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Grammaire chirurgie dans la tonalité grégorienne, de courant. L'orgue sera tenu par M. Pallimix, organiste de la paroisse. Paroisse Saint-Cannat (l'or Prêcheurs). — Demain dimanche, fête de la Pentecôte, À 10 heures, grande messe solennelle chantée par la chorale de Saint Cannat sous la direction de M. Armand, organiste de la paroisse. Les chants suivants seront exécutés en chœur à 2 et 1 voix : Kyrie, de Armand; Gloria, de Champlain; Credo, de Armand, par M. Ohui; A l'offertoire Ave Maria, de Pallimix, par M. Segond ; Sanctus et Agnus Dei, de van Dorne. À la sortie de la grand-messe, de Armand. À 5 heures, vêpres en faux bourdons par le chœur paroissial; bénédiction solennelle; Motets au Salut Sacrement. UNE EXCURSION AU PRADO-LUNA-PARK Pendant les fêtes de la Pentecôte, une excursion au Prado-Luna-Park s'impose. Avec le minimum de fatigue, on procadera les plus grands plaisirs d'un déplacement. Ceux qui aiment les voyages rapides prendront la « Scénique Bouillonne » qui les conduira à une allure vertigineuse dans les sites les plus imprévus, traversant forêts, ponts, précipices et tunnels. Ceux qui préfèrent l'automobile auront, à leur disposition, les « Electric Car », avec lesquels, sans brevet de chauffeur, ils pourront circuler sans danger ni pour eux ni pour les autres. Tous les excursionnistes qui aiment à rire et à s'amuser n'auront que l'embarras du choix avec le "Château Dingo", le "Moulin Bouge", le "Whirlpool", le "Wiggle-Woggle", le "Waterbott", les "Escarpolettes", les "Miniatures Vivantes", les "Balançoires Electriques", les Jeux et les tirs. Ceux qui préfèrent les émotions fortes iront voir les fauves du dompteur Franchi et rendre visite à la "Cuisinière Lundrum". Les enfants, eux-mêmes, trouveront, dans le Jardin où leur est réservé, les distractions les plus saines dans un cadre familial. Le "Glacier Jourdan" et la "Brasserie Populaire" offriront aux voyageurs après leurs rafraîchissements les meilleurs sous les ombres les plus frais. Enfin, dominant le tout de sa splendeur sans égale, "la Cigale" recevra la foule des habitués de son merveilleux dancing et de sa somptueuse table. Et l'entrée à Prado-Luna-Park est toujours libre. La Porte-Saint-Martin nationale Ce soir première de "Madame Flirt" avec Mmes Dormoy, Dravil, M. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Les 14 divisions de la ligne sont numérotées de 1 à 14; elles comprennent chacune 4 régiments formant 2 brigades, savoir : 2 de dragons composant la 1re brigade; 1 de dragons et 1 de Cosaques composant la 2e. Les 42 régiments de dragons qui entrent dans la composition de
(1) Lors de la mobilisation de la garde, au mois d'avril 187 pour la guerre contre les Turcs, le régiment mixte de Cosaques du Don a effectivement donné les deux régiments qu'il doit former normalement; mais ces régiments n'ont mis en route que 4 escadrons au lieu de 6 ; avec leurs 5e et 6e escadrons on a créé un troisième régiment, qui a de nouveau reçu le nom de régiment mixte de Cosaques du Don de la garde et qu'on a adjoint à la division de cuirassiers maintenue à Saint-Pétersbourg.
Les 14 divisions de la ligne sont numérotées de 1 à 14 : les 1er, 2e et 3e régiments font partie de la 1re division ; les 4e, 5e et 6e de la 2e, etc. Quant aux 14 régiments de Cosaques, ils comprennent: 1 régiment de l'Oural, faisant partie de la 9e division ; 2 régiments d'Orenbourg, nos 1 et 2, faisant partie des 10e et 13e divisions; enfin 11 régiments du Don, faisant partie des 11 autres divisions et ayant chacun le même numéro que sa division. La division de Cosaques du Don comprend 4 régiments numérotés 9, 10, 13 et 15. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Presently he arrived at the farm of his master
with whom he had been apprenticed, and who had
thrashed him so unmercifully.
" Halloo ! " said the farmer, " so you are back
again."
"Yes, I am back."
" Have you made your fortune ? "
" It is round my neck."
" What ! that collar, like a millstone ? "
" It is all pure silver. It will buy a farm as big
as yours."
" How did you get it ? " asked the farmer.
Then Brains-in-his-Head told him all.
"And you now recollect the word?" asked the
man.
" Certainly I do. It is Bondricasfusbos."
" And if the Man in the Moon is told that word,
the whole moon of pure silver will be yours ? "
"Yes, all."
" Then you are still Brains-in-the-Toes not to have
climbed the moonbeam and told the man the word
that would release him."
When the farmer had said that, he started run-
240 BRAINS-IN-HIS-TOES
ning, and ran and ran, fearing every moment that
the lad would outstrip him, till Ije reached the spun
moonbeam ; and then, full of eagerness, he laid hold
of it.
At once he was drawn up, and pulled over the
edge of the moon.
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Debray fl. Carter senior R. Carter senior E. de St-Alary H. Hourietz Noire, bras orange, t. rouge Marron, éco. blanche, t. marron Cerclée marron et blanc, t. marron Gris-perle, écharpe et t. cerise Marron, éco. blanche, t. marron Blanche, m. et t. rayées blanc et noir Blanche, étoiles marron, t. blanche Minoir microbe, t. idem Marron, éco. blanche, t. marron Marron, éco. blanche, t. marron Verte, écharpe blanche, t. orange Blanche, pois noirs, t. idem Noire, jaune et rouge, t. noire Noire, jaune et rouge, t. noire Rayée marron et jaune, t. idem Orange, croix St-And. vert-olive, t. blanche 2,800 mètres environ A Watkins. Martin A. Sarro.... J. Adam.... Martin Donohue ... Dokhuyzen A. Sarro.... Martin Martin Ch Barriler. Atkinson.... B. Carter sen R. Carter sen G. Milton... T. Storr Dwina 800056 % Pe bb. 31 Antilope 800056 % Pe al.. 31 L'Épave 80005|54% Pub... 3 Mascagni 80-1054 Pn b.. Tonola 8i VG52% Pe al.. 3 Cyrille 4000 51 Pn bb. 3 Youna 400049 % Peu... 3 In Honor’s Cause 100049 % Peb... 3 Period Electoral 400049 % Pe al.. 3 Indien Dance 400049 % Peb... 8 La Clairon 4000,49% Pe al.. 3 Noisette 400040% Pe ai.. 3 Irons. — Les joies ont été publiés le Loriot 62 Pn al .. 41 Punta Gorda 58 Pec bb. 8 Ernemont 55% Pn b.. 3 Raire 55 Pn bb. 4 Va et Vien 51 Pn bo. 3 Éther II 51 Peb... 4 Rigollard 48 % Pn b.. 3 Lagus 48 Pn hb. 4 Almée 47 % Pn br.. 5 La Valeuse 46 Peb... 4 Erin 46 Pe al.. 4 Palestrina 44 % Pe bb. 3 Kyoto 43 % Pn b.. 3 Matamore 43 Pn bb. 3 Permettez 42 Peb... 3 Felicia 41 Peb... 3 War Dance et Două Hosă 122 mai St-Cloud 900 Dotis 59% L'istre 59%, 3 Lérida 52% 146.425 Frontier et Autruche n.m. 15 juin Paris.... 1.100 Sparkes... 50% Dollar 49 %, 2 Redcastle 55 %, 3 Narcillac 57 134.550 Fra Angelico et La Chimère.... n.p 26 juin Rouen... 1.700 Gauloise 52, 2 Roseau Dhu 49, 3 Brown Boy 44. 10 Masqué et Marchioness n.m. 5 mai Mais. 1.810 G. Barthol. 46 Marfondi 55, 2 Comparse 47, 3 Aster 49 1 Pensa 56, 2 La Petite Dame 56 %, 3 Mlle Dollar 50% Krakatoa et Algérienne n.m. 30 juin Mais. 1.010 Ransch 52 16 War Dance et Cyclopédie .. n.m. 19 mai Maisons. 800 G. Stern... 56 Dwina 54%, 2 Uzewill 56, 3 Sortilège 56% 23 Dolma Baghtchérie et True Love.. n.m. 25 juin Maisons. 1.200 Spears 50 Yamamoto 52, 2 Forest Bird 59 %, 3 Elfrida 59 % 15 Broxton et Milkmaid n.m. juin Maisons. 1.600 M. Robert. 45 Punta Gorda 54, 2 Petite Amie 51, 3 Napkin 53 %. 1 Brillante 56, 2 Cassamajor 56, 3 Rose Bruyère 6 >. 15 Débarrassé et Cardonnette n.m. 2 juin Maisons. 1.400 J. Lano 56 The Card et Indien Summer 42 juin Maisons. 1 ive) Garrigan 54% Bièvres 54%, 2 Minuscule 58%, 3 Cavallin 56... | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
ria v n proprietà a mettere CLimitibus metano dis.Xoxxd duecaualli. la Medaglia di Caio Mamilio Limetano da Pierio non conosciuta ve- defi rappresentata al vivo in stampa nella medesima opera dell'Orfino, dove tratta della gente Mamilia, e prova per autorità di Salvio che detto C. Mamilio fu anche Tribuno della Plebe, in chiaramente si viene in conoscenza, che quel Simulacro con abito palliato, corto, & soccinto, col cappelletto in testa, con il bastone in mano, & col cane a piedi, che ha la bocca aperta, verso lui, è l'immagine, che dopo XX anni fece ritorne a casa. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
12 POINTS DE REPÈRE POUR UNE ACTION DANS LA CITÉ. Peut-être les jeunes français ne se rendent-ils pas suffisamment compte, des conditions exceptionnelles qui sont les leurs, au plan spirituel. L’immense effort accompli par les mouvements chrétiens, durant ces dernières années, leur offre — dans la Chrétienté qui est à reconstruire — une fonction organique. Les pages qui suivent leur rappellent de façon incisive comment il faut être « présent » à tout humain. La jeunesse aujourd'hui a toutes les faveurs. Elle jouit de toutes les confiances ; sur elle repose notre espérance, en un temps où, dans la détresse du présent, l'espérance a toute la violence d’une passion. C'est un beau destin. Nous les aînés, qui avons vécu notre jeunesse sous quelque gérontocratie, nous voyons sans jalousie cet enviable sort, qui donne du cran pour surmonter la dureté de ces jours. Les jeunes restent d’ailleurs maîtres de leur âme, et, dans leurs meilleurs élans conservent une gravité diligente, le souci de voir clair, le goût du travail bien fait. Ils répugnent aux slogans dont certains les assaillent pour capter à leur profit, comme de vils politiciens ou des idéologues, ces forces neuves ; ils se méfient de la fausse simplicité de ces mots tout faits, qui, dès qu'on les veut peser au poids des réalités, s'évaporent comme fumée. Et de même, répugneront-ils aux condamnations sommaires que dictent de bas intérêts ; si, aujourd’hui, ils apparaissent équipés pour la vie, c’est que leur adolescence a bénéficié du magnifique essor des diverses « jeunesses chrétiennes » nées entre les deux guerres et que le cataclysme ne pourra réduire au néant. L'Esprit de Dieu ne travaille pas en vain. L’Eglise aussi fait confiance à la jeunesse. Une confiance qui passe infiniment le jeu des politiques ; elle repose en effet sur l’appel même du Christ, inviolablement inscrit dans les âmes. Là aussi les jeunes ont une plus belle chance que nous. De notre temps, par je ne sais quel appauvrissement de la routine, il y avait comme une inattention des chrétiens à la puissance sociale de leur jeunesse. | 0 | 0 | 2 | 0 | 0 | null |
Des maisons européennes ont été pillées. Russie et Turquie. On assure ici que la Russie a l’intention de réclamer énergiquement à la sublime Porte le paiement des arriérés que celle-ci lui doit. L’Espagne en état de siège. De Madrid : Le gouvernement vient de décider; pour toute la péninsule, on envoie des instructions. Le conseil des finances donne autorisations de commandes. On est toujours sans nouvelles de la guerre. Le mécanicien du rapide, qui avait disparu après le tamponnement, a été retrouvé à Vesaignes, petite halte située à un kilomètre et demi du lieu de l’accident. Affolé, le malheureux avait fui, ne sachant exactement où il allait, et s’était réfugié à Vesaignes. Troubles en Italie. De Rome : L’état de siège vient d’être proclamé à Livourne, à Florence et à Naples. FINANCIER. — 1876. Le numéro 1 de la loterie nationale donne 100.000 fr. Le numéro 2 de la loterie nationale donne 10.000 fr. Le numéro 3 de la loterie nationale donne 5.000 fr. Les dix numéros gagnent chacun 1.000 francs. 93791 — 120247 1942 - 96164 — 224207 53131 — 53379 207349. Le Figaro, M. Cornély : En somme, et en admettant que les ballottages soient un écho du 8 mai, la situation des conservateurs français, et en particulier celle des catholiques, est plutôt améliorée. Numériquement, ils gagnent des sièges moralement, ils gagnent de l’influence. Ils feront partie intégrante et nécessaire des majorités ministérielles. Il n’y aura même de stables futures majorités dont ils seront, et vouloir se passer d’eux serait se condamner à l'instabilité ministérielle, dont la République a si longtemps souffert. Les modérés restent les arbitres de la situation. Nous ne demandions pas autre chose, et nous avons ce que nous demandions. La Libre Parole, M. Papillaud : Edouard Drumont, acclamé par 12.000 électeurs sur 15.000, Marchal et Morinaud élus à une grosse majorité en Algérie, Charles Bernard nommé à Bordeaux, Denis réélu et l’élection du commandant Peffau assurée, le 23 mai, contre le judaïsant Saint-Germain, voilà nos victoires, à nous nationalistes et antisémites. | 0 | 0 | 2 | 0 | 0 | null |
Que de fois, lorsque, en revenant de faire des visites, toute rose à cause du froid, elle ôtait son chapeau et allait se regarder en souriant dans la glace, heureuse de se sentir belle ; ou le soir, quand elle passait devant les domestiques pour monter en voiture, fière et confuse en même temps de sa belle toilette de bal décolletée ; ou les jours de petite soirée chez nous, lorsque, vêtue d'une robe de soie montante, son cou délicat entouré de fines dentelles, elle souriait à tout le monde de son joli sourire, toujours le même : que de fois je me suis demandé en la regardant ce que diraient ses admirateurs s'ils la voyaient comme moi, les soirs où elle restait à la maison et où elle attendait que son mari revins du cercle, dépeignée, une espèce de bonnet sur la tête, errant comme une ombre d'une pièce à l'autre. Tantôt elle s'asseyait au piano et jouait une certaine valse, le seul morceau qu'elle sût, en fronçant le sourcil par effort d'attention. Tantôt elle prenait un roman, en lisait une demi-page au hasard et jetait le volume. Tantôt elle allait elle-même à l'office, pour ne pas réveiller les domestiques, prenait un concombre et un morceau de veau froid et se mettait à manger, debout devant la petite fenêtre de l'office ; après quoi, l'air ennuyé et las, elle recommençait à rôder sans but dans la maison. | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | null |
Mais lorsqu'on eut fixé les formes des procédures légales, lorsqu'on eut rédigé par écrit et recueilli en un corps les règles qui devaient guider les jugements, la jurisprudence devint alors une science qu'on ne put acquérir que par un cours régulier d'études, et par une longue expérience de la pratique des différents tribunaux. Les nobles qui ne respiraient que la guerre et savaient à peine écrire, n'avaient ni le loisir ni le désir d'entreprendre un travail si pénible et en même temps si étranger aux seules occupations qu'ils regardaient comme intéressantes ou comme convenables à leur rang. Ils abandonnèrent par degrés les places qu'ils avaient dans les cours de justice, où leur ignorance les exposait au mépris. Ils se lassèrent d'entendre des discussions d'affaires, qui devenaient trop compliquées pour qu'ils pussent en embrasser tous les détails. Il fallut donc s'en rapporter à des personnes exercées par des études préliminaires et par la connaissance des lois, non seulement pour la décision judiciaire des points qui formaient le sujet de la contestation, mais encore pour la conduite des opérations et des procédures qu'exigeait l'instruction du procès. Une classe d'hommes à qui tous les citoyens étaient obligés d'avoir sans cesse recours pour avoir leur avis sur les objets les plus intéressants, et dont les opinions décidaient de la fortune, de l'honneur et de la vie, ne pouvait manquer d'acquérir bientôt de la considération et de l'influence dans la société. Ils obtinrent les honneurs qui avaient été regardés jusque-là comme les récompenses propres des talents et des services militaires. On leur confia des emplois distingués par la dignité et la puissance qui y étaient attachés. Il s'éleva ainsi parmi les laïques une nouvelle profession honorable, autre que celle des armes. Les fonctions de la vie civile méritèrent l'attention du public, et l'on cultiva les talents nécessaires pour les bien remplir. Une nouvelle route s'ouvrit à l'émulation des citoyens, et les dirigea vers la richesse et aux honneurs. Les arts et les vertus de la paix furent mis à leur place, et reçurent les récompenses qui leur étaient dues. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Rego fabula memorabile est quod, si praesidebat in Gethsemani, Parche qui solis per terremotum, aut per aliam causam s'apprese la terra in modo, che feci un gran lago d’acqua, d’onde varie fabulae si ritrouvarono poi, come che ricordato al'idolo per il rimedio, e così dono varie risposte, alla fine, viro detto Curdo armato, & alla briglia sciolta, s’andò col cavallo a precipitare nella dentro, d’onde lago di Curzio n’ebbe poi il nome, ma il vero modo di asciugare questo lago fu quello, che ritrovò Tarquinio Re, come si dice alla Chiesa di s.Lucia sopra la Chiacchia, con fare la Cloaca detta Massima, nella quale concorrono l’acqua di questo lago, & ogn’altra di Roma, e qui vicino si vede una bocca di quella grande Cloaca, o Chiaivicina, come ora si dice.
Et poi memorabile questo luogo presso di noi Cristiani per un segnalato fatto di s. Silvestro in liberarlo dal colto Diabolico, e qui ancora di varie favole, come si vedrà la verità insinuata, d’onde anco Fra Santi prese errore con dire, che qui s.Silvestro legò la bocca ad un Dragone, e col segno della Croce li giacque Car. Bar. | 0 | 0 | 2 | 0 | 1 | null |
Dans le manuscrit français 3282 (Nouv. Acq.) de la même bibliothèque se trouvent
le folio 80 et le folio 78 deux copies d’une lettre de Torricelli éditée par M. Ghinassi et rapportée par lui à l’année 1640. Dans notre manuscrit cette lettre est datée du
11 juin 1620. On y trouve mentionnés deux problèmes de géométrie proposés à l'auteur
par un père jésuite et des travaux « sur le mouvement de Galilée » que Torricelli
aurait en ordre depuis plusieurs mois. Ces deux particularités rendent improbable la
date de 1620: Torricelli n’avait alors que douze ans; d’autre part la date de 1640
serait beaucoup trop avancée, puisque les premiers travaux de Torricelli, antérieurs à
coup sûr à l'année 1630, sont consacrés à la géométrie et à la mécanique. En
conséquence il faut substituer, ce nous semble, à la date de 1620 l’année 1630,
d’ailleurs intéressante elle-même. On peut aussi conjecturer à peu près sûrement
d’après plusieurs passages, que le destinataire de cette lettre est Castelli, le maître
et le protecteur de la jeunesse de Torricelli.
Le folio 23 (recto et verso) du ms. latin 11196 nous offre une lettre de
Torricelli beaucoup plus importante et cette fois inédite. On y remarque entre autres
choses intéressantes un doute élevé sur la célèbre proposition de Fermat: « Potestates
omnes numeri 2 quarum exponentes sunt termini progressionis geometricae ejusdem
numeri 2 unitate auctae sunt numeri primi » et une appréciation profondément
vraie de l’Aristarque de Samos de Roberval: c'est notre cinquième document.
Cette lettre fin qui inédite di Evangelista Torricelli. Faenza, 1864, pag. 9. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Listowski złoży jutro naczelnukowi państwa 200
tysięcy pieniędzy ukraińskich, skonfiskowanych
w tajnej ukraińskiej organizac jì w Brześciu Li
tewskim, która prowadzi propagandę antypoi
Ską
Burzliwe obrady delegacyi galicyjskiej
w Warszawie nad sprawą waluty,
„Warszawa. (Telefonem) Do Sejmu przybyła
kis depatacya z Galicyi, w której skład wcho
tą reprezentanci wszystkich zawodów gospo
"zych: banków, kupiectwa, przemysiu, kas
Wifteisena, Izb handlowych i przemysłowych,
Olnietwa itd. Na czele deputacyi stoją dr Szar
— banki, Nieć — kupiectwo, Diugosz —
peemysi naftowy, Waygert -—— rolnictwo, dr
mŚnesz — Izby handlowe i przemysłowe. Dele
i chodziło o to, aby kurs złotego polskiego
Walie według pewnej równi, dla wszystkich
Monat jakie dziś mają obieg w kraju. Delega
rè "aj ła projekt posłom galicyjskim, aby
Złoty równał się koronie i aby przyjęto kurs
AMR t. zn. 1 K równa się 1 złr., —
« równa się 80 fen, — 1 rub. równa 2 złr.
hę” a nie według kursu zagranicznego, który
wynikiem nie stosunków realnych, lecz
spekulacyi politycznej. — Delegacya protestuje
także przeciw oddaniu 60 proc. ma pożyczkę ,
wewnę'rzną, gdyż byłoby to ogromnem ścieś
nieniem cyrkulacyi pieniężnej į spowodowałoby
brak Środków płatniczych. O godz. 3 po poiu
aniu miało się odbyć zebranie wszystkich sł
słów galicy;skich"i posiów b. okupacyi R M |
ckiej wraz z członkami delegacyi w sprawie wa
luty. Ponieważ jednak o godz. pół do 4 zaczynało
się posiedzenie Sejmu, posiedzenie to do skutku
mie przyszło. Odłożono je dopiero na czas po
posiedzeniu Sejmu. Po posiedzeniu Sejmu trwa:
lo vosiedzenie poselskie łącznie z delegatami
dłuższy czas i odbyła się bardzo żywa wymiana
zdań na temat waluty, Posiedzeniu, które eza
sem przybierało przebieg burzliwy, przewodni
czył p. Witos, Ostatecznie jednak uchwały nie
powzięto.
"zg er E
bin w przededniu debaty nad konstytarya
l arszawa (PAT). Na wczorajszem posiedze
a Sejmu, po odczytaniu kilku interpelacyi.
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On doit se rappeler, en effet, dans quelles circonstances peu favorables à la thèse de l’Union républicaine M. Cazot fut brusquement obligé de se démettre de la charge de président de la Cour de cassation. — Encore un cas échéant ! M. Lafont, le rival malheureux de M. Laisant dans le XVIIIe arrondissement aux dernières élections, vient de recevoir une lucrative compensation. La magistrature étant suffisamment envahie par les refusés du suffrage universel, M. Lafont, un radical farouche, s’est rejeté sur les tabacs. Un arrêté du ministre des finances, qui n'a pas été inséré au Journal officiel, a nommé cet ancien député aux fonctions grassement rétribuées d’entreposeur des tabacs à la Vitlette. A quand les autres besogneux ? — Dans une grande réunion tenue hier à la Bourse du travail, les ouvriers de la boucherie et des industries similaires, au nombre de trois mille, ont protesté contre l’importation à Paris des moutons abattus de provenance étrangère. Le grand nombre de bêtes abattues entrant en ce moment à Paris cause, en effet, le plus grand tort aux ouvriers de la boucherie en gros et en détail et des métiers qui s’y rattachent. Un conseiller municipal, M. Paulard, qui présidait, a promis de demander à la préfecture de police que les viandes de provenance allemande fussent exposées sur l’étal des détaillants avec la mention de : « viandes conservées. » Un ordre du jour, voté d’acclamation, a ensuite appelé l’attention du gouvernement sur la situation actuelle. Les assistants ont enfin désigné les délégués chargés d’aller exposer leurs revendications au ministre de l’agriculture. CHRONIQUE PARLEMENTAIRE ST Quatre-vingts membres de la minorité conservatrice se sont trouvés présents ou représentés à la réunion convoquée au secrétariat général des Droites, 3, rue de Bourgogne. M. Bergerot, député du Nord, présidait comme doyen d’âge. Les adhérents se sont déclarés étroitement unis dans la volonté de s'entendre sur toutes les mesures dans l’intérêt du pays. Ils déclarent se constituer en une réunion ouverte à toutes les nuances de l’opinion conservatrice. La réunion prendra le nom de Réunion indépendante des Droites. Elle sera représentée par un comité ainsi composé : Comte Armand. — Brincard. — De Cassagnac. — De Cazenove de Pradines. — Jules Delaunay. — Godelle. — Lanjuinais. Ont été adjoints comme secrétaires : Plichon. — de Pontbriant. — de Possesse. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
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DE VIERDEKLASSERS. In A liet Vogel in Leiden tegen Tona een punt achter (1—1) Texas bleef tegen Teylingen leelijk steken en verloor met B—3. Wilhelmus klopte V.V.L. met s—l5—1 en Archipel behaalde een nuttige 2—l zege op Rouwkoop. In B sneuvelde V.V.P. tegen Alphia met s—l,5—I, Esdo moest, nog steeds zonder Breitner, tegen Te Werve met 3—2 verliezen, H.D.V. heeft van haar geduchte versterking geprofiteerd door Postalia met 6—o te verslaan. Duno verraste, door met 4—2 van Cromjvliet 4e winnen. Jagers wachtten tevergeefs op Roodenburg en Qrahje-Blauw stelde danig teleur door van Maasstraat met 4—2 te verliezen. In D bleef Wassenaar met 4—2 baas over Kranenburg, B.T.C.— Zwart-Blauw werd 2—2, V.D.S. bracht een keurige 2—x zege mede tegen Ursus, Spoorwijk kwam met een S—4 zege terug van D.D.V.K. en Quick Steps speelde 3—3 tegen Schoonhoven. In E deed S.O.A. aardig werk door Oliveo met 6—5 te verslaan en Celeritas won in de laatste minuten van Rava met 3—12.
ONDERAFDEELING ’S-GRAVENHAGE
Weer een prachtige voetbaldag met meest normale resultaten: Westerkwartier heeft veel moeite met Dodge SV, Laakkwartier 4 geeft SOA 2 geen kans, goede overwinningen voor Monster en SVH. Vredenburch herstelt zich, Zuidholland is Wassenaar 2 de baas, FZC is verre de meerdere over Kranenburg 2, PDK stelt teleur, een zeer zware strijd voor SVGEB, Zuideinde verricht een goede prestatie, evenals VCS 3 en Rijswijk 2. AVV verplettert GDA 2 en KRVC overwint VVP 2 met s—l. De politievoetbalers starten met 16—0, Adelaars 1 klopt WDS, flinke overwinningen voor CWP, VVF, ATVV, AEG, Clingendaal, L en S, Ria en KRVC.
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Das Haus sei danach der Ansicht, dass der Wohlstand am besten durch Zollschutz des eigenen Marktes gegen unfaireren ausländischen Wettbewerb und durch Erweiterung der Ausfuhr mit Hilfe von Verträgen mit den Nationen des Weltreiches gefördert werden könne. Er bedauerte, dass die Regierung die Schutzzollpolitik umgeschlagen und wirklich von jeder Besprechung ausge-schlossen habe. Der Vollzugsausschuss der Industrievereinigung des britischen Weltreiches hat eine Entschließung angenommen, in der eine baldige Verwirklichung der Politik des und der wirtschaftlichen Einigung des britischen Weltreiches verlangt wird. Die Vereinigung hat eine neue Gruppe unter dem Namen „Reichswirtschafts-Einigungsgruppe“ gegründet, die besonders die gemeinsamen Interessen der Industrie im ganzen britischen Weltreich unter der neuen Politik vertreten soll. Kurze Nachrichten. Die ursprünglich für gestern ange-setzte und dann wieder abgesagte Fraktionsführer-Besprechung über die Steuergesetze wird voraussichtlich heute nachmittag stattfinden. Gestern haben die Führer der Regierungsfraktionen unter Vorsitz des stellvertretenden Reichswirtschaftsministers Trendelenburg das Gesetz über den endgültigen Reichswirtschaftsrat beraten. Der Haushaltsausschuss des Reichstages genehmigte gestern zuerst einen Antrag des Reichsarbeitsministeriums, wonach die in einem Nachtrags-haushalt für den Wohnungsbau geforderten 100 Millionen Mark schon jetzt vorab in Anspruch genommen werden dürfen. Dann wurde die Beratung des Osthilfegesetzes fertiggestellt. Im sächsischen Landtag begannen die Verhandlungen über die Bildung einer bürgerlichen Regierung in Sachsen. Die Volksnationale und die Demokraten waren nicht erschienen. Auch diesmal haben die Verhandlungen zu keinem Ergebnis geführt, sie wurden vielmehr abgebrochen, weil die Fraktionen über die nationalsozialistische Forderung nach Herabsetzung der Ministergehälter um 50 v. H. erst Stellung nehmen mussten. Die Verhandlungen werden morgen fortgesetzt. Die Demokraten Leipzigs fordern in einer vom Vertrauensausschuss gefassten Entscheidung alle in der kommenden Zeit zur Bildung der Großen Koalition auf. In Emile im Staate Alabama (Amerika) ist es zu schweren Zusammenstößen mit Negern gekommen, wobei fünf Weiße und zwei Neger getötet wurden. Die Weißen bildeten eine Bande von etwa 200 Personen und jagten die Wälder, um geflüchtete Neger zu jagen. Es gibt bereits (nicht in Bayern, aber in einem) - Karlchen hilft der bayerischen Regierung. Karl Ettlinger, München. Neulich habe ich mal wieder einer Versteigerung beigewohnt. | 1 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
Gehrigs Zahnhalsbänder, einige meiner Auswahl fertiger Flechten in empfehlende Erinnerung; auch werden Flechten sowie andere Haararbeiten schnell und sauber angefertigt. — Die Ausübung der kleinen Chirurgie, Zahnziehen, Schröpfen, Blutegelsetzen etc. wird von mir bestens besorgt. Carl Dröge, Barbier und Friseur, Gelsenkirchen, Kreuzstraße 14. Thealer in Gelsenkirchen. (Im Saale des Herrn F. Baumeister.) Mittwoch, den 5. März 1884: Gast-Vorstellung. I Soeben wurde vollständig ADRIAN BALBI 'Altgemeine Erdbeschreibung. Ein Handbuch des geographischen Wissens für die Bedürfnisse aller Leser. Siebente Auflage. Vollkommen neu bearbeitet von Dr. Josef Chavanne. Mit 400 Illustrationen und 130 Textkarten. In 45 Lieferungen à 40 kr. = 75 Pf. = 1 Fr. = 45 Kop. Oder in 9 Abteilungen à 2 fl. = 3 M. 75 Pf. = 5 Fr. = 2 N. 25 Kop. , auch in drei eleg. Halbfranzbänden geb. à 7 fl. 20 kr. = 13 M. 20 Pf. = 17 Fr 60 Cts. = 7 N. 92 Kop. Die Auskunft ist eine durchaus sorgfältige. Jede Lieferung enthält vier Druckbogen (gleich 64 Seiten) Text. Die Abnahme kann in Lieferungen oder Händen beliebig nach und nach erfolgen. Adrian Balbi's Erdbeschreibung ist in ihrer siebenten Auflage das erste geographische Handbuch, welches bereits die Ergebnisse der letzten Volkszählungen in den Jahren 1880 bis 1882 im Deutschen Reich, in Österreich-Ungarn, Frankreich, Großbritannien, Dänemark, Schweiz, Westrußland und selbst in Britisch-Ostindien enthält. Im topographischen Teil der einzelnen Länder wurde auf praktisch bedeutsame Partien besonders Gewicht gelegt, und die Bedeutung jedes Ortes für Industrie und Handelsverkehr hervorgehoben. Das Werk, dessen Register mit besonderer Ausführlichkeit bearbeitet ist, dient somit gleichzeitig als zuverlässigstes Geographisch-statistisches Lexikon. Alle statistischen Daten entsprechen den jüngsten, mit größter Sorgfalt gesammelten Erhebungen aus den Jahren 1879 bis 1882. Als besonders wichtige und umfassende Bereicherung der siebenten Auflage sind fünf doppelseitige, in vielfachem Farbendruck ausgeführte Karten zum Allgemeinen Teil (Isothermenkarte, Regenkarte der Erde, die Vegetationsgebiete der Erde, die Völker- und Religionskarte der Erde, 50 Textkarten und 400 Illustrationen, darunter 120 Vollbilder) zu nennen. — Das Werk ist auf holzfreiem Papier gedruckt. A. Hartleben's Verlag in Wien. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Sekretariat = Abteilung für Damenstoffe : Stoffe für den Winter von 30 Pfg. an pro Meter. Wiederholt haben wir Veranlassung genommen, uns über das Handels-, Gewerbe- und Schreibkontor von Herrn Jos. Lieberz, Bonn Weberstraße 44, anerkennend zu äubern. Dieses gute Urteil ändern wir nicht, sondern bestätigen es vollum; und sprechen den guten Eigenschaften der Lehrweise, wie sie in diesem Handelskontor gehandhabt wird, die superlative Form, „es ist das beste" zu. In so leicht verständlicher, jeden Irrtum ausschließender, wirklich unterhaltender Weise erfolgen die Belehrungen und Anweisungen in so interessanter, dabei so sehr praktischer, kaapper, jedoch erschöpfender, klarer Form, wie man es sich aber auch, wenn man keine Ahnung hat, nicht denken kann. Und mit welcher Sorgfältigkeit und ziemlicher Genauigkeit erfolgt die Belehrung in einfacher, doppelter und amerikanischer Buchführung für jede Geschäftsbranche, Korrespondenz, Stenographie, Handhabung der Schreibmaschine, kaufmännisches Schnellrechnen, Schön-, Schnell- und Richtischreiben, fremde Sprachen, Kautionslehre usw. Bei solcher Mühe und Sorgfältigkeit, deren sich Herr Jos. Lieberz, als Leiter und Inhaber des Handelskontors unterzieht, kann eben der Erfolg nicht ausbleiben, denn Schüler dieses Kontors werden bei Stellenbewerbungen sehr gern berücksichtigt. Wenn noch etwas zur Empfehlung dienen könnte, so wäre es das, dass man so viele Fächer und so viele Stunden für so wenig Entschädigung geboten erhält. Billig und gut ist meistens sehr selten beisammen. Hier ist es sogar „sehr billig und sehr gut". Kameradschaftliche Vergleich Gladbach. Die nächste und Tägliche mit beschränkter Haftung zu Mülheim a. Rh. statt der Summe findet morgen, Samstag, 2. Okt., statt. Der Vorstand. Mülheim Herlerstraße gelegene Das zu a. Rh, Nr. 80, für den Kirmes in Dürscheid. Am Kirchensonntag, zeichneten den 3. Okt., findet bei dem Unter 6 S und am Montag, den 4. Okt. statt, wozu ergebenst einladet Dürscheid, im Oktober 1897 Bari 4. Hkt., Konzert Spareiula verzinst und in der Sene in beliebiger Höhe von 1 Mark an werden mit 3 Proz. Regel ohne Kündigung zurückgezahlt. Darlehen in beliebiger Höhe werden gewährt gegen hypothekarische Sicherheit und gegen Bürgschaft zu mäßigem Zinssatz. Rückzahlung, auch bei Hypotheken, zu jeder Zeit in beliebiger Höhe. Geschäftslokal: Friedrich-Wilhelmstraße 16. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
To the Commissioner of Patents :
Your petitioner, A. B., a citizen of the United States residing at L., in the county
of M., and State of N. [or, subject, &c.], administrator of the estate of C. D., late a
citizen of S., deceased (as by refprence to the duly certified copy of letters of adminis-
tration, hereto annexed, will more fully appear), prays that tetters patent may be
granted to him for the invention of the said C. D. (improvement in fire-hose) set forili
in the annexed specification.
A. B., Administrator, &c.
6. By an executor.
To the Commissioner of Patenis :
Your petitioner, A. B., a citizen of the United States residing at L., in the county
of M., and State of N. [or, subject, &o.], executor o) the last will and testament of C.
D., late a citizen of S., deceased (as by reference to the duly certified copy of letteis
testamentary, hereto annexed, will more fully appear), prays that letters patent may
be granted to him for the invention of the said C. D. (improvement in churns), set
forth in the annexed specification.
A. B., Mxeador, <Stc.
1. For a reissue (by the inventor).
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Ordinamente, che il signor duca di Corigliano continui ancora il pagamento degli annui duchi 3700 del legato vitale dovuto a favore della signora duchessa di Palma. Ben vero dei due anni 1800 che pendente la vita della duchessa verrà a pagare oltre i due anni 1900 interesse dei due anni 6900 il signor duca di Corigliano debba rifarsi dall'eredità del principe di Marano con ritenere gli interessi di detti due anni 6900, che decorreranno dallo scorso agosto dopo la morte della duchessa. Qualora non venga così ad indennizzarsi interamente, la Corte dichiara che gli compete similmente il diritto di essere rifatto sul residuo dei due anni 6900, e sua rata d’interessi, ed anche sull'eredità di Marano, e Montesardo, egli riserva anche i diritti sopra le somme pagate ai creditori particolari del fu principe di Marano col prezzo del feudo di Palma.
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Il Tribunale, nella domanda del signor curatore dell'eredità giacenti di Marano e Palma tanto alla detrazione della falcidia, quanta alla restituzione del capitale proporzionale al peso delle regie strade, e rispetto al peso particolare della strada della Madonna dell’Arco, rinvia le parti a provvedersi come di diritto nel Tribunale civile di Napoli.
Riserva ai signori fratelli Vecchione i diritti, che loro competono per il residuo credito ad essi dovuto in virtù dell'istamento del 7 ottobre 1833 da sperimentare nello stesso Tribunale civile. Le spese così in prima istanza, come in appello siano tra le parti compensate. Ritiene l'esecuzione.
§. IV. Conseguenze ai diritti, che ne discendono. Eccezione della cosa giudiziale contro del curatore I. io idi. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
ough, — just such a deserted seaport-town as his native Aldborough, —
from which he naturally proceeds to deduce a series of separate epi-
sodes, usually of middle and humble life, appropriate to the leading
idea. Thus in the Parish Register we have some of the most remark-
able births, marriages, and deaths that are supposed to take place in a
year amid a rural population ; in the BorougJi, the lives and adventures
of the most prominent characters that figure on the narrow stage of a
small provincial town. The Tales are a series of stories, some pathetic
and some humorous, each complete in itself; and in the Tales of the
Hall two brothers, whose paths in life have separated them from boy-
hood, meet in their old age and recount their respective experiences.
Sir Eustace Grey is the story of a madman related with terrific energy
and picturesqueness by himself; and in the Hall of Justice a gypsy
criminal narrates a still more dreadful story of crime and retribution.
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Le fauchage apparaît également lorsque l’herbe pousse trop vite pour que l’on puisse la faire consommer. Jeune et tendre. En résumé, l’ensilage en meule se recommande parce qu’il ne demande aucun frais de premier établissement — ou des frais réduits dans le cas d’emploi de meule — c’est un procédé de fortune par excellence. Les pertes sont d’autant plus réduites que les parois sont bien montées, le boniment observé et le tassement bien exécuté et que la nature du fourrage restreint l’accès de l’air en les côtés bien garnie. — 3. Tenterait. Sur la Bresle. — 3. Coutumes. Brûlure. — 4. Obtenu. Gros papier gris. — 5. Punaise d'eau Droit perçu dans certains ports. — 6. Artifice. Colline de Jénémalem. 7. Purification. Nombre. — 8. Approchera de la fin. — 9. Faisait fumer nos ancêtres. Ancienne monnaie. D'un auxiliaire. — 10. Chevilles plates. Enveloppe à tort. SOLUTION DU N° 1429 H. — 1. Bagarre. — 2. Amine. Geln. — 3. Git. France. — 4. Usage. Lion. — 5. Raisin. — 6. Nuement. — 7. Ars. Nées. — 8. Un. Ad. Eut. — 9. Décumenta. — VOYAGES EN CAR DIMANCHE 22 JUILLET GENÈVE par La Faucille Prix : 1.200 fr. Festival de Munich, « Daphné ». LYON 7 h. 30. Alexandre Boecoz. — 19 h. les reflets qui s’accrochaient aux murs rappelaient ceux de sa chevelure. Le pathétique « andante » était chanté en langue italienne. L’auditrice en accompagnait la cadence d’un mouvement de tête et ses lèvres articulaient chaque syllabe en même temps que la voix du disque. Lorsque l'orchestre eut achevé, seul, le rappel du motif mozartien, Patricia s'approcha. Sa physionomie trahissait un bouleversement intense — Tilt roi et ses doigts tremblaient en se saisissement, la jeune femme eut dans votre château de la Belle au bois dormant sans rencontrer âme au ronde. Quand il se roqua, lâché, heurta l'abattant. À préquelle vive. Je me levai, émit un sifflement admis et trois morceaux débouchèrent de la musique ne mai ait, guidé jusqu’à un lent sur le tapis... | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Safenpreis geber 1415. Geberin geber auf 9. Februar; Safther
Santenbus 1439. Handel und Schiffahrt bei Geber zu Steuern, 1434. Dietrich geber Hanbridge zu Regolierung neben etwa viel Ärgern aus Senatenbus gefällig, 1445, lebt mittel unter benachbarten Gebern Senkrechte zu Begegnung, 1405. Schiffahrt geber 311 von der Fertigungsindustrie wohnhaft in Senatenbus. Rottenburger Gebrüder circa 1500, sein Sohn Ulrich geber, besitzt erftellt
Johannna Barbara Gisbertin aus England. Barbara aus England erbt einen goldenen Fächer, benannt nach ihrer Mutter. Sie wird getauft, hingegen sein zweites Kind an Vertrach Barbara Silbermann. Sie hat bei ihrem 5. Geburtstag Stifter, Brüder und Hofbeamte, Barbara und Barbara, geb. Leser, liegen in England zum Sohnführer. Siede Ulrich Schnelle Sophie, Ehefrau von Josaphat Beitberger, Sophie bei St. Barbara, aus Fiegenburg. Ulrich bei der Rampe, lebte 1579.
