language
stringclasses 7
values | title
stringlengths 7
192
| news
stringlengths 101
4.99k
| categories
sequencelengths 0
98
| sources
listlengths 1
10
|
---|---|---|---|---|
fr | Covid-19 : le Brésil autorise les vaccins développés par AstraZeneca et Sinovac | Vaccination de l'infirmière Mônica Calazans
L'organisme brésilien de régulation des médicaments, Anvisa, a approuvé le 17 janvier 2021 l'utilisation de deux vaccins contre la Covid-19. Il s'agit, en premier lieu, du vaccin développé par AstraZeneca et l’Université d’Oxford, le AZD1222. Anvisa a aussi autorisé le vaccin de la pharmaceutique chinoise Sinovac, le CoronaVac, qui a été développé en partenariat avec l'institut brésilien Butantan. Ces autorisations ont permis au pays de débuter sa campagne de vaccination avec le vaccin chinois, seul vaccin disponible pour le moment dans le pays. La distribution des 6 millions de doses du vaccin chinois reçues par le Brésil a débuté le lundi 18 janvier dans les 27 États brésiliens et pour les 212 millions d’habitants du pays. Dans l'État de Sao Paulo, on a débuté tout de suite la vaccination ; une infirmière de 54 ans, Mônica Calazans, a été la première personne à être vaccinée le même jour. Notons que le personnel soignant brésilien a été identifié comme prioritaire pour la vaccination, ainsi que les personnes âgées de plus de 75 ans et les populations indigènes.
Le gouvernement brésilien a indiqué que la campagne de vaccination débuterait officiellement le mercredi 20 janvier. Pour ce qui est du vaccin d'AstraZeneca produit en Inde par le « Serum Institute of India », des négociations sont toujours en cours avec le gouvernement indien pour son importation. Un premier arrivage de deux millions de doses au Brésil est dépendant de ces négociations. Dans les prochaines semaines, le vaccin d'AstraZeneca devrait être produit à Rio de Janeiro par la Fondation Fiocruz du ministère de la Santé brésilien.
Rappelons que le pays est fortement touché par la pandémie de Covid-19 et qu'on y dénombre près de 210 000 décès. C'est le deuxième pays le plus endeuillé derrière les États-Unis. Les bilans récents font quotidiennement état de plus de 1 000 morts. La situation sanitaire est d'ailleurs dramatique dans l'État d’Amazonas, dont la capitale est Manaus, où des scientifiques soupçonnent que les variants du Royaume-Uni ou en Afrique du Sud conduisent à niveau de contagion beaucoup plus élevé.
;Voir aussi
* Covid-19 : l'Inde autorise le vaccin d'AstraZeneca mais interdit l'exportation de ceux produits sur son territoire
* Royaume-Uni : le vaccin d'AstraZeneca est approuvé pendant que les infections à la Covid-19 ne cessent d'augmenter | [
"Amérique du Sud",
"Brésil",
"Santé",
"Pandémie de COVID-19",
"Pandémie de COVID-19 au Brésil",
"Pandémie de COVID-19 en Amérique",
"Vaccin contre la Covid-19",
"AstraZeneca",
"Université d’Oxford",
"AZD1222"
] | [
{
"language": "fr",
"title": "Brésil : les vaccins AstraZeneca et CoronaVac approuvés, première vaccination",
"text": "Le régulateur brésilien a approuvé dimanche l’utilisation en urgence de deux vaccins contre la COVID-19, le britannique d’AstraZeneca et le chinois CoronaVac, les deux premiers à obtenir le feu vert au Brésil, où la pandémie a déjà fait presque 210 000 morts.\n• À lire aussi: [EN DIRECT 17 JANVIER 2021] Tous les développements de la pandémie de COVID-19\nCette autorisation annoncée par le régulateur Anvisa a permis de lancer la campagne de vaccination au Brésil. Elle utilisera dans un premier temps le CoronaVac, produit par la firme chinoise Sinovac en collaboration avec l'institut brésilien Butantan, seul vaccin disponible pour le moment dans le pays.\nC'est une infirmière de Sao Paulo âgée de 54 ans qui a été dimanche la première personne vaccinée contre le Covid-19 au Brésil, a constaté l'AFP.\nMônica Calazans, une infirmière de l'hôpital Emilio Ribas, a reçu une première injection du vaccin CoronaVac, au cours d'une cérémonie en présence du gouverneur de l'Etat de Sao Paulo, Joao Doria, qui se pose en rival du président brésilien Jair Bolsonaro.\nDans la foulée, plus de 100 personnes ont été vaccinées ce dimanche dans le même hôpital, a indiqué le gouvernement de Sao Paulo.\n«Un coup marketing», a réagi le gouvernement brésilien, qui a indiqué que la campagne nationale de vaccination débutera officiellement mercredi.\nLe ministre de la santé Eduardo Pazuello a déclaré que toute initiative «en dehors» du programme du gouvernement «est en contradiction avec la loi» car il «fait fi de l'égalité entre les États et entre tous les Brésiliens».\nIl a indiqué que les six millions de doses du vaccin CoronaVac commenceront à être distribuées lundi parmi les 27 États brésiliens.\nPriorité au personnel soignant\nSeront vaccinés en priorité le personnel soignant, les plus de 75 ans et les plus de 60 ans vivant dans des foyers pour personnes âgées ainsi que la population indigène.\nLe second vaccin autorisé est le britannique d'AstraZeneca/Oxford, produit à Bombay par le laboratoire Serum en partenariat avec la Fondation Fiocruz du ministère de la Santé brésilien.\nLe gouvernement brésilien espérait finaliser ce week-end l'importation de deux millions de doses du vaccin en provenance d'Inde, mais le gouvernement indien, qui a débuté samedi une campagne massive, n'a pas encore donné son feu vert.\nLe Brésil est confronté à une virulente deuxième vague, avec des bilans atteignant plus de 1000 décès par jour. Le géant d'Amérique latine est la deuxième pays le plus endeuillé au monde, avec 209 847 morts, juste derrière les Etats-Unis.\nLa situation est dramatique à Manaus en Amazonie, qui a commencé vendredi à transférer des patients dans d'autres Etats et fait face à une pénurie d'oxygène et à la surcharge de ses hôpitaux.\nCertains scientifiques estiment probable que la situation se soit dégradée à cause de la présence dans la région d'un variant du coronavirus qui pourrait s'avérer plus contagieux, à l'image de ceux qui sont apparus au Royaume-Uni ou en Afrique du Sud.",
"url": "https://www.tvanouvelles.ca/2021/01/17/bresil--les-vaccins-astrazeneca-et-coronavac-approuves-premiere-vaccination-1",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20210126000417/https://www.tvanouvelles.ca/2021/01/17/bresil--les-vaccins-astrazeneca-et-coronavac-approuves-premiere-vaccination-1"
},
{
"language": "fr",
"title": "Brésil : les vaccins AstraZeneca et CoronaVac approuvés, première vaccination",
"text": "Le régulateur brésilien a approuvé dimanche l’utilisation en urgence de deux vaccins contre la COVID-19, le britannique d’AstraZeneca et le chinois CoronaVac, les deux premiers à obtenir le feu vert au Brésil, où la pandémie a déjà fait presque 210 000 morts.\n• À lire aussi: [EN DIRECT 17 JANVIER 2021] Tous les développements de la pandémie de COVID-19\nCette autorisation annoncée par le régulateur Anvisa a permis de lancer la campagne de vaccination au Brésil. Elle utilisera dans un premier temps le CoronaVac, produit par la firme chinoise Sinovac en collaboration avec l’institut brésilien Butantan, seul vaccin disponible pour le moment dans le pays.\nC’est une infirmière de Sao Paulo âgée de 54 ans qui a été dimanche la première personne vaccinée contre le Covid-19 au Brésil, a constaté l’AFP.\nMônica Calazans, une infirmière de l’hôpital Emilio Ribas, a reçu une première injection du vaccin CoronaVac, au cours d’une cérémonie en présence du gouverneur de l’État de Sao Paulo, Joao Doria.\nAFP\nLe vaccin chinois CoronaVac est développé en partenariat avec l’Institut Butantan de Sao Paulo, tandis que le vaccin d’AstraZeneca/Oxford est produit à Bombay par le laboratoire Serum en partenariat avec la Fondation Fiocruz du ministère de la Santé brésilien.\nSix millions de doses du vaccin CoronaVac se trouvent déjà dans le puissant État de Sao Paulo, dont le gouverneur, Joao Doria, se pose en rival du président brésilien Jair Bolsonaro pour mener la campagne de vaccination.",
"url": "https://www.journaldemontreal.com/2021/01/17/bresil--les-vaccins-astrazeneca-et-coronavac-approuves-premiere-vaccination",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20210117210857/https://www.journaldemontreal.com/2021/01/17/bresil--les-vaccins-astrazeneca-et-coronavac-approuves-premiere-vaccination"
}
] |
en | Landmark coalition offensive launched in Afghanistan |
Leaflets were dropped into Marja in preparation for the attack.
The International Security Assistance Force (ISAF) in Afghanistan has launched a large-scale siege of the town of Marja, currently held by Taliban insurgents. The attacking forces consist of Afghan, American, British, and Canadian troops.
Operation Moshtarak marks the largest Afghan-ISAF joint offensive to-date. The aim of the operation is to wrest control of the town in Helmand Province from Taliban forces.
The operation was announced several days in advance in order to allow the 80,000 civilians in the town an opportunity to leave, or prepare for the siege. Reports indicate over 10,000 citizens subsequently left and the local government is preparing shelter for them in nearby towns. This strategy is hoped to minimise civilian casualties; however, the side-effect is giving Taliban defenders time to prepare.
15,000 troops are involved in the operation, while the Taliban defense is believed to consist of between 1,000 and 2,000 militants. The attack was launched with an initial wave of over 4,000 US Marines, 1,500 from the Afghan Army plus 300 US Army soldiers flying into the city by helicopter at about 2am local time (2130 UTC).
Operation Moshtarak is the first major operation in Afghanistan since the United States sent 30,000 reinforcements in late December. If successful, ISAF hopes it may mark a turning point in the conflict in Helmand, as Marja provides a base of operations for key Taliban figures in the province. Upon securing the town, NATO hopes to quickly restore public service and provide alternative livelihoods for the town's opium farmers — a bid to win over the population and prevent Taliban resurgence in the area.
| [
"Afghanistan",
"United States",
"Politics and conflicts",
"Opium",
"Helmand Province",
"Asia"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Kinston Free Press",
"text": "Buy AP Photo Reprints\nKANDAHAR, Afghanistan (AP) -- Taliban militants attacked police checkpoints ringing a key provincial capital in southern Afghanistan for the second time in a week, sparking a battle in which 18 insurgents were killed, an official said Wednesday.\nThe late Tuesday attack came only two days after hundreds of militants gathered on the horizons of Lashkar Gah for an apparent large-scale assault on the capital of Helmand province. NATO called in fighter aircraft and 60 militants were reported killed.\nThe second attempt on the capital of the world's largest opium producing region would appear to signal the Taliban's interest in disrupting a major government center.\nLarge-scale Taliban attacks on major Afghan towns have been rare since the 2001 U.S.-led invasion, and the latest push on Lashkar Gah could be a worrying development for NATO and U.S.-led troops. Fighting typically takes place in small villages and rural areas.\nTuesday's battle killed 18 militants and wounded three police, said provincial police chief Assadullah Sherzad.\nSherzad said authorities recovered only one militant body and that the others were carried away by fighters. Afghan officials say they rely on intelligence reports to form militant death tolls, but government officials have been known to exaggerate such tolls in past battles.\nInsurgency-related violence has killed more than 4,800 people - mostly militants - this year, according to an Associated Press count of figures from Western and Afghan officials.\nIn a separate incident, six policemen died after a shootout among officers inside a police checkpoint about 15 miles north of Lashkar Gah, said Daud Ahmadi, the spokesman for the provincial governor.\n\"We are investigating how and why this incident happened,\" Ahmadi said. He provided no other details.\n© 2008 The Associated Press. All rights reserved. This material may not be published, broadcast, rewritten or redistributed. Learn more about our Privacy Policy.",
"url": "http://hosted.ap.org/dynamic/stories/A/AS_AFGHANISTAN?SITE=NCKIN&SECTION=HOME&TEMPLATE=DEFAULT",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20081015233417/http://hosted.ap.org/dynamic/stories/A/AS_AFGHANISTAN?SITE=NCKIN&SECTION=HOME&TEMPLATE=DEFAULT"
},
{
"language": "en",
"title": "NATO troops launch major Afghanistan offensive",
"text": "HELMAND PROVINCE, Afghanistan –NATO troops in Afghanistan launched their biggest offensive of the war early Saturday, attacking what they call the last Taliban stronghold in a war-scarred southern province.\nMilitary officials said the offensive—dubbed Operation Moshtarak— got under way at 2 a.m. (4:30 p.m. ET Friday). By about 8 a.m. (10 p.m. ET Friday) two firefights had erupted between the Taliban and U.S. Marines in Marjah.\nThe offensive turned a main bazaar near the city center into a ghost town after residents were warned to leave the area. NATO forces said they are following a directive not to shoot at civilians, some of whom are still on the streets.\n\"Insurgents who do not accept the government's offer to reintegrate and join the political process will be met with overwhelming force,\" the International Security Assistance Force Joint Command said in a statement. \"However, the strongest of measures will be taken to protect the civilian population.\"\nSome of about 15,000 troops from the United States, United Kingdom, Canada and Afghanistan attacked Taliban targets in and around Marjah, a city of 80,000 to 100,000 where the Taliban has set up a shadow government, coalition military authorities said.\n\"Marjah is the last enemy sanctuary in the Marine area of operations,\" said Brig. Gen. Larry Nicholson, 2nd Marine Expeditionary Brigade-Afghanistan commanding general. \"This operation is designed to reconnect the people of Marjah with the legitimate government of Afghanistan. We are fully partnered with the Afghan government for this operation, and we have the resources we need to be successful.\"\nThe Afghan government described the offensive - carried out in central Helmand with the Afghan National Army, Afghan National Police, ISAF Regional Command (South), and the Helmand Provincial Reconstruction Team - as \"clearing\" operations. Moshtarak, a Dari word for \"together,\" symbolizes the fact that combined forces are serving alongside one another.\nThe coalition said its troops expected to confront up to 1,000 entrenched Taliban fighters. It expected foreign Taliban fighters to battle to the death but is prepared for local Taliban members in Marjah to try to escape.\n“We will follow the enemies and bring them to justice,” said Gen. Mohiyiden Ghori of the Afghan National Army.\nIn the past few days, forces from Afghanistan, Britain and other nations have conducted air and ground operations to prepare for the assault and dropped leaflets in and around Marjah warning residents not to allow the Taliban to\nenter their homes.\nThe allies had been unusually vocal in describing their plans for the assault. (Related: Why the military publicized operations)\n“I think there’s a certain strength in the Pashtunwali culture just from laying it out there in saying, ‘Hey, we are coming. Deal with it,’” U.S. Marine Gen. Larry Nicholson has said.\nSome of the 30,000 additional U.S. troops that President Barack Obama sent to Afghanistan will take part in the fight.\nThe goal is to force the Taliban from Marjah so that people there can live free of Taliban influence and drug traffickers in a province with a major source of the world’s opium. It’s an example of a U.S. strategy to focus on population centers and separate the Taliban from Afghan civilians. (Related: Why Marjah, why now?)\n“It’s about the security of the population, not fighting down insurgent numbers,” British Gen. Gordon Messenger has said.\nAbout 3,000 U.S. Marines are involved in the fight.\nThe advance notice given to residents will help avert civilian casualties, a problem that has hurt the military’s credibility among Afghans. They are also trying to get those Taliban who aren’t hard-core to turn in themselves and their weapons.\nReaching the battleground could be one of the biggest challenges for NATO and Afghan troops. It’s a tough terrain hard to cross with tanks.\nThe town of Marjah is surrounded by a deadly ring of roadside bombs, military officials say.\nThey say the Taliban has had months to plant bombs in the ground, most of them homemade mixes of ammonium nitrate, shrapnel fuel, salt or flour.\nSuch bombs have caused about 80 percent of the deaths in past fighting in Helmand province, military officials said. They are detonated remotely or by pressure plates.\n“This is possibly the largest IED threat NATO has ever faced,” Nicholson has said.\nMassive armored vehicles, called assault breacher vehicles, were to lead the charge into Marjah, coalition authorities said before the offensive.\nThe tank-like vehicles can destroy roadside bombs. Even with their help, though, military officials have increased staff at the hospital at Camp Bastion, in the capital of Helmand province, in anticipation that roadside bombs would cause casualties.\nTroops also expect to encounter booby-trapped houses, as well as fierce urban combat.",
"url": "http://afghanistan.blogs.cnn.com/2010/02/12/nato-set-to-launch-major-offensive-in-afghanistan/?hpt=T2",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20100215220230/http://afghanistan.blogs.cnn.com/2010/02/12/nato-set-to-launch-major-offensive-in-afghanistan/?hpt=T2"
},
{
"language": "en",
"title": "Nato begins major Afghanistan offensive",
"text": "Please turn on JavaScript. Media requires JavaScript to play. Advertisement More than 15,000 American, British and Afghan troops have launched the biggest offensive in Afghanistan since the overthrow of the Taliban in 2001. Helicopter-borne forces are attacking the Taliban-held districts of Marjah and Nad Ali in Helmand province in a bid to re-establish government control. Nato says Marjah is home to the biggest community under insurgent control in the south and 400 to 1,000 militants. Many residents fled ahead of Operation Moshtarak - meaning \"together\" in Dari. Nato had distributed leaflets in the Marjah area warning of the planned offensive in a bid to limit civilian casualties. Villagers said they warned Taliban fighters to leave the area or be killed. We are going to take this place and take it very hard\nSenior Nato official\nConflict reaches critical juncture Details on Operation Moshtarak Despite the warnings, reports from Helmand suggest many civilians remain, while the Taliban has claimed its fighters are ready to resist the assault. It is thought the Taliban will have prepared defences, and planted many improvised explosive devices (IEDs) on the routes they expect troops to take. Earlier this week British forces began a \"softening up\" process, taking part in a Nato ground and air offensive on insurgent positions. On Thursday a British soldier involved in Operation Moshtarak was killed by an IED, and UK Defence Secretary Bob Ainsworth has warned that there will be more casualties in the coming days. 'First wave' Operation Moshtarak is being led by the US Marine Corps, but a total of 4,000 British troops are involved on the ground and in support, supported by Danes and Estonians. AT THE SCENE Frank Gardner\nBBC News\nKandahar airbase British forces are taking part on the ground and in the air, amongst a total of 15,000 coalition and Afghan troops. Intelligence reports that some insurgents have decided not to fight, but that others have been laying clusters of improvised explosive devices on the routes they expect troops to take. Senior British and other officers here at this airbase have spent months planning this operation, which they say has been closely co-ordinated with Afghan leaders, both civil and military. The test of its success will not just be on the battlefield today, but in whether it can bring lasting security and good governance to the population of central Helmand. The initial offensive in Marjah, in Nad Ali district, began early on Saturday. More than 4,000 US marines, 1,500 Afghan soldiers and 300 US soldiers moved in by helicopter under cover of night. The assault was preceded by illumination flares, which were fired over the town at about 0200 local time (2130 GMT on Friday ), the Associated Press reported. \"The first wave of choppers has landed inside Marjah. The operation has begun,\" said Capt Joshua Winfrey, commander of Lima Company, 3rd Battalion, 6th Marines, which was at the forefront of the attack. For the first time Afghan forces have been at the forefront of planning and will share the burden of the fighting. More than 1,900 Afghan police will provide support after the initial military operations end, and a large team of Afghan administrators have been assembled. \"We are in this together. We planned it together; we will fight it together; we will see it through together. Afghans with allies; soldiers with civilians; government with its people,\" the commander of British forces in Helmand, Brig James Cowan, told his troops on Thursday. \"Soon we will clear the Taliban from its safe havens in central Helmand. Where we go, we will stay. Where we stay, we will build.\" 'Tipping point' A senior Nato official told the BBC that Afghanistan's President, Hamid Karzai, had approved the start of the offensive on Thursday. Residents of Marjah fear being trapped between troops and militants The official said it was \"probably the definitive operation\" of the counter-insurgency strategy outlined last year by the commander of both Nato and US forces in Afghanistan, Gen Stanley McChrystal. \"If it goes well, this operation could potentially define the tipping point, the crucial momentum aspect in the counter-insurgency,\" the official said. \"We are going to take this place and take it very hard.\" The decision to go into Marjah is part of an effort to secure a 320km (200-mile) horseshoe-shaped string of towns that runs along the Helmand River, through Kandahar and on to the Pakistani border. The area holds 85% of the population of Kandahar and Helmand. MARJAH: 'TALIBAN STRONGHOLD' Town and district about 40km (25 miles) south-west of Lashkar Gah Lies in Helmand's 'Green Zone' - an irrigated area of lush vegetation and farmland Last remaining major Taliban stronghold in southern Helmand Area considered a centre for assembling roadside bombs Key supply centre for opium poppies - lucrative revenue source for Taliban Estimates of Taliban numbers range up to 1,000 Population of Marjah town put at 80,000 while the whole of Marjah district is thought to have 125,000\nUK forces 'soften up' Taliban targets The BBC's Adam Brookes says the offensive has political importance in Washington because it is by far the largest single operation since President Barack Obama announced a \"surge\" in December, increasing the number of US troops in the country by 30,000 to nearly 100,000. Marjah, which lies in Helmand's \"green zone\" - an irrigated area of lush vegetation and farmland - is a hive of Taliban activity and is a centre for cultivation of opium poppies. Once the area is secured, Nato hopes to provide aid and to restore public services in the area. The aim, the alliance says, is to win support among the estimated 125,000 people who live there and prevent the Taliban from regaining control.\nOperation Moshtarak: Assault in Helmand province\nBookmark with: Delicious\nDigg\nreddit\nFacebook\nStumbleUpon What are these? E-mail this to a friend Printable version",
"url": "http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/south_asia/8513665.stm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20100213052400/http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/8513665.stm"
}
] |
de | Gaza: Entführter britischer Journalist offenbar tot |
Der im März im Gaza-Streifen entführte britische Journalist Alan Johnston wurde offenbar ermordet. Die bisher unbekannte Gruppe „Tawhid- und Dschihad-Brigaden“ bekannte sich zu seiner Ermordung in Mitteilungen, die an verschiedene Nachrichtenagenturen verschickt wurden. Offiziell wurde die Nachricht bislang nicht bestätigt. Dies berichtet der britische Sender BBC.
Entführungen von Journalisten und Mitarbeitern von Hilfsorganisationen sind ein ertragreiches Geschäft im Gaza-Streifen. Kleine kriminelle Gruppen fordern meist von der palästinensischen Regierung Arbeit, Waffen oder Munition. Im Gegenzug werden die Opfer schnell wieder freigelassen. Anders in diesem Fall: Alan Johnston gilt seit vier Wochen als vermisst. Bislang gab es keine Forderungen seitens der Entführer.
Johnston wurde am 12. März von unbekannten Tätern verschleppt, kurz nachdem er das Büro seines Senders verlassen hatte. Er arbeitet seit 1991 für die BBC, lebt und berichtet seit drei Jahren aus dem Gaza-Streifen. Er sollte zu Ostern zurückkehren.
| [
"Vermischtes",
"Themenportal Palästinensische Autonomiegebiete",
"Mord",
"Entführung",
"BBC",
"Veröffentlicht"
] | [
{
"language": "en",
"title": "BBC's concern at Gaza man's fate",
"text": "Alan Johnston: Praised for his calmness and courage\nThe BBC says it is aware of the reports and is deeply concerned, but stresses there is no independent verification.\nIn a statement faxed to news agencies, the group contrasts the attention given to Alan Johnston's captivity with that given to Palestinians held in prison.\nMr Johnston was abducted as he returned home from his Gaza office on 12 March.\nThe BBC has issued a statement saying it is deeply concerned about what it is hearing.\n\"But we stress that at this stage,\" it says, \"it is rumour with no independent verification\".\nThe Palestinian Authority said it, too, had no information confirming the fate of Alan Johnston.\nLittle known group\nSenior Palestinian official Saeb Erekat repeated a call for those holding Mr Johnston to free him.\nThere have been numerous appeals for Mr Johnston's safe release\n\"Such despicable acts of abducting foreign journalists and others continue, the only (thing) that this is doing is destroying us as Palestinians, destroying the just cause of the Palestinian people,\" he told reporters.\n\"So I urge those who abducted Johnston, instead of circulating rumours, and I hope these rumours are only rumours, is to release him immediately and without any conditions.\"\nA spokeswoman for the Foreign and Commonwealth Office in London said they were also aware of the reports and were urgently looking into them.\nThe group claiming to have killed Mr Johnston is little known in Palestinian areas, the BBC's diplomatic correspondent James Robbins says.\nIts name means Brigades of Unification and Struggle.\nProtests\nSince Mr Johnston's abduction, there have been many calls by both governments and individuals for his safe release.\nPalestinian journalists staged several strikes in protest at his abduction and rallies were organised by Mr Johnston's BBC colleagues.\nThe BBC held a day of action on Thursday with al-Jazeera, CNN and Sky News joining a special live programme.\nThe unprecedented broadcast paid tribute to Alan Johnston's work and detailed the dangers for correspondents working in the Gaza Strip.\nAn online petition calling for Mr Johnston's release has gathered more than 30,000 signatures.\nAlan Johnston's father, Graham, in a second broadcast appeal for his son to be freed immediately, told his kidnappers: \"Please think about what this is doing to my family\".\nKidnappers have abducted dozens of foreigners in Gaza, but none have been held for as long as Mr Johnston.\nThe 44-year-old, who is originally from Scotland, joined the BBC World Service in 1991 and has spent eight of the last 16 years as a correspondent, including periods in Uzbekistan and Afghanistan.\nHe has lived and worked in Gaza for three years and was the only Western reporter permanently based in the often violent and lawless territory.\nHis posting in Gaza had been due to end in late March.",
"url": "http://news.bbc.co.uk/2/hi/middle_east/6557779.stm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070509051236/http://news.bbc.co.uk/2/hi/middle_east/6557779.stm"
},
{
"language": "de",
"title": "Der BBC-Journalist Alan Johnston in Gaza angeblich getötet",
"text": "Der BBC-Korrespondent Alan Johnston, der am 12. März in Gaza entführt worden war, soll ermordet worden sein. Dies gehe aus einer Erklärung der Gruppe «Al-Tawhid wa al-Jihad» hervor, wie die British Broadcasting Corporation am Sonntagabend auf ihrer Homepage schrieb. Eine offizielle Bestätigung der Behörden liegt indessen nicht vor.\nDer BBC-Journalist Alan Johnston in einer undatierten Archivaufnahme. (Bild ap) Mehr zum Thema Besorgt: Die BBC zur angeblichen Tötung ihres Mitarbeiters Kundgebung: Protest gegen die Untätigkeit der Behörden (ap) Der vor gut einem Monat in Gaza verschwundene BBC-Journalist Alan Johnston ist angeblich ermordet worden. Die bisher unbekannte Gruppe «Al-Tawhid wa al- Jihad» (Einheit und heiliger Krieg) erklärte am Sonntag in einer E-Mail, sie habe den Briten getötet. Eine offizielle Bestätigung lag bis zum Abend aber nicht vor, meldete die British Broadcasting Corporation auf ihrer Homepage. Aussenministerium prüft die Berichte Das britische Aussenministerium teilte mit, es prüfe die Berichte. Die BBC zeigte sich sehr besorgt. Das palästinensische Innenministerium hat eigenen Angaben zufolge ebenfalls keine Informationen darüber, dass der Journalist tot ist. Seit dem Auffinden des verwaisten Autos des 42-jährigen Schotten am 12. März gab es keine Nachrichten mehr von ihm. Keine Forderungen bekannt Die Gruppe, die einen ähnlichen Namen benutzt wie üblicherweise Anhänger des Terrornetzwerkes Al-Kaida aus anderen Gegenden, kündigte zudem an, später ein Video von der Ermordung des Journalisten veröffentlichen zu wollen. Weder Grossbritannien noch die Palästinenser hätten die Forderungen der Gruppe erfüllt, wonach die Freilassung Johnstons erfolgen könne, wenn Extremisten aus israelischen Gefängnissen entlassen würden – seit dem Verschwinden Johnstons wurde eine solche Forderung allerdings nicht bekannt. Seit drei Jahren im Gazastreifen Johnston lebt seit drei Jahren im Gazastreifen. Vor ihm wurden bereits andere westliche Medienvertreter entführt, sie wurden aber gewöhnlich binnen kürzester Zeit wieder freigelassen. Meist forderten die Geiselnehmer Geld. Niemand wurde so lange festgehalten wie Johnston. Journalisten im Gazastreifen und internationale Journalistenverbände forderten in Demonstrationen und Kundgebungen bereits mehrfach die Freilassung des BBC-Mitarbeiters.",
"url": "http://www.nzz.ch/2007/04/15/al/newzzF0JQNY09-12.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070422101211/http://www.nzz.ch/2007/04/15/al/newzzF0JQNY09-12.html"
},
{
"language": "de",
"title": "Verschwundener BBC-Journalist angeblich tot",
"text": "Drucken\n| Senden\n| Leserbrief\n| Bookmark 15. April 2007\nGAZA\nVerschwundener BBC-Journalist angeblich tot\nDer vor gut einem Monat in Gaza verschwundene BBC-Journalist Alan Johnston ist angeblich ermordet worden. Die bisher unbekannte Gruppe Tawhid- und Dschihad-Brigaden erklärte am Sonntag in einer E-Mail, sie habe den Briten getötet.\nGaza - Eine offizielle Bestätigung lag bis zum Abend jedoch nicht vor. Das britische Außenministerium teilte mit, es prüfe die Berichte. Die BBC zeigte sich sehr besorgt. Das palästinensische Innenministerium hat eigenen Angaben zufolge ebenfalls keine Informationen darüber, dass der Journalist tot ist. Seit dem Auffinden des verwaisten Autos von Johnston am 12. März gab es keine Nachrichten von ihm. Die Gruppe, die einen ähnlichen Namen benutzt wie üblicherweise Anhänger des Terrornetzwerkes al-Qaida aus anderen Gegenden, kündigte zudem an, später ein Video von der Ermordung des Journalisten veröffentlichen zu wollen. Weder Großbritannien noch die Palästinenser hätten Forderungen der Gruppe erfüllt, im Gegenzug für die Freilassung Johnstons Extremisten aus israelischen Gefängnissen zu befreien. Seit dem Verschwinden Johnstons wurde eine solche Forderung nicht bekannt. asc/Reuters",
"url": "http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,477346,00.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070417082130/http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,477346,00.html"
},
{
"language": "en",
"title": "Hamas government acts to free kidnapped BBC man",
"text": "The Hamas-run Palestinian government said yesterday that it was working to release Alan Johnston, the BBC's Gaza correspondent, saying that it knew who was responsible for his kidnapping.\n\"This issue is on its way to being solved, God willing. We have definite information regarding the parties behind this kidnapping,\" said Ghazi Hamad, a government spokesman.\nJohnston, 44, was seized by armed men as he drove home in daylight from the BBC office in Gaza City on Monday afternoon. The BBC was alerted after he failed to make a pre-arranged telephone call to check in; his grey Kia car was later found abandoned in the street a few minutes' drive away.\nIt is understood that the BBC received a number of indirect assurances yesterday that Johnston was alive and well. It is thought he is being held in Gaza.\nMr Hamad did not identify which group was behind the kidnap, although criminal gangs have been responsible for a string of abductions of foreign journalists and aid workers in Gaza in recent months. The gangs have often demanded money, jobs or weapons and ammunition from the Palestinian authorities.\n\"Mostly, they ask for employment, sometimes for weapons and bullets,\" said Khaled Abu Hilal, a spokesman for the Palestinian interior ministry. \"I think this time will not be different.\"\nHe said that although the criminal families were well-known to the authorities, the factional rivalry that has plagued Palestinian politics in the past year had prevented a security crackdown.\nNo one had been convicted of involvement in any of the recent kidnappings, he said.\n\"There is a problem of following up orders. It is part of the internal problem relating to the political situation.\"\nTalks between Hamas and its rival Fatah were still under way last night in Gaza to conclude a long-awaited coalition government due to be announced by the weekend.\nYesterday the BBC's Middle East bureau chief, Simon Wilson, travelled to Gaza City and met with the Hamas prime minister, Ismail Haniyeh, as well as Egyptian security officials.\nHe was due to meet with senior figures from the Fatah movement in Gaza last night.\nJohnston was the only foreign journalist to live full-time in Gaza, where he has worked for the past three years. He had been in Jerusalem over the weekend for a dental appointment and only returned to Gaza on Monday morning. He is widely regarded as a respected and experienced journalist.\nOne BBC colleague said: \"He has worked in Kabul under the Taliban. He's an experienced hand, he's not gung-ho.\" He was due to finish his posting at the end of this month.",
"url": "http://www.guardian.co.uk/israel/Story/0,,2033392,00.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070317073734/http://www.guardian.co.uk/israel/Story/0,,2033392,00.html"
}
] |
pl | 2009-05-11: Somalia: w walkach zginęło 65 osób |
'''W ciężkich walkach które trwają od 9 V w Mogadiszu zginęło do tej pory 65 osób - w większości cywile.'''
Bitwa rozgrywa się miedzy bojówkami rządowymi Sharifa Sheikha Ahmeda, a milicją Al-Shabaab, uznawaną przez USA za ugrupowanie terrorystyczne. Oprócz zabitych, rany odniosło 190 osób.
W wyniku trzydniowych walk, bojówki Al-Shabaab, podały, że kontrolują północna część Mogadiszu.
To najcięższe walki w Mogadiszu od lutego, kiedy to w bitwie (24-25 II) zginęło co najmniej 69 osób zginęło – w tym 48 cywilów. Wśród ofiar były także dzieci.
| [
"Konflikty zbrojne",
"Somalia",
"Świat",
"Terroryzm"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Clashes kill at least 65 in Somalia in 3 days",
"text": "Clashes kill at least 65 in Somalia in 3 days\n* At least 65 killed, more than 190 wounded\n* Opposition militia say control N. Mogadishu\n(Updates death toll, adds details)\nBy Abdi Sheikh\nMOGADISHU, May 10 (Reuters) - Clashes between rival Islamist groups have killed at least 65 people and wounded more than 190 others in three days of battles in Somalia's capital, witnesses and hospital sources said on Sunday.\nThe Horn of Africa nation's interim government is struggling with a powerful insurgency in one of the world's most dangerous countries, where fighting since late 2006 has killed thousands and forced more than a million more from their homes.\nHundreds of Islamists loyal to the government and opposition al Shabaab militiamen fought with heavy machine guns and mortars in northern Mogadishu over the weekend. \"We killed an uncountable number of government fighters and moderate Islamists. Their dead bodies lie in the streets,\" Sheikh Mohamed Ibrahim Bilal, a senior al Shabaab official, told Reuters.\n\"Now north Mogadishu is under our control. We swept them from five key positions including Mogadishu football stadium.\"\nResidents and hospital sources said 50 people had been killed in the fighting and 181 others wounded. At least 15 other people were killed and ten injured when a mortar struck a local mosque on Sunday, witnesses said.\n\"I can see 15 bodies of people killed after a mortar hit a mosque,\" witness Hassan Abdulle told Reuters by telephone. \"They wanted to attend the afternoon prayers.\"\nA local elder told Reuters that foreign fighters were taking part in the clashes. \"We see long-bearded Arabs everywhere,\" Osman Ali said.\nThere was no independent confirmation of the presence of foreigners. Western security agencies have long feared that Somalia could become a haven for terrorists. The anarchic nation has been without effective central rule since 1991.\nTwo local reporters were wounded after a mortar struck a news conference, witnesses said.\nInternational donors have pledged at least $213 million to help boost Somalia's security forces. President Sheikh Sharif Ahmed -- a former Islamist rebel -- is seen by many as the best hope in years for restoring stability.\nHeavily armed pirates from Somalia have captured dozens of merchant ships off the coast, taking hundreds of hostages and making off with millions of dollars in ransoms. (Additional reporting by Mohamed Ahmed and Ibrahim Mohamed; writing by Jack Kimball; editing by Philippa Fletcher)",
"url": "http://www.alertnet.org/thenews/newsdesk/LA382218.htm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20090514080851/http://www.alertnet.org/thenews/newsdesk/LA382218.htm"
}
] |
de | Bundespräsident eröffnet Bad Hersfelder Festspiele |
Bundespräsident Horst Köhler eröffnet die Festspiele, links steht der Bürgermeister von Bad Hersfeld Hartmut H. Boehmer
Am Samstagabend, den 7. Juni 2008, wurden die 58. Bad Hersfelder Festspiele in der Stiftsruine von Horst Köhler eröffnet. Das Leitthema der diesjährigen Festspiele ist der Fanatismus, der in den fünf Theateraufführungen thematisiert wird. Die Festspielsaison dauert bis zum 3. August 2008.
Der Tag begann ab dem frühen Nachmittag mit einem Theaterfestival, das im Stiftsbezirk und der Fußgängerzone stattfand und bis in die Abendstunden andauerte. Im Programm befanden sich die Comedy- und Kabarettgruppen „Apsaras Théâtre“, das „Wall Street Theatre“ und „Stenzel & Kivits“. Zusätzlich gab es die Gruppen „Stelzen Tanz Theater Leonhard“, „Neighbours Watch Stilts International“ und „Living Dolls“, die in Fantasiekostümen durch den Stiftsbezirk und die Fußgängerzone liefen (Walk-Acts). Vervollständigt wurde das Rahmenprogramm durch die Jonglage Coolumbus und den Tanzgruppen „Tanzstudio Birgitt Fründ“ und „Balady“.
Der Festakt begann um 17 Uhr in der Stiftsruine. Die Begrüßung der Festspielgäste fand durch Intendantin Elke Hesse und Bürgermeister Hartmut Boehmer statt. Das Grußwort der hessischen Landesregierung sprach der Staatssekretär des Hessischen Ministeriums für Wissenschaft und Kunst, Professor Ralph Alexander Lorz. Die Festrede wurde von dem evangelischen Theologen Dr. Friedrich Schorlemmer gehalten. Er ging auf das Leitthema der Festspiele ein und bezeichnete die vielen unnützen Kriege als „eine Folge von Besessenheit“. Den musikalischen Rahmen dazu gestaltete das Blechbläseremseble Ludwig Güttler.
Eröffnet wurde die Festspiel schließlich, kurz vor der Premiere von Schillers Die Jungfrau von Orléans, durch den Schirmherr der Bad Hersfelder Festspiele, des amtierenden Bundespräsidenten Horst Köhler. In seiner Rede sagte er, dass Bad Hersfeld ein Beweis dafür sei, dass es große Kultur nicht nur in den Hauptstädten gebe. Man könne stolz auf die Vielfalt an kulturellen Schätzen sein, sie gelte es zu erhalten und zu pflegen.
Unter anderem waren bei der ausverkauften Premiere auch der geschäftsführende Ministerpräsident von Hessen, Roland Koch, Regierungspräsident Lutz Klein und Friedrich Schorlemmer anwesend. Weitere Premieren folgen mit dem Musical Jekyll & Hyde am 10. Juni 2008 und Shakespeares Romeo und Julia am 17. Juni. 2008.
Weiter zur Aufführung kommt das Märchen Der gestiefelte Kater nach den Brüdern Grimm ab 13. Juni 2008. Dieses Kindertheater ist ein Gastspiel der Brüder Grimm Märchenfestspiele Hanau. Im Innenhof von Schloss Eichhof kommt ab dem 4. Juli 2008 das Lustspiel Minna von Barnhelm oder das Soldatenglück zur Aufführung, und im Grebe-Keller findet ab dem 8. Juli 2008 der Der gefesselte Prometheus nach Aischylos statt.
In dieser Saison spielt Anna Franziska Srna die Hauptrolle Johanna in „Jungfrau von Orléans“. In diesem Theaterstück spielt auch Nikolaus Okonkwo den König, und den Talbot spielt Jörg Pleva. Eva-Maria Jung und Florian Lüdtke spielen die Hauptrollen in „Romeo und Julia“, und der Musicaldarsteller Jan Ammann übernimmt die Hauptrolle in „Jekyll & Hyde“.
| [
"Themenportal Kultur",
"Themenportal Hessen",
"Kultur in Deutschland",
"Theater",
"Festival",
"Deutscher Bundespräsident",
"Horst Köhler"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Bad Hersfelder Festspiele 2007",
"text": "Theaterfestival\nEröffnung der 57. Bad Hersfelder Festspiele\nTheaterfestival zur Eröffnung der 57. Bad Hersfelder Festspiele am Samstag, 9. Juni 2007, ab 14.30 Uhr\n>> Opus Furore Mit ihrem neuen Programm „Olympic Games“ zeigt das Jonglage Duo eine Persiflage auf die Olympischen Spiele der Neuzeit.\nDas originelle Duo zeigt auf Hochrädern Hochleistungssport und medaillenträchtige Comedy – samt packender Comedy-Jonglage und humorvollen Dialogen. „Olympic Games“ – Flammen und Fußball, Gymnastik und Hochräder und absolute Körperbeherrschung – eine Olympiade der besonderen Art – mitten auf der Straße.\nHier gehts zur Homepage: www.opus-furore.de Auftrittszeiten:\n15.30 – 16.00 Uhr Rathaus\n16.30 – 17.00 Uhr Rathaus\n18.45 – 19.15 Uhr Linggplatz\n>> Ulik Ulik ist ein akrobatischer Stunt-Clown, erfinderischer Techniktüftler und musikalischer Draufgänger. Mit seinen Programmen „Tuba-Mobil & Überflieger & Trommelgott & Paparazzi“ spielt er mit den Lachmuskeln der Zuschauer.\nAus einer normalen B-Tuba wird ein röhrendes Rennmotorad oder er braust mit 30 Sachen und einem echten Propellermotor und viel heißer Luft durch die Zuschauer. Mit seiner riesigen Trommel lässt er mit Akrobatik, Stunts und Musik das Publikum erzittern oder er wird der Alptraum aller Prominenten und macht sich als freches Fernsehteam über alle her. Ulik zeigt eine einmalige und faszinierende Show.\nHier gehts zur Homepage: www.rudi-renner.de Auftrittszeiten:\n15.00 – 15.30 Uhr Bühne L’Haÿ-les-Roses-Platz\n19.00 – 19.30 Uhr Bühne L’Haÿ-les-Roses-Platz\n20.15 – 20.45 Uhr Bühne L’Haÿ-les-Roses-Platz\n>> Trifolie Trifolie präsentiert visuelle Comedy und verwandelt die Bühne in einen Illusionsraum – ein Genuss für Augen und Ohren. Trifolie – was soviel heißt wie „Wahnsinn zu dritt“: mal komisch, ironisch, poetisch oder raben-schwarz. Mit ihrem mehrfach ausgezeichneten Programm „Bazurr“ beweist Trifolie einmal mehr Sinn für feinherben und schwarzen Humor.\nTreffend und ohne viele Worte, mit körperlicher Präszision und einem auf den Punkt abge-stimmten Soundtrack unterhalten die drei Künstler ihr Publikum mit einem Maximum an Körpersprache und herrlichem Mienenspiel.\nHier gehts zur Homepage: www.trifolie.de Auftrittszeiten:\n14.30 – 15.00 Uhr Bühne L’Haÿ-les-Roses-Platz\n16.15 – 17.00 Uhr Bühne L’Haÿ-les-Roses-Platz\n19.30 – 20.00 Uhr Bühne L’Haÿ-les-Roses-Platz\n>> Art & Balance Das Stelzentheater von Art & Balance ist im wahrsten Sinne des Wortes großartig und herausragend. Die farbenfrohen Stelzenfiguren sind perfekte Eye-Catcher – ein traumhaftes und fantastisches Highlight für jedes Festival. Die überlebensgroßen und märchenhaften Wesen faszinieren mit ihrem Spiel und Tanz.\nMit ihren einzigartigen Kostümen und Masken „Paradiesvögel“/“Zugvögel“ bezaubern sie mit ihrer überschwänglich bunten Federpracht das Publikum und ziehen sofort alle Blicke auf sich.\nHier gehts zur Homepage: www.artandbalance.de Auftrittszeiten:\nFußgängerzone / Linggplatz / Stiftsbezirk\n15.00 – 15.30 Uhr\n16.15 – 17.00 Uhr\n19.00 – 19.30 Uhr\n20.30 – 21.00 Uhr\n>> Paspartout „Elephant Walk“: Täuschend echt wirkt der Dickhäuter. Zusammen mit einem betagten Zirkusdirektor zieht er durch die Fußgängerzone.\nDer eine alt und erfahren, der andere frech und neugierig. Zusammen sind sie eine schräge Combo. Ein witziger Walk Act mit musikalischer Einlage. Auftrittszeiten:\n16.15 – 16.45 Uhr Fußgängerzone / Linggplatz\n19.30 – 20.00 Uhr Fußgängerzone / Linggplatz\n>> Drachenclub Waldhessen Der Drachenclub Waldhessen zeigt seine wunderschönen selbst gebauten Drachen.\nFeuersalamander und viele andere Tiere – die man im Stil eines Drachens nachgebaut hat – werden auf dem Rathausplatz und im Stiftsbezirk präsentiert.\nHier gehts zur Homepage: www.raberudi.com Auftrittszeiten:\n16.15 – 17.00 Uhr Rathaus (Luftskulpturen)\n16.15 – 17.00 Uhr WalkActs Spezialdrachenschau\n20.00 – 21.00 Uhr WalkActs Spezialdrachenschau\n>> Balady Die heimische Tanzgruppe Balady zeigt in ihren farbenfrohen Kostümen orientalische Tänze in der Fußgängerzone. Auftrittszeiten:\n15.00 – 16.00 Uhr Breitenstraße\n>> Living Dolls Die Living Dolls zeigen fantasievolle venezianische Kostüme und Masken. Auftrittszeiten:\n16.30 – 17.00 Uhr Stiftsbezirk\n20.15 – 21.00 Uhr Stiftsbezirk\n>> Faust auf der Straße Die Schüler der Folkwang Hochschule Essen spielen unter der Leitung von Brian Michels Szenen aus Christopher Marlowes Faust. Auftrittszeiten:\n15.30 - 16.15 Stadtbespielung L’Haÿ-les-Roses-Platz",
"url": "http://www.bad-hersfelder-festspiele.de/index.php?rubrik=3&content=303",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070609120257/http://www.bad-hersfelder-festspiele.de/index.php?rubrik=3&content=303"
},
{
"language": "de",
"title": "Bad Hersfeld: Bundespräsident eröffnet Festspiele",
"text": "\"Bad Hersfeld habe ich erlebt, wie ich es mir immer vorgestellt habe, aber es war noch schöner\", sagte der Bundespräsident. Große Kultur finde nicht nur in den Hauptstädten statt. Deutschland biete eine wunderbare Vielfalt an kulturellen Schätzen, auf die man stolz sein könne. Die Premieren-Vorstellung \"Die Jungfrau von Orléans\" wurde von den knapp 1.600 Zuschauern in der Stiftsruine mit tosendem Applaus und \"Bravo\"-Rufen bedacht. Star des Abends war Anna Franziska Srna, die die Johanna begeisternd verkörperte.\nBei den Festspielen werden bis zum 3. August 85 Aufführungen von fünf Bühnenstücken gezeigt. Neben Schillers romantischer Tragödie werden in der größten romanischen Kirchenruine Europas auch Shakespeares Liebestragödie \"Romeo und Julia\" sowie das Musical \"Jekyll & Hyde\" präsentiert. Bei den Festspielen sollen mit den Stücken Fanatismus, Liebe und Tod thematisiert werden.\nAls Antwort auf die wochenlangen Querelen im Vorfeld gaben sich Intendantin Elke Hesse und Bürgermeister Hartmut Boehmer (parteilos) bei ihrer gemeinsamen Eröffnungsansprache auf der Bühne der Stiftsruine betont versöhnlich. Nach dem Streit um einen um 300.000 Euro auf 3,7 Millionen Euro gesunkenen Etat sagte Boehmer: \"Insofern unterscheiden wir uns nicht von unseren großen Vorbildern Bayreuth und Salzburg.\" Das nicht immer entspannte Zusammenspiel von Künstlern\nund Verwaltung sei \"kein Ausdruck einer kleinkarierten Provinzposse\" gewesen. Hesse ergänzte: \"Emotionen müssen sein. Eine Kuschelveranstaltung interessiert niemanden mehr.\" Manchmal sei das Theater um das Theater ein Drama gewesen.",
"url": "http://www.hr-online.de/website/rubriken/kultur/index.jsp?rubrik=5980&key=standard_document_34429180",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080608111850/http://www.hr-online.de/website/rubriken/kultur/index.jsp?rubrik=5980&key=standard_document_34429180"
},
{
"language": "de",
"title": "Nachrichten aus Deutschland und der Welt",
"text": "Ernährung\nAbgepackter Salat und Co.: Einige Lebensmittel werden dem gesunden Image nicht gerecht\nGut für die Gesundheit und perfekt zum Abnehmen – ein Image, das einigen Lebensmitteln anhaftet. Aber nicht alle Produkte sind so gesund wie ihr Ruf.",
"url": "http://www.fr-online.de/in_und_ausland/kultur_und_medien/feuilleton/?em_cnt=1347351",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20210414041918/https://www.fr.de/"
},
{
"language": "de",
"title": "Osthessen-News",
"text": "08.06.08 - BAD HERSFELD - \"Im Mittelpunkt des diesjährigen Bad Hersfelder Festivals steht neben der berühmtesten tragischen Liebesgeschichte Romeo und Julia und dem Kultmusical Jekyll & Hyde zweifelsohne Schillers Jungfrau von Orléans in der Regie von Torsten Fischer\", sagte Intendantin Elke Hesse zur Begrüßung in einem Zwiegespräch mit Bad Hersfelds Bürgermeister Hartmut Boehmer. Dieser antwortete: \"Dabei geht es um die alte und neue Frage, wie wir dem Fanatismus begegnen, der uns täglich begegnet. Die Besessenheit, etwas ohne Rücksicht auf andere durchsetzen zu wollen, führt zu Intoleranz und nicht selten zum Verderben\".\n\"Fanatismus\" ist das Leitthema der 58. Bad Hersfelder Festspiele, die am gestrigen Samstagabend von Bundespräsident Horst Köhler eröffnete wurden (osthessen-news berichtete gestern). Bis zum 3. August 2008 treten die Schauspieler auf der imposanten Stiftsruine und der Außenspielstätte am Schloss Eichhof auf. Dazu präsentieren die Festspiele ein buntes Rahmenprogramm und Konzerte.\nDen Auftakt bildete am späten Samstagnachmittag der Festakt - noch ohne Bundespräsident Köhler, der erst am Abend zur Premiere dazukam (siehe EXTRA-Bericht gestern). Vor 1.600 Besuchern hielt Dr. Friedrich Schorlemmer die Festansprache. Der evangelische Theologe Friedrich Schorlemmer aus Wittenberg war in der DDR Mitbegründer der Friedensbewegung und wurde zum führenden Bürgerrechtler. Er erhielt 1993 den Friedenspreis des Deutschen Buchhandels. Schorlemmer ging in seiner Rede auf den Fanatismus ein und nannte die vielen unnützen Kriege \"eine Folge von Besessenheit\". Der 68-jährige, der sich seit Jahren engagiert für Menschenrechte und ihre weltweite Achtung einsetzt, erhielt viel Beifall.\nAuch der Staatssekretär des Hessischen Ministeriums für Wissenschaft und Kunst, Prof. Ralph Alexander Lorz sprach zum Festauftakt. Das Land Hessen unterstütze ebenso wie der Bund die Bad Hersfelder Festspiele, die laut Boehmer einen Etat von vier Millionen Euro umfassen. \"Theater kostet immer viel Geld. Gleichwohl birgt der Etat keinen wirklichen finanzpolitischen Sprengsatz in sich, obwohl die Intendanz immer und zu allen Zeiten das Fehlen von Geld beklagt\", sagte Rathauschef Hartmut H. Boehmer - auch in Anspielung auf Differenzen im Vorfeld der Festspiele.\nZur Eröffnung demonstrierten die Macher jedoch Harmonie und Intendantin Elke Hesse hob die Vorzüge des Theaters hervor. \"Die Frage, was das Theater noch soll, wird seit mehr als 3.000 Jahren gestellt. Und trotzdem lebt es, das Theater, allen Kulturpessimisten zum Trotz. Denn solange es den Menschen gibt, lebt und spielt er Emotionen und das gemeinsame Erleben. Das alles bietet das Theater\", sagte die Österreicherin, deren Vertrag in Bad Hersfeld in dieser und der nächsten Spielzeit läuft. Bislang sind rund 75.000 der 106 000 Karten für 85 Aufführungen der insgesamt fünf Stücke verkauft. Weitere Informationen zu den Bad Hersfelder Festspielen im Internet unter der Adresse http://www.bad-hersfelder-festspiele.de (Hans-Hubertus Braune) +++",
"url": "http://www.osthessen-news.de/beitrag_C.php?id=1150930",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080611001159/http://www.osthessen-news.de/beitrag_C.php?id=1150930"
},
{
"language": "de",
"title": "Osthessen-News",
"text": "07.06.08 - BAD HERSFELD - Bundespräsident Horst Köhler hat heute Abend gegen 21:30 Uhr die 58. Bad Hersfelder Festspiele eröffnet. Das Staatsoberhaupt ließ die Premierenbesucher in der imposanten Stiftsruine allerdings fast 30 Minuten warten. Dies hatte einen einfachen Grund: Köhler, der zusammen mit seiner Ehefrau Eva gegen 18:30 Uhr in der Festspielstadt gelandet war und anschließend von Bürgermeister Hartmut H. Boehmer sowie Hessens Ministerpräsident Roland Koch samt deren Ehefrauen begrüßt wurde, suchte das Gespräch mit den Menschen in der Fußgängerzone. Nach einem gemeinsamen Abendessen mit den heimischen \"Prominenten\" aus Politik und Wirtschaft spazierte der Bundespräsident vom Ratskeller über den Linggplatz zur Ruine.\nDort traf er \"etwas\" verspätet ein. Das Premierenpublikum aber war keineswegs sauer, sondern begrüßte den hohen Besuch mit \"standing ovations\". Köhler zeigte sich erfreut von der Herzlichkeit. \"Ich bin hier in Bad Hersfeld freundlich empfangen worden. Die Stadt ist noch schöner, als ich erwartet hatte\", lobte Köhler. In einer kurzen Ansprache unterstrich der Bundespräsident die wichtige Bedeutung des Theaters für die Kultur in Deutschland. \"Theater findet nicht nur in den Großstädten statt\", sagte Köhler unter dem Applaus der Besucher der - fast ausverkauften - Premierenvorstellung von Friedrich Schillers romantischer Tragödie \"Die Jungfrau von Orleans\".\nStrahlend hatte auch Intendantin Elke Hesse den Präsidenten vor der ehrwürdigen Stiftsruine empfangen. \"Herzlich willkommen am schönsten Arbeitsplatz der Welt\", sagte Hesse. Zumindest für ein paar Stunden konnte Köhler \"Großes Theater\" abseits der Hauptstadt Berlin erleben. Und auch für Bad Hersfeld war es ein besonderer Tag. Viele Menschen hatten sich am Rathaus oder vor der Stiftsruine einen Stehplatz gesucht, um zumindest einen kurzen Blick auf das Staatsoberhaupt zu werfen. Aber daneben dominierten auch die Sicherheitsdienste und jede Menge Polizeibeamte die Szene - und hatten \"die Lage\" im Griff. Es herrschte eine erhöhte Sicherheitsstufe im Umfeld des Besuches: richtig \"nah dran\" kamen nur wenige, es gab viele Absperrungen und Kontrollen. Kein Wunder also, dass die Festspielstadt \"in heller Aufregung\" war. Ganz gelassen dagegen der Bundespräsident. Freundlich lächelnd rief Köhler den Passanten immer wieder zu: \"Ich wünsche ihnen einen schönen Abend\". Und die Bad Hersfelder sparten als Antwort nicht mit Applaus.\nNachfolgend eine Bilderserie mit Impressionen vom Besuch des Bundespräsidenten Prof. Dr. Horst Köhler und seiner Ehefrau Eva in Bad Hersfeld. (Hans-Hubertus Braune) +++",
"url": "http://www.osthessen-news.de/beitrag_C.php?id=1150924",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080610234852/http://www.osthessen-news.de/beitrag_C.php?id=1150924"
}
] |
de | Deutschland: Spitze des Bundesverfassungsgerichts muss neu besetzt werden |
Hans-Jürgen Papier
Die Amtszeit des amtierenden Präsidenten des deutschen Bundesverfassungsgerichts, Hans-Jürgen Papier, läuft Ende Februar ab. Papier übte am höchsten deutschen Gericht drei Funktionen aus: Er war Richter, Vorsitzender des Ersten Senates und Präsident des Bundesverfassungsgerichts. Alle drei Positionen müssen nun neu besetzt werden. Das Verfahren für die Neubesetzung wird durch Artikel 94 des deutschen Grundgesetzes geregelt. Dementsprechend sind Bundesrat und Bundestag gleichermaßen für die Richterwahl zuständig.
Es gilt als wahrscheinlich, dass mit Andreas Voßkuhle der bisherige Vize-Präsident in die Funktion des Präsidenten des Bundesverfassungsgerichts aufrücken wird. Traditionell wird diese Funktion abwechselnd von Richtern ausgeübt, die von den beiden großen Parteien im Deutschen Bundestag, CDU/CSU und SPD, vorgeschlagen wurden. Der Vizepräsident wird dann wieder ein von den Unionsparteien bestimmter Richter sein. Für den Nachfolger Papiers als Richter im Ersten Senat hat die FDP das Vorschlagsrecht. Sie will den Göttinger Völkerrechtsprofessor Andreas Paulus vorschlagen. Die ehemalige Bundesjustizministerin Brigitte Zypries (SPD) kritisierte, dass damit die Chance vertan werde, eine Frau in das höchste Gericht zu entsenden. Von den 16 Karlsruher Richtern sind nur drei Frauen.
Der Vorsitzende des Richterwahlausschusses im Deutschen Bundestag, Wolfgang Nešković, ehemaliger Richter am Bundesgerichtshof, von der Partei Die Linke, forderte indes eine öffentliche Debatte über die Kandidaten für das oberste deutsche Gericht: „Die Wahl darf nicht als ‚geheime Kommandosache‘ gesehen werden.“ Schließlich sprächen die Richter „Recht im Namen des Volkes, deswegen muss das Volk auch wissen, wer über sie zu Gericht sitzt.“
Anlässlich seiner letzten Pressekonferenz als Präsident des Bundesverfassungsgerichts nutzte der scheidende Präsident, Hans-Jürgen Papier, die Gelegenheit noch einmal die Rechtsprechungspraxis des Bundesverfassungsgerichts gegen Vorwürfe aus der Politik zu verteidigen. Forderungen nach einem „Primat der Politik“ lehnte Papier entschieden ab.
| [
"Themenportal Politik",
"Themenportal Recht",
"Themenportal Deutschland",
"Recht in Deutschland",
"Politik in Deutschland",
"Bundesverfassungsgericht",
"Hans-Jürgen Papier",
"Wolfgang Nešković"
] | [
{
"language": "de",
"title": "FDP will Völkerrechtler ans Verfassungsgericht schicken",
"text": "Papier-Nachfolge\nFDP will Völkerrechtler ans Verfassungsgericht schicken\nNachfolger des Präsidenten Papier soll dessen Stellvertreter Andreas Voßkuhle werden. Insgesamt sind drei Posten zu besetzen. Auch die FDP hat einen Kandidaten nominiert.\nDer Göttinger Völkerrechtsprofessor Andreas Paulus soll nach dem Willen der FDP neuer Richter am Bundesverfassungsgericht werden. Darauf verständigte sich die FDP intern nach Informationen der Nachrichtenagentur dpa. Die Freidemokraten haben das Vorschlagsrecht für die Besetzung der Stelle des scheidenden Verfassungsrichters Hans-Jürgen Papier. Der 41 Jahre alte Paulus hat seit 2006 den Lehrstuhl für Öffentliches Recht an der Georg-August-Universität in Göttingen inne. Er gilt als Spezialist für Völkerrecht.\nAnzeige\nWeil Papier nicht nur Richter, sondern auch Präsident des höchsten deutschen Gerichtes und Vorsitzender des Ersten Senates ist, müssen drei Posten neu besetzt werden. Union und FDP hatten sich darüber verständigt, dass die FDP den Kandidaten für das Richteramt nominieren kann.\nDa Union und SPD im Wechsel die Spitze des höchsten deutschen Gerichts besetzen, gilt es als so gut wie sicher, dass auf Unions-Kandidat Papier dessen Vize Andreas Voßkuhle folgt. Die Süddeutsche Zeitung berichtete, neuer Vizepräsident des Bundesverfassungsgerichts solle auf Vorschlag der Union der Tübinger Jurist Ferdinand Kirchhof werden. Bisher galt auch dessen Kollege Wilhelm Schluckebier als Kandidat.\nÜber die Nachfolge Papiers in allen drei Funktionen wird am 5. März entschieden. Darauf habe sich der Richter-Wahlausschuss des Bundestages geeinigt, sagte der Vorsitzende des Gremiums, Wolfgang Neskovic (Linke). Die Amtszeit des 66 Jahre alten Präsidenten endet nach zwölf Jahren offiziell am 28. Februar. Mit der Entscheidung für eine Richterwahl am Freitag in einer Woche kann Papier am Dienstag nächster Woche noch das Grundsatzurteil zur Massenspeicherung von Telefon- und E-Mail-Verbindungsdaten – der Vorratsdatenspeicherung – verkünden.\nNeskovic wiederholte seine Forderung nach einer öffentlichen Debatte über die Kandidaten für das Verfassungsgericht. \"Die Wahl darf nicht als 'geheime Kommandosache' gesehen werden.\" Die Richter sprächen \"Recht im Namen des Volkes, deswegen muss das Volk auch wissen, wer über sie zu Gericht sitzt\", sagte der frühere Richter am Bundesgerichtshof. Der Parlamentarische Geschäftsführer der FDP, Otto Fricke, habe zugesagt, dass sich jedes Mitglied des Ausschusses vor der Wahl persönlich ein Bild des Kandidaten machen könne. So gebe es immerhin eine bisher nicht vorhandene Entscheidungsgrundlage.\nDie frühere Bundesjustizministerin Brigitte Zypries (SPD) kritisierte die FDP für ihren Vorschlag, den Völkerrechtler Paulus zu ernennen. \"Es ist schlecht, dass wieder keine Frau vorgeschlagen wurde\", sagte Zypries der Frankfurter Allgemeinen Zeitung. Die derzeit drei Frauen unter den 16 Richtern habe alle die SPD vorgeschlagen. Es falle offenbar den Sozialdemokraten zu, demnächst wieder eine Frau zu benennen.\nNoch muss sich die SPD mit dem FDP-Vorschlag für die Nachfolge Hans-Jürgen Papiers auseinandersetzen. Es ist aber damit zu rechnen, dass sie zustimmt. Kritik gebe es allenfalls daran, dass Paulus Völkerrechtler ist, der besser in den zweiten Senat passen würde, heißt es in der FAZ.\nPaulus studierte in Göttingen, Genf, München und Harvard. Im Juni 2000 promovierte er in München. Sechs Jahre später folgte dort die Habilitation. Die noch unveröffentlichte Habilitationsschrift trägt den Titel \"Parlament und Streitkräfteeinsatz in rechtshistorischer und rechtsvergleichender Perspektive\". Paulus vertrat Deutschland im Rechtsstreit mit den USA im Fall LaGrand. Die deutschen Brüder Karl und Walter LaGrand waren 1999 wegen Raubmordes im US-Bundesstaat Arizona hingerichtet worden. Ihnen war keine konsularische Betreuung ermöglicht worden, wogegen Deutschland protestiert hatte.\nDer Wahlausschuss des Bundestages besteht aus zwölf Abgeordneten. Das Gremium wählt die Hälfte der Richter jedes Senats des Verfassungsgerichts. Die andere Hälfte wird vom Bundesrat gewählt.\nWeitere Artikel aus dem Ressort Deutschland lesen.",
"url": "http://www.zeit.de/politik/deutschland/2010-02/bundesverfassungsgericht-paulus",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20100504125018/http://www.zeit.de/politik/deutschland/2010-02/bundesverfassungsgericht-paulus"
},
{
"language": "de",
"title": "Bundesverfassungsgericht: Papier liest der Politik zum Abschied die Leviten",
"text": "Scheidet als Präsident des Bundesverfassungsgerichtes aus: Hans-Jürgen Papier© Ronald Wittek/DPA\nEinschneidender Personalwechsel beim Bundesverfassungsgericht: Am Freitag kommender Woche wählt der Richterwahlausschuss des Bundestags einen neuen Präsidenten, einen neuen Vizepräsidenten sowie einen neuen Verfassungsrichter im Ersten Senat. Als Nachfolger des nach zwölf Jahren ausscheidenden Hans-Jürgen Papier soll mit dessen bisherigem Stellvertreter Andreas Voßkuhle dann wieder ein von der SPD vorgeschlagener Kandidat an die Spitze des höchsten deutschen Gerichts rücken. Papier selbst las der Politik zum Abschluss seiner Amtszeit noch einmal deutlich die Leviten.\nBei seiner letzten Pressekonferenz als Präsident des Bundesverfassungsgerichts verteidigte er die Karlsruher Rechtsprechung entschieden gegen Forderungen nach einem \"Primat der Politik\". Versuche, das Gericht bei der Überprüfung gesetzlicher Normen in die Schranken zu weisen, träfen \"den Nerv des Verfassungsstaats\", warnte Papier.\nDer Vorwurf, die Karlsruher Richter gerierten sich als Ersatz-Gesetzgeber, sei einfach unzutreffend. Schließlich habe des Bundesverfassungsgericht in den fast 60 Jahren seines Bestehens lediglich 619 Gesetze und Verordnungen von Bund und Ländern ganz oder teilweise aufgehoben. Bei der Vielzahl entsprechender Bestimmungen bewege sich diese Zahl im Promillebereich, so dass es keinerlei Anlass für Dramatisierungen gebe. Papier warnte davor, an Grundsätzen zu rütteln, die mit der Schaffung unabhängiger Verfassungsgerichte inzwischen auch von vielen anderen Ländern übernommen wurden.\nFDP benennt Göttinger Völkerrechtler\nEigentlich läuft die Amtszeit des 66-jährigen Gerichtspräsidenten bereits Ende Februar aus. Die schwarz-gelbe Koalition in Berlin hat es aber versäumt, rechtzeitig einen Nachfolger für seinen frei werdenden Richtersitz zu benennen, so dass Papier nun doch etwas länger im Amt bleibt. Das Vorschlagsrecht dafür kommt der FDP zu, die inzwischen den Göttinger Völkerrechtslehrer Andreas Paulus als Richter im Ersten Senat nominiert hat.\nDer ehemalige stellvertretende Vorsitzende der Münchner FDP liegt mit Geburtsjahrgang 1968 nur knapp über dem für Verfassungsrichter geltenden Mindestalter von 40 Jahren. Die ehemalige Bundesjustizministerin Brigitte Zypries (SPD) kritisierte in der \"Frankfurter Allgemeinen Zeitung\", dass die FDP die Chance verstreichen lasse, eine Frau als Verfassungsrichterin aufzustellen. Nur drei der 16 Karlsruher Richter sind weiblich.\nPaulus studierte in Göttingen, Genf, München und Harvard. Im Juni 2000 promovierte er in München. Sechs Jahre später folgte dort die Habilitation. Die noch unveröffentlichte Habilitationsschrift trägt den Titel \"Parlament und Streitkräfteeinsatz in rechtshistorischer und rechtsvergleichender Perspektive\". Paulus vertrat Deutschland im Rechtsstreit mit den USA im Fall LaGrand. Die deutschen Brüder Karl und Walter LaGrand waren 1999 wegen Raubmordes im US-Bundesstaat Arizona hingerichtet worden. Ihnen war keine konsularische Betreuung ermöglicht worden, wogegen Deutschland protestiert hatte.\nKirchhof übernimmt Grundrechte-Senat\nDie Nachfolge Papiers als Vorsitzender des für Grundrechte zuständigen Ersten Senats soll nach Informationen der \"Süddeutschen Zeitung\" der Verfassungsrichter Ferdinand Kirchhof übernehmen. Der von der Union benannte Bruder des Steuerrechtlers Paul Kirchhof steigt damit auch zum neuen Vizepräsidenten auf. In Karlsruhe ist es Tradition, dass sich von Union und SPD benannte Richter als Präsidenten abwechseln und der Vizepräsident von der jeweils anderen Seite gestellt wird.\nDer ehemalige Richter am Bundesgerichtshof und jetzige Bundestagsabgeordnete der Linkspartei, Wolfgang Neskovic, wiederholte seine Forderung nach einer öffentlichen Debatte über die Kandidaten für das Verfassungsgericht. \"Die Wahl darf nicht als 'geheime Kommandosache' gesehen werden.\" Die Richter sprächen \"Recht im Namen des Volkes, deswegen muss das Volk auch wissen, wer über sie zu Gericht sitzt\", sagte Neskovic. Der Parlamentarische Geschäftsführer der FDP, Otto Fricke, habe zugesagt, dass sich jedes Mitglied des Ausschusses vor der Wahl persönlich ein Bild des Kandidaten machen könne. So gebe es immerhin eine bisher nicht vorhandene Entscheidungsgrundlage.\nDer Wahlausschuss des Bundestages besteht aus zwölf Abgeordneten. Das Gremium wählt die Hälfte der Richter jedes Senats des Verfassungsgerichts. Die andere Hälfte wird vom Bundesrat gewählt.",
"url": "http://www.stern.de/politik/deutschland/bundesverfassungsgericht-papier-liest-der-politik-zum-abschied-die-leviten-1546416.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20100228005220/http://www.stern.de/politik/deutschland/bundesverfassungsgericht-papier-liest-der-politik-zum-abschied-die-leviten-1546416.html"
}
] |
en | Supreme Court of Sweden agrees to try Bildkonst Upphovsrätt i Sverige versus Wikimedia Sverige |
The highest court in Sweden, the , agreed on Monday to try the case "''Ö 849-15''" between '''' (BUS, Visual Arts Copyright Society in Sweden) and ''Wikimedia Sverige'' (Wikimedia Sweden). The jurisprudence could result in being effectively overturned in Sweden, requiring websites such as , which is maintained by the Wikimedia Foundation, to delete thousands of images.
Not long after ''Wikimedia Sverige'' created the website offentligkonst.se to publish images and metadata about artworks placed in public spaces in Sweden, BUS, a pro-copyright lobby, advocated that it constituted infringement on the artists' copyright. The current lawsuit opposes the interpretation of ''Wikimedia'' — that artwork permanently installed in public space should be subject to the Freedom of Panorama exception that is in effect in Sweden — to that of BUS — that is creation ('''') of images and videos of an artwork in a public space is allowed, their distribution ('''') remains prohibited.
, an author and former leader of the which advocates , commented on her ,
;Images over which BUS are suing Wikimedia Sverige
File:120 DUO.JPG|Thomas Qvarsebo bronze statue ''Duo'', in Stockholm, donated by Eva Bonniers Grants Committee.
File:Johan Paalzow Moby Dick.JPG|Johan Paalzow sculpture ''Moby Dick'', in Stockholm.
File:Eva Hild Binär.JPG|Eva Hild sculpture ''Binär'', in Stockholm.
| [
"Copyright",
"Sweden",
"Wikimedia",
"Visual art",
"Internet",
"Europe",
"Crime and law",
"Free speech",
"Culture and entertainment"
] | [
{
"language": "sv",
"title": "BUS vill smygprivatisera den offentliga konsten",
"text": "Sedan flera år driver Wikimedia ett projekt där offentlig konst i hela Sverige görs sökbar på sajten offentligkonst.se. Det är det första sammanhållna projektet i sitt slag och syftar till att ge en konstintresserad allmänhet både överblick och kunskap. På grund av att projektet också publicerar bilder, ligger Wikimedia i rättslig tvist med BUS, Bildkonst Upphovsrätt i Sverige, och nu i veckan beslöt Högsta domstolen att ta upp fallet.\nEtt offentligt verk får avbildas, men inte återges, menar BUS. Ett offentligt verk är fritt, menar Wikimedia, enligt upphovsrättslagens ”konstverk får avbildas om de stadigvarande är placerade på eller vid allmän plats utomhus”.\nOffentlig konst är inte bara offentligt finansierad den är också allmän, precis som stadsrummet. Byggnader, träd, fasader, lekplatser, konst – allt ingår i vårt visuella rum.\nAtt från det rummet skära bort just konsten, och belägga fotograferandet av den med spridningsförbud kan möjligen slå mot alla möjliga aktörer – instagramflöden måste upphovsrättssäkras – men mest av allt är det en smygprivatisering av vårt gemensamma.\nOffentlig konst behöver göras tillgänglig, inte tvärtom. Inget är så osynligt och oförmedlat som ett konstverk i en park. Inga plaketter i världen kan hjälpa det faktum att den offentliga konstens utställningsrum är miljontals hektar stort. Överblicken är nödvändig och en sann kulturgärning. BUS borde sluta skjuta sig själva i foten.",
"url": "http://www.aftonbladet.se/kultur/article20489746.ab",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20150321124612/http://www.aftonbladet.se/kultur/article20489746.ab"
},
{
"language": "sv",
"title": "HD prövar foton på offentlig konst",
"text": "Högsta domstolen prövar om det innebär upphovsrättsintrång att ta en bild på ett offentligt konstverk och lägga ut den på nätet utan tillstånd från konstnären.\nBakgrunden är att upphovsrättsorganisationen Bildkonst Upphovsrätt Sverige, BUS, vill kolla om sajten offentligkonst.se bryter mot upphovsrätten då de har en databas med bilder på offentliga konstverk som är fritt tillgänglig för allmänheten, skriver tidningen Journalisten. Sajten själva, som drivs av databasen Wikimedia, hävdar att bilder på konstverk som finns på allmän plats får visas upp för allmänheten och att stöd för detta finns i upphovsrättslagen.\nWikimedia Sverige skriver på sin sajt: \"En obehaglig sidoeffekt av BUS tolkning är att i stort sett varenda Facebookanvändare och Instagrammare är en brottsling när de laddar upp bilder på byggnader då det är samma text som gäller för byggnader och konstverk i lagen.\"\nNu ska HD alltså pröva om det rör sig om upphovsrättsintrång att publicera bilder på offentlig konst på nätet utan konstnärens tillstånd.",
"url": "https://sverigesradio.se/sida/artikel.aspx?programid=478&artikel=6119796",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20150428092458/http://sverigesradio.se/sida/artikel.aspx?programid=478&artikel=6119796"
},
{
"language": "sv",
"title": "HD prövar om Wikimedias foton på offentlig konst är upphovsrättsbrott",
"text": "Wikimedia Sverige driver\nProjektet har drivits\nWikimedia tycker att\nLäs mer:\nDet hela har\n– I upphovsrättslagen\nFör i upphovsrättslagen\n– Att avbilda\nMen verk som\nLäs mer:\nBilderna som det\n– Just nu\nMetadatan är det\n– I värsta\nen sajt som heter offentligkonst.se som i grund och botten är vad den heter. En kartbaserad samling bilder på konst som finns i det offentliga rummet – där alla kan se den.med stöd på hundratusentals kronor från Vinnova sedan 2012, och flera kommuner har hjälpt till med listor på sin offentliga konst. Men Bildkonst Upphovsrätt i Sverige (BUS) har invändningar. Redan år 2013 kontaktade de Wikimedia och menade att det krävs tillstånd från upphovsrättsinnehavarna, det vill säga konstnärerna, för att publicera foton av deras konst.de har rätt att publicera bilder på konstverken därför att det i upphovsrättslagen står att “konstverk får avbildas om de stadigvarande är placerade på eller vid allmän plats utomhus”.vandrat hela vägen till Högsta domstolen, som nu meddelat prövningstillstånd. För det finns en viktig knäckfråga. Betyder “avbilda” även att fotografera ett konstverk och lägga upp bilden på internet?använder man två olika uttryck, dels avbilda och dels återge. Vår uppfattning, även enligt gängse experter, är att uttrycken har olika innebörd, säger Erik Forslund, jurist på BUS.står det också att konstverk får återges – men då gäller andra regler, vilket gör att Wikimedia borde ha tillstånd från upphovsrättsinnehavaren. Att fotografera ett konstverk och publicera bilden på internet är inte att “avbilda”, det är att “återge”, menar Erik Forslund.är att fram nya exemplar. När man lägger ut bilder på internet så omfattas det inte av “avbilda”. Det hela faller på sitt eget grepp, för själva idén med att ha två begrepp innebär att man ska ha olika innebörd i dem, säger han.finns i offentliga rum, som på gator och torg kan hamna lite varstans. Ett exempel är Google Maps, där bilder på konstverken som målet gäller har publicerats i streetview-funktionen. Men det är för tidigt att säga att BUS ska gå vidare med upphovsrättskrav även mot andra internetsajter, utöver offentligkonst.se, om de vinner målet.tvistas om är bara en liten del av ett större arbete med att skapa en databas över den offentliga konsten i Sverige och är små – 100 pixlar breda på sajten.finns inget övergripande register, det ligger på kommuner och mindre myndigheter. Vi började bygga en databas och fick stöd av Vinnova. Förutom att vi byggde ett tekniskt api så ville vi visualisera konsten i Sverige och la upp på en karta, säger Jan Ainali, verksamhetschef på Wikimedia Sverige.viktiga på sajten, vilken offentlig konst som finns var och vem som ligger bakom den. Om det visar sig att de inte kan använda bilderna så tar de bort dem. Men på Wikimedia i Sverige är man ändå oroliga för vad en dom som inte går på deras linje skulle kunna innebära.fall blir det svårt att fotografera utomhus överhuvudtaget, då kan var och en råka bryta mot upphovsrätten, säger Jan Ainali.",
"url": "http://www.idg.se/2.1085/1.615861/hd-provar-om-wikimedias-foton-pa-offentlig-konst-ar-upphovsrattsbrott",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20150318055436/http://www.idg.se/2.1085/1.615861/hd-provar-om-wikimedias-foton-pa-offentlig-konst-ar-upphovsrattsbrott"
},
{
"language": "en",
"title": "BUS eller godis?",
"text": "Anna Troberg är författare, före detta bokförlagschef och partiledare för Piratpartiet. Hennes humoristiska roman \"Chefer från helvetet\" är publicerad i Sverige, Norge och Finland. Hennes motto är: \"Life is pain. Get used to it ... or make it better!\"\nOther posts by Anna Troberg",
"url": "http://www.annatroberg.se/2014/06/13/bus-eller-godis/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20140616025024/http://www.annatroberg.se/2014/06/13/bus-eller-godis"
}
] |
es | Bielorrusia en elecciones parlamentarias claves para un futuro con la UE |
Hoy comenzaron en Bielorrusia las elecciones parlamentarias, cruciales para el futuro de las relaciones del país la Unión Europea. El gobierno de la ex república soviética, regido por el presidente Aleksandr Lukashenko, es muchas veces culpado por la degradación de las relaciones de su país con la UE debido a su firme apoyo a Rusia.
Aunque en occidente los comicios se ven como una apertura del régimen, Lukashenko es referido en Estados Unidos como "el último dictador de Europa". Pero desde el conflicto en Georgia, el occidente ha intentado traer a su esfera de influencia al país.
La oposición bielorrusa hizo hincapié en que esta votación sería "no democrática". Para las 110 bancas en juego, la oposición ha presentado 70 candidatos contra los 263 presentados por el oficialismo. Asimismo, la oposición reprochó que se ha visto frenada por maniobras del gobierno de Lukashenko.
Por su parte, la Unión Europea declaró que levantaría las sanciones impuestas sobre representantes del gobierno de Minsk –mediante las cuales se le impide a 40 de sus funcionarios, entre ellos Lukashenko, transitar por suelo de la UE–, pero sólo lo haría si se registran "progresos democráticos" en los comicios.
Pero Lukasehnko se mostró nuevamente en oposición a Occidente, declarando que si las elecciones son calificadas como no democráticas, "vamos a romper las conversaciones con ellos". Pero a fin de demostrar su "buena voluntad", el presidente puso en libertad hace poco a los presos políticos
De acuerdo a expertos, su oscilación entre Rusia y Occidente se debe a la degradación de las relaciones con los rusos, debido a su poco apoyo durante la crisis en Georgia.
Entre los presos políticos liberados se encontraba Alexander Kuzulin, líder de la oposición, quien advirtió que Europa no debía declarar las elecciones como democráticas, diciendo que tal toma de decisión sería "una traición".
Los observadores de la Organización para la Seguridad y la Cooperación en Europa (OSCE) reiteraron su preocupación sobre la legitimidad durante el escrutinio si no se le permite observar el mismo.
| [
"OSCE",
"Política",
"Democracia y elecciones",
"Bielorrusia",
"Rusia",
"Europa",
"Unión Europea",
"Asia"
] | [
{
"language": "es",
"title": "Elecciones en Bielorrusia: coqueteo con Occidente",
"text": "Desde hace tiempo la Unión Europea (UE) no mantiene unas relaciones tan malas con un país europeo como con Bielorrusia. Aun así, Bruselas aguarda con ciertas esperanzas las elecciones parlamentarias que se celebrarán este domingo (28.09.2008) en la ex república soviética, ya que el presidente Alexander Lukashenko, calificado de \"el último dictador de Europa\", ha mostrado últimamente que está dispuesto a abrir algo el régimen.\nPor su parte, desde la crisis de Georgia en agosto, o incluso antes, Estados Unidos y la UE han incrementado considerablemente sus esfuerzos por atraer a su órbita a Bielorrusia, aliada tradicional de Moscú.\nLas imágenes de Dmitri Medvedev (izq.) y Alexander Lukashenko, tachadas, sobre la camiseta de un opositor.\nLukashenko, de 54 años, dijo a fines de la semana pasada que su país, durante la organización de estas elecciones, se ha apegado más que nunca antes a las normas occidentales. Previamente, el presidente había puesto en libertad a los últimos presos políticos que quedaban encarcelados.\nNo obstante, la Organización para la Seguridad y la Cooperación en Europa (OSCE) mantiene su escepticismo. Mucho dependerá, según señala la OSCE en un informe previo, de si sus observadores electorales también pueden seguir el escrutinio después del cierre de los locales de votación.\nEn su relación con Occidente, Lukashenko sigue balanceándose entre el acercamiento y el enfrentamiento. En caso de que las elecciones legislativas sean calificadas una vez más de \"no democráticas\", \"vamos a romper las conversaciones con ellos\", amenazó Lukashenko.\nTensiones entre Bielorrusia y Rusia\nSin embargo, lo más probable es que tanto a Bielorrusia como a la UE les interese llegar a un arreglo. La razón: la presión rusa sobre Minsk ha aumentado enormemente. Hace tiempo que los suministros de petróleo y gas rusos a bajos precios son cosa del pasado. Consecuentemente, la dependencia financiera de Bielorrusia del Kremlin se ha incrementado.\nLukashenko, por su parte, ha dado nones hasta ahora a la solicitud de Rusia de reconocer la independencia de las regiones separatistas georgianas de Osetia del Sur y Abjazia. Es el Parlamento al que le corresponde ocuparse de esa importante cuestión, dijo Lukashenko, quitándose la responsabilidad de encima.\nLa táctica tiene lógica: así, el presidente bielorruso puede esperar tranquilamente a ver si la relación de su país con Occidente es una alternativa. Y, efectivamente, lo puede ser. La UE trata de seducir a Bielorrusia prometiendo el cese de las sanciones, que incluyen la prohibición de que los líderes bielorrusos viajen a los países de la UE y la negación de concederle ventajas comerciales a Bielorrusia.\nHasta el momento, sin embargo, los opositores al gobierno de Lukashenko ven pocos motivos para creer en la ampliación de la democracia y un trato civilizado a los que piensan de forma diferente en el país.\nDemocracia a palazos\nA mediados de septiembre, la policía en Minsk nuevamente dispersó a bastonazos una concentración de opositores convocada para recordar el triste destino de varios críticos del régimen de Lukashenko que siguen desaparecidos desde hace casi diez años sin haber dejado rastro alguno.\nLos observadores occidentales centran su atención especialmente, además de en el registro de los candidatos, en la práctica del voto adelantado, muy extendido en Bielorrusia, y están pendientes de saber si el escrutinio nuevamente se realiza a puerta cerrada.\nSe calcula que en Bielorrusia casi un tercio de los votos se emite antes de la jornada electoral, por ejemplo en los cuarteles. También los estudiantes votan anticipadamente. En las elecciones parlamentarias de 2004, la oposición, que está dividida internamente, no logró imponerse en ninguno de los 110 distritos electorales. Ese año, Lukashenko acusó a todos los opositores de ser \"alborotadores sin trabajo\".\nLa alianza opositora Fuerzas Democráticas Unidas tampoco espera esta vez que alguno de sus candidatos gane un escaño en el Parlamento. Según su opinión, nada ha cambiado en el país de Lukashenko. Al igual que antes, \"los candidatos no son elegidos sino nombrados\", denuncia el presidente de la alianza opositora, Vinzuk Vecherko, quien una vez más fue golpeado por los policías durante la concentración celebrada a mediados de septiembre en Minsk.\nMientras tanto, el gobierno bielorruso da la impresión de creer que incluso con los más mínimos avances hacia la celebración de elecciones libres puede conseguir un gran efecto. Bielorrusia, a diferencia de Rusia, sigue permitiendo la presencia de observadores occidentales en las elecciones legislativas, resalta orgullosamente el gobierno de Minsk.",
"url": "http://www.dw-world.de/dw/article/0,,3675638,00.html?maca=spa-aa-top-867-rdf",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20210319153649/https://www.dw.com/es/elecciones-en-bielorrusia-coqueteo-con-occidente/a-3675638"
},
{
"language": "pl",
"title": "Wybory na Białorusi",
"text": "Wybory na Białorusi Autor: Aleksandra Nowak\nDziś na Białorusi rozpoczęły się wybory parlamentarne decydujące o przyszłych relacjach tego kraju z Unią Europejską. Bruksela zdecydowała, że może zawiesić część sankcji nałożonych na reżim w Mińsku, jeżeli głosowanie zostanie przeprowadzone w sposób demokratyczny. Jego przebieg nadzorują obserwatorzy OBWE, w tym kilkudziesięciu Polaków.",
"url": "http://e-polityka.pl/a.14062.d.17.Wybory_na_Bialorusi.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20130606135049/http://e-polityka.pl/a.14062.d.17.Wybory_na_Bialorusi.html"
}
] |
es | La cadena ABC anuncia la emisión de programas en español para la audiencia hispana de EUA |
La cadena de televisión estadounidense ABC ha anunciado que todos sus programas del horario estelar (''primetime'') tendrán sistema ''closed-captioned'' (subtítulos) en inglés y español. Además, cuatro de los programas y algunas películas y especiales serán doblados al español.
Anteriormente, sólo la comedia hispana ''The George Lopez Show'' tenía subtítulos y doblaje a la lengua de Cervantes. ''"Queríamos ir más allá de simplemente tocar el agua con los pies para sumergirnos de verdad"'', declaró Stephen McPherson, jefe de entretenimiento de ABC. ''"Casi la mitad de los 41 millones de hispanos en este país ven sólo o en gran parte televisión en español, y queremos traer esa audiencia a ABC"''.
La función denominada ''secondary audio program'' (''SAP'') permite una segunda transmisión optional de audio, que en Estados Unidos se suele emplear para emitir programas en español. Sin embargo, el costo adicional de contratar actores de doblaje para los diálogos, así como los costos de producción, habían sido demasiado prohibitivos para la mayoría de las cadenas. McPherson afirmó que, si bien el costo "no era tan alto", tener teleaudiencia hispana puede rendir un beneficio significativo.
''George Lopez'' seguirá emitiéndose con doblaje al castellano. Fuera de ello, dos de las series más populares de la cadena, ''Desperate Housewives'' y ''Lost'', además de la nueva comedia ''Freddie'', serán dobladas. La elección de los actores de doblaje está en proceso.
| [
"Arte, cultura y entretenimiento",
"Televisión",
"Norteamérica"
] | [
{
"language": "en",
"title": "ABC to Offer Primetime Shows in Spanish",
"text": "By LYNN ELBER, AP Television Writer Fri Sep 9, 9:37 AM ET\nLOS ANGELES - ABC viewers will get \"Lost\" in translation as part of a plan to make all the network's primetime entertainment available in Spanish starting this season.\nThe move is an acknowledgment of the expanding U.S. Hispanic population and its potential as a source of viewers. Previously, \" George Lopez\" was the only ABC series that aired in both English- and Spanish-language versions.\n\"We wanted to move beyond toe-dipping and really dive in,\" ABC entertainment chief Stephen McPherson said in a statement. \"Almost half of the 41 million Hispanics in this country watch only or mostly Spanish-language television, and we want to bring that audience to ABC.\"\nABC, using both dubbing and closed captioning, will be the first of the major English-language broadcasters to provide its full primetime entertainment lineup in Spanish. Most other networks offer few shows in the language.\nThe cost is \"not inexpensive,\" McPherson said in an interview Thursday, declining to provide a specific figure. But he said the return could be significant in terms of viewership.\n\"If you look at the performance of Spanish-language stations in a lot of the big (TV) markets, they're doing very well. In some markets they're beating the broadcast networks,\" he said.\nHispanics are the fastest-growing minority in the United States and represent one-seventh of the population, according to a recent Census Bureau report.\n\"Desperate Housewives,\" \"Lost,\" \"George Lopez\" and the new comedy \"Freddie,\" starring Freddie Prinze Jr., will be dubbed into Spanish, as will the network's theatrical movie premieres and some specials. Casting has already begun for actors to voice the Spanish dialogue.\nThe rest of ABC's primetime entertainment schedule, which debuts next week as the 2005-06 season officially begins, will be available with closed-captioned subtitles in Spanish, the network said.\nIn test screenings, the network found viewers receptive to ABC's programs in Spanish. \"A lot of people had not seen the shows because they were not English speaking but were TV watchers, and were enthralled with them and wanted more,\" McPherson said.\nMcPherson said he wasn't concerned about an immediate effect on Nielsen ratings.\n\"It's more to get it out there and get a large audience watching it and I think the overall ratings will follow,\" he said.\nThe subtitled versions will be on Closed Caption 3 channel (CC3), and the dubbed versions will be accessible through the SAP secondary audio program TV option.\nABC previously had aired major films in Spanish through SAP. This year, the network premieres scheduled to air with dubbing include \"Catch Me if You Can,\" \"Pirates of the Caribbean\" and \"Finding Nemo.\" The made-for-TV movie \"Have No Fear: the Life of John Paul II\" also will be dubbed into Spanish.\n___\nhttp://www.abc.com",
"url": "http://news.yahoo.com/s/ap/20050909/ap_en_tv/tv_abc_spanish;_ylt=Am1bF_vaT0nmv770ZGVrAgOs0NUE;_ylu=X3oDMTA3ODdxdHBhBHNlYwM5NjQ-",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20050910200752/http://news.yahoo.com/s/ap/20050909/ap_en_tv/tv_abc_spanish;_ylt=Am1bF_vaT0nmv770ZGVrAgOs0NUE;_ylu=X3oDMTA3ODdxdHBhBHNlYwM5NjQ-"
}
] |
es | Filtran documentos que revelan varios paraísos fiscales | Países con oficiales implicados en ''Panama Papers''
Una filtración de documentos revela los negocios que tienen varias personas, incluyendo jefes de estados actuales y anteriores, a través de la utilización de paraísos fiscales para ocultar sus ganancias y eludir impuestos. Al menos 11 millones de documentos filtrados de la cuarta firma de abogados más grande de servicios ''offshore'', Mossack Fonseca de Panamá la cual administraba las compañias ''offshore'' por una cuota anual. Los documentos han sido llamados como ''Panama Papers'' (Papeles de Panamá).
Los documentos fueron compartidos por el Consorcio Internacional de Periodistas de Investigación (ICIJ en inglés) a 107 medios de comunicación de 78 países quienes analizaron los documentos. En los documentos se encuentran los paraísos fiscales de personas cercanas al presidente de Rusia, Vladimir Putin, el presidente de Argentina, Mauricio Macri, el primer ministro de Islandia, Sigmundur Gunnlaugsson, el futbolista Lionel Messi, entre otros.
La firma Mossack Fonseca ha expresado que cumple con las leyes de "anti-lavado de dinero".
| [
"Mundo",
"Norteamérica",
"Antillas",
"Sudamérica",
"Centroamérica",
"Europa",
"Argentina",
"Panamá",
"Rusia",
"Vladímir Putin",
"Mauricio Macri",
"Lionel Messi",
"Política",
"Economía y Negocios",
"Panama Papers",
"Mundo",
"Política",
"Economía y Negocios",
"Fútbol",
"Panama Papers"
] | [
{
"language": "es",
"title": "Panamá Papers: filtración de documentos revela los paraísos fiscales de los ricos y poderosos",
"text": "Una enorme filtración de documentos confidenciales reveló cómo personas adineradas y poderosas usan los paraísos fiscales para ocultar su riqueza.\nOnce millones de documentos fueron filtrados de una de las compañías más reservadas del mundo, la firma legal panameña Mossack Fonseca.\nDichos documentos muestran cómo Mossack Fonseca ayudó a clientes a lavar dinero, esquivar sanciones y evadir impuestos.\nLa compañía dice que operó de forma intachable durante 40 años y que jamás ha sido acusada de actividades criminales.\nEn los documentos se mencionan a 12 jefes de estado actuales y pasados, incluyendo algunos acusados de saquear sus propios países, y más de 60 de sus familiares.\nEstos documentos fueron obtenidos por el diario alemán Sueddeutsche Zeitung y compartidos con el Consorcio Internacional de Periodistas de Investigación (ICIJ, por sus siglas en inglés).\nBBC Panorama, el programa investigativo de la BBC, se encuentra entre las 107 medios de comunicación en 78 países que han estado analizando los documentos. La BBC desconoce la identidad de la fuente que los proporcionó.\nGerard Ryle, director del ICIJ, dijo que los documentos –considerados la mayor filtración de la historia– abarcaban los negocios del día a día de Mossack Fonseca en los últimos 40 años.\n\"Pienso que la filtración va a convertirse probablemente en el golpe más grande que el mundo de la banca offshore (extraterritorial) jamás haya recibido, debido al alcance de los documentos\", afirmó Ryle.\nLos datos contienen información sobre compañías secretas extraterritoriales vinculadas con familiares y asociados del expresidente de Egipto Hosni Mubarak, el exlíder de Libia Muamar Gadafi y el actual presidente de Siria, Bashar al Assad.\nConexión con Rusia\nLos documentos también revelan el supuesto lavado de mil millones de dólares, el cual fue llevado a cabo por un banco ruso y que involucró a colaboradores cercanos al presidente, Vladimir Putin.\nLa operación fue realizada por el Banco Rossiya, que se encuentra sujeto a sanciones de Estados Unidos y la Unión Europea luego de que Rusia anexara Crimea.\nLos documentos revelan por primera vez cómo opera el banco.\nImage copyright RIA Novosti Image caption Sergei Roldugin (izquierda) es amigo cercano del presidente de Rusia, Vladimir Putin.\nEl dinero fue canalizado a través de bancas extraterritoriales, dos de las cuales oficialmente pertenecían a uno de los amigos cercanos del presidente ruso.\nEl concertista de chelo Sergei Roldugin conoce a Putin desde que son adolescentes y es el padrino de una de las hijas del presidente, María.\nEn papel, Roldugin personalmente ha ganado cientos de millones de dólares en acuerdos sospechosos.\nPero los documentos sobre las compañías de Roldugin indican que: \"La compañía es una pantalla corporativa establecida principalmente para proteger la identidad y confidencialidad del verdadero dueño beneficiario de la compañía\".\nConexión con Islandia\nLos datos sobre Mossack Fonseca también muestran cómo el primer ministro de Islandia, Sigmundur Gunnlaugsson, tenía un interés no declarado en los bancos de su país que fueron rescatados.\nGunnlaugsson ha sido acusado de esconder millones de dólares de inversiones en los bancos de su país usando una firma extraterritorial discreta.\nLos documentos filtrados muestran que Gunnlaugsson y su esposa compraron la firma extraterritorial Wintris en 2007.\nGunnlaugsson no declaró su vínculo con la compañía cuando ingresó al Parlamento en 2009. Ocho meses después, vendió a su esposa el 50% de Wintris que le pertenecía a US$1.\nEl primer ministro de Islandia ahora está enfrentando pedidos de renuncia. Él dice que no ha quebrado ninguna regla y que su esposa no se benefició financieramente por sus decisiones.\nEsta banca extraterritorial fue usada para invertir millones de dólares de dinero heredado, según un documento firmado en 2015 por la esposa de Gunnlaugsson, Anna Sigurlaug Pálsdóttir.\n\"De forma intachable\"\nAdemás de lo anterior, Mossack Fonseca proporcionó una persona que alegó ser dueño de US$1,8 millones para que el verdadero dueño pudiera cobrarlos en efectivo sin revelar su identidad.\nMossack Fonseca dice que siempre ha cumplido con los protocolos internacionales para asegurarse que las compañías que incorporan no son usadas para evasión de impuestos, lavado de dinero, financación de terrorismo u otros fines ilícitos.\nLa compañía afirma que opera con la debida diligencia y que lamenta cualquier mal uso de sus servicios.\n\"Por 40 años Mossack Fonseca ha operado de forma intachable en nuestro país y otras jurisdicciones donde tenemos operaciones. Nuestra firma nunca ha sido acusada en conexión con actividades delictivas\".\n\"Si detectamos actividades sospechosas o malos comportamientos, informamos de forma rápida a las autoridades. De forma similar, cuando las autoridades nos contactan con evidencia de un posible mal comportamiento, siempre cooperamos de manera completa con ellos\".\nMossack Fonseca dice que las empresas extraterritoriales están disponibles a lo largo del mundo y que se utilizan para una variedad de fines legítimos.",
"url": "http://www.bbc.com/mundo/noticias/2016/04/160403_internacional_panama_confidencial_mossack_fonseca_ap",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20160406014704/http://www.bbc.com/mundo/noticias/2016/04/160403_internacional_panama_confidencial_mossack_fonseca_ap"
},
{
"language": "en",
"title": "What you need to know about the Panama Papers",
"text": "What is Mossack Fonseca?\nIt is a Panama-based law firm whose services include incorporating companies in offshore jurisdictions such as the British Virgin Islands. It administers offshore firms for a yearly fee. Other services include wealth management.\nWhere is it based?\nThe firm is Panamanian but runs a worldwide operation. Its website boasts of a global network with 600 people working in 42 countries. It has franchises around the world, where separately owned affiliates sign up new customers and have exclusive rights to use its brand. Mossack Fonseca operates in tax havens including Switzerland, Cyprus and the British Virgin Islands, and in the British crown dependencies Guernsey, Jersey and the Isle of Man.\nHow big is it?\nMossack Fonseca is the world’s fourth biggest provider of offshore services. It has acted for more than 300,000 companies. There is a strong UK connection. More than half of the companies are registered in British-administered tax havens, as well as in the UK itself.\nHow much data has been leaked?\nA lot. The leak is one of the biggest ever – larger than the US diplomatic cables released by WikiLeaks in 2010, and the secret intelligence documents given to journalists by Edward Snowden in 2013. There are 11.5m documents and 2.6 terabytes of information drawn from Mossack Fonseca’s internal database.\nAre all people who use offshore structures crooks?\nNo. Using offshore structures is entirely legal. There are many legitimate reasons for doing so. Business people in countries such as Russia and Ukraine typically put their assets offshore to defend them from “raids” by criminals, and to get around hard currency restrictions. Others use offshore for reasons of inheritance and estate planning.\nAre some people who use offshore structures crooks?\nYes. In a speech last year in Singapore, David Cameron said “the corrupt, criminals and money launderers” take advantage of anonymous company structures. The government is trying to do something about this. It wants to set up a central register that will reveal the beneficial owners of offshore companies. From June, UK companies will have to reveal their “significant” owners for the first time.\nWhat does Mossack Fonseca say about the leak?\nThe firm won’t discuss specific cases of alleged wrongdoing, citing client confidentiality. But it robustly defends its conduct. Mossack Fonseca says it complies with anti-money-laundering laws and carries out thorough due diligence on all its clients. It says it regrets any misuse of its services and tries actively to prevent it. The firm says it cannot be blamed for failings by intermediaries, who include banks, law firms and accountants.\nPanama Papers reporting team: Juliette Garside, Luke Harding, Holly Watt, David Pegg, Helena Bengtsson, Simon Bowers, Owen Gibson and Nick Hopkins",
"url": "http://www.theguardian.com/news/2016/apr/03/what-you-need-to-know-about-the-panama-papers",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20160403175128/http://www.theguardian.com/news/2016/apr/03/what-you-need-to-know-about-the-panama-papers"
},
{
"language": "en",
"title": "What you need to know about the Panama Papers",
"text": "What is Mossack Fonseca?\nIt is a Panama-based law firm whose services include incorporating companies in offshore jurisdictions such as the British Virgin Islands. It administers offshore firms for a yearly fee. Other services include wealth management.\nWhere is it based?\nThe firm is Panamanian but runs a worldwide operation. Its website boasts of a global network with 600 people working in 42 countries. It has franchises around the world, where separately owned affiliates sign up new customers and have exclusive rights to use its brand. Mossack Fonseca operates in tax havens including Switzerland, Cyprus and the British Virgin Islands, and in the British crown dependencies Guernsey, Jersey and the Isle of Man.\nHow big is it?\nMossack Fonseca is the world’s fourth biggest provider of offshore services. It has acted for more than 300,000 companies. There is a strong UK connection. More than half of the companies are registered in British-administered tax havens, as well as in the UK itself.\nHow much data has been leaked?\nA lot. The leak is one of the biggest ever – larger than the US diplomatic cables released by WikiLeaks in 2010, and the secret intelligence documents given to journalists by Edward Snowden in 2013. There are 11.5m documents and 2.6 terabytes of information drawn from Mossack Fonseca’s internal database.\nAre all people who use offshore structures crooks?\nNo. Using offshore structures is entirely legal. There are many legitimate reasons for doing so. Business people in countries such as Russia and Ukraine typically put their assets offshore to defend them from “raids” by criminals, and to get around hard currency restrictions. Others use offshore for reasons of inheritance and estate planning.\nAre some people who use offshore structures crooks?\nYes. In a speech last year in Singapore, David Cameron said “the corrupt, criminals and money launderers” take advantage of anonymous company structures. The government is trying to do something about this. It wants to set up a central register that will reveal the beneficial owners of offshore companies. From June, UK companies will have to reveal their “significant” owners for the first time.\nWhat does Mossack Fonseca say about the leak?\nThe firm won’t discuss specific cases of alleged wrongdoing, citing client confidentiality. But it robustly defends its conduct. Mossack Fonseca says it complies with anti-money-laundering laws and carries out thorough due diligence on all its clients. It says it regrets any misuse of its services and tries actively to prevent it. The firm says it cannot be blamed for failings by intermediaries, who include banks, law firms and accountants.\nPanama Papers reporting team: Juliette Garside, Luke Harding, Holly Watt, David Pegg, Helena Bengtsson, Simon Bowers, Owen Gibson and Nick Hopkins",
"url": "http://www.theguardian.com/news/2016/apr/03/what-you-need-to-know-about-the-panama-papers",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20160403175128/http://www.theguardian.com/news/2016/apr/03/what-you-need-to-know-about-the-panama-papers"
}
] |
de | Pegida oder Vangelis? – das ist hier die Frage |
Der griechische Komponist Vangelis
Die rechtspopulistische Bürgerbewegung Pegida aus Dresden hat zum Jahresende eine Hymne veröffentlicht. Pegida wurde vor über einem Jahr am 19. Dezember 2014 in der sächsischen Landeshauptstadt gegründet, die Hymne mit dem Titel „Gemeinsam sind wir stark!“ erschien zum Jahrestag. In den Medien wird teilweise sehr abfällig über die Melodie der Hymne und den nicht vorhandenen Liedtext geschrieben. Das Musikstück dauert etwa etwa fünf Minuten und ist rein instrumental. Es beginnt mit einer kurzen Introduktion eines Soloklaviers. Danach folgt etwas, das sehr stark an die Titelmelodie des Films „1492: Conquest of Paradise“ erinnert. Sogar der Solopart des Klaviers wurde offenbar als Vorbild genommen. Der griechische Filmkomponist Vangelis machte diese Einlage nach etwa 3:50 Minuten in seinem Originalstück, das etwa eine Minute länger als die Hymne von Pegida dauert. Wer der Komponist der Hymne ist, wurde bisher nicht bekannt. Ein Ausschnitt ist auf Youtube zu hören.
Sympathisanten der Pegida-Bewegung vergleichen die nach ihrer Ansicht gefährlich anwachsenden Einflüsse des Islam in Europa mit der Eroberung Amerikas durch die Europäer und sprechen von einem drohenden kulturellen Umbruch. Das ist wahrscheinlich auch der Grund, weshalb eine Melodie in Anlehnung an den Historienfilm entstanden ist. Eine Umfrage im Januar 2015 ergab, dass eine Mehrheit der Deutschen den Islam für eine Gefahr hält. Hartnäckig verbreitet sich das Gerücht, Saudi-Arabien wolle weitere 200 Moscheen in Deutschland finanzieren und damit den gegenwärtigen Bestand verdoppeln. Dass die kritische Pegida-Bewegung in Dresden ihren Ursprung hat, lässt sich auch damit erklären, dass 80 Prozent der Stadtbevölkerung konfessionslos ist und zu Religionen eher ein distanziertes Verhältnis hat.
