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Dans l'application, nous admettons qu’il est difficile d'échapper à légalité du suffrage, mais en principe, la raison n’est-elle pas aussi révoltée de cette égalité que de l’égalité des salaires rêvée par certains économistes, — de l’égalité des fortunes prêchée par certains démagogues, — de l'égalité des intelligences défendue par certains philosophes ? Non, le vote du conscrit de vingt-un ans ne saurait peser autant que le suffrage du général en chef qui a gagné des batailles et dont l’expérience a vieilli au service de la patrie. Non, la voix du journalier qui vient tourner une meule ne peut avoir la même valeur que la voix du chef d’usine qui fait vivre trois cents ouvriers, qui fonde des ateliers, qui répand l’aisance dans un arrondissement, qui enrichit son pays, qui va porter au loin, parmi les autres peuples, la gloire industrielle de la France. Non, le suffrage d’un jeune homme passionné et sans expérience ne peut être l’égal du suffrage du père de famille qui porte le fardeau des impôts et de sa maison et qui a la responsabilité de l’existence et presque de l’avenir de tous ceux qui l’entourent. Et nous le déclarons hautement, nous n’aurions aucun souci à propos du suffrage universel, si toutes les voix d’une famille pouvaient être représentées par le chef de cette famille. Nous serions rassurés sur les votes dans les villes industrielles, si les suffrages étaient portés aux scrutins par les contre-maîtres de chaque groupe ou par les chefs d’usine qui ont su réunir et faire vivre des travailleurs. Pense-t-on que la cause de l’ordre, de la prospérité publique ne serait pas plus à l'abri des tempêtes politiques, si la qualité d’électeur n'apparait qu’aux chefs de famille, et si le père de famille pouvait fournir au scrutin, dans la commune, autant de votes qu'il possède d’enfants ? PESEZ LES VOTES, ET NE LES COMPTEZ PLUS, tel est le titre de la réponse que nous adresse M. Emile de Girardin. Plût au ciel qu’un tel principe pût servir de base au suffrage universel, et qu’il fût aussi facile d’en trouver la formule que d'en constater la justice. Que deviendrait une fortune privée, si elle était dirigée par la pluralité des suffrages, dans une famille qui n’accorderait qu’une voix à son chef.
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30, assemblée générale au siège, 5, place de la Rotonde. Etoile-Bar. Ordre du jour : 1. Renouvellement du bureau ; 2. Congrès fédéral et national sur la crise politique. — Le secrétaire : H. Manicacci. 7e Section. — Les camarades sont avisés qu’une permanence les recevra les 28, 29, 30 et 31 courant, de 4 h à 7 h 30. Dans l’intérêt du parti, voulez bien se présenter l’un de ces quatre soirs. Les secrétaires des sous-sections voudront bien réunir les adhérents pour enouveler leur carte avant le 31. Réunion générale le 31 décembre, à 6 heures, bar Canal. Ordre du jour très important Présence indispensable. — Le secrétaire. Paul Goutte. Parti socialiste-communiste. — Dimanche matin, à 10 heures du matin, au Triomphe-Cinéma, place d’Aix, grand meeting avec le concours d’Henry Torrès, avocat à la Cour d’appel de Paris. La situation financière, le fascisme, l’unité ouvrière — Le secrétaire fédéral. MIS DE L’INSTRUCTION LAUNCHER 4e canton, — Dimanche, à 10 heures 30, réunion annuelle à la Brasserie Colbert. Se faire inscrire au siège. LES BALS Coq Hardi. — Ce groupe fera danser sans interruption aujourd'hui et le 1er janvier, de 3 à 7 h., au Château des Fleurs. SOCIETES DIVERSES Union Amicale des Amateurs Photographes de Marseille (149, rue de Rome). — Mercredi, réunion du Conseil, présence indispensable (affaires urgentes). La permanence de jeudi 31 est supprimée. — Le secrétaire : Barrier. École de filles, avenue d'Arène. — Liste des numéros gagnants de la souscription 791137152194904. 2252312532542582644044064074084224144634689755456159459770)707767794805837851524952958100310081027110)11511191120212071402140414731491149215011507152716541721172817511758179118341851206721042132215421622164219892072271229724012079)372491 du Conseil au siège. Le secrétaire. hors. — 1er prix 1.800 fr.; 2e, 7.309 fr.; 3e 6.100 fr.; 4e 5.300 fr.; 5e 4.600 fr.; Le Carnaval d’Aix en 1926 Le Comité applique la liste des prix alloués aux concurrents du Corso ; Grands chars. 1er prix 3.500 fr.; Petits chœurs. — 1er prix 3.500 fr.; 2e 3.100 fr.; 3e 1.200 fr.; 4e 2.500 fr.; 5e 1.900 fr.; 6e 1.600 fr. Voitures d'ânes. — 1er prix 600 fr.; 2e 600 fr.; 3e 400 fr.; 4e 300 fr.; 5e 200 fr. Groupes cavaliers de six. — 1er prix 1.206 fr.; 2e 900 fr.; 3e 600 fr. Groupes musicaux — 1er prix 2.600 fr.; 2e 2.900 fr.; 3e 1.850 fr.; 4e 1.500 fr.; 5e 1.100 fr.; 6e 900 fr. Groupes fanfares, jusqu'à 30 personnes. — 1er prix 2.000 fr.; 2e 1.600 fr.; 3e 1.200 fr.; 4e 900 fr. Groupes orphéoniques, jusqu'à 30 personnes. — 1er prix 1.800 fr.; 2e 1.400 fr.; 3e
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Faula de les nmots de NeptUDo y Diana ab la traiurormacié de aquella en Rocha per la ira de Cupido fi-ta per Claudiano poetó y trasladado en vulgar de catalana lengua ^prosa¡. 125. Cubles castc- llanes fetes ab molt elegaat aül ¡per la Sra. Deztrilt. 12l> v ' Paitdí huD procéa juditiari í> criminal fet contra una Sra. com la menea í sentenciar en e^stella. 12(1. Pbiameta & GrJmalte drzis la se^uent i'oble (Hállase en el AiTh. de Arag. una (raduiTióa de la FiainctU del Bocaccio). 126 v.** Esto fui; uiius justes ó lorneig en BarcliLfloW en 32 di: Abril any 1486 y son e&toa los motivos y ximerei (Esloa motivos ó temas están en castellano: seria la primera vez quaie bizo uuo de esta lengua en Barcelona para un acto p'iblÍco|. 137 t,° Glosa sobre la insigaa (aic) canciün De vos y de mi' quejoso y olrt» (según el índice «b glosas de alguns altres motéis tot consecutiu m (-a&tella ab Btil d'ale^ant íecundiaL 143. Lu psalm de miserere nwt eDcasteilá. 150 9.° Libre do amor de mosaen xerabia ¿ Dona Briao da. 227. Romiatge de U ca^a sancta do jei-u«alem en seoips ab 1» pecdoDUues tic ayuell fet per Mossea Gulllcm Oliver datadi de LOS POETAS CATALA>fKS.
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6) Zwei Kraftwerke in der Stadt SRittevfabrik oder raffinieren 2) AMAFT, mit vollem Gas führen, worauf der letzte. Digitized by Google 141 Ikle Hinweis für die 4 mSt 9d^fen{)a]|l ml gebec» Bundesamt ^Ko^ fraßfuter ipiifar 9?oß ^tfuhvt, 7) 2)rd 4)aupt(cute im Bereich 2}hct)acl $üap ((Stc* Plan SBot^or^'ö ^c^foomfi»: in ^^{»c&aK) }tt |3fn;b/ 9) 6in gdl;nnc^ mit einer fdjtrarjen gQf)nc. 10) darauf 33 mkhtt ^ufarcn, in icbcm ©lieb brcf, alle fc^irai^ Qt!(cibet, intt f^toociai (5o|uat unb f^MDorjea 3^'tit):jii)(i acottm^fd^ld^ tinft iCn 12) @ed^d Ottcbec 8d;ü|m/ »pelc^c bte Sio^v smter ben Ä<^fcln getragen. , >. ' 13) 9^eun ©lieber ^oppelfolbner, wel^ie bie lon^^ ^f»^ Mm dif^alten unb nac^0efdj^(q^ f^obm, 14) CM^I «tiebcc 11 c 15) 3ft ein Äwuj getragen worbenL 16) 3ct)cn giaiuiöcancr i ä^dtci. 17) flöiebcr ein ^^Creuj» j' iS) jDrei 5J)auliner ouö bcm Äloftct ^axiafZ^)aU 20) ^ fOeadCftme bce Hnfglid;en 9f#abt S^nuut. 21) SSiete öbcUcutc unb öorncljme ^perfonen. 22) ^ie (ateinifdje @d)ulc unb Kantoren. '::i'4 23) jDrei§el)n jDom{)erm aul bem ^repburger Gkipüil, tuo 24) iDoml^enit Den Stoob. ^ 23) 3)rei geücibetc ^pncjter. 26) din ^rieftcr mit bem langen, filberncn Grucifiic. 27) ^Der (Sc^bifcl^of ))on ©ran unb ZocnmUmt bed «Sli6iri9md^« tUiBani 3o|iontt ^fiiiitaff^ in JitRcm Ocmit }w(fd;en ^mi ^om^ecm, n)cl(^e t^m auf btt Gcttm bcn Vtaxitti cbec tongen ^oct getragen. Digitized 142 ^erfoncn. 29) Söurbcn bfc c^olbcncn Sporen c^etrat^cn. 30) (Simv i)at einen fd)6nen ocrgolb^ |)aUaM fSß^^ Vn, imb ben 6bcc fi4» deti^ 31) (Kner |Kit ben MgoMfii 4^ f<uM^ gcbirtaf^cn barattf getragen. 32) I)ann ^aben jwd SÄdnncr ben grofm ©4)^^^ wit ?)alft)Tc^en SOßoppcn unb ©rabfdjrift öetragcn.
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“Horatius, quoth the Consul, As thou say’st, let it be. ” And straight against that great array Forth went the dauntless three. For Romans in Rome’s quarter Spared neither land nor gold, Nor son, nor wife, nor limb, nor life, In the brave days of old... “And see,” he cried, “the welcome, Fair guests, that waits you here! What noble Lucumo comes next To taste our Roman cheer? But all Etruria’s nobles Felt their hearts sink to see On the earth the bloody corpses, In the path the dauntless three! Was none who would be foremost To lead such dire attack? But those behind cried “Forward!” And those before cried “Back!” And backward now and forward Wavers the deep array; And, on the tossing sea of Steel, To and fro the standards reel; And the victorious trumpet peal Dies stilly away... But with a crash like thunder Fell every loosen’d beam.
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We strive that our children's shops shall actually be worthy of a place beside our Women's Salons in Costumes and Millinery. Whether it be for infant or child, flapper, junior, young woman or miss, our service will be found of equal value. Also, we specialize in the outfitting of the boy up to eight years. Kindly note in these comments the absence of superlatives. Some things may be "best" but if so, it is pretty hard for finite minds to know it and even more difficult, for cynical minds to believe it. Far be it from us, dear lady, to expect you to exercise credulity in reading the claims we make for our merchandise. And so we are not going to say that our children's shops show the best of merchandise, or the most beautiful, or the finest, or the finest, or the greatest values. If your experience here has led you to place some such estimate on Specialty Shop Service, then we have cause to be proud. But what we do say, and what you really can accept as the truth, is that our earnest and constant endeavor always has been that our offerings might have all the superlative qualities enumerated. Have we succeeded in our endeavor? No; we are happy to say we have not. We are glad that our children's wear is not superlative. Because were this true, we would have accomplished the ultimate, and nothing more would then remain to strive for. Many, many years ago women whose memories have since faded into the mists of the dim past were wont to visit our children's shops with their quaintly clad toddlers and exclaim over the charm of tasteful wares.
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et la barbarie à leurs avide. Quelle que soit la forme de gouvernement qu’elève, ce n’est qu'une loterie du pouvoir. Ici, on y place son courage, là son intelligence ; celui-ci son intrigue, celui-là sa richesse. Ceux de nos adversaires qui se disent forts d’esprit et de circonstance ne combattent la royauté que parce qu’ils veulent eux-mêmes être rois sous un nom ou sous un autre. Les faibles, n’ayant pas pu prétendre, s’attroupent pour dominer et commun. La république est donc l’expression la plus accentuée de la révolution, le résumé de toutes les passions humaines, et en première ligne de l’orgueil et de la cupidité. On nous dit, la république, c’est le progrès! Oui, le progrès, messieurs, avec la ruine de l’agriculture, de l’industrie, du commerce, de la marine marchande, pour obtenir, non pas l’alliance, mais la neutralité éphémère des nations voisines, heureuses de vivre à nos dépens. Sur un drapeau on inscrit ces trois mots : Liberté, Égalité, Fraternité, devise trompée, usée, démentie tous les jours par les actes de nos gouvernants. L’outline spectre, cette devise, quand, à défaut de lois, ils ont dissous les contré-revolutions religieuses par des décrets, pour le dominer par la violence. La magistrature a répondu noblement à cette iniquité, et plus de deux cents de ses membres sont sacrifiés leur carrière pour sauver leur honneur. La respectent-ils davantage quand ils veulent substituer les droits de l’État à ceux des pères de famille, en vous déniant le devoir le plus sacré, celui de veiller à l’éducation de vos enfants ? Que vous dirai-je encore ? Toutes nos institutions ne sont-elles pas saper, s et détruites ? Ou frappie le clergé en attendant qu’on le poursuive. L’armée est désorganisée, privée de ses chefs les plus respectés. Bien sûr, la magistrature doit courber la tête et n’être plus qu'un docile instrument des volontés du pouvoir. Quoi de plus ? La république porte atteinte à la propriété et tente de détruire la famille. Les faits allégués sont patents, il est impossible de le nier. Puisque la république des républicains produit des fruits aussi amers, considérons la nature de la monarchie. Songeons donc à la tradition, à la monarchie chrétienne, à la maison de Bourbon.
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Wanamaker was at the head of his own class of nearly 1,000 men as they paraded the streets of Philadelphia. The following letter has just been received from Mr. Wanamaker and it is for publication: "I am often asked why I keep up my interest in church and Sunday school work. With the same amount of reason, I might be asked why do I eat or why do I sleep? Because I find one just as necessary to my well-being as the other. I could eat well and sleep well, and yet be a very miserable man without the spiritual uplift that comes only from an attendance upon divine ordinances. "I have grown up from young manhood into mature life, along with hundreds of church and Sunday school members, and I count it one of the great privileges of my life to touch shoulders with the earnest Christian men who are diligent in business, fervent in spirit, serving the Lord. "I have made it the pule of my life to be in my regular place each Lord's day when in health and in the country. Thus by example to encourage every officer and member of the school with the importance of regular attendance and always being on time. "The man in business life who ignores the Bible and its teachings is casting aside the most important thing for things of minor importance and taking the risks, which such unbusinesslike undertakings incur." He has been a (Copyright.) VILLA CAPTURED SAYS GEN. GAVIRA TAKEN YESTERDAY BY AMERICAN TROOPS NEAR MINACA, IT IS (Copyright.) Information declared to have come from General Gutierrez—Has Not Been Confirmed By the United Press Associations. EL PASO, April 1.
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Et moi, d'une voix amoureuse, Peignant mon âme désireuse, Heureux de pouvoir tant oser, Je t'offrirais dans mon délire Cent baisers d'amour pour un sourire Et ma harpe pour un baiser! Alors. Mais où m'emporte une folle espérance? Que suis-je et qu'ai-je fait pour mériter ces biens? La muse un seul instant peut tromper ma souffrance, J'écoute, veux chanter, et puis je me souviens. Je me tais, il le faut ; mais, ô céleste femme! Pardonnez un amour qui ne peut vous toucher; J'ai voulu vainement le voiler en mon âme, Dieu me l'a fait si grand qu'il ne peut s'y cacher! 1838. X. 1er dessin et la tombe. Le berceau de l'enfant a le rideau de gaze, Le doux balancement du genoux maternel, Et les songes légers, et la première extase Qui rayonne aux fronts purs comme un astre éternel. La tombe a le gazon qui la couvre et la presse, Elle a le saule vert qui penche ses rameaux, Elle a le rosier blanc qu'une abeille caresse, Et la prière tendre, et le chant des oiseaux. Tous les deux font rêver même l'indifférence; À l'amour du penseur ils ont partout des droits. Ils sont pleins de sommeil, de paix et d'espérance; Sur l'un veille une mère et sur l'autre une croix. Ils parlent tous les deux d'une aurore vermeille, L'un à l'enfant naissant et l'autre à l'homme mort. Le berceau donne un monde à l'enfant qui s'éveille, La tombe donne un ciel au juste qui s'endort. Juin 1840 IOS IMSÎRS. LIVRE TROISIÈME. 1. À M. ÉDOUARD TURQUETY. Souviens-toi du ciel, ô ma lyre.
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Nicht wahr, Mercedes? „Das glaub' ich nicht,“ entgegnete die Alte jetzt gleichfalls lachend. Dann trug sie eifrig Schnee zusammen, dem werdenden Schneemann zu einer möglichst imposanten Gestalt zu verhelfen. „Nieves, Nieves“, klang es dann vom Hause her. „Das war Tante Betty,“ sagte die Alte und holte geschwind die Handschuhe aus der Tasche. Während die Gerufene sie eilig über die steifen Finger streifte, gab sie zurück: „Ich komme, Tante,“ und eilte so leichtfüßig über die während der Nacht hartgefrorene Schneedecke dahin, daß kaum hier und da der Abdruck ihres zierlichen Stiefels zurückblieb. Die Alte war neben dem Rumpf des Schneemannes stehen geblieben und schaute ihrem Liebling nach. „Da tanzt sie so leicht wie eine von diesen Schneeflocken! Warum konnte ihre Mutter das nicht mehr erleben, sie so groß und so schön zu sehen. Groß — Du lieber Gott, das kleine Ding. Aber, Donna Ines, welche Herzensfreude wär' es Euch gewesen, sie so heranwachsen zu sehen; die schwarzen Haare von der Mutter, die hellen Augen vom Vater und alles Andere vom Schnee. „Sie raffte von Neuem Schnee zusammen. „Rund wird er wohl aber groß genug sein, sonst kann Nieves nachher den Kopf nicht mehr daraufsetzen. “ — Mit aufblitzenden Augen fuhr sie dann in ihrer vorigen Rede fort: O, Donna Ines, als Ihr Euch so freutet über den Schnee, da dachtet Ihr nicht, dass er im nächsten Jahre schon auf Euer Grab fallen sollte. — Und jetzt baut Eure Tochter Schneemänner — schon manches Jahr, und die alte Mercedes hilft ihr dabei. Die lebt noch immer mit ihren grauen Haaren und ihren fünfzig Jahren, sie, die Euch schon auf den Knieen geschaukelt. Euch aber mußten wir mit Euren langen, schwarzen Zöpfen und Euren achtzehn Jahren in 's Grab legen. Und Niemand weiß, warum Ihr gestorben, Niemand als die alte Mercedes. Aber — die hält ihren Schwur. Sie hatte mit halblauter, heiserer Stimme, aber leidenschaftlich erregt gesprochen.
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Ceux-ci se croient d’origine tartare et forment la haute aristocratie dans cette partie du Yunnan. Ils disent fièrement : « Je suis noir ! » avec autant de superbe qu’un Vendéen aurait dit : « Je suis de sang bleu ! » Ils n'ont pas renoncé à suivre les coutumes de leurs ancêtres. C’est ainsi qu’ils se refusent à porter la queue à la façon des Chinois, signe de servitude qu’ils n’admettent pas. Les hommes s’habillent d’un veston, fermé sur le devant par de gros et larges boutons d’argent, et d’un pantalon à la zouave, relevé à mi-jambe, en cotonnade chez les pauvres et en soie chez les riches. Les élégants ont des bas blancs découverts, presque toujours en cachemique - Amiré ; et comme coiffure, un chapeau pointu en paille vernie, que décorent quatre boutons symétriquement cousus sur du filigrane d’argent ou une bande de drap rouge. Les femmes sortent plus que celles des provinces du nord. Quand elles ont affaire au dehors, elles ne montent pas en chaise, ce qui est le bon genre dans les autres villes. Elles vont à pied, armées d’un parapluie rouge à franges pendantes, qu’elles manœuvrent habilement de façon que les passants ne les puissent voir. Elles ont la robe longue comme les mandarins, en cotonnade ou en soie, selon la position qu’elles occupent. Elles marchent agilement et sans peine, car plus heureuses que beaucoup de femmes dans cet immense empire de Chine, les Lican­naises n’ont point les pieds déformés par une coutume absurde. La résidence de Li-long-min était immense et contenait beaucoup de serviteurs, hommes et femmes. Il commandait à une nombreuse famille, une femme légitime et une dizaine d’enfants. De plus, il donnait asile à une cousine, Hong-ma-nao, née comme lui de sang noir et que sa situation particulière forçait de demeurer à la Résidence. Ce fut cette jeune femme qui se chargea de soigner Etienne. Sa vie était brisée, son bonheur impossible : Hong-ma-nao, malgré sa beauté, ne connaissait plus d’autre bonheur que de secourir les malheureux. Bien souvent, Etienne s’attendrissait en voyant cette jolie tête dont les yeux ne le quittaient jamais. Le jour, attentive et vigilante, pour apporter au malade la boisson qui le rafraîchissait ; la nuit, elle demeurait étendue dans la pièce voisine afin d’entendre le plus tôt à côté d’elle.