(Geufse.) Es bot ein alter Bauer, Geberisch betreffend, bei Golden auf Geber, die hatten bei der Rehnbachsmühle bei der Flussmühle gefällt — 1395 Ulrich und Walgrin, die Gerber Steigen, nach Ton. Bei 2 Untertanen; im Mittel benannt Feldschaft oberhalb des Dorfs. 1404. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
W, und schließlich lud sich einer von den Spießgesellen Herr Savelli Bater aus die Schultern und trug über den Antheil hinüber aus einem Kornfeld, wo er ihn als Geißel zurückbehielt, während die beiden anderen an der Landstraße auf die Rückkehr des Sohnes warteten, der sich nach Modigliana geschickt hatte mit dem Auftrag, innerhalb einer Stunde mit 50.000 Lire zurückzukehren, widrigenfalls Herr Lorenzo einen Kopf kürzer gemacht würde. Der Eber war beeilt, zur festgesetzten Zeit zurückzukehren, brachte aber nur 20.000 Lire, die von den Räubern für nicht genügend erklärt wurden. Der junge Savelli musste noch einmal nach Hause geben und versprach, noch Geld zu bringen. Nach Verlauf einer zweiten Stunde kam er in Gesellschaft eines Geschäftsfreundes an, der weitere 6.000 Lire brachte. Nun erklärten die beiden Räuber sich für zufrieden gestellt, riefen ihren Genossen aus dem nahe gelegenen Kornfeld herbei und ließen die beiden Savelli und ihre Geschäftsfreunde nach Modigliana zurückkehren, die Räuber zogen ihrerseits in eine andere Wege, ohne irgendwie belästigt zu werden, da auf der ganzen Landstraße auch nicht ein Lank gendarm zu finden war. Der Eber war in der ganzen Gegend große Aufregung hervorgerufen. Literatur. Für den 9. von Marck, Der Militär-Strafprozess, in Deutschland und seine Reform. Erste Hälfte. Berlin, R v. Decker Verlag (9. Schenkell, 1893. 8°, 31', 4 Bogen Preis 12 M. Der durch seine "Staatsanwaltschaft in Preußen" (Berlin 1884) in der juristischen Welt bekannte Verfasser behandelt eine brennende Frage unseres öffentlichen Lebens, die jährlich in den Parlamenten zu erregten Debatten Anlass gibt. Der Ansatz zur Dauer unhaltbare Zustand der drei Militär-Strafgerichtsordnungen des deutschen Heeres (Preußen 1845, Bayern 1869, Württemberg 1818), die unter sich und vom bürgerlichen Strafprozessrecht wesentlich verschieden sind, scheint nach neuerlichen Erklärungen der Reichsregierung zu einer Reserven-Vorlage vielleicht schon in der nächsten Reichstag-Session sichern zu sollen. Der Gegenstand ist ebenso wichtig als schwierig: Der Militär-Strafprozess steht in engem Zusammenhang mit der Disziplin, welche für den Wert des Heeres bestimmend ist, und es ringen in seiner Gestaltung das bürgerliche mit dem Militärrecht, das preußische System mit dem bayerischen, dazu die verschiedenen politischen Richtungen mit einander. Der Gesetzgeber muss, den allgemeinen rechtsphilosophischen Standpunkt und die militärischen Notwendigkeiten abwägen und letzten Endes versöhnen. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
"On Some Points in the Composition of Soils; with Results illustrating
the Sources of the Fertility of Manitoba Prairie Soils." Full Paper,
Trans. Chem. Soc, 47 (1885), 380. R. Mem., Vol. VI., No. 4.
" On the Present Position of the Question of the Sources of the Nitrogen of
Vegetation, etc., etc." Phil. Trans., 180, B (1889), 1. R. Mem.,
Vol. I. (4to), No. 2.
"On the Analytical Determination of Probably Available 'Mineral' Plant
Food in Soils," by B. Dyer, D.Sc. Trans. Chem. Soc, 65 (1894), 115.
" Results of Investigations on the Rothamsted Soils, etc., etc.," by B.
Dyer, D.Sc. Bulletin No. 106, Office of Experiment Stations, U.S.
Department of Agriculture, 1902.
"A Chemical Study of the Phosphoric Acid and Potash Contents of the
Wheat Soils of Broadbalk Field, Rothamsted," by B. Dyer, D.Sc.
Phil. Trans., 194, B (1901), 235.
" The Determinations of Available Plant Food in Soils by the use of weak
Acid Solvents," by A. D. Hall, and F. J. Plymen. Trans. Chem. Soc.,
81 (1902), 117.
'' The Geological Survey in Reference to Agriculture ; with Report on the
Soils and Subsoils of the Rothamsted Estate," by Horace Woodward,
F.R.S. Summary of Progress of the Geological Survey for 1903,
Appendix I. (1904), 143.
" The Mechanical Analysis of Soils and the Composition of the Fractions
resulting therefrom," by A. D. Hall. Trans. Chem. Soc, 85 (1904),
950.
"The Effect of the long-continued use of Sodium Nitrate on the Constitu-
tion of the Soil," by A. D. Hall. Trans. Chem. Soc, 85 (1904), 964.
CHAPTER IV
EXPERIMENTS UPON WHEAT
I. The Continuous Growth of Wheat, Broadbalk Field :
A. Maintenance of the yield under Continuous Wheat growing on the
same land.
JB. Effect of Nitrogenous Manures.
C. Effect of the Slineral Constituents.
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Those Wednesday night Mr. and Mrs. Fishburn were hosts at a charmingly appointed dinner at which they celebrated their anniversary. Christmas decorations of candles and ribbons and a lighted tree were used. Those present were Mr. and Mrs. Von Ende, Mr. and Mrs. Eldridge, Miss Stevens, and Mr. Neidig. The first National Bank of Moscow established in 1882, Mr. and Mrs. von Ende, Mr. and Mrs. Eldridge, Miss Stevens, and Mr. Neidig carried out and the guest list included Dean and Mrs. Eldridge entertained the agricultural faculty of the university Friday evening at a progressive 500 party. Christmas decorations were Messrs. and Mesdames Lindley, Putman, Hills, Fishburn, Vincent, Mundson, Moore, Peterson, Misses Willis, Hoover, Lieby, McGinnis, E. Warwell, Douglas, M. Messrs. Wolley, Hickman, Neidig, Cannon, Prichard, Rae, Hubert, Hitchcock, Luce, and Mr. Morrison of south Idaho. Ed Wardwell; Nordby, Ruby Chapter, No. 9, O.E.S., complimented two of her faithful members, Mrs. Malissa Crawford and Mrs. Antoinette Edgett, at a birthday party. This afternoon at Masonic hall, a short program was rendered and the ladies spent the afternoon patching Red Cross quilts after which dainty refreshments were served. Mrs. Crawford, who is celebrating her 80th birthday, became a member of the Eastern Star at Pullman on January 4, 1901. She served that chapter as warder. Mrs. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Po odbvtem cercle nastąpiła herbat
ka towarzyska,
AKTUALNE aż; mimi KOBIE
A m Z O p Z
Trzeci dzień Zjazdu był poświęcony
aktualnym zagadnieriom kobiecym 1
sprawom dziecka.
Q zagadnieniach ogółnych mówiła p.
Kubaszewska, postulaty kobiece w
dziedzinie ustawodawstwa przedstawi
ła p. Wartnsanówna, prawo kobiet do
pracy posł, Waśniewska oraz jako ko
referentka p. Szelaągowska,
Obrady otłudniowe wypełniły re
feraty pis bijewskiej „O oriece spo
łeoznei” a adw. dr. Szmurłowej „Stano
wisko dziecką w społeczeństwie i ro
dzinie* oraz p. Milterówny .Hvgiena
psychiczna dziecka i rodziców",
Czwarty dzień był poświęcony obra
dom komisyj, które odbywały swe po
siedzenia równięż jeszcze przedpołu
dniem piątego dnia Zjazdu. Popołudniu
odbyły się wybory władz związko
wych, Poczem nastąpiło zamknięcie
Zjazdu. J. Pełeńska.
Kopernika l5a
| Filja Pertumerji S. FEDERA
Sykstuska 7
— z ZZ O OZ
Program radjowy.
Piątek, 3 listopada.
Lwów. (381). Godz, 7-—7'35: Audycia po
ranaa. 7551130: Przerwa. 11/30: Co.
dzienny przegląd prasy polskiej. 1140: Od
czytanie programu na dzień bieżący. 11°45;
Komunikaty, repertuar teatrów i płyty.
11'57: Sygnał czasu z Obserwatorium
Astronomcznego w Warszawie, hejnal
z Wieży Mariackiej w Krakowie. 12'05:
Trans. ż Warszawy. Jazz w wyk. zespo
łu Wacława Wilkosza. 1230: Dziennik po
łudaiowy. 1235: Wiadomości meteor.
1238: Trans. z Warszawy. Dalszy ciag
muzyki jazzowej. 13—1530: Przerwa.
15:30: Wiadomości gospodarcze, 15/40;
Trans. z Warszawy. Komunikat Państw.
Urzędu Wychowania Fizycznego i Państw,
Zwiazku Sportowego. 15'45: Kronika Har
cerska. 1550: Uieidą Zbożowa i płytv.
1555: Trans., z Warszawy. Arie 1 pieśni
w wyk. Henryki Żelskiej, Akomn, prof. Lu.
dwik Ursteim. 1620: Orkiestra Golda z u.
działem A. Boguckiego (płyty). 1040:
„Wśród książek“ omówienie ostatnich wy
dawaictw. 1655: Trans. z Warszawy. Re
cital skrzypcowy Bronisława Lewensteina,
przy fortepianie prof. Ludwik Urstein.
11/30: Trans. z Warszawy, Arie i piesiu
w wyk. Eugeniusza Mossakowskiego,
akomp prof. Ludwik Urstein. 17/50: Komu.
| 0 | 2 | 0 | 0 | 0 | null |
Maxwell wil er den nadruk op leggen, dat de geheele ruimte tusschen de geladen voorwerpen en electrische stroomen van belang is, niet ledig, maar een veld van krachten. Met een kleine wijziging kunnen wijde woorden van Maxwell gebruiken om het verschil te teekenen tusschen de statisceh
A. D. FOKKER
vattingen van vroeger en de dynamische strekking van de denkbeelden der relativiteitstheorie. Immers,
„Wij zijn gewend het heelal te beschouwen als een opeenvolging van toestanden, en wiskundigen plegen te beginnen met de beschouwing vaneen bepaalden toestand, om daaruit een tweeden toestand af te leiden, en zoo vervolgens. Algemeen heeft men dit voor de meest natuurlijke manier van doen gehouden. Er wordt evenwel, om een oogenblikkelijken toestand te stellen, een proces van abstractie vereischt, aangezien al onze gewaarwordingen betrekking hebben op voorvallen van zekere uitgestrektheid èn van zekeren duur, zoodat de voorstelling van de gebeurtenis in haar geheel, die ons bewustzijn bezig houdt, wellicht een even oorspronkelijke oervoorstelling is als die van den een of anderen oogenblikkelijken toestand. Derhalve is er misschien een wiskundige manier van doen te vinden, die van het geheel naar de deelen leidt inplaats van omgekeerd. Men zou een gebeurtenis kunnen opvatten als een verandering van toestanden, maar men kan evengoed een toestand definieeren als de grens vaneen gebeurtenis.” Deze wiskundige manier van doen, welke begint bij het geheel der voorvallen, vindt men inde vierdimensionale formuleeringsmethoden, die Minkowski heeft ingevoerd ten behoeve der relativiteitstheorie. Dat beteekent een wezenlijken vooruitgang. Niet zoozeer om de zg. unie van ruimte en tijd, alsof de tijd op ééne lijn te stellen ware met een ruimte-coördinaat! Want dat is niet het geval, en de formuleeringen zijn niet strikt vierdimensionaal, eerder drie-plus-een-dimensionaal. Maar wel omdat deze (3 + ljdimensionale formuleeringen het werkelijkheidsgebeuren vatten in zijn samenhang als gebeuren, als dynamisch geheel, en niet als een opeenvolging van pseudo-statische oogenblikkelijke toestanden. Die oogenblikkelijke toestanden worden door de theorie tot hun beteekenis herleid van afgetrokkene, uit de werkelijkheid geabstraheerde, door en ten behoeve van ons verstand geschapen hulpbegrippen.
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Colliers. — « J'ai essayé, il y a plusieurs années, des colliers faits avec soin, et j'ai obtenu d'abord un plein succès; car un taureau de race charollaise, âgé de trois ans et demi, que mon premier charretier avait dressé, tirait avec les chevaux, soit en avant, à la charrette, soit de front, au labourage : attelé à une forte herse exigeant ordinairement quatre bœufs du prix de 6 à 700 fr. la paire, il l'a tirée seul, une journée entière, poussant avec la tête deux bœufs au joug, qui le précédaient pour l'aider, mais qui ne lui étaient d'aucune utilité. Sa démarche était libre et fière, son caractère fort doux et son pas était aussi vite que celui de mes chevaux.
» Deux bœufs accoutumés au joug ont ensuite été essayés au collier, mais ils n'ont jamais voulu bien tirer qu'avec une barre de bois sur la tête, trompant leurs habitudes; autrement ils s'écartaient. (1) Annales de l'Agriculture Française, tome 19, page 120. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
C’était bien elle ! elle, avec son beau regard intrépide et confiant, son doux sourire, sa chevelure toujours brillante au milieu de tout cet éclat qui nous environnait, et ses deux petits pieds nus. Son visage était radieux de bonheur. — Voilà mon palais, me dit-elle, vous ne me semblez guère pressé d’y entrer, mon Hubert. — Où suis-je, et qui êtes-vous ? lui demandai-je d’une voix tremblante, en fermant encore mes yeux de nouveau éblouis. — Où vous êtes ? chez moi. Qui je suis ? la petite fille sauvage; l’orpheline de la forêt, mon Hubert, me répondit-elle, et je ne serai jamais autre chose, croyez-le bien. Mais comme vous êtes pâle, mon ami ! comme votre regard est singulier ! comme vous êtes tremblant ! Ai-je fait ou dit quelque chose qui vous ait déplu ? Hubert, Hubert, parlez-moi donc ! — Ainsi vous n’êtes pas une fée ? — Quelle folie ! est-ce qu’il y a des fées, mon Hubert ? c’est bon pour le père Lippemann de croire ces histoires-là. — Mais ces richesses ? — De quelles richesses voulez-vous parler ? — Comment ! vous ne voyez pas ces diamants, ces rubis, ces émeraudes, ces saphirs ! Alors je suis fou, car moi je crois voir tout cela. — Ah ! je commence à comprendre, s’écria-t-elle en éclatant d’un rire joyeux qui n’avait rien de surnaturel. Eh bien ! mon ami, venez, entrons là, et vous verrez que si ce palais est splendide, le mobilier est bien celui d’une pauvre fille qui n’a pas même de quoi acheter des souliers. Quoiqu’elle n’eût pas répondu à ma question, j’obéis machinalement en me laissant entraîner par elle. Quand nous eûmes franchi la triple enceinte de colonnes, mes doutes s’éveillèrent avec une nouvelle force, car le spectacle était mille fois plus magnifique encore : mes yeux ne pouvaient en soutenir l’éclat. Heureusement qu’en se baissant vers la terre pour chercher un peu de soulagement, ils aperçurent quelques grossiers escabeaux, une petite table, un grand coffre et une couchette en forme de cercueil, dont l’intérieur était garni de branches de fougères en guise de matelas. Tous ces meubles étaient en bois de sapin, et fabriqués à la serpe comme ceux que j’avais vus dans la hutte du vieux Lippemann le bûcheron. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Après être passés à l’Alcazar, devenu au jour d’hui l’Académie militaire, le cortège se rendra à la Mezquita (Christ de la Lumière), et au château de Galiana, pour revenir enfin à la gare et retourner à Madrid. Dans cette visite rapide, les membres de la presse française ont néanmoins pu se faire une idée de l’Espagne chrétienne, juive et mauresque. L'impression à Vienne Vienne, 25 octobre. La «Osterreischsische Volkszeitung» commente en termes très favorables les toasts de Madrid. Ces toasts, dit-elle, respirent la profonde amitié qui unit la France et l’Espagne et répondent aux sentiments des deux pays. Cela est très réjouissant dans l’intérêt de la paix du monde. Le journal ajoute que cependant l’Espagne doit être reconnaissante à l'Allemagne qui, par son intervention dans la question du Maroc, a défendu aussi bien les intérêts espagnols que les siens propres. Cadeaux présidentiels Comme dans ses autres voyages à l’étranger, le Président de la République a emporté à Madrid de nombreux cadeaux destinés aux personnes de la famille royale et aux principales fonctionnaires de la cour. Paris. Un incident Madrid, 25 octobre. Le ministre de la marine a refusé, non seulement comme président, mais comme ministre de la marine, les insignes de grand-officier de la Légion d'honneur, alors que le ministre de la guerre a été nommé grand-croix. Moscou se trouve exceptionnellement privé de lait, même président du gouvernement espagnol Immense fanfare de violents discours. L’un des orateurs, parlant d’une voix froide et énergique, a proclamé que, contre des gens qui furent jusqu’à présent toujours sans pitié pour le peuple, le peuple doit maintenant, le moment de la révolution étant arrivé, agir de même. « Il faut a-t-il ajouté, massacrer impitoyablement tous les policiers, tous les espions et la bande noire des suppôts du régime despotique et ses fonctionnaires ; il faut faire tomber leurs téléphones. » L’orateur a terminé par un geste d’implaceable résolution qui a été frénétiquement acclamé. La famine à Moscou Moscou, 25 octobre. Le gouvernement espagnol à M. Bouvier Madrid, 25 octobre. Le gouvernement espagnol a fait don à M. Bouvier d’une merveilleuse tapisserie, copie d’un tableau de Goya, intitulé « Vendimia » (Vendanges). Cette tapisserie est entourée d'un magnifique cadre d'acajou. | 0 | 0 | 0 | 0 | 3 | null |
£)a£ aufmerffame C^r bee 2tyotfyefer§ na^m
ftiß iRotij baüon, unb mit bem june^menben ©e*
nefen be£ Sranfen toud)3 bei bem 23ater bie 23e*
forgnif;, baß ber ©egenftanb, mit bem bie ©eete
be£ giebernben erfüllt fei, aud) fpater in ber SSirf*
ttd)feit bie sD?adj)t ber ©eelenbefjerrfc^ung son Beuern
auf tyn aueüben toerbe* ^iemanb im §aufe tonnte
etoa§ baüon, ba§ ber 2tyotl)efer, aU Sodann jum
erften 23Me ba$ iöett verließ, ganji I^eimtid) nad?
bem banale am Cube-Solf gegangen toar unb mit
bem £red;fcfynttjie^er dtt)n eine eifrige Unterrebnng
gehabt ^atte. (Sin gutes ©tüd ©e(b ü>ar beptflid)
getoefen, bie @ltem ®retd)en* nad) einigem 2Biber-
ftreben ju gewinnen , baS 9Kabd)en fteit fort in
£>ienfte ju geben, er fetbft fyatte fid) barum bemüht,
einen Ort ju finben, too ba£ 23Mbc^en fern, fcon
ftrenger §errfcf)aft Betoac^t unb harter Arbeit ge*
feffelt, für 3o^ann verborgen unb verloren fei. —
®retdf?en üerfdf)toanb am Sand unb auf ber Söiefe ;
9Wemanb außer 9?fyn, beffen grau unb ber Styotfyefer
fannten ityr ©cfyidfal. @ie mar ftnmm, toeinenb in
bie gerne gegangen, 9xtyn Jjatte ifyr gejagt, baß ber
Slpot^eferfo^n am 9tobenfieber geftorben fei. —
Sodann jum erften 2)Me toterer bie freie
Öuft atfymete, fd?üd) er. in bie ©egenb be$ SanalS,
nad) ber 2Biefe; — bon ®retcf;en fanb er feine
©pur* @r fud^te 31tcta3 auf unb biefer begegnete
xfym fytyntfä), inbem er ttytit fagte: „3fyr feib am
Unglüd meiner @d)toefter fdjmlb, ba§ fie fort ift!"