Datei:Landing of Columbus (2).jpg|Die Eroberung Amerikas - das Thema des Films
Datei:Sehitlik2 Moschee Berlin.JPG|Eine der größten Moscheen mit 1500 Plätzen steht in Berlin
Datei:100130 150006 Dresden Frauenkirche winter blue sky-2.jpg|Die evangelische Frauenkirche in Dresden
| [
"Themenportal Politik",
"Themenportal Kultur",
"Themenportal Medien"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Pegida-Hymne - Soundtrack des besorgten Bürgers",
"text": "29. Dezember 2015, 18:09 Uhr Pegida-Hymne Soundtrack des besorgten Bürgers\nFeedback\nAnzeige\nPegida verkauft seine Hymne nun auf Amazon. Der Komponist möchte anonym bleiben. Aus gutem Grund.\nVon Deniz Aykanat\nDas ganze, also wirklich das ganze Geld geht in Deutschland ja für den Unterhalt von Flüchtlingen drauf. Für eine kleine feine islamfeindliche Bewegung bleibt da einfach nichts übrig. Muss man sich eben selbst helfen, dachte sich vermutlich Pegida-Mitgründer Lutz Bachmann. Seit 21. Dezember kann man für schlappe 1,29 Euro den Soundtrack des besorgten Bürgers auf Amazon herunterladen, die original Pegida-Hymne mit dem Titel \"Gemeinsam sind wir stark!\". Zuvor hatte Bachmann das musikalische Kleinod gratis auf seiner Facebook-Seite zum Download angeboten. Aber warum nicht ein bisschen Kohle damit machen?\nFür Text hat es aber nicht gereicht. Stattdessen ertönt eine Mischung aus pathetischem Instrumental und summendem Männerchor, der außer langen Mmmms nichts bietet. Erinnert stark an die Titelmelodie von \"Conquest of Paradise\" mit Gerard Depardieu. In dem Historienfilm von Ridley Scott geht es um die Entdeckung Amerikas durch Christoph Columbus. Das ist nur recht und billig. Um nichts weniger Bedeutsames geht es auch den Pegidisten, nämlich bekanntlich um die Rettung des Abendlandes.\nDieses Unterfangen muss passend instrumentiert werden. Und Pegida hatte schon immer ein Faible für Inszenierung. Warum wohl hält sich die Bewegung gerade in Dresden so hartnäckig? Weil die Semperoper die perfekte Kulisse ist. Die perfekte Hymne ist den Pegidisten aber nun nicht gelungen. \"Gemeinsam sind wir stark!\" führt eher zu Lachkrämpfen als zu Gemeinschaftsgefühl. Das zeigen auch die Kommentare und Kritiken auf Amazon:\nUser Christoph etwa schreibt: \"Bin sehr enttäuscht, auch nach mehrmaligem Anhören, fühle ich mich nicht deutscher als vorher. Werde von meinem Recht auf Rücksendung Gebrauch machen.\"\nAnzeige\nUser SL findet die neue Hymne ganz wunderbar: \"Hab ich Zahnschmerzen, höre ich dieses Lied. Dann sind die Zahnschmerzen nur noch die zweitschlimmste Pein.\"\nDer Komponist der Hymne möchte Lutz Bachmann zufolge anonym bleiben.",
"url": "http://www.sueddeutsche.de/politik/pegida-hymne-soundtrack-des-besorgten-buergers-1.2799873",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20151230064540/http://www.sueddeutsche.de/politik/pegida-hymne-soundtrack-des-besorgten-buergers-1.2799873"
},
{
"language": "de",
"title": "Pegida-Hymne stürmt trotz Spott die Musik-Charts",
"text": "So hatte sich das Pegida-Initiator Lutz Bachmann sicherlich nicht vorgestellt. Die Pegida-Hymne \"Gemeinsam sind wir stark!\", die Bachmann bereits am 22. Dezember auf seiner Facebook-Seite kostenlos zum Download feilgeboten hatte, wird im Netz als Lachnummer verspottet.\nSeit etwa einer Woche gibt es das Lied, mit dem die Islamkritiker ihr einjähriges Bestehen feiern, bei Amazon zu kaufen. Die rechtsextreme Bewegung versucht offenbar, an Geld zu kommen. Statt wohlwollender Kommentare besorgter Bürger erntet das lediglich aus getragenen Klängen und summenden Männerstimmen bestehende Lied jedoch vor allem Hohn und Spott.\nMehr als 600 \"Kunden\" gaben bereits ihre Stimme ab. Die wenigsten dürften echte Anhänger von Pegida sein. Die Zahl der Sterne, mit der die Nutzer die \"Hymne\" bewerten, beschränkt sich auf einen oder fünf – was nur auf den ersten Blick überrascht. Denn auch die Bestbewertungen mit fünf Sternen sind nach kurzem Durchlesen häufig eindeutig ironisch gemeint.\n\"Für das Geld hole ich mir lieber einen Döner!\"\nSo schreibt etwa ein User mit dem Nutzernamen \"Ubuntu\": \"Ich danke so sehr den Schöpfern dieses Stückes. Es ist nicht nur textlich und musikalisch extremst ausdrucksvoll, sondern hat auch erhebende, gar magische Wirkungen gezeigt. Wir haben es Omi Elfriede immer wieder vorgespielt, die seit ihrem Schlaganfall die Arme nicht mehr rühren konnte. Plötzlich zuckte der rechte Arm und wie von Geisterhand gezogen, schwebte er steil rechts nach oben.\"\nAuch Amazon-Nutzer Chris Maxim Hoffmann versetzt Pegida einen Seitenhieb: \"Für das Geld hole ich mir lieber einen Döner!\"\nUnd \"Party-Idiot äh Patriot\" beschwert sich: \"Leider funktioniert das Produkt nicht. Ich habe das Lied mehrfach mit meinen Freunden angehört, leider wurden wir weder stärker noch deutscher.\"\nRezensent \"Dorian Gray\" schreibt: \"Super, pünktlich zu Weihnachten gibt es alle Argumente der Pegidas auch in musikalischer Form, gesammelt in einer einzigen, glorreichen Hymne, die auch die verbissensten Gutmenschen verstummen lassen sollte ... ,Mmmmm mmmmmmmhhh, mmmmmm mmmmmhhhhh. Mmmm mmmmhhhhhh. Mmmmm mmmmhhhhh!'\"\nUser \"Franky\" schlägt in die gleiche Kerbe: \"Wahnsinn, umwerfend, monumental. Vor allem auch der Text: 'Lala Lalalala Lala', echte Lyrik, die aber die zu erwartenden Interpreten trotzdem nicht überfordert. Haydn und von Fallersleben können einpacken!\"\n\"Au backe, ist das übel\"\nAndere Hörer verpacken ihre Kritik nicht, sondern urteilen deutlich und direkt: \"Wenn das die Kultur ist, die es zu schützen gilt, dann bleibe ich Kulturbanause. Au Backe, mein Zahn, ist das übel\" schreibt etwa Hermann Wittenbrink.\nAuf YouTube wird das Stück ebenfalls abgewatscht. \"Diese 'Hymne' ist wirklich wie PEGIDA! Schwülstiges Pathos versucht fehlende Inhalte und intellektuell-argumentative Defizite zu kaschieren. Funktioniert aber leider nicht ...\", kommentiert Sebastian Wickert. \"GloriousDeeJay\" fügt hinzu: \"An dem abrupten Ende sollte sich PEGIDA mal ein Beispiel nehmen.\"\nTrotz aller Kritik und Zynismus in den Bewertungen – die Anhänger und Sympathisanten von Pegida kaufen den Song offenbar fleißig. Im Amazon-Bestsellerranking rangiert er inzwischen auf Platz 26.\nLutz Bachmann verkauft die Spottbewertungen und die Aufmerksamkeit, die dem Lied dadurch zuteilwird, als Erfolg. Auf Facebook schreibt er: \"Dank der unzähligen Rezensionen von den linken Nullcheckern ist unsere Reichweite derart gestiegen und unsere Suchbegriffe sind derart oft geklickt, dass die Verkäufe offensichtlich steigen und wir mittlerweile Platz 1 der Download-Charts bei Soundtracks und Platz 61 insgesamt (ALLER SONGS) belegen.\"",
"url": "http://www.welt.de/politik/article150414896/Pegida-Hymne-stuermt-trotz-Spott-die-Musik-Charts.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20151229232729/http://www.welt.de/politik/article150414896/Pegida-Hymne-stuermt-trotz-Spott-die-Musik-Charts.html"
},
{
"language": "de",
"title": "Religionsmonitor: 57 Prozent der Deutschen fühlen sich vom Islam bedroht",
"text": "Religionsmonitor : 57 Prozent der Deutschen fühlen sich vom Islam bedroht\nDie Deutschen halten sich für tolerant, doch nur jeder Vierte sieht den Islam als Bereicherung. Nach einer Studie der Bertelsmann-Stiftung überwiegen Skepsis und Ängste. von Raoul Löbbert\nEine Mehrheit der Deutschen hält den Islam für gefährlich, viele sympathisieren mit den Parolen der Organisation \"Patriotische Europäer gegen die Islamisierung des Abendlandes\" (Pegida). Das ist das Ergebnis einer Sonderauswertung des \"Religionsmonitors\" der Bertelsmann-Stiftung, der am heutigen Donnerstag veröffentlicht wird. Die Befragung wurde vor dem Anschlag auf die Redaktion von Charlie Hebdo durchgeführt, der die Debatte über Islamismus in Europa weiter anheizen könnte.\nLaut der Umfrage sehen 57 Prozent der Deutschen im Islam eine Bedrohung. 40 Prozent fühlen sich wie \"Fremde im eigenen Land\" und 24 Prozent würden Muslimen am liebsten ganz die Zuwanderung nach Deutschland verbieten.\nAnzeige\nDabei unterscheiden die Deutschen kaum zwischen Islam und Islamisten, zwischen gut integrierten Muslimen und Fanatikern. Lediglich ein Viertel der Deutschen nimmt den Islam als Bereicherung war. Der Islam ist damit die Religion mit dem mit Abstand schlechtesten Image in Deutschland.\nWoher kommen diese negativen Einschätzungen? Schließlich hält sich eine Mehrheit der Deutschen – auch das ist ein Ergebnis der Studie – für tolerant. Sind die Deutschen also blind für die eigenen Vorurteile, wenn es um das Thema Islam geht? Ja, sagt Kai Hafez, Kommunikationswissenschaftler der Universität Erfurt und Co-Autor der Bertelsmann-Studie in einem Interview mit der ZEIT-Beilage Christ & Welt. \"Die Islamwahrnehmung hinkt eindeutig hinter der Akzeptanzfähigkeit der postmodernen liberalen Gesellschaft hinterher.\" Aller realen oder nur eingebildeten Toleranz zum Trotz bleibe der Islam \"eine Art Restfeindbild unserer aufgeklärten Gesellschaft\", so Hafez.\nMedien berichten oft nur über Salafisten\nIslamfeindlichkeit ist nicht erst seit Pegida in allen politischen Lagern und gesellschaftlichen Schichten zu finden – bei Rechtskonservativen, in der bürgerlichen Mitte und sogar im linksliberalen Milieu. Und offenbar steigt die Zahl derer, die diese Ansicht vertreten: Waren im Jahr 2012 noch 52 Prozent der Deutschen der Meinung, dass der Islam nicht in die westliche Welt passt, sind es 2014 bereits 61 Prozent.\nDie aktuelle Islamfeindlichkeit der Deutschen lasse sich mittlerweile, so ein Fazit der Studie, mit dem \"Salon-Antisemitismus im 19. Jahrhundert\" vergleichen. Die Islamisten, die die multikulturelle Gesellschaft genauso ablehnen wie viele Demonstranten in Dresden, dürften von dieser Entwicklung profitieren: Sie spekulieren darauf, dass sich die Muslime in Deutschland radikalisieren, wenn sie sich zunehmenden Vorurteilen, Beleidigungen und Repressionen ausgesetzt sehen.\nIst es in dieser aufgeladenen Situation trotzdem möglich, der Spaltung der Gesellschaft entgegenzuwirken? Der Kommunikationswissenschaftler Kai Hafez sieht vor allem die Medien in der Pflicht. Sie hätten in der Vergangenheit zu negativ und verzerrt über den Islam berichtet. Sie seien somit mit schuld, dass viele Menschen in Deutschland \"vom Islam nichts anderes als IS, Gewalt und Salafisten\" kennen würden und lediglich die Unterdrückung der Frau und die Ablehnung demokratischer Werte mit der Religion verbinden. Dabei sind viele in Deutschland geborene Muslime der zweiten und dritten Generation, so ein weiteres Ergebnis der Studie, zwar in der Tat religiöser als ihre Eltern, bekennen sich jedoch in der großen Mehrheit zu den Werten des Grundgesetzes und der Demokratie.\nDoch wollen die Deutschen überhaupt eine differenzierte und an überprüfbaren Fakten orientierte Berichterstattung über den Islam? Verfangen bei Ihnen noch Berichte über gelungene Integration und Nachrichten, die nichts beschönigen, aber auch nichts dramatisieren? Wer in Dresden bei den Pegida-Protesten die Menschen darauf hinweist, dass es mehr Demonstranten als Muslime in Sachsen gibt, dem singt der Pegida-Chor sein Lied von der \"Lügenpresse\" und marschiert einfach weiter.\nDie Sonderauswertung der Bertelsmann-Stiftung zum Thema Islam bezieht sich auf das deutsche Sample des internationalen Religionsmonitors. Sie wurde durch eine repräsentative Bevölkerungsstichprobe von TNS-Emnid aus dem November 2014 unter 937 Nicht-Muslimen in Deutschland ergänzt.",
"url": "http://www.zeit.de/gesellschaft/zeitgeschehen/2015-01/islam-pegida-islamfeindlichkeit-religionsmonitor",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20150109075118/http://www.zeit.de/gesellschaft/zeitgeschehen/2015-01/islam-pegida-islamfeindlichkeit-religionsmonitor"
},
{
"language": "de",
"title": "Hunderttausende Muslime neu in Deutschland: Mehr Moscheen für islamische Flüchtlinge?",
"text": "Gregor Mayntz (may-) ist Redakteur in der Parlamentsredaktion der Rheinischen Post.\nBesonders in den Gemeinden mit arabischem Hintergrund stellten sich viele Ehrenamtliche in diesen Tagen als \"Übersetzer, Deutschlehrer, Seelsorger und Tröster\" zur Verfügung, berichtet Aiman Mazyek, Vorsitzender des Zentralrats der Muslime in Deutschland. Sie organisierten das Freitagsgebet in Flüchtlingsunterkünften und stellten Schlafplätze in ihren Moscheen zur Verfügung.\nMazyek plädiert für eine doppelte Anstrengung zur schnelleren Integration der vielen Flüchtlinge: Einerseits müsse es viel mehr Deutschkurse geben, am besten mit Software für die Smartphones der Flüchtlinge. Zum anderen sollte das Grundgesetz auf Arabisch zur Verfügung gestellt werden. Auf dieser Grundlage könnten die schon hier lebenden Muslime ihren zugereisten Glaubensbrüdern begreiflich machen, wie diese Gesellschaft \"tickt\".\nDer viel beschworenen Aussicht, dass sich Deutschland durch diese Flüchtlingsbewegung verändern werde, stellt FDP-Chef Christian Lindner ein Festhalten an den unveräußerlichen Kennzeichen einer \"objektiven liberal Wertordnung\" entgegen. \"Nicht Deutschland muss sich zuerst verändern, sondern die Flüchtlinge werden sich verändern müssen\", lautet seine Forderung. Und dabei verweist er nicht zuletzt auf die selbstverständlichen Frauenrechte und die Normalität, als schwules Paar Händchenhaltend durch die Stadt zu flanieren. Einiges sei für manche Muslime durchaus \"gewöhnungsbedürftig\", räumt Mazyek ein.\nIntegrationshilfe mit beträchtlichem Veränderungswillen zeichnete die Hilfe Saudi-Arabiens für die muslimischen Gläubigen in Bosnien nach dem Bürgerkrieg aus. Vor dem blutigen Kämpfen war Sarajewo von einem liberalen Nebeneinander der Religionen geprägt. Nach der Belagerung der Stadt und den Massakern an den vornehmlich muslimischen Zivilisten bestimmen nun zahlreiche hinzugekommene Minarette und Moscheen das Bild einer zu 80 Prozent muslimisch gewordenen Stadt. Viele islamische Eiferer predigen Augenzeugenberichten zufolge zu den Gläubigen. Angeblich ist aus Saudi-Arabien eine Milliarde Dollar in Bosnien investiert worden, um 158 Moscheen, dazu zahlreiche Büchereien und Kindergärten, zu bauen, um den islamischen Einfluss zu festigen.\nAuch die entwurzelten syrischen Glaubensbrüder sollen mit saudischer Hilfe nun eine neue Heimat finden. Nach libanesischen Quellen wollen die Saudis zwar weiterhin keine Flüchtlinge aus der Region in ihrem eigenen Land aufnehmen, aber offenbar Geld für den Bau von 200 zusätzlichen Moscheen in Deutschland bereit stellen.\nUnions-Fraktionsvize Franz Josef Jung, zugleich Religionsbeauftragter von CDU und CSU, lehnt das Ansinnen ab. Saudi-Arabien solle besser Flüchtlinge aufnehmen, wenigstens aber an Stelle von Moscheen in Deutschland Flüchtlingslager in der Region finanzieren. Er begrüße es zudem, wenn muslimische Gemeinden in Deutschland unabhängig seien und sich selbständig aufstellten. Dies trage dazu bei, dass Muslime sich hier zu Hause fühlen und ihren eigenen Weg inmitten unserer Gesellschaft finden könnten. Jung fragt sich in diesem Zusammenhang, \"ob es auf Dauer gut ist, wenn beispielsweise Imame aus dem Ausland finanziert und von dort entsandt werden\". Auch das Predigen auf Deutsch sollte nach Jungs Ansicht Alltag in jeder Moschee werden.\n\"Wenn Saudi-Arabien keine Flüchtlinge aufnehmen möchte, muss es in Deutschland auch nicht durch Moscheebauten eine Art Ablasshandel betreiben\", sagt auch Grünen-Religionsexperte Volker Beck. Wenn das Land sich humanitär zeigen wolle, müsse es Geld für Flüchtlinge unabhängig von Herkunft und Religion zur Verfügung stellen. \"Alles Andere ist zynisch\",. so Beck.\nDer Grünen-Politiker erinnert daran, dass der Zentralrat der Juden in den letzten 25 Jahren dabei unterstützt worden sei, russische Kontingentflüchtlinge zu integrieren. Ähnliches müsse nun für die Integration von Muslimen für die Moscheegemeinden und muslimischen Organisationen gelten. \"Die Deutsche Islamkonferenz sollte dafür der Ort der Debatte sein\", sagt Beck und regt eine Sondersitzung an. Zuständig dafür wäre der Innenminister, von dem jedoch \"bislang wenig Sinnvolles\" gekommen sei.\nDie SPD-Religionsbeauftragte Kerstin Griese sieht für die Integration muslimischer Flüchtlinge nicht in erster Linie den Bau von Moscheen. \"Das ist keine Frage der Gebäude, sondern der Menschen, die bei uns in Deutschland für den Islam stehen und ihn verkünden.\" sagt Griese. Es sei besonders wichtig, islamischen Religionsunterricht in allen Schulen anzubieten und die universitäre Ausbildung von Imamen und Islamwissenschaftlern auszuweiten. \"Dabei kann uns Saudi-Arabien in keiner Weise helfen\", stellt Griese klar.\nQuelle: RP",
"url": "http://www.rp-online.de/politik/mehr-moscheen-fuer-islamische-fluechtlinge-aid-1.5413771",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20150926073239/http://www.rp-online.de/politik/mehr-moscheen-fuer-islamische-fluechtlinge-aid-1.5413771"
},
{
"language": "de",
"title": "Saudi-Arabien will keine Moscheen in Deutschland bauen",
"text": "200 Moscheen wolle Saudi-Arabien in Deutschland bauen lassen und die Bundesrepublik so in der Flüchtlingskrise unterstützen - so lautet eine Schlagzeile, die in den letzten Tagen für Furore sorgte. Nun hat die saudische Botschaft die Berichte dementiert. Saudi-Arabien habe nicht die Absicht, Moscheen in Deutschland zu errichten.\nBereits im September habe das Außenministerium in Riad eine Pressemitteilung veröffentlicht, um den Gerüchten entgegenzutreten, schreibt nun die Botschaft. Der Golfstaat sei ebenso wie Deutschland daran interessiert, der Radikalisierung von jungen Menschen entgegenzuwirken. \"Derartige bewusst lancierten Meldungen schaffen ein Klima des Hasses gegenüber dem Königreich Saudi-Arabien. Dafür darf es keinen Raum geben,\" heißt es aus der saudischen Botschaft in Berlin.\nIn der \"Bild am Sonntag\" warnte Vizekanzler Sigmar Gabriel (SPD) Saudi-Arabien davor, religiösen Extremismus in Deutschland zu unterstützen. Man sei zur Lösung der regionalen Konflikte zwar auf Saudi-Arabien angewiesen. \"Wir müssen den Saudis aber zugleich klarmachen, dass die Zeit des Wegschauens vorbei ist.\"",
"url": "http://www.spiegel.de/politik/deutschland/saudi-arabien-will-keine-moscheen-in-deutschland-bauen-a-1066391.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20151208071900/http://www.spiegel.de/politik/deutschland/saudi-arabien-will-keine-moscheen-in-deutschland-bauen-a-1066391.html"
}
] |
es | TeleSUR inicia transmisiones en directo |
La cadena noticiosa teleSUR inició este 31 de octubre transmisiones en directo. Anteriormente emitía programas grabados. En sus primeros días en directo, tuvo como noticias centrales la tensa situación en Bolivia y la IV Cumbre de Las Américas en Argentina.
La señal de teleSUR llega a 15 países a través de 53 servicios de televisión por suscripción, así como por cinco estaciones libres. TeleSUR es una iniciativa apoyada por los gobiernos de Argentina, Cuba, Brasil, Uruguay y Venezuela con el propósito de contrarestar la avanzada cultural llevada a cabo por las cadenas noticiosas estadounidenses que transmiten en español y que algunos califican como propaganda.
Recién iniciadas sus emisiones de prueba, teleSUR ya era tema de polémica. Sitios como ''aporrea.com'' de Venezuela apoyan la iniciativa sin restricciones indicando que llenará el vacío noticioso producido por los monopolios internacionales de la información. Otros ven en esta iniciativa una réplica a nivel latinoamericano de las máquinas de propaganda que tiene montadas el gobierno venezolano en los canales de televisión del estado.
| [
"Arte, cultura y entretenimiento",
"Televisión",
"Sociedad",
"Periodismo",
"Sudamérica",
"Venezuela"
] | [
{
"language": "es",
"title": "aporrea.org",
"text": "TELE SUR es una apuesta a la integración de los pueblos a través de la comunicación, el reencontrarnos, el enamorarnos de nosotros mismos a través del conocimiento, volver la mirada hacia nosotros como quien vuelve la mirada al espejo y lograr ver su propio reflejo. En fin todo un proceso que apuesta a la dignidad y la vida.\nPero si bien es cierto que creemos en esta apuesta ¿no les parece que a esta mesa le falta una pata? la instalación del consejo asesor del canal formada por importantes figuras del ambiente intelectual, cultural, cinematográfico y periodístico, tienen una debilidad con respecto al concepto de la propuesta que significa TELE SUR, carece de la esencia de este proyecto, que es la integración. Participación y reivindicación de los que han sido excluidos y mantenidos invisibles por un sistema comunicacional perverso ¿Por que digo esto? ¿No se han dado cuenta que no existe un indígena en este consejo? ¿No se han dado cuenta que la participación de la mujer vuelve a ser minoritaria? Y la presencia de nuestra raza negra ¿dónde esta? Claro esta el Sr. Danny Glover pero como que no hay equilibrio ¿Y los comunicadores comunitarios? Es mas vamos a ir mas lejos ¿y los videastas? Sin renegar la presencia de estudiosos intelectuales creo (con todo el respeto que se merecen) que su nivel de intelectualidad los lleva (sin ser esto una norma estricta) alejarse de algunas realidades que los colectivos de las bases tienen a flor de piel. Por ser parte ella, me parece y espero no caer en juicios adelantados pero a esta mesa de verdad le falta una pata. Creo que el consejo asesor debe ser más amplio, permitir mayor participación de la base y de sus propios procesos que muchas veces no salen en los libros sino que son vivénciales, tenemos suficientes experiencias organizativas, de comunicación y políticas como para pasarlas por alto y pretender que los grandes estudiosos puedan saber de ellas o simplemente entenderlas. Como no todo puede ser una critica que quede allí para que solo sirva de comentario y no trascienda, la propuesta va dirigida a mecanismos permanentes de participación real de experiencias, organizaciones y voluntades de nuestros pueblos que son los que al final construyen este proceso de cambio que simplemente les pertenece, y no puedo pasar por alto dejar de nombras algunas experiencias que deben tomarse en cuenta los colectivos cooperativista de Uruguay, el movimiento los sin tierra del Brasil, los movimientos indígenas con todas sus representaciones culturales y étnicas, movimientos campesinos, colectivos anarquistas, el importante movimiento obrero, la comunicación alternativa, libre y comunitaria, la mujeres, etc. etc.\nEl llamado es a la verdadera integración, TELE SUR debe ser una Televisión Socialista, integracionista y llamada a ser punta de lanza de este nuestro proceso revolucionario. Contador no visible en el navegador que usted usa.",
"url": "http://www.aporrea.org/dameletra.php?docid=15731",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20051001090705/http://aporrea.org/dameletra.php?docid=15731"
}
] |
en | Drunk coach driver arrested after crash injures at least 30 |
A National Express Coach similar to the one involved in the crash.
The driver of a National Express coach has been arrested on suspicion of Drunk Driving and Dangerous Driving after his coach clipped the curb and overturned, hitting a lamp post and tree, at Newport Pagnell services, in Buckinghamshire, United Kingdom, at around 16:00 BST.
Six of the 33 passengers were seriously injured and another 24 sustained minor injuries on the 777 service carrying holiday makers from Birmingham to London Stansted. First Aid was administered by the staff at the services before the 15 ambulances and 4 air ambulances arrived at the scene.
After firefighters arrived at the scene it took them 40 minutes to remove the driver from the wreckage on the entrance slip to the services and the scene remains closed as investigation work continues.
It is the second recent incident involving a National Express coach, the previous involving the overturning of a double decker coach which caused the death of three passengers.
| [
"United Kingdom",
"Transport",
"Crime and law",
"Disasters and accidents",
"Dangerous driving"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Bus driver arrested over M1 crash",
"text": "The National Express bus clipped a kerb and rolled over as it entered Newport Pagnell services, Buckinghamshire, at about 1600 BST.\nThere were 33 passengers on the Birmingham to Stansted coach, and 30 of them were hurt, six seriously.\nPolice made the arrest after the driver was cut from the wreckage.\nThe M1 remained open, but the entry to the service station was closed following the crash.\nThe coach hit a lamppost and a tree as it overturned, said a spokesman for Welcome Break, which operates the service area.\nFirst aid was given to casualties by staff members, he added.\nGeoff Bottle, of Milton Keynes fire service, said firefighters had taken 40 minutes to free the trapped coach driver.\nSome passengers used a skylight to escape from the vehicle.\nRoad and air ambulances took casualties to hospitals in Milton Keynes and Oxford.\nKirsty Plummer, a passenger, told BBC news: \"I wasn't wearing my seatbelt at first and we were just swerving all over the place and going around corners really fast, so I put my seatbelt on and then just as we did, it come around the corner and crashed into something.\"\nDoor kicked open\nJaiden McClaine, another passenger, said: \"As we went round the corner into the services the coach went right up in the air and turned over, passengers were shouting and screaming.\n\"One man kicked open a door and I got out.\"\nIn a statement, National Express said the coach was the 777 service travelling from Birmingham Digbeth to Stansted Airport, with 33 passengers on board.\nThe coach left Birmingham at 1400 BST to go to Luton Airport and was to due arrive at Stansted Airport at 1755 BST. It had also stopped at Coventry.",
"url": "http://news.bbc.co.uk/1/hi/england/beds/bucks/herts/6976962.stm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080408133057/http://news.bbc.co.uk/1/hi/england/beds/bucks/herts/6976962.stm"
},
{
"language": "en",
"title": "InYourArea",
"text": "Community\nIt’s now easier than ever to connect and chat with others in your local area. You can connect with your community by asking general questions, give area updates and recommendations and even let your community know about local events that are taking place.",
"url": "http://www.mk-news.co.uk/mknews/DisplayArticle.asp?ID=134768",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20210317192403/https://www.inyourarea.co.uk/"
}
] |
es | El Parlamento británico comienza a debatir sobre el acuerdo del Brexit |
El martes, el comenzó una serie de debates de cinco días previos a la votación del acuerdo de la primera ministra, , sobre la salida del país de la Unión Europea. Los que se debate es el acuerdo de retiro del Reino Unido de la Unión Europea y un marco político que define los objetivos para el futuro de la relación entre la comunidad europeo y el país británico.
En una declaración a la , May aseguró que "Pasé casi dos años negociando este acuerdo ... Perdí valiosos colegas a los largo de este proceso y enfrenté críticas feroces de todos lados. Si hubiera dado un golpe en la mesa, terminado las conversaciones y, al final del proceso, entregado el mismo acuerdo que está frente a nosotros en este momento, algunos podrían haber dicho que hice un mejor trabajo".
Luego de los debates, se votará en la Cámara de los Comunes para decidir si se implementará o no el acuerdo. La votación está programada para realizarse el próximo martes, 11 de diciembre.
=== Noticias relacionadas ===
*
*
| [
"Europa",
"Política",
"Economía y Negocios"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Brexit deal: How MPs debate and vote will work",
"text": "Image copyright Getty Images\nTime is ticking towards D-day for Theresa May on 11 December, when the House of Commons will deliver its verdict on her Brexit deal.\nMost political observers agree that the prime minister currently does not have the numbers to get it through Parliament. But before any voting takes place, MPs will have to fill five days of debate on the deal, starting on Tuesday.\nWhat will they be debating?\nAlthough MPs can cover all the issues dealt with in Theresa May's deal, technically they will be debating a single - very long - sentence:\nThat this House approves for the purposes of section 13(1)(b) of the European Union (Withdrawal) Act 2018, the negotiated withdrawal agreement laid before the House on Monday 26 November 2018 with the title 'Agreement on the withdrawal of the United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland from the European Union and the European Atomic Energy Community' and the framework for the future relationship laid before the House on Monday 26 November 2018 with the title 'Political Declaration setting out the framework for the future relationship between the European Union and the United Kingdom'.\nAccording to law, the House of Commons has to \"approve\" this motion before we can proceed to the implementation of the Brexit deal. This complicated sentence fulfils that requirement, but if MPs end up amending/replacing the wording, it may no longer count as \"approval\".\nCrucially, the vote is on both the withdrawal agreement - a legally-binding document that includes the controversial Northern Ireland backstop - and the future political framework, a set of broad ambitions for an EU/UK trade deal.\nHow much time will they have?\nThis is ultimately down to MPs themselves, who will be able to debate how to conduct the debate itself.\nThe government has proposed its preferred procedure, which is likely to be accepted. But two MPs have already tabled an amendment to the business motion, calling for an extension to the debate.\nOnce the admin is out of the way, there will be an epic five-day session, poring over the nuts and bolts of the government's withdrawal agreement and political declaration of the future relationship with the EU - and it's not a 9-to-5 job.\nAccording to government plans, there will be eight hours of debate a day for the first four days.\nBut some days in the Commons don't start until mid-afternoon. So on Monday, 10 December, for example, there will be the usual hour of departmental questions before the debate starts around 1530 GMT.\nSo if you plan on watching to the end of day four, be prepared to hit 2330 GMT. And this is assuming there are not any urgent questions or ministerial statements, each of which could push proceedings back by an hour.\nThe Commons sits at different times on different days of the week, so Wednesday might finish at 2100 GMT, while Thursday could be as early as 1900 GMT, if we're lucky.\nWhat's the deal with amendments?\nAccording to the government's proposals, there can be up to six amendments to the motion. Any MP can put down an amendment but it is up to the Speaker - John Bercow - to decide which ones end up being put to the House of Commons.\nThe selection of - and voting on - amendments will not happen until the final day but it will be possible to predict which ones will be selected, based on the weight and breadth of support behind each one.\nAlthough MPs have until the end of the week to put down amendments, we already have a sense of what the challenges to the government's proposals might look like.\nOne amendment, put forward by Labour MP Hilary Benn would reject the deal and push the government to give MPs more power to direct the next steps in an attempt to avoid a 'no deal' scenario.\nLabour has said it will support the amendment, as has the Scottish Nationalist Party's Westminster leader - Ian Blackford MP - who told the BBC on Sunday he expects another amendment to be tabled to extend the Article 50 deadline.\nHow will they vote?\nAt the end of the fifth day of debate - Tuesday, 11 December - MPs will get to vote on amendments before voting on the final motion, whether amended or not. Each vote takes 15 minutes giving MPs enough time to file through either the \"aye\" or \"no\" lobbies.\nAlthough there might be six amendments, that does not mean there will be votes on each of them. Back-room deals, assurances from ministers during the debate, or just pragmatism can lead proposers to decide not to push their amendment to a vote.",
"url": "https://www.bbc.co.uk/news/uk-politics-46400897",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20181205045401/https://www.bbc.co.uk/news/uk-politics-46400897"
},
{
"language": "en",
"title": "Theresa May makes final Brexit plea as debate on deal begins",
"text": "Theresa May has made a final desperate plea to MPs to back what she called the “honourable compromise” of her Brexit deal, but faced having to open a five-day debate in the Commons with her authority further shredded by a series of defeats.\nThe prime minister finally got to her feet just after 5.45pm, immediately after the Commons had backed an amendment giving MPs significantly more power to shape the Brexit process if her deal is defeated. Earlier, they had voted to force ministers to release legal advice on the deal.\nTheresa May opens main Brexit debate after three Commons defeats – Politics live Read more\nAmid a heated atmosphere in the house, May allowed repeated interventions from MPs and took a notably conciliatory line, acknowledging the doubts and worries about her deal from both remainers and those seeking a harder Brexit. But both must accept reality, she said.\nSome in the Commons and more widely would rather stay in the EU, “and want another referendum which they hope would overturn the decision we took in 2016”, May said. “Although I profoundly disagree, they are arguing for what they believe is right for our country, and I respect that. But the hard truth is we will not settle the issue and bring our country back together that way.”\nQuick guide What happens next if May's Brexit deal is voted down? Show Hide If MPs reject the deal, there are seven possible paths the country could go down next.\nMay brings it back to MPs\nPerhaps with minor tweaks after a dash to Brussels. MPs knuckle under and vote it through. May resigns immediately\nIt is hard to imagine her surviving for long. After a rapid leadership contest, a different leader could appeal to a majority in parliament, perhaps by offering a softer deal. Tory backbenchers depose her\nJacob Rees-Mogg gets his way and there is a no-confidence vote. A new leader then tries to assemble a majority behind a tweaked deal. May calls a general election\nMay could choose to take the ultimate gamble and hope that voters would back her deal, over the heads of squabbling MPs. Labour tries to force an election\nThe opposition tables a vote of no confidence. If May lost, the opposition (or a new Conservative leader) would have two weeks to form an alternative government that could win a second confidence vote. If they were unable to do so, a general election would be triggered. A second referendum gathers support\nThis is most likely if Labour makes a last-ditch decision to back it. No deal\nThe EU (Withdrawal) Act specifies 29 March 2019 as Brexit day. Amber Rudd has said she believes parliament would stop a no deal, but it is not clear how it would do so. Photograph: Olivier Hoslet/EPA\nMay repeatedly warned that if her deal were defeated, the choices would be no deal or no Brexit: “Don’t imagine that if we vote this down another deal is going to miraculously appear. The alternative is uncertainty and risk.”\nShe urged MPs against halting or delaying Brexit, and to consider “what forces that would unleash”. She said: “This house voted to give the decision to the British people. This house promised we would honour their decision. If we betray that promise, how can we expect them to trust us again.”\nA sizeable section of the address involved May retrospectively justifying her approach, saying she had “faced down” the EU to secure compromises.\n“I have spent nearly two years negotiating this deal,” she said. “I have lost valued colleagues along the way, I have faced fierce criticism from all sides. If I had banged the table, walked out of the room, and at the end of the process delivered the very same deal that is before us today, some might say that I’d done a better job.”\nThe prime minister ended with an acceptance that her plan would always have to be a compromise: “It speaks to the hopes and desires of our fellow citizens who voted to leave, and those who voted to stay in. And we will not bring our country together if we seek a relationship that gives everything to one side of the argument and nothing to the other.”\n'A better future': May's arguments for Brexit deal – and the reality Read more\nShe added: “If we put aside our differences and remember what unites us, if we broker an honourable compromise in the interests not of ourselves but of those we were sent here to serve, if we come together and do our duty for our constituents, then we will pass the test that history has set for us today.”\nMay’s plea received a withering response from Jeremy Corbyn, who said the plan was excessively vague, meaning the planned transition period was a “bridge to nowhere”.\n“This has been a negotiation with the cabinet, it’s been a negotiation with Conservative MPs, it’s been a negotiation within the Conservative party, that’s where all the concentration has been,” he said.\n“We still don’t know what our long-term relationship with Europe would look like and that’s why so many MPs across parliament are not willing to vote for this blindfold Brexit and take a leap in the dark about Britain’s future.”\nThe earlier drama in the chamber saw the motion of contempt presented by six opposition parties over ministers’ refusal to publish the full legal advice. The shadow Brexit secretary, Keir Starmer, portrayed the issue as a matter of parliamentary sovereignty.\nThe government chose not to vote against an opposition “humble address” motion last month seeking the publication of the advice, as has been its recent habit. This had now, Starmer told MPs, “got them into very deep water indeed”.\nHe said: “The government cannot now come to this house and say, ‘We took a political decision not to oppose the making of the order to publish the full and final legal advice by the attorney general and then we took a decision not to comply with that order, but somehow we are not in contempt of parliament’.”\nThe Commons leader, Andrea Leadsom, said in response that breaking the precedent that legal advice was confidential could lead to MPs requesting material that is damaging to national security.\nShe urged MPs to instead back a government amendment to the motion that would shift the matter to the Commons privileges committee, thus delaying the process.\nHowever, the amendment was defeated by 307 votes to 311. The opposition motion was then passed by 311 to 293.",
"url": "https://www.theguardian.com/politics/2018/dec/04/theresa-may-makes-final-brexit-plea-debate-on-deal-begins",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20181204231114/https://www.theguardian.com/politics/2018/dec/04/theresa-may-makes-final-brexit-plea-debate-on-deal-begins"
},
{
"language": "en",
"title": "PM May suffers setbacks as Brexit debate starts in parliament",
"text": "LONDON (Reuters) - Prime Minister Theresa May suffered embarrassing defeats on Tuesday at the start of five days of debate over her plans to leave the European Union that could determine the future of Brexit and the fate of her government.\nMay wants to secure parliament’s approval for her deal to keep close ties with the EU after leaving in March, but opposition is fierce, with Brexit supporters and opponents alike wanting to thwart or derail her plan.\nOn the first day of debate, before the main vote on Dec. 11, her government was found in contempt of parliament and then a group of her own Conservative Party MPs won a challenge to hand more power to the House of Commons if her deal is voted down.\nThat could reduce the likelihood of Britain leaving the EU without any deal, prompting sterling to recover some of its losses after the vote on contempt drove it down to levels not seen since June last year.\nThe debates and final vote on Dec. 11 will determine how, and possibly even if, Britain leaves the EU as planned on March 29, in the country’s biggest shift in foreign and trade policy in more than 40 years.\nMay’s plans are vulnerable to more change at the end of the debate, and advice from a senior EU legal aide that Britain had the right to withdraw its Brexit notice opened yet another front in her battle to win the approval of parliament.\nMay told parliament: “We need to deliver a Brexit that respects the decision of the British people.\n“This argument has gone on long enough. It is corrosive to our politics and life depends on compromise.”\nIf MPs do not back her deal, May says, they could open the door either to Britain falling out of the EU without measures to soften the transition or to the possibility that Brexit does not happen.\nThe opposition Labour Party said May needed to get a better deal or step aside and let them govern.\n“We still don’t know what our long term relationship with Europe would look like and that’s why so many MPs across parliament are not willing to vote for this blindfold Brexit and take a leap in the dark about Britain’s future,” Labour leader Jeremy Corbyn told parliament.\nAnxious to prevent a “no-deal” Brexit, a group of mainly pro-EU MPs from May’s Conservative Party won a vote to make sure parliament gets more power to dictate any next steps the government takes if her exit plan fails.\nFor them, there may be another way out. The formal advice from a European Court of Justice advocate general - not binding but usually heeded by the court - suggested to some lawmakers that revoking the “Article 50” divorce notice was an option.\n“It’s a false choice to say it’s the PM’s deal or chaos,” said Conservative lawmaker Sam Gyimah, who quit as a minister on Friday over May’s deal. “We should look at all the options and not be boxed in by our own red lines.”\nBut May’s spokesman told reporters: “It does nothing in any event to change the clear position of the government that Article 50 is not going to be revoked.”\nBritain's Prime Minister Theresa May leaves 10 Downing Street, London, Britain, December 4, 2018. REUTERS/Henry Nicholls\nSCAREMONGERING\nIf, against the odds, May wins the Dec. 11 vote, Britain will leave the EU on March 29 on the terms she negotiated with Brussels.\nIf she loses, May could call for a second vote on the deal. But defeat would increase the chances of a “no-deal” exit, which could mean chaos for Britain’s economy and businesses, and put May under fierce pressure to resign.\nBank of England Governor Mark Carney denied accusations of scaremongering after the bank said last week that, under a worst-case Brexit, Britain could suffer greater damage to its economy than during the financial crisis of 2008.\nDefeat for May could also make it more likely that Britain would hold a second referendum on exiting the EU - which would almost certainly require it at least to defer its departure - three years after voting narrowly to leave.\nThe vote against the government over contempt proceedings, won by 311 votes to 293, was a smaller margin than some had predicted.\nBut the government lost the later vote on handing parliament more power by a bigger margin, 321 votes to 299, a move some Brexit campaigners said held little weight as it would not bind the government to take any proposed action.\nMay, 62, has toured Britain, spent hours being grilled in parliament and invited MPs to her Downing Street residence to try to win over her many critics.\nBut the deal has united critics at both ends of the spectrum: eurosceptics say it will make Britain a vassal state while EU supporters take a similar line, saying it will have to obey the rules of membership while foregoing the benefits.\nLeading Brexit advocate Boris Johnson said the deal was a national humiliation and made a mockery of the public’s vote to leave the EU.\nFILE PHOTO: Anti-Brexit demonstrators wave flags outside the Houses of Parliament in London, Britain, November 13, 2018. REUTERS/Toby Melville\nMay’s nominal allies in the Northern Irish DUP have also said they will vote against her deal.\nBut on Tuesday DUP deputy leader Nigel Dodds said, despite voting against the government on the contempt issue, his party’s agreement to support May’s minority government remained in place. “We haven’t broken that,” he told Sky News.",
"url": "https://www.reuters.com/article/uk-britain-eu/pm-may-suffers-setbacks-as-brexit-debate-starts-in-parliament-idUSKBN1O22O1",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20181205010229/https://www.reuters.com/article/uk-britain-eu/pm-may-suffers-setbacks-as-brexit-debate-starts-in-parliament-idUSKBN1O22O1"
}
] |
en | Trailer released for Lordi horror movie |
A short trailer for the movie ''Dark Floors'', a horror starring Finnish theatrical hard rock band Lordi, has been released.
The film, set in a hospital, follows a group of people left trapped by a broken lift as they are attacked by monsters, and focuses heavily on one particular patient, a little autistic girl.
''Dark Floors'', acted in English by a largely Finnish cast, cost €4.2 million (approximately US$6 million) to make. It will make its full premiere in Finland on February 8, 2008, although advance screenings will begin this year.
Lordi recently attended the Cannes Film Festival to promote the movie, where the band's lead vocalist and frontman described it as a "traditional modern horror" and promised "horrific scenes."
| [
"Europe",
"Finland",
"Culture and entertainment",
"Music",
"Film",
"Lordi",
"Autism",
"Iain Macdonald (Wikinewsie)",
"Heavy metal"
] | [
{
"language": "en",
"title": "AFM: Sneak Peek at Train and Dark Floors",
"text": "AFM: Sneak Peek at Train and Dark Floors\nSource: Ryan Rotten\nNovember 5, 2007\nShockTillYouDrop.com has been slavishly bringing you the latest news from the American Film Market where we got early looks at films like(review forthcoming),(a worthy entry in Romero's zombie oeuvre) and. And while many genre offerings there unraveled on the big screen, others played out in abbreviated sales reels to entice potential buyers. We schmoozed our way from room to room at the Loews Hotel in Santa Monica and hustled for horror, putting on a tap dance like a dancing monkey before production company reps hoping we'd be rewarded with a peek at the secret arsenal of atrocities they had tucked away for the future.Shock first got on board for eight minutes from Nu Image's, a loose remake (and we meanas a goose) of Roger Spottiswoode'sstarring Jamie Lee Curtis. What we witnessed was a spoiler-filled highlights riff on the film from beginning to end. No fear. Nothing will be ruined here, but we'll say this: If the original 1980 film was a reflection of the slasher film era, this update by Gideon Raff is undoubtedly a hellspawn of our current state of torture-fed horror. Thora Birch is the final girl this time, one in a pack of student athletes traveling abroad who are nailed (split open, carved, etc.) on the rails by some unfriendly passengers of the foreign variety. Torture doesn't appear to be the motive, what we gleaned appeared to fall more in line withand it's focus on organ harvesting, still,-influences ran rampant throughout scenes of large apron-wearing goons making mince meat out of the young 'uns.of money shots (gore, baby, gore!), an unsettling scene of someone having their exposed vertebrae chiseled and not a lick of David Copperfield in sight. We now see why Raff was so quick to dismiss this film as a straight remake If(pictured) was a starring vehicle for the Finnish rock group Lordi, we wouldn't have known it from the five minutes we were privy to. Quite simply, the movie looks awesome and a conscious attempt to not make a shitty horror film with a group of musicians. The set-up we watched was simple: A father visits his ailing autistic daughter in the hospital and wheels her into a full elevator of folks in an attempt to remove her from the facility. When the elevator doors open, however, the hospital is a quiet tomb. But time proves this remaining group is not alone and they're being stalked by a band of monstrous beings - enter Lordi, but again, we barely got to see them in the preview. The atmosphere is thick (reminiscent of the \"Silent Hill\" games) and the tone is being played straight and sharp as a razor. Don't write this one off yet, fiends!",
"url": "http://www.shocktillyoudrop.com/news/afmnews.php?id=3365",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20071106082717/http://www.shocktillyoudrop.com/news/afmnews.php?id=3365"
},
{
"language": "en",
"title": "LORDI: Official 'Dark Floors' Teaser Available",
"text": "Remember Me\nHELLSHOCK\n\"Shadows of the Afterworld\"\nBIGELF\n\"Hex\"\nJAPANISCHE KAMPFHÖRSPIELE\n\"Rauchen und Yoga\"\nELECTRIC WIZARD\n\"Witchcult Today\"\nVESANIA\n\"Distractive Killusions\"\nLast Updated: December 20, 2007 11:53 PM\nLORDI: Official 'Dark Floors' Teaser Available - Nov. 5, 2007 \"Dark Floors\" — the feature film starring the Finnish \"monster\" metal band LORDI — can be viewed below.\nThe plot summary is as follows: Concerned for her autistic daughter's health, a father sees her removal from the hospital by force as the only option. An elevator breakdown prevents a smooth exit and renders them trapped with others. Yet the incident is only the beginning of a descent into nightmare. As the doors open, the hospital appears mysteriously deserted. When mutilated bodies are found, creatures from a dark world start a frightening attack. It soon becomes clear that the survival of the group may rest solely on the little girl.\n\"Dark Floors\" was shot in Finland at a cost of 4.2 million euros (approximately $6 million), according to Screen Daily.\nThe film, which features a largely Finnish cast, will premiere in the country on February 8, 2008.\nLORDI recently introduced the film at the Cannes Film Festival.\nThe movie was described by the band's lead singer, Mr. Lordi, as a \"traditional modern horror\" that will feature monsters and \"horrific scenes.\"\nMr. Lordi (real name: Tomi Putaansuu) added that the band's latex masks and monstrous costumes were derived from horror films so it was \"kind of natural\" for them to make their own movie.\nTwelve images from \"Dark Floors\" can be found at\n\"Dark Floors\" official teaser:\n\"Dark Floors\" unofficial teaser:\n\"Behind-the-scenes\" footage:\n(Thanks: psyanide / MonsterDiscoHell.com) The official \"teaser\" for— the feature film starring the Finnish \"monster\" metal band— can be viewed below.The plot summary is as follows: Concerned for her autistic daughter's health, a father sees her removal from the hospital by force as the only option. An elevator breakdown prevents a smooth exit and renders them trapped with others. Yet the incident is only the beginning of a descent into nightmare. As the doors open, the hospital appears mysteriously deserted. When mutilated bodies are found, creatures from a dark world start a frightening attack. It soon becomes clear that the survival of the group may rest solely on the little girl.was shot in Finland at a cost of 4.2 million euros (approximately $6 million), according toThe film, which features a largely Finnish cast, will premiere in the country on February 8, 2008.recently introduced the film at theThe movie was described by the band's lead singer,, as a \"traditional modern horror\" that will feature monsters and \"horrific scenes.\"(real name:) added that the band's latex masks and monstrous costumes were derived from horror films so it was \"kind of natural\" for them to make their own movie.Twelve images fromcan be found at ShockTillYouDrop.com official teaser:unofficial teaser:\"Behind-the-scenes\" footage:(Thanks: To report any abusive, obscene, defamatory, racist, homophobic or threatening comments, or anything that may violate any applicable laws, please send an e-mail to bmouth@bellatlantic.net with pertinent details. Anyone posting such material will be immediately and permanently banned. IP addresses are recorded to aid us in enforcing these conditions. COMMENT |\nposted by : metalcock\n11/5/2007 8:15:19 PM\nUtter toss.\n\"Kiss Meets the Phantom of the Park\" for a new Millennium\nCOMMENT |\nposted by : RiotAct666\n11/5/2007 8:55:52 PM\nLooks cool\nCOMMENT | wow\nposted by : EvilGrouse\n11/6/2007 1:04:44 AM\nCould these guys possibly suck more? Terrible. Just horrible music.\nCOMMENT | Amazing!\nposted by : phiissik\n11/6/2007 1:13:15 AM\nI can't wait.\nLooks a lot like Silent Hill.\nBLABBERMOUTH.NET is run and operated independently of Roadrunner Records. The accuracy of the information contained herein is neither confirmed nor guaranteed by Roadrunner Records, and the views and opinions of authors expressed on these pages do not necessarily state or reflect those of Roadrunner Records or its employees.\nLatest News | News Archive | CD Reviews | DVD Reviews | Contact | Submit News |\n| Advertise | Wireless | Privacy Policy |",
"url": "http://www.roadrunnerrecords.com/blabbermouth.net/news.aspx?mode=Article&newsitemID=84200",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20071221081052/http://www.roadrunnerrecords.com/blabbermouth.net/news.aspx?mode=Article&newsitemID=84200"
}
] |
fr | Hockey sur glace : les ZSC Lions de Zurich remportent la coupe d'Europe | Ari Sulander, l'un des joueurs des Lions de Zurich.
Grâce à sa victoire 5 à 0 lors du match retour, le club de hockey sur glace suisse des ZSC Lions de Zurich à remporté mercredi soir la première édition de la Ligue des champions de ce sport contre le club russe de Metallurg Magnitogorsk.
Après avoir obtenu un match nul 2-2 lors du match aller en Russie la semaine dernière, les hockeyeurs zurichois ont assuré leur victoire lors du troisème tiers temps en inscrivant cinq goals, alors qu'ils menaient déjà deux à zéro. Le gardien finlandais Ari Sulander, âgé de 40 ans, qui a en particulier effectué deux arrêts déterminants aux 17 et 35 minutes et a effectué plusieurs parades pendant plus d'une minute entre la fin du deuxième tiers-temps et le début du troisième lorsque les zurichois ont évolué à trois conte cinq, a été considéré comme l'un des hommes de la rencontre.
Les joueurs zurichois ont encaissé un total de 2,5 millions de francs de primes pendant l'ensemble de la campagne européenne. Grâce à cette victoire, le club suisse est également qualifié pour la Coupe Victoria qui se déroulera au mois de septembre et où il sera opposé à une une équipe de la Ligue nationale de hockey pour remporter le titre intercontinental. Le club n'est cependant pas qualifié d'office pour la prochaine édition de la Ligue des Champions.
| [
"Sport",
"Hockey sur glace",
"Europe",
"Suisse",
"Canton de Zurich",
"Asie",
"Russie",
"Sport en Suisse"
] | [
{
"language": "fr",
"title": "Hockey: le sacre européen des Lions de Zurich",
"text": "(Keystone)\nLes Lions de Zurich sont les nouveaux rois de l'Europe. Les champions de Suisse ont conquis la première Ligue des Champions de hockey sur glace grâce à leur succès «atomique» 5-0 contre les Russes de Metallurg Magnitogorsk en match retour de la finale à Rapperswil.\nC'est incontestablement le plus grand succès du hockey suisse depuis... les médailles de bronze olympiques aux Jeux de St-Moritz en 1928 et 1948. Et c'est évidemment de bon augure dans la perspective des Mondiaux qui s'ouvrent dans quelques semaines en Suisse.\nLes Lions réalisent également une superbe affaire financière avec ce sacre européen. Ils ont encaissé 2,5 millions de francs de primes pour leur parcours gagnant. De quoi permettre de trouver un remplaçant de qualité à Severin Blindenbacher, pilier de la défense qui s'exilera en Suède la saison prochaine.\nEpoustouflant\nAprès le nul 2–2 obtenu mercredi dernier en Russie (où Magnitogorsk n'était revenu à la marque que dans les dernières secondes de la partie), les Zurichois ont une nouvelle fois époustouflé l'assistance par leur maîtrise du jeu.\nLes Lions sont ainsi qualifiés pour la Coupe Victoria et affronteront une équipe de NHL (la ligue qui regroupe les clubs canadiens et américains) en septembre prochain pour le titre intercontinental.\nEn revanche, ils ne sont pas qualifiés d'office pour la prochaine Ligue des Champions. Pour y participer, ils devront décrocher soit la victoire dans le tour de qualification, soit un nouveau titre de champions de Suisse.\nEfficacité\nDans l'ambiance surchauffée de la Diners Club Arena, les hommes de Sean Simpson sont parfaitement entrés dans le match, comme lors de l'aller dans l'Oural.\nCertes, leur domination fut moins éclatante mais l'efficacité était bien là. Quand sur un tir de Pittis, le portier Proskuryakov a renvoyé le palet de côté, Blaine Down a surgi pour ouvrir le score (18e).\nLe Canadien, habituel renfort du club de ligue nationale B des GCK Lions, obligé de jouer devant des assistances misérables à domicile, a découvert avec succès une autre dimension au niveau européen.\nSans appel\nLe sacre des Lions a pris tournure à la 35e minute lorsque Sejna a dévié un tir de Wichser de manière involontaire alors qu'un Russe purgeait une pénalité.\nQuelques secondes plus tard, Sulander réalisait un arrêt hors-norme devant le Tchèque Marek. Le Finlandais se montrait également intraitable pendant les 72 secondes où les Zurichois ont dû évoluer à 3 contre 5. Assurément le tournant de la partie.\nD'autant plus que Seger d'un maître-tir et Alston «tuaient» le match en moins d'une minute au milieu de la dernière période. 5-0, score sans appel.\nSans-faute\nUne nouvelle fois le duo canadien Domenico Pittis - Jean-Guy Trudel a pris une part prépondérante dans ce succès de prestige. Face aux «millionnaires» russes, ils ont parfaitement rivalisé dans la prise de risques.\nLe sans-faute du gardien Sulander - un blanchissage en finale de la Ligue des Champions, c'est un rêve ! - a largement compté dans ce triomphe. Tout comme la sérénité de la défense de Sean Simpson. Le mélange entre anciens et jeunots a parfaitement fonctionné.\nswissinfo et les agences\nAvenir incertain La Ligue des Champions de Hockey - un peu le pendant de son homonyme en football - a vécu cet hiver sa première saison. Elle a remplacé l'ancienne Coupe d'Europe des clubs champions.\nQuelque 450'000 spectateurs au total ont assisté aux compétitions, très suivies notamment par les fans des Lions de Zurich, finalistes contre une des meilleures équipes d'Europe (sacrée en 99, 2000 et 2008), après avoir éliminé des équipes des plus grands pays du hockey: République tchèque, Suède et Finlande.\nMalgré ce succès populaire, l'avenir de la compétition n'est pas assuré. Elle n'a en effet que deux sponsors: Gazprom et Reebok, qui lui donnent ensemble 20 millions d'euros. Or, il n'est pas exclu qu'ils décident – face à l'incertitude économique – de renoncer pour la saison prochaine. Mercredi, le président de la Fédération internationale, le Suisse René Fasel déclarait à la presse qu'il n'était pas sûr de voir la Ligue redémarrer à l'automne. Fin de l'infobox\nMONDIAUX 2009 en Suisse Les championnats du monde de hockey sur glace auront lieu du 24 avril au 10 mai 2009 à Berne et à Zurich. La patinoire de Berne pourra accueillir 11'600 spectateurs par rencontre, le Schlüfweg de Kloten 6800.\nSeize équipes participent au tournoi. La Suisse disputera ses trois premières rencontres, dans le groupe B, face à la Russie, à l'Allemagne et à la France. Fin de l'infobox\nNeuer Inhalt Horizontal Line\nContenu externe Vivre et travailler dans les montagnes grâce à Internet",
"url": "http://www.swissinfo.ch/fre/a_la_une/Le_sacre_des_Lions_de_Zurich_meilleurs_hockeyeurs_d_Europe.html?siteSect=105&sid=10258228&rss=true&ty=st",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20200606164319/http://www.swissinfo.ch/fre/hockey--le-sacre-europ%C3%A9en-des-lions-de-zurich/183806"
}
] |
fr | Des milliers de Philippins appellent à la démission de Gloria Macapagal-Arroyo | Gloria Macapagal-Arroyo en février 2006
Des milliers de Philippins ont appelé dans les rues de Manille, la capitale du pays, à la démission de la Présidente de la République, Gloria Macapagal-Arroyo à la suite d'un scandale de corruption. Étaient présents parmi les manifestants des paysans et des étudiants, mais aussi deux anciens présidents du pays. Pourtant rivaux, Corazon Aquino et Joseph Estrada se sont ainsi joints à l'appel à la démission de la présidente Gloria Macapagal-Arroyo.
, a déclaré Corazon Aquino, âgée de 75 ans. . Corazon Aquino, qui a présidé le pays de 1986 à 1992, avait soutenu fidèlement Gloria Macapagal-Arroyo, avant de prendre ses distances en 2005, après des allégations de trucages des élections de 2004.
Soldats et policiers sont en état d'alerte, des postes de contrôle ayant été mis en place sur les principales voies d'accès alors que les manifestants se sont rassemblés dans le quartier financier de Manille. La police estime à environ , le nombre de manifestants, contre pour les organisateurs.
Gloria Macapagal-Arroyo est présentée comme le depuis que son mari a tenté d'obtenir l'accord du gouvernement pour un contrat de 330 millions de dollars avec la société chinoise Zhongxing Telecom pour construire un important réseau de télécommunications reliant les bureaux du gouvernement.
| [
"Asie",
"Philippines",
"Politique et conflits"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Thousands in Philippines call for Arroyo to resign",
"text": "Protesters carry an effigy of Philippine President Gloria Macapagal Arroyo during a rally in Metro Manila on Friday. (Romeo Ranoco/Reuters)\nThousands in Philippines call for Arroyo to resign\nMANILA: In one of the largest demonstrations against President Gloria Macapagal Arroyo since she took office in 2001, thousands of Filipinos took to the streets Friday, demanding her resignation over a corruption scandal.\nTwo former presidents - Corazón Aquino, who led the first \"people power\" revolt in 1986, and Joseph Estrada, who was ousted in the second one in 2001 - joined priests, nuns, farmers, leftist activists and students in a march through the capital's financial district, as confetti made of shredded phone books rained down on them.\nChants of \"Gloria resign!\" reverberated on the four avenues that led to the statue of Aquino's husband, Benigno Aquino Jr., whose assassination in 1983 sparked the protests that ousted the dictator Ferdinand Marcos and installed Corazón Aquino in the presidency 22 years ago this week.\nTied to the statue was a placard that read \"Gloria is evil,\" a reference to testimony in the Senate in which Arroyo was described as an \"evil person\" after allegations that her husband tried to influence the approval of a $330 million government contract with the Chinese company ZTE to build an Internet broadband network connecting government offices.\nAllegations of impropriety, among them that a principal Arroyo ally was going to receive a $30 million kickback out of the project, have led to a series of protests against Arroyo, who has repeatedly denied the allegations.\nShe later canceled the telecommunications contract.\nThe police estimated the crowd at 15,000, but organizers said more than 75,000 people took part.\nOpposition to Arroyo has created unlikely coalitions. Estrada, who was seated beside Aquino at the rally, was ousted in 2001 in the protests that brought Arroyo to power. Aquino herself led protests against Estrada, who was accused of pocketing money from illegal gambling and government taxes. Estrada was convicted of the charges last year but pardoned soon after.\n\"Gloria, it's enough! Resign!\" Aquino said in her brief speech. When it was Estrada's turn to speak, sections of the crowd shouted his name.\n\"What should we do if someone is overstaying?\" Estrada asked demonstrators, who shouted back, \"Resign!\"\nWhile Arroyo's critics and the political opposition had been trying to elicit broad public support for their call to remove Arroyo since 2004, when she was accused of cheating in the election that year, their cause was given a huge boost in early February when Rodolfo Lozada Jr., an official who had been tapped to review the broadband contract, gave testimony in the Senate that corroborated the overpricing and kickback allegations.\nIn recent days Lozada had been trying to rally university students to join the protests and register their outrage against corruption in government. On Friday, the students - many of them still wearing their uniforms - seemed to have heeded Lozada's call.\n\"We don't want evil! We've had enough!\" shouted Jake Mecias, a student from Ateneo de Manila University, holding a sign that read \"It's time to go!\"\nLeftist activists and farmers held up effigies of Arroyo depicting her as a serpent.\n\"I don't care what will happen to Arroyo after this or what she will feel about this,\" said Randy David, a sociology professor at the University of the Philippines who joined the march Friday. \"The important thing is that Filipinos are outraged, as they should be.\"\nThis week, Arroyo said in a radio interview that she learned about the alleged improprieties surrounding the contract the night before it was signed in China in April 2007, but felt it too late to cancel it. She said she immediately sought the contract's cancellation. It was finally canceled in October, but only after a rival bidder on the project, Jose de Venecia III, testified in the Senate on the alleged overpricing.",
"url": "http://www.iht.com/articles/2008/02/29/asia/phils.php",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080306023129/http://iht.com/articles/2008/02/29/asia/phils.php"
},
{
"language": "en",
"title": "2 ex-presidents seek Arroyo resignation",
"text": "2 ex-presidents seek Arroyo resignation MANILA, Philippines Two former Philippine presidents, once bitter foes, joined tens of thousands of protesters at a rally Friday to press for President Gloria Macapagal Arroyo's resignation over a raging corruption scandal. It was the largest crowd yet since Arroyo's latest crisis erupted weeks ago when the Philippine Senate heard testimony, broadcast on live television, that linked her husband to multimillion-dollar kickbacks in a government telecommunications deal. The crowd included former opponents ex-President Corazon Aquino, who ushered in democracy when the country's first \"people power\" revolt ousted dictator Ferdinand Marcos in 1986, and former President Joseph Estrada, who was forced out over massive corruption by a second \"people power\" uprising in 2001. \"I thought my work was done because I am already old,\" said Aquino, 75. \"But this is what the times ask for, for us to unite so that the deceit will end and we will find out the truth. Thankfully there are still many of us shouting, 'Gloria, enough, resign already.'\" Aquino used to be one of Arroyo's biggest supporters before breaking away in 2005 amid allegations that the president had rigged the 2004 election. Soldiers and police went on high alert, setting up checkpoints at major highways as demonstrators braved a drizzle and gathered in Manila's financial district. Police estimated turnout at 15,000, while organizers estimated the crowd at about 80,000. The rally was organized by a loose coalition of opposition groups, business people, left-wing activists, Roman Catholic church-backed organizations and a large evangelical group, the Jesus is Lord Movement. The crowd included former opponents who, like Aquino and Estrada, have united to oppose Arroyo, who has fended off three impeachment bids and four coup plots in seven years in power. \"No single group or person claims credit in leading this initiative,\" said Renato Reyes, secretary-general of the left-wing alliance Bayan. \"Mrs. Gloria Arroyo made this possible. Her bankrupt and corrupt regime provided the urgency for everyone to set aside their differences and struggle together for truth and justice.\" In southern Iligan city, about 1,000 Muslim and Christian protesters -- including lawyers, teachers, priests, nuns and Muslim guerrillas in civilian clothes -- gathered in a public plaza to call for Arroyo's ouster. Smaller anti-Arroyo rallies were held elsewhere in the country. Arroyo's latest trouble stems from allegations of corruption in a $330 million broadband deal with China's ZTE Corp., which she was forced to cancel. Former consultants for the telecommunications contract have said the president's husband and the country's elections chief -- who has since quit -- benefited from huge kickbacks linked to the aborted contract. Both men have denied wrongdoing. Arroyo has not directly addressed the allegations against her and her husband but says she opposes corruption and that her family does no business with the government. ZTE also has denied the allegations. Aquino said growing public discontent over the scandal could force Arroyo to quit. \"I am growing optimistic because I can see that more and more Filipinos are taking part in the effort to find the truth,\" Aquino said. \"What came out in the Senate hearings was really shocking.\" Arroyo, who has ordered an investigation by the Justice Department and the government ombudsman, inaugurated the country's first public aquarium Friday and attended Mass at police headquarters. The powerful military and Roman Catholic bishops -- both of whom played key roles in the two \"people power\" revolts -- have refused to join calls for Arroyo to resign, although both have had to deal with dissension among their ranks for not doing so. Military chief Gen. Hermogenes Esperon warned troops they would face arrest if they joined the rally, saying such involvement could threaten the country's nascent democracy. Copyright 2008 The Associated Press. All rights reserved. This material may not be published, broadcast, rewritten or redistributed. Enlarge by Bullit Marquez, AP Students display messages during a rally at the University of Makati campus at the financial district of Makati city east of Manila, Philippines, Thursday Feb. 28, 2008, to call for the resignation of President Gloria Macapagal Arroyo. Various opposition groups, led by religious and left-wing activists, are holding a big rally Friday while the Philippine military warned Thursday that troops face arrest if they join the major rally to press for Arroyo's resignation over a raging corruption scandal. (AP Photo/Bullit Marquez)",
"url": "http://www.usatoday.com/news/world/2008-02-29-2083743947_x.htm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20200516183251/https://usatoday30.usatoday.com/news/world/2008-02-29-2083743947_x.htm"
}
] |
de | Ungarischer Vater hielt seine Tochter 13 Jahre gefangen |
Eine 1979 geborene Ungarin wurde 13 Jahre lang von ihrem Vater, einem Gefängniswärter, in der gemeinsamen Wohnung in Budapest gefangen gehalten und sexuell missbraucht. Die Frau war seit ihrem 14. Lebensjahr im Jahr 1993 in einem Wohnhaus in der ungarischen Hauptstadt Budapest eingesperrt. In dieser Zeit hatte er seine Tochter vor den Augen ihrer schwerkranken Mutter regelmäßig vergewaltigt. Nachbarn haben von dem Schicksal der heute 27-Jährigen offenbar nichts bemerkt.
Erst nach dem Tod des Vaters waren Sozialarbeiter den Fall aufmerksam geworden, als die schwerkranke Mutter um Hilfe bat. Seit dem 25. September 2006 kümmern sich Sozialarbeiter um die Frau. Der Vater habe sowohl seine Ehefrau als auch die Tochter oft brutal geschlagen. Inzwischen sei auch die Mutter gestorben. Im Interesse des Opfers wollten die Behörden keine weiteren Einzelheiten bekannt geben.
Wegen des fehlenden Sonnenlichts habe sie schneeweiße Haut und wirke „wie ein zwölfjähriges Kind mit grauen Haaren“, sagte die Sozialarbeiterin Petra Lombos vom Amt für Familienhilfe des neunten Budapester Gemeindebezirks im ungarischen Fernsehen. Das Opfer sei schwer traumatisiert, spreche nur fragmentarisch und habe vor allen Menschen Angst. Sie könne nicht selbst für sich sorgen und sei lange Zeit nicht mehr draußen gewesen.
Die Frau wohne jetzt allein und werde täglich von Sozialarbeitern besucht, die ihr helfen wollen, zu einem normalen Leben zurück zu finden. Sicher sei, dass sie die Mittelschule absolviert habe und nach dem Abschluss vom Vater eingesperrt worden sei. Ungarische Medien bezeichneten sie als „ungarische Natascha“, in Anspielung auf die Österreicherin Natascha Kampusch, die acht Jahre lang von einem Entführer gefangen gehalten wurde.
| [
"Vergewaltigung",
"Sexueller Missbrauch",
"Inzest",
"Misshandlung",
"Vermischtes",
"Themenportal Europa",
"Themenportal Ungarn",
"Straftat allg.",
"Veröffentlicht"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Aktuelle Nachrichten online",
"text": "In Deutschland hat sich die Zahl der Leiharbeiter in den vergangenen zwei Jahren um fast 100.000 Beschäftigte erhöht. Der Streit über die Reformvorschläge von Andrea Nahles für die Leiharbeit schwelt indes weiter. Mehr 10",
"url": "http://www.faz.net/s/Rub21DD40806F8345FAA42A456821D3EDFF/Doc~E384EB9695DEC4E1DB5BCDF1E3182D628~ATpl~Ecommon~Scontent.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20160304232135/http://www.faz.net/"
},
{
"language": "de",
"title": "Vater hält junge Tochter 13 Jahre lang als Geisel",
"text": "Anzeige\nEine 27jährige Ungarin ist 13 Jahre lang von ihrem eigenen Vater, einem Gefängniswärter, in der gemeinsamen Wohnung gefangen gehalten und sexuell missbraucht worden. Die Nachbarn in dem Budapester Wohnhaus haben offenbar nichts bemerkt, berichtete die ungarische Boulevardzeitung „Blikk“ am Montag unter Berufung auf Sozialarbeiter. Diese hatten den Fall entdeckt, nachdem der Vater gestorben war. Ungarische Medien bezeichnen das Opfer nun als „ungarische Natascha“, in Anspielung auf die Österreicherin Natascha Kampusch, die acht Jahre lang Gefangene eines Kidnappers war und sich vor kurzem befreit hatte.\nDie Frau habe seit ihrem 14. Lebensjahr die Wohnung nicht mehr verlassen dürfen. Vor den Augen ihrer schwerkranken Mutter habe der Vater sie regelmäßig vergewaltigt. Wegen des fehlenden Sonnenlichts habe sie schneeweiße Haut und wirke „wie ein 12jähriges Kind mit grauen Haaren“, sagte die Sozialarbeiterin Petra Lombos vom Amt für Familienhilfe des 9. Budapester Gemeindebezirks im ungarischen Fernsehen.\nDas Opfer sei schwer traumatisiert, habe vor allen Menschen Angst und spreche nur fragmentarisch. „Sogar den Sozialarbeiter erträgt sie nur zehn bis 15 Minuten lang. Dann verdeckt sie ihre Augen und zeigt damit: Sie hat Angst“, sagte Lombos weiter.\nAnzeige\nDie Sozialarbeiter waren auf den Fall aufmerksam geworden, als die schwerkranke Mutter der Frau nach dem Tod des Vaters um Hilfe bat. Der Vater habe sowohl seine Ehefrau als auch die Tochter oft brutal geschlagen, hieß es. „Unseren Kollegen (...) fiel dabei auf, dass die junge Frau nicht selbst für sich sorgen kann und lange nicht mehr draußen gewesen sein muss“, sagte Lombos. Es sei sicher, dass sie die Mittelschule absolviert habe, doch nach deren Abschluss habe sie der Vater eingesperrt.\nInzwischen sei auch die Mutter gestorben. Die junge Frau wohne nun allein. Sie werde täglich von Sozialarbeitern besucht, die ihr helfen wollen, zu einem normalen Leben zurück zu finden. Über psychotherapeutische Maßnahmen wurde zunächst nichts bekannt. Im Interesse des Opfers wollen die Behörden keine weiteren Einzelheiten bekannt geben.",
"url": "http://www.welt.de/vermischtes/article155310/Vater_haelt_junge_Tochter_13_Jahre_lang_als_Geisel.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20200513214928/https://www.welt.de/vermischtes/article155310/Vater-haelt-junge-Tochter-13-Jahre-lang-als-Geisel.html"
},
{
"language": "de",
"title": "Misshandlungen: 'Ungarische Natascha' befreit",
"text": "© Sven Karsten/DDP Die Ungarin lebte 13 Jahre ohne Sonnenlicht - gefangen in der Wohnung der Eltern\nEine 27jährige Ungarin ist 13 Jahre lang von ihrem eigenen Vater, einem Gefängniswärter, in der gemeinsamen Wohnung gefangen gehalten und sexuell missbraucht worden. Nachbarn haben offenbar nichts bemerkt, berichteten ungarische Tageszeitungen unter Berufung auf Sozialarbeiter. Diese hatten den Fall entdeckt, nachdem der Vater gestorben war.Die Frau habe seit ihrem 14. Lebensjahr die Wohnung nicht mehr verlassen dürfen. Vor den Augen ihrer schwerkranken Mutter habe der Vater sie regelmäßig vergewaltigt. Wegen des ausgebliebenen Kontakts mit dem Sonnenlicht habe sie schneeweiße Haut und wirke \"wie ein 12jähriges Kind mit grauen Haaren\", hieß es. Sie sei schwer traumatisiert, habe vor allen Menschen Angst und spreche nur fragmentarisch. Ungarische Medien bezeichnen sie nun als \"ungarische Natascha\", in Anspielung auf die Österreicherin Natascha Kampusch, die acht Jahre lang Gefangene eines Kidnappers war und sich vor kurzem befreit hatte.",
"url": "http://www.stern.de/politik/panorama/:Misshandlungen-Ungarische-Natascha/570989.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070129105813/http://www.stern.de/politik/panorama/%3AMisshandlungen-Ungarische-Natascha/570989.html"
}
] |
es | Donald Trump dice que EE.UU no debería recibir inmigrantes de países de "mierda" |
Donald Trump, presidente de los Estados Unidos.
El presidente de los , , según citan medios locales y varios senadores, lanzó una afirmación calificando a países que pertenecen al programa (que sirve para dar una residencia a los jóvenes que llegaron en la infancia ilegalmente y no tienen vínculos en sus comunidades de origen), como "''shithole countries''" ("países de mierda", literalmente) y que deberían más bien recibir inmigrantes de países como .
Trump en un afirmó no haber insultado a y tener buenas relaciones con dicho país, aunque no declaró nada de las demás naciones, aunque si dijo haber usado palabras "fuertes", a causa de la escandalosa propuesta que se realizó. En estas negociaciones el presidente pide incluir en el presupuesto el dinero para el muro en la frontera sur con México.
Desde la se criticó a Trump llamando a sus comentarios "sorprendentes y vergonzosos" y declarándolos "racistas". Desde la cancillería de pidieron respeto y una rectificación al presidente estadounidense. Si las negociaciones no llegan a buen puerto se terminarían deportando miles de ciudadanos de estas naciones.
| [
"Diplomacia",
"Somalia",
"Sudán",
"Sudán del Sur",
"Yemen",
"Siria",
"Nepal",
"El Salvador",
"Honduras",
"Nicaragua",
"Haití",
"Donald Trump",
"Noruega",
"ONU"
] | [
{
"language": "es",
"title": "Trump dice que EE.UU. no debería recibir inmigrantes de \"países de mierda\" como Haití, El Salvador o las naciones africanas sino de Noruega, según medios locales",
"text": "Derechos de autor de la imagen Getty Images Image caption Trump dijo que EE.UU. debería, en cambio, recibir inmigrantes de países como Noruega.\nEl presidente Donald Trump dijo este jueves que Estados Unidos no debería recibir inmigrantes de \"países de mierda\" como Haití, El Salvador o las naciones africanas sino de otros como Noruega, según informaron medios locales.\n\"¿Por qué tenemos a toda esa gente de esos países de mierda llegando aquí?\", dijo Trump en la reunión de acuerdo a información publicada inicialmente por The Washington Post y más tarde por The New York Times y otros medios, citando fuentes anónimas,\nEl reporte señala que Trump además dijo que su país debería más bien recibir inmigrantes de \"países como Noruega\".\nEl mandatario estaba reunido en la Casa Blanca con senadores demócratas y republicanos para analizar una propuesta de reforma migratoria que beneficiaría a nacionales de esos países.\nEn Twitter, Trump negó haber dicho \"nada derogatorio sobre los haitianos más allá de que es obviamente un país muy pobre y con problemas\".\n\"Es un invento de los demócratas. Tengo una relación maravillosa con los haitianos. Probablemente debería grabar futuras reuniones, desafortunadamente, ¡no confío!\", agregó.\n\"El lenguaje usado por mí fue duro, pero esto no fue el lenguaje usado. Lo que fue realmente duro fue la extravagante fue la propuesta\", señaló en otro tuit.\n\"Soluciones permanentes\"\nEn un comunicado, el portavoz de la Casa Blanca Raj Shah no negó las palabras atribuidas a Trump.\n\"Mientras algunos políticos de Washington eligen pelear por otros países, el presidente siempre peleará por el pueblo estadounidense\", se lee en la nota.\n\"Al igual que otros países tienen sistemas de inmigración basados en un sistema meritocrático, el presidente Trump quiere luchar por soluciones permanentes que hagan a nuestro país más fuerte, recibiendo a quienes puedan contribuir a nuestra sociedad\", reza el comunicado.\nDerechos de autor de la imagen Getty Images Image caption El gobierno de Trump ha puesto fin a la protección migratoria para ciudadanos de Haití, Nicaragua y El Salvador.\nLa conversación entre Trump y los senadores tuvo lugar este jueves en el despacho oval de la Casa Blanca.\nEn ella, el presidente rechazó las propuestas de los legisladores para encontrar alternativas a la eliminación del programa conocido como Estatus de Protección Temporal (TPS), que beneficia a los ciudadanos de países como Haití, El Salvador y algunos africanos que residen en suelo estadounidense.\nMedios como The New York Times reportaron comentarios despectivos de Trump hacia estos países en el pasado.\nSegún este diario, que citaba a funcionarios presentes en otra reunión celebrada en junio, el mandatario dijo que los haitianos \"tienen sida\" y que los nigerianos jamás \"regresarían a sus chozas\" en África una vez que vieran Estados Unidos.\nLa Casa Blanca negó entonces que Trump hubiera realizado estas declaraciones.\nCondenas y petición de disculpas en EE.UU.\nLa congresista republicana Mia Love, hija de inmigrantes haitianos, pidió en Twitter a Trump que se disculpara por su comportamiento \"inaceptable\" y tildó sus últimos comentarios de \"desagradables, divisorios y elitistas\".\nPor su parte, el congresista demócrata Elijah Cummings tuiteó: \"Condeno esta declaración imperdonable y esta degradación de la oficina de la presidencia\".\nOtro legislador demócrata, Cedric Richmond, dijo que los comentarios de Trump \"son una prueba más de que su agenda de 'hacer Estados Unidos grande de nuevo' es realmente una agenda de \"hacer Estados Unidos blanco de nuevo\".\nReacción en El Salvador\n\"Desde la Cancillería siempre emitimos reacciones con base a información oficial confirmada. Esperamos que las autoridades de Estados Unidos confirmen o nieguen las frases que se le atribuyen al presidente Trump\", ha sido hasta ahora la reacción de El Salvador, manifestada por el ministro de Exteriores Hugo Martínez y en Twitter y compartida por la Casa Presidencial.\n\"Siempre ha sido prioridad de la política de exterior de nuestro gobierno luchar por el respeto y la dignidad de nuestros compatriotas, nuestros compatriotas son gente luchadora\", prosiguió Martínez en su mensaje en la red social.\n\"El jefe de la obra de reconstrucción del Pentágono era un salvadoreño. Una buena parte de los que acudieron a reconstruir Nueva Orleans después de Katrina eran salvadoreños\", añadió.\n\"Yo me siento orgulloso de ser salvadoreños y del azul y blanco de nuestra bandera\", concluyó.\nFin del TPS\nLa Casa Blanca puso fin a inicios de esta semana el TPS que daba amparo migratorio a cerca de 200.000 salvadoreños desde 2001.\nHace unos meses hizo lo mismo con los programas que protegían de la deportación a miles de ciudadanos de Haití y Nicaragua.\nDemócratas y republicanos se encuentran negociando a contrarreloj para hallar una solución para los cerca de 800.000 jóvenes que se benefician del programa de Acción Diferida para los Llegados en la Infancia (DACA, por sus siglas en inglés), que protege de la deportación a los inmigrantes indocumentados conocidos como \"dreamers\" (soñadores), que llegaron a EE.UU. siendo niños.\nComo parte del acuerdo, el presidente quiere que los demócratas acepten financiar el muro que quiere construir en la frontera con México, algo a lo que los legisladores se muestran reticentes.\nEn las mismas negociaciones se está discutiendo la decisión de la Casa Blanca de poner fin a los programas que permiten residir en EE.UU. a decenas de miles de ciudadanos de países como Haití o El Salvador.\nAhora puedes recibir notificaciones de BBC Mundo. Descarga la nueva versión de nuestra app y actívalas para no perderte nuestro mejor contenido.",
"url": "http://www.bbc.com/mundo/noticias-internacional-42655777",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20180115005301/http://www.bbc.com/mundo/noticias-internacional-42655777"
},
{
"language": "es",
"title": "Donald Trump niega haber dicho que El Salvador, Haití y naciones africanas son países \"de mierda\"",
"text": "Derechos de autor de la imagen Getty Images Image caption Trump reconoció que de todos modos usó un \"lenguaje duro\".\nEl presidente de Estados Unidos, Donald Trump, negó este viernes haber dicho que El Salvador, Haití y naciones africanas eran países \"de mierda\" (shithole countries).\nDe acuerdo con información publicada el día previo por The Washington Post y el New York Times, que citan fuentes anónimas, Trump utilizó este lenguaje en una reunión con senadores demócratas y republicanos destinada a analizar una propuesta de reforma migratoria que beneficiaría a nacionales de esos países.\nOmitir publicación de Twitter número de @realDonaldTrump The language used by me at the DACA meeting was tough, but this was not the language used. What was really tough was the outlandish proposal made - a big setback for DACA! — Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 12 de enero de 2018\n\"El lenguaje utilizado por mí en la reunión de DACA fue duro, pero ese no fue el lenguaje empleado. Lo que fue realmente duro fue la extravagante propuesta hecha, un gran paso atrás para DACA\", escribió en su cuenta de Twitter.\nDACA es el Programa de Acción Diferida que protege a jóvenes inmigrantes traídos a EE.UU. como niños de manera indocumentada por parte de sus padres.\nSin embargo, poco tiempo después de la reacción de Trump en Twitter, el senador republicano por Illinois, Richard Durbin, que estuvo en el encuentro, aseguró que el presidente sí utilizó el término \"países de mierda\" y que lo repitió en varias ocasiones.\n\"(Fue) la palabra exacta utilizada por el presidente, no solo una vez, sino repetidamente\", dijo el demócrata en declaraciones a MSNBC.\nDurbin es el primero de los asistentes al encuentro que confirma públicamente las afirmaciones de Trump que reportaron los medios estadounidenses.\n\"Comentarios sorprendentes y vergonzosos\"\nLa Oficina del Alto Comisionado de Naciones Unidas para los Derechos Humanos criticó el incidente.\n\"Estos comentarios del presidente de Estados Unidos sonsorprendentes y vergonzosos\", afirmó en una conferencia de prensa el vocero del organismo, Rupert Colville.\n\"Lo siento, pero no pueden ser definidos de otra manera que como racistas\", agregó.\nEn un comunicado emitido el jueves, el portavoz de la Casa Blanca Raj Shah no negó las palabras atribuidas a Trump.\nDemócratas y republicanos se encuentran negociando a contrarreloj para hallar una solución para los cerca de 800.000 jóvenes que se benefician del programa DACA, que protege de la deportación a los inmigrantes indocumentados conocidos como dreamers (soñadores).\nComo parte del acuerdo, el presidente busca que los demócratas acepten financiar el muro que quiere construir en la frontera con México, algo a lo que los legisladores se muestran reticentes.\nEn las mismas negociaciones se está discutiendo la decisión de la Casa Blanca de poner fin a los programas que permiten residir en EE.UU. a decenas de miles de ciudadanos de países como Haití o El Salvador.\nAhora puedes recibir notificaciones de BBC Mundo. Descarga la nueva versión de nuestra app y actívalas para no perderte nuestro mejor contenido.",
"url": "http://www.bbc.com/mundo/noticias-internacional-42665877",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20180115005735/http://www.bbc.com/mundo/noticias-internacional-42665877"
},
{
"language": "es",
"title": "Trump sobre inmigrantes de El Salvador y Haití: “¿Por qué recibimos a gente de países de mierda?”",
"text": "Donald Trump no quiere gente de “países de mierda” en Estados Unidos. Así lo expresó el presidente este jueves durante una reunión para renegociar el programa que concede residencia legal a inmigrantes de Haití, El Salvador y países africanos, según fuentes citadas por The Washington Post. El lunes, el republicano retiró dichas protecciones a 200.000 salvadoreños; en noviembre lo hizo con 59.000 haitianos.\nEl republicano respondió así a la propuesta de algunos legisladores para encontrar una alternativa la eliminación del programa, conocido como Estatus de Protección Temporal (TPS). Trump refutó la propuesta diciendo que sería mejor que EE UU acogiera a personas de países como Noruega. El TPS es un programa diseñado en 1990 para conceder visados temporales y permisos de trabajo a personas de 10 países afectados por guerras o desastres naturales. Muchos de los beneficiarios viven en EE UU desde hace décadas. Muchos de sus hijos son americanos. Si los legisladores no encuentran una solución legal que el presidente quiera aprobar, estos centenares de miles de immigrantes deberán marcharse del país si no encuentran otra manera de permanecer en EE UU legalmente.\nLa conversación tuvo lugar en el Despacho Oval, y según las fuentes citadas, los asistentes —congresistas y senadores— quedaron estupefactos por los comentarios despectivos del presidente. La conversación se produjo en el marco de las negociaciones sobre otro programa migratorio, DACA, que concede las mismas protecciones a 800.000 inmigrantes que llegaron a EE UU como menores, de la mano de sus padres. Según The New York Times, cuando Trump escuchó que en la propuesta los legisladores querían reinstarurar las protecciones para los haitianos, el presidente dijo: “¿Por qué queremos a gente de Haití aquí?”.\nEn un comunicado al Times, Raj Shah, un portavoz de la Casa Blanca, no desmintió los comentarios de Trump y afirmó: “Mientras algunos políticos de Washington eligen pelear por otros países, el presidente siempre peleará por el pueblo americano. Al igual que otros países tienen sistemas de inmigración basados en un sistema meritocrático, el presidente Trump quiere luchar por soluciones permanentes que hagan a nuestro país más fuerte, recibiendo a quienes puedan contribuir a nuestra sociedad”.\nUn análisis reciente de la ONG International Crisis Group sostiene que El Salvador está incapacitado de recibir a sus 200.000 ciudadanos residentes en EE UU. Haití, acechado por el crimen y los desastres naturales se encuentran en una fragilidad institucional similar.\nLos comentarios del presidente no llegan sin precedentes. “Todos tienen sida”, dijo Trump en junio del año pasado, también en el Despacho Oval, sobre 15.000 haitianos que habían llegado a EE UU desde que tomó posesión. Sobre 40.000 nigerianos, el republicano pidió: “Que vuelvan a sus cabañas en África”. Trump se alzó al poder utilizando una dura retórica antiinmigrante que, más allá de estos comentarios, se ha traducido en un incremento del 40% en las deportaciones, la promesa de construir un muro con la frontera sur y un veto migratorio contra países musulmanes y refugiados.\nEn 2017, el presidente también retiró el TPS para 5.300 nicaragüenses y unos 1.000 sudaneses, cuyo país vive todavía una situación de inestabilidad. Y está considerando hacer lo mismo con 86.000 hondureños. En el punto de mira de la Administración están miles de ciudadanos de Sudán del Sur, Yemen, Nepal, Somalia y Siria.",
"url": "https://elpais.com/internacional/2018/01/11/universo_trump/1515710855_459301.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20180112011145/https://elpais.com/internacional/2018/01/11/universo_trump/1515710855_459301.html"
},
{
"language": "es",
"title": "Los diez países que Trump tacha de \"agujeros de mierda\" y a los que quiere dejar sin protección",
"text": "Los diez países que Trump tacha de «agujeros de mierda» y a los que quiere dejar sin protección Desde Haití a Nepal o Sudán del Sur, se trata de estados que sufren los efectos de catástrofes naturales o conflictos armados a cuyos ciudadanos Estados Unidos permite permanecer en su territorio de forma temporal\nABC\n12/01/2018 14:15h Actualizado: 12/01/2018 16:00h Enviar noticia por correo electrónico Tu nombre * Tu correo electrónico * Su correo electrónico *\nAl preguntarse Donald Trump, en una reunión con legisladores en el Despacho Oval, por qué tienen los estadounidenses, que acoger a gente procedente de «países de mierda», el presidente de EE.UU. se estaba refiriendo, según apuntan las informaciones de los medios estadounidenses, a los estados incluidos en el llamado estatus de protección temporal (TPS, por sus siglas en inglés).\nBajo esta figura, se sitúan países cuyas condiciones impiden temporalmente a sus ciudadanos retornar a ellos con seguridad o en determinadas circunstancias en las que el país es incapaz de gestionar el regreso de sus nacionales adecuadamente.\nDe manera específica, el secretario de Seguridad Nacional puede designar a un país para recibir esta protección en casos de que se vea envuelto en un conflicto armado, sufra un desastre natural (como un terremoto o un huracán) o una epidemia, u otras condiciones extraordinarias y temporales.\nEn la actualidad son diez los países que se encuentran en esa situación: Haití, El Salvador, Honduras, Nicaragua, Somalia, Siria, Sudán, Sudán del Sur y Nepal.\nAspecto de una calle de Puerto Príncipe tras el terremoto que sufrió Haití en 2010 -Reuters\nDurante el periodo establecido, los individuos que se beneficien del TPS o que cumplan inicialmente los requisitos para acogerse a ella no pueden ser expulsados de Estados Unidos y, en cambio, pueden obtener una permiso para trabajar y autorización para viajar.\nAdemás, una vez que se le ha concedido ese estatus, el individuo en cuestión no puede ser detenido por el Deparamento de Seguridad Nacional por su condición de inmigrante.\nPor otra parte, el TPS no lleva a la obtención del estatus de residente permanente ni proporciona otro estatus migratorio, si bien el beneficiario puede solicitar un estatus de no inmigrante, un ajuste del estatus que tenga u otros beneficios o protección para los que sea apto.\nSegún la cadena CNN y «The Washington Post», cuando Trump hizo su comentario sobre «países de mierda», respondía a un plan que le presentaban el senador demócrata Dick Durbin y la republicana Lindsey Graham para suprimir la actual lotería anual de 50.000 visados y emplear parte de estos en el programa para proteger a poblaciones vulnerables, el TPS.\nAdemás de Haití y El Salvador, a los que Trump se refirió de manera concreta en sus polémicos comentarios, hay otros ocho países bajo el paraguas del estatus de protección temporal. Se detallan a continuación.\nHaití\nHaití se encuentra incluido en el estatus de protección temporal desde 2010, tras el terremoto de magnitud 7.0 que devastó el país caribeño, acabó con la vida de 300.000 personas y forzó el desplazamiento de más de un millón. Entidades de EE.UU. lideró las labores para la recuperación tras el desastre, aunque recibieron numerosas críticas por su falta de eficacia. La protección a los haitianos se mantendrá hasta el 22 de julio de 2019.\nEl Salvador\nOtro terremoto, en este caso ocurrido en 2001 y de magnitud 7.7, es la causa de que El Salvador figure en la lista de países del TPS. Aquella catástrofe mató a cientos de personas y causó daños en más de 220.000 casas. El Departamento de Seguridad Nacional considera que, después de 17 años, ya no se dan las condiciones que llevaron a incorporar al pequeño país centroamericano en esta protección, de modo que saldrá de la lista en septiembre de 2019.\nHonduras\nEn Honduras, el desastre que llevó a Estados Unidos a garantizar a sus ciudadanos protección temporal fue el huracán Mitch, de categoría 5, que asoló el país en octubre de 1998 y acabó con la vida de unas 11,000 personas en Centroamérica. Este país sufre con asiduidad el azote de tormentas y huracanes, además de graves problemas económicos y de violencia.\nNicaragua\nEl huracán Mitch también llevó a incluir a Nicaraguas en el listado de países protegidos. No obstante, el Departamento de Seguridad Nacional considera que en este caso ya no se da la condición de falta de capacidad para gestionar adecuadamente el retorno de sus ciudadanos. El TPS estará en vigor para los nicaragüenses hasta enero del próximo año.\nNepal\nEl seísmo de 2015, de magnitud 7.8, se cobró más de 8.000 vidas y ocasionó daños en millones de viviendas. A ello siguieron problemas de pobreza, que afectó a un 3% de la población, según el Banco Mundial. Esa catástrofe motivó que los nepalíes se añadieran a los ciudadanos que gozan de protección de EE.UU.\nSomalia\nLa guerra civil que siguió al derrocamiento del dictador Siad Barre en 1991 fue el motivo para que EE.UU. decidiera dar protección a los somalíes. Casi tres décadas después, tanto en andamiaje institucional como las infraestructuras económicas están en ruinas. En este sentido, el Departamento de Seguridad Nacional reconoce que «la situación de seguridad en Somalia permanece frágil y volátil».\nSiria\nLos sirios adquirieron el estatus de protección temporal de EE.UU. en 2012 a raíz de la guerra civil que se desató en su país al calor de la llamada Primavera Árabe. Se calcula que 400.000 ciudadanos perdieron la vida y millones de ellos fueron desplazados, según la ONU, en ese enfrentamiento. Aunque Estados Unidos apoyó a los rebeldes que combatían contra el gobierno de Bashar al Assad y contra Daesh y otros grupos yihadistas, ha sido Rusia la potencia que, apoyando al régimen, ha que cobrado más protagonismo y prácticamente ha resuelto en conflicto. El Departamento de Seguridad Nacional de EE.UU. decía en 2016 que «el conflicto violento y el deterioro de la crisis humanitaria sigue suponiendo un riesgo significativo por toda Siria».\nYemen\nSe concedió protección a los yemeníes en septiembre de 2015 tras el estallido de la guerra civil entre los rebeldes hutíes y los partidarios del presidente Abdu Rabu Mansuour Hadi, no elegido democráticamente y respaldado por EE.UU. La crisis ha ido a más desde entonces y han perdido la vida al menos 10.000 personas. A ello se añaden millones de personas desplazadas y en riesgo de hambruna y cólera.\nSudán\nLas guerras azotan Sudán del sur, en especial desde 2003 con el levantamiento en armas de los rebeldes en la región de Darfur contra el gobierno de Jartum. Se concedió a sus ciudadanos la protección del TPS por el conflicto armado y las «condiciones extraordinarias y temporales» que sufría.\nSudán del Sur\nTras décadas de violencia y lograr su independencia en 2011, las tensiones entre el norte y el sur han continuado. En 2013 Sudán del Sur se sumió en la guerra civil, con cientos de muertos y más de un millón de desplazados. El Banco Mundial advierte de que el conflicto en este país está socavando los logros conseguidos desde que se independizó y ha agravado la situación humanitaria.",
"url": "http://www.abc.es/internacional/abci-diez-paises-trump-tacha-agujeros-mierda-y-quiere-dejar-sin-proteccion-201801121415_noticia.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20180112150129/http://www.abc.es/internacional/abci-diez-paises-trump-tacha-agujeros-mierda-y-quiere-dejar-sin-proteccion-201801121415_noticia.html"
}
] |
en | Noel Gallagher quits Oasis |
Gallagher on stage in 2008
Guitarist and songwriter Noel Gallagher of the English rock band Oasis announced last night that he had quit the group, saying that he could no longer work with his brother Liam, in the middle of a world tour. He wrote on the band's official website, "It’s with some sadness and great relief to tell you I quit Oasis tonight. ''sic'' I simply could not go on working with Liam a day longer." This has been interpreted by many as an announcement that the band is to split up.
This news comes after a backstage fistfight between the brothers, which singer Amy Macdonald described on her Twitter profile with the text, "Liam smashed Noel’s guitar, huuuge ''sic'' fight!"
Oasis cancelled the night's performance, as announced by support act Bloc Party, and screens displayed the message, "As a result of an altercation within the band, the Oasis gig has been cancelled." This announcement was met with booing from the crowd.
Alan McGee, who signed Oasis to his Creation Records label, said, "It's obviously the worst fall-out that they've ever had, and they've had some pretty bad ones. This is a pretty serious one. But they love each other, they'll come back together." He predicted that the group would go on to make solo albums, before coming together for "a reunion tour in about five years time."
| [
"Europe",
"United Kingdom",
"England",
"Culture and entertainment",
"Music",
"George Watson (Wikinewsie)"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Noel Gallagher 'quitting Oasis'",
"text": "In the past, relations between the two brothers have been tempestuous Noel Gallagher has announced he is quitting rock band Oasis because he can no longer work with his brother Liam. Noel, the group's lead guitarist, made the statement on the band's website. He said a series of rows with his brother led to the decision. The guitarist said: \"It's with some sadness and great relief to tell you that I quit Oasis tonight. \"People will write and say what they like, but I simply could not go on working with Liam a day longer.\" 'Gutted' \"Apologies to all the people who bought tickets for the shows in Paris, Konstanz and Milan,\" he added. Earlier it was announced the band had cancelled their second gig in the space of a week because of \"an altercation within the band\". Please turn on JavaScript. Media requires JavaScript to play. They had been expected to play the Rock en Seine festival in Paris, but fans at the concert were told by the support band that Oasis would not be performing. Many of the crowd thought it was a joke - until screens at either side of the stage showed the message \"as a result of an altercation within the band, the Oasis gig has been cancelled\". Hamish McBain, from music magazine New Musical Express, said despite a long history of falling out between the two brothers, this split has an air of finality. He told the BBC: \"The relationship between Noel and Liam has been frosty over the last tour, to say the least, but it's been frosty before. \"Noel has left tours before, Liam's not showed up for gigs before, and they've carried on. But this, certainly the way Noel's presented it on the Oasis website, it does feel like it has a degree of finality to it.\" Oasis fans used Twitter to respond to the news that lead guitarist Noel had quit. 'Worst day ever' PsychedelicAdam posted: \"Noel Gallagher leaves Oasis? Gutted, no more Oasis then I guess, they were one of my favourite bands.\" Wolvolass said: \"I feel sick, sooo many good memories and gigs seeing Oasis over the years.\" It does feel like it has a degree of finality to it\nHamish McBain, NME MattGriffin added: \"This is the worst day ever.\" On Sunday the band had also cancelled their headline slot at the V Festival in Essex after Liam was diagnosed with viral laryngitis. They performed in Stafford on Saturday but the singer was advised by doctors not to perform again. Oasis formed in Manchester in 1991, but were originally known as The Rain. Wild lifestyles The group was formed by Liam Gallagher (vocals and tambourine), Paul Arthurs (guitar), Paul McGuigan (bass guitar) and Tony McCarroll (drums, percussion), but were soon joined by Liam's older brother Noel Gallagher (lead guitar and vocals). According to the Belfast Telegraph, by June 2009 Oasis had sold more than 50 million records worldwide. They have had eight UK number-one singles and have amassed 15 NME Awards, five BRIT Awards, nine Q Awards and four MTV Europe Music Awards. In February 2007, Oasis received the BRIT Award for outstanding contribution to music. The Gallagher brothers have featured regularly in tabloid newspapers for their sibling disputes, wild lifestyles and highly-public feud with rival Britpop band Blur. The final line-up consisted of guitarist Gem Archer and bassist Andy Bell, as well as unofficial drummer Chris Sharrock.\nBookmark with: Delicious\nDigg\nreddit\nFacebook\nStumbleUpon What are these? E-mail this to a friend Printable version",
"url": "http://news.bbc.co.uk/1/hi/entertainment/8228053.stm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20090829100439/http://news.bbc.co.uk/2/hi/entertainment/8228053.stm"
},
{
"language": "en",
"title": "Oasis split? Definitely maybe",
"text": "The Gallaghers (centre) have always patched things up in the past Arguments and cancelled gigs are nothing new for Oasis. For them, spectacular popularity has always gone hand-in-hand with spectacular bust-ups. But neither brother has formally left the band - until now. Noel Gallagher has quit, saying he can no longer work with brother and bandmate Liam. As fans question whether this really is the end, the troubles and triumphs they have shared over the years are recalled below. THE RISE 1991 - The band form with an original line-up of the Gallagher brothers, Paul \"Bonehead\" Arthurs, Paul \"Guigsy\" McGuigan and Tony McCarroll, initially under the name Rain.\nThe band form with an original line-up of the Gallagher brothers, Paul \"Bonehead\" Arthurs, Paul \"Guigsy\" McGuigan and Tony McCarroll, initially under the name Rain. May 1993 - Discovered by Creation Records owner Alan McGee while playing third on the bill at Glasgow venue King Tut's Wah Wah Hut. He offers them a record deal on the spot. Oasis shot to fame as Britpop took off February 1994 - The world gets the first taste of their bad behaviour when Liam and Guigsy are detained on a ferry for causing mayhem in the bar en route to a gig in Amsterdam. They are immediately deported.\n- The world gets the first taste of their bad behaviour when Liam and Guigsy are detained on a ferry for causing mayhem in the bar en route to a gig in Amsterdam. They are immediately deported. April - Debut single Supersonic is released. Oasis are at the forefront of Britpop - an explosive time for British guitar music, with bands that dominated the charts and the airwaves.\n- Debut single Supersonic is released. Oasis are at the forefront of Britpop - an explosive time for British guitar music, with bands that dominated the charts and the airwaves. April - Liam and Noel are at each others' throats during an infamous interview with NME, proving rows are nothing new. The following year, the recording is released on 7\" single under the title Wibbling Rivalry. THE BIG TIME September 1994 - Debut album Definitely Maybe reaches number one in UK.\n- Debut album Definitely Maybe reaches number one in UK. August - A fan jumps on stage and punches Noel in the face, cutting him with his ring, before Noel and Liam hit back. Bottles are thrown as the band abandon the gig, and the crowd smashes the windows of the tour bus as they leave the venue.\n- A fan jumps on stage and punches Noel in the face, cutting him with his ring, before Noel and Liam hit back. Bottles are thrown as the band abandon the gig, and the crowd smashes the windows of the tour bus as they leave the venue. February 1995 - Oasis are named best British newcomers at the Brit Awards - but arch rivals Blur win four awards, including best British group.\n- Oasis are named best British newcomers at the Brit Awards - but arch rivals Blur win four awards, including best British group. August - Amid much media hysteria, Oasis release their single Roll With It on the same day that Blur release Country House. In the great Battle of Britpop, Blur score number one and Oasis lose out. The band picked up three Brit Awards in 1996 September - Guigsy, suffering from nervous exhaustion, refuses to go on tour. The band recruit an unknown replacement, Scott McLeod. But he walks out suddenly after just a month, prompting the Gallaghers to scrap the rest of their US dates. Guigsy later returns.\n- Guigsy, suffering from nervous exhaustion, refuses to go on tour. The band recruit an unknown replacement, Scott McLeod. But he walks out suddenly after just a month, prompting the Gallaghers to scrap the rest of their US dates. Guigsy later returns. February 1996 - Oasis get revenge on Blur at the Brit Awards, winning three gongs, including best group and best album for What's The Story Morning Glory.\n- Oasis get revenge on Blur at the Brit Awards, winning three gongs, including best group and best album for What's The Story Morning Glory. August - They play to 250,000 people over two nights at Knebworth, now widely seen as the high point of both Britpop and Oasis's fortunes.\n- They play to 250,000 people over two nights at Knebworth, now widely seen as the high point of both Britpop and Oasis's fortunes. September - At Heathrow Airport, Liam backs out of a US tour 15 minutes before the flight. He says he has to find a new house with wife Patsy Kensit instead of playing to \"silly Yanks\". The tour starts without him and he flies out later. But relations boil over and two weeks later, Noel cancels the remaining dates.\n- At Heathrow Airport, Liam backs out of a US tour 15 minutes before the flight. He says he has to find a new house with wife Patsy Kensit instead of playing to \"silly Yanks\". The tour starts without him and he flies out later. But relations boil over and two weeks later, Noel cancels the remaining dates. August 1997 - Third album Be Here Now sells 663,000 copies in the UK in its first week. It still holds the record for the fastest-selling album. GLOBAL TROUBLES August 1999 - Guigsy and Bonehead leave the band in quick succession. They are replaced by bassist Andy Bell - formerly of indie band Ride - and guitarist Gem Archer, of the group Heavy Stereo. Full story The Gallagher brothers are the only two remaining original band members November 1999 - Liam causes a scare after vanishing for 48 hours - just days before the band start a crucial US tour. Full story\n- Liam causes a scare after vanishing for 48 hours - just days before the band start a crucial US tour. Full story May 2000 - Noel Gallagher walks out of the group's world tour, blaming a \"major disagreement\" with Liam, who he says is \"a bit of an idiot\". He explains: \"It's just been made impossible for me to be on the same stage or the same room as him.\" The other band members play dates without Noel. Full story\n- Noel Gallagher walks out of the group's world tour, blaming a \"major disagreement\" with Liam, who he says is \"a bit of an idiot\". He explains: \"It's just been made impossible for me to be on the same stage or the same room as him.\" The other band members play dates without Noel. Full story July - Oasis - still minus Noel - walk off stage in Switzerland after being pelted with bottles, cans and coins. Noel rejoins the group for a show in Dublin days later. Full story\n- Oasis - still minus Noel - walk off stage in Switzerland after being pelted with bottles, cans and coins. Noel rejoins the group for a show in Dublin days later. Full story September 2002 - They are forced to scrap several gigs after Noel and Bell suffer minor injuries in a head-on car crash in a taxi in Indianapolis, Indiana. Full story\n- They are forced to scrap several gigs after Noel and Bell suffer minor injuries in a head-on car crash in a taxi in Indianapolis, Indiana. Full story December 2002 - A German tour is axed after Liam loses two teeth in bar brawl in Munich. Prosecutors say Liam and another unnamed member of the band had large amounts of alcohol and drugs in their blood and Liam is fined fined 50,000 euros (£35,000). Full story THE END? Many new bands cite Oasis as a big influence February 2007 - Oasis receive outstanding contribution honour at the Brit Awards. Full story\n- Oasis receive outstanding contribution honour at the Brit Awards. Full story October 2008 - Oasis release their seventh album Dig Out Your Soul, which becomes their seventh UK number one. Full story\n- Oasis release their seventh album Dig Out Your Soul, which becomes their seventh UK number one. Full story August 2009 - Liam tells NME he and his brother rarely speak, do not travel together and only see each other on stage. \"He doesn't like me and I don't like him, that's it.\"\nBookmark with: Delicious\nDigg\nreddit\nFacebook\nStumbleUpon What are these? E-mail this to a friend Printable version",
"url": "http://news.bbc.co.uk/1/hi/entertainment/8228382.stm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20090901121052/http://news.bbc.co.uk/2/hi/entertainment/8228382.stm"
},
{
"language": "en",
"title": "Oasis split: Noel Gallagher walks out on band after punch-up with Liam",
"text": "Noel Gallagher quit Oasis last night – saying he could no longer be in a band with brother Liam.\nHe wrote on their website: “It’s with some sadness and great relief to tell you I quit Oasis tonight. I simply could not go on working with Liam a day longer.”\nNoel, left, walked out minutes before the band were due to headline Paris’s Rock en Seine festival after he and Liam, right, had a punch-up.\nAdvertisement - article continues below »\nSinger Amy Macdonald said on Twitter the brothers had exchanged blows backstage. She wrote: “Liam smashed Noel’s guitar, huuuge fight!”\nShe said the crowd went berserk, adding: “I’ve never heard such loud booing. It was terrifying.”\nSupport band Bloc Party announced Oasis would not be going on as screens flashed up the message: “As a result of an altercation within the band, Oasis has been cancelled.”\nFan Ben Clover, 28, moaned: “I was hoping to see the band. Now I am not sure we will ever see them live again.”\nAll the single Ladies..Win tickets to see Beyonce LIVE!",
"url": "http://www.mirror.co.uk/celebs/news/2009/08/29/noel-quits-oasis-over-liam-rows-115875-21632522/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20090830191447/http://www.mirror.co.uk/celebs/news/2009/08/29/noel-quits-oasis-over-liam-rows-115875-21632522/"
},
{
"language": "en",
"title": "Oasis News",
"text": "\"It's with some sadness and great relief to tell you that I quit Oasis tonight. People will write and say what they like, but I simply could not go on working with Liam a day longer.\n\"Apologies to all the people who bought tickets for the shows in Paris, Konstanz and Milan.\"",
"url": "http://www.oasisinet.com/NewsArticle.aspx?n=773",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20090829201005/http://www.oasisinet.com/NewsArticle.aspx?n=773"
}
] |
fr | Droit en France : le conseil constitutionnel valide la modification du règlement du Congrès à Versailles | thumbs
Le Conseil constitutionnel a validé, dans l'urgence, les modifications du règlement du Congrès de Versailles. Les parlementaires avaient modifié le règlement en question afin de tenir compte des nouvelles dispositions constitutionnelles adoptées l'an dernier par ce même Congrès.
La principale disposition adoptée concerne le débat sans vote à la suite de l'allocution du Président de la République. Les autres modifications portaient sur la simplification de l'organisation du scrutin public. En outre, le nouveau réglement ne prévoit plus que l'établissement d'un compte rendu intégral de chaque séance.
| [
"France",
"Europe",
"Droit en France",
"Droit",
"Justice",
"Droit public",
"Droit constitutionnel",
"Politique française"
] | [
{
"language": "fr",
"title": "Congrès du Parlement (22 juin 2009)",
"text": "Accueil > Congrès du Parlement (22 juin 2009) CONGRÈS DU PARLEMENT DU LUNDI 22 JUIN 2009 RÉSOLUTION modifiant le Règlement du Congrès. (Texte définitif) Version pdf Le Parlement, réuni en Congrès, conformément à l’article 18 de la Constitution, a adopté la résolution dont la teneur suit : Article 1er Le Règlement du Congrès est complété par un article 23 ainsi rédigé : « Art. 23. – Le Président de la République peut prendre la parole devant le Parlement réuni à cet effet en Congrès. À l’heure fixée pour sa déclaration il est introduit dans l’hémicycle sur l’ordre du Président du Congrès, lequel lui donne aussitôt la parole. Sa déclaration terminée, le Président de la République est reconduit hors de l’hémicycle dans les mêmes formes. La séance, au cours de laquelle aucun des membres du Congrès n’est autorisé à intervenir, est ensuite suspendue ou levée. « La séance peut être reprise pour un débat sur la déclaration du Président de la République hors la présence de celui-ci. Ce débat est de droit lorsqu’il est demandé par le président d’un groupe de l’une ou l’autre des deux assemblées au plus tard la veille de la réunion du Congrès à midi. Il peut également être décidé par le Bureau du Congrès. « Dans le cas où la déclaration du Président de la République donne lieu à un débat et sauf décision contraire du Bureau du Congrès, chaque groupe dispose d’un temps de parole de dix minutes pour l’orateur qu’il désigne. Un temps de parole de cinq minutes est attribué au député ou au sénateur n’appartenant à aucun groupe qui s’est fait inscrire le premier dans le débat. « Les inscriptions de parole sont faites par les présidents des groupes. Au vu de leurs indications, le Président du Congrès détermine l’ordre des interventions. « Aucun vote, de quelque nature qu’il soit, ne peut avoir lieu. » Article 2 Le Règlement du Congrès est ainsi modifié : 1° L’article 1er est ainsi rédigé : « Art. 1er. – Le Bureau du Congrès est celui de l’Assemblée nationale. » ; 2° À la première phrase du troisième alinéa de l’article 8, les mots : « à main levée, par assis et levé ou par appel nominal » et « ils contrôlent les délégations de vote ; » sont supprimés ; 3° L’article 12 est ainsi modifié : a) Au premier alinéa, les mots : « un compte rendu analytique officiel, affiché et distribué, et » sont supprimés ; b) Le second alinéa est supprimé ; 4° Le quatrième alinéa de l’article 13 est supprimé ; 5° L’article 14 est complété par les mots : « ou dans les salles voisines de la salle des séances » ; 6° Au dernier alinéa de l’article 16, après le mot : « tribune », sont insérés les mots : « ou dans les salles voisines de la salle des séances » ; 7° L’article 17 est ainsi rédigé : « Art. 17. – Lorsqu’il y a lieu à scrutin public, l’annonce en est faite par le Président. Le Président déclare le scrutin ouvert. L’ouverture d’un scrutin public ordinaire est prononcée cinq minutes après son annonce. L’ouverture d’un scrutin public à la tribune ou dans les salles voisines de la salle des séances interrompt tout débat. « Le scrutin public se déroule dans les conditions fixées par le Bureau. Le vote a lieu par bulletins ou par procédé électronique. « Le Président prononce la clôture du scrutin public. Son résultat est constaté par les secrétaires et proclamé par le Président. » ; 8° L’article 18 est ainsi modifié : a) À la fin de la première phrase du premier alinéa, les mots : « par bulletins » sont remplacés par les mots : « ou dans les salles voisines de la salle des séances » ; b) La seconde phrase du même alinéa est supprimée ; c) Au deuxième alinéa, le mot : « également » est supprimé ; 9° L’article 20 est ainsi rédigé : « Art. 20. – Les dispositions du chapitre XIV du titre Ier du Règlement de l’Assemblée nationale relatives à la discipline sont applicables au Congrès. » ; 10° L’article 21 est ainsi modifié : a) Au premier alinéa, les mots : « l’enceinte du Palais pendant que le Congrès » sont remplacés par les mots : « les locaux du Congrès pendant que celui-ci » ; b) Au quatrième alinéa, les mots : « le Palais » sont remplacés par les mots : « les locaux du Congrès » ; c) Au dernier alinéa, les mots : « le Palais » sont remplacés par les mots : « les locaux ». Délibéré en séance publique, à Versailles, le 22 juin 2009. Le Président, Signé : BERNARD ACCOYER Version pdf Voir aussi : Le Règlement du Congrès\nLes réunions du Parlement en Congrès\nLa révision de la Constitution et le Congrès\n(comptes rendus des précédents Congrès et travaux préparatoires des assemblées)\nMessages et déclarations du Président de la République\nConstitution du 4 octobre 1958 _______________________________________________________________",
"url": "http://www.assemblee-nationale.fr/13/congres3/resolution-adoptee.asp",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20090626031300/http://www.assemblee-nationale.fr/13/congres3/resolution-adoptee.asp"
}
] |
es | Murió un piloto de Continental Airlines en pleno vuelo |
Un piloto de la aerolínea Continental falleció en pleno vuelo. El hecho ocurrió durante el transcurso del vuelo 61 que partió desde Bruselas, Bélgica, rumbo al aeropuerto de Newark, Nueva Jersey. El vuelo aterrizó comandado por el copiloto sin ningún tipo de inconveniente. Además del piloto fallecido y el copiloto viajaba un primer oficial.
