text
stringlengths 1
9.2k
| race_origin
int64 0
3
⌀ | gender_sex
int64 0
3
| religion
int64 0
5
| ability
int64 0
3
| violence
int64 0
3
| racial_origin
int64 0
3
⌀ |
---|---|---|---|---|---|---|
8. Preis 8. Notens, Lektor « Oester, u 8. Preis, 8., Kommis « 8. Linien, n ». 8. Felderät, Lkw. « 8», n 8. Divisions. v. 8. Kommissars, l,sutv » Lösung, n 8. Kommission. 8. Reichsamt, Steuerstr «. Oester, ä»t> 8 ioäsr. ^potddsksr ». kisdndsndLr^sv, ii 8. Preis , 8ügs, 6., Lkw « 8. Linien, n 8. Flotte. 8. Totä, vr. msä » 8. Siegfriedsrix, n 8. Reichssobrot. 8. Sitz, Kommissar » 8. Reichsschatzamt, u. 8. Kommission. 8 s^ sr, kr»u, » vssroovssr, ä»d. 8. Reichskasse ooiäsr, 8. Sekretär ». 8. Linien, ä«k v. 8. Unters, 8. Ausbildung. ». Visssv, » Vispsiv. 8. Preis, k, 8. Kilometer ». 8. Bodensel, u. Vispsix. 8. Reichsbahn, ^ävosirt » 8. Stell», äak. v 8. Verksms, löjör ». I) ». Lösung, a. 8. Kommission. i 8. Bau«ss«, Lektonsitzer « 8. Reichsbahn, ä»d. < 8. Reichsrat, Leksonsier Visier ». äütvrbox, ä»I> 6 uoovv, verkehrsmittel » 8. Reichsbahndampf, o 8. Reichsbahno-Gebrüder, 6. Bodenstelle, O , 8. Kilometer «. Olsnodsu, ä«k. v. Oollvrsäo, kürstio, «. Lösung, ä«d. 61 »us», 8. Kilometer » 8. Vielseidigkeits, ä«k. OKI«, 3. Trumpfkarte. «. Il«ust»ät, 8t 68. Feldt. v. Vitstkum, >l»jor »D s IVssisssof«!», 3 8 k»Iwrtr Visieroo, 8ent » Vooäoo, Verkehrsbühne - Wislien, 8,8ör«r ä. 6ksmis » 8r«^, H 6« koloxoe v tVisks, 8. Ausbildung. « Vambrowsko, 8 äs koloxov. Wintiku, k, 8»llä«sxsr?rLs!äellt ». ?r«x, 8rit 8. tVUnsskv, 6., Kommis «. Vöbsu, Verwaltungssitz. tVvstpIlsI, 8tupsot « llsskos, 3 x. ?»Imrrr. tVillsrt, verlustig ». 8srlill, 8 äs 8u»sis. VViss-»liä, 8., 8uo«txLrtnsr « 6ollosv»its, 8t 8om. VitlillLnä«r, 6, 6sk.8ittl> « 8. Linien, 8. Zugvogtei. Vsrosr, 2immermann » Veipmx, 8. s 8rodpr ^Vsrnsr, 8usikcä>r ». IVittsoborx, 3 x. kslwrw ^Voiso, « Okrisliitlli«, 8t >Vieo. tVsppIsr, 8., 8km «. 6ksmnits, 8t Ootli« Vkisss, k, 6sk.8eor. « 8sr!io, 3 x. ?«ImPV. VVsisss, k«br « ?r«x, 2 sok>v. L^älsr. v. ^Vsisssollok, Oestbss » Löbbuotsdso, Verwaltungsvinstr. 28. IVsrnsr, kr»u, «. 8ol>en»ts»u, 1'rsbsutsne. 7. IVürksrt, krl, ». Vsisnix, «m LIbborx 18. 1Vix«»rt, 8km. s. 8srlii>, 8t Vouäoo Wnxiisr, krl., » 8IsiuvvvIK», 8smia«r»tr. k VV «>> n « r, 8km s Ikiiäork, 8t. Oörlits >Vskosr, ssll., 8km. «. Ikiiäork, 8t. üörlits. 2is«Isr, 8t«ätriolitsr «. 8sdoits, Alobrsukopk. Lum 8«ed, krls. 0 ii. Al , ». Lösungsrechnung, Aloritrstr 4, 1. Limmsrmitun, krsu, krsx, 8t krsx. L»oA>»ri«s, L, krsä. 4 Ookslbsrmsävrk, 3 x. kslmsrr. Lsrsvries, ^potddsksr 4. üookui«, 8. äs krsuss. »W> 18 18L8. Voliu, 8km. «. 8«mburx, o. kr«x 6««uitL, kksrmsssut « ^Vulkorr, u. 8«mbur^ 6»«uits, Oseouomisvsrvv. ». Oobriedmi, ä«k 6«t»r, Rsutisr ». Qouäou, n. ksrliu. 6isiiooki, 8su»lslirsr «. Vubass, ä«k. 6ou««o, 8, ?«rt a 6ottbus, u. LöMFütsiu. 6t>«pm«uu, keutisr » Vouäou, u. Vsiprix. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
One of the big features will be the unveiling of a monument here to the late H. H. Harriman. The committee decided that not less than $50,000 could be spent to build this monument. Salt Lake Herald-Republican. Some Battle Front. Large Blasted World. "The Battle Front" is the story of the Somme battle from the beginning to the end of the long, fertile plains of former months. It has been transformed into a sea of mud. Men are being drowned in that region by the sea. This graphic epitome of the victory in history was given today by Will Irwin, the writer, who returned from a trip to the French front on the American liner Philadelphia. "The communication trenches are now deep in mud," he added. "Summer observation balloons ascend." "The French army is the most effective in the world. It will be a great mistake if it is not led to the United States." A tour that of the army. The British have improved fast. Up to the height of the Somme battle, the French army was the best, but in addition to this, the French are now almost equal. The percentage of losses in an attack is decreasing rapidly. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
de Bismarck qui a affirmé hautement l'intention absolue du ministère sur la question des chemins de fer, la Chambre a adopté en seconde lecture le projet du gouvernement relatif à cette question. Le scrutin par appel nominal a donné 206 voix pour et 105 contre. On signale un mieux persistant dans l'état de M. Ricard. M. Waddington, ministre de l'instruction publique, est rentré hier à Paris. M. Dufaur est également arrivé dans la journée. Le conseil des ministres se réunira demain. Un décret impérial, portant la date du 28 avril, modifie la loi du 24 janvier 1873, en ce sens que les Alsaciens-Lorrains qui avaient opté pour la France, sans cependant avoir émigré, pourront dorénavant prendre part aux élections pour les conseils municipaux, les conseils d’arrondissement et les conseils généraux. La Chambre des députés bavarois, dans sa séance du 29, a repoussé la proposition de M. Herscher, tendante à la suppression de toutes les légations bavaroises auprès des gouvernements non allemands. Le ministre, M. de Fürstenau, a déclaré que jamais le gouvernement bavarois ne consentirait à pareille mesure ; et, répondant aux orateurs catholiques, il a affirmé que le chancelier de l’empire n’avait jamais cherché à restreindre le droit de représentation diplomatique de la Bavière. Il a, en outre, protesté vivement contre l'insinuation que les ministres de Bavière auprès des cabinets étrangers pouvaient être considérés comme contrôlant les faits et gestes des ambassadeurs de l'empire. On mande de Serajovo (Bosnie), le 29 avril : « Les chrétiens des environs de Priv.jbossca ont fait leur soumission et sont rentrés dans leurs foyers. » Les autorités turques leur ont donné immédiatement les secours promis, vivres et matériaux. »Gambell, le grand invalideur; c'est le Rappel qui la dénonce ; elle est assez jolie, comme on va le voir : » M. Pascal Duprat fait distribuer dans le 17e arrondissement un extrait de notre numéro du 15 février, dans lequel le Huppet se référait, pour les Landes, à M. Victor Hugo. * M. Pascal Duprat voudrait faire croire que ce passage d'un article qu'il tronque, et qu'il ne donne pas la date, s'applique à sa candidature actuelle. » Les électeurs du 17e arrondissement, qui nous connaissent et connaissent M. Duprat, ne s'y tromperont pas. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Die Notwendigkeit einsahen, mit Beseitigung ihrer Unterschiede sich der sogenannten blauen Republik entgegenzustellen, vereinigten sie sich anfangs unter Ledru-Rollin in dem vielverzweigten Bund Solidarité. Aber von Süden aus wurde bald der noch immer lebendige Name Marianne an die Stelle gesetzt, und bald war er der herrschende. Französische Flüchtlinge in England behaupten, die Marianne habe im Jahre 1851 eine Million Mitglieder gehabt; von diesen ging in den südlichen Landschaften die Erhebung gegen den Staatsstreich aus. Durch den blutigen Kampf, später durch die Transportation verloren sie ihre Führer; doch wühlt Marianne noch immer mit ungemeinem Erfolg. Sie wirkt nicht für irgend einen Mann; sie erkennt kein geistiges Oberhaupt an; sie will künftig überhaupt keine Regierenden, sondern nur Beamte des Volkes (clercs de la nation) dulden. Ihr leitender Ausschuß besteht aus wenigen, wie es heißt, nur aus drei Mitgliedern; der Bund aber umfasst bereits wieder über 60,000 Personen, und die Gesellschaften La Militante und andere scheinen nur seine Zweigvereine zu sein. Die Marianne besitzt die Eigenschaften, durch welche von jeher derartiger Vereinigungen mächtig und schrecklich wurden: einen bestimmten Zweck, Mut, Gehorsam und Verschwiegenheit. Vermischte Nachrichten. Berlin. Folgender trauriger Fall gewährt einen tiefen Blick in das wütende Treiben des Gesellenslebens. In einer Werkstätte, in welcher mehrere Gesellen arbeiteten, animierte ein älterer Geselle den Junggesellen zu der Wette, dreimal für 18 Pfennige Branntwein mit einem Male zu trinken. Aus falschem Ehrgeize ging der Unglückliche darauf ein, gewann die Wette und wurde in einem todtenähnlichen Zustand aufs Bette gelegt. Als die Schlafzeit kam, legte man ihn ins kalte Bett, wo denselben durch einen Schlagfluß der Tod ereilte. Potsdam. In der Nacht vom 3. zum 4. d. M. wurde aus dem Lustgarten die Büste des Herzogs Karl von Mecklenburg, Vater der verstorbenen Königin Louise, gestohlen. Stücke dieser Büste, die ein Bursche wiederum dem Dieb gestohlen und verkauft hatte, führten auf den Täter. Leider ist die Büste ruinierter. Köln. Den Winter vor der Tür, werden hier jetzt viele Arbeiter in den Zuckerfabriken arbeitslos; man schreibt dies dem starken Verbrauch des Rübenzuckers zu. Ebenso hört man aus Crefeld von vielen müßigen Arbeitern. Nürnberg, 8. Novbr. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Cette dernière conjecture m'engagea à faire halte afin de les attendre. Pour donner un peu de repos à mon cheval épuisé, je descendis de selle. De minute en minute, je criais ou déchargais mon revolver ; mais je ne reçus aucune réponse. Si mes compagnons avaient été à portée, ils m'eussent répliqué par un signal semblable; tous portaient des carabines et des pistolets. Peut-être aussi n'avaient-ils pas encore eu le temps de me rejoindre. Pendant que je me livrais à ces suppositions, je entendis tout à coup des cris d'oiseaux à une certaine distance. Je reconnus les notes aiguës du geai qui se mêlent au babillage du cardinal rouge. À leurs accents, je jugeai que ces oiseaux devaient être émus par la présence d'un ennemi ; ils défendaient peut-être leurs nids contre le serpent noir ou le crocodile... Ce pouvaient être mes compagnons qui approchaient; ce pouvaient être le coursier blanc errant, comme moi, à l'aventure dans le chaparral. Je sautai aussitôt en selle pour voir au-dessus des buissons. Guidé par les voix des oiseaux, je découvris le théâtre du vacarme. À une certaine distance, je vis des geais et des cardinaux qui volaient de branche en branche, évidemment préoccupés de quelque chose qui se passait à terre, sous eux. Au même instant j'entendis des bruits étranges, plus perçants que les voix des oiseaux; mais je n'en pus deviner la cause. Je fus désappointé, car mes camarades ou le coursier blanc ne pouvaient être les auteurs de tout ce tohubohu. Curieux de savoir le motif d'une agitation pareille dans un endroit ordinairement silencieux, j'avançai aussi vite que les buissons le permirent à mon cheval. Ma curiosité fut bientôt satisfaite. En arrivant au bord d'une clairière, je fus spectateur d'une scène étrange, d'un combat entre un couguar rouge et une bande de sangliers. Ces féroces animaux assaillaient sans répit la panthère, qui se défendait avec l'énergie du désespoir. Plusieurs sangliers gisaient déjà sur le sol, étourdis ou morts; mais les autres, au lieu de se laisser intimider, enveloppaient leur ennemi, l'attaquaient la gueule béante et le blessaient grièvement avec leurs hures pointues. À cette vue, tous mes instincts de chasseur se réveillèrent; prenant ma carabine, que je portais en bandoulière, j'envoyai sans hésitation une balle dans le crâne du couguar, qui tomba inanimé au milieu de ses assaillants acharnés. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
CHILDPENS J 11 WEST
FOOTWEAR U/ BROAD 3T
H. HERMAN
?Thf I.ndle** Tailor,"
516-18 LYRIC BLDG.
Now ShoivltiK the Season's 'Latest.
ItanUolpb Sltlll.
?Nuirli/i-il I ?? liin-ri t'crUuuv
rp.?iu Jjiior-i loturo
... lJ.Muj'li.
<-oi>yrlgf.t. 1.11i,y i onsollda ted Kilni
t'orporntiou.)
i.UT) >uii read h u io to-day yo'i
may ?>uv in i:iox iii|i:utiirvH ttiis Vi'tr:
at ?h?.- \ ictoi Tluatcr.
.?-h? i. i
n?* :
t i-i.ii
? 'ii\ I
tfiti.
o i NuI\SI^
Jlow It Ail I'vKati.
ttti'i.i- >. *??.? '.f .i ,\t ? j oil. J.?: JI?
l h?vu V I !? Kl? Moiitl U*
l>r \. i?i> has spout
.? i:? ? hr. I<? fi'ivt udw
? ?'\ ii ij 111 i<; t,i._ blayrr
? a.tl > ? w 'niriu-rs
' " Si*:.!*?> i?.tli! i made
? * ? ? ? .?n If? ht-r hoiii
iXl- ? .1 ii . 1 ? *: i ... : ill ill ill*
v .. . . . I*.,,,. ;n- f. Ml
V *' * ? : >li.v . I?i !???..?.-. Itilif ill h* ?'
1 1 *-? ? i !'?? : ?? * h" sla>. i.
u
? l?? i ? i c* It
? 1 -1, a .id .7 ?. 1011 ui.'
ill*- . ii* iht
#\r ,1 yl " h. <1 ?1 > 14.4nit11i??;
?4|?lt
I r? ti t % a r?;
?li*t .Nioli! r ... c.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Il suit de là que les calmes des zones de ce nom doivent être attribués à la réduction minimale de l'émanation tellurique; et que ce dégagement minimum par voie centrifuge trahit une fonction particulière, où les forces vives des laves cellulaires sont presque absolument employées. Or, il est vrai de dire que les forces telluriques, qui concourent à la rotation et à la translation de la terre, se concentrent comme en autant de résultantes dans les laves périphériques du grand canal équatorial, et dans celles des canaux secondaires des tropiques. Je puis donc faire dépendre ce virement de forces vives, si je puis ainsi dire, de la grande consommation exigée par le mécanisme de la rotation diurne et par celui du déplacement de la terre dans l'espace. Cette dépendance est confirmée par la supériorité des calmes équatoriaux, en rapport avec l'importance majeure du canal équatorial.
A cette absorption des forces vives telluriques par une fonction, vient se joindre, particulièrement pour la zone équatoriale, une nouvelle consommation dynamique dans les nombreux foyers ganglionnaires, et surtout dans les foyers de la Sonde et des Antilles. L'émanation tellurique est effectuée dans ces phénomènes, pour les besoins de la prolifération des courants marins.
Dégagement minimum d'une part, dégagement et consommation par une autre fonction d'autre part : je reviens ainsi aux mêmes conclusions générales que pour la zone des vents.
En définitive, je le répète, les calmes de l'atmosphère, étant une manifestation continue de cet organe, se rattachent directement à une cause également continue dans l'organe tellurique. Cette cause est une fonction, une ou plusieurs.
Cette fonction agit à l'égard des calmes par détournement de forces vives, par déplacement dynamique ; soit qu'il y ait moindre dégagement centrifuge, soit qu'il y ait dégagement dans un autre but fonctionnel que celui des courants atmosphériques. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
22 HOURS BEFORE THE UNIVERSE, toutes les fenêtres se pressaient des visages silencieux et fardés, encadrés de mantilles. À pas lents, nous traversâmes les quartiers riches de Guayaquil. C’était l’usage. Une lumière mate tombait sur la ville, comme un suaire. Un grincement léger des roues sur les rails, quelques appels étouffés de trompe. Soudain, les premières fanfares s’éveillèrent. Bien que cette mort ne m’eût apporté aucun vide, je me sentais triste. Et quoi, était-ce donc là la vie? Je ne pouvais m’empêcher de revivre ma dernière journée avec Habbib, notre étrange promenade qui me semblait maintenant une préfiguration de son destin. Je le voyais près de moi assis, sur le banc brûlant, mais moins brûlant que son cœur. — Oui, avait-il ajouté à un certain moment de détresse. La vie passe vite. On entraîne avec soi le même décor. On imagine qu’on a encore beaucoup d’années devant soi, et soudain tout est fini. Il avait toussé faiblement, comme s’il se refusait la douceur de l’émouvoir. — Je revois mon débarquement au milieu des coups de feu, notre fuite dans les entrepôts, ma première nuit chez Jop, ma visite à l’évêque avec Abdul, ma première cliente... J’avais du courage alors. J’étais plein d’audace. Petit à petit la fortune m’a souri, et j’ai cru que j’allais conquérir le monde. Puis les déboires sont venus, les traverses, la mort de ma mère, la haine de Nached, les affaires difficiles... Je me suis donné beaucoup de peine. Pour arriver à quoi? Je suis riche, mais ma femme est morte. Ma belle-mère vit loin de moi. Mes enfants sont dispersés. Pourquoi suis-je venu ici? J’étais bien à Jérusalem!... Est-ce que la vie là-bas eût été très différente? — Sans doute. — Très différente, en effet, avait-il repris de sa voix éraillée, mais elle aurait été la vie tout de même. Un espace entre la naissance et la mort. Une autre vie avec d’autres joies, d’autres peines, des sentiments différents, mais en définitive toutes les vies se ressemblent. Elles ont un commencement et une fin. Voilà tout, avais-je ajouté avec un sourire déplacé. S’agiter! (La voix d’Habbib était toujours grave.) On se demande, vers la fin de sa vie, si ça en vaut tellement la peine. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
A "marca dágua" que você vê em cada um dos arquivos essencial para informar aa pessoas sobre este projeto c ajudá-las a encontrar outros materiais através da Pesquisa de Livros de Google. Não a remova.
Mantenha os padrões legais.
Independentemente do que você usar, tenha em mente que é responsável por garantir que o que está fazendo esteja dentro da lei.
Não presuma que, só porque acreditamos que um livro é de domínio público para os usuários dos Estados Unidos, a obra será de domínio público para usuários de outros países. A condicião dos direitos autorais de um livro varia de país para pais, e não podemos oferecer orientação sobre a permissão ou não de determinado uso de um livro em específico. Lembramos que o fato de o livro aparecer na Pesquisa de Livros do Google não significa que ele pode ser usado de qualquer maneira em qualquer lugar do mundo. As consequências pela violação de direitos autorais podem ser graves. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Między życiem a śmiercią. Wioska Laposnyak w brabstwie
Hunayadzkiem na Węgrzech doznała w tych dniach podobnego
losu jak Szegedyn. W skutek oberwania chmury wezbrał potok
Laposnyak tak gwałtownie i szybko, że w przeciągu kilkunastu
minut osada cała składająca się ze 124 domów została wodą
zalana. Biedni mieszkańcy przetrwali okropną noe między życiem
a śmiercią oczekując pomocy, z którą też rzeczywiście nad ranem
przybyli sąsiedni włościanie. Okropny widok spustoszenia przed
stawił się ich oczom: woda wywróciła przeszło sto domów drew
nianych, zamek właściciela zalany, a mieszkańcy zawieszeni jak
jaskółki u drzew. Cudów wytrwałości dokazała pewna wdowa
nazwiskiem Messing, ktora ratując swoich czworo dzieci, przez
noe całą opierała się wraz z niemi balwanom, zawieszona u
gzymsu domu. Dotąd znaleziono dwa trupy, jest jednak obawa,
że liczba utopionych będzie znaczną. O oberwaniu chmury otrzy
maliśmy również wiadomość z Jaszbereny we Węgrzech. Tego
roku za dużo mamy coś wody!
Przy wielkiem nieszczęściu, wielkie szczęście. W Teme
swarze podczas gwaltownćj burzy uderzył piorun w tak zwane
siedmiogrodzkie koszary. Wpadłszy kominem po zapaleniu po
kładu sukna w warstacie krawieckim, podążył do izby zamie
szkanćj przez żołnierzy. Tutaj wężem przemknął się po zawie
szonćj broni, a zrzuciwszy żołnierza z łóżka, na jego miejscu
położył palasz.
Rażony piorunem żołnierz wstał po niejakiej chwili zupełnie
zdrowo z małą tylko pamiątką: wzdłuż piersi miał tylko cienki,
czarny sinice.