— „gort?" — rief 3o^ann beftürjt —
— „3a, fort, — toer toeiß frofyin? — £obt!"
Sodann ftarrte ifym nad). | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Die Thermen im Marsfelde. 151
Die Ausdehnun
der Breite umfalsten die Thermen werigstens den zwischen
der Via della Rotonda und della Minerva mit ihren Fort-
setzungen: indessen müssen wenigstens nach der Seite der
& in der Länge ist ziemlich sicher: in
Sapienza hin Agrippa’s Anlagen weiter sich erstreckt haben.
Denn wo sollen die Gärten, der Teich und ihre Gränze der
Euripus sonst Platz gehabt haben? Entsprach nun diesem
Ausbau links ein ähnlicher rechts vom Pantheon, so gehörte
ein Theil des Platzes und Klosters der Minerva dazu. Dann
werden wir die aus wunderschönen Ziegeln bestehende Mauer,
welche unter dem Refectorium der Dominicaner im Kloster
auf die Rotond& zuläuft, dazu rechnen müssen. Zu jenem
Heiligthum der Minerva kann sie ohnediefs nicht gehört
haben, denn Pompejus wird keinen Tempel aus Ziegeln ge-
baut haben : es bleibt uns also nur die Wahl zwischen den
Bädern Agrippa’s und des Narcissus, und dazwischen wage
ich nieht mit Sicherheit zu entscheiden, obgleich ich es für
wahrscheinlicher halte, dafs sie den letztern zugehören.
Nibby will in der Arbeit der Ziegel zwischen der Nachbar-
schaft des Pantlıeon und des Arco della Ciambella einen
Unterschied machen und legt deswegen die südliche Hälfte
dem Alexander Severus bei, indem cr den sonderbaren Schlufs
zieht: weil dieser Kaiser die T’hermen Nero’s erweiterte, werde
er aueh die Agrippa’s fortgesetzt haben. Mir ist der Unter-
schied nieht so augenfällig gewesen und vielmehr wahrschein-
ich, dafs die Bäder Agrippa’s jene, drei grofsen Abtheilungen,
die in allen andern sich finden, ebenfalls gehabt haben. Zu-
dem ist das Ziegelwerk des Pantheon selbst keineswe
vortreffkch, obgleich wir allerdings nicht sagen können, wie
35 so
viel von den Thermen der Zeit des Agrippa, und wie viel
der Herstellung Hadrians angehöre.
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2nd. To see that the laws and ordinances of the city are faithfully executed.
3rd. To attend all meetings of the mayor and city council at which his attendance is required by such mayor or city council.
4th. To recommend for adoption to the mayor and council such measures and actions as he may deem necessary or expedient for the economic and social welfare of the city. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
4. That Greene's letter to Washington upon the evacuation
of Fort Independence contains no murmurs, and no allusion to
the " spirit of his troops ; " although Mr. Bancroft by an unfor-
tunate juxtaposition conveys the impression that a phrase which
actually occurs in a letter to Mifflin forms part of a letter to
Washington. Greene expressly declares that he did not believe
Fort Independence could be held.
5. That Greene reported promptly to the Commander-in-
chief every step he took for the reinforcement of Fort Wash-
ington. That till the 8th November Washington himself be-
APPENDIX. 467
lieved that post could be held. That the question of evacuation
was referred to Greene on the 8th of November, because he was
on the spot.^ That on the 13th, Washington by coming on the
spot became the responsible officer. That if the success of the
retreat from Long Island can be taken as a test, the troops
might have been removed between the evening of the 13th and
the morning of the 16th, when the attack began. And that
Stedman, an English officer who wrote a history of high au-
thority, expressly blames Washington for not removing them
even after the investment began.
6. That Mr. Bancroft misrepresents Greene by a curious
selection of suggestive words, and by changing Greene's own
words. Did not scruple for did not hesitate, is an example of
the first ; any conceivable danger for any great danger, of the
second.
7. That the charge of easy, sanguine disposition is disproved
by Greene's letters.
8. That the charge of neglect of orders is disproved by all the
documents.
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Altre dipinture vi sono con Cristo in croce e le Marie, e san Marco in trono; sono vi
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— 09
ornati di ogni genere con puttini eleganti e architetture
eziandio; e parecchie iscrizioni a caratteri d'oro in campo
turchino: cosa bella certamente, se non che in varie parti le miniature veggonsi offese dal tempo. Quello poi che
è interessante si è il nome del pittore in quel codice così
espresso: Fu miniata la presente matricola da me Georgio
Colonna cittadino veneto. Fioriva prima di quest'epoca il
celebre don Giulio Clovio, di patria schiavone, che messosi
a' servigi del cardinale Marino Grimani fece per lui molti lavori di miniatura, e specialmente un ufficio di Nostra Donna con quattro bellissime storie, un Epistolario
con tre grandi storie di san Paolo Apostolo, una bellissima Pietà e un Crocifisso; defunto esso Clovio in Roma nel 1578, ottuagenario; del quale, oltre il Vasari che
lo chiama il più eccellente miniatore (T. XV, p. 169 e segg. ediz. 1828), parla e il Morelli nella Notizia suddetta a pag. 218, ed io pure nel T. I, p. 175 e T. IV,
p. 632; del quale Clovio io credo fossero le belle miniature di un Evangeliario, vendibile in Brescia fino dal 1808, scritto in carta pecora dal prete Sebastiano Cavalcante per commissione dello stesso cardinale Marino Grimani nel 1528. Aveva figure elegantissime, iniziali continue miniate, e tredici dei principali disegni rappresentavano i Vangelisti, sant' Andrea, i Misteri e altro. Potevo
anco ricordare i tre celebri miniatori veronesi, cioè Liberale discepolo di Stefano da Verona, che per i monaci
di Monte Oliveto a Siena miniò molti libri; e ritornato
in Verona occupò nel miniare Giulio il rimanente di sua vita. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
LES MILITAIRES ET LES REUNIONS HIPPIQUES Le ministre de la guerre vient de rapporter sa décision interdisant aux militaires de prendre part, même en civil, aux manifestations hippiques. ACCIDENTS D’AVIATION Le sergent pilote Rouquet et l'observateur maréchal des logis Nudon, achevaient hier sur l’aérodrome du Bourget leur entraînement quotidien par une descente en vrille, lorsque leur appareil vint s’écraser sur le sol. Tous deux ont été tués sur le coup. Tirages financiers FONCIERES 1903 Le n° 139.204 gagne 150.-00 fr. Le n° 216.988 gagne 30.000 fr. Les 8 numéros suivants gagnent chacun 5 000 fr. : 233.927, 185.008, 550.209, 12.304, 148.030, 267.777, 16.805, 318.255. 130 numéros gagnent chacun 1.000 fr. Enseignements généraux Fermeture des bureaux de poste et de télégraphe le 14 juillet. — Le 14 juillet, à l’occasion de la fête de la Victoire, les guichets postaux, télégraphiques et téléphoniques resteront fermés au public toute la journée ; aucune distribution postale ne sera effectuée ; il n’y aura qu’un seul départ de correspondances, à l’heure qui sera favorable à l'expédition du plus grand nombre d’objets. Dans les bureaux télégraphiques de l'État, le public sera admis à déposer des télégrammes demandant du secours pour cas graves et urgents ; ces télégrammes seront distribués. CHALON Calendrier. — Dimanche 13 juillet. Le lever du soleil à 4 h. 2 ; coucher à 7 h. 50. Lever de la lune à 7 h. 44 du soir ; coucher à 4 h. 18 du matin. Pleine lune le 13, à 6 h. 02 du matin. Fête à souhaiter : saint Henri. Bulletin météorologique du 12 juillet : Température minima + 12° ; température maxima + 22° ; hauteur barométrique 761. Vent Sud-Ouest. FÊTE DU 14 JUILLET Le programme de la fête du 14 juillet publié hier doit être complété de la façon suivante : Retraites. — Le 13 juillet, les deux retraites organisées partiront de la place de l’Hôtel-de-Ville, à 8 h. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Le Syndicat des officiers mécaniciens de la marine marchande communique une note affirmant que les officiers mécaniciens de la Compagnie générale Transatlantique ne sont pas les promoteurs du mouvement de grève des inscrits maritimes et démentant formellement les bruits tendancieux qui pourraient faire croire le contraire à l'opinion publique. Cette réunion assurera aux agriculteurs, en dehors du maintien de la baisse de 4 % déjà intervenue, une réduction supplémentaire de 6 % sur le prix des engrais azotés. En ce qui concerne les superphosphates, deux baisses successives ont porté l’abaissement des prix de 9 à 12 % suivant les localités, la dernière de 5 % en date du 1er août. Les prix des scories de déphosphoration seront abaissés de 10 % à l’unité, à partir du 16 août. Ainsi, dans trois catégories d’engrais agricoles — potassiques, azotés et phosphatés — le gouvernement a réalisé un abaissement de prix de 5 % pour les premiers et de 10 % pour les engrais azotés et phosphatés. La mort de 300 personnes dans la ville de Luzarci-Mavila, 10 août. Les violents orages et les pluies torrentielles qui se sont abattus sur la ville ont fait 300 victimes. L'été 1935 aura lieu le 1er septembre dans l'Yenne et la Dniepr d'Orléans. Les bénéfices d'exploitation — à l'ignace, à la Roumanie, à la Yougoslavie — sont évalués à 27 millions. L'entrepreneur de jeux de hasard, l'État escompte de la Loterie nationale une recette de 900 millions. On sait d’ailleurs que cet argent a une affectation spéciale, au moins pour une part. Mais si je m'avise de compter : 12 tranches à 100 millions avec 60 millions de lots et de frais par tranche, je ne vois guère que 480 millions disponibles. La différence figure sans doute dans les dépenses diverses. Je n'ai pas su la découvrir et à la Tchécoslovaquie. On prévoit naturellement un refus du côté allemand — ne serait-ce qu’en raison des liens établis entre le pacte danubien et la Société des Nations. Du côté hongrois, on s'attend à des objections et à des réserves, notamment en ce qui concerne la propagande éventuelle des minorités nationales pour la révision pacifique des traités. Volonté de soumettre, le 4 septembre, au Conseil de Genève, des propositions concrètes. M. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Un pour la recherche des meilleurs moyens de secourir les personnes incendiées surtout dans une grande ville telle que Paris. Ce prix a été partagé entre le Citoyen Ignace Leroy, contrôleur des armes, demeurant à Paris; le Citoyen Tremblay, retraité au spas national des feux et des arts, et le Citoyen Guyot, menuisier, rue de Surène, à Paris. L'autre prix a été donné à l'auteur du meilleur mémoire présenté sur la question suivante. Déterminer l'influence des feux sur l'formation des idées. L'auteur est le Citoyen Joël Marie Dégérando, il n'a pas fait connaître le lieu de sa résidence. On le dit habitant du département du bas-Rhin, et très jeune encore. Le Citoyen Cuvier a lu pour le Citoyen Andrieux un éloge de Devailly, dont la famille était présente sous le direstie distingué dans le jury. L’institut aura ainsi redonné l’exemple de payer les derniers devoirs à la mémoire des morts, d’acquitter la dernière dette du public envers le talent et la vertu. Le Citoyen Mongez a lu pour le Citoyen Andrieux un rapport de la civilisation contemporaine.
PARCOURS NATIONALE DE FRANCE. La capitulation porte que Corfu avec toute l’artillerie et les munitions de guerre de bouche, sera rendue aux Russes et aux Turcs; que la garnison française sera transportée à Toulon, à condition qu’elle ne servira pas pendant 18 mois, ni contre les Russes, et contre les troupes de la force. Strasbourg, germinal. — Le quartier-général des troupes du Danube se trouve, depuis hier, à Fribourg (en Bavière). Les administrations militaires y sont également établies. Des rapports authentiques assurent que la bataille du 6 a été très-sanglante. L’armée attaqua sur tous les points et rejeta les Autrichiens, qui ont beaucoup souffert près de Lautlingen sur le Danube, où le corps commandé par Saint-André a fait un grand carnage parmi eux. Le général s’avança ensuite à Moskirsch et Pfullendorf. Il prit aux Autrichiens plusieurs canons et fit trois mille prisonniers. Le centre avança aussi que la droite, dans la même direction. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
An incident at Jacksonville, where
As an engineer in the transfer business
Yesterday, a telegram received here
Was received here. The body will be sent
To a new development work in the harbor,
And the development work was underway in
The Dupont Powder Company's new dynamite plant on
York River, near Williamsburg.
The third plan development
The company's new dynamite plant
The outbreak of the
The Logical Du Pont Town is
DELTA PARK
And the way to profit by this latest Du Pont plant is to
Buy a few lots and hold them for the inevitable rise. Many
Have already bought to put up houses and rent or sell to.
Du Pont, employees. Requests have already been received
For accommodations, and buildings in Delta Park are going
Up as fast as they can be erected.
A machinery contractor said: "It will take more than
6,500 men to operate machinery I have contracted to deliver
To the Williamsburg plant of the Du Pont." It is said that more than 400 tars of supplies are scheduled to arrive for the Du Fonts by June 1st. The future of the Williamsburg plant is the future of the DeKalb Park lots. Buy now for profits in Delta Park. Write for plans and details. Delta Development Co., Richmond, Va. Williumsburg Office. Delta Development Co., Richmond, Va.: Please send me plans and further particulars of Delta Park lots. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
§ 33. Sign boards and flagmen at crossings.— Every
railroad corporation shall cause boards to be placed,
well supported and constantly maintained across
each traveled public road or street, where the same
is crossed by its road at grade. They shall be ele-
vated sn as not to obstruct travel, and to be easily
seen by travelers ; and on each side shall be painted
in capital letters, each at least nine inches in length
and of suitable width, the Avords : "Railroad cross-
ing ; look out for the cars ;" but such boards need
not be put up in cities and villages, unless required
by the officers having charge of the streets. At any
point where a railroad crosses a street, highway,
turnpike, plankroad, or traveled way at grade, or
where a steam railroad crosses a horse railroad at
grade, and the corporation owning or operating such
railroad, refuses, upon reques't of the local authori-
ties to station a flagman or erect gates, to be opened
and closed when an engine or train passes, the
supreme court or the county court, may, upon the
application of the local authorities and upon ten
days' notice to the corporation, order that a flagman
be stationed at sucli point, or that gates shall be
erected thereat, and that a person be stationed to
open and close them when an engine or train passes,
or may make such other order respecting the same as
it deems proper. Whenever the crossings by a rail-
road at grade of the streets, highways, turnpikes,
plankroads, or traveled ways of any village or city,
having a population by the last state or federal
enumeration of less than fifty thousand, shall be pro-
tected by gates with persons to open and close the
same, when an engine or train passes, the local
authorities of the city or village shall not impose
any limitation, less than thirty miles an hour, on the
rate of speed at which such engine or train shall be
run, or enforce any existing limitation upon such rate
of speed, less than thirty miles an hour.
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Breuillé invitait l’administration « à rechercher l’origine des odeurs qui vicient l’atmosphère du nord de Paris, et à obliger les industriels de la banlieue, dont les usines produisent ces odeurs nuisibles, à déplacer leurs industries ou à faire tels aménagements qui suppriment les graves inconvénients dont souffre et se plaint une grande partie de la population parisienne. » Toutes ces résolutions étaient adoptées, et cependant, le 18 novembre de la même année, MM. Breuillé et Escudier étaient contraints de poser une nouvelle question sur les odeurs qui proviennent des usines de la banlieue. Et au cours de la discussion, le secrétaire général de la Préfecture de police se voyait obligé d’avouer qu’il n’existait que douze inspecteurs pour surveiller les douze mille établissements insalubres de la banlieue de Paris. Il existe en outre un inspecteur principal chargé de recevoir les rapports des inspecteurs, les étudier et en transmettre les conclusions au Préfet de police. Mais il faut croire que cette besogne n’est pas écrasante, car l’inspecteur principal n’est pas aidé dans son travail par un seul employé. Les établissements d’Aubervilliers L’origine de ces odeurs qui, en certaines nuits chaudes d’été, deviennent intolérables, même pour les moins délicats, était d’autre part nettement indiquée dans l’interpellation très documentée de M. Jacquesmin, le 12 juillet 1892. M. Jacquemin signalait en particulier la commune d’Aubervilliers et le quartier de la Haie-Coq, quartier, disait-il, « justement appelé par les habitants de l’endroit, le pot-de-chambre de Paris. » Dans ce seul quartier, qui est situé à cinq minutes de Paris, on ne compte pas moins, en effet, de douze établissements notoirement insalubres, ramassés sur eux-mêmes, boyaux, fèves d’engrais, maisons de viande, et surtout deux établissements d’équarisseur. « Ces deux derniers, déclare M. Jacquemin, dépassent en puanteur tous les autres, et peuvent être considérés comme le bouquet de ce foyer d’infection; car on y fabrique de l’engrais avec des viandes pourries, sans compter qu’on y produit aussi des appâts pour la pêche, appelés vulgairement « asticots », et qui proviennent de la pourriture des viandes de chevaux crevés. » Citons encore, toujours dans la banlieue Nord de Paris, les fonderies de suif d’Aubervilliers, les dépotoirs de la Villette et de Bondy, etc... | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Praca szpicgów w ostatnich la
tach prowadzona jest z. zastoso
waniem najoaruziej wyrajinowa
nych środków. Rola szpiegów,
szczególnie w czasie ustatniej
wojny światowej, była istotnie
Obrazek z życia
Okradła własnego braia!
Gdy miała lat 8, odumarli jej
Todzice. Poszła na ulicę. „Towa
Tzystwo”* przygarnęło ja chęt
nie, widząc w pięknej dziewczy
nie świetny materjał na złodziej
kę i prostytutke.
Mając lat 14 przyjmowała w |
ohydnej spelunce po 2. 3-ch go
ści. Zarobki bvły b. dobre. °
Mijały lata. Już jako dorosła
grasuje w Paryżu i poza stoli
cą. cieszac sie olbrzymią popu
larnością. Specjalizuje się w
kradzieżach „nao podchód" i
istotnie okazuje się bardzo prze
biegła...
Przed kilku dniami zapozna
ła się w Calais z niejakim Fryde
rykiem Bronnier. Wspólnie od
byli podróż do Parvża, W dro
dze młodzi zaprzvjaźnili się ze
sobą tak, że piękna nieznajoma
zyskała zaufanie Bronnier'a.
„Godzi sie podkreślić, że Bron
nier wracał do ojczyzny po
17-letnim pobycie w Ameryce
Płd.. gdzie dorobił się olbrzy
miero majątku.
Bvł szcześliwy. Zapewniał
Swą rozkoszna towarzyszkę, że
bedzie im dobrze...
Na jednej ze stacyj pod Pary
Żem micznaioma zbiegła, a wraz
z nią znikł portfel Bronnier'a,
zawierający 400.000 franków.
Eke.
Natyclimiast, po przybyciu
do Paryża,» Bronnier złożył
meldunek w policji. Wszczęto
poszukiwania za złodziejką,
Jakież było zdzwienie Bron
nier'a. gdy w niespełna godzi
nę później przed dworzec za
jechało auto, z którego wysiad
ła poszukiwana.. złodziejka.
Podeszła do Bronnier'a i zwra
cając portfel, poprosiła o chwi
le rozmowy.
W pobliskiej restauracji roze.
grała się dramatyczna scena.
Złodzieika wyznała. że przej
rzawszy dokumenty w portfelu.
stwierdzila, iż okmdľa własne
go brata!
kazuje sie, że gdy
nier wyemigrował ‘'nrzed latv.
| 0 | 2 | 0 | 0 | 1 | null |
À ces conditions, il s'engagea à servir l'ermitage pendant dix ans pour la nourriture et l'habit. Il observe dans ses Mémoires que cet acte fut ratifié chez un notaire de Lunéville. Un jour que Valentin était dans le bois qui lui servait de cabinet d'étude, environné, selon sa coutume, de ses livres et de ses cartes géographiques, il fut abordé par un homme de bonne mine et richement vêtu qui, surpris de cet appareil, lui fit différentes questions auxquelles il répondit avec justesse, mais sans faire beaucoup d'attention à celui qui l'interrogeait. Pendant cet entretien, nombre d'officiers arrivant de toutes parts, entourèrent avec respect le personnage qui questionnait Valentin. Celui-ci apprenant qu'il était en présence du prince de Lorraine, voulut excuser la liberté de ses réponses. Le prince le rassura et lui dit que, content de ses dispositions, il se chargeait de son sort. En effet, il le plaça dans une université. Valentin fit des progrès si napides qu'au bout de deux ans, le prince, qui voulait se l'attacher, le fit faire plusieurs voyages, et à son retour le nomma son bibliothécaire et professeur d'histoire à l'académie de Lunéville. Dans la prospérité, Valentin n'oublia point son ancien ermitage de Sainte-Anne, et le fit rebâtir à neuf. Lorsque la Lorraine fut cédée à la France, il refusa toutes les propositions qui lui furent faites pour rester, et suivit la bibliothèque de son bienfaiteur à Florence, où il demeura huit ans. La réputation que son savoir lui avait acquise, le fit appeler par l'empereur d'Autriche pour lui former à Vienne un cabinet de médailles. C'est là qu'il vécut aimé et considéré de toute la famille impériale, et qu'il mourut en âgé de près de quatre-vingts ans. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
X V. Certumque eft alios difcipulos eandem fidem profefluros , nifi Petrus pro
omnibus loquurus fuiflet , eotque luo asdorc & zelo antevertiflet , licut Maldonarus
ppft omnes antiquos Patres aflerit , Matth. 14. v. 53. ubi re&£ obfcrva*t , fidei
confcllionem a Petro editam , Matthaei 1 tf.ejufdcm efle prorfus naturae cum ea quam
difcipuli profitentur Matth. 14. idqucfufiiis infra probabitur. At audit4 Pctricon-
fclllone , lefus refpondens , dixit Petro. Beatus es Simon Barjona , quia (aro & [anguis non
revelavit tibi , fcd Pater meus qui eft in Calis \& Igo duo tibi , quia ta es Petrus, & fiiper
banc Petram a,lificabe f (defiam meam , & porta infert non pravalebunt adverfus eam , &
tibi dabo (laves Regni Calorum ; & quodeumque ligaveris fuper terram , erit ligatum in Calis,
& quodeumque fo Iveris fuper terram, erit folurum & in Calis.
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"Es ist," fagt der Bischof, "eine Ehrenbeatrix, das Stift, das uns
entweder ehrenwürdig oder groß ein shall protestantischer
Stöchter in römischen Katholischen Stiftern erzogen werden, und
bahnt dabei ihre Entschuldigung, bahnt sie ihre Hinberufung in
diese Stifte schicken, gelten bahnt sie für erstklassig machen,
bahnt sie vorsonst und genauer eine so wohlfeile und so gute
Erziehung zugeben, es ist ein Streit, der in der römischen
Katholischen Darstellung über die Sorge für die jungen
Kinder unserer Kirche noch länger überlassen. Es ist eine unser
Pflicht, ernstlich damit zu beginnen, die Erziehung der Stöchter
auf eine befriedigende christliche Erziehung zu steuern.
Stehend müh ich einen allgemeinen Seminertum machen, bis
hierher meine Reifenschaft habe ich oft die Gelegenheit gehabt,
mit Ihren Söhnen zu reden, welche mit der Bischofschaft dieser
Stifte wohl vertraut sind; und über einen Grund sind ihre
Auffassungen einstimmiig, ich hörte förmlich bisweilen einen
Gegenstand auffallen, welcher zu unserer Kirchengemeinde
auflag. Dann fagt der Bischof, bahnt die Bischöreinnen
fleiß rücksichtslos unter den selbst auferlegten Pflichten
hingeben; man sagt, bahnt ihre Sorgfältigkeit für die Kinder
niemal geleugnet, bahnt sie die selbe als eine wesentliche
religiöse Pflicht betrachten, welche einen Teil ihrer Dienste
der Kirche obliegt." | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | null |
ViAoresautcmraSi.cOlonbshohlddoBtpnduttuni, fcd
& in alia loca milVthHL^TSbnkr. At Vellcius in fi. 1. i.T of-
quaco.ScmpronioquoGonl&libtiSimiAam Brundiitiiiin
coloniam tradit, id l A: ; anno V. C. 509.. ci.qu< confentit
Flor.cpit.Liui| 19. Di.clpoccA Cpln4iain hocprimum an-
no miAara, deiiide vetoVigeiimo tertio renouacam.
Ca,pto Brun(iq.ljq,&Sailcntinisdcui(flis,inmagnam
Romani exercuere potentiam : nec tamen ita exrulere a-
nirtios,yttus gentium a fuis violatum ne^ligcrcnt. Nam
(^Fabium Senatorem ; ob contumeliam legatis fafiam,
Apuilbniatibus dediderunt. vtaitZunar. At Florus in
Epitotnedrama quinta, ait Cos aquibufdamiuucnibiis
puUaios.eifdeiirhiitlededitos. EA autem Apolloniam
alteU concinente ad orientem, prope dregione Btundu-
A). 'Rem paulo vberitil explicat Valcr.Max.rl.{V;(f0f, in. >L«.e«
qui^.al frbtAp»B»nid lUmdinmi/ts, Qj^dbiinf^ Ca, Aproni-
ut ddilftqertd (onteutionepalfduerunt. ()uod vbi ctmpntr Hau-
na,{»atwu» t»s ptr fttidlit dtdtdn ^qntflortrH^ tumqi
Brundafmmiri iajfii, nt qudm in ttttun , d agnotudtditorum,
miurtdm duiptrnit. JiUm (arum quii moruhum umiluim,
dtnonJiJei ttmplumdsxmc i Sic iplc , quibas addit
Zooaus,ApolloniatesdomoiIiiucolua>u
dcditiiiosremifiile.
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Anti Christvm i6^.6c^64.
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ANNVS MVND! 3788. SEXT^ «TA-
cis, 272. Impcrij Grzconim 46. Antiochi Soteris
1 Elcazari Pontif. 23. Philadelphi 21. Olympiad.
CXXVUI. an. 3. Vrb.Cond. 487. Cn. Fabio Pi-
&ore,5cD. lunioPcraCoiH
ANNVS ANTE CHRISTVM ztfj.
HIstori A Gueornm bicieiuna,ic prope inanis efl.
| 2 | 0 | 1 | 0 | 0 | null |
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N-d'.KOl.K, VA.. Aumist 3 ?The 1
hotly "f Itohert T,ec Scott. who died !
last nitht in a lohat hospital, aged I
twenty-seven years, was taken this.
morrinir t?> Itlaekstone for burial. Mr. i
Seott i* survived hv his wife, who is !
In the Treatment
of Tuberculosis
remember that first aid to relief is
found in abundance of fresh air?day
i anil night?freedom from over-exer- 1
; lion, ami pure food
I Attention to these matters should do
; much to at rest the progress of the j
malady, but in many cases there is
need for extra help. Where Nature
has to work with a weakened body
her power is limited.
I'nder such cimeumstances. try Kck -
'man's Alterative. which has been used
with large benefit by many sufferers.
' In numerous cases 'it has' helped to
bring about recovery. Also, it has
; been successful in treating asthma
and bronchial trouhles.
And since it contains no opiates,
narcotics or habit - formingr drugs, its
use is not attended with danger. Sold
by Tragic 1 'rug Co. and other drug
gists.
lick in a ii I.ahorat ory. Philadelphia.
(Advert isement.)
Mit>orinton<lont of tlie Protestant I!ok.
I'ital, ??>? IT'S mot tier, f-mr brother;; ami
two sisters.
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wherej-be-flowersare sweetest
Tt?e waters are clearest*
Tbe'skies^are blaest\
and joys are\keer?esfc
low m\mn top fare's ji
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'Tickets o/v'sale until sept.so.
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- -fROr^ washington *
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apply WASH!f<gt0rt-5U/nset ROUTE
f 907 E. Main Street, ? c
Richmond, Va.
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Veut-on supposer que Paul ne doive rien à Salomon, le virement ne s'en fera pas moins. Pierre, tirant sur son débiteur Salomon, donnera la lettre à son créancier Paul, qui l'encaissera chez le tiré ; dans cette espèce, point de compensation, un seul paiement solde tout.
Par cette circulation de la lettre donnée et reçue en paiement, rapidement dirigée d'une place sur une autre, le virement s'opère avec autant de facilité que si les parties étaient en présence.
Au lieu de trois personnes, on peut en supposer un plus grand nombre; le résultat sera le même, ou, du moins, toute la différence, c'est qu'un plus grand nombre d'obligations seront éteintes, soit par une seule compensation, soit par un seul paiement.
Comme il est rare qu'entre deux places qui ont des relations suivies il n'y ait pas réciprocité de dettes, on voit comment la lettre de change sert à les solder, en évitant des transports de numéraire et des paiements répétés.
Ainsi, quand un commerçant de Paris, v. g., Jacques, doit à un commerçant du Havre, v. g., Pierre, il est presque impossible qu'à Paris, à côté de Jacques, il ne se trouve pas un commerçant, v. g., Salomon, qui soit créancier de Paul, commerçant du Havre. Il y aura donc à Paris deux commerçants, dont l'un voudra payer au Havre et l'autre y recouvrer, ou au Havre, deux commerçants, dont l'un voudra recouvrer à Paris et l'autre y payer. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
deficits, in sorpdsing. Heiiniooe wDoId find other
sad and fzied niatrcc^ to be et her ctmnpany ; bat tfie
cha— idng confidaice of Poifita wvnld be ont of place.
We most net. iirwever, pass away with the idea of a
too great sameness. Titere are plays on patri-otir thetres
— stici- as ' Rrananticismo ' — abscdnteiy startlfns in its
real intensity; or 'La Retina.' inierior, bat ntstintt
■with the ps.thcis of Italian couniiy life ; or ' Come le
Fo^ie/ ^shich searthes the heart of a ni:c.die-:Iass famify ;
at tnat deh^itfnl ' Commecia ddla Pesfce,' where we
pb.y with the fires of innncaahty, bat so gentle are
they that oar nngers are bnt cxKntetahly ^rtartned.
These, and snch as these, reheve the rrrnttrny. while
aiMing to the power. And to traTel otrtside the ' Stena
di pcosa,' we may rr.? .'<^ an occasiimal visit t: the diakct
theatre for this, if fw no other reason, that there we may
srrane acqnaintanre with InnocQice, if we meet wirh
few adventnres; and may wipe ont the stain of iHidt
longing with fresh loves and naxen hair.
With regaid to the manner of the Italian pLa^-wriiht
there is pedi^K more mtirism, and kss piaise to be
bestowed. Tfi'^ jdays are open to the chaige of being
wanting in art. The charge is partly tme ; nevertheless.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
aus der Stiftung 4 Shilling, 2 Shilling, ein Viertel Stücker und neun Gulden an arme Granzen auszubeilen und ob der Christen; und die untere und die obere Spital-Kaplane sind am Samstag etliche Pfennige besommen.
47. 1413, 1. März.
3 Jährige Gottergüte, Gott genießt, mit dieser guten Bürgerin, stiftet 7 jährige Semester an das Spital, allzeit, wenn der Stifter tot ist, seine Brutstelle abgegeben; mit 80 Pfennig ablösen.
Einmeetung.
Es wird sich bei der Einrichtung auf eine Hauptstube berufen, rechts die offene Hauptstube oben registriert. 2. 24. 1407 ist. - Kleine Stube, Reihen an Namen, ist bei den Stiftern mit einer aufstrebenden Taube und der Umgebung. Sie lohnte die Gutsbevollmächtigten, die noch bei dem Graben stehen, ist der Niederlag nach.
48. 1419, 17. März.
21. Beiträge, gleichmäßig, Bürgerin in Leibfuttenhof, ermaßt ihren Hausgarten, bei der St. Bartholomäus-Kapelle, der Professor-Kapelle auf dem Gut, zur Abhaltung eines Gottesdiensts für sie und ihre Toten.
Urkunde.
Die Urkunde hat besiegelt: Herr Ulrich Prager, Herr Kardiner (Kanzler) und Herr Eccan bei dem Kapitel, Mengen (vgl. oben 24. Juni 1391). Oblonges Siegel von gelben Grund, jeigt in der oberen Hälfte das Wappen, unten ein breites Wappen, beim Wappen verwittert, wie andauernd fast ganz die Umgebung. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Derechos de importación. ........................ 2.1 67.000
Idem de exportación . * 306.000
DERECHOS ESPECIALES.
Derechos de navegación. * 68.000
Depósito mercantil 4.000
Maltas y comisos 24.000
Recargo del 6 por 100 sobre los derechos de importación. 130.020
2,473.000
Total de la sección segunda.
226,020
2,699.020
SECCION TEBCERA,— RENTAS ESTANCADAS.
Unico. EFECTOS ESTANCADOS.
1. * Papel sellado 81,000
2, * Idem de multas, 6.800
3/ Idem de reintegros. . , 7,700
4. ° Sellos de correos 69.400
5. * Documentos de giro 6.900
6. ° Sellos de recibos y cuentas 4.100
7. ° Idem judiciales ... 11,000
8. ° Idem de policía, 3,800
9. ° Idem de títulos, 100
10 Idem de telégrafos 21,300
1 1 Cédulas personales, 70. 0 00
12 Bulas . . , 1 -600
283.700
283.700
Total de la sección tercera
16
17
DE JULIO DE 1S83,
INORES OS
CALCULADOS.
Capítulos, Artículos,
DESIGNACION
DE LOS INGRESOS.
Por artículos.
Pesos Cents.
Por capítulos.
Pesos Gente.
SECCION CUARTA.
—BIENES DEL ESTADO.
1.*
2,°
PRODUCTOS EN RENTA.
1. " Rentas que fueron de regulares ,
2, ° Emolumentos de la mitra. . . 4
3° Réditos de censos.
4. a Canon de solares * ,
5, ° Productos de las salinas del Estado.
6. ° Arriendo de los solares y terrenos comprendidos dentro
de la zona militar de la capital
7, * Producto de minas
PRODUCTOS EN VENTA,
1.6 Venta de efectos inútiles para el servicio.
2. ° Solares de la marina
3. ° Bienes del Estado.
4.6 Aprovechamientos de montes públicos
Unico.
Total de la sección cuarta.
SECCION QUINTA.— INGRESOS EVENTUALES.
DIFERENTES CONCEPTOS.
»
»
»
3.500
200
»
7.500
25.000
400
3.700
32.900
36.600
1. ° Alcances de cuentas.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Assignation en requête civile.
L'an ..., le ..., à la requête du sieur A... (p., g.; et d), pour lequel domicile est élu en l'étude de Me ..i, avoué près la cour d'appel de 7.7, y demeurant, rue y.-., n° y.', qu'il constitue et qui occupera pour lui sur la présente assignation, y ;
J'ai... (immatriculé de l'huissier), soussigné, fait la signification, et, en tête de cette des présentes, donné copie au sieur B... (p., q; et d.), audit domicile, où étant et parlant à ..,
1° De la consultation, à..., en date du 8., signée de trois avocats, exerçant depuis plus de dix ans, près la cour d'appel de --"', y, contenant la déclaration qu'ils approuvent la requête civile que entend former le sieur A..., contre le jugement rendu contradictoirement entre lui et le sieur B..., par le tribunal de 1er inst., signifié au domicile le ; et indiquant les renvois donnant ouverture à ladite requête.
2° De la quittance du receveur de l'enregistrement de ..'; en date du ..., constatant que le sieur A... a dépensé entre ses mains la somme de y., pour l'amende et les dommages-intérêts auxquels le requérant pourrait être condamné, sur la requête civile dont il est ci-après parlé. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Een half uur na de komst van het gezelschap verlieten twee mannen het kamp. Zij groetten den wacht en deze had tegen de beide mannen die de lederen vliegcruitrustlng droegen, niet de geringste argwaan. Het kwam geenszins bij de schildwacht op. dat de Dultschc vliegcruitrustlng hoegenaamd geen verschil toont mat de Engelschc en dat deze beide piloten, die zoo rustig de poort verlieten. Duiischc krijgsgevangenen konden zijn. Hoe zouden zij ook? De vliegers groetten onberispelijk en m een duidelijk verstaanbaar Engclsch ecvoerd gesprek verwij Jerenden zij zich van het kamp. In een Jachtvliegtuig. De vluchtelingen zetten dadelijk koers naar het nabijgelegen vliegveld. Zij waagden het er zelfs op mal een autobus te gaan. Het vliegveld betraden zij langs een zij-ingang en kwamen zoo doende dadelijk op het terrein, waar een groot aantal toestellen voor de start klaar stond. Van het grondpersoneel, dat hier rond liep. had ook niemand ccnigcn argwaan tegen de beide piloten, die rustig maar snel een machine uitkozcn: integendeel de bcdicnmgsmmschappen waren dadelijk bereid de behulpzame hand te bieden bij de start. De bezetting van het vliegveld wisselde zoo vaak van piloten en andere vlicgiuigmanschappcn. dat het grondpersoneel de gezichten niet uit elkander kon houden. Eerst een uur na het vertrek van hel jachtvliegtuig werd de vlucht der beide Duitschc gevangenen ontdekt. In militaire kringen heeft de scnsationcelc vlucht grootc opschudding verwekt. Men raamt zelfs op plannen om dcrgclijkc pogingen in de toekomst volkomen ónmogelijk te maken.doch hiermede krijgt men de beide gevluchte piloten —op wier gevangenschap de Engclschcn bovendien veel prijs stelden die behouden op Duitsch grondgebied zijn geland, niet terug. mf h i-t Nit imtzlf r\3al\l3rl\ {Overgenomen uit het Nationale Dagblad).
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Lambert, dit Frondeville, soit déclaré coupable, de son aveu, de manquement au respect dû à l’Assemblée, et que, par forme de punition correctionnelle, M. Lambert, dit Frondeville, gardera prison pendant huit jours. M. Bonnay. Je regarde comme un malheur véritable, que la censure, que la peine la plus forte que vous puissiez infliger, tombe dans une sorte d’indifférence et de mépris : il est également malheureux que la violence des passions engage à la prononcer avant d’avoir peut-être entendu une justification suffisante. J’avais proposé un terme intermédiaire, qui n’a pas même convenu au Membre qui était l’objet de la discussion : il a fallu imprimer un Pamphlet coupable. J’adopte une partie de la motion du Préopinant; mais je m’élève fortement contre la peine de la prison. Quand on vous a présenté un projet de Règlement, ou cette peine était portée, la réclamation a été, sinon unanime, du moins très-forte. Je demande que M. Frondeville soit déclaré coupable d’avoir manqué au respect dû à l’Assemblée Nationale, et qu’on ordonne la radiation du Pamphlet. M. Alexandre Lameth. Frappé, ainsi que M. Gopol, de l’indécence et du danger d’un Pamphlet tout je ne peux voir croire qu’un Membre de l’Assemblée Nationale l’ait écrit, je voulais suivre la même motion, et dire qu’il est impossible de ne pas vouloir délibérer sur cet objet, sans porter atteinte au respect dû à l’Assemblée Nationale. En Angleterre, un Membre qui manque à l’ordre est mis à la Tour de Londres; un Membre qui manque de respect au Parlement, peut perdre sa liberté par un Décret. S’il est une cause où l’on puisse appliquer cet exemple, M. Lambert Frondeville vient de nous le montrer. Je viens à l’opinion du Préopinant. Je lui demande si M. Lambert considérera la déclaration proposée comme une punition. Il s’honorera du Décret comme de la censure. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
Na wczorajszem posiedzeniu Izby po
słów, w dalszym ciągu obrad nad ustawą o
podatku wódczanym, po mowie p. Hołubo
wicza obrady przerwano i Izba przystąpiła
do dyskusyi nad wnioskiem nagłym p. Ma
lika w sprawie sprzedaży gruntów, należą
cych do arsenału Lloyda w Tryeście. Na
głości nie uchwalono. Następnie odczytano
wpływy.
54)
Anatol Krzyżanowski.
PROMIEŃ BOŻY.
Powieść współczesna.
CZĘSĆ DRUGA.
XV.
(Ciąg dalszy).
Takim właśnie Zofia chciała go rodzi
com swoim przedstawić. Wobec tego wy
kwintnego dżentelmena, ubranego z wyszu
kaną, nieskazitelną elegancya paryską, pan
radca Krzewiński nie powtórzy już swego
ulubionego, a pychą wielkiego obszarnika
trącącego aforyzmu, iż:
Kto wyzbędzie się roli i osiądzie na
bruku, ten „z pany spada między mie
szczany*.
Oczy jej trysnęły iskrami wesołości i
pofrunęła ku Swietlickiemu.
Mistrzu, — rzuciła z czarującym
uśmiechem, — jakie osobliwości będziemy
zwiedzać dzisiaj ?
Sposępniał.
— Tak ich mało, — wyznał ze skru
chą, jak gdyby to jego było winą. Trochę
ładnych, starych obrazów: Rembrandtów,
Van Dycków i Rubensów w galeryi przy
szłego Muzeum miejskiego i parę bogatych,
cennych zbiorów prywatnych. Wszystko to
jednak zamknięte o tej porze, jest do zoba
czenia zrana tylko.
— Tem lepiej, stwierdziła żywo
p. Krzewińska, bo przyznam się, że po cało
dziennych sprawunkach i interesach, dostate
cznie jestem znużona. Może byśmy usiedli
i pogawędzili spokojnie, — zakończyła i, zaj
mując kanapkę, wskazała gościowi uprzejmie
miejsce. i
Ukłóło to Swietlickiego. Nie chce po
kazywać się ze mną w mieście, — pomyślał
podejrzliwie.
Ale pani Anna umiała łagodzić prze
dziwnie, każdą przykrość komukolwiek wy
rządzoną.
Między innemi odczytano interpelacyę
p. Zahajkiewicza w sprawie obsady sta
nowisk dyrektorów w seminaryach nauczy
cielskich w Galicyi i w sprawie postponowa
nia języka ruskiego przez władze w Galicyi;
p. Klemensiewicza w sprawie znęcania
się nad rekrutami w Galicji.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
2. L'approssimazione del moltiplicando 23,623... si è spinta sino all'ottava cifra affinché il prodotto contenesse un errore minore di un'oncia cuba. In fatti una canna cuba contiene 8 cubi, ovvero 8 x 12 = 96 once cube, e quindi il prodotto, esprimendo canne cubiche, dovrà essere approssimato sino ad un milionesimo, perchè differisca dal vero meno di un'oncia cuba, e per la regola data a pag. 61, ciascuno dei due fattori dovrebbe estendersi fino all'ottava cifra; ma il moltiplicatore essendo esatto, basterebbe in questo caso estendere il solo multiplo sino alla settima cifra, attesa la piccolezza della prima cifra del moltiplicatore, e si è esteso sino all'ottava per poter eseguire la moltiplicazione col metodo abbreviato, esposto a pag. 66, di cui si è fatto uso anche nella riduzione in misure cubiche della frazione decimale annessa al prodotto, per economia ed ordine di calcolo. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
I. Pastilles préparées à l'aide d'un mucilage. (Tablettes, Tablettes du Codex.)
On réduit les substances qui doivent en faire partie en poudre très-fine. On incorpore d'abord dans un mortier une partie du mélange au mucilage, puis on porte cette masse molle sur une table de marbre, et l'on y incorpore par malaxation le reste de la poudre sucrée ; on étend cette masse en couche uniforme au moyen d'un rouleau, après avoir saupoudré la table avec un peu d'amidon. On saupoudre également la surface de la masse. Afin d'avoir des pastilles de même épaisseur, on se sert de carrés ou de règles en bois ou en fer, de l'épaisseur qu'on veut donner aux pastilles, sur lesquelles les deux extrémités du rouleau s'appuient lorsque la pâte est convenablement étendue ; à l'aide d'un emporte-pièce on la découpe en pastilles.
On étale ces dernières, les unes à côté des autres, sur des feuilles de papier étendues sur des tamis ou des châssis, on laisse sécher un peu et l'on porte à l'étuve pour achever la dessiccation. Certaines pastilles, celles de Vichy, de magnésie (action des alcalis sur la glucose), de bismuth (effet dû à la réduction de l'argent contenu dans le bismuth), par exemple, se colorent quelquefois en brun pendant leur dessiccation.
Les emporte-pièces n'enlèvent ordinairement qu'une pastille à la fois, mais on a imaginé des emporte-pièces multiples, et même des cylindres creux percés de trous de la forme voulue ; en roulant ces derniers sur la pâte, chaque trou se remplit ; en continuant à la rouler, une nouvelle épaisseur est prise et fait tomber la première dans l'intérieur du cylindre. Ces moyens ne sont avantageux que dans la fabrication en grand. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Joseph Burk's ship-yard is at the foot of
Cooper Street and it has been in operation
since 1880, when it was started by the pre-
sent proprietor. The yard occupies an
area of one hundred and sixty by five hun-
dred feet, and extends to low water mark.
The docks are convenient, and the yard is
equipped with the necessary appliances for
building and repairing vessels engaged in the
river and coasting trade. Forty workmen
are employed.
Dialogue's Ship- Yards. — John H. Dia-
logue, the proprietor of the extensive ship-
yards in South Camden, began business in the
city of Camden in 1850, at Second Street
and Bridge Avenue, on the premises pre-
viously occupied by J. W. & John F. Starr.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Bois. Haut., 19 cent.; larg., 14 cent.
(Collection Léopold Double.)
CLOUET
(École de FRANÇOIS) dit JEHANNET
22 — Portrait de la belle Laure.
En buste, tournée vers la gauche, les cheveux rouges nattés et pendans sur le dos, couverts d’un voile blanc, elle porte un corsage rose brodé d'or, ouvert sur la poitrine et un collier enrichi de perles autour du cou.
Fin portrait d’une remarquable pureté de conservation. Cadre en bois sculpté.
Bois. Haut., 19 cent.; larg., 15 cent.
COYPEL
(CHARLES)
1694-1752
23 — Figure allégorique, Cariatides et Attributs divers.
Peinture sur fond d'or avec guirlandes, rinceaux, draperies, masque de la comédie, etc., formant dessus de porte.
Toile. Haut., 54 cent.; larg., 83 cent.
DANLOUX
(PIERRE)
1745-1809
24 — Portrait de Mme de NOtre-Dame.
Elle est debout dans un parc sur un escalier de pierre, en robe de mousseline blanche serrée à la taille par une ceinture rouge. Le visage souriant, les cheveux blonds bouclés, coiffée d’un bonnet blanc à plume noire, retroussant sa jupe d’une main accoudée sur la hanche, de l’autre gantée, tenant une canne et appuyée sur la balustrade.
Jolie esquisse du tableau de la Collection de M. le Prince d’Arenberg.
Toile. Haut., 36 cent.; larg., 28 cent.
DANLOUX
(PIERRE)
25 — Portrait d’un Conventionnel.
Debout dans un parc, en habit bleu, gilet blanc, culotte nankin, bottes à revers, son chapeau à la main.
Toile. Haut., 32 cent.; larg., 24 cent.
[texte_manquant]
[texte_manquant]
DE ROY
(J.-B.)
26 — Pâturage.
Une vache est couchée au premier plan, près d’un pied de chardons.
Dans le fond, une femme montée sur un âne, un berger assis et un pâtre conduisant des moutons.
Signé à gauche : J.-B. De Roy 1790.
Bois. Haut., 20 cent.; larg., 25 cent. | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | null |
Préface
Le Poème dont je donne la Traduction, est de M. Gessner, Imprimeur-Libraire à Zurich, qualité qui, comme on le sait par l'exemple des Etienne, ne déroge pas à celle d'érudit et de bon écrivain. Plût à Dieu même que toutes les espèces de professions, qui ont, comme ces deux-là, une forte dépendance et de connexion nécessaire, fussent ainsi réunies dans les mêmes personnes! On n'entend parler que des débats et du désaccord des Auteurs avec leurs Libraires, et des Comédiens avec leurs Poètes dramatiques; des Médecins avec des Chirurgiens, des Avocats avec des Procureurs. Réunissez
DU TRADUCTEUR
chacune de ces professions à celle qui la touche, vous rétablissez l'accord et la paix. La Librairie singulièrement permise aux Auteurs, releverait cet art, en augmenterait l'émulation et la noblesse. L'Auteur, curieux de sa production, ne négligerait ni soins ni dépenses dans l'exécution, pour la faire paraître au public d'une manière décente. M. Gessner, au talent d'écrire et d'imprimer, joint encore d'imprimer, encore de graver en cuivre. C'est toujours lui qui a exécuté les Frontispices et les Vignettes de ses Ouvrages. Il a donné son Poème pour la première fois en 1758, en caractères romains comme il avait fait de ses autres Ouvrages, qui tous sont exécutés avec la dernière correction. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Montucci (Antonio), war der 22. Mai 1762 zu Siena im Toscanischen geboren. Wohin früher Jugend an zeigte er eine besondere Neigung für das Studium der Sprachen. Nach beendigtem Schulunterrichte widmete er sich der Rechtswissenschaft, und vervollständigte sich in derselben an der Universität seiner Vaterstadt, nachdem als Dr. der Rechte promovirte. Jeden ihm bei seinen Studien überbleibenden freien Augenblick verwendete er auf die Erlernung der lebenden Sprachen. Schon im Jahre 1785 war er Professor der englischen Sprache im Collegio Tolomei. Im folgenden begleitete er einige Engländer, denen er Unterricht in verschiedenen Sprachen erteilte, nach Florenz, wo er die Bekannschaft des berühmten J. Blackwood machte, der ihn 1789 mit sich nach England nahm. Durch dessen Empfehlung wurde M. in London mit vielen angesehenen Familien bekannt, in denen er Unterricht in der italienischen Sprache und Literatur gab. Er studierte hier mit vielem Fleiß die englische und chinesische Sprache, begab sich 1804 nach Edinburgh, entwarf den Plan zu einem chinesischen Wörterbuch. Die Druckkosten überstiegen jedoch seine Kräfte. 1806 ging er nach Berlin. Nachdem er 1809 seine in Schottland zurückgelassenen chinesischen Bücher und Handschriften erhalten hatte, fing er an, die zur Herausgabe eines chinesischen Wörterbuches nötigen Typen in Holz schnitzen zu lassen; eine Arbeit, die erst im Jahre 1825 ganz vollendet wurde. Gegen De Guignes schrieb er hier: „Remarques philologiques“. Von Allen, die ihn kannten, geliebt und geschätzt, verledete M. in Berlin glückliche Jahre; er und seine Gattin erwarben sich durch Unterricht im Italienischen und Englischen ein bedeutendes Einkommen, das ihn im Stand festhielt, die Arbeit des Typenscheidens rührig fortzufahren. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Hessa Rubber Maatschappij. De rubberproductie der afgeloopen maand bedraagt 89.695 Ibs. = 81,366 h. Kg. droog. Bruto provenu 78,518 Ibs. standards a 1/2 = £ 4580.4.4 11,177 Ibs. off grades a 1/0 7/8 £ 599.12.0. Totaal 89.695 Ibs. = £ 5179.16.4. Productie-cijfers der ondernemingen onder controle van de firma Geo Wehry & Co. Rubberproductie (in h. K.G.) Mei Jan./Mei Jan./Mei 1929. 1929. 1928. Guit. Mij. Soerowinangoen .. 48.000 226.800 209.200 Fr. Nederl. Koloniale Guit. Mij. Ond. Pasir Oetjing 33.700 168.600 174.200 „ Soengei Moesam .... 23.700 111.200 91.900 Rubber Mij. Basilam 32.900 162.500 166.600 Guit. Mij. Bajabang 64.500 314.800 305.500 Guit. Mij. Boekit Lawang. .. 35.600 170.500 159.800 Guit. Mij. Boekit Lambasa .. 25.500 97.800 93.400 Theeproductie (in h. K.G.) Guit. Mij. Goalpara 223.600 1.100.700 813.900 Guit. Mij. Tjimonteh 120.800 515.900 393.900 Assam Thee Ondern. Soemadra. 72.900 351.200 288.400 Guit. Mij. Papandajan ..... 29.100 139.600 104.800 Assam Thee Ondern. Ardjoena. 38.400 217.800 168.900 Guit. Mij. Tjisampora 54.200 234.600 274.900 Oogsttaxaties en producties van Cacao-ondernemingen. §) T3 .ÊS ! ®• ■d • ! Namen der «2o o. Namen der w®" £ cC ° M O o, C • O ondernemingen §«•- 1 ondernemingen §«£ en gewesten. en gewesten. S t-hS=- >3 >3 Pekalongan. I Semarang. Kedondong I-VII 400 Soekamangli 75015 U USiloewdk-Sawangan. 4.000 Tjoeroeg Semarnnp – Tl°g° 600 311) Assinan ?.fbo – Wringin Sarie 60 141) Djati Roenggo 1.200 Soerakarta. Getas 2.000 Ngoepit en Djon- Ngobo i.600 323) grangan 100 Nieuwe Gebangan... Satrian Selap 599 491) Seketjer-Soemoer- 1 niet bij name gepitoe..... 1.200 812) noemde onderneming 30 Sido-Redjo 80 Totaal generaal i 13.819 222 §) Deze staten zijn opgemaakt door het Centraal Kantoor voor de Statistiek van het Departement van Landbouw, Nijverheid en Handel te Weltevreden. i) le en 2e kwaliteit. Waarvan 70 pikols le kwaliteit. 3) Waarvan 27 pikols Ie kwaliteit. Société Internationale de Plantations el de Finance. Maandelijksche productiestaat van rubber. Mei 1929. Fed. Malay Stat. Rubb. Co. Ltd. 176,200 Ibs. droge rubber Kuala Lumpur Rubber Co. Ltd. 143,528 „ „ „ Sedgeley (F.M. S.) Rubber Co. Ltd , 49,000 „ Tanjong Malim Rubber Co. Ltd 192,515 „ Soc. des Plant, de Telok Dalam 82,606 „ „ „ Tjikadoe Rubber Plant. N. V. 24,188 „ ~ „ S.A. Plantations Bunge. 10,989 „ „ „ Tolan Satoe Expl. Mij. N.V. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Nel territorio e il popolo sono gli elementi da studiarsi in questa questione, ivi. — Spazio, manchi di sussistenza, vie di comunicazione sono la qualità fisica di un territorio destinato a servire di base ad un popolo, ivi. — Fatti fisici su cui si fondano i grandi sistemi della geografia razionale riguardo al territorio, 604-5. — Razza, lingua e religione sono i tre aspetti sotto cui devo considerare popolo, 605. — L'elemento territorio è invariabile mentre è variabilissimo l'elemento popolo, 605-6. — Le divisioni politiche sono arbitrarie o dipendenti da necessità momentanee, 744. — Il loro distintivo è oggi puramente intellettuale, e si fonda solamente sul linguaggio, 745. — Il commercio è un grande elemento della potenza e del progresso economico delle nazioni, 807. — La supremazia marittima costituisce la superiorità politica delle nazioni, ivi.
Numi, Nowogobod. Proporzione tra lo nato e quelli che arrivano a 16 anni, 136.
Nilo. Modi d'irrigazione nelle torri adiacenti al Nilo, 768. — Feconda l'Egitto, 554.
Nobiltà. I compratori di lettere di nobiltà, più che dalla vanità, erano mossi dall'esenzione dalle imposte, 626. — La nobiltà prima della rivoluzione in Francia era esente d'imposte, 641.
Norton, Prof. Citato sulla rinnovazione naturale della fertilità della terra, 899.
North British Review Parole della North British Review su i benefici risultati del sistema protettore nel continente d'Europa. 1040.
Norvegia. Malattia dello scorbuto in Norvegia, 546. — Con quale sistema naturalmente limita la popolazione agricola in Norvegia, 585. — Uso dei curati in Norvegia a riguardo dei matrimoni, 591.
Notai. Necessità di limitare il numero dei notari e degli agenti di cambio, 119 a 121. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
que de Étcalona. El raundoy bola de oro,
llenóla Alejandro de Mcdici.quc enton-
ces fellatnaua Duque de Pina, y delpues
lo fue de Florencia. La Corona de hierro
Ueuauala Bonifacio Marques de Monefe.
trac. La Cegunda fiefta para recibirla Coro
na de Oro, fue la mas fontuofaque los
homóreshan vifto* y porque fe fepa la foc
ma que fe aCoftumbra de tener cnlaco-
tonacionde los Emperadores Chnftianos,
quiero (aunque me detenga vn poco)po-('. -- |
ner aquí lo que en ella fe hizo muy par-
ticularmente , queno crío Teta falucho la
leerlo.
Ante todas colas eftanaa en San Pedro-
nió hechas muchas capillas, con los mif.
mos nombres y talle que tienen las capillas
de S. Pedro de Roma(adondc fe aeoftum-
bnn de hazer femejantes licitas y ccscmO-
nias)á fin de que en citas Capillas fe hi- ccr#mo_
zicften los mi fiaos autos que allá íc auian n¡** ¿c j* j
de hazer, fi en Roma fe celebrara la coro- Corona-
nació* porque aofaltaíTc nada en laformj ‘ ^
que para eftócftá dada en los libros Ponti dar.
ficalcs. En lapida de San Petronto cftaua
Antonio deLeiua Con toda la artillería, en
fus quartcle* en forma de guerra, tomadas
las caites , pata feguridad y m^geitad de U
fiefta. £u el portal del Palacio cftauan he-
chas fuentes artificiofasdevÍQo b.'anco,y
tinto * ^ en medio de lapla£a fe afiat/a vd
grandiísimo buey encero, relleno de diucC
Cascabas y laluaginas, para quealmor^af.
fen los Toldados, fin falir defuscftaocias.
Quanto ha que los hombres fe acuerda, nñ
ca fe vio en vna ciudad junta tita gente de
toda fuerte, a fiefta ninguna , como allí fe
halló aquel di?. N o cabiá por las ventanas,
ni por los texadot,por alcanzar a ver algo.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
The law of supply and demand will now govern butter prices. Examination for bookkeeper examination for bookkeeper is announced. The United States Civil Service commission announces that an examination will be held in 54 cities in the states of Idaho, Oregon, Montana, Washington, and Wyoming for the purpose of filling vacancies in the reclamation service and other branches requiring similar qualifications in the position of bookkeeper. Both men and women will be admitted. Appointing salaries range from $900 to $1200 per annum. Date of examination is November 16, 1917. Information and application blanks may be secured by addressing secretary, eleventh civil service district, 303 Post Office building, Seattle, Wash.
Sink Turkish Torpedo Boat
PETROGRAD —A Turkish torpedo boat and two steamers were burned. It was officially announced today. The Germans are retiring to prepared positions on the Riga front.
LIKE SHEEP
SIXTY
THOUSAND
SOLDIERS
ADDITIONAL
TRAPPED
A USTRO-GERMANS
BY
HOPE OF THE ALLIES RESTS ON
ADORA'S ABILITY TO STOP
THE INVASION
BERLIN
-Sixty thousand Italians
laid down their arms east of the lower Tagliamento river it is officially stated.
The Italian prisoners now to
-Fifteen hundred
tal 180,000.
guns
have been captured.
Fight on River Bank
The Austro-Germans
LONDON
have practically reached General Car
dona's Tagliamento river defenses.
The enemy's advance has been checked
according to the interpretations of the
plans here this afternoon
and on Berlin's own statement. Beylin claimed the Germans stormed the eastern bank defenses on the Tagliamento river at Dignac and Codroipo, indicating that the Italians are firmly established. Berlin's statement that 60,000 Italians laid down their arms indicates that the Germans trapped the third Italian army. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
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am nos hodie eadem concione,
ad feriam pwnitentiam ^ocari
Jlatuamus : Neq, obturemu* aures
noftras, ad tam dulcem conciot
nem,fed cogitantes extremam
nojlram miferiam qui propter itm
pietatem , iuiquitatem noftram,
abalienait fumm a (Deo, maturi
refipifcamm , ardenteq, inuocat
tione y T>eum qu<eramus, quod, fi
faciemut ,nequaquam abfcondet
fe a nobis , fed facile patietur fe
inueniri : neq, longius a nobis ret
cedft , fed prope aderit nobis,
fummoq, nos fauore mifericor*
dia, Verd i? non fitld poenitentia,
adipfum confugwites, compleclet
tur , Sedtextum ordine <sbre*
uiter percurremus , in quo quin%
pQtifiirnurn occurrunt , qu<$ ferid
poenitenti
1
9
iri
-es
lam
iri
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hfi
idet
rfi
ret
)bis y
\cor*
tia,
xet
ne*
?rio
panitenti , necejfarib funt cOgU
tanda #
Mandatum T)ei : Qua-ntc
DOMlNVM: inuocate rumi
quod tnandatum , alibi pajsim j
cum in yetere, tum in nouo tcsta*
mento repetitur . E/a: t
Lauamini , mundi eftote, auferte
malum cogitationum ^eHrarum.
Et 45» Conuertimini ad me et
Jalui eritis Jniuerfi fines terr<e.
Sic Cbrislus , eiufg pr<eco lobaiu
nes , fuas conciones exorfi funt:
j4gite panitentiam , appropinqua*
uitenimregnum cwlorum. Matth:
4 . • Hoc tam ferium fDei
tnandatum >ne,mo bominum ,nifi
cum certijfimo^iU erfalutis**
tern* dijpendio , contempferit .•
2:. SECFK
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Images reproduced by courtesy of the Royal Library, Copenhagen.
LN 1 1 29 8° copy 1
SECVN&VM.