Según una portavoz de la Administración Federal de Aviación (FAA), el vuelo 61 despegó con 247 pasajeros a bordo y aterrizó en el aeropuerto internacional de Newark, uno de los tres aeródromos que prestan servicio internacional a Nueva York, poco antes de las seis de la tarde (hora española). El aterrizaje se hizo con absoluta normalidad después de que se hubiera puesto en marcha un dispositivo de emergencia para recibir con prioridad al aparato.
La compañía aérea no ha facilitado información sobre el piloto aunque sí precisó que murió por causas naturales una hora y media después de que se produjera el despegue. También se informó de que tenía 32 años de servicio en la aerolínea. Según los pasajeros, no se les comunicó nada.
| [
"Bélgica",
"Estados Unidos",
"Norteamérica",
"Transporte",
"Desastres y accidentes",
"Europa"
] | [
{
"language": "es",
"title": "Aterrizaje de emergencia en EE UU de un avión cuyo piloto murió en pleno vuelo",
"text": "20MINUTOS.ES. 18.06.2009 - 19.21 h\nEl piloto de 60 años de un avión Boeing 777 de Continental Airlines ha muerto este jueves en pleno vuelo entre Bruselas y Nueva York, por lo que sus dos copilotos se vieron obligados a realizar un aterrizaje de emergencia.\nEl piloto tenía 32 años de servicio en la aerolínea\nSegún una portavoz de la Administración Federal de Aviación (FAA), el vuelo 61 que despegó de la capital belga, con 247 pasajeros a bordo, ha aterrizado en el aeropuerto internacional de Newark (Nueva Jersey), uno de los tres aeródromos que prestan servicio internacional a Nueva York, poco antes de las seis de la tarde (hora española). El aterrizaje se hizo con absoluta normalidad después de que se hubiera puesto en marcha un dispositivo de emergencia para recibir con prioridad al aparato.\nLa compañía aérea no ha facilitado información sobre el piloto aunque sí precisó que murió por causas naturales una hora y media después de que se produjera el despegue. También se informó de que tenía 32 años de servicio en la aerolínea.\nNo se comunicó nada a los pasajeros\nHasta hace poco más de un año los pilotos de aviones comerciales sólo podían ejercer su trabajo en Estados Unidos hasta los 60 años, pero en diciembre de 2007 se aprobó una ley que ampliaba la edad de jubilación obligatoria de estos profesionales hasta los 65 años.\nUn doctor que viajaba en el avión dictaminó la muerte del piloto y miembros de la tripulación retiraron su cuerpo de la cabina para dejarlo en el área de reposo que utilizan durante las horas de vuelo. Los pasajeros, sin embargo, aseguraron a medios locales al llegar a la puerta C123 de Newark que no se les comunicó lo ocurrido durante el vuelo.",
"url": "http://www.20minutos.es/noticia/474746/0/piloto/avion/emergencia/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20090621193755/http://www.20minutos.es/noticia/474746/0/piloto/avion/emergencia"
}
] |
en | Egyptian teacher who killed child receives prison term |
An Egyptian teacher who kicked a schoolboy to death after he failed to complete his homework has been given a six year prison sentence for manslaughter.
Islam Amr Badr, the schoolboy, died in a hospital in Alexandria with four broken ribs, according to testimony heard by the court.
In response to these allegations, Haitham Nabeel Abdelhamid, the convicted teacher, stated that he was not intending to hurt the child, he was merely intending to discipline him.
The lawyer for Abdelhamid also defended his client's actions. He stated that "Hitting children is not banned in schools and my client did not break the law."
The Egyptian government has announced new measures and released statements regarding 's eradication in response to this case.
Amr Badr Ibrahim, the father of the schoolboy killed, has called for more people than just the teacher to be blamed for the death. "The problem is the teaching and the teachers because they cannot find good teachers," he claimed. "The minister of education should be the first person to be accused - how can he agree to let such a young man teach children?"
| [
"Africa",
"Crime and law",
"Egypt",
"Middle East",
"Alexandria, Egypt"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Boy-killing Egypt teacher jailed",
"text": "Islam Amr Badr died in hospital after being injured (Photo: Al Masry Alyoum)\nAn Egyptian court has sentenced a schoolteacher to six years in jail for beating a pupil to death because he had not done his homework.\nMaths teacher Haitham Nabeel Abdelhamid, 23, took Islam Amr Badr outside the classroom and hit him violently in the stomach.\nThe 11-year-old boy fainted and later died in hospital of heart failure in the city of Alexandria.\nThe court was told the boy had four broken ribs.\nAbdelhamid was convicted of manslaughter.\nHe said he only meant to discipline the pupil and did not mean to hurt anyone.\nThe teacher's lawyer was quoted as saying in court: \"Hitting [a child] is not banned in schools and my client did not break the law.\"\nNational outrage\nObservers say the case has been seen as a shocking reminder of the failings of Egypt's state education system.\nThe incident, at Saad Othman Primary School on the outskirts of Alexandria in October, caused national outrage.\nIslam's father, Amr Badr Ibrahim, said others should have stood trial with the teacher.\n\"The problem is the teaching and the teachers because they cannot find good teachers,\" he said.\n\"The minister of education should be the first person to be accused - how can he agree to let such a young man teach children?\"\nIn the state education system, young, inexperienced and under-resourced teachers often struggle to control classes of 60 to 100 children.\nThe Egyptian government says it is bringing in education reforms - including new teacher testing.\nIt is also trying to tackle violence in schools and has issued new statements on the prohibition of corporal punishment.",
"url": "http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/middle_east/7799777.stm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20081226114555/http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/middle_east/7799777.stm"
},
{
"language": "en",
"title": "Egyptian teacher given prison term",
"text": "Abdelhamid was convicted of manslaughter after kicking Amr Badr in the stomach [AFP]\nAbdelhamid was convicted of manslaughter after kicking Amr Badr in the stomach [AFP]\nAbdelhamid was convicted of manslaughter after kicking Amr Badr in the stomach [AFP]\nHaitham Nabil Abdel Hamid, the 23-year-old maths teacher, was convicted of manslaughter after kicking 11-year-old Islam Amro Badr in the stomach in the Mediterranean port city of Alexandria in October.\nAn Egyptian court has sentenced a teacher to six years in prison for kicking a schoolboy to death after he failed to do his homework, according to a court official.\nThe boy fainted and died shortly after in hospital, with several students saying they saw Abdel Hamid kick Badr.\nA coroner testified in court that Badr had four broken ribs, Egypt's Al-Masry al-Yom newspaper reported earlier this week, amid emotional scenes in court from the boy's family.\nThe incident has attracted public attention to the failings of Egypt's state education system in which young, inexperienced and under-resourced teachers often struggle to control classes of up to 100 children.\nThe teacher's lawyer was quoted as saying that, \"Hitting (a child) is not banned in schools and my client did not break the law.\"\nAbdel Hamid said he only meant to discipline his pupil and did not mean to hurt anyone.",
"url": "http://english.aljazeera.net/news/middleeast/2008/12/20081225125645981406.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20081226065938/http://english.aljazeera.net/news/middleeast/2008/12/20081225125645981406.html"
}
] |
es | Barack Obama anuncia su candidatura a la reelección presidencial |
Archivo:BarackObamaportrait.jpg|left|thumb|300 px|Barack Obama.
El actual mandatario de los Estados Unidos, Barack Obama, anunciará mañana mediante las redes sociales su candidatura a la reelección presidencial para el 2012.
El diario digital ''Político'', adelantó que hay probabilidades de que Obama llene los papeles para que su candidatura quede en firme este lunes ante la Comisión Federal Electoral.
Obama realizaría el comunicado mediante mensajes de texto a sus partidarios lo cual descartaría totalmente la posibilidad de aparecer personalmente a los medios de comunicación.
Las redes sociales comentan que Obama no tiene todo a su favor, pues ha sido criticado duramente por diversas organizaciones de los derechos humanos debido a la deportación de casi un millón de indocumentados que ha realizado durante su gobierno así como la falta de una reforma migratoria que favorezca a los 12 millones de ilegales que residen en el país.
Obama ha iniciado su campaña con programas de reducción de la importación petrolera hacia otros países e invertir en programas de innovación y educación.
Al mismo tiempo califica de "necesaria" la intervención conjunta en Libia.
Una encuesta realizada por el ''Real Clear Politics'' informó que un 47,7% de los estadounidenses aprueban la labor de Obama en sus años de gobierno mientras que un 46,6% lo desaprueba.
| [
"Norteamérica",
"Estados Unidos",
"Política",
"Barack Obama",
"Sociedad"
] | [
{
"language": "es",
"title": "Barack Obama buscará la reelección en el 2012",
"text": "El actual presidente de Estados Unidos tiene en su contra el tema migratorio con 800 mil deportaciones durante su mandato, así como la debacle económica del pais y los tres conflictos bélicos en Iraq, Afganistán y Libia\nEl presidente de Estados Unidos, Barack Obama, lanzará mañana su campaña por la reelección de 2012 mediante un mensaje electrónico a través de las redes sociales a sus más firmes seguidores.\nSegún informó la víspera el sitio digital Politico, la campaña de Obama dará probablemente su primer paso el lunes, cuando se realice el llenando de los documentos de registro con la Comisión Federal Electoral.\nAunque los propios organizadores dijeron que el anuncio podría demorarse si algún acontecimiento importante amenaza con eclipsar la noticia.\nEl mandatario prevé transmitir la decisión directamente a sus partidarios por mensajes de texto, desechando la posibilidad de una aparición personal o en los medios tradicionales, precisó la página web.\nDavid Axelrod, quien sirvió como asesor de la Casa Blanca, “volverá a ser el gurú estratégico de Obama”, subrayó Politico.\nEl jefe de Estado no las tiene todas a su favor: en el tema migratorio es muy criticado por organizaciones de derechos humanos, descontentas por las más de 800 mil deportaciones que ha realizado desde que comenzó su mandato.\nContrario a lo que había augurado, Obama aún no ha promulgado una reforma migratoria integral para favorecer a más de 11 millones de indocumentados que residen en el norteño país.\nEl cierre del centro de detención y tortura del Pentágono en el territorio cubano ocupado en Guantánamo, otra de sus promesas electorales, tampoco se ha cumplido.\nLa recuperación económica sigue sin llegar, pese a índices que notifican la creación de unos 230 mil empleos en marzo, pero todavía en la lista de desempleados hay unos 13,5 millones de estadounidenses el doble de lo que existían al detonar la crisis en el 2007.\nPor otra parte, el público norteamericano se muestra cansado y escéptico después de dos conflictos bélicos en Iraq y Afganistán, a lo que se suma ahora lo que se ha denominado “la guerra de Obama”, desatada contra Libia.\nEn enero del 2010, al cumplirse año de su toma de posesión, los índices de aprobación entre los votantes habían bajado al 50 por ciento.\nCon 12 puntos menos que cuando asumió el cargo el 20 de enero de 2009, el jefe de la Oficina Oval se ubicó entre uno de los primeros mandatarios peor valorados al término de sus primeros 12 meses de gobierno, según señaló entonces una encuesta de la cadena CBS.\nEn la segunda quincena de marzo de este año, otro sondeo reveló que la aprobación del presidente Obama están descendiendo, de acuerdo con los datos de CNN/Opinion Research Corporation.\nEl 50 por ciento de los entrevistados certificaron la gestión de Obama; sin embargo, la cifra representa cinco puntos porcentuales menos que a finales de enero.\nFuente/Prensa Latina",
"url": "http://www.correodelorinoco.gob.ve/multipolaridad/barack-obama-buscara-reeleccion-2012/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120318185352/http://www.correodelorinoco.gob.ve/multipolaridad/barack-obama-buscara-reeleccion-2012/"
},
{
"language": "es",
"title": "Barack Obama anunció su postulación para la reelección presidencial",
"text": "Por: SERGIO GÓMEZ MASERI Y AFP | 11:38 a.m. | 03 de Abril del 2011\n\"Hoy, estamos presentando documentos para lanzar nuestra campaña de 2012\", dijo en un comunicado.\nCon sus índices de popularidad de capa caída, la economía aún crítica y tres frentes de guerra abiertos, un decaído Barack Obama anunció su intención de buscar la reelección a la presidencia de Estados Unidos para el período 2012-216.\nEl presidente confirmó su anticipada decisión a través de un video en su portal de Internet en el que un grupo de partidarios del presidente hablan sobre la importancia de continuar el trabajo iniciado por el mandatario tras la elección en 2008.\nEn el video le pide a sus seguidores entender que los cambios prometidos \"no llegan rápido ni son fáciles\", mientras los invita a defender los progresos alcanzados y los que están por venir.\nObama agregó que el país necesita \"proteger el progreso\" realizado.\nExplicó que, así como su gobierno y sus partidarios en todo el país \"luchan para proteger el progreso que hemos hecho -y por hacer más-, nosotros también tenemos que empezar a movilizarnos para 2012, mucho antes de que llegue el momento de que yo empiece la campaña en serio\".\nDijo que en los próximos días sus seguidores empezarán a forjar una nueva organización en las ciudades y pueblos de todo el país.\n\"Y los necesitaré a ustedes para ayudar a dar forma a nuestro plan, mientras creamos una campaña de mayor alcance, más centrada y más innovadora que cualquier otra cosa que hayamos construido antes\", señaló.\n\"Esta será mi última campaña, al menos como candidato\", dijo Obama en un comunicado. \"Pero la causa de hacer una diferencia duradera en nuestras familias, nuestras comunidades y nuestro país nunca se trató de una sola persona. Y sólo tendrá éxito si trabajamos juntos\", puntualizó.\nEl anuncio, en gran parte un trámite, le permite iniciar de inmediato la recolección de fondos que necesitará para su campaña.\nSe especula desde ya que será la contienda más costosa en la historia de EE. UU.\nObama les ha dicho a sus asesores que espera recaudar al menos 1.000 millones de dólares con lo que batiría el récord que él mismo fijó durante la contienda de 2008, cuando llenó las arcas con 750 millones de dólares.\nAunque la historia lo favorece -solo 5 presidentes de 12 han perdido la reelección en más de un siglo-, su momento político actual lo hace ver frágil de cara a los comicios.\nDe acuerdo a una muestra de Gallup de la semana pasada, sólo el 47 por ciento de los estadounidenses aprueba su gestión.\nOtro sondeo de la CNN, este febrero, indicaba que la mayoría en EE. UU. (un 51 por ciento), cree que no se merece otros cuatro años en la Casa Blanca.\nY el pronóstico a futuro tampoco es claro\nCon los republicanos controlando la Cámara de Representantes en el Capitolio, la agenda del presidente avanza en cámara lenta y es poco probable que pueda mover grandes iniciativas en estos 20 meses que faltan para las elecciones. Así mismo, sumando a Libia, ya tiene tres frentes de guerra abierto en países musulmanes y una región Oriente Medio, al borde del colapso.\nEn el plan interno, la economía -quizá el factor más determinante en sus chances de reelección- aún cojea pese a que los últimos datos son promisorios. De acuerdo al Departamento del Trabajo la tasa de desempleo llegó a 8.8 por ciento el mes pasado, alta para EE. UU., pero el primer descenso estable desde la crisis económica que estalló en el 2008.\nObama, que irá a la reelección con la misma fórmula vicepresidencial -Joe Biden-, no tendrá contendor en el proceso de nominación del partido demócrata.\nPor el lado republicano, de donde saldrá su rival, existe todavía mucha incertidumbre.\nEn el ramillete de aspirantes hay más de una docena de candidatos que exploran las posibilidades. Muchos de ellos son viejos conocidos de la campaña anterior, como Sarah Palin (ex candidata a la vice presidencia), Mitt Romney (candidato en 2008 y ex gobernador de Massachusetts), y Mike Huckabee (candidato, ex gobernador de Arkansas). Así mismo figuran otros como Bobby Jindal, (gobernador de Louisiana), Donald Trump, Newt Gingrich (ex líder de la Cámara de Representantes), y Tim Pawlenty (ex gobernador de Minnesota).\nSi bien de momento la falta de un claro contendor dentro del partido republicano juega en favor de Obama, eso cambiará una vez el partido seleccione a su nominado el año entrante.\nObama no tiene garantizada la reelección, dice Steve Johnson\nEn una entrevista con ELTIEMPO Steve Johnson, el director del Programa de América Latina en el Centro de Estudios Estratégicos Internacionales, respondió varias preguntas sobre los chances de reelección del presidente Barack Obama\nNo la tiene garantizada, pero entra a esta contienda con una gran ventaja: la de ser un presidente en ejercicio, que suelen ganar las reelecciones. Salvo que algo pase que los descalifique o se equivoquen en el manejo de los temas importantes.\n¿Qué podría pasarle a Obama?\nPuede salirle mal el manejo de la situación en el norte de África o en Oriente Medio. O la economía, que siempre es un factor determinante. Podríamos regresar a una recesión, por ejemplo. Aparte de eso, no creo que pueda suceder algo que descarrille su reelección, salvo que suceda algo completamente extraordinario o inesperado, como un retroceso dramático en Afganistán.\n¿Qué tiene a su favor?\nEs una figura muy popular en EE. UU. Puede que no todos estén de acuerdo con él en términos políticos, como por ejemplo la reforma a la salud, que es un tema divisivo. Pero sus números son muy altos en términos de imagen, y eso jugará a su favor cuando llegue la hora de la elección.\n¿Qué tanto pesará el estado de la economía? Se lo pregunto, no sólo por ser un tema que siempre es vital sino porque a Obama lo eligieron en medio de una de las peores recesiones de la historia y la gente espera resultados.\nSi hay repunte de la economía y se pone en cintura el gasto fiscal, yo creo que los estadounidenses le darán un segundo período, pero muchas cosas pueden salir mal en este frente. El gasto puede seguir desorbitado, el déficit más alto, el desempleo sin disminuir, el mercado inmobiliario quieto, etc. Todo eso podría convencer a la gente de que sus políticas no están funcionando.\nPero no parece haber hoy un candidato republicano para desafiarlo\nEs prematuro. Ellos tienen que realizar su proceso a través de las elecciones primarias, de las cuales irán saliendo dos o tres figuras, y luego una para enfrentar a Obama en noviembre del 2012. Y tienen que desarrollar una plataforma, un programa de gobierno que ofrezca una alternativa mejor a lo que ofrece Obama.\nSERGIO GÓMEZ MASERI\nCORRESPONSAL DE EL TIEMPO\nWASHINGTON\nY AFP",
"url": "http://www.eltiempo.com/mundo/estados-unidos/barack-obama-anunciara-su-candidatura-a-la-reeleccion-presidencial-_9116321-4",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20110526130134/http://www.eltiempo.com/mundo/estados-unidos/barack-obama-anunciara-su-candidatura-a-la-reeleccion-presidencial-_9116321-4"
}
] |
es | Nace Sudán del Sur en medio de celebraciones y conflictos | Archivo:Flag_of_South_Sudan.svg|right|thumb|300 px|Bandera de Sudán del Sur, que también lo fue el del Ejército de Liberación del Pueblo de Sudán. .
Los habitantes del nuevo estado independiente de Sudán del Sur, celebran a esta hora su declaración de independencia y , después de un proceso de seis años de emancipación del gobierno fundamentalista de la República de Sudán (cuyo presidente Omar Hasan Ahmad al-Bashir está implicado en varios delitos de lesa humanidad), al cual sus orígenes se remontan en los conflictos internos que pasó ese país africano, pese a que el gobierno de ese país (dirigido por Salva Kiir Mayardit) hará la proclama oficial y la instalación de los símbolos patrios en la capital Juba.
A nivel mundial, algunos países ya reconocen la independencia como Alemania (en conjunto con la Unión Europea), Estados Unidos, Egipto e Israel.
El nacimiento del nuevo país, no esta exento de problemas pues debe afrontar la decisión de varios procesos de referéndum en los territorios de Abiya, Montes Nuba y Montes Nuba, que aun están bajo control de Jartum y plantean si deciden estar unidos con Sudan o vincularse al nuevo estado, así como de disputas con éste último en materia de recursos naturales como el petróleo, vitales para su desarrollo económico y que están en riesgo de un nuevo conflicto (de carácter limítrofe con su vecino al norte), ya que estos fueron disputados en las guerras civiles recientes en las regiones sudanesas de Darfur y Kordofan del Sur.
| [
"África",
"Sudán",
"Sudán del Sur",
"Política",
"Autodeterminación de los pueblos"
] | [
{
"language": "es",
"title": "Sudán del Sur celebra su independencia, es un nuevo estado",
"text": "Los sudaneses del Sur celebraron el nacimiento de su nación, después de una votación por la independencia de los sureños bajo las condiciones de un acuerdo de paz del 2005 que acabó con décadas de guerra civil.\nMiles de personas bailaron en las calles festejando la tan ansiada independencia.\nEl nuevo Estado tiene la capital en Juba y fue reconocido oficialmente el viernes por el Gobierno de Sudán, con sede en Jartum, horas antes de que se hiciese la división formal.\n\"Libres al fin\", dijo Simon Agany, de 34 años, mientras caminaba dando la mano a la gente.\nHombres y mujeres que salían de servicios religiosos nocturnos se saludaban y felicitaban unos a otros, deseándose \"feliz cumpleaños, feliz cumpleaños\".\nLos funcionarios dijeron que el nacimiento de la nueva nación sería a medianoche, entre el 8 y el 9 de julio, aunque la ceremonia oficial de independencia se llevará a cabo más tarde el mismo sábado.\n\"A medianoche, sonarán las campanas en todo el nuevo país, y se tocarán tambores para marcar la transición histórica de sur de Sudán a la República de Sudán del Sur\", dijo el Gobierno en un comunicado.\nSegún el programa oficial, el presidente del Parlamento del sur, James Wani Igga, leerá una Proclamación de la Independencia de Sudán del Sur oficial a las 11.45 horas (0845 GMT).\nMinutos después se arriará la bandera nacional de Sudán y se izará la nueva bandera de Sudán del Sur.\nLa nueva república subdesarrollada pero rica en petróleo ganó su independencia en el clímax de un acuerdo de paz del 2005 que acabó con décadas de guerra civil con el norte.\nEl Gobierno de Jartum fue el primero en reconocer el nuevo estado, horas antes de que se realizase la secesión formal, un movimiento que suavizó la división del que fue, hasta el sábado, el país más grande de Africa.\nTEMORES\nPero el reconocimiento no disipó los miedos de futuras tensiones.\nLos líderes del norte y sur aún no se han puesto de acuerdo en una lista de temas delicados, empezando por dónde está exactamente la línea de división y cómo se repartirán los ingresos del petróleo, el alma de las dos economías.\nEn Juba, la gente ondeaba banderas en las sucias calles y bailaba bajo la luz de los faros de los coches, cantando \"MLPS o-yei, Sudán del Sur o-yei, libertad o-yei\" antes de la medianoche.\nEl Movimiento de Liberación del Pueblo de Sudán (MLPS) lideró el movimiento rebelde que luchó contra el norte hasta 2005 y ahora domina el Parlamento del sur.\nEn Jartum, justo antes de la secesión, el presidente sudanés Omar Hassan al-Bashir, que ahora sólo es jefe del norte, dijo a los periodistas que asistiría a las celebraciones de independencia del sur el sábado.\n\"Querría destacar (...) nuestra disposición a trabajar con nuestros hermanos del sur y ayudarlos a organizar su Estado para que, si Dios quiere, este Estado sea estable y se desarrolle. La cooperación entre nosotros es excelente, especialmente en lo que respecta a marcar y preservar la forntera para que haya movimiento de ciudadanos y mercancías a través de esta frontera\", añadió Bashir.\nLos analistas han temido desde hace tiempo una vuelta a la guerra civil si no se resuelven las disputas.\nTras las campanadas de medianoche, la República de Sudán perdió casi tres cuartos de sus reservas de petróleo, que están en el sur, y se enfrentaron a un futuro con insurgencias en sus regiones de Darfur y Kordofan del Sur.\nEl secretario general de la ONU, Ban Ki-moon, declaró a los periodistas en Juba el viernes que confiaba en que Sudán del Sur pronto se uniría a la organización mundial.\nEn Jartum, previamente, instó al Gobierno del norte a permitir a los responsables de la paz de la ONU quedarse pasado su mandato para controlar la situación en Kordofan del Sur, el mayor estado petrolero que le queda al norte, y otros puntos conflictivos.\nLa misión de la ONU en Sudán expira el sábado. El Consejo de Seguridad del organismo votó el viernes establecer una misión en Sudán del Sur con hasta 7.000 soldados de paz y 900 policías civiles adicionales.\n(Reporte adicional de Ulf Laessing y Khaled Abdelaziz en Jartum; Megan Davies en Naciones Unidas; Escrito por Andrew Heavens; Editado en español por Silene Ramírez)",
"url": "http://noticias.terra.com.co/internacional/sudaneses-del-sur-celebran-independencia-del-norte,10cb24fc6db01310VgnVCM4000009bf154d0RCRD.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120330164744/http://noticias.terra.com.co/internacional/sudaneses-del-sur-celebran-independencia-del-norte,10cb24fc6db01310VgnVCM4000009bf154d0RCRD.html"
},
{
"language": "es",
"title": "Israel reconocerá a Sudán del Sur después de que lo hagan EEUU y la UE",
"text": "Jerusalén, 8 jul (EFE).- Israel reconocerá a Sudán del Sur como estado independiente en las próximas semanas, después de que lo hagan Estados Unidos y la Unión Europea, informaron fuentes del Ministerio de Exteriores citadas hoy por el diario \"Haaretz\".\nA pesar de la intención de reconocer al nuevo estado, Israel no mandará un representante oficial a la ceremonia de independencia que se celebrará mañana, sábado.\nMás de 8.000 refugiados sudaneses viven en Israel, una cuarta parte de los cuales proceden de Sudán del Sur.\nEl Estado judío podrá considerar su repatriación tras la creación del nuevo país, algo que no puede hacer ahora porque no mantiene relaciones diplomáticas con Sudán, a quien considera un Estado enemigo.\nLa declaración de independencia de Sudán del Sur culmina un largo proceso iniciado en 2005 por esa región.\nTras un primer conflicto armado entre 1955 y 1972, el norte y el sur de Sudán se enfrentaron durante 21 años en una guerra civil, iniciada en 1983, que causó más de dos millones de muertos y que se selló con los acuerdos de paz de hace seis años.\nEl pasado mes de junio, el Ejecutivo de Jartum y el Movimiento Popular de Liberación de Sudán (MPLS), que gobierna en el sur, firmaron varios pactos de paz en Adis Abeba en los que ambas partes se comprometieron a celebrar un referendo de autodeterminación en el sur, llevado a cabo el pasado enero y en el que se impuso el sí a la independencia.",
"url": "http://www.elnortedecastilla.es/agencias/20110708/mas-actualidad/mundo/israel-reconocera-sudan-despues-hagan_201107080909.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20130721080235/http://www.elnortedecastilla.es/agencias/20110708/mas-actualidad/mundo/israel-reconocera-sudan-despues-hagan_201107080909.html"
},
{
"language": "es",
"title": "Porque decides a diario",
"text": "|\nTras extensión de declaratoria de Obama\nVenezuela entrará en contacto con representantes de Unasur y la Celac (Cortesía)\nNACIONAL Y POLÍTICA. La canciller Delcy Rodríguez, leyó el comunicado emitido por el Gobierno en el que que repudian \"enérgicamente\" la renovación de la orden Ejecutiva y condena \"el doble rasero de los EEUU que, siendo uno de los países donde la violación de los derechos humanos es una política de estado, pretenda dar lecciones a otros países de lo que adolece\".",
"url": "http://tiempolibre.eluniversal.com/2011/07/08/conflictos-pendientes-enturbian-independencia-de-sudan-del-sur.shtml",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20160304195203/http://www.eluniversal.com/"
}
] |
de | Der „Palast der Republik“ steht vor dem Abriss |
„Palast der Republik“: Panoramaaufnahme
Zu DDR-Zeiten wurde er unter Anspielung auf den Staatsratsvorsitzenden Erich Honecker scherzhaft „Erichs Lampenladen“ genannt, danach stand der Palast der Republik jahrelang als Bauruine mitten im Herzen Berlins. Doch nun schlägt bald das letzte Stündlein des ehemaligen Prachtbaus der DDR-Ära, denn der Abriss steht unmittelbar bevor.
Die Firmen „Ludwig Freytag“ aus Oldenburg, „Jaeger Umwelttechnik“ aus Bernburg und „Bunte Bau“ aus Papenburg wurden nun mit dem Abriss beauftragt, alle drei Unternehmen gingen als Sieger aus dem Bieterverfahren hervor. Die Senatverwaltung für Stadtentwicklung rechnet mit Kosten von etwa 12 Millionen Euro. Die Behörde ist zuversichtlich, in dem Kostenrahmen bleiben zu können.
Innerhalb der nächsten 15 Monate soll der Abriss beendet sein, danach entsteht auf dem Schlossplatz – so der Name des Grundstücks – zuerst einmal eine Grünfläche. Der Deutsche Bundestag hatte beschlossen, an gleicher Stelle einen Neubau mit den barocken Fassaden des Berliner Stadtschlosses zu errichten. Dort soll dann auch das Humboldtforum eingerichtet werden.
| [
"Themenportal Kultur",
"Vermischtes",
"Themenportal Politik",
"Themenportal Deutschland",
"Erich Honecker",
"Oldenburg (Oldb)",
"Bernburg",
"Papenburg",
"Deutsche Bundespolitik"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Abrissbirne rollt zur Palast-Ruine",
"text": "Erwerben Sie Eigentum an der tageszeitung. Über 6900 Mitglieder sichern mit ihren Einlagen die publizistische und ökonomische Unabhängigkeit der taz. Bereits ab 500 Euro können Sie taz GenossIn werden.\ntaz vom 5.1.2006, S. 6, 28 Z. (Agentur)\nBERLIN dpa Nach Abschluss des Bieterverfahrens soll der Abriss des Berliner Palastes der Republik bald beginnen. Mit dem Abbruch der Palast-Ruine am Schlossplatz seien die Firmen Ludwig Freytag (Oldenburg), Jaeger Umwelttechnik (Bernburg) und Bunte Bau (Papenburg) beauftragt worden, teilte die Senatsverwaltung für Stadtentwicklung gestern mit. Senat und Bundesregierung rechneten bisher mit Kosten von rund 20 Millionen Euro. \"Wir bleiben im Kostenrahmen\", sagte Behördensprecherin Manuela Damianakis nur. Die Baustelle solle so rasch wie möglich, in jedem Fall im Monat Januar eingerichtet werden. Palastbefürworter haben bis zuletzt gegen den Abriss von \"Erichs Lampenladen\" gekämpft. Sie wollten das asbestsanierte, entkernte Gebäude unter anderem für Kunstaktionen nutzen.\nArtikelsuche ab 1986\ndie tageszeitung - einzigartig in der Welt\nAtlas der Globalisierung\nDie neuen Daten und Fakten zur Lage der Welt im neuen Atlas der Globalisierung . 100 farbige Doppelseiten mit vielen Karten und Schaubildern.\nKalender 2007\nTOM-Wandkalender 2007 gibts für 9,95 Euro im tazshop\ntaz-Veranstaltungen\nThe Take- Die Übernahme: Dokumentarfilm von Naomi Klein und Avi Lewis, Fr., 13.10., 19 h, Hamburg, 3001 Kino. weitere Veranstaltungen\ntaz-Panter 2006\nDer taz-Preis für soziales Engagement und für die Heldinnen und Helden des Alltags .\nAnzeige\n7 Tage lang bei ElitePartner.de gezielt auf Partnersuche gehen. Kostenlose Premium-Mitgliedschaft\nNeue Abo-Prämie\nDer hochwertige taz-Rucksack besticht durch funktionelle Details. Volumen 25 Liter, Gewicht 520 gr, Innenfach für Handy, separates Einschubfach. Weitere Prämien\nIran\nIran. Die drohende Katastrophe von Bahman Nirumand liefert einen prägnanten Überblick über den eskalierenden Atomkonflikt. Lesen Sie die taz 10 Wochen lang für 60 Euro. Gratis dazu erhalten Sie Iran von Bahman Nirumand oder eine andere Prämie Ihrer Wahl.\ntazrad 2006\nEin Fahrrad, das klassisches und edles Design mit modernster Technik verbindet. Neben tazrad allround und tazrad sport gibt es jetzt das neue tazrad comfort.\ntaz + WM-Journal\nBestellen Sie 6 Wochen taz plus WM-Journal \"Es ist Liebe\" für 20 EUR.\ntaz Newsletter 1 x monatlich kostenlos Neuigkeiten rund um die taz per mail. Ihre Emailadresse:\nneue taz-Dossiers\nKrieg und Frieden: Gewalt und Intervention im Herzen Afrikas - von Kongo bis Sudan. taz-Dossier, 292 Seiten, Spiralbindung, Juni 2006\nZwischen den Polen: Politischer Reiseführer für den östlichen Nachbarn. taz-Dossier, 170 Seiten, Spiralbindung, Juni 2006\nKeine taz am Kiosk?\nBitte melden Sie uns Verkaufsstellen, wo Sie die taz vermissen.",
"url": "http://www.taz.de/pt/2006/01/05/a0098.nf/text.ges,1",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20061013022411/http://www.taz.de/pt/2006/01/05/a0098.1/text"
},
{
"language": "de",
"title": "Berliner Palast der Republik vor dem Aus",
"text": "Fünf Minuten vor zwölf setzen sich nun auch die in der Opposition sitzenden Grünen im Bundestag für den ehemaligen \"Palazzo Prozzi\" ein. Der Bau solle nicht abgerissen werden, bevor eine \"realistische Nachfolgebebauung\" gesichert sei, meinen sie. Ansonsten drohe \"eine leere, zugige Brache, wie sie nach dem Schlossabriss durch Ulbricht 23 Jahre lang bestand\". Rund 10.000 Unterschriften nahm Grünen-Chefin Claudia Roth Anfang Dezember von Palast-Freunden entgegen. Auch der Bund Deutscher Architekten plädiert vehement bis zu einer Neubau- Planungssicherheit für eine weitere \"Zwischennutzung\" wie in den letzten drei Jahren.",
"url": "http://www.heute.de/ZDFheute/inhalt/29/0,3672,3261981,00.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20060104043011/http://www.heute.de/ZDFheute/inhalt/29/0,3672,3261981,00.html"
}
] |
en | David Beckham's new son, Cruz is born |
The Real Madrid midfielder and captain of the England national team David Beckham and his ex-Spice Girl wife Victoria have given birth to a baby son called Cruz Beckham. The baby delivered by Caesarean section in the Hospital Ruber Internacionalon in Madrid, Spain, Spain at 1040 CET. Cruz is the third child of the Beckham clan together with his older brothers Brooklyn and Romeo. He weighed on arrival at 3.2kg (7lb).
== Sources ==
*
*
*(in Spanish)
*
| [
"Culture and entertainment",
"Europe",
"Spain",
"United Kingdom",
"Real Madrid",
"David Beckham",
"Caesarean sections"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Beckhams celebrate birth of Cruz",
"text": "Last Updated: Thursday, 24 February, 2005, 11:52 GMT E-mail this to a friend Printable version Beckhams celebrate birth of Cruz\nSee David Beckham's reaction to the birth Victoria and David Beckham are celebrating the birth of their third son, whom they have named Cruz. The couple said they were \"delighted\" after a caesarean section delivery in Madrid at 1040 local time (0940 GMT) on Sunday. The baby weighed 7lb (3.2kg). The Real Madrid and England star said: \"He's gorgeous, healthy and his mum is very good so we're a very happy family. He's got Victoria's lips and nose.\" Cruz means cross in Spanish. First son Brooklyn is now five and Romeo is two. David said the couple had been advised to have the baby delivered a week early but mother and baby were \"really well\". Medical intervention lasted 30 minutes with no complications whatsoever\nDr Vidal Pelaez\nHospital Ruber Internacional\nHow many other people are called Cruz? An earlier statement said: \"David and Victoria Beckham are delighted to announce the birth of their baby boy Cruz Beckham, born today at 10.40am at the Hospital Ruber Internacional, Madrid.\" Dr Vidal Pelaez, head of the obstetrics and gynaecology department at the hospital, said: \"Mother and child are in perfect health. Medical intervention lasted 30 minutes with no complications whatsoever.\" Cruz is a common surname in Spain and South America, but is an unusual first name, according to Lola Oria, Spanish language tutor at Oxford University. She said Cruz is actually an old-fashioned girl's name, adding: \"It is quite a strange thing to do to a little boy.\" But Cruz Bustamante, who stood against Arnold Schwarzenegger's in the election to be governor of California, is one example of a man named Cruz. Victoria Beckham is thought to want to pursue a fashion career Bookmakers William Hill are offering odds of 100/1 that Cruz Beckham will play for England one day and 1,000/1 that all three boys will get into the England team. News of the pregnancy came months after high-profile reports that David had an affair and rumours that their marriage was in trouble. But the footballer described the stories as \"ludicrous\". The couple met in 1997 and married in a lavish ceremony at Luttrellstown Castle in Ireland four months after Brooklyn's birth in 1999. Victoria had a string of solo hits after the Spice Girls split, most recently reaching number three in the UK with This Groove/Let Your Head Go in January 2004. But in November, she reportedly said she was abandoning her music career to concentrate on fashion designing and motherhood. Your comments: Good luck to the Becks\nShirley Wallis, Newport, Shropshire Who cares what they call the little chap? He will want for nothing, but will always NEED the love of his family. Good luck to the Becks, I say.\nShirley Wallis, Newport, Shropshire Let's face it, the name was always going to be scrutinised - whatever it had been! It's unusual, but could have been a lot worse! Good luck to them!\nLizzie, Suffolk, England Cruz is a fantastic name. I love it. I just wish the Beckham family all the best.\nMorris, Brussels Who cares if it's usually a girl's name? You get boys called Tracy, Shirley, Lindsay, all traditionally 'girl's names'. And you get girls called Teri, Robin, Charlie, for example. They can call their child whatever they want. And good on them for having the courage to choose something unusual.\nVikki, London, UK I think that David and Victoria choose ridiculous Christian names for their children just for the publicity it gives them. They do not spare a thought for their poor kids who have to grow up with silly names. They are not the first! David Bowie saddled his son with the ridiculous name \"Zowie\" but when he became an adult he changed his name to Joe.\nDiane Britton, Salford, England It's better than naming a child after a fruit or vegetable\nVictoria, London The media is making too big of a deal of the chosen name, which isn't just a girls name, it's also a boys name and a common surname as well. Besides it's better than naming a child after a fruit or vegetable! Let the Beckhams name their children what they want and just leave them alone.\nVictoria, London Wishing them all the best in life.\nDiana Kambona, Malawi, Southern Africa I'm really glad that the Beckhams have been blessed with another child and I wish them all the best in life. I think people should just respect the name they have chosen and just accept it for once!!\nRutendo Hatendi, Harare, Zimbabwe With a name like that, the poor lad will be Cruz-ing for a bruising at school. Unlike his dad, he'll have to learn how to control (Cruz control of course) his temper at an early age - otherwise he'll get Cruz-ified...\nMorten, Luxembourg I've heard of far worse from everyday mums and dads\nJo, Bristol, England I wish them all the very best. It is an unusual name, one I've seen as a surname but not a first name. I've heard of far worse from everyday mums and dads, it's not just celebs who choose strange names for their children. To be honest the baby was never going to have a 'normal' name anyway.\nJo, Bristol, England Cruz is a nice name, but big deal! They had another baby and gave it an unusual name, what celebrity doesn't these days?\nJenna Aspinall, Warrington, England Cruz is a lovely name for their son. Unusual names are now more popular than ever. I am glad to hear mother and baby are doing well.\nHayley Fleet, Liverpool, Merseyside The poor little guy will be picked on at school for having a girl's name! They may have well just called him Mary or Jane.\nPhil C, London, UK Cruz is a very common first name in El Salvador for both boys and girls.\nAnne Griffin, Arambala El Salvador I think it is great news and a good name too. Love and best wishes to the whole family.\nElizabeth Nickson, Sandbach ,UK I think Cruz is really cool and unique\nNazia Sheikh, Southall, London I'm a big fan of the Beckhams and I think their fab! They are such a nice couple and deserve the best. Brooklyn and Romeo are real nice names, and I think Cruz is really cool and unique. All three names couldn't get any better!\nNazia Sheikh, Southall, London I am only surprised they didn't name him \"Real\". This word translated from Spanish to English means - Royal. Enough said.\nPaul Dawes, The Netherlands Having a ridiculous name won't matter to the boy as when he goes to school it won't be with the ordinary kids. He will no doubt go to a private school, among all the other Fifi Trixibelles, Moon Units, Romeos, and Brooklyns etc. So he won't stand out.\nAllan Jamieson, East Kilbride, Scotland Who cares what they call their baby! I think it's about time the Beckhams were left alone to get on with things.\nJulie, London\nE-mail this to a friend Printable version\nLINKS TO MORE ENTERTAINMENT STORIES\nSelect Tom Jones leads New Year Honours U2 'tension' over Bono campaigns Mozart clarinet piece tops poll Lost stars in drink-drive hearing Stones 'smash own concert record' Arrests made in J-Lo video case Cruise 'irritates most' say fans No charges for Lohan photographer Poll reveals classical ignorance Sony to settle anti-piracy CD row Blunkett turns tables on Humphrys Deal or No Deal becomes US TV hit Cult novel becomes Russian TV hit Man bailed over Tennyson murder\nSEE ALSO: The Beckhams in the spotlight\n20 Feb 05 | Entertainment Cruz a silly boy?\n21 Feb 05 | Funny Old Game Third child on way for Beckhams\n29 Aug 04 | UK Beckhams host glitzy christening\n23 Dec 04 | UK Beckhams 'sick of untrue stories'\n10 Oct 04 | UK\nTOP ENTERTAINMENT STORIES NOW Tom Jones leads New Year Honours\nU2 'tension' over Bono campaigns\nMozart clarinet piece tops poll\nLost stars in drink-drive hearing",
"url": "http://news.bbc.co.uk/1/hi/entertainment/4281405.stm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20060101133303/http://news.bbc.co.uk/1/hi/entertainment/4281405.stm"
},
{
"language": "en",
"title": "Business & Financial News, U.S & International Breaking News",
"text": "Analysis: Why Biden's securities regulator faces climate crackdown challenges\nWith Democrats at the helm, the U.S. securities regulator is pledging to crack down on companies and funds that mislead investors over climate change risks, but that may be easier said than done, more than a dozen attorneys and former agency officials say.",
"url": "http://www.reuters.co.uk/newsArticle.jhtml;jsessionid=LUM2WQMRXMCPSCRBAE0CFFA?type=topNews&storyID=675856",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20210317132207/https://www.reuters.com/?edition-redirect=uk"
},
{
"language": "en",
"title": "Third son for Beckhams",
"text": "Third son for Beckhams\nMADRID, Spain (Reuters) -- British pop singer Victoria Beckham, wife of England soccer captain David Beckham, have given birth to their third son, Cruz.\nThe boy was born by Caesarean section a week early at a hospital in Madrid on Sunday, where David Beckham plays for Real Madrid.\n\"We've got a baby boy. His name is Cruz,\" a beaming David Beckham told reporters. \"He is beautiful. He is in there with his brothers now and he is very happy.\"\nThe Beckhams, Britain's highest-profile celebrity couple, already have two children, Brooklyn, 5, and Romeo, 2.\nA statement from the hospital said Cruz -- Spanish for \"cross\" -- was delivered after a 30-minute operation with no complications, weighing 3.22 kg (7 pounds).\n\"It's just a name we liked. We found it hard this time but we came up with a name that we both loved and stuck to it,\" Beckham said. \"He's got Victoria's nose and lips. He's gorgeous so we're very happy.\"\nBritish bookmakers William Hill said they had done a roaring trade as punters betted on what name the Beckhams would choose.\n\"Jose\" had been 7-1 favorite, while other choices included the names of Real Madrid teammates such as Zinedine, after French star Zidane, or Ronaldo, after the Brazilian striker.\nThere was no sign of \"Cruz\" on William Hill's list.\nThe baby was born at 10:40 a.m. (0940 GMT) after doctors at the Ruber clinic asked Victoria to come for an early delivery.\nBeckham said both mother and child were doing well, although Cruz could remain in hospital for a few more days.\nThe Beckhams' other children were both born at London's exclusive Portland Hospital.\nBeckham joined Real Madrid from Manchester United in 2003 to become one of the world's highest paid football players.\nDavid Beckham present\nThe doctor overseeing the birth, Juan Vidal Pelaez, said Beckham was present during the operation. Malcolm Gillard, a London doctor who delivered Brooklyn, was also there.\nAlthough the baby was born earlier than expected, Vidal said it was normal. \"The child's weight ... confirms it was not premature and so the child will go home with its mother,\" he told a news conference.\nIf there were no complications, hospital stays after a Casearean were normally three or four days, he said.\nVidal said Victoria Beckham could have a fourth child, but the risks would be greater.\nThe Beckham's relationship came under close scrutiny in 2004 following tabloid allegations that Beckham had had an affair with his personal assistant Rebecca Loos -- a claim the midfielder dismissed as \"ludicrous.\"\nVictoria, who achieved fame as \"Posh Spice\" with the pop group Spice Girls, initially refused to relocate to Spain because she wanted to pursue her solo singing career in Britain but later changed her mind.\nWilliam Hill also offered odds of 100-1 that Beckham's new son will play for England.\nAsked by reporters whether the child would one day play football for the Spanish or English national side, Beckham replied: \"He was born here, but we'll see. England will be the preference, but you never know.\"\nBeckham played in Real's 2-0 defeat to Athletic Bilbao on Saturday night which left them seven points adrift of Spanish league leaders Barcelona.",
"url": "http://www.cnn.com/2005/WORLD/europe/02/20/beckham.baby.reut/index.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20050222011830/http://www.cnn.com/2005/WORLD/europe/02/20/beckham.baby.reut/index.html"
}
] |
pt | Cristo Redentor vence concurso |
O Cristo Redentor, uma escultura sobre o Corcovado, na cidade do Rio de janeiro, foi uma das vencedoras do concurso internacional que escolheu as sete maravilhas do mundo moderno. Na votação estavam outros 20 monumentos, como A Grande Muralha (China), a Torre Eiffel (França), Machu Picchu (Peru) e a Ilha de Páscoa (Chile).
O concurso recebeu cerca de 104 milhões de votos, pela internet e por mensagens telefônicas. A cerimônia do anuncio, apresentada pelos atores Ben Kingsley e Hillary Swank, foi transmitida para mais de 170 paises. Neil Armstrong, primeiro homem a pisar na Lua, e o ex-secretário-geral da ONU Kofi Annan, foram alguns dos celebres convidados para o evento.
;A ordem de escolha ficou assim,
# Muralha da China (China)
# Ruínas de Petra (Jordânia)
# Estátua do Cristo Redentor (Brasil)
# Cidade Inca de Machu Picchu (Peru)
# Pirâmide de Chichén Itzá (México)
# Coliseu de Roma (Itália)
# Mausoléu Taj Mahal (Índia)
| [
"Publicado",
"Cultura e entretenimento",
"Brasil",
"Rio de Janeiro"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Cristo é uma das novas Sete Maravilhas",
"text": "Reuters Majestoso: Cristo Redentor saiu vitorioso da disputa (Foto: Reuters)\nO Cristo Redentor acaba de ganhar seu posto entre as novas Sete Maravilhas do Mundo, anunciadas em Lisboa durante cerimônia oficial no estádio da Luz.\nO símbolo do Rio de Janeiro, que acolhe a chegada de turistas do mundo todo à Cidade Maravilhosa, assume seu lugar na nova lista de Maravilhas do Mundo ao lado de seis outras obras: a Grande Muralha da China; a cidade helenística de Petra, na Jordânia; a cidade inca de Machu Picchu, no Peru; a pirâmide de Chichen Itzá, no México; o Coliseu, antiga arena de combates em Roma; e o túmulo do Taj Mahal, na Índia.\nJá esteve em uma das novas Sete Maravilhas? Mande uma foto ao G1\nConfira galeria de fotos dos monumentos vencedores\nA cerimônia em Lisboa contou com a participação do ex-astronauta Neil Armstrong, primeiro homem a pisar na Lua, o ex-secretário-geral da ONU, Kofi Annan, a atriz e cantora Jennifer López e o primeiro-ministro português José Socrates, presidente em exercício da União Européia (UE).\nA apresentação do evento foi feita pelo ator britânico Ben Kingsley e pela atriz americana Hillary Swank. A superprodução deve ser retransmitida em mais de 170 países, com uma audiência estimada em 1,6 bilhão de espectadores.\nA primeira parte foi dedicada à proclamação das sete maravilhas de Portugal, que não tem nenhum lugar na competição mundial.\nA cerimônia não tem apoio unânime e a Unesco, órgão da ONU que se dedica ao patrimônio cultural mundial, decidiu não participar do evento.\nCheio de história\nEmbora o monumento tenha sido inaugurado em 12 de outubro de 1931, a construção do Cristo recua conceitualmente pelo menos até a metade do século 19, quando a Igreja Católica já planejava a construção de algo da mesma magnitude no Rio.\nFinalmente, em 1922, quando o Brasil comemorou cem anos como nação independente, foi lançada a pedra fundamental da estátua. As obras começaram para valer, porém, em 1926. O projeto foi do engenheiro Heitor da Silva Costa. Quem desenhou a estátua foi o artista plástico Carlos Oswald, e seu escultor foi o francês de origem polonesa Paul Landowski.\nA estátua, feita de pedra-sabão, é considerada patrimônio histórico desde 1937. No ano passado, o Cristo também foi declarado um santuário religioso.",
"url": "http://g1.globo.com/Noticias/Mundo/0,,MUL65656-5602,00.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070709143948/http://g1.globo.com/Noticias/Mundo/0,,MUL65656-5602,00.html"
}
] |
es | Twitter saca por varias horas a su aplicación TweetDeck por fallo de seguridad |
200 px
La red de microblogs, Twitter, sacó de la red durante varias horas a su aplicación, recientemente adquirida, TweetDeck debido a un grave fallo de seguridad que fue reportado por Geoff Evason, un usuario de Sidney, Australia quien afirmó poder ingresar desde la aplicación a centenares de cuentas de otros usuarios.
A través de la cuenta oficial de Twitter de la aplicación en cuestión, se informó que esta sería apagada durante varias horas hasta solucionar el problema de seguridad reportado. El error solo ocurrió en la versión de Google Chrome más reciente. No se reportó interrupción del servicio en su versión antigua o de los dispositivos móviles.
| [
"Ciencia y tecnología",
"Informática",
"Internet",
"Twitter",
"Seguridad informática"
] | [
{
"language": "es",
"title": "Miles de usuarios quedaron sin TweetDeck por un error",
"text": "Un cliente descubrió una falla de programación. Podía acceder a cientos de otras cuentas de Twitter.\nDebido a un error de programación, Twitter apagó el popular servicio de clientes TweetDeck. La medida se tomó luego de que Geoff Evason, un usuario de Sidney, asegurara que podía acceder a cientos de otras cuentas a través del servicio, informó el sitio \"Enter.co\".\n\"Soy un usuario de TweetDeck. Un error me ha dado acceso a cientos de cuentas de Twitter y Facebook. Yo no he hecho nada especial para hacer que esto suceda. Simplemente inicié sesión un día, la cuenta se puso más lenta de lo normal y pude publicar por medio de las cuentas de muchos más\", dijo Evason al sitio \"TechCrunch\" mediante un correo electrónico.\nA través de la cuenta de Twitter de la aplicación, la compañía dio a conocer a los usuarios la noticia del error de programación de Tweetdeck y la caída del servicio. \"TweetDeck actualmente está fuera de servicio mientras solucionamos un problema. Pedimos disculpas por las molestias\".\nEvanson también dio a conocer el inconveniente a través de su perfil y le ofreció su total apoyo a la red de microblogging para poder identificar el problema. \"Si desean más detalles sobre mi cuenta o cómo me encontré con ese error de acceso, pueden enviarme un mensaje directo. Me encantaría que el servicio volviera pronto\", comentó. (Enter.co-Especial)",
"url": "http://www.lagaceta.com.ar/nota/483869/Tucumanos/TweetDeck-queda-fuera-servicio-por-error-programacion.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120713001823/http://www.lagaceta.com.ar/nota/483869/Tucumanos/TweetDeck-queda-fuera-servicio-por-error-programacion.html"
}
] |
en | British schoolboy found guilty of racial harassment of schoolgirl |
A 15-year-old schoolboy was found guilty in Lincoln Youth Court in England yesterday of racial harrassment of a 14-year-old schoolgirl. The case is regarded as a landmark case, the first such case of its kind.
Raymond Wildsmith, prosecuting, described the events. The boy had for a period of several months taunted the girl with racial epithets including "wog, coon, nigger, gorilla, and golliwog". He had told her to "Go back to your own country. You don’t belong here.", and chanted "White, white, white is right, kick them out, fight, fight, fight."
Unidentified sources told the ''Daily Mail'' that the boy had supported the British National Party, and had attempted to enlist other youths as supporters as well.
The girl, who was of mixed English and African heritage, had already changed schools once to avoid racial abuse. She initially did not report the abuse at the new school, for fear that the boy would turn violent. The girl's parents first learned of it when she attempted to commit suicide, in January, by taking a combination of stress pills and painkillers. Her suicide note requested that people not wear black at her funeral. She ended up in hospital, and then "sectioned" (involuntarily committed under the provisions of § 4 the Mental Health Act) to a psychiatric institution for several weeks. She will now change schools again.
The boy was found guilty after a six-hour trial. He is scheduled for sentencing on August the 13th. Another 15-year-old boy charged with the same offence was found not guilty.
Under § 45 and Schedule 2 of the Youth Justice and Criminal Evidence Act 1999 and § 49 of the Children and Young Persons Act 1933, it is illegal in England and Wales for news reports to identify either of the children involved in the case.
| [
"United Kingdom",
"England",
"Lincolnshire",
"Crime and law",
"British National Party",
"Mental health",
"Daily Mail",
"Suicide"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Teenage bully guilty of school racism",
"text": "Teenage bully guilty of school racism\nA schoolgirl tried to commit suicide after suffering months of abuse from a racist teenager.\nThe 14-year-old mixed-race girl endured chants and racist slurs for more than a term at a secondary school near Lincoln.\nIn what is believed to be an unprecedented case, Lincoln Magistrates Court heard that the 15-year-old boy called her \"wog, coon, nigger, gorilla and golliwog\" again and again at the school.\nOn January 27 this year the girl took a mixture of stress pills and painkillers before writing a note, telling her family she did not want a \"sad funeral\".\nRaymond Wildsmith, prosecuting, told the court that the name-calling had gone on from the end of the summer term in 2008 until January of this year.\nThe 15-year-old boy from a village near Lincoln, who cannot be identified for legal reasons, had denied one count of racially aggravated harassment but was convicted after a six-hour trial.\nAnother 15-year-old boy was cleared of the same charge.\nFor more on the case see Wednesday's Echo.",
"url": "http://thisislincolnshire.co.uk/news/Teenage-bully-guilty-school-racism/article-1184114-detail/article.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20090727150924/http://www.thisislincolnshire.co.uk/news/Teenage-bully-guilty-school-racism/article-1184114-detail/article.html"
},
{
"language": "en",
"title": "School bully who drove girl, 14, to brink of suicide with racist taunts is convicted in landmark case",
"text": "Racist BNP teenager convicted of playground race taunts after pushing girl, 14, to brink of suicide\nA teenage BNP supporter who drove a classmate to the brink of suicide has been convicted of racial harassment in a landmark legal case The youth, 15, subjected his female victim to months of racist abuse, on one occasion telling her: 'Go back to your own country, you don't belong here.' A court heard the 14-year-old girl - who had already moved schools once to avoid racist abuse - was also called 'wog, c**n, n****r, gorilla and golliwog' by her tormentor. School bullies: Two boys intimidate a teenage girl (picture posed by models)\nHe taunted her with chants of 'white, white, white is right, kick them out, fight, fight, fight' - taken from a film about football hooliganism.\nBut the girl feared reporting the abuse would make him become violent and instead suffered in silence, the court was told.\nThe victim, who has mixed white English and black African heritage, endured the abuse for four months before she attempted suicide in January this year.\nA source close to the case said the teenager, who, like his victim, cannot be named for legal reasons, was a BNP supporter who had actively tried to enlist other youths.\nRaymond Wildsmith, prosecuting, told Lincoln Youth Court the insults happened 'again and again and again' - anything up to four times a week.\nBut the girl only revealed her torment after she tried to kill herself.\nShe took a mixture of stress pills and painkillers in January before writing a note telling her family that she did not want a 'sad funeral'.\nGiving evidence by video link, the girl told a police officer the abuse made her 'want to die'.\nShe added: 'I wanted to die because of everything that was happening at school.\n'I thought, \"Do I want to do this?\" And then I thought, \"Yes, I don't want to be here\".\nLast night, her mother described her daughter's tormentor as 'evil'. She said: 'He seemed to mimic everything his father did and became a ringleader of a violent set of boys at the school.'\nShe told how her daughter left a suicide note requesting that nobody wore black at her funeral.\nShe said: 'My world fell apart. I had no idea that there was anything wrong with her. At home she put on a brave face and seemed totally normal.'\nThe teenager was hospitalised and then sectioned in a psychiatric hospital for several weeks.\nShe has been out of school virtually ever since but is due to start at a new school in a different part of the country in September.\nThe mother reported the girl's ordeal to the school and police, but said she had a 'long hard fight to get justice for my daughter'.\nShe added: 'When I first informed the school, they as good as called me a liar. I then had a long battle convincing the police to take this seriously.\n'They were desperately slow and interviewed 25 people before they seemed to appreciate the seriousness of it.' The court was told that the girl had only been in the Lincoln area for a year before the abuse started.\nHer 15-year-old tormentor, who denied the charge, was convicted of racially aggravated harassment. He will be sentenced on August 13.\nA second 15-year-old was cleared of the same charge.\nThe Crown Prosecution Service confirmed it was the first successful prosecution of a schoolchild for racial abuse in the UK.\nJaswant Narwal, Chief Crown Prosecutor for Lincolnshire said: 'We would like to thank the victim for her courage in coming forward and strongly encourage other young people in the same situation to report to the police when they have been targets of campaign of racial bullying.'",
"url": "http://dailymail.co.uk/news/article-1201392/School-bully-drove-girl-14-brink-suicide-racist-taunts-convicted-landmark-case.html}}",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20210318064737/https://www.dailymail.co.uk/news/article-1201392/School-bully-drove-girl-14-brink-suicide-racist-taunts-convicted-landmark-case.html"
},
{
"language": "en",
"title": "UK News :: Teenage racist bully convicted",
"text": "UK NEWS\nTEENAGE RACIST BULLY CONVICTED\nCONVICTED: A boy has been convicted of racially aggravating a pupil/ pic posed by models\nBy Katherine Fenech\nA BOY aged 15 has been convicted in a landmark case of racially harassing a classmate who was driven to the brink of suicide by his taunts.\nThe 14-year-old girl, who cannot be named for legal reasons, suffered six months of vile racist abuse at the hands of the bully at her Lincolnshire school.\nShe was forced to endure chants of “White, white, white is right, kick them out, fight, fight, fight.”\nThe bully also told her: “Go back to your own country. You don’t belong here”.\nThe girl’s torment was only revealed after she took a mixture of stress pills and painkillers in January before writing a note to her family saying she did not want a “sad funeral”.\nIn what is believed to be the first prosecution of its kind, the boy was convicted at Lincoln magistrates’ court of racially aggravating a fellow pupil. He will be sentenced next month.\nAfter the case, Emma-Jane Cross, of the Beatbullying charity, said: “The outcome of this trial sets a precedent, sending out a message loud and clear to all school bullies: Your taunting will not be tolerated.”",
"url": "http://express.co.uk/posts/view/115755/Teenage-racist-bully-convicted",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20090728175224/http://www.express.co.uk/posts/view/115755/Teenage-racist-bully-convicted"
}
] |
pl | Bobry nad Sanem w Sanoku |
Pnie drzew poprzegryzane przez bobry
'''Bobry budzą się z zimowego odrętwienia'''
Północna część obszaru miasta usytuowana jest w zasięgu korytarza ekologicznego Sanu, który dzieli Sanok na część wschodnią i zachodnią. San w tym miejscu stwarza dogodne środowisko dla wielu gatunków zwierząt w tym bobrów.
Bobry budują żeremia i tamy również na uchodzącym do Sanu potoku Sanoczek. Zwierzęta te powodują zmiany w środowisku, które nie zawsze są zrozumiałe dla ogółu społeczeństwa.
Na brzegach Sanu efekty ich pracy widać co 20-30 metrów. W okolicach mostu na Białą Górę i skansenu można ujrzeć pnie drzew poprzegryzane przez te gryzonie. Bieszczadzki oddział LOP populacje bobrów, tylko między Sanokiem a Dobrą szacuje na około 150-200 osobników.
| [
"Sanok",
"Środowisko",
"Nauka",
"Polska"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Będą „płakać jak bobry”, bo bobry w Sanoku mają się dobrze (ZDJĘCIA)",
"text": "SANOK / PODKARPACIE. Jeszcze nie płaczą jak bobry i przesypiają całe noce, ale ten stan nie jest z pewnością stały. Mowa o pracownikach Ligi Ochrony Przyrody. Wszystko przez „sanockie” bobry, które bardzo licznie oblegają brzegi Sanu. - Bobry są dla nas poważnym problemem. I tak naprawdę nic nie możemy zrobić - podkreśla Ryszard Rygliszyn, wiceprezes Zarządu Okręgu Bieszczadzkiego Ligi Ochrony Przyrody w Sanoku.\nZdjęcia, które publikujemy przesłała nam na maila Internautka. Pani Sabina zrobiła je wczoraj, podczas spaceru. Fotografie zostały wykonane w zakolu Sanu, przy ulicy Białogórskiej.\nJak się jednak okazuje, to nie jedyne miejsce gdzie można zobaczyć efekty pracy tych gryzoni.\n- Z bobrami od pewnego czasu mamy coraz większy problem. Praktycznie co 20-30 metrów na brzegach Sanu widać efekty ich pracy. Bobry mają u nas doskonałe warunki do rozmnażania - wyjaśnia R. Rygliszyn.\nPopulacje bobrów, tylko między Sanokiem a Dobrą szacuje się na około 150-200 osobników\n- Bobry są pod ścisłą ochroną. Można je wyłowić i przenieść w inne miejsce, ale tylko w sytuacji gdy istnieje zagrożenie powodziowe - zaznacza wiceprezes Bieszczadzkiego LOP.\nSan jest doskonałym domem i stołówką dla wielu gatunków zwierząt. M.in. gągołów, gęsionurów, mew, kormoranów, perkozów, zimorodków czy też wydr. Ale o tym już niebawem na łamach naszego portalu.\nred.\nfoto: Sabina\nZdjęcia z okolicy stawów (przy osiedlu Nad Stawami) i nad Sanem na wysokości połowy drogi łączącej Sosenki z Policją. Zdjęcia zrobione 17.11.2013. Foto: Grzegorz Chutkowski",
"url": "http://esanok.pl/2014/beda-plakac-jak-bobry-bo-bobry-w-sanoku-maja-sie-dobrze-zdjecia-mp002.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20140224125053/http://esanok.pl/2014/beda-plakac-jak-bobry-bo-bobry-w-sanoku-maja-sie-dobrze-zdjecia-mp002.html"
}
] |
pl | „Problem wypalenia zawodowego pracowników bibliotek w dobie pandemii” – konferencja naukowa |
'''12 maja 2021 roku odbędzie się konferencja naukowa pod tytułem „Problem wypalenia zawodowego pracowników bibliotek w dobie pandemii”'''
Konferencja odbywać się będzie online. Udział jest bezpłatny. Wymagana rejestracja.
Konferencja skierowana jest do środowiska bibliotekarskiego, szczególnie do pracowników bibliotek. Ma posłużyć wymianie doświadczeń i poglądów na temat wypalenia zawodowego wśród pracowników bibliotek oraz pokazania zjawiska w ujęciu interdyscyplinarnym.
Wydarzenie organizuje – Biblioteka Uczelniana wraz z Zakładem Zarządzania, Zakładem Pedagogiki oraz Instytutem Nauk o Zdrowiu.
| [
"Włocławek"
] | [
{
"language": "pl",
"title": "PUZ Włocławek",
"text": "Szanowni Państwo,\nZakład Finansów i Rachunkowości wraz z Zakładem Administracji Państwowej Uczelni Zawodowej we Włocławku organizują, w dniu 20 października 2020 roku, Międzynarodową Konferencję Naukową pn. Innowacyjny samorząd. Rola samorządu w kreowaniu innowacyjności regionalnej. Konferencja będzie miała charakter cykliczny. W tym roku, z uwagi na sytuacje epidemiologicznąodbędzie się w formie on-line, za pomocą wideokonferencji.\nDo udziału w konferencji zaproszono przedstawicieli polskich i zagranicznych ośrodków naukowych, w których prowadzone są badania dedykowane innowacyjności oraz rozwoju samorządów. Chęć uczestnictwa zgłosili również przedstawiciele władz jednostek samorządowych z terenu województwa kujawsko-pomorskiego oraz przedstawiciele krajowych podmiotów gospodarczych oferujących innowacyjne produkty i usługi przeznaczone samorządom.\nZapraszamy Państwa do skorzystania z możliwości bezpłatnej publikacji artykułów naukowych w monografii zatytułowanej w sposób tożsamy z nazwą konferencji i wydanej przez Wydawnictwo Adam Marszałek w Toruniu, znajdujące się na liście wydawnictw publikujących recenzowane monografie naukowe (poziom I – 80 pkt.). Z uwagi na ograniczoną liczbę publikacji w monografii, organizatorzy zastrzegają sobie prawo wyboru zakwalifikowanych artykułów .\nIntencją organizatorów konferencji jest stworzenie płaszczyzny do wymiany doświadczeń i dobrych praktyk w obszarach:\ninnowacyjność miast i regionów,\ninstrumenty finansowania innowacyjności samorządów,\ninnowacyjne produkty i usługi dedykowane samorządom,\nźródła i narzędzia innowacyjności,\nuwarunkowania, bariery i szanse rozwoju innowacyjności samorządu,\nzarządzanie ryzykiem innowacyjności regionalnej,\ninnowacyjne rozwiązania w zakresie zapewnienia ciągłości realizacji zadań publicznych.\nSzczegółowe informacje dotyczące konferencji zostały zamieszczone w ulotce informacyjnej dołączonej do niniejszego pisma.\nZ poważaniem\nKomitet Organizacyjny",
"url": "https://puz.wloclawek.pl/konferencje/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20200709200910/http://puz.wloclawek.pl/konferencje/"
},
{
"language": "pl",
"title": "Konferencja nt. wypalenia zawodowego bibliotekarzy!",
"text": "Serdecznie zapraszamy Państwa na ogólnopolską konferencję naukową PROBLEM WYPALENIA ZAWODOWEGO PRACOWNIKÓW BIBLIOTEK W DOBIE PANDEMII, która odbędzie się 12.05, w trybie zdalnym, bez opłat. Konferencja poświęcona będzie wymianie doświadczeń i poglądów na temat wypalenia zawodowego wśród pracowników bibliotek oraz odniesieniu do zjawiska w ujęciu interdyscyplinarnym. EBIB objął konferencję patronatem medialnym.\nZawód bibliotekarza kojarzy się z pracą bezstresową. Biblioteka utożsamiana jest z miejscem spokojnym i cichym, a jej pracownicy postrzegani są często jako osoby, które mają lekką pracę i przyjemnie spędzają czas. Powyższy stereotyp pracy w bibliotece jest głęboko zakorzeniony. Przyczyna tego poglądu leży zarówno w stereotypowym postrzeganiu biblioteki i pracy bibliotekarza, jak również w niewłaściwym postrzeganiu samego zjawiska stresu. Stres kojarzony jest z zawodami, w których ludzie wykonują ciężką pracę fizyczną, w hałasie lub narażają się na zagrożenia fizyczne. Powyższe czynniki stanowią niewątpliwie źródło stresu, jednak nie są to jedyne jego przyczyny. Wypalenie zawodowe zagraża bowiem szczególnie osobom pracującym z ludźmi, w zawodach wymagających zaangażowania, określanych jako społeczne i usługowe, takich jak nauczyciel, pielęgniarka, lekarz, pracownik socjalny. Zawód bibliotekarza niewątpliwie można zaliczyć do tej grupy zawodów, co oznacza, że pracownicy bibliotek są również narażeni na wypalenie zawodowe.\nNadesłała: A. Borowiecka",
"url": "http://www.ebib.pl/?p=22658",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20210426235700/http://www.ebib.pl/?p=22658"
}
] |
en | Super Tuesday 2012: President Obama loses a delegate to Randall Terry |
Randall Terry.
President Barack Obama.
U.S. Barack Obama was not able to secure all the delegates available at the Oklahoma on . Though Obama finished in first place with 57 percent, anti-abortion activist was able to capture 18 percent of the vote, entitling him to at least one delegate. As a result, Obama may not be unanimously nominated at the in September.
Terry said in February, he hoped to win five or six percent. He received a boost when icon agreed to speak at his Oklahoma fundraiser. Additionally, he was able to spread his message through the state with television advertisements depicting aborted fetuses.
"There are still Democrats who love innocent babies more than they love the party" said Terry to the ''''; and to the '''', "Everyone will know what it means to be pro-life when this election cycle’s over." According to ''The Wall Street Journal'', he will appear on six more primary ballots, starting with New Jersey.
Along with the delegate, Terry also won twelve of Oklahoma's 77 counties. However, he was not the only challenger to win counties; the 2010 nominee for the Democratic Party in Oklahoma, , won three. He finished in third place overall with 14 percent, one percent short of the threshold required to qualify for delegates. Progressive activist was fourth with six percent.
The last time an incumbent president was unable to win all the delegates during the presidential primaries was in , when -challenger won delegates in Louisiana and Virginia. The Democratic Party took them away, citing LaRouche's views as "explicitly racist and anti-Semitic, and otherwise utterly contrary to the fundamental beliefs...of the Democratic Party". LaRouche later sued but was unsuccessful.
Trav Robertson, interim executive director of the remarked, "In every primary there is a fringe candidate that appears on the ballot and attempts to capture delegates from a sitting president." He cited LaRouche in 1996 as well as , , and who challenged in .
On whether Terry would keep the delegate, Robertson declared, "The party is reviewing the election results and will abide by previously established rules regarding the allotment of delegates. No matter what, we know President Obama will win the majority of delegates at this year’s convention."
| [
"2012 United States presidential election",
"United States",
"North America",
"Politics and conflicts",
"Democratic Party (United States)",
"Oklahoma",
"Barack Obama",
"Darcy Richardson",
"Alan Keyes",
"Randall Terry"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Obama renomination won't be unanimous",
"text": "President Obama will not win the Democratic nomination unanimously after a pro-life activist won 18 percent of the votes in Oklahoma’s primary on Tuesday, ensuring he’ll win delegates to the national nominating convention in September.\nMr. Obama won just 57 percent of the vote in Oklahoma, with Randall Terry, the founder of Operation Rescue, and three other candidates each winning significant chunks of votes to limit the incumbent.\nMr. Terry’s 18 percent was followed by Jim Rogers, an Oklahoman who was Democrats' Senate nominee in 2010 and who won 14 percent of the vote in Tuesday’s primary — just shy of the 15 percent threshold needed to win delegates. Rounding out the states voting, Darcy G. Richardson won 6 percent and Robert Moulton-Ely, who goes by “Bob Ely,” won 5 percent.\nOklahoma is one of the most conservative states in the union and the state’s lone Democratic member of Congress has been critical of Mr. Obama, so it’s not surprising some Democratic voters would seek an alternative to Mr. Obama.\nThe Tulsa World reported that Mr. Terry had run “gruesome” television ads in the state, and vowed to try to use Oklahoma to become a bigger player in Democratic primaries going forward. He has raised $123,400 for his campaign through the end of January.\nMr. Ely reported having raised a little more than $13,000, and had debts of nearly $165,000. Ms. Richardson reported having raised $9,520 through the end of last year.\nIn most states Mr. Obama was the only name on the ballot, and protest votes have been rare, though not unheard of.\nIn Vermont, which also held its primary on Tuesday, 1.5 percent of voters chose to write in another candidate rather than select Mr. Obama.\nAccording to TheGreenPapers.com, which tracks primary and caucus voting, Mr. Obama has won more than 83 percent of all votes cast in the Democratic primary process in 2012.\nAmong other vote-getters on the Democratic side this year, Republican front-runner Mitt Romney has won nearly 2,000 votes — which is more than five times the number of votes Mr. Obama has won in the GOP’s contests, despite a turnout more than 10 times higher on the Republican side.\nRep. Ron Paul has topped Mr. Romney, winning nearly 2,300 votes — good enough for sixth on the Democratic list.\nOddly enough, former Sen. Rick Santorum, who has done well among self-identified Democrats who are voting in the GOP’s primary, has not done so well among actual Democrats vote in their own party primaries. He’s the fourth-highest Republican candidate, with only about 300 votes — trailing Mr. Paul, Mr. Romney and former Utah Gov. Jon Huntsman Jr.\n© Copyright 2012 The Washington Times, LLC. Click here for reprint permission.",
"url": "http://www.washingtontimes.com/news/2012/mar/7/obama-renomination-wont-be-unanimous/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120308021012/http://www.washingtontimes.com/news/2012/mar/7/obama-renomination-wont-be-unanimous/"
},
{
"language": "en",
"title": "Randall Terry Wins a Delegate in Oklahoma",
"text": "President Barack Obama won Tuesday’s Oklahoma Democratic primary, but in a slight embarrassment, antigay, antiabortion campaigner Randall Terry swiped a delegate from him.\nRandall Terry, Democratic candidate for president on the Oklahoma ballot, distributes literature at the state Capitol in Oklahoma City on March 1, 2012. (AP Photo/Sue Ogrocki)\nMr. Terry, one of two challengers to Mr. Obama, garnered 18% of Tuesdays vote, crossing the 15% bar for earning a delegate to the Democratic nominating convention this summer. Oklahoma had 45 of 50 Democratic delegates in play Tuesday, with the remaining five attending the convention as uncommitted. The voter turnout of 116,000 was the lightest in the states history for a Democratic primary.\n“There are still Democrats who love innocent babies more than they love the party,” Mr. Terry, who founded the antiabortion group Operation Rescue, told the Tulsa World Tuesday night. Mr. Terry is on the presidential ballot in six states, with the next contest in New Jersey.\nMr. Terry has been arrested more than 50 times, the first for chaining himself to a sink in an abortion clinic. In a rambling interview with The Wall Street Journal about his candidacy at the start of the primary season, he emphasized that while Im best known for my opposition to child killing and homosexual marriage, my interests and my passions go far beyond those things, saying he is also a musician and a practical joker.\nMr. Terry, whose group is known for displaying grisly images of dead fetuses during public protests, compared himself as candidate to a beaver, the only mammal that sets out deliberately to alter its habitat.\nThats what Im going to do, is be the beaver. Ive used the dead baby ads like little sticks and bits of mud and logs to alter the political habitat. Everyone will know what it means to be pro-life when this election cycles over.",
"url": "http://blogs.wsj.com/washwire/2012/03/07/randall-terry-wins-a-delegate-in-oklahoma/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120310013815/http://blogs.wsj.com/washwire/2012/03/07/randall-terry-wins-a-delegate-in-oklahoma"
},
{
"language": "en",
"title": "Ann Coulter to campaign for Democratic presidential candidate Randall Terry",
"text": "Caroline May is a reporter for The Daily Caller.\nWhile conservative commentator Ann Coulter has been firmly in GOP presidential candidate Mitt Romney’s corner during the primary season, the ardently pro-life pundit will also be speaking at a fundraising event for a candidate running in the Democratic presidential primary.\nRandall Terry, a primary challenger to President Barack Obama, however, is not just any Democratic candidate. Terry, a pro-life activist, is running purely to raise awareness about abortion.\nCoulter explained to The Daily Caller that her participation in the fundraising event is to show “solidarity with the pro-life movement.”\nIf Terry were somehow to beat Obama in the Democratic primary, she said, she “might be torn” between Romney and Terry in the general election.\nTerry is best known for his graphic advertisements of aborted babies, and for accusing Christians who vote for Obama of “having blood on their hands” due to the president’s support for abortion rights.\nTerry recently told the Tulsa World that his ads “are designed to suppress votes for Obama. They’re intended to cause nightmares.”\nFederal Communications Commission rules allow the graphic ads to be shown on television.\n“We are thrilled to have Miss Coulter’s formidable talents and skills give us a boost in our efforts in Oklahoma,” Terry explained in a statement. “I’m certain the evening will be inspirational and motivational.”\nTerry is currently campaigning in Oklahoma, and recently purchased ad time for three commercials that focus on the Obama administration’s new contraception mandate.\nHe describes himself as an “extremist candidate,” and says that if he can attract just five or six percent of the vote in Oklahoma it will send a message to the Obama campaign.\nIt would show that “a sizable percentage of voters are willing to defect from a sitting president in their own party, because of his attacks on human life and religious liberty,” said Terry. “That would spell big trouble for the Obama camp in the swing states in the general election.”\nCoulter will speak on March 3 at the Arrow Heights Baptist Church.\nThe Oklahoma Democratic primary will be held on March 6.\nFollow Caroline on Twitter",
"url": "http://dailycaller.com/2012/02/22/ann-coulter-to-campaign-for-democratic-presidential-candidate-randall-terry/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120223092124/http://dailycaller.com/2012/02/22/ann-coulter-to-campaign-for-democratic-presidential-candidate-randall-terry/"
}
] |
en | British MP condemns deportation of man to the Democratic Republic of the Congo |
Frank Cook, Labour Member of Parliament for Stockton North, has criticised the deportation of Blaise Kamba, a failed asylum seeker, to the Democratic Republic of the Congo.
Kamba had been in the United Kingdom since 2006; he fled the Democratic Republic of the Congo, because he feared for his life due to his political beliefs.
Kamba was deported by the UK Border Agency to Kinshasa, the capital, on Tuesday night. A church group planned to meet Kamba there, but on arrival, he was detained by Congolese authorities and taken to a high security stockade. Cook says "no one knows what his fate will be".
Cook, and 42 other MPs, signed an early day motion for an immediate moratorium on deportations to the Democratic Republic of the Congo.
He has also written to Phil Woolas MP, the British immigration minister, condemning the deportation. In a press release, Mr Cook said: "I... want Mr Woolas to tell me how much evidence he requires before reconsidering a policy which puts a terrible stain on the UK’s human rights record".
Cook commented that “it is an outrage that Mr Woolas and his Government colleagues seek to argue that people returning to the Congo are not at risk when the evidence proves otherwise". A 2005 BBC report found that the DRC's secret service, the Agence nationale de renseignements, detain some returning asylum seekers at the airport, in order to "show them what they did was not good".
The UK Border Agency told ''The Guardian'' on May 27 that "we continue to monitor developments in the Democratic Republic of the Congo and will take decisions on a case-by-case basis in light of the most current situation. The court of appeal on 3 December 2008 upheld a ruling that failed asylum seekers are not at risk of persecution or ill-treatment on return to Democratic Republic of the Congo simply because they have claimed asylum". Cook commented on this decision, saying that "the risks are very real and very severe".
Kamba's two younger sisters, however, remain in the UK.
| [
"Democratic Republic of the Congo",
"England",
"United Kingdom",
"Refugees",
"Immigration",
"Africa",
"Europe",
"Human rights",
"Politics and conflicts",
"Cleveland, England",
"Labour Party (UK)",
"UK Border Agency",
"Kinshasa"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Stockton North MP challenges Government Immigration Minister",
"text": "Stockton North MP challenges Government Immigration Minister\n1\n2\nnext\nAN angry Teesside MP has challenged the Government Immigration Minister after one of his constituents was imprisoned after being deported back to the Congo.\nBlaise Kamba, 28, who had been studying at Stockton Riverside College, was deported on Tuesday night - despite fears for his safety.\nOn arrival at the Congolese capital Kinshasa, he was immediately arrested and taken off to a high security stockade.\nStockton North MP Frank Cook says he’s appalled over the plight of Blaise, who had been caring for his younger sisters Jeanine, 16, and Leitisha, 19, who have been told they can remain in the UK.\nThey came to Teesside in 2006, after fleeing Congo where Blaise was arrested and his life placed in danger for his political views.\nIn a letter to Immigration Minister Phil Woolas, Mr Cook said Blaise’s plight underlines concerns he and other MPs expressed in a House of Commons Motion calling for deportation to the Congo to be stopped.\nHe also highlighted coverage in the national media on the treatment of people forced to return, including evidence of torture.",
"url": "http://www.gazettelive.co.uk/news/teesside-news/2009/05/30/stockton-north-mp-challenges-government-immigration-minister-84229-23744519/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20090603073254/http://www.gazettelive.co.uk/news/teesside-news/2009/05/30/stockton-north-mp-challenges-government-immigration-minister-84229-23744519/"
},
{
"language": "en",
"title": "Britain sending refused Congo asylum seekers back to threat of torture",
"text": "The British government is sending refused asylum seekers back home, a Guardian investigation has revealed, despite the fears of human rights campaigners and lawyers that deportees could encounter persecution on their return.\nThe government claims that those forcibly returned will be safe.\nThere are an estimated 10,000 Congolese asylum seekers in the UK, many of whom are at risk of being forcibly removed. The sending back of such people to the Democratic Republic of the Congo was suspended in 2007 but recently resumed.\nThe revelations about the possible torture in Congo came as the government intensified its operation to forcibly remove Congolese nationals from the UK. Last Thursday there was a charter flight carrying 24 Congolese bound for Kinshasa, the first such flight for more than two years.\nNsimba Kumbi, 33, a refused asylum seeker, was removed from the UK on 13 March, following detention in the Campsfield immigration removal centre in Oxfordshire. He was then detained in the DRC capital, and taken to the notorious secret police headquarters Kin Mazière, the Kinshasa headquarters of the general directorate of intelligence and special services, where, he says, he was tortured for three weeks.\nKumbi says that during his incarceration he was badly beaten, that he received burns and was forced to give a male guard oral sex while his hands were tied behind his back. He says he is now in so much pain he can only move his neck in one direction. The wounds on his back from beatings are gradually drying. He says that nerve damage means he can barely move his fingers.\nAnother Congolese refused asylum seeker, Rabin Waba Muambi, 42, was also removed from the UK on 13 March on a separate flight. He arrived in Kinshasa the following day and was taken to Kin Mazière. Secret entries in the Kin Mazière log book, leaked to the Guardian, confirm the men's detention there.\nMuambi, who says he was beaten at Kinshasa airport, was later stripped, then continually beaten and forced to lie outside staring at the sun.\n\"The government in Congo views Congolese people deported back home from the UK as enemies,\" said Muambi. \"The guards who beat me kept saying to me: 'You are a spy, give us information, why are you doing this to your country?' I am in a lot of pain from the torture but I'm too scared to go to hospital in case someone recognises me and I get taken back to detention. The guards forced me to drink my own urine and kicked me. They beat me very badly on my knees and made me walk on my knees so they turned black.\"\nHe was held there until 14 May when a friend paid a bribe that freed him.\nKumbi's ordeal began in 2001 when he was studying law at the University of Kinshasa. He was arrested for political activities against the government and detained for more than a year in Camp Tshatshi, as place identified by Amnesty International in 2007 as a site where extra-judicial executions of a large number of detainees took place.\nHe escaped to the UK and claimed asylum in May 2002. Following the rejection of his asylum claim he was detained and removed. He resisted removal and was restrained on the flight. \"I was handcuffed and my head was pushed down between my legs. They were beating me for no reason.\" The escorts handed him over to Congolese immigration officials at the airport in Kinshasa and he was taken to a windowless room. \"It was like a store room. The men were wearing military uniforms and they forced me to sign some papers without letting me read them. I had no choice but to sign and hoped that after I signed I'd be released.\"\nInstead he was taken to Kin Mazière. \"The guards there demanded money. They said: 'You've just come from England, you must have money.' They said I wouldn't be beaten as much if I gave them money but I had nothing to give them. I was taken to a cell and could hear sounds of screaming and crying coming from the other cells.\"\nOver three weeks at the centre he says he was tortured by the guards. Following his release he went into hiding. He says he is in urgent need of medical treatment but it is too risky to go to a hospital.\nMuambi first came to the attention of the Congolese authorities in January 2005 when he was involved in anti-government protests. He was detained and tortured for a month and then escaped to the UK and claimed asylum.\nHe was diagnosed with post-traumatic stress disorder. He belongs to the human rights group Apareco,whose members risk torture in Congo.\nRudi Ramdarshan, a human rights lawyer at Trott & Gentry solicitors, said: \"The implications of these cases are very worrying. The Home Office's own operational guidance states that if people end up in detention in Congo they are likely to experience inhumane and degrading treatment, in breach of article 3 of the Human Rights Act. The fact that asylum seekers returned to Congo are ending up in detention is unacceptable.\n\"I am calling on Amnesty International and Human Rights Watch to launch investigations. The secretary of state should suspend removals while this matter is investigated.\"\nLast month Amnesty International submitted a report to the UN highlighting the persistence of torture and ill treatment in detention in Congo.\nA spokesman for the UK Border Agency confirmed that his department had removed the two men from the UK. \"We continue to monitor developments in the Democratic Republic of the Congo and will take decisions on a case-by-case basis in light of the most current situation. The court of appeal on 3 December 2008 upheld a ruling that failed asylum seekers are not at risk of persecution or ill-treatment on return to Democratic Republic of the Congo simply because they have claimed asylum.\n\"We do not routinely monitor the treatment of individuals once removed from the UK. We would not remove them if we considered them likely to suffer persecution on their return and there is independent oversight by the courts.\"\nThe spokesman, referring to Kumbi's claims of being beaten by UK escorts, said: \"We are committed to ensuring that removals are carried out in the most sensitive way possible, treating those being removed with courtesy and dignity. Any allegations of misconduct are thoroughly investigated and all allegations of abuse are referred to the police.\"\nThe Congolese embassy was unavailable for comment.",
"url": "http://www.guardian.co.uk/world/2009/may/27/drc-congo-deport-torture",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20090530075823/http://www.guardian.co.uk/world/2009/may/27/drc-congo-deport-torture"
},
{
"language": "en",
"title": "Sisters stay in Stockton as asylum seeker brother is deported",
"text": "Sisters stay in Stockton as asylum seeker brother is deported\nprevious\n1\n2\nJeanine attended Thornaby Community School where she achieved GCSEs, and this year she has been taking a course in childcare at Stockton Riverside College.\nThe family has lost the home they were living in and the sisters are now staying with a friend.\nSupporters in Stockton have organised a petition on Blaise’s behalf and are being backed by Stockton North MP Frank Cook.\nAn Early Day Motion has been tabled in the House of Commons by Rudi Viz MP, calling for deportations to the Congo to be stopped.\nIt has been signed by MPs including Frank Cook, Stockton South MP Dari Taylor, Menzies Campbell, Clare Short, Diane Abbott and Alan Beith.\nIt says people who oppose President Kabila face arrest, torture and extrajudicial execution.\nIt is understood a solicitor is lodging a new appeal on Blaise’s behalf.\nA letter written by Blaise reads: “I never knew that I could one day run away from my country and claim asylum to save my life and my family.\n“How would you feel when you lost some of your family’s members and they want to separate you with others?\n“How would you feel when you have children who are brilliant at school suddenly their future and dreams stopped just like that.\n“How would you feel to see your brother sent to an unsafe place, which you know that he’s going to be a victim of persecution, torture and death?\n“I and my sisters we've got no family in the world. Stockton community has become a family to us.\n“Seeing my sisters enjoying their friends in school and they had built strong relationship in the community, including myself. Please help us.”\nLeitisha said: “It is not good for him to go back to our country. If he goes back he will go to prison. We are now alone, our brother cared for us and supported us. It is very distressing.”\nCatherine Ramos, a supporter of the family, said she did not understand why the authorities chose to split the family up. She added: “I have spoken to him and he says he feels very alone.\n“Leitisha is being pressured to take responsibility for her younger sister.\n“Blaise has been so strong but he feels he cannot handle any more. He has watched his sisters like a father, proud of how well they are doing and now he is seeing their dreams crash down. They are all very distressed.”\nA UK Border Agency spokesman said: \"Our asylum and immigration system is humane and compassionate and, crucially, there is oversight from the independent courts. Where someone needs our protection, we will grant it and do so proudly.\n\"However, where we and the independent courts have found that the individual has no right to remain in the UK and there are no appeal rights or applications for leave outstanding, we will enforce their removal, having given full consideration to their asylum claim and factors such as any family in the UK.\n\"Returns policy is kept constantly under review, and decisions as to where to affect returns will be taken in the light of the prevailing circumstances.\"",
"url": "http://www.gazettelive.co.uk/news/teesside-news/2009/05/26/teenager-sisters-stay-in-stockton-as-brother-is-deported-84229-23712234/2/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20090603062735/http://www.gazettelive.co.uk/news/teesside-news/2009/05/26/teenager-sisters-stay-in-stockton-as-brother-is-deported-84229-23712234/2/"
},
{
"language": "en",
"title": "Asylum questions for DR Congo",
"text": "By Jenny Cuffe\nBBC World Service Assignment Programme\nWhat happens to asylum seekers who are sent home? As part of a BBC World Service investigation, Jenny Cuffe has followed the footsteps of failed asylum seekers sent back from Europe to the Democratic Republic of Congo. What she found raised questions over how European governments are treating those they deport.\nMalnutrition is widespread in Congolese prisons\nThe woman at the rear of the Air France flight to Kinshasa was still screaming as we taxied down the runway at Paris Charles de Gaulle Airport.\nHemmed in by French police officers, she pleaded to be allowed off the aircraft. As the plane took off, her screaming subsided to a low whimpering. This was a failed asylum seeker being sent back forcibly to her country of origin, the DR Congo.\nThroughout the European Union, there are hundreds of people in a similar situation - nervously waiting a one-way ticket back to the Congolese capital, Kinshasa.\nAlthough Africa's bloodiest conflict has cost an estimated four million lives since 1998, many EU countries judge it safe to send failed asylum seekers back. They say that there is a transitional government which plans elections next year.\nMany asylum seekers, however, claim they will not be safe on return. I wanted to find out the truth.\nSecret service\nIn a curtained room in down-town Kinshasa, I was introduced to \"Simon\", a member of the ANR, the Congolese secret service.\nQUICK GUIDE\nThe war in DR Congo\nSimon told me that returnees are taken to an office for questioning. Some are asked for a bribe of about $120.\nBut those who \"have problems with the government\" are detained. \"Political dissidents, people who leave the country and go to say bad things about the government,\" said Simon. \"We have to arrest them and show them what they did was not good.\"\nSimon said that another task was to identity any asylum seekers with connections to DR Congo's enemies, especially Rwanda.\nSimon has instructions to pick out those who have a Rwandan name, or even those who look Rwandan.\nI asked him what happens to these men and women. He became evasive. They are handed over to the authorities. What happens next? He shrugged. \"Everything. I cannot say more. Everything.\"\nEuropean informants\nSimon's job relies on information coming back to Kinshasa from DR Congo's embassies in Europe. Dutch authorities are currently investigating whether dossiers which include allegations by Congolese asylum seekers have been passed to Kinshasa.\nCrucially, Simon's testimony raises questions about the checks made by European authorities.\nI don't deny there are cases of security agents who are abusing, but there is no policy to do any harm to detainees\nVice-President Azarias Ruberwa\nIn a letter last year, the British Ambassador to Kinshasa wrote: \"All passengers arriving at Kinshasa are liable to be questioned by DR Congo immigration officials. We have no evidence that returned failed asylum seekers are singled out for adverse treatment.\" Other European countries take the same view.\n'Pierre' was deported from Brussels in April. He had sought asylum and says the scars on his arms are proof that soldiers beat him, having accused him of hiding weapons to use against the President.\nThe softly-spoken graduate told the BBC that on his return he was interrogated for 48 hours, whipped and taken in a jeep to Kinshasa's state prison, Makala. There, he said, the beatings continued.\nThe United Nations has described the regime in DR Congo's prisons as one of rape and torture. If prisoners do not have relatives to bring them food, they may eventually die of starvation, it reports.\nPierre says he was able to get out of the jail because a relative raised $900 to buy his release. But he remains in hiding after the guards said they knew where to find him.\nHuman rights lawyer Celestin Nikiana has started to list the prisoners in Makala. He has found two of the prisoners to be former asylum seekers who have been there for more than five years without charge: Alain Londole , who was returned by Belgium, and Willy Ayi-Ansha, sent back by Italy. Mr Nikiana believes there is at least one other asylum seeker, returned from Belgium, being kept in the prison's political wing.\nSecret jails\nThe UN has also criticised unofficial jails run by DR Congo's national intelligence service. These are said to be places where prisoners are subjected to \"cruel, inhumane or degrading treatment and even torture\". Human rights campaigners say they have information that one former asylum seeker is being kept in one of these secret centres.\nMany Congolese have been displaced by war\nAzaris Ruberwa, vice-president in charge of defence and security, denies returning asylum-seekers are unwelcome.\nBut he added: \"There are still some secret services or security services which commit some abuses against the laws of the country. We hope that once the election is organised these problems will all be solved.\n\"I don't deny the fact that there are cases of security agents who are abusing, but I can guarantee that there is no policy from the government here to do any harm to detainees.\"\nAlthough campaigners have warned some people deported from Europe may be put at risk, they have not yet been able to produce convincing evidence.\nGovernment checks\nUnder the present arrangements, the legal responsibility to check that returned asylum seekers will be safe rests with individual European governments.\nAnd despite plans currently being developed for a common European policy on migration and asylum, there at present no plans to make the European Commission responsible for monitoring what happens when the asylum seekers are sent back.\nThis means that governments like the UK take on trust the good intentions of receiving countries.\nFor its part, however, the Home Office said those who are returned to their home countries are only sent back because it has been \"judged safe\" for the deportation to take place.\n\"To date, we have not received any objective evidence to support allegations of either systematic or arbitrary detention or ill treatment of returnees,\" said a spokesman.\n\"The situation in Democratic Republic of Congo, including the treatment of returnees, is kept under review in consultation with the United Nations High Commissioner for Refugees and other EU countries.\n\"We do not routinely monitor the treatment of returnees to any country. We would not remove them if we considered that they were likely to suffer persecution on their return.\n\"The only people who are removed are those who do not have a well-founded fear of persecution and do not therefore need international protection\".",
"url": "http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/africa/4483364.stm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20060222090849/http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/africa/4483364.stm"
}
] |
pl | 2007-07-16: Trzęsienie ziemi w Japonii | Region Kashiwazaki w prefekturze Niigata
Kolory na mapie pokazują siłę drgań. Gwiazdka zaznaczono epicentrum.
| [
"Japonia",
"Katastrofy i klęski żywiołowe"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Kashiwazaki Kariwa nuclear units shutdown on earthquake",
"text": "Kashiwazaki Kariwa nuclear units shutdown on earthquake\n18 July 2007\nAn earthquake of magnitude 6.8 struck Japan's Niigata prefecture on 16 July. Four nuclear power reactors at Kashiwazaki Kariwa shut down automatically, while one of them suffered a short-lived transformer fire and a small amount of water spilled from a used nuclear fuel cooling pool. The earthquake, centred about 250 km northwest of Tokyo, hit at around 10.13 am, injuring more than 1000 people while destroying 300 buildings. Many roads were cracked, a temple roof collapsed and 35,000 people lost their water supply. Nine were killed.\nAt the Kashiwazaki Kariwa nuclear power plant, three of seven reactors - units 3, 4 and 7 - were in operation. Those reactors shut down safely as tremors began. Unit 2 was in the process of starting operation, and all systems shut down automatically as well.\nUnits 1, 5 and 6 were not operating as periodic inspections were being carried out. The tremors caused 1.2 cubic meters of water to spill from the used nuclear fuel cooling pond of unit 6. Plant owners Tokyo Electric Power Company (Tepco) said the water would contain 90 kBq of radioactivity, and had drained from the plant building to the sea in accordance with environmental regulations. The cooling pond itself was undamaged. There was also a fire in the transformer of unit 3 following the earthquake. Tepco said this had been safely extinguished by 12.10 pm.\nTransformers are used in all types of power station. As part of the system connecting the power unit's generator to the transmission grid, they step up the voltage of the electricity generated by the plant for transmission of energy over great distances without high losses. They are large oil-cooled components which deal with very high energy loads. As such they are located in designated and separated area of the plant and provided with ad-hoc monitoring systems, back-up units and fire protection. In addition, Tepco said hundreds of drums of solid low-level radioactive waste (LLW) in the plant's solid waste storage facility fell from position. The lids of dozens of these were found open. LLW is typically composed of paper, filters, lightly-contaminated clothing and tools. Shigenori Makino of Tepco told World Nuclear News that the LLW drums in the facility contained either ash resulting from the incineration of flammable LLW items, the flammable items prior to incineration, or inflammable items as-is. Tepco is currently inspecting all seven nuclear power units at the plant to assess what damage, if any, the earthquake may have caused and the exact reason for the transformer failure.\nThe earthquake was the biggest to affect the region since one of magnitude 6.8 in 2004. At that time no damage was recorded to the Kashiwazaki Kariwa plant.\nFurther information\nTokyo Electric Power Company (Tepco)\nWNA's Nuclear Power in Japan information paper\nWNA's Nuclear Power Plants and Earthquakes information paper WNA's Earthquakes and Nuclear Safety microsite\nWNN: Maanshan 2 shutdown during Taiwan quake",
"url": "http://www.world-nuclear-news.org/regulationSafety/Kashiwazaki_Kariwa_nuclear_units_shutdown_on_earthquake_160707.shtml",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070818071142/http://www.world-nuclear-news.org/regulationSafety/Kashiwazaki_Kariwa_nuclear_units_shutdown_on_earthquake_160707.shtml"
}
] |
en | 90 days of hard labor for Abu Ghraib dog handler |
Convicted on the first of June by a military jury for participating in prisoner abuse at Abu Ghraib, former sergeant Santos Cardona, 32, a dog handler in the United States Army, was today sentenced to ninety days of hard labour and demoted to the rank of specialist.
Cardona was charged and convicted on two counts: aggravated assault, for using a Belgian shepherd dog to threaten detainees with actions "likely to produce death or grievous bodily harm," and for dereliction of duty in relation to this act. He was cleared of seven other charges.
Cardona faced up to three and a half years in prison on these charges, and despite the conviction his attourney has expressed relief at the sentence. He will not be held in confinement during the term of his sentence.
| [
"Crime and law",
"United States",
"North America",
"Abu Ghraib prisoner abuse affair"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Business & Financial News, U.S & International Breaking News",
"text": "The fatal shooting of eight people at day spas in and around Atlanta have intensified fears in Asian-American communities that have been the target of attacks since the onset of the coronavirus. Six of the eight victims were Asian women. The 21-year-old suspect, Robert Aaron Long, has been charged with four counts of murder according to media reports.",
"url": "http://today.reuters.com/News/newsArticle.aspx?type=topNews&storyID=2006-06-02T154619Z_01_N01455772_RTRUKOC_0_US-IRAQ-ABUSE.xml",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20210317192107/https://www.reuters.com/"
},
{
"language": "en",
"title": "Army Dog Handler Gets 90 Days' Hard Labor",
"text": "ABC News\nArmy Dog Handler Gets 90 Days' Hard Labor\nMilitary Jury in Md. Sentences Army Dog Handler to 90 Days' Hard Labor for Actions at Abu Ghraib\nBy DAVID DISHNEAU\nFORT MEADE, Md. Jun 2, 2006 (AP) A military jury on Friday sentenced Army dog handler Sgt. Santos A. Cardona to 90 days hard labor without confinement, and a reduction in rank. Santos was convicted Thursday of dereliction of duty and aggravated assault for allowing his Belgian shepherd to bark within inches of a prisoner's face.\nHe faced a maximum penalty of 3 1/2 years in prison, a dishonorable discharge and forfeiture of all pay and allowances.\nIt was not clear where Cardona, who was based in Fort Bragg, will serve the sentence. Cardona was reduced in rank to specialist and the court ordered him to forfeit $600 a month in pay for 12 months.\nCardona's civilian attorney, Harvey Volzer, told his client, \"It wasn't an acquittal, but it was pretty darn good.\"\nCopyright 2006 The Associated Press. All rights reserved. This material may not be published, broadcast, rewritten, or redistributed.",
"url": "http://abcnews.go.com/US/wireStory?id=2032782",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20060619062021/http://abcnews.go.com/US/wireStory?id=2032782"
}
] |
de | Freiburg entscheidet sich gegen OpenOffice |
LibreOffice, eine Variante von OpenOffice
Die Stadt Freiburg hat beschlossen, den Einsatz von OpenOffice in der Verwaltung zu beenden. Statt OpenOffice soll in Zukunft wieder das proprietäre Microsoft Office verwendet werden, das auch parallel weiter genutzt wurde. In zwei offenen Briefen haben sich die Document Foundation und die Gruppen Open Source Business Alliance, Free Software Foundation Europe, Bundesverband Informations- und Kommunikationstechnologie und Verein Freies Office Deutschland e.V. an die Stadt Freiburg gewandt.
Die Document Foundation kritisiert in ihrem Brief, dass Open-Source-Fachleute nicht konsultiert worden seien und dass die Stadt Freiburg mit den Kosten für die Migration ebenfalls die Probleme des ursprünglichen Beschlusses für OpenOffice hätte lösen können.
Gutachter hatten Verluste durch die geringere Effizienz der Verwaltung während der Migration mit 2,5 Millionen Euro geschätzt.
Der offene Brief der Gruppe um die Open Source Business Alliance verweist auf einen Leitfaden der Europäischen Kommission, der ebenfalls vor proprietären Standards warnt, und wirft dem Gutachten, das den Wechsel zu Microsoft Office empfiehlt, Realitätsferne vor. Die Migration sei im Vergleich zu anderen Städten unzureichend organisiert gewesen, außerdem sei die Prozedur der Aufhebung des Migrationsbeschlusses nicht vergabekonform und eröffne Auftragnehmern und Bewerbern Möglichkeiten, rechtliche Schritte einzuleiten.
| [
"Themenportal Politik",
"Themenportal Baden-Württemberg",
"Themenportal Computer",
"Open-Source-Software"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Stadt Freiburg: Von Open Office zurück zu Microsoft Office",
"text": "Kurznachrichten\nStadt Freiburg: Von Open Office zurück zu Microsoft Office\nFreiburg/Berlin - Die Stadt Freiburg hat sich für die Rückkehr zu den Office-Büroprogrammen von Microsoft entschieden. Grundlage für die knappe Entscheidung des Gemeinderates war ein Gutachten, das wegen mangelnder Effizienz den Wechsel zurück zu Office empfahl, wie die Stadt am Mittwoch im Internet mitteilte.\nEs sei nie gelungen, die technischen Probleme zu lösen - auch weil die Stadt sich beim Umstieg auf das offene Dateiformat «Open Document Format» (ODF) nach dem Beschluss von 2007 für eine Software entschied, die später nicht mehr weiterentwickelt wurde.\nAuch in wirtschaftlicher Hinsicht habe sich der Wechsel zu Open Office nicht gelohnt, erklärte die Stadt. Zwar seien seit dem letzten Erwerb von Microsofts Office im Jahr 2001 rund 800 000 Euro an Lizenzgebühren eingespart worden. Dem stünden jedoch etwa 730 000 Euro für die Einführung von Open Office gegenüber, außerdem hätten die Gutachter geschätzte Kosten von rund 2,5 Millionen Euro durch Effizienzverluste ermittelt. «Unterm Strich kann die angestrebte 100-prozentige Umstellung auf Open Office nicht erreicht werden», hieß es. Um nicht zwei Systeme parallel zu betreiben, empfahlen die Gutachter die Rückkehr zu Microsofts Office.\nDie Verwaltung rechnet jetzt mit Kosten von rund 900 000 Euro für Lizenzen, Schulungen und die Anpassung von Vorlagen, bei einer Lizenz-Laufzeit von sechs bis sieben Jahren.\nIn den vergangenen Jahren haben zahlreiche Kommunen in der Bundesrepublik den Umstieg auf quelloffene Software statt der kostenpflichtigen Microsoft-Programme erwogen. Als Großstadt setzte dies München um.\nQuelle: n-tv.de",
"url": "http://www.n-tv.de/ticker/Computer/Von-Open-Office-zurueck-zu-Microsoft-Office-article7823171.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20121127234412/http://www.n-tv.de/ticker/Computer/Von-Open-Office-zurueck-zu-Microsoft-Office-article7823171.html"
},
{
"language": "en",
"title": "Open letter to the City of Freiburg",
"text": "The following is an open letter The Document Foundation has sent to the City of Freiburg, Germany, as a statement regarding the current discussion about Freiburg’s IT strategy. The letter in its original format is available at http://wiki.documentfoundation.org/File:OffenerBriefFreiburg.pdf\nAt the same time, The Document Foundation has signed the open letter of the Open Source Business Alliance at http://www.osb-alliance.de/fileadmin/Themen_News/121116_B_Stadt_Freiburg.pdf\nSehr geehrte Damen und Herren,\nals Herausgeber der freien Office-Suite LibreOffice bedauern wir die Überlegungen der Stadt Freiburg außerordentlich, sowohl einen Rückschritt hin zu proprietärer, geschlossener Software, als auch eine Abkehr vom offenen OpenDocument-Standard durchzuführen. Mehrere Thesen des Gutachtens erscheinen bereits im Ansatz falsch.\nNach unserer Kenntnis wurde kein Experte für freie Software und Open Source zu Rate gezogen. So ist in Fachkreisen anerkannt, dass die Gründung von LibreOffice gerade nicht zu einer Schwächung der Entwicklergemeinschaft geführt hat. Vielmehr wurde erst durch die Gründung des wirtschaftlich unabhängigen LibreOffice-Projekts die Zahl der Entwickler deutlich gesteigert. [1]\nDie Document Foundation, eine gemeinnützige, rechtsfähige Stiftung des bürgerlichen Rechts mit Sitz in Berlin, garantiert die dauerhafte und kontinuierliche Weiterentwicklung von LibreOffice, unabhängig von den wirtschaftlichen Interessen einzelner Hersteller. So konnten neben großen, internationalen Unterstützern wie Intel, Google, Red Hat und SUSE auch immer mehr deutschsprachige Unternehmen in die Mitarbeit eingebunden werden. Diese bieten kompetent Migrationsberatung, Anwendungsentwicklung und professionellen Support an, was zudem neue Arbeitsplätze gerade auch in Deutschland geschaffen hat. Die im Gutachten aufgestellte Behauptung, der Support für freie Software sei nur eingeschränkt gewährleistet, erscheint deshalb nicht haltbar.\nVernachlässigt wurde aus unserer Sicht auch der Aufwand für die Migration und Schulung auf aktuellere Microsoft-Produkte, die sich insbesondere in der Bedienerführung, als auch in zahlreichen technischen Details von ihren Vorgängern unterscheiden, und somit teure Anpassungen an Fachanwendungen erforderlich machen.\nDie Migration auf freie Software ist dabei keine bloße Theorie, wie unter anderem das positive Beispiel der Stadt München zeigt, die durch ihr professionelles Migrationskonzept schon mittelfristig Vorteile erzielen konnte. Aktuelle LibreOffice-Migrationsprojekte finden beispielsweise in den Kopenhagener Krankenhäusern, der Region Umbrien, den Provinzen Mailand und Bozen, den Städten Las Palmas (Spanien), Limerick (Irland) und Largo (Florida) statt. Unsere jüngst durchgeführte LibreOffice Conference in Berlin, mit 200 Teilnehmern aus über 30 Ländern, wurde sowohl vom Bundeswirtschafts- als auch vom Bundesinnenministerium unterstützt, die sich über die Bedeutung freier Software im Klaren sind und offene Dokumentformate und freie Software dadurch bewusst fördern wollen.\nViele Aufgabenstellungen sind aus unserer Praxiserfahrung durchaus lösbar. Zu bedenken ist, dass eine Rückmigration hin zu proprietärer Software die Bindung an und Abhängigkeit von einer einzelnen Lösung einer einzigen Firma zementiert und Investitionen für Lizenzkosten erforderlich macht, anstatt in ein existierendes Ökosystem einheimischer Firmen zu investieren, welche bei der Migration kompetente Hilfestellung leisten können.\nZudem bedeutet eine Rückmigration mitnichten, dass die Aufgaben kleiner werden – im Gegenteil, eine solche Entscheidung macht einen zusätzlichen enormen personellen, finanziellen und zeitlichen Aufwand erforderlich, der im Interesse aller Beteiligten, insbesondere auch im Interesse der Steuerzahler, vermieden werden sollte.\nDie Rückmigration hin zu proprietärer Software ist aus unserer Sicht eine falsche Entscheidung, opfert die Stadt Freiburg dadurch doch Freiheit und Unabhängigkeit. Würde sie die gleichen Mittel in die Umsetzung des ursprünglichen Beschlusses investieren, so wären die angesprochenen Probleme sicherlich lösbar.\nAls gemeinnützige Stiftung The Document Foundation bieten und vermitteln wir Ihnen gerne fachliche Unterstützung in allen Fragestellungen rund um offene Dokumentenaustauschformate und den Einsatz unserer freien Office-Suite LibreOffice an.\nHochachtungsvoll\nFlorian Effenberger\nVorstandsvorsitzender\nThe Document Foundation\nThorsten Behrens\nStellvertretender Vorstandsvorsitzender\nThe Document Foundation\n[1] http://conference.libreoffice.org/talks/content/sessions/003/files/berlin-achievements.pdf",
"url": "http://blog.documentfoundation.org/2012/11/16/open-letter-to-the-city-of-freiburg/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20121118051722/http://blog.documentfoundation.org/2012/11/16/open-letter-to-the-city-of-freiburg/"
}
] |
en | Multiple parliaments meet in Kyrgyzstan, legitimacy uncertain |
Hunne''Although the Supreme Court reportedly annulled recent election results on March 24, two rival parliaments have been meeting in the Kyrgyz capital of . The Central Election Commission of Kyrgyzstan voted to endorse the legitimacy of the newly elected and protested parliament on Saturday.
