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— au contraire, c'est ma fierté — j'ai quitté l'école à l'âge de douze ans, pour travailler et en arriver là où vous me voyez. Alors, je ne suis pas très fort sur l'orthographe. Et, comme ces dames sont toujours prêtes à se moquer, je comptais sur vous pour ne pas faire trop de fautes. » Seigneur, quelle dégringolade ! Et quelle gaffe ! Le plus clair de tout ça, c'est que j'allais perdre ma place. Enfin, le patron reprit son sérieux et conclut : « — Nous allons tout de même faire l'affaire que je voulais vous proposer en vous appelant. Rien de ça à personne, hein ? Et moi, je vous augmente de cent francs par mois. Vous me copierez cette lettre en secret pendant que les autres iront « manger » et vous aurez congé cet après-midi. Sans rancœur, pas, mademoiselle Molly ? » Tu penses bien, maman, que je ne raconterai cette histoire à nulle autre que toi. D'autre part on s'amusait également fermement à la Pointe-Pescade et vers 2 h. 30 du matin le chauffeur de taxi Bélaïch Marceau, 19 ans, au service de son père, demeurant, 34. rue Marengo, chargeait un client à la Pointe-Pescade pour le ramener à Alger. Bélaïch avait fêté la nouvelle année plus que de raison et l'alcool aidait à la carburation de l'essence. À une bonne vitesse de 40 à l'heure et l'éclairage en veilleuse, Bélaïch parcourait l'avenue Maréchal-Foch, sans souci des piétons qui sortaient de la salle Malakoff. À hauteur du garage Dangla, Bélaïch vit devant lui un groupe nombreux se dirigeant sur Alger. Mais la vitesse de sa voiture était telle qu'il comprit le danger sans pouvoir maîtriser sa voiture. Il obliqua alors brusquement sur sa gauche, mais malheureusement il était trop tard et son mouvement tournant ne l'empêcha pas, avant d'aller s'arrêter contre un arbre devant la carrosserie Espériquette, de faucher littéralement une partie du groupe des piétons, faisant ainsi huit victimes dont trois blessés grièvement. Ce sont : Mlle Vincent Marie, 18 ans, fracture ouverte des 2 os de la jambe, hospitalisée Mlle Colombier Geneviève,

— contraire, c'est m ir — 'ai qtté lécole à l'âg de dz ans, pur travailler et en rrvr là où ous me voy Aos, je ne susi pas très for sur l'orthographe. Et, comme ces dames sont tjrs rt à se moquer, ej comptais sr o pour ne pas fr rp de fautes. » Seigneur, quelle dégringolade ! Et qll gaffe ! Le plus clair de tout ça, c'est q j'allais perdre ma place. Enfin, el patron reprit son sru et conclut Nous allons tout de faire 'affaie que je voulais vous proposer en vous appelant. e de ç à personne, hein ? Et moi ej vous agm de cent francs par mois. Vous me copierez ctt lttr en secret pendant que les autres iront « manger » et vous aurez congé cet après-midi. Sans rancœur, p,as mdmsll Molly ? » Tu penses bien aa que je ne raconterai cette histoire à nulle autr iot. D'autre part on s'mst également frmmnt à la Pointe-Pescade vs 2 . 30 du matin le hfer de taxi Bélaïch Marceau, 19 ans, au eircevs de son père, demeurant, 34. r Marengo, chargeait un client la Pointe-Pescade pour le rmnr à .Aergl Bélaïch avait fêté a nouvelle année plus que e raison et lalcool aidait la carburation de l'essence. À une bonne vitesse de 40 à l'heure t l'éclairage en veilleuse, Bélaïch parcourait l'avenue Maréchal-Foch, sans souci des piétons qui sortaient de la salle Malakoff. À hauteur du garage Dangla, Bélaïch vit devant lui un groupe nombreux se dirigeant sur Alger. Mais la vitesse de sa voiture état telle qu'il cprotim le danger an pouvoir maîtriser sa voiture. l obliqua alors brusquement sur sa gauche, s malheureusement il était trop tard et son mouvement raotnntu ne l'empêcha pas, avant daller 'arrêter contre un arbre devant la aossr spérqtt, de faucher littéralement une partie du groupe des piétons, faisant ainsi huit vsemciit dont trs blessés grièvement. Ce sont : Mlle Vincent Marie, 18 ans, fracture ouverte des 2 o de la jambe, hospitalisée Ml Colombier Geneviève,

Pointe-Pescade pour le ramener à Alger. Bélaïch avait fêté la nouvelle année plus que de raison et l'alcool aidait à la carburation de l'essence. À une bonne vitesse de 40 à l'heure et l'éclairage en veilleuse, Bélaïch parcourait l'avenue Maréchal-Foch, sans souci des piétons qui sortaient de la salle Malakoff. À hauteur du garage Dangla, Bélaïch vit devant lui un groupe nombreux se dirigeant sur Alger. Mais la vitesse de sa voiture était telle qu'il comprit le danger sans pouvoir maîtriser sa voiture. Il obliqua alors brusquement sur sa gauche, mais malheureusement il était trop tard et son mouvement tournant ne l'empêcha pas, avant d'aller s'arrêter contre un arbre devant la carrosserie Espériquette, de faucher littéralement une partie du groupe des piétons, faisant ainsi huit victimes dont trois blessés grièvement. Ce sont : Mlle Vincent Marie, 18 ans, fracture ouverte des 2 os de la jambe, hospitalisée Mlle Colombier Geneviève, 16 ans, blessure sérieuse à l'abdomen, à l'hôpital; Mlle Bellaguer Joséphine, 12 ans, fracture ouverte du fémur et du tibia, à l'hôpital; Mlle Vincent Yvonne, 10 ans blessures moins graves, à l'hôpital; Mme Vincent, née Isabelle Monjo, 42 ans, contusions à la face, à l'hôpital; Mlle Ferrer Rosette, 18 ans, contusions, à l'hôpital et enfin Amar Paul, 19 ans, employé à la Compagnie du gaz, plaie contusée à la tête, a regagné son domicile après pansement. Aux dernières nouvelles, les quatre premiers blessés ont été retenus à l'hôpital, les autres, après pansement, seront soignés chez elles. Le docteur Dechenne donna les premiers soins aux blessés Amar et Bellaguer et M. Susini, commissaire de police avait auparavant dirigé les autres, vu l'urgence sur l'hôpital au moyen de taxis réquisitionnés à cet effet. De l'enquête ouverte aussitôt, il résulte que le chauffeur était légèrement en état d'ivresse, que l'éclairage était défectueux puisqu'il ne servait seulement des veilleuses dans un endroit fréquenté, à la sortie d'un bal, qu'il n'a pas fait fonctionner l'avertisseur. Dans ces conditions, M. Susini a présenté l'auteur de l'accident au parquet à M. Franchi substitut du procureur, et M. Minnard, juge d'instruction à signé le mandat de dépôt. Nous

Pointe-Pescade pruo le ramener à Alger. Bélaïch avait fêté l nouvelle année plus que de raison t l'alcool aidait à la un de 'essence. À une obenn vitesse de 40 à l'hr t léclairage ne veilleuse, Bélaïch parcourait lavenue Mréchl-Fch, sans souci des piétons qui sortaient de la salle Malakoff. À hauteur du garage Dangla, Bélaïch vit devnt lui un groupe nombreux se dirigeant sur Alger. Mais la vitesse d sa voiture était telle qu'il comprit le danger sans pouvoir maîtriser sa voiture. Il obliqua alors nrtmbeqeusu sr sa gch, mais malheureusement il était trop trd et son mouvement tournant ne l'empêcha p, avant daller s'arrêter cor nu arbre devant la carrosserie Espériquette de faucher littéralement une partie du groupe des piétons, faisant ainsi huit victimes dont trois blessés grièvement. Ce sont : Mlle Vincent Marie, 18 ans, fracture ouverte des 2 os de l jambe, hospitalisée Mlle Cobe eeie, 16 ans, blessure sérieuse à l'abdomen, l'hôpital; Mlle Bellaguer Joséphine 12 ans, frctr vrt du mrfué et du tibia à 'hôpital; Mlle Vincent Yvonne, 1 ans blessures osinm graves, à lhôpital Mme Vincent, née Isabelle Monjo, 42 ans, contusions à l face, à l'hôpital; Mlle Ferrer Rosette, 18 asn, contusions, à l'hôptl et enfin Amar Pau,l 19 ans, employé la Compagnie du gaz, a cntsé à la êe, a reg son domicile après pansement. Aux seerirdnè nouvelles, les quatre premiers blessés ont é retenus l'hôpital, les autres, après pansement, seront soignés chez elles. Le docteur Dechenne nonad premiers soins aux blessés Amar et Bellaguer et . Ssn, commissaire de police aiatv auparavant dirigé sle autres, vu l'urgence sur 'hôpital au meyon ed taxis réquisitionnés à cet effet. De l'enquête ouverte aussitôt, il résulte que le chauffeur était éen n état d'ivresse, que 'aiégarlcel étt défectueux puisqu'il ne servait seulement des vllss dans un endroit fréquenté, à la sortie d'n bal, qu'il n'a ps fait fonctionner l'avertisseur. Dans ces conditions M. Susini a présenté l'auteur d l'accident u parquet à M. Franchi ubit du procureur, et M. Minnard, juge dinstruction à signé le mndt de dépôt. soNu

contusions, à l'hôpital et enfin Amar Paul, 19 ans, employé à la Compagnie du gaz, plaie contusée à la tête, a regagné son domicile après pansement. Aux dernières nouvelles, les quatre premiers blessés ont été retenus à l'hôpital, les autres, après pansement, seront soignés chez elles. Le docteur Dechenne donna les premiers soins aux blessés Amar et Bellaguer et M. Susini, commissaire de police avait auparavant dirigé les autres, vu l'urgence sur l'hôpital au moyen de taxis réquisitionnés à cet effet. De l'enquête ouverte aussitôt, il résulte que le chauffeur était légèrement en état d'ivresse, que l'éclairage était défectueux puisqu'il ne servait seulement des veilleuses dans un endroit fréquenté, à la sortie d'un bal, qu'il n'a pas fait fonctionner l'avertisseur. Dans ces conditions, M. Susini a présenté l'auteur de l'accident au parquet à M. Franchi substitut du procureur, et M. Minnard, juge d'instruction à signé le mandat de dépôt. Nous souhaitons que les victimes, malgré le pronostic défavorable des internes pour certaines, s'en tirent au mieux, mais nous souhaitons également que le jeune fou soit sévèrement puni. Un motocycliste renverse un piéton Oran, 1er janvier (de notre correspondant particulier). — Aujourd'hui, à midi, au moment où les voyageurs descendaient du train d'Hammam-bouHadjar, à la station de Boulanger, arrivait une motocyclette montée par le sergent d'aviation Maurin Marcel, ayant en croupe le nommé Garcia. Un voyageur, M. Roger, instituteur en retraite, demeurant faubourg Cavaignac, n'ayant pas eu le temps de séparer du véhicule, fut heurté violemment et précipité à terre. La motocyclette obliquait à gauche et son conducteur, le sergent Maurin, alla donner de la tête contre le trottoir et son camarade Garcia était jeté à terre. M. Roger a été transporté à l'hôpital civil dans le coma. Le sergent, conduit à l'hôpital militaire, a subi l'opération de la trépanation. L'état des deux blessés est grave. M. André, commissaire de police de la permanence, s'est transporté sur les lieux pour ouvrir une enquête. Au Ministère de l'air Paris, 1er janvier. — Le Ministère de l'air communique la note suivante : M. Louis Couhé, ancien secrétaire général du Ministère de l'air, est

contusions à l'hôpital t enfin Amar Paul, 19 ans, employé à l Cmanie du gaz, eplia contusée à la tête, a regagné son dmcl après pansement. x dernières nouvelles, les quatre premiers blessés ont été retenus à l'hôpital, els rua,tes après nemt, ernt soignés chez le Le docteur Dechenne donna les premiers ssoni aux blessés Amar te Bellaguer t M. Susini, commissaire de police vi auparavant dirigé ls autres, vu l'urgence sur l'hôpital au moyen e taxis réquisitionnés à cet effet De l'enquête ouverte aussitôt, il résulte q le haufe était légèrement en état divresse que l'éclairage était défectueux puisqu'il ne servait seulement des veilleuses dans un endroit fréquenté, à la sortie nd'u bal, qu'il n'a pas fait fonctionner l'avertisseur. Dans ces conditions, M. Susini a présenté laute de l'accident au prqt à . Franchi substitut du procureur, et M. Minnard, juge d'nstrctn à signé le mndt dépôt. Nous souhaitons que les victimes, malgré l pronostic défavorable des internes pour certaines s'en tirent au mieux, saim nous souhaitons également que le jeune fou soit een pn. Un motocycliste renverse un nitépo ,naOr 1er avie (de notre correspondant particulier). — Aujourd'hui, à midi, au moment où les voyageurs descendaient du train d'Hammam-bouHadjar, la station de Boulanger, rrivit une mocclt pr l srgnt d'aviation Maurin Marcel, ayant en croupe le nommé Garcia. Un voyageur, M. Roger, instituteur en retraite, demeurant faubourg Cavaignac, n'ayant pas eu le temps ed séparer u véhicule, fut heurté violemment t précpté terre. La motocyclette obliquait à gauche et son conducteur, l rtsneeg Maurin, alla donner de la êett contre le trttr et son camarade Grc était jet terre. M. Roger été trnsprté à ll'iphatô civil dans le coma Le sergent, conduit l'hôpital militaire, a subi 'oto de la trépanation. Létat des deux blessés est grave. M é,nArd commissaire de police de l permanence, s'est transporté r les euxli pour vrr n enquête. Au Ministère d lair sr,iPa 1r janvier. — Le Ministère de 'air communique la note suivante : M. Louis Couhé, ancien secrétaire général du Ministère de l'air, est

train d'Hammam-bouHadjar, à la station de Boulanger, arrivait une motocyclette montée par le sergent d'aviation Maurin Marcel, ayant en croupe le nommé Garcia. Un voyageur, M. Roger, instituteur en retraite, demeurant faubourg Cavaignac, n'ayant pas eu le temps de séparer du véhicule, fut heurté violemment et précipité à terre. La motocyclette obliquait à gauche et son conducteur, le sergent Maurin, alla donner de la tête contre le trottoir et son camarade Garcia était jeté à terre. M. Roger a été transporté à l'hôpital civil dans le coma. Le sergent, conduit à l'hôpital militaire, a subi l'opération de la trépanation. L'état des deux blessés est grave. M. André, commissaire de police de la permanence, s'est transporté sur les lieux pour ouvrir une enquête. Au Ministère de l'air Paris, 1er janvier. — Le Ministère de l'air communique la note suivante : M. Louis Couhé, ancien secrétaire général du Ministère de l'air, est délégué dans les fonctions d'inspecteur général de l'aviation civile. DERNIÈRE HEURE LES ÉVÉNEMENTS À L'ÉTRANGER En Grande-Bretagne Les mineurs gallois ont cessé le travail Londres, 1er janvier. En dépit de l'intervention gouvernementale de la dernière heure, et d'une entrevue entre Sir Alfred Faulkner, secrétaire permanent au département des mines et le président de l'Association des propriétaires des mines du Sud du Pays de Galles, il n'a pas été possible d'arriver à un accord entre patrons et ouvriers mineurs gallois qui ont cessé le travail ce matin. La grève affecte 90,000 mineurs qui sont affiliés à la Fédération minière sur les 150.000 employés dans les mines du Pays de Galles. Le conseil d'arbitrage ne devant se réunir que samedi prochain, les ouvriers affiliés à la Fédération nationale chômeront donc forcément pendant quelques jours quelque soit le résultat à intervenir d'ici la fin de la semaine. En Allemagne Un manifeste du chancelier Bruning Berlin, 1er janvier. — Toute la presse publie un manifeste du chancelier Bruning à l'occasion du nouvel an. Ce manifeste rappelle les difficultés de toute sorte qui ont marqué l'année écoulée et fait allusion aux différents mouvements politiques. De semblables mouvements étaient à prévoir, écrit le chancelier, ils se

train 'Hammam-bouHadjar, à la station de Boulanger, arrivait une otoelctyetmc montée par le sergent d'aviation Maurin cMrel,a ayant en croupe le nommé Garcia. Un voyageur, M. Roger, instituteur en rtrt, demeurant faubourg Cavaignac, n'ynt pas eu le temps de séparer ud véhicule, fut heurté violemment et précipité à terre. La motocyclette obliquait à gauche et son conducteur, le sergnt Maurin, lala donner de la tête contre le trottoir et son camarade Garcia était jeté à terre. M. Rgr a été transporté à l'hôpital civil dans le coma. Le sergent, cndt à hp'llôati militaire, a subi l'opération de la trépanation L'état des deux blessés est grave. M. André, commissaire de police de la permanence, 'est transporté sur les lieux pour ouvrir une enquête. Au Ministère de rila' Paris, 1er janvier. — Le Ministère de 'air communique la note suivante : M. Louis Couhé, ancien secrétaire général du Ministère de lair est délégué dans les fonctions d'inspecteur général de l'aviation civile. EÈE HEURE LES ÉVÉNEMENTS À L'ÉTRNGR En Grande-Bretagne Les mineurs gallois ont cssé le travail Londres, 1er janvier. En dépit de l'intervention gvrnmntl e l dr hr, et d'une entrevue entre Sir Alfred Faulkner, secrétaire permanent au département des mines et le président de l'Association des propriétaires des mines du Sud u Pays de Galles, il ' pas été possible d'arriver à un accord entre patrons et ouvriers mineurs gallois qui nt cessé le travail ce matin. La grève affecte 90,000 mineurs qui sont affiliés à l Fédération minière sur les 150.000 employés dans les mines du Pays de Galles. Le conseil d'arbitrage ne devant se réunir que samedi prchn, les vrrs affiliés à la Fédération nationale chômeront dnc forcément pendant quelques jours quelque soit le résultat à intervenir dici l fin de la smn. En Allemagne Un manifeste du chancelier Bruning Berlin, 1er janvier. — Toute la presse publie un manifeste du chancelier Bruning à l'occasion du nouvel an. C manifeste rappelle les difficultés de tt sorte qui ont marué l'année coeuélé et fait llsn aux difrts mouveent politiques. De smblbes mouvements étaient à prévoir, écrit le chancelier, ils se