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Crois-tu que je t'en aurais voulu de me la refuser? Tu te crois donc un bien mauvais caractère ? — Ah ça! tu as donc pas entendu? — Si fait ! — Eh bien! l'étude est vendue et emportée. — Allons donc ! — C'est pourtant la vérité! L'ami prit son chapeau, ouvrit la porte et allait sortir en s'en allant, lorsque Corot, se ravisant, lui dit : « Attends un peu. — Ce n'est pas la peine, dit l'autre en rentrant : je n'en veux plus, il n'est plus temps. Je ne voulais pas prendre ton étude malgré toi. Ce qui me fâche, c'est que tu ne me dises pas la chose net, carrément, en bon garçon, comme je t'ai toujours connu, au lieu de prendre un prétexte ridicule. — Ah ça! voyons, ça m'ennuie à la fin, dit Corot; c'est invraisemblable, je le sais, j'y crois à peine moi-même mais, quand je me demande à moi-même si je rêve, j'ai un moyen de me convaincre. Fais comme moi, ouvre ce tiroir. — Tiens, des billets de banque et de l'or ! — Tu sais mon revenu; je ne suis pas assez riche ni assez avare pour amasser cela; cette sorte de champignon ne pousse pas sur la céruse, la terre de Sienne ou le bitume. Eh bien, il s'est introduit ici un homme de mauvaise mine; il a laissé ça et il a emporté ma toile, la fameuse étude en question.
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Vous avez vu cette pareille du goût, fertile en toutes les productions du génie, chaque jour plus belle, chaque jour plus animée, et mettant à profit le calme et la paix dont elle n’a cessé de jouir sous l’égide de la République. (Applaudissements répétés.) Vous direz à vos concitoyens que vous avez rencontré ici des cœurs battant à l’unisson des vôtres, ayant vos aspirations et vos espérances; des fils de la Révolution française résolus à défendre l’héritage des libertés léguées par nos pères, de fermes républicains qui demandent le progrès au développement régulier des institutions de la France, qui savent garder le plus parfait sang-froid en face des agitations des partis au dehors ou au dedans de nos frontières, et ne se laissent pas influencer par de fallacieuses promesses qu’émouvant des bruyantes entreprises. (Applaudissements chaleureux et prolongés.) Vous emporterez de votre visite, messieurs, le sentiment profond que les destinées de la France sont indissolublement liées à celles de la République et qu’un siècle après la Révolution, un gouvernement ne peut avoir d’autre assise que la volonté nationale. (Nouveaux applaudissements prolongés.) Ici même, sur ce Champ de Mars, aujourd’hui transformé en un champ de travail, la France entière, il y a quatre-vingt-dix-huit ans, s’est trouvée un jour réunie comme dans une fraternelle étreinte pour proclamer la solidarité nationale. Les mêmes sentiments nous animent, messieurs, et en appelant ici les représentants que nos communes ont honorées de leur confiance et de leurs suffrages, c’est à ces sentiments que le gouvernement faisait appel. (Applaudissements unanimes.) Rien ne saurait plus que leur éclatante manifestation réjouir des Français et fortifier la patrie. À la fraternité française! (Applaudissements prolongés.) LE FEUILLETON DU 18 JUILLET (30) LA GROTTE DU MILLIARD PAR JULES DEGASTYNE PREMIÈRE PARTIE LES ENNEMIS INVISIBLES NE COMPREND RIEN À LA GAIETÉ DE FIL-DE-FER site) — Elle n’est pas morte! hurla l’Américain... puisque la voilà vivante, et bien vivante... avec un amant, sans doute!... Elle m’a joué comme un nigaud, avec son hispanole de suicide... Mais que pouvais-je faire? Je n’avais pas le temps de me mettre à sa poursuite et je la retrouve là, avec un autre, comprenez-vous, avec un autre! répéta l’ancien bar-keeper, dont les yeux fulgurants lançaient des éclairs. — Et cet autre, dit John qui interrompit son compagnon, la stupeur peinte sur la figure, savez-vous qui il est? — Non, répondit Francisco, qui remarqua seulement à ce moment le visage bouleversé de son ami. — C’est l’homme que nous croyions empoisonné...
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Che. Cheffe di cotturo opposta al petto, le penze al ventre mio marito, è per dileguarsi ne sono piene di lacrime per quell'oggetto non mio figlio. Ché se per causa vostra, per causa vostra la causa principale della perdita d'Eutopia è ripida, hanno mancato della vostra parola di mettersi in guardia, per me il trattamento sarà, so lo per mettervi in pericolo. Cara madonna no, ve ne state dicendo che qualcosa si è mancato, occorrerà subito di sopravvenire a questo maltrattamento, ma questa azione può essere una cosa finita, non si sa mai. Donne collegate inaudientemente l'ho visto, quella notte il fuoco quando la persona si riconosce del proprio male; e la fuggiva pur sempre perdonare l'errore cara Colonna, pacifiche con le armi, rimanendo nella mia banda, che non vale pur vero un bel gesto e sento predetto, quando c'è da scherzare, mi pare migliore di vederti sola in santa pace. Signore, non è meglio direi meglio di come lo dicevamo prima, che è meglio fare come si è fatto, per cui il vostro. Digitale da Google Se conosce l'autenticità. In promozione Conoscere le verità sulle merci sfruttate ben presto. La domanda è questa: perché, al di là del gusto, ci si interroga prima sul vostro merito, Meritavate di sapere meglio, e se lo sa, da cosa è nato il vostro sospetto? Da questo si può inferire che la testa si trova in buone condizioni, penso che si possa usare su, e così vedremo se, a lungo, starò incassando delle preoccupazioni, ma non è mai tanto, quanta si dice, e avrete quel poco tempo che mi è stato concesso, ma non è mai tanto, quanto si dice, e avrete quel poco tempo che mi è stato concesso, ma non è mai tanto, quanto si dice, e avrete quel poco tempo che mi è stato concesso, ma non è mai tanto, quanto si dice, e avrete quel poco tempo che mi è stato concesso, ma non è mai tanto, quanto si dice, e avrete quel poco tempo che mi è stato concesso. Crederemo mai tutto quello che vi è stato detto; ne quale, che sentite ad altro. Eppure non sapete, chissà più delle altre, quella che così semplicemente sono tenuti a sapere meglio e spionando tante azioni, per la giustizia di quelli che sono stati fatti, sono talmente ignoranti, e più per gioco che per altro. Il libro che mi avete dato è finito di essere scritto e fatto, sono state raccolte le armi, conosciuta la scienza, e da quel momento in poi, quelli che mai conoscevano, ignoravano, da quale parte sono stati mandati, staranno in buone condizioni, penserete che si possa usare su, e così vedremo se, a lungo, starò incassando delle preoccupazioni, ma non è mai tanto, quanta si dice, e avrete quel poco tempo che mi è stato concesso, ma non è mai tanto, quanto si dice, e avrete quel poco tempo che mi è stato concesso.
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Les organes du libéralisme démontrent tous les avantages qu’il y a, au point de vue du transport des voyageurs et des marchandises, à être servi par une administration aussi savamment organisée que l'est celle du gouvernement impérial. On comprend fort bien en Allemagne toute la gravité de cette question de l’absorption du chemin de fer par la chancellerie de l’Empire. Le gouvernement de Berlin ayant dans sa main toutes les lignes de chemin de fer, trouvera une force considérable pour opérer, en cas de guerre, ses grands mouvements stratégiques. On ne sera plus à l'époque où il était encore possible de discuter à Munich ou à Dresde sur la nécessité de faire la guerre et sur le contingent à fournir. Avec la centralisation de tous les chemins de fer dans les mains de l’Empereur, la guerre sera déclarée, les envois de troupe préparés avant même que les Chambres aient eu le temps de prendre une décision. Il ne s'agira plus que de suivre et de marcher. Le projet qui a été adopté par le Reichstag, délicatement annoncé par l’introduction. La fin est étrange et saisisseuse, mais sent un peu la retouche et la préoccupation mélodramatique. Nous admirons sans réserves le ravissant "Viens! viens!" du second acte. C’est un cri d’amour comme seul Verdi en pouvait rencontrer. Le ballet est plein de couleur orientale et le duo des deux rivales amoureuses de Rhadamès constitue évidemment une des pages les plus dramatiques et les plus émouvantes qui soient au théâtre. La qualité souveraine de Meyerbeer, l’intérêt du contraste des caractères, se retrouve ici dans toute sa force. Quant au final de ce second acte, on peut dire qu’il a produit un effet fou rragique. La fanfare de trompettes, le chœur dansé, la finale, sont des merveilles d’inspiration et de science harmonique. Ce final doit prendre place auprès de la scène de la bataille des épées, et peut-être a-t-il plus d’énergie mélodique. Tout y est grand, noble, ample, majestueux, original. Rien de théâtral dans le sens fâcheux du mot. On ne songe, en l’écoute, ni aux efforts du compositeur, ni à l'habileté des interprètes. On vit dans l’action, on y participe... C’est une page plus que magistrale, plus qu’artistique, c’est une page vraiment, absolument inspirée.
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The legion is asking the cooperation of the public in its effort properly to protect post-bellum shell shock cases, Mr. Harris says, and friends and relatives should be quick to report an ex-soldier who shows signs of mental disorder, and to induce him to submit to an examination and treatment. FIND BOTTLE OF NUGGETS Discovery Leads to Gold Hunt on Slope of Cascade Mountains. A small bottle of gold mugs found lying under the skeleton of a man discovered in the woods, near Bothwell, 20 miles from Seattle, Wash., has started a stampede for placer claims on creeks and rivers there, and some pans of color are the rule. It was estimated the skeleton was a man dead eight to ten years, but his side were the remnants of mining paraphernalia—pan, pick, and shovel. A heavy packet knife, gold ring, and amber bit of a pipe were picked up, in addition to the bottle nuggets. Rumor at once started the theory that he had prospected near where he died and every available creek, river, and lake shore is being examined by mining experts in the hope that the gravel strata from which the dead man took his nuggets may be found. For years there has been a persistent report that the western slope of the Cascade mountains contained gold-bearing gravel, but no great pocket has ever been found, so far as known. However, good wages may be made in a long day by working sands of many of the river beds near here, whose sources are the peaks of the Cascades. Man, 101, Gets Divorce Over Letter.
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corulcaaubus,® gaudet vem ce nioalumtuibus redo aitol Icns.i. erigens fc ad auraa.i.a4 altum atrem, hoc eft im «mi- nebat Aeneas ii« ceteros bel- latores, qvaium motes in fuit locis inicr vicinos colles. Ve- io,profed,aunam ver 04. «4 \ ciurp.kv pro veto, hoc cft piS cipue ia , & Kuuili, & omnes T roes co/iucnere.i. fimui vec lerut m fuum quxquc ducem oculos ccrtatim.i.cucetrami- ncA xmala:ione,& conuerte rc dico oculos cci Rutuli qui OUV UiUiUt U(l i\UlUII qu* que.i.&qui tenebant.i. defendebant alta mtxnia, videlicet Latmi quique .1. & qui videiicet Troei, & Hcuufei , pulfabam muro , imos. 1. cuet iere c funda menu» conabantur moros aneti.LtaU inArumemo,& machina bellica in morem ariens irome fenea, & depofucre arma humrm»vt qui ius A ericium bellandi ad du ces fuos rcfeirent.lpfe Laonus .f. rexAcum» maxime uuetear. AI -r Nam Uuitor mili.um, pallor vocatur, »s uiaiwiu. kro» oecorum d cimus . Cicero, Quem magiftrum pecori* elfc cea iuos rc.cuc.uip.* ,**,«. iv... d abat f Mulniquv •uuvn[*)Dubi..ni, h“o.. Mulfv, r« ipfc tt.ptl.qq.lnj co^Ltovxcq,(i|q at^no. qt.4 «*u. coofo. L^imii fluppltt^ fpf. duiixquato cwi.uneljnct») Autptcti tun. g.nu.boi ao, gcm.o. diuali.pirt^u. otb», qut.Tu.no «d iZm r«,ont cjfct.niQi lup,,t.r ignorate pote- 10 Europa.lk Aenean. ,n AE. eoijttt .^.. le te,uet,...de«me« rat.aut ccite illud qusric qui de Turno, & Aenea mortis sftrrat caulam. Nam dicunt philofophi mortem ad eum mmimc perti . ' A., nae liJelin AUT J iunt m. fNam aicumpuiiwiup.t.. «iere. Nam bona tantum praftat, nec ad tum qux mala lunt pertinent. Tamen Icicndu* locum nun« i Vng.Jio iu cfle uai latum , *t m Homero ledtum dl. K<d r*n T rerrif hhtuil t'Ai a>« Vfl 7K»wA4)-lte 9tnci T««, T*V «xsdd We /C ‘ Cnref ^i_ryir e • L*Mi /.i jtiHkMSw , f«rt e */*«? * flL*ti T* «u'A, , XariA*l»»M^ tlwt*x**.
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pues aqui, y en tus labios entretanto Neop.. Pero tu llevas áctu indignació) ¿encuentro á Achiíles á quien amo tanto. . más allá de lo justo. La pasion Mas segun hablas ,tu lo conociste: te ciega O Philoctétes. ¿fue en Troya? ¿pero- quando alli estu- Pril. Si 9 vier as viste? un buy” yo ahora vengo de el sitio , Y... no me engaño, - yó en Asia no te he visto : me es es- traño tu semblante , tu trage, no encuentro griego en ti, sino el len- guage. : qual es tu nombre? Phil. ¡Dioses! tu has salido de “Troya, ¿y ni mi nombre alli has oído? Cielo , tierra, lo veis , y sois testigos), aun mi nOMbrE olvidaron mis amigos. Yá no hai Theséos, ui Hercules; vivió o, mi llo: ¡Ha! escucha,y dpi sel dime A si otro con mas razon se 7 y 1 me. | Quando los Griegos , si es _ que no l sabes, y navegaban á Troya: con mil naves Ñ yó con ellos seguia á la yictoria). 1,1 Y sediento de gloria, cal Y vano con las flechas , que envidit" en mis manos la Grecia, yó mira 1 Crecer ya al Simoénte, y luego ax pa sangre Troyana , y con el va ! A] Y xXx "de las viudas de Phrygia , y era Hec- tor O Muerto á-mis manos ya vivo dolor de Andromache su esposa, y Troya . Ardia; ; . E | Petro todo en mi loca fantasia. Ñ ¡Deseos fatuos! ¡pensamientos vanos! de que tal vez se rien los Troyanos.
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Gluth der Begeifterung am Beiten für feine militairiichen Zwecke aus⸗ beuten tote. Er war ſchon damals entf&hloffen, für die Polen nichts Weſentliches zu thun, umd fie nur, mie er ſich fpäter ausbrüdte, zur „Möblirung eines Schlachtfeldes“ (pour meubler un champ de be- teille*) zu Brauchen, wurde aber von dem leichtglänbigen und hingebenven Belle, welches ven Bortheil des Eroberers zu eng mit dem feinigen ver⸗ bunden glaußte, um an deſſen Gefinnung zweifeln zu können, ungeachtet aller vom Gegentheil gemachten Erfahrung, immer mit demfelben Ver⸗ tmuen betrachtet. Geld, Getzaide, Bferve wurden ihm mit einer Bereit-. willigleit ohne Öleichen dargebracht. Bei jeder Gelegenheit gab fi ver : - Drang, für ihn und das Baterland das Aeußerſte thun zu wollen, in Worten und Handlungen kund. *) Worte Napoleon’s an ben Grafen Louis NRarbonne: Souvenirs contem- . poreins .d’histoire et de literature par M. Villemain pag: 117.
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Pao. Non avendo l'onore d'essere conosciuta, mi debollo alla raccomandazione della signora marchesa di Givry della bontà colla quale la vostra signora madre si degna accogliermi. Vi prego accertarla che farò lutto quanto starà in me per rendermi meritevole della sua benevolenza. Erigi La marchesa di Givry ha detto molto bene di voi, e infatti basta vedervi e udirvi per convincersi che non si è ingannata. Pao. Signora, siete la stessa bontà, parte con un inchino accompagnato da Eugenia fino alla porta di fondo. Lui. [sotto voce al Visconte che gli dà del denaro] Siate tranquillo; non la perderò d'occhio. (parte) SCENA V. Eugenia, il Visconte. Eug. Mi piace quella giovane; si esprime con buon garbo e con disinvoltura. Vis. Oh! sì, non manca di ciarle. Eug. Ha un aspetto gentile; non pare di bassa condizione. Vis. È vero; tutte queste cucitrici si danno aria di dame. Eug. Siete un pochino cattivo; non trovate mai nulla di buono voi? Vis. (con galanteria) Perché ciò che ho dinanzi agli occhi non rende alquanto difficile. Eug. {sorridendo) Il papà ha scritto, sapete? Vis. Forse... vi sarà qualche progetto di matrimonio? Eug. Per me? non lo so; mi rincresce solamente che doveva aver luogo una festa in casa della contessa di Vaudreuil e odo dire che è contrariato ogni ordine; aveva un bellissimo abito da sfoggiare l'avrei pianto dal dispiacere.
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CONDITIONS D'EXERCICE DE LA PHARMACIE 43 72. — S’il arrivait qu’un pharmacien, qui se trouve dans la même commune que le médecin, se refusât, par mauvaise volonté, à exécuter l’ordonnance du médecin, celui-ci aurait le droit de délivrer lui-même le médicament. C’est ce qui résulte implicitement d’un arrêt de la Cour de cassation (4 mars 1858). 73. — On ne saurait non plus refuser au médecin le droit d’employer les médicaments qu’il peut avoir chez lui, alors même qu’il y aurait une pharmacie dans la localité où il est appelé à donner ses soins à des blessés ou à des malades en cas d’urgence.
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Addì 17 giugno di quest'anno 1501, una prima gridata imporre ai Romani di prestarsi a ventisei provveditori ordinati al preparare foraggio ed alloggio ai vicini Francesi; una seconda del giorno 19 prescrivere a tutti, non assoldati ne da Francia, ne dal Duca, ne dal Papa, di uscire di Roma, per non dare pretesto a rivalità e tumulti; alla sera del giorno medesimo entrare in città il capitano d'Allegre ed andare nascosto al Vaticano; il giorno 23 presentarsi apertamente Obigny; e infine il 26, il terzo generale di Francia, Sanseverino, Conte di Caiazzo. Dove dirigevansi queste genti d'arme? A quale meta le conducevano questi duchi? All'adempimento di trattato perfidissimo, stato concluso dal Re di Francia e da' Re di Spagna; ed appunto perchè tanto perfido, a sentenza dei sempre coscienziosi storici, promosso e secondato da Alessandro. I fatti chiariranno la verità delle cose.
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' Dtreciio de toceu- Art« 9.^ Los buques bolivianos que entren en lastre o car-^ dH, «tro. etc. gados eñ los puertos de la Béljica, o que salgan de ellos,- sea por mar, por ríos o canales, cualquiera que fuese el lugar de su ptocolencia, o el de su deslino, no estarán sujetos ni al entrar, ni al salir, ni en su tránsito, a otros derechos de tone^ ledas, de puerto, de boyas, de pilotaje, de anclaje, de remoU que, de faro, de esclusa, de canales, de cuarentena, de salva* menlo, de depósito, de patente, de navegación, de peaje, en fin a otros derechos o impuestos, cualquiera que sea su na- turaleza o denominación , que graviten sobre el curso de los bu- ques, ya sean establecidos a nombre del Gobierno o de funcio* narios públicos, de las municipalidades o de otros estableci- mientos, que aquéllos que actualmente existen o en lo sucesivo se impusieren a los buques nacionales. Rec proct. Igual- Art. 4 0. Eji todo lo quo concieme a la colocación de los bu- Jífviielíot.^*'**'^* * ques, a su carga o descarga en los puertos, radas, bahíasM di- ' ques, i enjeneral para todas los formalidades i disposiciones a que puedan ser sometidos los buques de comercio, su tripu- lación i sus cargamentos, se conviene en que no se concederá a los buques nacionales ningún privilejio ni favor que no sea con- cedido igualmente a los de la otra parte, siendo la voluntad de ambas Partes Contratantes que bajo este respecto sean tratados sus buques con perfecta igualdad.