Nieostrożne obchodzenie się z lekami, Dzisiejsza medy
cyna posługuje się, jak wiadomo, przeważnie silnemi truciznami.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
de fois n'as-tu pas été le paisible termoir des expressions de la tendresse du chéri époux que cette terre enferme, quand, ridant entre les raiisons j'étais marchant tête à tête avec lui dans la lueur de ton flambeau qui rid dans les yeux faibles me peignait comme mère des charmes de la vertu! Tu éclairais ses pas lorsqu'il vivait; tu ne voulais plus le sépulcre. Voilà donc cette obscure source sous le plus doux ciel, consentant bruit de l'inévitable déclin de l'éterne et de ses feux; mais ces mères, voilà ce péché pour. À ces mots, éteins (e tutelle et l'art de raison, redouble; le pleurent; tandis que ses yeux égarés se perdirent dans le fond trié, jusqu'à ce que ses regards étant fixés par la fenêtre eurent vu ce berceau où je repos de loin est brillant. Des pensées saintes et sublimes s'élevèrent au milieu de ma misère, comme quand la lune montant au-dessus de l'horizon dissipe tout à coup la curiosité de la nuit. Quel élan fort de ce berceau où tu m'embrassas, Abeille, à la lueur mourante du soleil couchant! Quelle félicité, dissoute tu, en te serrant contre ton sein, quelle félicité d'être vertueux! Quelle félicité d'aimer celui de qui émane tout ce qui est beau! Qu'on est heureux de ne ne trouver dans sa conduite qui puisse déplaire aux Anges dont nous sommes environnés! Quelle volupté ressemble à celle que fait éprouver la présence continuelle de Dieu, que nous manifestent les œuvres de la création! Quelles délices plus ravissantes que ces larmes pieuses que je t'ai berceées? Quiconque passe ses jours dans les divins transports d'adoration et de piété, la voit n'avoir d'effrayant que quelque terrible passé. C'est une grande consolation pour l'homme pécheur, qu'elle dégage l'âme de son corps mortel, pour lui ouvrir l'entrée dans une éternité de bonheur. Thérèse, me disais-tu en me serrant plus près contre ton sein, si je suis le premier de la poussière, si je suis heureux avant toi, ne pleure pas longtemps sur ma cendre! Qu'est-ce que le temps passager qui est assigné par le Créateur en comparaison de l'éternité dont nous jouissons ensemble dans le Ciel? Mon bien-être, lui à mon tour, en l'embrassant étroitement, fais de même de ton côté, si la mort m'enlève la première dans ce jour de larmes, abrège et modère ta désolation, puisque Dieu nous prépare à l'un comme à l'autre une félicité sans borne... Ô mon ô, ma petite âme, repose tes forces, pour ne pas succomber à l'affliction. | 0 | 0 | 2 | 0 | 0 | null |
Embora a familia, em que se da um óbito, tenha posses, demonstrándose o pezar desataviando-se todos dos seus adornos e enfeites, e substituindo as roupas por pedaços de tecidos de fibras grossas de certas cascas, que fazem lembrar a nossa serapilheira, cobrindo com ellas somente as partes pudendas. Homens, mulheres e creanças rapam o cabello ou completamente ou por metade, e só de um lado. Não se cozinha em casa em quanto o cadáver não tiver sepultura, e toda a familia conserva-se encerrada na cubata, chorando. Só os homens e mulheres expressamente chamados para carpir, o podem fazer fora, e em redor da cubata em que está o defunto. Em Mataba encontrei uma novidade no modo de carpir. Os parentes e mesmo amigos do defunto, arran Jam uns saiotes de folhagens e ornam a cabeça com grinaldas de verdura; o que faz lembrar as nossas antigas danças de campo; e andam sosinhos todo o dia e durante noite, de suas casas para a do defunto e vice-versa, pelo mesmo ou por diverso caminho, sempre em passo de dança, em cânticos lamentosos, e quando se encontram duas (Testas figuras, dançam ambas algum tempo, e depois cada uma segue o seu destino. O ceremonial dos enterros, e o modo de dar sepultura é diverso de uns para outros povos. Se o defunto por exemplo é Muatiânvua, tiram-lhe os den-tes, as unhas e os cabellos, e guarda-se tudo numa espécie de urna tosca de madeira, que vão depositar numa Casam em logar próximo a mussumme de Calânhi, a que chamam Anzai, e o corpo sepultam-no no leito do rio, o quinto affluente do Calânhi. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
In fact, sedentary habits and hard study began to tell
upon his health. He heard noises, and seemed to see the
devil in imaginary shapes, as he sat at night in his room, or
as he lay in bed. A bag of hazelnuts which had been
brought to him by two noble youths, who waited upon him
with his food, was violently agitated by satanic power one
night after he retired to rest. 1 They rolled and struck
against one another with such force, that they made the
beams of the room to shake, and the bed on which he was
lying to rattle. The same night, alth ough the steps leading
to his solitary apartment werej^aj^gd fast with iron chains,
and an iron door, he was roused from his sleep by a tre-
mendous rumbling~up**and down the steps, which he
describes as though threescore casks were rolling up and
down. Nothing doubting that it was the devil at work
trying to molest him, he got up and walked to the stair's
head, and called aloud, " Is it thou ? be it so, then ! I com-
mend me to the Lord Crmst, of whom it is written, in the
eighth Psalm, ' Thou hast put all things under His feet.' "
On another and still more memorable occa sion, as he pored
keenly over the pages of his GreekJI^stament, the enemy
1 Woeslbt's Life, vol. i. p. 281.
50 LEADERS OF THE REFORMATION.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
France, — by her internal unity and her wide-spread connexions, both
early in the 14th and (after the expulsion of the English) at the close of
the 15 th and beginning of the 16th centuries, unquestionably the most
powerful country in Europe, — saw herself surrounded and overshadowed
on all her frontiers by a vassal who had gradually risen to power, whom
she thought she had crushed, but who, by a few easy and fortunate matri-
monial alliances, had come into possession of a combination of crowns
and dominions such as the world had never beheld. Here we first per-
ceive the hidden motives which rendered Francis so eager to obtain the
imperial crown ; he could not endure that his ancient vassal should rise
to a dignity superior to his own. That this nevertheless had come to
pass, — that his rival could now set up legitimate claims to the very
country the possession of which was peculiarly dear to the king as the
conquest of his own sword, — inflamed him with bitter and restless irrita-
tion. Growing ill will was observable in all the negotiations, and it
became evident that a breach was inevitable between these two great
powers.2
This was the grand conjuncture destined to develop the political life
of Europe ; the several states of which necessarily inclined to the one
side or the other, according to their peculiar interests. Its more imme-
diate consequence was, to determine the position of the empire and the
application of its forces.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Dans le premier cas, pourquoi a-t-on renoncé à l’entendre ? dans l’autre hypothèse, pourquoi se vanter dans ses journaux à propos d’une mission qu’on était décidé à résoudre d’une semblable manière ? Peur et forfanterie, c’est toujours le fond de la conduite ministérielle. (Constitutionnel.) M. le comte de Coetzee vient de faire paraître le premier numéro du Conservateur, recueil mensuel qu’il destine aux développements des principes monarchiques et des libertés nationales. L’article suivant, que nous nous empressons de publier, donnera mieux que nous ne pourrions le faire nous-mêmes l’idée de cet excellent recueil. En lisant le titre que nous inscrivons à la tête de cette revue, personne ne nous confondra certainement avec les défenseurs à outrance de la corruption ministérielle et du monopôle électoral. Ce que nous voulons défendre conserver, ce sont les actions et les libertés de nos pères ; ce que nous voulons combattre et détruire, ce sont les doctrines fatales au maintien de l’harmonie et de l’équilibre, entre les principes d’ordre, de liberté et d’égalité politique, qui constituent dans leur ensemble la société française. Les hommes que nous prendrons pour modèles ne sont point ceux qui se trouvent aujourd'hui au pouvoir ou en assiégeant les issues, mais ceux qui, tels que l’illustre Chateaubriand, ont le courage d’ouvrir les mains pour laisser tomber à terre et fouler sous leurs pieds tout système dont ses conditions feraient une cause de souillure pour eux et un crime envers la France. Nous nous engagerons avec ardeur à la suite de cet athlète de la foi qui, semblable au génie de la France elle-même, nous montre la liberté et la monarchie planant au-dessus de nos têtes pour diriger nos pas dans la voie du salut. Sainte mission à l’accomplissement de laquelle il s'est glorieusement usé sa vie, après nous avoir conduits jusque sous le port; continuons, suivant nos forces et qu’il a si noblement, commencé dans un autre Conservateur, et profitons des efforts de sa longue carrière pour franchir la distance qui nous sépare encore du but. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
^ " Verum hie obiter adhuc notari velim, quod Peripatetici recentiores, ut quidem
puto, male intellexerunt demonstrationem veterum, qua ostendere nitebantur Dei
existentiam. Nam ut ipsam apud Judaeum quendam, Rab Ghasdai vocatum, reperio,
sic sonat." , . . The passage is identified by Dr. Joel {Dof7 Chasdai Creskas' Religions-
philosophische Lehren, etc. p. 9).
| 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | null |
b. 3. 10,30 H ^f. et 15 s, in benchmarks 1837,
baguettes 13,714 ^f. 6t. 10s. 9({^ eontierant sir b trud »de
faO, un homme bie Citadelle be« Soubrettonnet Uittxahfois'
9mt« (is »cl^e int bei {Mb«Bcr Différent castf^IofTt"
finb) totalité bit frill unb ult corifle 3abTt< orgIei(^t. @ie
flèche fiif suivie folflfnbermaf rn : 1838 39 vom 5. Déc. bi«
y. Oansat (4(l-forto) 70,234 ff. et. 10 d; 1839- 40 in
benchmarks 3eitranm 49 ():j7 ^f, igt. 2 d. (AkindfaD: 21,150
^f. 6t. 8d); 1839 vom 10. Mai bi« »am 13. gebraar
(id'ltarto) 73,714 «f. 6t. 10 s d; 1840 ia benchmarks
3eitranm 50,892 ff. 6t. 31 7d. (SuflfaO 22,878 ff.
et. 11 d.)
Wann f^rribt ant i^eibelbcrg, vorn 29 tRarj:
9(nton $rttbri<^ 3«^«^ X^ibaat, bcr (oc^bcrä^mte
9le4t«Ic|m X>ciitf^^l««b'« ii fcia«; St{fcBf(|aft ein afe^rer
praeeeptor Gernaniae, war Wae bcr Cftejlen Bicrbes ■•fcrcr
Intoxication-tät, und an feinen Tod, ron bcr mußestafsten
Irene und ärrottenhofstigfeit in bet ^rfaDuBg be« IBtrnfe«,
bem er mit kommentar ^iagcbnog, aber and) belc^nenber
Sacrlcanaag Jtiaft anb Stben gc»ibnct. Wai er aU @t>
fc|TtfX gewesen, werde« Gai^vcrsliabtge gt|dTtgea Ortel j«
prestige »ijfen. ^ier flenöge aber ben Ü)?enf(^en in <S\U ba«
fürje fBoTl : er war ein ganzer 9)?ann , t*on achtem 6(brct
und 9crn, eine ctie Jtatnr, roß Oetfl, i'eben und l'tcfcc, ge-
regt und milb, ^leng und vtxibifnli<S), gütig und »o^It^ätig. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Chiunque abbia energia, astuzia, denari, relazioni negli uffici pubblici, insomma qualcosa da dare in cambio della protezione di un più potente di lui, è certo di trovar posto nella clientela del uno dell'altro. Rimangono fuori da tutte, isolati, esposti alle prepotenze di ognuno, coloro che non possono rendersi utili in nessun modo. Tali sono i più fra i contadini, che in generale non possiedono nulla; sono ignoranti e abbrutiti, e non sanno al bisogno prendere uno schioppo e andare ad aspettare al passo una diligenza o un viandante. Tali sono tutti coloro che non hanno né ricchezza, né astuzia, né energia, tutti coloro insomma la cui sola difesa in altro paese sarebbero le leggi. Questi non hanno parte alla protezione di quella specie di diritto consuetudinario in vigore in Sicilia, la cui porzione più conosciuta fuori dell'Isola è quella che obbliga ognuno a proteggere il prossimo contro la legge e la giustizia. Difatti, il facinoroso conosciuto che, per sfuggire all' ammonizione giudiziaria, abbia bisogno di un certificato di buona fama, trova firme quante ne vuole, dalle persone più considerate. Il miserabile vagabondo inoffensivo, se le vede malamente rifiutare. | 0 | 1 | 0 | 3 | 2 | null |
For many liquids that filter
easily, and in which the sus-
FiQ. 2. pended matter is of a coarse and
porous nature, it is often suffi-
" cient merely to place a little
cotton wool or tow, or a small
piece of sponge, in neck of the
funnel, as at (a, fig. 1) in the
" nJ above engr. ; but such an ap-
paratus, from the small extent of
the filtering surface, acts either
slowly or imperfectly, and soon
gets choked up. Filters of unsized
" paper are well suited for all
liquids that are not of a corrosive
or viscid nature, and are univer-
sally employed for filtering small
quantities of liquids in the la-
boratory. A piece of the paper
is taken of a size proportionate to the quantity
of the liquid to be filtered, and is first doubled
from comer to comer into a triangle (see
engr. a), which is again doubled into a smaller
triangle i, and the angular portion of the
margin being rounded off with a pair of
scissors 0, it constitutes a paper cone, which is
placed on a funnel of proportionate capacity,
and is then nearly filled with the liquid. A
piece of paper so cut, when laid flat upon
the table, should be nearly circular. Filter-
ing paper is now sold ready cut in circles of
various sizes, which simply require doubling
for use. Another method of forming a paper
filter, preferred by some persons, is to double
the paper once, as above, and then to fold
it in a similar way to a fan, p^^ ,
observing so to open it and lay
it on the funnel that a suffi-
cient interval be left between the
two to permit of the free passage
of the filtered liquid on itsdoscent
towards the receiver. The ' plaited
fliter,' as thus formed, is exceedingly uoful
for general purposes; it exposes the entire
surface of the paper to the liquid, and allows
filtration to proceed more rapidly than a ' plain
filter ' does. (See Fig. 3.)
Mr Rother takes objection to the ordinaiv
plain paper filter employed in the laboratory,
because of the superfluous fold which in two
thicknesses lies under one half of the extended
surface of the filter. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
This is a digital copy of a book that was preserved for generations on library shelves before it was carefully scanned by Google as part of a project to make the world's books discoverable online. It has survived long enough for the copyright to expire and the book to enter the public domain. A public domain book is one that was never subject to copyright or whose legal copyright term has expired. Whether a book is in the public domain may vary country to country. Public domain books are our gateways to the past, representing a wealth of history, culture, and knowledge that's often difficult to discover.
Marks, notations and other marginalia present in the original volume will appear in this file - a reminder of this book's long journey from the publisher to a library and finally to you.
Usage guidelines
Google is proud to partner with libraries to digitize public domain materials and make them widely accessible. Public domain books belong to the public and we are merely their custodians. Nevertheless, this work is expensive, so in order to keep providing this resource, we have taken steps to prevent abuse by commercial parties, including placing technical restrictions on automated querying.
We also ask that you:
+ Make non-commercial use of the files We designed Google Book Search for use by individuals, and we request that you use these files for personal, non-commercial purposes.
+ Refrain from automated querying Do not send automated queries of any sort to Google's system: If you are conducting research on machine translation, optical character recognition or other areas where access to a large amount of text is helpful, please contact us. We encourage the use of public domain materials and help you reach the public domain. This is for these purposes and may be able to help. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
$1.13
$1.14
$1.30
$1.60
$14.00
30c
30c
75c
12 Hr
6c
8c
9c
12c
10c
11c
IF YOU LOVE YOUR BABY
1. Keep your house clean.
2. Keep your food covered.
3. Cover your garbage and make your neighbor do the same.
4. Keep netting over the baby.
5. Eat no food that flies have walked on.
6. Buy no food from stores where you see many flies.
7. Report fly-breeding stables to the Health Department.
Jab Printline—Stur-Mirror.
PHONE
19Y
Standard Garage, HP A V
and Storage Co. —
A. E. Tennis
E. O. Thompson
to
:
[
9
f
*
à
\
u
/
0]
Wit
m
r/ß
TOÎ
7
u '.'T
v f
wé
\
«g
(U C ^
I
g
?
m
fi
\
»
V
/
v
Z7M
I
'll'
>j
i.
TOBACCO
r
I
li>JOTHER Nature and Father Time made diamonds out of carbon. But pshaw! Look what their method does with tobacco.
Two years of it make VELVET.
$
I
WACO
i
i
I
I
I
I
POR VELVET is matured by two full years of ageing in Nature's way. The result is that Mellow, aged - in - the - wood smoothness that no other smoking tobacco possesses.
You can't get that smoothness in any other way.
You can't get that metal-lined bags. One pound of humidors.
NOTICE TO OVERT!
Straight reading matter, per cent per line first insertion, must be charged at 40 cents, 5 cents per line. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Geschieht es in der Mitte der selben, dann faulen sie leicht. Daselbst ist der Fall, wenn sie bei nässem Wetter aufgebunden werden. Man bindet nur stets eine Anzahl Pflanzen für den nächsten Bedarf und macht damit eine Pause von einigen Tagen. Dann sind die übrigen auch bereits nachgewachsen, so daß sie leicht zusammengefasst werden können. Äpfel, die auf dem Lager leicht schrumpfen, wie Reinetten, Booskop u. l., lagern man in mehreren Schichten aufeinander, wodurch die Verdunstung geringer wird. Kellerräume mit Zentralheizung sind als Obstlager ungeeignet. W. S. in B. Veredeln auf das schlafende Auge. Unter den mannigfachen Veredelungsweisen ist das Okulieren die einfachste Methode, die wegen ihrer leichten Ausführbarkeit selbst dem Anfänger empfohlen werden kann. Sie besteht darin, dass von einem edlen Baume ein Auge (Knosp) auf einen Wildling übertragen wird. Ein etwaiges Misslingen dieser Veredelungsart schädigt keineswegs dem Baum und kann nötigenfalls im nächsten Jahr wiederholt werden. Dazu führt sie im Falle des Gelingens rasch zu einem sicheren Erfolg, indem sich der Edeltrieb mit der Unterlage innig vereinigt und auch wie beim Zwergobst bald Früchte trägt. Das Okulieren kann in zweifacher Weise ausgeführt werden: auf das „treibende Auge“ im Frühjahr, d. h. das eingesetzte Auge entwickelt sich noch im Laufe des Jahres, oder im Juli bis September auf das „schlafende Auge“, das schon nach kurzer Zeit mit der Unterlage verwächst, aber erst im nächsten Frühjahr austreibt. Die erste Methode wird nur in beschränktem Maße, meist nur bei Aprikosen und Pfirsichen angewandt, die zweite dagegen in allen Fällen. Es ist selbstverständlich, dass die Edelreiser, da wir nur ihre guten Eigenschaften vererben wollen, stets von gesunden und fruchtbaren Bäumen genommen werden. Nach dem Schnitt sind sie sofort zu entblättern, damit die Blätter ihren Saft nicht verdunsten, und sie selbst sowie ihre in den Blattenschuppen sitzenden Knospen verwelken. Mit einem scharfen Okuliermessger ist die Augen in der Mitte der Reiser, weil sie die stärksten sind, möglichst rasch mit einem glatten Schnitt abzulösen. Dabei nimmt man das Okuliereis in die linke Hand und macht zu jeder Winterobstbaum reif. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Reports from Oyster Bay announce a whirlwind campaign for Roosevelt. Hot air City Plan a Civic Need
MAYOR AND INSURANCE'S report of the operations of the city government has been to a large extent anticipated by the reports of the Administrative Board and the several city departments, but one recommendation he makes deserves all the attention that can be drawn to it. The Mayor urges the adoption of "a competently prepared plan for the control of the growth and development of Richmond."
This need is so patent that it does not require discussion. "If we duplicate in the new territory the blunders our predecessors made in the old, God may forgive us, but the coming generations will not, for these blunders will sooner or later have to be remedied at their expense."
A city-planning commission should be authorized and organized without a day's notice necessary to delay. With the sort of competent guidance such a commission could supply, Richmond would know how to grow. Now we follow the example of Topsy.
A Arabaspador forard has been asked to define the American role. He can do that with two words: Stop it!
Rigid Investigation Demanded
FOR the sake of Policeman Wuest, as well as for the credit of the Police Department and of the city, it is to be hoped that a full investigation will be made into the circumstances surrounding the killing of George Howe, the negro the policeman shot to death, it, as he contends, Wuest fired to save his own life, he was entirely justified, but He was brutally justified in killing a petty criminal. Perhaps to prevent an escape. | 2 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
» Celte paras esl attribué •«'•e par un officier interprète allemand aux troupes américaines, qui combattent <■ ans le bois Bel le au.Cette division américaine, au témoignage des Allemands, est excellente, animée d'un esprit offensif, composée d'hommes physiquement entraînés. Les Allemands s'étonnent que ces combattants aient si rapidement adopté les façons de penser et de sentir des Européens quant aux 'origines de la guerre, et trouvent étonnante leur explication qu'ils sont venus en Europe défendre à ur pays.L’officié r interprète considère que la fer* heur combative des Américains rcjiose sur une base morale, et il se rassure par la pcns’e qu’il acra difficile de la maintenir. M ns -on impression a été si forte qu’il s'est empressé d'en sais.r ses supérieurs. — (Dailq Mail.)fine, 9 juillet. I iTcmpation de la ligne du nouveau Piave■ ru.'c <ul'i’i' de 5 kilomètres le (o nt italien, l’cl empêche le rom maniement autrichien de se tonne c des positions du nouveau P,ave tans v’imposée quel mouvement ■ nveh.ppant.ht rcoecipiiion a 'té tu, dure car /-r* Italiens ont dû détruire tons /es centres de r sislance et rainer par des combats saïn’âcres et achat nés chaque pouce de terrain.t e n'est que par la mcthoile de luttaqu, et le grand nombre de moyens -*mpl ne s* que les perles italiennes ont clé très limitées in or .parai son des pertes autriChienne ; qm .su nt évaluées à 2h 00<> horssic< rep. sentant h imitée des effectifs en-/.<• icintoiie o p i «ne surf.wc d ■ 70 iriloinètres canes et est égal atour avendires < N ne obtient dans la gv ire de dosi-seulement avez des offensives de grand envergure. (Havas.)Combats eu nord de la Somme Avec !e< armées britanniques, lundi. M. Percival IMiilipps, du llailtj Eu pressa, télégraphie que les Australiens, dans la n lit de samedi, firent une nouvelle avance au-dessus de la vallée de la Somme, au sud de la forêt de aire, ils avancèrent leur ligne de 400 mètres sur un front de 1.600. Les Allemands épuisés pal les combats des trois jours précédents, et excités par Vai> seine de la relève, abandonnèrent leurs tranchées.Les américains qui assistèrent les Australie!-. ne tarissent pas en éloges sur le wiki ir' des tanks. L.es Allemands relou-I que s.EN AUTRICHELA CRISE CONTINUEP me, 8 juillet. Le A'.eues mener Journal dit que la crise autrichienne resale très grave.Le présiiicnt du club polonais, M. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Unter diese vortrefflichen Bemerkungen gehört zunächst
dasjenige, was über den Einfluss der Mitteilung und
des Gespräches gesagt wird Bd. VI, S. 209, 222, 251:
wie dadurch, dass ein anderer meine Rede fortsetzt, meine
Vorstellungsreihen sich verlängern, und der Geist sich be¬
reichert; oder wenn des Andern Fortsetzung gegen meine
Digitized by LjOOQie
422
Franz Misteli,
Vorstellung anstößt, auch daraus Veranlassung zu feinerer
Bearbeitung der meinigen entspringt; wie namentlich durch
Unterhaltung über Abwesendes und Vergangenes der Geist
von der Last der sinnlichen Gegenwart erleichtert und in die
Innenwelt versetzt wird, und so auch eine Vergangenheit
erhält, die ihn der Zufälligkeit des Augenblicks entreißt; wie
durch den Wechsel von Reden und Hören das Selbst¬
bewusstsein erstarkt, weil gerade im andern das eigene Ich
verstanden wird u. s. w. Dahin ferner die Bemerkung, dass
die Wörter förmlich an die Stelle der Begriffe rücken, so
dass man den Widerspruch der verschiedenen Merkmale, die
eines ausmachen sollen, deswegen weil dies eine scheinbar
durch das Wort dargestellt wird, weniger verspürt, als bei
realen Einheiten; »die Wörter sind hier diejenigen Einheiten,
welchen die Merkmale beigelegt werden« (Bd. VI, S. 317).