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In einer sehr milden Form, wie sie die innerliche Sympathie mit den schwer geprüften deutschen Volksgenossen in Österreich ihre Diktat hat, mag sie ihr Bedauern über einig rhetorische Ausschreitungen seitens der österreichischen Deutschnationalen ausdrücken und erinnern dieselben daran, dass die Sympathie, welche die Deutschen ihren Stammes verwandten in Österreich widmen, selbstverständlich die Achtung nicht übersehen darf, welche die deutsche Nation der Unabhängigkeit einer gleichberechtigten und verbündeten Macht schuldig ist. Im Gegensatz zum "Berl. Tagebl." und anderen Blättern, welche die für die ungarischen Gäste beleidigenden Vorgänge zu einer "nationalen Heldenakt" stempeln möchten, drückt die "Nat. = Ztg." ihr Bedauern über die denselben zugefügten Beleidigungen aus, indem sie darauf hinweist, dass die ungarischen Turner als geladene Ehrengäste erschienen seien, und dass diejenigen, welche an dem gutgemeinten, reich gezierten Kranz mit den ungarischen Farben und den Eljen-Rufen Anstoß nehmen, dem zufolge sie mit ihren Vorstellungen an das Zentral-Festkomitee hätten wenden müssen, statt den Gästen "Siebenbürgen" zuzurufen und sie direkt zu insultieren. Das Zentral-Komitee hat es selbst für notwendig gefunden, den Beleidigten die geforderte Genugtuung zu geben, wodurch der etwaige Vorwurf, dass auf einem allgemeinen deutschen Fest die Pflichten der Gastfreundschaft und der internationalen Höflichkeit ungerührt missachtet werden könnten, abgewehrt ist. — Das Münchener Universitäts-Rektorat hatte infolge der bekannten Enthüllungen der "Nat. = Ztg." über die Immatrikulation preußischer Theologen katholischer Konfession an den Universitäten zu München und Würzburg, während dieselben tatsächlich in Innsbruck oder Eichstätt studieren, die in Bayerns Hauptstadt immatrikulierte preußische Theologen katholischer Konfession eingeladen, und es erschienen 25. Ein Priester, welcher in Innsbruck studiert hat, daher keinen Dispens erhielt und sich nun in München hat immatrikulieren lassen, um die fehlenden Semester nachzuholen, erschien nicht, weil — er auswärts eine Hofmeisterstelle bekleidet, also wiederum der preußischen Regierung ein Schnippchen schlägt. Außerdem haben noch zwei immatrikulierte Theologen gefehlt, über deren Ausbleiben das Münchener Rektorat nichts sagt. Vielleicht haben dieselben vorsichtshalber vorher die Exmatrikel genommen, wozu ihnen das Rektorat auch reichlich 14 Tage seit den ersten Enthüllungen der "Nat. = Ztg." Zeit gelassen hat. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Ait enim a fufpcatwn fore fufpicitio , fed pro eo
dici fufpicio , ac fi brevis reperiatur fecunda ejus
vocis ( quomodo in veriibus Cornelio Nepoti falfo
tributis legere eft ;
Sufpicione, Paris , ne credit» t ludimur , inqxit . )
fyncopen intelligi, quoties vero producitur, efle fy-
nxrefin . Sunt quibus placeat & fufpicio verbum fe-
cundam habere porrectam , cum lignific.it fufpetlum
babto : qua ratione Salluliius in Jugurth. dixit : Sufi
fefhii regi , (j* ipfe eum fufpiciens . Sed noiionea
agnofeimus , de n odulo audoritateru defideramus.
Svsvs a o Nunnefio placet effe a iMvp?»». Aliis a r v-
M* . Sed potius cundla h*c a fono Fufta . [ potelt
& duci a e-ifm , unde e-iy»v>» . ] A Jujurro jujurro-
nes pro delatoribus disit Sidonius , lib. v. cp. vitf.
ac monet ad eum locum Savaro , Ii militer loqui
Salonium inEccleGaft. fit Petrum Ravennatem, ferm.
liii. Caudam nomini prxbuit , quod dnaterec, ne
exaudiri poflint , in aures folcant jufurrare . Sufttr •
rus quart* eft Appuleio ; ut qui in Floridis di-
cit»
eat , Fiftula fufurru jucundior.
S v s v ii i v u a Gracis accepimus, m plurima atia
herbarum vocabula . Locum hac de re Varronis
apponam : Qua m hortis nafemtur , alia peregrini s
vocabulis , ut Grecis ocymum , menta , ruta , quam
nunc wiymret appellant . Item caulis, lapathum, radix.
Sic enim antiqui Graci , quam nunc raphanum . liem
ex Gratis vocabulis , tf*v\x •» , •’«/•» , addita C7 com-
mutata una Utera , ferpyllum , (j 1 rofa . item Creta
Jttflarlf*, , , K*fMinr . Item Latina , lilium
Xufiu , C7 malva a /uaXuxn > C7 Jufymbrium ir»
rtrvutZfla.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
I — I must! I really need it, Mr. Neville. It seems,
at moments, as if I could never have enough — after tho
j'cars — where I had — nothing."
Neville had begun walking to and fro in front of
her with the quick, decisive step that characterised his
movements ; but his restlessness seemed only to emphasise
the attention he concentrated on every word she spoke ;
and, though he merely glanced at her from moment to
moment, she was conscious that the man now under-
stood, and was responding more directly to her than
ever before in their brief and superficial acquaint-
ance.
" I don't want to go awa}^ and study," she said.
" It is perfectly dear of you to offer it — I — there is
no use in trying to thank you "
" Valerie ! "
" What ! " she said, startled by his use of her given
name for the first time in their acquaintance.
He said, smihngly grave: "You didn't think there
was a string attached to anything I offered? "
"A— a string?"
"Did you?"
She blushed hotly : " No, of course not."
" It's all right then," he nodded; but she began to
think of that new idea in a confused, startled, helpless
^ort of way.
" How could you think fJiat of me? " she faltered.
" I didn't "
" You — it must have been in your mind "
" I wanted to be sure it wasn't in yours-
67
THE COMMON LAW
" You ought to have knowTi ! Haven't you learned
anything at all about me in two months? "
" Do you think any man can learn anything about
anybody in two months? " he asked, hghtly.
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with fetters and chains, and the chains had been rent
asunder by him, and the fetters broken in pieces : and no
5) man had strength to tame him. "And always, night and
day, in the tombs and in the mountains, he was crying out,
(6 and cutting himself with stones. "And when he saw Jesus
(7 from afar, he ran and worshipped him ; "and crying out
with a loud voice, he saith. What have I to do with
thee, Jesus, thou Son of the Most High God? I adjure
8) thee by God, torment me not. "For he said unto him,
(9 Come forth, thou unclean spirit, out of the man. "And
he asked him, What is thy name ? And he saith unto
10 him, My name is Legion ; for we are many. "And he
besought him much that he would not send them away
11 out of the country. "Now there was there on the moun-
(i2 tain side a great herd of swine feeding. "And they
besought him, saying, Send us into the swine, that we
(13 may enter into them. "And he gave them leave. And
the unclean spirits came out, and entered into the swine :
and the herd rushed down the steep into the sea, in num-
ber about two thousand ; and they were choked in the
14 sea. "And they that fed them fled, and told it in the city,
and in the country. And they came to see what it was.
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L'orateur demande quelle est la position du cabinet à l'égard (le la politique fran çaise, s'il existe une politique nette repré sentant l'opinion du cabinet, ou si cette po litique est liée de tells façon aux désirs et aux aspirations françaises, qu'elle soit su jette ù des compromis ou dee concessions pouvant ne pas être en harmonie avec les Intérêts de l'Angleterre. L'accord avec la France et la Belgique, dont il est fait men tion dans le discours du Trône eet tel, qu'il ne garantirait pas la sécurité française à l'avenir, ni la paix du monde. Le parti tra vailliste n'a aucune foi dans un pacte oû des alliances, dont la portée dépasee. non seulement le maintien de la sécurité du pays, mais encore celui de la sécurité de tous les pays DISCOURS DE M. LLOYD GEORGE M. Lloyd George prend alors la parole, n armonee le dépôt d un projet de loi au euIet de la réforme de la Chambre dee lord a 1 répond ensuKe à M. Clynes au sujet du pacte projeté avec la France. « M. Clynes, dit-ll, me demande noire po litique. Notre politique est une politique d’amitié et de coopération dans l’Intérêt de la paix. Amitié ne signifie pas subordina tion ou obéissance à autrui, car cela est Incompatible avec l'amitié. Amitié signifie franchise et coopération pour atteindre dee objectifs communs. Nos objectifs sont les mêmes quoique noue ne soyons pas toujours d’accord sur les moyens de les réaliser. C'eei alors qu'il y a des dLacuealons «t l'ora teur n'a Jamais vu de cas où, après une franche discussion, on ne soit pas mie d'ac cord également sur les moyens.» M. LLOYD GEORGE DEFEND LE PAOTE DE GARANTIE» Par conséquent, tout ce la France : "peut assurer« Quant à la garantie à donner & le Fraiv i, l'Allemagne elle-même ne saurait enviiger le pacte avec plaisir. 11 faut donner à Ton qu’elle n’est ni leo-lce sager le pac Ja France l’impressl lée, ni laissée seule. 11 n'y a rien de plus éprouvée par une confiance etLa fixation des court des denrées alimentaires Paris, 7 février. — La commission des spéculations de la Chambre a entendu au jourd’hui M. Chéron, ministre de l'agricul ture. Elle désirait savoir quelles étaient les Intention» du gouvernement en ce qui con cerne la fixation du coure dee denrées ali mentaire» de première nécessité. M. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
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Root, tesilfied as follows):
Q. You are a commissioner of the fire department? A I am.
Q. You were appointed when? A. On the 5th of March, 1895.
Q. You have heard, of course, of the publications in regard to
the raising of a fund by the offioers of the fire department for
the purpose of securing legislation at Albany in regard to
salaries? A. I heard somethlhig before the article appeared in
The Press; I read that article; I have not read much of it since.
Q How long before the article in The Press appeared did you
hear that? A. I think about four weeks.
Q. And from what source? A. Commissioner RobWins told me
that a friend of his had told him substaatially what French
testified to yesterday, and I found that French was the person
who told him since I have been subpoenaed •to answer hene.
Q. You say about four weeks before The Press article appeared?
A. Yes, sir; and since this investigation began he told me French'
was his informer.
Q. Have you made any inquiry in the course of your official
duties as to the truth of this statement? A. I have, quite ex-
tensively, from firemen and from officers of the force; I have
not gone outside of that.
343
Q. Did you inquire i?rom Officer Croker? A. I did.
Q. What is Ms office? A. BattaJion chief.
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Anche per il Sindo di Siena a Porta Romana, regno
il passaggio deteriore del re Alfonso d'Aragonese, quando, nel 1447, alla uscita di otto lire, se ne venne in quel giorno Vidimare, facendo danni assai e chiede, tanto che al 10 novembre, prese per forza il castello delle Porte Romane, e questo mise a sacco, seguendo pochi mesi dopo le truppe fiorentine condotte dai commissari Benedetto de' Medici e Neri Capponi, costringendo i Napoli a sgomberare la Piana di Volterra e di altri luoghi della Val di Cecina. (Ozieri.)
Dopo tutte due sciagure gli abitanti di Portomarano nel specchio stesso dovettero soffrire una terza maggiore all'occasione del fatto guerra milanese nel 1473 dai Fiorentini al Comune di Volterra onde togliergli l'attività di fabbriche e lionse d'alune che i Volterrani facevano in luoghi di loro giurisdizione; e ciò dopo avere il Comune di Volterra nell'agosto 1471 del fatto comune del 1471 il veto di rimettere la decisione al libero arbitrio di Firenze dei Medici. Imperocché nella guerra che seguí poco appresso Volterra perse non solo il diritto controverso, ma la propria libertà e ogni giurisdizione su se stesso e sul suo contado. Per la qual cosa, tenendo conto delle Città toscane del 28 luglio 1474, anche il Castello delle Porte Romane dove si celebravano tribunali civili, criminali e politici di Firenze fino a che accadde la caccia all'alma di questa città dal gonfiere perpetuo Pier Soderini e il ritorno dei Medici in patria. Volterra con tutte le terre e castelli del suo distretto nell'anno 1471 fu reintegrata nella prima facoltà di celebrarsi i propri magistrati, il cui sistema continuò fino alla civiltà della Repubblica Fiorentina. Dipinto late avvenimento il principato delle Porte Romane al posto di quello di Volterra ubbidì costantemente ai Duchi, ai Granduchi di Toscana. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
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« C'est entendu, reprit Beaufort; mais si la flotte se met en campagne avec les Turcs, je ne vous empêcherai pas de vous couvrir de gloire sur votre beau petit vaisseau. Je me suis laissé contuer que vous en avez fait un vrai bijou! Voilà qui est très bien, mon enfant;... moi, je n'y tiens pas. »
On le voyait bien. Le Monarque était une véritable arche de Noé, encombrée de chevaux et de chiens appartenant à Monseigneur, de boeufs, de moutons et de poules destinés à nourrir l'équipage. On y faisait un vacarme assourdissant, et la galerie où le duc recevait le chevalier n'était pas mieux tenue que le pont du vaisseau. On n'y aurait pas trouvé un siège pour s'asseoir. Sur une table d'ébène s'étalaient les restes d'un repas grossier, servi dans une superbe vaisselle de vermeil. Des cartes marines, un vieux luth sans cordes, un magnifique sabre turc, des traités de vénerie à moitié déchirés; et la règle imprimée du royal jeu de longue paume gisaient pêle-mêle avec des assiettes malpropres et des verres à demi pleins. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Ja, Lea zat daar heel angstig. Toen ik haar zei dat Bella de boodschap doen zou, vertrok zich heur wezentje, het scheen zich een weinig te ontspannen. Maar toen om een uur Bella terug kwam, vertrouwde zij mij toe dat Lea tóch klappen had gekregen. .. . omdat Meneer ontevreden was over broertje! Ais dat ouderliefde is! . . . . Wat er van Lea geworden zal, weet ik niet: ik sta radeloos tegenover dat geval, ’k Heb nu al van alles aangewend om de ouders tot gezonder inzichten te brengen, maar ’t baat al niets. Integendeel, ze schijnen me thans heel vijandelijk gezind ... en Lea moet dat eens temeer thuis bekoopen. • Betert dat niet, dan is Lea une enfant a la mer! EDWARD PEETERS.
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dicasi (ottava, fuggirono a Raufa, e cominciarono a macchinare della cosa, Mare nella vita del Re. La scoperta alterò molto l'animo di Ofelia. Polonio, sottostuendo alla Corte del Sancouiccio, e Dobroslavo, impiega con i primati di Tramorte lamentandosi dello sconforto dell'anno proseguendo del nuovo governo dei Baulesi; Ofelia mandò alla Repubblica Stefano, grande Logofeta, e Sibk, cerchiando lo Scambio, per timor di domandare il possesso dei territori sbanditi arguendo la guerra, i Raufi si purgarono delle calunnie e Spedirono al Re Paolo (gondola), e a Nadia Sancouiccio Commedia Heuristic Stefano Lucciano; ma non concordarono altro. Terze Ofelia credeva che i Raufi non con animo di condurre la guerra; ma per renderlo più negligente alle provvisioni gli donarono la pace, e però cacciò gli ambasciatori, e mandò Svil Svil a negoziare con i capi della Gentilizia far guerra a noi, i Capitani forniti di un buon esercito si ritirarono dalle vittorie, venendo poi all'attacco della Città sopratutto monte di Bargata, dalla gente nostra, capitanata da Giacomo Gondola e Raufi si lanciarono subito, organizzando una fuga con passione, convinti che Ofelia avrebbe macchinato contro la loro città, deliberarono di fare di notte una strada dentro la Città per non essere visti. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
D'abord, un des meilleurs équipiers fut blessé au but de la partie et ne put continuer; ensuite, insuffisance d’un autre équipier demi qui dut être envoyé par le capitaine et remplacé par un écuyer second. „ Nous remercions sincèrement l’Olympique Cevele pour le chaleureux accueil qu'elle nous fit. LES XIMOIS VAINQUEURS AU CAILAR. Le Caliar, 4 Mars. C'est devant une nombreuse assistance que s'est jouée sur le terrain du Football-Club Cailaren la rencontre mettant en présence l’équipe première de ce club et la première du Football-Union-Nîmois. Après 85 minutes de jeu égal, les courageux avants du B C C parviennent à tromper la défense adverse et marquent un but qui est longuement applaudi. Les visiteurs émoustillés par ce résultat poussent fond et réussissent à égaliser. Peu après la mi-temps est affolée sur le score de 1 but à 1. A la reprise le jeu s’anime, les Nîmois dominent instamment mais toutes les tentatives échouent sur le gardien de but Rigal, qui est extraordinaire de fermeté et de réflexes. Sur un corner très bien donné par les Nîmois marque le deuxième et dernier but de la journée. Au cours d’une charge violente le goal calaisien est sérieusement touché et doit quitter le terrain; les avants du F. B. C. C. se reprennent et obligent la défense nîmoise à s’employer. Un penalty leur est accordé, mais ne donne pas de résultat. Le match est sifflé bientôt après donnant la victoire au F. U. N., par 2 buts à 1. Nos félicitations à tous les joueurs du Cailar et particulièrement au gardien de but qui fut le meilleur homme sur le terrain. FOOTBALL-RUGBY NÎMES CONTRE VALENCE. Valence, 4 Mars. Dimanche prochain, le Valence-Sportif (1) affrontera la nouvelle équipe de Nîmes. CYCLISME GRAND PRIX IMBERTON-CONTINENTAL Sur le parcours Saint-Antoine, Arras, Permet et retour, 50 kilomètres, le 30 mars 1913 Un mois à peine nous sépare de cette belle épreuve que le Métropolitain-Club organise sous les règlements de l'Union Vélocipédique de France et de la Fédération des sociétés cyclistes du Midi, réservée aux coureurs de 2e, 3e et 4e catégories, le dimanche 30 mars 1913. Les engagements affluent pour cette belle épreuve qui est dotée de royale façon, les coureurs pourront s'en rendre compte par l’importance des prix et de leurs valeurs. La coupe Zenith en or, offerte par M. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Anselme sur l'article 19 de l'Edit perpétuel, examine la question de savoir si la preuve par témoins peut avoir lieu entre Marchands en matière de commerce : C'est au §. 11.
Le même auteur au §. 28 de ce même article, tient & démontre, que la convention sans écrit pour choses excédant la Comme fixée & audit dessus de laquelle la preuve ne serait point admise, n'est pas absolument nulle, & ne laisse pas de produire un effet, puisqu'en cas de dénégation par le défendeur, on peut lui demander serment, de que demeurant d'accord de la convention il doit être condamné de l'entretenir, ce qui n'arriverait pas si la convention était nulle, faute d'avoir été rédigée par écrit.
Le dépoli est proprement quand il est fait en faveur, & à la seule consideration de celui qui le confie en garde, leg. 1, & l. quod Nerva. if. dep.
Volontaires. Avant cette Ordonnance, le Parlement de Paris n'admettait pas la preuve par témoins en dépoli volontaire, parce qu'il était en la pleine liberté de celui qui le bailloit en garde, de ne les pas donner sans effet un a été par-devant Notaire, n'y étant contraint ni pressé par aucune nécessité. Charondas en ses Observations tit. du Déport & Chenu Questionnaire 100. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
V. Un des symptômes de cette résurrection, c'est l'attitude du peuple romain. Des nations qui s'attribuent volontiers le monopole du courage, avaient trop légèrement parlé de ce peuple comme d'un peuple sans caractère et sans fermeté. Par sa fidélité à son prince comme par sa fidélité à son Dieu, le peuple de Rome, le vrai peuple romain s'est montré et se montre digne de la place qui lui a été faite et du rôle qui lui a été donné dans le monde chrétien.
Sans nul doute, ceux qui ne regardent qu'au détail, et dont la logique se plaît à conclure du particulier au général, m'opposeront facilement des exceptions. Mais on juge des choses humaines par l'ensemble et non par des individualités. Je dis donc que Rome m'a profondément touché par la disposition persévérante des classes les plus diverses.