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When I get a reply from Rome, I will advise you of it and provide my part, but, as you remark, even there (in Paris) the supplies from Rome are very scanty, and you had better point out to Hercules that he must insist very strongly upon the money being provided by the Pope, and must press the nuncio upon the matter. The obligation is one which rests especially upon his Holiness, and he is free from the many calls which burden me. This is all I have to say upon the matter at present. You will do your best to encourage him (Guise) in it by assuring him of my warm approval of the enterprise, and report to me the method by which he intends to effect it, the pretext he will adopt, what is his principal motive, and all else you can learn. Impress secrecy upon those who are concerned, as so much depends upon no mistake being made. — San Lorenzo, 6th June 1583. 6 June. 342. The King to Bernardino de Mendoza. ^K"r447?m.' I ^°^^ ^y y°^^" ^^"^''^ °^ *^*^ '^^^ 22nd April and 6th May the plans that were being hatched between the Queen and the duke of Alen9on about Flanders, and the various artifices she adopts to keep the king of Scotland oppressed and captive, whilst she feeds him with hopes and deceives him. The best way to open the king of Scotland's eyes will be for his mother to write to him, telling him what he had better do under the circumstances.
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Scheer, Gerrit Antoine ^ Scherf, Friedrich Wilhelm ^ Schiffer, Johann Wilhelm ^ Schild, Barthold Dirk gg 16 Mrt. Schillert, Carl Friedrich Schilmöller, Bernhard Fritz Anton • ^ Schipmölder, Geert. • ^g Schlemper, Hugo • Schlue, Friedrich Ferdinand • Schneider, Christian Fortunatus • ^ Schobbe, Eugenia ■ ^ Scholten, Johann Hermann • Schönewald, Philipp Otto Ernst • ^ Schram, Medard Benedictus • ' ^ Schreurs, Marie Anne Marguerite • ' $ Schulte, Bernard Heinrich • ' $ Schulte, Johann Bernard • $ Schumann, Carl Ludwig • ' $ Schütz, Jakob Philipp Georg • • $ Schwendemann, Franz Joseph • • Seidel, Hermann Edmund • " Sensen, Peter Mathijs • ' & Servais, Marie Hubertine • ' ih° Siem, Johann Adolf Ferdinand • • " $ Siepers, Johann Heinrich • Mrt. Silberschmidt, Fanni 457 Simon, Gustav Bernhard 453 Sinsig, Johann 459 Sleven, Mathijs Hubertus 460 Sloot, Heinrich Bernard 4gl Speer, Maria Catharina Elisabeth 4g2 Sper]ing, Hugo Christian Friedrich 463 Spoormarls, Adrianus 464 Spratte, Carl Friedrich Louis 465 ^ Mrt. Sprenger, Constant Johan Henri 99 ^ Mrt. Stad, Jettje 467 Steffen, Maria Elisabeth 468 Stevelink, Gerhard Bernhard 459 Stevens, Heinrich Christian 470 Steijns, Johann Hubert 472 Storm, Johann Hermann Heinrich 472 Storm van 's Gravesande, (gescheiden echtgenoote van F. B. D. von Schoeler). Louize Ernestine Jeanette. . . 473 Strackx, Cornelis 474 Straten, Amélie van 475 Stumm, Ernst Aioijs 476 Suermondt. Carl Armand 477 Suing, Clemens Joseph 478 . Swillens, Johann Cornelius 479 j Taunaij, dr. Gerard James 102 J ^ï't. Teller, August Bichard 481 Thaben, Bernhard 482 Thate, Arnold Wilhelm Otto 483 Theissing, Auguste Alphonse 484 Thieleman, Edmondus 485 Toebosch, Gerhard Albert 486 Trippe, Josef Jodocus 487 Tromm, Wilhelm 488 Üchtmann, Marry Gerhard 489 Uebags, Johann Hubert Joseph . 490 4 16 Mrt. Uebags, Lambert Wilhelm \0fj> Urmetzer, Friedrich Peter 4 Yaessen, Peter Joseph Hubertus ^ Yenetianer, Adolphus ^ Verhoeven, Wilhelm Maria Josef $ Vermeirssen, Florent Arthur Emile ^ Yolker, Friedrich August Wilhelm Heinrich Vosskühler, Wilhelm Jodokus Karl ^ Voute, (gescheiden echtgenoote van C. P. Schaedel).
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Chi, volendo andare a combattere, con scansar pensa prima alle rimedi della vittoria per non lasciare uno, ne riesca un’altro. Poi, nel combattimento, può codificare le sue difese. Cap. III Se vado uno dice una cosa, e ne fa uso altra, si suol dire che egli ha cento borse alimentate, e che rinviene moneta da pagare. De’ difondersi Guerra secondo tocchi occasioni, e che se non fosse conosciuto per lo stesso fatto, per cui non si vedrebbe il modo più comodo al servizio, o infine si potrebbe inferire che, se vado in guerra devo stare con presupposto che non la posso fare per una via, la posso fare per un'altra, ecc. Considerato partito, che ne segue denaro, e poi, possibilmente, dev'essere inteso per qualsiasi aura si ha guadagnata in maniera, e questa è la verità a quella audacia, il che è come darvi preclari nel suo esercizio, se come scambiare uno con un altro darà combattere con armi diverse: difesa di spada, di pugnale, di due e di più armi attivemente usate, e se le armi da difendersi sono asce per offendere, acciocché mangiando doglie non abbiano con le altre olire tanto da fare un buon Capitano l'invio di scorta al nemico, perciò non si può avere con le imbùgate, e altre insidie di avere con la forza più che con quelle, e di averle con un'asta impugnata, o con l'aiuto di parole, o fatti, con altri termini che nelle guerre si veda qualificata con frodi e inganni fino al fine e allo sfitto della virtù, la quale si tiene che proverà le guerre in ogni occasione, e voi sapete che chi va a combattere col farlo si contende, molte volte fa il conto come si suol dire senz'altro, e non potendo all'ora prendere altro partito maggiore di quello, che nel suo alloggiamento ha fatto intervenire come al mercante, che ha fatto il prezzo della sua merce amica di suo capo, con quello diviene fallito, non la potendo più al mercato né vendere, e sappete che in ogni costituzione naturale qualunque proprio male, dal quale non può accidenti di esserci effetto, o volontà, o non provvede con nessuno ordine.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais. A condição de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você: • Faça somente uso não comercial dos arquivos. A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais. • Evite consultas automatizadas. Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar. • Mantenha a atribuição.
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I séanos permitido aquí recurrir a otro testi- monio del pasado para poner en evidencia aquel suceso, hasta aquí tan imperfectamente conotúdo, que solo se le ha estimado como la sorpresa de un dia, como un motín de cuartel, cuando en rea- lidad era la reacción española que revolvia con toda su pujanza en la punta de las bayonetas de Figueroa, instrumento de una lojia. He aquí, pues, como el coronel Mackenna descubria el hilo de aquel intento cuarenta dias antes de que se pu- siera en obra, i he aquí también una prueba del alto valor que tenia la previsión i el denuedo¡de aquel hombre. — 168 — Describiendo a O'Higgias, en la carta que de él hemos citado, con fecha de 20 de febrero de 1811, la situación de los ánimos en la capital, contába- le la conjuración realista que estaba fraguándose casi a cara descubierta sin que se osara ponerle el oportuno atajo, en estos precisos términos: «A propósito, le dice, debo mencionaros una interesante conversación que últimamente tuve con nuestro amigo Rozas, Me envió un recaudo su- plicándome fuese en el acto a verle, i al llegarme a él le encontré en la mayor ajitación, a conse- cuencia de una conferencia que habia tenido lu- gar entre Chopitea, Beltrán, Mata Linares i otros, i la que le habia sido trasmitida por uno de los presentes que, hablando con claridad, es un espía que él mantiene en el campo enemigo.
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COBLENZ.—(By the Associated Press.)—Marshal Foch, the allied commander in chief, decided upon the extent of the territory in Rhineland to be held permanently by American forces. The area will be twice as large as that which has been under American jurisdiction since the last combat division left for home. Austrians Want More Time For Signing. PARIS.—(By the Associated Press.)—The Austrian delegation asked the peace conference to extend the time allowed for an answer to the peace terms, by two days. It is thought the conference will probably grant the request. The answer, according to the conveying letter, was to be in the hands of the conference on September 7. Attempt to Assassinate Premier. (By the Associated Press.)—A bomb was thrown at Hussein LONDON. Rushdi Pasha, premier of Egypt, Tuesday, according to a dispatch from Alexandria. The bomb was concealed in a basket of grapes, but did not explode. The assailant, a theological student, has been arrested.
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Vous dit-on que nos pères, formés à l'académie des Égyptiens, purent avoir quelque connaissance des sciences et des arts ? Les Égyptiens sont le peuple le plus méprisable, un peuple méprisable en tout temps. Voulez-vous prouver que les Égyptiens n'ont rien emprunté des Hébreux ? Le roi des Égyptiens était un grand roi, une nation antique et puissante, et l'Égypte un royaume depuis longtemps florissant, lorsque Abraham s'y transporta. Lorsqu'Abraham s'y transporta, etc. Voyez. Dictionnaire philosophique, ou Introduction à l'Essai sur les mœurs, et Philosophie de l'histoire, article Abraham, Circoncision. Les Égyptiens, etc. Autrement. Si les Égyptiens étaient une nation antique et puissante, ce n'était point un peuple méprisable ; ou si c'était un peuple en tout temps méprisable, ce ne fut jamais une nation puissante, ni un royaume florissant. Ce n'est pas un moyen de persuader que de se contredire. Il s'appuie de l'autorité d'Hérodote, et il la renverse. A l'exemple de Le Clerc et de Marsham, etc., vous vous appuyez, monsieur, de l'autorité d'Hérodote, historien païen, grec, pas tout-à-fait contemporain, mais qui pourtant n'écrivait guère que quatorze ou quinze cents ans après l'établissement de la circoncision chez les Hébreux, environ mille ans après Moïse. Ce témoignage, comme on voit, serait fort respectable ! Mais ce que Le Clerc, Marsham, etc., n'ont eu garde de faire, vous, monsieur, en vous appuyant de l'autorité d'Hérodote, vous avez l'adresse de dire tout ce qu'il faut pour l'affaiblir.
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This is a digital copy of a book that was preserved for generations on library shelves before it was carefully scanned by Google as part of a project to make the world's books discoverable online. It has survived long enough for the copyright to expire and the book to enter the public domain. A public domain book is one that was never subject to copyright or whose legal copyright term has expired. Whether a book is in the public domain may vary country to country. Public domain books are our gateways to the past, representing a wealth of history, culture, and knowledge that's often difficult to discover. Marks, notations and other marginalia present in the original volume will appear in this file - a reminder of this book's long journey from the publisher to a library and finally to you. Usage guidelines Google is proud to partner with libraries to digitize public domain materials and make them widely accessible. Public domain books belong to the public and we are merely their custodians. Nevertheless, this work is expensive, so in order to keep providing this resource, we have taken steps to prevent abuse by commercial parties, including placing technical restrictions on automated querying. We also ask that you: + Make non-commercial use of the files We designed Google Book Search for use by individuals, and we request that you use these files for personal, non-commercial purposes. + Refrain from automated querying Do not send automated queries of any sort to Google's system: If you are conducting research on machine translation, optical character recognition or other areas where access to a large amount of text is helpful, please contact us. We encourage the use of public domain materials and help you to understand the world's laws. This is for these purposes and may be able to help.
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Stwierdzono wspólność pog!adó w na konferencji 3-ch państw bałtyckich TALLIN. (Pat). Po powrocie z Rygi minister Seljama przyjął przedstawicieli prasy miejsco wej, informując ich o pracach i rezultatach kom ferencji ryskiej. Minister wskazał, że główne zainteresowania konferencji szły w kierunku zagadnień polity ki zugranicznej, przyczem wszystkie trzy dele gacje wykazały w tej sprawie wspolność poglą dów. Delegaci doszli do przekonania, iż w spra wie zbiorowego paktu bezpieczeństwa nie można jeszcze niczego przedsięwziać, lecz czekać trze ba na dalszy rozwój sytuacji ogólnej. Giełda warszawska WARSZAWA. (Pat). Berlin 213.45 — 13,98 -— 12.92; Londyn 26.12 — 6.19 — 6,05; N. York 5.29 3/4 — 31 — 28 i pół; N. York kabel 5.29 7/8 -81 1/8 — 285/8; Paryż 35.01 — 08 — 4%, TELEF. OD WŁASN. KORESP. Z WARSZAWY Konferencja w sprawie ustaw samorządowych Wezoraj w min. Spr. Wewn. rozpo częła się konferencja w sprawie 3-ch ustaw samorządowych, mianowicie: o służbie w samorządzie terytorjalnym, o odpowiedzialności służbowej i o uposa żeniach. Na konferencję przybyli liczni Zmiany personalne W związku ze zmianą na stanowisku minWR. i OP. spodziewane są w naj Choroba min. Ambasador Rzpłitej w Moskwie p. Łukasiewicz, który przebywał ostatnio przedstawiciele organizacyj pracowni czych. Obrady zagaił krótkiem przemó wieniem min. Raczkiewicz, poczem prze wodnietwo objął wicemin. Korsak. Obra dy trwały do późna. w min. W.R. i 0.P. bliższym czasie zmiany personalne na wyższych stanowiskach w tym resorcie. Łukasiewicza w Warszawie na urlopie zdrowotnym, wyjechał na miesięczną kurację. B. amb. Filipowicz tworzy partję polityczną Jedna z agencyj prasowych donosi, że ostatnio b. ambasador p. Filipowicz przystąpił do tworzenia nowej partji politycznej. W najbliższym czasie ma się ukazać odczwa. zawierająca program " polityczny i gospodarczy partji. W ostatnich tygodniach p. Filipo wicz odbył podróż agitacyjną po kraju, występując z odczytami. Paryż, w grudniu.
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ASTURIANO, NA. adj. El natural del principado de Asturias y lo pertene- ciente á ¿L Astur, asttiricus. \^ M HION. s. m. V. Haca. — 8. m. Pes- cado. V. Sollo. ASTUTAMENTE, adv. m. Con astucia Astutr , callidé. ASTUTÍSIMO, MA. adj. sup. de Astuto. ASTUTO, TA. adj. El que tiene astucia. A status , culi id ti ; y.vcrsalus. ASUB1AR, DO. v. n. p. Mn,n<;ñ. de Durg. Guarecerse del agua cuando llueve. ASUELO, s. m. ant. V. L>csoJacion. ATA ( .44 ) ASUETO, TA. adj. ant. Acostumbrado. i. m, El día ó tarde que se da de vaca- ciones á los estudiantes. Alguna vez la fiesta de corte en que no se abren los tribunales. Feriatus ab studiis aut judi- ciis publicis dies. AS UM ADAMEN TE . adv. m. ant. En suma ó compendio. ASUMAR , DO. v. a. aut. Sumar por re- ducir á suma. ASUMIR, DO. v. a. ant. Tomaren si ó para sí. — Elevar , ascender á alguno por elección ó aclamación á dignidades. In dignitatem evehere. — ant. p. Ar. Traer á sí , avocar. — ant. Tomar. ASUMIRSE, DO. v. r. Arrogarse, tomar para si. ASUNCION, s. f. El tránsito y subida de nuestra Señora al cielo, y su festividad. Sumptio Beatce Manee Virginis. — Ha- blando de algunas dignidades , como el pontificado , el imperio , el acto de subir á ellas por elección ó aclamación. Ad dignitatem evectio. — 'ant. La acción de asumir ó tomar para sí. ASUNTO, s. m. La materia de que se trata. Materia , argumenlum. ASURAM1ENTO. s. ni. La acción ó efecto de asmarse. Exustio. ASURARSE, DO. v. r. Requemarse los guisados ó abrasarse los sembrados. Exuri, aduri. — tnet. Inquietaise dema- siado, consumirse.
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Fabriken, Talgschmelzereien, Wachs, Siegellack, Fabriken, Herstellung von Asphalt, Holzcement. Dachpappen, künstlichem Dünger, Porzellan, Steingut, Glas, Spiegel, und Tonwaaren, Fabriken und Töpfereien, ein Beisitzer (Arbeitgeber), ein Beisitzer (Arbeiter). Es scheiden und: Krigant Titus Bredt, Cigarrenmacher, Bernhard Steinecke. Es scheiden aus: Maurermeister Karl Blümel. Maurermeister und Ziegeleibesitzer, Peter Gruppe 8. Den Betrieb der Stuccateure, Cementirer, Brunnenbauer, Ofensetzer, Steinmetzen, und werden gewählt: Ausstifter (Arbeiter) Geid, an Steinhauer Heinrich David. Dachdecker, Schornsteinfeger, Zimmerer, Schmiede, Fassbinder. Schreiner, Drechsler, Leistenfabriken, Korbmacher, Anstreicher, Lackirer, Spalterei, Streifler, Asphalteure, Pflasterer, Steinbildhauer, Marmorarbeiter, Kesselbauer, Mühlenbauer, Stellwagenbauer, Möbelfabriken, Goldarbeiter, Pastierer, Laster. Material, mechanische Holz, und zwar werden gewählt: Dreiden aus: Zimmermeister Hermann, Tischlermeister Jean Deussen, C.C. Vogel. Drei Beisitzer (Arbeitgeber), zwei Beisitzer (Arbeiter). Es scheiden auf: Zimmermeister Hermann Gerhartz, Tischlermeister Jean Deussen, Malermeister C.E. Vogel, Schreiner August Rieger, Zimmerer Otto Rieschick, Gruppe 10. Mittwoch, 19. Februar, Nachmittags 3½ Uhr: der Kapelle des Infanterie-Regiments Freiherr von Sparr, Nr. 16, unter Leitung des königl. Musik-Direktors Herrn w. PROGRAMM. Erster Teil: 1. “Marsoh” von Reckling, 2. Ouverture zur Oper “Nebukadnezar” von Verdi, 3. Zwei Sätze aus der Suite “Coppelia” von Delibes, 4. Fantasie aus der Oper “Lohengrin” von R. Wagner, 5. “Rosen aus dem Süden”, Walzer von Strauss, 6. “Beim gutten Laune” von Winterberg. Zweiter Teil: 7. Fantasie aus der Oper “Traviata” von Verdi, 8. Melodien aus der Oper “Cavalleria Rusticana” von Mascagni, 9. “Juristen-Ball-Tänze”, Walzer von Strauss, 10. “Polka-Caprice” von Sebor. (Nachdruck ist nicht gestattet.) Gruppe 4. Pavier- und Tapeten-Fabriken, Buch-, Kupfer- und Stein-Druckereien, Photographen, photographische Druck-Anstalten; Geschäftsbücher-, Cartonnage und Düten-Fabriken, Schmirgel- und Glaspapier-Fabriken; Buchbindereien; Herstellung von Etuis und Galanteriewaaren, Elfenbein-Bildhauer, Graveur.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais expiraram. A condicião de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você: • Faça somente uso não comercial dos arquivos. A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais. • Evite consultas automatizadas. Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar. • Mantenha a atribuição.
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Honderdduizenden reisden met ons in het Hollandsche land. Honderdduizenden overschreden met ons de landsgrenzen. Zij zwiervéh langs den Rijn, in de Zwitsersche bergen, door den romantischen Harz, door het donkere Thüringen, het Ardennenwoud, langs de Rivièra, in Spanje, Italië, Noorwegen, Zweden, ja, door de geheele wereld- Zij zagen de schoonheid van het land, zij namen kennis van de rijke culturen van Europa, zij begrepen iets van den landaard van elk volk. Cultuur-arbeid in zijn rijksten vorm. De adem benemende schoonheid van een sterrennacht op zee, het gloedroode spel van de ondergaande zon op de toppen der bergen, maneschijn over de meren van Italië, een bloeiende camelia in Locarno, de eerste bloemen op de bergweide. Ruysdaelsche luchten, koepelend over den Nederlandschen polder, fluisterende dennen in den avond en paarse heide. Menschen aan hun arbeid, bezige handen in alle landen, denkende koppen, stuwend het leven door hel hart van Europa, landsgebruiken en lands-eer. Gothische boogramen van kerken, stil-flonkerende schatten in musea, een ver loren lied op een bergweg. Dat is reizen, dat is verzamelen van rijke schatten van eigen bodem en uit den vreemde. Waarden, die werkelijk geen toelichting behoeven. Zoo is ons werk gekenmerkt door een economischer inslag ten bate van allen, door gemeenschapszin en cultureele ontwikkeling. En nu het sociale element. Eens was er een tijd, dat velen spaarden voor de gebeurtenis van het jaar: De Kermis. Zeker zullen we niet de genoegens van zulk een echte kermis onder schatten en vele cineasten zijn door de vreugde en schoonheid ervan bekoord geweest- Maar er waren vele begeleidende onprettige verschijnselen en het was goed, dat er andere en betere dingen kwamen. De ontspanning van geest en lichaam vroeg edeler dingen dan het vermaak alleen. De arbeidstijden van vroeger jaren, die den ge- heelen dag vulden, gaven automatisch de vrije-tij d- reactie in korten en uitbundigen jool, welke de uiterst wrange bijsmaak had van het zinledige. Niet te ver wonderen, dat toen reeds een begin werd gemaakt met het vrije-tijd-probleem. De strijd voor de vacantie en toen deze langzaam aan begon te komen, de strijd óm de vacantie. De strijd om de vacantie dan ook werkelijk te maken tot een echte vacantie. Daarnaast het groeiend vereenigingsverband met lezingen, cur sussen, lessen en ontspanning. De juiste vulling van den tijd, die na den dagtaak overbleef.