Both a pre-election chamber, comprising of an upper and lower house, and a post-election chamber, comprising of single house, met in separate rooms of the parliament building on Saturday. MPs from both parliaments are set to meet and debate how to proceed. Among solutions proposed are keeping both parliaments functioning until the next election.
"Our opinion is that we should be the legitimate lawmakers because the people have chosen us," said Roman Shin, who was elected to the new parliament. He said the MPs of the former parliament, which were meeting once again, "don't want to abandon power."
"The revolution was made by only 5,000 people," he said, and added that he and his allies could organize at least five times as many.
"It all happen so fast, we don't even know if we can call it a revolution," Felix Kulov, newly appointed head of security ministries, told . "We still haven't figured out what happened. People just ran into the White House and the president fled the country. It was not planned. It was not a revolution. But now we have to take control somehow."
===Protesters meet with Bakiyev===
Hundreds of protesters rushed into the Kyrgyz parliament demanding a meeting with acting President on Saturday, according to a RIA Novosti correspondent.
They demanded that the newly elected parliament be declared illegitimate. Bakiyev promised that he'd settle the matter within two weeks, and the protesters were reportedly not satisfied by his assurances.
Eight of ten members of the Central Election Commission of Kyrgyzstan voted to acknowledge the protested results of the last election as legitimate. Earlier this week, the Supreme Court declared the election results annulled.
"The decision of the Supreme Court is illegal as it was made under pressure of the crowd. After the announcement of the registration results the Central Election Commission can hold a session, for instance, tomorrow," a newly elected MP, Alisher Sabirov, told RIA Novosti.
On Saturday the upper house of the former parliament said it would preserve its authorities before the June 26 presidential elections and did not acknowledge the new parliament.
Leaders of key political structures signed a compromise memorandum on the March 25. The memorandum states that the former parliament will continue to serve until April 14. After that, the new parliament will take over.
However, quite a few MPs are doubting the legitimacy of the March 25 memorandum. They are demanding that the former, two-house parliament's tenure be extended. The more radical MPs are demanding that the new parliament, or "imposters," must leave the parliament building. They contend that the memorandum must be revised.
The lower house of parliament is also rumored to be discussing the possibility of declaring a state of emergency, behind closed doors.
===Bakiyev appoints new ministers===
SKopp'', who was elected both acting president and prime minister, also appointed new ministers on Friday. Among the newly-appointed ministers are Myktybek Abdyldayev, former chief prosecutor who had been fired by deposed president on Wednesday, as interior minister, Felix Kulov as minister of security, and Rosa Otunbayeva as minister of foreign affairs.
The ministers were appointed as acting ministers and thus did not need the approval of the upper house of parliament.
The former parliament also scheduled Kyrgyz presidential elections for June 26. This announcement was met by MPs with applause.
"I think I should run in the presidential elections. God willing, I will," Bakiyev said.
Adding to the uncertainty, deposed president Askar Akayev has said that he has not resigned and intends to return to the country. However, Bakiyev and Kulov both said that there were no grounds for impeaching or persecuting Akayev.
"The vote of no confidence takes place in case of high treason or after initiation of criminal proceedings. So far, we have no evidence of either," Kulov said in an interview on national television.
"I have no intention of persecuting Askar Akayev. He has done much for democracy and building a sovereign Kyrgyzstan," Bakiyev told reporters.
Bakiyev reportedly met with the ambassador to Kyrgyzstan and discussed the situation with Russian President over the telephone. Putin reportedly offered the county Russia's help.
Bakiyev appealed to the staff of deposed President Akayev and Prime Minister Tanayev's offices to report back to work. "We must re-establish order in the White House," Bakiyev said.
| [
"Asia",
"Kyrgyzstan",
"Politics and conflicts",
"Elections",
"Kyrgyz Parliament"
] | [
{
"language": "en",
"title": "English",
"text": "BISHKEK, March 26 (Xinhuanet) -- Kyrgyzstan's newly formed interim government is taking measures to restore order in the Central Asian country after two days of unrest that left the government collapsed and three people dead. Kyrgyz opposition leader Kurmanbek Bakiyev in front of the Parliament building in Bishkek March 25. (Xinhua/AFP) With the help of volunteers, helmeted riot police re-emerged Friday night after two days of absence, firing warning shots to disperse crowds of youths gathering around commercial outlets. Bishkek was relatively calm Friday night compared with the chaotic Thursday night when numerous shops and stores were torched, looted or vandalized. Authorities said three people were killed and more than 300 injured in the riot. But unconfirmed reports put the fatalities at six. INTERIM GOVERNMENT SEEKS ORDER Opposition leader Kurmanbek Bakiyev was named acting president and prime minister by the parliament Friday after President Askar Akayev fled the country amid protests of opposition supporters who took the government building Thursday. Bakiyev formed an interim government made up mostly of opposition figures and announced the presidential election would be held in June. The parliament Saturday set June 26 for the presidential elections. Passers by look into the smashed windows of a shop in the center of Kyrgyz capital Bishkek March 25. (Reuters) The newly-appointed ministers include Felix Kulov for security, Rosa Otunbayeva for foreign affairs and Myktybek Abdyldayev, a former chief prosecutor who had been fired Wednesday by Akayev, for the interior portfolio. Kulov said he had remobilized the police force to restore order, and many noncompliant people had already been arrested. But he complained of a shortage of manpower. The law enforcement agencies were reportedly recruiting volunteers to help maintain security in the capital. LACK OF INTERNATIONAL ENDORSEMENT So far, no foreign country has recognized the newly formed leadership, but there are signs that it may have cooperation promises from Russia and the United States. Although describing the regime change in Kyrgyzstan as \"illegitimate,\" Russian President Vladimir Putin has expressed hope for cooperation with the Kyrgyz opposition to establish positive relations. US Secretary of State Condoleezza Rice on Friday called for the restoration of law and order in Kyrgyzstan and urged the international community to support the Kyrgyz authorities in their efforts to stop violence. The White House also said it will work with the new Kyrgyz leadership to stage elections there but the US State Department said there was no issue yet of formally recognizing the leadership. While the new authorities sought to end a chaotic situation in Kyrgyzstan, Akayev's whereabouts remain in mystery. (Xinhua/AFP/file) WHEREABOUTS OF AKAYEV UNKNOWN While the new authorities sought to end a chaotic situation in Kyrgyzstan, Akayev's whereabouts remain in mystery. Kyrgyz media reported Akayev said in a statement issued on Friday that he was still the legitimate president and condemned the moves by the opposition as an \"anti-constitutional coup.\" He also denied rumors of his resignation, saying he would return after his \"temporary\" stay outside the country. Akayev, who had ruled as president of the mountainous country of 5 million since 1990, did not disclose where he is but said he chose to go out of the country in order to avoid bloodshed. There are unconfirmed reports that he had flew to neighboring Kazakhstan after opposition demonstrators stormed the main government building in Bishkek on Thursday. Russia's Interfax news agency reported Saturday Akayev had arrived in Russia, but the Kyrgyz Embassy in Russia did not confirm the information. Enditem",
"url": "http://news.xinhuanet.com/english/2005-03/26/content_2746485.htm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20050328034954/http://news.xinhuanet.com/english/2005-03/26/content_2746485.htm"
},
{
"language": "en",
"title": "News, sports and weather for Columbia, SC",
"text": "WHEN, in the Course of human Events, it becomes necessary for one People to dissolve the Political Bands which have connected them with another, and to assume, among the Powers of the Earth, the separate and equal Station to which the Laws of Nature...",
"url": "http://www.thestate.com/mld/thestate/news/nation/11236854.htm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20130705020649/http://www.thestate.com/"
},
{
"language": "en",
"title": "Kyrgyz Parliament Works to Restore Order",
"text": "Kyrgyz Parliament Works to Restore Order\nSaturday March 26, 2005 9:01 PM AP Photo MOSB116 By KADYR TOKTOGULOV Associated Press Writer BISHKEK, Kyrgyzstan (AP) - Kyrgyzstan's parliament on Saturday scrambled to restore order to a country gripped by anxiety after the overthrow of the president and said new presidential elections would be held June 26. Police said they had halted rampaging looters after two nights of violent upheaval in the capital. But in a sign of continuing tension, acting leader Kurmanbek Bakiyev changed the location of his first news conference at the last minute, saying he had been threatened with assassination. And in Parliament competing groups met in separate chambers, each claiming to represent the people. President Askar Akayev, who disappeared on Thursday after protesters stormed the presidential and government headquarters in a swelling protest demanding his resignation, had taken refuge in Russia, the Kremlin confirmed on Saturday. The Kremlin press service declined to give details on Akayev's location or when he arrived. Russia has a military base near Bishkek, and there was speculation Akayev initially found safety there; later reports said he had gone to neighboring Kazakhstan. Bakiyev, apparently aiming to placate pro-Akayev forces, said a law granting immunity to the ousted president remained in force. He pledged not to seek vengeance and even found words of praise for the man he had once served as prime minister and later came to vehemently oppose. ``I have no intention of persecuting Askar Akayev. He has done much for democracy and building a sovereign Kyrgyzstan,'' Bakiyev told reporters. ``It's his right to come back or not.'' A semblance of calm returned to the capital during daylight hours Saturday after two nights of looting and sporadic gunfire. Interior Ministry spokesman Nurdin Jangarayev said one person died and 129 were arrested in overnight confrontations, but a deputy interior minister said on television that three people had been killed. Nonetheless, Jangarayev said, ``Everything was normal last night - better than the previous night. We have calmed the people down.'' Iskander Sharshiyev, an opposition leader whose group has been working with police to restore order, said three people he described as ``pillagers'' were killed. Some 2,000 volunteers have joined police in trying to keep order in the capital, where many stores were looted and some burned in the first night's mayhem after Thursday's government collapse. Early Sunday, the central parts of Bishkek appeared far quieter than the previous two nights. Bakiyev, the acting leader, quickly declared himself a likely candidate for the presidency after the date for polls was announced. ``I think I should run in the presidential elections. God willing, I will,'' he said. Bakiyev, who has emerged as the key figure among the disunited anti-Akayev forces, was named acting president and acting prime minister by members of one of two groupings claiming to be the legitimate parliament. His appointment was the work of members of the parliament that had been in session until mid-March. Allegedly fraudulent elections to replace that parliament set off the rising wave of protests against Akayev, who had convened the new parliament early last week. The Supreme Court declared the election results invalid late Thursday, ruling in favor a parliamentarians who had been in power and are now mainly backing Bakiyev. But parliamentarians who won in the now-voided February and March balloting still contend they are the legitimate parliament. Each group held sessions in separate parliamentary chambers Saturday. ``Our opinion is that we should be the legitimate lawmakers because the people have chosen us,'' said Roman Shin, elected in the most recent vote that was struck down by the Supreme Court. He said the former lawmakers who have returned to parliament ``don't want to abandon power.'' ``The revolution was made by (only) 5,000 people,'' he said, referring to the crowd that gathered outside the presidential and government compound before the building was stormed. He said that he and his allies could gather at least five times as many. Meanwhile, there's no sign that Akayev had resigned, and a purported Akayev statement e-mailed to media Friday quoted him as denying reports he had stepped down. That raised the prospect that Akayev could try to organize a counterinsurgency from afar aimed at restoring him to power. On Saturday, news reports said hundreds or even thousands of Akayev supporters were believed to be heading for the capital, but by nightfall they had not materialized. Akayev's departure made Kyrgyzstan the third former Soviet republic in the past 18 months - after Georgia and Ukraine - to see long-entrenched governments widely accused of corruption fall under massive protests. The 60-year-old Akayev had led Kyrgyzstan since 1990, before it gained independence in the Soviet collapse. He was long considered the most democratic leader among the five ex-Soviet Central Asian nations, but he was accused of employing increasingly tough measures against dissent in recent years. Bakiyev said Russian President Vladimir Putin called him Friday night and asked how Russia could help the people of Kyrgyzstan. ``I'm very grateful to him for that,'' he said. He also said U.S. Ambassador Stephen Young was ``one of the first people who came to congratulate me.'' The U.S. Embassy said Young met with Bakiyev on Friday, but did not reveal the nature of their conversation. Both the United States and Russia have military bases in Kyrgyzstan, not far from Bishkek.",
"url": "http://www.guardian.co.uk/worldlatest/story/0,1280,-4894201,00.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20050327181518/http://www.guardian.co.uk/worldlatest/story/0,1280,-4894201,00.html"
},
{
"language": "en",
"title": "Kyrgyzstan's future in post-coup uncertain",
"text": "Make NewKerala Your Homepage! | Bookmark This Site |\nHome > World News Posted on 27 March 2005 Kyrgyzstan's future in post-coup uncertain (upi News) By NATALIA ANTELVA BISHKEK, Kyrgyzstan, March 26 : Kyrgyzstan's acting president, Kurmanbek Bakiev, warned against the threat of the counter-revolution following a night of looting in the capital, Bishkek, Saturday. By NATALIA ANTELVA BISHKEK, Kyrgyzstan, March 26 : Kyrgyzstan's acting president, Kurmanbek Bakiev, warned against the threat of the counter-revolution following a night of looting in the capital, Bishkek, Saturday. Since the coup that ousted president Askar Akayev earlier in the week, dozens shops have been looted, and at least three people have died in the outbreaks of violence.\n\"People loyal to Akayev are the ones who looted the city.They are trying to destabilize the situation,\" Bakiev said.Bakiev says the situation is now under control, and mobile units made -- up from young volunteers are patrolling the streets.Felix Kulov, a popular opposition leader, who was until last Friday one a political prisoner of the Akayev's government, is now in charge of the security and interior ministry forces.\"We are already controlling the situation, and there is no threat of renewed violence,\" Kulov said.But other officials of the interim government told United Press International that supporters of President Akayev, in his native region of Kemin, are organizing a movement against the new government.There were mass demonstrations in Kemin Saturday, and residents say they plan to march on the capital Bishkek on Sunday and take back control of the government.This crisis was sparkled by the March parliamentary election which the opposition claimed was falsified in favor of Akayev's government.\nAkayev's son Aydar, and his daughter Bermet, both won seats in the parliament.By the end of March, mass protests that swept the south of the country, had moved to the capital Bishkek.On March 24, crowds stormed the government buildings and Akayev fled with his family.Opposition leader Felix Kulov was released from prison and an interim government was formed.Eyewitnesses say that the pace in which the events unfolded was so fast that hardly anyone had time to realize what had happened.\"The opposition had no plan.But people just pushed and pushed, and all of a sudden we were inside the presidential office.Next thing we know -- he (Akayev) fled the country,\" Aziz, a 23-year-old student, said.\"But it's confusing what happens next.We don't know where Akayev is, we don't know who is taking charge, no one knows what will happen, everyone is scared of instability,\" Aziz said.The power is currently distributed among Felix Kulov, who is in charge of the army and police and Kurmanbek Bakiev who is serving as interim president.Another opposition leader, Roza Otunbaeva has been appointed as the acting foreign minister.\nBut even the leaders themselves seem to disagree over what happened in the country.\n\"It's a continuation of the Georgian and Ukrainian revolutions,\" Roza Otunbaeva said \"We did it, in Central Asian style.Unfortunately we did not manage to make it as bloodless as it was in Ukraine and Georgia, but we did it,\" Otunbaeva said.\nOthers are not so certain.\n\"It all happen so fast, we don't even know if we can call it a revolution,\" Kulov told UPI.\"We still haven't figured out what happened.People just ran into the White House (the government administration building) and the president fled the country.It was not planned.It was not a revolution.But now we have to take control somehow,\" Felix Kulev said.\nAccording to Kyrgyzstan's interim government, Askar Akayev is currently in Moscow.But in an e-mail sent to Kyrgyz news agencies, he said his absence is temporary and aims at avoiding bloodshed.He also said that he will not resign despite what he called an \"anti-constitutional coup.\"\nOn Saturday, the Kyrgyz parliament voted overwhelmingly for new presidential election to take place on June 26. In the current political chaos that looms over the country, there seems to be little clarity about who will run in it.Analysts predict a struggle for power among the three leaders, which they say could result in further political instability.But many Kyrgyz say they would like to see Kulov take charge of the country.Felix Kulov, former mayor of Bishkek had served as vice-president and minister of Interior in Akayev's government.After he went into opposition in 2000, he was sentenced to four years in prison on corruption and embezzlement charges.His wife and two daughters were granted political asylum in the United States.Kulov was released on Thursday when opposition supporters stormed the presidential administration and President Akayev fled the country.But Saturday he said he will go back to prison after he restores calm in the streets of Bishkek.\"I am not going to be a disobedient citizen,\" Kulov told the UPI \"The court is now reviewing my case.Unless the court rules otherwise, I will go back to prison until next November.\"\"It's too early to speak about the presidential election.Whether I run or not, I don't know,\" Kulov said \"Such decisions cannot be taken spontaneously.\n- -- Copyright 2005 by United Press International. Send To Friend",
"url": "http://www.newkerala.com/news-daily/news/features.php?action=fullnews&id=90735",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20050412000327/http://www.newkerala.com/news-daily/news/features.php?action=fullnews&id=90735"
}
] |
de | Somalia: EU-Verteidigungsminister einigen sich auf Erweiterung des Einsatzes gegen Piraten |
Der EU-Einsatz „Atalanta“ gegen die von Somalia aus agierenden Seeräuber soll nach einem Beschluss der EU-Verteidigungsminister ausgeweitet werden. Die Minister einigten sich darauf, dass die Stützpunkte und Schiffe der Piraten auch an Land zerstört werden können.
Die Außenminister der 27 Mitgliedstaaten hatten gezögert, das Mandat auszuweiten, um Luftangriffe auf Stellungen der somalischen Piraten an Land zu ermöglichen. Insbesondere aus Deutschland kamen kritische Stimmen, die einen Beschluss verzögerten. Auch nach dem Beschluss verstummten die mahnenden Stimmen nicht. Die SPD und Die Grünen sind empört. Reinhard Bütikofer von den Grünen hält den Beschluss für völkerrechtswidrig, er sei ein weiterer Schritt in Richtung Militarisierung der Problemlösung: „Die EU-Außenminister ignorieren, dass Piraten Kriminelle und keine feindlichen Kämpfer sind. Piraten an Land zu beschießen, ohne dass von ihnen direkte Gefahr ausgeht, ist schlicht völkerrechtswidrig.“ Bütikofer weiter: „Die Wahrscheinlichkeit, dass EU-Militärkräfte Zivilisten verletzen oder sogar töten ist ausgesprochen hoch.“
Außenminister Westerwelle begründete die Zustimmung: Die Bekämpfung der somalischen Piraten müsse „ernst, robust und nachhaltig“ organisiert sein. Es sei für die eingesetzten Soldaten unzumutbar, dass sie auf hoher See gegen die Piraten vorgehen könnten, aber nicht, sobald diese sich mit ihren Waffen auf dem Strand befänden. Die Ausweitung des Mandats sei eine nationale Pflicht, um Leib und Leben der Seeleute nicht zu gefährden.
Der Einsatz von Soldaten an Land ist nicht vorgesehen. 291 Soldaten der Bundeswehr und das Versorgungsschiff „Berlin“ sind an der Operation Atalanta beteiligt.
Einsatzgruppenversorger Berlinklasse
Die Zustimmung des Bundestages zur Mandatserweiterung ist erforderlich, dafür reicht die Mehrheit der Regierungsparteien aus. Kritik der Opposition ist zu erwarten. Die EU-Mission Atalanta begann Ende 2008. Es handelt sich um eine multinationale Mission der EU zum Schutz von humanitären Hilfslieferungen nach Somalia, der freien Seefahrt und zur Bekämpfung der Piraterie vor der Küste Somalias am Horn von Afrika im Golf von Aden. Die Abkürzung NAVFOR steht für Naval Forces. Der Operationsname Atalanta lehnt sich an die jungfräuliche Jägerin ''Atalante'' aus der griechischen Mythologie an.
| [
"Themenportal Politik",
"Politik in der Europäischen Union",
"Themenportal Somalia",
"Themenportal Arabische Welt",
"Piraterie",
"Operation Atalanta"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Piraten-Bekämpfung an Land beschlossen",
"text": "EU-Minister passen \"Atalanta\"-Mandat an\nPiraten-Bekämpfung an Land beschlossen\nDer Kampf gegen somalische Piraten wird intensiviert\nSamstag, 24. März 2012\nIm Kampf gegen die Piraten am Horn von Afrika wird die Europäische Union künftig auch Stützpunkte der Seeräuber an der Küste des Indischen Ozeans unter Beschuss nehmen. Die 27 EU-Außenminister stimmten einer entsprechenden Anpassung des «Atalanta»-Einsatzes am Freitag in Brüssel zu. Allerdings sollen sich die Lufteinsätze auf den Uferbereich beschränken und müssen hauptsächlich gegen die Infrastruktur der Piraten - etwa Boote oder Munitionslager - gerichtet sein. Wie genau die Grenzen zwischen Uferbereich und Hinterland abgesteckt werden sollen, wurde zunächst nicht bekannt.\nEinen Krieg an Land mit Bodentruppen wollte vor allem Deutschland vermeiden. Piraterie müsse auf See bekämpft werden, hatte der Parlamentarische Staatssekretär im Verteidigungsministerium, Christian Schmidt (CSU), am Donnerstag gesagt. Der Bundestag muss dem veränderten «Atalanta»-Mandat noch zustimmen. Bislang gilt das Mandat nur für Einsätze auf See. Wenn nun Ziele an Land ins Visier genommen werden, sollen dabei keine Unbeteiligten in Gefahr geraten.",
"url": "http://www.thb.info/news/single-view/id/piraten-bekaempfung-an-land-beschlossen.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120325230103/http://www.thb.info/news/single-view/id/piraten-bekaempfung-an-land-beschlossen.html"
},
{
"language": "de",
"title": "Atalanta-Mandat ausgeweitet Piratenbekämpfung auch an Land",
"text": "© dapd Bald auch den Strand im Visier? Bundeswehr-Soldaten auf See vor Dschibuti\nDie EU will gegen somalische Piraten in Zukunft auch an Land militärisch vorgehen. Nach langen Vorgesprächen, die nicht zuletzt deutschem Zögern geschuldet waren, billigten die Außenminister der Mitgliedstaaten eine Ausweitung der bisher rein maritimen Operation „Atalanta“ auf die Küstengebiete Somalias, so dass die Ausrüstung der Piraten aus der Luft angegriffen werden kann.\nAußenminister Westerwelle, der für die Bundesregierung zustimmte, hob hervor, dass der Piraterie „ernst, robust und nachhaltig“ zu begegnen sei. Es sei für die eingesetzten Soldaten unzumutbar, dass sie auf hoher See gegen die Piraten vorgehen könnten, aber nicht, sobald die sich mit ihren Waffen auf dem Strand befänden. Deshalb sei die Operationsausweitung auch eine „nationale Pflicht, um Leib und Leben der Seeleute nicht zu gefährden“. Für den Einsatz der Bundeswehr, die derzeit mit 291 Soldaten und dem Einsatzgruppenversorger „Berlin“ an der Operation beteiligt ist, muss der Bundestag ein neues Mandat erteilen.\nDie Einzelheiten werden nun in einem neuen Operationsplan ausgearbeitet, der dann noch einmal gesondert zu verabschieden ist. Im Wesentlichen ist vorgesehen, die Boote, Treibstoff-, Munitions-, Waffen- und Nahrungsvorräte der Piraten am somalischen Strand mit Hubschraubern zu zerstören. Das soll mit Maschinengewehren geschehen, um große Zielgenauigkeit zu gewährleisten. Personen dürfen nicht angegriffen werden, außerdem dürfen die EU-Soldaten keinen Fuß auf somalischen Boden setzen.\nFür entsprechende Einsätze kommt im Augenblick vor allem die Bundeswehr in Frage, weil sie im Einsatzgebiet über geeignete Hubschrauber verfügt. Bedenken im Bundestag hatten immer wieder zu Aufschüben bei der Beschlussfassung in Brüssel geführt. Zuletzt ging es vor allem um die Frage, ob und wie dem Bundestag mitgeteilt wird, wie weit das Einsatzgebietes ins Land hineinreicht. Das Militär will das geheim halten, weil befürchtet wird, dass die Piraten ihre Ausrüstung einfach hinter die entsprechenden Linien zurückziehen, sollte öffentlich bekannt werden, wie weit die Atalanta-Hubschrauber nach Somalia hineinfliegen dürfen.\nWo endet der Strand?\nWesterwelle sagte dazu nur, dass es bei der Unterrichtung des Bundestags „größtmögliche Transparenz“ geben werde, da die Bundeswehr eine Parlamentsarmee sei. Wo für die EU der Strand endet, wurde am Freitag noch nicht festgelegt, das soll im Operationsplan geschehen. In der Absicht, die Rechtssicherheit für die deutschen Soldaten zu verbessern, wird in der Bundesregierung erwogen, zusätzlich zu den EU-Beschlüssen eine Definition von „Strand“ festzulegen, welche dann als deutscher Einsatzvorbehalt geltend gemacht würde.\nDie neuen Regeln zur Pirateriebekämpfung sollen schon am nächsten Mittwoch im Bundeskabinett verabschiedet werden. Darauf hatten sich nach Informationen dieser Zeitung die für Sicherheitsfragen zuständigen Kabinettsmitglieder unter Leitung von Bundeskanzlerin Merkel (CDU) Anfang dieser Woche verständigt. Das veränderte Mandat kann anschließend im Bundestag eingebracht und nach der Osterpause verabschiedet werden.\nKritik an den Plänen äußerte der verteidigungspolitische Sprecher der SPD, Arnold. Er rate seiner Fraktion dazu, „diesmal Nein zu sagen“, weil es sich um eine „Scheinlösung“ handle. „Die Piraten sind ein lernfähiges System, und wenn das Mandat sagt, man darf nur so und so viele Meter vom Strand weg, werden die Piraten als Erstes versuchen, natürlich ihre Logistik weiter zurückzuziehen“, sagte Arnold im Deutschlandfunk. Auch könnten sie Menschen in ihre Logistiklager setzen, um Angriffe zu verhindern. Der Grünen-Sicherheitspolitiker Nouripour äußerte sich „skeptisch beim neuen Element“, wollte aber das Vorliegen des Mandates abwarten, ehe er eine Empfehlung abgibt. Der außenpolitische Sprecher der FDP-Fraktion, Stinner, bezeichnete es dagegen als richtig, den Druck auf die Piraten zu erhöhen, auch wenn dies nur eine „Einzelmaßnahme“ sei. Wichtig sei es nun, auch das Risiko einer Verhaftung und Strafverfolgung für Piraten zu erhöhen.\nBegleitmannschaften sollen autonom agieren\nIn Brüssel beschlossen die Minister außerdem, den Begleitschutz des Welternährungsprogramms zu flexibilisieren. Auf den UN-Schiffen, die Nahrungsmittel für die somalische Bevölkerung an Land bringen, fahren bewaffnete Soldaten der EU mit, um Piraten abzuschrecken. Bisher musste sich in der Nähe stets eine Fregatte der EU-Flotte aufhalten, um den Soldaten zur Hilfe eilen zu können. Das entfällt nun, die Begleitmannschaften sollen in Zukunft „autonom“ in ihren Einsatz gehen.\nDie EU bereitet zudem eine neue zivile Mission in der Region vor, um einen Beitrag dazu zu leisten, dass die Pirateriebekämpfung eines Tages von den Anrainerländern selbst übernommen werden kann. 50 bis 80 Berater sollen in Djibouti, Kenia, Tansania und auf den Seychellen bei der Stärkung der Marine helfen; die somalischen autonomen Regionen Puntland und Somaliland sollen Unterstützung beim Aufbau einer Küstenwache und bei der Richterausbildung erhalten. Deutschland und die Niederlande haben darüber hinaus eine Initiative gestartet, um dagegen vorzugehen, dass das von Piraten erpresstes Lösegeld im Ausland gewaschen wird. Nach Schätzungen bleiben nur 60 Prozent des Lösegelds in Somalia, der Rest wird im Ausland angelegt.",
"url": "http://www.faz.net/aktuell/politik/ausland/atalanta-mandat-ausgeweitet-piratenbekaempfung-auch-an-land-11694773.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120323154005/http://www.faz.net/aktuell/politik/ausland/atalanta-mandat-ausgeweitet-piratenbekaempfung-auch-an-land-11694773.html"
},
{
"language": "de",
"title": "Heftige Kritik an EU-Mission Atalanta: Angriff auf Piraten an Land",
"text": "Noch sind sie sicher an Land. EU-Truppen dürfen somalische Piraten nur auf dem Wasser angreifen. (Foto: picture-alliance/ dpa)\nHeftige Kritik an EU-Mission Atalanta: Angriff auf Piraten an Land\nDie Ausweitung des EU-Antipirateneinsatzes Atalanta auf Ziele an der somalischen Küste ist nach Ansicht des Grünen-Politikers Reinhard Bütikofer völkerrechtswidrig. Der Beschluss der EU-Außenminister sei \"ein weiterer Schritt in Richtung Militarisierung der Problemlösung\", sagte der Vizevorsitzende der Grünen im Europaparlament. \"Die EU-Außenminister ignorieren, dass Piraten Kriminelle und keine feindlichen Kämpfer sind. Piraten an Land zu beschießen, ohne dass von ihnen direkte Gefahr ausgeht, ist schlicht völkerrechtswidrig.\"\nDie EU-Außenminister beschlossen zuvor die Ausweitung des Mandats für die Atalanta-Mission am Horn von Afrika. In Zukunft soll dabei nicht nur auf dem Meer, sondern auch am Strand des bettelarmen Somalias gegen Piraten vorgegangen werden, indem Boote und andere logistische Ziele der Piraten dort beschossen werden können. Der Einsatz von Soldaten an Land ist nicht vorgesehen, Menschen sollen nicht zum Ziel der Angriffe am Strand werden.\nDeutschland hatte sich lange gegen die Ausweitung des Atalanta-Mandats gesperrt. Nun verteidigte Bundesaußenminister Guido Westerwelle die Mandatsänderung für den Antipirateneinsatz. \"Es ist einfach nicht wirkungsvoll, wenn Piraten sich mit ihren Waffen in dem Augenblick sicher fühlen können, wenn sie in Sichtweite zu unseren Soldaten den Strand betreten haben\", sagte der FDP-Politiker. Es sei \"nationale Pflicht, gegen Piraterie robust vorzugehen\", um \"Leib und Leben von unseren Seeleuten\" zu schützen.\nDie notwendige Zustimmung des Bundestags zu der Mandatserweiterung will Westerwelle jetzt \"zügig\" einholen. Zwar reicht der Bundesregierung ihre eigene Mehrheit im Parlament für den Beschluss, sie muss sich aber wohl auf heftige Kritik der Opposition einstellen.\nDie Entscheidung sei \"hochriskant und deswegen abzulehnen\", sagte Bütikofer. \"Die Wahrscheinlichkeit, dass EU-Militärkräfte Zivilisten verletzen oder sogar töten ist ausgesprochen hoch.\" Zudem wachse die Gefahr, \"dass EU-Kräfte in direkte Auseinandersetzungen mit diversen bewaffneten Gruppen geraten, die gar nicht den Piraten zuzurechnen sind\". Und nicht nur die Grünen haben Vorbehalte.\n\"Der SPD-Verteidigungsexperte Rainer Arnold bezeichnete das Vorhaben im Deutschlandfunk als \"Scheinlösung\". Zwar sei noch keine Entscheidung in der SPD-Fraktion zum Abstimmungsverhalten im Bundestag gefallen, doch wäre sein Rat, \"diesmal Nein zu sagen\".\nIm Kampf gegen die Piraterie am Horn von Afrika ist die EU-Mission Atalanta seit Ende 2008 unter Beteiligung der Bundeswehr mit bis zu zehn Kriegsschiffen sowie Aufklärungsflugzeugen im Einsatz. Ziel ist der Schutz von Handelsschiffen und Hilfslieferungen des UN-Welternährungsprogramms.\nDoch die Zahl von Piratenangriffen vor der somalischen Küste, im Indischen Ozean und Arabischen Meer ist weiterhin hoch. Das Seegebiet gilt als das gefährlichste der Welt, allein im vergangenen Jahr gab es dort rund 230 Piratenangriffe. In der Vergangenheit haben die Piraten immer wieder Besatzungsmitglieder entführt, um millionenschwere Lösegelder zu erpressen.\nQuelle: n-tv.de",
"url": "http://www.n-tv.de/politik/Angriff-auf-Piraten-an-Land-article5845396.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120324071508/http://www.n-tv.de/politik/Angriff-auf-Piraten-an-Land-article5845396.html"
}
] |
es | Decretan estado de excepción en Honduras por los disturbios en medio de la crisis electoral |
El Gobierno de decretó por diez días el , suspendiendo garantías constitucionales, en un intento de poner fin a la violencia postelectoral de los últimos días, con motivo del supuesto fraude realizado en las elecciones presidenciales del pasado 26 de noviembre.
En cadena nacional, Jorge Ramón Hernández, secretario coordinador del Gobierno, fue el encargado de informar la entrada en vigor de la medida a partir de las 23:00 horas de este viernes (1 de diciembre). "Durante la vigencia del decreto queda prohibida la libre circulación" entre "6 de la tarde y las 6 de la mañana en todo o parte del territorio nacional, en atención a los hechos que ocasione la restricción de esta libertad a recomendación de autoridad competente".
Desde hace días, , capital del país, vive múltiples protestas convocadas por la oposición, la Alianza de Oposición a la Dictadura, que denuncia un fraude en las . Los disturbios han dejado decenas de heridos y tres muertos. A cinco días de los comicios, el (TSE) aún no contabiliza todos los votos. Convocó a las 09:00 horas a los representantes del gobernante , del presidente , y del opositor Alianza de Oposición contra la Dictadura, liderada por .
La excepción al toque de queda son los miembros y personal del TSE, así como los representantes partidistas, observadores nacionales y extranjeros, comunicadores acreditados, transporte de carga, servicios de auxilio, ambulancias, personal médico y de enfermería, fuerzas de seguridad y justicia y los altos funcionarios identificados por la .
El viernes se registraron disturbios en varios puntos de la capital, incluidas las inmediaciones del Instituto de Formación Profesional, lugar donde se reciben y custodian las boletas electorales. Días atrás, el expresidente se presentó al lugar y se manifestó con seguidores al grito de "fuera JOH Juan Orlando Hernández, fuera JOH". Las fuerzas de seguridad respondieron con gas pimienta y autoridades aseguraron que esos disturbios "pudieron terminar con toda la elección".
Suman 94.3% de los votos contabilizados, sin embargo, el Tribunal se prepara para confirmar la victoria del presidente por 46 mil votos de diferencia sobre Nasralla. Por lo anterior, el mandatario podría encargarse de la presidencia cuatro años más, pese a que la reelección está prohibida constitucionalmente. Nasralla asegura que cinco mil boletas que le favorecen no se han tomado en cuenta. Además 1030 actas, 5.7% del total, generan dudas o inconsistencias.
| [
"Democracia y elecciones",
"Judicial",
"Política"
] | [
{
"language": "es",
"title": "Honduras decreta el toque de queda a la espera de los resultados definitivos de las elecciones",
"text": "A más de siete años del golpe de Estado que derrocó a Manuel Zelaya, el presidente chavista que se saltó la ley para buscar la reelección, Honduras vive de nuevo un grave enfrentamiento político y social. Las protestas se suceden en Tegucigalpa, la capital, desde hace días. Según los convocantes de las marchas, los disturbios habrían dejado una decena de heridos y tres muertos.\nEste viernes se reprodujeron nuevos incidentes en distintos puntos de Tegucigalpa y en las inmediaciones del Instituto de Formación Profesional, convertido en un fortín donde se reciben y custodian las boletas electorales. El Gobierno ha decretado un toque de queda de diez días, efectivo a partir de la noche de este viernes.\nHace dos días, el ex presidente Zelaya se presentó en el fortín junto a decenas de seguidores al grito de “fuera JOH, fuera JOH”. La policía respondió fueron disueltos con gas pimienta. El organo electoral denunció que esos disturbios “pudieron terminar con toda la elección”.\nContabilizados el 94’3% de los votos, el Tribunal se prepara para confirmar la victoria del actual presidente Juan Orlando Hernández, del Partido Nacional, por 46.000 votos de diferencia, sobre Salvador Nasralla- sobre un universo de 2’6 millones de votos recibidos- por lo que repetiría mandato cuatro años a pesar de que la reelección está prohibida por la constitución.\nLa atención se centra ahora en otras 1.030 actas, el 5’7% de las mismas, sobre las que hay dudas o inconsistencias. Nasralla, sin embargo insiste en que son más de 5.000 las actas que le favorecen y que no han sido contabilizadas.\nAunque nadie hasta el momento ha podido confirmar el fraude que denuncia, el lento conteo del Tribunal Electoral ha servido de combustible para la desconfianza. Si hace cuatro años se conoció el resultado sólo unas horas después, en esta ocasión han hecho falta cinco días. A añadir más madera a la caldera de la suspicacia se suma el extraño apagón informático del miércoles y que recordó a muchos el fraude de 1988 en México cuando Carlos Salinas ganó las elecciones frente a Cuauhtémoc Cardenas. En una secuencia de hechos similar, el martes Nasralla tenía más votos que Juan Orlando pero cuando volvió la luz, el actual mandatario ya estaba arriba por varios miles de votos frente.\nEl Tribunal electoral está conformado por cuatro miembros y ninguno es de su partido entre ellos el presidente, David Matamoros, designado por el gobierno. El resto fueron designados por partidos como el Liberal o el Democristiano, que apenas logró un puñado de votos en las últimas elecciones.\nHasta el momento tanto la Organización de Estados Americanos (OEA) y de la Unión Europea (UE) han avalado la jornada de votación pero han pedido transparencia en el conteo para evitar la violencia y una mayor división en un país que aún no cierra sus heridas de hace siete años.\nNasralla, un popular presentador de televisión que se declara “apolítico” y cuyo principal mérito fue sido utilizar su espacio en televisión para denunciar la corrupción y asociarse con Zelaya, se dijo incapaz de frenar a sus seguidores en la calle. “Yo, puedo llamar hoy a la paz, pero no puedo responder sobre las manifestaciones en masa de mis simpatizantes. Eso es algo imposible”.",
"url": "https://elpais.com/internacional/2017/12/02/actualidad/1512190976_048735.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20171202062508/https://elpais.com/internacional/2017/12/02/actualidad/1512190976_048735.html"
},
{
"language": "es",
"title": "Honduras decreta el estado de excepción ante la ola de violencia en protesta por el \"fraude",
"text": "Al Gobierno de Honduras se le acabó la paciencia. Saqueos, cortes de carreteras y barricadas en las calles han propiciado que el Ejecutivo de Juan Orlando Hernández haya decretado esta noche el estado de excepción en el país que entró en vigor a las 23.00 horas (06.00 horas en España). De esta manera, ha suspendido varias garantías constitucionales para poner fin a la ola de violencia iniciada en la madrugada del miércoles en las protestas convocadas por simpatizantes de la Alianza de Oposición a la Dictadura que denuncian un fraude en las elecciones del pasado domingo.\nAsí, cinco días después de que se celebraran los comicios, el Tribunal Supremo Electoral (TSE) de Honduras no ha contabilizado aún todos los votos, algo que, según ha anunciado su magistrado presidente, David Matamoros, no sucederá hasta este sábado. Concretamente, ha convocado a las 09.00 horas (16.00 horas en España) tanto a los representantes del Partido Nacional, liderado por el actual presidente y candidato a la reelección, Juan Orlando Hernández, como a los de la Alianza de Oposición contra la Dictadura, liderada por Salvador Nasralla.\nEl estado de excepción decretado por el Consejo de Ministros supone la prohibición de circulación de personas desde las 18.00 hasta las 06.00 horas durante los próximos diez días, lo que supone suspender el artículo 81 de la Constitución de este país centroamericano. De esta manera, se pretende acabar con las violentas protestas convocadas por los acólitos de Nasralla que reclaman su victoria antes incluso de conocerse los datos definitivos de las elecciones.\nConcretamente, el decreto establece que \"se prohíbe la libre circulación de las personas, prohibición que podrá aplicarse en horario de 6.00 pm a 6.00 am, en todo o parte del territorio nacional en atención a los hechos que ocasiona la restricción de esta libertad a recomendación de autoridad competente\".\nSolamente tendrán la excepción de cumplir esta norma los miembros y todo el personal del TSE; los representantes de los partidos políticos; los observadores nacionales e internacionales; los comunicadores sociales acreditados por el TSE; el transporte de carga; los entes de socorro y emergencia acreditados por su institución; las ambulancias; el personal médico y de enfermería; los miembros del cuerpo de seguridad y de justicia y altos funcionarios del Estado debidamente identificados por la Policía Nacional.\nAsimismo, tampoco se aplicará el estado de excepción a los miembros del Cuerpo Diplomático Consular; organismos y misiones internacionales debidamente acreditados por la Cancillería de la República y el Comisionado Nacional de Derechos Humanos y el personal debidamente autorizado por el mismo.\nEl segundo artículo del Decreto aprobado por el Gobierno señala que \"las Fuerzas Armadas, apoyarán conjunta o separadamente cuando la situación así lo requiera a la Policía Nacional debiendo poner en ejecución los planes necesarios para mantener el orden y la seguridad de la República y garantizar el ejercicio de los derechos democráticos\".\nEn el artículo 3 se ordena \"detener a toda persona encontrada fuera del horario de circulación establecido o que de alguna manera sea sospechoso de causar daños a las personas o sus bienes; aquellos que se asocien con el objeto de cometer hechos delictivos o esté en peligro su propia vida. En este mismo artículo se ordena también \"proceder al desalojo de toda instalación pública, carreteras, puentes y otras instalaciones públicas y privadas que hayan sido tomadas por manifestantes o se encuentren personas en su interior realizando actividades prohibidas por la ley\".\nHernández aventaja en más de 46.000 votos a Nasralla\nEl Gobierno de Honduras ha decretado el estado de excepción cuando aún faltan por escrutar 1.024 mesas electorales, lo que supone el 5,65% del total, si bien se da ya por asegurada la victoria de Orlando Hernández, ya que con el 94,35% escrutado, aventaja a su rival, Salvador Nasralla, en 46.729 votos.\nHoy estaba previsto que el TSE realizara el conteo definitivo, si bien, según ha informado su magistrado presidente, ello no ha sido posible ante la ausencia de los representantes de la Alianza de Oposición contra la Dictadura, que no se han presentado en las instalaciones, a diferencia de lo que han hecho los del Partido Nacional.\nPese al llamado a la \"calma\" realizado por el TSE, así como por EEUU y los organismos internacionales como la Organización de Estados Americanos, la ciudadanía que apoya a Nasralla se ha echado a las calles ante el 'pucherazo' que considera que se está haciendo para lograr que Orlando Hernández sea investido de nuevo como Presidente el 27 de enero para la legislatura 2018-2022.\nLejos de escuchar estas recomendaciones, el propio Nasralla ha mostrado públicamente su apoyo a estas protestas y ha pedido a la ciudadanía que sigan en las calles defendiendo su victoria, que, a su juicio, ha sido \"robada\". \"Esto no va a durar un día, ni un mes, esto va a durar hasta que se acabe el país o hasta que otro país nos conquiste\", señaló el candidato. Sin embargo, estas protestas que se han extendido por todo el país, han derivado en episodios de violencia, como la entrada de una turba en un banco de la capital, que ha obligado a sus trabajadores a salir despavoridos, mientras decenas de personas rompían todo lo que se encontraban en su camino.\nEl escenario de algunas calles de la capital es de guerra con vehículos calcinados y establecimientos saqueados, mientras que desde la madrugada del miércoles han sido constantes los enfrentamientos entre los simpatizantes de Nasralla y las fuerzas del orden a las que lanzaron piedras y palos, mientras que éstas respondieron con gases lacrimógenos y tanquetas de agua, al tiempo que detuvieron entre el jueves y el viernes a 50 personas que participaron en saqueos a centros comerciales de Tegucigalpa y San Pedro Sula.\nLos disturbios y protestas iniciaron el miércoles, después de que el candidato de la Alianza de Oposición dijera que \"no reconocemos los resultados del sistema tramposo del TSE\", al tiempo que señaló que el pacto \"no tiene validez\", ya que, según recalcó, no va a aceptar que se introduzcan actas \"adulteradas, que no están firmadas\". Estas declaraciones, en las que afirmó que le habían hecho trampa y que le querían \"robar\" el triunfo, y el hecho de que el candidato de la coalición fuera perdiendo fuelle según se iban contabilizando más votos, provocaron que miles de simpatizantes de su coalición comenzaran a protestar en las calles de la capital de Honduras y otros municipios del país.\nDurante varias horas, se produjeron enfrentamientos con los militares y policías entre la noche del miércoles y la madrugada del jueves, después de que los acólitos de Nasralla lanzaran piedras y palos a los soldados que resguardaban el Instituto Nacional de Formación Profesional (INFOP), que alberga las maletas electorales y uno de los centros de cómputo.",
"url": "http://www.elmundo.es/internacional/2017/12/02/5a223ef122601d0b068b460d.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20171202074226/http://www.elmundo.es/internacional/2017/12/02/5a223ef122601d0b068b460d.html"
}
] |
de | Beckenbauer und Merkel stellten Sonderbriefmarken- und Münze zur Fußball-WM vor |
Am Mittwoch, dem 08.02.2006, wurden in Berlin vier neue Sonderbriefmarken anlässlich der Fußball-WM 2006 in Deutschland vorgestellt. Des Weiteren erscheint eine „10-Euro-Fußballmünze“ aus Silber.
Präsentanten bei der Vorstellung gegenüber der Presse waren unter anderem WM-Organisationschef Franz Beckenbauer und Bundeskanzlerin Angela Merkel. Verantwortlich für die Herausgabe ist das Bundesfinanzministerium, allen voran Peer Steinbrück.
Die Sonderbriefmarken werden mit einem Zuschlag ausgegeben, der wiederum der Deutschen Sporthilfe zur Verfügung gestellt wird. Auf den Marken sind das WM-Plakat, die beiden WM-Stadien in München und Berlin sowie Fußballfans abgebildet.
Image:Bm-berlin-fahne.jpg|45 + 20 Cent, Stadionatmosphäre (Fans mit Flaggen)
Image:Bm-berlin-berlin.jpg|55 + 25 Cent, WM-Stadion Berlin
Image:Bm-berlin-muenchen.jpg|55 + 25 Cent, WM-Stadion München
Image:Bm-berlin-fussball.jpg|145 + 55 Cent, WM-Plakat
| [
"Fußball-Weltmeisterschaft 2006",
"Philatelie",
"Numismatik"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Das Sportportal für Sportvereine",
"text": "Das Freestyle24-Prinzip - Nachrichten und Vereinsinfos aus über 100 Städten Deutschlands - Präsentiert euren Verein kostenlos im Internet und veröffentlicht selbst News, Termine und Bilder - hier anmelden ! - 5491 Vereine nutzen schon unseren Service und gewinnen neue Mitglieder damit - Beispiele hier ! - 975506 Besucher informierten sich in den letzten 30 Tagen bei Freestyle24 Gewinnspiel Testen Sie Ihr Sportwissen, und gewinnen Sie einen von vielen tollen Preisen.\n[Hier gehts zum Gewinnspiel]\nDas Aktuelle Zitat Paul Breitner\nIn diesem Scheißverein kann man nicht mal richtig feiern.",
"url": "http://www.freestyle24.de/page:article:show:0000103806",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20130629101354/http://www.freestyle24.de/page:article:show:0000103806"
},
{
"language": "de",
"title": "Sicherheitsdebatte überschattet Marken-Vorstellung",
"text": "Sicherheitsdebatte überschattet Marken-Vorstellung\nVier Monate vor Beginn der Fußball-Weltmeisterschaft haben sich \"Kaiser\" und Kanzlerin gemeinsam für den deutschen Sport stark gemacht. Bundeskanzlerin Angela Merkel (CDU) hatte WM-Organisationschef Franz Beckenbauer in ihren Berliner Amtssitz eingeladen.\n◊ Angela Merkel und Franz Beckenbauer unterhalten sich in Berlin.\nDort stellte Finanzminister Peer Steinbrück (SPD) einen Satz neuer WM-Briefmarken und eine 10-Euro-Fußballmünze aus Sterlingsilber vor. Die Zuschläge auf die Sondermarken, die vom 9. Februar an verkauft werden, kommen der Deutschen Sporthilfe zugute. Die Motive zeigen die WM-Stadien in Berlin und München, Fahnen schwenkende Fans sowie das offizielle WM-Plakat. Zudem gibt es eine Marke zu den Weltreiterspielen in Deutschland.\nEr wünsche sich, dass sie \"reißenden Absatz\" finden, sagte Steinbrück, denn damit könne jeder etwas für die Förderung des deutschen Sports tun. Merkel machte schon einmal Werbung für die Postwertzeichen: \"Mir gefallen die Marken ganz außerordentlich.\"\nÜberschattet wurde das Treffen von der Sicherheitsdiskussion, die durch den Karikaturen-Streit und die Ausschreitungen in mehreren islamischen Ländern neuerlich aufgeflammt ist. Bayerns Innenminister Günther Beckstein (CSU) hatte in der \"Bild\"-Zeitung scharfe Einreise-Kontrollen für muslimische WM-Fans gefordert. \"Wenn zum Beispiel in Begleitung der iranischen Nationalmannschaft Iraner ins Land kommen, dann werden wir bei ihrer Einreise ganz genau hinschauen.\" Die Gewerkschaft der Polizei (GdP) sprach sich für eine Überarbeitung des Sicherheitskonzepts aus. Man müsse ein \"besonderes Augenmerk\" auf Spiele mit Beteiligung des Iran oder der USA legen, sagte GdP-Chef Konrad Freiberg der \"Netzeitung\".\nBundesinnenminister Wolfgang Schäuble (CDU) warnte hingegen vor \"Hysterie\". Die Bundesregierung arbeite mit den Verbänden aller teilnehmenden Mannschaften \"hervorragend\" zusammen und werde jeden Hinweis auf mögliche Gefahren ernst nehmen. Ein Ministeriumssprecher betonte, am Konzept für die WM werde sich nichts ändern.\nUnterdessen will der Bundestag über den umstrittenen Einsatz der Bundeswehr während der WM debattieren. Während FDP und Grüne derartige Pläne ablehnen, sagte Beckenbauer, er wäre \"sehr beruhigt\", wenn die Soldaten eingesetzt würden. Verständnis äußerte der \"Kaiser\" für die Proteste gegen die Mohammed-Karikaturen. \"Wer lässt sich schon seine eigene Religion beleidigen - das macht man nicht\", sagte Beckenbauer.\nNeu: Sportwetten\nHochwertige Trikots selbst gestalten\nDrucken\nWeiterempfehlen",
"url": "http://www.sportgate.de/fussball-wm-2006/81583-Sicherheitsdebatte-ueberschattet-Marken-Vorstellung.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20060327212926/http://www.sportgate.de/fussball-wm-2006/81583-Sicherheitsdebatte-ueberschattet-Marken-Vorstellung.html"
}
] |
en | First play after retirement a success for former Czech president |
The first play written by former Czech president Václav Havel after his presidential retirement saw a great success at its first showing outside of the Czech Republic. ''Leaving'' was staged by the London Orange Tree Theatre starting on September 20.
The audience in the sold-out theatre reacted spontaneously to the play’s text and to Havel’s own notes. The playwright commented his play and characters' acts through his pre-recorded words. He was not present at the premiere himself, his visit is expected on Friday, September 26.
Václav Havel
Geoffrey Bevers played the main role of chancellor who is suffering when leaving politics. The play was translated to English by Canadian writer Paul Wilson and directed by Sam Walters, the artistic leader of the Orange Tree.
Wilson knows Czech society and language because he stayed in Prague in the 1970s (he was also member of a famous underground musical group The Plastic People of the Universe). In 1977, he was forced to leave former Czechoslovakia after The Plastic People were disbanded. Wilson has rich experiences from translating Havel’s texts into English; he has translated two more Havel plays. He thinks ''Leaving'' can be the work that can be best accepted outside Czech Republic because of its dateless topic.
Director Sam Walters named the play "funny and sad, about big things, about politics, but also about personal fortunes." His company will perform ''Leaving'' till the middle of December and it will add other Havel plays ''Mountain Hotel'', ''Audience'', ''Private View'' and ''Protest''.
Havel's ''Leaving'' was first staged in Czech language in Prague May 22, 2008. Havel tried to have the play in the National Theatre, but the premiere took place in the Archa Theatre at the end. The expected participation of Havel's wife Dagmar Havlová was also cancelled.
| [
"Culture and entertainment",
"Theatre",
"Europe",
"United Kingdom",
"London",
"Czech Republic",
"Czechoslovakia"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Havel's Leaving premieres in London",
"text": "Havel's Leaving premieres in London\nLondon, Sept 20 (CTK) - Former Czech president Vaclav Havel's latest drama Leaving had its premiere abroad in London's Orange Tree theatre on Friday evening and it met with an enthusiastic reception by the audiences.\nThe drama was directed by the theatre's artistic chief Sam Walters.\nIt was translated by the traditional translator of Czech authors Paul Wilson.\nLeaving had its world premiere in Prague's Archa theatre in May.\nWalters who has directed Havel's drama since the end-1970s said Havel has been famous mainly by his off-theatre activities, mainly in politics, that can be a disadvantage for an author, but he is one of the world world playwrights, Walters told CTK.\nHe directed also some of Havel's older dramas in Orange Tree, such as Audience, Unveiling and Protest, and he has markedly promoted his popularity in Britain.\nHavel will arrive in London to see his drama staged by Orange Tree next Friday only.\nThe theatre will play Havel throughout the autumn. Until mid-December it will offer besides Leaving also Mountain Hotel, Audience, Unveiling and Protest.\nHavel, a dissident turned president, 71, signatory of the Charter 77 human rights platform, was Czechoslovak president from the fall of the previous regime in late 1989 until mid-1992 and Czech president from 1993 until 2003.",
"url": "http://www.praguemonitor.com/en/427/arts_in_prague/28285/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20081005023639/http://www.praguemonitor.com/en/427/arts_in_prague/28285/"
},
{
"language": "cs",
"title": "Londýn přijal Havlovo Odcházení nadšeným potleskem",
"text": "Publikum vděčně reagovalo nejen na vývoj na jevišti, ale i na autorovy komentáře k ději, čtené anglicky ze záznamu. Užíval jsem si to, řekl britský dramatik Tom Stoppard, který patří k Havlovým přátelům.\nHru přeložil tradiční překladatel mnoha českých autorů do angličtiny Paul Wilson a hlavní roli kancléře Riegera hrál Geoffrey Bevers.\nPodle Wilsona je Odcházení (v angličtině Leaving) na rozdíl třeba od hry Vyrozumění méně vázáno na dobu vzniku. Hra má absolutně univerzální téma.\n\"Je to téma člověka, který odchází z politické funkce a má v tom obrovské potíže. Tady ta hra, postkomunistická hra, má myslím daleko větší šance vyznít ve světě,\" řekl Wilson po premiéře.\nSvětovou premiéru mělo Odcházení v květnu v pražském Divadle Archa v režii Davida Radoka a v českém tisku se setkalo s vesměs pochvalnými recenzemi.\n\"Havel byl známý hlavně svou činností mimo divadlo - životem a politikou - což může být pro autora nevýhoda. Ale je jedním z nejlepších světových dramatiků,\" prohlásil režisér Walters, který režíruje Havlovy hry už od konce 70. let.\nWalters režíroval v Orange Tree i britské premiéry starších Havlových her Audience, Vernisáž a Protest a výrazně přispěl k jejich popularitě v Británii. Audienci začalo divadlo zkoušet těsně před zveřejněním prohlášení Charty 77 v lednu 1977.\n\"Odcházení je humorná i smutná hra, je o velkých věcech, o politice, ale i o osobních osudech,\" řekl Walters. \"Ale je to obtížná hra a doufám, že ji nezkazíme. Havel přijede naštěstí až za týden a budeme moci Odcházení několikrát zahrát,\" dodal s úsměvem.\nHavel totiž přijede na představení své hry do Londýna až v pátek 26. září. Dodal však své scénické poznámky, jimiž - se svým nezaměnitelným akcentem, jak podotkl Walters - komentuje výkony herců, motivaci postav i vlastní autorské přemítání. Londýnští diváci na ně reagovali přinejmenším stejně spontánně jako na vlastní děj.\nWilson pracoval na překladu hry od loňska. \"Hrubý překlad jsem měl hotový asi za 14 dní a pak jsem mluvil s lidmi, kteří mi pomáhali, a s Havlem - neznal jsem totiž některé slangové výrazy. To mě dost překvapilo,\" prohlásil Wilson.\nV tehdejším Československu žil deset let do svého vyhoštění v roce 1977 a hrál i s rockovou kapelou The Plastic People of the Universe. Překládal do angličtiny knihy Josefa Škvoreckého a Bohumila Hrabala a z Havlových her Žebráckou operu a Vyrozumění, stejně jako řadu jeho knížek, naposledy Stručně, prosím.\n\"Pak Odcházení přečetl Stoppard a měl asi třicet návrhů, aby to bylo jasnější a víc ´anglický´,\" řekl Kanaďan Wilson. \"Byl to proces, který ještě není hotový. Poslouchal jsem místa, která bych ještě zlepšil,\" dodal po premiéře.\nWilsona potěšilo, že jako scénická hudba zazněl i úryvek z \"Plastiků\". \"Bylo to krásný překvapení. Myslím, že i Havel bude mít z toho radost, protože vždy se chtěl, aby se tyhle dva proudy spojily - spojily se v jeho životě a teď i umělecky,\" řekl Wilson v narážce na to, že Havel se v 70. letech za komunismu angažoval na ochranu pronásledovaných členů The Plastic People.\nDivadlo Orange Tree věnovalo Havlovi celý podzimní repertoár. Až do poloviny prosince bude uvádět Odcházení a kromě toho se budou hrát i další Havlovy hry Horský hotel, Audience, Vernisáž a Protest.",
"url": "http://kultura.idnes.cz/londyn-prijal-havlovo-odchazeni-nadsenym-potleskem-fyq-/divadlo.asp?c=A080920_093413_divadlo_kot",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080922115646/http://kultura.idnes.cz/londyn-prijal-havlovo-odchazeni-nadsenym-potleskem-fyq-/divadlo.asp?c=A080920_093413_divadlo_kot"
}
] |
de | Formel-1-Teams präsentierten ihre Autos für die Saison 2007 |
In den vergangenen beiden Wochen präsentierten vier Formel-1-Teams ihre neuen Autos für die Saison 2007.
Toyotas Fahrer Ralf Schumacher war guter Dinge, als er das neue Modell „TF107“ sah. Nach eigenen Angaben sei es erst das dritte Auto, „das (…) sich von Anfang an sehr gut anfühlt“, wie er bei der Vorstellung des Fahrzeugs formulierte. Am 12. Januar präsentierte das Unternehmen als erstes Formel-1-Team in Köln sein neues Auto. So wie die Piloten hofft auch Teampräsident John Howett auf einen Sieg. Wie im Vorjahr gehen Ralf Schumacher und Jarno Trulli an den Start.
Am 14. Januar präsentierte Ferrari sein neues Auto in Maranello. Das neue Modell kostete insgesamt 120 Millionen Euro. Kimi Räikkönen und Felipe Massa gehen für Ferrari in die Saison 2007.
Der neue McLaren-Mercedes wurde in Valencia am 15. Januar von Fernando Alonso und Lewis Hamilton vorgestellt.
Auch das BMW-Sauber-F1-Team hat am 16. Januar in Valencia sein neues Auto für die Saison 2007 vorgestellt.
| [
"Themenportal Sport",
"Ferrari",
"Veröffentlicht"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Schumacher und Toyota heiß auf den ersten Sieg",
"text": "Ralf Schumacher mit seinem neuen Arbeitsgerät, dem Toyota TF107 Zoom Mehr © xpb.cc\nToyota geht mit dem ersten Rennen am 18. März im australischen Melbourne in seine sechste Formel-1-Saison und feiert in diesem Jahr 50 Jahre Motorsport - höchste Zeit also für einen Sieg, nachdem Schumacher und sein italienischer Teamkollege Jarno Trulli im Vorjahr nur auf 35 Punkte kamen.\n\"Wir sind heiß auf den ersten Sieg, für den das Team in den vergangenen fünf Jahren hart gearbeitet hat\", sagte der 31 Jahre alte Schumacher und war damit ebenso optimistisch wie der ein Jahr ältere Trulli: \"Ich bin sehr zuversichtlich und erwarte bessere Ergebnisse als in der letzten Saison.\" Der Italiener will sich bei den Tests Ende Januar ein eigenes Bild vom TF107 machen.\nEbenso wie die Piloten strahlte auch Toyota-Teampräsident John Howett Optimismus aus: \"Unser wichtigstes Ziel ist der erste Sieg, um in der Zukunft um die Weltmeisterschaft mitkämpfen zu können.\" Nicht abschrecken lassen von nur einem Podiumsplatz 2006 (Schumacher in Melbourne) hat sich auch Teamchef Tsutomu Tomita: \"Ich habe ein sehr gutes Gefühl diesbezüglich und denke, wir sollten von der ersten Runde an attackieren.\"\nErst gewöhnen müssen sich alle Fahrer an die neue Reifenregel mit den Einheitsreifen von Bridgestone: \"Die neuen Reifen sind härter und langsamer\", sagte Trulli. Das sei zwar ein Rückschritt, aber man könne dadurch deutlich leichter mit ihnen arbeiten. \"Die Autos rutschen jetzt mehr um die Kurve als zuvor und verzeihen Fehler eher\", sagte Schumacher, der vermutete, dass sich große Unterschiede zwischen guten und schlechten Teams zeigen werden.\nDie beiden Piloten, die ab diesem Jahr von Testfahrer Franck Montagny aus Frankreich unterstützt werden, sind ebenfalls einig, dass sich durch das Karriereende von Ralfs Bruder Michael Schumacher einiges ändern wird: \"Für mich wird es sicher langweiliger - alleine Tennis zu spielen, ist ja ganz schön anstrengend\", meinte der jüngere Bruder des Rekordweltmeisters scherzhaft. \"Als Bruder muss ich sagen: sehr schade. Doch als Konkurrent: einer weniger, der schnell ist.\"\nFür Schumacher und sein in Köln ansässiges Team stehen in dieser Saison noch Gespräche über eine mögliche Verlängerung seines am Jahresende auslaufenden Vertrages an: \"Dazu ist es aber noch zu früh. Zunächst konzentrieren wir uns auf das Auto.\" Hinsichtlich des Karriereendes will sich der 31-Jährige an seinem Bruder orientieren: \"Fragen Sie in sechs Jahren noch einmal. Noch habe ich keine Meinung dazu und werde sehen, wie gut es in den nächsten Jahren läuft\".",
"url": "http://www.f1total.com/news/07011215.shtml",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070115064418/http://www.f1total.com/news/07011215.shtml"
},
{
"language": "de",
"title": "Erste Ferrari-Präsentation ohne Schumacher",
"text": "Ferrari möchte in der kommenden Saison den Titel wieder nach Maranello zu holen Zoom Mehr © Ferrari\n\"Es ist schon komisch, dass er nicht mehr da ist. Michael hat sämtliche Rekorde gebrochen, der Sport hat viel verloren\", meinte Ferrari-Pilot Felipe Massa. In \"Schumis\" Dienstwagen wird künftig Kimi Räikkönen sitzen, der nach seiner Leidenszeit bei McLaren-Mercedes in der Saison 2007 die Fahrerkrone wieder nach Italien holen soll. Dafür kassiert der Finne 25 Millionen Dollar, etwas weniger als Schumacher in seinem Abschiedsjahr.\nUm den Spanier Fernando Alonso, der nun Räikkönens \"Silberpfeil\" fährt, nach zwei WM-Titeln vom Thron zu stoßen, hat Ferrari offenbar keine Mühen und Kosten gescheut. Das neue Auto soll inklusive aller Entwicklungskosten geschätzte 120 Millionen Euro wert sein - also vom ersten Zeichenstrich auf dem Papier über unzählige Tests im hauseigenen Windkanal bis hin zur endgültigen Fertigstellung.\nDas Budget der Scuderia wurde unterdessen auf Anweisung von Fiat-Boss Luca di Montezemolo reduziert: \"Wir können nicht mehr so weitermachen wie bisher\", sagte der Italiener. In diesem Jahr stehen den Roten angeblich etwa 250 Millionen Euro zur Verfügung - Branchenkrösus ist weiterhin Toyota mit fast 400 Millionen Euro. Ralf Schumachers Arbeitgeber hatte am Freitag als erstes Team seinen Boliden für die neue Saison präsentiert.\nDie neue Zauberformel für die \"Rote Göttin\" im Jahr eins nach Schumacher heißt F2007 und ist eine komplette Neuentwicklung im Vergleich zum Vorgänger 248 F1. Der F2007 ist der insgesamt 53. Ferrari der Formel-1-Geschichte. Intern hatte das Projekt bis zur offiziellen Namensgebung den Arbeitstitel \"658\". Die gravierendste Änderung betrifft das Gewicht: Aufgrund der neuerlich verschärften Sicherheitsauflagen der FIA ist der F2007 um fast zehn Kilogramm schwerer als das letztjährige Modell.\nStark überarbeitet wurde das Chassis, die Radaufhängung ist aufgrund der Einheitsreifen von Bridgestone eine echte Innovation - auch aus aerodynamischer Sicht. Wegen der Änderung des Kühlsystems sind die Seitenkästen anders geformt, der Radstand wurde verlängert. Außerdem sticht wie bei den neuen Renault- und Toyota-Boliden das schmaler gewordene Heck sofort ins Auge. Das Getriebe, das längs eingebaut ist, wurde aus Kohlefaser gefertigt und verfügt laut Teamangaben über ein Schnellschaltsystem für sieben Gänge plus einen Rückwärtsgang ohne Zugkraftunterbrechung.\nDer so genannte Shakedown des neuen Ferrari soll erst am Montag unter Ausschluss der Öffentlichkeit auf der Hausstrecke in Fiorano stattfinden. Dann werden Räikkönen und Teamkollege Massa das Auto intensiv testen. Die Feuertaufe steht allerdings erst beim WM-Start am 18. März in Melbourne an.\nRäikkönen hin, neues Auto her - Phantom Schumacher war auch bei der Präsentation allgegenwärtig: \"Michael ist ja immer noch Teil von Ferrari\", sagte der neue Sportdirektor Stefano Domenicali. \"Er weiß so viel, er kennt die Schlüsselmomente eines Rennens, weiß, was es bedeutet, ein Rennfahrer zu sein und kann als Berater machen, was er möchte.\"\nDie Entscheidungen würden jedoch von den Verantwortlichen der jeweiligen Bereiche getroffen. Für das gesamte Jahr wurden bereits technische Meetings angesetzt, an denen Schumacher teilnehmen soll. Dabei soll er laut Technikchef Mario Almondo die Sichtweise eines Fahrers wiedergeben: \"Wir entwickeln technische Möglichkeiten, so dass er bei Tests helfen kann, selbst wenn er nicht vor Ort ist.\"\nMassa ist Schumacher in jedem Fall sehr dankbar, er habe in seinem Lehrjahr 2006 viel vom erfolgreichsten Rennfahrer der Formel-1-Geschichte gelernt. Die Königsklasse werde allerdings den Abschied Schumachers verkraften, meinte der Brasilianer: \"Es gibt neue Fahrer. Alonso ist jetzt der Mann, auf den wir achten müssen, und ich hoffe, dass auch andere Fahrer das schaffen werden, was Michael geschafft hat.\"",
"url": "http://www.f1total.com/news/07011404.shtml",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070207062749/http://www.f1total.com/news/07011404.shtml"
},
{
"language": "en",
"title": "McLaren-Mercedes mit der Startnummer eins",
"text": "15. Januar 2007 - 18:44 Uhr\nSo sieht der neue \"Silberpfeil\", der heute in Valencia präsentiert wurde, aus © xpb.cc\n(Motorsport-Total.com) - Er ist da: In Valencia wurde heute der neue McLaren-Mercedes MP4-22 offiziell präsentiert - und trotz des neuen Hauptsponsors 'Vodafone' bleibt das Auto ein \"Silberpfeil\". Die zumindest symbolisch wichtigste Änderung steht aber auf der Nase: Erstmals seit 2000 ist die Startnummer eins des amtierenden Weltmeisters dank Fernando Alonso wieder beim britisch-deutschen Team.\nDer MP4-22 für Alonso und Grand-Prix-Neuling Lewis Hamilton erinnert in seiner Form zum Teil durchaus an den MP4-21, mit dem McLaren-Mercedes in der vergangenen Saison erstmals seit 1996 kein einziger Sieg gelungen war. Dennoch handelt es sich dabei laut Teamangaben um eine völlige Neuentwicklung, an der bereits seit Dezember 2005 gearbeitet wurde. Im März ging die Entwicklung dann in die entscheidende Phase, seit Mai wurde im Windkanal getestet.\nANZEIGE\nWährend die Frontpartie zumindest optisch kaum vom Vorjahreswagen abweicht, gibt es ab der Fahrzeugmitte auch mit dem Auge zu erkennende Neuerungen: Der Bereich um die wiederum stark taillierten Seitenkästen wirkt aerodynamisch sehr aggressiv und spitzig, die Heckpartie macht einen kompakteren Eindruck als bisher und die Flügelgewüchse vor den Reifen sind sehr komplex. Ebenfalls wieder mit dabei: die bekannten \"Wikingerflügel\" hinter dem Cockpit.\nErklärtes Ziel der \"Silberpfeile\" ist der Gewinn der Weltmeisterschaft, auf den Ron Dennis, Norbert Haug und Co. schon seit Mika Häkkinen 1999 warten. Mit Alonso hat man eine zweifellos talentierte Nummer eins im Cockpit, die sich auch selbst nicht mit weniger als der WM-Krone zufrieden geben würde, während Youngster Lewis Hamilton als eine der heißesten Zukunftsaktien auf dem Fahrermarkt gilt, der viele schon im ersten Jahr den einen oder anderen Sieg zutrauen.",
"url": "http://www.f1total.com/news/07011518.shtml",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20160305223857/http://www.motorsport-total.com/f1/news/2007/01/McLaren-Mercedes_mit_der_Startnummer_eins_07011518.html"
},
{
"language": "de",
"title": "BMW Sauber F1 Team enthüllt F1.07",
"text": "(Motorsport-Total.com) - Nach Toyota, Ferrari und gestern McLaren-Mercedes hat nun auch das BMW Sauber F1 Team das neue Auto für die Formel-1-Saison 2007 vorgestellt. Der F1.07 wurde heute Morgen in Valencia enthüllt und soll gleich im Anschluss die ersten Testfahrten auf dem nahe gelegenen 'Circuit Ricardo Tormo' aufnehmen.\n© xpb.cc So sieht der heute vorgestellte F1.07 des BMW Sauber F1 Teams aus Zoom\n\"Das ist der erste echte BMW Sauber, daher ist es ein spezieller Tag für uns\", erklärte BMW Motorsport Direktor Mario Theissen, nachdem das Tuch vom mit Spannung erwarteten neuen Boliden gezogen war. Der F1.06, der im Vorjahr so gut abschnitt, war ja bekanntlich noch großteils unter Sauber-Regie entstanden, nachdem sich BMW im Jahr 2005 beim Rennstall aus Hinwil in der Schweiz eingekauft hatte.\nF1.07 erinnert stark an den F1.06\nOptisch stellt der F1.07 gegenüber seinem Vorgängermodell keine so drastische Veränderung dar wie die Neuwägen der bisher präsentierten Teams, dennoch wartet er natürlich mit zahlreichen Verbesserungen auf. Speziell der Aerodynamik wurde mehr Aufmerksamkeit gewidmet, aber auch der Zwangsumstellung von den Michelin- auf die neuerdings vorgeschriebenen Einheitsreifen von Monopolist Bridgestone.\nANZEIGE\nUnabhängig von den technischen Features des F1.07 hat sich das Team vorgenommen, 2007 die zweite Etappe des festgelegten Dreijahresplans ins Visier zu nehmen: \"Als wir vor mehr als einem Jahr begonnen haben, legten wir einen klaren Plan fest\", so Theissen. \"2006 Punkte gewinnen, 2007 aus eigener Kraft auf das Podium fahren und danach Rennen gewinnen. An diesem Plan halten wir fest. Ich hoffe, dass wir die Erwartungen erfüllen können, und ich bin zuversichtlich.\"\n2006 habe man mit dem Sprung vom achten auf den fünften Platz bei den Konstrukteuren \"eine sehr gute Saison\" gehabt und damit eine exzellente Basis geschaffen, allerdings sei dies auch gefährlich, weil nun die Erwartungen gestiegen sind. Daher ist klar: \"Wir waren auch schon auf dem Podium, aber jetzt muss der nächste Schritt folgen. Wir wollen den Abstand zu den Topteams verringern\", kündigte der BMW Motorsport Direktor an.\nAbstand zur Spitze soll verkürzt werden\n© xpb.cc Diese vier Herren vertreten das BMW Sauber F1 Team in der neuen Saison Zoom\nDass es schwierig wird, schon in der bevorstehenden Saison an Renault, Ferrari, McLaren-Mercedes und Honda zu sägen, ist Theissen bewusst: \"Das stimmt. Wir haben 2006 36 Punkte geholt, aber der Abstand zum vierten Platz war sehr groß. Das Gute daran ist, dass jeder Punkt, den wir mehr holen, den Topteams verloren geht, daher schließt sich der Abstand von zwei Seiten gleichzeitig\", gab er schmunzelnd zu Protokoll.\nUnd weiter: \"Wir waren in den vergangenen zwölf bis 18 Monaten sehr beschäftigt damit, das Team aufzubauen. Wir befinden uns gerade in der Mitte einer zweijährigen Aufbauphase\", gab der 54-Jährige zu Protokoll. \"Diese Aufbauphase beinhaltet zum Beispiel die sukzessive Aufstockung der Belegschaft - da haben wir inzwischen schon von 275 auf 400 Mann vergrößert. Insgesamt werden es 430 werden.\"\nAuch sonst habe das BMW Sauber F1 Team im ersten Jahr des Erneuerungsprozesses viel erreicht: \"Die neue Fabrik befindet sich im Bau, der Windkanal läuft nun statt im Ein- im Dreischichtbetrieb und gerade erst kürzlich haben wir einen neuen Supercomputer für aerodynamische Simulationen angeschafft. Nicht zu vergessen das neue Testteam. Das sind signifikante Maßnahmen\", fügte Theissen abschließend an.",
"url": "http://www.f1total.com/news/07011601.shtml",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20180216051650/http://www.motorsport-total.com/formel-1/news/bmw-sauber-f1-team-enthuellt-f107-07011601"
}
] |
de | Brandanschlag auf französische Satirezeitung |
Am Mittwoch, den 2. November 2011 ist gegen zwei Uhr früh auf die Redaktionsräume der französischen Satirezeitung Charlie Hebdo in Paris ein Brandanschlag verübt worden. Es wurde niemand verletzt oder getötet, allerdings gab es erheblichen Sachschaden, der die weitere Arbeit der Redaktion nach eigenen Angaben stark behindert.
Wer für die Brandstiftung verantwortlich ist, ist noch nicht bekannt. Der Chefredakteur will nicht ausschließen, dass es einen Zusammenhang mit einer am selben Tag erscheinenden Sonderausgabe zu den Parlamentswahlen in Tunesien gibt. Bei dieser hatte eine islamistische Partei gewonnen. Für die islamkritische Sonderausgabe benannte sich die Zeitung um in „Charia Hebdo“ und gab einen „Mohammed“ als Chefredakteur an.
File:20111102 Incendie Charlie Hebdo Paris XXe 13.jpg
File:2011-11-02_Incendie_%C3%A0_Charlie_Hebdo_-_Charb_-_01.jpg
File:2011-11-02 Incendie à Charlie Hebdo - Claude Guéant - 02.jpg
File:2011-11-02_Incendie_%C3%A0_Charlie_Hebdo_-_Patrick_Pelloux_-_01.jpg
File:2011-11-02_Incendie_%C3%A0_Charlie_Hebdo_01.jpg
File:2011-11-02_Incendie_%C3%A0_Charlie_Hebdo_05.jpg
File:2011-11-02_Incendie_%C3%A0_Charlie_Hebdo_06.jpg
File:20111102_Incendie_Charlie_Hebdo_Paris_XXe_01.jpg
File:20111102_Incendie_Charlie_Hebdo_Paris_XXe_15.jpg
| [
"Themenportal Politik",
"Themenportal Frankreich",
"Themenportal Islam",
"Themenportal Medien",
"Charlie Hebdo",
"Brandstiftung"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Satire-Magazin „Charlie Hebdo\"",
"text": "Kultur & Live\nSatire-Magazin „Charlie Hebdo\"\nNach islamkritischem Scharia-Sonderheft: Anschlag auf Satireblatt\n02.11.2011, 15:07 Uhr 02.11.2011, 15:07 Uhr\nAuf die Redaktion des französischen Satire-Magazins „Charlie Hebdo\" ist kurz nach einem islamkritischen Sonderheft ein Brandanschlag verübt worden.\nParis. Unbekannte haben am Mittwoch einen Brandanschlag auf die Redaktion des französischen Satire-Wochenblattes „Charlie Hebdo“ verübt. Es brachte am gleichen Tag ein Sonderheft zum Wahlerfolg der Islamisten in Tunesien heraus und hatte sich dazu in „Scharia Hebdo“ („Charia Hebdo“) umbenannt. Als Chefredakteur war „Mohammed“ benannt worden. Ein Mitglied der Verlagsleitung schloss einen Zusammenhang nicht aus.\nDer unter seinem Künstlernamen Charb auftretende Chefredakteur des Wochenblattes sprach im TV-Sender BFM-TV auch von Droh-Mails, die die Redaktion erhalten habe. Zugleich betonte er aber, dass niemand das Scharia-Sonderheft vor dem Brandanschlag gelesen haben konnte, da es erst Stunden später an die Kioske kam. Lediglich die Titelseite war online zuvor im Internet sichtbar.\nNach seinen Angaben wurde angesichts der frühen Stunde des Attentats gegen 02.00 Uhr morgens niemand verletzt. Doch sei durch Hitze und Löschwasser ein beträchtlicher Schaden am Computer-System entstanden. Auch auf die Website gebe es zur Zeit keinen Zugriff mehr.\nEr werde sich daher für die nächste Ausgabe nach Ersatzräumen umschauen müssen. „Unter diesen Umständen lässt sich keine Zeitung mehr produzieren“, erklärte er. Nach ersten Erkenntnissen hatten die Unbekannten ein Fenster zertrümmert und einen Brandsatz in die im Parterre gelegenen Redaktionsräume geworfen. Die Polizei hat Ermittlungen aufgenommen. (dpa/abendblatt.de)",
"url": "http://www.abendblatt.de/kultur-live/article2080009/Nach-islamkritischem-Scharia-Sonderheft-Anschlag-auf-Satireblatt.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20111104230145/http://www.abendblatt.de/kultur-live/article2080009/Nach-islamkritischem-Scharia-Sonderheft-Anschlag-auf-Satireblatt.html"
},
{
"language": "de",
"title": "Mohammed-Witze erzürnen Radikale",
"text": "Anschlag auf Satireheft\nMohammed-Witze erzürnen Radikale\nVon Yassin Musharbash\nAFP Vor der \"Charlie Hebdo\"-Redaktion in Paris: \"Wir haben keine Zeitung mehr\"\n\"100 Peitschenhiebe, wenn ihr euch nicht totlacht\", ließ das Pariser Satireheft \"Charlie Hebdo\" den Propheten Mohammed sagen. Kurz darauf flogen Brandsätze ins Büro, der Hintergrund ist noch unklar. Radikale Islamisten hetzen nun - aber andere rufen zur Ruhe.\nBerlin/Paris - Ein Feuer in der Redaktion, durch Hitze und Löschwasser zerstörte Computer, unbrauchbar gewordene Unterlagen: Das ist die vorläufige Bilanz des Brandanschlags, den Unbekannte in der Nacht zum Mittwoch mit Hilfe von Molotow-Cocktails auf das Pariser Satiremagazin \"Charlie Hebdo\" verübten. \"Wir haben keine Zeitung mehr\", fasste der Herausgeber mit dem Künstlernamen \"Charb\" das Geschehen zusammen - versprach aber zugleich, dass \"Charlie Hebdo\" weiter publizieren werde.\nDer Hintergrund des Brandanschlags ist noch nicht geklärt, aber es wird vermutet, dass es einen Zusammenhang zur gerade erschienenen Ausgabe des Magazins gibt - in der befassten sich die Satiriker mit dem Wahlsieg der islamistischen Nahda-Partei im postrevolutionären Tunesien. Aus diesem Anlass ließ man den Propheten Mohammed als Gast-Herausgeber agieren.\nDer Schabernack, den Charb und Co. mit dem Gottesgesandten trieben, umfasste beispielsweise eine Titelseite, in der eine Karikatur des Propheten sagt: \"100 Peitschenhiebe, wenn ihr euch nicht totlacht.\" Im Heftinneren werden unter anderem Burka-Späße getrieben. Dem Propheten wird überdies ein Editorial zugeschrieben; ein Bild zeigt ihn außerdem mit Clownsnase.\nBeschimpfungen per Twitter und Facebook\nDas Cover war bereits vor Veröffentlichung des Hefts online gestellt worden. Beim Magazin gingen daraufhin Beschimpfungen und Drohungen via Facebook und Twitter ein, wurde berichtet.\nBei dem Anschlag gab es keine Verletzten, und noch ist nicht gewiss, was die Motive der Angreifer waren. Doch die Tatsache, dass eine Redaktion mit Gewalt attackiert wird, weckt Erinnerungen an die Anschlagsversuche auf jene Karikaturisten, die 2005 für die dänische \"Jyllands-Posten\" aktiv geworden waren; einige leben seitdem unter permanentem Polizeischutz.\nDie Nachricht von dem Brandanschlag in Paris wurde in extremistischen arabischsprachigen Internetforen, in denen sich Anhänger von al-Qaida und Co. austauschen, naturgemäß begrüßt. Am Mittwochmittag wurden aber andere Themen wesentlich stärker diskutiert: der Aufstand in Syrien oder die Lage in Libyen.\n\"Dafür gibt es Gerichte\"\nIn Foren, in denen radikale Islamisten auf moderate Islamisten treffen, war das Bild differenzierter. Ein Hetzer rief dort zwar dazu auf, sofort \"die Jungs in den Vororten zu mobilisieren\" um Ausschreitungen \"wie vor kurzem in London\" herbeizuführen, andere User mahnten jedoch zur Besonnenheit: Das Magazin sei zu verurteilen, \"aber dafür gibt es Gerichte\". Es helfe niemandem, wenn mit Gewalt reagiert werde - im Gegenteil: Unkontrollierte Reaktionen der Radikalen würden dann wie immer den Muslimen insgesamt angerechnet werden.\nÄhnlich gemischt waren die ersten Reaktionen auf Facebook-Seiten. Viele User versuchten, die Gemüter zu beruhigen. Doch einer schrieb: \"Wir werden Frankreich in Brand setzen\".\nBekannte dschihadistische Organisationen haben sich bisher nicht zu Wort gemeldet. Die dänischen Karikaturen sind für al-Qaida ein Dauerthema, das noch immer regelmäßig aufgegriffen wird. Den Terrororganisationen sind Provokationen dieser Art willkommen, denn sie lösen Empörung auch außerhalb des Lagers ihrer eingefleischten Anhänger aus. So war es auch im Fall der dänischen Karikaturen, eine zeigte damals, wie aus einem Turban eine Bombe wächst.\n140.000 Hefte jede Woche\nDieses subtile In-Beziehung-Setzen von islamischem Glauben und terroristischer Tat hatte damals viele fromme Muslime empört. Den Radikalen reichte es schon, dass der Prophet überhaupt bildlich dargestellt wurde - was Muslimen verboten ist und radikale Islamisten als generelles Tabu durchsetzen wollen.\nIm Fall der dänischen Karikaturen-Krise konnten damals viele Empörte nicht verstehen, wieso der Staat die Publikation nicht unterband und sich nicht für die Bilder entschuldigte. Anklänge an die Vorstellung, dass auch im Westen der Staat die Presse kontrolliere, fanden sich am Mittwoch in einem Posting auf einer islamischen Website, in dem die Nachricht unter der Überschrift \"Frankreich veröffentlicht Mohammed-Zeichnungen - eilig und gefährlich!\" verbreitet wurde.\n\"Charlie Hebdo\" ist einer der wichtigsten Satiremagazine Frankreichs, laut Wikipedia beträgt die Auflage 140.000 Hefte wöchentlich. Das Magazin hatte vor Jahren die dänischen Karikaturen nachgedruckt; außerdem wurde in dem Blatt, ebenfalls laut Wikipedia, 2006 ein Aufruf gegen den Islamismus veröffentlicht, den unter anderem der Schriftsteller Salman Rushdie unterzeichnet hatte.\nDiesen Artikel... Drucken\nSenden\nFeedback\nMerken\nAuf anderen Social Networks posten:\nNews verfolgen HilfeLassen Sie sich mit kostenlosen Diensten auf dem Laufenden halten: alles aus der Rubrik Politik | RSS alles aus der Rubrik Ausland RSS alles zum Thema Frankreich RSS",
"url": "http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,795421,00.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20111103213836/http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,795421,00.html"
},
{
"language": "fr",
"title": "Un incendie d'origine criminelle ravage les locaux de \"Charlie Hebdo\"",
"text": "A la Une > Médias\n| 02.11.11 | 07h07 Mis à jour le 02.11.11 | 11h44\nLa couverture du numéro de \"Charlie Hebdo\" rebaptisé \"Charia Hebdo\" après la victoire du parti islamiste Ennahda en Tunisie, et la mise en place de la charia en Libye. AFP/MARTIN BUREAU\nLes locaux de la rédaction de l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo ont été en partie détruits dans la nuit du mardi1er au mercredi 2 novembre par un incendie volontaire. Il était entre 1 h 10 et 1 h 20, lorsque, alerté par un bruit de vitre brisée, un témoin aurait aperçu deux personnes en train de prendre la fuite, alors qu'elles venaient de jeter \"un ou deux engins incendiaires\" au 62 boulevard Davout, à Paris (20e arrondissement), siège du journal. L'hebdomadaire publie, ce mercredi, un numéro surtitré \"Charia hebdo\" avec une caricature de \"Mahomet, rédacteur en chef\".\nLe sinistre n'a pas fait de victime mais engendré d'importants dégâts: plus de 150m2 ont été carbonisés ; la moquette, le système électrique et des postes de travail, donc celui de la maquette, dévastés. Les cocktails molotov auraient été lancés contre la façade de l'immeuble, les flammes ravageant le rez-de-chaussée et une partie du premier étage. \"Tout a été détruit\", a déclaré le dessinateur, rédacteur en chef et directeur de la publication, Charb.\nUne enquête de flagrance confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire de la préfecture de police (PJPP) a été ouverte au parquet de Paris. Geste d'individus isolés animés d'intentions crapuleuses ou opération montée par des groupes extrémistes religieux ou politiques ? Mercredi matin, les policiers restaient dans l'expectative, même si la seconde hypothèse semble la plus crédible. \"Pour l'heure, on ne sait rien et aucune piste ne peut être négligée\", assurait la préfecture de police.\nLe siège parisien de Charlie Hebdo après l'incendie des locaux, le 2 novembre 2011.AFP/ALEXANDER KLEIN\nPour le responsable de l'hebdomadaire, en revanche, l'origine de cet incendie ne fait guère de doute. Charb établit un lien avec la sortie du numéro en vente ce mercredi 2 novembre, tout en affirmant qu'il ne s'attendait pas à de telles réactions. \"Ce n'est pas la première fois que nous dessinons Mahomet, nous le faisons presque toutes les semaines, souligne Charb. Nous voulions réagir à l'annonce de l'instauration de la charia en Libye et à la victoire du parti islamiste Ennahda en Tunisie.\"\nLes protestations ont commencé à circuler sur Twitter dans la soirée du dimanche 30octobre, sur le thème \"cette couverture est une insulte\". Certains suggéraient même d'acheter le journal pour le brûler. A cette date, seule la \"une\" et quelques dessins avaient circulé sous la forme d'un communiqué de presse adressé aux journalistes et diffusé par certains d'entre eux sur les réseaux sociaux. \"Les gens se sont enflammés pour un journal dont ils ne connaissaient pas le contenu\", s'étonne Charb.\nLa polémique s'est intensifiée dans la nuit de mardi à mercredi, avec la publication de menaces sur la page Facebook de l'hebdomadaire, invitant notamment à fermer cette page. La rédaction a également reçu des menaces de mort par courriels : \"on va tous vous tuer\" ou encore \"l'islam vaincra\".\nLe site de l'hebdomadaire a été piraté et renvoyait, mercredi matin vers 7 heures 30, à une page montrant LaMecque avec ce slogan: \"Not god but Allah\" (pas d'autre Dieu qu'Allah).\nSur la couverture du numéro de Charlie Hebdo en vente cette semaine, un Mahomet hilare s'exclame: \"100 coups de fouet si vous n'êtes pas morts de rire!\" Le personnage de Mahomet, \"rédacteur en chef spécial\", signe l'éditorial et commente l'actualité sur un mode humoristique à toutes les pages. Une double page de caricatures est consacrée à \"la charia molle\" et une autre intitulée \"Charia Madame\", au sort des femmes.\nLa couverture du numéro de Charlie Hebdo, baptisé \"Charia hebdo\", qui sort le 2 novembre.AFP/MARTIN BUREAU\nCharb se défend de cibler systématiquement les musulmans : \"Nous avons critiqué beaucoup plus les intégristes catholiques. En 19 ans, nous avons eu 13 procès avec certains d'entre eux et un seul avec des musulmans. On ne se lève pas chaque matin en se disant: \"qu'est-ce qu'on va pouvoir raconter sur l'islam aujourd'hui?\".\" En 2008, la cour d'appel de Paris avait relaxé l'hebdomadaire, poursuivi par la Grande mosquée de Paris et l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) pour avoir publié, deux ans avant, des caricatures de Mahomet, publiées dans un journal danois.\nDès 10 heures mercredi, la rédaction de Charlie Hebdo s'est réunie, sur le trottoir devant l'immeuble, pour préparer le prochain numéro. L'hebdomadaire cherche maintenant des locaux et des ordinateurs pour reparaître.\nYves Bordenave et Xavier Ternisien\nArticle paru dans l'édition du 03.11.11",
"url": "http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2011/11/02/le-siege-parisien-de-charlie-hebdo-a-ete-incendie_1597146_3236.html#ens_id=1597236",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20111102151515/http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2011/11/02/le-siege-parisien-de-charlie-hebdo-a-ete-incendie_1597146_3236.html#ens_id=1597236"
}
] |
en | Manmohan Singh becomes the third longest serving Prime Minister of India |
Manmohan Singh, the current Prime Minister of India.
Manmohan Singh, the 14th and current Prime Minister of India, reached 2,273 days in office on Wednesday. He has emerged to become the third longest serving Prime Minister of India, replacing his predecessor .
"There are no special celebrations for the day. The prime minister is following his routine schedule," said an official in the Prime Minister's office (PMO). "The main functions he celebrates related to his office are the anniversaries of the (UPA) government. They are all well publicised functions attended by UPA chairperson and other leaders," the official added.
Singh's predecessor, Vajpayee, served as the Prime Minister for 13 days in 1996 and 2,256 days between the years 1998 and 2004. , the first Prime Minister of independent India, leads the list with 6,130 days in the office, and his daughter, , stands second with 5,829 days.
| [
"Politics and conflicts",
"Asia",
"World records",
"Srinivas (Wikinewsie)",
"India",
"Manmohan Singh"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Manmohan Singh becomes third longest serving PM",
"text": "NEW DELHI: Manmohan Singh overtook Atal Behari Vajpayee to become the third longest serving Prime Minister of India, clocking 2,273 days in office on Wednesday. For a man who took over the country's top job under extraordinary circumstances, it's been nothing short of a heady ride.Manmohan Singh was probably most surprised when Sonia Gandhi chose him to lead the government, as she stepped down to take care of the party and politics. It started the rein of a strange twosome at the top, where the non-elected Manmohan Singh handled the government, while Gandhi took care of the politics and party. With a fractious coalition including the Left parties who wanted to run the government by remote control, nobody expected much out of him or the UPA. But Singh turned out to be a man of strong ideas, and more important, determination. His attitude of detached interest, being soft-spoken and talking in economists' jargon, a marked inability to do the kind of flesh-pressing politics that is the hallmark of Indian politicians set him apart. You could find any number of political analysts in those days who wrote him off as an intelligent man and a man of integrity, but \"you know, he's not a politician,\" they said pityingly.Singh did not contest it. In fact, he was fond of saying how he was an \"accidental\" Prime Minister. For the most part, he treated his job as if life had given him an unexpected opportunity to steer the fortunes of this nation - for the second time.In fact, returning from Washington in July 2005, after signing the nuclear deal with George Bush, Singh observed to some travelling journalists, \"What the economic reforms did for the Indian economy, I think the nuclear deal will do for India's energy and strategic future.\" It was this belief that made him the bulldozer that pushed the extraordinarily difficult deal through, manouvering through political minefields everyday.By May 2009, the world was in its worst ever economic crisis. Manmohan Singh seemed to be the only person who knew what was going on in the hoary world of economics. The Indian economy was doing fine, had actually weathered the crisis with some deft handling by Singh. He was a safe pair of hands.By 2009 too, the UPA government was going in for elections. This time, Manmohan Singh was not an \"accidental\" leader, but one with a strong sense that he deserved his post. This sense of entitlement has very clearly marked his second term.He cleverly steered the election debate into a presidential contest -- between the quietly efficient Singh and an \"intemperate\" L K Advani. He won.But he remained the `unelected' Rajya Sabha PM. Did he want to contest elections? Who knows? He had just emerged from a difficult bypass surgery, so it was probably a difficult call. But Singh campaigned, particularly in places where his presence and comments acted like a force multiplier.You would have thought that in his second term, with key achievements to his credit and almost unbeatable national and international standing, Singh would race forward, knowing that he had little to lose. Yet the verdict so far has been so far short of promise it's actually surprising.This time around, the achievements are yet to happen, blunders are piling on top of each other and his government seems to be in a dangerous state of drift. His government seems inchoate, and some say, directionless. His coalition and his colleagues function like \"independent mobile republics\". There is a growing sense that India works inspite not because of his leadership.Is there a fundamental disconnect that Singh cannot overcome? Is he tired? Is the party constraining his actions?As he clocks up his days in office the bubbly is in danger of losing its fizz.",
"url": "http://timesofindia.indiatimes.com/india/Manmohan-Singh-becomes-third-longest-serving-PM/articleshow/6294800.cms",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20100815223701/http://timesofindia.indiatimes.com/india/Manmohan-Singh-becomes-third-longest-serving-PM/articleshow/6294800.cms"
}
] |
en | Water level rising in Chinese rivers, further flooding expected |
Shenzhen
Further rain has continued to fall across southern China after the country was devastated by floods earlier this week.
The Chinese provinces hit by the flooding are highlighted in red on the above map176 people have been confirmed to have died as a result of the flooding, and around 50 more are officially missing. Xinhua, the state news agency in China, has reported that the flooding in the Pearl River Delta was the worst in the area for over fifty years.
The Chinese government says it evacuated 111,476 in the Sichuan Province. In Wenchuan County, 72,000 were relocated. Over the past week some 1.3 million people have reportedly fled their homes.
The China Meteorological Administration (CMA) issued a warning on the situation before the first wave of flooding. "Faced with the increasingly severe rain and flood situation, at 16 o’clock of June 12, Flood Control and Drought Relief Headquarters of Guangxi urgently started level 2 flood control emergency response and required the relevant departments and places to prepare immediately so as to ensure the work of flood control and drought relief," the CMA said in a statement released late last week.
| [
"Asia",
"China",
"Disasters and accidents",
"Floods",
"Missing persons",
"Shenzhen"
] | [
{
"language": "en",
"title": "China completes massive evacuation from quake center",
"text": "Special report: Reconstruction After Earthquake\nWENCHUAN, Sichuan, June 19 (Xinhua) -- China has finished evacuating 111,476 people from an area near the epicenter of last month's earthquake in Sichuan Province to avoid secondary disasters triggered by heavy rains.\nIn Wenchuan County, 72,000 people were relocated hours before the rain started on Wednesday night.\nThe three-day mass relocation ended at 8 p.m., just two hours before heavy rain began to fall, said the Aba prefectural work team for disaster prevention.\n\"Many old people were crying as they trekked out of our home village,\" said 51-year-old Chen Mingfeng, a resident of Longxi Village, Wenchuan.\nChen and the elderly from her village, numbering about 400, moved out of their homes above a mountain to another village on Monday morning.\n\"We were ready to move at any time. You see, there are rifts on the mountain everywhere,\" she said.\nNow Chen and her family live in a tent and get daily rice rations from the local government. Although the public kitchen is still being built, she said she was grateful for all the government had done.\nXie Xiaoquan, head of the health bureau of Aba, had to disinfect toilets in the makeshift relocation center every morning and afternoon.\n\"This is an important task,\" he said. \"We won the race with disasters, and we also have to ensure the residents' health.\"\nWu Zegang, deputy Communist Party secretary of Aba, said the risks of floods and geological disasters such as landslides will rise in the approaching main flood season.\n\"The top priority of our relief work is to transfer residents whose lives are endangered by secondary disasters to safer areas,\" Wu said.\nEmergency workers have built 2,458 temporary houses and put up 34,000 tents for displaced people.\nThe rest of the relocated residents are from nine counties of Aba prefecture, which governs 13 counties including Wenchuan, the epicenter of the May 12 quake.\nAba is inhabited mainly by Tibetans and people of the Qiang ethnic group.\nIn Wenchuan alone, 15,941 people were killed by the quake, which left 7,662 missing and 34,583 injured.",
"url": "http://news.xinhuanet.com/english/2008-06/19/content_8402001.htm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080622190654/http://news.xinhuanet.com/english/2008-06/19/content_8402001.htm"
},
{
"language": "en",
"title": "China Floods Kill 171, More Rain Expected",
"text": "China Floods Kill 171, More Rain Expected\nChinese residents make their along flooded street in Sansui, southern Guangdong province, 16 Jun 2008 China has ordered workers and soldiers to strengthen levies in southern China, as forecasters warn that more than 40 rivers are exceeding their warning levels.\nState meteorologists say more rain is expected in the coming days, where floods have already killed at least 171 people this year.\nTorrential rains have battered eastern and southern China during the past week, and forced about 1.3 million others to flee their homes. Chinese officials say that while summer flooding has become a regular event, some areas have received record amounts of rainfall.\nOfficials say there is also a forecast of flooding along the Yellow River, which runs through northern China.\nThe prosperous southern province of Guangdong has been the hardest hit in recent days. China's official Xinhua news agency says rains have killed at least 20 people there. Xinhua says the flooding in the Pearl River Delta is the worst in 50 years.\nRains in the delta have washed away some roads and submerged farmland across nine provinces. Many areas have been hit by landslides.\nTelevision footage shows people rowing boats in towns along the Xijiang River in southern China. Sichuan province, which is still reeling from a May 12 earthquake, also has been affected by the heavy rains. China has ordered workers and soldiers to strengthen levies in southern China, as forecasters warn that more than 40 rivers are exceeding their warning levels.State meteorologists say more rain is expected in the coming days, where floods have already killed at least 171 people this year.Torrential rains have battered eastern and southern China during the past week, and forced about 1.3 million others to flee their homes. Chinese officials say that while summer flooding has become a regular event, some areas have received record amounts of rainfall.Officials say there is also a forecast of flooding along the Yellow River, which runs through northern China.The prosperous southern province of Guangdong has been the hardest hit in recent days. China's official Xinhua news agency says rains have killed at least 20 people there. Xinhua says the flooding in the Pearl River Delta is the worst in 50 years.Rains in the delta have washed away some roads and submerged farmland across nine provinces. Many areas have been hit by landslides.Television footage shows people rowing boats in towns along the Xijiang River in southern China. Sichuan province, which is still reeling from a May 12 earthquake, also has been affected by the heavy rains.\nSome information for this report provided by AP, AFP and Reuters.",
"url": "http://www.voanews.com/english/2008-06-17-voa17.cfm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080624054948/http://www.voanews.com/english/2008-06-17-voa17.cfm"
}
] |
de | Russland greift ISIS-Stellungen an |
Syrien mit seinen Provinzen
Russische Kriegsschiffe haben am 20. November Cruise Missiles auf Ziele in Syrien abgefeuert und dabei sieben islamistische Stellungen in den nördlich Provincen Raqqa, Idlib and Aleppo getroffen. Col Patrick Ryder kritisierte, bei den russischen Angriffen würden auch gemäßigte syrische Oppositionsgruppe in Mitleidenschaft gezogen. Die Nachrichtensender BBC und Channel 4 veröffentlichten Videos von den Angriffen. Angeblich sollen 600 islamistische Terroristen getötet worden sein.
Bisher richteten sich die meisten Angriffe gegen die Islamisten nicht darauf, diese gezielt zu schlagen. Vielmehr ging es darum, ihr Vordringen zu stoppen. Diese Strategie hat sich seit der Anschläge in Paris am 13. November geändert.
| [
"Themenportal Politik",
"Themenportal Syrien",
"Themenportal Russland",
"Militäreinsatz",
"Krieg"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Strategien im Kampf gegen den IS: Wie schlägt die Welt zurück?",
"text": "Politik\nStrategien im Kampf gegen den IS: Wie schlägt die Welt zurück?\nVon Issio Ehrich\nRegierungen auf der ganzen Welt ringen um eine angemessene Antwort auf den Anschlag von Paris. In Frankreich, Russland, den USA und Deutschland gibt es viele ähnliche Ansätze, doch auch gravierende Unterschiede, die eine gemeinsame Strategie erschweren. Ein Überblick.\nFrankreich\n129 Tote - so viele Menschen kostete das Attentat des Islamischen Staates (IS) in der französischen Hauptstadt das Leben. Präsident François Hollande ließ der Schreckensnacht des 13. November denn auch harsche Worte folgen. \"Frankreich ist im Krieg\", wütete er und kündigte eine \"erbarmungslose\" Schlacht an. In den Tagen nach dem Attentat deutete sich immer deutlicher an, wie er diese Schlacht führen will.\nDie Luftwaffe der \"Grande Nation\" flog mehrere Angriffe auf Rakka, die Hochburg des IS in Syrien. Das Verteidigungsministerium verkündete, dass es diese Angriffe ausweiten würde. Damit gibt sich Hollande allerdings nicht zufrieden. Denn Luftangriffe haben Frankreich und die Allianz gegen den IS unter Führung der USA bereits etliche geflogen. Sie nutzten aber nur dazu, den IS in seiner Peripherie zu schwächen und dessen Öleinnahmen einbrechen zu lassen, nicht ihn vernichtend zu schlagen.\nHollande griff auf Artikel 42 der EU-Verfassung zurück, um sich den Beistand der Mitgliedsstaaten zu sichern. Er fordert sie nicht explizit auf, verstärkt in Syrien zu intervenieren, erwartet aber mindestens, dass sie Frankreich bei anderen Einsätzen, wie dem in Mali, entlasten.\nAuf die Beistandsklausel der Nato, Artikel 5, setzte er nicht. Wohl vor allem, weil er Russland, einen der stärksten Spieler im Konflikt, nicht verprellen will. \"Wir brauchen eine große, eine breit aufgestellte Koalition\", sagte Hollande. Deswegen reist er am kommenden Dienstag erst nach Washington und am Donnerstag nach Moskau, um über die künftige Strategie gegen den IS zu beraten. Ziel ist dabei, die Grundlage für ein Mandat des UN-Sicherheitsrats zu schaffen. Unklar ist, wie weit Hollande dann am Ende bereit ist zu gehen. Er will den IS \"zerschlagen\", ob er dafür Bodentruppen einsetzen will, sagte er noch nicht. Auch ob er sich nun mit dem möglichen Machterhalt des syrischen Machthabers Baschar al-Assad abfindet, den er bisher strikt ablehnte, ist ungewiss.\nRussland\nWladimir Putin übte nach dem Anschlag von Paris den demonstrativen Schulterschluss mit Frankreich. Den Absturz einer russischen Passagiermaschine Ende Oktober etwa, die auf dem Weg vom ägyptischen Badeort Scharm el-Scheich nach St. Peterburg war, bewertete er wenige Tage nach dem Attentat plötzlich neu. Anfangs weigerte sich der russische Präsident diesen als Terroranschlag zu deklarieren, obwohl britische und amerikanische Geheimdienste das längst taten. Zudem bekannte sich ein IS-Ableger zu der Tat. Putin ließ trotzdem von voreiligen Schlüssen sprechen. Am Dienstag sprach dann der russische Geheimdienst FSB von einem Anschlag. Von Putin hieß es anschließend: \"Wir werden die Verbrecher überall suchen, wo auch immer sie sich verstecken. Wir werden sie an jedem Ort des Planeten finden und sie bestrafen.\"\nRusslands Luftwaffe flog, wie die Frankreichs, Luftangriffe auf die IS-Hochburg Rakka. Auch das war neu. Bisher griffen russischen Jets zwar unzählige Ziele in Syrien an, sie zielten aber vor allem auf Rebellengruppen, die nichts mit dem IS zu tun haben.\nPutin setzt nun verstärkt auf einen gemeinsamen Anti-Terror-Kampf und näherte sich auch beim Streit über den syrischen Bürgerkrieg insgesamt mit dem alten Rivalen USA an. Bei der Syrien-Konferenz in Wien am Wochenende einigten Moskau und Washington sich auf eine Lösung des Konflikts im Rahmen der Vereinten Nationen. Sie setzen auf einen Waffenstillstand zwischen Rebellen und Regime, eine Übergangsregierung, dann Neuwahlen. Und das alles innerhalb von zwei Jahren.\nEine deutliche Ansage, ob er in dem Konflikt bereit ist, Bodentruppen einzusetzen, machte Putin bisher nicht. Er wählte seine Formulierungen aber stets so bedacht, dass er diese Möglichkeit damit nicht ausschloss.\nVereinigte Staaten\nUS-Präsident Barack Obama steht ohnehin unter enormem Druck. Der Anschlag von Paris erhöht ihn weiter. Falken unter den Republikanern aber auch in der eigenen Partei der Demokraten halten seine Strategie im Kampf gegen den IS für zu zaghaft. Die USA beschränken sich bisher auf Luftangriffe in Syrien und dem Irak und unterstützen regionale Kräfte mit Waffen.\nObama will auf keinen Fall eine Invasion mit amerikanischen Bodentruppen. Höchstens eine geringe Zahl an Spezialkräften dürfte zum Einsatz kommen. Der US-Präsident ging schließlich mit dem Verständnis ins Amt, alles anders zu machen als sein Vorgänger George W. Bush im Irak und in Afghanistan. Obama setzt auf die Stärke der Nachbarstaaten Syriens und der Opposition im Land. Auch zu noch massiveren Luftangriffen ist er nicht bereit. Denn die würden unweigerlich mehr zivile Opfer fordern.\nIn ländlichen Regionen lassen sich Posten des IS noch gezielt ausschalten. In Städten geschweige den in Großstädten ist all das aber undenkbar. Der Versuch, den IS im irakischen Mossul mit Bomben auszumerzen, würde einem Flächenbombardement gleichkommen.\nObama zieht sich darauf zurück, dass seine Strategie - Luftschläge der internationalen Allianz und erstarkende regionale Kräfte am Boden - wirken würden. Es bräuchte nur mehr Geduld. Angesichts des steigenden Drucks näherte er sich bisher nur bei der Frage der Lösung des syrischen Bürgerkriegs mit Russland an - ganz vorsichtig. Obamas Bereitschaft, dass Despot Assad Teil einer Übergangslösung in Syrien sein könnte, könnte größer werden. Er war sich auf jeden Fall mit Putin einig, dass die Syrer selbst über einen politischen Übergang entscheiden sollten.\nDeutschland\nKanzlerin Angela Merkel versprach Frankreichs Präsident am Tag nach dem Attentat \"jedwede Unterstützung\". Durch die Hilfsanfrage über Artikel 42 der EU-Verfassung könnte die Bundesrepublik sie mittlerweile auch nicht mehr verweigern, ohne diesen Teil des Gemeinschaftsvertrags nachhaltig auszuhöhlen. Es ist allerdings unübersehbar, dass Deutschland nicht deutlich weiter gehen möchte als bisher. Die Bundesregierung versicherte, dass sie die Unterstützung der kurdischen Peschmerga, einer der stärksten Gegner des IS auf dem Boden, weiterhin unterstützen werde. Außenminister Frank-Walter Steinmeier ließ allerdings keinen Zweifel daran, dass es dabei bleiben sollte. \"Es macht keinen Sinn, dass jetzt zu den 16 Nationen, die Bereitschaft gezeigt haben, Luftangriffe in Syrien zu fliegen, eine 17., 18. oder 19. hinzukommt\", sagte er. Auf das EU-Hilfsgesuch von Frankreich antwortete Verteidigungsministerin Ursula von der Leyen damit, dass sie eine Ausweitung des Bundeswehreinsatzes in Mali versprach. Dieser Schritt war allerdings schon vor dem Anschlag geplant.\nEin Einsatz von Bodentruppen hat in Berlin keinen Rückhalt. Die Bundesregierung setzt vor allem auf Diplomatie, um eine Lösung des syrischen Bürgerkriegs zu erreichen. Wenn nötig, müsse dafür auch mit Machthaber Assad gesprochen werden. Sie setzt zudem auf Mandate des UN-Sicherheitsrates und wie die USA auf die Bedeutung regionaler Kräfte statt vermeintlich schneller militärischer Lösungen mit Brachialmethoden, wenn es um den Kampf gegen den IS geht. Ob das Frankreichs Präsident Hollande reicht, ist ungewiss.\nQuelle: n-tv.de",
"url": "http://www.n-tv.de/politik/Wie-schlaegt-die-Welt-zurueck-article16383766.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20151119142114/http://www.n-tv.de/politik/Wie-schlaegt-die-Welt-zurueck-article16383766.html"
},
{
"language": "en",
"title": "Syria crisis: Massive Russian air strikes on 'IS targets'",
"text": "Media caption Footage shows Russian missiles being launched in Syria\nRussia says it has intensified its air raids on what it calls \"terrorist\" targets in Syria and raised to 69 the number of its aircraft there.\nBut President Vladimir Putin said the current level of attacks was not enough to defeat so-called Islamic State (IS).\nRussia said it fired cruise missiles for a fourth day against IS targets. The long-range missiles were launched from Caspian Sea warships.\nSome missiles hit IS in strategically important Deir al-Zour, reports say.\nThe IS-held town in eastern Syria lies between the IS self-proclaimed capital of Raqqa and territory that the jihadists also control in neighbouring Iraq.\nDeir al-Zour province is also rich in oil.\nThe Russian military says it fired 18 cruise missiles on Friday, destroying seven \"Islamist\" targets in Raqqa, Idlib and Aleppo provinces.\nCol Patrick Ryder, a spokesman for US Central Command, said the Russian air strikes in recent days targeted more IS areas, including the group's oil infrastructure.\nBut he added that \"the majority of Russian air strikes are still against moderate Syrian opposition forces, which is clearly concerning, and those strikes are in support of the Syrian regime\" of President Bashar al-Assad.\nImage copyright AP Image caption A Russian Sukhoi Su-34 bomber at Hmeimim airbase in Syria\nImage copyright AP Image caption Russia says it fired 18 cruise missiles on Friday, destroying seven IS targets\n'Revenge for our dead'\nA monitoring group, the Syrian Observatory for Human Rights, said Syrian and Russian warplanes conducted 50 bombing raids in Deir al-Zour province - Russia's most intense assault there to date.\nThe BBC's Steve Rosenberg in Moscow says that in the Russian defence ministry video soldiers can be seen writing messages on the bombs before loading them onto the aircraft - phrases like: \"This is revenge for our dead\" and \"This is for Paris\".\nIn four days of heavy bombing against IS, the ministry said, more than 100 cruise missiles were launched and more than 800 \"terrorist\" targets destroyed in Syria.\nMr Putin said Russia still faced a lot of work. He expressed hope that the next phases would \"produce the expected result\", but did not clarify what those phases would be.\nLater the president's spokesman told the BBC there was no talk of putting troops on the ground in Syria.\nIS said its jihadists based in Sinai brought down a Russian Metrojet airliner in Egypt last month. Russia concluded that it was a bomb that blew up the plane, killing 224 people, nearly all of them Russians.\nRussia's air campaign in Syria began on 30 September. It fired its first cruise missiles in the conflict on 17 November.\nTurkey warns Russia\nMeanwhile, Turkey has warned Russia that it must immediately stop bombing \"civilian Turkmen villages\" in Syria, close to the Turkish border.\nThe Russian ambassador to Ankara was summoned to the Turkish foreign ministry to hear the protest.\nTurkey warned that bombing villages populated by the Turkmen minority could lead to \"serious consequences\".\nSyrian government forces backed by Russian aircraft launched a ground offensive on the mainly Turkmen villages in Bayir Bucak, north-west Latakia province, on Thursday, Turkey's Anadolu news agency reported.\nThe Turkish government is vehemently opposed to President Assad, while Russia says its air campaign is justified because Mr Assad has requested it.",
"url": "http://www.bbc.com/news/world-europe-34882503",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20151121024845/http://www.bbc.com/news/world-europe-34882503"
}
] |
de | Syrien: Sicherheitskräfte schießen auf Demonstranten |
In Syrien gerät das Regime des autokratischen Staatspräsidenten Baschar al-Assad, der seit 2000 an der Macht ist, offenbar immer stärker unter Druck durch Regimegegner. Das Regime reagierte mit Waffengewalt.
In Damaskus demonstrierten einige hundert Menschen friedlich, um ihre Solidarität mit den Menschen zu bekunden, die bei Demonstrationen in Dar'a in den letzten Tagen getötet worden waren. Anhänger des Präsidenten fuhren hupend mit Autos durch die Hauptstadt. Unter Berufung auf Augenzeugen berichtet die Nachrichtenagentur Reuters, in Damaskus seien drei Menschen getötet worden. In der Stadt Douma in der Nähe der Hauptstadt gingen heute nach Medienberichten tausende Demonstranten gegen die Regierung auf die Straße. In der südsyrischen Stadt Dar'a eskalierte die Situation, als Demonstranten eine Bronzestatue von Hafis al-Assad, dem Vater des Präsidenten, in Brand setzten. Soldaten eröffneten das Feuer auf die Demonstranten. Nach unbestätigten Angaben starben hier 20 Menschen durch den Einsatz des Militärs. In den letzten Wochen sollen in Dar'a mindestens 44 Menschen getötet worden sein, die für Freiheit und demokratischen Wandel demonstriert hatten. Menschenrechtler gehen davon aus, dass die Regierung Leichen getöteter Demonstranten verschwinden ließ. Sie schätzen die Zahl der Toten durch Militäreinsatze gegen Demonstranten auf über 100. Unabhängige Bestätigungen für diese Zahlenangaben gibt es nicht. Journalisten werden daran gehindert, die Stadt zu betreten.
Das Regime reagierte auf die anhaltenden Proteste mit der vorsichtigen Ankündigung von Reformen. Ein Regierungssprecher erklärte, man prüfe „die Möglichkeit …, den Ausnahmezustand aufzuheben und politische Parteien zuzulassen“. In dem Land gilt seit 1963 der Ausnahmezustand. Kundgebungen und Demonstrationen sind verboten. Der Ausnahmezustand erlaubt es der Regierung, Bürger ohne Haftbefehl festzunehmen.
| [
"Themenportal Politik",
"Themenportal Syrien",
"Themenportal Arabische Welt",
"Themenportal Recht",
"Demonstrationsrecht",
"Militäreinsatz",
"Militär allg.",
"Demonstration",
"Bürgerrecht",
"Baschar al-Assad"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Immer mehr Proteste gegen syrische Führung",
"text": "Damaskus (Reuters) - Nach den Zusammenstößen in Syrien mit vielen Toten gibt es immer mehr Proteste gegen Staatschef Baschar al-Assad.\nAuch am Freitag trugen viele Menschen ihren Zorn auf die Straße. In der Hauptstadt Damaskus wurden Augenzeugen zufolge drei Menschen von Sicherheitskräften getötet, als Gegner und Anhänger des Präsidenten aufeinandertrafen. Die US-Regierung forderte die syrische Regierung auf, umgehend die Gewalt gegen Demonstranten einzustellen. Auch die willkürliche Festnahme von Menschenrechtsaktivisten müsse aufhören, erklärte das Präsidialamt.\nIn der Stadt Hama skandierten einige Demonstranten nach dem Freitagsgebet: \"Die Freiheit ruft.\" Dieselben Rufe erklangen auch in Deera bei Trauerfeiern für einige der mindestens 40 am Mittwoch getöteten Regierungsgegner. Dort gingen Tausende Teilnehmer einer Protestkundgebung fluchtartig in Deckung, nachdem plötzlich Schüsse zu hören waren. Einige Demonstranten hatten zuvor unter einer Statue des früheren Präsidenten Hafes al-Assad ein Feuer entzündet. Der derzeitige Präsident Baschir al-Assad hatte im Jahr 2000 die Macht von seinem verstorbenen Vater übernommen. Deera ist eine Hochburg der sunnitischen Mehrheit in Syrien, die gegen die Herrschaftselite rund um Assad aufbegehrt. Assad gehört der Minderheit der Alawiten an.\nDer Fernsehsender Al-Dschasira berichtete unter Berufung auf einen Augenzeugen, mindestens 20 Menschen seien am Freitag in der Ortschaft Sanamein im Süden des Landes erschossen worden. Der syrische Informationsminister Muhsin Bilal sagte dem Fernsehsender Al-Arabija zufolge, die Lage in ganz Syrien sei ruhig. Es blieb zunächst unklar, wann sich der Minister äußerte.\nAngesichts der zunehmenden Proteste forderte die Türkei Syrien auf, die Versprechen für Wirtschafts- und Sozialreformen schnellstmöglich umzusetzen. Das Außenministerium in Ankara erklärte, die Forderungen und Erwartungen der syrischen Bevölkerung seien legitim. Die Todesfälle bei den Protesten seien bedauerlich. Die Türkei grenzt im Südosten an Syrien.\nJEMENS PRÄSIDENT WILL KRITIKER BESÄNFTIGEN\nIm Jemen signalisierte unterdessen Präsident Ali Abdullah Saleh Bereitschaft zu Zugeständnissen. Auch Saleh steht seit Wochen unter dem Druck von Massenprotesten. Am Freitag erklärte er in einer Fernsehansprache, um weiteres Blutvergießen zu verhindern, sei er unter gewissen Bedingungen zu einem Rücktritt bereit. \"Wir wollen keine Macht\", sagte der autokratisch regierende Staatschef. \"Aber wir müssen die Macht in sichere Hände übergeben, nicht in kranke, aufgebrachte oder korrupte Hände.\" In der Hauptstadt Sanaa versammelten sich Zehntausende Regierungsgegner. Sie hatten zu einem \"Tag des Abgangs\" nach den Freitagsgebeten aufgerufen, um Saleh zu einem sofortigen Rücktritt zu bewegen.\nBei einer ähnlichen Kundgebung vor einer Woche waren 52 Menschen getötet worden. Vermutlich wurden sie von Scharfschützen in Zivilkleidung erschossen. Danach sagten sich Generäle, Diplomaten und Stammesanführer von der Regierung los. Die USA und das benachbarte Saudi-Arabien hatten sich besorgt gezeigt, dass bei einem Rückzug Salehs ein Machtvakuum entstehen könnte, das die im Land aktive Extremistengruppe Al-Kaida weiter stärken könnte.\nPROTESTE AUCH IN JORDANIEN UND BAHRAIN\nIn Jordanien starb am Freitag ein Mann, als Sicherheitskräfte bei Auseinandersetzungen zwischen Anhängern und Gegnern der Monarchie einschritten. Der 57-Jährige hatte sich Augenzeugen zufolge nicht an den Protesten in Amman beteiligt, sondern wollte nach seinem Sohn Ausschau halten. Er sei von Polizisten mit Schlagstöcken verprügelt worden und später im Krankenhaus gestorben, sagte der Sohn des Toten.\nAuch im Golfstaat Bahrain hatten Regierungsgegner am Freitag zu einem \"Tag des Zorns\" aufgerufen. Tausende nahmen an einem Gebet des einflussreichen schiitischen Geistlichen Issa Kassim teil. Doch nach den Freitagsgebeten gab es zunächst nur kleinere Proteste gegen die sunnitische Staatsführung. In Bahrain, wo 60 Prozent der Bevölkerung Schiiten sind, herrscht Ausnahmezustand. Alle Protestaktionen sind verboten. Auch die Demonstrationen am Freitag wurden im Keim erstickt. Viele Oppositionelle verlangen von der Herrscherfamilie die Umwandlung des Staates in eine konstitutionelle Monarchie. Die Regierung beschuldigte unterdessen die vom Iran gestützte Organisation Hisbollah, hinter den Unruhen in dem Inselstaat zu stecken.",
"url": "http://de.reuters.com/article/topNews/idDEBEE72O0JS20110325",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20110326205638/http://de.reuters.com/article/topNews/idDEBEE72O0JS20110325"
},
{
"language": "de",
"title": "Syrische Einsatzkräfte schießen erneut auf Demonstranten",
"text": "Proteste in Syrien Syrische Einsatzkräfte schießen erneut auf Demonstranten\nIn mehreren syrischen Städten haben Tausende gegen die Staatsgewalt protestiert. In Daraa im Süden des Landes erschossen Sicherheitskräfte erneut Demonstranten.\n© AFP/Getty Images\nIn der Nähe der südsyrischen Stadt Daraa haben Regierungskräfte erneut auf Demonstranten geschossen. Ein Aktivist berichtete der Nachrichtenagentur AFP, es habe sich um Teilnehmer eines Demonstrationszuges gehandelt, der in Richtung Daraa marschiert sei.\nAnzeige\nZur Zahl der Opfer liegen noch keine gesicherten Angaben vor. Mindestens 20 Menschen seien getötet worden, berichtete ein Augenzeuge dem Sender Al Jazeera. Die Opposition sprach auf ihren Websites von 23 Toten und 140 Verletzten. Sie warnte Aktivisten in der Provinz Daraa davor, die Verletzten ins örtliche Krankenhaus zu bringen. Dieses werde von den Sicherheitskräften kontrolliert.\nAus den umliegenden Dörfern hatten sich Tausende Menschen in einem Protestmarsch auf den Weg nach Deraa gemacht, berichteten Augenzeugen. Sie wollten der mehr als hundert Menschen gedenken, die zwei Tage zuvor bei einem Einsatz der Sicherheitskräfte gegen Demonstranten in der Stadt getötet worden waren.\nDie Demonstranten fordern überdies einen demokratischen Wandel im Land, das seit mehr als 40 Jahren von der Familie Assad autoritär regiert wird. Sie skandierten auch Parolen gegen den Bruder al-Assads, den Oberkommandierenden der Republikanischen Garde. \"Maher, Du bist ein Feigling\", riefen Tausende in Daraa.\nAuch in Damaskus waren Hunderte Menschen auf die Straße gegangen, um ihre Solidarität mit den in Daraa getöteten Menschen zum Ausdruck zu bringen. \"Wir opfern unser Blut, unsere Seele für Euch in Daraa\", riefen sie in Sprechchören. Drei Demonstrationen wurden aufgelöst, Dutzende Regierungsgegner festgenommen. Gleichzeitig fuhren rund 1000 Anhänger des syrischen Präsidenten mit ihren Autos durch Damaskus, um Stimmung für den Staatschef zu machen.\nDie Präsidentenberaterin Buthaina Schaaban hatte am Donnerstag ein Reformpaket versprochen. Man wolle die Verabschiedung eines neuen Parteiengesetzes vorantrieben und die Beendigung des seit 1963 geltenden Ausnahmezustandes prüfen, sagte Schaaban. Außerdem solle es künftig keine willkürlichen Verhaftungen mehr geben.\nDie Opposition reagierte skeptisch auf die Reformankündigung des Präsidenten. Echte Reformen seien nicht zu erwarten, hieß es in den Internet-Foren der Regimegegner. \"Das ist nicht genug, wir wollen Würde und Freiheit\", sagte ein Aktivist am Freitag am Rande einer Beerdigung in Daraa.\nFrankreichs Präsident Nicolas Sarkozy rief Syrien auf, den Einsatz von Gewalt gegen Demonstranten zu beenden. \"Jeder Staatsführer, insbesondere jeder arabische Staatsführer, muss wissen, dass die Reaktion der internationalen Gemeinschaft und Europas fortan dieselbe sein wird\", sagte Sarkozy am Rande des EU-Gipfels in Brüssel. \"In jeder Demokratie gibt es Demonstrationen, und dabei kann es zu Gewalt kommen. Aber in keiner Demokratie kann es hingenommen werden, dass die Armee mit scharfer Munition auf Demonstranten schießt.\"\nSeite 1 / 2 Vorwärts",
"url": "http://www.zeit.de/politik/ausland/2011-03/syrien-proteste",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20110527164514/http://www.zeit.de/politik/ausland/2011-03/syrien-proteste"
}
] |
de | Synthetische Drogen befinden sich weiter auf dem Vormarsch |
In einem am vergangenen Dienstag veröffentlichten Bericht warnt die UN-Behörde für Drogen- und Verbrechensbekämpfung (UNODC) vor dem wachsenden Missbrauch synthetischer Drogen vor allem in den Entwicklungsländern.
Demnach meldete 2006 fast jedes zweite asiatische Land einen Anstieg. In Saudi-Arabien wurden 12 Tonnen sogenannter amphetamin-typische Stimulatoren (ATS) beschlagnahmt, was ein Viertel aller derartigen sichergestellten Drogen weltweit darstellt. Ein Jahr später erhöhte sich die Menge auf 14 Tonnen. Die Zahl der in Südafrika entdeckten Labore, die zur Herstellung solcher Drogen genutzt wurden, sei seit den vergangenen fünf Jahren kontinuierlich gestiegen, ebenso der Konsum der dortigen Bevölkerung.
Der Markt solcher Drogen wird auf inzwischen 65 Milliarden US-Dollar jährlich geschätzt und habe die Ausmaße von Kokain und Heroin längst überschritten. Die Weltproduktion habe sich auf etwa 500 Tonnen pro Jahr eingependelt. Jedoch sei auch eine Verlagerung der Herstellung in die Nachbarländer von USA und Westeuropa zu verzeichnen gewesen.
Antonio Maria Costa, Direktor von UNODC, warnte vor den gesundheitlichen Folgen und davor, dass „synthetische Drogen fälschlicherweise als harmlose Pillen wahrgenommen werden, die weder Töten, noch HIV/AIDS verursachen.“
Im australischen Melbourne wurde Ende Juni des vergangenen Jahres mit 4,4 Tonnen Ecstasy sichergestellt, was die bisher größte gefundene Menge synthetischer Drogen auf einen Schlag war. Die 15 Millionen Pillen seien von Italien aus in mehr als 3000 Dosen verpackt als Tomaten deklariert worden.
| [
"Vermischtes",
"Themenportal Global",
"UNODC",
"Droge",
"Drogenmissbrauch",
"Drogenhandel",
"Amphetamin",
"Ecstasy"
] | [
{
"language": "en",
"title": "UNODC Warns of Growing Abuse of Synthetic Drugs in the Developing World",
"text": "UNODC Warns of Growing Abuse of Synthetic Drugs in the Developing World\nVIENNA, 9 September 2008 (UNODC) - A report released today by the United Nations Office on Drugs and Crime (UNODC) shows that the use of synthetic drugs, while stabilizing in most developed countries, is worsening in developing countries, for example in East and South-East Asia and the Middle East (especially in the Gulf countries).\nUNODC's 2008 Global Assessment of amphetamine, methamphetamine (meth) and ecstasy reveals that the use of these drugs, on an annual basis, exceeds that of cocaine and heroin combined. The global market for amphetamine-type stimulants (ATS) is estimated at US$65 billion, wholesale and retail combined.\nAfter substantial increases in the late 1990s - when some drugs like meth were considered public enemy number one - the use of synthetic drugs in North America, Europe and Oceania has stabilized and even declined. But the problem has shifted to new markets over the past few years.\nAsia, with its huge population and increasing affluence, is driving demand. In 2006, almost half of Asian countries reported an increase in methamphetamine use. In the same year, Saudi Arabia seized more than 12 tonnes of amphetamine (mostly in the form known as Captagon) accounting for a staggering one quarter of all ATS seized in the world (sky-rocketing from 1 per cent in 2000/1). In 2007 the amount increased again to almost 14 tonnes. In South Africa, the number of seized methamphetamine laboratories has consistently gone up for the past five years while domestic consumption has increased.\nThe wrong tonic for fast times\nLaunching the report in Bangkok, the Executive Director of UNODC, Antonio Maria Costa, warned that ATS is being used as \"a cheap and available tonic for our fast and competitive times - for entertainment in discos (mostly in the West), and for greater stamina in assembly lines and behind a steering wheel (in the East)\".\nMr. Costa warned that \"synthetic drugs are falsely perceived as being harmless: 'pills do not kill or spread HIV/AIDS', it is said. This leads to benign neglect in attitudes, policy and enforcement that only slows down remedial action\".\n\"This is dangerous\", said the head of UNODC, \"because while users experience increased confidence, sociability and energy, they can quickly become dependent and suffer serious mental health problems or even brain damage. Paranoia, kidney failure, violence, internal bleeding are among the side effects of the drug\".\nAdaptive and elusive suppliers\nATS production appears to have stabilized worldwide at about 500 metric tons per year, but with significant geographical differences: decreasing lab seizures in, for example, the United States and the European Union, have been offset by a rise in ATS production in neighbouring countries, like Canada and Mexico in North America, and Turkey in South-East Europe. Recently, the single largest seizure of ecstasy ever recorded, 4.4 tonnes, originating in Western Europe, was made in Australia (which is still struggling with a major synthetic drugs problem).\nUnlike plant-based drugs like cocaine and heroin, the production of synthetic drugs is hard to trace since the ingredients are readily available for legitimate industrial purposes. Supply chains are often short. Meth can be cooked up in the kitchen, and pills can be pressed in a garage. \"Suppliers quickly adapt to the latest trends, and cater to local markets. When one lab is shut, another opens. When one type of precursor chemical is unavailable, producers switch to an alternative\", said Mr. Costa. \"This presents a challenge to law enforcement since production is so close to retail outlets\", observed the UN drugs czar. \"Therefore, greater emphasis should be put on prevention\".\n\"A decade ago, synthetic drugs were a cottage industry. Now they are big business controlled by organized crime syndicates involved in all phases of this illicit trade - from smuggling precursor chemicals, to manufacturing the drugs and trafficking\", warned the Executive Director of UNODC. This is bringing rapid changes in ATS markets, including in the size and sophistication of clandestine laboratories.\n\"Opium and coca are mostly grown in areas outside government control, for example in unstable regions of Afghanistan and Colombia. The same pattern applies to ATS. The Report shows the displacement of industrial-scale labs, which can produce hundreds of millions of tablets, to parts of the world where law enforcement is weak or corrupt, or local officials are complicit\", said Mr. Costa.\nLack of will, information, and resources\nThe countries facing the brunt of the ATS onslaught are also the least-prepared to cope. \"Some countries are in denial about the problem, and do not even report their situation to the United Nations. Others are ill-equipped to fight the pandemic, in terms of information gathering, regulatory frameworks, law enforcement, forensics, or health care\", said Mr. Costa.\nInformation gathering presents a challenge. Supply estimates are extrapolated from seizures of precursors and ATS end-products; demand estimates from very rough-and-ready calculations of the number of people taking the drugs. Forensic research is needed to analyse and monitor evolving trends.\nA SMART answer\n\"The world needs to get smart about ATS before the problem is out of control\", said Mr. Costa. In Bangkok, he therefore launched UNODC's SMART programme (Synthetics Monitoring: Analyses, Reporting and Trends). The Programme, which is starting operations in Asia, is designed to reduce the world's information deficit about amphetamine-type stimulants. This will be done by working with governments - particularly in vulnerable regions - to improve their capacity to gather, analyse and share information on ATS products, their use, and on trafficking routes.\n\"This should give us a better sense of how big the problem of synthetic drugs really is, and what more can be done to deal with it in terms of prevention, treatment and law enforcement\", said Mr. Costa.\nThe 2008 Global ATS assessment is available at www.unodc.org.\n* *** *\nFor further information, please contact:\nWalter Kemp\nSpeechwriter and Spokesman\nUnited Nations Office on Drugs and Crime\nTelephone: (+43-1) 26060-5629\nMobile: (+43-699) 1459-5629\nEmail: walter.kemp@unodc.org",
"url": "http://www.unodc.org/unodc/en/press/releases/2008-09-09.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080915093054/http://www.unodc.org/unodc/en/press/releases/2008-09-09.html"
},
{
"language": "en",
"title": "AFP lands 'world's biggest drug haul'",
"text": "THE world's biggest ecstasy haul, 15 million pills, was imported into Australia disguised as tinned tomatoes last year but stopped by authorities , it has been revealed.\nPolice arrested 15 people during raids across the nation after the huge shipment was imported into Melbourne in June last year.\nThe 4.4-tonne shipment of ecstasy came from Italy, police said.\nThe drugs, with an alleged street value of $440 million, were shipped into Melbourne on June 28, 2007.\nThe joint investigation by Customs and Australian Federal Police began when intelligence from law enforcement agencies was passed to Customs, which found and searched a shipping container that arrived in Melbourne.\nCustoms officers unpacked the pallets that contained tomato tins which on closer inspection were found to contain ecstasy tablets.\nCustoms officers and AFP agents examined the container and found more than 3000 tins, each weighing about 1.5kg, containing MDMA tablets with an approximate street value of $440 million.\nThe contents of the container were substituted with a harmless substance then released.\nAnother shipping container, which arrived in Melbourne on July 24 this year was found to contain 150kg of cocaine.\nThis investigation also identified a money-laundering operation worth more than $9 million that the syndicate allegedly used to pay for the illegal drugs.\nThe AFP executed 45 search warrants across Victoria, South Australia, Tasmania and New South Wales.\nAccording to The Age newspaper, buildings linked to the Calabrian mafia - known in Italy as “‘Ndrangheta” and in Australia as the “honoured society” or “the family” - were raided this morning.\nNine Victorians, two South Australians, a Tasmanian and three people from New South Wales were arrested.\nThe home of Griffith man Pasquale Barbaro, 46, was also searched today.\nThe Age said he was the alleged boss of an amphetamine network.\nHis father Francesco Barbaro was named as a member of the Calabrian mafia by the Woodward Royal Commission, held following the disappearance of anti-drugs campaigner Donald Mackay in 1977.\nThe homes of the founder of the Black Uhlans Outlaw Motorcycle Gang, John William Samuel Higgs, and Rob Karam were among some of the locations reportedly raided following last year’s shipment seizure.\nCustoms chief executive Michael Carmody said the detection of the drugs on board the ship highlighted his officers' ability to stop drugs reaching the Australian market.\n“Customs and its law enforcement partners are working hard to stop shipments like these from reaching Australian streets,” Mr Carmody said.\nAFP Commissioner Mick Keelty said the investigation was a major victory against drug traffickers.\n“Investigations, like this one, that include targeting the illegal financing of organised criminal syndicates involved in the global trade in illicit drugs are proving highly successful and ensure an economic as well as social return for the community,” Mr Keelty said.\nShare this article\nNEWS.com.au is not responsible for the content of external sites.",
"url": "http://www.news.com.au/story/0,23599,24147089-2,00.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080808151217/http://www.news.com.au/story/0,23599,24147089-2,00.html"
}
] |
en | NASCAR driver Kyle Busch wins 2011 Jeff Byrd 500 |
driver (who qualified 12th) won the that was held yesterday at in , Tennessee, United States. This was his first Sprint Cup win of the . Throughout the course of the race there were 10 and 19 lead changes among eight drivers.
Race winner, Kyle Busch
Before the final s, was first, but after the stops concluded he fell to third as Kyle Busch became the leader. Kyle Busch maintained the lead to win the race ahead of , while Johnson finished in the third position. took fouth, ahead of in fifth. managed the sixth position, after starting 15th on the grid. , from the team, clinched the seventh position. followed Kurt Busch in eighth, while could only manage ninth. rounded out the top ten finishers in the race. Johnson led the most laps during the race with 164.
After doing his , Kyle Busch, who won the race on Saturday, commented, "You go down the straightaway and you slam it into the corners and you mash the gas and you kind of sling right back out of the corners. It’s a lot of fun to do that. It’s kind of an art. Some guys are really good at it, and some find a knack that makes them really good at it and make it seem easy."
Edwards described his frustration by finishing second, "I thought we'd be better matched with him, but he took off, and I just couldn't get back to him to race. My gut told me there was going to be another caution. If I had known that was the only shot I had, I might have raced a little harder."
Following the race, Kurt Busch became leader with 150 points. Next, Edwards was second with 149, 11 points ahead of and Newman. Menard and Kyle Busch was placed fifth and sixth with 136 and 133 points. Johnson, , , and rounded out the top-ten point positions.
The 2011 season will continue on March 27, 2011 at for the 2011 . The race will be televised in the U.S. on the FOX Network at 3:00 p.m. EDT.
| [
"Tennessee",
"Auto racing",
"NASCAR",
"United States",
"North America",
"Nascar1996 (Wikinewsie)",
"Matt Kenseth",
"Sports",
"Jimmie Johnson"
] | [
{
"language": "en",
"title": "CUP: Kyle Busch Sweeps At Bristol",
"text": "It might be time to rename Bristol Motor SpeedwayMotor Speedway.The 25-year-old Las Vegas native completed a sweep of the NASCAR Nationwide and Sprint Cup races at Bristol this weekend, winning Sunday’s Jeff Byrd 500 at the 0.533-mile oval in his No. 18 Joe Gibbs Racing Toyota. The last time Busch was here in August 2010, he became the only man in history to win Cup, Nationwide and Camping World Truck Series races at the same track in the same weekend.For those of you keeping score at home, that’s five consecutive Bristol victories in three series for Busch. For his still-young career, Busch now has five Bristol Cup victories and a total of 11 in NASCAR’s top three divisions.What’s Busch’s secret?“You go down the straightaway and you slam it into the corners and you mash the gas and you kind of sling right back out of the corners,” he said. “It’s a lot of fun to do that. It’s kind of an art. Some guys are really good at it, and some find a knack that makes them really good at it and make it seem easy.”Busch certainly didn’t have it easy, as he fought off furious late-race challenges from Carl Edwards’ No. 99 Roush Fenway Racing Ford and Jimmie Johnson’s No. 48 Hendrick Motorsports Chevrolet to win his first Cup race of 2011 and 20th of his career. Rounding out the top five were Matt Kenseth in a second Roush Fenway Ford, and the surprising Paul Menard, who all year has been the best of the four Richard Childress Racing Chevrolets.The second five was Kevin Harvick, Kurt Busch, Greg Biffle, Kasey Kahne and Ryan NewmanThe drama at Bristol started early, with Jeff Burton bouncing off the Turn 4 wall on Lap 28 and causing a six-car pile-up behind him that essentially took Denny Hamlin, David Reutimann and Brad Keselowski out of contention.NASCAR threw a competition caution on Lap 52 to check tire wear, with Stewart-Haas Racing’s Ryan Newman quickly jumping to the front.Martin Truex Jr. led 42 of the first 125 laps, but ran high on Lap 154, allowing Kevin Harvick to take the top spot for the first time. Harvick and the No. 29 Richard Childress Racing Chevrolet held the point until Lap 192, when defending race winner Jimmie Johnson became the eighth different leader on the day, his No. 48 Hendrick Motorsports Chevy looking very strong.Just past the midway point, Busch began pressuring Johnson for the lead, and after a furious dice, the No. 18 Joe Gibbs Racing went out front on Lap 270. About 50 laps later, Busch got hung up trying to pass backmarkers, which allowed Johnson to close back up to Busch.On Lap 341, Johnson went out front again, Busch frustrated trying to pass Marcos Ambrose and put him a lap down.Then there was a caution on Lap 345, which sent the leaders down pit road. Johnson held the lead during the yellow, but when the track went green, it was Kurt Busch who went on the offensive, taking over second place.But it was Kyle back to second on Lap 361, dropping his big brother into third place and a hornet's nest of a battle with Kevin Harvick and Carl Edwards for third place.David Gilliland brought out a yellow on Lap 428 with a tankslapper on the wall, which set up what was expected to be the final pit stop of the day. Johnson had a terrible stop, coming out fourth behind Kyle Busch, Edwards and Greg Biffle.On the restart, Kasey Kahne got loose and caused Harvick to check up, which led to Harvick getting turned by Mark Martin and a whole gaggle of cars behind them wrecking. Juan Pablo Montoya, Trevor Bayne and Clint Bowyer also received heavy damage in the incident.Then it was Travis Kvapil’s turn for calamity, spinning on the frontstretch to bring out the day’s ninth caution on Lap 450. When the track went green, Bowyer lost an engine and the yellow flew again.On the restart, the battle up front was tremendous, with Busch trying to hold of Edwards and Johnson. Edwards took the lead for a single lap on Lap 474, but Busch regained the lead the next lap and never looked back as he easily captured the victory.",
"url": "http://nascar.speedtv.com/article/cup-kyle-busch-sweeps-at-bristol-motor-speedway",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20110321215048/http://nascar.speedtv.com/article/cup-kyle-busch-sweeps-at-bristol-motor-speedway/"
}
] |
en | Sara Jane Moore, who tried to assassinate Gerald Ford, out of jail |
Sara Jane Moore, 77, who tried to assassinate Former United States President Gerald Ford in 1975 was paroled from prison in California this afternoon.
Moore tried to assassinate Ford outside of the St. Francis Hotel in downtown San Francisco on January 15, by firing one shot, which missed because a bystander grabbed Moore's arms just seconds before she fired the gun. The bullet missed hitting Ford in the head by inches.
It is not yet known why she was released or what the conditions of her release were.
In 2006, Ford died from natural causes. He was 93.
| [
"Crime and law",
"California",
"United States",
"North America"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Would-be Ford assassin freed from prison on parole",
"text": "WASHINGTON (CNN) -- One of the women who tried to assassinate President Ford 32 years ago was released on parole Monday from a federal prison in California, according to a Bureau of Prisons spokesman.\nSara Jane Moore looks out a car window as she heads to federal court in this 1975 photo.\nSara Jane Moore, 77, was released in the morning from the federal women's prison in Dublin, outside San Francisco, according to Mike Truman of the Bureau of Prisons.\nThere was no immediate comment from the prison facility, where Moore had been Inmate No. 04851180. Officials said she had a recent parole hearing, but they did not know what prompted her release.\nNor was it clear what her plans are or where she is headed.\nThe former nurse and mother of five had been trying for 20 years to gain her freedom.\nMoore was arrested in September 22, 1975, outside the St. Francis Hotel in San Francisco after firing a single shot at Ford. A bystander had grabbed Moore's arms just before she fired a .38 caliber revolver and was credited with probably saving the president's life. The bullet missed Ford's head by inches.\nSeventeen days earlier Ford survived another attempt on his life by Lynette \"Squeaky\" Fromme, a follower of Charles Manson, in Sacramento, California.\nMoore pleaded guilty to attempted assassination and was sentenced to life in prison. At the time she had been married and divorced seven times.\nIn recent interviews Moore said she regretted her actions, which she said were motivated by radical revolutionary politics.\nAs an inmate she worked as an accountant in the prison drapery factory.\nFord died December 26, 2006, from natural causes. E-mail to a friend\nAll About Gerald Ford • Parole",
"url": "http://www.cnn.com/2007/US/12/31/moore.release/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080101234953/http://www.cnn.com/2007/US/12/31/moore.release/"
},
{
"language": "en",
"title": "Sara Jane Moore Released",
"text": "DUBLIN, Calif. (KCBS/AP) -- Sara Jane Moore, who took a shot at President Ford in a 1975 assassination attempt, was released from prison Monday. Moore, 77, had served about 30 years of a life sentence when she was released from the federal prison in Dublin, east of San Francisco, said Felicia Ponce, a spokeswoman with the Federal Bureau of Prisons. Ponce did not know the details of Moore's release. Moore was 40 feet away from Ford outside a hotel in San Francisco when she fired a shot at him on Sept. 22, 1975. As she raised her .38-caliber revolver, Oliver Sipple, a disabled former Marine standing next to her, pushed up her arm as the gun went off, and the bullet flew over Ford's head by several feet. KCBS Archive Audio: KCBS reporter George McManus, Sept. 22, 1975 In recent interviews, Moore said she regretted her actions. ``I am very glad I did not succeed. I know now that I was wrong to try,'' Moore said a year ago in an interview with KGO-TV. Just 17 days before Moore's attempt, Ford had survived the first attempt on his life in Sacramento by Lynette ``Squeaky'' Fromme, a follower of Charles Manson. Moore said she was blinded by her radical political views at the time, convinced that the government had declared war on the left. ``I was functioning, I think, purely on adrenalin and not thinking clearly. I have often said that I had put blinders on and I was only listening to what I wanted to hear,'' she told KGO. Chronicle photographer Gary Fong captured Ford reaction Moore's confusing background - which included five failed marriages, name changes and involvement with political groups like the Symbionese Liberation Army - baffled the public and even her own defense attorney during her trial. ``I never got a satisfactory answer from her as to why she did it,'' said retired federal public defender James F. Hewitt. ``There was just bizarre stuff, and she would never tell anyone anything about her background.'' Ford insisted the two attempts on his life shouldn't prevent him from having contact with the American people. ``If we can't have the opportunity of talking with one another, seeing one another, shaking hands with one another, something has gone wrong in our society. I think it's important that we as a people don't capitulate to the wrong element,'' he said. Ford died a little over a year ago from natural causes. Moore was born Sara Jane Kahn in Charleston, W.Va. She acted in high school plays and dreamed of being a film actress before going through a series of marriages, beginning with nuptials to Marine sergeant Wallace Elvin Anderson in 1949. That marriage ended after less than a month. Moore later married and had three children with an Air Force officer named Sydney Louis Manning, who brought her to California. In 1958, she married and went on to have a child with John Frederick Wilhelm Aalberg, who she said worked in Hollywood. She started using her mother's maiden name, Moore, shortly after marrying Bay Area doctor Willard Carmel. That marriage also ended. In the 1970s, Moore began working for People in Need, a free food ransom arrangement established by millionaire Randy Hearst in return for his daughter Patty, who was kidnapped by the Symbionese Liberation Army in 1974. She soon became involved with radical leftists, ex-convicts and other members of San Francisco's counterculture. At this time, Moore became an informant to the Federal Bureau of Investigation. Moore has said she fired at Ford because she thought she would be killed once it was disclosed that she was an FBI informant. The agency ended its relationship with her about four months before the shooting. ``I was going to go down anyway,'' she said in a 1982 interview with the San Jose Mercury News. ``And if I was going to go down, I was going to do it my way. If the government was going to kill me, I was going to make some kind of statement.'' Moore was sent to a West Virgina women's prison in 1977. Two years later, she escaped, but was captured several hours later. She was later transferred to a prison in Pleasanton, Calif., before coming to Dublin. In 2000, Moore sued the warden of her federal prison to prevent him from taking keys given to inmates to lock themselves in as a security measure. (clo)",
"url": "http://www.kcbs.com/Sara-Jane-Moore-Released/1411182",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080102004939/http://www.kcbs.com/Sara-Jane-Moore-Released/1411182"
}
] |
de | Zwei Jahre und drei Monate Haft für Pfahls |
Im Fall um den ehemaligen Rüstungsstaatssekretär Ludwig-Holger Pfahls hat das Landgericht Augsburg heute das Urteil verkündet: zwei Jahre und drei Monate Haft. Der 62 Jahre alte Angeklagte wurde der Vorteilsannahme und Steuerhinterziehung schuldig gesprochen. Vom Vorwurf der Bestechlichkeit war die Anklage bereits nach Abschluss der Beweisaufnahme abgerückt. Das Gericht folgte damit den Forderungen der Staatsanwaltschaft.
Da die Auslieferungshaft in Frankreich und die Untersuchungshaft angerechnet werden, ist damit zu rechnen, dass Pfahls bereits im September dieses Jahres wieder auf freiem Fuß sein wird. Pfahls war Mitte 2004 in Paris festgenommen und im Januar 2005 nach Deutschland ausgeliefert worden.
Das Urteil kam nicht überraschend, da die Verteidigung vor dem Urteil erklärt hatte, die von der Staatsanwaltschaft geforderte Strafe sei „schuldangemessen“. Mehrere Zeugen, darunter Altkanzler Helmut Kohl (CDU) und der frühere Bundesaußenminister Hans-Dietrich Genscher (FDP), hatten übereinstimmend erklärt, dass Pfahls keinen Einfluss auf das Panzergeschäft mit Saudi-Arabien gehabt habe. Strafmildernd hatte sich zudem ausgewirkt, dass Pfahls zu Beginn des Prozesses ein umfassendes Geständnis abgelegt hatte.
Die Verteidigung erklärte nach dem Urteilsspruch, sie werde das Urteil anfechten und Revision einlegen. Das Urteil ist damit vorerst nicht rechtskräftig.
| [
"Themenportal Recht",
"Recht in Deutschland",
"Recht in Bayern",
"Landgericht Augsburg",
"Urteil",
"Vorteilsannahme",
"Steuerhinterziehung",
"Bestechung",
"Ludwig-Holger Pfahls"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Zwei Jahre und drei Monate Haft für Pfahls",
"text": "Urteil Zwei Jahre und drei Monate Haft für Pfahls Der frühere Verteidigungsstaatssekretär Ludwig-Holger Pfahls ist wegen Korruption und Steuerhinterziehung vom Landgericht Augsburg zu einer Haftstrafe von zwei Jahren und drei Monaten verurteilt worden. Für Pfahls ist das eigentlich eine gute Nachricht, denn so kommt er im September möglicherweise schon wieder frei. Ludwig-Holger Pfahls Die Staatsanwaltschaft hatte Pfahls Vorteilsannahme und Steuerhinterziehung vorgeworfen. Das Gericht schloss sich dem an und folgte der Anklage auch bei der Höhe des Strafmaßes. Überraschend war das jedoch nicht, denn auch die Verteidigung hatte vor einer Woche erklärt, das von der Staatsanwaltschaft geforderte Strafmaß sei schuldangemessen. Pfahls geht möglicherweise in Revision Dennoch sagte Pfahls-Verteidiger Volker Hoffmann in einem Gespräch mit dem Bayerischen Rundfunk, es spreche vieles dafür, Revision einzulegen. Ausschlaggebend werde vor allem die schriftliche Urteilsbegründung und darin die Passage zur Verjährungsfrage sein. \"Dann müssen wir entscheiden, ob es sich lohnt, das durchzufechten\", so Hoffmann. In diesem Fall hätte Pfahls aber zunächst keine Aussicht darauf, über die so genannte Halbstrafenregelung schon in Kürze auf freien Fuß zu kommen. Da bei einer Verurteilung die Auslieferungshaft in Frankreich und die Untersuchungshaft angerechnet werden müssen, könnte Pfahls, wenn er das Urteil akzeptiert, schon im September wieder auf freiem Fuß sein. Andererseits waren nach Ansicht seines Verteidigers einige von Pfahls Straftaten bereits verjährt. Und dies würde nicht mehr überprüft, wenn Pfahls das Urteil annehmen würde. Handschlag: Pfahls (r.) verabschiedet sich von Richter Hofmeister. Richter: Urteil nicht zu milde Bei der Urteilsverkündung verwahrte sich der Vorsitzende Richter Maximilian Hofmeister gegen den Vorwurf, das Strafmaß sei zu milde. Hofmeister betonte, das Urteil sei schuldangemessen. Es sei nicht um eine historische Aufklärung von politischen Vorgängen, sondern nur um die persönliche Schuld des Angeklagten gegangen.\nUrteil gegen Ludwig-Holger Pfahls BR-Korrespondentin Annemarie Ruf berichtet von der Urteilsverkündung in Augsburg. (B5 aktuell, 1:06 min)\nStaatsanwalt: \"Der Korruption schuldig gemacht\" Oberstaatsanwalt Christoph Wiesner hatte in seinem Plädoyer am vergangenen Freitag gesagt, Pfahls habe sich der Korruption \"in der rechtlichen Form der Vorteilsnahme\" schuldig gemacht. Zum Vorwurf der Steuerhinterziehung führte Wiesner aus, dass Leistung und Gegenleistung \"klar erkennbar\" gewesen seien. Pfahls habe von dem inzwischen in Kanada lebenden Schreiber im Zusammenhang mit Rüstungsgeschäften rund zwei Millionen Euro Schmiergeld angenommen und nicht versteuert.\nFotogalerie: Der Pfahls-Prozess in Bildern Wer hat Pfahls belastet, wer ihn entlastet? Der Prozess in Augsburg zum Durchklicken. zur Fotogalerie\nKorrupt, aber nicht bestechlich Web-Tipp Mit dem Urteil geht auch für den Vorsitzenden Richter Maximilian Hofmeister ein Kapitel zu Ende. Mehr dazu in unserem Artikel Des Richters letzter Akt Die Staatsanwaltschaft hatte zuvor ihren ursprünglichen Vorwurf der Bestechlichkeit fallen gelassen, nachdem hochrangige Zeugen, darunter Altkanzler Helmut Kohl, übereinstimmend versichert hatten, dass der ehemalige CSU-Politiker Pfahls keinen Einfluss auf ein umstrittenes Panzergeschäft mit Saudi-Arabien gehabt hatte. Pfahls entschuldigt sich erneut In seinem Schlusswort sagte Pfahls, er bleibe voll und ganz bei seiner Aussage. Warum er so lange neben der Spur gestanden sei, wisse er heute nicht mehr. Er habe sich nicht nur bei Helmut Kohl zu entschuldigen, sondern auch bei allen, die er durch sein Verhalten enttäuscht habe. Mehr zum Thema Dossier: Der Fall Pfahls Die Rückkehr des \"Phantoms\" Ex-Richter, Ex-Geheimdienstchef und jahrelang auf der Flucht vor der deutschen Justiz: Ludwig-Holger Pfahls wurde in Augsburg der Prozess gemacht. mehr ...\nB5 aktuell: News im 15-Minuten-Takt\nRundschau: 18.45 Uhr, Bayerisches Fernsehen Drucken Bayern heute Startseite",
"url": "http://www.br-online.de/bayern-heute/artikel/0508/11-pfahls/index.xml",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20050813235832/http://www.br-online.de/bayern-heute/artikel/0508/11-pfahls/index.xml"
},
{
"language": "de",
"title": "Zwei Jahre und drei Monate Haft für Pfahls",
"text": "Kritik an Strafmaß\nDer Vorsitzende des ehemaligen Parteispenden-U-Ausschusses, Volker Neumann kritisierte indes das Strafmaß im Pfahls-Prozess. \"Ich bin überrascht, wie wenig das ist\", sagte Neumann im Inforadio Berlin. Er nannte insbesondere die Zeugenaussage von Helmut Kohl widersprüchlich und zweifelhaft. Diese hätte auch seiner eigenen Verteidigung gedient. \"Wenn er sagen würde, Pfahls habe Einfluss auf die Entscheidung gehabt, dann würde er sagen, dass er sich auch hat beeinflussen lassen.\" Die Entschuldigung von Pfahls gegenüber Kohl spreche Bände. Nicht aufgeklärt sei beispielsweise, wer Pfahls während seiner fünfjährigen Flucht geholfen habe.",
"url": "http://www.heute.de/ZDFheute/inhalt/8/0,3672,2349384,00.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20051130234119/http://www.heute.de/ZDFheute/inhalt/8/0,3672,2349384,00.html"
},
{
"language": "de",
"title": "Rüstungsaffäre: Zwei Jahre und drei Monate Haft für Pfahls",
"text": "12. August 2005 Druckversion | Versenden | Leserbrief\nRÜSTUNGSAFFÄRE\nZwei Jahre und drei Monate Haft für Pfahls\nDer frühere Rüstungsstaatssekretär Holger Pfahls ist wegen Schmiergeldannahme zu zwei Jahren und drei Monaten Haft verurteilt worden. Der ehemalige CSU-Politiker könnte wegen seiner Untersuchungshaft in Frankreich aber schon im September wieder auf freiem Fuß sein.\nAP Pfahls (r., mit Verteidiger Volker Hoffmann): Schon im September frei?\nVom ursprünglichen Vorwurf der Bestechlichkeit war die Anklage nach Abschluss der Beweisaufnahme abgerückt. Mehrere Zeugen, darunter Altkanzler Helmut Kohl (CDU) und der frühere Bundesaußenminister Hans-Dietrich Genscher (FDP), hatten übereinstimmend erklärt, Pfahls habe auf einen umstrittenen Panzer- Export nach Saudi-Arabien keinen Einfluss gehabt.\nDer Vorsitzende Richter Maximilian Hofmeister beschied Pfahls in seiner Urteilsbegründung: \"Sie waren nicht bestechlich.\" Und auch die Regierung Kohl habe sich nicht als bestechlich erwiesen. Es habe \"keinen politischen Skandal\" gegeben, sagte Hofmeister. Der Richter bezeichnete das Urteil als \"nicht zu milde, sondern gerecht\".\nDie Verteidigung hatte auf eine geringfügig niedrigere Strafe plädiert, ohne ein konkretes Strafmaß zu nennen. Ihren Angaben zufolge könnte Pfahls bereits im September freikommen. Denn unter Anrechnung der Auslieferungshaft in Frankreich und der Untersuchungshaft wäre dann die Hälfte der Strafe abgegolten, so dass der Rest zur Bewährung ausgesetzt werden könnte.\nPfahls war der erste Angeklagte im Schreiber-Komplex, der die Annahme von Schmiergeld über ein Schweizer Tarnkonto und ein Treuhandverhältnis mit dem Lobbyisten zugegeben hatte.\nStröbele hält das Urteil für zu milde\nDer Grünen-Innenexperte Hans-Christian Ströbele bezeichnete die Strafe für Pfahls als zu mild. Schließlich habe der frühere Rüstungsstaatssekretär bei der Vorteilsannahme als Amtsträger der Bundesrepublik gehandelt und einen sehr hohen Betrag von umgerechnet 1,9 Millionen Euro erhalten. Die Strafe hätte deshalb härter ausfallen müssen, sagte Ströbele, der sich als Grünen-Obmann im Spenden-Untersuchungsausschuss mit dem Fall beschäftigt hatte, der Nachrichtenagentur ddp.\nOffensichtlich hätten alle Prozessbeteiligten versucht, sich gegenseitig zu helfen, sagte Ströbele. Richtern und Staatsanwaltschaft warf Ströbele vor, sie hätten das Teilgeständnis von Pfahls zu stark zu dessen Gunsten gewertet.\nZUM THEMA IN SPIEGEL ONLINE\nUntreueverdacht: Ermittlungen gegen Kölner OB Schramma (12.08.2005)\n© SPIEGEL ONLINE 2005\nAlle Rechte vorbehalten\nVervielfältigung nur mit Genehmigung der SPIEGELnet GmbH",
"url": "http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,369380,00.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20050814011227/http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,369380,00.html"
}
] |
en | US military commander in Afghanistan dismissed by President Obama |
General , the top military commander for the US army in Afghanistan, was dismissed by president Barack Obama Wednesday, over controversial comments he made in an interview with a magazine.
Stanley McChrystalDavid PetraeusMcChrystal will be replaced by General . The move was made after McChrystal and the president held a thirty-minute meeting Wednesday to discuss McChrystal's comments to the '''' magazine, in which he was portrayed as dismissive about the administration's handling of the Afghanistan war.
In one comment, when asked about vice-president Joe Biden, the general replied with "Are you asking about Vice-President Biden? Who's that?"; in another remark, he mentions an email from the US' special Afghanistan and Pakistan representative, Richard Holbrook, saying: "Oh, not another e-mail from Holbrooke ... I don't even want to open it." One of the McChrystal's aides also described national security adviser James Jones as being a "clown... stuck in 1985".
Obama commented that the move was "a change in personnel but not a change in policy". "I believe it is the right decision for our national security. I don't make this decision based on any difference in policy with General McChrystal ... nor do I make this decision out of any sense of personal insult," he said, commenting also: "The conduct represented in the recently published article does not meet the standard that should be set by a commanding general. It undermines the civilian control of the military that is at the core of our democratic system."
McChrystal, meanwhile, released a statement regarding the incident: "I strongly support the president's strategy in Afghanistan and am deeply committed to our coalition forces, our partner nations, and the Afghan people. It was out of respect for this commitment — and a desire to see the mission succeed — that I tendered my resignation."
The general's assistant who organised the ''Rolling Stone'' interview, Duncan Boothby, also resigned over the article.
Hamid Karzai, the Afghan president, meanwhile responded to Obama's move, saying he believed McChrystal was the best commander in the nine years since the US began operations in his country.
"General McChrystal was an important and trusted partner for the Afghan government and Afghan people and we hoped this wouldn't happen," said , a spokesman for Karzai. "However, this is an internal matter for the US government and we respect the decision of President Obama. We are looking forward to working with General Petraeus, a very experienced soldier, who President Karzai knows well."
| [
"Afghanistan",
"North America",
"Politics and conflicts",
"Barack Obama",
"Stanley A. McChrystal",
"United States",
"Asia"
] | [
{
"language": "en",
"title": "McChrystal relieved of command",
"text": "Obama nominated Gen David Petraeus to command US and Nato forces in Afghanistan [AFP]\nMcChrystal’s departure follows a 30-minute meeting with US president Barack Obama on Wednesday. McChrystal was summoned to Washington after a Rolling Stone article portrayed the general and his aides as dismissive of the Obama administration and its strategy in Afghanistan.\nGeneral Stanley McChrystal has been relieved of his command of US and Nato forces in Afghanistan, the White House announced.\nObama nominated Gen David Petraeus, the head of US Central Command, to take command of the war in Afghanistan.\nIn a statement to reporters on Wednesday afternoon, Obama said he was not \"personally insulted\" by McChrystal's comments, but called his conduct unbecoming.\n\"The conduct represented in the recently published article does not meet the standard that should be set by a commanding general,\" Obama said in the Rose Garden at the White House.\n\"It undermines the civilian control of the military that is at the core of our democratic system.\"\nNo change to strategy\nObama also said that the change in command would not mean significant changes to his war strategy in Afghanistan. Obama sent 30,000 new troops this year, many of whom are engaged in trying to secure Afghanistan's volatile southern promises, and plans to begin withdrawing troops next summer.\n\"This is a change in personnel, not a change in policy,\" Obama said.\nMcChrystal e-mailed a short statement to reporters shortly after Obama's announcement, calling it a \"privilege and honor\" to have served as the US and Nato commander in Afghanistan.\n\"I strongly support the president's strategy in Afghanistan, and am deeply committed to our coalition forces, our partner nations and the Afghan people,\" he wrote.\n\"It was out of respect for this commitment that I tendered my resignation.\"\n\"Poor judgment\"\nThe Rolling Stone article, released on the internet on Tuesday, contained quotes critical of Joseph Biden, the US vice president, and several other high-ranking officials.\nAt one point, McChrystal referred to a leaked memo from Karl Eikenberry, the US ambassador in Kabul, which questioned the competence of the Afghan government.\nMichael Hastings, author of the Rolling Stone article, talks to Al Jazeera about McChrystal\n\"Here's one that covers his flank for the history books,\" McChrystal said. \"Now if we fail, they can say, 'I told you so.'\"\nMcChrystal had already apologised for his remarks: In a statement released on Tuesday, he called his comments \"a mistake reflecting poor judgment.\"\nA spokesman for Nato, James Appathurai, told Al Jazeera on Tuesday that the alliance still had \"full confidence\" in McChrystal.\nThe Afghan government also took the unusual step of endorsing McChrystal and urging Obama not to remove him from command.\n\"We consider that his work has been very positive, and we are hopeful that the United States will pay attention to the concerns of the people of Afghanistan,\" said Gen Mohammad Zahir Azimi, a spokesman for the defence ministry.\nThe change of command is the latest bit of bad news in a difficult month for the Nato mission in Afghanistan. Six Nato soldiers were killed in attacks across the country on Wednesday, bringing the death toll for foreign troops in June to 75.",
"url": "http://english.aljazeera.net/news/americas/2010/06/2010623141219526213.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20100623184951/http://english.aljazeera.net/news/americas/2010/06/2010623141219526213.html"
},
{
"language": "en",
"title": "US Afghan commander Stanley McChrystal fired by Obama",
"text": "The top US military commander in Afghanistan, Gen Stanley McChrystal, has been dismissed by President Barack Obama over comments made in a magazine.\nHe will be replaced by Gen David Petraeus, who led the \"surge\" in Iraq. Mr Obama insisted it was \"a change in personnel but not a change in policy\".\nIn a statement, Gen McChrystal said he was leaving because of a \"desire to see the mission succeed\".\nHe agreed that his statements in Rolling Stone showed \"poor judgement\".\nThe announcement that Gen McChrystal was standing down came after he had met Mr Obama at the White House on Wednesday.\nMr Obama said he had made the decision as Gen McChrystal had failed to \"meet the standard that should be set by a commanding general\".\nHe insisted: \"I don't make this decision based on any difference in policy with General McChrystal, nor on any personal insult.\"\n'Poor judgement'\nAfghan President Hamid Karzai had indicated he did not want Gen McChrystal replaced, with a spokesman describing him as the best commander in nine years of US military operations in Afghanistan.\nGen McChrystal quickly apologised for the magazine article, The Runaway General, written by Michael Hastings and due out on Friday, extending his \"sincerest apology\" and saying it showed a lack of integrity.\nThe wide-ranging article quoted Gen McChrystal and his aides openly criticising senior members of the Obama administration.\n\"It was a mistake reflecting poor judgement and should never have happened,\" he said.\nAt the White House on Wednesday, Gen McChrystal was due to face those he and his aides had criticised at the administration's monthly meeting on Afghanistan and Pakistan on Wednesday.\nThe officials included:",
"url": "http://news.bbc.co.uk/2/hi/world/us_and_canada/10395402.stm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20100623184833/http://news.bbc.co.uk/2/hi/world/us_and_canada/10395402.stm"
}
] |
en | Multiple computer worms released as "botwar" rages |
Security experts are calling it a "botwar". Multiple computer worms, with payloads that turn infected computers into sources of spam, viruses and security attacks, are being released by at least two separate groups. Now newer versions of one group's worm include the ability to disable earlier versions of the other group's infection. "The W32/Zotob-F worms (also known as Bozori) attempts to remove infections by earlier versions of the Zotob worm and other malware, so it can take control of the compromised computer for itself", a Sophos news item stated. F-secure's Weblog confirmed this and added "It seems there are two groups that are fighting: IRCBot and Bozori vs Zotobs and the other Bots."
Gregg Keizer of TechWeb News draws parallels between the current events and a prior example of criminal activity; "The most notable back-and-forth between virus and worm writers was in early 2004, when the writers of the Bagle and Netsky worm families engaged in a long-running tit-for-tat exchange where each tried to delete the other's code. The battle led to a veritable flood of malicious code that lasted weeks." While some see a repeat of those events, other experts indicate that the current situation is "business as normal" for the criminals that create these "bot networks".
A statement from Kaspersky Lab stated that confusion over the naming of the worms has combined with overzealous reporting by infected news organisations to create confusion as to the magnitude of the attack. At this stage they are not calling it an epidemic.
All of these worms currently exploit the MS05-039 Plug and Play vulnerability, for which a patch has already been released.
| [
"Science and technology",
"Internet"
] | [
{
"language": "en",
"title": "War of the worms: Malware fights for control of insecure computers, Sophos reports",
"text": "17 August 2005\nWar of the worms: Malware fights for control of insecure computers, Sophos reports\nThe worm exploited a Microsoft vulnerability, allowing hackers to take remote control of affected PCs.\nExperts at SophosLabs™, Sophos's global network of virus, spyware and spam analysis centers, have determined that separate groups of hackers are releasing a barrage of worms in a battle to seize control of innocent users' computers. Overnight, it has been confirmed that organizations such as CNN, ABC Television, The New York Times and the Financial Times have been hit.\nThe W32/Zotob-F worms (also known as Bozori) attempts to remove infections by earlier versions of the Zotob worm and other malware, so it can take control of the compromised computer for itself. W32/Zotob-F is related to the W32/Tpbot-A worm, which also exploits the same Microsoft MS05-039 Plug and Play vulnerability that hackers have focused on as a way into poorly defended businesses.\n\"Once one of these worms has control over your computer, it can use your PC for sending spam, launching an extortion denial-of-service attack against a website, stealing confidential information or blasting out new versions of malware to other unsuspecting computer users,\" said Graham Cluley, senior technology consultant for Sophos. \"Organized criminal gangs are behind attacks like these and their motive is to make money. Owning a large network of compromised computers is a valuable asset to these criminals, and every business needs to take steps to ensure they are not the next victim on their list.\"\nThe worms are affecting computers which are not properly patched against Microsoft security holes such as the MS05-039 Plug and Play vulnerability.\nMore and more virus writers are exploiting the new MS05-039 vulnerability that Microsoft issued a patch against last week. The list of malware which uses the security hole to spread includes:\nW32/Tpbot-A (also known by some anti-virus products as Zotob.E or Rbot.CBQ. Some media reports have named the virus Rbot.EBQ, but this is incorrect)\nW32/Dogbot-A\nW32/Zotob-A\nW32/Zotob-B\nW32/Zotob-C\nW32/Zotob-F\nTroj/ExpPNP-A\nW32/Rbot-AKM\nW32/Rbot-AKN\nW32/Sdbot-ACG\nW32/Tilebot-F\nW32/Esbot-A\nHow to protect your computers\nHome users of Microsoft Windows can visit windowsupdate.microsoft.com to have their systems scanned for critical Microsoft security vulnerabilities.\nSophos recommends that IT staff responsible for security should consider subscribing to vulnerability mailing lists such as that operated by Microsoft at www.microsoft.com/technet/security/bulletin/notify.mspx. Sophos advised customers to patch against the latest security vulnerabilities in Microsoft's software last week. The patch for the MS05-039 Plug and Play vulnerability can be found at on Microsoft's website. However, Sophos recommends that businesses also ensure they are protected against other vulnerabilities commonly used by worms and hackers such as:\nLSASS (MS04-011) security vulnerability\nRPC-DCOM (MS04-012) security vulnerability\nMSSQL (MS02-039) security vulnerability\nUPNP (MS01-059) security vulnerability\nWebDav (MS03-007) security vulnerability\n\"The only good thing which might come out of this high profile worm outbreak is that more people and businesses may wake up to the importance of properly protecting their systems from viruses and internet worms,\" said Cluley. \"All companies should take a long hard look at their networks and ask, 'could that have happened to us?'\"\nSophos continues to recommend that companies protect all tiers of their organization - their desktops, servers and email gateways - with automatically updated anti-virus software to reduce the risk of infection.\nSee also:",
"url": "http://www.sophos.com/virusinfo/articles/botwar.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20060619173228/http://www.sophos.com/pressoffice/news/articles/2005/08/va_botwar.html"
}
] |
en | Kenya negotiations resume; parliament to debate power sharing accord |
Opposition and government negotiators in Kenya resumed talks on Friday, focusing on long-term aspects of the country's crisis. The talks received a boost after the leaders of the government and opposition reached a power sharing agreement.
After breaking the deadlock over power sharing, negotiators for the Kenyan government and opposition began to focus on resolving what are seen as long-term solutions to Kenya's crisis, namely constitutional reform, land distribution and poverty.
The talks took on a new vitality after President Mwai Kibaki and opposition leader signed a power sharing accord in the presence of chief mediator Kofi Annan, Chairman of the African Union and the diplomatic corps.
Mr. Kibaki said he would convene parliament next Thursday to begin debate on the constitutional amendments needed to implement the accord. The speaker of parliament, , said he does not anticipate any difficulties in passing the constitutional changes.
"There must be a bill prepared by the government, a bill which will then be tabled in parliament," said Marende. "After it is tabled in parliament it will then be moved in the normal manner and it will be debated and voted for."
Opposition parliament member noted that the Kenyan constitution currently allows parliament to change the constitution with a two-thirds majority vote. He said this should not be difficult to muster given the broad support for the agreement.
"The main obstacle will be political brinkmanship and hardliners that may crop up," said Namwamba. "But otherwise, if every side maintains the goodwill that has been demonstrated by the two principals, then I do not foresee any difficulty in the implementation of this deal."
The agreement calls for the creation of the post of prime minister who will supervise the ministries and can only be dismissed by a majority vote in parliament. Mr. Odinga is expected to assume this post.
The accord also calls for the distribution of ministerial posts according to the relative strength of each party in parliament.
The African Union, Britain, and the United States welcomed the agreement saying they hope it will bring peace and reconciliation to the country.
Kenyans reacted with spontaneous street celebrations in some cities, although some cautioned that similar deals in previous years ended up in failure.
One thousand people were killed and several hundred thousand were displaced by violence that erupted after Mr. Kibaki was declared the winner of a presidential election which the opposition says was rigged.
| [
"Africa",
"Kenya",
"Politics and conflicts",
"Elections",
"United Nations",
"United Kingdom",
"United States",
"Crime and law",
"Kofi Annan",
"African Union",
"Mwai Kibaki",
"Raila Odinga",
"Constitution of Kenya"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Kenya Negotiations Resume; Parliament to Debate Power-Sharing Accord",
"text": "Opposition and government negotiators in Kenya resumed talks Friday, focusing on long-term aspects of the country's crisis. The talks received a boost after the leaders of the government and opposition reached a power- sharing agreement. Correspondent Scott Bobb reports from Nairobi.\nAfter breaking the deadlock over power sharing, negotiators for the Kenyan government and opposition began to focus on resolving what are seen as long-term solutions to Kenya's crisis, namely constitutional reform, land distribution and poverty.\nKenya's President Mwai Kibaki (L) and opposition chief Raila Odinga sign agreement in Nairobi, 28 Feb 2008\nThe talks took on a new vitality after President Mwai Kibaki and opposition leader Raila Odinga signed a power-sharing accord in the presence of chief mediator Kofi Annan, Chairman of the African Union Jakaya Kikwete and the Nairobi diplomatic corps.\nMr. Kibaki said he would convene parliament Thursday to begin debate on the constitutional amendments needed to implement the accord.\nThe speaker of parliament, Kenneth Marende, said he does not anticipate any difficulties in passing the constitutional changes.\n\"There must be a bill prepared by the government, a bill which will then be tabled in parliament,\" said Marende. \"After it is tabled in parliament it will then be moved in the normal manner and it will be debated and voted for.\"\nOpposition parliament member Ababu Namwamba noted that the Kenyan constitution currently allows parliament to change the constitution with a two-thirds majority vote. He said this should not be difficult to muster given the broad support for the agreement.\n\"The main obstacle will be political brinkmanship and hardliners that may crop up,\" said Namwamba. \"But otherwise, if every side maintains the goodwill that has been demonstrated by the two principals, then I do not foresee any difficulty in the implementation of this deal.\"\nThe agreement calls for the creation of the post of prime minister who will supervise the ministries and can only be dismissed by a majority vote in parliament. Mr. Odinga is expected to assume this post.\nThe accord also calls for the distribution of ministerial posts according to the relative strength of each party in parliament.\nThe African Union, Britain and the United States welcomed the agreement saying they hope it will bring peace and reconciliation to the country.\nKenyans reacted with spontaneous street celebrations in some cities, although some cautioned that similar deals in previous years ended up in failure.\nOne thousand people were killed and several hundred thousand were displaced by violence that erupted after Mr. Kibaki was declared the winner of a presidential election which the opposition says was rigged.",
"url": "http://voanews.com/english/archive/2008-02/2008-02-29-voa40.cfm?CFID=234837009&CFTOKEN=46750716",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080913220348/http://voanews.com/english/archive/2008-02/2008-02-29-voa40.cfm"
},
{
"language": "en",
"title": "Details of Kenya Deal Being Worked Out",
"text": "U.N. Secretary-General Kofi Annan, left, makes an speech in front of Kenyan President Mwai Kibaki, centre, and opposition leader Raila Odinga, right, after a power-sharing agreement in Nairobi, Kenya, Thursday, Feb. 28, 2008 after weeks of bitter negotiations on how to end the country's deadly post election crisis. Both claim to have won the country's Dec. 27 presidential election, which observers say was marred by rigging on both sides. (AP Photo/Khalil Senosi)\nDetails of Kenya Deal Being Worked Out\nNAIROBI, Kenya (AP) — Representatives on Friday began working out details of a power-sharing agreement aimed at ending two months of ethnic violence that killed more than 1,000 people after a disputed presidential election.\nKenya's feuding politicians shook hands Thursday and smiled for the cameras. But the real test for President Mwai Kibaki and opposition leader Raila Odinga is whether the reluctant partners can work together to heal a divided nation.\nUnder the agreement, Odinga will become prime minister and have the power to \"coordinate and supervise\" the government — more authority than Kibaki wanted to yield.\nThe bitterness between them runs deep, however, and both men have traded accusations about inciting violence, stealing the Dec. 27 vote, and destroying the nation.\nKofi Annan, the mediator, had to prompt them to shake hands Thursday as the cameras rolled. Still, a deal was signed, and about 500 people marched in celebration Friday in the western town of Kitale.\n\"Finally hope is back, Kenya has been reborn and it is like we are ushering in a new year!\" shouted a marcher waving a picture of Odinga.\nIt was unclear when Odinga would take over as prime minister. Kibaki said he is reconvening parliament next Thursday to begin work on the needed constitutional changes.\nRepresentatives for the two sides were meeting Friday to work out details and start hashing out some of the longer term reforms.\n\"I expect us to fast-track it so that the country can get on its feet,\" government negotiator Mutula Kilonzo said.\nKibaki and Odinga must try to repair the lives of more than a half-million people who have been displaced from their homes and require food, water and medical care. Kenya's Red Cross says it knows of at least 500 youngsters who were separated from their families.\nThere is also the matter of restoring one of Africa's most promising economies. Kenya, one of the most prosperous and tourist-friendly countries in Africa, has seen up to $1 billion in losses linked to the turmoil.\nBut the most difficult task may be restoring Kenyans' trust in their government.\nMuch of the bloodshed pitted ethnic groups, such as Odinga's Luo tribe, against Kibaki's Kikuyu people, long resented for their domination of the economy and politics. Politicians have been accused of fomenting violence — now the uneasy coalition will have to work together to disarm militia groups.\nIn many regions, the violence broke apart cities and towns where Kenyans had lived together — however uneasily at times — since independence from Britain in 1963.\nThe worst of the violence subsided weeks ago. Still, there were reminders as recently as Thursday of previous chaos. Police fired tear gas to disperse dozens who had gathered outside Kibaki's office to witness the signing.\nThursday's agreement came after mounting pressure from leaders in Africa and beyond, including the United States, which issued veiled threats about its future relationship with Kenya's leaders.\n\"The Kenyan coalition government and people can count on our support as they move forward to implement the agreement and reform agenda,\" Secretary of State Condoleezza Rice said in a statement welcoming the power-sharing deal.\nEuropean Union the humanitarian chief Louis Michel said Kibaki and Odinga \"have shown the wisdom and vision to choose the path of compromise and reconciliation.\"\nBoth the EU and the United States had said previously that they were reviewing their international aid to Kenya because of the crisis.\n\"This power-sharing deal means that once again Kenya is back on a path of peace and mutual understanding,\" Michel said.\nAssociated Press writers Tom Maliti and Elizabeth A. Kennedy in Nairobi and Osinde Obare in Kitale contributed to this report.",
"url": "http://ap.google.com/article/ALeqM5iS5ktQZag3mnKdJS1tEsE80s4NHAD8V40LF80",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080305054114/http://ap.google.com/article/ALeqM5iS5ktQZag3mnKdJS1tEsE80s4NHAD8V40LF80"
},
{
"language": "en",
"title": "allAfrica.com: Kenya: African Solutions to African Problems",
"text": ">\nUse our pull-down menus to find more stories -- Regions/Countries -- Africa Central Africa East Africa North Africa Southern Africa West Africa --- Algeria Angola Benin Botswana Burkina Faso Burundi Cameroon Cape Verde Central African Republic Chad Comoros Congo-Brazzaville Congo-Kinshasa Côte d'Ivoire Djibouti Egypt Equatorial Guinea Eritrea Ethiopia Gabon Gambia Ghana Guinea Guinea Bissau Kenya Lesotho Liberia Libya Madagascar Malawi Mali Mauritania Mauritius Morocco Mozambique Namibia Niger Nigeria Rwanda Senegal Seychelles Sierra Leone Somalia South Africa Sudan Swaziland São Tomé and Príncipe Tanzania Togo Tunisia Uganda Western Sahara Zambia Zimbabwe -- Topics -- AGOA AIDS Agribusiness Aid and Assistance Arms and Armies Arts Athletics Automotive Banking Book Reviews Books Business Capital Flows Children Civil War Climate Commodities Company Conflict Construction Consulting Crime Currencies Debt Ecotourism Editorials Education Energy Environment Food and Agriculture From allAfrica's Reporters Games Parks Health Healthcare and Medical Human Rights ICT Infrastructure Investment Labour Latest Legal Affairs Malaria Manufacturing Media Mining Music Music Reviews NEPAD NGO Oceans Olympics Peacekeeping Petroleum Polio Post-Conflict Pregnancy and Childbirth Privatization Refugees Religion Science Soccer Sport Stock Markets Sustainable Development Terrorism Trade Transport Travel Tuberculosis Urban Issues Water Wildlife Women --- Central Africa Business East Africa Business North Africa Business Southern Africa Business West Africa Business --- Asia, Australia, and Africa Europe and Africa International Organisations Latin America and Africa Middle East and Africa U.S., Canada and Africa --- From AllAfrica Photo Essays Special Reports\nweb\nallafrica.com Enter your search terms Submit search form OR subscribers use AllAfrica's premium search engine\nClick here to read or make comments on this topic »\nKenya: African Solutions to African Problems - Kofi Annan Does It!\nEmail This Page\nPrint This Page\nComment on this article\nView comments\nKenyan President Mwai Kibaki and opposition leader Raila Odinga have signed an agreement to end the country's post-election crisis. At a ceremony in Nairobi yesterday, the two men put their signatures to a power-sharing deal brokered by ex-UN head Kofi Annan. A coalition government comprising members of the current ruling party and opposition will now be formed.\nSome 1,500 people died in political violence after Mr Odinga said he was robbed of victory in December's polls.\nInternational observers agreed the count was flawed.\nViolence has mostly receded, but tensions are still running extremely high.\nNegotiations between the government and Mr Odinga's Orange Democratic Movement (ODM) lasted more than a month, stalling several times.\nDiscussions centred on the creation of the post of prime minister, likely to be taken by Mr Odinga.\nBoth sides agreed that there should be a prime minister, but had differed on what powers the new post would have.\nSpeaking after the deal was signed, Mr Annan said the division of posts in the new government would reflect the two rival political parties' strengths in parliament.\nThe post-election violence saw thousands of people targeted because they belonged to ethnic groups seen as either pro-government or pro-opposition.\nAbout 600,000 people have fled their homes and some have been forced back to their ancestral homelands.\nMeanwhile, a politician has lodged a legal challenge to the talks, saying they are unconstitutional and do not involve all Kenyans.\nAntony Kirori, who vied for a parliamentary seat and lost to Mr Odinga, says any resolution would alter the country's governance structure.\nGhanaian born Mr. Annan had invested so much of his personal reputation and time in trying to save Kenya, one of sub-Saharan Africa's better stories from joining the ranks of basket cases littering the continent. His success in negotiating this deal is also very good news for other troubled areas that perhaps in Mr. Annan, Africans have a trouble shooter who they can trust to help them out of their knotty post colonial handicaps.",
"url": "http://allafrica.com/stories/200802290705.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080303101535/http://allafrica.com/stories/200802290705.html"
}
] |
de | Rüdiger Wolfrum übernimmt Vorsitz des Internationalen Seegerichtshofs | Rüdiger Wolfrum wurde gestern zum Präsidenten des Internationalen Seegerichtshofs (ISGH) gewählt. Wolfrum gehört dem Internationalen Seegerichtshof seit 1996 an. Seine Amtszeit als Präsident beträgt drei Jahre mit der Möglichkeit der Wiederwahl. Wolfrum löst damit Dolliver Nelson (Grenada) ab, der seit 1. Oktober 2002 Präsident des Internationalen Seegerichtshofs war.
Der Internationale Seegerichtshof mit Sitz in Hamburg wurde auf der Grundlage des Seerechtsübereinkommens (SRÜ) der Vereinten Nationen vom 10. Dezember 1982 (in Kraft getreten am 16.11.1994) geschaffen. Dem Gericht gehören 21 Richter an. Sie werden auf neun Jahre gewählt, ihr Mandat ist erneuerbar. Alle drei Jahre wird ein Drittel des Richtergremiums neu gewählt.
Neben der Wahl des Präsidenten wurden gestern fünf neue Richter vereidigt: Stanislaw Pawlak (Polen), Shunji Yanai (Japan), Helmut Türk (Österreich), James Kateka (Tansania) und Albert Hoffmann (Südafrika). Die Wahl erfolgte bereits am 22. Juni 2005. Ihre Amtszeit beträgt neun Jahre.
| [
"ISGH",
"Rüdiger Wolfrum"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Seegerichtshof",
"text": "Internationaler Seegerichtshof Hamburg (ISGH)\nStand: Juni 2002\nZusammensetzung und Zuständigkeiten\nSitz des ISGH\nArbeitsaufnahme\nZusammensetzung und Zuständigkeiten Der Internationale Seegerichtshof (ISGH) mit Sitz in Hamburg wurde auf der Grundlage des Seerechtsübereinkommens (SRÜ) der Vereinten Nationen vom 10. Dezember 1982 (in Kraft getreten am 16.11.1994) geschaffen. Dem Gericht gehören 21 Richter an. Sie werden auf neun Jahre gewählt. Ihr Mandat ist erneuerbar. Alle drei Jahre wird ein Drittel des Richtergremiums neu gewählt. Am 01.August 1996 fand in New York die erstmalige Wahl der Richter des Gerichtshofs durch die Vertragsstaaten statt. Im Mai 1999 und April 2002 wurde ein Drittel der Richter neu gewählt, darunter der deutsche Richter Prof. Rüdiger Wolfrum (bis 2008). Bei der Zusammensetzung des Gerichtshofs sind eine Vertretung der hauptsächlichen Rechtssysteme der Welt und eine gerechte geographische Verteilung zu gewährleisten. Der ISGH ist zentraler Bestandteil eines umfassenden Streitbeilegungssystems, dem sich die Vertragsstaaten für alle zwischen ihnen entstehenden Streitigkeiten über Auslegung oder Anwendung des SRÜ unterworfen haben. Er besitzt in einigen Fällen ausschließliche Zuständigkeiten, etwa bei bestimmten Streitigkeiten im Meeresbodenbergbau, für welche eine eigene \"Kammer für Meeresbodenstreitigkeiten\" vorgesehen ist. Parteien am Verfahren können hier nicht nur Staaten oder internationale Organisationen, sondern auch natürliche und juristische Personen sein. Auch bei Dringlichkeitsverfahren zur sofortigen Freigabe eines von einem anderen Staat zurückgehaltenen Schiffes besteht, falls die beteiligten Staaten sich nicht binnen zehn Tagen einigen können, eine ausschließliche und bindende Gerichtsbarkeit. Das \"Statut des Internationalen Seegerichtshofs\" ist als Anlage VI Teil des SRÜ veröffentlicht. Sitz des ISGH Am 21. August 1981 bestimmte die III. VN-Seerechtskonferenz Hamburg zum Sitz des ISGH. Art. 1 Abs. 2 der Anlage VI SRÜ lautet daher: \"Der Gerichtshof hat seinen Sitz in der Freien und Hansestadt Hamburg in der Bundesrepublik Deutschland\". Das Bundeskabinett beschloss 1986, für den ISGH ein Dienstgebäude auf einem bundeseigenen Grundstück in Hamburg zu errichten und einschließlich Inneneinrichtung unentgeltlich zur Verfügung zu stellen. Am 18. Oktober 1996 erfolgte die Grundsteinlegung des Neubaus, der am 3. Juli 2000 im Beisein des Generalsekretärs der VN dem ISGH übergeben wurde. Die Kosten für Bau und Inneneinrichtung betrugen über DM 123 Mio (80% Bund, 20% Hamburg). Am 18. Oktober 2000 wurde ein Liegenschaftsabkommen abgeschlossen. Im November 2000 hat der ISGH das neue Gebäude bezogen. Deutschland bringt mit seinem Engagement für den ISGH seine Bereitschaft zum Ausdruck, internationale Verantwortung zu übernehmen und zeigt sein starkes Interesse an einer erfolgreichen Arbeit der VN und am Ausbau des Systems friedlicher Streitbeilegung. Arbeitsaufnahme Der ISGH hat seinen internen Aufbau abgeschlossen und inzwischen in mehreren seerechtlichen Streitfällen Entscheidungen getroffen. Dabei ging es um ein breites Spektrum von Rechtsfragen, überwiegend im Zusammenhang mit der sofortigen Freigabe von Schiffen, die wegen des Vorwurfs der illegalen Fischerei festgehalten wurden.",
"url": "http://www.auswaertiges-amt.de/www/de/aussenpolitik/vn/voelkerrecht/seerecht/isgh_html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20040224040516/http://www.auswaertiges-amt.de/www/de/aussenpolitik/vn/voelkerrecht/seerecht/isgh_html"
}
] |
de | Saab kann Löhne und Gehälter nicht mehr zahlen |
Der schwedische Autohersteller steht möglicherweise vor dem Aus. Löhne und Gehälter für die Beschäftigten können zurzeit nicht gezahlt werden, erklärte das Unternehmen am Donnerstag.
Spekulationen über eine mögliche Insolvenz des Unternehmens wurden indes von Saab dementiert. Wie es hieß, suche man nach einer Lösung für das Problem. Gestern waren Verhandlungen mit Zulieferern des Unternehmens gescheitert, in denen Saab versucht hatte, diese zu einer Zustimmung zur Stundung der fälligen Zahlungen zu bewegen. Laut Medienberichten hat der angeschlagene schwedische Autobauer bei Zulieferern Schulden in Höhe von 50 Millionen Euro.
In der Fabrik in Trollhättan stehen 3700 Arbeitsplätze auf dem Spiel. Seit Monaten stagniert die Produktion. Im ersten Quartal des laufenden Jahres waren insgesamt nur 10.000 Fahrzeuge vom Band gerollt.
| [
"Themenportal Wirtschaft",
"Themenportal Arbeit und Soziales",
"Themenportal Europa",
"Themenportal Schweden",
"Wirtschaft in Schweden",
"Saab Automobile"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Saab kann die Löhne nicht mehr zahlen",
"text": "23. Juni 2011, 11:48, NZZ Online\nSaab kann die Löhne nicht mehr zahlen\nGerüchte über Insolvenzantrag des schwedischen Autobauers\nDer schwedische Autobauer Saab kann die Löhne seiner Mitarbeiter nicht mehr bezahlen. Man bemühe sich derzeit in Verhandlungen, das Problem zu lösen, teilte das Unternehmen mit. Spekulationen über einen baldigen Insolvenzantrag werden dementiert.\n(dpa/ddp) Der angeschlagene Autohersteller Saab hat kein Geld mehr für Löhne und Gehälter. Wie das schwedische Unternehmen in Trollhättan mitteilte, können die fälligen Monatsgelder für die Beschäftigten nicht ausgezahlt werden. Weiter hiess es, dass Verhandlungen über eine schnelle Lösung des Problems geführt würden, der Erfolg aber unsicher sei.\nAm Vorabend waren Verhandlungen mit 800 Zulieferern über eine Stundung von Saab-Schulden gescheitert. Die Produktion im westschwedischen Trollhättan mit 3700 Beschäftigten steht seit mehreren Wochen mit kurzen Ausnahmen still.\nVor der Insolvenz?\nIn den Medien wird derzeit über einen angeblich bevorstehenden Insolvenzantrag spekuliert. Nach Angaben des Saab-Sprechers Eric Geers droht keine Insolvenz. «Wir sagen, dass wir derzeit keine Finanzierung haben, um die Löhne zu zahlen, aber wir arbeiten Tag und Nacht, um eine Lösung zu finden», erklärte Geers. «Wir gehen davon aus, dass wir eine Lösung finden werden.» Er konnte nicht sagen, wann die Mitarbeiter wieder Geld bekommen.\nAnzeige:\nDer niederländische Saab-Eigentümer Swedish Automobile (früher Spyker Cars) will das langfristige Überleben des Unternehmens durch Kapital des chinesischen Autoherstellers Zhejiang Youngman Lotus und des Autogrosshändlers Pang Da sichern. Beide haben zusammen 245 Millionen Euro als neue Teileigentümer zugesagt, dazu aber bisher nur eine Absichtserklärung unterzeichnet. Bemühungen um kurzfristige Gelder durch Verkauf der Saab-Anlage sind erfolglos geblieben.\nBeim Hersteller von Autos für gehobene Ansprüche sind im ersten Quartal nur 10'000 Wagen und im zweiten fast keine mehr vom Band gerollt. Auch vor dem Verkauf durch den US-Konzern General Motors an den jetzigen niederländischen Eigentümer Anfang 2010 hatte Saab mit jährlichen Produktionszahlen um 100'000 zu den kleinsten Serien-Herstellern in Europa gehört.\nCopyright © Neue Zürcher Zeitung AG\nAlle Rechte vorbehalten. Eine Weiterverarbeitung, Wiederveröffentlichung oder dauerhafte Speicherung zu gewerblichen oder anderen Zwecken ohne vorherige ausdrückliche Erlaubnis von NZZ Online ist nicht gestattet.",
"url": "http://www.nzz.ch/nachrichten/wirtschaft/aktuell/saab_kann_die_loehne_nicht_mehr_zahlen_1.11026567.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20110624213747/http://www.nzz.ch/nachrichten/wirtschaft/aktuell/saab_kann_die_loehne_nicht_mehr_zahlen_1.11026567.html"
},
{
"language": "en",
"title": "Business & Financial News, U.S & International Breaking News",
"text": "Biden sends unofficial delegation to Taiwan in 'personal signal'\nWASHINGTON (Reuters) -Former U.S. Senator Chris Dodd and former Deputy Secretaries of State Richard Armitage and James Steinberg headed to Taiwan on Tuesday at President Joe Biden's request, in what a White House official called a \"personal signal\" of the president's commitment to the Chinese-claimed island and its democracy.",
"url": "http://de.reuters.com/article/companiesNews/idDEBEE75M09H20110623",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20210414034454/https://www.reuters.com/?edition-redirect=de"
},
{
"language": "de",
"title": "Bei Saab wird es eng: Kein Geld mehr für Löhne",
"text": "--\nEgal ob Lyrik oder Prosa, zur Dichtkunst gehören Stift und Papier, so wie zur Erotik nicht Unterhosen, sondern Dessous gehören. Trotzdem gibt es überall die elenden Tastaturen, die an Computern, auf Mobiltelefonen und in digitalen Denkbrettern wohnen. Doch die Poeten wissen sich zu helfen. Von Kurt Kister",
"url": "http://newsticker.sueddeutsche.de/list/id/1170722",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20110626191016/http://newsticker.sueddeutsche.de/list/id/1170722"
}
] |
en | Skype launches "Unlimited" monthly service to change communication style |
Skype "Unlimited" Monthly Service Press Conference in Taiwan.
Monday, Luxembourg-based Skype Limited announced a new monthly service plan called "Unlimited". It's expected that the service will bring on different opportunities for mobile users and change style on communications.
As of Skype Limited, this "Unlimited" monthly service with no long-term contract is designed for different kind users from 34 countries. There are three main services, "Unlimited Country" for local landline call by user's choice, "Unlimited World" to communicate with 34 countries globally, and exclusivity services for different continents in Europe, Asia, and North America.
In a launch press conference in Taiwan yesterday, Robert Lo, Vice President of PChome Online, commented this new service to media in Taiwan and said: "After the WiMAX technology was progressively accepted in public world-wide, the population of Skype will be more improved."
| [
"World",
"Computing",
"Internet",
"Science and technology",
"Skype",
"Economy and business"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Skype announces unlimited long-distance calls to over a third of the world's population",
"text": "Luxembourg, 21st April, 2008 – Skype announced unlimited* calling today to over a third of the world’s population with the launch of its new calling subscriptions. The new subscriptions signal the first time Skype has offered a single, monthly flat rate for international calling to landline numbers in 34 countries.\nThe new subscriptions have no long-term contract. You can make calls whenever you want – at any time of the day, on any day of the week. From today, you can choose from three types of subscription – from unlimited calls to landlines in the country of your choice through to landlines in 34 destination countries worldwide.\nStefan Oberg, VP & GM telecoms at Skype said, “This move is a natural step for Skype. Skype was founded on the principle of making free voice and video calls available to people all around the world. And now we’re making it even easier for the Skype community to call their friends and family who are not yet on Skype. Our subscriptions give people an easy, hassle-free choice for how and when they want to catch up with their loved ones.”\nOberg continued, “For example if you live in London, for just €2.95 a month, you can call your grandmother in Poland, whenever you like, talk for up to six hours at a time, and not worry about how much it’s costing you. Your grandmother doesn’t need to understand the internet. You just use your Skype subscription to make the call and she just picks up the phone. And if you have friends and family spread over the world, you can reach them all for as little as €8.95 a month. When you combine the free features Skype is known for – from instant messaging to conference calling to video calls – with our subscriptions, it’s hard to find a better alternative.”\n309 million people all over the world use Skype in all sorts of ways – whether it’s a weekly video call with a sister in Paris or sending an instant message to a college friend in Tokyo or calling a business contact overseas.\nTo purchase a subscription, simply go to skype.com/go/subscriptions for more details. If you purchase one of the new subscriptions for a 3-month or 12-month period before June 1st 2008, you will receive a further 33% discount.\nAbout Skype’s calling subscriptions:\nSkype users around the world can choose to subscribe to any one of the following calling subscriptions based on their individual calling needs:\nYou will only pay one flat monthly fee. There are no hidden costs or additional connection charges.\nIn parallel with our new subscriptions, Skype continues to offer its Pay As You Go option. Put as little as €10 on your Skype account and you can call whoever you want, whenever you want at very low rates.\n*Unlimited calling: all calls are subject to Skype’s fair usage policy which is set at 10,000 minutes per month (which equates to more than 5 hours of calling per day). Calls to premium, non-geographic and other special numbers are excluded.\nAbout Skype\nMillions of people every day use Skype software to communicate with others through free voice and video calls, as well as instant messages. Skype’s 309 million registered users have made more than 100 billion minutes worth of free Skype-to-Skype calls. Many people also use SkypeOut™ or one of our global subscriptions to save money when calling landlines and mobiles at home and abroad. No longer bound to the computer, Skype conversations can also be had on a broad range of cordless handsets, mobile devices and other Skype Certified™ hardware. We’ve made it easy for Skype users to list and recommend their favourite local businesses to the rest of the community with SkypeFind. And even when you’re fluent in Skype, there is always more to discover: hundreds of third-party developers have created software plug-ins that make Skype even more useful. All of this makes Skype the leading global internet communications company.\nSkype is an eBay company (NASDAQ: EBAY), and you can learn more and get Skype at www.skype.com.\nAccess to a broadband Internet connection is required for Skype and all Skype Certified devices and accessories. Skype is not a replacement for your traditional telephone service and cannot be used for emergency calling.\nSkype, SkypeIn, SkypeOut, Skype Me, Skype Certified, Skypecasts, associated logos and the “S” symbol are trademarks of Skype Limited.",
"url": "http://about.skype.com/2008/04/skype_announces_unlimited_long.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080422140105/http://about.skype.com/2008/04/skype_announces_unlimited_long.html"
},
{
"language": "en",
"title": "Skype offers unlimited long-distance service from $2.95",
"text": "Skype offers unlimited long-distance service from $2.95\nGillian Shaw, Vancouver Sun Published: Tuesday, April 22, 2008\nInternet long-distance provider Skype announced Monday a flat-rate service that will let users call land lines around the world for only a few dollars a month.\nFor Canadians that translates to $2.95 a month for unlimited long-distance calls to landlines and cellphones across Canada and the United States. The company defines unlimited as 10,000 minutes a month, or the equivalent of five hours of talking each day.\nFor $9.95 a month, Canadians will be able to call people on their landlines in 34 countries, and for $5.95 they can make unlimited calls to landlines in Mexico City, Guadalajara, and Monterrey.\nIt's the latest price offering in an industry where the lucrative profits of long-distance calling have long since disappeared, and where Skype, a pioneer of Internet phone service that is now owned by eBay, is struggling to make money on what has largely been a free service among Internet users.\n\"It's getting to be almost near impossible to make money out of this long-distance business because the margins are so slim and the volumes that you require -- in terms of minutes of calling -- are so great that only the specialists are remaining in the market, Skype being one of them,\" said Eamon Hoey, a telecommunications consultant with the firm Hoey Associates. \"If you look at the telephone companies, they have almost lost total interest in this market.\n\"They are not very competitive with most of what you've got out there, and I think they are just trying to harvest what they have. They're trying to maximize their revenue and their margins within a declining market.\"\nSkype, which was acquired by eBay in 2005 in a $2.6-billion US stock and cash deal, has failed to generate revenue to justify the price tag, and caused eBay to take a $1.4-billion charge on its books last fall in relation to the deal.\nIts announcement Monday marked the first time Skype has offered subscriptions giving users a flat monthly rate for calling landline numbers in 34 countries. The subscriptions come with various options, from unlimited calls to landlines in the country a user chooses, to unlimited calls to landlines in the 34 countries.\n\"This move is a natural step for Skype. Skype was founded on the principle of making free voice and video calls available to people all around the world,\" said Stefan Oberg, vice president and general manager telecoms at the Luxembourg-based Skype. \"And now we're making it even easier for the Skype community to call their friends and family who are not yet on Skype.\n\"Our subscriptions give people an easy, hassle-free choice for how and when they want to catch up with their loved ones,\" Oberg said in a release announcing the new subscription service.\nHoey said Skype's new subscription service isn't likely to impact long-distance rates in Canada.\n\"You get a price decline because somebody in the market has pricing power, and Skype does not have pricing power,\" he said. \"I don't think Skype has the capability within the market, certainly not within the Canadian market, to dictate price.\"",
"url": "http://www.canada.com/vancouversun/news/business/story.html?id=8280f134-a7c0-45a6-b27e-1829a7def46b",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080426023247/http://www.canada.com/vancouversun/news/business/story.html?id=8280f134-a7c0-45a6-b27e-1829a7def46b"
}
] |
de | Türkischer Hochschulratspräsident gab französische Auszeichnung zurück |
Der türkische Hochschulratspräsident, Dr. Erdoğan Teziç, hat die Auszeichnung „Commandeur de la Légion d'Honneur“, die ihm am 17. Juli 2004 vom französischen Präsidenten Jacques Chirac erteilt wurde, zurückgegeben. Als Grund für die Rückgabe nannte Erdoğan Teziç die Verabschiedung des Gesetzes, das die Leugnung des armenischen Genozides unter Strafe stellt (ein Jahr Haft, 45.000 Euro Strafzahlung).
Im Brief, den Teziç an Jacques Chirac geschickt hat, erklärt er: „Sehr geehrter Herr Präsident, aus Aussagen ist ersichtlich, dass dieses Gesetz von gewissen Parlamentariern unterstützt wird, nicht jedoch von der französischen Regierung. Aber durch Ihren Staatsbesuch vor kurzer Zeit in Armenien, bei dem Sie die Türken des Völkermordes an den Armeniern bezichtigten, ist ersichtlich, dass dieses Thema französische Staatspolitik ist.“
Die Auszeichnung, die von der französischen Ehrenlegion (Légion d'honneur) verliehen wird, wird als höchste Auszeichnung in Frankreich angesehen. Weiter ist es in der Geschichte sehr selten vorgekommen, dass der Orden nicht akzeptiert oder zurückgegeben wurde.
Aber auch die EU-Kommission kritisierte die Art und Weise, wie das Gesetz verabschiedet wurde, scharf: So sagte Olli Rehn, EU-Erweiterungskommissar: „Man kann der türkischen Bevölkerung nicht ein Gesetz vorknallen und damit jede Diskussion beenden.“
Erkki Tuomioja, Präsident des Rats der Europäischen Union: „Die Verabschiedung eines Gesetzes, das die Verleumdung des armenischen Genozides unter Strafe stellt, ist idiotisch. Es obliegt nicht Parlamenten oder Regierungen, solche geschichtlichen Themen in Gesetze einzubinden und sich damit einzumischen.“
| [
"Themenportal Politik",
"Themenportal Europa",
"Themenportal Türkei",
"Themenportal Frankreich",
"Themenportal Armenien",
"Themenportal Europäische Union",
"Völkermord",
"Jacques Chirac",
"Veröffentlicht"
] | [
{
"language": "tr",
"title": "'Karar aptalca' - 16 Ekim, 2006",
"text": "Finler Paris'e tepkili: 'Karar aptalca'\n16 Ekim, 2006 11:26:00 (TSİ)\nKullanıcı Yorumları hakan baltacı\nMİSAFİR UMDUĞUNU DEĞİL.... 16.10.2006 17:26:53 BENCE ÇOK ŞEY UMUYORSUNUZ.BİZİM ÜLKEMİZİ VE MİLLETİMİZİ GEÇMİŞ+BELGELENEMEMİŞ SÖZDE SOYKIRIM YALANLARLA MAHKUM ETMEYE ÇALIŞMANIZ.. Devam »»\nADnet Reklamları\nTuomioja, virtual.finland.fi adlı internet sitesinde yayımlanan açıklamasında, parlamentoların ve hükümetlerin, tarihi gerçeklere dayansın veya dayanmasın, yasallaştırarak bu konuya dahil olmalarını doğru bulmadığını ifade etti.Tuomioja, Fransız meclisinin kabul ettiği kararın, Türkiye'deki milliyetçi çevrelere güç kazandıracağını kaydetti.Finlandiya Dışişleri Bakanı, \"karar için aptalca dememin ve bir an önce geri çekilmesini ummamın, Türkiye'deki Ermenilere olanlarla hiçbir ilgisi yok. Şahsen, geçmişte olanları tarif etmek için 'soykırım'ın doğru kelime olduğunu düşünüyorum ve aynı zamanda Türkiye'nin bunu kabul etmeye hazır olmasını umuyorum\" dedi.Fransa Meclisi Genel Kurulu, Sosyalist Parti'nin sunduğu 'Ermeni soykırımı'nı inkarın suç sayılmasını öngören yasa teklifini 12 ekimde kabul etti. Teklif, 'soykırım'ı inkar edenler hakkında 1 yıl hapis ve 45 bin euroya kadar para cezası öngörüyor.Yasa teklifi 19'a karşı 106 oyla kabul edildi. Teklifin yasalaşması için Senato'nun da onayı gerekiyor. Yasa teklifinin Senato'ya götürülme kararı ise hükümetin elinde bulunuyor.Genel Kurul'da, Patrik Deveciyan'ın 'Ermeni soykırımı'nı reddetmenin suç sayılmasını öngören yasa teklifine ilişkin olarak verdiği, bilim adamları ve tarihçilerin çalışmalarının yasanın yaptırımlarından muaf tutulmasına ilişkin değişiklik önergesi ise reddedildi.",
"url": "http://www.cnnturk.com/DUNYA/haber_detay.asp?PID=319&HID=2&haberID=246743",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070225063616/http://www.cnnturk.com/DUNYA/haber_detay.asp?PID=319&HID=2&haberID=246743"
},
{
"language": "de",
"title": "\"Vergesst Frankreich, wir haben Pamuk\"",
"text": "Ankara verurteilt französisches Gesetz zum Genozid an den Armeniern\n\"Bumerang für Frankreich\", titelte die größte türkische Tageszeitung Hürriyet in ihrer Wochenendausgabe und gibt damit ziemlich exakt das Empfinden der türkischen Regierung und der politischen Eliten wieder. Befriedigt zitiert Hürriyet fast alle großen englischen, amerikanischen und französischen Zeitungen, die das Gesetz der Volkskammer, die \"Leugnung des Völkermordes an den Armeniern im Osmanischen Reich\", mit einem Jahr Haft bestrafen zu wollen, für überflüssig, kontraproduktiv und schädlich halten.\nIn ungewöhnlich scharfer Form hatte auch die EU-Kommission das Gesetz verurteilt. \"Man kann der türkischen Bevölkerung nicht ein Gesetz vorknallen und damit jede Diskussion beenden\", hatte EU-Erweiterungskommissar Olli Rehn die Entscheidung bereits am letzten Freitag sarkastisch kommentiert. Angesichts der massiven Kritik beeilte sich denn auch die französische Regierung zu betonen, dass sie das Vorgehen des Parlaments ablehnt. Vielleicht, so hoffen nun viele Beobachter in der Türkei, wird die Regierung das Gesetz deshalb vor der Präsidentschaftswahl gar nicht mehr an den Senat weiterleiten und es danach in der parlamentarischen Warteschleife versanden lassen.\nDie Empörung über die Entscheidung in Frankreich war in der Türkei schon am Donnerstag von der Nachricht über die Verleihung des Nobelpreises an Orhan Pamuk überlagert. \"Vergesst Frankreich, wir haben Pamuk\", jubelte der Chefredakteur der linksliberalen Radikal, Ismet Berkhan.\nMeinungsfreiheit\nErfreut hat die Türkei auch registriert, dass auch Orhan Pamuk meinte, er sei enttäuscht, dass aus dem Land der Meinungsfreiheit ein Gesetz komme, dass jede Diskussion verbiete. Dieser Auffassung schloss sich gestern auch die Schriftstellerin Elif Safak an, die kürzlich wegen ihres letzten Romans, der genau die armenische Tragödie zum Thema hat, vor Gericht stand und - wie Pamuk zuvor - freigesprochen worden war.\nDennoch befasste sich das Parlament in Ankara am Dienstag auf einer Sondersitzung damit, wie man nun auf die \"französische Provokation\" reagiert: Das türkische Volk müsse sich für seine Geschichte nicht schämen, hieß es in der gemeinsamen Abschlusserklärung der Abgeordneten in Ankara. Von Plänen einiger Abgeordneter, nun im Gegenzug die französischen Massaker in Algerien zum Völkermord zu erklären, ist man aber längst wieder abgerückt. Übrig bleiben wird wohl die Stornierung eines Kaufs französischer Kampfhubschrauber und der Ausschluss vom Bieterverfahren für ein geplantes Atomkraftwerk. (APA/Jürgen Gottschlich aus Istanbul, DER STANDARD, Printausgabe 16.10.2006)",
"url": "http://derstandard.at/?url=/?id=2624933",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20160413221127/http://derstandard.at/2624933/Vergesst-Frankreich-wir-haben-Pamuk"
}
] |
pl | 2010-10-17: Zmarł twórca fraktali |
Benoît Mandelbrot w 2007 r.
W czwartek, 14 października w Cambridge w stanie Massachusetts zmarł amerykański matematyk polskiego pochodzenia '''Benoit Mandelbrot''', w wieku 85 lat, znany jako twórca tzw. geometrii fraktalnej.
| [
"Ameryka Północna",
"Nauka",
"Nekrologi 2010|Mandelbrot Benoit",
"Świat",
"USA",
"Matematyka"
] | [
{
"language": "pl",
"title": "Śmierć wybitnego matematyka, imigranta z Polski",
"text": "Był on twórcą tzw. geometrii fraktalnej, opisującej nieregularne kształty występujące w przyrodzie, takie jak linia brzegowa, zbocza górskie, i systemy komórkowe. Fraktale w najogólniejszym znaczeniu to interpretacja graficzna równań i ciągów uchodzących poprzednio za całkowicie abstrakcyjne i nie mające odniesień do rzeczywistości.\nJak wykazał Mandelbrot, powinny one być przedmiotem badań i mają zastosowania w wielu dziedzinach praktycznych. Jedną z nich była m.in. grafika komputerowa.\nBenoit Mandelbrot urodził się w Warszawie 20 listopada 1924 roku w rodzinie litewskich Żydów. W 1936 roku wyemigrował z rodzicami do Francji, gdzie studiował w Ecole Polytechnique w Paryżu. Po wojnie wyjechał do USA. Pracował w centrum badawczym im. Watsona w Nowym Jorku, wykładał na Uniwersytecie Harvarda, w Massachusetts Institute of Technology, a od 1987 roku był profesorem na Uniwersytecie Yale.\n- Jeśli mówimy o wpływie w matematyce i jej zastosowaniach w naukach ścisłych, Mandelbrot był jedną z najważniejszych postaci ostatnich 50 lat - powiedział o zmarłym profesor matematyki z Uniwersytetu w Bremie, Heinz-Otto Peitgen, cytowany w artykule wspomnieniowym w niedzielnym \"New York Timesie\".",
"url": "http://wiadomosci.onet.pl/swiat/smierc-wybitnego-matematyka-imigranta-z-polski,1,3736203,wiadomosc.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20101020093440/http://wiadomosci.onet.pl/swiat/smierc-wybitnego-matematyka-imigranta-z-polski,1,3736203,wiadomosc.html"
}
] |
de | Duisburg: Größte Moschee Deutschlands eingeweiht |
Moschee in Duisburg-Marxloh (Foto vom 29.03.2007)
Mehr als 10.000 Menschen wohnten der feierlichen Eröffnung einer Moschee im Duisburger Stadtteil Marxloh am heutigen Sonntag bei. Der Ministerpräsident Nordrhein-Westfalens, Jürgen Rüttgers (CDU), nannte den Bau der Duisburger Moschee in einer Rede anlässlich der Eröffnung ein gutes Projekt; die Moschee sei eine Begegnungsstätte, in der Menschen ins Gespräch kämen. Das Konzept der Duisburger Moschee beruhe auf Offenheit und auf Begegnungen zwischen den Kulturen und Religionen. Im Gegensatz zu dem Bau von Moscheen in anderen deutschen Städten – so zuletzt in Köln – hatte es im Vorfeld des Baus der Moschee in Duisburg keine heftigen Debatten oder gar organisierten Widerstand gegen den Bau gegeben. Mehmet Özay, Vorstandsvorsitzender der Merkez-Moschee, erklärte dies damit, dass in Duisburg bei der Planung der Moschee Bürger, benachbarte Kirchengemeinden und gesellschaftliche Gruppen einbezogen worden seien. So stand die heutige Einweihungsfeier unter dem Motto „Begegnung der Kulturen“.
Mit einer Kuppelhöhe von 23 Metern und mit Minaretts, die 34 Meter hoch sind, gehört die Duisburger Moschee zu den größten Moscheen in Deutschland. Die Moschee bietet Platz für 1.400 Menschen.
Eine skeptische Sicht des Neubaus gab es jedoch auch in Duisburg, worauf Geistliche hinwiesen. So könne die konsequent an osmanischen Vorbildern orientierte Architektur als Hinweis auf die „Sehnsucht nach der Türkei“ vieler in Deutschland lebender gläubiger Muslime verstanden werden. Auch Rüttgers hatte in seiner Eröffnungsrede auf die Notwendigkeit der Integration in Deutschland lebender Muslime hingewiesen: „Wir haben mit 40 Jahren Integrationspolitik beispielhaft versagt, wenn ein 70-Jähriger, der als junger Mann nach Deutschland gekommen ist, kaum Deutsch spricht.“
Auch von einem Schriftsteller, Ralph Giordano, der in Bezug auf den Vorwurf „fremdenfeindlich“ zu sein als unverdächtig gelten kann (Giordano hatte eine jüdische Mutter und war selbst Opfer von Diskriminierung und Verfolgung während der Zeit der Nazi-Diktatur in Deutschland), kamen mahnende Worte. In einem Beitrag für die Welt am 24. Oktober warnte der Schriftsteller vor der Fortsetzung des Baus von repräsentativen Großmoscheen in Deutschland. Den Bau der Duisburger Moschee nannte er einen „verräterischen Schritt zu weit nach vorn, ein Zeichen tief integrationsfeindlicher Identitätsbewahrung“. Nach dem Willen der türkischen Religionsbehörde sei der Bau weiterer 200 muslimischer Sakralbauten geplant. Es werde Zeit, so Giordano weiter, „dass sich die Öffentlichkeit an der Seite kritischer Muslime daranmacht, die Hypothek deutscher Umarmer, Gutmenschen vom Dienst, Multikulti-Illusionisten, Sozialromantiker und Beschwichtungsprofis zu überwinden“. Bislang sei der Islam den Beweis schuldig geblieben, „dass er mit Demokratie, Meinungsvielfalt, Pluralismus und Gleichstellung der Frau vereinbar ist“.
| [
"Themenportal Kultur",
"Themenportal Politik",
"Themenportal Deutschland",
"Themenportal Nordrhein-Westfalen",
"Kultur in Deutschland",
"Politik in Deutschland",
"Politik in Nordrhein-Westfalen",
"Themenportal Religion",
"Islam",
"Islam in Deutschland",
"Jürgen Rüttgers",
"Ralph Giordano",
"Moschee"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Stoppt den Bau der Großmoscheen!",
"text": "Stoppt den Bau der Großmoscheen!\nAm Wochenende wird im Duisburg die größte Moschee Deutschlands eröffnet. Der Schriftsteller fordert einen Baustopp für solch repräsentative Bauwerke.\nAm 26.Oktober 2008 soll in Duisburg die bisher größte Moschee auf deutschem Boden eröffnet werden – ein Anspruch auf Macht und Einfluss, ein verräterischer Schritt zu weit nach vorn, ein Zeichen tief integrationsfeindlicher Identitätsbewahrung. Zwischen der viel beschworenen Hinterhofmoschee und zentralen Großmoschee hätte es viele Abstufungen ohne den Abschreckungseffekt des Duisburger Modells gegeben.\nDas aber ist nur die Ouvertüre, sollen nach dem Willen der türkischen Religionsbehörde in Ankara, Dyanet, doch weitere 200 muslimische Sakralbauten in der Bundesrepublik mit ähnlichen Dimensionen folgen.\nGegen diese Pläne, die Deutschland in eine Plantage von Großmoscheen verwandeln würden, rufe ich zum öffentlichen Widerstand auf! Wie auch gegen die erschreckende Blindheit und den Opportunismus der politischen Klasse gegenüber den unübersehbaren Zeichen einer schleichenden Islamisierung.\nViele der bereits bestehenden über 2000 muslimischen Gebetshäuser sind sogenannte Fathi-Moscheen, das heißt benannt nach osmanischen Eroberern und Unterdrückern wie Mehmet oder Suleiman – und nicht nach muslimischen Künstlern, Wissenschaftlern oder Dichtern.\nSolange der Islam den Beweis schuldig bleibt, dass er mit Demokratie, Meinungsvielfalt, Pluralismus und Gleichstellung der Frau vereinbar ist, so lange spiegeln Megamoscheen in Deutschland nicht die Wirklichkeit der Migrations- und Integrationsproblematik wider.\nMeine Einmischung in diesen Konflikt richtet sich nicht, wie mir immer wieder unterschoben wird, gegen die Muslime in Deutschland – würde das doch eine Homogenität vortäuschen, die die Verbandsfunktionäre fälschlicherweise immer wieder reklamieren. Meine Einmischung richtet sich vielmehr gegen alle, die ein anderes als das demokratische Deutschland im Sinne haben. Es wird Zeit, dass sich die Öffentlichkeit an der Seite kritischer Muslime daranmacht, die Hypothek deutscher Umarmer, Gutmenschen vom Dienst, Multikulti-Illusionisten, Sozialromantiker und Beschwichtungsprofis zu überwinden. Wo sind wir denn, dass wir in die Knie gehen vor jenen offenbar jederzeit abrufbaren Zorn- und Empörungskollektiven zwischen Istanbul und Jakarta, wie sie uns durch den Streit um die dänischen „Mohammed“-Karikaturen so drastisch vor Augen geführt worden sind?\nDer Stopp von Großmoscheebauten wäre ein erster Schritt auf dem Weg zu einem gedeihlichen Verhältnis zwischen Mehrheitsgesellschaft und türkisch dominierter muslimischer Minderheit.\nEine Alternative dazu gibt es nicht.",
"url": "http://www.debatte.welt.de/kommentare/95386/stoppt+den+bau+der+grossmoscheen",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20081026172530/http://debatte.welt.de/kommentare/95386/stoppt+den+bau+der+grossmoscheen#comment-95595"
},
{
"language": "de",
"title": "Duisburg: Rüttgers für mehr Moscheen in NRW",
"text": "zuletzt aktualisiert: 26.10.2008 - 17:13\nDuisburg (RPO) Weit über 10.000 Menschen kamen am Sonntag nach Duisburg-Marxloh, um bei der Eröffnungsfeier einer der größten Moscheen in Deutschland teilzunehmen. Ihre Vertreter wie auch Ministerpräsident Jürgen Rüttgers sprachen von einer Stätte der Begegnung. \"Wir sind voll und ganz angekommen in Duisburg, in Nordrhein-Westfalen, in Deutschland\", sagte Mehmet Özay, Vorstandsvorsitzender der Merkez-Moschee. Rüttgers betonte: \"Wir brauchen mehr Moscheen in unserem Land, nicht in den Hinterhöfen, sondern sichtbar.\nDie Verbindung von Vernunft und Religion, die Trennung von Staat und Religion, die Religionsfreiheit und die Pflicht zur Achtung des anderen Glaubens seien notwendige Voraussetzungen für ein friedliches Zusammenleben, sagte Rüttgers in seiner Rede. \"Das wird leichter sein, wenn endlich der Wunsch als berechtigt angesehen wird, dass bei uns Moscheen gebaut werden.\" Das Konzept in Duisburg beruhe auf Offenheit und auf Begegnungen zwischen den Kulturen und Religionen.\nRüttgers sprach aber auch davon, dass es bislang zu wenig Miteinander gebe. \"Wir haben mit 40 Jahren Integrationspolitik beispielhaft versagt, wenn ein 70-Jähriger, der als junger Mann nach Deutschland gekommen ist, kaum Deutsch spricht.\" Gemeinsame Aufgabe von Muslimen und Nicht-Muslimen sei es heute, das Verbindende zu sehen und sehen zu wollen, sagte der Regierungschef. Die Frage nach der Vereinbarkeit von Demokratie und Islam müsse nicht nur gestellt, sondern auch beantwortet werden. Eine Begegnungsstätte, in der Menschen ins Gespräch kommen, sei daher gutes Projekt.\nStätte der Begegnung\nÖzay sagte, die Muslime lebten nicht provisorisch in Duisburg, sondern seien hier zu Hause. Die Moschee sei kein Symbol der Ausgrenzung, sondern der menschlichen, religiösen, kulturellen und gesellschaftlichen Zuwendung, betonte Özay. Die Eröffnungsfeier stand unter dem Motto \"Begegnung der Kulturen\". Die Moschee solle eine Stätte des Gebets, der Begegnung und einer guten gemeinsamen Zukunft sein, hieß es im Eröffnungsgebet.\nVor dreieinhalb Jahren hatte der Bau der Merkez-Moschee begonnen. Die Kuppelhöhe misst 23 Meter, das Minarett ist 34 Meter hoch. Elif Saat, Vorstandsvorsitzende der Ditib Bildungs- und Begegnungsstätte, sprach auf der Eröffnungsfeier von dem \"kleinen Wunder Marxloh\". Aus der Sehnsucht nach einer Moschee sei ein einzigartiges Projekt geworden: eine Moschee mit einer angegliederten interreligiösen und interkulturellen Begegnungsstätte.\nAnders als beispielsweise in Köln hatte es keine Proteste und hitzige Debatten gegeben. Özay erklärte dies damit, dass von Anfang an Bürger, benachbarte Kirchengemeinden und gesellschaftliche Gruppen einbezogen worden seien. Auf den Ruf des Muezzins hat die Ditib-Gemeinde verzichtet - aus Rücksicht auf die Bewohner.\n\"Wir wollen Islam und Modernität\"\nDer Präsident des Amtes für religiöse Angelegenheiten der Türkei, Ali Bardakoglu, sagte in seiner Rede, die Moschee in Duisburg sei ein schönes Beispiel für die ganze Menschheit und werde sicher in der Türkei ein positives Echo finden. \"Wir wollen Islam und Modernität, Islam und Demokratie und Islam und Fortschritt.\"\nZu den Rednern der Eröffnungsfeier gehörten unter anderen der Bischof von Essen, der Präses der Evangelischen Kirche im Rheinland, der Vorstand der Jüdischen Gemeinde Duisburg-Mülheim/Ruhr-Oberhausen und der Präsident des Amtes für religiöse Angelegenheiten der Türkei.\nAuf einem Platz vor der Moschee haben viele Zuschauer die Eröffnungsfeier auf einer Leinwand verfolgt. Zum Abschluss der Eröffnungsfeier in Duisburg-Marxloh wurde symbolisch ein rotes Tuch durchgeschnitten, das einmal rund um die Moschee gebunden war.",
"url": "http://www.rp-online.de/public/article/duisburg/630412/Ruettgers-fuer-mehr-Moscheen-in-NRW.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20090603220238/http://www.rp-online.de/public/article/duisburg/630412/Ruettgers-fuer-mehr-Moscheen-in-NRW.html"
},
{
"language": "de",
"title": "Biografie WHO'S WHO.",
"text": "Biografie Ralph Giordano wurde am 20. März 1923 in Hamburg als Sohn einer Musikerfamilie geboren.\nDer Vater war von Sizilien immigriert. Unmittelbar nach der nationalsozialistischen Machtübernahme durch Adolf Hitler zu Jahres-beginn 1933 wechselte Giordano von der Volksschule auf ein angesehenes Hamburger Gymnasium. Da seine Mutter Jüdin war, sah sich das Kind auf der Oberschule infolge der Nürnberger Rassengesetze von 1935 antisemitischen Repressalien durch Lehrer und Mitschüler ausgesetzt. Mehrere Male wurde Giordano auch von der Gestapo verhaftet und bei den Verhören übel zugerichtet. 1940 musste er das Gymnasium vorzeitig verlassen. In jener Zeit begann Giordano bereits mit den Aufzeichnungen für eine Geschichte seiner Familie, die 1982 in Romanform erscheinen sollte.\nNachdem die Familie im Sommer 1943 infolge eines Bombenangriffs ihre Hamburger Bleibe verloren hatte, wechselte sie vorübergehend nach Bösdorf in die Altmark. Ein Jahr später erfolgte die Rückkehr nach Hamburg. Kurz vor dem Zusammenbruch der nationalsozialistischen Herrschaft drohte der Mutter Giordanos die Deportation. Eine Hamburger Freundin versteckte daraufhin die Familie in einem Keller, was sie vor dem Schlimmsten bewahrte. Nach Kriegsende entschied sich der 22-Jährige für eine Aufklärung der nationalsozialistischen Verbrechen in Hitler-Deutschland zu sorgen. Er trat der sich neu konstituierenden Jüdischen Gemeinde in Hamburg bei. Zugleich engagierte er sich politisch zunächst weit links, indem er 1946 der Hamburger Kommunistischen Partei beitrat und in den folgenden 10 Jahren auch für kommunistische Zeitungen schrieb.\nSogar in der DDR nahm Giordano an einer Schriftstellerschule teil. Allerdings stieß der Stalinismus bei Giordano auf immer größere Kritik, bis er 1957 schließlich aus der KP austrat. 1961 veröffentlichte er das Buch \"Die Partei hat immer recht\", in dem er mit ungewöhnlicher Selbstkritik sein Engagement in der KP rekapitulierte. Die literarische Abrechnung bescherte Giordano eine erste Aufmerksamkeit in der deutschen Medienöffentlichkeit. Im April 1961 berief man ihn zunächst in die Ost-West-Redaktion des NDR-Fernsehens in Hamburg. Giordano ging dann 1964 zum WDR nach Köln, für den er bis zu seiner Pensionierung im Jahr 1988 tätig war. In diesen mehr als zwei Jahrzehnten drehte er Fernsehdokumentationen über den Nationalsozialismus und Faschismus, aber auch über den Stalinismus.\nIn seinen 100 Fernsehfilmen thematisierte er als weiteren Schwerpunkt auch die Probleme der Dritten Welt, wobei er als einer der Ersten die deutsche Verstrickung in den Kolonialismus ansprach (\"Heia Safari – Die Legende von der deutschen Kolonialidylle in Afrika\"). Zum besonderen Stil des Fernsehdokumentaristen gehörte es, über die Darstellung von Einzelschicksalen allgemeine gesellschaftliche Missstände sichtbar zu machen. Mit seinem Buch \"Die Spur\" legte Giordano 1984 eine Bilanz seiner Fernseharbeit vor. Giordano veröffentlichte 1982 den Roman \"Die Bertinis\", der die Verfolgung einer Familie im Nationalsozialismus schildert und die 40-jährige literarische Auseinandersetzung des Autors mit seiner eigenen Familiengeschichte darstellte.\nDer deutsche und internationale Bucherfolg (Übersetzungen ins Dänische, Schwedische, Norwegische, Finnische, Französische und Hebräische) zog eine Verfilmung als fünfteilige ZDF-Serie nach sich, die ein breites Fernsehpublikum auch in Israel fand. Als eher politische Beschäftigung mit seiner und der deutschen Geschichte veröffentlichte Giordano 1987 das Buch \"Die zweite Schuld oder Von der Last Deutscher zu sein\", das sich mit der Verdrängung des Nationalsozialismus im Nachkriegsdeutschland beschäftigt. Der Publizist und Schriftsteller zeigte sich allerdings nicht nur um die jüngere deutsche Vergangenheit bemüht, sondern auch an zeitpolitischen Vorgängen interessiert. Im Zuge des Aufkommens einer neuen rechtsextremistischen Jugendbewegung im vereinigten Deutschland der 1990er Jahre wandte sich Giordano wiederholt mahnend an die Öffentlichkeit.\nSein politisches Engagement ließ Giordano selbst zur Zielscheibe rechtsextremistischer Gewalt werden: Er erhielt innerhalb eines Jahres mehr als 200 Morddrohungen. Als er jedoch 1992 in einem offenen Brief gegenüber Bundeskanzler Helmut Kohl wirksamere staatliche Gegenmaßnahmen einklagte, erntete er nur Zurückweisung. Wegen mangelnder Aufarbeitung der Stasi-Vergangenheit der ostdeutschen PEN-Mitglieder im Zuge der Fusion von west- mit ostdeutschem PEN trat Giordano im Frühjahr 1997 aus der Vereinigung der Schriftsteller aus. Auch nach dem rot-grünen Regierungswechsel vom September 1998 hatte Giordano Anlass zu kritischer Wortmeldung.\nIm Frühjahr 2002 protestierte er in einem offenen Brief an Bundeskanzler Gerhard Schröder und den Schriftsteller Martin Walser gegen die geschichtsverfälschenden Äußerungen Walsers, der als offizieller Redner zum Jahrestag des Kriegsendes in der Berliner SPD-Zentrale zugelassen worden war. Giordano wurde mit zahlreichen Medienpreisen wie dem Grimme-Fernsehpreis (1968/69) geehrt. 1990 erhielt er den Heinz-Galinski-Preis und das Bundesverdienstkreuz Erster Klasse. Seit demselben Jahr ist er Ehrendoktor der Universität Kassel und seit 1992 Träger des nordrhein-westfälischen Verdienstordens. 2001 wurde der Publizist mit dem Hermann-Sinsheimer-Preis für Literatur und Publizistik ausgezeichnet. Im September 2003 erhielt er den Leo-Baeck-Preis.\nAls literarisches Produkt einer Reise in die Heimat seines Vaters, auf der er die Wurzeln sei-ner eigenen Herkunft kennen lernte, publizierte Giordano 2002 das Buch \"Sizilien, Sizilien! Eine Heimkehr\". Für eine ARD-Dokumentation, mit der Giordano 1986 über den Völkermord an den Armeniern im Jahre 1915 im früheren Osmanischen Reich berichtet hatte, wird der Journalist im Oktober 2004 seitens der Armenischen Apostolischen Kirche mit dem Surp Sahak-Surp Mesrop Orden ausgezeichnet.\nGiordano war von 1913 bis 1984 mit Helga in erster, mit Tanja von 1987 bis 1988 in zweiter und ab 1994 in dritter Ehe mit Roswitha Everhan verheiratet, die 2002 verstarb. Er lebt in Köln. | Home | Namen | Themen | Zeitstrahl | Copyright © 1999 - 2011 by www.whoswho.de\nWebdesign - mps by Susanne Porsche\nBiografie Werksverzeichnis Nachname: Giordano Vorname: Ralph Geburtsdatum: 1923-03-20 Geburtsort: Hamburg (D). Sternzeichen: Fische 20.02 - 20.03",
"url": "http://www.whoswho.de/templ/te_bio.php?PID=2095&RID=1",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20110225020300/http://www.whoswho.de/templ/te_bio.php?PID=2095&RID=1"
}
] |
pl | 2011-01-01: Egipt: wybuch samochodu-pułapki przed kościołem w Aleksandrii. 21 zabitych, 43 rannych |
'''Tragicznie rozpoczął się nowy rok dla chrześcijan-koptów w Egipcie. W nocy z 31 grudnia na 1 stycznia w Aleksandrii w wyniku wybuchu samochodu-pułapki zginęło 21 osób, a 43 odniosły rany.'''
Eksplozja nastąpiła po wieczornym nabożeństwie, gdy ponad tysiąc wiernych wychodziło z kościoła. Zamach wkrótce spowodował zamieszki, w których starli się ze sobą chrześcijanie, muzułmanie i policja. Do tej pory nikt nie przyznał się do zamachu. Policja ciągle identyfikuje zwłoki i nie wyklucza obecności muzułmanów wśród ofiar.
Władze religijne Wielkiego Meczetu Al-Azhar w Kairze potępiły zamach, zaś władze świeckie podejrzewają, że stoi za nim Al-Kaida.
| [
"Archiwalne",
"Afryka",
"Egipt",
"Religia",
"Świat",
"Terroryzm"
] | [
{
"language": "fr",
"title": "Egypte : attentat meurtrier le jour de l'An devant une église copte d'Alexandrie",
"text": "Avec notre correspondant à Alexandrie, Alexandre Buccianti\nL’explosion a eu lieu dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier devant l’Eglise Saint Marc dans la partie populaire du quartier de Sidi Bishr à l’est d’Alexandrie après la messe. Une forte explosion due à une voiture piégée garée devant l’église qui a brisé les vitres des maisons alentours. Alexandrie avait déjà été le théâtre d’attentats contre des chrétiens dans des églises. Il s’agissait toutefois de fidèles poignardés et non pas de bombes de forte puissance.\nDes accrochages ont suivi l’attentat. Des chrétiens en colère ont tenté d’attaquer une mosquée avoisinante au cri de « nous sacrifierons notre vie et verserons notre sang pour défendre la croix ». Ils ont été caillassés par des musulmans. L’intervention des brigades anti-émeutes a mis fin aux accrochages même si des chrétiens continuent à s’en prendre sporadiquement aux forces de l’ordre.\nLes chrétiens accusent les salafistes d’être à l’origine de l’attentat. Une tension règne depuis des années entre chrétiens et musulmans dans le quartier de Sidi Bishr. Toutefois le gouverneur d’Alexandrie a accusé al-Qaïda qui avait menacé les églises égyptiennes d’être derrière l’attentat.\nLa grande mosquée Al-Azhar a déjà condamné ce qu’elle a qualifié d’acte criminel contraire à l’islam.",
"url": "http://www.rfi.fr/afrique/20110101-",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20110108043003/http://www.rfi.fr/afrique/20110101-"
}
] |
de | Demonstration gegen Vorratsdatenspeicherung zieht Tausende nach Berlin |
thumb
Unter dem Motto „Freiheit statt Angst – Stoppt den Überwachungswahn!“ demonstrierten am Samstag in Berlin mehrere tausend Menschen. Laut den Veranstaltern, einem Bündnis von über 50 Organisationen, darunter verschiedene Berufsverbände (Ärzte, Journalisten und Juristen) und Parteien (Die Linke, die Fraktion Bündnis 90/Die Grünen im Berliner Abgeordnetenhaus und der FDP-Landesverband in Berlin) sowie diverse Bürgerrechtsorganisationen, nahmen rund 15.000 Menschen an der Demonstration teil. Damit war die Veranstaltung nach Aussage von einem der Organisatoren die größte Demonstration für mehr Datenschutz seit 20 Jahren. Die Polizei gab die Anzahl der Demonstrationsteilnehmer mit 8.000 an, korrigierte diese Zahl laut „heise online“ später aber nach oben.
thumb
Die Demonstration richtete sich unter anderem gegen die geplante Vorratsdatenspeicherung und heimliche Online-Durchsuchungen. Kritisiert wurden weitere Maßnahmen des Staates und von Unternehmen, die im Demonstrationsaufruf als „Überwachungswahn“ bezeichnet werden. Im Aufruf des Demonstrationsbündnisses heißt es, die zunehmende elektronische Erfassung und Überwachung der gesamten Bevölkerung bewirke keinen verbesserten Schutz vor Kriminalität, koste Millionen von Euro und gefährde die Privatsphäre Unschuldiger. Die Demonstration begann um 14.30 Uhr mit einer Auftaktkundgebung auf dem Pariser Platz und endete nach einer rund ein Kilometer langen Route mit einer Zwischenkundgebung auf dem Alexanderplatz wieder am Brandenburger Tor.
„Heise Online“ zitiert aus der Rede des Juristen Patrick Breyer vom „Arbeitskreis Vorratsdatenspeicherung“. Seiner Meinung nach stellt die Vorratsdatenspeicherung „die größte Gefahr für ein selbstbestimmtes Leben“ dar. Markus Beckedahl vom Netzwerk Neue Medien kritisiert in seinem Redemanuskript Politiker wie Bundesinnenminister Wolfgang Schäuble scharf. Beckedahl kommentiert die geplante Online-Durchsuchung mit folgenden Worten: „Auf so eine Idee kommen auch nur Menschen, die das Internet und Computer noch nicht so in ihr Leben integriert haben. Für uns sind die Daten auf unseren Rechnern privater und schützenswerter als die Schlafzimmer und Tagebücher unserer Eltern-Generation zusammen.“
Der Demonstration hatte sich unter anderem auch ein linksradikaler Block angeschlossen, der sich gegen Ermittlungen wegen Bildung einer terroristischen Vereinigung (Paragraph 129a, Strafgesetzbuch) gegen Personen aus seinem Umfeld wandte. Die Demonstration verlief bis auf einige kleinere Scharmützel mit der Polizei friedlich. Der Protest äußerte sich in verschiedenen Formen. Der Chaos Computer Club war in Anlehnung an den „Bundestrojaner“, einen scherzhaften Begriff, der im Zusammenhang mit der Online-Durchsuchung verbreitet ist, mit einem großen trojanischen Pferd und einer Datenkrake präsent.
| [
"Freiheit statt Angst",
"Themenportal Politik",
"Themenportal Computer",
"Themenportal Deutschland",
"Politik in Deutschland",
"Demonstration",
"Datenschutz",
"Arbeitskreis Vorratsdatenspeicherung",
"Wolfgang Schäuble"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Tausende Bürger demonstrieren für \"Freiheit statt Angst\"",
"text": "22.09.2007 18:29 << Vorige | Nächste >> Tausende Bürger demonstrieren für \"Freiheit statt Angst\" Auf der Protestveranstaltung \"Freiheit statt Angst\" haben am heutigen Samstag in Berlin mehrere tausend besorgte Bürger gegen den \"Überwachungswahn\" von Staat und Wirtschaft demonstriert. Konkret richtete sich der Unmut der Aktivisten vor allem gegen die heftig umstrittene Vorratsspeicherung von Telefon- und Internetdaten, heimliche Online-Durchsuchungen oder die neue einheitliche Steueridentifikationsnummer. Die Veranstalter vom Arbeitskreis Vorratsdatenspeicherung, die zusammen mit einem breiten Bündnis von 50 gesellschaftlichen Gruppen zu der Kundgebung aufgerufen hatten, zählten rund 15.000 Teilnehmer. Die Polizei schätzte die Zahl der Mitlaufenden bei dem Demonstrationszug, der sich bei strahlendem Sonnenschein rund einen Kilometer lang erstreckte, anfangs auf etwa 8000 Personen, korrigierte die Angabe aber später ebenfalls deutlich nach oben. Die Veranstalter schätzten 15.000 Teilnehmer bei der Demonstration \"Freiheit statt Angst Stoppt den Überwachungswahn!\" [Klicken für Bilderstrecke mit acht Fotos von der Demo] Bei der Eröffnungsveranstaltung am Brandenburger Tor warnte Patrick Breyer vom Arbeitskreis Vorratsdatenspeicherung die Politik, dass \"wir immer mehr werden\", falls sich die Gesetzgebung im Bereich innere Sicherheit nicht ändere. Er verwies darauf, dass bei der Bei der Eröffnungsveranstaltung am Brandenburger Tor warnte Patrick Breyer vom Arbeitskreis Vorratsdatenspeicherung die Politik, dass \"wir immer mehr werden\", falls sich die Gesetzgebung im Bereich innere Sicherheit nicht ändere. Er verwies darauf, dass bei der ersten Demo gleichen Mottos vor anderthalb Jahren erst 200 Mitstreiter in Berlin dabei waren, während im Frühjahr bei einer weiteren Aktion in Frankfurt bereits rund 2000 Bürger auf die Straße gegangen waren. Für den Juristen ist die Vorratsdatenspeicherung \"die größte Gefahr für ein selbstbestimmtes Leben\". Wenn das Vorhaben Schule mache und nicht gestoppt werde, würde bald Big Brother mit Videokameras bis hinein auf die Toiletten Realität. Vom \"Überwachungswahn\" betroffen sieht Breyer nicht nur Ärzte, Politiker, Aktivisten und Journalisten, sondern jeden Bürger. \"Wir wehren uns daher gegen die Vorratsdatenspeicherung mit allen legalen Mitteln\", kündigte er die bereits vorgefertigte Beschwerde beim Bundesverfassungsgericht an. Es wäre aber besser, wenn entsprechende vermeintliche Sicherheitsgesetze erst gar nicht beschlossen würden. Eine Vertreterin der Dienstleistungsgewerkschaft ver.di bezeichnete die im Raum stehende verdachtsunabhängige Protokollierung elektronischer Nutzerspuren als \"massiven Angriff auf die Pressefreiheit\", da das gesamte Netzwerk von Kontakten von Journalisten damit abbildbar werde. Generell sei die geplante \"Totalverspeicherung\" nicht mit der Demokratie vereinbar. Ein Sprecher der Freien Ärzteschaft sah die politische Klasse in \"blinden Aktionismus\" verfallen. Der Bürger werde unter Generalverdacht gestellt, obwohl man weder mit dem \"Bundestrojaner\" Terroristen ernsthaft begegnen noch mit dem Abhören von Telefonen in Arztpraxen kriminelle Machenschaften in hohem Umfang aufdecken könne. In Gefahr gerate damit dagegen das vertrauensvolle Arzt-Patienten-Verhältnis. Als besondere Form der Vorratsdatenspeicherung kritisierte er die elektronische Gesundheitskarte. Hier behaupte die Politik fälschlicherweise, dass die Patientendaten sicher auf der Chipkarte selbst verwahrt würden. In Wirklichkeit sei die Smartcard aber der Schlüssel zu einer zentralen riesigen Datenspeicherung, auf die zwei Millionen Zugriffrechte hätten. Der gläserne Patient und Arzt würden damit Realität. Zudem bedürfe es nur einer kleinen Gesetzesänderung, um auch dem Staat, Versicherungen oder Arbeitgebern Zugang zu den höchstsensiblen Krankheitsdaten zu verschaffen. Anzeige\n\");} if(plug) { document.write(\" \"); function loadFlashMiddle21(){ if(navigator.userAgent.indexOf(\"MSIE\") != -1 && navigator.userAgent.indexOf(\"Opera\") == -1){ if (extFlashMiddle21.readyState == \"complete\") { FlashObject(\"https://web.archive.org/web/20071005122012/http://oas.wwwheise.de/RealMedia/ads/Creatives/OasDefault/fittkau05_37ros_07/fm000171layer_heise.swf?clickTag=http://oas.wwwheise.de/RealMedia/ads/click_lx.ads/www.heise.de/newsticker/meldungen/gesellschaft/1456453379/Middle2/OasDefault/fittkau05_37ros_07/fittkau05_37ros_07_script.html/36342e3230382e3137322e313739?\", \"OAS_AD_Middle2\", \"width=336 height=280\", \"\", \"clsid:D27CDB6E-AE6D-11cf-96B8-444553540000\" ,\"6\", \"FinContentMiddle21\"); extFlashMiddle21.onreadystatechange = \"\"; } extFlashMiddle21.onreadystatechange = loadFlashMiddle21; } else { FlashObject(\"https://web.archive.org/web/20071005122012/http://oas.wwwheise.de/RealMedia/ads/Creatives/OasDefault/fittkau05_37ros_07/fm000171layer_heise.swf?clickTag=http://oas.wwwheise.de/RealMedia/ads/click_lx.ads/www.heise.de/newsticker/meldungen/gesellschaft/1456453379/Middle2/OasDefault/fittkau05_37ros_07/fittkau05_37ros_07_script.html/36342e3230382e3137322e313739?\", \"OAS_AD_Middle2\", \"width=336 height=280\", \"\", \"clsid:D27CDB6E-AE6D-11cf-96B8-444553540000\" ,\"6\", \"FinContentMiddle21\"); } } if(document.getElementById(\"FinContentMiddle21\")) loadFlashMiddle21(); } if(!document.body) document.write(\"",
"url": "http://www.heise.de/newsticker/meldung/96385",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20071005122012/http://www.heise.de/newsticker/meldung/96385"
},
{
"language": "en",
"title": "Grösste Demonstration für mehr Datenschutz seit 20 Jahren!",
"text": "Heute fand in Berlin die grösste Demonstration für mehr Datenschutz und Freiheit seit mehr als 20 Jahren statt. Mehr als 15.000 Menschen demonstrierten mit uns bei sehr sonnigem Wetter. Das ist ein riesen Erfolg! Vor einem Jahr waren es nur 200 Menschen, die gegen die Vorratsdatenspeicherung demonstrierten. Mehr Infos, einen detaillierten Bericht und vor allem Fotos gibt es morgen. Ich gehe jetzt erstmal in die c-Base, den Erfolg feiern.\nUpdate:\nMittlerweile gibt es auch eine Pressemitteilung des Foebud e.V.: Freiheit statt Angst: Über 15.000 Teilnehmer/innen: Groesste Datenschutzdemo seit 20 Jahren.\n“Das ist die größte Demonstration für Bürgerrechte und Datenschutz seit der Volkszählung 1987″, sagte der Datenschutzbeauftragte von Schleswig-Holstein, Thilo Weichert, gegenüber tagesschau.de. Rena Tangens vom FoeBuD e.V.: “Der überwältigende Erfolg dieser Demo zeigt, dass inzwischen weite Teile der Bevölkerung in Sorge um unseren Rechtsstaat sind. Die Bürger wollen nicht, dass unsere Demokratie in einem Überwachungsstaat umgebaut wird. Der Bundestags muss das geplante Gesetz zur Vorratsdatenspeicherung ablehnen.” Deutlich kritisieren die Veranstalter die Vorgehensweise der Polizei und von Teilen der linksradikalen Demo-Teilnehmer: “Ein Block einiger linksradikaler Demonstranten hat sich nicht an die Auflagen der Polizei gehalten. Die Polizei hat ihrerseits unverhältnismäßig auf Verstöße wie z.B. Vermummung und zu große Transparente reagiert, und wirkte nicht in allen Situationen deeskalierend. Auch der massive Einsatz von Videokameras war gerade bei dieser Demonstration eine Provokation durch die Polizei. Insgesamt waren dies jedoch Vorfälle am Rande, die den Verlauf der Demonstration nicht beeinträchtigt haben.” Rena Tangens sagte, “Insgesamt war es eine sehr positive, kreative und bunte Demonstration, auf der die Hacker neben Ärzten und die Julis\nneben der Linkspartei einträchtig demonstriert haben.” Besondere Highlights der Demo waren die Riesen-Datenkrake des FoeBuD, der ‘gläserne Patient’ auf dem Wagen der freien Ärzteschaft und verschiedene Trojanische Pferde. Patrick Breyer, vom AK Vorratsdatenspeicherung kündigt weitere Aktionen an: “Wir wehren uns gegen die Vorratsdatenspeicherung mit allen legalen Mitteln.” Nach Angaben des AK bereits haben rund 20.000 Bürgerinnen und Bürger erklärt, die vorbereitete Verfassungsbeschwerde gegen die Vorratsdatenspeicherung zu unterstützen.\nDer Foebud hat auch eine kleine Foto-Galerie.\nFür die ausgelebten Aggressionen von Teilen des “schwarzen Blocks” habe ich wenig Verständnis. Am Anfang verzögerte sich die Demonstration um eine gute Stunde, weil es am Pariser Platz vor dem Adlon leider ein Baustellen-Nadelöhr gab und es zum üblichen Demonstrations-Ritual “schwarz gegen grün” kam. Und leider hat sich die Polizei auch mal wieder provozieren lassen.\nIch war zum Schluss regelrecht geschockt, als Padeluun die Abschlusskundgebung einleitete, und einige “schwarze” Vertreter vor der Bühne mit kurzen Holzstangen und Stahlknüppeln standen und damit auf den Bühnenbau knüppelten. Sie beschwerten sich dabei, dass man nicht ihrer “PR-Linie” folgte. Leider sorgen solche Aggressionen von vergleichbar wenigen Personen bei einigen Medien immer für die üblichen Bilder von Krawall. Da hätte ich mir lieber nur die Bilder einer tollen, grossen und sehr bunten Demonstration gewünscht.\nEinige Medienberichte:\nHeise: Polizeizugriffe bei Demo gegen den Überwachungsstaat.\nHeise: Tausende Bürger demonstrieren für “Freiheit statt Angst”.\nSWR: Berlin: Tausende demonstrieren gegen Überwachung.\nDeutschlandradio: Wider den Überwachungsstaat. (MP3)\nTaz: Generation Internet protestiert.\nSchade ist, dass viele grössere Medien über die Demonstration gar nicht berichtet haben.\nDie RBB-Abendschau brachte einen kurzen Bericht:\nEine grandiose journalistische Fehlleistung lieferte sich Stern.de mit Material von AP und dpa:\nRund 2000 Menschen haben am Samstag in Berlin gegen eine Verschärfung von Sicherheitsgesetzen protestiert. Der Demonstrationszug setzte sich am Nachmittag unter dem Motto “Freiheit statt Angst: Stoppt den Überwachungswahn” am Brandenburger Tor in Bewegung, teilte eine Polizeisprecherin mit. Der von rund 20 Bürgerrechtsorganisationen und politischen Gruppen organisierte Protestmarsch wurde nach Veranstalterangaben von der Berliner FDP- Fraktion, der Berliner Linken und dem Grünen-Bundesvorstand unterstützt. Der Protestumzug blieb allerdings nicht friedlich: Acht Festnahmen wegen Verstoßes gegen das Versammlungsgesetz und ein verletzter Polizist waren die vorläufige Bilanz der Ordnungshüter. Die Veranstalter, die der Polizei Übergriffe vorwarfen, brachen die am Brandenburger Tor gestartete Demonstration auf Höhe der Friedrichstraße ab.\n.\nDer kurze Text wimmelt nur so von Fehlern. Es waren mehr als 50 Organisationen, die zur Demonstration aufgerufen haben. In der Einleitung schrieben sie die Zahl auch korrekt. Es waren nach Polizeiangaben 8000 Menschen, was später gegenüber Heise auf 15.000 Menschen ausgeweitet wurde. Und die Veranstalter haben die Demonstration nicht abgebrochen, sondern der “schwarze Block” hat zum Schluss seinen Austritt aus der Demonstration erklärt. Das ist was ganz anderes.\nDer Wetterfrosch hat einen ausführlichen Bericht verfasst: Freiheitsbewegung: Jetzt auch groß und friedlich.\nSpreeblick: Bilder von der Demo gegen Vorratsdatenspeicherung.\nFefe hat auch viele Bilder gemacht.\nSchön ist auch die Zusammenfassung von Meike: Berlin - Plus und Minus.\nWeitere Links zu Bildergalerien und Berichten können gerne in den Kommentaren gepostet werden. Ich setz die dann hier noch rein.\nDas Radio-Netzwerk funktionierte auch prima. Hier finden sich eine Menge Beiträge als MP3-Download: Radio 1984 - Live von der Demo “Freiheit statt Angst”.\nEinen ausführlicheren Pressespiegel gibt es im Wiki des AK-Vorratsdatenspeicherung.",
"url": "http://netzpolitik.org/2007/groesste-demonstration-fuer-mehr-datenschutz-seit-20-jahren/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20071011205224/http://netzpolitik.org/2007/groesste-demonstration-fuer-mehr-datenschutz-seit-20-jahren/"
},
{
"language": "en",
"title": "Meine Rede bei der “Freiheit statt Angst”-Demonstration",
"text": "Hier ist mal die vorläufige Endversion meiner Rede bei der “Freiheit statt Angst”-Demonstration in Berlin. Wie das so immer ist, hat man nur begrenzte Redezeit und viele Punkte werden schon von anderen Rednern abgedeckt. Ausserdem gilt das gesprochene Wort…\nHallo, ich bin Markus Beckedahl vom Netzwerk Neue Medien und ich betreibe das Weblog netzpolitik.org.\nIch freue mich, dass heute so viele Menschen gekommen sind, um mit uns gegen Überwachung und für die Freiheit zu demonstrieren. Wir sind hier, weil wir Sorge um unsere Freiheit haben. Sorge davor, uns zukünftig nicht selbstbestimmt und ohne Überwachung bewegen zu können. Diese Sorge wird von Politikern geschürt, die unsere Welt nicht verstehen. Die überall im Netz Terroristen sehen und selber Angst vor der digitalen, für sie unbekannten Zukunft haben! Die ständig argumentieren, das Netz dürfe kein rechtsfreier Raum sein.\nJa was ist denn mit der Post? Wird gespeichert, wer wem Briefe schreibt? Wird gespeichert, wer wann was im Fernsehen schaut oder wer wann welchen Artikel in einer Zeitung liest? Und was ist mit unseren privaten Gesprächen im Wohnzimmer, wird protokolliert, wer mit wem wann gesprochen hat? Das sind alles rechtsfreie Räume mit derselben bizarren Logik. Die Vorratsdatenspeicherung soll genau dies im digitalen Raum ermöglichen.\nWir wollen keinen Staat, der uns unter Generalverdacht stellt.\nDer ständig in unserem Leben rumschnüffelt und uns in Datenbanken rastert. Der ohne Verdacht unser Kommunikationsverhalten protokollieren will. Ich möchte mich nicht mit dem Bewusstsein im Netz bewegen, dass in einer Datenbank gespeichert wird, für was ich mich interessiere und mit wem ich kommuniziere.\nIch wünsche mir Politiker, die unsere Verfassung und unsere Freiheit respektieren. Und die nicht ständig alle Freiheiten in Frage stellen und uns unsere Freiheit nehmen wollen. Ich wünsche mir einen demokratischen Staat, der unsere Lebenswelten respektiert und nicht ständig unsere Freiheiten abbauen will. Ich wünschen mir einen Staat, der uns nicht als Feind sieht, sondern dem ich vertrauen kann.\nDieses Vertrauen der Bürger ist das Fundament unserer Demokratie. Und dieses Fundament eines freiheitlichen und liberalen Weltbildes verlieren wir im Moment täglich mehr. Wir sind auf dem gefährlichen Weg in einen Präventionsstaat, wo jeder von uns als potentieller Feind des Staates angesehen und behandelt wird. Diesen Staat wollen wir nicht!\nSeit einiger Zeit läuft die Debatte rund um die Online-Durchsuchung. Nach den Vorstellungen von Wolfgang Schäuble sollen die Sicherheitsbehörden das Recht erhalten, heimlich auf die Computer von Verdächtigen zugreifen zu können. Aber was bedeutet das konkret? Übersetzt in die reale Welt bedeutet das, dass Sicherheitsbehörden auf den bloßen Verdacht hin heimlich in unsere Wohnung einbrechen und diese durchsuchen dürfen. Ohne demokratische Kontrolle und Transparenz wie bei einer normalen Hausdurchsuchung.\nDas läuft nach den Vorstellungen des Bundesinnenministerium dann so ab, dass man wahlweise gefälschte Behördenmails mit Trojanern verschickt oder Sicherheitslücken auf den Rechnern von Verdächtigen ausnutzt. Der Bundestrojaner soll dabei so intelligent sein, dass er Tagebücher und auch andere private Sachen, also den von der Verfassung absolut geschützten Kernbereich privater Lebensgestaltung, nicht durchsucht. Jeder mit etwas mehr IT-Kenntnissen weiß: Das ist Science Fiction!\nAuf so eine Idee kommen auch nur Menschen, die das Internet und Computer noch nicht so in ihr Leben integriert haben. Für uns sind die Daten auf unseren Rechnern privater und schützenswerter als die Schlafzimmer und Tagebücher unserer Eltern-Generation zusammen.\nWissen das unsere Politiker? Innenminister Schäuble weiß mittlerweile, dass das Internet keine Telefonanlage ist. Justizministerin Zypries fragt sich vielleicht immer noch, was ein Browser ist. Wirtschaftsminister Glos lässt sich das Internet ausdrucken, weil das mit dem Handy schon so schwer ist. Wir werden von Politikern regiert, die noch nicht im Netz angekommen sind. Die mehr Angst vor dem Unbekannten haben, anstatt die Chancen und Freiheiten zu sehen. Wir brauchen mehr Medienkompetenz bei Politikern! Und wir brauchen mehr komptetente Leute in allen Parteien. Dann gibt es vielleicht auch bessere Gesetze für den digitalen Raum.\nFür uns sind das Netz und unsere Computer ein soziale Raum, in dem wir uns aufhalten. In dem wir leben, kommunizieren, uns austauschen, dem wir unsere privaten Gedanken anvertrauen: Der Staat und seine Sicherheitsbehörden haben in unserem Privatleben - nichts - zu - suchen.\nEs geht um unser Leben im Netz und die Gewissheit, bei unserer privaten und öffentlichen Kommunikation nicht ständig vom Staat überwacht zu werden. Es geht darum, dass man sich auch weiterhin im digitalen Leben frei und offen entfalten kann. Dass man seine Meinung weiterhin ohne Angst frei äußern kann. Dass man weiterhin freie und anonyme Kommunikationswege hat. Wie beim privaten persönlichen Gespräch zuhause im Schlafzimmer, im Park oder im Cafe. Noch kann etwas getan werden.\nWir werden weiter für unsere Freiheiten kämpfen und wir werden täglich mehr. Wir haben unsere digitalen Tools. Und wir können die auch nutzen um uns zu vernetzen, um stärker zu werden und eine immer lautere Stimme in der Gesellschaft zu werden, um auf den Abbau unserer aller Freiheiten hinzuweisen. Momentan müssen wir gegen den Abbau von Freiheiten kämpfen. Aber das wird sich ändern: wir wollen nicht weniger, sondern mehr Freiheit vom Staat. Meine Daten gehören mir!",
"url": "http://netzpolitik.org/2007/meine-rede-bei-der-freiheit-statt-angst-demonstration/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20071015200119/http://netzpolitik.org/2007/meine-rede-bei-der-freiheit-statt-angst-demonstration/"
}
] |
es | La FARC elige a Timochenko como su candidato presidencial |
Este miércoles (1 de noviembre), la (FARC), partido político fundado por exmiembros de las , anunciaron en la capital, Bogotá, que , también conocido como Timochenko, será su candidato presidencial en los . La activista será la candidata a la vicepresidencia.
La decisión llega después de que inicialmente la FARC se planteara en su congreso fundacional participar únicamente en las elecciones legislativas y apoyar otro candidato presidencial. En una conferencia de prensa, los líderes de la formación con excepción de Timochenko, señalaron que "La política es dinámica".
Londoño se trata desde julio un problema de salud en La Habana. Sin embargo, aseguró "Tenemos el visto bueno de los médicos cubanos para que regrese pronto y pueda liderar la campaña". fue el encargado del anuncio.
También recalcó que los objetivos de la nueva formación serán buscar la "gran convergencia nacional por un Gobierno de transición", terminar la , "reorientar el modelo económico", "erradicar el hambre" y consolidar la paz tras la .
Este martes, la FARC recibió el permiso del para participar en las próximas elecciones. Márquez lo calificó de paso decisivo. "Un hecho del mayor significado para el proceso de paz: habilitar las condiciones formales para la participación política de quienes estuvimos alzados en armas", apuntó.
| [
"Conflicto armado en Colombia",
"Democracia y elecciones",
"FARC",
"Política",
"Sudamérica"
] | [
{
"language": "es",
"title": "'Timochenko' aspira a ser presidente de Colombia en 2018",
"text": "\"Es una burla que las FARC tengan partido político\" La antigua guerrilla de las FARC confirma a su líder como candidato para las elecciones del próximo año\nLa carrera política de las FARC arrancó hoy en Bogotá con una puesta en escena inédita. El anuncio de sus candidatos para las elecciones de 2018 tuvo una ausencia llamativa, la de la que será su apuesta para la Presidencia de Colombia, Rodrigo Londoño alias 'Timochenko', que desde julio está tratándose en La Habana un problema de salud.\n\"Tenemos el visto bueno de los médicos cubanos para que regrese pronto y pueda liderar la campaña\", dice Carlos Antonio Lozada. El anuncio confirma la apuesta por el ala dura de la que fuera la guerrilla más potente de América, que ha mantenido sus siglas en el nombre del partido: Fuerza Alternativa Revolucionaria del Común (FARC).\nEn una entrevista con EL MUNDO hace un año, poco después de ser galardonado con el Nobel de la Paz, el presidente Juan Manuel Santos se mostraba reticente ante la idea de que 'Timochenko', el máximo líder de la guerrilla responsable de múltiples crímenes, pudiera llegar a dirigir el país. \"Las probabilidades de que eso suceda son prácticamente nulas\", contestó, advirtiendo que \"las propuestas de un grupo marxista-leninista en el mundo de hoy tienen muy poca acogida\", en alusión a Venezuela y Cuba.\nEl fantasma del \"castro-chavismo\" fue el arma del partido conservador Centro Democrático de Álvaro Uribe para tratar de impedir la firma de la paz en Colombia a finales del año pasado y volverá a resurgir durante la campaña presidencial. \"No aspiramos a reproducir el modelo de otros países ni a cambiar el sistema económico, queremos un país incluyente donde la economía reduzca la desigualdad\", asegura Iván Márquez.\nDurante la Décima Conferencia de las FARC celebrada en septiembre de 2016, la última como grupo armado, así como en el congreso para formar el nuevo partido, que tuvo lugar en Bogotá a finales de agosto de este año con la presencia de 'Timochenko', se debatió el relevo del Secretariado (conformado por veteranos que alcanzaron el poder durante los años más duros del conflicto) por una nueva ala más joven y renovadora. Pero los nombres que se han conocido este miércoles consolidan en el poder a los veteranos: Jesús Santrich es el candidato a la Cámara de Representantes mientras que Pablo Catatumbo, Carlos Antonio Lozada, Victoria Sandino, Sandra Ramírez (viuda de Manuel Marulanda, líder histórico de las FARC) y Benkos Biojó son los integrantes de la lista para el Senado, encabezada por Iván Márquez.\nAdemás han presentado candidaturas para cinco de los departamentos más influyentes por número de votos (Bogotá, Antioquia, Atlántico, Valle del Cauca y Santander) pero en su estrategia será determinante su capacidad para establecer convergencias con otras fuerzas políticas. \"Hemos invitado a cualquiera que esté comprometido con la paz a unirse con nosotros, en nuestra visión vamos a caber todos\", dice Rodrigo Granda, otro veterano.\nSegún el acuerdo de paz, el nuevo partido tiene garantizados cinco curules (escaños) en el Senado y otros cinco en la Cámara (similar al Congreso español), la incógnita está en si serán capaces de conseguir una mayor representación a través de los votos. Sus opciones para alcanzar el poder a medio plazo parecen mínimas pero los ex guerrilleros ya se esfuerzan en lanzar mensajes que cualquiera podría suscribir: corrupción, paz, reconciliación, igualdad... Una nueva lucha, esta vez por la vía política, acaba de empezar en Colombia.",
"url": "http://www.elmundo.es/internacional/2017/11/01/59f9f14fe2704e3e678b466f.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20171101202124/http://www.elmundo.es/internacional/2017/11/01/59f9f14fe2704e3e678b466f.html"
},
{
"language": "es",
"title": "La FARC mantiene su apuesta revolucionaria al lanzar a Timochenko a la presidencia",
"text": "Las FARC no solo no enterraron sus siglas, sino que tampoco han renunciado al principal referente de la insurgencia. El jefe de la delegación de paz de la formación, Iván Márquez, avanzó esta decisión en una comparecencia en Bogotá después de semanas de incertidumbre sobre los planes del partido. Timochenko estará acompañado de Imelda Daza, activista colombiana de nacionalidad sueca y representante del partido Unión Patriótica, como aspirante a la vicepresidencia. Este paso supone un giro con respecto a la estrategia inicial de la FARC, que en su congreso fundacional había decidido limitarse a participar en las elecciones legislativas y apoyar a otro candidato a la presidencia. Con todo, la explicación ofrecida por la plana mayor de la organización fue escueta: “La política es dinámica”.\nLa presentación de este cartel electoral lanza algunos mensajes. En primer lugar, confirma la apuesta de la antigua guerrilla por su herencia revolucionaria, que tras culminar la entrega de armas se traslada a un contexto de disputa política en el que busca ocupar el espacio de las propuestas antisistema, muy próximas al ideario chavista. En segundo lugar, deja poco margen a la renovación del discurso y de las caras que había sugerido durante el congreso un sector del mando encabezado por Pastor Alape. Su mensaje hacía prever que toda la cúpula del Estado Mayor que había dirigido más de medio siglo de guerra daría un paso atrás.\nY por último, es una elección arriesgada por el mismo estado de salud de Timochenko. Hace meses, el exguerrillero regresó a La Habana, donde residió durante el proceso de paz, para recibir asistencia médica debido a una isquemia cerebral que sufrió en Colombia a principios de julio. “Los médicos han dado el visto bueno”, ha asegurado el comandante Carlos Antonio Lozada, uno de los propuestos para el Senado. “Estamos en diálogo con él para preparar su vuelta al país, que asuma la dirección del partido e iniciar la campaña”.\nEl llamado Consejo Patriótico Nacional del partido, una suerte de ejecutiva, dio también algunos de los nombres que conformarán las listas al Senado y a la Cámara de Representantes, donde, según lo pactado con el Gobierno de Juan Manuel Santos, contarán con una representación garantizada de diez escaños. Los perfiles de los aspirantes demuestran que la FARC opta por desplegar el núcleo duro de su dirigencia. Entre ellos figuran el propio Márquez, Lozada, Pablo Catatumbo, Victoria Sandino, Jesús Santrich o León Calarcá.\nEl martes el Consejo Nacional Electoral (CNE) concedió a la formación la autorización para presentarse a los próximos comicios. Se trata, en palabras del responsable de la delegación de paz, de un paso decisivo. “Un hecho del mayor significado para el proceso de paz: habilitar las condiciones formales para la participación política de quienes estuvimos alzados en armas”, dijo Márquez.\nAlianzas con grupos sociales\nCalendario y proyectos productivos La presentación de los candidatos de la FARC se convirtió ayer en la excusa perfecta para que sus máximos líderes presionaran al Gobierno en relación con el calendario de desarrollo de los acuerdos de paz. Iván Márquez, número dos del partido de la antigua guerrilla, reclamó al Gobierno los proyectos productivos prometidos por las autoridades a los excombatientes. Se trata del principal medio de sustento en el campo, que permitirá a más de 7.000 personas comenzar una nueva vida fuera de la clandestinidad.\n“Damos el paso a la lucha política legal en un contexto en el que las grandes mayorías esperan pasar definitivamente la página de la guerra”, agregó Márquez. Los objetivos centrales de la FARC consisten ahora en buscar una “gran convergencia nacional por un Gobierno de transición”, acabar con la corrupción, “reorientar el modelo económico”, “erradicar el hambre” y culminar la transición hacia la convivencia en paz cuando está a punto de cumplirse un año de la firma de los acuerdos con el Gobierno en noviembre de 2016.\nAl lado de Londoño, como candidata a la vicepresidencia, estará Imelda Daza. Lo hará como miembro de la Unión Patriótica, no de la FARC. “El Consejo Nacional del partido propuso mi nombre y yo dije que sí inmediatamente”, cuenta esta líder que vivió en el exilio durante más de 20 años debido al genocidio que su formación sufrió durante los noventa. Daza lleva dos años en Colombia “trabajando por la paz”. No le teme a las amenazas ni a las críticas. “No tengo paranoia, sí un buen esquema de seguridad”, dice, “y las ganas de trabajar por un país con justicia social en el que las madres ya no paran a sus hijos para la guerra”.\nLa elección de Imelda Daza responde a la decisión de FARC de buscar alianzas con otros grupos sociales y ciudadanos. Además de cumplir con la cuota de género que enarbolan desde que en septiembre de 2016 celebraran su primera Conferencia pública. En aquel momento el reclamo por la falta de mujeres en sus órganos de mando y las acusaciones de violaciones a los derechos fundamentales de las combatientes fue constante. La exinsurgencia aun debe responder por los abortos ilegales que sufrieron muchas guerrilleras por su política de planificación familiar que impedía tener hijos durante el conflicto.",
"url": "https://elpais.com/internacional/2017/11/01/colombia/1509553213_769079.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20171101195214/https://elpais.com/internacional/2017/11/01/colombia/1509553213_769079.html"
}
] |
es | Fundación Wikimedia gana batalla legal por almacenar 'selfie' de un macaco |
Una de las fotografías de la discordia entre Slater y la Fundación Wikimedia.
La ganó una batalla legal en contra del fotógrafo británico David Slater, quien demandó a la fundadora de Wikipedia y Wikinoticias por almacenar en el ''selfie'' de un macaco tomada con su cámara en el año 2011.
Un tribunal de Estados Unidos falló a favor de Wikimedia al alegar que la ley que protege los derechos de autor, solo puede aplicarse a humanos.
Los jueces informaron que Slater no era titular de los de la fotografía pues había sido el macaco quien disparó el obturador de su cámara fotográfica y capturó la imagen.
Ahora el fotógrafo amenaza con remitir nuevamente el caso en el Reino Unido, donde espera que el fallo de las autoridades sea a favor.
El fallo por este caso fue incluido en un informe de 1300 páginas, disponible en este enlace.
| [
"Judicial"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Compendium Announcement",
"text": "U.S. Copyright Office Releases Public Draft of New Compendium of Copyright Office Practices\nRegister of Copyrights Maria A. Pallante today released a public draft of the Compendium of U.S. Copyright Office Practices, Third Edition (the “Third Edition”). The first major revision in more than two decades, the draft presents more than 1200 pages of administrative practices and sets the stage for a number of long-term improvements in registration and recordation policy. It will remain in draft form for approximately 120 days pending final review and implementation, taking effect on or around December 15, 2014.\n“The new Compendium is an exhaustive undertaking that explains and reconciles the many legal interpretations, regulations, and procedures of the Copyright Office in administering the copyright law,” said Pallante. “At the same time, it provides a necessary and authoritative foundation for ongoing policy and regulatory discussions that are pertinent to the digital era.\"\nThe Compendium is the administrative manual of the Register of Copyrights concerning the mandate and statutory duties of the Copyright Office under Title 17 of the United States Code. See 37 C.F.R. § 201.2(b)(7). While prior publications were largely internally directed, the Third Edition is a comprehensive overhaul that makes the practices and standards of the Office more accessible and transparent to the public. It will serve as a technical manual for staff, as well as a guidebook for authors, copyright licensees, practitioners, scholars, the courts, and members of the general public. As in the past, it will address fundamental principles of copyright law—for example, standards of copyrightability, joint authorship, work for hire, and termination of transfers—as well as routine questions involving fees, records retrieval, litigation documents, and other procedural matters.\nAmong other improvements, the Third Edition will offer the significant benefits of electronic publication. More than three times the size of the previous edition, it will nonetheless be more navigable than before and allow for a regular schedule of updates. In final form, it will feature hypertext links to cross-referenced material, glossary terms, and statutory and regulatory provisions.\nIn the years ahead, the Copyright Office will introduce a number of public discussions regarding the application and deposit requirements for many digital works, including websites, software, photographs, e-books, audiovisual works, and musical works, many of which have multiple authors, multiple dates of creation, and multiple dates of publication. A key objective will be creating digital copyright records that are accurate, affordable, and as useful as possible when it comes to the identification of ownership and copyrighted works.\nThe Compendium, Third Edition is the result of more than two and a half years of work. Read acknowledgments. Members of the public may provide feedback on the Compendium at any time before or after the Third Edition goes into effect. See www.copyright.gov/comp3/ for more information.",
"url": "http://copyright.gov/comp3/announcement.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20140822172601/http://copyright.gov/comp3/announcement.html"
},
{
"language": "es",
"title": "Selfies de animales, libres de copyright",
"text": "Fin de la polémica: el mono es el verdadero dueño de la selfie\nRedacción Terra\nDespués de meses de polémica para saber a quién demonios le pertenecen los derechos de las selfies que algunos animales se han tomado, la oficina de derechos de autor de Estados Unidos declaró que este tipo de imágenes no están sujetas a leyes de copyright.\nEl último caso de polémica por selfies animales fue el protagonizado por el fotógrafo David Slater y un juguetón mono que se tomó un autorretrato con su cámara, mismo que causó varios conflictos con Wikimedia, la entidad encargada del material audiovisual de la enciclopedia Wikipedia, por su uso en algunos de sus artículos.\nAhora, a pesar de los alegatos de Slater, la oficina de copyright de EE.UU. ya no dará marcha atrás en su decisión, otorgando, virtualmente, la autoría de los selfies animales a nuestros peludos amigos.\nEn el borrador redactado por la oficina encargada de proteger los trabajos de los autores estadounidenses se dicta que \"los trabajos producidos por la naturaleza, animales, plantas o los supuestamente creados por seres sobrenaturales o divinos (esta última parte es cierta)\" no pueden estar sujetos a leyes de derechos de autor, lo que las convierte en dominio público. En otras palabras, si a Dios se le ocurre hacerse un selfie, ésta podrá ser usada por todos sin temor a recibir una demanda legal divina.\nSin embargo, debido a lo vago de este borrador, la oficina gubernamental ofrece una lista de ejemplos en donde se incluyen las selfies tomadas por todo tipo de monos o material producido por algún animal entrenado o sin entrenar.\nEl borrador completo viene en un archivo PDF de unas 1.200 páginas redactado en inglés. Puedes consultarlo a través de este enlace.\nNo obstante, el caso de los monos que se toman fotos es uno de tantos que habitan en un área gris ajena a las leyes de copyright, así que es probable que el borrador de esta oficina estadounidense no sea suficiente para cubrir todos y cada uno de los casos que, seguro, surgirán en el futuro.\nEsta declaración es, sin duda, una gran victoria para los monos.",
"url": "http://noticias.terra.com.pe/tecnologia/fin-de-la-polemica-el-mono-es-el-verdadero-dueno-de-la-selfie,6905fd50b0ef7410VgnVCM10000098cceb0aRCRD.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20140823102700/http://noticias.terra.com.pe/tecnologia/fin-de-la-polemica-el-mono-es-el-verdadero-dueno-de-la-selfie,6905fd50b0ef7410VgnVCM10000098cceb0aRCRD.html"
}
] |
fr | La Russie contribuera au réglement du conflit israélo-palestinien au Proche-Orient |
, a déclaré mardi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors d'un entretien à Moscou avec le chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
De son côté, M. Abbas a indiqué que , rapporte, dans un communiqué, le ministère russe des Affaires étrangères (MID).
M. Lavrov et Abbas ont exprimé leur préoccupation face à la tension persistant autour de la bande de Gaza et par la grave situation humanitaire dans cette enclave palestinienne. Ils ont aussi insisté sur .
| [
"Asie",
"Russie",
"Palestine",
"Israël",
"Proche-Orient",
"Gaza",
"Guerre",
"Guerre de Gaza 2008-2009",
"Politique et conflits",
"Politique russe",
"Diplomatie",
"Moyen-Orient"
] | [
{
"language": "fr",
"title": "PO: la Russie contribuera au règlement du conflit palestino-israélien (diplomatie)",
"text": "International PO: la Russie contribuera au règlement du conflit palestino-israélien (diplomatie) 21:59 MOSCOU, 7 avril - RIA Novosti. Moscou est prêt à contribuer au règlement du conflit palestino-israélien et à la normalisation de la situation au Proche-Orient, a déclaré mardi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors d'un entretien à Moscou avec le chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. De son côté, M.Abbas a indiqué que l'administration palestinienne était prête à un dialogue avec le nouveau gouvernement israélien \"sur la base du droit international\", rapporte, dans un communiqué, le ministère russe des Affaires étrangères (MID). MM.Lavrov et Abbas ont exprimé leur préoccupation face à la tension persistant autour de la bande de Gaza et par la grave situation humanitaire dans cette enclave palestinienne. Ils ont aussi insisté sur la nécessité de l'arrêt des actes terroristes, notamment des tirs de roquettes et d'obus contre le territoire israélien et des actions musclées de l'Etat hébreux.\nenvoyez par e-mail retour à la page d'accueil",
"url": "http://fr.rian.ru/world/20090407/120969006.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20090410082311/http://fr.rian.ru/world/20090407/120969006.html"
}
] |
en | Iranian TV station announces first space rocket launch |
Flag of Iran
In Iran, the state-controlled TV station has announced that the country for the first time test-fired a space rocket, with scientific equipment aboard. "The first space rocket has been successfully launched into space," the station's website reported. The rocket was later reported not be designed to reach an orbit. Iran claims it reached an altitude of 94 miles and then parachuted home. No images have been released, and no other reports have confirmed the launch.
The announcement comes at a time of international tension over Iran's nuclear program. In a speech today, Iranian President Mahmoud Ahmadinejad compared his country's nuclear program with a train with no brakes and no reverse gear. Manouchehr Mohammadi, a deputy foreign minister, said the country had prepared itself for a standoff over its nuclear activities. Diplomats said that if Iran would possess advanced missile capabilities it would be of concern to the nations who believe Iran is developing nuclear weapons, something Iran denies.
The head of the Iranian space center, Mohsen Bahrami, was quoted saying that the scientific material on board came from the science and from the defence ministry. He also said that the test was in line with international regulations on the matter. Although the news would mean a significant breakthrough for Iran's missile technology, the story was only mentioned during one TV broadcast, and not at all by other official Iranian media.
Iran has said in the past it wants more satellites to increase its cellular phone and internet capabilities. It also said it hopes to become a center for science and technology in the region.
Since 2005, Iran already has one satellite in space, Sinah-1, which was launched in Russia with a Russian rocket. The rocket was described as serving telecommunication and research purposes. Soon after the 2005 launch, Iran announced they would develop their own launcher. Yesterday, the Iranian Defence Minister spoke of Iran's plans for their own satellite launcher, and disclosed his country's desire to join the club of countries with a space program.
| [
"Middle East",
"Iran",
"Science and technology",
"Space",
"Politics and conflicts",
"Mahmoud Ahmadinejad",
"Nuclear proliferation",
"Nuclear weapons"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Iran rocket claim raises tension",
"text": "But officials later said it was for research and would not go into orbit.\nExperts say if Iran has fired a rocket into space it would cause alarm abroad as it would mean scientists had crossed important technological barriers.\nIran has made little secret of its desire to become a space power and already has a satellite in orbit launched by the Russians.\nThe latest launch - if confirmed - comes at a time of mounting tension between Tehran and the West over Iran's controversial nuclear programme.\nThe five permanent members of the UN Security Council and Germany are due to meet on Monday to discuss the possibility of more sanctions over the nuclear issue.\nOn Sunday, President Mahmoud Ahmadinejad delivered another defiant speech insisting there is no going back on Iran's nuclear programme.\nIran's potential nuclear military programme, combined with an advanced missile capability, would destabilise the region\nSir Richard Dalton, former UK ambassador to Iran\nOne of his deputy foreign ministers, Manouchehr Mohammadi, said they had prepared themselves for any situation arising from the issue, even for war.\nMeanwhile, foreign ministers from seven Muslim states meeting in Pakistan have called for a diplomatic solution to the \"dangerous\" stand-off.\n\"It is vital that all issues must be resolved through diplomacy and there must be no resort to use of force,\" said a statement issued after talks involving ministers from Egypt, Indonesia, Jordan, Malaysia, Pakistan, Saudi Arabia and Turkey.\nMissile technology\nIranian TV broke the news of the reported test saying: \"The first space rocket has been successfully launched into space.\"\nAhmadinejad has claimed Iran's right to nuclear technology\nIt quoted the head of Iran's aerospace research centre, Mohsen Bahrami, as saying that \"the rocket was carrying material intended for research created by the ministries of science and defence\".\nHowever, Ali Akbar Golrou, executive director of the same facility, was later quoted by Fars news agency as saying the craft launched by was a sub-orbital rocket for scientific research.\n\"What was announced by the head of the research centre was the news of launching this sounding rocket,\" Mr Golrou said.\nIt would not remain in orbit but could rise to about 150km (94 miles) before a parachute-assisted descent to Earth.\nNo pictures of the reported launch have been shown on Iranian state TV, and no Western countries have confirmed tracking any such test-firing.\nSome Western diplomats suspect Iran may have backtracked on the announcement when it realised what negative publicity this would bring at a sensitive time, says the BBC's Frances Harrison in Tehran.\nThe reports come a day after Iran's Defence Minister spoke of plans to build a satellite launcher and join the space club. Also, an Iranian official quoted in Aviation Week earlier this month said Iran would soon test a new satellite launcher.\nBritain's former ambassador to Iran, Sir Richard Dalton, told the BBC that, if confirmed, such a launch could destabilise the Middle East.\n\"It is a matter of concern,\" he said. \"Iran's potential nuclear military programme, combined with an advanced missile capability, would destabilise the region, and of course if there were a bomb that could be placed on the end of this missile, it would be in breach of Iran's obligations under the non-proliferation treaty.\"\nMilitary experts believe that if Iran has sent a rocket into space it means scientists have mastered the technology needed to cross the atmospheric barrier.\nIn practice, they say, that means there is no technological block to Iran building longer range missiles now, something that will be of great international concern.\nIn 2005, Iran's Russian-made satellite was put into orbit by a Russian rocket.\nBut shortly afterwards Iranian military officials said they were preparing a satellite launch vehicle of their own, and last month they announced they were ready to test it soon.",
"url": "http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/middle_east/6394387.stm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070227112720/http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/middle_east/6394387.stm"
},
{
"language": "en",
"title": "English",
"text": "Special report: Iran Nuclear Crisis\nTEHRAN, Feb. 25 (Xinhua) -- Iran on Sunday successfully launched its first rocket into space with the purpose of research, the state-run television reported.\nMohsen Bahrami, the head of Iran's aerospace research center, was quoted as saying by the TV that \"the first space rocket has been successfully launched into space\", adding \"materials created by the Science and Technology and Defense ministries for research use was on the rocket.\"\nBahrami did not give more details about the range or nature of the rocket and its cargo, only said that the test was in line with international regulations.\nA top Iranian lawmaker last month had said Iran would soon test-launch its rocket into space, and disclosed that the country wanted to launch more home-made satellites with commercial purpose. Iran in 2005 has launched its first satellite, named Sina-1, in a joint program with Russia, which was described by press as for research and telecommunications usage.\nIran's Sunday launch of rocket came at a time of escalating tensions between Tehran and the West as Iran refused to heed the UN Security Council's Feb. 21 deadline to stop its uranium enrichment activities. The U.S.-led West are pressing for wider sanctions on Tehran.\nThe U.S., along with some other Western countries, has been accusing Iran of seeking to develop nuclear weapons under civilian cover. Tehran has rejected such allegations, insisting on its \"inalienable right\" for peaceful nuclear energy.",
"url": "http://news.xinhuanet.com/english/2007-02/25/content_5770726.htm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070227110107/http://news.xinhuanet.com/english/2007-02/25/content_5770726.htm"
},
{
"language": "en",
"title": "Iran announces rocket launch, believed part of commercial satellite project",
"text": "Iran announces rocket launch, believed part of commercial satellite project TEHRAN, Iran (AP) Iran on Sunday said it had successfully tested what it called a rocket that had reached space. The announcement, made on state-run television, was unclear, but appeared to refer to Iran's efforts to launch commercial satellites into orbit. Iran's Science and Technology and Defense ministries built the craft, the state-run television quoted Mohsen Bahrami, the head of Iran's Space Research Center, as saying. Bahrami provided no other details beyond saying that Iran had successfully launched what he called a space rocket or space missile. Iran in the past has announced that it wanted to be able to send its own satellites, including commercial ones, into orbit. But it has revealed little information about the project. In 2005, Iran launched its first such satellite in a joint project with Russia. Iran hopes to launch four more satellites by 2010, the government has said, to increase the number of land and mobile telephone lines to 80 million from 22 million. It also hopes to expand its satellite capabilities to let Internet users to rise to 35 million from 5.5 million in the next five years. Science and Technology Minister Mohammad Soleimani said Sunday that Iran would speed up its space program, the official IRNA news agency reported. \"Investment in space is very serious and requires time, but we are trying to speed this up,\" IRNA quoted Soleimani as saying. Iran requires at least a 12 transponder satellite to enhance its communications and Internet systems. It signed a $132 million deal with a Russian firm to build and launch another telecommunications satellite two years ago. Also in 2005, Iran said its next step would be the launch of a satellite on an indigenous rocket. Iranian officials have said the country has been developing a Shahab-4 missile that will be used to launch a satellite into space. Under a 20-year development plan, Iran has said it hopes to become a base for science and technology in the region. Copyright 2007 The Associated Press. All rights reserved. This material may not be published, broadcast, rewritten or redistributed.",
"url": "http://www.usatoday.com/tech/science/space/2007-02-25-iran-rocket_x.htm?POE=TECISVA",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080523004134/http://www.usatoday.com/tech/science/space/2007-02-25-iran-rocket_x.htm?POE=TECISVA"
},
{
"language": "en",
"title": "Iran declares first successful domestic launch",
"text": "Following the contracted launch of the Iranian satellite Sina-1 - conducted by Russia - the launch of the satellite Kavesh (Search) may have been carried out by a converted Shahab-3 missile. However, there is confusion on if this was a proper satellite launch - as claimed - or a sub-orbital launch.\nIranian State TV this morning reported that Iran had successfully launched a satellite into space on an Iranian built vehicle, as the opening salvo in their homemade space flight ambitions, as they aim to \"join the space club.\"\nWith the current political tensions between Iran and the West, just how the White House will respond to this will be very interesting, although Iran has previously made no secret about its ambitions. This time, however, it appears the launch occurred without the knowledge of the outside world.\nAccording to Mohsen Bahrami, head of the Iranian Aerospace Research Institute, the launch took place, successfully, within the last few weeks, stating 'Iran has successfully launched its first space missile made by Iranian scientists.'\nPrevious ambitions that have been made public by the Iranians have always involved peaceful intentions. Following the Sina-1 launch, Iran made it known that they intended to launch five satellites for national communication needs.\nThere are conflicting reports about the actual launch profile of this vehicle, with wire reports quoting another Iranian official, who claimed the launch was sub-orbital, rising to 94 miles, before falling to earth by parachute. This contradicts Iranian State TV.\nThe launch did provide some clues to Iran's ambitions, with Defense Minister Mostafa Mohammad Najjar noting that the Iran was planning to build a satellite and launcher system, potentially more advanced than the modification of the Shahab-3 missile.\nWhat is clear is Iran now fully intends to join 'the space club.'\n'Building a satellite and satellite launcher, as well as (previously) launching the first Iranian satellite called Sina with Russian cooperation, and becoming a member of the space club, are part of the Defense Ministry's plans,' said the Minister.\nThe Shahab-3 medium-range ballistic missile is a fully Iranian built single stage vehicle, and has been the subject of concerns, due to the continuing tensions related to Iran's continued defiance of UN resolutions regarding their nuclear ambitions.\nThe vehicle - which is transported by road - has a range of around 800 miles. However, another variant is reported to have a range of 1,200 miles. Should the launch of Kavesh prove an increased capability, concerns will be raised once again on the political playing field.\nShahab, which means 'Meteor' or 'Shooting Star' in Farsi, is a derivative of the North Korean 1,000 mile range No-Dong missile. The vehicle is capable of carrying a 1,000 kg warhead.",
"url": "http://www.nasaspaceflight.com/content/?cid=5031",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20071227202629/http://www.nasaspaceflight.com/content/?cid=5031"
}
] |
pl | 2005-12-28: Były urzędnik niemieckiego MSZ porwany z rodziną w Jemenie |
150pxByły sekretarz stanu niemieckiego ministerstwa spraw zagranicznych, Jürgen Chrobog, został dziś porwany razem ze swoją żoną i trójką dzieci we wschodnim Jemenie.
Pięcioosobowa rodzina została porwana podczas podróży. Ich samochód zaginął 460 kilometrów na wschód od stolicy Jemenu, Sany. Według ministra spraw wewnętrznych Jemenu twierdzi, że za porwanie stoi grupa z jednego z plemion zamieszkujących te okolice.
Agencja Reutera podała, że porywacze to członkowie plemienia Al-Abdullah. Jeden z ich członków w telefonicznej rozmowie z pracownikiem agencji prasowej poinformował, że niemieckiej rodzinie nic nie jest. Jednocześnie za jej uwolnienie domagał się wypuszczenia z jemeńskiego więzienia jednego z członków szczepu.
Rzecznik niemieckiego ministerstwa spraw zagranicznych powiedział, że nie można jasno stwierdzić, czy sprawcy specjalnie porwali Chroborga z rodziną, czy też był to tylko zbieg okoliczności.
W latach 1994-2001 Chroborg był ambasadorem Niemiec w USA. Potem został przeniesiony do ministerstwa spraw zagranicznych, gdzie zajmował się m.in. negocjowaniem uwolnienia porwanych niemieckich obywateli.
W tym roku to już czwarty przypadek porwania obcokrajowców w Jemenie. Turyści z zagranicy są często porywani w tym kraju dla okupu. Na ogół jednak udaje się ich uwolnić.
| [
"Jemen",
"Niemcy"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Entführung im Jemen: Krisenstab ringt um Freilassung der Chrobog-Familie",
"text": "28. Dezember 2005 Druckversion | Versenden | Leserbrief\nENTFÜHRUNG IM JEMEN\nKrisenstab ringt um Freilassung der Chrobog-Familie\nVor knapp drei Jahren leitete er den Krisenstab zur Befreiung der Sahara-Geiseln, jetzt befindet sich der Ex-Staatssekretär Jürgen Chrobog mit seiner Familie selbst in der Hand von jemenitischen Entführern. Vermittlern zufolge können die fünf Deutschen mit einer baldigen Freilassung rechnen.\nBerlin - Der frühere Staatssekretär im Außenministerium, Jürgen Chrobog, wird mit Familie im Jemen vermisst, wie das Auswärtige Amt mitteilte, nachdem bereits die Entführung einer deutschen Familie in dem arabischen Land bekannt geworden war. Man stehe mit \"allen relevanten Stellen in Kontakt\" und werde \"alle Anstrengungen daran setzen, die Familie so schnell wie möglich in Sicherheit zu bringen\", hieß es. Der 65-jährige Chrobog befindet sich nach Angaben aus Regierungskreisen seit 24. Dezember auf einer Privatreise im Jemen.\nWie das Innenministerium in Sanaa mitteilte, kennt die Polizei den Aufenthaltsort der gekidnappten Touristen. Die Entführer wollten einen Angehörigen ihres Stammes freipressen, der in der Hafenstadt Aden im Gefängnis sitze.\nDDP Ex-Staatsminister Chrobog: Beruflich schon öfter mit Geiselnahmen befasst\nDer Krisenstab des Auswärtigen Amtes geht einem ARD-Bericht zufolge davon aus, dass sich der Fall \"relativ rasch glimpflich lösen wird\". Denn bei Entführungen im Jemen gehe es um \"relativ simpel zu befriedigende Forderungen\". Zudem habe die jemenitische Regierung ein \"hohes Interesse\", dass Chrobog, der so etwas wie ein informeller Staatsgast sei, schnell wieder freikomme.\nChrobog und seine Frau, die Dolmetscherin Magda Gohar-Chrobog, haben drei Söhne. Seine Frau ist die Tochter des ägyptischen Schriftstellers Youssef Gohar. Im Fall der im Irak verschleppten Archäologin Susanne Osthoff hatte Chrobog jüngst ein \"Sozialversicherungsdenken\" mancher deutscher Bürger im Ausland kritisiert. Wer sich in Gefahr gebe, müsse das Risiko kennen, sagte er dem Bayerischen Rundfunk. \"Man erwartet ja immer eine Rundumversicherung des Staates, aber Wunder können wir nicht bewirken.\"\nIm April 2003 leitete Chrobog den Krisenstab der Bundesregierung zur Befreiung der 14 verschleppten Sahara-Touristen, darunter neun Deutsche. Diese waren rund sechs Monate lang in Gefangenschaft und wurden schließlich am 18. August 2003 von ihren Geiselnehmern im Norden Malis in der Kidal-Region freigelassen. Eine der deutschen Geiseln war zuvor im Juni 2003 in Algerien einem Hitzschlag erlegen.\nDie Deutschen seien zusammen mit drei Jemeniten aus einem Restaurant an der Straße zwischen der Hafenstadt Aden und der Provinzhauptstadt Schabwa, rund 470 Kilometer östlich der Hauptstadt Sanaa, verschleppt worden, so das jemenitische Innenministerium. Bei den Kidnappern handele es sich laut jemenitischen Behörden um bewaffnete Mitglieder eines Stammes.\nDen Deutschen gehe es gut, sagte ein Vertreter der Abu Taleb Group (ATG), der als größter und seriösester Reiseveranstalter des Jemens gilt. Er stehe in telefonischem Kontakt mit den Entführten und gehe von ihrer \"baldigen Freilassung\" aus. Die Familie bekomme zu essen und zu trinken und werde gut behandelt. Die beiden Eltern und ihre drei Söhne sind demnach weiterhin in Begleitung ihrer beiden Fahrer und ihres jemenitischen Reiseleiters. ATG ist ein Partner des deutschen Reiseunternehmens Studiosus.\nDER SPIEGEL Karte vom Jemen: Verschleppung rund 470 Kilometer östlich von Sanaa\nAußenamtssprecher Martin Jäger sagte in Berlin, man bemühe sich zurzeit um nähere Einzelheiten und den Aufbau von Kontakten. Das Auswärtige Amt wappne sich \"für alle möglichen denkbaren Fälle\". Der Krisenstab wird von Staatssekretär Georg Boomgaarden geleitet.\nAuswärtiges Amt warnt vor Jemenreisen\nLaut Studiosus und Dr. Tigges Gebeco, die beide mit ATG zusammenarbeiten, fahren pro Jahr lediglich mehrere hundert Deutsche in das Land mit seiner beeindruckenden Wüsten- und Berglandschaft und orientalischen Kulturdenkmälern. Studiosus hatte entsprechende Reisen wegen der Sicherheitslage lange Zeit nicht angeboten und erst im Oktober dieses Jahres erneut ins Programm genommen. Beide Veranstalter wollen nun prüfen, ob sie Konsequenzen aus den neuen Fällen ziehen werden.\nImmer wieder kommt es in dem Land an der Spitze der arabischen Halbinsel zu Entführungen. In den vergangenen 15 Jahren wurden mehr als 200 Touristen gekidnappt. Fast alle Fälle konnten jedoch mit der Hilfe von einheimischen Vermittlern friedlich gelöst werden. Erst in der vergangenen Woche waren zwei österreichische Touristen verschleppt worden. Sie wurden jedoch am 24. Dezember wieder freigelassen. Offenbar hatten ihre Entführer die Freilassung verhafteter Stammesmitglieder gefordert.\nIn seinen Sicherheitshinweisen für Touristen mahnt das Auswärtige Amt zur Vorsicht bei Reisen im Jemen. Es bestehe ein allgemeines Risiko terroristischer Anschläge gegen westliche Interessen, heißt es auf der Internetseite des AA. Die jemenitische Regierung bemühe sich seit früheren Anschlägen \"mit Nachdruck und gutem Erfolg\", die Bevölkerung wie auch Touristen und andere Ausländer vor Gewaltakten zu schützen.\nZUM THEMA IN SPIEGEL ONLINE\nGeiselnahme im Jemen: Wie Peter Schurz seine Entführung erlebte (28.12.2005) Porträt: Jürgen Chrobog - der Mann für schwere Fälle (28.12.2005) Jemen: Ausländer häufig Opfer von Entführern (28.12.2005) Entführungsfall: Unions-Politiker von Klaeden attackiert Osthoff (28.12.2005) Nahost: Drei Briten im Gaza-Streifen entführt (28.12.2005) SPIEGEL-Länderlexikon: Jemen (11.06.2003)\n© SPIEGEL ONLINE 2005\nAlle Rechte vorbehalten\nVervielfältigung nur mit Genehmigung der SPIEGELnet GmbH\nYAHOO! SUCHE IM WEB:",
"url": "http://www.spiegel.de/panorama/0,1518,392544,00.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20060102094201/http://www.spiegel.de/panorama/0,1518,392544,00.html"
},
{
"language": "en",
"title": "German diplomat missing in Yemen",
"text": "Juergen Chrobog is a former ambassador to the US\nJuergen Chrobog, 65, is a former deputy foreign minister and former ambassador to the US.\nHe has gone missing with his wife and three children, a foreign ministry official said.\nLast week two Austrian tourists were kidnapped, and later freed, by Yemeni tribesmen who had been demanding the release of their relatives from prison.\nThe German foreign ministry confirmed their former colleague was missing.\nMr Chrobog is now the chairman of a business foundation linked to car-maker BMW.\nSpokesman Martin Jaeger said the family were on an organised tour, \"travelling in a group, in which one vehicle fell behind\".\nThe group had reportedly been travelling between the region of Shabwa and the southern port city of Aden.\n\"The foreign office is in contact with all the relevant authorities and is trying to find out where this family could be,\" he added.\n\"We will make every effort to bring this family to safety as quickly as possible.\"\n'They are safe'\nThe Reuters news agency said it had spoken to one of the kidnappers.\n\"The hostages are safe. Their life is not in danger and they are the guests of our tribe,\" a member of the al-Abdullah tribe reportedly told Reuters by phone.\n\"We were forced to do this to focus the government's attention to our cause,\" he said.\nHe said the kidnappers wanted the Yemeni government to release five of his tribesmen, who are in jail for criminal charges including murder.\nForeigners have often been kidnapped by armed tribal groups trying to force some kind of concession out of the Yemeni government, but are usually released unharmed.\nLast month two Swiss tourists were seized, and later released.\nHowever, four Britons kidnapped in Yemen in 1998 died when they were used as human shields during a bungled rescue attempt by state troops.",
"url": "http://news.bbc.co.uk/2/hi/middle_east/4564370.stm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20051230072307/http://news.bbc.co.uk/2/hi/middle_east/4564370.stm"
}
] |
pl | 2007-02-10: Niemcy znów największym eksporterem na świecie |
Według danych zaprezentowanych 7 lutego przez Federalny Urząd Statystyczny, eksport niemieckich przedsiębiorstw osiągnął w 2006 roku rekordową kwotę 893,6 mld euro. Oznacza to wzrost o 13,7 % w stosunku do roku 2005 (786 mld euro).
Jeszcze więcej, o 16,5 %, wzrósł w ciągu roku niemiecki import, również do rekordowego poziomu 731,7 mld euro. Jedną z przyczyn tak znacznego wzrostu importu ekonomiści upatrują w drożejących cenach surowców, głównie ropy naftowej.
Osiągnięta wartość eksportu sprawia, że Niemcy już czwarty rok z rzędu przewodzą stawce największych eksporterów na świecie. Na drugim miejscu znalazły się Stany Zjednoczone, a na trzecim Chiny. Według przewidywań, już w roku 2007 Państwo Środka osiągnie większą wartość eksportu niż USA, a w roku 2008 będzie liderem tego "rankingu".
| [
"Chiny",
"Gospodarka",
"Niemcy",
"USA"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Außenhandel: Deutschland Exportweltmeister",
"text": "Wirtschaft Home Wirtschaft Aussenhandel Deutschland Exportweltmeister - aber China holt gewaltig auf Die deutschen Exporte haben 2006 einen neuen Rekord erreicht. Der Außenhandel war damit eine wichtige Säule für die Wirtschaft, die so stark wie seit dem Boomjahr 2000 nicht mehr zulegte. Die Prognose für 2007 ist allerdings nicht ganz so berauschend. Und der Weltmeistertitel dürfte bald nach Asien gehen. Von hier aus in alle Welt: Container im Hamburger Hafen\nFoto: dpa Berlin - Deutschland ist 2006 zum vierten Mal in Folge Exportweltmeister geworden. Der Wert der exportierten Waren belief sich im vergangenen Jahr auf den Rekordwert von 893,6 Milliarden Euro, das waren 13,7 Prozent mehr als ein Jahr zuvor. „Damit hat Deutschland ganz klar wieder den Weltmeistertitel geholt“, sagte ein Statistiker des Statistischen Bundesamtes am Donnerstag in Wiesbaden. Auf Platz zwei im Welthandel liegen die USA vor der aufstrebenden Wirtschaftsmacht China. Auch die Außenhandelsbilanz – der Saldo von Importen und Exporten – schloss mit einem neuen Rekordüberschuss ab. Die Importe legten um 16,5 Prozent auf einen Rekordstand von 731,7 Milliarden Euro zu. Im Dezember verloren die Exporte etwas an Schwung. Fachleute gehen aber davon aus, dass die Branche auch in diesem Jahr zulegen dürfte – wenn auch nicht so stark wie 2006.\n„Insgesamt war es ein sehr erfolgreiches Jahr für die deutschen Exporteure“, sagte Alexander Koch von UniCredit. Die Handelsbilanz schloss mit einem Rekordüberschuss von 161,9 Milliarden Euro. Im Jahr davor betrug der Saldo aus exportierten und importierten Waren 158,2 Milliarden Euro. In der Leistungsbilanz verbuchte Deutschland ein Plus von 100,9 Milliarden Euro, rund zehn Milliarden mehr als 2005.\n„Im vergangenen Jahr hat vor allem die Kombination aus robustem globalem Wachstum und einer deutlich verbesserten Wettbewerbsfähigkeit der deutschen Unternehmen den Außenhandel angetrieben“, sagte Dirk Schumacher von Goldman Sachs. Außerdem habe der von den deutschen Unternehmen angebotene Produktmix gut zur globalen Nachfrage gepasst.\nVor allem in Ländern außerhalb der EU konnten die Deutschen ihren Absatz steigern: Die Exporte in Drittländer stiegen um 17,3 Prozent auf 337,6 Milliarden Euro. Der größte Anteil der Ausfuhren wurde jedoch mit 556,1 Milliarden Euro in andere EU-Länder verschickt, 11,5 Prozent mehr als im vergangenen Jahr.\nIn diesem Jahr dürften die Exporte Schumacher zufolge jedoch nicht mehr so rasant zulegen: „Die Weltwirtschaft schwächt sich ab, der Wechselkurs wird sich leicht aufwerten.“ Außerdem werde die fortdauernde Belebung der Binnennachfrage zu mehr Einfuhren führen und damit den Wachstumsbeitrag des Außenhandels etwas bremsen. Thomas Amend von HSBC Trinkaus & Burkhardt zeigte sich jedoch gewiss, dass der Außenbeitrag auch 2007 das Wachstum stützen werde.\nIm Dezember lag der Exportwert mit 73,5 Milliarden Euro um\n10,3 Prozent über dem Niveau des Vorjahres. Im Vergleich zum November sank er saisonbereinigt um zwei Prozent. „Dies würde ich aber nicht überbewerten“, sagte Amend. Der Wert der importierten Waren stieg um 8,5 Prozent zum Vorjahr auf 62,6 Milliarden Euro und lag saisonbereinigt um fünf Prozent über dem Niveau des Vormonats. „Das ist ein Indiz, dass auch die Binnennachfrage gut läuft“, sagte Schumacher.\nDie deutsche Handelsbilanz schloss im Dezember mit einem Überschuss von 10,8 Milliarden Euro, die Leistungsbilanz mit 9,8 Milliarden Euro. Von Reuters befragte Analysten hatten im Schnitt mit einem saisonbereinigten Rückgang der Exporte um 0,4 Prozent zum Vormonat gerechnet. Am Montag hatte die Bundesagentur für Außenwirtschaft (Bfai) gemahnt, schon 2008 könnte China Deutschland den Titel des Exportweltmeisters streitig machen. 2007 werde die Volksrepublik bereits mehr ausführen als die USA. Im kommenden Jahr dürfte China Waren im Wert von 1,4 Billionen Dollar (rund 1,1 Billionen Euro) exportieren, Deutschlands Ausfuhren dürften 1,3 Billionen Dollar betragen.\n„Das überrascht uns nicht“, sagte der Präsident des Bundesverbandes des Deutschen Groß- und Außenhandels, Anton Börner. 2008 oder 2009 werde Deutschland seinen Titel als Exportweltmeister verlieren: „Das ist schon allein auf Grund der Größe des Landes nicht weiter verwunderlich.“ China hat mit 1,3 Milliarden etwa 15 mal so viele Einwohnern wie Deutschland. WELT.de/AP/rtr Artikel erschienen am 08.02.2007\nAlle Artikel vom 08.02.2007\noben",
"url": "http://www.welt.de/data/2007/02/08/1204947.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070216220343/http://www.welt.de/data/2007/02/08/1204947.html"
},
{
"language": "de",
"title": "China jagt Exportweltmeister Deutschland",
"text": "China wird den mehrfachen Export-Weltmeister Deutschland nach Experten-Prognose voraussichtlich 2008 vom Spitzenplatz verdrängen. Bereits in diesem Jahr werde die Volksrepublik die USA als bisherige Nummer zwei abhängen und sich zugleich mit Deutschland ein \"Kopf-an-Kopf-Rennen liefern\", sagte der Direktor der Bundesagentur für Außenwirtschaft (Bfai), Gerd Herx.\nMit Ausfuhren von geschätzten 1,4 Billionen US-Dollar (ein Billion Euro) lasse China 2008 dann Deutschland hinter sich, obwohl die deutschen Exporte weiter kräftig zulegen werden. 2007 wird Deutschland laut Bfai wohl noch einmal knapp Export-Weltmeister werden - und damit zum fünften Mal in Folge den \"Titel\" holen.\nGleichzeitig nimmt den Prognosen zufolge die internationale Verflechtung weiter zu. Denn während die Weltwirtschaft Analystenschätzungen zufolge um jährlich rund vier Prozent wachsen wird, gehen die Bfai-Ökonomen von durchschnittlichen Wachstumsraten beim Export von 15 Prozent für 2006 und jeweils zehn Prozent für 2007 und 2008 aus.\nAusschlaggebend für den Durchmarsch der Chinesen an die Spitze der Exportnationen ist deren Weltmarktführerschaft bei Elektronikprodukten, Textilien sowie neuerdings in der Elektrotechnik, zu der vor allem Haushaltsgeräte zählen. Nach \"konservativen Schätzungen\" dürften die Ausfuhren Chinas 2008 auf mehr als knapp 1,1 Bio. Euro steigen.\nDeutschland hatte im vergangenen Jahr nach Schätzungen des Bundesverbands des Deutschen Groß- und Außenhandels Waren im Wert von 888 Mrd. Euro exportiert und damit seinen Titel als Exportweltmeister verteidigt. Herx sagte, China habe sich innerhalb kürzester Zeit zu einem Weltwirtschaftsgiganten gemausert. So lieferte Peking beispielsweise 2006 Waren für mehr als 230 Mrd. Euro in die USA - gut dreimal so viel wie Deutschland.\nBei den elektronischen Erzeugnissen dominiert China den Angaben zufolge bereits heute mit Ausfuhren von insgesamt knapp 230 Mrd. Euro unangefochten die Weltmärkte. Erst mit großem Abstand folgten 2006 die USA mit Elektronikexporten im Wert von umgerechnet etwa 105 Mrd. Euro; Deutschland landete mit etwa 55 Mrd. Euro noch hinter Südkorea auf Rang sechs. Der zweitgrößte chinesische Ausfuhrposten waren demnach Textilien und Bekleidung mit einem Exportvolumen von knapp 110 Mrd. Euro - mittlerweile stellt China fast ein Viertel der Weltausfuhren in diesem Segment.\nIm Maschinenbau verzeichnete China 2006 ebenfalls einen Exportzuwachs von fast 40 Prozent und ließ mit gut 46 Mrd. Euro die klassischen Maschinenexporteure Großbritannien und Frankreich hinter sich. Weltweit liegen die Chinesen in diesem Segment nun bereits auf Platz fünf. \"Allerdings ist hier der Abstand zur Weltspitze noch groß\", sagte Herx.\nAls Grund für den Vorstoß der Volksrepublik in die Spitzengruppe der größten Exportnationen nannte Herx unter anderem die rund 700 Mrd. Euro ausländischer Direktinvestitionen, die China seit Beginn seiner Öffnungspolitik erhalten habe. Dabei habe es sich in erster Linie um Produktionsverlagerungen großer Industrienationen gehandelt. Zugleich sei \"die Tendenz zum Raubkopieren und zur Markenpiraterie in China ungebrochen\". Als \"Doping für den chinesischen Export\" habe sich zudem der Umstand erweisen, dass die chinesische Währung nicht frei konvertibel sei. So gingen Experten von einer bis zu 40-prozentigen Unterbewertung des Renminbi aus.",
"url": "http://www.welt.de/print-welt/article716942/China_jagt_Exportweltmeister_Deutschland.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20081010105420/http://www.welt.de/print-welt/article716942/China_jagt_Exportweltmeister_Deutschland.html"
},
{
"language": "de",
"title": "Kommentar: Verzichtbarer Titel",
"text": "06.02.07\nVon Jörg Eigendorf\nKaum sind wir Handball-Weltmeister müssen wir um einen anderen Titel bangen - den des Exportweltmeisters. Doch das sollten wir nicht: Denn während ein erster Platz bei einem wichtigen Sportwettbewerb zumindest für Euphorie sorgt, ist der Titel des Exportweltmeisters irrelevant. Denn er sagt weder etwas darüber aus, wie viel Wertschöpfung im Inland erfolgt, noch über die Frage, ob Deutschlands Spitzenposition in wichtigen Branchen gefährdet ist.\nOhne die Schlagkraft der chinesischen Wirtschaft kleinreden zu wollen - ein größerer Teil des Erfolgs geht auf eine unterbewertete Landeswährung zurück. Damit verkauft China seine Produkte unter Wert. Und das wiederum ist nichts anderes ist als Selbstausbeutung, die nicht von Dauer sein wird. Zugleich halten die deutschen Auto- und Maschinenbauer die Konkurrenten aus dem Reich der Mitte vorerst auf Distanz.\nEine andere Nachricht ist deshalb viel wichtiger als der drohende Verlust der Exportweltmeisterschaft: Bewahrheiten sich die Prognosen der Bundesagentur für Außenwirtschaft, dann wird sich die Weltwirtschaft in den nächsten Jahren weiter verflechten. Das wird zusätzliche Wachstumsimpulse auch in Deutschland bringen. Viel größer als die chinesische Gefahr ist deshalb der politische Reflex in den modernen Industriegesellschaften, sich vor den neuen Wettbewerbern im Osten abschotten zu müssen.",
"url": "http://www.welt.de/print-welt/article716944/Kommentar_Verzichtbarer_Titel.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20130705135603/http://www.welt.de/print-welt/article716944/Kommentar-Verzichtbarer-Titel.html"
},
{
"language": "de",
"title": "Starker Euro bedroht deutsche Exporte",
"text": "Erst knallten die Sektkorken, dann kam die Ernüchterung: Nach dem Exportrekord 2006 sind die Aussichten für 2007 trüber. Die Ausfuhren aus Deutschland werden deutlich langsamer zulegen, warnen Volkswirte.\nHamburg - Nach Einschätzung der Commerzbank werden die Unternehmen in Deutschland in diesem Jahr die Abkühlung der Weltwirtschaft spüren. \"Zudem ist aus dem Rückenwind von Seiten des Wechselkurses inzwischen ein leichter Gegenwind geworden\", heißt es in einer heute veröffentlichten Studie. Die Auftragseingänge aus dem Ausland spiegelten diese schlechteren Rahmenbedingungen bereits wider.\nREUTERS Schiffscontainer für den Export: \"2007 wird wohl kein Rekordjahr mehr\"\nInsgesamt erwartet die Commerzbank für 2007 einen nominalen Anstieg der Exporte um rund 8,5 Prozent. \"Dies wäre immer noch ein beachtliches Ergebnis, aber eben deutlich weniger als 2006\", heißt es in der Studie. Im vergangenen Jahr war der Wert der ausgeführten Waren um 13,7 Prozent auf die Rekordsumme von 893,6 Milliarden Euro gestiegen. Im Dezember jedoch hat sich das Exportwachstum bereits abgeschwächt. Im letzten Monat des Jahres legten die Ausfuhren nur noch um 10,3 Prozent zu.\nDirk Schumacher, Analyst bei Goldman Sachs, erwartet nun, dass sich diese Entwicklung 2007 fortsetzt. \"Die Exporte werden dieses Jahr nicht ganz so rasant zulegen.\" Die Weltwirtschaft schwäche sich ab, außerdem werde der Kurs des Euro im Vergleich zum Dollar leicht zulegen. Ausfuhren aus dem Euroraum werden damit teurer. Gleichzeitig erwartet Schumacher, dass sich die Binnennachfrage in Deutschland weiter belebt. \"Das führt dazu, dass der Wachstumsbeitrag des Außenhandels etwas geringer ausfällt.\"\nZahlen und Fakten: Deutschlands Außenhandel im Überblick - klicken Sie hier ...\nEinen Rückgang der Ausfuhren erwartet indes kaum ein Ökonom. Insgesamt werde der Export auch 2007 zulegen - nur nicht so stark wie bisher. \"Waren Made in Germany sind im Ausland nach wie vor gefragt\", sagt Thomas Amend von HSBC Trinkaus & Burkhardt. Die Abschwächung im Dezember \"würde ich deshalb nicht überbewerten\". Für das laufende Jahr sei er deshalb optimistisch. \"Die Stimmungsindikatoren sind weiter positiv. Wir gehen davon aus, dass der Außenhandel 2007 wieder einen positiven Wachstumsbeitrag zum BIP-Wachstum liefern wird.\"\nDoch selbst Optimisten wie Amend sehen Anzeichen für eine Abkühlung. So habe es im letzten Monat 2006 ein leichtes Minus bei den Aufträgen gegeben. \"Das könnte auf die Exporte durchschlagen\", sagte er. Ähnlich sieht das Alexander Koch von der Unicredit-Bank. Bei den Aufträgen von Kapitalgütern habe es zuletzt bereits einen Rückgang gegeben, sagte er. \"2007 wird wohl kein Rekordjahr mehr.\"\nwal/dpa-AFX/Reuters",
"url": "http://www.spiegel.de/wirtschaft/0,1518,465116,00.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070210051707/http://www.spiegel.de/wirtschaft/0%2C1518%2C465116%2C00.html"
}
] |
fr | France : Myriam El Khomri succède à Rebsamen au ministère du Travail | Myriam El Khomri, en 2014
, jusqu'à présent secrétaire d'État à la Politique de la ville, a été nommée ministre du Travail ce matin, en remplacement de . C'est une surprise de taille, puisqu'elle n'était pas citée parmi les prétendants à ce portefeuille, à l'inverse du secrétaire d'État aux Transports, , ou du président du groupe PS à l'Assemblée nationale, . Âgée de 37 ans, Myriam El Khomri est la benjamine du gouvernement.
| [
"Europe",
"France",
"Politique",
"Politique française",
"Gouvernement français",
"Septembre 2015 en France|02",
"Travail"
] | [
{
"language": "fr",
"title": "France 24",
"text": "À Paris, la manifestation de soutien aux migrants sera \"indépendante\" En savoir plus\nWashington et Riyad tentent de panser leurs relations En savoir plus\nAngela Merkel, héroïne des réfugiés syriens En savoir plus\nHongrie : les migrants se rebellent, Budapest durcit ses lois En savoir plus\nAu bout du suspense, les Bleus décrochent un succès encourageant au Portugal En savoir plus\nVidéo : en Hongrie, des associations musulmanes au secours des migrants En savoir plus\nStar Wars, le réveil de la force marketing En savoir plus\nDonald Trump s'engage à faire \"allégeance\" au Parti républicain En savoir plus\nCarnet de route : \"À Budapest, l'ambiance est ultra-tendue\" En savoir plus\nLe milliardaire égyptien qui voulait offrir une île aux réfugiés En savoir plus\nÉlections locales au Maroc : quel score pour le PJD et l'abstention ? En savoir plus",
"url": "http://www.france24.com/fr/urgent/20150902-france-myriam-el-khomri-succede-a-francois-rebsamen-ministere-travail-elysee",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20150905004151/http://www.france24.com/fr/urgent/20150902-france-myriam-el-khomri-succede-a-francois-rebsamen-ministere-travail-elysee"
}
] |
de | Sprengstoffpakete in zwei Frachtflugzeugen mit Ziel USA abgefangen |
In Frachtflugzeugen, die – aus dem Jemen kommend – auf dem Weg zu Zielen in den Vereinigten Staaten waren, entdeckten Sicherheitskräfte in der Nacht auf Freitag Pakete, die Sprengstoff enthielten. Auf dem Flughafen Dubai war die Chemikalie Nitropenta (PETN) in einem Computerdrucker versteckt worden. In dem Paket waren außerdem die SIM-Karte eines Mobiltelefons und der Zündstoff Bleiazid gefunden worden. Wie ein Polizeisprecher des Emirats Dubai mitteilte, befand sich in dem Computerdrucker „ein geschlossener Stromkreislauf, der mit der SIM-Karte eines Handys verbunden war.“ Die Bauweise gleicht der, wie sie auch von dem internationalen Terrornetzwerk al-Qaida verwendet worden sei, sagte ein Polizeisprecher in Dubai. Ein ähnliches Päckchen war dann auf einem Flugplatz in der Nähe von Birmingham (England) gefunden worden.
Die britische Innenministerin Theresa May hat inzwischen bestätigt, dass das Paket, das man in einem Flughafen in der Nähe von Birmingham gefunden hatte, einen funktionsfähigen Sprengsatz enthalten habe.
Ermittler schließen nicht aus, dass es sich bei den Paketsendungen, die an jüdische Einrichtungen in den Vereinigten Staaten adressiert waren, um Testläufe gehandelt hat, um herauszufinden, wie sensibel die entsprechenden Sicherheitsvorkehrungen im internationalen Luftverkehr reagieren.
US-Präsident Barack Obama sprach von einer terroristischen Bedrohung für die Vereinigten Staaten.
Wie die Sicherheitsorgane im Jemen mitteilten, seien inzwischen weitere 26 verdächtige Päckchen gefunden worden. Außerdem seien Mitarbeiter von Luftfrachtgesellschaften und der Frachtabteilung des internationalen Flughafens Sanaa festgenommen worden und würden zurzeit vernommen.
| [
"Themenportal Politik",
"Themenportal Jemen",
"Themenportal Arabische Welt",
"Themenportal Vereinigte Staaten",
"Themenportal Vereinigtes Königreich",
"Themenportal Vereinigte Arabische Emirate",
"Themenportal Arabische Welt",
"Terrorismus allg.",
"Terrorismusgefahr",
"Flughafen Dubai",
"Al-Qaida"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Paketbomben-Anschläge kurz vor US-Wahlen vereitelt",
"text": "Washington (Reuters) - Wenige Tage vor den Kongresswahlen in den USA haben Sicherheitsbehörden zwei Anschläge mit Paketbomben auf jüdische Einrichtungen in Chicago vereitelt.\nErmittler vermuten hinter den im Jemen aufgegeben Sendungen die Al-Kaida auf der Arabischen Halbinsel. Der Sprengstoff wurde am Freitag auf dem Weg in die USA in zwei Frachtflugzeugen in England und Dubai entdeckt, woraufhin die Sicherheitsvorkehrungen in den USA verstärkt wurden. Ermittler schließen nicht aus, dass Extremisten mit den Sprengstoffsendungen die Frachtkontrollen testen wollten. Die Bundesregierung sieht unterdessen für Deutschland keine neue Bedrohungslage.\nDas auf dem Flughafen in Dubai entdeckte Paket enthielt nach Angaben der örtlichen Polizei einen Computerdrucker, in dem die Chemikalie PETN versteckt war, die auch als Sprengstoff verwendet wird und schon bei einem vereitelten Anschlag auf ein Verkehrsflugzeug in den USA zu Weihnachten 2009 zum Einsatz kam. Gefunden wurden auch die SIM-Karte eines Mobiltelefons und der Stoff Bleiazid, der in Zündern zum Einsatz kommt. Das andere Paket wurde in einem Flugzeug auf dem englischen Flughafen East Midlands nördlich von Birmingham entdeckt.\nUS-Präsident Barack Obama sprach am Freitag von einer \"glaubhaften terroristischen Bedrohung\". Nach Angaben seiner Regierung halfen neben Großbritannien und Dubai auch Behörden aus Saudi-Arabien beim Fund der Sendungen, die über die US-Paketdienste United Parcel Service (UPS) und FedEx verschickt wurden. Sicherheitskräfte suchten auch am Samstag nach weiteren Paketen, die möglicherweise in die USA geschickt werden sollten.\nUS-Heimatschutzministerin Janet Napolitano sagte dem Sender ABC, die Pakete deuteten auf die Al-Kaida hin. Nach ihren Worten müssen Reisende damit rechnen, auf amerikanischen Flughäfen etwa mit Hilfe von Spürhunden strenger kontrolliert zu werden. Unklar ist nach ihren Worten, ob die Bomben noch an Bord der Flugzeuge oder an den Zielorten explodieren sollten. Geklärt werden soll auch, ob ähnliche Pakete verschickt worden waren, um Sicherheitskontrollen auszutesten.\nUPS und FedEx stoppten alle Lieferungen aus dem Jemen. Auch die Deutsche-Post-Frachttochter DHL ist von den verschärften Sicherheitsvorkehrungen betroffen und muss alle Sendungen aus dem Jemen in die USA stoppen, wie eine Post-Sprecherin sagte. Befänden sich die Sendungen an Bord, müssten die Frachtmaschinen den nächstmöglichen Flughafen anfliegen. Die Frachttochter der Deutschen Lufthansa, die in der Regel größere Güter transportiert, war nach Angaben eines Sprechers nicht betroffen.\nAuch Großbritannien kündigte an, alle Paketlieferungen aus dem Jemen zu stoppen. Innenministerin Theresa May sagte, der auf dem englischen Flughafen gefundene Sprengsatz hätte ein Flugzeug zum Absturz bringen können. Die Warnstufe für Anschläge solle aber nicht erhöht werden. Für Deutschland ändert sich nach den Bombenfunden nichts an der Bedrohungslage, wie Mays Kollege Thomas de Maiziere erklärte. Es gebe keine konkreten Hinweise auf Anschlagsplanungen. Die Bundespolizei will nach eigenen Angaben wegen ohnehin hoher Sicherheitsstandards die Kontrollen nicht verschärfen.\nIm Jemen suchten unterdessen Sicherheitskräfte nach den Tätern. In der Hauptstadt Sanaa wurden Kontrollpunkte errichtet. Aus Sicherheitskreisen erfuhr die Nachrichtenagentur Reuters, dass auch die Vorkehrungen an Flug- und Seehäfen verschärft wurden.\nSCHRECK VOR DEN WAHLEN\nDie Anschlagsversuche schrecken die US-Bürger kurz vor den Kongresswahlen am Dienstag auf. Der Wahlkampf wurde bislang nicht vom Thema Terrorismus bestimmt, sondern von der schwachen Konjunktur und der hohen Arbeitslosigkeit. Experten rechnen bisher damit, dass die Demokraten im Repräsentantenhaus die Mehrheit verlieren werden. Die Republikaner könnten nach der Wahl auch den Senat dominieren. Es gilt als unwahrscheinlich, dass die jüngsten Anschlagsplanungen die Wahl entscheidend beeinflussen. \"Die Wahl ist durch\", sagte der Politologe Larry Sabato von der University of Virgina. Nur ein Militäreinsatz könnte die Entscheidung noch beeinflussen.\nDie Arabische Halbinsel gilt als neue Hochburg der in Afghanistan und Pakistan militärisch unter Druck geratenen Al-Kaida. Dessen Gruppe im Jemen gilt schon länger als der aggressivste Arm der Extremistenorganisation, die am 11. September 2001 die Anschläge in den USA verübte.",
"url": "http://de.reuters.com/article/worldNews/idDEBEE69T04820101030",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20101103034348/http://de.reuters.com/article/worldNews/idDEBEE69T04820101030"
},
{
"language": "en",
"title": "Dubai: Paketbomben tragen Handschrift der Al-Kaida",
"text": "Dubai (Reuters) - Der Paketbomben-Fund in Dubai liefert nach Polizei-Angaben Hinweise auf das Extremistennetz Al-Kaida.\nIn dem Paket mit dem Ziel USA habe sich ein mit dem Sprengstoff PETN gefüllter Computerdrucker befunden, teilten die Polizei des Emirats am Samstag mit. \"Das Paket war von professioneller Hand präpariert. Im Inneren des Druckers versteckt war ein geschlossener Stromkreislauf, der mit der SIM-Karte eines Handys verbunden war\", hieß es weiter. \"Diese Taktik trägt den Stempel von Methoden, wie sie bislang Terrororganisationen wie Al-Kaida benutzten.\"\nNeben dem verdächtigen Paket auf dem Flughafen von Dubai war ein weiteres auf einem Flughafen in Großbritannien gefunden worden. Nach US-Angaben enthalten die Päckchen vermutlich Sprengstoff, stammen aus dem Jemen und waren an jüdische Einrichtungen in Chicago gerichtet. Die USA verdächtigen als Drahtzieher die Al-Kaida-Gruppe auf der Arabischen Halbinsel, die bereits für den vereitelten Anschlag auf ein US-Passagierflugzeug an Weihnachten vergangenen Jahres verantwortlich gemacht worden war. Damals hatte der mutmaßliche Attentäter ebenfalls den Sprengstoff PETN benutzt. Der nigerianische Islamist hatte die Bombe in seiner Unterwäsche versteckt. Einem Bericht der \"New York Times\" zufolge diente bei dem einen Paket ein Handy als Sprengzünder, beim anderen eine Schaltuhr.",
"url": "http://de.reuters.com/article/topNews/idDEBEE69T03S20101030",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20110728113431/http://de.reuters.com/article/topNews/idDEBEE69T03S20101030"
},
{
"language": "de",
"title": "24 verdächtige Päckchen im Jemen entdeckt",
"text": "Sprengstofffunde: 24 verdächtige Päckchen im Jemen entdeckt\nNach Sprengstoffsendungen in die USA\n24 verdächtige Päckchen im Jemen entdeckt\nNach dem Fund von zwei mit Sprengstoff präparierten Luftfracht-Päckchen mit Bestimmungsorten in den USA sind die Sicherheitsbehörden erneut fündig geworden. Im Jemen fanden Sicherheitskräfte 24 verdächtige Päckchen. Die Sendungen würden nun untersucht, verlautete aus Ermittlerkreisen in der Hauptstadt Sanaa. Zudem seien Mitarbeiter von Luftfrachtgesellschaften und der Frachtabteilung des internationalen Flughafens Sanaa festgenommen worden, um sie zu den verdächtigen Vorkommnissen zu befragen.\nInzwischen wurde auch eine verdächtige Person im Zusammenhang mit den bereits entdeckten Sprengstoff-Sendungen ermittelt: Nach den Worten des jemenitischen Präsidenten Ali Abdullah Saleh seien die Päckchen von einer Frau aufgegeben worden. Sie wurde festgenommen, heißt aus Sicherheitskreisen. Die US-Behörden hätten die Frau als Besitzerin der SIM-Karte an einem der Sprengsätze ermitteln können.\nSprengstoff-Kartusche in Köln verladen\nIn der Nacht auf Freitag waren in Frachtflugzeugen in Dubai und Großbritannien zwei aus dem Jemen stammende Pakete mit Sprengstoff entdeckt worden. Die britische Innenministerin Theresa May bestätigte nach einer Sitzung des Krisenstabs Cobra in London, dass das in England gefundene Paket einen funktionsfähigen Sprengsatz enthalten habe. Dieser, so formulierte es der britische Premierminister David Cameron, sei so präpariert gewesen, dass er bereits im Flugzeug explodieren sollte.\nWie Scotland Yard inzwischen mitteilte, war das in Großbritannien gefundene Luftfrachtpaket mit Sprengstoff aus Köln gekommen. Der Frachtjet, der am Flughafen von East Midlands mit dem Paket zwischenlandete, war demnach in Köln beladen worden. Das Paket habe sich in einem \"aus dem Jemen kommenden Container\" befunden.\nSprengstoff PETN und Blei im Computerdrucker\n[Bildunterschrift: \"Explosives Material\": Diese Druckerpatrone mit Sprengstoff wurde in East Midlands abgefangen. ]\nIn Dubai teilte die Polizei mit, das am dortigen Flughafen abgefangene Paket habe einen Sprengsatz enthalten, dessen Bauart auf \"terroristische Gruppen wie Al Kaida\" hinweise. In dem Paket habe sich ein Computerdrucker befunden, dessen Tintenpatronen den hochexplosiven Sprengstoff PETN und Blei enthielten. Der Sprengsatz sei mit einem Stromkreis versehen gewesen, der mit einer im Drucker versteckten Handykarte verbunden gewesen sei. Dubais Polizeichef Dahi Chalfan sagte, der Sprengsatz hätte in dem Frachtflugzeug explodieren können.\nFrankreich stoppt Luftfracht aus dem Jemen\nAls Reaktion auf die vereitelten Anschläge mit Luftpostpaketen hat Frankreich alle französischen Fluggesellschaften aufgerufen, keine Fracht mehr aus dem Jemen zu befördern. Die Luftfahrtbehörde DGAC begründete das mit dem von den USA ausgelösten internationalen Terroralarm. Es gebe Beratungen der europäischen Verkehrsminister, um gemeinsame Konsequenzen zu ziehen. Bis dahin gelte der Hinweis für alle französischen Airlines.\n\"Glaubwürdige terroristische Bedrohung\"\n[Bildunterschrift: US-Präsident Obama kündigte an, das terroristische Netzwerk im Jemen zu \"zerstören\". ]\nDer Sprengstoff PETN war bereits bei einem vereitelten Anschlag auf ein US-Passagierflugzeug nach Detroit am ersten Weihnachtstag 2009 verwendet worden. Für den gescheiterten Anschlag wird der jemenitische Arm der Terrororganisation Al Kaida verantwortlich gemacht. US-Präsident Barack Obama sagte in Washington, von den beiden nun gefundenen Paketen sei eine \"glaubwürdige terroristische Bedrohung\" ausgegangen. Sie waren demnach an jüdische Einrichtungen in Chicago gerichtet.\nDie US-Sicherheitsbehörden ließen zudem Frachtflugzeuge an den Flughäfen von Philadelphia und Newark in der Nähe von New York durchsuchen. Kanadische und US-Abfangjäger eskortierten ein Linienflugzeug der Fluggesellschaft Emirates mit Ziel New York, weil auch dort Fracht aus dem Jemen vermutet wurde. Der Verdacht bestätigte sich nicht. Der US-Präsident kündigte bis auf weiteres zusätzliche Sicherheitsmaßnahmen an. Die US-Regierung werde ihre Zusammenarbeit mit dem Jemen verstärken, um Attentate zu verhindern und den dortigen Al-Kaida-Zweig zu \"zerstören\".\nInnenminister: Keine konkrete Bedrohung für Deutschland\nBundesinnenminister Thomas de Maizière sah nach den Vorfällen keine Bedrohung für Deutschland: \"Es liegen keine konkreten Hinweise auf Anschlagsplanungen gegen Deutschland vor\", erklärte er in Berlin. Die deutschen Sicherheitsbehörden stünden mit den beteiligten und weiteren Staaten \"im engsten Kontakt\".\nDer Sprengstoff PETN : PETN, auch Pentrit oder Nitropenta genannt, kann sehr schwere Detonationen erzeugen. Ausgelöst wird die Explosion durch einen Zünder oder durch große Hitze, etwa bei 175 Grad.\nSchon bei dem vereitelten Anschlag auf eine US-Maschine auf dem Flug nach Detroit Ende Dezember 2009 war PETN verwendet worden: Ein Nigerianer hatte den Sprengstoff in seiner Unterwäsche an Bord geschmuggelt. Der Sprengsatz funktionierte aber nicht richtig, der Attentäter wurde überwältigt. Auch beim \"Schuh-Bomber\" Richard Reid wurde PETN gefunden. Der Brite hatte kurz vor Weihnachten 2001 auf einem Flug nach Miami versucht, in seinen Schuhen versteckten Sprengstoff zu zünden.\nPETN wurde bereits um 1900 in Deutschland entwickelt. Die farblosen Kristalle gehören zur selben chemischen Familie wie Nitroglyzerin. PETN ist auch Bestandteil des Plastiksprengstoffs Semtex. Dieser Sprengstoff war in den 1960er-Jahren von einem tschechischen Wissenschaftler erfunden worden und wird vom Militär, aber auch im Bergbau und der Bauwirtschaft genutzt. Plastiksprengstoff ist weniger explosionsempfindlich als feste Sprengstoffe und lässt sich deshalb gefahrlos transportieren.\nStand: 30.10.2010 19:35 Uhr",
"url": "http://www.tagesschau.de/ausland/terrorkomplott112.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20101101212816/http://www.tagesschau.de/ausland/terrorkomplott112.html"
}
] |
en | 'Dewey Defeats Truman' incident in California State Senate election |
An election news report in the U.S. features an error hearkening back to the infamous 1948 "" incident – reporting the wrong candidate won the California state election primary.
image created to the incident and reference "" (June 9, 2010)
Candidate , a member of the , won the Republican Party primary for the California being vacated by politician Senate Minority Leader Dennis Hollingsworth, on Tuesday. With 100 percent of the election precincts reporting, Anderson won over 45 percent of the total votes cast in the Republican primary.
However, ''The Valley News'', a news publication based in , California, mistakenly reported that Anderson's opponent, Jeff Stone, had won the Republican primary. ''The Valley News'' later deleted its own article and reposted a new one with the correct information about the election results, without .
California political journalist reported that the mistake was due to the publisher of ''The Valley News'' only having examined the election results for Riverside, and not the entire election district. The Republican primary won by Anderson encompasses an election district, which includes both , and .
Jantz noted, "A new story has now been posted, without a trace of the incorrect report or a correction." He referred to the erroneous article subsequently deleted by the ''Valley Press'' as, "the story that was...and wasn't...and now never existed". The San Diego County publication, ''East County Magazine'', commented on the incident, and characterized it as "an error reminiscent of the infamous 'Dewey Defeats Truman' headline."
"Dewey Defeats Truman" was an erroneous front-page headline by the newspaper '''' published November 3, 1948, a day before U.S. President won the against New York .
Anderson will be the Republican Party candidate in the November general election for California State Senate. His opponent will be Paul Clay, a Democrat and teacher based in Riverside County. The district primarily consists of registered Republicans.
| [
"Politics and conflicts",
"North America",
"United States",
"California",
"Republican Party (United States)",
"Journalism"
] | [
{
"language": "en",
"title": "ANDERSON WINS--OR WAS IT STONE?",
"text": "J une 9, 2010 (San Diego’s East County) – In a an error reminiscent of the infamous “Dewey Defeats Truman” headline, the Valley News reported that Jeff Stone won the Republican primary for the 36th State Senate seat. That’s because the district spans both Riverside and San Diego Counties---and the chagrined publisher apparently only checked the Riverside results, the conservative blog Flash Report revealed today.\nIn fact, Anderson leads by a hefty total of 6,810 votes with all precincts in both counties counted--though tens of thousands or more absentee and provisional ballots remain to be tallied.\nStone, a Riverside County Supervisor, captured 15,042 votes in Riverside compared to incumbent Assemblyman Joel Anderson’s meager 6,201 votes. But in San Diego, where Anderson is widely known, the reverse was true, with Anderson garnering a whopping 25,992 to Stone’s 2,461 votes. Another key difference between the two Counties was that Kenneth Dickson placed second, above Anderson, in Riverside returns.\nAnderson will face off in November against Democrat Paul Clay, a teacher in Riverside County.",
"url": "http://eastcountymagazine.org/node/3512",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20210318081706/https://www.eastcountymagazine.org/node/3512"
},
{
"language": "en",
"title": "Valley News: Jeff Stone defeats Joel Anderson",
"text": "Larry Urdahl on Sunday San Diego: The 2010 Primary Election Contest!!!\nMatt Munson on Republican Unity?\nVince De Vargas on Advice to Asm. Gatto From The Speaker\nVince De Vargas on Another 1994?\nRobert Bosich on Another 1994?\nEd Laning on Murder- Suicide in the 59th Assembly District?\nDana Reed on Supervisors Upset on Tuesday\nMatt Rexroad on Supervisors Upset on Tuesday\nDana Reed on Supervisors Upset on Tuesday\nKen Hunter on It's An Uphill Battle For Biane; Rutherford Looks Good For November\nKen Hunter on Arizona Boycott: A Story of Wimps and Wasters\nChris Jones on It's An Uphill Battle For Biane; Rutherford Looks Good For November\nDavid Frisk on Murder- Suicide in the 59th Assembly District?\nRick Dressler on Murder- Suicide in the 59th Assembly District?\nBarry Jantz on Brandon Powers Named \"Rising Star\"",
"url": "http://www.flashreport.org/blog.php?postID=2010060917485676",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20100616095015/http://www.flashreport.org/blog.php?postID=2010060917485676"
},
{
"language": "en",
"title": "Anderson wins state Senate Republican primary",
"text": "Assemblyman Joel Anderson will be the heavy favorite for a state Senate seat in November after winning the Republican primary election in the 36th district Tuesday night.\nAnderson, R-Alpine, defeated Riverside County Supervisor Jeff Stone in the strongly Republican district, which includes much of San Diego’s north and east counties, along with portions of Riverside.\nIn the South Bay’s 40th Senate District, Assemblywoman Mary Salas, D-Chula Vista, is locked in a virtual dead heat with former Assemblyman Juan Vargas for the Democratic nomination.\nShould Anderson prevail in the state Senate race in the fall, he will replace Sen. Dennis Hollingsworth, R-Murrieta, who is leaving office due to term limits. Whoever wins the tight contest between Salas and Vargas is expected to replace termed out Sen. Denise Moreno Ducheny, D-San Diego.\nThe election of Anderson and a Democrat in the 40th state Senate District would not change the balance of power in the Legislature. Most districts were drawn to be either Republican or Democratic strongholds, meaning the party primaries usually determine the eventual winner.\nAnderson will face Democrat Paul Clay, a teacher from Murrieta who faced no primary competition. The winner between Salas and Vargas will take on Republican Brian Hendry, an educator and businessman from Chula Vista who also ran unopposed.\nElection results showed Anderson and Stone each secured large leads in their respective home counties, but Anderson won enough votes overall to earn the nomination, 45.18 percent to 26.14 percent with 100 percent of the precincts reporting and about 160,000 absentee and provisional ballots still to be counted.\nAnderson and his campaign could not be reached for comment Tuesday night.\nA representative for Stone said the discouraged candidate reacted to the results by saying, “I got into this race to try to make a difference and Sacramento may have won.”\nDuring the campaign, Anderson played up his record as an assemblyman, while Stone talked about bringing new ideas to Sacramento as well as his nearly 20 years of experience in elected office in Riverside County. A large fine Anderson paid to the state for campaign finance violations also played into the campaign.\nThe South Bay race between Salas and Vargas featured nearly nonstop attacks via heavy television advertising.\nAs of Wednesday morning, Salas had 51.72 percent of the vote and Vargas had 48.28 percent.\nVargas, who served in the 79th Assembly District before Salas, blamed her for the state budget morass and early prisoner releases. Salas frequently depicted Vargas as a tool of insurance and corporate interests, which funneled hundreds of thousands of dollars into independent campaigns on his behalf.\nMichele Clock: (619) 293-1264; michele.clock@uniontrib.com. Follow on Twitter at micheleclock",
"url": "http://www.signonsandiego.com/news/2010/jun/09/anderson-wins-state-senate-republican-primary/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20121016030458/http://www.utsandiego.com/news/2010/jun/09/anderson-wins-state-senate-republican-primary/"
},
{
"language": "en",
"title": "Open California Legislative Seats Provide Measure Of Drama",
"text": "Print Share + Open Legislative Seats Provide Measure Of Drama\nLOS ANGELES (CBS) ―\n1 of 1 Close\nnumSlides of totalImages\nVoters Tuesday sorted through some of the more colorful candidates for the state Legislature.Los Angeles Democrats chose Assemblyman Kevin De Leon to replace Sen. Gil Cedillo. In another Southern California race, Assemblyman Joel Anderson, R-La Mesa, was the leader to succeed Senate Minority Leader Dennis Hollingsworth, R-Murrieta. Both incumbents are termed out after this year.Tuesday's primary was likely to determine November's winner in many of the legislative districts, as voters picked from nearly 340 candidates for 100 state legislative seats.That's because most districts have been drawn to protect the incumbent party.The system also favors officeholders, many of whom were unopposed for re-nomination. Just two incumbent Assembly Democrats and three Assembly Republican officeholders faced primary challenges.Tea party co-founder Nathan Mintz was the only Republican running for an open seat in the 53rd Assembly District held by termed-out Assemblyman Ted Lieu, D-Torrance.Mintz, 26, of Redondo Beach, faces a challenge in the general election in the heavily Democratic district. He said he is counting on independent voters and others upset with the government.Two special elections for vacant Southern California legislativeseats were also being decided Tuesday.Democrat Mike Gatto was ahead in Los Angeles County's heavily Democratic 43rd Assembly District.He would serve for the next six months in the seat vacated when former Democratic Assemblyman Paul Krekorian stepped aside after being elected to the Los Angeles City Council. His opponent was Republican Sunder Ramani. The two will meet again in the November election, when they each seek a full term.Republican Assemblyman Bill Emmerson will represent Riverside County's sprawling 37th state Senate District. He fills the seat vacated when former Republican Sen. John Benoit resigned after being appointed to the county Board of Supervisors.Emmerson's Democratic opponent was actor Justin Blake. Emmerson will serve out Benoit's term, which ends in 2012.\n(© 2010 CBS Broadcasting Inc. All Rights Reserved. This material may not be published, broadcast, rewritten, or redistributed. The Associated Press contributed to this report.)",
"url": "http://cbs2.com/local/Open.Legislative.Seats.2.1741012.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20100610175308/http://cbs2.com/local/Open.Legislative.Seats.2.1741012.html"
},
{
"language": "en",
"title": "Open California Legislative Seats Provide Measure Of Drama",
"text": "Print Share + Open Legislative Seats Provide Measure Of Drama\nLOS ANGELES (CBS) ―\n1 of 1 Close\nnumSlides of totalImages\nVoters Tuesday sorted through some of the more colorful candidates for the state Legislature.Los Angeles Democrats chose Assemblyman Kevin De Leon to replace Sen. Gil Cedillo. In another Southern California race, Assemblyman Joel Anderson, R-La Mesa, was the leader to succeed Senate Minority Leader Dennis Hollingsworth, R-Murrieta. Both incumbents are termed out after this year.Tuesday's primary was likely to determine November's winner in many of the legislative districts, as voters picked from nearly 340 candidates for 100 state legislative seats.That's because most districts have been drawn to protect the incumbent party.The system also favors officeholders, many of whom were unopposed for re-nomination. Just two incumbent Assembly Democrats and three Assembly Republican officeholders faced primary challenges.Tea party co-founder Nathan Mintz was the only Republican running for an open seat in the 53rd Assembly District held by termed-out Assemblyman Ted Lieu, D-Torrance.Mintz, 26, of Redondo Beach, faces a challenge in the general election in the heavily Democratic district. He said he is counting on independent voters and others upset with the government.Two special elections for vacant Southern California legislativeseats were also being decided Tuesday.Democrat Mike Gatto was ahead in Los Angeles County's heavily Democratic 43rd Assembly District.He would serve for the next six months in the seat vacated when former Democratic Assemblyman Paul Krekorian stepped aside after being elected to the Los Angeles City Council. His opponent was Republican Sunder Ramani. The two will meet again in the November election, when they each seek a full term.Republican Assemblyman Bill Emmerson will represent Riverside County's sprawling 37th state Senate District. He fills the seat vacated when former Republican Sen. John Benoit resigned after being appointed to the county Board of Supervisors.Emmerson's Democratic opponent was actor Justin Blake. Emmerson will serve out Benoit's term, which ends in 2012.\n(© 2010 CBS Broadcasting Inc. All Rights Reserved. This material may not be published, broadcast, rewritten, or redistributed. The Associated Press contributed to this report.)",
"url": "https://web.archive.org/web/20100610175308/http://cbs2.com/local/Open.Legislative.Seats.2.1741012.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20200517021625/https://web.archive.org/web/20100610175308/http://cbs2.com/local/Open.Legislative.Seats.2.1741012.html"
},
{
"language": "en",
"title": "ANDERSON WINS HANDILY IN 36TH STATE SENATOR GOP PRIMARY",
"text": "June 8, 2010 (San Diego’s East County) – Voters gave Assemblyman Joel Anderson a victory in his quest for State Senate, despite a campaign finance scandal that has dogged his race. With 38% of precincts counted, Anderson has a hefty 45.33% of the vote, leading Riverside Supervisor Jeff Stone with 24.83%, veteran Kenneth Dickson with 20.16%, and Rev. Greg Stephens with 9.68%.\nAnderson will run against Democrat Paul Clay, a teacher, in the fall election to fill the vacancy created by retireiment of Senator Dennis Hollingsworth (R-Murrieta) due to term limits. The heavily Republican district spans portions of Riverside and San Diego Counties.",
"url": "http://eastcountymagazine.org/node/3499",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20100620070335/http://eastcountymagazine.org/node/3499"
},
{
"language": "en",
"title": "Anderson leads Supervisor Stone for 36th Senate race",
"text": "Translate this page\nAnderson leads Supervisor Stone for 36th Senate race\nWednesday, June 9th, 2010\nIssue 23, Volume 14.\nAccording to the State of California Registrar of Voters, as of 12:55 am Wednesday morning, with 43 percent (268 out of 617) precincts reporting, Joel Anderson is moving ahead with 43 percent of the vote. Supervisor Stone has 27 percent, Ken Dickson 20 percent, and Pastor Stephens 9.6 percent. Paul Clay is the lone contender on the Democratic ticket and has garnered 100 percent of the vote. In November the GOP nominee will square off against the Democratic nominee to fill the seat being vacated by Senator Hollingsworth who was termed out. State Senate District 36 Democratic 43.4% (268/617) Vote Totals Pct. Paul Clay 19,186 100.0% State Senate District 36 Republican Joel Anderson 17,801 43.0% Kenneth Dickson 8,385 20.2% Greg Advertisement\n[ MyGym Children's Fitness Center ] Stephens 4,011 9.6% Jeff Stone 11,250 27.2% In a race to see who will succeed Senator Dennis Hollingsworth in the 36th Senate race, it appears Assemblyman Joel Anderson has the lead. As of 11:30 pm election night, Assemblyman Anderson, R-La Mesa, has 42 percent of the vote over Supervisor Jeff Stone, R-Temecula's, 27 percent. With 145 of the 617 precincts counted, it is too early to tell concretely, and Murrieta school Trustee Ken Dickson is not far behind Supervisor Stone in the race for the GOP nomination with a respectable 21 percent. The fourth contender, Pastor Greg Stephens, has 10 percent of the vote. The district covers northern and eastern San Diego County, including the towns of Fallbrook, DeLuz, Rainbow, Julian, Ramona, Santee, El Cajon, and Valley Center. Temecula, Murrieta, and Wildomar are included in the Riverside county district portion.\n18 comments\nanonomous\nComment #1 | Wednesday, Jun 9, 2010 at 7:53 am I'd like to think that Stone sealed his fate when he went out of his way to trample the peoples' rights to protest peacefully with unneeded legislation. I'm glad for those in Ca. they will be better served by anyone other than a cult apologist.\nAnonymous\nComment #2 | Wednesday, Jun 9, 2010 at 7:53 am The smell of Jeff Stone's fail is so strong, I am enjoying it all the way in Ohio.\nAnonymous\nComment #3 | Wednesday, Jun 9, 2010 at 7:53 am Good-bye Jeff Stone. It looks like being a shameless cult stooge didn't help your career after all.\nWhyWeProtest\nComment #4 | Wednesday, Jun 9, 2010 at 7:54 am Anderson wins state Senate Republican primary....\nhttp://www.signonsandiego.com/news/2010/jun/09/anderson-wins-state-senate-republican-primary/\nhttp://www.signonsandiego.com/election/results/primary/\nSTATE SENATE 36TH DISTRICT - REPUBLICAN [top]\nGREG STEPHENS - REP 3839 9.65%\nKENNETH C. DICKSON - REP 7925 19.93%\nJEFF STONE - REP 9942 25.0%\nJOEL ANDERSON - REP 18061 45.42%\nPrecincts: 447\nCounted: 217\nPercentage: 48.5%\nTsu Doh Nimh\nComment #5 | Wednesday, Jun 9, 2010 at 8:00 am Remember, Jeff, we'll be there for the rest of your career. Railroading through legislation written by the shyster for that criminal cult was the biggest mistake you ever made.\nFed Up with Jeff\nComment #6 | Wednesday, Jun 9, 2010 at 11:02 am Hot dog, Jeff bites the dust. He and his smug sister can now move into one of those dumps they rent to seniors in Murrieta Hot Springs.\nguest\nComment #7 | Wednesday, Jun 9, 2010 at 11:04 am now if the temecula valley can rid themselves from this fine piece of political junk. thanks to all the temecula(orange county implants) they appear to finally get the message....he's done nothing for them but clean out their kids college funds. best news for a wonderful morning, as I am glad for me helping get this puke out of our 36th district polotics and beyond. jeff stone you finally been paid back for all you took from the valley people. hope that volunteer job is working for you? hopefully you'll find some other town to bamboozle. best day for temecula reject this guy for now and good bye stoner!\ntheta news\nComment #8 | Wednesday, Jun 9, 2010 at 4:19 pm Looks like the good people of Riverside County are well aware of the terrible cult-base and its public stooges. We should all pray for the poor souls locked up behind the barbed wire, motion sensors and guards every time we drive past their creepy faux-scottish compound.\nPink\nComment #9 | Wednesday, Jun 9, 2010 at 4:32 pm Yeeks sounds creepy.... where is that place? East Riv Co?\ncall me xenu\nComment #10 | Wednesday, Jun 9, 2010 at 8:15 pm Actually, Its called \"Golden Era Productions\" and it's run by the Church of Scientology's elite, highly secretive \"Sea Org\" unit in Gilman Hot Springs,CA between Hemet and San Jacinto. Google Jeff Stone and Scientology for the real story. One of the scariest places on earth...\nJSFOR EXNU\nComment #11 | Wednesday, Jun 9, 2010 at 8:16 pm The only thing Jeff Stone is good for is to keep a door open!\nA Non Emus\nComment #12 | Wednesday, Jun 9, 2010 at 8:16 pm Hooking up with Scientology didn't work for Tom Cruise, and it failed for Jeff Stone, too.\nKharma\nComment #13 | Thursday, Jun 10, 2010 at 5:41 am Wow, the Kharmic wheel turned more quickly than expected.\nSee ya, Jeff.\nDid Stone know the Riv Co Supervisor meetings were taped and then posted on the www? If so, he's dumber than he thought we are! If not, he's just dumb... really dumb.\nWhat will his sister do for a living now that she can't be paid exorbiant sums for \"volunteering\" and the campign funds are dried up? Back to hairdressing?\nZeroZero\nComment #14 | Thursday, Jun 10, 2010 at 11:51 am As an interested observer from \"across the pond\" , I watched with disbelief as Mr Stone ran roughshod over the genuine and well voiced concerns of his constituents, it seems what goes around , does indeed come around. The lesson here Mr Stone appears to be, mess with the folks who vote for you, and they will gladly return the favour !!! \"the red light blinking in the corner of your eye , that's you career dissipation light ,the faster it blinks , the shorter your career\"\nEd\nComment #15 | Monday, Jun 14, 2010 at 7:33 am This article has been posted for 5 days. How about getting rid of it !\nfallbrook mama\nComment #16 | Monday, Jun 14, 2010 at 6:03 pm village news must be on vacation - same stories posted for a week now...snooooze.\nSister727\nComment #17 | Wednesday, Jun 23, 2010 at 9:27 pm Snooze my a..!! This guy had it commin\nanti-sci\nComment #18 | Thursday, Jun 24, 2010 at 5:03 pm This is the best news for RivCo (and us folks that are against the abuses of the cult and corruption of govt officials) EVER! I am gonna go party hardy!!!! YIPPEE!!! Good riddance cult shill Stone! Karma is a b****...and we kept telling you so, but you didn`t listen.\nArticle Comments are contributed by our readers, and do not necessarily reflect the views of The Valley News staff. The name listed as the author for comments cannot be verified; Comment authors are not guaranteed to be who they claim they are.",
"url": "http://www.myvalleynews.com/story/48456/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120623115610/http://www.myvalleynews.com/story/48456/"
},
{
"language": "en",
"title": "Supervisor Stone declared winner in 36th Senate race",
"text": "Error Sorry, you've reached an article which does not exist or is not currently available.\nIf you reached this page via a bookmark or search engine to what was once a valid page, You've reached an article which was erroranously re-indexed during database maintanence problems in 2009. These articles are likely to exist on our website with a new address. Links to these articles should fix themselves slowly over time if found via a search engine. If you have a bookmarked article you are looking for, use our contact form to let us know what you are looking for. Be sure to include the entire URL or address you are using to reach this page.",
"url": "http://www.myvalleynews.com/story/48452/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120623115805/http://www.myvalleynews.com/story/48452/"
}
] |
de | Zahl der Erdbebentoten in Chinas Provinz Quinghai sprunghaft angestiegen |
Datei:Neic vacp cy.png|miniatur|250px|Das Epizentrum des Erdbebens lag im Bezirk Yushu im Hochland von Tibet
Die Zahl der Todesopfer durch ein Erdbeben in der chinesischen Provinz Qinghai ist nach offiziellen Angaben inzwischen weit höher als anfänglich berichtet. Die Zahl der Todesopfer wird inzwischen mit 1.484 angegeben, etwa 300 Menschen würden nach wie vor vermisst. Von den über 12.000 Verletzten erlitten 1.394 schwere Verletzungen. Hunderte von Verletzten wurden zur Behandlung ausgeflogen. Präsident Hu Jintao hat sich vor Ort über die Lage informiert, er brach seine Reise durch Lateinamerika vorzeitig ab.
Aufgrund der Abgeschiedenheit der betroffenen Region haben die Einsatzkräfte immer noch Schwierigkeiten, Hilfe zu leisten. Zehntausende Obdachlose harren bei eisigen Temperaturen im Freien aus. Ihnen fehlt es an Trinkwasser und Nahrung sowie an Zelten und medizinischer Versorgung. Experten befürchten ein weiteres Ansteigen der Opferzahlen.
Unterdessen wurden mehrere hundert Leichen in einer buddhistischen Zeremonie eingeäschert. In einem Brief an die chinesische Regierung ersuchte der Dalai-Lama um die Erlaubnis, in die Erdbebenregion reisen zu dürfen. Das geistige Oberhaupt der Tibeter schrieb, er sei „begierig, selbst dorthin zu gehen, um den Menschen meinen Trost anzubieten“.
| [
"Themenportal China",
"Naturkatastrophe allg.",
"Erdbeben",
"Hu Jintao"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Erdbeben: Chinas Präsident besucht Erdbebengebiet 1706 Tote",
"text": "Inhalt bereitgestellt von\nWenn Sie eine Webseite unseres Internetauftritts aufrufen, die den Button enthält, baut Ihr Browser eine direkte Verbindung mit den Servern von Facebook auf. Der Inhalt des Plugins wird von Facebook direkt an Ihren Browser übermittelt und von diesem in die Webseite eingebunden. Für weitere Informationen zum Thema Datenschutz klicken Sie auf das i.\nWenn Sie eine Webseite unseres Internetauftritts aufrufen, die den Button enthält, baut Ihr Browser eine direkte Verbindung mit den Servern von Facebook auf. Der Inhalt des Plugins wird von Facebook direkt an Ihren Browser übermittelt und von diesem in die Webseite eingebunden. Für weitere Informationen zum Thema Datenschutz klicken Sie auf das i.\nChina Staats- und Parteichef hat am Sonntag das Erdbebengebiet im tibetischen Hochland besucht. Er wollte sich selbst ein Bild von den Zerstörungen und den Hilfseinsätzen machen.\nVier Tage nach dem schweren Erdbeben der Stärke 7,1 stieg die Zahl der Toten auf 1706 an. In den eingestürzten Häusern wurden noch 256 Menschen vermisst, wie die Einsatzzentrale in der Präfektur Yushu berichtete.\nNach 100 Stunden in den Trümmern konnte ein 68-Jähriger Mann gerettet werden, wie die Nachrichtenagentur Xinhua berichtete. Durch das Beben wurden mehr als 12 000 Menschen verletzt, 1394 davon schwer. Hunderte Verletzte wurden ausgeflogen.\nAus Angst vor dem Ausbruch von Seuchen wurden am Samstag hunderte Leichen verbrannt. An der Zeremonie auf einem Hügel außerhalb der Stadt Jiegu nahmen viele Mönche teil. Mit der Leichenverbrennung konnten die Tibeter nicht ihrem traditionellen Brauch der Himmelsbestattung folgen. Normalerweise werden in Tibet die Toten zerkleinert und auf einem Berg den Geiern zum Fraß geboten. Die Verantwortlichen mussten sich aber für die Verbrennung der Leichen entscheiden, da zu viele Menschen ums Leben gekommen sind.\nBei seinem Besuch traf Präsident Hu Jintao mit Erdbebenopfern in dem Dorf Zhaxi Datong zusammen und sprach mit Verletzten, die in einem Stadion behandelt wurden. Er würdigte auch den Einsatz der Soldaten und Polizisten bei der Suche nach Opfern. Bei einem Treffen mit Kindern, die durch das Erdbeben ihre Eltern verloren haben, versprach Hu Jintao, dass sie bald wieder ein Zuhause finden und neue Schulen bekommen werden, wie die Staatsagentur Xinhua berichtete.\nWegen des Erdbebens hatte der Präsident eine Reise durch Lateinamerika abgebrochen und war vorzeitig nach China zurückgekehrt. Auch der Dalai Lama, das exilierte religiöse Oberhaupt der Tibeter, will ins tibetisch besiedelte Erdbebengebiet reisen und bat die kommunistische Führung in Peking, eine solche Visite zu erlauben. Seit seiner Flucht 1959 nach Indien hat der Buddhistenführer allerdings nicht nach Tibet zurückkehren dürfen.\nDie Hilfe für die Obdachlosen gestaltete sich schwierig, weil das weit abgelegene Erdbebengebiet an der Grenze zur Autonomen Region Tibet nur mühsam zu erreichen ist. Aus Angst vor Plünderungen wurden die Polizeikontrollen verschärft. Bis Sonntag seien allerdings rund 25 000 Zelte, 52 000 wattierte Decken, 16 000 Mäntel und 850 Tonnen Nahrung eingetroffen, berichtete das Verwaltungsministerium.\nDie große Höhe des Erdbebengebiets, rund 4000 Meter über dem Meeresspiegel, die niedrigen Temperaturen bei Nacht und Sandstürme behinderten die Helfer. Viele eingeflogene Retter leiden unter der Höhenkrankheit, weil in dem Hochland der Sauerstoff knapp wird. Mindestens 200 Hilfskräfte mussten wegen Atemproblemen oder anderer Anzeichen auf Höhenkrankheit die Bergregion verlassen. Sie seien ernsthaft krank, berichtete ein Funktionär laut Xinhua.",
"url": "http://www.focus.de/panorama/welt/erdbeben-chinas-praesident-besucht-bebengebiet-1484-tote_aid_499744.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20130615134636/http://www.focus.de/panorama/welt/erdbeben-chinas-praesident-besucht-erdbebengebiet-1706-tote_aid_499744.html"
},
{
"language": "de",
"title": "Erdbeben: China Hunderte Opfer eingeäschert",
"text": "Wenn Sie eine Webseite unseres Internetauftritts aufrufen, die den Button enthält, baut Ihr Browser eine direkte Verbindung mit den Servern von Facebook auf. Der Inhalt des Plugins wird von Facebook direkt an Ihren Browser übermittelt und von diesem in die Webseite eingebunden. Für weitere Informationen zum Thema Datenschutz klicken Sie auf das i.\nWenn Sie eine Webseite unseres Internetauftritts aufrufen, die den Button enthält, baut Ihr Browser eine direkte Verbindung mit den Servern von Facebook auf. Der Inhalt des Plugins wird von Facebook direkt an Ihren Browser übermittelt und von diesem in die Webseite eingebunden. Für weitere Informationen zum Thema Datenschutz klicken Sie auf das i.\nIm tibetischen Hochland sind drei Tage nach dem schweren Erdbeben in China hunderte Opfer eingeäschert worden. Der Dalai Lama hat unterdessen die Regierung in Peking gebeten, die Region besuchen zu dürfen.\nDrei Tage nach dem schweren Erdbeben in China sind am Samstag hunderte Opfer in der Provinz Qinghai im tibetischen Hochland eingeäschert worden. Buddhistische Mönche begleiteten die Zeremonie in der Nähe der Stadt Jiegu mit meditativen Gesängen. Unterdessen bat der Dalai Lama, das spirituelle Oberhaupt der Tibeter, die Regierung in Peking, die Provinz besuchen zu dürfen, um den Überlebenden Trost zu spenden.\nDie Leichname der Männer, Frauen und Kinder wurden mit Lastwagen zur Stätte der Einäscherung gefahren, an der ein 150 Meter langer Graben ausgehoben und mit Holzplanken ausgelegt worden war. Durch die Einäscherung wird ihr Geist befreit und kann zum Himmel aufsteigen, sagte eine tibetische Frau namens Fale.\nDer Dalai Lama begründete seinen Besuchswunsch damit, dass er selbst in der von dem Beben betroffenen Provinz zur Welt gekommen sei. Er sei begierig, selbst dorthin zu gehen, um ihnen meinen Trost anzubieten, erklärte der im indischen Exil lebende Dalai Lama in einem Brief an die chinesische Regierung. Zugleich lobte er die Reaktionen der Behörden auf das Beben und Ministerpräsident Wen Jiabao, der den betroffenen Gemeinden nicht nur persönlich sein Beileid ausgesprochen habe, sondern auch die Rettungsarbeiten beaufsichtigt habe.\nDie Zahl der Toten erhöhte sich unterdessen auf 1339, wie die amtliche Nachrichtenagentur Xinhua unter Berufung auf Rettungsdienste meldete. 332 Menschen würden noch vermisst. Insgesamt wurden fast 12.000 Menschen verletzt, fast 1297 von ihnen schwer, wie Xia Xueping, Sprecher der Rettungsarbeiten, sagte. Zuvor war von mehr als 1100 Toten und 417 Vermissten die Rede gewesen. Das schwere Beben der Stärke 6,9 hatte die nordwestliche Provinz Qinghai, in der vorrangig Tibeter wohnen, am Mittwoch erschüttert.",
"url": "http://www.focus.de/panorama/vermischtes/erdbeben-china-hunderte-opfer-eingeaeschert_aid_499483.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20130615070500/http://www.focus.de/panorama/vermischtes/erdbeben-china-hunderte-opfer-eingeaeschert_aid_499483.html"
}
] |
en | Lewis "Scooter" Libby testified that leak was authorized |
According to federal prosecutors, Lewis "Scooter" Libby Jr., the former chief of staff to Vice President Dick Cheney, told a grand jury that his superiors authorized him to disclose to reporters information from the U.S. National Intelligence Estimate. Portions of the report included still-classified information on Iraqi weapons capability leaked in June and July 2003.
Libby's claim of authorization was revealed in a letter by special prosecutor Patrick J. Fitzgerald, written January 23 and included in papers filed in court by Libby's defense team on Monday. Although this letter did not say which "superiors" Libby referred to, the National Journal reported on Thursday that their sources said this included his immediate boss, V.P. Cheney. If this is confirmed, it could broaden the scandal.
Mr. Libby was obliged to step down after he was indicted on charges that he lied about his role in exposing the identity of Valerie Plame Wilson, a C.I.A. operative, to the journalist Robert Novak in July 2003.
Federal prosecutors plan to use the confession to establish that Mr. Libby was part of the Bush administration's public relations campaign to rebut Mr. Wilson's op-ed column in ''The New York Times''. The column stated that there was little evidence to support the administration's claims that Saddam Hussein was pursuing weapons of mass destruction.
| [
"United States",
"North America",
"Politics and conflicts",
"Crime and law",
"Valerie Plame scandal",
"Saddam Hussein",
"Dick Cheney",
"CIA",
"Weapons of mass destruction",
"New York Times"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Ex-Cheney Aide Testified Leak Was Ordered, Prosecutor Says",
"text": "WASHINGTON, Feb. 9 - I. Lewis Libby Jr., the former chief of staff to Vice President Dick Cheney, told a grand jury that he was authorized by his \"superiors\" to disclose classified information to reporters about Iraq's weapons capability in June and July 2003, according to a document filed by a federal prosecutor.\nThe document shows that Mr. Libby, known as Scooter, was actively engaged in the Bush administration's public relations effort to rebut complaints that there was little evidence to support the claim that Saddam Hussein possessed or sought weapons of mass destruction, which was used to justify the invasion of Iraq.\nThe document is part of the prosecutors' case against Mr. Libby, who has been indicted on charges that he lied about his role in exposing the identity of a C.I.A. operative to journalists.\nThe prosecutor, Patrick J. Fitzgerald, said in a letter to Mr. Libby's lawyers last month that Mr. Libby had testified before the grand jury that \"he had contacts with reporters in which he disclosed the content of the National Intelligence Estimate ('NIE'),\" that discussed Iraq's nuclear weapons capability. \"We also note that it is our understanding that Mr. Libby testified that he was authorized to disclose information about the NIE to the press by his superiors.\"",
"url": "http://www.nytimes.com/2006/02/10/politics/10leak.html?_r=1&hp&ex=1139634000&en=459da82bafdce84e&ei=5094&partner=homepage&oref=slogin",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20210317182004/https://www.nytimes.com/2006/02/10/politics/excheney-aide-testified-leak-was-ordered-prosecutor-says.html"
},
{
"language": "en",
"title": "Libby Testified He Was Told To Leak Data About Iraq",
"text": "Vice President Cheney's former chief of staff testified that his bosses instructed him to leak information to reporters from a high-level intelligence report that suggested Iraq was trying to obtain weapons of mass destruction, according to court records in the CIA leak case.\nCheney was one of the \"superiors\" I. Lewis \"Scooter\" Libby said had authorized him to make the disclosures, according to sources familiar with the investigation into Libby's discussions with reporters about CIA operative Valerie Plame.\nBut it is unclear whether Cheney instructed his former top aide to release classified information, because parts of the National Intelligence Estimate were previously declassified.\nThe disclosure in a legal document written by special prosecutor Patrick J. Fitzgerald demonstrates one way in which Cheney was involved in responding to public allegations by Plame's husband, former ambassador Joseph C. Wilson IV, that the administration had exaggerated questionable intelligence to justify war with Iraq.\nIn a letter written in January and released in court papers filed by Libby's defense Monday, Fitzgerald wrote that Libby testified that his \"superiors\" authorized him to disclose information from the National Intelligence Estimate to reporters in the summer of 2003.\nThe National Journal first reported on its Web site yesterday that Cheney had provided the authorization.\nThe intelligence estimate is a classified report prepared by intelligence officers for high-level government officials, and some parts are regularly declassified in a summary and available to the public.\nCheney spokeswoman Lea Anne McBride declined to comment on Cheney's role in Libby's discussions of the intelligence estimate, referring calls to Fitzgerald's office. Fitzgerald's spokesman has declined to comment on the prosecutor's investigation and filings.\nLibby was indicted in October on charges of obstruction of justice, perjury and making false statements in the course of the investigation. Fitzgerald has been trying to determine since January 2004 whether administration officials knowingly disclosed Plame's identity to reporters to discredit Wilson's allegations, a possible violation of law.\nPlame's name first appeared in a syndicated column by Robert D. Novak in July 2003, eight days after her husband publicly accused the administration of relying on questionable information about Iraq's weapons program to justify the war.\nSen. Edward M. Kennedy (D-Mass.) said the new information about Libby's testimony exposes a possible hypocrisy within the Bush administration as it seeks to punish those who leak politically embarrassing information about secret CIA prisons and warrantless spying, but encourages leaks that aid the administration's political strategy.\n\"These charges, if true, represent a new low in the already sordid case of partisan interests being placed above national security,\" Kennedy said in a statement. \"The Vice President's vindictiveness in defending the misguided war in Iraq is obvious.\"\nLarry Johnson, a former intelligence officer and colleague of Plame's who has been critical of the administration's campaign against Wilson, said the Libby testimony helps prove that top executive branch officials were working to discredit an administration critic.\n\"This was not some rogue operation, but was directed at the highest levels, and specifically by Dick Cheney,\" Johnson said. \"Libby was definitely a man with a mission, but a man who was given a mission.\"",
"url": "http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2006/02/09/AR2006020902117.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120401224733/http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2006/02/09/AR2006020902117.html"
}
] |
de | Angelverbot an der sächsischen Elbe |
Da am vergangenen Donnerstag aus einer Fabrik im tschechischen Nymburk, in der Nähe von Kolín, Cyanid in die Elbe gelangt war, erteilte das sächsische Umweltamt nun ein Angelverbot für die Elbe.
Die Blausäure hatte schon in Tschechien ein großes Fischsterben ausgelöst, jedoch werden sich die Grenzwerte in dem deutschen Teil der Elbe durch Verdünnung unterhalb der Grenzwerte für Abwasser halten. Dennoch liegen die Werte weit über den Grenzwerten für Trinkwasser. Die Giftstoffwelle wird heute um Mitternacht in Deutschland erwartet.
| [
"Themenportal Umwelt",
"Themenportal Europa",
"Nymburk",
"Fisch",
"Trinkwasser",
"Elbe"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Tschechische Blausäure hat die Elbe verseucht",
"text": "HB DRESDEN. Wie das sächsische Umweltministerium am Dienstag mitteilte, wird die Schadstoffwelle gegen Mitternacht an der deutschen Grenze erwartet. Die zuständigen Behörden erließen ein Angelverbot. Eine Gesundheitsgefahr für die Bevölkerung bestehe aber nicht, weil aus der Elbe weder Trinkwasser gewonnen wird, noch der Strom für professionelle Fischerei freigeben ist. Zudem ist die Blausäure nach dem Unfall vom Donnerstag letzter Woche mittlerweile in dem Wasser sehr stark verdünnt worden.\nWie Katrin Schöne vom Dresdner Umweltministerium sagte, wurde die Landesregierung erst am Montagnachmittag von den tschechischen Behörden informiert. Die Sprecherin zeigte sich verwundert über die späte Unterrichtung und äußerte die Hoffnung, dass es bei etwaigen künftigen Vorfällen schneller gehen werde.\nNach ihren Angaben ereignete sich der Chemieunfall am Donnerstag in einer Cyanid (Blausäure) produzierenden Fabrik im tschechischen Nymburk, das etwa 160 Kilometer von der deutschen Grenze entfernt ist. Dabei sei eine unbekannte Menge der Blausäure ins Flusswasser gelangt, der Anteil betrug an der Unfallstelle 0,5 Milligramm pro Liter, wie die Sprecherin sagte. Es kam zu einem Fischsterben. Die Chemikalie trat aber oberhalb der Moldau-Mündung ins Elbewasser ein, so dass sie später durch das einfließende Moldau-Wasser und die weitere Entfernung stark verdünnt wurde.\nBeim Eintreffen in Sachsen werde der Cyanidanteil den Berechnungen zufolge noch 0,09 Milligramm pro Liter betragen. Das liege noch unter dem in Deutschland zulässigen Höchstwert für Abwasser von 0,2 Milligramm, aber über dem Grenzwert für Trinkwasser von 0,05 Milligramm pro Liter. Trinkwasser werde aber aus der Elbe nicht gewonnen, sondern in Sachsen nur aus Talsperren. In Deutschland sei auch kein Fischsterben mehr zu erwarten, wohl aber könnten noch tote Fische aus Tschechien angeschwemmt werden. Das Angelverbot wurde vor allem mit Blick auf die Hobbyangler erlassen, denen normalerweise der Verzehr von bis zu einem Kilogramm Elbfischen pro Monat gestattet ist.\nDie Information über den Chemieunfall erreichte die sächsischen Behörden über das vor noch nicht allzu langer Zeit installierte Warnsystem Elbe, dem die Anrainerstaaten des Stroms angeschlossen sind. Die Welle des mit Blausäure belasteten Wassers wurde am Dienstag gegen 24.00 Uhr am deutsch-tschechischen Grenzort Schmilka erwartet. Wie Sprecherin Schöne weiter erläuterte, dürfte sie dann gegen Mittwochabend Dresden und am Freitag Sachsen-Anhalt erreichen. Allerdings werde für Magdeburg nur noch ein Anteil von 0,06 Milligramm erwartet, in Hamburg werde es dann noch weniger sein.\nBlausäure ist eine sehr giftige, farblose Flüssigkeit, die nach Bittermandeln oder Marzipan riecht. Sie kommt in der Natur in bitteren Mandeln sowie in geringen Mengen auch in Akelei vor, die daher vom Weidevieh gemieden wird. Die für den Menschen tödliche Menge liegt bei etwa einem Milligramm pro Kilo Körpergewicht.",
"url": "http://www.handelsblatt.com/pshb/fn/relhbi/sfn/buildhbi/cn/GoArt!204455,204493,1018991/SH/0/depot/0/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20060126233642/http://www.handelsblatt.com/pshb/fn/relhbi/sfn/buildhbi/cn/GoArt!204455,204493,1018991/SH/0/depot/0/"
}
] |
es | El COI no impedirá la participación de Rusia en los Juegos Olímpicos |
Archivo:2014 Winter Olympics opening ceremony (2014-02-07) 05.jpeg|thumb|left|300px|, presidente del COI, y , presidente de Rusia, en la .
El (COI) decidió la tarde de este domingo no impedir la participación del Comité Olímpico Ruso en los próximos . El organismo dejó la decisión de permitir o prohibir la participación rusa a las federaciones deportivas internacionales. Con esta decisión se confirma que Rusia estará presente en Río, sin embargo, serán las federaciones las que decidan cuántos de los 387 deportistas clasificados recibirán el permiso para competir.
Este anuncio tuvo lugar luego de que la (AMA) prohibiese la participación de los atletas rusos con motivo de la revelación de "" en un laboratorio de , supervisado por el , y que mostró la corrupción del deporte ruso. Por esta razón, los deportistas que hayan dado positivo en el pasado, a pesar de haber cumplido su sanción, no podrán competir en Río y sus compañeros "limpios" pasarán por controles adiciones. El resto del equipo ruso dependerá de las decisiones de cada federación internacional.
En el caso del atletismo, la decidió que será la única atleta rusa en Río y competirá como . , ministro de deportes ruso, calificó de "objetiva" la decisión del COI e indicó que "se adapta al interés del mundo del deporte y a la unidad de la familia olímpica". "Celebramos que el COI, entre la responsabilidad colectiva y los derechos concretos de los deportistas, haya decidido que cada deportista cuya reputación sea impecable y sin traza de dopaje tenga derecho a participar en los Juegos Olímpicos", agregó.
En un comunicado, el COI aseguró que "Los deportistas rusos de las 28 especialidades olímpicas tienen que asumir las consecuencias de lo que puede considerarse una responsabilidad colectiva, por lo que no puede aplicárseles el principio de presunción de inocencia". "Pero también tienen derecho a la justicia individual, lo que significa que todos los deportistas tendrán la posibilidad de demostrar su inocencia para descargarse de la responsabilidad colectiva", señaló.
| [
"Rusia",
"Salud",
"Judicial",
"Política"
] | [
{
"language": "es",
"title": "Rusia estará en Río 2016",
"text": "Bach, presidente del COI, con Putin en Sochi 2014. AP\nHabrá rusos en Río, pero no todos los que quieran, sino solo aquellos que el Comité Olímpico Internacional (COI) considere que llegan limpios, y que siempre han competido limpios. De la chistera mágica de Thomas Bach, el campeón de esgrima de Montreal 76 que preside el máximo organismo olímpico, ha salido el domingo una solución para poner fin a la crisis abierta hace una semana con la publicación del Informe McLaren, que reflejaba la corrupción del deporte en Rusia y la participación de altos poderes del estado en un sistema diseñado para tapar los positivos por dopaje de sus deportistas.\nLa decisión, que, según algunas fuentes, ha sido “negociada a todos los niveles”, debería satisfacer a todas las partes, el Gobierno ruso y las fuerzas varias que forman el movimiento olímpico, como federaciones internacionales y agencia antidopaje. O, quizás no satisfaga a todos. A la Agencia Mundial Antidopaje (AMA), no le gustó; al Kremlin, sí, según hizo saber rápidamente el controvertido ministro ruso de Deportes, Vitaly Mutko, uno de los citados en el informe McLaren.\nLa resolución no afecta a los representantes del atletismo, por lo que ni Yelena Isinbayeva ni los demás atletas rusos competirán en el estadio de Río. El COI considera justas las condiciones impuestas por la IAAF y amparadas por el Tribunal Arbitral de Deporte (TAS) en su decisión del jueves pasado que cerraban el paso a todos los atletas rusos salvo a la saltadora de longitud Darya Klishina. No admitirá, sin embargo, en Río a Julia Stepanova, la mediofondista que primero denunció el sistema de corrupción de su país y que la IAAF quería que compitiera como atleta neutral (ya estuvo en los Europeos de Ámsterdam celebrados el mes pasado).\nEl COI no reconoce esa figura de deportista neutral y, además, recuerda que Stepanova había sido sancionada por dopaje y que una de las condiciones para que los rusos puedan ser inscritos en Río es que nunca hayan sido sancionados por dopaje en su vida.\nMás de una decena de agencias antidopaje nacionales, incluidas la española y la estadounidense, reforzadas por la AMA, habían solicitado al COI un castigo colectivo a la altura de la gravedad de los hechos a todo el deporte ruso para proteger la integridad del deporte y a los deportistas limpios: la exclusión total del país de los Juegos de Río, que comienzan dentro de 12 días. Ante esa reclamación Bach siempre recordó la necesidad de encontrar un equilibrio entre el castigo al sistema y el respeto a los derechos individuales de todos los deportistas. De ese presupuesto nació la decisión que obligará a todas las federaciones internacionales a establecer para los rusos estrictos criterios de participación olímpica.\n“Los deportistas rusos de las 28 especialidades olímpicas tienen que asumir las consecuencias de lo que puede considerarse una responsabilidad colectiva, por lo que no puede aplicárseles el principio de presunción de inocencia”, señala el comunicado emitido por el COI desde Lausana después de la reunión por vía telefónica de su comité ejecutivo. “Pero también tienen derecho a la justicia individual, lo que significa que todos los deportistas tendrán la posibilidad de demostrar su inocencia para descargarse de la responsabilidad colectiva”. La ausencia de un positivo, en este sentido, no se considera prueba de limpieza suficiente si se es ruso.\nLas 27 federaciones internacionales, todas salvo atletismo, que no han examinado aún la pureza de los rusos deberán examinar cuidadosamente el historial antidopaje de cada deportista tomando solo en consideración los controles ordenados por instituciones internacionales, no los internos de Rusia, y los análisis efectuados en laboratorios internacionales. Llevada al extremo, esta condición la convirtió la IAAF en un solo los rusos que no vivan en Rusia podrán participar. Hay otros deportes, como el ciclismo, por ejemplo, en los que los deportistas rusos han participado en competiciones como el Tour sometiéndose a controles decididos por la Unión Ciclista Internacional (UCI).\nAdemás, las federaciones deberán solicitar a la AMA los nombres de los deportistas que se beneficiaron del sistema de los positivos que desaparecen descrito en el Informe McLaren, el famoso “salva o cuarentena”, y estudiar la responsabilidad de sus respectivas federaciones nacionales. Ningún deportista implicado en el sistema, unos 377 en total de 20 deportes diferentes, según el informe, ni ninguna federación que los haya protegido podrán estar en Río.\nLas federaciones internacionales remitirán la lista de los rusos que cumplen las condiciones al COI, que las revisará, someterá a una segunda criba y aprobará definitivamente ayudado por un árbitro independiente del TAS. Los elegidos se someterán posteriormente a controles antidopaje fuera de competición a cargo de las federaciones internacionales y el AMA. Los que no se sometan, no irán a Río.\nTampoco irán aquellos rusos que alguna vez en el pasado hayan sido sancionados por dopaje, aunque hayan cumplido su sanción. Está medida, y que solo se exija a los rusos, sorprende a los expertos, que recuerdan cómo diferentes comités olímpicos nacionales, como el británico, quisieron aplicarla con sus propios deportistas y cómo el TAS les desautorizó considerando que no se puede sancionar a un deportista dos veces por una sola falta. Todos recuerdan el caso ejemplar de Justin Gatlin, el norteamericano campeón olímpico de los 100 metros en Atenas 2004 que, tras ser sancionado por dopaje cuatro años, de 2006 a 2010, ganó la medalla de bronce en Londres 2012. Gatlin también estará en Río para desafiar a Usain Bolt en los 100m y en los 200m.\nEn la reunión telefónica tomó parte el presidente del Comité Olímpico Ruso, el maestro de ajedrez Alexander Zhukov, que prometió la colaboración de su organismo con las federaciones internacionales, no citado como sospechoso en el Informe McLaren, y la decisión del Estado de reestructurar totalmente su sistema antidopaje. Según sus números, los 320 deportistas rusos seleccionados para Río se han sometido a controles antidopaje ordenados por agencias antidopaje internacionales en los últimos seis meses y analizados en laboratorios extranjeros. Además, los deportistas rusos participantes en competiciones internacionales se sometieron a unos 3.000 controles. La inmensa mayoría de los análisis fueron negativos.",
"url": "http://deportes.elpais.com/deportes/2016/07/24/actualidad/1469354993_125048.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20160725145136/http://deportes.elpais.com/deportes/2016/07/24/actualidad/1469354993_125048.html"
},
{
"language": "es",
"title": "El COI se lava las manos y no veta a Rusia para los Juegos de Río",
"text": "Decisión sobre Rusia\nEvita expulsar por primera vez en su historia a un país entero y deja la sanción sobre Rusia en manos de las federaciones de cada deporte\nEl Tribunal de Arbitraje Deportivo había rechazado las apelaciones\nJAVIER SÁNCHEZ\n@javisanchez\nUn procedimiento extraño, a través de una reunión por videoconferencia, durante la tarde de un domingo, para una decisión extraña: el Comité Olímpico Internacional (COI) evitó expulsar por primera vez en su historia a un país entero y dejó la sanción sobre Rusia en manos de las federaciones internacionales de los distintos deportes. La cuarta nación en el medallero de los Juegos de Londres estará, por lo tanto, este agosto en los Juegos de Río, pero todavía hay que ver cuántos de sus 387 clasificados reciben permiso para competir.\nAunque el ex director del laboratorio de Moscú, Grigory Rodchenkov, descubrió en mayo la existencia de una metodología estatal para ocultar positivos y aunque la investigación del abogado Richard McLaren confirmó este julio la gravedad de la misma, el COI hizo bandera de su naturaleza política y ofreció un castigo más bien liviano. Los deportistas rusos que ya dieron positivo en un pasado (aunque ya cumplieran sanción) no podrán acudir a la cita y sus compatriotas 'limpios' serán sometidos a controles adicionales por la Agencia Mundial Antidopaje (AMA): el resto, los decidirán las federaciones.\nLa mayoría, como natación, lucha o voleibol, pese a su altísimo número de positivos del país, ya se han anunciado contrarias al veto; otras en minoría, como atletismo (con un castigo ya ratificado por el Tribunal de Arbitraje Deportivo) o halterofilia ya han proclamado que no aceptarán representantes rusos. El castigo podría elevarse finalmente a un tercio de la expedición, pero quedará muy lejos de la sanción total que, horas antes de la decisión, se anunciaba.\nEl veredicto, de hecho, será del agrado del presidente del país, Vladimir Putin, que a través del responsable del Comité Olímpico Ruso (COR) , Alexandr Zhukov, ya había reclamado días atrás que cada federación decidiera por separado. \"Los deportistas limpios han estado durante medio año bajo el control de las agencias antidopaje internacionales. Las pruebas fueron tomadas por especialistas extranjeros y analizadas en laboratorios en el exterior. Este debería disipar todas las dudas\", comentó Zhukov que acusó a Estados Unidos de ejercer \"presiones políticas\", como otras veces habían hecho políticos compatriotas.\nDespués, el Gobierno ruso reaccionó con satisfacción a la decisión del COI. \"Esta es una solución legítima\", afirmó el jefe de la comisión de deportes del Parlamento ruso, Dmitri Svishchev. \"Pero este tipo de decisiones se deben tomar no sólo con respecto a los atletas rusos, sino con los atletas de todo el mundo. Entonces, el problema del doping podría ser erradicado definitivamente\", añadió el funcionario a la agencia Tass en Moscú. También se mostró \"satisfecho\" con la decisión del COI Shamil Tarpischev, presidente de la Federación Rusa de Tenis.",
"url": "http://www.elmundo.es/deportes/2016/07/24/57949ebd22601d4f068b45d6.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20160725143357/http://www.elmundo.es/deportes/2016/07/24/57949ebd22601d4f068b45d6.html"
},
{
"language": "es",
"title": "El COI no excluye a Rusia de Río y deja la decisión en manos de las federaciones",
"text": "Actualizado 24/07/2016 17:22:39 CET\nMOSCÚ, 24 Jul. (Reuters/EP) -\nEl Comité Olímpico Internacional (COI) ha anunciado que no sancionará a Rusia para los Juegos Olímpicos de Río y no ha suspendido al Comité Olímpico ruso, y que la decisión de permitir o prohibir a los deportistas rusos competir en los Juegos en agosto será tomada por las federaciones deportivas internacionales.\nEl anuncio del COI tuvo lugar tras la petición de la Agencia Mundial Antidopaje (AMA) de que se prohibiese la participación de los atletas rusos en los Juegos de Río en respuesta a un informe independiente. Ese estudio corrió a cargo del abogado canadiense Richard McLaren, que desveló que un laboratorio de Moscú supervisado por el Ministerio de Deportes de Rusia manipuló los resultados analíticos de los atletas y sostuvo una trama generalizada de dopaje durante los Juegos Olímpicos de Invierno de Sochi 2014.\nLos 15 miembros del comité ejecutivo del COI se reunieron este domingo vía teleconferencia, a menos de dos semanas de la ceremonia de apertura de los Olímpicos el 5 de agosto, y decidieron que la responsabilidad de determinar la elegibilidad de los atletas rusos es de las federaciones internacionales. El COI había dicho que se abrirían procedimientos disciplinarios contra dirigentes rusos mencionados en el 'informe McLaren' de la AMA.\nDesde que se conocieron las acusaciones, varias federaciones deportivas internacionales, agencias antidopaje y atletas han llamado a aplicar una prohibición generalizada a todos los deportes rusos en Río, aunque algunos han dicho que se oponen a castigar a atletas inocentes. Dirigentes deportivos y gubernamentales rusos han declarado que las acusaciones de dopaje son parte de una conspiración occidental contra su país.\nEl presidente de Rusia, Vladimir Putin, advirtió que el tema podría dividir al movimiento olímpico, lo que recuerda lo sucedido en la década de 1980, cuando Estados Unidos lideró un boicot político de los Juegos de Moscú de 1980 y la Unión Soviética encabezó un boicot del bloque oriental a los Juegos de Los Angeles cuatro años más tarde.\nEl pasado 17 de junio, la IAAF decidió por unanimidad mantener la suspensión de la Federación de Atletismo Rusa por verse envuelta en una trama general dopaje, especificada en el 'informe McLaren', en una decisión que dejaba fuera a los atletas rusos de los Juegos Olímpicos de Río de Janeiro y que fue apelada ante el TAS por el Comité Olímpico Ruso y 68 atletas rusos, pero rechazada este jueves.\nSIN ATLETAS QUE HAYAN DADO POSITIVO\n\"Los atletas rusos en cualquiera de los 28 deportes olímpicos de verano tienen que asumir las consecuencias de lo que equivale a una responsabilidad colectiva con el fin de proteger la credibilidad de las competiciones olímpicas, y la presunción de inocencia no se les pueden aplicar. Por otro lado, de acuerdo a las reglas de la justicia individual, a la que todo ser humano tiene derecho, se tiene que aplicar. Esto significa que cada atleta afectado debe tener la oportunidad de refutar la aplicabilidad de la responsabilidad colectiva en su caso individual\", reza el comunicado del COI.\nAsí, el organismo internacional determinó que no aceptará a ningún atleta ruso que no cumpla una serie de condiciones. Una de ellas será que el atleta sea capaz de proporcionar pruebas que satisfagan a su Federación Internacional, y será imposible que estén en Río si han dado algún positivo.\nAdemás, las federaciones internacionales deben llevar a cabo \"un análisis individual de registro antidopaje de cada atleta, teniendo en cuenta únicamente las pruebas internacionales adecuadas fiables, y las características específicas del deporte del atleta y sus reglas, a fin de garantizar la igualdad de condiciones\". En este sentido, \"nadie que esté implicado, ya sea un atleta, un dirigente o una federación, podrá ser admitido para los Juegos Olímpicos\".\nPor último, el COI reafirmó sus \"serias preocupaciones por las deficiencias evidentes en la lucha contra el dopaje\", por lo que llamó a a la Agencia Mundial Andidopaje (AMA) a revisar a fondo su sistema.",
"url": "http://www.europapress.es/deportes/olimpiadas-00169/noticia-coi-no-excluye-rusia-rio-deja-decision-manos-federaciones-20160724155920.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20160725150437/http://www.europapress.es/deportes/olimpiadas-00169/noticia-coi-no-excluye-rusia-rio-deja-decision-manos-federaciones-20160724155920.html"
}
] |
de | Merkel und Platzeck gratulierten Michael Blumenthal zum 80. Geburtstag |
Der SPD-Vorsitzende und brandenburgische Ministerpräsident Matthias Platzeck sowie Bundeskanzlerin Angela Merkel haben gestern Michael Blumenthal zum 80. Geburtstag gratuliert. Blumenthal wurde am 3. Januar 1926 in Oranienburg geboren.
Platzeck dankte in seinem sachlich gehaltenen Schreiben an Blumenthal, der seit 1997 Leiter des jüdischen Museums Berlin ist, für dessen Beitrag zur Aussöhnung mit den Deutschen. Blumenthals Familie litt selbst unter der Judenverfolgung Hitlers. Weiterhin würdigte Platzeck an Blumenthal, dass dieser trotz langjähriger Aufenthalte in China und Amerika Deutschland stets verbunden blieb. Blumenthal flüchtete 1939 mit Familie nach Shanghai. Heute lebt Blumenthal in Berlin in einem Haus, in dem eine Jüdin ihr Geschäft hatte.
Merkel bezeichnete Blumenthal in ihrem sehr persönlich gehaltenen Glückwunschbrief als „polyglotten Weltbürger“. Sie ging zusätzlich noch auf seinen beruflichen Werdegang in den USA ein. Blumenthal war dort eine zeitlang US-Finanzminister. Zudem erinnerte sie an das familiäre Schicksal Blumenthals als sein Vater von der Gestapo abgeholt wurde. Auch Merkel würdigte die Leistung Blumenthals im jüdischen Museums Berlin, indem sie sehr ausführlich auf den Aufbau und die Leitung des Museums hinwies.
| [
"Themenportal Politik",
"Themenportal Deutschland",
"Michael Blumenthal",
"Matthias Platzeck",
"Angela Merkel",
"Museum",
"Geburtstag 2006"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Der Tagesspiegel",
"text": "Berliner Glanzlicht\nMichael Blumenthal hat das Jüdische Museum zu großen Erfolgen geführt Heute feiert der Leiter des Hauses seinen 80. Geburtstag\nWer kann das schon von sich sagen: dass es eine der Sehenswürdigkeiten Berlins ohne ihn nicht gäbe? Aber im Falle Michael Blumenthals und des Jüdischen Museums ist dieser Ruhm die schlichte Wahrheit. Natürlich, das aufregende, Architektur-Epoche machende Gebäude Daniel Libeskinds war beschlossen und im Bau. Aber statt des Museums, das es beherbergen sollte, gab es nur endlose Auseinandersetzung. Erst Blumenthals Berufung 1997 zum Leiter des Museums brachte das Unternehmen aus der Sackgasse. Nun, da Blumenthal achtzig Jahre alt wird, gehört es zu den erfolgreichsten Häusern Berlins. Es ist zu einem Zentrum kultureller Ausstrahlung geworden, Ort des deutsch-jüdischen Austauschs wie der Vergegenwärtigung einer großen Geschichte.\nDieser Amerikaner aus Berlin ist eine der erstaunlichsten Erscheinungen des Nachwende-Berlins. Denn dass er auf seine gereiften Tage Museumsgründer werden würde, hatte ihm niemand vorausgesagt. Bis ein Vortrag im Zentrum für Antisemitismusforschung an der Freien Universität ihn in die Nähe des Berliner Museumsstreits brachte, war er das Exempel eines erfolgreichen amerikanischen Managers und Politikers. Allerdings: Für das jüdisch-deutsche Schicksal steht Blumenthal, seine Herkunft und sein Lebensweg, auch. Insofern hatte die Wende, die ihn nach Berlin führte, ihre Konsequenz.\nDas gilt für sein eigenes Leben: Geboren in Oranienburg, wo die Blumenthals eine Bank betrieben, aufgewachsen in Berlin, entkam er 1939 mit seinen Eltern gerade noch dem Vernichtungswahn der Nazis, erst nach China, dann nach Amerika. Aber es gilt noch mehr für die Familie, der er entstammt. Zu ihr, die über viele Generationen hinweg in und um Berlin herum verwurzelt war, gehören bedeutende und charakteristische Gestalten Geschäftsleute, Intellektuelle, Künstler. Blumenthal hat dieser Familien-Geschichte ein autobiografisch inspiriertes Buch gewidmet. Und es ist ein anrührender Zug an ihm, dass er für seine Berliner Wohnung den Ort wählte, an dem vor zweihundert Jahren Rahel Varnhagen ihren Salon hatte.\nIn den Aufbau des Jüdischen Museums ist diese Rückholung einer großen, tragisch geendeten Geschichte ebenso eingegangen sie war gerade fertig geworden, als ihn der Ruf nach Berlin erreichte wie seine Fähigkeit als Manager und Geschäftsmann. Da trat kein demütiger Bittsteller vor Senatoren und Abgeordnete, sondern der ehemalige Sonderbeauftragte für Handelsfragen unter Kennedy, der Finanzminister unter Carter, der Vorstand bedeutender Unternehmen. Er manövrierte das Museum in die Finanzierung des Bundes, trieb Etat und Personal in bis dahin undenkbare Dimensionen und mobilisierte die Sponsoren.\nAllem hat Michael Blumenthal seinen grandseigneuralen Charme, seine angelsächsische Ironie, seinen weltmännischen Stil beigegeben. Frappierend alterslos, die Jahre locker ignorierend, ist er zwischen Amerika und Deutschland unterwegs. Man darf ihn wohl einen Glücksfall für Berlin nennen. Hermann Rudolph",
"url": "http://archiv.tagesspiegel.de/drucken.php?link=archiv/03.01.2006/2269695.asp",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20060322205930/http://archiv.tagesspiegel.de/drucken.php?link=archiv/03.01.2006/2269695.asp"
}
] |
en | Future British monarch Prince Charles marries Camilla Parker Bowles |
Today at 11:30 UTC His Royal Highness The Prince of Wales married Camilla Parker Bowles in a civil ceremony at Windsor Guildhall. The union was blessed at 13:30 UTC in a church ceremony at St George's Chapel, Windsor Castle. Local police estimated that 20,000 people lined the street of Windsor in order to catch a glimpse of the Royal party.
The civil ceremony was attended by
* the Prince's two sons, TRH Princes William and Harry;
* his brother, HRH The Duke of York;
* his nieces, TRH Princesses Beatrice and Eugenie;
* HRH The Princess Royal and her children Peter Phillips and Zara Phillips; and
* Tom Parker Bowles and Laura Parker Bowles.
Prince William and Tom Parker Bowles formally witnessed the marriage.
At 6pm the couple left Windsor Castle for RAF Northolt, where an aircraft from the Queen's flight took them to Aberdeen in Scotland to begin their honeymoon.
| [
"Europe",
"United Kingdom",
"Published",
"Aberdeen"
] | [
{
"language": "en",
"title": "The Prince of Wales",
"text": "LATEST NEWS 08.02.2006 : The Prince opens the Arts & Kids exhibition \"In The Land of Illustrations\". The Prince of Wales joined more than 450 schoolchildren at an art workshop today - and encountered a sketch of himself.\nEight-year-old Hugo Marsh shyly showed The Prince a red crayon portrait he had drawn.\nThe Prince chuckled and congratulated him on his efforts, remarking: \"Did you do that today?\"\nBlonde-haired Hugo, from Davenies School in Beaconsfield, Buckinghamshire, did the line drawing in his sketch book standing up as he watched The Prince walk around the exhibition in London.\n\"I drew it today. I think it looks like him,\" he said.\nThe Prince was seeing the results of a nationwide project by his organisation The Prince of Wales Arts & Kids Foundation set up to encourage youngsters to become more involved in the arts.\nOver the past few months, hundreds of children from across the UK were asked to draw the place where they live for the “In The Land of Illustrations” exhibition.\nChildren from 28 schools worked alongside professional artists to produce work that was first exhibited in their local town centre.\nPupils from many of the schools then travelled to London to see the exhibition be opened by The Prince of Wales, some of them travelling a very long way. The children from Walker Road Primary School in Aberdeen flew down for the event having raised the money for the airfares by selling pin badges of \"The Old Man of Lochnagar\" - the children's book written by The Prince of Wales for his younger brothers when they were children. As well as viewing the exhibition, which includes a watercolour of The Castle of Mey painted by The Prince, the children also took part in workshops led by Quentin Blake and other professional artists and illustrators.\n08.02.2006 : The Prince talks to groups of children taking part in the workshops at the opening of \"In The Land of Illustrations\" exhibition. The Prince of Wales crouched down to talk to the groups of children as they sat on the floor with some of the pictures they created at the workshop.\nLorna Houston, 11, from St Joseph's primary school in Cardiff, south Wales, showed him an unfinished picture of her and her three friends.\n\"I didn't finish it on purpose. We had had a bit of a squabble but it's all right now,\" Lorna told The Prince.\nIn a speech, The Prince praised all the youngsters as \"brilliant budding artists\".\nHe added: \"It always seems to me so important that the generations are linked in terms of appreciation of all our cultural and artistic heritage.\"\nOne of Britain's best loved illustrators Quentin Blake, who is patron of Arts & Kids, led the workshops and also spearheaded the nationwide drawing scheme.\nHe famously brought Roald Dahl's characters to life through his quirky drawings.\n\"There are many different ways of drawing the life of your own place and when you start to find out how things came to be there, you may find that it too is a sort of voyage of discovery,\" Blake said of the exhibition.\nFind out more about The Prince of Wales Arts & Kids Foundation",
"url": "http://www.princeofwales.gov.uk./news/index.php",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20060210050258/http://www.princeofwales.gov.uk/news/index.php"
}
] |
de | Kattegat zugefroren |
Kattegat und Skagerrak
Pfannkucheneis
Der harte Winter 2010 in Skandinavien führt dazu, dass erstmals seit 1996 das Kattegat und der nördliche Teil des Skagerrak größtenteils zufrieren. Das Eis verbindet die schwedische und die dänische Küste in einer bis zu 10 Zentimeter dicken Schicht. Des Weiteren sind der Bottnische Meerbusen vollständig und der Finnische Meerbusen größtenteils sowie die Rigaer Bucht vollständig zugefroren. Das Meereis breitet sich in der Ostsee entlang der ostschwedischen Küste nach Süden bis kurz vor Karlskrona aus.
Das Meereis des Kattegat ist von besonderer Beschaffenheit und wird aufgrund seines Aussehens Pfannkucheneis genannt. Dieses entsteht, wenn salzarmes Wasser der Ostsee, dessen Temperatur knapp über dessen Gefrierpunkt von -0,8 Grad Celsius liegt, an der Oberfläche nach Norden in das Kattegat strömt und vom darunterliegenden kälteren, salzreicheren Wasser der Nordsee unter den Gefrierpunkt abgekühlt wird. Das Eis bildet sich in zwei bis drei Metern Tiefe und steigt an die Oberfläche, wo sich die Eisschollen verbinden.
| [
"Themenportal Wetter",
"Themenportal Schweden",
"Ostsee",
"Nordsee"
] | [
{
"language": "sv",
"title": "Kattegatt lägger sig",
"text": "KATTEGATT. Den ihållande kylan gör nu att stora delar av Kattegatt och Skagerrak snabbt kan frysa till.\n– De första tecknen finns redan i form av pannkaksis, säger marinmeteorolog Torbjörn Grafström på SMHI. Med rätt förutsättningar kan det gå fort.\nSMHI följer utvecklingen noga dag för dag och via satellitbilder syns nu tydligt hur isen börjar få grepp om vattenmolekylerna.\n– Stora delar av Skagerrak och Kattegatt är redan belagd med pannkaksis, säger Grafström. Det är tunna drivande isflak. Ända ned till Nidingen i norra Halland syns isen tydligt på våra bilder.\nHavsis är alltid lurig, inte minst för alla mindre fartyg som är konstruerade för isfria farvatten.\n– Större handelsfartyg som är klassade för trafik under vinterförhållanden klarar nog isen utan problem. Det kan dock bli värre för mindre färjor eller sjöräddningsbåtar, säger han. Det krävs både rejäl motorstyrka och speciell skeppsbyggnad för att gå genom havsis för egen maskin.\nI veckan berättade tidningen Bohusläningen om problem som redan drabbat norra Västkusten. Trycket ökar på sjöräddningshelikoptern på Säve och nu finns det bara två räddningsfartyg som klarar gång i is. Myndigheterna har fått låna en svävare från ostkusten för sjuktransporter. I norra Bohuslän, runt Kosteröarna, får man hjälp av norska sjöräddningens svävare. Men den försvinner till Norge om isläget blir värre.\nÄven om det genom tiderna funnits många ögonvittnesskildringar om hur Sverige och Danmark fått fast förbindelse över havet så får man nog ta de uppgifterna med en rejäl nypa salt. Vem har inte hört att man till och med kunde gå till Danmark?\nMed satelliternas hjälp ser vi i dag hur isen lägger sig. Och det är ofta inte en heltäckande isyta som bildas. Det finns öppet vatten lite här och där, det kan vara packis på vissa ställen och det kan vara gammal is blandad med ny på andra ställen.\nStrömmar och vindar styr helt hur den nyckfulla havsisen vill formera sig. Och är det inte naturen som fixar isformationerna så hjälper människan gärna till själv.\n– Handelsfartygen bryter ju upp isen hela tiden så även om den är tjock nog att gå på så är det nog mer en skröna att någon skulle ha promenerat till Danmark, säger Grafström.\nSenast det låg is på Kattegatt var vintern 1996 men bara under en kort period. Man får gå tillbaka till början och mitten av 1980-talet för att hitta egentliga isvintrar.\n– 1982 var ett besvärligt isår på Västkusten. Då la sig Kattegatt redan den 22 januari. Även 1985, 1986 och 1987 var rejäla isvintrar, konstaterar Torbjörn Grafström.\n– Försiktighet och bra utrustning är A och O om man ger sig ut på isen. Man ska också ha klart för sig att havsisen har sämre bärighet, säger Torbjörn Grafström.",
"url": "http://hn.se/nyheter/halland/1.704049-kattegatt-lagger-sig",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20160304224038/http://hn.se/nyheter/halland/1.704049-kattegatt-lagger-sig"
},
{
"language": "en",
"title": "NIC IMS Home Page",
"text": "\"The Interactive Multisensor Snow and Ice Mapping System\" by Bruce H. Ramsay (Adobe PDF 1.2MB)\n\"Prospects for the Interactive Multisensor Snow and Ice Mapping System (IMS)\" by Bruce H. Ramsay (Adobe PDF 565KB)\n\"Enhancements to, and forthcoming developments in the Interactive Multisensor Snow and Ice Mapping System (IMS)\" by Sean R. Helfrich (Adobe PDF 805KB)",
"url": "http://www.natice.noaa.gov/ims/index.htm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080315193509/http://www.natice.noaa.gov/ims/index.htm"
}
] |
de | Hoteliers aus dem Münsterland boykottieren Hotelportal HRS |
Hotelrezeption
Die Firma Hotel Reservation Service (HRS) gerät wegen ihrer Geschäftsbedingungen zunehmend in die Kritik der Hotellerie.
Der Deutsche Hotel- und Gaststättenverband (DEHOGA) Westfalen teilte jetzt mit im Münsterland werde „zumindest für einen bestimmten Zeitraum“ die Hotellerie die HRS Buchungsportale HRS.de und hotel.de boykottieren. Die Kritik der Hotellerie bezieht sich auf die Erhöhung der vertraglich festgelegten Kommission von 13 Prozent auf 15 Prozent, aber auch auf eine Meistbegünstigungsklausel, nach der kein anderer Buchungskanal bessere Raten anbieten darf.
Der europäische Dachverband des Gaststättenwesens, HOTREC, hatte diese und ähnliche Klauseln bereits im Mai 2011 in einem Positionspapier kritisiert.
Die westfälische DEHOGA-Geschäftsführerin Renate Dölling erklärte: „Nach ersten Erkenntnissen wird sich das Gros unserer Mitglieder beteiligen.“
Inwieweit in anderen DEHOGA-Verbänden in NRW ähnlich gehandelt werde, sei noch nicht bekannt.
Einen bundesweiten Boykottaufruf gebe es aber nicht, betonte Stefanie Heckel, die Pressesprecherin des DEHOGA-Bundesverbandes. „Wie sie damit umgehen, liegt in der unternehmerischen Freiheit unserer Mitglieder“, sagte Stefanie Heckel.
Am 15. Februar hatte das Oberlandesgericht Düsseldorf die Firma HRS in einer einstweiligen Verfügung aufgefordert, auf die Durchsetzung der Meistbegünstigungsklausel zu verzichten. Bereits am 10. Februar hatte das Bundeskartellamt die Firma abgemahnt, da sie gegen die §§ 1 und 20 des Gesetzes gegen Wettbewerbsbeschränkungen verstoße.
| [
"Themenportal Wirtschaft",
"Hotellerie und Restauration",
"Wirtschaft in Deutschland",
"Wirtschaft in Österreich",
"Boykott",
"HRS"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Widerstand gegen Vertragsbandagen: Hoteliers boykottieren HRS",
"text": "Wirtschaft Artikel versenden\nTrügerische Idylle im Münsterland. (Foto: Münsterland e.V.)\nWiderstand gegen Vertragsbandagen: Hoteliers boykottieren HRS\nDeutschlands führendes Hotelbuchungsportal HRS stößt wegen seiner Geschäftsbedingungen bei Hoteliers auf Kritik. Im Münsterland werde ein Teil der Hoteliers \"zumindest für einen bestimmten Zeitraum\" nicht mehr mit den Plattformen HRS und hotel.de zusammenarbeiten, teilte der Hotel- und Gaststättenverband (Dehoga) Westfalen mit.\nEinen bundesweiten Aufruf, auf die Zusammenarbeit mit den Portalen zu verzichten, gebe es aber nicht, betonte Verbandssprecherin Stefanie Heckel. \"Wie sie damit umgehen, liegt in der unternehmerischen Freiheit unserer Mitglieder.\" Der Hotelverband lässt derzeit allerdings die neuen Allgemeinen Geschäftsbedingungen von HRS prüfen.\nMehr Provision, bester Preis\nDas Portal steht in der Kritik, weil es die Provision, die Hoteliers zahlen müssen, von 13 Prozent auf 15 Prozent heraufgesetzt hat. Zudem vereinbarte HRS mit seinen Hotelpartnern, dass sie für das gesamte Angebot den besten Hotelpreis, die höchste Zimmerverfügbarkeit und die jeweils günstigsten Buchungs- und Stornierungskonditionen garantiert bekommen. Man nennt das Meistbegünstigungsklausel. Zuletzt hatte HRS bereits Hotels für Buchungen gesperrt, weil sie diese Klausel nicht einhielten.\nLaut HRS gingen seit Änderung der Konditionen Mitte Januar kaum Partner verloren. \"In Deutschland haben in den letzten Monaten einige wenige unserer weltweit über 250.000 Hotelkunden die Zusammenarbeit ausgesetzt\", berichtete eine Sprecherin in Köln. \"Dies ist nach einer Anpassung der Vertragsmodalitäten nicht unüblich. Gleichzeitig haben wir auch neue Hotelpartner hinzugewonnen.\"\nKartellamt hat Bedenken\nMehr zum Thema Punktsieg für Hoteliers Kartellamt mahnt HRS ab\nErst vor zwei Wochen hatte das Bundeskartellamt das in Köln ansässige Unternehmen ins Visier genommen. Nach Auffassung der Wettbewerbshüter verstößt die Meistbegünstigungsklausel gegen das Kartellrecht. In der vergangenen Woche hatte darüber hinaus das Oberlandesgericht Düsseldorf eine Einstweilige Verfügung gegen HRS erlassen. Das Gericht erklärte die Best-Preis-Garantie, die HRS von seinen Hotelpartnern vertraglich einfordere, für kartellrechtswidrig und damit für nichtig, wie ein OLG-Sprecher am Freitag erläuterte.\nHRS wies die Vorwürfe zurück. Das Portal habe von Hotels nicht eingefordert, dass sie HRS den besten Preis einräumen. Sie sollten den gleichen günstigen Zimmerpreis anbieten wie anderen Anbietern. \"Dies entspricht der marktüblichen Praxis\", so die Sprecherin. \"Die vorläufige Einschätzung des Bundeskartellamts teilen wir nicht. Wir sind nach wie vor im Dialog mit der Behörde und überzeugt, dass wir gute Argumente haben, die unsere Position untermauern.\"\nnne/dpa",
"url": "http://www.n-tv.de/wirtschaft/Hoteliers-boykottieren-HRS-article5592521.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120227003544/http://www.n-tv.de/wirtschaft/Hoteliers-boykottieren-HRS-article5592521.html"
},
{
"language": "de",
"title": "Hoteliers im Münsterland boykottieren Zusammenarbeit mit Buchungsportal",
"text": "Von dpa\nEinen bundesweiten Aufruf, auf die Zusammenarbeit mit den Portalen zu verzichten, gebe es aber nicht, betonte die Sprecherin des Dehoga-Bundesverbands, Stefanie Heckel. „Wie sie damit umgehen, liegt in der unternehmerischen Freiheit unserer Mitglieder.“Der Hotelverband lasse derzeit allerdings die neuen Allgemeinen Geschäftsbedingungen von HRS (Hotel-Reservation Service Robert Ragge GmbH) prüfen. Das Portal steht in der Kritik, weil es die Provision, die Hoteliers zahlen müssen, von 13 Prozent auf 15 Prozent heraufgesetzt hat.Zudem habe HRS mit seinen Hotelpartnern vereinbart, dass sie für das gesamte Angebot den besten Hotelpreis, die höchste Zimmerverfügbarkeit und die jeweils günstigsten Buchungs- und Stornierungskonditionen garantiert bekommen. Man nennt das Meistbegünstigungsklausel. Zuletzt habe HRS bereits Hotels für Buchungen gesperrt, weil sie diese Klausel nicht einhielten.Laut HRS gingen seit Änderung der Konditionen Mitte Januar kaum Partner verloren. „In Deutschland haben in den letzten Monaten einige wenige unserer weltweit über 250.000 Hotelkunden die Zusammenarbeit ausgesetzt“, berichtete eine Sprecherin in Köln. „Dies ist nach einer Anpassung der Vertragsmodalitäten nicht unüblich. Gleichzeitig haben wir auch neue Hotelpartner hinzugewonnen.“Erst vor zwei Wochen hatte das Bundeskartellamt das in Köln ansässige Unternehmen ins Visier genommen. Nach Auffassung der Wettbewerbshüter verstößt die Meistbegünstigungsklausel gegen das Kartellrecht. In der vergangenen Woche hatte darüber hinaus das Oberlandesgericht Düsseldorf eine Einstweilige Verfügung gegen HRS erlassen. Das Gericht erklärte die Best-Preis-Garantie, die HRS von seinen Hotelpartnern vertraglich einfordere, für kartellrechtswidrig und damit für nichtig, wie ein OLG-Sprecher am Freitag erläuterte.HRS wies die Vorwürfe zurück. Das Portal habe von Hotels nicht eingefordert, dass sie HRS den besten Preis einräumen. Sie sollten den gleichen günstigen Zimmerpreis anbieten wie anderen Anbietern. „Dies entspricht der marktüblichen Praxis“, so die Sprecherin. „Die vorläufige Einschätzung des Bundeskartellamts teilen wir nicht. Wir sind nach wie vor im Dialog mit der Behörde und überzeugt, dass wir gute Argumente haben, die unsere Position untermauern.“",
"url": "http://www.wn.de/Muensterland/HRS-erhoeht-Provision-Hoteliers-im-Muensterland-boykottieren-Zusammenarbeit-mit-Buchungsportal",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120229221039/http://www.wn.de/Muensterland/HRS-erhoeht-Provision-Hoteliers-im-Muensterland-boykottieren-Zusammenarbeit-mit-Buchungsportal"
},
{
"language": "en",
"title": "Wirte rebellieren gegen Hotelportal HRS",
"text": "Wirte rebellieren gegen Hotelportal HRS\nMünster (dpa) - Deutschlands führendes Hotelbuchungsportal HRS stößt wegen seiner Geschäftsbedingungen bei Wirten auf Unmut. Im Münsterland will ein Teil der Hoteliers \"zumindest für einen bestimmten Zeitraum\" nicht mehr mit den Plattformen HRS und hotel.de zusammenarbeiten.\nDas teilte der Hotel- und Gaststättenverband (Dehoga) Westfalen am Freitag in Münster mit. Grund seien neue Allgemeine Geschäftsbedingungen von HRS. Unter anderem hätten HRS und Hotel.de die Provision, die ihnen Hoteliers zu zahlen haben, von 13 Prozent auf 15 Prozent heraufgesetzt. Zudem müssten grundsätzlich über HRS und Hotel.de der beste Zimmerpreis, die höchste Zimmerverfügbarkeit und die besten Stornierungs- und Buchungsbedingungen gelten. Man nennt das Meistbegünstigungsklausel.\nZahlreiche Mitglieder wollen sich beteiligen\nIm Vergleich zu anderen Buchungsportalen sei die Änderungen eine \"Wettbewerbsverzerrung\", berichtete die westfälische Dehoga-Chefin Renate Dölling. \"Nach ersten Erkenntnissen wird sich das Gros unserer Mitglieder beteiligen\", sagte Dölling. Inwieweit in anderen Dehoga-Verbänden in NRW ähnlich gehandelt wird, war zunächst unklar. Im Dehoga Westfalen sind vom Hotel bis zur Imbissstube rund 5000 Wirte organisiert. Der Verband wolle das Gespräch mit HRS suchen.\nBest-Preis-Garantie ist kartellrechtswidrig\nErst vor zwei Wochen hatte das Bundeskartellamt das in Köln ansässige Unternehmen HRS (Hotel-Reservation Service Robert Ragge GmbH) ins Visier genommen. Die Behörde mahnte die mit den Hoteliers vereinbarte Meistbegünstigungsklausel ab. Nach Auffassung der Wettbewerbshüter ist diese Klausel kartellrechtswidrig. In der vergangenen Woche hatte darüber hinaus das Oberlandesgericht Düsseldorf eine Einstweilige Verfügung gegen HRS erlassen. Das Gericht erklärte die Best-Preis-Garantie, die HRS von seinen Hotelpartnern vertraglich einfordere, für kartellrechtswidrig und damit für nichtig, wie ein Gerichtssprecher am Freitag erläuterte.",
"url": "http://www.die-glocke.de/lokalnachrichten/regionales/Wirte-rebellieren-gegen-Hotelportal-HRS-ae05015c-b381-4e89-9194-a9ca4e0f8b33-ds",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120227215925/http://www.die-glocke.de/lokalnachrichten/regionales/Wirte-rebellieren-gegen-Hotelportal-HRS-ae05015c-b381-4e89-9194-a9ca4e0f8b33-ds"
},
{
"language": "de",
"title": "Hoteliers im Münsterland legen Zusammenarbeit mit HRS auf Eis",
"text": "24.02.2012\nMünster/Berlin (dpa) - Deutschlands führendes Hotelbuchungsportal HRS stößt wegen seiner Geschäftsbedingungen bei Hoteliers auf Kritik. Im Münsterland werde ein Teil der Hoteliers \"zumindest für einen bestimmten Zeitraum\" nicht mehr mit den Plattformen HRS und hotel.de zusammenarbeiten, teilte der Hotel- und Gaststättenverband (Dehoga) Westfalen am Freitag in Münster mit. Einen bundesweiten Aufruf, auf die Zusammenarbeit mit den Portalen zu verzichten, gebe es aber nicht, betonte die Sprecherin des Dehoga-Bundesverbands, Stefanie Heckel. \"Wie sie damit umgehen, liegt in der unternehmerischen Freiheit unserer Mitglieder.\"\nDer Hotelverband lasse derzeit allerdings die neuen Allgemeinen Geschäftsbedingungen von HRS (Hotel-Reservation Service Robert Ragge GmbH) prüfen. Das Portal steht in der Kritik, weil es die Provision, die Hoteliers zahlen müssen, von 13 Prozent auf 15 Prozent heraufgesetzt hat.\nZudem habe HRS mit seinen Hotelpartnern vereinbart, dass sie für das gesamte Angebot den besten Hotelpreis, die höchste Zimmerverfügbarkeit und die jeweils günstigsten Buchungs- und Stornierungskonditionen garantiert bekommen. Man nennt das Meistbegünstigungsklausel. Zuletzt habe HRS bereits Hotels für Buchungen gesperrt, weil sie diese Klausel nicht einhielten.\nLaut HRS gingen seit Änderung der Konditionen Mitte Januar kaum Partner verloren. \"In Deutschland haben in den letzten Monaten einige wenige unserer weltweit über 250 000 Hotelkunden die Zusammenarbeit ausgesetzt\", berichtete eine Sprecherin in Köln. \"Dies ist nach einer Anpassung der Vertragsmodalitäten nicht unüblich. Gleichzeitig haben wir auch neue Hotelpartner hinzugewonnen.\"\nErst vor zwei Wochen hatte das Bundeskartellamt das in Köln ansässige Unternehmen ins Visier genommen. Nach Auffassung der Wettbewerbshüter verstößt die Meistbegünstigungsklausel gegen das Kartellrecht. In der vergangenen Woche hatte darüber hinaus das Oberlandesgericht Düsseldorf eine Einstweilige Verfügung gegen HRS erlassen. Das Gericht erklärte die Best-Preis-Garantie, die HRS von seinen Hotelpartnern vertraglich einfordere, für kartellrechtswidrig und damit für nichtig, wie ein OLG-Sprecher am Freitag erläuterte.",
"url": "http://www.cio.de/news/wirtschaftsnachrichten/2306015/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20120229203726/http://www.cio.de/news/wirtschaftsnachrichten/2306015"
}
] |
pl | Zmarł Mieczysław Morański |
''' roku zmarł w wieku 60 lat – aktor teatralny, filmowy i dubbingowy.'''
O jego śmierci poinformował w , z którym aktor był związany.
| [
"Film",
"Kultura i rozrywka",
"Kultura Polski",
"Nekrologi 2020",
"Polska",
"Teatr"
] | [
{
"language": "pl",
"title": "Mieczysław Morański nie żyje. Był głosem postaci z wielu kultowych bajek",
"text": "Nie żyje Mieczysław Morański - popularny aktor teatralny, filmowy i dubbingowy. Miał 60 lat. O jego śmierci poinformował Teatr Rampa, z którym był związany.\n\"Mieczysław Morański był aktorem naszego Teatru od 1994 roku. Wpisał się w historię i sukcesy bardzo wielu naszych spektakli. Począwszy od \"Brata naszego Boga\", w którym grał główną role przez \"Majestat\" i \"Film\" dalej \"ART\", \"Jeźdźca burzy\", \"Damy i huzary\", \"Pińską Szlachtę\" czy \"Tajemniczy Ogrod\", \"Mistrza i Małgorzatę\" i \"RENT\" widać było jego wszechstronność jako aktora dramatycznego, komediowego i mistrza piosenki aktorskiej. Samym tylko głosem potrafił zagrać wszystko... Szerszej publiczności znany był z wielu ról dubbingowych zarówno na małym jak i dużym ekranie\" - czytamy w komunikacie opublikowanym na stronie internetowej Teatru Rampa. \"Odszedł od nas utalentowany aktor i przyjazny kolega. Będzie nam go brakowało na scenie i poza nią...\" - podkreślono.\nMieczysław Morański urodził się 20 stycznia 1960 roku w Warszawie. W 1983 r. ukończył Wydział Aktorski PWST w Warszawie. Szerokiej publiczności był znany z wielu ról dubbingowych. Użyczył głosu m.in. Barney'owi z bajki \"Flintstonowie\", Asterixowi czy myszy Pixie. Na liście produkcji, w których dubbingowanie był zaangażowany, są też m.in. \"Gwiezdne Wojny\", \"Zwariowane Melodie\", \"Minionki rozrabiają\", \"Pinkie i Mózg\" czy serial \"Przyjaciele\".\nWideo youtube\nNa małym ekranie Mieczysław Morański wystąpił w ostatnim czasie w takich produkcjach jak \"Szadź\", \"W rytmie serca\", \"Korona królów\" czy \"Wojenne dziewczyny\".",
"url": "https://www.rmf24.pl/kultura/news-mieczyslaw-moranski-nie-zyje-byl-glosem-postaci-z-wielu-kult,nId,4952945",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20201228054341/http://www.rmf24.pl/kultura/news-mieczyslaw-moranski-nie-zyje-byl-glosem-postaci-z-wielu-kult,nId,4952945"
}
] |
en | Alan Keyes still in presidential race |
Alan Keyes
Alan Keyes wants everyone to know he still in the running for the Republican Party's nomination for the 2008 U.S. presidential election.
Saying that he thinks he still can win, the candidate's name has next to no recognition, a problem usually associated with independent or third party candidates. Keyes blames the media for his lack of recognition.
Keyes is centering his largely grassroots campaign in Texas, where he hopes to win the upcoming primary. At a recent campaign stop in Lubbock, Keyes asked voters to stick to their morals, vote for him, and let God perform a "miracle."
Dr. Keyes won no states on Super Tuesday, and as of this writing has zero delegates.
Keyes is the former Ambassador to the Economic and Social Council of the United Nations. Other major candidates registered for the Republican nomination are Mike Huckabee (former Governor of Arkansas), John McCain (U.S. Senator from Arizona), and Dr. Ron Paul (U.S. Representative from Texas and 1988 Libertarian Presidential nominee). Twenty-five others are also registered with the Federal Elections Commission (FEC).
| [
"North America",
"United States",
"Politics and conflicts",
"Elections",
"2008 United States federal elections",
"2008 United States presidential election",
"Republican Party (United States)",
"Alan Keyes"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Presidential candidate Alan Keyes speaks in Lubbock",
"text": "Media Credit: Ken Muir\nWeaving a patchwork rhetoric of conservative politics and biblical allegories, Republican presidential candidate Alan Keyes urged Lubbock residents Monday evening to consider their religious morals the next time they exercise their rights to vote.During his speech at the Holy Spirit Catholic Church in south Lubbock, Keyes addressed his political and moral beliefs concerning, among other things, taxation, immigration, abortion, health care and governmental spending to an audience of parishioners and local residents.Democracy, he said, is best conducted by those who are willing to acknowledge that the inherent power of God rests at the heart of a democratic society. The democratic process works because God grants voters their voice.Democratic voice, Keyes said, exists \"on the authority of the almighty God.\" The line between politics and religion has divided the two for too long, and the United States suffers because of voters' reluctance to apply their morals to their political beliefs.The key to immigration reform, he said, lies in the biblical teachings that boundaries help define the people within them and gives them a sense of place, which is a notion lost in contemporary North America. Without secure borders and the boundaries they produce, safeguarding American people from terrorism cannot be accomplished.\"(If you) don't respect the boundaries, (you) don't respect the very prerequisite of our existence,\" he said. \"It appears to a lot of people that our elites decided we don't need boundaries.\"Illegal immigrants, furthermore, bring with them communicable diseases and moral turpitude, Keyes said, which is a result of voters' inability to express their need for definitive boundaries. Upon arriving in the United States, illegal immigrants do not seek economic opportunities alone. Regarding immigration, Americans are \"losing control.\"Rampant abortion, he said, attests to the morally inept state of the country. The constitutional rights of children in the womb are neglected each time they are aborted. Unborn children are not \"stones in the road\" that can be \"kicked aside and pulverized.\"Supreme Court justices who granted the legality of abortion in Roe v. Wade overstepped their bounds as judges, Keyes said, because they established an unconstitutional precedent.Later in his speech, Keyes called Barack Obama a \"champion of baby killing.\" Criminalizing abortion not only will protect mothers and babies, but also the moral state of the United States.",
"url": "http://media.www.dailytoreador.com/media/storage/paper870/news/2008/02/05/News/Presidential.Candidate.Alan.Keyes.Speaks.In.Lubbock-3187827.shtml",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080208121620/http://media.www.dailytoreador.com/media/storage/paper870/news/2008/02/05/News/Presidential.Candidate.Alan.Keyes.Speaks.In.Lubbock-3187827.shtml"
}
] |
fr | Industrie : 1 milliard de dollars pour afficher un lien vers un moteur de recherche |
Les procès juridiques qui opposent certains géants de l'industrie dévoilent leurs pratiques commerciales au grand jour : a déboursé un milliard de dollars pour que la barre de recherche du smartphone de la compagnie pointe vers son moteur de recherche.
Google s'oppose à ce que l'information soit divulguée, mais l'information se trouve dans le plaidoyer de l'avocate d'Oracle. L'agence Bloomberg s'est procuré des documents judiciaires faisant mention de ce chiffre, et est relayée par ''''.
La position centrale d'un moteur de recherche pour l'accès à l'information sur a fait monter les enchères très vite. , le navigateur reconnu pour son efficacité et sa fiabilité, use de la même stratégie avec Google, au risque de déplaire à ses utilisateurs orientés vers les solutions libres. Le consommateur peut utiliser d'autres moteurs de recherche après avoir reconfiguré ses applications.
| [
"Économie",
"Internet",
"Télécommunications",
"Apple",
"Google"
] | [
{
"language": "fr",
"title": "iPhone : une barre de recherche à 1 milliard de dollars pour Google",
"text": "Le Monde | 22.01.2016 à 20h52\nLe géant Internet américain Google a payé un milliard de dollars en 2014 à son rival Apple pour que ce dernier conserve sa barre de recherche sur iPhone, affirme l’agence Bloomberg en citant des documents judiciaires. Bloomberg dit avoir tiré cette information d’un transcript judiciaire pour une affaire opposant depuis plusieurs années Google au groupe informatique Oracle.\nLe chiffre a été mentionné par une avocate d’Oracle, lors d’une audition le 14 janvier, mais n’aurait jamais dû être dévoilé car confidentiel, selon Google qui a demandé que l’information soit scellée.\nUn chiffre d’affaires de 31 milliards de dollars pour Android\nD’après Bloomberg, l’avocate d’Oracle a évoqué dans le même contexte un chiffre d’affaires de 31 milliards de dollars et des bénéfices de 22 milliards pour Android, le système d’exploitation mobile de Google. Ce logiciel, utilisé par de nombreuses marques depuis 2008, fait aujourd’hui fonctionner plus de 80 % des smartphones vendus dans le monde.\nLire aussi : Google accélère le web mobile pour contrer Apple et Facebook\nOracle estime de son côté que les chiffres de revenus, selon lui, « extraordinaires » d’Android, jouent un rôle important dans l’affaire qui l’oppose au géant d’Internet : il poursuit, en effet, Google pour avoir utilisé sans autorisation dans Android des éléments du code de programmation Java, et réclame des dédommagements en rapport avec les bénéfices retirés par Google. Oracle est propriétaire de Java depuis qu’il en a racheté le concepteur Sun Microsystems, en 2010, et accuse Google de violation de droits d’auteur.",
"url": "http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/01/22/iphone-une-barre-de-recherche-a-1-milliard-de-dollars-pour-google_4852226_3234.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20160124022917/http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/01/22/iphone-une-barre-de-recherche-a-1-milliard-de-dollars-pour-google_4852226_3234.html"
}
] |
de | Weltsozialforum 2005 in Porto Alegre |
Mit einer Großdemonstration wurde am heutigen Nachmittag das fünfte Weltsozialforum eröffnet. Das Motto des Weltsozialforums lautet „Eine andere Welt ist möglich.“
Nachdem das Sozialforum im letzten Jahr im indischen Mumbai stattfand, treffen sich die rund 120.000 Teilnehmer des Forums nun wieder an dessen Ursprungsort, in der brasilianischen Hafenstadt Porto Alegre. Es wurde 2001 als Gegenveranstaltung zum Weltwirtschaftsforum im Schweizer Wintersportort Davos initiiert, das ebenfalls heute beginnt.
Bis Montag, den 31.01.2005, werden die Teilnehmer des Forums auf rund 2.400 Veranstaltungen über die Folgen der ökonomischen Globalisierung, sowie über alternative Konzepte und Gestaltungsmöglichkeiten gegenüber der als neoliberal kritisierten Wirtschaftspolitik, wie sie vom Internationaler Währungsfonds und vielen nationalen Regierungen vertreten werde, diskutieren.
Die Teilnehmer aus allen Teilen der Welt lassen sich unterschiedlichen Gruppierungen zuordnen. Das Spektrum reicht von NGO-Vertretern, unabhängigen Globalisierungskritikern und Gewerkschaftsmitgliedern, Mitglieder kirchlicher Organisationen bis zu Vertretern unterschiedlicher politischer Parteien und Bewegungen, wie zum Beispiel der brasilianischen Landlosenbewegung (MST). Venezuelas Präsident Hugo Chávez gehört gemeinsam mit Brasiliens Staatschef Lula da Silva zu den prominentesten Rednern auf dem Forum, wobei es auch kritische Stimmen zu den geplanten Auftritten der beiden Politiker gibt.
Auch über die Zukunft des Weltsozialforums wird diskutiert. Es gibt Konzepte, die sich dafür aussprechen, dass künftig jährlich mehrere dezentrale Sozialforen stattfinden. Außerdem wird angeregt, als Veranstaltungsort des nächsten Sozialforums den afrikanischen Kontinent zu wählen.
Neben den unzähligen Diskussionen gehört auch ein umfassendes Kulturprogramm, unter anderen mit Auftritten von Gilberto Gil und Manu Chao, zum diesjährigen Weltsozialforum.
| [
"Themenportal Arbeit und Soziales",
"Themenportal Global",
"Themenportal Südamerika",
"Mumbai",
"Davos",
"Manu Chao",
"Weltsozialforum",
"Friedliche Demonstration",
"Hugo Chávez",
"José Luis Rodríguez Zapatero",
"Luiz Inácio Lula da Silva",
"Gilberto Gil",
"Wirtschaftspolitik",
"IWF",
"Gewerkschaft USA"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Mehr als nur ein globales Labertreffen",
"text": "26.01.2005 Mehr als nur ein globales Labertreffen Elf Themenbereiche sind Kern des Weltsozialforums Ursprünglich war das Weltsozialforum nur als Gegenveranstaltung zum Weltwirtschaftsforum in Davos, dem World Economic Forum, geplant. Inzwischen hat es ein auschweifendes Eigenleben entwickelt, das nach Ordnung verlangt.\n\"Eine andere Welt ist möglich\". So lautet der Slogan des Weltsozialforums, das vom 26.1. bis zum 31.1.2005 in Porto Alegre stattfindet. Doch anstatt die Welt zu verändern, mussten sich die Organisatoren des Forums in den vergangenen Monaten eher mit sich selbst beschäftigen. Mit mehr als 1000 Einzelveranstaltungen und einem unüberschaubarem Wirrwarr an regionalen, nationalen und thematischen Zusatzforen, droht das Weltsozialforum Opfer seines eigenen Erfolges zu werden. Das globale Labertreffen Es ist schlichtweg niemand mehr in der Lage, auch nur ansatzweise zu überblicken, welche Ergebnisse bei den zahlreichen Veranstaltungen entstehen. Anstatt die Globalisierungskritiker zu vernetzen und neue Impulse zu geben, führt das Forum so eher zu Zeit- und Geldverschwendung. Dazu mangelte es bei vergangenen Treffen oft an inhaltlicher Tiefe: Immer wieder die immer gleichen Argumente von den immer gleichen Leuten. Das Weltsozialforum droht zum globalen Labertreffen zu werden. So haben sich die brasilianischen Organisatoren nach langen Diskussionen entschlossen, das Forum umzugestalten. \"Wir haben eine Umfrage gemacht, welche Themen, Fragen, Herausforderungen die Teilnehmer aus der ganzen Welt für so wichtig halten, dass sie auf dem Forum behandelt werden sollten\", erklärt Fátima Melo von ABONG, dem zuständigen Dachverband brasilianischer Nichtregierungsorganisationen. Tausende Organisationen haben geantwortet. \"Anhand der Antworten hat dann der internationale Rat des Weltsozialforums elf Themenbereiche definiert, die Kern des Forums 2005 sein werden.\" Forum soll überschaubarer werden Alle Organisationen sollen ihre Veranstaltungen in diese elf Themenfelder eingliedern. Ziel ist auch, parallele Seminare zu vermeiden, man soll möglichst gemeinsam anstatt getrennt antreten. So soll das Forum für die Teilnehmer überschaubarer werden. Ob das Ziel erreicht wird, ist angesichts von Themenblöcken mit Mammut-Titeln wie \"Frieden und Demilitarisierung - der Kampf gegen Krieg, Freihandel und Schulden\", zumindest fraglich. Doch das Weltsozialforum ist eben keine zentral durchorganisierte Veranstaltung wie das Weltwirtschaftsforum in Davos, sondern ein mühsam austariertes Treffen zahlreicher Gruppen unterschiedlichster politischer Ausrichtung aus fünf Kontinenten. Dazu der Brasilianer Francisco Whitaker, er zählt zu den bekanntesten Mitglieder des Organisationskomitees, auf dem letzten Forum in Porto Alegre: \"Das Forum verdankt seine Mobilisierungskraft der Tatsache, dass es nicht von einer übergeordneten Leitung dirigiert wird.\" So sei es vielmehr eine horizontale Bewegung, in die jeder seine Ideen und Erfahrungen einbringen könne. \"Das schafft Platz für eine Multiplikation.\" Porto Alegre das Mekka der Linken Doch zumindest finanziell sieht es für die Zukunft weniger nach Multiplikation, sondern eher nach Subtraktion aus. Nachdem die regierende brasilianische Arbeiterpartei PT (Partido dos Trabalhadores) im vergangenen Jahr die Kommunalwahlen in Porto Alegre verloren hat, wird die Hilfe der Stadt für das Forum in Zukunft weniger großzügig ausfallen. In den 16 Jahren PT-Regierung hatte sich Porto Alegre zum Mekka der lateinamerikanischen Linken entwickelt. Einige der hier entwickelten Instrumente, wie Beteiligung der Bürger an der Planung des Haushalts, der so genannte partizipative Haushalt, sind weltbekannt geworden. Da passte das Weltsozialforum wunderbar dazu und mehrte den Bekanntheitsgrad Porto Alegres. Auch wenn sich bereits zahlreiche Städte aus dem brasilianischen Nordosten wie Salvador, Recife und Fortaleza für das Forum interessieren - zumindest in diesem Jahr wird es noch einmal am Geburtsort in Porto Alegre, der Hauptstadt des Bundesstaates Rio Grande do Sul, stattfinden. Während sechs Tagen werden sich etwa 100.000 Menschen in der südbrasilianischen Stadt treffen, um in Seminaren, Vorträgen und Demonstrationen nach Alternativen zur Globalisierung zu suchen.\nJohannes Beck Versenden Drucken Eine andere Welt ist möglich\nDas Weltsozialforum war weit mehr als ein Jahrmarkt der \"Gutmenschen\". Die Kritik an dem Treffen ist oft einseitig. Eine \"andere Welt\" ist keine Utopie. Gebraucht werden kreative Debatten, meint Thomas Bärthlein. (22.1.2004)\nDavos im Zeichen des Aufschwungs\nDer Kampf gegen den Terrorismus und die Erholung der Weltkonjunktur sind die Hauptthemen beim diesjährigen Weltwirtschaftsforum in Davos. Die Teilnehmer sind sich schon vorher einig: Man will wieder miteinander reden. (21.1.2004)\nDer Tonfall wird härter\nDas erste Mal findet das Weltsozialforum nicht im brasilianischen Porto Alegre, sondern im indischen Bombay statt. Das Treffen der Globalisierungskritiker ist inzwischen fast zu groß geworden. Wie verlief der Auftakt? (17.1.2004)\nDas Weltsozialforum\nDas Weltwirtschaftsforum\nIst das Weltsozialforum eine sinnvolle Veranstaltung? Schreiben Sie uns!",
"url": "http://www.dw-world.de/dw/article/0,1564,1468842,00.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20050206231924/http://www.dw-world.de/dw/article/0,1564,1468842,00.html"
},
{
"language": "de",
"title": "Weltsozialforum in Porto Alegre 2005",
"text": "www.worldsocialforum.org (int.) Sozialforum(d.) Porto Alegre 1 PA 2 G. Dilger zu Porto Alegre 2 PA 3 PA 5 Gerhard Dilger Site\nPRESSESCHAU\nTrotzige Zuversicht (29.01)\nDas Weltsozialforum in Porto Alegre ist ein gewaltiges\nweltanschauliches Biotop, aber in der Vielfalt liegt seine Stärke\nLula verändert »die Agenda von Davos« (28.01)\nBrasiliens Präsident auf dem Weltsozialforum in Porto Alegre umjubelt und umstritten.\nIm südbrasilianischen Porto Alegre wirbt Präsident Lula mit seiner »wagemutigen Außenpolitik«\nund fordert das Weltsozialforum auf, sich für die UNO-Millenniumsziele einzusetzen.\nEin »Basta!« den wahren Schuldnern (28.01)\nGroßdemonstration und Konzert zum Beginn des fünften Weltsozialforums in\nBrasilien folgen 2400 Veranstaltungen. »Davos No! Samba Sim!« Beifall für »Lula«\nLula will Antihungerkampagne globalisieren (28.01)\nDas Weltsozialforum muss sich für die UN-Millenniumsziele\neinsetzen, fordert der brasilianische Präsident\nNur frommes Predigen und barmherziges Klagen? (28.01)\nDas Weltsozialforum kehrt in seine Heimat zurück und wird von\nPräsident \"Lula\" da Silva Rechenschaft verlangen\nDas Weltgewissen als Supermacht (28.01)\nVon Porto Alegre geht ein Prozess der Improvisation aus, den\nniemand vorhersehen und schon gar nicht orchestrieren kann\nChávez erhöht den Einsatz (28.01)\nSahra Wagenknecht, Europa-Abgeordnete der PDS, über Porto Alegre und\nmehr Luft zum Atmen für Venezuelas \"Bolivarische Revolution\"\nMarsch der 120000 (26.01)\nMit einer Großdemonstration beginnt heute das Weltsozialforum in Brasilien.\nRekordbeteiligung erwartet. Zentrale Frage: Wie den US-Krieg stoppen?\nGlobalisierungskritiker bemühen sich um die Praxis (26.01)\nBeim Weltsozialforum soll weniger geklagt und mehr konstruktiv gearbeitet werden /\nStaatschefs Lula und Chávez polarisieren\nMehr als nur globales \"Labertreffen\" (26.01)\nUrsprünglich war das Weltsozialforum nur als Gegenveranstaltung zum\nWeltwirtschaftsforum in Davos, dem World Economic Forum, geplant. Inzwischen\nhat es ein auschweifendes Eigenleben entwickelt, das nach Ordnung verlangt.\n\"Alle sollten diesen Raum für ihre Vernetzung nutzen\" (25.01)\nFür João Pedro Stedile von der brasilianischen Landlosenbewegung MST ist das\nWeltsozialforum vor allem ein Raum für aktionsorientierten Austausch, nicht für Parteipolitik\nGegengipfel als Gipfeltreffen (25.01)\nDas Weltsozialforum 2005 soll an konkreten Aktionsformen arbeiten.\nAber schon das Programm gibt diesen Anspruch nur zum Teil wieder\nBetr.: Neue Armut ist ein Produkt der Globalisierung (25.01)\nHoch gesteckte Erwartungen, perplexe AktivistInnen (25.01)\nDie lateinamerikanische Linke hat dazugelernt: Weniger globalisierungskritische\nProminenz, dafür mehr inhaltliche Querverbindungen sollen die Veranstaltungen prägen\nDas Zauberwort heißt Teilhabe (25.01)\nDie Stadt Porto Alegre gilt als Symbol für gelebte Gerechtigkeit. Doch nach dem\nScheitern der Demokraten sucht das Sozialforum neue Austragungsorte\nLinke für Marktöffnung (25.01)\nIn Europa sieht die Basis ihre Stimme auf den Sozialforen schwinden.\nDer Streit mit den Funktionären spitzt sich zu\nDie Vielfalt der anderen Welten (25.01)\nAuch wenn Porto Alegre wieder zum Happening werden dürfte - der Bewegung\nstehen harte Diskussionen bevor. Noch einigt sie vor allem der Protest\nEine andere, eigene Geschichte (25.01)\nSo richtig ernst nahm im Mai 2000 im Berliner Mehringhof keiner der deutschen\nInternationalisten die Ankündigung von Antonio Martins: »Wir planen zum Beispiel für\nEnde Januar 2001 ein großes, globales Treffen in Porto Alegre, sozusagen ein\nAlternativ-Treffen zum Weltwirtschaftsforum in Davos«.\nLebendige Alternative (24.01)\nKampf gegen Hunger, Freihandel und Irak-Krieg: In Brasilien treffen\nsich in dieser Woche 120000 Aktivisten zum 5. Weltsozialforum\n»Lula ist nicht mehr der Star« (24.01)\nBrasiliens Präsident Inacio »Lula« da Silva wird zum 5. Weltsozialforum kommen,\ngefeiert wird er allerdings nicht mehr. Ein Gespräch mit Antônio Martins\nDas Ende der Parolen (24.01)\nVor dem Weltsozialforum haben Globalisierungskritiker eine Niederlage zu verkraften:\nHartz IV. Statt einfacher Antworten brauchen Attac & Co. Offenheit für schlaue Fragen\nDer Akteur hat’s schwer\nAm 26. Januar beginnt das fünfte Weltsozialforum in Porto Alegre.\nSolidarisch nähen\nFür die meisten Beschäftigten in Brasilien ist die Beteiligung an Kooperativen\neine ökonomische Notwendigkeit. Beim WSF ist die »solidarische Wirtschaft«\njedoch auch Thema politischer Debatten.\nVölker, hört die Signale!\nDie Themen in Porto Alegre\nDer gute Markt\nAttac denkt über eine »alternative Weltwirtschaft« nach. Das Modell\nläuft auf einen Aufguss gescheiterter Konzepte hinaus.\nPolitik mit dem Einkaufskorb\nWandel durch fairen Handel?",
"url": "http://www.ila-bonn.de/portoalegre/portoalegre5.htm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20050219093329/http://ila-bonn.de/portoalegre/portoalegre5.htm"
}
] |
en | Doctors who treated John Ritter cleared of negligence lawsuit |
John Ritter in 1998
Two doctors who treated actor John Ritter for chest pain in Burbank, California were cleared of a negligence lawsuit on Friday. Ritter was an American television and film actor who died of aortic dissection on 11 September 2003.
Ritter's children and widow (Amy Yasbeck) filed a US$67 million lawsuit claiming negligence by the doctors, both at the time Ritter fell ill and at a medical checkup two years earlier where problems with Ritter's aorta could have been spotted.
A jury hearing the case at Los Angeles County Superior Court voted 9-3 to dismiss the claims, satisfied that the defendants, Dr. Joseph Lee and Dr. Matthew Lotysch, acted properly during their examination and treatment of Ritter.
Ritter's last role was in leading the cast of the television series ''8 Simple Rules for Dating My Teenage Daughter'' whose production was disrupted by his death.
| [
"Crime and law",
"Health",
"United States",
"California",
"Culture and entertainment"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Sign Up",
"text": "Please Register or Log In\nThe story you requested is available only to registered members\nRegistration is FREE and offers great benefits.\nPlease be aware that your browser must accept cookies in order to successfully login, so that we can identify your account.You may also need to adjust your firewall or browser security to login.",
"url": "http://www.latimes.com/news/printedition/california/la-me-ritter15mar15,1,5014447.story",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080318185309/http://www.latimes.com/services/site/premium/access-registered.intercept"
},
{
"language": "en",
"title": "Doctors cleared in actor Ritter's death",
"text": "GLENDALE, California (AP) -- A jury cleared a cardiologist and a radiologist Friday of negligence in the diagnosis and treatment of actor John Ritter, who died of a torn aorta in 2003.\nJohn Ritter was 54 when he collapsed on the set of his TV show and died at a hosptial.\nJurors said the majority believed the cardiologist summoned to the hospital after Ritter was diagnosed with a heart attack had no time to order a chest X-ray that might have found the tear.\nThey also said the radiologist, who gave Ritter a body scan two years earlier, did advise Ritter of coronary problems and to consult other doctors, but his failure to do so did not cause his death.\nThe 9-3 verdict means there is no damage judgment against the doctors, neither of whom were present when the jury reached a decision in the wrongful death lawsuit brought by Ritter's widow and children.\nVerdicts do not have to be unanimous in civil cases.\n\"I disagree with the jury's decision but I believe in the system and I respect it,\" said the widow, Amy Yasbeck. \"It inspires me even more to find, with these brilliant medical minds, a path to diagnose aortic diseases.\"\nYasbeck said she has started a foundation in her husband's name to work on the condition.\nLawyers for Ritter's family claimed Ritter's death resulted in a loss of as much as $67 million in future earnings. Eight other medical personnel and Providence St. Joseph Medical Center previously made settlements with the family totaling $14 million.\nNeither doctor was present for the verdict, which was reached on the second day of deliberations and was read quickly. Attorneys said Dr. Matthew Lotysch, the radiologist, and Dr. Joseph Lee, the cardiologist, were at work.\nAttorney Stephen C. Fraser, who represented Lotysch, credited jurors with being sophisticated and intelligent.\n\"The system worked and we're very, very happy that they did the right thing,\" Fraser said.\nDefense testimony characterized the aortic dissection as lethal and contended that even with surgery the outcome would have been the same. Learn more about aortic dissections »\nWhen he died on September 11, 2003, Ritter was starring in the TV show \"8 Simple Rules ... for Dating My Teenage Daughter.\" He was 54.\nDuring the trial, attorneys for the families sought to show that Lee rushed to a faulty diagnosis and failed to have a chest X-ray taken that would have revealed the torn aorta, resulting in surgery that would have saved him.\nTestimony showed that an X-ray was ordered as soon as Ritter arrived at the emergency room but for unknown reasons it was never done. Lee was called in later in the evening after Ritter was already diagnosed with a heart attack.\nDefense testimony characterized the aortic dissection as lethal and contended that even with surgery the outcome would have been the same.\nLotysch testified he told Ritter he had calcification in three coronary arteries and should consult other doctors. But in a related finding, the jury decided that Ritter's failure to pursue that medical consultation was not a cause of his death. E-mail to a friend\nCopyright 2008 The Associated Press. All rights reserved.This material may not be published, broadcast, rewritten, or redistributed.\nAll About John Ritter",
"url": "http://www.cnn.com/2008/CRIME/03/14/ritter.trial.ap/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080317182752/http://www.cnn.com/2008/CRIME/03/14/ritter.trial.ap/"
},
{
"language": "en",
"title": "2 Doctors Cleared in John Ritter's Death",
"text": "Actor John Ritter is shown at the 29th Annual People's Choice Awards in this, Jan. 12, 2003, file photo in Pasadena, Calif. A California jury on has cleared a cardiologist and a radiologist of negligence in the diagnosis and treatment of actor John Ritter, Friday, March 14, 2008. The 9-3 verdict in the lawsuit brought by Ritter's widow and children resulted in no damage judgments against the doctors. Verdicts do not have to be unanimous in civil cases. (AP Photo/Mark J. Terrill, file)\n2 Doctors Cleared in John Ritter's Death\nGLENDALE, Calif. (AP) — Two doctors were not negligent in the diagnosis and treatment of John Ritter, who died from a torn aorta in 2003, a jury found Friday in a wrongful death lawsuit by the actor's widow and children.\nThe lawsuit claimed that a radiologist failed to spot a purported enlargement of the aorta in a body scan conducted two years before Ritter's death and that there was malpractice by the cardiologist summoned to treat the actor at Providence St. Joseph Medical Center, where he was diagnosed with a heart attack.\nThe jury voted 9-3 to clear Dr. Joseph Lee, the cardiologist, and Dr. Matthew Lotysch, the radiologist, of the negligence claims. Neither doctor was present for the verdict, which was reached on the second day of deliberations and was read quickly. Attorneys said the doctors were at work.\n\"We felt very strongly that neither Dr. Lotysch nor Dr. Lee did anything wrong in this case,\" said jury forewoman Adriana Goad, a human resources manager for a mortgage company. She said talks were often heated but the majority was adamant that \"we don't believe his life could have been saved.\"\nRitter was 54 when he became ill while working on his hit sitcom \"8 Simple Rules ... for Dating My Teenage Daughter\" and was taken to the hospital on Sept. 11, 2003.\nLawyers for Ritter's widow, Amy Yasbeck, and children claimed Ritter's death resulted in a loss of as much as $67 million in future earnings. Attorneys said Friday that because Ritter would have had expenses such as paying an agent and staff, they were actually seeking about $43 million in damages for the family.\nEight other medical personnel and the hospital previously made settlements with the family totaling $14 million.\n\"I disagree with the jury's decision but I believe in the system and I respect it,\" Yasbeck said.\nYasbeck said she believes that bringing the lawsuit has drawn attention to aortic diseases and the fact that \"mistakes like this are made every day.\"\n\"It inspires me even more to find, with these brilliant medical minds, a path to diagnose aortic diseases,\" Yasbeck said. She said she has started a foundation in her husband's name to work in that area.\nDuring the trial, the plaintiffs' attorneys sought to show that Lee rushed to a faulty diagnosis and failed to have a chest X-ray taken that would have revealed the torn aorta, resulting in surgery that would have saved him.\nTestimony showed that an X-ray was ordered as soon as Ritter arrived at the emergency room but for unknown reasons it was never done. Lee was called in later in the evening after Ritter was already diagnosed with a heart attack.\nDefense testimony characterized the aortic dissection as lethal and contended that even with surgery the outcome would have been the same.\n\"We all came into this trial liking John Ritter,\" said Goad, the forewoman. \"We all fell in love with John Ritter and his family during the trial. What an amazing man.\"\nBut she said the deciding factor was the timeline that showed Lee arriving after others had declared Ritter was having a heart attack, and she said the majority was convinced that the doctor had no spare time to take an X-ray and had to act quickly to try to save the actor's life.\nJuror Bill Boller, a former paramedic, said that when Lee arrived Ritter's \"vital signs were already dipping. He had to make a quick decision. He had no time.\"\nThe decision on Lotysch was so clear it took only 15 minutes, said juror Ann Sood.\n\"My heart cries out for John's family,\" she said. \"But two doctors' lives were at stake here, too.\"\nAttorney Stephen C. Fraser, who represented Lotysch, credited jurors with being sophisticated and intelligent.\n\"The system worked and we're very, very happy that they did the right thing,\" Fraser said.\nAmong the jury's findings was that Ritter was advised by the radiologist after the body scan to follow up with treatment by a physician and that the actor did not do so.\nThe radiologist testified he advised Ritter he had calcification in three coronary arteries and should consult other doctors. But the jury also found that Ritter's failure to pursue that medical consultation was not a cause of his death.\nA dissenting juror who refused to be identified said she tried to convince others to find the doctors negligent.\nShe said she was impressed with the testimony of Ritter's widow and adult children, calling it \"very poignant.\"\n\"What impressed me was very strong testimony that the doctors missed the diagnosis. I felt they should take responsibility.\"\nFraser said the doctors would have been bankrupted by a verdict of just a few million dollars in damages and he was proud of them for fighting the lawsuit.\n\"They were the only doctors with the courage to stand up and come to court in a celebrity case,\" he said.",
"url": "http://ap.google.com/article/ALeqM5gmv6HnJJPBee2gWgEYResT5m6YkAD8VDGKUO0",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080319061349/http://ap.google.com/article/ALeqM5gmv6HnJJPBee2gWgEYResT5m6YkAD8VDGKUO0"
},
{
"language": "en",
"title": "Jury Clears Ritter Doctors",
"text": "John Ritter's tragic death cannot be blamed on a pair of doctors.\nSo a jury essentially decided Friday in rejecting a wrongful death claim made by the Ritter family.\nThe split, 9-3 verdict in the civil trial in Glendale, California, came after a day or so of deliberations, and weeks of testimony frequently marked by tears from Ritter's famous coworkers, friends and his widow, actress Amy Yasbeck.\n\"We are still convinced these doctors did something inappropriate, but the jury system worked,\" said Michael Plonsker, an attorney from the Ritters.\nAt issue in the $67 million lawsuit, brought by Yasbeck and Ritter's four children, was whether a radiologist, Dr. Matthew Lotysch, was negligent in a body scan he performed on Ritter in 2001, and whether a cardiologist, Dr. Joseph Lee, was negligent in care he provided for Ritter on the night he died in 2003.\nThe jury found that in the case of Lotysch, the radiologist did his duty, detecting signs of heart disease and advising Ritter to follow up with a doctor.\nThe Ritters had alleged the radiologist failed to detect an enlarged aorta. On the stand, Lotysch said there was nothing to detect—the scan didn't show Ritter had one.\nRitter, the amiable, prime-time fixture of Three's Company and much more, died of a torn aorta at Providence Saint Joseph Medical Center in Burbank, California, on Sept. 11, 2003, just hours after falling ill across the street on the set of his sitcom, 8 Simple Rules for Dating My Teenage Daughter. He was 54.\nIn closing arguments Wednesday, Moses Lebovits, another attorney for the Ritters, summed up the case as being about \"the reality that John Ritter did not have to die.\"\nLee's side countered that there was nothing the cardiologist, or anyone, could have done to prevent Ritter's death.\nThe Ritter family had targeted Lee for allegedly mistreating Ritter for a heart attack. Lee's attorney, John McCurdy, argued that by the time the cardiologist came into the picture, the diagnosis had already been made, and Ritter was already \"crashing.\"\nThe trial, which began last month, featured several witnesses whose faces would have been familiar to channel surfers, including Happy Days alum Henry Winkler, who was on Ritter's set the day the actor died; Married...With Children vet Katey Sagal, who played Ritter's wife on 8 Simple Rules...; former Joan of Arcadia star Jason Ritter, who is Ritter's eldest child; and Yasbeck herself, who costarred with Ritter in the Problem Child movies.\nThe Ritter family previously won $14 million in settlements stemming from Ritter's death, including $9 million from Providence Saint Joseph.\nThe $67 million claim centered on the Ritters' contention that the doctors' missteps had deprived a family of a central loved one and a top wage earner. On the stand, Ritter's agent, Jessica Pilch-Samuel, said the actor was headed for an 8 Simple Rules... payday of at least $350,000 per episode.",
"url": "http://www.eonline.com/news/article/index.jsp?uuid=8f8550e0-9024-43e0-8e82-d2ee012f0486",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20080317194939/http://www.eonline.com/news/article/index.jsp?uuid=8f8550e0-9024-43e0-8e82-d2ee012f0486"
}
] |
de | „Herz von St. Pauli“ gestorben |
Er zählte zu den Initiatoren des Bettlermarschs und zu den Mitbegründern des „CaFée mit Herz“ im Hamburger Stadteil St. Pauli, das für Obdachlose im ehemaligen Hafenkrankenhaus eingerichtet wurde. Zuvor half Holger Hanisch, die Initiative „Ein Stadtteil steht auf“ zu gründen. Diese setzt sich für den Erhalt des Hafenkrankenhauses ein und erreichte schließlich, dass dort ein Sozial- und Gesundheitszentrum entstand.
Holger Hanisch war zudem Mietervertreter und bei Philips als Betriebsrat aktiv. Aus Protest gegen geplanten Sozialabbau kündigte Hanisch bei Philips. Als Schwulenaktivist gründet er die Demokratische Schwulen-Initiative, um die DKP von ihrem schwulenfeindlichen Kurs abzubringen.
Am 16. Oktober 2006 starb Holger Hanisch im Alter von 56 Jahren an Leukämie. Die offizielle Trauerfeier findet am heutigen Freitag um 17:00 Uhr in der St.-Pauli-Kirche statt.
| [
"Verstorben 2006",
"Veröffentlicht"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Das Herz von St. Pauli",
"text": "Erwerben Sie Eigentum an der tageszeitung. Über 7000 Mitglieder sichern mit ihren Einlagen die publizistische und ökonomische Unabhängigkeit der taz. Bereits ab 500 Euro können Sie taz GenossIn werden.\nDas Herz von St. Pauli\nSein Leben lang kämpfte er für Gerechtigkeit: Holger Hanisch war treibende Kraft des Obdachlosen-Cafés im ehemaligen Hafenkrankenhaus. Mietervertreter und Schwulen-Aktivist. Ein Nachruf\nVON GERNOT KNÖDLER\nOhne sein Engagement würde es das \"CaFée mit Herz\" nicht geben. Holger Hanisch war die zentrale Figur der Obdachlosen-Tagesstätte im ehemaligen Hafenkrankenhaus: Motor, Organisator, Spendensammler, PR-Fachmann und Lobbyist. Am Montag ist er 56-jährig gestorben.\nAnzeige\nHolger Hanisch, wie ihn diejenigen kannten, die in St. Pauli ausgehen, war der Mann mit der Sammelbüchse. Hager und grauhaarig, eine Ledermütze auf dem Kopf, tourte er für das Café durch die Bars und Kneipen. Nicht aufdringlich, aber mit großem Ernst forderte er Hilfe für Arme, Obdachlose und Einsame.\nSchon als Kind hat Hanisch gelernt, wie bitter das Leben sein kann: Nach dem Tod seines Vaters gab ihn seine Mutter als Zweijährigen in ein Heim. Sein Stiefvater ließ ihn zurückholen. Doch die Familie war arm. Der kriegsversehrte Stiefvater sammelte auf den Wochenmärkten weggeworfenes Obst und Gemüse. Vater, Mutter und fünf Kinder hausten in einer 60-Quadratmeter-Wohnung im Karoviertel. Der Junge schleppte bereits mit zwölf Jahren Bananenkisten.\nMit 17 Jahren zog Holger in ein Jugendwohnheim. Eine Gärtnerlehre brach er ab, um bei der Diakonie Pflegehelfer zu werden. Doch die christliche Einrichtung enttäuschte ihn. Die Art, wie die Alten behandelt wurden und dass man keine Zeit hatte, sich um sie zu kümmern, offenbarte für ihn einen inakzeptablen Widerspruch zwischen Wort und Tat.\nEr wurde Telegrammbote der Post und wechselte schließlich zu Philips, wo er 20 Jahre lang im Betriebsrat mitarbeitete. 1996 legte er sein Mandat zusammen mit sechs Kollegen nieder. \"Das, was wir vorher erreicht hatten an Zugeständnissen, sollte alles zunichte gemacht werden\", erinnerte er sich einmal im Gespräch der taz. \"Wir hätten uns nicht mehr im Spiegel ansehen können.\" Hanisch kündigte. Er war frei für das CaFée mit Herz.\nEigentlich hatte er mit seiner Abfindung ein Café für Bedürftige in der Hafenstraße eröffnen wollen. Da kam die Schließung des Hafenkrankenhauses dazwischen. Hanisch half, die Initiative \"Ein Stadtteil steht auf\" zu gründen, die das Krankenhaus erhalten wollte und erreichte, dass dort ein Sozial- und Gesundheitszentrum entstand.\nNachdem im Herbst 1998 ein Obdachloser erfroren war, eröffnete er sein Café in der ehemaligen Station D. Gegen alle Widerstände erkämpften er und seine Mitstreiter der Tagesstätte einen festen Platz. Weder plötzliche Mieterhöhungen, noch der Unwille der Bezirksversammlung Mitte konnten sie stoppen.\nEs zeigte sich, dass sich Hanisch mit seinem Kampf für die Gerechtigkeit nicht nur Freunde machte. Manch einem Politiker oder Funktionär ging er mit Hilfe der Öffentlichkeit auf die Nerven. Kein Senat hat es gern, wenn ihm jeden Herbst mit einem Bettlermarsch aufs Butterbrot geschmiert wird, was sozialpolitisch im Argen liegt.\nDenn Hanisch verband das karitative mit dem politischen Engagement. Ende der 70er Jahre gründete er eine Mieter-Initiative. Um mehr bewegen zu können, trat er der DKP bei. Damals tingelte er mit der Parteizeitung wie später mit der Sammelbüchse. Hanisch gründete die Demokratische Schwulen-Initiative, um die DKP von ihrem schwulenfeindlichen Kurs abzubringen. 1998 half er, die Kurverwaltung St. Pauli ins Leben zu rufen, die gegen eine Spende Rabatte bei Kiez-Einrichtungen gewährt.\nSein CaFée mit Herz wird bleiben. \"Wir hatten eine lange Zeit, uns darauf vorzubereiten, wie es weitergeht\", sagt die jetzige Geschäftsführerin Margot Wolf. Schon seit Anfang des Jahres habe Holger Hanisch nur noch ab und zu im Café helfen können. Am Montag sei er im Hospiz Leuchtfeuer \"ganz friedlich\" gestorben. \"Wir machen in seinem Sinne weiter\", verspricht Wolf.\nTrauerfeier am Freitag um 17 Uhr in der St. Pauli-Kirche am Pinnasberg. Ab 16 Uhr stiller Abschied, ab 18 Uhr Umtrunk im Silbersack. Statt Blumen bitte Spenden ans CaFée mit Herz, Haspa-Konto 1206134304, BLZ 20050550.\ntaz Nord vom 18.10.2006, S. 24, 130 Z. (Portrait), GERNOT KNÖDLER\nDruckversion\nMehr zum Thema finden Sie im taz-Archiv (seit 1986)",
"url": "http://www.taz.de/pt/2006/10/18/a0274.1/text",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070329214520/http://www.taz.de/pt/2006/10/18/a0274.1/text"
},
{
"language": "de",
"title": "\"CaFée mit Herz\"-Gründer ist tot",
"text": "Trauer Holger Hanisch (56) verliert Kampf gegen den Krebs\n\"CaFée mit Herz\"-Gründer ist tot\nDer Krebs war stärker: Holger Hanisch ist im Alter von 56 Jahren gestorben. Der Gründer und Geschäftsführer vom CaFée mit Herz hat am Montag seinen Kampf gegen die Leukämie verloren. Er galt als Herz und Motor der Hilfseinrichtung für Arme und Obdachlose auf St. Pauli. Gegen 11 Uhr hörte sein Herz auf zu schlagen. \"Er ist friedlich eingeschlafen. Pfleger waren bei ihm\", sagt Sandra Schulz vom CaFee mit Herz. Die vergangenen Tage hatte er nur noch im Dämmerzustand im Krankenbett im Hospiz Leuchtfeuer verbracht. Wegen der Schmerzen erhielt er Morphium.\n-Anzeige-\nMehr als sechs Jahre lang hat Hanisch mit seiner Einrichtung im Keller des ehemaligen Hafenkrankenhauses täglich rund 100 Menschen mit Essen, Trinken und Kleidung versorgt. Noch im vergangenen Jahr lief er jede Woche mit der Spendendose über den Kiez, um für seine Schützlinge zu sammeln. Auch als er längst im Krankenhaus lag, schienen seine Gedanken nur um das CaFee mit Herz zu kreisen. \"Wie viele Spenden hätte ich wohl dieses Jahr zusammenbekommen?\", hatte er im Abendblatt gefragt.\nDie offizielle Trauerfeier für Holger Hanisch ist am Freitag um 17 Uhr in der St.-Pauli-Kirche, Pinnasberg 80. In seinem Sinn bittet der Vorstand vom CaFee mit Herz Freunde und Weggenossen, Mitglieder und Förderer zu einem Abschiedstrunk ab 18 Uhr im Silbersack, Silbersackstraße 9. Eine Station, die Holger Hanisch bei seinen Sammelaktionen nie ausgelassen hat. Einer seiner letzten Wünsche war es, keine Blumen zur Trauerfeier mitzubringen, sondern seiner lieber mit einer Spende für das CaFee mit Herz zu gedenken (Haspa-Konto 1206/134304, BLZ 200 505 50).\nerschienen am 18. Oktober 2006\n-Anzeige-",
"url": "http://www.abendblatt.de/daten/2006/10/18/625946.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20061104140244/http://www.abendblatt.de/daten/2006/10/18/625946.html"
},
{
"language": "de",
"title": "CaFee mit Herz",
"text": "Home Willkommen beim CAFÉE mit Herz CAFÉE mit Herz\nSeewartenstr. 10\n20459 Hamburg\nTel.: 040 / 31 79 02 61\nBankverbindung:\nHamburger Sparkasse BLZ: 200 505 50, Kto. 1206 134304 Das CAFÉE mit Herz ist ein Treffpunkt auf dem Gelände des ehemaligen Hafenkrankenhauses in Hamburg/St. Pauli, das den armen, arbeits- und obdachlosen Menschen des Stadtteils als tägliche Anlaufstelle und sozialer Hafen dient. weiter... Öffnungszeiten: täglich von 7.00-10.00 Uhr und 14.00-18.00 Uhr\nOper für Obdach Am 12. Oktober 2007 präsentieren wir unsere Benefiz-Veranstaltung \"Oper für Obdach - Schubert's Winterreise\" in der Laeizhalle in Hamburg. Nähere Informationen finden Sie in unserem Pressebereich. weiter...\nWir haben die Oper für Obdach nach Hamburg geholt, um - wie es die Frankfurter Allgemeine Zeitung beschreibt - \"auf die Inhalte zu lenken, deren Aktualität oft brennend erfahren wird.\" Erleben Sie u.a. Christopf von Weitzel (Bariton), Christoph Ullrich (Klavier) und Hugo Scholter (Regie).\nZeitpatenschaften Schenken Sie Menschen, die auf Hilfe angewiesen sind, eine Zeitpatenschaft. Eine Stunde, einen Tag, eine Woche oder einen Monat! weiter...\nForum & Gästebuch Seit dem 08. September 2007 gibt es das Forum des CAFÉE mit Herz, wo jeder Besucher unserer Homepage Beiträge lesen, verfassen und an aktuellen Umfragen mitwirken kann. Besuchen Sie unser Forum hier...\nTeilen SIe uns Ihre Meinung in unserem Gästebuch mit! weiter...\nFörderer Lesen Sie hier, welche Firmen das CAFÉE mit Herz fördern. weiter...\nNewsletter Um monatlich die aktuellen Informationen des Cafee Mit Herz zu erhalten, melden Sie sich einfach für unseren Newsletter an. Ihre Daten werden selbstverständlich vertraulich behandelt und nicht an Dritte weitergegeben. Zum Abmelden aus dem Newsletter, tragen Sie bitte Ihren Namen und die bei uns registrierte e-mail Adresse ein, wählen Sie \"Entfernen\" und bestätigen Sie die Eingaben mit \"Senden\". Name: E-mail:\nHinzufügen | Entfernen\nBesucher dieser Website bisher:\nzurück",
"url": "http://www.cafeemitherz.de/redesign/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20071012101756/http://www.cafeemitherz.de/redesign/"
}
] |
es | El papa Francisco recibe al presidente uruguayo José Mujica |
, presidente de
El recibió ayer al presidente de en una audiencia privada. La reunión se concretó en el y duró 45 minutos, tratándose de uno de los encuentros privados más largos que hasta ahora ha mantenido Francisco con un mandatario.
"Le transmití algunas preocupaciones, algunas conocidas, como lo que está pasando en Colombia, que yo le doy una importancia de carácter trascendente. Y cuando digo lo que está pasando en , es el proceso de negociación que se está llevando a cabo", indicó Mujica, que además informó que le pidió por otra iniciativa de paz, sin precisar de dónde provino.
El presidente uruguayo agregó que su visita al papa también fue en atención a la presencia de la religión en la región. "Tomamos la decisión de venir a hablar fundamentalmente por nuestra manera de pensar y lo importante para América Latina que es la tradición cristiana", señaló.
Durante el encuentro, Mujica reconoció la labor de los distintos sacerdotes en América Latina y sostuvo que "dieron su vida por la igualdad y libertad". Tras el encuentro, Francisco dijo estar "muy contento por haberse reunido con un hombre sabio", según informó el portavoz de la Santa Sede, Federico Lombardi.
Consultado sobre si le había pedido algo en particular para Uruguay, Mujica respondió que él pasa el sombrero por todas partes y sobre el tema de la pobreza indicó que cuando se llega a las franjas más duras de esta ya no hay un problema meramente económico sino que hay que hacer algo más.
"Hay que ponerle calor militante, de compromiso. Yo le pido a esta Iglesia, y a todas, que traten de echar una mano militante, no solo en cuestión de recursos económicos. Hay que poner otros tipos de recursos", explicó el presidente. Y concluyó: "Francisco es un papa singular para los que somos del . Es como hablar con un amigo del barrio. Es un papa que yo creo que, si lo dejan, se va a poner a hacer una revolución en el seno de la Iglesia, hacia la sencillez".
El Vaticano calificó al encuentro de cordial, en el que intercambiaron informaciones y reflexiones sobre la situación sociopolítica del país y sobre el papel de la religión. Señaló que afrontaron temas de común interés, como el desarrollo integral de la persona, el respeto de los derechos humanos, la justicia y la paz social.
Además agregó que "se destacó la relevante contribución de la en el debate público sobre tales cuestiones, además en la paz internacional, como también su servicio a toda la sociedad, especialmente en el ámbito de la asistencia y la educación".
=== Regalos ===
Antes de comenzar la audiencia, Mujica y Francisco recordaron a un amigo en común ya fallecido, el escritor uruguayo . "Nos abrió la mente", señaló el presidente, mientras que el sumo pontífice expresó: "Nos ayudó a pensar".
El mandatario uruguayo le regaló al papa una composición con tres estatuillas al estilo de los gauchos y un libro del propio Alberto Methol Ferré y de Alver Metalli, ''La América Latina en el siglo XXI''. Por su parte, Francisco le entregó una copia del documento con las conclusiones de la Asamblea de Obispos Latinoamericanos de Aparecida ().
El papa le obsequió además un cuadro con los primeros planos de la , a lo que el mandatario respondió entre risas: "Es un problema, ahí hay un periodista que conoce mi casa y sabe que mucho lugar no tengo".
| [
"Política",
"Religión",
"Uruguay",
"Sudamérica",
"Vaticano",
"Europa",
"Iglesia católica",
"Cristianismo",
"Sociedad",
"José Mujica",
"Francisco"
] | [
{
"language": "es",
"title": "Mujica se reunió con el papa Francisco y le pidió por la paz en Colombia",
"text": "Vaticano\nMujica, que es izquierdista y no creyente declarado, visitó por primera vez el Vaticano para esta entrevista con el papa argentino, a quien calificó como \"un hombre austero\", al hablar con la prensa tras la audiencia papal.\"Le transmití algunas preocupaciones, algunas conocidas, como lo que está pasando en Colombia, que yo le doy una importancia de carácter trascendente. Y cuando digo lo que está pasando en Colombia es el proceso de negociación que se está llevando a cabo\", indicó Mujica.El mandatario informó que además le pidió al Papa por otra iniciativa de paz, porque \"me pidieron en otra parte algo parecido\", pero no precisó de dónde provino ese segundo pedido.También \"le transmití que le pido a la Iglesia que trate de dar una mano militante para luchar contra la pobreza\", dijo Mujica a Télam.En el mismo tono cordial usado por el mandatario uruguayo, el vocero vaticano, Federico Lombardi, dijo tras la audiencia que Jorge Bergoglio comentó que estaba \"contento de haber encontrado a un hombre sabio\".El presidente uruguayo destacó que su visita al Papa también fue en atención a la \"presencia\" de la religión en la región. \"Tomamos la decisión de venir a hablar fundamentalmente por nuestra manera de pensar y lo importante para América Latina que es la tradición cristiana\", señaló.En esa línea, destacó que junto al castellano, \"la otra institución común a toda América es la Iglesia Católica\".El encuentro duró aproximadamente 44 minutos, durante los cuales el mandatario reconoció la labor de los distintos sacerdotes que en América Latina \"dieron su vida por la igualdad y libertad\".Esta afirmación de Mujica marcó una sintonía con la decisión del dirio vaticano Ossevattore Romano de dedicarle un amplio espacio en su edición de hoy al obispo salvadoreño Oscar Arnulfo Romero, asesinado en 1980 por la dictadura de su país (ver recuadro).Con la bandera uruguaya flameando en el Patio del Vaticano en medio de la lluvia que cubría esta mañana Roma y alrededores, el encuentro entre ambos jefe de Estado comenzó en tono cordial.\"Gracias por venir a saludarme\", dijo con calidez el Papa Francisco al salir a recibir a la antesala de su biblioteca a Mujica, que había salido temprano desde Madrid para llegar a la entrevista a las 11 en punto.Ambos gobernantes dedicaron este primer encuentro a \"ese amigo en común\", como definieron a Alberto Methol Ferré, el fallecido filósofo y teólogo uruguayo que asesoró al general Liber Seregni en la fundación del Frente Amplio. \"Nos ayudó a pensar\", dijo Francisco. \"Nos abrió la cabeza\", agregó Mujica, fiel a su estilo.A la hora de los regalos, luego de los rosarios bendecidos que se llevaron los miembros de la comitiva oficial uruguaya e incluso los periodistas que la acompañaban, Mujica donó una composición con tres estatuitas de gauchos y un libro de Alberto Methol Ferré titulado \"La América latina en el siglo XXI\".El Papa Francisco le entregó a su vez una copia del documento conclusivo de la asamblea de los obispos latinoamericano de Aparecida. \"Puedes ver el índice, dijo el pontífice, y controlar los temas que te interesan\".El Papa le obsequió además un cuadro con los primeros planos de la Plaza de San Pedro, pero el regalo, es demasiado grande para la pequeña casa del mandatario. \"Es un problema, ahí hay un periodista que conoce mi casa y sabe que mucho lugar no tengo\", dijo entre risas.",
"url": "http://www.telam.com.ar/notas/201306/19651-mujica-le-pidio-al-papa-por-la-paz-en-colombia-y-una-mano-militante-en-la-iglesia.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20130608035232/http://www.telam.com.ar/notas/201306/19651-mujica-le-pidio-al-papa-por-la-paz-en-colombia-y-una-mano-militante-en-la-iglesia.html"
},
{
"language": "es",
"title": "Mujica, sobre el Papa:",
"text": "Normas de confidencialidad / privacidad\nClarín.com se compromete a adoptar una política de confidencialidad, con el objeto de proteger la privacidad de la información personal obtenida a través de sus servicios online.\nLas Normas de Confidencialidad que a continuación se detallan pueden tener cambios futuros, con lo cual se aconseja revisarlas periódicamente.\nA continuación se desarrollarán los siguientes términos:\nTipo de información que se obtiene.\nEstá bajo las normas de confidencialidad / privacidad toda aquella información personal que el usuario ingresa voluntariamente a nuestra red durante la inscripción al servicio y en otras ocasiones como en los concursos, las compras, etc. ésta incluye, pero no es limitativo, nombre, apellido, dirección, número de teléfono, correo electrónico, sexo, edad, nivel educacional. El usuario puede modificar o actualizar esta información en cualquier momento.\nFinalidad que se le dará a la información.\nLos datos personales contenidos en la información confidencial, son utilizados para proveerle al usuario un servicio personalizado y acorde a sus necesidades, en su caso, ofreciendo publicidad selectiva o contenidos que puedan llegar a serle de interés, si es que el usuario indicó recibirlos.\nQué son los Cookies.\nLos Cookies son pequeñas piezas de información transferidas por el sitio Web desde el disco duro de la computadora del usuario, que graban sus datos personales cuando se conecta al servicio de Clarín.com y se modifican al abandonar el servicio. Los cookies son anónimos.\nEl acceso a la información por medio de los cookies, permite ofrecer al usuario un servicio personalizado, ya que almacenan no sólo sus datos personales sino también la frecuencia de utilización del servicio y las secciones de la red visitadas, reflejando así sus hábitos y preferencias.\nAceptar los cookies es requisito para poder recibir y/o utilizar nuestro servicio.\nLas redes publicitarias que insertan avisos en nuestras páginas pueden también utilizar sus propios cookies.\nConfidencialidad de la Información.\nClarín.com no compartirá la información confidencial con ninguno de los socios o co-propietarios excepto que tenga expresa autorización de quienes se suscribieron, o cuando ha sido requerido por orden judicial o legal, o para proteger los derechos de propiedad u otros derechos de Clarín.com.\nClarín.com no vende ni alquila la información de los usuarios. Si los datos personales del usuario debieran ser compartidos con socios comerciales o patrocinantes, el usuario será notificado antes que éstos sean recogidos o transferidos. Si no desea que sus datos sean compartidos, puede decidir no utilizar un servicio determinado o no participar en algunas promociones o concursos.\nModificación / actualización de la información personal.\nLos datos personales proporcionados por el usuario formarán parte de un archivo que contendrá su perfil. Accediendo al mismo, el usuario puede modificarlos / actualizarlos en cualquier momento.\nClarín.com aconseja al usuario que actualice sus datos cada vez que éstos sufran alguna modificación, ya que esto permitirá brindarle un servicio más personalizado.\nProtección de la Información Personal.\nLa información proporcionada por el usuario, está asegurada por una clave de acceso a la cual sólo el usuario podrá acceder y de la cual sólo él tiene conocimiento. Clarín.com no intentará por ningún medio obtener esa clave personal.\nDebido a que ninguna transmisión por Internet puede garantizar su íntegra seguridad, Clarín.com no puede garantizar que la información transmitida utilizando su servicio sea completamente segura, con lo cual el usuario asume este riesgo que declara conocer y aceptar.\nEl usuario es el único responsable de mantener en secreto su clave y la información de su cuenta. Para disminuir los riesgos Clarín.com recomienda al usuario salir de su cuenta y cerrar la ventana de su navegador cuando finalice su actividad, más aún si comparte su computadora con alguien o utiliza una computadora en un lugar público como una biblioteca o un c afé Internet.\nConfidencialidad de los Menores.\nLa salvaguarda de la información personal infantil es extremadamente importante. Clarín.com recauda el mínimo indispensable de esa información necesaria para brindar su servicios.\nClarín.com no solicita información de identificación personal a los menores. Los menores siempre deben solicitar permiso a sus padres antes de enviar información personal a otro usuario online.\nContenidos\nClarín.com no será responsable por los contenidos y/o la información provista a través del portal de \"Guía Clarín.com\" y de \"Guía de Hoteles Clarín.com\". Clarín.com no será responsable por ningún tipo de reclamo vinculado a la autenticidad y/o veracidad de los datos consignados en los mismos ya que éstos son contratados por terceros para su exhibición en dichos portales.\nMaterial de Associated Press (AP).\nEl Material de AP incluido en Clarín.com se encuentra protegido por Derechos de autor. Prohibida su publicación, radiodifusión, reedición para radiodifusión o publicación y su redistribución directa o indirecta por cualquier medio. Prohibido su almacenamiento total o parcial en computadoras, excepto para uso personal y sin fines comerciales. AP no asume responsabilidad alguna por toda demora, inexactitud, error u omisión en el mismo o en la transmisión o entrega de la totalidad o parte del mismo, ni por los daños emergentes de tales circunstancias.\nInformación bursátil.\nBolsar es un servicio de la Bolsa de Comercio de Buenos Aires. Prohibida su retransmisión total o parcial por cualquier medio.\nAceptación de los términos.\nEsta declaración de Confidencialidad / privacidad está sujeta a los términos y condiciones de Clarín.com, con lo cual constituye un acuerdo legal entre el usuario y Clarín.com.\nSi el usuario utiliza los servicios de Clarín.com, significa que ha leído, entendido y acordado los términos antes expuestos. Si no está de acuerdo con ellos, el usuario no deberá proporcionar ninguna información personal, ni utilizar el servicio porque no está autorizado para hacerlo.\nClarín.com podrá dar de baja o modificar los servicios gratuitos que brinda a sus usuarios bajo la denominación \"Clarín Personal\" , en cualquier momento, lo que le será preavisado con una antelación de siete (7) días al momento de la realización de la mencionada baja o modificación.",
"url": "http://www.clarin.com/mundo/Mujica-Papa-hablar-amigo-barrio_0_929907313.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20130607152536/http://www.clarin.com/mundo/Mujica-Papa-hablar-amigo-barrio_0_929907313.html"
}
] |
en | Rescue attempts continue for Tasmanian miners |
Rescuers are continuing their efforts to reach the trapped miners in the Beaconsfield mine in northern Tasmania.
A five tonne borer drilling machine has been secured in place to drill a one metre hole through the remaining 12-16 metres of rock that fell into the main shaft.
Since drilling began at 7pm last night, the machine has made a 2 cm wide pilot hole half way to the miners.
The trapped miners have been given egg sandwiches and yogurt, and have received apple ipod MP3 players filled with the miners favourite songs to pass the time and drown out the sounds of the drilling.
Meanwhile on the surface, the ever-growing media frenzy in Beaconsfield has forced the mine operators to enforce bag checks of rescuers entering the mine to ensure that no recording devices are taken into the mine.
| [
"Australia",
"Disasters and accidents",
"Mining",
"Tasmania"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Mine rescue mission continues",
"text": "Rescue mission continues: progress is being made to reach the miners safely (ABC)\nAuthorities hope to see the best progress yet in the rescue mission to free two miners trapped at Beaconsfield in northern Tasmania.\nThe drilling of a tunnel through 12 metres of rock to free Brant Webb and Todd Russell finally started at 7:00pm AEST yesterday.\nIf everything has gone to plan, the raise borer has now been cutting a one metre wide tunnel towards Mr Webb and Mr Russell for more than 11 hours.\nIt can grind through rock at a rate of one metre per hour, but is not running at full speed because of concerns it may trigger more dangerous vibrations.\nThe five tonne machine is manned by two men at a time and has its own seismic warning system.\nMine manager Matthew Gill hopes the operation can continue around the clock, but says its blades may need changing at least once because of wear and tear from the abrasive rock.\nRescuers believe it is the first time this type of machine has been used for such a mission, making it difficult to accurately predict how long the drilling will take.\nIf all is well underground, it is predicted to take another 36 hours to reach the miners safely.\nMine management is yet to report on overnight progress, but the start of drilling after almost three days of anxious waiting has already eased the tension and lifted spirits.\nThere are still dangers through, in a rescue that is expected to last until late Friday at the earliest.\nRescuers are also unsure whether the two men will be physically able to crawl out of the tunnel or need the assistance of paramedics.\nThe miners are trapped almost a kilometre underground in a small steel cage.",
"url": "http://www.abc.net.au/news/newsitems/200605/s1630199.htm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20060504181003/http://www.abc.net.au/news/newsitems/200605/s1630199.htm"
}
] |
en | Yushchenko sworn in |
The new Ukranian president Viktor Yushchenko was today sworn into office in 's Independence Square, drawing a line under a bitter dispute between him and opposition candidate . Taking the oath of office, Yushchenko added "This is a victory of freedom over tyranny. The victory of law over lawlessness."
Opposition candidate and backed Viktor Yanukovych has challenged the validity of the election rerun on December 26 2004, which saw his victory overruled. As recently as a few days ago, the Supreme Court overruled a final request to delay the ceremony. Mr Yanukovych has stated that he will take his battle to the .
In a ceremony watched by eight heads of state, Viktor Yushchenko urged unity between sides and promised deeper integration into the .
| [
"Ukraine",
"Politics and conflicts",
"Viktor Yushchenko",
"Europe",
"Kiev",
"European Court of Human Rights",
"Viktor Yanukovych"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Yushchenko takes reins in Ukraine",
"text": "Forever our blue and yellow flag will fly, the president told crowds\nMr Yushchenko then addressed hundreds of thousands of supporters in Kiev's Independence Square.\nThe president, who has pledged to move closer to the West, told the crowd: \"Our way to the future is the way of a united Europe.\"\nMr Yushchenko beat Moscow-backed Viktor Yanukovych in a re-run of November's disputed poll.\nThe 26 December repeat run-off was held after the Supreme Court ruled that the original vote - officially won by Mr Yanukovych - had been rigged.\nThe people achieved honest elections, the transfer of power was legitimate. It is a great national victory\nViktor Yushchenko,\naddress to parliament\nIndependent election observers said the re-run had been much fairer than earlier rounds.\nAt Sunday's inauguration ceremony, Mr Yushchenko stood hand on heart as the national anthem was played.\nIn taking the presidential oath of office, he said he would defend the unity of Ukraine.\n'Orange Kiev'\nThe swearing-in was watched by eight heads of state, along with US Secretary of State Colin Powell.\nHundreds of thousands gather in Independence Square on Sunday\nAfter meeting Mr Yushchenko, Mr Powell said: \"I want to assure you that you will continue to enjoy the full support of the American government and the American people.\"\nRussia, which had backed Mr Yanukovych, was represented only by the head of the upper house of its parliament, Sergei Mironov.\nThe date for the inauguration was set only this week after the Supreme Court dismissed a final appeal by Mr Yanukovych against the result.\nThe gathering in Independence Square allowed Mr Yushchenko to thank those who took part in what has been called the Orange Revolution - after the colour of Mr Yushchenko's camp.\nThe president told the massive crowd: \"This is a victory of freedom over tyranny. The victory of law over lawlessness.\"\nHe added: \"We are not on the outskirts of Europe, we are at the centre of Europe... Forever our blue and yellow flag will fly.\"\nSymbolic oath\nThe bitterly fought election exposed deep splits between south-eastern regions, where support is high for Mr Yanukovych, and western and central Ukraine which largely backs Mr Yushchenko.\nViktor Yanukovych kept challenging the election result\nOn the eve of his inauguration, Mr Yushchenko urged Ukrainians to overcome divisions.\nHe was speaking at a ceremony on Saturday marking Ukraine's Unity Day.\nMr Yushchenko also took the symbolic oath of hetman, or leader of Cossacks - the historic defenders of Ukraine against foreign oppression.\n\"I am convinced that... our forefathers were also dreaming of seeing a democratic Ukraine with free people,\" Mr Yushchenko said in front of a crowd of some 200 Cossacks.\nThe day after Sunday's inauguration, Mr Yushchenko is due to meet Russian President Vladimir Putin in Moscow in what will be his first foreign visit.\nLater in the week, Mr Yushchenko will also embark on a series of visits to Europe.",
"url": "http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/4198957.stm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20050913144235/http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/4198957.stm"
},
{
"language": "en",
"title": "Latest News & Headlines",
"text": "U.S.\nYahoo News\nA group of House Democrats is mounting a renewed push to strip J. Edgar Hoover's name off the FBI headquarters in the wake of a powerful new film that highlights one of the bureau's worst abuses under his leadership: a secret, decades-long program known as COINTELPRO that was aimed at discrediting civil rights activists, and which ultimately led to the 1969 killing by law enforcement of Chicago Black Panther leader Fred Hampton. “You take a poll and I would bet 90 percent of the society has no clue what COINTELPRO was,” said Democratic Rep. Steve Cohen of Tennessee, who, along with 22 co-sponsors, has reintroduced a bill to remove the longtime FBI director's name from the bureau's headquarters building in Washington, D.C. “This is an ugly part of our past that is not well known.”",
"url": "http://story.news.yahoo.com/news?tmpl=story&e=1&u=/ap/20050123/ap_on_re_eu/ukraine_president",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20210309171916/https://news.yahoo.com/news?tmpl=story&"
}
] |
fr | Une voiture essuie des tirs dans l'est de Moscou, deux morts |
Un individu a ouvert le feu vendredi soir sur une voiture dans l'est de la capitale russe, faisant deux morts, rapporte le correspondant de RIA Novosti sur place.
Le tireur a ouvert le feu à l'arme automatique sur une automobile dans laquelle se trouvaient trois personnes, dont deux sont mortes et une est indemne. Une voiture de marque Volga qui se trouvait à proximité a également reçu plusieurs balles.
Une enquête pour meurtre et détention illégale d'armes à feu a été ouverte.
| [
"Russie",
"Europe",
"Crimes et délits",
"Criminalité",
"Attentat",
"Meurtre"
] | [
{
"language": "fr",
"title": "Une voiture essuie des tirs dans l'est de Moscou, deux morts",
"text": "Pour améliorer le fonctionnement de notre site, accroître la pertinence des contenus informationnels et optimiser le ciblage publicitaire, nous collectons des informations techniques anonymisées sur vous, notamment à l’aide d’outils de nos partenaires. Le processus de traitement des données personnelles est décrit en détail dans la Politique de confidentialité. Les technologies que nous mettons en œuvre pour ce faire sont décrites en détail dans la Politique d’utilisation des cookies et d’enregistrement automatique.\nEn cliquant sur \"Accepter et fermer\", vous acceptez que vos données personnelles soient utilisées dans les buts décrits ci-dessus.\nVous pourrez revenir sur votre choix et retirer votre consentement en utilisant n’importe quel autre moyen indiqué dans la Politique de confidentialité.",
"url": "http://fr.rian.ru/society/20090523/121716790.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20200606112720/https://fr.sputniknews.com/societe/20090523121716790/"
}
] |
de | Die Puma AG und die deutsche Fluggesellschaft „dba“ kooperieren ab sofort |
Boeing 737-300 der dba mit „Willkommen zum Fussball“-Titeln (Puma-Werbung)
Der Sportartikelhersteller Puma AG aus Herzogenaurach und die deutsche Fluggesellschaft dba mit Sitz in München kooperieren ab sofort. Die beiden Vorstandvorsitzenden der beiden Firmen, Jochen Zeitz von Puma und Hans Rudolf Wöhrl von dba, haben am Montag, den 20. März 2006 einen Vertrag unterzeichnet.
Nach dem neuen Vertrag wird dba ab Mai 2006 mit einem Puma-Logo auf 27 Flugzeugen aus der Flotte fliegen. Auf den Flugzeugen wird in ganz großen Buchstaben das Puma-Motto „WILLKOMMEN ZUM FUSSBALL“ zu lesen sein. Das Motto zieht sich auf dem Flugzeugrumpf über die gesamte Länge hinweg.
Puma verfolgt mit dieser Maßnahme sein Marketingkonzept, an der Fußball-Weltmeisterschaft 2006 präsent zu sein. Zeitz betonte, dass beide Firmen besonders gut zusammenpassten. Wöhrl bestätigte dies mit den Worten: „PUMA und dba sind frische und innovative Unternehmen - unsere Marken passen hervorragend zusammen. Ich freue mich deshalb sehr über unsere Kooperation, denn sie sorgt im Fußballsommer 2006 für große Aufmerksamkeit bei den dba-Fluggästen und allen Sportbegeisterten in Deutschland.“
Beide Firmen sind kein offizieller Sponsor für die Fußball-WM. Trotzdem wollen sie ihr Geschäft durch diese Kooperation im Vorfeld der WM bereits ausweiten.
| [
"DBA",
"Puma AG",
"Fußball-Weltmeisterschaft 2006",
"Veröffentlicht"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Die Fifa umdribbeln",
"text": "Die Kooperation von Puma und DBA liefert ein schönes Beispiel dafür, wie Unternehmen in diesen Tagen das bevorstehende Fußballgroßereignis für ihre Werbung nutzen, obwohl sie kein offizieller Sponsor sind und auch keine Lizenz haben. Das ist nicht einfach, denn der Weltfußballverband Fifa hat der Reklame im Umfeld des Großereignisses enge Grenzen gesetzt.\nPUMA AG Intraday 3 Monate 1 Jahr Weitere Kursdaten: ADIDAS-SALOMON AG O.N. LUFTHANSA AG VNA O.N. „Das Reglement ist so ausgelegt, dass es wenig Möglichkeiten gibt. Dennoch haben wir einen innovativen Weg gefunden“, sagt Zeitz. Puma stand vor einem Dilemma, das viele Firmen in diesen Tagen haben: Einerseits ist die WM ausgesprochen wichtig für den Konzern, weil Fußballschuhe und Trikots eine der größten Umsatzbringer des Unternehmens sind. Deshalb kann der drittgrößte Sportkonzern der Welt die Weltmeisterschaft im eigenen Land nicht einfach ignorieren. Andererseits müssen die Franken aber aufpassen, denn ihr Rivale Adidas ist offizieller Ausrüster der WM und zahlt für die Exklusivität viel Geld: Bis zu 50 Mill. Euro haben die Hauptsponsoren bezahlt, um mit dem Spektakel offiziell werben zu dürfen.\nSandra-Sophia Bormann, Markenrechtsspezialistin der Kanzlei Nörr Stiefenhofer Lutz, rät Unternehmen, vorsichtig zu sein, wenn sie im Umfeld der Fußballweltmeisterschaft werben wollen, aber keine Sponsorlizenz haben. „Der WM-Pokal, das Logo mit den lachenden Gesichtern oder das Maskottchen sind geschützt,“ sagt Bormann. Die Fifa geht in Deutschland mit Abmahnungen und einstweiligen Verfügungen gegen Verstöße vor, es ist schwierig, als werbetreibende Unternehmen den Weltverband zu umdribbeln. „Gerade kleinere Firmen können sich einen Rechtsstreit mit der Fifa kaum leisten.“\nDie Fifa hat sich für den deutschen Markt auch zahlreiche Begriffe schützen lassen. So streitet der Süßwarenhersteller Ferrero seit geraumer Zeit mit den Fifa-Anwälten, ob Allerweltsnamen wie „Weltmeisterschaft 2006“ tatsächlich unter Markenschutz gestellt werden können. Das deutsche Patent- und Markenamt gab Ferrero zum Teil Recht, das europäische Harmonisierungsamt in Alicante stärkte jedoch die Fifa-Position. Jetzt will sich der Bundesgerichtshof Ende April dieser Sache annehmen. Sicher ist nur: Bis zum Anstoß der Fußball-WM wird es keine abschließende Gerichtsentscheidung geben.\nLesen Sie weiter auf Seite 2: Firmen sollen sich nicht Plump an das Großereignis Wm alehnen.",
"url": "http://www.handelsblatt.com/pshb/fn/relhbi/sfn/buildhbi/cn/GoArt%21200015,300932,1054054/SH/0/depot/0",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20060604052654/http://www.handelsblatt.com/pshb/fn/relhbi/sfn/buildhbi/cn/GoArt%21200015,300932,1054054/SH/0/depot/0"
},
{
"language": "de",
"title": "Aktuelle Nachrichten aus Marketing, Werbung, Media und Medien",
"text": "Der Boom des Jahres 2011 ist vorbei. Die Eventagenturen im aktuellen Ranking legten im Vorjahr nur um rund drei Prozent zu. Nummer ein...",
"url": "http://www.wuv.de/news/unternehmen/meldungen/2006/03/27681/index.php",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20130812132144/http://www.wuv.de/"
}
] |
fr | Tunisie : la réouverture du musée du Bardo reportée pour raisons de sécurité | Façade du Musée du Bardo.
La réouverture au public du , à , a été reportée à samedi pour des « raisons de sécurité » mais une cérémonie officielle symbolique devrait s’y tenir mardi pour rendre hommage aux 21 victimes, moins d’une semaine après l’attaque revendiquée par le groupe jihadiste . La direction du musée avait justifier le report de la réouverture pour des « des raisons de sécurité », une explication démentie ensuite par le gouvernement tunisien qui arguait « des travaux à finir ».
Le ministère de la Culture a précisé des « problèmes de logistique » empêchant l’ouverture du site « à des milliers de gens ». Cependant, une cérémonie officielle allait devrait se tenir dans l’après-midi, avec notamment un concert de l’Orchestre symphonique tunisien en hommage aux 20 touristes étrangers et au policier tunisien tués dans l’attaque du musée. Elle ne sera ouverte qu’à des invités et aux médias.
L’ a gravement menacé le secteur du , secteur vital de l’économie du pays, et les autorités tentent de relever le défi de la sécurité pour empêcher de nouveaux attentats alors que l'État islamique avait menacé de mener d’autres attentats en Tunisie.
Rappelons qu'il s'agit de la pire attaque terroriste en Tunisie depuis 2002.
| [
"Afrique",
"Afrique du Nord",
"Maghreb",
"Tunisie",
"Terrorisme",
"Musée",
"État islamique",
"Attaque du musée du Bardo"
] | [
{
"language": "fr",
"title": "Tunis : le musée du Bardo diffère sa réouverture",
"text": "La réouverture au public du musée du Bardo à Tunis, prévue mardi, est reportée sine die pour \"des raisons de sécurité\", a indiqué la chargée de communication du musée, Hanene Srarfi. L'établissement devait rouvrir ses portes moins d'une semaine après l'attentat revendiqué par le groupe État islamique qui a coûté la vie à 21 personnes, dont 20 touristes, et leur poste à deux chefs de la police, limogés lundi. \"Nous avons été surpris à la dernière minute, mais, pour des raisons de sécurité, on ne peut pas recevoir un grand nombre de visiteurs, selon le ministère de l'Intérieur\", a déclaré Mme Srarfi, confirmant, en revanche, la tenue d'une \"cérémonie officielle\" dans l'après-midi au musée.\nAlors que l'ouverture était encore programmée mardi, le conservateur du musée, Moncef Ben Moussa, avait évoqué un acte \"symbolique\" : \"C'est un défi, mais aussi un message [...]. Nous voulons dire qu'ils [les assaillants] n'ont pas atteint leur objectif.\" Des internautes avaient également lancé un appel à manifester devant le musée à cette occasion, en plein coeur de la capitale.\nDeux chefs de la police limogés\nLundi, deux chefs de la police à Tunis avaient été limogés pour des \"lacunes\" dans la protection du quartier du musée. Le chef du gouvernement, Habib Essid, avait effectué dans la nuit de dimanche à lundi \"une visite et avait constaté plusieurs lacunes. Il avait décidé de limoger un certain nombre de responsables, dont les chefs de la police de Tunis et du Bardo\", avait indiqué lundi Mofdi Mssedi, le chargé de la communication du Premier ministre. M. Essid avait immédiatement nommé leurs successeurs.\nEn outre, le parquet avait indiqué qu'un \"mandat de dépôt\" avait été lancé contre un policier \"chargé de la sécurité du musée\", refusant de dévoiler les raisons de son arrestation. Ministre de l'Intérieur en 2011 après la révolution, M. Essid avait déjà admis que l'attaque, qui a coûté le 18 mars la vie à 20 touristes étrangers et un policier tunisien, avait révélé des défaillances sécuritaires graves. \"Nous sommes en train d'évaluer la situation et de prendre les mesures nécessaires pour que ce ministère de l'Intérieur fasse son travail\", avait-il déclaré dans un entretien publié lundi par le journal français Le Figaro et la radio RFI.\n\"Aucune nouvelle indication\"\nMercredi, deux tireurs armés de kalachnikovs ont attaqué le site, qui ne semblait pas bénéficier d'une protection particulière, bien qu'il soit situé dans la même enceinte que le Parlement. Ils ont été tués par les forces de sécurité. Sur l'enquête relative à l'attaque, revendiquée par le groupe djihadiste État islamique (EI), les autorités n'ont donné aucune nouvelle indication, au lendemain de l'évocation par le chef de l'État, Béji Caïd Essebsi, de la piste d'un troisième suspect.\nÀ l'occasion de l'ouverture du Forum social mondial (FSM), grande messe altermondialiste à laquelle participeront des milliers d'étrangers jusqu'à samedi à Tunis, un défilé est par ailleurs prévu jusqu'au Bardo. Ce forum constituera \"une réponse de la société civile. [...] Nous devons inventer un monde nouveau et lutter contre ces monstres\", a déclaré lundi Gustavo Massiah, membre fondateur du FSM. Les autorités ont \"pris les mesures nécessaires\" pour garantir la sécurité de cette manifestation, a précisé le coordinateur du comité d'organisation, Aberrahmen Hedhili.\n\"Problème sérieux\"\nDimanche soir, la Tunisie a été une nouvelle fois endeuillée par la mort d'un militaire dans l'explosion d'une mine à la frontière avec l'Algérie, une zone où les forces armées tentent depuis fin 2012 de neutraliser - sans succès pour l'instant - un groupe lié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), actif dans les massifs montagneux et forestiers de la région. L'attaque du Bardo, qui fait planer une menace sur le tourisme, secteur vital de l'économie, est la première à toucher des étrangers en Tunisie depuis l'attentat contre la synagogue de la Ghriba à Djerba en 2002. C'est aussi le premier revendiqué par l'EI, qui sévit dans d'autres pays arabes.\nLe chef du gouvernement tunisien a reconnu que les autorités avaient \"négligé\" pendant \"un certain temps\" la menace que représentent les jeunes partant se former aux armes ou combattre en Syrie et en Irak, mais aussi en Libye voisine, comme les deux assaillants du Bardo. \"Ils reviennent aguerris et mieux formés et sont capables d'opérations comme celle [du 18 mars]. C'est un problème sérieux\", a-t-il remarqué. Quelque 3 000 Tunisiens sont partis en Syrie en proie à la guerre civile et en Irak miné par l'instabilité. Des centaines se trouvent en Libye, pays livré aux milices, dans les rangs de groupe djihadistes comme l'EI, selon lui. Environ 500 seraient revenus en Tunisie.",
"url": "http://www.lepoint.fr/monde/tunis-le-musee-du-bardo-rouvre-ses-portes-24-03-2015-1915246_24.php",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20150713040135/http://www.lepoint.fr/monde/tunis-le-musee-du-bardo-rouvre-ses-portes-24-03-2015-1915246_24.php"
}
] |
fr | Droit en France : les conditions de recevabilité des recours contre des propos tenus dans les forums de discussion sur Internet | thumbs
Le dernier ''Bulletin de la Cour de cassation'' relate une affaire portant sur des propos tenus dans les forums de discussion sur Internet. le 3 juin 2004, un internaute a écrit des propos concernant le mouvement raëlien sur une page Google Groupes. Concernant une dépêche de l' intitulée , l'intéressé avait écrit : .
Aussi, le responsable de la secte avait assigné l'auteur de ces propos en justice. Il a été débouté tant en première instance qu'en appel pour défaut d'intérêt à agir. S'étant pourvu en cassation, il avait notamment soutenu que . Selon l'intéressé, .
Dans sa décision, la Cour de cassation confirme la décision des premiers juges. Pour la Cour, après avoir relevé que l'intéressé .
| [
"Europe",
"France",
"Droit",
"Droit en France",
"Droit civil",
"Justice",
"Cour de cassation (France)",
"Liberté de la presse",
"Internet"
] | [
{
"language": "fr",
"title": "Cour de cassation, civile, Chambre civile 1, 9 juillet 2009, 08-12.720, Publié au bulletin",
"text": "RÉPUBLIQUE FRANCAISE\nAU NOM DU PEUPLE FRANCAIS\nLA COUR DE CASSATION, PREMIÈRE CHAMBRE CIVILE, a rendu l'arrêt suivant :\nSur le moyen unique :\nAttendu que le 3 juin 2004 M. X... a adressé sur un forum de discussion accessible par internet un message en réponse à celui d'un usager, ainsi rédigé : \"j'irai plus loin qu'Ophélie, il faut vraiment supprimer Raël, cette organisation qui veut à tout prix nous rendre idiots (à 250.000 dollars pièce...)\" ; que M. Y..., soutenant que les propos poursuivis étaient constitutifs du délit de provocation publique, non suivie d'effet, à la commission d'un crime, en l'espèce d'une atteinte volontaire à la vie, prévu et réprimé par les dispositions de l'article 24, alinéa 1er-1°, de la loi du 29 juillet 1881, l'a assigné en réparation de son préjudice moral ;\nAttendu qu'il est fait grief à l'arrêt (Paris 12 décembre 2007) d'avoir déclaré M. Y... irrecevable en ses demandes alors, selon le moyen :\n1°/ qu'en retenant pour dénier tout intérêt à agir de M. Y... que le propos poursuivi ne visait pas Raël mais l'organisation qu'il dirige, la cour d'appel qui a opéré une confusion entre deux membres de phrases distincts, a violé l'article 31 du code de procédure civile, ensemble l'article 24 alinéa 1er § 1 de la loi du 29 juillet 1881 ;\n2°/ que la cour d'appel qui a expressément constaté que l'écrit incriminé visait expressément, en incitant à sa suppression, l'organisation dont Raêl était le dirigeant, aurait dû nécessairement en déduire l'intérêt à agir de celui-ci et en décidant le contraire, elle a derechef violé l'article 31 du code de procédure civile, ensemble l'article 24, alinéa 1er § 1 de la loi du 29 juillet 1881 ;\n3°/ qu'en déniant à M. Y... le droit de poursuivre les propos provocateurs tenus à l'encontre du mouvement raëlien qu'il a fondé et qu'il dirige, motif pris de ce que ces propos ne le visaient pas personnellement, la cour dappel qui s'est déterminée en considération religieuse de ce mouvement a privé M. Y... de son droit à un procès équitable et violé les articles 6.1 et 9.1 de la Convention européenne des droits de l'homme ;\nMais attendu qu' ayant constaté que M. Y... n'était pas visé par les propos litigieux, les juges du fond ont pu en déduire que celui-ci n'avait pas intérêt à agir en réparation d'un préjudice personnel ;\nD'où il suit que le moyen n'est pas fondé ;\nPAR CES MOTIFS :\nREJETTE le pourvoi ;\nCondamne M. Y... aux dépens ;\nVu l'article 700 du code de procédure civile, rejette la demande de M. Y... ;\nAinsi fait et jugé par la Cour de cassation, première chambre civile, et prononcé par le premier président en son audience publique du neuf juillet deux mille neuf.\nMOYEN ANNEXE au présent arrêt\nMoyen produit par la SCP Gadiou et Chevallier, avocat aux Conseils pour M. Y...\nLe moyen fait grief à l'arrêt attaqué d'AVOIR déclaré Monsieur Claude Y... irrecevable en ses demandes ;\nAUX MOTIFS PROPRES QU'après avoir relevé que le message exact diffusé le 3 juin 2004 à 8 h 21 par Roger X... sur une page Internet Google Groups au sujet des « dommages et intérêts refusés à Raël face à Ophélie Z... Agence France Presse 2 juin 2004 14 h 35, et intitulé « Re : Raêl ridicule » », tel qu'il ressort du constat d'huissier du 10 août 2004, est : « J'irai plus loin qu 'Ophélie : il vaut vraiment supprimer Raël, cette organisation qui veut à tout prix nous rendre idiots (à 250.000 dollàrs pièce...) », le Tribunal a justement retenu qu'il ne pouvait aucunement s'appliquer à la personne du demandeur ; qu'en effet, le propos poursuivi, tronqué par l'auteur de l'assignation, vise en réalité explicitement la suppression du mouvement raëlien, autrement dénommé Raël du nom pris par son fondateur, la construction de la phrase ne permettant aucune confusion entre l'organisation et son responsable en dépit de l'identité de dénomination ; qu'il y a lieu de confirmer le jugement ayant déclaré Claude Y... irrecevable en ses demandes, faute d'intérêt à agir, dès lors qu'il n'était pas personnellement visé par les propos incriminés ;\nET AUX MOTIFS ADOPTES QUE le Tribunal relève tant des pièces produites aux débats que du constat d'huissier du 10 août 2004, que les propos exacts tenus par Roger X... sont les suivants : « J'irai plus loin qu 'Ophélie : il vaut vraiment supprimer Raêl, cette organisation qui veut à tout prix nous rendre idiots (à 250.000 dollars pièce...) » ; que de tels propos, pris dans leur intégralité, ne peuvent aucunement s'appliquer à la personne du demandeur, au motif : - d'une part, que si le défendeur avait préconisé la suppression physique de Claude Y..., reprenant ainsi à son compte les paroles d'Ophélie Z... : « Je pense qu 'il faut tuer Raël », il n'aurait pas déclaré « J'irai plus loin qu 'Ophélie », une telle formulation étant dénuée de sens et incompatible avec le fait d'adopter exactement la même position que celle prônée par cette dernière ; - d'autre part, que la phrase poursuivie vise explicitement la suppression de « cette organisation qui veut à tout prix nous rendre idiots... », aucune confusion ne pouvant dès lors s'opérer entre l'organisation dirigée par le demandeur et sa propre personne, et ce même si le défendeur utilise la dénomination de « Raël » ; qu'il ressort clairement des propos litigieux que Roger X..., voulant aller « plus loin » qu'Ophélie Z..., qui déclarait qu'il fallait « tuer » le demandeur, préconisait, pour sa part, de « supprimer » son organisation, exclusivement visée dans la phrase en cause ; qu'il en résulte que Claude Y..., n'étant pas personnellement visé par les propos qu'il poursuit, doit être déclaré irrecevable en ses demandes, faute d'intérêt à agir, par application des dispositions des articles 122 et 125 alinéa 2 du Nouveau Code de Procédure Civile ;\n1°/ ALORS QUE le propos poursuivi était construit en deux parties bien distinctes, la première concernant Raël lui-même, la seconde se rapportant à l'organisation dirigée par Raël ; qu'en retenant dès lors, pour dénier tout intérêt à agir de Monsieur Y..., que le propos poursuivi ne visait pas Raël mais l'organisation qu'il dirige, la Cour d'Appel, qui a opéré une confusion entre deux membres de phrase distincts, a violé l'article 31 du Code de Procédure Civile, ensemble l'article 24, alinéa 1 er § 1 de la loi du 29 juillet 1881 ;\n2°/ ALORS QUE (subsidiaire) l'action est ouverte à tous ceux qui ont un intérêt légitime au succès ou au rejet d'une prétention, sous réserve des cas dans lesquels la loi attribue le droit d'agir aux seules personnes qu'elle qualifie pour élever ou combattre une prétention ou pour défendre un intérêt déterminé ; que la Cour d'Appel, qui a expressément constaté que l'écrit incriminé visait expressément, en incitant à sa suppression, l'organisation dont Raêl était le dirigeant, aurait dû nécessairement en déduire l'intérêt à agir de celui-ci ; qu'en décidant le contraire, elle a derechef violé l'article 31 du Code de Procédure Civile, ensemble l'article 24 alinéa 1 er § 1 de la loi du 29 juillet 1881 ;\n3°/ ALORS QUE tout plaideur a droit à un procès équitable ; que l'intérêt à agir du fondateur et dirigeant d'une organisation religieuse résulte suffisamment de la mise en cause de celle-ci ; qu'en déniant à Monsieur Y... le droit de poursuivre les propos provocateurs tenus à l'encontre du mouvement raêlien qu'il a fondé et qu'il dirige, motif pris que ces propos ne le visaient pas personnellement, la Cour d'Appel, qui s'est déterminée en considération de la spécificité religieuse de ce mouvement, a privé Monsieur Claude Y... de son droit à un procès équitable et a violé les articles 6.1 et 9.1 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme.",
"url": "http://legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000020837252",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20210319170702/https://www.legifrance.gouv.fr/juri/id/JURITEXT000020837252/"
}
] |
pt | ONU aumenta medidas de segurança após atentado em Nova Iorque |
Sede da ONU, em Nova Iorque
A sede da Organização das Nações Unidas em Nova Iorque reforçou hoje sua segurança, um dia depois das duas explosões em frente ao consulado do Reino Unido, a só duas quadras das instalações da ONU.
O porta-voz da Organização, Stephan Dujarric, declarou que pelo momento não se concebem riscos para a ONU e insistiu em que o aumento das medidas de segurança é só precaução. Assim mesmo, explicou que o pessoal de segurança da ONU é mantido informado acerca das investigações pelas autoridades municipais.
Entre as medidas tomadas para melhorar a segurança, está o aumento do número de guardas de segurança nos pontos de acesso do edifício principal e imóveis anexos. Unidades de cachorros detectores de explosivos patrulharão constantemente as instalações.
Um funcionário da ONU, analista da agência para o controle de armamentos no Iraque (UNMOVIC), foi detido para ser interrogado. Ele ainda não é considerado suspeito de ter participação no atentado em Nova Iorque.
| [
"Política e conflitos"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Empleado de ONU detenido en conexión con explosiones",
"text": "Empleado de ONU detenido en conexión con explosiones fue detenido para ser interrogado y no es considerado sospechoso de haber cometido el atentado. Jueves, 5 mayo 2005\nIBLNEWS, DPA Un empleado de las Naciones Unidas fue detenido hoy por el Buró Federal de Investigaciones (FBI) en conexión con las explosiones de esta madrugada frente al consulado británico en Nueva York, informó la cadena de noticias CNN. Según el vocero de la ONU Jim Margolin, el empleado, de nacionalidad holandesa, fue detenido para ser interrogado y no es considerado sospechoso de haber cometido el atentado. El sujeto había sido detenido por la policía poco después de las explosiones en las inmediaciones del lugar donde ocurrieron los hechos. De acuerdo a fuentes de la ONU, el hombre se desempeña como analista en la agencia para el control de armamentos en Irak (UNMOVIC). Las explosiones de esta madrugada no dejaron heridos y causaron daños menores frente al edificio del consulado británico, en las cercanías de la sede central de la ONU. Por su parte, las autoridades de la ONU reforzaron las medidas de seguridad tras el episodio. El personal de seguridad de las Naciones Unidas permanece en contacto directo con las autoridades de la ciudad de Nueva York para conocer más detalles de lo ocurrido, dijo el portavoz Stephan Dujarric. Asimismo, aclaró que por el momento no existen motivos de preocupación sobre posibles riesgos para la ONU e insistió en que el aumento de las medidas de seguridad es sólo una precaución. Entre las medidas adicionales, se incrementó la presencia de guardias de seguridad en los puntos de acceso del edificio principal e inmuebles anexos y se pidió a todas las unidades responsables de los perros detectores de explosivos que realicen patrullas constantes en las instalaciones. Las dos bombas que estallaron esta madrugada eran de fabricación casera, según informó la policía. \"Estamos todos muy preocupados\", dijo el alcalde de Nueva York, Michael Bloomberg, pocas horas después de las explosiones y llamó a los habitantes de la ciudad a mantener la calma. Por el momento no se sabe quiénes fueron los responsables del atentado, añadió. Pese a que no hubo lesionados y apenas se rompieron unos vidrios, el hecho de que estas explosiones se registren en la misma jornada en que Gran Bretaña celebra elecciones parlamentarias \"pone dramáticamente de manifiesto la vulnerabilidad de Nueva York\", evaluaron medios locales. \"Dos ruidos fuertes y uno piensa de inmediato en el 11 de septiembre\", dijo un hombre que se hallaba ante el edificio. Las detonaciones de poca monta sólo rompieron un panel de vidrio en el ingreso al edificio de 20 pisos, informó la policía, que acordonó todo el sector en la intersección entre la Tercera Avenida y la Calle 52, mientras expertos armeros de la policía recogieron evidencias. El transporte subterráneo en la zona fue temporariamente suspendido. Los explosivos fueron detonados a las 03:35 hora local (07:35 GMT), aparentemente con una o más mechas y no por control remoto, como se había reportado con anterioridad. Un oficial policial calificó a los artefactos de similares pero no idénticos, al describir que se trató de polvo explosivo dentro de granadas de mano de juguete. También se indicó que estaban en un cilindro de cemento con flores que protege el edificio. Envía Imprime Recibe Opina sobre esta noticia en EL DEBATE.COM Normas de publicación Nombre:\nAsunto:\nIr al foro de debate",
"url": "http://iblnews.com/news/noticia.php3?id=127924",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20050506044112/http://iblnews.com/news/noticia.php3?id=127924"
}
] |
de | Besucherrekord bei Buchmesse in Leipzig |
Die Leipziger Buchmesse endete am 17. März 2013
Nach vier Tagen ist am vergangenen Sonntag die Leipziger Buchmesse zu Ende gegangen. Mit rund 168.000 Besuchern wurde in diesem Jahr ein Rekord aufgestellt. 2012 wurden 163.500 Besucher gezählt. Es beteiligten sich über 2.000 Verlage aus 43 Ländern.
Die Geschichte der Leipziger Buchmesse reicht bis in das 17. Jahrhundert zurück, 1632 überstieg die Zahl der vorgestellten Bücher erstmals die der Buchmesse in Frankfurt am Main. Als erster großer Branchentreff des Jahres gilt sie mit der Präsentation der Neuerscheinungen des Frühjahres als wichtiger Impulsgeber für den Büchermarkt.
| [
"Themenportal Kultur",
"Themenportal Medien"
] | [
{
"language": "de",
"title": "Leipziger Buchmesse endet - Bücherjahr beginnt schwungvoll",
"text": "17. März 2013 16:51 Leipziger Buchmesse endet mit Besucherrekord Schwungvoller Start ins Bücherjahr\nAnzeige\nDie Buchbranche hat bei der Leipziger Buchmesse neues Selbstbewusstsein getankt: Mehr Besucher als je zuvor strömten in die Ausstellungshallen. Dazu passte, dass der Bücher-Absatz in Deutschland zu Beginn des Jahres 2013 zugelegt hat. Seine Krise hat der stationäre Buchhandel damit allerdings noch lange nicht überwunden.\nMit circa 168.000 Besuchern hat die Leipziger Buchmesse in diesem Jahr einen Rekord aufgestellt. Das viertägige Frühjahrstreffen der Buchbranche endete am Sonntag. \"Das Buch in seiner Vielfalt steht ungebrochen bei den Lesern hoch im Kurs\", teilte die Messe am Abschlusstag mit. 2012 waren noch 163.500 Besucher gezählt worden.\nDass die Leipziger Buchmesse von Jahr zu Jahr mehr Besucher anzieht, stimmt die Branche optimistisch. Es sei ein schwungvoller Start ins Bücherjahr gewesen, bilanzierte Alexander Skipis, der Hauptgeschäftsführer des Börsenvereins des Deutschen Buchhandels.\nNächstes großes Branchenereignis ist die weltgrößte Buchmesse in Frankfurt vom 9. bis 13. Oktober. Auch die Frankfurter Buchmesse hatte 2012 gegenüber dem Vorjahr leicht zulegen können - sie hatte 281.753 (2011: 280.194) Besucher angelockt. Die Leipziger Buchmesse findet wieder vom 13. bis 16. März 2014 statt.\nAn vier Tagen hatten sich in Leipzig 2069 Aussteller aus 43 Ländern präsentiert. Das Feedback der Aussteller sei durchweg positiv, erklärte Martin Buhl-Wagner, Geschäftsführer der Leipziger Messe.\nAnzeige\nUnter den 168.000 Besuchern seien etwa 50.000 Fachbesucher gewesen. In einer Befragung hätten die Verlage erklärt, in Leipzig auf ein sehr neugieriges Publikum zu treffen. \"Wir sind mit dem Messeverlauf hochzufrieden\", erklärte Buhl-Wagner.\n\"Einbahnstraßen\" wegen großen Besucherströmen\nDer Börsenverein nutzte die Leipziger Buchmesse, um eine neue bundesweite Werbekampagne für das Bücherlesen zu starten. \"Vorsicht Buch!\", so der Titel, sei sehr positiv aufgenommen worden, erklärte Sikpis am Sonntag.\nVor allem der kriselnde stationäre Buchhandel soll mit der Kampagne unterstützt werden. Bei den Ausstellern auf der nach Frankfurt zweitgrößten deutschen Buchmesse herrschte nach vier Tagen eine positive Stimmung. \"Es war wunderbar. Die Messe war voll. Die Leute lesen nach wie vor\", sagte etwa Marietta Frick am Stand des Verlages dtv.\nAuch andere Verlage berichteten von einem großen Andrang eines lesefreudigen Publikums. Am besucherstärksten Tag am Samstag war es in den Hallen teilweise eng geworden. Die Messe richtete \"Einbahnstraßen\" ein, um die Besucherströme zu lenken.\nBuchmesse-Direktor Oliver Zille nahm den Ansturm jedoch gelassen: \"Es ist ein großes psychologisches Element: Auf einer Publikumsmesse muss auch was los sein\", sagte er.\nLesungen rappelvoll\nAuch das Begleitprogramm \"Leipzig liest\" - inzwischen Europas größtes Lesefestival - wurde von den Bücherfreunden gut angenommen. Zahlreiche Lesungen an vielen verschiedenen Orten in Leipzig waren rappelvoll. Gelegentlich - wie beim Auftritt von Michail Gorbatschow in einer Kirche - musste sogar Publikum abgewiesen werden. An \"Leipzig liest\" und der Buchmesse hatten sich rund 2900 Autoren beteiligt.",
"url": "http://www.sueddeutsche.de/kultur/leipziger-buchmesse-endet-mit-besucherrekord-schwungvoller-start-ins-buecherjahr-1.1626647",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20130319173502/http://www.sueddeutsche.de/kultur/leipziger-buchmesse-endet-mit-besucherrekord-schwungvoller-start-ins-buecherjahr-1.1626647"
}
] |
fr | États-Unis : Barack Obama devrait revoir ses ambitions dans son discours sur l'état de l'Union | Localisation des États-Unis
Barack Obama
Le président américain Barack Obama entame sa deuxième année au pouvoir, alors qu'une élection partielle lui a fait perdre mardi dernier la de 60 sièges dont bénéficiait le parti démocrate au Sénat. L'élection du républicain Scott Brown au poste de sénateur occupé pendant près d'un demi-siècle par le défunt Ted Kennedy a changé la donne politique. Le parti démocrate a notamment perdu au Sénat la majorité qui permettait d'éviter une obstruction des républicains, remettant en cause l'adoption de la réforme de l'assurance-maladie.
À la Maison Blanche, l'entourage du président explique comprendre le message envoyé par l'électorat. Le conseiller politique David Axelrod fait valoir que le président a dû adopter des , avant d'ajouter que . , a-t-il affirmé à la chaîne de télévision ABC, indiquant qu'il n'avait et qu'.
De leur côté, les Républicains n'en démordent pas. À leur yeux, la victoire du sénateur Brown dans le Massachusetts, État à majorité démocrate, démontre que . Aussi Mitch McConnell, leader républicain au Sénat, a-t-il déclaré à l'antenne de la chaîne NBC que les sondages réalisés à l'occasion du vote dans le Massachusetts montraient clairement que la population avait surtout rejeté la réforme de la santé. , a-t-il estimé.
Si la Maison Blanche insiste sur le fait qu'elle ne renoncera à rien sur la base d'une seule consultation électorale, elle a toutefois des dispositions. Le chef de l'exécutif a demandé à David Plouffe, l'un des artisans de sa victoire à la présidentielle de 2008, de superviser la campagne du parti démocrate pour les législatives de novembre prochain. En outre, selon , M. Obama entend profiter de son discours sur l'état de l'Union, prévu ce mercredi, pour reformuler son message, de façon à mieux faire comprendre aux États-Unis que sa politique peut améliorer leurs vies, notamment en ce qui concerne la création d'emplois.
| [
"Amérique",
"Amérique du Nord",
"États-Unis",
"Politique et conflits",
"Politique",
"Politique américaine",
"Barack Obama"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Dans son discours sur l'état de l'Union, Obama devrait revoir ses ambitions",
"text": "Dans son discours sur l'état de l'Union, Obama devrait revoir ses ambitions\nLe président Barack Obama entame sa deuxième année au pouvoir alors même qu'une élection partielle lui a fait perdre mardi dernier la « super-majorité » de 60 sièges dont jouissait le parti démocrate au Sénat. L'élection du républicain Scott Brown au poste de sénateur occupé pendant près d'un demi-siècle par le défunt Ted Kennedy a bouleversé la Barack Obama va profiter de son discours sur l'état de l'Union pour mieux s'expliquer auprès des Américains, affirme son entourage\ndonne politique. Le parti démocrate a notamment perdu au Sénat la majorité qui permettait d'éviter une obstruction des républicains, remettant en cause l'adoption de la réforme de l'assurance maladie. A la Maison-Blanche, l'entourage du président dit comprendre le message envoyé par l'électorat. Le conseiller politique David Axelrod, fait valoir que le président a du adopter des mesures impopulaires pour faire face à une crise économique dépassant les pires prévisions. M. Obama avait été averti que sa popularité s'en ressentirait, a-t-il ajouté. « Je lui ai dit il y a un an: Monsieur le Président, votre côte de popularité sera bien pire dans un an quelle ne l'est aujourd'hui, parce que vous ne pouvez pas gérer le pays avec telle économie sans beaucoup de mécontentement » a affirmé M. Axelrod à la chaîne de télévision ABC, en ajoutant qu'il n'avait aucun regret et qu'à son avis, l'histoire jugera que le président Obama a tout simplement assumé ses responsabilités. Pourtant, les républicains n'en démordent pas. A leur avis, la victoire du sénateur Brown dans le Massachusetts, État à majorité démocrate, montre que le public rejette farouchement les politiques du président, notamment ses efforts pour faire adopter la réforme de l'assurance maladie par le Congrès. Mitch McConnell, le leader républicain du Sénat, a déclaré à l'antenne de la chaîne NBC que les sondages réalisés à l'occasion du vote dans le Massachusetts montraient clairement que la population avait surtout rejeté la réforme de la santé. « Le peuple américain a remporté la victoire dans le Massachusetts. Et ils nous ont envoyé un message : il faut tout arrêter et recommencer », a estimé M. McConnell. Si la Maison-Blanche insiste sur le fait qu'elle ne renoncera à rien sur la base d'une seule consultation électorale, elle a quand même pris des dispositions. M. Obama a demandé à David Plouffe, l'un des artisans de sa victoire à la présidentielle de 2008, de superviser la campagne du Parti démocrate pour les législatives de novembre. Et puis le président entend profiter de son discours sur l'état de l'Union, prévu mercredi, pour reformuler son message afin de mieux faire comprendre aux Américains que sa politique peut améliorer leurs vies, notamment en ce qui concerne la création d'emplois. E-mail Imprimez\nDigg\nYahoo Buzz\nFacebook\ndel.icio.us\nStumbleUpon",
"url": "http://www.voanews.com/french/2010-01-25-voa2.cfm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20100128035631/http://www.voanews.com/french/2010-01-25-voa2.cfm"
}
] |
fr | Chine : une Église trouve déraisonnable un projet visant l'interdiction des croix au sommet des églises | La
En Chine, une Église trouve déraisonnable un projet visant à réglementer la hauteur des croix au sommet des églises.
D'après des médias publics, la hauteur de la croix sera limitée à un dixième de la hauteur du bâtiment. La arrive cependant à se concilier avec certaines religions.
Pour cette Eglise, .
Ce projet , selon les détracteurs.
| [
"Asie",
"Asie de l'Est",
"Chine",
"Religion",
"Christianisme"
] | [
{
"language": "fr",
"title": "Chine : une église officielle s'insurge contre un projet d'interdiction des croix",
"text": "Une église chinoise reconnue par l'Etat s'est insurgée contre un projet provincial visant à restreindre la présence et la taille des croix sur les lieux de culte chrétiens, à la suite d'une vague de destructions d'églises et d'emblèmes religieux dans la région.\nLes autorités de la province du Zhejiang (est), qui abrite une importante et dynamique communauté chrétienne, ont récemment publié un projet de réglementation exigeant que soient retirées les croix surplombant les toits des églises et temples de la région. Le symbole chrétien serait désormais toléré seulement au milieu de la façade, et avec des restrictions drastiques en termes de dimension, la croix ne devant pas mesurer plus d'un dixième de la hauteur du bâtiment, ont rapporté des médias étatiques. Pour l'église Chongyi à Hangzhou, la capitale provinciale, \"ces nouveaux règlements se traduiront par des exigences déraisonnables pour les bâtiments catholiques et protestants\". Le site internet de Chongyi, le plus important lieu de culte de l'Eglise protestante à Hangzhou, était inaccessible vendredi.\nCes critiques, très rares venant d'un lieu de culte approuvé et contrôlé par l'Etat chinois, s'exprimaient dans un texte au ton très vif diffusé cette semaine via les réseaux sociaux. Ce projet de règlement \"interfère excessivement avec la liberté d'utiliser raisonnablement les lieux de culte, et il contrevient à l'esprit fondamental de la gestion des affaires religieuses par l'Etat\", poursuivait ce texte adressé au gouvernement.\nLes autorités ont déjà fait retirer le mois dernier les croix surmontant douze églises dans la municipalité de Lishui, également dans la province du Zhejiang, a rapporté l'ONG basé aux Etats-Unis China Aid Association.\nUn pasteur chrétien a par ailleurs été condamné en mars à un an d'emprisonnement par un tribunal chinois pour \"troubles à l'ordre public\" après s'être opposé au décrochage de la croix du toit de son église dans le district de Pingyang. Ces nouvelles restrictions confirment un brutal durcissement des autorités provinciales du Zhejiang, depuis la destruction en avril 2014 d'une église protestante monumentale à Wenzhou, qualifiée de \"construction illégale\".\nEn Chine, les pratiques religieuses demeurent étroitement encadrées par le Parti communiste chinois, qui redoute l'émergence de contre-pouvoirs et voit d'un mauvais oeil l'essor impressionnant des conversions chrétiennes dans le pays. Les adeptes des différents cultes reconnus ne peuvent officiellement se réunir que dans des lieux dûment approuvés. Le Conseil chrétien de Chine, organisation émanant du gouvernement central, estime qu'il y a environ 20 millions de chrétiens dans le pays --chiffre ne comprenant pas les catholiques--. Mais avec l'\"église souterraine\" prospérant en-dehors des organisations officielles, la communauté chrétienne chinoise pourrait au total comprendre entre 40 et 60 millions de personnes, selon certaines estimations.",
"url": "http://www.lorientlejour.com/article/925168/chine-une-eglise-officielle-sinsurge-contre-un-projet-dinterdiction-des-croix.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20200606191845/https://www.lorientlejour.com/article/925168/chine-une-eglise-officielle-sinsurge-contre-un-projet-dinterdiction-des-croix.html"
}
] |
de | Januar 2007 auch weltweit wärmster Monat |
Nicht nur in Mitteleuropa brach der Januar 2007 Temperaturrekorde: Nach Auswertungen des Goddard Institute for Space Studies der NASA war der Monat auch weltweit mit 0,89 Grad Celsius über der Januar-Durchschnittstemperatur von 1951 bis 1980 der wärmste Januar seit mindestens 1880. Der bislang wärmste Januar im Jahr 2002 wurde damit um fast 0,2 Grad übertroffen. Der Januar 2007 war auch der Monat mit der höchsten Abweichung zum langjährigen Mittel. Diesen Rekord hielt bislang der März 2002, der 0,83 Grad Celsius wärmer war als alle März-Monate von 1951 bis 1980 im Durchschnitt. Legt man nur die Messwerte der Wetterstationen weltweit zugrunde, war es im Januar sogar 1,08 Grad Celsius wärmer als im Januar-Mittel der 1950er bis 1970er Jahre.
Nach Angaben des Direktors des Instituts, James Hansen, wird das Jahr 2007 unter anderem wegen El Niño wahrscheinlich wärmer als 2006 und möglicherweise auch das Wärmste seit Beginn der Messungen. Dies prognostiziert auch der nationale britische Wetterdienst Met Office. 2006 war nach den Auswertungen des Instituts das fünftwärmste Jahr weltweit seit 1880.
Das Goddard Institute for Space Studies wertet die Daten von tausenden Wetterstationen weltweit aus und kombiniert sie mit Daten über die Meerestemperaturen, die überwiegend durch Satelliten gewonnen werden. Die Temperaturdaten von städtischen Stationen werden dabei an den Trend benachbarter ländlicher Stationen angepasst, so dass höhere Messwerte durch die zunehmende Verstädterung herausgerechnet werden können.
Eine Monatstemperatur, die im Schnitt unter dem Mittelwert des Monats zwischen 1951 und 1980 lag, wurde übrigens letztmalig im November 1992 erreicht. Damals war es weltweit 0,09 Grad Celsius kälter als in den November-Monaten der 1950er bis 1970er Jahre.
| [
"Themenportal Wetter",
"Themenportal Global",
"Veröffentlicht"
] | [
{
"language": "en",
"title": "GISS Surface Temperature Analysis",
"text": "GISS Surface Temperature Analysis\nWhat's New\nMonthly Updated Analysis\nBackground\nThe NASA GISS Surface Temperature Analysis (GISTEMP) provides a measure of the changing global surface temperature with monthly resolution for the period since 1880, when a reasonably global distribution of meteorological stations was established. Input data for the analysis, collected by many national meteorological services around the world, is the unadjusted data of the Global Historical Climatology Network (Peterson and Vose, 1997) except that the USHCN station records included were replaced by a later corrected version. These data were augmented by SCAR data from Antactic stations. Documentation of our analysis is provided by Hansen et al. (1999), with several modifications described by Hansen et al. (2001). The GISS analysis is updated monthly.\nWe modify the GHCN/USHCN/SCAR data in two stages to get to the station data on which all our tables, graphs, and maps are based: in stage 1 we try to combine at each location the time records of the various sources; in stage 2 we adjust the non-rural stations in such a way that their longterm trend of annual means is as close as possible to that of the mean of the neighboring rural stations. Non-rural stations that cannot be adjusted are dropped.\nOur analysis includes results for a global temperature index as described by Hansen et al. (1996). The temperature index is formed by combining the meteorological station measurements over land with sea surface temperatures obtained primarily from satellite measurements (Reynolds and Smith, 1994; Smith et al. 1996). Any uses of the temperature index data, i.e., the results including sea surface temperatures, should credit Reynolds and Smith (1994) and Smith et al. (1996). (See references.)\nWe limit our analysis to the period since 1880 because of the poor spatial coverage of stations prior to that time and the reduced possibility of checking records against those of nearby neighbors. Meteorological station data provide a useful indication of temperature change in the Northern Hemisphere extratropics for a few decades prior to 1880, and there are a small number of station record s that extend back to previous centuries. However, we believe that analyses for these earlier years need to be carried out on a station by station basis with an attempt to discern the method and reliability of measurements at each station, a task beyond the scope of our analysis. Global studies of still earlier times depend upon incorporation of proxy measures of temperature change. References to such studies are provided in Hansen et al. (1999).\nAnnual Summations\nDiscussions of global surface temperature trends are available for 2004, 2003, 2002, 2001, 1999, 1998, 1997, and 1996.\nTable Data: Global and Zonal Mean Anomalies dT s\nAnomaly values indicate difference from the corresponding 1951-1980 means.\nGridded Monthly Maps of Temperature Anomaly Data\nUsers interested in the entire gridded temperature anomaly data may download the three basic binary files from our ftp site. Also available there are two sample FORTRAN programs, \"SBBX_to_1x1.f\" and \"sbbx2nc.f\", which demonstrate how you can extract gridded anomaly files for any month and year from the larger datasets.\nAnnual data files may be obtained from the ftp site's subdirectories bin, txt, and netcdf. However, these files are updated irregularly and may be withdrawn from the site without notice.\nAnomalies and Absolute Temperatures\nOur analysis concerns only temperature anomalies, not absolute temperatures. The temperature anomaly tells us how much warmer or colder than normal it is at a particular place and point in time, the 'normal temperature' being the mean over many (30) years (same place, same time of year). It seems obvious that to find the anomaly, you first have to know the current and normal absolute temperatures. This is correct for the temperature at one fixed spot (the location of one thermometer), but not true at all for regional mean temperatures.\nWhereas the individual reading represents just this spot but can be very different from nearby readings, the anomaly computed from those readings is much less dependent on location, elevation, wind patterns etc; it turns out to be representative for a region that covers several square miles. Hence we can combine anomalies from various stations to find regional mean anomalies. Regional absolute temperatures however cannot be obtained from observations alone. For a more detailed discussion, see The Elusive Absolute Surface Air Temperature.\nReferences\nPlease see the GISTEMP references page for citations to publications related to this research.\nCopies of many of our papers are available in the GISS publications database. Reprints not provided for download there may be obtaining by sending e-mail to Dr. James Hansen.\nContacts\nPlease address scientific inquiries about the GISTEMP analysis to Dr. James Hansen.\nPlease address technical questions about these GISTEMP webpages to Dr. Reto Ruedy.\nAlso participating in the GISTEMP analysis are Dr. Makiko Sato and Dr. Ken Lo.",
"url": "http://data.giss.nasa.gov/gistemp/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20050527204431/http://data.giss.nasa.gov/gistemp/"
},
{
"language": "en",
"title": "2006 Was Earth's Fifth Warmest Year",
"text": "2006 Was Earth's Fifth Warmest Year\nClimatologists at the NASA Goddard Institute for Space Studies (GISS) in New York City have found that 2006 was the fifth warmest year in the past century.\nImage right: The five warmest years since the late 1880s, according to NASA scientists, are in descending order 2005, 1998, 2002, 2003 and 2006. Credit: NASA\nOther groups that study climate change also rank these years as among the warmest, though the exact rankings vary depending upon details of the analyses. Results differ especially in regions of sparse measurements, where scientists use alternative methods of estimating temperature change.\nGoddard Institute researchers used temperature data from weather stations on land, satellite measurements of sea surface temperature since 1982 and data from ships for earlier years.\nImages above: The upper graph shows global annual surface temperatures relative to 1951 to 1980 mean, based on surface air measurements at meteorological stations and ship and satellite measurements for sea surface temperature. Over the past 30 years the Earth has warmed by about 0.6°C or 1.08°F. The lower image is a color map of temperature anomalies in 2006 relative to the 1951 to 1980 mean. Areas that were warmest in 2006 are in red, and areas that have cooled are in blue. Note that the Arctic has warmed significantly. These temperatures are for the calendar year 2006. Figures available as large GIF or PDF.\n\"2007 is likely to be warmer than 2006,\" said James Hansen, director of NASA GISS, \"and it may turn out to be the warmest year in the period of instrumental measurements. Increased warmth is likely this year because an El Niño is underway in the tropical Pacific Ocean and because of continuing increases in human-made greenhouse gases.\nImage left: The animation to the right shows a basic demonstration of the increase in annual mean temperature in ten year increments from 1891 through 2006. Warmest temperatures are shown in red. Animation available in MPEG-1 or H.264 QuickTime. Credit: NASA/GISS and NASA/GSFC/SVS.\nMost places on the globe have warmed in recent decades, with the greatest warming at high latitudes in the Arctic Ocean, Alaska, Siberia and the Antarctic Peninsula. Most ocean areas have warmed. Climatologists say that warming is not due to local effects of heat pollution in urban areas, a point demonstrated by warming in remote areas far from major cities.\nImage above: This graph shows temperature changes since 1950 for both the entire world and just for the low latitudes (23.6° North to South). Since 1950, world temperatures rose by 0.6°C (1.08° F) while the low latitude temperatures rose by 0.4°C (0.72°F). Blue semi-circles mark La Niñas, red rectangles mark El Niños, and green triangles mark large volcanoes. Figure available as large GIF or PDF. Credit: NASA.\nIn their analysis for the 2005 calendar year, GISS climatologists noted the highest global annual average surface temperature in more than a century.\nSee Also\nNews Release: 2005 Was Warmest Year in Over a Century\nGISS Datasets: Surface Temperature Analysis\nMedia Contacts\nLeslie McCarthy, NASA Goddard Institute for Space Studies, New York, 212-678-5507\nThis page originated as a NASA Portal GSFC Top Story.",
"url": "http://www.giss.nasa.gov/research/news/20070208/",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070214031135/http://www.giss.nasa.gov/research/news/20070208/"
},
{
"language": "en",
"title": "Met Office: News release",
"text": "2007 - forecast to be the warmest year yet\n4 January 2007\n2007 is likely to be the warmest year on record globally, beating the current record set in 1998, say climate-change experts at the Met Office.\nEach January the Met Office, in conjunction with the University of East Anglia, issues a forecast of the global surface temperature for the coming year. The forecast takes into account known contributing factors, such as solar effects, El Niño, greenhouse gases concentrations and other multi-decadal influences. Over the previous seven years, the Met Office forecast of annual global temperature has proved remarkably accurate, with a mean forecast error size of just 0.06 °C.\nMet Office global forecast for 2007 Global temperature for 2007 is expected to be 0.54 °C above the long-term (1961-1990) average of 14.0 °C;\nThere is a 60% probability that 2007 will be as warm or warmer than the current warmest year (1998 was +0.52 °C above the long-term 1961-1990 average).\nThe potential for a record 2007 arises partly from a moderate-strength El Niño already established in the Pacific, which is expected to persist through the first few months of 2007. The lag between El Niño and the full global surface temperature response means that the warming effect of El Niño is extended and therefore has a greater influence the global temperatures during the year.\nKatie Hopkins from Met Office Consulting said: \"This new information represents another warning that climate change is happening around the world. Our work in the climate change consultancy team applies Met Office research to help businesses mitigate against risk and adapt at a strategic level for success in the new environment.\"\nReview of 2006 in the UK\nThis startling forecast follows hard on the heels of news that 2006 was the warmest year on record across the UK.\nFor 2006, all UK data have now been gathered, revealing a similar story to that of Central England Temperature already announced last month.\nFor the whole of the UK, 2006 was the warmest year on record with a mean temperature of 9.7 °C, 1.1 °C above the 1971-2000 long-term average. Ranked warmest years in the series going back to 1914 are:\n2006 9.73 °C\n2003 9.51 °C\n2004 9.48 °C\n2002 9.48 °C\n2005 9.46 °C\nMean temperature, sunshine and rainfall for regions of the UK compared with the long-term average UK regional averages for 2006, anomalies with respect to 1971-2000 Region Mean temp Sunshine Rainfall Actual\n[°C] Anom\n[°C] Actual\n[hours] Anom\n[%] Actual\n[mm] Anom\n[%] UK 9.7 +1.1 1,507 113 1,176 104 England 10.6 +1.2 1,638 112 8,51 102 Wales 9.9 +1.0 1,534 113 1,420 99 Scotland 8.3 +1.1 1,300 112 1,652 109 N Ireland 9.6 +1.0 1,409 115 1,156 104\nAutumn 2006 (September to November) was also exceptionally mild over many parts of Europe at more than 3 °C above the climatological average from north of the Alps to southern Norway. In many countries it was the warmest autumn since official measurements began.\nNotes:\nThe Met Office is the UK's National Weather Service, providing world-renowned scientific excellence in weather and climate change.\nMet Office climate change consultancy provides data and risk-management services that are used by other government departments and agencies, the private sector and the public to mitigate and adapt to climate change.\nMet Office Hadley Centre for Climate Change is funded by Defra and the MoD.\nThe 95% confidence range of the global forecast is that the temperature will lie between 0.38 °C to 0.70 °C above normal.\nKey to graph:\nRed bars represent the global temperature value for each year.\nThe blue line is the 10-year running average.\nThe green bar is the 2006 value (still provisional at this stage).",
"url": "http://www.metoffice.gov.uk/corporate/pressoffice/2007/pr20070104.html",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070106024425/http://www.metoffice.gov.uk/corporate/pressoffice/2007/pr20070104.html"
}
] |
en | Hackers try to use German Wikipedia to spread links to malicious code |
The German version of the encyclopedia Wikipedia, has been used in an attempt to spread a "malicious code" which would unleash a virus on to personal computers worldwide.
200px
The page titled: "W32.Blaster" (link in German) was edited in a way where a link was placed in the article directing users to a site where an alleged fix for the Lovesan/MS Blaster worm, but the fix turned out to be false and the file was considered "malicious." Computers that were target would receive e-mails from what appeared to be the ''Wikipedia.org'' website telling them to download the fix and including a link to it.
"The good news is that the authorities at Wikipedia quickly identified and edited the article on their site," said senior technology consultant at Sophos anti-virus, Graham Cluley.
Although the edit has since been reverted or removed, until recently the edit remained in an archived version of the page; eventually, the archived version was also removed.
"A version of the page remained in the archive, allowing the hackers to send out spam and continue to direct visitors to the malicious code," added Cluley.
It is not known how many computers have been affected by the worm, if any at all. It is also not known when the edit was made and how long it was active on the site before it was deleted. However it appears that it was deleted on October 31, as the page was partially deleted on that day twice, according to log files ( english translation courtesy of google translate).
| [
"World",
"Science and technology",
"Internet",
"Germany",
"Wikipedia",
"Spam"
] | [
{
"language": "en",
"title": "Wikipedia used to spread malicious code",
"text": "Wikipedia used to spread malicious code\nA Wikipedia page has been used by hackers in an attempt to spread malicious code.\nThe entry for the W32.Blaster worm in the German version of the popular online encyclopedia was altered to include false information about a new version of the Lovesan/MS Blaster worm, with links to a supposed fix. The fix was actually a piece of malicious code, according to anti-virus vendor Sophos.\nIt's not clear how long the vandalized page was live, but the editors of Wikipedia.de moved quickly to delete the links once they were discovered.\nHowever, because Wikipedia archives old versions of articles, the hackers were still able to send links to the archived entry through a mass-mailed e-mail. This e-mail purported to be from Wikipedia, and directed German users to the fraudulent Lovesan/MS Blaster entry. Because the e-mails linked to a legitimate website, they were able to bypass some anti-spam solutions, Sophos reported on Friday.\n\"The good news is that the authorities at Wikipedia quickly identified and edited the article on their site,\" said Graham Cluley, senior technology consultant at Sophos. \"Unfortunately, however, a version of the page remained in the archive, allowing the hackers to send out spam and continue to direct visitors to the malicious code.\"\nWikipedia confirmed that it has now permanently erased all versions of the page, according to German news site Heise Online.\nTom Espiner of ZDNet U.K. reported from London.\nCopyright ©1995-2006 CNET Networks, Inc. All Rights Reserved. Used by permission.",
"url": "http://www.usatoday.com/tech/products/cnet/2006-11-06-wikipedia-virus_x.htm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070518181247/http://www.usatoday.com/tech/products/cnet/2006-11-06-wikipedia-virus_x.htm"
},
{
"language": "en",
"title": "Virus creators target Wikipedia",
"text": "The fake page was publicised via a spam e-mail\nThe virus writers created a page on the German Wikipedia that linked to a fake fix for a new version of an old malicious Windows worm.\nBut instead of curing a bug, those installing the fix would be infected by a new Windows virus.\nThe booby-trapped page on the German version of the online encyclopaedia has now been removed.\nCleaning up\n\"The very openness of websites like Wikipedia - which allow anyone to edit pages - makes them terrific, but can also make them less trustworthy,\" said Graham Cluley, senior technology consultant for Sophos. \"In this case, the article in question wasn't just misleading, it was downright malicious.\"\nThe page hijacked by the virus creators was about a new variant of the Windows Blaster worm. This malicious program debuted in 2003 and caught out many PC users.\nIncluded on the page was a link to a supposed patch that, once downloaded and installed, would protect against this new version. However, anyone installing this on a Windows machine would infect themselves with a virus.\nThe malicious hackers behind the fake article then sent out a German-language spam e-mail with a message crafted to look like it came from Wikipedia. The message directed people to the booby-trapped page and the fake fix.\nBy piggy-backing on the good name of Wikipedia the message got past e-mail filters that would otherwise have cleaned it up.\nIt is not thought that many people fell victim to the booby-trapped page or downloaded the dangerous file.\n\"The good news is that the authorities at Wikipedia quickly identified and edited the article on their site,\" said Mr Cluley.\nArchived versions of the booby-trapped pages have also been deleted.",
"url": "http://news.bbc.co.uk/2/hi/technology/6120268.stm",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20070103111706/http://news.bbc.co.uk/2/hi/technology/6120268.stm"
}
] |
fr | LNH : Scheifele est relégué aux rangs juniors | Mark Scheifele est renvoyé aux Colts de Barrie.
À l'instar de la saison dernière, l'attaquant Mark Scheifele des Jets de Winnipeg est renvoyé à son équipe junior, les Colts de Barrie. Scheifele n'a cumulé aucun point en quatre rencontres avec les Jets.
| [
"Amérique",
"Amérique du Nord",
"Canada",
"Manitoba",
"Winnipeg",
"Ontario",
"Barrie",
"Sport",
"Hockey sur glace",
"Ligue nationale de hockey",
"Saison 2012-2013 de la Ligue nationale de hockey",
"Ligue canadienne de hockey",
"Ligue de hockey de l'Ontario",
"Colts de Barrie"
] | [
{
"language": "fr",
"title": "Scheifele retourne à Barrie",
"text": "Mark Scheifele Photo : PC/Chris O'Meara Mark Scheifele Photo : PC/Chris O'Meara\nLa marche est haute pour l'attaquant Mark Scheifele entre les rangs juniors et la Ligue nationale. Pour une deuxième année de suite, les Jets de Winnipeg le renvoient à son équipe junior.\nÀ part l'avion qu'il prendra pour rentrer à Barrie, en Ontario, c'est en autobus que Scheifele effectuera ses déplacements liés au hockey pour le reste de la saison.\nEn quatre matchs avec les Jets en 2013, Scheifele a été blanchi de la feuille de pointage. La saison dernière, c'est après avoir joué sept rencontres que le tout premier choix des Jets (7e au total en 2011) avait été retourné aux Colts pour y poursuivre son apprentissage.\nLes Jets (4-4-1) partagent le 8e rang dans l'Association de l'Est à égalité avec les Islanders de New York.\nKiprusoff blessé\nLe gardien des Flames de Calgary Miikka Kiprusoff souffre d'une blessure au bas du corps. Il l'a subie mardi soir dans la victoire de 4 à 1 sur les Red Wings de Détroit.\nKiprusoff, qui a disputé 70 matchs ou plus au cours des sept dernières saisons, avait quitté la rencontre après la deuxième période. Son état de santé sera réévalué sur une base quotidienne.\nDu coup, les Flames se sont dotés d'une assurance en embauchant Danny Taylor. Ce dernier a signé une entente à deux volets d'un an évaluée à 525 000 $.\nTaylor a passé les deux dernières saisons avec le Heat d'Abbotsford dans la Ligue américaine. Cette saison, il affiche une moyenne de 1,77 et un taux d'efficacité de ,930.\nTaylor est un choix de septième tour (221e au total) des Kings de Los Angeles en 2004.\nPortefeuille de Dubinsky allégé\nL'attaquant Brandon Dubinsky des Blue Jackets de Columbus a reçu une amende de 10 000 $, mercredi, après avoir été trouvé coupable d'un assaut à l'endroit du défenseur Rob Scuderi des Kings de Los Angeles.\nLe coup violent donné contre la bande a été porté durant le match de mardi soir. Sur le fait, Dubinsky s'était vu décerner une pénalité majeure de cinq minutes et une inconduite de match.\nLa somme représente l'amende maximale prévue selon la nouvelle convention collective en vigueur dans la LNH. L'argent sera versé au Fonds d'urgence de l'Association des joueurs.",
"url": "http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2013/02/06/002-lnh-jets-scheifele.shtml",
"archive_url": "https://web.archive.org/web/20140209191629/http://www.radio-canada.ca/sports/hockey/2013/02/06/002-lnh-jets-scheifele.shtml"
}
] |