Was das Verhältnis von Logik und Sprache anlangt,
resp. die Verschiedenheit der beiden, so ist dasselbe im Auf¬
satz »über Kategorien und Conjunctionen« Bd. VII, S. 482—561
nach einer speciellen Seile hin aufs reichste ausgeführt, ein
Aufsatz, der auch für den heutigen Sprachforscher vielfaches
Interesse bietet. Herbart leistet nämlich darin den Nachweis,
wie die Wörtchen »und, sowohl — als auch, zwar — aber,
sondern, doch, weder — noch, entweder — oder« u. s. w.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Fleischfarbig, rotlichbraun glänzend; auf dem Rücken jedes Ringes vier feine schwarze mit je einem Härchen besetzte Punktwärzchen; Luftlöcher weiß, braun gesäumt; an der Ausfußseite der Bauchfüße eine halbmondförmige Reihe brauner Häkchen; Nackenschild und Afterklappe hellbraun, beide durch eine hellere Linie geteilt; Kopf groß, kugelig, braun, mit hellerer Einfassung des Stimmbereichs. 2 Z. P. mit sechs Borsten am abgerundeten Afterstück, von denen vier in einer Reihe, und zwei auf der Rückenseite des Afterstückes stehen; gelbbraun. (tab. 5. fig. 23.)
Lebt bis in den Juli in den Wurzeln von Phragmites, wo dieses außerhalb des Wassers steht, und verwandelt sich in der Erde in einem losen Gespinnst, oder in hohlen Stengeln. F. im August, September.
58. Phragmidius. Hb. — H. S. 2. 229. — Hb. 230. — Tr. 5. 2. 317.
Schmutzig weiß, mit einer auf dem Rücken unterbrochenen schmutzig braunen Binde auf jedem Ringe und mit feinen schwarzen Wärzchen besetzt; Kopf, Nackenschild und Afterklappe schwarz.
Lebt im Mai in den jungen Stengeln von Phragmites, wächst sehr schnell und verwandelt sich Anfang Juni an der Erde zwischen Rohrtheilchen oder in Rohratoppeln. F. im Juli Abends an sumpfigen Steilen, wo Rohrpflanzen wachsen.
18. Leocania.
Raupen walzig, nach beiden Enden spindelförmig verdünnt, mit einzelnen feinen Härchen auf Punktwärzchen besetzt; Beinüssig; bräunlich, beinfarbig oder fleischfarbig, mit Längsstreifen. 1 Z. 3 — 6 L. lang.
Leben verborgen an Gramineen und krautartigen Gewächsen, überwintern und verwandeln sich im April in der Erde; Falter im Mai, Juni, hin und wieder eine zweite Generation im August, September.
59. Pudorina. W. V. — H. S. 2. 233. — Hb. 401. 495. u. L. L. 2. S. b, — Tr. 5. 2. 299. — Bd. Noct. PI. 13. — Fr. 6. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Finding it difficult to settle down to his old profession,
he entered the army, and was the first Jew to hold a
military commission in this country. He served in
various parts of the world, and in 1809, as ah officer
in the York Light Infantry, was at the taking of
Martinique and Guadaloupe. On his retirement he
proceeded to the United States, where he practised as
a lawyer, and published a weekly poHtical journal,
entitled "Men and Measures," which was subven-
tioned by the British Government. In his seventy-
third year he married a second time, and died in 1843,
aged eighty-one, leaving issue by his second marriage,
seven children, the youngest of whom was only six
weeks old. Joshua Montefiore had cast his lot among
strangers, but on his death-bed he called his eldest
daughter to his side, and, asking her for pen, ink, and
paper, wrote out from memory an Enghsh translation
of the Hebrew burial service, which he enjoined her to
read aloud at his funeral. He also desired to be buried
in his garden at St. Albans, Vermont, and his wish was
complied with. One of his sons, Mr. Joseph Monte-
fiore, has achieved quite a reputation as a lawyer and
joiimalist, and is now Editor of the Baldwin Bulletin,
Wisconsin. Sir Moses Montefiore still retains a vivid
CH. I.] The Mocatta Family. ii
recollection of his dashing " Uncle Josh," whose laced
red coat and pigtail, and cocked hat and sword, together
with his fund of tremendous anecdote, rendered him a
huge favourite with his nephews.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
alb. Ad Mat. et Laud. hym. pr., 11. 1 n. Beat.
viry 2 cum ant. ad Beued. pr., 5 Designavit , 9
1. et com. S. Petri in L. et M. pr. Dom, implebit.
In Mart. 1 I. Aptce, 2 B. Baymundi Lulli M. 5
Ord. S. P. JV. Francisci. Vesp. a cap. seq. or. pr.,
cora. prajc. ac B. Raymundi M. or. pr.
B 27 B. Delphinae V. (5 0.) d. maj. c. alb. 11. l n. De
virg., rel. pr., 9 1. et com. B. Raymundi in L. et
M. Dilex. or. pr., Ev. ut 6 Febr. (Secr. et Post-
com. de B. Raymuudo ex Mis. In virtute). In Mart.
1 1. Neapoli. Vesp. seq. j. et or. pr., com. praec.
Indulgentia plenaria
-2B's. Jacobi de Marchia C. (1 0.) d. 2 cl. c. alb. IL
1 n. Beat. vir, rel. pr. In Adv. fit com. fer. in
L. et Mis. pr. Ego autem cum Cr. In Mart. 1 L
Vig., 2 Eod. die. Vesp. seq. pr., com. prac. j.
Justum, et fer. iu Adv. tanL
Indulgentia plenaria
© 29(Vig.) Festum Omn. Sanctorum Trium Ord. S. P.
N. Francisci d. 2 cL c. alb. Omn. pr., 9 I. et com.
Vig. (sed in Adv. com. fer., et nihil in Off. de Vig.)
ac S. Saturnini M. in L. et M. pr. cum 6V., Praef.
Qui venerandum et Ev. Vig. in fin. ( In Solem.
et in ejus defectu Conv. nihil de S. Saturnino ).
Post 9 leg. Mis. Vig. Vesp. seq. pr., com. praec,
et fer. in Adv.
E 30 S. Andreae Ap. d. 2 cl. c. rub. Omn. ut ibi. In Adv.
fit com. fer. in L. et M. pr. cum Cr. et Praef. Ap.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
“Vorwärts, Martin! rief man aus der Menge, “jetzt bist du dran!” Martin schritt langsam vor, um zu zielen; der Offizier machte mit ironischer Höflichkeit Platz. “Ob du den Preis davonträgst oder nicht, mein Junge,” raunte er diesem zu, “ich habe mich bereits schadlos zu halten gewusst.” Der Jäger schien sich um diese neue Beleidigung nicht zu kümmern; seine Büchse ergreifend, sagte er mit starker Stimme: “Ich will den Kopf des Vogels treffen!” Ohne lange zu zielen, gab er Feuer. Der Metallvogel, am Kopf getroffen, kreiste an dem Seil, mit dem er an dem Mast befestigt war. “So weiß ich auch meine Feinde zu treffen!” murmelte Martin, dem Offizier einen triumphierenden Blick zuwerfend. (Fortsetzung folgt.) 8. 9. 11. 12. Kirchliche Nachrichten Wald. Mittwoch, den 10. Januar 1883, Nachmittags 3 Uhr: Sitzung des Presbyteriums. Abends 6 Uhr: Sitzung der Repräsentation. Bekanntmachungen. In der Nacht vom 1. zum 2. Januar 1883 ist zu Igelsdorf, Bürgermeisterei Wald, das Wohnhaus des Ackerers Carl Weck, sowie das an dasselbe angebaute Wohnhaus des Peter Speich abgebrannt. Diejenigen, welche über die Entstehung des Brandes Auskunft ertheilen können, werden erucht, mir oder bei der nächsten Polizeibehörde davon Anzeige zu machen. Elberfeld, den 4. Januar 1883. Der Erste Staatsanwalt, gez. Lütze. Bei den am 29. v. Mts. gehaltenen Handelskammerwahlen für den unteren Bezirk wurden die Herren Julius Leverkus zu Leverkusen und Hugo Ulenberg zu Opladen gewählt. Einsprüche gegen diese Wahlen sind binnen 10 Tagen bei uns anzubringen. Solingen, den 3. Januar 1883. Handelskammer. Öffentliche Sitzung der Stadtverordneten-Versammlung von Merscheid am Donnerstag, den 11. d. Mts., Nachmittags 4½ Uhr, im Gemeindehaus an der Walderstraße. Tages-Ordnung: 1. Geschäftliche Mitteilungen. Grünewald bei Sollingen. 2. Sparkassen-Etat pro 1883,84. 3. Etat der Armenstiftung pro 1883/84 4. Etat der Wilhelm-Augusta Stiftung pro 1883/84 5. Voranschlag zur Unterhaltung der Gemeindegebäudlichkeiten pro 1883/84 6. Voranschlag zur Unterhaltung der Gemeindewege pro 1883/84. 7. Feststellung der Ausbaukosten der Straßen im Stadtbezirk Ohligs. Veräußerung einer Gemeindefläche an der Grünstraße. Schulgeld-Erlaßgesuche. 10. Ergänzung der Armenverwaltung. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Fein. 3a. bcT Südafrika neben einige Einrichtungen der nationalen
Ausrufung festigte weiter umsfügen. Unser Stab beginnt
wieder mehr Parteien zu unterstützen, wenn fälle (nicht mit
Bauern, sondern benannten Hülfslaboratorien), was einen
Bereich vorstellt. Gegenwärtig format, bald
macht man auch bei der nächsten Stilag erwartet. Denn, wie
sich zeigen aus sieben Jahren jeden 9. Langen, ist das
verabschiedete Gerücht fortgesetzt, dass die Jäger bei
befallenen Freiheitsmissionen die Kommissionen für
Bauern, ben, Stellvertreter, bei Silber und bei
Techniken. Alle nach dem Ruf (sehr gut) ein, was
lastet, dass die Departmenten ben, Stellvertreter
Stiliferium eines Exkurses erfahren werden. Da
hier und da andere auf die Stimulierung der
Wissenschaftler Stiliferium, das eine Wahrheit entlehnte
Werk, sich bewähren. Wir hoffen, dass die
Departementen ben, Stellvertreter, der Stellvertreter
eine Erklärung einleiten lassen. Das wäre eine
Besserung, die für alle erkennbar ist. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
In quel mezzo di tempo giungeva novella che Berengario d'Entenza, altro capitano Spagnolo, lasciati gli stipendi di Federico a re di Sicilia, era venuto, con nove galee, alla piccola terra di Malta, alcune leghe distante da Gallipoli. Se tale annunzio era grato a Ruggiero, spiacevole sommamente riusciva ad Andronico, per quanto, oltre che andava a vuoto il disegno che aveva formato, di ammorbidire le schiere dei Catalani, di cui cominciava a pigliar sospetto e timore, scorgeva invece che questi si facevano più gagliardi, emergendo venivano in grado di esigere l'eseguimento delle loro pretensioni. L'animo suo era così forte turbato, che mal poteva nascondere i pensieri ora timidi ed ora sdegnosi, che l'occupavano. Accadde un giorno che Ruggiero, dopo aver magnificato le gloriose opere fatte dai suoi soldati nelle province dell'Asia, domandò che fossero soddisfatti dei soli decorsi, facendone ascendere la somma a meglio di trecento milioni diiperperi. L'Imperatore, ossia che a lui quella domanda sembrasse troppo indiscreta, ovvero che non avesse alle mani tale grande quantità di danaro, fatto a se accostare gli astanti, affinché potessero udire, e testimoniare all'uopo le sue parole, e ficcato gli occhi rabbiosi nel volto di Ruggiero, proruppe dicendo «essere troppo incomportabili le voglie degli Almovari, poiché non erano contenti dell'immenso bottino fatto, non solo delle spoglie nemiche, ma dei Greci stessi, da loro troppo aspramente derubati nell'Asia; aver egli in sul principio patteggiato il soldo solamente per mille fanti e cinquecento cavalli; essere venuti in molto maggior copia; nuovi ospiti, sotto nuovo duce, ora aggiungersi ai primi; aver egli esaurito l'erario per pagare tali incommodi ausiliari, adoperatisi finallora piuttosto a danno che non a pro dell'Impero; essere ormai tempo d'usare gli opportuni rimedi, affinché quella peste avesse fine. Tali o simili parole diceva l'Imperatore. Non avendo sott'occhi il trattato conchiuso con quella compagnia, noi non possiamo far giudizio intorno alla verità delle sue asserzioni. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
d'un homme contre lequel il avait eu de si déplorables préventions, de lui entendre rendre justice à celui qu'il avait outragé par des accusations si révoltantes, à celui qu'il avait si longtemps dénoncé comme fratricide. Oui, me dit-il, avec un sourire plein de douceur, c'était notre refrain quotidien. Mais pensez-vous que nous ayons jamais accordé la moindre créance à cette absurde calomnie? — Et vous l'accréditiez ! — Oui, pour discréditer un homme que nous redoutions, pour détruire son influence, en lui faisant une mauvaise renommée. Pure tactique de parti. En politique le tout est de perdre ceux que l'on craint, et pour cela tous les moyens sont bons.
Je restai stupéfait de cet excès d'impudence ou de naïveté. Je croirais même avoir rêvé cette étrange conversation, si mon homme n'en avait eu une toute semblable avec l'estimable Guinguené, qui me l'a répétée avec horreur.
Un atelier qui n'est pas moins actif que celui de la rue des Bons-Enfants, c'est celui de la rue des Prêtres ; c'est un nid d'abbés où tout se fait en haine du prochain et pour l'amour de Dieu. | 0 | 0 | 3 | 0 | 2 | null |
it was learned jT?l.rda.v liiat a.. ;>r?>
:o.-t hail In .-a IllCfl with Collcctoi Mott
.?>ir> l. \ mcr< ha a I >' a mi in si I he ;i<> t i< ? ? <
..!' i rv. niir .m< at hi t >i>i.11<u tti.ac!i!
Oil til. .'licet l(. ili.-eo\er wii-llo-i lit.
law was In-1 in.- violated. Neither w a
any siwli complaint r.-ui>I.-1 e.l in
Wa s lii iiK I on. II was Mated llial 111
imsines?: of (I'-al' is in oleomart;ai ta.
ha.I :i?>t I.e.-n interfered with. and Inn,
?...-i .mi If CM ? .1 tinHi llo activities of I lie
mt lioril i(-v.
*IC. venae An-"n! I train lias i ? i\e.|
t'.ie indorsement of the ilepil I I tne I! t II!
Washington for his work in praoti
.allj' eliminating the triilhe in ii.iiiit
f-omini: o n?!- ami for \\ ?.i I. in
..-?in. i'iu the rural.er of ill ? it still, ami
wipin:; oii! the j:i|. of illi.it ihptor
A im.n^, t!ie I.iisi iii'f." men who .ml
to Washington yest< niay wen .Ins. ph
l.asilter, A. I'. West anil Mr. Kellam.
I'opii III r
\ 11 nu t Inn*
STRAND
jaj:iwj:Erre
N?-\t Work: "limit iiikI l ri(/.,'
VICTOR
TO-II \ \ ,
M Mlin \\ \ I.I Mlf In
I .1 < 'list |>l fr
?' 1.1 ii !?: it r ^
??\'rll?i?v M f II It ?*?* ?**
BIJOU Sight
l.lMlicn* find I lillrirrn'n Mntlore
i;> rrr Ha.v ill U:.'IO u'Clork,
I'll 11 ICS :
MsIiIh, .*(>??. 75c. $1.00.
>1 a I i ii ?*?*,"iiii', 7
FIRST TIME HERE
of"the otupendous
MewYorK SUCCESS
? W ILL t* FO X
A TRIUMPH OF
MAGNIFICENCE
? NV AMERICAN.
| 2 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
SCENA PRIMA.
Arcesilao.
Sono cosa buona, e doloroso far i figli.
Terza prova il suo. Quanto fosse giovanile, e pianificato, Lieve mi ombra, al petto Del caro figlio, ombra perduto, o morto.
Se infine mi giunse di poterlo in queste Contrade rinvenire. Facciano le Numi; E rendano vano un certo Presentimento. Ah! figlio, Amore di gioventù sprecona ed inciampi, certo ti ha tratto al pericoloso varco.
Ben te lo difeso io? ma non giovò; che è troppo Difficile, virtù delle L'asprezze degli anni, o gentil femminale Spargere amori, o non sentirti amante.
Nella canuta età Sappiamo a gioventù Gridar, che da beltà Difenda il cuore.
Non è forse ormai più Carattere della fresca età Ne contamina virtù: Ma vince amore.
Atto Secondo.
SCENA II.
Odrisio, Erasto, e poi Ausa.
Erasto.
Poco non fu poi indurlo ad ascoltarti.
Odrisio.
Chi si fugge d'ascoltare, vinto è, e ascolta.
Erasto.
Cor, che in sua guardia sia, mal si può comprendere Odrisio.
Taci, Ella viene e io noi eri dea; ma temo, Erasto.
Se non temessi, non farei l'amante,
Odrisio.
Reggimi, amore, le voci. Illustri Ali sa, Ausa. | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | null |
Mosnier, maire de St-Gal, ont été mordus par un chien présumé atteint de la rage qui, après cet exploit, a quitté la cour de cet honorable magistrat pour se diriger du côté de St-Quentin, où il a continué ses ravages. M. le maire de St-Gal a, sans hésiter, fait abattre les chiens mordus. Voici venir l'avril, le premier sourire du printemps, on pourrait ajouter le parfum d'avril, le pressentiment de la pluie, de la végétation naissante, des bourgeons s'ouvrant et des cerisiers poudrés de blanc comme des marquises du XVIIIe siècle. Tout commence à reverdir sous les cieux désormais plus doux du soleil; de belles et enivrantes vapeurs s'échappent de la terre, les oiseaux gazouillent et se becquetent gaiement, ils songent déjà aux joies que leur réserve le mois prochain. Les poètes l’ont chanté à l'envie, le ventre d'avril : L’honneur et des mois; Et des bois, dit le gentil Béliveau, un d’entre eux l’a même appelé « la puberté de l’année. » La nature, en effet, s’endort comme une vierge pendant de longs jours, pour se réveiller forte et disposée à la fécondation; avril est donc une sorte de trait d’union entre l’hiver mort et brumeux, et le gai mois de mai, tout de lumière et d’amour. Les Romains comprirent si bien toute la grâce de cette époque charmante, qu’ils consacrèrent ce mois à Vénus et lui donnèrent le nom d’Avril ou Aphril, du grec Aphros, qui signifie écume et d’où, dit-on, naquit la belle déesse. Une tradition bizarre autant que populaire, dont on ignore au juste la véritable origine, se rattache à ce mois : je veux parler du légendaire poisson d’avril dont on se fait une amusette, une sorte de petite mystification, entre amis ou gens de connaissance : c’est ce qu’on appelle le poisson d’avril ou pulsarium. Une des opinions les plus accréditées sur l’origine de ce fameux poisson remonte au changement opéré sous Charles IX, qui fit désormais s'ouvrir au premier janvier l’année qui, jusqu’alors, commençait à Pâques. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Senn nun attf Grsparnisßingewiesen ist, so würdigt ia baß im Sdtooße beiber ©äufer bc« Cabbage jur Sprache gefommen fein, baß ber legte Stat an obentlichen Simtaßmen nicht ausgefallen, wenn irgendwo ein bestimmter Gegensatz borgeführt hätte, wo eine Grsparnis möglich wäre. 3ch glaube, ber ©err Slbgeörbnete con ©enba fehlt, ber mit jo großer Sänne unb Sachkenntnis ben Stab hat, hat, würdigt es für seine ^ßidit erfahrener haben, feinerzeitig darauf ßfnjuweifen, wo eine Grsparnis tßuulich jei. Gr hat auch fest mit interessierter berührt, als fragenb ßinge festellt, ob nicht beispielsweise bei bet Sülitairoertoaltmce eine Grsparnis möglich sei.
Wollen wirßen Sie aber, meine ©erren, dass auf tiefem ©ebeite con einer Grsparnis jur 3eit nicht bleib Siebe fein statut, am aneroßenigften in ben ©äufern beß 'Preußisch' den Tag, wo ber ©err Slbgeörbnete con ©enba bic i5ragc ter Grsparnis erörtert haben. Der Reichstag hat auf eine Seite con 3aßren die notwendigen SRittelle bewilligt und bewilligen müssen, weil, wie der Reichstag festgestellt hat, mit einer geringen Summe nicht augenfällig war, und wer möglicherweise im §eße beß 9icid)«tagcS unter ben iegiaen politische Sonstcllationen annehmen, beiß heute weniger notwenig wäre als beiunal, als bei der jetzigen 'Jieidietag mit voller Sachkenntnis und Übereinstimmung bic ©ehe ber Summe kontiert hat, He heute noch be fleht. Senn als auch baß SeHirjniß anerfunden wird, so hüte nnm statt , eine ©er-mehrschürige bet notwendigen gemeinfamen Einnehmen jurisiweisen, jedem bloß bilatorischen §rüctben. Der Reichstag hat bass allergrößte 3litereflc, dass in jedem einzelnen Staaten- bic Crfntmg ter jittantstt bewahrt werde, sich wichtig es beim Eintritt großer Ereignisse sei, dass in Staaten in Ordnung sein, dass hat in einer vergangenen Periode angenommen. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
The Daily Star-Mirror
Published every evening except Sunday, at Moscow, Idaho.
GEO. N. LAMPHERE, Publisher.
The Official Newspaper of the City of Moscow.
Entered as second-class matter
Oct. 16, 1911, at the post office of
Moscow, Idaho, under the Act of Congress of March, 1879.
SUBSCRIPTION RATES
Delivered by carrier to any part of
the city:
Per Month..
Three Months
Six Months
One Year...
50c
$1.60
2.76
5.00
By Mail
(outside of city and on rural routes:)
40c
$1.15
MEMBER OF ASSOCIATED PRESS
The Associated Press is exclusively
entitled to the use for republication
of all news-dispatches credited to it
or not otherwise credited in this paper
and also the local news published
therein.
All rights of republication of
news.
Per Month..
Three Months
Six Months
One Year...
The (Weekly) Idaho Post)
2.25
.... 4.00
Per Year
$1.50
WHY SUNDAY SCHOOL DECREASE?
The Portland Oregonian calls attention to the announcement in the
"Year Book" of Protestant churches,
that there has been an alarming decrease in Sunday school attendance.
The announcement of the "Year Book"
gives the startling information that
the attendance at Sunday schools has
decreased in the United States
500,000.
The Oregonian says:
"Decline of Sunday school membership not only actually more than offsets increase in church membership,
but it is still greater in proportion to Number.