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; FORK I'NION', VA., May 7.?John I Marshall High School, of Richmond. | sent its crack baseball team here yes - ' terday, and defeated the Fork I'nion Military Acadetny tossers by the score j of S to tl iu a hot ten-inning battle. 'The Richmond team got off to a good 1 start, and scored four runs in the I first inning. The teams battled pret tily until the seventh, when the locals knotted the score. Roth nines scored one run in the eighth inning, while | ntitlur scored in the ninth. In the 1 tenth inning the Richmond team r.cored j three runs, and put the game on ice, j as the cadets could score only one | run In their half of the frame. The game was featured by the hit-j tin a of Pendleton and Sale, of tho vifii- | tots, and the Holding of Thompson and j Lawrence. Pendleton landed for a ] two-bagger and a triple, wbil Sale got n homer. The batting of Shot 1 Icy I and Hughes, of the home, team, and the fielding of Rraverman deserves spe- j cial mention. Score by innings: R. H. F \ John MniHh.ill.t 00 0 0 0 0 1 0 3?S 'i 3 j Fork Union... .0 0 0 0 0 M 10 I? ?? !? i. j lotteries: ,iolin Marshall. Woodward and Stuinpf; Fork Union, Shottlcy and J Hughes. PREP TEAMS TO MEET .lolln .MarKti.ilI Iligll Will Hnttle llene-' tlietlnr al Hj I'll I'lirk 'I'n-Morrtnv.
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3. Das habet, bei obige, nicht erblickt, doch unten in der rechten Ecke: Die Erklärung liegt in der Mittelansicht, Die Bestimmung ist bei Der Herren Lieferung begründet. Füßt gebracht. Es ist gewiß, dass der Spiritismus füßt und von der frommen Wunschgesellschaft nachgedachte ist, bemüht sich, zu bemächtigen, pflegt. Der Teufel nimmt dabei bei gesetzten Engel aus; er sagt so: "Schauspiel, was los ist, was gut ist, nebenbei aber auch noch besser, todschuldig und gefährlich, gegen den Geist. Staaten mit der Drift. Religion ist, auch bei der Erklärung mit der Wahrheit und der Selbstlosigkeit, mit der Erklärung der Erleichterung, mit der Erklärung der Erleichterung, mit den Geistlichen, mit den Geistlichen und mit allen Geistlichen, mit der alten Religion gebracht werden sollten. Satzhaftig ist es auch, dass der Spiritismus füßt und gefürt befehle; hat der Teufel einmal geäußert, es ist füßt, nicht leidigt wirbellos. Es scheint belämttlich und nicht nachhaltig auf spiritistische Gesellschaften, die Wahrheit und Erleichterung geben, gefällt. Eine wahre Religion, bei der nur reinen Geist! Statt einer Broderschaft, welche der Teufel für Ort genommen: "Der Spiritismus in seinem einfachen Vorspiel", erklärte der Baron von Starbeck, 4. Räte der spiritistischen Gesellschaft, in ihrem Jahrbuch 1862. Es ist das S. 23, der Spiritismus tritt an bei Stelle des Schrifttensums, gleitendt wie das Schrifttensum beteiligt, hat, er vermutet, "um unter bei Wissenschaft bei Serratio die Gestalt der Vergrösserung" (als ob seine Schriften, seine Lehre, seine Religion, seine Wahrheit) stellen das Geistliche, welches für einfältige Seelen ist, mitunter fromm flüchtig sein und boden allen Geistlichen, erstörte Stützengeladen bei dem Spiritismus liegt, tollte id) auf untergegangen mäßen und jetzt biefent ein Stück ein picl Dorlegen. Dies. Domkapitular Dr. Gentes 2. Hier.
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Bailará remi reges, que cod fu lengua canina y factilcgas tirme en todo a la copiofa relación que de-' manos, procuran cftoruar cftafantaobra de lio hazc el ya dicho Antonio de Ribera, venerar, y acatar a los Santos que gozan de Adonde el curiofo Letor podrá ver mu- Dios en el cielo, y a fus cuerpos qaedexa- chas inge niofas inuencioncs,lerras,fnotes, ron acá en la tierra , adonde les fueron inf- arcos triunfales, y otras cofas no menos ar* trumento principalísimo para confeguic ÍTciolas y doras, que llenas de deuocion. Se la bicnaucnt urania que pofleen. Y adonde dczir.quc don Hernando Aluarcz de Tole- han de Ti r glorificados , en premio de las do Duque de Alúa, y otros antiguos corte- buenas obras que con los miembros corpo faoos,qac Te auian hallado en muchas jor- rales pulieron en cxccucion. Mandóle en nadas del Emperador Carlos V. y enorras la Sy nardo de Toledo, que a diez y ocho de grandes fieftas y juntas Je gentes, afirmaró Nouiembre fe guardado la fiefta defta Tan- que jamas auian vifto cofa que íeigualaflc tatranfiacion.tres dias adelante defuglo- a efta folemnifsima fiefta, anfi pot cócurrir noío Martirio, que fue a quinze del dicho allí las pcrfonasRcalesquc concurrieron, y. mes. Y el Rey don Felipe (queriendo en tanto numerode Prelados y Grandes Teño tododar teftimonio de fu mucha religión, rcs,quedauan baftanre reftimoniodcla mu y de laifingular deuocion que rienealos cha nobleza de Efpáña,como por el increi Santos) dotó en la mifma Santa Iglefia cd ble concurfode gente que allí huuo, y los -liberalidad de Rey , la fiefta defta Transía- coftofos aparatos, y fieftas que fe hizeron cion. Para que enhonfa del benditifsimo por algunos dias,dcdia,y de noche. I unta- Santo Eugcnio,todos los año» para lieni- ronfcenla procefsion ciento y quarenta prc jamas en el diade lia, celebre efta ficf- pédoncs,cicfoy vcticinco Cruzcs, masde ta el Cabildo déla Santa lgíetia de Tole- íeifcicntos Clérigos con fobrcpclliccs , y do, con aquella grandeza de que fuelen quinientos y cincuenta Ftaylcs de todas vfar en Teme jan tes memorias.
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Quindi il decremento dei pregi fisici unendosi al decremento dei mezzi pecuniari, l'incostanza resta doppiamente paralizzata; ora paralizzata l'incostanza della donna resta paralizzata in parte alghia l'incostanza dell'uomo, giacché la donna è quasi sempre padrona del di lui animo; ottava forza, impulso repressivo della legge. Parimenti la legge stabilirà che l'uomo chiedente divorzio senza causa determinata, debba passare alla donna una sussistenza migliore della prima in ragione delle di lui facoltà, o una quota dei suoi beni al tesoro pubblico, e maggiore per il secondo divorzio. Ora non tutte le mogli divorziate maritandosi immediatamente, ed i mezzi pecuniari essendo ristretti nella comune degli uomini, l'incostanza troverà un limite nell'interesse in quelle classi di cittadini che posseggono una proprietà superflua, come lo trova nel lavoro e nel travaglio in quelle classi, che hanno il semplice necessario; nuova forza, interesse dell'uomo. Gioia. Opere Minori. Vol. IX.
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M. Jehan Bniguon. M. Jehan de Conches? Serviront continuellement, ne mangeront point à court et auront chacun lieu cheval et par jour xii s., et en hiver par jour chacun demi morceau de huche. Chirurgiens. Pierre Gaultier. M. Henry de Troyes, Serviront continuellement, ne mangeront point à court et auront chacun deux chevaux et par jour xn s., et en hiver chacun demi morceau de huche par jour. Ménestrels. Variez de fourrière. Jacquet Thierri. Colin le Terrier. L'un à court par mois, ne mangerait point en salle et aurait par jour n. s., et en hiver un quart de morceau de huche. Ayda de fourrière, Jehan Lahoe. Jacquet Pierret. L'un à court par mois, ne mangerait point en salle et aurait par jour n. s. Garde harnois. Jehan Dubois Servira continuellement, ne mangerait point à court et aurait par jour h. s. Deux sommeliers de chambre aux deniers. Ne mangeront point à court et auraient par jour n. s. avec leurs gages du journal de chacun vin. d. par jour. Deux Parlers état. Deux varlets à quatre. Mangeront à court seulement. Maciot Larchier. Servira continuellement, ne mangerait point à court et aurait par jour u. s. Lavandière du corps. Robinette, la lavandière du corps. Ne mangerait point à court et aurait pour toutes choses par jour un. s. Commotier du materiel. Sommeliers du materiel. Colin Saintot. Peirin le Boursier. Serviront continuellement, ne mangeront point à court et auraient chacun par jour n. s. avec les gages du journal de chacun vin. d. Les clercs de la chambre aux deniers. Mangeront en salle seulement le Bureau de la Chambre aux Deniers, en hiver un quart de morceau de huche. Philipot des Daunes, messager. Ne mangerait point à court et aurait par jour rx. d. et ses gages du journal accoutumés.
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A fit person should be sent from the victuallers to issue and take account of provisions. There are here seven large Swede ships, six of which came in voluntarily, and one I ordered in ; they are laden with masts, tar, pitch, deals, and other commodities ; send orders at once as to their disposal, or we shall lose time here. [1 x^^gei] 159. Edw. Bowen to Rich. Creed, Navy Commissioner. Your letters refreshed my spirits, being mixed with the oil of gladness or the spirit of light and truth, which is so scarce that since I came into our ships, I have lived prisoner-like, hearing none of the former music, the melody of experienced saints, having but one poor heart, our minister, who, like myself, has so little countenance from our captain that we think of leaving the ship. We have heard lately that the Dutch mariners run away as fast as they are pressed, preferring to be prisoners to serving in their ships, and that they have not above 40 ships ready as yet. The Laurel was one of three ships chased by 16 of their men-of-war, but run them out of sight in four hours. If you receive any letters for me from my wife in Wales, forward them, and send her one enclosed. We are 66 men-of-war in the Downs, and those from Portsmouth are hourly expected to join us. We hear that the mariners must not go on shore nor seal their letters. Let me hear how it stands with the public.
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Horses were hairy from lack of grooming, horsemen smooth because their hairs had been pulled out by the roots ; ^ a rare thing it was to see a soldier with hair on arm or leg. Moreover, they were better drest than armed ; so much so, that Laelianus Pontius, a strict man of the old discipline, broke the cuirasses of some of them with his finger-tips, and observed cushions on the horses' backs. At his direction the tufts were cut through, and out of the horsemen's saddles came what appeared to be feathers pluckt from geese. Few of the men could vaidt on horseback, the rest clambered up with difficulty by aid of heel and knee and leg ; not many could throw a lance hurtling, most did it without force or power, as though they were things of wool. Dicing was common in the camp, sleep lasted all night, or if they kept watch it was over the winecup. By what regulations to restrain such soldiers as these, and to turn them to honesty and industry, did you ' AJ fcrum. Imp., ii. I, s. fin. ^ A common mark of the effeminate at Rome. 199 Appendix not learn from Hannibal's sternness, the discipline of Africanus, the acts of Metellus recorded in history ? ' After the preceptorial letters cease the others are con- cerned with domestic events, health and sickness, visits or introductions, birth or death. Thus the emperor writes to his old friend, who had shown some diffidence in seeking an interview : ^ — * To MY Master.
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Itilt T y v-imtali'il ImiI.iii- to luriK" "1'iis It il ' Tv's liop?* was III it Spoa- i ? wmilil HOW I CURED MY CATARRH TOLD IN A SIMPLE WAY Milium! Apmimt (tv, Inhalers, SjiIm's, lotions, II ;i r m Tit I Ihuirs, Smoke or !!!<'<"trloity. Heals Day and Night Si*i*11 tin minim .In t your mum* nttil ait'iii-vt mi .i |Ki>l;?l i iifii Sa \ "lli ar Sam Kills: l"li i* ii-il tin* Itnw vim iiiriil ymir ? -iilartli in*l Imiv. I ran ? til1*- miiih- I'liaT m I all v I'll .'.I In >u' I will tittilfi ? I a t *t. ami I 'v II wiiti* tn volt Willi . i.ni|iii|i' in l'*il liuitl ill i'llKI'l ill mi' I>?> lint 11i*lII S.-ihI |'ii? i j; i .- I - I .i" Willi- im- a ? I ? r In ilay Inm'l tliilik nf turuiim tins jiari until \ mi li ? v ? nsln-t! fur tlii- w.iinl. rl'ttl Ir.'a I im-lll iL.il i .".11 'In fur ynu wlsal i; lias I.ill** fur mi SAM KATZ. It mint A. I.. "134. '!!I(I9 Indiana Avriini*. ChlriiKn. III. Mi ?'Uturrli XI- II111;' ami In 11 Ii *.un** I! mail** tm* ill It .initial mi tiilln.l Ii un iliTtnim-'l mi In-.illli jiti.i wii.- wi al<rniii^ in> will Tin* liiiwl.lnn . .lUKliitiR. Mptltinr. lllHili* mi* nli|i*i.\lilll* In all iiii.' in. I..i.
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Combien, pour ne parler que de notre pays, sont entrés aux ateliers, sur un certificat du curé de leur village, grâce aux démarches du bon prêtre et qui maintenant détournent la tête à la vue d’une soutane ! Ils sont légion. Voilà donc Villemain dans les grandeurs. Ceux qui parôment aux enterrements civils. C'est lui qui préside aux enfouissements. Mais le pauvre, s’il sait assez lire pour apprendre une prose qui n’est pas de sa composition, il ferait bien de profiter de ses nombreux loisirs pour continuer ses hautes études et apprendre, d’une façon sérieuse, cette partie de la science philosophique qui traite de la logique. Que signifie, en effet, cet adieu fait sur une fosse à un corps qui retourne dans le néant ? Pourquoi ces phrases creuses qui suent la pensée de l’au-delà alors qu’on prétend ne croire à rien ? Pourquoi parler à ces cendres qui ne seront tantôt plus qu’un peu de poussière et qui maintenant ne sont que pourriture ? Contradiction étrange !... Tant il est vrai que le démon ne peut être que le singe de Dieu et que ses suppôts ne peuvent, quoi qu’ils disent et qu’ils fassent, se débarrasser complètement de la foi qui, d’accord avec l'instinct de la nature, leur dit que tout ne finit pas à la mort. Non, pauvre Villemain, vos tirades ne signifient rien. Au lieu de vous élever, elles vous font descendre. Votre accent rappelle à vos auditeurs que vous n’étiez pas destiné à devenir un traître à la religion de vos aïeux et vos paroles, malgré vos efforts pour faire croire le contraire, ne peuvent éteindre le remords que votre ambition cherche à vaincre. K. Plain. TRIBUNE PUBLIQUE "Égalité-Rumilly-les-Vaudes" — Un de nos confrères insère la lettre suivante : Monsieur le rédacteur, Le Petit Troyen, dans son numéro du 27 mai dernier, rend compte d'un incident interessant, dit-il, qui s’est passé à la session de mai du Conseil municipal de Rumilly-les-Vaudes. M. Roy, appuyé par M. Carré-Dousset, aurait proposé le vote d’une somme de 50 fr.
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tura], gran amparo de los videros, que no alcauzan pasar en el mis- mo ala el Cajas. — ^Eq nlDgan otro camino de la costa al iaterior se pasa tan pronto de la región de los cocos á la de las criptógamaa en los límites de la nieve perpetua, experimentando un cambio rápido de la temperatura de 32° á O^C. Un poco mas arriba de Contra-yerba se biturca el vallC; ó mas bien se ensancha en forma de anñteatro, en cuya circunferencia se abren varías quebradas profundas, cada cual con su riachuelo espumante. Los altos picachos circunvecinos de los pórfidos, en tal y cual parte blanqueando de nieve, las cascadas de las aguas, las nubes sombrías que sucesivamente cubren y descubren las cumbres, la falta de vida animal y yejetal, el silencio y la soledad completa, todo contribuye á haoer la escena muy pintoresca y grandiosa. Sinembargo he obser- vado que tales parajes ,que encantan á unos, suelen causar de^icon- suelo y cierta angustia á otras personas no acostumbradas y menos susceptibles para las bellezas sublimes de la naturaleza. Los picachos en el fondo del anfiteatro íbrman la cresta mas alta de la cordillera, que en línea recta no dista mas de una legua del ha- to de Contra-yerba, y es la línea divisoría para las aguas del océano pacífico y atlántico. El camino sube por una abra hacia SE á la al- tura de Cajm, cuya elevación es de 4,135 metros sobre el golfo de Guayaquil. Este paso es de 172 metros mas bajo que el de Quimsa- cruz en el Azuay, y de 146 metros mas bígo que el camino por el arenal del Chimborazo.
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Ateny (Wł). Silny oddział wojska gre ckiego wylądował na półwyspie Coslcedyjskim, aby podejść do Salonik od połrdaia. Białogród (AP). Według informacyi ze zródeł dobrze poinformowanych oddziały prze dnie armii pierwszej maszcrującej ku Saloni kom, zajęły Demirkape i Gewleli. Kolumny gre ckie zbliżyły się do Emidżewardaru. Spodzie wane jest połączenie wojsk greckich i serbskich w Sałonikach. Wojenne fundusze Serbii. „. Bialogtód. (AP.) W dniu ogłoszenia mo bilizacyi skarb państwa posiadał 125 milionów, przeznaczonych na cele wojenne; dotąd wyda no 17 milionów. Doradca Serbii. Londyn (Wł) Korespoadent białogrodzki „Timesa“ donosi, iż ,Serbia w sprawie zakoń czenia wojny działać będzie w porozumieniu z Rosyą. Wojowniczy ton prasy. Błałogród (WŁ) Prasa serbska zaznacza, że porozumienie Serbii z Austryą możliwe jest tylko wówczas; gdy Austrya udzieli wolności chor watom i słoweńcom. Okręty angielskie w Bosforze. Saloniki (AP.) Oczekiwane jest ogłosze Tenedos, przepłynąć cieśninę |ardanelską w celu udabia się na wody Bosforu. Prośba Turcy! o interwencyę. Konstantynopol (WŁ.). Ambasador angiel ski przedstawił Porcie prawdziwą sytuacyę na teatrze wojny. Sułtan płacząc zgodził wię na to, by Porta zwróciła się do mocarstw z pro śbą o interwencyę. Posiłki. Konstantynopol (Wł). Do Aleppo przy było podobno, 50,000 żołnierzy dla wzmocnie nia tureckiej armii wschodniej, Konstantynopol (W?) Kiamil-basza oświad czył, że sytuacya staje się bardziej sprzyjająca mie irade sułtańskiego, pozwalającego okrętom „angielskim, stojącym na kotwicy pod wyspą nowe posiłki. Odwrót armii tureckiej. „Wiedeń (Wł). Dzienniki tutejsze podają, iż armia turecka podąża dwoma głównemi skrzydiami. Pierwsze skrzydło posuwą się do Strowy, drugie na południe do Czataldży. W szeregach panuje niesłychany popłoch. Jako punkt zborny armii tureckiej nazywają Cza taldźę. : Londyn (Wł). „Daily Chronicle* nazywa początku wojny, zaznaczając, iż legło na pobo jowisku 40,0b0 ludzi. Odwrót z pola bitwy porównywa do odwrotu Napoleona z pod Moskwy. _Białogród (AP). Bułgarzy pobili na głowę turków, uciekających do Konstantynopola. Odrzucenie propozycy! Polncarć'go.
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^ara todos los párrocos de España asigna 17.491,600 pesetas, que ^acen 69.966,400 rs.. divididos entre las diez y ocho mil parro¬ quias que poco mas ó menos hay hoy en España, toca cada cura 3.887 rs. Para el culto parroquial asigna 7.504,790 pesetas, que aceu 23.019,160 rs.: divididos entre las citadas diez y ocho mil Parroquias, toca cada una á l,279rs. Para los conventos que sub- Venciona asigna 493,920 pesetas, que hacen 1.935,740 rs.: repar¬ tidos entre los doscientos ochenta y ocho que deja , toca cada uno ^ 6,721 rs. Para los prebendados y beneficiados de colegiatas que SüPrime, asigna 172,500 pesetas, que hacen 900,000 rs. : divididos entre trescientos cuarenta y cinco que son, toca cada uno á 2,000 ^ales. , Conceptúese ahora si los M. Rdos. Arzobispos , Rdos. Obis- - 430 — pos, canónigos y beneficiados, Seminarios , párrocos , culto de catedrales y parroquias, podrán vivir con tan mezquinas asigna¬ ciones. Los Prelados de España tendrán que andar á pie como cualquier pobre; tendrán que tener un solo familiar. ¡Cuánta limosna podrán dar! ¡ Cuánta dotación á sus vicarios y fiscales! Los Seminarios han concluido : el asilo del pobre joven, donde encontraba casa, vestido, alimento, carrera, libros y demas, queda cerrado. Los canónigos metropolitanos, que han subido á esos , puestos después de una larga carrera , quedan como el mas pobre clérigo. Tendrán que ponerse á pupilo. ¡Cuántas limosnas po¬ drán también dar! ¡Cuántos familiares podrán sostener para que estudien! ¡Tendrán que hacer oposición á curatos que tal vez de¬ jaron, ó ponerse de capellanes en las parroquias! Las catedrales, ¡qué culto tan solemne podrán dar ! ¡Cuántos salmistas y depen¬ dientes podrán sostener! Los párrocos, á quien con la lengua se ensalza tanto y promete tanto, como la clase mas laboriosa y ne¬ cesaria, ¡qué bien dotados quedan, y mas si se atiende al modo con que tienen que cobrar su corta dotación ! Vienen á quedar como unos pobres que tienen que pedir la limosna de la asigna¬ ción, y adular para que se la paguen al cacique , al poderoso, á quien ya no podrán reprender para no disgustarle.
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en den moed om heel de wereld beneden zich te laten. Allen rijkdom, alle eer, alle grootheid kon ze missen. Maar op zoovele oogenblikken voelde ze de liefde van haar moederhart branden en gloeien, en riep ze in haar verbeelding om haar kinderen. Ze wist, dat ze veilig bewaard waren, dat zij zelf hun de noodige opvoeding niet kon geven, en toch deed het pijn. Ook voelde ze den spot en den smaad, die als slijk haar werden nageworpen. O, heiligen zijn niet ongevoelig als dooden ! Ook zij moeten vluchten tot het gebed om daar kracht en moed te vinden, zich te kunnen verheffen boven alles, wat hen omringt. Ze mocht dan ook getuigen tot haar gezellinnen : „De Heer heeft mijn gebed verhoord, en zie, al waf ik eens bezat in de wereld en heb liefgehad, tel ik nu evenveel als slijk. God is mijn getuige, dat ik niet meer bezorgd ben over mijn kinderen dan over welkenjnedemensch ook. Ik heb ze God aanbevolen: moge Hij er mee doen wat Hij verkiest. Eveneens verheug ik mij in laster, beschimping en smaad, niets bemin ik, tenzij God alleen”.1) Haar liefde tot de armoe was blijven leven ; haar frariciscaansch leven groeide met den dag in innerlijke sterkte. En Koenraad, die zag, hoe ze getrokken werd tot de kinderen van Franciscus, liet toe, dat zij zich nauwer met dien heilige verbond. In hun kloostertje ontving ze met haar gezellinnen het grauwe, armoedige kleed der Derde-Ordelingen uit dien tijd : ze omgorde zich met het koord van boete. Broeder Burkhart, custos van Hessen zou haar hebben ingekleed, terwijl magister Koenraad de heilige Mis las.2) -:- Haar actieve natuur maakte haar minder geneigd tot een stil-beschouwend leven: zij moest kunnen zorgen, verplegen en troosten, zij was een geboren verzorgster der armen en ziekenzuster. Waarschijnlijk is het aan Koenhaads leiding te danken, dat ze vlak bij het klooster der Minderbroeders een hospitaal stichtte, want dan had zij juist, wat met haar neiging overeenkwam: zij kon zeer veel goed doen, en zou dat idee van gaan bedelen wel' vergeten. Ze wijdde het toe aan Sint Franciscus, die pas heilig verklaard was.
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période royale, qu'elle n'entrevoit qu'à travers des récits complaisants. Cependant elle admet la fondation sur le Palatin d'une ville dont on vient de retrouver les murailles, Roma Quadrata, qui exerça, contre ses voisins du Latium, de la Sabine, de l'Étrurie, sa robuste jeunesse, et qui grandit au point que Servius fut obligé de lui donner l'enceinte qu'elle garda pendant toute la république. On constate des mœurs, des institutions, une organisation politique qui ont eu besoin de beaucoup de temps pour se développer; et l'on reconnaît que, sous son dernier roi, Rome était déjà la capitale du Latium, la plus grande puissance de l'Italie. Elle avait comme deux peuples : le patriciat et la plèbe. Le premier se composait de familles dont chacune formait un clan, avec ses dieux particuliers, sa propriété commune, et son chef, qui était à la fois pontife aux autels du foyer domestique, juge sans appel de sa femme et de ses enfants, patron obéi de ses clients, maître absolu de ses esclaves, et, au forum, à la curie, membre du peuple souverain, qui élisait le prince, édictait la loi et décidait de la paix ou de la guerre. La plèbe, pêle-mêle de vaincus transportés dans la ville, d'étrangers qui s'y établissaient, peut-être d'indigènes dépossédés par la première conquête, n'avait rien de commun avec le patriciat, ni les dieux, ni les mariages, ni les droits politiques. Pourtant, on attribue à Servius la division de la ville en 4 quartiers ou tribus urbaines ; du territoire en 26 cantons ou tribus rurales ; du peuple, patriciens et plébéiens, en 6 classes, déterminées par la fortune, et en 193 centuries ; la première classe ayant à elle seule 98 centuries, c'est-à-dire, quand, après l'expulsion des rois, ces centuries représentèrent des suffrages, 98 votes, tandis que toutes les autres réunies n'en avaient que 95.
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II Nous protestons en second lieu contre les moyens dont le gouvernement de Florence s'est servi pour accomplir cet acte néfaste, et nous déclarons que tous ces moyens sont iniques et odieux. Inique et odieux le mensonge auquel pendant de longues années on n'a cessé de recourir, y employant les armes diplomatiques, la presse, l'enseignement supérieur et primaire, de manière à faire le vide dans les esprits, à pervertir le jugement des peuples, à corrompre la jeunesse et l'enfance, à séduire la foule des simples sans défense contre de pareilles attaques ; de manière enfin à souffler partout, à force de calomnies, le mépris et la haine de l'Église, et surtout de l'Église romaine. Inique et odieuse la félonie qui a fait manquer, et bien des fois, à la parole jurée, et déchirer les pactes les plus respectables. Inique et odieuse la lâcheté qui a fait profiter du temps où le départ des troupes françaises, et l'état déplorable où la France se trouvait plongée, augmentaient la faiblesse du saint-père, que la vaillance héroïque de sa petite armée n'empêchait pas d'être faiblement défendu, comme le sont les petits États, et comme, pour mille raisons, l'est surtout l'État du saint-siège ; faiblement défendu aussi parce que ses forces étaient immensément réduites et ses ressources comme épuisées par les rapines déjà consommées de son audacieux agresseur.
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Guillebert de Metz, op. cit., p. 203. Géraud, Paris sous Philippe le Bel, 1837, in-8°, cité par Bordier et Brièle, Ibid. Dans le Livre de la Taille de 1313 publié par Buchon, les imagiers, peintres, gaigniers, pigniers, tabletiers, merciers, couteliers sont nombreux surtout dans ce voisinage, sur les paroisses Sainte-Opportune, Saint-Leu et Saint-Gilles, Saint-Merri et Saint-Germain l'Auxerrois. Livre des métiers, p. 136 et 44. fois que dans les statuts d'une de nos corporations il est question d'une église, c'est d'une de celles du quartier Saint-Denis: les pigniers-lanterniers notamment se règlent sur « le premier coup de vêpres sonnant à Saint-Innocent ». Là étaient les boutiques les mieux achalandées, tout près de ces Halles des Champeaux, au premier étage desquelles, formant « comme une rue d'une étonnante largeur », étaient exposés « tous les objets qui servent à parer le corps humain, des peignes d'ivoire pour les cheveux, des miroirs pour se regarder », etc.
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Era l'umanità del Figlio di Dio nobilissima e delicatissima, poiché l'Eterno Padre l'aveva formata per opera dello Spirito Santo del purissimo sangue di Maria; e tra tutti i membri il Cuore è il più nobile e conseguentemente capace di maggior dolore; e però patendo la nobilissima e divinissima umanità di Cristo in tutti i suoi membri, pativa incomparabilmente il Cuore di Cristo; perchè tutti i dolori dei membri di Cristo tutti andavano a ferire quel l'addolorato Cuore in modo tale che quei flagelli, spine, chiodi, percosse, vilipendio, obbrobbio, il portar la croce, l'agonia e tutto che pativa la umanità, patì ancora quel preziosissimo Cuore del nostro Signore. E dopo aver fatta l'enumerazione dei molteplici dolori sofferti da Cristo nel suo corpo, e di aver mostrato e fatto sentire vivamente come tutti dovevano ripercuotersi e riconcentrarsi nel suo sensibilissimo Cuore, con fino e divoto accorgimento consiglia alle anime pie a contemplare nell'interno del Cuore tutti gli esterni patimenti che soffrì il divino Redentore tanto nel corso di sua vita, quanto negli ultimi giorni della sua passione e morte; e reca perciò questa viva similitudine: «che siccome tutti i fiumi e torrenti corrono al mare, essendone esso il centro e il fine, così tutti i tormenti del Signore furono come tanti fiumi che corsero al Cuore, facendogli sentire dolori tali che Dio solo può capire.» E chiude il capitolo con questo vivissimo e tenerissimo colloquio: «O Cuore santo, o Cuore divino, o Cuore più dolce di tutte le dolcezze! Quanto sei degno di lodi e di benedizioni! Degnissimo di essere compassionato sopra ogni altro membro del Signore! Io t'adoro, ti benedico in eterno, e propongo di contemplarti giorno e notte, facendo di te, o Cuore del mio Gesù, il soggetto di una nuova passione; e non finirò di parlare delle tue maraviglie e dei tuoi tormenti, affinché i devoti possano contemplare la passione del mio Signore non solo quanto all'esterno del corpo, ma anche all'interno del Cuore.
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Per tanto il suo oggetto è d’illustrare l’indissolubile alleanza della Religione con la Medicina, svilupparne le vicendevoli relazioni, e mostrarle cospiranti ad uno stesso sublimissimo fine, cioè alla terrena, ed alla celeste felicità dell’uomo. Quindi la materia va divisa in tre parti, delle quali accenno qui gli argomenti. Nella prima, per destare nei giovani quell’affetto verso la Religione, che in ogni animo grato suole prodursi dalla rimembranza dei benefici, metto in veduta i sommi vantaggi, che ne ha ricevuti la Medicina. Espongo nella seconda gli utilissimi servigi, che la Medicina può rendere alla Religione, spiegando con quale sapienza e prudenza la può difendere in ogni propizia occasione non solo le fondamentali verità, ma anche quelle altresì, che riguardano all’Ecclesiastica Disciplina. La terza finalmente mostra i Doveri, che la Religione prescrive alla Medicina; onde possa dedursi e quant’a cura il Cristianesimo ha preso dei Medici, e come costoro debbono diportarsi per esserne veramente seguaci. In somma il complesso delle dottrine, che ho raccolte, e disposte, gioverà forse a dar nuovo lustro all’Arte di guarire, mettendola, quasi dissi, a strettissimo contatto colla più augusta delle Scienze, e delle Istituzioni, quale è certamente la Religione. Laonde si conoscerà, che tutto il discredito, in cui l’Arte medesima spesso cade, proviene da mancamento di Religione in quei, che la professano, e negli altri, che la deridono; poiché gli uni, non esercitandola secondo i insegnamenti del Vangelo, ne fan risentire pochissima utilità; gli altri ignorandone i pregi, non la riconoscono istituita, protetta, e regolata da Dio. Che poi abbia preferito ad ogni altro il titolo di Catlettismo, non recherà meraviglia a chi ne ascolta le ragioni. Lo scopo d’istruire principalmente i giovani Medici, e d’istruirli appunto delle dottrine religiose alla loro Scienza appartenenti, anche il metodo di prefiggere le Domande a ciascun paragrafo, giustificano, se mal non mi appongo, una siffatta denominazione.
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Mai, in der über die von Lord Denbigh eingebrachte und von Lord Beresford unterstützte Resolution beraten wurde, die die Regierung zu energischen Maßnahmen gegen pazifistische Umtriebe auffordert und gemäß den Ausführungen Denbighs und Beresfords einer energischen Ablehnung gegen jede Form eines Verhandlungsfriedens gleichkommt, hielt Lord Lansdowne, wie bereits kurz mitgeteilt, eine bemerkenswerte Rede. Er führte laut Bericht des „Wolffschen Telegraphenbüros“ aus: Der Zweck der Resolution sei offenbar die Veranlassung eines tadelnden Votums gegen die Leute, die nach Denbighs Behauptung einen Kapitulationssfrieden befürworteten. Ob es jetzt in England gebe, sei ihm, Lansdowne, nicht bekannt, aber er verwahrt sich dagegen, dass mit ihnen die Beifall klatscht, geworfen würden. Auch er gelte Denbighs Tadel auch ihm. Er betonte daher, dass sich seine Teilnahme an der Friedensbewegung auf die bekannten Briefe an die Presse beschränkt habe, an den unlängst in Perusung mit der Friedensbegriff nicht tilgungsgemäß. Mit dieser Erklärung wünschte er sich indessen keineswegs von Blanckamp und anderen, die mit ihm zusammengearbeitet hätten, abschreiben zu lassen. Diese Männer besäßen, so Lansdowne, viel besseres Verständnis für die Realitäten der Lage und verdienten Anerkennung für die Zurückhaltung, die sie beobachtet hätten, der sie hätten, wenn sie gewollt, ungeschworen geblieben sein, gewünscht aber alles zu vermelden, was wahrend des Krieges die Eindruck einer uneinigen Heimatfront machen könnte. Was seine Briefe an die Presse angeht, so habe er von ihrem Inhalt nichts zurückzunehmen und für nichts um Vergebung zu bitten; sie enthielten sein Glaubensbekenntnis. Der Hauptartikel von Denbighs Glaubensbekenntnis sei offenbar, dass kein Verhandlungsfrieden geschlossen werden dürfe; wie aber erwarte dann der Cole Lord, dass es jemals zum Frieden kommen? Hoffe er, dass der Friede vom Himmel fallen werde? Nach Denbighs Anwort gab es anscheinend nur einen Weg zum Frieden, nämlich durch das, was man jetzt sooft den „knock out blow“ nennen. Ob aber der Lord und seine Fliegende Helle boomten jemals verraten, wie, wann, wie bald und zu welchem Preis dieser knock out blow geführt werden sollte. Inzwischen aber dauerte der Krieg an und forderte einen schweren Zoll von den Söhnen des Landes. Gegenwärtig steigten nicht nur Gegner eines Verhandlungsfriedens, sie gingen so weit, alle, die zu verhandeln wüssten, von dem Schappplatz der Politik zu verjagen. All jene, die den Frieden schlagen, gäben statt des Friedens Schwerter als jeder fallenden aus.
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Quand je dis que M. Villars avait dû se contenter, je me sers probablement d'une expression fausse, puisque je n'ai aucune raison de croire qu'il ne fût pas satisfait de son sort; je l'aurais même trouvé fort déraisonnable s'il eût désiré plus, car tout autour de lui était soigné, confortable ; sa maison était tenue dans un ordre parfait par la meilleure des ménagères, excellente femme qui ne l'avait jamais quitté depuis la mort de mistress Villars, et qui comprenait parfaitement toutes ses petites manies. Ce n'est pas donner un mince éloge à mistress Merrill, cette bonne ménagère, que de dire qu'elle savait satisfaire toutes les manies de son maître, car il en avait beaucoup. Vivant seul depuis longues années, n'ayant d'autres goûts à consulter que les siens, il avait pris toutes ces habitudes que l'on prête généralement aux vieux garçons. On le considérait comme un homme fantasque, parce qu'il faisait souvent des choses que le monde trouvait bizarres et que peu de gens auraient inventées, quoiqu'on fût obligé de convenir, lorsqu'il en donnait l'explication, que ses raisons étaient bonnes. Mistress Merrill était une excellente femme et elle accueillit Marie et Hélène de la façon la plus affectueuse ; mais elle avait ses singularités aussi bien que M. Villars. De même que toutes les personnes qui ont peu vécu avec les enfants, elle avait toujours peur que ces jeunes filles ne dérangeassent quelque chose, ne commissent quelque dégât, et elle les surveillait, quoique la plus jeune des deux eût déjà plus de douze ans, avec autant de soin que si elles n'eussent eu que quatre ou cinq ans.
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In 1664 and 1665 we find Mr. Craig, who was a member of the Chapter of Glasgow, Killeam being a prebend of the cathedral, signing such deeds as the following : "Tack by the Subdeane, with consent of the Archbishop and Chapter, of the Teynds of the -Subdeanrie to the Colledge " and a " Procuratory of Resigna- tion, by the said Master John Ross, with the advyce and consent of the Arch- bishop, Dean, and Chapter." His signature was "M. Ja. Craig, Killearne."^ On the 6th August i668 there was a visitation of the parish by the Presbytery, and the only "Kirk goods" found belonging to it were "a communione table, ^ Munimenta Univ. Glas. , Vol. I. , pp. 395-396. 56 HISTORY OF STRATHENDRICK a bazon for baptizm, a box for poor's money, with tuo keyes, keept in the hands of two elders." At this time there were neither flagon nor Communion cups in the parish, and there is reason to beUeve that the Synod's order "relating to the adminis- tratione of the Holy Eucharist" was too much neglected in Killearn, as it was in Strathendrick generally, in Episcopal times.
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wydaje się rocznie na kąpiele i inne spo soby leczenia w tej nadziei, że się wkońcu przez to odzyska oddawna upragnione zdro wie; ale niestety, bardzo wielu tych cho rych, pomimo że cierpliwie i najściślej za stosowali się do przepisów i nie żałowali wydatków, spotkał bardzo gorżki zawód. i Radzimy przeto każdemu choremu, SA którzy mają nerwowcść, neurastenię, reumatyzm, bole piec i jj głowy, dolegliwości żołądkowe I jelitowe, osłabione serce, pora żenia i t d. i osłabienia wszelkiego rodzaju, ażeby zamiast id poddawać się bezskutecznym próbom, chwycili się zaraz owego H radykalnego środka, który jak to powszechnie uznano, posiada zdolność do najskuteczniejszego zwalczania wyżej wymienio jj nych chorób, a jest nim elektryczność. Jesteśmy gotowi udzielić za darmo kużdemu choremu wyjaśnień o tym znakomitym sposobie leczenia, a wystarczy przesłać pod naszym adresem miłej znajdujący się kupon, a my prześlemy bezzwłocznie swą 6£ strony obejmującą i $179 KSIĄŻKĘ ZA DARMO | „ „rozprawę o nowoczesnej elektro-terapii< liczne ilustracye mającą za darmo opłaconą. Elektro -therapeutische Ordination Wiedeń, I, Schwangasse Nr 1, I. Stock, Abt. 38. Kupon ma książke za : Elekiro-Therapeutische Ordination Wien, L, Schwangasse Nr 1, I. Stock. Abt. 38. Proszę przysłać mi dziełko: „Eine Abhandlung über moderne Elektro-Therapie" za darmo opłatnie w zamkniętej kopercie. darmo: 8/VIII. 1908. szczególnie tym, K 12:30 DADA | | śmierć | karma da kur. a P. Berta Neumann w Makowie. Sobota 8 Sierpnia 1908. .: > K 6 . K 220 ; -KeS SK 120 K 240 K —9: K —4 K —9( VTA ANZYM K 120 K 420 K 1050 K 230 UODZGZYA 3721 50 Do sprzedania restauracya wraz z kawiarnią i cukier; nią. Zgłoszenia tylko listowne do Adm.