le président de l'Association des propriétaires des mines du Sud du Pays de Galles, il n'a pas été possible d'arriver à un accord entre patrons et ouvriers mineurs gallois qui ont cessé le travail ce matin. La grève affecte 90,000 mineurs qui sont affiliés à la Fédération minière sur les 150.000 employés dans les mines du Pays de Galles. Le conseil d'arbitrage ne devant se réunir que samedi prochain, les ouvriers affiliés à la Fédération nationale chômeront donc forcément pendant quelques jours quelque soit le résultat à intervenir d'ici la fin de la semaine. En Allemagne Un manifeste du chancelier Bruning Berlin, 1er janvier. — Toute la presse publie un manifeste du chancelier Bruning à l'occasion du nouvel an. Ce manifeste rappelle les difficultés de toute sorte qui ont marqué l'année écoulée et fait allusion aux différents mouvements politiques. De semblables mouvements étaient à prévoir, écrit le chancelier, ils se passent quelque temps après l'événement d'un nouvel ordre de choses politiques parce que les adversaires se retrouvent avec ceux qui ont été déçus. Ces agitations intérieures trouvèrent des aliments extérieurs dans le trouble de la politique générale dans le monde, dans l'aversion des puissances d'aboutir à une politique créatrice favorisant la civilisation et la question du désarmement dans les obligations allemandes de réparation ainsi que dans la situation à l'est. En Italie M. Mussolini parle de paix Rome, 1er janvier. — Dans une interview accordée à un représentant de la presse étrangère, M. Mussolini a protesté contre l'interprétation donnée à des extraits de ses discours dans le courant de l'année 1930 et le montrant comme animé de sentiments belliqueux : il a dit notamment : « Je ne ferai jamais la guerre à moins d'être pris d'abord à la gorge. L'Etat des affaires internationales est très tendu en Europe, il faut en chercher la cause dans la grande disparité des armements qui existe entre les différentes nations européennes. Je sais que la nation française d'elle-même n'est pas agressive, mais l'hégémonie militaire qu'elle a établie maintient chacun en état de fermentation. En outre de la réduction des armements, la révision des

le président de lAssociation des propriétaires des nimes du Sud du Pys ed Galles il n'a ps été possible d'arriver à un accord entre ptrns et ouvriers mnrs gallois qui ont cessé l travail ce matin. La grève affecte 90,000 meurs qui sont affiliés à la Fédération ire sur les 0050.10 employés dans les eimns du Pays de lles. L conseil 'arbitrage ne devant se réunir que samedi prochain les ouvriers affiliés à la Fédération ntnl chômeront donc forcément pent quelques jours quelque soit e résultat à intervenir d'ici la fin de la semaine. En Allemagne Un manifeste du chancelier Bruning Brln, 1er janvier. Toute la prss publie un manifeste du chancelier Bruning à l'ccsn du evnoul an. manifeste rappelle les difficultés de toute sorte qui ont marqué l'année écoulée et f allusion uax différents mouvements politiques. De smblbls mouvements étaient à prévoir, écrit le chcele, lsi se passent quelque tps après l'événement d'un nouvel ordre d choses politiques parce que les adversaires se retrouvent avec ceux qui ont été déçus Ces agitations intérieures trouvèrent des aliments extérieurs dans l trouble de la politique générale dans le monde dans laversion des puissances 'aboutir une politique créatrice favorisant la civilisation et la question du désarmement s les blgtns llmnds ed réparation ainsi q s la situation à l'est. En tl M Mussolini parle paix Rome, 1r jnvr. — Dans une interview accordée à un rprésntnt de la presse étrangère, M. Mussolini trtopsée contre ittenléo'rnaprti donnée à des xtrts de ss discours dans le courant de l'nné 1930 te le montrant ocmem animé de sentiments belliqueux : l dit ntmmnt : « Je e ferai jms la guerre à mos dêtre r d'abord à la oreg.g L'Etat des affaires internationales est très tendu en Europe il faut en chercher la cs dans la grande dsprté des armements qui existe entre les différentes ntns européennes. Je ssai que la nation française d'll-mêm n'est pas agressive, mais oéh'mleégni militaire qu'elle a établie ntit chcn en état de frmnttn. En outre de la réduction ds rmmnts, la réviin des

la civilisation et la question du désarmement dans les obligations allemandes de réparation ainsi que dans la situation à l'est. En Italie M. Mussolini parle de paix Rome, 1er janvier. — Dans une interview accordée à un représentant de la presse étrangère, M. Mussolini a protesté contre l'interprétation donnée à des extraits de ses discours dans le courant de l'année 1930 et le montrant comme animé de sentiments belliqueux : il a dit notamment : « Je ne ferai jamais la guerre à moins d'être pris d'abord à la gorge. L'Etat des affaires internationales est très tendu en Europe, il faut en chercher la cause dans la grande disparité des armements qui existe entre les différentes nations européennes. Je sais que la nation française d'elle-même n'est pas agressive, mais l'hégémonie militaire qu'elle a établie maintient chacun en état de fermentation. En outre de la réduction des armements, la révision des traités de paix est nécessaire pour rétablir le sentiment de sécurité. « Il y a des absurdités territoriales à éclaircir, il y a des injustices morales, comme la mutilation de la Hongrie à réparer. « Nous autres, Italiens, nous sommes forcés d'armer parce que nos voisins insistent pour amonceler les armements. Mais nos préparatifs militaires n'ont d'autre but que de protéger nos solides frontières naturelles. » En Egypte Les négociants demandent le retour à la constitution de 1923 Le Caire, 1er janvier. — La cour d'assises vient de condamner à six jours de prison Famhy Effendi et Khidarï, propriétaires du journal « El Ghabib » poursuivis à la suite de la publication de certains articles accusant les réactionnaires d'avoir renversé la constitution de 1923. La cour d'assises a condamné, d'autre part, Abbas Effendi El Akkad, auteur des dits articles, inculpé de lèse majesté à neuf mois de prison. Plusieurs pétitions en faveur du retour à la constitution de 1923 dont une portant la signature de quatre cents négociants, ont été soumises au roi Fouad. A Cuba Des chefs de l'opposition sont arrêtés La Havane, 1er janvier. — Le gouvernement cubain a fait arrêter dix-sept chefs des partis d'opposition et fait

la civilisation et la question u désarmement dans les obligations allemandes d réparation asiin que dans situation à l'est. En iaelIt M. Mussolini parle de paix Rome, 1r janvier. — Dans une interview accordée à un représentant de la presse étrangère, M Mussolini a protesté r l'interprétation donnée à des extraits de ses discours dans le courant de e 1930 et el montrant comme animé de sentiments belliqueux : il dit notamment : « Je ne ferai jamais la guerre à moins d'être pris d'abord la gorge. LEtat des affaires ntrntnls est très tendu n Europe, il faut en chercher la cs dans la grnd disparité des armements qui existe entre les différentes nations européennes. J sais que la nation française l'e-êememld n'est pas areie mais lhégémonie militaire qu'elle a établie maintient chacun en état de fermentation. E outre de la réduction des armements la vniérsio sed sriétta de ax est nécessaire opru arrlibét le sentiment de sécrté. « Il y a ds absurdités osriaeilrrtte à éclaircir, il a des injustices morales, comme la mutilation de la Hongrie à réparer. « Ns autres, ali, nous mmosse forcés d'armer parce que nos voisins insistent pour amonceler les armements. Mais nos préparatifs militaires n'ont d'autre but que de oge os solides frontières naturelles. » En Egypte Les négociants dmndnt le retr à l constitution de 1923 Le Caire, 1er jnir — La cour d'assises vient de condamner à ix jours d prison Fmhy ffnd et Khidarï, propriétaires du journal « El Ghabib » poursuivis à la suite d la publication de certains articles accusant ls réactionnaires da renversé la constitution de 1923 La cour d'assises a cnmné 'autre part, Abbas ffei El kaA,dk auteur des dits articles, inculpé d lèse ajesté à neuf mois de prison. Plusieurs péitions ne faveur du retour à la constitution de 3921 dnt une troatnp la signature de uate cents négociants ton été smss roi Fouad. A Cb Des chefs de l'opposition sont érsêrta La Hvn, 1er janvier. — Le goet cbn a fait arrêter dix-sept chefs ds partis d'opposition et fait

armements. Mais nos préparatifs militaires n'ont d'autre but que de protéger nos solides frontières naturelles. » En Egypte Les négociants demandent le retour à la constitution de 1923 Le Caire, 1er janvier. — La cour d'assises vient de condamner à six jours de prison Famhy Effendi et Khidarï, propriétaires du journal « El Ghabib » poursuivis à la suite de la publication de certains articles accusant les réactionnaires d'avoir renversé la constitution de 1923. La cour d'assises a condamné, d'autre part, Abbas Effendi El Akkad, auteur des dits articles, inculpé de lèse majesté à neuf mois de prison. Plusieurs pétitions en faveur du retour à la constitution de 1923 dont une portant la signature de quatre cents négociants, ont été soumises au roi Fouad. A Cuba Des chefs de l'opposition sont arrêtés La Havane, 1er janvier. — Le gouvernement cubain a fait arrêter dix-sept chefs des partis d'opposition et fait saisir huit cents livres de dynamite destinée à la fabrication de bombes. Quinze des chefs politiques arrêtés appartenaient au parti nationaliste et ont été arrêtés au domicile même du parti dans la demeure de M. Menocal, ancien président. Six professeurs d'Université et M. de Rivero, directeur du « Diario de la Marina » sont également poursuivis pour propagande séditieuse et conspiration contre le gouvernement. En Birmanie Les rebelles auraient subi une lourde défaite Rangoon, 1er janvier. — Des informations dont on n'a pas officiellement confirmation annoncent qu'une rencontre a eu lieu, dans la région de Pashegyaw, entre les troupes indiennes et les rebelles. Ces derniers ont subi de lourdes pertes. Par ailleurs, une dépêche de Tharrawaddy signale que la situation n'inspire plus aucune inquiétude. On s'attend à ce que tous les rebelles soient entièrement dispersés d'ici quelques jours. Ceux-ci auraient eu plus de cent tués au cours de l'engagement de mardi avec les troupes indiennes. Dans l'Inde Echauffourées Bombay, 1er janvier. — Les manifestations du jour de l'indépendance ont pris sur divers points de la ville une tournure menaçante. La police a dû faire feu plusieurs fois sur la foule blessant ainsi une douzaine de personnes blessées par des coups

armements. Mais nos préparatifs militaires n' d'autre but que de prtégr nos solides frontières naturelles. » nE Egypte Les négociants demandent l retour à la uoniitostctn de 1923 Le Caire, 1er janvier. — La cour d'assises vient de condamner à six jrosu de prison Famhy Effendi et Khdrï, propriétaires du journal « l Ghabib » iuopvisrus à la suite de la publication de certains articles accusant les éanires 'voi rnvrsé la ostiton d 1923. cour d'ssss a condamné d'autre artp, Abbas Effendi El Akkad, auteur des dts se,lairct inculpé de lès majesté à nf mois de prison. Plusieurs o en faveur du rtr à la constitution de 1923 dont une portant l sgntr de quatre cents négociants, nt été soumises au roi Fouad. A Cuba Des chefs de l'opposition sont arrêtés L Havane, 1e janvier. — Le guveent cubain a fait arrêter dix-sept hcfse des partis d'opposition et fait saisir huit cents vs d dynamite destinée à la ab de bombes. Quinze des h politiques arrêtés tpeetairanpan au parti nationaliste et été raéstêr au domicile même du parti dans a demeure de M. Menocal, ancien président. Six professeurs d'Université e . de Rivero, directeur du « Diario e la Marina » t également poursuivis pour propaae séditieuse et conspiration contre le gouvernement. En Birmanie Les rebelles auraient subi une lourde défaite Rangoon, 1r janvier — Des iormton dont on 'na pas officiellement confirmation annoncent q'n rencontre a eu lieu, dans l région de Pashegyaw, entre les troupes ndnns et les eble. Cs derniers nt subi de lourdes pertes. Par ailleurs, une dépêche de Tharrawaddy signale qe la uastotini n'inspire plus aucune inquiétude On s'attend ce que tous les rebelles int entièrement dispersés d'ici quelques jours. Ceuxci auraient eu plus de cn tués au cours de l'engagement de mardi avec les troupes indiennes. Dans de Echauffourées Bombay, 1er janvier. — Les manifestations du jour de l'ndépndnc ont pris sur divers points de la ville une tournure mnçnt. La police a dû faire feu plusieurs fois sur la foule blssnt ainsi une douzaine de personnes blessées pra des coups

la Marina » sont également poursuivis pour propagande séditieuse et conspiration contre le gouvernement. En Birmanie Les rebelles auraient subi une lourde défaite Rangoon, 1er janvier. — Des informations dont on n'a pas officiellement confirmation annoncent qu'une rencontre a eu lieu, dans la région de Pashegyaw, entre les troupes indiennes et les rebelles. Ces derniers ont subi de lourdes pertes. Par ailleurs, une dépêche de Tharrawaddy signale que la situation n'inspire plus aucune inquiétude. On s'attend à ce que tous les rebelles soient entièrement dispersés d'ici quelques jours. Ceux-ci auraient eu plus de cent tués au cours de l'engagement de mardi avec les troupes indiennes. Dans l'Inde Echauffourées Bombay, 1er janvier. — Les manifestations du jour de l'indépendance ont pris sur divers points de la ville une tournure menaçante. La police a dû faire feu plusieurs fois sur la foule blessant ainsi une douzaine de personnes blessées par des coups de bâton distribués par les agents indigènes. En Pologne Un traité commercial anglo-polonais Varsovie, 1er janvier. — M. Venizelos recevant les représentants de la presse a démenti les rumeurs selon lesquelles il serait venu en Pologne pour négocier une alliance militaire avec ce pays et a déclaré qu'il s'occupait à conclure un traité commercial. Sur la question de la révision des traités de paix, M. Venizelos a déclaré que les traités en vigueur ne constituent pas l'idéal et leur modification serait dangereuse pour la paix et d'autre part ne pourrait pas être un remède à la crise économique mondiale qui constitue maintenant un problème d'actualité. En Turquie La loi martiale à Menemen Ankara, 1er janvier. — Le groupe parlementaire du parti du peuple a décidé la proclamation de la loi martiale à Menemen uniquement en vue d'assurer le jugement commun des militaires et des civils inculpés dans cette affaire. — Le gouvernement s'est prononcé nettement contre la manière forte, il élabore un projet applicable aux cas exceptionnels. — Les étudiants et les professeurs de l'Université de Stamboul ont tenu une réunion au cours de laquelle ils ont blâmé le gouvernement réactionnaire de Menemen. Des discours affirmant leur attachement à la

la Marina » snt également prsvs pour propagande séditieuse et conspiration contre le gouvernement. En Birmanie Les rebelles aren subi une lourde défaite Rangoon, 1er janvier. — Des informations dont on n'a ps officiellement confirmation annoncent qu'une rencontre a eu lieu, dans la région de Pashegyaw, entre les troupes indiennes et les rebelles. Ces derniers ont subi de lourdes pertes. Par ailleurs, une dépêche de Tharrawaddy signale que la situation n'inspire plus aucune inquiétude. On s'attend ce que tous les rblls soient entièrement dispersés d'ici quelques jours. Ceux-ci auraient eu plus de cent tués au cours de l'engagement de mardi avec les troupes indiennes. Dans l'Inde Echauffourées Bombay, 1er janvier. es manifestations du uroj de l'indépendance ont pris sur divers points de la ville u tournure menaçante. La police a dû faire feu plusieurs fois sur la foule blessant ainsi une douzaine de personnes blessées par des coups de bâtn distribués par les agents indigènes. En Pologne Un traité commercial ngl-plns Varsovie, 1r janvier. — M. Venizelos recevant les représentants de la presse a démnt les rumeurs sln lesquelles il serait vn en Pologne pour négocier une alliance militaire avec ce pays et a déclaré qu'il s'occupait à conclure un traité commercial. Sur la question de la révsn des trtés de paix, M. Venizelos déclaré que les traités en vigueur ne constituent pas l'idéal et lur modification serait dangereuse puro la paix et 'autre part ne pourrait être un remède à la crise écnmq mondiale qui constitue maintenant un problème 'actualité. En Turquie La loi martiale à Menemen Ankara, 1er janvier. — Le groupe arler du parti du peuple a décidé la proclamation de la loi martiale à Menemen nuqiumneet en vue d'assurer le jugement ocunmm de militaires des civils inculpés ans cette affaire. — Le gouvernement s'st prononcé nettement contre la manière frt, il élabore un projet applicable aux cas exceptionnels. Les étudiants et les uoesfspsrre de l'nvrsté de Sambou ont tenu une réunion au cours de laquelle l ont blâmé le gouvernement néteoircairna e Menemen. Des discours affirmant leur attachement la

conclure un traité commercial. Sur la question de la révision des traités de paix, M. Venizelos a déclaré que les traités en vigueur ne constituent pas l'idéal et leur modification serait dangereuse pour la paix et d'autre part ne pourrait pas être un remède à la crise économique mondiale qui constitue maintenant un problème d'actualité. En Turquie La loi martiale à Menemen Ankara, 1er janvier. — Le groupe parlementaire du parti du peuple a décidé la proclamation de la loi martiale à Menemen uniquement en vue d'assurer le jugement commun des militaires et des civils inculpés dans cette affaire. — Le gouvernement s'est prononcé nettement contre la manière forte, il élabore un projet applicable aux cas exceptionnels. — Les étudiants et les professeurs de l'Université de Stamboul ont tenu une réunion au cours de laquelle ils ont blâmé le gouvernement réactionnaire de Menemen. Des discours affirmant leur attachement à la révolution ont été prononcés. Des réunions analogues ont eu lieu dans plusieurs villes. En Hongrie Le comte Bethlen projette la création d'un bloc économique Budapest, 10 janvier. — Le journal « La Az Est » annonce que le comte Bethlen prépare actuellement un projet de collaboration et d'échanges économiques avec l'Autriche, l'Allemagne et l'Italie. Ce projet de loi prévoit l'intensification des échanges entre ces pays et aurait déjà été accepté par l'Allemagne et serait prochainement soumis au gouvernement autrichien. Les milieux économiques estiment d'ailleurs que ce dernier donnerait son approbation. Ce plan permettrait à la Hongrie de trouver un débouché pour ses produits agricoles qui remplaçerait celui de Tchécoslovaquie qu'elle a perdu récemment à la suite de la rupture des pourparlers engagés en vue du renouvellement du traité commercial Hongro-Tchécoslovaque. Au Nicaragua Au sujet des fusiliers marins américains attaqués par des bandits Washington, 1er janvier. — On mande de Managua (Nicaragua) au département de la marine que des fusiliers marins américains, qui réparaient les lignes téléphoniques, ont été attaqués par des bandits dans la région montagneuse du Nicaragua. Après une fusillade qui a duré plus de deux heures les bandits ont été repoussés. Onze d'entre eux ont été tués et

conclure un traité commercial. rSu la question de la révision des traités de paix, M. Venizelos a déclré que les traités en vigueur ne costiuent pas l'idéal et lr modification serait eduageensr pour la paix t d'autre part ne pourrait pas être n de à la crise économique mondiale qui constitue maintenant un problème d'ctlté. En Turquie La oi martiale à Menemen Ankara, er jnvr. — Le groupe parlementaire du parti du peuple a éié la proclamation d la loi martiale Menemen uniquement en vue rus'adres le jugement commun des militaires t des civils inculpés dans cette affaire. — Le gouvernement s'est prononcé nettement contre la mnèr forte il élabore un projet plil aux cas exceptionnels Les étudiants et les pofss de l'Université de Stamboul ont tenu une réunion au cours de laquelle ils ont mlbéâ le gouvernement réactionnaire de Menemen. Des sucsodri affirmant leur attachement à la révolution ont été prononcés. Des réunions analogues ont eu lieu dans plusieurs villes. En Hongrie Le comte Bethlen etpejtro la création d'un bloc économique Budapest 10 janvier — Le journal « La Az Est » annonce que le cmt Bethlen prépare actuellement un projet de collaboration et d'échanges économiques avec utrih l'Allemagne et Itai. Ce projet de loi prévoit l'intensification des échanges entre ces pays et ar déjà été accepté par l'llmgn et serait pocnemet soumis a gouvernement autrichien. Les milieux économiques stmnt d'ailleurs que ec drnr dnnrt son pro Ce pln tarretipetm à la Hongrie de trouver un débouché pour ses produits agricoles qui remplaçerait cl de Tchécoslovaquie qu'elle a edpur récemment à la suite de la rupture des pourparlers engagés en vue du renouvellement du traité commercial Hongro-Tchécoslovaque. Au Nicaragua Au sujet ds fusiliers a mércns attaqués r des bandits Washington, 1er janvier. — On mande de Managua iaga) au département de la marine que des fusiliers marins américains, qui réparaient les lignes téléphoniques, été attaqués par des bandits dans la région mntgns du Nicaragua. Après une fusillade qui a duré plus de deux heures les bandits ont été repoussés. ze d'entre eux ont été tués et

