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Paris; Joseph Tzipine, violoncelliste, 1er prix du Conservatoire de Paris Georges Cathelat, ténor G. Chamarat, de l'Odéon M. Cassell, piano a) Adagio (Haydn) b) Forlane (Mouret-Dandelot) violoncelle M. Joseph Tzipine piano Mlle M.-L. Halet; a) Au cimetière (St-Saëns) b) La légende de la sauge, du Jongleur de Notre-Dame (Massenet) M. Georges Cathelat a) Prélude de la Première sonate (Bach) b) Chérubin (Couperin), violon M. Georges Tzipine a) Le cœur de ma mie (Dalcroze) b) Un dimanche (Brahms) Mme Louise Carmel: a) Dialogue (Franc-Nohar, b) Franjus, e Garde-Champêtre (M. Zamacoïs) M. Georges Chamarat; a) Aria (Ziehrer) b) Coucou (Dauguilln, arrangement Tzipine). duos pour violon (M. Georges Tzipine) et violoncelle (M. Joseph Tzipine) Cavatine de Faust (Gounod) M. Georges Cathelot Les roses de Saadi (Marguerite Canal) Derrière chez mon père (X., vieilles chansons harmonisées par Widor) a) Les petites commissions (Franc-Nohar) b) L'histoire (Anatole France) M. Georges Chamarat, de l'Odéon a) La Bergerie, b) L'innocente villageoise, c) Badine (Marchand-Bazelaire), duos pour violon (M. Georges Tzipine) et violoncelle (M. Joseph Tzipine) Duo du 2ème acte de Manon (Massenet; Mme Louise Carmel et M. Cassell) Le passé qui file (Louis Beydts) b) La petite noix (Louis Beydts) M. Georges Cathelat a) Romance et air (Hesding) Rondel (Hussonmorel), duos pour violon (M. Georges Tzipine) et violoncelle (M. Joseph Tzipine). A l'issue de la soirée Information de la dernière heure transmissions de l'heure et du bulletin météorologique. Radiotéléphotographie. Musique de danse transmise du Colisée de Paris Jusqu'à 24 heures. RADIO-TOULOUSE L. 381 m. P. 8 kW. 13 h. Concert. 18 h. Musique de danse 18 h. 35 Concert Incertitude (Blanco) Golden Wire (Rilxner) Suivez-moi (Baher) Un petit mot d'amour (Grothe). 19 h. Musique militaire 19 h. 30. Opérettes. Extraits de Un bon garçon (Yvain) L'Orphelin de la rue (Grantschaefer) Coups de roulis (Messager) Les Cloches de Corneville (Planquette) La Fille du Tambour-major (Offenbach) Le parfum impérissable (Pauré) Si tu veux, mignonne (Massenet) Quand l'amour m'urt (Millody) Les fleurs que nous aimons (Grae), Mattinata (Léoncavallo) Sirène, nade française Mon gentil petit Pierrot (Léoncavallo) 21 h. Concert Sangre Torera, paso doble (Erviti) Le testament des dieux ouverture (Madocchi)
Paris; Joseph Tzipine, lst,lleinioeovc 1r prix du Conservatoire de Paris Georges Cathelat, ténor . Chamarat de l'Odéon M. Cassell, piano a) Adagio (Haydn) b) Forlane (Mouret-Dandelot) violoncelle M. Joseph Tzipine pan Mlle M.-L. Halet; a) Au cimetière (St-Saëns) b) La légende d la sauge, ud Jnglr de Notre-Dame ensM)eats( M. Georges Cathelat ) Prélude de la Première sonate (Bach) b) Chérubin (Couperin), violon M. Georges Tzipine a) Le cœur d ma mie (Dalcroze) b) Un neaicdmh (Brahms) Mme Louise Carmel a) Dialogue (Franc-Nohar, b) Franjus, e Garde-Champêtre (M. Zamacoïs) . Georges Chamarat; a) Aria (Ziehrer) b) Coucou (Dauguilln, arrangement Tzipine). duos pour ionlvo (M. eorg Tzipine) et violoncelle (M. Joseph Tzipine) Cavatine de Faust (Gounod) M. Georges Cathelot Les roses de Saadi (Marguerite Canal) Derrière chez mon père X vieilles chansons harmonisées par Widor a) Les petites comisios FrancNohar b) L'histoire (Anatole France) M. Georges Chamarat, de 'Odéon a) L Bergerie, b) L'innocente villageoise, c) Badine (Marchand-Bazelaire), duos pr violon (. Georges Tzipine) et violoncelle (M. Joseph zpi Duo du 2ème acte d Manon (Massenet; Mme Ls Carmel et M. Cassell) Le passé q file (Louis Beydts) b) L petite noix s(Luio Beydts) M. Georges Cathelat a) Rmnc et air (Hesding) Rondel (nmor) duos pour violon (M. Georges Tzipine) e ioncele (M. Jsph Tzipine). A 'issue de la soirée Iformtion de la dernière heure transmissions de lheure et du bulletin métlgque. Rdotélhotorh Musique de danse transmise du Colisée de Paris Jusqu'à 24 heures RDIO-TL L. 381 m. . 8 kW. 13 h. Concert. 18 h. Musique d danse 18 h. 35 Concert Incertitude (Blanco) Golden Wire (Rilxner) Suivez-moi (Baher) Un petit ot d'amour (Grothe). 19 h. Msq militaire 19 h. 30. Opérettes. Extraits de nU bno garçon (Yvain) hirpL'Onle de la rue (Grantschaefer) Coups de roulis (Messager) Les Cloches ed Corneville (Planquette) La Fille du Tambour-major (Offenbach) Le parfum impérissable (Pauré) Si tu veux, mgnnn (Massenet) Quand l'amour m'urt oyil)M(dl Les fleurs ns aimons (Grea,) Mattinata (Léoncavallo) Sirène, nd française Mon gentil petit eo (Léoncavallo) 21 h. Concert Sangre Torera, paso doble (Erviti) Le testament des dieux ouvrure (Madocchi)
(Hesding) Rondel (Hussonmorel), duos pour violon (M. Georges Tzipine) et violoncelle (M. Joseph Tzipine). A l'issue de la soirée Information de la dernière heure transmissions de l'heure et du bulletin météorologique. Radiotéléphotographie. Musique de danse transmise du Colisée de Paris Jusqu'à 24 heures. RADIO-TOULOUSE L. 381 m. P. 8 kW. 13 h. Concert. 18 h. Musique de danse 18 h. 35 Concert Incertitude (Blanco) Golden Wire (Rilxner) Suivez-moi (Baher) Un petit mot d'amour (Grothe). 19 h. Musique militaire 19 h. 30. Opérettes. Extraits de Un bon garçon (Yvain) L'Orphelin de la rue (Grantschaefer) Coups de roulis (Messager) Les Cloches de Corneville (Planquette) La Fille du Tambour-major (Offenbach) Le parfum impérissable (Pauré) Si tu veux, mignonne (Massenet) Quand l'amour m'urt (Millody) Les fleurs que nous aimons (Grae), Mattinata (Léoncavallo) Sirène, nade française Mon gentil petit Pierrot (Léoncavallo) 21 h. Concert Sangre Torera, paso doble (Erviti) Le testament des dieux ouverture (Madocchi) La Guyaba, danse portugaise (Sarabanda) Lohengrin, rêverie (Wagner) Varavilla, fantasie (Rizzini) La Madre del Cordero, Jota (Jiménez) Floréal Intermezzo (Balvetti) Derrière la fanfare, mueque (Barnet) La Toulousaine (Deffèe). est en mouvement Les humeurs se déplacent, tachent la peau de boutons d'acné, de plaques de dartres ou de vésicules herpétiques, du provoquent de cruelles démangeaisons empêchant de dormir, des eczémas, prurigos, psoriasis, érythèmes. Les jambes se gonflent de varices, avec menaces de phlébite, et d'ulcère. La région du dos est douloureuse, ce qui signifie peut-être congestion rénale et néphrite. En même temps, les fonctions menstruelles se font mal et l'état général est franchement mauvais la malade n'a de goût à rien. Mais le Dépuratif Richelet; ce puissant correcteur de la masse sanguine, vient remonter le moral en guérissant immédiatement le physique, comme chez la signataire de cet irrécusable témoignage: Il n'y a plus de doute, je suis maintenant, après ma cure de Richelet, bien guérie de l'eczéma qui avait résisté à tous les autres remèdes. Je vous suis reconnaissante d'avoir redonné la santé. Mme LESNIER, à Gaurlac (Gironde), une des toutes bonnes pharmacies. A cet effet, LONDRES National L 356 m. P. 30 kW. 10 h. 15. Service divin. 12 h.
(Hesding) Rondel (Hussonmorel), duos pour violon (M. re Tzipi et violoncelle (M. seph Tzipine). A l'issue de l sre Information la dernière heure transmissions d l'hr et du bulletin météorologique. Radiotéléphotographie. Musique de danse transmise d Colisée d Paris Jusqu'à 24 he. RADIOTOULOUSE L. 318 m. .P 8 kW. 13 h. Concert. 18 h. Musique de danse 18 h. 35 Concert Incertitude (nco) Golden Wire Rixn Suivez-moi h)ea(rB Un petit mot d'amour (Grothe). 19 h. Musique militaire h. 0. pértts. Extraits de n bon garçon n(vi)aY L'Orphelin de la rue (Grantschaefer) poCus de roulis (Messager) Les Cloches e Corneville (Planquette) aL Fille du Tambour-major (Offenbach) Le parfum impérissable (Pauré) S tu veux mignonne (Massenet) Quand l'mr m'urt (Millody) Les fleurs que nous aimons (Grae), Mattinata (Léncvll) Sirène nade rçai Mon getl petit Pierrot (Léoncavallo) 21 h. Concert Sangre Teorra, paso doble (Erviti) Le testament sde dieux vrtr (Madocchi) aL Guyaba, anse portugaise (Sarabanda) Lohengrin, rêverie (Wagner) Varavilla fantasie (Rizzini) La Madre del Coe Jota (Jiménez) Floréal Intermezzo Bavi erDèreir la fnfr, mueque (Barnet) La soueiaonTul Deffèe est en mouvement Les hmrs se déplacent tachent la p de boutons d'acné, de plaques de ar ou de vésicules herpétiques, du provoquent de cruelles démangeaisons empêchant de dormir, des eczém, prurigos, os,sasrpii érythèmes Les jambes se gonflent de varices, avec menaces de phlébite, et d'ulcère. La région du dos est douloureuse, ce qui signifie peut-être congestion rénale et nhre même temps, les fonctions menstruelles se fnt ml et l'état général est frnchmnt mauvais la malade n'a de goût à rn. Mais le Dépuratif Richelet; ce puissant correcteur de a masse sanguine, vient remonter le moral en guérissant immédiatement le psu comme chez la signataire de cet irrécusable témoignage Il n'y a plus de doute, je suis maintenant, près ma cure de Richelet, ben guérie de l'eczéma qui avait résisté tous les autres remèdes. Je vs suis reconnaissante d'avoir redonné la santé. Mme LESNIER, à Gulac (Gironde), une des tts bnoesn pharmacies. A cet effet, LONDRES National L 356 m. P. 30 kW 10 h. 15. Srvc dvn. 12 h.
provoquent de cruelles démangeaisons empêchant de dormir, des eczémas, prurigos, psoriasis, érythèmes. Les jambes se gonflent de varices, avec menaces de phlébite, et d'ulcère. La région du dos est douloureuse, ce qui signifie peut-être congestion rénale et néphrite. En même temps, les fonctions menstruelles se font mal et l'état général est franchement mauvais la malade n'a de goût à rien. Mais le Dépuratif Richelet; ce puissant correcteur de la masse sanguine, vient remonter le moral en guérissant immédiatement le physique, comme chez la signataire de cet irrécusable témoignage: Il n'y a plus de doute, je suis maintenant, après ma cure de Richelet, bien guérie de l'eczéma qui avait résisté à tous les autres remèdes. Je vous suis reconnaissante d'avoir redonné la santé. Mme LESNIER, à Gaurlac (Gironde), une des toutes bonnes pharmacies. A cet effet, LONDRES National L 356 m. P. 30 kW. 10 h. 15. Service divin. 12 h. Musique légère Plymouth Hoe (Anstead). Je rêve toujours de Marie (Beresford). Quatre chemins (Coates). T'aimais (Donaldson) Lanette (Henton). Vishma El (Jalowitz). Quand vous vous en allez (Meyer). Escapade (Lannon). Rhapsodie hongroise n° 2 (Liszt). 15 h. 30. Concert Le château du diable (Schubert). Scènes alsaciennes (Massenet). Sérénade en ré (Mozart). Quand le roi va à la guerre (Konemann). Dans le pays des fées (Cowen). Air de Bal masqué (Verdi). Francesca da Rimini (Tschakowsky) 16 h. 45. Musique d'orgue (cinéma Beaufort) Scènes navales (Hovelli). Cavatine (Raff). Sélection des chansons populaires de Eric Coates (Higgin). 17 h. 15. L'heure des enfants. 18 h. Intermède musical. 18 h. 45. Suites anglaises (Bach), piano. 19 h. 30. Concert orchestral et vocal a) Boccazgo (Suppé). b) L'Italien en Algérie (Rossini) Air de faust (Gounod). a) Sérénade, b) Danse espagnole (Glazounov) Caprice de noces (Salsin-Saëns). Rapsodie hongroise n° 1 (Liszt). a) Chère nuit (Bachelet). b) Chanson d'amour (Hollmann). Doctrinale Gradus ad Parnassum, Le petit Berger, La neige danse (Debussy). Peer Gynt (Grieg). 21 h. 40. Divertissement par Jack Payne et son orchestre. Intermède relayé du Palladium de Londres. 22 h. 40 à 24 h. Musique de danse par l'Ambrose's Band du May Fair Hotel. ANNONCE LÉGALE
provoquent de cruelles démangeaisons heêmnatpc de dormir, des eczémas, prurigos, psoriasis, érythèmes. Les jambes se gonflent de varices, avec menaces de phlébite, et d'ulcère. L région du dos est douloureuse, ce qui signifie e-êre congestion rénl et nrit. En même temps, les fonctions menstruelles se font mal et l'étt général est franchement mauvais la malade n' de oû à rien. Mais le Déprtf Richelet; e puissant crrctr de l masse sanguine, vient remonter le moral en guérissant immédiatement le physique, comme chez la staie de cet irrécusable témoignage: l n'y a plus de doute, je suis mntnnt, après ma cur de Richelet, bien guérie de l'eczéma qui avait résisté à tous les autres remèdes. Je vous suis reconnaissante d'avoir rdnné la santé. Mme LESNIER, à Gaurlac (Gironde), une des toutes bonnes pharmacies. A cet effet, LONDRES National L 6 m. .P 30 kW. 10 h. 15. icSveer di 12 h Musique légère Plymouth Hoe (Anstead). J rêve toujours de Marie (Beresford). Quatre chemins oa Tis (Donaldson) Lanette (Henton). Vishma El (Jalowitz). Qnd vous vous en allez (Meyer). Escapade (Lannon). Rhapsodie hongroise n° Liszt 15 h. 30. Concert Le château du diable .ct)(Srebhu Ss scens (Massenet). Sérénade en ré (Mozart). Quand le roi va a grr (Konemann). Dans le pays des fés (Cowen). Air de Bal msqé (Verdi). Fnsca d Rimini (Tschakowsky) 61 h. 45. Musique 'o (cinéma Beaufort Scèns venslaa (Hovelli). Cavatine (Raff). Sélection ds chansons populaires de Eric Cts (Higgin). 17 . 15. Lheure des enfants. 18 h. Intermède musical. 18 h. 45. Suites anglaises (Bach), piano. 19 . 30. Concert orchestral et vocal a Boccazgo (Suppé). b) 'Italien en Algérie (Rossini) Air de faust (Gounod). a) Sérénade, b) Danse espagnole (Glazounov) Caprice d noces (Salsin-Saëns). Rapsodie hongroise n° 1 (Liszt). a) Chère nuit (Bchlt). b) Chanson d'amour (Hollmann). Doctrinale ra ad Prnssm, L petit Br, La neige danse (Debussy). Peer Gynt (Grieg). 21 h 40. Divertissement pr Jack Payne et son orchestre. Intermède relayé du Palladium e Londres. 22 h. 40 à 24 h. Musique de a par l'Ambrose's Bnd du May F Hotel. ANNONCE LÉGALE
Quand le roi va à la guerre (Konemann). Dans le pays des fées (Cowen). Air de Bal masqué (Verdi). Francesca da Rimini (Tschakowsky) 16 h. 45. Musique d'orgue (cinéma Beaufort) Scènes navales (Hovelli). Cavatine (Raff). Sélection des chansons populaires de Eric Coates (Higgin). 17 h. 15. L'heure des enfants. 18 h. Intermède musical. 18 h. 45. Suites anglaises (Bach), piano. 19 h. 30. Concert orchestral et vocal a) Boccazgo (Suppé). b) L'Italien en Algérie (Rossini) Air de faust (Gounod). a) Sérénade, b) Danse espagnole (Glazounov) Caprice de noces (Salsin-Saëns). Rapsodie hongroise n° 1 (Liszt). a) Chère nuit (Bachelet). b) Chanson d'amour (Hollmann). Doctrinale Gradus ad Parnassum, Le petit Berger, La neige danse (Debussy). Peer Gynt (Grieg). 21 h. 40. Divertissement par Jack Payne et son orchestre. Intermède relayé du Palladium de Londres. 22 h. 40 à 24 h. Musique de danse par l'Ambrose's Band du May Fair Hotel. ANNONCE LÉGALE 10 fr. la ligne. SOCIÉTÉ ANONYME D'EXPLOITATION DES POSTES Alex DOMA, capital 1.000.000 de fr. Siège social à Rohan-Vannes (Morbihan). Messieurs les Actionnaires sont convoqués en assemblée générale extraordinaire pour le samedi 5 avril 1930, à onze heures, au siège social, à l'effet de statuer sur l'ordre du jour suivant Ordre du Jour. Autorisation spéciale à donner au Conseil d'Administration pour la résiliation du bail conféré par la Société anonyme des Arenas Établissements Alex. DOUAUD et LE CALVE. Modifications des articles 17 et 31 des Statuts. Tout actionnaire a le droit d'assister à cette assemblée. Le Conseil d'Administration. Immeubles à Vendre ou à Louer 10 rr. la ligne. À VENDRE bon Domaine de 96 hectares situé de la VIENNE, Prix 500.000 1. et un Domaine de 70 hect. situé de la VIENNE, bons bâtiments. Prix 400.000. Touraine, 20, r. de l'Entrepôt, Paris. À VENDRE de l'INDRE. belle propriété de 260 hectares avec maison de maître. Prix 1.200.000 fr. Facilités de paiement. Touraine, 20, r. de l'Entrepôt, PARIS. DOMAINE agrément et rapport. À dominant la vallée. Château style Louis XV, 12 pièces, beau mobilier de valeur. Electricité, 69 hect. tout cultivé, la cheptaille, beaux revenus. Prix 650.000 fr. SOL. Ingénieur. MONTAUBAN.
Qnd le r va à l grr (Konemann). Dans le pays des fés (Cowen). r de Bal masqué d.r)e(iV Francesca da Rmn (Tschakowsky) 16 h. 45. Musique d'orgue (cinéma Beaufort) Scènes navales (Hovelli). Cavatine (Raff). Sélection des chansons populaires de Eric Coates (Hgg) 17 h. 15. L'heure des enfants 18 h. Iermède mca 18 h. 45. Suites anglaises (ah piano. 19 h. 30. Concert orchestral et vocal a) Boccazgo (Suppé). b) L'Italien en Algérie (Rossini) i de faust (Gounod). a Srade b) nDeas espagnole (Glazounov) Caprice de esonc (Salsin-Saëns). Rapsodie hongroise n° 1 Liszt a Chère nuit (Bachelet). b) Chanson d'amour (Hollmann). Doctrinale Gradus ad m,ausPsanr Le petit Berger La neige danse (Debussy). Peer Gynt (Grieg). 21 h. 40. Divertissement par Jack Payne et son orchestre. Intermède relayé du Palladium de Londres 22 h 40 à 4 h. Musique e danse par l'mbrs's Band d May raFi Hotel. ANNONCE LÉGALE 0 fr. la ligne. SOCIÉTÉ NONME D'EXPLOITATION DES TSOPES Alex DOMA, capital 1.000.000 de fr. Siège social à Rohan-Vannes (Mrbhn). Messieurs les enAnaoiisrtc sont convoqués en assemblée générale extraordinaire pour le samedi 5 avril 1930, à onze hrs, au siège social, à lft de sttr sur 'ordre du jour suivant Ordre du Jour. Autorisation spéciale donner au sel d'Administration pour la résiliation du bail conféré la Société anonyme des rns Établissements Alex. DOUAUD et LE CALVE. Modifications dse rtcls 17 et 31 des uttatSs. Tout actionnaire a e droit dassister cette asseée. Le Cnsl dmnitraio eluIbsmme à Vendre à oue 10 rr. la ligne. À VENDRE bn Domaine de 96 hectares situé de la VIENNE, Prix 500.000 1. et un Domaine de 0 hect sté de la VIENNE, bns bâtiments. Prix 400.000. Touraine, 20, r. de l'Entrepôt, Paris. À VENDRE de l'INDRE. belle propriété de 260 ces ave maison de maître. Prix 1.200.000 fr. Facilités de paiement. Touraine, 20, . de l'Entrepôt, PARIS. DOMAINE agrément et rapport. dominant la vallée. Château style Louis XV, 12 pièces, beau mobilier d .vareul Eletcié 69 hect. tout cultivé la cheptaille, beaux rvns. Prix 650.000 f. SOL. Ingénieur. MONTAUBAN.
Ordre du Jour. Autorisation spéciale à donner au Conseil d'Administration pour la résiliation du bail conféré par la Société anonyme des Arenas Établissements Alex. DOUAUD et LE CALVE. Modifications des articles 17 et 31 des Statuts. Tout actionnaire a le droit d'assister à cette assemblée. Le Conseil d'Administration. Immeubles à Vendre ou à Louer 10 rr. la ligne. À VENDRE bon Domaine de 96 hectares situé de la VIENNE, Prix 500.000 1. et un Domaine de 70 hect. situé de la VIENNE, bons bâtiments. Prix 400.000. Touraine, 20, r. de l'Entrepôt, Paris. À VENDRE de l'INDRE. belle propriété de 260 hectares avec maison de maître. Prix 1.200.000 fr. Facilités de paiement. Touraine, 20, r. de l'Entrepôt, PARIS. DOMAINE agrément et rapport. À dominant la vallée. Château style Louis XV, 12 pièces, beau mobilier de valeur. Electricité, 69 hect. tout cultivé, la cheptaille, beaux revenus. Prix 650.000 fr. SOL. Ingénieur. MONTAUBAN. LOUER avec reprise du cheptel, mort et vif. EURE-ET-LOIR. BONNE FERME. 65 hect. seul terrain, dont 5 en herbages. Pays plat. Borne portant cheptel vif dont troupeau de moutons. ORNE. BONNE FERME 21 hect. près école et église. dont 6 en herbages, loyer 6.000. Pressé. ORNE. FERME. 24 lect. dont 4 en herbage, faculté de s'agrandir, loyer 7.000. Bons bâtiments et terres saines. S'adresser à JUPIN, rue des Bouchers, Verneuil-sur-Seine (Eure). Études de M. Marc EL DAUGUET et M. GIRAUD, notaire à Nantes. À VENDRE À L'AMIABLE DEUX FERMES une de 16 ha. 1/2 et 16 ha. 1/2 situées communautés de Couëron, Sautron et Indre. S'adresser auxdits notaires. POUR TOUT VOIR IMPRIMÉ, très importante sur la Laine et les Vêtements de Drap. LA MAISON a pour règle commerciale invariable, lorsqu'il se produit une baisse sur les matières premières, de faire subir à son stock de Vêtements confectionnés, une dépréciation importante. Le cas se présente en ce moment pour la laine dont les cours sont déprécis très sensiblement depuis quelques semaines. En conséquence, la Maison CONCHON-QUINETTE invite sa clientèle à venir bénéficier de l'escompte de 10 % qu'elle consentira sur tous les Vêtements de Drap pour Hommes, Jeunes Gens et Enfants,
Ordre du Jour. Autorisation spéciale à donner au Conseil d'Administration pr la résiliation du bail conféré par la Société anonyme des Arenas Établissements lx. DOUAUD et LE CALE Modifications des articles 71 et 31 des Statuts. Tout actionnaire a le di d'ssstr à ctt assemblée. Le Conseil d'Administration. Immeubles à Vendre ou à Louer 10 rr l ligne VENDRE bon Dmn de 96 hctrs situé de al VIENNE, Prx .005000 1. et un me de 70 .hetc situé de la VNN, bons bâtiments. Prix 400.000. Touraine, 20, r. de l'Entrepôt, Prs. À VENDRE de l'INDRE. belle propriété d 260 hctrs avec maison de maître. Prix 1.200.000 fr. Facilités de paiement. Touraine, 20, r. de l'Entrepôt, PARIS. DOMAINE agrément et rapport. À dina la vallée Château style Louis XV, 12 pièces beau mobilier de lur. Electricité, 69 hect. tout cultivé, l cheptaille, beaux revenus. Prix 600050. fr. Ingénieur MONTAUBAN OUE ae reprise du cheptel, mort et vif. EURE-ET-LOIR. BONNE FERME. 65 hect. seul terrain, dont 5 en herbages Pys plat. Borne portant cheptel vif dont troupeau de mouos. ORNE. BONNE FERME 21 hect. près école et église. dont 6 n herbages, loyer 6.000. ssréeP. EON.R FERME. 24 lect. dot 4 en herbage, faculté de s'agrandir, loyer 7.000. Bons bâtiments et terres saines. S'adresser à JUPIN rue ds Bouchers, Verneuil-sur-Seine (Eure). Études de M. Marc LE DAUGUET et M. GIRAUD, notaire etsnN.a À VENDRE À L'AMIABLE DEUX FERMES une de 16 ha. 12 et 16 ha. 1/2 situées cmmntés de Couëron, Sautron et Indre. S'adresser auxdits ntres PR TOUT VOIR IMPRIMÉ, très importante sur la Laine t les Vêtements de Drp. LA MAISON a pour règle commerciale ina lorsqu'il se produit une baisse sur les matières premières, ed faire risub à son stock d Vêtements confectionnés, n dépréciation importante. Le cas se présnt en c moment pour la laine dnt les cours sont déprécis très sensiblement depuis qlqs semaines. En conséquence, la Maison ONCHO nvt sa clientèle à i bénéficier de 'escompte d 10 % llueeq' consentira sur tous les Vêtements de Drap pour Hommes, Jeunes Gens et Enfa
4 en herbage, faculté de s'agrandir, loyer 7.000. Bons bâtiments et terres saines. S'adresser à JUPIN, rue des Bouchers, Verneuil-sur-Seine (Eure). Études de M. Marc EL DAUGUET et M. GIRAUD, notaire à Nantes. À VENDRE À L'AMIABLE DEUX FERMES une de 16 ha. 1/2 et 16 ha. 1/2 situées communautés de Couëron, Sautron et Indre. S'adresser auxdits notaires. POUR TOUT VOIR IMPRIMÉ, très importante sur la Laine et les Vêtements de Drap. LA MAISON a pour règle commerciale invariable, lorsqu'il se produit une baisse sur les matières premières, de faire subir à son stock de Vêtements confectionnés, une dépréciation importante. Le cas se présente en ce moment pour la laine dont les cours sont déprécis très sensiblement depuis quelques semaines. En conséquence, la Maison CONCHON-QUINETTE invite sa clientèle à venir bénéficier de l'escompte de 10 % qu'elle consentira sur tous les Vêtements de Drap pour Hommes, Jeunes Gens et Enfants, à partir du 29 Mars. Cette différence sera faite à la Caisse sur les prix marqués. Cessions de Fonds de Commerce à ligne. À CÉDER, pour le 1er juin 1930 place du Marché aux Denrées, dans Important canton de la Sarthe régloit riche. Beau magasin dépendance, grand logement. S'adresser à M. METAIRIE, notaire à Rouen, 2. Portefeuille, ASSURANCES. À céder bon portefeuille d'assurances toutes branches. Compagnie de 1er ordre. Pressé. Ecrire Ouest-Eclair, 20, bd Montmartre, Paris, ne 230 INDUSTRIES 10 tr. la Une. Étude de M. TOUTAIN, notaire à Mansigné (Sarthe). gros bourg de la Sarthe. Pour tous renseignements, s'adresser au notaire. OFFRES D'EMPLOIS à fr. la ligne. Ouvriers spécialisés. ON DEMANDE des souliers, appareilleur, et métayers pour fabrique de caisses. 16, av. Desgrées-du-Loing. Mansigné l'liard, NANTES. ON DEMANDE BON atelier de souliers. S'adresser Ag. Havas. RENNES. 58444 Un homme cuisine à souliers de D. S'adresser Ag. Havas, RENNES. 68444 rue du Calvados. à VIRE. Travail assuré toute l'année. CHARPENTIERS sont demandés de suite chez J. PASTUREL, entrepr., AIREL (Manche). Bons salaires Logés, nourris. Se présenter dresser Chef de chantier Nouvelle Cité mandés aux Ateliers du Val-de-Malzet. Logements ouvriers. Cantine. Mariners Marchands trouveront place chez un ingénieur dans grande Compagnie
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JS Centimes Le numéro 131 — PARIS ET DÉPARTEMENTS — BUREAUX DU JOURNAL : 37, Faubourg Montmartre Les Annonces sont reçues au Bureau du Journal POUR LA RÉDACTION S'ADRESSER À M. A. MANIÈRE Secrétaire de la Rédaction. Rédacteur en chef: G. CLEMENCEAU PRIX DE L'ABONNEMENT, Paris : 3 mois, 5 fr. — 6 mois, 9 fr. — Un an, 18 fr. Départements et Algérie : 3 mois, 6 fr. — 6 mois, 10 fr. — Un an, 20 fr. Union postale : 3 mois, 10 fr. — 6 mois, 10 fr. — Un an, 35 fr. Adresser tout ce qu'occupe l'administration à M. E. ROBUTTE Adresser les effets et mandats à M. B. GUINAUDEAU L'Union Éléphant Il est plus dangereux qu'on ne le croit généralement d'écrire des mots en grosses lettres sur les édifices publics. Depuis vingt-cinq ans, les gens d'esprit se moquent, avec cette finesse qui n'est qu'à eux, et dont l'effet est tout puissant sur les snobs, de la grande devise qui fit battre d'orgueil et de joie chaude le cœur de nos pères : Liberté, Egalité, Fraternité. Depuis vingt-cinq ans, cette devise dormait sur la façade indifférente des écoles, des mairies, des églises, résignée au mépris, elle s'y effaçait par l'effet du temps. Eh bien, la voici qui descend des vieux murs dans les jeunes cœurs, et du front des bâtisses officielles dans le cerveau des hommes d'idée et des hommes d'action. Et les mots deviennent des actes. Actes modestes mais significatifs, On s'est pris à dire : Mais, au fait, pourquoi n'essaierions-nous pas de vivre fraternellement par l'échange des idées et la collaboration des bonnes volontés? Nous sommes une démocratie, une grande démocratie que viennent visiter, non sans un tremblement secret de surprise et d'appréhension, des autocrates. C'est entendu. Pourquoi ne pas accepter franchement, résolument, les conditions de la démocratie, sa manière d'être, ses mœurs privées et publiques? Acceptons-la, faisons qu'elle soit une vérité. Mais entendons-nous bien. Il faut ici non pas des mots, non pas, comme dit si curieusement M. Lavisse, des « vérités d'apparence » mais des faits, mieux encore, des actions. Il ne
JS Centimes Le numéro 131 — PARIS T DÉPARTEMENTS — XRAEUUB DU JRNL : 37, bouuFarg Montmartre Les Annonces sont uçseer au Br du nolaurJ POUR LA RÉDACTION S'ADRESSER À M. A. MANIÈRE Secrétaire d la Rédaction. Rédacteur en chef: G. CLEMENCEAU PRIX DE L'ABONNEMENT, Paris : 3 mois, 5 fr. 6 mois, 9 r — Un n, 18 fr. Départements et Algérie : 3 mois, 6 fr. — mois, 10 fr. — Un an, 20 fr. Union postale : 3 mois, 10 fr. — 6 , 10 fr. — Un an 35 fr. Adresser to ce qu'occupe l'administration . E. ROTE Adresser e festfe et mandats à M. B. GUINAUDEAU L'Union Éléphant Il e plus dangereux qu'on ne e crt généralement d'écrr des mots en grosses lettres urs les édifices publics. Dps vingt-cinq ns, les gens d'esprit se moquent, avec cette es qui n'est qu'à eux, et dont l'effet est tout pusnt sur les snobs, e la grande devise qui fit battre d'orgueil et de joie chaude le cœur de nos pères : Liberté, Egalité, Fraternité. Depuis vingt-cinq ans, cette devise dormait sur la façade indifférente des éces, des mairies, des églises, résignée au mépris, elle s'y effaçait par l'effet du temps. Eh bien, la voici qui descend des vex msur sadn les usneej cœurs, et ud frnt des bâtisses officielles dans l cra des hommes d'idée et ds hommes 'action. tE les mots deviennent ds actes. Actes tdosmsee ms significatifs, On s'est pris à dire : Mais, au fait, pourquoi neironos pas de vivre fraternellement par l'age des idées et la cabration des bonnes volontés? Nou smms une démocratie, une grande démocratie que vienen isir non sans un tremblement secret de surprise et d'appréhension, des autocrates. C'est nted. Pourquoi ne pas accepter franchement, slmn les cndtns de l démocratie, sa manière d'être, ses mœurs piv e publiques? Acceptons-la, faisons qu'elle soit une vérité. Mais entendons-nous bien. Il faut ici o pas des mots, non pas, comme dit si curieusement M. Lavisse, des « vérités d'apparence » ms des fas, mieux encore, des actions. Il ne
s'y effaçait par l'effet du temps. Eh bien, la voici qui descend des vieux murs dans les jeunes cœurs, et du front des bâtisses officielles dans le cerveau des hommes d'idée et des hommes d'action. Et les mots deviennent des actes. Actes modestes mais significatifs, On s'est pris à dire : Mais, au fait, pourquoi n'essaierions-nous pas de vivre fraternellement par l'échange des idées et la collaboration des bonnes volontés? Nous sommes une démocratie, une grande démocratie que viennent visiter, non sans un tremblement secret de surprise et d'appréhension, des autocrates. C'est entendu. Pourquoi ne pas accepter franchement, résolument, les conditions de la démocratie, sa manière d'être, ses mœurs privées et publiques? Acceptons-la, faisons qu'elle soit une vérité. Mais entendons-nous bien. Il faut ici non pas des mots, non pas, comme dit si curieusement M. Lavisse, des « vérités d'apparence » mais des faits, mieux encore, des actions. Il ne suffit pas de prendre conscience du sens d'un mot : liberté, initiative, action politique. Il faut, pour ainsi dire simultanément, adopter le mot, comprendre l'idée et l'appliquer : faire acte de liberté, d'initiative, de vie politique. Il faut commencer dès l'abord. Cela paraît banal. Non, c'est, hélas ! très nouveau. Nous faisons une tentative qui est chez nous pour ainsi dire sans exemple, sans précédent. Jusqu'ici on s'était contenté de préceptes (pourquoi ? Je ne te charge pas de le dire). Nous voulons appuyer la croyance de chaque citoyen en sa propre liberté sur l'exercice immédiat de cette liberté. Nous voulons former le citoyen à la vie politique en le faisant faire immédiatement de la politique (de l'organisation) politique qui embrasse d'abord des intérêts restreints, ceux du groupe et des individus qui le composent, mais politique qui s'étendra, s'étendra de plus en plus. Prenons un exemple, et que la notion, d'abstraite qu'elle était, devienne concrète. Voici une école primaire, ou dans une mairie une société de jeunes gens. Ce sont d'anciens élèves de l'école, ou des orphéonistes, ou des gymnastes, ou bien les membres d'une fanfare ou d'une harmonie. Les âges varient de treize à vingt ans et même plus.
' effaçait par leffet du temps. bien, la vc qui descend des veux murs dans les jns cœurs, et du front des bâtisses lefcifoiesl ans le cerveau de s d'idée et des hommes d'action. les mots deviennent des actes. Actes messetod mais significatifs, On s'est pris à dr : ais, au fait, pourquoi rosssoanuin-ee'isn pa de vivre frtrnllmnt pr l'échng des idées et la collaboration des bonnes volontés? Nous sommes une démocratie, une grande démocratie que viennent visiter, non sans n trmblmnt secret surprise et pie,prahd'ésnno des autocrates. Cest ntnd. Pourquoi ne pas accepter frahemet, résolument, les conditions de la démocratie, sa manière d'être, ses mœurs privées et publiques? Acceptons-la, faisons ql soit une vérité. Mais entendons-nous bien. Il uaft ici non pas des mots, nn pas, comme dit si curieusement M. Lavisse, des « vérités d'apparence » mis des faits, mieux encore des actions. Il en suffit pas de prendre conscience du sens d'un mot : liberté niive, action politique. Il faut, pour ainsi dire simultanément, adopter le mot, comprendre l'dé et 'appliquer : faire t de liberté, d'initiative, de vie ii Il faut commencer dès l'brd. Cela paraît banal. Non, c'est, hélas ! très nouveau. Nous faisons une tentative qui est chez nous pour ainsi rdei sans exemple sans précédent. Jusqu'ici on sétait contenté d préceptes (pourquoi ? Je ne te charge pas de le dire). Nous voulons appuyer la croyance d chaque citoyen en sa rerpop liberté sur 'exercice immédiat de cette liberté. Nous voulons former le citoyen à la eiv politique en le faisa faire immédiatement de la pltq de l'organisation) politique qui embrasse d'abord es intérêts restreints, ceux du groupe t des ndvds qui le composent, mais politique qui s'étendra, s'étendra de plus en plus. Prenons un exemple, et que la notion, sdbaertati' qu'elle était, devienne concrète. Voici une école primaire, ou dns une mairie un société de jns gns. Ce sont d'anciens élèves de lécole ou des orphéonistes, ou des gymnastes, ou bien les membres d'une fanfare u 'u harmonie. Les âges varient de tezeri à vingt ans et mêm plus.