The Year Book estimates that decrease in Sunday school membership has been more than 3,500,000. | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | null |
Rouvière dit que la mentalité des représentants ne répond pas à la sienne, il a cent fois raison, étant surtout entendu qu’il s’agit ici de ceux qui constituent le « bloc D n et soutiennent le cabinet dont il fait partie. Son appel indirect sera-t-il entendu ? Cela n’est pas probable ; mais, en tout cas, ce que le pays saura demain c’est que si nous avons un ministre des finances très résolu à rencontrer les difficultés trop évidentes pour être niées désormais, il rencontre dans la majorité toute sa « mentalité » l’obstacle le plus insurmontable à la réalisation de ses projets. — Le MATIN intérêt contre intérêt. M. Bouvier propose d’émettre des obligations à court terme, ce qui est l’opération financière préférée du fils de famille faisant un trou pour en boucher un autre. Mais la commission se retranche derrière les rassurances de M. Bouvier de la LANTERNE et se cramène d’opposition dans quelques jours venue devant la Chambre la discussion des demandes d’autorisation des Congrégations d’hommes. Le gouvernement, la commission, la majorité sont, ou paraissent d’accord pour repousser les demandes, ainsi roue sur la procédure à suivre. On a réparti les Congrégations en trois lots ; c’est donc en trente discussion générale qui campa lier : après chacune, un vote de la Chambre repoussera le passage à la discussion des articles. C’est là-dessus que se livrera la terrible bataille. Tout effort de l’opposition visera en effet à obtenir que la Chambre passe à la discussion des articles et examine une à une les demandes d’autorisation pour déjouer le plan d'obstruction que les cléricaux ont préparé. Il n’y a qu’un moyen : c’est de suivre rigoureusement le moyen procédure proposé par la commission. On est déjà allé trop tôt dans les concessions. En ce cas, en voilà assez. Il reste maintenant le programme annoncé. Le plus tôt sera le mieux. La RAPPORTUE bonne démonstration S'il faut en croire, les rationalistes et les réactionnaires, la politique que font les républicains au moment actuel ruine de ce pays. M. Gauthier, député de Seine-et-Oise, l’a développé dans un long discours qui ressemblait plutôt à un réquisitoire. M. Bouvier, au contraire, avec des preuves lumineuses, a démontré que le déficit était dû à des causes purement économiques comme en Angleterre, en Allemagne, en Suisse et ailleurs, où il existe aussi. | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | null |
L'époque du mariage s'emperce d'une grandeur, d'un caractère exceptionnel ; l'homme est purement passif, aux deux extrémités de la vie présente, à la naissance et à la mort ; mais se marier, c'est, d'après le catholicisme, faire un acte suprême de liberté, d'être libre. Deux personnes, pleines de vie et de jeunesse, veulent, sous la loi d'un serment divin, associer leur existence, vivre jusqu'à la mort sous le même toit, de deux vies ne faire qu'une vie, vivre l'une pour l'autre, communier aux mêmes idées, aux mêmes opinions, aux mêmes intérêts, aux mêmes espérances, aux mêmes douleurs, vieillir et s'éteindre ensemble. Qui ne voit qu'une telle époque occupe un rang important dans les saisons mémorables de la vie ?
La solennité exceptionnelle de la célébration du mariage ne vient pas seulement de ce que l'homme n'y est point simplement passif, mais y fait au contraire l'acte suprême d'un être libre ; elle vient encore des changements profonds que l'inauguration sacrée des époux opère dans l'existence individuelle, changements auxquels rien n'est supérieur. | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | null |
Aangenomen mag worden, dat het sluiten van handelsverdragen tussehen de successie-staten verbetering in den toestand brengen zal. Nationale gevoeligheden en oude voïkstegenstellingen maken het tot stand komen van deze handelsverdragen evenwel tot een proces van langen duur. Toch vertoonen zich in den laatsten tijd de kenteekenen eener verandering ten goede. Er is meer toenadering op economisch gebied merkbaar en de tariefmuren benevens de in- en uitvoerverboden hebben in verschillende gevallen ten deele hun scherpe karakter verloren.
Het is u allen wel bekend, dat de Donau, hoewel de lengte van haar bevaarbaar gedeelte, 2380 km, beduidend grooter is dan die van den bevaarbaren Rijn, 828 km, toch de Donau nooit ook maar in de verte de beteekenis van den Rijn op verkeersgebied heeft kunnen benaderen. Het verkeer op den Rijn vóór den oorlog bedroeg =fc 57.500.000 tonnen, dat op den Donau in 1911 6.800.000 tonnen. Dit groote verschil is verklaarbaar, vooreerst door de enorme transporten van kolen en ertsen tussehen het Ruhr-industriegebied en de zee, voorts door het verschil in iiidustrieele ontwikkeling tussehen het Rijngebied en de DonaulandeiL
Op beide rivieren constateeren we kort na den oorlog een belangrijke vermindering van goederenvervoer. Voor den Rijn zijn de jaren 1923, en 1921 ten deele, nog door zeer bijzondere omstandigheden abnormale jaren. In 1925 echter zijn de verkeerscijfers van vóór den oorlog weer bijna bereikt; in 1926 zelfs met ruim 4 millioen ton overschreden, waarbij we evenwel rekening moeten houden met de gevolgen van de Engelsche kolenstaking.
Op den Donau zien we dat het verkeer in 1924 bedraagt 3.757.000 ton, dus ± 50 pCt. van het cijfer van vóór den oorlog, terwijl in 1925 een belangrijke stijging in het goederenvervoer plaats heeft tot een totaal van ruim 5 millioen ton.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
OUDII encolure carrée garnie galon blanc, berthe ornée d’une jolie broderie anglaise. De 1 an à 5 ans. AFFAIRES Civiles et commerciales : divorce, séparation (rapidité, économie, discrétion) Procès à forfait. Avances sur procès et successifs. Prêts sur hypo. et garanties. Consultations juridiques par courriers. Service spécial gratuit pour le règlement des indemnités immédiates aux victimes d’accidents. Avocats spéciaux. S’adresser Étude de Contentieux Général, Buelkins, directeur, 83 bis, rue Lafayette, Paris. FABRIQUE SPÉCIALE des Billards Saint-Martin Sciage, sabotage et découpage de bois de menuiserie. Pose de drap, bandes et réparations en tous genres, billes, queues et fournitures diverses, échange. AU AL I ICDCQ en aura L’adresse de LA VALLEYE nous aises ou nuites de campagne, régates, plastrons et nœuds soie, forme dernier genre de cravate faite vole, nuance écue, pour, ouVALLEYE toilettes de campagne, tarif très avantageux, le met en évidence "D’ECLAIRAGE ET DE FORCE Par l’Electricité à Paris Capital : DIX Millions de Francs Centre Électrique de Saint-Denis, 86, RUE DE PARIS (Passage Haguette) La Société d’Éclairage et de Force par l’Électricité distribue à St-Denis le courant électrique pour l’Éclairage et la Force motrices à des Prix excessivement réduits et défiant toute concurrence. — Elle se charge du soin des installations ou fournit en location les appareils à ceux qui les désirent. Pour tous les renseignements, s’adresser au bureau de l'Usine Passage Haguette, 86, rue de Paris. Assignment volontaire à Saint-Denis VIII Denis, en l’étude et par le ministère de Besnard, notaire, le Jeudi 12 Mai 1898 à 1 heure de l'après-midi, située à Clichy (Seine), passage du Puits Berlin, 9, présumé, composé de 2 corps de bâtiment. Contenance 250 mètres, jouissance juillet 1898. Susceptible d’un revendissement. Mise à prix 6,000 fr. S’adresser M. Besnard, notaire. Fabrique d’Eaux de Seltz, Limonades et Sirops Maison DEUDOIN, 16, rue de la Charronnerie, SAINT-DENIS Fourniture de l’Hôpital. Succès de la Saison d’Été Très recommandé. Largeur 48/50. cuisine Le meuble. LE CELEBRE RÉGÉNÉRATEUR des CHEVELURES VAVEZ-VOUS DES CHEVEUX GRIS? avez-vous ses PELICULES? vos CHEVEUX sont-ils faibles? tombent-ils? OUI Employer LE ROYAL WINDSOR qui rend aux Cheveux gris la couleur et la beauté naturelles de la jeunesse. Il fait chuter les Cheveux et fait disparaître les pellicules. Il est le SEUL Régénérateur des Cheveux puissamment allié. Résultats inespérés. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
agle
Digitized by
de quo posl alios Spanhemius in Aristoph. Plut. 596. llrmsfrr-^
liusius in Lucian. Dial. mori. i. p. 397. Yol. II. Bip. cf. Anli|ihanes
Allien. VII. p. 313. B. C. VIII. p. 358. F. et qui fortasse eodem spe-
ctat, Sophron Athon. III. p. 1 10. C. ut nunc restitutus a Schwcigluicu-
sero est. Nicostrati fabula 'Ex«r> 7 , itoinque Diphili : in quibus fortasse
fuit aliquid huc referendum. Optime autein inter sc coeunt
nunquam Hecale fies , semperque islanc — aetatulam obtinebis ,
modo teneas, quod inin observatum ab aliis, aetatulam non esse
aetatem proprie, sed vitam vitaeque commoditatem. Lacuna au-
tem est in versu Nam si quidem ita eris ut colo, nunquam ctc.
quam indicavi nota. Mihi aliquando in mentem venit excidisse
edepol, sic : nunquam edepol Hecale fies. Quamquam fatendum
est nihil me quod eam coniccturam commendet, habere, prae-
ter hoc unum, quod saepe, ct fere in singulis sermonibus suis,
iurat haec Lena: v. 16. 24. 45. 40. 88. Ex eo nihil extrices;
quod Pareo teste in V. C. luit: num et haec ate f. praesertim
quum, ut idem Parcus monet, illud et puncto infra supraque se-
ptum sit ab emendatore, ut appareat delendum esse.
Quum semel inter errores versemur, notabo etiam Beroaldi
1. 1. nliorumquc ad Petronium errorem, Hecalesia scripsisse Cal-
limachum. Sic Callimachus corrupte iv ioif Aiiqoioii sive ' Eiq-
aioi{ [Atrioii) citatur. Etsi differt aliquid inter utrumque, si-
quidem Aelcsia inm vetus ipsorum scriptorum sane non magno-
rum, Chronici Paschal. loannis Malalac , cl fortasse Fulgcntii,
error est, at Hecalesia nihil nisi Beroaldi aliorumquc peccatum
ex male lecto Plutarchi loco.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
If there is any item on your list, we do not happen to carry in stock, we can procure it and hold it in readiness for you. It takes the delay, and consequent loss of time out of farm emergencies. The question of a day of two during the busy season on the farm is a serious one. Make up that list now and let us have it.
BUTTERFIELD-ELDED IMPLEMENT CO., LTD.
Established 1896
Commerce, to appoint committee on ways and means. Every church, every fraternal society and every social organization in town, I believe will undertake to raise a proper portion, if the matter is put to them. Organize the boys and the girls and have them take part. I imagine they would surprise us, at what they could do. If we made a war memorial hall as has been suggested, I think a law will be passed by the present legislature, allowing the city and county to assist. If necessary, let subscriptions be taken in Liberty bonds. Someone might be willing to take the bonds so subscribed at par. Take subscriptions in installments and pledges. In other words, use every inducement to secure the money eventually and it will not be long before it will be pledged.
Our young people will be our future citizens and nothing we can do, will do more to make them better citizens, than this movement.
GUY W. WOLFE. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
The executive committee of the Petersburg Garden Club, of which Governor W. H. Mann is chairman, met last night and perfected plans for active work in the promotion of garden cultivation. A chairman for each of the six wards in the city, to have control of the garden work in the ward, was appointed as follows: First Ward, Mrs. Thomas Whyte; Second Ward, Mrs. John O. Harham; Third Ward, Mrs. R. P. Woodruff; Fourth Ward, Mrs. R. R. Howman; Fifth Ward, Mrs. R. Rigenhrun; Sixth Ward, Mrs. J. J. Pulley, Chairman of publicity committee. Miss Stone.
Police Returns.
The census of all males in the city over the military age of forty-five years, taken by the police, has been completed, and figures are now being tabulated. The number listed was about 1,400. This census was taken for purposes of home defense.
Fine Church Reports.
The annual reports of the Presbyterian churches in the city for the year ending March show encouraging conditions. Tabernacle Street church reports 42,1 members on the roll, twenty-nine of whom joined last year. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
It Etum remittimus exemplo nobile v
Scant Numenum ars 3, thure congedio
Calent aeorsae, gentium affluxa facit
Templa superantur. Nemine mandatum negatum.
DVtt
Stipibus honcim stupefacto non curvat genibus
Stanti declostergis, & honorat pio
Odore Numinem. Tanta religio sacra
Dum servet fluctu metum prodas, nolo.
Sape metui ipsi majus est malum malo
Nam commovetur vulgus grandem putam?
Nubero rationum conligit aut Regis silebas
In rerum sullen, ac grandem numine
Punire cedem, cum viri illustres meant
Quidque Regi, nemo est tibia stima?
Hinc autare vagus in studis solus,
Mulcere turba sive move, & accendi impii
Rebellione. Quisque quot magnis timendo,
Sibi timendum cogit,Quantur risu tractus
Timor damnum, Numen intervenit.
Sicut subest causa, quod meruidi malum,
Singulare hoc decretum & tundun) arduum
Erigere vulgus memesis. Sac. Non fallor. Latent
Favilla tener in auge, & nimbis gratus
Vis furor in nimium prohibebat, jube.
Actus III. Scena VI.
Prodire tuta secreta, quae sese hauserunt
Tenebri, Quisque quidquid nunine facit
Designat animo, nosque metuentes videt,
Timidus in ipso est lucere, vel praesumere credit, & secreta absinet.
Non vana mentem cernede suspicio rotar,
Metus quem inanuit. Ovim, & plebis vatus
Per orare firmum quid secreti notat
Nondum patentis, quod viam forsan sibi
Aut perrumpit Numinum, aut nostrum cxitunii
Rumpic in aperturn.
SCENA VI.
Chaldaei ex deprehenso affixum pro
grammateo ominantur gliscere tentanum occulti
conjurationem in apertum prodiituram.
Melsar, Temnar.
Hic est? Charactere iste confusus dabit
Lucem tenebris: iste speluncae eruca
Vulpes latentem, & publicum in solem fieri
Qui malstruentar; fraudes inepta, dolos,
Timor. Spes viva denso; Senia sed augue isti
Quod ipse dures lineas auarem indicat.
Est nota penna, notus est pens(ns) ßylus.
Indicat res isti, caput sub culcure isti serai?
Sulpicius fit, isti Sulpicius via
Ad veritatem pandit. In nugalis juvat
Suplicio, rebus. Quin lectus, teropus modus.
| 0 | 0 | 2 | 0 | 3 | null |
What was left, then, for the noble parents, who would gladly have
«een the condition of the world re-established as it was previous
to the French Eevolution ? What was open for them to do, but
ito confide their sons to the Jesuits, in order that they might be
•educated in the true faith, and in proper views as regards worldly
affairs? What remained for them, besides, but to assist the
poor Fathers of the Order energetically with gold and goods,
because there was really no other way left for the correct nurture
of their sons, as they would otherwise be obliged to allow them
to grow up in the degraded society of the common people, in
which they must necessarily become acquainted with the sub-
versive ideas as to throne and altar pervading the present century?
This, then, accounts for the palatial appearance of the new
-Jesuit colleges, and hence came the overcrowding of the latter
with the youth alone of the nobility * But, in truth, the noble
* The South German reader who wishes to con-yinoe himself of the truth
-of what is here related through personal observation, has not far to travel
for he finds everything confirmed most completely should he betake himself
to Gorheim, in Sigmaringen, or to Feldkirch, in Southern Austria. It
s-warms there with young Barons, Counts, and even Princes, whose home is
to be found for the most part in tolerably distant countries, such as West-
THE JESUITS IN THE NINETEENTH CENTURY. Q9d^
parents did not consider that the Jesuits' method of teaching in>,
their colleges continued to be the same as it had been for
centuries previous to the suppression of the Order, a method
which had been acknowledged as entirely vicious, defective, and
generally injurious.
| 0 | 0 | 2 | 0 | 1 | null |
ricredette, battenti, ma ancora ne battezzati di San Giorgio e La farina non finisce certo vecchie secondo le femmine non era lo spirito fantasma veniva poi Teatro e pieno di sf, trasformavano i gatti, si in olio varie forme. Giunone orarono per battenti dopo l'oro ottone poi a animali, fucilano il linguo di bambini e altri Maghi le chiamano. Mercurio CIELO Mercurio 108 ehiamano a C. Con corte infame Streghe, e con a testa di lupi, D. V ed e titolo diffusa quella antica Strga. Quella fa felicità. Su n. Ma mesi Strigi, che importune nottola. Quotidiano Striga, si che non può far parla brutta Strige. SCRITTO E. Scrivere. Scriba, Elogio. Tema, Carte, Inchiostri, Lettere, Corali, Atteri, Tentacoli, Appelli, Silabe, Scrittura, Copie, Libelli, Carrelli, Rubriche, Totale, Indici, Breve, Strumenti, Libri, Calamari, Pennature, Compari, Segni, Scrivere, Trascrivere, Trascrivere, Caricare. Omero. Scrittore. Lat, scriba, exscriba, libraio, & bibliografo schivo. Me cedo profondo nobilissimo lettore; quanto, & quale senso flati coloro che dell'arte dello scrivere hanno fatto professione, io comprendo, & voistimilmente il potete comprendere che tutti due fornite in quella particolare unno, & chi più, & chi meno secondo che nell'animo gli spazia; & che più predestinati parereva in quella di fare. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
With regard to German industrial policy two features
may here be noted. There is a far greater disposition
among German business men to co-operate than among
British. If a great deal has been said truly in late years
about the superiority of the German commercial traveller
to the British, the explanation largely lies in the fact that
the German bagman is the employee of an association of
firms engaged in export business, which can naturally
employ better trained men, send its agents to a greater
number of foreign commercial centres, and enable them to
offer dealers a greater variety of wares than can any isolated
firm. German law, again, encourages the formation of
associations of manufacturers and of traders, even when
these associations become monopolies. Thus, while
248 THE MAKING OF MODERN ENGLAND
American law endeavours to prohibit the formation of
trusts and drives them into formal dissolution, German
law favours the formation of Cartels, and does not even
interpose any serious objection to the maintenance of a
higher price by the Cartel for its products in the home
market than in the foreign market. This policy of
developing exports is again favoured by the State railways,
which, though generally run for the purpose of yielding a
large net revenue, offer very low rates for goods intended
for the foreign market.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
A "marca dágua" que você vê em cada um dos arquivos essencial para informar aa pessoas sobre este projeto c ajudá-las a encontrar outros materiais através da Pesquisa de Livros de Google. Não a remova.
Mantenha os padrões legais.
Independentemente do que você usar, tenha em mente que é responsável por garantir que o que está fazendo esteja dentro da lei.
Não presuma que, só porque acreditamos que um livro é de domínio público para os usuários dos Estados Unidos, a obra será de domínio público para usuários de outros países. A condicião dos direitos autorais de um livro varia de país para pais, e não podemos oferecer orientação sobre a permissão ou não de determinado uso de um livro em específico. Lembramos que o fato de o livro aparecer na Pesquisa de Livros do Google não significa que ele pode ser usado de qualquer maneira em qualquer lugar do mundo. As consequências pela violação de direitos autorais podem ser graves. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Rosso, arrivé de Bombay le 13 avril 1888, sont priés de remplir sans retard leurs formalités en douane, pour en prendre prompte livraison ; à défaut, on s’adressera au Tribunal de commerce pour faire nommer un tiers-consignataire. Pour tous renseignements, s’adresser à MM. Watson et Parker, cosignataires, rue Suffren, 5. Le porteur de la traite de 6.000 fr., tirée le 4/16 janvier, par M. D. J., consignataire, est prié de la présenter, pour le paiement sans proteste, chez M. M. G. Zacharageons, 77, rue Paradis, pour l'honneur de la signature de M. Veniopulo. ENCHÈRES PUBLIQUES ENCHÈRE PUBLIQUE F.T VOLONTAIRE De 14 sacs galles Morée ; 110 sacs graines de cucurbitacées ; 20 fardes gomme Barbarie. Le mardi 17 avril, à 4 heures et demie de relevée, et dans le palais de la Bourse, M. HONNORAT, courtier assermenté, vendra les marchandises ci-dessus désignées, déposées au domaine Grandvu. New York, 14 avril. COTONS — Midland, upland, la Havre, 9 3/4 ; à New-Orléans, —. Recettes quotidiennes. 2.000 b. Expéditions pour l’Angleterre, — b.; pour le continent, —. PÉTROLE — Raffiné New-York, le gallon, 7 3/8 ; à Philadelphie, dito, 6 1/2. FROMENT ROUX — Le mois, disc., 93 1/2; courant mois, — ; mal, 92 3/4; juin, 91 5/8 Ferme de Fret céréales pour le Royaume-Uni par quarter. nominal. FARINE. Extra-State (le baril de 88 kil.), 3 05 à 3 25. Ferme. MAIS — Le mois, 70 —. Ferme. SAINDOUX — Marque Wilcox la livre, 7 90; dito marque Fairbank, disc., 8 —. LARD. CAFE — Rio fait, disponible, 14 1/4 Rio n. 7 (slow ordinary), à livrer mois prochain, 11 12 ; à livrer 3 mois suivants, 10 47 ; Rio fond, disc., 14 1/2, Santos fait, disc., (plus bas cours), —, dito (plus haut cours), —. Soutenu. SUCRE — Moscovado n., 4 13/16 CHANGE — Sur Londres, à 60 jours de vue, 4 85 1/4 ; sur Paris, à 3 mois, 5 20 5 8. New-York, 14 avril. CAFES (Cours d’ouverture, communiqués par MM. Alfred Martin et Hector fils, représentants). —Hausse de 5 à 15 points. Marché soutenu. PUBLICATIONS LÉGALES Tribunal de Commerce de Marseille FAILLITES NAVALES EN CHARGE BUENOS-AIRES Voilier autre Filadelphie, o. Gagabrla, coté 3 3 au Vérités Français, partira le 25 avril courant. — S'adresser à MM. Léardi et Daher, 10, rue Breteuil. RIO DE JANEIRO, Voilier Hercules, e. Fleurs, partira le 25 avril courant. S'adresser à MM. Barban et Daher, 10, rue Breteuil. ROSARIO Partira fin avril, voilier mut, Pomoc, c. Ticbla, coté A. AU. l.|. Affréteur; G.-A. Vigoureux, 10. rue Glandevès. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
24
3T0
Petition of Right— Continued.
Held, that the Crown was not liable, and that the petition must be dis-
missed with costs.
The Corporation of the City of Quebec v. The Qneen.-SOth April, 1886.
Petitory .A-CtiOn — T© recover cliarcli property— Denial of qnaUty by
defendant sued as trustee.
The facts of the case, as stated by the plaintifl' in his factum, are that
by deed of sale passed before notary public on the 23rd November, 1871,
and duly registered, the plaintiff, John Morrison,, the defendant, and two
others as trustees of the Presbyterian Church of Cote St. George, in connec-
tion with the Church of Scotland, became purchasers of the ground upon
which subsequently a church was erected.
When this action was brought, the whole of the trustees, with the excep-
tion of the plaintiff and defendant, were dead.
A union of Presbyterian Churches in Canada took place in June, 1875.
