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PREMIÈRE PARTIE.
L'indépendance luxembourgeoise
PREMIÈRE PARTIE.
1875-07-30T00:00:00
Jean Joris
fr
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Sweater in fiuycmBurg. # on «ta g, ben 17. gteftatat 1878, Sefcte SorfleKung. 3«m erften Sttaïe ©attg neu! ®anj neu! Hôtel Klingebusch Origlnat=SBoIf8ftftd mit ®efang in 3 Slften unb 5 Silbern, non 31. Âneifel unb @. ^acobjon. 3Jîuftï non ©. SDÎtdjaeltê. 1. Silb : ©in geplagter ©Ijemann. 2. „ ©er Sôroe ift Io§. 3. „ ©in melandjolifdjer SBeinreifenber. 4. „ Sa ter unb TOutter. 5. Sôljmifdje ÜWufiïanten. Âaffenèffnung 7 Ufjr. — Anfang 8 Uïjr.
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Jean Joris
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M. MICHEL DENTISTE, diplômé de Namur, a l’honneur d’informer sa olientèle, qn’il pourra être consulté à l’HAtel de Cologne à Luxembourg, le Mardi, 5 mars et Mercredi, 6 mars. Spécialité de dents et de dentiers. SUCCÈS GARANTI. Dépôt de poudre et d’élixir dentifrix chez MERSCH-ADAM & Luxembourg. 8217
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Jean Joris
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ESCARGOTS DE BOURGOGNE. ! GHAl# ROUJSliE PIEDS DE PORC , etc. Déjeuners et Dînm à toute heure R^stanration à carte. Qambre pour mapin. AUBUIITIW, 3'374 Restaurateur, rue Chimay. VINS DE BORDEAUX S CH. ds RÂNCQURT FOURNISSEUR BREVETÉ OE LL MM. la Rains de Hollande, la Roi de Suède et Norwége, le Roi de g Portugal ot do S. A. R. Mgr le Prince Frédéric de» Pays-Bas. Yms ta et ordinaires envoyé directement de Bordeaux. Représentant pour le Grend-Ducbè de Luxembourg : A.-J. FOSTROY-BOUR à Flrtott. 2839 Vente publique d’un Train d’AgricuIture à Hcfileventipff, près de Leudelange. Le landl 25 et le mardi 26 février 1878, à 10 heures du matin, M. MUIiIiEB, fermier à Sch’.evenhoff fera vendre par adjudication publique, à crédit pour les personnes connues, un train d’Agrleuiture ; notamment : 16 chevaux dont 3 juments pleines, 4 chevaux de 3 ans, 1 étalon, 4 hongres, 2 poulains de 2 ans et denx d’un an. 45 bêtes à cornes : 17 vaches laitières, accompagnées de leurs veaux ou pleines, 7 génisses pleines, 12 génisses d’un an à un an et demi, 4 taureaux. 35 pores: 5 truies avec leqrs, petits, 6 truies pleines, 2 jeunes verrats, 22 autres pores. 30 oies, 40 canards, 130 ponles. 4 charriots, 6 charrues, 4 herses, 1 charrette, 2 tombereaux, 1 char-à-banos, 2 rouleaux, 2 grands vans, harnais pour 12 chevaux, 1 machine à battre, un alambic avec accessoires, 10 hectolitres d’ean-de-vie. 2 armoires, 1 garde-manger avec portes vitrées, etc., etc. Les articles de moins de 10 francs sont à payer comptant. Kœrich, le 5 février 1878. 3269 Edouard H EMMER, notaire! ClfANTIEB Veuve S IEG EN -GO NT 1ER A AAS*EUSI Bol« Jouit préparé ET MONTÉ AU GRENIER. (jm l wr ©ci mise as* QUARTIERS DE HÊTRE Sciés en 6 morceaux de 20 centimètres, à 3 Fr. 40 le rang do 1 mètre carré. (Les 10 rangs font une corde de bûches et l/io en sns). Les personnes qui prendront IO rangs à la fois ne paieront que 3 fp. SO par rang (39 Fr. la corde). S’adresser au chantier même, avenue Monterey, ou (par écrit) & la ligne du Tramway, principalement au bureau dn Puits-Rouge. Détail au chantier et rua de la Montagne (Hosgegessel). 8214 33 V|o ©tyceriiM^eljalt. ®er ©ebtauclj biffer oor$ügttd) rooIjIrte(§enben Seife fdjüfet am fldjerften gegen bie fdjüblidjett ©inflüffe ber ßütte auf bie §aut, fie mad£)t ftd^ ber ©amenweït überall unentbeljrlid). ©tnjigeS SDepôt für Liiembam bd Isidore Mersch» ©ben bafelbft erljütt man bie berühmten unb Srjtltdj anem= pfohlenen ^Kcbicintf^etî ^fpcertn-^etfett mit garantirtem Spalte non ÇÇeer, gatBof, §aticpt, gawpÇ«, gQrnfet u. 3ebe8 ©tüd hat ben tarnen be8 $a= brifanten eingepre^t. Sßtebertierüiufern SRafiatt. F» MARIA FARIHA, 3250 91r. 4711 in £5 lit. LA ROCHETTE, J’ai l’honneur d’informer le publie, que je viens de reprendre rilétel de la Poste tenn antérieurement par Madame Veuve MICHELAU. Mes efforts tendront à assurer & mes honorables clients un service aussi confortable que bon marché. Laroohette, janvier 1878. I J.-P. KAISER, Fils.
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Jean Joris
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$awefl)iiiti!te» ^érjïeigerttnô. 2tm SDlontag, ben 18. gebruar t. 9)ît3., roirb bie SDontcmen ; SSertoaltung be§ ©ro^he^ogthumê Supentî bürg, öffentlich nerfteigern laffen : 338 ÿoWelMume, non 1ml 5 Bi§ lm70 Um; fang, auf ber alten Dienlicher; Strafe, jrotfdjen ©anbroetler unb Dettingen unb jtmfcfien ipieitringen unb ©iferep. SDie SBerfteigerung finbet an Ort unb ©teile ftatt unb beginnt genau um 9 Uhr Borgens bei ©ilerep. ßujemhurg, 11. geBtuar 1878. Oer Oomänen;(fmpfänger, 3278 ^aufwatt. ^erffeiflentttg. 2lm SDonnerftag, ben 21. Çebruar I. 20113., mirb bie Oomänen ; Vermattung be8 ©rof$ergogtljumg Supern; bürg, öffenttidj nerfteigern laffen : 100 fispeln, non lm18 Umfang, auf ber «Strafe non Snpemburg naä) £rier, groif^en ©enningen unb 9lieberannen. 5Die Verfteigerung finbet an Ort unb ©teile ftatt unb beginnt genau um 2 Uhr Vadhmittagg. SuyemBurg, 15. gebruat 1878. Oer ®omänen;@mpfänger, 8288 CHANTIER de Bois de chauffage, Houille <fc Çoack BHUJV-FOULOT. Quartiers de hêtre, sciés en 5 morceaux de 20 centimètres, à 8 frs. 50 le rang de 1 mètre carré, monté au grenier. Les personnes qui prendront 5 rangs à la fois (une i/s corde) ne payeront que 17 frs. Houille de Loulsenthal 1” qualité, à J 5 frs. les 500 kilos. Coack de bonne provenance à 16 frs. les 500 kilos, le to'.t rendu & domicile. S’adresser ou chantier même, Porte ie Thionville près l'octroi, où à M. Brun-Foulot, rue de la Loge, N" 10 (maison Fendius). On reçoit les commandes au Grund, ville-basse, chez Monsieur Pondront. Df rai! au Chantier et rue de la Loge §928
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Jean Joris
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Etude de M* FROMHOLT, notaire h Sierck. Le jeudi, 21 février 1878, à 1 heure de relevée, à Sierck, Il sera procédé par le ministère dudit M* Fromholt, à la location pour 6 ou 9 années consécutives, 10 D’une maison avec toutes ses dépendances , pouvant servir à toute espèoe de commerce, située à Sierck, rue Porte de Trêves ; a” De Täte MtlssBls à proximité de la dite maison, comprenant écuries, remises et magasins à grains, et 30 D’un petit jardin. Dépendant de la succession de M. Nicolas Schneider, en son vivant aubergiste et marohand de grains. L’entrée en jouissance est fixée au 15 avril 1878. 8230 A LOUER une chambre garnie chez J. KNEBGEN, 1 2, rue Beck. 8280 A liOITFR la MAISON N° 6, rue Genistre. I to M, JULIEN DENTISTE est visible chez M. WAWER, à l’Môtel des Ardennes, rue de Chimay, les 2. Mercredi et Jeudi de chaque mois, ot au besoin log jours mlvontz. 8215 A LOUER 2 chambres garnies an second, 42, Rue St-Philippe. 3247 ITSiT Un très-bon petit cigare. à frs. 4 le ÎOO. 2686 Ch. BOUGON. iTllîyi rir Di conpr-tailta Mits ayant fait ses études à Paris et possédant de bons certificats, désire trouver emploi. S’adresser & Michel 8AUR- WEIN à Biver (canton de Gre- venmacher) Luxembourg. 8234 A LOUER ù 9 kilomètres de Luxembourg une ferme de IOO hectares, dont 28 hectares do prairies. S'adresser à M. de Colnet, Directeur fie l’Athénée, B UM BORDEAUX Rouges et Mânes Fins et ordinaires Envoyés directement de Bordeaux. F. Thessaiiu BoUiier, Associé de la Maison Ve Dejean le Eglla eî Fils, Propriétaires de vignobles, A BORDEAUX 81, rue David- Johnston, 8218
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Jean Joris
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Ancienne Maison C. THIRY FONDÉE EN 1887. Confectionne uSP . m Expédie les billards à en province l’instar le plus *JfS§= e( ^ moderne. l’étranger. FABRIQUE DE BILLARDS & ACCESSOIRES. E. WOÜTERS, fournisseur breveté de S. A. R. Msgr. le comte de Flandre, Atelier et Magasin rue des Six Jetons, 43, BRUXELLES. Pour de plug amples renseignements, s’adresser à i’IVdt«! Braa- ¦eur on h i’expMltlàB. 9009 COMPTOIR COMMERCIAL \a.uih 8, RUE BAS DE LA PLACE, 8. Vente et achat de propriétés, location d’immeubles et quartiers, remise d’établissements et fonds de commerce. Tont employé ou domestique des deux sexes reoom- mandables peuvent aussi se présenter au comptoir commercial, soit directement ou par écrit, ils y trouveront toujours des places vacantes. Joindre timbre pour réponse. 8252
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$efamtlma(!)img+ ; ff Jlnftattf ju ben Çôd^ften greifen non gefunben unb unbrauchbaren Vferben, roelcbe jum 2lbfdjla<h= ten beftimmt flnb. ©a§ non bic= fen Vferbeu herruhreube 5lc'f^ roerbe tdj in hleftger Stabt uer= laufen. Jos. Salomon, Vferbetnehger, Vreitenroeg, in Supemburg. 3282 Quartier garni à louer Maison Eisbxbach, Grand’ruc. 3276 DS BEAU QDARTIS8 de six chambres sur le derrière, avec cave et grenier, à louer pour le lw mars prochain. S’adresser Marché-aux-Herhes, N* 7. 8082 Modes* Maison de 1er ordre à reprendre. 2500 frs. de marchandises. Conditions avantageuses. Belle clientèle. S’iî dresser me de la reine, N° 2, à Luxembourg. 3267 Oranges d’Espagne à 3 S©U8 la pièce, chez B0935IAÜ-J0IU1O. 3816 A VIS. Maison Van Acker MUSIQUE & PIASOS Choix de pianos aux prix les plus avantageux. Pianos droits d’étude, à partir de 500 frs Pianos droits, cordes obliques et croisées, système américain, & partir de & 1800 1rs. Nouveautés musicales * Valse de Jules Klein. Larmes de crooodile, etc., eto. V*lse des cloches de Corneville. «La Bohémienne*. Airs nationaux. Avenue Monter og. A LOUER le Premier étage de la maison DITSCH, composé de 5 places aveo cave et grenier, Marché-cux-PoIsson*. 8197 AVIS. J’ai l’honneur d’informer le public, que je viens de m’établir en cette ville, comme Vitrier-Encadreur. Tous les ouvrages concernent mon état seront consciencieusement exécutés et aux prix les plus modérés. Joseph Wierschem, Vitrier-Encadreur. W S’adresser pour les commandes, maison WIERSCHEM, rie aux Charbons, N» 2. 8246
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Jean Joris
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J’ai l’honneur d’informer le public, que je viens de reprendre l’Hôtel DU COMMERCE tenu antérieurement par M. Weber Mes efforts tendront à assurer & mes honorables clients un service aussi confortable que bon marché. Jacques BACKEN, Avenue de l’Arsenal, Luxembourg. W On prend des pensionnaires. 3272 HW" tëtprren "Hf ©ntpfeïjle fotgenbe gttf a5- gefagetfe § {garnit: La Golondrina fr. 3 25/ s Londres „ 8 75 j § La Favorita . . „ 4 00 j La Viotoria(1870) 4 5o(| ferner à fr. 5, 5.50, 6, 6.50, 7, 8, u. f. m. ba§ §utt= bert. — 3m Staufenb billiger. Ferd. KREMER, Suyemburg (©taufen). ât. vendre une terre drainée, mesurant 4 hectares environ, située au-delè du chemin de fer, entre Hollerich et la hauteur de Gasperich, clôturée de haies et palissades, plantée en avennes et parc, en divers espèces d’arbres, parmi nombre d’arbres fruitiers, pépinières, puits sur source très- abondante et intarissable, 2 lo- gettes et 2 bassins recueillant les eaux, très-propre à y bâtir une maison de campagne on villa, qui jouirait d’une vue magnifique très- étendue. Pour voir la propriété et connaître le prix et conditions, s’adresser au sr Henri Drlrahsje, Place d’ Armes, à Luxembourg. 3249 Charles CROCIUS Notaire, Avenue de l'Arsenal (Maison Ferrant) 3243 LUXEMBOURG. A vendre à bas prix une Machine à vapeur horizontale de 12 chevaux, ayant fort peu servi. S’adresser à Norbert REUTER et Comp. & Luxembourg. 8259 1 F/N. Les personnes qui auraient des réclamations â faire contre M. Pierre-Mathieu HEUARDT, propriétaire à Bettembourg, sont priés de les adresser â son frère Eugène HEUARDT, propriétaire, au même lieu. 8271 A VIS. Le soussigné a l’honneur d’informer le public qu’il se charge de toute s le» commissions et commandes pour Metz et Nancy. Il part une fois par gemeine le samedi soir. Les personnes qui désirent le oharger de commissions sont priées de s’adresser & son domicile. MALRTiXFR 311!) Rne, ,de U. Trinité, 4, A liOUEÏt Plusieurs quartiers dont nn aveo ATELIER. S’adresser à M. Weller, Bêle! dœ Commerce, SOS! Aïm>t(i î!<b î’â.psoast,
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Jean Joris
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Les Modes Parisiennes Bureaux : St, rue de Verneull, Parle. Les Modes Parisiennes sont le plus richement illustré des jour- naux de modes, grâce à une collaboration recrutée exclusivement parmi les premiers artistes. Des traités spéciaux, conclue aveo iss premières maisons de Paris, permettent en outre aux Modes Parisiennes de publier, bien avant les autres journaux, les modèles nouveaux de chaque saison et de ne donner que des modèles de ohoix, d’une élégance et d’un bon goût irréprochables. PRIX D’ABONNEMENT PREMIÈRE ÉDITION DEUXIÈME ÉDITION COMPRENANT COMPRENANT 10 Chaque semaine, un Numéro 10 Chaque semaine le Numéro de de huit pages, illustré de eom- huit pages comme la première breuses grp’-ures; édition; 2« Chaque mois une double plan- 2« Chaque mois la double planche de Patrons, en grandeur ehe de Patrons; nataroile, permettant d’exécu- 8° Chaque semaine une magnifique ter soi-même les toilettes re- gravure sur acier, coloriée et présentées par les gravures. imprimée sur papier de luxe. Angleterre, Belgique, Espagne, Angleterre, Belgique, Espagne, Hol.ande, Italie, et tous les pays Hollande, Italie, et tons les pays faisant partie de l’Union générale faisant partie de l’Union générale des postes, des postes. Un ntt : 80 fr. — Six mois : ÎO fr. Ue an : 80 fr. — Six mois : t» fr. Trois mois : 4 fr. Trois mois : 8 fr. *0. Un numéro spécimen est envoyé gratuitement à toute personne qui on fait la demande par lettre affranchie ou par carte postale. Les demandes d’abonnement doivent être aoeompagsêes d’un Mandat- Poste et adressées i M. i® Dteeetèisr des Modes Parisienne», 1% rue de Veneaffi, I Pr.ri*c
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Jean Joris
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newspaper/indeplux/1878-02-17_01
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La question d'Orient.
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La question d'Orient. Un nuego d’une intensité croissante piano toujours sur les affaires d’Orient 1 nous avons cependant des raisons d’orpérer qu’avant vingt-quatre heures il filtrera de cette obscurité épaissie des rayons de lumière suffisants à nous montrer lu solution probable. Nous n’en sommes encore qu’aux conjectures ; malgré cela, d’eprô* des ouï-dire qui ne manquent pas d’autorité et d’après nos propres impressions, notre penchant est de fermement eroire que la paix, une paix directe, entre la Russie et la Turquie est prochaine, si elle n’est chose accomplie sens retour. Depuis trois jours, le bruit d’une alliance offensive et défensive entre la Russie et la Turquie s’est répandu en Europe ; comme tout le monde, nous l’avons enregistré. A procéder ainsi, la Turquie serait sage ; elle prendrait conseil de son intérêt, et l’intérêt est la seule considération qui soit pour un peuple un mobile légitime. En opèrent cette subite et étonnante conversion, est-ce que !» Turquie serait ingrate envers les gouvernements qu’elle froisserait le plus? Quels services a-t-elle reçus de l’Europe dans eette effroyable, longue et scnglante crise? On lui a donné des avis ; on i’a excitée à la résistance ; on lui » fait nettement entrevoir des secours effectifs ot pois tout s’est évaporé en négations et en abstentions honteuses, pour ne point dire iâches! La Turquie a éfé dupe, e’est olair; sans de fallacieuses promesses et sans de perfides exhortations, elle n’eût pas sceepté une guerre dont pour elle l’issue devait être un déplorable amoindrissement. Eclairée par eette amdro expérience, elle se ravise, elle se retourne, elle entre, dit-on, en d’autr8S voies ; elle est prête à sacrifier à un vrai et !oy«l ennemi de faux et hypocrites ami?. Qui pourrait l’en blâmer? Le eoup est hardi, mais il est bien joné. En somme, lés hommes d’Etat tares, lesquels sont intelligents et de grande expérience, ne peuvent se dissimuler que l’heure a sonné pour les Ottomans de se replier sur l’Asie, en laissant anx diverses race« chrétiennes, longtemps opprimées et pressurées, les lieux où, depuis 1453, campe la race f orque, injustement et eruollemeni dominatrice. Eh bien! ne vaut-il pas mieux opérer ee mouvement de fatale et nécessaire retraite avec le concours de la Russie que sous l’équivoque et coûtante protection do l’Angleterre P Et cette protection, aujourd’hui, à quoi sert- elle ? Bientôt l’Angleterre n’anra que trop d’embarras, de labeur et de charge, & se protéger elle-même ! Si, comme la rumeur s’en aeerédite, les Russes et le» Tuns se mettent d’accord, que devient l’espér nee intime de l’Angleterre de so dédommager de tant de déceptions par l’oeeupation de l’Egypte ? L’Angleterre pent-ello détenir l’Egypte, accessible et envshiBBable par terre, le jour où use armée russe aura la route ouverte par l’Asie- Mineure et par la Syrie f Notre époque, qui a vu tant de choses prodigieuses, n’est pas an bout de ses étonnements. On s’est aeeouiuœé à dire que 1* iutte suprême entre la Russie et l'Angleterre aurait pour théâtre les Indes. Qui seit? ee théâtre, l’Egypte la sera peut-être deraein. Ce serait îs campagne du Nézib et de Konjéh retournée. N’anticipons nés sur les secrets de la destinée; mais s’entendre avec une sfoïque résignation, quand on est bstts, avec son vainqueur et son c.pperent maître, e’ost nne inspiration de bon sons viril qui nous séduit. La face du monde se trouve transformée, si les Russes et les Turcs nouent l’allianse, dont le retentissement, depuis quarante-huit heures, émeut et sgita PEorope. Nous aussi, Français, nous fûmes abandonnés, délaissés par tout le monde en 1870 et livrés au pire sort, à une détresse lamentable, à des extrémités que nos pères no connurent jamais. Ah ! si dans eette heure de désolation infinie un homme d’Etat s’était rencontré pour rocs orienter vers un pôie nouveau, quelle omnipotence sursit succédé soudain à notre abaissement 1 Un seul homme en conçut l’idée, nu homme original, imprévu, herdi psr desens tour, jamais désarçonné, jamais à court de conceptions, heureuses et nenves, contempteur du vil et sot quand dira-t-on , maître do la foule qu’il méprise ! On a nommé M. Etnile de Girardin. M. Emile de Gsrardïn ne fut point entendu. C’est tant pis; et cela prouve qu’il y a moins de bon sens politique sur les bords de la Saine que sur Ses rives du Bosphore 1
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Jean Joris
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9ARTICLE
719
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Situation Météorologique d’hier.
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Situation Météorologique d’hier. SITUATIOH. BA*. TH1RK. VESTS. CIBL. 766.7 8*. 7 SO faib. t. nuag. Le Havre... 768 6 6*.0 SO mod. oouv Cherbourg... 762.3 8*.0 S faib. brum. Borueoua.... 787.9 9‘.0 NO faib. nuag. Biatxitz 767.0 U'.O nul. C0Uv Marseille.... 768.1 8 .3 NE faib. beau. Valenti*. . . . 764.4 10- 0 SO a. fort. t. nuag. Bruxelles.. . . 766 7 8" 2 S mod. 00uv Stockholm. . . 762.6 -2 .5 0 mod. brouil FStorihourg 769.4 -16 0 ONO t. faib. nuag*
1878-02-17T00:00:00
Jean Joris
fr
9ARTICLE
86
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newspaper/indeplux/1878-02-17_01
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THERMOMÈTRE.
L'indépendance luxembourgeoise
THERMOMÈTRE. aiauinnt. onunrs, 6 7 heures du matin.. 6.4 8.0 » 9.0 11.2 „ 6 heures du soir ... 6.5 8.0
1878-02-17T00:00:00
Jean Joris
fr
9ARTICLE
21
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Constantinople et Gallipoli.
L'indépendance luxembourgeoise
Constantinople et Gallipoli. A l’est et au sud d’Andrinopie, la Roumélie forme une va te voilée, srrosée en tous sens par la Maritza et ses affluents. Cette vallée est limitée au Nord par les derniers contre-forts du Balkan, bu sud per des collines longeant les eûtes de la mer de Marmara, à l’ouest par la chaîne plus importante du Rhodope. Le pays est découvert et légèrement ondulé. Il serait d’un parcours toujours facile si, depuis la construction du chemin de fer d’Andrinopie à Constantinople, l’inecrre des Turcs n’avait laissé les autres voles de communication dans un tel état d’abandon qu’elles sont devenues impraticables, même pendant la belle saison. D’Andrinopie A Constantinople, il n’y a pas, en ligne droite, beaueonp pins de 200 kilom. Mais les détours de la >vole ferrie portent à 292 kilomètres la distance réelle entre ses deux villes. Au sortir d’Andrinopie , le ehemin de fer suit d’abord la Maritia pendant une quarantaine de kilomètres, jusqn’à la station de Kouléli-Bourgaz. Là, la voie se bifurque : un embranchement continue à descendre la Maritza ; il atteint l’arehipel au petit port de Dedeagh, non loin cTEnos, après nn parcours total de 149 kilomètres depuis Andrinople. L’autre embranchement s’infléchit vers l’Est, pénètre & Uznm-Kopri dans la vallée d’un affluent de gauche de la Maritza, l’Erghéné, longe eette rivière jusqu’aux environs de Tehorlu et parcourt ensuite, à l’entrée de la presqu’île de Constantinople, un plateau peu élevé formant la ligne de partage entre les eaux qui vont ft l’ouest, rejoindre la Maritza et celles qui, du eêté opposé, sont tributaires du Bosphore. Sur ce plateau ee trouve la ville ou, plus exactement, la bourgade de Tohataldja qui, bien que située à plus de 40 kilomètres do la capitale à vol d'oiseau, forme, avec les bourgades voisines de Buyok-Tohekmedjé, Kutohsk Tehekaaedjê et Terkos, an saxdjak ou arrondissement, constituant ee que l’on appelle administrativement la banlieue de Constantinople. Au-delà de Tahafaîdja, le chemin de fer prend la direction du Sud, fait de nombreux détours pour contourner les lagunes dont nous parierons dans un instant, atteint le littoral de la mer de Marmara et pénètre enfin dans Stamboul, où il finit à la gare de Sirkédji-Iskêkssi. Indépendamment du chemin de fer, deux voies de terre, à peu près impraticables, conduisent d’AndrinopIo à Constantinople. La plus méridionale passe par Hsfzs, Louli-Bourgaz. Tehorlu et Silivri, où elle atteint le littoral de la mer de Marmara, qu’elle suit, par Bnyok et Kuichak- Tcbekraédjô jusqu’à Constantinople. L’autre route passe par Kir-KiHsi, Yisa et Tohataldja; c’est celle que prit Méhémet-Aff pour sa r »plier sur la capitale après l’évacuation d’Andrlnopl®. Si l’on étudie attentivement une bonne carte, on remarque que la voie ferrée, les routes que nous venons d’indiquer et tous les chemins quelconques de la Roumélie traversent, à une quarantaine de kilomètres à l’ouest do Constantinople, le petit plateau déjà mentionné, séparant îes eaux de la Maritza de celles du Bosphore. Le point culminant du plateau est au caravansérail de Bnyuk-Khan, à 240 mètres au-dessus du niveau de la mer; son altitude moyenne ne dépasse pas 200 mètres. C’est sur ee pkteau que se trouve la ligne avancée des défenses de la capitale. En raison de leur peu d’élévation, les positions de Tohataldja n’aureient, au point de vue militaire, qu’une médiocre importance, si elles ne possédaient l’immense avantage de s’appuyer, à leurs deux extrémités, contre des obstacles infranchissables. Ces hauteurs ferment complètement l’entrée de la presqu’île de Constantinople. Leur direction générale est nord-sud, à peu près parallèle au Bosphore. Elles commencent près du Cap Noir, sur la mer de même nom, contournent le petit lac de Terkos et atteignent, à 25 kilomètres plus au sud, la lagune de Buyuk- Tehekiaédjé. II résulte de eette configuration du sol que, pour interdire à une armée venant d’Andrinopie î’aeeds de Stamboul, il suffit de mettre en état de défense et d’oeeuper, sur une simple longueur de 25 kilomètres, les hauteurs s’étendant du lac Terkos à la lsgnne do Tehekmedjé. Le point faible de la ligne est au nord, entre Terkos et Tchataldja. II n’a pas pins de 10 kilomètres de développement. La partie sud est, au contraire, particuliérement forte, d’abord parce que son front est couvert par un petit rnissean, le Sara- Sou et par la lagune; ensuite et surtout, parce que, à 7 kilomètres en arrière de la lagune de Bnyak, se trouve celle, beaucoup plus considérable , de Eutchok - Tehekmédjé , qu’il serait absolument impossible de traverser de vive force. La ville de Constantinople occupe ainsi l’angle sud-est d’un quadrilatère de 40 à 40 kilom. de eété. Le côté nord, baigné par a Mer Noire ; le cêtê est, baigné par le Bosphore; le eêté sud, baigné par la Marmara, étaient tons trois ina- bordables pour les Russes, qui se trouvaient réduits à assaillir le eêté ouest, sur lequel une armée de 80 à 100,000 hommes les aurait indéfiniment arrêtés. Impossible de songer à affamer la place aussi longtemps que les Turcs seraient restés maîtres de la mer. N’avions-nous pas raison de dire que, dans eos conditions, la capitale de la Turquie pouvait être considérée comme absolument imprenable? La diplomatie en a décidé autrement. Les Tares ont jugé à propos de livrer une position qui Be serait défendue toute seule. Us ont permis aux Resses de venir eamper à Tohataldja ; ils se sont rendus à merci. Mais iis ne se sont pas bornés à livrer Constantinople. Iis ont livré en même temps Gallipoli qui était plus faeilo encore à défendre. En agissant ainsi, ils ont, nolens volens, volens probablement, tendu à l’ Angleterre un piège qui pourrait amener, quoique jour prochain, la destruction de sa flotte. Celle-ci a pu, sans trop de difficultés, paraît-il, entrer dans la mer de Marmara; mais maintenant qu’elle y est, nous nous demandons comment elle en sortirait, s’il convenait aux Russes, établis à Gallipoli, de lui interdire le passage des détroits 1 — D’H.
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Jean Joris
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GRÈCE.
L'indépendance luxembourgeoise
GRÈCE. Le Messager d'Jthènes publie les détails suivants sur les troubles qui ont en lieu à Athènes à la nouvelle do la conclusion de la paix: La journée de samedi. — Cette nouvelle plongea Athènes dans k stupeur. Des rassemblements se formèrent aussitôt dans tontes les mes, principalement anx abords du parlement et de l’hôtel du ministère de l’intérieur. Vers trois heures on apprit que la Chambre ne se réunissait pas ee jour-ià. M. le président du Conseil passait en ee moment devant la fonle avee M. Zaïmes et M. Avghérino, président de la Chambre. Ces trois personnages forent accueillis anx cris de : Vive la guerre / auxquels succédèrent bientôt des injures et des provocations. La manifestation, annoncée depuis le matin, se trouvant ainsi spontanément organisée, prit la direction de Haftie. Quelques citoyens, montés sur des bornes, exeitaient la foule qui grossissait de moment en moment. On a cru apercevoir parmi les mesures des agents provocateurs appartenant an parti évincé dans la formation du eabinet de coalition. La foule, parts! laquelle un nombre considérable de enrienx, traversa les rues d’Hermès et d’Eole et dêboueba sur la plaee de la Constitution où une autre partie de la manifestation arrivée un moment auparavant par le boulevard du Stade. Des orateurs improvisés ayant pris la parole accusèrent le ministère de coalition d’avoir sacrifié la Grèce et l’hellénisme & des rancunes personnelles, de les avoir laissés désarmés et impuissants dans eette grave eireonstanee. La manifestation prit ensuite la direction du palais royal et attaqua à coups de pierres une brigade de gendarmerie à oheval et sons-offieiers qui avaient essayé de lui barrer le passage. Elle demandait à voir le Roi. Le Roi, visiblement ému, parut au balcon. Après avoir salué à deux ou trois reprises la foule qui l'acclamait, le Roi lui adressa les paroles suivantes: „Vous savez, mes enfants, combien j’aime et j’adore ce pays (vivo le roi!). Mais je vous prie de rester tranquilles (non, non, nous voulons la guerre t) Je vous prie de rester tranquilles: les circonstances actuelles exigent la rrudance.4 Ainsi qno nous l’avons dit, la manifestation en voulait surtout aux membres du mini störe de coalition. Une partie des manifestants s’étant dirigés vers l’Université dons l’espoir de s’emparer des armes de la phalange universitaire, passèrent devant l’hôtel de le légation ottomane sans s’y arrêter. N’ayant pas trouvé d’armes à l’Université, iis allèrent rejoindre la gros de la manifestation qui se dirigeait vers la place de l’Omonia, suivie d’une brigade de gendarmerie à cheval, de quelques officiers, d’agents de polies et du directeur de police en voiture. Tous les magasins se fermaient sur lau? passage. Arrivés devant la maison de M. Tricoupf, les manifestants se mirent à lancer des pierres contre les fenêtres. Tontes les vitres dos croisées volèrent en éclat«. Queiques-uns de ces projectiles atteignirent & la tête le commissaire de police, M. Zoé, et lui firent de graves blessures. Les mômes scènes se répétèrent devant la maison de M. Zaïrois, où quelques-uns des pins audacieux, ayant escaladé les grilles, pénétèrent dans !a cour. On se répandit en menaces et en vociférations contre les anciens ministres. La manifestation, qui recevait de nouveaux contingents à tous les coins do la rue, arriva sur la place de la Liberté devant la maison de M. Coumoundonros. L& elle a essayé d’enfoncer les portes après avoir cassé tontes les vitres des croisées. U. Coumoundonros était au ministère de l’intérieur. Quelques familier? de Sa maison et un agent de poliee, craignant peut-être que la foule ne se livrât à des voies de fait contre les personnes, prirent la résolution d’arrêter les manifestants â coup de fusil. Mme Ooumoun- donros et son fils tentèrent, mais en vain, de les empêcher. Trois personnes, dont l’une ne tarda pas à suecon ber à la snite de ses blessures, Jurent atteintes par les balles. Des coups de fen furent échangés. La rixe allait peut-être prendre des proposions considérables sans l’arrivée de la compagnie des Infirmiers de la Croix ronge, qui, après avoir déchargé ses fusil* en l’air, chargea la foule et la dispersa. Cependant las manifestants s’ôtant reformés retournèrent sur la plsoe de la Constitution où ayant rencontré M. le colonel Coronéos ils le prièrent de sa rendre chez ïe Roi et do se faire auprès de S M. l’interprète de leurs ontiments. M. Coronéos, étant revenu quelques instants après, dit qno le Roi, occupé d’affaires sérieuses, n’avait pu le recevoir et recommanda à la fonle d’avoir confiance dans la sagesse de S. M. Les maisons de MM. Deligeorgis, Zimbrakaki, et Théodore Delyanni, ne furent pas pins épargnées qne celles de leurs anciens collègues. Le soir, le gouvernement, qui avait cru û’abord à un a manifestation innocente, avait pris tontes ses mesures pour le maintien de l’ordre. Les troupes forent consignés dans leurs casernes, les postes donblês et les patrouille’ renforcées. De nouvelles manifestations étaient annoncées ponr le lendemain. La journée de dimanche. — La surexcitation est arrivée & son comble. On parle de manifestations armées, on annonce qn’nn millier de Piréotes, drapeau en tête, vont monter à Athènes ponr demander compte de leur conduite aux membres de l’ancien ministère de coalition. Des troupes bivouaquent sur la place da la Constitution, dos nombreux postes sont placés aux coins de toutes les rues qni débouchent an Palais royal, des fortes patrouilles se croisent dans les rues avec ordre de dissiper tout rassemblement tumultueux. Les ministre«, qni comprennent tonte la gravité de la Bitnation, tiennent conseil snr conseil. Un moment, nn seul moment de défaillance peut provoquer la guerre civile et exposer nos libertés constitutionnelles acquises an prix de tant de sacrifices. Les mesures qne l’en avait remarqués la veille, travaillent, excitent les esprits. II* ont heureusement la maladresse de démasquer trop leurs batteries, de laisser deviner leurs projets. Le peuple commence à se méfier. Le club politique le Rhigas lance une proclamation dénonçant ù la nation les intrigues des partiseng de l’absolutisme. Cette proclamation produit un excellent effet. Un rassemblement d'étudiants est annoncé c-ur la place de l’Université. Le rassemblement a lien, en effet, mais les étudiants s’y rendent eu petit nombre. Un professeur agrégé, M. Phlogsïti, et en ancien député, partisan déclaré de M drivas, haranguant la réunion. Leurs discours font la plus mauvaise impression ; eolni do Fanden député, où il est question de tont, excepté do la souveraineté nationale, dont il fait bon marché, est impitoyablement sifflé. Une double brigade de gendarmerie charge la réunion et la disperse sans difficulté. Sur eos entrefaites le directeur de poliee Rvaït reçu une dépêche do. Pliée annonçant qno trois on quatre cents Piréotes étaient partis ponr se joindre ù la manifestation que l’on disait devoir s'organiser & Athènes. Le capitaine d’ét si-major Solioti avait reçu l’ordre d’ocenper la nécropole d’AïflB Trias avec nne compagnie d’infanterie et nn escadron do cavalerie de faire reculer les l’i- rêotes qni s’avançaient aux o?i de: Vive la guerre! Arrivés à trente pas des positions occupées par les troupes les Piréotes s’arment da pierres qn’iis ont la mauvaise inspiration de jeter & la tête dos soldats. Les sommation légales n’arrêtant pas les manifestants; iis veulent avancer. Les soldats qui avaient ordre de ne faire uasge de leurs armes qn’àla dernière oxtrémité ne peuvent pins être contenus. Un caporal d’infanterie tire snr la fonle. Un homme tombe. Tonte la compagnie décharge ses fusils en l’air. Lös Piréotes commencent h reoaler, Lear porte drapeau, intrépide, reste à son poste et montra sa poitrine wjx soldats qui, admirant son courage, se gardent bien de tirer sur lui. Quelques baltes ont atteint deux en trois hommes mortnellement, denx antres ont été blessés. Les morts sont mis dans nne aharratto et amenés pnr une antre route snr 1s place de la Constitution. Les manifestants, nue faible partie du moins, les antres étant revenus sur leurs pas , avaient, paraît-il, cousu dans la dessein de les faire défiler sons le balcon da palais royal en demandant justice. L : capitaine Saîioti, â l’sdmi- rable conduite duquel nous sommas heurenx de rendre justice, était parvenu, après do grands et lonables efforts, i contenir les troupes et à arrêter le fen. Comme sa voix pouvant être difficilement entendue, an milieu du brait do la fusillade et du tumulte qni s’ensuivit, vit on le parcourir les rangs an pas de course et relever les fnsiis des soldats. Ils comprirent alors qn’iis devaient s’arrêter et le fen cessa anssitêt. Les morts, an nombre de denx, et les blessés, an nombre de trois, forent transportés à l’hôpitsl militeire. Une balie perdu avait atteint nn enfant qni jousit dans les champs auprès de sa mère occupée ft cueillir des herbes. Le brnlt de la fusillade avait eansé nne douloureuse impression. On ernt nn moment ù nne véritable guerre civile. Le nombre des victimes, d’abord exagéré comme il arrive tonjonrs en pareilles circonstances, fut bientôt connu. La circulation, nn moment interrompue par les troupes, qni dispersaient les rassemblements sans rencontrer de résistance, se rétablit et l’ordre ne fat pins tronblé.