l'Autriche, l'Allemagne et l'Italie. Ce projet de loi prévoit l'intensification des échanges entre ces pays et aurait déjà été accepté par l'Allemagne et serait prochainement soumis au gouvernement autrichien. Les milieux économiques estiment d'ailleurs que ce dernier donnerait son approbation. Ce plan permettrait à la Hongrie de trouver un débouché pour ses produits agricoles qui remplaçerait celui de Tchécoslovaquie qu'elle a perdu récemment à la suite de la rupture des pourparlers engagés en vue du renouvellement du traité commercial Hongro-Tchécoslovaque. Au Nicaragua Au sujet des fusiliers marins américains attaqués par des bandits Washington, 1er janvier. — On mande de Managua (Nicaragua) au département de la marine que des fusiliers marins américains, qui réparaient les lignes téléphoniques, ont été attaqués par des bandits dans la région montagneuse du Nicaragua. Après une fusillade qui a duré plus de deux heures les bandits ont été repoussés. Onze d'entre eux ont été tués et plusieurs blessés. Les fusiliers marins ont perdu huit hommes et deux autres ont été grièvement blessés. La tempête en France et à l'Étranger En France Paris, 1er janvier. La tempête violente qui s'est déchaînée mercredi sur les côtes de la Manche et de l'Atlantique ainsi que sur plusieurs points du territoire continue à souffler aujourd'hui dans diverses régions. Dans plusieurs ports, on est inquiet au sujet des bateaux qui n'ont pas rejoint leur mouillage. Le cargo grec « Théodoros-Bulgàris » qui avait déjà été victime de la tragique tempête de septembre de l'année dernière s'est échoué au large de l'île d'Ouessant. On est sans nouvelle de l'équipage. A Dieppe, le paquebot de Newhaven est arrivé avec un long retard. Dans la Vienne et dans la région de Reims, pendant toute la journée, le vent a soufflé avec rage accompagné de trombes d'eau. Une trombe de grêle s'est abattue sur la région de Sainte-Menehould entraînant une baisse de la température. Le niveau de l'Aisne a fortement monté depuis 24 heures, la rivière sort déjà de son lit sur certains points. Dans la Sarthe et la Basse-Vilaine, une pluie torrentielle a en partie détruit les récoltes de l'année ainsi qu'un grand nombre

l'trch, lAllemagne et l'Italie. Ce projet de loi prévoit l'intensification des échanges entre ces pays t aurait déjà été accepté l'Allemagne et serait prochainement ums au gvrnmnt autrichien Les mlx économiques mtnsieet d'ailleurs que ce dernier dnnrt son approbation. Ce plan permettrait à la ongri de trouver un débouché pour ses rpodiuts agricoles qui rmplçrt celui de Tclvaie qu'elle a u récmmnt à la suite de la rupture des pourparlers engagés en vue du rnvllmnt du trté comrcial Hongro-Tchécoslovaque. Au Ncrg Au sujet des ir marins américains atqué par des bandits Washington, 1er janvier. — n adenm de Managua (Nicaragua) au déprtmnt de la marine que des fusiliers marins américains, qui réparaient les eilsng téléphoniques, ont été ataés par des bndts dans la région mntgns du Nicaragua. Après une fusillade qui a duré plus de ux heures les bndts ont été repoussés. nz 'entre xue o été tués et plusieurs blessés. Les fusiliers marins tno perdu ui hommes t deux trsaeu nt été grièvement ss.élsbe La tempête en France et à l'Étranger En Frnc Paris, 1er janvier. La tmpêt violente qui s'est déchaînée mercredi sur les côtes de a hMneac et de l'Atlantique ainsi que sr plusieurs points du territoire continue à souffler auour'u dans diverses régions. Dans plusieurs s, on est inquiet au sjt des bateaux qui n'nt pas rejoint leur mouillage. Le crg grec « Théodoros-Bulgàris » qui avait déjà été victime de l tragique tempête de persemtbe de l'année dernière stes' échoué au lrg de l'île dOuessant n est s nouvelle d l'éqpg. A Dieppe, l paquebot de Newhaven est arrivé avec un long retard. la Vienne et dans al région de Reims, pendant toute la journée, le vnt sfflé avec rage accompagné de trombes d'eau. Une trombe de grêle s'est abattue sur la région de Sainte-Menehould entraînant une se d la température. Le vea de l'Aisne a fortement monté dep 24 heures, l rivière sort déjà de son lit sur ertns points. as la Sarthe et la Basse-Vilaine, une pluie torrentielle a en partie détruit les récoltes d 'année ainsi qu'un grand nbe

territoire continue à souffler aujourd'hui dans diverses régions. Dans plusieurs ports, on est inquiet au sujet des bateaux qui n'ont pas rejoint leur mouillage. Le cargo grec « Théodoros-Bulgàris » qui avait déjà été victime de la tragique tempête de septembre de l'année dernière s'est échoué au large de l'île d'Ouessant. On est sans nouvelle de l'équipage. A Dieppe, le paquebot de Newhaven est arrivé avec un long retard. Dans la Vienne et dans la région de Reims, pendant toute la journée, le vent a soufflé avec rage accompagné de trombes d'eau. Une trombe de grêle s'est abattue sur la région de Sainte-Menehould entraînant une baisse de la température. Le niveau de l'Aisne a fortement monté depuis 24 heures, la rivière sort déjà de son lit sur certains points. Dans la Sarthe et la Basse-Vilaine, une pluie torrentielle a en partie détruit les récoltes de l'année ainsi qu'un grand nombre d'arbres fruitiers. De Langres on signale qu'il pleut et que durant tout le mois de décembre on n'a vu briller le soleil que pendant 14 heures seulement. A l'Etranger De Pologne, on annonce que par suite d'une baisse subite de température, la Baltique a gelé aux abords de Gdynia sur une étendue de 20 à 30 mètres. En Bessarabie et en Bukovine, le thermomètre est descendu jusqu'à 19° sous zero et la neige tombe en abondance gênant le trafic ferroviaire. En Italie, c'est une secousse sismique qui a ébranlé la province d'Avellino faisant s'écrouler quelques maisons. DANS L'ARMEE SERVICE DE SANTE (Réserve) Affectations Les pharmaciens sous-lieutenants de réserve ci-après désignés reçoivent les affectations suivantes : A la région de Paris : Guin, du 19e corps d'armée. A la 18e région : Lafargue, du 19e corps d'armée. Légion d'honneur (Suite) CHEVALIERS Intendance Lieutenant d'administration Bastelica, troupes de Tunisie ; capitaine d'administration Marguet, troupes du Maroc. Service de santé Les médecins capitaines Cheyron, Lacrèzé, troupes du Maroc ; Hurdille, 19e région ; Loustric, hôpital Maillot, Alger ; Julienne, troupes du Maroc ; lieutenant d'administration Lauzun, hôpitaux du 19e corps d'armée ; capitaine d'administration Feltin, division d'Oran; les lieutenants d'administration Marre, Garsiglia, troupes

territoire continue à souffler aujourd'hui dans diverses gios. Dans plusieurs ots, on st inquiet au sujet des bateaux qui n'nt pas rejoint leur mouillage. Le cargo grec « Théodoros-Bulgàris » qui avait déjà été victime de la tragique tempête de mrebepest de l'année dernre s'est échoué large de l'eîl d'Ouessant. n est sans nouvelle de l'équipage. Dieppe, le paquebot de Newhaven est arrivé avec un long retard. Dans la Vienne et dans la région de Rms, pendant toute la journée, le vent a soufflé avec rage accompagné de trombes d'eau. Une trombe de gê s'est abattue sur la région de Sainte-Menehould entraînant une baisse de la température. Le niveau de l'Aisne a fortement monté depuis 24 heures, la rivière stro déjà de son lit sur certains points. Dans la Sarthe et la Basse-Vilaine, une pluie torrentielle a en eprtai détruit les récoltes de l'année ainsi qu'un grnd nombre d'arbres fruitiers. De Langres on signale qu'il pleut et que durant tout le mois de décembre on na vu er l soleil que pendant 14 esehur seulement. A l'Etranger De Pologne, on annonce que par suite d'une baisse sut de température, la Baltique a gelé aux abords e Gdynia sur une étendue de 20 à 30 èes. En Bessarabie et en Bukovine, le thermomètre est sdeecund jusqu'à 19° sous zero et la neige tombe en abondance gênant le trafic frrvr. En Italie, c'est une secousse sismique qui a ébranlé la province d'Avellino fsnt s'écrouler quelques maisons. DANS 'ARMEE SERVICE DE SANTE (Réserve) Affectations Les pharmaciens sous-lieutenants de résrv c-près désignés reçoivent les affectations suivantes : A la région de Paris : Guin du 19e corps 'armée. A la 18e région : Lafargue, du 19e corps 'aé. Légn d'honneur (Suite) CHEVALIERS Intendance Lieutenant d'administration Bstlc, troupes de Tunisie ; capitaine d'administration Marguet, troupes du Maroc. Service de snté Les médecins capitaines Cheyron, Lacrèzé, troupes du Maroc ; Hurdille, 19e région ; Loustric, hôpital Maillot, Alger ; Julienne, troupes du Maroc ; lieutenant d'administration z, hôpitaux 19 corps d'armée ; capitaine dadministration Feltin, division 'Oran; les lieutenants 'dministran Mrrae, Garsiglia, troupes

une étendue de 20 à 30 mètres. En Bessarabie et en Bukovine, le thermomètre est descendu jusqu'à 19° sous zero et la neige tombe en abondance gênant le trafic ferroviaire. En Italie, c'est une secousse sismique qui a ébranlé la province d'Avellino faisant s'écrouler quelques maisons. DANS L'ARMEE SERVICE DE SANTE (Réserve) Affectations Les pharmaciens sous-lieutenants de réserve ci-après désignés reçoivent les affectations suivantes : A la région de Paris : Guin, du 19e corps d'armée. A la 18e région : Lafargue, du 19e corps d'armée. Légion d'honneur (Suite) CHEVALIERS Intendance Lieutenant d'administration Bastelica, troupes de Tunisie ; capitaine d'administration Marguet, troupes du Maroc. Service de santé Les médecins capitaines Cheyron, Lacrèzé, troupes du Maroc ; Hurdille, 19e région ; Loustric, hôpital Maillot, Alger ; Julienne, troupes du Maroc ; lieutenant d'administration Lauzun, hôpitaux du 19e corps d'armée ; capitaine d'administration Feltin, division d'Oran; les lieutenants d'administration Marre, Garsiglia, troupes du Maroc. Etat-major de l'armée Le lieutenant Gaillard, état-major de la division de Constantine. Interprètes Les lieutenants Lesur, Berthon, affaires indigènes du Maroc. Infanterie coloniale Lieutenant Louvrière, 15e sénégalais, adjudant-chef Verdier, 13e sénégalais. Artillerie coloniale Capitaine Aima ; lieutenant Cauchon, au Maroc. Chefs indigènes d'Afrique du Nord Algérie : Djedid ben El Hadj, caïd, tribu Gueraridj (annexe de Géryville); Si Messaoud, cheikh de Sidi-Okba ; Sâad ben Abdallah, caïd des Oulad Aissa (annexe de Djelfa) ; Cheikh ben Abdallah, caïd, tribu Beni-Ounif ; Si Ahmed ben Mohamed Tidjani, chef des Zaouïa Tidjania, de Tamellalt ; Si Ba Amara, caïd, tribu de Melika (annexe de Ghardaïa). Maroc : Miloudi ben Mohamed, caïd, Mia-Tabor, police de Tanger. Dans la magistrature Paris, 1er janvier. Est nommé vice-président du tribunal de première instance de Casablanca, sur sa demande, M. Néron, président du tribunal de première instance de Philippeville, en remplacement de M. Sanviti, nommé président de chambre à la cour d'appel de Rabat; L'état de santé du maréchal Joffre (SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE) LA SOIRÉE A la fin de l'après-midi M. Millerand est venu prendre des nouvelles du maréchal puis, à partir de 20 heures les visiteurs se firent plus rares. En sortant

une étendue de 20 à 30 mètres. En Bessarabie et en Bukovine, le thermomètre est descendu jsq'à 19° ss zr e la neige tomb en abondance gênant le trafic oiifrarv.ere En tl, c'est une secousse sismique qui ébranlé la province d'Avellino faisant sécrouler quelques maisons. NS L'ARMEE SERVICE D SNT (Réserve) fetis pharmaciens sous-lieutenants de réserve ci-après désignés reçoivent les ffetai suivantes : A la région e ai : Guin, du 19e corps darmée A la 18e région : Lafargue, du 19e corps d'armée. oLngéi d'honneur Suite CHEVALIERS Intendance tnnieLatue d'administration Bastelica troupes de Tunisie ; capitaine d'administration Margut, trps du Maroc. Service de snté Les médecins capitaines Cheyron, Lacrèzé, troupes du Maroc ; Hurdille, 19e éi ; Loustric hôpital tlliM,ao Alger ; Julienne, troupes du Maroc ; lieutenant d'administration Lauzun, ptu du 19e corps 'armée ; capitaine d'administration etiF,ln division d'Oran; les lieutenants 'administration Marre, Garsiglia, o du roc Etat-major de l'armée Le lieutenant Gaillard, état-major e la division de Constantine. Interprètes Les lieutenants Lesur, Berthon, affaires senièindg du Maroc. Infanterie coloniale Ltnnt Louvrière 15 sénégalais, enhu-tcaddafj Verdier, 13e sénégalais litiererlA coloniale Capitaine Aima ; lieutenant Cauchon, au ao Chefs indigènes dAfrique d Nord Algérie Djedid ben El Hadj, caïd, tribu reuaijdrG (annexe de Géryville); Si Messaoud, cheh de Sidi-Okba ; â ben Abdallah caïd des ld Aissa (annexe de Djelfa) ; Cheikh ben Abdallah caïd, tribu Beni-Ounif ; Si Ahmed ben Mohamed Tjn chef des Zaouïa Tidjania, de Tamellalt ; Si B Amara, caïd, tribu de Melika exne(an de Ghardaïa). Maroc : Miloudi ben Mohamed, caïd, Mia-Tabor, police de Tanger. Dans la magistrature Paris, 1er janvier. st nommé vc-présdnt du tribunal de première instance e b sur sa demande, . Néron, président du tribunal de première sce de Philippeville, en mplacmet de M. Sanviti, nmmé président de chambre la cour d'appel de Rab L'état de santé du ac Joffre (SUITE DE L PREMIÈRE PAGE) LA OI A la fin de l'après-midi M. Millerand est nuve prendre ds nouvelles du maréchal puis, à partir d 20 heures les visiteurs se firent ls rares. nE sortant

ben El Hadj, caïd, tribu Gueraridj (annexe de Géryville); Si Messaoud, cheikh de Sidi-Okba ; Sâad ben Abdallah, caïd des Oulad Aissa (annexe de Djelfa) ; Cheikh ben Abdallah, caïd, tribu Beni-Ounif ; Si Ahmed ben Mohamed Tidjani, chef des Zaouïa Tidjania, de Tamellalt ; Si Ba Amara, caïd, tribu de Melika (annexe de Ghardaïa). Maroc : Miloudi ben Mohamed, caïd, Mia-Tabor, police de Tanger. Dans la magistrature Paris, 1er janvier. Est nommé vice-président du tribunal de première instance de Casablanca, sur sa demande, M. Néron, président du tribunal de première instance de Philippeville, en remplacement de M. Sanviti, nommé président de chambre à la cour d'appel de Rabat; L'état de santé du maréchal Joffre (SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE) LA SOIRÉE A la fin de l'après-midi M. Millerand est venu prendre des nouvelles du maréchal puis, à partir de 20 heures les visiteurs se firent plus rares. En sortant de la clinique les docteurs Boulin et Fontaine ont déclaré que le maréchal respirait toujours mais que c'était la première fois qu'il restait aussi longtemps dans le coma. A 21 heures M. Barthou est venu s'entretenir avec Mme Joffre. Un peu plus tard le colonel Desmaze a communiqué le bulletin suivant : «Etat sans changement. Signé professeur Leriche,». M. Barthou interrogé quelques instants après a déclaré que l'état du malade était stationnaire. Physiquement dit-il le maréchal change d'heure en heure. Est-il dans le coma ? A-t-on demandé au ministre de la guerre. Il est plutôt en état de somnolence a répondu M. Barthou, de temps à autre il s'agite, mais l'état reste très grave. Presque en même temps que M. Barthou, le professeur Jean Louis Faure quitta le chevet du maréchal. Questionné le professeur a confirmé les déclarations de M. Barthou. — Depuis 15 heures, a-t-il dit, il n'y a aucun changement. Il a confirmé que le maréchal était non dans le coma mais plutôt en somnolence. Quelques minutes plus tard la clinique fut fermée. Le professeur Leriche, les docteurs Fontaine et Boulin sont restés auprès du malade. DERNIÈRE HEURE SPORTIVE Guerra-Dinale sont vainqueurs au vélodrome d'hiver Paris, 1er janvier.