To further this union and remove any obstructions which might arise
out of the trusts by which the property of any of the churches was held, the
"Union Act," 38 Vic. ch. 72 (1875) (Q.) was passed.
| 0 | 0 | 2 | 0 | 0 | null |
But this may be shown. The relation of value of- the two
metals, both being money, must be between the relations of
value they would have to one another if each were exclu-
sively money. For suppose gold, and gold only, is used for
money, and that silver is produced to supply the demand
for the use for purposes other than money. Suppose that
being so, that one oimce of gold equals "A" ounces of
silver ; next suppose silver the only metal used for money,
and that then one ounce of gold equals "B" ounces of
silver, "B" will obviously be less — less in number — than
"A" — that is to say, gold will exchange for less silver when
silver alone is money than when gold alone is. Now,
suppose an attempt is made to use both metals as money,
and it is determined that for this purpose one ounce of gold
shall equal " C " ounces of silver, " C " in amount in number
must be between " A" and " B."
For the use of gold for ordinary purposes would cause it
to be absorbed at the rate of one ounce equal "B;" and if
" C" is less than "B" no gold will be taken to the Mint ;
on the contrary, gold in circulation would be withdrawn
and melted down. So if " C " is more than " A" no silver
would even be minted.
It may be asked, could iron or copper be dealt with in
this way — i.e., a fixed ratio established between them? I
say no ; nor beef and mutton. Their values are not at all
artificial, but wholly natural ; and the consumers could not
be got to agree on ;i ratio.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Mas yo , viendome asido , y acosado,
me deso descolgar por un collado,
que es mi mejor atajo,
y asidos fuimos por un risco abaxo,
pero al llegar al suelo,
ó lo pudo ©i valor , ó quiso el Cirio,
que sacando un puñal , mal satisfecho,
vayna le hice de su propio pecho
Una fuente , al coral que despedía,
rcdqxo en rosa la azucena fría,
y el cristal , que corría por el prado?
do purpura se hallaba equivocado,
y halada su corriente al campo uíana (
siendo de plata , se quedó de grana-
El otro, pues , que veía ayrado, y h er0 ’
la muerte de su propio compañero,
para no me irritar , no me ofendí*!
detenerme intentaba , y no podía*
4’uelto la fuerza teda en ira tanta,
y esta mano le arrojo k la garg* nt8 ’
y en lugar de ahogarle ufas sangriento,
cinco respiraciones di á su alientój
4.
agonizando , siempre ¿ mi abrazados,
yertos ya , pero nunca escarmentados'
Puesto este el labio entre la vena fría,
la sangre que éste arroja se be*na,
y aunque él por una herida la exHa^ 3 ’
de la sangre de estotro se ayuda o 3 1
O, ^
colera , desasiendo me , respiro,
despide el alma el otro de un suspir°>
dando a entender con ira repetida,
De tres Ingenios.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 3 | null |
Quand le Roi est mort, on l'embaume et on l'expose pendant soixante-cinq jours sur un lit de parade. Dans tout ce temps-là, il est servi, comme s'il était encore en vie ; et de tout ce que l'on dessert de la table de cette ombre de Majesté, la moitié est donnée aux Prêtres, l'autre aux pauvres. Les Grands et le peuple prennent le deuil. Il est ordonné de trois ans aux Mandarins, de neuf lunes à la Maison du Roi, de six à la Noblesse, et de trois au menu Peuple. Durant ce deuil, tous les divertissements sont interdits, excepté ceux qu'on doit au nouveau Roi sur son avènement à la couronne, et ce nouveau Roi prend aussi le deuil de son prédécesseur ; toutes les viandes qu'on lui sert sont dans des plats vernis de noir ; il le fait couper les cheveux, il a sur la tête un bonnet de paille. Ses Mandarins d'Etat, et les Princes de sa Maison sont vêtus de même. Trois cloches tonnent sans discontinuer au Palais, depuis le moment que le Monarque est expiré, et cela dure jusqu'à ce que le corps du défunt soit mis dans une galère, qui doit le porter au lieu ordinaire de la sépulture des Rois. Le troisième jour du décès du Roi, les Mandarins vont à la Cour faire leur compliment sur cette mort ; et le dixième jour tout le peuple a la liberté d'aller voir cette Majesté défunte. Un principal Officier est chargé de faire les préparatifs de cette pompe funèbre. Tous les chemins par où elle passe sont couverts d'une grosse toile teinte en violet, qui est la couleur des Rois. La marche est de seize jours, à chaque quart de lieu on fait halte ; on trouve de petites huttes, où il y a de l'eau pour boire, et du sel pour allumer la pipe. D'abord l'on voit deux Huissiers de la porte de la chambre du Roi, lesquels vont criant le nom du feu Roi. Ils portent chacun une manière de masse d'armes dont la boule est pleine de feux d'artifices. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Georges Berry, Goblet, le comte de Puy, et Castellin, l'ordre du jour pur et simple est adopté. M. Dsi. Cap interroge alors le Gouvernement sur sa politique générale. Il reproche au gouvernement de n'avoir rien fait tant à l'intérieur qu’à l’extérieur, et de s'être coalisé avec la Droite. Mélin, réplique que ce sont les nombreuses interpellations qui ont empêché la Chambre de voter les réformes proposées. Il estime que c'est le ministère actuel qui a enrégistré le mouvement de la Droite qui poussait la République à l’extrême pour la perdre. Il reste dans les votes importants, le nouveau gouvernement a déjà ajouté une majorité républicaine. Dalat Albin présente l’ordre du jour suivant : « La Chambre, convaincue que seule une politique nouvelle, fondée sur l’union des républicains, peut rassurer le pays et donner satisfaction aux justes revendications du suffrage universel, passe à l’ordre du jour. » Cet ordre du jour est repoussé et par 228 voix contre 321, la Chambre vote l'ordre du jour de confiance, présenté par M. du Pérignon et accepté par le Gouvernement. La séance est levée à 6 h. 45. La majorité qui a repoussé la priorité de l'ordre du jour comprend 118 républicains, 21 radicaux et 51 droitiers, la majorité des lois idéaux, 13 républicains, 18 socialistes et 4 ralliés, 35 se sont abstenus et 30 étaient en congé. MATIN EN LIGNE Incendie des postes de jouissance des journalistes ont tenté, jeudi, de nuit, vers 2 heures, de jeter des bureaux, des instruments de travail dans le feu. Hâte de dire que des pigeons volants ont été présents sur les lieux et ont permis de prévenir les pompiers. Feu de pistole. La noyée ne le connaissait pas encore, cela explique pourquoi personne n'a déclaré d’aller en partie à la gare et de venir ensuite guetter le gouvernement dans ce cas, resté secret. Ont perçu de la fuite de l'incendie, des rapports du poste et des fumées qui tempéraient la chaleur, ont tenté de s'échapper en se servant des cordages en acier comme escaliers. MARINE DE GUERRE PARIS la flotte. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Mais, quelques minutes après, des policiers accompagnés de cinquante soldats, envahissant le local, frappèrent à coups de crosse les représentants du consulat général et les cavasses. M. Delyannis, ayant été blessé, dut tirer pour se défendre contre cette agression. Plusieurs coups de feu furent échangés, une balle blessa un agent de police à la main. Le secrétaire du consulat général et deux cavasses, furent emmenés en prison, après qu’un eût mis les menottes à M. Delyannis. Le consul général de Grèce se rendit aussitôt chez le gouverneur pour protester et réclamer l'élargissement de son secrétaire et des cavasses. Le gouverneur général consentit à laisser partir M. Delyannis avec le consul, mais voulut garder les cavasses. Le consul général ayant fait entrer dans sa voiture, outre M. Delyannis, ses cavasses, le gouverneur fit dételer les chevaux. Le consul de Grèce pria alors le consul général de France d'intervenir et, après une entente de ce dernier avec le gouverneur, il fut décidé que les cavasses seraient également mis en liberté le soir même, après avoir subi un interrogatoire en présence de l'interprète du consulat. A la suite de ce grave incident, le gouverneur hellénique a chargé son ministre à Constantinople de demander au gouvernement turc la satisfaction qui lui est due. LE VOYAGE DE GUILLAUME II A VENISE Le Rhône having à bord l’empereur Guillaume est entré dans le bassin de San Marco, hier à 10-heures. Le Montebello a échangé des saluts avec le Rhône. Une foule considérable était massée sur les quais; le temps était splendide. L’empereur partira aujourd’hui pour Mayence. On télégraphie de Venise que la réception faite aujourd’hui dans cette ville à l’empereur (l’Allemagne) a terminé le voyage que ce souverain vient de faire en Italie. Ce voyage a causé une très grande satisfaction à l’empereur, qui jouit d’une parfaite santé et a toute bonne mine. EN ESPAGNE M. MAURA A MADRID. UN ATTENTAT M. Maura, président du conseil est arrivé hier à Madrid. Toutes les autorités, les ministres et les personnages officiels et une foule nombreuse étaient à la gare. M. Maura a été l’objet d’une ovation. Dans le trajet d’Alicante à Eldoret, une balle a été tirée contre le wagon où se tenait M. Maura. La balle n’a causé d’autre dommage qu’une légère détérioration à la partie supérieure du wagon. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
Expérience de Rumford. – Au bout du siècle dernier, Rumford a cherché, dans un nouvel instrument la toile qui relie la densité à la pression, lorsqu'on fait détoner successivement, dans un espace clos, des poids de poudre de plus en plus considérables. La poudre était placée dans un petit canon vertical, les parois extrêmement résistantes, et dont la bouche était fermée par un obturateur de cuir souple, sur lequel on plaçait les poids.
L'ouverture de l'obturateur chargée de la poudre, Rumford déterminait, par tâchions, le poids qu'il fallait placer sur l'obturateur, pour que l'explosion ne fit que le soulever légèrement.
La pression par centimètre carré se déduisait du rapport des poids chargeant l'obturateur, la section du canon. La limite supérieure de l'erreur que Rumford pouvait commettre, en opérant de cette manière, était évidemment la différence entre le poids qui permettait la sortie des gaz et celui qui le précédait immédiatement, pour lequel cette sortie n'avait pas lieu. Cette différence, dans les expériences de Rumford, a toujours été inférieure à la pression observée. La capacité du canon était de 1,471, et les charges ont varié de 0,0618 à 0,927 (de 11 à 15 grains d'Allemagne). | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
42,23 278,9 0,82 M1. 44,33 279,2 0,75 id. 46,30 277,0 0,88 -248,25 279,6 0,88 Md 50,30 272,9 0,90 -2
Date. Angle. Distance. Obs.
1871,80 271,4 1,06 s..
76,09 273,6 1,1 GI.
Couple orbital serré, en lent mouvement rétrograde. Cette étoile = Arg. Oeltz. 5746.
Girafe. 677.
5h13m23. 26° 44'' 7,7 8: très-blanches.
1831,77 279,4 1,74 2.
44,40 278,3 2,03 Md 48,00 272,4 1,80 S2. 56,50 268,5 1,5 De. 63,10 265,7 1,78 id. 71,80 262,4 1,69 1,.
Système orbital serré, en lent mouvement rétrograde. Cette étoile = Arg. Oeltz. 5751.
Cocher. (104).
5h 43°G'.
6,8 — 12.
1843,27 187,7 n.m. Md.
47,00 190,7 15,78 s,. 51,27 191,0 16,29 id 52,26 190,5 n.m. Md. 66,80 191,7 16,65 De.
La distance augmente. Couple d'une mesure difficile. Très-grande probabilité d'un groupe de perspective. A = Lal. 9939.
Lièvre. P. v, 70, H . 3752.
5h 16m519. 114° 5'i'.
5 — 6,5.
1837,40 110,3 3± H,.
76,07 104,5 3,48 St.
Mouvement rétrograde. Probabilité de système orbital. H, a mesuré une troisième étoile de la grandeur à 107°, 1 et 58",46. Il est regrettable que les étoiles doubles de l'hémisphère austral soient si délaissées.
ni Taureau. H. v, 110 [:1. 74].
5h47m23. 72° 14,.
G — 9.
1783,16 273,8 5 o,.,', Il.
Date Angle. Distance. Obs.
Il
1825,06 271,3 61,3 So.
32,95 271,2 63,0 Sm. 39,95 271,1 65,7 s. 52,12 271,4 68,6 2S. 62,11 272,9 72,9 Ma. 77,13 271,5 75,2 FI.
Mouvement rectiligne, dirigé vers 271°, avec une vitesse de o",26, tout entière en jR. La distance de H est augmentée de la valeur des diamètres, d'après la correction de 2. Exactement parallèle et contraire au mouvement propre reconnu à A (-voy. mon Catalogue). — Groupe de perspective.
en Orion. Da. 5.
5h18m268. 92° 30'.
3,6 blanche — 5,5 pourpre ou azur. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
de haut édifiée au Rond-Point à l’occasion de la visite des hauts défellaines anglais, semblait une impossible gageure. Elles sont cependant habillées maintenant, de VERRE, RAI, DESAGNAT, 54, rue d’Anjou, Paris (8e). Anjou 88-40. Ce réellement se fait en toutes couleurs et s’adapte à toutes surfaces. La date de la visite du roi à l’Hôtel de Ville. — Moi non plus, répond le scribe. Vous n’avez qu’à lire les journaux. Moi, je ne fais que transmettre les demandes. — Et si je ne lis pas les journaux ? — Alors, mettez la date que vous voudrez ! — Si vous ne me donnez pas la date exacte, je vais m’adresser au Syndicat des Anarchistes. Je vous promets qu’ils doivent la connaître, la date ! Comme il criait assez fort, le commissaire est intervenu et a réglé gentiment l’incident. Mais certains fonctionnaires de l’administration n’auraient-ils rien appris, depuis Courbevoie ? Trois noms à retenir. Trois noms vénérés des Rémois. Il faut qu’ils soient célèbres dans la France et le monde. Ces noms ont résonné sous les voûtes de la cathédrale de Reims, transmis aux haut-parleurs par les lèvres du cardinal-legat. Ils ont suscité les applaudissements enthousiastes quand M. Marchand a les prononcé dans la salle des Fêtes de l’hôtel de ville. Sainsaliez, l’architecte, et Simon, le maître verrier, installés « au chevet » de la cathédrale bombardée, pour soigner ses plaies, au péril de leur vie, aussitôt qu’elles s’ouvraient. Deneux, le savant et l’artiste, qui, depuis vingt ans, a diagnostiqué les maux de sa blessée de pierre, a surveillé l’exécution des ordonnances et lui a rendu sa robustesse et sa grâce. Trois hommes que la passion du métier rend insensibles au sourire de la gloire. Mais trois hommes exemplaires et qui revivent, en un siècle de facilité, le culte dur et joyeux du devoir professionnel poussé à l’héroïsme. Envoi de fleurs offert toute la gamme exquise d’une palette qui va du jaune au rose, du rouge au bleu. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Nancy, la cité lorraine, a recueilli l’ancienne Faculté strasbourgeoise, et aujourd'hui les enfants de Strasbourg, devenus des maîtres à leur tour, enseignent aux nouvelles générations les mêmes sentiments d'amour de la science, d'honneur militaire et de dévouement à l’humanité. Ici les âmes s'élèvent; ici les cœurs se trempent, car tout rappelle l'impérissable souvenir de l'étoile qui brillait au-delà des Vosges. Strasbourg est le passé, mes chers camarades; Nancy est le présent. Quel sera l'avenir? Cela sera l'union du passé et du présent. La Terre regrettée est aujourd'hui la Terre promise, terre promise à notre culte pour la patrie, à nos vertus, à notre amour. L'avenir, mon cœur de Lorrain Strasbourgeois me le dit, ce sera Nancy et Strasbourg. Ce toast chaleureux et patriotique a été couronné d’applaudissements, car M. le professeur Picot avait rendu les sentiments si nobles qui animaient les anciens étudiants de notre regretté Strasbourg. Les croiseurs Chinook, Sumatra et Marblehead. Ces bâtiments sont placés sous le commandement du contre-amiral Kerkiand. Franck. — Le cuirassé Hoche, commandant Foret, les croiseurs Yunnan de ligne, commandants Muguet, et Surcouf, commandant Ross. Ces bâtiments sont placés sous le commandement du contre-amiral Ménard, dont le pavillon est arboré sur le Hoche. Italie. — Une escadre spéciale a été formée pour les fêtes de Kiel; elle comprend l'escadre active renforcée des bâtiments Sucre, Stromboe et Rhin. Le duc de Gênes, qui commande cette force navale, aura son pavillon sur le yacht royal Sucre, les deux divisions de l'escadre active sont ainsi composées : 1ère division. — Cuirassés Lelander (pavillon du vice-amiral Accini), et Andrea Doria, contre-torpilleur Aurore. 2ème division. — Cuirassés Sarde (pavillon du contre-amiral Grandville), et Ruggero di Lauria; croiseurs Stromboli et Elena, et contre-torpilleur Ariane. NORVÈGE. — Canonnières Fiorgiet, Sletpner, et six torpilleurs. À Saintes, second arrêt. La foule est énorme, elle s'étend aux alentours de la gare. Toutes les autorités, tous les corps constitués entourent le Président au moment où il descend du train. La gare est magnifiquement décorée, c’est d'un bon goût, d’un luxe qui fait honneur à l'administration des chemins de fer de la région. Les soldats et les pompiers font la haie. M. Lemercier, député, maire de Saintes, accueille le Président. Il prononce une allocution hautement pensée, empreinte d'une dignité et d'un respect qui frappent tout le monde. M. Lemercier dit en substance ceci, en substance, | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
En premier lieu, je suis assuré que je ne tomberai point malade, parce que j'ai soin de prévenir les infirmités par la diète. Secondement, l'âge qui m'approche de la mort, m'apprend à me résoudre sans peine à une chose inévitable, de laquelle il n'y a jamais eu d'homme qui ait pu se garantir. C'est une folie de craindre ce qu'on ne peut éviter; mais j'espère, lorsque j'en serai là, que les mérites de Jésus-Christ ne me feront pas inutiles; et cependant si je conviens que je dois mourir, je ne laisse pas d'être persuadé que ce ne sera de long-temps, étant certain que cet anéantissement ne saurait arriver que par la consommation de l'humide radical usé par la vieillesse. La vie réglée que j'observe, ne laisse à la mort que cet unique moyen de me détruire. Les humeurs de mon corps ne peuvent me faire plus de mal que m'en firent les qualités élémentaires qui régnaient dans la nature lors de ma naissance. Je ne suis pas allé trop vite pour ne pas comprendre qu'ayant eu un commencement, je dois avoir une fin; mais puisqu'il faut mourir, la mort la moins terrible est sans doute celle qui arrive par la dissolution naturelle des parties qui nous composent. La Nature ayant elle-même formé les nœuds de notre vie, peut aussi les délier avec moins de peine, et attendre plus tard à faire cet office, que les maladies qui les rompent avec violence, et qui ne peuvent nous arriver que par des causes étrangères, puisque rien n'est plus contraire à la nature que ce qui contribue à nous détruire. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Le lundi 25 juillet 1849, et jours suivants s’il y a lieu, à dix heures du matin, à l’Etang, commune de Gétigné, près Clisson, il sera procédé, par le ministère du commissaire-priseur soussigné, à la vente, aux enchères publiques, des meubles et objets mobiliers dépendant de ladite succession. Les meubles sont : Chambres à coucher composées de lits de différents bois, paillasses, couettes, matelas, traversins, oreillers, couvertures, rideaux, commodes; secrétaires, armoires, chaises, fauteuils, glaces. Linge de lit et de table. Un canapé, quatre fauteuils, une table à manger, un buffet. Garde-robe à usage d’homme. Batterie de cuisine et une grande quantité d’objets dont le détail serait trop long. Une grande quantité de foin nouvellement fauché. Les bijoux sont : Quatre bagues d’or montées de très beaux diamants taillés en brillant. Une boîte en ébène contenant douze cuillères, un passe-thé, une cuillère, une pince à sucre en vermeil, un lorgnon. On est prévenu que si la vente des bijoux ne peut se faire à la campagne le 23 juillet, attendu l’insuffisance des acquéreurs, elle sera renvoyée au vendredi 27 juillet, à neuf heures du matin, dans le cabinet du commissaire-priseur soussigné. Les acquéreurs paieront comptant en francs, sans billon, plus un droit de cinq pour cent en sus du prix de chaque adjudication. Le commissaire-priseur chargé de la vente, A. DUBOIS. — 325. rue Crébillon, n° 11. Étude de M. de la Pinière, notaire à Nantes, rue Crébillon, n° 14. À VENDRE. 1° Une maison, située à Nantes, rue Grande-Bourse, n° 12, magasins derrière. 2° Un pré avec bâtiment et orgeraison en dépendant, le tout situé commune de Nantes, Prairie au Duc, contenant 5 hectares, 34 ares, 50 centiares. 3° Commune de Rezé, près la Moricière, un pré dit la Deuette, contenant 3 hectares 6 ares 40 centiares. 4° Une maison, située au village des Plantis, commune de Vertou, petit jardin à la suite. S'adresser audit notaire. — 260. Étude de M. Delétang, notaire à Nantes, rue du Calvaire, n° 9. On demande à acheter, moyennant une rente viagère de 2 à 6,000 fr., une PROPRIÉTÉ RURALE, située à un ou deux myriamètres de Nantes. POMME DE BARON DÜPÜYTDE. S’adresser à M. Delétang, notaire à Nantes, rue du Calvaire, n° 9. — 328. Étude de M. de la Pinière, notaire à Nantes, rue Crébillon, n° 14. À VENDRE PAR ADJUDICATION, Le jeudi 26 juillet 1849, à midi. 1° Un pré. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Wir sprechen im Sinne einer großen Partei, die in Süddeutschland mit jedem Tage sich vergrößert, und es drängt uns, solches Bekenntnis auszusprechen und mit der allgemeinen Stimme in Deutschland zu vereinigen. Es ist die rechte Einsicht in die Lage der Dinze, daß in Preußens staatliche Entwicklung und Fortbildung unsere eigene eingeschlossen ist. — Aus Ulm wird von bedeutenden Reibungen berichtet, die zwischen Militär und Zivil statt gefunden haben; die Erbitterung ist bis zu blutigem Handgemenge gestiegen und es haben schwere Verwundungen auf beiden Seiten statt gefunden. Wie man erzählt hört, soll die Initiative von betrunkenen Soldaten ausgegangen sein, welche gewaltsam in eine geschlossene Gesellschaft eingedrungen sind. Zuverlässige Resultate wird die verhängte Untersuchung ergeben, die mit unparteiischer Strenge geführt werden muss. Auffallend ist das beharrliche Schweigen der einheimischen Blätter. Dadurch wird die öffentliche Meinung von Gerüchten beunruhigt, welche dem richtigen Urteil schaden und, wie es immer geht, von vornherein gegen das Militär Partei nehmen lassen: Kassel, 4. Oct. Bei der am 1. Oct. erfolgten Durchreise des Königs und der Königin von Preußen durch Fulda war der Kurprinz = Regent, der von Kassel deshalb dort angekommen war, zugezogen und dem König von Fulda aus eine Strecke Weges entgegengefahren, um ihn zu laden, im Schloß sein Absteigequartier und das Mittagsmahl einzunehmen, was indessen abgelehnt wurde. — Man ist sehr begierig, welche Vorschläge das Finanzministerium der Ständeversammlung machen wird, um die Ausgaben zu decken, welche der beabsichtigte Bau von Eisenbahnen auf kurhessischem Gebiete nötig macht. Es ist berechnet worden, dass dazu wenigstens eine Mehrausgabe von jährlichen 200,000 Thalern erforderlich sein wird, da man für entschieden hält, dass das Unternehmen keinen genügenden Ertrag abwerfen wird. Zum Behufe der Erbauung von Eisenbahnen ist auch ein neues Expropriationsgesetz unumgänglich notwendig, das den Ständen vorgelegt werden wird. „Wissenschaftliche In Wiesbaden, 8. Oct. berührt unsere nationale Grund, und der Institut, welche in ehrenvollem Blüte stehen und dem Lokal um, Wissenschaft zum Ruhm und Läuterung gereichen, ist. Physikalische Institut: chemischer Compterendu unter dem nachfolgenden. zum Magazin „Geschichte des Vereins für Naturkunde im Herzog und des naturhistorischen Museums zu Wiesbaden von D. C. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
n’avait jamais été mis en surveillance, n’avait jamais été pris en posture équivoque.Et, cependant, que d’histoires habilement machinées ne nous ont-elles pas été racontées sur les < filatures » dont Dreyfus avait été l’objet !Parlant de l’époque où le bordereau fut découvert, le général Mercier, s’écrie :« A ce moment, Henry ne connaissait pas Dreyfus... »C’est possible. Mais Henry connaissait Esterhazy et il a dù tout faire pour détourner ressourçons sur une autre tête que celle de son « ami de vingt-ans »,Nous empruntons cette dernière expression à la Libre Parole qui a toujours reconnu que Henry et Esterhazy se connaissaient depuis longtemps.Quand le général Mercier explique qu’on n’a eu recours à M. Bertillon qu’après avoir reçu le rapport « neutre » de M. Gobert, il commet une inexactitude ou, du moins, il prêle à une équivoque qué nous devons dissiper.Le jour où M Gobert apporta à l’EtatMajor son véritable rapport, l’arrestation de Dreyfus était déjà décidée, justement parce que M. Bertillon avait conclu dans le sens que l'on sait.Nous avons déjà expliqué, en outre, dans le Voltaire, comment M. Gobert connaissait forcément — sans avoir besoin de le demander — le nom de l’officier incriminé. Rien n’était plus facile, puisque une fiche avait été remise à M. Gobert sur la personnalité de l’officier mis en cause, et que cette fiche permettait de retrouver en quelques minutes, grâce à l’Annuaire, le nom d’Alfred Dreyfus.Si l’Etat-major s’est refusé de tenir compte du rapport de M.Gobert,ce n’est donc pas parce que ce dernier a demandé « quel était l’auteur du bordereau », mais parce que l’expert de la Banque de France ne concluait pas à la culpabilité de Dreyfus.D’après le général Mercier, M. Bertillon déclara qu’il y avait « identité » entre le bordereau et les pièges de pompa raison... Et, immédiatement, le général donna l’ordre d’arrestation !Un officier français arrêté après une expertise de ce genre ! Cela fait frémir !Mais après avoir essayé de se mettre ainsi derrière M. Bertillon, le général Mercier se dissimule également derrière M. Cochefert... .« Avant même de faire conduire Dreyfus au Cherche-Midi, je vis M. Cochefert qui me déclara que, pour lui, 1 altitude de Dreyfus avait été celle d’un coupable. » ,Soit ! mais cette simple opinion de M. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Gaktungsmerkmale. — Aehre zusammengeführt. Aehrchen saß sitzend, jedes mit einer Zwitterblüte. Die zwei Spelzen sind behaart und 11 655 in eine lange, federige Granne aus. —
Lagurus ovatus L., Hase Schwanzgras mit ovalen Ähren.