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Jean Joris
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110 FEUILLETON 2ᵉ PARTIE LES ASSISES ROUGES XI LES ASSISES ROUGES
L'indépendance luxembourgeoise
110 FEUILLETON LES LOUPS de PARIS 2ᵉ PARTIE LES ASSISES ROUGES XI LES ASSISES ROUGES PAR JULES LERMINA Les traits dn supplicié se tordaient. Les yeux roulaient dans leurs orbites. Une sorte de grondement, semblable au souffle puissant qu’on entend aux forges, râlait dans sa poitrine. Et pourtant il ne eriait pas. Tout à coup, du fond de la salle, un homme bondit jusqu’au tribunal. D’nn seul effort, si rapide, si vigoureux, que e’était à douter qu’un être humain pût opérer nn pareil prodige, il se jeta vers le lit de torture, et de ses mains, saisissant le carean de fer qni enserrait les genonx du supplicié, il le brisa comme s’il eût été de verre, tandis que d’un eoup de pied il renversait le brasier, dont les charbons ronlaient sur le sol détrempé. — Misérables 1 hnrla-t-il. Et tous se dressèrent : les juges sur leurs sièges, le procureur dans sa chaire, Muflier et Goniglu sur leur bane. Dans la foule un cri roula, dans un tressaillement de terreur: — Bisosrre 1 le roi des Loups ! C’était lui, c’était le maître. Et lui, sans se préoccuper de ee eri, brisait de ses doigts crispés les chaînes et les tenons de fer ; puis, saisissant Dioulou dans ses bras, comme il eût fait d’un enfant, il l’étendit sur le sol, lui soutenant la tête dans ses deux mains. Dioulou le regardait. Ahl je vous jure qu’il ne souffrait plus et qu’il so souciait bien peu de ses pieds tuméfiés et déjà rongés par la flamme. Bisearre lui prit les épaules et l’embrassa... puis, reposant sa tète sur un des blocs de bois, il se redresse, et fièrement, le front haut, il regarda autour de lui. Tous se taisaient. On admirait déjà la foroe surhumaine, on était épouvanté de cette andaee. Puis, Bisearre offrait un aspect si étrange!... Bisearre portait le eostume des galériens, la casaque de laine rouge, le pantalon de laine jaune, les sonliers à caboches... au front le l on- net vert... Il arracha son bonnet d’un geste violent et le lança sur la terre. On vit alors sa tète rasée... Il était à l’ordonnance du bagne... Son visage, anx traits accentués, était livide de eolère; et de ses yeux, profondément enfoncés dans leurs orbites, s’échappaient des lueurs fauves... — Misérables 1 répéta-t-il enoore. Il alla droit au président: — Toi, Pierre le Cruel, dit-il brusquement, descends de ee siège où tu n’avais pas le droit de monter... ear ici il n’y a pas d’autre coupable que toi... — Mensonge ! répondit le forçat qui s’efforçsit de conserver son assurance. — Ahl tu veux que je parle, tortionnaire!... lâehe bourreau I... eh bien 1... éeoutez-moi tous!... Cet homme a dit m’avoir adressé l’avis convenu entre nous... il a mentit Cet homme & dit que mon absence et ma disparition avaient dépassé les limites fixées par nos statuts 1... il a menti I... Cet homme a dit que je négligeais les intérêts de l’assoeiation pour ne me préoccuper que de mes intérêts personnels... il a menti! Pierre le Cruel balbutiait: il essayait de se défendre. Bisearre était devant lui, fier, implacable: — Ose donc, devant moi, prétendre que tu m’as adressé le signe convenu!... — Je l’ai fait... — Prouve-Ie!... Ici nous ne nous payons pas de mots... Le président se courba sur les papiers qui encombraient son bnrean, feignant sans doute d’y chercher nne pièee absente. — Eh bien!... eette preuve? répéta Biseàrre. L’autre, pâle, le front inondé d’nne sueur froide, se laissa tomber sur son siège. Bisearre monta jusqu’au tribunal, et de sa main vigoureuse il saisit l’homme par sa eravate rouge, et, le soulevant, le poussa sur les gradins... Un cri de rage s’échappa de sa poitrine... il chancela comme un homme ivre. — Et vous, continua Bisearre, en s’adressant aux juges, vous qui vous targuez de ce titre de membres du conseil suprême, vous êtes ses complices et vous avez menti comme lui 1... Ah ! mes maîtres! vous étiez bien courageux tout à l’heure pour torturer ee malheureux, coupable d’avoir tenu !a parole donnée, et qui, au milieu de nous tous, bandits et criminels, a, seul peut-être, droit Au titre d’honnéte homme!.,. Le moyen était habile, et votre victoire était sûre... son obstination i môme à se taire était nne arme eontre moi... 1 vous étiez certains de la victoire. Le roi des ' Loups était condamné !... Vous laneiez quelque assassin qui l’eût surpris lâchement et qui, vous n’en doutez pas, aurait eu aisément raison de lui .. Bisearre mort, un autre prenait sa plaee, et eet Antre, e’était celui-là qui avait dirigé toute sotte grotesque intrigue... Pierre le Cruel 1... Il éclata de rire. — - Voyez-vous oet homme... votre roi! Regar- dez-le donc! voyez cette physionomie blafarde sons le charbon qui lui noireit lo visage !... Pierre eut un mouvement de rage; il voulut s’élancer sur Bisearre. Mais soudain, vingt bras le saisirent. Bisearre, par sa soudaine apparition, par son andaeiense défense, avait déjà recouvré toutes les sympathies de ees misérables... Il reprit la parole: — Il ne nous appartient pas de faire justice de ee eoupable... C’est au jury à décider, & ee jury qu’il a convoqué lui-môme... Cette question doit lui être posée: „ Pierre le Cruel est-il eoupable d’avoir employé des moyens frauduleux, dans le but de s’emparer du titre et du pouvoir de roi des Loups ? „Pierre le Cruel est-il coupable d’avoir requis la torture eontre un membre de l’assoeiation dont il connaissait l’innoeeneeP „Pierre le Cruel est-il eoupable d’avoir, par ses mensonges intéressés, compromis k sécurité de l’assooktion P“ — Messieurs les jurés, continua Bisearre, veuillez entrer en délibération. Les douze hommes se levèrent et disparurent par une porte s’ouvrant derrière le tribunal. L’audienee fut, pendant quelque temps, suspendue de fait. Mais nos amis? mais Muflier? mais Goniglu? est-ee qu’on les avait oubliés? Us passaient par toutes les couleurs de l’arc-en-eiel, et Muflier chantonnait involontairement entre ses dents: — Nous sommes fiehual... fichus i... fichus !.„ Gonigln, impassible, s'abstenait du moindre mouvement. Il ne tenait pas à se faire remarquer... D:ant?cs s’empressaient â panse? les plaies de Dioulon. Les chairs n’avfient été attaquées que superficiellement ; et, bien qn’il lui lût impossible de se tenir debout, il éprouvait déjà un immense soulagement. Biscarro, appnyé snr la table dn tribunal, la tête dans les mains, réfléchissait profondément. La fonle eansait à voix basse; une terreur indicible pesait snr l’assemblée. Tont à coup, il se fit nn grand silenee. Les jurés rentraient en sésnco. L’un d’eux s’avança vers la barre du tribunal; là, il se toorna vers l’emblème effrayant que nous avons décrit et qui représentait l’instrument de mort. Il étendit k main: — De par les lois qni nous régissent, parlant comme si nous nous trouvions en péril de mort, nons faisons connaître la réponse dn jnry... „Snr tontes les questions: „Oui, à l’nnanîmité.“ On entendit nn eri furieux. C’était Pierre To Crue! qni se débattait aux mains do ceux qui le retenaient... Biscarro dit à son tour: — An nom des Loups, nous, Roi, en vertu des articles de notre statut, ordonnons que Pierre le Cruel soit mis à mort... A peine avait-il prononcé ees parrles qne le misérable fut entraîné... il disparut dans les profondeurs d’une des cryptes qni sembla s’ouvrir pour lui livrer passage... Un coup sourd retentit, et eenx qni avaient rempli l’offica de bonrreanx repartirent... L’un d’enx tenait aux cheveux la tête dn condamné... Si ernels qne fassent les assistants, eette scène terrible, eette prompte expiation qni avait frappé le ronpable comme nn coup de fondre avait serré tontes les poitrines. La mort avait passé par là. Los plus hardis étaient pâles, les pins andaeienx se sentaient frissonner. Seal, Biesnrre, debout, l’œ’l fixe, dominait la fonle do l’ascendant de son énergie ot de son pouvoir. — Justice est faite, dit-il d’nne voix grave. Mais il reste encore d’antres coupables. Disant cela, il se tourna vers le bane des accusés. Gonigln s’affaissa sur Muflier, qui, loin de le sontenir, s’affaissa à son tonr snr le baue qni lui servait d’sppci. C’était le moment fatal. — Grâce! articnla Gonigln. — Grâce 1 grogna Mnflier. Biscarro îes considère, avec ironie. - En vérité, dit -il, oes hommes valent à peine le coup de hache qni les tneral — Un coup de hache ! s’écria Gonigln. Mcflier ce contenta de passer sa main snr sa nnque, comme s’il eût voulu constater qno sa têfo tenait encore snr ses épaules. — Enlevez ces hommes! dit Biscarro. Los exécuteurs s’approchèrent d’enx. Réellement, il n’y avait aucune résistance à craindre; nos denx amis se laissaient aller comme de simples torchons mouillés. On entendait nn râle sons les monatliche« éplorées de Mnflier, et dn nez de Gonigln sortait nn sifflement qni rappelait à s’y méprendre le grincemont des trompettes de bois, la joie- des enfants et la tranquillité des parents. Biscarro appela nn des hommes et prononça quelques mots à son oreille. (.4 continuer.)
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VII. L’école agricole.
L'indépendance luxembourgeoise
VII. L’école agricole. L’idée de l’enseignement agricole dans le Grand-Duché gagne du terrain; la presse s’en oeoupe fort; nous sommes on voie de progrès. La polémique oommenoe à devenir intéressante, tant les vues sont diverses, les idées variées, les projets différents. Il y a même, par ci par là, de ces vieilles opinions qui, pour être rééditées oent et une fois, n’en sont pas moins jugées dignes d’être reproduites, et servies aux bénévoles lecteurs. Constatons tout d’abord que les nombreux correspondants reconnaissent, d’un commun accord, la nécessité de l’instruction agricole. Une seule correspondance fait exception. Et encore eette petite dissonnance ne provient- elle que de la proximité de deux localités; c’est l’intérêt de olooher qui prime la question de principe. Chose curieuse cependant! Des années se sont écoulées sans qu’on ait soufflé mot ni de l’école ni de l’enseignement agricoles. Mais, à p )ine l’idée en est-elle reprise, que tout le monde s’en mêle, y met du sien, la façonne à sa guise. C’est à qui dirait : prenez mon ours. Aussi les projets surgissent-ils comme des champignons et je n’aurai jamais cru notre ^ pays si riche en pédagogues ni notre sol si fertile en productions prédagogiques. Tout oela vient tard, il est vrai; il n’en promet pas moins pour l’avenir. 8i seulement il nous reste assez de bon sens pour nous retrouver dans ce chaos d’idées et de propositions. Car il faudra probablement choisir; le gâteau de l’Etat aurait les dimensions des caisses de MM. de Rot- child, qu’il ne suffirait pas à réaliser tous les projets, à contenter tous les appétits. C’est pourtant dommage; nous pourrions avoir, en fait d’écoles agricoles, de quoi provoquer l’étonnement de tout un univers lors de la prochaine exposition à Paris. Et d’abord, le correspondant de la „ Zeitung “, qui se dit de la frontière de Prusse, mérite une attention toute spéciale. Il est tellement pénétré de Futilité , de la nécessisté, je dirais de l’indispensabilité de l’enseignement agricole, qu’il voudrait le répandre à profusion, en faire nn bien commun, aooessible à tont sexe comme à tout âge. Aussi son projet ne tend-il à rien de moins qu’à transformer tout notre cher pays en nne vaste éoole agricole. Par un coup de baguette P Oh, non! par un moyen bien simple, bien naturel. nAgro- nomisez “ notre école normale en y attachant un professeur agricole, à la hauteur de sa mission, sans doute; faites de vos instituteurs de véritables agronomes ; entroduisez à l’école primaire un fort petit cours d’agronomie ; tenez l’instituteurs à suppléer par des écoles de soir, des écoles de dimanche , à organiser et à diriger des associations agricoles etc. etc. et la besogne est faite. Est-ce clair P En attendant les effets de cette transformation, le oultivateur se tirera d’affaire comme il pourra. Ou oet honorable correspondant est un peu idéaliste, ou il sonnait enoore mal notre payai Quiconque voit clair dans la situation de notre enseignement et sait apprécier les difficultés exceptionnelles que nous avons à surmonter, ne se laissera jamais séduire par dos propositions aussi saugrenues. Notre école normale, nos écoles primaires, nos instituteurs ont déjà tant sur les bras, que o’est à peiue s’ils peuvent suffire à leur tâche. Nous autres Luxembourgeois serions fort oontents de voir ces différents facteurs remplir convenablement leur mission d’aujourd’hui. D’ailleurs rien qu’une vieille rengaine que tout cela ! Il n’y a pas longtemps que l’on a exalté les écoles de soir, les écoles de dimanche dans la presse; on les disait appelées à rendre les éooles primaires supérieures superflues ; un ohaoun voulait en créer, en diriger. Allez dono voir ce qui a été fait sous ce rapport, mais je vous en prie , n’oubliez pas votre loupe. Ces petits moyens sont hors de saison. L’honorable correspondant attire notre attention sur l’Allemagne. Eh bien, j’y ai été; je connais un peu l’école prima re, les écoles agricoles, les associations de ce pays. En âme et conscience je dois déclarer que les écoles agricoles sont loin d’être superflues ; quoiqu’on y fasse, de quelle manière qu'on y applique le levier , les instituts resteront toujours une nécesssisté. J’ai même vu de ces écoles d’hiver, de ces écoles de soir, qui ont vécu ce que vivent les roses, malgré toutes les capacités, tout le dévouement de leurs directeurs. Que l’honorable correspondant se rassure cependant; il n’y a pas péril en la demeure ; comme il le désire, notre gouvernement veille; il voit même quelquefois ce qui se passe au-delà de la frontière. Un correspondant du Wort , bien plus modeste celui-là, parce que plus Luxembourgeois, se contenterait de la transformation des écoles primaires supérieures en écoles agricoles. C’est du moins une idée. Et cependant je trouve que ces établissements ont, eux aussi, leur mission assignée, leur but défini, leur tâeho assez difficile à remplir. Leur programme général ne saurait subir l’influence d’un coure prépondérant d’agronomie, et une heure par semaine ne suffit pas aux besoins de nos agriculteurs. D’ailleurs il faudrait un professeu.' spécial à chacun de ces établissements; le gouvernement ne s’en chargera pas, la commune non plus. Un fait à relever, o’est que tous ces honorables correspondants semblent ignorer une chose principale: la station pour le contrôle des engrais. C’est là le point capital, le véritable point de départ. Si cet établissement est d’nne si grande importance pour le pays, et personne n’en disconviendra, l’Etat ne reculera pas devant un léger saorifiee pour le créer. Mais avec quelques parcimonie qu’on procède on le créant isolément, il contera plus cher que la station combinée avec l’école, si toutefois on veut mettre à profit tons les facteurs qu’on possède et qu’on paie déjà aujourd’hui. Et pour qu’on oesse enfin de crier aux dépenses exorbitantes d’une école agricole, disons une bonne fois pour toutes: La station combinée avec l'école agricole coûtera à l'Etat une dépense nouvelle et annuelle de 5000 francs, ni plus ni moins.
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Jean Joris
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Situation. (Du 16 février).
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Situation. (Du 16 février). Dans le monde politique on est très frappé d’une coïncidence qui, en effet, est curieuse: les deux derniers Conclaves se seront tenus, un protestant étant, en France, ministre des affaires étrangères; en 1846, c’était M. Guizot; en 1878 c’est M. "Waddington. U est inexact que M. le général d’Abzao soit parti pour Rome chargé de représenter M. lo Président de la République anx funérailles de Pie IX. Il n’a jamais été question de semblable mission à donner ni à M. le marquis d’Abzac, qui n’a pas quitté Paris, ni à M. d’Harcour. Un des arrière-petits-neveux de Pie IX, qui suivait en qualité d’élève étranger les cours de l’Ecole de Saint-Cyr, vient do partir pour Rome. Ce jeune homme est, avec son frère le comte Eioole Mastaï, le seul héritier du Pape qui porte le nom des MastaT, de Sini- gaglia. On mande de Toulon au Sémaphore: „La première division de l’escadre de la Méditerranée est toujours sur rade, prête à prendre la mer. Le département de la marine ne l’a pac autorisée à aller faire ses évolutions au golfe Juan, afin de la tenir à la disposition du ministre des affaires étrangères. „Rien dans notre port ne dénote toutefois un activité qui puisse faire prévoir une participation immédiate aux événements d’Orient. L’état de nos aprovisionnements et de notro matériel de guerre ne laisse d’ailleurs rien à désirer, et notre marine serait en mesure de passer, au besoin, de l’expectative à l’aotion en très peu de jours.* M. de Bismarck est arrivé à Berlin. Il veut répondre lui- même à l’interpellation qui a été annoncée dans le Parlement sur les affaires d’Orient. On a fixé la date de mardi, mais il pos'ible que le chancelier prenne les devants et fasse spontanément des communications sur la'politique étrangère. Ou peut prévoir ce que dira M. de Bismarck si l’on veut so rappeler le mot qu’il a prononcé, il y a quelque temps, à propos de l’attitude belliqueuse de l’Angleterre: il n’y a rien à craindr e ; les poissons ne font pas la guerre aux chevaux.“ Lo prince-héritier d’Autriche a prolongé son Bèjour en Angleterre et le monde offioiel de Londres, en ces derniers jours, a redoublé de prévenances envers lui d’une façon très remarquée. Non moins remarquable aurait été l’attitude plus que froide des réprésentants de la Russie et de l’Allemagne en face de ces manifestations. Une dépêche de Rome assure que le programme des ambassadeurs des puissances ayant droit de veto au conclave peut être formulé comme suit : 1° Le conclave sera tenu à Rome : 2° Il aura lieu suh ant les formes traditionnelles ; 3° Le pape élu sera italien; 4° Il représentera des idées modérés et l’accord de l’Eglise avec l’Etat. L’accord, sur ce programme, entre les ambassadeurs de Portugal et d’Autriche, est complet. L’ambassadeur d’Espagne a reçu des instructions lui enjoignant d’agir de concert avec l’ambassadeur de Portugal. On télégraphié de Rome à l'Indép . belge : Le Pape a laissé un testament qui décrète une amnistie pour les délits politiques commis dans les Etats pontificaux avant 1870. Cette dispositivn testamentaire de Pie IX a pour but d’empêcher son sueesseur de poursuivre les auteurs de ces délits dans le cas du rétablissement du pouvoir temporel. On affirme que le Pape laisse 300 millions pour les besoins politiques de la papauté. Lord Derby propose au comte AndrasBy une protestation collective des cabinets de Londres et de Tienne contre l’occupation éventuelle de Constantinople par les troupes russes. Les négociations procèdent avec lenteur; le comte Andrassy cherche à éviter une démonstration diplomatique qui, suivant lui, précipiterait la guerre au lieu de la détourner. Les fascicules 12 et 13 relatifs à la question d’Orient ont été déposés sur le bureau du Parlement britannique. La réponse du prince Gortschakoff au dernier mémorandum de lord A. Loftus, en date du 9 février, cause à Londres une vive émotion. On affirme à Londres que la Romanie ne crée autant de difficultés relativement & la rétrocession de la Bessarabie que pour se faire donner de pins substantielles compensations sur le Danube, mais qu’en principe, la rétro cession est parfaitement arrêtée. Le sultan a déclaré qu’il se retirerait à bord d’un ouirassé ottoman, si les Russes rentrent à Constantinople. Abdul-Hamid refuse d’aller se réfugier à Brousse. Ahmet Yéfyk Pacha pousse le sultan à rompre complètement avec l’Angleterre. Savfet Pacha n’est pàB de force à tenir tête au général Igna- tieflf, mais comme sa mission consiste à ne contrarier en rien les vues du ozar, on pense qu’il s’en aquittera aisément. Le comte Andrassy fait les plus grands efforts pour persuader au prince Gortschakoff de rester à quinze ou vingt milles de Constantinople. On pense à Londres que la difficulté actuelle sera surmontée, mais on craint que dès la première conférence on ne pourra s’entendre et qu’alors il sera impossible d’éviter de sa battre contre les Russes. En Orient, la parole est aux faits, qui peuvent être ainsi résumés: Le 13, l’escadre anglaise, sous les ordres de l’amiral Hornby, a franchi le détroit des Dardanelles, malgré le refus du firman nécessaire, et sans rencontrer d’autre obstacle qu’une protestation verbale du commandant du fort de Tchanaok-Ealessi. Cette force navale est de neuf bâtiments cuirassés, dout six seulement ont franchi les Dardanelles. Trois sont restés au mouillage de Besika, ou mieux à l’entrée méditerranéenne du Détroit pour surveiller oette entrée; deux autres se sont arrêtés à Gallipoli; la ligne de retraite de la flotte est ainsi assurée. Les quatre autres vaisseaux ont traversé la mer de Marmara pour aller jeter l’ancre aux îles des Princes, situéeB à l’entrée du Bosphore, en vue de Constantinople (à 5 kilomètres à peine de la pointe du sérail). La Russie avait fait savoir au gouvernement anglais, par une dépêche du prince- chancelier Gortschakoff, dont lord Derby a donné lecture hier à la Chambre des lords, que son intention était d’occuper militairement la capitale turque en même temps que l’Angleterre y enverrait des forces navales (système de „l’oooupation parallèle“ ou de la protection à frais communs des résidents étrangers et des nationaux chrétiens). Or, les Russes étaient à cette date du 13, à quinze werstes (soit 16 kilomètres de Constantinople. Nous ne savons pas s’ils se sont rapprochés davantage. La flotte britannique est donc tout près du port de Constantinople, tandis que l’arméo russe bivouaque à une petite étape de cette ville. Telle est la situation quand à présent. Le sultan a dissous le parlement turc, qui ne pouvait, en des conjonctures aussi brûlantes, continuer ses délibérations sans péril pour la paix publique. C’est là un premier acte d’état de siège. Voilà, pour l’Orient, ce qu’il y a de certain et de positif quand aux faits. Nous renvoyons à nos dépêches pour les informations d’ordre accessoire et d’authentioitê moins sérieuse. Les débats du Parlement anglais nous apprennent que lord Derby, tout en déolarant que le gouvernement de la Reine n’admet pas que l’ocoupation militaire d’une ville et l’envoi de navires de guerre „ dans les rades au dessous de la ville f puissent être considérés comme des mesures identiques. — tout en annonçant qu’il a fait une réponse dans ce sens à la dernière note russe — est convenu que le casus belli ne résnlterait pas nécessairement de l’occnpation russe temporaire s’effectuant dans un but d’humanité. L’attitude de l’Autriche est toujours indécise, et M. de Bismarck, de retour à Berlin, va probablement se laisser — d’autres disent se faire — interpeller au Reichstag sur la crise d’Orient et la politique allemande au regard de cet imbroglio formidable. Une des clauses de la convention intervenue entre la Russie et la Turquie est une cession au ozar d’une portion de la flotte turque. Personne n’ignore que oette flotte est belle et puissante. Les cuirassés qui la forment ont été construits on Angleterre ; les mécaniciens des équipages sont anglais. I! y a deux ans, la Turquie avait proposé à la France de lui vendre trois de ses vaisseaux, estimés vingt-quatre millions. L’offre tentait le gouvernement français ; mais l’argent manqua ; et la négociation n’eut malheureusement pas de suites. Ce serait dono un accroissement préoieux et considérable des foroes navales de la Russie que cette annexion de l’escadre turque. On est généralement disposé à croire que l’amiral Hobbart-Pacha prendra les mesures nécessaires pour éviter un événement qui serait si fort préjudiciable, à l’Angleterre. Hobbart-Pacha a son escadre hors de la mer Noire, même du Bosphore ; en quelques jours il peut la conduire soit à Malte, soit à Alexandrie, où elle se trouverait en parfaite sûreté. Notre époque reverrait alors quelque chose d’analogue à ce qui se passa en 1840, à l’époque où la flotte turque, quittant Constantinople spontanément, alla se mettre à la disposition du vice-roi d’Egypte, Méhémet- Ali. Dans le monde politique, on s’attend à ce coud de théâtre.
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CENTENAIRE DE RUBENS MUSEE DU LOUVRE Galerie de Rubens
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CENTENAIRE DE RUBENS PRIME OFFERTE A NOS ABONNÉS MUSEE DU LOUVRE Galerie de Rubens Un Splendide Album, richement relié, doré sur tranches, composé des vingt-cinq tableaux du Musée du Louvre, accompagnés de l’explication des sujets allégoriques et d’un résumé de la rie de ce grand peintre aveo un „beau portrait authentique de Rubens*, dessiné et gTa rê par Leclerc, édition d’amateurs, format in-folio de salon et de bibliothèque. Le prix de Tente de cette belle œmrre d’art est de 126 frs. Nos abonnés qui nous en feront la demande, recevront l’Album au prix réduit de 30 francs. W Un exemplaire est déposé à l’imprimerie du journal, ou MM. les amateurs pourront le voir de 7 h. à 19 du matin et de 1 h. à 6 h. du soir.
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Avis aux gens d’esprit! (Les autres sont priés de ne pas lire)!
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Avis aux gens d’esprit! (Les autres sont priés de ne pas lire)! „SCHNEIDER“. X. Chacun oroyant qu une corde de bûches augmente de volume par le sciage ot que le chantier de M"* V* Siegen, en livrant 10 rangs de petit bois pour une corde, n’offre pas un avantage réel, celle-ci a voulu démontrer la vérité de ses annonces et voici le procès-verbal qui en a été dressé: „Nous soussigné, commissaire de police de la ville „de Luxembourg, „Vu les annonces de M" Ve Siegcn-Gontier, indiquant qu’elle achèterait une corde de bois à l’adjudl- „cation tenue le dimanche, 28 conrant, près de la „gare, et qu’elle le ferait scier en cinq, comme d’nsage, „pour démontrer qu’une corde de bûches ne fait pas „10 rangs de 1 m. carré; „Et, considérant qne cette expérience sur le rendement réel d’une corde de bûches peut contribuer à „procurer aux habitants la vie à meilleur marché; „Nous nous sommes rendu à cette adjudication et „certifions en conséquence : „1* Que la corde achetée par M”' V' Siegen moyennant 83 fr. (frais compris) était une des plus belles, „les antres n’ayant été vendues qu’à 32, 81 et 80 fr., „ce qui fait 34 fr. en moyenne ; „2° que cette cort’e sciée, cejourd’hui, en notre „présence et en présence dn public, n’a produit que „8“50 de petit bois, soit 8 rangs V*. „Luxembourg, 26 décembre 1877. .Le Commissaire de volice. Pour ces 38 francs qne reçoit-on? On reçoit 8 rangs 1/i, tandis qne, pour 39 francs, le chantier livre 10 rangs. Chaque fois qn’on achète en bûches, on perd donc ainsi fl rang Vs, soit fr. 8.25 par corde. Cela rappelle nn pari fait entre deux mousquetaires de Lonis XIV : l’un avait parié contre l’antre qn’il se placerait sur le Pont neuf, pendant nn quart d’heure, avec une sêbille de lonis d’or et qne personne n’en voudrait pour nne couronne, soit 6 livres. Ce jeune homme a gagné son pari! Les Luxembourgeois ne sont pas du temps de Lonis XIV, et ils le prouveront en venant an chantier. Prix moyen fr. 31 00 Octroi et transport 2 00 Soiage et fendage 5 00 Total 38 00 Faisons maintenant le compte du prix de revient d’une telle corde amenée en ville, sciée et montée an grenier:
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BULLETIN MÉTÉOROLOGIQUE Situation du 16 février à 5 heures du soir.
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BULLETIN MÉTÉOROLOGIQUE Situation du 16 février à 5 heures du soir. i i * Tri* IM L* =. 1 8 r B- Beau fixe lieo — g EE 8 s • ,T» — Laj.uj’hal •* 8 l ^ m ^ — Beau temps )rn — — o o o L. = rUt C 5 “ |ts* — - S p V triable (TS# — — : ¦ ; I — • • A }«• — i : s L = | : 4 Plnie on vent VM — S . tut — J J c Grande pluie <**• — — ** B i •« .« Jm=. | Toiapfite " 3 ' (to — —
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L'indépendance luxembourgeoise Jg. , nº 48/49
L'indépendance luxembourgeoise
ĽINDÉPENDANCE LUXEMBOURGEOISE para?- f; fois par semaine. — Pris de F ABONNEMENT par trimestre: Pour le Grand-Duché 8 75; — la Belgique 5 00; — la ï rance 7 00; 1 Allemagne 7 0( On s'abonne ans bureaux de poste du Grand-Duché et de l’étranger. — ANNONCES 20 et. la ligne. — RECLAMES 50 et. la ligne. Toutes les lettres doivent être adressées ranco à J. JORIS, éditeur. 48 & 49. 15 CENTIMES LE NUMÉRO. DIMANCHE 17 et LUNDI 18 FÉVRIER 1878.
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Jean Joris
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Echos et Nouvelles
L'indépendance luxembourgeoise
Echos et Nouvelles
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Intérieur.
L'indépendance luxembourgeoise
Intérieur. Le Wort voudrait nous faire excommunier, car c’est le meilleur moyen de se débarasser d’an adversaire, & son avis, bien entendu. C’est ponrqnoi il nous accuse d’attaquer les dogmes de l’Eglise et, en reproduisant chaque jour cette accusation, il prépare la voie à nn mandement épiscopal et s’évertue à en justifier la teneur. „ h'Ind . lux., dit-il, n’a pas attaqué nn „seul dogme, mais il les a attaqués tous, eu „insultant l’Eglise , en l’assujettissant à la „force brutale, en combattant lès décisions „d’un conoile et en les niant, en représentant le St-Siége comme un réceptacle de „trivialités et de corruption, en jetant de la „boue sur tout ce qui est cher à un cathodique, sur tout ce qui est vénérable pour „lui.“ Ce sont là des généralités, mais il n’y est pas question d’un dogme déterminé. Aurions-nous insulté l’Eglise, en critiquant les abus du clergé, les actes répréhensibles de certains prêtres, les tendances des abbés- militants du Wort et la multiplication des couvents P Serait-ce un dogme que de croire en l’in- faillibité morale et spirituelles des prêtres, à l’ntilité des couvents, au désintéressement illimité de la gent cléricale ! Quand des prêtres, des plus élevés jusqu’aux plus humbles, ont failli gravement et scandalisé les peuples, quand les couvents ont donné lieu aux abus les plus révoltants, de l’aveu même d’historiens catholiques, quand, parmi les premiers apôtres, il y a eu un Judas, quand enfin le Concile a déclaré le Pape infaillible, seulement quand il parle ex cathedra, nous pensons que les aotes du Pape, posés comme homme sont et restent soumis à la critique et que, à la forte raison, ceux du simple prêtre n’y sont pas soustraits. L’infaillibilité du Pape en matière de dogme ne s’étend pas même aux cardinaux, archevê jues et évêques ; donc encore moins aux abbés du Wort. Le rédacteur de cette feuille, M. Wies, n’a-t-il pas été obligé de rétracter une hérésie P Comment pouvons-nous donc insulter l’Eglise, en critiquant des aotes que le Concile n’a pas compris dans l’infaillibilité, et qu’il a donc avoué pouvoir être repréhensibleB. Insulterait-on peut-être l’Etat , en critiquant les aotes de ses fontionnaires ou ceux du Gouvernement P Le Wort ne demande pour le clergé autre chose que le monstrueux privilège de soustraire l’appréciation de tous ses actes instinc- tement ù la société civile. Si ee système devait prévaloir, être élevé à la hauteur d’un dogme, il en serait bientôt fait de la liberté de la société moderne qui n'aurait plus qu’à s’inoliner devant ses maîtres infaillibles sous tous les rapports. Toute discussion deviendrait impossible. Quand le Wort vient dire que nous assujettissons l’Eglise à la force brutale, il nous fait un crime de ce que nous entendons donner à l’Eglise une place dans l’Etat et non pas au-dessus de l’Etat, de ce que nous n’entendons pas que la Constitution cède le pas au Syllabus. Les doctrines politiques et économiques du Syllabus ne peuvent être des dogmes, sinon tout catholique devrait cesser d’être citoyen. Nous avons toujoars dit qu’un bon catholique est forcément un bon oitoyen; le Wort voudrait-il prouver le contraire P Où et comment aurions-nous nié les décisions d’un concile P Nous avons toujours soigneusement évité de parler de dogmes, parce qu’un journal politique n’a guère à s’occuper d’articles de foi. Qu’on croie ou ne croie pas, cela ne nous regarde point; notre principe est qu’il faut respecter les croyances, c’est-à-dire , les opinions religieuses , tant qu’elles n'empiètent point sur le terrain de la politique. Ou diable avons-nous jamais dit que le St-Siége est une sentine d’ordures P Tout trône a ét5 occupé par de mauvais princes. En critiquant ces princes, insulterait-on peut- être au tréneP Le St-Siége a vu des papes abominables; en reprouvant les aotes de ees pontifes indignes, eouvrirait-on d’ordures le St-Siége ? Le Wort veut étouffer toute discussion ; il vent que les moutons croient en l’infaillibilité morale et politique du clergé, et voilà pourquoi il ne nous pardonnera jamais de leur rappeler que le prêtre reste homme, malgré la tonsure et la soutane. Leur colère s’explique, car ils n’aiment pas à voir déchirer le voile qui couvre leurs convoitises et leurs vilénies. Ce qui est cher aux catholiques, c’est leur foi. Cette foi, nous la respeotons , parce qu’elle est celle de nos ooneitoyens, parce qu’elle est la nôtre, et parce que la liberté de conscience est garantie par la Constitution. Le Wort voudrait-il peut-être faire accroire que ce qui est le plus cher aux catholiques ce sont les privilèges cléricaux, l’influence cléricale, la domination et la déification du prêtre, les intérêts de la caste les bénéfices du Wort ompochés par Monseigneur? Non, Messieurs les abbés, nous n’attaquons pas la religion , mais nous faisons une guerre à outrance à vos tendances dont la réalisation serait la ruine do toutes nos libertés. Voilà notre crime. Il est grand, et nous savons que vous ferez l’impossible pour nous le faire expier dûrement. M. le vicaire de Strassen a déclaré dans le Wort que le correspondant de VInd. lux. est un infâme et insolent menteur. Il a publié en outre un extrait revu et corrigé de son homélie. Nous avons pris aujourd’hui dee renseignements et le fait signalé par notre correspondant, a été de nouveau affirmé. Le 10 février dernier, pendant la messe basse, M. le vicaire a fait un sermon en idiôme luxembourgeois, et ses paroles ont pu être saisies et comprises par les auditeurs. Il n’y avait guère de malentendu possible. En présence des affii mations les plus catégoriques d’habitants notables de Strassen, nous devons avouer qn’il ne nous est pas difficile de deviner où se trouve le menteur. M. le vicaire comprend et applique le système du Wort. C’est une trouvaille pour la feuille épiscopale.
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Die Träger unserer vaterländischen Literatur. (Fortsetzung.)
Das Vaterland (1869)
Die Träger unserer vaterländischen Literatur. (Fortsetzung.) L. MENAGER. Die Redaction. In seinem Roman „Marc Bruno" hat Hr. Felix Thyes, wenn, auch vielleicht ohne sich dessen klar bewußt zu sein, seine warme, ticffühlcndc , romantische, die Kunst liebende Seele klar wicdergespicgclt, vielleicht deutlicher noch, als in seinen Briefen an van Bommel. Der Verfasser läßt uns in seinem Helden hier bis auf den tiefsten Grund seiner eigenen Seele schauen, indem er dem- selben seine eigenen Gefühle, Wünsche, Aspirationen, kurz, sein ganzes Selbst, cingewobcn hat. Bevor wir jedoch zum Roman selbst übergehen, und die Beweisführung für diese unsere Ansicht geben, wollen wir ein paar Worte über die Vorrede und den Prolog zu demselben sagen. In der Vorrede stellt der Verfasser folgende Sätze auf, welche inl Buche selbst, durch die handelnden Personen, ihre Applikation und ihren Beweis finden sollen : Die Kunst im Allgemeinen, wie die Poesie im Besondern, ist eine Gabe der Natur , der ewigen Vorsehung, keine Wissenschaft, r: tan gelangt nicht dazu durch Kloses Studium. Dort jener blasse, hohlwangige Träumer, der von der Menge als ein Blödsinniger verlacht wird , der müßige Bettler, der da vor der Thürc jenes Domes die Vorübergehenden um ein Almosen anruft, und dabei seinen Rosenkranz, wie gedankenlos, durch die Finger gleiten läßt, das Weib, das in einem unbewachten Augenblick gefallen ist, und nun seinen Fehltritt mit blutigen Thränen beweint, — sie können diese hohe Gabe besitzen, ohne cS wirklich selbst zu ahnen. Diese Gabe, weit entfernt, immer ein Segen zu sein, ist nicht selten ein schwerer Fluch, da wo sich dem Künstler unüberwindliche Hindernisse und Schwierigkeiten in den Weg stellen, und ihn zwingen, den glühenden Drang in seinem Innern zu verschließen, der ihn verzehrt, und ihn am Ende körperlich und geistig zu Grunde richtet. — Die Kunst ist das Bindemittel zwischen Gott und den Menschen. Sie gibt diesen Gottähnlichkeit. Sic ist die Schöpferkraft in der menschlichen Seele, die nicht unthätig bleiben darf, und müßte sie zerstörend wirken am Dascyn des Wesens, das sie hegt. Der Künstler, das Genie, lvclchcs die Glücksnmstände nicht über die Bedürfnisse, das Elend, die Roth des gemeinen Lebens stellen, ist das souffre-douleur des rohen Hanfens , der es vcr- höhnt und begeifert, theils anö angeborner Roheit, thcils ans Scheelsucht, und in dem Gefühle der eigenen Ohnmacht. Für die gewöhnliche Welt ist das Genie in Lumpen ein blödsinniger Narr, ein Idiot, bestenfalls ein müßiger Träumer, ein Jdcolog, der nirgends hineinpaßt in die Welt, und der sich daher je eher, je lieber ans derselben fortmachen sollte. Zu dieser gewöhnlichen Welt aber zählt nicht nur der gemeine, rohe und unwissende Haufen, sondern alle Jene, welchen Rang und welche Titel sie auch besitzen mögen, die da auf der Welt weiter nichts suchen, als wie sie ihre Niedern, thierischen Triebe auf alle Weise befriedigen können, und denen am Höhcrn und Heiligen nicht daö 'Mindeste liegt, sobald es sich nicht diesem Zwecke unterordnet. Das Künstlergenie lebt mit ganzer Seele für die Welt in der Welt seiner schönen, hohen Ideale. Es schwelgt in den Genüssen, die ihm diese seine ideale Welt bietet, im Schauen des Ewigschöncn, Wahren und Heiligen. Es drängt es unwiderstehlich, diese Welt in die Wirklichkeit einzuführen. Es will in seiner in- wohnenden Schöpferkraft, durch die Gebilde seiner Hand, die Herr- lichen Ideale seiner inner» Welt in die Welt außer ihm übertragen, seinen Mitmenschen zugänglich, zu eigen, machen. Dazu fühlt es sich von einer höhcrn Macht, welcher Niemand widersteht, gedrängt. Fehlen ihm die Mittel, welche hier auf Erden der Kunst zur Stutze dienen, so reibt es sich auf im ewigen Streben, im ewigen Drang, dem es weder folgen, noch entfliehen kann. Es leidet Tantalns- quälen, die sein ganzes Wesen zerstören. Der wirkliche Künstler vermag sich nie mit dein Niedern, dem Gemeinen, dem Rohen zu befreunden. Wo er dasselbe auf keine Weise, weder erheben und veredeln, noch auch ans seiner Nähe entfernen kann, da muß er selbst untergehen, in namenlosen Qualen. Wo der gemeine Haufen glückselig schwelgt, da fühlt er sich namenlos unglücklich. Hierin eben liegt der Unterschied zwischen der rohen Gemeinheit und der Poesie, dem Philister, der niedern, feilschenden Krämerseele und dem nach dem Höhern strebenden Künstler, zwischen Säncho.Pansa und Don Qnixotc, zwischen Mephistopheles und Faust. In dem Prologe schon fühlt der einsichtsvolle Leser ohne Mühe, das Krankhafte, Leidende in dem Gemnthe, der Seele des Dichters heraus. Dieses Gefühl versetzt unsere Seele schon gleich von vornherein in einen Zustand des Unbehagens, den wir durch das Ganze nurschwer, wenn überhaupt wirklich, verwinden können. Zwei junge Kinder, Communiante», ein Mädchen und eine Knabe ' beide leidend, körperlich nicht gesund, sich gegenseitig, wenn auch vielleicht unbewußt, in Liebe zugethan, die nicht Geschwisterliche, nicht blase Freundschaft ist, — das ist ein Siijet, das wohl nur wenig dazu angethan sein dürfte, dem Autor schon gleich den ungetheilten Bei fall des streugkritisch urtheilcndcn Lesers zu gewinnen. Der Seelen- schmerz des Dichters, der sich hier schon gleich in seiner ganzen Tiefe kund gibt, übt auf unser Gcmiith einen gewissen Druck ans und verursacht uns Schmerz. Doch gehen wir nun zum eigentlichen Roman, zur Geschichte des Helden, in welchem sich — so glauben wir wenigstens — der Autor selbst, bewußt oder jnnbewußt, schildert, über, und sehen wir, auf welche künstlerische Weise die in der Vorrede aufgestellten Sätze vom Dichter näher erörtert und bewiesen werden durch dd handelnd ausgeführten Personen und Helden des Romans. — Dw Rédaction. (Fortsetzung folgt.) Die Redaktion des „Vaterland" hat mir zu den in den Nummern 14 und 15 ausgesprochenen Ansichten Bemerkungen gemacht, die ich nicht für zutreffend halte. Da sie mir jedoch die Spalten ihres Blattes bereitwilligst zur Verfügung stellt, will ich eS versuchen , mich klarer auszusprechen; denn e« scheint mir, als ob ich nicht immer verstanden worden wtire. 1) In Betreff der Bescheidenheil erkläre ich mich weder zu dem Grund- sache: la modestie est la vertu des sots, noch zu dem Gegentheil. Es freut mich zwar immer, gelobt zu werden, zuviel ist jedoch Schmeichelei und könnte mich beleidigen. Deßhalb hat e« mich unangenehm berührt, daß im „Vaterland" nur von mir die Rede war, als ob ich der hervorragendste Musiker unseres Landes sei, für den mich Niemand hält, und welche Ehre ich keineswegs beanspruche. 2) Ein schlagender Beweis ist doch, daß Hr. Steffen dem Hrn. Oberhoffer seine letzte Arbeit, die Auswanderer, betitelt, z u r Composition übergeben hat. 3) Die mir empfohlenen Gedichte hielt ich nicht für mich passend. Ich bin, im Wiederspruch mit der Redaktion, dem sentimal-elegischen Elemente in Poesie und Musik gänzlich abhold , besonders , wenn es , à la Heine so krank- hast aussieht, und ich möchte mich lieber zu dem Spruche bekennen: „Unge- heure Heiterkeit ist meines Lebens Regel." 4) Ich glaubte klar dargestellt zu haben, daß die Musik nicht reine Gefühlssache ist, sondern daß Herz und Geist, also Gefühl und Verstand, zur Theilnahme aufgefordert werden sollen. 5) Wozu also die müßige Frage: „Die Poesie, was ist sie anders als Gefühls- fache?" 6) Ist doch die lyrische Poesie mit der Musik hier denselben Gesetzen unterworfen. Bedarf die folgende Frage wirklich einer Antwort: „Wer com- ponirt Epigramme und. Fabeln?" Componirte Epigramme kenne ich freilich nicht; aber Fabeln habe ich oft singen hören. Ist denn die Fabel: „Et wor emol e Kuob' etc. der Redaktion gänzlich unbekannt?" 7) Die Redaktion sagt : „Wir glauben nicht, daß die Kürze ein wirkliches Ersorderniß eines guten Liedes sei." Ich glaube es selbst nicht. Die Kürze des Ausdrucks, oder die Bündigkeit des Styls (la concision) bezieht sich keineswegs aus die Länge oder die Zahl der Strophen. 8) 1) Hr. Menager schreibt wohl klar und deutlich genug, so daß ihn Jeder verstehen kann. Weßwegen sollte ihn denn die Rédaction mißverstanden haben ? Mit demselben Rechte könnten wir sagen, er habe unsere Bemerkungen nicht verstanden, die wohl nicht so böse gemeint waren, als er es zu glauben scheint. D. R. 2) Hier verstehen wir den Hrn. Verfasser wirklich nicht. Wir hätten ihn gelobt? Daß wir nicht wüßten. Wir haben ihm ein paar Liebchen zur Composition empfohlen, das ist alles. Das war doch wohl nicht zuviel der Schmeichelei. Auch andere Liedchen haben wir empfohlen, und -war allen unser« Tondichtern. Hätten wir sie etwa damit geschmeichelt? Wo wir uns wirklich geirrt haben, war, als wir Hrn. Meuager wehmüthig-clegische Lieder, statt fröhlichen, empfohlen haben. Nun, irren ist ja menschlich, bleu culpa I ' D. R. 3) Was das hier beweisen soll, verstehen wir in der That nicht. Herr Steffen konnte Hrn. Oberhoffer doch wohl eine Oper schreiben, ohne dadurch dem künstlerischen Verdienste Hrn. Menager's zu nahe zu treten, das übrigens ein Jeder gerne anerkennt. D. R. 4) De gustibus non est disputandum. D. R. 5) Auch waren wir darin ganz mit Hrn. Menager einverstanden. Nur das sagten wir, daß da, wo ein wahres, tiefes Gefühl wirklich schön, wahr und innig ausgedrückt ist, der Gedanke nie fehlt. Will etwa der Hr. Verfasser das Gegentheil beweisen ? D. R. 6) Diese Frage ist wohl so müßig nicht, als Hr. Menager zu glauben scheint. Worin besteht denn wohl der Charakter der lyrischen Dichtung, wern nicht in dem Ausdrucke der Gefühle des Dichters, sei nun das Gefühl „u n- geheure Heiterkeit", oder elegische Schwermuth? Will Hr. Meuager Recht haben, so muß er uns zuerst beweisen, daß ein wirklich schönes, tief- empfundenes Lied, auch zugleich gedankenlos sein könne. — D. R. 7) Nicht doch. Die Redaktiou kennt die Fabeln Lafontaine's ganz so gut als Hr. Menager. Aber nicht die ursprüngliche Fabel wird gesungen, nur ¦ ein auf dieselbe gefertigtes Lied, und zwar „sur l'alr du tradiridira", welches Lied von unferm M. Lentz ganz einfach in unfern Dialekt übertragen worden ist. Wo aber bleibt bei diesem Liebe und dieser Weise das Gefühl, welches Herr Menager nicht vermissen will? In dem ganzen Singsang herrscht auch nicht ein Jota von Lyrik. Übrigens macht dieses Lied die Aus- nähme, nicht die Regel. D. R. 8) So einfältig ist wohl auch die Redaktion nicht, daß sie dergleichen behaupten sollte. Kürze und Bündigkeit 'ist eine schöne Eigenschaft, und zwar Das als Beispiel eilirte „Lied an die Freude" von Schiller ist außerdem unglücklich gewählt. 9) Es ist nicht alles Lied, was Lied genannt wird , sonst müßte man da« Hohelied Salomon'« und das Nibellungenlied auch zu den Liedern zählen. 10) Schillers Gedicht ist vielmehr eine Ode. 11) Ich bin im Besitze einer Melodie dazu von Schulz, doch paßt sie, wie etwa ein Kinderwamms einem Riesen passen würde. 12) Es läßt sich also doch componiren. Es bedurfte jedoch eines Größern, um diese herrlichen Gedanken in ihrer ganzen Tiefe zu erfassen und musikalisch zu verherrlichen. Dieser war Beethoven, der zum Schlüsse seiner nennten Symphonie diesen Text verar beitet hat. Dieses Werk ist ein Riesenwerk. Wer einmal der Aufführung des- selben beizuwohnen das Glück hatte, wird die Überzeugung gewonnen haben, daß der Componist hier den Gipfel dessen erreicht hat, was sich durch die Vereinigung der Poesie und Musik darstellen läßt. Unser einer macht es ihm nicht nach, dafür kann ich bürgen. 13) Uhlands Kapelle habe ich deßhalb als Beispiel angeführt, weil dieses Lied eine gewisse Popularität erlangt hat, indem man es in allen Lieder- sammlungen findet. Es gibt, wie die Redaktion bemerk:, viele andere, die eben so gut, und noch besser sind, als Gedicht , aber man findet nicht so leicht ein anderes, in welchem sich Wort und Ton so innig aneinanderschmiegen , wie dies in der Kreutzer'schen Composition der Fall ist. 14) Es war nicht darum zu thun , Hrn. Lentz als den besten unserer Dichter anzupreisen ; eben so wenig hatte ich die Abficht , das Verdienst des Hrn. Steffen zu schmälern. 15) Sicher aber ist es, daß Hr. Lentz die meisten und die besten Lieder gedichtet hat, die sich sowohl des Inhalts, als der Form wegen leicht componiren lassen. Dies ist so klar, daß ich es nicht sür noth- wendig erachte, weitere Gründe anzuführen. Ich will zwar nicht mit Fallstass ausrufen : „Gründe ? wer will mir Grüude abschwatzen ?" sondern ich will sagen: daran ist kein Zweifel. 16) nicht allein beim Lied. Und dennoch kennen wir so manches schöne, tiefergrei- sende Volkslied, wo sie fehlt. Die Volkslieder sind ihrer Statur nach fast ganz auf das Gefühl gegründet, indem das Volk nicht genug denkt, um in Sen- tenzcu zu sprechen. Was jedoch immer vom Herzen kommt, das geht zum Herzen zurück. Stur da« wollten wir Hrn. Menager bemerklich machen. D. R. 9) Ei ! ei ! wer hätte gedacht, d aß Hr. Menager so wählerisch, ein so strenger und unerbittlicher Kritiker ist? — DR 10) Wir nennen Lied, was gesungen werden kann, sei cS nun da« Hohelied Salomon'«, sei es das „Lied an die Freude" von Schiller, und wir glauben damit im Rechten zu sein. ^ ^ 11) Wir glaubten bis heute, e« sei eine Hymne. Wir danken Herrn Menager sehr viel für die bessere Belehrung. $ ^ 12) Ist es denn die Schuld de? Dichters, wenn der Tonkllnstler nicht im Stande ist, seine Meisterwerke in die Sprache der Musik zu übertragen? Der Componist, er heiß- nun Schulz, er heiße Menager, ist eben noch kein rechter Meister, wenn er es nicht kann. Di- Musik liegt schon im Liede selbst, cS heißt nur, sie herauszufühlen, und wiederzugeben , — DR 13) Wir ebenfalls. Auch haben wir weder dem Hrn. Verfasser, noch sonst einem von unfern Tondichtern, das „L:ed an die F : eu de von Schiller zur Composition vorgeschlagen, so viel wir wissen. Du lieber Gott. Hr. Meuager häl. uns so schon sür seine Schmeichler, m s-.ner großen Bescheidenheit, und doch haben wir .hm nur Liedch-n wie die von Ad. May empfohlen, die nicht einmat seiner würdig waren. W.r werden uns woht hüten, noch weiter zu gehen. Hr. Menager spaßt nicht in seiner Bescheidenheit. 14) Wir sind hier mit dem Hrn. Verfasser einverstanden. Wenn wir wate» wir leuuen bessere Lieder, als die von Uhland , so dachten wir dabei an die , Lieder von Mirza Schassy", die nicht leicht von andern ûv-rtropen werden - Aber noch eine Bemerkung: Wenn sich, bei irgendwelchem Liede es au» immer sei, Wort und Ton ».cht auf's Innigste aueinanderschuiiegc.i, dann ist die Composition verpfuscht, und wenn dieselbe von Beeteen her- D. N. rUt,rtf" 15) De la bonne foi, Hr. Meuager, wenn wir mit Ihnen diskulirei: sollen Es handelt sich h.-r nicht um Persönlichkeiten, sondern um d.e Wahrheit. Wir machen uns nicht mehr aus Hrn. Steffen, als au« Hrn. Lentz Die Wahrheit, sie allein , wollen, suchen wir. Warum stellt wohl hier Hr ° Menager Hr. Steffen Hrn. Lentz entgegen? Da« haben wir nicht gethan Wir haben bloS Hrn. Stessen zu unfern Dichtern gezählt, welche Hrn. Lentz âbüâ oder überlegen, als Dichter, dastehen, und Nicht ,n erster Reibe Wcßhalb denn diese Zusammenstellung hier k ' 16) Ah çà ! mit wem will Hr. Menager seinen Spaß hier treiben . Unter den angeführten Dichtern , die Hrn. Lentz an die Seite gestellt werden, sind mehrere, die mir gar nicht, oder doch erst seit kurzer Zeit be- kannt sind. Ob sie in der Thai Dichter sind, wird uns die Zukunft lehren. Ich bewahre heute noch, und zwar sehr sorgfältig, einige Gedichte, die mir in meiner Studentenzeit von Mitschülern verehrt worden sind. Es sind Ergüsse des jugendlichen Dranges und die, welche selbe gemacht, haben längstens der Poesie entsagt. Ewer, von dem man erwarten durste, daß er ein treuer Sohn der Musen bleiben würde, weilt nicht mehr unter unS. Es ist der früh ver- blicheue, in meiner Erinnerung noch lebhaft dastehende — Karl Ehschen. — Einige gelungenen Gedichte machen den Dichter uicht, ebenso wenig, wie eine Schwalbe den Sommer. 17) Zum Schluß noch ein Wort über Steffens Operntexte. Natürlich kön- neu diese nicht anders als im Ganzen und Großen genommen werden. Wenn auch einzelne Nummern als mehr oder weniger gelungen zu nennen sind, so halte ich meine Aussage dennoch aufrecht. Eine Wüste bleibt immer Wüste, wenn auch Oasen darin anzutreffen sind. 18) Die guten Nummern machen die Sache nicht besser, was dazwischen liegt, ist das Schlimme. 19) Da ist diel auszuscheiden. Ajoutez quelquefois et souvent effacez, gilt hier als erste Regel. 19) Ich wiederhole also , was ich schon früher gesagt habe : Hr. Steffen möge die Eigenschaft, seine Gedanken in eine gedrängtere Form einzukleiden, zu erwerben sich befleißen. Die Vögellieder, so vortrefflich sie auch sein mögen, sind wohl schließlich nicht als Liedertcxte anzusehen! Pah! papperlapapp! sagt der Storch. 20) Nach dem ersten Artikel des Hrn. Berfaffers, hätten wir Besseres von ihm erwartet. — Doch soll Hr. Mcnager ja nicht denken , wir bekämpften seine Ansichteil aus Rechthaberei. Sticht doch ! Uns ist es um die Wahrheit zu ibun. Mr kämpfen mit Gründen» Wir sagen nie: „daran ist kein Zweifel." Wir überlassen dem Publikum das endgiltige Urtheil, mir meinen mildem „gebildeten Publikum", nicht aber gewisse arrogante Schwätzern von unserer Bekanntschaft, denen die Wahrheit ein leeres Wort, ihre werche Meinung und Person Alles ist.
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Sans titre
Das Vaterland (1869)
— Er ist also noch unfehlbarer als selbst der Papst, an dessen Unfehlbarkeit man — wenigstens einstweilen noch — zweifeln darf. — Wenn wir bitter werden wollten, so — doch herbe Redensarten beweisen eben so wenig als das — „daran ist kein Zweifel" des Hrn. Verfassers. Eben so wenig, wie wir uns selbst für unfehlbar halten, hallen wir irgend einen Sterblichen dafür. Will un« Herr Menager zu seinen Ansichten bekehren, so muß er uns mehr bieten, als schale Witze. Für uns ist sogar der beste Witz noch kein Beweis. D. R. 17) Niemand macht den Dichter, wenn nicht die Natur selbst. Der Dichter ist, er wird nicht. Er ist, auch wenn er nicht ein einziges Lied in Worten gedichtet und in der Schrift dargestellt. Freilich ist ein Reimer noch kein Dichter, selbst auch dann uicht, wenn er Onartbände voll gereimt, und selbe hat drucken lassen. Dagegen kann ein einziges Liedchen sowohl, als ganze Stöße von Gedichten, den wirklichen Dichter kennzeichnen. Das sollte doch Hr. Menager besser wissen. D. R. 1?) Hr. Menager hat nun einmal einen Zahn auf Hrn. Steffen, das ift klar. Warum? — das wissen wir nicht. — Doch wie! Hr. Menager, wenn es nun mehr Oasen , als dürre Stellen gibt, bleibt's auch noch dann eine Wüste? Wir haben Ihnen solche Oasen angefübrt, könnten Ihnen deren leicht noch mehrere anführen, wenn es sich der Mühe verlohnte. — Wollen Sie nicht die Güte haben, und uns die wüsten Stellen angeben, damit wir uns auch auf diesen umsehen können. — Es gibt Leute, die Wüsten und Oasen sehen, wo keine sind. Sollten etwa wir und Hr. Menager zu diesen zählen? Eine gründliche Rezension der Operntexte von Hrn. Steffen aus der Feder des Hrn. Menager sollte un« sehr willkommen sein. Stur dürfte in dieser Rezension der Satz: „daran ist kein Zweifel" füglich wegbleiben. D. R. 19) Richtig, wenn es das Gute wirklich überwuchert und in den Schatten zurückdrängt. Ist dieses nun aber hier der Fall ? — that is the question, die noch immer nicht von Hrn. Menager bewiesen ist. D. N. 20) Tas ist wieder solch ein Seitenhieb nach Hrn. Steffen. So wie wir Hrn. Menager zu kennen glaubten, hätten wir gehofft, er würde aus den „Vögelliedern", wenn er ja solche anführen wollte, wohl andere auswählen, als da« des prosaischen, plappernden Storches. Das Lied der Lerche, des Zaunkönigs, der Goldamsel, der Nachtigall, z. B. — Aus lauter Bescheiden- jedoch begnügt er sich mit dem ganz einfachen: „Pah! pappcrlapapapp !" Ei! ei ! Herr Mcnager ! wissen Sie nicht, daß allzuscharf schartig macht, und daß man sich zuweilen blas gibt, ohne es zu ahnen? — D. R.
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Ein Traum.
Das Vaterland (1869)
Ein Traum. H. L. d-g. Wie träumt tch einst so selig — O ! Traum der reinsten Lust! — Da ich, du Süße, Holde! Dich hielt an meiner Brust, Und unsre Herzen schlugen Vereint voll Seligkeit, Und wir unS Liebe schwuren Für eiv'ge, «w'ge Zeit. Ich trank de« Himmels Wonne' In langen Zügen ein, — Ach! mußte das Erwachen Den schönen Traum entweih'n!
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Morgenandacht am Sonntage.
Das Vaterland (1869)
Morgenandacht am Sonntage. H. L-d-g. Durch die heil'ge Morgcnstille Tönt der Glocken Feierklang, Nach der Kirche zieht die Menge Bunt dahin, das Thal entlang. Mich anch locken Feierklänge — Nicht zum engen Gotteshaus — In mein Thälchen, auf die Felder In die frische Luft hinaus. Wo auf thaugetränkien Fluren Alles rings mir lacht und winkt. Wo das Herz sich, sanft gehoben. Gleich der Lerche aufwärts schwingt. Hier, umhaucht vom Dust der Blüthen, Fern dem Lärm, dem Prunke fern. Beug' ich tief mein Haupt nnd^beie — Bete leise zu dem Herr».
1869-09-26T00:00:00
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Meine Heimath.
Das Vaterland (1869)
Meine Heimath. L. H. D. R. Trautes Felsenthal, wo ich geboren, Heil'ger Ort, wo meine Wiege stand, Wo zum leichten Frohsinn auserkoren. Mir der Lenz so reiche Kränze wand. Wo ich schwankend meine ersten Schritte, Von der Mutter treuem Aug' bewacht, Heimlich bangend, in der lieben Mitte Einst gethan und sie mir zugelacht. Wo im Kreise munterer Gespielen, Meine Kindheit mir so schnell entfloß ; Wo ich nach des Lebens höchsten Zielen Zagend meine ersten Pfeile schoß: — Sei gegrüßt , du meine süße Heimath, Traute Ecke in der stllrm'schen Welt, Wo der Frieden — schönste Engelwohlthat — Seine heitern frohen Feste hält. Möge deine Else, friedlich fließend. Schön dich schmücken mit der Flora Glanz ; Dich mit reichem Silberthau begießend, Fort und fort erneuern deinen Glanz. Mögen rings auf deinen Felsenhöhcu, Deine Eichen blüh'n in voller Kraft, Und dein Volk sich hochgeachtet sehen, Bis der letzte Sonnenstrahl erschlafft. Gar nicht übel , junger Säuger ! nur mnthig vorwärts gestrebt , und nicht verzagt. —
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Sans titre
Das Vaterland (1869)
Wir haben das Vergnügen unfern Lesern mitzutheileu , daß die „Her- mannstädter Zeitung" in Siebenbürgen den Aufsatz im „Vaterland" : „Vergleich»»« unseres Dialektes :c. mit denen des Siebeubiirgisch-Sächsischcn Volksstammes" gegenwärtig in ihrem Feuilleton bringt. Hier was sie schreibt : „Einer zufällig durch die neue Auflage von Fr. Schuler-Libloy's „Deutscher Re ch r s geschi ch te" (Wien 1868) enstandenen Corresponde»; "des genannten Verfassers mit dein Obergerichspräsidenten von Luxemburg, I Herrn Würth-Paquet, verdankt unser Professor die sehr häufige Zumitteluug Ivon Druckschriften über den Luxemburger Dialekt u. dgl. m., welche den ''Freunden, Herrn Gymnasial-Direktoreu Haltrich und Schuster weiter mit- "getheilt worden sind. In einer dieser sehr schätzenswerthen Zusendungen des .„Wochenblattes sur Luxemburgische National-Literatur" betittelt : „Das Vater- Iland", (Druck: WittweM. Bourger in Luxemburg: Redakteur: Blum) „finden wir nachfolgenden Aufsatz:" „Veraleichuug -c." Eine solche Verbreitung unseres anspruchlosen Blattes und unserer Aufsätze hätten wir kaum erwartet, und um so weniger, da es in unserm eigenen Lande so viele giebt, die demselben kalt, wenn nicht gar feindlich, entgegentreten , was wohl größtcntheils daher kommen mag , daß diese Leute Tendenzen haben, die den unsrigen schnurstracks entgegenstehen. Sie möchten unser Land' je eher je lieber an Frankreich verschachert sehen, damit sie persönlich ja recht viel bei dem Wechsel gewinnen. Doch hoffen wir, daß die unpatriolischen Wünsche dieser Leute noch sobald nicht in Erfüllung gehen werden. D. R.
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Die neuzubildende Theatergesellschaft in Luxemburg. (Ihre erste Zusammenkunft.)
Das Vaterland (1869)
Die neuzubildende Theatergesellschaft in Luxemburg. (Ihre erste Zusammenkunft.) Man geht damit um, eine Theatergesellschast bei uns zu gründen wozu ein jeder Luxemburger von Kenntnissen und Fähigkeiten berufen sein soll, vor Allen aber die Mitglieder der Theatersektionen unserer verschiedenen städtischen Gesellschaften. Wir sind neugierig, wer sich wohl an die Spitze dieser Gesellschaft stellen, oder von der Gesellschaft, durch ein Votum, gestellt werden soll. Die Herren, welche am 16. d. M. bei der ersten Zusammenkunft sich das große Wort so nngenirt genommen (es waren ihrer vier bis fünf), wollen uns, nachdem, was hier vorging, nur gar wenig Vertrauen einflößen. Wegen verletzter Eitelkeit, aus reiner „persönlicher Rachsucht", haben sich diese Herren schon gleich ain ersten Abend gegen einen achtbaren und ehrenhaften Man« und Mitbürger, den sie durch ihr Cirkular hieher geladen hatten, ans eine Weise vergangen , wie es wohl ein roher und gemeiner Packträger im Trünke thut, wie es jedoch so hoch- und feingebildeten Leuten, wie sich diese Herren ganz gewiß dünken, ungemein übel ansteht — um ja gelinde zu sprechen. Diese hoch- und feingebildeten Herren , die sich hier aus eigener Machtvollkommenheit zum leitenden Comité constituirt hatten, und ganz allein das große Wort unter zwanzig bis dreißig ihrer Mitbürger führten , gingen zu- letzt so weit, daß sie dem besagten Ehrenmann mit den furchbarsten Prügeln drohten, sobald auch nur die mindeste Kritik Uber ihre Leistungen in unscrm städtischen Theater, sei es im „Volkssreund" , sei es im „Vaterland" erscheinen werde. Wir zweifeln keinen Augenblick daran, daß die Herren den guten Willen haben, ihre Drohungen bei günstiger Gelegenheit in Ausführung zu bringen, und so können wir nicht umhin, den Hrn. Staatsprokurator hiermit auf diese Drohungen ausmerksam zu machen, die zwanzig von unfern achtbarsten Mitbürgern, worunter die Herren Fr. Heldenstein, Menager, Hurt- Gerichtsschreiber , Achill Boucon , Belanger , Cas. Nathan , Amberg , îc. îc., Mttaagehört haben. — Die vier besagten seinen Herren und Wortführer sind sogar soweit gegangen, einem Manne, welcher der Achtung jedes Redlichen würdig ist, den Beitritt zur neuzubildenden Theatergesellschaft zu untersagen, und zwar ans eigener hohen Machtvollkommenheit. Welch ein Toupi ! welche Arroganz! So gehört denn unser städtisches Theater Hrn. Zinnen, den Herrn Hastert und Hrn. Guillaume? Wohl bekomm's ! Ja, wenn die feinen Herren noch irgend welche gegründete Ursache zu ihrem namenlosen Auftreten gehabt hätten, so wäre es — wenn auch nicht zu billigen — doch wenigstens erklärlich gewesen. Doch nein, die ganze Ursache war — wie schon gesagt — verletzte Eitelkeit , persönliche Rachsucht. Die Herren sind im „Volksfrennd" und „Vaterland", wie es scheint, nicht genug gelobt und gepriesen worden, und dafür nun mußte Hr. Steffen her halten, schuldig oder nicht. Und dieser Abend soll erst dos Vorspiel der Co mödie gewesen sein. Beim ersten Artikel, der, unser städtisches Theater kriti- zirend, im „Volksfreund" oder im „Vaterland" erscheint, soll Hr. Steffen (wie vielleicht schon der und Jener vor ihm) zu Tode geprügelt werden. Man hat ihm sogar schon die Fäuste gezeigt , womit das geschehen soll. Da wir, was uns betrifft, nun aber gesonnen find, unsere Meinung über unser Thea» ter, seine Tendenzen und seine Leistungen zu sagen, wir jedoch unmöglich Hrn. Steffen, der Familienvater ist und Frau und Kinder zu versorgen hat,, den Fäusten dieser Leute, wie ihm dieselben schon vor den Augen herumgetanzt sein sollen (die Fäuste und die Leute), preis geben können, so wenden wir uns hier nochmals, und zwar sowohl im Namen des Gesetzes, das jedem Bürger Schutz gewähren soll, als in unserm eigenen Namen, an den Hrn. Staatsprokurator, damit derselbe vorkommenden Falles wisse , wo die Faust- Helden zu finden seien. Oder soll etwa der Bedrohte nicht mehr ausgehen dürfen, ohne mir einem Revolver bewaffnet zu sein? — Wir glauben nicht, daß die Drohungen, so brutal sie auch gewesen sein mochten, wirklich so ernst gemeint waren. Was wir hier wollten, war den seinen Herren begreiflich zu machen, wohin dergleichen Brutalitäten sie leicht am Ende führen könnten. Denn muß nicht jeder wirklich gebildete und gutdenkende Mensch mit der höchsten Entrüstung wider ein solch rohes Ge- bahren sich erheben und dasselbe brandmarken? — Arme Stadt , wo solche Leute das große Wort führen, und nach Belieben schalten und walten dürfen ! Und unser Theater soll unter der Führung dieser Leute gedeihen und das werden, was es, seiner Bestimmung nach, sein sollte ! Allons donc ! D. R.
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Correspondenz:
Das Vaterland (1869)
Correspondenz: Hrn. Schasser in Ell.- Dank für die gütige Einsendung der Gedichte von L. Marchant. An die Red. der „Herrmannstätter Zeitung:" Broschüre und Zeitungen ein gangen. Besten Dank !
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Das Vaterland (1869) Wochenblatt für Luxemburgische National-Literatur Jg. 1, nº 17
Das Vaterland (1869)
Das Vaterland. Erscheint jeden Sonnabend Piquetstraße Nr. 8 Preis pro Buartal: Für Luxemburg .... 1 25 Für das Land ...... 1 65 Für das Ausland mit dem üblichen Postzuschlage. Druck von Wittwe M. Bourger. MsHMlW Dr L-«M«ârgWe ^Nämt-ätsrär. Nr. 17. Sonntag, den 26. September 1869. F" Jahrgang.
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newspaper/vaterland1869/1869-09-26_01
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Sans titre
Das Vaterland (1869)
Dic'cs Lied ist wahr und tief empfunden, und eben so schön aus- gedrückt. D. R.
1869-09-26T00:00:00
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Bitte!
Das Vaterland (1869)
Bitte! H. L-d.g. D. R. O sei mir gut, o sei mein Lieb ! Sieh, Kind, wie einsam steh' ich hier; Mir schleicht die Zeit so schwer und triib ; O sei ein guter Engel mir! Ja, sei mir gut, ja, sei mein Lieb ! Mein Haupt, das schwere Sorgen beugen — O dürft' es ruh'n an deiner Brust: Es müßte jeder Kummer schweigen Und Himmelsruhe, Himmelslust Mir nieder in den Busen steigen. O sieh ! schon schleicht die Hoffnung wieder Sich stille in mein Herz hinein. Die Zukunft lacht in ros'gem Schein — Du blickst so gütig zu mir nieder. Ich mstßie ewig einsam ziehen, Blieb mir dein süßer Trost versagt. Ich müßte fern' und serner fliehen. Von meinem wilden Schmerz gejagt Trotz Morgenroth und Abendglüheu, Müßt' ich vergeh'» in ew'ger Stacht. Ungeachtet — » vielleicht sogar wegen — der Unregelmäßigkeit des- Versmaßes in obigem Liede> macht dasselbe einen guten Eindruck auf den Leser
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newspaper/volksfreund1848/1848-12-08_01
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Der Volksfreund (1848)
Die geehrten Herren, welche für lau- fendes .Quartal dcS Volksfrenndes noch Abonnements- oder Annoncen- Gelder zu entrichten haben, werden hiermit höflichst ersucht, dieselben gefälligst so- bald als möglich an das Bureau der Medaction einsenden zu wollen.
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newspaper/volksfreund1848/1848-12-08_01
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Der Grossherzogthum Luxemburg. Vertrag des Luxemb. Wortes.
Der Volksfreund (1848)
Grossherzogthum Luxemburg. Der Vertrag des Luxemb. Wortes. Das Luremburger Wort drohet in seiner jüngsten Nummer, daß, wenn wir eS weiter trieben, es die ganze Wahrheit sagen werde. Nim, wir dächten , ein Wort für Wahrheit und Isecht sollte ungetriebcn die ganze Wahrheit sagen, ja sie längst gesagt haben. Wir führen keinen so prunkhaften Titel aus unserer Firma, und doch sagen wir immer nach besten Kräften die ganze Wahr- heil, und betrachten das als etwas sich so von selbst verstehendes, daß wir niemals drohen, die Wahrheit zu sagen, sondern sie eben sagen. Der holländischen Verfassung, dem Concordat vom Jahre 27 gegenüber, die offenbar die Gleichbe- rechtigung aller Cvnfcssionen in Holland bezeugen, sollen wir ihm auf's Wort glauben, es herrsche in Holland gegen die Katholiken ein solcher Fanatismus, daß der Konig keinen Vertrag mit Rom abschließen dürfe — denn der Verfasser des Lur. Wortes sei schon damals persönlich in Holland gewesen, als wir noch keinen Bart hatten. Nun wer mit der Wahrheit blos drohet, dem glaubt man nicht aufs „Wort". Die Gesetze, die Verfassung, offene Thatsachcn, die sprechen deutlicher, als einige bezahlte Schreier. Würde Holland so fanatisch sein , so hätte es diese Verfassung sich eben nicht gegeben und niemals an- genommen , selbst wenn die Verbindung mit dem katholischen Belgien sofort nach 1815 wieder hätte gelbst werden müssen , denn auch die Protestanten glauben — - und die fanatischen gewiß — man müsse zuerst Gott, und dann erst in zweiter Linie dem Weltlichen gehorchen. Daß in Holland katholische Lehrer nicht geduldet würden, ist bei einer auch heute noch aus mindestens 3/8 bestehenden katholischen Bevölkerung um so wc- niger glaubhaft, als es in Holland eben keine Cvn- fessionsschulen gibt, sondern die Volksschule vollstän- dig von jeder Kirche getrennt ist, wobei sich Katho- liken und Protestanten seit lange Wohlbefinden. Daß aber eine Verbindung res vorigen Königs mit der Gräfin d'Oultremont ungern gesehen ward, ist Thatsache; mehr aber geschah dies aus politischen, als aus religiösen Gründen: Letztere kamen nur in sofern in Betracht, als nach holländischen Hauöge- setzen der Souverän immer der reformirtcn Kirche angehören muß, wie ja ähnliche Hausgesetze auch zu Gunsten der katholischen Kirche bestehen , ohne daß man deshalb über katholischen Fanatismus zu klagen berechtigt wäre. Die Hauptsache war aber, daß die Holländer in jener Verbindung eine Hinneigung zu dem abgefallenen Belgien und daS Bestreben der Dynastie, sich mit demselben wieder auszusöhnen, erblickten, während sie selbst nichts von einer solchen Wiedervereinigung mehr wissen wollten. Komisch aber ist es, wie das Wort auf unsere Anklage, es sei unchristlich, die Regierung so erbittert, wie es dieses gclhan, zu verfolgen, wenn man wisse, daß die Regierung, von jenem angeblichen Vertrage keine Kenntniß habend, in ihrem Rechte sich glauben mußte, antwortet. Die Regierung, sagt das Wort für Rech), habe die Eristen; jenes Vertrages wohl gewußt, aber nicht dessen Inhalt, und auch dessen Eristenz nur vom Hörensagen, nicht offiziell. Der König habe ihr oft genug erklärt, sie solle Herrn Laurent schalten und walten lassen — und beinahe ist das Wort ver- sucht, der abgetretenen Regierung noch die Anklage auf Hochverralh nachzuschlcudcrn , weil sie diesem ausgesprochenen absoluten Willen gegenüber immer den des Landes und der damaligen Stände geltend zu niachen bestrebt war. Nun , die abgetretene Re- gicrung kann wahrlich mit diesem Lob zufrieden sein. Sie muß also nicht aus Schmeichlern und Bürcau- kratcn bestanden haben, wenn sie auch dem absoluten Willen des Königs gegenüber unser Land nach Gesetz und Recht, nach dem gekannten Gesetz und Recht, und nicht nach geheimen Verträgen verwaltet sehen wollte. Ucbrigens sagt das Wort hiermit nichts Neues. Jedem ist es bekannt, daß Herr Laurent seine Haupt- stütze nicht in unserm Lande , mit dessen Freisinn, Ehrlichkeit und Geradheit er sich nie recht befreunden konnte, sondern im Haag suchte und fand. Wort für Wahrheit, wir bitten dich um die ganze Wahrheit! Schonungslos decke sie auf! Es ist schlimm, daß man dich erst darum bitten muß. Deinem Hauptzwecke kann sie freilich nicht mehr dienen , denn heute ist jener bis heute geheim ge- haltene Vertrag ungültig, so lange ein Generalver- walter die Verantwortlichkeit dafür nickt übernimmt und so lange dem Art. 23 der Verfassung nicht nach- gekommen ist. Aber wir möchten die ganze Wahrheit einmal aus deinem Munde hören; es ist ja so selten, daß man Wahrheit von dem Worte für Wahrheit hört — und das Seltene hat einen großen Reiz.
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newspaper/volksfreund1848/1848-12-08_01
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Miscellen. Welche Gefahren bedrohen den Acker- bau u. die Landwirthschaft. (Schluss. Siehe Nr. 91.)
Der Volksfreund (1848)
Miscellen. Welche Gefahren bedrohen den Acker- bau u. die Landwirthschaft. (Schluss. Siehe Nr. 91.) Tie vorhin beschriebenen industriellen Unternehmungen dauern eine kürzere oder längere Reihe von Jahren, dann werden sie gelegentlich von wohlfci- lern Capitalicn, billigeren Anlagen und geschickteren Mitbewerbern derselben Arbeit überflügelt, oder von einer der in der modernen Welt so häufig wieder- kehrenden Handelskrisen urplötzlich hcinigesucht, und so ins Stocken, wenn nicht gar zu ihrem Untergänge gebracht. Wer versorgt dann die brodlos gcworde- neu Arbeiter, die in dumpfen Fabrikstuben für die Feldarbeit untauglich geworden sind? Wiederum fast ausschließlich die ackerbautreibende Bevölkerung, die Landgemeinden. Man wird uns hier fragen , ob wir denn jedes größere industrielle oder Fabrikuntcrnehmen schlecht- hin alö gemcinschädlich verdammen und daher ihrem Auskommen jedes mögliche Hinderniß in een Weg legen wollen? Wir antworten, daß wir von nichts weiter, alö von einer solchen Absicht entfernt sind. Wir begrüßen jede nationale Thätigkeit, die aus ei- gcner Kraft entsteht, auf cigei en Füßen stehen und gehen kann, als eine heilsame, dem Gemeindcwohle des Landes cntspricßliche, weil sie auf naturgemäße Weise, ohne gefährliche und plötzliche Uebcrgänge und Sprünge, die Quellen der Arbeit und des gesicherten Brodcrwcrbs vermehrt; wir wünschen nichts leb- haflcr, als daß auch in unserem Königreiche die un- genutzt oder todt liegenden Capitalicn in nützlichen Jnrustricunternchmungcn angelegt, ihren Eigenthü- »lern gute Zinsen und den Arbeitslosen Beschäfti- gung und Erwerb gewähren mögen; aber wir vcr- dämmen jedes derartige Unternehmen, welches vcr- mittelst hoher Schutzzölle die Consumenten eines gan- zen Landes zum Nutzen weniger Einzelner mit schwc- rcn Abgaben durch künstlich vcrtheucrte Preise belegt. Mit dieser Gefahr wird unser bisher so wohlhabcn- des Land, und wie wir hier aber- und abermals wiederholen müssen, der hochwichtige Stand der Ackerbauer und Landwirthe zumeist und zuerst von Süddeutschlanv und von dem Chorus bevorzugter Fabrikanten des Zollvereins eben jetzt auf die be- deutlichste Weise und schon für die nächste Zukunft bedroht. Und deßhalb wird man es uns Dank wissen, die Schlummernden und Sorglosen aufzu- rütteln und ihnen die Gefahren, von denen sie so nahe und so bald schon bedroht sind, vorzuführen. Schon haben die sämmtlichcn landwirthschastli- chcn Vereine des Königreichs Sachsen in einer Ein- gäbe an die Nationalversammlung zu Frankfurt v. 9. Sept. d. I. ihre Stimme erhoben und um Ge- hör bei der Neugestaltung der deutschen Zoll- und Handclsangelegenheiten, vorzugsweise bei Festsetzung des neuen Zolltarifs, gebeten, ihre Mitwirkung hierzu, als mit den Industriellen gleich Berechtigten, ge- fordert. Sollte unseren hannoverschen Lantwirthen nickt ein gleiches Recht zur Seite stehen? oder wol- lcn sie ruhig die Hände in den Schoß legen und das verderbende Wetter deö Schutzzollsystems über sich ergehen lassen, daS die Quellen ihres Wohl- ftandes so wesentlich in Gefahr bringt? Wir glau- bcn nicht, daß die landwirthschastlichc Intelligenz pch bei einer so bedrohlichen Lage der Dinge passiv oder gar indifferent verhalten werde. Wir sind vielmehr fr Ansicht, daß unsere Landwirthe, die auf den Anfang kammenden Monats November zu Frank- furt a. M. statthabende Versammlung von Abgeordneten der landwirthschaftkichcn Vereine aus dem gesammtcn deutschen Vaterlandc durch tüchtige Ver- treter aus ihrer Mitte beschicken und dort die geeig- netcn Schritte zur Abwendung der sie bedrohenden großen Gefahren mit Besonnenheit und Energie thun werden.
1848-12-08T00:00:00
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newspaper/volksfreund1848/1848-12-08_01
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Sans titre
Der Volksfreund (1848)
Nous avons reçu de la part de Mr. le percepteur des postes de Wiltz une longue lettre en réponse à l'article daté de Doncols et inséré au Numéro 90 de noire journal. C'est à tort qu'il s'est cru personnellement accusé; il ne s'est agi, et ne s'agit encore que de l'irrégularité de distribution qui résulte, d'après le dire même de Mr. le percepteur, de la mauvaise organisation de la poste rurale. C'est ainsi que la poste de Dickirch arrive à Wiltz à 10 h. du matin, tandis que le piéton rural part à G h. du matin pour sa tournée. (!) Les lettres et les journaux attendent donc 20 heures, ou, si la chance est contre eux, — car le piéton ne fait la même tournée que de 2 jours en 2 jours — ils restent 44 heures au bureau, avant d'être distribués, peut-être à une lieue de distance de ce bureau. Peut-on appeler cela une organisation? Et qu'on ne croie pas que ce soit là une exception, loin delà; c'est le cas général. Aussi nous maintiendrons jusqu'à réforme complète les plaintes que nous avons publiées jusqu'ici et nous continuerons à publier toutes [celles qui nous parviendront. Nous ne demandons pas que les employés outrepassent leurs devoirs, mais nous demandons une réforme complète de la poste rurale. (La Rédaction.)
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newspaper/volksfreund1848/1848-12-08_01
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Sans titre
Der Volksfreund (1848)
D er Hi. Jugcndbildncr von der Alzctt im „Luremburger Wort." Ein gewisser Herr, der sich den prunkvollen Titel eines Jugendbildners beilegt, macht in der Nr. 99 des „Luremburger Wortes" dem Publikum bekannt, daß er an dem Liedchcn „engSerenad" Anstoß gefunden hat, und schlägt mit allen vieren nach der Rédaction des „Volksfreundcs" aus ob der Ilnver« schämthcit ein solches Gedicht, eine schmutzige Serenade eingerückt zu haben. In seinem heiligen Zorne, in seiner gekränkten Unschuld stößt er in die Posaune mit dem entsetzlichen Schreie: Welch eine unsittliche anstößige Sprache! und benutzt diese Gelegenheit um eines gewissen Deputirten Kraftausdruck in der Kammer „die Buben jdes Volksfreundcs" zu wieocrholen. Bitte sehr um Verzeihung, Herr Jugendbildner, daß ihr keusches Ohr Anstoß gefunden, wo andere Leute nur Spaß sehen, es ist veimuthlich ihre eigne Schuld; es sieht vielleicht in ihrem Herzen nicht so ganz unschuldig aus. Jedenfalls hätten Sie besser gethan, dem Publikum ihr Aergerniß zu verbergen, denn sie gestehen dadurch, daß, sie den „Volksfreund" lesen, und hanteln gegen einen durch die Pädagogen des „Lur. Wortes" aufgestellten Grundsatz, indem dieses Lesen einem Jugcndbildncr nicht zu verzeihen ist. Das Wort wird ihnen mit Recht sagen: „Sic sind ein schlechter Jugendbildner; hätten Sie ihre Nase aus rem „Volksfreund" gelassen, Sic hätten die Serenade nicht gesehen. Die Wahl, die Sie ge- macht haben, indem Sie dem „Lur. Wort" Ihre hübsche, rührende Jercmiadc über die Verderblichkcit der Sitten zum Veröffentlichen zuschickten, war sehr wohl getroffen; man kann derselben nur beistimmen: das „Lur. Wort" hat nie unpassende, Aergerniß und Eckel erregende, unästhetische, unverschämte, tölpelhafte Artikel, uein, man lese nur in der Nr. 87. 2. Seite, 3. Spalte, die 3 letzten Zeilen des ersten Abschnittes, und alle die tausend Liebenswürdigkeiten, worin eS seinem heiligen Zorne Luft macht, und man gewinnt die Ueberzeugung, daß diese von allen Zeitungen dahier, eö im Eomplimentenmachcn, in den feinen Redensarten, in den petit-maître Phrasen, in den Höflichkeits-Ausdrücken am weitesten gebracht bat, und nie ein Wort sagt, ras nicht von dem Parfüm der Hofatmosphäre dufte. Wir werden dasselbe vuch dafür stets anempfehlen. Um nun aber eigentlich auf die Scrcnad zurück- zukommen, so muß man sagen, Herr Bildner, daß Sei das luremburgische Dialcct entweder gar nicht verstehen, oder in dem Liedchen etwas herausgcgrü- bclt haben, was nicht darin liegt; im ersten Falle müssen Sie kein Lurcmburger sein, der alsdann besser thäte, sich nicht anzumassen über etwas zu urtheilen, was er nicht vei steht; im zweiten Falle, und der scheint der wahre, ist es nicht sehr schmeichel- Haft für Sie; bedenken Sie doch, für einen Jugend- bildner, so sündhafte Gedanken zu bekommen bei einem einfachen VolkSlicdchcn; es ist wahrhaftig ein Glück, daß die Musik nickt dabei ist, die klingt erst recht unsittlich und ärgerlich. Die s ch m u tz- ige Serenade! hätten wir uns recht besonnen, wir hätten Ihnen dieselbe zum Auswaschen geschickt, Sie sind ja von der Alzctt. Ucbrigens scheinen Ihre Ohren von einer ungewöhnlichen Länge zu sein, da Sie so leicht überall damit anstoßen; wir rathen Ihnen, rcck)t fleißig das „Lur. Wort ! allein zu lesen; Sie werden dann sicherlich mit den Ohren so oft anrennen, daß dieselben zuletzt eine ordentliche Dimension erhalten, und Sie siä) bei den andern Leuten blicken lassen können, ohne daß diese an Ihren Ohren Anstoß finden werden. Bleiben Sie recht wohl, und wenn Sie wieder einen Artikel schreiben, so setzen Sic gefälligst ihren wahren Namen darunter, der sich aus obigem leicht ableiten läßt, und keine Lüge, denn das klingt schlecht mit dem Titel „für Wahrheit und Recht." Ein Anderer als ein Jugendbilrner.
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newspaper/volksfreund1848/1848-12-08_01
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Sans titre
Der Volksfreund (1848)
Zu Olimszciten las ick) die Fabeln Phaedri, Aesopi et Gellerti und mitunter eine, betitelt: Der Achselträger. Ter Inhalt derselben ist folgender: Einst führten die vierfüßigen Tbiere und die Vögel Krieg gegeneinander und die Fledermaus schlug sich jedesmal zur Seile der siegenden Partei, indem sie sagte, sobald sie sah, daß der Sieg sich auf die Seite der Vögel wendete: Ick bin auch ein Vogel, ich habe auch Flügel und ich kann auch fliegen. 'Sobald sie aber sah, daß der Sieg sich auf dtc Seite der vierfüßigen Thiere wendete,' zog sie ihre Flügel zu- sammen, kroch auf ihren vier Füßen und behauptete: ich bin auch ein vierfüßigcs Thier; ick) habe auch vier Füße und gebe darauf. Gibt es in Lurcmburg auch Fledermäuse?
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newspaper/volksfreund1848/1848-12-08_01
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Theater.
Der Volksfreund (1848)
Theater. X. Em deutscher Krieger wurde Dienstag den 23. November vor leeren Bänken und folglich bei leerer Kasse gegeben , wir glauben kaum , daß die Kosten durch die Einnahme gedeckt waren. Warum dies ? — Wir wollen nur hübsche Opern, artige Baudcville's (nota bene französisch) und dann und wann ein Lust- spiel, wo es recht viel zu lachen gibt! Aber ein Schauspiel, in welchem ein deutscher Krieger die Hauptrolle spielt ? das ist nicht nach unserm Geschmack! Hätte die Direktion doch auf dem Zettel „ein alle- mannischer" oder „ein germanischer" Krieger gesagt; wer weiß, das hätte vielleicht mehr angezogen. Die Aufführung des Stückes bewies uns, daß Herr Lücke für eine gute Besetzung der Schauspiel-Rollcn Sorge getragen hat. Er selbst spielte seine Heltenrollc wie immer, d. h. mit Beifall. Frau Rabenalt hatte ihre Rolle sehr gut aufgefaßt; sie spielte mit Anstand, dock) möchten ihre Stellungen etwas ungezwungener, freier sein; was wir bei Frau Schmitz zu bewundern hatten, die aber in der Déclamation der Frau Raben- alt nachsteht. Herr Rabenalt, der den Grafen Dohna spielte, ist für Diplomatcnrollen geschaffen ; Haltung, Kostüm und Phisiognomie wußte er mit Vorlbeil zu vereinigen. Herr Herrmann gab den Naturburschen Hans mit großem Beifall des kleinen Auditoriums, und er wird uns hoffentlich nock) in mancher komischen Rolle erheitern. Etwas auffallend scheint es uns, daß scheut vor 200 Jahren die 4 Heymonskindcr und die Wolufina gedruckt wurden , um jungen abcn- teuerlichen Köpfen Nahrungsstoff zu geben; solche Schnitzer sine nicht selten, und dieser hier ist einer der verzeihlichsten. Was die Wahl des Stückes be- trifft, so sind wir versucht zu glauben, daß Herr Lücke es für ein zeitgemäßes hält; eine Meinung, die wir nicht (Heilen. Vor dem 24. Februar, als man von Deutschlands Einheit, Stärke und Größe träumte und für Deutschland eine freie goldene Zukunft aus- malte, da war „der deutsche Krieger von Bauern- feld" zeitgemäß, heute aber ist dieser Sä)wall von Redensarten, den man in allen Zeitungen des Monat März abgedroschen findet, eine wahre Ironie auf dm Geist der Zeit, und mancher blickt mit Scham und Erbitterung auf seine schwärmerisch-patriotischen Prophezcihungen zurück. Am Donnerstag den 39. Nov. wurde uns zur Abwechselung ein altdeutsches Lustspiel von Blum: Goldschmitts Töchterlein» gegeben, und zwar aber- mals vor leeren Bänken. Das Stück selbst ist ohne Handlung und ohne Geist, und wenn wir auch in der Aufführung nichts zu tadeln finden, so hat unö dieselbe doch schrecklich gelangweilt, wofür uns nur das von Herrn Pichler vorgetragene Lied „der Wan- derer" einigermaßen entschädigen konnte. Sonntag, den 3. Dezember, bei vollem Hause: Ter Postillon von Longjumeau, von Adam. — Die Feder des Kritikers ist daö Schwert der Gcrechtig- frit um Gebiete der Kunst ; um aber über die Auf- führung des „Postillon" ein gerechtes Urtheil zu fällen, wissen wir nicht, ob wir dieselbe im Allgc- meinen befriedigend oder unbefriedigend nennen sollen. Gesang und Spiel von Herrn und Madame Pichler war sehr gut ; Herr Herrmann als Marquis von Eorey fiel öfters aus der Rolle des- königlichen Hof- Theater-Jntendantcn und eifersüchtigen Galan's in die Rolle des komischen Liebhabers; im Uebrigcn war sein Spiel gut. So wäre also von den Neben-Vor- stellungs-Rollen nichts Tadelndes zu sagen, im Ge- gcnthcil erfreuten sich Herr und Madame Pichler der Beisallsbezeugungcn des Publikums. Was aber diese Oper haben muß, ist die Hauptvorstellungsrolle, die so zu sagen während dem ganzen Stücke nicht von der Sente kömmt; wird die Partisse des Postillon schlecht gesungen, dann verliert die Vorstellung ihren ganzen Werth als Oper : und das war hier der Fall. Die herrlichsten Gesangstücke, die das schöpfcrisd)e Talent Adams geschaffen hatte, und in welchen Herr Thcbus als Postillon mitwirkte, gingen spurlos vor- über. In den mittleren Tönen war seine Stimme kaum hörbar und in den höheren hörte sie auf Ge- sang zu sein. Von seinen Arien läßt sich dasselbe sagen, und sein gutes Spiel war nicht geeignet, den üblen Eindruck, den sein Gesang gemacht hatte, zu verwischen. Im eigenen Interesse Herrn Lückc's und der Ohren der Theaterfreunde wünschen wir Herrn Thcbus eine bessere Tenorstimme. Daö schwierige Terzett „Gehängt, gehängt" :c. , so wie die Eiken- nungs-Scene im 3. Akte, verdienen mit Beifall er- wähnt zu werden. Das Chor war diesmal stärker, wie in Stra- dclla, nur vermißte man noch die Grundtöne (Baß- stimmen). Auch süssen, als wenn dasselbe um jeden Preis das Orchester zu übertönen suchte, und sein Gesang artete dann in Geschrei aus; es fehlte nur noch, daß auch daö Orchester seiner Seits den Wettstreit beginnen wollte , um durch Aufbieten aller Lungen- und Streitkraft das Chor zu übertönen. Die Costi'i ! e sind immer sehr schön und bilden daher einen desto stärkeren Contrast mit unseren Theater-Dekorationen. — Wie man sagt, hat Herr Lücke noch eine zweite Sängerin für Soubrettenrollen engagirt. X. X.
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newspaper/volksfreund1848/1848-12-08_01
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Marktpreise vom 6. December 1848.
Der Volksfreund (1848)
Marktpreise vom 6. December 1848. F. Schömann. Wenzen 26, 27 Fr. Mischelfrucht 23, 24, 25 Fr. Roggen 21 Fr. Gerste 17 Fr. Hafer 11, 12, 13 Fr. • Kartoffeln 7, 8 9 Fr. Butter 70 Cent, vcr Höf. Für tic Rédaction :
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newspaper/volksfreund1848/1848-12-08_01
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Der Volksfreund (1848)
Don der Sauer. Nachdem so viele und kost- spiclige Vorkehrungen von Seiten der ausgetretenen Regierung zu geregelten Leibesübungen in Bezug auf die physische Erziehung der Jugend an den Hauptleh anstalten unseres Landes gemacht worden sind; nachdem man beini Beginne des Turnens den nützlichen Zweck, den dieses Lehrfach auf die mora- tische sowohl als auf die physische Erziehung der Jugend bewirkt kennen gelernt hat; hegte man den Gedanken, daß nun fortan unsere studirende Jugend Gelegenheit haben würde, außer der Bildung des Geistes, zugleich auch den Körper durch rege Ue- bung im Turnen stärken zu können. Allein 'es scheint, daß mit dem Scheiden des Turnlehrers, Hrn. Eulcr, auch alle Lust und Liebe für die Er- Haltung und das Fortbestehen der Gymnastik ver- schwunden ist. Zwar wurde in die provisorischen Lehrpläne an den beiden Gewerbschulen von Lurcm- bürg und Echternach, die Gymnastik unter die ver- Kindlichen Lehrfächer gestellt, damit der Besuch der- selben nicht dem Gutdünken und der Willkür der Eltern und Schüler überlassen bleibe, und auf diese Weise Diejenigen den Hebungen derselben entzogen würden, die deren am meisten bedürfen; sondern da- mit die gesammte Schuljugend dieser beiden Anstal- ten dazu angehalten werde. Doch die Ausführung dieses Faches, und die Theilnahme an diesem wich- tigcn Erziehungszweig lassen noch viel zu erwarten übrig, sowohl in Luxemburg als in Echternach.. Dort fehlt es ganz und gar an einem tüchtigen Lehrer, hier kann wegen zu sehr überhäuster Arbeit der Turn- lehrer sich diesem schweren Fache nicht in dem Grade widmen, als es nothwcndig ist. Die Theilnahme, die man diesem Erziehungszwcig widmet, muß eine wahre, eine aufrichtige sein. Die Errichtung eines Turnplatzes, die bloße Einsetzung eines Lehrers rci- chen nicht hin, den Zweck dcS Turnens zu erlangen. Dies bewirkt meistens nur «inen kurzen Aufschwung, und schnell verfliegt Lust' und Liebe,! sobald ^die Jugend merkt, daß Arbeit, Thätigkeit und Ausdauer von ihnen verlangt wird; selbst tüchtige Turnlehrer müssen in ihrer Anstrengung endlich ermatten, rvenir sie sehen, daß die Behörden und Lehrer selten den Turnplatz besuchen und Turnen als eine unbedcu- tende Nebensache behandelt wird. Aber auch sehr zu bedauern wäre es, wenn die Gymnastik nur an den Gcwcrbsckulcn als verbind- lieber Lehrzweig eingeführt würde. Haben Gymna- siastcn nicht eben so nothwcndig (vielleicht noch mehr), als Industrie- Schüler, ihren Körper gesund und. kräftig durch die steten Hebungen des Turnens zn erhalten? Wünschenswerth wäre es, endlich zu sehen, daß bald Maßregeln getroffen würden, daß unsere ge- sammte Schuljugend sich bald der unumgänglich noch- wendigen Turnübungen freuen könnte.
1848-12-08T00:00:00
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https://persist.lu/ark:/70795/95wgswm54/articles/DTL43
newspaper/volksfreund1848/1848-12-08_01
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IV.
Der Volksfreund (1848)
IV. Von der Sauer. Die Verfertigung des Ka- tasters ist von jeher für eine der schwierigsten Unter- nehmungcn deö ganzen Staatshaushaltes angesehen worden, und man bat behauptet, daß es der Pro- birstein für eine Verwaltung sei, indem der wichtigste Theil der Verwaltung unv der Regierungswirthschast die Besteurung ausmacht. In einer guten, geregelten und gleichen Vertheil- ung der Abgaben nach den Grundsätzen der Ratio- nalwirthschaft, mit Beachtung der besondern Vcr- Hältnisse des Landes, liegt die Knnst der praktischen Steuerwissenschaft. Grund und Boden ist die erste und wesentliche Güterguelle der Natur, und in unserm ackcrbautrei- bcnden Staat ist der Landbau der erste und wich- tigste Erwerbungsweg der Glieder desselben, wie auch Grund und Boden hauptsächlich den großen Nationalschatz bilde, i, aus welchen das National- Einkommen fließt. Das Nationalvermögen ist die Quelle des Regie- rungsvcrmögcn, indem die mittelbare Quelle der Einkünfte für den Staat ein Theil des nutzbring- enden Vermögens seiner Glieder ist. Die Hauptquelle der Erhebung, oder aus welcher der wesentlichste Theil des Staatseinkommens fließt, äst der directe Steuerfonds und je vollkommener er das Einkommen der Steuerpflichtigen repräsentirt, um so mehr wird er geeignet sein, dem Prinzip einer gerechten Besteurung zu entsprechen. Es muß daher die vorzüglichste Sorge der Re- gicrung sein, daß der Steuerfondö und das Steuer- Kataster die betreffende Besteurungs - Gegenstände vollständig in sich begreife, daß jene Quellen ge- kräftigt, geschätzt und gepflegt, daß alles gehörig mit Sorgfalt geregelt und geleitet, daß das Staats- Bedürfniß nur nach dem reinen Ertrag des Natio- nalvermögenS und die Werthschaffung erhöht, und dicßfalls alles, was zum Forlschritt und Heil der Nation führt, gegründet und realisirt werde. Dieses wird hauptsächlich durch Festhaltung an dem Fundamcntal-Grundsatz der Besteurung, näm- lich verhältnißmäßige Gleichheit in der Vertheilung der Steuern, erreicht, und der Unterhalt, Volkswohl- stand und Rcichthum der Staatsglieder, und damit d>er finanzielle Zustand des Staats hebt sich hierdurch. Durch eine neue verbesserte Detail-Einschätzung und die Herstellung dcS definitiven Steuer-Katasters werden alle Mängel, Mißverhältnisse und Unrichtig- feiten beseitigt; Die Laudesvermessung wird dadurch in die, ihrem Zweck gemäße nützliche Anwendung gebracht, und hierdurch dieses große Unternehmen, und das ganze Katastcrgeschäst erst zu seiner gc- bührenden Wichtigkeit erhoben, gemeinnützlich und für das allgemeine und öffentliche Wohl wohlthätig gemacht. (Forts, folgt.)
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Sans titre
Der Volksfreund (1848)
* Les derniers numéros de ce journal donnent J'annonce de la publication depuis si longtems attendue, de la carie et du tableau des distances du Grand-Duché, rédigés par M. Simonis, ancien ingénieur du cadastre.- Ce travail a le mérite d'avoir élé fait d'après les documens officiels du cadastre; il est donc exact. La même annonce porte que le tableau et la carte ont été approuvés par disposition royale grand-ducale, sous la date du 21 avril 1848, contresignée Wurlh-Paquet. Il se présente ici deux questions: l'approbation grand-ducale, seule, sans autre disposition légale publiée dans le mémorial, rend-elle le travail do M. Simonis officiel, et partant en ordonne-t-elle l'application par la chambre des comptes; ou bien cette approbation est-elle une nouvelle baliverne de libraire et d'auteur, s'étayant sur une signature royale donnée sinon par complaisance, du moins sans valeur? L'une et l'autre do ces questions sont faciles à résoudre par M. l'administrateur-général des finances, et nous le convions à ce faire tout de suite, afin de faire cesser une bonne fois les conflits qui depuis si longtems existent entre la chambre des comptes cl les particuliers dans l'application du sot tableau qu'elle consulte, tableau où Kersbach est plus loin de Luxembourg quo Mersch, où le Crispinusberg est plus loin que le château de Dommeldange, Eicb, le Kirchberg, le Lampersberg, la Mudenbach, le Neudorf, etc. — Si je voulais alonger cet article, je citerais 100 et plus d'anomalies de ce genre, et cependant ces distances sont officiellement admises. M. l'administrateur-général des finances sait •aussi combien les Etats du pays ont insisté dans leurs dernières sessions pour voir régulariser cet objet, alors que pendant 4 à 5 ans le gouvernement n'a pas voulu mordre au tableau et à la carte Simonis. D'un autre côté, une autre difficulté se présente pour la détermination de la lieue du pays. Tantôt elle mesure 5 kilom., tantôt on ajoute 555 mètres pour la lieue luxembourgeoise (5,555 mètres.) 11 faudrait encore, par une simple déclaration administrative, fixer ce chiffre, et l'arrêter à la distance métrique de 5 kilom. Plusieurs dispositions législatives, parlent de lieues parcourues, d'autres de kilomètres ; pourquoi ne pas établir la commune mesure ? Il serait si facile de le faire, et alors toute contestation cesserait. Nous convions encore l'administration générale de publier bientôt celte disposition, car elle est bien nécessaire afin d'éviter désormais des conflits, suscités jusqu'ici mal à propos et tous les jours par une chambre des comptes qui ne sait se tenir qu'à la lettre, celte lettre serait-elle une faute d'impression, témoin entr'autres exemples: Le tarif du 18 juin 1811 porte que: ..Le médecin obligé de séjourner dans la tille où se fait l'instruction d'une affaire, a droit à une indemnité de 2 1rs. pour chaque jour de séjour forcé." Or quand cette instruction se fait dans un village (nous n'avons pas de villes dans notre Grand-Duché,) le médecin requis, qui y met toujours du sien, n'a droit à aucune indemnité de séjour (2 fis. par 24 heures dit le tarif!!) dût-il rester éloigné de chez lui et de sa clientèle pendant une année entière, parce que, dit la chambre des comptes, l'instruction a été faite dans im village, non dans une ville. Si Messieurs de la chambre des comptes veulent des explications plus catégoriques sur ce chapitre, on les convie de revoir leurs archives de 1845, entr'autres l'affaire Millier de Remich, tentative d'assinat et vol de grand chemin, qui a forcé le médecin légiste à séjourner pendant 5 jours hors de chez lui; cependant la chambre des comptes lui a voulu rayer l'indemnité de 10 1rs. qui lui aurait été allouée par le tarif, si l'instruction avait eu lieu dans une ville, tandis qu'elles n'a été faite qu'à Remich, Oetrange et Pleitringerhof, et le médecin, outre la perte que ce long séjour forcé lui a occasionnée dans sa clientèle, a ajouté 50 1rs. au salaire que la bénigne chambre ne lui a alloué, qu'après plusieurs réclamations. Quand donc, pour le dire en passant, aurons- nous à la chambre des comptes de notre pauvre petit pays, des hommes qui sauront leur alphabet d'entendement? La crainte que nous n'en ayons de longtems encore, a donné lieu à cet article.
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Deutschland. Deutsche Nationalversammlung.
Der Volksfreund (1848)
Deutschland. Deutsche Nationalversammlung. Frankfurt, 4. Decbr., 11 Uhr. In der Heu- tigcn 128. Sitzung der verfassunggebenden Reichs- Versammlung (unter dem Vorsitze des Präsidenten v. Gagein) wurde die Präsidentenwahl vorgenom- men, welche mit 313 unter 415 Stimmen wieder- holt auf Hr. v. G a g e r n fiel. Simon von Königsberg wurde mit 275 unter 445 Stimmen als Vicepräsirenl gewählt. — Zum 2. Vicepräfidcnten wurde Bescler auS Schleswig mit 210 unter 425 Stimmen gewählt. Präsident v. Gagern sprach nach Verkündigung der Wahl folgende Worte: „Meine Herren! Den neuesten Beweis Ihres Zutrauens kann ick) nur im- mer mit erneutem Danke erkennen. Mein Pflicht- gefühl ist stets dasselbe, gesteigert durch den Ge- danken, daß wir dem Ziel, das uns gesteckt ist, im- mcr näher rücken. Gestärkt durd) diesen Gedanken, werde ich Alles aufbieten, damit wir dieses Ziel baldmöglichst erreichen." Die Tagesordnung führt sodann zur Bcrathung des BersassungsabschniticS „Der Reichstag", und zwar zuerst des Art. 1. §. 1 : „Ter Reichstag besteht aus zwei Häusern; dem StaatenhauS und dem Volkshaus." Bei der allgemeinen Debatte bcthci- ligten sich die Abg. Nauwerk, Teil kämpf, v. Watzdorf und Jahn, bei der speciellcn Debatte Freude ntheil, Bally und der Berichterstatter Dahlmann. Die Abstimmung ergab, daß derAn- trag von Vogt und Konsorten (mit welchen sich auch M. Mohl vereinigte): „Ter Reichstag besteht aus den in einem einzigen Hause vereinigten Abg. deutschen Volks" mit 331 gegen 95 verworfen und der Art. I. §. 1 nach den obigen Anträgen des Ver- fassungsaussd)usses angenommen wurde. Bei Art. II. S. 2 : „Das Staatenhaus wird gebildet aus den Vertretern der deutschen Staaten" wurde zuerst die Berathung über den Bericht des Abg. Bescler für den Verfassungsausschuß in Betreff der Mediatisi- rungsfrage eröffnet. Außer dem Majoritäts- und jwei Minoriiätsantrâgcn liegen noch Anträge von Löw von Magdeburg, Förster, Riesser und Schüler von Jena vor. Es sind 22 Redner ein- geschrieben, unter welchen zuerst M ö Hing das Wort erhielt. Berlin, 1. Decbr. Gegen die Mitglieder der Linken sind in den letzten beiden Tagen wieder die gröbsten Rohheilen verübt worden. Man hat vor- gestern das Secrétariat unter den Linden mit Soi- taten umstellt und die dort vorhandenen Druckschrif- ten weggenommen und gestern de» Saal des Hotel Melius versiegelt. — Nack) dieser Seite hin ist also die Barbarei bereits auf die Spitze getrieben. Aus mehreren Acußerunge» der höheren Offiziere erhellt sodann, daß man beabsichtigt, daS AssociationSrccht völlig aufzuheben. Dabei hütet man sich jedoch, dem größeren Publicum zu Nabe zu treten. Man ent- schuldigt steh auf das Höflichste, und erklärt fort- während, es sei ja nur auf kurze Zeit. Die „Zei- tungöhallc" und die „Reform" werden schwerlich wie- der erscheinen dürfen. Auf diese Weise wird aber offenbar ihre ganze Eristcnz untergraben, denn wenn sie am 1. Januar nicht erscheinen können, sind ihre Abonnenten gcnöthigt, sich andern Zeitungen zuzu- wenden. Das ist natürlich die Absicht der Regie- rung. Sie will die Presse auf bequeme, nicht gar zu auffallende Weise morden. Vom 2. ES wird hohe Zeit, daß die Posse zu Ende geht. Die Regierung, d. h. der Hof „von Gottes Gnaden", die Junkerei und das Beamten- thum, stehen auf dem Punkte, die alte Wirthschast wiederherzustellen, und die Märzschwächc durch No- veinber- und Drcembcrstärke auszutilgen. Die da glaubten, das stehende Heer sei schon so weit demo- cratisirt, daß daS alte Regime keine Stütze mehr an ihm finde, haben sich großentheils getäuscht. Auf einige Zeit, vielleicht Monate lang, ist dieser patriarcha- tischen Despotenwirthschaft der Erfolg verbürgt. Ge- gen den Belagerungszustand, das Standrecht und die Kartätsche ist noch kein Mittel vorhanden. Ter letzte Schritt bleibt noch zu thun, die Bolksvertre- tung ist zu beseitigen, oder ans den Vcrei'nigten-Land- tagS-Stantpunkt zu rcducircn. Vom 2. Die hier zurückgebliebene Majorität der National-Versammlung hat in einer geheimen Sitzung vom 27. November, dem Tage, wo die Sitzungen in Brandenburg beginnen sollten, eine Proclamation an ihre „Mitbürger" erlassen, worin sie ihre Hand- lungswcisc rechtfertigt. Sie sagen u. A.: „Ce war „End) nicht zu thun um ein leeres Constitutions- „Schema, neben welchem die alte Willkür, die alle „Pulse des Volkslebens hemmenden alten Werkzeuge „der Adels-, Beamten- und Militär-Herrschast in „voller Thâtigkeit hätten bleiben können. Ihr vcr- „langtet eine neue Begründung, nickst nur in dem „cigentlick)en politischen System, sondern auck) im „Gemeinde-, Vcrwaltungs-, Gerichts- und Militär- „wesen. In diesem Sinne hat die Nationalversamm- „lung ihre Aufgabe erfaßt und sich mit Ernst und „Ausdauer ihrer Lösung gewidmet, mehr gehemmt „als gefördert durch die drei rasck) aufeinander fol- „gcnrcn Ministerien Klar mußte es allen Pri- „vilegirten, allen Büreaukraten, allen Herröndienern, „allen Anhängern des alten Militär- und Polizei- „Staates werten, daß eö mit dieser Versammlung „nick)t möglich sei, neben dem Scheinbilte dcö Eon- „stitutionalismus, die alte Willkürhcrrschaft svrtzu- „setzen, das Volk wieder um die Früdste der Revolution zu bringen. Daher verdädstigten sie auf jede „Weise die Nationalversammlung, beschuldigten sie „der Unthätigkeit, erhoben das Geschrei nach der bloßen, „hohlen ConstitutionSform, beuteten die politische Un- „reife, die Furdst dcS Bürgers vor dem Proletarier, „diese in Deutschland ganz unbegründete Furdst, aus „benutzten einzelne Gesetz-llebcrschreitungen, um vcr- „möge der widergesetzlichen Erfindung des Bclagcrungö- „zustandeö im tiefsten Frieden, ein Werkzeug vorzu« „bereiten zur Unterdrückung der blutig errungenen „Freiheiten, der Presse, dcS Vereinigungsrechts. Zur „Täuschung der Provinzen deutete man die in Zeilen „der Aufregung unvermeidlichen, vereinzelten Erccsse „dahin, die Versammlung sei terrorisirt Als nun „die Versammlung auch in der Berathung der Grund- „redste den entschiedenen Willen zeigte, die Früchte „der Revolution zur Geltung zu bringen, alS sie die „Hand an die Feudalrcchte legte, Adel, Titel und „Orden aufhob, als sie sich des unterdrückten Wiens .annahm, da schien eö der Réaction die höchste Zeit „zu sein, durch Beseitigung dieser Versammlung dem »Volke die Hoffnungen zu nichte zu machen, deren „Erfüllung nach wenigen Monaten bevorstand. Da „trat die Soldatengewalt unverhüllt auf in dem Mi- „nistcrium Brandenburg Jede Auflösung „dieser Versammlung ist ungesetzlich und da- „her rechtlich wirkungslos. Feierlich pro- „tcstirt die Nationalversammlung gegen alle „Acte der Regie r u n g , welche durch die »außerordentlichen Militäranstaltcn wöchentlich Millionen deö Staatsvermögens vcr- „geudct, lediglich zur Knechtung derNation. „Feierlich erklärt dieselbe, daß die Regie- »rung, ganz abgesehen von der bereits be- »schlossenen Steucrverwei gerung, vom t. Ja- „nuar 1849 ab, über keinen Pfennig vcr- „fügen darf, da wir das Budget noch nicht „bewilligt haben.".... Diese Protestation ist von 170 Abgeordneten von der linken Seite unterzeichnet. Durch militärische Besetzung des Büreau der Ratio- nalversammlung und rcr Privatwohnung des Sc- cretärs Hildenhagen , welcher die Sammlung der Unterschriften im Auftrag hatte, ist die weitere Ein- Zeichnung der in Berlin anwesenden Deputaten verbluten worden. Ter Druck dieser Proclamation ist durch die militärische Besetzung mehrerer hiesigen Druckereien bis gestern verzögert worden , und wird diese Proclamation jetzt von den Abgeordneten an ihre Wahlkreise versendet. — Die Zahl der Dcnunciationen , unter denen sich viele anonyme befinden, wächst mit jcrem Tage mehr. Verschiedenartiglcit der politischen Ansichten ist meist das Motiv der Tenuncianten. Es sind natürlich nur politische Verbrechen und unter diesen zumeist MajestätSbcleidigungen, welche zur Anzeige kommen. — Am heutigen Tage empfingen wir wieder eine neue Gattung Soldaten: ein Bataillon der gefürch- toten pommcr'schen Garde-Landwehr. General Wran- gel, der Prinz von Preußen und sein Sohn ritten ihren treuen Mannen entgegen und führten sie mit klingendem Spiel in die Stadt. Dazu ging etwa eine Compagnie der schon vorhandenen Garnison mit Pickelhauben und Seitengewehren neben ihren Ka- mcradcn her, da sie sich aber mit ihnen nur sehr spärlich vermischten, und die Soldaten hier, wegen des revolutionären Contagiums, nur in sehr geringer Anzahl aus ihren Quartieren gelassen werden, so war der Verdacht natürlich, daß dieser kanicrad- und lands- niannschastliche Empfang par ordre (lu mufti Wrangel commancirt sei. Darauf hat der Prinz von Preußen die in das Museum eingepferchten Soldaten, vielleicht auch noch andere Localien besucht, und wer wissen will, zu welchem Zwecke und in welcher Art, rcr kann eine beliebige Geschichte der französischen Revolution von 1789 aufschlagen. Zugleich bemerkte man am ehemaligen Nationaleigcnthum die so lange schamhaft herabgelassenen Roulcaur ausgeschlagen, und auf den Abend wird im Qpcrnhausc (das Schauspielhaus ist noch immer Knotenpunkt) gegeben: die Royalisten, von Raupach, neu einstudirt, und auf allerhöchstes Begehren die Markctcndc in und der Postillon, ein militärisches Divertissement. Vom 3. Gestern fand eine Privatberathung sämmt- licher Lppositionömitglietcr der Nationalversammlung, mit Ausnahme von ungefähr vierzig Mitgliedern der äußersten hinken , in Brandenburg statt. Man kam dahin llberem, in der nächsten am Donnerstag stattfindenden Sitzung zu erscheinen und sich der von der Rechten beabsichtigten Präsidentenwahl nicht zu widersetzen, da man jedenfalls die Majorität für die Wahl llnruh's zum Präsidenten sich gesichert hat. Tic Zahl dieser vereinigten Qppositioiiömitgliedcr ist bereits auf 100 gestiegen. — Von den Mitgliedern der äußersten Hinken sind bereits viele nach ihrer Hei- inath gereist, um den Willen ihrer Wähler zu ver- nehmen. Die Hiergebliebenen , unter Leitung der Herren D'Ester, Walrcck und Jacoby, werten keines- falls nach Brandenburg gehen und nehmen auch an Wn WriVnthrrrtthimrtpn der nndmi glieder ferner keinen Theil. — Da die Mitglieder der ehemaligen Rechten, welche bisher die Majorität im Brandenburger Dom hatten, fürchten, diese am nächsten Donnerstag zu verlieren, so sehen dieselben ihr Heil nur noch in einer Auflösung der National- Versammlung, welche sie herbeizuführen suchen werden. Ein Soldat erzählt uns, daß sein Regiment vom Obersten den Befehl erhalten hat, jeden Democratcn. der irgend einen von ihnen durch Redensarten auf- wiegeln wolle, sogleich festnehmen und an den Obersten abzuliefern; wer einen solchen Démocrate» abliefert, erhält „fünf Thaler" Belohnung vom Obersten. Der Erzähler fügte jedoch hinzu, daß diese Belohnung noch von Niemanden verdient worden sei. — Uno wer gibt diesen Herren Obersten das Geld? Der König von Gottes Gnaden etwa aus seiner Tasche? — Zur Aufklärung über die Vorgänge beini Schau- spielhause am Abend des 31. Octobre verdient erwähnt zu werden, daß die Bürgcrwehr zwei Herren verhaf- tele, welche an die Tumultuantcn uno Fackelträger Geld verlheilten. Der eine derselben war ein Guts- bescher aus Mecklenburg, der andere rcr Hauslehrer einer hiesigen Aristocratcnfainilie. lieber Beide schwebt jetzt die Untersuchung beim Criminalgcricht, und ist bereits die Bürgcrwchrabtheilung, welche sie zur Haft brachte, über den Vorfall vernommen. Dan zig, 27. Nov. Es reiste heute ein Divi- sionsaudileur von hier ab, der der Untersuchung ge- gen mehre in Pillau verhaftete Offiziere, die sich bei dcmoeratischen Adressen betheiligl haben sollen, bc- austragt worden ist.*) (Danz. Z.) Bonn, 30. Nov. Tic ungeheuere Aufregung, von der ich neulich berichtet, hat sich gelegt, nun muß aber unsere sonst so ruhige Stadt den Druck der Säbelherrschaft fühlen. Es besteht hier ein fac- listher Belagerungszustand, welcher durch nichts an- dcres, als durch die reactionäre Gesinnung und feige Wortbrüchigkcit der Behörden und des Bürgcrwehr- Commanro'o herbeigerufen worden ist. Die Thore sind militärisch besetzt. Placate werden durch Mili- tärpikcts abgerissen; die Bürgcrwehr ist — Dank der Feigheit ihrer Führer — suSpcnoirt und, um die Willkür bis zur Spitze zutreiben, die Ablieferung der Gewehre befohlen, um, wie unser Obcrbür- germeister versichert, zu sorgen (hörtl), daß sie bei der Reorganisation ja in die rechten Händen kom- menl! Ohne schriftlichen Befehl werden Bür- gerhäuser von oben bis unten durchstöbert, selbst Zcr- störungcn dabei vorgenommen; Studenten werden verhaftet, die mit Rappicrcn und Säbeln auf den Fechlboren gingen, und so geht es weiter. Neben dreien llnc[C|Ctzlichfcitm läßt sich das Militär auch grobe Erccssc zu Schulden kommen.
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Frankreich.
Der Volksfreund (1848)
Frankreich. Paris, 4. Dez. Bis jetzt hat die Regierung noch keine bestimmte Nachricht über die Ankunft des Pabstes in Frankreich erhalten. — Man sagt, seilte Heiligkeit hätten Anstand genommen, sich nach Frank- reich zu begeben vor der Lösung rcr Präsitcntcnfragc, da Dieselbe nicht die Gefahr laufen will, sich einem Bonaparte zu unterwerfen , nachdem Sic von Rom durch die Umtriebe der Prinzen Eanino und Borghese vertrieben worden ist. — Herzog Bugcauv und Hr. Montalembcrt haben sich für die Eandidatur von Louis Bonaparte erklärt.—
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Italien.
Der Volksfreund (1848)
Italien. In Rom hat sich die Dcputirten-Kammer für permanent erklärt.
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Sans titre
Der Volksfreund (1848)
*) Ist das kein« Aksinnttttgsinquisition? Und doch machte dt r Antrag von Schuthc »er mehreren Monaten so un- geheuerer värin und so viel böses Blut?
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Das Luxemburg, den 7. Dezember.
Der Volksfreund (1848)
Luxemburg, den 7. Dezember. Das neue Ministerium vor der Kammer. Auf die heutige Kammersitzung war natürlich Alles gespannt. Man erwartete das neue Programm des neuen Ministeriums. Herr Willmar, prov. Präsident — während die andern Herren definitiv angenommen haben — , verlas auch dasselbe und es wtrd gedruckt werten. Uns fiel in demselben Eins auf, nämlich: das vollständige Schweigen über unser Verhältnis) zur deutschen Ccntralgewalt. Wir tadeln dieses nicht. Unter den obwaltenden Verhältnissen scheint für die Kleinen Abwarten daö Klügste. Sonst enthielt das Programm all hie Versprechen, die man in solchen Dokumenten zu finden gewohnt sst. Es scheint uns den Vorzug zu haben, eben Alles und Nichts zu sagen. ' Hierauf trat der neue Verwalter der Finanzen auf. Wir erwarteten mit großer Spannung, wie nun das Budget vorgelegt werden würde, da bekannt- lich Herr N/Metz als' Deputirtcr der Opposition gerade das vorgelegte Budget als Hauptangriff gegen die damalige Regierung benutzte. Abermalige getäuschte Hoffnung. Herr N. Metz schlug der Kammer vor, entweder provis. Crédité zu bewilligen, bis er Zeit gehabt, ein neues Budget zu entwerfen, oder das vorgelegte Budget überhaupt provisorisch anzunehmen, und mit einem definitiven bis zum Jahre 1850 zu warten. Als hierauf die Tagesordnung doch wieder die deutsche Frage vorbrachte, nämlich: die 4000 Gulden — wen» wir nicht irren — Diäten für die Frank- furter Dcputirten, erklärte der Ministerpräsident, diese Frage erst prüfen zu müssen, und sie wurde bis Mon- tag vertagt.
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Der Volksfreund (1848) Freiheit, Gesetzlichkeit, öffentliche Ordnung Jg. , nº 93
Der Volksfreund (1848)
Der Volksfreund. Äkamitmuitä-Jirtie. 5 Fis. vierteljährig in der Haupt- fUfct, 5;Fr*. 80 Cts. für die übrigen Ortschaften dcS Großherzogthum». Sl n { i i g'e « werden mit^W Ctms. per Zeile berechnet. Kcr VolksfrettNv »escheint Mittwochs, F reit und Sonntag«. Bestellungen und ^Zuschriften wr»des fr a u t » Freiheit, Gesetzlichkeit, öffentliche Ordnung. Druck v. Franz Echomann in vuxcmturg. m m. Freitaa, 8. Dezember inm.
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Politische Uebersicht.
Der Volksfreund (1848)
Politische Uebersicht.
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Luxemburger Wort
Nu Barly'2 helljlline lieTaieuta arabica. —Hi». furo wird Niemand mehr die heilbringe de Wirkung von Du Vau:)'s ir^».,!üi>la bezweifeln, seit wir den ■ laufenden von >illbsp:ilchen vta Aerzlen und Laien ' heute die dankbare Segnung und die glückliche Cur i! Seiner Heiligkeit des Papstes beifügen kiinnen, nach ■ zwanzigjährigem fruchllasem Medieiniren. Rom, dtn ,' 21. Juli 18CH'. Die Gesundheit des Papstes ist aus' [ gezeichnet, besonders seitdem er sich aller Arzeneien ! womit man ih» zu heilen behauptete, Einhalt und ; uon der vortrefflichen llt-valenu Du Barry, welche '; erstaunend günstig auf ihn gewirkt hat, fast aus: fchlieljlich Gebrauch macht. — Man versichert, dah I Seine Heiligkeit bei jeder Mahlzeit einen Teller »eil ï davon genießt, und die Wohlthaten derselben nicht i genug zu preijen vermag, »ezorrespondenz aus der \ ilazeite du »Iidi.j In folgenden Krankhellen ist [ sie zu empfehle», als : Unvervanlichkeit, gestörte £e= ) bensfunttionen,Verstopfungen, fcharf r Säfte, Krämpfe, \ Diabetes, Spaemen, Sodbrennen, Diarrhoe, Reiz; barfeit der Nerven, und Nierenkrankhei\ ten, Blähungen, Erweiterungen, Herzklopfen, nerl uofe Kopifchmerzen, Taubheit, mummen in ttopf u. l Obren, Schwindel, Schmerzen zwifchen den Schultern jj und in fast allen Theilen des Körpers, chronische i Entzündungen und Magengeschwüre, Hautausschlage, \ Fieber, ©trophein, verdorbene Säfte, Armuth an j Vlut, Lungen und Liifliohren-Schwindfucht, Aus? zehrung, Wassersucht, Älhenmatismns, Influenza \ Grippe, Uebelteit und Erbrechen felbst wahred der I Schwangerfchafi, nach dem Offen, oder zur See \ enheit, Zpleen, allgemeine Schwäche l Lähmung, Husten, Astmah, Spannen über der Brust ; Phlegma, Unruhe, Schlast^figkeit, (Srjlpöjfiin;, £>t) I stencn, Zittern, Abn-ejung gegen Gefellichaft, Uni fähigkeit znm Siudl.'n, Delusionen, Gedächtnih^ \ Ichwllche, Aufsteigen des Blutes zum Kopfe, Mean-, z cholie, gruiidlose Furcht u. s. w. — 7.1,000 Certist' jäte, worunter eines Sr. Heiligkeit des Papstes de« l Hofmaifchalls Grälen Pluskow, der Markgräfin de I (jaehan, der Gräfin Castlestuart, der Doktoren Wur> I ai, Stein, Angelitein, Shorland. Ure, Haruey, ic. » I wovon Copie gratis und portofrei auf Verlangen. Diese; Kraftmehl ist durch alle Apotheken zu b»-»eher, oder Legen Poftfchein durch du Barry ,1 i iïomp., Î2, rue de lErnpereur, in Brüssel 3 «i> Pfd Fr. » 25. — 1 Pfd. Fl. 4. — 2 Pf | Sr. 1. 5 Pfd. Fr. 16. — 12 Pfd Fr. 82 und S 24 Pfd Fr. 60. — Auch Nu Barry's Rayaient a 1 Ohoeolade-Pulver für Brust, Magen u. Nervenfchrsä i che: In Büchfen von 12 Tassen, Fr. 2 25; 2A-. X«l° 1 fen. Fr. 4; 48 Tassen, Fr. 7; 283 Tasse'l, Fr. 83; j 76 Tassen. Fr. 60. Das heißt ungefähr 10—12 sn| tintes per Tasse. — ll»»», bo ll»««-, et C.i., 'S, 1 Regeat 8treet, London ; SS, Plaee Veodàrne, I Pari»; in Belli«, 178, Friedrich.Slratze; fw.ev j Lurembura Sei ft. Delahau«, 35aradeolafc.
1871-04-18T00:00:00
Verl. der St-Paulus-Druckerei
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I NkMONssN« I Nachricht Die Gemeinde^ Lermaltimg von Larentzweiter läßt an den hiernach bezeichneten Tagen, jedesmal um 9 Uhr Nordens, nachstehende Hotz-Produkte öffentlich versteigern, als: I. Am Donnerst»«, 20. April 1871, im Walde ; der Srction Loientzmeiler, Distrikt „Grüfte 86'/2 Korom sHön-s Vuchenfcheltholz, 111 Kocdm Knüppelholz 25 Elchen und 7 Äuchenstämme, 14 Netirihamm und 2 Loos Spane. Il Am Freitag, 2t. «pril 1871, im Walde der Section iiofferomgen. Distrikt „Kolent" : 64'/2 Kord.m fdjör.ee Vuchenscheitholz, 90 Korden Ki'.upp,'lhol,, 2 E'.chen- und 0 Bücher,stamme, 19 R^iserhaulen und 2 iiooS Späne. i Lorentzweiler, den 12. Apiil 1871. i Das Collegium der Bürgermeister und Schöffen Echintssen. Präsident. «6t? N. Clous, Sekretär. i^ersteigernng auj dem B a h n h o f. | Der orstnitidc Zuschlag der dem Hrn. Hub. Si|»ionâ zugehörigen, nächst dem Central-Vahnhof i gelegenen 1 Bauplätzen, wird am Freiag, den 2!. April, 8 Uhr 3lach? mittags, in dem Schenk okale N. ©lobt, zuerst in ■ Luvten und foöann im Ganzen, stattfinden. \ 830 Iul Reuter, Notar. » •—————■———————.^—.___ 1 .,. ., .,.<-■:~.^ Zum Besten einer in Folge i '!<i de» Krieges hart bedrängten, aus \ ri^'fi^M^' 5 Personen bestehenden Familie, i îitti niirü am Mittwoch, den 19. April, um 8 Uhr Abends, ' im Saale des Gesellenhaules (früheren 2Jiilitärca. sino), unler Mitwirkiing der HH. Obeihoffer, Iul. Vesque und mehrerer andeier geschätzter Dilles \ Unten, ein j <&oneevt stattfinden, und wird hiermit zu einem recht zahlreichen Besiiche einczeludei!. Die Programme besägen das Nähere. Ballette à 1 Fr. 25 Ct». find im Gescllenhaule, erster Stock, i der Bückten Buch- Handlung, so wie Äbenos an der Kasse zu haben. ! 843 Ankauf von allem Gold, Silber und alten Münzen um höchsten Preise bei JF. P. Traiis-Huberty, Gold- und Silberaibeiler, Fabrikant von Kirchen-712 gesässen in Li xeinburg. lO Webstühle mit Zubehör stehen billig zu verkaufen bei Herrr Paul gienlcr Gllldlchmit in Neirnch. 476
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:Holz-Versteigerung! nächst 6olmar:!Dcrg. M H l «m Donnerstag, den 27. April c., präzis-10 Uhr Morgen antanaenb, laht die Foist-Direl- i . t,on de,- IP. Domänen S. K. &. des Prinzen Hein- I : llch dll 'Jiieberlaiibe, im Distritt .Schwarzlops", 1 ; nächst dlr (S.t Ibiücltistrajje beim ,Karlsb]of* und > : ci,c, V Stunde um, Colmar Süerg gelegen, auf l S3org Us 11. Aon, l, versteigern : a) 300 Äoiben schönes «uchenholz: d) 4000 Stück in zwei ©aie gebundene Wellen c) 5 ôriief sch nere Buchen-und Nutz« himtat, und d) 2 «03 e epane. i Mersch, den 15. April 1871, I 848 ulh, Notar. Holzversteigerung nächst (£ffin{(cn und OWasbarf. Witlwach 3. Mai 187 , präzis 10 Uhr Moyens, werden bie âvbett de 9!cinaif| von Hirtzbach, in ' i&;em Walde, Oit „!'ei,n Hulpichcr ôof", dicht an z der iiianbftra&e u)n 6ruc6ten nach Mersch gelegen, I auf Borg Dis 11. Sîcoembsï k, uerftctgern: 151 Korden BuchZnschnlholz, 9 stamme, 3150 Fassen in 2 Seilen, und l 1 ÄiooS Spane. «eichte Abfuhr. : Mersch, 17. April 1871. 1 849 R^h, Notar. Holz-Versteigerung im Ncltingrrwllld nächst Grouch. atoitncrdafl, 4. Mai 1571, präzis 10 Uhr Vl«-; aens, werde,, Die (Srbn De Jfkinndj v,n Hirtz.; bad), un Stectinmroalt', ,Drt „T,efen!h,l-, circa j 10 Minuten von d« heisch Lanostraße ge; legen, auf! Borg bis 11. Jiüuember k. iierfteig.rn: 352 Ko du schönes Bachenscheitholz, G5OO Bu^l-Laichen in 2 Stilen, 40 (Sidj.nftamme von diversen Dimenfto en, u d 3 Loose èpatte. Leichte Abfuhr. ] Mersch, 17. April 1671. 1 fcso Nuth, Notar. 1B résulte : dun exploit de l'huissier BECK, résidant à Heiuieli, soussigné, du 14 i avril 1871, qu'à lu requête de Va-f J lentin Wilhelmy, vigneron, domicilié | ; à Bech, ayant, pour avoué Me Léon ] ; WLJKTH, avocat-avoué, demeurant àjj Luxembourg; signification a été faite' l à Michel Wilhelmy, sans état, ayant j ' son domicile légal à Bech, qu'il a cc- , ? pendant quitté depuis le mois d'août} i dernier, sans que le lieu de sa rési- ! i dence actuelle soit connu ; j | Dun exploit de l'huissier soussigné ; jdu 11 avril IS7I, enregistré, conte- ! f nant opposition parle requérant entre ' I les mains de Me Ulveling, notaire, ! ■ résidant à Reiflich ; avec assignation |au dit Michel Wilhelmy, à comparaître dans le délai franc de la loi,-; devant le tribunal d'arrondissement ] ide Luxembourg, siégeant en matière ' f civile au palais de justice à Luxem-i I bourg, ;à 9 heures du malin, pour I voir déclarer valable la dite opposi- ■ > lion ; en coiséquence, voir ordonm r ; que les sommes dont !e dit Me Ul- ! 8 veling tiers-saisi, se reconnaîtra ou ! ? sera jugé débiteur du dit Michel Wil- i helmy, seront versées entre les mains ' du requérant en déduction ou jusqu'à ! concurrence de la somme de 315 francs ] 196 centimes outre les frais de la ' poursuite ; cette sora.ne formant avec ! les frais liquidés au jugement rendu '■ entre les parties par le tribunal sus- « dit, le 18 janvier 1871, ceux expo-! ses postérieurement suivant taxe du 27 mars dtrnier. Qu'enfin, copies de l'exploit susvisé et de l'acte y mentionné ont été lais- l sées an dit Michel Wilhelmy en son s domicile légal à Bech, et que de p - ' reilles copies en ont été remises pour * lui à Monsieur le Procureur d'États près le tribunal d'arrondissement de Luxembourg susdit. Pour extrait, 851 L. BECK. Verloren \ am 5. April d. 3., Don Niederkerschen nach 2ur.em= Ü bürg, cine runde, roihe <£arton:l!aï>e mit grau- « peignent Musf, Berthe und Hlanschelten u. s. ni. — * Dem SBieberbringer cine Belohnung bei Hrn. Ber- ■; narb Marx m Di;eDetfcr|d;en ober in der 6r,p. des ; .Wort. 852 ? Ein junger Mann, î Bon IG—lB Jahren, welcher lesen und schreiben j farm und etwas fianzösisch versteht, wird gesucht, i Die Expedition sagt wo 868 j Zwei Oleander (Lauriers rose) \ Don 2 Bieter hoch, schon garnirt, in Knöpfen zu ' verlaufen '; 854 bei Gärtner Dom, Vcff»it im Neudorf. '' £%. -%T E S. i i J'ai l'honneur de recommander aux dames de Luxembourg mes corsets de fillette pour communiantes et en tous genres. Meue Eiseuhack, i 772 -lv« des capucins 6.
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pour entrer iminé liuteiaeut en jouissance, une L-elle maison d'habitation, avec jar'lin, écuries, cave et gre:iiers . S'adresser ;iu prnoriëtaire M. Chrétien KLEPPER à E.h. BiS Nachricht. 3tm Mittwoch de,, 2,!, A^ril t., un 4 Uhr Slattjmittaaâ, Infjen die Kinder Oft»r Bon i,'?rin^en o»,entlich l,»d auf äovg oeefteijern : 1. Ein Ack^l), entijaUenD 20 A.-es, am 3Sit>:U)of ,',u M^sch. zwischen Heccn ©.'loais um Öianbeaiourqsr. Dlirch feine vortrefflich? La-,«? eignet j^nc? Slück I sichfür eine fflo^nuiij j.un -betrieb einer ûansfl,-chll't. 2. Sin !üin?B 3Bonnb,iu? mit Stall mV ©arten, su '-4?rinç?en s,el^q»n. Die SBetfleiqcrung fi!,d.'t S:att ;,l Mersch, in §otct ©cf):uoli. SKerii), am .G. April 1571. 85" löcfifjcinoiit, Not«!-. Haus-Vcrstngcruilg. A»! Mittwoch, b:n 26, âlpril £„ um 4 Uh» Nachmittags läßt §err Th?!na3 Hch^uck, Schneider» mciftcr zu Meisch, üsfl^tlich unD auf Äorg velsteigern: Em Wuhnhaus mit si)ra'i?, Stall, gerätt» M';"iu Uiüt't und«"«md«"«m <Z^te<l von einer--JJiaujt umgeben, in Marsch gelegen. Die SBei-f!eigerung findet Statt zu Nersch, i« §ctel 81-moU. ïlterfd), den 16. April 1871. 85 l Sei^rraont, Not«. Wegen Ucdcrgebot. Am Donnerstag, d.'a 20. April f., um SUH» Nachmittag«, ioitb ans te;ti Se retatiate zu Bissen, feie Soij'äaebüue vo\ lva ber Herrenh,ck,l'> im K !>:o,i genannt „om Dellew b^r>,", fnt^altenb il (peftaren, wieder» B'rftpi.ie t. Mersch, den 16. April 1871. 652 V !ch"inont, Notar. Aufrage. Wann werbe» hie ac:uei N u lt"er t[) e Länder b«-zahlt bekomm^,! Dle S;vaf3ei|tid)3nfcnig. SlniDrm l Iteçit die Schuld? 853 i ' Eu fast naH rifuee, *e{ots Kra'.«keuwäge3chen ? steht zu umlaufen. Wc>, fa^t die @çp:bltloi 1 854 Bekanntmachung. I Die Velsteigeiimg desP'iklelais'schen SaufeS, Äa= | puynerstrcihe 18, in îSurem&urg, it auf Mittwoch, i den 26. April urn 2 Uhr Nachnntaas in der Schreib-- I stube dcs ünterznchneien üu^eji'^t. i 856 W, Nach'r, Notar. I i ii Zwei Schreinergestllen ? qeiud;£ lei Hrn. Vergor, S^reinsrnteiüer, I !ftcaf3e îRe. 31. 853 | E'.ne zi mlictH Qu ntnat ! Holzkohlen z bester Qualität in »erlaufen bei Pierre Piltz i u Sâ)teten. 852. Oeb dcïiiiesiîlc une bonne cuisinière, parlant U fran; çais. Bons gages. 854 s ■ à t>n clenisiifide ;un appartement de 5 pièces et dés pendances, en ville ou à proximité, ii de préférence avec jardin. Donner s l'adresse à la rédaction. 840 Z y-iaï.jowcîjtè uno bclgi)4e* Korn- und Weizenmehl ij empfiehlt zu den billigsten Preist» Z Mcyer-Sauerwetn | 67ô in ÏRerniâ. I 1I1 Ei« i 11 Sekretär u. eine V'lMothek 3 ' O? von Eschhülz stehen zu verkaufen. ; | G 2Bo^ sagt die Expedition. 84G G Vakant »die Untellchrenns^l!' 00:1 SI plat. 33:merl>et , sind gebeten, sich »oc 0?! ii Kî. l. îJJt'.'S z» i meiden. 84 ! Ein Lokal ' zu ve:mieth3N b,i Metzler-Zchraeder in Hol» : lerich. 810 . Katholische !öuajt)an;lanfl von Pierre lîruck m Luxemburg. ! Vorräthig.' Photographie« des elfenbeinern Ghrtihtë («îaif.'r Karl's Vv) i im Vlfttenlarter.fonna:, Bruststück, fchwarz à Fr. 1.00 id. id. id. coloritt 1.00 ib. id. Nm Kreuz, schwarz 1 00 Format 35/26'/« Cmt. i?. id. 5.00 „ 45,32'> „ io. ib. 10.00 „ 44/31 ',2 „ SmHfîucf, litl,?Zr. 2.00 Wer das Glück hatte, dieses Wunder der Kunst wie die K^nsiauturttiiten di.se« Meisterwerk d«i Sculptui mit Recht De; ichnen, im Jahre 1868, n» es hier im Sladthause ausaeftellt war, zu sehen, wira sich gérais »och des Zaubers erinnern, den basselbe auf ihn ausgeübt und an diese Eimnerung wohl schon öfter Den Wunsch aelnupjt haben, l«« äiiett in einer gute» Abbildung, einer Photographia zu besitzen.
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Oessentliche Versteigerung j »cn Kisenerz (Minette) zil (sfcl) an Der Stljctte (Gillhe,zogthüm Luxemburg). An ÜSoitaa, den 21. Npiil Ib7l, um 2 Uhr Nachmitla is, mut die ©ontembe lienualtung von Ëfd) an der A>^i:^, im Öe:iieiuoei)aiije bajel3|t ofjenillch cerfteigcin : das Eisenerz (äJcincrtc), »elches sich findet in nachstehenden Parzellen der Sektion ton Gchiff.inge», nämlich : 1) cine PaizeUe Sßalö, Bann SchMn Neu, „auf dem Bret.", s!r. 1760, zwischen den Äehl-merbüschen und Veiscyie- IJ. A. C. denen, «roh 1 96 79 2) Cïine P«t2ie ton 47 Ares 3«) Cent, des Weges von Echiffin» gen nach Äar;i, „auf Dem lg ch,!'^ weg", „^uf im H iseni'nmd", „im Corps de garde", „in yen ©teren", «im für/sau ttii.ü m", „ouf M^r<berg über feein gelben Sommert" 0 47 20 Im Ganzen . 2~~43~~99 Neide Pllrzellln befinden si<> in der Nähe er Eisenbahn und 0011 uerfchieoeiien bedeutenden ErzcuB6eutung.en. Die Milane und Versteigerliügsb^m^en liegen bei bern tittti1 zeichnetet?!! Jiotar z ir Einsicht, Ofch a. b. sujette, den 4. April ,871. 735 V ttor &>olff. Notar. Moliliar-Versteigcrllng m SDiïfird&. Am Freitag, 21. d'eses, um 11 Uhr tcs Wergen«, läßt die Siorir.unl'idjaft der Hfinberjäljtigen (Sonftance (SrHjer, >,» »ctuje Srnjer zu '-Duftid), iwn fä-nmtliot'u iliooiliirfuftanb bit ©eiiein)d)af. ita ©rnjtr lilcm;: 8 uni, (ïr.ijer Conrath, als: Hausinö.'ll ie^sr At: <êlai, Kupfer und Powell:n, 2 rmoe nolirte, (in Coulis seil- um 6 auöecH SEu'rip, EtrotMible, Sa'icp-eg, 2 u'ruine Eomtnoben, eine Hellsah:, eile icöne Bo^mr.fdiin«, Kü chenH-'chiri, 1 K!>.chen'chr^nk (so!'o'.inen' U"d andere Dten, po'.ttte und ui»)lirte Neusten, §îap unb F.d.r-setter, wo lavi n:;b msteppl<: ©icfeii, 2 «leideifchr^i .f., Spie ielno:c'(Sie3ener Götze, groß^ u;b k^i>ePk<lö, 1 neu s Homo ton, 1 Savna.erteii, 1 SwbaNmftUe Ucueften ky^ems. Si-iatren, ïair'ccî, mehrere Fa,s:r co^ titfd&iebenen Dim^nsic>n<^n, ©pejeieirajien, * tr-.etr-.e r.euî Sabadêpreffî, 4 itères gefegnitteneâ ioucbinticlj, u. s. w,, öffentlich und auf S3org «ersteigern. Mit dem Söcmerfen. baß jeder unter 3 Franken zugeschlagene Heaenstand baar ?at)Star ist, Keulen, il. 'April .&7L 782 A'!Nl3beri,, Notar. feer Gemeinde Consdarf, Canton Gchtcrnnch. am Mittwoch, de,i 10. April 1871, um 3 Uhr KadjmittniiS , Ui;;t die (Simouioe : iüecroaltuug »on Vonsdorf, die in den Lcchbüschen genannt „Holscheid" und „Scljetbijcii" zu schälende SoCjrwbe, erster Qualität, buchend in circa GOO Viirdcn »nf dem Sekretariat 51t Lonödorf, meistbietend auf S3org versteigern. Liebhaber, îDClclje DOtijee Äcsichti^ung bauon tu nehmen TOuujdjen, wolle,! ii.f) gefällig^ an den g-örjur Hrn. Dieber 511 (Soii3î>oïf wende». Echternach den 15. April 1871. 845 Ch. WolfT, Stotctr. CHANGEMENT DE DOMICILE. Monsieur DUIi.VS- OTTJGXOX a l'honn-jur d'in"orner le oublie qi'il ! vient d'ojvrir sou n tuveau magasin ] situé GrauiJ'ruj et rue des Charbons j N° 36. On trouvera c1,«2 lvi un grand , assortiment de parapluies, parasols^ j entoucas et cannes. Un beau choix ! de vanneries unes de France et d'Allemagne. ! Le tout à des prix très-modérés. Luxembourg, le 4 avril 1871, 722
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Holz-Versteigerung zu Ltudeliligen. Am Dienstag, 25. April 1&7 , prociâ um IN 5 Uhr Vormittags, weiden die Eiben de Sîeinoi^ k ton Hirtzbach, in ihrem Walde gencmnt ,Großen , ; büsch- bei Leudelingen, dicht ander Sanbftia^e »on ' ' Luxemburg nach ®fd) an der iftljet te: 180 Eichenbaume, braudiboi zu Ma> ' rir.egeböU, (Stferbah'j^roellen, Bau- ! und Wagnersscholz: 12000 schwere Faschen, vermischt mit Schmilz; 100 Korben Suchen-Scheitholz (panisches Maaß ; 100 Korden Eichenholz ; der Abfall der Coupe, auf Sorg versleiqern lassen. Vcqulme Abfahrt. Luxemburg, am 8. April 1871. 775, L. SPojeruß, Notar. Holzversteigerung im Giünenwlllo. Am Xonnerpog, den 20. April 1871, um 10 Uhr les Vormittags, lätzi Heir Sieon Se la Fun- j lame, im (Srtnti.roalb »ciste« Looe), Derlei ge r.ai.nt „m (leinen Wald' und ,im ytingetegiuno" 20000 in 2 ©eile gebundene fermeté Vu« chenjäjchen, mehrere Kantone Späne, öffentlich auf Borg versteigern. Bequeme Abfahrt. Luxemburg, den 13. «pril 1871, 823 JJ. Yiejerus, Notar. Holz-Versteigerungen zu Altzingcn u»d Itzig. Am Donners tag, 20. April Ib7l, Morgens 9 Ugr piäels, laht oie (àeinemtie l'Ciinaltung »on çcàperingen m beu ©iCtioiisioàlßevn von 2Uttmgen vi 0 3t'B versteigern: A. Im Schlage der Section Allongen, in Neiertraiisch: 4000 Fäscheu (in 2 Seile; ), 40 soà'ume, 50 semischle Ko:dcn, 15 Nnleihauf«l. U. Im ordinaire» Schlage von Ihig, in ben Districten Nonnenbüsch und Frelvusch i i 160 ©tereö 6sciib.oi}, 60 Stires Ëtu.ei.t;o z, 35 gegrabene Üöuiue, worunter meh' rcre schöne sDiarae|ölitr, 90 glhautne !t!äum!>, 2000 Fäschcn. Anfang in Veieintrausch. Luxemburg, 7. April 187.. 7 8 Gun. Rausch, Notar. Möbel-Versteigerung «uf dem Cents (Semeinbe Scu'.dwcilel). ! Am Donnerstag, den 'il. April 1871, un 0 Uhr Morgens, lassen die Witiwe m d Erben BoUing % elliN!>ll »cm Cents in ihrer Wohnung lajelbit, lhrilungehalber, ih,e icinimUid,en iliobitien auf Borg Dtifteigerii, unter Ändern : U Pfeide, worunter eine trächtige Stute 5 Kühl», 3 Rinder: vollständiges PftrdLqe^chirr fik 10 Ufetbe; 1 fitoèer und 1 kleiner ütall-orouabmaßen, 2 Karren, 1 Teimec. 2 4Vq^en, l Walz°, 1 Tilbuiy, 1 r,rcser SBann, Heine Wanne, Sfieioer, Siebe, Häcksel' Maschine ; 12 Winden, Letten. Strafe etc.; ! 1 iOnner.îDîutîle^ailcv^uUcï.^tmer eic; gierflEtät&e eHer ert eic.; 3 große Schranke, 2 Kommoden, Tische, Stuhle, Bail,,', 2 .paneutjrfti. 3 0 f>!N, 1 Lochmaschine, 1 g^ofjir Äcffel, Töpfe etc. ; Z Sinn; Küc^tugef^irr und ü^u?möbelaller3lrtefc. CF- Aitilel bis 5 Franken ■ sind gleich 6aar , zahlbar. ! Luz.-mburg, den 13. April 1871. B^9 (Sun. Rausch, Notar. i N. IÀGEEL, t) i craint, früher in Settemburg, root) t Gcoßstrahe 1 813 in Luxemburg. f ï
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Amtsstube des Notars Jacques fflont» l in Luxemburg, $ Das dem tzrn. Wulff Weymonn, 'N«uunlerneh« | mer zu L!inper«berg zugehöriges, neugebautei Wohnhaus ' mit 15 3:iniii!':n. Ctallung, Remise, Cchoppm, Vi steine, gioßeni mit Obstbäumen bepflanzten iDcmtt« ! segaiten und ». lumcngaricn, zetegin in einem Zul samnenta.igc ui.d enthaltend zusammen ungefähr 1 30 Ares, auf dem Limpersberg hei Luxemburg, steht aus fieier Hand, wegen Geschüfisaufgabc z» »eikailfen. Man wende sich a,cf. an den Eigenthümer oder • «n den unterschriebenen \ 714 I Grans, Notar. iLoh'Versteigerung zu Vianden. Am So nn tag, den '/3. April 1671, um S Uhr Nachmittags, Iaht die Stadt Verwaltung von Ai. andcn, -, oie Soli auf hm F: ßz in einer circa 5 Hikians üloß.n ,üoH tele, genannt „ob Vaaibrcitg^'.", ; öffentlich auf Borg versteigern. ! Die Loh ist vcn der besten Qualität. I Die ü ersteisserung findet Elall im Stadl Hause. | Blanden, am 7 11771. \ 707 W. Mryer, Notar. j Tanncnbäumc-Vcrftcigerung zu Wahl. ! Am S a m st a ff , den 22. April 1871, um 1 11hl ! Nachmittags, traten auf Anstehen des Hrn. W. ■ Iniques, <* utäbefit)<r zu Wabl. n seinem SBalbe] genannt ,Tllnnenbr.sch" bei SUc.';:, öffentlich und auf . Borg sei steigert: Ia) 200 S ück Tarrerl-llume, worunter vvAt säro re, zu Dachhölze« V. s. ro, tauatict, ; o> 450 Tannenbäume, sür Ktffern breuabar; c) 20 Korden Buchenholz. Redingen, den 11. April lfc71. 806 l.'e«!p. Sinn, Notar. %Lniv clU'iiiüisi'ISc j de cette ville, munie de bons certi| ficats, désire se placer comme demoiselle de comptoir. S'adresser au bureau du journal, j 812 j Herr EICHEL, ' ipstcntiitcr JMjiiarjt »an ilamâr, ! kann cm Tier,9aD, ben 2. nrb Mittwoch, jben 3. Mai 1871 im Kölnischen ßof com ; sultin werden. ! S eciolilät von Zöhmn m b Zahn weilen.' Er sola çarcïtirt. Si'fbeTÏPOPton Z?hnpulve^ >«b Zah7.elii.ic bei Mersch-Adam in Luxem» ; dura. 313 l^M«^'llUZ ber Fabrik von J. Deesze* in Saarbrücken sind in schöner Wahl einge^ troffen. Darunter sind die Canrcrt-Pianin»s nachamerlianischem 2yste:.n besonders zu empfehlen. Jos. de ßSc&ser, 1276 Fifchmortt. Gin wohleiyattenes zu verkaufen. Wo? ! d. Exp £80 sät VL^deplLtzü, »oSftfcöig smfc sttjSHj œ?.:5IJs tî> «u ö»taUt§«J a;ib g',o:c§ tat Etjieü«! Lilihül»« «.S;]'", ftch an GillliZtjjuMziehll S--««« i äs i,-.*<.*; c: tr-'bc/ 1454 Ein glwandter (Mrtner sucht Stelle. Wer? sagt die Expedition 84? Bei Soiditoc Eveilinss in S ikircb stehen 2 Fuder 65cv Wein zu verlaufen. C04 Sardines il l'huile, boites de toutes grandeurs, 721 chez
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Xulnnburg. — Dtucl von Ptttt »lu«.
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Die „Luxemburger Zeitung" vergeht
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Die „Luxemburger Zeitung" vergeht vor Nerger. daß die Regierung noch immer ohne ihre Erlaubniß die Geschäfte des San> des besorgen will. ! Kaum hat las Ministerium die délicate! Frage unserer Unathäue.igleit gegen den! Willen der „kuxcwburger Zeilung" gcW, » taum hat fS u.'lmccht, vctz der Hetzereien j und Bemühungen der „Luxemburger Z?i> ! tung", ihrer Correspondcntfp, ihrer deutschen ! Verbündeten und inländischen Gönner, Ver- \ Wickelungen mit Deutschland zu verhindern, | un' an d,ss n Stelle freundschaitliche Bc-1 ziihungen in Hantel und Politil anzubahnen,^ so hört man schon wieder, daß m f :re Ne j gwungsich erlaubt, ohne bei der „Luxenibur-« ger Zeilung" angefragt zu haben, Unter- \ Handlungen wegen insères Eisenbah: betiie- | des anzutnürfe?'. Von Berlin und Vrüss.l iauS wird sogar \ telcgrcphirt, die Untei Handlungen nehmen^ einen günstigen Foitgong. ' Und von Alledem wuh'e die „Lnxembur- \ gcr Zeitung" nichts, sie die doch Alles weiß, \ was im Regieclingsgebäude gethan, gesv o- \ ch-n, oder auch nur gclisp It wird! Unglaublich, fabelhaft, aber doch wahr, j Was aber die „Lnxenburgtr Zeitung" ganz außer Rand und Vand brirgt, das ist,! dc.ß die Regierung Hrn. von Blochauscn mit! den Eisenbahn VeiHandlungen betreut haben soll, . . . eine V.rsonlichl.it, die der „Luxembu ger Zei'.ung" nun gar nicht paßt. Wie es scheint, halte man auch zur Z.it der j Regierung schon diu Augen darüber g öffnet, ! nie unvertiäglich eine derartig» Mifîon mit! dem Charakter d s H. v. B. als Vertheidi-! ger und der vermaledeiten j Prinz Heinrichs» Vahn sei, und dennoch soll! heute H. v. V. in Sri ffll sich blfintien, um \ wo möglich unfere Unabhängigkeit auch in! EiftnbahN'Angeleglnheiten zu sichern. Es ist unbegreiflich, wie die Regierung einen folchen Auftrag nicht einem Anhänger der „Luxemburger Zeitung" gegebeu Hit. \ Wüs mögen wohl der Grand-Luxembourg, ! das Echo d'Arlon, und fonstige gute Freunde \ dazu sagen? D.e „Lux-mburger Regierung" j muH nicht mehr wissen was sie thut. die ver- | danmte Camarilla muß ihr bereits! vollständig überdenKopf gewachsen; sein. Ohne die „Luxemburger Zeitung" in! so wichtigen Geschäften vorgehen, das ift'^ nicht m.hr eonstliutionel, das ist Schein» ! eonftitutionalismuö. Für echt natio» j nale unpartheiifche Leute wie dte der „Lu« | xemburger Zeitung" ist das doch endlich \ zum Umpurzeln. Possierlich, drollig, aber doch wahr !
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Stocifllinic Esch e/b. »Ijeltc.
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Stocifllinic Esch e/b. »Ijeltc. Ab. Siirnnfi. 9.57m 4.37» „ Bcttcmb. 4.47m lüu2 5.07 . Nörtzg. 5.12 10.11 5.16 An. (*. à/A, f>,32 10.22 5.27 Ab. C. a,A. S.07m 10.57«. 6.27» » Üttntzg. 6H2 11 10 6.40 An. Bettenib. 6.44 1123 6.53 . Luxemb. 7.12 11.45 7.15
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Zweiglinie Ottunge. |
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Zweiglinie Ottunge. | Ab, Luxenib, 2.17» 4.37° „ Bcllcmb. 7.37 m 3.02 8.22 „ Nürtzg. 7.52 3.17 8.35 Sln. Ctlfliige 8.17 3.38 8.5? , Ab. Ottange. 9.17m 4.22.-. 9.2?» „ Nörtzg. 9.40 |4,<5 cj.45 An. Bcttcmb. "J.bS '4.57 957 I , Luxenib. 11.45 |v.i6 |
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I Deutsche Linie. |
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I Deutsche Linie. | Fl!« iL Stationen !» «r°^«z°gthuM : S^ernf,»,«« V*. »U. Mf auStoüttißm CtatUm« : nsp. Pari,». «"«"« "" «In«.NH.. I!. Lui°m!>ur°,r UV Ktrnncirt 17 Minuten «°l *tt P«l,n, II «°« b" »rttficl« und S «°l »« Wtnet Uhl. » bedeutet SBtotjcnl, « Siafttnlttogl und N»«nd». _____.,..._—___ . Oetr. „ Noodt. „ Wecker. „ Ncrtert » Wnfsb. . Conz. An. Trier, „ Eaarb, 7.44 7.54 8.03 8.13 8.17 8.28 8.40 10.11 10.34 10.56 11.13 11.27 11.36 2.09 2.26 2.40 2.54 3.01 8.15 8.30 8.25 8.48 9.07 9.24 9.39 Ü.55 10.10 ilib.Snaib. „ Trier. » tëmij. . , , Ucriert ! „ Wecker. „ Noodt. , Ccttin. An. Lnxb. 6.25m u.50 7.14 r,.21 7.37 7.64 8.13 8.39 • ! 10.40m 11.18 11.24 11.44 12.06» 12.29 12.58 » 12.00» 12.25 12.56 1.02 1.22 1.44 2.07 2.36 7.38» 8 00 8.18 8.22 8.33 8.44 8.58 9.16
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Velgische Linie. j
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Velgische Linie. j Ab. Lurb- „ Bnrtr. » Maincr. , Capelten . Betting. „ Sterp. An. Urion. „ Namür. . Lüttich. . Brüffel. „ Longi^y, „ Bastiiach 9.26 m 9.35 9.41 9.47 9.55 9.55 10.10 1.45» 2.25 3.23 1.05 12.55 2.51» 3.00 3.06 3.12 3.20 3.20 3.35 7.30 8.00 9.05 8.26» 6.39 8.<I8 8.56 9.08 9.09 9.30 5.30 m 9.10 9.40 10.38 8.10 8.15 6.10 Ab. Bastn. „ Longwy. . Brüffel. „ Lüttich. „ Namür. „ Arlon. „ Sterp. . Betting. „ Capétien , Viamer. . Bartr. An. Luzb. 6.00 m 6.24 645 6.54 7.01 7.08 7.16 9.15 ni 9.00 6.30 7.40 8.15 12.10 » 12.26 12.44 12.52 12.58 1.04 1.11 2,55» 2 30 12.35 1.30 2.10 5.45 6.01 6.19 6.27 6.33 6.39 6.46 8.15» 5.20 4.15 5.50 9.35
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i Französische Linie.
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i Französische Linie. Nb. Luxb. „ Fenting. An. Bettbg. „ Hettnnge „ Thioiw. „ llckniige. „ Hnnond. » Metz. „ Nancy. „ Strnfib. , Paris. 7.57m 8.0'-1 8.17 i i ' 19.37 m 9 49 9.59 11.45m 12.1.2 a 12.17 2.1?« 2.39 2.57 4.37» 4.51 5.03 8.17 9.22 10.07 Ab. Paris. „ Straßb. „ Nancy. » Metz. „ Hngond. , Uckange, , Thionv. » Hettange . Bettbg. , Fenting. An. Luxb. ?6.17a> 7.02 3 7.27 6.51m 7.01 7.12 11.23m 11.31 11.45 G.53« ?.l>4 7.15 8.07 i 8.17 8.27
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Luxembourg, le 17 avril 1871.
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Luxembourg, le 17 avril 1871. Lc Comité central de secours aux i militaires blessés vient de recevoir de l M. le maire de Gorze la communica- ! tion, que le Conseil municipal de celle ville a pris à l'unanimité la dé- { cision de perpétuer par une plaque ' de marbre scelée sur la façade de ITIôlel-de-Ville, l'inscription suivante : ' 1870-1871. f A LEURS BIENFAITEURS SUISSES, ANGLAIS ET LUXEMBOURGEOIS LA COMMUNE ET LE CANTON DE GORZE RECONNAISSANTS! l„HH»IJ I Von dcr Nttbcnzuckerstcucr im Zollverein für 1870 sallc« aus Luxcmbtlrg 43,344 Thlr.
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Die ,Köln. Ztg.‘ sührt Luxemburg jetzt un=
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Die ,Köln. Ztg.‘ sührt Luxemburg jetzt un= icr t»r Rubrik „Deutschland" auf, nachdem sie cs früher uutcr Holland oder Niederlande auf «unfairen gelassen hatte; hosientlich wird fie es nun bald dahin bringen, de {3 sie die Rubrik , „Grchheri0>,tl,um Luxemburg" aufnehmen wird. ; Unter dcr Rubrik „Tcutfchland" bringt sie folgende Corrcipcnbcrz aus Luxemburg, zu I der wir nur bemerken, dah doch nichts da.ü< ber g«ht, als Unrecht wieder gut zumachen: j muß aber der .Köln. Ztg.' nicht bald Alles 1 wie cin Mühlrad im Kopf herumgehend | I Heute weif, morgen fchwarz, übermorgen | l rolh, Alles nutz in ihren H^enlcssel herein, 1 l Wann endlich werden di« ,5>üin. 3'9-' und I | ihre Corrcipondenten begreifen, daß diejeni S gen welche Luxemburger fein und bleibe« | wollen, nicht fs,on deihalb Franiqlillons | j sind? Es geht halt am Rhein, wie eö an< | z derwärts geht: nur tüchtig lügen und ».t-| f läumdcn, cs bleibt immer etwas hangen. | Tie .Köln. Ztg.' laßt sich nun alfo fchrei- j 1 ben : | I „Luxemburg. 12. April. Ein Ministes | rium, wie cs neulich von hier aus verkündet | 1 wurde, wäre schlecht dazu angeih^n, unsere | 1 Beziehungen zu Teutschland wieder freund < | 1 fchaftücher zu g< stalten. Selbst Herr Führ, 1 unfer Gcfchäflsührer in Berlin, ,st langes | nicht so „deutsch", als man iln machen will, à I cs sei denn, dcß er es seit den letzten paar | ri Monaten.gewo, deie wäre. Seine besten Freunde | I daheim sind nichts weniger als „guibtit^" | 1 ge'innt. Auch tie Herren vo« Blochaufen u..d | 1 Melius zählen zu dies.n guten Freunden, \ I oder zählten dcch sivher dazu. Neu ! wenn \ i cin Regie: ungswcchsrl bei uns wiellich Statt I 1 finden mnß, dann ist eü Herr von Scheiff,» unsir gegenwärtige Kemnicr-Pläsident, der \ I zum Staats'Minifier ernannt werden mühte, \ | sollte das neue Ministerium im Interesse des \ j Landcs berufen werden. Dann bedürfte eö X \ auch gar nicht dcr Kammerar flö ung, die so \ | fchnlichft von unfeim ,Wort', dem clericalen \ 1 SötQan, herbeigewünscht wird."
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Monsieur le rédacteur!
Luxemburger Wort
Monsieur le rédacteur! i L'Union, que jadis un de vos cor-f respondanls qualifiait de journal in-1 ! colure, inodore et insipide, est de-S ' puis quelque temps devenue passable- j i ment remuante, quand il s'agit d'al-1 1 laquer les actes posés par l'un des ; 1 hommes qui font ou ont (ait partie ? ! du cabinet Servais ; elle se montre \ surtout Iracassière et inexorable vis-1 ! à vis de l'ancien directeur général des ! finances qui, avec des intentions gé-f néralement bonnes, a eu le malheur! ! de s'aliéner bien des sympathies. | La réclamation adressée à la Cham- S bre par quelques professeurs de Die- J Kirch contre l'arrêté du 18 mars 1869 1 qui établit trois classes de professeurs, f et la position faite par cet arrêté à f la majorité du corps enseignant, lui j ont inspiré quelques articles, oh mal-! heureusement le besoin et le plaisir qu'elle éprouve à houspiller le Directeur actuel de l'Athénée lui font oublier le but que sans doute elle s'était proposé, de discuter sérieusement la question soulevée à la Chambre et par trop légèrement écartée. i L'Union, dans un de ses articles, dit avec raison que les fonctions du professeur sont pénibles et fatigantes; elle aurait pu ajouter: et insuffisamment rétribuées eu raison de ces fatigues comme des études préliminaires et des labeurs incessants auxquels les professeurs sont assujettis plus que tous les autres fonctionnaires, mieux rétribués qu'eux. Cela est si vrai que ! presque tous ies cabinets qui se sont suc- 1 cédé ont cherché à faire quelque chose 1 en leur faveur, mais il n'est pus moins | vrai aussi que, quant au traitement, les | professeurs sont toujours restés clans g une position très-modeste, tandis que, | pour ce qui est des connaissances, | de la conduite et du zè'e, on exige I d'eux beaucoup plus que des autres I fonctionnaires. 3 Lés arrêtés du 18 mars 18G0 et I du 27 décembre 1861 cités par rf-1 nion avaient été précédés vers 1853 a ou 1854 d'un autre arrêté établissant! deux classes de professeurs et déler- S minant les chaires dont les titulaires | appartenaient à la première classe ; i cet arrêté avait cela de bon qu'il ne | laissait guère de place à la faveur et 1 à l'arbitraire, mais il était entaché y d'une lésinerie vraiment incroyable : 1 le ti alternent minimum des deux classes g était fixé à 1800 et respectivement S 1500 francs! I Une réclamation partie de je ne i i sais où fit supprimer les classes: les minimum fut le même (1700 fr.) pour | tous les professeurs, et comme l'aug- S mentation quinquennale de 200 fr. ! jusqu'à concurrence du maximum à j I obtenir après trente années de service f j était assurée à tous, dès]lors leur unique g ! préoccupation aurait nécessairement j ; dû être de rester le plus longtemps! ! possible en fonctions : professeurs de j j l'Allumée aux classes nombreuses, j | professeurs des progymnases et de j I l'école industrielle aux élèves clair se- j I niés, professeurs des classes supé- | ; rieures, professeurs des classes inféj rieures, tous étaient placés sur la S même ligne, et quant à la vie u-.até- I rielle, ceux de l'Athénée étaient plus ; mal partagés que ceux de Diekirch et | d'Kchternach. ] Cet état de choses n'était pas de l nature à exciter l'esprit d'émulation 5 | aussi n'étail-elle pas si mauvaise, l'i- I dée du Drei-Klassen-System contre | lequel VUnion s'élève avec tant de \ violence, et dont la juste application [remédiait à des inconvénients réels; 1 seulement l'arrêté de 1869 aurait dû i être conçu dans un esprit plus large \ et rédigé d'une manière beaucoup plus | précise. j I Les droits acquis, il fallait en te- j S nir compte dans des dispositions tran\ sitoires ; le nombre des professeurs j l de première et de deuxième classe i jj n'aurait pas dû être limité avec celte ! J! lésinerie que l'on constate toutes les j | fois qu'il s'agit de régler la position ' ! des membres du corps enseignant ; : enfin, en évitant le vague des exprès-; ! sions pour la fixation des conditions j d'avancement, on n'eût pas laissé la : ! porte toute large ouverte à l'arbitraire, 1 S ou pour le moins aux soupçons de ■ 1 partialité. j Voilà les questions que l'Union au- j I rait dû traiter en journal sérieux au ; S lieu de chercher, quoiqu'on vain, à ' I exciter les uns contre les autres '' 5 I s les membres du personnel enseignant, : | et de se laisser aller à des personna-: lités dans lesquelles elle a de tout temps excellé. Mais enfin, puisque tel est son genre, qu'elle me permette une petite question. Elle eile un M. Seh. qui, avec son traitement de première classe, cumule celui de biblothécaire et ses émoluments d'abbé : est-ce que par hasard la chaire d'histoire ne serait pas une de celles auxquelles dans tous les établissements d'instruction est attaché un traitement supérieur, et VUnion ne connaîtraitelle pas tel autre cumnlard parmi les professeurs de première classe? Et si elle en connaît, serait ce peut-être par peur qu'elle n'en a dit mot. F. I.
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Herr Redakteur!
Luxemburger Wort
£...., 2. April 1671. Herr Redakteur! Ich benutzte neulich einige freie Stunden, welche ich in Ihrer Stadt zubrachte, um die verschiedenen Schleifungs-Arbeiten zu besichtigen. Das Werk fchrcitet rüstig voran und kann man Luxemburg nur Glück wünfchen zu dem Verfchwinden des steinernen Gürtels, dcr es feit feinem Entstehen umfchloh und beengte. Wohl könnte man, Verfchiedereö in der allgemeinen Anlage rügen, was auch wahrscheinlich anders ausgefallen näie, hattcn sich die betreffenden Behörden mehr Zeit zur reiflichen Ueberlegung gesonnt. Jedoch cs ist bekannt, daß dringende politische Rück» sichtenden fofotigen Beginn der Arbeiten geboten, nnd daß cs gelang, unsere junge Äu> tonomie vor allen fremden Internentionen zu bewahren, was fc^on als genügende Eni schuldigung für einige Fehler gelten kann. I Dcn» falls wird die Umgebung Luxrmbm'sg zu dcm Schünsten gehöre«, welches man in diefer Art sehen kann. Die öffentlichen Anlagen mit ihren freundlichen Villa's im Wessen, die Aussichten auf das Petruöthlll im Süden, auf eine« Thell des Alz^tlethlllö mit dcn kühnen Eifenbahnviaduckten im Osten, werden dcm Spazierganger ein abwechselndes und malerisches Schauspiel darbieten. Während meines Spazierganges kam ich auch in die Nähe des Fort Charles; hier fand ich Arbeiten 'im Gang, die, wie mir gesagt wurde, durch die Verwaitungs Commission der Pcscatorc'schcn Stiftung ausgeführt werden. Wohl hatte ich gehört,daß von Seiten derselben auf dieses Terrain lefl.ktirt wurde! ich konnte jedoch nicht annehmen, daß man sür ein Institut, welches hmptsärhlich Kranke und Greise aufnehmen soll, eine solche Lage ausgewählt hatte. Ich bin zwar nicht Fachmann; es muh aber einem Jeden einleuchten, dah eine ganz nördliche Exposition, ohne irgend einen Schuh gegen die rauhe Luft, welche im Winter und Frühjahr vom Oesli^gaus über die kahlm Glacis weht, die angemessen st: für cincn f«l° chrn ZVkck fei« kann. Ohne böswillige A«> fpielunge« machen zu wollen, scheint mir Fort Charles sich eher für ein Schlachthaus als für cin Epiial und Hoipiö zu eignen, anstatt dah man, wie ich höre, die Unterstädte durch Erbauung des erfteren ve, Pesten will. Wohl wird man das neue Hoip.s durch Arpflanzünden gegen Norden zu decken fuchen; dicfalben werden aber immer durch die Nähe dcr felsigen Clacis fehr beschränkt und Über- Haupt ungenügend fein. Ich gebe zu, dah der dereinslige großartige Bau dem neuen Etadtviertel zur Zierde gereichen, daß er sich auch von der neucn, fo langsam erlsiehendln Eicherßrahe aus fehr fchö« auirehmen wird, gl.u.'e aber licht, daß diefe E^e.nde hinrel« chend feien, für die Errichtung eues Krankenhauses Fort Charles irgend cina andern Lage vorzuziehen. Jedenfalls hat die Lcrwaliungsconlmiiston die Sache reiflich überlegt und das Gutachten deö Medicenal-Collegiums und anderer Fcche Icnten eingezogen ; sie wird also triftige Gründe für ihre Wahl haben, die dem größeren, un« eingeweihten Publikum unbekannt sind. Ich wage es alfo nur ganz befcheiben unb im Intéresse beiber Institute, ben uneigennützigen Vorschlag zu machen, die Stadt Luxemburg mö^e der St.ftung Pescatore ihr Terrain oder einer Theil desselben znr Anlage eines Schlachthauses abkaufen und diese möge sich eine weniger exponirte Lage im Süden der Stadt, auswählen. Zum Schluß muh ich noch bemerken, dah Ihre Stadt der Vrrwaltungö'Commission d« Pescatore'schen Stiftung zu Dan! verpflich« tit ist für die in fo kurzer Zeit und durch wohlverstandene Anlagen bewerkstelligte A«° fchaffang der Million Franken, welche laut dem Testament des edlen Schenlgeber's zum Beginn der Arbeiten erfordert ist.
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Bekanntmachung.— Wiihler-Liften.
Luxemburger Wort
Bekanntmachung.— Wiihler-Liften. Die Einwohner der Gemeinde Luxemburg \ sind benachrichtigt, daß die Wählerlisten für die Wahlen der Deputirten Kamm-r fomobl als für bie Gemeindewahlen, zur Einsicht eines Jeden, in der Säulenhalle des Stadt» Haufes, vom 10. bis 26. April k. eiulchlieh« lich, öffentlich angefchlagen find. Die Einwohner, wel He etwa Einsprüche wegen der Genauigkeit diefer Liften zu machen haben, sind aufgefordert, stch dlhhalb an das unterzeichnete Eollegium binnen lö Tage« feit dem des Ar, fchlag's zu wenden, das hei^t vom 10. b. Mts. di« zum 1. Mai I. einschließlich. Die Steuerpsirchligen, falls sie nicht für ben Wahl Ce. fus von 10 oder 30 Fr. in unserer Gemeinde besteuert stnd, können ihre etwaigen auswärtigen Steuer g roten bis zu diesem Betrage geltend machen. Die Steuern zählen rem Wähler nur in fofern, als er de« Cer fus a« Giundsteuer während les vorbergehenden Jahres (1870) oder an direkten Steuern jeder Art mährend der bndm vorhergchendrn Jahre (1809 und 1870) entrichtet hat. Nut der erbliche Besitzer unterliegt diesen Bedingungen nicht. Beim Eigenthumswechfcl vo« Immobilien zähl.« dem ErVerbcr zur Bildung des Wahl- Census die ©teuer« von dcm Tage an, wo der Wechsel ein bestimmtes Datum erhalten hat. ! Dem Ehemanne werden die Steuern der | mit ihm in Gütergemeinschaft lebenden Ehe« j frau, und dem Vater die feiner minderjähri» | gen Kinder, wenn er den Genuß deren Gü> I ter hat, angerechnet. Die Wittwe kann ihre Steuern einem ihrer, \ mit ihr zusammen wohnenden Söhne oder \ Schwiegersöhne, den ste der Communalbe- jj hörne bezeichnet, zuwenden. Der Wahlcensus wird nachgewiesen, ent- z weder durch einen Auszug aus den Steuer- \ rollen, oder durch die Quittungen des lau- ■ senden Jahres, oer durch die Mahnungs- ! zettel des Steuer Empfängers. Luxemburg, den 15. April 1871. \ Das Collegium der Bürgermeister \ und Schöffen, \ J. Merfch'Wittenauer, Vrästdent. ' Weyer, S.kretär. ? -na*~nnn-*œj^*r:'^l*3i&g'3jggSg'C,-v£iJ:?^■>...,;.»» ..,. ..
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COMITÉ CENTRAL de secourt aux militaires blesses. "
Luxemburger Wort
COMITÉ CENTRAL de secourt aux militaires blesses. " V Les ressources du Comité étant sur i le point de s'épuiser, nous prions les personnes qui auraient encore des réclamations à présenter, de vouloir bien les adresser de suite au sous- j signé. Luxembourg, le 14 avril 1871. Le secrétaire, !)r. G. FONCK.
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Nord-Lime.
Luxemburger Wort
Nord-Lime. »5. Lurb. , Domld. , Walfb. , Lorenz. , Lintgen. , »«Ich. , Cruchien , Lot.-«g. , Vttelor. , Godets. , Kaxlb. . Witw, , Clerf. , fflouoy. , Sietjalni Slaucl. «À. -jffö- 5.21m 5.38 6.48 6.00 6.10 6.24 6.41 6.62 7.31 7.57 8.15 6.32 9.42 . 9.65 10.10 | 7.41m 7.50 7.57 8.10 8.17 i 6.81 8.10 ".02 y.ll 9.26 12.16» 12.25 12.32 12.40 12.46 12.53 1.03 1.10 1.19 1.34 1.43 1.62 2.07 2.15 o.97 241 2.59 3.29 4.28 4.53 5.44 341« 3.58 4.08 4.21 4.31 4.47 5.04 5.15 5.53 6.19 6.46 7.11 7.41 7.55 au 9.21» 9.30 9.38 9.47 9.54 10.02 10.13 10.21 10.29 6.06 m 6.54 6.44 7.48 ,Tl2 . ... 9.io 9.59 10.18 10.50 11.13 12.08 » 12.29 IS.ll» 3.59 4.55 'j.10 6.10 850 - I »l». 3S«3. . Ptpin. I Sta*!. . «Nllsalm , Gouny. . Ulstmg. . Viaulus. . Vwf. . Ml». . Saute. „ Gobels. . «trelbr. , SoL=3Sa. „ Vruchten , ««M. , SSntgav ' »»lfb. . SDornOv Itt. Lnib. 5.111« 5.23 5.42 6.12; 6.29 6.42 7.13 7.29 7.39 7.57 8.11 8.21 6.34 &67 9.11 _ 4.49 m 6.54 8.12 9.00 9.43 ?.25m 7.45. d.18 I 9.07 I 9.38 ; îo.i a ! 10.36 : 10.45 10.63 11.18 11. - 11.2 • 11.46 11.53 12.00 12.11» 12.19 12.25 12.34 12.41 12.4» 2.44» U>1 i.17 <.50 4.09 1.25 i.Ol ',.19 i.29 1.50 6.18 2.25» 2.58 3.81 1.20 1.53 >.20 ").56 ,.05 ..13 >.29 i.39 1.48 ,'.09 7.17 24 r.:-i5 7.12 7.43 I loù KOS 6.25. 8.05 9.1-7 10.03 10.46 ' 5.58m 6.02 6.10 6.21 «Hg 6JJ6 6.46 6.63 7.01 ,47 7.01
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I Sludaltnie Ettelbrüll-Tietirch.
Luxemburger Wort
I Sludaltnie Ettelbrüll-Tietirch. Von Luxemburg kommen die Züge von 7.16m 8.46m 1.31a 5.31a und 10.31». Nach Luxemburg gehen die Züge von 5.41m 7.00m 11.20m 4.40» /und 6.51». Ab. Cttelbrück?.26m 8.46m 11.51m 1.31» 5.31» 7.16» 10.31» An. Dietirch. 7.36 8 56 12.01 » 1.41 5.41 7.26 10.41 216. Diekirch. An. Cttelbrüä 15.41m 7.00m 7.10 8.26 m 18.36 11.26m 11.36 1.01« 1.11 4.46» 4.56 7.01 5.51
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Luxemburger Wort für Wahrheit und Recht Jg. 1871, n° 90
Luxemburger Wort
Al'inne^euts-Preis pro Quartal. Fr. 3 00 sür 3 75 im Groschenogthum Luremvurg^ * 5 00 für Belgien.' * 6 15 für Deutfebland und $i2an m 7 50 für Frankreich. Preis per Nummer: 15 Centimes Luxemburger Wort Nr. 90. Dienstag, den 18. April 1871. 24. Infi^ianft. fut 20 Centimes per Petit Zeile ob. beten Raum. Vertragswcist billiger. Erscheint täglich mit Ausnahnre der Sonn« und Feiertage
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Uebersicht
Luxemburger Wort
Uebersicht tzt? politischen Taf.esrreigNisse. Wir müssen es unsen Lesern überlassen, M ein Urlheil über die Lage des Pariser Nufstaudes zu bilden-, wir für unfern Theil verzichten darauf und können nur n ünscheu, baß die Regierung in Versailles bald den Aufstand benieiflere und dann Frankreich » zum Glauben, zur Ordnung, zur Arbeit zurückführe. Tie Pariser Commune spricht von nichts als von Sieben, die Verfailler Regierung will nicht nur nichts von den Siegen der Commune, sondern auch nicht einmal etwas von Gefechten wissen, und endlich sprechen Pariser Correspondenzen von furchtbaren Niederlagen, welche die Insurgenteil erlitten hätten. Ein Pariser Correspondent der ,Indep. | JB., der feinen Brief anl Samstag um Mit-1 ternacht geschrieben hat, glaubt, daß es mit | der Commui e zu Ende geht; der Kampf 1 von Freitag Abend bei Asnieres habe den | Infurgeuteil viele Leute gekostet, fo auch der \ Kampf von Samstag Morgen, ihre Todten j bedeckten das Weichbild von Paris, und die | Verfailler hätten fo große Fortschritte in Reuilly gemacht, daß fie kaum einen Kilometer von dem Thore der Tennen ständen; ber Correspondent wäre gar nicht verwunbert, wenn di? Verfailler am Samstag in Paris einzögen. Das Pariser,Vien Publik stimmt ganz mit diesen Angaben übereilt; in j Neuilly lagen tzüuser voll todter Insurgcnten, die Kanonade der Pariser gelte nicht den Versaiüer Truppen, sondern den Haufern, in welchen man Verfailler Truppen vermulhe u. f. w. Um fo verwerflicher, um fo schändlicher sind die Ungeheuer, welche mit dem Leben ihrer Mitglieder ein fo fchmachvolles Spiel treiben. Wenn Paris wüßte, wie es mit den Aussichten der Commune stände, dann müßte es, fo feig es auch ist, dieses Joch abfchütteln, allein die Herren der Commune fcheincn sich noch nicht genug bereichert zu haben. So meldet der Galeerensträfling Tombrowsly, er habe am Samstag Abend die Verfailler in Neuilly kräftig angegriffen, sie aus den Häusern vertrieben und ihrer 2000 gefangen genommen; um Mitternacht fei er fast Herr ber Brücke von Courbcvoie gewesen. Ein anderer Galeerensträfling, zur Zeit der Kriegsminister Cluferet, stattet der Commune eineu Bericht ab, worin es heißt, das Fort Vanvres habe 5 Angriffe ausgemalten; in Neuillr, habe jedes Haus belagert werden müffeu, er habe aber dorthin Zerstörungs- Maschinen geschickt, welche der Sache ein Enbe machen würde». TieVersailler Regierung gestatte der Commune nur 24 stunden Zeit um sich zu ergeben, aber man werde ihr mit Pulver antworten. Alle diese Rotomoutaden beschränken sich nach einer Verfailler Depesche von Sonntag Abend auf Folgendes: Nichts besonderes an Kriegsnachrichten; nur einigeEchüffe wurden auf den Vorposten gcwcchfclt; die Forts Vanvres undIffy haben wieder in die Leere gefeuert, die Truppen haben nur einen Vermundeten; die Angabe, Tombrowsly habe in Neuillr) 400 Gefangene gemacht, ist erfnnbe». Unterm 14. versicherte Thiers in einem Gircular an die Präfetten, die Regierung ginge nicht auf Abeutheuer aus, die Truppeu hätten folide Stellungen und litten keineu Mangel, Paris fei von der Provinz gänzlich abgeschnitten. Dieses Letztcrc wird wohl am Ende das beste Argumentum ad nominem fein. Das Essen von Pferdefleisch wird wieder zurMobe, die Lebensmittel werden, wie felbst eine Varifer Tepcfche fagt, theuer, die Waaren werde» selten. Und zu all dem kömmt noch, baß bedeutende prcnß. Truppenkräfte sich "cht an Paris, im Norden und Osten, anfegen. Ter russische Kaiser wird im Mai über Verlin nach Bad Kissingen reisen und bei dieser Gelegenheit für mehrere Tage der Gast des Berliner Hofes fein. - — Genehmigen Sie, Herr Nedalteur. die Ber- Sicherung meiner ausgezeichneten Hochachtung Ihr Abonnent. j ?. S. ES werden in einem Seitengraben des Neduit Berlaimont unterirdische, gewölbte Gänge gebaut. Sollten diese neue Casematten aber Mienengänge vorstellen? Zu Kellerge^ wölben sind sie jedenfalls zu eng.
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POSTWAGEN – DIENST.
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POSTWAGEN - DIENST. J Dielirch noch Echtcrnach 2.00 a Echteinach nach Dielirch 4-*öm Dielirch noch Bianben. 8.50m 5.00. Viande« nach Dicklich 5-00» 5.00 a Echternoch nach Vccier 5.30m 5.30« zceckcr nach Echternach 8.16m 8.15 a Lchternllchcrbriicl nach Bittbur« *-3°» »ittbfrg noch Echtc'nacherbrücl °.45m ! Vtttlbrück noch Arlon *•<»■ »rlon noch Eltelbrücl °.ou» Ettelbrück nach Wiltz Wiltz noch Lttetbrücl 7-10m Grevenmochn nach Vettert .... 6.-40» 12.26. 7.40 • Vlertrrt nach Grn«nn«,ch« .... 805» 2^6» ».2U« rv/kJJ. ,, — — — Hosingen noch Wilwertviltz 4.25» 4.45. Wilwcrwiltz nach hosin««» 9-1Um 1-w * Luxemburg nach lichternach 3.00 a Lchteinach nach Luxemburg i-^m Luxemburg nach Niederlerfchen 4.00« Niederterjchen nach Luxemburg • • • &-3°™ Luxemburg nach Mondorf 8.00» 3.46. Mondorf nach Luxemburg 6.45» 6.00m Mersch nach Fels *•$' Fels noch Mersch .. . &» 8.00a Mersch nach Redingen *■%!* Redingen nach M«sch 6-°°» N«rnich nach Dtteingm 1110. , CXtring«» nach Nennch "HU. SJÖ. lltfiingen nach Neisroompach 8.30* Weiswompoch nach Ulflingen 8.30* Ulflingen nach St. Vith 3.15 » Lt. Vith nach Ulflingen fi.OO» Blanden nach Prüm 7.00 * Prüm nach Vionden 8.10» Wiltz noch Bastnoch 6.16» Bastnach nach Wiltz 1.15. Niltz noch Kautetibach 4.26» 430. «aulmbach nach Wiltz 9.00» 6&**
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Stadt Luxemburg.
Luxemburger Wort
Stadt Luxemburg.
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Frankreich.
Luxemburger Wort
Frankreich. Ueber die Beraubung der Notredame Kirche du ch die Agenten der pariser Polizeibehörde : sind die verschiedensten Belichte erschienen. ' Das Univers, welches wohl am besten darüber unterrichtet fein lann, erzählt, daß aller-; dings am Eharfceita? gegen 3 Uhr Nach ! mittags eine Anzahl von Nationalgarden und ; verschiedene Leute in Civil unter der Anfüh. - rung eines jungen Mannes in die Kirche ' eindrangen, sich die Schlä.,ke der Sacristei! öffnen ließen unb ein Inoentarium von allen [ Kirchengerälhen und Kostbarkeiten aufnahmen. ! Sie liehen durch ein^« blosser das Grab-1 gewdibe der Erzbischöfe auffchließen und durch- j suchten dasselbe. Dann leerten sie die Opfer- ' stocke, und schließt ch wurde befohlen, das Geld baraus wie fämmtliche Kostbarkeiten in einen bereitstehenden Wage« zu schaffen. In- : zwischen aber war einer der Kirchendiener; nach dcm Stadthause geeilt und hatte bie Mitglieder der Commune vo« den Vorgängen benachrichtigt; diese schickten einen Delegirte« nach Notre Dame, welcher erklärte, daß ber Agent der Polizei seine Befugnisse überfchritten habe und die weggenommenen Werth« gegenstände aus dem Wagen wieder in die Sacristei zurückbringen ließ, eben so auch das Geld aus den Opferstöckm. Er ließ sich von dem Sacriftan des Capilels bestätigen, dah Alles richtig zuiückiegeben sei. Es ward dann ein Piotocoll aufgenommen, welches der Delegirte, der Sacristan und einige N:« ■ tionalgardcn unterzeichneten, worauf die Tlü» re« der Kirche gefchlossen und Siegel daran gelegt wurden; der Sacriftan ward zum Hüter der Siegel bestellt, und ein Posten Nationalgardcn bewacht seitdem die Kirche, wel« che vorläufig geschlossen bleibt. Ein Schweizer, der in Paris kleiner Hausbesitzei ist und nebenbei Siunden gab, schreibt einem genfer Freunde einen rührenden Brief! über die pariser Zustände; unter Anderem: „Wir, Peter und ich, find vier Tage auf Wache gewesen, ohne zu Bett zu kommen; wtr stnd bloß auf 24 Stunden zu Haufe und : haben eine militärifch? Promenade von sie» i ben Stunden gemacht. Du kannst Dir unsere Müdigkeit denken. Und dies alles wider un» ' feren Willen und weil wir infurgirte Ba> ] taillons sind. ThierS hat thörichter Weife! , diesen Slurm in einem Glase Wasser zu ; einem wirklichen Orkane anwachsen lassen; jetzt herrscht die Commune, und die Ord ; nungileute, die meistens jämmerliche Patrons sind, mucksen nicht. Die Gefchafte gingen wie« der etwas besser, doch nun ist Alles wieder vorbei. Alle« flüchtet: ich wollte, ich wäre auch fort. Ich blieb unter den Waffen aus Roth, um die 30 SonS zu beziehen ... Die Mlelher brauchen ihre fälligen Miethen nicht zu zahlen, aber die Hausbesitzer müssen die Abgaben zahlen, und man hat uns obendrein \ angezeigt, daß auch die Kcieglentschädigung j den Eige. thümern allein zufalle."^ Das o'sicielle Blatt von Versailles enthält folgende Rote: „'Sine von den Führern der pariser In-} smreliiun veröffentlichte Note versucht die ; Besorgnisse zu verscheuchen, welche die Er- : Nennung des Ausländers DombroVskl zum hcrvovg »rufen hat. Wir sind im Stande, über di-se Person Näheres zu geben, das auf die M ä mer, die im Stadt» hauf^ sitzen, ein Licht wirft. I^roslaö Domb owsli ist zu Kralau geboren. 18fi3, bei Gelegenheit der Insurrektion, kämpfte er mit dem Grad cineö Obersten. 1805, in einen Pioceh wegen Fabrication und Ausgabe fal» scher russischer Vankscheine v?rwickelt, wurde er in Fol^.e eines Befehls des Untersuchungs» richters in Freiheit gesetzt. Er erschien ein ziveitcs Mal unt;;r der nämlichen Anklasse vor den Assisen der Seine und wurde freige'p'ochen. Ieroilas Domtzrowiki fabricirte fal!che Pässe und falsche Certificate, in welüen er bescheinigte, daß gewisse Landsleute von ihm, denen er falsche Grade zulegte, einen thäligen Antheil an der Insurrection genommn, während sie derselben vollständig fremd geblieben waren. Diese C-rtisicüe hatten zum Zwlck, den flüchtigen Vittschnftstellern Sub> si)ien zu verschossen. Im Laufe des letzten Monats Februar »etfuehle Domb on-iki in Bordeaux die I isurrekiion heivor.mrufen. Ein Verhaftbefeht wurde gegen ihn gespiendert. El entkam, indem er sich nach der Schweiz begab, wo er bis zu den letzten Tagen des Monats März v^lblieb. Wahrend der Belagerung von Pnis wurde er, als des Eil Verständnisses mit den Preußen v:r-dächtig, verhaftet. Er soll f J.mr die feindlichen Linien mit einem fal'chen Ge'leitsscheine durchschritten haben. Kurze Z it vor den letzten Ereignissen wurde er im Augenblicke veihaftet, wo er den Wunsch ausZrück'e d,ß die ganze französische Armee vernichtet weiden möchte. So ist der Mann, dem die insurreetionelle Commune das Commando zu Paris , nun anvertraut hat." 1 Die Pariser versprechen sich eine große ! Wirkung von den gepanzerten Wagaons, \ welche von einer ebenfalls gepanzerten Loeo> j motive gezogen werden. Ein solcher Waggon \ wiegt 80,000 Kilogr., und ist seilst auf der ; Bahn nur mit Mühe zu transportiren. Diei selben seilen sich bei der Belagerung sehr be- wählt haben, und im schärften Geschützfeuer [ unverletzt geblieben sein. Dieselben wurden 'gestern vom O'leanser Bahnhofe nach der j Westbahn befördert und sollen zwischen der Enceinte und AsniereZ ihre Kcäfte erproben. ; Viele fürchten indeß, d^ß binnen nicht langer - Zeit den Parisern die Munition für dieses [ ununterbrochene Gewehr- und Geschützfeuer l ausgehen möchte, wa« dem Kampfe denn freilich das einfachste Ende machen würde. ■ — An neuen Verhaftungen fehlt es nicht. \ Der Pfarrer von Saint Lo wurde gestern festgenommen. Der Psarrer von Saint Paul j konnte sich nur durch die Flucht der Verhaf{tung entziehen. Dagegen wurde der Pfarrer \ von St. Eustache wieder losgelassen auf die j energische Verwendung der „Damen der Hallen". — Die.France' ist gestern Abend ; wieder erschienen. | Von der Lothringischen Grenze, den 3. j April, wird der ,SchIes. Z.' geschrieben: 1 „Während die rothen Socialiste« in Paris I alles Bestehende in Frage stellen, werden die ] Zustände in den französischen Provinzen tag' , lich unerträglicher. Auf den Bahnstationen di ä igen sich Massen von Hungengen an die , varüberfahrenden Milttairzüge, um etwas Vrod oder sonst eine kleine Gabe zu erlan» | gen. Den meisten dieser Leute steht man an, 1 daß nur ganz ungewöhnliche Umstände sie I zu Bettlern gemacht. Die Soldaten verschen- I len oft den größten Theil der ihnen zuge° Mssenen Lebensmittel, wozu noch kleine GHspenden kommen. Wer Frankreich nur etwas bereist hat, weiß, wie dieses massenhafte Auf< treten von Bettlerfchaüren dort bisher etwas ganz Unerhö:teö gewesen, und deshalb auch nicht lange dauern darf, um nicht die trau^ ligften Folgen herbeizuführen. Wäre die Nutze in Paris hergestellt, dann würde der wieder aufgenommene Verkehr wohl bald Abhülfe fchaffen." Die Journale veröffentlichen z-vei Briefe, welche einerseits der in Mazas inhaftirte Erzbifchof von Paris, Mfgr. Darbois, und ! anderseits der in der Conciergerie fesigehal' tene Pfarrer der Madelaine, Hr. Deguerry, an den Präsidenten der Executive, Hrn. Thiers, gelichtet hat, und welche mit Erlaub nih der Commune durch einen besonder« Abgesandten nach Versailles befördert meiden durften Da der Inhalt beider Schreiben im j Wesentlichen derselbe ist, so theilen wir das \ des Herrn Deguenv als das kürzere mit. Es {lautet : „An die Herren N'gierungs Mitglieder in i Versailles (refp. deren Präsidenten). Meine [ Herren! Aus eigenem Antriebe und meinem Gewissen folgend richte ich die inständige Bitte ; an Sie, alle Executionen Verwundeter oder Gefangener verhindern zu wollen. Diese Exe- j cutionen erregen große Entrüstung in Paris und können zu schrecklichen Repressalien süh ren. Man ist hier entschlossen, iede weitere Execution durch die Hinrichtung von zwei , oer zahlreichen Geissein zu vergellen, welche l man in Händen hat. Uctheilen Sie selbst, « wie sehr das, was ich als Priester verlange, , eine strenge u.id absolute Rothwendigkeit ist. Mit aller Hochachtung Ihr ergebener Diener . H. Degueny. j Paris, 7. April, in ber Conciergerie. { ' P. S. Ich glaube, die Erklärung beifügen i zu müssen, daß ich diefen Brief verfaßt und geschrieben habe ohne irgend eine Presston, wie bereits oben bemerkt." [Hr. Degueiri) ist bekanntlich seitdem in Folge der ihmzugefügten Mißhandlungen gestorben.s Das längere Schreiben des E zbüchofes ift v. 8. datirt und enthält ein ähnliches Postscript. Dcssrlbe schlirßt mit fol'.enden Worten: „Ich beschwöre Sie daher, Herr Präsident,gebrau» chen Sie I',r ganzes Ansehen, um schleunigst das Ende unseres Bärgerkrieges herbeizuführen und i« jedem Falle [bin Charakter des» selbe», so viel dies vo« Ih«en.Zabhäagt, zu " mildern." OW Das ,Univers' Zmacht zu der Nachricht^ daß die Casse der Centralhalle^fo mie^die des HoZpitium Val de Grâce genommen morde«, oie Vemerknng: „Doch sind es öffentliche Anstalten nicht allei«, die solche Besuche zu erwarten haben, auch die Schule Bossrrt ist von einem Besuche deehrt wurden, welcher die . Cassr derselbe« erleichtert hat." Der Erzblschof I von Paris ist ur>« der Cinciergerie nach DU« \ zas gebracht worden. Der Pfarrer von St. \ Euftache, dessen Freilassung mir gemeldet ha- ! he«, weil die Gem.rinde heftig feine Fiesta f- • fang verlangte, hat die große Osterm.ffe in; feiner Pfarrkirche celebrirt. „Ais er die Stan= j ,,'el wahrend der Hrichntessi betrat," fagt der ,(5cir', „hielte« die Mäanerihre Hite i« die Höhe und die Frauen fchweukren ihre Sack ■ tücher. Der Pfarrer hielt eine rein religiöse ' Nrde." Die .Prtite Press/ berichtet: /„Der: Schatz von Notre Dame ist aus Befehl. der Commune geplündert morde«. Doch hat man stch in der Ausbeute verrechict. Die erste Revolution hat fcho« diefe Kirche ihres Hauptretchthums beraubt; vom antiken Schatze "■ blieben nur noch einige schöne Stücke der \ Goldschmiedekuast! 1871 hat das Werk von ] 1793 vollendet." | „Die Arrestationea", far>t der .Bien Pu« \ blic' vom 10., „mehren sich in einem großen ; Maßstäbe; 20 Bewohner der Tentes und i der Porte Maillot wurden vor zwei Tagen; nach dem Bendome-PIatz geführt und nach- f dem sie 24 Stunde« in einem Zimmer ohne \ Nahrung und von abstoßmden Wählern f überwacht geblieben, wurden ste vor Richter \ gestellt; einige wurden freigelafsm, Dank der ! Dazwischenkunft zve'.er Damrn i« Trauer; jj man hatte ih«en nichts vorzuwerfe«, man ï wußte nicht einmal, worüber sie zu befragen! feien; von den Andern hat man noch keine ! Nachrichten. Man zeigt uns die Verhaftung f des Pfarrers von St. Leu, Herrn Lartigues, • an. Das .Univers' thrilt folgenden Maueran- 1 schlag mit, der nach Verhaftung des Clerus I der Pfarrei von St. Pierre fMontmartres I an die Thüren diefer Kirche geheftet worden | und mit den beiden Siegeln des Comite's I versehen sei; | i „In Erwägung, daß die Priester Banditen | und die Kirchen Mördergruben sind, wo die I Massen moralisch gemordet werden, indem | Frankreich unter die Krallen der infamen Bo« 1 napirte Favre und Trochü gebeugt wurde, 3 verordnet der Cwilbevollmächtigle für die jj Carrières bei der Ex-pol'zei'Präfectur, dah | die Kirche St. Pierre [Montmartre] geschlof- | fen werde, ud decietirt die Verhaftung bei i Priester und Ignoiantiner. 10. Aril 1871. | Le Moussu."
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England.
Luxemburger Wort
England. London, 10. April. Der Nepublicanis' z mus greift angesichts der continentalen Er« 8 eignisse unter den nieder«, besonders den | arbeitenden Klassen in einer Weise um sich, | die die höher« Stände nur mit grohrm Wi»! derstreben eingestehen wollen. Paris wird Leh- f rer für London: wie die pariser Journale I | versichern, halte« stch gegenwärtig 4000 Diebe | anö London dort aus, die die Reise über den | Canal, wie sie selbst eingstehen, im Hinblick j 1 auf „Profit" und „Erfahrungen" gemalt ha> \ ben, die ihnen i« solcher Ausdehnung und k unter so günstigen Auspicien nur selten sich t dargeboten. Diese Gentlemen weiden als vol- | lendete Republikaner aus d^r echt rothen pa« | rifer Schule bald heimkehren, um ihre Haut | und ihre „Erfahrungen", weniger ihren i „Profit" in Sicherheit zubringen. Unterdessen i erfcheint jetzt regelmäßig in London ein Jour- ! nal ,The Republican',und in vorletzter Woche | wurde in der Hall of Science ein großes . Meeting von mehr als 1500 Perfonen ab- f gehalten, das Vorzugs weife von Arbeitern [ befucht war und dem ein Mr. Holnoake prä- | sibiite. Mc. Bradlaugh mar der Held deö. \ Abends. Er war, wie er erzählte, gerade von ) einer seiner gewöhnlichen Agitations-Reifen [ ' durch die Provinzen zurückgekehrt, und hatte ' in Birmingham, Nottingham, Newcastle und ! anbern aroßen Inbustrie-Stäbten «publica- > nifche Clubs vorgefunden, die ihre Mitglieber fchon zu Taufenden zählten. AuS der Versammlung wurde ber Vorschlag gemacht, einen ähnlichen Club sofort .in Lonbon zu grünben, bcr auch von der ganzen Veisamm» lung mit nur drei diifer.tirenden Stimmen angenommen wurde. Die Reden des Abends zeigten alle tief rothes Colorit. u.id das Meeting endete mit dreimaligem Hoch auf die „Univerfal-Rrpublil". Der /National R.-former', Äradlaugy's Organ, wuoe in jeder Woche ganz ausverkauft. Niemand Irrn« und wird es wohl mehr bezweifeln, daß auch über den Canal rauhcS Wetter heranzieht und daß England, welches fo lange die reoolutio nären Bewegungen anderwärts gehätschelt, nun felbst früher oder später in's Feuer kommen wird. Das Si>^em nement und die intellectuelle M«d moralische Tüchtigkeit der mittler« und obern lKlassen werden indeß den Rathen einen Widerstand entgegensetzen, der sie von bem Versuche, mit Gewalt ihren Willen durchM'ctzen zurückfchreckrn wird. Sollte es je zu Scene«, wie die in Paris vorgefallenen, unter uns kommen, fo würden diese aus englischem Boden von Schrecken und Erbitterung>begleitet sein, dic kaum irgend ein andens Land je geithm. (ss. V.)
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Italien.
Luxemburger Wort
Italien. . Man schreibt uns vo« Rom: Es vergeht lein Trg, ohne daß stch die italienische !PrcssH bcm füßcn Zeitvertreib hiugeb.n würbe, Frankreich mit Schimp'nben und \ Drohungen zu beehren. Namcntl ch seit fia> ! die Regierung des Herrn Thiers den trau \\\e\\ (äreigaff.rt in Paris gegenübergestellr sieht, verfolgen ste die römischen Journale mit stets gehä stgcr. härsig aber auch lächer\ lichec Verbissenheit. Bald sündigt Herr i Thiers Paris gegenüber durch zu große Schwäche, bald macht er sich ber Ungerech. tigtit und Grausamst fchuloig. Di.fe Zer. tungen können ihm nicht verzeihen, dah er, den berechtigten und edlen Gefühlen feines Landes Rechnung tragend, beim heiligen j Stuhle einen Botschafter, in Florenz aber nur einen Gesandten beglaubigt hat. Dies verarllaßt den Tempo vom 2. April zu folgenden Zeilen: „Die Regierung von Ber„failles hat den Grafen Horace de Choifeuil ' „zum Bo rfchafter (sie) an unferem Hofe und - „den Grafen d'Harconrt zur Gesandtschaft j „(sie) nach Rom ernannt. Wir glauben, ein ! „einfacher geistlicher Agent märe genügend I „gewesen. Frai kreich im Vatican zu vertre 1 «ten. Ist Herr ThierS anderer Meinung, um '■ ,/o fchlimmer für ihn. Italien kann Frank» j „reich nur als einen gefährlichen Nachbarn, j „als einen Feind betrachten, dessen Ueber. j „muth gebrochen weide« muß. Herr Thiers ; „macht uns rechtzeitig darauf aufmerkfam." j Was fagen Sie zu dieser kleinen Eröffnung !der Self, wclche die Pariser Tumultuauten : besoldet und denselben zu Ehren unlängst in i der Capitale die Behauptung aufstellte, zmi j fchen Socmlismus uno Communismus bestehe ein gewaltiger Unterfchied! Wie lange wirb der Unterfchied wohl noch dauern? Das felbe Journal frohlockt über den Aufstand in Algier und schließt seinen Artikel mit den Worten: „So wird denn wahrscheinlich felbst „dort — wie dieö leicht auch in Niz?a der „Fall fein könnte — die nationale Partei „das Joch bes fremden Bedrückers abfchüt „teln." (®. g.) Man schreibt uns von Nom: Andere Correspondent««, eifriger denn wir, werden Ihnen bereits nähere Nachrichten über An« kunft und Aufenthalt der englischen Dcputirten gegeben haben, welche nach Rom kam n, > um, wie die Worte ihrer herrlichen Adresse besagen, „gegen die verbrecherische und ge> wallfame Usurpation des Kirchenstaates, Patrimonium aller Katholiken der Erde" zu protestiren. Lassen Sie aber nichtsdestoweniger auch uns über diesen Gegenstand sprechen, nickt um Ihnen bereits bekannte Dinge zu erzählen, fondern um mit Genugthuung sisizustellen, dah die durch die Deputation Groß. \ briitaniens ausgesprochenen Principicn genau -dieselben sind, welche dem Verhalten der Ka« j tholilen deö ganzen Ertkreifcs zu Grunde ! liegen. Seit der Versailler-Reise Mgr. Ledo 1 chowski's, welcher der Erste war, sich den Regierungen gegenüber als Dollmetfch der Gefühle des katholischen Episcopatcö zu machen und seit der Gründung deö Bureau ber .Genfer Correfpondenz' durch Katholiken aller Länder, nehmen wir mit Freuden wahr, daß alle Gläubigen die römische Frage vom seiben Gesichtspunkt aus beurtheilen und diese ihre Gesinnungen mit identischen Worten zum Ausdruck bringen. Sie haben nur eine Stimme um zu erklären: 1) Dah die Staaten deS Papstes der ganzen Kirche gehören. 2) Dah der Papst Souverain sein muß. ' weil er nach den übereinstimmenden Erklä- ' rungen PiuS IX. und deö Epiicopales, u,t- ( ter den heute auf Erden gegebenen Verhält ! Nissen ftch nur dann als in der Ausübung I ' feines heil. Amtes frei betrachte« kann, wenn er Souverän und im Besitze weltlicher Macht ist. 3) Daß er daher weder Unterthan, noch beständiger Gast irgend eines Fürsten sein kann. A) Daß, wo biefe Vorausfetzungcn fehlen: feine Stimme weder den Gewissen der Gläu> bigen gebieten, noch bie zum Heile ber christ« lichen Gesellschaft nöthige Unterth:nigkeit sor» bern kann, weil bei Papst als Oberhaupt der K.rche ben Eingebungen des Heilandes, oen er auf Erde« vertritt, nicht mchr frei folgen kann, sobald er der Gfahc ausgefetzt ist, irgend einer Pceflon zu unterlie» gen. 5) Dah keine Garantie seiner Unabhän» gigkeit seine souveräne Freiheit zu ersetzen vermag, am allerwenigsten aber die Ga» rantie einer Rrgirnng, welche ste seit ihrem Bestehen auch nicht eine der vor sott und der Wrlt feierlichst eingegangenen Verpflichtungen gegen die Kirche gehaltüthat. G) Dah Niemand, und dies ist von hoch, ster Wichtigkeit, mit Ausschluß dec freien Theilnahme u.d Zustimmung dcs „Papstes, oder des latholi,ch:.l Cp^seopates im Ver» eine mit feinem Oberharpre, für die Regierung der Küche irgend eine neue Ordnung der Dinge fch^ffen finit. Hiezu befitzt Nie' mand das R.cht nory oe« Be.ur. 7) Daß bet He.pst mithin, inocrn er den Kampf aufg.nom^^l yat und focliührt, wel« chem er jetzt zum Op,er ft.-l, urc^t nur die Rechte dcr Ktcche, .fondern auch jene jeder rrdifche« Anto.i.är verlhcidigt. 8) Daß, nachdem, das Sacrilegium bei VernichiUilg der weUliche« Hecejchaft den Charukeer einet ge«alt,ame« Vriietznng des Völlerrechles uno der z.nternatlonulen Prin« ciple« angenonl.:ecn l,at, decfe Verletzung, oie man duccy emm Schein oer Legalität zn beschönigen haltet, norywenoigerwelfe einen Umsturz in der focule«, wie in der intellel« tuellen, more»l>ichcu und poettlschen Ordnung nach sich zichen muß. — Denn — wie sich die wundecoale üotifti der Engländer aus» druckt — wer darf dem Vo.t^ g.auben ma» che«, de»ß eine That, die man t« England uud Ampeln als Verbrcchrn an der ältesten all« Souoeranelä.en, oer ehrwür^ste« al» ler poliliichen Exlftcn^en vetrachtet, in Rom erlaubt scin tünne ï 9) Daß schliehl.ch die latholifche Welt entjchlossen est, orUe ihr zu Gebote stehenden Glittet anzuwenden, um den heiligen Vater aus feiner gegenwärtigen Lage zn befreien. Das find die Ueberzeugu.ege«, welche die englische Adnsse offen bekennt uno die iüber« all ein Echo sieden wo eine Kuche steht und ein latholifche Hrrz schlagt. Diefe Ueber« einstimmung aller Kncholilen ist es eben, die uns tröstet, die Regierungen aber zum Räch» denken bewegen sollte. Was den heiligen Vater ll ib.langt, brauch« ich Ihnen woyl nicht erst zu sagen, dah jede Kundgebung dieser übereinstimmenden Ge» finnungen ihm Kraft und T.ost gibt, nicht nur, weil sür einen Vater NecytS süßer ist als die Liebe feiner Kinder, sondern auch, we»l cs ihm lieb sä« muß, daß gerade im Centlnm der Emh.it die i» den Augen aller urparteiischen Männer vorhandene Roth« mendigleil deutlich hervortrete, ihm, als den» Horte ber Wahrheit und Süte, als ber ge» heiligten Quill; jeder irdischen Autorität, volle Freiheit zurückzugeben. Ueberall findet man leichtsinnige uno ot>e;flachliche Seelen; es kann daher Niemanee« Wunder nehmen, daß in Rom Manche die Länge der engli« schen Adresse getadelt haben, anstatt vielmehr überrascht zu sei«, dah man fo ville ebl« Gebauten in verhältnißmäßig wenig Zrilen nieberzulegen wußte. Wie hätte biefe Lecture Plus IX. ermüden können? Die fuße Sprache bes Kinbeö ermüdet das vätert.che Ohr niemalö. Der Pr,pft war über die Adresse un» endlich gerührt und erfreut. Die Ankunft de« edlen Sühne Großbritanniens erinnerte ihn an den heil. Gregariuö, Apostel der Insel der Helligen, und demuthövoll beugte er sein mit der dreifachen Krone, gört.icher Erleuch« tung, menschlicher Einsicht und würdevollen Martyriums geschmücktes Haupt unb er» flehte feines heiligen Vorgängers Beistand. St. Gregoriuö erhörte das Gebet Pius' IX. Unfer großer Papst gab uns ben Anblick der rührendsten Dcmuth, Er fchien nicht zu wissen, daß die ganze Welt der Geister und de« Herzen, des christlichen Glaubens und de« Moral in diefem Augenblick zu feinen Füßen lag. Denn in dem Auginblicke, wo die eng» lifchen Deputirten vor Pius IX. niederknie» ten, vereinigte sich die ganze übrige Welt mit ihnen durch das Gebet. Pius IX. bewies auch gleichzeitig, dah er, der alleinige Herr der Gemissen des Weltall's, auch der Diener GolteS ist. I« feiner Antwort betonte er, wie fehl er bem heil. Gregoriu« un Weisheit und T*» genb nachstehe, nicht aber an Liebe f ir daö Vaterland Jener, die er segn.te. Er cmpfahl ihnen, wie all feinen Kindern die Einheit im j Glauben und im Thnn, mithin die Einheit in dein Kampfe gegen die Feinde GotteS und der Kirche. Cor unum et anima un» ! j rief er cmS. Sodann beschwor er sie, die; .Vorschriften menschlicher Politik nicht mit je» | nen der Religion zu v:rmechseln; Er weiß o eben, daß das große Unglück unserer Zeit in j der Uneinigkeit der Gläubigen und in der j Verwechslung der gütlichen Ordnung mit der | menschlichen beruht. Die Feinde der Kirche s bemühen sich, L^tz'ere zu vermengen, in der? teuflischen Aesicht menschlicher Hoffrrth, die I göttliche Oednung zu unterdrücken, Letztere? der Ersieeen zum Opfer zu bringen und <uif j den Ruinen des Temp-ls von Ieru'alem den z Thu'tm Bab.ls aufzubauen. Dem kann Gottes Stellvertreter auf Erden nicht zustimmen und daher predigt er Jenen, die gleichzeitig feine Kinder und feine Krio-er find, Einheit und Muth im Kampfe, dessen wahre Bedentung er ihnen sodann nachweist. Nicht die § Regierungen als solche sollt Ihr bekärnpien, sondern Jeden, der der N.ligion den Krieg erklärt und die unwandelbaren Gesetze der Gerechtigk.it hieräedcn verletzen will. Wenn wir also dise oder jene Maßregel unserer Regierer bekämpfen, so wollen wirj uns dadurch atdjt gege;*, ihre Regierungsge-1 walt im Princ p:, sondern nur gegen den | Mißbrauch, den sie damit treiben, stemmen. 1 Allerdings kann man uns einwenden, das i fei eine bedenkliche Sache. Niemand weiß es | besser, als wir, aber eben deehalb eilen wir | auch nicht unter die Waffen ohne Auffarde-1 rung unferer Hirten. Welcher dann immer | der Schimpfn^hme fein möge, mit welchen | uns unfere Gegner beehren, namentlich Jene, f deren Absichten wir durchkreuzen, indem wir | sie dem Gerichte Gottes und d.r Verachtung I der Menschen überliefern, fo werden wir in \ den. Augen der Menschenheit und der gött-1 lichen Gerechtigkeit niemals für Reuolutio- 1 nüre gelten. Die Macht, die mir besitzen, | ist übrigens der Art, daß jede auf Erden ! bestehende Oednung der Dinge aufhört le- \ bensfähig zu fein, fobald wir ihr unsere Un> 3 terMtzung versagen. Das bedarf leiner Be« \ weiiführung, die Gefchichte unseres Jahr» § Hunderts hat die Aufgabe übernommen, hie-1 rüber selbst die S:ockolinde« fehend zu ma-j chen. Welche denkenden Menschen dürften zu | läugnen wagen, daß alle Throne wanken, l feit die Staaten wähnten, die Kirchen ent-8 behren, und die ebenso thörichte als verwerf-j liche Theorie der Trennung der Kirche vom j Staate in der Praxis durchführen zu können. Uebirall, wo wir nn3 von der Teilnahme an den öffentlichen Angelegenheiten zurückge» zogen haben, fielen dieselbe in die Hände der Scctirer, deren Hände in 40 Jahren mehr Throne umgestüttzt als bisher 40 Jahrhunderte fallen fahen. Die Katholiken trifft leine M lfchuld daran, dcnn sie waren be> rechtigt, sich von Jenen zurückzuziehen, die sich der Revolution in die Arme weifen, und fchliehlich von ihn erdrückt werden muß' ten. Aber kehren wir zur englischen Deputation zurück. Ueber das christliche Rom hochentzückt, haben auch sie die ewige Stadt mit freudiger Bewunderung erfüllt. Hiegegen gerieth das Rom der Piemonlefen ober Italianifsimi in heute noch andauernde Wuth. Man hat es verfucht, die Deputaten auf dem Bahnhof auszupfeifen und zu infultiren. Es mißlang, da sich die Regierung diefer verletzenden Demonstration nicht anschließen wollte. Wenn sie sich aber geweigert hat, daö Pfeifen unter ihren Schutz zu nehmen, so untel stützt sie dafür n it all ihrer Macht die revolutionäre Presse in dem Kampf gegen die großbiittannische Deputation. Um ge recht zu sein, muß man -aber eingestehen, daß die Journalisten der Florentiner Regie» rung nicht geschickter sind als die Minister. Die ossieiöfe ,Liberta' singt Tag für Tag dasselbe Lied, um zu beweisen, daß es sich nicht der Mühe lohne, sich mit den englischen Deputirten zu befchästigen, welche nur stille Verachtung verdienten. Da sie ihnen aber diese Verachtung dennoch nicht gewähren lann, so ist ste auch nicht still. Unlängst lieh ste sich durch einen anonymen Engländer einen Brief schreiben, in welchem der namen-lose Mann im Namen g&nz Englands, als des innigsten Freundes der italienischen Einheit, gegen die englischen Deputirten protestirt. Nun, diese haben wenigstens den I Muth, ihre Ueberzeugungm auch durch Na- ! mensunterfchrift zu bekräftigen. WaS man aber auch thun möge, die eng» \ lifche Deputation wird von ihrem hiesigen! Aufenthalt die Ueberzeugung heimbringen: [ 1. Daß der Papst nicht frei ist, weil Alle, \ welche kommen, um ihn zu sehen, Tag sur ] Tag von ber revolutionären Presse verhöhnt ■ werden dürfen. « 2. Daß ebenfalls Tag für Tag die gehet. \ ligte Person des Prpstes durch dieselbe Presse insultirt wird. 3. Daß Rom seine vergangen; Größe bemeint und unter dem Drucke einer Steuerlast feufzt, welche seine Kräfte weit au« überragt. ; 4. Daß die Nömer nicht müde werden. [ durch immer neue Deputationen dem heiligen j Vater Anhänglichkeit und Verehrung für seine souveränen Nechte auszudrücken. 5. Daß, mit Ausnahme Der Zeit Mazzi[ nischer Schreckensherrschaft, Rom niemals so ! wie heute, de: hanptsächtlichsten Quellen | i feines Wohlstandes, des fremden Zudranges ' nämlich beraubt war. 6. Daß der Unglaube, welcher mit feinem Pomp den katholischen Cultus verdräigm will, unter olliga'orer Entfaltung freimauri» S scher Abzeichen, durch einen Unzug sogenann< ter Freidenker und durch scandalöse Trauerfei,'llichkei en, das unkirchli'he Begräbniß des . Extriumvir Monteccchi in Scene gezfetzt hat. • 7. Daß Nr.u einer verheerten Stätte; gleicht, au? der Verbrechen und Schamlo'ig- • keit einer glaubens' und sittenlosen Sippe I jedes Leben verscheucht haben. Es ist alio fehr nützlich, daß die Katholiken ! nach Rom kommen, um die doppelte Pflicht\ ergebener Kinder und gefürch'.eter Zeugen zu l erfüllen. Mit Ungeduld erwarten wir diel 3 D'putatisn, welche j ner Großbritanniens | i folgen wird und heissen sie im Voraus : $ freudigst Willkomm?«. ['3. C ] I
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Verl. der St-Paulus-Druckerei
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Telegraphishe Depeschen
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Telegraphishe Depeschen des ,LzZxembNVg'kV Wsrt< Versailles, <7. April. Ginez Depesche Tluers vom 16. sagt, die! | Negierung mcxbc das Syst cin des j zHillalisfchicl'cns bcibchalrcn^ um so! \ bcdciitciidc Kräfte bcranzuzieben, | c daß jeder Widerstand unmöglich und ] \ dcr Kampf wenig Murig werde. I Ein Circular dementirt die Aus-! = saqcn dcr Coinmunistischc!! Organe, \ als wolle die Negicnutg dic Ncpu--! \ Mit zerstören. Ibr einziges »Bcstre-! jj ben sci, dcn Civilkricq zu bccndcn, j die Ordnung, den Credit und die! ! Arbeit wieder bcrznstcllcn und die jj zPrcußen zu bezahlen. Sic erinnert^ | daran, daß sie dcu Insnrqcntcn, wcl- I che dieWaffcn mcdcrlca.cn, Amnestie —Wcnn einige Kanonen| schüsse fallen, so werdcn sic von dcn f Insurgenten abgefeuert, wclche an 3 cincn Kampf glauben machen woll len. Das Circnlar sagt weiter, die Las ge werde eine gewisse Zcit lang dic-j selbe bleiben. Gin Dekret vom 16. stcllt die Muuicipalwahlcn auf den 20. April fest. Privatnachrichten besagen, daß dic Ncgicrungstruppcn nach einem glänzenden Gcfcchie in dcr syrnhe das Schloß eine scbr wichtige Stellung, wclche Asniercs beherrscht, besetzten. Paris, 17. April. «U.Abends. Das Resultat der gcstngcu Abstimmung wird in 13 Ärroudissemcnten als eine Niederlage für die Commune angcftbcn. Vlos in 4 babeni einige Candidaten etwa ein Achtel l dcr Stimmen dcr Votircnden crhal-1 ten. Iu allcn andern Vczirkcn ist! kein einziger Candidat der Commune gewählt wordcn. Das Gerücht circulirt, daß die! Gesandten Englands, Italiens und der Vereinigten Staaten cincn Waf-j stillstand zwischen Versailles u. Pa- \ ris herbeizuführen suche». Das ,offtz. Journal^ zeigt an, } daß gestern eine gewisse Anzahl Na- \ tionalgarden gewagt baben, in das I Hotel dcr belgischen Legatton ein- zudringen. Cinc Untersuchung dar- I über sci sofort veranstaltet wordcn. j Tic Commnnc setzt ein Kriegs- Z gcricht cin ; die von demselben aus- \ gesprochenen Todcsurtheile wcrdcu \ der Sanction dcr Crccutiv^Com- ' mission untcrworfcn. I Eine auf dem Abbange des Alont : Valerien neu errichtete versailler^ Batterie bombardirt Courbevoie. i Tombrowsly befindet sich noch immer 1 in Asnicres. - Um dcn Besitz dcr ' Brücke von Neuilly wird noch fort-.' wäbrend heiß gestritten. \ Die Einwohner des Quartiers Vaugirard erwarten das Vombar» \ dement. Cs scheint, daß anf An- \ trieb dcr Autoritätcu die Cinwohner ) dcr bedrohten Quartiere Vorsichts- ' maßregeln ergriffen baben. [
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Marktpreise.
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Marktpreise.
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Luxemburg,
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Luxemburg, den .5. April 1871 Weizen . ... per Hektoliter Fr. 29 50 Mischelfrucht . . „ „ « 28 50 Roggen . . . „ „ „ 23 00 Gerste . . . . „ „ „20 00 Hafer . . . . „ „ „12 00 Erbsen . . . . „ „ „30 00 Kartoffeln . . „ „ „ 5 50 Holz .... per Stères „ 12 50 Butler .... per Kilo „ 03 40 Eier .... per Dutzend „ 75 00
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Eisenbahnzüge
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Eisenbahnzüge (Seit dem 10. November i870.)
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N.-B. Äste ]t|im gctftjtetan 0Mî'Orj>t oerlautt w!otk«t Me Rw.V.tj ruï meü eine äRinuU b-tuer; fut_b;e Bencnos bit fU auf Seifen b:ftn. bîr. ODK bw lerne Çctsn, Ssîe« ah fflfhn. îcnta »i?.(utteR.sis mon iebetjtit gec-e&en onn, ongefertigt. SSit scrienben bie«'£n iB6Ic«e»îia «fiduenoon « unb 7 granlcn be« StnienbUKfi beS StUaosn fer " äßen lîtanfc Svm;, unb (^efuttb* ADfîeti. 5P.cvalenta Arabica Du Barry von London."
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Allen Letbenben Gesundheit 'buich bie d«N««t« bung uo-, uisd"o,n^ Koste,! °ie nachsol«^ ben «ranthciten beseitigt: Ma^n-, Nerven «F3 Lunzen, 3eber, T.ü,c».. Hchl«,:,haut, »t^' Alafen- und Niereü.ctbcn, Tubereuwse, Schwi^NuHt Äuhma, Hiislen, U^werdauüchkelt, VetftovwNH Dmvrhöcn, Säil^ifiosi^eit, Schwäche, HämoihoU»^ Wll,,«!»cht, Hchwinbel, Blutaufst«i«nl Uebellcit unb Erbrechen selbst wu7 rend bei Schwanger clmft, Diabetes, «el«»choli»' Abmagerung, siheu,natil!mus, Gicht, Bleichsucht — ?-''^n^M°^''""^'^'"cc>len über Genesung». ble aller M'dicin wibersianben. Cerlisic.U Nr. 73.670. <?..-. . Wien, 13. »prU 1372. ,tnb i'.ui'.mchr st^cn Monate, baß ich «ich ta !ro,l!o,esten Z„sta>.,oc bc!„^ In Utt »n »rust«56 unb Ner«c»Ie.ben, ,° bah ich von Tag ,u T»a ,u. 'Ff"b f^wand u>,b bcn.zufolge längere «e? i» studieren gebort wurde. Ich borte von 3hl^ w!!,iberiuoi.en R«a!.»ta Arabiea, machte b«wc>V unb kmm T^e »crsichern baß ich duich be,, emmonallichcn Ihrer nahrhaft«, m3 bc.icatei, N(,va!l,>la Arabica mich oolllommen g, fu-.d >mb qestarlt fühle, so baß ich, ohne in Gettn«. Ilen zu ,illcr„ die sseber führen lann. 3ch sehe «» ucranl^t, allei Lc>d^,bm biefes l>erhältnißm«ßi« fehr bllliq? und fchmllckhaftc Nahrungsmittel M bc t.> Arznei aüzuempsehleii unb verbleibe Ihr cigedener. " " Gabriel leschner DHorer ber üffentl, höheren band«H. lehl«nst<llt. Certificat Nr. 73.968. Mitrowitz, 3N. «pril 18?l. Dan! bem vortrefflichen Farina ist mein, Tchwester, bie an nervöser Kop«r«n»eit u>H Schlaflofiglcit gelitten hat, nach «gebrauch von P!und am Wege ber guten Aesserun«. Zugleich er» laute ich mir, >i-ie höflichst zu bitten, mit geg« Postnllchnahm? 1 Pfund R<-,a!enta Arabie, «. wohnlicher Sorte nebst ausführlicher Gebrauch«»». wei>un, be3 Farina bei Kindern von 8 Noch« zukommen zu lassm.lMt aller Achtung. «icolaus G. Roftit». Certisicat Nr. 73.704. Prilep, Post Hollefchau w Nähre». « , . ?. Mai 1S72, wir fchon bie »on Ihnen längst bezöge«, Rêvaient« Arabica <Iu Larrf ausging U7H fül meine Maaenfchwäche u:,b Unnerbaulichteit ein aute« unb wirkfoüics Mittel ist, fo ersuche ich Vie hoftiOK m r noch ron ber echt?» Rc-val.-nla Arabie» 2 LiÄ, gec^l Nachnahme fo bal» »ls möglich zu übersenden Achtungsvoll ergebenft. l! Joseph Rohat Förs« In Schachteln ',- Ril. 2 Fr. zg, >/, Ml. 4 Ft l. Ml 7 Fv: « «u. 82 Fr^! 12 Ml. 60 Fl. Di,H». cuils von Kevalrnla in Schachteln r:., < unb? »: Dic vt?ual!'ntn i>? ss^'k^ i,!'.-' Appetit, »ei, bauu.zg: ü^.v' und .«.-ü?i il!. „-^ ,>7, Ec»,TH^nnn w'l> ,!;l,i!xr u.^ isi ,^.'!/n «>',:' nahrhafier <üt de« Flcisl^ und b!c Chulolabe. — Iss Gchachlelü 2^n 12 T<,«., -V., ,,., w 57«lassen <>a Fr.; und un,,efc°<,,, IC !!.-?,-,ssr Zusendung mit der Pofi, Vin,i,ifs Nn,o< «.k d>'.^ Grohh«^»g' ihuni 'lureuiburK bei Hr. Brlntze? e P,rabepl«tz, — Barry und !!>uü,p., .^ ,-,^ l'l!«pe«»^. Brüssel, unb 178 isritb«ch.^5>tr<i5l' „i Vertin,
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Aecht kölnisches Waffer von Zean Maria Zlarina, Meine Niederlage bavon in bn, Exped» ion dieser Zeitung empfehle ich zu Fi. !?, per Dutzend, Fr. 9 per halbes Dutzend «M Fr. 1.65 per Glas wiederholt gehorscHch. Zsyan« Maria Zarin« in Ksü-,.
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■sBfirnKfls6arßi'r Set |t einer un r eines bebcutenden Ackerbautrains zu Sittifl- Am Montaa, ic;. Juni 1873' um 9 Uhr Morgens, im Hoimes Hau!« lassen die Erben des »u Zitlia ueistorblnen Allerer» Herrn Johann iichnerl), den ganzen von der 3(ad) afsenschnfl b.etrüb,renden Mo!,ib',lici.-«estand, bestehend namenllich in 8 jungen Pferden. 15 Stüd $omi>ut), 6 Zuchtschweinen, 12 Ferlel, 5 Hammel, 50 Hühner, Pf?r^?si?schnr. Stile' und jegliche NÄergeräth.^aftert, Vraiintweiülessel, Heu UNI etioö, Wci^n, Korn, Hafer, (Siijfci. 2c,sämmlllches Haus- Mobiliar îc, öffentlich auf Sorg ueifie^gein. Am Dienstag, 17. Juni 1873, on Crt u:,d Stelle, Versteigerung der biceiätjrtgen Gras- und Kleeschaar des Êoinics Gutes zu Zittia, Sie: Haber sind gebeten sich um 9 Uhr SMotaen« im Hoimes-Haui? zu netfamnuli. Unb;f nute Slnftcigerer müssen Nüraschaft leisten. Echternach, den 9. Juni 1873. 1077 Jos. üofer, Notar > 19044>00 Tille. IV. Crt. cv. als Hauptgewinn. Gewinne von Fr. Kthlr. 80,000, 40,000, 30,000, 20,000, 16,000 , 2 à 12,000, 10,000, 3 à 8,000, 3 à 6,000, 6 à 4,800, 13 à 4,000, 11 a 3,200, 12 à 2,400, 32 à 2,000, 3 à 1,600, 65 à 1,200, 204 à 800, 3 5, 600, 2 à 480, 412 à 400, 412 à 200, lo à 120. 472 à 8o und 42,130 à 44, 40, 2o N,,.-ler etc. etc., demnach im Gesammtbetrasfe von über 2 Million 660,000 Thaler Pr. Cit., welche Linnen wenigen Monaten in siebenmaliger Ziehung zur sicheren Entscheidung kommen müssen. Zu der amtlich auf den 18. u. 19. Juni d. J. festgesetzten Ziehung kostet 1 ganzesOriginall.Thlr. 2 1 halbes „ „ 1 1 viertel „ Sgr. 15. Gegen Einsendung des Betrages, .m bequemsten und billigsten pr. Postanweisung, oder auch pr. Postvorscliuss, werden die mit dem Staatswappen versehenen Originalloose von mir, selbst nach weitester Entfernung prompt und verschwiegen versandt unter Beifügung des amtlichen Verloosungsplanes. Nach jeder Ziehung erfolgt dann sofort das officielle Kümmernverzeichniss der mit Gewinnen gezogenen l.»>>«>.', sowie auch die Auszahlung der Gewinne nacli Entscheidung unmittelbar geschieht. J.de weitere Auskunft wird bereitwilligst ertluilt und Yerloosungs; piano gratis und franco versandt. 1 Man wende sich baldigst 1, : vertrauensvoll in directen Zu- g schritten an das stets vom D Glücke begünstigte Bankhaus U Siegmund Heckscher, ja 992 Hamburg.
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Zu verlaufen ein noch ganz l>eues Piano. Man wende sich an die Erpedition, r.Bi
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Librairie de l'ierre BRLCK. Eq vente : I/étlaicatioii Lygicne première du corps et de l'âme par le docteur A. SOYET. Eu 'i volumes. Piix : 6 francs. Chacun de ces !i volumes se Tend séparément au prix de Ir. Ü. • le ler et fr. H. • le second volume. Une maison de mercerie de (;ros !et détail de celte ville cherche !^D une dcmuisMe de magasin bien au courant des affaires et connaissant les deux langues. Entrée de suite. S'adresser au buT.au du journal. <^»in ljicfUîCJ '-» Sr"- >'> lli;tail >2>kur;waarengefchäft inc^t Nun fo» fortigen eintritt ein kaÖell m a b = en, welchem in einem ähnlichen Wefdjnftc tl)atin war und die l'^iden Sprachen fcnnt. Man rociiöa fie!) an die iSjvcbition dieses NlatteL. l'W Wichlirj für Viele 1 [n allen Branchen, insbesondere aber bei Bezug der allgemein beliebten Ost» giltal-Loose rechtfertigt sich das Vertrauen einerseits durch anerkannte Solidität der Firma, andererseits durch den sich hieraus ergebenden enormen Absatz. Von ganz besonderem Glücke begünstigt und durch ihre Pünktlichkeit und Reelliläl bekannt, icirddieFirma Adolph Bïaus i in Hamburg Jedermann besonders und angelegentlichst empfohlen. 1091 Warnung ! E? wird hierdurch barauf oufmerf. faut r.f.iiac&t, d»h eS Unberechtigten ncrt'e:.:i ist an jenen Ufern der 211-jettv' >u fischen, roeldfje zur Steinleler i)iüt;lc aeljbrcn. Lureinburg, den 12. Juni 1673. 10!) J" Librairie de Pierre URUCK En vente : lîtlcrprétatiou de l'apocalypse reoferoiaût l'bistoire des sept âges de l'Église catholique par le vénérable serviteur de Dieu Xarlhitimi Holzhäuser, restaurateur de la discipline ecclésiastique en Allemagne, mort le UO mai 1 (JOB. Ouvrage traduit du latin et contiuué par le chanoine de iVuillerer. oième édition 2 vol. f;" in 8". fr. 12.» Steve holländische Mantges-Bäringe bei 1041 LIEZ JOHANN. Ein Ludenmädchen wird für ci» hiesig s Gefchäft gesucht. Nu? sagt Lie Exped. 1087
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Vorräthig in der Buchhandlung von Pierre Brück: Musikalisches Lese- und Vildungsbnch für T emmansicn,Gesang- u. (Stavirrlcbrcr, Cr^aniftcn, Cantorcn und Chordirigcnccn, »on Leopold Hcinzc. Inhalt: 1. Tie Formenlehre; 2. die goimenl4re in ihrer Anwendung; 3. die Olganil ; 4. Kurze Geschichte der lath. Kirchenmusik ; 5. der Gesllngunlerricht in der Volksschule ; 6. der Clavlerunterncht nebst Wegweiser auf dem Gebiete der Slauicrliteratut. Preis: 5 Franken. Obiges „tiefe- und Silutinflêßuu)*, welches eine längst gefühlte vücEe auf dem Gebiete der iHufifltteratut ausfüllt, ist auf's Wärmste von Hrn. Professor Dbei^offer den Zöglingen der Nnimalschule empfohlen worden und dürfte auch sonst als Pandbuch aUen Musikleyrein zu empfthlen fein. WHSTE CBOSS LSNE Regelmäßige und direkte Tnmpfer-Verbindung Änlwerpeii-New-York. Abfahrt 20. Juni belg. Dampfer „Tter.mann" ©apit. keckere. „ 10. Juli „ „ „C. F. Funch" „ Knudsen. Sine fernere Abfahrt findet regelmäßig jeden Monat Statt. Näheres wegen bitter und Passagiere 1. Cajüte und Zwischendeck bei une und unseren Agenten. E. Derulle-Wigreux in Luxemburg, May-Schiltz in sDte£ircij, Jean Steinmetz in feinetSteinmann & Ludwig, Schifiörhcder in Antwc:pen. 949 LA NATIONALE COMPAGNIE D'ASSURANCES SUR LA YSE Établie à Paris, rue de Grammont. Garantie: 105 MILLIONS de Frs. Dire lern: M. J. OKFIIOY , ancien Négociant, ancien Membre du Conseil municipal de la v^lle de Pari». SITUATION AU 31 DÉCEMBRE 1871. OPÉRATIONS EN CÜLIIS. Assurances en cas de décè», »'<-« participation au* ?uu U3>) bénéfice« >° 1//?Ui)'2l() Assurance» diverses „',"^'<l',V Ueutes viagères assurées 0,7ö«,UXl SOM»iES PAYÉES PAU LA COMPAGNIE. Capitaux payé» au décès des assurés ... . fr. 1»,27G 715 Béiiéfices répartis eutre les assures participants . . H,00»,0ü2 UARANTIES I>E LA COMPAGNIE. fU.err:s pour assurance, en <-«« de décè., avec parti.-ipatioi au* bénéfices O. 2J,10J,7^0 UéserTes pour »«««'»»ce,. diverse« 3.8Ü1 i^S Réserves pour rentes viaEeres. ........ 48,i>0/,910 Réserves de prévoyance et en augmentation du c,-cÄS": .;,,',,', : : : : : : .BÜÜbSi Fr. 10-i,(i()7.Oi->(; VALEURS APPARTENANT A LA COMPAGNIE. Obligations souscrites par les actionnaires et garaH tics par l'inscription au nom de la Compagnie, de 150,100 »de rentes sur l'Etat fr 1!Î,OOO,O«O Uentes et obligations garantes par l'Etat .... C(i,ö»jJ,77U Nues propriétés, bons du trésor, effets et espèces . '2,047,JÜU pHmeubles »yant coûté 21,4«2,5iî0 Fr. 10«,007, OS() Prospectus et renseignements gratuits. Agent Général à Luxembourg: Th. SCHRGELL, ? nie Si. Philippe. Aus freier Aand zu verkaufen ein Bau Platz mit gewölbtem Keller, umgeben mit vier soliden Mauern, welcher zur Aufführung eines Gebäudes berufet werden kann. Das ©ar.je von einem Flächen-Inhalt von circa 100 Meter ist gelegen Heiligen-Geiftftraße in Luxemburg. Liebhaber wenden sich gefälligst an 1082 Notar Rausch in Lnrembura,.
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Kreide-Kußeln per 100 Zt. Zlr 5.00. bei größerer Abnahme entsprechend billiger, bei 1054 F. Mallmann u. Nllmp.
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l Z^ Drei-Königsftruhe Nr. 8 liefen noch 1'/^ Fuder Mormeldiuger M!«er, im GllNM oder per Hotte zu «erlaufen. 1076
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Chriftlich-socillle Blätter. Katholisch-sociales Kcnlral-Drgan. Die „Efjr.-ioc. N!.' erscheine» monatlich in ©ro6-&uart=3ormat zu 16 bis 24 Leiten starl und loftc» per Post oder durch die unterze.chnete Auch- Handlung bezogen, halbjährlich Fr 2.50. Sic bringen Lei'artik.l und Aufsätze aus den verschiedenen socialen Gebieten, übersichtlich geordnete Mittheit lungen über die Arbeiteibeweaunss oller Sauber und über die Thati<^ci. chnstUch.socialer Vereine, Stecenftoncn über sociale Zuschriften, fciilUeloni stische Êrjafjlungen aus der Uibnterwclt îc. Nachbestellungen auf die Jahrgänge 1870 Or. 1.67./,) 1871 (Fr, 8.75) und 1872 (Fr. 3,7.) werden entcjcßcngcno.r.mcn Aachen, im Januar 1373. Nestellungen sind an die katholische Buchhandlung von Pierre Brück zu richten. Wasserheil Anstalt Gleisweiler bei Landau in der Baicttfd)cH Zlßcinpfalz. Knltwllfscllnr, warme öäber, Kumys-, Moltcn-u.Milchkuren Kampfs und IViefcrnobclbööcr. Blcctrtcität, Biilgymsinstil. Prospecte ui.b nähere Auilui ft ettlieileu bie Stetste der Anstalt Dr. mctl. Ed. Scliiieiclci*. 1034 Hr. hih>«!. Iflaisinüiseivitz* Verlag von Peter V rii cf. MtÜf 0 e n bec wahren Gottseligkeit von Zomkapitular M Mies, Neligionslehrer und Seelsorger am Athenäum zu Luxemburg. Geheftet , Fr. 0 65 halb Leder „ l 00 ganz Leo er „ 125 „ „ und Goldschnitt „ 1 50
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Zu verpachten! der jehoue unter dem Kamen „Slobenaut" bekannte P^chthos, gelegen zu Nörtziügcn, Jïuutcm Esch a. d. 21. (©roeljeräogtbum EuEemburß) bcgr.'iscnd einen ungefähien Flächeninhalt von 100 Hektars, barunter 30 Heltares Wiesen erster Elusse, ist zu verpachten. Genuhantritt am 15. gebr. 1874. Durch feine vorteilhafte Lage an dem Vereinigungsvunkte der Station Nürtzingen, Esch, Oettiilgen empfiehlt sich dieses Pachtgut ganz besonders ben Liebhabern, denen die Eisenbahn alle Leichtigkeit zum Absätze, resp. Ausfuhr der Prooutte bietet. Man werde sich an die Dame Wittwe I. P. Tchintge», SHcntr.erin in Nemich. 1042 Augenheil. Anstalt zu FuHcmburg im KlofterderlarmhcrziiMTchwc stein auf dem Fischnillllt, Êoufultationen am 1. u. 15 cines jeden Mona!s. Morgens von 10 bis 12 Uhr und Nachmittags von 2 bis 4. Ëoufi'Jtationen und ärztliche Behandlung für Unbemittelte unentgeltlich. 72 Dr. Zartmann. Limburger Kasc Itcr Qualität, Luc et, Schmalz, Schi nî s : lc. ftetö frisch zu habeil bei lßetcrlBetcr Weiter 84 in Eich.
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Luxemburger Wort
Gras- H Grummet, SBeTftäigemng zu Kockelscheuer. Nm Sonnt ctg, 15. I-.mi, um 3 Uhr 3(ac^mittapis, laht Herr Tony nutrcnx,(yntßbefi^erjuÄoctelf(seuer, den diesjährigen Gras- ur.d Grnmmtt-Wachsthr-m in den Çaifanlagcn, tet dem Schlosse Woitelfc^euer, in 2?» Loosen eingeteilt, gegen ijaljlangsousftanb öffentlich »ersteigern, Hespeiingen, den S Juni 1&73. M 2 Th. stieget, Einnehmer. Gesucht. In einer Wollspinnerei, welche auch Truot-Weberei einrichten will, wird ein tüchtiger, erfahrener Merkmeister gesucht, der die Tiicot-Fabrikation sowie die Behandlung der Nunbftühle gründlich versteht und jelbftftänbiß arbeiten lann. Dauernd,», Stellung und den Leistungen entforechendes Salair wiro zugesichert. Franco Offerten nebst Beifügung von Zeugnissen und Äü^.be des biê-herigen Wirkungskreises werden unter X. U. 507 an dieExped. b. 33?. erbeten. 1061 Herr patentirter Zahnarzt von Namür, kann am Dienstag, den 1. unt Mittwoch, im 2. Juli 1875 toi Kölnischen §i)f conjuttirl erden. ©pccialilät non Zählten und Zahnwerlen. Erfolg garantir:, Niederlage von Zahripuluer und 3al)ii^lerir bei Mersch-Ädam m Luxemburg. "452
1873-06-13T00:00:00
Verl. der St-Paulus-Druckerei
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Luxemburger Wort
EXTRAIT. Il rémilt«. d'un exploit ■la Ml. ■iltrre de l'liuisiicr Clirétirn Herein-n de Luxembourg, en dste du 1," juin 1«75, qu'à la rnijurle de Me Jacques Or un s, nutaire «l«,»>» ciliil à Luxcinl>uur(r, pour liijbcl est constitué ut occupera Me Zéliou </c Muyxer, avoent avoué demeurant ri 1., m,,,>!>„,, rj; ; bi|;iiilicatiou -> été faite a Aliicrt />„»> dt'.liiLijvi-, iiiécaiiicîuii, <*t îi son épouse Anne Marguerite Matiel, ineiinjjc iv, tuus les deux sans domicile ni re.si<!i un* connus ' a) !^ une firiloiiMance rendue sur requête jiar Monsieur le riue pré» sidenl, frsiuil fonctions de présisîdcut du tribunal d'urrondisseiueut il« Luxcnilioury, à la date du sept juin <!!?.'>, ml,!« de la ilite requête ; -) D'un exploit du ministère de l'huiasicr soussigné, en date da neuf juin dernier, contenant sur les signifiés époux Dondelinger- Maçliel, es-mains de Me Léon Slttjcrus. nutaire, demeurant à Lv- Nemliouri;, saisie arrêt ou opposition. Pour qu'ils n'en ignorent. Et d ,IN même contexte, assignation a été donnée aux mêmes éponx Dondliii[j.T Maclii-1, n comparaître dans le drl;ii ,',.,,„,, .lu U loi, k neuf 1,, Min s du matin, devant le tribunal civil de l'arrondissement de Lui.emlic>ui|f, sé;\\il an palais dr justice ù Luxembuurg, pour: Attendu que mou requérant est créancier des assignés pour honoraires et déboursé« dr leur contrat de mariage reçu le vingt-huit mai Il!(!^>, de la somme de nonantedeui fiaucs soixante.huit centimes; Attendu que pour avoir payement de cette soinin., mon requérant a fait pratiquer la saisie arrêt ei:dc sus j (Jue celte saisie arrêt est juste au J'"iid et rrijulièic en la forme ; S'entendre en conséquence li-s assignés condamner solidairement à payer à mon requérant la somme ci-dessus île nouante deux francs soixante huit centimes ; Voir déclarer bonne et valable la dite saisie-arrêt en date du neuf juin dernier, pour la dite somme de i)'i francs l»U centime) ; Voir dire et ordonner que toutes les sommes dont le tiers saisi se sera recouin, ou aura été jugé débiteur envers les assignés ép,nx Doudclinger .Hael;il( seroi t versées entre les mains de mon requérant, en déduction ou jusqu'à concurrence de sa créance, en principal, intérêts et Irais, S entendre condamne* a tous les frais. Les copies destinées aux dits époux Oonclclinger-Sfackel ont été remises à Monsieur le Procureur d'Etat près le susdit tribunal qui a visé mon acte. ['nur extrait, !oa3 UEIICBE.\. Nie onßcicißtc Serjhigerung in Nr. 127 Uom 31. ÜJlcit, bcS Wohnhauses der Erben Vl'lMNölMrM.Clecs, Don OrosbouZ und der Oclmtlhle zu Vich» ten kann wegen Ursachen jetzt nicht statt finden. 1031 Die Vormundschaft. Un.ter}sidi;icîer sucht zum soiortigen Eintritt drei tüchtige Schlosser - Gesellen à 1 Mhlr. per Tag. Z o u dl, Bcaumontftraß?. 1046 Ein zweiter Müller mild gffudjt 'und îann gleich eintreten. Zu erfragen in der Expedition. KHS _____^___ Ein Arbeiter gesucht bei 1063 Michaelis Fischer. A L€3»€JäiH,. de suite un bfil appartement, de sept places, cave et grenîor, le loul donnant sur la phee Guillaume. lOÖI SCHMITZ frères.
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Verl. der St-Paulus-Druckerei
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