyé par lse roues 'un wagon. À la gare de Saint-Macaire, l'hmm d'équine, Charlit, 50 ans, a été enseveli par un trn en manoeuvre et tué sur le coup. À l'heure là même une femme d 30 ans, Solange Delafalt, a mis le feu à ses habits en se chauffant. Atrocement ûle ll a succombé peu après. [VOIR EL SUITE, NOMBREUSES NOUVELLES EN 48 HEURES.] Celui qui avait glissé un |
NOMBREUSES NOUVELLES EN 48 HEURES.] Celui qui avait glissé un coup d'œil sur la canne à épée répondit brièvement, comme une riposte au ton hautain : — On dira le dira un peu plus tard, Monsieur Camille de Nyon. L'autre, plus calme, plus habile, répondit froidement, en observant Camille avec un regard qui le pénétra : — Parce que cette carte que vous reconnaissez vous avoir appartenu a été trouvée sur la cheminée du salon d'une femme assassinée, la nuit dernière. La police désire que vous lui expliquiez comment, par qui elle y a été déposée. Camille n'insista pas. Il | NOMBREUSES NOUVELLES EN 48 HEURES.] Cu qui vt glissé un coup d'œil sur la canne à épée répondit brièvement, comme une riposte au ton hautain : — On ira le dira un peu plus trd, Msiu Camille de Nyon. L'autre, pls calme, plus habile, répondit froidement, en observant Cmll avec un regard qui le pénétra : — Parce que cette carte que vous reconnaissez vous avoir appartenu a été trouvée sur la cheminée du salon d'une f assassinée, la nt drnèr. L plc désire que vous lui expliquiez comment, par qui elle y a été déposée. Camille n'insista ps. Il |
qui elle y a été déposée. Camille n'insista pas. Il comprit qui, ça aurait été pure perte. — Qu'à cela ne tienne, dit-il. C'est facile. Un peu nerveusement, il boutonna les dernières agrafes de son pardessus, il emboîta le pas, entre les deux agents, jusqu'au commissariat de police du quartier de l'Opéra. VI Les deux amies L'intimité s'était resserrée entre Linon et Lucie Maisse. Les enfants grandissaient. Ils passaient ensemble, sous la garde de leur mère, une partie de leur journée. Linon qui, depuis quelque temps, se sentait un peu délaissée par Trousse, était heureuse d'avoir quelqu'un avec qui s'entretenir. | qui elle a été dépsé. Camille n'insista sap. Il comprit u ç aurait été pure perte. — Qu'à cela ne tienne, dt-l. C'est facile. Un peu eemnt il tna ls dernières agrafes de son aupdrsses, il emboîta le pas, entre ls agents, jusqu'au commissariat de pl du quartier de l'pér. Les ex amies Lintimité s'était resserrée entre Lon et Lucie Maisse. sLe enfants grandissaient. Ils passaient ensemble, sous la garde d leur mère, rti de leur journée. Linon qui, dps quelque temps se sentait un peu délaissée pr Trousse, était s ridaov' quelqu'un avec qui s'ntrtnr. |
délaissée par Trousse, était heureuse d'avoir quelqu'un avec qui s'entretenir. Elle ne connaissait pas grand-chose de Paris et sa voisine l'avait mise au courant d'une infinité de détails dont elle lui savait gré. De plus, Linon lui rendait service. À force de recherches, Lucie Maisse était parvenue à se procurer de l'ouvrage. Habile brodeuse, elle travaillait pour une maison du boulevard Sébastopol. Elle échantillonnait aussi à des prix avantageux, vu son habileté, des ouvrages de tapisserie. C'était Linon qui allait chercher et rapporter l'ouvrage. C'était elle qui, à certains jours déterminés, faisait le ménage de Lucie moyennant une modeste rétribution. | délaissée par Trousse, était heureuse d'avoir quelqu'un vc qui s'entretenir. Ell e connaissait pas grand-chose de Paris a voisine l'avait mise au courant d'une infinité de détails dnt elle lui savait gré. De plus, Linon lui rendait service. À force rchrchs, ieLuc asse était parvenue à se prcrr de l'ouvrage. le brodeuse, ll trvllt pour une maison du blvrd ébatopo. Elle échantillonnait aussi à des prix avantageux, vu son habileté des ouvrages de tapisserie. C'étt Linon qui allait chercher et rpprtr 'ouvrage. C'était elle qui, à certains jours déterminés, fst le ménage de Lc moyennant une modeste éibuion. |
déterminés, faisait le ménage de Lucie moyennant une modeste rétribution. Il fallait vivre et Troussel se faisait tirer l'oreille pour donner de l'argent. Ces jours-là, Madame Maisse, comme on l'appelait dans la maison, travaillait ferme puisque Linon se chargeait des emplettes du matin pour les deux ménages. Elle y joignait même, pour sa voisine, l'acquisition du journal. L'habitude y était. Cette lecture lui devenait aussi nécessaire que son premier déjeuner. Dès l'ouverture de la feuille quotidienne, une exclamation de terreur tomba de ses lèvres. — C'est trop fort ! Encore une femme assassinée !... Linon s'approcha. Lucie fit la lecture. | déterminés, faisait le méng de Lucie moyennant une mdst rétribution. Il fallait vivre et Troussel se faisait irr 'oreille pour donner de l'argent. Ces jours-là, Mdm Maisse, comme on l'appelait dans l maison, travaillait ferme puisque Linon se chargeait des emplettes du mtin pour les deux ménages. ll y joignait même, pour sa voisine, l'acquisition du journal. L'habitude y était. Cette lecture lui devenait aussi nécessaire que son premier déjeuner. Dès l'ouverture de la feuille quotidienne, une exclamation de terreur tomba d ses lèvres. — 'est trop fort ! Encore une fmm assassinée !... Linon sapprocha Lucie a lecture. |
une femme assassinée !... Linon s'approcha. Lucie fit la lecture. Toutes deux effrayées, pleines de stupeur, confondirent leurs appréciations. — Est-ce loin de là mari ? interrogea Linon. — Oh ! oui. D'ici, c'est une longue course, je veux dire une course de Paris. Je ne sais pas si on y arriverait en une heure de voiture. — C'est dans la banlieue ? — Juste. Clamart touche Vanves, Meudon. Oh ! fit Linon, je ne connais rien de tout cela. Ça est étonnant que M. Troussel ne vous y ait jamais conduite. Il n'y a pas un Parisien qui, au | n fmm ssssné !.. Linon s'approcha. Lucie fit la lecture. Toutes deux effrayées, leies de stupeur, confondirent leurs appréciations. — Est-ce ln ed là ari ? interrogea Linon. Oh ! oi. D'ici, c'est une lonu course, je veux dire eun c de sia.rP Je ne sais pas s n y arriverait en une heure d voiture. — C'st dans la nibuaele ? — Juste. mCrtlaa tch Vanves, Meudon. Oh ! fit Linon, je ne connais rn ed tout cela. Ç est étonnant que M. Troussel ne vous y ait amis conduite. Il n a pas un Parisien qui, au |
jamais conduite. Il n'y a pas un Parisien qui, au moins une fois, ne soit allé ou à Meudon ou à Clamart. — Il est vrai que je ne suis qu'une Parisienne de rencontre, dit, souriante, la fille des honnêtes Patissou. Très souvent, Linon s'était demandé la source de l'argent que Troussel lui donnait. Sans toutefois penser qu'il provenait, cet argent, d'une besogne aussi répugnante que celle d'un assassinat elle n'osait insister quand des bruits de crime lui parvenaient. N'avait-il pas volé un enfant ? Comme tant d'autres fois, la pensée terrible ce jour-là, frappa son cerveau. Elle ne s'y | jamais conduite. Il n'y a pas n Parii qui, moins une fois, ne soit a ou à Mdn ou à Clamart. — Il st vrai que je ne suis 'un Parisienne de rencontre, dit, ote la i ds honnêtes Patissou Très souvent, Linon sétait emndé la source de l'argent que Trsl lui donnait. ans toutefois penser qu'il provenait, cet argent, d'une besogne aussi répugnante que cllee d'un assassinat elle nosait insister quand des bruits de crime lui parvenaient N'avait-il pas volé un enfant ? Come tant dautres fois, la pensée trrbl ce jour-là, frappa son cu. Elle ne s'y |
pensée terrible ce jour-là, frappa son cerveau. Elle ne s'y maintint pas. Le crime remontait à onze heures la nuit. Il était impossible, puisque Clamart était si loin, que Vincent eût pu s'y trouver cette nuit-là. — Vous paraissez soucieuse, dit Lucie. — Non, pas soucieuse. Je n'ai, pour cela, aucun motif. Des histoires de ce genre me troublent. Elles me font peur. Je sais bien que ce n'est pas moi qu'on tuera, parce qu'on ne trouverait pas de magot dans moi. Cela me fait tressaillir quand même. On ne assassine pas seulement pour de l'argent. Il faut être très | pensée terrible ce jour-là, frappa son u. Elle ne sy maintint pas. Le crime rmntt à onze heures la nuit. Il était impossible, puisque Clamart était si ln, que Vincent eût pu ' trouver cette nuit-là. — Vous prssz soucieuse, dit Lucie — Non, pas soucieuse. Je n'ai, pour cela, tmfo.i Des histoires de ce genre troublent. Elles me font peur. Je sais bien que ce n'est ps moi qu'on tuera, prc qu'on ne trouverait ps de ago dans moi. Cela me fait trssllr quand même. On ne assassine pas seulement pour de l'argent. Il ft treê très |
assassine pas seulement pour de l'argent. Il faut être très prudente. Avez-vous une chaîne de sûreté ? — Je ne m'en sers jamais. — C'est un tort. La mienne est toujours tendue. Que viendrait-on faire chez nous ? — Cette jeune femme raisonnait peut-être comme vous. C'est triste ! de trente à trente-cinq ans !... Les bandits ! Lucie reprit le journal, relut l'affaire passionnante. Elle le posa sur une chaise près d'elle et reprit son ouvrage en soupirant : — Ces sortes de crimes sont d'un fréquent malheur. C'est épouvantable ! — C'est vrai, en voilà deux ou trois, | assassine pas seulement pr l'argent. Il faut êtr très prudente Avez-vous une chaîne de sûreté ? — Je ne men sers asmija. — C's un tort. La mienne st toujours tendue. ue vndrt-n faire chez nous ? — Cette jeune femme rsnnt peut-être cmm vous. C'est triste de trente à trente-cinq ans !... Ls bandits ! Lucie reprit le journal, relut l'ffr passionnante. Elle le posa sur une chaise près delle et reprit s ouvrage en soupirant : — Ces ss de crimes sont d'n fréquent mlhr. C'est épouvantable ! — C'est vr, en voilà deux ou trois, |
épouvantable ! — C'est vrai, en voilà deux ou trois, coup sur coup, toujours dans le même monde ! ajouta Linon. Aussi pourquoi tant, recevoir la nuit !... Nous pouvons dormir tranquilles. Ni vous ni moi ne sommes dans ce cas-là. Lucie lui donna un regard perçant. Leurs prunelles se détournèrent en même temps. — A Paris, soupira la brodeuse, il y a tant de mystères !... tant de vies compliquées... tant de femmes qui sont incapables de faire œuvre de leurs doigts. Tout y vient à Paris. Tout y accourt : des ménages qui paraissent unis et qui mènent | épouvantable ! — C'est vrai, en vlà ou tros, cp sur coup, toujours dans le même monde ! ajouta Lnn. Aussi uoipqour tant, recevoir la nuit !... Nu pouvons dormir tranquilles. Ni vous ni ne sommes dans ce cas-là. Lc lui dnn regard perat. Lrs prunelles se détournèrent en même temps — A Paris, sira la brodeuse, il y a tant e str !... tant d vies compliquées... tnt de femmes qui sont incapables de faire œuvre de leurs doigts Tout y vient à Paris. Tt y ccrt : des ménages qui asn unis et qui mènent |
accourt : des ménages qui paraissent unis et qui mènent des existences infernales : parfois de couples que l'on croit mariés et qui ne le sont pas. Linon devint cramoisie. Suivez la vie sportive. (124). LA VIE SPORTIVE Foot-Ball Association Le terrain Granzy, nous renouvelons aujourd'hui amicalement les prises entre le Bordeaux Sportif et le Football-Club. La équipe visiteuse a obtenu de très beaux résultats contre la Vie au Sporting du Médoc, le Floirac-Club, les Girondins, etc. elle pratique un jeu correct qui plaira à tous les spectateurs. Elle alignera aujourd'hui son équipe type. But : Messiplede. — Arrières Cécile, | accourt : des ménages qui paraissent unis et qui mènent des existences infernales : ro de couples que l'on croit mariés et qui ne le nt pas. Linon devint cramoisie. Svz la vie sportive. (124). LA V SPORTIVE Foot-Ball Association Le terrain Granzy, o renouvelons aujourd'hui mclmnt les prises entre le Bordeaux Sportif et le Football-Club. La équip visiteuse a obtenu de très bx résultats contre l Vie au Sporting du écMd,o le Floirac-Club, les niroisnGd, tc elle pratique un jeu crrct qui plar à tous les spectateurs. Elle alignera aujourd'hui son équipe yte.p But : Messiplede. — Arrières Cécile, |
aujourd'hui son équipe type. But : Messiplede. — Arrières Cécile, Vigneau — Demi : Gossiaux, Mazerat cap., Avants : Milhe, Deschamps, Demichel Rocq, Chabot Le coup d'envie sera tiré à l'heure, et l'arbitre officiant sera M. Denis. Foot-ball rugby pendant la journée du S.C. La Montgomerie, Choiseul, et maints autres. I, sur son terrain sémiumte de r, aux éléments vomis des régiments, la gravière du Soortsing-Pari, où se trouve actuellement renforcée de face, sensible. Elle l'a montré dernièrement en remportant une nette victoire sur la première équipe de l'Austerlitz-Sports. Trois Essais sur quatre furent de la mercure facultative et justement | aujourd'hui son équipe type. Bt : sMdeple.esi — Arrières ile, Vigneau — Demi : Gossiaux, Mazerat ca. Avants : Milhe, Deschamps, Dmchl Rocq, Chabot Le coup d'envie sr tiré à l'hr, et l'arbitre officiant sr .M Dns. Football rugby pendant la journée du S.C. La Monomri, Choieu e maints aue. I, sur son t tsemuémi de r, aux éléments vms des rimns, la grvèr du riPg-nootrsi,aS où s trouve actele renforcée de face, sensible ellE l'a mntré dernièrement en emrtt une nette victoire sur la première ue de l'Austerlitz-Sports. osirT Essais sr quatre furent de la mercure facultative et justement |
Essais sur quatre furent de la mercure facultative et justement applaudis. Elle espère faire mieux encore dimanche, avec les excellents bergéronais. Arbitre officiel des Charentes, s'est occupé du coup d'envoi à 15 h. heure précises. Escrime Ce fut une belle séance d'escrime que celle organisée vendredi soir par M. Château, à sa salle du 1er étage du café du Commerce, place Saul-Maurice. Les officiers, sous-officiers, et amateurs ou sportifs des armes avaient répondu en grand nombre à l'invitation du maître si apprécié qui, pendant des années, forma les jeunes escrimeurs du 5e régiment d'infanterie. De 7 heures jusqu'à près de | Essais sur utr furent a mercure facultative et justement applaudis. Elle espère faire mieux ncr dimanche, avec le excellents bergéronais. Arbitre officiel des Charentes, s'est ccpé du coup d'envoi à 15 h. heure précss. Escrime Ce fut une belle é d'escrime que celle organisée vendredi soir par M. Château, sa salle du 1r g du café du Commerce, aepcl Saul-Maurice. Les officiers, sous-officiers, et amateurs ou sprtfs des armes avaient répondu en grand nombre à l'nvttn du maître si apprécié q, en des années, forma les jeunes escrimeurs du 5e régiment d'infanterie. De 7 heures jusqu'à près de |
du 5e régiment d'infanterie. De 7 heures jusqu'à près de minuit, les tables de la salle furent occupées sans interruption, et de belles rencontres eurent lieu entre les élèves de M. Château et les prévôts et élèves de M. Chasteau, l'excellent maître d'armes de la garnison. Les maîtres eux-mêmes prirent part aux tournois tant à l'épée que au fleuret. M. le colonel Combeaud, commandant le 5e régiment de chars de combat ; M. le commandant de Beauchêne, du 107e d'infanterie, ont une part active à cette réunion où on remarquait également la présence de M. le capitaine Wagner, officier subdivisionnaire. | du 5e régiment 'infanterie. De 7 heures jusqu'à près de minuit, les tables de l salle furent occupées sans interruption, et d belles rencontres e lieu entre les élèves d M. Château et les prévôts et èes de . Chasteau, 'elt tîaerm arme de la arnon. Les maîtres eux-mêmes pr part aux tournois tant à l'épée que fleuret. M. le colonel Combeaud, commandant le 5e régiment de chars de combat ; M. le commandant de Beauchêne, du 107e d'infanterie, ont uen part active à cette réunion où on remarquait également l présence de M le capitaine Wgnr, officier subdivisionnaire. |