Nous faisons une tentative qui est chez nous pour ainsi dire sans exemple, sans précédent. Jusqu'ici on s'était contenté de préceptes (pourquoi ? Je ne te charge pas de le dire). Nous voulons appuyer la croyance de chaque citoyen en sa propre liberté sur l'exercice immédiat de cette liberté. Nous voulons former le citoyen à la vie politique en le faisant faire immédiatement de la politique (de l'organisation) politique qui embrasse d'abord des intérêts restreints, ceux du groupe et des individus qui le composent, mais politique qui s'étendra, s'étendra de plus en plus. Prenons un exemple, et que la notion, d'abstraite qu'elle était, devienne concrète. Voici une école primaire, ou dans une mairie une société de jeunes gens. Ce sont d'anciens élèves de l'école, ou des orphéonistes, ou des gymnastes, ou bien les membres d'une fanfare ou d'une harmonie. Les âges varient de treize à vingt ans et même plus. Ils ont leurs jours de réunion, des livres, une bibliothèque, une organisation autonome : bureau, secrétaire, trésorier, caissier. L'un d'eux est l'orateur du groupe; un autre l'avocat, le porte-parole auprès du maître, du maire, du député, des notables. Ils ont souscriptions, dons volontaires, cotes, actions, budget. Très modestes? Il n'importe. Chaque dimanche, je suppose, ils ont une conférence. Ils choisissent le conférencier, et aussi, à l'amiable, le sujet de la conférence. Eux-mêmes en font, selon les aptitudes et les audaces, de courtes et faciles, qu'ils ont déjà entendues, ou qu'ils créent pourquoi pas? Avant, après la conférence, des morceaux qu'on dit, qu'on chante, qu'on joue, un duo, un chœur, une causerie, une lecture. Plus tard, dès maintenant, si l'on veut, on invite les amis, les parents, les parentes. Ce sera une soirée, un bal même, si l'on veut. Encore une fois, pourquoi pas? (Prière de ne pas oublier le point capital : ce ne sont pas des préceptes, mais des actes, des commencements d'exécution, pour le moins. Ce n'est pas vous qui agissez. C'est eux. La conception scolastique du disciple, la conception universitaire de l'élève, la conception « snob » et « bien française » de l'auditeur, tout cela doit
Nous faisons une tentative q est chez nous pour ainsi dire sans exemple, sans précédent Jusqu'ici o s'était o de éce (pourquoi ? Je n te charge pas d dire o voulons ppyr la croyance d ca citoyen en sa prpr liberté sur l'exercice mmédt d cette liberté. Nous voulons former le citoyen à a vie politique en le faisant faire immédiatement de la politique (de l'rgnstn) li iqu embrasse d'abord des intérêts restreints ceux du groupe et des individus qui le composent, mais politique qui s'étendra, sétendra de plus en plus. Prnns un exemple, et que la notion, d'abstraite qu'elle était, devienne concrète. Vc une écl primaire, uo dans une mr une scété de jns gens. C sot 'anciens élèves de lécole ou es orphéonistes, ou des gymnastes, ou bien les membres d'une fanfare ou dune ie Les ge varient d treize vingt ans et même pls. Ils ont leurs jours de réunion, des livres, une bibliothèque, une organisation mnotouea : bureau secrétaire, trésorier, caissier. L'un d'eux est lorateur d groupe; un autre l'avocat, le porte-parole près du emartî, d maire, du député, des notables. Ils t sscrptns, dons volontaires, , actions, budget. Très mdsts? Il n'importe. Chaque dimanche je suppose, lsi ont une conférence. I osen le conférencier, et aussi, à l'amiable, sujet de la conférence. Eux-mêmes en font, oesnl aptitudes et les audaces de courtes et faciles s'luiq ont déjà entendues, ou qu'ils créent pourquoi pas? Avant, après l conférence, des morceaux qu'on dit, q'n atc,enh qu'on joue, n duo, un chœur, une cer une lecture. Plus tard dès mntnnt, si 'on veut, on invite les amis, les parents, ls parentes. Ce sra une ir, un bl mêm, is l'on vt. Encore une fois, riquuoop pas? (Prière de ne pas oublier le point capital : ec sont pas des préceptes, mais des actes, des meet d'xéctn, pr le moins Ce nest pas vous qui agissez. ' eux. La conception scolastique du dscpl, l conception universitaire de l'élève, conception « snob » et « bien française l'auditeur, tout cela d
Chaque dimanche, je suppose, ils ont une conférence. Ils choisissent le conférencier, et aussi, à l'amiable, le sujet de la conférence. Eux-mêmes en font, selon les aptitudes et les audaces, de courtes et faciles, qu'ils ont déjà entendues, ou qu'ils créent pourquoi pas? Avant, après la conférence, des morceaux qu'on dit, qu'on chante, qu'on joue, un duo, un chœur, une causerie, une lecture. Plus tard, dès maintenant, si l'on veut, on invite les amis, les parents, les parentes. Ce sera une soirée, un bal même, si l'on veut. Encore une fois, pourquoi pas? (Prière de ne pas oublier le point capital : ce ne sont pas des préceptes, mais des actes, des commencements d'exécution, pour le moins. Ce n'est pas vous qui agissez. C'est eux. La conception scolastique du disciple, la conception universitaire de l'élève, la conception « snob » et « bien française » de l'auditeur, tout cela doit être livré au ridicule et à l'oubli). Nous n'enseignons pas, nous faisons agir. Aussi, bientôt, il arrive qu'on se connaît, on parle. On renonce aux « coups de gueule » du cabaret. On se rend compte des intérêts communs, on prend le goût des choses de l'esprit, des arts, la musique surtout, et aussi le dessin. Puis, on s'organise plus complètement, on établit des cours professionnels : arithmétique, comptabilité, géométrie, dessin industriel. Des cours désintéressés et de culture générale : littérature et morale, histoire, droit usuel, droit politique. Car on est électeur, on est éligible, et, comme on est éclairé et fortifié par le fait du groupement, on ne s'interdit plus de faire de la politique, de la bonne, la sienne. Et l'on entre dans la mairie, nullement dépaysé, nullement déplacé et point trop étonné de s'y trouver. Pourquoi le serait-on? Et l'on apprend en faisant, et l'on fait en apprenant, comme disait Rabelais. Jusqu'où ira-t-on? Jusqu'où l'on pourra. Le progrès naît du progrès. Ainsi chaque groupe évoluera vers une organisation sans cesse perfectionnée, et tous, se connaissant, se différencieront et s'imiteront selon les commodités et les besoins. Mais qui donc sera le guide? Tout le monde, c'est-à-dire ceux que
Chaque dimanche, je suppose, ls ont une conférence. Ils chsssnt le conférencier, et aussi, à lamiable le sujet de la conférence. uêmex-smE en font, selo les aptitudes et les audaces, e courtes et faciles, qu'ils ont déjà entendues ou qu'ils créent pourquoi pas? Avant, après la conférence, des morceaux qu'on it qu'on chante, q'n j, un duo, un chœur, une causerie, une lecture. Plus tard, ès maintenant, si l'on vt, on invite les amis, les prnts, les parentes. Ce sera une soirée, un bal même si l'on vt. Enre une fois, pourquoi pas? (Prière de n pas oublier le point cptl : ce n sont pas des préceptes, mais des actes, des commencements d'exécution, pour le moins. C n'est pas vous qui agissez. C'est eux. La conception scolastique du disciple, la conception unverstae d l'élève, la conception « snob » et « bien française » d l'auditeur, utto cela doit être livré au ridicule et à l'oubli). Nous nenseignons pas, ousn faisons gr. Aussi, bientôt, il arrive nuoq' se connaît, on parle. On renonce aux « coups de gl » du cabaret. On se compte des intérêts communs, on prend le goût des hoss de lesprit des arts, la uue surtout, t aussi le dessin. Puis, on s'organise plus complètement, on établit des cours professionnels : rétque comptabilité, géométrie, dessin industriel. Des cours désntérssés et de lrueutc générale : littérature et morale, histoire, droit usuel, drt politique. Cr on est électeur, on e éligible, e,t comme on est éclairé et fortifié par le ft d groupement, n n s'interdit plus d faire de la politique d la bonne, la sienne. Et l'on nte s la mairie, nullement dépysé, nullement déplacé et point trop étonné d s'y trouver. Pourquoi le is?retno-a Et o'ln apprend en fsnt, et l'n fait e apprenant, comme disait Rbls. Jusqu'où iraton Jusqu'où l'on pourra. Le progrès naît du progrès. Ainsi chaque groupe évoluera vers une organisation sans cesse rfecié, et tous, se connaissant, se différencieront et s'imiteront selon les commodités te les besoins. Mais ui dnc sera le guide? Tot le monde, c'est-à-dire ceux que
musique surtout, et aussi le dessin. Puis, on s'organise plus complètement, on établit des cours professionnels : arithmétique, comptabilité, géométrie, dessin industriel. Des cours désintéressés et de culture générale : littérature et morale, histoire, droit usuel, droit politique. Car on est électeur, on est éligible, et, comme on est éclairé et fortifié par le fait du groupement, on ne s'interdit plus de faire de la politique, de la bonne, la sienne. Et l'on entre dans la mairie, nullement dépaysé, nullement déplacé et point trop étonné de s'y trouver. Pourquoi le serait-on? Et l'on apprend en faisant, et l'on fait en apprenant, comme disait Rabelais. Jusqu'où ira-t-on? Jusqu'où l'on pourra. Le progrès naît du progrès. Ainsi chaque groupe évoluera vers une organisation sans cesse perfectionnée, et tous, se connaissant, se différencieront et s'imiteront selon les commodités et les besoins. Mais qui donc sera le guide? Tout le monde, c'est-à-dire ceux que les opinions et les faits désigneront comme les plus intelligents et les meilleurs. Qui donc enseignera? Ceux dont c'est la fonction (mais non le monopole, le privilège), les adhérents à l'Union, par exemple. « L'Union démocratique » fait appel aux membres de l'enseignement primaire et aux directeurs des établissements industriels (pour former, encourager les associations), Elle s'adresse à tous les hommes instruits, médecins, ingénieurs, écrivains, artistes, commerçants, professeurs, fonctionnaires, étudiants. Elle leur dit, allez à ces jeunes par les plus modestes, initiez-les progressivement à la vie consciente, vie professionnelle, civique, vie artistique, vie intellectuelle! Pour approcher de ce but qui recule sans cesse, cours professionnels, cours désintéressés, causeries, conversations, visites aux musées, monuments, fabriques, tout est bon, qui plaît et qui réussit. Mais qu'il n'y ait pas d'équivoque: Vous n'apportez aucune opinion préconçue, aucune pensée de derrière la tête, aucun dogme, quel qu'il soit. Vous ne voulez pas dominer, contraindre, duper, endormir. Vous voulez le bien général. Mais lequel? Celui qui sortira de ces loyaux essais faits de bonne volonté, d'absolu libéralisme, de confiance en la science des faits humains, des besoins humains des sentiments et des désirs des hommes, tels qu'ils résultent du progrès des choses, de l'évolution tout
usqieum surtout, et aussi le dessin Puis, on s'organise plus complètement, on établit des cours professionnels : arithmétique, comptabilité, géométrie, industriel. Des cours désintéressés et de culture générl : littérature et morale, histoire, droit usuel, droit politique. Car on est électeur, on est éligible, et, comme on est éclairé et fortifié par le fait du groupement n ne s'interdit plus de faire d la politique, de la bonne, la sienne. Et lon entre dans la mairie, nullement dépaysé, nullement déplacé et point trop éo de s'y trouver. Pourquoi le serait-on? tE l'on apprend en faisant, et l'on fait en apprenant, comme disait Rabelais. Jusqu'où iraton Jusqu'où l'on pourra. Le progrès naît du progrès. Ainsi chaque groupe évoluera vers une organisation sans cesse perfectionnée, et tous, se connaissant, se différencieront et 'imiteront selon e cmmdtés et les besoins. Mais qui donc ra le guide? Tout le monde, etrdce-sài'- ceux q les opinions et les faits désigneront comme sle plus intelligents et les meilleurs Qui donc enseignera Ceu dont c'est la fonction (mais non le monopole, le privilège), les adhérents à l'Union, par exemple. « L'Union démocratique fait appel aux membres de l'enseignement primaire et aux directeurs des sseatiébntlesm industriels (pour former, eoage les associations), Elle s'adresse à tous les hommes inrs médecins, ingénieurs, écrivains artistes, commerçants, professeurs, fonctionnaires, étudiants. Elle leur dit, alez à ces jeunes par les plus modestes, initiez-les progressivement à la vie tescnc,nioe vie professionnelle, civique, vie artistique, vei intellectuelle! ou pchr de ec but qui recule sans cesse, cours professionnels, cours dsinessé causeries, conversations, visites x musées, monuments, fabriques, tout est bon, qui plaît te qui us Mais lu'qi n'y ait pas doq uVso n'apportez aucune opinion préconçue, aucune pensée de drrèr la tête, aucun dogme, quel qu'il soit. Vous n vlz pas dominer contraindre, duper, endormir. Vous eoulvz le bien général. Mais lequel? Celui qui srtr d ces loyaux essais faits de bonne volonté, d'oablsu libéralisme, de confiance en la science des faits hmns, dse besoins humains des sentiments et ds désirs des hommes tels quils résultent du progrès des choses de l'évolution t
(pour former, encourager les associations), Elle s'adresse à tous les hommes instruits, médecins, ingénieurs, écrivains, artistes, commerçants, professeurs, fonctionnaires, étudiants. Elle leur dit, allez à ces jeunes par les plus modestes, initiez-les progressivement à la vie consciente, vie professionnelle, civique, vie artistique, vie intellectuelle! Pour approcher de ce but qui recule sans cesse, cours professionnels, cours désintéressés, causeries, conversations, visites aux musées, monuments, fabriques, tout est bon, qui plaît et qui réussit. Mais qu'il n'y ait pas d'équivoque: Vous n'apportez aucune opinion préconçue, aucune pensée de derrière la tête, aucun dogme, quel qu'il soit. Vous ne voulez pas dominer, contraindre, duper, endormir. Vous voulez le bien général. Mais lequel? Celui qui sortira de ces loyaux essais faits de bonne volonté, d'absolu libéralisme, de confiance en la science des faits humains, des besoins humains des sentiments et des désirs des hommes, tels qu'ils résultent du progrès des choses, de l'évolution tout humaine considérée en soi, aimée en soi, et non à travers un dogme? Et tout cela, c'est bien la vraie liberté, celle qui est réelle, la vraie égalité, celle qui est possible et indéfiniment perfectible, la vraie fraternité, celle qui nous fait solidaires et non comme des bêtes de proie ou comme des gladiateurs excités par des dilettanti féroces et roublards. Informez-vous donc de ce qu'est l'Union démocratique pour la solidarité sociale. Venez. Elle vous invite à collaborer à cet essai désintéressé de fonder « la solidarité révolutionnaire en vue de la justice sociale.» Ce n'est qu'aux démocrates sincères qu'elle fait appel. Vous serez juges de ses idées, de ses procédés, de ses moyens. Vous verrez qu'elle n'est et ne veut être que le centre et le lien des bonnes volontés, des efforts désintéressés des sociétés locales et particulières. Parlons net; elle veut être le cœur et le cerveau de la démocratie française. C'est une ambition qu'elle peut avouer, puisqu'elle est et reste impersonnelle. Vive donc la vieille devise française : Liberté, Égalité, Fraternité, et qu'elle descende enfin du front des monuments dans le fond des cœurs. Ce n'est qu'à cette condition que nous pourrons avoir le seul bonheur, la
(po former, encourager les associations), Elle s'drss à tosu les hommes instruits, imndcées, igéeus écrivains, artistes, commeça, professeurs, fnctnnrs, étudiants. El lr dt, allez à cs jeunes par les plus modestes, initiez-les progressivement à la vie cosiete, vie professionnelle, civique v artistique, vie intellectuelle! Pour approcher de ce but qui recule sans cesse, cours professionnels, cours désintéressés, causeries, rv,asoseocinnt visites aux musées, monuments, fabqes, tout est bon, qiu plaît et qui réussit. Mais qu'il n'y ait pas d'équivoque: Vous n'apportez aucune opinion préconçue, aucune pensée de derrière la têt, aucun dogme, quel qu'il soit. Vous ne voulez pas dominer contraindre duper, endormir. Vous voulez le bien général. Ms lequel? Celui q sortira de ces loyaux essais faits bonne volonté, dabsolu libéralisme, de confiance en la science des faits humains, des besoins humains ds sentiments te des désirs des hommes, tels qu'ils résultent du progrès des choses, de l'évolution otut humaine considérée en soi, aimée en soi, et non à travers un dogme? Et tout cela, c'est bien la vraie liberté, celle qui est réelle, la vraie égalité, celle qui st pssbl t indéfiniment perfectible, la vraie rétnitfaer, cll qui nous fait solidaires et nn comme des bêtes de proi ou comme des gldtrs xteésci par des diettnt féroces et rblrds. Informez-vous donc de c qu'est l'Union démocratique pour la solidarité socle. Venez. ll vous invite à collaborer cet essai désintéressé de fonder « la solidarité révolutionnaire en vue de la justice scl.» Ce nest qu'aux démocrates sincères quelle fait appel. Vous serez juges de ses idées, de ses procédés, e ses moyens. Vous vrrz qu'elle n'est et n veut être que l centre et le lien des bonnes volontés, des effort désintéressés des siétsoéc locales t particulières. Parlons net; ell veut être le cœur et le cerveau de la démcrt française. C'est n ambition 'uleqle pt ar, psq'll est et reste impersonnelle. Vive donc la vieille devise frnçs Liberté, Égalité Fraternité, et qu'elle descende fnien du front des monuments dans le fond des cœurs. Ce n'est qu'à cette condition que nous porrn vr le seul bonheur, la
ou comme des gladiateurs excités par des dilettanti féroces et roublards. Informez-vous donc de ce qu'est l'Union démocratique pour la solidarité sociale. Venez. Elle vous invite à collaborer à cet essai désintéressé de fonder « la solidarité révolutionnaire en vue de la justice sociale.» Ce n'est qu'aux démocrates sincères qu'elle fait appel. Vous serez juges de ses idées, de ses procédés, de ses moyens. Vous verrez qu'elle n'est et ne veut être que le centre et le lien des bonnes volontés, des efforts désintéressés des sociétés locales et particulières. Parlons net; elle veut être le cœur et le cerveau de la démocratie française. C'est une ambition qu'elle peut avouer, puisqu'elle est et reste impersonnelle. Vive donc la vieille devise française : Liberté, Égalité, Fraternité, et qu'elle descende enfin du front des monuments dans le fond des cœurs. Ce n'est qu'à cette condition que nous pourrons avoir le seul bonheur, la seule paix possible pour notre époque critique, lucide, clairvoyante et exigeante. Jeune. %K Commission docile Dans sa dernière séance, la commission du budget convoquait les généraux Duchesne et Voyron : elle voulait se renseigner auprès du commandant en chef du corps expéditionnaire de Madagascar, et de l'un de ses brigadiers, sur les travaux qui pourraient être exécutés dans notre nouvelle colonie avec les ressources que produira la conversion de la dette malgache. En même temps que les deux généraux, la commission devait entendre l'ancien résident général, M. Laroche. Cette initiative de la commission n'a pas été du goût des ministres de la guerre et de la marine qui ont purement et simplement refusé aux deux généraux l'autorisation de se rendre à la convocation. Pour quelle raison ? C'est ce que la commission a jugé inutile de demander. Elle s'est bornée docilement à prendre acte du refus d'autorisation, et a renoncé d'autre part à entendre M. Laroche. C'est un bel exemple d'obéissance passive. NOTRE MARINE On se rappelle que la construction d'un cuirassé comme le «Magenta» a exigé plus de dix ans. M. de Kermaingant, rapporteur du budget de la marine, nous déclare que, pour les bâtiments du même tonnage en
ou comme des gladiateurs excités par des dilettanti féroces et absru.dorl Informez-vous donc de ce qu'est l'Union démocratique pour la solidarité sociale. ene. Elle vous invite à collaborer à cet essai désintéressé de fonder « la solidarité révolutionnaire en vue de la jstc sociale.» Ce n'est qu'aux démocrates sincères qu'elle ft appel. Vous serez juges de ses idées, de se procédés, ses moyens. Vous verrez qu'elle n'est et ne veut être que centre et le lien des onns volontés, des efforts désintéressés es ciés locales et particulières. Parlons net; elle vt être e cœur et le cerveau de al démocratie française. C'est une ambition qu'elle peut avouer, puisqu'elle est et rese impersonnelle. Vive donc a vieille devise française : Liberté, Égalité, Fraternité et qu'elle descende enfin du front des monuments dans le fond des cœurs. Ce n'est qu'à cette condition que nous pourrons avoir le seul ren,bohu la seule paix possible pour notre époque critique, lucide, clairvoyante et exigeante. Jeune. %K Commission docile Dans sa dernière séance, l cmmssn d budget convoquait les gnérux Duchesne t Voyron : elle voulait se renseigner auprès du cmmndnt en chef d corps expéditionnaire de Madagascar, t ed l'un de ses brigadiers, sr les travaux qui prrnt être exécutés dans ntr nvll colonie avec les ressources que produira l conversion d la dette malgache. En même temps e ls deux généraux, la commission devait entendre l'ancien résident général, M. Lrch. Cette initiative de la commission n'a pas été du goût des ministres de la guerre et de la marine qui ont prmnt et mplment refusé a deux généraux itilsoornaatu' de se rendre à la convocation. Pour quelle raison ? Cest ce que la commission a jugé tieulin de demander. l s'est bornée dolemn prendre acte du rfs d'autorisation, et a renoncé d'tr part entendre M. Laroche. C'est un bel exemple d'obéissance passive. NOTRE MARINE On se rappelle equ la construction d'un cuirassé comme le «Magenta» a exigé plus de dix a M de Kermaingant, rapporteur du budget de la marine, nous déclare q, pour les bâtiments du même tonnage en
sur les travaux qui pourraient être exécutés dans notre nouvelle colonie avec les ressources que produira la conversion de la dette malgache. En même temps que les deux généraux, la commission devait entendre l'ancien résident général, M. Laroche. Cette initiative de la commission n'a pas été du goût des ministres de la guerre et de la marine qui ont purement et simplement refusé aux deux généraux l'autorisation de se rendre à la convocation. Pour quelle raison ? C'est ce que la commission a jugé inutile de demander. Elle s'est bornée docilement à prendre acte du refus d'autorisation, et a renoncé d'autre part à entendre M. Laroche. C'est un bel exemple d'obéissance passive. NOTRE MARINE On se rappelle que la construction d'un cuirassé comme le «Magenta» a exigé plus de dix ans. M. de Kermaingant, rapporteur du budget de la marine, nous déclare que, pour les bâtiments du même tonnage en cours d'achèvement, ce délai sera réduit « presque de moitié ». Puis il ajoute : Il n'est donc pas interdit d'espérer que l'on pourra terminer en quatre ans les cuirassés encore sur les chantiers et que, pour les grands croiseurs, trois années seront suffisantes. Certes, il convient de ne rien négliger pour obtenir une exécution plus rapide encore, mais il serait prématuré de compter, dès maintenant, sur des résultats très différents de ceux-là. Ainsi, voilà notre idéal : quatre ans pour un cuirassé, trois ans pour un croiseur. Encore le rapporteur n'affirme-t-il rien : très prudent, il se contente de nous laisser « espérer ». Nos ministres de la marine ont rarement fait preuve d'une pareille sagesse, et il nous souvient que M. Barbey, pour obtenir la mise en chantier du « Carnot », du « Charles-Martel » et du « Jaurès », promettait solennellement, en 1890, que ces cuirassés entreraient tous les trois en service au plus tard vers la fin de 1895 ». Or, nous sommes, si je ne m'abuse, à la fin de 1896, et ni le « Jaurès », ni le « Charles-Martel », ni le « Carnot » n'ont terminé leurs essais. La comparaison est
sur les trvx qui pra être exécutés dans notre nvll colonie avec les ressources que produira la conversion de la dette malgache. En même temps que les dx généraux, la commission devait entendre l'ancien résident général, M. Laroche. Cette initiative d la commission n' pas été du oû des ministres de la guerre et de la marine qui ont purement t simplement refusé aux deux généraux l'autorisation de se rndr à a convocation. Pour quelle raison ? C'st ce que la commission jugé tleiniu de demander. Elle s'est bornée docilement à prendre acte du refus d'autorisation, et a renoncé d'autre part à entendre M. Laroche. C'est un bel exemple dobiance passive. NOTRE MARINE On se rappelle equ la construction d'un cuirassé comme le Magenta a exigé pu de dix ans. M. d Kermaingant, rapporteur du budget de la mrn, nous déclare que, pour ls bâtiments du même tonnage n cours d'achèvement, ce délai er réduit presque de moitié ». Puis il ajoute : Il n'est donc pas interdit d'espérer que l'on pourra terminer en quatre ans les cuirassés encore sur les chantiers t que, pur les grands usri,cesor trois années seront suffisantes. Certes, il convient de ne rien négliger pour obtenir eun exécution plus rapide encore, ms il serait prématuré de cmptr, dès ma u des résultats très différents de ceux-là. Ainsi, voilà notre idéal : qtr ans pour un aérs,cuis trois ans pour un croiseur. Ecre le rapporteur n'affirme-t-il rien : très prudent, il se contente de nous laisser « espérer ». Nos ministres de la marine on rarement fait preuve d'une pareille sagesse, et il nous souvient que M. Barbey, pour obtenir la mise en chantier du « Carnot », du CharlesMartel » et du « Jaurès », promettait solennellement, en 1890 que ces uias entreraient tous ls trois en service au plus tard vers a f d 1895 Or, snuo sommes, si je ne m'abuse, à l fin de 1896, e ni le « Jaurès », ni le « Charles-Martel », i le « an » n'ont terminé leurs essais. La comparaison est
négliger pour obtenir une exécution plus rapide encore, mais il serait prématuré de compter, dès maintenant, sur des résultats très différents de ceux-là. Ainsi, voilà notre idéal : quatre ans pour un cuirassé, trois ans pour un croiseur. Encore le rapporteur n'affirme-t-il rien : très prudent, il se contente de nous laisser « espérer ». Nos ministres de la marine ont rarement fait preuve d'une pareille sagesse, et il nous souvient que M. Barbey, pour obtenir la mise en chantier du « Carnot », du « Charles-Martel » et du « Jaurès », promettait solennellement, en 1890, que ces cuirassés entreraient tous les trois en service au plus tard vers la fin de 1895 ». Or, nous sommes, si je ne m'abuse, à la fin de 1896, et ni le « Jaurès », ni le « Charles-Martel », ni le « Carnot » n'ont terminé leurs essais. La comparaison est pénible des résultats obtenus de chacun des deux côtés de la Manche. Les Anglais construisent beaucoup plus vite des navires beaucoup plus grands et plus dispendieux que les nôtres. Par exemple le « Royal Sovereign », en moins de trois ans; le « Magnificent » et le « Majestic », en moins de trente mois. Nous n'en sommes pas encore là, et c'est d'autant plus fâcheux qu'il n'y a pas de marine au monde qui ait, plus que la nôtre, le besoin de construire vite. LA CATASTROPHE DE SANTERRE Le cadavre du nommé Ledoux a été retrouvé sous les décombres, mutilé mais reconnaissable. Comme on avait déjà reconnu le corps de Mouraret, tous les cadavres des victimes sont donc retrouvés. L'inhumation reste toujours fixée jeudi LA GRÈVE DE HAMBURG Le nombre des grévistes n'a pas encore été relevé complètement par la commission de la grève, mais on dit qu'il s'élevait, à la date d'hier, à 13,000, dont 8,000 hommes mariés ayant entre eux 17,000 enfants. Aujourd'hui commence la distribution des secours. Elle comporte, par semaine : 8 marcs pour les hommes non mariés, 6 marcs pour les hommes mariés, avec 1 marc en plus par enfant. Les grévistes croient pouvoir
néglgr pour obtenir une exécution plus rpd ncr, msai l serait prématuré d compter dès ,innmaetnta sur des ssltrauét très netéifrdfs de cx-là. isn,Ai voilà notre dél quatre ans pour un cuirassé, trois ans pour un croiseur Encore le rapporteur n'affirme-t-il reni très ut, il s contente de nous laisser « espérer Nos ministres de la ane ont rarement fait preuve dne pareille sagesse, et il nus souvient que M. Barbey, pour obtenir la mise n chantier du « Carnot », du « C-lMhterraesla » et du « Jaurès », prmttt solennellement, en 1890, q ces crssés entreraient tous les trois en service au plus tard vrs l fin de 1895 ». Or, nous sommes, si je n m'bs, à la fin de 1896, et ni le « Jaurès ni le « Charles-Martel », n le « Canot » n'ont terminé leurs essais. La comparaison est pénible des résultats obtenus chacun des deux côtés de la Manche. Les Anglais cnstrsnt beaucoup pls vite des navires beaucoup plus gdnars et plus dispendieux que les nôtres. Par xmpl le « l Sovereign », en moins de trs ans; le « Magnificent » et le « Majestic », en moins de trente mois. Nous nen' sommes pas encore là, et c'est d'autant plus fâchx qu'il ny a pas de marine au monde qui ait, plus que la tre le bi de construire vite. LA CATASTROPHE DE ANERRE Le cadavre du nommé Ledoux a été retrouvé sous les décmbrs, mutilé ms reconnaissable. Comme on vat déjà reconnu le corps de Mouraret, tous ls cadavres des victimes sont donc .uortrveés L'inhumation reste toujours fixée jeudi LA GRÈVE DE HAMBURG L nombre des grévistes n'a pas encore été relevé complètement a la commission de la grève, mais on dit qui éaiv'l,est à la date d'hier, à 13,000, dont 8,000 hommes mariés t entre eux 17,000 enfants. Aou commence la dstrbtn des secours. Elle comporte, par semaine : 8 marcs pour ls hommes non mrés, 6 marcs pour les hmms mariés, avec 1 marc en plus par enfant. Les grévistes croient pouvoir
en moins de trente mois. Nous n'en sommes pas encore là, et c'est d'autant plus fâcheux qu'il n'y a pas de marine au monde qui ait, plus que la nôtre, le besoin de construire vite. LA CATASTROPHE DE SANTERRE Le cadavre du nommé Ledoux a été retrouvé sous les décombres, mutilé mais reconnaissable. Comme on avait déjà reconnu le corps de Mouraret, tous les cadavres des victimes sont donc retrouvés. L'inhumation reste toujours fixée jeudi LA GRÈVE DE HAMBURG Le nombre des grévistes n'a pas encore été relevé complètement par la commission de la grève, mais on dit qu'il s'élevait, à la date d'hier, à 13,000, dont 8,000 hommes mariés ayant entre eux 17,000 enfants. Aujourd'hui commence la distribution des secours. Elle comporte, par semaine : 8 marcs pour les hommes non mariés, 6 marcs pour les hommes mariés, avec 1 marc en plus par enfant. Les grévistes croient pouvoir maintenir cette distribution de secours pendant trois à quatre semaines. On compte nombre de Sociétés entrepositaires ont renvoyé leurs employés qui ne faisaient pas grève et ont interrompu entièrement les affaires. Les ouvriers continuent à s'abstenir de tout désordre. Hier, ont eu lieu dix réunions. On télégraphie de Stockholm que, dans une réunion des ports, il a été décidé de ne pas opérer le déchargement de tout navire venant de Hambourg. Tous les groupes des ouvriers des moyens de transport en Suède, seront invités à imiter cette attitude. Le sénateur Loehmann, M. Hinrichsen, président du Sénat et M. Noack, président de tribunal de commerce, ont adressé au président de l'Association des armateurs une lettre dans laquelle ils lui demandent de constituer un tribunal d'arbitrage en vue de mettre fin à la grève. Ce tribunal devra être composé de trois personnes ci-dessus indiquées, d'un membre désigné par les patrons et de quatre ouvriers, par conséquent de huit membres en tout. Les décisions devront être approuvées par six voix au moins. Les deux parties devront souscrire d'avance à ses décisions. Les signataires de la lettre déclarent soumettre leur proposition aux patrons et aux ouvriers sans avoir préalablement pressenti ni les uns ni
en moins d trete mois. Nous n'en sommes ps encore là et cest d'autant plus fâcheux q'l ' a pas d marine ua mnd q ait, plus que la nôtre, l besoin de construire vite. L CATASTROPHE DE SANTERRE Le arvdace d nommé Ledoux été retrouvé sous les décombres, mutilé mais reconnaissable. Comme on avait déjà rn le corps de Mouraret, tous ls cadavres e victimes sont donc retrouvés. L'inhumation reste toujours fixée jeudi L RGEVÈ DE HAMBURG Le nombre des grévistes n'a pas crnoee été relevé cèen pr la commission de la grèv, mais on dit qu'il s'élvt, à la date d'hier, à 13,000, dont 8,000 hommes rmaéis ayant entre eux 17,000 s.efntna Aujourd'hui commence la distribution des secours Elle comporte, pr semaine marcs pr les hommes onn mariés, 6 marcs pour les hommes mais,ér ec 1 marc en pus par enfant. Les rées croient pvr maintenir cette distribution de secours pndnt trois à quatre semaines. On p de Sociétés entrepositaires ont renvoyé leurs employés qui ne faisaient pas grève et interrompu etèrent les affaires. eLs ouvriers continuent à sabstenir de tt désrdr. Hier, ont eu lieu i rés On télégraphie de Stockholm que, dans une réunion des ports, il été icdédé de n pas opérer le déchrgmnt de tout navire venant e Hambourg. Tous les groupes des ouvies des moyens de trsr en Suède srnt nvtés à imiter cette tia.ttued Le sénateur Loehmann, M. Hinrichsen, président du éa et M. Nac, président de riunl de ,recmeomc ont adressé au président de l'Association sed armateurs un lettre dans laquelle ils li demandent de constituer un tribunal d'arbitrage en u de mettre fin la grève. e tribunal devra être oo de trois personnes c-dsss indiquées, d'un membre désigné par els patrons et de quatre ouriers pr conséquent de huit membres en tout Les décsns devront être appruée par six oivx au moins. Les deux aris devront sscrr d'avance à ses décisions Les signataires d la lettre déclarent soumettre leur proposition aux patrons te aux ouvriers sns avoir préalablement erneispts les un ni
dans une réunion des ports, il a été décidé de ne pas opérer le déchargement de tout navire venant de Hambourg. Tous les groupes des ouvriers des moyens de transport en Suède, seront invités à imiter cette attitude. Le sénateur Loehmann, M. Hinrichsen, président du Sénat et M. Noack, président de tribunal de commerce, ont adressé au président de l'Association des armateurs une lettre dans laquelle ils lui demandent de constituer un tribunal d'arbitrage en vue de mettre fin à la grève. Ce tribunal devra être composé de trois personnes ci-dessus indiquées, d'un membre désigné par les patrons et de quatre ouvriers, par conséquent de huit membres en tout. Les décisions devront être approuvées par six voix au moins. Les deux parties devront souscrire d'avance à ses décisions. Les signataires de la lettre déclarent soumettre leur proposition aux patrons et aux ouvriers sans avoir préalablement pressenti ni les uns ni les autres. Notons enfin qu'à Londres, une proclamation vient d'être lancée par le président du syndicat international des ouvriers des ports, des bâtiments et des rivières à l'effet de demander des fonds pour soutenir la grève de Hambourg, LE CONSEIL DES DÉPÊCHES NOUVEAU TROPPENANN (DEUXIÈME AUDIENCE) Condamnation à mort Dijon, décembre. — L'audience est ouverte à huit heures et demie. M. Cunisset-Carnot, procureur général, prononce son réquisitoire, Après avoir rappelé que les victimes n'avaient pas d'ennemis, il aborde l'examen des faits du drame terrible qui s'est passé à Ruffey dans la nuit du 11 septembre. C'est à Redon, la quatrième victime de Pacot, dit-il, qui a survécu à ses blessures, que la justice doit la découverte de l'auteur du quadruple crime. Redon n'a pas menti et ne pouvait mentir, n'ayant jamais eu de différend avec Pacotie. Redon s'est-il trompé ? Non. Il est de Ruffey et connaissait bien Pacotte qui y venait souvent, puisque sa famille et celle de sa femme demeuraient dans ce village. Son assassin, celui de la femme Méot et de ses enfants n'est donc pas une autre personne que Pacotte, malgré ses dénégations acharnées. C'est la cupidité de Pacotte qui l'a poussé à son horrible crime.
dans une réunion des ports, l a été décidé de ne ps opérer le déchargement de tout navire venant de Hambourg. Tous les groupes des ouvriers des moyens de transport n Suède, seront invités à imiter cette attitude. Le séntr Loehmann, M. Hinrichsen, président du Sénat et M. Noack, président d tribunal de commerce, nt adressé au président de l'Association des armateurs une lettre dans laquelle ils lui demandent de constituer un tribunal d'arbitrage en v de mettre fn à la grève. Ce tribunal devra être composé de trois personnes ci-dessus indiquées, d'un membre désigné par les patrons et de quatre ouvriers, par conséquent de huit membres en tt. Les décisions devront être pprouves par six voix au moins. Les edux parties dvrnt souscrire d'avance à ses décisions. Les aeagistinsr de la lettre déclarent soumettre leur proposition aux patrons te aux ouvriers sans avoir préalablement pressenti ni les uns ni les autres. Notons enfin qu'à Londres, une proclamation vient 'êe lancée par le ptediésnr ud syndicat international des ouvriers des ports, des ânmebitts et des rivières à l'effet de demander ds fonds pour soutenir la grève de Hambourg LE CONSEIL DES DÉPÊCHES NOUVEAU TROPPENANN (DEUXIÈME AUDIENCE) Condamnation mort Dijon, décembre. — L'audience est ouverte à huit heures et demie M. Cunisset-Carnot, procureur général, n son réquisitoire, Après avoir rappelé que les victimes n'avaient pas d'ennemis, il brd l'examen des faits du drame terrible qui s'est passé à Ruffey dans a nuit du 11 septembre. C'est à Rdn, la quatrième victime de Pacot, dit-il, qui a survécu à ses blessures, q la justice doit la découverte de l'auteur du quadruple crime. Rdn n'a pas menti et ne pouvait mentir, n'ayant jamais eu de dfférnd avec Pacotie. do s'est-il trompé ? Non. Il est de Ruffey et connaissait bien Pacotte qui y venait souvent, puisque sa famille et celle de sa femme demeuraient dans ce village. Son assassin, celui de la femme oMté t e ses enfants n'est donc pas une autre personne qu Pacotte, malgré ses dénégations acharnées. 'est la cpdté de Pacotte qui l'a poussé à son horrible crime.
décembre. — L'audience est ouverte à huit heures et demie. M. Cunisset-Carnot, procureur général, prononce son réquisitoire, Après avoir rappelé que les victimes n'avaient pas d'ennemis, il aborde l'examen des faits du drame terrible qui s'est passé à Ruffey dans la nuit du 11 septembre. C'est à Redon, la quatrième victime de Pacot, dit-il, qui a survécu à ses blessures, que la justice doit la découverte de l'auteur du quadruple crime. Redon n'a pas menti et ne pouvait mentir, n'ayant jamais eu de différend avec Pacotie. Redon s'est-il trompé ? Non. Il est de Ruffey et connaissait bien Pacotte qui y venait souvent, puisque sa famille et celle de sa femme demeuraient dans ce village. Son assassin, celui de la femme Méot et de ses enfants n'est donc pas une autre personne que Pacotte, malgré ses dénégations acharnées. C'est la cupidité de Pacotte qui l'a poussé à son horrible crime. Il voulait hériter des Méot, Il a longtemps mûri son dessein criminel. Le procureur général retrace ensuite en termes saisissants l'égorgement de la femme Méot, de ses deux enfants et enfin la tentative de meurtre dont Redon a été victime. Le procureur général passe ensuite à l'arrestation de Pacotte qui ne demande pas aux gendarmes pourquoi on l'arrête et ne proteste pas. Il s'habille et suit les gendarmes sans mot dire, Cette attitude n'est-elle pas significative ? L'expert a constaté que le soulier de Pacotte avait de la terre identique à celle du champ où a été frappé Redon. La trace de l'ongle imprimée sur le visage de la fille Méot correspond à l'ongle de Pacotte ; c'est la signature de l'assassin. Devant toutes ces preuves, Pacotte n'a qu'un système : une absolue négation afin de jeter un doute dans l'esprit des jurés. Sa tentative d'évasion n'est-elle pas significative ? On est en présence d'un criminel énergique et habile, dit en terminant le ministère public. Il s'agit de ne pas faillir. Frappez sans pitié ; la peine capitale s'impose, À une heure l'audience est suspendue. À la reprise de l'audience, le docteur Guelfard, interrogé, dit que Pacotte, confronté avec Redon,
décembre. — L'audience est ouverte à huit heures et demie. M. Cunisset-Carnot, procureur général, prononce son réquisitoire, Après avoir rappelé que les semvtiic n'avaient pas d'ennemis, il aborde l'examen des faits du drame telrebri qui s'est passé à Ruffey dans la nuit du 11 septembre. 'et à ,Ronde la quatrième vctm de Pacot, dit-il, qui a survécu à ses blessures, que la justice doit l découverte de l'auteur du quadruple crime. Redon n'a pas menti et ne pouvait mntr, n'ayant jamais eu de différend avec Pacotie. Redon s'est-il trompé ? Non. Il est de Ruffey et connaissait bien Pacotte qui y venait souvent, puisque sa fmll et celle de sa femme demeuraient dans ce village. Son assssin celui de la femme Méot et de ses enfants n'est donc ps une autre personne que Pacotte, malgré ses dénégations acharnées. st'Ce la cupidité ed Pacotte qui l'a poussé à son horrible crime. Il voulait hériter des Méot, Il a longtemps mûri sn dssn criminel Le urreupocr général retrace ensuite en termes saisissants l'égorgement de la femme Méot, de ses du nfnts et enfin la tentative de meurtre dont Redon a été victime. Le prcrr général passe ensuite à l'arrestation de Pacotte qui ne demande pas aux gendarmes pourquoi on l'arrête t ne proteste pas. Il s'hbll et suit les gendarmes sans mot i Cette attitude n'est-elle pas significative ? L'exper constaté que le slr de Pacotte avait de la terre identique à celle du champ où a été frappé Red La trace de longle epiérimm le visage de la fille Méot correspond à l'ongle de Pacotte et'sc la signature de l'ssssn. Dvnt toutes ces preuves, Pacotte n'a qu'un système : une absolue négation afin de jeter un doute dans l'esprit des jrs.éu Sa tentative d'évasion n'est-elle pas significative ? On est en présence d'un lcemirni énergique et habile, dit en terminant le ministère public. Il s'agit de ne pas faillir. Frappez ssan pitié ; la pn capitale s'impose, À une erehu l'audience est suspendue. la reprise e l'uiece le docteur Guelfard, interrogé, dit que Pacotte, confronté avec Redon
ne demande pas aux gendarmes pourquoi on l'arrête et ne proteste pas. Il s'habille et suit les gendarmes sans mot dire, Cette attitude n'est-elle pas significative ? L'expert a constaté que le soulier de Pacotte avait de la terre identique à celle du champ où a été frappé Redon. La trace de l'ongle imprimée sur le visage de la fille Méot correspond à l'ongle de Pacotte ; c'est la signature de l'assassin. Devant toutes ces preuves, Pacotte n'a qu'un système : une absolue négation afin de jeter un doute dans l'esprit des jurés. Sa tentative d'évasion n'est-elle pas significative ? On est en présence d'un criminel énergique et habile, dit en terminant le ministère public. Il s'agit de ne pas faillir. Frappez sans pitié ; la peine capitale s'impose, À une heure l'audience est suspendue. À la reprise de l'audience, le docteur Guelfard, interrogé, dit que Pacotte, confronté avec Redon, a pâli, mais qu'il est resté indifférent en présence des cadavres de la femme Méot et de ses deux enfants. Le défenseur de Pacotte M. Jacquier, défenseur de Pacotte, se lève et dit qu'il réclamera l'acquittement de son client. Il demande aux jurés de faire abstraction des articles de journaux et de leurs commentaires, pour s'attacher seulement aux pièces de la procédure et aux déclarations faites à l'audience, car depuis son arrestation Pacotte a été accusé de plusieurs crimes imaginaires. Il extrait des dépositions des témoins des renseignements favorables à Pacotte, notamment ceux de l'inspecteur de l'abattoir et du commandant d'artillerie Duhaut. Le passé de Pacotte, dit-il, est irréprochable. Le défenseur ne met pas en doute la sincérité de Redon, mais il a dû se tromper. Pacotte n'est pas l'assassin. Redon a vu. En est-il bien sûr? L'écurie était obscure ; il a pu reconnaître la voix de sa maîtresse, mais il n'a pas reconnu l'individu puisqu'il ne l'a pas vu, Pacotte n'a jamais tutoyé Mme Méot. Redon, quand il a été lui-même frappé par derrière, n'a pu voir l'assassin et à tort certainement se tromper. En dehors de la déposition de Redon, dit M. Jacquier, il n'existe aucune preuve.
ne demande pas xau gendarmes pourquoi on l'arrête et ne proteste pas Il shabille et ut les gendarmes sans mot die Cette attitude n'est-elle pas sgnfctv ? epeLrxt' a constaté que le soulier de acte vait de la terre identique à cll du chmp où a été frappé Redon. La trc de l'ongle mprmé sru le visage d la fll M correspond à l'ongle de Pacotte ; c'est al signature de l'ssssn. Devant tts ces pus Pacotte n'a qu'un système : une absolue éti afin de jeetr un doute dans let des jrés. aS tentative 'évsio n'est-elle pas ificti ? n est e présence d'un ciml énergique et habile, t e terminant le ministère ubl Il s'agit de ne pas faillir. Frpz sans pitié ; la peine capitale s'impose, À une erheu l'audience est suspendue. la epi d l'audience, le docteur Guelfard interrogé, dit q Pacotte, confronté avec Redon, a pâli, mais qu'il est resté indifférent en présence des cdvrs de la femme M et de ses deux ean Le défnsr de Poe M. Jacquier, défenseur de act, se lève et dit quil réclamera 'acquittement de son client. Il neeamdd aux jurés d faire abstraction des articles de journaux et de leurs commentaires, opur s'attacher semen aux pièces de la procédure et aux déclrtns tes à l'audience, car depuis son arrestation Pacotte a été accusé de plusieurs crimes niia.gmresai Il extrait s dépositions des témoins ds renseignements favorables à Pacotte, notamment ceux de l'inspecteur de l'abattoir et d commandant 'artillerie Duhaut. Le passé de Pacotte, dit-il, ets irréprochable. Le défenseur ne met p en doute l sincérité de Redon, mai il a dû se tromper. aote n'est pas 'assassin. Redon a vu. nE est-il bien sûr? L'éci était obscure ; il a p reconnaître la voix d sa maîtresse, mais il n'a pas cneourn 'iu psi'qiulu ne l'a pas vu, Pacotte n'a jamais tutoyé Mme Méo Redon, quand il a été l-mêm frappé par derrière, ' pu voir l'assassin et à trt crtnmnt se tromper. En dehors de la déposition de Redon, dit M. Jacquier il nexiste aucune preuve.