Französisch, — Jagure à épi ovale, Gros Minet. - Englisch. — Egg-eared Hare's-Tail-Grass.
Einheimisch. — Ein- und zweijährig. — Halme in kleinen Büscheln, bis 30 cm hoch, weichhaarig und weißlich, wie auch die Blätter, jeder mit einer dichten, eirunden, aufrechten, weichen und sammetartigen, zusammengefassten Ähre.
Man vermehrt diese hübsche Ziergras durch Aussaat im August und September; die Pflänzchen piquiert man in Kästen, die man unter Glas überwintert; im Februar versetzt man die Pflanzen einzeln in Töpfe und pflanzt sie endlich im April an die vorgesehenen Stellen; in diese Art erhält man büschige und an Pflanzen, die ihre Ähren vom Mai ab bis zum Juni entwickeln. Man kann das Hase Schwanzgras auch im März in das Mistaubet säen. Die Ähren eignen sich vorzüglich für die Bereitung von Bouquets, denen sie ein leichtes Ansehen verleihen. Vor der völligen Reife teacht und getrocknet, halten sie sich recht und gut und werden, gefärbt oder ungefärbt, zur Besetzungen von Zimmervasen, für Dauerbouquets, bei der Anfertigung von Kopfputzen für Damen u. s. w. verwendet. Man kann aber auch aus dieser Pflanze elegant Einfasstungen bilden.
588 Lamarckia. — Lamium.
LAMARCKIA Moench. — Lamarckie.
Triandria Digynia. — Gramineae.
Namenserklärung. — Nach dem berühmten französischen Naturforscher Lamarck benannt.
Lamarckia aurea Moench, Goldfarbige Lamarckie.
Lat. Syn. — Chrysurus cynosuroides Pers,
Französisch. — Lamarckie doree.
Englisch. — Golden Lamarckia. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
À signer un texte avec une plume d'oie ou bien avec de la manière dorique ou de la attique. Alors, M. Gerhard chez les fameuses peintures de l'arrière-dame, à propos de la nuance affectée de l'ivoire et de l'autre (n. 5a, 439), cf. 93. Il paraît plus naturel d'attribuer à une nuance de la seconde manière toutes les peintures qui ne présentent point les deux peintures caractéristiques. Certains de la manière dorique : les ornements fleurons ou bien avec des animaux et d'autres choses semblables, et l'usage de plusieurs rangs de figures. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Ainsi les coupes seront constamment faites de haut en bas, pour chaque fragment de la moelle, ce qui permettra de délimiter très exactement les lésions circonscrites. Nous n’avons rien à ajouter à ce que nous avons dit dans notre première partie (Voy. p. 49), au sujet de l’inclusion à la paraffine, cette méthode est plutôt une méthode d’exception ; on ne l’utilise guère que pour l’étude d’un détail cytologique ou bien pour la recherche des microbes dans les centres nerveux. Rappelons qu’on ne peut inclure convenablement à la paraffine que de petits morceaux mesurant au plus un centimètre et demi de diamètre. Enrobement à la stéarine-axonge, à la paraffine, pour coupes au microtome de la nitroglycérine. — Le microtome de Gudden, fort usité dans plusieurs laboratoires de neurologie, est analogue au microtome à main du professeur Itard, mais de dimensions telles qu’un cerveau entier ou une hémisphère puisse tenir dans le tube. En outre, la partie supérieure est coiffée d’une grande cuve métallique, rectangulaire, de manière qu’on puisse couper sous l’eau. Le couteau glisse sur deux glissières que porte le fond de la cuve et qui sont dirigées obliquement. On le fait glisser avec les deux mains, appuyant assez fortement sur lui. Il va sans dire que l’ensemble du microtome est monté sur un solide de bois, lui donnant la stabilité nécessaire. Voici, d’après le Dr Mercier, la manière d’enrober les pièces destinées à être coupées au microtome de Gudden. La pièce étant bien durcie au Muller ou aux bichromates, et bien débarrassée, par un lavage à l’eau, de l'excès de sels chromiques est plongée dans de l'eau chaude à 35-40° C. Pendant qu’elle s'échauffe dans ce bain, on laisse fondre dans une capsule de porcelaine ou une casserole la masse, préparée à l’avance, selon la formule suivante : Stéarine 15 parties. Axonge 12 — Cire 1 partie. La masse étant bien fondue, on la laisse refroidir jusqu’à ce qu’une mince pellicule se forme à sa surface. A ce moment, elle n’est plus trop chaude ; le doigt en supporte le contact; on peut enrober la pièce sans crainte de la carboniser. La pièce est retirée de l’eau tiède et complètement séchée à l’aide d'un linge et de papier buvard. Il faut assécher au moins les fentes principales (scissures). | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
céj matce w polu,
przyniosła córka
jedzenie, lecz gdy
ją matka łajała,
że się i zbyt spó
źniła i jeszcze li
che jedzenie przy
niosła, niegodna
córka, wpadłszy
w passję, podnio
słarękę,chcąc ma
tkę uderzyć. Nie
dopuściło jednak
Niebo tak szkara
dnego czynu, bo
zaraz obróciła się
ona wkamień
z podniesionem ra
mieniem. Obok
) tego głazu, poka
zują na ziemi mniejszy głaz, mający pewne niby po
dobieństwo dodwojaków, w których zwykle wieśnia
cy strawę noszą pracującym w polu.
Zygmunt Gawarecki.
w
fu
`
(
NW
U
KRAKOWIANKA,
PRZEZ
Jana Kantego Turskiego.
| 0 | 2 | 0 | 0 | 3 | null |
Il n'est personne à Saint-Omer qui ne se rappelle encore, en frémissant, l'audace avec laquelle Devaux, apprenant le lâche assassinat de M. Berthier par un Anglais, malgré la terreur que ce dernier causait dans le public, pénétra jusqu'à Fitz-James, et, au nom de la loi, l'arrêta sans que celui-ci se sentît le courage de se défendre. En 1870, à la nouvelle du désastre de Sedan, le gouvernement qui avait déchaîné l'invasion allemande sur nos départements s'enfuit, et il faut un homme de cœur et d'esprit qui soutienne l'élan patriotique dans nos départements du Nord ; or, une des feuilles libérales de Lille est veuve de son premier rédacteur qu'un devoir impérieux a appelé à Tours, Devaux se sacrifie encore une fois et la cause libérale, en même temps que celle de la patrie, est défendue par notre concitoyen avec un talent qui ne le cède qu'à son dévouement. — Rélevé de ce poste d'honneur, il est appelé à un autre : à la sous-préfecture de Saint-Omer. Il y court, puisqu'il y peut être utile. Mais lorsqu'il a fait aimer la République dans sa ville natale, il s'en retourne, comme Washington, chez lui, trouvant une ample récompense de ses services dans la satisfaction d'avoir accompli encore une fois une bonne action. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Mowca wskazał też na to, że w miej
sce dzisiejszej aneimicznej gospodarki finan
sowej musi być wprowadzona pozytywna po
lityka finansowa. Trzeba przystąpić do pozy
tywnej polityki inwestycyjnej, rozpocząć bu
dowę kolei lokalnych i dróg wodnych it. d.
Domagał się mowca kupieckiego prowadzenia
przedsiębiorstw państwowych i zalecał wyłą
czenie przedsiębiorstw tych z budżetu, samo
2
istnego ich bilansowania i wstawiania do
budżetu dopiero ich rezultatów finansowych.
Podkreśla konieczność podniesienia do
brobytu ludności, bo dobrobyt ten daje siłę
polityczną. Ciężkim błędem jest zaniedbanie
na tem polu. Austrya jest asocyacyą histo
rycznych państw i ludów, które pragną roz
wijać się samodzielnie w tem Państwie.
Interes każdego kraju jest równorzędny z in
teresem Państwa. Autonomia krajów nie
osłabi Państwa, lecz wzmocni tylko jego
członki. Państwo potrzebuje pokoju na ze
wnątrz, aby wyleczyć rany, zadane mu przez
wojnę prowadzoną przez innych, potrzebuje
pokoju i na wewnątrz, aby wyleczyć rany,
które samo sobie zadało. Pragniemy jednego
i drugiego.
Po przemówieniu dra Loewensteina
dyskusyę zamknięto, przemawiali mowcy ge
neralni pp. Sveceny i Hauser, poczem na
stąpiły prostowania faktów.
Po przemówieniach moweów general
nych sprawozdawca mniejszości p. Dia
mand wystąpił w obronie swego wniosku i
podniósł, że Izba dałaby dowód swej życzli
wości dla urzędników i nauczycieli, gdyby
głosowała za jego wnioskiem, bo w budżecie
stworzyłaby dla potrzeb urzędników pokry
cie, a przez małą reformę ustawy spirytuso
wej wydobyłaby dla nauczycieli 10 milionów
koron. Następnie polemizował z wywodami
p. Loewensteina i zarzucił Kołu polskiemu,
że nie prowadzi polityki realnej. Mowca jest
przekonany, że przekazania dla krajów nie
będą w (ialicyi użyte na poprawę bytu na
uczycieli, lecz na pokrycie deficytu. © nędzę
nauczycieli, robotników przemysłowych i wło
ścian Koło polskie nie troszczy się; więcej
troszczy się o dobro właścicieli gorzelń i fa
brykantów spirytusu.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Or, ce ne sont pas livres d'heures Qu'on lit au~ mobiles demeures. ~i romans plus ou moins moraux. Le voyageur est plus habile:
Il veut se faire de la bile
En lisant deux ou trois journaux. « Mais, monsieur, c'est abominable 1 Et l'homme est un suppôt du diable, Qui se permet d'écrire ainsi
EN CHEMIN DE FER
Je lui cracherais au visage!
Pardon, dit un voisin plus sage, Voulez-vous lire celui-ci ?
Qui? moi vous voulez que je lise Un Tournai qui défend l'Église,
La famille, l'ordre et la loi
Co journal dit ce que je pense,
Et je ne me mets en dépense
Que pour ceux qui sont contre moi. >> Le fils du bonhomme colère,
Un bambin, dit de sa voix claire: « Voilà comme sont nos papas
Moi, je n'aime que la galette,
Et toujours pc~e/'c m'acheté
Des biscuits que je n'aime pas.
C'est que la galette est trop lourde. Monsieur, excusez cette bourde: Il n'a pas douze ans révolus.
C'est vrai, papa, mais, la galette, Si perso'ine n'en fait emplette,
Les pâtissiers n'en feront plus. » Je fus termin de c~Lte scène
Sur le -'hemin de Bray-sur-Seine. Nous étions là huit engages.
Cinq bourgeois, bons maris, bons pères, Dont trois au moins étaient notaires, Lisaient des journaux enragés.
Bourgeois craintifs, bourgeois honnêtes, Nous savons fort bien que vous n'êtes Ni vindicatifs ni méchants
Mais, permettez qu'on vous le dise,
En achetant la marchandise, Vous commanditez les marchands.
)
')tr:mtn:t't:!<Kntt.ï[<E'f)ttiLL~t'it.n~
CONTES, SCENES & RÉCITS
x
LE BOUQUET. MOINS QUE RIEN. LE PARAStTE. U~E )':N)GMK.
| 0 | 0 | 1 | 0 | 2 | null |
Envoyer mandat-poste (prix de l'envoi) à la Mode Pratique, 49, av. de l'Opéra, PARIS. Baume Témoigne, MAUX DE TÊTE, la fierté, c’est le préparateur le plus radical d’en l'enseigne décisif. Pris pour 10 hectares de terre - véritable révolution en agriculture. JO BIBLIOGRAPHIE, n° a, mère de l'agriculture la plus moderne, la plus légère de traction, celle que tout agriculteur voudra posséder. AGENT GÉNÉRAL GAMBIER, Fila, œuvres d'art et de bâtiment. MONUMENTS FUNÉRAIRES VIRTUELLES GRANITS FRANÇAIS ET SCANDINAVES PAILLE. SCULPTURE-GRAVURE H. LAROCH 20, Route de Valence — Téléphone 3-10-1. Maison Fondée en 1870. Spécialiste du Monument en Pierre extra dure de Ruoms. Vogue le seul qui résiste DESSUS DE MEUBLES - DEVANTURE - CHEMINÉES SIMILIAIRE ; granits mosaïques. Faites-Vous construire maisons de rapport et ouvrira. Bâtiments induits et autoles. Profitez des nombreux avantages offerts par les récents décrets lois : 1. Rénovation d'intérêts par l'État. 2. Exemption d’impôt pendant 15 ans. 3. Suppression des taxes de transmission. 4. Rédaction des droits d’enregistrement. dont l'ensemble peut atteindre 60 % du coût de la construction. ADRESSEZ-VOUS À l'Entreprise Félix SABATIER fondée en 1812. LE TELEPHONE de MONTÉLIMAR. Téléphone N° 15. Téléphone N° 58 - PÉTRITIONS de DOSSIERS et INVENTIONS. Projets Gratuits sur demande. Département Entreprise Générale du Bâtiment. Peinture-Rénovation DECOURATION. Bureau, 34, Rue Mercerie 1er Étage. Atelier Rue Aleyra. Maison fondée en 1870 par M. SARRET père. Équipées des plus modernes machines. Concessionnaire des revêtements en Fibre - Ciment Bleu. Nombreuses Références. Nouveaux revêtements en verre mural. DESSAIGNÉS.
journal de montelimar, S.F. Téléphone 4-72 HARLEZ et 6, Grande-Rue. MONTELIMAR, S.F. Vous présente la gamme la plus complète en récepteurs : ARCO Le poste supérieur de 495 à 3.945 fr. RADIOLA Le plus grand constructeur Français de 1.550 à 4.500 fr. TELEFUNKEN Le poste de renommée mondiale de 8.900 à 7.500 fr. Garantie à leur personnel spécialisé et à leur outillage moderne, Les Établissements HARLEZ Garantissent le dépannage d’appareils de toutes marques, dans le plus bref délai. ENTRETIEN DES FREINS ARRETS. Rapidité et perfection à l'exécution - Un matériel unique. MONTELIMAR Faubourg Saint-James. Super Station. MONTÉLIMAR DEUX AGES CRITIQUES. Ces deux âges, vous les avez devinés. Le premier, c’est l’inquiétude pour la Jeune Fille à sa Formation. Le second, c’est la terreur de la Femme au moment de la Ménopause ou Retour d’Âge. Ce qui peut paraître bizarre, c’est que les indispositions et malaises de ces deux âges si différents, se traitent de la même façon. | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | null |
From the first tolls have been charged for their use ;
but these have been reduced and standardized at
various times and are now very small. Boats charge
what they please for transportation, the boat-
owners, or brokers in their behalf, bidding for traffic
on the floor of the Antwerp Exchange. In nearly
every case the boat is navigated by the owner and
his family, who live upon it. The boatmen make
somewhat more money than the ordinary working-
men, but never a very high profit. These men are
helped by an association, which is permitted by law
to loan money on mortgages on a boat after it has
been built. Because of a certain movement of
traffic on the inland waterways between France,
Holland and Belgium, there is an agreement as
to the size of the boats, in order that those of
either country may go through the canals of the
others.