également la présence de M. le capitaine Wagner, officier subdivisionnaire. Au cours de cette réunion, un punch céleri-fraise fut offert aux invités et aux tireurs. Le colonel Gombeaud profita de cette opportunité pour faire brièvement ressortir l'utilité de l'escrime, le sport qui forme le mieux l'homme et le conserve vigoureux. Il félicita les organisateurs de la parfaite réussite de la réunion, fit des éloges aux tireurs et les engagea à persévérer. « Avec de telles aptitudes, vous êtes sûrs du succès. » FAITS DIVERS Assassinat d'une figurante de théâtre La police parisienne se livre actuellement à une enquête au sujet | également la présence de M. le capitaine Wagner, officier subdivisionnaire. Au crs d cette réunion, un punch céleri-fraise fut ffe x invités et aux tireurs. L colonel Gombeaud profita de cette opportunité pour faire brièvement ressortir l'utilité de l'escrime, le sport qui r l mieux l'homme et le conserve vigoureux. Il félicita les organisateurs d la parfaite réussite de la réunion, fit des éloges aux tireurs et s engagea à persévérer Avec de telles aptitudes, vous êtes sûrs du succès. » FAITS DIVERS Assassinat d'une figurante de théâtre La police parisienne se livre actuellement à enquête au sujet |
police parisienne se livre actuellement à une enquête au sujet de l'assassinat de Mme Lucie Ledoux, figurante au théâtre du Gaïdé. Les magistrats se sont rendus au domicile de la victime, 4, rue du Chemin-de-Fer, à Villejuif-le-Bois. Ils ont constaté que la malheureuse femme était étendue sur son lit, tout habillée, couchée sur le dos, les mains attachées derrière les reins et les chevilles liées par des serviettes tordues en liens. La mort a été constatée d'un milieu à une dizaine de jours. Mme Ledoux, qui était divorcée, a été vue pour la dernière fois le 15 février, en compagnie | police parisienne se livre actuellement à une enquête au sujet de l'assassinat de Mme Lucie Ledoux, figurante au thtre du Gaïdé. Les magistrats se sont rendus domicile de la victime, 4, rue du Chemin-de-Fer, à Villejuif-le-Bois. Ils ont constaté que la malheureuse femme était éentdeu sur son lit, habillée, couchée sur le dos, les m attachées derrière les reins et les chevilles liées par des srvtts tordues en liens. La mort a été constatée d'un milieu à n dizaine de . Mme Ledoux, qui était divorcée, été vue pr l dernière fsoi le 15 février, en compagnie |
vue pour la dernière fois le 15 février, en compagnie d'un jeune homme inconnu que la police recherche. Dans les pièces de l'appartement occupé par la victime, on n'a relevé aucune trace de lutte : l'armoire et les tiroirs des meubles étaient en ordre. Mais aucun papier de famille ni aucune somme d'argent n'ont été retrouvés. Drame de la séparation Un drame de la séparation a été déroulé jeudi matin, 7 avenue Montessier, à Paris. Un Italien du nom de Pierre Cardona, demeurant 72, rue du Bac, qui avait pénétré dans l'appartement de Mme veuve Benedetti, a assassinné celle-ci ainsi | vue pour la dernière ois le 15 février, en compagnie d'un jeune homme inconu que la police recherche. Dans les pièces de l'appartement occupé par la victime, on n'a relevé cn trace de lutte : 'armoire et les tiroirs des meubles étaient en ordre. Mais aucun papier d famille ni aucune somme d'argent n'ont été retrouvés. Drame de la séparation drame de la séparation a été dérlé jeudi mtn, avenue Montessier, à Paris. nU Italien du nom de Pereri Crdn, demeurant 72, rue du Bac, qui avait pénétré dans 'appartement de Mme veuve Benedetti, assassinné celle-ci ainsi |
dans l'appartement de Mme veuve Benedetti, a assassinné celle-ci ainsi que sa fille. L'assassin a pris la fuite et s'est suicidé quelque heures plus tard. Il avait pu vivre avec Mme Benedetti pendant plusieurs années et avait été congédié récemment. C'est parce que Mme Benedetti refusait de reprendre la vie commune que Cardona l'aurait tuée. Une autre fille de la victime, qui s'était enfermée dans une pièce venue a pu échapper au malheur. L'assassinat du chauffeur Lescure ! On mande de Bruxelles que le gouvernement belge a reçu d'Utrecht (Hollande) l'avis de l'arrestation d'un nommé Jérémie Dartois, de Poperinge, (Belgique), | dans l'appartement de veuve Benedetti, assassinné celle-ci ainsi que sa fille Lassassin a pris la fuite et t'sse scdé quelque heures plus tard. Il a pu vivre vc Mme Bndtt pndnt plusieurs années et avait été congédié récemment. C'st parce que Mme Benedetti refusait de epedre la vie commune que Cardona l'aurait tuée. Une autre fille de la victime, qui s'était enfermée dans u pièce venue a pu échapper au malheur. L'assassinat du chauffeur Lescure ! On mande de Bruxelles que le gouvernement belge a çu d'Utrecht Hlnde) 'avis de l'arrestation d'un nommé Jérémie Dto de Poperinge, (Belgique), |
l'avis de l'arrestation d'un nommé Jérémie Dartois, de Poperinge, (Belgique), et d'un nommé Albert Legrand, d'Hénin-Liétard (Pas-de-Calais), auteurs présumés de l'assassinat du chauffeur Lescure, commis à Emmerin (Nord) dans la soirée du 5 février. C'est grâce aux indications recueillies en Belgique, par M. Steurbaut, chef de la Sûreté de Bruxelles, que ces deux individus ont pu être identifiés, découverts et enfin arrêtés. Double asphyxie À Villiers (Haute-Marne), deux jeunes femmes, Marie Juilly, 19 ans, et Mariane Celinska, 19 ans, ont été asphyxiées dans la chambre où elles étaient, communément par les émanations d'un poêle où brûlait un mélange de houille | 'avis de l'arrestation d'un nommé Jérémie aoDrt,is de Poperinge, (Belgique), t d'un nmé Albert Legrand, d'Hénin-Liétard (Pas-de-Calais), auteurs um de l'ssssnt du chauffeur Lescure, commis à Emmerin (Nord) dans la soirée du 5 février. sCt'e grâce aux icntdioaisn recueillies n Belgique, Steurbaut, chef de la Sûreté de Bruxelles que ces deux individus ont pu être identifiés, découverts et enfin arrêtés. lboueD asphyxie À Villiers (Haute-Marne), deux jeunes ,fseemm Marie Juilly, 19 ans, et Mrn Celinska, 19 ans, ont été sphyxés dans la chambre o elles étaient, communément par les émanations d'un poêle où brûlait un mélange de houille |
les émanations d'un poêle où brûlait un mélange de houille et de charbon de bois. LES FEMMES DE GOÛT trouvent dans H PARIS-BRODERIE En vente partout le Ne : 1 fr. LES PLUS JOLIS 8 DESSINS DE BRODERIE GRANDEUR d'ÉDITION AVEC DESSINS || Décalquables I AU FER CHAUD | (Procédé Breveté) || Bibliographie Une nouvelle revue scientifique, destinée au grand public, vient de paraître sous le titre de La Science moderne. Son deuxième numéro contient les articles suivants : Berget (professeur à l’Institut océanographique) : Les marées, leur calcul et leur utilisation. — Godard (ingénieur en chef de la construction | les émanations d'n poêle où brûlait n mélange de houille e de charbon de bois. LES FEMMES DE GOÛT trouvent dans H PARIS-BRODERIE n vente partout le e : 1 fr. LES PLUS JLS 8 DESSINS E BRODERIE GRANDEUR d'ÉDTN AVEC DESSINS || Décalquables I AU FR CHAUD | (Procédé Breveté) || iogrie Une nouvelle revue scientifique, destinée grand public, ivnte de paraître sous le irtet de La Science mdrn. Son deuxième numéro cntnt les articles suivants : Berget (professeur ’Institut céngrphq) : Les marées, e calcul et uler utilisation. Godard (ingénieur ne chef de la construction |
leur utilisation. — Godard (ingénieur en chef de la construction à la Compagnie du Midi, professeur à l’Ecole nationale des ponts et chaussées) : L’électrication des chemins de fer, les dépenses qu'elle entraîne, ses avantages, ses répercussions sur les économies générales du pays. — Lieutenant Alessandri (ingénieur radio), Exposition de physique et de T.S.F. — Gautrat (chef des travaux à l’École nationale des mines) ; Les applications de la rabotage aérostatique. — Pujol (professeur de bactériologie à l’École vétérinaire d'Alfort) : Les microbes invisibles. — Fabry (de l'Université de Liège), Le bactériophage. — André (professeur à l'Institut national agronomique) ; | lr utisato. — Gdar g(nrnueiié en chef de la ontin à la Compagnie du Midi, professeur à l’Ecole nationale des ponts et chaussées) : L’électrication ds chemins de efr, les épn qu'elle entraîne, ses avantages, ses répercussions sur les économies générales du pays. — uteanLtein Alessandri (ingénieur radio), Exposition de physique et de T. — Gautrat (chef ds trvx à l’École nationale des es ; Les applications de la rabotage aérostatique — Pujol (professeur de bactériologie lÉcole vétérinaire dAlfort : Les microbes invisibles. Fabry de l'Université de Liège L bactériophage. — André (professeur à l'nsttt ntnl agronomique) ; |
Le bactériophage. — André (professeur à l'Institut national agronomique) ; L'évolution des doctrines agricoles. Méster (professeur à la Faculté de droit de Paris) : La nouvelle législation des chutes d'eau. — Gautrat (chef de travaux à l’École nationale des mines) Portrait de savant Georges Claude. Ce numéro, comprenant 96 pages à 2 colonnes avec de nombreuses illustrations, sera envoyé franco contre la somme de 3 fr, 50 pour la France, ou de 5 francs pour l'étranger, adressée à MM. Bailière et Fils, 19 rue Haut ecoir, Paris (VIe). Hallelujiah est du prix de 35 francs pour la France, et 50 | Le bctérphg. — André (professeur à l'Institut national grnmq) L'évolution des doctrines agricoles Méster (professeur la Faculté d droit de Prs) : La nouvelle législation des chutes d'eau. — Gautrat (c de travaux à l’École nationale d mines) Portrait de savant Georges ade. C numéro, comprenant 9 pages à 2 colonnes e de nombreuses l,tusostnlirai sera envoyé franco cerotn la somme de 3 fr, 50 pour la France, ou de 5 francs pour l'étranger, adressée à MM. Blèr et Fils, 19 rue Haut ecoir, Paris VIe Hallelujiah est du prix de 35 francs pour la France, et 50 |
du prix de 35 francs pour la France, et 50 francs pour l'étranger. Nénie et le cinéma. — Un volume in-18 demy grande couverture illustrée, avec 16 pages de photographies tirées du film: Prix: 2 fr, 50. En vente chez Pons-Nourrit et Co, à Paris, et dans toutes les bonnes librairies. BRYN: DES DEUX-MONDES, 18, rue de l'Université, Paris. — Sommaire de la livraison du 1er mars 1921 La chartreuse du Repos-Jir, le partie '(Henry Bordeaux, de l'Académie française). — Les origines religieuses du Canada. : I. Les premières expériences (lo.3 i-l(>."y Georges Geyau, de l'Académie française). — Notables politiques | du ixrp de 35 francs pour la France, et 50 francs o l'étranger. Nénie et le cinéma. — Un volume in-18 demy grande couverture illustrée, avec 16 pages de photographies tirées du film: Prix: 2 fr, 50. En vente chez Pons-Nourrit et Co, à Paris, et dans ts les on librairies. BRYN: DES DEUX-MONDES, 18, r de l'Université, Paris. — Sommaire de la livraison du 1er mrs 1921 La chartreuse du Repos-Jir, le partie '(Henry Bordeaux, de l'Académie française). — Les origines religieuses du Canada. : I. Les premières expériences (lo.3 i-l(>."y Grgs Geyau de l'Académie française). — Notables politiques |
(lo.3 i-l(>."y Georges Geyau, de l'Académie française). — Notables politiques inédites IV (Napoléon III). — Brouillards et raisons de mécontentement (Prince Napoléon), — Portraits contemporains : M. André Haynal (Jean Dietz). — La nouvelle Thule : III. Le gouvernement d'Angara et les activités étrangères (Maurice Pellé). — Jules Michelet et Adam Mickiewicz Lettres intimes (Ladislas Mickiewicz). — Poésies (Maurice Levaillant). — Un grand officier d'etat-major : le général Pual (Lieutenant-colonel de Thumann). -Revue littéraire : Une apologie pour le grammaire (André Brillant). -Revue musicale le renouveau : Samson (Camille Bellatque) ! Chronique de la quinzaine : histoire poétique de Pinon). | (lo.3 i-l(>."y Georges Geyau, de l'Académie française). — lseNotab politiques inédites IV (Napoléon III). — Brouillards et raisons de mécontentement Prce Napoléon), — Prtrts contemporains : M. Adrné Haynal (Jean Dtz). — La nouvelle Thule : III. Le gouvernement d'Angara et les ctvtés étrangères (Maurice Pellé). — Jules Michelet et Adam Mickiewicz tsLerte intimes (Ladislas Mickiewicz). — Poésies (Maurice villn. — Un grand officier d'tt-mjr : le général aPlu olntnenulet-c(aLoie d Thumann). -Revue littéraire : Une apologie pour le grammaire (André Brillant). -Revue musicale le renouveau : Smsn (Camille Bellatque) ! Chrnq de la quinzaine : histoire poétique de Pinon). |
! Chronique de la quinzaine : histoire poétique de Pinon). Les livraisons partent du 1er du mois du 15 de chaque mois. Prix du numéro: 1 fr. 50. LES ANNALES commencent la publication de la célèbre pièce de Victorien Sardou : "Théodore". Dans le même numéro, Un vivant portrait de Paul Haynal par André Lang, une page de Gustave Lancelot sur les Contes de Fées aux Gobelins, un conte de Léon Frapier et, entre dix autres articles, la lettre de la Cousine et le début d'une série inédite de Rachilde. En vente partout : 75 centimes. LE POT-AU-FEU, revue de | ! Chronique de la quinzaine : histoire poétique de Pinon). Les lvrsns partent ud 1er du mois d 15 de chaque mois Prix du numéro: 1 fr. 50. LS AAELSNN commencent la publication de la célèbre pièce de Victorien Sardou : "Théodore". Dans l même né Un vnt portrait de Paul Hynl par ndé Lang, un page de Gut Lancelot sru les Contes de Fées x Gblns, un conte de L Frapier et, entre dix autres articles, la lettre de la Csn et le début d'une série inédite de Rachilde. En vente prtu : 75 centimes L POT-AU-FEU, revue de |
En vente partout : 75 centimes. LE POT-AU-FEU, revue de cuisine et de bien-être chez soi. Paraissant les 20 et 25 samedis de chaque mois. Administration, 14, rue Duphot, Paris (1er). Sommaire du n° du 23 février 1924 : Le bien-être chez soi, Crosnes à la grecque, Soufflé de Haddock, Fricassée d'agneau en bordure de riz, Les crêpes de la Chatelaine, Causerie du médecin, Les vins du Jura Bains salins de la Mouillère, Hygiène et cuisine, Bouquet des vins. Le numéro, 1 fr. 50. Les sourds peuvent entendre la téléphonie sans fil On a constaté que dans un très grand | En vente partout : 75 centimes. LE POT-AU-FEU, revue de cuisine et d bien ez soi. Paraissant les 20 et 25 samedis d chaque osm.i Administration, 14, rue Duphot, Paris (1er). Sommaire du n° du 23 février 1924 : Le bien-être chez Crsns à la grecque, Soufflé de Haddock, Fricassée d'agneau en bordure de riz, Les crêpes de la Chatelaine, Causerie du mdcin Les in du Jura Bains salins de la Mouillère, Hygiène et cuisine, Bouquet des vins. Le numéro, 1 fr. 50. Les sourds pvnt entendre la téléphonie sans fl On a constaté que dans un très grand |
sans fil On a constaté que dans un très grand nombre de cas, la T.S.F. était parfaitement perceptible pour les sourds. Ce résultat est facile à expliquer. Il n'existe pour ainsi dire pas de sourds absolus. L'oreille du sourd n'est rebelle qu'aux vibrations sonores dont nous faisons usage normalement dans la conversation. Mais, que ces vibrations soient amplifiées par un appareil approprié, et elles lui deviendront perceptibles, surtout si la lésion qui a amené la surdité ne siège que dans l'oreille moyenne, c'est-à-dire dans la caisse du pharynx ; beaucoup moins, si l'oreille interne est atteinte. C'est pourquoi l'application d'un | sans fil On a constaté que dans un èrst grand nombre de asc, la TSF étt parfaitement perceptible pour les sourds. Ce résultat est cielfa à expliquer. Il n'existe pour ainsi dire pas de sourds absolus. L'oreie du srd ' rebelle qu'aux vibrations sonores dont nous faisons usage noalmn dans a conversation. Mais, que ces vibrations osietn amplifiées r un appareil approprié, et elles lui dvndrnt perceptibles, sto si la lésion qui a amené la surdité en siège q dns l'oreille mynn, c'est-à-dire dans la caisse du phrx ; beaucoup moins, si elirl'leo ntrn ste atteinte. C'est pourquoi aotailcpnl'ip d'un |
moins, si l'oreille interne est atteinte. C'est pourquoi l'application d'un casque de T.S.F. sur la tête permet à un très grand nombre de sourds d'entendre le résultat de la transmission par les ondes hertziennes. Ces dernières, qui ne sont pas sonores, n'interviennent ici que pour mettre en jeu les microphones électriques du poste récepteur. Ce sont les vibrations de la lame du microphone qui sont perçues. Il y a même des sourds qui entendent distinctement, sans casque, les sons amplifiés par le haut-parleur. HALLES ET MARCHÉS Roubaix, 29 février. Mercantile de la forêt, de Roubaix, du 27 février Les chevaux | moins, si l'oreille interne est atteinte. C'est pourquoi l'application d'un casque de T.S.F. sur la têt prmt à un très grand b de sourds 'enndre le résultat de la transmission par les ondes hertziennes. Cse dernières, qui ne sont pas sonores, trvintenneei'nn ici que pour mete en uej les microphones élctrqs du poste récptr. Ce sont les vibrations de la lame du microphone qui sont prçs. y a même des sourds qui entendent distinctement, sans casque, s sns amplifiés par le hutple. HALLES ET MARCHÉS Roubaix, 29 février. Mrcat de l fr de Rbx, du 27 févrr Les chevaux |
de la forêt, de Roubaix, du 27 février Les chevaux se sont bien vendus les poulains, de 1.200 à 1.500 fr. ; de 2 ans, de 2.000 à 3.000 fr. ; de 4 ans et au-dessus de 5.000 fr. Le commerce des bovidés a été moins actif. En veau il, de 3.500 à 5.500 fr. la paire ; double-nés, de 2.500 à 3.500 fr. ; bouvillons d'Auvergne, de 1.000 à 1.800 fr. Vaches laitières, de 2.500 à 3.500 fr. ; génisses, de 1.200 à 2.000 fr. ; veaux de lait de 1.20 à 3.50 le kilo : veau frais 4.50; | l forêt, de Roubaix, du 27 février Les chevaux se sont bien vendus les poulains, de 1.200 à 1.500 fr. ; de 2 ns, de 2.000 à 000 fr de 4 ans et au-dessus de 5.000 fr. Le commerce des bovidés a été mons actif. n veau il, de 053.0 à 5.500 fr. la paire dbl-nés, de 2.500 à 3.500 fr. ; boilons d'Auvergne, de 1.000 à .800 fr. Vaches laitières, de 2.500 à .500 fr. ; génsss, de 100.2 à 2.000 fr. veaux de lait de .20 à 3.50 le kilo : veau frais .50; |
de 1.20 à 3.50 le kilo : veau frais 4.50; lapins, 4.25 le 4 kilo; œufs 4.50 la douzaine, Blé, 80 fr. 1 hectolitre ; maïs, 32 fr. ; avoine 32 fr. ; graine de sainfoin, ch. 50 à 55 fr. ; graine de luzerne, 2 à 2.50 le 5 kilo. MARCHÉ DES VINS Paris, 28 février. La hausse s'est encore accentuée sur les produits du Midi, où des achats ont d'ailleurs été conclus pour l'Allemagne. Le prix de 9 francs le dégré est devenu courant pour de bons vins et il est dépassé pour les qualités supérieures. On a | d 20 à .0 le kilo : veau frs 4.50; lapins, 245. l 4 kilo; uœfs 4.50 la douzaine, Blé, 80 fr. 1 hectolitre ; maïs 32 fr. ; avoine 23 fr. ; graine de snfn, ch. 50 à 55 fr. ; graine de lzrn, 2 à 2 le 5 kilo. MARCHÉ DES VIS Paris, 28 évier La hausse s'est encore accentuée sur les produits d Md, où des achats on d'ailleurs été olu pour l'Allemagne. Le rix d 9 francs le dégré st devenu crnt pour de bons vins et il est dépassé pour les qualités supérieures. On a |
et il est dépassé pour les qualités supérieures. On a coté à Bézier, les vins rouges 8 à 10° de 72 à 92 francs l'héctolitre pris à la propriété; à Montpellier, les 7 à 11° de 63 à 90; à Narbonne, les 8 à 12° de 71 à 102; à Perpignan, de 71 à 105. Dans le même délai, les transactions sont régulières et la tendance très ferme, Marché fermé également dans le Poitou, où les Allemands ont fait quelques achats, Au surplus, la tendance est ferme partout. À Bercy et dans les entrepôts parisiens, les cours se sont inscrits | et il est dépssé pour les qualités supérieures. n a coté à Bézier, les vins rges 8 à 10° de 72 à 92 francs retiol'clthé p à la rort à Montpellier, les 7 à 1° de 63 à 90; à Nrbnn, les 8 à 12° de 71 à 102; à Perpignan, de 71 à 105. Dans le même délai, ls transactions snt régulières et la tendance très ferme, Marché également dan le Poitou, où les Allemands ont ft quelques achats, Au surplus, la tendance est ferme partout À Bercy et dans les entrepôts parisiens, es cours se sont inscrits |
et dans les entrepôts parisiens, les cours se sont inscrits en hausse. On a traité des vins rouges du Midi 8° à 9 francs l'héctolitre pris en partie de Paris, des 9° à 60, des 10° de 105 à 110; des vins blancs ordinaires de diverses provenances 9 à 10° de 100 à 110. Chez les détaillants, les prix varient pour les vins rouges de 1 à 1 fr. 60 le litre pour les vins blancs ordinaires de 1 fr. 45 à 1 fr. 70. BOURSE DE COMMERCE DE PARIS février. COURS. — Cour. 402 50 et 403; mars 400 | et dans les entrepôts prsns, les ouscr se sont inscrits en hausse. On a traité des vins rouges du Midi à 9 francs l'héctolitre pris en partie de Paris, des 9° à 60, des 10° de 105 à 110; des vins blancs nsaderroii de diverses provenances 9 à 10° de 100 à 110. Chez les détaillants, les prix varient pour les vins rouges de 1 à 1 fr 60 le litre pour les vins blncs ordinaires de 1 fr. 45 à 1 fr. . BOURSE DE COMMERCE DE PARIS février. COURS. — Cour. 402 50 et 04;3 mas 400 |
février. COURS. — Cour. 402 50 et 403; mars 400 50 et 401; avril 400; 4 de mars 395 50 et 399. Cote officielle: 400 à 404. Huiles de lin. — Coton, 505 A. mars 50:1, marseille avril 4 clé mars 4NO. Huiles de colza. — Clermont. 49-ri Prix TRO N: 1918-n"l'!'i! 470 N: de mars. Caoutchoucs. — Pianura. 5 març 100 A: 3 d'avril 75... juillet 1... août 1.1 51" N PRODUITS CHIMIQUES AGRICOLES Paris, 28 février. On cèle les 100 kilos sur wagons : Phosphates minéraux 14 %, 20 à 21 francs (rayon nord 20 50 à 23; | février. COURS — Cour. 204 50 et 403; rsam 400 50 t 401; vrl 400 4 de asmr 395 50 et 399. Cote officielle: 400 à 404. Huiles de lin. — Coton, 505 . mars 50:, marseille vl 4 clé amsr 4NO Huiles de clz. — etC.mlron 49-ri Prix TRO N: 1918-n"l'!'i! 470 N: de mrs. Caoutchoucs — Pianura. 5 mar 100 : 3 d'avril 75... jllt .. août 1.1 51" N PRDTS IESICMHQU AGRICOLES Ps 28 février. On cèle les 100 kilos r wagons : Phosphates minéraux 14 %, 20 à 21 francs (rayon nord 20 50 23; |
20 à 21 francs (rayon nord 20 50 à 23; rayon est 20 50 à 20 75 département ouest; 20 25 département midi). — Superphosphate 16 %, 36 fr. Paris; os dissous 2 % az., 10 % ac. ph., 38 % (Nevers); poudre d'os, 45 francs (Paris). — Scories, 0 95 l'unité, ac. phosph. (Thionville au parité). Nitrate de soude, 15/16 % az. liv. février 12 Mv. st. 15 la tonne Dunkerque; 12 liv. st. 18/» ouest; 13 liv. st. 2/6 Cette. — Nitrate de chaux, M départ Dunkerque. — Sulfate d'ammoniacque, 110 à 115, prix officiel (usines), février-avril. — | 20 à 21 francs (rayon nord 20 50 à 23; rayon est 20 à 20 7 département st; 20 25 département midi). — Superphosphate 16 %, 36 fr. Paris; os dissous 2 % z., 10 % ac. ph, 38 % (vs); poudre d'os, 45 francs (Paris). Scories, 0 95 l'unité, ac. phosph. (Thionville au parité). itrat ed soude, 15/16 % za. liv. février 12 Mv. st. 15 la tnn Dunkerque; 21 liv. st. 18/» ouest; 13 li st. 26 Cette. — Nitrate e chaux, M départ Dnkrq. — Sulfate d'ammoniacque, 110 115, prix officiel (usines), éreravri — |
Sulfate d'ammoniacque, 110 à 115, prix officiel (usines), février-avril. — Cyanamide granulée, 20/21 % az. (logée usines), 103 fr. févr.; 14/15 %, 77 franco; 15/16 %, 82 50; en poudre 18/20 % az., 15 unité départ usines (parité Bellégarde) (rare). Sylvinite. 12/16 %, 0 43 l'unité de K20; sylvinite 20/22 %, 0 54. — Chlorure de K20, 0 90 en vrac départ Alsace. — Sulfate de potasse, 1 40. Sulfate de cuivre, 21 9 % de Cu., 200 50 (usines). — Sulfate de fer cristallisé, 22 50 (Midi); impalpable. 35 (frontière franco-belge). On signale des reventes de sulfate d'ammoniacque de | Sulfate d'ammoniacque, 101 à 115 prix officiel usines février-avril. — Cyanamide granulée, 20/21 az. (logée usines), 103 fr févr.; 14/15 %, 77 franco; 15/16 , 82 50; poudre 18/20 % az., 15 unité prédta usines (parité Bellégarde) (rare). Sylvinite. 12/16 %, 0 43 l'unité de K20; sylvinite 20/22 %, 0 54. — Chlorure de K20, 0 90 en vrac départ Alsace. — Sulfate de potasse, 1 40. Sulfate de cvr, 21 9 de Cu., 200 50 (usines). — Sulfate de fer cristallisé, 50 (Midi); impalpable. 35 (frontière franco-belge). On signale des reventes de sulfate dammoniacque de |
(frontière franco-belge). On signale des reventes de sulfate d'ammoniacque de 125 à 130 fr. départ Dunkerque. MARCHE DU HAVRE Le Havre, 28 février. Cafés. — Résistance calme. Ventes, 2.500 sacs. Aux 50 kilos : janvier incerté février 468, mars 460 50, avril 456 50, mai 442 50, juin 442 50, juillet 428 25, août 416 50, septembre 409, octobre 406 75, novembre 404 75, décembre 392 50. Coton. — Tendance soutenue. Ventes, 2.900 bales, Aux 50 kilos : janvier 771, février 714, mars 712, avril 942, mai 937, juin 919, juillet 909, août 88u, septembre 827, octobre 791, novembre 785, | (frntèr franco-belge). On signale des rvnts de sulfate 'ammoniacque de 125 à 130 fr. départ Dunkerque. MRCH DU HAVRE Le Havre, 28 février. Cafés. — Résistance calme. Ventes, 2500 sacs. u 50 kilos : jnvr incerté février 468, ma 460 50, avril 456 50, i 442 50, juin 442 50, juillet 428 25, août 416 50, septembre 0, octobre 406 75, novembre 404 75, décembre 392 50. Coton. Tendance soutenue. Ventes, 2.900 bales, Aux 50 kilos : janvier 771, fvrier 714, mars 712, ivalr 942, m 937, juin 919, lt 909, août 88u, septembre 827, octobre 791, novembre 785, |
juillet 909, août 88u, septembre 827, octobre 791, novembre 785, décembre 776. Laine. — Tendance calme. Aux 50 kilos : janvier in certé, février et mars 1750, avril 1700, mai à juillet 1700, août à décembre in certé. Soie. — Au 100 kilos, Michel: janvier in certé, novembre 200, décembre in certé. — Salon: janvier et février 233, mars 231 50, avril 235 50, mai 245 50, juin 237 50, juillet 238 50, août 239 50, septembre 240 50, octobre 242 50, novembre 212 50, décembre in certé. FOIRES DE LA CHARENTE MOIS DE MARS Loueurt, Saumur-en-Amnière-de-Confolens, Cognac. Anguilème, Bonneville-Saint-Martin, | juillet 909, août 88u, septembre 827, octobre 791, novembre 785, décembre 776. Laine. — Tendance calme. Aux 50 kilos : janvier in certé, février et mars 1750, avril 1700, mai à juillet 1700 août à décembre in certé. Soie. — Au 100 kilos, Michel janvier certé, remenbov 200, décembre in certé. Salon: janvier février 23,3 mars 231 50, avril 5 50, aim 245 50, juin 237 50, juillet 832 50, août 2 50, septembre 240 50, octobre 242 50, novembre 122 50, décembre in certé. FOIRES D LA CHARENTE MOIS DE MARS Lrt, Saumur-en-Amnière-de-Confolens, Cgnc. Anguilème, Bonneville-Saint-Martin, |
LA CHARENTE MOIS DE MARS Loueurt, Saumur-en-Amnière-de-Confolens, Cognac. Anguilème, Bonneville-Saint-Martin, Clun. Saint-Genis-d'Apprey, Arc. Artelière, La Rochefoucauld, Boëge, Jarnac, Montgouan, Saint-Antoine-d'Ajaçon, Saint-Angeau. Chalais, Chasseneuil, Montignac-Charente, Roumazières. Brigueuil, Champagne-Mouton, Chasseneuil. Brosseac. Cognac, Jauldes, Montgouan, Mouthiers, Saint-Germain-de-Confolens, Villebois. Lavalette. Charras, Nersac, Sigourné, Saux, Tusson. La Rochefoucauld, Nonac. Marcillac-Lanville, Pont-Segnon, Ruffec, Manières, Saint-Claud, Saint-Fort, Saint-Gourson, Saint-Séverin. Baillens, Sainte-Baddegonde, Cognac. Hiersac, Valence. Genes, La Peruse, Lignières. Nonaville, Ruffec. Montbron, Saint-Laurent-de-Chezzalieu, Gond. Angoulême, Aubeville. Allas, Saint-Martial-de-Montmorency, Sire. Agris, Chadurie, Raix. Barbezieux, Beauvais, Donnezville, Drieux. La Rochefoucauld, Dignac, Ruffec, Ville-lagnan. Bénédict, Massignac, Montchaude, Vars. Bassac, Champagne-Mouton, Coumarès, Ruelle. Étude de Maître LEROY, ancien notaire, commissaire-priseur à Angoulême, | LA CHARENTE MOIS DE MARS Loueurt, Saumur-en-Amnière-de-Confolens, Cognac. Anguilème, Bonneville-Saint-Martin, Clun. Saint-Genis-'Apprey, Arc Artelière, La Rochefoucauld, Boëge, Jarnac, Mntgn, Saint-Antoine-d'Ajaçon, Saint-Angeau. Chalais, Chasseneuil Migc-Cae Roumazières. Brigueuil, Champagne-Mouton, Chasseneuil. Brosseac. Cognac, Jauldes, Montgouan, Mouthiers, fmold-neeSCn-naaisnti-Goer, Villebois. Lvltt. Charras, Nersac, Sigourné, Sx, Tusson. La Rochefoucauld acN.on MarcillacLanville Pont-Segnon, Ruffec, Manières, Saint-Claud, Saint-Fort, Saint-Gourson, Saint-Séverin. Baillens, Sainte-Baddegonde, g Hiersac, Valence. Genes, La Peruse, Lignières. Nonaville, Ruffec. Montbron, Snt-Lrnt-d-Chzzl, Gond. Angoulême, Aubeville. lsal,A Saint-Martial-de-Montmorency, Sire. Agris, Chadurie, Raix zxr,euaibeB Beauvais, Donnezville, Drieux. La Rchfcld, ngiDca, Ruffec, Ville-lagnan. Bénédict, Massignac, Montchaude, Bssc, Champagne-Mouton, Coumarès, Ruelle. Étude de Maître LEROY, ancien notaire, commissaire-priseur à uême, |
Ruelle. Étude de Maître LEROY, ancien notaire, commissaire-priseur à Angoulême, Hôtel des Ventes, 30, Rempart de l'Est. 30. — Téléphone : 39-6. VESTE AUX ENCHÊRES Hôtel des ventes, 30, rempart de l'Est, 30, le LUNDI 6 MARS 1924 À 13 h. 30 : Salon six pièces, fauteuils Voilà, autres fauteuils, chaises guérites, sellets. Piano d'études. Salle à manger en noyer massif comprenant : buffet, table à rallonges et 6 chaises, autre buffet, brancards de salle à manger, huitres, chandeliers. Chambre à coucher avec armoire à lits, lits et matelas, tables de nuit, lit de milieu autres lits, matelas, lits de | Re Étude de Maître LEROY, ancien notaire, miaie-pisr à Angoulême, Hôtel des Ventes, ,03 Rempart de l'Est. 30. — Téléphone : 39-. VESTE AUX CÊESNHER Hôtel des ventes, 30 r de l' 3 le LND 6 MARS 1924 13 h. 30 : Salon six pièces, fauteuils Voilà, autres fauteuils, chaises eég,srtui sellets. Piano d'études. Salle à manger en nye massif comprenant : buffet, table à rallonges et chaises, autre uft, brancards de alels à manger, huitres, ndlr. Chmbr à coucher c armoire lits, lits et matelas, tables de ,tuni lit de iueiml autres lits, matelas, lits d |
de nuit, lit de milieu autres lits, matelas, lits de plume. Literie, glace, belle glace meuble. Bibliothèque table à dessin, chevalier, belle coiffeuse Louise XVI. Très bon moteur électrique, bicyclette, brouette, voitures d'enfants, plusieurs cuisinières et autres appareils de chauffage, etc. AU COMPTANT, 10 % EN SUS La salle est chauffée. 9510 b UN DEMANDE DE BOISSES OUVRIÈRES ÉMISES Références exigées. Bons salaires Pourraient être logées immédiatement cités ouvrières. S'adresser Papeteries Lucien Desbordes, à Grappelle. 4199-9512 RI Les actionnaires de la Société anonyme des Établissements C. MAGNANT et Co, sont convoqués l'assemblée générale ordinaire, au siège social, à Angoulême, rue | de nuit, lit de leiuim autres , matelas, lits de plume Literie, glace, belle glace meuble. Bibliothèque table à dessin, chevalier, belle coiffeuse Ls XVI. Très bn moteur électrique, bicyclette, brouette, voitures dens, plusieurs cuisinières et autres appareils de chauffage, etc. AU COMPTANT, 10 EN SUS La salle est hfée 9510 b UN DEMANDE DE BOISSES OUVRIÈRES ÉMISES Références exigées. Bons salaires Pourraient logées immédiatement cités ouvrières. S'adresser Papeteries Lucien Desbordes, à Grappelle. 4199-9512 RI Les actionnaires de la Société anonyme des Établissements C. MGNNT et Co, sont convoqués l'assemblée générale diai, au siège social, à Angoulême, rue |
convoqués l'assemblée générale ordinaire, au siège social, à Angoulême, rue de Paris, 11, le 39, pour le 16e mois 1924, à dix heures trente. Ordre du jour : 1. Approuvé le rapport de l'administration et du commissaire aux comptes sur les opérations de l'exercice 1923 et l'approbation des comptes de cet exercice. 2. Nomination de commissaires aux comptes pour le prochain exercice. 3. Fixation de journées de prévues. 4. Questions diverses. Conseil, vérification, audit. Ordre du jour. BAORASSEZ INFORMATIONS des vieux dentistes et bijoux, pièces remontées. Promettons des cours en les vendant. Maison AIVACLER, 3 rue de Petigny, Angoulême. Voies | convoqués l'ssmblé él rdnr, au siège social, à Angoulême, e de Paris, 11 le 39 pr e 16 mois 1924, dix heures ent. Ordre du jour : 1. Approuvé le rapport de l'administration t du commissaire aux comptes sur les opérations de 'exercice 1923 et l'approbation ds comptes de cet exercice. 2. Nomination de commissaires aux comptes pour le prochain exercice. Fixation de journées de prévues. 4. Questions diverses. Cnsl, vérification, audit. Ordre du jour. BAORASSEZ MNNIOSFIRATO des vieux dentistes et bijoux, pièces remontées. Promettons des cours en les vendant. Maison LREAVA,IC 3 de Petigny, Angoulême. Voies |
les vendant. Maison AIVACLER, 3 rue de Petigny, Angoulême. Voies urinaires: Blennorrhagie, Cystite, Uretrite guéries par le TRAITEMENT peu coûteux et d'une application facile. Brochure gratuite. Discrétion garantie. Expéditions rapides Les opilants sont vendus que par la HOUSEWARE FERRY, 21, rue Hère Nancy, près de la place Stanislas. Le Gérant : A. ROUBENNE. Angoulême. — Imprimerie CENTRAL, (CIE) — Journal du Commerce, Angoulême, n° 1366. SIROP DE BERNY le meilleur remède pour Bronchites, Gippe, etc. Prix 5,50 en toutes pharmacies. | les vendant. Maison AIVACLER, 3 rue de Petigny, Angoulême Voies urinaires: Blennorrhagie, Cystite, Uretrite guéries par le TRAITEMENT peu coûteux t d'une application facile. Brochure gratuite. Discrétion garantie. xpédtns rapides Les opilants sont vendus uqe par la HOUSEWARE FERRY, 21, rue Hère Nancy, près de la place Stanislas. Le Gérant : A. ROUBENNE. Angoulême. — pmIreemiir CENTRAL, (CE) Journal du Commerce, Angoulême, n° 1366. SIROP DE BERNY le meilleur remède pour Bchites Gippe, tc. Prix 5,50 en toutes pharmacies. |
5ème ANNÉE 10 MAI 1902 N° 5 Liste des Membres de l'ASSOCIATION MÉDECINE MÉDECINE MEMBRES HONORAIRES BROULARDEL, P. et doyen de la F., Président de l'Association des Médecins de la Seine; M. la Faculté de Médecine. 66, r. Bellechasse, DUQUET.-P. A. F. — M. H. — 60, rue de Londres. FOURNIER, M. A, — P. F. — M. H, — 1, rue Volney. GALEZOWSKI. —103, boulevard Haussmann. GIRARD, pharmacien. — 22, rue de Condé. JOAL (du Mont-Dore). MOREL P'ARLEUX. — 33, rue Desbordes-Valmore. Desbordes-Valmore. — 81, boulevard Beauséjour, Beauséjong, TILLAUX, M. A. — P. F. — C.H., —189, boulevard St-Germain. | 5ème ANNÉE 10 MAI 1902 ° 5 Liste des Membres de l'SSCTN MÉDECINE MÉDECINE MEMBRES HONORAIRES BROULARDEL, P. et doyen de l F., Président de l'Association des Médecins de la Seine; M. la Faculté d Médecine. ,66 r. Bellechasse, DUQUET.-P. A. F. — M. H. — 60, d Londres. FOURNIER, . A, — . . — M. H, — 1, rue Volney. ALEZOSK —103, boulevard Haussmann. GIRARD, pharmacien. — 22, rue de Condé. JOAL (du Mont-Dore). MOREL P'ARLEUX. — 33, rue Desbordes-Valmore. Desbordes-Valmore. — 81 boulevard Beauséjour, Beauséjong TILLAUX, A — P . — C.H., 189 boulevard St-Germain. |
M. A. — P. F. — C.H., —189, boulevard St-Germain. SEVESTRE, M. A. — M. H.,53, rue de Châteaudun. BAR, Prof, agrégé, Accoucheur de l'Hôpital Saint-Antoine. CONSEIL JURIDIQUE M. Dofer, avocat au Conseil d'Etat et à la Cour de Cassation, 31, rue Madame. M. Robin, avocat à la Cour d'Appel, 03, rue de Vaugirard. M. Ribadcau-Dumas, avoué à la Cour d'Appel, 5, rue de l'Université. M. Ralier, avoué de première Instance, 68, r. d. Chaussée-d'Antin M. Théret, notaire, 24, bd St-Denis ASSOCIÉS PARTICIPANTS Abadié, boul. St-Germain, 172. Adler, r. du Faub. St-Honoré, 100. Arcambaud(P.J, rue Cujas, 21 Andre, boulevard Voltaire, | M. A. — P. F. C.H., —189, laerbduvo rGimae-Sn.t SEVESTRE, . A. — M. H.,53, rue de Châteaudun. BAR Prof, grégé, Accoucheur de l'Hôpital Snt-ntn. CONSEIL JURIDIQUE M. Dofer acatvo au Conseil d'Etat et à la Cour de Cassation, 31, rue Madame. M. Robin, avocat à la Cr 'Appel, 0, rue de Vaugirard. M Ribadcau-Dumas, avoué à la Cour d'Appel, 5, rue de l'Université. M. Ralier, avoué de première Instance, 68, r. d. Chaussée-d'Antin M. Théret, ntr, 24, bd St-Dns ASSOCIÉS PARTICIPANTS bdé, bl. -SGena,mirt 172. Adler, r. d Faub. St-noé, 100. ArcambaudPJ rue Cujas, 21 Andre boulevard Voltaire, |
Faub. St-Honoré, 100. Arcambaud(P.J, rue Cujas, 21 Andre, boulevard Voltaire, 22. Angot, à Monsoult (Seine-et-Oise) Apert (Charles), v. Marignan, M Archambault (Raym.), de St-Denis Argueyrolles, boulevard de Créteil (Parc-Saint-Maur). Arrivot, rue de Ponthieu, 6. Astier, boul. Malesherbes, 132. Aubeau, boulevard Haussmann, 40 Aubert, rue de Moscou, 50. Aubert Francis, 2, rue Saint-Louis à Chevry-le-Roi Auboeuf, rue de Clignancourt, 58. Audin, rue de l'Aqueduc, 17. d'Ayre, rue St-Placide, 42. Balland, rue de Ménilmontant, 54 Baratoux, rue de la Boétie, 32. Barbaud, square du Croisic, 41 Barbe, rue de Penthièvre, 34. Barbézieux, rue Montmartre, 152: Barbier, rue du Maroc. 1. Barbulée, faubourg | Fau St-Honoré, 100 Arcambaud(P.J, rue Cujas, 21 Andre, boulevard Voltaire, 22. Angot, à Monsoult (Seine-et-Oise) Apet (Charles), v. Marignan M Archambault (Ray.) de t-Dnis Argueyrolles, blvrd de Créteil (Parc-Saint-Maur). Arrivot, rue de Ponthieu, 6 str, boul. Malesherbes, 132. Aubeau, boulevard Haussmann, 40 Aubert, r de Msc, 05. Aubert Francis, 2, rue Snt-Ls à Chevry-le-Roi Auboeuf, rue Clignancourt, 58. Audin, rue de 'euc 17. d'Ayre, rue S-Plade, 42. Balland, ue de Ménilmontant, 54 Baratoux, e de la Boétie, 32. Barbaud, square du Crsc, 41 Barbe rue de Penthièvre, 34. bézu reu Montmartre, 152 Barbier, rue du Maroc. 1. Barbulée, faubourg |
rue Montmartre, 152: Barbier, rue du Maroc. 1. Barbulée, faubourg St-Martin, 206 Barjon, avenue Victor-Hugo, 11 Barthélemy, r. Paradis-Poisson, 2 Battesti, pi. St-Nicolas, 13 Bastia Baudet, Raoul, 206, b. Raspail. Baullet, Louis-Jules, 11; rue Louis Philippe, à Neilly. Beaussenat, rue Duphot, 19. Beausse, 11, rue de Réaumur. Bellemain, rue Boursault, 64. Bellencontre, rue Scribe; 3.....' Belloy, av.de Paris, 6. Choisy-Rois Beltrami, rue Caumartin, 12. Berne &, boulevard Haussmann, 16 Berne Paul; avenue Pereire; 10; Bernheim, rue Rougemont, 9.: Bernheim Ferjand, 39, boulevard National, à Choisy-le-Roi: Béluze à r. d. Francs-Bourgeois, 5 Behardy place Daumesnil 7. Benoit, avenue de Clichy, 127. | rue Montmartre, 152: Barbier, rue du Maroc. 1. Barbulée faubourg St-Martin, 206 Barjon, avenue Victor-Hugo, 11 Barthélemy, r. Paradis-Poisson, 2 Battesti, pi. St-Nicolas, 13 Bst Baudet Raoul, 206, b. Rspl. Baullet, Louis-Jules, 11; rue Louis Philippe, à Neilly. Beaussenat, rue Duphot, 19. Beausse, 11, rue de Réum. Bellemain, rue ousal, 64. Bellencontre, rue Scrb; 3.....' e av.de Paris, 6 ChoisyRois eartBm,li rue Caumartin 12. Berne &, boulevard Haussmann, 16 Berne Paul; avenue Pereire; 10; Bernheim, rue Rougemont, 9.: Bernheim Ferjand, 39 buea National, à Choisy-le-Roi: Béluze à d. surgis 5 Behardy place Daumesnil 7. Benoit, avenue de ic,hCly 721. |
5 Behardy place Daumesnil 7. Benoit, avenue de Clichy, 127. Bérard, rue Monge, 82. Bérillot, rue Taitbout, 14. Journal DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Cinquième Année 10 Mai 1902 Numéro 5 SOMMAIRE Séance du 15 Avril; Adhérents nouveaux; État sanitaire; Nombre des Sociétaires au 10 Mai; Recettes annuelles; Capital réserve; Indemnités versées aux sociétaires par la Caisse sociale Situation financière au 30 Avril 1902; Hospice Saint-Lazare. — M. Jullien. — H Avril 1902. — Le Gonococcie. Variétés; Bibliographie; Index bibliographique. Séance du 15 Avril 1902 Présidence de M. le Docteur Descoust Etuiens prescrits : MM. Bouisson, Galtier, Jouillard, Henri Henné, Thoumas, | 5 Behardy place Daumesnil 7. Benoit, avenue de Clichy, 127. Bérard, rue Monge, 2. Bérllt, rue aitbut, 1. Journal D L'SSCTN MEDICALE UT Cinquième Année 10 Mia 1902 Numéro 5 SOMMAIRE Séance du 15 Avril; Adhérents novux État sanitaire; Nmre des Sociétaires au 10 Mai; Retes annuelles; Capital éver;res Indemnités versées aux sociétaires par la Caisse sociale Situation fnncèr au 3 Avril 1902; osi Saint-Lazare. — M. Jullien. — H Avril 1902. — Le Gonococcie. Variétés; Bibliographie; Index bibliographique Séance ud 15 Avril 1902 Présidence d . le Docteur Descoust Etuiens prescrits : MM. Bouisson, Gltr, Jlr,liauod Henri Henné, Thms, |
Etuiens prescrits : MM. Bouisson, Galtier, Jouillard, Henri Henné, Thoumas, Dufour, Fissiaux, Uennocrat, Mihran Kemadjian, Sereno, Nogué. Excusés: MM. Despagnel, Berne, Signez, Auboeuf. La séance est ouverte à 8 heures 1/2. Changements d'adresse: MM. Rédit, 13, boulevard Magenta; Lubelski, 17, rue de l'Arc de Triomphe; Colombès, 25, rue Trinité; Duclos, à Pierrefeu (Yar) ; Brémond, 5, rue Michel-Chastels; Berthod, 10, rue Mailboeuf, Kuhn, 5 bis, rue St-Cyr, à Bourg-la-Reine. M. Letulle demande par lettre qu'on admette de nouveau le docteur S. Le Conseil examine les candidats nouveaux. Sur sept candidats présentés six sont admis. Après examen sérieux, le Conseil décide | Etuiens prescrits : MM. Bouisson, Galtier, oillr, Henri Henné, Thoumas, uur Fissiaux, Unna Mihran Kemadjian, Sereno, Nogué. Excusés: MM. Dsan, Berne, Signez, Auboeuf. La séance est ouverte à 8 heures 1/2. Changements 'adresse: MM. Rédit, 13, boulevard Mgnt; Lubelski, 17, rue de l'Arc d Triomphe; Clmbès, 25, r Trinité; Duclos, à Pierrefeu (Yar) ; Brémond, 5, rue MichelChastels Berthod, 10, rue Mailboeuf, Kuhn, 5 bis, rue St-Cyr, à Bourg-la-Reine. M. Letulle demande par lettre u'n admette de nouveau le docteur S. Le Cnsl eaiemxn les candidats nouveaux. Sur sept candidats présentés six sont admis. Après examen sérieux, le Conseil iedcdé |
présentés six sont admis. Après examen sérieux, le Conseil décide la suppression de l'indemnité maladie à un de nos confrères qui a déjà reçu de la caisse, plus de 10.000 francs et qui est en état de reprendre ses occupations. M. Fissiaux fait connaître la situation financière. M. Descoust fait approuver les bons d'indemnité maladie. La séance est levée à 10 heures 1/2 78 JOURNAL DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Adhérents Nouveaux M. le docteur AUBLÉ (Francis), 2 rue Saint-Louis Présente par M. Mihran Kemadjian. Louis, à Chevry-le-Roi. M. le docteur FAURÉ (Jean-L.), 10, rue de Seine. Présenté par MM. Nigay | préé six sont admis. Après examen sérieux, le l décide la norsepsspiu de l'indemnité mld à un de nos confrères qui a déjà reçu de la caisse p de 10.000 francs et qui est en état de reprendre ses occupations. M. Fissiaux atfi connaître la sttn financière. M. Descoust fait approuver les bons d'indemnité maladie. La séance est levée à 10 heures 1/2 78 JOURNAL DE 'SOCI MEDICALE MUTUELLE Adhérents Nouveaux M. le docteur AUBLÉ (Francis), 2 rue a-utsnSiLio Présente par M. hra Kemadjian. Ls, à Chevry-le-Roi. M. le docteur ÉFARU (Jean-L.), 10, rue de Seine. Présenté par MM. Nigay |
FAURÉ (Jean-L.), 10, rue de Seine. Présenté par MM. Nigay et Elie Faure. M. le docteur LASSUDIE-DUCHÈNE, 49, rue de Provence. Présenté par MM. Bouisson et Berne. M. le docteur LE FURNIER, 5, boulevard Magenta. Présenté par MM. Bellencourt et Signez. M. le docteur LEBEDINSKY (Jacques), 2 bis, r. du Havre. Présenté par MM. Queudot et Nogué. M. le docteur LÉ T (Henri), 38, rue Doudeauville. Présenté par MM. Morcl et Bizard. État sanitaire Mouvement des malades du 14 Mars au 15 Avril 1902 Bons d'indemnité délivrés aux Sociétaires Du 14 Mars au 15 Avril 1902, nous avons eu 15 | UÉ (Jean-L.), 10, rue de Seine. Présenté pr MM. Nigay et Elie Faure. . le dctr LASSUDIE-DUCHÈNE, 49, rue de Provence. Prenté pr MM. Bouisson et Berne. M. l docteur LE FURNIER, 5, boulevard Magenta. Présenté par MM. Bellencourt t Signez. M. le docteur LEBEDINSKY (Jacques), 2 bs, r. du a. Présenté par MM. Queudot et Ngé. M. el rcotude LÉ T (Henri), 38 e Doudeauville. Présenté par MM. Mocl et Bizard. Étt sanitaire Mouvement des malades du 14 Mars au 15 Avril 1902 Bons d'indemnité délivrés aux éts u 14 Mars au 15 vrl 1902, nous avons eu 15 |
14 Mars au 15 Avril 1902, nous avons eu 15 sociétaires malades. Pour ces 15 sociétaires le nombre des journées de maladie s'est élevé à 383. Les bons d'indemnité délivrés représentent la somme de trois mille huit cent trente francs (3,830 IV.) touchés ou à toucher. Nombre des Sociétaires au 10 Mai 1902 535 Recettes annuelles de la Société, Cotisations et intérêts 78,000 Francs Capital Réserve 375.000 Francs Indemnités versées aux Sociétaires par la Caisse Sociale 236,000 Francs CORRECTION ### 5ème ANNÉE 10 MAI 1902 N° 5 Liste des Membres de l'ASSOCIATION MÉDECINE MÉDECINE MEMBRES HONORAIRES BROULARDEL, P. et doyen | Mars au Avril 1902, nous avons eu 15 sociétaires malades. r ces 15 sociétaires le nombre des journées de mld s'est élevé à 383. Les bons d'ndmnté lr rprésntnt la somme de trois mille ht cent trente frncs (3,830 IV touchés ou à toucher. Nombre des Sociétaires au 10 iMa 1902 535 Recettes annuelles de la Sciéé, Cotisations e intérêts 78,000 Francs Capital Réserve 375.000 Francs Indemnités versées aux Scétrs par l Caisse Sociale 236,000 Francs OCIN 5ème ANNÉE 10 MIA 1902 N° 5 Liste des Membres ed ASSATN MÉDCN MÉDECINE MEMBRES HONORAIRES BROULARDEL, P. et doyen |
de l'ASSOCIATION MÉDECINE MÉDECINE MEMBRES HONORAIRES BROULARDEL, P. et doyen de la F., Président de l'Association des Médecins de la Seine; M. la Faculté de Médecine. 66, r. Bellechasse, DUQUET.-P. A. F. — M. H. — 60, rue de Londres. FOURNIER, M. A, — P. F. — M. H, — 1, rue Volney. GALEZOWSKI. —103, boulevard Haussmann. GIRARD, pharmacien. — 22, rue de Condé. JOAL (du Mont-Dore). MOREL P'ARLEUX. — 33, rue Desbordes-Valmore. Desbordes-Valmore. — 81, boulevard Beauséjour, Beauséjour, TILLAUX, M. A. — P. F. — C.H., —189, boulevard St-Germain. SEVESTRE, M. A. — M. H.,53, rue de Châteaudun. BAR, | de l'ASSOCIATION MÉDECINE MÉDECINE MEMBRES HONORAIRES BRLRDL, P. et noeyd de la F., Présdnt de l'Association des Médecins de la Seine; l Fclté de Médecine 66, r. Bellechasse, DUQUET.-P. . F. — M. H — 60, rue de Londres. FOURNIER, A, — P. F. — M. H, — 1, rue Volney GAEWK —103, boulevard Haussmann. GIRARD, phmin. — 22, eur d Condé. JOAL du Mnt-Dr). MOREL P'ARLEUX. — 33, rue brd-Vamr Desbordes-Valmore. — ,18 boulevard Beauséjour, Beauséjour, TILLAUX, M. A . F. — C.H., —189, ur St-Germain. SEVESTRE, M. . M. H.,53, rue de Châteaudun. BAR, |
SEVESTRE, M. A. — M. H.,53, rue de Châteaudun. BAR, Prof, agrégé, Accoucheur de l'Hôpital Saint-Antoine. CONSEIL JURIDIQUE M. Dofer, avocat au Conseil d'Etat et à la Cour de Cassation, 31, rue Madame. M. Robin, avocat à la Cour d'Appel, 03, rue de Vaugirard. M. Ribadcau-Dumas, avoué à la Cour d'Appel, 5, rue de l'Université. M. Ralier, avoué de première Instance, 68, r. d. Chaussée-d'Antin M. Théret, notaire, 24, bd St-Denis ASSOCIÉS PARTICIPANTS Abadié, boul. St-Germain, 172. Adler, r. du Faub. St-Honoré, 100. Arcambaud(P.J, rue Cujas, 21 Andre, boulevard Voltaire, 22. Angot, à Monsoult (Seine-et-Oise) Apert (Charles), v. Marignan, M | SEVESTRE, M. A. — . H53 rue de Châteaudun. BAR, Prof agrégé, Accoucheur d lHôpital Saint-Antoine. CONSEIL JURIDIQUE . Dfr, avocat au Conseil a et la Cr de Cassation, 31, rue ama.dMe M. Rbn, avocat à la Cour 'Ape, , r de Vaugirard. M. Ribadcau-Dumas, auéov à l Cour d'Appel, rue de lUniversité M. Ralier, avoué de première Instance, 68, r. d. Chaussée-d'Antin M. Théret, notaire, 24, bd St-Denis ASSOCIÉS PARTICIPANTS Abadié, bl. St-Germain, 172. Adler . du Faub. St-Honoré, 0. Arcambaud(., rue C, 21 Andre, boulevard Voltaire, 22. tAg,no à Monsoult (Seine-et-Oise) Apert (Charles), v. Marignan, M |
22. Angot, à Monsoult (Seine-et-Oise) Apert (Charles), v. Marignan, M Archambault (Raym.), de St-Denis Argueyrolles, boulevard de Créteil (Parc-Saint-Maur). Arrivot, rue de Ponthieu, 6. Astier, boul. Malesherbes, 132. Aubeau, boulevard Haussmann, 40 Aubert, rue de Moscou, 50. Aubert Francis, 2, rue Saint-Louis à Chevry-le-Roi Auboeuf, rue de Clignancourt, 58. Audin, rue de l'Aqueduc, 17. d'Ayre, rue St-Placide, 42. Balland, rue de Ménilmontant, 54 Baratoux, rue de la Boétie, 32. Barbaud, square du Croisic, 41 Barbe, rue de Penthièvre, 34. Barbézieux, rue Montmartre, 152: Barbier, rue du Maroc. 1. Barbulée, faubourg St-Martin, 206 Barjon, avenue Victor-Hugo, 11 Barthélemy, r. Paradis-Poisson, 2 | 22. not, à Monsoult SeineetOise pe (Charles), v Marignan, M Archambault (Raym.), de St-Denis Argueyrolles, bouevr de Cétel (Parc-Saint-Maur). rrvt, rue de Ponthieu, 6. Astier, boul. Malesherbes, 132. bAuaue, boulevard Haussmann, 40 Aubert, rue de Msc, 50. Aubert Francis, 2, rue Saint-Louis à Chevry-le-Roi Aubou, r de Clignancourt, 58. Audin, rue de l'Aqueduc, 17. d'Ayre, rue da,-PtlSeci 42. Balland, r de Ménilmontant, 54 Baaux, rue de l Boétie, 32. Bbu,dara square du Croisic, 41 Barbe, rue de Penthièvre, 34. Barbézieux, rue Montmartre, 152: Barbier, rue du Maroc. 1. Barbulée, faubourg Mi 206 Barjon avenue Victor-Hugo, 11 Barthélemy, r. Prds-Pssn, 2 |
St-Martin, 206 Barjon, avenue Victor-Hugo, 11 Barthélemy, r. Paradis-Poisson, 2 Battesti, pi. St-Nicolas, 13 Bastia Baudet, Raoul, 206, b. Raspail. Baullet, Louis-Jules, 11; rue Louis Philippe, à Neilly. Beaussenat, rue Duphot, 19. Beausse, 11, rue de Réaumur. Bellemain, rue Boursault, 64. Bellencontre, rue Scribe; 3.....' Belloy, av.de Paris, 6. Choisy-Rois Beltrami, rue Caumartin, 12. Berne &, boulevard Haussmann, 16 Berne Paul; avenue Pereire; 10; Bernheim, rue Rougemont, 9.: Bernheim Ferjand, 39, boulevard National, à Choisy-le-Roi: Béluze à r. d. Francs-Bourgeois, 5 Behardy place Daumesnil 7. Benoit, avenue de Clichy, 127. Bérard, rue Monge, 82. Bérillot, rue Taitbout, 14. Journal DE | StMartin 206 Barjon, avenue Victor-Hugo, 11 artle . Paradis-Poisson, 2 Battesti, pi. St-Nicolas, 13 Bastia Baudet, Raoul, 206, b. .liaasRp Baullet, Louis-Jules, 11; reu Louis Philippe, à Neilly. Beaussenat, rue Duphot 19. Beausse, 11, rue de Réaumur. Bellemain, rue Boursault, 64. Bellencontre, rue Scribe; ....3.' Belloy av.de Paris, 6. Choisy-Rois Beltrami, rue Caumartin, 1 Berne &, boulevard Haussmann, Berne Paul; avenue Pereire; 10; Bernheim, rue Rougemont, 9.: Bernheim Ferjand, 39, boulevard National, à Choisy-le-Roi: Béluze r. d. Francs-Bourgeois, 5 Behardy celap Daumesnil 7. Benoit, avenue de ih, 127. Bérard rue Monge, 82. Bérillot, rue Taitbout, 14. nluarJo DE |
Bérard, rue Monge, 82. Bérillot, rue Taitbout, 14. Journal DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Cinquième Année 10 Mai 1902 Numéro 5 SOMMAIRE Séance du 15 Avril; Adhérents nouveaux; État sanitaire; Nombre des Sociétaires au 10 Mai; Recettes annuelles; Capital réserve; Indemnités versées aux sociétaires par la Caisse sociale Situation financière au 30 Avril 1902; Hospice Saint-Lazare. — M. Jullien. — H Avril 1902. — Le Gonococcie. Variétés; Bibliographie; Index bibliographique. Séance du 15 Avril 1902 Présidence de M. le Docteur Descoust Etuiens prescrits : MM. Bouisson, Galtier, Jouillard, Henri Henné, Thoumas, Dufour, Fissiaux, Uennocrat, Mihran Kemadjian, Sereno, Nogué. Excusés: MM. Despagnel, | Bérr, Mng, 82. Bérillot, rue Taitbout 14. Jrnl DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Cinquième Année 10 Mai 1902 Numéro SOMMAIRE Séance du 15 Avril; Adhérents nouveaux; État sanitaire; Nombre e Sociétaires au 10 i Recettes annuelles; Capital réserve; Indemnités versées sociétaires par la iCesas sociale Situation financière au 0 v 1902; Hospice Saint-Lazare. — M. Jullien. — Avril 1902. — Le Gonococcie arités; Bibliographie; Index bibliographique. Sn du 15 rviAl 1902 Présdnc de M. le Docteur Dscst Etuiens prescrits MM Bouisson, Galtier, Jouillard, Henri Henné Thoumas, Dufour Fissiaux Uennocrat, Mihran Kemadjian, Sereno, Nogué. Excusés: MM. Despagnel |
Dufour, Fissiaux, Uennocrat, Mihran Kemadjian, Sereno, Nogué. Excusés: MM. Despagnel, Berne, Signez, Auboeuf. La séance est ouverte à 8 heures 1/2. Changements d'adresse: MM. Rédit, 13, boulevard Magenta; Lubelski, 17, rue de l'Arc de Triomphe; Colombès, 25, rue Trinité; Duclos, à Pierrefeu (Yar) ; Brémond, 5, rue Michel-Chastels; Berthod, 10, rue Mailboeuf, Kuhn, 5 bis, rue St-Cyr, à Bourg-la-Reine. M. Letulle demande par lettre qu'on admette de nouveau le docteur S. Le Conseil examine les candidats nouveaux. Sur sept candidats présentés six sont admis. Après examen sérieux, le Conseil décide la suppression de l'indemnité maladie à un de nos confrères | Dufour Fissiaux, Uennocrat, Mihran Kemadjian, Sereno, Nogué. Excusés: MM. an, Berne, Signez, bf. La séance est uet à 8 heures /. Changements d'adresse: MM. Réidt, 13, boulevard Magenta; Lubelski, 17, rue de 'Arc de Triomphe; Colombès, 25, rue Trinité; Duclos, à Pierrefeu (Yar) ; Brémnd, 5, rue cl-Ca; Berthod, 10, rue Mailboeuf, Kuhn 5 bis, rue St-Cyr, à Bourg-la-Reine. M. Letulle demande par lettre qu'on admette de nouveau le docteur S. Le Conseil xmn les aactdidsn nouveaux. Sur sept candidats péené six sont admis. Après exn sérieux, le Conseil décide la supressin d l'indemnité maladie à un de nos confrères |
la suppression de l'indemnité maladie à un de nos confrères qui a déjà reçu de la caisse, plus de 10.000 francs et qui est en état de reprendre ses occupations. M. Fissiaux fait connaître la situation financière. M. Descoust fait approuver les bons d'indemnité maladie. La séance est levée à 10 heures 1/2 78 JOURNAL DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Adhérents Nouveaux M. le docteur AUBLÉ (Francis), 2 rue Saint-Louis Présente par M. Mihran Kemadjian. Louis, à Chevry-le-Roi. M. le docteur FAURÉ (Jean-L.), 10, rue de Seine. Présenté par MM. Nigay et Elie Faure. M. le docteur LASSUDIE-DUCHÈNE, 49, rue de | la suppression de 'indemnité iemadla à un de nos cnfrèrs qui a déjà reçu de la caisse, plus de 10.000 francs et qui est en état de reprendre ses occupations. M. Fssx f connaître la situation financière. M Descoust fait approuver les bons d'indemnité maladie. La séance est levée à 10 heures 1/2 78 JOURNAL DE L'SSCTN MDCL UEL Adhérents Nouveaux M. le dctr AUBLÉ ns, 2 rue SaintLouis Présente par M. Mihran Kemadjian. Lis à Chevry-le-Roi. M. le docteur FRÉ (Jean-L.), 10, rue d e Présenté par MM. Nigay et Elie Faure M. le docteur LASSUDIE-DUCHÈNE, 49, rue de |
et Elie Faure. M. le docteur LASSUDIE-DUCHÈNE, 49, rue de Provence. Présenté par MM. Bouisson et Berne. M. le docteur LE FURNIER, 5, boulevard Magenta. Présenté par MM. Bellencourt et Signez. M. le docteur LEBEDINSKY (Jacques), 2 bis, r. du Havre. Présenté par MM. Queudot et Nogué. M. le docteur LÉ T (Henri), 38, rue Doudeauville. Présenté par MM. Morcl et Bizard. État sanitaire Mouvement des malades du 14 Mars au 15 Avril 1902 Bons d'indemnité délivrés aux Sociétaires Du 14 Mars au 15 Avril 1902, nous avons eu 15 sociétaires malades. Pour ces 15 sociétaires le nombre des journées | et Elie Faure. M. le docteur LASSUDIE-DUCHÈNE, 49, rue de Provence. Présnté par MM. uBsinsoo et Berne. M. l docteur LE FURNIER, 5, ev Magenta. Présenté rap MM. Bellencourt et Signez. M. le docteur LEBEDINSKY Jacques 2 bis, r. du Havre. Présenté par MM. Queudot t Nogué. M. le docteur LÉ T (Henri), 38, rue Doudeauville. Présenté par MM. Morcl et Bizard. tatÉ sanitaire Mouvement des malades du 14 Mars au 15 Avril 1902 Bons 'indemnité délivrés aux Sociétaires Du 14 Mars au 15 Avril 1902, nous avons eu 15 sociétaires malades. Pour ces 15 sociétaires le nombre des journées |
sociétaires malades. Pour ces 15 sociétaires le nombre des journées de maladie s'est élevé à 383. Les bons d'indemnité délivrés représentent la somme de trois mille huit cent trente francs (3,830 IV.) touchés ou à toucher. Nombre des Sociétaires au 10 Mai 1902 535 Recettes annuelles de la Société, Cotisations et intérêts 78,000 Francs Capital Réserve 375.000 Francs Indemnités versées aux Sociétaires par la Caisse Sociale 236,000 Francs 24 Avril 1902 Le Gonocoque La connaissance de la blennorrhagie, actuellement, repose toute entière sur celle du gonocoque, dont la présence est intimement liée à la nature de cette maladie ; c'est-à-dire | sociétaires malades. Pour ces 5 sociétaires le nombre des journées de maladie s'est élevé à 383. Les bons d'indemnité délivrés représentent la somme de trs mille huit cent trente francs 3830 IV.) touchés ou à toucher. Nombre des Sociétaires 10 Mai 1902 535 Recettes annuelles de la Soié, Cotisations et iért 78,000 Frncs Capital Résrv 375.000 Francs Indemnités versées aux Sociétaires par la Caisse Sociale 236,000 Francs 24 Avril 1902 Le Gonocoque La connaissance de la blennorrhagie, actuellement, repose toute entière sur celle ud gonocoque, dnt la présence est intimement liée à la nature de cette maladie ; 'est--dire |
intimement liée à la nature de cette maladie ; c'est-à-dire qu'il n'existe point de vrai blennorrhagie sans gonocoque : telle est la doctrine admise de nos jours, après bien des errements et des confusions. Si on examine au microscope, avec les réactifs convenables, les différents écoulements de puissance, on trouve dans un certain nombre un microbe particulier et toujours identique, reconnaissable à ses caractères morphologiques, à son habitat, à ses propriétés, etc., qu'on appelle le gonocoque, et c'est précisément Neisser, son inventeur, qui a eu le mérite de montrer que ce microbe ne se rencontre pas dans tous les écoulements | intimement liée à la nature de cette maladie ; c'st-à-dr qu'il n'existe point de vrai blennorrhagie sans goqu : telle st la doctrine dms de nos jours, après bien ds errements te des confusions. Si on examine au microscope, avec les réactifs convenables, les différents écoulements de uise on r dans un certain nombre un microbe particulier et toujours identique, rcnnssbl à es caractères morphologiques, à son habitat, à ses propriétés, etc., qu'on appelle le gonocoque et c'est précisément Neisser, son inventeur, qui a eu le mérite de mntrr que ce microbe ne se rencontre pas dans tous les écoulements |
ce microbe ne se rencontre pas dans tous les écoulements vénériens, qu'il est spécial à la chaude-pisse proprement dite. On en a conclu avec beaucoup de vraisemblance que c'était l'agent de la blennorrhagie, et l'expérience l'a surabondamment démontré. Le gonocoque est devenu la preuve irréfutable de la nature blennorrhagique d'un écoulement ou d'une suppuration quelconque. Ce qui donne une grande valeur à cet élément de diagnostic, c'est que le gonocoque est toujours semblable à lui-même, dans sa forme et dans ses manifestations, dans toutes les races et dans tous les pays. JOURNAL DE L'ASSOCIATION MÉDICALE MUTUELLE Quand on trouve le | ce microbe ne s rencontre pas dans ts les écoulements vénériens, qu' est spécial la chae-piss proprement dite. On en conclu avec beaucoup vraisemblance q c'était l'agent de l blennorrhagie, et lexpérience a'l srbndmmnt démontré Le gonocoque t devenu la preuve tafirulebré de la nature blennorrhagique d uemen ou d'une suppuration quelconque. Ce qui donne une rgdaen valeur cet élément de diagnostic c'est que le gonocoque est toujours semblable à lui-même, dans sa efomr et dans ses manifestations, dns toutes ls races et dans ts les pays. JOURNAL DE L'ASSOCIATION MÉDICALE MUTUELLE Quand on trouve le |
pays. JOURNAL DE L'ASSOCIATION MÉDICALE MUTUELLE Quand on trouve le gonocoque dans un écoulement uréthral, c'est que l'uréthrite est blennorrhagique. Généralement, l'origine contagieuse est affirmée par les aveux du malade ou par la confrontation des deux conjoints. Les gonocoques se voient dès les premières gouttes de pus, et atteignent leur maximum de développement vers le huitième ou dixième jour de la chaude-pisse, alors que celle-ci bat son plein; mais ils disparaissent à la période muqueuse ou à la période chimique (si l'on a employé les injections) ; et la clinique nous apprend d'autre part qu'à cette période l'uréthrite n'est pas | pays. JOURNAL DE L'ASSOCIATION MÉDICALE MUTUELLE Quand on trouve le gonocoque dans un écoulement uréthral, c'st u l'uréthrite st blennorrhagique. Généralement, 'origine cntgs est affirmée par les vx du malade ou par la confrontation des deux conjoints. Les gonocoques se voient dès les premières gouttes de pus t atteignent leur maximum de élppemnt vers le huiièm ou dixième jr de la chaude-pisse, alors que cll-c bat nos plein; mais ils disparaissent à la période muqueuse ou à la pérd muceihiq (s lon a employé les njctns) ; et la iiuqnelc nous apprend d'tr part qu'à cte période uthite 'est pas |
nous apprend d'autre part qu'à cette période l'uréthrite n'est pas contagieuse. Il existe donc une étroite corrélation entre l'évolution de l'écoulement, la contagiosité de celui-ci, la présence et l'absence des gonocoques. Les autres écoulements vénériens qui sont différents de la chaude-pisse par leurs caractères cliniques et par l'absence du gonocoque, sont causés par des agents irritants divers, parasitaires, chimiques, toxinémiques, etc., et constituent ce que Diday a si justement nommé les blennorrhodies. Vous voyez par conséquent qu'à une époque relativement ancienne, on admettait déjà la dualité de l'uréthrite. Avec la découverte de Neisser, cette idée n'a fait que s'affermir et | nous apprend d'autre part qu'à e période l'uréthrite n'est pas otiee. Il existe donc une étroite corrélation entre l'évolution de l'écoulement, la contagiosité ed celui-ci, la présnc l'absence ds gncqs. Les autres écoulements vénériens q sont différents de la chaude-pisse par leurs caractères cliniques et par l'absence gonocoque sont causés par des agents irritants divers, parasitaires, chimiques toxinémiques, etc., et constituent ce que Diday a si justement nommé les blennorrhodies. Vous voyez par conséquent qu'à une époque relativement ancienne, on adtt déà la éatildu de l'uréthrite. Avec la découverte de Neisser, cette idée na fait que s'affermir et |
découverte de Neisser, cette idée n'a fait que s'affermir et se perfectionner, et aujourd'hui nous admettons la pluralité des uréthrites, c'est-à-dire l'existence des écoulements uréthraux des causes multiples : en dehors de l'uréthrite blennorrhagique ou gonococcique, en effet, il y a des uréthrites diathésiques, déterminées sous l'influence du rhumatisme, de la goutte, de l'herpétisme, des uréthrites infectieuses, qu'on observe à la suite des oreillons, de la fièvre typhoïde, de l'infection paludéenne, du diabète, plus rarement de la syphilis, parfois dans la tuberculose ; des uréthrites toxiques ou ab investis (influence de l'alimentation, bière, asperges, cresson, cantharides, iodure de potassium), des | découverte de Neisser, ctt idée n'a fait que 'affermir et se perfectionner, et aujourd'hui nous dmttns la pluralité des uréthrites, c'est-à-dire l'existence des éclmnts uréthraux des causes mltpls en dehors de l'réthrt blennorrhagique ou gonococcique, en fft, il y a ds uréthrites diathésiques, déterminées sous l'influence d rhmtsm, de la gtt, de l'herpétisme, des uréthrites infectieuses, qu'on observe à la e des oreillons, de fièvre typhoïde, de l'infection paludéenne, du diabète, plus rnt la syphilis, parfois dans la tuberculose ; des uréthrites toxiques ab investis (influence de 'alimentation, bière, asperges, cresson, cantharides, iodure de potassium), des |
de l'alimentation, bière, asperges, cresson, cantharides, iodure de potassium), des uréthrites traumatiques, (excoriations, corps étrangers, plaies, brûlures, injections irritantes ou trop fréquentes); des uréthrites vénériennes, par érection prolongée, masturbation, excès de coït : ce sont là des écoulements non gonococciques, ou blennorrhodiaux. Ces uréthrites vénériennes non gonococciques s'expliquent suffisamment par l'action des microbes nombreux qui à l'état normal pullulent dans les vagins impurs et peuvent déterminer une uréthrite chez les hommes. Inversement, nous savons d'autre part qu'il existe dans le canal uréthral de l'homme des microbes capables de provoquer un écoulement non blennorrhagique chez la femme, et même de propager | de l'alimentation, èr, sprgs, cresson, cantharides, iodure de potassium), des uréthrites traumatiques, (excoriations, corps arénrte,gs plaies, brûlures, injections irritantes ou trop fréquentes); de uréthrites vénériennes, pr érection prolongée, masturbation, excès de coït : ce sont là esd écoulements non gonococciques, uo blennorrhodiaux. Ces uréthrites vénériennes non gonococciques 'expliquent suffisamment par l'action des microbes nombreux qui à l'état ml pullulent dans les vagins impurs et pvnt déterminer une urhrite chez les hommes. Inversement, nous savons dautre part qu'il existe dans le canal uréthral d l'homme des microbes capables de provoquer un neéouetclm non blennorrhagique chez la femme, et même d propager |
écoulement non blennorrhagique chez la femme, et même de propager cette inflammation jusqu'aux organes internes, utérus, trompes et ovaires. Ces microbes, dans les deux cas, peuvent être très divers. Ainsi, pour ce qui est de l'uréthrite masculine, on a montré dès 1889, que le bacille coli, pouvait être l'origine d'une prostatite et d'une uréthrite particulières. En outre, dans la gonocoquie, il n'y a pas à tenir compte seulement du microbe, mais de la toxine qu'il sécrète. Cette toxine, qu'on a pu extraire des cultures du gonocoque, ainsi que nous le verrons, est capable de déterminer un écoulement amicrobien : ce | écoulement non benorrhagque chez la femme, te même de propager cette nflmmtn jusqu'aux organes internes, utérus, trompes et ovaires. Ces obes dans les eu cas, peuvent être très divers. Ainsi pour c qui est d l'uréthrite masculine, n montré dès 1889, que le bacille coli, uvi êter 'ogine d'une prostatite t d'une uréthrite iiè En tr, dns l gonocoquie, il n'y a pas à tenir cmpt seulement du mre mais de a toxine qu'il sécrèt. Cette toxine, qu'n pu extraire des cultures du gonocoque, ainsi que nous le verrons, et pabl de déterminer un écoulement amicrobien : ce |
verrons, est capable de déterminer un écoulement amicrobien : ce fait aura d'intéressantes conséquences au point de vue non seulement de la connaissance des propriétés du gonocoque, mais du traitement de l'uréthrite blennorrhagique. Maintenant, le gonocoque existe-t-il seul dans la chaude-pisse ? Oui, à la période aiguë, parce qu'il semble que l'acuité du processus, peut être l'élévation de la température, fasse disparaître tous les autres microbes. Cela est vrai non seulement pour l'uréthrite blennorrhagique, mais même pour la blennorrhagie qui atteint les régions de l'économie les plus riches en bactéries, comme le rectum. Dans la blennorrhagie rectale, que nous avons | verrons, est capable de déterminer un écoulement amicrobien ce fait aura d'intéressantes conséquences au point de vue n seulement de la connssac des propriétés du gonocoque, mais du trtmnt de l'uréthrite blennorrhagique. Maintenant, le gonocoque existe-t-il seul dans la chaude-pisse ? Oui, à la période aiguë, r qu' semble que écl'auti du processus, u être lélévation de la température, fasse disparaître tous les autres microbes. Cela st vrai non seulement pour l'uréthrite blennorrhagique, mê la blennorrhagie qui atteint les régions de l'économie les plus riches en bactéries, comme le rectum. Dans la noagi rectale, que nu avons |
comme le rectum. Dans la blennorrhagie rectale, que nous avons assez fréquemment à observer ici, on ne trouve à la phase aiguë que le gonocoque, de même que dans l'uréthrite. Mais quand l'écoulement touche à son déclin, qu'il devient sub-aigu, on voit reparaître en grande abondance les autres microbes : on en a retrouvé jusqu'à onze espèces. En étudiant l'uréthrite chez cent femmes du service, j'ai trouvé 62 fois le gonocoque, 29 fois des bâtonnets, 33 fois le streptocoque, 15 fois des coccis, 10 fois des bacilles droits, 5 fois le diplocoque, enfin un certain nombre de fois des filaments | comme le rectum. Dn l blennorrhagie rectale, que nous avons assez fréquemment à observer i, on ne trouve à la shpea aiguë que le gonocoque de même dans l'uréthrite. Mais quand l'écoulement touche à son déclin, qu'il devient sub-aigu, on voit arît en grande abondance les autres microbes : on en a etruvé jusqu' onze espèces. n étudiant l'uréthrite chez cent femmes du service, j'ai trouvé 62 fois le gonocoque, 29 fois des bâtonnets, 33 fois le strptcq, 15 fs des coccis, 10 fois des bacilles dt, 5 fois le diplocoque, in n certain nombre de fois des filaments |
le diplocoque, enfin un certain nombre de fois des filaments de leptotrix venus sans doute du vagin et des éléments divers. L'apparition de ces microbes se montre vers la quatrième ou cinquième semaine de la blennorrhagie. On pourrait se demander alors, puisque nous reconnaissons que le gonocoque n'est pas seul, pourquoi nous lui assignons le principal rôle dans la genèse de la chaude-pisse ? C'est en nous fondant sur les considérations suivantes. D'abord, le gonocoque est un agent pyogène ; ce fait a été prouvé par Wertheim, par l'expérimentation sur les animaux ; le gonocoque détermine des suppurations dans le | le diplocoque, enfin un certain nombre de fois des filaments ed leptotrix venus sans doute du et éléments dvrs. L'pprtn de ces mcrbs se mon vers la quatrième ou cinquième semaine de la blennorrhagie. On utiarrop se demander alors, puisque nous reconnaissons que le gonocoque n'est pas seul, pourquoi nus lui sg le principal rôle dans la genèse d la chaude-pisse ? C'st e nous fondant sur les considérations suivantes. D'brd, le gonocoque est un agent pyogène ; ce fait a été prouvé pr Wrthm, par 'expérimentation sur les animaux ; le gonocoque détermine des pos dans l |
les animaux ; le gonocoque détermine des suppurations dans le péritoine et dans la chambre antérieure de l'oeil ; introduit dans l'urètre, il y reproduit le même processus. En second lieu, il est blennorrhagigène. Pendant longtemps ce fait a été difficile à démontrer à cause de la difficulté de se procurer des cultures de gonocoque. Le premier Bumm a pu, avec des cultures de la vingtième génération, déterminer la chaude-pisse chez l'homme. Heraan et d'autres auteurs ont obtenu des résultats analogues. Anfuso, Wertheim, Finger, firent des expériences du même genre, et, dans un cas, Finger put même constater que l'inoculation | les animaux ; l gonocoque détermine des spuais dans le péritoine et dans la chambre antérieure de l'oeil ; introduit dans l'rètr, il y reproduit le même processus En second lieu, il est blennorrhagigène. Pendant longtemps ce ft a ffl à démontrer à cause d l difficulté de se procurer des cultures de gonocoque. Le premier Bumm a pu, avec des cultures de la vngtèm génération, déterminer la chaude-pisse chez l'hmm. Heraan et dares auteurs ont obtenu des résultats aloue Anfuso, Wertheim, Finger, firent des expériences du même genre, et dans un cas, Finger pt même constater que l'inoculation |
et, dans un cas, Finger put même constater que l'inoculation ne fut pas entravée par la température de 400 que présentait le sujet, ce qui est remarquable quand on sait l'aversion du gonocoque pour les températures élevées. On retrouve le gonocoque dans toutes les localisations de la blennorrhagie, les abcès, les arthrites, les inflammations de l'utérus, et des annexes, l'œil, la cavité buccale, les ganglions, etc. On s'explique facilement le transport du gonocoque dans les régions de l'économie les plus diverses, puisqu'il existe dans le sang, chez les individus infectés par la blennorrhagie. C'est en 1881 que j'ai pour la | et, sand un cas, Finger put même constater que l'inoculation ne fut pas entravée par la température de 400 que présentait le sujet, ce qui est remarquable quand on tsai l'aversion du gonocoque pour l températures élevées. On retrouve le gonocoque dans toutes les localisations de la blennorrhagie, les abcès, les arthrites, ls inflammations de lutru t des annexes, l'œil, la cavité buccale les ganglions, etc. On s'explique facilement le transport du gonocoque dans les régions de lénom les plus diverses, puisqu'il existe dans le sang, chez les individus infectés par la blennorrhagie. C'est en 1881 que j'ai pour la |
par la blennorrhagie. C'est en 1881 que j'ai pour la première fois affirmé la présence du gonocoque dans le liquide sanguin. Cette opinion a été pendant longtemps d'objet de discussions véhémentes; elle est admise aujourd'hui sans conteste : le gonocoque pénètre dans le courant sanguin. Ce fait nous est apparu récemment d'une façon accidentelle, à l'examen du sang d'une femme syphilitique, chez qui nous recherchions l'agent de la syphilis ; nous y découvrîmes le gonocoque, et en examinant la malade, nous constatâmes qu'effectivement elle était atteinte de blennorrhagie. Certaines complications de la blennorrhagie rendent très bien compte de cette diffusion | par la blennorrhagie. C'est en 1881 que j'ai pour la première fois affirmé présence du oou dans le liquide sanguin. Cette opinion a été pendant longtemps 'objet de discssion hémts elle est admise aujourd'hui sans conteste le gonocoque pte dans le courant sanguin. Ce it nous est apparu récemment d'une façon accidentelle, à xmn'aeel du sang d'une femme syphilitique, chez qui nous recherchions l'agent de la syphilis ; nous y découvrîmes le gonocoque, et en examinant la malade, nous cnstes queffectivement elle était atteinte de blennorrhagie. Certaines complications de la blennorrhagie rendent très bien compte d cette diffusion |
de la blennorrhagie rendent très bien compte de cette diffusion du gonocoque dans le sang. Ainsi on sait que le rhumatisme blennorrhagique peut s'accompagner de lésions cardiaques, valvulaires en particulier ; or, Gebhart a inoculé un fragment de la valvule mitrale, provenant de l'autopsie d'un malade atteint de blennorrhagie, et a provoqué ainsi l'urèthrite chez l'homme. Le gonocoque existant dans cette valvule avait donc passé dans le sang. Ce que nous ne savons pas, c'est le minimum des lésions nécessaires pour que le microbe pénètre dans le torrent circulatoire. Autre question : ne trouve-t-on pas le gonocoque dans l'urètre sain | de la blennorrhagie rendent très bien opt de cette diffusion du gonocoque dans le n ns on st q le rhumatisme blennorrhagique peut s'accompagner de lésions ardius valvulaires en particulier ; or, Gebhart a inoculé un fragment de la valvule mitrale, rva de l'autopsie d'un malade atteint de blennorrhagie, et a prvqé ainsi l'urèthrite chez l'homme. Le gonocoque existant dans ctt valvule avait donc passé dans le sang. Ce que nous ne savons pas, c'est le minimum des lésions iaérsnessec pr que le microbe pénètre dans torrent circulatoire. Autre question : ne trouve-t-on pas le gncoqu dans l'urètre sain |
question : ne trouve-t-on pas le gonocoque dans l'urètre sain ? C'est l'objection qui a été faite immédiatement aux travaux de Neisser. Différents auteurs disent avoir constaté dans l'urètre des diplocoques à peu près semblables, mais il faut remarquer que ces observations furent faites à une époque où l'on n'avait pas encore nettement établi la distinction des nombreux microbes qui existent normalement dans l'urètre ; je ne crois pas quant à moi, que le gonocoque s'y rencontre en dehors de l'infection blennorrhagique, sauf à devenir virulent, comme l'ont soutenu certains auteurs, sous l'influence de l'inflammation gonorrhéique. Le regrettable Straus, médecin | question : ne trouve-t-on pa le oncq dans lurètre sain C'est l'objection qui é faite immédiatement aux travaux de Neisser. Différents auteurs disent avoir constaté dans des diplocoques à peu près semblables, mais l faut remarquer que ces bsrvtns furent fts à une époque où l'on n'avait pas ncr nettement établi la distinction ds nombreux microbes qui existent normalement dans l'urètre ; je n crois pas quant à moi, que le gooq s'y rencontre en dehors de l'infection blennorrhagique, sauf devenir vrlnt, comme l'ont soutenu crtns auteurs, sous l'influence de l'inflammation gonorrhéique Le rgrttbl Straus, médecin |
auteurs, sous l'influence de l'inflammation gonorrhéique. Le regrettable Straus, médecin de l'hôpital du Midi, dont on ne peut nier la haute compétence, dit avoir observé le gonocoque chez un jeune garçon qui niait avoir eu des rapports vénériens, mais faut-il s'en tenir aux déclarations du malade en pareille matière ? ajoutons que les causes de contamination sont très multiples et peuvent passer inaperçues. C'est ainsi que Vibert et Bordas ont signalé chez les petites filles, de fréquentes vulvovaginités à gonocoque. En pareil cas, il y a une foule d'agents de contamination à invoquer, le lit de la mère ou du | aeu, sous l'influence de amlaomtli'infn gonorrhéique. Le regrettable Straus, médecin de l'hôpital du Midi, dt on ne peut nier la haute cmpétnc, dit avor observé le gonocoque chez un jeune garçon qui niait aor eu des rapports vénériens, mais fautil s'en tnr aux déclarations du malde en pareille matière ? ajoutons que ls causes d contamination sont très multiples et peuvent passer inaperçues. C'est ai que Vibert et Bordas ont signalé chez les petites filles de fréqnts vulvovaginités à gonocoque n pareil cas, il y a nue foule d'agents de contamination à invoquer, le lit de la mère ou |
contamination à invoquer, le lit de la mère ou du père, les attouchements, etc. Oppenheim et Bumm ont de même décrit le gonocoque dans beaucoup de sécrétions vaginales ; on s'y explique sa présence par les mêmes raisons. Signalons les éponges et les serviettes mouillées qui ont la propriété de conserver avec sa virulence le gonocoque, comme des agents fréquents de contamination. Étudions maintenant la recherche du gonocoque. Chez les hommes, il suffira de presser sur la face inférieure du canal et de recueillir une goutte de pus sur une lame d'acier ou de platine stérilisée et de l'étendre sur | contamination à invoquer le til de la mère ou du père, les attouchements, etc. Oppenheim et Bmm ont de même éctidr le gonocoque dans beaucoup de sécrétions vaginales ; on s'y plie sa présence par mêmes raisons Signalons les éponges t les serviettes mouillées qui ont la propriété de conserver vc sa virulence le gncq, comme des agents de cntmntn. Étudions itnantname la recherche d gonocoque. Chez les hommes, l suffira d presser sur la face inférieure u canal et d recueillir une goutte ed pus sur une lame d'acier ou d platine stérilisée et de l'étndr sur |
lame d'acier ou de platine stérilisée et de l'étendre sur une lame de verre. Lorsque l'écoulement est très abondant, on peut se contenter d'appliquer une lame de verre contre le gland. Chez la femme, il est plus difficile d'aller à la recherche du pus ; je me sers d'une curette de platine, qui est dirigée doucement dans le canal et ramène les cellules épithéliales et les globules de pus. Ce procédé peut à la rigueur s'employer aussi chez les hommes, à l'aide de petites lames de platine, minces, flexibles, et parfaitement moussés, que l'on introduit entre les bords du méat | lame d'acier ou de platine stérilisée et de ére su une lame de verre. Lrsq l'écoulement est très bndnt, n peut se contenter d'appliquer une lame de verre contre le gland. Chez la femme, il est plus difficile ad'elrl à la recherche du ps ; je m sers d'une curette de platine, qui est dirigée doucement dans l canal et ramène les cllls épithéliales et ls globules de ps. Ce procédé peut à la rgr s'employer aussi chez les hommes, l'aide de petites lames de ati, minces, flexibles, et parfaitement sés, que no'l introduit entre les bords du méat |
parfaitement moussés, que l'on introduit entre les bords du méat de façon à recueillir une gouttelette de liquide suffisante pour permettre un examen concluant. Si on étale le pus entre deux lames de verre et qu'on les frotte l'une contre l'autre, le gonocoque apparaît généralement hors des cellules. En le déposant ou en l'étendant au moyen d'une aiguille sur une lame de verre, reste à leur intérieur des éléments. Bref, la goutte de pus étant déposée sur la lamelle, vous séchez à la flamme, puis vous colorez soit avec le violet de gentiane, soit avec le bleu de méthyle. Le | parfaitement o que l'on introduit entre les bords du méat de façon à recueillir une gouttelette de liquide suffisante pour permettre un examen concluant. Si on étale le pus entre deux lames de vrr et nq'uo les frotte 'une contre l'autre, le gonocoque apparaît généralement hors de cellules. En le déposant ou en 'étendant au myn d'n aiguille sur n lame d verre, reste à ur intérieur des eéntsém.l Bref, la goutte de pus étant déposée sur la lamelle, vous séchez à la flamme, puis vous or st avec le violet de gentiane, soit vc le bleu de méthyle. Le |
violet de gentiane, soit avec le bleu de méthyle. Le violet s'emploie en solution à 6 o/o, le bleu en solution à 3 o/o environ. D'ailleurs on arrive par l'habitude à juger de la dilution convenable. Une bonne préparation est celle que Guiard formule ainsi : Violet de gentiane en solution à 60/0. 1 volume Bleu de méthyle en solution aqueuse concentrée 2 volumes Solution de potasse 1 millième Les lymphocytes sont colorés en violet, et le gonocoque en bleu foncé. Ces divers réactifs colorent la plupart des microbes. Le gonocoque se distingue encore par d'autres particularités. Roux (de Lyon) | violet de gentiane, soit avec le bleu de méthyle. Le violet 'emploie en solution à 6 o/o, le bleu en solution à o/o environ. D'ailleurs on arrive par l'habitude à juger de la dilution convenable n bonne préparation est celle q Guiard formule ainsi : Violet de gntn en solution 60/0. 1 volume Bleu de méthyle en solution aqueuse concentrée 2 slvmeou Solution d potasse 1 mè Les yphcyt so colorés en violet, t le gonocoque ne bleu foncé. Ces divers réactifs colorent la plupart des microbes. Le gonocoque s distingue encore pr d'autres particularités. Roux (de Lyon) |
gonocoque se distingue encore par d'autres particularités. Roux (de Lyon) a constaté que le gonocoque ne prend pas le gramme. Ce procédé consiste après coloration, à fixer la préparation à l'aide de ce mélange dit de Lugol : Iode 5 g1" Iodure de K 2 gr. Eau 300 gr. On lave ensuite à l'alcool absolu. Avec le gonocoque, la décoloration est complète. En outre, on constate que d'autres éléments, les noyaux des cellules et certains microbes accessoires, ont pris le gramme. Cette recherche a pris beaucoup d'importance de nos jours et doit être bien connue. Elle est d'une réelle utilité | gonocoque se itue encore par d'autres particularités. Roux (de Lyon) a constaté que l nocougoqe e prend sap le gramme. Ce écéodrp consiste après coloration, à fixer la préparation à l'aide de ce mélange dit de Lugol : Iode 5 g1" Iodure de K 2 gr. a 300 gr. On lave ensuite à l'alcool abo. Avec le gonocoque, la décoloration est compe En outre, on constate que d'autres éléments, les noyaux des elles et certains microbes accessoires, ont pris l gramme. Ctt recherche pris beaucoup d'importance de nos jours et doit être bien connue. ll es d'une réelle utilité |
et doit être bien connue. Elle est d'une réelle utilité dans les cas douteux. Pour être complète, elle doit comporter non seulement l'examen microscopique, mais les cultures. En 1882, chez Horteloup je crus cultiver le gonocoque sur le bouillon ; Neisser sur la gélatine. Depuis, on s'est aperçu que pour avoir de vraies cultures, il fallait un autre milieu. En 1884, Bumm indiqua le sérum humain. Ce milieu peut-être associé soit au sang placentaire, soit au sang obtenu par la saignée, soit à la gélose, à l'agar, au liquide kystique ou ascitique. Le gonocoque forme des taches grisâtres au bout | et oit être bien connue. Elle est d'une réelle utilité an les cas utedox.u Pour être complète, elle tiod comporter non slmnt 'eelmaxn microscopique, mais les cultures. En 1882, chez Hrtlp j crus cultiver le gonocoque sur le bouillon ; eisser sur la gélatine. Depuis, on s'est aperçu que pour avoir de vraies les il fallait un autre milieu En 1884, Bumm indiqua le sérm humain. Ce ml peut-être associé soit au sang placentaire, soit au sang obtenu par la sanée soit à la gélose, à l'agar, au liquide kstique ou ascitique. Le goncqu forme des taches grisâtres au bout |
ou ascitique. Le gonocoque forme des taches grisâtres au bout de 24 heures à la température de 340 à 36°. Il supporte mal la chaleur. Cliniquement nous avons remarqué que les affections fébriles, la fièvre typhoïde par exemple, arrêtent la blennorrhagie. Le cas de Finger cité plus haut est absolument exceptionnel. Le gonocoque appartient au groupe des diplocoques, c'est-à-dire qu'il est double, son aspect peut-être comparé à celui de deux grains de café accolés par leur partie concave ; il mesure en général un demi millième de millimètre de longueur ; chaque élément offre en moyenne 8 dixièmes sur 6 | ou ascitique. Le gonocoque ofmer des taches ris au bot de 24 heures à la tmpértr d 340 à 36°. Il supot mal la alu Cliniquement nous vns umraqeré que les affections fébriles, la fièvre typhoïde par exemple, arrêtent la blennorrhagie. L cas de Finger cité plus haut est absolument exceptionnel. Le gonocoque appartient au ueprgo des diplocoques, c'est-à-dire qu'il est double, son aspect peut-être comparé cl de deux grains de café accolés par eurl partie concave ; il mesure en général un demi millième de millimètre de longueur au élément offre n mynn dixièmes sur 6 |
; chaque élément offre en moyenne 8 dixièmes sur 6 dixièmes de µm, mais il y en existe de diverses grosseurs. Les grains, entourés d'une capsule, offrent l'aspect d'une ovoïde, sur les extrémités duquel il est très difficile d'apercevoir l'encoche d'Eichbaum. Les gonocoques sont souvent animés de mouvements browniens, lors de l'examen, mais on les considère comme étant dénués de toute faculté de locomotion. On les rencontre toujours par groupes, parfois de plusieurs dizaines, sous forme d'amas ; ils n'affectent jamais la disposition en chaînette du streptocoque et sont séparés par une matière glaireuse. Ils pénètrent d'abord dans les leucocytes | ; chaque mt offre en moyenne 8 dixièmes sur 6 dixièmes de µ, mais il y en existe de diverses grosseurs. Les grains, entourés d'une capsule, offrent cepst'al d'n ovoïde, sur les extrémités dql il est très difficile d'apercevoir l'encoche 'Eicm. L gonocoques sont souvent animés d mouvements browniens, lors de l'examen, mais on les considère comme étant dénués e toute faculté de locomotion. On les rencontre toujours par groupes, parfois de plusieurs aie, sous forme d'amas ils n'affectent jamais la dspsio en chaînette du streptocoque et tnso séparés par une matière glrs. Ils pénètrent d'abord dans les leucocytes |
par une matière glaireuse. Ils pénètrent d'abord dans les leucocytes et les détruisent complètement, sauf leur noyau. Ils jouent en un mot le rôle de phagocytes. Il est également hors de doute qu'ils s'attaquent aux cellules épithéliales, bien que ce sujet ait soulevé des discussions. Le gonocoque échappe facilement à l'action des injections et des médicaments, parce qu'il se dissimule dans la profondeur des épithéliums et les replis des muqueuses ; mais c'est un microbe délicat et très peu résistant, puisque la simple dessication suffit pour le rendre inoffensif. L'expérimentation l'a prouvé plus de deux cents fois à Wellander. Boucher | par une mtèr glaireuse. Ils pénètrent d'abord dans les tuceelcsyo et ls détruisent complètement, sauf leur noyau Ils joe en un mot le rôle de saytepc.ohg Il est églnt hors de doute qu'ils s'ttqnt aux cellules épithéliales, ben que ce sujet ait soulevé des discussions. Le gonocoque ehppcéa fclmnt à nacloti' des nctions et des médicaments, parce qu'il se dissimule dans la pfor des pétéihmslui et ls replis des susumueeq ; mais c'est un microbe délicat et très peu résistant, puisque la simple dessication suffit pour e rendre inoffensif 'expérimentation ' prouvé plus d deux cnts fois Wellander. Boucher |
l'a prouvé plus de deux cents fois à Wellander. Boucher seulement avec de l'ouate le tube de culture et celle-ci meurt, tandis qu'elle se conserve si on met un bouchon de caoutchouc qui maintient l'humidité suffisante à la vie du diplocoque. Celui-ci se conserve dans l'éponge et le linge mouillé, l'ouate, l'eau du bain. Cependant sa virulence se perdrait dans ce dernier cas au bout de 4 ou 5 heures. Mais cela suffit pour causer des contaminations dont j'ai vu des exemples terribles dans les hôpitaux, notamment un cas conjonctivites blennorrhagique suivi de destruction complète des deux yeux. Certains microbes, | la prouvé plus de dx cents fois à Wellander. Boucher seulement avec de l'ouate l tb de culture et celle-ci meurt, tandis qu'elle se conserve si on met un bouchon de caoutchouc qui maintient l'humidité sanfusfeit à la vie du diplocoque. Celui-ci se cnsrv da l'éponge et le linge ml,luéoi l'ouate, l'eau du bain. Cependant sa virulence se prdrt dans ce dernier sca au ot d 4 ou 5 heures. Mais cela suffit pour causer des contaminations dnt j'ai v des exemples terribles dans les hôpitaux, notamment un cas conjonctivites blennorrhagique suivi de destruction complète des deux yeux. Certains microbes, |
blennorrhagique suivi de destruction complète des deux yeux. Certains microbes, comme le pyocyanique, enrayaient le développement du gonocoque par leur présence sur le même milieu de culture. Plusieurs expérimentateurs ont essayé d'inoculer le pus blennorrhagique aux animaux. Nous-mêmes avons essayé d'inoculer le gonocoque dans l'œil du chat, du lapin, dans l'urètre du chien. Toutes ces expériences furent négatives. Gonzalès pensant que la température était un obstacle, a refroidi artificiellement un chien en plongeant ses pattes dans l'eau ou en lui administrant de l'antipyrine, et n'a pas réussi davantage. Il n'obtint un semblant de succès que dans une seule expérience, dans | blennorrhagique suivi de destruction complète ds deux yeux Certains microbes, comme le pyocyanique, enrayaient le développement du gonocoque pr leur présence sur le même milieu de culture. Plusieurs epérimtateus ont essayé dnl le pus blennorrhagique aux .uanaxmi Nous-mêmes avons ssyé d'inoculer le gonocoque dans l'œil du chat, du lapin, dans l'urètre ud chien. Toutes ces expériences furent négatives. Gonzalès peatnns que la température était un oeltbacs, a refroidi artificiellement un chien en plongeant ses pattes dns l'eau ou en lui administrant de 'antipyrine, et n'a pas rsiséu davantage. Il n'obtint un semblant de succès que dans une seule expérience, dans |
un semblant de succès que dans une seule expérience, dans laquelle il avait préalablement irrité le canal urethral par l'injection de sublimé. Les effets du gonocoque ne sont pas seulement locaux. Je vous ai montré qu'il y avait des phénomènes d'infection du voisinage et à distance. Mais il y a en outre un effet général produit par la toxine. Les vieux auteurs la présentaient quand ils parlaient de lutes gonorrhéiques, le substratum en est connu et aujourd'hui, nous l'isolons en filtrant les cultures. Le liquide obtenu injecté aux animaux produit des effets morbides. Il n'en produit plus si on le | un semblant de succès que dans n seule expérience, dans lquele l avait préalablement irrité le canal urethral par l'injection de sublimé. Les effets du gonocoque ne snt pas seulement locaux. Je vous ai mtré q'l y iavat des pmeshnènéo d'infection du voisinage et à distance. Mais il y a en outre un effet général produit par txn. Les vieux auteurs a présentaient quand ils parlaient de lutes gonorrhéiques, le substratum en est con et aujourdhui nous l'isolons en filtrant les cultures. Le liquide obtenu jt aux aax produit des effets morbides. Il nen pdi plus si on l |
des effets morbides. Il n'en produit plus si on le précipite par l'alcool absolu. Cette toxine introduite dans l'urètre amène un écoulement purulent d'origine blennorrhagique, mais amicrobien, éphémère et guérissant spontanément. De plus il se déclare sans incubation. Il diffère donc notablement de l'écoulement blennorrhagique. Le milieu de culture seul n'a aucune action. On s'est demandé si dans certains cas la toxine pourrait servir en excitant le canal jusqu'à l'urèthrite, à provoquer le réveil des germes latents et à contrôler la réalité des guérisons. Enfin l'infection gonococcique peut amener des éruptions cutanées, des exanthèmes, de la fièvre. Lesser a soutenu | des effets morbides. Il n'en produit plus si on le précipite par 'l absolu. Cette toxine introduite dans l'urètre amène un écoulement purulent d'origine blennorrhagique, mais amicrobien, péreèmhé et guérissant spontanément. De plus se déclare sans incubation. Il diffère donc notablement de l'écoulement blennorrhagique. Le milieu de culture seul n'a aucune action. On 'est demandé s dans certains cas la txn pourrait servir en excitant le canal jusqu'à l'urèthrite, à provoquer le réveil des germes latents et à contrôler la réalité des uérsos Enfin l'infection gonococcique peut amener des rupons cutanées, eds exanthèmes, de la fièvre. Lesser a soutenu |
éruptions cutanées, des exanthèmes, de la fièvre. Lesser a soutenu que cette fièvre avait le type intermittent, parce que le microbe cessait de se développer quand la température atteignait les environs de 40°, puis recommençait à pulluler dès qu'elle s'abaissait, et ainsi de suite. Ce n'est là qu'une théorie. D'autre part, Zeissl a vu le pouls tomber à 40 pulsations sous l'influence de la toxine gonococcique. L'isolement de la toxine a donné à de Christmas l'idée de préparer en immunisant la chèvre, un sérum antitoxique, et il y a quatre ans, j'en ai fait l'expérience ici même ; en 24 | éruptions cutanées, des exanthèmes, d la fièvre. Lesser a ste que cette fièvre avait le type intermittent, parce que le microbe cessait de s développer quand la température atteignait les environs de 40°, puis recommençait à pulluler dès qu'elle s'abaissait, et ainsi de suite. Ce n'est là qu'une théorie. D'autre part, Zeissl a vu le pouls tomber à 40 pulsations sous l'influence de la toxine gonococcique. L'isolement de la toxine a donné à de Christmas l'idée d préparer en mmnsnt la chèvre, un sérum nttxq, et il y a qretau ans, j'en a fait l'expérience ici même ; en 24 |
ans, j'en ai fait l'expérience ici même ; en 24 heures une blennorrhagie intense et rebelle fut guérie à moitié à la suite d'une injection sous-cutanée, mais ce liquide avait une action locale particulièrement irritante; espérons qu'on arrivera à une préparation facilement tolérée et qui rendra les plus grands services dans les complications de la blennorrhagie. La blennorrhagie est une maladie spécifique et le gonocoque produit des effets spécifiques. Voillemier fit une expérience dans laquelle il introduisit dans l'urètre une bougie enduite du pus d'un abcès du tissu cellulaire ; il n'obtint aucun résultat. Inversement Beaumetz inocula le pus d'une | ans, j'en ai ft l'expérience ici même ; en 24 heures une blennorrhagie intense et rebelle fut guérie à moié à l st d'une injection sous-cutanée, mais ce liquide vt une action locale particulièrement irritante; espérons qu'on rrvr à une préparation facilement tolérée t qui rendra ls ulsp grands services dans les complications de la blennorrhagie. La blennorrhagie st une mld spécifique te le gonocoque prdt ds effets spécifiques. Voillemier fit une expérience as laquelle il ntrdst n lurètre n bougie de du pus d'un abcès du tissu ucerillael ; l n'btnt aucun résultat. Inversement Beaumetz ncl le ps d'une |
il n'obtint aucun résultat. Inversement Beaumetz inocula le pus d'une blennorrhagie dans l'urètre et au bout de trois jours vit se développer une blennorrhagie des plus aiguës. L'histoire de la blennorrhagie a donné lieu à certaines théories erronées qu'il est utile de classer. C'est une affection qui paraît avoir existé de toute antiquité. Elle semble être mentionnée dans le Lévitique ; beaucoup de passages bibliques où il est question d'écoulement de semence et d'ulcères du canal doivent s'y rapporter. OEfelé a trouvé sur les vieux hiéroglyphes de l'Égypte les traces de son existence 350 ans avant J.-C. Rabelais, dans son | il n'obtint aucun résultat. Inversement Beaumetz inocula le pus d'une blennorrhagie dans l'urètre et a bout de trois jours vit se déelp une blennorrhagie des plus aiguës. L'histoire de la blennorrhagie a donné lieu à eertnasic théories erronées q'l est utile de classer C'est une ffcto q paraît vr sté de toute antiquité. ll semble être mentionnée le Lévitique ; beaucoup de passages bibliques ù il est question d'écoulement de semence et d'ulcères d canal doivent 'sy rapporter. OEfelé a trouvé sur les vieux hiéroglyphes de 'Égypte les traces de sn existence 350 ans avant J.-C. Rabelais, dans son |
de son existence 350 ans avant J.-C. Rabelais, dans son Pantagruel, parle de la blennorrhagie, sous le nom de « pisse-chaud ». À la Renaissance, on la confondait avec le chancre mou, la vérole et même la lèpre. Un médecin de Louis XIV rapporte qu'au commencement du mois de mai 1665, on lui donna avis que la chemise du roi était gâtée d'une matière qui donnait le soupçon de quelque mal, à quoi il était urgent de prendre garde. Les personnes qui donnèrent les premiers avis n'étaient pas bien affirmatives sur la nature et la qualité du mal ; on | de son existence 350 ans avant J.-C. Rabelais, dans son Pantagruel, parle de la blennorrhagie, sous le n de s-chud ». À la Renaissance, on al confondait avec le chancre mou, la vérole et même la lèpre. Un médecin de Louis XIV ppote q' ncmet du mois de mai 165, n liu donna avis equ l chemise u roi était gâtée d'une matière qui donnait le soupçon de quelque mal, à q il était ngeurt de prendre grd. Les personnes qui donnèrent ls premiers avis n'étaient p bien affirmatives sur la nature et la qualité du mal ; on |
sur la nature et la qualité du mal ; on crut d'abord que ce n'était que des pollutions. Et l'auteur du mémoire s'acharne à expliquer cet incident sans admettre une maladie vénérienne. « Après avoir bien examiné toutes choses, je tombai, dit-il, en d'autres sentiments et me persuadai que cet accident était de la plus grande importance. Je n'avais aucun doute de la pureté de sa vie non plus que de sa chasteté ! » « Enfin il finit par attribuer cette chaude-pisse évidente à la faiblesse des prostates et des vaisseaux spermatiques. Il arrive à conclure à l'écoulement de | sur au et la qlaéitu du mal on crut dabord que ce n'était que s pollutions. Et l'auteur du mémoire 'acharne à expliquer cet incident sans admettre ue mld vénérienne. « Après vr ineb examiné toutes choses, je tombai, dit-il, ne d'trs entimens t me persuadai que ct cciteand était de la pls grande importance. Je v aucun doute de la pureté de sa vie non plus que de s chasteté ! » « Enfin il it par attribuer cette caue-pis évidente à la faiss des sats et des vaisseaux spermatiques. Il arrive à conclure à l'écoulement de |
des vaisseaux spermatiques. Il arrive à conclure à l'écoulement de semence comme les anciens, interprétation qui nous fait sourire aujourd'hui. Hunter, au siècle dernier, eut le courage de s'inoculer le pus blennorrhagique dans le but d'élucider la question alors très discutée de la dualité de la blennorrhagie et de la vérole. Il tomba, ironie du hasard ! sur un cas de chaude-pisse coïncidant avec un chancre syphilitique de l'urètre ; voyant se développer un chancre syphilitique il en conclut fatalement à l'identité des deux maladies. Ainsi cette expérience qui en principe devait être concluante était viciée par son point de | des vaisseaux raiu. Il arrive à conclure à l'écoulement de semence comme ls anciens, interprétation qui nous fait sourire hiaruo.uudj' Hunter, au siècle dernier, eut le courage de s'inoculer le pus blennorrhagique dans le bu d'élucider la question alors très discutée de la dualité de la blnnrrhg et de la vérole. Il tomba ironie d hasard ! sur n cas de chaude-pisse coïncidant avec un chancre upysehtiqili de l'urètre ; vn s développer un chancre syphilitique il en conclut fatalement à l'identité des deux maladies. ns cette expérience qui n principe evai être concluante était vcé par o point de |
principe devait être concluante était viciée par son point de départ. Il faut arriver pour voir des faits concluants aux mémorables expériences d'Hernandez, médecin du bagne de Toulon, qui a séparé nettement la blennorrhagie de la syphilis en 1812. À la même époque, Seveediaur, expérimentait dans le même but sur lui-même, se fit une injection d'ammoniaque liquide dans le canal uréthral, après quelques heures d'affreuse douleur il vit un véritable flot de pus succéder à cette irritation énergique de la muqueuse. Il en conclut que la blennorrhagie n'était pas la vérole et n'avait pas de spécificité. Il arrivait à une | pip devait être cnclnt était viciée par son point d départ. Il faut rrvr pr voir ds siatf cnclnts aux mémorables expériences drnadz, médecin d bagne de Toulon, qui a paré nettement blennorrhagie de la syphls en 1812 À a même époque, Seveediaur érima asnd le mêm but sur lui-même, es fit injection d'ammoniaque liquide dans le canal uréthral après quelques heures d'affreuse douleur il vit un véritable fo de pus ucéd à ctt irritation énergique de a muqueuse. l en conclut que la blennorrhagie n'était pas la vérl et n'avait pas de spécificité. Il arrivait à |
vérole et n'avait pas de spécificité. Il arrivait à une théorie vicieuse, en considérant la blennorrhagie comme une inflammation phlogogène. Cette opinion devait tromper longtemps Ricord et Langlade l'acceptèrent, et il fut admis qu'il suffisait de faire un excès pour contracter la blennorrhagie quoique certains médecins, comme Diday et Rollet, sourirent toujours que la blennorrhagie était une maladie spéciale ne pouvant pas se produire sans contagion. Des discussions interminables s'élevèrent. L'erreur de Ricord et de ses élèves est bien synthétisée dans sa fameuse « recette pour prendre la chaude-pisse ». Prenez une femme lymphatique, pâle, blonde, aussi fortement leucorrhéique que | vérole et n'avait ps de spécificité. Il arrivait à une théorie vicieuse n considérant la blnohai comme une inflammation hloggè Cette npnoiio devait tromper longtemps Ricord et Langlade l'acceptèrent, t il fut admis qu'il sffst de faire un excès pour contracter la blennorrhagie quoique etin médecins comme Diday Rollet, soient toujours que la blnnrrhg était une mld spécl ne pouvant pas se produire sans contagion. Des discussions interminables s'élevèrent. Lerreur de doRcir et de ss élèves est nbei synthétisée dans sa fameuse « recette pour prendre la chaude-pisse ». Prenez uen femme lymphtq, pâle, blonde, aussi fortement leucorrhéique ueq |
Prenez une femme lymphatique, pâle, blonde, aussi fortement leucorrhéique que vous pourrez, dinez de compagnie; débutez par des huîtres, continuez par des asperges ; buvez sec et beaucoup, du vin blanc ou du Champagne, cela réussit à merveille ; dansez à la suite, échauffez-vous bien, ingérez force bière. L'heure venue conduisez-vous vaillamment... Au réveil, n'oubliez pas de prendre un bain chaud prolongé. Ne négligez pas de faire une injection. Ce programme rempli consciencieusement, si vous n'avez pas la chaude pisse, c'est qu'un Dieu vous protège. Or si les deux conjoints sont bien portants et n'ont pas eu la blennorrhagie antérieurement | Prenez une femme ymhtq pâle, blonde, aussi fortement uueélrihcrqoe que vous pourrez, dinez de compagnie; débutez par des huîtres, continuez par des asperges ; buvez sec et beaucoup, vin blanc ou du Champagne, cela réussit à merveille ; dansez à la suite, échauffez-vous bien, ingérez force bière. L'heure venue conduisez-vous vaillamment... Au réveil, n'oubliez pas de prendre un bain chaud prolongé. Ne négligez pas de faire une injection. C programme rempli consciencieusement, si ou n'avez pas la chaude pisse c'est qu'un Dieu vous protège. Or si les deux conjoints sont bien portants et n'ont pas eu la blennorrhagie antérieurement |
sont bien portants et n'ont pas eu la blennorrhagie antérieurement ils peuvent réaliser et renouveler ce programme, qui n'est pas désagréable au demeurant, sans craindre d'avoir la blennorrhagie. L'opinion des phlogogénistes, sur laquelle repose la recette facétieuse de Ricord, que nous venons de rappeler par curiosité, a fait place aujourd'hui à des données précises et scientifiques, grâce auxquelles nous connaissons sans ambiguïté, les causes vraies de la blennorrhagie. Nous savons que celle-ci ne prend naissance que par contage, et que si la maladie n'existe pas chez l'un des conjoints, elle en surviendra jamais à la suite des rapports qu'ils pourront | bien portants et nont pas eu l blennorrhagie antérieurement ils peuvent réaliser et renouveler ce programme, qui set'n pas désagréable au ern, sans craindre d'avoir la blennorrhagie 'iion des phlogogénistes sur laquelle repose la recette facétieuse de Ricord, que nous venons e rappeler par curiosité, fait place jrd'h à d données précises et ienqs grâce auxquelles o cnnssns sans ambiguïté les causes vraies de la blennorrhagie. Nous av que ci ne prend naissance que par contage, et q si l maladie 'existe pas chz l'n des conjoints, leel en surviendra jamais à la suite ds rapports qu'ils rt |
en surviendra jamais à la suite des rapports qu'ils pourront avoir entre eux dans quelque circonstance que ce soit. C'est là un revirement heureux et complet dans les idées, et c'est à Neisser que revient le mérite de cette belle conquête. (Leçon recueillie par le Docteur Laporte) Variétés Élection au Conseil supérieur de la Mutualité L'élection a eu lieu le 23 février dernier, comme nous l'avons annoncé. La commission de recensement des votes, instituée au ministère de l'intérieur, par arrêté du 22 juillet 1949, s'est réunie le 7 mars et a proclamé les résultats suivants : Suffrages exprimés 136 Majorité | n survied jamais la suite ds rapports q'ls pourront avoir entre eux dans qulq circonstance que ce soit. C'est là un revirement heureux et complet dans les idées, et c'est à Neisser que revient le mérite de cette belle conquête. (Leçon recueillie par le Docteur Laporte) Vrétés Élection au Conseil supérieur de l Mutualité L'élection a eu lieu le 23 rrfeivé dernier, comme nous l'vns annoncé L smnosoicmi de recensement des votes, instituée au ministère de l'intérieur, par arrêté du 22 juillet 1949, 'est réunie le 7 mars et a proclamé les résultats suivants : Suffrages exprimés 136 Majorité |