et de leurs commentaires, pour s'attacher seulement aux pièces de la procédure et aux déclarations faites à l'audience, car depuis son arrestation Pacotte a été accusé de plusieurs crimes imaginaires. Il extrait des dépositions des témoins des renseignements favorables à Pacotte, notamment ceux de l'inspecteur de l'abattoir et du commandant d'artillerie Duhaut. Le passé de Pacotte, dit-il, est irréprochable. Le défenseur ne met pas en doute la sincérité de Redon, mais il a dû se tromper. Pacotte n'est pas l'assassin. Redon a vu. En est-il bien sûr? L'écurie était obscure ; il a pu reconnaître la voix de sa maîtresse, mais il n'a pas reconnu l'individu puisqu'il ne l'a pas vu, Pacotte n'a jamais tutoyé Mme Méot. Redon, quand il a été lui-même frappé par derrière, n'a pu voir l'assassin et à tort certainement se tromper. En dehors de la déposition de Redon, dit M. Jacquier, il n'existe aucune preuve. Le verdict Après une courte délibération, le jury rentre en séance et prononce un verdict affirmatif, muet sur les circonstances atténuantes. L'arrêt En conséquence, la cour condamne Pacotte à la peine de mort. Pacotte est en outre condamné à 5,000 fr de dommages-intérêts envers Redon. En entendant la lecture de l'arrêt, Pacotte s'écrie d'une voix forte : « Je suis innocent ! Je ne mérite pas la mort ! Je n'ai rien fait contre la société! » LES INCIDENTS DE CARMAUX Au tribunal correctionnel d'Albi. — Quatre condamnations, — Mise en liberté de M. Calvignac. Albi, 12 décembre. — Quatre prévenus dans l'affaire de Carmaux ont comparu ce matin à l'audience des flagrants délits pour outrages envers les agents. Le tribunal a prononcé les condamnations suivantes: Boinson, huit jours de prison; Sudre, quatre jours; Viguier, huit jours et Tesseyre, vingt-cinq jours. M. Calvignac, ancien maire, a été relâché. À LA CHAMBRE La séance du matin Inauguration, hier matin, des doubles séances. Très exactement, à 9 heures, M. le président Brisson ouvre la séance. Un certain nombre de députés sont à leur banc. D'un coup et sans discussion, les sept premiers chapitres du budget de la Légion d'honneur, sont votés lorsque
et de leurs commentaires, opru s'attacher seulement aux iès de la procédure et aux déclarations faites à 'audience, cr depuis son arrestation Pacotte a été accusé de plusieurs crimes imaginaires. Il extrait des dépstns des témoins ds renseignements favorables Pacotte, notamment e d l'inspecteur d l'abattoir et du commandant d'artillerie Duhaut. Le passé d Pacotte, dt-l, est irréprochable. Le défenseur n met pas en doute la sincérité de Redon, mais il a dû se tp Pacotte 'st pas l'ssssn. Redon a vu. En est-il iebn sûr? L'écurie tatéi obscure ; l a pu rcnnîtr la voxi de sa maîtresse, mais li n'a pas reconnu 'nviu psq'l ne l'a pas vu Pacotte na jamais tutoyé Mm Méot Redon, quand l a été l-mme frappé par derrière, n'a pu voir l'ssssn et à tort crant s tromper. En dehors de la déposition de Redon, dit M. Jacquier, l n'existe aucune preuve. Le rvtcedi Après n courte délibération, el jury rentre en sénc et prononce un verdict ffrmtf, mt sur les oiesncncrtsac atténuantes. L'arrêt n conséquence, la cour condamne Pacotte à la peine de mort. Pcetato est en outre cndmné à 5,000 fr de dommages-intérêts ene Redon. En entendant la ctue de l'arrêt, Pacotte s'écr d'une voix forte : Je suis innocent ! Je ne iéemrt pas la mrt ! Je n'ai rn fait conr la société! » LES INCIDENTS DE CARMAUX Au tribunal correctionnel dAlbi — Quatre condamnations, — Mise n liberté d .M Clvgnc. Albi, 12 me. — ruQeat prévenus dans l'affaire de Carmaux ont comparu ce mti l'audience des flagrants délits pour outrages nvrs ls gnts. eL tribunal a prononcé ls condamnations suivantes: Bnsn, jours de prison Sdr, quatre jours; Viguier, ui jours et Tere vingt-cn jrs. M. Calvignac, ncn maire, a été relâché. À LA CHAMBRE La séance du matin nguron, hier mtn, des doubles séances. Très xatent à 9 heures, . le président Brisson ouvre sénc. Un rtain mnerbo de députés sont à ruel .abnc D'n oup et discussion, les sept premiers chapitres du budget de la Légion d'honneur, sont votés lorsque
l'arrêt, Pacotte s'écrie d'une voix forte : « Je suis innocent ! Je ne mérite pas la mort ! Je n'ai rien fait contre la société! » LES INCIDENTS DE CARMAUX Au tribunal correctionnel d'Albi. — Quatre condamnations, — Mise en liberté de M. Calvignac. Albi, 12 décembre. — Quatre prévenus dans l'affaire de Carmaux ont comparu ce matin à l'audience des flagrants délits pour outrages envers les agents. Le tribunal a prononcé les condamnations suivantes: Boinson, huit jours de prison; Sudre, quatre jours; Viguier, huit jours et Tesseyre, vingt-cinq jours. M. Calvignac, ancien maire, a été relâché. À LA CHAMBRE La séance du matin Inauguration, hier matin, des doubles séances. Très exactement, à 9 heures, M. le président Brisson ouvre la séance. Un certain nombre de députés sont à leur banc. D'un coup et sans discussion, les sept premiers chapitres du budget de la Légion d'honneur, sont votés lorsque M. Notre ville vient proposer un amendement de 10,500 fr, en vue de donner à un certain nombre de médaillés militaires le traitement réglementaire. Le ministre de la justice et la commission acceptant cette augmentation, l'amendement est adopté. Non moins rapidement, la Chambre adopte 17 nouveaux chapitres. M. le président rappelle que la Chambre avait réservé certains chapitres du budget des affaires étrangères. M. Paul Doumer propose d'ajourner la discussion des chapitres réservés aux protectorats. Un incident se produit à ce moment au sujet d'un vote relatif à l’Ecole française de droit du Caire. Plusieurs membres s'écrient qu'il est impossible de ne pas constater que la Chambre n'est pas en nombre pour délibérer. M. Maurice Berteaux constate qu'il n'y a pas plus de 150 députés en séance. M. Henri Brisson dit que si on insiste le bureau décidera, si la Chambre est en nombre. Toutefois le président rappelle que la Chambre a décidé hier de se réunir ce matin et il prie personnellement ses collègues de vouloir bien permettre que la séance continue. Il n'a pas besoin de rappeler ce qui est advenu dans un pays voisin où la liberté de la tribune et le régime de la libre discussion
'arrêt, Pacotte s'écrie d'une voix forte « Je suis innocent ! Je e mérite pas la mort J n'ai rien fait ote la société! » LES INCIDENTS DE CARMAUX Au tribunal correctionnel d'lb. — euaQrt condamnations, — Mise en liberté de M. Calvignac. Albi, 12 décembre. — Quatre prévenus dns l'affaire de Carmaux ont comparu c matin à l'audience des flagrants délits pour trgs envers ls agents Le tribunal a prononcé les condamnations ins Boinson, huit jours de prison; Sudre, quatre rusjo; Vgr, huit jours et Tesseyre, vingt-cinq sou.jr M. Calvignac, ancien maire, a été relâché. À LA CHAMBRE La séance du matin Inauguration, hier matin, des doubles séances. Très xctmnt, à 9 heures, M. le péient Brisson ouvre la séance. Un certain nombre de té sont à leur banc D'un cp et sans discuss, les sept premiers chapitres du budget ed la Légion d'honneur, sont votés lorsque M. Notre ville vient proposer un amendement de 10,500 fr, en vue de donner à un certain nombre de médaillés militaires l ttet réglementaire. Le ministre de la justice et la commission acceptant cette gmnaon, l'amendement st adopté. Non moins rapidement, la Chambre adopte 17 ova chapitres. M. le président pelerlpa que la Chambre avait résrvé certains chapitres d b des affaires étrngèrs. M. Paul Doumer propose d'jrnr la dscssn des cape réservés aux protectorats Un incident se prut à ce moment sujet d'un vote rltf à l’Ecole française de drit du Caire. Plusieurs membres ein'értsc qu'il st impossible de ne pas constater que la Chambre n'est pas en nombre pour délibérer. M. Maurice Berteaux constate qu'il n'y a pas pls de 150 députés en séance. M. Henri Brisson dit que s o insiste le br décidera, a Chambre est en nombre. Toutefois le président rappelle que la Chambre a décidé hier de se réunir ce matin et il prie personnellement ses collègues de vouloir b permettre que séance continue l n'a a besoin de rappeler ce qui est du dans un pays voisin où a liberté de la tribune et le régm de la libre discussion
rappelle que la Chambre avait réservé certains chapitres du budget des affaires étrangères. M. Paul Doumer propose d'ajourner la discussion des chapitres réservés aux protectorats. Un incident se produit à ce moment au sujet d'un vote relatif à l’Ecole française de droit du Caire. Plusieurs membres s'écrient qu'il est impossible de ne pas constater que la Chambre n'est pas en nombre pour délibérer. M. Maurice Berteaux constate qu'il n'y a pas plus de 150 députés en séance. M. Henri Brisson dit que si on insiste le bureau décidera, si la Chambre est en nombre. Toutefois le président rappelle que la Chambre a décidé hier de se réunir ce matin et il prie personnellement ses collègues de vouloir bien permettre que la séance continue. Il n'a pas besoin de rappeler ce qui est advenu dans un pays voisin où la liberté de la tribune et le régime de la libre discussion ont été loin de gagner à ces procédés. Persiste-t-on ? demande-t-il. M. Maurice Berteaux maintient que la Chambre n'est pas en nombre ; il ne croit pas que la liberté de la tribune et la bonne discussion puissent gagner à des votes faits en dehors de la majorité. M. le président dit que le bureau consulté est unanime à déclarer que la Chambre n'est pas en nombre. La séance est suspendue et sera reprise à dix heures. La séance est reprise à dix heures. M. Henri Brisson propose de passer à la discussion générale du budget du ministère du commerce. La Chambre, dit-il, est en nombre pour délibérer si elle n'est pas en nombre pour voter. C'est M. Plichon qui débute en demandant au gouvernement quelles mesures il compte prendre pour développer la consommation du charbon français dans la marine marchande, cette industrie se trouvant en présente d'une concurrence redoutable de la part de l'Angleterre. M. Boucher, ministre du commerce, répond que lui aussi désire voir se développer la production des houilles françaises et il fera tous ses efforts pour la favoriser, M. de Ramel insiste dans le même sens que M. Plichon, le bassin houiller du Gard subissant une
rappelle que l Chambre avait rsev certains chptrs du budget des affaires étrangères. M. Paul Doumer propose d'ajourner la disusi des chies réservés aux protectorats. Un incident s produit à ce moment au sujet d'un vote relatif à l’Ecole française de droit du Caire. lsie membres s'écrient quil set impossible de en pas constater que la Chambre n'est pas e nombre pour délibérer. M. Maurice Berteaux constate n'y a pas plus de 150 députés en séance. M. Henri Brssn dit que si on insiste le br décidera, si la Chambre est en nombre Toutefois le président rappelle que la Chambre a décidé hier de s réunir ce matin et il prie prsnnllmnt ses collègues e lo bine permettre que la séance continue. Il n'a pas besoin de rappeler ce qui est advenu dans un pays voisin où la liberté de la tribune et le régime de la libre dscssn ont été loin de gagner à ces procédés. Persiste-t-on ? demande-t-il. M. Maurice Berteaux mat que la Chambre n'est pas en nombre il ne croit pas que l liberté de la tribune e la bonne discussion puissent gagner à des votes a en dehors de la majorité. M. le président dit que le bureau consulté est unanime à déclarer que la Chambre n'est pas en nombre. La séance est suspendue et sera reprise à dix heures. La séance est epre à dix heures M. Henri Brisson propose de passer à la discussion générale du budget d ministère du commerce. La Chambre, dit-il, est en nombre pour délibérer si elle n'est pas nombre pour voter. C'est M. Plichon qui débt en demandant au emoeteugrvnn quelles mesures il compte prendre pour développer la consommation du charbon français dans la marine marchande, cette industrie se trouvant en présente 'une ncece redoutable de la part de l'Angleterre. M. Boucher, ministre du commerce, répond equ l aussi désire voir se développer la production des houilles françaises et l fera tous ses efforts pour la favoriser, . de Ramel nsst dans le même sens q M. Plichon, el bain houiller du Gard subissant une
président dit que le bureau consulté est unanime à déclarer que la Chambre n'est pas en nombre. La séance est suspendue et sera reprise à dix heures. La séance est reprise à dix heures. M. Henri Brisson propose de passer à la discussion générale du budget du ministère du commerce. La Chambre, dit-il, est en nombre pour délibérer si elle n'est pas en nombre pour voter. C'est M. Plichon qui débute en demandant au gouvernement quelles mesures il compte prendre pour développer la consommation du charbon français dans la marine marchande, cette industrie se trouvant en présente d'une concurrence redoutable de la part de l'Angleterre. M. Boucher, ministre du commerce, répond que lui aussi désire voir se développer la production des houilles françaises et il fera tous ses efforts pour la favoriser, M. de Ramel insiste dans le même sens que M. Plichon, le bassin houiller du Gard subissant une crise des plus douloureuses. Après l'intervention de M. Charles Houx et un projet de résolution de M. Lemire sur le relèvement de la marine marchande, la séance est levée à 11 h. 35 et renvoyée à 2 h. 30. Séance de l'après-midi Après l'adoption du chapitre 9 du budget des affaires étrangères, qui avait été réservé, on reprend la discussion du budget du commerce. M. Vaillant demande la création d'un chapitre 1 bis ainsi intitulé : « Direction, conseil supérieur et office du travail, » L'amendement combattu par le gouvernement est repoussé. Les sept premiers chapitres sont adoptés sans discussion. Sur le chapitre 8 (Écoles nationales d'arts et métiers), M. Bourrat demande vainement une augmentation de 10,000 francs pour créer des cours d'électricité industrielle. Un second amendement de M. Bourrat tendant à une augmentation de 50,000 francs pour réorganiser le matériel des cours d'électricité industrielle est également repoussé. Les chapitres 9 à 15 sont adoptés. Sur la demande de M. Rozet, le chapitre 20 (récompenses honorifiques aux vieux ouvriers) est augmenté de 20,000 fr. M. Jules Guesde a la parole sur le chapitre 31. (Conseil supérieur du travail.) Il demande que les organisations ouvrières et les chambres syndicales soient appelées
président dit que le bureau consulté st unanime à déclarer que la Chambre n'est pas en nombre. La séance est suspendue et sera reprise à dix heures. La séance est reprise à dix heures M. Henri Brisson propose de passer à la discussion générale du budget du ministère du commerce. L e,rmbahC dit-il, est en nombre pour délibérer si elle n'est pas ne nombre pour voter. C'est M. Pn qui débute en demandant au gouvernement quelles mesures il compte prendre pour développer la consommation d charbon français dans la marine marchande, cette industrie se trouvant en présente une concurrence redoutable de la part de l'Angleterre. M. Boucher, ministre du cmmrc, répond que lui aussi désire voir se développer la prdctn des houilles françaises t il fera tous ss ffrts pour la favoriser, M. de Ramel insiste d l mêm sens que M. lcho le i houiller du Gard subissant une crise des plus douloureuses. Après l'intervention de M. Charles Houx et un projet de résltn de M. Lmr sur le relèvement de l marine marchande, a séance est levée à 11 h. 35 et renvoyée à 2 h. 30. Séance de l'près-md Après l'adoption du chapitre 9 du budget des affaires étrangères, qui vt été réservé, on reprend la dscssn du bdget du commerce. M Vaillant demande la création d'un chapitre 1 is ainsi intitulé : « Direction, conseil supérieur et office d travail, » 'amendement combtu par le gouvernement est rpssé. Les sept premiers chapitres sont adoptés sans discussion. Sur le har 8 (Écoles nationales darts et métiers), M. Bourrat demande vainement une ataio de 10,000 francs orup créer des cours délectricité ne.usidretlli Un second amendement de M. Bua tendant à une augmentation de 50,000 francs pour réorganiser le matériel des cours d'électricité industrielle est également repoussé. Les chapitres 9 à 15 sont adoptés. Sur la demande de M. Rozet, le chapitre 20 (récompenses honorifiques aux vieux ouvriers) est augmenté de 20,000 fr. M. Jls Guesde a la parole sur le chapitre 31. (Conseil supérieur du travail.) Il demande que les organisations ouvrières et les chambres syndicales snt appelées
affaires étrangères, qui avait été réservé, on reprend la discussion du budget du commerce. M. Vaillant demande la création d'un chapitre 1 bis ainsi intitulé : « Direction, conseil supérieur et office du travail, » L'amendement combattu par le gouvernement est repoussé. Les sept premiers chapitres sont adoptés sans discussion. Sur le chapitre 8 (Écoles nationales d'arts et métiers), M. Bourrat demande vainement une augmentation de 10,000 francs pour créer des cours d'électricité industrielle. Un second amendement de M. Bourrat tendant à une augmentation de 50,000 francs pour réorganiser le matériel des cours d'électricité industrielle est également repoussé. Les chapitres 9 à 15 sont adoptés. Sur la demande de M. Rozet, le chapitre 20 (récompenses honorifiques aux vieux ouvriers) est augmenté de 20,000 fr. M. Jules Guesde a la parole sur le chapitre 31. (Conseil supérieur du travail.) Il demande que les organisations ouvrières et les chambres syndicales soient appelées à nommer une partie des membres du conseil supérieur du travail. Actuellement sur les soixante membres choisis par le ministre du commerce, il n'y a que sept ouvriers. Après une intervention de M. Faberot, le projet de résolution déposé par M. Guesde est repoussé par la Chambre. Sur le chapitre 33 (inspection du travail dans l'industrie), M. Vaillant demande un relèvement de crédit de 5,000 francs. M. Desfarges, député de la Creuse, appuie cet amendement. Il fait remarquer, qu'en votant un crédit de 5,000 francs, la Chambre manifestera son intention de faire appliquer rigoureusement les lois ouvrières qu'elle a votées. Malheureusement c'est là le moindre des soucis de la Chambre qui repousse l'amendement, et repousse également une demande de subvention présentée par M. Gérault-Richard en faveur de l'Union protectrice des travailleurs des deux sexes. Rien d'intéressant à signaler à la fin de la séance. Les derniers chapitres du budget du commerce sont adoptés. Séance aujourd'hui à une heure. CONSEIL DES MINISTRES Le conseil des ministres s'est réuni hier matin, à l'Élysée, sous la présidence de M. Félix Faure. Les affaires de Carmaux Il s'est occupé de l'affaire de Carmaux et des divers incidents auxquels elle a donné lieu. Le conseil
affaires étrangères, qui vaiat été réservé, on re la discussion du budget du commerce. M. Vaillant demande la création d'un chapitre 1 bis ainsi intitulé : « Direction, conseil supérieur et office du travail, » L'amendement combattu par le gouvernement est repoussé. Les sept premiers chapitres snto dptés sans discussion. Sur le chapitre 8 (Écoles ntnls d'arts et métiers), Bourrat demande vainement une augmentation de 10,000 francs pour créer des rocsu d'électricité industrielle. Un second amendement de M. Bourrat tendant à une augmentation de 50,000 francs p réorganiser le matériel des cours d'électricité industrielle est également repoussé. Les chapitres 9 à 15 sont doé. Sur la dmnd de M. Rozet, el chapitre 20 (récompenses hnrfqs aux vx ouvriers) est augmenté de 20,000 fr. M. Jules Guesde a la parole sur le pr 31. Conseil supérieur du travail.) Il demande que les organisations ouvrières et les chambres syndicales soient appelées à nommer une partie des membres du conseil supérieur du travail. Actuellement sur les soixante membres choisis rpa le ministre du commerce, il n'y a que sept ouvriers. Après une intervention de M. Faberot, le projet de rusntiéloo déposé pr M Guesde est repoussé par la Chambre. Sur le chapitre 33 (inspection travail dans l'industrie), M. Vaillant demande un relèvement de crédit de 5,000 francs. M. Desfarges, député d la Creuse, appuie cet amendement. Il fait remarquer, qu'en votant un crédit de 5,000 francs, la Chambre manifestera son intention de faire appliquer rigoureusement es lois ouvrières qu'elle a vt Malheureusement c'est là le mndr des scs d la Chambre qui repousse l'amendement, et rpss également une demande de subvention présentée par M. Gérault-Richard en faveur de l'Union protectrice ds travailleurs ds dx sexes. Rn 'intéressant à signaler à la fin de la e. Les derniers chapitres du budget du commerce sont ts. Sénc aujourd'hui à une heure. CONSEIL DES MINISTRES Le conseil des ministres s'est réuni hier matin, à l'Élysée, sous la présidence de . Félix ur. Les affaires de Carmaux Il s'est occupé de laffaire de Carmaux et des dvrs incidents auxquels elle a donné lieu. L conseil
33 (inspection du travail dans l'industrie), M. Vaillant demande un relèvement de crédit de 5,000 francs. M. Desfarges, député de la Creuse, appuie cet amendement. Il fait remarquer, qu'en votant un crédit de 5,000 francs, la Chambre manifestera son intention de faire appliquer rigoureusement les lois ouvrières qu'elle a votées. Malheureusement c'est là le moindre des soucis de la Chambre qui repousse l'amendement, et repousse également une demande de subvention présentée par M. Gérault-Richard en faveur de l'Union protectrice des travailleurs des deux sexes. Rien d'intéressant à signaler à la fin de la séance. Les derniers chapitres du budget du commerce sont adoptés. Séance aujourd'hui à une heure. CONSEIL DES MINISTRES Le conseil des ministres s'est réuni hier matin, à l'Élysée, sous la présidence de M. Félix Faure. Les affaires de Carmaux Il s'est occupé de l'affaire de Carmaux et des divers incidents auxquels elle a donné lieu. Le conseil supérieur de la guerre Le ministre de la guerre a fait savoir que le conseil supérieur de la guerre se réunirait le 10 décembre, sous la présidence du Président de la République. Le nouveau directeur de l'Observatoire Enfin, sur la proposition du ministre de l'instruction publique, le Président de la République a signé un décret par lequel M. Maurice Loewy, membre de l'Académie des sciences et du Bureau des Longitudes, et directeur de l'Observatoire de Paris, est nommé directeur de cet établissement, en remplacement de M. Tisserand, décédé. Cette nomination est faite conformément à la liste dressée par l'Académie des sciences et le conseil de l'Observatoire, et tous deux avaient, on s'en souvient, présenté M. Maurice Loewy en première ligne pour ces hautes fonctions. LES BANDITS CORSES Ajaccio, 1er décembre, — Dimanche, à neuf heures du matin, trois individus armés se sont présentés à l'hôtel de Vizzavona, demandant à parler au prince autrichien Windischgrätz. Le plus âgé pénétra de force dans la chambre du prince et réclama de l'argent; celui-ci appela son médecin et lui donna l'ordre de prendre quelque argent dans une sacoche : l'individu enleva la sacoche, qui contenait une somme de 4,000 francs, et se retira. Le
33 (nspctn du travail a l'industrie), M. Vaillant demande un relèvement de dt de 0,005 frncs. M. Desfarges, député d la Creuse, appuie cet amendement. Il fait remarquer, qu'en votant un crédit de 5,000 francs, la Chambre manifestera son intention de faire appliquer rigoureusement les lois vrèrs qu'elle a vtés. Malheureusement c'est là le moindre des soucis ed la Chambre qui repousse l'mndmnt, et sesorpue également une demande de subtion présentée par M. Gérault-Richard en faveur de l'Union protectrice des travailleurs des deux sexes. Rien d'intéressant à signaler à la fin d la séance. Les derniers chapitres du budget du commerce snt adoptés. Sénc aujourd'hui à une heure. CONSEIL DES MINISTRES Le sioecln des ministres s'est rén hier matin, à 'Élysée, sous la présidence d M. Félix Faure. Les affaires de Carmaux Il s'st occupé de 'affaire de Carmaux t des divers incidents xquls el a donné lieu. Le conseil supérieur de la grr Le ministre e l guerre ft savoir que le conseil spérr de la erguer se réunirait le 10 décmbr, sous la présidence du Président de la République. nouveau directeur de l'Observatoire Enfin, sur la prpstn du ministre de l'nstrctn publique, le Président d la République a séign un décret pr lequel M. Maurice Loewy, membre e l'Académie des sciences et du Br des Longitudes, t directeur de l'Observatoire d Paris, est nommé etricudre de cet établissement n remplacement de M. Tisserand décédé. Cett nomination faite conformément à la liste dressée par l'Académie esd sciences et l conseil e l'Observatoire, et tous deux avaient on s'en souvient, stréénpe M. Maurice Loewy en pmeerèri ligne pour ces hautes octn LES BANDITS CORSES jcc, 1er décembre, — Dimanche, neuf heures du matin, trois nividu armés se nsot présntés à l'hôtel de Vizzavona, demandant à parler au prince autrichien Windischgrätz. Le pls âgé pénétra de frc n la chambre du prince et réclama de l'argent; celui-ci appela son médecin et lui donna lordre de drepenr quelque argent dns une scche : 'individu enleva la sacoche, qui contenait une somme de 4,000 francs, et se retira. L
République a signé un décret par lequel M. Maurice Loewy, membre de l'Académie des sciences et du Bureau des Longitudes, et directeur de l'Observatoire de Paris, est nommé directeur de cet établissement, en remplacement de M. Tisserand, décédé. Cette nomination est faite conformément à la liste dressée par l'Académie des sciences et le conseil de l'Observatoire, et tous deux avaient, on s'en souvient, présenté M. Maurice Loewy en première ligne pour ces hautes fonctions. LES BANDITS CORSES Ajaccio, 1er décembre, — Dimanche, à neuf heures du matin, trois individus armés se sont présentés à l'hôtel de Vizzavona, demandant à parler au prince autrichien Windischgrätz. Le plus âgé pénétra de force dans la chambre du prince et réclama de l'argent; celui-ci appela son médecin et lui donna l'ordre de prendre quelque argent dans une sacoche : l'individu enleva la sacoche, qui contenait une somme de 4,000 francs, et se retira. Le consul d'Autriche s'est rendu à Vizzavona et a pris des mesures avec les autorités administratives et judiciaires en vue de l'arrestation des voleurs. La Soirée d'hier LA VIE VOLEE LE DANGER ET LES YEUX CLOS. L'ôde d'hier à l'Odéon. M. Ginisty a trouvé le vrai type de jeunesse pour son théâtre. Un mort. Et, triomphe pharisaiquement, nous avons été donné ce chef-d'œuvre du pauvre et grand Villiers de l'Isle-Adam; La Récolte. En entendant chaque phrase du drame admirable saluée de bravos enthousiastes, il n'était douloureux de penser que de tels succès attendent le trépas pour se produire. Jamais les confrères ne seront vraiment justes qu'envers les monuments funèbres et c'est seulement après la mort qu'ils aiment à prédire un bel avenir. La révolte de cette femme de négociant qui veut enfin s'évader des livres du commerce qu'elle tient depuis dix ans et après une nuit d'inventaire, tous comptes remis à son mari, bonne brute commerçante, part pour le pays bleu, est la plus poignante lutte qui se puisse voir entre la bourgeoisie et la poésie. Quelle parfum ou quelle ironie aux mille liqueurs de la femme, et quelle merveilleuse bêtise de sens commun à celles du mari. Nulle invention de
République a signé un décret par lequel M. Maurice Lwy, membre d l'Académie des sciences et du Bureau des Longitudes, et directeur de lObservatoire de Paris, est nommé directeur de cet établissement, en remplacement e M. Tisserand, décédé. Cette nomination est faite conformément à la liste drssé par l'Académie des sciences te le conseil de l'Observatoire, et tous deux avaient, on s'en souvient, présenté M. Maurice Loewy en première ligne pour ces hautes fonctions. LES BNDTS CORSES Ajaccio, 1er décembre, — Dimanche à neuf heures du matin, trois nddus armés se sont présentés à l'hôtel de Vzzvn, demandant à pe au prince autrichien Windischgrätz. Le âgé pénétra de force dans la chambre du prince et réclama de l'argent; celui-ci appela son min et lui donna l'ordre de prendre quelque argent dans une saohe ividd'iuln nlv la sacoh, qui contenait une somme de 4,000 francs, et se ria.ert Le consul d'Autriche sest rendu Vizzavona et a pris des sres avec les autorités administratives t judiciaires ne vue de l'arrestation des voleurs. La Soirée d'hier LA I VOLEE LE DANGER ET LES YEUX CLOS. 'de d'e à l'Odéon. M Ginisty a éutovr l vrai type de jenes pour son hr Un or Et, triomphe pharisaiquement, s avons été donné ce chef-d'œuvre du pauvre t grand Villiers de l'Isle-Adam; La Récolte. En entendant chaque phrase du aemrd admirable saluée de bravos enthousiastes, il n'était dlrx d penser que de tels succès nt le trépas pour se produire. Jamais les confrères ne srnt vraiment justes qu'envers les monuments funèbres et cest slmnt après la tmro qu'ils aiment à prédire un bel avenir. révlt de cette femme de négociant qui veut enfin s'évader de livres du commerce qu'elle tient depuis dix ans et après une nuit d'inventaire, tous ompes remis à son mari, bonne brute commerçante, part pour le pays beu, est la plus poignante lutte qui se puisse voir ntr srioeuiobge et la poésie. Quelle parfum ou lqelue ironie aux mille liqueurs de la femme, e quelle merveilleuse bêtise de sens commun à celles du mari. Nll invention d
théâtre. Un mort. Et, triomphe pharisaiquement, nous avons été donné ce chef-d'œuvre du pauvre et grand Villiers de l'Isle-Adam; La Récolte. En entendant chaque phrase du drame admirable saluée de bravos enthousiastes, il n'était douloureux de penser que de tels succès attendent le trépas pour se produire. Jamais les confrères ne seront vraiment justes qu'envers les monuments funèbres et c'est seulement après la mort qu'ils aiment à prédire un bel avenir. La révolte de cette femme de négociant qui veut enfin s'évader des livres du commerce qu'elle tient depuis dix ans et après une nuit d'inventaire, tous comptes remis à son mari, bonne brute commerçante, part pour le pays bleu, est la plus poignante lutte qui se puisse voir entre la bourgeoisie et la poésie. Quelle parfum ou quelle ironie aux mille liqueurs de la femme, et quelle merveilleuse bêtise de sens commun à celles du mari. Nulle invention de dramaturge patentée ne vaut la tristesse du retour, quand, découragée de sa tentative risquée trop tordue, la prisonnière revient la nuit même, reprendre la chaîne incassable que la vie lui forge. L'Odéon a bien agi en rendant cet hommage posthume, comme tous les hommages vraiment mérités, mais il appartient au Théâtre-Français, dès que M. Pailleron y aura mené son Bien Enterrement, d'inscrire la Révolte à son répertoire. Oui donc a dit qu'Antoine n'était plus à l'Odéon? Je l'ai bien reconnu au jeu de M. Gémier, parfait dans le rôle du mari. Mme Segond-Weber dresse fièrement la figure de la femme et lui donne une heureuse habileté de diction. Le Danger, trois actes de M. Arnault, un débutant dont le talent de théâtre sourit dans la confection des comptes rendus parlementaires, a, tout d'une voix, été qualifié de distingué. Satanée distinction! Tout est fin, délicat, subtil, tout en demi-teintes, en nuances indécises, en sous-entendus discrets, dans cette aimable charade pour salons faiblement éclairés. Tant de gracilité est parfois le pire danger au théâtre. Il y a quelque peu paru hier. Le séduisant de Morannes songe à utiliser en se mariant les forces qu'il a reconquises sur la maladie avec l'aide du
théâtre. nU mort. Et, triomphe pharisaiquement, nous an été donné ce chf-d'œvr d pauvre et grnd Villiers l'Isle-Adam; La Récolte. En dennntate cq phrs du drame admirable saluée de bravos enthousiastes, il n'étt uoure de serpne que de tels succès attendent le trépas pour se produire. Jamais les scnrèfeor ne srnt vraiment justes q'nvrs les monuments funèbres et c'est seulement après la mort qu'ils aiment à prédire un bel avenir La révolte de cette femme de négcnt qui veut enfin 'évader des livres du commerce qu'elle tient depuis x ans t après une nuit d'inventaire, tous comptes remis son mari, bonne ut commerçante, part pour le pays bleu, e la plus poignante lutte qui se puisse voir entre la ougeoi et la poésie. Quelle parfum ou quelle ironie aux mille liqueurs d la e,mmfe et qll merveilleuse bêts de sens commun à celles du mari. Nulle nveno de dramaturge patentée ne vaut l ese du retour, nd, découragée de sa tentative risquée trop tordue, la prisonnière revient l nuit même reprendre la chaîne aacsebnisl que la vie lui forge. ndéOoL' bien agi en rendant cet hommage posthume, comme tous les hommages vraiment mérités, ms il aaiet u Théâtre-Français, dès que M. Pailleron y aura mené son Bien Enrent, d'inscrire la Révolte à son répertoire. Oui donc a dit qu'Antoine éai ulps à 'éo? Je l'ai bien reconnu au jeu de M Gémier, parfait dns l rôle du mari. Mme Segond-Weber drss fèrmnt la figure de la femme et lui odenn une heureuse habileté d diction. Le Danger, trois actes de M. Arnault, un débutant dont le tn de théâtr sourit asdn l cnfctn des comptes srndeu parlementaires a, t d'une été qualifié de dstngé. Satanée distinction! Tout est fin, délicat, sbtl, tuto n demi-teintes, en nuances indécises, en sous-entendus discrets, das cette aimable charade pour salons faiblement éclairés. Tant de gilié st parfois le pire danger au théâtre. Il y quelque p paru hr. Le séduisant de Morannes songe utiliser en se mariant les forces quil a reconquises su la malae avec l'aide du
Théâtre-Français, dès que M. Pailleron y aura mené son Bien Enterrement, d'inscrire la Révolte à son répertoire. Oui donc a dit qu'Antoine n'était plus à l'Odéon? Je l'ai bien reconnu au jeu de M. Gémier, parfait dans le rôle du mari. Mme Segond-Weber dresse fièrement la figure de la femme et lui donne une heureuse habileté de diction. Le Danger, trois actes de M. Arnault, un débutant dont le talent de théâtre sourit dans la confection des comptes rendus parlementaires, a, tout d'une voix, été qualifié de distingué. Satanée distinction! Tout est fin, délicat, subtil, tout en demi-teintes, en nuances indécises, en sous-entendus discrets, dans cette aimable charade pour salons faiblement éclairés. Tant de gracilité est parfois le pire danger au théâtre. Il y a quelque peu paru hier. Le séduisant de Morannes songe à utiliser en se mariant les forces qu'il a reconquises sur la maladie avec l'aide du docteur Boisset, son ami d'énfance. Mais Mme Boisset voit ce projet avec un effroi désespéré. Elle aime de Morannes et le tout de suite s'emploie à empêcher son union avec Glaire Chanteau, la jeune fille choisie, en lui montrant le danger d'épouser ce séduisant, condamné à l'inconstance par ses agréments mêmes. Claire a pourtant le cœur plein de M. de Morannes, mais Mme Boisset interroge si habilement ce cœur, qu'elle lui fait avouer un sentiment tendre pour un certain M. Devaux, brave jeune homme, type de ce à quoi rêvent les beaux-pères et non pas les jeunes filles. C'est d'ailleurs le seul gendre qui pourrait convenir à Chanteau père, très atteint de la maladie dénommée par Scribe: la jalousie paternelle. Morannes qui a senti la puissance de la tendresse de Mme Boisset, s'aperçoit que, seule, elle est l'aimée; en vain essaie-t-il de s'éprendre de sa fiancée, -il ne peut plus disposer de lui-même et s'abandonne forcément à son unique amour, qu'il laisse pour l'avoir plus beau. Claire épousera Devaux. Peut-être a-t-elle deviné le secret de Mme Boisset, et peut-être... mais nous n'en finirions pas avec les peut-être de cette façon de pièce. L'écriture y est recherchée, souvent poétique avec de
Théâtre-Français, dès que . Pailleron y aura mené son Bein Eneremen, d'inscrire la Révolte à son répertoire. Oui donc a dit q'ntn nétait plus à l'Odéon? Je l'ai bien reconnu au jeu ed M. Gémier, parfait dans le rôle du mari. Mme Segond-Weber drsse fmet la fgr de la femme et li donne une heureuse habileté de diction. Le Danger, trois actes de M Arnault, un débutant le atelnt de théâtre sourit dans la confection des comptes rendus plemeair, , tout d'ue voix, été qualifié de distingué Satanée distinction! out est fin, délicat, ,lsubti tout en demi-teintes, en nuances indécises, en sous-entendus discrets, dans cette aimable ca ropu laossn fblmnt clré. Tnt de gracilité st parfois le pr danger au théâtre l y quelque peu paru hier. Le séduisant de Morannes songe à utiliser n se mrin les forces qu'il reconquises sur la maladie avec laide du docteur Boisset, son ami d'énfance. Mais Mme Boisset o ce projet avec un ffr désespéré. Elle m de Morannes et le tout d suite s'emploie à mpêchr son nn avec Glaire Chnt, la jeune fille choisie, en lui montrant le danger d'épsr ce séduisant, condamné à l'inconstance par agréments mêmes Clr a pourtant le cœur plein de M. de Morannes, mais Mme Boisset nogtierre si habilement ce cœr, 'ee u ft avouer un sentiment tndr pour un certain M Devaux, brave jeune homme, type de c à quoi êt les bx-pèrs et non pas les jeunes filles. C'est d'ilurs le seul gendre qui pourrait cnvnr Chnt père, très atteint de la maladie dénommée par Scribe: la jalousie ptrnll. Morannes qui a senti la puisac de la tendresse de Me Bsst, 'aperçoit que, seule, elle est l'aimée; en vain essaie-t-il de s'éprndr de sa fncé, -il ne peut plus spser de lui-même et 'abandonne forcément à son unique mr, q'l laisse pour lavoir plus beau. Clr épousera Devaux. Peut-être a-t-elle deviné le secret de Mme Biset, et tee-u.ptê.r. ms ns nen finirions ps avec les peut-être de cette fan ed pièce. L'écriture y est recherchée, souvent poétique vc de
mêmes. Claire a pourtant le cœur plein de M. de Morannes, mais Mme Boisset interroge si habilement ce cœur, qu'elle lui fait avouer un sentiment tendre pour un certain M. Devaux, brave jeune homme, type de ce à quoi rêvent les beaux-pères et non pas les jeunes filles. C'est d'ailleurs le seul gendre qui pourrait convenir à Chanteau père, très atteint de la maladie dénommée par Scribe: la jalousie paternelle. Morannes qui a senti la puissance de la tendresse de Mme Boisset, s'aperçoit que, seule, elle est l'aimée; en vain essaie-t-il de s'éprendre de sa fiancée, -il ne peut plus disposer de lui-même et s'abandonne forcément à son unique amour, qu'il laisse pour l'avoir plus beau. Claire épousera Devaux. Peut-être a-t-elle deviné le secret de Mme Boisset, et peut-être... mais nous n'en finirions pas avec les peut-être de cette façon de pièce. L'écriture y est recherchée, souvent poétique avec de jolis couplets, mais la poursuite du mot rare conduit parfois l'auteur à des expressions impropres, qui font rire le public. Ainsi se vengent les vocables trop tourmentés. Quelques scènes délicieuses, telle celle de l'aventure déguisée de Morannes à Mme Boisset et l'entretien de la femme et de la jeune fille ont percé les pénombres de cette œuvre distinguée, pour le moins autant que M. Crozier. Dieudonné (Chanteau) et Mlle Mylo d'Arcille (Glaire), mis à part du bon côté, l'interprétation est d'une mollesse plus rare encore que les mots du dialogue. À la demi-teinte ajouter la sourdine, c'est par trop de délicatesse. Los Yeux clos, japonaiserie d'après la légende de M. Régamey et le conte de Bouffiers, l'Oculiste, nous raconte une histoire de rabaïs de charges et de M. Michel Carré, l'histoire d'un amant qui, renoncant à invoquer les déesses pour guérir son amante aveugle, a recours à un savant qui tout de suite rend la vue à la belle. Hélas! les êtres et les choses paraissent à la voyante beaucoup moins beaux que les croyait l'aveugle; son amant lui-même déçoit son rêve, et le pauvre homme est trop heureux quand sa maîtresse, après un sommeil dont il remercie la divinité,
mêmes. Claire a pourtant le cœur plein de M. de Morannes, mais Mme Boisset interroge s habilement c cœur, 'leeulq lui fait avouer un sentiment tedr pour un certain .M Devaux, brave jeune homme, type de ce à quoi rêvent les beaux-pères et non pas les jeunes filles. C'est dailleurs le seul gendre qui pourrait convenir à Chanteau père, très atteint de la maladie dénommée par Scribe: la jalousie paternelle. Morannes qui a senti la puissance de la tendresse de Mm Boisset, s'aperçoit ,qeu seule, e est l'aimée; en vain esaie-tl de s'éprndr de sa fiancée, -il peut plus disposer de lui-même t s'abandonne céet à nq amour, ql iseasl pour lavoi plus beau. Claire épousera vaux Peut-être a-t-elle deviné le secret de Mme Boisset et peut-être... mais ou nen fnrns pas avec les peut-être de ctt façon d pièce L'écriture y est recherchée, souvent poétique caev de jls couplets, mais la poursuite du mot rare conduit parfois l'auteur à des expressions impropres, uiq font rire le public. Ainsi se vengent les vocables trop tourmentés. Quelques scèns délcss, telle ellec de l'aventure déguisée de Mseronna à Mm ssBetoi et lentretien de la femme et de la jeune fille ont percé s pénombres de cette œuvre dstngé, pour l moins autant ue M. Crozier. Dieudonné (Chanteau) et Mlle Mylo d'Arcille (Glaire), m à part du bon côté, l'interprétation est d'n mollesse plus rare ecor que les mots du uo.dilgae À la dm-tnt ajouter la sourdine, c'est par r de délicatesse. Ls Yeux clos, japonaiserie daprès la légende de M. Régamey et le ne de Bouffiers, 'Oculiste, nous raconte une hstr de rabaïs de chrgs et de M Michel Crré, l'hstr d'un amant qui, renoncant à invoquer les seeséds pour guérir son amante aveugle, a recours à un savant uqi tout de suite rend la vue à l belle. Hélas! les êtres et les choses pasnt à la voyante beaucoup mns beaux q les croyait 'vegl; son amant lui-même déçoit sn rêve, t le pauvre homme est trop heureux quand a maîtresse, après un sommeil dont il remercie la divinité,
ont percé les pénombres de cette œuvre distinguée, pour le moins autant que M. Crozier. Dieudonné (Chanteau) et Mlle Mylo d'Arcille (Glaire), mis à part du bon côté, l'interprétation est d'une mollesse plus rare encore que les mots du dialogue. À la demi-teinte ajouter la sourdine, c'est par trop de délicatesse. Los Yeux clos, japonaiserie d'après la légende de M. Régamey et le conte de Bouffiers, l'Oculiste, nous raconte une histoire de rabaïs de charges et de M. Michel Carré, l'histoire d'un amant qui, renoncant à invoquer les déesses pour guérir son amante aveugle, a recours à un savant qui tout de suite rend la vue à la belle. Hélas! les êtres et les choses paraissent à la voyante beaucoup moins beaux que les croyait l'aveugle; son amant lui-même déçoit son rêve, et le pauvre homme est trop heureux quand sa maîtresse, après un sommeil dont il remercie la divinité, se réveille aveugle et croit avoir fait un affreux cauchemar. La voilà bien, la faute de la science. Cette petite fable, au sujet ingénieux, montre que l'idée d'une chose vaut mieux que la chose même et qu'il n'y a même des pièces dans ce cas. Témoignage d'admiration à l'Odéon pour son luxe. Au salon planté de cornets de bois, le docteur Boisset, à l'ameublement anglais style et au smoking de M. Hameau, on a bien vu que nulle élégance n'était inconnue au théâtre sénatorial. Charles Mariai. SÉNAT Séance du décembre 1896 À trois heures un quart la séance est déclarée ouverte par M. Loubet, président. Après avoir entendu la lecture du procès-verbal de la dernière séance, le Sénat adopte un certain nombre de projets de lois d'intérêt local. Puis, à l'unanimité, sans discussion, il ouvre au ministère de l'intérieur, sur l'exercice 1896, un crédit supplémentaire de 315,000 francs. Enfin, suivant la demande de la commission, la deuxième délibération sur la proposition de loi de M. Jules Godin et plusieurs de ses collègues, sur la compétence des juges de paix, est ajournée à la prochaine séance, vendredi. Informations Parlementaires Un incident survenu, pendant la suspension de séance d'hier matin, entre MM.
ont percé les pénombres de cte œuvre distinguée, pour le moins autant que M. Crozier. Dieudonné Chanta) et Mlle Mylo d'Arcille (Glaire), mis à part du bon ôé étnanpoi'iterrtl est d'une mollesse plus rr encore que les mots du dialogue. À la demi-teinte ajouter la sourdine, cest par trop de délicatesse. Los Yeux clos, japonaiserie d'près la légende d M. Régamey et le conte de Bouffiers, l'Oculiste, nous raconte une histoire de saïabr de charges et d M. Michel Carré, 'isoie d'un amant qui, renoncant à invoquer les dss pour guérir son eantma aveugle, a recours à un savant qui tout de suite rend la vue à la belle. Hélas! les êtres et les choses paraissent à l voyante beaucoup moins bx que ls croyait l'aveugle; son amant lui-même dit son rêve, et le pauvre homme est trop heureux qu sa maîtresse, après un sommeil dont il remercie la divinité, se réveille aveugle et croit avoir fait un ffrx cauchemar. La voilà bien, la faute de la ienc.ecs Cette petite fable, au sujet inénex montre que l'idée d'une chose vaut mieux que la chose même e qu'il n'y a même des pièces dans ce cas. Témoignage d'admiration l'don pour n luxe. Au salon planté cornets de bois, le docteur Boisset, l'ameublement anglais style et au smoking de .M Hameau, on bien vu que nulle élégance n'était inconnue au théâtre aroinlta.és Chrls Mariai. SÉNAT Sénc d décmbr 1896 À trois hre un quart la séance est déclarée ouverte pa M. Loubet, présdnt. Après aoi entendu la lctr du procès-verbal de la dernière séance, le Sénat adopte un ctai nombre de projets ed lois d'intérêt local Puis, l'nnmté, sans discussion, il ouvre au ministère de l'intérieur, sur l'exercice 1896, nu crédit supplémentaire 315,000 francs. Efin, suivant la demande de la commission, la dxèm délibération sur la proposition de loi de M. Jules Godin et plusieurs de ses collègues, sur la compétence des gseju de paix, est ajournée à la prochaine séance ndr Informations Parlementaires n incident survenu, pendant la suspension de sénc d'hr matin, entre MM.
son luxe. Au salon planté de cornets de bois, le docteur Boisset, à l'ameublement anglais style et au smoking de M. Hameau, on a bien vu que nulle élégance n'était inconnue au théâtre sénatorial. Charles Mariai. SÉNAT Séance du décembre 1896 À trois heures un quart la séance est déclarée ouverte par M. Loubet, président. Après avoir entendu la lecture du procès-verbal de la dernière séance, le Sénat adopte un certain nombre de projets de lois d'intérêt local. Puis, à l'unanimité, sans discussion, il ouvre au ministère de l'intérieur, sur l'exercice 1896, un crédit supplémentaire de 315,000 francs. Enfin, suivant la demande de la commission, la deuxième délibération sur la proposition de loi de M. Jules Godin et plusieurs de ses collègues, sur la compétence des juges de paix, est ajournée à la prochaine séance, vendredi. Informations Parlementaires Un incident survenu, pendant la suspension de séance d'hier matin, entre MM. Berteaux et Saumande n'a pas eu de suites. Le régime des sucres La commission des douanes a adopté en principe un contre-projet de M. Levecque qui propose, pour faire face aux primes : 1° Une surtaxe de 2 fr. 50 à la consommation; 2° Un droit de statistique de 1 fr. 75 sur les sucres raffinés et candis; 3° Un droit de statistique de 1 franc sur les sucres bruts livrés à la consommation. Une proposition de M. Rose, tendant à la "suppression de l'admission temporaire pour les sucres étrangers, a été repoussée ainsi que l'amendement de M. Trannoy sur le même objet. La commission, avant de prendre une décision définitive, entendra MM. Méline, président du conseil ; Cochery, ministre des finances, et Boucher, ministre du Commerce. M. Lockroy et la marine La commission du budget a entendu, cet après-midi, M. Lockroy au sujet du budget de la marine. Au cours de cette audition qui a duré deux heures, l'ancien ministre de la marine a longuement exposé la situation de notre matériel naval. S'appuyant sur les rapports des amiraux commandant les escadres, des protêts maritimes, du conseil des travaux et du directeur du matériel au ministère, M. Lockroy a insisté
o luxe. Au salon planté de cornets de bois, le dctr Boisset, à l'mblmnt anglais style et au smkng de M. Hameau, on a bien vu que nulle élégnc 'était inconnue au théâtre éntoril. Charles Mariai. SÉNAT Séance décembre 1896 À trois heures un quart la séance est déclarée vrt par M Loubet, présdnt. Ars avior entendu la lecture du procès-verbal de la rnièr éane, le Sénat adopte un certain nombre de projets lois d'intérêt local. Puis, à l'unanimité, sans discussion, il ouvre ua ministère de l'ntérr, sur l'exercice 1896, crédt supplémentaire de 315,000 francs. Enfin, suivant al demande de la commission, la deuxième délibération sr la proposition de l de M. Jules Gdn et plusieurs d ses collègues, sur la compétence des juges de paix, est ajournée à la prochaine séance, vendredi. Inftin Parlementaires Un idet survenu, pendant la suspension de séance d'hr matin, entre MM. Berteaux et Saumande na pas eu de issu.et Le régime des sucres L commission des dns a adopté n principe n contre-projet de M. Levecque qui propose, pour faire face au prms : °1 n surtaxe de 2 fr. 50 à la ncoist;oomman 2° Un droit de statistique 1 fr. 75 sur les sucres raffinés et candis; 3° n droit d statistique de 1 franc sur s ss bruts livrés à la consommation. Une proposition de . Rose, tndnt à la "suppression madi'lsison temporaire pour les sucres trans a été repoussée ns que l'amendement de M. Trannoy sur le me bjt. aL omiio avant de prendre une décision définitive, entendra MM Méline, président du conseil ; eyoCrh,c ministre des finances, t Boucher, ministre du Commerce. M Lockroy et la meiran a sinimosmoc du budget a entendu ce après-midi, M. Lockroy a sujet du budget de la marine. Au cours de cette audition qui a duré deux heures, l'ancien ministre e la mrn a ouee xpsé la situation d notre matériel naval. S'ppynt sur les rapports des mrx cmmndnt les reeda,css des protêts maritme, du cilsone de travaux et du directeur du matériel au ministère, .M Lckry a insisté
fr. 75 sur les sucres raffinés et candis; 3° Un droit de statistique de 1 franc sur les sucres bruts livrés à la consommation. Une proposition de M. Rose, tendant à la "suppression de l'admission temporaire pour les sucres étrangers, a été repoussée ainsi que l'amendement de M. Trannoy sur le même objet. La commission, avant de prendre une décision définitive, entendra MM. Méline, président du conseil ; Cochery, ministre des finances, et Boucher, ministre du Commerce. M. Lockroy et la marine La commission du budget a entendu, cet après-midi, M. Lockroy au sujet du budget de la marine. Au cours de cette audition qui a duré deux heures, l'ancien ministre de la marine a longuement exposé la situation de notre matériel naval. S'appuyant sur les rapports des amiraux commandant les escadres, des protêts maritimes, du conseil des travaux et du directeur du matériel au ministère, M. Lockroy a insisté sur les défectuosités du matériel existant, sur l'insuffisance de nos escadres et de notre défense mobile. M. Lockroy avait préalablement informé la Commission qu'il ne voulait lui faire aucune révélation personnelle et qu'il ne baserait son exposé que sur des rapports officiels indiscutables. Comme conclusion à cet exposé, M. Lockroy propose, ainsi que nous l'avons dit, de doter chaque chapitre des "constructions navales" du budget de la marine pour 1897 d'un crédit de millions amorce d'un crédit total de 200 millions à répartir sur quatre exercices. La commission a décidé de garder secrètes les explications de M. Lockroy, qui intéressent la défense nationale. Elle a décidé en outre d'entendre, au sujet des crédits demandés par l'ancien ministre, le président du conseil et les ministres des finances et de la marine. LES ASSASSINS DES CONSEILLERS LÉVY La condamnation de Warner et Grosso. Berlin, décembre. — Les assassins des conseillers de justice Levy ont été jugés aujourd'hui. Les prévenus Werner et Grosso ont été condamnés conformément à la requête du procureur du roi à la peine la plus sévère qui soit admise par la loi, c'est-à-dire à quinze ans de prison. Les deux défenseurs nommés d'office avaient déclaré dans leurs plaidoiries qu'ils
fr. 75 sur les sucres raffinés et candis; 3 Un droit de statistique de ac sur les sucres sutrb livrés à al consommation. Une proposition M. Rose, tendant à la "suppression de l'admission temporaire pour les sucres étrangers, a été repoussée isani que lamendement de M. Trannoy sur el même ojt. La commission, vant de prendre une décision définitive, entendra MM. Méline, président du onsel ; Cochery, ministre ds fnncs, et Boucher, ministre du Commerce. M. Lockroy et l marine La commission du budget ntnd, cet après-midi, M. Lckry au sujet du budget de la marine u de ttcee audition qui a duré xude heures, 'n mnstr de la marine longuement exposé l situation de notre matériel nvl. S'appuyant sur les rapports des amiraux commandant les escadres, des protêts maritimes, du l des vux et du directeur du mtéi au ministère, M. croyokL a insisté sur le défectuosités du matériel existant sur l'insuffisance d ns escadres et de notre défns mobile. M Lockroy avait préalablement informé la Commission qu'il ne vlt lui faire aucune révélation eenerlnposl et qu'i ne baserait son exposé que sur des rapports officiels indiscutables. Comme conclusion à cet exposé, M. Lockroy propose ainsi que nous lavons dit, de doter chaque athepric "cntucin nvls" du budget de la marine pour 1897 d'un crd de mllns amorce crédit total de 200 millions à répartir sr quatre exercices. La cmmssn a décidé de garder esrscteè les explications de M. kr, qui ntérssnt la défense nationale Elle a décidé en outre d'ntndr, sujet des crédits demandés pra l'ancien ministre, le président du conseil et les ministres des finances et de la mrn. LES ASSASSINS DES CONSEILLERS YÉLV La condamnation de Warner et Grosso. Berlin, décembre. — Les assssnias des conseillers de justice Levy ont été jugés aujourd'hui. Les éevsrpun erner et Grosso nt été condamnés coforéet à la requête d procureur du roi à la peine la plus sévère qui soit admise pr la loi, c'est-à-dire à euiqzn ns de prison. Ls deux défenseurs nommés d'office vnt déclaré dans leurs plaidoiries qu'ils
propose, ainsi que nous l'avons dit, de doter chaque chapitre des "constructions navales" du budget de la marine pour 1897 d'un crédit de millions amorce d'un crédit total de 200 millions à répartir sur quatre exercices. La commission a décidé de garder secrètes les explications de M. Lockroy, qui intéressent la défense nationale. Elle a décidé en outre d'entendre, au sujet des crédits demandés par l'ancien ministre, le président du conseil et les ministres des finances et de la marine. LES ASSASSINS DES CONSEILLERS LÉVY La condamnation de Warner et Grosso. Berlin, décembre. — Les assassins des conseillers de justice Levy ont été jugés aujourd'hui. Les prévenus Werner et Grosso ont été condamnés conformément à la requête du procureur du roi à la peine la plus sévère qui soit admise par la loi, c'est-à-dire à quinze ans de prison. Les deux défenseurs nommés d'office avaient déclaré dans leurs plaidoiries qu'ils n'avaient rien à dire en faveur des accusés. Ces derniers ont déclaré qu'ils subissaient une condamnation. Conversations Téléphoniques Un rapport intéressant. — Le réseau téléphonique français — Réformes urgentes, — L'exemple de la Suisse Dans les nombreux et volumineux documents parlementaires — preuve matérielle de l'assiduité et de l'activité de nos honorables et que, malheureusement nous ne lisons pas toujours avec l'attention qu'ils méritent — il y a toujours quelque chose d'intéressant à glaner, même pour le public. C'est ainsi que, dans le travail de M. Vogeli, député, membre de la commission du budget, sur le service des postes, télégraphes et téléphones, je trouve des renseignements très attachants sur la question spéciale des communications téléphoniques. Ceci intéresse à peu près tout le monde, la communication téléphonique étant à l'heure actuelle entre dans la pratique générale et chacun ayant chez nous, à s'en plaindre plus ou moins — plutôt plus que moins. Pourtant en dépit de ses imperfections de service légendaires, et des récriminations — devenues lieux communs à force d'être générales et répétées — que soulève son exploitation chez nous, le téléphone a fait en France et à Paris surtout de très rapides progrès. De 7,517 postes privés que possédait
roe, ns que nous l'avons dit, de oter chaque chapitre ds "constructions nvls" du budget d la marine pr 1897 d'un crédit de millions amorce d'un crédit total de 200 millions à répartir sur ae exercices. La commission a décdé de garder secrètes les epictos de M. Lockroy, qui intéressent la défense ntnl. Elle a décdé en outre d'entendre, a sujet des crédits demandés par l'ncn ministre, le président du conseil et ministres des finances et d la marine. LS ASSASSINS DES CONSEILLERS LÉVY La condamnation de Warner Grosso. Bern décembre. — Les assassins conseillers de justice Levy nt été jugés aujourd'hui. Les prévenus Werner et Grosso ont été ans conformément la requête du ur du roi à la peine la plus sévère qui soit admise pa lo c'est-à-dire à quinze an de prsn. Les deux défenseurs nommés d'office avaient déclaré dans lrs plaidoiries qu'ils n'avaient rien à dire en faveur des sc.caués Ces derniers ont déclaré qu'ils subissaient une condamnation. Cnrn huipqToslénée Un rpprt intéressant. — Le réseau téléphonique français — Réfrms urgentes, — L'exemple de la Suisse Dans les nombreux et volumineux documents parlementaires — preuve matérielle d ltsédusi'ai et e l'activité de nos honorables et que, malheureusement nous ne lisons pas toujours avec l'attention qu'ils méritent — il y a toujours quelque chse 'intéressant à glaner, même pour le public. C'est ainsi que, dans le travail e M. Vogeli, député, membre de la commission du budget, sur le srvc ds postes, télégraphes et téléphones, je trouve des renseignements très attachants sur la question spéciale des cmmnctns téléphoniques. Ceci intéresse à peu près tout le monde, la communication téléphonique étant à l'heure actuelle entre dans la pratique générl et chacun ayant chez nous, à 'en plaindre plus ou mns — plutôt plus que moins. Pourtant n dépit de ses imperfections de service légendaires, et ds récriminations — devenues lieux cmmns à frc d'être générales et répétées — que soulève son exploitation chez nous, le téléphone fait en France et à Paris surtout de très rapides prgrès. De 7,517 postes privés q possédait
nos honorables et que, malheureusement nous ne lisons pas toujours avec l'attention qu'ils méritent — il y a toujours quelque chose d'intéressant à glaner, même pour le public. C'est ainsi que, dans le travail de M. Vogeli, député, membre de la commission du budget, sur le service des postes, télégraphes et téléphones, je trouve des renseignements très attachants sur la question spéciale des communications téléphoniques. Ceci intéresse à peu près tout le monde, la communication téléphonique étant à l'heure actuelle entre dans la pratique générale et chacun ayant chez nous, à s'en plaindre plus ou moins — plutôt plus que moins. Pourtant en dépit de ses imperfections de service légendaires, et des récriminations — devenues lieux communs à force d'être générales et répétées — que soulève son exploitation chez nous, le téléphone a fait en France et à Paris surtout de très rapides progrès. De 7,517 postes privés que possédait à Paris, en 1890, l'ancienne administration des téléphones, on est arrivé, en 1895, à près de 18,000, ce qui donc, en six ans, une augmentation de plus de 10,000; ce qui, comparé aux 7,600 abonnés primitifs, donne une augmentation de 133 0/0 et non, — soit dit en passant — de 185 0/0, comme on l'a imprimé dans le rapport de M. Vogeli. Pour toute la France, il existe près de 34,000 postes privés. Pour considérable que soit cette progresion, elle apparaît d'ailleurs bien meschine quand on la compare aux résultats obtenus chez nos voisins. C'est ainsi que l'Allemagne possède plus de 100 000 postes téléphoniques, et que la Suisse compte plus de 20;000 abonnés au téléphone, alors que la France, pour une population plus de dix fois supérieure, n'en a que 30,000. Bien mieux, le nombre des conversations échangées en Suisse atteint annuellement 115 millions, alors qu'il atteint à peine 75 millions dans notre beau pays. La cause de cette infériorité, chacun de nous l'a sur les lèvres, elle est flagrante; elle réside uniquement dans ce fait que le téléphone est plus cher en France que partout ailleurs. A cette situation, M. Vogeli propose un remède dont l'efficacité est
ns honorables t que, mlhrsmnt nous ne lisons pas tjrs avec l'attention qu'ils méritent — il y a toujours qlq ce 'intéressant à glaner, même pour le public. Cest as que, dans le travail ed M. Vogeli, u, membre de la commission du budget, sur le service des postes télégraphes et téléphones, je trouve des renseignements très attachants sur l question spéciale des ommuatn téléphoniques. Ceci intss à peu près tout le monde, la communication téléphonique étant à lheure actuelle ntr dans la pratique générale et chacun ayant chez nous, à sen plaindre plus ou moins put plus que moins Pourtant en dépit de ses imperfections de service légendaires, et des récriminations — devenues lieux communs à frc d'être générales et répétées — que èsoveul son exploitation chez nous, le téléphn a fait en rnce et à Paris uuttors de très rapides progrès. De 7,517 postes privés q posédai à Paris, ne 1890, l'ancienne administration es téléphns, on est arrivé, en 1895 à près de 18,000, ce qui ,cond e s ans, une augmentation de plus de 10,000; ce q, pracémo aux 7,600 oné pim donne une augmentation de 133 0/0 te non, — soit d en asn — de 185 0,/0 oemcm no la imprimé dans le aorprpt de M. Vogeli. Pour toute la France, il existe près de 34,000 postes prvés. ur considérable que st cette ,ponrreigos elle apparaît d'ailleurs bien meschine qnd on la compare aux résultats obtenus chez ns vsns. 'est ainsi uqe lleage possède plus de 100 000 psts téléphoniques, et que la Suisse compte pl de 20;000 abonnés au téléphn, lrs que la France pour une population plus d dix fois supérieure, enn' que 30000 Bien mieux le nombre eds conversations échangées en Suisse atteint annuellement 115 millions, lrs quil ttnt peine 75 mllns dans notre beau pays. La cs de cette infériorité, chacun de nous l'a sur ls lèvrs, elle est flgrnt; elle réside uniquement dans ce fait que le téléphone est plus cher en France ue prtt ailleurs. A cette situation M. Vogeli propose un rmèe dont l'efficacité est
de 185 0/0, comme on l'a imprimé dans le rapport de M. Vogeli. Pour toute la France, il existe près de 34,000 postes privés. Pour considérable que soit cette progresion, elle apparaît d'ailleurs bien meschine quand on la compare aux résultats obtenus chez nos voisins. C'est ainsi que l'Allemagne possède plus de 100 000 postes téléphoniques, et que la Suisse compte plus de 20;000 abonnés au téléphone, alors que la France, pour une population plus de dix fois supérieure, n'en a que 30,000. Bien mieux, le nombre des conversations échangées en Suisse atteint annuellement 115 millions, alors qu'il atteint à peine 75 millions dans notre beau pays. La cause de cette infériorité, chacun de nous l'a sur les lèvres, elle est flagrante; elle réside uniquement dans ce fait que le téléphone est plus cher en France que partout ailleurs. A cette situation, M. Vogeli propose un remède dont l'efficacité est démontrée par l'expérience suisse : c'est de substituer à la taxe fixe d'abonnement avec conversations illimitées le système des faibles redevances avec conversations taxées. C'est-à-dire qu'au lieu de payer 400 francs par an, comme à Paris ou 300 et 200 dans les autres villes, on ne paierait qu'une redevance fixe insignifiante et chaque conversation serait payée part. Cette conception est à la logique même, en principe du moins, et il semble que tout le monde doive s'en bien trouver. Avec le mécanisme de l'abonnement fixe, très cher, mais à usage illimité on restreint forcément le nombre de abonnés, tout en permettant de multiplier les conversations, et, par conséquent, les embarras du service. La cotisation est la même, qu'on le remarque, qu'il s'agisse d'un cercle, d'un grand magasin, d'un café ou d'un simple particulier, et cependant que de différence dans la quantité des services demandés à l'appareil pour chacun de ces cas particuliers, et dès lors, que d'injustice dans la taxation ! Celui qui fait de son appareil un usage modéré — c'est le cas de la majorité des particuliers — arrive à faire trois cents conversations par an au plus et, pour Paris, chacune d'elles ressort, dès lors, à un
de 185 0/0, comme n l'a imprimé dans le rapport de M. Vogeli. Pr toute la Frnc, il seitex près de 34,000 postes privés. Pour considérable qeu soit cette progresion, elle apparaît dailleurs bien meschine qadun on la cmpr u résultats obtenus n voisins. Cest ainsi q l'Allemagne possède plus d 100 000 postes téléphoniques, et que la Suisse compte plus de 20;000 abonnés au téléphone, rolsa ueq la France, pour une ppltn plus de dix fs supérieure n'en a que 30,000. Bien mieux, nombre des conversations échangées en Sss atteint annuellement 115 mllns, oslar qu'il tn à peine 75 millions dns notre beau pays. La cs de ctt infériorité, chcn d nous 'a sur les lèvres, elle est flagrante; elle réside uniquement dans ce fait que le téléphone ets plus cher en France que partout ailleurs. A cette taton M. Vogeli propose un remède dont l'efficacité est dme par l'expérience suisse : c'st de substituer à la ae fixe d'abonnement avec conversations illimitées le système des abs redevances avec conversations taxées. C'est-à-dire quau lieu de pyr 040 francs par an comme à asriP ou 300 et 0 dans les autres villes, on ne paierait qu'une redevance fixe insignifiante et chaque conversation serait payée part. Cette conception st à la liue même, en pni du moins, et il eelmsb que tout le monde doive e bien trouver. Avec le mécanisme d l'bnnmnt fx, très cher, mais à usage illimité on restreint forcément le nombre de abonnés, tout en permettant de multiplier les conversations, t, pr conséquent les abarersm du service. La cotisation st la mêm, qu'on le marqe, qu'il 'agisse d'un cercle, grand magasin, d'un café d'un smpl particulier, et cependant que de différence dns la quantité des services demandés à 'pal pour chacun de ces cas particuliers, et dès lors, que 'injustice dans la taxation ! Celui qui fait de son apaei un usage modéré — cest le cas de la majoitér des iuiastlrpcer — arrive à faire trois cents conversations par an au plus et, ur Paris, chacune d'elles ressort, , à un
insignifiante et chaque conversation serait payée part. Cette conception est à la logique même, en principe du moins, et il semble que tout le monde doive s'en bien trouver. Avec le mécanisme de l'abonnement fixe, très cher, mais à usage illimité on restreint forcément le nombre de abonnés, tout en permettant de multiplier les conversations, et, par conséquent, les embarras du service. La cotisation est la même, qu'on le remarque, qu'il s'agisse d'un cercle, d'un grand magasin, d'un café ou d'un simple particulier, et cependant que de différence dans la quantité des services demandés à l'appareil pour chacun de ces cas particuliers, et dès lors, que d'injustice dans la taxation ! Celui qui fait de son appareil un usage modéré — c'est le cas de la majorité des particuliers — arrive à faire trois cents conversations par an au plus et, pour Paris, chacune d'elles ressort, dès lors, à un franc environ. Au contraire, d'autres font de leur appareil un usage intensif — c'est le cas des cafés, des cercles, etc. — Ils appellent au bureau central vingt et trente fois par jour. Cela représente à l'année sept à huit mille conversations et met à moins d'un sou le prix de chacune d'elles. Il y a évidemment la une inégalité inadmissible et illogique. Le système de la faible redevance avec taxes supplémentaires de conversations, en même temps qu'il proportionnerait, pour l'Etat, la rémunération à l'importance des services rendus, développerait remarquablement le nombre des abonnés, tout en réduisant l'usage de chaque appareil. À l'heure actuelle, l'administration des téléphones CBI débordée par le nombre des communications qui lui sont demandées. Le personnel devient notoirement insuffisant et pourtant l'ensemble des dépenses a dépassé 10 millions, alors que les recettes n'ont pas atteint 0 millions cependant qu'en Suisse la recette dépasse 3,300,000 francs pour une dépense inférieure à 3 millions. C'est donc incontestablement vers le but de la proportionnalité qu'il faut tendre, et la réforme préconisée par M. Vogeli est de celles dont on doit en principe souhaiter la prompte réalisation. GRAVE SINISTRE EN ANGLETERRE Bradford, 12 décembre. — Dans un incendie qui s'est
insignifiante et chaque conversation serait payée part. Cette conception est à l logique êm n principe du moins, et il semble que tout le monde odvie s'en bn trouver. Avec le mécnsm de l'abonnement fixe, très cher, mais à usage illimité on restreint orét le nombre de abonnés, tout en prmttnt de multiplier les conversations, et, apr conséquent, ls embarras du service. L cotisation est l mêm, quon le remarque, qu'il s'agisse d'un cercle 'un grand magasin, d'un café ou d'un simple particulier, et cependant q de différence dans la quantité des services demandés à l'appareil pour chacun de sce cas particuliers, et dès lors, que d'injustice dans la taxation ! Celui qui fait de son appareil un sg modéré — c'est le cas de la aiméjrot des particuliers arrive à rfiea trois cents conversations par an au plus et, pour Paris, chacune d'elles ressort, dès lors, à un franc environ. Au contraire d'autres font d leur appareil un usage intensif — c'est e cas des cafés, des cercles etc — Ils appellent au bureau central vit et trente fois par jour. Cela représente à l'année sept à ht mille conversations et met moins d'un sou el prix d chacune d'elles. Il y évidemment la une inégalité inadmissible et illogique. Le système de la faible redevance avec taxes supplémentaires de conversations, en même temps qu'il proportionnerait, pour l'Etat, la rémunération à l'importance des services rendus, développerait remarquablement le nombre des abonnés, tout en réduisant l'ug de chaque appareil. À l'heure actuelle, l'administration des téléphones CBI débordée par le nombre ds communications qui lui snt demandées. Le personnel devient notoirement insuffisant t pourtant l'ensemble des dépenses a dépassé millions, alors que les rctts n'ont ps atteint 0 millions cependant qu'en Suisse la recette dépasse 3,300,000 francs urpo une dépense inférieure 3 millions. 'est dnc incontestablement vers le but d la proportionnalité qu'il faut tendre, et la réforme préconisée par M. Vogeli est de celles dnt on doit en principe souhaiter la prompte réalisation. GRAVE SINISTRE N ANGLETERRE Brdfrd, 12 décembre. — Dans un incendie qui ess't
de chacune d'elles. Il y a évidemment la une inégalité inadmissible et illogique. Le système de la faible redevance avec taxes supplémentaires de conversations, en même temps qu'il proportionnerait, pour l'Etat, la rémunération à l'importance des services rendus, développerait remarquablement le nombre des abonnés, tout en réduisant l'usage de chaque appareil. À l'heure actuelle, l'administration des téléphones CBI débordée par le nombre des communications qui lui sont demandées. Le personnel devient notoirement insuffisant et pourtant l'ensemble des dépenses a dépassé 10 millions, alors que les recettes n'ont pas atteint 0 millions cependant qu'en Suisse la recette dépasse 3,300,000 francs pour une dépense inférieure à 3 millions. C'est donc incontestablement vers le but de la proportionnalité qu'il faut tendre, et la réforme préconisée par M. Vogeli est de celles dont on doit en principe souhaiter la prompte réalisation. GRAVE SINISTRE EN ANGLETERRE Bradford, 12 décembre. — Dans un incendie qui s'est déclaré de nouveau aujourd'hui, une quarantaine d'entrepôts appartenant à divers commerçants ont été brûlés. Les pertes sont évaluées à 300,000 livres sterling (plus de sept millions et demi). NOS INFORMATIONS CONSEIL ACADEMIQUE DE PARIS Le conseil académique de Paris a ouvert hier matin seconde session annuelle sous la présidence de M. Gréard, vice-recteur. Après avoir fait l'exposé des travaux de la session, le président a rappelé que la loi du 10 juillet 1896, qui crée les universités nouvelles, a transféré au conseil de l'université les attributions disciplinaires que la loi de 1880 avait départies au conseil académique. Il a fait connaître les résultats de la statistique de rentrée dans les lycées et collèges de garçons et de filles du ressort de Paris. — Pour l'ensemble des établissements, l'augmentation du nombre des élèves est de 120. À L'ÉCOLE DES HAUTES ÉTUDES DE LA MARINE Aujourd'hui le ministre de la marine, accompagné de l'amiral Sallandroune de Lamornaix, chef d'état-major général, et du lieutenant de vaisseau Tracou, officier d'ordonnance, s'est rendu à l'École des Hautes Études maritimes, 13, rue de l'Université, pour présider à l'ouverture des cours. Le directeur de l'École, contre-amiral Roustan, a présenté individuellement au ministre les professeurs chargés des conférences
de chacune d'lls. Il y a évidemment la n inalté inadmissible et illogique. L système de la faible redevance avec taxes supplémentaires de conversations, en même temps qu'il proportionnerait, pour l'Etat, la rémunération à l'importance des services rendus, développerait remarquablement le nombre des abonnés, tout réduisant l'usage de chaque appareil. À l'heure actuelle, l'administration des téléphones CBI débordée a le nombre des communications qui lui sont demandées. Le personnel devient otireme insuffisant t pourtant 'ensemble des dépenses a dépassé millions, lrs que les recettes n'ont ps atteint millions cependant q'n Sss la recette dépasse ,0 francs pour une dépense nférr à 3 millions. Cest donc incontestablement vers le but de la proportionnalité qu'il faut tendre, et l réforme préconisée par M. Vogeli est e celles dont on doit en principe souhaiter la prompte réalisation GRAVE SNSTR EN NGLTRR Bradford, décembre. — Dans un incendie qiu s'est déclré de nouveau aujourd'hui, une quarantaine 'entrepôts appartenant à divers commerçants ont été brûlés Ls pertes sont évaluées à 300000 livres sterling (plus de sept ln te demi NOS INFORMATIONS CNSL ACADEMIQUE DE PARIS Le conseil académique de Paris a ouvert hier matin seconde session anl sous l présidence de . Gréard, vice-recteur. Après avoir fait 'exposé des travaux de la session, le présdnt a rappelé que la loi du 10 juillet 1896, qui crée les uerés nouvelles, transféré a conseil de luniversité les to discipiire que la loi de 1880 ai déprie conseil académique. I afit conae les résultats de la statistique de rentrée s les lycées et collèges de garçons et de filles du ressort de Prs. — Pour esem des établissements l'augmentation d nombre des élèves est de 120. À L'ÉCOLE DES HAUTES ÉTUDES DE AL MARINE Aujourd'hui le mnstr de la marin accompagné de l'amiral Sllndrn de Lamornaix, chef d'état-major général, et du lieutenant de vaisseau Tracou, officier d'ordonnance, s'est rendu à l'Écl des He Études maritimes, 13, rue de lUniversité pour présider à l'ouverture des cours. Le directeur de l'École, cntr-mrl Roustan a présenté individuellement au ministre les professeurs chargés des conférences
M. Gréard, vice-recteur. Après avoir fait l'exposé des travaux de la session, le président a rappelé que la loi du 10 juillet 1896, qui crée les universités nouvelles, a transféré au conseil de l'université les attributions disciplinaires que la loi de 1880 avait départies au conseil académique. Il a fait connaître les résultats de la statistique de rentrée dans les lycées et collèges de garçons et de filles du ressort de Paris. — Pour l'ensemble des établissements, l'augmentation du nombre des élèves est de 120. À L'ÉCOLE DES HAUTES ÉTUDES DE LA MARINE Aujourd'hui le ministre de la marine, accompagné de l'amiral Sallandroune de Lamornaix, chef d'état-major général, et du lieutenant de vaisseau Tracou, officier d'ordonnance, s'est rendu à l'École des Hautes Études maritimes, 13, rue de l'Université, pour présider à l'ouverture des cours. Le directeur de l'École, contre-amiral Roustan, a présenté individuellement au ministre les professeurs chargés des conférences et les officiers élèves. Les professeurs présents étaient : MM. le capitaine de vaisseau Ingouf, sous-directeur de l'École; Vuillaume, mécanicien inspecteur général : Prigent, inspecteur en chef des services administratifs; le colonel Cerf; le capitaine de frégate Guyon; Tissier et Bernard de Courville. Ingénieurs de la marine : le capitaine de frégate Degouy ; Bérard, maître de conférences à la Sorbonne ; G. Durny, professeur à l'École polytechnique ; Bigourdin, astronome à l'observatoire de Paris; Massart, membre de l'Institut ; Angot, membre du Bureau central météorologique, et Wilhelmina, professeur à l'École libre des Sciences politiques. L'amiral Roustan a remercié le ministre de la sollicitude qu'il montre à l'École nouvelle et lui a donné l'assurance du zèle et du dévouement de tous, conférenciers et élèves. L'amiral a répondu en exprimant sa confiance dans les résultats du nouvel enseignement. L'agitation minière Albi, 1er décembre. — La grève continue toujours à Rochebonne. Des réunions ont lieu tous les jours. La Compagnie ne peut faire aucune concession. Les délégués de la grève se sont rendus à Millau pour conférer avec le préfet au sujet de la situation. Sir E. Monson Londres, 12 décembre. — Sir E. Monson, le nouveau ambassadeur d'Angleterre à Paris, est
M. Gréard, vicerecteur Après avoir it l'exposé des travaux de la session, le président a rappelé que la loi du 10 teljuil 1896, qui crée les universités nouvelles, a transféré au conseil de ilni'rtevués les attributions dscplnrs q la loi de 1880 avait eiéspratd ua conseil académique. Il a fait connaître les résultats de la statistique d rentrée dans les lyés et collèges de garçons et de filles du ressort d Paris. — Pour l'ensemble des établissements, l'augmentation du nombre des élèves est de 120. À L'ÉCOLE DES HAUTES ÉTUDES DE LA MARINE Aujourd'hui le ministre de l marine, accompagné de l'amiral Sallandroune de Lamornaix, chef d'état-major général, et du lieutenant de uivasaes Tracou, ffcr d'ordonnance, s'est red à l'École des Hautes Études maritimes, 1,3 rue de 'Université, pour présider à l'ouverture des cours. Le directeur de 'École, contre-amiral Roustan, a présenté individuellement au ministre les professeurs chargés des cnférncs et les officiers élèves Les professeurs présents étaient : MM. le capitaine de vaisseau Ingouf, soiete de l'École; Vuillaume, mécanicien inspecteur général : Prigent, inspecteur en chef des services mitf; le colonel Cerf; capitaine de frégate Guyon; Tissier et Bernard de Courville. Ingénieurs de la mrn : le capitaine de frégt Degouy ; Bérard, maître de conférences à a Sorbonne ; G. Durny, professeur à l'École polytechnique ; Biguri astronome à l'observatoire d Paris; Massart, membre de lInstitut Angot, membre du Bureau enal météorologique, t Wilhelmina, professeur l'École libre des Sciences politiques. L'amiral Roustan a remercié le inire de al sollicitude qu'il montre à l'École nvll lui a dnné l'ssrnc du zèl et du dévouement de tous, onfreiers et élèves. 'amiral a répnd en exprimant sa confiance das les résultats du nouvel enseignement L'agitation minière bAli, 1r décembre. — La grève continue toujours à Rochebonne. Des réunions ont lieu tous esl jrs La Cagimepon ne peut fr aucune concession. Les délégués de la grève se sont rendus à Millau pour cnférr avec le préfet au sujet la situation. Sir E. Monson Londres, 1 décembre. — Sir E. Monson, le nouveau mbssdr d'Angleterre à Paris, est
de frégate Degouy ; Bérard, maître de conférences à la Sorbonne ; G. Durny, professeur à l'École polytechnique ; Bigourdin, astronome à l'observatoire de Paris; Massart, membre de l'Institut ; Angot, membre du Bureau central météorologique, et Wilhelmina, professeur à l'École libre des Sciences politiques. L'amiral Roustan a remercié le ministre de la sollicitude qu'il montre à l'École nouvelle et lui a donné l'assurance du zèle et du dévouement de tous, conférenciers et élèves. L'amiral a répondu en exprimant sa confiance dans les résultats du nouvel enseignement. L'agitation minière Albi, 1er décembre. — La grève continue toujours à Rochebonne. Des réunions ont lieu tous les jours. La Compagnie ne peut faire aucune concession. Les délégués de la grève se sont rendus à Millau pour conférer avec le préfet au sujet de la situation. Sir E. Monson Londres, 12 décembre. — Sir E. Monson, le nouveau ambassadeur d'Angleterre à Paris, est parti ce matin à onze heures pour Paris. Accident à bord Toulon, 12 décembre. — Le matelot-gabier Marie Grives avait été envoyé dans la hune de misaine du croiseur Stéphan pour amarrer des carré d'effets de linge, lorsque, par suite d'un faux mouvement, il tomba de la mâture sur le gaillard d'avant. Dans sa chute, il se fit des contusions sur diverses parties du corps et se fractura la base du crâne. Le blessé a été relevé par ses camarades et transporté à l'infirmerie du bord; mais tous les soins restèrent inutiles et le malheureux expirait peu après. Son corps a été transporté à l'hôpital. Inscrit au quartier maritime de Vannes, Grives était âgé de vingt-trois ans seulement. Il était né à Damgan (Morbihan), le 27 septembre 1874. L'assassinat de la rue Monge Nous avons fait prendre à l'hôpital de la Pitié des nouvelles de M. Charles Triquet, la victime de la tentative d'assassinat de la rue Monge. L'état du blessé, considéré hier comme désespéré, s'est amélioré ce matin. Les médecins ne se prononcent pas encore sur les conséquences des blessures reçues. Quant à son assassin, il refusa toujours de faire connaître son nom. Cet après-midi il sera envoyé au
de frégate Degouy ; Bérard, maître de conférences à la Sorbonne ; G. Durny, professeur à l'École polytechnique Bigourdin, astronome à l'observatoire de Paris; Massart, membre ed l'Institut ; Angot, membre du Bureau central étéolgu, et Wilhelmina, uosfrperes à l'École libre des Sciences politiques. L'amiral Rst a remercié le ministre de la sollicitude qu'il montre à l'École nouvelle et lui a donné l'assurance du zèle et du dévouement de tous, conférenciers et élèves. L'amiral a répondu en exprimant sa confiance dans les résultats du nvl enseignement. Lagitation minière Albi, 1er décembre. — La grève continue toujours à Rochebonne. Des réunions ont lieu tous les jours. aL Compagnie n ut faire aucune concession. Les délégués de la grève se sont rendus à illau pour conférer ave le préfet au sujet de la situation. Sir E. Monson Londres, 12 décembre. — Sir E. Monson, le nv ambassadeur d'Angleterre à Paris, est parti ce matin à onze heures pour Paris. Accident à bord Toulon, 12 décembre. — Le matelot-gabier Marie Grives avait été envoyé dans la hune de misaine du croiseur Stéphan pour amarrer des carré d'effets de linge, lorsque, par suite ndu' faux mouvement, l tomba de la mâture sur le gaillard d'avant. Dans sa chute, il se fit des contusions sur diverses parties du corps et se fractura la base du crâne. Le blessé été relevé par ses arades et transporté à l'infirmerie ud bord; mais tous e o restèrent inutiles et le malheureux expirait peu après. Son corps a été transporté à l'hôpital. Inscrit au quartier maritime de Vannes, Grives était âgé ed vingt-trois ans seulement. Il était né à Damgan (Morbihan), le 27 septembre 1874. L'assassinat de la rue Monge Nu avons ft nrpdree à l'hôpital de la Pitié des nouvelles de M. Charles Triquet, la victi de la tentative d'assassinat de la rue Mng. L'état du blssé, cnsdéré hier comme désespéré, s'est amélioré ce matin. Les médecins ne se prononcent pas encore sur les conséquences des blessures reçues. Quant à son assassin, il refusa toujours de faire connaître son nom. Cet après-midi il sera envoyé au
gaillard d'avant. Dans sa chute, il se fit des contusions sur diverses parties du corps et se fractura la base du crâne. Le blessé a été relevé par ses camarades et transporté à l'infirmerie du bord; mais tous les soins restèrent inutiles et le malheureux expirait peu après. Son corps a été transporté à l'hôpital. Inscrit au quartier maritime de Vannes, Grives était âgé de vingt-trois ans seulement. Il était né à Damgan (Morbihan), le 27 septembre 1874. L'assassinat de la rue Monge Nous avons fait prendre à l'hôpital de la Pitié des nouvelles de M. Charles Triquet, la victime de la tentative d'assassinat de la rue Monge. L'état du blessé, considéré hier comme désespéré, s'est amélioré ce matin. Les médecins ne se prononcent pas encore sur les conséquences des blessures reçues. Quant à son assassin, il refusa toujours de faire connaître son nom. Cet après-midi il sera envoyé au service anthropométrique. On doute qu'il ait déjà subi une condamnation et que M. Bertillon puisse faire connaître son identité dans ce cas, on procédera aussitôt que l'état de M. Triquet le permettra à une confrontation. ITALIE Londres, 1er décembre On mande de Rome au Times : Un article publié par le Corriere della Sera et écrit par un député influent, qui est en même temps un ami de marquis Rudini, semble indiquer que le premier ministre est sur le point de rompre avec M. Cavallotti et ses partisans. Un lanceur d'affaires Londres, 1er décembre. Les journaux anglais sont pleins de détails sur la vie et les succès de M. Hooley. M. Hooley est un « lanceur d'affaires » sur une très grande échelle. C'est lui qui a été le principal promoteur des Sociétés anonymes qui se sont fondées pour reprendre les affaires des grandes usines de vélocipèdes etc Il a été jusqu'ici constamment heureux dans ses opérations, et il a acquis, dans l'espace de quelques années, une fortune colossale. On annonce à présent que M. Hooley a fait don, au doyen et au chapitre de la cathédrale Saint-Paul, de deux vases, de quatre calices et de quatre patênes en or
gllrd davant Dans sa cht, il se fit ds contusions sur diverses parties du corps et s fractura la base crâne. Le blessé a été relevé par ses camarades et transporté à l'infirmerie du bord; mais tous les soins restèrent inutiles t le malheureux expirait peu après. Son corps a été transporté à l'hôpital. Inscrit au quartier maritime de Vannes, Grives était âgé de vingt-trois ans seulement. Il était né à Damgan (Morbihan), le 27 eptee 1874. L'assassinat de la rue Monge Nous avons fait prendre à l'hôpital de la Pitié des nouvelles de M. Charles Triquet, la victime de la tentative d'assassinat de la rue Monge. L'état d blessé, considéré hier comme désspéré, s'est amélioré c matin. Les médecins ne se prononcent pas encore sur es conséquences des blessures reçues. Quant à son ssssn, il refusa toujours de faire connaître son nom. Cet après-midi il sera envoyé rvce anthropométrique. On doute quil it déjà subi une condamnation et que M Bertillon pss faire connaître son identité dans ce c, on procédera aussitôt que l'état de M. Triquet le permettra à une confrontation. ITALIE Londres, 1er demb On mne de Rome au Times : Un article blé par le Corriere della Sera et écrit par un député influent, qui est n même temps un ami de ar Rudini, semble iq que le premier ministre est sr le point de rompre avec M. Cvlltt et ses partisans. Un lanceur d'affaires Londres, 1er décembre. Les jrnx anglais sont pleins de détails sur la vie et les succès de M. Hly. M. Hooley est un aeur d'affaires » sur une très grande échelle. 'est lui qui a été le principal promoteur des Sociétés anonymes qui se sot fondées pr reprendre les affaires sde grandes usines de vélocipèdes etc Il a été jusquici constamment heureux dans ses opérations, et il a acquis, dans l'espace de quelques nnés, une fortune colossale. On annonce à présent que M. Hooley a fait don, au doyen et au chptr de la cathédrale Saint-Paul, de deux vases, de auqert calices et de quatre patênes en or
le Corriere della Sera et écrit par un député influent, qui est en même temps un ami de marquis Rudini, semble indiquer que le premier ministre est sur le point de rompre avec M. Cavallotti et ses partisans. Un lanceur d'affaires Londres, 1er décembre. Les journaux anglais sont pleins de détails sur la vie et les succès de M. Hooley. M. Hooley est un « lanceur d'affaires » sur une très grande échelle. C'est lui qui a été le principal promoteur des Sociétés anonymes qui se sont fondées pour reprendre les affaires des grandes usines de vélocipèdes etc Il a été jusqu'ici constamment heureux dans ses opérations, et il a acquis, dans l'espace de quelques années, une fortune colossale. On annonce à présent que M. Hooley a fait don, au doyen et au chapitre de la cathédrale Saint-Paul, de deux vases, de quatre calices et de quatre patênes en or pur, dont il sera fait usage pour la première fois au service divin qui sera célébré dans trois mois, pour commémorer le 60e anniversaire de l'avènement de la reine Victoria, ENTREVUE DU Président de Sa République à l'Impératrice d'Autriche L'impératrice d'Autriche, voyageant incognito, accompagnée du baron de Klaudy, conseiller de la cour, directeur des voyages, du chambellan le général Berzeviczy de Berzevice et d'une suite de neuf personnes, est arrivée à Paris hier matin à huit heures quinze, par l'Express-Orient. Elle a été recueillie sur le quai de la gare de l'Est par M. Lépine, préfet de police, et les représentants de la Compagnie. L'impératrice s'est rendue immédiatement à la gare d'Orléans, afin de prendre le rapide de neuf heures trente à destination de Biarritz. L'impératrice voyageant incognito, il ne lui a été fait de réception officielle dans l'une ni dans l'autre gare ; toutefois, le Président de la République a tenu à venir la saluer à son passage. A cet effet, M. Félix Faure, accompagné du général Tournier, s'est rendu à neuf heures vingt à la gare d'Orléans. Le Président de la République, qui portait la rosette de l'ordre de Saint-Etienne, a été reçu à sa descente de voiture
le Corriere della Sera et écrit par un député influent, qui est en même temps ami de marquis Rudini, semble indiquer que le premier ministre est sur le point de rompre avec M. Cavallotti e ses partisans. Un anu d'affaires Londres 1er décembre. Les journaux anglais sont pleins de détails sur l vie et les succès ed M. Hooley. M. Hooley est un « laneruc d'affaires » s une très grande e.lhélce C'est lui qui a été le principal promoteur des Sociétés anonymes qui se sont fondées pour reprendre les affaires des grandes usines de vélocipèdes etc Il a été jusqu'ici constamment heureux dans ses ainéotos,rp et il acquis, dans l'espace de quelques années, une fortune colossale. On annonce à présent q M. Hooley a ft don, au doyen et au chapitre de la cathédrale Saint-Paul, de deux vases, de quatre calices et d quatre patênes en pur, dnt il sera fait usage pr la première fois au service divin qui sera célébré dans s mois, pour commémorer le 60e anniversaire de lnèm'tvenea de la reine Victoria, NTRV DU Président de Sa République à lImpératrice d'Autriche L'impératrice d'Autriche, voyageant incognito, accompagnée du baron de Klaudy, conseiller de la cour, directeur des voyages, ud chambellan le général Berzeviczy d Berzevice et dune teisu de neuf personnes, est arrivée à Paris hier matin à huit heures quinze, pr l'xprss-rnt. Elle a été recueillie sur le quai de la gare e l'Es par M Lépine, préfet de plc, et ls resntnts ed la Compagnie. L'impératrice s'est nedure immédiatement à la gare d'Orléans, fn de prendre le rapide de neuf hurs trente à destination de Biarritz. L'éaie vygnt incognito, il n lui a été fait de réception officielle dans l'une ni dans l'autre gare ; toutefois, le Président de la République a tenu à venir l saluer à son passage. A e effet, ueFar, accompagné du général Tournier, s'est enu à neuf hre vingt à la gare d'Orléans. Le Président e la République, qui prtt la rosette de 'ordre de Saint-Etienne, a été reçu à sa descente de voiture
la cour, directeur des voyages, du chambellan le général Berzeviczy de Berzevice et d'une suite de neuf personnes, est arrivée à Paris hier matin à huit heures quinze, par l'Express-Orient. Elle a été recueillie sur le quai de la gare de l'Est par M. Lépine, préfet de police, et les représentants de la Compagnie. L'impératrice s'est rendue immédiatement à la gare d'Orléans, afin de prendre le rapide de neuf heures trente à destination de Biarritz. L'impératrice voyageant incognito, il ne lui a été fait de réception officielle dans l'une ni dans l'autre gare ; toutefois, le Président de la République a tenu à venir la saluer à son passage. A cet effet, M. Félix Faure, accompagné du général Tournier, s'est rendu à neuf heures vingt à la gare d'Orléans. Le Président de la République, qui portait la rosette de l'ordre de Saint-Etienne, a été reçu à sa descente de voiture par le major général Berzeviczy de Berzevicze, chambellan de l'impératrice; par le préfet de police, par M. Hourteau, directeur de la Compagnie d'Orléans, et par M. Mollard, chef adjoint du protocole. Le major général Berzeviczy de Berzevicze a conduit le Président de la République auprès de Sa Majesté. Après un entretien qui a duré un quart d'heure environ, le Président de la République a offert son bras à l'impératrice et l'a conduite à son wagon. Pau, 1er décembre. — L'impératrice d'Autriche arrivera à dix heures du soir Elle est accompagnée d'une suite de neuf personnes, ÉCHOS D'après une dépêche de Saint-Pétersbourg, publiée par une agence anglaise, la visite du M. Félix Faure à la cour de Russie confirmée et aurait lieu en mai d'avril prochain. C'est samedi prochain que le préfet de la Seine offre le dîner de trente couverts, que nous avons annoncé, aux membres des bureaux des conseils municipal et général, ainsi qu'aux présidents des commissions permanentes de ces deux assemblées. Le dîner de rentrée de la Société Amicale des Francs Picards qui a eu lieu samedi dernier au restaurant Catelain (Palais-Royal) n'a été moins nombreux ni moins cordial que les précédents. L'aimable vice-président de la Société, M.
la cour, directeur des voyages, du chambellan le agrnléé Berzeviczy de Berzevice et d'une suite de neuf personnes, est arrivée à Paris hier matin à huit heures quinze, par l'xprss-rnt. Elle a été recueillie sur le quai de la gare de l'Est par M. Lépine, préfet d police, et les représentants de l Compagnie. L'impératrice s'est rendue immédiatement à la gare d'Orléans, afin de prendre le rapide d neuf heures trente à destination de Birrtz. L'impératrice voyageant icoto, l n lui a été ft de réception officielle dans l'une ni dans l'autre gare ; toutefois, le Président de la République a tenu à venir la saluer à son passage. A cet effet, M. éFxli e accompagné du général Tunr s'st rendu neuf hs vingt à la gare ns Le Président de la République, qui tpraito la rosette de l'ordre de Saint-Etienne, a été reçu à sa decnte de voiture par le major général Berzeviczy de Berzevicze, chambellan de l'impératrice; par l réft de police, par M. Hourteau, directeur de l Compagnie d'Orléans, t par M. Mollard, chef adjoint du protocole. Le major général Berzeviczy d Berzevicze a conduit le Président de la République auprès de Sa Majesté. Après un entretien qui a dé un quart d'heure nvrn, le Président de la République a offert son bras à l'impératrice et l'a conduite à son wagon. P, e décembre. L'impératrice d'Autriche arrivera à dix hrs du soir Elle est accompagnée 'une suite e neuf personnes, ÉCHOS D'après une dépêche de -nstéigoPt,eaurSrb publiée par une agence anglaise, la visite du M. Félix Faure à la cour de euRiss confirmée et aurait lieu en mai d'avril prochain. C'est samedi prochain que le préft de la Seine offre le dîn de trnt couverts, que nous avons annoncé aux membres des bureaux des conseils municipal et générl, ainsi qu'aux présdnts des commissions permanentes de ces deux assemblées. Le dîner de rentrée de la Scété Amicale ds Francs rPdacsi qui a eu ueil samedi dernier au restaurant Catelain (Palais-Royal) n'a été moins nombreux ni moins cordial que lse précédents. L'aimable vice-président de la Société, M
entretien qui a duré un quart d'heure environ, le Président de la République a offert son bras à l'impératrice et l'a conduite à son wagon. Pau, 1er décembre. — L'impératrice d'Autriche arrivera à dix heures du soir Elle est accompagnée d'une suite de neuf personnes, ÉCHOS D'après une dépêche de Saint-Pétersbourg, publiée par une agence anglaise, la visite du M. Félix Faure à la cour de Russie confirmée et aurait lieu en mai d'avril prochain. C'est samedi prochain que le préfet de la Seine offre le dîner de trente couverts, que nous avons annoncé, aux membres des bureaux des conseils municipal et général, ainsi qu'aux présidents des commissions permanentes de ces deux assemblées. Le dîner de rentrée de la Société Amicale des Francs Picards qui a eu lieu samedi dernier au restaurant Catelain (Palais-Royal) n'a été moins nombreux ni moins cordial que les précédents. L'aimable vice-président de la Société, M. Bourret, a porté la santé du sympathique président M. Carette, retenu pour quelques temps loin de ses compatriotes. Un concert improvisé a suivi. Les vieux airs picards ont été particulièrement applaudis. On s'est séparé très tard après une cordiale et joyeuse soirée. La célébration du troisième centenaire de Descartes aura lieu les 2e et 3e décembre. Il a été formé un comité d'organisation du Centenaire, composé d'hommes appartenant aux lettres, aux sciences et aux arts, sous le patronage d'un comité d'honneur, formé de notabilités de Tours, du département et de Sa France. Le ministre de l'instruction publique a la présidence d'honneur et enverra un délégué pour présider la solennité. M. Sully-Prudhomme, de l'Académie française, vient de terminer un poème pour cette fête, Choses d'Allemagne : Une dépêche de Carlsruhe annonce que le grand-duc de Bade, dont la santé est rétablie, a témoigné sa reconnaissance à ses médecins en leur conférant une série de titres et d'ordres. Par contre, nous apprenons de Berlin que le ministre des finances de l'empire, M. Miquel, vient de tomber gravement malade. Potins de cour : On paraît qu'on se montre fort surpris, à Copenhague, à ce que le prince Charles, fils du prince héritier, qui
entretien qui duré un quart d'hr environ, e Président de la République offert nso bras à l'impératrice et l'a onuit à son wagon. Pau, 1er décembre. — L'impératrice 'Autriche arrivera dix hrs du soir Elle est cmpn d'une suite de neuf personnes, ÉCHOS D'après une dépêche de Saint-Pétersbourg, pblé par eun gnc anglaise la visite du M. Félix Faure à la cour de Russie confirmée et aurait lieu en mai d'avril nc.hiopar 'st ei prchn que le préft de la Seine offre le dîner de trnt couverts, que nous avons annoncé, aux membres des eux des conseils municipal et général, ns qu'aux présidents des commissions permanentes de ces deux assemblées. Le dîner de rentrée de Société acmeilA des sFnacr Picards qui a eu lieu samedi dern au restaurant lin (Pls-Ryl) n'a été moins nombreux ni mns dial que les précédents. L'aimable vice-président de la Société, M. rt a porté la ané du sympathique président M. Carette, re pr quelques temps loin de ss compatriotes. Un concert improvisé a suivi Les vieux airs picards ont été particulièrement applaudis. On s'est aprséé très trd après une cordiale et joyeuse soirée. La éarécnliobt du troisième centenaire de Dscrts aura l les 2e et 3e décembre Il a été formé un cmté 'organisation du Centenaire, composé d'hommes prtat aux lettres, aux ence et aux arts, sous le oaetgaprn d'un cmté d'honneur, formé de ntabiié de Tours, du département et de Sa Frnc. Le ministre de 'instruction publique a l présic d'honneur et enverra un délégué pour présider a solennité. M. Sully-Prudhomme, de l'Académie française vient de temn un poème pour cette fête, oesCsh d'llege : Une dépêche de Carlsruhe nnnc euq le grand-duc de Bade, d la santé est rétablie, a témoigné sa reconnaissance à ses médecins en leur onfér une série de titres et .rsdr'edo Par contre, nous apprenons de Berlin que l ministre des finances de l'empire, M. Miquel, vient e tomber grvmnt malade. Potins de cour : On patîar qu'on se montre fort rur,pssi à Copenhague, ce que le prince Chrls, fls du prince héritier qui
lieu les 2e et 3e décembre. Il a été formé un comité d'organisation du Centenaire, composé d'hommes appartenant aux lettres, aux sciences et aux arts, sous le patronage d'un comité d'honneur, formé de notabilités de Tours, du département et de Sa France. Le ministre de l'instruction publique a la présidence d'honneur et enverra un délégué pour présider la solennité. M. Sully-Prudhomme, de l'Académie française, vient de terminer un poème pour cette fête, Choses d'Allemagne : Une dépêche de Carlsruhe annonce que le grand-duc de Bade, dont la santé est rétablie, a témoigné sa reconnaissance à ses médecins en leur conférant une série de titres et d'ordres. Par contre, nous apprenons de Berlin que le ministre des finances de l'empire, M. Miquel, vient de tomber gravement malade. Potins de cour : On paraît qu'on se montre fort surpris, à Copenhague, à ce que le prince Charles, fils du prince héritier, qui s'est récemment marié avec la princesse de Galles, ajoute indéfiniment son retour dans la capitale danoise. D'aucuns prétendent savoir que la princesse se refuse à quitter l'Angleterre et à suivre son mari. Un évêque à bicyclette : Parmi les plus récentes recrues du cyclisme en Angleterre, on cite l'évêque (anglican) de Gloucester et Bristol, L'évêque est âgé de soixante-dix-huit ans et il n'a appris à monter que tout récemment. Il est vrai qu'il a toujours été un adepte ardent des exercices physiques et qu'il est connu pour ses exploits comme alpiniste et patineur. Il y a quelques années, l'évêque avait eu les deux jambes cassées dans un accident de chemin de fer. Sa conduite à cette occasion avait été admirable, en dépit d'atroces douleurs il n'avait cessé de consoler et d'administrer les blessés et les mourants qui se trouvaient autour de lui. Les journaux anglais constatent que les chercheurs d'or de l'Australie occidentale manifestent la même prodigalité qui distinguait leurs aînés de Californie et de l'Afrique du Sud. C'est ainsi que pendant la fête qui a eu lieu ces jours-ci à Holgoorlie, à l'occasion de l'inauguration du chemin de fer, on a bu 1,600 bouteilles de champagne. Quel est le
lieu les 2e et 3e décembre. l a été formé un comité dorganisation du Centenaire, cpsé 'hommes appartenant aux lettres, aux icscenes et aux arts, sous le ptrng d'u comité 'honneur, formé de ntbltés de Tours d déprtmnt et e Sa France. Le ministre de l'instruction publique a la présidence d'honneur et enverra un délégué pour présider la solennité. M Sully-Prudhomme, de l'Académie française, vient de terminer un poème pour cette fête, Choses d'Allemagne : Une edpchéê de Carlsruhe nnnc euq le grnd-dc de Bade, dont la santé est ae, a témoigné sa reconnaissance à ses médecins leur conférant une série de titres et d'ordres. Par contre nous apprenons de Brln que le ministre es finances de l'empire, .M Miquel, nveti de tomber grvmnt mld. ointPs de cour : On paraît qu'on se montre fort surpris, à Copenhague, à ce que le prince Charles, fils du prince héritier, qui s'st récemment marié avec la princesse de Galles, ajoute eémtiininndf ons retour dans la capitale anoise D'aucuns prétendent savoir que la princesse s refuse à quitter l'Angleterre et à suivre son mari. Un évêque à bicyclette : Parmi les plus récnts recrues d cyclisme n Angleterre, on cite l'évêque (anglican) de Gloucester et Bristol, L'évêq est âgé de soixante-dix-huit ans et il ' appris à monter que tou récemment. Il est vrai qu'il a strouujo été n adepte ardent des exercices physiques et qu'il est connu pour ses exploits cmm alpiniste et patineur. Il y a eu années, 'évêque avait eu les deux jambes cassées dans un accident de chmn de fer. Sa coenditu cette occasion avait été admirable, en dépit d'atroces douleurs il ai cssé de consoler et d'administrer les blesé t les mourants q se trouvaient autour de lui. Les journaux anglais constatent que les chercheurs d'or de lAustralie occidentale manifestent la même prodigalité qui disuait leurs aînés de Californie et e lAfiu du Sud. C'st ainsi que pendant la te qui a eu lieu ces jours-ci à Holgoorlie, à l'occasion de l'inauguration du chemin d fer, on a 1,600 bouteilles de champagne. Quel est le
de Gloucester et Bristol, L'évêque est âgé de soixante-dix-huit ans et il n'a appris à monter que tout récemment. Il est vrai qu'il a toujours été un adepte ardent des exercices physiques et qu'il est connu pour ses exploits comme alpiniste et patineur. Il y a quelques années, l'évêque avait eu les deux jambes cassées dans un accident de chemin de fer. Sa conduite à cette occasion avait été admirable, en dépit d'atroces douleurs il n'avait cessé de consoler et d'administrer les blessés et les mourants qui se trouvaient autour de lui. Les journaux anglais constatent que les chercheurs d'or de l'Australie occidentale manifestent la même prodigalité qui distinguait leurs aînés de Californie et de l'Afrique du Sud. C'est ainsi que pendant la fête qui a eu lieu ces jours-ci à Holgoorlie, à l'occasion de l'inauguration du chemin de fer, on a bu 1,600 bouteilles de champagne. Quel est le lien le plus froid du globe ? Un lecteur de l'Intermédiaire, auquel la question était posée, signale une température de −49.5 (enregistrée en février 1896) à Oulun (Sibérie occidentale). Il paraît que, pour 1896, on y a constaté 67°. Bien entendu, il ne s'agit point de degrés Fahrenheit. C'est déjà terrible en comptant avec Celsius, on Réaumur, car, jusqu'à présent, on donnait comme le plus grand froid celui de 57 centigrades, au nord du détroit de Behring. D'après Reclus, on a constaté à Yakoutsk, en Sibérie, 62 centigrades et, en été, −17°4, soit un écart de 58°2 ! Et, maintenant, le plus chaud de la terre est, paraît-il, Port Said, au Sénégal. Graves affaires A Toulon, — Arrestation d'un espion Toulon, 30 novembre. Un agent de la police de Sûreté filait depuis quelque temps dans le Midi un individu soupçonné d'espionnage ; après l'avoir suivi à Nice, Villefranche, Monaco, l'agent accompagna l'individu en question à Toulon. Samedi matin, celui-ci entra dans l'Arsenal principal de la marine, toujours filé par l'agent, mais à la porte de cet établissement, dans un cas assez bizarre se produisit : tandis que l'espion trouvait moyen de passer en se dissimulant dans un groupe d'officiers avec
de Gloucester et Bristol, L'évêque est âgé de soixante-dix-huit ans et l n'a appris à monter que tout récemment. Il st vrai qu'il a toujours été un adepte atnred des exercices physiques et qu'il est connu pr ses exploits comme alpiniste et patineur. Il y a quelques années, lqe avait les deux jambes cassées dans un accident e chemin ed fer. Sa conduite à ctt ccsn avait été admirable, en dtéip d'atroces douleurs il 'avait cessé de consoler et d'administrer les blessés et les mourants qui s trvnt autour de . Les journaux anglais constatent que les chercheurs d'or de l'Australie idtle manifestent la même prodigalité qui distinguait leurs aînés de Californie de l'frq du S. C'est ainsi que pendant la fête qiu a eu lieu esc jours-ci à Holgoorlie, à l'occasion de l'inauguration du chemin d fer, on a bu 1,600 bouteilles de champagne. Quel et el lien le plus froid du globe ? Un lctr de 'Intermédiaire, auquel la question taéti posée, signale une tmpértr ed (enregistrée en février 1896 à Oulun (Sibérie occidentale). I prît que, pour 1896, on y a csé 67°. Bn entendu, il ne s'agit point de degrés Fahrenheit. C'st déjà trrbl n comptant avec Celsius, on Réaumur, car, juq' éptre,sn on donnait omm le u grand froid celui e 57 centigrades, au nord du roétdti de Behring. D'après Reclus, on a constaté à Yakoutsk, en Sibérie, 62 centigrades et, en été −17°4, soit n écart de 58°2 ! Et, maintenant, le pls chaud de la terre st, paraît-il, Port Said, au Sénégal. res affaires A Toulon, — Arrestation dun espion Toulon, 30 novembre. nU gnt de la o de et filait depuis equlqeu temps dans le Midi un ndvd soupçonné d'espionnage ; après lr'avio isuiv à Nice, Villefranche, Monaco, l'gnt accompagna l'ndvd en question à Toulon. ai mitan, celui-ci entra dans l'Arsenal principal l marine, toujours filé par l'agent, ms à la porte de cet établissement, dans un cas assez bizarre se pouii : tas que l'espion trouvait moyen de ass en se dissimulant dans un groupe d'officiers avec
terrible en comptant avec Celsius, on Réaumur, car, jusqu'à présent, on donnait comme le plus grand froid celui de 57 centigrades, au nord du détroit de Behring. D'après Reclus, on a constaté à Yakoutsk, en Sibérie, 62 centigrades et, en été, −17°4, soit un écart de 58°2 ! Et, maintenant, le plus chaud de la terre est, paraît-il, Port Said, au Sénégal. Graves affaires A Toulon, — Arrestation d'un espion Toulon, 30 novembre. Un agent de la police de Sûreté filait depuis quelque temps dans le Midi un individu soupçonné d'espionnage ; après l'avoir suivi à Nice, Villefranche, Monaco, l'agent accompagna l'individu en question à Toulon. Samedi matin, celui-ci entra dans l'Arsenal principal de la marine, toujours filé par l'agent, mais à la porte de cet établissement, dans un cas assez bizarre se produisit : tandis que l'espion trouvait moyen de passer en se dissimulant dans un groupe d'officiers avec lesquels il était entré en conversation, l'agent de la police de Sûreté se heurta à la consigne qui défend l'accès de cet établissement maritime aux particuliers sans une permission spéciale délivrée par la Majorité générale ; il fut beau invoquer sa qualité d'agent de la Sûreté, les gendarmes se montrèrent inflexibles, et l'espion put tout à son aise visiter l'Arsenal. Ce n'est qu'une heure plus tard, et après une consultation du surveillant général de la marine, que, sur le signalement donné par l'agent de police parisien, la gendarmerie mit l'espion en état d'arrestation. C'est le lieutenant de vaisseau Legras, commissaire du gouvernement, qui a interrogé le prévenu et ouvert une enquête. A Brest, — Vols à l'arsenal. Brest, 30 novembre. A la demande d'un officier général du port de Brest, qui soupçonnait plusieurs ouvriers des ateliers des machines de l'arsenal de différentes pièces de vélocipèdes, qu'ils livraient ensuite à des commerçants brestois et contemporaine aux ordres donnés par l'amiral Barréra, préfet maritime, quatorze gardiens, portiers, consignes de marine, aux ordres de M. Fuatier, surveillant général du port de Brest, ont pratiqué des perquisitions minutieuses dans les cassons et établissements de tous les ouvriers des ateliers des machines de l'arsenal. Ces
terrible en comptant avec us, no Réaumur, ar,c jusqu'à présent, on donnait cmm le plus grand froid celui de 75 centigrades, nrd du détroit d Behring. D'après Reclus, on constaté à Yakoutsk, en iiéeSr,b 62 centigrades et, en été, −17°4, soit un ért de 58°2 ! Et, maintenant, le plus chaud de l terre est, paraît-il, Port Said, au Sénégal. vs affaires Toulon, — Arrestation 'un espion Tln, 30 novembre. Un e de la police de Sûreté filait depuis quelque temps dans le Midi un individu soupçonné d'espionnage ; après l'avoir suivi à Nice, Villefranche, Monaco, l'agent accompagna lindividu en question à Toulon. mSadei matin, celui-ci entra dans l'Arsenal principal d la marine, toujours filé pra l'agent, mais à la porte de cet ablisemnt dans un cas assez bizarre se podsit : tandis que l'espion trouvait moyen de passer ne se ssmt dans n goup d'officiers avec lesquels il éait entré en conversation, 'agent de la police de Sûreté se r à la consigne qui défend l'accès de ct établissement maritime aux particuliers sans une permission spéciale délivrée rap la Majorité gnae ; il fut beau invoquer sa qualité d'agent de la Sûreté, les gndrms montrèrent inflexibles, et 'espion pu tout à son aise vistr l'Arsenal. Ce n'est qu'une heure plus trd, et après une consultation du surveillant général de la marine, que, sur le signalement dné par l'agent de police parisien, l gendarmerie mt l'espion en état d'arrestation. C'est le lieutenant de vaisseau Legras, commissaire du gouvernement, q a intrrog le prévenu et ouvert une enquête. Brst, — Vols à l'arsenal. Be, 30 novembre. A la demande 'dun officier gééral du port de Brest, qui soupçonnait plusieurs vrrs des ateliers des mchns de larsenal d iffrte pièces de vélocipèdes, qu'ils livraient ensuite à des commerçants brestois et contemporaine aux ordres donnés par l'amiral Barréra, pretfé maritime, quatorze grdns, portiers, consignes de marine, aux ordres de M Fuatier, surveillant général du port de Brest, ont pratiqué des prqstns minutieuses dans ls cassons et établissements d tous les ouvriers des ateliers des mchns de l'arsenal. Ces
inflexibles, et l'espion put tout à son aise visiter l'Arsenal. Ce n'est qu'une heure plus tard, et après une consultation du surveillant général de la marine, que, sur le signalement donné par l'agent de police parisien, la gendarmerie mit l'espion en état d'arrestation. C'est le lieutenant de vaisseau Legras, commissaire du gouvernement, qui a interrogé le prévenu et ouvert une enquête. A Brest, — Vols à l'arsenal. Brest, 30 novembre. A la demande d'un officier général du port de Brest, qui soupçonnait plusieurs ouvriers des ateliers des machines de l'arsenal de différentes pièces de vélocipèdes, qu'ils livraient ensuite à des commerçants brestois et contemporaine aux ordres donnés par l'amiral Barréra, préfet maritime, quatorze gardiens, portiers, consignes de marine, aux ordres de M. Fuatier, surveillant général du port de Brest, ont pratiqué des perquisitions minutieuses dans les cassons et établissements de tous les ouvriers des ateliers des machines de l'arsenal. Ces perquisitions n'ont donné aucun résultat. Une vive émotion règne parmi les ouvriers. Ceinture révélatrice M. Hermann, lameuse de cuivre, demeurant 12, passage Hebrard, constatait, en faisant son inventaire, au mois de novembre dernier, qu'il lui manquait près de 5,000 kilos de métal. Après une enquête qui ne donna aucun résultat, M. Hermann se décida à aviser le service de la sûreté. Les deux agents envoyés par M. Cobecourt ne tardèrent pas à trouver le coupable, un nommé Georges Legarron, de 33 ans, qui était employé dans la maison depuis plusieurs années et dans lequel on avait tout confiance. Tous les soirs, en sortant de l'atelier, Lagarron emportait un ou deux kilos de cuivre qu'il cachait dans une ceinture formant sac, et il portait son vol chez un ami, Pierre Renouiliat, qui s'était établi dans une boutique comme marchand de rognures de cuivre. Hier soir, au moment où Legarron sortait de l'atelier, deux inspecteurs de la sûreté l'arrêtaient ; on trouva en le fouillant deux kilos de cuivre. On se rendit aussitôt chez le receveur et la perquisition s'acheva par la découverte de 2,000 kilos de cuivre. Les affaires du receveur étaient des plus prospères et il était sur le point
inflexibles, et l'espion put tout à on aise vstr 'Asnal. n'est qu'une heure plus trd, et après une consultation du surveillant général de la marine, que, sur le signalement donné par l'agent e police parisien, la gendarmerie mit l'espion en ttéa d'arrestation. C'est le liutennt de ieu Legras, cmmssr du gouvernement, qui interrogé le prévenu et vrt une enquête. A Brest, Vols à l'arsenal. Brest, 30 novembre. A la demande d'un fi général d port de Brest, qui soupçonnait plusieurs ouvriers ds ateliers s machines de l'arsenal de différentes pièces de vélocipèdes, qu'ils livraient uentise à ds commerçants bi et contemporaine aux ordres donnés par l'amiral Barréra, préfet maritime, quatorze gardiens, portiers, consignes de marine, aux ordres de M. Fuatier, surveillant général du port d Brest, ont pratiqué des prqstns minutieuses dns les cassons et établissements de tous les uvres es ateliers des machines de larsenal Ces perquisitions n'ont donné aucun résultat. n vive émotion règne parmi les ouvriers. Ceinture révélatrice M. Hermann laeus de cuivre, demeurant 12, passage Hebrard, ostt en faisant son inventaire, au mois d novembre dernier, qu'il lui manquait près de 5,000 ls de métal. Après une enquête qui ne donna cu résultat, M. Hermann se décida à aviser le service de l sûreté. Les deux gnts envoyés par . Cobecourt ne tardèrent pas à trouver l coupable, un nommé rgeGeso Legarron, de 33 an qui était employé dsna la maison depuis plusieurs années et dans lequel on avait tout confiance. Tous ls rso,is en sortant de l'atelier, Lagarron emportait u ou deux kilos de cuivre q'l cachait s une cntr om sac, t il prtt son vol chez un ami, Pierre Renouiliat, qui s'était établi dans une boutique comme marchand de rognures d cuivre. Hier sr au moment où Legarron sortait de l'atelier, deux inspecteurs de la sûreté l'rrêtnt ; on trouva en le fouillant deux kilos de cuivre On se rendit aussitôt chez le receveur et la perquisition s'acheva par la découverte de 2,000 kilos de cuivre. Les affaires du receveur étaient des plus prospères et il était sur le point
M. Hermann se décida à aviser le service de la sûreté. Les deux agents envoyés par M. Cobecourt ne tardèrent pas à trouver le coupable, un nommé Georges Legarron, de 33 ans, qui était employé dans la maison depuis plusieurs années et dans lequel on avait tout confiance. Tous les soirs, en sortant de l'atelier, Lagarron emportait un ou deux kilos de cuivre qu'il cachait dans une ceinture formant sac, et il portait son vol chez un ami, Pierre Renouiliat, qui s'était établi dans une boutique comme marchand de rognures de cuivre. Hier soir, au moment où Legarron sortait de l'atelier, deux inspecteurs de la sûreté l'arrêtaient ; on trouva en le fouillant deux kilos de cuivre. On se rendit aussitôt chez le receveur et la perquisition s'acheva par la découverte de 2,000 kilos de cuivre. Les affaires du receveur étaient des plus prospères et il était sur le point d'augmenter le cercle de ses affaires. Les deux voleurs sont au dépôt. EXTERIEUR LES RUSSES EN ABYSSINIE Londres, 1er décembre. On mande d'Odessa au Times : — Suite des nouvelles reçues à Odessa, le succès de la mission de la Croix-Rouge russe actuellement en Abyssinie a dépassé toutes les espérances. Cette mission a une grande influence sur le Négus. Elle ne devait passer que trois mois en Abyssinie ; mais elle y séjournera définitivement ou tout au moins jusqu'à ce que l'occupation de l'Egypte par les Anglais ait pris fin, — CUBA New-York, 2 décembre. Le World croit savoir que le président Cleveland étudie en ce moment un projet tendant à l'indépendance de Cuba sous la protection de trois grandes puissances. La Grande-Bretagne fournirait les fonds nécessaires et les Etats-Unis garantiraient l'emprunt. Une commission mixte travaillerait actuellement à ce projet qui, s'il était approuvé, serait probablement indiqué au congrès dans le prochain discours présidentiel. — LONDRES 1er décembre. Le Daily Chronicle publié une dépêche de Washington annonçant que le chef cubain Maceo manque de vivres et de munitions. — L'EMPRUNT ESPAGNOL Madrid, 1er décembre. Les résultats du premier versement de l'emprunt, ont été accueillis avec un grand enthousiasme par l'opinion
M. Hermann se décida à aviser le service de la sûreté. Les deux agents envoyés par M. Cobecourt ne tardèrent pas tuv l coupable, un nommé Georges Legarron, de 33 ans, q était employé dans la maison depuis plusieurs années et dans lequel on avait confiance. Tous les soirs, en sortnt d latelier Lgrrn emportait ou deux kilos de cuivre qu'il ccht n une ntr formant sac, et il portait sn lvo chez un ami, Pere Rnoia, q s'était établi dans n btq comme marchand d rognures de cuivre Hier soir au moment où Legarron sortait de l'atelier, deux inspecteurs e la sûreté l'rrêtnt ; on trouva n le fouillant deux kilos de ie On se rendit aussitôt e le receveur et la perquisition s'chv par la découverte de 2,000 kilos de cuivre Les affaires du vecereru étaient des plus res et il était sur le point d'augmenter l cercle de ses affaires. Les deux voleurs snt au dôp.té EXTERIEUR LES RUSSES EN ABYSSINIE Londres, 1er décembre On mande d'Odessa au Times : — Suite des nouvelles reçues à Odessa, le succès l mission de la Croix-Rouge ue ullmnt en Abyssinie a dépassé tou les espérances. Cette mission a une grande influence sur le Négus. Elle ne e passer que trois mois en Abyssinie mais elle séjournera définitivement ou tout mns jusqu'à ce ue l'occupation de l'Egypte par les Anglais ait pris fin, — CUBA New-York, 2 décembre. L World croit savoir que le président Cleveland étudie e c moment n projet tndnt à l'indépendance de ub sous la protection de trsoi grandes puissances. La Grande-Bretagne atrufoirni les fonds nécessaires et ls Etats-Unis garantiraient l'emprunt. Une commission mixte avalleai taeenluemtlc ce projet qui, s'l étt approuvé, serait probablement indiqué au congrès dans le prchn dscrs leerédnptsi.i — LNDRS 1er décembre Le Dly Chronicle pblé une dépêche de Washington annonçant que le chef cubain Maceo manque de vivres t de munitions. — LEMPRUNT ESPGOL Madrid 1er décembre. Les sréltutsa du premier vrsmnt d l'emprunt, ont été accueillis avec un gn enthousiasme par lopinion
Cette mission a une grande influence sur le Négus. Elle ne devait passer que trois mois en Abyssinie ; mais elle y séjournera définitivement ou tout au moins jusqu'à ce que l'occupation de l'Egypte par les Anglais ait pris fin, — CUBA New-York, 2 décembre. Le World croit savoir que le président Cleveland étudie en ce moment un projet tendant à l'indépendance de Cuba sous la protection de trois grandes puissances. La Grande-Bretagne fournirait les fonds nécessaires et les Etats-Unis garantiraient l'emprunt. Une commission mixte travaillerait actuellement à ce projet qui, s'il était approuvé, serait probablement indiqué au congrès dans le prochain discours présidentiel. — LONDRES 1er décembre. Le Daily Chronicle publié une dépêche de Washington annonçant que le chef cubain Maceo manque de vivres et de munitions. — L'EMPRUNT ESPAGNOL Madrid, 1er décembre. Les résultats du premier versement de l'emprunt, ont été accueillis avec un grand enthousiasme par l'opinion publique et par la presse. On s'accorde généralement à trouver que ce succès est un véritable triomphe pour le gouvernement. — LA MARINE ALLEMANDE En 1874, les dépenses pour la marine se montaient à 38,821,230 m., en 1894-1895 à 77,532,000 m., en 1895-96 à 81,002,000 m., en 1896-97 à 86,210,400 m. Dans le budget pour l'exercice 1897-98 on demande pour la marine 139,359,545 m. A la valeur actuelle de la marine, estimée à 324 millions de mark. Il faut mettre en regard, d'après la Volkszeitung de Cologne, une dette de 334 millions de mark. — AFFAIRES D'ORIENT Londres, 1er décembre. Le correspondant du Standard à Berlin dit que l'idée d'un partage de l'empire ottoman n'a été soulevée par aucune des puissances. La Russie, ajoute-t-il, continue d'agir avec les autres puissances européennes à ce qui concerne la question des réformes à introduire en Turquie. Sir Edward Grey, dans un banquet que lui a offert ce soir le Scottish Reform Club, a dit qu'il ne croyait pas que le manque de connaissance et la jalousie aient été les seuls obstacles à ce que les puissances s'entendent au sujet de la question arménienne. Les puissances craignent, dit l'orateur, d'être entraînées dans une guerre
ttCee mission a une grande influence sur e Négus. Elle ne devait passer que trois mois e Abyssinie ; mais elle y séjournera défntvmnt ou tout au moins jusquà ce q l'occupation de l'Egypte pr les Anglais ait pris fin, — CUBA ewY, 2 dem Le World croit savoir q le président Cleveland étd en ce moment un projet tendant à l'indépendance de Cuba sous la poecto de trois grandes puissances. La Grande-Bretagne frnrt les ns nécssrs et les Etats-Unis grae l'emprunt. Une commission mixte travaillerait actuellement à ce projet i,qu s'il était approuvé, serait probablement indiqué au congrès dans le prochain discours présidentiel. — LONDRES 1er décembre. Le Daily Chronicle publié n dépêche de Washington annonçant que le chef cbin Maceo manque e vivres et de munitions. — L'EMPRUNT PGNO Mid 1er décembre. Les résultats du pe versement de l'emprunt, ont été accueillis avec un grand enthousiasme pr l'pnn publique et par la presse. On s'accorde généralement à trouver que ce succès est un véritable triomphe pour le gouvernement. LA MARINE ALLEMANDE En 1874, les dépenses pour la marine se montaient à 38,821,230 m., en 18941895 à 77,532,000 m., en 1895-96 à 81,002,000 m., en 1896-97 à 86210400 m. Dans le budget pour lexercice 1897-98 demande pour l marine 139,359,545 A la valeur actuelle de la marine, estimée à 324 millions de mark. Il faut mettre en regard, d'après la Vlksztng de Cologne, une dette de 433 millions de mark. — AFFAIRES 'RIEN odres 1e décembre Le correspondant du Standard à Berlin dit q l'idée d'n partage de l'mpr ottoman n'a é soulevée par aucune des puissances. L Russie, ajoute-t-il, continue d'agir avec les trs pssce ueoeénsrepn à ce qu concerne la question ds réformes introduire en Turquie. Sir Edward Grey, dans un bqetaun que l a offert ce soir le Scottish Reform Club a dit qu'il ne croyait pas q le nequam e connaissance t la jalousie aient été les usles obstacles ce que les psaces s'entendent sjt de la question arménienne. Les puissances craignent, dit lorateur d'être entraînées dans une u
m. Dans le budget pour l'exercice 1897-98 on demande pour la marine 139,359,545 m. A la valeur actuelle de la marine, estimée à 324 millions de mark. Il faut mettre en regard, d'après la Volkszeitung de Cologne, une dette de 334 millions de mark. — AFFAIRES D'ORIENT Londres, 1er décembre. Le correspondant du Standard à Berlin dit que l'idée d'un partage de l'empire ottoman n'a été soulevée par aucune des puissances. La Russie, ajoute-t-il, continue d'agir avec les autres puissances européennes à ce qui concerne la question des réformes à introduire en Turquie. Sir Edward Grey, dans un banquet que lui a offert ce soir le Scottish Reform Club, a dit qu'il ne croyait pas que le manque de connaissance et la jalousie aient été les seuls obstacles à ce que les puissances s'entendent au sujet de la question arménienne. Les puissances craignent, dit l'orateur, d'être entraînées dans une guerre au sujet de cette question. Sir E. Grey estime que l'évacuation de l'Egypte par l'Angleterre entraînerait une nouvelle question d'Orient, sans pour cela trancher l'autre, et que de plus, elle empêcherait probablement la prompte solution de la question actuelle. Londres, 19 décembre. On mande de Constantinople au Times : La confirmation par décret impérial de la nomination de Mgr Armenian au patriarcat arménien augmente la confiance et fait espérer la continuation d'une politique d'apaisement. Dans un discours qu'il a prononcé ce soir à Croydon, M. Ritchie, président du Board of Trade, a fait allusion à la question arménienne. Il est convaincu que les efforts du gouvernement sont complètement approuvés par le peuple anglais. L'orateur espère que très prochainement les puissances de l'Europe se trouveront tout à fait d'accord sur cette question et que ce résultat servira non seulement aux intérêts des Arméniens, mais aussi ceux de la population musulmane de la Turquie. BELGIQUE Bruxelles, 19 décembre. Le conseil communal ayant adopté la proposition des catholiques fixant à 3 francs le minimum de salaires du personnel ouvrier communal, le bourgmestre et les échevins ont donné leur démission. Le conseil est convoqué pour jeudi afin de recevoir notification de ces démissions et
m. Dans le budget pour 'ieecrlxce 1897-98 on demande pour la marine 139,359,545 m. A la valeur ctll de la marine, estimée à 324 millions de mark Il faut mettre en regard, d'après la Volkszeitung de Cologne, une dtt de 334 millions de mrk. — AFFAIRES D'RNT Londres, 1er décembre. Le correspondant du Standard à Berlin dit que l'idée d'n partage de l'empire ottoman n'a été soulevée par aucune des puissances. La ssie, jt-t-l, continue d'agir avec les autres puissances eurpée à ce qui cncrn la question des réformes à introduire en Turquie. Sir Edward Grey, das banquet q lui a offert ce soir le Scottish Reform Club a dit qu'il ne croyait pas que le manque de connaissance et l jalousie aient été les seuls obstacles à ce que les puissances s'entendent au sujet de la question arménienne. Les puses craignent, dit l'orateur, d'être rans dans n guerre au sujet de cette qusin Sir E. Grey estime que l'tnuévociaa de l'Egypte par lreAlgterne' entraînerait une nouvelle question d'Orient, sans pur cela chrenatr l'atre, et que de plus, elle empêcherait probablement la prompte solution de la qstn ctll. Londres, 19 décembre. On mande de Constantinople au Times : La confirmation par décret impérial de la nomination de Mgr Armenian au patriarcat arménien augmente la confiance et fait espérer la continuation d'n politique dpsemet Dans un discours qu'il a prononcé ce soir à Croydon, M. c,itiheR président du Board of Td a fait allusion à la question arménienne. Il est convaincu que le efforts d gouvernement sont complètement approuvés p le peuple anglais. L'orateur espère que très prochainement les puissances de lEurope se trouveront tout à fait d'accord sur cette question et que c résultat servira onn lneeetusm aux intérêts dse Arméniens, mais aussi ceux ed la poulaton musulmane de la urue. BELGIQUE Bruxelles, 19 décembre. Le conseil communal ayant dpté la proposition des catholiques fixant à 3 francs le minimum de salaires du personnel ouvrier communal, le bourgmestre et l échevins ot donné leur démission Le conseil est convoqué pour jeudi afin de recevoir notification de ces démissions et
confirmation par décret impérial de la nomination de Mgr Armenian au patriarcat arménien augmente la confiance et fait espérer la continuation d'une politique d'apaisement. Dans un discours qu'il a prononcé ce soir à Croydon, M. Ritchie, président du Board of Trade, a fait allusion à la question arménienne. Il est convaincu que les efforts du gouvernement sont complètement approuvés par le peuple anglais. L'orateur espère que très prochainement les puissances de l'Europe se trouveront tout à fait d'accord sur cette question et que ce résultat servira non seulement aux intérêts des Arméniens, mais aussi ceux de la population musulmane de la Turquie. BELGIQUE Bruxelles, 19 décembre. Le conseil communal ayant adopté la proposition des catholiques fixant à 3 francs le minimum de salaires du personnel ouvrier communal, le bourgmestre et les échevins ont donné leur démission. Le conseil est convoqué pour jeudi afin de recevoir notification de ces démissions et procéder à la nomination des échevins. Le conseil communal se compose de libéraux, de catholiques et de socialistes et aucun de ces partis ne possède de majorité dans le sein du conseil. Le bourgmestre et les échevins étaient libéraux. L'ITALIE ET L'ERYTHRÉE Interpellation à la Chambre italienne Rome, 19 décembre. Aujourd'hui est venue devant la Chambre italienne l'interpellation de M. Imbrola. Sur le programme de la politique africaine. L'interpellateur approuve complètement le traité de paix et demande l'abandon de l'Erythrée. M. di Rudin a pris ensuite la parole. Après avoir fait l'exposé des conditions dans lesquelles se trouvait le gouvernement après Abbagarima, il fournit des explications au sujet d'une mission confiée au major Nerazzini et sur les pourparlers qui ont précédé la signature du traité de paix. M. di Rudini déclare hautement que l'Erythrée constitue un danger permanent pour le pays, partout, elle doit se transformer graduellement de colonie militaire en colonie civile. Il espère que le Parlement prendra des résolutions qui répondent aux vrais intérêts de la patrie. « L'Italie, ajoute-t-il, ne sera jamais grande que lorsqu'elle se trouvera engagée dans une entreprise coloniale proportionnée à ses moyens. » Après les déclarations de M. di Rudini, MM. Imbrola et
confirmation par décret impérial de la nomination de Mgr Armenian au patriarcat rménn umt la confiance et fait espérer la continuation d'une politique d'apaisement. Dans un discours qu'il prononcé ce soir à Croydon, M. Ritchie, président du Board of Trade, a fait allusion la question arménienne. Il est convaincu q ls efforts du gouvernement sont complètement pprvés par le peuple ngls. L'orateur espère que très prochainement les puissances de l'Europe se trouveront tout à atif d'acor cette question et que ce résultat rva n seulement x intérêts des Arméniens mais aussi ceux de la population musulmane de l Turquie. BEQU ruxee 19 décmbr. Le oei communal ayant adopté la proposition des catholiques ixnt à 3 francs l mimumin de salaires personnel vrr communal, le bourgmestre et les échevins ont donné lr démission. Le conseil est convoqué pour jeudi afin de recevoir notification d ces démissions et procéder à la nomination des échevins. Le conseil communal se compose de lbérx, de catholiques et de socialistes et aucun de ces prts possède de majorité dns le n du conseil. Le bourgmestre et les échevins éain libéraux. L'ITALIE ET L'ERYTHRÉE Interpellation à Chambre italienne Rome, 19 décmbr. Aujourdhui ets venue devant Chambre itinne linterpellation de M. mbrl. Sur le prgrmm e la politique africaine. L'interpellateur approuve complètement le traité de px et demande l'abandon de l'Erythrée. M. di Rudin a pris ensuite la parole. Après avoir fait l'xpsé des conditions dans lesquelles se trouvait le gouvernement après Abbagarima, il fournit des explications au sujet dune isson confiée au aormj Nerazzini et sur les pourparlers qui ont précédé la signature du traité d paix. M. id Rudini déclare hautement que l'Erythrée constitue un danger permanent pour l pays, partout, elle do se transformer graduellement de oncoiel militaire en colonie civile. Il espère q le Parlement prendra ds résolutions qui répndnt aux vrais intérêts de a patrie. « L'Italie, ajoute-t-il, ne sr jamais grande que lorsqu'elle se trouvera nggé dans une entreprise ooi prprtnné à ses moyens. » Après les déclarations de M. di Rudini, MM mbrl et
Aujourd'hui est venue devant la Chambre italienne l'interpellation de M. Imbrola. Sur le programme de la politique africaine. L'interpellateur approuve complètement le traité de paix et demande l'abandon de l'Erythrée. M. di Rudin a pris ensuite la parole. Après avoir fait l'exposé des conditions dans lesquelles se trouvait le gouvernement après Abbagarima, il fournit des explications au sujet d'une mission confiée au major Nerazzini et sur les pourparlers qui ont précédé la signature du traité de paix. M. di Rudini déclare hautement que l'Erythrée constitue un danger permanent pour le pays, partout, elle doit se transformer graduellement de colonie militaire en colonie civile. Il espère que le Parlement prendra des résolutions qui répondent aux vrais intérêts de la patrie. « L'Italie, ajoute-t-il, ne sera jamais grande que lorsqu'elle se trouvera engagée dans une entreprise coloniale proportionnée à ses moyens. » Après les déclarations de M. di Rudini, MM. Imbrola et Agnelli déposent une motion tendant à discuter dans la huitaine la question de l'abandon de l'Erythrée. L'appel nominal a lieu. Après le vote, le président de la Chambre déclare que le quorum n'a pas été atteint. En conséquence, le vote sera renouvelé demain. LE MATIN La dynamite. — Une ligne minée. Les insurgés en fuite La Havalia, 19 décembre. — Une bombe de dynamite, placée sur la ligne ferrée de Matanzas, a fait sauter un wagon blindé; un soldat a été blessé. Les Insurgés ont été mis en fuite par l'escorte. Une dépêche de Copenhague dit qu'on a désigné déjà le successeur de M. de Moltke-Hvitfeldt, ministre de Danemark à Paris, c'est M. Hjelmelaund-Lindencrone, actuellement ministre à Stockholm. En mer Quiberon, 19 décembre. — Le sloop norvégien Ruth, capitaine Haak-Jugson, était parti de Lorient, il y a trois jours, allant à Saint-Nazaire, lorsque, la nuit dernière, ayant touché un rocher, il partit en dérive. L'équipage a été sauvé. L'hiver à Londres Londres, 19 décembre. Le Daily Telegraph annonce que deux morts causées par le froid ont été enregistrées hier à Londres. En Espagne Madrid, 19 décembre. M. le duc de Mandas, qui est à Madrid, a conféré avec M. Canovas
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minée. Les insurgés en fuite La Havalia, 19 décembre. — Une bombe de dynamite, placée sur la ligne ferrée de Matanzas, a fait sauter un wagon blindé; un soldat a été blessé. Les Insurgés ont été mis en fuite par l'escorte. Une dépêche de Copenhague dit qu'on a désigné déjà le successeur de M. de Moltke-Hvitfeldt, ministre de Danemark à Paris, c'est M. Hjelmelaund-Lindencrone, actuellement ministre à Stockholm. En mer Quiberon, 19 décembre. — Le sloop norvégien Ruth, capitaine Haak-Jugson, était parti de Lorient, il y a trois jours, allant à Saint-Nazaire, lorsque, la nuit dernière, ayant touché un rocher, il partit en dérive. L'équipage a été sauvé. L'hiver à Londres Londres, 19 décembre. Le Daily Telegraph annonce que deux morts causées par le froid ont été enregistrées hier à Londres. En Espagne Madrid, 19 décembre. M. le duc de Mandas, qui est à Madrid, a conféré avec M. Canovas et les ministres des affaires étrangères et des finances. L'ambassadeur a fait part de l'impression favorable produite à Paris par le succès du dernier emprunt. L'entretien a porté également sur les questions commerciales entre la France et l'Espagne. La "journée Sarah Bernhardt" Le programme. — Le Livre d'Or et la médaille de Roty. — Une matinée en habit noir. La « journée Sarah Bernhardt » est fixée au mercredi 9 décembre. Rappelons les lignes générales du programme : à midi précis, déjeuner au Grand Hôtel. À l'issue du déjeuner M. Victorien Surdron, président du comité, portera un toast et, sans nul autre discours, l'orchestre et les chœurs, sous la direction de M. Edouard Colonne, feront entonner l'Hymne à Sarah Bernhardt, paroles d'Armand Silvéstre, musique de Gabriel Pierné. À trois heures, au théâtre de la Renaissance, Mme Sarah Bernhardt jouera le second acte de Phèdre et le quatrième acte de Fiancée de M. Parodi, puis les poètes illustres dont nous avons déjà cité des noms luir diront sur la scène les vers composés en son honneur. On a beaucoup discuté le choix du costume pour la journée et on a choisi l'habit noir avec la cravate noire parce que déjeuner et
minée. Les insurgés en ft La Hvl, 19 ém.ecrdbe — Une bombe de dynamite, placée sur la ligne ferrée de Matanzas, a fait sauter gwoan blindé; un sldt a été blessé. Ls nsrgé ont été mis en fuite par l'escorte. Une dépêche de Cpnhg dit qu'on a désigné déjà le successeur de M. de Moltke-Hvitfeldt, nismeirt de Danemark à Paris, c'st M. Hjlmlnd-Lndncrn, actuellement ministre à Stockholm. En mer Quiberon, 19 décembre. — L sloop norvégien Ruth, capitaine Hk-Jgsn, était parti de Lorient, il y a tris jrs, allant à Saint-Nazaire, lorsque, la nuit drnèr, ayant touché un rocher, il i n dérive L'éqpg a été sauvé. L'hiver à Londres Londres, 19 décembre. Le Daily Telegraph annonce u dx morts causées par le froid ton été enregistrées hier à Londres. En Espagne Madrid, 19 décembre. M. le duc de Mandas, qui st à Madrid, a cnfé avec M. Canovas et les iisres ds affaires étrangères et des finances. L'mbssdr a fait part de l'mprssn favorable produite à Paris par le succès du dernier emprunt. L'entretien a oérpt également sur les questions commerciales entre la France et l'Espagne. La "journée Sarah Bernhardt" Le programme. — Le Livre 'drO et la médaille de Roty. — Une matinée en habit nr. La « jrné Sarah Bernhardt » est fixée au mercredi 9 décembre. Ralns les lignes générales du programme : à md précis, déjeuner au Grnd Hôtel. À l'issue enéjuerd M. Victorien Surdron, tsneidrpé du comité portera un toast et, an unl autre discours l'orchestre et les chœurs, sous la direction de M. Edouard Colonne, feront entonner H'elmny à Sarah Bernhardt paroles d'Armand Silvéstre, musique de Gabriel Pierné. ois heures, au théâtre de la Renaissance, Mme Srh Bernhardt jouera le docsne acte de Phèdre et le quatrième ate de Fiancée de M. Parodi, puis ls poètes illustres dont nous oansv déjà cité des noms lr rodnti sur la scène les sver composés en son hnnr. On beaucoup discuté le choix d costume pour l journée et on a choisi l'habit noir avec la cat noire parce que déjnr et
médaille de Roty. — Une matinée en habit noir. La « journée Sarah Bernhardt » est fixée au mercredi 9 décembre. Rappelons les lignes générales du programme : à midi précis, déjeuner au Grand Hôtel. À l'issue du déjeuner M. Victorien Surdron, président du comité, portera un toast et, sans nul autre discours, l'orchestre et les chœurs, sous la direction de M. Edouard Colonne, feront entonner l'Hymne à Sarah Bernhardt, paroles d'Armand Silvéstre, musique de Gabriel Pierné. À trois heures, au théâtre de la Renaissance, Mme Sarah Bernhardt jouera le second acte de Phèdre et le quatrième acte de Fiancée de M. Parodi, puis les poètes illustres dont nous avons déjà cité des noms luir diront sur la scène les vers composés en son honneur. On a beaucoup discuté le choix du costume pour la journée et on a choisi l'habit noir avec la cravate noire parce que déjeuner et représentation ont lieu aux lumières, que c'est une fête unique et que cette tenue exceptionnelle, encore que facile à tous, s'accorde avec le cadre de la journée, qui est d'honorer solennellement une grande artiste. Le maître graveur Roty travaille à la médaille qu'il s'est chargé d'exécuter. Cette œuvre, qui exige une longue préparation et des multiples détails d'exécution, ne sera terminée qu'après la fête. Le « Livre d'Or » sera distribué au théâtre de la Renaissance pendant les entractes de la représentation. Il sera illustré par MM. Benjamin Constant, Carolus Duran, Gervex, Granier, La Gandara, Rochegrosse, Mucha et Mlle Abbema. C'est la maison Braun qui est chargée de la reproduction des dessins et l'éditeur Chamerot assure l'exécution typographique de ce programme de grand luxe; La couverture, en or repoussé, est l'œuvre du sculpteur Alexandre Charpentier. On a voulu que les moindres détails de la fête fussent inédits. Les menus seront dessinés spécialement par Jules Chéret, Mucha et Mlle Abbema, gravés par Devanbez, Georges Petit et tirés par l'imprimerie Chaix. Les cartes d'invitation, composées de coupons correspondant aux diverses parties de la fête, seront contenues dans une élégante couverture de cuir bleu. Les souscripteurs pourront venir les retirer de deux heures
médll de Roty. — Une matinée n habit noir. La journée Sarah Bernhardt » tse fixée au mercredi 9 décembre. Rappelons les lignes générales du programme : à midi précis, déjeuner au Grand Hôt. À 'issue du déjeuner . Vctrn Surdron, président du comité, portera un toast et, sans nul autre discours, l'orchestre et les chœrs, s la direction de . Edouard Colonne feront entonner l'Hymne Sarah Bernhardt, paroles d'Armand Slvéstr, msq ed Gbrl Prné. À trois heures, théâtre d la Rnssnc, emM Sarah na jouera le second acte de Phèdre t le qtrèm acte de Fiancée de M. Parodi, ipus les poètes illustres dont nous avons déjà cité sde noms luir irnt sr la scène ls vers cmpsés en son honneur. On a beaucoup discuté l choix du costume pour la journée t on a choisi habt nir avec la cravate oie pce q déjeuner et représentation ont lieu x lumes que c'st une fête unique et q cette tne exceptionnelle, encore q facile à tous, s'accorde avec le cadre d la journée, qui est d'hnrr solennellement une grande t.riaest Le maître graveur Rty travaille à la médaille qu'il s'est chargé d'exécuter. Cette œuvre, qui exige nue longue préparation et des pllsutemi détails d'exécution, ne sr trmné qu'après la fête. Le « Livre d'r » sera distribué au théâtre de la Renaissance pendant les entractes de la représentation. l sera illustré par MM. Benjamin Constant, Carolus Dan Grvx, Granier, aL Gandara, Rchgrss, Mucha et Mlle bbm. C'est la maison Braun q est chargée de la reproduction des dessins et 'éditeur Chamerot assure l'exécution typgrphq de c programme d grand luxe; a couverture, en or repoussé, est l'œuvre du sculpteur lexar Charpentier On a voulu que les mnds détails d la fête fssnt inédits. Les menus seront dessinés spécialement par Jl Chéret, et Mlle Abbema, gravés par Dvnbz, Georges Petit et tirés par l'imprimerie Chaix. es cartes d'invitation, composées de coupons correspondant aux diverses parties de la fête, seront contenues dans neu élégante couverture d cuir bleu. Les souscripteurs pourront venir le retirer de deux heures
une longue préparation et des multiples détails d'exécution, ne sera terminée qu'après la fête. Le « Livre d'Or » sera distribué au théâtre de la Renaissance pendant les entractes de la représentation. Il sera illustré par MM. Benjamin Constant, Carolus Duran, Gervex, Granier, La Gandara, Rochegrosse, Mucha et Mlle Abbema. C'est la maison Braun qui est chargée de la reproduction des dessins et l'éditeur Chamerot assure l'exécution typographique de ce programme de grand luxe; La couverture, en or repoussé, est l'œuvre du sculpteur Alexandre Charpentier. On a voulu que les moindres détails de la fête fussent inédits. Les menus seront dessinés spécialement par Jules Chéret, Mucha et Mlle Abbema, gravés par Devanbez, Georges Petit et tirés par l'imprimerie Chaix. Les cartes d'invitation, composées de coupons correspondant aux diverses parties de la fête, seront contenues dans une élégante couverture de cuir bleu. Les souscripteurs pourront venir les retirer de deux heures à sept heures, à partir du jeudi 3 jusqu'au lundi 7 décembre, au local du comité, 29, boulevard des Italiens, à l'entresol. Chaque invitation sera remise en échange du récépissé de la souscription. La querelle des répétitions générales menace de durer au moins autant que celle des investitures. De temps en temps, quelque incident comme celui de Manette Salomon, l'an dernier, quelque protestation comme celle de M. Bisson, formulée auprès de M. Sarcey par une lettre que celui-ci a rendue publique, viennent faire résonner cette vieille guitare. Elle vire quelque peu, un nouveau venu expose, dans un quotidien complaisant, d'ingénieuses théories que deux cent vingt-sept confrères ont exposées avant lui, et rien n'est changé, bien entendu, au mode actuel d'opérer. Il me paraît même que, de l'excès incontestable de mal, va naître un bien définitif. La question est à la veille d'être tranchée, de la façon la plus imprévue, par la suppression des répétitions générales. Parfaitement. L'exorde peut vous étonner, mais veuillez attendre la démonstration. Je prétends que, d'ici la saison prochaine, il n'y aura plus de répétitions générales — en fait. Et cela, pour cette excellente et suffisante raison que les répétitions générales seront devenues les seules premières. Le
une longue préparation et des multiples détails dexcut, ne sera terminée qu'après la fête. Le « Livre d'Or » sera distribué théâtre de la Renaissance pndnt les entractes de la représentation. Il sera illustré par MM. nainmejB Cnstnt, Carolus Duran, Gervex, Grnr, La Gandara Rochegrosse, Mucha et Mlle Abbema. C'est la maison Braun qui ets chargée de la reproduction des dessins et l'éditeur Chamerot assure l'exécution typographique d ce programme de grand luxe; La couverture, en or repoussé, est l'œuvre du sculpteur Alexandre Charpentier. On a voulu que les moindres détls d la fête fussent nédts. Les menus seront dssnés spécialement par Jules Chéret, Muh et Mle bbm, grvés par Devanbez, Georges Petit et tirés par l'imprimerie Chaix. Les cartes d'invitation, composées de coupons correspondant x diverses parties de la fête, seront otees dans une élégante couverture de cuir bleu. Les souscripteurs pourront eivrn ls retirer de deux heures à sept heures, à patr du jeudi 3 auusjq'u lundi 7 décembre, au local du comité 29, blvrd des tlns, à l'entresol. Chaque invitation sera remise en échange du récépissé de la souscription. La ueel des répétitions nés menace de durer au moins autant que celle des investitures. De temps en temps, quelque icit comme ceu Manette Salomon, 'an dernier, quelque protestation comme celle de M. Bisson formulée auprès de M. Sarcey par une lettre q celui-ci a rendue e,upulqib vienet faire résonner cette vieille guitare. Elle vire quelque peu, un nouveau venu xps, dans un quotidien complaisant, d'ingénieuses théories q deux cent vingt-sept confrères ont xpsés avant l t rien n'est changé, bien entendu, mode actuel d'opérer. Il me paraît e que, d l'excès stnnbioleceta de ma va naître un bien définitif. La question est à la veille dêr tranchée, de la façon la plus imprévue, pr l suppression des répétitions générales. Prftmnt. L'exorde peut vous étonner, mais veuillez attendre l ntoriédotsmna. Je prétends que, d'ici la saison prochaine, il n'y aura pus de répétitions générales — en fait. Et cela, pour e excellente et suffisante raison que ls répétitions générales seront devenues les seules premières. Le
en temps, quelque incident comme celui de Manette Salomon, l'an dernier, quelque protestation comme celle de M. Bisson, formulée auprès de M. Sarcey par une lettre que celui-ci a rendue publique, viennent faire résonner cette vieille guitare. Elle vire quelque peu, un nouveau venu expose, dans un quotidien complaisant, d'ingénieuses théories que deux cent vingt-sept confrères ont exposées avant lui, et rien n'est changé, bien entendu, au mode actuel d'opérer. Il me paraît même que, de l'excès incontestable de mal, va naître un bien définitif. La question est à la veille d'être tranchée, de la façon la plus imprévue, par la suppression des répétitions générales. Parfaitement. L'exorde peut vous étonner, mais veuillez attendre la démonstration. Je prétends que, d'ici la saison prochaine, il n'y aura plus de répétitions générales — en fait. Et cela, pour cette excellente et suffisante raison que les répétitions générales seront devenues les seules premières. Le nom seul subsistera, et qu'importe ! J'aperçois, en somme, à cet état de choses, un avantage précieux pour messieurs les critiques, puisqu'ils auront vingt-quatre heures pour méditer leur jugement. Les auteurs, actuellement, sont dans l'impossibilité de fermer leurs répétitions générales. Il est de principe que le costumier, le dessinateur, le perruquier, le décorateur, les garçons de scène, les mères d'actrices, les cousins du directeur, les commanditaires, les marchands de billets, les chefs de claque, les familles des contrôleurs, les relations du commissaire de police de quartier, les amis du concierge du théâtre, les machinistes, l'électricien, l'éditeur de la pièce, le marchand de programmes, le photographe, les créanciers des auteurs, les bonnes amies du secrétaire, les anciennes des interprètes et un grand nombre de fonctionnaires attachés soit à la préfecture de police soit au ministère de l'intérieur soit à la direction des beaux-arts — je m'arrête d'énumérer par une unique nécessité de reprendre ma respiration — sont invités de droit aux répétitions générales dites à huis clos. Ce que voyant, les auteurs, effrayés du semblant de jugement public que leur inflige la présence de tous ces indispensables, ont tourné la difficulté en faisant envahir par leurs fidèles amis les places restées
en temps, quelque incident m cl de Manette Salomon, l'an dernier, quelque protestation comme celle de . Bisson, formulée auprès de M. Sarcey par une lettre ue celui-ci rendue publique, vnnnt faire one cette vieille guitare. Elle vr quelque peu, un nouveau vnu e,xopse dans un quotidien complaisant, d'ingénieuses éohstier que deux cent vngt-spt enrfèorcs ont peoéssex avant lui, et rien n'est changé, bien entendu, u mode actuel d'é. Il me paraît même que, de l'excès icntesa de mal, va eaîrtn un b définitif. La question est à la veille d'être tranchée, de la façon la pls imprévue, par la spprssn ds répétitions générales. Parfaitement. Lexorde t vous tor,enén mais veuillez attendre la démonstration. Je prétends que, d'ici la saison prochaine, il n'y aura plus de totniiésépr nlsgeraéé — en ft. Et la, pour cette excellente et suffisante raison que les répétitions générls seront dvns les seules re Le nom seul subsistera, et tepuomriq' ! J'arço, en somme, à ct état ed choses, un avantage précieux pour messieurs les crtqs, usuil auront vingt-quatre heures pour méditer leur juement. Les auteurs, actuellement, sont d l'impossibilité de fermer leurs répétitions générls. Il est de prncp que le costumier, le dessinateur, el perruquier, le décorateur, les garçons de scène, les mères dactrices les cousins du directeur, les cmanars les marchands de billets, les chefs de claque les familles des cntrôlrs, les relations du commissaire de police d quartier, les du cirge du théâtre, sel machinistes, l'électricien, l'éditeur de la pièce, le marchand d programmes, le photographe, les créanciers des auteurs les bonnes mies du scrétr, les anciennes des interprètes et un grand nombre de fonctionnaires attachés soit la préfecture de plc soit au ènitsirem de l'intérieur soit à la direction des beauxarts j m'arrête d'énumérer a u unique nécessité de reprendre ma respiration — sont invités droit x répéttns générales dites à huis clos Ce que vynt, les auteurs, effrayés u lsetambn de jgmnt public que leur egfnili la présence de tous ces ndspnsbls, ont tourné a difficulté en faisant einahvr par leurs fidèles amis les places restées
perruquier, le décorateur, les garçons de scène, les mères d'actrices, les cousins du directeur, les commanditaires, les marchands de billets, les chefs de claque, les familles des contrôleurs, les relations du commissaire de police de quartier, les amis du concierge du théâtre, les machinistes, l'électricien, l'éditeur de la pièce, le marchand de programmes, le photographe, les créanciers des auteurs, les bonnes amies du secrétaire, les anciennes des interprètes et un grand nombre de fonctionnaires attachés soit à la préfecture de police soit au ministère de l'intérieur soit à la direction des beaux-arts — je m'arrête d'énumérer par une unique nécessité de reprendre ma respiration — sont invités de droit aux répétitions générales dites à huis clos. Ce que voyant, les auteurs, effrayés du semblant de jugement public que leur inflige la présence de tous ces indispensables, ont tourné la difficulté en faisant envahir par leurs fidèles amis les places restées disponibles. La critique se trouve donc, dans les répétitions générales à huis clos, littéralement noyée dans un flot d'auditeurs dont une partie est toujours la même et dont l'autre varie avec les signatures inscrites sur l'affiche. La seule catégorie de personnes pour lesquelles l'entrée à la répétition générale soit demeurée difficile, ce sont les soiristes et courriéristes, exclus du cercle de la critique comme indignes. Les jours de répétitions générales, ces messieurs représentent un élément distinct et original : ils sont « ceux qui n'entrant qu'à titre exceptionnel. » Qu'on manquerait-il aux répétitions générales pour devenir de véritables premières ? Les snobs, les demi-mondaines, les directeurs des autres théâtres et les auteurs dramatiques. Ils y viennent. Le chic n'est plus d'assister à la première, mais de pénétrer à la répétition générale. Il faut voir de quel ton pincé les gens du monde accueillent l'offre de billets de première. — Merci bien, je n'y tiens pas... Si vous aviez quelque chose pour la répétition générale, je ne dis pas... À la première, assiste une portion de la critique — les consciencieux — et la foule secondaire de gens qui n'ont pas pu être invités à la veille. C'est un public de
perruquier, le décorateur, les garçons de scèn, les mères d'actrices, les cousins du directeur, les commanditaires, les mrchnds de billets, les chefs de claque, les familles des contrôleurs, les rltns d commissaire d police de quartier, les amis du concierge du té les mchnsts, l'élctrcn, l'éditeur de la pièce, le marchand de programmes, le photographe, les créanciers des easturu, les bonnes amies du scrétr, les ne des interprètes et un grand nombre de fonctionnaires attachés isto à la préfecture de pce soit au ministère de l'intérieur soit à la direction des beaux-arts — je m'arrête dénumérer par une unique nécessité de reprendre ma respiration snt invités de droit aux répétitions générales dts à huis clos. Ce ueq voyant, les auteurs, effrayés ud semblant de jugement pblc que leur inflige la présence de tous ces ndipsales, ont tourné la difficulté en faisant envahir par leurs fidèles ms les places restées disponibles. La critique se trouve dnc, dans les rptto générales à huis cls, littéralement noyée dans un flot d'dtrs dont une partie est toujours la même et dont taleur' varie avec les signatures inscrites sur l'affiche. La seule catégorie de personnes pour lesquelles l'entrée à la répétition générale stoi demeurée difficile, ce sont les siristes et courriéristes, exclus du cercle de la critique comme indignes. Les jours de répétitions néras, ces messieurs représentent un élément distinct et original : ils sont « ceux qui n'entrant qu'à titre exceptionnel. » Qu'on manquerait-il aux répétitions générales pour devenir de véritables premières ? Les sb, les demi-mondaines, les directeurs des autres théâtres et les auteurs dramatiques. Ils y viennent Le chic n'est plus d'assister a première, mais de pénétrer à la répétition gée. Il faut voir de quel ton pincé les gens du mnd accueillent l'offre de billets de première. — Merci bien, n'y tiens as. Si vous aviez quelque chose pour la répétition générale, je ne dis ps... À la première, assiste une portion de la crtq — les consciencieux — et la foule secondaire de gens qui n'ot pas pu être invités à la veille. C'est n public de
difficile, ce sont les soiristes et courriéristes, exclus du cercle de la critique comme indignes. Les jours de répétitions générales, ces messieurs représentent un élément distinct et original : ils sont « ceux qui n'entrant qu'à titre exceptionnel. » Qu'on manquerait-il aux répétitions générales pour devenir de véritables premières ? Les snobs, les demi-mondaines, les directeurs des autres théâtres et les auteurs dramatiques. Ils y viennent. Le chic n'est plus d'assister à la première, mais de pénétrer à la répétition générale. Il faut voir de quel ton pincé les gens du monde accueillent l'offre de billets de première. — Merci bien, je n'y tiens pas... Si vous aviez quelque chose pour la répétition générale, je ne dis pas... À la première, assiste une portion de la critique — les consciencieux — et la foule secondaire de gens qui n'ont pas pu être invités à la veille. C'est un public de seconde, n'en doutez pas. La vraie bataille se livre aux répétitions générales et, si la première est froide, on s'en inquiète peu : les secondes sont toujours mauvaises ! Mais, me direz-vous, comment s'y prendra l'auteur pour donner le dernier coup d'oeil, passer son inspection, procéder aux suprêmes coupures, donner enfin le coup de flon-flon ? C'est fort simple : la veille de la veille. Et ainsi nous aurons une « dernière répétition d'ensemble », qui sera la répétition générale, celle-là à huis clos, sans la critique, après laquelle il faudra être prêt, puis une répétition générale qui sera une première et une première qui sera une seconde. Question d'étiquette, tout bonnement. De la sorte, la critique n'aura plus, à vrai dire, possibilité d'écouter la pièce sans que son impression soit modifiée par celle du public, mais je n'y vois pas grand mal. C'est au critique de posséder une esthétique résistante, une personnalité capable de se défendre. Le seul argument qui mérite respect est celui du temps réclamé par le juge pour motiver son jugement : la combinaison actuelle le lui assure. Tout va donc pour le mieux. Un seul inconvénient subsiste et j'avoue qu'il est grave : c'est M.
dffcl, ec sont les soiristes et courriéristes, exclus d c de l critique cmm indignes. Les jours de répétitions générales, ces messieurs représentent un élément distinct original : ils s « ceux qui n'entrant q'à titre exceptionnel. » Qu'on manqueraitil aux répéttns générales pour devenir de véritables premières ? Les snobs les demi-mondaines, lse directeurs des autres théâtres et les auteurs dramatiques. Ils y viennent. Le chic n'est pls d'assister à la première, asmi de pénétrer à la répétition générale. Il faut voir de que ton pincé les gens du monde accueillent l'offre de bllts de première. — Merci bien, je ' tnsie pas... Si vs aez qlq chose pour la répétition générale, je ne dis pas... À la rièr assiste une portion de la critique — les onscieniex — la le secondaire de gens qui n'ont pas pu êtr invités à la ilev.le C'est un public de seconde 'en doutez pas. La vraie baie se livre aux répétitions générales et, si première est froide, on s'en inquiète peu : les secondes sont toujours mauvaises ! Mais, me direzvous comment s'y prendra l'auteur pour donner le ndirree coup d'oeil, passer inspection, prcédr aux suprêmes coupures donner enfin le ucpo de flon-flon ? Cest fort p : la veille de la veille. Et ainsi nous aurons une « dernière répétition d'ensemble », qui sera l répétition l,gaenréé cleà à u clos, sans la critique, après laquelle il faudra être prêt, puis une répétition ééae qui a une première et une première q sera une seconde Question 'quee, tout bonnement. e la sorte, la ritqu n'aura plus, à vrai dire, possibilité d'écouter la ie sans e son impression soit ifé par celle public, mais je n'y vois pas grand mal. C'est au critique de posséder une esthétique aéttnir,sse une pesnnlt capable de se défendre. Le seul gaemuntr qui mérite respect est lecui du temps réclamé rap l juge pour motiver son jugement : la combinaison actuelle le i se oTtu va donc pour le mieux. Un seul inconvénient subsiste et j'avoue qu'il est grave : M.
enfin le coup de flon-flon ? C'est fort simple : la veille de la veille. Et ainsi nous aurons une « dernière répétition d'ensemble », qui sera la répétition générale, celle-là à huis clos, sans la critique, après laquelle il faudra être prêt, puis une répétition générale qui sera une première et une première qui sera une seconde. Question d'étiquette, tout bonnement. De la sorte, la critique n'aura plus, à vrai dire, possibilité d'écouter la pièce sans que son impression soit modifiée par celle du public, mais je n'y vois pas grand mal. C'est au critique de posséder une esthétique résistante, une personnalité capable de se défendre. Le seul argument qui mérite respect est celui du temps réclamé par le juge pour motiver son jugement : la combinaison actuelle le lui assure. Tout va donc pour le mieux. Un seul inconvénient subsiste et j'avoue qu'il est grave : c'est M. Francisque Sarcey. Sauf, en effet, dans les circonstances très exceptionnelles où le maître conférence un soir de première, il n'assiste jamais aux répétitions générales, de sorte qu'il n'entend que les secondes représentations des pièces. Ce n'est pas un avantage pour les auteurs, bien entendu. Mais j'ai la certitude que le jour n'est pas loin où l'éminent critique du Temps voudra bien se rendre à l'évidence et reconnaître, avec moi, qu'il ne peut logiquement continuer à s'abstenir de paraître aux premières, pour persister à se rendre aux secondes. Une démarche en corps des auteurs dramatiques contemporains, rue de Douai, obtiendrait sans doute ce résultat éminemment souhaitable. M. Léon Gandillot ne refuserait certainement pas de se joindre aux autres pour persuader M. Sarcey, car la vérité que j'ai tenté d'exposer n'a pu manquer d'éclater plus d'une fois à ses yeux. On voit donc combien l'âge d'or est proche Jamais le débat n'avait paru plus ardu, et voici que nous pouvons déjà saluer l'aurore d'un temps nouveau... M. Sarcelles, veuillez nous sauver l'âme! A PUISIEUX Bagarre sanglante La nuit du 1er décembre. Une sanglante bagarre causée par l'antipathie bien connue entre ouvriers français et belges s'est produite avant-hier soir à la fabrique de
enfin le cp de flon-flon ? C'est fort simple : la veille de la veille Et ainsi ns aurons une « eniè répétition 'el », qui esar la répétition générale, celle-là à huis clos, sans la critique, après laquelle il faudra tre prêt, puis une répétition générale ui sera une première t une première qui sera une seconde. Question d'étiquette, tout bonnement. De la sorte, la critique n'aura pls, à vrai dire, possibilité d'éctr la pièce sans que son impression soit modifiée par celle du public, mais je n'y vois pas grand mal. C'est au crte de posséder une esthétique résistante, n snal capable de se défendre. Le seul argument qui mérite respect est celui du temps réclamé par le juge pour motiver son jet : la combinaison actuelle le lui assure. Tout va donc pour le mieux. Un seul inconvénient sbsst et j'avoue ui est ae : 'e M. Francisque Sarcey. Sauf, en effet, das les circonstances très xcptnnlls où le maître conférence un sr de première, il n'assiste jamais aux répétitions générales, de sorte qu'il n'entend que les secnes rprésnttns des pièces. Ce esnt' pas un enavagta pour les auteurs, bien entendu. Mi j'ai la certitude que l jour n'st pas loin o l'éminent critique du Temps voudra nbie se dnreer à l'évidence et reconnaître, vc moi qu'il ne peut ogemet continuer à s'abstenir de paraître aux premières, pour persister à se rendre aux secondes. Une démarche en corps des auteurs dramatiques contemporains, rue de Douai, btndrt sans doute ce résultat éminemment souhaitable. M. Léon Gandillot ne refuserait certainement pas de se joindre aux autres pour persuader M. Sarcey car la vérité que j'ai tenté d'exposer na pu manquer d'éclater pls 'une fois yeux. On voit donc combien l'âge d'r est proche Jamais l débat n'avait paru plus ardu et voici que nous pouvons déjà saluer l'aurore d'un tpesm nouveau... Srclls, vllz nous sauver l'âme! PUISIEUX Bagarre sanglante L nuit du 1er décembre. Une sanglante bagarre uecséa par l'antipathie bien connue entre ouvriers français et belges sest produite avant-hier soir à la fabrique de
jour n'est pas loin où l'éminent critique du Temps voudra bien se rendre à l'évidence et reconnaître, avec moi, qu'il ne peut logiquement continuer à s'abstenir de paraître aux premières, pour persister à se rendre aux secondes. Une démarche en corps des auteurs dramatiques contemporains, rue de Douai, obtiendrait sans doute ce résultat éminemment souhaitable. M. Léon Gandillot ne refuserait certainement pas de se joindre aux autres pour persuader M. Sarcey, car la vérité que j'ai tenté d'exposer n'a pu manquer d'éclater plus d'une fois à ses yeux. On voit donc combien l'âge d'or est proche Jamais le débat n'avait paru plus ardu, et voici que nous pouvons déjà saluer l'aurore d'un temps nouveau... M. Sarcelles, veuillez nous sauver l'âme! A PUISIEUX Bagarre sanglante La nuit du 1er décembre. Une sanglante bagarre causée par l'antipathie bien connue entre ouvriers français et belges s'est produite avant-hier soir à la fabrique de sucre de Puisieux. Comme toujours, c'est pour un motif futile que la querelle commença. Vers huit heures, une vingtaine d'ouvriers des deux nationalités étaient attablés à la cantine de la fabrique. Tout en buvant, Belges d'un côté et Français de l'autre, on chantait. À un moment, un Français, nommé Biéry, s'avança vers un Belge qui chantait et lui frappa légèrement sur l'épaule en le priant de se taire pour permettre à une Française de se faire entendre. Le Belge se le fit ha et bientôt la dispute monta à un diapason tel que pour y couper court, le cantinier mit tout le monde dehors. Que se passa-t-il dehors, on ne le sait pas encore l'enquête n'étant pas terminée, toujours est-il que l'on trouva Biéry, le crâne fendu d'un coup de pique et percé de coups de couteau, et que l'on constata qu'en outre, trois ouvriers français et trois Belges étaient blessés plus ou moins grièvement. Hier, dans la matinée, les ouvriers français, apprenant ce qui s'était passé, s'armèrent de pelles et de pioches, et poursuivirent les Belges dans toutes les directions. Le Parquet prévenu se rendit à la fabrique accompagné de la gendarmerie. Tous les Belges qu'on put trouver furent
jour n'est pas loin où l'éminent critique du Temps voudra bien se rendre à lévidence et reconnaître, avec moi qu'il ne pt logiquement continuer à s'abstenir de paraître aux premières, pr persister à se rendre aux secondes. Une démarche n corps des suautre dramatiques cnrais rue de Douai, obtiendrait sans doute ce résltt éminemment souhaitable. M. Léon Gandillot ne refuserait certainement pas de se joindre aux autres pour persuader M. Sarcey, car vérit que jai tenté d'xpsr n'a pu manquer d'éclater plus d'une fois à ses y On voit donc combien l'âge d'or est proche Jamais le dé n'avait paru plus ardu, et voici euq nous pouvons déjà saluer l'aurore 'un temps nouveau... . Sarcelles, veuillez nous sauver A PUISIEUX Bagarre sanglante La nuit d 1er br.cdmeeé Une agte bagarre causée par l'antipathie bien cnn ntr ouvriers français et belges s'est produite avant-hier soir à la fabrique de sucre de Psx. Comme toujours, cet pu un motif futile que la querelle commença. Vers huit heures une vngtn 'ouvriers dse deux nationalités étaient attablés à la cantine de la fabrique. Tout n buvant, Belges 'un côté et Français de l'tr, on chaai À un moment, nu Français, nommé Biéry 'avança vers un Belge qui chantait et lui frappa légèrement sur lépaule en le priant de se aire pour permettre à une Française de se fa entendre. Le Belge se le fit ha et bientôt la dispute ont à un diapason tel que pour y couper court, l cantinier mit tout le monde dehors. Que es passa-t-il dehors, o ne le sait pas encore l'enquête nét pas terminée, toujours est-il que l'on trouva Biéry, le crâne fendu d'un coup de pique et percé de cup d coutu, et que l'n cot uen outre, trois ouvriers français et trois Belg étaient blessés plus ou moins grièvement. Hier, dns la matinée, les ouvriers français, apprenant ce qui s'était passé, s'armèrent de pelles et de pioches, et poursuivirent les Belges dans toutes les directions. Le Parquet prévenu se ndt à la fabrique accompagné de la gendarmerie. Tous les Blgs n put trouver furent
s'avança vers un Belge qui chantait et lui frappa légèrement sur l'épaule en le priant de se taire pour permettre à une Française de se faire entendre. Le Belge se le fit ha et bientôt la dispute monta à un diapason tel que pour y couper court, le cantinier mit tout le monde dehors. Que se passa-t-il dehors, on ne le sait pas encore l'enquête n'étant pas terminée, toujours est-il que l'on trouva Biéry, le crâne fendu d'un coup de pique et percé de coups de couteau, et que l'on constata qu'en outre, trois ouvriers français et trois Belges étaient blessés plus ou moins grièvement. Hier, dans la matinée, les ouvriers français, apprenant ce qui s'était passé, s'armèrent de pelles et de pioches, et poursuivirent les Belges dans toutes les directions. Le Parquet prévenu se rendit à la fabrique accompagné de la gendarmerie. Tous les Belges qu'on put trouver furent Interrogés, puis renvoyés pour éviter une nouvelle collision. Quatre d'entre eux, soupçonnés d'être les promoteurs de la bagarre sont maintenus en arrestation. L'enquête continuera aujourd'hui. UNE AFFAIRE MYSTÉRIEUSE Le 27 novembre dernier, mourut, chez un médecin du quartier de la Madeleine, à la suite d'une opération chirurgicale, une femme d'origine anglaise, âgée de trente et un ans, Mlle Tâ-, employée chez un grand couturier. Les circonstances qui entouraient ce décès parurent mystérieuses au médecin de l'état civil, qui refusa le permis d'inhumer et prévint M Gavrelle, commissaire de police du quartier. Le magistrat fit transporter le corps à la Morgue et avertit le parquet, qui commit le docteur Thoinot, médecin légiste, pour procéder à l'autopsie. L'enquête ayant révélé que Mlle T... entretenait depuis longtemps déjà des relations intimes avec M. M..., adjoint au maire d'une commune du département de Seine-et-Oise, M. Gavrelle manda télégraphiquement M. M., afin de l'interroger sur ses rapports avec la défunte. Surprise du commissaire qui, au lieu de recevoir la visite de M M., était informé qu'au réception de sa dépêche le mandataire à son cabinet, l'adjoint s'était suicidé. Le parquet a commis pour examiner cette affaire M. Pasques, juge d'instruction. TRIBUNAUX Le legs Pruvest Il
avaç vers un Belge qi chantait et lui frappa égèeet sur 'épaule en le priant de se taire pour permettre à une Française de se fr entendre. Le Belge se le fit ha et bientôt la dispute monta à un diapason tel pour y couper court, le cantinier t tt le monde r.edhso Que s passa-t-il dehors, on ne le sait pas encore eetqêun'l n'étant pas terminée, toujours est-il que l'on trouva Biéry, le crâne fendu 'un c de pique et percé de coups de couteau, et qe l'on constata qu'en outre, trois vrrs français et trois Belges étaient blesss plus ou moins grièvement. Hier, dans l matinée, les ouvriers français, apprenant ce uqi s'était passé, srmren de pelles et de pioches, et poursuivirent les Belges dans toutes les directions. Le eutqarP prévn se rendit à la fabrique accompagné e la gendarmerie. Tous les Belges qu'on put trouver furent Interrogés, puis renvoyés pour éviter une nouvelle collision. Quatre d'entre eux, soupçonnés d'être les promoteurs de la agar sont maintenus en arrestation. L'enquête continuera aujourd'hui. UNE AFFAIRE MYSTÉRIEUSE Le 27 obreevmn dernier, mourut, chez un médecin du quartier de a Madeleine, à la suite dune opération chirurgicale, une femme d'origine anglaise, âgée de trente et n ans, Mlle Tâ-, employée chez un grand couturier. Les circonstances qui entouraient ce décès parurent mystérieuses ua médecin de 'état civil, qui refusa le permis d'inhumer et révptni M Gavrelle, cmmssr de lc du quartier. L magistrat i transporter le corps à la Morgue et avertit le parquet, qui commit le docteur Thoinot, médcn lte, pour procéder à l'autopsie. L'enquête ayant révélé que Mlle T... entretenait depuis longtemps déjà ds relations intimes avec M M..., adjoint au maire d'une commune du département de Seine-et-Oise, M. Gavrelle manda télégraphiquement M. M., afin de l'interroger sur ses oprrptsa vc la défunte. Surprise du commissaire qui, au lieu de recevoir la visite de M M., était informé qu'au réception de sa dépêche le mandataire à son cabinet, l'adjoint s'était suicidé. Le parquet a commis pour examiner eectt affaire M. Pasques, juge isruc TRIBUNAUX L legs Pruvest Il
anglaise, âgée de trente et un ans, Mlle Tâ-, employée chez un grand couturier. Les circonstances qui entouraient ce décès parurent mystérieuses au médecin de l'état civil, qui refusa le permis d'inhumer et prévint M Gavrelle, commissaire de police du quartier. Le magistrat fit transporter le corps à la Morgue et avertit le parquet, qui commit le docteur Thoinot, médecin légiste, pour procéder à l'autopsie. L'enquête ayant révélé que Mlle T... entretenait depuis longtemps déjà des relations intimes avec M. M..., adjoint au maire d'une commune du département de Seine-et-Oise, M. Gavrelle manda télégraphiquement M. M., afin de l'interroger sur ses rapports avec la défunte. Surprise du commissaire qui, au lieu de recevoir la visite de M M., était informé qu'au réception de sa dépêche le mandataire à son cabinet, l'adjoint s'était suicidé. Le parquet a commis pour examiner cette affaire M. Pasques, juge d'instruction. TRIBUNAUX Le legs Pruvest Il y a deux ans, la première chambre du tribunal civile de la Seine avait condamné la Ville de Paris à payer 282,000 francs de dommages-intérêts à Mme veuve Hennion, dont le époux, quelque peu vaniteux et faible d'esprit, avait compromis une fortune importante, en achetant à M. Pruvois, à des prix excessifs, des immeubles peu importants. M. Pruvost, tant à ce métier qu'à d'autres, paraît-il, aussi recommandables, avait naturellement réussi à amasser quelques millions qu'en mourant il légua, — à charge de fonder un asile de nuit portant son nom — à la "Ville de Paris; c'est donc comme légataire que celle-ci était actionnée par Mme veuve Hennion, qui demandait notamment, pour cause de lésion, la rescision de la vente d'un immeuble important sis à Créteil et des dommages-intérêts pour le préjudice causé à son époux à l'occasion du paiement du prix de sa peu avantageuse acquisition. Le jeune Hennion, qui avait peu d'argent liquide, avait en effet, quoique temps avant sa mort, signé des billets, consenti des hypothèques et finalement vu sa fortune engloutie, à la suite des manœuvres de Pruvost. Le tribunal avait considéré qu'il y avait eu dol et il avait condamné la ville de Paris à
anglaise, eéâg de trente et un ans, Mlle Tâ-, employée chez n grand couturier. Les circonstances qui entouraient décès peranrtu mystérieuses au médecin de l'état civil, qui refusa le permis dinhumer et prévint M Gavrelle, commissaire de police du quartier. Le mgita fit transporter le corps à la Morgue et avertit le parquet, qui commit le docteur Thoinot, médecin légiste, pour procéder à l'autopsie. nueqLtêe' ayant révélé que Mlle T... entretenait depuis longtemps déjà des relations intimes avec M. M adjoint au maire d'une commue du département de Seine-et-Oise, M. Gavrelle manda télégraphiquement M. M., afin de l'interroger sur ses rapports avec la défunte. Surprise du cmmssr qui, au lieu de recevoir la visite de M ., était inrémfo qu'au récptn d sa dépêche le mandataire à osn cabinet, l'adjoint s'était suicidé. Le parquet a commis pour examiner cette affaire M. Pasques, juge d'instruction. TRIBUNAUX Le legs Pruvest I y deux ans, première chambre du tribunal civile de l Seine avait condamné la Ville de Ps à payer 2,00 frncs de dommages-intérêts à Mme veuve nno dont le époux, quelque peu vaniteux et faible d'esprit, avait compromis une fortune importante, en achetant à M. Pruvois, à des prix xcessf des immeubles peu importants. M. Pruvost, tant à ce métier qu'à d'autres, paraît-il, aussi recommandables, avait naturellement réussi à mssr elqus millions u'e mourant il lég, — à charge de fonder un asile de nuit portant sn nom — à l "Ville Paris c donc com légataire que cll-c était actionnée Mme veuve Hennion, qui demandait notamment, pour cause de lésion, la rescision de la vente d'un immeuble important sis Créteil et des dommages-intérêts pour le préjudice causé à son ou à l'occasion du paiement du prix de sa peu avantageuse acquisition. Le jeune Hennion, qui avait peu d'argent liquide, avait en effet, quoique temps avant sa mrt signé des billets, consenti des hypothèques et finalement vu sa fortune engloutie, à la suite des manœuvres de Pruvost. Le tribunal vt cdér qu'il y avait u dol et avait condamné la vle de Paris à
prix excessifs, des immeubles peu importants. M. Pruvost, tant à ce métier qu'à d'autres, paraît-il, aussi recommandables, avait naturellement réussi à amasser quelques millions qu'en mourant il légua, — à charge de fonder un asile de nuit portant son nom — à la "Ville de Paris; c'est donc comme légataire que celle-ci était actionnée par Mme veuve Hennion, qui demandait notamment, pour cause de lésion, la rescision de la vente d'un immeuble important sis à Créteil et des dommages-intérêts pour le préjudice causé à son époux à l'occasion du paiement du prix de sa peu avantageuse acquisition. Le jeune Hennion, qui avait peu d'argent liquide, avait en effet, quoique temps avant sa mort, signé des billets, consenti des hypothèques et finalement vu sa fortune engloutie, à la suite des manœuvres de Pruvost. Le tribunal avait considéré qu'il y avait eu dol et il avait condamné la ville de Paris à payer à Mme veuve Hennion, représentée par Mme Leinaranger, 282,000 francs en termes de dommages-intérêts. La cour a aujourd'hui infirmé cette décision et déchargé la ville de Paris de cette condamnation. Elle a considéré, d'abord qu'il n'y avait pas lésion, ensuite que les manœuvres relevées par Mme veuve Hennion n'étaient pas suffisamment précisées et que le dol n'était pas établi. Faits Divers Drames de la misère. — Un triste fait de la rue de la misère (S'est déroulé hier, à Saint-Denis) Au deuxième étage d'une petite maison située dans cette localité, 152, rue de la République, les époux Meyer habitaient un petit appartement donnant sur la cour de l'immeuble, et composé de deux pièces et d'un petit cabinet. Depuis quatre ans, la femme, Marie Dreyfus âgée de soixante ans, clouée dans son lit par une paralysie générale, était incapable de tout travail ; son mari, quoique âgé qu'il l'était, avait été valide jusqu'à ces derniers temps et gagnait péniblement la vie du modeste ménage en allant rendre des draperies au marché ; mais, depuis quelques mois, ses forces l'abandonnaient et il ne put, à son tour, fournir aucun travail, d'autant plus qu'il se voyait forcé de demeurer à l'intérieur, car
prix xcssfs, des mmele peu importants. M. Pruvost, tnat à ce métier qu'à d'autres, paraît-il, siaus recommandables, avait naturellement réussi à amasser quelques millions qu'en mourant il légua, — à charge de fonder un asile de nuit portant son nom — à la "Ville de Paris; c'est donc comme légataire que celle-ci était actionnée par Mme veuve Hennion, qui demandait notamment, pour cause lésion, la rescision de la vente d'un immeuble important sis à Créteil t des dommags-its pour le préjudice causé à son époux à l'occasion d pmnt du prix de sa peu vntgs acquisition. Le jeune Hennion, qui avait peu d'argent lqd, avait en effet, uqoique p avant sa mort, signé des billets, os des hypothèques et finalement vu sa frtn engloutie, à la suite des manœuvres de Pruvost. Le tribunal avait coidré qu'il y avait dol et il vt condamné ville de Paris à payer Mme veuve eHonn,ni eprsentée ar Mme Leinaranger, 282,000 francs ne termes de dommages-intérêts. La cr a aujourd'hui infirmé cette écion et rédéghac la ville de Paris d cette condamnation. Elle a considéré, d'abord qu'il n'y avait pas sl,éino ensuite que les manœuvres relevées par Mm veuve Hennion n'étaient pas suffisamment précisées et u le dol n'était pas établi. Faits Divers Drames de la misère. — Un triste fait de la rue de la misère (S'est déroulé hier, à Saint-Denis) Au deuxième étg ue petite maison située dans cette localité, 152, rue de la République, les époux Meyer habitaient un petit apar donnant sur la cour de l'immeuble, et composé de pièces et d'un petit cabinet. Depuis quatre ans, la femme, Marie Dryfs âgée de soixante ,nsa clouée dans son lit par une paralysie générale, était incapable de tout travail ; s mari, quoique âgé quli' 'était, vt été valide jusqu'à ces derniers temps et gagnait péniblement la v du modeste ménage en allant rendre des draperies au marché ; mais, depuis quelques mois, ses forces l'abandonnaient et il ne put, à son tour, fournir aucun travail, d'autant plus qu'il se voyait oé de demeurer à l'intérieur, car
pas suffisamment précisées et que le dol n'était pas établi. Faits Divers Drames de la misère. — Un triste fait de la rue de la misère (S'est déroulé hier, à Saint-Denis) Au deuxième étage d'une petite maison située dans cette localité, 152, rue de la République, les époux Meyer habitaient un petit appartement donnant sur la cour de l'immeuble, et composé de deux pièces et d'un petit cabinet. Depuis quatre ans, la femme, Marie Dreyfus âgée de soixante ans, clouée dans son lit par une paralysie générale, était incapable de tout travail ; son mari, quoique âgé qu'il l'était, avait été valide jusqu'à ces derniers temps et gagnait péniblement la vie du modeste ménage en allant rendre des draperies au marché ; mais, depuis quelques mois, ses forces l'abandonnaient et il ne put, à son tour, fournir aucun travail, d'autant plus qu'il se voyait forcé de demeurer à l'intérieur, car la santé de sa femme nécessitait des soins constants. Aussi les pauvres vieillards se virent-ils bientôt plongés dans la plus noire des misères, malgré les secours qu'ils recevaient de leurs enfants. Ils décidèrent alors d'employer leurs derniers sous à acheter du charbon pour mourir ensemble. Après avoir écrit à leurs deux fils qui habitent Paris une lettre dans laquelle ils leur expliquaient les motifs de leur funeste détermination, ils s'enfermèrent dans l'étroit cabinet qui faisait partie de leur logement, après y avoir allumé deux réchauds et en avoir soigneusement bouché tous les interstices. Il était réservé à leurs enfants de constater la mort de leurs malheureux parents. Venus à Saint-Denis pour leur rendre visite, ils se présentèrent au domicile habité par leur famille, et, n'obtenant pas de réponse, enfoncèrent la porte du logement. Dans la première pièce, tandis qu'une forte odeur d'acide carbonique les prenait à la gorge, ils aperçurent la lettre qui leur était destinée. Ils se précipitèrent aussitôt dans la pièce voisine où ils aperçurent leurs parents déjà inanimés. Aide de quelques voisins, ils prodiguèrent des soins énergiques aux malheureux vieillards pour tenter de les ramener à la vie, mais inutilement : l'asphyxie avait achevé son œuvre. Appelé
pas suffisamment précisées et que le dl n'était pas établi Faits Divers Drames de la misère. — Un triste fait de la rue de la msèeir ts'(eS déroulé hr, à Saint-Denis) Au deuxième étage dune ptt maison située dans t localité, 152, rue de la Répblq, les époux Meyer hbtnt un petit appartement dnantno r la cour de l'immeuble, et cmposé de deux pièces et d'un petit cabinet. pus quatre ,ans la femme, Marie Dreyfus âgée de soixante ans, clouée dans son lit par une psaryiael générl, était incapable de tout travail ; son mari uuqeioq âgé qu'i l'était, avait été valide jusqu'à ces res metsp et gagnait péniblement la vie du modeste ménage en allant rendre des draperies au éarchm ; mais, depuis eques mois, ses forces labandonnaient et il ne up,t à son tour, rforiun aucun trvl, dautant plus qu'il se vyt forcé de demeurer à l'intérieur, cr la santé de sa femme nécessitait de s con Aussi esl pauvres vieillards se virent-ils bientôt plongés dans la spul noire des misères, mr les secours qu'ils recevaient d leurs enfants Ils décdèrnt alors d'mplyr leurs derniers sous à teeharc du chrbn pour mourir ensemble. Arspè vr écrit à eulsr du fils qui habitent Paris n trltee dans laquelle ils leur expliquaient les motifs de leur entefsu détermination, ils 'enfermèrent dns l'étroit cabinet qui faisait prt de leur logement, après y avoir allumé deux hd et en vr soigneusement bouché tous les interstices. Il était résrvé à us enfants de constater la mort de leurs malheureux parents. Venus à Saint-Denis leur rendre visite, is se présentèrent au domicile habité par leur famille, et, n'obtenant pas de réponse, enfoncèrent la porte du logement Dans la pmrèeier èce tandis qu'une forte odeur d'acide carbonique les prenait à la gorge, ils aperçurent la lettre qui leur était dstné. Ils se précipitèrent aussitôt dans la pèc voisine où ls aperçurent lrs prnts dj inanimés. eiAd de quelques voisins, ils prodiguèrent des soins gréeuseqni aux malheureux lds pour tenter de les anr la vie, mais inutilement : l'asphyxie avait achevé son œuvre. Al
deux fils qui habitent Paris une lettre dans laquelle ils leur expliquaient les motifs de leur funeste détermination, ils s'enfermèrent dans l'étroit cabinet qui faisait partie de leur logement, après y avoir allumé deux réchauds et en avoir soigneusement bouché tous les interstices. Il était réservé à leurs enfants de constater la mort de leurs malheureux parents. Venus à Saint-Denis pour leur rendre visite, ils se présentèrent au domicile habité par leur famille, et, n'obtenant pas de réponse, enfoncèrent la porte du logement. Dans la première pièce, tandis qu'une forte odeur d'acide carbonique les prenait à la gorge, ils aperçurent la lettre qui leur était destinée. Ils se précipitèrent aussitôt dans la pièce voisine où ils aperçurent leurs parents déjà inanimés. Aide de quelques voisins, ils prodiguèrent des soins énergiques aux malheureux vieillards pour tenter de les ramener à la vie, mais inutilement : l'asphyxie avait achevé son œuvre. Appelé aussitôt M. Rajaud, commissaire de police, a procédé à l'enquête qui a établi les faits que nous relatons plus haut. Etrange aventure. — Une étrange aventure vient d'arriver à un jeune cycliste. Dans la soirée d'hier, le malheureux roulait, rue de la Tourelle, à Saint-Mandé, légèrement pris de boisson et faisant d'un trottoir à l'autre de nombreuses évolutions. Ce qui devait arriver se produisit quelques secondes plus tard. Le malheureux, par suite d'un brusque mouvement de direction, heurtait le trottoir et tombait inanimé sur la chaussée. On le releva grièvement contusionné et on le conduisit dans une pharmacie voisine. Après avoir reçu des soins énergiques le jeune cycliste voulut parler, au grand étonnement de tous, il ne put articuler aucun son. Il avait perdu l'usage de la parole, tant la commotion avait été forte. Il fut transporté d'urgence à l'hôpital Saint-Antoine, où, dès son arrivée, il est tombé en état de léthargie. Dans les poches de son veston, on a trouvé une feuille de recrutement au nom de Julien Raoult, né en 1875. Désévaluée dans un cimetière. — Une rentière, Mme Rosier, domiciliée boulevard Beaumarchais, visitait hier la tombe de son mari, au cimetière du Père-Lachaise, quand un Individu lui
deux fils qui habitent is une lettre dns laquelle ils leur expliquaient ls motifs de leur funeste détermination ils s'enfermèrent n létroit abnt q faisait pie d leur logement, après y avoir allumé deux réchauds et en avoir soigneusement bouché tous les ntrstcs. Il était résrvé à leurs enfants de constater la mort de esrlu malheureux sp.rntea Venus à SaintDenis pour leur rendre visite, ils se présentèrent au domicile aiéhtb par leur famille, t, n'obtenant pas de réponse, nfncèrnt la porte du logement. asnD al pemièe pièce, tandis qu'une forte odeur d'acide carbonique les prenait à la gog ils aperçurent la lettre qui leur était e. Ils se précipitèrent aussitôt dans l pièce voisine où ls aperçurent leurs parents déjà inanimés. deAi de quelques voisins s prodiguèrent dse soins énergiques aux malheureux irvdslaile pour tenter de les ramener a vie, mais inutilement : h'ixeplsya avait achevé son œuvre. Appelé aussitôt M. Rjd, commissaire de police, a procédé à l'enquête qui établi les faits que nous relatons plus haut. Erange aventure. — Une étrange aventure vient d'rrvr à n jeune cycliste. Dans la soirée d'hier, le malheureux roulait, rue d la Tourelle, à Sn-ané, légèrement p de boisson et fsnt d'un trottoir à l'autre de ombrese évolutions. Ce qui devait arriver se prodsit quelques secondes plus tard. Le malheureux, par st 'un brusque mvmnt de direction, heurtait l trottoir t tombait inanimé sur la chause On le releva grè contusionné et on e conduisit dns une pharmacie voisine. Après iovra çreu des sns énergiques le jeune lescyitc vlt prlr, au grand étonnement de tous, il ne put rtclr aucun son. Il avait perdu l'usage de la parole, tant la commotion avait été forte. Il fut trnsprté d'urgence à l'hôpital Saint-Antoine, où, dès son arrivée il es tombé en état de léthargie. Dans les epcsoh de son veston, on trouvé une feuille de recrutement au nom de Julien Raoult, né en 1875. Désévaluée n un cimetière. — Une rentière Mm Rosier, dmclé boulevard Beaumarchais visitait hier la tombe de sn mari, au cimetière du Père-Lachaise, qnd nu Individu uli
faisant d'un trottoir à l'autre de nombreuses évolutions. Ce qui devait arriver se produisit quelques secondes plus tard. Le malheureux, par suite d'un brusque mouvement de direction, heurtait le trottoir et tombait inanimé sur la chaussée. On le releva grièvement contusionné et on le conduisit dans une pharmacie voisine. Après avoir reçu des soins énergiques le jeune cycliste voulut parler, au grand étonnement de tous, il ne put articuler aucun son. Il avait perdu l'usage de la parole, tant la commotion avait été forte. Il fut transporté d'urgence à l'hôpital Saint-Antoine, où, dès son arrivée, il est tombé en état de léthargie. Dans les poches de son veston, on a trouvé une feuille de recrutement au nom de Julien Raoult, né en 1875. Désévaluée dans un cimetière. — Une rentière, Mme Rosier, domiciliée boulevard Beaumarchais, visitait hier la tombe de son mari, au cimetière du Père-Lachaise, quand un Individu lui arracha son « ridicule » qu'elle tenait à la main. Le filou, arrêté par des gardes, allait être conduit au bureau du conservateur quand il réussit à s'enfuir, laissant sur place son pardessus. Grâce à ce vêtement dans lequel le voleur avait laissé son portefeuille, il fut facilement retrouvé. L'Individu, nommé Pierre Lepicouche, a été dirigé sur le dépôt par M. Tirache, commissaire de police. Encore une innovation aux grands magasins-Dufayel. Depuis le 1er décembre il est accordé une réduction de 50 % aux institutions, congrégations ou excursionnistes se présentant en groupe au cinématographe Lumière. Demain grand concert de 3 h, à 6 h. Il sera offert à toute personne entrant au cinématographe un flacon de Bénédictine et un étui de biscuits suprême Pernot. Les visiteurs parcoureront avec intérêt les superbes galeries de cet établissement où sont exposés en permanence des mobiliers par milliers, DEPARTEMENTS Violent Incendie à Créteil Un violent incendie s'est déclaré à Créteil la nuit dernière, à minuit et demi, dans la ferme Mèches, appartenant à M. Lamy-Gaidelin. Les premiers secours ont été assurés par le commissaire de police et les agents, puis les pompiers de Créteil, de Maisons-Alfort et Chelles qui ont combattu le fléau. Malgré
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nommé Pierre Lepicouche, a été dirigé sur le dépôt par M. Tirache, commissaire de police. Encore une innovation aux grands magasins-Dufayel. Depuis le 1er décembre il est accordé une réduction de 50 % aux institutions, congrégations ou excursionnistes se présentant en groupe au cinématographe Lumière. Demain grand concert de 3 h, à 6 h. Il sera offert à toute personne entrant au cinématographe un flacon de Bénédictine et un étui de biscuits suprême Pernot. Les visiteurs parcoureront avec intérêt les superbes galeries de cet établissement où sont exposés en permanence des mobiliers par milliers, DEPARTEMENTS Violent Incendie à Créteil Un violent incendie s'est déclaré à Créteil la nuit dernière, à minuit et demi, dans la ferme Mèches, appartenant à M. Lamy-Gaidelin. Les premiers secours ont été assurés par le commissaire de police et les agents, puis les pompiers de Créteil, de Maisons-Alfort et Chelles qui ont combattu le fléau. Malgré tous les efforts réunis, deux granges remplies de fourrage et de grains sont devenues la proie des flammes. | On a trouvé cet incendie à un valet de ferme, Yves Puleo, âgé de cinquante-huit ans, qui était entré dans la maison depuis six mois. Cet individu qui avait l'habitude de fumer continuellement couchait dans l'une des granges où le feu a pris. Pelec a dû être victime de son imprudence, car on ne l'a pas retrouvé. Après l'incendie, on a commencé aussitôt le déblaiement des décombres afin de découvrir le corps du malheureux valet. Les pertes matérielles s'élèvent à 90,000 francs. Elles sont couvertes par une assurance. COURRIER DES THÉÂTRES CE SOIR: Opera. — Bon Juan. COMÉDIE FRANÇAISE. — Montjoye. OPERA-COMIQUE. Lakmé, rentrée de Mlle Van Zandt. ODÉON. — Andromaque. Le malade imaginaire. RENAISSANCE. — Répétition générale de Lorenzaccio, La répétition générale de Ramponnette est définitivement fixée à Jeudi, la première aura lieu vendredi soir. Mlle Cécile Sorel jouera désormais dans Idylle tragique, le rôle qui avait été d'abord distribué à Mlle Fège puis ensuite à Mlle Varley. Grâce aux excellentes recettes de Dinde, le théâtre du PALAIS ROYAL reprendra lundi prochain 1er décembre la 1ère représentation de Ferdinand le
nommé ir Lepicouche, a été dirigé sur l dépôt par M. Tirache, commissaire de police. Encore une innovation au grands magasins-Dufayel. Depuis le 1er décembre il est accordé une udonéirtc de 50 % aux institutions, congrégations ou excursionnistes se présentant en groupe au cinématographe Lumière. Demain grand concert de 3 h, à 6 h. Il sera ftofre à toute personne entrant au cinématographe n flacon de Bénédictine t un étui de biscuits suprême Pernot. Les visiteurs parcoureront avec ntérêt les superbes galeries de ct éalsent où sont exposés en permanence des mobiliers par milliers, DEPARTEMENTS Violent Incendie à Créteil Un violent nc s'est déclaré à Créteil la nuit dernière, à minuit et demi, dans l emfre ,sMecèh appartenant à . LamyGaidelin Les premiers secours on été assurés par le commissaire de plc et les agents, puis les pompiers de Créteil, de Maisons-Alfort et Chelles ont combattu le fléau. Malgré tous les efforts réunis, deux granges remplies de fourrage et d grains snt devenues la proie des flammes | On a trouvé cet incendie à un valet de me, Yves Puleo, âgé de cinquante-huit ans ui était entré dans l maison depuis six mois. Ce individu qui avai l'habitude de fumer continuellement couchait dans l'n des granges où l feu a pris. Pelec a dû être victime de son mprdnc, ar on ne l'a pas retrouvé. Après lincendie on a cmmncé aussitôt le déblaiement des décombres afin d découvrir l corps du malheureux valet. Les prts matérielles s'élèvent à ,00090 francs. Elles sont couvertes par un assurance. COURRIER DES THÉÂTRES CE SOIR Opera — Bon Juan. COMÉDIE FRANÇAISE. — Montjoye. OPERA-COMIQUE. Lakmé, rentrée de Mlle Van Zandt. ODÉON. — Andromaque. Le malade iriemai.nag RENAISSANCE. — Répéttn générale de Lorenzaccio, aL répétition éal de Ramponnette est définitivement fixée à Jeudi, la prere aura l vendredi o.sri Mlle Cécl Sorel jouera désormais da Idylle tragique, le rôle qui avait téé d'abord distribué à Mlle Fège puis ensuite à Mll Varley. Grâc x excellentes recettes de D,inde le théâtre du PALAIS ROYAL reprendra nuidl prochain 1er décembre la 1ère représentation de Ferdinand le
fumer continuellement couchait dans l'une des granges où le feu a pris. Pelec a dû être victime de son imprudence, car on ne l'a pas retrouvé. Après l'incendie, on a commencé aussitôt le déblaiement des décombres afin de découvrir le corps du malheureux valet. Les pertes matérielles s'élèvent à 90,000 francs. Elles sont couvertes par une assurance. COURRIER DES THÉÂTRES CE SOIR: Opera. — Bon Juan. COMÉDIE FRANÇAISE. — Montjoye. OPERA-COMIQUE. Lakmé, rentrée de Mlle Van Zandt. ODÉON. — Andromaque. Le malade imaginaire. RENAISSANCE. — Répétition générale de Lorenzaccio, La répétition générale de Ramponnette est définitivement fixée à Jeudi, la première aura lieu vendredi soir. Mlle Cécile Sorel jouera désormais dans Idylle tragique, le rôle qui avait été d'abord distribué à Mlle Fège puis ensuite à Mlle Varley. Grâce aux excellentes recettes de Dinde, le théâtre du PALAIS ROYAL reprendra lundi prochain 1er décembre la 1ère représentation de Ferdinand le Noceur, La Dîner n'aura donc plus que six représentations. Mlle Jane Brindeau, la charmante artiste si aimée des Parisiens, fera cet hiver sa rentrée à l'Odéon dans l'Impasse, la pièce de MM. Victor et Paul Marguerite. Aux FOLIES BERGÈRE, ce soir, débuts de Sid Black, le bicycliste sans rivière, dont les exercices uniques ont mandé, ont obtenu un succès fort apprécié unanimement par la presse. Cette nouvelle attraction ajoutée à Chand'habits et Sévérin triomphait plus que jamais, à la Torture, à Carola, etc..., constitue un spectacle sans précédent. Aujourd'hui, au théâtre des Folies-Dramatiques, MM. Ghisolfi et Vanloo doivent mettre aux artistes une opérette en trois actes dont M. Messager a écrit la musique, titre : Les Deux Pigeons. Cette opérette est tirée d'une pièce des Cogniard, qui fut jouée jadis au théâtre des Variétés sous le titre de L'Argent, la gloire et les femmes. Le rôle principal de l'opérette de MM. Ghisolfi et Vanloo est destiné à Mme Augustine Leriche, L'éditeur Courleux, 8, rue Mandar, donne à ses nombreux abonnés dans son numéro 125 de La Musique pour tous, une valse délicieuse, Lucette, pour piano, de Louis Renaud, qui sera un des grands succès des bals de cet hiver. (Le
fumer continuellement couchait dans l'une des nsraegg où le feu a pris. ee a dû être victime de imprudence, car on ne pas retrouvé. Après l'incendie, on a commencé aussitôt le déblmnt ds décombres naif de découvrir le corps du malheureux valet. Les prts matérielles s'élèvent 90,000 fn.sacr Elles sont cotes par e assurance. COURRIER DE THÉÂTRES CE SOIR: Opera. — Bon Juan. CMÉD FRANÇAISE. — Montjoye. OPERA-COMIQUE. Lakmé rentrée ed Mlle Van Zandt. ODÉON. — Andromaque. Le malade mgnr. RENAISSANCE. — ion générale de Lorenzaccio, La répétition générale de Ramponnette st définitivement fixée à Jd, la première aura lieu vendredi sr. Mlle Cécile Sorel jouera désormais dans Idylle tragique, le rôle qui avait été d'abord distribué à Mlle Fège puis ensuite à Mll Varley. Grâce aux excellentes recettes d Dnd, l théâtre du PALAIS ROYAL reprendra lundi prochain er décembre la 1ère représentation de Ferdinand le Noceur, La Deînr n'r donc plus q six représentations. Mlle Jane Brnd, la charmante rite si mé des Parisiens, fera cet hiver sa rentrée à lOéon dans 'Impasse, la è d MM. Victor e Paul Marguerite. Aux FOLIES GEBÈ,ERR ce soir, débuts de Sid Black, le bicycliste sns rivière, dont les exercices uniques o mndé, o obtenu un sccès fort apprécié unanimement pr la presse Cette nouvelle attraction outée à Chand'habits et Sévérin triomphait plus que jamais, à la Torture, à Carola, tc..., constitue un spectacle sns précédent Aujourd'hui, au tétheâr des Folies-Dramatiques, MM. Ghisolfi et Vanloo doivent rttmee aux artistes une opérette en trois actes dont M. Messager a écrit musique, titre : Lse Deux Pigeons. Cette opérette est tirée d'une pièce des Cdroagn,i qui fut jouée jadis au théâtr des Variétés sous le titre d L'Argent, la glr et les femmes. Le rôle principal de l'opérette de MM. Giof e Vanloo e destiné à Mme neigsuAut Leriche, L'éditeur Courleux 8, rue Mandar, donne ses nombreux abonnés dans son numéro 125 de La Musique pour tous, une valse délicieuse, uce pour p,nioa de Louis Rnd, qui sera un des grands succès des bals de cet hiver. (
les exercices uniques ont mandé, ont obtenu un succès fort apprécié unanimement par la presse. Cette nouvelle attraction ajoutée à Chand'habits et Sévérin triomphait plus que jamais, à la Torture, à Carola, etc..., constitue un spectacle sans précédent. Aujourd'hui, au théâtre des Folies-Dramatiques, MM. Ghisolfi et Vanloo doivent mettre aux artistes une opérette en trois actes dont M. Messager a écrit la musique, titre : Les Deux Pigeons. Cette opérette est tirée d'une pièce des Cogniard, qui fut jouée jadis au théâtre des Variétés sous le titre de L'Argent, la gloire et les femmes. Le rôle principal de l'opérette de MM. Ghisolfi et Vanloo est destiné à Mme Augustine Leriche, L'éditeur Courleux, 8, rue Mandar, donne à ses nombreux abonnés dans son numéro 125 de La Musique pour tous, une valse délicieuse, Lucette, pour piano, de Louis Renaud, qui sera un des grands succès des bals de cet hiver. (Le numéro franc 15 centimes). Nous allons avoir incessamment, au CASINO DE PARIS, un spectacle comme jamais encore il ne nous en a été offert. Le sieur Bernardi, auteur et comédien, va représenter quatre personnages différents dans une pièce, Flagrants Délits, qu'il a composée lui-même. Ainsi, chez MM. Berney et Desprez, c'est comme chez Nicolai, de plus fort en plus fort. Les sœurs Barrison, les Sumburns, Harvey, sont apparus pour la première fois au public parisien sur la scène de la rue Blanche. De même, Sid Black, aujourd'hui remplacé par trois enfants de quinze ans vraiment incomparables. Un clou chasse l'autre... Salles combles au BATCLAN depuis la première de l'opérette de l'année, la revue de MM. de Cottens et Savault. Dimanche, à la matinée et à la soirée, cinq cents personnes, refusées au contrôle, n'ont pu applaudir M. Roger M. est l'amusant compère, Mlle Ciriac, l'exquise commère, et tous les excellents artistes de Ba-Ta-Clan. Ce soir, au NOUVEAU-CIRQUE de la rue Saint-Honoré, débute Mlle Blanche-Allari, la jeune et gracieuse écuyère, élève de M. Mollier. La dernière vélo-redoute organisée au MONDROUGK a obtenu un tel succès que la direction n'a pas hésité un seul instant de présenter au public une nouvelle fête
les xric uniques ont mandé not obtenu un succès fort apprécié unanimement par a presse. Cette nouvelle attraction ajoutée à Chn'hs et Sévérin triomphait pls que jamais, à Torture, à Carola, etc..., constitue un spectacle s précédent. Aujourd'hui, au théâtre des Folies-Dramatiques, MM. Ghisolfi et Vanloo doivent mettre aux artistes n opérette en trs actes dont M. Mssgr a écrit la musique, titre : Les Deux Pigeons Cette opérette est tirée d'une pièce des Cgnrd, qui fut jouée jadis au théâtre des Variétés sous le titre d L'Argent, la gloire et les .mefesm L rôle principal de 'opérette de M Ghisolfi et Vanloo est desn à e gstn Leriche, Léditeur Courleux, 8, rue Mandar, donne à ss nombreux abonnés dans son numéro 125 de L Musique pour ,tous une se délicieuse, Lucette pour pn, de Louis ud,Rane qui sera un des grands succès des bals d cet hvr. (Le numéro rn 15 cntms). Nous allons avoir mn,cesetmains au CASINO DE PARIS, un spectacle comme jamais encore il ne nous n été ffrt. Le sieur Bernardi auteur et comédien représenter quatre nganrsseeop différents dans une pièce, Flagrants Délits, qu'il mpe l-mêm. niAs,i chez MM. Berney e Desprez, c'st comme chez Nicolai de plus fort e plus ort Les sœurs Barrison, les Sumburns, Harvey, sont apparus pour la première fs au pblc parisien s la scène de la Blanche. De même i Black, aujourd'hui remplacé par trois enfants de quinze sna vraiment incomparables. Un clou escash l'autre... Salles combles au BTCLN la première de pte'loeétr d lannée la revue de M.M de Cottens t Savault. Dimanche, à la matinée et à la sré, cinq cents personnes, refusées au contrôle, on'nt pu applaudir M. Rgr M. est l'amusant compère, Mll Ciriac l'exquise commère, et tous les excellents ists de BaTaClan Ce soir, NOUVEAU-CIRQUE de la rue Snt-Hnré, débute Mlle Arllachlei-Ba,n la jeune e gracieuse écuyère, èével de M. Mllr. L dernière vélo-redoute organisée au MONDROUGK a e un tel succès q la direction n'a asp hésité un instant de présntr au public une nouvelle fête
c'est comme chez Nicolai, de plus fort en plus fort. Les sœurs Barrison, les Sumburns, Harvey, sont apparus pour la première fois au public parisien sur la scène de la rue Blanche. De même, Sid Black, aujourd'hui remplacé par trois enfants de quinze ans vraiment incomparables. Un clou chasse l'autre... Salles combles au BATCLAN depuis la première de l'opérette de l'année, la revue de MM. de Cottens et Savault. Dimanche, à la matinée et à la soirée, cinq cents personnes, refusées au contrôle, n'ont pu applaudir M. Roger M. est l'amusant compère, Mlle Ciriac, l'exquise commère, et tous les excellents artistes de Ba-Ta-Clan. Ce soir, au NOUVEAU-CIRQUE de la rue Saint-Honoré, débute Mlle Blanche-Allari, la jeune et gracieuse écuyère, élève de M. Mollier. La dernière vélo-redoute organisée au MONDROUGK a obtenu un tel succès que la direction n'a pas hésité un seul instant de présenter au public une nouvelle fête cycliste pour samedi prochain, dont le programme sera des plus attrayants. BULLETIN FINANCIER Aujourd'hui, s'effectue la liquidation des Rentes et des valeurs minières. On a compensé 3 05 0 à 103 80. Le marché de l'Extérieure d'Espagne est Satisfaisant, On clôture à 08 17/32. Les transactions sur la Rente italienne ont été encore très animées. On cite ce cours à 92 45 à 3 heures. Le Crédit Foncier se maintient bien à 655 fr. Le Crédit Lyonnais est ferme à 767 fr. L'établissement se propose d'établir une succursale en Italie. Sports athlétiques Boxe Le Boxing-Club de France donnera, le mardi 8 décembre, à huit heures et demie, son assaut d'Inauguration, à la salle des Agriculteurs de France, 8, rue d'Athènes. Trop délaissé, le sport de la boxe méritait de mieux faire connaître; c'est le but que s'est proposé le B. G. de F., dont le comité des plus actifs comprend : MM. Bruneau de Lanerie, président; Ed. Levallois et Joseph Hériaud, vice présidents; d'Enneval, secrétaire; Alf. de Palissaux, trésorier; de Martel, Ch. Goldschmidt, membres. Le programme de cette soirée comprendra quelques assauts sensationnels. Une large place sera réservée à la boxe anglaise. Ajoutons que les meilleurs boxeurs parisiens ont promis
c'est comme chez Ncl, de plus fort en plus orf.t Ls sœurs Barrison, els Sumburns Harvey, sont apparus pour la ripermèe fois au public parisien sur la scène de la rue Blanche. De même, Sid Blck, aujourd'hui remplacé par trois nfnts de quinze ans vraiment incomparables. Un cl chasse l'autre... eSlsla combles au BATCLAN depuis la première d l'opérette d lannée a revue e MM. d Cottens et Savault. Dimanche, à a matinée et à la soirée, cinq cents personnes, sféesuer a cntrôl, 'ont p applaudir M. Roger M. t lamusant compère, Mll Ciriac, l'exquise commère, et suot les lescxenelt artistes de Ba-Ta-Clan. Ce soir, au CREQUUU-AOEVNI de la rue Saint-Honoré, débute Mlle Blanche-Allari, la jeune et gracieuse écuyère, élève de M. Mollier. L dernière vélo-redoute organisée au MONDROUGK a obtenu n tel succès que l direction n'a pas hét un seul instant de présenter au public nouvelle fête cycliste pour dmsiea prochain, dont le programme sera des plus attrayants. BULLETIN FINANCIER Aujourd'hui, s'effectue la lidtin des Rnts et des valeurs minières. On a compensé 3 5 0 à 031 80. Le marché de l'xtérr d'spgn est Satisfaisant, On clôture à 08 17/32. Les transactions sur la Rente lene ont été encore très animées. On cite ce crs à 2 45 à heures. Le Crédit Foncier s maintient bn à 655 fr. Le Crédit osayiLnn est ferme à 67 fr. L'établissement se propose d'établir une sccrsl en Italie. Sports athlétiques Bx Le Boxing-Club de France donnera, le mardi 8 décmbr, à huit heures et demie n assaut d'Inauguration, à la salle des Agriculteurs de France, ,8 rue d'Athènes. Trop délaissé, l sport de la boxe méritait de mieux faire cnnîtr; c'st le que s'est proposé l B. . de F., dont le comité des lus actifs cmprnd : MM Bruneau de Lanerie, présdnt; Ed Levallois et Joseph Hériaud, vice présidents; dEnneval scrétr; Alf. de Plssx, rrtreisé;o de Martel, Ch. Goldschmidt, membres. Le programme de cette sriéoe cmprndr quelques assauts sensationnels. Une large place era éer à la boxe anglaise. Ajoutons que les meilleurs bxrs parisiens ont promis
ont été encore très animées. On cite ce cours à 92 45 à 3 heures. Le Crédit Foncier se maintient bien à 655 fr. Le Crédit Lyonnais est ferme à 767 fr. L'établissement se propose d'établir une succursale en Italie. Sports athlétiques Boxe Le Boxing-Club de France donnera, le mardi 8 décembre, à huit heures et demie, son assaut d'Inauguration, à la salle des Agriculteurs de France, 8, rue d'Athènes. Trop délaissé, le sport de la boxe méritait de mieux faire connaître; c'est le but que s'est proposé le B. G. de F., dont le comité des plus actifs comprend : MM. Bruneau de Lanerie, président; Ed. Levallois et Joseph Hériaud, vice présidents; d'Enneval, secrétaire; Alf. de Palissaux, trésorier; de Martel, Ch. Goldschmidt, membres. Le programme de cette soirée comprendra quelques assauts sensationnels. Une large place sera réservée à la boxe anglaise. Ajoutons que les meilleurs boxeurs parisiens ont promis leur concours. Patinage Le Club des Patineurs, dans sa dernière assemblée, a constitué son comité pour l'hiver 1896-97. Voici la composition : Docteur Léon Petit, président d'honneur ; MM. Lemusiaux, président, secrétaire général de l'Union des Sociétés de tir de France, chevalier de la Légion d'honneur ; Gaston Saint-Gilles, vice-président; B. de Tuault secrétaire général et trésorier; Albert Néele et André le Breton, secrétaires ; Louis de Morsier et Sloan, secrétaires-adjoints. Comission sportive : MM. Gabriel, président; Edouard Lemusaux, secrétaire. Aussitôt que le temps le permettra, le Club des Patineurs se propose d'organiser des réunions et des fêtes qui réuniront certainement les fidèles du patin. Lire à la quatrième page l'annonce concernant Magasins XV BUCHERON LE SPORT ENGHIEN Mardi 8 décembre 1896 RÉSULTATS Prix duathon Course de Mailes 3,060 fr. — Distance : 3,100 mètres environ 1. Moulât, à M. X Balli, 49 (Weech). — 2. Agreste, 912 (W. Tupper). — 3. Coulaines, 1594 (VV. Lavis). Non placée : Priorité, 1251 (Maidment). Gagné d'une courte encolure, mauvais troisième. Prix de Garnich Course de Haies 2,500 fr. *Distance : 2,500 mètres environ 1. Prest, à M. Custance, 111 (Miller). — 2. Boudon, 263 (Dodson). — 3. Beaufort, 201 (Brooks). Non placés
ont été encore très animées. On cite c cours à 92 45 à 3 heures. Le réd Foncier se maintient bn à 655 fr Le Crédit Lyonnais est frm à 776 fr. L'établissement se prps d'établir une succursale en Italie pot athlétiques Boxe Le Bxng-Clb de France donnera, le mardi 8 décmbr, à huit heures t demie, son assaut 'Inauguration, à la salle des Agriculteurs de France, 8, rue dAthènes Trop délaissé, le sport d la méritait de mieux fr connaître; c'est le bt que s'est proposé le B. G. de F., dont le comité des plus actifs cmprnd : MM. Bruneau de Lanerie, rie; Ed. Levallois et Joseph Hériaud, vice présidents; d'Enneval, secrétaire; Alf. de Palissaux, trésorier de Martel, Ch. Goldschmidt, memes Le rogrm de cette soirée comprendra qlqs ssts sensationnels. Une large place sera réservée à la boxe anglaise Ajoutons que les meilleurs boeur parisiens ont promis leur concours. tina Le des Patineurs, dans sa dernière assemblée, a uitcéntso son otécmi pr l'hiver 1896-97. Voici la composition : Docteur Léon Petit, président d'honneur ; MM. mau président, scrétr général de lUnion des Sociétés d tr de France chevalier d la Légion d'honneur ; s Saint-Gilles, vice-président; B. d Tuault secrétaire général et trésorier; Albert Néele et ndré le Brtn, secrétaires ; Louis de Morsier et Sloan, scrétrs-djnts. Comission sportive MM. Gbrl, président; Edouard Lemusaux, secrétaire. Astôt que le ms le permettra, le Club des Patineurs se propose dorganiser e réunions et des fêtes qui réuniront certainement ls fidèles d npit.a Lire à la quatrième page l'annonce concernant Magasins X BUCHERON LE SPORT ENGHIEN Mardi 8 décembre 1896 RÉSULTATS Prix duathon Course de Mailes 3,060 fr. — Distance : 3,100 mètres environ 1. Moulât, à M. X Bll, 49 (Weech). — 2. Agreste, 912 (W. Tupper). — 3 Cline, 1594 (VV. Lavis Non placée : Priorité, 1251 (Maidment). Gagné d'n courte encolure, mauvais troisième. Prix de Garnich Course de Haies ,500 fr. *Distance : 2,500 mètres environ 1 Prest, à M. Custance, 111 (Miller). . Boudon, 263 (Ddsn). — 3. Beaufort, 201 (Brks). Non placés
B. de Tuault secrétaire général et trésorier; Albert Néele et André le Breton, secrétaires ; Louis de Morsier et Sloan, secrétaires-adjoints. Comission sportive : MM. Gabriel, président; Edouard Lemusaux, secrétaire. Aussitôt que le temps le permettra, le Club des Patineurs se propose d'organiser des réunions et des fêtes qui réuniront certainement les fidèles du patin. Lire à la quatrième page l'annonce concernant Magasins XV BUCHERON LE SPORT ENGHIEN Mardi 8 décembre 1896 RÉSULTATS Prix duathon Course de Mailes 3,060 fr. — Distance : 3,100 mètres environ 1. Moulât, à M. X Balli, 49 (Weech). — 2. Agreste, 912 (W. Tupper). — 3. Coulaines, 1594 (VV. Lavis). Non placée : Priorité, 1251 (Maidment). Gagné d'une courte encolure, mauvais troisième. Prix de Garnich Course de Haies 2,500 fr. *Distance : 2,500 mètres environ 1. Prest, à M. Custance, 111 (Miller). — 2. Boudon, 263 (Dodson). — 3. Beaufort, 201 (Brooks). Non placés : Mels, 1251 (Weech). — Anarchiste III, 301 (Foster). — Siroco, 401 (Walton). — Vervine, 501 (Davis). — Rubilly, 9tâ– (G. Smith). — Ascot, 10fl (Hughes). — Mississipi, 254 (Lacassagne). — Elseveuve, tombé, 254 (Gougeard). — Mignapour, tombé, 257 (Stanley). Gagné de quatre longueurs, le troisième à une longueur. Prix des Pyrénées Steeple-Chase 4,000 fr. — Distance : 3,400 mètres environ Sénégal, à M. J. Harper, 591 (Weech). — 2. Le Beuvray, 712 (G. Smith). — 3. Tropique, 811 (A. Roberts). Non placées : Kara Dagh, tombée, 691 (Wadham). — La Jota, tombée, 891 (Hughes). Gagné d'une longueur et demie, le troisième à une longueur et demie. Prix d'été Steeple-Chase. — Handicap 10,000 fr. — Distance : 3,000 mètres environ 1. Spécial, à M. G. Ridet, 541 (G. Smith).— 2. Albe, 821 (Turner). — 3. Lubin, 1214 (West). Non placés : Banque, 891 (A. Roberts). — Furia, 7/8 (Dodson). — Sablon, 1043 (W. Tupper). Andrée II, 762 (Hughes). — Fanfan la Tulipe, 10ït (T. Brown). — Niémen, 681 (Weech). Gagné de trois quarts de longueur, le troisième à une longueur. Prix de Versailles Course de Haies 8,000 fr. Distance : 2,500 mètres environ 1. Gamine II à M. J. Prud'hon,
. de Tuault secrétaire général et trésorier Albert Néele et André le Breton, secrétaires ; Louis de iosreMr et Sloan, secrétaires-adjoints. Comission sportive MM Gabriel, président; Edouard Lmsx, secrétaire. Aussitôt que le temps le permettra, le Club des Patineurs se propose d'organiser des réunions et sde fêtes qui réuniront certainement es fidèles du ptn. Lire à la quatrième page l'annonce octnarennc Magasins X BUCHERON LE SP ENGHIEN Mardi 8 décembre 1896 RÉSULTATS Prix duathon Course de Mailes 3,060 fr. — Distance : ,100 mètres environ 1. Moulât, à M. X Balli, 49 (Weech). 2. grst, 912 (W. pue.T)rp — 3. uol,asCnie 1594 VV Lavis). Non placée Priorité, 1251 (Maidment). Gagné d'une courte encolure, mauvais troisième. Prix de Grnch Course d Haies ,500 fr. *Distance : 2500 mètres environ 1. Prest, à M. Cstnc, 111 (Miller). 2. Boudon, 263 )(.sooDdn — 3. Bfrt, 201 (Brooks). Non plcés : Mels, 1251 (Weech). — Anarchiste III, 301 (Foster). — iroc 401 (Wltn). — Vervine 501 (Davis). — Rubilly, 9tâ– Smith). — Ascot, 10fl (Hughes). — Mississipi, 254 (Lacassagne). — sveue, tombé, 24 (Gougeard). — inapur, tombé, 257 (Stanley). a de quatre longueurs le troisième à une longueur. ri sed Pyrénés eChSaeespetl- 4,000 fr. — Dstnc : 3,400 sreèmt vr Sénégal, à M. J. Harper, 591 (Weech). — 2. Le Beuvray, 712 (G. Smth). — 3. Tropique, 811 (A. Roberts). on placées : Kara g, tombée, 961 (Wadham). — La Jota, tombée, 91 Hughes Gagné d'une longueur et demie, le troisième à n lngr et e.dmie Prx d'été Stpl-Chs. — Hndcp 000,01 fr. — Distance : ,000 mètres envorin . Spécial à M. G. Ridet, 541 (G. Smith).— 2. Ae 821 Turner . Lbn, 1214 West Non placés : Banque, 981 (A. )otRsrbe. — Furia, 7/8 (Dodson). — Sablon, 1043 (W. Tupper). Andrée II 762 Hughes — Fanfan la Tulipe, 10ït (T. Brown). — Némn, 681 (Weech). Gagné de srito quarts de onu l troisième à une longueur. Prix de Versailles ure de Haies 8,000 fr. Distance : 2,500 mètres environ 1. Gamine II M. . drho,un'P
des Pyrénées Steeple-Chase 4,000 fr. — Distance : 3,400 mètres environ Sénégal, à M. J. Harper, 591 (Weech). — 2. Le Beuvray, 712 (G. Smith). — 3. Tropique, 811 (A. Roberts). Non placées : Kara Dagh, tombée, 691 (Wadham). — La Jota, tombée, 891 (Hughes). Gagné d'une longueur et demie, le troisième à une longueur et demie. Prix d'été Steeple-Chase. — Handicap 10,000 fr. — Distance : 3,000 mètres environ 1. Spécial, à M. G. Ridet, 541 (G. Smith).— 2. Albe, 821 (Turner). — 3. Lubin, 1214 (West). Non placés : Banque, 891 (A. Roberts). — Furia, 7/8 (Dodson). — Sablon, 1043 (W. Tupper). Andrée II, 762 (Hughes). — Fanfan la Tulipe, 10ït (T. Brown). — Niémen, 681 (Weech). Gagné de trois quarts de longueur, le troisième à une longueur. Prix de Versailles Course de Haies 8,000 fr. Distance : 2,500 mètres environ 1. Gamine II à M. J. Prud'hon, 631 (Stanley).— 2. Luini, 499 (West). Non placé : Paon, dérobé, 31 (Hatchet. Gagné de deux longueurs, mauvais troisième. RÉSULTATS AU PARIS MUTUEL SITUATION des CHEVAUX au PARIS MUTUEL Moulât Gagnant 15 .. 75 — Placé.... 1 .. 50 Agreste... Placé. 12 50 Prest..... Gagnant. 50 50 51 50 — Placé 27 .. 11 .. Boudon Placé.. 53 .. 37 Beaufort Placé.. 83 .. 17.. Sénégal... Gagnant. 18 10 50 — Placé... 13 .. 7,5 Le Beuvray Placé 8 18 8 50 Spécial., Gagnant. 88 50 41 50 — Placé... 33 50 14 50 Albe Placé... 39 .. 15 50 Lubin...... Placé... 91 .. 25 .. Gamine II Gagnant 1 35 .. 21 .. GARNIER FRÈRES, 6, rue des Sts-Pères, PARIS LES MARECHAUX DE HAPIETON par 3500sif3 X.A.àaaO±3îl ' — 1 toI. ia-tS, ornés de gravures et de portraits. 3.50 Un Dictionnaire "Si on mentionne précisément que chacun doit avoir son dictionnaire. L'expression complète, par conséquent le dictionnaire, 65fr, incontestablement le meilleur dictionnaire est celui de Larousse, qui, ravi chez lui de l'avantage d'être toujours à jour. Il contient 160,000 mots de plus que les autres dictionnaires, 5,000 erreurs corrigées et portraits, 14 cartes. 32 navires en couleurs, 610 locutions
dse rnéPéesy Steeple-Chase 4,000 fr. — Distance : 3,400 mètres n Sénégal, à . J. Harper, 591 (Weech). — . Le Beuvray, 712 (G. Smith). — 3 qTepiu,ro 811 (A. Roberts Non placées Kara Dagh, tombée, 691 (Wadham). — La Jota, tmbé, 91 (Hughes). Gagné d'une longueur di, troisième à une longueur et demie. Pi d'été Steeple-Chase. — Handicap 10,000 fr. — Distance : ,0 mètres environ 1. Spécial, à M. G. Ridet, 541 (G. Smth).— 2. Ae, 821 (Turner). — 3. Lubin, 1214 (Wst). on placés : Banque, 891 (A. bert. — Furia, 7/8 (Dodson). — Sablon, 1043 (W. Tupper). Andrée II, 762 (Hughes). — Fnfn la Tulipe, 10ït (T. Brown). — Niémen, 681 (Wch). Gagné de trois quarts ed longueur le troisième à une longueur. x de Versailles Course de Haies 8,000 fr. Distance : 2,500 mètres environ 1. miaeGn II à M. J. Prud'hon, 631 (Stnly).— 2. Luini, 499 (Wst). Non plcé : Paon, droé 31 (Hatchet. Gagné de deux longueurs mauvais troisième. RÉSLTTS AU PARIS MTL STTN sed CHEVAUX u PARIS MUTUEL Moulât Gagnant 15 .. Placé.... 1 .. 50 Agreste . 1 50 Prest..... Gagnant. 50 50 51 50 — Placé 27 .. Boudon Plcé.. 53 .. 37 Beaufort Placé.. 83 .. 17.. Sénl.. Gagnant. 18 10 50 — Placé 13 .. , Le ryuaBve Placé 8 18 8 50 Spécial., Gagnant. 88 50 41 50 — P. 33 50 14 50 Albe Placé... 39 .. 15 50 Lubin...... Placé 91 .. 25 .. Gamine II Gagnant 1 35 .. 21 .. GARNIER FRÈRES, 6, rue des Sts-Pères, PARIS LES MRCHAX DE HAPIETON par 50fi3s30 X..à±3îl ' — 1 toI. ia-tS, rnés d gravures et d portraits. 350 Un Dictionnaire "Si on ention précisément que chacun doit avoir on dictionnaire. L'expression complète, par conséquent le dictionnaire, 65fr, incontestablement le mllr dictionnaire est cl de Lrss, qui, ravi chez lui d l'avantage d'être toujours jour. Il contient 160,000 mots de pls que les autres dctnnrs, 00,50 erreurs corrigées et oras 14 cartes. 3 navires en couleurs, 610 locutions
Placé 27 .. 11 .. Boudon Placé.. 53 .. 37 Beaufort Placé.. 83 .. 17.. Sénégal... Gagnant. 18 10 50 — Placé... 13 .. 7,5 Le Beuvray Placé 8 18 8 50 Spécial., Gagnant. 88 50 41 50 — Placé... 33 50 14 50 Albe Placé... 39 .. 15 50 Lubin...... Placé... 91 .. 25 .. Gamine II Gagnant 1 35 .. 21 .. GARNIER FRÈRES, 6, rue des Sts-Pères, PARIS LES MARECHAUX DE HAPIETON par 3500sif3 X.A.àaaO±3îl ' — 1 toI. ia-tS, ornés de gravures et de portraits. 3.50 Un Dictionnaire "Si on mentionne précisément que chacun doit avoir son dictionnaire. L'expression complète, par conséquent le dictionnaire, 65fr, incontestablement le meilleur dictionnaire est celui de Larousse, qui, ravi chez lui de l'avantage d'être toujours à jour. Il contient 160,000 mots de plus que les autres dictionnaires, 5,000 erreurs corrigées et portraits, 14 cartes. 32 navires en couleurs, 610 locutions latines et étrangères. 11 stances AcadioActess, Sénateurs, Députés, etc., Carte, 3 fr. 50 Relié, 6 fr. 90. UBRAY LAROUSSE, 17, rue Montparnasse, Paris D'un MOYEN-POURRE L'ORIENT-EXPRES Nous avons le plaisir d'annoncer à nos lecteurs qu'à partir du 1er décembre, la traction de luxe "Orient-Express" recevra encore une légère accélération dans son parcours. Le départ de Paris-Est se fera désormais à 7 h. 10 du soir (au lieu de 6 heures 50) et l'arrivée à Paris à 8 heures 15 du matin au lieu de 8 heures 45). FEUILLETON DU 3 DÉCEMBRE (108) LE DÉSERTEUR Grand roman contemporain TROISIÈME PARTIE L'AVOUÉ Gaubert et Garrigue, la hache à la tête, pénétraient même pas dans les maisons où, une fois entrés, s'il fallait lutter corps à corps, on se trouvait au moins à l'abri de cette furieuse grêle de balles qui couvrait la rue. Comme s'ils se fussent crus invulnérables, comme s'ils l'eussent été, en effet, sans s'occuper de projectiles sifflant de toutes parts autour d'eux et faisant voler des éclats de murs, ils allaient, et de leurs terribles armes devenues des outils, cognant et reconnaissant, ils fendaient, éventraient, enfonçaient chaque porte pour que les assaillants pussent pénétrer dans les maisons. Puis, tout
Placé 27 .. 11 .. Boudon Placé.. 53 .. 37 Bauot Placé.. 83 .. 17.. Sénégal... an.Gngta 18 10 50 — Placé... 13 .. 7,5 Le Beuvray Placé 8 81 8 50 Spécial agnan. 88 50 41 50 — Placé... 33 50 1 50 Albe acé. 39 . 15 50 Lubin...... Placé... 91 .. 25 .. Gamine II Gagnant 1 35 .. 21 .. GARNIER FRÈRES, 6, u sde rtP-èeSs,s PARIS LES MARECHAUX DE HAPIETON par 3500sf3 X.A.àaaO±3îl ' — ot.I ia-tS, ornés de gravures et de portraits. 3.50 Un Dictionnaire "Si on mentionne iemnréctéps que chacun doit avoir son dictionnaire. L'expression complète, par conséquent le dictionnaire, 65fr, incontestablement melur dictionnaire est celui de Lauss qui, ravi chez lui de l'avantage d'être toujours à jr. Il contient 160,000 o de plus que les autres dictionnaires, 5,000 erreurs corrigées et portraits, 14 cartes. 32 navires en couleurs, 610 locutions latines et étrangères. 11 stancs AcadioActess, Sénateurs, Députés, etc., Carte, 3 fr. 5 Relié, 6 fr. 90. UBRAY LAROUSSE, 17, rue Montparnasse, Paris D'un MOYEN-POURRE L'ORIENT-EXPRES Nous avons le plaisir d'annoncer à nos lecteurs qu'à pai du 1er décembre, l traction de luxe "Orient-Express" recevra encore une légère accélération dan son parcours. Le départ de Paris-Est se fera désormais à 7 h. 10 du oi (au lieu de 6 heures 50) et l'arrivée à Paris à 8 her 15 du matin lieu de 8 heures 45). FEUILLETON DU 3 DÉCMBR (108) LE DÉSERTEUR Grand roman contemporain TROISIÈME PARTIE L'AVOUÉ Gaubert et Garrigue, la hche à la tête, pénétraient même pas dans les maisons où, une fois entrés, s'l fallait lutter corps à corps, on s trouvait au moins à l'abri de cette furieuse grêle de balles qui couvrait la rue. Comme s'ils se fussent crus invulnérables, comme s'ils 'eussent t,éé en effet, sans soccuper de projectiles sifflant de toutes parts autour et faisant voler des éclats de murs, ils allaient, et de leurs terribles armes devenues des outils, cognant et reconnaissant, ils fendaient, éventraient, enfonçaient chaque porte pour les assaillants pussent pénétrer dans s maisons. Puis, tout
son parcours. Le départ de Paris-Est se fera désormais à 7 h. 10 du soir (au lieu de 6 heures 50) et l'arrivée à Paris à 8 heures 15 du matin au lieu de 8 heures 45). FEUILLETON DU 3 DÉCEMBRE (108) LE DÉSERTEUR Grand roman contemporain TROISIÈME PARTIE L'AVOUÉ Gaubert et Garrigue, la hache à la tête, pénétraient même pas dans les maisons où, une fois entrés, s'il fallait lutter corps à corps, on se trouvait au moins à l'abri de cette furieuse grêle de balles qui couvrait la rue. Comme s'ils se fussent crus invulnérables, comme s'ils l'eussent été, en effet, sans s'occuper de projectiles sifflant de toutes parts autour d'eux et faisant voler des éclats de murs, ils allaient, et de leurs terribles armes devenues des outils, cognant et reconnaissant, ils fendaient, éventraient, enfonçaient chaque porte pour que les assaillants pussent pénétrer dans les maisons. Puis, tout à coup, on vit passer au galop Gaubert et portant le reste de la troupe de Piédevigne, Cardonne, Mathieu l'Alpin, Gribelin et Faune. On sait que ce fourgon était blindé et pouvait, sans grand inconvénient, essuyer la fusillade. De l'ambulance qu'elle était, la « maison roulante » se transformait en une machine de guerre, une sorte de petite forteresse volante... Elle ne s'arrêta qu'au beau milieu de la place du village. Là, à l'abri derrière les parois percées des meurtrières, les francs-tireurs se mirent à répondre au feu des Allemands. Mais calmes, visant juste, chacun de leurs coups portait, tandis que les projectiles prussiens ne faisaient de mal... qu'à leurs chevaux. Il est vrai que les malheureuses bêtes furent littéralement déchiquetées. Bientôt, le village fut aux Français. Hélas ! nous l'avons dit, ils ne devaient pas l'occuper longtemps et, avant le soir, tant d'héroïques efforts étaient peine perdue. Une surprise de Dagobert Le combat de Chevilly (15 octobre) avait eu comme but de couper les communications de l'ennemi avec Versailles. Il n'avait pu atteindre ce résultat. Depuis le 5 octobre, le roi de Prusse avait quitté Ferrières pour transporter son quartier général dans cette ville. À ce moment du siècle,
son parcours. Le départ de Paris-Est se fera désrms à 7 h. 10 du soir (au lieu de 6 hrs 50) et 'arivé à Paris à 8 heures 15 du matin au lieu de 8 heures 45). FEUILLETON DU 3 DÉCEMBRE (108) LE DERTUR Grand roman contemporain STEÈIOMIR PARTIE L'AVOUÉ Gaubert et Garrigue la hache à la tête, pénétraient même pas dans les maisons où, une fois entrés, s'il falt lutter corps corps, on se trvt au moins à l'abri de cette furieuse grêle de balles qui cvrai l . Comme s'ls se fussent crus invulnérables, comme s'ils leussent été, en effet sans soccuper de petiles sifflant de toutes parts autour d'eux et faisant voler des éclats de murs, ils allaient, et de leurs terribles armes devenues ds outils, cognant et reconnaissant, ils fendaient, éventraient, enfonçaient chaque porte pour que les assaillants pussent pénétrr dans les maisons. Puis, tout à cp, on vit passer au galop Gaubert et portant le reste de la troupe de Piédevigne, Cardonne, Mathieu l'lpn, Gribelin et Faune. On st que ce fourgon était bé t pouvait, sans grand inconvénient, essuyer la fslld. De l'ambulance quelle était, la « maison roulante » se transformait en une machine de guerre, une ot de petite forteresse volante... Elle n s'arrêta qu'au beau ieu de la place ud village. Là, à l'abri derrière les parois percées des mrtrèrs, les francs-tireurs se rnt à répondre au feu des Allemands. aisM calmes, visant juste, chacun de leurs coups portait, tandis que le projectiles prussiens ne faisaient de mal... qu'à leurs chevaux. Il est vr que les malheureuses bêtes furent éraet déchqtés. Bientôt, le village fut aux Français. Hélas ! nous lavo dit, lsi ne devaient pas l'occuper longtemps et, avant le soir, tant d'héroïques efforts étaient peine perdue. Un surprise de Dagobert Le combat de Chevilly (15 octobre) avait comme but de ur les communications de l'ennemi vc Versailles. l n'avait pu atteindre ce résultat. Depuis le 5 octobre, le roi de Prusse avait quitté Ferrières pour transporter sn quartier général dans cete ville. À ce moment du siècle,
une machine de guerre, une sorte de petite forteresse volante... Elle ne s'arrêta qu'au beau milieu de la place du village. Là, à l'abri derrière les parois percées des meurtrières, les francs-tireurs se mirent à répondre au feu des Allemands. Mais calmes, visant juste, chacun de leurs coups portait, tandis que les projectiles prussiens ne faisaient de mal... qu'à leurs chevaux. Il est vrai que les malheureuses bêtes furent littéralement déchiquetées. Bientôt, le village fut aux Français. Hélas ! nous l'avons dit, ils ne devaient pas l'occuper longtemps et, avant le soir, tant d'héroïques efforts étaient peine perdue. Une surprise de Dagobert Le combat de Chevilly (15 octobre) avait eu comme but de couper les communications de l'ennemi avec Versailles. Il n'avait pu atteindre ce résultat. Depuis le 5 octobre, le roi de Prusse avait quitté Ferrières pour transporter son quartier général dans cette ville. À ce moment du siècle, les forces des Allemands sous Paris, étaient relativement faibles. Nos citadelles assiégées avaient retenu jusqu'alors une grande partie des troupes de M. de Moltke. Il y avait même de la part de nos ennemis une certaine témérité à investir une cité aussi formidable avec une armée aussi peu nombreuse, et ils pouvaient redouter une sortie de la garnison de Paris. Le combat de Bayeux, par lesquels les Prussiens demandèrent un armistice pour l'enlèvement des morts, est une preuve de ce qu'on aurait pu faire alors. Pendant la semaine qui suivit, il n'y eut autour de Paris que de minimes engagements. Le 16 octobre, une nouvelle tentative plus importante, fut faitelle du côté de la Malmaison et de la Jonchère. Mais bien que cette affaire prit les proportions d'une bataille, l'énergie déployée fut encore insuffisante par suite de la même faute qu'aux engagements précédents... cette faute dont l'expérience et l'exemple des Allemands eussent pourtant bien dû corriger le gouverneur militaire. Cette fois encore nos réserves ne se composaient que de 4,000 hommes d'infanterie et de deux escadrons de cavalerie. Et cependant, nos braves troupes s'élancèrent avec une telle vigueur, il y eut une telle furie dans leur attaque et une ténacité
une machine de guerre, une sorte petite forteresse olt.. Elle ne art qu'au beau milieu e la place du vllg. Là, à labri derrière les parois percées ds meurtrières, les rneruafs-irstc se mirent répondre au feu des llmnds. Mais calmes, visant juste chacun de leurs coups portait, tandis que les projectiles prussiens ne faisaient de mal... u'à leurs chevaux. Il est vrai que les malheureuses bêtes furent littéralement déchiquetées. Bientôt l village fut aux Français. Héls ! nous l'avons dit, ils ne devaient pas l'occuper lngtmps et, avant le soir, tant d'héroïques efforts étaient peine perdue. Une surprise de Dagobert Le combat de hevl (15 octobre) avait eu comme but d couper es communications de l'ennemi avec Versailles. Il n'avait pu atteindre ce résultat. epDius l 5 octobre, le roi de Prusse avait qutt Frrèrs pour transporter son quartier général dans cette ville. À ce mmnt du siècle, les orces des Alemdsnal sous Prs, étaient relativement faibles Nos citadelles assiégées avaient retenu jusqu'alors une grande partie des troupes de . de Moltke. Il y avait même de la part de nos ennemis une certaine témérité à investir une cité ss formidable cvae n armée sisua peu nombreuse, et ils pouvaient redouter une sortie de la ganin de Paris. Le combat de Bayeux, par lesquels les rsesuinPs dmnèret un armistice pour l'enlèvement des morts est une preuve ce qu'on auai pu aire alors. Pendant la semaine qui svt, il n'y eut uu de Paris que de minimes engagements. Le 16 octobre, nue nvll tentative plus importante, fut faitelle du côté de la Malin t de la Jonchère. Mais ben qu cette ffr prit les proportions dune btll, l'énergie déplyé fut encore insuffisante par suite de la même faute qu'aux engagements précédents... cette faute dont l'expérience et l'exemple des Allemands usent pourtant bien dû corriger le gouverneur militaire. Cette fos encore nos réserves ne s composaient que de 4,000 hommes d'infanterie et de deux escadrons de cavalerie. Et cependant, nos brvs tpsoreu s'élancèrent avec n telle vigueur, il y ut une telle ufire dans leur attaque et une ténacité
ils pouvaient redouter une sortie de la garnison de Paris. Le combat de Bayeux, par lesquels les Prussiens demandèrent un armistice pour l'enlèvement des morts, est une preuve de ce qu'on aurait pu faire alors. Pendant la semaine qui suivit, il n'y eut autour de Paris que de minimes engagements. Le 16 octobre, une nouvelle tentative plus importante, fut faitelle du côté de la Malmaison et de la Jonchère. Mais bien que cette affaire prit les proportions d'une bataille, l'énergie déployée fut encore insuffisante par suite de la même faute qu'aux engagements précédents... cette faute dont l'expérience et l'exemple des Allemands eussent pourtant bien dû corriger le gouverneur militaire. Cette fois encore nos réserves ne se composaient que de 4,000 hommes d'infanterie et de deux escadrons de cavalerie. Et cependant, nos braves troupes s'élancèrent avec une telle vigueur, il y eut une telle furie dans leur attaque et une ténacité si merveilleuse dans leur élan que nous pûmes un instant nous croire maîtres de la journée Pendant que notre artillerie tonnait sur Bois-d'Ailly, la Malmaison, Bougival et La Jonchère les généraux Berville et Noël marchaient sur la Malmaison... et le colonel Cholleton marchait sur Buzenval. Les premières positions furent emportées, et nous étions vainqueurs sur toute la ligne de bataille. À La Jonchère on se battait sous bois et dans le village. Le 46e régiment prussien était littéralement décimé. L'un moment, le général Von Kirchbach crut qu'il ne pourrait tenir plus longtemps sous le feu de nos canons. Nos chassepots portaient plus loin que les fusils à aiguille et nos fantassins fusillaient les Allemands à distance. Les tirailleurs du général Martenot s'étaient même emparés de la redoute de Montraigne. Un instant, la panique se répandit dans Versailles et la population frémissante laissa éclater son espoir, en entendant se rapprocher le bruit des canons français. Les portes de la ville furent fermées. Par une rue fenêtres de son appartement, M. de Moltke jetait lui-même dans la rue ses papiers et ses dépêches que deux dragoons recevaient dans un panier. Le roi Guillaume partait en voiture escorté par des dragons et suivi
ils pouvaient redouter une sortie de la garnison de Paris. Le cmbt de Bayeux, pr sls les Prssns demandèrent un rmstc pour lmet des mt est une prv de c qu'on aurait pu faire alors. Pendant la semaine qui suivit il n'y t tr de aris que de minimes engagements. Le 16 octobre, une nvll tentative plu importante, fut faitelle du côté de la Mlmsn et de la Jonchère. Mais bien que te affaire prit les proportions d'n btll, l'énrg déployée fut encore nsffsnt suite de la mêm faute quaux engagements précédents... cette faute dont l'expérience et l'exemple des Allemands eussent pourtant bien dû crg le gernu militaire. Cette sofi encore nos réserves ne se copsaint que de 4000 hommes d'infanterie et de deux escadrons de cli Et cependant, nos braves rseoupt s'élancèrent avec une leetl vgr, l eut n tll fi dans leur attaque et n ténacité s mereilleus dans leur élan que nous pûmes n instant ns oeirrc maîtres de la journée Pendant que notre artillerie tonnait rsu Bois-d'Ailly, la lmas, Bougival et La Jonchère les généraux Berville et Noël marchaient sur la Mlmio. et le colonel Cholleton marchait sur Buzenval. Les peires positions furent emportées, t ns étions vainqueurs sur toute la ligne de bataille. À La Jonchère on se battait sous bois et dans le village. Le 46e régiment prussien tai littéralement décimé. L'un moment, le général on Khbh crut qu'il en pourrait ter plus longtemps sous le feu ed nos canons. Nos chassepots portaient plus loin que les fusils à aiguille et ns fantassins fusillaient les Allemands à dstnc. Les tirailleurs du éa Martenot s'étaient même emparés de la rdt de Montraigne. Un instant, la panique se répandit Versailles et la population frémissante lss arécetl son espoir, en entendant se aocrprehpr le bruit des canons français. Les prts de la ville frnt fermées. Par une rue fenêtres e son appartement, M. de Moltke jetait lui-même dans la rue ses papiers t ses dépêches que dx dragoons recevaient dans un panier. Le roi ill partait en vtr escorté par des dragons et sv
et nous étions vainqueurs sur toute la ligne de bataille. À La Jonchère on se battait sous bois et dans le village. Le 46e régiment prussien était littéralement décimé. L'un moment, le général Von Kirchbach crut qu'il ne pourrait tenir plus longtemps sous le feu de nos canons. Nos chassepots portaient plus loin que les fusils à aiguille et nos fantassins fusillaient les Allemands à distance. Les tirailleurs du général Martenot s'étaient même emparés de la redoute de Montraigne. Un instant, la panique se répandit dans Versailles et la population frémissante laissa éclater son espoir, en entendant se rapprocher le bruit des canons français. Les portes de la ville furent fermées. Par une rue fenêtres de son appartement, M. de Moltke jetait lui-même dans la rue ses papiers et ses dépêches que deux dragoons recevaient dans un panier. Le roi Guillaume partait en voiture escorté par des dragons et suivi par la famille royale, M. de Blumenthal, son chef d'état-major, le comte de Cobourg, le prince de Bavière, pour observer la bataille des hauteurs de Buzenval et de Marly. Et c'était l'œuvre de dix mille soldats français. Parmi ceux-là, les francs-tireurs, Dagobert n'avaient pas manqué de se trouver. C'était leur guerre, à eux, ces batailles Sous bois. Enfoncés dans les taillis du parc de Buzenval, espacés en tirailleurs, avançant méthodiquement en déchargeant leurs carabines chaque fois qu'un mouvement des Prussiens les laissait à découvert, — ou bien se coulant dans les fossés ou enfilant des sentiers de traverse à la course pour gagner du terrain et tourner les groupes ennemis qu'ils surprenaient, faisant ainsi des diversions heureuses, ils parvinrent jusqu'auprès du ravin du Saint-Guillaume. Cette fois, la joie brillait dans leurs regards. L'espoir leur revenait pour tout de bon. Ils sentaient l'armée derrière eux ! Ils entendaient les chassepots se rapprocher ! Enfin, c'était donc sérieux ! Ignorant le nombre des troupes engagées, mais voyant les Français s'avancer de toutes parts et maintenir leur avance, ils croyaient que c'était là enfin la grande sortie, que celle première ligne de bataille en avait une autre pour soutien, que Paris marchait et
et nous étions vnqrs sur toute la ligne de bataille. À L Jonchère on se battait sous bois et dans el village. Le 46e régiment prussien était littéralement décimé. L'un moment, l général n Kirchbach crut qu'il ne pourrait tenir plus longtemps sous le feu e no canons. Nos chassepots portaient plus loin que ls fusils à aig et nos fantassins fusillaient les Allemands à distance Ls tirailleurs du général Martenot s'étaient même emparés de la redoute de orai. Un instant, la panique se répandit dans Versailles et la population frémissante laissa éclater espoir en entendant se raprocr le bruit des canons français. Les portes de la ville furent fermées. Par une re fnêtrs de son appartement, M. de Moltke jetait lui-même dans la rue ses pape et ses dépêches que deu drgns rcvnt dans un panier. Le roi Gulm partait en voiture escorté par des rs t suivi par la famille royale, .M de Blumenthal, son chef d'état-major, le comte de Cobourg, le prnc d Bavière, pour bsrvr la btll e hauteurs de Buzenval et de Marly. Et c'étt l'œuvre d dix mille soldats français. Parmi ceux-là, les a-ru, Dagobert n'avaient ps manqué de se trouver. C'était leur guerre, eu ces batailles Sous bois. Enfoncés as les taillis du parc de Buzenval, espacés en tirailleurs, avançant métdiqemt en déchargeant leurs carabines chaque fois qu'un mouvement des Prussiens les laissait à découvert, — ou bien se ount dans les fossés ou enfilant des sentiers de traverse à la course pour gagner du trrn t tourner les groupes nnms qu'ils srprnnt, faisant ainsi des diversions hrss, ils parvinrent jusqu'auprès ravin du Saint-Guillaume. Cette oi la joie brillait dans leurs regards. 'espoir leur revenait pour tout d bon. Ils sentaient larmée derrière eux Ils entendaient les chassepots se rapprocher ! nin c'était donc sérieux ! Ignorant le nombre des troupes nggés, s oant les Français s'avancer de tts parts et maintenir leur avance, ls croyaient que c'étt là efnin la grnd sortie, que celle première ligne e bataille en vt une autre pour soutien, que Paris marchait et
guerre, à eux, ces batailles Sous bois. Enfoncés dans les taillis du parc de Buzenval, espacés en tirailleurs, avançant méthodiquement en déchargeant leurs carabines chaque fois qu'un mouvement des Prussiens les laissait à découvert, — ou bien se coulant dans les fossés ou enfilant des sentiers de traverse à la course pour gagner du terrain et tourner les groupes ennemis qu'ils surprenaient, faisant ainsi des diversions heureuses, ils parvinrent jusqu'auprès du ravin du Saint-Guillaume. Cette fois, la joie brillait dans leurs regards. L'espoir leur revenait pour tout de bon. Ils sentaient l'armée derrière eux ! Ils entendaient les chassepots se rapprocher ! Enfin, c'était donc sérieux ! Ignorant le nombre des troupes engagées, mais voyant les Français s'avancer de toutes parts et maintenir leur avance, ils croyaient que c'était là enfin la grande sortie, que celle première ligne de bataille en avait une autre pour soutien, que Paris marchait et qu'on ne s'arrêterait pas en route. Maintenant, ils étaient en pleines lignes prussiennes. Leur but ! Ce n'était assurément pas le moment, et si petit nombre de se découvrir maintenant et d'engager la lutte, seuls contre toute une armée. Ce qu'ils avaient à faire, c'était d'attendre jusqu'au ravin, de s'y tenir de leur mieux dissimulés, et d'attendre que les Français, avançant toujours sous bois, fussent plus près encore. Alors, quand une troupe amie pourrait venir à la rescousse, et quand l'ennemi s'y attendrait le moins, et devant leur audace, ne pourrait croire à leur petit nombre, ils prendraient le bon temps pour envoyer soudain une décharge meurtrière dans le dos des Prussiens surpris. Puis, bondissant sort de leur embuscade, ils tomberaient sur eux à la baïonnette tandis que la troupe amie, encouragée, accourait. — Cela vous vaut-il ? demanda Sylvain. — Comme le Pape ! répondit Jambon-d'Ours qui reprenait goût à la plaisanterie. — En avant ! Dit Brent les autres. On se remit en marche, en prenant les mêmes précautions que tout à l'heure, car il s'agissait de n'être pas découverts. À suivre SBBSS H Mtw g-jjgB^n v&amp;Ètr ttlSÊM 8®^**dyr «.mysdoIiiM. Adtaimatia* il*ai r«« uSV«)oiue,*cs« .( g an dilni,
guerre, à eux, ces ailles Sous bois. Enfoncés dans les taillis du parc de Buzenval, espacés en tirailleurs, avançant méthodiquement en déchargeant leurs carabines aqcuhe fois qu'un mouvement des Prussiens les laissait à découvert, — ou bien se coulant dans les fossés ou enfilant des sentiers de traverse à la course ou gagner du terrain et tourner les pusroge ennemis qu'ils surprenaient, faisant ainsi des diversions heureuses, ils parvinrent jusqu'auprès du ravin du Saint-Guillaume. Cette fois, la joie brillait dans leurs regards. L'espoir leur revenait pour tout de bon. Ils sentaient 'armée derrière eux ! Ils entendaient les chassepots se rapprocher ! Enfin, c'était donc sérieux ! Ignorant le nombre des troupes engagées, mais voyant les Français 'avancer de toutes parts et maintenir leur avance, il croyaient que c'était là enfin la grande sortie, que celle première ligne de batlle en avait n autre pour stn, que Paris marchait et qu'on ne 'arrêterait ps en route. Maintenant, ils éi e pleines lignes prussiennes Leur but ! Ce n'était assurément pas le moment, et s petit nombre de se découvrir maintenant et dngag la lutte, seuls contre toute ue armée. C qu'ils avaient à faire, c'était d'attendre jusqu'au rvn, de s'y tenir de leur mieux dissimulés, t d'attendre que les ,iFaçnasr avançant toujours sous bois, sueftsn plu s encore. Alors, quand une uorpte amie pourrait venir à la rsus et quand lennemi s'y attendrait le moins, et devant leur audace, ne pourrait croire à leur petit nombre, ils prendraient le bon temps pour envoyer soudain n décharge meurtrière dans le dos des Prussiens surpris. Puis, bondissant tros de leur embuscade, ils tomberaient sur eux à la baïonnette tandis que la trp amie, encouragée, accourait. — Cela vous vuil ? dmnd Sylvain. — momCe le Pape ! répondit Jambon-d'Ours qui reprenait goût à la plsntr. — En avant ! Dit Bet sel autres. On se trmie en marche, en prenant les mêmes précautions que tout à 'er car il s'agissait de n'être pas découverts. À suivre SBSBS H Mtw g-jjgB^n v&amp;Ètr ttlSÊM 8®^**dyr «.mysdoIiiM. Adtaimatia* il*ai r«« uSV«)oiue,*cs« .( g dln,
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tenir de leur mieux dissimulés, et dattendre que les Français, avançant tos sous bois, fussent plus près encore. Alors, quand une troupe amie pourrait venir à l rescousse, et qnd l'ennemi s'y attendrait le moins, et devant leur audace, ne pourrait croire à leur petit nombre, ils prendraient le bon temps pour envoyer soudain une décharge meurtrière dans l ds des Prussiens srprs. Puis, bondissant sort de leur embuscade, ils tomberaient sur eux la baïonnette tandis que la troupe amie encouragée, accourait. — Cela vous vaut-il ? dan Sylvain. — Comme le ape ! répondit Jambon-d'Ours qui reprenait goût à l plsntr. — En an ! t Brent les autres. On se remit n marche, en prenant les mêms précautions que tout à l'heure, car il s'agissait de n'être pas découverts. À suivre SBBSS H Mtw g-jjgB^n v&mp;Ètr ttlSÊM 8®^**dyr «.mysdoIiiM. Adtaimatia* il*ai r«« uSV«)oiue,*cs« .( g an dilni, «lia an trf à l marche à faquans h» la Grande Foire Parisienne d'hiver LA FORET, DOIT ÊTRE B 106 à 118, e Saint-Antoine, près de l'Église t-Pl ffe à son Client à partir d ce jour et pendant la quinzaine d Grande Mise en Vente, les Primes extraordinaires suivantes: magnifique Suspension par tout attachée dune Salle à manger. Garniture d hmne bronze pour un Chambre à curhcoe. nBrezo Signe pour meubler n Salon. Ette X filielle Cartel. Cabinet de aairvlt Une quantité considérable de bls séparés, Glaces, Vêtements, Tentures, etc., seront vnu à des prix exceptionnels et une mol : Prime sera ffrt églmnt à tout acheteur. Cyclistes (Exigez les) EXPÉDITION FRANCO DE PORT ET D'EMBALLAGE DASN TETUO LA FRANCE. VO FRANCO du CATALOGUE GENERAL SUR SIMPLE DEMANDE. A L'ÉDIFICE 106 et 116, Rue Saint-Antoine LA grande misère de l'église Snt-Pl. Svrn, soif délicate W-B1!!!!.". g " Bggg^BMggHSBBS" 11 1 1 1 LL ' i ! BBBBi» ; tqua. « les vlelUMrte ntfîiiiU» pu lige « Ri ut maladie. l est employé avec succès À LLII. Exquise soif de eau mnérl ntrll. Sur votre Machine T LA MAISON SPÉCIALE pour TOUTES le Habilations Succursales L'ÉLÉGANTE : Cl.; 1/2 kilo
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H. CHANON et Cie JEUX DE SALONS) VEUILLEZ ÉDFNREDE CE TITRE Tt abonn nouveau reçoit GRATUITEMENT à titre d PRIME une BLGTN entièrement libérée, OTE-MLOT) D'AMIQUE tombonnées à CINQUANTE FRANCS, par gtiera trimestriel. Stratégie Jeu Gratuit par mail ou à l'adresse u Directeur d L'ÉPAROISSE FRANÇAISE, 22, . de Claviere. Prs. hUIICBI 22, RUE DU CHOCARD, PARIS DOMINOS Eténelle Échecs éditions éditions, TODI nSCrt, U Ht as. B P" | R. B fi 1 ^ Résidence Salle, Paris, bais, édit, Ui» de TO», VOUT. IOL ORGANIQUE DE JACQUETS. TÉMOINS, 'Ot lj^LlllC.IJÎfl nm" iT'gm " ,wM TJNS,OE FICHES CONTRATS 3EKÎB B Si — Çj/y EH %V/| vSSr /VwJ RvJ^ 0t' C^®, iïai^e, R^* noagrafée. ABîAasB^-| .itisumM ! TÉLÉS CURTS EMPLOYÉS DANS DEUX CHANTIES et 1U (gociocrime). 2fr tl %k ;# Il 21 »" f/ÂmlF mMnn» WMCBIWliiwMwtarm tF£",tia RLTTS BAINS N@OCRSTIÉGUÀ —o— Précrsx, de près de loin. ET RUSSES a ««M»».™ HactûMsweoiiMiidesaa^augoeeataUM TABLES PHOTOSAPHES DE LA PRÉSIDENCE de V PARIS — 17. 10, 21, Place Cadet — PARIS ;S — re — 17, quai e la Charente — — arrr—mrrrr n&lt;nmiiiM^i^^aiiirawlMMB MM MAISON ARTHAUD GÉRNT : G. ROUX SUCCESSION DE FAUBOURG SAINT-DENIS, 12 BOULEVARD MICHODIÈRE, SUCCESSION DE PARIS Renseignements utiles CHEMIN DE FER DORLÉANS Hivr 1896-1897 xcrsns aux stations thermales et hivernales des Pyrénées et du golfe de Gascogne, À raison, Biarritz, Dax, Pau ie de Béarn, etc. Tarif spécl tr. 0 (Orléans). Des billets d'aller t retour, avec réduction d 25 ac en 1er classe et ed 30 francs n 2e et 3e classes, sur les prx clclés au tarif général d'après l'itinéraire effectivement suivi, sont délivrés toute l'année, à ostetu les stations du rés d la mpni d'Orléans, pour les stations hivernales et thrmls du réseau d Midi, et notamment pour: Arcachon, Biarritz DAX, Guéthary (hlt), Hendaye, Pau, Saint-Jean-de-Luz, Salies de Béarn, tc. Durée de validité: 25 jours on compris ls jours de départ et d'arrivée. CHEMINS D FER DE PARIS À LYON ET À LA MÉDITERRANÉE Stations hivernales : Nice, Cannes, Menton, etc Billets d'aller t retour collectifs valides 30 jours. J suis délivré, du 15
CHEMIN DE FER D'ORLÉANS Hiver 1896-1897 Excursions aux stations thermales et hivernales des Pyrénées et du golfe de Gascogne, À raison, Biarritz, Dax, Pau Salies de Béarn, etc. Tarif spécial tir. V. 106 (Orléans). Des billets d'aller et retour, avec réduction de 25 francs en 1re classe et de 30 francs en 2e et 3e classes, sur les prix calculés au tarif général d'après l'itinéraire effectivement suivi, sont délivrés toute l'année, à toutes les stations du réseau de la Compagnie d'Orléans, pour les stations hivernales et thermales du réseau du Midi, et notamment pour: Arcachon, Biarritz, DAX, Guéthary (halte), Hendaye, Pau, Saint-Jean-de-Luz, Salies de Béarn, etc. Durée de validité: 25 jours non compris les jours de départ et d'arrivée. CHEMINS DE FER DE PARIS À LYON ET À LA MÉDITERRANÉE Stations hivernales : Nice, Cannes, Menton, etc. Billets d'aller et retour collectifs valides 30 jours. Je suis délivré, du 15 octobre au 30 avril, dans toute les gares du réseau du P.L.M., sous condition d'effectuer un parcours minimum de 500 kilomètres, aller et retour, avec familles d'au moins quatre personnes payant place entière et voyageant ensemble, des billets d'aller et retour collectifs de 1ère et 2ème classe pour les stations hivernales suivantes : Hyères et toutes les gares situées entre Saint-Raphael, Grasse, Nice, et Menton inclusivement. La prime s'obtient en ajoutant au prix des billets simples ordinaires le prix d'un de ces billets pour chaque membre de la famille en plus de trois, c'est-à-dire que les trois premières personnes paient le plein tarif et que la 4ème et les suivantes paient le demi-tarif seulement. CHEMINS DE FER DU NORD Abonnements La Compagnie des chemins de fer du Nord vient d'apporter une modification appréciable au tarif d'abonnements. Depuis le 1er novembre, les abonnés peuvent se procurer des cartes d'un mois, trois mois, six mois ou un an, pour les parcours de 3, 4 et 5 kilomètres en payant pour ces distances au lieu d'acquitter comme précédemment le prix de 6 kilomètres. Les samedis et dimanches seulement des billets d'aller et retour, valables quatre jours aux prix suivants : 1. Classe, 13
CHEMIN D FER D'ORLÉANS ivHer 1896-1897 Excursions aux aions thermales et hivernales des Prés et du golfe de Gascogne, rsn, Biarritz, Dax, Pau Salies de Béarn, etc. Tarif spécl tir. V. 106 Orléans Des billets d'aller et retour, avec réduction de 25 francs en re clss et de 30 francs en 2e et 3e classes, sur les prix aésclucl au tarif générl d'après l'itinéraire effectivement suivi, snt délivrés tu l'année, ouestt les stations réseau d la Compagnie d'rléns, pour les stations hivernales et thermales du réseau du d et notamment pour: Arcachon, rBaiiz,tr DAX, Guéthary (halte), Hendaye Pau, Saint-Jean-de-Luz, Salies d Béarn, etc. Durée de validité: 25 jours n cmprs les jours de départ et d'arrivée. CHEMINS DE FER DE PARIS À LON ET À LA MÉDITERRANÉE Sttns hivernales : Nice, Cannes, Menton, etc. Billets d'aller et retour collectifs valides 30 rsuo.j Je suis dév du 15 octobre ua 30 avril, dans ut les gares du réseau du P.L.M., ss condition d'effectuer un parcours minimum de 500 kilomètres, aller et retour, avec familles d'au moins quatre personnes payant plc entière et voyageant ensemble, des billets d'aller et retour cllctfs de 1èr t 2ème classe pour les stations hivernales suivantes : ys et toutes l gares situées entre ,iat-aaephnSlR Grasse, Nice, et Menton nclsvmnt. La prime bsttenoi' n nojattua au prix des billets smpls ordinaires le prix d'un de ces billets pour chq membre e la famille en plus de trois, c'est-à-dire que les trois prè pesn paient le plein tarif et q la 4ème et les suivantes paient le detari slmnt. CHEMINS DE FER U NORD Abonnements La Cie ds chemins de fer du Nord vient ppdorarte' une modification appréciable au tarif d'abonnements. Depui le 1er novembre, les abonnés uent s procurer des cartes d'un mois, trois ims,o six mois ou un an, pour les parcours de 4 et 5 kilomètres en payant pour ces dstncs au d'acquitter comme précédemment le prix de 6 kilomètres. Les samedis et dimanches seulement des billets d'aller et retour, avsbalel quatre jours aux prx svnts : 1 Classe, 13
hivernales suivantes : Hyères et toutes les gares situées entre Saint-Raphael, Grasse, Nice, et Menton inclusivement. La prime s'obtient en ajoutant au prix des billets simples ordinaires le prix d'un de ces billets pour chaque membre de la famille en plus de trois, c'est-à-dire que les trois premières personnes paient le plein tarif et que la 4ème et les suivantes paient le demi-tarif seulement. CHEMINS DE FER DU NORD Abonnements La Compagnie des chemins de fer du Nord vient d'apporter une modification appréciable au tarif d'abonnements. Depuis le 1er novembre, les abonnés peuvent se procurer des cartes d'un mois, trois mois, six mois ou un an, pour les parcours de 3, 4 et 5 kilomètres en payant pour ces distances au lieu d'acquitter comme précédemment le prix de 6 kilomètres. Les samedis et dimanches seulement des billets d'aller et retour, valables quatre jours aux prix suivants : 1. Classe, 13 fr. 50; 2. classe 14 fr.; 3. classe, 10 fr. Ces délais ne comprennent pas les dimanches et jours de fêtes, la durée de validité des billets est augmentée en conséquence. CHEMIN DE FER D'ORLÉANS Excursions en Touraine, aux châteaux de bords de la Loire et aux stations balnéaires de la ligne de Saint-Nazaré au Croisic et à Guérande. Premier itinéraire : Première classe 80 fr., Deuxième classe 63 fr. Durée, 36 jours. Paris, Orléans, Blois, Amboise, Tours, Chenonceaux, et retour à Tours, Loches, et retour à Tours, Langeais, Saumur, Angers, Nantes, Saint-Nazaré, Le Croisic, Guérande, et retour à Paris, par Blois ou Vendôme, ou par Angers, et Chartres sans erreur sur le réseau de l'Ouest Douzième itinéraire : première classe 54 francs, deuxième classe 41 francs. Durée 15 jours. Paris, Orléans, Blois, Amboise, Tours, Chenonceaux, et retour à Tours, Loches et retour à Tours, Langeais, et retour à Paris, par Blois ou Vendôme. Ces billets sont délivrés toute l'année à Paris, à la gare d'Orléans (quai d'Austerlitz) et aux bureaux succursales de la Compagnie et À toutes les gares et stations du réseau d'Orléans, pourvu que la demande en soit faite au moins trois jours à l'avance. CHEMIN DE
hivernales suivantes Hyères et toutes les aes situées entre Saint-Raphael, Grasse, Nice, et Menton inclusivement. La prime s'obtient en jtnt prix des billets simples ordinaires le prix d'un de ces bllts pour chaque membre de la famille en pls de trois, c'est-à-dire que les trois premières personnes paient le plein trf et que la 4ème et les suivantes paient le demi-tarif seulement. CHEMINS DE FR DU NORD mnnesotAebn La Compagnie des chemins de r d Ndor vient aprr une odifiao labréipeapc au tarif d'abonnements. Depuis le 1er novembre, les abonnés peuvent se procurer des cartes d'un mois trois mois, i s ou un an, pour les parcours de 3 4 et 5 èmekirotls en pyan pour ces distances au lieu d'acquitter comme péédme le prix d 6 klmètrs. Les smds et dmnchs slmnt des billets 'aller et retour valables quatre jours aux prix suivants : 1. Classe, 13 fr. 50 2. classe 14 fr.; 3. classe, 10 fr. Ces délais ne comprennent pas les dimanches et jours d fêtes, l durée de validité des bllts est augmentée en conséquence. CHEMIN DE REF DORLÉANS Excursions en Touraine, aux châteaux de bords de la Loire et aux stations balnéaires de la ligne de Saint-Nazaré Croisic et à Guérande. Premier itinéraire : Première classe 80 fr., Deuxième clss 63 fr. Durée, 36 jours. Paris, Orléans, Blois, mo, Tours, Chenonceaux, et retour à Tours, Loches, et retour à Tours, Langeais, Saumur, Angers, Nantes, Sn-azé Le Croisic, Guérande et retour à Paris par Blois ou ndme ou par Angers et Chartres sans erreur sur l réseau de l'Ouest Douzième itinéraire : première classe 54 r deuxième ssacle 41 francs. Durée 15 jours. Paris, Orléans, lois, mbs, Tours, Chenonceaux, et retour à Tours Loches et retour à Tours Langeais, te retour à Paris, pr Blois u Vendôme. Cs billets sont délivrés toute l'année à Paris, à la gare d'Orléans aqi(u 'Austerlitz) et aux brx succursales de la Compagnie et À toutes les gares et stations du réseau d'Orléans, pourvu que la demande en soit faite au moins trois jours à l'avance. CHEMIN DE
la ligne de Saint-Nazaré au Croisic et à Guérande. Premier itinéraire : Première classe 80 fr., Deuxième classe 63 fr. Durée, 36 jours. Paris, Orléans, Blois, Amboise, Tours, Chenonceaux, et retour à Tours, Loches, et retour à Tours, Langeais, Saumur, Angers, Nantes, Saint-Nazaré, Le Croisic, Guérande, et retour à Paris, par Blois ou Vendôme, ou par Angers, et Chartres sans erreur sur le réseau de l'Ouest Douzième itinéraire : première classe 54 francs, deuxième classe 41 francs. Durée 15 jours. Paris, Orléans, Blois, Amboise, Tours, Chenonceaux, et retour à Tours, Loches et retour à Tours, Langeais, et retour à Paris, par Blois ou Vendôme. Ces billets sont délivrés toute l'année à Paris, à la gare d'Orléans (quai d'Austerlitz) et aux bureaux succursales de la Compagnie et À toutes les gares et stations du réseau d'Orléans, pourvu que la demande en soit faite au moins trois jours à l'avance. CHEMIN DE FER DU NORD Services directs entre Paris et Bruxelles trajet en cinq heures. Départs de Paris à 8 h. 20 du matin, midi 40, 3 h. 50 et 6 h. 21, et 11 h. du soir. Départs de Bruxelles à 7 h. 48 et 3 h. 57 du matin, 1 h. 1 et 6 h. 4 du soir et minuit. Wagons-lits et wagon-restaurant aux trains partant de Paris à 6 h. 20 du soir et de Bruxelles à 6 h. 4 du soir. Services directs entre Paris et Hollande trajet en 10 heures. Départs de Paris à 8 h. 30 du matin, midi 40 et 11 h. du soir. Départs d'Amsterdam à 7 h. 20 du matin, midi 30 et 6 h. 15 du soir. Départs d'Utrecht à 7 h. 56 du matin, 1 h. 8 et 6 h. 54 du soir. CHEMINS DE FER DE PARIS A LYON ET A LA MEDITERRANEE Voyages circulaires à itinéraires fixos Il est délivré, pendant toute l'année, à la gare de Paris-Lyon ainsi que dans les principales gares situées sur les itinéraires, des billets de voyages circulaires à itinéraires fixes, extrêmement variés, permettant de visiter en 1ère ou 2ème classe, à des prix
la ligne de Saint-Nazaré Croisic et à Guérande. Premier itinéraire : Première cle 80 fr., Deuxième classe 63 fr. Durée, 36 jours. Prs, Orléans, Blois, Amboise, Tours, Chenonceaux et retour à Tours, Lhc,oes et retour à Tours, Langeais, Saumur, ng Nantes, Saint-Nazaré, L Crsc, Guérande, et retour à Paris, par Blois Vendôme, ou r Angers, et Chartres sans erreur sur le réseau de l'Ouest Douzième itinéraire : première lasecs 54 frncs, deuxième classe 41 francs. Durée 15 jrs. Paris ,anrOlés Blois, mbs, Tours, Chenonceaux, retour Tours, Loches et retour à Tours, Langeais, et retour à Paris, par Blois ou Vendôme. Ces billets snt délivrés toute 'année à Pa, à la gare Orléan (quai dAusterlitz et aux beau succursales de la Compagnie et À toutes les grs et on du réseau d'Orléans, pourvu que la demande en soit faite au mns trs jours à l'avance. CHEMIN DE FER DU NORD Services directs entre Paris et Bruxelles trjt en cinq heures. parts de Paris à 8 h. 20 du matin, midi 40, 3 h. 50 et 6 h. 21, et 11 . du soir. Départs de Bruxelles à 7 h. 48 3 h. 57 u matin, 1 h. 1 et 6 h. 4 du soir et minuit. Wagons-lits et wagon-restaurant aux trains partant de Paris 6 h. 20 du soir e de Brxlls à 6 h. 4 d soir. rve directs entre Paris et Hollande trajet en 10 heures. Départs de Paris à 8 .h 30 d matin, midi 40 et 11 h. du soir. Départs d'Amsterdam à 7 h. 20 du mtn, midi 30 et 6 h. 15 du o.isr Départs d'Utrecht à 7 h. 56 du matin, 1 h. 8 et 6 h. 54 ud soir. CHEMINS DE FR PARIS A LYON ET A LA MEDITERRANEE Voyages circulaires à iiérres fos Il est délivré, pendant toute l'année, à la gare de Paris-Lyon ainsi que dans les principales grs ésuties sur les itinéraires, des billets de voyages crclrs à itinéraires fxs, extrêmement variés, permettant d visiter en 1ère ou 2ème classe, à des prix
h. 1 et 6 h. 4 du soir et minuit. Wagons-lits et wagon-restaurant aux trains partant de Paris à 6 h. 20 du soir et de Bruxelles à 6 h. 4 du soir. Services directs entre Paris et Hollande trajet en 10 heures. Départs de Paris à 8 h. 30 du matin, midi 40 et 11 h. du soir. Départs d'Amsterdam à 7 h. 20 du matin, midi 30 et 6 h. 15 du soir. Départs d'Utrecht à 7 h. 56 du matin, 1 h. 8 et 6 h. 54 du soir. CHEMINS DE FER DE PARIS A LYON ET A LA MEDITERRANEE Voyages circulaires à itinéraires fixos Il est délivré, pendant toute l'année, à la gare de Paris-Lyon ainsi que dans les principales gares situées sur les itinéraires, des billets de voyages circulaires à itinéraires fixes, extrêmement variés, permettant de visiter en 1ère ou 2ème classe, à des prix très réduits, les contrées les plus intéressantes de la France, ainsi que l'Algérie, la Tunisie, l'Italie, la Suisse, l'Autriche et la Bavière. Avis importants. — Les renseignements les plus complets sur les voyages circulaires et d'excursion (prix, conditions, cartes et itinéraires), ainsi que sur les billets simples et d'aller et retour, cartes d'abonnement, relations internationales, horaires, etc., sont renfermés dans le Livret-Guide officiel édité par la Compagnie P.-L.-M. et mis en vente, au prix de 40 centimes, dans les principales gares, les bureaux de ville et dans les bibliothèques des gares de la Compagnie. Spectacles du 2 Décembre 1896 Opéra, Comédie-Française, Châtelet, etc. Theâtres de Quartier Théâtre Montmartre, 8 h. Le Malade imaginaire. Théâtre des Bouffes du Nord, 8 h. Jeanne d'Arc. Théâtre Morceau, 8 h. La Dette du crime. Théâtre de Belleville, 7 h. 1/2. La Cambrioleuse. Théâtre des Ternes, 8 h. Champignol malgré lui. CIRQUES ET CONCERTS Folies Bergeres — Carolina, chanteuse espagnole. — La Tortureuse, chanteuse espagnole. Folies Bergère — La Cavallieri, chanteuse napolitaine. — Chaud d'habits, pantomime de Catulle Mendès. — Séverin, premier mime. — Mlle Chasles, de l'Opéra, — Dimanches et Fêtes matinées à 2 h. 1/2. Casino — Flagrante Délit, de par le Signor
h. 1 et 6 h. du soir et minuit. soWs-tnailg et wagonrestaurant x trains partant de Paris à 6 h. 20 du soir et de Brues à 6 h. 4 du io.rs Services ridscte entre Paris et Hollande trajet en 10 heures. Départs de Paris à 8 . 30 du matin, midi 40 et . du soir. Départs d'Amsterdam à 7 h. 20 du matin, midi 30 t 6 h. 15 du soir. srépatD d'Utrecht à 7 h. 56 du matin, 1 h. 8 et 6 h. 54 du soir. CHEMINS DE FER DE PARIS LYON T A LA MEDITERRANEE Voyages circulaires à itnr fixos Il est délvré, pendant tt l'année, à la gare de Paris-Lyon ainsi q dans les principales grs situées sur les tinar des billets de voyages circulaires à itinéraires fxs, extrêmement variés, nerttempat de visiter 1ère ou 2ème clss, à des prix tr réduits, les contrées les ls intéressantes d la France, ainsi que l'Algérie, la Tunisie l'Italie, la Suisse l'Autriche et la Bavière. Avis importants. Les renseignements les plus complets ur les vyes circulaires et dexcursion (prix, conditions, cartes et itinéraires), ainsi que sur les billets simples et d'aller et retour, cartes 'abonnement, relations internationales, rroa,ehis tc., sont renfermés dans le Livret-Guide officiel édité par la Compagnie P.-L.-M. et ism en vente, au prix de 40 centimes, dans les principales gares, les bureaux de ville et dans les bibliothèques sed g de la Compagnie. Spctcls du 2 Décembre 1896 Opéra, Cméd-Frnçs, Châtelet etc. Theâtres de Quartier Théâtre Montmartre, 8 h. Le Malade imaginaire. Théâtre des Bouffes du Nord, 8 h. Jeanne d'Arc. Théâtre Morceau, 8 . La Dette d crm. Théâtre de Belleville, 7 h 1/2. L Cbrioleu. Théâtre des Ternes, 8 . Champignol malgré lui. CIRQUES ET CONCERTS Folies Bergeres — Carolina, chanteuse espagnole — La Tortureuse, chanteuse espagnole. Folies Bergère — La Cavallieri, chnts napolitaine. — Chaud d'habits, pantomime de Catulle Mendès. — Séverin, premier mime. — Mlle Chasles, de l'Opéra, — Dimanches et Fêts matinées à h. 1/2. Casino — Flagrante Délit, de par le Signor
retour, cartes d'abonnement, relations internationales, horaires, etc., sont renfermés dans le Livret-Guide officiel édité par la Compagnie P.-L.-M. et mis en vente, au prix de 40 centimes, dans les principales gares, les bureaux de ville et dans les bibliothèques des gares de la Compagnie. Spectacles du 2 Décembre 1896 Opéra, Comédie-Française, Châtelet, etc. Theâtres de Quartier Théâtre Montmartre, 8 h. Le Malade imaginaire. Théâtre des Bouffes du Nord, 8 h. Jeanne d'Arc. Théâtre Morceau, 8 h. La Dette du crime. Théâtre de Belleville, 7 h. 1/2. La Cambrioleuse. Théâtre des Ternes, 8 h. Champignol malgré lui. CIRQUES ET CONCERTS Folies Bergeres — Carolina, chanteuse espagnole. — La Tortureuse, chanteuse espagnole. Folies Bergère — La Cavallieri, chanteuse napolitaine. — Chaud d'habits, pantomime de Catulle Mendès. — Séverin, premier mime. — Mlle Chasles, de l'Opéra, — Dimanches et Fêtes matinées à 2 h. 1/2. Casino — Flagrante Délit, de par le Signor Bellardi. Paris — Les Sauteurs arabes. Olympia — 8 h. Irène — Le Coucher de la mariée. — Tante Agnès. Scala. Yvette Guilbert, Anna Thibaud, Polaire, Verly, Potin, Libert, Sulbac, Maurel, Plébians, Mathieu, Claudel, Baidy, Amelet, « Prise de Grenade ». Ariaia. 8 h. — La Mère aux Camélias, parodie de MM. Eschert et H. Moreau. — Dimanches et Fêtes, à 1 h. 12, Matinée. Cirque Fernando — 8 h. 12. — Mlle Leontia, écueilleuse. Un siècle de siècle, la belle Leona sur son trapèze. — Écueillères, écueillards, nombreux clowns et l'auguste Bob. — Jeudis, dimanches et fêtes; matinée à 2 h. 12. Théâtre-Concert. — Tous les Soirs La Revue de Longchamps. Mlle Derly. — M. Kalter. Le Carillon. Spectacle-Concert. — Le Gnome et la Statue. Musée Oller. — Figures de cire et automates (sous-sol de l'Olympia). — Entrée indépendante: 25, boulevard des Capucines — Ouvert de 1 heure à 11 h. — Prix: 1 franc. Bâteau-Canot. — 8 h. — Spectacle-concert. — MM. Charley, K. Ditois, Denizot, U. Jamin. — Mmes Favart, Rowalba, FrAdéro, Da Fresne. — Les Protocolaires de l'année. Concert-Parisiens, 87, faubourg Saint-Denis et 10, rue de l'Échiquier. — Tous les soirs, Mme Rowalba, Mme Durand-Obel, Dora.
retour, cartes d'abonnement, relations internationales, horaires, etc., sont renfermés dnsa le Livret-Guide officiel édité par la Compagnie P.-L.-M. et mis n vnt, au prix de 40 centimes, dans les principales gares, les bureaux de vll et dans les bibliothèques des gares de la Compagnie. Spectacles du 2 Décembre 1896 Opéra, édçnCai-seFaeo,rmi Châtelet, etc. Theâtres de Quartier Théâtre onma 8 h. Le edlMaa imaginaire. Théâtre des Bouffes du Nord, 8 . Jeanne d'Arc. Théâtre Morceau, 8 h. L t du crime. Théâtre de Belleville 7 h. 1/2. La Cambrioleuse. Théâtre des Trns, 8 h. Champignol malgré lui. CIRQUES ET CONCERTS Foe sgereBre — Carolina, chanteuse espagnole. — La Tortureuse chanteuse espagnole. Folies Bergère — L Cavallieri, chnts napolitaine. — Chd d'habits, pantomime d Ctll Mndès. — Séverin, premier mime. — Mlle Chasles, de Opra, — Dimanches et Fêtes matinées à 2 h. 1/2. Casino — Flagrante Délit, de par le Signor Bellardi. Paris — Les Sauteurs arabes. Olympia — 8 . Irène — eL Coucher de mariée. — Tante Agnès. Scala. Yvette Guilbert, Anna Thibaud, ril,ePoa Verly, Potin, Libert, Sulbac, Maurel, Plébians, hieu, Claudel, Bdy, Amelet, « Prise de Grenade ». Ariaia. 8 h. — La Mère aux Camélias, parodie d MM. Eschert t H. Moreau. — Dimanches t Fêtes à h. 12, Matinée. Cirque Fernando — 8 h 12. — Mlle Leontia, écueilleuse. Un siècle de siècle, la belle Leona sr son rta.ezèp — Écueillères, écueillards, nombreux loncsw et l'auguste Bob. — Jeudis, dimanches et fêtes matinée à 2 h. 12. Théâtre-Concert. Tous les Soirs La Revue de Longchamps. Mlle Derly. — M. Kalter. Le Carillon. Spectacle-Concert. — Le Gnome et la Statue. Musée llr. — Figures d cire et automates (sous-sol de l'Olympia). — Entrée indépendante: 25, boulevard des Capucines — Ouvert de 1 heure à 11 h. — Prix franc. Bâteau-Canot. — 8 h. — Spectacle-concert. — MM. Charley, K. Ditois, Denizot, U. Ja — Mmes Fvrt, Rowalba, FrAdéro, Da Fresne. — Les Protocolaires de l'année. Concert-Parisiens, 87, faubourg Saint-Denis t 10, rue de 'Échiquier. — uosT les soirs, Rowalba, Mme DurandObel Dora
de MM. Eschert et H. Moreau. — Dimanches et Fêtes, à 1 h. 12, Matinée. Cirque Fernando — 8 h. 12. — Mlle Leontia, écueilleuse. Un siècle de siècle, la belle Leona sur son trapèze. — Écueillères, écueillards, nombreux clowns et l'auguste Bob. — Jeudis, dimanches et fêtes; matinée à 2 h. 12. Théâtre-Concert. — Tous les Soirs La Revue de Longchamps. Mlle Derly. — M. Kalter. Le Carillon. Spectacle-Concert. — Le Gnome et la Statue. Musée Oller. — Figures de cire et automates (sous-sol de l'Olympia). — Entrée indépendante: 25, boulevard des Capucines — Ouvert de 1 heure à 11 h. — Prix: 1 franc. Bâteau-Canot. — 8 h. — Spectacle-concert. — MM. Charley, K. Ditois, Denizot, U. Jamin. — Mmes Favart, Rowalba, FrAdéro, Da Fresne. — Les Protocolaires de l'année. Concert-Parisiens, 87, faubourg Saint-Denis et 10, rue de l'Échiquier. — Tous les soirs, Mme Rowalba, Mme Durand-Obel, Dora. — Vendredis classiques, lundis modernes, Concert de la Fourmi. — Tous les soirs, spectacle concert. Les Charbonniers. Théâtre du Chat-Noir. — 9 h. 12. — Le Sphinx. — Au Parnasse. — Plaisir d'amour, — Audition de MM. Fragerobe, Goudesnif, Montoya, Zamacola. Commentaires R. Salis. Divan Japonais. — Spectacle-Concert. — La Revue enragée. La Cigale, 120, boulevard Rochechouart. — Spectacle-concert. M. Vaunel, Mmes Irène Henry, Camille Stefan, Violette, Stelly, Fagette; MM. Ch. Mey, Mader, Gabines, K. Le Royaume d'Hercule, opérette à spectacle de Ch. Quinet et R. Dubreuil, musique de M. Léon Vasseur. Cirque d'Hiver. — Les Chevaliers pompiers. — France et Russie. — Les Ossona. Le Coulisse. — Le Feu au Moulin, bâtiment nautique. — Mardi, dimanche, matin. Palais de Glace (Champs-Elysées). — Patinage sur vraie glace, tous les jours, jusqu'à minuit. Le Cinématographe Lumière. — Visibilité tous les jours, salle des grands magasins du Havre. Théâtre Robert-Houdin. — Tous les soirs, 8 h. 12, — Le Kinétographe. — L'Arrivée. — Le Rêve de Coppelia. — Le Pistolier. — Dimanches, Jeudis, Fêtes, matinée. Le Pôle Nord, 18, rue de Courcy. — Patinage sur vraie glace. — Ouvert de 8 h. du matin à midi. De 2 h. à 7 h.
de MM. Eschert et H. Moreau. — Dimanches et Fêtes, à h 12, Matinée. Crq Fernando 8 h. 12. — Mlle Leontia, écueilleuse. Un cilseè de siècle, l belle Leona r son trapèze. — Écueillères, écueillards, nombreux clowns et l'auguste Bob. — Jeudis dimanches et fêtes matinée à 2 h. 12. Théâtre-Concert. — Tous les Soirs La Revue de Longchamps. Mlle Derly. — M. Kalter. Le Carillon. Spectacle-Concert. Le Gnome et la tte Musée Oller. — Figures de re et automates (sous-sol de 'Olia. — Entrée indépendante: 25, boulevard des Capucin — vrt de 1 heure à 11 . — Prix: 1 franc. Bâteau-Canot. — 8 h — Spectacle-concert. — MM. Charley, K. Ditois, Denizot, U. Jn — Mms Favart, Rowalba, FrAdéro, a Fresne. — Les Protocolaires d l'année. Concert-Parisiens, 87, faubourg tsia-ieSnnD et 10, rue de l'Échiquier. — Tous les soirs, Mme Rowalba, Mme Durand-Obel, Dora. — Vendredis classiques, lundis o,eernmds tCoercn de l Fourmi. — Ts les soirs, spectacle concert. Les Cabonnr. Théâtre du Chat-Noir. — 9 h 12. — Le Sphinx. — Au Parnasse. — Plaisir d'amour, — Audition de MM. Fragerobe, Goudesnif, Montoya, Zamacola. Commentaires R. Salis. Divan Japonais. — nectleta-oCpcrce.S — La Revue enragée. La C,alige 120, boulevard Rochechouart. — Spectacle-concert. M. Vaunel, Mmes Irène Henry, Camille Stefan, Violette, Stelly, Fagette; MM. Ch. Mey Mader, Gabines, K. Le Royaume d'Hercule, opérette à spectacle de Ch. Quinet t R. Dubreuil, musique de M. Léon Vasseur. Cirque d'Hiver. — esL Chevaliers pompiers. — France et Russie. — seL ssn. Le Coulisse. — Le Feu au Moulin, bâtiment nautique. — Mardi, dimanche, matin. Palais de Glace (Champs-Elysées). — Patinage sr vraie glace, tous les jours, jusqu'à minuit. Le Cinématographe Lumière. — Visibilité ts les us salle des grands magasins du Havre. Théâtr Robert-Houdin. — Tous ls srio,s 8 h. 12, — Le Kinétographe. — L'Arrivée. — Le Rêve de Coppelia. — Le Pistolier. — Dimanches, Jeudis, Fêtes, matinée. Le Pôl Nord, 18, rue de o.uyrCc — Patinage sr vraie glace. — Ouvert de 8 h. du matin à midi. De 2 h. à 7 .
Revue enragée. La Cigale, 120, boulevard Rochechouart. — Spectacle-concert. M. Vaunel, Mmes Irène Henry, Camille Stefan, Violette, Stelly, Fagette; MM. Ch. Mey, Mader, Gabines, K. Le Royaume d'Hercule, opérette à spectacle de Ch. Quinet et R. Dubreuil, musique de M. Léon Vasseur. Cirque d'Hiver. — Les Chevaliers pompiers. — France et Russie. — Les Ossona. Le Coulisse. — Le Feu au Moulin, bâtiment nautique. — Mardi, dimanche, matin. Palais de Glace (Champs-Elysées). — Patinage sur vraie glace, tous les jours, jusqu'à minuit. Le Cinématographe Lumière. — Visibilité tous les jours, salle des grands magasins du Havre. Théâtre Robert-Houdin. — Tous les soirs, 8 h. 12, — Le Kinétographe. — L'Arrivée. — Le Rêve de Coppelia. — Le Pistolier. — Dimanches, Jeudis, Fêtes, matinée. Le Pôle Nord, 18, rue de Courcy. — Patinage sur vraie glace. — Ouvert de 8 h. du matin à midi. De 2 h. à 7 h. et de 8 h. à minuit. Musée Grévin. — Le Couronnement du Tsar. — Moscou illuminé. — Madagascar. — Pantomimes lumineuses. — Orchestres de Dames Viennoises. Moulin Rouge. Tous les soirs, concert; à 10 heures Bal. Matinée dimanches et fêtes à 3 h. Jardin Écologique d'acclimatation. — On exPosition tous les jours. Concert à la cantine. BOURSE DE PARIS OU LE DÉCEMBRE 1893 BONIPOSTES. ACTIONS. OBLIGATIONS. Actions légales. Actions à Termes (coupures). Sociétés (compagnies). Diverse. Ouvriers. Concert (orchestre). Société du Canal de Panama. Société Moulins des Fins Bordeaux, Juillet 1907. Société de Vins de Bordeaux, Juillet 1894. Omnibus de Paris. Gaz central, avril. 4 %, août 1893. Yides de Roubaix et Tourcoing. Nouvelles, avril. Gaz France-Etranger, malades. Serbie 5 %, Juillet. Société générale des eaux, 1er août. Nord-Espagnol, 1er type, avril. Dynamite (Société centrale). Gaz Marseille, avril. 5 % léger, juillet. Suez, juin. Union des Gaz, juillet. Suédois 1878, 4 %, juin. Trésor, jouissance juillet 1894. Eclairage par gaz, fève d'arquebusier, 1891. Trésor, jouissance juillet 1894. Sociedad Moulins de Fines Bordeaux, Juillet 1907. Sociedad de Vinos de Bordeaux, Juillet 1894. Caisse hpyergère. juin. Portugais 1853 8 %. Journal des Enterprise, juin. Portugais 1853 8 %, juillet. Sociedad Transatlantique, juillet 1881.
Revue enragée. La Cigale, 120, boulevard Rochechouart. — Spectacle-concert. M. Vaunel, Mmes Irène Henry, Camille Stefan, Violette Stelly, gteaetF; MM. Ch. Mey, Mader, Gabines, K. L Royaume d'Hercule, opérette à spectacle Ch. Quinet et R. Dubreuil, musique de M. Léon Vasseur. Cru dHer — Les Chevaliers mr — ecnraF et Russie. — Les Ossona. Le Coulisse. — Le F au Moulin, bâtiment nautique. — Mardi, dimanche, matin. Palais de Glace mya(CEpe.ssh)él-s — Patinage sur vraie glace, tous les jrs, 'àujsuq minuit. Le Cinématographe Lumière. — Visibilité tous les jrs, salle des grands mgsns du Havre. Théâtre RobertHoudin — Tous les soirs, 8 h 12, — Le Kinétographe. — L'Arrivée. — Le Rêve de Coppelia. — Le Pistolier. — Dimanches, Jeudis Fêtes matinée. Le Pôle Nord, 18, rue de .uyrocC — Patinage sur vr glace. — Ouvert d 8 h. du matin à md. De 2 h. à 7 h. et de 8 h. à minuit. Musée Grévin. — Le Couronnement du Tsar. — Moscou llmné. Madagascar. Pantomimes lumineuses. — Orchestres de Dames Viennoises. Moulin Rouge. Ts les soirs, otnccer; à 1 hrs Bal. Matinée dmchs et fêtes à h Jardin Éclgq d'acclimatation. — On exPosition tous e jours. Crontce à la cntn. BOURSE DE PARIS OU LE DÉCEMBRE 1893 BONIPOSTES. ACTIONS. OBLIGATIONS. Actions légales. Actions à esermT ouec.up()sr Sociétés (compagnies). Diverse Ouvriers. Concert (orchestre). Société du Canal de Panama Société Moulins ds Fins Bordeaux, Juillet 1907. Société de Vins de Bordeaux, Juillet 1894. Omnibus e Paris. Gaz cntrl, avril. 4 %, ût 1893. Yds de Roubaix et Torc Nvlls, avril. Gz FranceEtranger malades. Serbie 5 %, Juillet. Société générale ds eaux, 1er août. Nord-Espagnol, 1er type, avri. Dynamite (Société centrale Gaz Marseille, avril. 5 % léger, juillet. Suez, juin. Union eds Gaz, juillet. Suédois 1878, 4 %, juin. Trésor, jouissance juillet Eclairage par gaz, fève d'rqbsr, 1891 Trésr, jouissance juillet 1894. Sociedad Moulins de Fines Brdx, Juillet 1907. Sociedad de Vinos de Bordeaux, Juillet 1894. Caisse hpyergère. ji. Portugais 1853 8 %. Journal des Enterprise, juin. Portugais 1853 8 %, juillet. Sociedad Transatlantique ulet 1881
les jours. Concert à la cantine. BOURSE DE PARIS OU LE DÉCEMBRE 1893 BONIPOSTES. ACTIONS. OBLIGATIONS. Actions légales. Actions à Termes (coupures). Sociétés (compagnies). Diverse. Ouvriers. Concert (orchestre). Société du Canal de Panama. Société Moulins des Fins Bordeaux, Juillet 1907. Société de Vins de Bordeaux, Juillet 1894. Omnibus de Paris. Gaz central, avril. 4 %, août 1893. Yides de Roubaix et Tourcoing. Nouvelles, avril. Gaz France-Etranger, malades. Serbie 5 %, Juillet. Société générale des eaux, 1er août. Nord-Espagnol, 1er type, avril. Dynamite (Société centrale). Gaz Marseille, avril. 5 % léger, juillet. Suez, juin. Union des Gaz, juillet. Suédois 1878, 4 %, juin. Trésor, jouissance juillet 1894. Eclairage par gaz, fève d'arquebusier, 1891. Trésor, jouissance juillet 1894. Sociedad Moulins de Fines Bordeaux, Juillet 1907. Sociedad de Vinos de Bordeaux, Juillet 1894. Caisse hpyergère. juin. Portugais 1853 8 %. Journal des Enterprise, juin. Portugais 1853 8 %, juillet. Sociedad Transatlantique, juillet 1881. Compteurs, Société métropolitaine, janvier. Acieries de France, janvier. Société Oui, août. Fives-Lille, mai. Actions de Charbonnage, août. Saragossa, mars. Chemins de fer d'Algérie. Turc 4 % d'oblig (D), mars. Chemins de la Loire, juillet. Suez, Juillet. Est 8 % nouvelles, souscription. Crédit Foncier, comptant. Obligation ottomane priorité, comptant. Chargeurs réunis, mai. Ardenne, juillet. Nouvelles actions du Brésil, juillet. Chemins industriels, Paris, mai. Compteurs, Industrie lorraine, mai. 579.. oblig. consolidé, mars cpt, 300.. 101 .. Life militaires, août 1215 Nord, juillet ! tri * ' i ir;,* * .= Mostaansm à Tiaret, avril. • {î* _ Nord(Sr,c civ 5 Hul 41^ ' 477 Ordit Livonnius.-... ..... cpt. 763.. 765.. ottomane 4% 1894, juil cpt, 412.. .... Wagons-Lits, guillot 565.. ..... orléans, avril !RS" fiSS" 5 Grande Ceinture, avril. 451.f civ-V juil, ■■&K) f. 250 p. Jouiss. mars, tme 764.. '46.'.. Banque des Pays Autrichiens cpt. *.58., 538,. Bateaux-parisiens, mai KO -• 740 Ouest avril faS *' «i? " «iLille-Béthune. avril. 470.. 472 50 ^JJ^ways gêner. 0%, juin. gi .. -a . CT^Fonc France DOOpJJuil cpt Banque uo Ottomane ept. 532 . 530.. Petit Journal, août I3fe0 ..1380.. GazMriSen avrfl -t! Bourbonnais juillet <81.. 4hI 50 ^Jier «si 0 niai
les jours. Concert à la cantine. BOURSE E PARIS OU LE DÉCEMBRE 1893 BONIPOSTES. ACTIONS. OBLIGATIONS Actions légls. Actions à ere (coupures). Sociétés (compagnies). Diverse. Ouvriers. Concert (rchstr). Société du aCnal de Panama. Société Moulins des Fins Bordeaux, Juillet 1907 Société d Vns d Bordeaux, Juillet 1894. Omnibus d Paris. Gaz central, aril. 4 %, août 1893 Yides de Rbx et Tgu.norcio slvuo,Nele avril. Gaz France-Etranger, malades. Serbie 5 %, Juillet Société générale des eaux, 1er août. Nord-Espagnol, 1er type, avril. Dynamite (Société centrale). Gaz Marseille, avril. 5 ,lrgeé juillet. Suez, juin. Union des Gz, juillet. Suédois 1878, 4 %, juin. Trésr, jouissance jl 1894. clrg par z, fève 'arquebusier, 1891. Trésor jouissance juillet 1894. Sociedad Moulins de Fines odu, Juillet 1907. Sociedad e Vinos d Bordeaux, Juillet 1894. Caisse hpyergère. .inuj Portugais 1853 8 %. Journal des ris, juin. Portugais 1853 8 jllt. Sociedad Transatlantique, juillet rp,omCsute Société métropolitaine, jnvr. Acieries d France nver. Société Oui, août. Fives-Lille, mai. Actions de Charbonnage, août. Saragossa, mar.s Chemins de fer dAlgérie Turc 4 % d'oblig (D), mars. sChnime d l Loire, juillet. Sz, ie Est 8 nouvelles, souscription. Crédit Foncier, comptant. Obligation ottomane i, comptant Chargeurs réns, mai. Ardenne juillet. Nouvelles ctns du Brésil, juillet. Chemins ndstrls, Paris, mai. Compteurs, Industrie lrrn, i 579.. bg. consolidé, mars cpt, .3.00 101 .. Le militaires, ût 1215 Nord, etlilju ! tri * ' i ir;,* * .= Mstnsm Tret, avril • {î* _ Nodrc civ 5 Hul ' 477 Ordit Livonnius.-... ..... cpt. 763.. 765.. ottomane 4% 1894, juil pt 412.. .... Wagons-Lits, guillot 565.. ..... orléans avril !RS" fiSS" 5 endGra Ceinture, avril. 451.f civ-V juil, ■â &K) f. 250 p Jouiss. ar tme 764.. 46 Banque des Pays Autrichiens cpt. *.58., 538,. Bateaux-parisiens, mai KO -• 740 Ouest avril faS *' «i? " «iLille-Béthune. avril. 470.. 472 50 ^JJ^wys gêner. 0%, juin. gi .. -a . CTFonc France DOi cpt Banque uo Ottomane ept 532 . 530.. Petit Journal, août I3fe0 ..1380.. GazMriSen avrfl !-t Bourbonnais ille <81.. 50 Ji «si niai
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mai. Arden, juillet. Nouvelles actions du Brésil, juillet. Chemins industriels, Paris, .mai Compteurs, Industrie lorraine, mai. 579.. oblig. consolidé, mars cpt, 00.. 11 .. Life ,lemarisiti août 1215 Nord, juillet ! tri * ' i ir;,* * .= Mostaansm à Tiaret, vrl. • {î* _ Nord(Sr,c civ 5 Hul 41^ ' 477 Ordit Livonnius.-... ..... cpt. 763.. 765.. ottomane 4% 1894, juil cpt, 412.. .... Wagons-Lits, guillot .56.5 ..... orléans, avril !RS" fiSS" 5 dnrGae Ceinture, avril. 451.f civ-V juil, ■– &K) f. 250 p. Jouiss. mars, tme 764.. '46.'.. Banque des Pays Autrichiens cpt. *.58., 538,. Bateaux-parisiens, mai K -• 740 seuOt avril faS *' «i? " «iLille-Béthune. avril. 470.. 472 50 ^JJ^ways gêner. 0%, juin. gi .. -a . CT^Fonc France DOOpJJuil cpt Banque uo Ottomane ept. 532 . 530.. Petit Journal, août I3fe0 ..1380.. GazMriSen avrfl -t! Bourbonnais juillet <81.. 4hI 50 ^Jier «si 0 6 ^ juilL oflï 2ïr ; Crédt Mobilier, j aillet 1891 cpt. 59.. 9.0. 500 f. 250 p Jss iuili. tme 530 .. 52ii .. Le Pritps, 80 mai " JJX " Oramhus, jmllet 7^** S07 c|Dph, juillet. 481.. 481.. ^ gj- ^-'iété Générale cpt. 630 509.. CWd. F". d'trch. Jalll. cpt. 1010 Ane. C Kicher, 12 juiç 1LC0 1D00 • liaf,Mdioa lui ™ ?" JîiS hloen^e. lSx». juillet. 48i.. 462 .. »» • g¢;€â&t jj» £/H)t.H59 p.-Jouis, avril tme ! Créd. F* Egyptien -Févr. cpt. 479.. La Foncière JuipîSM • Voitures A Paris, Juillet 150 " 15250 1 fMAditerranéat %, juillet 492 492 B^ra.e des^faaux 8g. avj 479 .. if.. 1 Banque wisienne, J. oct. cpt, ,J5 Andalousie Défert J.janv. cpt 101 . S. H. C. de Gorintbe, mrt .,.. 75.. rwiw' Juuiw | . |p.-L.M. fus. ancien. ullJtie 486.. 485 to q ^ , 0 mai• :• * ; Banque internationale de paris.. cpt. 683.. 594 Orientaux 500 f. 400 p. Juin cpt Suez (Soc. civile) juillet 2256 â24u .. Crédit fncr de Frnc 1897, # nouv.. avril. 490 50 477 .. ^Cto&amp;ffilaLoiA 41/mai Crédit Industriel 41mai " " " eBstill Ch. «t Indus tr.
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