32 Transportation in Europe
In 1904 there were registered in Belgium, 9370
boats; in 1908, 10,779; with capacity ranging from
70 to 500 tons. Although of recent years the
waterways have not been extended, they have been
well maintained and improved, large sums being an-
nually expended by the government for this pur-
pose. The capital expenditure has been from $55,-
000 to over $450,000 a mile, the total to 1905 being
$79,050,000. The average annual charge for cur-
rent improvements and maintenance is $445,000.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Das sind nur einige der inhaltreichen. — Nimm und lies! „Die Kunst“ (F. Bruckmann, Verlag, Akt.) begann mit dem jetzt erschienenen Oktoberheft. 30. Jahrgang. Neunundzwanzig Jahre sind ein lang für eine Zeitung, die der Spiegel der zeitgenössischen Schaffens ist. Nur größte Geschichtlichkeit in der Sammestellung vermochte den Schwankungen des Kunst in dieser Reihe von Jahren so zu begegnen, dass der aus vielseitige Inhalte der „Kunst“ immer bespielgebend anregend war. In diesem Jubiläumsheft ist wieder Bildermaterial neben einer Anzahl vorzüglicher Aufsätze über Klimt, Vincent van Gogh und Wilhelm Schmid, ehemaligen Impressionisten und Darbietungen der Internationalen Ausstellung Venedigs gezeigt. Den Kapitel Plastik, Gartenkultur, Wohnungskunst und Kunstgewerbe ist ebenfalls wieder große Aufmerksamkeit gewidmet. *Ethik. Sexual- und Gesellschafts-Ethik. Geh. Med. - Rat Prof. Dr. Abderhalden „Halle. 5. 1928/29. Leopold Klotz, Verlag, Gotha. - Aus dem des 1. Heftes: Zur Einführung. Zugleich ein Appell Gewissen. Von Geheimrat Prof. Dr. Abderhalden, Halle Psychoanalyse und Seelsorge. Von Prof. Dr. C. G. Küsnacht - Zürich. *Versuche am Menschen. (Eine U Von Prof. Dr. Abderhalden. Mit Antworten von Prof. Matthes, Königsberg, Prof. Dr. His, Berlin, Dr. med. Liek, Danzig. — Einige Gedanken über Religion und wissenschaftliche Erkenntnis, verknüpft mit der Frage, ob die Bildung des Geistlichen zur Erfüllung des Berufes als Seelsorger aller Volksschichten genügt. Eine Umfrage. ) — Die Bedeutung der Wirtschaft für die ethische Lebens. Von Prof. D. Wünsch, Marburg. - Die Werte der modernen Literatur. Von Hanns Morgenstern. Blicke in einem Kiosk. Von N. N. - Ethikbund im Jahre 1928. *Zeitschrift für Schulmusik. Herausgegeben von Fritz Jode, Heinrich Martens, Richard Münnich und Susanne Trautwein. Schriftleitung: Hans Fischer. Georg Verlag, Wolfenbüttel. - Eine Zeitschrift ist hier versucht und verwirklicht, auf die notwendig und folgende Entwicklung der Schulmusik in den letzten Jahrzehnten zu reagieren. In ihr sammeln sich zwei große Strömungen: moderne Schulmusik und moderne Jugendmusik. Die Triebe der Jugendmusik kamen aus der breiten Strom Jugendbewegung. Sie gehören ihr wesentlich an, haben aber infolge ihrer absoluten Inhalte auch von ihr und ein starkes Eigenleben begonnen. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Ce qui augmente l'importance stratégique du massif du Gotthard, c'est que cette forte résistance naturelle, à ses angles saillants, possède deux bastions également naturels, à savoir : d’un côté les Alpes Valaisannes et Bernoises et de l'autre les monts d’Ifr, des Grisons, de Claris et de Saint-Gall. Ce sont là des ouvrages extérieurs d'une grande importance pour la défense du massif du Gotthard. Ces boulevards ont surtout une valeur considérable dans le cas d'une attaque venant du sud. Ils n'ont pas de portes, de routes de guerre, que puisse utiliser une armée en vedette. Il n'y a en effet pas lieu de tenir compte de défilés hérissés de difficultés de tous genres par où peuvent sans doute passer quelques troupes alpestres, mais qui ne sauraient servir de ligne d'opération à une armée. Toute armée doit avoir, comme base d'opération un chemin de fer ou une route, la seule ligne d'opération convenable du sud au Nord est formée par le chemin de fer et la route du Gothard et ces voies de communications traversent précisément le camp retranché du Gotthard où se réunissent en outre, comme nous l'avons dit, les routes venant de l’Est et de l’Ouest. Aussi longtemps que l’Italie ne sera pas maîtresse du massif du Gotthard, elle manquera absolument de toute ligne d'opération, et pourra d'autant moins utiliser les routes des autres passages qui conduisent en Suisse, que celles-ci, au lieu de converger vers le centre du pays, se dirigeent vers son extrême orient et occident. La Suisse peut en outre passer facilement de la défense à l'offensive tant qu'elle est maîtresse de la clef des Alpes, soit du Gotthard. En somme, le Gotthard avec ses fortifications, a le caractère du grand réduit central, d'une puissante citadelle, presque imprenable, en tout cas en état de résister à un long siège et de permettre ainsi à la Suisse de poursuivre la résistance dans les Alpes, alors que son armée principale aurait été forcée. — P. LETTRE DU TONKIN Les Inondations et leurs conséquences. — Mort tragique de M. W. Routier, résident d’Hanoï. — Tuong-Duc s’échappe de la Cage. — Le Chemin de fer de Lang-Son. — Le nouveau Vice-Roi du Tonkin. Hanoï, 24 août. On se préoccupe toujours des Inondations et de leurs conséquences, à Hanoï, elles ne finiront jamais. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Zu Abschreibungen und rund 12,000 M. zu Rückstellungen zu verwenden. Von dem dann verbleibenden Reingewinn im Betrage von rund 60,000 M. sollen 5 Proz. Dividende an die Aktionäre und angemessene Tantiemen an Aufsichtsrat, Vorstand sowie Beamte verteilt werden, während der Rest von 4000 M. auf neue Rechnung vorzutragen wäre. Aus der Konservenbranche. Auf Veranlassung der Handelskammer für das Herzogtum Braunschweig versammelten sich am Montag in Braunschweig die Vertreter der Konservenindustrie und des Konservenhandels und zahlreicher Interessenverbände Nord- und Süddeutschlands, um über wichtige Fragen der Konservenbranche zu beraten. Es wurde nach mehrstündiger Debatte beschlossen, eine Einheitsdose von 900 Kubikzentimeter für Gemüsekonserven und von 800 Kubikzentimeter für Obst-Konserven einzuführen. Ferner soll bei Lieferungsabschlüssen auf den Mißerntevorbehalt ausdrücklich hingewiesen werden. Danach soll der Lieferant berechtigt sein, die zugesagte Liefermengen je nach dem Umfang der Mißernte zu kürzen. Preiserhöhungen für Solinger Stahlwaren. Die Vereinigung der Solinger Stahlwarenfabrikanten beschloss infolge der noch immer steigenden Preise der Rohmaterialien und der Arbeitslöhne ihren Abnehmern mitzuteilen, dass auf alle Taschen- und Federmesser ein Preisaufschlag von 12,2 Proz. und auf alle anderen Artikel der Solinger Branchen ein solcher von 10 Proz. eintreten müsse, Der Preisaufschlag tritt sofort in Kraft und gilt für alle neuen Bestellungen. Ein Vergemeindung von Säge- und Maschinenfabrikanten des Bergischen Industriebezirkes beschloss mit Rücksicht auf die 1906 erfolgten wiederholten Preissteigerungen der Rohstoffe statt dem im März v. J. angezeigten 72 proz. Aufschlags sofort einen solchen von 10 Proz. eintreten zu lassen. Um eine Besserung der Verhältnisse in der Sägeindustrie herbeizuführen, wurde ein Ausweis mit der Festsetzung von Bruttopreisen für Gatter-, Kreis- und Bandsägen und entsprechenden Rabattsätzen dafür beauftragt. Radebeuler Guß- und Eisengiessereiwerke vorm. Gebr. Gehbler, Radebeul. Infolge Arbeiterausstandes kam im abgelaufenen Geschäftsjahr nur etwas über neun Monate Arbeitszeit in Betracht. Trotz der fortwährenden gestiegenen Gestehungskosten und 30,000 M. Minderumsatz ist der Rohgewinn von 84,338 M. auf 104,994 M. gestiegen, woraus nach 32,362 (365,160) M. Abschreibungen 72,632 (49,178) M. Reingewinn resultieren. Die Verwaltung beantragt 6 (5) Prozent Dividende. Die Debitoren betragen 300,236 (335,716)., die Kreditoren 166,259 (247,677) M. Das Düsseldorfer Roheisensyndikat erhöhte den Preis für Gießereieisen No. 3 von 84 M. um 3 BI. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
• Mi lady était tombée sur sa chaise, lus mains étendues, comme pour conjurer cette terrible apparition; en apercevant son beaufrère, elle jeta un orl terrible. — Que demandez-vous T s'écria Mliady. — Nous demandons, dit Athos, Charlotte Backson, qui s'est appelée d’abord la com tesse de La Fère, puf# ensuit» lady de Win4er, baronne de Scbetflcld. — C'est moi, c’est mol I murmura-t-elle au conïble de la terreur, que me voulezvous ? — Nous voulons vous Juger selon vos cri mes, dit Alhos : vousserez libre de vous défendre. Justifiez-vous si vous pouvez. Mon sieur d'Artagnan, à vous d'aoouser le pre mier. ' D’Arte#»in « avança._ Devant Dieu et devant les hommes, dit-il, J’accuse cette femme d’avoir empoi sonné Constance Booaciaux. morte hier soir. 11 se retourna'vers Porthos et vers Ara mls. — Nous attestons, dirent d’un seul mou vement les deux mousquetaires. D'Artagnan continua. — Devant Dieu et devant les hommes. J'ac cuse cette femme d'avoir voulu m’empoi sonner moi-même, dans du vin qu'elle m'avait envoyé de Vlllcroi, avec une fausse lettre, comme si le vin venait de mes amis; Dieu m'a sauvé; mais un homme est mort à ma place, qui s'appelait Brisement. — Nous attestons, dirent de la mémo voix Porthos et Aramls. — Devant Dieu et devant les hommes, J'accusc cette femme de m'avoir, poussé au meurtre du baron de W&rdes; et. comme personne n'est là pour attester la vérité de cotte accusation, Jo t'atteste, mot. J'at dit. Et d’Artagnan passa de l'autre côté de la chanihre avec Porthos et Aramls. — A vous, milord < dit Athos. Le baron s'approcha à son tour. — Devant Dieu et devant les hommes, ditil, J'accuse cette femme d'avoir fait assassi ner, lo duc de Buckingham. — Le duc de Buckingham assassiné î s'é crièrent d'un seul cri tous le# assistants. — Oui, dit le baron, assassiné I Sur la let tre d’avis que vous m'aviez écrite, j'avais fait arrêter cette tomme, et je l'avais don née en garde à un loyal serviteur; elle a corrompu cet homme, elle lui a mis le polS nard dans la main, elle lui a fait tuer le uc, et dans ce moment peut-être Felton paie de sa tète le crime de cette furie. .UiX f né mi seoment courut parmi les juges à la révélation de oes crltocs encore incon nus. | 0 | 0 | 0 | 0 | 3 | null |
It is said to contain about 60 percent alcohol. It is clear, almost like water, but it has the taste and smell and the "kick" to satisfy most exacting and bring tears to the eyes of the "most hardened," sifter. The booze was being made in a finely planned copper still, made for no other purposes. It holds 10 gallons. It was on a stove with a hot fire when it was found. There were several barrels of mash, composed of grain and raisins and other fruits in various stages of fermentation, and 10 gallons that had been distilled once. It is said the liquor was distilled twice before being put on the market.
Montana was arrested at Potlatch, last January for making a liquor called "Italian Red" and was victed in the superior court. He was fined $400 and sentenced to 30 days in the county jail. He appealed the case and it was decided against him in the supreme court. He was to have begun serving his sentence today, but instead is in jail on a second charge, which, in Idaho, serves to make it a felony with a penitentiary penalty. So far as known, Toloreco has not been arrested before. Both are Italian laborers.
MOSCOW COUPLE WERE MARRIED AT LEWISTON
A very pretty church wedding united two very prominent families of Latah county occurred Monday morning, July 21, at the Catholic church in Lewiston, when. Miss Henrietta Girard became the bride of Mr. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Ziege had zijn spannend verhaal ge ëindigd. ,,Ja, wissen Se,” zei hij langzaam, „dat Spuken, dat is natürlich Blödsinn,. und ’ne Hexe is die Stine auch nich. die gibt ’s nich. Aber ich wollt’ Ihne dies bloss erzahlen, weil man sagt,. so etwas geschehe bei uns nie. hier waren de Menschen zu ruhig. Aber alle Wetter. schon halb eins ... Se müssen jetzt nach Hause. sonst haben Se das leere Nachsehen. Adieu, Mahl- zeit!” Ik ging in min of meer gedrukte stem ming heen. De zon had haar toppunt bereikt en stoofde de steenige hellingen ; beneden was alles stil voor een oogenblik, de ar- beidsreus rekte de leden in behagelijke rust. Aan het eind van het bosch zag ik onder een boom een vrouwelijke gedaante zitten : het was Stine, die, druk momme lend, op haar beenige hand geld zat te tellen en scheldend uitvoer tegen de voor bijkomende arbeiders. ,,Se is wieder besoffen, det olie Jerippe”, zeiden dezen grof lachend tegen elkaar, toen ze mij passeerden. Ik week onwillekeurig zoover mogelijk af van den boom, waar het oude wijf zat, maar kon niet nalaten, haar nog eens zorgvuldig op te nemen. „Hi, hi, junger Herr,” grinnikte ze, toen ze mij gewaar werd en zwaaide met haar dorren arm, „sind Se so eilig. haben Se ’s mit der Angst gekriegt ? ha, ha ! Se werden noch an mich denken.” Ik bleef staan en keek medelijdend naar het verwaarloosde oude schepsel. „Was kucken Se mich so an ?” stoof ze toen plotseling op, „gehen Se. ich brauch’ Ihr Mitleid nich ...” Razend en tierend stond ze op en strom pelde verder het bosch in. Dat was het laatste, wat ik hoorde en zag van de heks van Ronsdorf. GELUKSSTEMM] NG. ’n FA room van blijheid, van jeugd en geluk Is stil door mijn denken gegleden, Heeft met zijn vleug’len mijn hart beroerd, Heeft mij met zich, in der droomen land, Naar duiz’lende hoogten gevoerd. Ik zou willen zingen, zoo jubelt mijn hart, Maar moet bet stil in mij verbergen. Toch zien mij de menschen zoo wonderlijk aan, Als moest de vreugd, die mijn harte ontroert Op ’t voorhoofd geschreven mij staan. JEANNE C. VAN LEYDEN TANTE JET tijdens DE MOBILISATIE. Ik heb een tante, die alléén woont * Met een dienstmeid en een kat. Ik heb altijd voor die tante Machtig veel respect gehad. | 0 | 1 | 0 | 0 | 1 | null |
from the University of St. Andrews, was ordained minister of Buchanan on the
ist June 1848. During his long and distinguished career in the parish the
church and manse were maintained in good order, and the glebe was much
improved, for, besides being an excellent preacher. Dr. Mackintosh was a
thoroughly practical farmer. He also interested himself much in the spiritual
and educational wants of his large parish. About thirty years ago, in con-
junction with the minister of Arrochar, he estabhshed a missionary station at
Inversnaid, the services being held during the summer months on alternate
Sundays, in the school-houses of Inversnaid and Glenfalloch. In winter he had
a service at Inversnaid usually once a month, and he dispensed the Communion
there in the month of October. About 1859 he brought the unsatisfactory
state of education in the Highland part of his parish before the Duke of
Montrose, who thereupon built a school and a house for a teacher near Inver-
snaid, and the tenants of the shootings there- — Mr., afterwards Sir Archibald
Orr Ewing, Mr. James Campbell of Tullichewan, and the late Mr. Walter
Paterson of Glasgow — gave ^10 a year, and the Church of Scotland a similar
sum, for the support of a schoolmistress. Dr. Mackintosh had thus the satis-
faction of having at last secured a proper school for this remote district. This
school was taken over by the School Board in 1872, and is still carried on
with success under a female teacher.
In 1892 Dr. Mackintosh retired from his parish, to the great regret of all
his parishioners and his many friends in the neighbourhood, and he and Mrs.
Mackintosh will long be sadly missed in Buchanan. Dr. Mackintosh died on
loth August 1894.
THE REV. WILLIAM HOULDSWORTH MACLEOD.
1892.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Sanguis Draconis genuinus aqua nonfolvitur, fed fpiritu vini Sc oleofisfufa-
ftantiis . Fumus qui ex eo incenfo exhalat , fubaciduseft, qualis ex Benzoino
elevatur. Refina eft compofita ex oleo craffo copiofo Sc acido fale fimul per-
iniftis: parum vero partium volatilium oleofarum continet, ut ex eo conclu¬
di poteft quod faporis Sc odoris fit expers.
Sanguis Draconis vi pollet incraffante, exficcante Sc adftringente; Sc m
dyfenteria, hcemorrhagiis , vehementioribus fluxibus, ac ulceribus internis
utiliter adhibetur interne a 3$. ad 3j. Externe ulcera exficcat , vulnera gluti¬
nat , commotos dentes firmat , Sc gingivas roborat ,
3*. Sanguinis Draconis, Corall. rubr. ana 3j. M, F. pulvis qui dividatur
in fex dofes quarta vel fexta quaque hora exhibendas in cruenta expui¬
tione aut hsemorragiis.
5*. Sang. Dracon. ?j. Alum, cryftal). 3ij. Conferv. Rofar. rubr. ?iij. M. F.
Eleduar. cujus dofis ad 3j, quarta quaque hora iteranda eft in haemor¬
rhagia vehementiori.
5*. Sang. Dracon. Corall. rubr. Terra? Japon. Sc Boli Armena? lota? ana
Miva? Cydonior. q. f. Fiat Eleduar, in dyfenteria.
5*. Sang. Dracon. 3iij. Camphor. 3ij. Terebenth. Veneta? fij. M, Fiant Pilu-
la? ad gonorrhaeam, Dof. 3$.
Ufurpatur in Pulvere dyfenterico Sc Pilulis ad fiftendam gonorrhoeam Cha-*
raS) Empl. ftyptico, ad Eq. pedis pundionem, Sc de Alabaftro Eiufdem.
Pidoribus infervit Sc ex ea fit vernix rubra, qua ciftae Sc pixides Sinen-
fes obduci folent.
ARTICULUS DECIMUS -SECUNDUS.
De Styrace folido.
DUplex efl: Styrax in officinis; liquidus nempe, Sc folidus: qui quidem
diverfi funt, Sc ex diverfis arboribus originem ducunt . De liquido jam
egimus, nunc vero de folido.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Foucqueteau, commissaire de police, auquel il a déclaré se nommer Chevalier et être âgé de trente ans. Cet individu était porteur d’une pinça-monseigneur, de deux ciseaux à froid et d’un trousseau de fausses clefs. Il a été envoyé au dépôt. Marie M... est dans un état assez grave. Le jeu de la "ratière". — Des inspecteurs de police spécialement chargés des établissements de jeux forains ont surpris avant-hier, sur le boulevard de Sébastopol, deux individus qui tenaient le jeu dit "la ratière". Le jeu consiste en quatre boules rouges et quatre boules noires, que l’on fait sortir par un trou placé à l’embouchure de la giter. Il faut, pour gagner, qu’il y ait dehors un certain nombre de boules. Le teneur du jeu avait pratiqué une petite trappe par laquelle il escamotait les boules qui devaient faire gagner les joueurs. Les deux compères ont été emmenés au commissariat de police. L’un des deux, le patron, nommé Joseph Garganti, sujet italien, a été envoyé au dépôt. Quant à l’autre, un pauvre diable qui lui servait de domestique plutôt que de complice, il a été laissé en liberté. L'incidence (suite). — L’état de Mlle Kouverut, en religion sœur Florence, la victime du drame commis il y a deux jours à l’institution Sainte-Croix, à Neuilly, est très grave. Les chirurgiens qui la soignent craignent que des complications ne surviennent et qu’elle ne succombe à ses blessures. Son meurtrier, Pierre Simon, a été transféré au dépôt. Cet homme s’adonnait à l’ivrognerie. C’est pour ce motif qu’il a été, sur une plainte de Mlle Bouveret, congédié de la pension. Une petite martyre. — Un placier en dentelles, nommé B..., habitait depuis quelque temps avec sa fille, âgée de treize ans, rue du Petit-Carreau. Les locataires de la maison entendaient souvent des cris déchirants poussés par cette enfant, que son père battait. Ne se contentait pas de lui donner soufflets et coups de poing ; c’est avec des manches à balai, des planches et des courroies qu’il assommait sa fille, et, une fois à terre, il la piétinait. Les voisins, outrés de pareils procédés, sont allés porter plainte au commissaire de police du quartier, qui a envoyé chercher hier B... et sa fille. Devant le magistrat, B... | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
Le lendemain de son arrivée. Le traitement commence, mais l’hydropisie semble empirer sous l’influence du cornet de digérane et du paquet de magnésie, et quelques mois après cette consultation qui tenait du sortilège, l’enflure guérit sans paracentèse, par la naissance d’un quatrième enfant, sur le front duquel on aurait pu inscrire cette sentence de Tissot : « Quiconque ordonne des remèdes sans autre connaissance du mal que l’inspection de l’urine, est un fripon, et le malade qui les avale est une dupe. »
Histoire que je vous cite, de préférence à cent autres, parce que j’ai connu le fripon et la dupe.
Notre second concurrent, dans les campagnes surtout, est le rhabilleur, rénovateur ou rebouteur, n’importe le nom. — Celui-ci est plus populaire que je ne jugeais aux urines; il est prodigue de prières de mains, et boit avant et après chacune de ses opérations avec la famille du patient, qu’il grise quelquefois lui-même, pour l’affaiblir quand il le juge à propos.
Le rhabilleur est un paysan de bon âge : plus vieux ou plus jeune, il ne pourrait pas travailler, il ne serait pas assez fort. — Il n’entend rien aux maladies de dedans, c’est l’affaire des médecins, dit-il dédaigneusement. — Un os cassé ou démis, un tendon ou un nerf foulé, une côte enfoncée, le crochet de l’estomac dérangé; telles sont ses hautes attributions. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Offiziel?
124
. 106
Leipzig
. 69
Neuß (S u. i- 2.) . ..
14
. 14
Aignieretip Sadjcen ..
73
. 70
Adolpheburg'Acta
1
. 1
Sächsen-Hildburghausen
2
. 2
Stuttgart (Stadtbibliothek)
3
. 3
Stuttgart
32
. 28
Summe:
480
. 436
Die fehlten nämlich ganz oben waren nur Zeit beteiligungen
noch nicht auf gefasst, bei Katalognummern: 13, 542, 1258, 1447,
1724, 2244, 2399, 2429, 2432, 2909, 2958, 3223, 3514, 3522,
3528, 3539, 3541, 3560, 3789, 4032, 4119, 4257a, 4280,
4285, 4313, 4314, 4424a, 4534, 4605, 4818, 5022, 5025,
5037, 5046, 5436, 5469, 5821, 5938, 5961, 6442, 6463, 6478,
6555 und 6873.
Hier beginnen die Vorlesungen bei diesem Studium mit der Spinnerei
und der Flachsspinnerei. Die für Übung (und für wichtige und bekannte in den Betriebsbezirken betriebenen)
Zweige waren nur von 21 Exemplaren vertreten, von denen 8 auf
Österreich, 5 auf Sachsen, 4 auf Bayern und je 1 auf Jura-Pressen,
Freiburg und Schwaben kommen. Die größten und renommiertesten
(Stabilisierungsunternehmen) fehlten ganz.
Die Einrichtung und Erweiterung der mechanischen Weberei
hat der Kammmgarnspinnerei bereits einen fast gänzlich veränderten
Stand gegeben, was hier, nach dem Grunfreiburger Institut
für Erneuerung und Erweiterung der Mechanischen Weberei,
nach der Einführung der Granulation und der Hilfsmittel zur
Werkzeugherstellung deutlich erkennbar ist.
Digitized by Google
II. OTt$f. Kammmweb-, SaawaeD» u. gemixte Saaten. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Maintain attribution The Google "watermark" you see on each file is essential for informing people about this project and helping them find additional materials through Google Book Search. Please do not remove it.
Keep it legal Whatever your use, remember that you are responsible for ensuring that what you are doing is legal. Do not assume that just because we believe a book is in the public domain for users in the United States, that the work is also in the public domain for users in other countries. Whether a book is still in copyright varies from country to country, and we can't offer guidance on whether any specific use of any specific book is allowed. Please do not assume that a book's appearance in Google Book Search means it can be used in any manner anywhere in the world. Copyright infringement liability can be quite severe.
About Google Book Search
Googlc's mission is to organize the world's information and to make it universally accessible and useful. Google Book Search helps readers discover the world's books while helping authors and publishers reach new audiences. You can search through the full text of this book on the web at http://books.google.com/
Google
Esta é uma cópia digital de um livro que for preservado por gerações em pratéleiras de bibliotecas até ser cuidadosamente digitalizado
pelo Google, como parte de um projeto que visa disponibilizar livros do mundo todo na Internet. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Unterbeffen batte aud) Slugereau baS ©efecßt Don Steuern auf*
genommen; naepbem er äße feine Gruppen Derfammelt, ließ er halb
nad) ÜJiittag in fjront gegen ©tra nur jmei Vataißone Dorgeben,
unterftüpt Don 2 ©efeßü^en auf ber ©traße; fein ©roS birigirte et
gegen Salbicro, unb jroei Sataiflone Don ber 4. unb 5. $atb«
brigabe unter ©eneral Verne gegen ben SRüden beS SDionte SJtattia.
.fpoljcnjoßcrn fenbete biefen bie 6 SsJabronS §ufaren in bie plante unb
ließ in gront bie VataiüonS beS 3£»trumS unb linfen Flügels Dorrüden.
Digitized by Google
/
317
‘äugereau’8 Angriff warb abgcroiefen; aber ber franjöfifdje
©encral fcf)icfte ficf) an, ifjn fogteid) $u roicbcrljolen unb aud) 2Jt a f »
fena broijte, ©tiefer ganj emftlic^ an$ugreifett. £>o(jen$otlern8
Xruppen waren auf eine gront non nur 2500 ©djritt befcfjränft, in
beiben glanfen bebrofjt. $ol)enjoBern f^atte ungefähr 7000 2)1., So»
n aparte ungefähr ba8 ®opf)elte. @8 war 3 Uljr 9tadjmittag8 unb
nod) war feine Unterftüfeung non 3Unin(jt) Ijerangefommen ; nun aber
natjte fte.
Sllöinfjtj war lange in 3roeife* getafen, ob ber Angriff auf
bie gront ber ©teBmtg ernft gemeint fei, ob et nid)t bloß ein anbereS
Unternehmen ma8firen fofle; — wie au8 unfern Setr adjtungen über
ba8 Terrain fjctnorgefjt , mit großem 9icd)t. £)a8 fdjledjte SBetter
Tonnte ihn nur in feinen 3We‘Mn beftärfen , ba e8 webet geftattete,
bie 3af)t bet geinbe ju überfein , nod) fie nad) ber $eftigfeit be8
©cwehrfeuetS , — weil ein fotrfjeö faft gar nidjt eyijtirte , — ju
fdjähen.