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States. Congress may declare war, and the President, as commander-in-chief, may wage war. One of the most com- mon results of war is conquest ; and unless the wars of this country are to be carried on differently from those of other nations, and unless we are to De deprived of the advantages of success, the possibility of conquest must be considered as in- cluded within the capacity to declare and wage war. The President, with the advice and consent of two thirds of the Senate, may make treaties. No kinds of treaties are specified ; no hmitations are placed ; the language is as broad as pos- sible ; indeed, these international compacts are expressly declared to be the supreme law of the land. No species of treaty is more common than that of cession ; and unless we would interpolate a restriction which the language of the Con- stitution does not require, and thereby place the United States in a condition of inferiority to all other countries, we must admit that territory may be acquired by treaty. Not only have presidents and senates repeatedly adopted these conclu- sions ; not only has Congress ratified them by its legislation ; not only have the people gladly confirmed the acts of their political agents, but the Supreme Court has also added its authoritative sanction. In The American Insurance Co. v. Canter,! ^q subject came before the court in such a manner as to require a formal decision. After the cession of Florida, Congress erected a territorial government therein, and con- ferred upon it certain legislative powers. The validity of par- ticular acts of that local government was involved in the case.
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The costliness and magnitude, of the Khedive's sugar- WBA VERS. 291 factories would entitle tliem to rank among the public works of Egypt ; while, as they are at the same time in- dustrial adventures of his Highness, they might with equal fitness be described here. They faU still more ap- propriately, however, within the scope of the chapter on the Daira, to which they belong, and will therefore be noticed in that connection. Of the private trade of the country, numerically the most important is that of the weavers. Of these about 1,600 are employed in the three Daira factories of Foueh (belonging to the Queen-mother), Boulak, and Shoubrah, near Cairo. The first of these manufactures nearly 50,000 tarhoushes (the Egyptian fez) a year, of which the supply required for the army and navy is sold to the Ministry of "War, and the remainder to the public. They also turn out annually about 315,000Z.
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Jaroliet, député, assisté de M. Georges Laguerre, député, président de l’Union de la Jeunesse républicaine, et des membres du comité, conférence par M. Paul Herault, avocat à la cour d’appel, adjoint au maire du huitième arrondissement de l'École nouvelle. Une découverte importante vient encore d'être faite par M. Léopold Delisle, administrateur de la bibliothèque nationale. C'est un registre qui date de Philippe-Auguste et se trouve être le premier qui constitue les archives de nos rois. On ne peut savoir comment ce précieux document a été perdu, ni depuis quand ; mais, d’après des notes qui se trouvent sur les gardes, on constate qu'il est passé vers la fin de 177 dans les archives du baron allemand de Stosch et que, d'aventure en aventure, ce registre est passé dans la bibliothèque du cardinal Ottonelli, et de là dans celle du pape, à Rome. Grâce à la vie passionnée de M. Delisle pour tous les monuments de notre histoire, il a pu obtenir du ministre de l’instruction publique la reproduction, à grands frais, de ce registre. Aujourd'hui, enfin, cet astre, au moyen de procédés historiques, est rendu à notre époque, dans les archives, les rapports déjà très courtis de l'industrie et de l’État au commentement du treizième siècle. Hier a été ouverte, au milieu d'une asssemblée choisie et nombreuse, la remarquable exposition des dessins de dix-neuf siècles, dont nous avons déjà parlé il y a deux jours. M. Jules Ferry a assisté à l'inauguration. Il est arrivé vers dix heures et donne au quai Malaquais et a été reçu par M. du Coumierard, président de l’Association des artistes, qui lui a fait voir les merveilles de cette exposition qui fait si grand honneur à l'art français. À ce propos, M. Hasselt, éditeur du journal, a eu l'excellente idée de faire reproduire les plus beaux dessins de cette exposition et d’en faire une publication en livraisons dont le texte a été confié à M. Roger Baldius, l’un des organisateurs de l’exposition avec M. Cocatre. Le recul d’hier avait une fade cause, plus petites les unes que les autres, mais qui réunies ont fait un tout et un trou. D'abord l’emprunt.
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• Art. 20. El presente Tratado será aprol>ado, i las aprolmcio- nes canjeadas en el ti^rmino de cuatro días contados desde la fecha, o mas pronto si ftiere posible, i consiilucionalraenle ratificado veinte dias después de la reunión de cada Con- greso. En féde lo cual nos los infrascritos Ministms PLnipolen^ ciarlos de las Partes Contratantes, hemos firmado el presente Tratado de comercio, refrendado p.ir los socretarios de ambas l(^aeiones en Arequipa^ a ocho dias del mes de noviembre del año del Seílor de mil ochocientos treinta ¡ udo.— Vijés'mo pii- rBftiü* mo de la lodepeBdepcia de Bolivia t duodéoimo de la del Perú. —^Miguel María de Aguirre^ — Pedro Antonio de lífr Torre.— Miguel del Carpió^ Secretario de la Legación boUviaqa. ^"3/^1- nuel Ignacio Vivanco, Secretaria da la Legación peruana. El infrascrito Ministro Plenipotenciario de la KepUbUca de Chile— babiendo sí»rv¡do de mediador en los Tratados de pax i de comercio, celebrados entre las Repüblicas del Perii i Bo- livia.declara: que el Tratado de comercio que antecede» ha sido concluido bajo la mediación del Gobierno de la RepübUoa de Chite. En fé delpcoal ha firmado la presente sellada óon el gran sello de su Repüblica, i refrendada por el Secretario de la Legación, en la ciudad de Arequipa a ocho dias del mes de noviembre del año del Señor de mil ochocientos treinta i uno,-« (L. S.) Miguel Zañartu.—Saloador Iglesias^ Secretario acQÍ* dei.tal. 115 Dedanicion ^el Mi' nit^ro miediador. mm» TRATADO Dfi COHGRCIO, ■OLIVIA I KL PBICT, FIRMADO EN CBCQtJlSACA A 17 P« , ^OVIEHBBK PE 183^. ANDRÉS SANTA CRUZ, Jbnbral bb brigada vr los BiARcrrbs db Co^ LQMBiAt Gran Mariscáis de los sxl Psbu, Capitán Jbnbral bn Bo- uviA, gran ciudadano, rbbtaueador de la Patria i Presidente Cons* TITUCIONAL DE LA RePUBUCA, ETC. ETC.
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Caperton ads. Price, 1 Duv. 207. Carroll ads. Wickliffe, 14 B. Mon. 169. Carpenter & Q-rigsby v. Strother's Heirs, 16 B. Mon. 289. Carr and ux v. Estill, 16 B. Mon. 309. Carney, etc. v. Walden, 16 B. Mon. 388. Caruth v. Thompson, etc., 16 B. Mon. 572. Carpenter v. Miles, 17 B. Mon. 598. Carothers & Applegate v. Moore, 17 B. Mon. 669. Carter v. Thorn, etc., 18 B. Mon. 613, Carlisle v. Cabell's Adm'r, 1 Met. 319. Carothers, etc. ads. Murray, etc., 1 Met. 71. Carson v. Carson, 1 Met. 434. Carson, etc. v. Carson's Ex'r, etc., 1 Met. 300. Cary, etc. ads. Worthington, 1 Met. 470. Carico's Adm'r, etc. ads. White's Adm'r, etc., 2 Met. 232. Carson v. Carson, 2 Met. 96. Carieo ads. Hardin's Ex'r, 3 Met. 289, Carson, etc. ads. Green, 4 Met. 76. Caskey v. Lewis, 14 B. Mon. 27. Case, Davidge & Co. v. Colston, 1 Met. 145, Cate V. Boss, 2 Duv. 243. Caulfield v. Bullock, 18 B. Mon. 494. Cecil ads. Terrill, etc., 3 Met. 347. Cessna v. Sledman, 1 Duv. 188, Chadwell's Adm'r ads. Whitehead, 2 Duv. 432. Chandler's Heirs ads. Johnson's Heirs, 15 B. Mon. 584. Champ's Heirs ads. Collins, 15 B. Mon, lis. ||^ LIST OF CASES. 541 Ohambers and ux v. Davis, etc., 15 B. Mon. 522. Chambers and ux v. Davis, 17 B. Mon. 526. Chapman, etc., v. Stockwell, 18 B. Mon. 650. Chambers v. Keene, etc., 1 Met. 289. Chambers ads. Tipton, 1 Met. 565. Champ V. Commonwealth, 2 Met. IT. Chamberlin ads. Kadford, 4 Met. 237. Chandler v. Commonwealth, 4 Met. 66. Cheshire and ux v. Payne, etc., 16 B. Mon. 618. Chelf V. Penn, etc., 2 Met. 463. Chenowith v. Fielding, 2 Met. 517. Chinn ads. "Walters, 1 Met. 499.
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» citut , refurrcclio triduani temporis exprimatur. Quod » fi quis forti etiam pro Summx Trinitatis veneratione u exiftimet fieri , neque iilud aliquid obfiftit baptizan. i> dos (eme! in aquis mergere , quia dum in tribus Per- ii fonis una (ubftantia eft , reprchenfibitc elfc millate- m nus poteft, infantem in Baptifmate vel ter , vel fe- ti mei immergere : quando & 111 uibus merfionibus Per- ii fonarum Trinitas , & in una poteft Divinitatis fingu- 11 lantas defignati. XXX. Circa idem tempus Patres Concilii Toletani IV. iuielligcntcs inter Sacerdotes luminas clfe de trina vel fimpla merfione contentiones ; atque Atianos ex irin* illa merfione arguere trinitatem tffenti* in Perfo- nis, aufloritate S. Grecorii freti decreverunt C*n, fi. " Propter vitandum fchifmatis fcandalum , vel hxretici u dogmatis ufum , fimptom teneamus Baptifmi mtrfio. » ntm ; ne videamur apud nos, qui tertii mergunt, lix- ii reticorum probare allectionem , dum fcquuntur &c n morem. Et ne forte fit dubium hujus Jimplt myfte- » rium Sacramenti.... videat in eo uiutatcm Divinira- 11 tis , & Trinitatem Perfonorum ollendi : Unitatem 11 dum ftmtl immergimus ; Trinit*tem . dum in nomi- u ne Patris , & Filii , & Spiritus Samfti baptizamus. In antiquo Sacramcutario Gallicano, quod ex anti- quo Codice manuferipto Monaftcrii Bobienfis edidit vir eruditus Joanncs Mabilfonius 1«»» 1. M»f*t /t*!ici ( quem Codicem icriptum ante annos mille cx t lura cle- re conjicit Mabillomus ] extac formula Baptifmi his verbis expreto pagina 514. Beptit,o te iit nomine Patria , & Filii , & Spiritui Senili , unam hebentem sub- stantiam , M hebeat vitem eternem , pertem cum Senili 1.
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Jüngsten hatten sich die Soldaten mitten auf die Straße gestellt und sich schuss-fertig gemacht. Jetzt erdröhnte die zweite Salve, der ein lauter Aufschrei folgte. Noch einmal hieß der junge Offizier die Soldaten, sich schussfertig machen. Schon kamen einige Personen vom Bahnhof her auf die Bahnhofstraße und es erdröhnte die dritte Salve. Die Soldaten rückten hierauf ab und ich eilte auf die Straße. Wenige Schritte von meiner Wohnung lag eine Person tot am Boden, und einige Schritte davon schwamm eine zweite Person, mit dem Tod ringend, in ihrem Blut. Wie sich herausstellte, waren die Erstschausenen unter den Haufen der Exzedenten zufällig geraten, als sie vom Bahnhof her, wo sie eben von Essen eingetroffen waren, zur Stadt wollten. Die Ruhestörer waren junge Burschen und Fabrikarbeiter, aber keine Bergleute. Das Signal zu dem Zusammenstoß hat ein Steinwurf auf den Offizier gegeben. Über die nicht minder bedauerlichen Vorgänge auf der Zeche „Schleswig“ berichtet die „Dortm. Ztg“: Gegen Abend sammelten sich größere Menschenmengen auf dem Zechenplatz an, welche gegen 9 Uhr bis zur Ladebrücke vordrangen. Auf die Frage des Betriebsführers Steinweg, was die Leute wünschten und ob sie zur Aufnahme der Arbeit bereit seien, wurden Seitens der Arbeiter die bekannten Forderungen gestellt, die der Betriebsführer nicht bewilligen zu können erklärte. Die Leute zogen sich auch nicht zurück, vielmehr hatten sie viele mit Holzstücken bewaffnet, mit welchen gegen 11 Uhr nach den Zechengebäuden geworfen wurde. Die Beamten, welche zunächst das Bestreben hatten, die Maschinen zu schützen, wurden schließlich von der Menge angegriffen und gemässhandelt. Schwer verletzt wurde der Steiger Bierhoff; er trug einen Bruch des rechten Arms, sechs Kopfwunden, einen Stich in die rechte Seite und eine große Anzahl kleinerer von Schlägen herrührender Verletzungen davon. Leicht verletzt wurde der Steiger Bergmann. Nach einiger Zeit zogen sich dann die Menge zurück, doch ging noch Niemand nach seiner Begegnung mit Lilian Forrester, und wie seine Liebe zu ihr erwacht war. „O, Hubert, fürchte nicht das Ende“, tröstete ihn der Pfarrer lächelnd, als er geendet.
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Portés dans la rue avec une partie du mobilier, ils furent incendiés. Les manifestants, croyant que deux des leurs étaient enfermés dans le commissariat de police, criblèrent la porte de projectiles ; la porte ayant cédé vers 9 h. 1/2, les manifestants pénétrèrent dans le bureau, enlevèrent le matériel et les papiers auxquels ils mirent également le feu avant que les troupes aient pu intervenir. Des dragons et des cuirassiers sont attendus. Sulte en marquant page Un conflit entre préfet et maire Saint-Flour, 18 septembre. Le préfet du Cantal autorisait récemment le président du comité radical de Saint-Flour à organiser un banquet en l'honneur du député brocard dans les locaux des écoles laïques. Le maire, M. Bert, républicain de vieille date mais non brocard, qui n’avait pas été consulté, protesta auprès du préfet, lui faisant observer que le gouvernement ordonnant de respecter la neutralité de l’école, ce serait porter atteinte à son caractère que de faire servir ce local aux manifestations d’un parti politique. « Et le maire prit un arrêté interdisant « l’occupation des classes de l’école de garçons de Saint-Flour par M. Oudoul ou son comité ». L’affaire en est là. VIANDINNEMENT 1800 1 601 30 1 00 à 2 10 Tendance: calme ABONNEMENTS pour EURE-ET-LOIR ET DÉPARTEMENTS LIMITROPHES Un an : 16 francs. — Six mois : 8 francs. — Trois mois : 4 francs. AUTRES DÉPARTEMENTS Un an : 18 fr. 60. — Six mois : 10 francs. — Trois mois : 6 francs. Les abonnements se paient d'avance et continuent, sauf avis contraire dans les cinq jours de cessation. Ils partent du 1er et du 16 de chaque mois. LES RECOMMANDATIONS DANS L’ARMÉE Paris, 18 septembre. M. Girod, député radical du Doubs, vient d’écrire à M. Etienne, ministre de la guerre, pour l’aviser qu’il se joignait à son collègue M. Besnard à l’effet d’interpeller le ministre sur la récente circulaire relative aux recommandations dans l’armée. Après les fêtes de Marseille Marseille, 3 heures. L’escadre de la Méditerranée et les navires anglais venus pour saluer M. Fallières ont quitté Marseille. L’escadre va à Toulon. Fêtes franco-écossaises Paris, 2 h. 30. M. Casimir Perrier et M. Delcassé partent ce soir pour Londres pour assister aux fêtes franco écossaises. Edouard VII recevra la délégation française. Congrès des sous-agents des postes Paris, 2 h. 30.
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I Dipina» Sí, mas le siento salir de lo qoe es mi Tolontad. To te liar¿ sin m^tir qae me mires de rerdad.. Pagano, Oh, qa¿ nueva honestidad! Dios os bendiga, señora. Dipina^ No callarás en malhora? r Pagano, Sea pues para el abad. Di pin a. Oh, grosero,, mal criado, , te estás burlando de mí? llágate acá. Pagano^ Heme aquí. ■ Dipina, Toma, vülano ahorcado. Pagano, Oh, mezquino desdichado, como estoy sin me matar, pues ^VLp cuanto he trabajado asi me lo han de pagar. Dipina, * Pues si no quieres callar te daré otra bofetada. Pagano, ^ Mas bien pagad mi soldada y dejad el castigar. , Dipina, £n casa te pagaré, por cuenta de tus bondades. * Pagano. No os dirán ya; las verdades^ señora, por vuestra fe. Dipina, Me parece y bien se ve, que tü me tienes por loca. Pagano, Pues quiere vuestra mercé que el hombre cosa la boca? Jacinto, Pagano, ved que á vos toca hablar con mas reverencia Pagano, Yo tengo mucha paciencia. ^■i^ ^^IM W 150 H Jacinto. y con pasiou aborrida H No teoeis lino ma; poca. quejoso mucho de roí, ■ quiero tirar esta vida K Divina. tras el tiempo que perdí; K Cuballero, si roaoilais. de modo que soy ansí B dejalde para quien es: como aquel, de quien ee note, 1 j vosatros todos tres que perdido el un virote 1 un »^t*kio me hagus, tira el otro por alli. L que, sen ores, me digaii I sin ninguna fantasía, Pe n ¿CIO. qu¿ pensamiento lleváis Yo, señora, con pesar y adonds hacéis la vía: voy del mundo mqy qnejoso, _ mas no me digoia falsm porque un poco de reposo ■ por lo qne á buenos debéis. nunca en é\ pude hallar.
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Xt ver lu fcq. Ecce Uti veniunt dicit Deminm , & fmf- iitdbe Ddvid' (idtd Dtvidi) germen juftum &c. Hoc nunc dc palloribus bonis j «c demum de Mcflu vero pallore v Ar eflemidicer bono. Lt merito dicit Domi- nus,^ pdfctnt tet.) Nam ilie demum verus pallor cft, qui palat : non qui difperdir.diffipar, ejicit, aut vexat, auc per ncgligcntiam pabulum fubtrahi t , & ad pafcua non cduci(,At tuto ad cauiam reducit. Quod dicitur l Suftitdbe D jv id germen juftum. Hebr. eft Ltddvid , id cfttDavidi. Et (Jrx.c ru droroXlui fixator, cft , Davidi ortum juftum. Et line dubio dcChrifto Salvatore intclligendum cft , qui de leipfo dicit loan. io. Egefumpdfter benm ; Ac de quo expreffifts etian» Ezeth.cap.4. Suftitdbe fuper em pdftorem unum, epul pdfidt em , (ervum meum Ddvid . Nempe hic unus til.auilioritatc Ac excellentia ; alij autem multi, mini* ftcrio Ac participatione. f .23 Putxfne Dem e vicine tgefam? dicit Deminui : & nen Dem de longe i Eft Deus e vicino, quia ubi cft, ibi cognolcit Ac operatur , id eft , in omnibus rebus , quibus intime ineftjeft autem Deus de long£,quia cum rcsipbe ab invicem longiftime diftent | ita tamen eft in una ut nihilominus cognolcat aliam & in ea opere- tur, quoniam non minus eft in hac quam in illarverbi gratia, cum fit in cocio cognofcit omnia qua* (unt Sc fiunt in terra, etiam fecret illimas hominum cogitatio- nes.Hoc enim fequitur: Si euuttdbitur vir in dbftenditie &ego non videbo eum t dicit Dominm.nuuquid nen ar- tos (f tevdm ege iqfleeidicit Demit t». CAPUT XXIV.
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ENEKI 175 Pompeiufzowi także, pewnie ani > == m ŘĖŘŮŮÁ Cr) Herkules i Bachus bai ieczney Poetow hiftoryj, ciężcy narodów, meee e Synowie lowilza, wedle Rawni woiownicy i zwy ak Te wę Ta 1 dE" "47a ik UE 5 z = z | 74. EL1rsr xcv. rozum ani cnotą nie radziły owych woien obcych, i domowych, lecz fzalony zapał i miłość nierozfądna fał(zywey wielkości; która go poże gńała iuż do Hifzpanii na woynę z Sertoriufzem, (s) iuż do wyprawy mrorfkiey dla zebrania rozboynikow Çt) i ubeśpieczenia żeglugi. Temi pozorami barwił kfztałtnie wzroft fwoiey powagi. Co go, profżę, do Afryki, (u) co do kraiow półno cnych, (w) co przeciw Mithridate fowi, co do Armenii i wfzyftkich A —— —— CS) Partyzant Mariufza, udał fię do Hifzpaniii tam w wielu potyczkach mężnie fię ftawił. (6) Pompeiufz zbił ną głowę i rozpłofzył owych łotrów. na morzu. Ofzczątki iednak onych zebrał, za świadetcwem Welleia Paterkula, i ofadził niemi kra inę iędnę daleko od morza odległą, aby. ich dalekie» mi na potym uczynił od żeglugi niorfkiey i rozboiow. Cu) Tam był wyprawiony przeciw Domiciafzowi Królowi Jarbie. (W) Do Gallii podczas woyny Mariańfkiey gdzie z Metellem pomyślate rzeczy dokonał, niii wych ł, za | kra ekie JOW» zowi gdzie L: A. SENEKTI. 17 zwł zyi zakątkow powabiło? pewnie nie-* określona chciwość wygoórowanią, ponieważ fobie iednemu zdał fię ie fzcze być mniey wielkim. Co Cezara na właśne i na powf[ze chne naraziło niefzczęście? oto fła wa i ambicya i niezmierna chuć wy górowanianąd innych Jednego przed fobą znieść niemógł, kiedy biedną Rzeczpofpolita dwuch nad fobą zno fić mufiała.
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It was not long until I had a splendid chance to tell whether or not I had the blessing. I con- sidered my cow a bad one to milk, and I suppose the cow considered me a bad one to milk her. It was sometimes hard to tell which was worst, me or the cow, for while the cow threw hoofs and horns and milk and bucket, I was not slow in keeping myself busy playing the milk-stool to her back and my boots to her ribs. Everything went well in the cow stable that morning until the milking was done and I arose to leave the stall; I was so filled with the joy of my experi- ence that I never thought of the cow, but she had not forgotten me, for just as I arose from my milking, evidently fearing that I intended striking her with the stool, she gave a sudden kick which struck the bucket and spilled the milk Sanctification. 39 all over me, but now, instead of jumping at her and trying to pull all the hair out of her back, I stepped to the front of the stall, put my hand gently upon her back and began to make my con- fession and tell her my experience. I said, "Lill, I have been mean to you ; I have kicked you and cuffed you and beat you with milk-stools and buckets ; I have pulled hair out of your back, but now I want you to understand I am sanctified; I've got the blessing and the kick is out of me; you can kick if you want to, but I'm done. I love you, Lill; you are a good old cow. It has been my fault, but you will find me a different man from now on, for I am here to tell you that I am sanctified." The old cow seemed to understand my testi- mony. I convinced her that there was something in holiness, even though nine-tenths of the preachers in the country considered it fanaticism.
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A well-informed fruitman today expressed the belief that the prospect for peaches here this year is something but promising. INDUSTRIAL ACTIVITIES ALL OVER THE SOUTHLAND Money Invented in Large Sums in Manure and Milling Other Development Lines.
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de contribuer à apporter, voire même d'amplifier son aide à nos prisonniers. L’œuvre entreprise apporte à ceux qui souffrent le plus de l'Œuvre du Secours national. — leur foyer une aide matérielle efficace. Les personnes ayant une requête émise et surtout un réconfort moral à présenter au Comité du Secours national sont informées qu’elles ne sont pas oubliées. Les denrées doivent être effectuées d’urgence. Tout commerçant ou société en alimentation possédant un moyen de transport automobile ou à traction hippomobile, est tenu de rédigé une déclaration sur un imprimé qu'ils doivent retirer immédiatement aux bureaux de la mairie. Une bande d’indésirables. LES NOUVELLES CARTES DE RAVITAILLEMENT À partir du 21 courant, chaque jour de 8 h. 30 à 11 h. 30 et de 14 à 17 h., dans les locaux de l'ancienne Caserne, place Léopold, aura lieu la distribution des nouvelles cartes de ravitaillement. On doit être pourvu. Pour ceux qui ne servent pas, les nécessités à son fonctionnement. fait naturaliser français il y a plus de 40 ans, afin de pouvoir s'adonner à son sport favori. C'est un ancien champion de l'école primaire. Le maire donne avis des imprimés sur le sucre à son sport favori. C'est un ancien champion de la Fédération Michelet, rue Fabricy (Sud). Les tickets pourront être retirés dans le moindre débouche des services de mairie, il se peut être auprès des membres du Comité. Il est spécifié qu'il est inutile de présenter des tickets de sucre au café Droissart. La distribution d'engrais à la Maison commune. Aucune vente pour la nature aux guichets et lesquelles ne doit être effectuée d'autre chose que par l'entremise du commerce. Il y aura distribution d'engrais demain mardi 22, mais au nom du délégué du Secours national, d’engrais en configuration d'un tournoi de 16 à 18 h: mercredi. De 16 à 18 h: mercredi, le Comité espère que la commune de Terre Halluin organisera un tournoi de football.
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'Der Schreiber merkt ein Fehler, aber öfter mal beleuchtet, boden geachtet Mürbe, deswegen für die lebten Sonnengnade, zu benutzen er selbst als Revolutionär befand, ehlich mit seinem Gebet eingefallen, um Hilfe. Es dachte, obglaubt, sie unter feiner Glaubwürdigkeit oft litt, schmiede ihn der Umstand auch, jedoch als manche anderer stärker offens, beren Charakter sie nicht unbegängt traute. Sie forderte, einen Mann, den er empfahl, abzulegen, bald sie musste, bald er selbst mir flüchtig, die Änderung seiner Stärke offen bingab. Freilich machte er, aber als Jung, gelebt, nichts heraus, sobald seine Kräfte geleert waren, fand er bei einem anderen Befreiten einquartieren. Tatsächlich brauchte er nicht zu retten, bei dem er hatte mehr als Genüge noch (Gefecht mehr).
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La danza de San Rartotomé 4^ue vimos hace tinos veinte años en una población del campo de Tarragona (este y algunos inmediatos so:i el país clásico de estas represeniacioncs) puede dar una idea de las que conser- van mayormente el carácter de danza. Divídese como lodüs en dos filas y á excepción del sanio, de un anpel, de la hija del rey y del diablo, todos los personajes (In- cluso el sacerdote de los diose->í falicos que se distingue por su traje negro) llevan espadas que hacen dar una con otra para acompañar la úliimu ó últimas noms de cada frase musical ejecutada por los víolines que prece- den. Cada uno de los inJividjos se aparta, cuando le toca el turno, de su puesto, para pronunciar su discurso (parlament) ul cual sigue la música y la danza general, durante la cual el que acaba de hablar vuelve & ganav su puesto pasando alternativamente á derecha é izquier- do de sus compañeros de fila. Hay además una parte imitativa en que se ñgura la prisión, la decapitación y la desollación del apóstol. Para representar la segunda aproximan á la cabeza del representante una de madera que luego apartan como si la separasen del tronco. En 1843 se ejecntá en Pontons, pueblo poro distante dol de 'L1a)'un« ron ulgun cJiínbin en lo^ pcisonajca ; allt salía otrn rny L-rÍKtiatiT> aHemñs del áa Polonia., Maiqiie» de Mantua, Duijur dti Floieacia, Sagata. Mata y dos aband evades. 282 ORÍGENKS DEL TEATRO CATALÁN.
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SPEND ALL IN HUNT FOR BABY Mr. Leggett objected strenuously to his daughter keeping company with Graham, then a clerk for a plantation store at Oyster. That was about two years ago. A Secret Marriage. Vanishing Infant, Vanishing Wife and Vanishing Mother Complicated Five Lives. Memphis, Tenn.—A tiny pink scar on the right cheek has cleared up the mystery of the vanishing baby. Briggs Graham's fate was decreed legally when Judge Camille Kelley, sitting in the Juvenile court, listened to the girl mother, Mrs. R. C. Graham, twenty-two, "schoolma'am" Miss., tell of this slender identification of Cybur, "She must be your baby," the court decided after having held the noted child in legal custody for more than a week. The story of the vanishing baby is the strangest ever told in Memphis court records. When Letitia Leggett, daughter of Mr. and Mrs. L. A. Graham, a well-to-do farmer, of Seminary, Covington county, Miss., was teaching school at Keiby Creek, that the same county, she was courted by R. O. Graham, twenty-three, son of L. A. Graham of Sanford, Covington county. The course of true love was stormy. Mme a cloud upon the horizon. The girl wife disappeared from her home and neither husband nor parents could find her. She had found her, however, to a hospital in New York. Fatchez, where she remained until the baby's birth. Meantime, her husband was searching high and low for her. Also a patient in the Natchez hospital was Mrs. T. M. Jenkins. Mrs. Graham now can take up the story. "I was in the hospital under the name of Mrs.
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Cnir fire was concentrated on the enemy t drgan'.zations a'M.es ' ourtcs I'liaussees and the Cheppy wood. ; In the region of Verdun ther* was! a very spirited bombardment of our positions on the left bank of the Meuse.' On the right bunk artillery activity; ?^as concentrated on the sectors of Cot t ? <1 u - Pol v re and i'ouaumor.t "Aviation.? During the month o f April our battle aerial corps displayed much activity, pnt '. fularl;. In the region or Verdun, obtaining appreciable suits iii the course of numerous aeria! struggles, where the-, kept an ii.con-, testable ad\atitauf ' Mj pilots s? i ? - ceeded In btinpinc dov.-r, thlrtv-one enemy aeroplat.es Nine ,.f those fell within our !it?ew ami tw* tty-tw'o were seen by out ubs. : vers to fall <n flames within the Get man lines, wheie they were completely abar.dot , d "During the name period ?l\ 1-remh aeroplanes have I con worsted In com-: bat- and 'ell wttinn the German 1 ?.'? n"1' H?-li.-:au oil ? :l i-omuiun -at!on ? e;i -Is "? rhere has been artillery actlvltv ? ? ? both sides along 'he whole from, r : tlcularly in the direm-n of Iiixmud..! and the M.uth sec tor. "Army of the east Along the Greek : frontier notlfcng has been reported! from April i j ;<? except skirmishes which were without importance, but were of n.uit f;e-<.v;- ,.,tirren.c t,; reasotj of the pi'>x.iult> of ti <? allied' troop* and the . Strman-Bulgnrlan j forces, which an, It-- than a kilomet, -. from each o'.ner iti : t?;In p'.n ..w DUBLIN REPORTED QUITE SAFE AFTER REBELS SURRENDER ? Continued fron. I ;:>.t ra^.
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Crimcher, "I hope so. Respectin' any present use o' this here blessed old head o' mine, I think not. Would you do me the favour, miss, to take notice o' two promises and wows wot it is my wishes fur to record in this here crisis ? " "Oh, for gracious sake!" cried Miss Pross, still wildly crying, " record them at once, and get them out of the way, like an excellent man." "First," said Mi-. Cruncher, who was all in a tremble, and who spoke with an ashy and solemn visage, "them poor things well out o' this, never no more will I do it, never no more!" "I am quite sure, Mr. Cruncher," returned Miss Pross, " that you never will do it again, whatever it is, and I beg you not to think it necessary to mention more particularly what it is." "No, miss," returned Jerry, "it shall not be named to you. Second: them poor things well out o' this, and never no more will I interfere with Mrs. Cnmcher's flopping, never no more ! " " Whatever housekeeping arrangement that may be," said Miss Pross, striving to dry her eyes and compose herself, "I have no doubt it is best that Mrs. Cruncher should have it entirely under her own superintendence. — O my poor darlings ! " " I go so far as to say, miss, morehover," proceeded Mr.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais. A condição de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você: • Faça somente uso não comercial dos arquivos. A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais. • Evite consultas automatizadas. Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar. • Mantenha a atribuição.
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THE DAILY STAR-HIRBOB Published every evening except Sunday, at Moscow, Idaho. GEO. N. LAMPHERE, Publisher. Entered as second-class matter, October 16, 1911, at the post office of Moscow, Idaho, under the Act of Congress of March, 1879. SUBSCRIPTION RATES Delivered by carrier to any part of the city: Per Month... Three Months Six Months One Year.. 60c $1.80 $3.30 $6.00 BY MAIL (outside of city and on rural routes:) Per Month.. Three Months Six Months. One Year... 50c $1.50 $2.75 $5.00 THE (WEEKLY) IDAHO POST Per Year.... $2.00 (MEMBER OF ASSOCIATED PRESS) The Associated Press is exclusively entitled To the use for republication of all news dispatches credited to it or not otherwise credited in this paper and also the local news published therein. All rights of republication of special dispatches herein are also reserved. Even the much abused railroads come times have excuses for their acts, as was shown by Mr. Jordan's statement to the chamber of commerce. When it costs $400 per month to "watch" one engine at nights in the yards of Moscow there is evidently just grounds for a change of base and a change of system. It would be difficult for a common mortal mind to conceive anything more unjust, impractical and foolish than some of the rules made by the federal government for the management of the railroads and to secure the railroad workers' votes. Yet the Railroaders, like almost everybody else, voted against the administration that had been catering to them.
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Si fincb (Jrtnbi baten ber PMMncfo^öic und ?ifera« tnr umfallt bie Sprung ^rfldrun^ griechisch und latin über «ttloren, fragmentarisch Sprach, rembetischt, rembetischt Sintiquitäten, tuele, militäre und östentliche StW^tt, Cosmos, interprol 9 (gie, Chronologie, Geographie, Theologie, Menloren, Geometrie und Himmelsarchitektur, Hebraisch und heidnisch, alte und neue Testament, Physik, Astronomie und Geographie, 9 Science und Philosophie, Segenpflichten und Tierschutz, Metallurgie und Chemie, 9 Medizin und Mathematik, Geschichte und Archäologie, Politik und Recht, Theologie und Mythologie, 9 Literatur und Literaturwissenschaft, Biographie und Prosaische Übersetzungen, 9 Aristoteles und Platon, Herodot und Thucydides, Virgil und Horaz, Homer und Sophokles, 9 Neue und alte Sprachen, griechisch und lateinisch, hebräisch und aramaisch, 9 Altertümer, Gesetzgebung und Philosophie, Biographie und Mythologie, 9 Ideen und Theorien, Herrschaft und Religion, 9 Literatur, Wissenschaft und Kunst, 9 Schrift und Bild, 9 Das ganze Werk. Dieses Doktorat umfasst die Archäologie und Antike Literatur, griechische und römische Geschichte, 9 neue und alte Geistwissenschaften, Philosophie, Politische Ökonomie, Astronomie, Physik, 9 Metaphysik allgemein und speziell, Rechtslehre, Philosophie, Politik, Geographie, 9 Theologie und Ästhetik, große und kleine Wissenschaften. 9 Ist offensichtlich, dass die Tiere, die jetzt in der Bibliothek nur die Vorlesungen des selben Gebrauch haben, 9 einen neuen, ungewöhnlichen Gebrauch haben, nämlich dass die Vorlesungen der neuen Geisteswissenschaften erweitert und spezifisch erneuert werden, 9 und die Vorlesungen über Philosophie, politische Ökonomie, Literatur, Physik, Geschichte und Archäologie, 9 für die Studenten interessanter und nützlicher sind.
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Division. — L'ingénieux instrument de Perrève avait permis à cet auteur de prouver par des observations nombreuses qu'on avait exagéré les dangers d'une violence exercée passagèrement dans l'urètre. Il avait donc fait faire un véritable progrès au traitement mécanique des rétrécissements. Mais dilatait-il réellement les strictures uréthrées, ou les déchirait-il? Voillemier constata qu'il s'agissait souvent de véritables déchirures de l'urètre. Il eut alors l'idée de supprimer non plus progressivement, mais d'un seul coup l'obstacle apporté par le rétrécissement au cours de l'urine, en un mot de faire la divulsion. L'instrument qu'il fit construire dans ce but et auquel il donna le nom de divulseur cylindrique, présente beau 176 RÉTRÉCISSEMENTS coup d'analogie avec le dilatateur de Perrève. « Il se compose : 1° d'un conducteur formé de deux petites lames d'acier soudées, à leur extrémité vésicale, dans l'étendue de 4 centimètres et courbées, dans cette partie, comme une sonde. Ces lames sont très minces, planes en dedans et convexes au dehors, de façon que, réunies, elles forment un petit cathéter fendu dans sa longueur, et dont le diamètre n'est que de 2 millimètres ; — 2° d'un mandrin se terminant par une extrémité conique et portant, sur son talon, un bouton plat. Ce mandrin est plein et cylindrique dans presque toute sa longueur ; deux de ses côtés opposés sont creusés d'une gouttière longitudinale, plate, peu profonde, destinée à recevoir les lames du conducteur qui la remplissent entièrement. Les bords de la gouttière étant légèrement rapprochés, la transformation en une véritable rainure, en queue d'aronde, d'où les lames du conducteur ne peuvent s'échapper une fois qu'elles y sont engagées. — Quand l'instrument est armé, il est parfaitement cylindrique.
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dum i'ftoci- Sappho de fertos cantat amores Tctcus*^ Rex Halienusy ui media catera no£le filent. ^ Thracia;, & nitidus, vitreoque magis perlucidus amnisy Prognes ma. Fons facer.hunc multi numen habere putant, ^ litus. Quam fupra ramos extendit aquatica Lofos^ nemus, tenero cerpite terra 'viret, fugiens"*^ lajfospotuijfem fletibus artus, arborem fui C^nflitit ante oculos Piaias una mees , siomiois ver Confiitif,& dixinQuid nunc nonignibus aquis fa eft , cujus . Vreris ? Ambracia e St terra petenda libi, fru^us advc excetfo, quantis patet^afipicit aquor, patri* obii- uAldaum populi Leucaetmmque vocant, Tioueni. Ume fe Deucalion, Fyrha [uccenfuf amore' Ahfit, illafo corpore preffit aquas, PJec mora verfus amor tetigit leufiima Pyrrha *PeBora, Deucalion igne levatus erat . ' Hanc legem locus ille tener.pete protinus altam Leucada, nec faxo aefiluijfe time, *Ut monuit^ cum voce abiit ; ego territa furgo : • Nec gravida lacrymas continuere gena. Ibimus, b nympha monfirataque faxa petemusi Sit procul infano viSlus amore timor. Quid h l Digitized by Gftogle ? H A O N'l 175 O^idqMtdnittnfdiHKiuanuc erit^aurafHbitci Et mea »0» magnam corpora pondas habent. Tu e]Mo<j\ mollis amor poenas^ /appone eadenti$ /i Cijpi4!« EJe ftm Leucadia mortua crimen aqua. nem. Inde Chtlyn Phqbo communia munera ponam^ Et fub ea vetfus unusy & alter erit. Grata lyam pofuit ttbt^Phoebe^poetr ia Sapphoi Convenit illa mihi-, convenit iUa tibi. Cur non ARiacas mi/eram me mittis ad orat: Cum profugum pojfts ipfe referre pedem ?. Tu mihi Leucadia potes ejfe falubrior unda, Mtiooeiu**' Et forma & meritis tu mihi Thtxbuserie. movec. uyf» potes, 0 /copulis undaque ferocior ilia^ Si mortar. titulum mortis habere mea} ■ uy^t quanto melius jungiquea pecora tecum.
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M. 7, 13 odorato ligno sedantia bal- sama G. 2, 118. Baccho 4, 279 odojratum lauri nemus M. 6, 658 odore 7, 4,80 odorem G. 2, 132. 4, 415 1,403. 3,228 odoresE. 2,55. G. 1, 56.4, 264 odoriieram panaceam /E. 12. 419 Oeagrius Hebrus G. 4^ 524 Oebale, voc. nom. viri M. 7, 734 Oebaiiae, nom.propr. vrbis G. 4, 125 Oedialiam.E. 3, 291 Cenotria tefius 7, 85 Oenotrii viri i, 532. 3, 165 cestron G. 3, 148 Oetam tibi deserit Hesperui, E. 8,30 offam M. 6, 420 offensa resultat imajro vocis G. 4,50 offerte periclis ^E. 7, 425 offert sese mihi E. 3, 66. sc nobis M. 2, 371.aciem ve- nientibus 6, 291. his secum vocibus juveni 7, 420. se paci medium 7, 536 officiant herba; frugibus G. 1. 69 omcio te certasse priorem, tr prius ipsum ■'■. rteficiis provo- < hse, .. i, 548 officiunt intyba Strymoniaeque griH' I ;. 1, 121 0'iici \j aci . 1 , 41 olea vestire Tabumum G. 2, 3? radis 2. 31 M. 11, 101 192 INDEX. oleam G. 1, 306 oleaster 2, 182. 314. 4, 20. ;E. 12, 766 oleis G. 2, 420 olentes herbas E. 2, 11. ramos nucis G. 1, 188 olentia ora 2, 134. membra 3, f>64. late serpylla 4, 30. gra- vcolentia centaurea 4, 270. oleo 1, 273. M. 3. 281. 5, 135 oleum G. 1, 392. M. 6, 254 Olearon 3, 126 olim, pro tempore prertcrito, vcl futuroy passim oliva 5, 309, 494. 7, 751 olivre E. 5, 16. 8, 16. G. 2, 3. 85. 181. 3, 21. M. 5, 774. 6, 230. 808. 7, 418. 8, 116 olivam G. 2, 425 olivi E. 5, 68. G. 2. 466 oliviferae Mutuscas M. 7, 711 olivo fuso 6,225 olli, llli 1 , 254. 5, 10, 197. 284.
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In io mi domando qual è il Diritto di Natura, detto ancora intorno delle Genti, perche tutte le Genti vi fono obbligate, e per la Ragione, e per la Volontà dell’Autore della Natura Aida; eccolo qui egreggiamente da Cicerone deferito. "La retta Ragione", diceva egli, "e certamente una vera Legge, conforme alla Natura, comune a tutti gli Uomini, universale, immutabile, eterna; la quale porta gli Uomini al loro dovere col suo comandamento, e gli dà dal male con le sue proibizioni; legge però, che ne inutilmente comanda, o proibisce, alle persone dabbene, -ne tampoco sferza i Malvagi col suo divieti, A quella Legge non si può né derogare, né cambiare alcuna colà, e moltissimo meno abrogarla interamente. Né il Senato, né il Popolo ci può da quella dispentere, né spogliare od interpretare per lei occorre. Né della in Roma altra Legge esiste, altra in Atene, altra di presente, ed altra in avvenire; ma sola, eterna, ed in variazibile, obbligherà mai sempre tutte le Nazioni; perciòché Iddio, che ne è l’Autore, e l’interprete, e che egli stesso la pubblicò, farà temere il solo Maestro, ed il solo Sovrano di tutti gli Uomini.
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Le bureau remercie les membres de l'empressement qu’ils ont mis à l’appel qui leur a été adressé au sujet du journal du Parti, le Populaire, et avise tous ceux qui n'ont pu assister à la réunion, qu'une permanence est établie au siège, tous les soirs de 6 à 8 h., pour y recevoir les souscriptions et les inscriptions de l'année 1928. Section. — Permanence de 6 h. 30 à 8 h tous les soirs, pour recevoir les adhésions, bar Rossi 252, boulevard Baille et bar Rev. chemin Saint-Jean-du-Désert, Saint Pierre. La souscription en faveur du Populaire est également ouverte. Jeunesses Socialistes. — La Commission Exécutive émue profondément par le danger que court actuellement le Populaire de Paris, adresse l'appel suivant : "Camarades, vous le savez tous : le Populaire est l'âme vibrante et sincère de notre parti. Vous avez sans doute déjà entendu les appels des citoyens Léon Blum et Paul Faure : le Populaire se meurt. Or, le Populaire mort, camarades c’est notre parti plus que jamais attaqué par les uns, bafoué par les autres c’est notre parti affaibli, impuissant, humilié. L'heure est grave entre toutes. Elle est de celles qu'on inscrit solennellement dans les annales d'un parti et qui font naître le dévouement le plus noble et les sacrifices les plus touchants. Camarades, vous ne pouvez pas ne pas répondre à notre appel : venez aujourd'hui au secours du Populaire : Le parti a besoin de votre obole pour que son journal vive et c'est pourquoi vous la lui donnerez ; soyez tous ce matin à la grande réunion qui aura lieu au siège 6, cours Saint-Louis. à 10 heures. — La Commission Exécutive. Amis de l'Enfance et de l'École laïque Belle de Mai. — Le Conseil remercie les commerçants du quartier et les membres honoraires, de leur générosité à l'occasion de la tombola gratuite annuelle offerte aux enfants de la société fréquentant les cours. Grâce à cette générosité, plus de 950 lots d’une valeur approximative de 3 000 fr., sans compter de nombreux livrets de la Caisse d'Épargne, pourront être distribués le 18 janvier, à 9 heures du soir au siège de la société. Le tirage de la tombola sera précédé d'un concert vocal et instrumental de l'Instruction laïque du Panthéon. — Aujourd'hui à 3 h., fête de famille. Groupe d'Études Sociales (bar Carrias, 11 a. bd. Du Temple). — Ce soir, 5 h.
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Interlude to this pleasing occupation, they stripped him of the very few things that in his change of dress he had retained. One carried off his handkerchief, a second his neckcloth, and a third, luckier than either, possessed himself of a pair of cornelian shirt-buttons, given to Paul as a gage d'amour by a young lady who... Bold oranges near the Tower. Happily, before this inquisatory process, technically termed "ramping," and exercised upon all new comers who seem to have a spark of decency in them, had reduced the bones of Paul, who fought tooth and nail in his defense, to the state of magnesia, a man of a grave aspect, who had hitherto plucked his oakum in quiet, suddenly rose, trusted himself between the victim and the assailants, and desired the latter, like one having authority, to leave the lad alone, and go and be damned.
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' Or, timi of service ^Or, of When shall I arise, and the night be gone ? ' Or, is broken and become loathsome * Or, the grave = 0r,/ waste away « Or, shall ' Or, as a breath ^II- And that thou shouldest set thine heart upon him, '■' And that thou shouldest visit him every morning, ij And try him every moment? How long wilt thou not look away from me, m Nor let me alone till I swallow down my spittle? * Or, can If I have sinned, what ' do I unto thee, 20 ■^'^'' O thou ^watcher of men? , ' Why hast thou set me as a mark for thee, preserver _ , . , , ' So that I am a burden to myself? And why dost thou not pardon my transgression, and take 21 away mine iniquity ? For now shall I lie down in the dust ; And thou shalt seek me diligently, but I shall not be. LECTURE III. CHAPTERS 1 III— VII.
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Us worn out by I'.v.Mai*, is J ra I <? II \\- |janlx< ? 'It a rued? illn net t not only will, erueliv ill IM >??. a t i!,x 111. animal. |>u| with.on ? eaiinp him!,i>,,|aee. and ompow ?'!? d I olt,.-mat, HeadSes to renaln s-esston i?. i-1 hw ith. It :ay> he housed the hou f?r ?I double mil l I Oct his, ro|. j. V I'""--' Ii: < hildren, and that 1 > w nitiii thirl v uiiii J.tes arte, h. had drive., I,in, inn. the u lo ie.il.outs. T\ ler. lino over that ii? - i?: it asked ?I'.vler a led to iitanils, and aid h. would?Ver I ",'N|?????!mil- al! jr the roanilnu 77,, xvIl,,n rliillt 11 With the... I man. was,vil|| j uarrani. a,..I i?,. other ALL BIDS PASSED BY ? os| <>l rri|HiM-il I it, StorrIhiiiho Will 1 \ v:i|lnli|,. \ l>I* ro|? r in I ion.
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Geschrieben sind die Annalen fast ganz (fol. 3 bis 15) von der ersten Hand; erst gegen Ende, vom Jahre 1191 und den Worten ‘Eodem anno facta est mortalitas' e. q. s. an (fol. 16, col. 1) lässt sich eine zweite, etwas grössere und steifere Hand unterscheiden, welche indessen als nahezu gleichzeitig mit der ersteren, jedenfalls als nur wenig jünger zu gelten hat. Es ist dabei als annehmbarer Vermutung hinzuweisen, dass der Text von da ab, wo die zweite Hand eintritt, zugleich eine Fortsetzung der ursprünglichen Redaktion darbietet. Dass aber unsere Handschrift das Archetyp nicht repräsentiert, vielmehr eine Copy desselben, wenn auch eine der ältesten, ist, darauf deuten eine Reihe von Corruptelen, insbesondere Irrtürmen wie z. B. J. 955 (‘Ungari — venerunt in pagorum Parisiensi’, statt ‘in pago Ripariensi’), wo der Schreiber offenbar aus sachlicher Unkenntnis seine Vorlage entstellte. Andererseits gewährt die Handschrift, was den publizierten Text von 1001 an betrifft, gegenüber den aus der Ernst’schen Copy geflossenen Drucken eine Anzahl mehr oder minder erheblicher Verbesserungen, wie ein im Band XXIV erscheinender neuer vollständiger Abdruck ergeben wird.
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Col de l'Or, arrêt à 11 kilomètres de La Rhanne : 16h, 17h, 18h. Pour la Santé, au point où le canal de l'Ourceille se détache; Chemin de fer P. L.-M. Amboise. Châtelleries de zinc et de fer. Autrefois place forte, elle soutient plusieurs siècles, notamment en Lorraine, et en 1580. Perle (xvième siècle) – Le canton a 17 communes et 17.100 habitants. Saint-Jean-de-Luz, chef-lieu de l'arrondissement et à 21 kilomètres de Bayonne, sur la Nivelle ; 4.300 habitants (Saint-Jean-de-Luz-ensis). Chemin de fer M. Petit port de fisalies. Sardines. – Le canton a 5 communes, et 17.100 habitants. Saint-Jean-de-Maurienne, chef-lieu d'arrondissement, sur l'Arly ; chemin de fer P.-L.-M. : à 73 kilomètres d'Chambéry ; 3.330 habitants. Évêché. Fromages. Mines d'environ, établissement thermal de L'Echalon. Cathédrale (xvie siècle). – L'arrondissement a 10 cantons, 51 communes, 51.080 habitants. La Rochelle, à 20 communes et 14.220 habitants. Saint-Jean-de-Moine, ville et port d'Albanie septentrionale, arrondissement buiding ayant le Drin dans la mer Adriatique; une des étapes de l'armée serbe dans sa pénible retraite le long de la côte ouest de la péninsule des Balkans, pendant la Grande Guerre, avant son franchissement à Corfou par les Forces alliées. Saint-Jean-de-Moirans, communauté urbaine, arrondissement et à 35 kilomètres de Saint-Marcellin ; 2.800 habitants. Chemin de fer P.-L.-M. Papeteries. Saint-Jean-de-Monts, chef-lieu de l'arrondissement et à 40 kilomètres des Sables d'Olonne : 4.700 habitants. Station balnéaire. – Le canton a 5 communes, et 10.000 habitants. Saint-Jean-de-Var, commune de la Haute-Loire, arrondissement et à 19 kilomètres du Puy ; 800 habitants.
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*!?! " :ii- hull; 11; ?. |., SJM-K'I.M 'hi Wl' 'I T l?. I.' -T ??f I '? Iklm: . ,, I.I iT . h.'r ill. r. fr ?'tiriitly u up. Mhune ^amhdpb8 Vstc.1 ??i' 'iKh'Iy iw?.| !;.| up f * -M f. si anil up. from I" ami up. ' ami up. ? ? i < mi (i in.| ?> . .? . / ? , ? ... . . ? runti I ' . , ,A r- " i-rl'-s nml rV.ai|'V,.r bVwfiVw" ?or,{. the xbw FLO1 i!?;XCJ-: ()If, Ifi<ij\-p 15J{s V., ?7.^!vK?!:r*: ***^ .;x1? { KIM) ,* T ! ? ' 'l "-???'? ?? f i ihc K. H. 10. I' RKS tV: ' I .! I \ ? t , r \ T" j -ir \v?*1 j ' t'lu n .'.r 3 Oo'o'Vii ii ii*!.! i unTJ Virginia with private l.aihH h.'t An'.l ': ? ?t : mi .. : ; . *u; ' ?**at??r If! \ l i.rc:.lM. I--..,-' I,,f.,P' !i Li _Q'-eimlniln. ItuHianan v" " Xvrl"" ?! i"-.." v '??>? ??III". hltll-r);,.,, ; it I -.'rr.i >,? i t ' . """iTato i : ??< ???? ,.r i,,,:. ? ' ' 1 Kr-n '? K.Uif" "no <ot?.
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Every year more people come here to see the beauty of the mountains and spend idle hours in the cool shade of the heavy timber. A Colfax business man said to the writer: "That is the finest place for a Sunday picnic I have ever seen. I never saw as pretty place as that about Idler's Rest and Terry-a-While. If I had known that timber before and how easily was reached, I would have been taking my family there for vacations for the past several years." The Bible says "put not your light under a bushel" and that would apply in this case. We should advertise to the people of the Inland Empire that right at Moscow's door, within 16 minutes drive of the business section, is one of the finest bodies of timber and one of the best camping locations in the northwest. There is no reason why there should not be 100 cabins occupied during the summer season by citizens of Pullman, Moscow, and other towns, in this fine timber near Moscow. The Oldsmobile picnic tomorrow at Hadden's grove will do much to bring this fine summer resort to the attention of people living within easy reach of it and we may look for an influx of summer tourists to follow this gathering of Palouse people. It is significant that Machinists on No. 68, of which Thomas Mooney, the arch murderer who is serving a life sentence for murdering 10 men, women, and children by exploding a bomb at the preparedness day parade, has voted by a majority of more than two to one, against calling a strike if Mooney is not granted a new trial.
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Gemeenschappelijke eerbiedige bewondering voor „den trouwen, ridderlijken Christenstrijder uit Israël, den mensch met het liefdevol hart" was een band te meer tusschen Potgieter en haar. Met Hasebroek's vriend Beets zien wij haar eerst op goeden voet. Uit Heemstede zendt hij haar een bewon de renden brief over Het Huis Lauernesse; hij vraagt hare medewerking voor zijn Muzefialmanak; ook voor hem stort zij haar hart uit, wanneer zij hare verloving met Bakhuizen van den Brink na veel zielestrijd heeft verbroken. Toch schijnen hare gevoelens voor hem nooit innig of ook maar warm te zijn geweest; „met Beets," lezen wij reeds in een brief van 1842, „heb ik nooit op dien voet van vriendschap geleefd, die mij regt geeft op eene andere dan koel beleefde felicitatie." Onder de dingen die hen scheidden, was ook een verschillende opvatting der verhouding tusschen kunst en godsdienst. Voor een heilige roeping der kunst, zooals Toussaint die in een brief aan Beets uiteenzette, voelde deze, naar het schijnt, in die jaren (1843—'44) niet veel. Met dat gevoelen strookt ook zijn verzuchting over haar in een brief aan Hasebroek: „Och, of zij eene zuster in den Heere mocht worden!" In de twintig jarsn die volgen, gaat het „decrescendo": „de Utrechtsche dominé," lezen wij in een brief van 1862, „is niet meer voor mij, wat de Heemsteesche dorpsherder was"; elf jaar later zien wij haar op een lezing van Beets over Macpherson's Ossian, maar het valt haar en Bosboom bitter tegen: de lezer „heeft gezeurd als de ergste, meest ouderwetsche verhandedelaar"; in de pauze gaan zij heen; „velen ergerden zich als wij", besluit zij, „en vlugtten als hazen".
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Due folli motivi di coniazione ebbene allora inizizzo a tanti di difgusti e d'affanni. Uno di questi fu la erezione di una nuova lingua Bavara per la religione di Malta formata con ricche commende dall'Elettore Palatino, in vigore di un Breve Pontificio. L'altro fu nella richiesta del Re di Svezia di un Prefetto Apostolico, che aveva a dirigere il culto e i costumi di trenta mila Cattolici Romani sparfi ed instabilità nelle varie Provincie del suo regno, e particolarmente nella Gozia, e nella Sundermania. Venne da Sua Beatitudine incaricato di questa cura importante Monsignor Le Clerc d'Ivry Arcivescovo di Parigi, a cui diede la facoltà di scegliere un Prefetto a tal scopo dal corpo rispettavole dei Dottori della Sorbona.
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C A P V T V. Concilia Pontifices fro fententia pro po fi a. Vtoritas tot Dodorum, quos fententirc , pro qua fatagimus , aftipulatos diximus , non poteft exigua videri. Potior tamen , ac fortior cenferi merito debebit , aucoritas vario- rum Conciliorum , atque Pontificum , quam produdum venio. Concilium Concilium Arauficanum i.c.iz. (& re- jiruuji-ca-^ fertur mm^ Concilium Carthagin. Synodus J^ifenfis, 3 84 De Confeffione Epiftolari, fertur c.qui recedunt .q.6.)fic llacuic .Su- bito obmutelcens, baptizari, aut poeniten- tiam accipere poteft;ii voluntatis prseteri- ta: ccrtirnoniLim ,ex aliorum verbis habet, aut pra:fentis in fuo nutu. En , licut vo- luntas , &: difpolitio pricfens , per nutum ^gii non prorfus opprefli prodita , fufficit ex mente Concilij, ad impendendam tali a^gro abfolutionem:itaeum qgerplaneop- prelliis nullum edicfignum i'ux pra:rentis voluntatis , ex quo innotefeat Sacerdoti adUialis difpoiitio ^griifufficitteftimonium idoneum, ex quo Sacerdoti conftet de di- fpolitione prjereritaiquse ii nihil in contra- rium vrgeat,pi2Efumetur perfeuerans,& no recractata:&: ratione cius impendetur ab- folutio peenitenti ^gro, nullum externum Ijgnura pr^efentis iua: voluntatis dare va- lenti. Concilium Carthaginenfe 3. c. 34. {Sc refertur c3.p.j^grotantes de confecr.dift.4. fic habet, [^grotantes fi pro fe refpondere non pofTunt , cum voluntatis eorum tefti- monium, fui.dixerint , baptizentur : fimi- Jiter &c dc pcenitentibus agendum cft.] Ita hunc Canonem refert contextus Concilij Carthaginenfis ,’ac Concilij Africani ; S>c.
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L'onnipotente unità ruppe la mal legata federazione. Poi se Napoleone riconobbe nell'atto di mediazione del 1809 l'indipendenza dei Cantoni, non fu perciò li riconoscesse una suprema necessità o la eccellenza delle forme federative, ma perchè Napoleone voleva fondare il dominio universale a scapolo sul altrui debolezza: perchè le confederazioni ch'ei piantava all'intorno offrivano alla Francia occasione dì protettorato, e, occorrendo, pur di dominio: perciò pronunciando a Sant'Elena che l'Italia sarebbe, rifiutò pur di crearla, paventandola all'altrui debolezza. Ma il trarre partito a favore del sistema federativo dal progresso ch'ebbe la Svizzera nel dieci anni durati sotto l'impero dell'atto di mediazione varrebbe lo stesso che voler desumere un argomento a danno dell'unità dalla condizione infelice della Svizzera durante l'unità statuita dalla In una lettera del 15 ottobre 1770: "ho visto con mio disappunto quanto ho veduto mi ha convinto della impossibilità di mantenere la libertà e le istituzioni repubblicane senza l'appoggio dei confederati e vano sforzo della nazione, soggettata a capricci".
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Juntamente he hecho otra prevención, que ha sido de un portugués de la isla de la Tercera, que comunicaba con Anto- 26 üio del Castillo antes del leyantamiento de Don Antonio, y des- pués no le habló haciéndose muy amigo del Sosa; ha muerto aquí y tenía 2.000 escudos de paños en Lima, puerto deste Reino, para llevar á la dicha isla; yo porque los que vienen della no se puedan valer desta hacienda, diciendo que la entre- garán á sus herederos y la empleen en municiones ó den á los herejes ingleses que arman los navios para el socorro, he en- viado recaudos para que se arresten á título de no haber paga- do los derechos que deben á V. M. cuando él eacó el pastel de la isla, que son 13 por 100, que según me dice Antonio del Cas- tillo dan fianzas de que pagarán al retorno después de vendido, con lo cual no podrán meter mano sobre los 2.000 escudosi, es- tando asegurados asimismo los derechos de Y. M. que se ha hecho por término de justicia como deuda, porque si yo tratara que fuera confiscación, á causa de estar rebelada la isla de la Tercera, no diera recaudos esta gente para el arresto. Nuestro Señor, efe. De Londres, etc. COPIA DE CARTA DESCIFRADA DE DON BERNARDINO DE MENDOZA A SU MAJESTAD, FECHA EN LONDRES i. 12 DE MATO DE 1581. iArchivú general de Si mamúas. —Secretaria de Estado.— Leg. 835, fol. 85.) S. C. R. M.
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Nul, 17. — Pur et simple, 10. — Qualifié, 10, 11. Avocat, 8. Avoué, 8. Capacité, 4. Conciliation, 7. Conditions de validité, 3. Créanciers, 8. Dépôt volontaire, 13. Désaveu, 8, 17. Divisibilité, 14, 19. Divorce, 9. Erreur de droit, 16. Erreur de fait, 16. Femme mariée, 4, 8. Fondé de pouvoir, 8. Force probante, 9, 19. Fraude, 3. Huissier, 8. Indivisibilité, 10, 11, 12, 13. Instance, 7. Interdit, 4. Interpellation, 2. Interrogatoire sur faits et articles, 2, 6. Juge incompétent, 7. Lettre privée, 7. Matière pénale, 20. Mémoire administratif, 7. Mineur, 4, — émancipé, 4. Notaire, 7, 13, 11. Preuve, 1, 5, 9. Prodigue, 4. Rétraction, 10, 12. Séparation de biens 5. — de corps, 5. Tuteur, 8. Violence, 3. § 1. — Règles communes à l'aveu judiciaire et à l'aveu extra-judiciaire. 1. Caractère de l'aveu. — L'aveu est une déclaration, une reconnaissance faite avec l'intention par l'avouant de fournir, du fait avoué, une preuve qui puisse lui être opposée. Une affirmation légèrement faite, par une partie, au cours d'une argumentation pour la défense de ses droits, ne saurait légalement constituer un aveu. Les tribunaux apprécient souverainement le caractère de l'aveu, d'après les circonstances dans lesquelles la reconnaissance est intervenue.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais. A condição de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você: • Faça somente uso não comercial dos arquivos. A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais. • Evite consultas automatizadas. Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar. • Mantenha a atribuição.
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