C'est à peine si l'aristocratie a pu regretter la défection de quelques-uns de leurs siens : ces transfuges, disons-le, épuraient les rangs de ceux dont ils se séparaient, et dont ils stimulaient le dévouement et l'ardeur. On a pu compter les officiers de l'armée pontificale qui ont mis leur épée au service de l'usurpation. La bourgeoisie moyenne, les membres des diverses administrations, résignés à une très modeste pension du pouvoir déchu, s'imposent la plupart à eux-mêmes et à leur famille de très dures privations plutôt que de manquer à leur conscience et à leur dignité. Des députations populaires de tous les quartiers vont exprimer périodiquement au pontife détrôné les sentiments qui animent la cité, en même temps que des députations internationales viennent renouveler près de lui les protestations de la chrétienté. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
ver (íc. Item iftiidy probatur Antonios Gabriel,
communiüm, ti tul. dofideiufforibus>concludor)¿ 3 fe
num.45.Gregorius Lapez,l.i4.titul.i^part.y. verbo,
Pr¿ m eranienle,vcrfu!Deamyu 4 rro,MQno'ch\üS,cóüC,
<> 67.Sc con f 1187- o ú mer.15 É caccia*d e co mer ti js
gloífa 5.numer.2d8.&274.&:quoddicaturleginrae
fadta excuffioquado diffictilcer poteddebitor con?
ueniri, refoluic eleganter Pater meus D« Alphoníu-s
PerezdeLara,lib.i.de Anniucríarijs, 5cCapeilani/s>
cap.8.n-7- . f "
20 f Siendo pues notorio,non eífe foítiendOj.os
Marquefes,}’ defenforde fus bienes >los ¿creedor es
edan obligados a laeuiccion , ve ehg 3f)rcr rc 0
PacerMolina?didotra(d.2.dífpuntio n '5j ,nurn, .?\*
y
• €
tr
(
ibv: Illudetiam tnihi videturaddendumfidebitorjoluenh
nonfit creditor.cm indebitoris-defefium teneñ mhkreemf~
tori[) retiíl acceptftft extat^ut ex dio Jachis eji hcupktior 9
<?c. Sin que nos obfte la autoridad de Antonio Fa-
bro,dióta Decade i. erroreio^donde auiendo reíuel-
toque el deudor de ia cofa vendida a quien apronc-
chó eldineroeflá obligado aiaeuiccionfaJiendoin-
cierta la venta,y no el acreedor a cuya inítancía levé-
dio,dize luegoeftuspalabras-, Quidetgo [idebitor JoU
tiendo non flanee ejje eft emereiniqutiatem , vt v el crédito?
debiti,vel emptorpretij laciuram jaciat vtriquefanevule-
turpo/Jeimputar'hcr editor i cuy inope debitóte contraxerit 9
emptor rvero cur acreditóte non dominio Jed creditoris inte
¿ijlrabentecomparauerit/edtame<equtus efi>vt inparí cul¬
pa duriorfit conditiopetitotis) nec condui quid qumnpojsk
enditoriquifuumbonafideconfequutus e¡U licuitenhnvi -
gilare , er emptor em querereadjuum confequcndiwh ¿km
nequidfecerit dolo malo ^emptor auiem dthgentíus inquirere
debet^a debitarJoUendo ejjet necne quemJdebat de cmEú&
ne obliga tum iri^oncreditorem.
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N.° 2 - 2e ÉDITION DE PARIS LUNDI 10 MAI 1841 ON baronne DU TITRE, BLÉ MAIL, 5, À PARIS, les Libraires, Directeurs de postes et Bureaux des Messageries. Tout ce qui concerne la rédaction et l'administration doit être adressé franco à M. Cowan, directeur du Temps. PRIX DE L’ABONNEMENT PARIS ET DÉPARTEMENTS: Un mois. 6 fr. Trois mois. 18 fr. Six mois 56 fr. Un an 71 fr. ÉTRANGER: Un mois. 8 fr. 50 Trois mois. 24 fr. 50 Six mois. 49 fr. Un an 98 fr. BULLETIN POLITIQUE. 9 MAI. La séance du 7, dans la chambre des Communes, a une grave importance. Ce jour-là, lord John Russell a réalisé sa menace relativement aux lois sur les céréales. Son discours est digne d’attention, par les doctrines économiques et sociales qui s’y trouvent développées. Voilà donc la lutte engagée, non plus seulement entre les whigs et les tories, entre les aristocrates mitigés et les aristocrates purs, mais entre le peuple et la noblesse foncière. Lord Sunderland a pris le premier la parole en faveur de celle-ci. Comme tous ses amis, titres ou non titrés, il en est encore à croire à l’empire du préjugé qui soumettait autrefois la nation anglaise à l’influence de ses lords. L'issue de l’espèce de guerre civile qui commence, après plusieurs années de préludes et d’hésitations, prouvera, bien qu’elle doive, selon toute apparence, se prolonger longtemps, à quel point les conservateurs anglais se trompent, comme en général, tous les conservateurs. La solution de la question de la régence s’approche en Espagne. Nous donnons plus loin le texte du règlement qui établit le cérémonial à suivre pour la prestation du serment des régents à élire. Une lettre de Naples du 30 avril annonce que, dans son conseil du 27, le roi de Naples a réduit à 5 tarins le droit de 20 tarins qui pesait sur les soufrances; mais le roi, prenant en considération les grandes quantités de ce minéral récemment exportées, se beinga de le réduire et voulant éviter toute perturbation dans le commerce, ordonne que la réduction du droit ne serait mise en exécution qu'à dater du 1er janvier prochain. Ce terme permettra aux exportateurs, ainsi qu’aux détenteurs de soufre et des produits mêlés avec ce minéral, d’écouler leurs approvisionnements sans aucune perte. LE MINISTÈRE DE L’HUMILIATION. Nous avons infligé un nom bien sévère au 29 octobre. Ceux. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Toute société secrète est une société dangereuse, hostile et malfaisante. Celui qui veut faire le mal hait la lumière, et fuit la lumière, dit l'éternelle Sagesse, et il se dérobe et se soustrait à son éclat pour que ses oeuvres ne soient pas vues, pas connues; mais celui qui fait bien et dont les oeuvres sont conformes à la justice et à la vérité, celui-là ne craint pas la lumière, il la recherche même, afin que ses oeuvres soient manifestées au grand jour.
Toute société secrète est donc et doit donc être une société suspecte. Un bon gouvernement ne doit pas la tolérer, sous peine de voir la société sapée et minée par sa base. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
XXXV. Verendum, ne plures Eccleliaium Prx-
lati in relccandis abufibus , qui hoc titulo notati funt ,
fegmores reddantur vulgati illo , fcd admodum perni-
ciofo argumento : Hoc jam diu ita obfervatum fuit 5
hoc Pr.rdccelfores noftri toleraverunt j cur nos illis vo-
lumus elfe fapiennores aut meliores : fufficit nobis ti.
vere , ut illi vixerunt,
Peruiciofura fane argumenti genus, quo deteilandi,
maximique abufus, cum fcmel invaluerint , juffificari
poterunt.
XXXVI. Nonne hoc fpecidfo argumento jam pri-
dem nonnulli jullificare, ac retinere contendent fr/lum
futueram ; ” ubi videbat populus Sacerdotes & Clericos
ii Divini Officii tempore larvatos , mouftruofos vulti-’
» bus , aut in vcftibtts mulierum , aut lenonum vel hi-
•> ilrionum choreas ducere , in choro cantilenas inho-
» nefias cantare, offis pingues fupra cornu Altans juxta
u celebrantem Milfam comedere , ludum laxitlorima
G c c a » eris
l
CAPUT L
De variis Nominibus , Partibus , Forma S: Effe&u
bujus Sacramenti.
|, Sacramentum ohm ditium Sacramentum rcconcilia-
tinii.
'%* Secundi , Confedionis.
Ttnii , Abfolutiorus.
+• fr,quenter , Mantis impofitio.
5. „g»iiir« , Communio f< * Pax.
fi, Sex ti. Secunda poit naufragium tabula.
7. Septimi , Laborioius Eaptifiuus.
6. Otlavl , olim & hodie fnqucntijfimb , Sacramentum
Pernitenti*.
'j. fi/nificet apud veteres etiam Ethnicos perni-
tere »
Io- f*2lt fui pernitet , punit in ft quod fecit.
H. Definitio pamte titia i Ur.aaano & Canonifhs tra-
dit0.
11. Qutd de hoc Sacramento habeat Decramte Euge-
tt ii IV. & quid e: tu prima pars , fi ve Contri-
tio I
l|. De Confeffiont fecunda hujus Sacramenti parte.
14. Etiam circumflantia peccatorum exprimenda t ($•
quare f
15. Quare confeflio pracipul requiratur t
16. De fattsfalhoni tertta parte hujtae Sacramenti.
17. Kalio Divina Jufhtte exigit , ut dijjieiliue dimurau.
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WEENEN Oostenrijk (592 K.P.) 506,8 AA. Graz (886 K.P.) 338,6 M. Klagenfuri (1294 K.P.) 231,8 M. 7.05—7.25 Klokgelui, orgelspel. 1. Nun komm der Heiden Heiland, Bach. 2. Preludium en fuga in b kl. t., dito. 7.50—9.05 Gramofoonplaten. 9.20—10.40 Kerkdienst. 11.05 Concert. 1. Ouv. ..Euryanthe”, Weber. 2. Concert in Es Gr. t., op. 11, voor piano en orkest, Liszt. 3. Tanzsymphonie, Zador. 12.10—1.35 Concert. 3.00—3.50 Concert. 1. Strijkkwartet in Bes gr. t., op. 76, nr. 4, Haydn. 2. Strijkkwartet in Es Gr. t., op. 125, nr. 1, Schubert. 4.15—4.40 Concert. 5.25 Dansmuziek. 6.20 Tijdsein, sportnieuws.
6.30 Declamatie door R. List. 6.55 Concert. 7.25 „Allerhand aus Stadt und Land”, potpourri, van Hruby. 8.55 Gramofoonplaten. 9.30 Berichten, programmabespreking. 9.50 Dansmuziek. 10.15 Berichten. 10.20—10.50 Vervolg dansmuziek.
27
Geef Uw voeten wat goeds, nu het gaat winteren!
Zorg nü extra goed voor Uw voeten! Want die hebben toch ’t meest te verduren, nu het zoo koud is en nat op straat! Schaf voor den geheelen verderen winter de koude en natte voeten af en koop: ROBINSON!
Robinson model 18 of 79 – speciaal gemaakt om koude en vocht te weren. Een robuste en toch keurige schoen met leeren voering en rondom vastgestikte watertong. Degelijk warm en ongelooflijk sterk!
Model 18 is met houtgepende, dubbele waar haast niet doorheen te komen valt, en Model 79 is met de bekende ROBINSON-rubberzool (3 sterker dan leer) en extra leeren tusschenzool.
Prijs van beide modellen slechts f, s»®® voor alle heerenmaten, No’s 40 t/m 48. En de Robinson voor Jongens is al even sterk en even goedkoop!
Die goeie . W en Zoon!
Lei op hef zoolmerk f
Nederlandsen Fabrikaat .... voor Nederlandsche winters.
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Typografie. Voor mijn zoon, 18 jaar, in het bezit van diploma Ned. Bond, handzetter en Bissch. Nijverheidsschool, Voorhout, met 1% jaar practijk als machinezetter, wordt plaatsing gezocht als leerlingmachinezetter, onverschillig waar, liefst
waar gelegenheid is zich verder te bekwamen. Brieven: J. Huisman, Tolstraat 85, Amsterdam. Voor eeil 16-jarigen jongen wordt, tegen enige vergoeding, plaatsing gezocht intem
bij een R.K. Kapperspatroon ter verdere opleiding. Brieven Langestraat 31, Amersfoort.
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In agricoltura non è economico chi risparmia, ma bensì chi sa spendere, e chi, nelle sue spese, non eccede mai le proprie forze. Esso ha continuamente in mira il miglior risultato possibile. La sua guida è la prudenza e l'esperienza del passato.
Se si dovessero rifare le cose fatte, raramente si eseguirebbero nello stesso modo di prima. Si è perciò che ai giovani coltivatori si raccomanda di non allontanarsi nei primi anni, dal sistema di coltura in vigore nel paese, in cui sono chiamati ad esercitarsi. Meglio loro giova il peccare per timidezza che non per audacia. L’uomo prudente non si lascia sedurre dalle apparenze e dai calcoli, e prima di eseguire un’operazione, la esamina attentamente, e riflette alle conseguenze che ne possono derivare.
Il proverbio, che gli atomi formano le montagne, qui più che in ogni altro luogo, merita l'attenzione del coltivatore. Ponete mente alle vicende, che accompagnano l'esecuzione delle opere agricole; riflettete all'insabbiabilità del tempo, all'accumularsi dei lavori, all'indolenza dei subalterni, e vi convincerete, che se vien meno l'attività del amministratore, i guasti, il disordine, le infedeltà, ne saranno le triste ed inevitabili conseguenze.
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Kurłow, członkami z obywateli pp. Rymkiewicz i
Jaeger. Komisja od wezoraj rozpoczęła swe czyn
_ ności.
= Z literatury.
Pieśni litewskie, w liczbie 400, zebrał niejaki
p. Holter i zamierza wydać w osobnym zbiorku.
Jednocześnie p. Trusmen projektuje wydać takiż
zbiorek pieśni ludowych białoruskich.
* Bardzo pożądane premjum postanowiło dodać
swoim prenumeratorom Echo muzyczne, a mianowicie
dzieła Szopena w 6-ciu tomach w wydaniu Grebeth
sa O:
w dzisiejszym numerze Echa znajdujemy zręcznie
skreśloną sylwetkę p. PARE, aga
* Ernest Renan skreślił dramat filozoficzno-religij
ny p. t. „Kapłan Nemi”; ma to byś uczona lecz fan
Ra czę mrzonka.
owy ten utwór już znalazł tłu j
A j macza na język
= Z teatru i muzyki. 5
* Wczorajszy tak zwany na afiszu „drugi koncert
symfoniczny”, na którym oprócz uwertury Wagnera,
nie było nic symfonicznego, posłużył do przedstawie
nia we właściwem świetle talentu dwóc wirtuozek,
z których jedna cieszy się już w wielkim świecie ar
tystycznym rozgłośną sławą.
Mówimy naturalnie o Teresinie Tua, bo pani Ma
rja Benois ma do walczenia jako pianistka z potęga
mi utrudniającemi wydźwignięcie się na pierwszorzę
dne stanowisko.
Nazwaliśmy koncertantkę poważną pianistką i
wezorajszy popis utwierdził nas w tem zdaniu o pani
Benois, o ile zdobyta praca, dobra technika i inteli
gencja w interpretacji dają podstawę do takiej defi
nicji.
W grze wirtuozki widać istotnie bardzo poważne
studja, doskonałe artystyczne wzory i niepośledni
udział myśli, konsekwentnie znać od początku kiero
wanej ku zrozumieniu ducha i uwydatnieniu stylu
każdego kompozytora.
Owocem takiej edukacji jest gra, w której znaj
dzie się pod miarą wszystko, czego potrzeba i jak
potrzeba, ani mniej ani więcej — słowem interpreta
" cja, nacechowana zawsze dobrym smakiem, ale rzad
ko po za te granice wybiegająca na skrzydłach sa
moistniejszej indywidualności.
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According to a communication of Prof. Georg Jacob to Dr. Berthold Laufer,^ the turquois
is described in a Turkish work on mineralogy written in 1511-12 by Jahja Ibn Muhammad
al-Gaffari (manuscript in Leipzig, Catalogue of Fleischer, No. 265, p. 508). Five principal
kinds are enumerated and described — Nishapuri, Gaznewi, Ilaqi, Kermani, and Kharezmi —
and an account is given of the celebrated turquoises in the history of Islam. ^
In 1547 there appeared in Paris a Latin work on gems by Franciscus Rueus ^ from which
the following citation anent the turquois has been translated :
The turquois is regarded so highly hy almost all people that many think they are not at all in a position suited
to their rank until they have acquired a very fine one. There are two varieties, each named from the place of its
origin. The less desirable is called Spanish, the other Indian or Eastern. Yet both are alike dense and not at all
transparent. The Spanish is of a greenish color, pale and indeed unattractive, and on this account is regarded as least
desirable. But the Indian, of grass.-green to dark -blue color, with somewhat milky luster, inspires no common delight.
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gunos nauios de Chriltiar.os , y en ios pri- Quien con atención aurá leído arriba,
roeros que pallaron, metieron fus hazicn- lo que acerca del deícubrimienro de las Iri
das, y todo quanto les pareció traer, y v i- dias, y del nucuo mundo.diximos en la vi-
niéronle á Italia, defamparando detodO dadel Papa Pió Tercero, bien tendrá no-
punto aquella ciudad. No fe perdió cnton ticia de como Chriíloual Colon fue el prl
ccs mucho en perder a Corroí!} pero ya^ mero que nauegó por el ancho mar Occa- ;
no f'c acia de fuftentar , fue yerro no la dar no la vía de Ponicnccscl qual topo con las
al Turco con alguna recomponía. Y aun Islas de Santo Domingo , y de Cub3, y
no falta quien dig3 , que fe auia puerto en con otras de aquella comarca. Y fe acor-
platica por medio del Papa , con Aloiíio dará como dcfpues en otro viage, defeu-
Griti,ei grande amigbdc Habrain.quc tta briu la T ícrralitmc de Indias , que la lia-
bajall’cconel Turcode que tomarte a Co- matón la Pcouincia de Paria. No hizo
rron, porque allantarte tregua perpetua có Chnrtoual Colon mas de darnos noticia»
todos los Chriflicnos, y como no fe pufo qac auia aquellas cierras de Paria. No po-
gana en cite negocioso huuocfero. Y auti bló, ni conquiftó en ellas } folamcnre pufo
también fcdixó, que el Gritidcfeaua rau- a los hombres en gana de faber que tierras
choconcordir á les dos Rcy¿s don luán, eran aquellas.Puíicroníc mucho^ Elpaño-
y don Fernando, en la queftion del Reino les en conquiftarla ricrtafirmc de Indias,
de Vngria, y que fe contentara con que fe y aconteciéronles dmerfas .cofas, que no
dexara Cortón al Turco, y quedar® don ion de mipropoüro. Los que a losprinci-
Fcrnando con el Reino. Peto al fin cito no pies mas hizieron en ello , fueron Diego
fe hizo, y Cotron fe huuodc dar por fuer, de Niquela, y Aloníodc Hogeda. Porque
^a,pudicndoauer gauadocon ella gracias, poblarócn Tierrafirmc primero que otro
Jbs aquella ciudad la antigua Ghetto- ningún Efpañol.Dc los pueblos de Chrif-
neo, patria del famoío Filo- tianos de T ierrafituae , c! principa! fue la
lofo Plutarco. villa del Antigua, de la Prouincia del Da*
ríen. | 2 | 0 | 1 | 0 | 0 | null |
L’héroïsme, à l’heure actuelle, consiste à remettre en honneur, dans toutes les classes sociales, le culte de la famille et l’amour des enfants. La défense contre le cancer. Le cancer est l’une des maladies qui nous coûtent chaque année un nombre considérable de vies humaines. Mais alors que le taux de mortalité s’était abaissé au XIXe siècle pour d’autres fléaux, comme la tuberculose ou la mortalité infantile, il n’avait pas varié en ce qui concerne le cancer. Les choses ne vont-elles pas changer ? Car, et c’est sur cela que se fonde notre espoir, le nombre des cas signalés, reconnus et soignés, s’est largement accru, ces dernières années. Il faut nous en féliciter. Ce n’est pas en dissimulant son mal ou en l’ignorant qu’on le guérit, mais en le « dépistant » tout de suite, en se mettant tout de suite entre les mains du médecin dont on suivra fidèlement les conseils. Tous les renseignements vous seront fournis à : La Ligue française contre le cancer, avenue Marceau, Paris. Aidez la ligue dans son œuvre de salut. Transmis par la Commission générale de propagande. Président : Georges Risler, membre de l'Institut. En présence des revendications ouvrières et de l’action incessante du prolétariat organisé sur le terrain syndical pour améliorer la situation morale et matérielle des travailleurs, des gens bien pensants, amis de l’ordre, pour qui les soubresauts populaires n’étaient que le fait de meneurs qui devaient être mis au pas, peuvent aujourd’hui, en voyant la tragédie allemande, réfléchir quelque peu sur la valeur morale des hommes et des castes qui ont eu la prétention de prendre la direction des affaires d’un grand pays pour mettre fin aux tentatives des éléments appelés révolutionnaires parce qu’ils tentaient de réaliser un ordre de choses qui ferait disparaître l’oppression et l’exploitation de leur classe. On disait que l’organisation nouvelle allait ramener les choses dans un cadre plus normal, que ces phalanges de puritains chastes, désintéressés allaient effacer à tout jamais les prétendus abus des militants ouvriers. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
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My tale has proved a perfect whirligig.
Some half a year, or m.ore, had passed away
Since I began this bold discursive song.
When suddenly I ceased my task — to marry !
The fifteenth day of August was the day
On which the matrimonial knot was tied ;
That great event broke off my singing mood.
And changed my fancies for realities.
I now once more resume my various song :
The heat of composition is upon me ;
I am as feverish as a sitting hen ;
My poem swells, for matter freely iiows.
And I must write till I have had my say.
As happy married couples often do.
Away we hasted to the Isle of Wight,
That paradise of newly-wedded pairs.
We rambled on the sands of calm Sea View,
We visited the grave of Little Jane,
We sauntered up sweet shady Shanklin Chine,
We roamed about the lovely Underclifif,
We clambered up the steep St. Boniface,
And lingered long on Ventnor's sheltered sands.
112 THE SETTING SUN.
'Twas fine to sit upon the soft sea beach,
And idly watch the busy waves at work ;
With Neptune's wife 'tis always washing-day.
Grand was the flashing moonlight on the deep.
And bright the sunshine on the breezy downs :
So passed with speed our joyful honeymoon.
Happy the man that has a loving bride,
Even though sixt)' winters whiten him.
The All-Beneficent had given me one
To recompense me for long years of sadness ;
She seemed to drop from heaven into my arms.
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