(Snblid) gegen ÜJfittag orbnete Stoinfct) beit Slbtnarfd} gegen
©albiero an; ba8 SBetter nerjögerte ba8 (Eintreffen ber Gruppen bort.
| 2 | 0 | 0 | 0 | 3 | null |
Ce qu'on appelle dans le commerce les signatures prévues ont obtenu leur placement; mais la propriété foncière, mais le possédant de la terre grevée d’hypothèque, que peut-il opposer à la fatalité de sa position? n’est-il pas sous le coup meurtrier de l’expropriation, ce glaive légal que la loi place constamment sur sa tête? À côté donc de toutes les améliorations proposées, nous voudrions que l'Assemblée législative s’occupât surtout des trois choses importantes de notre état social : le travail, le crédit, la propriété, qui nous paraissent les trois instruments les plus à corriger cette exubérance de passions et d’intérêt qui font les révolutions politiques et sociales. À l'œuvre donc, législateurs! la lutte des partis s’éloigne; la ferme mesure du gouvernement nous a fait quelque repos; profitez-en pour réaliser le problème que la civilisation actuelle nous a légué avec ses misères et ses ressources, ses petitesse et ses grandeurs.
Le Courrier français, réfutant la théorie de Vidal écologiste légionnaire exposée hier par le National, démontre facilement qu’avec le suffrage universel la démocratie étant maîtresse d’elle-même, le mot de révolution, appliqué à un état démocratique, n’a plus aucun sens, à moins qu’il ne signifie le retour violent des idées et des institutions d’avant, — ce dont le National n’entend point parler, à coup sûr.
Ayons-nous besoin d’insister sur des vérités aussi évidentes? Les démocrates seuls peuvent les contester, et ils ont bien leurs raisons pour cela. La révolution est morte pour jamais, soit par le suffrage universel qui a été proclamé; mais les révolutionnaires, par malheur, survivent à la révolution. Ceux-ci en effet, des ouvriers sans emploi, des artistes sans art. Comment donc soutiendraient-ils l’existence, s’ils n’avaient l’espoir que leur tâche, cependant, n’est pas tout-à-fait accomplie, et que, révolutionnaires, il leur est encore réservé de pouvoir révolutionner — et toujours, et quand même, jusqu’aux fins?... Que le National en fasse son deuil, il devient aujourd’hui un instrument inutile; son rôle est fini, bien fini, et, s'il lui faut absolument des révolutions pour vivre, nous l’engageons à transporter ses bureaux chez certains peuples étrangers où le besoin de trois ou quatre révolutions successives se fait peut-être entendre. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
SULLA DILATAZIONE DELL'ARIA
Cagione esserne in parte l'apparato, di cui si serve il Sig. Duvernois, e più di tutto l'umido che per avventura non fu escluso come conveniva dalle vasij, e poté accrescere ora di molto, ora di molto di più nei gradi di temperatura elevata, l'apparente espansione dell'aria: conforme alle esperienze appositamente fatte sull'aria umida ed umidissima dai Sigg. Roy e Luz, che accennate pur ahilariamente (§. 22, 24).
Se in ciò ho avuto ragione, o no, vedrassi dalle mie esperienze meno operose, ma ben più decisive, che sono per riferire; e dipoi vedrassi come ciascuno degli altri valenti Fisici sopracitati, che ci hanno presentate diverse dilatazioni dell'aria per il calore (vedi §. 13), può aver ragione: cioè come i risultati delle loro esperienze, per quanto disparate appaiono, possono trovarsi tutti giusti, e conciliarsi l'uno nell'altro, attesi i differenti gradi di temperatura, entro i quali si concretizzarono le rispettive esperienze, ed altre circostanze che le accompagnarono. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Rep. 526 19g
TABLE OF CASES CITED. , xxxi
PAGE
Robertson, Heermans v., 64 N. Y. 332 14, 268
Robinson, Jackson v., 4 Wend. 436 58, 69
Robinson, Matter of, 160 N. Y. 448 & 692 169
Rocliester City, Matter of, 110 N. Y. 159 33, 53
Rockwell's Estate, 41 Supp. 431, 17 Misc. 670 .' 79
Rock-well V. Nearing, 35 N. Y. 302 85
Roderigas v. East Riv. Sav. Institution (2d case) 76 N. Y. 316. . 106
Rogers, Matter of, 153 N. Y. 316 , 63
Rogers v. Rogers, 2 Paige 458 171
Rooney, Matter of, 3 Red. 15 190
Rood V. N. Y. & Erie R. R. Co., 18 Barb. 80 46
Rubens, Matter of, 117 App. Div. 523, 102 Supp. 795 177
Ruppaner, Matter of, 7 App. Div. 11, 39 Supp. 763 169
Russell, Collins v., 184 N. Y. 74 85
S.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
div. ; le nan. aux Mess, lm. — 11 a les pépés et 172 passagers. Porto Ferrajo 31 mars, bk toc Mado-na-delle-Grazzie, de 477 tx. cap. Bert, av. 180 fut vin, 452 dict. farine 27 fut esprits. div ; le nov. M.C. Roussier. Pointe-a-Pitre, 22 fém., 3-mâts Mercure, de 229 lx., cap Nicolas, avec 411 boucanés sucrés. 6 1/3 sucre, 24 1/4 sucre, 38 1/4 cacao, 39 boues rocou, 4 2 boues mafia p. d.: le navire à M. Garcin fils. — Passé le détruit le 29 mars (En quarantaine). Riposto (Sicile), 9 mars, bk nap.Salvador, de 434 ex., c. Siraño, avec 130 fut. vin, à ordre, ainsi que le nan. Réunion, 17 sept, 3 mâts Montlaudevert, de 272 tx, c. Devalenton, avec 6,940 balles sucre p MM Lafuente et Jullien, 40 balles café, 4 balles girofle p. M. Gilliber fils, ainsi que le nan. — Passé le dé. le 30 mars. S'agoge. 21 mars, blog. Célestiné, de 79 ix, c. Raynaud, av. charbon de bois. St-Tropez. 27 cour., bat. Baptistine. deil ex., c. Riche, avec planches et civets àaron. St-Raphael, 29 mars, bk Modeste, de 46 lx., c. Granier, avec pilotis de pin, St HAPATEL, 3cour. bk-goelette Jeline-Léontine., de 79 lx., capita. Gueit, avec planches St-Raphaël, 24 mars, bit. Trois-coeurs, de 48 taxé, c. Bellérit, avec planches p. M Bout. St-Louis (Sénégal), 19 fém., blog. Célula, de 195 ut, c. Jean, avec 125 tx arachides, 11 tx cuirs de bois, 3 tx graines de melon p MM. Isnard et Mathieu, le navire au cap — Passé le dé. le 29 mains. Ste Marguerite, b. sarde Constantin, de 130 tx, c. Fornaua en lest. Valence, 24 mars, bal.esp. Adella, de 42 tx, c. Alloua, avec une partie oranges, 8 pipes vin p. div. ; le nan. qui cap i Tarsous, 20 fém., tram autre Carlino, de 234 tx, c. K yjinovich, avec 12,000 quitt. blé n.m. Lascaridi, ainsi que le nan. Service de Table superflu, pour 12 personnes, damasqué, de... F. 60 Services de Table blancs, pour 6 personnes, de 42 Services de Table ancien Saxe, pour 42, 48, 24, 30 et 36 personnes, de 420 à Services nouveau Saxe, pour 48, 24, 30 et 36 personnes, de... Serviettes à Thé blanches et écrues, la fou-naine de. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
ALLACILÍO o Graco CR o, yore 77te€ Tr ンク
Jue Z2 472 AE A
5 が
` ety Ore, 7227
M ind Le? レン Ab LA Z と 一 ご CS IRA TIRO SE A ud
A LAS de BEL
t
o L
Anymac ラグ レン イラ アン ce Bet teri Foy e JOU A e
o ` Si
Jo ARS] グン クー
xs
ン ン ク 4
GEL ラン フン ンプ フッ AD
CA dd e, クン ラン < で 7
Ze ング < Leow ach
S の ァ ze プク ング グン "A ee OC une “Oz
/ TE d oi
Lesern Bern) TNT
RR
FE Y )^
DD LT 3 2 AI IE te Te
i レン フク チン クッ クジ ング ルク ルン d ev Sprach ze ピン イス クス F We E.
ANO ea ^ Us LR レッ クン ク
Dr COLE » e dE ES Ne 7 EZ ti
E , GE Me. oder
GCE Haro cado y TI ILE アク ン ン と as グン 7
uch ンタ ン テク Hark. E. |
クタ クタ プン ae ve Zei zur d ge > urea ee
| Are SMOC — o m Ze
プン CNA 24247)
C 7 D
4 / y ; S ` CLA
CD TL Yee ノ z ク を ン 2€ Age GERN ン
Lë
= A ン ラ
7
A ^ reu? th. A CK We a
97,2, ネ ィ ンク ァ ッ ン を と < VEL Ob Gf 7 ECE Cé SEN
3 A :
A , o
3 oe Me Ze.
| 2 | 0 | 0 | 0 | 3 | null |
L'armée française venait de prendre le café. L'enthousiasme était grand : le maréchal de Mac-Mahon venait d'être acclamé comme un libérateur, et jamais peut-être rois ou empereurs ne reçurent des bravos et des hourras plus frénétiques, plus spontanés, plus chaleureux, et surtout plus sincères, car ces vivats sortaient de nos cœurs oppressés.
Malgré les dispositions considérables des combattants, nous fûmes victorieux presque partout jusqu'à trois heures de l'après-midi, moment fatal et solennel où la victoire nous abandonna.
Cent mille hommes nous pressaient de tous côtés!
Le carnage devint horrible ; nous perdîmes peu à peu du terrain, les morts et les blessés tombant par centaines de notre côté et par milliers du côté de l'ennemi.
La cavalerie voulut charger, le terrain était peu propice, bois et montagnes ; elle fut à moitié détruite en moins d'une heure, malgré trois charges pénibles. Nos beaux cuirassiers tombaient comme des mouches.
A ce moment, quatre heures et demie, la bataille était perdue, la déroute commençait, la retraite devenait impossible, notre artillerie allait tomber tout entière au pouvoir de l'ennemi. Un énergique appel fut fait au 1er régiment de tirailleurs algériens pour arrêter cette masse d'hommes pendant quelques instants, pour permettre le ralliement et opérer la retraite.
Notre brave régiment ne poussa qu'un seul cri, deux mille fois répété, car nous étions encore plus de quinze cents, ce cri fut celui de : « A la baïonnette!» Et pendant trois kilomètres nous repoussâmes plus de dix mille Prussiens de bois en bois, au centre de leur armée, ce qui permit la retraite de nos camarades. Pendant cet héroïque combat, nous perdîmes plus de mille hommes et vingt-neuf officiers.
Forcés à notre tour de reculer, nous le fîmes en bon ordre et rejoignîmes le reste de notre corps d'armée. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais. A condição de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos.
As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você.
Diretrizes de uso
O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis.
Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você:
• Faça somente uso não comercial dos arquivos.
A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais.
• Evite consultas automatizadas.
Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar.
• Mantenha a atribuição. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
In this way, the purchaser gets threefold benefit. He or she practices thrift by putting money that would be spent needlessly, out at interest and gets the interest besides saving the money. He or she helps the government in time of need and he or she has a pride and our WOMAN'S STATEMENT WILL HELP MOSCOW "I hated cooking because whatever I ate gave me sour stomach and a bloated feeling. I drank hot water and olive oil by the gallon. Nothing helped until I tried simple buckthorn bark, glycerine, etc., as mixed in Adlerika." Because it flushes the entire bowel tract completely. Adlerika relieves any case of sour stomach, gas, or constipation and prevents appendicitis. The instant action is surprising. S. L. Willis, Druggist. PROCLAMATION I, Warren Trout, Mayor of the City of Moscow, Idaho, under and by virtue of the power and authority in me vested, do hereby give notice and proclaim, that between 9 o'clock a.m. of Monday, April 8th, 1918, and 12 o'clock noon of Saturday, April 13th, 1918, is hereby ordered, designated and proclaimed as cleaning up week in the City of Moscow, Idaho. | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | null |
On pense que par ce moyen et en choisissant les hommes qui font de courts voyages, on pourrait avoir une force de 10,000 hommes toujours disponible. Le comte n’a pas exprimé son avis : J'ai entendu avec une grande satisfaction l'exposé qui vient d’être présenté de la part du gouvernement, et je compte sur lui, surtout parce que je me rappelle avoir entendu lord Palmerston dire, il y a peu de temps, que l’Angleterre devait toujours avoir à sa disposition une flotte suffisante pour tenir tête, non-seulement à une puissance maritime de premier ordre, mais encore contre deux puissances maritimes de premier ordre qui se proposeraient de conspirer contre elle. Rechutez ! Je partage l’opinion de mon noble ami, qui vient de parler, quant au nombre de vaisseaux de ligne qui seraient nécessaires, bien que je ne les distribuerais pas de la même manière ; mais je voudrais surtout faire comprendre à leurs seigneuries qu’elles ne pourront, par aucun moyen, s’affranchir absolument de la possibilité d'une invasion. Tant que Brest et Cherbourg existeront, il y aura possibilité, pendant au moins six mois de l'année, de jeter de 60 à 80,000 hommes sur un point quelconque des cotes méridionales de l'Angleterre. L’avantage d’une flotte puissante consisterait à couper les communications du chef qui commanderait une pareille expédition. On ne devrait pas perdre un moment pour protéger tous les ports et toutes les rades où il serait possible que l’ennemi mit le pied avec quelque sûreté. J'espère que le gouvernement ne tardera pas un instant pour porter son attention sur chacun de ces points ; il doit surtout s'attacher à Portland. Je parle de cette place en particulier, parce que c’est le point qui a attiré l'attention du dernier ambassadeur français à cette cour, qui y a fait une visite pour inspecter la place. J'espère que si ce respectable gentleman revient jamais dans cette localité, il la trouvera dans un meilleur état de défense que précédemment. Mais quoi que ce soit qu’on puisse faire pour notre marine, j'espère que le gouvernement tiendra les foules du pays dans l'état le plus favorable, pour qu’elles agissent efficacement. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
To też nie dziwnego, iż p. Sikora miał grant
podatny, chcąc pozyskać Cziżeka dla jakiegeś stowa
rzyszenia, mającego — wedle jego zapewaień — pię:
hne, wzniosłe i szlachetne cele na obu. Rozmowy
płomienne na temat przeszłości i przyszł ści, miłości
i pracy dla kraju i ludu, ten statut, pełen pięknych
myśli ł idealnych zamiarów, — te romantyczne i
pełne tajemniczości warty na poln pod płaszczem
nocy, ten rzekomy reprezentant rządu naredowego za:
maskowany, to wszystko razem, przy nieodpornoścł
charaktern Cziżeka, przy jego wredzonej wrażliwcści
ł sentymentalności, rozbudziłe i rozmarzyło tę młode
ciana duszę, pobudziło fantazję, rozdmuchało te wszyst
kie święte egnie, co drzemią na dnie serca każdego
młodego, zanim życie, walka o byt, zawedy, rozcza
rowanie, i saga, wstrętna rzeczywistość cgrabią zezce
i duszę naszą z tej wiary i z tych zapsłów. To też
Cziżek z wisrą nietylko w istnienie, ale i w święteść
sprawy, przystąpił do stowarzyszenia ł złożył w ręce
Sikory żądaną przysięgę, w której między innemi
przysięgał bezwzględne posłuszeństwo |] rzełożonym,
dochowanie tajemnicy, gotowość na wszelkie cfiary |
od niego wymagane, jak i na to, że organizacji ni
gdy nie opaści, chyba za zgodą wyższej tajemniczej
władzy.
W dwa lata potem, t. j. r. 1900, mając lat 19
ł ukończywszy seminarjum nauczycielskie w Tarnowie,
dostaje Józef Cziżek posadę nauczyciela w C.ęcinie.
Idzie chętnie na to stanowisko tak ważne, jak cięż
kie, bo wymagające wielkiego zaparcia się, ale daje
mu ono możność pracy nad ludem i dla ludu, moż
ność niesienia eświaty ł cywilizacji, poczucia obywa
telskcścł wśród tej młodszej braci.
Aż dnia jednego dostaje list ed przełożonego p.
Sikory, by przyjechał do Tarnowa na dzień.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Machines Corliss Ce savant constructeur est arrivé à produire, avec économie et sûreté, la détente excessive de la vapeur, et ce, en obtenant une fermeture brusque des orifices d’admission de la vapeur, au moment même où l’on veut commencer à faire agir la détente. Cette fermeture est obtenue au moyen d’un système de déclic et d’un ressort métallique. Cette machine (fig. 622) est ainsi composée : Un cylindre X, dans lequel se meut le piston. La vapeur arrivant de la chaudière en T, passe au travers d’un robinet-valve. Une manette commande le registre de cette valve, et permet de régler l’arrivée de la vapeur. La vapeur se répand alors dans une boîte (b), d’où des robinets la font passer dans le cylindre, pour la faire travailler sur chacune des faces du piston. La vapeur, après s’être détendue, sort du cylindre par les robinets et se rend au condenseur, qui est placé au-dessous du cylindre, dans le sol. A chaque extrémité du cylindre se tiennent donc deux orifices pour l’admission, à la partie supérieure, et deux autres pour l’échappement, à la partie inférieure. Les robinets d’admission de vapeur V sont manœuvrés par déclic. Chacun d'eux, au lieu de recevoir, comme les distributeurs d’échappement Q, le mouvement continu de la part de l’arbre de couche P, est constamment à l’action du ressort en acier H. Ce dernier tend à pousser constamment le pli à sa position de fermeture complète. Il n’est écarté de cette position, pour ainsi dire normale, que lorsque certaines pièces, que nous indiquerons plus loin, commandées par l'arbre découché, rencontrent, dans leur course, d’autres pièces, plus loin décrites, reliées au distributeur, et les gainent avec elles. Cette rencontre a lieu au commencement de chaque phase d’admission. La transmission du mouvement du piston à l'arbre moteur se fait comme dans toutes les machines horizontales : Le piston porte une tige qu'actionne une bielle (b), laquelle fait tourner une manivelle calée sur l’arbre P. Cet axe biële porte un excentrique (a), qui imprime un mouvement d’oscillation à la plateau A. C’est ce plateau qui commande la distribution de vapeur. Il est directement, par des bielles, aux robinets d’échappement Q, et, par l'intermédiaire du ressort H et du sabre E, aux robinets d'admission V. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
The parade was headed by 11. Ja Mar
Uranium, the Swedish Socialist leader;
Pifth Trovigny, head of the Socialist
I in national Bureau, and Vaniillo
Haysmans, secretary of the international
Bureau. The procession passed
along Main streets, the enormous
rowd, including the "Marsellaise" and
the "Internationals" A mass meeting
way held outside the city, where the
handling Socialists made speeches, stating
the demand of the working classes.
At sunset, thousands of workmen returned to the city, but no riots occurred. The good order maintained is
credited to M. Branting, who promised
the authorities that no disturbances
would occur. M. Branting, commenting
on the demonstration, said:
"This May day will never be forgotten, for the overwhelming number
of demonstrators indicated the peaceful
settlement of the Swedish working classes,
and is a strong justification of their
demands."
At the Stockholm mass-meeting, in
which many persons participated, a
resolution was adopted declaring that
the "Internationals" had been resuscitated,
and that a durable peace was assured.
The resolution concluded with
an endorsement of an eight-hour day,
revision of the "institution and peace" On Socialist terms.
JIM. II I'lllVKS < \ t SK
OK ill I II IMSSATISKACTION
By Associated Press.
London, May A British is -
patch says that the usual May Pay
detonist rates were held all over Norway, and full no reports of disorder
have been received. Two Norwegian
newspapers report that much dissatisfaction was expressed everywhere in
occasional of the high prices of the
newspapers. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
pétalode, e adj. 'du gr. pétalodes. en forme de pétale. Se dit des fleurs doubles dans lesquelles certains organes se trouvent transformés en pétales.
pétalodie, n. f. 'de pétalode;'. Transformation des étamines en pétales.
pétalodie, adj. de pétale, et du gr. eidos, aspect.. Qui ressemble aux pétales par son aspect, sa couleur. Se dit surtout du périanthe, du calice, des sépales, etc.
pétarade, n. f. Suite de pets que font certains animaux en riant : cheval qui fait des pétarades. Suite de détonations : la pétarade d'un houquet de feu d'artifice.
pétarader, v. n. Produire une pétarade.
pétarasse, n. f. Sorte de hache avec laquelle les calfatiers enfoncent l'étoupe dans les contrôles du navire.
Lu Pesle à Marseille, tableau de Truquet.
pétard, n. m. (de péter). Engin de guerre portatif, destiné à détruire un obstacle par son explosion. Petite pièce d'artifice qui éclate avec bruit : l'emploi des pétards sur les voies ferrées complète les signaux optiques. Fam. Nouvelle sensationnelle; scandale : journal qui lance un pétard. Pop. Derrière : tomber sur son pétard. Lire : faire du pétard. Sous : n'avoir plus un pétard.
pétardement, n. m. Action de pétarder.
pétarder, v. a. Faire sauter avec un pétard.
pétardier, n. m. Celan abattre les murailles des villes.
un qui fabrique des pétards ou qui les fait partir.
péta Sole, n. m. (gr. petasos;. Sorte de coiffure arrondie des anciens, portée par les épaves, les cavaliers et les voyageurs : le pétasos, chapeau de Mercure. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Ser. Acia esta parte
á tiento quiero ponerme,
ya que este obscuro Teatro
de la vida , y de la muerte,
hasta que llegue , me dán
mi* delitos por alvergue.
Ecbfi-
\v
De fres
Echase a un lado mas alto , que todos.
Aquí he encontrado un arrimo,
en que á mi cansancio pueden
poner treguas mis cuidados, ^
si uú triste con ellos duerme.
Lo que pasó con mi padre,
que ha sido sueño parece,
sueño fué , y dormido pudo
el Veguér preso trahcrme :
que sin duda lo que tuve
por verdad , fueron especies,
que durmiendo trabe ei alma
la imaginativa siempre,
pues taa prodigioso caso,
no ha podido sucederme
menos que dormido.
Alear, O chinche
t del mismo Demonio t vienes
en trage de sabandija,
y sacabocados eres ?
Ser, Esta es voz de Alcaraván,
y lenguage juntamente ;
tamüien corrió mi fortuna
sin duda. Estud. Qué manda? fuese.
Mon, Q ué es eso, señor Licenciado?
Estad. Cierto gazapo de á geme,
que a coa’ferycion conmigo
se venía , y d^pejéle.
Vejet. Ya comienzan á ser largas
las noches notablemente. *
Ernbust. Fiestas son del bacalao.
rejet. No dotaremos de aceyte
uná lamparilla aqui ?
Estud, Si , que este obscuro retrete,
ya que no parezca al Limbo,
es solar del Miserere.
^ lodo es uno para mi.
Embust, Mire, como se revuelve
señor vecino , que están
ms ««rice* aquí. Alear. Echas,
de esotro lado , q ue son
ae Chinchón estas Paredes:
no se dé por entendido.
Ser. Alcaraván es aqueste.
me'llS r-T‘ CÍ t' ***• Q-en
B,, , , Cu S°- El Ciego,
y qué quieres ?
,£*• 9 U * P ues •* tan gran Poeta,
«nas coplas m escrihiM»
Ingenios.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |