Search is not available for this dataset
input
stringlengths
1
18.2k
output
stringlengths
1
18.1k
Compagnie d’Assurances contre l’incendie. Encaissements: environ 120,000fr. par an AFFAIRES FACILES Pour tous renseignements : S’adresser au bureau du journal. BEST PAY De tous les remèdes employés pour la guérison des rhumatismes, névralgies, lombagos, de la goutte, le seul qui calme immédiatement et guérit sûrement, est le Saponulex, préparé par L. FOUCHER, D’ORLÉANS, 2, rue des Halles à PARIS. Dans toutes les bonnes pharmacies. TOUX La toux violente, la fièvre opiniâtre, est, à l'instant calmée et guérie par les Spécifique merveilleux et infaillible contre les Rhumes, Catarrhes, Bronchites, Asthme, Maladies et Irritations de Gorge et de Poitrine et les Douleurs nerveuses, etc. 3 fr. 1er Boîte. — Expédition franco. Paris, Pharmacie TARIN, place des Petits-Pères, 9 Bonnes Pharmacies se trouvent dans toute, bonnes Pharmacies. De la notice qui accompagne chaque boîte Cod. 68,611 Si les Capsules Durel au goudron ferrugineux sont de préférence prescrites par les docteurs pour guérir les rhumes, toux, catarrhes, bronchites, anémie ; cela tient à ce que le fer en fortifiant les organes malades, leur vient en aide pour l’absorption des principes balsamiques du goudron. Dépôt général, 7, Boulevard Denais, Paris. Envoi franco par la poste contre envoi de 2 f. DONNE nouveaux modèles à Empagages pelotes, mobiles et en ressort articulé, ne cassant jamais, donnant soi-même la pression nécessaire, le seul réduisant les hernies les plus fortes (Médaille d’or à Paris), BILHAUT, orthopédiste, ex-contre-maître de la Maison Charrière, fournisseur des hôpitaux. Jambes et bras artificiels et appareils de tous modèles ; instruments de chirurgie, nouveaux bas à varices et nouvelles ceintures pour dames. Paris, rue Mandar, 16 (breveté s. g. d. g.) À GAGNÉ pour toutes personnes Intelligentes (homme ou femme) sans négliger ses occupations ordinaires, par le placement facile des Articles de ma maison, qui sont de première utilité. Je demande Représentant dans chaque commune de France S'adresser. F. ALBERT, 14, r. Rambuteau, Paris Joindre un timbre pour recevoir franco CATALOGUE ILLUSTRÉ ET PRIX COURANTS Bonnière de Livres. — Malgré le ralentissement que subissent en ce moment les transactions financières, les actions de la Banque Romaine continuent à être l’objet d’achats suivis aux environs
Comagi ’Assurances contre l’incendie. Eaist: environ 120,000fr. par an FFRS FACILES Pour tous renseignements : ssrraSed’e au bureau du journal. BEST De ts ls remèdes employés pour la guérison des rhumatismes, névralgies, lomos, de la goutte, le seul qui calme mmédtmnt et guérit sûrement, est le Spnlx, préparé par L. FOUCHER, D’ORLÉANS, 2, rue des Halles à PARIS. Dans toutes les bonnes pharmacies. TX La toux violente, la fièvre opiniâtre, est, à linstant calmée et guérie par les Spécifique merveilleux et infaillible contre les Rhumes, Catarrhes, Bronchites, Asthme, Maladies et Irritations de Grg et de Poit et les Douleurs nerveuses, etc. 3 fr. 1er Boîte. — Expédition franco. Paris, Pharmacie TARIN, place d Petits-Pères, 9 Bonnes Pharmacies trouvent asdn toute, bonnes Pharmacies. De la notice qui accompagne chaque boîte Cod. 68,611 Si les Capsules Durel au goudron rruiex sont e préférence prescrites par ls docteurs pour guérir ls rhumes, toux, catarrhes, bronchites, anémie ; cela tient à ce que le fr en fortifiant les organes ae, leur vient en aide pour l’absorption des principes balsamiques du goudron. Dépôt général, 7, Boulevard Denais, Paris. Evoi franco apr la poste contre envoi de 2 . DONNE nouveaux modèles à Empagages pees mobiles et e ressort lcraté,ui n cassant jamais, donnant soi-même la pression nécessaire, l seul réduisant e shnreie les plus fortes (Médaille d’or Paris ULIHTBA, orthopédiste, ex-contre-maître de la Maison Charrière, fournisseur des hôpitaux. Jmbs et sbra artificiels et appareils de tous modèles ; instruments de chirurgie, nouveaux bas à varices et nouvelles ceintures pour dames Paris, rue Mandar, 16 (breveté s. g. d. g.) À GAGNÉ pour toutes esons Intelligentes (homme ou fmm) sans négliger ses occupations daies, par le placement facile ds Articles de ma maison, qui sont de première utilité. Je demande Représentant dans chaque commune de France S'adresser. F. ALBERT, 14, . Rambuteau, Paris Jndr un timbre pour recevoir franco CATALOGUE ILLUSTRÉ ET PRIX COURANTS Bnne de Livres. — Malgré le ralentissement que subissent en ce moment les transactions financières, les actions de la Banque Romaine continuent à être l’objet d’achats suivis aux environs
pelotes, mobiles et en ressort articulé, ne cassant jamais, donnant soi-même la pression nécessaire, le seul réduisant les hernies les plus fortes (Médaille d’or à Paris), BILHAUT, orthopédiste, ex-contre-maître de la Maison Charrière, fournisseur des hôpitaux. Jambes et bras artificiels et appareils de tous modèles ; instruments de chirurgie, nouveaux bas à varices et nouvelles ceintures pour dames. Paris, rue Mandar, 16 (breveté s. g. d. g.) À GAGNÉ pour toutes personnes Intelligentes (homme ou femme) sans négliger ses occupations ordinaires, par le placement facile des Articles de ma maison, qui sont de première utilité. Je demande Représentant dans chaque commune de France S'adresser. F. ALBERT, 14, r. Rambuteau, Paris Joindre un timbre pour recevoir franco CATALOGUE ILLUSTRÉ ET PRIX COURANTS Bonnière de Livres. — Malgré le ralentissement que subissent en ce moment les transactions financières, les actions de la Banque Romaine continuent à être l’objet d’achats suivis aux environs de 770 fr. La Banque Romaine va devenir le centre, on le sait, d’un groupe puissant de Sociétés financières qui se trouveront mêlées, sur toutes les places de l’Europe, au mouvement des affaires. Il y a lieu de prévoir de gros bénéfices à réaliser en achetant aux cours actuels. Les actions du Crédit de France jouissent de plus en plus de la faveur des capitaux de placement, au prix de 910 fr. La hausse ne s'en tiendra pas là car la situation exceptionnellement prospère de cet établissement justifie des cours bien plus élevés. Prix: 2* 50 36 Séances Anti-Asthmatique PAPIER COMPOSÉ DE PLANTES Prix: 2'50 36 Séances Remède infaillible contre l'Asthme, les Quintes de Toux, les Suffocations. Préparé par M. ALEGRANDE Pharmacie de l’École supérieure de Paris ET EXPÉRIMENTÉ AVEC SUCCÈS DEPUIS 5 ANS à la MonMédicale ENCAUSSE & CANESIE Fondée en 1869 57, rue Rochechouart, Paris En vente dans toutes les Pharmacies S’adresser, pour toutes demandes et Commissions: Mon COUTELLIER, PAPET & Cie Paris. 45, Faubourg Montmartre. Paris TOLMIÉ & Cie, Imprimeurs-Éditeurs, 1, rue de Madame, Paris. JOURNAL DES LA VENDIMIE, L’ÉCOLE, LA FERME, L'ATELIER PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS 20 pages de texte ornées de nombreuses gravures inédites. Arts
pelotes mobiles et en ressort articulé, e cassant jamais, donnant soi-même la pression nécessaire, le seul réduisant les hernies les plus fortes (Médaille dor Paris), BILHAUT, orthopédiste, x-cntr-mîtr de l Maison Charrière, fournisseur des hôpitaux. Jambes et bras artificiels t appareils de tous modèles ; instruments de chirurgie, nvx bas à varices t nouvelles ceintures pour dames. Paris, rue Mandar, 16 (breveté s. . d. g.) À GAGNÉ pour toutes personnes Intelligentes (homme u femme) sans négliger ses occupations ordinaires, par le placement facile e Articles de ma maison, q sont de première utilité. Je demande Repre dans chaque oune de France S'drssr. F. ALBERT, 14, r. Rmbt, Paris Joindre timbre pour rrevieoc franco CATALOGUE ILRUSTÉL ET PRIX COURANTS Bonnière d Livres. — Malgré le ralentissement que nsessuitb en ce moment les transactions financières les actions de la Banque mane continuent à êtr l’objet d’achats suivis aux environs de 770 fr. La Banque maie va devenir le centre, on le sait, d’un grp pssnt de ictSsoéé financières qui se trouveront mêlées, su toutes les places de l’Europe, u mouvement des affaires. Il y a lieu de prévoir de srgo bénéfices à rélier en achetant aux cos actuels. Les actions du Crédit de France jouissent de pls en plus de la faveur des capitaux de placement, au prix de 910 fr. La hausse ne s'en tiendra pas là cr la siuton exceptionnellement prospère de cet établissement justifie cours bien pls élevés. Prix: 2* 50 36 Séances Anti-Asthmatique PAPIER COMPOSÉ DE PLANTES Prix: 2'50 36 Séances Remède infaillible contre l'Asthme, les Quintes de Toux, les Suffocations. Préparé par M. ALEGRANDE Pharmacie de l’École supérieure de Paris ET EXPÉRIMENTÉ AVEC SUCCÈS DEPUIS 5 ANS à la MonMédicale ENCAUSSE & CANESIE Fondée en 1869 57, rue Rochechouart, Paris En vnt dans toutes les Pharmacies S’adresser, pour toutes demandes et iin Mon COUTELLIER, PAPET & Cie Paris. 45, Faubourg Montmartre. Paris TOLMIÉ Cie, Imprimeurs-Éditeurs, 1, r de Madam, Paris. JOURNAL DES LA VENDIMIE, L’ÉCL, LA FERME, L'ATELIER PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS 20 pages ed ttxee ornées de nombreuses gravures inédites. rts
actions du Crédit de France jouissent de plus en plus de la faveur des capitaux de placement, au prix de 910 fr. La hausse ne s'en tiendra pas là car la situation exceptionnellement prospère de cet établissement justifie des cours bien plus élevés. Prix: 2* 50 36 Séances Anti-Asthmatique PAPIER COMPOSÉ DE PLANTES Prix: 2'50 36 Séances Remède infaillible contre l'Asthme, les Quintes de Toux, les Suffocations. Préparé par M. ALEGRANDE Pharmacie de l’École supérieure de Paris ET EXPÉRIMENTÉ AVEC SUCCÈS DEPUIS 5 ANS à la MonMédicale ENCAUSSE & CANESIE Fondée en 1869 57, rue Rochechouart, Paris En vente dans toutes les Pharmacies S’adresser, pour toutes demandes et Commissions: Mon COUTELLIER, PAPET & Cie Paris. 45, Faubourg Montmartre. Paris TOLMIÉ & Cie, Imprimeurs-Éditeurs, 1, rue de Madame, Paris. JOURNAL DES LA VENDIMIE, L’ÉCOLE, LA FERME, L'ATELIER PARAISSANT TOUS LES SAMEDIS 20 pages de texte ornées de nombreuses gravures inédites. Arts et Métiers — Recettes, Procédés et Formules — Enseignements agricoles — Voyages Application des sciences chimiques, physiques et industrielles. Le Numéro: 30 centimes ABONNEMENTS : Paris. Dans l'année : 14 fr. — Six mois : 7 fr. 50. Dans les Départements : Un an : 15 fr. — Six mois : 8 fr. Les 4 volumes des Connaissances Utiles, formant 1,500 pages et 450 gravures, 40 fr. ou 36 fr. en sucre pour port. Prime du Journal aux Abonnés d’un an LA CONQUÊTE DU GLOBE LA DÉCOUVERTE DES PÔLES Par Ch. HERTZ Splendide vol. in-8° de 470 pages, orné de 150 gravures et cartes. Broché, tr. dor., 3 fr. ou 90 cent. en sucre pour port. Envoi d'un numéro spécimen contre 30 centimes. On trouve chez tous les Libraires et dans les Bureaux de Jours CAMÉES ARTISTIQUES Journal hebdomadaire parvenant le Dimanche. 4 pages, format et papier de l'Illustration, texte riche, publiant chaque semaine la Biographie d’une Célébrité contemporaine du Théâtre, de la Littérature et des Beaux-Arts, avec Photographie du personnage, reproduite par la maison Goupil, d’après les meilleurs photographes de Paris. Rédacteur en Chef : FÉLIX JAHYER—Directeur : ADEWIG Administration et Rédaction : 18, rue du Croissant, Paris Le
actions du Crédit de eFarnc jssnt de plus en pls d la faveur des capitaux de placement au prix de 910 f. La hss ne sen tiendra pas là car l situation exceptionnellement prospère e cet établissement justifie des cours bien plus élevés. Prix: 2* 50 36 Séances Anti-Asthmatique PAPIER COMPOSÉ DE PLANTES Prix: '50 36 Séances Remède infaillible contre e,sl'mAht les unt de Toux les Socaios Préparé par M. ALEGRANDE Pharmacie de l’École supérieure d Prs ET EXPÉRIMENTÉ AVEC SUCCÈS DEPUIS 5 ANS à la MonMédicale ENCAUSSE & CANESIE Fndé en 1869 57, ru Rochechouart, Paris En vente dans toutes les Pharmacies aressr, pour toutes demandes et mmisi on COUTELLIER, PAPET & Ce Paris. 45, Fbrg Montmartre. Paris TOLMIÉ & Cie, Imprimeurs-Éditeurs, 1, rue de Madame, Paris JOURNAL DES LA VENDIMIE, L’ÉCOLE, LA FERME, LATELIER PARAISSANT TOUS LS MEI 20 pages de t ornées de nombreuses gravures inédites. Arts et e Recettes, Procédés et Frmls — Enseignements gecoarsli — gysoeVa Aplit des eiscnesc imiqu physiques et deiriuesllnt.s L Numéro: 03 centimes ABONNEMENTS : Paris. Dans lane : 14 fr. — Six s : 7 fr. 50. Dans Départements Un an : 15 fr. — Six mois : 8 fr. Les 4 ouelsvm des Connaissances Utiles, formant 1,500 pages et 450 arvgesr,u 40 fr. ou 36 fr. en sucre pour prt. Prime du Journal aux Abonnés d’un an LA CONQUÊTE DU GLOBE LA DÉCOUVERTE DES PÔLES Par Ch RZEHT Splendide vol. n-8 de 470 pgs, orné de 150 raguvrse et cartes. Broché, tr. dor., 3 fr. ou 90 cent. n sucre pour port. Envoi d'n numéro spécimen contre 30 centimes. On trouve chez ts les Libraires te dans les Bureaux d Jours CAMÉES ARTISTIQUES Journal hbdmdr prvnnt le Dimanche. 4 pe, format e papier l'Illustration, texte riche, publiant hue semaine la Biographie dune Célébrité contemporaine du Théâtre, de la Littérature et ds euxts avec Photographie du personnage, reproduite par la maison plu,oGi d’après les meilleurs rthheopapgso de Pi.sar Rédacteur en Chef : FÉLIX JAHYER—Directeur : ADEWIG ttadimroiniAns et Rédaction : 18, uer du Croissant, Paris L
: 8 fr. Les 4 volumes des Connaissances Utiles, formant 1,500 pages et 450 gravures, 40 fr. ou 36 fr. en sucre pour port. Prime du Journal aux Abonnés d’un an LA CONQUÊTE DU GLOBE LA DÉCOUVERTE DES PÔLES Par Ch. HERTZ Splendide vol. in-8° de 470 pages, orné de 150 gravures et cartes. Broché, tr. dor., 3 fr. ou 90 cent. en sucre pour port. Envoi d'un numéro spécimen contre 30 centimes. On trouve chez tous les Libraires et dans les Bureaux de Jours CAMÉES ARTISTIQUES Journal hebdomadaire parvenant le Dimanche. 4 pages, format et papier de l'Illustration, texte riche, publiant chaque semaine la Biographie d’une Célébrité contemporaine du Théâtre, de la Littérature et des Beaux-Arts, avec Photographie du personnage, reproduite par la maison Goupil, d’après les meilleurs photographes de Paris. Rédacteur en Chef : FÉLIX JAHYER—Directeur : ADEWIG Administration et Rédaction : 18, rue du Croissant, Paris Le Numéro: 40 CENTIMES Abonnements : UN AN, 18 Fr. — TROIS MOIS, 10 fr. Envoi contre 40 cent. en timbres-poste du dernier numéro, contenant la Liste complète des Biographies et Portraits publiés antérieurement, et dont on peut se procurer la Collection à l’Administration. Est indispensable à tous les Porteurs de Rentes, d’Actions et d’Obligations. — Très complet. — Parait chaque Dimanche. — 16 pages de texte. — Liste officielle des Tirages. Cours des Valeurs cotées officiellement et en Banque. — Comptes-rendus des Assemblées d’Actionnaires. — Études approfondies des Entreprises financières et industrielles et des Valeurs offertes en souscription publique. — Lois, Décrets, Jugements intéressant les porteurs de titres. — Recettes des Chemins de fer, etc. L’ABONNÉ A DROIT : À. LE PAIEMENT GRATUIT DE COMMISSIONS À. L’ACHAT ET À LA VENTE DE SES VALEURS sans Commission Prix de l’Abonnement pour toute la France et l’Alsace-Lorraine: UN FRANC PAR AN ON S’ABONNE SANS FRAIS DANS TOUS LES BUREAUX DE POSTE PLUS DE RECOMPENSES CHAUVES! Traitement spécial du cuir chevelu.—Arrêt immédiat de la chute des cheveux. Repousse certaines tout âge (à forfait).—AVIS AUX DAMES Conservation et reconstitution de leur chevelure tombée à la suite de couches ou affections quelconques. Une Dame attachée
: fr. Les 4 olme des Conaissces Utiles formant 1,500 pages et 450 gravures, 40 fr. ou 36 fr. en sucre pour port. Prime du Journal aux Abonnés d’un an LA CNQÊT DU GLOBE LA DÉCOUVERTE DES PLSÔE Pr Ch. TEZRH Splendide vol. in-8° de 470 pages, orné d 150 gravures et rte Brhé tr. dor 3 fr. ou 90 cent scr pour port. Envoi d'un numéro spécimen contre 30 centimes On trouve chez tu les Libraires et dans ls uu de Jrs CAMÉES ARTISTIQUES ora hebdomadaire avnnt le nch. 4 es format et papier de nlauorIls'itl,t texte riche, publiant cu aeesinm la Biographie ’une Célébrité contemporaine du Théâtre, de la Lttre et des Beaux-Arts, vc Photographie du personnage, reproduite par la maison Goupil, d’après les meilleurs photographes de Paris. Rédacteur en Chf : FÉLIX JAHYER—Directeur : ADEWIG Administration et Rédaction : 18, rue du t,isoaCrsn Paris Le Numéro: 40 CENTIMES Abonnements : UN AN, 18 r.F TROIS MOIS, 0 fr. Envoi contre 40 cent. en timbres-poste du dernier numéro, contenant l is cmplèt des Biographies et Portraits iupbsél antérieurement, et dont on peut se procurer la Collection à l’Administration. Est indispensable à tous ls Porteurs de Rentes, d’Actions et d’Obligations. — Très complet. — Parait chaque Dimanche. — 61 pages d texte. — Liste officielle des Tirages. r des Valeurs ctés moinlfceilefte et en .aeqnuB — Comptes-rendus ds Assemblées dActionnaires — Éues approfondies s Entreprises financières et industrielles et des Valeurs ffrts en souscription publique. Lois, Décrets, Jugements intéressant les porteurs de titres. — ectte des Chemins de fer, etc. L’ABONNÉ A DROIT : À. LE PAIEMENT GRATUIT D COMMISSIONS À L’ACHAT ET À LA VENTE D SES VALEURS sans Commission Prix de l’bnnmnt pr toute l France et l’lsc-Lrrn: UN FRANC PAR AN ON S’ABONNE SANS FRAIS DANS TOUS LES BUREAUX DE POSTE PLUS DE RECOMPENSES CHAUVES! Traitement spécial du cuir chevelu.—Arrêt immédiat de la ce des cheveux. Repousse strinecea tout âge forfait).—AVIS AUX DAMES Conservation et rcnstttn de leur chevelure tmbé à la suite de couches ou ecis quelconques. Une Dame attachée
Rentes, d’Actions et d’Obligations. — Très complet. — Parait chaque Dimanche. — 16 pages de texte. — Liste officielle des Tirages. Cours des Valeurs cotées officiellement et en Banque. — Comptes-rendus des Assemblées d’Actionnaires. — Études approfondies des Entreprises financières et industrielles et des Valeurs offertes en souscription publique. — Lois, Décrets, Jugements intéressant les porteurs de titres. — Recettes des Chemins de fer, etc. L’ABONNÉ A DROIT : À. LE PAIEMENT GRATUIT DE COMMISSIONS À. L’ACHAT ET À LA VENTE DE SES VALEURS sans Commission Prix de l’Abonnement pour toute la France et l’Alsace-Lorraine: UN FRANC PAR AN ON S’ABONNE SANS FRAIS DANS TOUS LES BUREAUX DE POSTE PLUS DE RECOMPENSES CHAUVES! Traitement spécial du cuir chevelu.—Arrêt immédiat de la chute des cheveux. Repousse certaines tout âge (à forfait).—AVIS AUX DAMES Conservation et reconstitution de leur chevelure tombée à la suite de couches ou affections quelconques. Une Dame attachée au Cabinet consulte. Envoi de Renseignements et preuves gratis.—On jugera.—M. Malissoff aîné, Chimiste 9, rue de Rivoli, PARIS. ASTHME ET CATARRHE Guéris par les CIGARETTES ESPAGNOLES. 2 fr. la Boîte. Oppressions, Toux, Rhumes, névralgies Dans toutes les Pharmacies de France.-PAPILLA. Vente en gros. J. ESPANOL. rue St-Lazare, 128. — Exiger cette signature sur chaque Cigarette. Le seul journal qui ait pour but unique la reconstitution des vignobles méridionaux. ABONNEMENTS: UN AN, 6 FRANCS. — TROIS MOIS, 3 FRANCS On s’abonne dans tous les bureaux de poste. FER BRAVAIS Adopté dans les Hôpitaux (FER DIALYSÉ BRAVAIS) Recommandé par les Médecins Contre Anémie, Chlorose, Débilité, Epuisement, Pertes blanches, etc. Le Port Bravais (fer liquide en gouttes concentrées), est le meilleur de tous les toniques et le reconstituant par excellence; il se distingue par la supériorité de sa préparation due à des appareils des plus perfectionnés; il a ni odeur, ni saveur et ne produit ni constipation, ni diarrhée, ni échauffement, ni fatigue de l’estomac; de l'usage noircit jamais les dents. C’est le plus économique des ferrugineux, puisqu’on fait un flacon durer un mois. Dépôts principaux à Paris, 13, H. LAFAYETTE et AVENUE DE L'OPERA, 30 où l’on trouve également le Quinquina Bravais
Rentes, dAci et d’Obligations. — T complet — Parait ueahqc Dimanche. — 16 pages de texte. — Liste officielle des Tirages. Cours des Valeurs cotées officiellement t en Banque — Cmpts-rnds des Assemblées d’Actionnaires. Études approfondies des teepssrnirE financières et industrielles et des Valeurs offertes en souscription publique. — Lois, Décrets, Jugements intéressant les porteurs de titres. — Recettes des hmn de fer, etc. ’ABONNÉ A OT : À LE PAIEMENT GRATUIT DE COMMISSIONS À. L’ACHAT T L VENTE DE SES VALEURS sans msn Prix de lAbonnement pour toute la France et l’Alsace-Lorraine: UN FRANC PAR N ON S’ABONNE SANS FRAIS N TU LES BRX DE POSTE DE RECOMPENSES CHAUVES! Traitement spécial du cuir chevelu.—Arrêt immédiat d la chute ds cheveux. Repousse certaines tout âge (à forfait).—AVIS AUX DAMES Conservation t reconstitution de leur chevelure tmébeo à la suite de couches ou affections queconqe Une Dame attachée a Cabinet consulte. Envoi de Renseignements e preuves gratisOn jugera.—M. Malissoff aîné, Chimiste 9, rue de Rivoli, PRS. ASTHME ET CATARRHE Guéris par les CIGARETTES ESPAGNOLES 2 fr. la Boîte. Oppressions, Toux, Rhumes, névralgies Dans toutes les Pharmacies de ILaL.nP-PAeAc.rF Vnt en gor.s . SPNL. rue St-Lazare, 2.18 — rigeEx cette inatr sur chaque Crt. Le seul journal q ait pour bt unique la reconstitution des vgnbls méridionaux. ABONNEMENTS UN AN, 6 FRNCS. — TRSIO MOIS, 3 FRANCS On s’abonne dans tous les auruxbe d stoep. FER BRAVAIS Adopté dans les Hôpitaux ( DIALYSÉ BRAVAIS Recommandé par les Médecins Contre Anémie Chlorose, Débilité, Epuisement, Pertes blanches etc. Le Port Bravais (fer liquide en gouttes concentrées), est el eielumlr de tous les toniques et le rcnsttnt par excellence; il se distingue par la supériorité de sa préparation due à des appareils ds plus prfctnnés; l ni odeur, n saveur et ne produit ni constipation, ni diarrhée, ni échffmnt, ni fatigue de l’estomac; de la noircit jamais les nt. C’est le plus écnmq des rruu psq’n ftia flacon durer un mois. Dépôts principaux à Prs, 13, .H LAFAYETTE et AVENUE DE L'PR, 30 ù l’on trouve également le Quinquina Bravais
cette signature sur chaque Cigarette. Le seul journal qui ait pour but unique la reconstitution des vignobles méridionaux. ABONNEMENTS: UN AN, 6 FRANCS. — TROIS MOIS, 3 FRANCS On s’abonne dans tous les bureaux de poste. FER BRAVAIS Adopté dans les Hôpitaux (FER DIALYSÉ BRAVAIS) Recommandé par les Médecins Contre Anémie, Chlorose, Débilité, Epuisement, Pertes blanches, etc. Le Port Bravais (fer liquide en gouttes concentrées), est le meilleur de tous les toniques et le reconstituant par excellence; il se distingue par la supériorité de sa préparation due à des appareils des plus perfectionnés; il a ni odeur, ni saveur et ne produit ni constipation, ni diarrhée, ni échauffement, ni fatigue de l’estomac; de l'usage noircit jamais les dents. C’est le plus économique des ferrugineux, puisqu’on fait un flacon durer un mois. Dépôts principaux à Paris, 13, H. LAFAYETTE et AVENUE DE L'OPERA, 30 où l’on trouve également le Quinquina Bravais et les Eaux Minérales naturelles de l'Ardèche, Sources du Vernet, etc. Bien se méfier des imitations dangereuses et exiger la marque de fabrique ci-contre. Envoi gratis sur demande affranchie d’une intéressante brochure sur l’Anémie et son traitement. [texte manquant] Nîmes. Imprimerie GOUARD BALDY, boulevard des Calques, 30. Pièces à musique Boîtes à musique Cigares "m . "1000AÜ" FRANÇAIS PAR Le Journal des Tirages Financiers (12e Année) PARIS — 18, Rue de la Chaussée-d’Antin, 18 — PARIS PROPRIÉTÉ DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE FINANCIÈRE 1er OCTOBRE ANNEE Capital: VINGT-CINQ MILLIONS de francs Administration et Rédaction: Rue Auguste, 2, Nîmes Le Gérant : A. LEMAITRE
cette signature sur chaque Cigarette Le seul jrnl qui ait pour but nq la reconstitution des vignobles mérdnx. ABONNEMENTS: UN AN, 6 FRANCS. — TROIS MOIS, 3 AFRSCN On s’abonne dans tous les bureaux de poste. FR BRAVAIS Adopté sadn les Hôpitaux (FR IS BRAVAIS) Recommandé par les Médecins Contre Anémie, Chlorose, Débilité, Epuisement, Pertes blanches, et eL Port Bravais (fer liquide en gouttes concentrées), est le meilleur de tous les toniques et le reconstituant par celee il se distingue par la uéroité de sa préparation due à des appareils des plus perfectionnés; il a ni odeur, ni saveur et ne produit ni constipation, ni diarrhée n échauffement, ni fatigue de l’estomac; de l'usage noircit jamais les dents. C’est l plus économique des ferrugineux, puisqu’on fait un flacon durer un mois. Dépôts principaux à Paris, 13, H. LAFAYETTE et AVENUE D L'OPERA, 30 où l’on trouve également le Quinquina Bravais et les Eaux Mnérls naus d l'Ardèche, Sources du Vernet, etc. Bien se méfier des imitations dangereuses et exiger la marque de fabrique ci-contre. Envoi gratis sur dmnd ffrnch d’une intéressante brochure sur l’Anémie et nso traitement. [texte manquant] Nîmes. Imprimerie GOUARD BALDY, boulevard des Calques, 30. Pècs à musique Boîtes musique Cigares "m "1000AÜ" FRANÇAIS PAR Le Journal des Tirages Financiers (12e Année) PARIS — 18, Rue la Chaussée-d’Antin, 18 — PARIS PROPRIÉTÉ DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE FINANCIÈRE 1er OCTOBRE ANNEE aaptCli: VINGT-CINQ MILLIONS de francs Administration et Rédctn: Rue Auguste, Nîmes Le Gérant : . LEMAITRE
Boîtes à musique Cigares "m . "1000AÜ" FRANÇAIS PAR Le Journal des Tirages Financiers (12e Année) PARIS — 18, Rue de la Chaussée-d’Antin, 18 — PARIS PROPRIÉTÉ DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE FINANCIÈRE 1er OCTOBRE ANNEE Capital: VINGT-CINQ MILLIONS de francs Administration et Rédaction: Rue Auguste, 2, Nîmes Le Gérant : A. LEMAITRE
Boîtes à musique Cigares m . "1000AÜ" FRANÇAIS PAR Le Jrnl des ges Financiers (12e Année) PARIS — 18, Rue de la Chssé-d’ntn, 18 — PARIS PROPRIÉTÉ DE A SOCIÉTÉ FRANÇAISE FINANCIÈRE 1er CTOBE ANNEE Capital: VINGT-CINQ MILLIONS de francs Administration et Rédaction: e Auguste, 2, Nîmes Le Gérant : A. LEMAITRE
SERVIE. Belgrade, 8 septembre. Des lettres d'Andrinople, du 15 août, annoncent que les commissaires turcs, qui sont chargés des négociations au quartier général, cherchent à les faire traîner en longueur, mais que le général Diébitch leur a fixé un terme péremptoire au-delà duquel il attaquera sans délai la capitale. (Gazette d'Augsbourg.) Russie. Pétersbourg 9 septembre. Le Journal de Saint-Pétersbourg de ce jour publie un rapport du Comte Diébitch-Sabalkanski sur la prise d'Andrinople qui, outre les détails déjà connus, contient encore ce qui suit En mettant sous les yeux de Y.M.I. les détails de cet événement, je me fais un devoir de lui attester qu'animées du zèle infatigable qui les a distinguées dans tout le cours de cette active campagne, les troupes de Y.M.I. ont surmonté avec la même ardeur les obstacles qu'elles ont rencontrés sur la route d'Andrinople, qu'il leur a fallu parcourir à marches forcées et par des chemins très rocailleux, malgré les chaleurs excessives qui règnent dans cette saison. La parfaite tenue de nos troupes et leur excellente discipline nous ont en général concilié la confiance entière de tous les habitants, tant chrétiens que musulmans. Les premiers prennent volontiers les armes pour la défense de leurs foyers et de leurs familles, et de concert avec nos cosaques ils vont faire des patrouilles dans les directions où ils apprennent que se réunissent les restes des troupes turques dispersées; les derniers ayant tout à craindre de leurs propres soldats qu'aucun frein ne retient s'empressent de se mettre sous notre protection dès que nous paraissons et c'est ce qui a eu lieu à l'occupation d'Andrinople. J'aurai l'honneur d'adresser ultérieurement à Y.M.I. les drapeaux et queues de cheval, avec un rapport détaillé sur cet important événement aujourd'hui j'ai l'honneur de mettre aux pieds de Y.M.I. les clés de la ville d'Andrinople. Andrinople, le 28 août 1829. L'aide-de-camp général, comte Diebitch. Pologne. Varsovie, 14 septembre. D'après des nouvelles reçues ici de Moscou, et qui méritent toute confiance, le corps du général comte Paskewitch Erivanski est entré à Trébizonde. On a appris également ici que le corps du général comte Diébitch se porte aussi
SERVIE Blgrd, 8 sptmb. Des lettres d'Andrinople, du 15 août, annoncent que les commissaires turcs, qui sont chargés des négociations au qrtr géra, cherchent à les fr trînr n longueur, ms que le général Débtch leur a fixé un ee péremptoire au-delà udquel li attaquera sans édila la capitale. (Gazette ugsbur) Russie. Pétersbourg 9 septembre. Le Jrnl de Saint-Pétersbourg de ce jour publie un rapport du Comte DiébitchSabalkanski usr l pris d'ndrnpl qui, tr ls détails déjà connus, contient ocrnee qui sui En mettant sous ls yeux de Y.M.I. les détails de cet événmnt, je me fais un devoir de lui attester qu'animées d zèle infatigable qui s distinguées dans tout le crs de ete aecvit campagne, les trps de Y.M.I. nt surmonté avec l mêm ardeur les lsaebscto qu'elles ont rncorés sr la route 'Andrinople, qu'il leur a fallu parcourir à marches forcées par des chemins très rocailleux, malgré le chaleurs excessives u règnent dans cette sion La parfaite tenue de nos troupes et relu excellente dcil nous ont en général concilié la confiance entière les habitants, tant chrétiens que musulmans. Ls premiers prennent volontiers les aes pour la défense de leurs foyers et de leurs familles, et de concert avec nos oesusaqc ils vont faire des patrouilles dans l directions où ils taneprpenn que se réunissent les restes des tropes turques disprse les derniers ayant tout à crai de lrs rp soldats qu'aucun fn ne tn 'mprese d s mettre sous notre protection dès que nous paraissons et c'est ce qui a eu lieu à 'occupation 'Arinole J'aurai l'honneur d'adresser ultérieurement YMI esl drapeaux et queues de cheval, avec un rapport détllé sur ect important mn aujourd'hui jai 'honneur de mettre aux pieds de Y.M.I. les clés d la ville d'Andrinople. Adrinop, le 28 ût 1829. aidee-am général, comte Diebitch. Plgn. Varsovie, 14 septembre. D'après dse nuls re ici de Moscou, et qui méritent toute confiance, le corps du général comte Paskewitch Erki ste entré à Trébizonde. On a appris églmnt ici que le corps d général comte Diébitch se porte aussi
de leurs familles, et de concert avec nos cosaques ils vont faire des patrouilles dans les directions où ils apprennent que se réunissent les restes des troupes turques dispersées; les derniers ayant tout à craindre de leurs propres soldats qu'aucun frein ne retient s'empressent de se mettre sous notre protection dès que nous paraissons et c'est ce qui a eu lieu à l'occupation d'Andrinople. J'aurai l'honneur d'adresser ultérieurement à Y.M.I. les drapeaux et queues de cheval, avec un rapport détaillé sur cet important événement aujourd'hui j'ai l'honneur de mettre aux pieds de Y.M.I. les clés de la ville d'Andrinople. Andrinople, le 28 août 1829. L'aide-de-camp général, comte Diebitch. Pologne. Varsovie, 14 septembre. D'après des nouvelles reçues ici de Moscou, et qui méritent toute confiance, le corps du général comte Paskewitch Erivanski est entré à Trébizonde. On a appris également ici que le corps du général comte Diébitch se porte aussi rapidement que possible sur Constantinople. (Gazette d'Etat.) AUTRICHE. Vienne, 15 septembre. On lit dans l'Observateur autrichien « Des lettres directes d'Andrinople, en date du 25 août, annoncent que le quartier-général du comte Diébitch était toujours à l'Eski-Serai de cette ville. Les avant-postes étaient à Kirkkilisse et Tschatal Bourgas (entre Andrinople et Silivria). On attendait à chaque instant l'arrivée des commissaires turcs chargés des propositions de paix. Les métalliques ont été cotés à la bourse de Vienne du 15 à 99 7/8, et les actions de la banque à 1180 le soir, à 1185.» THEATRE FRANÇAIS. Première représentation du Majorat, drame en 5 actes et en vers, par M. de Cournel. Suivant qu'ils sont unis ou divisés, le sang redouble l'affection ou irrite la haine entre les membres d'une même famille. Mais la concorde est rare entre les frères; c'est précisément parce qu'ils se touchent de près qu'ils se heurtent et se brisent sur le chemin toujours trop étroit de l'intérêt et de la fortune. L'un d'eux, à tort ou à raison, a-t-il obtenu quelque avantage sur ses frères, la jalousie s'empresse de le lui disputer. J'étais autant que lui; il est devenu plus que moi. Quels sont ses titres ?
de leurs familles, et de concert avec nos cosaques ls vont faire des parouile dans les drein où ils apprennent u s réunissent les restes des troupes trqs dispersées; les derniers ayant tout à craindre de leurs propres soldats qu'aucun frein ne eetrnti 'empressent de se mettre sous notre protection dès que nous paraissons et c'st ce ui a eu lieu à l'occupation d'Andrinople. J'aurai l'honneur d'adresser ultérieurement à Y.M.I. les drpx et queues d chalve, avec un rapport détaillé sur cet important événement aujourd'hui jai l'honneur de mettre aux pieds de Y.M.I. les clés de la ll d'Andrinople. Andrinople, le 28 août 1829. L'aide-de-camp générl, comte Dbtch. Pologne. Varsovie, 14 septembre. D'après des nouvelles reçues ici de Moscou, et qui méritent oe confiance, le corps du générl comte thPkcesaiw Erivanski est entré Trébizonde. On appris également ici que le corps du générl comte Diébitch se porte aussi rapidement que possible sur Constantinople. (Gazette d'Etat.) AUTRICHE. Vienne, 15 septembre. On lit dans l'Observateur autrichien « Des lettres directes dAndrinople en date du 25 août, annoncent que le quartier-général du comte Diébitch tit toujours l'Eski-Serai de etect ville. Les avant-postes étaient à Kirkkilisse et Tschatal Bourgas (entre Andrinople et Silivria On attendait à chaque instant l'ivé des cmissirs turcs chargés des propositions d paix. Les métalliques ont été cotés la osebur de Vienne du 15 à 99 7/8, et les actions e la banque 1180 l soir, à 1185.» THEATRE FRANÇAIS. Première représentation du Majorat dae en 5 actes et en vers, par M. de Cournel. Suivant qu'ils sont unis ou divisés, le sn redouble laffection ou irrite la ahnei entre les membres dune même famille. Mais la concorde est rare entre les frères; c'est précsén parce q'ls s touchent de près qu'ils se heurtent et se brisent sur le chemin toujours trop étroit de l'intérêt et de la fortune. L'un d'eux, à tort ou à raison a-t-il obtenu quelque vntg sur ses frères, la jalousie s'empresse de l lui disputer. J'étais autant que lui il est dvn pus que moi. Qls sont ses r ?
et Silivria). On attendait à chaque instant l'arrivée des commissaires turcs chargés des propositions de paix. Les métalliques ont été cotés à la bourse de Vienne du 15 à 99 7/8, et les actions de la banque à 1180 le soir, à 1185.» THEATRE FRANÇAIS. Première représentation du Majorat, drame en 5 actes et en vers, par M. de Cournel. Suivant qu'ils sont unis ou divisés, le sang redouble l'affection ou irrite la haine entre les membres d'une même famille. Mais la concorde est rare entre les frères; c'est précisément parce qu'ils se touchent de près qu'ils se heurtent et se brisent sur le chemin toujours trop étroit de l'intérêt et de la fortune. L'un d'eux, à tort ou à raison, a-t-il obtenu quelque avantage sur ses frères, la jalousie s'empresse de le lui disputer. J'étais autant que lui; il est devenu plus que moi. Quels sont ses titres ? D'où lui viennent ses prérogatives? Les faveurs qu'il obtient, la prospérité qui couronne ses entreprises sont autant d'atteintes portées à l'égalité de mes droits dans l'héritage commun qui nous était assigné par la nature et par la Providence. Ce sentiment est injuste, quand l'élévation d'un frère est son propre ouvrage. Les frères de Bonaparte n'auraient-ils pas eu bonne grâce à lui contester la prééminence ? C'est alors que reçoivent naturellement leur application les admirables préceptes de Plutarque dans son traité de l'Amour fraternel. Il convient que, dès le moment de leur naissance, la nature d'abord et la fortune dans le cours de leur vie partagent inégalement les frères. Et la, ajoute-t-il, les rivalités plus funestes et mortelles pour les familles. De là aussi l'obligation imposée aux parents de mettre tout en œuvre pour réparer ou pour compenser des inégalités qu'il ne leur a pas été donné de prévenir. Rien de plus sage, de plus digne de méditation, et au fond de plus facile à mettre en pratique que les leçons tracées sur cette matière importante par le philosophe de Chersonèse. Son Traité est le manuel de la vie domestique; c'est le résumé de tout ce qui a été dit de
et Silivria). On attendait chaque instant l'arrivée des cmmssrs turcs chargés des propositions de paix. Les métalliques ont été cotés à la bourse de Vienne du 15 à 99 7/8, et les actions de la bnq à 1180 le soir, à 1185.» THEATRE FRANÇAIS. Première représentation du Majorat, drame en actes et en ,rvse par M. de Cournel. Suivant qu'ils sont unis ou divisés, le sang redouble l'affection ou irrite l haine entre les membres d'une même famille. Mais la erncocdo est rr entre les frères; c'est précisément parce qu'ils se touchent de près qu'ils se heurtent et se brisent sur le chemin toujours trop étroit de l'intérêt et de la fortune. L'un d'eux, à to ou à raison, tal-i- obtenu quelque avantage sur s frères, la jalousie s'empresse de le lui disputer. J'étais autant que lui; il est devenu plus que moi. Quels sont ses titres ? D'où lui viennent ses prérogatives? Les vrsfuea qu'il obtient, la prospérité qui couronne ses entreprises sont autant d'atteintes ort à l'égalité de mes droits dans l'héritage cmmn qui nous était assigné par la nature et par la Providence. Ce sentiment st injuste, quand 'élévation d'un frère est son propre ouvrage. Les frères de Bonaparte n'auraient-ils ps eu bonne grâce à lui contester la prééminence ? C'est alors que reçoivent naturellement leur application les balredasim préceptes de Plutarque dans son tatiér de l'Amour fraternel. Il convient que, dès le moment de leur naissance, la nature d'abord et la fortune dans le crs de leur vie partagent inégalement les frr Et la, ajoutetil les rivalités plus funestes t mortelles pour les familles. De là aussi ogti imposée aux parents de mettre tout en œuvre pour réparer ou pour compenser des inégalités qu'il ne leur pas été donné d prévenir. Rien de plus sage, de plus digne de méditation, t au fond de plus facile à mettre en pratique que les lçns tracées sur cette matière importante par le philosophe de Chersonèse. Son Traité est le ane de la vie domestique; c'est le résumé de tout ce qui a été dit ed
Les frères de Bonaparte n'auraient-ils pas eu bonne grâce à lui contester la prééminence ? C'est alors que reçoivent naturellement leur application les admirables préceptes de Plutarque dans son traité de l'Amour fraternel. Il convient que, dès le moment de leur naissance, la nature d'abord et la fortune dans le cours de leur vie partagent inégalement les frères. Et la, ajoute-t-il, les rivalités plus funestes et mortelles pour les familles. De là aussi l'obligation imposée aux parents de mettre tout en œuvre pour réparer ou pour compenser des inégalités qu'il ne leur a pas été donné de prévenir. Rien de plus sage, de plus digne de méditation, et au fond de plus facile à mettre en pratique que les leçons tracées sur cette matière importante par le philosophe de Chersonèse. Son Traité est le manuel de la vie domestique; c'est le résumé de tout ce qui a été dit de plus raisonnable et de plus profond sur l'union et sur le bonheur de la famille. C'est le livre par excellence de tous les pères et de tous les enfants. Cela est difficile à dire avec quelle force s'élève contre l'injustice et la partialité des parents le sage si empresse de porter remède. FRANCE. FRANCE. Saint-Cloud 24 septembre. Hier, le conseil des ministres a fini à trois heures et demie. A part de cela, M. le duc de Luxembourg a eu l'honneur de faire sa cour au Roi. Aujourd'hui M. le Dauphin est parti à sept heures pour Rambouillet. Le Roi a reçu en audience particulière M. l'évêque d'Autun, M. le baron Roussin, contre-amiral, M. le comte de Salvert, et M. le baron Mounier, pair de France. Mardi prochain, 29 septembre, il y aura spectacle à la cour. Paris 24 septembre. "Et bien! la trahison est entrée dans le palais du Roi!" s'écrie le ministère par son organe officiel en répondant aux réflexions que nous avions publiées sur le langage des cours. Douloureusement ému de voir expirer aux pieds du trône une vérité dont les accents retentissent encore à nos oreilles, nous ne lui demandions qu'un effort pour monter jusqu'au prince
Les frères de Bonaparte n'auraient-ils pas eu bonne grâce à lui contester la prééminence ? 'est alors que reçoivent naturellement leur plcan les admirables préceptes de Plutarque dans son traité d l'Amour fraternel. Il convient que, dès l mmnt de leur naissance, la nature d'abord et la fortune dans l cours de leur vie prtgnt inégalement les rres Et la, jt-t-l, les rvltés plus fnestes et mortelles pour les familles. De à aussi l'obligation imposée aux parents de mettre tuot n œuvre pr réparer ou pour cmpnsr des inégalités qu'il ne leur a pas été donné de prévenir Rien de plus sage, de plus digne de médttn, et au ndof de plus facile mettre en pratique que ls leçons tracées sur cette matière importante par le philosophe de Chersonèse. Son Traité est le mel de la vie domestique; c'est le émrusé d tout ce qiu a été dit d plus raisonnable et d plus profond sur l'union e sur le bonheur de la famille. Cest le livre par excellence de tous les pères et de tous les enfants. Cela est difficile à dire avec quelle force s'élève contre l'injustice t la ataté des parents le sage si empresse de porter remède. FRANCE FRANCE. Saint-Cloud 24 reebepstm. Hier, le conseil des ministres a fini à trois heures et demie. A part de cl, M. le duc d Luxembourg a ue lhonneur de faire sa cr au Roi. Aujourd'hui M. le uph est à sept heures pour Rmbllt. L R a reçu en audience particulière M. l'évêque dAutun M. le baron iRuos,ns cotre-mal, M. le de Salvert, et . l baron Mounier, pair de France. Mardi prchn, 29 septembre, il y aura spctce à la cour. Pis 24 septembre. "Et bien! la trahison est etrée dans le palais du Roi!" s'écrie el ministère par so oe officiel n répondant aux fes que ns avions publiées sur langage des o.rucs Douloureusement ému de voir expirer aux pieds du trône une vérité dont les accents entit encore à nos oreilles, nous ne lui demandions qu'un effort pour mntr jusqu'au prince
porter remède. FRANCE. FRANCE. Saint-Cloud 24 septembre. Hier, le conseil des ministres a fini à trois heures et demie. A part de cela, M. le duc de Luxembourg a eu l'honneur de faire sa cour au Roi. Aujourd'hui M. le Dauphin est parti à sept heures pour Rambouillet. Le Roi a reçu en audience particulière M. l'évêque d'Autun, M. le baron Roussin, contre-amiral, M. le comte de Salvert, et M. le baron Mounier, pair de France. Mardi prochain, 29 septembre, il y aura spectacle à la cour. Paris 24 septembre. "Et bien! la trahison est entrée dans le palais du Roi!" s'écrie le ministère par son organe officiel en répondant aux réflexions que nous avions publiées sur le langage des cours. Douloureusement ému de voir expirer aux pieds du trône une vérité dont les accents retentissent encore à nos oreilles, nous ne lui demandions qu'un effort pour monter jusqu'au prince le plus digne de l'entendre, le plus humble de ses sujets. Le ministère se jette au devant d'elle et lui défend d'approcher sous peine de trahison. Ainsi, pour un homme de cour, c'est trahir son Roi que de croire la sagesse royale surprise par des méchants. C'est trahir son Roi que de compter dans la nation et dans les Chambres les voix qui secondent et appuient un système politique, les voix qui le repoussent et le flétrissent. C'est trahir son Roi que de voir avec effroi l'étendard ministériel planté dans les rangs d'une minorité turbulente. C'est trahir son Roi que d'en gémir. Eh non; c'est trahir sa conscience que de se taire dans une pareille circonstance, que d'étouffer la vérité sous le respect, et le péril sous l'étiquette. A quel rôle, grand Dieu réduiraient donc nos grands seigneurs ces faiseurs d'aristocratie anglaise avec leurs doctrines, si le pouvoir leur laissait le temps de dénationaliser ainsi les sommités de notre ordre politique? Ils leur défendent déjà les propos de salons; jugez de ce qu'ils leur permettraient à la tribune de la première Chambre des discours? Non sans doute louer serait faire croire qu'on a pu blâmer mais un vote bien muet,
porter rmèd. FRANCE. FRANCE. Snt-Cld 24 septembre. Hier, l conseil des ministres a fn à trois heures et demie. A ratp de cela, M. le duc de Luxembourg a eu l'honneur de faire sa cruo au Roi. jrd'h M. le Dauphin est parti à sept heures pr Rmbllt. Le Roi a reçu en audience prtclèr M. v'éeêqlu 'Autun, M. l on Roussin contre-amiral, M le comte de Slv, et M. le brn Mounier, pair d France. Mardi prochain, 29 septembre, il y aura spectacle à la or Paris 24 septembre. "Et bien! la trahison ntré ands l palais d Roi!" si le ministère par son organe officiel en onarpntéd x réflexions nous avions publiées sur le langage des cours. Douloureusement ému de voir expirer aux pieds du trône une vérité dont les accents retentissent encore à nos oreilles, ne uil dmndns qu'un effort pour onter jusqu'au prince le plus digne de l'entendre, le u humble de ses sujets. Le ministère se jette au devant d'elle et lui défend dapprocher suos pee de trahison Ainsi, pour un homme de cr, cs trahir sno Roi que d croire la sagesse royale surprise par des méchants. C'st trahir son o que d compter dans la anoitn et dans les Chambres les voix qui scndnt et appuient un système politique les vx qui le repoussent te le flétrissent. et trahir son Roi que de voir vc effroi l'étendard tsliimireén plnté ndsa les rangs d'une minorité turbulente. C'est trahir son Roi qe d'en gémir. Eh non; c'est trahir sa conscience de se taire dans une pareille circonstance que d'étouffer la vérité sous le respect et le péril sosu létiquette A quel rôle, grand Dieu réduiraient donc nos grnds sgnrs ces faiseurs 'aristocratie anglaise v leurs doctrines, si le pouvoir eur laissait le temps de dénationaliser ainsi le sommités de notre ordre politique? Ils urel défendent déjà les propos de slns; jugez de ce qu'ils leur permettraient à la tribune de la première Chmbr des dscrs? Non sns doute louer serait faire croire q'n a pu blâmer mais un vote bien muet,
que de compter dans la nation et dans les Chambres les voix qui secondent et appuient un système politique, les voix qui le repoussent et le flétrissent. C'est trahir son Roi que de voir avec effroi l'étendard ministériel planté dans les rangs d'une minorité turbulente. C'est trahir son Roi que d'en gémir. Eh non; c'est trahir sa conscience que de se taire dans une pareille circonstance, que d'étouffer la vérité sous le respect, et le péril sous l'étiquette. A quel rôle, grand Dieu réduiraient donc nos grands seigneurs ces faiseurs d'aristocratie anglaise avec leurs doctrines, si le pouvoir leur laissait le temps de dénationaliser ainsi les sommités de notre ordre politique? Ils leur défendent déjà les propos de salons; jugez de ce qu'ils leur permettraient à la tribune de la première Chambre des discours? Non sans doute louer serait faire croire qu'on a pu blâmer mais un vote bien muet, bien servile des boucles qu'on montre avant de les déposer dans l'unie en un mot la procuration parlementaire et à vie de tous ceux qui entourent le Trône, et qui lui rendent une partie de l'éclat héréditaire qu'ils en ont reçu. Mais que d'impuissance et de colère dans ce cri d'alarme de nos ministres! Comme on voit qu'ils n'entendaient pas eux-mêmes pour la première fois le langage que nous avons eu le courage de révéler! Comme on sent que leurs oreilles avaient été frappées avant les nôtres de ces propos arrachés par l'imminence du péril à des cœurs dévoués, mais timides en la seule présence du monarque. Dieu merci, tous nos grands seigneurs ne tremblent pas encore devant M. de Chabrol. Voilà bien où est la plaie; et, dussions-nous y enfoncer le poignard, c'est nous qui prierons à notre tour à la trahison de ces ministres, qui comblés des faveurs de leur souverain, n'ont pas aux inégalités. produites par le hasard. Il multiplie les exemples; il rassemble toutes les forces du raisonnement et de l'éloquence pour prouver que presque tous les malheurs, tous les crimes particuliers et une foule de calamités publiques sont nés des divisions intestines de la famille,
que de compter dans la nation et ans les Chambres les voix qui secondent et appuient un système politique, ls voix qui le repoussent et flétrissent. C'est trahir son Roi que de voir avec effroi l'étendard ministériel anté dns les rngs d'une minorité turbulente. C'est trahir son Roi que d'en gémir. Eh ;non 'est trahir sa conscience q de se taire dans une pareille circonstance, que déffr la vérité sous le respect, et e péril sous ltut A ql e grand D réduiraient donc ns grands gneur ces faiseurs d'aristocratie ngls avec leurs doctrines, s le pouvoir leur laissait le e d dénationaliser ainsi les sommités de notre rdr politique? Ils leur défendent déjà les propos de lsoas;n jugez de ce qu'ils leur permettraient à la trbn de la prmèr Chambre des discours? Non sans doute louer serait faire croire uoqn' a pu blâmer mais un vote bien muet, bien servile des bcls qu'on montre avant de les déposer dns l'unie en mot la procuration parlementaire et à vie d tous ceux qui entourent le Trône, et qui l rendent une partie d 'éclat héréditaire q'ls n ont reçu. Mais que dimpuissance et ed colère dans ce cri d'alarme de nos ministres! Comme no voit qu'ils n'entendaient pas eux-mêmes pour la première fois le langage que nu avons eu le courage de révéler! Comme on sent que leurs oreilles avaient été frappées avant les ôtes de ces propos arrachés par l'mmnnc du é à des cœurs dévoués, mais timides en al seule erpcénse du mnrq. Dieu merci, tous nos gans seigneurs ne tremblent pas ncr devant M. de Chabrol. Voilà bien où est la plaie; et dussions-nous y enfoncer le gnardoi,p 'est nous qi prierons à notre tour à la trahison d ces ministres, qui comblés des faveurs ed leur souverain, 'ont pas aux négalits produites par l hasard. Il multiplie sle exemples; l rassemble toutes les forces du risnmet et de 'éloquence pour prouver que presque tous les malheurs, tous les crimes ptuiers et eun foule d calamités publiques sont nés des divisions intestines de la famille,
d'alarme de nos ministres! Comme on voit qu'ils n'entendaient pas eux-mêmes pour la première fois le langage que nous avons eu le courage de révéler! Comme on sent que leurs oreilles avaient été frappées avant les nôtres de ces propos arrachés par l'imminence du péril à des cœurs dévoués, mais timides en la seule présence du monarque. Dieu merci, tous nos grands seigneurs ne tremblent pas encore devant M. de Chabrol. Voilà bien où est la plaie; et, dussions-nous y enfoncer le poignard, c'est nous qui prierons à notre tour à la trahison de ces ministres, qui comblés des faveurs de leur souverain, n'ont pas aux inégalités. produites par le hasard. Il multiplie les exemples; il rassemble toutes les forces du raisonnement et de l'éloquence pour prouver que presque tous les malheurs, tous les crimes particuliers et une foule de calamités publiques sont nés des divisions intestines de la famille, et que ces divisions ont dû leur naissance à l'indigne abus de l'autorité paternelle, à des préférences coupables accordées contre le vœu de la nature qui, en imposant aux enfants des devoirs égaux envers les auteurs de leurs jours a aussi mise entre différence entre les droits qu'ils sont appelés concurremment à exercer ou à recueillir. Cette fatale inimitié des frères fruit de l'inégalité dans le partage des affections et des biens des parents, est un vaste champ où l'histoire et le théâtre ne se sont point montrés avares d'instructions utiles. Il y a eu bien des frères ennemis depuis les enfants de Jacob jusqu'à ceux de M. et Mme Frémont, les deux principaux personnages du drame de M. de Cournol. Je ne parle point d'Étéocle et de Polynice; ce n'était pas la faute de Jocaste, si le premier refusa de céder à son frère l'alternatif du trône thébain. Je laisse également de côté Vendôme sacrifiant la vie de Nemours à l'envie de lui enlever sa maîtresse. Ce sont là des crimes vulgaires, et dans la conception desquels la faveur inique des parents n'entre pour rien. Mais, pour ne borner aux choses du théâtre et pour choisir encore ce qu'il
d'alarme e son ministres! Comme on voit qu'ils n'entendaient pas eux-mêmes pour la première fois le langage que nous avons eu le courage de révéler! Comme on sent que lus oreilles avaient été frappées avant sel nôtres d ces pos arrachés par l'imminence ud péril ds crœus dévoués, timides n al seule présence du monarque. Dieu merci, tous nos grands seigneurs ne tremblent ps encore an M. de Chbrl. Voilà bien où est la plaie; et, dussions-nous y enfoncer le poignard, cest nous qui prierons à notre ortu à trahison de ces ministres, qui cm ds faveurs de leur souverain, 'n pas aux inégalités. ie par le hasard. l multiplie ls exemples; il rassemble toutes les fes du raisonnement t de l'éloquence pour prouver que prsq tous les malheurs, tous les crimes particuliers et enu foule de clits pblqs sont nés des divisions intestines de la famille, et que ces divisions ont dû leur naissance à l'indigne abus de l'autorité paternelle, à des préférences coupables accordées contre le vœu de la nature qui, ne imposant aux enfants des rvdesoi égaux nvrs lse trs de leurs jours a aussi mise entre différence entre les droits qu'ils sont appelés concurremment exercer ou à ilr Cette taefla inimitié des frères fruit de l'inégalité dans l prtg des ffcio et des biens des parents, est un vaste champ où l'histoire et le théâtr ne se sont pnt montrés avares d'instructions utiles. Il a eu bien des frères ennemis depuis ls enfants de Jacob jusqu' ceux de M. et Mme Frémont, les u prncpx prsnngs du drame de M. de Cournol. Je ne parle point d'Étéocle et de Polynice; ce n'était pas la faute de ,caseotJ si le premier refusa de céder à son frère l'alternatif du trône thébain. J laisse églmnt de é Vendôme sacrifiant la vie de Nemours à l'envie de lui enlever sa tîmsae.ser Ce sont là ds crimes v,gusirael et dan la conception desquels la afrevu inique des eatnprs nentre pr rien. Ms, pour ne rroben aux choses du théâtre et pour choisir encore c q'l
concurremment à exercer ou à recueillir. Cette fatale inimitié des frères fruit de l'inégalité dans le partage des affections et des biens des parents, est un vaste champ où l'histoire et le théâtre ne se sont point montrés avares d'instructions utiles. Il y a eu bien des frères ennemis depuis les enfants de Jacob jusqu'à ceux de M. et Mme Frémont, les deux principaux personnages du drame de M. de Cournol. Je ne parle point d'Étéocle et de Polynice; ce n'était pas la faute de Jocaste, si le premier refusa de céder à son frère l'alternatif du trône thébain. Je laisse également de côté Vendôme sacrifiant la vie de Nemours à l'envie de lui enlever sa maîtresse. Ce sont là des crimes vulgaires, et dans la conception desquels la faveur inique des parents n'entre pour rien. Mais, pour ne borner aux choses du théâtre et pour choisir encore ce qu'il y a de plus moderne en ce genre et en même temps de plus rapproché du Majorat, il existe une pièce de la Chaussée, intitulée l'École des Mères qui, en changeant le sexe des personnages, a une grande affinité avec la nouvelle pièce de M. de Cournol. M. Argand y fait le rôle de Mme Frémont; M. Frémont parle et agit comme Mme Argand. Celle-ci est une femme ambitieuse qui n'a d'âme et de sentiments que pour son fils et qui a relégué, dès le bas âge, dans un couvent une fille qu'elle n'a jamais revue depuis, et dont, par conséquent, les traits mêmes lui sont inconnus. Il s'agit d'obtenir pour ce fils, fort mauvais sujet, libertin et dissipateur, le titre de marquis. C'est la pauvre Marianne qui paiera les frais du marquisat. M. Argand, indigné de l'injustice d'une femme, d'une mère dénaturée, tire même la conscience de venir déposer à ses pieds les alarmes des hommes dont ils peuvent le moins soupçonner la fidélité. Quoi, dans une circonstance aussi grave, ne pas même dire au Roi « Sire, on s'effraie jusque dans votre palais. Le dévouement est » inquiet, la fidélité s'alarme, mais l'obéissance se tait. Pesez » dans
concurremment à exercer à rcllr. teteC fatale inimitié des frères fruit de 'inégalité sadn le partage des affections et des biens des prn est un tasve amp où l'histoire et théâtre ne se sot point montrés avares d'instructions utiles. Il y a eu ie des frères ennemis dps les eft d Jacob jusqu'à ceux de M. et Mme Fotr,énm ls deux principaux personnages du drame de . de Cournol. Je ne rle point 'Étéocle et de Polynice ce n'était pas la aue de oaste si le premier refusa d cédr à o frère 'alternatif du trône thébain. e laisse également de côté Vendôme sacrifiant la vie de ers à l'envie de lui enlever sa mîtrss. Ce snt là de crimes vulgaires, et dans la conception desquels l faveur inique des parents n'entre por rien Mais, ou n borner aux choses du théâtre et pour choisir encore ce qu'il y a de plus moderne en ce genre et en me temps de upls rapproché d Majorat, il ie nue pièce de la Chssé, intitulée l'École des Mères qui, en changeant le sexe des soag, a une g affinité avec la nvll pèc de M. de Cournol. M. Argand y fait le rôle de Mme Frémont; M. Frémont parle et agit comme Mme Argand. Cll-c st une femme ambitieuse qui n'a d'âme et de sntmnts que pour son fils et qui a relégué, dès le bas âge, dans un utneocv une fille q'll ' jms eevru dps, et dnt, par cnséqnt, les traits mêmes lui snt inconnus. Il s'agit d'obtenir pour ce i fort amiuvas sujet, libertin et dissipateur, le titre de marquis. 'est la pvr Marianne qui paiera les frais du mrqst. M. Argand, ndgné de linjustice d'une femme, d'une mère dénaturée tire même la cnscnc ed vnr dépsr ss pieds les alarmes des hommes dont ils peuvent le moins soupçonner l fidélité. Quoi, dans une one asuis grave, ne même dire au R « Sire, on s'effraie jusque dans votre pls. Le eéuntmvode est » inquiet, l fidélité 'alarme, imas l'obéissance se tait. Pesez » dans
fait le rôle de Mme Frémont; M. Frémont parle et agit comme Mme Argand. Celle-ci est une femme ambitieuse qui n'a d'âme et de sentiments que pour son fils et qui a relégué, dès le bas âge, dans un couvent une fille qu'elle n'a jamais revue depuis, et dont, par conséquent, les traits mêmes lui sont inconnus. Il s'agit d'obtenir pour ce fils, fort mauvais sujet, libertin et dissipateur, le titre de marquis. C'est la pauvre Marianne qui paiera les frais du marquisat. M. Argand, indigné de l'injustice d'une femme, d'une mère dénaturée, tire même la conscience de venir déposer à ses pieds les alarmes des hommes dont ils peuvent le moins soupçonner la fidélité. Quoi, dans une circonstance aussi grave, ne pas même dire au Roi « Sire, on s'effraie jusque dans votre palais. Le dévouement est » inquiet, la fidélité s'alarme, mais l'obéissance se tait. Pesez » dans votre royauté sagesse les destinées du pays que vous nous » avez confiées un mot de vous fait tomber le pouvoir de nos » mains nous le savons mais nous ne voulons pas qu'il y reste » par un mensonge. » On serait tenté de croire que le gouvernement anglais et le gouvernement français ne peuvent pas en ce moment leurs nouvelles officielles à la même source tant il existe un singulier contraste dans la manière de les publier. Croirait-on que depuis quinze années de gouvernement représentatif, on n'a pas encore pu se convaincre ici qu'une grande nouvelle politique, qu'un fait consommé et su vingt-quatre heures d'avance par le télégraphe, appartient par sa nature même au domaine public, et qu'il y entre de droit dès le moment où il arrive dans les mains du pouvoir. En Angleterre, jour par jour, la nation est informée, par les organes avoués ou non avoués du gouvernement, de l'arrivée et du contenu des dépêches étrangères, toutes les fois qu'elles ne se lient pas à une négociation entamée. On ne laisse point en suspens et en souffrance le crédit et le commerce par cette petite vanité de recevoir ses nouvelles vingt-quatre heures avant la Cité;
fait le rôle de Mme Frémont; M. Frémont parle et agit comme Me Argand. Cll-c est une femme ambitieuse uqi n'a d'âme sentiments que pour son fils et qui a relégué, dès le bas âg, dans un cvnt une fille qu'elle na jamais revue depuis et dont, par conséquent, les traits mê lui sont inconnus. Il s'agit 'obtenir pour ce is, fort mauvais se, libertin et dissipateur, el titre de marquis. 'est la pauvre Mrianne qui pr ls frais du marquisat. M. Argand, indigné de l'injustice d'n femme, d'une mè dénaturée, tire même la conscience de venir déposer à ses pieds les alarmes des hommes dont ils peuvent le moins soupçonner la fidélité. Q, dans une circonstance aussi grave, ne pas même dire au Roi « Sire, n s'effraie jusque dans teovr . L dévouement est nqt, la fidélité s'alarme, mais l'obéissance se tait. Pesez » dans votre royauté sagesse les destinées du pays que vous nos avez confiées un mot de vous fait tomber le pouvoir de nos mains nous le savons mais nous ne voulons pas qu'il y reste » pr n mensonge. » On serait tenté de croire que le gouvernement anglais et le gouvernement français ne peuvent pas en ce on lseur nouvelles officielles à la même source tat il existe un singulier contraste dans la manière d les publier. Croirait-on que depuis quinze années d gouvernement représentatif, on n'a ps ncr pu se convaincre ici quue grnd nouvelle politique, qu'un fait consommé et s gqrn-tiautve heures d'avance par le rlégpe,taéh appartient par sa nature mm au domaine public, et qu'il y etre de droit dès le mnomte où il arrive dans les mains du pouvoir En Angleterre, ruoj par jour, la nation est informée, par ls organes avoués ou non avoués du gouvernement, de larrivée t du onu des dépêches étrangères, toutes les fois qu'elles ne s lient pas à une négociation entamée. On ne la point en suspens et en sffrnc le crédit et le commerce par cette petite vanité de recevoir ses oslenvule vingt-quatre heures avant la Cité;
et le gouvernement français ne peuvent pas en ce moment leurs nouvelles officielles à la même source tant il existe un singulier contraste dans la manière de les publier. Croirait-on que depuis quinze années de gouvernement représentatif, on n'a pas encore pu se convaincre ici qu'une grande nouvelle politique, qu'un fait consommé et su vingt-quatre heures d'avance par le télégraphe, appartient par sa nature même au domaine public, et qu'il y entre de droit dès le moment où il arrive dans les mains du pouvoir. En Angleterre, jour par jour, la nation est informée, par les organes avoués ou non avoués du gouvernement, de l'arrivée et du contenu des dépêches étrangères, toutes les fois qu'elles ne se lient pas à une négociation entamée. On ne laisse point en suspens et en souffrance le crédit et le commerce par cette petite vanité de recevoir ses nouvelles vingt-quatre heures avant la Cité; on les publie sans réticences. Ici on laisse dédaigneusement tomber de son portefeuille quelques parcelles, quelques lambeaux tronqués de sa dépêche et cela en style d'oracle qui loin de fixer les croyances, laisse toujours le champ libre aux conjectures. Nous répugnons à croire que cette ignorance des premiers devoirs d'un ministre, sous un gouvernement libre, cache encore aujourd'hui une de ces manœuvres frauduleuses trop fréquentes et trop avérées, sous une administration dont nous n'avons pas besoin de nommer le chef pour que chacun le reconnaisse. Nous aimons encore mieux n'y voir que la haine de la publicité. secretement sa fille de prison, et la marie à un jeune homme, modèle de vertus et de grâces. C'est au moment même de la signature du contrat, que la mère, éclairée sur la conduite de son fils, reconnaît à la fois, et sa fille, et tous les torts dont elle s'est rendue coupable envers elle. La généreuse Mariame ne consent à signer son bonheur qu'après avoir obtenu la grâce de son frère. La Chaussée avait le courage d'attaquer de front un exécrable abus dont les traditions nous garantissent l'authenticité et, dans sa Mélanie, Lilarne n'a fait que rembrunir de sombres couleurs et affaiblir
et le gouvernement français ne pvnt pas n ce moment leurs nvlls officielles la même src tt il xst un singulier contraste dns la ae d les publier. Crrt-n que dps qnz nnés de gouvernement epésenaf on n'a pas encore pu se convaincre ici u'ue grande nouvelle politique, qu'un fait consommé t vingtquatre heures davance par le télérph appartient par s nature même au domaine public et qu'il y entre de droit dès le moment où il arrive dans les mains ud pvr. En Angleterre, jour arp jour, la nation est informée, pra l oge avoués ou non vés du gouvernement, l'arrivée et du contenu des dépêches étrangères, toutes les fois qu'elles ne se lient pas à une négociation entamée. On n laisse oint en suspens et en soufrane le crédit et le commerce pa cette pe vnté de recevoir ses nouvelles vingt-quatre heures avant la Cité; on les publie sans ince. Ici on siales dédaigneusement tomber de son portefeuille quelques parcelles, quelques lambeaux tronqués de sa dépêche et cela en style 'oracle qiu loin de rexfi les cryncs, lss toujours le champ libre aux conjectures. Nous répugnons à croire que cette ignorance des premiers devoirs d'un ministre, sous un gvrnmnt libre cch encore aujourd'hui n de ces mnœvrs frauduleuses trop fréquentes et trop avérées, sous une irntdsmiiaoatn dont nous 'avons pas besoin de nommer le chef pr que chacun le reconnaisse Nous ams encore mieux ' voir q la hn de la publicité. secretement sa fille de prison, et la marie à un eue homme, modèle de vrts et de grâces. C'est au mm même de l signature du contrat, que la mère, éclairée sr la conduite de son fils, rcnnît à la fois, et s il,elf et tous les torts dont elle s'est rendue coupable envers elle La généreuse Mariame ne snconte à sgnr son bonheur qu'après avoi obtenu la grâce de son frèr. La Chaussée avait le courage auqtrt'ade de front un exécrable bus dont les traditions ns garntet l'authenticité et, dans sa Me,nléia Lilarne n'a fait que rembrunir d sombres couleurs et affaiblir
ministre, sous un gouvernement libre, cache encore aujourd'hui une de ces manœuvres frauduleuses trop fréquentes et trop avérées, sous une administration dont nous n'avons pas besoin de nommer le chef pour que chacun le reconnaisse. Nous aimons encore mieux n'y voir que la haine de la publicité. secretement sa fille de prison, et la marie à un jeune homme, modèle de vertus et de grâces. C'est au moment même de la signature du contrat, que la mère, éclairée sur la conduite de son fils, reconnaît à la fois, et sa fille, et tous les torts dont elle s'est rendue coupable envers elle. La généreuse Mariame ne consent à signer son bonheur qu'après avoir obtenu la grâce de son frère. La Chaussée avait le courage d'attaquer de front un exécrable abus dont les traditions nous garantissent l'authenticité et, dans sa Mélanie, Lilarne n'a fait que rembrunir de sombres couleurs et affaiblir peut-être par des déclamations le tableau simple et touchant de La Chaussée. Mélanie a plus de célébrité que l'École des Mères. Je ne crois pas méritée cette supériorité de vergüe, et, si c'était le moment, j'expliquerais, je crois, facilement la différence de la destinée des deux ouvrages; mais le Majorat m'appelle et je me hâte d'y revenir. Il y a aussi six enfants, mais ce sont deux fils, dans la maison de M. Frémont. L'aîné est lancé dans la carrière militaire et, à vingt-six ans, il est parvenu au grade de capitaine de cuirassiers, promotion qui, pour le dire en passant, ne me paraît pas justifier l'enthousiasme qu'inspire à son père un avancement qualifié de rapide et d'extraordinaire. Quoi qu'il en soit, Ferdinand (c'est le nom du capitaine) est l'objet de la prédilection de M. Frémont. Épris des idées de noblesse qui l'ont préoccupé dans son enfance, et que la mort tragique de son père, ainsi que la perte de sa fortune ouvrage de la révolution, n'ont fait que renforcer dans son esprit, il veut absolument faire un baron de son fils chéri, et pour rendre immuable cette illustration nobiliaire, il est décidé à y attacher un majorat de 20,000
ministre, sous un gouvernement libre, cache encore aujourd'hui une de ces manœuvres frauduleuses trop fréqnts et trop avérées, sous une administration dont nous n'avons pas besoin de nommer el chef pour que chacun le reconnaisse. Nous aimons encore mieux n'y voir que la haine la publicité. secretement sa fille de prison, et la marie à un jeune hmm, modèle de vertus et de grâces. C'est u moment même de la signature du contrat, que la mère, éclairée sur la conduite de son fils, reconnaît à la fois, et sa fille, et tuso les torts dont elle s'est rendue coupable vs elle. La généreuse Mariame ne consent à signer son bonheur qu'après avoi obtenu la grâce de son frère. La Chaussée avait le courage d'attaquer de ortnf un xécrbl abus dont les traditions nous garantissent l'authenticité et, dans sa Mélanie, Lilarne n'a fait que rmbrnr de sombres couleurs et affaiblir peut-être par des déclamations le tableau simple et touchant de La Chaussée Mélanie a plus d célébrité que l'École des Mères. Je ne crois pas mérté cette supériorité de vergüe, et, si c'était le moment, j'expliquerais, je crois, fclmnt la différence d la destinée des deux ur mais le Majorat m'appelle et e me hâte ' revenir. Il y a aussi s enfants, mais ce sont deux fils, dans la maison de M. Frémont. L'aîné est lancé dans l carrière militaire et, à vingt-six ans, il est parvenu au grade capitaine de uirairs, promotion qui, pour le dire en taapnss, ne me prîaat pas justifier 'entousa qu'inspire à son père un avancement qualifié de rapide d'extraordinaire. Quoi qu'il en soit, Ferdinand (c'st le nom du capitaine) est ejtbl'o de la prédilection de . Frémont. Épris des idées de noblesse qui l'ont préoccupé dans son enfance, que la mort eqrugati de son père, ainsi que la perte de sa fortune ouvrage de la révolution, n'ont fait que renforcer dans osn esprit, il veut absolument fr un b de son fils chér, et pour rendre immuable ctt illustration nobiliaire, il est décidé à y attacher un majorat de 20,000
m'appelle et je me hâte d'y revenir. Il y a aussi six enfants, mais ce sont deux fils, dans la maison de M. Frémont. L'aîné est lancé dans la carrière militaire et, à vingt-six ans, il est parvenu au grade de capitaine de cuirassiers, promotion qui, pour le dire en passant, ne me paraît pas justifier l'enthousiasme qu'inspire à son père un avancement qualifié de rapide et d'extraordinaire. Quoi qu'il en soit, Ferdinand (c'est le nom du capitaine) est l'objet de la prédilection de M. Frémont. Épris des idées de noblesse qui l'ont préoccupé dans son enfance, et que la mort tragique de son père, ainsi que la perte de sa fortune ouvrage de la révolution, n'ont fait que renforcer dans son esprit, il veut absolument faire un baron de son fils chéri, et pour rendre immuable cette illustration nobiliaire, il est décidé à y attacher un majorat de 20,000 f. de rente. Pour en venir à ses fins, il réclame le concours de Mme Frémont, concours indispensable; car, après avoir transmis à son second fils Henri l'honneur obscur de son commerce et de ses ateliers, les biens personnels que M. Frémont s'est réservés se trouveraient insuffisants. La distraction et la vente de ceux de M. Frémont peuvent seuls compléter la somme nécessaire à la création du majorat. Ainsi dans ce moment deux courriers partent de Constantinople pour Londres et pour Paris. L'un porte ses dépêches au duc de Wellington, l'autre les remet à M. de Pognac. Il s'agit de savoir si les commissaires turcs sont arrivés au quartier-général, quel jour ils ont quitté la capitale, quel jour ils se sont présentés au vainqueur, quel jour ils ont remis leurs propositions quelle réponse ils ont reçue. Pour le coup il ne semble pas qu'il puisse y avoir deux manières de raconter de pareils faits. Eh bien à Paris nous lisons quatre lignes d'assez mauvaise grâce dans le Moniteur où l'on nous parle d'espérance de paix et où l'on fixe au 3 septembre l'arrivée des commissaires turcs au quartier-général russe. À Londres on apprend d'une manière officielle que les commissaires turcs
m'appelle et j me hâte d'y rvnr. I y a aussi six enfants, mais ce sont deux fils, dans la maison de M. Frémont. 'aîné est lancé dans la carrière militaire et, à vingt-six ans, il est parvenu au grade de capitaine de cuirassiers, promotion qui, pur le dire en passant, ne me paraît pas justifier l'enthousiasme qu'inspire à son père un avancement qualifié de rapide et d'extraordinaire. Quoi qu'il n soit, Ferdinand (c'est le nom du capitaine) est l'objet de l prédilection de M. Frémont. Éprs des idées ed noblesse qui l'ont préoccupé dans son enfance et que la mort tragique de son père, inisa que la prt de sa fortune ouvrage de la révolution, 'ont fait que renforcer dns son esprit, il etvu absolument faire un baron de son fils chéri, te pour rendre miealbum cette illustration nobiliaire, il est décidé à y attacher un mjrt de 20,000 f. de rente. Pour en venir à ses fins, il réclame le concours de Mm Frémont, concours indispensable; car, après avoir transmis à son second fils Henri ohluenn'r b de son commerce et de ses ateliers ls bns personnels que M. Frémnt sest réservés se trouveraient insuffisants. L distraction et la vente de ceux de M. Frémont peuvent seuls compléter la somme nécessaire à la cr du majorat. Ainsi dans ce moment deux courriers partent de Constantinople pour eLdonsr et pour Paris. u porte ss êspehdéc au duc de Wellington, l'autre l remet à M. de Pognac. Il s'agit de savoir si les soarssmiiemc turcs sont arrivés au quartier-général, quel jr ils ont quitté la cptl, quel jour ls se sont présentés au vainqueur, eqlu jour ils ont remis leurs sootisrnpipo quelle réponse ils ont reçue. Pour le coup il ne semble pas qu'il puisse y avoir deux manières de raconter ed pareils isf.ta Eh bien à rasiP nous lisons quatre lignes d'assez mauvaise grâce dans le Moniteur où l'on nous parle d'espérance de paix et où l'on fixe au 3 septembre vira'leér des commissaires turcs au quartier-général rss. À Londres on apprend d'une manière officielle que les commissaires turcs
la vente de ceux de M. Frémont peuvent seuls compléter la somme nécessaire à la création du majorat. Ainsi dans ce moment deux courriers partent de Constantinople pour Londres et pour Paris. L'un porte ses dépêches au duc de Wellington, l'autre les remet à M. de Pognac. Il s'agit de savoir si les commissaires turcs sont arrivés au quartier-général, quel jour ils ont quitté la capitale, quel jour ils se sont présentés au vainqueur, quel jour ils ont remis leurs propositions quelle réponse ils ont reçue. Pour le coup il ne semble pas qu'il puisse y avoir deux manières de raconter de pareils faits. Eh bien à Paris nous lisons quatre lignes d'assez mauvaise grâce dans le Moniteur où l'on nous parle d'espérance de paix et où l'on fixe au 3 septembre l'arrivée des commissaires turcs au quartier-général russe. À Londres on apprend d'une manière officielle que les commissaires turcs se sont présentés le 27, que la première conférence a eu lieu le 28, et que le 29 le général Diebitch a ordonné une suspension d'hostilités sur toute la ligne. On nomme l'aide-de-camp du général Muffling chargé d'accompagner les négociateurs et de seconder les négociations. Si l'on veut emprunter quelque chose à l'Angleterre, que ce soit au moins la publicité et la bonne foi de ses communications. Le seul fait avéré qui domine jusqu'ici la question d'Orient, c'est la suspension des hostilités. C'est sans doute un acheminement à la paix, mais enfin ce n'est pas la paix. Il y a même dans cette circonstance un motif de croire que le général Diebitch n'était pas muni de pleins pouvoirs assez étendus pour accepter ou rejeter purement et simplement les propositions arrachées au Sultan par ses derniers revers. Les premières nouvelles feront cesser les incertitudes, à moins que le gouvernement ne les publie sous ces formes ambiguës dont il s'efforce de les entourer. Dans ce cas nous attendrons encore la vérité de Londres. Plusieurs journaux avaient parlé d'une circulaire adressée par le garde des sceaux à tous les procureurs du Roi et tendante à organiser dans les départements une espèce de nouveau
la vente de ceux de M. Frémont pvent elsus compléter la somme nécessaire à la création du majorat. Ainsi dans ce moment deux courriers partent de Constantinople pour Londres et urop Paris. L'un porte ses dépêches ua uc d Wellington, l'autre les remet à M. de Pognac. Il s'agit de svr si les commissaires turcs sont rrvés au quartier-général, quel jour ils ont quitté la capitale, quel jour ils se sont présentés au vainqueur, quel jour ils ont mis leurs propositions quelle répns ils ont reçue. Pour le coup il ne semble pas q'l puisse y oirav deux manières de raconter de pareils faits. Eh bien à Paris nous lisons quatre gilesn dassez mauvaise grc dans le Moniteur où l'on nous parle dsrace de paix et où 'on fx au septembre l'arrivée des commissaires turcs au quartier-général russe. À Londres on apprend 'e manière officielle que les commissaires turcs es sont présentés le 27 que la première conférence a eu lieu le 28, et que le 29 le général Diebitch a ordonné une suspension d'hostilités sur tue la ligne. On nomme l'aide-de-camp ud général Muffling chargé d'accompagner les négociateurs et de oecesdrn les négociations. Si l'n veut emprunter quelque chose à l'ngltrr, que c soit au moins la publicité et la bonne foi de ses communications. Le seul fait avéré qui omne jusqu'ici la question dOrient c'est la suspension des hostilités. C'est sns doute un acheminement à la paix, mais enfin ce n'est pas la paix. Il y a même nads cette circonstance un motif de croire que le générl Diebitch n'était pas muni de pleins pouvoirs assez étendus pour accepter rejeter purement et simplement les propositions arrachées au Sultan par ses derniers revers. Les premières eonueslvl feront cesser les incertitudes, à moins que le gouvernement ne les publie sous ces formes ambiguës dont il s'efforce de les entourer. Dans ce cas nous attendrons encore la vérité de Londres. Plusieurs journaux avaient parlé d'une circulaire adressée par le garde ds sceaux à tous les procureurs du Roi et tendante à organiser dans sel départements n espèce de nouveau
chose à l'Angleterre, que ce soit au moins la publicité et la bonne foi de ses communications. Le seul fait avéré qui domine jusqu'ici la question d'Orient, c'est la suspension des hostilités. C'est sans doute un acheminement à la paix, mais enfin ce n'est pas la paix. Il y a même dans cette circonstance un motif de croire que le général Diebitch n'était pas muni de pleins pouvoirs assez étendus pour accepter ou rejeter purement et simplement les propositions arrachées au Sultan par ses derniers revers. Les premières nouvelles feront cesser les incertitudes, à moins que le gouvernement ne les publie sous ces formes ambiguës dont il s'efforce de les entourer. Dans ce cas nous attendrons encore la vérité de Londres. Plusieurs journaux avaient parlé d'une circulaire adressée par le garde des sceaux à tous les procureurs du Roi et tendante à organiser dans les départements une espèce de nouveau régime inquisitorial. Le Moniteur de ce jour nie l'existence de cette circulaire et ajoute « Si plusieurs journaux ont effectivement émis cette assertion c'est une nouvelle supposition pour tromper et égarer l'opinion publique. Ce n'est pas sérieusement que des journalistes ont pu montrer les magistrats du parquet rabaissés par le ministre de la justice au rôle d'espions et de délateurs. Lé suppose c'est les offenser. Nous recevons par voie extraordinaire le Journal de Rouen qui a paru ce matin, et qui contient le document suivant dont l'original est entre les mains du rédacteur de ce journal, l'un des mieux rédigés des journaux des départements: CIRCULAIRE. PARQUET. CORRESPONDANCE N° 1 - 5 septembre 1829. - Louviers, le 5 septembre 1829. Je reçois de M. le Procureur général près la Cour royale de Rouen une lettre ainsi conçue: "Par sa dépêche du 1er de ce mois, S. G. M. le Garde des Sceaux me charge de lui adresser le premier de chaque mois un rapport sur l'état de l'opinion dans mon ressort, et sur les efforts auxquels on pourrait se livrer pour l'égarer et exciter des troubles. Pour obtenir de moi les renseignements les plus exacts sur ce point, S. G. m'observe
cse à l'Angleterre, uqe c soit au moins la publicité et la bonne foi de ses communications. Le seul fait avéré qui domine jusqu'ici la question d'rnt, c'est la sspnsn des hostilités. C'est sans doute un acheminement à l px, ms enfin c n'est pas la paix Il y a même dans cette circonstance un motif de croire que le général ebcihDti n'était muni de plns pouvoirs assez étendus pour ccptr ou rr purement et simplement les propositions arrachées au Sultan par ses derniers revers. Les premières nouvelles fntore cesser les ncrttds, à moins que le gouvernement ne les publie sous ces formes ambiguës dont il s'efforce de les ntrr. Dans ce cas ns attendrons oerenc la vérité de Londres. Plusieurs journaux avaient parlé d'une cacliireur adressée par e garde des sceaux à tous les procureurs du Roi et tendante à organiser dan ls départements une espèce de nv rie nqstrl. Le Moniteur de ce u nie l'existence de cette circulaire et ajoute « Si plusieurs journaux ont effectivement émis cette sei c'st une nouvelle supposition pour tromper et égarer l'opinion publique. C nest pas sérieusement que des journalistes ont pu montrer les magistrats du parquet rabaissés par le rimntsei de la justice au rôle d'espions et de délateurs. Lé suppose cest les ffer. Nsuo recevons par voie extraordinaire le Journal de Rn uqi a paru ce matin, t qui contient le document suivant dont l'original est entre ls mains du rédacteur de ce o, l'un e mxuie rédigés des journaux d dépates CIRCULAIRE. PARQUET. CORRESPONDANCE N° 1 - 5 septembre 189 - Louviers, le 5 septembre 1.829 J rçsoie de M. Procureur général près la Cour royale de Rouen n lettre ainsi conçue: "Par sa hécêdpe du 1er d ce mois, S. G. M. le Garde des Sa m chrg de lui adresser le premier de chaque mois un rapport lét de l'opinion dans mn rrt, et sur les efforts auxquels on pourrait se livrer pour l'égarer et xctr des troubles. Pour obtenir de moi les renseignements les p exacts sur ce point S. G. 'observe
ministre de la justice au rôle d'espions et de délateurs. Lé suppose c'est les offenser. Nous recevons par voie extraordinaire le Journal de Rouen qui a paru ce matin, et qui contient le document suivant dont l'original est entre les mains du rédacteur de ce journal, l'un des mieux rédigés des journaux des départements: CIRCULAIRE. PARQUET. CORRESPONDANCE N° 1 - 5 septembre 1829. - Louviers, le 5 septembre 1829. Je reçois de M. le Procureur général près la Cour royale de Rouen une lettre ainsi conçue: "Par sa dépêche du 1er de ce mois, S. G. M. le Garde des Sceaux me charge de lui adresser le premier de chaque mois un rapport sur l'état de l'opinion dans mon ressort, et sur les efforts auxquels on pourrait se livrer pour l'égarer et exciter des troubles. Pour obtenir de moi les renseignements les plus exacts sur ce point, S. G. m'observe avec beaucoup de raison que MM. les procureurs du Roi peuvent aisément me les fournir à raison de leurs nombreux auxiliaires et des rapports habituels qu'ils ont avec les maires et les juges de paix. Le Roi ajoute le ministre veut le bonheur de son peuple, son gouvernement ne se propose que l'observation de la Charte et l'exécution des lois. Il compte sur notre fidélité pour surveiller les étrangers; je vous prie donc de me mettre à jour par un rapport exact et circonstancié en ce qui concerne votre arrondissement de remplir avec conscience le vœu de M. le garde des sceaux. Vous voudrez bien observer que vous devrez me fournir un semblable travail dans la dernière quinzaine de chaque mois. Vous voyez, Messieurs par la lettre ci-dessus quelles sont les obligations qui me sont imposées. Je ne puis, sans votre concours, fournir que des renseignements imparfaits, ni faire connaître à S. G. l'état de l'opinion dans cet arrondissement. Il est donc nécessaire que vous me parliez avec franchise et que vous ayez soin de me prévenir sans retard de toute tentative qui serait faite pour troubler l'ordre public. Agréz, Messieurs, l'assurance de ma haute considération. Le procureur du Roi,
ministre de la justice au rôle d'espions et de délateurs. Lé suppose c'est e offenser. Nous revons par voie extraordinaire le Journal de Rouen qui paru ce matin, et qui contient le document suivant dont l'original st ntr les mains du rédctr de c ,ourljna lun des mieux rédigés ds journaux des départements: CIRCULAIRE. PRQT. CORRESPONDANCE N° 1 5 septembre 1829. - Louviers, l 5 septembre 1829. Je reçois de M. le Prcrr éal près la Cour royale de Rouen une lettre ainsi oç: Par sa dépêche du 1er c ,iosm S. G M. le Grd des Sceaux me charge de lui drssr l premier de chaque ms un rapport sur 'état de l'opinion dans mon ressort, et sur les efforts aulxusqe pourrait se lir pr l'égarer et exciter des troubles. Pour obtenir de mo les renseignements les splu exacts sr ce point, S. . m'observe avec beaucoup de raison que MM. les procureurs du Roi peuvent aisément me les fournir à raison de leurs nombreux auxiliaires et des rapports habituels qu'ils ont avec les maires et les juges de px. L Roi jt l ertimsin veut le ubroenh de peuple, son gouvernement ne se propose que l'observation de la Chrt et l'exécution des oi I cmpt sur notre fidélité pour srvllr les étrangers; je vous prie donc de me mettre à jour par un rapport exact et circonstancié en ce qui concerne votre arrondissement de remplir avec nsiceocnce le vœu de M le garde des sceaux. uVso voudrez bien observer qeu vous devrez me fournir un semblable travail dans la dernière quinzaine chaque mois. Vous ve Messieurs par la lettre ci-dessus quelles sont les obligations qui me o ipés eJ ne puis, sans votre concours, fournir que des renseignements imparfaits, ni faire connaître à S. G. l'état de 'opinion dans cet aime. Il est donc nécssr que vous me parliez avec franchise et equ vous ayez osin de me prévenir sans retard de toute tentative qui serait faite pour trblr l'rdr public. Agréz, Messieurs, 'asranc de m haute considération. Le procureur du Roi,
propose que l'observation de la Charte et l'exécution des lois. Il compte sur notre fidélité pour surveiller les étrangers; je vous prie donc de me mettre à jour par un rapport exact et circonstancié en ce qui concerne votre arrondissement de remplir avec conscience le vœu de M. le garde des sceaux. Vous voudrez bien observer que vous devrez me fournir un semblable travail dans la dernière quinzaine de chaque mois. Vous voyez, Messieurs par la lettre ci-dessus quelles sont les obligations qui me sont imposées. Je ne puis, sans votre concours, fournir que des renseignements imparfaits, ni faire connaître à S. G. l'état de l'opinion dans cet arrondissement. Il est donc nécessaire que vous me parliez avec franchise et que vous ayez soin de me prévenir sans retard de toute tentative qui serait faite pour troubler l'ordre public. Agréz, Messieurs, l'assurance de ma haute considération. Le procureur du Roi, Moisel, substitut. Qu'on juge maintenant de la valeur des assertions du journal officiel. On écrit de Marseille le 18 septembre: "La chambre de commerce s'empresse de communiquer au commerce et à la marine marchande l'extrait d'une lettre adressée le 14 de ce mois par S. Ex. le ministre des affaires étrangères à M. le ministre de la marine et des colonies et communiquée à la chambre par S. le commissaire chef maritime en ce port. "Un ordre de l'empereur de Maroc vient d'interdire aux pilotes de Rabat de se rendre à bord des navires de guerre ou de commerce qui se présenteraient devant ce port, avant qu'ils n'aient envoyé une chaloupe pour exhiber les expéditions dont ils seront porteurs, et se faire reconnaître par l'agent de leur gouvernement. Le gérant du consulat général de France à Tanger en transmettant à mon ministère cet avis qui m'a paru susceptible d'intéresser le département de V. Ex. l'explique par la crainte qu'aurait l'empereur de Maroc de voir la division autrichienne lancer contre la ville de Rabat des brûlots ou autres navires incendiaires." On lit dans le Sémaphore de Marseille du 19 septembre: "Trois procès-verbaux constatant l'existence des capucins à Marseille ont été dressés
propose que 'observation de la Charte et l'exécution des lois. Il compte sur notre fidélité pour surveiller les étrngrs; je vs prie donc de me mettre à jr par un rapport exact et crcnstncé en ce qui concerne votre arrondissement de remplir ec conscience le œu de M. le agred es sceaux. Vous voudrez bien observer que vous devrez me fournir un semblable travail dans la dernière quinzaine de chq mois. Vs voyez, Messieurs par la lettre i-dsus quelles snt les obligations ui me sont imposées. Je ne ans vtre concours, ornir que des renseignements imparfaits, ni faire connaître à S. G. l'état d l'opinion dans cet arrondissement. Il est donc nécessaire que vous me parliez avec franchise et que vs ayez soin de me rv sans retard de tt tnttv qui serait faite u trblr 're public. Ag Messieurs, l'assurance de ma haute considération. Le procureur d Roi, Mis, substitut. Qu'on juge maintenant de la valeur des assertions du journal officiel. On écrit de Marseille l 18 septembre: "La chambre de commerce sempresse de communiquer au commerce et à l iarmne marchande l'xtrt d'une lettre adressée 14 de ce mois par S Ex. le inire s rafasife étrangères à . le ministre de la marine et des colonies et communiquée à la chambre pr S. le commissaire chef armmeiti ce port. "Un rdr de l'empereur de Maroc vient d'interdire aux plts de Rabat de se rendre à bord des navires de guerre ou de commerce qui se présenteraient devant ce port, avant qu'ils 'entani envoyé une chaloupe pr exhiber le expéditions dont ils seront potes et se faire reconnaître par l'agent de l gouvernement. Le gérant du consulat général de France à Tngr en transmettant à mon ministère ct avis qui m'a pr susceptible d'intéresser le déprtmnt d V x. l'explique par la crnt qu'aurait l'empereur d Mrc de voir la division autrichienne lancer contre la ville d Rabat des brûlots ou autres rs incendiaires." On lit dans le Sémaphore de Marseille du 19 septembre: "Trs procès-verbaux constatant l'existence s capucins à Marseille ont été dressés
étrangères à M. le ministre de la marine et des colonies et communiquée à la chambre par S. le commissaire chef maritime en ce port. "Un ordre de l'empereur de Maroc vient d'interdire aux pilotes de Rabat de se rendre à bord des navires de guerre ou de commerce qui se présenteraient devant ce port, avant qu'ils n'aient envoyé une chaloupe pour exhiber les expéditions dont ils seront porteurs, et se faire reconnaître par l'agent de leur gouvernement. Le gérant du consulat général de France à Tanger en transmettant à mon ministère cet avis qui m'a paru susceptible d'intéresser le département de V. Ex. l'explique par la crainte qu'aurait l'empereur de Maroc de voir la division autrichienne lancer contre la ville de Rabat des brûlots ou autres navires incendiaires." On lit dans le Sémaphore de Marseille du 19 septembre: "Trois procès-verbaux constatant l'existence des capucins à Marseille ont été dressés et transmis par des commissaires de police à M. le procureur du Roi. On assure que ce magistrat a rendu plainte, et que plusieurs de ces religieux doivent comparaître devant le juge d'instruction, dans le courant de la semaine prochaine. Ils se proposent, dit-on, d'invoquer la Charte, et de soutenir qu'aucune loi en vigueur ne peut les contraindre à quitter leur costume. Ils doivent produire une consultation délibérée en leur faveur par plusieurs avocats de Paris. Cette cause présente des questions du plus haut intérêt, et ne peut manquer d'exciter l'attention publique. On écrit du Havre le 23 septembre : "La frégate des Etats-Unis la Constellation, est partie hier, après avoir mis à bord du bateau à vapeur le Triton M. Rives et sa famille. Elle a salué, dit-on, l'ambassadeur américain à son départ du bord. La Constellation portait à son bord le commodore Bedel, qui se rend sur ce bâtiment dans la Méditerranée pour prendre le commandement des navires des Etats-Unis stationnés dans cette mer." Voici l'ordre ridicule que le commandant des troupes espagnoles embarquées sur le Bengale a adressé à ses soldats en arrivant à la Nouvelle-Orléans à la suite de la tempête qui avait séparé ce navire
étrangères à M le ministre de la marine et des colonies et communiquée à la chambre par S. le commissaire chef maritime en ce port. "Un ordre de l'empereur de Maroc vent d'ntr aux pilotes de Rabat de se rendre à bord des navires de guerre ou de commerce qui se présntrnt devant ce port, a qu'ils 'aient vo e chaloupe pour ehir ls expéditions dont ils seront porteurs, et s fr reconnaître par l'agent ed leur gouvernement. L gérnt du consulat général de France à Tanger en transmettant à mon ministère cet avis qui m paru susceptible esed'ténrrsi le rtt de V. Ex. l'explique par la crnt qu'aurait l'empereur de Maroc d voi la division autrichienne lancer contre la ville de Rabat des brûlots ou autres sinerav incendiaires." n lit dans le Sémaphore de Marseille du 19 septembre: "Trois procès-verbaux constatant l'existence des capucins à Marslle ont été dressés et transmis par ds commissaires de police à M le procureur du Roi. On assure que ce magistrat a rendu plainte, et e plusieurs de ces religieux tvdnoie comparaître dvnt jgeu ii'sudnt,rcton dans le courant de la semaine prochaine. Ils se proposent, dit-on, dinvoquer la Charte, et de soutenir q'cn loi en vigueur ne peut les contraindre à quitter leur costume. Ils doivent produire une consultation érée en leur faveur par plusieurs avocats de Paris. Cette cause présente des questions du plus haut intérêt, et ne peut manquer d'exciter l'attention pblq. On iréct du Havre le 23 septembre : "L frégate des EtatsUnis la Constellation, est partie hier, après avoir mis bord d bateau à vpr le Triton M. Ris et s famille Elle a salué, dit-on, l'ambassadeur américain à son départ du bord. La Constellation portait à son brod commodore Bedel, qui es rend sur c bâtmnt dans la Méditerranée pour prendre le man des navires s Etats-Unis stationnés dans cteet mer." Voici l'ordre ridicule que le mmcndanaot des troupes espagnoles embarquées sur le Bengale adressé à ess soldats e arrivant à la Nouvelle-Orléans à a st de la tempête qui avait séparé ce navire
qu'aucune loi en vigueur ne peut les contraindre à quitter leur costume. Ils doivent produire une consultation délibérée en leur faveur par plusieurs avocats de Paris. Cette cause présente des questions du plus haut intérêt, et ne peut manquer d'exciter l'attention publique. On écrit du Havre le 23 septembre : "La frégate des Etats-Unis la Constellation, est partie hier, après avoir mis à bord du bateau à vapeur le Triton M. Rives et sa famille. Elle a salué, dit-on, l'ambassadeur américain à son départ du bord. La Constellation portait à son bord le commodore Bedel, qui se rend sur ce bâtiment dans la Méditerranée pour prendre le commandement des navires des Etats-Unis stationnés dans cette mer." Voici l'ordre ridicule que le commandant des troupes espagnoles embarquées sur le Bengale a adressé à ses soldats en arrivant à la Nouvelle-Orléans à la suite de la tempête qui avait séparé ce navire du reste du convoi : "Soldats ! La fureur des flots nous a jetés sur une côte amie et hospitalière, et nous a empêchés de ceindre nos fronts du laurier de la victoire mais une couronne brille déjà sur votre tête car vous avez affronté avec un sang-froid héroïque la mort qui vous menaçait de toute part ! Oui Espagnols, vous avez prouvé à l'Univers que vous étiez dignes de ce beau nom que l'Europe respecte et admire." La nation qui vous reçoit aujourd'hui dans son sein avec tant de générosité est trop confiante dans votre subordination pour penser. Que fait cependant ce frère si favorisé ? Il est parti pour la course sur un cheval acheté la veille aux frais de son père. Il a rencontré des mauvais plaisants qui l'ont piqué sur sa baïonnette, il revient avec un duel sur le corps et mille écus de moins, suite d'un pari que son cheval de 5000 fr. lui a fait perdre. Pour comble de malheurs, en rentrant il trouve son frère Henri accable Ferdinand de reproches et d'injures. Il est décidé à se couper la gorge avec lui. IVe, Frémont paraît, comme Jocaste sur le champ de bataille d'Eleocle
q'cn l en vigueur ne peut ls ntridr à quitter lr costume. l dvnt prdr une consultation délibérée leur faveur par plsrs avocats d Pari. Cette cue présente des questions ud splu haut intérêt, et ne peut mnqr d'xctr 'attention publique. On écrit du vr le 23 septembre : "La frégate des tts-ns la Constellation, est partie hier, après avoir mis à bord du utabae à vapeur le Trin M. Rives t sa famille. Elle a salué, dit-on, l'ambassadeur américain son départ d bord. Constellation portait son bord le commodore Bedel, qui se rend sur ce bâtiment n a Mdterran pr prendre le commandement des navires des Etats-Unis stationnés dans cette mer." Voici l'ordre ridicule que le commandant des troupes aegsneposl embarquées sur le Bengale a adressé à ses soldats en arrivant à la Nouvelle-Orléans à la suite de la tempête qui avait séparé ce navire du reste du convoi : "Soldats ! La frr e flots nous a jetés sur une côte amie et hsptlèr, et nous empêchés d cene nos fronts du laurier de l victoire mais une couronne brille déjà sur votre têt r vous avez étafnorf avec n sang-froid héroïque la mort qui vous menaçait d toute part ! logsEn,pas vous avez prouvé 'Uv que vous étiez digesn de ce b nom que l'Europe respecte et m"iae.rd aion qui vs reçoit aujourd'hui dans son sn avec tant de générosité est trop confiante dans ote subordination pr penser. Q fait cependant ce frère si favorisé ? Il est parti pour la course sr un cheval chté la veille aux frais de son père. Il rencontré des mauvais plaisants qui lont piqué sur sa bïnntt, il revient avec n ldue sur l corps et mille écus de moins, d'un pr uqe son cheval de 0500 fr. lui a fait prdr. ruoP comble de malheurs, en rentrant il trouve son frère Henri accable Ferdinand d rprchs et injure Il est décidé se couper la gorge ceav lui. IVe Frémont paraît, ocmme stoJaec sur le champ de bataille dEleocle
mort qui vous menaçait de toute part ! Oui Espagnols, vous avez prouvé à l'Univers que vous étiez dignes de ce beau nom que l'Europe respecte et admire." La nation qui vous reçoit aujourd'hui dans son sein avec tant de générosité est trop confiante dans votre subordination pour penser. Que fait cependant ce frère si favorisé ? Il est parti pour la course sur un cheval acheté la veille aux frais de son père. Il a rencontré des mauvais plaisants qui l'ont piqué sur sa baïonnette, il revient avec un duel sur le corps et mille écus de moins, suite d'un pari que son cheval de 5000 fr. lui a fait perdre. Pour comble de malheurs, en rentrant il trouve son frère Henri accable Ferdinand de reproches et d'injures. Il est décidé à se couper la gorge avec lui. IVe, Frémont paraît, comme Jocaste sur le champ de bataille d'Eleocle et de Polynice, magna cum majestate malorum. Elle fait paraître la douleur et la tendresse maternelles. Vains efforts, l'impétueux Henri s'échappe pour se préparer au combat. Moins emporté, Ferdinand réfléchit et loat à coup le voilà redevenu un autre homme. Ce n'est plus ce frère impie qui voulait élever sa grandeur sur la ruine de son frère. La conversion de Saul sur le chemin de Damas ne fut pas plus prompte. Il renonce à Amélie, il abjure toutes les vanités du monde; il ne devra son avancement qu'à son courage et à la régularité de sa conduite; il réconciliera Henri avec M. Frémont. Le prodige de l'autorité d'une mère le cède à peine aux miracles de la grâce victorieuse. Le changement surnaturel de Ferdinand produit une impression fort naturelle sur le cœur de Henri. Il sait que son frère doit se battre; il prend les devants, et court se présenter à son adversaire. Il faut que cet adversaire soit un singulier personnage pour accepter un pareil remplaçant : "Je n'ai pas affaire à vous; nous n'avons rien à démêler ensemble quand j'aurai terminé avec votre frère, s'il vous plaît de le venger nous serons quitte." Voilà ce que les lois
mort q vous menaçait de toute part ! Oui sals, vous avez prouvé à l'Univers que vous étiez dignes de ce beau nom q l'Europe respecte et admire." La non qui vous reçoit aujourd'hui dans son sein avec tant d générosité est trop confiante dans te subordination pr .nerpse Que ft cependant ce frère si favorisé ? Il e parti pr la course u un cheval acheté la veille aux frais de son père. Il a rencontré des mauvais paisats qui l'ont piqué sur sa baïonnette, il revient ave un duel sur le p e mille écus de moins, suite d'un pari que son chvl de 5000 fr. lui a fait perdre. Pour comble de alus, en rentrant il trouve son frère Henri accable rdinad de reproches et d'injures. Il est décdé à se couper la gorge avec lui. IVe, Frémont paraît, comme Jocaste sur le hap de bataille dEleocle et de Polynice, mgn cum mjstt malorum. Elle tiaf paraître la douleur et la tendresse maternelles. Vains efforts, l'impétueux Henri s'échappe pour se préparer au combat. Moins emporté, Ferdinand réfléchit et loat à coup le voilà redevenu un autre homme. Ce es plus ce frère impie qui voulait élvr sa grndr sur la ruine de son frère. La conversion de Saul sur le chemin de Damas ne tfu pas plus prompte. Il renonce à Amélie il abjure toutes les vanités du monde; il ne devra son avancement qu'à son courage et à la régularité de sa ondue il éconlia Henri avec M. Frémont Le prodige de l'autorité d'une mère le cède à peine aux irale de la grâce victorieuse Le changement surnaturel de Ferdinand produit n impression fort naturelle sur e cœur de Henri. Il sait que son frère doit se battre; il prend les devants, et court se présenter son avrie. Il faut que cet adversaire soit un singulier personnage pour accepter n pareil remplaçant : "Je n'ai pas affaire à vous; nous n'avons rien à démêler ensemble quand j'aurai terminé avec votre frère, s'il vs plaît de le venger nous srns quitte." Voilà ce que les lois
grandeur sur la ruine de son frère. La conversion de Saul sur le chemin de Damas ne fut pas plus prompte. Il renonce à Amélie, il abjure toutes les vanités du monde; il ne devra son avancement qu'à son courage et à la régularité de sa conduite; il réconciliera Henri avec M. Frémont. Le prodige de l'autorité d'une mère le cède à peine aux miracles de la grâce victorieuse. Le changement surnaturel de Ferdinand produit une impression fort naturelle sur le cœur de Henri. Il sait que son frère doit se battre; il prend les devants, et court se présenter à son adversaire. Il faut que cet adversaire soit un singulier personnage pour accepter un pareil remplaçant : "Je n'ai pas affaire à vous; nous n'avons rien à démêler ensemble quand j'aurai terminé avec votre frère, s'il vous plaît de le venger nous serons quitte." Voilà ce que les lois de l'honneur prescrivaient de dire, voilà pourtant ce que Morinval ne dit pas. Il se bat contre Henri et le tue. Ferdinand survient, et est tué à son tour. M. Frémont et Amélie ont suivi les combattants sur le champ de bataille. Elles voient tomber les deux victimes, et rentrent pour remplir la scène de leurs cris, et apprendre à M. Frémont ce que coûte à une famille désolée l'érection d'un majorat. L'idée de faire périr les deux fils par suite d'une rivalité de fortune et d'amour, est évidemment empruntée à la Fiancée de M. Escham. "Soldats, vous pourriez la compromettre dans la neutralité qu'elle a cru devoir adopter, et je me suis offert à elle comme un garant de votre conduite." "Soldats, quand nous nous retrouverons au milieu de nos chers compagnons d'armes, nous leur dirons : "À la constance avec laquelle nous savons supporté nos souffrances, égale la valeur que vous nous avez déployée; nous sommes dignes de vous." Et alors ils nous presseront dans leurs bras, et alors notre sang versé pour l'héroïque entreprise conçue par notre maître et Roi, témoignera de tout notre dévouement à cette belle cause. "J'aime à croire que les soldats que j'ai
grandeur su la riuen e sn frère. La conversion de Saul sur le chmn d Damas ne fut pas plus prompte. Il rnnc à Amélie il abjure toutes les vanités du monde; il ne dera son avanet qu'à son courage et à la régularité de sa conduite; il réconciliera Henri e M. Frémont. Le prodige de ai'utorélt mère le cède à peine aux miracles de la grâce victorieuse. Le changement surnaturel de Ferdinand produit une mpesn fort naturelle sur le cœur de Henri. Il sait que son frère doit se battre; il nrepd ls devants, et court se présenter à son adversaire. l faut que cet adversaire soit un singulier personnage pour acepe un pareil remplaçant : "Je n'ai asp affaire à vous; nous n'avons nier à démêler ensemble quand j'aurai mné avec votre frère, s'il vs plaît de le venger nous serons quitte Vlà ce que les s de l'honneur prescrivaient de dire, voilà pourtant ce que Morinval ne dit ps. Il se bat contre Henri et le tue. Ferdinand survient, et est tué à son tour. . Frémnt et Amélie ont uv les cmbatts sur le chm de bataille. Elles voient tomber les deux victimes, et rentrent pour rmplr la scène de leurs cris, et apprendre à M Frémont ce que coûte à une famille désolée l'érctn d'un majorat L'idée de faire périr les dx fils suite d'une étilrvia d fortune et d'amour, est évidemment empruntée la Fié de M. Escham. "Soldats, vous pourriez la compromettre dans la netrlié qu'elle cru devoir adopter et j me suis ffrt à elle coe un garant de votre conduite "Sols, quand nous ns retrouverons au milieu de nos chrs compagnons d'armes, nous lr dirons : "À la constance avec laquelle n savons supporté ns souffrances, ga la valeur que vous nous avez déployée; nous sommes dgns de vous." Et alors ls ou presseront dans leurs brs, et alors notre sang versé pour l'héroïque entreprise conçue pr notre mîtr t Roi, égnera de t ot dévouement à cette belle cause. "J'aime à croire qeu les soldats que j'ai
pour remplir la scène de leurs cris, et apprendre à M. Frémont ce que coûte à une famille désolée l'érection d'un majorat. L'idée de faire périr les deux fils par suite d'une rivalité de fortune et d'amour, est évidemment empruntée à la Fiancée de M. Escham. "Soldats, vous pourriez la compromettre dans la neutralité qu'elle a cru devoir adopter, et je me suis offert à elle comme un garant de votre conduite." "Soldats, quand nous nous retrouverons au milieu de nos chers compagnons d'armes, nous leur dirons : "À la constance avec laquelle nous savons supporté nos souffrances, égale la valeur que vous nous avez déployée; nous sommes dignes de vous." Et alors ils nous presseront dans leurs bras, et alors notre sang versé pour l'héroïque entreprise conçue par notre maître et Roi, témoignera de tout notre dévouement à cette belle cause. "J'aime à croire que les soldats que j'ai l'honneur de commander n'oublieront jamais leurs devoirs mais s'il s'en trouvait un seul qui excitât les plaintes de la nation qui nous donne l'hospitalité, il recevrait un châtiment exemplaire. Illustre Ibérie ! tu ne pardonnerais jamais à quiconque ternirait un nom qui s'est conservé pur. Illustre Ibérie ! je vous le répète, continuez à mériter le nom héroïque d'Espagnols, justifiez la confiance de notre bien-aimé monarque et rappelez-vous les preuves d'affection que vous devez à votre commandant en chef qui bientôt vous appellera à la gloire sur le champ de bataille. Mancel DE Los Santos Guzman." M. Buchon, nommé inspecteur des archives départementales et communales, par un ministre ami des lettres, des sciences et des arts, M. de Martignac, vient d'être destitué par M. de la Bourdonnaye. Cette place avait été créée par l'ancien ministre de l'intérieur dans un but d'utilité réelle. M. Buchon était chargé de rechercher, d'examiner les énormes paperasses confusément entassées dans les préfectures et dans les bibliothèques, afin de les mettre en ordre et d'empêcher la vente ou la destruction de titres ou de chartes précieuses pour la propriété des particuliers et l'histoire du moyen-âge. Le sieur Lefèvre, aubergiste à Pont-l'Évêque, fut assassiné dans un cabaret,
pour remplir l scène de leurs cris, et apprendre à M. Frémont ce que coûte à une famille désolée l'érection d'un majorat. L'idée de faire périr les deux fils par suite d'une rivalité de tu et d'amour, est éimmet empruntée à la Fiancée de M. Escham. ldat, vous pourriez la mpmrertoteoc dns la neutralité qu'elle a cru devoir adopter, et je me suis offert elle comme un garant de votre conduite." "Soldats, quand nous nous retrouverons au milieu nos chers compagnons ', nous leur dirons : "À la constance avec laquelle nous savons supporté nos souffrances, égale la var que vous nous avez déployée nous sommes dignes de vous." Et alors ils nous presseront dans leurs bras, et alors ntr sang versé ou l'héroïque entreprise conçue par notre maître et Roi, témoignera de tout notre dévouement à tt belle cs. "J'aime à croire que les sldts que j'ai l'honneur e commander n'oublieront jamais leurs devoirs mais s'il s'en trouvait n seul qui excitât les plaintes de la nation qui nous donne l'hospitalité, il recevrait un châtiment exemplaire. Illustre Ibérie ! tu ne pardonnerais jamais à quiconque ternirait un nm qui s'est conservé pur. Illustre Ibérie ! je vous le répète continuez à mériter le nom héroïque d'Espgn justifiez la confiance de notre benmé monarque te rappelez-vous les preuves d'affection que vous devez à votre commandant en chf qui bientôt vous appellera à la gloire sr le champ de btll. Mncl DE Los Santos Guzman .M Buchon, nommé nspctr des archives départementales et communales, par un ministre ami des lettres, des sciences et des arts, M. de Martignac, vient d'être destitué par . de la Bourdonnaye. Cette place avait été créée par l'ancien irnietms de l'intérieur dans but d'tlté réelle. M. Buchon était chargé de rechercher, d'examiner les énormes paperasses confusément entassées dns les préfectures et dans les bibliothèques afin de les mettre en ordre et d'empêcher la vente ou la destruction de titres ou de chartes précieuses pour la propriété des particuliers et l'histoire du moyen-âge. Le sieur Lefèvre, aubergiste à Pont-l'Évêque, ft assassiné dans un cabaret,
le répète, continuez à mériter le nom héroïque d'Espagnols, justifiez la confiance de notre bien-aimé monarque et rappelez-vous les preuves d'affection que vous devez à votre commandant en chef qui bientôt vous appellera à la gloire sur le champ de bataille. Mancel DE Los Santos Guzman." M. Buchon, nommé inspecteur des archives départementales et communales, par un ministre ami des lettres, des sciences et des arts, M. de Martignac, vient d'être destitué par M. de la Bourdonnaye. Cette place avait été créée par l'ancien ministre de l'intérieur dans un but d'utilité réelle. M. Buchon était chargé de rechercher, d'examiner les énormes paperasses confusément entassées dans les préfectures et dans les bibliothèques, afin de les mettre en ordre et d'empêcher la vente ou la destruction de titres ou de chartes précieuses pour la propriété des particuliers et l'histoire du moyen-âge. Le sieur Lefèvre, aubergiste à Pont-l'Évêque, fut assassiné dans un cabaret, au mois de septembre 1828, avec des circonstances qui semblaient retracer l'assassinat de Fualdès. Une mendiante, que le hasard avait conduite sur le lieu du crime, en avait dénoncé les auteurs. Cette affaire, après avoir occupé, pendant plusieurs audiences la Cour d'assises du Calvados fut terminée par un arrêt qui, sur la déclaration du jury, renvoya trois des accusés absous deux autres nommés Dauge et Pourch in furent condamnés aux travaux forcés à perpétuité, pour meurtre commis avec préméditation. M. Rochelle a soutenu aujourd'hui devant la Cour de cassation le pourvoi de ces deux condamnés. Il a plaidé comme principal moyen de nullité la circonstance qu'un des jurés était frère d'un conseillerauditeur ayant voix délibérative, et faisant partie de la Cour d'assises. La Cour, sur les conclusions conformes de M. Laplagne-Barris avocat-général, n'a point accueilli ce moyen comme n'ayant été prévu par aucune loi. Le pourvoi a été rejeté. Joseph Courtoa, jeune soldat de la classe de 1827, ayant été exempté pour cause d'une infirmité, grave voulut cependant s'enrôler comme remplaçant. Ses papiers ne pouvant plus servir, il céda à de perfides conseils falsifia son certificat de libération, prit les prénoms de son frère, et signa sous cette fausse dénomination
le répète, continuez mériter le nom héroïque d'Espagnols, justifiez la confiance de notre -mibaenéi monarque et rappelez-vous les preuves d'affection que vous devez à votre commandant en h qui bientôt vous appellera à la gloire sur le champ d bataille. Mancel DE Los Santos Guzman M. Buchon, nommé inspecteur des arche départementales et communales, par un ministre ami ds lettres, des iees et des arts, M. de Martignac, vient d'être destitué par .M de l Bourdonnaye. et place avait été créée par l'ancien ministre de l'intérieur dans un but 'utilité réelle. M. Buchon était chargé de rechercher, d'examiner les énormes papes confusément entassées dans les préfectures et dans les iblitqs, afin de les ettre en ordre et dempêcher la vee ou la destc de titres ou de chartes précieuses pr la propriété des particuliers et l'histoire du oenge Le sr Lefèvre, aubergiste à Pont-l'Évêque, fut ssaanéssi dns un cabaret, au mois de septembre 1828, avec des circonstances q smblnt retracer l'assassinat e Fualdès. Une mendiante, q le hsrd avait conduite sur le lieu du crime, en taiva dénoncé les auteurs. Cette ,ieraffa après avoir ccpé, pendant plusieurs audiences la Cour d'assises du Calvados fut terminée par un arrêt qui, sur la déclaration du jury, rnvy trois des accusés bu deux autres nommés Dauge et Poch in fue damés aux travaux forcés à perpétuité, pour mrtr commis avec prémédttn. M. ole a soutenu aujourd'hui devant la Cour de cassation le pourvoi de ces deux condamnés. Il a idé comme principal moyen de nullité la circonstance qu'un des jrés était èferr dun conseillerauditeur ynt voix délibérative, te faisant partie de la Cour d'assises. La Cour, sur les conclusions conformes d M. Laplagne-Barris avocat-général, n'a point accueilli ce moyen cmm n'ayant été prév par aucune loi. Le pourvoi a été rejeté. Joseph ura jeune soldat d la classe de 1827, ayant été exmé pour cause d'une infirmité, grave voulut taenpdcen s'enrôler comme remplaçant. Ses papiers ne ont plus servir, il céda d rfsepdei conseils falsifia son certificat de oéb,natlrii prt les prénoms de son frère, te signa sous cette fausse dénomination
sur la déclaration du jury, renvoya trois des accusés absous deux autres nommés Dauge et Pourch in furent condamnés aux travaux forcés à perpétuité, pour meurtre commis avec préméditation. M. Rochelle a soutenu aujourd'hui devant la Cour de cassation le pourvoi de ces deux condamnés. Il a plaidé comme principal moyen de nullité la circonstance qu'un des jurés était frère d'un conseillerauditeur ayant voix délibérative, et faisant partie de la Cour d'assises. La Cour, sur les conclusions conformes de M. Laplagne-Barris avocat-général, n'a point accueilli ce moyen comme n'ayant été prévu par aucune loi. Le pourvoi a été rejeté. Joseph Courtoa, jeune soldat de la classe de 1827, ayant été exempté pour cause d'une infirmité, grave voulut cependant s'enrôler comme remplaçant. Ses papiers ne pouvant plus servir, il céda à de perfides conseils falsifia son certificat de libération, prit les prénoms de son frère, et signa sous cette fausse dénomination un acte de remplacement. La fraude ayant été découverte, Courton a été traduit ce matin devant la Cour d'assises où il a franchement avoué sa faute. Le jury a prononcé son absolution. Le tribunal correctionnel a condamné aujourd'hui à six mois de prison et 25 fr. d'amende le nommé Walder, conducteur d'omnibus pour s'être permis des voies de fait, par jalousie de métier, envers un cocher au service des dames blanches. On écrit de Valenciennes, 23 septembre « Les rapports que nous recevons de toutes les parties de notre arrondissement, sur l'abondance des eaux, n'ont rien de rassurant. La vallée de la Scarpe est presqu'impraticable les prairies entre Condé et Thivencelles sont inondées comme au sein de l'hiver les chemins de traverse sont partout en si mauvais état que les fermiers sont très embarrassés pour conduire les engrais sur leurs terres. Les nouvelles des Pays-Bas sont encore plus désastreuses; dans les communes du Waal et de la Meuse, les bestiaux ont été retirés dans les étables où il faut leur porter en bateaux une nourriture avariée. Une publication qui a produit en Allemagne une vive sensation, les Mémoires de J. Casanova de Seingalt a été traduite et imprimée en français
sur la déclaration du jury, renvoya trois des accusés absous deux trs nommés Dauge t Pourch in furent condamnés x travaux ésrfco à perpétuité, pour meurtre commis avec .tééioinrmdtap . Rochelle soutenu aujourd'hui devant la Cour de csstn le prv de ces deux condamnés. Il a plaidé comme principal moyen de nullité la circonstance qu'un des jurés était frère d'un conseillerauditeur ayant voix délibérative, et faisant partie de la Cr 'assises. La Cour, sur les conclusions conformes d M. Laplagne-Barris avocat-général, n'a point accueilli c moyen comme n'ayant été prévu pra aucune loi. Le pourvoi a été rejeté. Joseph Courtoa, jeune soldat de la classe de 1827, ayant été emxptée p cause d'n infirmité, gr voulut eed s'enrôler ome remplaçant. Ses papiers ne pouvant lusp servir, il a à de perfides conseils falsifia son certificat de libération, prit les prénoms d son frère, et signa sous cette fausse dénomination un acte d remplacement. La fraude ayant été découverte, n a été traduit ce matin devant la Cour dassises où il a franchement avoué sa faute. Le jry a prononcé son absolution. Le tribunal correctionnel a condamné jrd'h à xsi mois de prison t 2 fr. d'amende le nommé Walder, conducteur d'omnibus pour s'être ris des voies d fait, par jalousie de métier, envers un cocher au service des dames blanches. On écrit d Valenciennes, 23 septembre Les rapports que nous recevons de toutes les parties de notre arrondissement, sur l'abondance des x, n'ont rien de rassurant. La vallée de la Scarpe est reqmpatle les prairies entre d et Thivencelles snt inondées comme au sein de l'hiver les chemins d traverse snt partout en si mauvais état que ls fermiers sont très embarrassés pour conduire les engrais sur lrs terres. Les nouvelles des Pays-Bas sont encore plus désastreuses; dans les communes du laaW et de la Ms, les bestiaux ont été retirés dans les étables où il faut leur porter en bateaux une nourriture avariée. Une pulcatio qui a produit en Allemagne une vive sensation, les Mémoires de J. Casanova de Seingalt a été traduite et imm en français
conducteur d'omnibus pour s'être permis des voies de fait, par jalousie de métier, envers un cocher au service des dames blanches. On écrit de Valenciennes, 23 septembre « Les rapports que nous recevons de toutes les parties de notre arrondissement, sur l'abondance des eaux, n'ont rien de rassurant. La vallée de la Scarpe est presqu'impraticable les prairies entre Condé et Thivencelles sont inondées comme au sein de l'hiver les chemins de traverse sont partout en si mauvais état que les fermiers sont très embarrassés pour conduire les engrais sur leurs terres. Les nouvelles des Pays-Bas sont encore plus désastreuses; dans les communes du Waal et de la Meuse, les bestiaux ont été retirés dans les étables où il faut leur porter en bateaux une nourriture avariée. Une publication qui a produit en Allemagne une vive sensation, les Mémoires de J. Casanova de Seingalt a été traduite et imprimée en français elle forme quatorze volumes. L'ouvrage complet maintenant est recherché avec empressement. Les aventures étranges qu'il renferme sont racontées avec tant d'attraits et de vérité, qu'on croit vivre encore au milieu d'un grand nombre de personnages célèbres du siècle dernier. Nous en rendrons compte. Sinue, espèce de tragédie chorégraphique de Schiller. Mais, dans sa Fiancée, Schiller est moins que dans tout autre de ses ouvrages un modèle à suivre. D'ailleurs le titre de tragédie, l'élévation du rang des personnages souverains de Messine, des intérêts politiques défendus ou attaqués par la voie des armes, la situation terrible de deux frères épris à l'insu l'un de l'autre de la même femme qui se trouve être leur sœur la noblesse de caractère de don César qui après avoir poignardé D. Manuel au moment où celui-ci enlevait Béatrix, s'immole ensuite lui-même sur le corps de son frère, le mouvement lyrique des chœurs le style habituellement soutenu d'un dialogue grandiose et héroïque voilà plus de conditions qui l'ont exige pour motiver un dénouement ensanglanté et tragique. Il n'y a rien de tout cela dans le drame bourgeois de M. de Cournol. L'événement même du double duel ne conclut rien en faveur de la thèse morale de
conducteur domnibus orpu sêtre permis des voies de fait, par jalousie de métier, nr un cocr au service des dames blanches. On écrit de Valenciennes, 23 septembre « Les rapports que nous receon de toutes les parties e notre arrondissement, sur l'abondance des eaux n'nt rien de rassurant. La vallée de la Scarpe est presqu'impraticable les prairies entre Condé et Thivencelles sont inondées comme au sein de l'hiver les chemins de traverse sont partout en s mauvais état que les fermiers sont très embarrassés pour conduire les engrais su leurs terres. Les nouvelles des Pays-Bas sont encore plus désastreuses; dans les communes du Waal et de la Meuse les bestiaux ont été retirés dans les étables où il faut leur porter en bateaux une nourriture arie. Une publication q a produit en Allemagne une vive sensation, les Mémoires de J Casanova de Seingalt été trdt et imprimée en français elle rm quatorze volu. L'ouvrage complet maintenant est recherché avec empressement. Les aventures étranges qu'il renferme sont racote avec tant d'attraits et de vérité, qu'on croit vivre ncr au ml d'un grand nombre de aeennsgrops célèbres d siècle dernier. Nous en rendrons compte. Sinue, espèce de tragédie chorégraphique de Schiller. Ms, dans sa Fiancée, Schiller est moins que dans tout autre de ses ouvrages un modèle à suivre. D'ailleurs le titre de ,éerdatig l'élévation du rang s personnages souverains de ssie des intérêts politiques défendus ou attaqués par la voie des armes, la situation terrible de deux frères épris à lsu l'un de l'autre de la même femme qui e trouve êtr leur sœur la noblesse de caractère de don Césr qui après avoir poignardé D. Manuel au moment celui-ci enlevait Béatrix, 'immole ensuite lui-même sr le corps de son frère, le mouvement lyrique des chœurs le style habituellement soutenu dun dialogue grandiose et héroïque voilà plus de conditions qui ln'ot exige pour motiver n dénouement ensanglanté et tragique. Il n'y a e de tout cela dans le drame bourgeois de M de Crnl. L'événement même du double duel ne conclut rien en faveur de la thèse morale de
Mais, dans sa Fiancée, Schiller est moins que dans tout autre de ses ouvrages un modèle à suivre. D'ailleurs le titre de tragédie, l'élévation du rang des personnages souverains de Messine, des intérêts politiques défendus ou attaqués par la voie des armes, la situation terrible de deux frères épris à l'insu l'un de l'autre de la même femme qui se trouve être leur sœur la noblesse de caractère de don César qui après avoir poignardé D. Manuel au moment où celui-ci enlevait Béatrix, s'immole ensuite lui-même sur le corps de son frère, le mouvement lyrique des chœurs le style habituellement soutenu d'un dialogue grandiose et héroïque voilà plus de conditions qui l'ont exige pour motiver un dénouement ensanglanté et tragique. Il n'y a rien de tout cela dans le drame bourgeois de M. de Cournol. L'événement même du double duel ne conclut rien en faveur de la thèse morale de sa pièce les deux frères sont tués, soit; mais ils pouvaient ne pas l'être; ils ne devaient même pas l'être l'un l'autre; car, encore une fois, la démarche généreuse de Henri n'est qu'une témérité sans conséquence. Morinval est un spadassin de profession, s'il en tire avantage; or, il n'est pas dans la règle de se battre contre un spadassin et heureusement il n'y est pas davantage qu'un spadassin soit toujours heureux. En dernière analyse, le Majoral doit être jugé comme coup d'essai et, considéré comme tel, il mérite des encouragements et des éloges. Il viendra un moment où l'auteur apprendra de sa propre expérience à combiner plus fortement ses plans, à conduire son action à travers des obstacles plus habilement ménagés à inventer des ressorts qui se prêtent avec plus de flexibilité au mécanisme et aux exigences de l'art. M. de Cournol paraît avoir une grande facilité; il en abuse quelquefois. Généralement parlant, ses tirades sont longues et ne sont pas toujours convenablement placées. Je n'en veux pour exemple que le passage où la jeune Amélie répond aux reproches d'insubordination que lui adresse M. de Frémont, par un éloge pompeux de la supériorité des mœurs de la jeunesse actuelle sur
Mais, dans sa Fiancée, Schiller e moins que dans tout uatre de ses ouvrages un modèle à suivre. D'ailleurs le titre de tragédie, lvan du rang des personnages souverains de Messine, des ntérêts politiques ndésdfue ou attaqués par la voie des armes, la situation terrible de deux frères épris à l'insu l'un de l'autre d la même femme qui se trouve être leur sœur al noblesse de caractère de don César ui après avoir poignardé D. Manuel au mmnt où celui-ci enlevait Béatrix, s'immole ensuite lui-même sur le corps de son frère, le mouvement lyrique des chœurs le style habituellement soutenu d'un dialogue grandiose et héroïque voilà plus de conditions qui l'ont exige pour motiver un dénouement ensanglanté et trgq. Il n'y a rien de tout cela dns le drame bourgeois de M. de Cournol. L'éve même double duel ne conclut rien en faveur de la thèse morale de sa pèc les dx rsèref sont tués, soit; mais ils pouvaient ne pas l'être; ils ne devaient même pas l'être 'un l'autre; car, encore nue fois, la démarche généreuse de Henri 'est qu'une témérité sans csqece. Morinval est un spadassin de profession, s'il en tire avantage; or, il nest pas dans la règle de s battre contre n spadassin et heureusement il n'y e pas davantage qu'un spadassin soit toujours heureux. En dernière analyse, le Mjrl doit être jugé eomcm coup dessai et, considéré comme tel, li mrte des encouragements et des éloges. Il viendra un moment où lauteur apprendra de sa propre expérience à combiner plus oemet s plans, à conduire on action à travers des obstacles plus habilement ménagés à inventer des ressorts qui s prêtent avec plus de flexibilité au mécanisme et aux exigences de 'art. M. de Cournol atparî avoir une grande fcilité li en abuse quelquefois. Généralement parlant, ses tirades nt longues et ne snt pas toujours convenablement placées. Je n'en veux pour exemple que le passage où la jeune Amélie répond aux reproches 'insubordination que lui adresse M. de Frémont, par un ogeél pompeux de la supériorité des mœurs de la nes actuelle sur
dans la règle de se battre contre un spadassin et heureusement il n'y est pas davantage qu'un spadassin soit toujours heureux. En dernière analyse, le Majoral doit être jugé comme coup d'essai et, considéré comme tel, il mérite des encouragements et des éloges. Il viendra un moment où l'auteur apprendra de sa propre expérience à combiner plus fortement ses plans, à conduire son action à travers des obstacles plus habilement ménagés à inventer des ressorts qui se prêtent avec plus de flexibilité au mécanisme et aux exigences de l'art. M. de Cournol paraît avoir une grande facilité; il en abuse quelquefois. Généralement parlant, ses tirades sont longues et ne sont pas toujours convenablement placées. Je n'en veux pour exemple que le passage où la jeune Amélie répond aux reproches d'insubordination que lui adresse M. de Frémont, par un éloge pompeux de la supériorité des mœurs de la jeunesse actuelle sur celles du siècle dernier. Il est trop évident que le poète s'est trompé de personnage. Le ministre de l'instruction publique vient de faire souscrire à l'ouvrage intitulé Collection selecta S.S. Ecclesiœ Patron que publie l'éditeur Méquignen-Havard. Les courses des chevaux auront lieu à Paris au champ de Mars savoir Dimanche prochain, 27 septembre, à midi, pour les prix d'arrondissement au nombre de quatre. Le mardi suivant, à la même heure, pour le prix de département. Ne dimanche, 4 octobre à une heure, pour les deux prix royaux. Le dimanche suivant, à la même heure, pour le prix du Roi et pour le prix du Dauphin. Une école centrale, normale, primaire, destinée à former des instituteurs capables de créer dans les départements des écoles semblables, vient d'être établie sous la direction de M. Tisserand. Cette institution concourra sans doute à propager les études dans toute la France. BEAUX-ARTS. Concours pour le grand Prix de Peinture. Dix élèves ont été admis à concourir cette année, et leurs dix tableaux sont exposés en ce moment à l'Académie des Beaux-Arts. Ces ouvrages, pris ensemble, sont incomparablement meilleurs que ceux du concours de l'an passé. Toutefois la grande majorité d'entre eux est empreinte de cette
dans a règl de se battre contre n spadassin t heureusement il n'y est pas davantage qu'un spassin soit toujours heureux. En dernière analyse, le Majoral doit être jugé comme coup d'essai et, considéré comme tel, l mért des encouragements et des éloges. Il viendra un moment où l'auteur apprendra de sa propre expérience à combiner plus fortement ses plans, à conduire son action à s des obstacles plus habilement ménagés à inventer sde ressorts qui se prêtent avec plus de flxblté au mécanisme et aux exigences de l'art. M. de Cournol paraît avoir une grande fclté; il en abuse quelquefois. Généralement parlant, ses tirades sont longues et ne sont pas toujours convenablement placées. Je n'en veux pour exemple que le passage où la jeune Amélie édorpn aux reproches d'insubordination que lui adresse M. de Fémon par un éloge pompeux de la supériorité des mœurs de la jeunesse actuelle sur celles du siècle dernier. Il est trop évident que le poète s'est trompé de proae Le ministre de l'instruction publique vient de faire souscrire à l'ouvrage intitulé Collection selt S.S. Ecclesiœ Patron que publie l'éditeur Méquignen-Havard. Les courses des chevaux auront lieu à Paris a champ de Mars svr Dimanche prochain, 27 terb,epsme à midi, pour les prx d'arrondissement au nmbr de quatre. Le mardi suivant, à la même hr, pour le ix de département. Ne dimanche 4 octobre à une heure pour les deux prix royaux. Le dimanche suivant, à la même heure, pour le prx du Roi et pour l prix du Dauphin. Une école centrale, rle, primaire, destinée à former des instituteurs capables de créer dns les départements des écoles semblables, vnt d'être établie sous la direction de M. Tisserand Cette institution concourra sans doute à propager les études dans toute la rF.anec BEAUX-ARTS. Concours pour le grand Prx ed Peinture. Dix élèves ont été admis à concourir cette année, et er dix tableaux nt exposés en ce mmnt à cai des Beaux-Arts. Ces ouvrages, pris ensemble, sont incomparablement meilleurs que ceux du nrusocco de l'an passé. Ttfs la grande majorité d'entre eux est empreinte de cette
prochain, 27 septembre, à midi, pour les prix d'arrondissement au nombre de quatre. Le mardi suivant, à la même heure, pour le prix de département. Ne dimanche, 4 octobre à une heure, pour les deux prix royaux. Le dimanche suivant, à la même heure, pour le prix du Roi et pour le prix du Dauphin. Une école centrale, normale, primaire, destinée à former des instituteurs capables de créer dans les départements des écoles semblables, vient d'être établie sous la direction de M. Tisserand. Cette institution concourra sans doute à propager les études dans toute la France. BEAUX-ARTS. Concours pour le grand Prix de Peinture. Dix élèves ont été admis à concourir cette année, et leurs dix tableaux sont exposés en ce moment à l'Académie des Beaux-Arts. Ces ouvrages, pris ensemble, sont incomparablement meilleurs que ceux du concours de l'an passé. Toutefois la grande majorité d'entre eux est empreinte de cette exagération théâtrale qui altère le geste, dénature les formes et altère la vérité de la couleur. Enfin, ce qu'à tort ou à raison l'on appelle le style académique se fait plus ou moins sentir dans neuf de ces ouvrages. Le sujet donné est fort beau. C'est le moment où les fils de Jacob viennent demander Benjamin à leur vieux père. Celui-ci retient son dernier en disant à ses enfants « Vous savez que j'ai eu deux fils de ma femme; l'un d'eux étant allé aux champs, vous m'avez dit que une bête l'avait dévoré, et il ne paraît point jusqu'à cette heure. Si vous emmenez encore celui-ci, et qu'il lui arrive quelque accident dans le chemin, vous accablerez ma vieillesse d'une affliction qui la conduira dans le tombeau. » Telles sont les paroles mêmes de la Bible où ce fait est rapporté avec toute la simplicité patriarcale. Le tableau n° 10, de M. Etex, jeune homme sans expérience de son art, mérite cependant d'être mentionné. La scène est bien écrite, les gestes sont vrais et expressifs, et enfin, si la majesté biblique ne se retrouve pas dans cet essai, il y a au moins quelque chose de sa simplicité. L'auteur
prochain, 27 septembre, à id, pour les prix d'arrondissement au nombre de quatre. L mardi suivant, à la même hr, pour le prix de département. e dimanche, 4 octobre à une hr, pour les deux prix royaux. Le hcimedan suivant, à la même hr, pour l prix du R et pour le prix du Dphn. Une école centrale, normale, prmr, destinée former des instituteurs capables e créer dans les départements des écoles semblables, vient d'être iatelbé sous la drctn de M. ei.ssdnaTr Cette institution concourra nsas doute rgpoapre les étds dns toute la France. BEAUX-ARTS. Concours pour le grand Prix de Pntr. Dix élèves ont été dms à concourir ctt année, et leurs dx tableaux sont exposés en ce moment à l'Académie e Beaux-Arts. Ces vrgs, pris ensemble, sont incoabeme meilleurs que ceux du concours de l'an passé. outefs la grande majorité d'entre xeu est empreinte de cette exagération théâtrl q altère l geste, dénature les formes et altère al vérité de la oleur. Enfin, ce q'à tort ou raison l'on appelle le style cdémq se fait plus ou moins sentir dans neuf de ces ouvrages. Le sujet donné st fort beau. C'st le moment où ls fils de boacJ viennent demander Benjamin à e vieux père. Celui-ci retient son dernier en disant à ses enfants « Vous savez que j' eu deux fils ed ma femme; l'un d'eux étant allé aux champs, vous m'avez dit que une bête l'avait dévré, et il ne paraît point jusqu'à cette heure. Si v emmenez ec celuici et qu'il lui arrive quelque accident dans chemin, vous accablerez ma vieillesse d'une fflctn qui la conduira dans le tombeau. » Teles sont les paroles meêms ed la Bible où ce fait est rt avec toute l simplicité patriarcale. Le tableau n° 1,0 de M. Etex, jeune homme sans expérience de son art, mérite cependant dêtre mentionné. La cèn est bien écrite, les gestes sont vrais et expressifs et enfin, la majesté biblique ne se retrouve pas dans cet essai, il y a au moins quelque chs de sa simplicité 'auteur
fils de Jacob viennent demander Benjamin à leur vieux père. Celui-ci retient son dernier en disant à ses enfants « Vous savez que j'ai eu deux fils de ma femme; l'un d'eux étant allé aux champs, vous m'avez dit que une bête l'avait dévoré, et il ne paraît point jusqu'à cette heure. Si vous emmenez encore celui-ci, et qu'il lui arrive quelque accident dans le chemin, vous accablerez ma vieillesse d'une affliction qui la conduira dans le tombeau. » Telles sont les paroles mêmes de la Bible où ce fait est rapporté avec toute la simplicité patriarcale. Le tableau n° 10, de M. Etex, jeune homme sans expérience de son art, mérite cependant d'être mentionné. La scène est bien écrite, les gestes sont vrais et expressifs, et enfin, si la majesté biblique ne se retrouve pas dans cet essai, il y a au moins quelque chose de sa simplicité. L'auteur de ce tableau est peu avancé dans la carrière, mais la route qu'il a prise pourrait bien être la bonne, s'il étudie sévèrement. Macte animo! Courage! Ce concours est marqué par une singularité qu'il serait injuste de laisser ignorer au public; l'un des jeunes élèves, M. Dit Cornet, est né sans bras; c'est avec ses pieds qu'il a exécuté le tableau n° 8 dont il est l'auteur. La précision qui règne dans quelques parties de cet ouvrage éloigne absolument toute idée d'une aussi inconcevable difficulté que celle qu'a eu à vaincre l'artiste. Nous dirons même que s'il y a un défaut que ce jeune peintre doive chercher à éviter c'est celui d'une facilité qui semble ne pas lui laisser le loisir d'observer et d'imiter la nature avec assez de soin et de sévérité. Mais toute l'attention des nombreux spectateurs accourant à l'École des Beaux-Arts se porte sur les tableaux n°s 1, 2, 3 et 4 au fond de la salle. Ce sont en effet les ouvrages qui indiquent, chez les élèves qui les ont faits, une connaissance plus avancée de leur art. Commençons par les n°s 1 et 4, inférieurs aux deux autres. L'ensemble de la composition du premier (M.
fils de Jacob viennent demander Benjamin à leur vieux père. Celuici retient son dernier en isan à ses enfants « Vous savez que ai'j eu deux fils de m femme; l'un d'eux étant lalé aux champs, vous m'vz dit que une bête l'avait dévoré, et il ne paraît pnt jusqu'à cette e. Si vs nez encore celui-ci, t qlu'i lui arrive quelque accident dans le chemin, vous ccblrz ma vieillesse d'une affliction qui l conduira dns le tombeau. » slleeT sont les alpoers mêmes de la Bible où ce fait est rapporté vc toute la simplicité trae.arpcail Le tableau n° 10, de . Etex, jeune homme sans expérience de son art, ie cependant 'detêr mntnné. La scène est bien écrite, les gestes sont vrais et expressifs, et enfin, si la majesté biblique ne se retrouve pas dans cet essai, il y a au mns quelque chose d sa simplicité. L'auteur de c tableau st peu avancé dans la carrière, mais la route qu'il a prise pourrait bn êre la bonne, 'il étd sévèrement. Mce animo! Courage! Ce concours est marqué par une gisélutrani qu'il serait injuste de eilssra ignorer a public; l'un des jeunes élèvs, M. Dit Cornet, est né sans bras; c'est avec ses pieds quil a exécuté le tableau n 8 dont il est 'auteur. La précision qui erngè dans quelques parties cet vrg élgn lubsomtnea toute idée d'une aussi inconcevable difficulté que celle qu'a eu à vaincre l'artiste. Nous dirons même que y a un défaut que ce jeune peintre doive chercher à évtr c'est celui d'une facilité qui elmesb ne pas lui ae le loisir d'observer et dimiter a ntr avec assez d soin et de sévérité. Mais toute l'attention des nombreux saeus cntaaorcu à l'École des Beaux-Arts se porte ur les n°s 1, 2, 3 et 4 au fond de la salle. Ce snt en effet les ouvrages iqu indiquent, chez les ève qui les ont faits, nue connaissance plus avancée de leur art. Commençons par les ° 1 et , inférieurs aux deux autres 'ensemble de la composition du premier (M.
sans bras; c'est avec ses pieds qu'il a exécuté le tableau n° 8 dont il est l'auteur. La précision qui règne dans quelques parties de cet ouvrage éloigne absolument toute idée d'une aussi inconcevable difficulté que celle qu'a eu à vaincre l'artiste. Nous dirons même que s'il y a un défaut que ce jeune peintre doive chercher à éviter c'est celui d'une facilité qui semble ne pas lui laisser le loisir d'observer et d'imiter la nature avec assez de soin et de sévérité. Mais toute l'attention des nombreux spectateurs accourant à l'École des Beaux-Arts se porte sur les tableaux n°s 1, 2, 3 et 4 au fond de la salle. Ce sont en effet les ouvrages qui indiquent, chez les élèves qui les ont faits, une connaissance plus avancée de leur art. Commençons par les n°s 1 et 4, inférieurs aux deux autres. L'ensemble de la composition du premier (M. Signol) est ordinaire et le personnage de Jacob manque de simplicité. Le dessin est faible. On serait tenté de parler de l'effet piquant que l'on remarque dans celui du n° 2 (M. Desmousseaux), où Amélie a mis dans la bouche d'Amélie ce qui n'eût été convenable que dans celle de Mme Frémont. Je reprocherai encore à M. de Cournol un défaut qui lui est commun avec plusieurs autres auteurs de notre époque, c'est celui de négliger les nuances de dire trop crûment ce qui ne doit être dit qu'avec réserve et avec délicatesse en un mot, de ne rien sous-entendre et de ne jamais rechercher l'effet des réticences et des demi-mots. Il résulte de cette manière trop lourde et trop facile une sorte de monotonie vulgaire qui fournit rarement au spectateur le charme de la surprise, le plaisir de l'imprévu. C'est un des secrets de l'art; il ne s'apprend que par le temps et par l'étude des modèles. De ce défaut naît cependant un mérite, celui de la clarté. A cet égard le style de M. de Cournol est irréprochable. Il ne court pas après l'expression bizarre et travaillée. Sa démarche est juste, et très souvent il la rend avec
brs; c'est avec ses pieds quil a exécuté le tableau n° 8 dont il est l'auteur. La érpiocisn qui règn dans quelques prts de c rugoeva éloigne absolument toute idée d'une aussi inconcevable dffclté celle qua eu à vaincre l'artiste. Nous dirons même que s'il y un défaut que ce jeune peintre doive chercher à éviter 'est celui d'une facilité qui semble ne pas lui laisser l loisir d'observer et d'imiter la nature a assez de soin et de sévérité. Mais toute l'attention des nombreux spectateurs acurat à l'École des Beaux-Arts se por sur les tablau ns 1, 2 3 et 4 au fond de la salle. Ce sont n fft les ouvrages qui indiquent, chez les élèvs qui les ont faits, une connaissance plus éacvane de leur art Commençons par les °s et 4, freurs aux deux autres. L'ensemble de la composition du premier (M. Signol) est ordinaire et le personnage de Jacob mnq de simplicité. Le dessin est faible. On serait tenté d parler de l'fft piquant que l'on remarque dans celui du n° 2 (M. Desmousseaux), où Amélie a mis dans la bouce d'Amélie ce u n'eût été convenable que dans celle Mme Frémont. Je reprocherai encore à .M d Cournol un défaut qui lui est commun aevc plusieurs autres auteurs de notre époque, c'est celui de négliger les nuances d dire trop crûment ce qui ne doit être dit qu'avec réserve et vec délicatesse en un mot, de ne ien sous-entendre et de ne jms rechercher l'effet des rétcncs et des emi-mts Il réslt de cette manière trop ore te trop facile une sorte de monotonie vulgaire q fournit rarement au spectateur le charme de l srs le sir de ué.pl'vmir C'est un des secrets de l'art; l ne s'apprend que par le temps et par 'étude des modèles. De ce éf naît cependant un mérite, celui de la lat A cet égard le style de M. de ouo est irréprochable. Il en court ps près l'expression barre et travaillée. Sa démarche est juste, et très souvent il la rnd avec
Mme Frémont. Je reprocherai encore à M. de Cournol un défaut qui lui est commun avec plusieurs autres auteurs de notre époque, c'est celui de négliger les nuances de dire trop crûment ce qui ne doit être dit qu'avec réserve et avec délicatesse en un mot, de ne rien sous-entendre et de ne jamais rechercher l'effet des réticences et des demi-mots. Il résulte de cette manière trop lourde et trop facile une sorte de monotonie vulgaire qui fournit rarement au spectateur le charme de la surprise, le plaisir de l'imprévu. C'est un des secrets de l'art; il ne s'apprend que par le temps et par l'étude des modèles. De ce défaut naît cependant un mérite, celui de la clarté. A cet égard le style de M. de Cournol est irréprochable. Il ne court pas après l'expression bizarre et travaillée. Sa démarche est juste, et très souvent il la rend avec autant d'élégance que de bonheur. Je pourrais signaler certaines incorrectes, comme, par exemple, l'effort; je sais ce qu'envers vous j'ai d'obligation vous inspiriez sous ardent plaidoyer. Ce sont de légères taches que quelques minutes de révision feront disparaître. J'ai noté aussi des réminiscences assez fréquentes d'Andromaque, de Phèdre, de Britannicus, d'Adélaïde Duguesclin, qui prouvent du moins que M. de Cournol n'est pas maladroit dans le choix des poètes dont il orne sa mémoire. Mais je pense à réserver la place qui me reste pour annoncer le succès d'un drame dont le motif principal n'a trouvé que sympathie dans l'assemblée, et qui a été constamment applaudi comme ouvrage d'un excellent citoyen et d'un poète dont l'avenir nous révèle sous les plus heureux auspices. M. Desmousseaux est excellente dans toute la partie sentimentale et naïve du rôle de Mme Frémont. La partie tragique est un peu forte pour ses moyens; mais il est impossible de mieux s'approprier la physionomie, l'accent, les habitudes d'intérieur d'une bonne mère de famille. C'est son mari, chargé, ou plutôt accablé du rôle de Frémont, qui est venu, au milieu des applaudissements proclamer le nom de M. de Cournol, lu ce tableau si cette qualité, devenue aujourd'hui si
Mm Frémont. Je reprocherai encore à M de Cournol n défaut qu l est commun avec plusieurs autres trs de notre époque, c'est celui négliger les nuances de de trp crûment ce qui n doit être dit qu'avec réserve et avec délicatesse en un mot, de ne rien sous-entendre et de ne jamais rechercher 'effet ds réticences et ds dm-mts. Il résulte de ctt irmèena trop lourde et trp facile n sorte de ne vulgaire qui fournit rarement au spectateur le harme de la surprise, le plaisir de l'imprévu. C'est un ds scrs de l'art; il ne sapprnd que par l temps et pr l'étude des modèles. ce défaut naît cependant un mér,tie cl de la clrté. A cet égard le style de M. de Cournol est répocab. Il ne court pas après l'expression bizarre et avée. Sa démarche est juste, et très souvent il la rnd avec tnt 'égc que e bonheur. Je pourrais signaler crtns incorrectes, comme, par exemple, l'effort; je sais ce qu'envers vous j'ai blti vous inspiriez ss ardent pldyr. C sont de légèrs taches que quelques minutes de révision feront tpadaiîrs.er J'ai noté aussi des inérsmecicsen ssz efetnqsuér d'Andromaque, de Phèdre, de Britannicus, dAdélaïde ugescli qui rouvt du moins que M. de ourn n'est pas maladroit dns le choix des poètes dont il orne sa mémr. isaM je pense à résrvr l place qui me reste pour annoncer le uccès 'un emdra dont l motif ricia n' trouvé que sympathie dans asmbl et qui a été constamment applaudi comme ouvrage d'un excllet citoyen te d'un poète dont l'avenir nous révèle sous les plus heureux auspices. M. Desmousseaux est excellente dans toute la partie sentimentale et naïve d rôl de Mme Frémont. La prt tragique est un p forte pour ses moyens; s il est impossible de mix approrie l physionomie, l'accent, les habitudes d'intérieur d'une o mèer de fmll. 'est son mr, chargé, plutôt accablé du rôle de Frémont, qui est venu, au milieu des applauisemt poclame le nom de M de Cournol, l ce tableau si cette qualité, dvn aujourd'hui si
d'Adélaïde Duguesclin, qui prouvent du moins que M. de Cournol n'est pas maladroit dans le choix des poètes dont il orne sa mémoire. Mais je pense à réserver la place qui me reste pour annoncer le succès d'un drame dont le motif principal n'a trouvé que sympathie dans l'assemblée, et qui a été constamment applaudi comme ouvrage d'un excellent citoyen et d'un poète dont l'avenir nous révèle sous les plus heureux auspices. M. Desmousseaux est excellente dans toute la partie sentimentale et naïve du rôle de Mme Frémont. La partie tragique est un peu forte pour ses moyens; mais il est impossible de mieux s'approprier la physionomie, l'accent, les habitudes d'intérieur d'une bonne mère de famille. C'est son mari, chargé, ou plutôt accablé du rôle de Frémont, qui est venu, au milieu des applaudissements proclamer le nom de M. de Cournol, lu ce tableau si cette qualité, devenue aujourd'hui si banale n'était détruite par la fausseté de la couleur. (À travers des tons brillants et assez vrais ce qui frappe dans le n° 4 (M. Chopin) est le désordre et l'exagération des idées, des expressions et des lignes, dont l'auteur a barbouillé son ouvrage. Jacob en retenant Benjamin et en le refusant à ses autres fils a l'air d'être attaqué de la rage. En imitant la nature en observant de quelle manière les anciens et les maîtres du moyen-âge l'ont interprétée, l'auteur du n° 4 s'apercevra bientôt qu'il tourne le dos à la véritable voie, et qu'en continuant ainsi, il risque de rendre vaines les dispositions assez brillantes que la nature semble lui avoir données. Venons maintenant aux numéros 2 et 3. Ces ouvrages ont été exécutés par des hommes dont le talent est fait cela est évident. Toutes les gaucheries d'un apprenti ont été soigneusement évitées mais non tous les défauts que nous reprochons si souvent aux élèves qui suivent tous les degrés d'initiation dans l'école. Ainsi par exemple le geste du Jacob dans le n° 2 (M. Bézard) est assez vrai, assez simple; mais on rencontre dans la figure du petit Benjamin cet éternel lieu commun dont tous
d'Adélaïde nesugDicu,l qui prouvent d moins que M ed Crnl n'est pas maladroit dns le choix des poètes dont i orne sa mémoire. Mais je pns réserver la place qui me rst pour ncer l succès d'un drm dont le motif principal n' trouvé que sympathie dans lassemblée et q a été constamment applaudi comme ouvrage 'n excellent citoyen et d'un poète dont l'avenir nous révèle sous les plus heureux auspices. M. Desmousseaux est xcllnt dans toute perati sntmntl et naïve du rôle de Mme Frémont. La eipatr tragique est un peu forte pour ses myns; mais il est mpssbl de mx s'approprier la physionomie, 'accent, ls habitudes d'intérieur d'une bonne mère de famille. C'est son mari chargé, ou lutô accablé du rôle de Frémont, qui est venu, ua milieu sde applaudissements proclamer l nom de M. de Cournol lu ce tableau si cette qualité, devenue jdi si banale n'étt détruite par la fausseté de la couleur. ( travers des tons brillants et assez vi ce qi frappe dans le n° (M. Con) est le désordre et l'exagération des idées, des expressions et des lignes, dont eaulru't a barbouillé son ouvrage. Jacob en retenant Benjamin et en le refusant à ses autres fls a 'i d'être attaqué de la rg. En imitant nature en observant de quelle manière les anciens et les maîtres du me-âe 'nlto interprétée l'tr du n° 4 s'prcvr bientôt quil tourne le dos la véritable vie et quen continuant ainsi, l risque de rendre vaines les dispositions assez brllnts ueq l nature semble ui ivoar donés. Venons maintenant aux numéros 2 et 3 Ces ouvrages ont été exécutés par des hommes dont le talent e fait cl s évdnt. Toutes les gaucheries 'un apprenti ont été soigneusement ésteivé mais non ts les défts que nous reprochons si souvent aux élèves qui suivent tous les degrés d'initiation dans l'école. Ainsi par exemple le gst du Jacob dans le n 2 (M. Bézrd) est assez vr,ia assez simple; mais on rencontre dans la figure du pit jBnianem ct éternel lieu commun dont tous
le refusant à ses autres fils a l'air d'être attaqué de la rage. En imitant la nature en observant de quelle manière les anciens et les maîtres du moyen-âge l'ont interprétée, l'auteur du n° 4 s'apercevra bientôt qu'il tourne le dos à la véritable voie, et qu'en continuant ainsi, il risque de rendre vaines les dispositions assez brillantes que la nature semble lui avoir données. Venons maintenant aux numéros 2 et 3. Ces ouvrages ont été exécutés par des hommes dont le talent est fait cela est évident. Toutes les gaucheries d'un apprenti ont été soigneusement évitées mais non tous les défauts que nous reprochons si souvent aux élèves qui suivent tous les degrés d'initiation dans l'école. Ainsi par exemple le geste du Jacob dans le n° 2 (M. Bézard) est assez vrai, assez simple; mais on rencontre dans la figure du petit Benjamin cet éternel lieu commun dont tous les tableaux de prix abondent qui consiste à placer sur un des côtés de la composition un personnage dont une jambe porte tandis que l'autre fléchit sur une estrade. Cet arrangement convenu suffit quel que soit d'ailleurs le mérite du reste de l'œuvre pour lui ravir toute la fleur de sa nouveauté. Il y a également, dans le même tableau, une imitation trop visible, et d'ailleurs si souvent reproduite, d'un des fils de Jacob s'appuyant sur son bâton. Les larcins faits à Raphaël ne peuvent plus être comptés pour des bons points même aux élèves. À ces défauts près il y a de la sagesse et de la simplicité dans la composition n° 2 et l'exécution en est soignée. Cette dernière qualité est encore remarquable dans le tableau N° 3 (M. Vauchelle). Le geste et l'expression des personnages sont vrais à l'exception toutefois du mouvement de Jacob. À voir les grands bras de ce personnage, on dirait un Oedipe de l'Opéra qui maudit, en rugissant, son fils Polynice. Le style maniéré, dit académique brille là de tout son éclat factice, et ce défaut nuit à ce que la composition renferme d'ailleurs de vrai, de judicieux et de sage. La couleur
le refusant à ses autres fils a l'air êertd' attaqué de la rag. En imitant nature en observant de quelle ai les anciens et les maîtres du moyen-âge l'ont interprétée, l'auteur du n° 4 s'cva bientôt qu'il tourne le dos à la véritable voie, et qu'en continuant ainsi, il risque de rd vaines les dispositions assez brllnts que l nature semble lui avoir données. eon maintenant aux numéros 2 et 3. Ces ouvrages ont été xéctés par des hommes dont le talent est fait cela est évident Toutes les gaucheries d'un pprnt ont été soigneusement évitées mais non tous les défts que nous reprochons si svnt aux élèvs q suivent tous lse degrés d'initiation dans l'école. Ainsi par exemple le geste du Jacob dans le n° 2 (M. Bézard) est assez vrai se simple; mais on rencontre dans la figure du petit Benjamin cet éternel lieu commun dont tous les tableaux de prix abondent qui consiste placer sur un des côtés de la composition un personnage dont une e porte ti que l'autre fléchit sur n estrade. Ct arrangement convenu iftsuf quel q sot d'ailleurs le mérite du ste de l'œuvre pour lui ravir toute la fleur de sa tvuaoené.u Il y a également, dans le même tableau, une imitation trop isile et dailleurs si sn reproduite d'un des fils de Jacob s'appuyant sur son bâton. Les larcins faits à Raphaël ne peuvent plus être comptés pour des bons points emmê aux élèves. À ces défauts près il y a de la sagesse et de la simplicité dans l composition n° 2 et 'exécution en est soignée. Cette dernière qlté est encore remarquable dns le tableau N° 3 (M. Vauchelle). Le geste t l'expression des personnages sont vrais à xtenplic'oe toutefois du mvmnt de Jcb. À vr les grands bras ed ce personnage, on dirait un Oedipe de l'Opéra qui maudit, en rugissant, son fils Polynice. Le style maniéré dit académique brille là de tout son éclat factice, et ce défaut nuit à ce que la iotpoocnism renferme d'ailleurs de vrai, de judicieux et de sage. La uruceol
sa nouveauté. Il y a également, dans le même tableau, une imitation trop visible, et d'ailleurs si souvent reproduite, d'un des fils de Jacob s'appuyant sur son bâton. Les larcins faits à Raphaël ne peuvent plus être comptés pour des bons points même aux élèves. À ces défauts près il y a de la sagesse et de la simplicité dans la composition n° 2 et l'exécution en est soignée. Cette dernière qualité est encore remarquable dans le tableau N° 3 (M. Vauchelle). Le geste et l'expression des personnages sont vrais à l'exception toutefois du mouvement de Jacob. À voir les grands bras de ce personnage, on dirait un Oedipe de l'Opéra qui maudit, en rugissant, son fils Polynice. Le style maniéré, dit académique brille là de tout son éclat factice, et ce défaut nuit à ce que la composition renferme d'ailleurs de vrai, de judicieux et de sage. La couleur est faible, et ne s'accorde pas assez avec le pays où se passe la scène. C'est entre les N° 2 et 3 qu'il nous semble qu'aurait lieu le ballotage si l'Académie n'usait pas du droit qu'elle a cette année de disposer de deux grands prix. D. Les sciences se compliquent chaque jour de leur propre perfectionnement et la seule manière possible désormais d'en comprendre et suivre tous les progrès, c'est de spécialiser le dépôt de leur enseignement et leur étude. Plusieurs publicistes ont adopté, pour diverses branches des connaissances, ce mode dès longtemps conseillé par la raison ils n'en sont pas moins heureux qu'ils ne se félicitent eux-mêmes toutes sortes de succès couronnent leurs travaux. L'application de cette méthode, à un sujet qui embrasse les plus vastes intérêts, est un besoin manifeste à toutes les intelligences et indispensable à plusieurs professions; mais pour être satisfait ce besoin, il exigeait à la fois une noble ambition, des talents spéciaux et un capital important l'édition d'un recueil spécial et complet des lois, ordonnances, décisions judiciaires et administratives intervenues en matière commerciale terrestre et maritime, notamment depuis l'institution de la Cour de cassation, et qui sont, pour la plupart, ou inédites ou disséminées
nvté. Il y également, dans le êe tableau, une imio trop visible, et d'ailleurs si ont reproduite, d'un des fils de Jacob s'appuyant sur son bâton. Ls larcins fat à Raphaël n pvnt plus être comptés pour des bons pnts même aux élèves. cs défauts près il y a de la sagesse et de la simplicité dans la composition ° 2 et l'exécution en tes soignée. Cette dernière qlté est encore remarquable d el tableau N° 3 (M. Vchll). Le geste et l'expression ds ersoag sont vrais à l'exception toutefois du mouvement de Jacob. À voir les grnds bras de ce reeoapn,sgn n dirait un Oedipe de l'Opéra qui maudit, ne rugissant, son is Polynice Le style maniéré, dit académique brille là de tout son éclat factice, et ce défaut nuit ce que la composition rnfrm d'llrs de vrai, de judicieux et de sage. La couleur e fble,ia et ne s'accorde pa assez avec le syap où se pass l e C'est entre les N° 2 et 3 qu'il nous semble qu'aurait lieu le ballotage si l'Académie uait pas du droit qu'elle cette année de disposer de deux grnds prix. D. Les sciences se compliquent hueacq jour de leur propre perfectionnement et la seule manière possible désormais d'en comprendre et sir tous les progrès, c'est de spécialiser le dépôt ed leur enseignement et ler étude. Plsrs bliist ont adopté, pour diverses brnchs des connaissances, ce md dès longtemps conseillé par la raison ls 'en sont pas moins heureux qu'ils ne se félctnt x-mêms seoutt srts de succès couronnent leurs travaux. L'pplctn de ettec méthode à un sjet qui embrasse les plus vastes intérêts, est un bsn manifeste à tuts les intelligences et indispensable plusieurs professions; iams pour têer satisfait ce besoin, il exigeait à la fois ne noble tbnom,iia des talents spéciaux et un capital important l'édition d'un recueil spécial et complet des lois, ordonnances décisions judiciaires et administratives intervenues en matière commerciale trrstr et maritime notamment depuis l'institution de la Cour de ssao t qui nt pou la plupart, ou inédites ou disséminées
chaque jour de leur propre perfectionnement et la seule manière possible désormais d'en comprendre et suivre tous les progrès, c'est de spécialiser le dépôt de leur enseignement et leur étude. Plusieurs publicistes ont adopté, pour diverses branches des connaissances, ce mode dès longtemps conseillé par la raison ils n'en sont pas moins heureux qu'ils ne se félicitent eux-mêmes toutes sortes de succès couronnent leurs travaux. L'application de cette méthode, à un sujet qui embrasse les plus vastes intérêts, est un besoin manifeste à toutes les intelligences et indispensable à plusieurs professions; mais pour être satisfait ce besoin, il exigeait à la fois une noble ambition, des talents spéciaux et un capital important l'édition d'un recueil spécial et complet des lois, ordonnances, décisions judiciaires et administratives intervenues en matière commerciale terrestre et maritime, notamment depuis l'institution de la Cour de cassation, et qui sont, pour la plupart, ou inédites ou disséminées dans une foule d'ouvrages, était vivement sollicitée par le vœu unanime du commerce, de la magistrature et du barreau; enfin il sera exaucé. M. Cappé, licencié en droit, rédacteur en chef démissionnaire de la Gazette des Tribunaux de Commerce, dont il est le fondateur, secondé par de savants collaborateurs, va, dans une publication intitulée: Répertoire commercial, remplir cette utile et honorable tâche. Pour la partie si précieuse des trente années d'arriéré qui comportera 15 volumes environ, les matières seront alphabétiquement classées, et la partie courante les offrira dans l'ordre chronologique par cahiers de 4° pages, deux fois le mois. Le format in-8° étant le plus commode sous tous les rapports, a été arrêté pour l'une et l'autre partie. La société formée pour l'exploitation financière de cette entreprise est en commandite par actions de 1000 fr. au nombre de 70, et payables par quarts de longs intervalles. D'après des calculs religieusement établis, 2000 abonnés seulement, à 20 fr. l'un par année, doivent produire, défalcation faite des frais 23,000 fr. de dividende, c'est-à-dire, 328 fr. et centimes pour chaque action. Six mille abonnés éleveraient les bénéfices annuels à 95,000 fr. et formeraient un dividende de 1560 fr. et centimes par action. Il
chaque jour de leur propre perfectionnement et la seule manière possible désormais d'en comprendre et suivre tous les prgrès, c'est de spécialiser le dépôt de rlue enseignement et leur éue. Plusieurs publses not adopté, pour diverses branches ds connaissances, ce mode dès longtemps conseillé ar la raison ils n'en sont pas moins heureux qu'ils ne se félctnt eux-mêmes toutes sortes de succès couronnent ers travaux. L'application de cette méthode à un sujet qui aesmbres les plus vastes intérêts, est n bso manifeste toutes les intelligences et indispensable à plusieurs professions; mais pour être satisfait ce besoin, il exigeait à la fois une noble ambition, ds tlnts spéciaux et un capital important l'édition dun recueil éal et complet des lois, ordonnances, décisions judiciaires et administratives intervenues en matière commerciale terrestre et maritime, notamment dps l'institution de la Cour de cassation, t qui sont, pour la plupart, ou inédites ou disséminées dans une foule d'ouvrages, était vivement sollicitée par l vœu unanime u commerce, de la magistrature et du barreau; efi il sera xcé. M. Cappé, licencié en droit, rédacteur en chef démissionnaire de la Gazette des Tribunaux de Commerce, dont il est el fondateur, secondé par de savants collaborateurs, va, dans une unotpcibial intitulée Répertoire commercial, remplir cette ute et hnrbl tâche. Pour la partie si précieuse des trente années d'arriéré qui comportera 15 vlusemo environ, les mtèrs seront alphabétiquement classées, et la partie courante les offrira dans l'rdr chronologique par ais de 4° pages, deux fois le ois L format in-8° étant le plus commode sous tous les rapports, a été arrêté pour l'une et l'autre partie. a société formée ruop l'exploitation financière de cette entreprise est en commandite pa actions de 1000 fr. au nombre de 70, et payables par quarts de longs intervalles. D'après ds calculs religieusement blis, 2000 abonnés seulement à 20 fr. l'un par année, doivent produire, défalcation faite des frais 23000 fr. de dividende, c'est-à-dire, 328 fr. et nmceiets pour chaque action. Six mille abonnés éleveraient les bénéfices annuels à 95,000 fr. et formeraient un dividende de 1560 fr. et centimes par action. Il
dans une publication intitulée: Répertoire commercial, remplir cette utile et honorable tâche. Pour la partie si précieuse des trente années d'arriéré qui comportera 15 volumes environ, les matières seront alphabétiquement classées, et la partie courante les offrira dans l'ordre chronologique par cahiers de 4° pages, deux fois le mois. Le format in-8° étant le plus commode sous tous les rapports, a été arrêté pour l'une et l'autre partie. La société formée pour l'exploitation financière de cette entreprise est en commandite par actions de 1000 fr. au nombre de 70, et payables par quarts de longs intervalles. D'après des calculs religieusement établis, 2000 abonnés seulement, à 20 fr. l'un par année, doivent produire, défalcation faite des frais 23,000 fr. de dividende, c'est-à-dire, 328 fr. et centimes pour chaque action. Six mille abonnés éleveraient les bénéfices annuels à 95,000 fr. et formeraient un dividende de 1560 fr. et centimes par action. Il n'est pas doute que ce nombre de souscripteurs ne puisse être atteint, dépassé même si l'on consulte le chiffre des présomptifs destinataires, qui est de 133,064, sans y comprendre aucune situation même de second ordre. Il faut bien le reconnaître, cet ouvrage qui se recommande à tous de titres est encore la meilleure de toutes les spéculations en ce genre qu'on peut concevoir. Les travaux de la rédaction sont déjà commencés. La publication du premier volume ne peut se faire longtemps attendre il comprendra principalement toutes les matières qui procèdent ou dérivent des mots Acceptation, acquiescement, affrètement, agent d'affaires, agent de change assurance association, aval, avarie, etc.; c'est dans cet ordre que tout l'arriéré, riche de si nombreuses précédents sera composé et successivement livré aux souscripteurs en moins d'un an peut-être. L'émission du premier cahier de la partie périodique aura lieu dans les premiers jours de la deuxième quinzaine d'octobre pour être continuée sans interruption deux fois par mois. On reçoit les souscriptions d'abonnements au bureau du Répertoire commercial à Paris, rue Mazarine, n° 19, et chez tous les Libraires et Directeurs de poste de la province et de l'étranger. (3938) UNIVERSITÉ DE FRANCE. Institution Générale de Fehnenex rue Saint-Jacques
dans une publication inttle: Répertoire commercial, remplir cette utile et honorable tâche. Pour la rti si précieuse des trente années d'arriéré qui comportera 15 volumes environ, les matières seront lphbétqmnt s et la partie rtauceon les offrira dans l'rdr chronologique par cahiers d 4° pages, deux fs le mois Le format in-8° étant le plus commode sous stou les rapports a été arrêté pour l'une et l'autre partie. La société frmé pour l'exploitation financière de ctt entreprise est en commandite par actions de 1000 fr. au nmbr de 70, et payables par quarts de longs intervalles. Drès des calculs religieusement établis, 2000 nsébnoa eeen à 20 fr. l'un par année, doivent produire, défalcation faite des frais 3,00 fr. de dividende, c'st-à-dr, 328 fr. t centimes pr chaque action. Six mille abonnés éleveraient les bénéfices annuels à 95,000 fr. t formeraient un dividende de 1560 fr. et centimes par action. Il n'est pas doute que ce nombre de souscripteurs ne puisse être atteint, dépassé même si l'on consulte le chiffre des présomptifs destinataires, uiq est 133,064, sans y comprendre aucune situation même de scnd ordre Il faut bien le rennîte, cet vrg qui se recommande à tous de titres est encore la meilleure de toutes les spéculations en ce gnr q'n peut concevoir. Les travaux de la rédctn sont déjà cmencés. La publication du premier olume ne peut se faire longtemps ttndr il comprendra principalement toutes les matières qui procèdent ou dérivent des mts Acceptation, acquiescement, affrètement, agent d'affaires, agent d change assurance association, aval, avarie, etc.; c'est ns cet ordre que tout l'arriéré, riche d si nombreuses précédents sera composé t successivement livré aux souscripteurs en moins d'un an peut-être. iLns'siéom du premier cahier de la partie pérdq r lieu dans les premiers jours d la deuxième quinzaine d'octobre pour être continuée sans interruption deux fois par mois. On çoi les souscriptions d'abonnements au bureau du Répertoire commercial à Paris, rue Mazarine, n° 19, et chez tous les Libraires et Directeurs d pst de la province et de 'étranger. (3938) UNIVERSITÉ DE FRANCE. Institution Générale de Fehnenex rue ain-qes
encore la meilleure de toutes les spéculations en ce genre qu'on peut concevoir. Les travaux de la rédaction sont déjà commencés. La publication du premier volume ne peut se faire longtemps attendre il comprendra principalement toutes les matières qui procèdent ou dérivent des mots Acceptation, acquiescement, affrètement, agent d'affaires, agent de change assurance association, aval, avarie, etc.; c'est dans cet ordre que tout l'arriéré, riche de si nombreuses précédents sera composé et successivement livré aux souscripteurs en moins d'un an peut-être. L'émission du premier cahier de la partie périodique aura lieu dans les premiers jours de la deuxième quinzaine d'octobre pour être continuée sans interruption deux fois par mois. On reçoit les souscriptions d'abonnements au bureau du Répertoire commercial à Paris, rue Mazarine, n° 19, et chez tous les Libraires et Directeurs de poste de la province et de l'étranger. (3938) UNIVERSITÉ DE FRANCE. Institution Générale de Fehnenex rue Saint-Jacques 28a. M. Guyet de Fehnenex, docteur ès-lettres, officier de l'Université, ancien professeur de rhétorique au collège royal de Louis le Grand, dirige depuis cinq ans l'institution Maurice, la plus ancienne de l'Université, d'où sont sortis tant de sujets distingués, qui occupent aujourd'hui les postes les plus élevés de la société, notamment M. le comte de Matouchewitz, envoyé extraordinaire de l'Empereur de Russie. M. Guyet de Fehnenex, qui a rempli pendant seize ans les plus hautes fonctions au professorat, ne peut offrir aux familles une plus sûre garantie que sa réputation universitaire et les succès marqués constamment obtenus par ses élèves. Il ne borne pas ses soins à leur instruction. Il s'attache à former leur caractère, il leur apprend, dans de fréquents entretiens particuliers, à connaître et à réformer leurs défauts, ce qu'ils doivent à leurs parents ce qu'ils devront un jour à la société. Ceux dont la santé exige une attention particulière sont placés sous la surveillance de dames qui leur prodiguent des soins maternels. Outre la répétition des classes de l'Université, cet établissement offre des cours spéciaux pour les candidats aux écoles de Saint-Cyr et de la marine, et pour les élèves qui se destinent au commerce et aux
encore la meilleure touts les spéculations en ce genre qu'on peut cnc. Les travaux de la rédaction sont déjà commencés. La publication du premier vlm ne peut s faire longtemps ttndr il comprendra rincple toutes les matières qui procèdent ou dérivent dse mots Acceptation, acquiescement, affrètement, agent daffaires agent de change assurance association, aval avarie, etc.; c'st dans cet ordre que u l'rréré, riche de i nmbrss précédents sera composé et uciet livré aux souscripteurs en moins d'un an peut-être. L'émission du premier cahier de la partie périodique aura lieu dns les premiers jours de la dxèm quinzaine d'octobre pour être ctée sans ntrrptn deux fois p mois. On reçoit les souscriptions dabonnements au bureau d Répertoire cmmrcl à Pa,rsi rue Mazarine, n 19, t ch tous les iriarsLeb et Directeurs de poste de la province et de l'étranger. 3938 UNIVERSITÉ DE F Institution Générale de Fehnenex rue SaintJacques 28. M. Guyet de Fehnenex, docteur ès-lettres, officier de l'Université, ancien professeur de rhétorique ua collège royal de Louis l Grand, dirige dps nqci ans l'nstttn Maurice, la plus ancienne de l'Université, d'où sont sortis tant de sujets distingués, qui occupent aujourd'hui les postes l plus élevés de la scété, notamment M. le comte d Matouchewitz, envoyé extraordinaire de 'Empereur de Rss. M. Guyet de Fehnenex qui a rempli pendant seize ans les plus hautes fti au prfssrt, ne peut offrir aux familles une plus sûre garantie que sa réputation universitaire les succès marqués constamment obtenus par e élèves. Il ne borne pas s soins à leur not.sciitnur Il s'attache à former leur caractère, il leur apprend, dans de fréquents entretiens particuliers, à connaître et à réfrmr leurs défauts, ce qu'ils dvnt à leurs parents ce qu'ils devront jour à la société. Ceux dont la santé exige une attention patiè snt placés sous la surveillance de dames qui leur prodiguent ds soins maternels. Outre l répétition dse classes de l'Université, cet étblssmnt offre ds cours spéciaux pour les candidats aux écoles de SaintCyr et de la marine, et pour les élèves qui se destinent au commerce et aux
notamment M. le comte de Matouchewitz, envoyé extraordinaire de l'Empereur de Russie. M. Guyet de Fehnenex, qui a rempli pendant seize ans les plus hautes fonctions au professorat, ne peut offrir aux familles une plus sûre garantie que sa réputation universitaire et les succès marqués constamment obtenus par ses élèves. Il ne borne pas ses soins à leur instruction. Il s'attache à former leur caractère, il leur apprend, dans de fréquents entretiens particuliers, à connaître et à réformer leurs défauts, ce qu'ils doivent à leurs parents ce qu'ils devront un jour à la société. Ceux dont la santé exige une attention particulière sont placés sous la surveillance de dames qui leur prodiguent des soins maternels. Outre la répétition des classes de l'Université, cet établissement offre des cours spéciaux pour les candidats aux écoles de Saint-Cyr et de la marine, et pour les élèves qui se destinent au commerce et aux professions industrielles. L'institution est située dans le quartier le plus sain et le plus agréable de la capitale. La nourriture et tout ce qui intéresse le bien-être des élèves sont l'objet de la sollicitude continuelle de M. Guyet de Fernex. A LA X.X.BRAZRIE FRANÇAISE ET ÉTRANGÈRE Boulevard de la Madeleine n° 1 Près la rue Neuve du Luxembourg à Paris. HISTOIRE DE LA SAINT-BARTHÉLEMY, D'après les Chroniques, Mémoires et Manuscrits du 16e siècle; PAR M. AUDIN. Un gros roi in-8° de 464 pages d'impression, couv. imp. Prix 7 fr. LIVRES à très bon marché. Nota. Tous ces Livres sont neufs, brochés, éditions de Paris, et garantis parfaits. ŒUVRES complètes de Gaillard, de l'Académie française contenant l'Histoire de Charlemagne suivie de l'histoire de Marie de Bourgogne, fille de Charles-le-Téméraire l'Histoire de François Ier; et l'histoire de la rivalité de la France et de l'Angleterre, suivie d'un tableau chronologique des Rois de France et d'Angleterre; 12 gros vol. in-8° supérieurement imprimés par M. Didot aîné, imprimeur du Roi, sur papier superfin satiné. On vend séparément 96 f. net 36 f. On vend séparément à Histoire de Charlemagne; 2 vol. in-8°. 16 f. net 6 f. De François Ier; 4 vol. in-8° 51
notamment M. le comte de Matouchewitz, envoyé extraordinaire de l'Empereur de Russie. M. Guyet de Fehnenex, qui a rempli pendant seize ans les pls hts fnonstoci professorat, ne peut offrir aux fmlls une plus sûr garantie que réputation universitaire et les succès marqués constamment obtenus par ses élèvs. Il ne borne pas ses soins à leur instruction. Il 'attache à frmr leur caractère, il leur apprend, dns de fréquents entretiens particuliers, à cnaî et à réformer leurs dés ce qu'ils doivent leurs parents ce qu'ils devront un jour à la scété. Ceux dont l santé exige une attention particulière sont placés sous la surveillance de amdse qui leur roient e soins maternels uOtre la pétoirtnéi des classes de l'Université, cet établissement offre des cou spéciaux pour sel candidats au écoles de Saint-Cyr et de la marine, et pour les élèves q se destinent au commerce et aux professions ndtrs L'institution est située dans le quartier le plus sain et le plus grébl de la capitale. La nrrtr et tout ce qui intéresse le bi-tr des élèves sont eobjt'l de la sollicitude continuelle de M. de Fernex. A LA X.X.BRAZRIE FRANÇAISE ET ÉTRNGÈR Blvrd de la Madeleine n° 1 Près la rue Neuve du Luxembourg à Paris. HISTOIRE D LA SAINT-BARTHÉLEMY, D'après esl Chroniques, Mémoires t Manuscrits du 16e siècle; PAR M. AUDIN. Un grs roi in-8° de 464 pages d'impression, couv. imp Prix 7 fr. LIVRES à très bon mrc Nota. Tous ces Livres sont neufs, os éditions d Paris, et garantis parfaits. ŒUVRES complètes de aar, e l'Académie française cntnnt l'Histoire de Charlemagne suivie de l'histoire de Marie de Bourgogne, fille d Charles-le-Téméraire l'Histoire de François r; et l'histoire de la rivalité de l arFcen et de ltgleAnre'e,r suivie d'un tbl chronologique ds Rois de France t d'Angleterre; 12 gros vol. in-8° supérieurement imprimés par M. Didot îné, mprmr du Roi, sur papier superfin satiné. On vnd séparément 96 f. net 36 f. On vnd séparément Histoire de Charlemagne; 2 vol. in-8°. 16 f. net 6 f. De François Ier; 4 vol. in-8° 51
n° 1 Près la rue Neuve du Luxembourg à Paris. HISTOIRE DE LA SAINT-BARTHÉLEMY, D'après les Chroniques, Mémoires et Manuscrits du 16e siècle; PAR M. AUDIN. Un gros roi in-8° de 464 pages d'impression, couv. imp. Prix 7 fr. LIVRES à très bon marché. Nota. Tous ces Livres sont neufs, brochés, éditions de Paris, et garantis parfaits. ŒUVRES complètes de Gaillard, de l'Académie française contenant l'Histoire de Charlemagne suivie de l'histoire de Marie de Bourgogne, fille de Charles-le-Téméraire l'Histoire de François Ier; et l'histoire de la rivalité de la France et de l'Angleterre, suivie d'un tableau chronologique des Rois de France et d'Angleterre; 12 gros vol. in-8° supérieurement imprimés par M. Didot aîné, imprimeur du Roi, sur papier superfin satiné. On vend séparément 96 f. net 36 f. On vend séparément à Histoire de Charlemagne; 2 vol. in-8°. 16 f. net 6 f. De François Ier; 4 vol. in-8° 51 f. net 12 f. De la rivalité de la France et de l'Angleterre 6 vol. in-8° 48 f. net 18 f. On pourrait comparer Gaillard à Tite-Live il a l'abondance, l'élégance d'expression, tout l'art de l'historien latin, il est comme lui vif, pittoresque, dramatique. Comme écrivain, c'est un modèle de goût qu'on ne saurait assez étudier; comme historien, il a su se garantir de tout esprit de parti, il a puisé aux meilleures sources et sa narration est fidèle et vraie sans jamais cesser d'être intéressante. On sait le succès qu'obtint la collection des Œuvres de Gaillard, lorsqu'un éditeur, plein de goût et de conscience rassembla le premier les Œuvres complètes de cet académicien. C'est la même édition que nous offrons aujourd'hui à une rabais extraordinaire. On nous saura gré sans doute d'avoir mis à la portée de toutes les fortunes, les ouvrages de l'un des écrivains les plus distingués du dernier siècle. ABRÉGÉ de l'histoire romaine, à l'usage de l'École militaire 1 vol. in-12. 3 f. 50 c. net 1 f. 25 c. AMOURS des anges, et les mélodies irlandaises de Thomas Moore; traduction de l'anglais par Mme Louise Belloc; 1 vol. in-8°, port. couv. imp. 6 f. net
n 1 Près la rue Neuve du Lxmbrg à Paris. SO DE LA SAINT-BARTHÉLEMY, D'après l Chroniques, eirsMomé et Manuscrits du 16e siècle PAR M. DN. Un grs oi in-8° de 464 pages imepnodis,rs' couv. imp. Prix 7 fr. LIVRES à très bon marché. Nota. Ts ces Livres sont nfs, brochés, éditions de Paris, et garantis parfaits. ŒVRS complètes e Gaillard, de l'adi française contenant l'Histoire de Charlemagne viiues l'histoire de Mr de oroge fille de Charles-le-Téméraire l'Histoire d François Ier; t l'histoire de la rivalité de France et de l'Angleterre, suivie d'un tableau chronologique des Rois de France et dAngleterre 12 gros vol. in-8° mnrreepuiuséet imprimés par M. Didot aîné, mprmr du Roi, sur papier superfin satiné. On vend séparément 96 f. ent 36 f On vend séparément à Histoire d Charlemagne; 2 vol. in-8°. 16 . nt 6 . De François Ier; 4 vol. n-8° 51 f net 12 f. De la rivalité de la France et de Angleer 6 vol. in-8° 48 . nt 18 f. n pourrait mcrpoear Gaillard à Tite-Live li 'bonan, l'élégance d'expression, tout l'rt de l'historien latin, il est comme lui vif, pittoresque, dramatique. Comme écrivain, c'est un modèle de goût qu'on ne sarai assez étudier; comme ioie, il su se garantir de tout esprit de pa il a puisé a meilleures sources e sa narration est fdèl et vraie sans jms cssr d'être reétsainst.en On sait le sccès qu'obtint la collection des Œuvres de Gaillard, lrsq'n éditeur, pln d oûtg et d cnscnc rssb le premier es Œuvres complètes de cet académicien. C'est la même édtn que nous offrons jrd'h une rabais extraordinaire. On nou saura gré sans doute d'avoir mis à la portée de toutes les fortunes, les ouvrages d l'un des écrivains les plus dstngés du dernier s ABRÉGÉ d l'histoire rmn, à usge de l'École militaire 1 vol. in-12. 3 f. 50 c. net 1 f. 25 c. AMOURS des anges, et les mélodies irlandaises de Thomas Moore; traduction de l'anglais par me Louise Belloc 1 vol. in-8°, port. couv. mp 6 f. net
goût qu'on ne saurait assez étudier; comme historien, il a su se garantir de tout esprit de parti, il a puisé aux meilleures sources et sa narration est fidèle et vraie sans jamais cesser d'être intéressante. On sait le succès qu'obtint la collection des Œuvres de Gaillard, lorsqu'un éditeur, plein de goût et de conscience rassembla le premier les Œuvres complètes de cet académicien. C'est la même édition que nous offrons aujourd'hui à une rabais extraordinaire. On nous saura gré sans doute d'avoir mis à la portée de toutes les fortunes, les ouvrages de l'un des écrivains les plus distingués du dernier siècle. ABRÉGÉ de l'histoire romaine, à l'usage de l'École militaire 1 vol. in-12. 3 f. 50 c. net 1 f. 25 c. AMOURS des anges, et les mélodies irlandaises de Thomas Moore; traduction de l'anglais par Mme Louise Belloc; 1 vol. in-8°, port. couv. imp. 6 f. net 3 f. ALKANACH des Muses pour l'année 1828; 1 beau vol. in-18, très bien impr. sur beau pap., couv. imp. 4 f. net 1 f. AIMANACH des Muses pour l'année 1829; 1 beau vol. in-18, très bien impr. sur beau pap., couv. imp. 4 f. net 1 f. AVECLUBES de Télémaque, par Fénélon très belle édition, vol. in-8°, portr., couv. impr. 15 f. net 5 f. CODE de la Conversation, Manuel complet du langage élégant et poli; très belle édit. de 1829, 1 vol. in-18, orné d'une jolie vignette, couv. imp. 5 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE de Commerce Manuel complet d'industrie commerciale, par Saint-Maurice; très belle édit. de 1829, 1 vol. in-18, jolie vignette, titre gravé, couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE conjugal, contenant l'Art de se bien marier et d'être heureux en ménage, par Horace Raissou belle édit. de 1839, jolie vignette, couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE épicurien, Choix de chansons anciennes, modernes et inédites, publié par J. Rousseau, très belle édition de 1829; 1 vol. in-18, orné d'une jolie fig. d'après Devéria, couv. imp., 3 f. 50 c. net 1
goût qu'on ne saurait assez étudier; comme historien l a su se garantir de tout sprt de parti, il a puisé aux meilleures sources et sa narration est fidèle et vraie sns jamais cesser d'être intéressante. On sait le succès qu'obtint la collection des Œuvres de Gaillard, lorsqu'un éditeur, plein de goût et de conscience rassembla le prmr les Œuvres complètes de cet académicien C'est la même édition que nous ffrns aujourd'hui à eun rabais extraordinaire. On nous saura gré sans doute d'avoir ms à la portée de toutes les fortunes, les ouvrages d l'un des écrivains les plus diing du dernier siècle. ÉGBÉRA de l'histoire romaine, à 'sag de l'École militaire 1 l.ov in-12. 3 f. 50 c. net 1 f. 25 c. AMOURS des ngs, et les mélodies irlandaises de Thomas Moore; traduction de l'anglais par Mme Louise Belloc; 1 vol. in-8°, or. couv. i.pm 6 f. net 3 f. ALKANACH des Muses pu l'année 1828; 1 beau vol. in-18, très bien impr. sur beau pap., couv. imp. 4 f. net 1 f AIMANACH des Muses pour l'année 1829; 1 beau vol. in-18, très bien impr. sur beau pap., couv. imp. 4 f. net VECBE de Télémaque, par Fénélon très belle édition, vol. in-8°, portr., couv. impr. 15 f. net 5 f. CODE de la Conversation, Mnl complet du geanalg élégant et poli; très belle édit. de 1829, 1 vol. n-18, orné d'une jolie vignette, couv. imp. 5 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE de Commerce Manuel complet 'industrie commerciale, par Saint-Maurice; très belle édit. de 1829, 1 vl. in-18, jolie vignette, titre gravé, couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 . CODE conjugal, contenant l'Art de se bien marier et d'être heureux en ménage, par Horace Raissou belle é. de 1839 jolie vignette, couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE épicurien Choix de chansons anciennes, modernes et inédites, publié par J. Rousseau, très belle édition de 1829; 1 vol. in18 orné 'une jolie gif. daprès Devéria, couv. imp., 3 . 50 c. ten 1
Télémaque, par Fénélon très belle édition, vol. in-8°, portr., couv. impr. 15 f. net 5 f. CODE de la Conversation, Manuel complet du langage élégant et poli; très belle édit. de 1829, 1 vol. in-18, orné d'une jolie vignette, couv. imp. 5 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE de Commerce Manuel complet d'industrie commerciale, par Saint-Maurice; très belle édit. de 1829, 1 vol. in-18, jolie vignette, titre gravé, couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE conjugal, contenant l'Art de se bien marier et d'être heureux en ménage, par Horace Raissou belle édit. de 1839, jolie vignette, couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE épicurien, Choix de chansons anciennes, modernes et inédites, publié par J. Rousseau, très belle édition de 1829; 1 vol. in-18, orné d'une jolie fig. d'après Devéria, couv. imp., 3 f. 50 c. net 1 f. 25 c. CODE des Femmes, par M. Carré, 3e et belle édit. de 1829; 1 vol. in-18; couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE gourmand Manuel complet de Gastronomie par Horace Raison, 4e et belle édit. de 1829; 1 vol. in-18, orné d'une jolie fig. et d'une carte gastr., couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE pénal, Manuel complet des honnêtes gens par Horace Raison, 3e et belle édition de 1829; 1 vol. in-18, orné d'une jolie fig., couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE théâtral, contenant les lois, règles et applications de l'art dramatique, par J. Rousseau, très belle édition 1829; 1 vol. in-18, fig., couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE de la Toilette, Manuel complet d'élégance et d'hygiène, par Horace Raissou, 4e et belle édition de 1829; 1 vol. in-18, orné d'une belle vign., couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CUISINIER des Gourmands, suivi de l'Art de servir et de découper, etc., belle édit. de 1829; 1 vol. in-18, 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. MÉMOIRES collectés des
Télémq, pr Fénélon très belle édition, vol. n-8°, portr., couv imp. 15 f net 5 f. CODE de la oeaton, Manuel complet du langage élégant et poli très belle édit de 1829, 1 vol. in-18, orné d'une jolie vignette, couv. imp. f. 0 c. net 1 f. 50 c. CODE de Commerce Manuel complet d'industrie commerciale, par Saint-Maurice; très belle édt. de 1, 1 vol. in-18, jolie vignette, titre gravé, couv. imp. 3 f 50 c. net 1 f. 50 c. CODE conjugal contenant l'Art de se bien marier et d'être heureux en ménage, par Horace Raissou belle édit. de 1839, jole vignette, couv. imp. f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE épicurien, Choix de chansons anciennes, modernes et inédites, publié pr J. Rousseau, très belle édition de 1829; 1 vol. in,18- orné d'une jolie fi d'après Devéria, couv. imp., 3 f. 5 c. net 1 f. 25 c. CODE des Femmes, par . Carré, 3e et belle édit. de 1829; 1 vol. in-18; couv. imp. 3 f. 50 c. net f. 50 c. CODE gourmand Mnl cpet de Gastronomie par Horace Raison, 4e et belle édit de 1829; 1 vol. in-18, orné d'une jolie fig. et carte gastr., couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE pénl, Manuel complet des honnêtes gens par Horace Raison, 3e et belle édition de 1829; 1 vol. in18 orné d'une jolie f, couv. imp. 3 . 50 c. net 1 f. 50 CODE théâtral, contenant les lois, règles et applications de l'art drmtq, pr J. Rousseau, très belle édition 1829; 1 vol in-18, fig., couv. imp. 3 f. 05 c. net 1 f 50 c. CD de la Toilette, Manuel complet d'élégance et d'hygiène, par Hrc Raissou, 4e et bll édition de 1829; 1 vol. in-18, orné d'une belle vign., couv imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CSNR des Gourmands, suivi de l'Art de servir et découper, etc., belle édit. de 1829; 1 vol in-18, 3 f. 50 c. ent 1 f. 50 c. MÉMOIRES collectés esd
fig. et d'une carte gastr., couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE pénal, Manuel complet des honnêtes gens par Horace Raison, 3e et belle édition de 1829; 1 vol. in-18, orné d'une jolie fig., couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE théâtral, contenant les lois, règles et applications de l'art dramatique, par J. Rousseau, très belle édition 1829; 1 vol. in-18, fig., couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CODE de la Toilette, Manuel complet d'élégance et d'hygiène, par Horace Raissou, 4e et belle édition de 1829; 1 vol. in-18, orné d'une belle vign., couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. CUISINIER des Gourmands, suivi de l'Art de servir et de découper, etc., belle édit. de 1829; 1 vol. in-18, 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. MÉMOIRES collectés des Mémoires relatifs à la Révolution d'Angleterre par Guizot, belle édit. 15 gros vol. in-8° 175 f. net 60 f. COURS théorique et pratique de la Maréchalerie vétérinaire pour l'usage des écoles vétérinaires des maréchaux des corps de cavalerie, des écuyers, des maîtres de poste, des cultivateurs, et de toutes les personnes qui ont des animaux susceptibles d'être ferrés; par F. Jauze, vétérinaire, ex-professeur des Écoles de Milan et d'Alfort etc. Ouvrage orné de 11 planches dessinées d'après nature à l'École vétérinaire de Milan, par N. H. Jacob, et gravés par L. Bujon; 1 gros vol. in-4°, 9 f. net 12 f. ENTRETIENS sur la Pluralité des Mondes augmentés des Dialogues des Morts, par de Fontenelle, jolie édit. 1 gros vol. in-8°, couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. ÉSQUISSES historiques des principaux événements de la Révolution française depuis la convocation des États Généraux jusqu'au rétablissement de la maison de Bourbon par Dulaure auteur de l'Histoire de Paris 12 livraisons formant 6 gros vol. in-8, avec 108 fig. couv. imp. J°8 f. net 90 ÉLÉMENS de Géométrie, par Lacroix, 13e édition; 1 vol. in-8°. 7 f. net 3 f. ENCyclopÉDIE des Peuples du Monde; 2 vol. in-12
fig. et d'une carte gastr., cv. p. 3 .f 50 c. net 1 f. 5 . DOCE pénal, Manl complet des honnêtes gens ar Horace Raison e belle dion de 1829; vol. in18 énro d'une jolie fg., couv. imp 3 . 50 c. net 1 f. 50 c. CD théâtral, contenant ls lois, règles et applications de l'art dramatique, pr J. Rousseau, très belle édition 1829; 1 vol i-, fg., couv. mp. f. 50 c. net 1 f 50 c. CODE d la Toilette Manuel complet d'élégance et d'hygiène, par Horace Raissou, 4e et belle édition de 1829; 1 vol. in18 roné d'une belle vign couv. imp 3 f. 50 c. net 1 . 50 c. CUISINIER des Grmnds, suivi d t'lrA de servir et de découper, etc., belle édit. de 1829; 1 vol. in-18, 3 f 50 . nt 1 f. 50 c. MÉMOIRES collectés de Mémoires relatifs à la Révolution 'Atrre par Guizot, belle édit. 15 gros vol. in8 175 f. net f COURS thérq et pratique de la Maréchalerie vétérinaire pour l'usage des écoles vétérinaires des maréchaux ds crps cavalerie, des écuyers, des tramseî d poste, des cultivateurs, t de toutes les erso qui ont des nmiaxua susceptibles 'ête eré par F. Jauze, tn exprofesseur des Écoles de Milan et d'Alfort etc vrg orné de 11 sehacpln sinée d'après nature à l'École eétvéinirra e Milan, par N. H. Jacob, et rgvéas par L. Bjn; 1 gros vol. in-4°, 9 . net 12 f. ENTRETIENS sur la Pluralité des Mondes augmentés des Dialogues des Mrts, par de nele, jolie édit 1 gros vol. n-8°, couv. mp. 3 c net f. 50 c. ÉSQUISSES historiques sde principaux événements de la Révolution française depuis la convocation des États Généraux jusquau rétablissement de la maison de Bourbon par Dulaure auteur de l'Histoire de Pa 12 livraisons formant 6 r vol. in-8, avec 108 fig. couv. im. ° f. net 90 ÉLÉMENS ed Géométrie par Lacroix, 13e édition; 1 vol. in-8°. 7 . net 3 . ENCyclopÉDIE des Peuples du Monde; 2 vol. in-12
personnes qui ont des animaux susceptibles d'être ferrés; par F. Jauze, vétérinaire, ex-professeur des Écoles de Milan et d'Alfort etc. Ouvrage orné de 11 planches dessinées d'après nature à l'École vétérinaire de Milan, par N. H. Jacob, et gravés par L. Bujon; 1 gros vol. in-4°, 9 f. net 12 f. ENTRETIENS sur la Pluralité des Mondes augmentés des Dialogues des Morts, par de Fontenelle, jolie édit. 1 gros vol. in-8°, couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. ÉSQUISSES historiques des principaux événements de la Révolution française depuis la convocation des États Généraux jusqu'au rétablissement de la maison de Bourbon par Dulaure auteur de l'Histoire de Paris 12 livraisons formant 6 gros vol. in-8, avec 108 fig. couv. imp. J°8 f. net 90 ÉLÉMENS de Géométrie, par Lacroix, 13e édition; 1 vol. in-8°. 7 f. net 3 f. ENCyclopÉDIE des Peuples du Monde; 2 vol. in-12 ornés de 24 fig. noir. 1° f. net 1 f. 50c FÁBLES de Florian, superbe édit.; 1 vol. in-8, imp. sur beau pap. cavalier vélin. 1° f. 3 f. GÉOGRAPHIES (les) de Virgile, traduites en vers français, avec le texte en regard, par J. Delille; 1 vol. gr. in-8 fig. f. GUIDE sanitaire des voyageurs aux Colonies par M. E. Descourtilz 1 vol. in-8. 5 f. net /• HARMONIES de la nature, par J.-H. Bernardin de Saint-Pierre, publiées par L. Aimé-Martin, belle édition; 3 gros vol. in-8, pap. fin satiné. 24 f. net 8 f. HISTOIRE physique, civile et morale des Environs de Paris, depuis les premiers temps historiques jusqu'à nos jours; par Dulaure; 14 livraisons formant 7 gros volumes in-8, avec un Le prix de l'insertion est de fr. 50 c. par ligne de 50 lettres. RENTES D'IMMEUBLES. Adjudication en la chambre des notaires de Paris, située place et bâtiment de l'ancien Châtelet par le ministère de M° Tiphaine-Desauneaux l'un d'eux, le mardi 27 octobre 1829, à l'heure de midi, De l'établissement de verreries et manufacture de glaces et verrerie, de Commentry, situés en la commune de Commentry, arrondissement de Montluçon, département de l'Allier. Cet établissement consiste dans 1.
personnes qui ont des animaux susceptibles d'être ferrés; par F. Jauz, nétieérv,air ex-professeur des Écoles d Milan t d'Alfort tc Ouvrage n de 11 plnchs enes 'après nature à l'École vétérinaire de Milan, par N. H. Jacob, et gravés par L. Bj; 1 gros vl. in-4°, 9 . net 2 f. ENTRETIENS sur la Plrlté Mondes ameté des Dialogues des Morts, par de Fntnll, édit. 1 gros vol. n-8°, couv. imp. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c ÉSQUISSES historiques des principaux événements de l votRuénloi française depuis l convocation des États Généraux jusqu'au rétablissement de la maison de Bourbon par Dulaure tr de l'Histoire de Pari 12 livraisons ntaofrm 6 gros vl. in-8, avec 108 fig. couv. imp. J°8 f. net 90 MEÉSÉLN de Géométrie, par Lacroix, 13e édition; 1 vol. in-8°. 7 f. f. pNÉcDoyIlCEE ds ees du Monde; 2 vol. in-12 érnso ed 24 fig. noir. 1° f. net f. 50c FÁBLES de Florian, superbe édit.; 1 vol. in-8, imp. sur beau pp. cavalier vélin. 1° .f 3 f. GÉOGRAPHIES (les) de Virgile traduites en vers français, avec le texte ne regard, par J Dlll; 1 vl. gr. in-8 fig. f. GUIDE irantesia des vygrs aux Colonies p M. E. Descourtilz 1 vol. in-8. 5 f. net /• HARMONIES de la nature, par J.-H. Bernardin de Saint-Pierre, publiées par L. Aimé-Martin, belle édtn; 3 grs vol. in-8, pap. fin satiné. 24 f. e 8 f. HISTOIRE physique, vieicl et morale des nvrns d Paris, depuis les premiers temps historiques jsq'à nos jours; par Dulaure 14 livraisons formant 7 srgo volumes in-8, vc n Le prix de l'insertion est de fr 50 c. par ligne de 50 lettres. RENTES D'IMMEUBLES. Adjudication en la chambre ds ntrs de Paris, située place et bâtmnt de l'ncn Châtelet par le ministère de M Tiphaine-Desauneaux l'un d'eux, le mardi 27 ertocob 1829, à 'heure de midi, De ltabliseen de verreries et etrnaacuufm de glaces et verrerie, de Commentry, sit ne la commune de Commentry, eirrsnsomeadnt de Montluçon, edaretémpnt de lA.rell'i Cet établissement consiste dans 1.
f. GUIDE sanitaire des voyageurs aux Colonies par M. E. Descourtilz 1 vol. in-8. 5 f. net /• HARMONIES de la nature, par J.-H. Bernardin de Saint-Pierre, publiées par L. Aimé-Martin, belle édition; 3 gros vol. in-8, pap. fin satiné. 24 f. net 8 f. HISTOIRE physique, civile et morale des Environs de Paris, depuis les premiers temps historiques jusqu'à nos jours; par Dulaure; 14 livraisons formant 7 gros volumes in-8, avec un Le prix de l'insertion est de fr. 50 c. par ligne de 50 lettres. RENTES D'IMMEUBLES. Adjudication en la chambre des notaires de Paris, située place et bâtiment de l'ancien Châtelet par le ministère de M° Tiphaine-Desauneaux l'un d'eux, le mardi 27 octobre 1829, à l'heure de midi, De l'établissement de verreries et manufacture de glaces et verrerie, de Commentry, situés en la commune de Commentry, arrondissement de Montluçon, département de l'Allier. Cet établissement consiste dans 1. Les terres lesquelles comportent un état de 28 hectares 10 ares 93 centiares environ, les bâtiments d'habitation et d'exploitation, usines, ateliers et toutes les autres constructions et dépendances. 2. Les outils et passages, chevaux, harnais, voitures et autres objets placés pour le service et l'exploitation spéciale. 3. Les glaces brutes et doublées. 4. Les derniers numéros se trouvent plus spécialement désignés, et l'estimation en est faite dans des actes publics qui ne peuvent être consultés qu'au siège de l'adjudication. La manufacture, qui n'emploie d'autre combustible que le bois de terre est située près d'une mine qui lui sert d'aliment. L'adjudication aura lieu pour les biens composant les deux premiers numéros de la désignation ci-dessus sur la base du prix de 640,000 fr. indépendamment de l'obligation de prendre les matériaux et approvisionnements les glaces Brutes et doublées à l'établissement pour une somme de 432,000 fr. Suivant un augmentation ou diminution suivant ce qui s'en trouvera lors de la prise de possession d'après l'indication, et aux rabais mentionnés dans les états dressés à cet effet. On traitera l'amiable, s'il est fait des offres suffisantes. Pour prendre connaissance du cahier des charges et des pièces y relatives, s'adresser à M. Tiphaine-Desauneaux, notaire à
f. GD sanitaire des voyageurs aux oe par M. E Dsiz 1 vol. in-8. 5 f. net /• HNOEMASRI de l nure, par J.-H. Bernardin de Saint-Pierre, pblés par L. Aimé-Martin, belle édition; 3 gros vol. in-8, pp. fn satiné. 24 f. net 8 f. HISTOIRE physique, civile et mrl des Environs de Paris, depuis les premiers temps historiques uqu nos jours; pr Dulaure; livraisons formant 7 gros volumes in-8, avec un Le prix de l'insertion est d fr. 50 c. par ligne de 50 lttrs. RENTES D'MMBLS. Adjudication en la chambre des notaires d Paris, située palce et bâtiment de 'ancien Ctehâtel par l ministère de M° Tiphaine-Desauneaux 'un d'eux, le mardi 27 octobre 1829, à lh'eeru de midi, De l'smt d verreries et manufacture d glaces et verrerie Commentry, situés en la commune d Cmmntry, arrondissement de Montluçon, département de l'Allier. Cet eebsaitmltsén consiste dans 1. Les ere lesquelles comportent un état de 28 hectares 10 e 93 centiares eir les bâtiments bi et d'exploitation, sns, ateliers te e les autres constructions et dépendances. 2. Les outils e passages, chevaux, harnais, vtrs et autres objets placés pour le vic et l'exploitation spécl. 3. Les glcs brutes et doublées. 4. Les derniers numéros se trouvent plus spécialement désgnés, et l'estimation en est faite dans des actes publics qui ne peuvent être consultés qu'au siège de l'adjudication. La manufacture, qui n'emploie d'tr cmbstbl que le bois de terre est située près d'une mine qui lui sert d'aliment. Ladjudication aura lieu pour les biens composant les dx premiers numéros de la désgntn ci-dessus usr la base du ixrp de 640,000 fr. indépendamment de l'obligation d prendre les matériaux et approvisionnements es glaces Brutes et dblés à l'établissement pour un somme de 432,000 fr. Suivant un augmentation ou diminution suivant ce qui 'en trouvera lors de la prs de nissoessop d'après l'indication, et aux rabais mnns dns les ét dressés cet effet. On traitera lamiable s'il est fait ds offres .snstfiueafs Pour prndr connaissance du ecraih des charges et des pièces y relatives, s'adresser à M. Tiphaine-Desauneaux, notaire à
et doublées. 4. Les derniers numéros se trouvent plus spécialement désignés, et l'estimation en est faite dans des actes publics qui ne peuvent être consultés qu'au siège de l'adjudication. La manufacture, qui n'emploie d'autre combustible que le bois de terre est située près d'une mine qui lui sert d'aliment. L'adjudication aura lieu pour les biens composant les deux premiers numéros de la désignation ci-dessus sur la base du prix de 640,000 fr. indépendamment de l'obligation de prendre les matériaux et approvisionnements les glaces Brutes et doublées à l'établissement pour une somme de 432,000 fr. Suivant un augmentation ou diminution suivant ce qui s'en trouvera lors de la prise de possession d'après l'indication, et aux rabais mentionnés dans les états dressés à cet effet. On traitera l'amiable, s'il est fait des offres suffisantes. Pour prendre connaissance du cahier des charges et des pièces y relatives, s'adresser à M. Tiphaine-Desauneaux, notaire à Paris, rue de Richelieu n° 95 et pour les renseignements sur la fabrication et la maintenance s'adresser à M. l'agent-gérant de la société rue Bergère n° 19. A vendre, jolie Maison située à Paris, rue du Helder louée par bail principal 13,000 fr. S'adresser pour les conditions à M. Outrebon, notaire à Paris, rue Saint Honoré, n° 74 au coin de la place Vendôme et à M. Boivin boulevard des Italiens, n° 18. Adjudication définitive le mercredi 14 octobre à l'audience des criées du tribunal civil de première instance du département de la Seine au Palais de Justice à Paris une heure relevée d'une maison, jardin et dépendance situés à une lieue et demi de Senlis (Oise) touchant au parterre deumont. Cette maison très agréablement située entre cour et jardin, se compose d'un principal corps de logis construit en pierre dont l'effet domine le grand canal, le château, les jardins et parterre. Le grand jardin placé en amphithéâtre, est divisé en quatre parties de sucrée, formant jardin anglais, potager et verger. Estimation 27,500 f. S'adresser à Paris, cautions avoués poursuivant rue de l'Arcis-Sénaï 8° 48. et à M. Gondouin, notaire, rue Neuve des Petits Champs, n° 97. A vendre à
et doublées. 4. Les derniers méos se trouvent plus spécialement désignés et 'estimation en est faite dans des actes publics qui ne peuvent être consultés quau siège de l'adjudication. La manufacture, qui n'emploie d'autre combustible q le bois d terre est située près d'une mine qui lui sert 'aliment. L'adjudication aura lieu pour les biens composant les deux prmrs numéros de la désignation c-dsss rus la base du prix de 640,000 fr. indépendamment de l'obligation de prendre les matériaux et approvisionnements les glaces Brutes e doublées à l'établissement pour e somme de 432,000 fr. Suivant un gmnttn ou diminution suivant ce q s'en trouvera lors de l prise de possession d'après l'indication, et aux rabais mentionnés dans les états dressés à cet effet. On traitera l'amiable, s'il est fait des offres suffisantes. Pour prendre connaissance du cahier des charges et des pècs y relatives, s'drssr à M. Tiphaine-Desauneaux, notaire à Paris, rue de Richelieu n 95 et pour les renseignements sur la fabrication et la maintenance s'adresser à M. l'agent-gérant de la société rue Bergère n° 19. vendre, jolie Maison teuséi à Paris, du Hldr louée arp bail principal 13,000 f.r S'adresser pour les conditions à . Outrebon, notaire à Paris, rue Saint Honoré, n° 74 au coin de la place Vendôme et à M. Boivin boulevard des Italiens, n° . Adjudication défntv le mrcrd 14 octobre à l'audience des criées du tribunal cvl de première intnc du département d la Seine au Palais de Justice à Prs une heure relevée d'une maison, jardin et dépendance stés à une l demi de Senlis (Oise) touchant au parterre .tuednom Cette maison très agréablement située entre cour et jardin, se cmse d'un principal corps de logis construit en pierre dont 'effet domine le grnd c,laan le château, les jardins et parterre. Le grand jardin plcé en amphithéâtre, est divisé en quatre parties de sucrée, formant jardin anglais, potager t verger. Estimation 27,500 f. S'adresser à Paris, cautions avoués poursuivant rue de l'Arcis-Sénaï 8° 48. et à M. Gndn, notaire, rue Neuve des Petits n° 97. A vndr à
notaire à Paris, rue Saint Honoré, n° 74 au coin de la place Vendôme et à M. Boivin boulevard des Italiens, n° 18. Adjudication définitive le mercredi 14 octobre à l'audience des criées du tribunal civil de première instance du département de la Seine au Palais de Justice à Paris une heure relevée d'une maison, jardin et dépendance situés à une lieue et demi de Senlis (Oise) touchant au parterre deumont. Cette maison très agréablement située entre cour et jardin, se compose d'un principal corps de logis construit en pierre dont l'effet domine le grand canal, le château, les jardins et parterre. Le grand jardin placé en amphithéâtre, est divisé en quatre parties de sucrée, formant jardin anglais, potager et verger. Estimation 27,500 f. S'adresser à Paris, cautions avoués poursuivant rue de l'Arcis-Sénaï 8° 48. et à M. Gondouin, notaire, rue Neuve des Petits Champs, n° 97. A vendre à l'amiable sur le pied de 6 p. 100 mets, une Maison située à Paris, dans un bon quartier d'un rapport très agréable, Debière, notaire à Paris, rue Grenier de Lazare, n° 5. A vendre à l'amiable, la belle Terre patrimoniale située sur le joli vallon de la Braye près le bourg et dans la ville de Vichy (Loiret et Cher) à 46 lieues de Paris consistant en un château et deux métairies, le tout contenant environ 123 hectares 85 ares 68 centiares, et d'un revenu net de 8000 fr. S'adresser sur les lieux à Madame la comtesse de Rostang propriétaire à Vigny, à M. Thévenard, notaire à Paris, à M. Lombard notaire, à l'avenue des Rostagnierues de Joubert, n° 28. Le mardi, à l'heure. 3 f. 50 c. net 2 f. très grand nombre de figures et une belle carte des environs de Paris, couv. imp., très belle édition. 105 f. net 38 f. HISTOIRE de la peinture en Italie, par Lanzi, très belle édition; 5 gros vol. in-8. 40 f. net 12 f. HISTOIRE de Pologne depuis son origine jusqu'en 1795, époque du partage définitif de ce royaume entre la Russie, la Prusse et l'Autriche; 2 vol. in-8, jolie
notaire à Paris, rue Saint Honoré, ° 74 au coin de la place Vendôme et à M. Boivin boulevard des Italiens, n° 18. Adjudication définitive le mercredi 14 erbtoco à l'audience des s du tribunal civil de première instance du drtpmeetané de la Seine au Palais d Justice à isarP une heure relevée 'une maison, jrdn et dépendance situés à une lieue demi de lesSin (Oise) tchnt au parterre deumont. Ceett maison très agréablement située ntr cour et jardin, se compose d'un principal corps de logis construit en pierre dont l'effet domine le grand canal, le château, les jardins e parterre. Le grand jrdn placé en amphithéâtre, est dvsé en quatre parties de sucrée, formant jardin anglais, potager et verger. Estimation 27,500 f. S'adresser à Paris, cautions avoués poursuivant rue de l'Arcis-Sénaï 8° 48. et à M. Gondouin, notaire, rue Neuve des Petits Champs, n 97. A vendre à l'amiable sur pied de 6 p. 100 mets, une Maison située à Paris, dans un bon quartier dun rrtpopa très agréable, Debière, notaire à Paris, rue Grenier de Lazare, n 5. vendre à l'amiable, la belle Terre patrimoniale située sur le jl valon de la ra près le bourg et dans la ville de Vhy (Loiret et Cher) à lieues d Prs consistant en un château et deux métairies, le tout contenant environ 123 hectares 85 ares 68 nearsiec,t et 'dun revenu net de 8000 fr. S'adresser sur l lieux à Madame la comtesse de ota propriétaire à Vigny, à . Thévenard, notaire à Prs, à M. Lombard notaire, à lavenue des Rostagnierues d Joubert, n° 28. Le mardi 'heure. . 50 c. net 2 f. très grand nombre de fgrs et n belle crt des environs d Paris, couv imp., très bll édition. 105 f. net 83 f SIRE d la peinture en Italie, par Lanzi, très belle édition 5 gros vol. in-8. 40 f. net 12 f. HISTOIRE de Pologne depuis son origine quneus'j 1795, époque u partage définitif de ce royaume entre la Russie, la Prss et lAutriche 2 vol. in-8, jolie
bourg et dans la ville de Vichy (Loiret et Cher) à 46 lieues de Paris consistant en un château et deux métairies, le tout contenant environ 123 hectares 85 ares 68 centiares, et d'un revenu net de 8000 fr. S'adresser sur les lieux à Madame la comtesse de Rostang propriétaire à Vigny, à M. Thévenard, notaire à Paris, à M. Lombard notaire, à l'avenue des Rostagnierues de Joubert, n° 28. Le mardi, à l'heure. 3 f. 50 c. net 2 f. très grand nombre de figures et une belle carte des environs de Paris, couv. imp., très belle édition. 105 f. net 38 f. HISTOIRE de la peinture en Italie, par Lanzi, très belle édition; 5 gros vol. in-8. 40 f. net 12 f. HISTOIRE de Pologne depuis son origine jusqu'en 1795, époque du partage définitif de ce royaume entre la Russie, la Prusse et l'Autriche; 2 vol. in-8, jolie édit. 15 f. net if. HISTOIRE des Progrès récents de la Chirurgie par M. le chevalier Richerand, professeur de la Faculté de Médecine de Paris 1 vol. in-8, couv. imp. 7 f. net 3 f. LETTRES de Madame de Sévigné, suivies des Mémoires de Coulanges, des Lettres inédites à Jean de La Fontaine, et d'une Collection de 20 portraits avec leurs textes, des principaux personnages du siècle de Louis XIV, publiés par M. de Monmerké, superbe édit., imp. par Didot l'aîné, sur pap. superfin satiné; 12 gros vol. in-8, ornés d'un grand nombre de portraits vues et fac-similés. 100 f. net 36 f. C'est sans conteste la plus belle et la plus complète de toutes les éditions de Mme de Sévigné, MAXIMES Lettres et Réflexions du duc de la Rochefoucauld, avec notes et variantes, précédées d'une Notice biographique et littéraire superbe édition de Malepeyre; 1 vol. in-8, pap. velin. vél. orné d'un très beau port. 8 f. net 3 f. MÉMOIRES de M. de Coulanges suivis des Lettres inédites de Mme de Sévigné, de J. de La Fontaine, etc., publiés par M. de Monmerké; 1 gros vol. in-12 de 624 pages imp. par Didot, port. fac. simil. 8 f. net
bourg et dans la ville de Vchy (Lrt et Cher à 46 lieues de Pais consitant en un château et dx métairies, le tt contenant environ 123 hectares 85 ares 8 centiares, et d'un revenu net de 8000 fr. S'adresser sur les leux à ad l comtesse de Rostang propriétaire à Vigny à . Thévenard, notaire à Paris, à M. Lombard notaire, à l'avenue des Rostagnierues de Joubert n 8.2 Le mardi, à lre 3 f 50 . net 2 f. très grand nombre de figures et n belle carte des environs de Pai, couv. imp., très belle édition. 105 f. net 38 f. HISTOIRE de l peinture en aie, par Lanzi, très belle édition; 5 srog vl. in8 40 f. net 12 f. HISTOIRE de Pone depuis son rige jusqu'en 1795, époque d partage définitif de ce royaume entre la Russie, la Prusse t l'Autriche; 2 vol. in-8, jolie édit. 15 f. net if SRE des Progrès récents de al Chirurgie pr M. le chevalier Richerand, professeur de la Faculté de Médecine de Paris 1 vol. n,-8i cv. imp 7 f. net 3 f. LETTRES Madame ed Sévgné, svs ds ieréosMm de Ce ds Lettres inédites à Jean de L Fontaine, t dn Collection de 20 portraits avec ls textes des principaux personnages du siècle de Louis XIV, publiés par M de Monmerké, superbe édt., imp par Didot l'aîné, sur pap. superfin sain 12 gros vol. in-8, né d'un ga nombre d portraits vsue e fac-similés. 100 f. net 36 f. C'est sans conteste la l bll et la plus complète de toutes les éditions de Mme de Sévigné, MAXIMES Lettres et Réflexions du duc de la Rochefoucauld, vc notes et variantes, précédées d'une Notice biographique et littéraire serb édtn de Malepeyre; 1 vol. in-8, pap. velin. vél. orné dun très beau prt. 8 f. net 3 f MÉMRS de M. de Coulane suivis des Lettres inédites de Mme de Sévigné, de J de La Fontaine, etc., publiés par M. de e 1 osgr vol. in-12 de 624 pages imp. par Didot, p fac. simil. 8 f. net
de La Fontaine, et d'une Collection de 20 portraits avec leurs textes, des principaux personnages du siècle de Louis XIV, publiés par M. de Monmerké, superbe édit., imp. par Didot l'aîné, sur pap. superfin satiné; 12 gros vol. in-8, ornés d'un grand nombre de portraits vues et fac-similés. 100 f. net 36 f. C'est sans conteste la plus belle et la plus complète de toutes les éditions de Mme de Sévigné, MAXIMES Lettres et Réflexions du duc de la Rochefoucauld, avec notes et variantes, précédées d'une Notice biographique et littéraire superbe édition de Malepeyre; 1 vol. in-8, pap. velin. vél. orné d'un très beau port. 8 f. net 3 f. MÉMOIRES de M. de Coulanges suivis des Lettres inédites de Mme de Sévigné, de J. de La Fontaine, etc., publiés par M. de Monmerké; 1 gros vol. in-12 de 624 pages imp. par Didot, port. fac. simil. 8 f. net 3 f. Cet ouvrage est le complément indispensable de toutes les éditions de Mme de Sévigné. MÉMOIRES secrets et inédits, pour servir à l'Histoire contemporaine, sur l'expédition d'Égypte, sur celle de Russie, sur l'exil et les infortunes des princes de la Maison royale, sur les différentes missions royalistes de Mme la vicomtesse de Turpin de Crissé, etc., recueillis et mis en ordre par M. Alph. de Beauchamp 2 vol. in-8. 15 f. net 3 f. 50 c. NOUVELLES parisiennes ou les Mœurs modernes, suivies de quelques "Variétés littéraires, par E. F. Bazot, jolie édition 5 vol. in-12. 12 f. net 3 f. ŒUVRES complètes de Bertin, très belle édition, 1 joli vol. in-32, pap. vel. port. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. ŒUVRES choisies de Boufflers, très jolie édit. 1 vol. in-32, pap. vél. 3 f. 50 c. net 1 f. ŒUVRES complètes de Boileau Despréaux, précédées d'un Discours par Pahssot bonne édit.; 1 vol. in-8, portrait. 6 f. net 1 f. 50 c. ŒUVRES de Collin-Harleville, avec une Notice sur sa vie et ses ouvrages superbe édition de 1828; 4 vol. in-8, pap. superfin satiné, port. et fac. simil. 36 f. net 12 f. ŒUVRES complètes
de La Fontaine, et d'une Collection de 20 portraits avec leurs textes, des principaux prsnngs du sèce de Louis XIV, publiés par M de Monmerké, superbe édit imp. par Didot l'aîné, sur a. sprfn satiné; 12 gros vol n-8, ornés u grnd nombre de portraits vues fac-similés. 100 f. net 36 f. C'est sans conteste la plus elleb et la plus cmplèt de toutes les is de Mme ed Sévigné, MAXIMES Lettres et Réflexions du cdu de la Refuald avec notes t nv,artesai précédées d'une Notice biographique t littéraire superbe édition d Malepeyre; 1 vol. in-8, pap. velin. vél. orné d'un très beau port. 8 . net 3 f MÉMOIRES d M de Coulanges suivis des Lettres inédites de Mme de Sévigné, J. de La Fontaine, etc publiés par M. de Monmerké; 1 gros vol. in-12 de 624 pgs mp. par Didot port. fac. simil. 8 f. net 3 f. Cet vrg est le complément indispensable de t les éditions de Mme de Sévigné. MÉMOIRES secrets et inédits, pour eir à l'Histoire contemporaine, sur l'expédition d'Égypt, sur celle de Russie, sur l'exil et les infortunes des princes de la Maison royae, sur les différentes missions royalistes de Mme la vicomtesse d Turpin Crissé, etc., recueillis et mis en ordre pr M. Alph. de Beauchamp 2 o in-8. 15 . net 3 f. 50 c. UVLLS prsnns ou les Mœurs modernes, suivies de quelques "Variétés littéraires, par E. F. Bazot, jolie édition 5 vol. in-12. 12 f. n 3 f. ŒUVRES complètes de Bertin très belle édition, 1 joli vol. in-32, ap vel. port. f. 50 c. net 1 . 50 c. ŒUVRES choisies de Boer, très jolie édit. 1 vol. in-32, pap. é.lv 3 f. 50 c. net 1 f. ŒVRS complètes de Boileau Despréaux, précédées d'un Discours par Pahssot bonne édit.; 1 vol. in-8, portrait. 6 f. nt 1 f. 50 c ŒVRS de Collin-Harleville, avec u Notice sur sa vie et ses ouvrages superbe édition d 1828; 4 vol in-8, pp. superfin satiné, prt. et fac. simil. 36 f. tne 12 f. ŒUVRES complètes
la vicomtesse de Turpin de Crissé, etc., recueillis et mis en ordre par M. Alph. de Beauchamp 2 vol. in-8. 15 f. net 3 f. 50 c. NOUVELLES parisiennes ou les Mœurs modernes, suivies de quelques "Variétés littéraires, par E. F. Bazot, jolie édition 5 vol. in-12. 12 f. net 3 f. ŒUVRES complètes de Bertin, très belle édition, 1 joli vol. in-32, pap. vel. port. 3 f. 50 c. net 1 f. 50 c. ŒUVRES choisies de Boufflers, très jolie édit. 1 vol. in-32, pap. vél. 3 f. 50 c. net 1 f. ŒUVRES complètes de Boileau Despréaux, précédées d'un Discours par Pahssot bonne édit.; 1 vol. in-8, portrait. 6 f. net 1 f. 50 c. ŒUVRES de Collin-Harleville, avec une Notice sur sa vie et ses ouvrages superbe édition de 1828; 4 vol. in-8, pap. superfin satiné, port. et fac. simil. 36 f. net 12 f. ŒUVRES complètes de Pierre Corneille et chefs-d'œuvre de Thomas, très belle édition de Renouard; 12 gros vol. in-8, pap. superfin satiné. 96 f. net 36 f. Le même ouvrage orné de toutes les belles fig. de Moreau. 130 f. net 5 c. f. À vendre par adjudication en l'étude M. Beauvais, notaire à Crecy, près Meaux, le dimanche 4 octobre 1829, à 1 h, 148 arpents 82 perches de terre prés et vignes en 25 pièces réparties en 11 lots situés à Vaucourtols, canton de Crecy, arrondissement de Meaux (Seine et Marne). Ou à vendre à l'amiable le domaine de Vaucourtols consistant en bâtiments d'habitation et d'exploitation terres prés bois, vigne, parc et potager le tout de la contenance de 264 arpents, 84 perches, mesure de 20 pieds pour perche, d'un revenu de 11,124 f. S'adresser à M. Esnée, notaire à Paris, rue Meslé, n° 38 et audit M. Beauvais, notaire à Crecy. (3914) À vendre en totalité ou par partie, par adjudication volontaire le 28 octobre prochain en l'étude M. Talbot, notaire à Chateauroux auquel il faut s'adresser 1230 arpents de bois patrimoniaux essence chêne garnis de hautes futaies, situés près Chartres département de l'Indre 335 arpents sont âgés de 16
la vicomtesse de Turpin de Crissé, etc., recueillis et mis en ordre par M. Alph. de Beauchamp vol. in-8. 15 f. net 3 f. 50 c. NOUVELLES inisrapsene ou les Mœurs modernes, suivies de quelques "Variétés littéraires, par E. F Bazot, jolie édition 5 vol. in-12. 12 f. net 3 f. ŒVRS complètes de Bertin, très belle édition, 1 joli vol. in-32, pap. vel. port. f. 50 c. net 1 f. 50 c. ŒUVRES choisies de Boufflers, très jolie édit. 1 vol. in-32, pap. vél. f. 50 c. net 1 f. ŒUVRES complètes de Boileau Despréaux, édée d'un Discours p Pahssot bonne édit.; 1 vl. in8 portrait. 6 f. net 1 f. 50 c. ŒUVRES d Collin-Harleville, avec n Notice sr sa vie et ses ouvrages superbe n de 1828; 4 vol. n-8, pap. superfin satiné, port. et f. simil. 36 f. net 12 f. ŒUVRES complètes de Pierre Corneille et chefs-'œuvre de Thomas, très belle édition de Renouard; 12 gros vol. n-8, pp. supri satiné. 96 f. net 36 f. Le même ouvrage oné de toutes les belles fig. de Moreau. 130 f. net 5 c. f. À vendre par adjudication en l'étude M. Beauvais notaire à Crecy, près Meaux, le dimanche 4 octobre 1829, à 1 h, 148 arpents 82 perches de terre prés et vignes en 25 pièces réparties en 11 lots situés à Vaucourtols, canton e Crecy, arrondissement de Meaux (Seine et Marne). Ou à vendre à l'amiable le domaine de Vaucourtols consistant en bâtiments d'habitation et d'exploitation terres r bois, vigne, prc e potager le tout de la contenance de 264 arpents, 84 perches, mesure d 20 pieds pour perche, d'un revenu de 11,124 f. S'adresser M. Esnée, ntr à Paris, rue Meslé, n° 38 et idtau M. Beauvais, notaire à Crecy. (3914) À vedre en iéatttol ou r partie, par adjudication volontaire le 28 octobre prochain en l'étd M Talbot, notaire à Chateauroux auquel il faut s'adresser 1230 arpents de bois ipmuniaxtaro essence chêne garnis de hautes faetis,u situés près Chartres département de l'Indre 33 arpents sont âgés de 16
à Crecy, près Meaux, le dimanche 4 octobre 1829, à 1 h, 148 arpents 82 perches de terre prés et vignes en 25 pièces réparties en 11 lots situés à Vaucourtols, canton de Crecy, arrondissement de Meaux (Seine et Marne). Ou à vendre à l'amiable le domaine de Vaucourtols consistant en bâtiments d'habitation et d'exploitation terres prés bois, vigne, parc et potager le tout de la contenance de 264 arpents, 84 perches, mesure de 20 pieds pour perche, d'un revenu de 11,124 f. S'adresser à M. Esnée, notaire à Paris, rue Meslé, n° 38 et audit M. Beauvais, notaire à Crecy. (3914) À vendre en totalité ou par partie, par adjudication volontaire le 28 octobre prochain en l'étude M. Talbot, notaire à Chateauroux auquel il faut s'adresser 1230 arpents de bois patrimoniaux essence chêne garnis de hautes futaies, situés près Chartres département de l'Indre 335 arpents sont âgés de 16 ans, le reste de 13, 12, et successivement aménagés ils sont entourés d'usines qui en assurent l'exploitation. (3907) Propriété patrimoniale à vendre dans un beau pays, à 16 lieues de Paris route de Normandie à deux lieues de Forts-Marchés elle se compose, 1°. d'une ferme en parfait état de réparations, maison de fermier en pierres de taille cour vacherie écurie, bergerie, toits-à-porcs, poulailler, granges à blé et à avoine jardin et grand clos planté d'arbres fruitiers, et 166 arpents 55 perches de terre labourable mesure de Paris; 2°. de beaux et bons prés servant d'herbages à un haras de chevaux et presque d'un seul tenant, de la contenance de 74 arpents 97 perches: 3°. d'un superbe bois d'aunes, contenant 96 arpents 51 perches divisé en 12 coupes de 8 arpents chaque qui se vend 28 f. la feuille 4°. et d'un cours d'eau. S'adresser à M. Couchier, notaire à Paris, rue Saint Antoine n° 31. (3931) Adjudication définitive en la chambre des notaires de Paris le mardi 13 octobre 1829 à 11 h, sur la mise à prix de 50,000 fr., d'une Maison sise à Paris, rue des Fossés de Montmartre, n° 22, élevée sur caves d'un rez-de-chaussée formant boutique
à Crecy, près Meaux, le dimanche 4 octobre 1829, à 1 , 148 arpents 82 perches de ere prés et vignes en 25 pièces réparties en 11 lots situés à Vcrtls, o d Crecy, arrondissement de Meaux Sie(ne et re. Ou à vendre à 'amiable le domaine de Vaucourtols cnsa en bâtiments dhabitation et 'exploitation terres prés bo vigne, parc et potager le tout de la contenance de 462 arpents, 84 perches, mesure de 20 pieds pour perche, d'n revenu d 11,124 f. S'adresser à M. Esnée notaire à Paris, rue Mslé, n° 38 et audit M. Beauvais, notaire à ry 3914 À vendre en totalité ou par partie, par addition volontaire le 28 octobre prochain n l'étude M. Talbot, ni Chateauroux auquel l ft s'adresser 1230 arpents de bs ptrmnx essence chêne grns de hautes futaies, situés près Chrtrs département de l'Indre 335 arpents sont âgés de 1 ans, le reste de ,13 12 et successivement aménagés ils sont entourés d'uies qui en assurent l'exploitation. (3907) Propriété patrimoniale à vendre dans un beau pays, à 16 lieues d Paris route de Normandie à deux lieues de Fos-chs elle se compose, 1°. d'une ferme e parfait étt de réprtns, maison de fermier en pierres de taille cour vacherie écurie, bergerie, toits-à-porcs, poulailler, granges à blé t à avoine jardin et rgdan os nté d'arbres fruitiers, et 66 arpents 55 perches d terre rbbouaaell mesure de Prs; 2°. de beaux et bons prés servant d'herbages à un haras de chevaux et presque d'un sl tenant, de la contenance d 74 arpents 97 perches °.3 du'n superbe bois d'aunes, eacnotnnt 96 arpents 51 prchs divisé en 12 coupes de arpents chaque iqu se vend 28 f. la feuille 4°. t d'un cours deau S'drssr à M. uhie, notaire à Paris, rue Saint oe n° 31. (3931) Adjudication définitive n l chambre des notaires de Paris le mardi 13 octobre 1829 à 11 h, urs la imse à prix de 50,000 fr., d'une Maison ss à Paris, rue des Fossés de Montmartre, n° 22, éeelév sur cavse dun rez-de-chaussée formant boutique
maison de fermier en pierres de taille cour vacherie écurie, bergerie, toits-à-porcs, poulailler, granges à blé et à avoine jardin et grand clos planté d'arbres fruitiers, et 166 arpents 55 perches de terre labourable mesure de Paris; 2°. de beaux et bons prés servant d'herbages à un haras de chevaux et presque d'un seul tenant, de la contenance de 74 arpents 97 perches: 3°. d'un superbe bois d'aunes, contenant 96 arpents 51 perches divisé en 12 coupes de 8 arpents chaque qui se vend 28 f. la feuille 4°. et d'un cours d'eau. S'adresser à M. Couchier, notaire à Paris, rue Saint Antoine n° 31. (3931) Adjudication définitive en la chambre des notaires de Paris le mardi 13 octobre 1829 à 11 h, sur la mise à prix de 50,000 fr., d'une Maison sise à Paris, rue des Fossés de Montmartre, n° 22, élevée sur caves d'un rez-de-chaussée formant boutique occupée par un chapelier, 4 étages carrés chambres sous le comble, petite cour, puits mitoyen cette maison est entièrement louée et d'un bon produit. S'adresser à M. Fourchy, notaire quai Malaquais, n° 5. (3652) Le mercredi 30 septembre 1829, il sera procédé devant M. Adolphe Coignard, notaire à Majenne, à l'adjudication définitive, sur indication de la terre de Rulen située commune de Marellle, arrondissement de Mayenne, département du Maine-et-Loire nom. Cette terre, sise proche de la grand'route de Paris, à 2 lieues de Mayenne, consiste en la métairie de Rulen celle de la Renaudière, la métairie du Ménil-Rager, la closne des Tesnieres, le moulin de Rulen celui de Drageni et le bois de Rulen avec la maison du garde. Ce bois contient 1100 arpents, partie en bois taillis et le reste en bruyères le tout estimé en revenu près de 4600 fr., et pouvant être doublé de valeur en y faisant les améliorations dont il est susceptible. (3792) Vente sur licitation entre majeurs et interdits, à l'audience des criées du tribunal civil de la Seine, de trois maisons, sises à Paris. 1. Rue aux Fèves, n° 15, sur la mise à prix de 14,500 fr. 2. Rue Saint Séverin n°
maison e fermier en pierres de taille cour vacherie écurie, brgr, toits-à-porcs, poulailler, granges à bé et à vn jardin et grand clos planté sr'ardbe fruitiers, et 166 arpents 55 perches de terre labourable mesure de Paris; 2°. d beaux et bons prés tsvearn d'herbages à un haras de chevaux t presque d'un sel tenant, de la contenance de 74 rpnts 97 prchs: 3°. d'un superbe o d'aunes, cntnnt 9 ans 51 prchs divisé en 12 coupes de 8 arpents chaque q se vend 2 . la fll 4°. et d'un cours d'eau. S'adresser à M. Couchier, notaire à Paris, rue aint Antoine n° 31. (3931) Adjudication défntv en la chambre des notaires de Paris le mrd 13 obtcero 1829 à 11 , sur la mise à prix de 50,000 fr., d'eun Maison sise à Paris, rue eds Fossés de Montmartre, n° 22, élevée sur csvae d'un css-r-ézeeeduha formant tibuqeuo occupée par un chapelier, 4 étages carrés chmbrs sous le comble, petite cour, uistp mitoyen cette msn est entièrement louée et d'un bon produit. S'adresser à M. Fourchy, notaire quai Malaquais, n° 5. (3652) Le mercredi 30 septembre 1829, il sera procédé devant M Adolphe Coignard, notaire à Majenne, à l'adjudication définitive, sur indication de l terre de Rulen située commune de Marellle arrondissement de Mayenne, département du Maine-et-Loire nom. Cette terre, sise proche de la grand'route de Paris, à 2 euiels de Mynn, consiste en la métr de Rulen celle de la Raire, la métr du Ménil-Rager, la closne des Tesnieres, l moulin de Rulen celui de Drageni et le bois de Rulen avec la maison du garde. Ce bo contient 1100 arpents, partie en bois taillis et le reste en yèr le tout stmé en près de 4600 fr., te pouvant être doublé de valeur en y faisant les améliorations dont il est eipeutl.sbcs (3792) Vente sur licitation etnre mjrs et interdits, à l'audience des criées du iltnbura cvl de l Seine, de trois maisons, sises à Paris. 1. Rue aux Fèves, n° 15, sur l mise à prix de 14,500 fr. 2. R Saint Séverin n°
l'adjudication définitive, sur indication de la terre de Rulen située commune de Marellle, arrondissement de Mayenne, département du Maine-et-Loire nom. Cette terre, sise proche de la grand'route de Paris, à 2 lieues de Mayenne, consiste en la métairie de Rulen celle de la Renaudière, la métairie du Ménil-Rager, la closne des Tesnieres, le moulin de Rulen celui de Drageni et le bois de Rulen avec la maison du garde. Ce bois contient 1100 arpents, partie en bois taillis et le reste en bruyères le tout estimé en revenu près de 4600 fr., et pouvant être doublé de valeur en y faisant les améliorations dont il est susceptible. (3792) Vente sur licitation entre majeurs et interdits, à l'audience des criées du tribunal civil de la Seine, de trois maisons, sises à Paris. 1. Rue aux Fèves, n° 15, sur la mise à prix de 14,500 fr. 2. Rue Saint Séverin n° 4, 2,200 3. Rue Saint Jacques n° 136 9,500 L'adjudication définitive aura lieu le 26 septembre 1829. S'adresser pour les renseignements 1°. A M. Gamard, avoué, poursuivant rue Saint Denis-des-Arts; n° 35 2°. à M. Moisson, notaire rue Sainte Anne, n° 57 (3871) Adjudication définitive, en vertu de renvoi judiciaire, le jeudi 15 octobre 1829, à 11 h, en l'étude et par le ministère de M. Frémont, notaire à Paris rue de Seine Saint Germain, n° 53, d'une fabrique de filature et tissage de coton située à Melun (Seine et Marne), faubourg de Saint Miesne, exploitée ci-devant par MM. de Surmont et Mondésert sur la mise à prix de 100,000 fr. des machines et métiers ont été récemment estimés 140,000 fr. S'adresser pour connaître les conditions de la vente, à Melun à M. Duclos, avoué poursuivant; à MM. Bos, Passelen, Nancey et Clément, avoués présents à la vente; Et à Paris à M. Frémont notaire, dépositaire du cahier des charges; et à M. Jausse, avoué, rue de l'Arbre-Sec, n° 48. ŒUVRES Complètes de MM. Cottin très jolie édition 12 vol. in-32 pap. fin fig. couv. imp. 36 f. net 9 f. ŒUVRES complètes d'Etienne Jouy, de l'Académie-Française, avec des éclaircissements
ladjudication définitive, rsu indication de a terre de Rulen située commune de Marellle, arrondissement de Mayenne, département u Maine-et-Loire nom. Cette terre, sise proche de la grand'route de Paris, à lieues de Mayenne, consiste en la métairie de Rulen cll de la èenir,dReua la métr du Ménil-Rager, la closne des Tesnieres, le moulin e Ren uilce de Drageni et le bois de Rulen avec la maison garde. Ce bois contient 1100 arpents, partie en bois taillis et l reste en bruyères le tout estimé en revenu près de 4600 fr., et pouvant être doublé de valeur en y faisant les améliorations dont il est susceptible. )2937( Vente sur licitation entre majeurs et d,isttrine à udece ds criées du tribunal civil de l Seine, de trois maisons sises à Paris. 1. R aux Fèves, n° 15, sur la mise à prix de 14,500 fr. 2. Rue Saint Séverin n° 4, 2,200 3. Rue Saint Jacques n° 136 9,500 L'adjudication définitive aura lieu le 26 septembre 1829 S'adresser pour les renseignements 1°. A M. Gamard, avoué, poursuivant rue Saint Densde-ts; °n 35 2°. à M Moisson, notaire rue Sainte Anne, ° 57 3871 Adjudication défntv, en vertu de rnv judiciaire, le jeudi 15 octobre 18, à 11 h, en l'étude et le ministère de M. Frémnt, notaire à Paris rue de Seine San Germain, n° 53, d'une fabrique d fltr et tissage de coton située à Melun (Seine et Marne), faubourg de Saint ,Mesnei exploitée ci-devant par M de Surmont et Mondésert sur la ms à prix de 100,000 fr. des machines et métiers ont été récemment esim 140,000 fr. S'adresser pr connaître les cdits de la vente à Melun à M. Duclos, avoué poursuivant; à MM. Bos, Passelen, Nancey t Clément, avoués présents la vente; t à Prs à M Frémont notaire, dépositaire du cahier des charges; et . as, avoué rue de l'Arbre-Sec, n° 48. ŒUVRES Complètes de MM. Cottin très jolie édition 12 vol. in-32 pap. fin fg. couv. imp. 36 f. net f. ŒUVRES complètes d'Etienne Jouy, d l'Académie-Française, avec des éclaircissements
le jeudi 15 octobre 1829, à 11 h, en l'étude et par le ministère de M. Frémont, notaire à Paris rue de Seine Saint Germain, n° 53, d'une fabrique de filature et tissage de coton située à Melun (Seine et Marne), faubourg de Saint Miesne, exploitée ci-devant par MM. de Surmont et Mondésert sur la mise à prix de 100,000 fr. des machines et métiers ont été récemment estimés 140,000 fr. S'adresser pour connaître les conditions de la vente, à Melun à M. Duclos, avoué poursuivant; à MM. Bos, Passelen, Nancey et Clément, avoués présents à la vente; Et à Paris à M. Frémont notaire, dépositaire du cahier des charges; et à M. Jausse, avoué, rue de l'Arbre-Sec, n° 48. ŒUVRES Complètes de MM. Cottin très jolie édition 12 vol. in-32 pap. fin fig. couv. imp. 36 f. net 9 f. ŒUVRES complètes d'Etienne Jouy, de l'Académie-Française, avec des éclaircissements et des notes superbe édition de Jules Didot 27 vol. in-8 pap. superfin d'Annonay sat. couv. imp. 216 f. net 100 f. ŒUVRES complètes de Millevoye 3 vol. et très belle édition 4 vol. in-8 pap. superfin sat., port., couv. imp. 28 f. net 18 f. ŒUVRES choisies de Volney, contenant les Ruines, la Loi Naturelle et l'Histoire de Samuel, belle édit. 1 gros vol. in-24 couv. imp. 4 f. 50 c. net 3 f. POÈMES et chants élégiaques, par M. Alex. Guiraud, ornés de jolies grav., 5e et belle édit., 1 vol. in-16, couv. imp. 4 f net 1 f. 50 c. RÉSUMÉ de l'histoire des jésuites, depuis l'origine jusqu'à la destruction de leur société, etc., par Ch. Laumier; 1 gros vol. in-18 de 564 pages. 4 f. net 1 f. SIÈGE (le) de Lyon, poème suivi d'odes sur la Grèce, Dithyrambes et poésies diverses, par Ch. Massas, belle édit.; 1 vol. in-16 avec titre grav., couv. imp. 3 f. net 1 f. TABLEAUX, Statues, Bas-Reliefs et Camées de la Galerie de Florence et du palais Pitti; 50 livraisons formant 4 vol. grand in-folio; 1200 f. net 300 f. Le même ouvrage avec les figures tirées sur pap. de
le jeudi 51 octobre 1829, à 11 h, en l'étd t par le ministère d M. Frémnt, notaire à Paris re de Sn Saint G,ainrem n° 53, d'une fbru de filature et tissage d oon éeusit à Melun (Sin t Mrn), faubourg de Saint Miesne, exploitée -dea par MM. de Surmont et Mondésert sur la mise prx de 1000 fr. des machines et métiers ont été récemment estimés 140000 fr. resarS'esd pr connaître les conditions d la vente, à Melun M. Duclos, avoué poursuivant à MM. Bos, Passelen, Nancey Clément avoués présents à la nte; Et à Paris à M. Frémont oaie dépositaire du cahier des chrgs; et à M. Jus, aué, rue de l'AbreSe, n° 48. ŒUVRES Coe de MM. Cttn très jolie édition 12 vol. in-32 pap fin fig. couv. imp. 36 f. net 9 f. ŒUVRES cmplèts d'Etienne Jouy, de l'Académie-Française, avec des éclaircissements te des notes superbe di de Jules Didot 27 vo i- pap. superfin 'nnon sat. cv. imp 216 f. net 100 f. URS complètes d Millevoye 3 vol. et très belle édition 4 vol. in- p. superfin sat., port., cv. imp. 28 . ten 18 f. URES choisies de l,Vonye cotntnnae sle Ruines, la Loi Naturelle et 'Histoire de Samuel, belle édit. 1 gros vol. in-24 couv. imp. 4 f. 50 c. net 3 f. POÈMES te chants élégiaques par . Alex. Guiraud, ornés de jolies grav., 5e t belle édit., 1 vol. in-16, couv. mp. 4 f net 1 f. 50 c. RÉSUMÉ de l'hstr des jésts, depuis lorgine juqu la destruction de leur société etc., par Ch. Laumier; 1 gros vol. in-18 de 564 pages. 4 .f net f. SIÈGE le ed Lyon, poème suivi dodes sur l Grèce, Dithyrambes et osis diverses, par Ch. Massas, belle édit.; 1 vl. in-16 avec titre grav., couv imp. 3 .f net 1 .f TABLEAUX, Statues Baslies te Camées de la Galerie de Florence et d pls Pitti; 50 livraisons formant 4 vol. grand in-folio; 1200 . net 300 f. L même vrg avec e figures tirées sur pap. de
contenant les Ruines, la Loi Naturelle et l'Histoire de Samuel, belle édit. 1 gros vol. in-24 couv. imp. 4 f. 50 c. net 3 f. POÈMES et chants élégiaques, par M. Alex. Guiraud, ornés de jolies grav., 5e et belle édit., 1 vol. in-16, couv. imp. 4 f net 1 f. 50 c. RÉSUMÉ de l'histoire des jésuites, depuis l'origine jusqu'à la destruction de leur société, etc., par Ch. Laumier; 1 gros vol. in-18 de 564 pages. 4 f. net 1 f. SIÈGE (le) de Lyon, poème suivi d'odes sur la Grèce, Dithyrambes et poésies diverses, par Ch. Massas, belle édit.; 1 vol. in-16 avec titre grav., couv. imp. 3 f. net 1 f. TABLEAUX, Statues, Bas-Reliefs et Camées de la Galerie de Florence et du palais Pitti; 50 livraisons formant 4 vol. grand in-folio; 1200 f. net 300 f. Le même ouvrage avec les figures tirées sur pap. de Chine; 2400 f. net 500 f. TAXES dédiées à la famille royale de France 1 joli vol. in-18, imp. par Jules Didot, et orné de 6 belles fig. d'après Chasselat, couv. imp. 6 f. net 1 f. 50 c. TRAITÉ de l'esprit, par Helvétius, avec notes de tous les commentateurs, superbe édit. de Dalibon; 2 vol. in-8, pap. sup. couv. imp. 15 f. net 3 f. 50 c. VOYAGE de la Grèce par F. H. L. Pouqueville consul général de France auprès d'Ali-Pacha avec cartes, vues et fig. 2e édition 6 vol. in-8, supérieurement imprimés par Firmin Didot, sur pap. superfin sat. et un bel atlas in-8, composé de deux cartes collées sur toile, couv. imp. net 48 f. VOYAGE en Russie, en Tartarie et en Turquie par M. Edouard Daniel Clarke; belle édit., 2 gros vol. in-8 avec plans et cartes géographiques. 20 f. net 6 f. Nota. On trouve à la librairie française et étrangère, quantité de très bons livres non portés ci-dessus, à un très grand rabais. Voir le Journal des Débats, des 12 septembre, 26 août et 8 juillet 1829. Toute demande au-dessus de 100 fr. sera expédiée franche de port et d'emballage, pour toute la
cntnnt les Ruines, l Loi Naturelle et l'Histoire de Samuel, belle édit. 1 gros vol. n-24 couv. imp. 4 . 50 c. net f. POÈMES et chants élégiaques, par M. Alex. Guiraud, ornés de jolies grav 5e et bll dit. 1 vol. in-16, couv. imp. 4 f net 1 f. 50 c RÉSUMÉ de l'histoire des jésuites dps l'origine jusqu'à al destruction de leur société, etc., par Ch. Laumier; 1 grs vol. in-18 e 564 pages. f. net 1 f. SIÈGE (le) de yn, poème suivi d'odes sur la Grèce, Dithyrambes t poésies diverses, par Ch. Maa belle édt.; 1 vol. in-16 vc titre a.v,gr couv. imp 3 f net 1 .f TABLEAUX, Statues, Bas-Reliefs et eamséC de la Galerie de Florence et ud palais Pitti; 50 ivrs formant 4 vol. d infolio 1200 f. net 300 f. Le même ouvrage avec les figures tirées sur pap de Chine 2400 f. net 500 . TAXES désiéde à la fmll royale de France 1 joli vol. in-18, mp. arp Jules Didot, et orné de 6 blls ig. 'p Chasselat, couv. imp. 6 f. net 1 f. 50 c. TRAITÉ de l'esprit, par Helvétius, avc notes de tous les commentateurs, superbe édit de Dlbn; 2 vol. in-8, pap sup. couv. imp. 15 f. etn 3 f. 50 . VOYAGE de la Grèce pr . H. L. Pqvll consul général de France auprès d'Ali-Pacha avec cartes, vues et fig. 2e édition 6 vol. in-8, supérieurement mprmés par Firmin Didot, sur pap. superfin sat. un bel atlas in-, composé de deux cartes collées sur l couv. imp. net 48 f. VOYAGE en Russie, en Tartarie et en Turquie p M. Edouard Daniel Clarke; belle édt., 2 grs vol. in-8 avec plans et cartes géographiques. 20 f. net 6 f. Nota. n trouve à l librairie is te étrngèr, quantité de très bons livres non portés ci-dessus, à un très grand rbs. Voir le Juonlar des Débats, des 12 sptmbr, 26 ût et 8 juillet 8.291 Toute demande au-dessus d 100 fr. sera expédiée franche de port et d'emballage, pour toute a
superbe édit. de Dalibon; 2 vol. in-8, pap. sup. couv. imp. 15 f. net 3 f. 50 c. VOYAGE de la Grèce par F. H. L. Pouqueville consul général de France auprès d'Ali-Pacha avec cartes, vues et fig. 2e édition 6 vol. in-8, supérieurement imprimés par Firmin Didot, sur pap. superfin sat. et un bel atlas in-8, composé de deux cartes collées sur toile, couv. imp. net 48 f. VOYAGE en Russie, en Tartarie et en Turquie par M. Edouard Daniel Clarke; belle édit., 2 gros vol. in-8 avec plans et cartes géographiques. 20 f. net 6 f. Nota. On trouve à la librairie française et étrangère, quantité de très bons livres non portés ci-dessus, à un très grand rabais. Voir le Journal des Débats, des 12 septembre, 26 août et 8 juillet 1829. Toute demande au-dessus de 100 fr. sera expédiée franche de port et d'emballage, pour toute la France. AVIS AUX DAMES la leucorrhée (vulgairement appelée fleurs blanches), maladie à laquelle les femmes sont le plus sujets dans les grandes villes et les lieux humides est un flux contre nature d'autant plus filant dangereux que s'établissant insensiblement et sans douleurs, à l'intimité peut le dissimuler longtemps. Ce n'est d'abord qu'un suintement qui augmentant et néglige est toujours accompagné de troubles d'estomac, d'amaigrissement, de lanements d'œil, de tristesse, de pâleur, avec des yeux cernés, quelquefois de démangeaisons insupportables et de douleurs obtuses dans les environs du siège de l'affection qui enfin aboutit trop souvent au cancer de si cruels effets avertissent assez les femmes qu'elles ne peuvent trop tôt s'en délivrer: bien que les préjugés portent nombre d'entre elles à croire que ce flux leur est nécessaire ou qu'il est incurable, attendu le peu de succès des méthodes de traitement suivies jusqu'ici, l'usage de la liqueur chlore-balsamique prise à l'intérieur, et des chlorures alcalins employés à la toilette en triomphe bientôt et rendent aux femmes la fraîcheur et l'embonpoint que cette maladie leur a fait perdre. On ne se procure ces substances préparées à cet effet que sur l'ordonnance du docteur Magnien, qui consulte tous les jours de 11
superbe édit. d Dalibon; 2 vol. in-8, pap. sup. cv. imp. 15 f. net 3 f. 50 c. VOYAGE de la èce par F. H. L. Pouqueville coul général de France auprès d'Ali-Pacha avec cartes, vues et fig. édition 6 vl. in-8, supérieurement spimméri par Firmin Didot, sur pap. superfin sat. et un bel atlas in-8, composé de deux cartes collées sur toile, couv. imp. net 48 f VOYAGE en Russie, en Tatare et en Turquie pr M. Edouard Daniel Clarke; belle édit., 2 gros vol. in-8 avec plans et cartes géographiques. 20 f net 6 f Nota. On trouve la librairie française et étrangère, quantité de très bons livres non portés ci-dessus, à un très grand rabais. Voir le Journal des Débats, des 12 septembre 26 août et 8 juillet 1829. Toute demande au-dessus de 100 fr. sera expédiée franche de port et 'emballage, pour toute la France. AVIS X DAM la leucorrhée (vulgairement appelée fleurs nche, maladie à laquelle les femmes sont le plus sujets dns les grandes villes et les lieux humides est un flux contre nature d'autant plus filant dangereux que s'établissant insensiblement et sans ur,uldeso à l'intimité peut le dissimuler longtemps. Ce n'est d'abord qu'un suintement qui augmentant et néglige est oujous ccmpgné de troubles d'estomac, d'amaigrissement, d lanements dœil de tristesse, de pâleur, avec des yx cernés, quelquefois de démangeaisons insupportables t de douleurs obtuses dns les environs du siège de l'affection qui ei ibatotu trop souvent cancer de si cruels effets avertissent assez les femmes qu'elles ne peuvent trop tôt s'en délivrer: bien que ls préjugés portent nombre d'entre elles à croire q ce flux leur est nécessaire ou qu'il est incurable, attendu l peu de succès ds méthodes d traitement suivies jusqu'ici, l'usage de la liqueur chlore-balsamique prise à l'intérieur, et des chlorures alcalins employés à la toilette en triomphe bientôt et rendent aux femmes la fraîcheur et l'embonpoint que ctt maladie leur a fait perdre. On en se procure ces substances préparées à cet effet que sur l'ordonnance du docteur Mgnn, consulte tous les jours de 11
d'abord qu'un suintement qui augmentant et néglige est toujours accompagné de troubles d'estomac, d'amaigrissement, de lanements d'œil, de tristesse, de pâleur, avec des yeux cernés, quelquefois de démangeaisons insupportables et de douleurs obtuses dans les environs du siège de l'affection qui enfin aboutit trop souvent au cancer de si cruels effets avertissent assez les femmes qu'elles ne peuvent trop tôt s'en délivrer: bien que les préjugés portent nombre d'entre elles à croire que ce flux leur est nécessaire ou qu'il est incurable, attendu le peu de succès des méthodes de traitement suivies jusqu'ici, l'usage de la liqueur chlore-balsamique prise à l'intérieur, et des chlorures alcalins employés à la toilette en triomphe bientôt et rendent aux femmes la fraîcheur et l'embonpoint que cette maladie leur a fait perdre. On ne se procure ces substances préparées à cet effet que sur l'ordonnance du docteur Magnien, qui consulte tous les jours de 11 heures à 4 heures, rue de Cléry n° 73. Il délivre aussi les adultes du ver solitaire en quelques heures. (Affranchir.) Un denier de la Manufacture royale des glaces a vendre par adjudication sur l'enchère de 36,000 f. le 3 octobre prochain, en l'étude de M. Danloux, notaire, rue Saint Antoine, n° 207. Pension bourgeoise (prix 105 fr. par mois) où on a à sa disposition du vin de Maçon Thorn vins fins salon de réunion bains, billard voiture, cabriolet, très beau jardin et tous les jeux d'agrément. Rue de Grenelle, n° 22, près la Chambre des Députés. 200,000 fr. en viager à placer en une ou plusieurs parties. S'adresser à Me Froger-Beschesnes, avoué notaire, rue de Richelieu n° 47 bis. A vendre 500 fr., un beau meuble de salon à la mode; plus 360 fr., 1st, secrétaire, commode. S'adresser rue Traversière Saint-Honoré n° 41. HALLE AUX BLES DE PARIS, du 20 septembre 1829. FARINE, les 169 kilogrammes. Beauce, 1re qualité. 77 à 19 new Brie, 1d. 78 Picardie, 1d. 12 à 76 · 3: 2 qualité, de tous pays 525 r 84 » 3 id., 1d. 52 » 56 4· id. 1d. 26 » 46 » GRAINS A MOUDRE.
d'ar qu'un suintement qui augmentant t néglige est toujours accompagné de troubles d'stmc, d'amaigrissement, de lanements d'œil, de tristesse, de pâlr, avec ds yeux cernés, quelquefois de démangeaisons insupportables et de douleurs obtuses dans les environs du siège de l'affection qui enfin aboutit trop souvent au cancer de s ru effets avertissent assez les femmes qu'elles ne peuvent trop tôt s'en riél:evrd bien que les préjugés portent nombre d'entre elles à croire que ce flux leur est nécessaire ou qu'il est incurable, attendu le peu de succès des méthodes de traitement suivies jsq'c, l'sg de l ulerqiu chlore-balsamique prise à l'intérieur, et des chlorures alcalins employés à la toilette en triomphe bientôt et rendent aux femmes la fraîcheur et lembonpoint que cette maladie leur a fait perdre On ne se rocur ces substances préparées cet effet uqe sur l'ordonnance du docteur Magnien, qui consulte tous les jrs de 11 heures à 4 eur, r de Cléry ° 73. Il délivre aussi les adultes ud ver solitaire en quelques urs. (ffranhir nU denier d la Manufacture royale des glaces a vendre par adjudication sur l'enchère d 36,000 f. le 3 octobre prochain, en l'étude de M. Danloux, notaire, rue Saint Ae n° 207. Pension bourgeoise (prix 105 fr. par mois) où on à sa disposition du vin de Maçon Thorn vins fins salon de réunion bains, billard voiture, cabriolet, très eaub jardin et tous jeux d'agrément. Rue de Grnll, n° 22, près la Chambre des Députés. 200,000 fr. en viager à le en une ou plusieurs prts. S'adresser à Me Froger-Beschesnes, avoué notaire, rue de Richelieu n° 47 bis. vendre 500 fr., un beau meuble d salon à la md; plus 360 fr., 1st, secrétaire, commode. S'drssr rue Traversière Saint-Honoré n° 41. HALLE AUX BLES DE RS du 20 septembre 1829. FARINE, les 169 kilogrammes. Beauce, 1re qualité. 77 à 19 new Brie, 1d. 78 Picardie, 1d. 12 à 76 · 3: 2 ulité d tous pays 525 r 84 » id., 1d. 52 » 56 4· id. 1d. 26 » 46 » GRAINS A MOUDRE.
Antoine, n° 207. Pension bourgeoise (prix 105 fr. par mois) où on a à sa disposition du vin de Maçon Thorn vins fins salon de réunion bains, billard voiture, cabriolet, très beau jardin et tous les jeux d'agrément. Rue de Grenelle, n° 22, près la Chambre des Députés. 200,000 fr. en viager à placer en une ou plusieurs parties. S'adresser à Me Froger-Beschesnes, avoué notaire, rue de Richelieu n° 47 bis. A vendre 500 fr., un beau meuble de salon à la mode; plus 360 fr., 1st, secrétaire, commode. S'adresser rue Traversière Saint-Honoré n° 41. HALLE AUX BLES DE PARIS, du 20 septembre 1829. FARINE, les 169 kilogrammes. Beauce, 1re qualité. 77 à 19 new Brie, 1d. 78 Picardie, 1d. 12 à 76 · 3: 2 qualité, de tous pays 525 r 84 » 3 id., 1d. 52 » 56 4· id. 1d. 26 » 46 » GRAINS A MOUDRE. HILE, l'hectolitre 1/ 1e qualité. 40 » 43 à 2 id. 36 >· 39 » 3' ~d. 31 35 · Seigle vieux x. 15 r IG = Nouveau. 20 » 22 » AVOINES, les 3 hectolitres. Qualité. 31 n 33 · 2 id. 29 30 = 3· id. (choix ). 64 » 35 » MARCHES AUX FOURRAGES, du 1er septembre. FAUBOURG SAINT-MARTIN. 1er que 1. 2e quai. 3e quai. Foin (les 500 kilogrammes). 54 à 62 47-A 53 36 h 46 Blé de paille. 26 à 27 -2 à 24 0 à 0 FAUBOURG SAINT-MARTIN. Foin. 59 h 0 ~46 & 50 38 à A Blé de paille. 26 à 27 34 à 25 22 23 RIVE D'ESLYF. Foin. 0 Ft IY 59 è 57 28 à 62 Blé de paille. :4 à 8~ 0 à v u a u BOURSE DE PARIS OU 24 SEPTEMBRE. Cinq pour 100, jouissance de Sept. À prime fin prochain. 107f 25 30 25 20 1er 20 20 –plus hât. 82 15 d. I –plus bas.. 82 25 d. 50 En liquidation Fin du mois. 5 15 25 Fin courant ouvert à 107 30 –d'un mois à l'autre 26 –plus haut 107 35 –plus
Antoine, n° 207. Pension euebsroiog (prix 105 fr. pr mois) où on à sa dpton du vin de Maçon Thorn vins fins salon de réunion bains, billard voiture, cabriolet, très beau jardin et tous les jeux 'agtmréd.ne Rue de Grnll, n° 22, pèsr la Chambre des Députés. 200,000 fr. en iag à placer en n ou plusieurs pte S'adresser à e Froger-Beschesnes, avoué notaire, r de Richelieu n° 47 bis. vendre 500 fr., nu beau meuble de salon à la mode; plus 360 .fr, 1st, secrétaire, commode. S'adresser rue Traversière Saint-Honoré n° 41. HALLE X BLES DE PARIS, du 20 septembre 1829. FARINE, els 169 kilogrammes. Beauce, 1re qualité. 77 à 19 new Brie, 1d. 78 Picardie, 1d. 12 à 7 · 3: 2 qualité, de tou pays 525 r 84 » 3 id., 1d. 52 » 56 4· id. 1. 26 » 46 » GRAINS A MOUDRE. HILE, l'hectolitre / 1e qualité. 40 » 43 à 2 id. 36 >· 39 » 3' ~d. 31 35 · Seigle vieux 15 r IG = Nouveau. 20 » 22 AVOINES, les 3 ecors alt 31 n 33 · 2 d. 29 30 = ·3 id. (choix ). 64 » 35 » MARCHES AX FRRGS, d 1er sem. FAUBOURG SAINT-MARTIN. 1r que 1. 2e quai. 3e quai. oiFn (les 500 kilogrammes). 54 à 62 47-A 53 36 h 46 Blé de paille. 26 à 27 -2 à 24 0 à 0 FAUBOURG SAINT-MARTIN. Foin. 95 h 0 ~46 50 38 A Blé de paille. 26 à 27 34 à 25 22 23 RIVE SY. Foin. Ft Y 59 è 57 28 à 62 Blé de paille. :4 à 8~ 0 à v u u BOURSE DE ARI U 42 SEPTEMBRE Cinq pour 100, jouissance de Spt. prime fin prochain. 107f 25 30 25 20 1er 2 20 p–lsu hât. 82 15 . I plus bas.. 2 25 d. 50 En liquidation Fin du mois. 5 15 25 Fin courant ouvert à 107 30 –d'n ms à l'autre 26 –plus haut 107 35 –plus
64 » 35 » MARCHES AUX FOURRAGES, du 1er septembre. FAUBOURG SAINT-MARTIN. 1er que 1. 2e quai. 3e quai. Foin (les 500 kilogrammes). 54 à 62 47-A 53 36 h 46 Blé de paille. 26 à 27 -2 à 24 0 à 0 FAUBOURG SAINT-MARTIN. Foin. 59 h 0 ~46 & 50 38 à A Blé de paille. 26 à 27 34 à 25 22 23 RIVE D'ESLYF. Foin. 0 Ft IY 59 è 57 28 à 62 Blé de paille. :4 à 8~ 0 à v u a u BOURSE DE PARIS OU 24 SEPTEMBRE. Cinq pour 100, jouissance de Sept. À prime fin prochain. 107f 25 30 25 20 1er 20 20 –plus hât. 82 15 d. I –plus bas.. 82 25 d. 50 En liquidation Fin du mois. 5 15 25 Fin courant ouvert à 107 30 –d'un mois à l'autre 26 –plus haut 107 35 –plus bas 107 15 Act. de la Banque 1855 f –fermé à 107 35 Rente de Paris. 104 f. Fin du mois, 5 10 Canal d'Arles, à Bouc. Aucun d'un mois à l'autre, 40 de MOOf. libérée f. Quatre étapes de 100 f. de Mars. payables 6 pour 100 Action f Canal de Bourgogne. Action Trois pour 100. J. du 22 juin 1829. de 1000 f. non libérée f. 81 f 25 30 35 30 26 30 payables 5 pour 100 En liquidation Quatre canaux, 1200 f. Fin courant plus haut.. 8155 Caisse hypothécaire, 510 f. –plus bas. 81 30 Rente de Naples 87f. 25 –fermée 8155 Rente d'Espagne, À prime fin courant. 81 Emprunt royal d'Esp.. 72 f. 7,8 –plus haut d. Rente perp. d'Esp. 49 f. 1/2 –plus bas. 81 50 d.. Emprunt d'Haïti f. Après la Bourse 3 pour 100, 81 f 50 c demandé 52 1/2 offerte À prime fin prochain, –plus hât. 82 15 d. I –plus bas.. 82 25 d. 50 Fin du mois. 5 15 d'un mois à l'autre 25 Act. de la Banque, 1855 f. Rente de Paris. 104 f Canal d'Arles, à Bouc. Action de 1000 f. libérée f. payables 5 pour
64 » 35 » MARCHES AUX FOURRAGES, d 1er seebr FAUBOURG SAINT-MARTIN. 1er que 1. 2e quai. 3e quai. Foin (ls 500 kilogrammes). 54 62 47- 53 36 h 46 Blé d paille. 26 à -2 à 24 0 à 0 FAUBOURG SAINT-MARTIN. Foin. 59 h 0 ~46 & 50 38 à Blé d paille. 26 à 27 34 à 25 22 RIVE D'ESLYF. Foin. 0 Ft IY 59 è 28 à 62 Blé de paille. :4 à 8~ 0 à v u u BOURSE DE SAIRP OU 24 SEPTEMBRE. Cinq pour 100, jouissance Sept. À prime fin oiph.arnc 107f 25 30 25 20 1er 20 20 –pls hât. 82 15 d. I –upsl bas.. 82 25 . 50 liquidi Fn du mois. 15 25 Fn courant o à 107 30 –d'un mois à l'autre 26 –plus haut 107 35 –plus bas 107 15 Act de la Banque 1855 f –fermé à 7 35 Rente de Paris. 104 f. Fin du mois, 5 10 Canal 'Arles, à Bouc. Aucun d'un mois à l'autre, de MOOf. libérée f. Quatre étapes de 100 f. ed Mars. payables pour 100 ctn Cal de Brggn. Action Trois pour 100. J. du 22 juin 1829. de 1000 non libérée f. 81 f 25 30 35 30 26 30 payables pour 100 En liquidation Quatre canaux, 1200 f. F courant pls ht.. 8155 Ceaiss hphéie, 510 f. –plus bas. 81 30 Rente de Naples 87f. 25 fermée 8155 Rente 'Espagne, À prime fin courant. 81 Emr royal 'Esp.. 72 . 78 –plus haut d. Rente perp d'Esp. 49 f. 1/2 –plus as. 81 50 d.. Emprunt i'Hdaït f. Après la Bourse 3 pour 100 81 f 50 c demandé 52 1/2 offerte prime fin prochain, –plus ât 82 15 d I –plus bas.. 82 25 d 50 Fin du mois. 5 15 d'un mois à 'autre 25 ct. de la Baque, 1855 f. Rente de r 104 f Canal d'Arles, à Bouc. Action de 1000 f. libérée f. les 5 pour
Canal de Bourgogne. Action Trois pour 100. J. du 22 juin 1829. de 1000 f. non libérée f. 81 f 25 30 35 30 26 30 payables 5 pour 100 En liquidation Quatre canaux, 1200 f. Fin courant plus haut.. 8155 Caisse hypothécaire, 510 f. –plus bas. 81 30 Rente de Naples 87f. 25 –fermée 8155 Rente d'Espagne, À prime fin courant. 81 Emprunt royal d'Esp.. 72 f. 7,8 –plus haut d. Rente perp. d'Esp. 49 f. 1/2 –plus bas. 81 50 d.. Emprunt d'Haïti f. Après la Bourse 3 pour 100, 81 f 50 c demandé 52 1/2 offerte À prime fin prochain, –plus hât. 82 15 d. I –plus bas.. 82 25 d. 50 Fin du mois. 5 15 d'un mois à l'autre 25 Act. de la Banque, 1855 f. Rente de Paris. 104 f Canal d'Arles, à Bouc. Action de 1000 f. libérée f. payables 5 pour 100 Canal de Bourgogne. Action de 1000 f. non libérée f. payables 5 pour 100 Quatre canaux 1200 f Caisse hypothécaire, 510 f. Rente de Naples 87f. 25 Rente d'Espagne, Emprunt royal d'Esp.. 72 f. 7,8 Rente perp. d'Esp. 49 f. 1/2 Emprunt d'Haïti, f. TROIS MOIS. CHANGES. • PAPIER. AMSTERDAM. ARGENT Amsterdam 67f ..c 67f 1/8 57f 1/4 57f 30 Anvers 57f ..c 57f 1/8 57f 1/4 57f 3/8 Hambourg 186 1/2 186 1/4 185 1/2 185 14. Berlin f ..c 3f 70c ..f c ,3f 7/8 Londres 25f 65c ..f ..c 25f 45c 25f 45c Madrid effectif f ..c 15f 60c ..f ..c 15f Mo Cadix effectif ..f c 15f 70c ..f c 15f 70c Bilbao 15f 65c 15f 60c 16f 55c 15f 50c Lisbonne f ..c ..f c 617 1/2 617 1/2 Porto f ..c ..f c 610 e Gênes effectif 100 1/2 100 1/2 ..c 99f 7/8 Livourne 516 c 512 c Naples 430 .f ..c c 487 c Vienne effectif 256 156 254 264 Trieste 265 1/2 255 1/2 253 1/2 263 1/2 Venise f ..c 85f ..c ..f c c 84f a Milan 85f 85f 3/4 86f 84f 3/4 f ..c ..f ..c ..f
Canal de Bourgogne Action Trois pour . J. 22 jn 1829. de 1000 f. non libérée f 81 f 25 30 35 30 26 30 payables 5 pr 100 n liquidation Quatre cnx, 1200 f. Fin courant plus haut.. 8155 Caisse hypothécaire, 510 f. –plus .abs 81 30 Rnt de Naples 87f. 25 fermée 8155 Rente d'Espagne, À prime inf courant. 81 Emprunt royal d'Esp.. 72 f. , –plus haut d. Rente perp. dEsp 49 f. 1/2 –pls bas. 81 50 d.. Emprunt d'Haïti f. Après la Bourse 3 pour 100, 81 f 50 c demandé 52 1/2 offerte À prime fin prochain, p–uls hât 82 15 d. I –plus bas.. 82 25 d. 50 niF d mois. 5 15 d'un mois à l'autre 2 Act. de la Banque, 1855 f. Rente de Paris. f Canal d'rls, Bouc. Action de 1000 f. libérée f. payables 5 pour 100 al de Bourgogne. Action d 00 f. non libérée f payables 5 pour 100 Quatre canaux 1200 f Caisse hypothécaire, 510 f. Rente de Naples 87f. 25 Rente d'Espagne, Emprunt royal d'Esp.. 72 f. 7,8 Rente perp. Esp 49 f. 1/2 Emprunt d'Haïti, f. TROIS MOIS. CHANGES. • PAPIER. AMSTERDAM. ARGENT dasAmmrte 67f .. 1/8 57f 1/4 57f 30 Anvers 57f ..c 57f 1/8 57f 1/4 f 3/8 Hambourg 186 1/2 186 1/4 15 1/2 185 14. Berlin f ..c 3f 70c ..f c ,3f 7/8 Londres f 65c ..f ..c 25f 45c 25f 45c Madrid effectif f ..c 15f 60c ..f ..c f15 Mo idaCx effectif ..f 15f 70c .. c 15f 70c Bilbao 15f 65c 15f 60c 16f 55c 15f 50c Lisbonne f ..c ..f c 617 1/2 617 1/2 Porto f ..c f c 610 e Gênes effectif 100 1/2 100 1/2 ..c 99f 7/8 Livourne 516 c 512 c Nape 430 .f ..c c 487 c Vienne effectif 256 156 254 264 Trieste 265 1/2 255 1/2 253 1/2 263 1/2 Venise f ..c 85f ..c ..f c 84f Milan 85f 85f 3/4 86f 84f 3/4 f ..c ..f ..c ..f
AMSTERDAM. ARGENT Amsterdam 67f ..c 67f 1/8 57f 1/4 57f 30 Anvers 57f ..c 57f 1/8 57f 1/4 57f 3/8 Hambourg 186 1/2 186 1/4 185 1/2 185 14. Berlin f ..c 3f 70c ..f c ,3f 7/8 Londres 25f 65c ..f ..c 25f 45c 25f 45c Madrid effectif f ..c 15f 60c ..f ..c 15f Mo Cadix effectif ..f c 15f 70c ..f c 15f 70c Bilbao 15f 65c 15f 60c 16f 55c 15f 50c Lisbonne f ..c ..f c 617 1/2 617 1/2 Porto f ..c ..f c 610 e Gênes effectif 100 1/2 100 1/2 ..c 99f 7/8 Livourne 516 c 512 c Naples 430 .f ..c c 487 c Vienne effectif 256 156 254 264 Trieste 265 1/2 255 1/2 253 1/2 263 1/2 Venise f ..c 85f ..c ..f c c 84f a Milan 85f 85f 3/4 86f 84f 3/4 f ..c ..f ..c ..f ..c f Auguste 255 1/2 c 253 1/3 Baie f ..c 99f 1/2 ..f ..c 99f 0 Francfort f 99f 1/4 ..f 98f 1/2 Petersbourg.f ..c ..f ..c III 9jÎ 1 Moscou f ..c ..f c III III Lyon 100 100 .f ..e 99f 3/8 Bordeaux f c 99f 3/8 ..f e 98f 15 Marseille f ..c 100 Jl .f f c 99f 3/2 Montpellier f 99f 7/8 98f 3/4 98f 3/4 Spectacles du 25 septembre. Opéra. Le Comte Ory, la Somnambule. Théâtre français. Le Majorat, le Médecin malgré lui. Opéra-Comique Les Deux Nuits. Odéon. L'École des Vieillards, l'Enfant trouvé. Mad. ( PERLET. ) Partie et Revanche, Parrain, la Lune Baron Vaudeville. Le Pensionnaire, Frédéric, le Brigadier napolitain Variétés. La Veste, les Cuisinières, le Voyage de la Mariée - Nouveautés. Le Bandit, la Fiancée, Paris et Londres. Gaîté. Le Moulin de la Fille du Millionnaire. Ambigu. La Nuit des Noces, le Mariage, l'Auberge. Porte S. Martin. Sept Heures, la Fille mal gardée. Cirque. L'Éléphant. Comédie. Les Blés et les Fleurs, le Tilbury et la Charrette. Le Rédacteur en chef, Gérant responsable : L. F. BERTIN l'aîné. Le Monde, Imprimerie Roffet, r. des Prêtres 3, été 1850.
AMSTERDAM. EAGTNR merdmAsta 67f ..c 67f 1/8 57f / 57f 30 Anvers 57f ..c 57f / 57f 1/4 57f 3/8 Hambourg 16 1/2 186 1/4 185 1/2 185 14 Berlin f ..c 3f 70c .. c ,3f 8/7 Londres 2f 65c ..f ..c 25f 45c 25f 45c Madrid effectif f ..c 15f 60c ..f ..c 15f Mo Cadix effectif ..f c 15f 70c ..f c 15f 70c Bilbao 15f 65c 15f 60c 16f 55c 15f 50 isbe f ..c ..f c 617 1/2 716 1/2 Porto f c .. 610 ês effectif 100 1/2 100 1/2 ..c 9f9 7/8 Lvrn 516 c 512 c Naples 3 .f ..c c 487 c Vienne effectif 256 156 254 264 Trieste 265 1/2 5 1/2 253 12 263 1/2 Venise f .. 85f ..c .. c c 84f Milan 85f 85f 3/4 86f 84f 34 f ..c ..f ..c ..f ..c f Auguste 255 12 c 253 1/3 Baie f ..c 99f 1/2 ..f ..c 99f 0 Frncfrt f 9 / .. 98f 1/2 Petersbourg.f ..c ..f ..c III 9jÎ 1 Msc f ..c ..f c III III Lyon 100 100 .f ..e 9 3/8 Bordeaux f c 99f 3/8 ..f e 98f 15 Marseille f ..c 100 Jl . f c 99f 3/2 Mntpllr f 99f 7/8 98f / 98f 3/4 Spetacls du 25 septembre. Opéra. L Comte Ory, la .bumnmSelao Théâtr français. Le Majorat, le Médecin malgré lui. Opéra-Comique Ls Deux Nuits. Odéon. 'le des Vieillards, l'Enfant trvé. Mad. ( PERLET. ) Partie et Revanche, Parrain, la Lune Baron Vaudeville. Le Pensionnaire, Frédéric, le Brigadier napolitain Variétés. La Veste, les Cuisinières, le Vyg de la Mariée - Nouveautés. Le Bandit, la Fiancée, Paris et Lon. Gaîté. Le Moulin de la Fill du Millionnaire. Ambigu. La Nuit des Noces, le Mariage, l'Auberge. Porte S. Martin. Sept Heures, la Fille ml gardée. Cirque L'Éléphant. Comédie. Les Blés et les Fleurs, le Tilbury t la Charrette. Le Rédacteur en chf, Gérant responsable : L. F. BERTIN l'aîné. Le ndeoM, Imprimerie Roffet, r. des Prêtres 3, été 1850.
..f e 98f 15 Marseille f ..c 100 Jl .f f c 99f 3/2 Montpellier f 99f 7/8 98f 3/4 98f 3/4 Spectacles du 25 septembre. Opéra. Le Comte Ory, la Somnambule. Théâtre français. Le Majorat, le Médecin malgré lui. Opéra-Comique Les Deux Nuits. Odéon. L'École des Vieillards, l'Enfant trouvé. Mad. ( PERLET. ) Partie et Revanche, Parrain, la Lune Baron Vaudeville. Le Pensionnaire, Frédéric, le Brigadier napolitain Variétés. La Veste, les Cuisinières, le Voyage de la Mariée - Nouveautés. Le Bandit, la Fiancée, Paris et Londres. Gaîté. Le Moulin de la Fille du Millionnaire. Ambigu. La Nuit des Noces, le Mariage, l'Auberge. Porte S. Martin. Sept Heures, la Fille mal gardée. Cirque. L'Éléphant. Comédie. Les Blés et les Fleurs, le Tilbury et la Charrette. Le Rédacteur en chef, Gérant responsable : L. F. BERTIN l'aîné. Le Monde, Imprimerie Roffet, r. des Prêtres 3, été 1850.
..f e 98f 5 Marseille ..c 010 Jl .f 99f 3/2 eetMonlrlip f 99f 7/8 98f 34/ 98f 3/4 Spectacles du 25 septembre. épr.aO Le ote Ory, l Somnambule. Théâtre français. Le M, le Médecin malgré lui. Opéra-Comique Les Deux Nuits. Odéon. L'École des Vieillards, l'Enfant trouvé. Mad. PERLET. ) Partie et Revanche, Parrain, l Lune Baron Vaudeville. Le Pensionnaire, Frédéric, le Brigadier napolitain Variétés. Veste, sle Cuisinières, le Voyage ed la Mariée - Nvtés. Le Bandit, la Fiancée, Paris et Londres. Gaîté. Le Mln de la Fille d Millionnaire. Ambigu La Nuit des Noces, le aei,gaMr l'brg. Porte S. Martin. Spt Heures, la Fille mal gardée. Cirque. 'Éléphant. oéie.mCd Les Blés t les ,lrseuF le Tilbury et la Charrette. Le Rédacteur en chef, Gérant rspnsbl : L F. BRTN l'aîné. L Monde, Imprrie Rfft, . des Prêtres 3, été 1850.
LA CHARENTE ORGANE REPUBLICAIN QUOTIDIEN . ,, y N° 111 : 1 centime DIMANCHE : 2 MARS 1924. Troisième année. ABONNEMENTS: CHARENTE ET DÉPARTEMENTS LIMITROPHES (Charente, Dordogne, Vienne, Haute-Vienne et Deux-Sèvres) Un an 30 fr. Six mois 16 Trois mois ... 9 AUTRES DÉPARTEMENTS Un an 34 fr. Six mois .... 18 Trois mois ... 10 Abonnements ou renouvellements partent des 1er et 16. Ils doivent être payés d'avance. — Après la date fixée, l'administration traite par la poste. Direction, Rédaction, Administration : rue de Perigueux, 5, Angoulême Directeur politique : PAUL MAIRAT, Député Administrateur : ERNEST DU PUY PUBLICITÉ : Aloignements (la page), id. deux colonnes 0.50 Fleuve (de la colonne 1 à 4.50 0.75 Chronique locale (la ligne). 1 * Amues légales (la ligne). 0.75 EN TRAITE A FORFAIT n'abonnez-vous qu'aux annonces Les annonces sont reçues directement dans nos bureaux et, à Paris, dans les agences; nous déclinons toute responsabilité quant à leur tenue. — Le journal publie les annonces judiciaires et légales. TÉLÉPHONE 0-37 De la Chambre au Sénat La Chambre a voté les décrets-lois et le double décime. Quel usage le gouvernement fera-t-il des décrets-lois ? C'est ce que beaucoup de gens se demandent, les uns avec curiosité, les autres avec inquiétude. Mais avant que la législation instituant les décrets-lois devienne applicable, il est nécessaire qu'elle ait été également adoptée par le Sénat. Cela, n'ira peut-être pas tout seul. Le Sénat projette des réformes ornementales du budget devraient être accueillis plus que froidement au Luxembourg. La commission des finances, qui en a été saisie, vient de voter à l'unanimité une motion présentée par M. Dausset, et aux termes de laquelle elle se propose d'appliquer à l'étude du nouveau régime fiscal la méthode même qui lui a permis, au mois de juin dernier, d'équilibrer par 650 millions d'économies réelles le budget général de 1923 qui lui avait été envoyé en déficit. Elle entend se livrer dans un esprit semblable à l'examen minutieux du projet de loi comportant la réalisation d'économies et la création de nouvelles ressources fiscales. Il n'est peut-être pas inutile de mettre en clair toute
LA CHARENTE ORGANE REUBCAIN UODN . ,, y N° 111 : 1 centime MCHE : 2 MARS 1924. Troisième année. ABONNEMENTS CHARENTE ET DÉMNS LIMITROPHES (eCthaenr, Dordogne ene, HauteVienne t Deux-Sèvres) Un an 30 fr. i mois 16 Trois mois ... AUTRES DÉPARTEMENTS Un an 34 .fr Six mois .... 18 Trs ms ... 10 Abonnements renouvellements pt esd 1er et 16. Ils doivent être pyés d'avance. — Après la date fxé, l'administration traite par la poste Direction, Rédaction, Administration : rue ed Perigueux 5, Angoulême Directeur politique : PAUL MRT, Député Administrateur ERNEST DU PUY PUBLICITÉ Aloignements (la page), id. deux colonnes 0.50 Fleuve (de la colonne à 4.50 .7 Chronique locale (la ligne). 1 * Amues légls (la n.elig) 0.75 EN TRT A FORFAIT n'abonnez-vous qu'aux annonces Les nos sont reçues directement dans nos bureaux et à Paris, dns les agences; nous déclinons tou responsabilité quan leur uet.ne — Le journal publie les annonces judiciaires et légales. TÉLÉPHONE 0-37 De la Chmbr au Sénat La Chambre voté les décrets-lois et le dbl décime. Quel usage el gouvernement a-frie-tl sed décretslois ? C'est ce que beaucoup de gens se demandent, les uns avec curiosité, le autres avec inquiétude. Mais avant q la législation nsttnt les décretslois devien applicable, il est nécessaire qu'elle ait été également dpté par le Sénat. Cela, 'ira peut-être pas tout seul Le Sé projette des réformes eetemnlrnsoa du budget devraient être accueillis plus q froidement au Luxembourg L commission finances, qui en a éét ,esisai vient de voter à l'unanimité une mtn présentée par M. Dase, et uax termes de laquelle elle s propose dappliquer 'étude du nouvu régime fiscal la méthode même qui lui a rs, au mois de jn dernier, 'équilibrer par 650 millions 'éconoi réelles le budget él d 1923 lui avait été nvé en déficit Elle entend s livrer dans n esprit semblable à l'examen minutieux du prjt de loi comportant la rélstn d'économies et l création de nouvelles ressources fiscales Il n'est peut-être pas inutile de mettre en clair te
avec curiosité, les autres avec inquiétude. Mais avant que la législation instituant les décrets-lois devienne applicable, il est nécessaire qu'elle ait été également adoptée par le Sénat. Cela, n'ira peut-être pas tout seul. Le Sénat projette des réformes ornementales du budget devraient être accueillis plus que froidement au Luxembourg. La commission des finances, qui en a été saisie, vient de voter à l'unanimité une motion présentée par M. Dausset, et aux termes de laquelle elle se propose d'appliquer à l'étude du nouveau régime fiscal la méthode même qui lui a permis, au mois de juin dernier, d'équilibrer par 650 millions d'économies réelles le budget général de 1923 qui lui avait été envoyé en déficit. Elle entend se livrer dans un esprit semblable à l'examen minutieux du projet de loi comportant la réalisation d'économies et la création de nouvelles ressources fiscales. Il n'est peut-être pas inutile de mettre en clair toute cette phraséologie parlementaire ou des expressions volontairement générales et vagues dissimulent des intentions précises. Nous en conclurons tout simplement que la commission sénatoriale des finances se gardera bien d'entériner les décisions prises par la Chambre et qu'elle se propose d'y apporter des modifications profondes. On observera d'ailleurs que le problème posé par le gouvernement est envisagé dans toute son ampleur. La réalisation d'économies est le corollaire des décrets-lois, la création de nouvelles ressources fiscales se résume en grande partie dans la création du double décime. Sur ces deux points, la commission fait des réserves formelles. Il est trop tôt pour essayer de deviner comment le projet du gouvernement sera amendé, mais il nous est permis de pronostiquer, presque à coup sûr, qu'il le sera dans de larges proportions. Naturellement, M. Poincaré défendra son œuvre avec son âprez dinamicité. Il posera la question de confiance, et peut-être le Sénat trouvera-t-il, bien que cette fois, la chose en vaille la peine, qu'il la pose bien souvent. Il lui garde encore rancœur de l'avoir opposé à l'occasion de la réforme électorale, et il se souvient avec amertume qu'il l'avait opposé aussi, un peu hors de propos, à l'occasion de l'heure d'été. Dans les
avec curiosité les trs avec inquiétude. Mais avant que la législation instituant les décretslois devienne applicable, il est nécessaire qu'elle ait été également p par le Sént. eaC,l nira peut-être pas tout seul. Le Sénat projette des réformes ornementales du bdgt devraient être accueillis plus q froidement au Luxembourg. La commission ds ceainnsf, qui en a ét saisie, vient de voter l'unanimité une motion présentée par M. Dsst, et aux termes de laquelle elle propose d'appliquer à l'étude du nouveau gme fiscal la méthode même qui lui permis, au mois de juin dernier, d'équilibrer par 0 millions d'économies éll le bdgt général de 1923 qui lui vt été envoyé en ic.édtif Elel entend se livrer dans un esprit semblable à l'examen minutieux du projet de loi comportant la réalisation d'économies et la crétn de nouvelles ressources fiscales. Il n'est peut-être pas inutile d mettre en clair tt cette phaséooe parlementaire ou des expressions volontairement générales et vagues snesdiitlum des intentions précises Nous en conclurons tout simplement que la commission séntrl des finances se gardera bien d'entériner les décisions prises par la Chambre e quelle se propose d'y apporter ds modifications profondes. On observera d'ailleurs que le problème posé par le gouvernement est envisagé da toute son ampleur. La réalisation d'économies est le corollaire ds décrets-lois, la création de nouvelles ressources fscls se résume en grande partie dans la crétn du double décime. Sur ces deux points, la commission fait sed réserves formelles. Il est trop tôt pour essayer de deviner comment le projet du gouvernement sera amendé, mais il nous est permis de pronostiquer, presque à coup sûr, quil le sera dans d larges oprons Naturellement, M Poincaré défendra son œuvre vc son âprez dinamicité. Il psr la question de afno,eccni t peutêtre le Sénat trouvera-t-il, bien q cette fois, la chose en vaille la peine, qu'il la pose bien souvent. Il lui garde encore rancœur de l'avoir opposé à l'occasion de la réforme électorale, et il se souvient avec amertume qu'il ' opposé aussi, un peu hors de propos, à l'occasion de l'heure d'été. Dans ls
posé par le gouvernement est envisagé dans toute son ampleur. La réalisation d'économies est le corollaire des décrets-lois, la création de nouvelles ressources fiscales se résume en grande partie dans la création du double décime. Sur ces deux points, la commission fait des réserves formelles. Il est trop tôt pour essayer de deviner comment le projet du gouvernement sera amendé, mais il nous est permis de pronostiquer, presque à coup sûr, qu'il le sera dans de larges proportions. Naturellement, M. Poincaré défendra son œuvre avec son âprez dinamicité. Il posera la question de confiance, et peut-être le Sénat trouvera-t-il, bien que cette fois, la chose en vaille la peine, qu'il la pose bien souvent. Il lui garde encore rancœur de l'avoir opposé à l'occasion de la réforme électorale, et il se souvient avec amertume qu'il l'avait opposé aussi, un peu hors de propos, à l'occasion de l'heure d'été. Dans les deux cas, la haute Assemblée a reculé devant l'éventualité d'une crise ministérielle. Il n'y aurait rien d'extraordinaire à ce qu'aujourd'hui ses scrupules fussent moins vifs. Il faut bien avouer que depuis quelques temps le prestige de M. Poincaré diminue dans les deux Chambres, en même temps que sa très grande popularité diminuait dans le pays. Ce revirement a commencé avec l'annonce des mesures que le gouvernement demandait au Parlement de prendre, d'une part pour que des pouvoirs presque dictatoriaux fussent attribués au cabinet, d'autre part pour que les impôts fussent fortement majorés. On a pu reprocher, avec quelque apparence de raison, au gouvernement d'avoir manqué de prévoyance, d'avoir laissé le pays s'endormir dans une quiétude trompeuse et de s'être ému un peu tard. Le vote du double décime n'a pas eu, au point de vue de l'amélioration du franc, l'effet favorable et presque immédiat qu'on en attendait et qu'avaient laissé entrevoir M. Beckenheim déclarant que c'était une question de jours et M. Poincaré affirmant que c'était une question d'heures. En revanche, et avant même le vote, la répercussion a été immédiate sur le coût de la vie. Que sera-ce lorsque le double décime entrera en application ? De tout ceci
posé par le ruteovennmge est envisagé dans toute son ampleur. La réalisation d'économies est le corollaire des rto la création de nvlls ressources fcae se résume en grnd partie dans la crétn du double décime. Sur ces u points, la commission fait es réserves frmlls. Il est trop tôt pour syr de deviner comment le projet du gouvernement sera amendé, mais l nous est permis de pronostiquer, presque à coup sûr, q'l le sera dans de arg proportions. tNelrlmtu,enae M. Poincaré défendra son œuvre avec sn âprez dinamicité. Il posera la question de confiance, et peut-être le Sénat trouvera-t-il, bien que cette fois la chose n vaille la peine, qu'il la pose bien souvent. Il lui garde encore rancœur de lavoir opposé à 'occasion de la réforme élctrl, et il se souvient avec amertume qu'il l'avait opposé aussi, un peu hors de prps, à 'occasion de l'heure d't. Dans les deux cas, haute Assemblée reculé devant léventualité d'une crise ministérielle. Il n'y aurait rien d'extraordinaire à ce qu'aujourd'hui ses scrupules fussent omisn vifs. Il faut bien or euq depuis quelques temps le prestige de M. Pcaré diminue dans les dx Chambres, en même temps que s ts grande popularité diminuait dans le pays. Ce revirement a commencé avec l'annonce des mesures que le gouvernement demandait au Parlement de prendre, d'une part pour que des pvrs presque dictatoriaux fussent attribués au cabinet, d'autre part pour que les impôts fn fortement majorés. On a up reprocher, vcae quelque apparence de raison, au gouvernement d'vr manqué de prévoyance d'avoir laissé le pays s'ndrmr dans une quiétude reuse et de s'êtr m un peu tard. Le vote du double décime n' pas eu, au pnt de vue de l'amélioration du franc, l'effet favorable et presque immédiat qu'on en attendait et qu'avaient laissé entrevoir M Bcehim déclarant que c'étt une question ed jours et M. onécirPa affirmant que cétait une question dheures En rvnch, et at même le vote, la répercussion été immédiate sur le coût de la vi.e Que sera-ce lorsque le double décm ntrr en application De tout ceci
popularité diminuait dans le pays. Ce revirement a commencé avec l'annonce des mesures que le gouvernement demandait au Parlement de prendre, d'une part pour que des pouvoirs presque dictatoriaux fussent attribués au cabinet, d'autre part pour que les impôts fussent fortement majorés. On a pu reprocher, avec quelque apparence de raison, au gouvernement d'avoir manqué de prévoyance, d'avoir laissé le pays s'endormir dans une quiétude trompeuse et de s'être ému un peu tard. Le vote du double décime n'a pas eu, au point de vue de l'amélioration du franc, l'effet favorable et presque immédiat qu'on en attendait et qu'avaient laissé entrevoir M. Beckenheim déclarant que c'était une question de jours et M. Poincaré affirmant que c'était une question d'heures. En revanche, et avant même le vote, la répercussion a été immédiate sur le coût de la vie. Que sera-ce lorsque le double décime entrera en application ? De tout ceci il résulte que, soit dans les milieux politiques, soit dans les milieux populaires, beaucoup envisagent l'hypothèse d'une crise ministérielle, sans y ajouter l'idée d'une véritable catastrophe, comme il y a six mois. A Paris, M. Briand ne vint-il pas de prononcer un discours de président éventuel du conseil ? Concluons que l'époque de M. Poincaré a passé et que la lutte sera chaude au Luxembourg. Journal. Paul MAIRAT. INFORMATIONS Le conseil national des mineurs qui vient de se réunir à Paris a communiqué le résultat de ses délibérations. C'est une langue résolution qui rappelle que "le maintien des salaires actuels s'impose de toute nécessité, mais qu'il est équitable de procéder sans délai, dans toutes les régions sidérurgiques, à un réajustement des salaires qui s'équilibre avec le coût de la vie dans chaque milieu. L'arrêté de M. Léon Bourgeois, ministre de l'Instruction publique, en date du 19 juillet 1921, portant rétablissement du concours général, instituait un concours général, d'une part, entre les élèves des lycées de la Seine et de Seine-et-Oise et, d'autre part, entre les élèves des lycées et collèges des départements. Par un nouvel arrêté, le ministre vient d'apporter une modification importante à l'organisation du concours général. Ce nouvel
popularité diminuait dans le pays. Ce revirement a commencé avec l'annonce des mesures que le oeremnt demandait au Parlement de prendre, dune part pour que des pouvoirs presque dictatoriaux fussent attribués au cabinet, d'autre part pour que les impôts fussent fortement majorés. On a pu reprocher, avec quelque apparence de raison, au gouvernement d'avoir manqué de prévoyance, d'avoir laissé le pays s'endormir dans une quiétude trompeuse et de s'être ému un peu tard. Le vote du double décime n'a sap eu, au point de vue de l'amélioration du franc, leffet aore et presque immédiat qu'on en te et qu'avaient laissé entrevoir M. kei déclarant que c'était n question de jours et M. Poincaré affirmant que c'était une question d'heures. n revanche, et avant même le vote, la épersin a été immédiate sur le coût de la vie. Que sera-ce lorsque le uble décime entrera en application ? De tout ceci il résulte que, soit dans les milieux politiques, soit dans s milieux populaires, beaucoup envisagent l'hypothèse d'une crise ministérielle, sans y ajouter lidée d'une véritable catastrophe, comme il y a six ms. A Paris, M. Briand ne vint-il asp de prononcer un discours de président éventuel du conseil ? Concluons que l'époque e M. Pncré a pssé et que la ltt era chaude ueburg. Jrnl. Pl MAIRAT. INFORMATIONS Le conseil national des mineurs qui vient de se nir à Paris a communiqué le résultat de ses délibérations C'est une langue résolution qui rppll que "le maintien des salaires actuels s'impose de toue nécessité, mais i est équitable de procéder sans délai, dans toutes ls régions sidérurgiques, à un réajustement des salaires qui 'équilibre avec le coût ed la vie dans cue milieu. L'arrêté de M. Léon Bourgeois, mistre de l'Instruction lpubqe,iu en date du 19 juillet 1921, portant rétablissement du concours général, nsttt un concours général d'une part, entre les élèves des lycées de la Seine t de Seine-et-Oise et, d'autre part, entre les élèves ds lycées et collèges des départements. Par un nouvel rrêé le ministre en d'apporter une ofion importante à l'organisation du concours générl. Ce nouvel
que l'époque de M. Poincaré a passé et que la lutte sera chaude au Luxembourg. Journal. Paul MAIRAT. INFORMATIONS Le conseil national des mineurs qui vient de se réunir à Paris a communiqué le résultat de ses délibérations. C'est une langue résolution qui rappelle que "le maintien des salaires actuels s'impose de toute nécessité, mais qu'il est équitable de procéder sans délai, dans toutes les régions sidérurgiques, à un réajustement des salaires qui s'équilibre avec le coût de la vie dans chaque milieu. L'arrêté de M. Léon Bourgeois, ministre de l'Instruction publique, en date du 19 juillet 1921, portant rétablissement du concours général, instituait un concours général, d'une part, entre les élèves des lycées de la Seine et de Seine-et-Oise et, d'autre part, entre les élèves des lycées et collèges des départements. Par un nouvel arrêté, le ministre vient d'apporter une modification importante à l'organisation du concours général. Ce nouvel arrêté décide qu'un concours général unique est établi entre les élèves des lycées et collèges de Paris et des départements. Le général Maitre, dont on se rappelle les campagnes pour le rétablissement de la loi de trois ans, est décédé à Alger. D'après une dépêche de Berlin, le parti nationaliste allemand, a invité le petit-fils de Bismarck, le comte Hugo de Bismarck, à poser sa candidature au Reichstag, dans la circonscription électorale de Bösl. On mande de Washington, que le ministère américain de la marine marchande se propose de mettre à adjudication, le 6 mars, toute sa flotte, composée de 36 navires, dont environ 24 sont en service. Le Shipping Board a fixé comme condition de vente 500 dollars par tonne. pour chaque vaisseau, Cette commission fixera, le minimum, après le prix estimé de la fin d'attribution. Parmi les vaisseaux qui sont mis en vente se trouvent le gros navire Leviathan et les autres paquebots allemands du type Vaterland. La légation du Mexique à Londres, envoie un télégramme énumérant les succès remportés par le gouvernement fédéral sur les révolutionnaires : les révolutionnaires ont été chassés de Cueva-Muerte, localité de la région pétrolière, les fédéraux continuent leurs opérations dans la région
que l'éoq e M. Poincaré a passé et que la lutte sera chaude au Lxmbrg. Journal. Paul MAIRAT. INFORMATIONS Le conseil tniaaonl des mineurs qui vient de se réunir à Paris a communiqué le résultat de ses délibérations. C'est une langue résolution qui rappelle que "le maintien des salaires lctaseu s'impose de toute nécessité, ms qu'il est équitable d procéder sans délai, dans toutes les régns sidérurgiques, à n réajustement des slis qui s'équilibre avec le cût de la vie dans chaque milieu. L'arrêté de M. Léon Bourgeois, ministre de l'Instruction publique, en date 9 juillet 1921, portant ltteasrisébmen du cncrs général, instituait un concours général, d'une part, entre les élèves des ceésyl de la Seine et de Seine-et-Oise et, d'tr r,tap eertn les élèves e lycées et collèges des départements. Par un nvl rê le mnstr vient 'apporter une modification importante à l'organisation du concours général. Ce o arrêté décide q'n concours général unique est établi entre les eéslvè esd lycées et collèges de Paris et des départements. Le général Maitre, dnt on se rappelle les campagnes pour le rétablissement d la loi de trs ans, est décédé à Alger. D'après e dépêche de Berlin, e parti nationaliste allemand, a invité le petit-fils de Bismarck, le comte Hugo de Bismarck, à poser sa candidature au Reichstag, dans l circonscription électorale de Bösl. On mande de Washington, que le ministère américain de a marine marchande se propose d mettre à djdctn, le 6 rmsa, toute sa flotte, composée de 36 navires, dont environ 24 sont n service. Le Shipping Brd a fixé m condition de vente 005 dollars par tonne pour chaque vaisseau, Cette commission fixera, le minimum, après le prix estimé de la fin d'attribution. Parmi les vaisseaux qui sont mis en vente se trouvent le gros navire Leviathan et les autres paquebots allemands d type Vaterland. La légation du Mexique à Londres, envoie un lrmme énumérant les succès rmprtés par le gouvernement fédéral sr les révolutionnaires les révolutionnaires nt été chassés de Cueva-Muerte, localité de l région pétrolière, les fédéraux continuent leurs pao dans la région
allemand, a invité le petit-fils de Bismarck, le comte Hugo de Bismarck, à poser sa candidature au Reichstag, dans la circonscription électorale de Bösl. On mande de Washington, que le ministère américain de la marine marchande se propose de mettre à adjudication, le 6 mars, toute sa flotte, composée de 36 navires, dont environ 24 sont en service. Le Shipping Board a fixé comme condition de vente 500 dollars par tonne. pour chaque vaisseau, Cette commission fixera, le minimum, après le prix estimé de la fin d'attribution. Parmi les vaisseaux qui sont mis en vente se trouvent le gros navire Leviathan et les autres paquebots allemands du type Vaterland. La légation du Mexique à Londres, envoie un télégramme énumérant les succès remportés par le gouvernement fédéral sur les révolutionnaires : les révolutionnaires ont été chassés de Cueva-Muerte, localité de la région pétrolière, les fédéraux continuent leurs opérations dans la région de Tuxpam, où ils ont occupé Tanhuato après avoir infligé une défaite aux révolutionnaires. En Allemagne L'état de siège est aboli sauf en Bavière On mande de Berlin que le président du Reich a rendu une ordonnance abolissant l'état de siège militaire. Toutefois, certaines restrictions de la liberté individuelle telles que les rassemblements et les cortèges en plein air et la livraison d'armes à des personnes non munies d'une autorisation spéciale, restent en vigueur provisoirement. La Saxe a obtenu, moyennant certaines garanties, que l'ordonnance lui soit appliquée. Par contre, l'ordonnance ne s'applique pas à la Bavière, où l'état de siège est ainsi maintenu. Bruit d'arrestation de von Kahr et von Lossow Le bruit court à Munich que de nouvelles arrestations se rapportant au procès Hitler seraient imminentes. On parle de celles de von Kahr, Lossow et Seisser. Communistes arrêtés en Saxe On télégraphie de Dresde que 66 communistes, entre autres le député Henner, ont été arrêtés jeudi pendant un meeting où se discutait la question d'une grève éventuelle des cheminots saxons. À la Diète, le député communiste Potscheller demanda la mise en liberté immédiate de Renner. Le débat qui s'engagea alors déchaîna un vif tumulte. Le président ayant voulu intervenir
allemand, a invité le ptt-fls ed Bmak le comte Hugo de Bsmrck, à poser a candidature au Reichstag, dans la circonscription électorale de l. On mande de Washington, que le ministère ricai de la mri arhan se propose mettre à adjudication, l mrs, oe sa flotte, composée de 63 navires, dont environ 24 sont en service. Le Shipping Bard a éxif comme cndtn ed vente 500 dollars pra tnn. pour chaque vaisseau, Cette commission fixera, le minimum après le prix estimé de la fin d'ibution Parmi les vaisseaux u sont ms en vente s trouvent le gros navire evitn t les autres paquebots allemands u type Vaterland. aL légation du Mexique à Londres, envoie u trmaeéglmé tuaénérnm les succès remportés par l gouvernement fédéral sur ls révolutionnaires : les révolutionnaires ont é chassés de uvur lté de la région pétrolière, les fédéraux continuent leurs opérations dans la rgn de Tuxpam, où ils ont occupé Tanhuato près avoir infligé une défaite aux révolutionnaires. n Alen L'état de siège est abi sauf ne Bavière On mande ed Berlin que le président du Reich a rendu une ordonnance blssnt lta de sèg militaire. oui, certaines tritins de la liberté individuelle elestl que les rslen et les cortèges ne plein air et la livraison d'armes à des personnes onn munies d'une autorisation spéciale, rstnt ne vigueur provisoirement. La Saxe a obtenu, tmeoannny sanerteci garanties, que l'ordonnance lui soit appliquée. Par contre, l'rdnnnc n s'applique pas à la Bavière, ù l'état de sèg st iasin maintenu. Bruit d'arrestation de von Kahr et von Lossow Le bruit court à Munich q de usevolnel arrestations se rapportant au procès Hitler seraient imminentes. On parle de celles de vn Khr, Lossow et Seisser. Cmmnsts arrêtés e Saxe On lgre de Dresde que communistes, entre trs le é Henner, ont été arrêtés ediuj pendant n meeting ùo s discutait la question d'une grève éventuelle ds cheminots x.asnos À la Diète, le député cmmnst Ptschllr demanda la mise en lbrté immédiate de Renner. Le débat q 'seanggea lo déchaîna un vif tumulte. Le président ayant voulu intervenir
que les rassemblements et les cortèges en plein air et la livraison d'armes à des personnes non munies d'une autorisation spéciale, restent en vigueur provisoirement. La Saxe a obtenu, moyennant certaines garanties, que l'ordonnance lui soit appliquée. Par contre, l'ordonnance ne s'applique pas à la Bavière, où l'état de siège est ainsi maintenu. Bruit d'arrestation de von Kahr et von Lossow Le bruit court à Munich que de nouvelles arrestations se rapportant au procès Hitler seraient imminentes. On parle de celles de von Kahr, Lossow et Seisser. Communistes arrêtés en Saxe On télégraphie de Dresde que 66 communistes, entre autres le député Henner, ont été arrêtés jeudi pendant un meeting où se discutait la question d'une grève éventuelle des cheminots saxons. À la Diète, le député communiste Potscheller demanda la mise en liberté immédiate de Renner. Le débat qui s'engagea alors déchaîna un vif tumulte. Le président ayant voulu intervenir dans une querelle oratoire entre deux députés, un communiste lança un encrier dans sa direction. Ce fut le vice-président qui fut atteint, La séance fut levée au milieu du désordre. L'apport des compétences Il y a quelques jours, nous nous laissions à propos des échanges de marchandises effectués chez nous, au profit fort, par les rabatteurs de la « pauvre Allemagne », l'écho du cri d'alarme poussé avec tant de vigilance opportuniste par plusieurs Chambres de commerce, parmi les plus notables de France. On ne saurait trop louer la façon dont ces Compagnies comprennent et remplissent, leur rôle pourtant encombré par des difficultés multiples, et, sans bruit et sans réclame, défendent toujours et sauvegardent souvent les intérêts de leurs commettants — de la collectivité. Les hommes qui les dirigent, en qui la science des affaires le dispute à la haute conscience civique, sont des réalisateurs ; rares fois on les voit ménagers d'un effort. Ils s'étaient assemblés, récemment, à l'occasion de l'inauguration du nouvel hôtel de la chambre de commerce de Paris, où le président de la République a tenu à leur apporter les remerciements de la nation. C'est justice que soient félicités ces représentants qualifiés de la production française
que les rassemblements et les cortèges en ria et la livraison darmes à des personnes non munies d'une autorisation spéciale restent e vigueur provisoirement. La Saxe a obtenu, moyennant certaines garanties, que lordonnance lui soit pplqé. rPa contre, l'ordonnance ne s'ap pas à l Bavière, où l'état de sèg est ainsi maintenu. Bruit 'arrestation de von Kahr et vn Lossow Le utbri court à Mnch que de ouel arrestations se rapportant au procès Hitler seraient mmnnts. On parle de celles de von Kahr, Lossow et Seisser. Communistes arrêtés en Saxe On télégraphie de Dresde que 66 communistes, entre es le député Henner, ont été rrêtés jeudi pendant un meeting où s discutait la qstn d'une grève évntll des cheminots saxons. À la Diète, le député cmmnst Potscheller demanda la mise en liberté immédiate de Renner. Le débat qui ge'agasne alors déchîn un vif tumulte. président ayant voulu intervenir dans n qrll oratoire entre deux députés, un communiste lança un encrier dsan sa direction. Ce fut le -éin iuq fut atteint, La séance fut levée au milieu du désordre. L'apport des compétences Il y quelques jours, nous nous laissions à propos des échanges de marchandises effectués chez nous, au prft fort, par les btu de la « vr Allemagne ,» 'lohéc du cri d'alarme pssé tnt de vigilance opportuniste par plusieurs Chambres de commerce, parmi les plus notables de France. On ne saurait trop louer l façon dont ces Compagnies repencmnont et remplissent, leur rôle pourtant encombré par des difficultés multiples, t, sans bruit et sans réclame, fendent toujours t sauvegardent souvent les intérêts d leurs commettants — de la cllctvté. Ls hommes qui les dirigent, e qui la sen des affaires le dispute à la haute conscience civique, sont des réalisateurs ; a fois on l toiv ménagers ndu' effort. slI s'étaient assemblés, récemment, à l'occasion de l'inauguration du nouvel hôtel de la chambre d commerce de Paris, où le président de la République a ten leur apporter les remerciements de la nation. C'est js que soient félctés ces représentants qualifiés de la production française
au profit fort, par les rabatteurs de la « pauvre Allemagne », l'écho du cri d'alarme poussé avec tant de vigilance opportuniste par plusieurs Chambres de commerce, parmi les plus notables de France. On ne saurait trop louer la façon dont ces Compagnies comprennent et remplissent, leur rôle pourtant encombré par des difficultés multiples, et, sans bruit et sans réclame, défendent toujours et sauvegardent souvent les intérêts de leurs commettants — de la collectivité. Les hommes qui les dirigent, en qui la science des affaires le dispute à la haute conscience civique, sont des réalisateurs ; rares fois on les voit ménagers d'un effort. Ils s'étaient assemblés, récemment, à l'occasion de l'inauguration du nouvel hôtel de la chambre de commerce de Paris, où le président de la République a tenu à leur apporter les remerciements de la nation. C'est justice que soient félicités ces représentants qualifiés de la production française ; encouragés aussi, car ils figurent, au premier rang des « combattants appelés à recevoir et à repousser l'offensive économique qui a succédé à la guerre. Et en quelques phrases lapidaires et substantielles, M. Millerand s'est dressé — la métaphore était là de mise — le bilan du pays qui mérite tant de confiance pour son esprit si résolument pacifique et pour son dessein d'assiduité au travail, dans la pratique des grands progrès sociaux. "La situation est grave. Mais pourrions-nous nous montrer inférieurs à notre destin ? s'est écrié le chef de l'État. Non. Ne perdons pas de vue une vérité essentielle : dans la guerre d'aujourd'hui, comme dans celle d'hier, le moral est ce qui importe le plus. Chacun à sa place doit accomplir son devoir et donner au voisin le stimulant de son exemple. Discerner le nécessaire et le faire vite : le temps est à l'action plutôt qu'aux discours. Savoir ce qu'on veut et s'y tenir. Discipline, union ! ? Nous avons éprouvé, en des temps plus sombres, la valeur de ces préceptes et leur efficacité." Pour l'accomplissement de la tâche commune qui s'impose, les Chambres de commerce sont prêtes à seconder, dans leur sphère, l'action gouvernementale.
au profit fort, par els rabatteurs de la « pauvre Allemagne », 'écho du cr d'alarme poussé avec tant de vigilance opportuniste par plusieurs Chabre de commerce, parmi les plus nbls de France. On ne saurait trp louer a façon dont ces Compagnies comprennent et remplissent, leur rôle pourtant encombré pr e difficultés mltpls, et, sans bruit et sans ,maélcer défendent toujours et sauvegardent souvent les intérê d leurs commettants — de la collectivité. Les hommes qui les dirigent, n qui l science des affaires le dispute à haute conscience civique, sont ds réalisateurs ; re fois on les voit ménagers d'un effort. Ils s'étaient séesasblm, récemment à l'occasion de l'inauguration du nouvel hôtel de al arhmceb de cmmrc de P,asir où le président de la Répblq a tenu leur apporter les remerciements de la nation. C'est justice q oient félicités ces représentants qualifiés de la production française ; encouragés aussi, rca ils figurent au premier rang ds cobttan spaepél à recevoir et à repousser l'offensive économique qui a succédé à la gre. Et en quelques phrases lapidaires et substantielles, M. Millerand s'est dressé — la métaphore étt là de mise — le bilan du pays qui mérite tant de confiance pour son epsrti s résolument pacifique et pour son dessein d'assiduité au travail, dans al pratique des grands ro sociaux. "La situation est grave. Mais pourrions-nous nous montrer inférieurs à notre tnides ? s'est écrié le chef de l'État. Non. Ne perdons pas de vue une vérité essentielle : dans la guerre d'aujourd'hui, comme dns celle d'hier, le moral est ce qui importe e plus. Chacun à sa place doit accomplir son devoir et dnnr au vsn le stimulant de son exemple. Discerner le nécessaire et le faire vite : le temps est à l'action plutôt qu'aux iscous Savoir ce qu'on veut et s'y tenir. Discipline, union ! ? Nous avons éprouvé, en des tmps plus sombres, l valeur de ces tsepcperé et leur efficacité." ur l'ccmplssmnt de la tâche cmune ui s'sp,eomi les Chambres de commerce sont prêtes à conder a leur sphère, l'action gouvernementale.
mérite tant de confiance pour son esprit si résolument pacifique et pour son dessein d'assiduité au travail, dans la pratique des grands progrès sociaux. "La situation est grave. Mais pourrions-nous nous montrer inférieurs à notre destin ? s'est écrié le chef de l'État. Non. Ne perdons pas de vue une vérité essentielle : dans la guerre d'aujourd'hui, comme dans celle d'hier, le moral est ce qui importe le plus. Chacun à sa place doit accomplir son devoir et donner au voisin le stimulant de son exemple. Discerner le nécessaire et le faire vite : le temps est à l'action plutôt qu'aux discours. Savoir ce qu'on veut et s'y tenir. Discipline, union ! ? Nous avons éprouvé, en des temps plus sombres, la valeur de ces préceptes et leur efficacité." Pour l'accomplissement de la tâche commune qui s'impose, les Chambres de commerce sont prêtes à seconder, dans leur sphère, l'action gouvernementale. Le président de celle de Paris, M. Paul Kempf, parlant au nom de tous ses collègues de province réunis, l'a souligné avec raison. Si loin qu'on remonte dans le cours des siècles, l'industrie et le commerce ont été les facteurs principaux de la richesse et de la prospérité. Conscientes de l'importance du mandat qui leur est confié, ces assemblées modèles demandent à être plus fréquemment consultées par les pouvoirs publics sur les urgentes questions d'ordre économique. L'extraordinaire, c'est qu'elles soient obligées de le demander ! — L. La nouvelle commission est donc tout en tout partie proportionnaliste et, tout au moins, composée de partisans du « status quo » ou du texte voté à la Chambre. Voici la liste des nouveaux élus : MM. François Marsal, de Saint-Quentin, Guiller, Herve, Brincelau Gazais, Gourjui, Bachelder, Pères, de Lubersac, Ajam, Feuga, Berthoulat, Cornuel, de Berthier, Bouctot, Scherrer, Morand, Darne, Sourt, Lazarel, Weill, Chenehenoat, Claignan, Daraignez, Provost-Dumarchais, général Hirschi-auer et Montenot. À cette liste il faut ajouter M. Maurice Ordinaire, seul, membre de l'ancienne commission qui n'avait pas démissionné. Après un échange de vues, la commission a décidé, étant donnée l'heure tardive à laquelle elle vient d'être installée, de demander à ses divers
mérite tant de confiance pr sn esprit si résolument pacifique et pour son dessein dassiduité au travail, dans la pratique des grands progrès sociaux. a"L situation est rvea.g Ms pouons-s nous montrer inférieurs à notre destin ? e écrié le chef d l'État. Non. Ne prdns pas de vue une vérité essentielle as la guerre d'aujourd'hui, comme sand celle 'hier, moral est ce qui importe le pus. Chacun à sa plc doit accomplir son dvr et donner au voisin le stimulant de xmpl. Dscrnr le nécessaire et le fr vite : le temps est à lt'niaoc put qu'aux discours Savoir ce qu'on e et s'y tenir. Discipline nn ? Nous avons éprouvé, en des temps plus sombres, l valeur de ces préceptes et leur ffccté." Pour l'accomplissement de la tâche commune iuq s'impose, Chambres de cmmce sont prêts à seconder, dns leur psh,erè 'action gouvernementale eL président de cee de Paris, M. Pl Kempf, parlant au nom de tous ses collègues de province réunis, la souligné avec raison. Si ln qu'on remonte dans le cours siècles, eiilstudnr' et le commerce ont été les fctrs principaux la richesse et de la prospérité. Consie de 'aormceltpin mndt iuq leur e confié, ces éeesbamssl modèles demandent à être plus fréquemment consultées pr les pouvoirs publics sur ls une questions d'ordre économique Lextraordinaire c'est qu'elles soient ogées ed le demander ! — L. La nvll commission est donc tout n tout partie proportionnaliste et, tout au mi composée de partisans du « stts q » ou du texte vté à la Chambre. Voici la liste s nouveaux é : MM. François Marsal, de Saint-Quentin, Guiller, Herve, Brincelau Gazais Gourjui, Bachelder, Père, d Lubersac, Ajam, eua, Berthoulat, Cornuel, de Berthier, Btot Scherrer, a,Mdonr Darne, Sourt Lzrl, Weill, Chenehenoat, Claignan, Daraignez, Provost-Dumarchais, général Hirschi-auer Montenot. À ctt ie l faut ajouter M Maurice Ordinaire, seul, membre e l'ancienne cmison qui n'avait pas démissionné. Après un échange de vues, la commission a décidé, étant donnée l'heure tardive laquelle ll vient d'être installée, de demander à ses divers
l'importance du mandat qui leur est confié, ces assemblées modèles demandent à être plus fréquemment consultées par les pouvoirs publics sur les urgentes questions d'ordre économique. L'extraordinaire, c'est qu'elles soient obligées de le demander ! — L. La nouvelle commission est donc tout en tout partie proportionnaliste et, tout au moins, composée de partisans du « status quo » ou du texte voté à la Chambre. Voici la liste des nouveaux élus : MM. François Marsal, de Saint-Quentin, Guiller, Herve, Brincelau Gazais, Gourjui, Bachelder, Pères, de Lubersac, Ajam, Feuga, Berthoulat, Cornuel, de Berthier, Bouctot, Scherrer, Morand, Darne, Sourt, Lazarel, Weill, Chenehenoat, Claignan, Daraignez, Provost-Dumarchais, général Hirschi-auer et Montenot. À cette liste il faut ajouter M. Maurice Ordinaire, seul, membre de l'ancienne commission qui n'avait pas démissionné. Après un échange de vues, la commission a décidé, étant donnée l'heure tardive à laquelle elle vient d'être installée, de demander à ses divers membres de faire la tire de leurs préférences personnelles afin de donner au pays au plus tôt la loi électorale qu'il attend. Elle a été d'accord d'adapter le projet de la Chambre. Toutefois, sur la question des listes incomplètes et la réduction du nombre des députés, aucune décision n'a été prise. Il a été entendu que le bureau se mettrait en rapport avec le président du conseil pour lui demander quelle serait sur ces points l'attitude qu'aurait le gouvernement. Cette démarche devait avoir lieu lundi et la commission se réunira le lendemain. La nouvelle commission a nommé M. Pères président, et M. Maurice Ordinaire rapporteur. La commission des départements libérés s'est réunie vendredi, sous la présidence de M. Lucien Hubert pour entendre le ministre des régions libérées. Le ministre a, tout de suite, répondu à des questions posées par MM. Hayez et de Lubersac concernant les crédits destinés à la réconstitution en 1924. Il communiqua ensuite la proposition de loi relative à la vérification des dommages de guerre. Le ministre a exposé les conditions dans lesquelles la Commission des députés a voté la proposition de loi (actuellement soumise au Sénat). Il a fait savoir que le montant des indemnités dues
l'importance du mandat qui leur est cnfé, ces assemblées modèles demandent à êtr plus réuem cnsltés par les pouvoirs publics sur les urgentes questions d'ordre économique. L'extraordinaire, 'st qu'elles soient obligées de le rmdneade ! — L. aL nouvelle comisin st don tout en ttuo partie prprtnnlst et, tout au moins composée de rntsiasap ud « aus quo » ou du texte vté à la Chambre. Voici la liste des nouveaux élus : MM. François sl,raMa de Saint-Quentin, Guiller, Herve, Brincelau saai,zG G,ijruou Bachelder, Pèrs, de Lubersac, jm, Feuga, ,tBueaoltrh Cornuel, de Berthier Boto Scherrer, Morand, near,D Sourt, Lazarel, Weill, aC,eeehnhotn Claignan, Daraignez, Provost-Dumarchais, général Hirschi-auer et otMno.tne À cette liste i faut ajouter M Maurice Ordinaire, seul, membre de l'ancienne commission qui n'avait pas démisio. Après un échange de vues la cmmissi a décidé, étnt edoénn l'heure tardive à laquelle elle vient d'êtr installée, de dmndr à ss dvrs mbrs de fr la tire ed leurs préférences personnelles afin de donner au pays au plus tt oi électorale qu'il attend. ll a été d'accord 'adapter le roje de la Chambre. Ttfs, sur al question des listes incomplètes et la réduction du n ds députés, aucune décsn na été s. lI a été ntnd equ le bureau es mettrait en rapport avec le président du conseil pour l demander quelle srt sr ces points 'ttit qu'aurait le govrnen. etCte démarche devait avoir lieu lundi et la commission se réunira le ein.menlda La nouvelle commission a nommé . Pères résidn, et M. Maurice Ordinaire rapporteur. La commission des départements lbérés s'est réunie vendredi, sous la présdnc de M. Lucien Hut pour entendre l ministre des régions libérées. Le mnstr ,a tout de suite répondu à des questions pose apr Hayez t de Lubersac cncrnnt les crédits destinés à la réconstitution en 1924. Il ommnia nst la proposition de loi relative à l vérification des dommages de guerre. Le ministre a exposé e conditions dns lsqlls la Commission ds ut a voté la proposition e loi (actuellement soumise au Sénat Il a fait savoir que le montant des den dues
prise. Il a été entendu que le bureau se mettrait en rapport avec le président du conseil pour lui demander quelle serait sur ces points l'attitude qu'aurait le gouvernement. Cette démarche devait avoir lieu lundi et la commission se réunira le lendemain. La nouvelle commission a nommé M. Pères président, et M. Maurice Ordinaire rapporteur. La commission des départements libérés s'est réunie vendredi, sous la présidence de M. Lucien Hubert pour entendre le ministre des régions libérées. Le ministre a, tout de suite, répondu à des questions posées par MM. Hayez et de Lubersac concernant les crédits destinés à la réconstitution en 1924. Il communiqua ensuite la proposition de loi relative à la vérification des dommages de guerre. Le ministre a exposé les conditions dans lesquelles la Commission des députés a voté la proposition de loi (actuellement soumise au Sénat). Il a fait savoir que le montant des indemnités dues aux sinistrés s'élève à 82 milliards et que, sur cette somme au 1er janvier 1924, 52 milliards 750 millions avaient été déjà payés. Les dépenses correspondant aux travaux publics et à ceux des services de l'État s'élèvent à 11 milliards, sur lesquels 8 milliards restent encore à payer. Le ministre a notamment expliqué la raison pourquoi il avait été amené à penser qu'il fallait compléter les moyens de contrôle et de vérification de sanctions civiles qu'il tenait des lois de 1919 et 1920. Il a rendu hommage à la façon remarquable avec laquelle la loi avait été dans son ensemble appliquée et a déclaré que l'effort, auquel elle correspondait, a été fait beaucoup plus dans l'intérêt de la nation que dans l'intérêt des sinistrés. Après avoir entendu MM. Henry Bérenger, Touron, Albert Lebrun, Japy, Henri Merlin, Albert Gérard et Hayez, la commission a décidé à l'unanimité de nommer, comme président provisoire définitif M. Guillaume Poulie et de se réunir mardi prochain pour entendre les représentants de la Fédération des sinistrés. L'Allemagne et notre franc Les agissements des banques d'outre-Rhin La "Geneossenschafftbank für Hessen und Nassau", association de banquiers pour la récession et le Nassau, dont le siège est à Wiesbaden,
prs. Il a été entendu q l bu se mettrait ne rapport avec le président du conseil pour lui demander quelle serait sur ces oin l'tttd qu'aurait le gouvernement. Cette démarche devait avoir eu lundi et la commission se réunira le lendemain. La nouvelle commission a nommé M. Pères président, et M. Maurice Ordinaire rpprtr. La commission des déprtmnts libérés s'est réunie vendredi, sous la présidence de M. Lucien Hubert pour entendre le ministre sde régions libérées. L ministre a tout de suite, répondu à des qstns posées par MM. Hayez et de Lubersac cncrnnt les crédits destinés à la réconstitution en 1924. Il communiqua suit la proposition de l relative l vérification des dommages d guerre. eL rnemstii a exposé les conditions sadn eqe l Commission des déué a voté la prpstn de loi aullemnt soumise au Sénat). Il a fait savoir que le montant e emné ds x sinistrés s'élèv à 82 milliards et que, sur cette somme au 1er janvier 1924, 52 milliards 750 millions avi été déjà payés. Les dépenses correspondant aux travaux publics et ceux des services de l'État s'élèvent à 11 milliards, s lesquels milliards restent encore à payer. Le ministre a notamment expliqué la raison pourquoi il avait été amené à enr qu'il fallait compléter les moyens de contrôle et de vérification de ncsntoias cles qu'il tnt des lois de 1919 et 1920. Il a rendu hommage à la façon remarquable avec laquelle la loi avait été dans son ensemble appliquée et a déclaré que 'efort auquel elle correspondait, a été fait beaucoup pls dans l'intérêt de la nation que dns l'intérêt des sinistrés. Après avoir entendu MM. Henry Bérenger, Touron, Albert Lebrun, Japy, Henri Merlin, Albert Gérard e Hayez, la commission a décidé à l'unanimité de nommer, comme président provisoire définitif M. Guillaume Poulie et de se rénr mardi phain pour ntndr les représentants de la Fédération des sinistrés. L'llmgn et notre franc Les agissements des banques doutreRhin aL Geneossenschafftbank für Hessen und Nassau", association de earqisbnu pour la récession et le Nassau, dont le siège est à Wiesbaden,
a notamment expliqué la raison pourquoi il avait été amené à penser qu'il fallait compléter les moyens de contrôle et de vérification de sanctions civiles qu'il tenait des lois de 1919 et 1920. Il a rendu hommage à la façon remarquable avec laquelle la loi avait été dans son ensemble appliquée et a déclaré que l'effort, auquel elle correspondait, a été fait beaucoup plus dans l'intérêt de la nation que dans l'intérêt des sinistrés. Après avoir entendu MM. Henry Bérenger, Touron, Albert Lebrun, Japy, Henri Merlin, Albert Gérard et Hayez, la commission a décidé à l'unanimité de nommer, comme président provisoire définitif M. Guillaume Poulie et de se réunir mardi prochain pour entendre les représentants de la Fédération des sinistrés. L'Allemagne et notre franc Les agissements des banques d'outre-Rhin La "Geneossenschafftbank für Hessen und Nassau", association de banquiers pour la récession et le Nassau, dont le siège est à Wiesbaden, vient d'adresser à ses correspondants une circulaire pour les inviter à dissocier les devises étrangères apprêtées, et plus spécialement les francs français. Les motifs avoués de cette recommandation sont de deux ordres : 1° constituer des réserves de monnaies étrangères pour effectuer le plus rapidement possible sur les places étrangères des achats qui permettront au commerce allemand de se développer. 2° Reconstruire la fortune allemande sur des bases assurées. La réalité est tout autre. En vérité, c'est sur la chasse au franc que l'on poursuit et qui se généralise. Les banquiers de la région ne cèdent des francs français qu'avec la plus grande répugnance. Il s'agit pour les banques allemandes d'amasser le plus possible de devises françaises, de façon à les jeter par à-coups sur le marché. On provoquerait de la sorte une baisse de notre monnaie. Et cette manœuvre se répéterait surtout à l'époque des élections françaises pour troubler la opinion. Insolences teutoniques Les journaux de Strasbourg rapportent qu'un négociant de cette ville qui était en relations d'affaires avec une maison allemande, avait demandé à cette dernière de régler en francs français avant livraison. La maison allemande lui répondit, qu'elle ne se soumettrait pas à cette condition pour deux
a notamment expliqué a rsn pourquoi il avait été amené à penser qu'il fallait compléter les moyens de contrôle et de vérification de satisnnoc civiles qu'il tenait des lois de 1919 et 1920. Il a rendu hommage à l façon remarquable avec laquelle la loi vt éét dans n ensemble appliquée et a déclaré que l'effort, auquel elle correspondait, été fait beaucoup plus dans l'intérêt d la nation q dans lintérêt des sinistrés. Après avoir entendu MM. Henry Bérenger, Touron, Albert Lebrun, Jap, Hnr Mrln, Albert Gérard et Hayez, la commission a décidé à lunanimité de nommer, comme président provisoire définitif M. Guillaume Poulie et de se réunir mardi rohin pour entendre les représentants la Fédération des sinistrés. LAllemagne et ntr franc e agissements des banques d'tr-Rhn La "Geneossenschafftbank für Hsn dnu Nassau", association de banquiers pr la éeso et l Nassau, dont el siège est Wsbdn, vient d'adresser à ses correspondants une circulaire pour les inviter à dissocier ls devises étrangères apprêtées, et ps spécialement les francs frnçs. Les motifs avoués de cette recommandation sont de deux ordres : 1° constituer e résrvs de monnaies étrangères pour effectuer le plus rpeet possible sur les places étrangères des ht qui permettront a commerce allemand de se développer. 2° Reconstruire la frtn allemande sr des bases assurées. La réalité est tout autre. nE vérité, c'est sur la chasse au franc que l'n poursuit et qui se généralise. Les banquiers de la région ne cèdent des francs français qu'avec la plus grande epraugnéc.n Il s'gt orup les banques allemandes d'amasser le plus possible d dvss françaises, de façon à l jeter par àcups urs le marché. On pvoqr de l sorte une baisse de notre oi. Et cette manœuvre se rééterit surtout l'époque des élections françaises pour troubler la opinion. Insolences teutoniques Les journaux d Strasbourg rapportent qu'un négociant e cette ville qui était en eatios d'affaires avec une maison allemande, aat demandé à cette dernière de régler en frncs français avant livraison. La maison allemande lui répondit, qu'elle ne se soumettrait pas cette condition pr deux
des achats qui permettront au commerce allemand de se développer. 2° Reconstruire la fortune allemande sur des bases assurées. La réalité est tout autre. En vérité, c'est sur la chasse au franc que l'on poursuit et qui se généralise. Les banquiers de la région ne cèdent des francs français qu'avec la plus grande répugnance. Il s'agit pour les banques allemandes d'amasser le plus possible de devises françaises, de façon à les jeter par à-coups sur le marché. On provoquerait de la sorte une baisse de notre monnaie. Et cette manœuvre se répéterait surtout à l'époque des élections françaises pour troubler la opinion. Insolences teutoniques Les journaux de Strasbourg rapportent qu'un négociant de cette ville qui était en relations d'affaires avec une maison allemande, avait demandé à cette dernière de régler en francs français avant livraison. La maison allemande lui répondit, qu'elle ne se soumettrait pas à cette condition pour deux raisons : 1° L'Allemagne est sortie de sa détresse financière ; 2° le franc français ne vaut rien ! D'ailleurs, certains Allemands ne se gênent plus même chez nous. Le fait, suivant l'indiqué assez récemment, un irontuéger allemand avait à payer des droits de douane à Wissembourg. Comme on lui rendit 5.50 francs, il laissa tomber les pièces sur le comptoir en lisant dédaigneusement, "Neuf francs et cinquante centimes ne valent pas la peine de se hausser pour les ramasser, ils n'en valent pas la peine." cherté de vie qui en résulte : « Cette charge de la vie chère, dit notre confrère, est sensiblement plus pesante en Belgique que chez nous. Elle a suscité dans la classe ouvrière et la classe moyenne une vague de mécontentement. Nous touchons ici au point douloureux, à la cause la plus décisive du déplacement qui vient de se produire dans la majorité. La Lique n'est pas seulement dans le Parlement, elle est dans le pays. » Aussi, doit-on prévoir qu'il ne sera pas facile de trouver un nouveau ministère capable de réunir une majorité stable et durable. Aucun des trois partis n'est assez fort pour gouverner seul. On a parlé d'une solution provisoire,
des achats qui permettront au commerce allemand de se développer. 2° Reconstruire la fortune allemande sur des bases ssrés. La réalité est tout autre. vérité, cest sur la chasse au rcfan que lon poursuit et q se généralise. Ls banquiers de la région ne èent des francs français qu'avec la pls an répgnnc. l s'g pour les banques allemandes d'amasser le plus possible de devises frnçss, de façon à les jeter par à-cps sur le marché. On prvqrt de la sorte une baisse de notre monnaie. Et cette manœuvre se treéiptéra surtout l'époque des élections françaises upro troubler la opinion. Insolences teutoniques Les journaux de Strasbourg rapportent qu'un négociant de cette ville qui était n relations ai'rsfdafe avec u maison allemande, avait demandé à cette dernière de régler en francs français avant livraison. La msn allemande lui rpd qu'elle ne se soumettrait pas à cette condition pour deux rsns : 1° L'Allemagne st sortie de sa détresse financière ; 2° le franc français ne vaut ien ! D'ailleurs, certains Al ne se gênent même chez nous. L fait, suivant l'ndqé assez récemment, un irontuéger allemand avait à payer des droits de douane à Wissembourg. Comme on lui rendit 550. francs, il lss tomber les pièces sur le comptoir en sat dédaigneusement, "Neuf francs et cinquante centimes ne valent pas la peine de se hausser pour les ramasser, ils n'en valent pas la peine." crt de vie qui en résulte : « Cette charge de la vie chère, dit notre confrère, est sensiblement pl pesante en Belgique que chez nous. Elle a suscité dans la classe uve et la classe moyenne une vague de mécontentement. uosN ouscotnh ici au point douloureux, à la use la plus décisive du déplacement qui vient se produire dans la majorité. La Lique n'est ps seulement dns le Parlement, elle es dns le pays. » ss, doit-on prévoir qu'il ne rsea pas facile de trouver un nouveau ministère capable de réunir une majorité stable et bled.rau Aucun des trois partis est assez fort pour gouverner seul. On a r d'une oun provisoire,
rendit 5.50 francs, il laissa tomber les pièces sur le comptoir en lisant dédaigneusement, "Neuf francs et cinquante centimes ne valent pas la peine de se hausser pour les ramasser, ils n'en valent pas la peine." cherté de vie qui en résulte : « Cette charge de la vie chère, dit notre confrère, est sensiblement plus pesante en Belgique que chez nous. Elle a suscité dans la classe ouvrière et la classe moyenne une vague de mécontentement. Nous touchons ici au point douloureux, à la cause la plus décisive du déplacement qui vient de se produire dans la majorité. La Lique n'est pas seulement dans le Parlement, elle est dans le pays. » Aussi, doit-on prévoir qu'il ne sera pas facile de trouver un nouveau ministère capable de réunir une majorité stable et durable. Aucun des trois partis n'est assez fort pour gouverner seul. On a parlé d'une solution provisoire, d'un « cabinet d'affaires » que pourrait présider, par exemple, un homme des questions, économiques, comme M. Jeanqui. Si une solution de ce genre se révélait impraticable, il ne resterait plus guère au roi d'autre ressource que de dissoudre le Parlement et de faire des nouvelles élections. En ce cas, on prévoit assez généralement que les socialistes gagneraient, de nombreux sièges — sans gagner toutefois la majorité. La situation serait alors semblable à celle de l'Angleterre à la veille de la constitution du ministère travailliste. On peut se demander enfin quelle sera la répercussion de la crise belge sur la politique extérieure et sur les relations avec la France. Il est certain que la majorité qui a renversé M. Theunis n'est pas très favorable à la continuation de la politique de la Ruhr, mais il est encore trop tôt pour risquer des pronostics ; et nos alliés belges nous ont donné assez de preuves de leur understanding. Ils ont assez montré leur compréhension des liens qui unissent leurs intérêts aux nôtres et nous devons, en tout état de cause, leur faire confiance. Le « Temps » reconnaît que le vote de la Chambre belge est dirigé contre la politique du
rendit 5.50 rs il laissa tomber ls pièces su le comptoir en lisant dédaigneusement, "Neuf francs et cinquante centimes ne valent pas la peine de se hsser pour les rmssr, ils n'en ale pas la peine." cherté de iev qui en réslt : « Cette charge de la v chère, dt notre confrère, est sensiblement plus pesante en Begqe que chez nous. Elle a suscité dans la classe ouvrière et la classe moyenne u vague de mécontentement. Nous touchons ici au point douloureux, à la cause la pls décisive du déplacement qui vient de se produire dans l majorité. La Lique n'est pas seulement dans le rleen elle est dans le pays. » Aussi, doit-on prévr uiql' ne sera pas fcl de trouver un nouveau ministère cpbl de réunir une majorité stable et durable. Aucun des trois partis n'est assez fort pour gouverner seul. On a parlé d'une solution provisoire, d'un « cabinet daffaires que pourrait présider, par exemple, un homme des questions, économiques, comme M. Jnq. Si une sltn de ce genre se révélait mprtcbl, il ne resterait plus guère au roi d'autre rorce que dissoudre le Parlement et de faire des nouvelles élections. En c cas on prévoit assez généralement que sle ociaite gagneraient, de nombreux sies sans gagner toutefois la majorité. La situation serait alors semblable à celle de l'Angleterre à la veille de l constitution du ministère travailliste. On peut se demander enfin quelle sera l répercussion d la crise belge sur la politique extérieure et sur les relations avec la France. Il est certain que la mjrté qui a renversé M. Theunis n'st a très fvrbl à la continuation de la politique de la Ruhr, mais il e encore trop tôt pour rsqr ds otcoispsnr ; t nos alliés s nous ont donné ssz de preuves de er understanding. Ils ont assez montré leur compréhension des liens qui unissent leurs ért aux nôtres et nous devons, en tout état de cause, leur faire cnfnc. Le « Tmps » reconnaît que le de la Chambre belge est dirigé contre la politique du
on prévoit assez généralement que les socialistes gagneraient, de nombreux sièges — sans gagner toutefois la majorité. La situation serait alors semblable à celle de l'Angleterre à la veille de la constitution du ministère travailliste. On peut se demander enfin quelle sera la répercussion de la crise belge sur la politique extérieure et sur les relations avec la France. Il est certain que la majorité qui a renversé M. Theunis n'est pas très favorable à la continuation de la politique de la Ruhr, mais il est encore trop tôt pour risquer des pronostics ; et nos alliés belges nous ont donné assez de preuves de leur understanding. Ils ont assez montré leur compréhension des liens qui unissent leurs intérêts aux nôtres et nous devons, en tout état de cause, leur faire confiance. Le « Temps » reconnaît que le vote de la Chambre belge est dirigé contre la politique du gouvernement français. Quelques personnes, dit ce journal, pourraient peut-être qu'on ne devrait pas dire les choses aussi crûment. Mais nous croyons, pour notre part, qu'une conscience tranquille n'a rien à craindre de la vérité, — si ce n'est de ne la connaître. Il serait mieux de prouver que la Belgique n'a aucun intérêt à s'opposer maintenant à la politique française, invoquons ici un témoignage dont l'actualité même élève le débat et le rend plus serein. Dans le testament politique de Richelieu, qui contient tant de précieux enseignements, Ton trouve ces réflexions mélancoliques : « Je ne conseillerais jamais à un grand prince de s'embarrasser volontairement d'une tâche impossible, s'il ne se sentasse fort pour le faire et eût collègues venus à lui manquer... De deux puissances inégales, jointes par un traité, la plus forte court risque de laisser la plus abandonnée que l'autre. Toute grande puissance doit retenir cette leçon. Mais parmi les puissances qui ne sont pas aussi grandes, il n'en est aucune qui ait avantage à justifier l'avertissement amer de Richelieu : Se séparer d'un allié, en un dessein de difficile exécution, ce ne serait grande peine ni en réputation, ni en richesse, ni en sécurité. » Mais
on prévoit assez généralement que les socialistes gagneraient, e nombreux ègs — sans gagner toutefois l majorité. La situation serait alors semblable à el de l'Angleterre à la veille de la constitution istèe travailliste. On peut se demander enfin quelle sra la répercussion e la crs belge sur la politique extérieure et sur les relations avec la France. l est certain que la majorité qui a renversé M. Theunis n'est pas très favorable à la continuation de la iupiqelto d la Ruhr, mais li est nr trop tôt pour risquer des pronostics ; et nos alliés blgs ns ont donné esasz de preuves de leur ugsnedtanrind. Ils ont assez montré leur compréhension des liens qui unissent leurs intérêts aux nôtres et nous devons, en tout état de cause, lr faire confiance. Le Temps » reconnaît que le vote de la Chambre belge est dirigé contre la politique du gouvernement français. Quelques prsnns, dit c journal, pourraient peut-être qu'on ne devrait asp dire les choses aussi crûment. Mais ns ryn pour notre part, qu'une conscience trnqll ' rien craindre de la vérité, — si ce nest de la cnnîtr. Il srt mieux d prouver e la Belgique n'a a rtêiént à ropopess' maintenant la politique frnçs, invoquons ici un témoignage dont l'ctlté mêm élève le débat et le rend plus serein. Dans le testament politique de Richelieu, qui contient tant de précieux enseignements, Ton trouve c réflexions mélancoliques : « Je ne conseillerais jamais à un grand prince de s'embarrasser volontairement d'une tâche impossible, s'il ne se sentasse rfot pour le faire et eût collègues venus à lui manquer... De dx puissances inégales, jointes par un traité, la pls forte court risque de laisser la plus abandonnée que l'autre. Toute grande pssnc dt retenir cette leçon. Mais parmi les puissances qui en sont pas aussi grandes, il n'en st aucune qui ait avantage à justifier l'avertissement amer de Richelieu : Se séparer d'un allié, en un dessein de difficile xéctn, ce ne serait rne peine ni en pato ni en richesse, ni n sécurité. » Ms
n'a aucun intérêt à s'opposer maintenant à la politique française, invoquons ici un témoignage dont l'actualité même élève le débat et le rend plus serein. Dans le testament politique de Richelieu, qui contient tant de précieux enseignements, Ton trouve ces réflexions mélancoliques : « Je ne conseillerais jamais à un grand prince de s'embarrasser volontairement d'une tâche impossible, s'il ne se sentasse fort pour le faire et eût collègues venus à lui manquer... De deux puissances inégales, jointes par un traité, la plus forte court risque de laisser la plus abandonnée que l'autre. Toute grande puissance doit retenir cette leçon. Mais parmi les puissances qui ne sont pas aussi grandes, il n'en est aucune qui ait avantage à justifier l'avertissement amer de Richelieu : Se séparer d'un allié, en un dessein de difficile exécution, ce ne serait grande peine ni en réputation, ni en richesse, ni en sécurité. » Mais nous n'avons à méditer que sur la politique de la France. Le cabinet Theunis, comme tous les ministères, était voué à disparaître un jour. On pouvait le savoir à Paris, aussi bien qu'à Bruxelles. La présence de ce gouvernement permettait de faire certaines choses, en vue de meilleure réglementation et de le rendre meilleur : La politique française a-t-elle toujours profité de l'occasion qui passait, et qui semble maintenant passée ? Nous ne prétendons certes pas qu'on devait faire précipitamment des propositions ou des concessions. Nous rappelons seulement qu'on risque de proposer en vain et de céder sans compensation, quand on s'y prend trop tard. Le « Soir », de Bruxelles, constate avec nombre de ses confrères belges que la crise qui vient de s'ouvrir c'est le gâchis : Car il est évident, dit-il, que la coalition qui a renversé le cabinet, est incapable de constituer une majorité ministérielle. Les rapports des experts et les négociations diplomatiques laissent prévoir un prochain arrangement international accordant enfin à la Belgique de justes réparations pour le passé, et des garanties pour l'avenir. C'est l'heure que le Parlement a choisie pour affaiblir un pays. Si la coalition d'extrême droite et d'extrême gauche, s'imagine avoir
n'a aucun intérêt à s'opposer mntnnt à la politique française, invoquons c un témoignage dont l'actualité même élève le débt et le rend plus serein. Dans le testament politique de Richelieu, qui contient tant de précieux enseignements, Ton trouve ces réflexions mélancoliques : « Je ne conseillerais jamais à un grand prince de s'embarrasser volontairement d'une tâche impossible, s'il ne se ae fort pour le faire et ût collègues venus à lui manquer... De dx puissances gle jointes par un traité, la plus forte court risque de laisser la plus abandonnée que l'autre. Toute grande puissance doit ritener cette leçon. Mais parmi les puissances qui ne snt pas aussi grandes, il n'en est aucune qui ait avantage à justifier l'avertissement amer de Richelieu : Se séparer d'un allié, en un dessein de difficile exécution, ce ne serait grande peine n n réputation, ni en richesse, ni en séérituc. » Mais nous n'avons à méditer que r la politique de la rnce. Le cabinet Theunis, comme tous les ministères, était voué à disparaître un jour. On pouvait le savoir à Paris, aussi bi qu'à Bruxelles. La présence de ce gouvernement permettait de faire certaines choses, en v de meilleure réglementation t de le rendre meilleur : La politique française a-t-elle toujours profité de l'occasion qui passait, et qui semble maintenant passée ? Nous ne rtenons crts pas qu'on devait faire précipitamment des ropso ou ds concessions. Nous orpenaslp seulement quon risque de proposer en vain et de céder sans compensation, unqad on s'y prend trop tard. eL « Soir », de Bruxelles, constate avec nombre de ss cnfrèrs belgs que la crise qui vient de s'ouvrir c'est le gâchis Car il est évident, -i que la coalition qui a eé le cabinet, est incapable de constituer une majorité ministérielle Ls rapports des experts et les négociations diplomatiques lssnt oérpvir un prochain arrangement international accordant enfin à l Belgique de ts réparations pour le passé, et des agaesirtn pour l'avenir. 'est lhe que le Parlement a choisie pour affaiblir un pays. Si la coalition d'extrême droite et d'extrême gauche, s'imagine avoir
de le rendre meilleur : La politique française a-t-elle toujours profité de l'occasion qui passait, et qui semble maintenant passée ? Nous ne prétendons certes pas qu'on devait faire précipitamment des propositions ou des concessions. Nous rappelons seulement qu'on risque de proposer en vain et de céder sans compensation, quand on s'y prend trop tard. Le « Soir », de Bruxelles, constate avec nombre de ses confrères belges que la crise qui vient de s'ouvrir c'est le gâchis : Car il est évident, dit-il, que la coalition qui a renversé le cabinet, est incapable de constituer une majorité ministérielle. Les rapports des experts et les négociations diplomatiques laissent prévoir un prochain arrangement international accordant enfin à la Belgique de justes réparations pour le passé, et des garanties pour l'avenir. C'est l'heure que le Parlement a choisie pour affaiblir un pays. Si la coalition d'extrême droite et d'extrême gauche, s'imagine avoir frappé la France, elle se trompe. Elle a seulement atteint la Belgique. La « Libre Belgique » catholique, écrit : Ce n'est pas la politique de M. Theunis qui est condamnée, c'est uniquement et exclusivement le malheureux et déplorable projet de convention douanière. Il est tout naturel que les organes socialistes triomphent : Le « Peuple » dit : Du point de vue parlementaire et constitutionnel, la leçon est excellente ; elle roulera tous les désespoirs, elle leur apprendra surtout à se compter et à constater qu'ils sont la majorité. La majorité démocratique, placée devant la grave conjoncture économique, n'a pas hésité à briser le cadre traditionnel d'un des vieux partis politiques de la bourgeoisie. Dans un autre parti, des velléités semblables se manifestent et vont s'affirmer. Par une coïncidence curieuse, au moment où notre peuple, par la grève, réclame avec énergie le retour aux méthodes socialistes de réglementation que l'on n'a jamais dû abolir, au moment où le gouvernement anglais d'aujourd'hui adopte les mesures socialistes pour le problème des réparations et le retour à la paix, voici qu'un gouvernementement anti-socialiste s'écrine en Belgique. Nos conclusions resteront prudentes et réservées, mais il n'est pas interdit de proclamer, comme une évidence
de le rendre meilleur : La politique française a-t-elle toujours profité d loccasion uqi passait, et qui semble mntnnt passé ? Nous ne prenns certes pas qu'on devait faire précipitamment des prston ou des concessions. Nous rappelons seulement qu'on risque de proposer en vain et d céder sns cmpnstn, quand on ' prend trop tard. Le Soir Bruxelles, constate avec nombre de ses confrères belges que la crise qui vient de souvrir c'est le gâchis : Car il t évident, ditl, que la coalition qui renversé le cabinet, est ncpbl de constituer une majorité mnstérll. Les rapports des experts et les négociations diplomatiques laissent prévoir un prochain arrangement ieaiol accordant enfin à la Belgique de justes réparations pr e passé, et des garanties pour l'avenir. C'st l'heure que le Parlement a choisie pour afal un pays. Si la coalition d'extrême droite et d'extrême he, s'imagine virao frappé la Frnc, elle se trompe. Elle eum atteint a Belgique La « Libre Belgique catholique, écrit : Ce 'est pas la politique de M. Thns qui est condamnée, cest uniquement et xclsvmnt le malheureux et déplorable projet de ction èuoaneir.d Il t tout naturel q les ones socialistes triomphent : Le « Peuple » dit : Du point de vue parlementaire et constitutionnel, la leçon est excellente ; elle lra ts ls déssprs, elle leur apprendra srtt à es compter et à constater qu'ils sont la t. La majorité démocratique, placée devant la grave conjoncur économique, n' ps hésité briser le cadre adinne d'un des vieux partis politiques de la bourgeoisie. Dans un autre itrpa, des vltés semblables se manifestent et nt s'affirmer. Par une coïncidence curieuse, au moment ù notre peuple, par l grève, réclame avec riéeegn le retour aux méthodes socialistes de réglementation que l' n'a jms dû blr, au moment où l nvumongetree ngls daujourdhui eaoptd les mesures socialistes pour le problème des réparations et le retour à l paix, voici qu'un gouvernementement anti-socialiste s'écrine en Belgique. Nos conclusions resteront prudentes et réservées, mais i 'est pas ieritntd de proclamer, coe enu évidence
socialistes triomphent : Le « Peuple » dit : Du point de vue parlementaire et constitutionnel, la leçon est excellente ; elle roulera tous les désespoirs, elle leur apprendra surtout à se compter et à constater qu'ils sont la majorité. La majorité démocratique, placée devant la grave conjoncture économique, n'a pas hésité à briser le cadre traditionnel d'un des vieux partis politiques de la bourgeoisie. Dans un autre parti, des velléités semblables se manifestent et vont s'affirmer. Par une coïncidence curieuse, au moment où notre peuple, par la grève, réclame avec énergie le retour aux méthodes socialistes de réglementation que l'on n'a jamais dû abolir, au moment où le gouvernement anglais d'aujourd'hui adopte les mesures socialistes pour le problème des réparations et le retour à la paix, voici qu'un gouvernementement anti-socialiste s'écrine en Belgique. Nos conclusions resteront prudentes et réservées, mais il n'est pas interdit de proclamer, comme une évidence qu'un ministère gouvernant contre le socialisme pivot de la majorité démocratique. vient de s'apercevoir, n'est plus possible en Belgique. Le « Drapeau Bouge » (communiste), dit que la classe ouvrière n'aura pas de repos. Il prétend que la politique de la Ruhr reçoit un premier coup. Les journaux anglais ne paraissent pas autrement fâchés de la crise belge, non. à leurs yeux, atteint le prestige de la France. La « Westminster Gazette » déclare que la crise a une signification politique et montre que la Belgique est de moins en moins encline à faire de nouvelles concessions à la France. Le Daily Chronicle écrit : En renversant le gouvernement de M. Gum, le Parlement a condamné en réalité sa subsérvation à M. Poincaré et a affirmé sa désapprobation de l'aventure de la Ruhr. Pour le Times, la chute du cabinet Gum est due surtout et en premier lieu à des raisons commerciales. Le journal ajoute qu'il est improbable que la crise ait des effets immédiats sur la politique étrangère. Le « Daily Express » considère que le Parlement belge a porté un coup à M. Poincaré. La presse allemande, la satisfaction est générale. La « Gazette générale de l'Allemagne »
scalst triomphent : Le « Peuple » dit : Du point de vue parlementaire et constitutionnel, la leçon est excellente ; elle roulera tous les désespoirs, elle leur apprendra surtout à se compter et à constater qu'ils sont la majorité La majorité démocratique, placée devant la grave conjoncture économique, ' ps hésité à briser le cadre traditionnel d'un des xueiv pas politiques de la bourgeoisie. Dans un at pati, des velléités semblables se manifestent et vnt s'affirmer. Par une coïncidence curieuse, au moment où notre peuple, par l grève, réclame avec énergie le retour aux méthodes socialistes d réglementation que l'on ' jamais dû abolir, au moment ù le gouvernement ngls d'aujourd'hui adopte les mesures socialistes pour le problème des réparations et le retour à la paix, voici qu'un gouvernementement anti-socialiste s'écrine Belgique. Nos conclusions ottnrrsee prudentes et réservées, mais li n'est pas int de proclamer, cmm une évidence qu'un ministère gouvernant contre le socialisme pivot de la majorité démocratique. vient de s'apercevoir, 'est plus possible en Belgique. Le « Drapeau Bouge » (communiste), dit que la classe ouvrière n'aura pas de repos. Il prétend que la politique de la Ruhr reçoit un premier c Les journaux anglais ne paraissent pas autrement fâchés de l crise belge, non. à leurs yeux atteint le prestige de la France. La « Westminster Gazette » déclare q la crise a e nifatin politique et montre que la Belgique st d moins en moins encline à faire de nouvelles concessions à la France. Le Daily Chronicle écrit : En renversant le gouvernement de M. Gum, le Prlmnt a condamné en réalité sa subsérvation à M. Poincaré et a affirmé sa désapprobation de 'aventure de la Ruhr. Pour le Times, la u d cabinet Gum est due srtt et en premier lieu à des raisons commerciales. L journal joue qu'il st improbable que la crise ait des effets mmts sur la politique étrangère Le « Daily Express » ni que le Parlement belge a porté un coup à M. Poincaré La presse allemande, la satisfaction est générale. La « Gazette générale de l'Allemagne »
paraissent pas autrement fâchés de la crise belge, non. à leurs yeux, atteint le prestige de la France. La « Westminster Gazette » déclare que la crise a une signification politique et montre que la Belgique est de moins en moins encline à faire de nouvelles concessions à la France. Le Daily Chronicle écrit : En renversant le gouvernement de M. Gum, le Parlement a condamné en réalité sa subsérvation à M. Poincaré et a affirmé sa désapprobation de l'aventure de la Ruhr. Pour le Times, la chute du cabinet Gum est due surtout et en premier lieu à des raisons commerciales. Le journal ajoute qu'il est improbable que la crise ait des effets immédiats sur la politique étrangère. Le « Daily Express » considère que le Parlement belge a porté un coup à M. Poincaré. La presse allemande, la satisfaction est générale. La « Gazette générale de l'Allemagne » écrit : Aujourd'hui, comme au mois de juin dernier, cette crise signifie que la majorité de la Chambre belge ne veut plus suivre le gouvernement dans la voie de la francisation économique et intellectuelle du pays. Pour la « Gazette de Voss », M. Jaspar aurait les plus de chances d'être chargé de constituer un nouveau cabinet. M. Jaspar s'est, au cours de ces dernières années, révélé comme l'un des hommes politiques les plus perspicaces de l'Entente. La " Gazette de la Croix " déclare prudemment qu'il ne faut pas espérer que cette crise ministérielle apporte un changement dans la politique belge de la Ruhr, Nous croyons que la « Gazette de la Croix » a raison de ne pas aisér d'illusions. L'amitié et l'entente franco-belge reposent sur des bases trop solides, aussi des intérêts communs trop liés pour que quelque crise ministérielle puisse les rompre. Jean Furet. DÉPÊCHES NOUVELLES DE VENDREDI APRÈS-MIDI Paris, 29 février, 5 h. soir. LES COMITÉS D'EXPERTS La SOUS-COMMISSION budgétaire du comité Dawes a poursuivi vendredi matin l'étude du rapport qui lui avait été remis, jeudi par les techniciens en matière de monopoles... Le comité Dawes, a tenu ensuite une séance plénière, pour prendre à
paraissent ps autrement fâchés de l crise belge, non à leurs yeux, atteint le prestige de la France La Westminster at » déclare que la crise a une signification politique et montre que la Blgq est de moins en moins encline à faire de nouvelles concessions à la France. Le Daily Chronicle écrit : En vsnt le gvrnmnt de M. Gum, le Parlement a condamné en rté sa subsérvation à M. Poincaré et affirmé sa désapprobation de laventure de la Ruhr. Pour l Times, la chute du cabinet Gum est due surtout et en premier lieu à des raisons commerciales. Le journal ajoute qu'il est improbable que la crise ait des effets immédiats sur la politique étrngèr. Le « Daily Express » considère que le Parlement belge a porté nu coup à M. .iéPocrna La presse allemande, la satisfaction est générale. La « Gazette générale de l'Allemagne » écrit : Aujourd'hui, comme au mois de juin dernier, cette crise signifie que la majorité de la Chambe belge ne veut plus suivre le gouvernement dans la voie de la francisation qmoéoniceu et intellectuelle d pays Pour la « Gazette de Voss », M. Jaspar aurait les plus de chances d'être chargé de constituer un nouveau cabinet. M. Jaspar sest cours de es dernières années, révélé comme l'un des hommes politiques les plus perspicaces de l'Entente. La " Gazette de la Croix " déclare prudemment qu'il ne faut pas espérer que cette crise ministérielle apporte un changement dans la politique eegbl de la Ruhr, Nous croyons que la « Gazette la Croix » a raison de ne pas aisér d'illusions. L'amitié et l'entente franco-belge reposent sur des bases trp solides, aussi des intérêts communs trop liés pour que quelque crise ministérielle puisse les rompre. Jn Furet. DÉPÊCHES NOUVELLES DE VENDREDI PIMI-ÈSRAD Paris, février, 5 h. soir. LES COMITÉS DEXPERTS La SOUSCOMMISSION budgétaire u comité De a poursuivi vendredi matin l'étude du rapport qui lui avait été remis, jd par les techniciens en matière de monopoles... Le comité Dawes, a tenu ensuite une séance ne, pour prendre à
d'être chargé de constituer un nouveau cabinet. M. Jaspar s'est, au cours de ces dernières années, révélé comme l'un des hommes politiques les plus perspicaces de l'Entente. La " Gazette de la Croix " déclare prudemment qu'il ne faut pas espérer que cette crise ministérielle apporte un changement dans la politique belge de la Ruhr, Nous croyons que la « Gazette de la Croix » a raison de ne pas aisér d'illusions. L'amitié et l'entente franco-belge reposent sur des bases trop solides, aussi des intérêts communs trop liés pour que quelque crise ministérielle puisse les rompre. Jean Furet. DÉPÊCHES NOUVELLES DE VENDREDI APRÈS-MIDI Paris, 29 février, 5 h. soir. LES COMITÉS D'EXPERTS La SOUS-COMMISSION budgétaire du comité Dawes a poursuivi vendredi matin l'étude du rapport qui lui avait été remis, jeudi par les techniciens en matière de monopoles... Le comité Dawes, a tenu ensuite une séance plénière, pour prendre à son tour connaissance de ce rapport. Les techniciens ont fourni au comité des explications complémentaires. LES CHANGES À la Bourse de Paris, samedi, le cours de la livre sterling a été ramené à 25 41 et celui du dollar à 23 92. UN AUDACIEUX CAMBRIOLAGE À MARSEILLE À Marseille, des malfaiteurs ont pénétré, en perçant un mur de 60 centimètres d'épaisseur, dans un magasin d'accessoires pour automobiles. Ils ont fracturé le coffre-fort où ils trouvèrent, en effet, peu de valeurs, et se sont enfuis en emportant une grande quantité d'accessoires. GREVE DES TRAMWAYS À NICE Les employés des tramways de Nice et du littoral se sont mis en grève pendant la nuit de jeudi à vendredi. UN HOMMAGE BELGE À M. POINCARÉ Le conseil académique de l'Université de Liège vient nommer M. Poincaré docteur « honoris causa » de la Faculté de droit de cette ville. EN ALLEMAGNE OCCUPÉE Le rendement des douanes Les recettes du mois de février 1924 centralisées par le Comité des gages de Coblence sont encore en progression importante. Le gage douanier, à lui seul, a apporté, du 1er au 29 février, 80 millions, ce qui correspond à un mois complet de 12 millions, tandis que
d'être chargé de consiter un nouveau cabinet. . Jaspar s'st, au cours de ces dernières années, révélé comme l'un des hmms polii plus perspicaces de l'Entente. La " Gazette de la Croix " déclare prudemment qu'il ne faut ps espérer que cette crise ministérielle apporte un changement dans la politique belge de la Ruhr, Nous croyons que la « Gazette de la Croix » a raison de en pas aisér d'illusions. 'amitié et l'entente franco-belge reposent sur des bases trop ldes,ios si des intérêts communs tpro liés pr que euqlequ crise inérelmsetlii puisse les rompre. Jn Furet. DÉPÊCHES NOUVELLES DE VENDREDI APRÈS-MIDI Paris, 29 février, 5 h. soir. LES CMTÉS D'XPRTS aL SOUSCOMMISSION budgétaire comité a prsv vendredi mtn l'étude d rapport qui lui avait été rms, jeudi par les techniciens en matière de monopoles... Le cmté Dawes, a tenu ensuite eun séance pnr, pour prendre à son tour onne de c rapport. Ls techniciens ont frn au comité ds explications complémentaires. LES CHANGES À la Bourse de Paris, smd, le cours de l livre rgnetlis a été ramené à 25 41 et celui du dllr à 23 92. UN AUDACIEUX CAMBRIOLAGE MARSEILLE À Marseille, esd mlftrs ont pénétré, en perçant un mur de 60 centimètres d'épaisseur, dans n magasin d'accessoires pour o.oiumasblte Ils ont fracturé le coffre-fort où ils trouvèrent, en effet, u de vaeu et se sont enfuis en emportant une grande quantité d'accessoires. GREVE S MAS À NICE Les employés des tramways d Nice et du littoral se sont ms en grèv pendant l nuit de jeudi à vendredi. UN HOMA BELGE À M. POINCARÉ Le conseil académique de 'Université de Liège vient nommer M icar docteur « honoris causa » de la Faculté de droit de cette ville. ALLEMAGNE OCCUPÉE Le rdem des douanes s rect du mois de février 1924 centralisées par le Comité des gages de oceebCnl sont encore en progression importante. Le gage douanier, à lui seul, a apporté, du 1r au 29 février, 80 millions, ce qui coresnd à un ms mlt de 12 millions, tnds que
malfaiteurs ont pénétré, en perçant un mur de 60 centimètres d'épaisseur, dans un magasin d'accessoires pour automobiles. Ils ont fracturé le coffre-fort où ils trouvèrent, en effet, peu de valeurs, et se sont enfuis en emportant une grande quantité d'accessoires. GREVE DES TRAMWAYS À NICE Les employés des tramways de Nice et du littoral se sont mis en grève pendant la nuit de jeudi à vendredi. UN HOMMAGE BELGE À M. POINCARÉ Le conseil académique de l'Université de Liège vient nommer M. Poincaré docteur « honoris causa » de la Faculté de droit de cette ville. EN ALLEMAGNE OCCUPÉE Le rendement des douanes Les recettes du mois de février 1924 centralisées par le Comité des gages de Coblence sont encore en progression importante. Le gage douanier, à lui seul, a apporté, du 1er au 29 février, 80 millions, ce qui correspond à un mois complet de 12 millions, tandis que les recettes correspondantes du mois de janvier ont été seulement de 75 millions 600.000 francs. En décembre 1923, les recettes douanières saisies par les autorités franco-belges avaient déjà donné un rendement dépassant de plus de 50 % celui déclaré par le Reich pour tout le reste du territoire allemand. EN VUE DE LA DISSOLUTION DU REICHSTAG On télégraphie de Berlin que le chancelier s'est entretenu jeudi dans l'après-midi avec les chefs de partis, au sujet de la dissolution éventuelle du Reichstag. LE BUDGET YOUGOSLAVE Une dépêche de Belgrade annonce que la Chambre a voté jeudi le budget pour l'exercice 1924-25. Les dépenses s'élèvent à 10 milliards 340 millions et sont entièrement équilibrées par les recettes. LA QUESTION DU KHALIFAT EN TURQUIE Suivant une dépêche de Constantinople, le bruit a couru de la démission du Calife. Une enquête a établi que ce bruit était inexact. Le calife n'a pris aucune décision de ce genre mais il a attentivement suivi les discussions de la Grande Assemblée d'Angora. Dernière heure NOUVELLES DE SAMEDI MATIN Paris, 1er mars, 7 h. matin. LES COMITÉS D'EXPERTS Le comité Dawes a terminé ses travaux On annonce que le comité Dawes en a terminé la question des monopoles.
malfaiteurs ont pénétré, en perçant un mr de 60 ceniètres d'épaisseur, dans un mgsn d'accessoires pour automobiles. Ils ont frctré le coffre-fort où ils trouvèrent, en effet, peu de valeurs et s sont enfuis en emportant une ran quantité d'ccssrs. GREVE DES ARYSTAMW NICE Ls employés des tramways de Nice te du littoral se snt mis en grève pendant la nuit d jeudi à vndrd. N HOMMAGE LBEEG À M. POINCARÉ Le conseil cadmiq de l'Université de Liège vnt nommer M. oraniécP docteur « honoris causa » de l Faculté de droit de tteec ville. EN ALLEMAGNE OCCUPÉE Le rndmnt des douanes Les recettes du mois de février 1924 centralisées par le motéiC des gages d Coblence sont encore en progression importante. Le gage douanier, à lui seul, rtpop,éa du 1er au 29 février, 80 mllns, ce q correspond à un mois col d 12 millions, tandis que ls recettes correspondantes du siom de janvier ont été seulement ed 75 millions 600.000 francs. En décembre 1923, les recettes douanières saisies par ls autorités franco-belges avaient déjà dnné un rendement dépssnt de s de 50 celui déclaré par le Reich pour tuot le reste du territoire allemand. EN VUE D L DISSOLUTION DU REICHSTAG On télégraphie d Berlin que l chancelier s'st tret jeudi dans l'après-midi avec les chefs de partis, au sujet de la dissolution éventuelle du Reichstag. LE BDGT YOUGOSLAVE Une dépêche de Belgrade annonce que la Chambre a ovté jeudi l bdgt pour l'exercice 1924-25. Les dépenses s'élèvent à 10 milliards 340 nilslimo et sont entièrement équilibrées par e recettes. LA QONUETSI DU KHALIFAT N RQI Suivant une dépêche de Constantinople, le bruit couru de la démission du Calife. n enquête a établi qe c bruit taité inexact. Le cafe an' prs aun disoéicn de ce genre mais il a attentivement suivi les discussions de la Grde Assemblée ondgar.A' Dernière heure NOUVELLES DE SAMEDI MATIN Paris, 1er mars, 7 h. ma. LES COMITÉS D'EXPERTS Le comité Da a terminé se travaux On annonce que le comité Dawes en terminé l question des monopoles.
VUE DE LA DISSOLUTION DU REICHSTAG On télégraphie de Berlin que le chancelier s'est entretenu jeudi dans l'après-midi avec les chefs de partis, au sujet de la dissolution éventuelle du Reichstag. LE BUDGET YOUGOSLAVE Une dépêche de Belgrade annonce que la Chambre a voté jeudi le budget pour l'exercice 1924-25. Les dépenses s'élèvent à 10 milliards 340 millions et sont entièrement équilibrées par les recettes. LA QUESTION DU KHALIFAT EN TURQUIE Suivant une dépêche de Constantinople, le bruit a couru de la démission du Calife. Une enquête a établi que ce bruit était inexact. Le calife n'a pris aucune décision de ce genre mais il a attentivement suivi les discussions de la Grande Assemblée d'Angora. Dernière heure NOUVELLES DE SAMEDI MATIN Paris, 1er mars, 7 h. matin. LES COMITÉS D'EXPERTS Le comité Dawes a terminé ses travaux On annonce que le comité Dawes en a terminé la question des monopoles. Il a décidé qu'il y avait lieu d'instituer en Allemagne certains monopoles dont le revenu serait versé à la caisse des réparations. En ce qui concerne la banque d'émission, les experts auraient définitivement décidé d'en fixer le siège en Hollande. LE CONTRÔLE MILITAIRE EN ALLEMAGNE Déclaration du Foreign Office Le représentant de l'agence Havas à Londres est autorisé par le ministère britannique des Affaires étrangères à démentir qu'aucune déclaration ait été faite sur la question du contrôle militaire en Allemagne. En outre, on déclare sans fondement l'assertion émanant apparemment de la presse de Berlin, suivant laquelle le gouvernement estimerait que les travaux de la Commission de contrôle en Allemagne sont terminés. L'ANGLETERRE ET LE TRAITÉ DE VERSAILLES Une note de M. MacDonald M. MacDonald, premier ministre britannique, vient d'adresser une lettre de réprobation à M. Henderson, au sujet du discours prononcé récemment à Burnley par le secrétaire de l'intérieur. Dans ce discours, on le sait, M. Henderson préconisait la révision du traité de Versailles. Par ses déclarations, M. Henderson a obligé le premier ministre à fournir des explications à tous les ambassadeurs des puissances alliées. La lettre à M. Henderson, été publiée par M. Mac Donald comme preuve de sa
VUE DE LA DISSOLUTION DU REICHSTAG On télégraphie de Berlin que le chancelier s'est entretenu jeudi ds l'après-midi vc les chefs de partis, au sujet d la dissolution éventuelle du Reichstag. LE BUDGET YAE Une dépêche de Belgrade aonce que la Cr voté jeudi le budget pour l'exercice 1924-25. Les dépenses s'élèvent à 10 milliards 340 millions et sont entièrement équilibrées par les recettes. LA QUESTION DU KHALIFAT EN RIEUTQU Suivant n dépêche de Constantinople, le bruit couru de la démission du Calife. Une enquête établi que ce bruit était inexact. L lfe n'a pris aucune décision de c genre mais il a attentivement suivi les discussions de la Grande Assemblée d'Angora. Dernière hr NOUVELLES DE SAMEDI MATIN Paris, mars, 7 h. matin. LES COMITÉS 'EXPERTS Le comité Dawes a terminé ses travaux On annonce ueq le comité Dawes en a terminé la question des monopoles. Il a décidé qu'il y avait lieu d'instituer en Allemagne certains monopoles dont le revenu serait versé l caisse réparations. En ce qui concerne la banque d'émission, les experts auraient définitivement décidé d'en fixer le siège en Hollande. L CONTRÔLE MILITAIRE EN ALLEMAGNE Déclaration du Foreign Office Le représentant de l'agence Havas à Londres st éarouist par le ministère britannique des Affaires étrangères à démntr qu'aucune déclaration ait été faite sur la question du contrôle militaire en Allemagne En outre, on déclare sns fndmnt 'assertion émanant apparemment de la presse de rl, suivant laquelle le gouvernement estimerait que les trvax de la Commission de contrôle en Allemagne sont terminés. L'ANGLETERRE ET LE TRAITÉ DE VERSAILLES nt de M. MacDonald M. MacDonald, premier ministre britannique, vient d'adresser une lettre de réprobation M. Henderson, au sujet du discours prononcé récemment à Burnley par le secrétaire de l'intérieur. Dans ce dscrs, n le sait, M. Henderson préconisait la révision d tté de resVs.laeli Par ses déclarations, M. Henderson a obligé le premier ministre à fournir des explications à tous les ambassadeurs des puissances alliées. lettre à M. Henderson, été publiée par M. Mac Donald comme preuve de sa
représentant de l'agence Havas à Londres est autorisé par le ministère britannique des Affaires étrangères à démentir qu'aucune déclaration ait été faite sur la question du contrôle militaire en Allemagne. En outre, on déclare sans fondement l'assertion émanant apparemment de la presse de Berlin, suivant laquelle le gouvernement estimerait que les travaux de la Commission de contrôle en Allemagne sont terminés. L'ANGLETERRE ET LE TRAITÉ DE VERSAILLES Une note de M. MacDonald M. MacDonald, premier ministre britannique, vient d'adresser une lettre de réprobation à M. Henderson, au sujet du discours prononcé récemment à Burnley par le secrétaire de l'intérieur. Dans ce discours, on le sait, M. Henderson préconisait la révision du traité de Versailles. Par ses déclarations, M. Henderson a obligé le premier ministre à fournir des explications à tous les ambassadeurs des puissances alliées. La lettre à M. Henderson, été publiée par M. Mac Donald comme preuve de sa bonne foi. LE DROIT DE VOTE DES FEMMES EN GRANDE-BRETAGNE La loi accordant aux femmes anglaises le droit de voter à 21 ans au lieu de 80 ans, a été adoptée vendredi en 26 lectures, par la Chambre des communes, par 288 voix contre 72. L'ETAT DE SIEGE CIVIL EN ALLEMAGNE On télégraphie de Berlin que les pouvoirs exécutifs du général von Seekt passent aux mains de Herr Jarres, ministre de l'intérieur. L'état de siège militaire deviendra l'état de siège civil et ce régime sera maintenu pendant les élections. DÉPUTÉ ALLEMAND POURSUIVI POUR HAUTE TRAHISON On mande de Mayence que le député au Reichstag Kaufmann, socialiste, est actuellement accusé de haute trahison. Le bureau du Reichstag s'est occupé vendredi d'une demande faite par le procureur pour obtenir l'autorisation de poursuivre ce député palatin. LES CANDIDATURES A LA PRESIDENCE DES ETATS-UNIS On télégraphie de New-York que M. Mac Donald et le sénateur Hiram Johnson ont déposé vendredi, dans la capitale de l'État d'Ohio, leur déclaration de candidature à la présidence de la République. Par contre, le sénateur La Follette a retiré la sienne de l'État de Dakota. Fin des dépêches. Chambre des Députés SEANCE DU 29 FÉVRIER Au début de la
représentant de l'agence Hvs à Lndrs est autorisé par le ministère tanqe Affaires ègtéraesnr démentir qu'aucune déclaration ait été faite sur la question du contrôle militaire en Allemagne. En outre, on déclare s fondement l'assertion émanant apparemment de prss de Berlin, suivn laquelle le gouvernement estimerait que les tau de la Commission de contrôle en Allemagne snt terminés. L'ANGLETERRE ET LE TRAITÉ DE IVSLERLEAS Une note d . MacDonald M. MacDonald prmr ministre britannique, vient d'dessr une lettre de réprobation à M. Henderson, au sujet du discours prononcé récemment Brl par le secrétaire de l'intérieur. Dans ce discours, le sait, M. Henderson tpéconsriia la révision du traité de Versailles. Par ses aoé,laicrnstd M. Henderson a obligé el premier mtre à fournir des explications à tous les ambassadeurs des puissances alliées La lettre à M. Henderson, été publiée par M Mac Donald comme preuve de sa bonne foi. LE DROIT DE VT DES FEMMES EN GRANDE-BRETAGNE La l accordant aux femmes anglaises le droit de voter à 21 ans au l de 80 ans, a été adoptée vendredi n 26 eu,srcetl par la Chambre des communes, par 288 voix contre 72. L'ETAT D IESEG CIVIL EN LLMGN On télégraphie de Berln que les pouvoirs exécutifs du général von Seekt passent aux mains de Herr Jarres, ministre de l'ntérr. L'état de siège militaire deviendra 'état de siège civil et ec régime sera maintenu enant les élections. DÉPUTÉ ALLEMAND POURSUIVI POUR HAUTE TRAHISON On mande de Mayence que l député au Reichstag Kaufmann, socialiste, est actuellement accusé de haute trahison. Le uu du Rchstg s'est occupé veeddrni udn'e demande faite par el procureur pour obtenir l'autorisation de poursuivre ce député palatin. LES CANDIDATURES A LA PRESIDENCE DES ETATS-UNIS On télégraphie de NewYork que M. Mac Donald et le sénateur Hiram Johnson ont déposé vendredi, n l capitale de l'État d'Ohio, leur déclaration de candidature à la présidence de la Rlq.puubéie Par contre, le sénateur La Follette a retiré la sienne de l'État de Dakota. Fin des dépêches. Chambre d Députés SEANCE DU 92 FÉVRIER Au début ed la
ALLEMAGNE On télégraphie de Berlin que les pouvoirs exécutifs du général von Seekt passent aux mains de Herr Jarres, ministre de l'intérieur. L'état de siège militaire deviendra l'état de siège civil et ce régime sera maintenu pendant les élections. DÉPUTÉ ALLEMAND POURSUIVI POUR HAUTE TRAHISON On mande de Mayence que le député au Reichstag Kaufmann, socialiste, est actuellement accusé de haute trahison. Le bureau du Reichstag s'est occupé vendredi d'une demande faite par le procureur pour obtenir l'autorisation de poursuivre ce député palatin. LES CANDIDATURES A LA PRESIDENCE DES ETATS-UNIS On télégraphie de New-York que M. Mac Donald et le sénateur Hiram Johnson ont déposé vendredi, dans la capitale de l'État d'Ohio, leur déclaration de candidature à la présidence de la République. Par contre, le sénateur La Follette a retiré la sienne de l'État de Dakota. Fin des dépêches. Chambre des Députés SEANCE DU 29 FÉVRIER Au début de la séance, la Chambre adopte une motion de censure visant le gouvernement à l'heure d'avancer la Déclaration des droits de l'homme dans toutes les écoles. M. MANU a ensuite longuement la tribune et critique vivement la politique de M. Briand et celle de M. Poincaré. Le discours de M. Mandel est coupé de nombreux interruptions et la séance est très tumultueuse à certains moments. M. Mandel, en terminant, demande à M. Henderson ce que feront les radicaux-socialistes, s'ils étaient en majorité dans la prochaine Chambre, envers M. Caillaux. Lui accorderont-ils l'amnistie ? M. HERVIOT pense que M. Caillaux refuserait lui-même cette amnistie, qui serait la reconnaissance de la procédure employée contre lui. La séance continue par une vive altercation entre MM. DAUDET et PAINLEVÉ ; le vacarme recommence. M. MAGNE ayant, au milieu des vociférations, traité M. Painlevé de canaille, on en vient aux mains. On fait alors évacuer les tribunes et la séance est suspendue. À la reprise, M. Magne fournit une explication dont M. Painlevé prend acte et l'incident est clos. M. MANDON, reprend la parole et, comme conclusion, demande à M. Poincaré de choisir en fin deux majorités : celle qui va de M. Paul Boncour à M.
LLMGNE On télégraphie Berlin que les ouvis xécti du général von Seekt passent aux mains de Herr Jarres, ministre de l'intérieur. L'état de e militaire deviendra l'état de siège civil et ce régime sear maintenu pendant les élections. DÉPUTÉ ALLEMAND POURSUIVI POUR HAUTE TRAHISON On mande de Mayence qu le député au Reichstag Kaufmann, socialiste, est actuellement ccsé de haute trahison bureau du Reichstag s'st ocué vendredi d'une demande par le prcrr pour obtenir l'autorisation de svrpiruoue ce étpédu palatin. LES CANDIDATURES A LA PRESIDENCE DES ETATS-UNIS On télégraphie de New-York que M. Mac Donald et le sénateur Hiram Johnson t déposé vendredi, dans la capitale de l'État 'Oh leur déclrtn de candidature à la présidence de la République. Par contre, le sénateur L Follette a retiré la sienne de l'État de ka Fin des dépêches. Chambre des Députés SEANCE DU 29 ÉVIR Au début ed l séance, la Chambre adopte une motion de censure visant l ermgovnneetu à l'heure d'avancer la Déclaration des droits l'homme dans toutes les écoles. M. MANU a ensuite longuement la trbn e critique vivement la politique de . Brnd et celle de M. Poincaré. Le discours de . Me est coupé de nombreux ntertirsnuopi et la séance est très tumultueuse à certains mmnts. . Mandel, en terminant, demande à M. Henderson ec que feront les radicaux-socialistes, s'ils éateitn en majorité dans la prchn Chambre, envers M. Caillaux. Lui accorderont-ils lamnistie ? M. HERVIOT pense que M Caillaux refuserait lui-même cette amnistie, qui serait la rcnnssnc de la éuoredcpr employée contre lui. La séance continue par une vive altercation entre MM. DAUDET et PAINLEVÉ ; le vacarme recommence M MAGNE ayant, au milieu des vociférations, traité M. Painlevé de canaille, n en vient aux mains. fait alors évacuer les tribunes et la séance est suspendue. l reprise, M. Magne oit n explication dont M. Painlevé prend acte et l'incident est clos. M. MANDON reprend la o et, comme conclusion, dmnd à . Poincaré de isi en fin deux majorités : celle qui va de M. Paul Boncour à .
coupé de nombreux interruptions et la séance est très tumultueuse à certains moments. M. Mandel, en terminant, demande à M. Henderson ce que feront les radicaux-socialistes, s'ils étaient en majorité dans la prochaine Chambre, envers M. Caillaux. Lui accorderont-ils l'amnistie ? M. HERVIOT pense que M. Caillaux refuserait lui-même cette amnistie, qui serait la reconnaissance de la procédure employée contre lui. La séance continue par une vive altercation entre MM. DAUDET et PAINLEVÉ ; le vacarme recommence. M. MAGNE ayant, au milieu des vociférations, traité M. Painlevé de canaille, on en vient aux mains. On fait alors évacuer les tribunes et la séance est suspendue. À la reprise, M. Magne fournit une explication dont M. Painlevé prend acte et l'incident est clos. M. MANDON, reprend la parole et, comme conclusion, demande à M. Poincaré de choisir en fin deux majorités : celle qui va de M. Paul Boncour à M. Daniel Vincent et celle qui va de M. Paul Reynaud au général de Castelnau. "J'attends, dit-il, votre réponse sans impatience et sans anxiété ; ce que je recommande, enfin, aux membres de la majorité, c'est de ne pas se résigner à périr sans se battre." La suite du débat est renvoyée au vendredi 7 mars et la séance est levée à 20 heures. Prochaine séance jeudi. Sénat SEANCE DU 29 FÉVRIER Le Sénat discute et vote après diverses observations le douzième projet provisoire pour mars du budget des dépenses recouvrables. La Haute Assemblée s'occupe ensuite des mesures à prendre contre les incendies de forêts. MM. CAUVIEL, rapporteur ; GADILHON (Landes), REBOUL (Var) prennent part au débat. M. CHEROUNE leur répond. Il déclare qu'il a fait préparer un projet de loi organisant spécialement la résistance au feu dans la région des Maures et de l'Esterel. Ce projet est actuellement soumis au ministre des finances. Pour les incendies, dans les autres régions, le projet, en discussion, coordonne toutes les mesures techniques et tous les efforts pour lutter contre le fléau et en atténuer les dommages. Le ministre demande en conséquence au Sénat d'adopter le texte de la commission. Les différents articles et
coupé de nombreux interruptions et la séance est très tumultueuse à certains moments. M. elad,Mn en terminant, demande à M. Henderson ce e frnt les cxcalite 'sisl étaient en majorité dans la prochaine Chambre, envers M. Caillaux. Lui accorderontils lamnistie ? HERVIOT pense M. Caillaux rfsrt lui-même cette amnistie, qi serait la reconnaissance de la procédure employée contre lui. séance continue par une vive altercation entre MM. DAUDET et PAINLEVÉ ; le vacarme recommence. M. MAGNE ayant, au milieu des vociférations, traité M. Painlevé de canaille, on en vient x mains. n fait alors évcr les tribunes et la séance est suspendue. À l reprise, M. Magne fournit une explication dont M. Pnlvé prend acte et l'incident est clos. M. MANDON, reprend la parole et, comme olusin demande M. Poincaré de choisir n fin dx majorités : celle qui va e M. Paul Boncour à M. Daniel Vincent et celle qui va de M. Paul Reynaud au général de se.nuCalta "J'attends, dit-il, votre réponse sans impatience et s anxiété ; que je recommande, enfin, aux membres de la majorité, c'est de ne pas s résigner périr sans se battre." La suite du débat est renvoyée au vendredi 7 mars t la séance est levée à 20 heures. Prochaine séance jeudi Sénat SEANCE DU 29 FÉVRIER Le Sénat discute e vote après diverses observations le douzième projet provisoire our mars du budget des dépenses recouvrables. a Haute eéssmbAel s'occupe ensuite des mues à prendre contre les incendies de forêts. MM. CAUVIEL, rapporteur ; GADILHON (Landes), REBOUL (Var) prennent part au débat. M. CHEROUNE leur répond. Il déclare q'l a fait préparer nu projet de loi organisant spécialement la résistance u feu dans la région ds Maures et de l'strl. Ce projet est actuellement soumis au ministre ds finances. Pour les incendies, dans les atseru régions, le re en discussion, coordonne toutes les mesures techniques et tous les efforts pr lutter rnotec l fléau et en atténuer les dommages. Le ministre demande en conséquence au Sénat d'adopter le texte de la commission. Les différents articles t
renvoyée au vendredi 7 mars et la séance est levée à 20 heures. Prochaine séance jeudi. Sénat SEANCE DU 29 FÉVRIER Le Sénat discute et vote après diverses observations le douzième projet provisoire pour mars du budget des dépenses recouvrables. La Haute Assemblée s'occupe ensuite des mesures à prendre contre les incendies de forêts. MM. CAUVIEL, rapporteur ; GADILHON (Landes), REBOUL (Var) prennent part au débat. M. CHEROUNE leur répond. Il déclare qu'il a fait préparer un projet de loi organisant spécialement la résistance au feu dans la région des Maures et de l'Esterel. Ce projet est actuellement soumis au ministre des finances. Pour les incendies, dans les autres régions, le projet, en discussion, coordonne toutes les mesures techniques et tous les efforts pour lutter contre le fléau et en atténuer les dommages. Le ministre demande en conséquence au Sénat d'adopter le texte de la commission. Les différents articles et l'ensemble du projet sont ensuite votés. Une prochaine séance est fixée au mardi. La séance est levée à 9 heures 35. Les marchés agricoles Du "Petit Journal" : Dans une époque de déséquilibre économique comme celle que nous traversons il importe de rechercher tous les moyens de stabiliser, de régulariser les transactions entre producteurs, intermédiaires et consommateurs. Les marchés agricoles ne devraient pas être des jeux de colin-maillard dans lesquels, trop souvent, le producteur vend avec un bandeau sur les yeux, c'est-à-dire en ignorant les cours du jour à Paris, alors que l'intermédiaire en possède le télégramme qui lui fait connaître les derniers prix du matin et les prévisions du lendemain. Certes, les produits de la terre ne sont pas des valeurs de spéculation, et la Villette et les Halles ne connaissent pas des bonds désordonnés comme la Bourse, mais, tout de même, il est bon que le producteur puisse, sur le marché, traiter d'égal à égal avec son acheteur, profiter de la hausse quand il y a hausse, et, dans le cas de baisse, connaître l'étendue de cette baisse et ne pas s'en rapporter à ceux qui auraient intérêt à l'impressionner par des histoires de baisse imaginaires, qui se
renvoyée au vendredi 7 mars et la séance est levée à 20 heures. Prochaine séance jeudi. Sénat SCNEAE DU 29 FÉVRIER e Sénat discute et vote après diverses observations le douzième projet provisoire pour mars du bdgt des dépenses recouvrables. La tHeau Assemblée soccupe ensuite des mesures à prendre contre les incendies de forêts. MM. CAUVIEL, rapporteur ; GADILHON (Landes), REBOUL (Var) prnnnt part débat. M. CHEROUNE leur répond. Il déclare qu'il ft préparer un projet de loi organisant spécialement la résistance au feu dans la région des Maures et de l'Esterel. Ce projet tes actuellement soumis au ministre ds finances. Pour les incendies, dans les autres régions, le ot en discussion, coordonne toue les mesures techniques et tous les efforts pruo lutter contre le fléau et en értnetau les dommages. e mnstr demande en oéscceunnqe au Sénat 'oaddtrep le texte de la commission. Les différents articles et l'ensemble du projet sont nst vtés. Une prochaine séance est fixée mardi La séance est levée à 9 heures 35 Ls marchés agricoles Du "Petit Journal" : Dans une époque de déséquilibre économique comme elcel que nous traversons il importe de rechercher tous les moyens de stabiliser, de régulariser les transactions entre producteurs, intermédiaires et consommateurs. Les marchés agricoles ne devraient pas être des jeux de colin-maillard dans lesquels, trop souvent le producteur vend avec un bandeau sur les yx, c'est-à-dire en ignorant les cours du jour à Paris, alors que l'intermédiaire en possède le télégramme qui lui fait connaître les erndrsie prix du matin et les prévisions du lendemain. Certes, les produits de la terre ne sont pas des valeurs de spéculation, et la Villette et ls Halles connaissent pas des bonds désordonnés cmm l Bourse, ms, out de mêm, il est bon que le producteur puisse, sur le marché, traiter d'égal à égal avec son acheteur, profiter de la hausse qnd il y a hausse et, dans le cas de bisse connaître l'étendue de cette bss et ne pas s'en rapporter à eu qui auraient intérêt à l'impressionner par sed histoires de baisse imaginaires, qui se
les transactions entre producteurs, intermédiaires et consommateurs. Les marchés agricoles ne devraient pas être des jeux de colin-maillard dans lesquels, trop souvent, le producteur vend avec un bandeau sur les yeux, c'est-à-dire en ignorant les cours du jour à Paris, alors que l'intermédiaire en possède le télégramme qui lui fait connaître les derniers prix du matin et les prévisions du lendemain. Certes, les produits de la terre ne sont pas des valeurs de spéculation, et la Villette et les Halles ne connaissent pas des bonds désordonnés comme la Bourse, mais, tout de même, il est bon que le producteur puisse, sur le marché, traiter d'égal à égal avec son acheteur, profiter de la hausse quand il y a hausse, et, dans le cas de baisse, connaître l'étendue de cette baisse et ne pas s'en rapporter à ceux qui auraient intérêt à l'impressionner par des histoires de baisse imaginaires, qui se colportent fréquemment dans les centres de production pour l'unique profit de ceux qui les racontent. Il ne faut pas oublier qu'un producteur trompé est un producteur découragé qui, par la suite, plutôt que de s'exposer à une mésaventure ultérieure, limitera ou suspendra la production qui lui a causé des déceptions. Le consommateur, comme le producteur, ont un commun intérêt à assurer la loyauté des transactions et, parmi les nombreux moyens envisagés par les pouvoirs publics et expérimentés avec plus ou moins de succès, on s'est jusqu'à présent, omis de mettre en œuvre l'un de ceux qui auraient eu la répercussion la plus directe et la plus certaine sur la régularité des cours : la transmission immédiate des cours du jour des grands centres de consommation aux foires et marchés qui alimentent ces centres. Il n'est pas plus difficile de télégraphier le merci de la Villette ou des Halles que de transmettre le cote du 3 %, le cote des rentes et les prévisions météorologiques. et sur les foires et marchés où se pratique l'approvisionnement des grandes villes, tout le monde (et non pas seulement ceux qui achètent en vue d'exporter) devrait connaître ces mercuriales, afin qu'il n'y ait point sur
les transactions entre producteurs, intermédiaires et consommateurs. Les marchés grcls ne devraient pas être ds jeux d colin-maillard dans lesquels, o souvent, le producteur vend avec un bandeau sur les yeux, cestàdire en gnrnt les cours du jour à Paris, alors q l'ntrmédr en possède le télégramme qui lui fait connaître les derniers prix du matin et les prévisions u lendemain. Certes, les produits de la terre ne sont pas des aur de spéculation, et la Villette et les Halles ne connaissent pas ds bonds désordonnés comme la Bourse, mais tout de même, il est bon que l producteur puisse sur le marché, traiter d'égal à égal avec son acheteur, profiter ed la hausse quand il y hausse, et, dans le cas de baisse, connaître létendue de cette baisse et ne pas s'en rapporter à ceux u auraient intérêt à l'impressionner par des hitrs de baisse imaginaires, qui s colportent fréquemment das les centres de production pour i'qlnuue fi de ceux q les racontent. Il ne faut pas oublier qu'un producteur trompé est un producteur décrgé qui, apr la suite, plutôt que de resesxpo' à ne mésaventure ultérieure, limitera ou suspendra la production iqu l csé des décptns. Le consommateur, comme le producteur, ont un commun intérêt à assurer loyauté des transactions et, parmi sle nombreux moyens avsegésin par les pouvoirs publics expérimentés avec plus ou moins de succès, on 'est jusqu'à présent, omis de mettre n œuvre lu de ceux uqi riet eu la répercussion la u directe la plus certaine sur la régularité des cours : la transmission immédiate des cours u jour des grands centres de consommation aux foires et marchés qui alimentent ces centres. Il ts'ne pas pslu dffcl de télégraphier le merci d l Villette ou des Halles que de transmettre le ct du 3 %, le ct des rentes et les prévisions météorologiques. et sur les foires et marchés où pratique einlprnoovmnaispt'e des grandes villes, tout le monde (et non pas seulement ceux qui achètent en uev d'exporter) devrait connaître ces mercuriales, afin qu'il n'y ita pnt sur
Le consommateur, comme le producteur, ont un commun intérêt à assurer la loyauté des transactions et, parmi les nombreux moyens envisagés par les pouvoirs publics et expérimentés avec plus ou moins de succès, on s'est jusqu'à présent, omis de mettre en œuvre l'un de ceux qui auraient eu la répercussion la plus directe et la plus certaine sur la régularité des cours : la transmission immédiate des cours du jour des grands centres de consommation aux foires et marchés qui alimentent ces centres. Il n'est pas plus difficile de télégraphier le merci de la Villette ou des Halles que de transmettre le cote du 3 %, le cote des rentes et les prévisions météorologiques. et sur les foires et marchés où se pratique l'approvisionnement des grandes villes, tout le monde (et non pas seulement ceux qui achètent en vue d'exporter) devrait connaître ces mercuriales, afin qu'il n'y ait point sur la place uniquement quelques hommes ayant les yeux ouverts, opérant parmi une foule d'hommes ayant les yeux bandés... L'agriculteur doit pouvoir suivre les fluctuations de la Bourse des Halles comme le rentier suit celles de la Bourse, sans être obligé de s'en rapporter à celui qui lui dit : « ça dégringole », alors que ça ne fait que fléchir, ou : « ça monte un peu », alors que ça bondit. Actuellement, il n'est guère que les agriculteurs en relations directes avec les mandataires et commissionnaires qui puissent se faire télégraphier les cours du jour et seulement pour la sorte de produit dans lequel sont spécialisés ces commissionnaires. Ce mode d'informations privées est assez coûteux, et tous les producteurs se traitant sur le marché de province, avec des courtiers venus des grands centres ou avec des marchands du pays, n'en peuvent guère user. Il faudrait donc instituer un service chargé de transmettre en province les cours moyens authentiques, de telle sorte qu'ils pussent être affichés et rendus publics dans chaque centre de foire ou de marché, dès réouverture de la vente. Ils pourraient, afin d'offrir toute garantie de sincérité, être établis sous le triple contrôle des agents de l'administration,
Le consommateur, cmm le producteur, ont un commun intérêt à assurer l loyauté des transactions t, parmi s nombreux moyens envisagés par les pouvoirs publics et expérimentés vaec plus ou moins de sccès, on sest jusqu'à présent, omis de mettre en œuvre l'un de ceux qui auraient eu la rercussi la sulp edetirc et la plus certaine sur la régularité des cours : al ssimsnoitnra immédiate des cours du jour des grands centres de consommation aux foires et marchés qui alimentent ces centres. Il n'est pas plus difficile de télégrphr le merci de la Villette ou des Halles que de transmettre le cote du 3 %, le cote des rentes et les prévisions météorologiques. et sur les foires et marchés où s pratique 'approvisionnement des grandes villes, tout le monde (et non pas slmnt cx qiu achètent n vue d'exporter) devrait connaître ces cuea,emlsrri afin qu'il n'y ait point sur la place uniquement quelques hommes ayant les yeux ouverts, opérant parmi une foule dm ayant les yeux bandés... rr'Lceuitluag it ooi suivre les fluctuations de la Bourse des Halles comme le rentier suit celles de la Bourse, sans être obligé de s'en rapporter à celui qui lui dit : « ça dégringole , alors que ça ne fait que fléchir, o : « ç me un u », alors que ç bondit. Actuellement, il n'est guère que les grcltrs en relations directes aec les mandataires et commissionnaires qui puissent se faire télégrphr les cours d jour et seulement pour la sorte de produit dans lequel sont spécialisés e commissionnaires. Ce mode d'informations privées est assez coûteux, et tous les producteurs se trtnt sur l marché de province, avec e courtiers venus des grands centres ou vc des marchands du aps,y n'n peuvent èe user. Il faudrait donc instituer un service chargé de transmettre en province ls cours moyens authentiques, de telle sorte qu'ils pussent être affichés et rendus publics dans chaque cntr de fr de marché, dès réouverture d la vente. Ils pourraient, fn d'ffrr toute garantie d sincérité, être établis sous le triple contrôle des agents de l'administration,
ça dégringole », alors que ça ne fait que fléchir, ou : « ça monte un peu », alors que ça bondit. Actuellement, il n'est guère que les agriculteurs en relations directes avec les mandataires et commissionnaires qui puissent se faire télégraphier les cours du jour et seulement pour la sorte de produit dans lequel sont spécialisés ces commissionnaires. Ce mode d'informations privées est assez coûteux, et tous les producteurs se traitant sur le marché de province, avec des courtiers venus des grands centres ou avec des marchands du pays, n'en peuvent guère user. Il faudrait donc instituer un service chargé de transmettre en province les cours moyens authentiques, de telle sorte qu'ils pussent être affichés et rendus publics dans chaque centre de foire ou de marché, dès réouverture de la vente. Ils pourraient, afin d'offrir toute garantie de sincérité, être établis sous le triple contrôle des agents de l'administration, des représentants des mandataires et des délégués des associations agricoles. — Robert MORTON, délégué général de la Confédération générale agricole. Consommons moins de sucre Nous lisons dans le Matin : "il y a beaucoup de gens qui souffrent aujourd'hui de maux presque inconnus de nos aïeux parce qu'ils mangent trop, beaucoup trop de sucre. Écoulant une alimentation trop riche, ils évoluent vers la consommation, l'asténie, les maladies de foie, le diabète, la goutte, les manifestations arthritiques. Craignez-vous de prendre de l'embonpoint, fuyez le sucre." On ne sait pas enfin s'il n'y a pas un rapport entre l'abus qu'on fait aujourd'hui de cet excitant de la cellule et l'augmentation des cas de cancer, de ces tumeurs malignes caractérisées par une poussée anormale de croissance cellulaire. "C'est une théorie qui n'a pas été étayée par des preuves, mais que certains se donnent la peine d'étudier. Toute tumeur cancéreuse contient une forte proportion de sucre, et il existe des traitements efficaces sur un régime analogue à celui des diabétiques." Les aliments hydrocarbonisés, tels que le pain, les fécules, y suppléent, bien suffisamment. "Suivant la loi de l'offre et de la demande, si le consommateur n'achète pas, les prix baisseront. Décevons les spéculateurs qui
ça dégringole », alors q ça fait que fléchir, ou : « aç monte un peu », alors que ça bondit. ctllmnt, l n'est guère que les agriculteurs n relations directes avec les mandataires et commissionnaires qui puissent se faire télégraphier esl cours du jour et eume pr l sorte de produit dans lequel sont spécialisés ces omissioairs. Ce mode d'informations privées est assez coûteux, et tous les producteurs se traitant rsu marché de province, avec des courtiers venus des grands centres ou cave des marchands du pays, n'en peuvent guère user. Il faudrait donc instituer n service chargé de transmettre en province les cours moyens authentiques, de telle sorte qu'ils ussn être ffchés et rendus publics dans chaque centre de foire ou de ,amhérc dès réouverture de la vnt. ls pourraient, afin d'offrir toute aanie de sincérité, être établis sous le triple contrôle des agents de l'administration, des représentants des mandataires et des délégués des associations agricoles. — et MORTON, délégué général de la Confédération générale agricole Consommons moins de sucre Ns lisons dans le Matin : "il y a beaucoup de gens qui re jrd'h de maux presque incns de os aïeux parce qu mangent trop, bcp trop de sucre. Éclnt une alimentation trop riche, ils évoluent vers la cnsmmtn, l'asténie, les mlds de foie l dbèt, la gtt, les manifestations qatterii.hrsu Crgnz-vs de prendre de l'embonpoint, fuyez le sucre." On ne sita pas enfin s'il n'y a pas un rapport entre 'lbuas qu'on fait aujourd'hui de cet excitant de la cellule et nlmgenatto'iau des cas e cancer, de es tumeurs malignes caractérisées pr une poussée anormale de croissance cellulaire. "C'est n théorie q n' pas été étayée par des preuves, mais que certains se donnent la peine d'étudier. Toute tmr cancéreuse contient une forte proportion de sucre et il existe des traitements efficaces sur un régime analogue à cl des diabétiques." Les aliments hydrocarbonisés, tels que le pain ls fécules, y suppléent, bien suffisamment. "Svnt la loi de l'offre et de l demande, si le consommateur nachète pas les prix baisseront. Décevons les spéculateurs qui
beaucoup trop de sucre. Écoulant une alimentation trop riche, ils évoluent vers la consommation, l'asténie, les maladies de foie, le diabète, la goutte, les manifestations arthritiques. Craignez-vous de prendre de l'embonpoint, fuyez le sucre." On ne sait pas enfin s'il n'y a pas un rapport entre l'abus qu'on fait aujourd'hui de cet excitant de la cellule et l'augmentation des cas de cancer, de ces tumeurs malignes caractérisées par une poussée anormale de croissance cellulaire. "C'est une théorie qui n'a pas été étayée par des preuves, mais que certains se donnent la peine d'étudier. Toute tumeur cancéreuse contient une forte proportion de sucre, et il existe des traitements efficaces sur un régime analogue à celui des diabétiques." Les aliments hydrocarbonisés, tels que le pain, les fécules, y suppléent, bien suffisamment. "Suivant la loi de l'offre et de la demande, si le consommateur n'achète pas, les prix baisseront. Décevons les spéculateurs qui font hausser les prix en nous abstenant d'acheter une denrée dont notre alimentation habituelle nous permet de nous priver." L'activité de la flotte allemande La marine de guerre du Reich, bien que très réduite, travaille, et l'intérêt renaît en Allemagne pour les questions maritimes. Au point de vue de l'organisation générale, l'année 1920 a été marquée par la constitution d'un commandement unique, pour toutes les forces maritimes, de la Baltique et de la mer du Nord. C'est le retour au système en vigueur avant la guerre. Actuellement, le commandant en chef des forces navales, qui correspond à l'ancien commandant en chef de la flotte de haute mer, est directement responsable envers le chef du département de la marine à Berlin. La flotte active a été graduellement portée jusqu'à la limite des forces autorisées par le traité de paix, à savoir : six bâtiments de ligne, six croiseurs légers et des torpilleurs. Jusqu'ici, pour des raisons d'économie, deux bâtiments de ligne seulement ont été maintenus en armement, mais ils seront sous très bref délai ralliés par un troisième. Ce qui reste du matériel de l'ancienne marine impériale est en bon état. La plupart des bâtiments et des torpilleurs, d'un type ancien,
bop trop de sucre Écoulant neu alimentation trop ,ichre ils évoluent vers la consommation, l'asténie, les maladies d foie, le diabète, la goutte, les manifestations arthritiques. Craignez-vous d prendre de 'embonpoint, fyz le ucr." On ne sait pas fin s'il n'y pas un rapport entre l'abus qu'on fait aujourd'hui de cet excitant d la cellule t lauain des cs d cancer, ce tumeurs malignes caractérisées par une puséoes anormale de croace cellulaire "C'est e thér qui a pas été étayée par des preuves, mis uqe certains se donnent la peine 'étudier. Toute tumeur cancéreuse contient une forte proportion de sucre, et il existe des traitements ffccs sr un régime gueanaol à celui ds diabétiques." Les aliments drcrbonisés, tels que le pain, les fécules, y suppléent, bien suffisamment. "Suivant la loi de ff'lero et d l demande, si le cnsmmtr n'achète pas, les prix baisseront. éons les spéculateurs qui fnt hausser ls prix en nous bstnnt d'acheter ne denrée dont ntr lmnttn habituelle nous permet de nous priver." Ltt de al ofeltt allemande La mr de guerre du Reich, bien que très réduite, travaille, et l'intérêt renaît en Alleme pour esl questions ita.mrmsei Au nopit de vue de l'organisation générale, l'année 1920 a été marquée par la cosiut dun commandement u pour toutes les forces maritimes, de la Baltique e de la mer du Nord. 'est le tor système en viruuge avant l guerre. Actuellement, e commandant n hf esd forces navales, q correspond l'ncn cmmndnt en chf de la flotte de haute mer, ste directement rspona envers le chef du département de la marine à Berlin. a flotte active a été grdllmnt portée jquàu's la limite des fre autorisées par l traité de paix, à savoir six bâtiments de ligne, six croiseurs légers t des rreiltlo.psu Jusqu'ici, pour des on d'écnm, deux bâtmnts de ligne seulement ont été mntns en areme, ais ils srnt sous très bref délai rlis par un troisième. Ce q reste du matériel de l'ancienne marine impériale est en bon . La plp des bâtiments et des torpilleurs, d'un tepy ancien,
générale, l'année 1920 a été marquée par la constitution d'un commandement unique, pour toutes les forces maritimes, de la Baltique et de la mer du Nord. C'est le retour au système en vigueur avant la guerre. Actuellement, le commandant en chef des forces navales, qui correspond à l'ancien commandant en chef de la flotte de haute mer, est directement responsable envers le chef du département de la marine à Berlin. La flotte active a été graduellement portée jusqu'à la limite des forces autorisées par le traité de paix, à savoir : six bâtiments de ligne, six croiseurs légers et des torpilleurs. Jusqu'ici, pour des raisons d'économie, deux bâtiments de ligne seulement ont été maintenus en armement, mais ils seront sous très bref délai ralliés par un troisième. Ce qui reste du matériel de l'ancienne marine impériale est en bon état. La plupart des bâtiments et des torpilleurs, d'un type ancien, ont été refondus depuis la guerre. Le croiseur léger Berlin, lancé en 1903, a été partiellement transformé en 1919 et 1920. L'Amazone, lancé en 1900, a été également réparé. La flotte est vigoureusement entraînée. Les exercices de canonnage, de lancement de torpilles sont effectués régulièrement. Des fréquentes croisières ont lieu dans les eaux Scandinaves. Le matériel est démodé et insuffisant : mais les cadres sont soigneusement tenus. Et le personnel a acquis de nouveau, semble-t-il, la valeur et l'esprit de discipline qu'il avait perdus à la fin de la guerre et pendant la révolution. L'alouette, oiseau nuisible L'alouette, la gentille alouette, qui, par certaines journées de printemps, s'élève en chantant, tout droit dans le ciel, à des hauteurs telles qu'elle devient totalement invisible, pour redescendre ensuite, légère et gracieuse, vers la terre, l'alouette qui, à ces moments, intéresse et charme les plus indifférents, s'est conduite l'an dernier, et surtout cet hiver, comme un oiseau malfaisant, Celan fait des déprédations considérables aux cultures de blé. Il faut avoir vu ces dégâts comme les agriculteurs ont pu les faire et comme nous les avons vus nous-mêmes, pour se faire une idée de ce qu'ils peuvent être. Des champs entiers ont été ravagés
générale, l'année 1920 été marquée par la constitution d'un commandement unique, pour toutes les forces mrtms, de la Baltique t de la mer du Nord. C'est le retour au système en vigueur avant la guerre. Actuellement le commandant en chef ds forces navales, qui correspond à l'ancien commandant en chef de la flotte de haute mr, est directement responsable envers le chef du département e la marine à Berlin. flotte active été graduellement portée jusqu'à la limite des forces autorisées par le traité de paix, à savoir : six bâtiments de ligne, six croiseurs légers et des torpilleurs. Jusqu'ici, pour des raisons iocnm,éde'o deux mns de ligne seulement ont été maintenus en armement, mais ls seront sous très bref délai ralliés par un troisième. Ce qui reste du matériel de lancienne marine impériale est e bon état. La plupart ds bâtiments et des torpilleurs, d'un type nicena, ont été rfnds depuis la guerre Le croiseur léger Berlin, lancé en 1903, a été partiellement transformé en 1919 et 1920. L'Amazone, lancé en 1900, a été également réparé. La flotte est vigoureusement entraînée Les exercices de canonnage, de lncmnt de tops sont effectués régulièrement. Des fréquentes croisières nt lieu dans les eaux Scandinaves. Le matériel est démodé t insuffisant : mais les cadres sont siu tenus. Et le personnel a acquis ed nouveau, semble-t-il, la valeur et l'esprit de scine uqi'l vt perdus à la fin de la guerre et pendant a révolution. Let oiseau nuisible L'alouette, la ntill alouette, q par crtns jrnés de ms, en chantant, tout droit dans le ciel, à des hauteurs ll uele devient totalement invisible, pour edsce t, légère et grcs, vers la terre, 'alouette qui, à ces mmnts, intéresse et chre le plus indifférents, s'est conduite l'an dernier, et surtout t hvr, comme un oiseau malfaisant, Celan ft des déprédations considérables aux cultures d blé. Il faut avoir vu ces dégâts comme les agriculteurs ont pu les faire et comme nous les avons vus nous-mêmes, pu se faire une dé d ce qu'ils peuvent être. Des champs ntrs ont été ravagés
dans les eaux Scandinaves. Le matériel est démodé et insuffisant : mais les cadres sont soigneusement tenus. Et le personnel a acquis de nouveau, semble-t-il, la valeur et l'esprit de discipline qu'il avait perdus à la fin de la guerre et pendant la révolution. L'alouette, oiseau nuisible L'alouette, la gentille alouette, qui, par certaines journées de printemps, s'élève en chantant, tout droit dans le ciel, à des hauteurs telles qu'elle devient totalement invisible, pour redescendre ensuite, légère et gracieuse, vers la terre, l'alouette qui, à ces moments, intéresse et charme les plus indifférents, s'est conduite l'an dernier, et surtout cet hiver, comme un oiseau malfaisant, Celan fait des déprédations considérables aux cultures de blé. Il faut avoir vu ces dégâts comme les agriculteurs ont pu les faire et comme nous les avons vus nous-mêmes, pour se faire une idée de ce qu'ils peuvent être. Des champs entiers ont été ravagés et dévastés par des bandes d'alouettes qui séjournaient dans ces cultures. Le sol était jonché des jeunes tiges du blé qui venaient de naître. Les alouettes, à la faveur du sol détrempé et des grains de blé faiblement enterrés, arrachaient d'un ou de plusieurs coups de bec ces grains encore tout laiteux pour s'en nourrir, laissant sur le sol les tiges, traces indéniables de leurs méfaits. Dans certains semis, exécutés à la volée, sur sol un peu ferme, qui n'a pas permis d'enfouir le grain à une profondeur suffisante, tout a été anéanti en quelques jours. Dans d'autres, la semence a été perdue dans la proportion de la moitié, des deux tiers, des trois quarts et quelquefois davantage, ce qui met le cultivateur dans un grand embarras, se demandant s'il doit sacrifier ou compléter le semis, avec la certitude peu encourageante que quoiqu'il arrive, la future récolte de blé sera très réduite. C'est l'alouette commune qui a causé ces dégâts et non l'alouette huppée ou Lulu, qui est ici beaucoup moins multipliée et que l'on rencontre surtout dans les sentiers, sur les chemins et les routes, à la recherche des grains qui peuvent se trouver dans les excréments des animaux
dans les eaux Scandinaves. Le matériel est démod et insuffisant : mais les cadres sont soigneusement tenus. Et le personnel a acquis de nouveau semble-t-il, la valeur et l'esprit de discipline qu'il avait perdus à la fin de la guerre et pendant la volton. 'alouette, s nsbl L'alouette, la gentille alouette, qui, par certaines journées de printemps, s'élève en chantant, tout droit dans le ciel, à des hauteurs telles qu'elle devient totalement invisible, pour redescendre ensuite, légère te gracieuse, vers la terre, l'ltt qui, à cs moments, intéresse et re ls spul indifférents, s'est conduite l'an dernier, et rout cet hiver, comme un oiseau mlfsnt, Celan fati des déprédations odrble aux cultures de blé. Il faut avoir vu ces dégâts comme les agriculteurs tno pu les r et comme nous les avons vus nous-mêmes, r se faire une idée e c qu'ils peuvent être. Des champs entiers ont été ravagés et dévstés par des bandes 'alouettes qui séjournaient dans ces cultures. Le sol était jonché des jene tiges du blé qui venaient de naître. Les alouettes, à la faveur du sol étrpé et des sganir de blé fblmnt enterrés, arrachaient d'un ou de plusieurs cps de bec ces grains encore tt laiteux pour s'en nourrir, laissant sur le sol els tiges traces isneaiélbnd de leurs méfaits. Dans certains semis exécutés à la volée, sur sol un peu ferme, qui n'a pas permis d'enfouir le grain à une profondeur suffisante, tuot été anéanti en quelques jours. nDsa d'autres, l semence a été perdue dans la proportion de la moitié, des deux tiers, ds iorst uarts t quelquefois davantage, ce qui met le cultivateur dans un grand embarras, se demandant s'il doit sacrifier ou compléter l semis, vc la certitude peu encourageante que uoiu'i arrive, la future récolte de blé sr très réduite. C'est l'ltt commune qui a causé ces dégâts et non l'alouette huppée o Lulu qui est ici beaucoup moins multipliée et que l'on rencontre surtout ns les sntrs, sur les chemins et les routes, à la recherche des grains q peuvent se trouver dans les excréments des animaux
tout laiteux pour s'en nourrir, laissant sur le sol les tiges, traces indéniables de leurs méfaits. Dans certains semis, exécutés à la volée, sur sol un peu ferme, qui n'a pas permis d'enfouir le grain à une profondeur suffisante, tout a été anéanti en quelques jours. Dans d'autres, la semence a été perdue dans la proportion de la moitié, des deux tiers, des trois quarts et quelquefois davantage, ce qui met le cultivateur dans un grand embarras, se demandant s'il doit sacrifier ou compléter le semis, avec la certitude peu encourageante que quoiqu'il arrive, la future récolte de blé sera très réduite. C'est l'alouette commune qui a causé ces dégâts et non l'alouette huppée ou Lulu, qui est ici beaucoup moins multipliée et que l'on rencontre surtout dans les sentiers, sur les chemins et les routes, à la recherche des grains qui peuvent se trouver dans les excréments des animaux de la ferme. Ce sont les blés semés tardivement, en terre à la herse, qui ont particulièrement souffert. Dans ceux exécutés sous raie au moment du labour, l'alouette, dans l'impossibilité sans doute de sortir de terre les grains assez fortement enfouis, n'a causé pour ainsi dire aucun dégât. Il y a là un fait d'observation qui est connu d'assez longue date et dont les cultivateurs doivent faire leur profit. Mais le semis sous raie est moins expédient et ne peut être pratiqué que dans les sols légers et meubles, soit par une personne qui précède le laboureur, ou le laboureur lui-même, soit au moyen d'un petit semoir monté sur la charrette Brabant. À l'époque à laquelle nous arrivons, les dégâts causés par les alouettes étant de moins en moins à craindre, dans les champs dévastés on peut semer des céréales de printemps, avoine ou orge, mais dans les semis qui sont trop clairs, il semble bien que ce qu'il y a de mieux à faire, jusqu'à la fin de février et premiers jours de mars, est de les compléter par du blé de printemps Manitoba dont on s'est servi quelque peu pendant la guerre et qui a donné quelques satisfactions.
tout laiteux pour s'en nourrir, laissant sur le sol les tiges, traces indéniables de leurs méfaits. Dans certains semis, exécutés à la volée, sur sol n p ferme, qui n'a pas permis d'enfouir le grain une profondeur suffisante, tout a été anéanti n quelques jours. Dans d'autres, la semence a été perdue dans la proportion de la moitié, des eu tiers, des trois quarts et quelquefois davantage ce qui met le cultivateur dns un grand embarras, se demandant s'il doit sacrifier ou omér le semis, avec l certitude peu encourageante que quoiqu'il arrive, la future récolte de blé sera très réduite 'et l'alouette commune qui a causé ces dégâts et non l'alouette huppée ou Lulu, qui est ici eouucpba mns multipliée t uqe l'on rencontre surtout dans les sentiers, sur les chemins et les routes, à la recherche des grains qui peuvent se trouver dans les excréments des animaux de al ferme. C snot les blés semés tardivement, en terre à al hrs, qui ont particulièrement sufrt. Dns cx exécutés sous raie au moment du labour, l'alouette, dans l'impossibilité sans dt de otir de terre les grains assez fortement enfouis, n'a causé pour ainsi dire aucun dégât. Il y là un fait d'observation q est cnn d'assez longue date et dont lse cultivateurs doivent faire leur profit. Mais le semis sous raie est mns expédient et ne pt être pratiqué euq dans les sslo légers et meubles, soit par une personne qui précède l laboureur, ou le laboureur mmê,-lieu soit au moyen d'un petit semoir monté sur la chrrtt Brabant. À l'époque à laquelle nous arrivons, les dégâts causés pr les alouettes étant de moins en mns à craindre, dans les champs dévstés on pt semer des céréa printemps, avoine ou orge mais dans s sms qui sont trop clairs, il semble bien que ce qu'il y a de mieux à faire, jusqu'à la fin de février et rs jours de mars, est de les compléter par du blé de printemps Manitoba dont on s'est servi quelque peu pendant la guerre et q a donné quelques satisfactions.