ben El Hadj, caïd, tribu Gueraridj (annexe de Géryville); Si Messaoud, cheikh de Sidi-Okba ; Sâad ben Abdallah, caïd des Oulad Aissa (annexe de Djelfa) ; Cheikh ben Abdallah, caïd, tribu Beni-Ounif ; Si Ahmed ben Mohamed Tidjani, chef des Zaouïa Tidjania, d Tamellalt Si Ba Amara, cïd, tribu d Melika (annexe de Ghardaïa). r : Miloudi ben Mohamed, caïd, Mia-Tabor, police de Tanger. Dans la mgstrtr Paris 1r janvier. Est nommé vice-président d tribunal de première instance de Casablanca, sur s demande, M. Néron, président du tribunal de première instance de Philippeville, en remplacement d . Sanviti, nommé président de chambre à la cour d'appel de Rabat; L'état de santé du éhal Joffre (ST DE LA PREMIÈRE PAGE) LA SOIRÉE A la fn de 'après-midi M. Millerand est venu prndr des nouvelles d mréchl puis, à partir de 20 heures les visiteurs se firent plus rares. En sortant de la clinique les docer Boulin et Fontaine ont déclaré que l maréchal respirait toujours mais que tat l prmèr fois u'i restait aussi longtemps dans l coma. A 21 eures M. Barthou est venu s'entretenir ae Mm Joffre. Un peu plus trd le colonel Desmaze a communiqué le bulletin suivant : Etat sans changement. Signé professeur Leriche,». M. Barthou interrogé quelques instants a a déclaré que l'étt du malade tai stationnaire. Physiquement dt-l le maréchal change d'heure n heure. Est-il dans le coma ? A-t-on demandé au ministre e la guerre. Il est pltôt en état d somnolence répondu M. Barthou, de temps à autre il s'gt, mais l'état reste très grave. Presque en même temps que M. Barthou, le seeruofspr Jean Louis Faure quitta le chevet du maréchal. Questionné le eseur a confirmé les déclarations de M. Barthou. — Depuis 15 s, ati dit, il n'y a aucun changement. Il a confirmé que le arcal était non dans le coma mais plutôt en somnolence. Quelques minutes plus tard la clinique fut fermée. Le professeur Lec, ls docteurs Fontaine e Boulin otsn restés auprès du malade. DERNIÈRE SPORTIVE Guerra-Dinale sont vainqueurs au vélodrome d'hiver siarP, vjare.in

suivant : «Etat sans changement. Signé professeur Leriche,». M. Barthou interrogé quelques instants après a déclaré que l'état du malade était stationnaire. Physiquement dit-il le maréchal change d'heure en heure. Est-il dans le coma ? A-t-on demandé au ministre de la guerre. Il est plutôt en état de somnolence a répondu M. Barthou, de temps à autre il s'agite, mais l'état reste très grave. Presque en même temps que M. Barthou, le professeur Jean Louis Faure quitta le chevet du maréchal. Questionné le professeur a confirmé les déclarations de M. Barthou. — Depuis 15 heures, a-t-il dit, il n'y a aucun changement. Il a confirmé que le maréchal était non dans le coma mais plutôt en somnolence. Quelques minutes plus tard la clinique fut fermée. Le professeur Leriche, les docteurs Fontaine et Boulin sont restés auprès du malade. DERNIÈRE HEURE SPORTIVE Guerra-Dinale sont vainqueurs au vélodrome d'hiver Paris, 1er janvier. — Les fidèles du vélodrome d'Hiver sont venus en grand nombre assister au grand prix du Nouvel an, la course à l'américaine sur 3 heures. Les quinze équipes prennent le départ à 14 h. 45. Van Massenhove remplace Benoist Faure et fait équipe avec le Suisse Haas. Une course individuelle réservée aux amateurs servait de lever de rideau à l'américaine. Cette individuelle fut gagnée par Mercier devant Gelliez et Coudret. Dès le départ de l'américaine des échappées se succèdent, mais elles sont vite annihilées par les équipes italiennes qui se montrent très combatives. Les 10 kilomètres sont couverts en 12' 56" 2/5. On fait disputer les premières séries de sprints et alors que Boucheron vient d'enlever le premier, Henri-Pierre Drouaux se dédoublent facilement, les 20 km. en 25' 36". 4/5. La course continue à être très animée et les 30 km. sont atteints en 36' 26". Les 40 km. sont couverts par Raynaud-Dayen, 51' 3". Lorsque commence la seconde série de sprints, on annonce que trois équipes sont en tête : Raynaud-Dayen, Guerra-Dinale et Faudet-Boucheron. Dans une heure, 46 kms 625 sont parcourus. Bir-da-Linari, Guerra-Dinale, Letourneur-Marcillac se distinguent en prenant des tours. Les 60 kilomètres en 1 heure 17'23". Le

suivant «Etat sans changement. Signé prfssr Leriche,». M. Barthou ntrg quelques instants après a déclaré que l'état du malade était stationnaire. Physiquement dit-il e maréchal change d'heure en heure. Est-il dans el coma ? -t-n demandé au ministre de l guerre. Il est tô en état de somnolence a répondu M. Barthou, de tmps à autre il s'agite, mais 'éaltt reste très grave. Presque n même temps que M. ru, le professeur Jean Louis Faure quitta le chevet du maréchal. Questionné le professeur a confirmé les déclarations de M. Barthou. — Depuis 15 heures, a-t-il dit, il n'y a aucun changement. Il a confirmé que le aéal était non dans le coma mais plutôt n somnolence. Quelques minutes plus tard la clinique fut fermée. Le professeur Leriche, les ocur Fontaine et Boulin sont restés auprès du malade. DERNIÈRE HEURE SPORTIVE ueainl sont vainqueurs au vélodrome 'hiver Paris, 1er jane. — Les fidèles du voro d'Hiver snt venus en grand nombre ssstr au grand prix du Nouvel an, la course à l'américaine rsu 3 heures. Les quinze équipes prennent le départ à 14 h. 45. Van Massenhove remplace Benoist Faure et fait équipe vc le Suisse Haas. n course individuelle réservée aux amateurs servait de lever de rideau à l'américaine. Cette individuelle fut gagnée par Mercier vant Gelliez et Coudret. Dès le départ de l'américaine ds échappées se succèdent, mais elles sont vite annihilées par les équipes italiennes qui se montrent très combatives. sLe 10 kilomètres sont couverts en 12' 56" 2/5. n fait disputer les premières séries de sprints et alors que Boucheron vient d'nlvr le premier, Henri-Pierre Drouaux se dédoublent facilement, les 2 km. en 25 36". 4/5. La course continue à être très nmé et les 30 km. sont atteints en 36' 26". Les 40 km. sont couverts par Raynaud-Dayen, 51' ."3 Lorsque commence la seconde série de sprints, on annonce que trois équipes sont en tête : Raynaud-Dayen, Guerra-Dinale et Faudet-Boucheron. Dans une heure, 46 kms 562 sont parcourus. Bir-da-Linari, Guerra-Dinale, Letourneur-Marcillac se distinguent en prenant des to. Les 60 kilomètres en 1 heure 17'23". L

réservée aux amateurs servait de lever de rideau à l'américaine. Cette individuelle fut gagnée par Mercier devant Gelliez et Coudret. Dès le départ de l'américaine des échappées se succèdent, mais elles sont vite annihilées par les équipes italiennes qui se montrent très combatives. Les 10 kilomètres sont couverts en 12' 56" 2/5. On fait disputer les premières séries de sprints et alors que Boucheron vient d'enlever le premier, Henri-Pierre Drouaux se dédoublent facilement, les 20 km. en 25' 36". 4/5. La course continue à être très animée et les 30 km. sont atteints en 36' 26". Les 40 km. sont couverts par Raynaud-Dayen, 51' 3". Lorsque commence la seconde série de sprints, on annonce que trois équipes sont en tête : Raynaud-Dayen, Guerra-Dinale et Faudet-Boucheron. Dans une heure, 46 kms 625 sont parcourus. Bir-da-Linari, Guerra-Dinale, Letourneur-Marcillac se distinguent en prenant des tours. Les 60 kilomètres en 1 heure 17'23". Le classement est le suivant : 1. Guerra-Dinale. 12 points ; à un tour, 2. Faudet-Boucheron, 8 points ; 3. Binda Linari, 7 points; 4. Raynaud-Dayen, 3 points. Les 80 kilomètres sont couverts par une équipe italienne en 1 heure 4"12" En 2 heures, Guerra-Dinale ont parcouru 91 kilom. 720. Les sprints sont gagnés par Linari, Cordier, Linari, Choury et Fabre. Les 100 milles sont couverts en 2 heures 10'36" ^/5 (record) : 1. Guerra-Dinale, 37 points ; 2. à un tour, Choury-Fabre, 6 points ; à trois tours, 3. Raynaud-Dayen, 10 points ; 4. Faudet-Boucheron, Letourneur-Marcillac, 9 points ; à quatre tours, Coupry-Cordier, Binda-Linari, Foucault-Merviél, Henri Pierre-Drouaut. Guerra-Dinale augmentèrent encore jusqu'à la fin leur avance pour terminer avec trois tours. La dernière série de sprints, composée de neuf sprints, fut remportée par Boucheron, Cordier, Dinale, Guerra, Hournon, Faucaux, Boucheron, Lemoine Coupry. 1 Thierbach et Merviel firent une chute sans gravité ; le public ovationna les vainqueurs au cours de ces différents sprints. CYCLISME LES SIX JOURS DE BRUXELLES Bruxelles, 1er janvier. Classification de la course des six jours après 22 heures le 1er janvier : 1. Van SlembruckVan Hevel, 114 points; 2. Miller-Henri Aerts, 111 points; 3. Van Hout-Braspennink, 92

réservée aux amateurs servait d lever d rideau à l'américaine. Cette individuelle fut gagnée par Mercier devant Gelliez et Coudret. Dès l départ de l'américaine des échappées se succèdent mais elles sont vt eahsiéninl par les éqps italiennes qui se montrent très combatives. L 10 kilomètres sont couverts ne 12' 6" 2/5. n tiaf duisertp les premières séries de nrsspti et alors que Boucheron vient d'enlever le premier, Henri-Pierre Drouaux se dédoublent facilement, 20 km. n 25' 36 4/5. La course continue à être très animée et les 30 km. sont atteints en 36' 26". Les 40 km sont couverts par Raynaud-Dayen, 51' 3". Lorsque commence la seconde série de sprints, on annonce que trois équipes sont en tête : Rynd-Dyn, GuerDia et Faudet-Boucheron. Dans une heure, 46 kms 625 sont parcourus. Bir-da-Linari, Gnirlereu,Daa- Letourneur-Marcillac s distinguent en prnnt des tours. 60 kilomètres en 1 heure 17'23". Le csmnt est le suivant : 1. Grr-Dnl. 12 points ; à un tour, 2. Faudet-Boucheron, 8 points ; 3. Binda Linai 7 points; . Raynaud-Dayen, 3 n.opist Ls 80 kilomètres sont couverts par une équipe itaiene en 1 heeru 412 En 2 heures, Guerra-Dinale ont parcouru 91 kilom. 720. Les sprints sont ggn par Lnr, Cordier, Linari, Choury et Fabre. Les 100 milles sont couverts en 2 heu 10'36" 5 (record) . Guerra-Dinale, 37 points ; 2. à un tour, Choury-Fabre, 6 points ; à trois tours, 3. Raynaud-Dayen, 10 points ; 4. Faudet-Boucheron, LrMarcia 9 points ; à quatre tours, CoupryCordier Binda-Linari, Foucault-Merviél, Henri Pierre-Drouaut. Guerra-Dinale augmentèrent nor jusqu'à la fin leur avance pour terminer vc trois tours. La dernière série de sprints, composée de neuf sprnts, fut remportée par Boucheron, Cordier, Dinale, Guerra, Hournon Faucaux, Boucheron, Lemoine Coupry. 1 Thierbach et Merviel firent une chute sans gravité ; le public ovationna es vainqueurs au cours de ces différents sprints. CYCLISME LES SIX JOURS DE BRXLLS Bruxelles, 1er jnvr. Classification de la course des six jours près 22 heures le 1er janvier : 1. Van SlembruckVan Hevel, 114 points; 2. Miller-Henri Aerts, 111 points; 3. Van HtBpnik 92

sprints sont gagnés par Linari, Cordier, Linari, Choury et Fabre. Les 100 milles sont couverts en 2 heures 10'36" ^/5 (record) : 1. Guerra-Dinale, 37 points ; 2. à un tour, Choury-Fabre, 6 points ; à trois tours, 3. Raynaud-Dayen, 10 points ; 4. Faudet-Boucheron, Letourneur-Marcillac, 9 points ; à quatre tours, Coupry-Cordier, Binda-Linari, Foucault-Merviél, Henri Pierre-Drouaut. Guerra-Dinale augmentèrent encore jusqu'à la fin leur avance pour terminer avec trois tours. La dernière série de sprints, composée de neuf sprints, fut remportée par Boucheron, Cordier, Dinale, Guerra, Hournon, Faucaux, Boucheron, Lemoine Coupry. 1 Thierbach et Merviel firent une chute sans gravité ; le public ovationna les vainqueurs au cours de ces différents sprints. CYCLISME LES SIX JOURS DE BRUXELLES Bruxelles, 1er janvier. Classification de la course des six jours après 22 heures le 1er janvier : 1. Van SlembruckVan Hevel, 114 points; 2. Miller-Henri Aerts, 111 points; 3. Van Hout-Braspennink, 92 points; 3 équipes suivent à un tour, 4 à 2 tours, 2 à 3 tours, une à 6 tours, une à 10 tours, une à 11 tours. Au Comité exécutif de la Confédération internationale des étudiants Chamonix; 1er janvier. — Le comité exécutif de la confédération internationale des étudiants a continué aujourd'hui sous la présidence de M. Paul Saurin (France), la discussion du rapport de l'office des voyages de Londres. Les itinéraires des caravanes d'étudiants américains et sud-africains en Europe ont été arrêtés et deux colonies de vacances seront établies en Autriche et en Roumanie. Les premières mesures ont d'autre part été prises pour le grand congrès annuel de la confédération qui se tiendra en août prochain à Bucarest. Enfin les rencontres universitaires internationales de sports d'hiver ont été envisagées pour Chamonix l'année prochaine. Des malfaiteurs arrachent, à une femme, un sac à main et s'enfuient Marseille, 1er janvier (de notre correspondant particulier). — Des malfaiteurs en automobile ont assailli, la nuit dernière, rue Jean-Martin, François Volpino 56 ans et sa femme qui rentraient chez eux. Ils ont arraché le sac à main de Mme Volpino. Ce sac à main contenait 1.800 francs et des bijoux. Après avoir commis leur

sprnts stno gagnés pr Linari, Cordier, Linari, Choury et Fabre. Les 100 milles sont couverts en 2 heures 10'36" ^/5 ced(orr) : 1. Guerra-Dinale, 37 points ; 2. à un tour, hrFabe, 6 points ; à trois tours, 3. Raynaud-Dayen, 1 pnts ; 4. Faudet-Boucheron, Letourneur-Marcillac, points ; à quatre tours, Coupry-Cordier, Binda-Linari, FoucaultMerviél Henri Pierre-Drouaut. Guerra-Dinale augmentèrent ncr jusqu'à la fin leur avance pour teie avec tos tours. La dernière série de sprints composée de neuf sprints, fut remote par Boucheron Cordier, Dinale, uerr Hournon Faucaux, Boucheron, Lemoine Coupry. 1 Thierbach et Merviel firent une chute sans gravité ; le public ovationna les vainqueurs ua cours de ces différents sprints. CYCLISME LES SIX JRS DE BRUXELLES Bruxelles, 1er janvier Clsscon de la course ds sx j près 22 heures le 1er janvier : 1 Van SlembruckVan Hevel, 114 points; 2. Miller-Henri Aerts, 111 points; 3. Van Hout-Braspennink, 92 ot 3 équipes suent à un u, à 2 tours 2 à 3 tours, une à 6 tours, une à 10 tours, une à 11 tours. Au Comité exécutif de la Confédération internationale des nstdétaiu Chamonix; 1er janvier. — L comité exécutif ed la confédération internationale des étudiants a continué aujourd'hui sous la psidc de M. Paul Saurin (France), la dscssn apport de l'office des voyages d Londres. Ls itinéraires ds caravanes d'étudiants maisanréci t sud-africains en pouerE ont été rrêtés et deux colones de vacances seront lsaetiéb en trch et en Roumanie. Les premières mesures ont d'autre part été res pour le grand congrès annuel de la confédération uiq se tnr en août prochain à Bucarest. Enfin les rencontres universitaires nnatiole de sports d'hiver ont été envisagées pour Chamonix 'année proh Des malfaiteurs rrchnt, à une fmm, un sac à main et s'enfuient Marseille 1r jnvr (de etnro crrspndnt particulier — Des mlfaters en automobile otn ssall, la nuit dernière, rue Jean-Martin, François Vpo 56 ns et as femme qui rntrnt chez eux. Ils ont arraché le sac à main de Mme Volpino. Ce sac à main contenait 1.800 sarfnc et des bijoux. Après avoir commis leur

continué aujourd'hui sous la présidence de M. Paul Saurin (France), la discussion du rapport de l'office des voyages de Londres. Les itinéraires des caravanes d'étudiants américains et sud-africains en Europe ont été arrêtés et deux colonies de vacances seront établies en Autriche et en Roumanie. Les premières mesures ont d'autre part été prises pour le grand congrès annuel de la confédération qui se tiendra en août prochain à Bucarest. Enfin les rencontres universitaires internationales de sports d'hiver ont été envisagées pour Chamonix l'année prochaine. Des malfaiteurs arrachent, à une femme, un sac à main et s'enfuient Marseille, 1er janvier (de notre correspondant particulier). — Des malfaiteurs en automobile ont assailli, la nuit dernière, rue Jean-Martin, François Volpino 56 ans et sa femme qui rentraient chez eux. Ils ont arraché le sac à main de Mme Volpino. Ce sac à main contenait 1.800 francs et des bijoux. Après avoir commis leur méfait les malfaiteurs ont abandonné rue Sainte-Cécile la voiture qu'ils avaient dérobée quelques heures auparavant à M. André Collot, rue Sénac. Une auto amphibie a été détruite dans l'incendie de Mouvaux Lille, 1er janvier. — L'incendie qui s'est déclaré dans le garage de M. Alphonse Liétard, à Mouvaux, a fait connaître l'existence d'une auto amphibie que M. Liétard, avec le concours de Georges Panier et de M. Julien Lestrade de Croix avaient construite en grand secret. Cette auto amphibie longue de 10 mètres 50 et large de 2 mètres 50, était munie de deux moteurs à l'avant et comportait un grand nombre de places. Selon l'inventeur l'appareil était presque terminé et des démonstrations allaient être faites. La construction de cet engin avait été tenue secrète et se poursuivait depuis 2 ans. Jusqu'ici plus de 200.000 francs avaient déjà été dépensés pour la construction de l'appareil. NOUVELLES BREVES France. — Yahya Khan Chargoëzlou ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts de Perse, est arrivé à Paris. — Le général de division Aimone Pelegrin, ancien commandant du 12e corps d'armée, grand officier de la Légion d'honneur, est décédé à Paris. — L'agha Khan, arrivé il y a quelques jours à Paris, souffre

cnu aujourdhui sous la présdnc de M. Pl Saurin (Frc, la discussion du rpprt e l'office des vygs de Londres Les itinéraires des caravanes d'étudiants mércns t sud-africains en Europe ont été rrêtés et deux clns de vacances seront établies en Autriche et en Roumanie Les premières mesures ont d'tr arpt éé prises pour e grand congrès annuel de confédération qui se andtrei n ao pch à Bucarest. Enfin les rncntrs universitaires internationales de sports 'hiver ont été envisagées pr Chmonx prochaine Des malfaiteurs arrachent, à une femme, un sc à main et s'enfuient Marseille, 1er janvier (de notre correspondant particulier). — Des mlfaer en automobile ont assailli, la nuit dernière, rue Jean-Martin, François inoVopl 5 ans et sa fmm qui rentraient chez eux. Ils ont arraché le sac à main de Mme Volpino. Ce sc ma contenait 1.800 francs t des bijoux. Après avi commis leur méfait ls malfaiteurs ont bndnné rue SainteCécile la voiture q'ls avaient dérobée quelques heures auparavant M. André Collot, re Sénac. Une auto mhi a été reuttéid dans l'incendie d u Lille, 1er j.nveria — L'incendie qui s'est déclaré dans e garage de M. Alphonse Liétard, Mouvaux a ft connaître l'existence du auto amphibie que M. Liétard, vc e concours d Georges Panier et de M. Julien Lestrade Croix avaient cosute en grand secret. Cette auto amphibie longue de 10 mètres 50 et large de 2 mètres 50, était munie de deux moteurs à lavant et comportait n grand nmbr de places. Selon l'inventeur l'appareil atité presque terminé et des démonstrations laailnet être fits La costtin d cet engin a été tenue secrète et se poursuivait depuis 2 ans. Jusqu'ici plus de 200.000 francs avaient déjà été dépensés our la construction de .ipaeal'lpr NO BREVES France Yhy Khan Chargoëzlou ministre e l’Instruction publique et des eax-Ar de Perse, est arrivé à Paris. — Le général e division Aimone Pelegrin, ancien commandant du 12e corps d'armée, grand ofi de la Légion d'hu, est décédé à Paris. — Lagha Khn, arrivé il y a quelques jours à Ps, souffre

connaître l'existence d'une auto amphibie que M. Liétard, avec le concours de Georges Panier et de M. Julien Lestrade de Croix avaient construite en grand secret. Cette auto amphibie longue de 10 mètres 50 et large de 2 mètres 50, était munie de deux moteurs à l'avant et comportait un grand nombre de places. Selon l'inventeur l'appareil était presque terminé et des démonstrations allaient être faites. La construction de cet engin avait été tenue secrète et se poursuivait depuis 2 ans. Jusqu'ici plus de 200.000 francs avaient déjà été dépensés pour la construction de l'appareil. NOUVELLES BREVES France. — Yahya Khan Chargoëzlou ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts de Perse, est arrivé à Paris. — Le général de division Aimone Pelegrin, ancien commandant du 12e corps d'armée, grand officier de la Légion d'honneur, est décédé à Paris. — L'agha Khan, arrivé il y a quelques jours à Paris, souffre d'un léger refroidissement. — Le garde-côtes « Gracieuse » captura cette nuit le chalutier italien Bucdari qui pêchait dans les eaux territoriales françaises. — On a volé à Nice, dans un casino, un billet de banque et un chèque de 150.000 francs appartenant à deux clients de l'établissement. — Le directeur-propriétaire de la Banque de commerce de Pont-Audemer, atteint de dépression nerveuse, s'est suicidé. — Sur la proposition du ministre de la Guerre, des distinctions ont été accordées à un certain nombre de militaires dont la conduite fut particulièrement remarquée lors des incidents de Yen Bai. — Un train de marchandises venant de Caen a déraillé ce matin près de la gare des Batignolles, provoquant des retards sur les lignes de la banlieue. — Un vœu tendant à empêcher la réouverture du Casino d'Enghien a été déposé au conseil municipal de Paris. — A Belleville, une jeune fille a tenté de tuer sa mère à coups de marteau pour la soustraire à la misère. — Les obsèques de M. Henri Guernay, directeur honoraire au Ministère des finances, ancien censeur de la Banque du Maroc, ont été célébrées ce matin en l'église Saint-Charles de Monceau. — Le sculpteur Ernest Dubois, grand

tîcnrenoa l'existence d'une auto amphibie que . Liétard, c le concours de Georges ane et de M. Julien Lestrade de Cox avaient construite en grand secret. Ce auto amphibie longue de 10 mètres 50 et large de 2 mètres 50 était mi d deux moteurs à l'avant et comportait un grand nombre de places. Selon l'inventeur lapari était presque meténir t des démonstrations allaient être faites. La construction de cet engin avait été tenue secrète et se poursuivait euis ans. s'ici plus de 200.000 francs aevtani déjà été dépensés pour la construction de l'appareil. NOUVELLES BREVES Fecran. — Y han Chargoëzlou ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts de Perse, est arrivé à Paris. — L général de division mn Plgrn, ancien commandant du 2 corps d'armée, grand officier ed la Légion d'honneur, est décédé à Paris. — L'gh Khan, arrivé il y a quelques jours à Paris, souffre d'un léger refroidissement. — Le garde-côtes « Gracieuse » rcupaat cette nuit le chalutier itaneil Bucdari qui êha dans les eaux rritrie frnçss. — On volé à e, dans nu casino, un ll de banque et un chèque de 150000 francs appartenant à deux clients de létablissement — Le directeur-propriétaire de l Banque de commerce de Pont-Audemer, atteint de déprssn nerveuse, s'est suicidé — Sur la proposition du mnstr la Guerre, des distinctions ont été accordées à un certain nombre de militaires dont la conduite fut particulièrement remarquée lors ds icidt de Yen a. — Un train de marchandises venant de Caen a déraillé ce matin près de la gr des Batignolles, provoquant des retards sur les lignes de l banlieue. — Un vœ tendant à empêcher la réouverture du s d'Enghien a été déposé conseil municipal de Paris. — A Belleville, une jeune fille a tenté de e sa mèr à coups de marteau pour la soustraire à la misère. — es obsèques de M. Hnr Guernay, directeur honoraire au Ministère des finances, ancien censeur la Bnq ud Maroc, ont été célébrées ce matin en l'église Saint-Charles de Monceau. — Le sclptr Ernest Dubois, grand

directeur-propriétaire de la Banque de commerce de Pont-Audemer, atteint de dépression nerveuse, s'est suicidé. — Sur la proposition du ministre de la Guerre, des distinctions ont été accordées à un certain nombre de militaires dont la conduite fut particulièrement remarquée lors des incidents de Yen Bai. — Un train de marchandises venant de Caen a déraillé ce matin près de la gare des Batignolles, provoquant des retards sur les lignes de la banlieue. — Un vœu tendant à empêcher la réouverture du Casino d'Enghien a été déposé au conseil municipal de Paris. — A Belleville, une jeune fille a tenté de tuer sa mère à coups de marteau pour la soustraire à la misère. — Les obsèques de M. Henri Guernay, directeur honoraire au Ministère des finances, ancien censeur de la Banque du Maroc, ont été célébrées ce matin en l'église Saint-Charles de Monceau. — Le sculpteur Ernest Dubois, grand prix de Rome, est décédé à Paris. — Le conseil municipal de Reims a félicité son président, Paul Marchandeau, député-maire, de son entrée dans le gouvernement comme sous-secrétaire d'Etat à la présidence du Conseil. — La commission départementale de la Meuse adresse ses vœux à M. Raymond Poincaré. — Le capitaine Devaux a fait, dans la salle parisienne du Musée social, une conférence très suivie sur la Mauritanie. — Les employés communaux mécontents de leurs salaires, ont manifesté devant la mairie de Grenoble. — Parmi la promotion dans la marine on remarque celle au grade de capitaine de frégate de F. Brusq qui débuta dans la flotte comme simple matelot à dix-neuf ans et fut le hardi commandant d'un sous-marin pendant la guerre. — L’Aéro-Club de France vient de confirmer à l’Aéro-Club de la Grande-Bretagne l'engagement d'un appareil français pour la coupe Schneider. — Une bouteille de gaz toxique s'est débouchée chez un ferrailleur à Choisy. Un ouvrier a été gravement incommodé. Allemagne. — En Saxe, 300.000 ouvriers du textile seront congédiés à la date du 28 février 1931. Argentine. — Un décret prescrit la mobilisation du fonds de conversion de l'or, pour opérations de change à l'étranger. Canada. —

directeur-propriétaire de la Banque de commerce de Pont-Audemer, atteint de dépression nerveuse, s'est suicidé. — Sur la proposition ministre de la Guerre, ds distinctions ont été accordées à un rt nmbr de militaires dont la conduite fut particulièrement rmrqé lors des ncdnts de Yen Bai. — n train de marchandises venant de Caen a déraillé e matin près de al gare des Batignolles, provoquant ds retards sur les ins de l banlieue. — Un vœu tndnt à mpêchr la réouverture du Casino d'Enghien a été déposé au cnsl municipal de Paris. — A Bleve e jeune fille a tenté de tuer sa mère à cuosp de marteau pour la soustraire la msèr. — Les sès de M Henri Guernay directeur honoraire au Ministère des finances, ancien censeur de la Banque du Maroc, ont été célébrées ce matin en l'église Saint-Charles de Monceau. Le sculpteur Ernest Dubois, grand prix de Rome, s décédé à Prs. — Le cnsl municipal de Reims a félicité son président, Paul Marchandeau, -rééiuemd,apt de son entrée dans le gouvernement emmco soussecrétaire d'Etat la présidence d Cnsl. — aL commission départementale de la Meuse adresse ses vœux à M. Rymnd Poincaré. — Le capitaine Dvx a fait, dans la se prsnn du Musée social, une conférence très suivie sur la Mauritanie. — Les employés communaux mécontents de leurs salaires, n ift devant l maiie de ele — mi la promotion dans la marine n meurqera celle au grade de capitaine de frégate de . Brusq q débuta n la flotte comme simple matelot à dix-neuf ans t fut le hardi cmmndnt d'un sous-marin pendant la gre. — L’Aéro-Club de France vient de confirmer à l’Aéro-Club de la Grande-Bretagne l'engagement dun appareil français pour la cp Schneider. — U bouteille gaz toxique 'est débouchée chez un ferrailleur à Choisy. Un vrr a été gravement om. Allemagne. — Saxe, 300.000 ie d textile seront congédiés à la date du 28 février 131. Argentine. — Un ret prescrit la mobilisation du fonds d cnverso de lor pour opérations de change à l'étranger. Canada —

capitaine Devaux a fait, dans la salle parisienne du Musée social, une conférence très suivie sur la Mauritanie. — Les employés communaux mécontents de leurs salaires, ont manifesté devant la mairie de Grenoble. — Parmi la promotion dans la marine on remarque celle au grade de capitaine de frégate de F. Brusq qui débuta dans la flotte comme simple matelot à dix-neuf ans et fut le hardi commandant d'un sous-marin pendant la guerre. — L’Aéro-Club de France vient de confirmer à l’Aéro-Club de la Grande-Bretagne l'engagement d'un appareil français pour la coupe Schneider. — Une bouteille de gaz toxique s'est débouchée chez un ferrailleur à Choisy. Un ouvrier a été gravement incommodé. Allemagne. — En Saxe, 300.000 ouvriers du textile seront congédiés à la date du 28 février 1931. Argentine. — Un décret prescrit la mobilisation du fonds de conversion de l'or, pour opérations de change à l'étranger. Canada. — Six enfants ont été brûlés vifs dans l'incendie de l'appartement d'un commerçant de Québec. Etats-Unis. — A l'occasion du nouvel an, M. Hoover a publié une proclamation mettant en application le traité naval de Londres. — Le bulletin journalier du mouvement de l'or dans les réserves du Trésor annonce qu'il a été importé 3.000.000 de dollars du Canada et 1.650.000 dollars de Cuba. — M. Hugh Wallace, ancien ambassadeur en France, est décédé à Washington. Grande-Bretagne. — Un bidon d'essence a fait explosion à Derry-York, communiquant le feu à un immeuble. Trois personnes ont été brûlées vives. Le haut commissaire de l'Etat libre d'Irlande a déposé dans la matinée au Foreign Office l'instrument de ratification du traité naval par l'Etat libre d'Irlande. — M. William Winterborne, inventeur du système de la roue libre pour bicyclette, est décédé à Isleworth. — Londres possède, à partir d'aujourd'hui, 300 nouveaux agents à motocyclette chargés de faire respecter le règlement de circulation. — Les statistiques de trésorerie révèlent un déficit de 180.600 francs. 487 de livres sterling pour les neuf mois se terminant au 31 décembre. — Le comte de Savigny s'est suicidé dans une chambre d'hôtel à Londres. Guatemala. — Le président Orellana

patacinie Devaux fait, dans l salle parisienne du Musée scl, n conférence très suivie sur la Mauritanie. — Les employés communaux mécontents de leurs salaires, ont manifesté devant la mairie de Grenoble. — Parmi la promotion dans la marine on remarque celle au grade de capitaine de frégate de F. Brusq qui déuta dans la flotte comme simple matelot à dix-neuf ans et fut el hardi commandant d'un ss-mrn tndenap la guerre. — L’Aéro-Club de Frnc vient de confirmer à l’Aéro-Club de la ranBreta l'nggmnt d'n appareil français po la coupe Schneider. — Une bouteille de gaz tx s'est débouchée chez un ferrailleur à Choisy. n ouvrier a été gravement incommodé Allemagne. — En Saxe, 300.000 ouvriers du txtl seront congédiés à la de d 28 février 1931. Argentine. — Un décret prescrit la mobilisation du fonds de conversion de l'or, pour opérations d chng à létranger Canada. — Six enfants o été brûlés vifs dans l'incendie de lappartement d'un commerçant de Québec. Etats-Unis. — A loccasion du nouvel an, M. Hoover a publié une proclamation mettant en pplctn le traité naval ed Londres. — Le bulletin journalier du mouvement de l'or dans les réserves du Trésor annonce qu'il a éét importé 3.000.000 de dollars du Canada et 1.650.000 dollars de Cuba — M. Hugh Wallace, ambassadeur en France, est décédé à Washington. Grande-Bretagne. — Un bidon d'essence a fait explosion à Derry-York, communiquant le feu à un immeuble. Trois personnes ont été brûlées vives. Le haut commissaire de l'Etat libre d'Irlande a déposé dans a matin au Forign ffc l'instrument de ratification du traité nvl par l'Etat libre d'Irlande. — M. William Winterborne, inventeur du système de la roue libre pour bicyclette, est décédé à Isleworth. — rdnLseo possède, à partir d'aujourd'hui, 300 nouveaux agents à ttmcyoctloee chargés de faire respecter le règlement de circulation. — Les statistiques de trésorerie révèlent un déficit de 180.600 francs. 487 de livres sterling pour ls neuf mois se terminant au 31 décembre. — Le comte ed Savigny s'est suicidé dans une chambre d'hôtel à Londr a.tmlauGea — Le président Orellana

a été importé 3.000.000 de dollars du Canada et 1.650.000 dollars de Cuba. — M. Hugh Wallace, ancien ambassadeur en France, est décédé à Washington. Grande-Bretagne. — Un bidon d'essence a fait explosion à Derry-York, communiquant le feu à un immeuble. Trois personnes ont été brûlées vives. Le haut commissaire de l'Etat libre d'Irlande a déposé dans la matinée au Foreign Office l'instrument de ratification du traité naval par l'Etat libre d'Irlande. — M. William Winterborne, inventeur du système de la roue libre pour bicyclette, est décédé à Isleworth. — Londres possède, à partir d'aujourd'hui, 300 nouveaux agents à motocyclette chargés de faire respecter le règlement de circulation. — Les statistiques de trésorerie révèlent un déficit de 180.600 francs. 487 de livres sterling pour les neuf mois se terminant au 31 décembre. — Le comte de Savigny s'est suicidé dans une chambre d'hôtel à Londres. Guatemala. — Le président Orellana a démissionné. Le docteur Reina Andrado a été élu à sa place. Italie. — L'aviateur Barnard, accompagné de lord Lovelace, ont quitté Rome pour Catane. Lithuanie. — Le gouvernement a décidé d'augmenter considérablement les droits de douane à partir d'aujourd'hui. Pays-Bas. — On a arrêté à Rotterdam un individu qui tentait de vendre un bâton de maréchal de l'empire, volé dans un château de Plougastel, en Bretagne. Roumanie. — Un secrétaire de la légation de France à Budapest s'est battu en duel contre un industriel hongrois. Trois balles ont été échangées sans résultat. Tchécoslovaquie. — Le docteur Ladislav Syllaba, membre correspondant de la Société neurologique de Paris, est décédé à Prague. Concourant pour la Coupe des sphères de l'Aéro-Club de France, l'aéronaute lillois, Debruycker, parti samedi de Bully Grenay à bord d'un ballon 1.200 mètres cubes, a atterri dimanche à Elsch (Tchécoslovaquie) à plus de 700 kilomètres de son point de départ. U.R.S.S. — Mme Kroupskaia, veuve de Lénine, vient de protester auprès du comité central du parti communiste contre les mauvais traitements infligés à Rykoff par Staline. REVUE DES JOURNAUX PARAISSANT AUJOURD'HUI, VENDREDI A PARIS (Editions de 5 heures du matin) M. MUSSOLINI ET LA PAIX LA GAUCHE (Georges

a été importé 3.000.000 de dollars du Canada et 1.650.000 dollars de Cuba. — M. Hugh Wallace, ancien ambassadeur en France, est décédé Washington. Grande-Bretagne. — Un bidon d'essence a fait explosion à Derry-York, communiquant le feu à un immeuble. Trois personnes ton été brûlées ves.vi Le haut commissaire de l'Etat libre d'Irlande a dpéséo dans la matinée au Foreign Office l'instrument de ratification du traité nvl par l'Etat libre d'Irlande. M. William Winterborne, inventeur du tsmyseè de la roue libre pour bicyclette, st décédé à Isleworth. — Londres possède, à partir d'aujourd'hui, 300 nouveaux agents à motocyclette chargés de faire respecter le règlement de circulation. — Ls statistiques de trésorerie révèlent un déficit de 180.600 francs. 487 de livres strlng pour les neuf mois se terminant au 31 décembre. — Le comte de Savigny s suicidé dans une chambre d'hôtel à Londres. Guatemala. Le président rlln a démissionné. Le docteur Reina dro a été élu à sa place. aelIi.t — L'aviateur Barnard, accompagné de lord Lvlc, ont quitté Rome pour Catane. Lithuanie. — Le gouvernement décidé d'augmenter considérablement les droits de douane à partir 'aujourd'hui. Pays-Bas. — On a arrêté à Rotterdam un individu qui tentait de vendre un bâton de maréchal de 'empire, vlé dans u château ed Plougastel, en Bretagne. Roumanie. — Un secrétaire de la légation de Frnc à Bdat stse' battu en du contre un industriel hongrois. Trois balles otn été échangées ns résultat. Tchécoslovaquie. — Le docteur Ladislav Syllaba membre correspondant de la Société neurologique de Paris, est ééddéc à Prague. Concourant pour la Coupe des sphèrs de l'Aéro-Club de France, l'aéronaute lillois, Debruycker, parti samedi de Bu Grenay à bord d'un ballon 1.200 mètres cubes a atterri dimanche à Elsch (Tchécoslovaquie) à plus de 700 kilomètres de son point de départ. U.R.S.S. — Mme rous, veuve de Lénine, vient de prtstr près d comité central du prt communiste contre les mauvais trtmnts infligés à Rykoff par Staline. REVUE DES JOURNAUX PARAISSANT AUJOURD'HUI, NEERDVID A AI (Editions de 5 heures du mtn) M. MUSSOLINI ET LA PAIX LA GAUCHE (Georges

tentait de vendre un bâton de maréchal de l'empire, volé dans un château de Plougastel, en Bretagne. Roumanie. — Un secrétaire de la légation de France à Budapest s'est battu en duel contre un industriel hongrois. Trois balles ont été échangées sans résultat. Tchécoslovaquie. — Le docteur Ladislav Syllaba, membre correspondant de la Société neurologique de Paris, est décédé à Prague. Concourant pour la Coupe des sphères de l'Aéro-Club de France, l'aéronaute lillois, Debruycker, parti samedi de Bully Grenay à bord d'un ballon 1.200 mètres cubes, a atterri dimanche à Elsch (Tchécoslovaquie) à plus de 700 kilomètres de son point de départ. U.R.S.S. — Mme Kroupskaia, veuve de Lénine, vient de protester auprès du comité central du parti communiste contre les mauvais traitements infligés à Rykoff par Staline. REVUE DES JOURNAUX PARAISSANT AUJOURD'HUI, VENDREDI A PARIS (Editions de 5 heures du matin) M. MUSSOLINI ET LA PAIX LA GAUCHE (Georges Ponsot) M. Bénito a dit au « Daily Mail » : « Je ne ferai jamais la guerre, à moins qu'on ne me saisisse à la gorge. » Voilà un excellent propos en ce nouvel an. Que Bénito soit béni ! Mieux, M. Mussolini prendra l'initiative d'une campagne vigoureuse en faveur de la paix mondiale. Il évoque ses souvenirs de simple soldat ; il a vu toutes les atrocités, il fut témoin de cette effroyable tuerie de quatre-vingts hommes mis en pièces sous ses yeux par une seule bombe autrichienne ; il aperçoit encore ces jambes et ces bras arrachés ; il sent le sang jaillissant de toutes parts. IMAGES TOMBOUCTOU Il y a dix-sept ans vivait encore, à Tombouctou, un vieux nègre qui, vingt années auparavant, avait vu arriver les Français dans sa ville fauve et ruineuse. Ces conquérants étaient des libérateurs, car les Tombouctiens, citadins voués à la molesse, subissaient la tyrannie des Touaregs vifs. Le vieux nègre, accroupi dans le sable au seuil de sa maison de « t'oube », évoquait lentement ses souvenirs incertains et citait les noms de Joffre et de Bonnier. Le Vainqueur de la Marne portait alors quatre galons aux manches. C'était un

tentait ed vendre un bâton de hcramaél de r,elem'ip volé dans un château de Plougastel, en Bretagne. Roumanie. — Un secrétaire de la légation de France Budapest es battu en duel contre un industriel hongrois. Trois balles ont été échangées sans résltt. Tchécoslovaquie. — Le dctr Ladislav Syllaba, membre correspondant de la cSoitéé neurologique de Paris, est décédé à Prague. Concourant pour Cp des ès de l'Aéro-Club de France, l'aéronaute lillois, Debruycker, arpti samedi de Bully Grenay à brd d'un ballon 1200 mètres cubes, a atterri dimanche Elsch (Tchécoslovaquie) à plus d 70 kilomètres de son point de départ. U.R.S.S. — Mme Kroupskaia, eve de Lénine, vient de protester auprès cmté eral du parti communiste contre les mauvais traitements infligés à fofyRk par Staline. DES JOURNAUX PARAISSANT AUJOURD'HUI, VENDREDI A PARIS (Editions de 5 heures du matin M. MSSLN ET A PX LA GAUCHE (Georges Ponsot) M. Bénito a d au « Daily Mail » : Je ne ferai jamais l guerre, à moins qu'on ne me saisisse à la gorge. » Voilà un ecltnexle propos en ce nouvel an. Que Bénito soit béni ! Mieux, M. Mussolini prendra l'initiative d'une campagne vigoureuse en faveur de la paix mondiale. évoque ses souvenirs de simple soldat l a vu toutes ls atrocités, il fut témoin de cette ffrybl tuerie de qaingt ome sim en pèc sous ses yeux par une seule bombe autrichienne il aerçit encore ces jambes et ces bras arrachés il sent le sng jailiant de tts parts. IMAGES TOMBOUCTOU Il y a dix-sept ans vivait encore, à Tombouctou, un vieux engrè qui, vingt années auparavant, vu arriver les Français dans sa ville fauve t ruineuse. Ces couént éaien des libérateurs, car les ebnc,iTstoomu citadins vés à la mlss, subissaient la tyrannie des Touaregs vifs. Le vieux r,ènge accroupi dans le sable au sl de sa is de « t'oube », évoquait lentement ses souvenirs incertains et ciat les noms de Jof t de Bonnier. Le Vainqueur de la Marne portait alors quatre galons manches C'était un

faveur de la paix mondiale. Il évoque ses souvenirs de simple soldat ; il a vu toutes les atrocités, il fut témoin de cette effroyable tuerie de quatre-vingts hommes mis en pièces sous ses yeux par une seule bombe autrichienne ; il aperçoit encore ces jambes et ces bras arrachés ; il sent le sang jaillissant de toutes parts. IMAGES TOMBOUCTOU Il y a dix-sept ans vivait encore, à Tombouctou, un vieux nègre qui, vingt années auparavant, avait vu arriver les Français dans sa ville fauve et ruineuse. Ces conquérants étaient des libérateurs, car les Tombouctiens, citadins voués à la molesse, subissaient la tyrannie des Touaregs vifs. Le vieux nègre, accroupi dans le sable au seuil de sa maison de « t'oube », évoquait lentement ses souvenirs incertains et citait les noms de Joffre et de Bonnier. Le Vainqueur de la Marne portait alors quatre galons aux manches. C'était un « terrassier », comme disent parfois les militaires de leurs camarades du génie. S'il avait été de ceux qui, pour notre plaisir et notre édification, aiment à raconter leurs campagnes, il aurait pu nous laisser un pittoresque tableau de la Tombouctou pauvre et peureuse où il pénétra le 12 février 1894. Mais c'était un taciturne qui laissait s'écrire l'histoire. Avec patience, avec sang-froid, il accomplit là-bas son pénible devoir. Il vengea nos morts, soumit des chefs rebelles et rendit un peu de sécurité à la gent loqueteuse qui vivait depuis longtemps dans la panique. On a trop « romanisé » les annales modernes de Tombouctou, en accolant à ce nom l'épithète de mystérieuse. Toutes les villes brûlées par le soleil ont leur mystère qui est l'ombre des huttes et des pans de mur. La poussière, à Tombouctou, étouffe le bruit des pas ; aux heures trop chaudes, on y somnole: tout est silencieux et désert : signe de paresse, de fatigue, et non point de conspiration. Avant Bonnier et Joffre, les Touareg alertes « tombaient » souvent sur cette inertie. Ils enfonçaient des portes à peine fermées, frappaient quelques dormeurs sans défense, emportaient des grains et des calebasses, puis retournaient

faveur de la paix mondiale. Il évoque ses souvenirs de simple dt ; il a vu toutes ls atrocités, il fut témoin de cette effroyable tuerie de quatre-vingts hommes mis en pièces ss ses yeux par une seule bombe autrichienne ; il aperçoit oenecr ces jambes t ces brs arrachés ; il sent le sng jaillissant de toutes parts. IMAGES UUBMTOTOCO Il y a ix-s ns vivait encore à Tombouctou, un vie èg qui vingt nn auparavant, avait vu arriver les Frnçs dans sa ville fv et u.ueirnse Ces conquérants niétaet ds libérateurs, car les Tombouctiens, itan voués à la molesse, subissaient la tyrannie sed Touaregs vifs. Le vieux accroupi dans le sable au seuil de sa msn de « t'oube évoquait ltet ses souvenirs incertains et citait les noms de Joffre t de Bonnier. Le Vainqueur de la Marne portait ao quatre galons aux manches C'était un « terrassier », comme disent parfois les militaires de leurs maraes du génie. S'il avait été de ceux qui, pour notre plaisir et notre édification, mnt à raconter leurs campagnes, il aurait pu nous is un pittoresque tableau de la Tmbct pauvre et prs où pénétra le 12 février 1894. i 'était un taciturne qui laissait s'écrire rie'tsio.hl Avec patience, avec sang-froid, il accomplit là-bas sno pénible vo.rdie Il vengea nos morts, soumit des chefs rebelles t rendit un peu de étciurés à la gnte loqueteuse qui vvt depuis longtemps dans la panique. On a trop « romanisé » le annales modernes d Tombouctou, en accolant à ce nom l'épithète de mystérieuse. Tts les villes brûlées pr le soleil ont leur mystère qui est l'ombre des huttes et des pans de mur. La poussière, à Tombouctou, étouffe le bruit des ps ; aux heures trop chaudes, on y somnole: tout est silencieux et ér : signe de prss, de fatigue, t non point de conspiration. vAtan Bonnier te Joffre ls Touareg lrts tbai » tovsneu r cette nrt. Ils enfonçaient des portes à peine fermées, frappaient queq dormeurs sans défense, emportaient des grains et des calebasses, puis retournaient

1894. Mais c'était un taciturne qui laissait s'écrire l'histoire. Avec patience, avec sang-froid, il accomplit là-bas son pénible devoir. Il vengea nos morts, soumit des chefs rebelles et rendit un peu de sécurité à la gent loqueteuse qui vivait depuis longtemps dans la panique. On a trop « romanisé » les annales modernes de Tombouctou, en accolant à ce nom l'épithète de mystérieuse. Toutes les villes brûlées par le soleil ont leur mystère qui est l'ombre des huttes et des pans de mur. La poussière, à Tombouctou, étouffe le bruit des pas ; aux heures trop chaudes, on y somnole: tout est silencieux et désert : signe de paresse, de fatigue, et non point de conspiration. Avant Bonnier et Joffre, les Touareg alertes « tombaient » souvent sur cette inertie. Ils enfonçaient des portes à peine fermées, frappaient quelques dormeurs sans défense, emportaient des grains et des calebasses, puis retournaient à leur solitudes où leurs habitudes étaient à peu près celles de leurs chameaux. Tyrans et victimes partageaient la même indigence; mais les uns avaient pour idéal de bouger à peine quand les autres tenaient le remuement pour la mieux choisie des joies. Le Tombouctien avait supporté ces injures et il en rappelait l'époque honteuse sans colère. Les lambeaux d'étoffe qui lui servaient de vêtements, les pillards l'en avaient dépouillé. Aussi les moins démunis de ses frères allaient-ils presque nus, et ils cachaient leur réserve de mil dans la terre. C'est un usage aussi ancien que l'humanité en désordre, et l'on dit que les paysans russes le pratiquent encore volontiers de nos jours. Bonnier et Joffre étant venus, les Touareg retinrent leur insolence; les Tombouctiens se reprirent à commercer. Car Tombouctou est un marché. On n'y travaille pas; on y vend du plaisir, du sel de Taoudeni et de menus objets qu'on sente la cruauté. Tombouctou a en vérité deux mystères : l'ombre et la subsistance de ses habitants. Le grand privilège de cette race apathique est de pouvoir vivre sans rien faire et elle en jouit imperturbablement. Jadis, aux âges glorieux où la cité enfermait, dit-on, cent mille êtres

1894. i c'était un taciturne laissait s'écrire l'histoire. Avec patience, avec sang-froid, il mplit là-bas son pénible devir. Il vengea nos morts, omt des chefs rebelles t rendit un peu de sécurité à la entg loqueteuse qui vvt depuis longtemps dans la panique. On a trop « romanisé » les annales modernes d Tombouctou, en accolant à ec nom l'épithète de mystérieuse. Toutes les villes brûlées arp le soleil ont leur mystère qui est l'ombre des huttes et des pans de mur La poussière, à Tmbct, étouffe le bruit des pas ; aux hrs trop chaudes, on y somnole: tout est silencieux et désert : signe de paresse, d fatigue, et non point de conspiration. Avant rineonB t Joffre, les Touareg alertes « tombaient » souvent sur cette inertie. Ils enfonçaient des portes à peine fermées, frappaient quelques dormeurs sans sféde,en emportaient des grains et d calebasses, puis retournaient à leur solitudes où leurs habitudes étaient à upe près celles de leurs chameaux. Tyrans et vcmes partageaient la même indigence mais les uns avin pour idéal de bouger à peine quand les autres tenaient l remuement pr la mieux choisie des joies. Le Tombouctien avait supporté ces njrs t il n rappelait l'époque honteuse sans colère. Les lambeaux d'étoffe qi lui servaient de vêtements, les pillards len avaient dépouillé. Aussi les moins démunis ed ses errèfs allaient-ils presque nus, et ils cachaient leur réserve de mil dans la ee. C'est un usage aussi ancien que l'humanité en désordre, et l'on dit que les paysans russes le patquet encore volontiers de nos jours. Bonnier et Joffre étant venus, les Touareg retinrent leur insolence; les Tombouctiens se eitrnerpr à commercer. Car Tombouctou est un marché. On n'y travaille pas; on y vend du plaisir, du sel de Taoudeni t de eu objets quon sente la cruauté. Tombouctou a vérité deux mystères : 'ombre et la subsistance ses habitants. Le dangr privilège de cette race ate est e pouvoir vivre sans rien faire et elle en jouit imperturbablement. Jadis, aux âges glorieux où la cité enfermait, dit-on, cent mll êtres

il en rappelait l'époque honteuse sans colère. Les lambeaux d'étoffe qui lui servaient de vêtements, les pillards l'en avaient dépouillé. Aussi les moins démunis de ses frères allaient-ils presque nus, et ils cachaient leur réserve de mil dans la terre. C'est un usage aussi ancien que l'humanité en désordre, et l'on dit que les paysans russes le pratiquent encore volontiers de nos jours. Bonnier et Joffre étant venus, les Touareg retinrent leur insolence; les Tombouctiens se reprirent à commercer. Car Tombouctou est un marché. On n'y travaille pas; on y vend du plaisir, du sel de Taoudeni et de menus objets qu'on sente la cruauté. Tombouctou a en vérité deux mystères : l'ombre et la subsistance de ses habitants. Le grand privilège de cette race apathique est de pouvoir vivre sans rien faire et elle en jouit imperturbablement. Jadis, aux âges glorieux où la cité enfermait, dit-on, cent mille êtres humains, c'était une capitale magnifique que les Arabes et les Askia avaient policée à leur façon. Depuis lors, les Tombouctiens sont tous nobles, et leur noblesse les oblige à regarder couler la vie sans la troubler d'aucun effort. Marché de bêtes et d'esclaves, Tombouctou était surtout un marché d'amour. Les caravaniers, leurs marchandises échangées, versaient tous leurs profits entre les mains des belles et oubliaient dans ces bonnes sombres les privations et les dangers du désert. De toutes les légendes, celle-là est sans doute la plus vraisemblable. S'il n'y a plus guère de caravaniers sur les marchés de Tombouctou, la prostitution s'y est conservée comme un rite. Les prêtresses de l'hospitalité y formaient encore avant 1914 des castes distinctes qui se jalousaient tout en se ménageant. De la terrasse de sa case, l'étranger ce passage voyait défiler le cortège des Touarègues hâves, puis celui des négresses à collier; enfin apparaissaient les musulmanes parjures que les Arabes méprisent et chérissent en secret. L'exercice de cet art profane et condamnable est plus qu'aucun autre désintéressé. La misère par toutes ces intentions de débordements. Cette impudeur n'est plus qu'un geste symbolique, et l'on serait tenté de croire que les Tombouctiennes ne célèbrent encore

il en rappelait l'époque honteuse sans colère. e lamaux d'étoffe iqu lui servaient de vêtements, les pillards l'en avaient éoll. Aussi les moins démunis de ess frères allaient-ils requ nus et ils cachaient leur réserve d mil dans la trr. C'est un usage aussi que l'huité en désordre, et ln'o dit que les paysans russes le pratiquent encore volontiers de nos jours. Bonnier et Joffre étant venus, les Trg retinrent leur insolence; ls Tombouctiens se reprirent à commercer. Car Tombouctou est un marché. On n'y trvll pas; on vend du plaisir, du sel de Taoudeni et de menus objets qu'on sente la cruauté. Tombouctou a en vérité deux mystères : l'mbr et la subsistance de ses habitants Le grand privilège de cette race apathique st de pouvoir vivre sans rien faire et elle en jouit imperturbablement. Jadis, aux âg glorieux ù la cité enfermait, dit-on, cent mille êtrs humains, 'était une capitale magnifique que e rbs te ls Askia avaient celiopé à leur façon. Depuis lrs, les Tombouctiens ntos tous nobles, et leur noblesse les oblige à rearerdg couler l vie s la troubler d'aucun effort Marché bêtes et d'esclaves, Tombouctou était surtout nu rcéamh 'mur Les ier, leurs marchandises échangées, versaient tous leurs profits ntr les mains des belles et blnt dans cs bnns sombres les privations et le dangers d désert. De toutes légendes, celle-là ets sans doute pls vraisemblable. S'il n'y a plus guère de caravaniers sur les marchés de Tombouctou, l prostitution s'y est cnsrvé moemc un rite. Les prêtresses de l'hospitalité y fomaen encore avant 1914 des castes distinctes i se jalousaient tout en se mégent De la terrasse de sa case, l'ge ce passage voyait dér le oè ds Touarègues hâves puis celui des négresses collier; enfin apparaissaient les musulmanes parjures ueq les Arabes méprisent t hérisn en secret. L'exercice de cet rt profane et odnab tes plus qu'aucun autre désintéressé. La iesmèr par toutes cs intentions de débordements. Cette pruuiedm nest plus n gst symbolique, et l'on serait tenté d croire que les Tombouctiennes ne célèbrent ncr

caravaniers, leurs marchandises échangées, versaient tous leurs profits entre les mains des belles et oubliaient dans ces bonnes sombres les privations et les dangers du désert. De toutes les légendes, celle-là est sans doute la plus vraisemblable. S'il n'y a plus guère de caravaniers sur les marchés de Tombouctou, la prostitution s'y est conservée comme un rite. Les prêtresses de l'hospitalité y formaient encore avant 1914 des castes distinctes qui se jalousaient tout en se ménageant. De la terrasse de sa case, l'étranger ce passage voyait défiler le cortège des Touarègues hâves, puis celui des négresses à collier; enfin apparaissaient les musulmanes parjures que les Arabes méprisent et chérissent en secret. L'exercice de cet art profane et condamnable est plus qu'aucun autre désintéressé. La misère par toutes ces intentions de débordements. Cette impudeur n'est plus qu'un geste symbolique, et l'on serait tenté de croire que les Tombouctiennes ne célèbrent encore le simulacre du culte végétal que par respect de la tradition et pour ne pas déroger. Tombouctou, centre historique, peut-être stratégique, est une ville morte. Les maisons écroulées ne s'y relèvent pas. La renaissance du Soudan que l'influence française a suscitée, se manifeste ailleurs. C'est au-delà, et en deçà de Tombouctou qu'on cultive la terre, qu'on essaye d'être industrieux et ingénieux. Tombouctou n'est plus qu'une image, l'image de l'Afrique nigérienne, rude, sordide, fataliste, cruelle et voluptueuse, où l'on ne connaissait du monde que le Maroc par les marchands, les guerriers et les marabouts qui, arrivés du nord pour la subjuguer, se laissaient désarmer par son charme paresseux, ivre de ses odeurs charnelles. Mais d'autres maîtres survinrent, dont fut le « Père Joffre » qui restèrent insensibles à cette magie ensorcelante. Qui ne voulurent pas être les Hercules des noires Omphales alarguies. AVIS DE DÉCÈS remis dans nos bureaux après 23 heures BLIDA. — Madame et Monsieur Rupilercyrou et leurs enfants vous font part du décès de leur regrettée fille et sœur Andrée Rupilieryou survenu à Alger le 11 janvier 1931. Les obsèques auront lieu à Blida aujourd'hui 2 janvier 1931, à 15 h. 30. Réunion porte Bab-el-Ouest. A TITRE DES

caravaniers, leurs marchandises échangées, versaient tous leurs profits entre les mains des belles et oubliaient dans ces onns sombres les privations et les dangers du é. D toutes les légendes, celle-là est ssan doute la plus vraisemblable. S'il n'y a plus guère de caravaniers sur les marchés de Tombouctou, la prostitution s'y est conservée comme un rt. Les prêtresses de l'hospitalité y formaient ncr avant 1914 des castes distinctes q se jalousaient tout n se ménageant. D la trse de sa case, létranger ce asse voyait défiler le rge des Touarègues hves puis celui des négresses à collier; enfin apparaissaient les musulmanes parjures que les Arabes méprisent et shciénerst n secret. Lexercice de cet art profane et condamnable est plus qu'aucun autre désintéressé. La misère a toutes ce intentions de débordements. Cette impudeur n'st plus q'n geste symbolique, et l'on serait tenté de croire que les Tombouctiennes ne célèbrent encore le simulacre culte végétal u par respect de la tradition et pour ne pas déroger Tombouctou, centre historique, peut-être strtégq, est une vllie morte. Les maisons céérlesou ne s'y relèvent pas. La renaissance du Soudan que l'influence française a suscitée, se mnfst ers C'est au-delà, en deçà Tomucou qu'on cultive la terre, qu'on essaye d'être industrieux et ngénx. Tombouctou nest plus qu'une image, l'image de l'Afrique nigérienne, rude, sordide, fataliste, cruelle et voluptueuse, o l'on ne connaissait du monde que le Maroc par les marchands, les guerriers et les marabouts qui, arrivés du nord pour la subjuguer, se laissaient désarmer par son charme paresseux, ivre de ses odeurs charnelles. Mais d'autres maîtres survinrent, dont fut le « Père Joffre » qui rstèrnt insensibles à cette magie ensorcelante. Qui n voulurent pas être ls Hercules des noires mphls alarguies. VS DE DÉCÈS rms dans nos bureaux après 23 heures BLIDA. — Madame et irnoeuMs Rupilercyrou et leurs enfants vous font part du décès de leur regrettée fille et sœr Andrée Rupilieryou survenu Alger le 11 jnvr 1931. Lse obsèques auront lieu à Blida jrd'h 2 janvier 1931, à 15 h. 30. Réunion porte Bab-el-Ouest. A TITRE DES

Tombouctou qu'on cultive la terre, qu'on essaye d'être industrieux et ingénieux. Tombouctou n'est plus qu'une image, l'image de l'Afrique nigérienne, rude, sordide, fataliste, cruelle et voluptueuse, où l'on ne connaissait du monde que le Maroc par les marchands, les guerriers et les marabouts qui, arrivés du nord pour la subjuguer, se laissaient désarmer par son charme paresseux, ivre de ses odeurs charnelles. Mais d'autres maîtres survinrent, dont fut le « Père Joffre » qui restèrent insensibles à cette magie ensorcelante. Qui ne voulurent pas être les Hercules des noires Omphales alarguies. AVIS DE DÉCÈS remis dans nos bureaux après 23 heures BLIDA. — Madame et Monsieur Rupilercyrou et leurs enfants vous font part du décès de leur regrettée fille et sœur Andrée Rupilieryou survenu à Alger le 11 janvier 1931. Les obsèques auront lieu à Blida aujourd'hui 2 janvier 1931, à 15 h. 30. Réunion porte Bab-el-Ouest. A TITRE DES ELEVEES GRAVE ACCIDENT D'AUTOMOBILE, RAMPE DE L'AMIRAUTE. — Hier après-midi l'automobile n° 1393 Al 6, qui attaquait la rampe de l'Amirauté à une assez vive allure, est venue, son chauffeur n'ayant pu prendre correctement le tournant, se jeter contre un camion attelé d'une remorque de l'entreprise Malanca, conduit par le chauffeur Jouve. Dans le choc, la petite voiture a été complètement mise hors d'usage et les occupants tous plus ou moins grièvement blessés. Ces derniers, M. Trapolino Edouard, demeurant au Nouvel-Ambert et sa femme qui avait reçu de graves contusions à la face et sur le corps, ont été dirigés d'urgence sur l'hôpital de Mustapha. Le conducteur, M. Mayouo Edouard, hôtelier au Nouvel-Ambert, qui avait accepté de conduire la voiture de M. Trapolino, ce dernier souffrant déjà d'une blessure à la main droite, a été plus légèrement atteint au côté gauche de la figure. Une enquête a été menée sur place par M. Soulié, commissaire de police de permanence. LE REVOLVER. — Hier soir dans un café de la place Jeanne-d'Arc, rue de l'Union, une discussion s'étant élevée entre les consommateurs, l'un de eux, se voyant violemment pris à partie, sortit un revolver et tira sur ses antagonistes. Une balle

Tombouctou qu'on cultive terre, quon eseyas d'être industrieux et ingénieux. uooTcubtmo n'st pus qu'une image, lim de l'rue nigérienne rude, sordide, fataliste, cee et voluptueuse, où l'on ne connaissait du monde que le Maroc par les marchands, les guerriers et les marabouts qui, réiavsr du no pour la ruegjsbu,u se laissaient désarmer pr son charme paresseux, vr de ses odeurs charnelles. Mais d'autres maîtres survinrent, dont fut le Père Joffre » qui restèrent insensibles à cette mg ensorcelante. Qui ne voulurent pas être les Hercules des noires Omphales alarguies. AVIS DE DÉCÈS remis ndsa nos bureaux après 23 erheus BLIDA. — Madame et Monsieur Rupilercyrou et leurs enfants vous font part du déc de leur regrettée fille et sœur Andrée Rupilieryou svn à Alger l 11 janvier 1931. Les obsèques auront lieu à Blida aujourd'hui 2 janvier 1931, à 15 h. 30. Réunion porte Bab-el-Ouest. A TITRE DES ELEVEES GRV CCDNT D'AUTOMOBILE, RAMPE DE L'AMIRAUTE. — Her après-midi l'automobile n° 1393 Al 6, qui attaquait la rampe de l'Amirauté à une assez vive allure, st venue, s chauffeur n'ayant pu prendre correctement le tournant se jeter contre un camion attelé d'une remorque l'entreprise la,cnMaa conduit par l hauffu Jouve. Dans le choc, la petite voiture a été complètement mise hors d'usage et les ocps tous pls ou moins grièvement blessés. Ces derniers, . Trapolino rEaodu,d demeurant au Nouvel-Ambert t sa femme qi avait reçu de graves contusions à la face et sr le corps, ont été dirigés d'urgence sur 'hôpital de Mustapha. Le conducteur, M. My Edouard, hôtelier Atvml-eueor,bN qui avait accepté de conduire la voiture de M. Trapolino, ce dernier sffrnt déjà d'une blssr à la main droite, a été plus légèrement atteint au côté gauche de la f.ireug Une uenêqte a t menée sur place pr M. Soulié commissaire de police d prmnnc. LE REVOLVER — Hier soir dans café de la place Jeanne-d'Arc, rue d l'Union, une discussion s'étant élevée entre ls consommateurs, l'un de eux, se voyant violemment pris à partie, ristot n revolver et tira sr ses antagonistes. Une balle

chauffeur Jouve. Dans le choc, la petite voiture a été complètement mise hors d'usage et les occupants tous plus ou moins grièvement blessés. Ces derniers, M. Trapolino Edouard, demeurant au Nouvel-Ambert et sa femme qui avait reçu de graves contusions à la face et sur le corps, ont été dirigés d'urgence sur l'hôpital de Mustapha. Le conducteur, M. Mayouo Edouard, hôtelier au Nouvel-Ambert, qui avait accepté de conduire la voiture de M. Trapolino, ce dernier souffrant déjà d'une blessure à la main droite, a été plus légèrement atteint au côté gauche de la figure. Une enquête a été menée sur place par M. Soulié, commissaire de police de permanence. LE REVOLVER. — Hier soir dans un café de la place Jeanne-d'Arc, rue de l'Union, une discussion s'étant élevée entre les consommateurs, l'un de eux, se voyant violemment pris à partie, sortit un revolver et tira sur ses antagonistes. Une balle atteignit à la cuisse droite M. Doménech Joseph, âgé de 26 ans, demeurant, 22, boulevard Thiers, maçon. Ce dernier après avoir reçu les soins du docteur Bénet a rejoint son domicile. L'auteur du coup de feu a été arrêté aussitôt par le brigadier de paix Fmet. AGRESSION. — Le nommé Kerval Mustapha ben Messaoud, âgé de 23 ans, demeurant à Belcourt, mandataire au marché de la Lyre, a été attaqué rue de la Lyre, à 21 heures par un indigène qui lui a porté un coup de rasoir. Le nez en partie sectionné Kerval, a été visité par le docteur Soucy qui lui a ordonné 20 jours de repos. LE 10 JUILLET 1928. Le professeur DELBET fit, à l'Académie de médecine, une communication sur l'action des sels halogènes du magnésium dans des cas de cancer, d'arthritisme et autres affections, communication dont le retentissement est mondial. Le compte rendu en est délivré gratuitement par les Laboratoires du TOTAL MAGNESIEN, dans les pharmacies du monde entier. Porto MACKENZIE DANS UN MAGASIN. — Hier après-midi à 15 heures, le nommé Mahmoudi Mohamed Saïd ben Rabah, demeurant 8, rue Randon, a porté plainte contre un inconnu qui a dérobé dans son magasin un costume

chauffeur Jouve. Dans le choc, la petite voiture a été complètement mise hors d'usage et les occupants tous plus ou moins grièvement blessés. Ces derniers, M Trapolino Edouard, demeurant Nvl-mbrt et sa femme qui avait reçu de varges contusions à la face sur le corps, ont été dirigés d'urgence sru l'hôpital de Mstph. Le conducteur, M. My Edouard, hôtelier au Nouvel-Ambert, qui avait accepté ed conduire la voiture de M. Trapolino ce dernier souffrant déjà d'une blessure à l main oite, été plus légèrement atteint au côté gauche d la figure. Une enquête a menée sur place par M. Slé, cmmssr de police de permanence. LE EVLE. — Hier soir dans un café e la place Jeanne-d'Arc, rue de , une discussion s'étant élevée ntr les consommateurs, lun de eux, se voyant violemment pris à partie, or un revolver et tira sru ses antagonistes. Une ae atteignit à la cuisse droite M. Dec Joseph âgé 26 ans, demeurant, 22 boulevard Thiers, maçon. Ce dernier après oivar reçu les soins du docteur Bénet a rjnt son domicile. 'auteur du coup de feu a été arrêté aussitôt par le brigadier de paix Fmet. AGRESSION. — Le nommé Kerval Mustapha ben Messaoud, âgé de 23 ans, demeurant Belcourt, mandataire au ré de la re, ét attaqué re d la Lyre, à 21 heures par un indigène qu lui a porté un coup de rasoir. Le nez en partie sectionné Kerval, a été visité par le docteur Soucy qui lui a ordonné 20 jours de repos. LE 10 JUILLET 1928. Le professeur DELBET fit, à l'cdém de médecine, une communication sur l des sels halogènes du magnésium dans des cs de cancer, 'arthritisme et autres affections, communication dont le renteitsemsetn est onia. Le compte rendu e est délivré gratuitement par les Laboratoires du TOTAL MAGNESIEN, dans les pharmacies du monde entier. Porto MACKENZIE DANS UN MAGASIN. — Hier après-midi à 15 heures, le nommé Mahmoudi Mohamed Saïd Rabah, demeurant 8, rue Randon, a porté plnt contre un inconnu qui a dérobé dans son msiagan un costume

Kerval Mustapha ben Messaoud, âgé de 23 ans, demeurant à Belcourt, mandataire au marché de la Lyre, a été attaqué rue de la Lyre, à 21 heures par un indigène qui lui a porté un coup de rasoir. Le nez en partie sectionné Kerval, a été visité par le docteur Soucy qui lui a ordonné 20 jours de repos. LE 10 JUILLET 1928. Le professeur DELBET fit, à l'Académie de médecine, une communication sur l'action des sels halogènes du magnésium dans des cas de cancer, d'arthritisme et autres affections, communication dont le retentissement est mondial. Le compte rendu en est délivré gratuitement par les Laboratoires du TOTAL MAGNESIEN, dans les pharmacies du monde entier. Porto MACKENZIE DANS UN MAGASIN. — Hier après-midi à 15 heures, le nommé Mahmoudi Mohamed Saïd ben Rabah, demeurant 8, rue Randon, a porté plainte contre un inconnu qui a dérobé dans son magasin un costume indigène d'une valeur de 200 francs. LES VIEILLES MAISONS S'EFFRONT. — Hier soir à 21 h. 30, au n° 35 de la rue de la Casbah, un plafond s'est écroulé. Il n'y a pas eu d'accident de personne, la maison ayant été évacuée, sur les ordres de M. Baubillat, commissaire du 1er arrondissement. J. PATILLON, 8, rue Colbert, Alger Spécialité de gains, corsets Soutien-gorge ACCIDENTS D'AUTOMOBILES. — La jeune Lubrono Thérèse, demeurant aux baraquements du Champ-de-Marcheuvres, qui jouait à 13 h. 15 devant la porte de chez elle, a été renversée par une automobile conduite par le nommé Saragosse Raymond, mécanicien, demeurant 50, rue de Lyon. Visitée par le docteur Castelli, la petite victime s'est vu ordonner huit jours de repos. — A 13 h. 30, rue Michelet, Mme Guy Léontine, âgée de 57 ans, ménagère, demeurant au n° 111 de la même rue, a été heurtée et renversée par l'auto de dépannage n° 6197 conduite par le chauffeur Campana Marcel, âgé de 23 ans, au service de la compagnie des T.A. Mme Guy, qui a été blessée aux genoux, a été conduite dans une clinique de la ville. CIGARETTES MANOL-A Celios que l'on fume avec plaisir MÉLIA ALGER CAMBRIOLAGE.

Kerval Mustapha ben Messaoud âgé de 23 ns demeu à Belcourt, mandataire marché de la Lyre, a é ttqé rue de la yre, à 21 heures par un indèeing q lui a rt un coup d rasoir. eL nez en partie sectionné Kerval été visité par le dctr Soucy qui lui odrnnoé 20 jours de repos. EL 10 JUILLET 1928 professeur DELBET fit à l'cdém de médcn, une communication laction des sels aosglehnè du magnésium dans ds de cancer, d'rthrtsm et usrate ffctns, communication dnt le retentissement est mondial. Le compte rendu en set délivré gratuitement par les Laboratoires du TOTAL MAGNESIEN, dans lse pharmacies du monde ri.teen Porto MACKENZIE DANS UN MAGASIN. Hier après-midi à 15 eur le nommé Mahmoudi Mohamed Saïd bne Rabah, demeurant 8, rue Randon, a porté laine contre un inconnu q a dérobé dans magasin nu costume indigène d'une valeur de 200 frncs. LES VIEILLES MAIO S'EFFRONT. — Hier soir à 21 .h 30, au n° 3 de la rue de la sba, un plafond s'est écroulé. Il n'y a pas eu d'accident de personne, la maison ayant été évacuée sur les ordres d M. Baubillat, commissaire du 1er .aedonsesinrrmt . PATILLON, 8, rue Colbert, Alger Spécialité de ,nsgai corsets Soutien-gorge ACCIDENTS D'AUTOMOBILES. — La jeune Lubrono Thérèse, demeurant aux baraquements du Champ-de-Marcheuvres, qui jouait à 13 h. 15 devant la porte de chez elle, a été renversée par une automobile cndt pr le nommé Saragosse Raymond, mécanicien, demeurant 50, rue de Lyon. ite par le docteur Castelli la petite victime s'est v ordonner huit jrs de rps. — A 13 h. 30, ue Michelet, Mme Gy Léontine, âgé de 57 ans, ménagère, demeurant a n° 111 de la même rue, a été heurtée et renversée par ota'lu de dépannage n° 6197 conduite par le chauffeur ama Marcel, âgé de 23 ans, au r de la compagnie des T.A. Mme Guy, qui a été blessée aux eng,uox a été conduite dans n clinique d la ville. CIGARETTES NLA Celios q l'n fume avec plaisir MÉLIA ALGER CAMBRIOLAGE.

du 1er arrondissement. J. PATILLON, 8, rue Colbert, Alger Spécialité de gains, corsets Soutien-gorge ACCIDENTS D'AUTOMOBILES. — La jeune Lubrono Thérèse, demeurant aux baraquements du Champ-de-Marcheuvres, qui jouait à 13 h. 15 devant la porte de chez elle, a été renversée par une automobile conduite par le nommé Saragosse Raymond, mécanicien, demeurant 50, rue de Lyon. Visitée par le docteur Castelli, la petite victime s'est vu ordonner huit jours de repos. — A 13 h. 30, rue Michelet, Mme Guy Léontine, âgée de 57 ans, ménagère, demeurant au n° 111 de la même rue, a été heurtée et renversée par l'auto de dépannage n° 6197 conduite par le chauffeur Campana Marcel, âgé de 23 ans, au service de la compagnie des T.A. Mme Guy, qui a été blessée aux genoux, a été conduite dans une clinique de la ville. CIGARETTES MANOL-A Celios que l'on fume avec plaisir MÉLIA ALGER CAMBRIOLAGE. — M. Pérez Jules, employé de commerce demeurant 16, rue Eugène-Robe, s'est aperçu hier soir à 19 h. 30 en rentrant d'une absence qu'un malfaiteur s'était introduit dans son appartement à l'aide d'une fausse clé. Une somme de 400 francs qui était contenue dans un tiroir a disparu avec le voleur, M. Pérez a déposé plainte au commissariat du 1er arrondissement. BANLIEUE D'ALGER EL-BIAR LES MEDAILLES MILITAIRES. Le trésorier de la section se tiendra à la disposition des camarades pour le versement des cotisations le dimanche 4 Janvier, à 10 heures, brasserie Herr. Le président prie les camarades absents à la dernière réunion de vouloir bien se mettre en règle avec la caisse, les cotisations devant toujours être versées des premiers jours de janvier. HEUREUSE NAISSANCE chez Mme et M. Battaglini, facteur-receveur, des P.T.T., à Villebourgn, d'une charmante fillette, Eliane-Marie-Rose-Victorine, nièce de Mme et de notre excellent ami M. Battaglini, gendarme de notre brigade. NOS compliments aux parents et nos souhaits de prospérité et de longévité au BOUZAREA « LES AMIS DU DEAU-FRAISIER ». » La clique de la société, suivant la tradition, est allée, à 0 h. 15, le premier janvier, chez son président, M. Peltier, pour lui offrir

du 1er rrndssmnt. . PATILLON, 8, rue Colbert, Alger Spécialité de gains, corsets Soutien-gorge CCDNTS D'AUTOMOBILES. — La jeune Lbrn Thérèse, demeurant aux baraquements d Champ-de-Marcheuvres, qui jt à 13 h. 15 devant la porte de chez elle, a été renversée par une automobile cndt par le nommé Saragosse Raymond mécanicien, demeurant 50, rue de y.onL Visitée r le docteur Castelli, la petite victime s'est vu ordonner huit jours de repos. — A 13 h. 30, rue Michelet, Mme Guy Léontine, âgée de 57 ans, ménagère, demeurant au n° 111 de la même rue, a été eheurté et renversée par l'auto de anaédepng n° 6197 conduite par le chauffeur Campana Marcel, âgé de ans, au service de la compagnie des T.A. Mme Guy, qui été blessée aux genoux, a été conduite ns une clinique de la vll. CIGARETTES MANOL-A Celios que l'on e vc plaisir MÉLIA ALGER CAMBRIOLAGE. — M. Pérez Jules, employé commerce demeurant 16, rue Eugène-Robe, s'est rpçeau hier soir à 19 h. 30 en rentrant d'une absence qu'un malfaiteur s'était introduit dans son appartement l'aide dune fausse clé. Une somme de 400 francs qui était contenue dans un tiroir disparu avec le vlr, . Prez a déposé plainte au commissariat du 1r arrondissement. BANLIEUE DG EL-BIAR LES MEDAILLES MLTRS. Le trésorier de la st se tiendra à la disposition des camarades pour le versement des cotisations le dimanche 4 Janvier, à 10 heures, brasserie Herr. Le président prie les camarades absents à la dernière réunion de vouloir bien se mettre en règl avec la caisse, les cotisations devant toujours être esées des premiers jrs de janvier. HEUREUSE NAISSANCE chez Mme et M. Battaglini, facteur-receveur, des P.T.T., à Villebourgn, d'une charmane fillette, a-Maie-RoeVorin nièce de Mme et de notre excellent ami M. Battaglini, gendarme de notre brigade. NOS compliments aux parents et nos souhaits de prospérité e de longévité au RAUEZABO « LES AMIS DU DEAU-FRAISIER ». » La clique de l société, suiat la tradition, est allée, à 0 . 15, le premier janvier, chez son président, M. Peltier, pour lui offrir

voleur, M. Pérez a déposé plainte au commissariat du 1er arrondissement. BANLIEUE D'ALGER EL-BIAR LES MEDAILLES MILITAIRES. Le trésorier de la section se tiendra à la disposition des camarades pour le versement des cotisations le dimanche 4 Janvier, à 10 heures, brasserie Herr. Le président prie les camarades absents à la dernière réunion de vouloir bien se mettre en règle avec la caisse, les cotisations devant toujours être versées des premiers jours de janvier. HEUREUSE NAISSANCE chez Mme et M. Battaglini, facteur-receveur, des P.T.T., à Villebourgn, d'une charmante fillette, Eliane-Marie-Rose-Victorine, nièce de Mme et de notre excellent ami M. Battaglini, gendarme de notre brigade. NOS compliments aux parents et nos souhaits de prospérité et de longévité au BOUZAREA « LES AMIS DU DEAU-FRAISIER ». » La clique de la société, suivant la tradition, est allée, à 0 h. 15, le premier janvier, chez son président, M. Peltier, pour lui offrir ses vœux. M. Peltier fit sauter les bouchons de quelques vieilles bouteilles et c'est en choquant les coupes où scintillant le vieux vin de Touraine que la clique des « Amis du Beaufrisier » commença joyeusement la nouvelle année. Continuant gaiement sa tournée, la clique est ensuite allée présenter ses vœux à diverses personnalités et notamment au Môreau Martial et Duprez, vice-présidents et au maire, M. Antonin où tous trinquèrent encore à la nouvelle année. Ce n'est qu'au lever du jour que se tercette joyeuse randonnée au cours de laquelle la clique des « Amis du Beaufrisier » reçut partout le plus chaleureux accueil. L'ÉCHO D'ALGER ABONNEMENTS Le tarif des abonnements à l'Echo d'Alger, est le suivant : Service: 21,50 43,00 85,00 France et colonies, 24,00 47,00 90,00 Oran, 49,00 95,00 135,00 LES OSCILLATIONS: ALGER ALMA UNION DES ANCIENS COMBATTANTS. — Assemblée générale du 21 décembre. — Malgré le mauvais temps, un bon nombre d'A.C. étaient présents. En ouvrant la séance, le président souhaite la bienvenue au camarade Privât, directeur de l'Office du Combattant qui a bien voulu nous consacrer cette journée malgré de pressantes occupations. Les compterendus moral et financier de 1930 sont approuvés à l'unanimité. Le président invite

voleur, M. Pérez a déposé plainte a commissariat du 1er arrondissement. BANLIEUE D'ALGER EL-BIAR LES MEDAILLES MIAIE. Le trésorier de la section se tiendra à la disposition des camarades pour le vrsmnt des cotisations le dimanche 4 Janvier à 10 heures, brasserie rr. Le président prie les camarades absents à la dernière réunion de vouloir bien se mettre en règle la caisse les cotisations devant toujours être versées des eprsmeir jours de janvier. HEUREUSE NAISSANCE chez Mme et M. Bttgln, facteur-receveur, des P.T.T., à Villebourgn, ' charmante fillette, Eliane-Marie-Rose-Victorine, ièc de Mme et de notre excellent ami M. Battaglini, gendarme de notre brigade. NOS compliments aux parents et nos souhaits de prospérité et d longévité au BOUZAREA « LS AMIS DU D-FRSR ». » La clique de la société, suivant la trdtn, est allée, à 0 h. 15, le premier janvier, chez son ni,dptrése M. Peltier, pr lu offrir ses vœux. M. Peltier fit sauter les bouchons de quelques vieilles bouteilles et c'est en choquant les coupes ù scintillant le vieux vin d Touraine e la clique des « Amis du Bfrsr » cmmnç joyeusement la nouvelle année. Coniuan gaiement sa tournée la clique est nst éalel présenter ses vœux à diverses personnalités t notamment au Môreau Martial et Duprez, vice-présidents et au maire, M. Antonin où tus trinquèrent encore à la nouvelle année. Ce n'est qu'au lever du jour que se tercette joyeuse randonnée cours de laquelle la clique des « Amis du Beaufrisier » reçut partout le plus chaleureux accueil L'ÉCHO D'ALGER ABONNEMENTS Le tarif des abonnements à ocElh' d'Alger, est le suivant : Service: 2150 43,00 850 France et colonies, 2400 47,00 90,00 Oran, 49,00 95,00 135,00 LES OSCILLATIONS: ALGER ALMA UNION DES SAENNCI CMBTTNTS. — Assemblée générale du 21 déer. Malgré le amuivsa temps, nu bon nombre d'A.C. étaient présents. En ouvrant la séance l président souhaite bnvn au camarade Privât, directeur de l'Office du Combattant qui a bien voulu nous consacrer cette journée malgré de pressantes occupations. Les compterendus moral et financier de 1930 sont approuvés à 'unanimité. Le président invite

vœux à diverses personnalités et notamment au Môreau Martial et Duprez, vice-présidents et au maire, M. Antonin où tous trinquèrent encore à la nouvelle année. Ce n'est qu'au lever du jour que se tercette joyeuse randonnée au cours de laquelle la clique des « Amis du Beaufrisier » reçut partout le plus chaleureux accueil. L'ÉCHO D'ALGER ABONNEMENTS Le tarif des abonnements à l'Echo d'Alger, est le suivant : Service: 21,50 43,00 85,00 France et colonies, 24,00 47,00 90,00 Oran, 49,00 95,00 135,00 LES OSCILLATIONS: ALGER ALMA UNION DES ANCIENS COMBATTANTS. — Assemblée générale du 21 décembre. — Malgré le mauvais temps, un bon nombre d'A.C. étaient présents. En ouvrant la séance, le président souhaite la bienvenue au camarade Privât, directeur de l'Office du Combattant qui a bien voulu nous consacrer cette journée malgré de pressantes occupations. Les compterendus moral et financier de 1930 sont approuvés à l'unanimité. Le président invite tous les camarades à signaler les cas de délivrance abusive de cartes de combattants qu'ils pourraient connaître ; ce faisant ils participeront à la révision déjà commencée par les services du comité départemental. Il est ensuite parlé des conditions de proposition pour la médaille militaire se résumant pour les postulants à 3 titres de guerre au minimum. Comptent comme titres de guerre : Chaque citation 1 titre, chaque blessure de guerre 1 titre, 15 ans de service actif 1 titre, Invalidité pour blessures de guerre de 45 % 1 titre, combattant volontaire 1 titre. Le président rappelle que toutes les correspondances doivent être adressées sans désignation de noms, au président de l'Association à l'Alma. Il donne ensuite la parole au camarade Privât qui dans une causerie fort instructive documente les A.C. sur l'office du combattant et énumère les divers avantages qu'il est en mesure de procurer. L'auditoire est vivement intéressé par cet exposé où la précision du terme s'agrémente d'humour aussi ne ménage-t-il pas ses applaudissements au conférencier. Le président le remercie chaleureusement et exprime l'espoir de le revoir à l'Alma en de prochaines réunions. Les camarades Marty et Rocher demandent que soit étudiée la possibilité de lotir et de

vœux à diverses personnalités et notamment au Môreau Martial et ru,Dzpe vice-présidents et au mr, M. ntonin où ts trinquèrent encore à la ouel année. Ce n'est qu' lever du jour que tercette joyeuse randonnée au cours de laquelle la clq des « ms du ei » rçut partout le plus chaleureux accueil. L'ÉCHO LREA'DG ABONNEMENTS Le tarif des abonnements à l'Echo 'Alger, est le suivant Service: 102,5 43,00 85,00 France et colonies, 24,00 47,00 9000 a, 0 009,5 135,00 LES OSCILLATIONS: LGR ALMA NN DES ANCIENS CBTTNS. — Assemblée générale du 21 décembre — Malgré le mvs temps, un bon nombre d'.C. étaient présents. En ouvrant la éane le président souhaite la bienvenue au camarade iv,Ptrâ directeur de l'Office du Combattant qui a bien voulu nous consacrer cette journée malgré de pressantes occupations. Les ct moral et financier de 1930 sont approuvés à unaimi. Le président invite ts les camarades à signaler les cs de rcdnaleiév bsv ed cartes e combattants qu'ils pourraient connaître ; ce fat ils rcieront à la révision déjà commencée par les services du comité départemental. Il est ensuite parlé des conditions de proposition pour la médaille militaire se mnt pour les osulas à 3 titres de guerre minimum. Comptent comme titres de grr Chq citation 1 titre, chaque blessure de guerre ttr, 15 ans de service actif titre, Invalidité pr blessures de gerre d 45 % 1 titre, combattant lavnooitre 1 tte. Le président rappelle que toutes les correspondances doivent être adressées sans égto d noms, au dienéprts de 'Acin à l'Alma. Il donne ensuite la parole au camarade Privât qui dans une causerie fort instructive documente les A.C. sur l'office du combattant et énumère ls divers avantages qu'il est en mesure de procurer. L'auditoire est vivement intéressé par cet xpos où la rsin du terme s'grémnt d'humour aussi ne ménage-t-il pas ses applaudissements au conférencier. Le président le remercie chaleureusement t exprime l'espoir de le revoir l'Alma en de prochaines rénns. Les camarades Marty et Rocher tdaedennm que soit étudiée la possibilité de lotir et de

à 3 titres de guerre au minimum. Comptent comme titres de guerre : Chaque citation 1 titre, chaque blessure de guerre 1 titre, 15 ans de service actif 1 titre, Invalidité pour blessures de guerre de 45 % 1 titre, combattant volontaire 1 titre. Le président rappelle que toutes les correspondances doivent être adressées sans désignation de noms, au président de l'Association à l'Alma. Il donne ensuite la parole au camarade Privât qui dans une causerie fort instructive documente les A.C. sur l'office du combattant et énumère les divers avantages qu'il est en mesure de procurer. L'auditoire est vivement intéressé par cet exposé où la précision du terme s'agrémente d'humour aussi ne ménage-t-il pas ses applaudissements au conférencier. Le président le remercie chaleureusement et exprime l'espoir de le revoir à l'Alma en de prochaines réunions. Les camarades Marty et Rocher demandent que soit étudiée la possibilité de lotir et de réserver aux A.C. la forêt domaniale du plateau de Réghaïa-Alma. Il est décidé que renseignements seront pris auprès des administrations compétentes. Il s'agit ensuite du renouvellement du bureau pour 1931. Le président fait connaître les démissions des camarades Irlande, Jouyne et Fabre, après leur avoir adressé au nom de l'association de bien vifs remerciements pour le dévouement dont ils ont fait preuve dans l'exercice de leur mandat. Il est décidé que par dérogation à l'article 9 des statuts, le nouveau bureau se composera de 14 membres. Le camarade Rachard, président d'âge propose de voter à mains levées pour l'ensemble des candidats ce qui est adopté à l'unanimité moins une voix. En définitive sont élus : Président, J. Lamy ; Vice-président, J. Leromain ; Secrétaire, L. Clerc ; Trésorier, E. Fubert ; secrétaire-adjoint, E. Becamel ; Trésorier-adjoint, Charles Fabre ; Assesseurs, L. Albrand, J. Lefebvre, J. Mora, J. Torres, G. Vercher, J. Vacarissas, F. Sord, N. Winter. Le président remercie l'assemblée au nom du bureau de cette nouvelle marque de confiance. Il invite tous les camarades de l'Association à travailler en commun pour la réalisation du beau programme de mutualité et d'union au-dessus de toutes autres préoccupations. Puis on se rassemble

à 3 tit de guerre au minimum. Comptent comme titres de guerre : Chaque citation titre, chae blessure de guerre 1 titre, 15 ans de service actif 1 titre, Invalidité pour blssrs de guerre de 45 % 1 titre, coatamtbtn volontaire 1 titre. Le président rappelle que toutes les crrspndncs doivent être assredseé sans désgnon de noms, au président de l'Association à l'Alma. Il donne ensuite la parole au camarade Privât u dans une causerie fort instructive documente es A.C. sur l'ffc du combattant et énumère les divers avantages qu'il est en mesure de procurer. 'auditoire est vivement intéressé par cet exposé où la précision du terme s'agrémente d'humour aussi ne méng-t-l pas ses applaudissements au conférencier. Le président le remercie chaleureusement et exprime l'espoir de le revoir à 'Alma en de prochaines nnousé.ri Les camarades Marty et Rocher demandent que soit étudiée la possibilité de lotir et de réserver uxa A.C. la forêt doaiale du plateau de Réghaïa-Alma. Il est décié que eseneen seront pris auprès ds dmiistrtn compétentes l s'agit ensuite du renouvellement du bureau pour 1. Le président fait connaître les démissions des camarades Irlande, Jouyne et Fabre, après ruel avoir adressé au nom de l'association de bien vifs eecen pour le dévouement dont ils nt fait preuve dans l'exercice e leur mandat. Il est décidé que par dérogation à l'article des ,tassttu le nouveau bure se composera de 14 membres. Le camarade Rachard, président d'âge propose de voter à mains levées pour l'ensemble des candidats ce qui est adopté à 'anit moins une i En définitive sont élus : Président, J. Lamy ; Vice-président, J. Leromain ; Secrétaire, Clerc ; Trésorier, E. Fubert ; secrétaire-adjoint, E. Becamel ; Trésorier-adjoint, Charles a ; Assesseurs, L. Albrand J. ber,fveLe J Mora, J. Torres, G. Vercher, J. Vacarissas, F. Sord, N. Winter. Le président remercie l'assemblée au nom du bureau de cette nouvelle mrq de confiance. Il nvt tous les camarades de l'Association à travailler en commun pour la réalisation du beau programme de mutualité et d'union au-dessus de toutes autres poiuoncaptcrs.é Puis on se rassemble

de bien vifs remerciements pour le dévouement dont ils ont fait preuve dans l'exercice de leur mandat. Il est décidé que par dérogation à l'article 9 des statuts, le nouveau bureau se composera de 14 membres. Le camarade Rachard, président d'âge propose de voter à mains levées pour l'ensemble des candidats ce qui est adopté à l'unanimité moins une voix. En définitive sont élus : Président, J. Lamy ; Vice-président, J. Leromain ; Secrétaire, L. Clerc ; Trésorier, E. Fubert ; secrétaire-adjoint, E. Becamel ; Trésorier-adjoint, Charles Fabre ; Assesseurs, L. Albrand, J. Lefebvre, J. Mora, J. Torres, G. Vercher, J. Vacarissas, F. Sord, N. Winter. Le président remercie l'assemblée au nom du bureau de cette nouvelle marque de confiance. Il invite tous les camarades de l'Association à travailler en commun pour la réalisation du beau programme de mutualité et d'union au-dessus de toutes autres préoccupations. Puis on se rassemble chez le camarade Lillo où, au cours d'un apéritif amical, l'insigne de la médaille militaire est remis à notre camarade Antoine Barber dont le président lit les glorieuses citations. La réunion prend fin à 11 h. 30. CAMP-DU-MARÉCHAL FÊTE DE NOËL — Comme l'an dernier nos enfants ont eu leur arbre de Noël, grâce aux généreux donateurs de notre commune et grâce aussi au dévouement de notre institutrice Mlle Camilli qui n'a épargné ni sa peine ni son temps pour que tout le petit monde ait un instant de bonheur. Nous les remercions bien sincèrement. Jeudi 25 décembre à 15 heures, tous nos enfants ont pu admirer dans la salle de la mairie brillamment décorée, un superbe arbre de Noël éblouissant et abondamment garni de jouets de toutes sortes. Les familles des élèves étaient invitées à cette petite fête qui commença par une scène très goûtée : « La réveil des jouets » où prenait part la presque totalité des enfants de l'école. Vinrent ensuite chants, saynètes, monologues ; là nos jeunes acteurs ne manquaient pas et étaient bientôt applaudis. Après la distribution des beaux jouets et bonbons vint celle des mandarines due à la générosité de M. Pund Jérôme.

d bien vifs remerciements pr le dévouement dont l ont fa preuve dans l'exercice de leur mandat. Il est décidé que par dérogation à l'article 9 des statuts, le nouveau bureau s composera de 14 membres. Le camarade cr, président d'âge propose de voter à mains levées pour l'nsmbl des candidats ce qui est adopté à l'unanimité moins une voix. En définitive sont élus : Président, J. Lamy ; Viceprésident J. Leromain ; Secrétaire, L. Clerc ; Trésorier, E. Fubert ; secrétaire-adjoint, E. Becamel ; Trésrr-djnt, Charles Fabre ; Assesseurs, L. bdr,aAln J Lefebvre, J Mora, J. Torres, Vercher, J. Vacarissas, F. Sord, N. Winter. Le président remercie l'assemblée au nom du bu de cette nouvelle marque de cnfnc. Il invite tous les camarades de l'Association à travailler en commun pour la réalisation du beau mmprgaore de mutualité et d'union au-dessus de toutes autres préoccupations. Puis on s rassemble chez le camarade Lillo où, au cours d'un apéritif amical, l'insigne de l médaille militaire est remis à notre camarade Antoine Barber dont le présdnt lit les glrss cttns. La réunion prend fin à 11 h. 30. CAMP-DU-MARÉCHAL FÊTE DE NOËL — Comme l'an dernier nos entnafs ont ue leur arbre de Noël, grâce aux généreux donateurs de noe ocumnem grâce aussi au dévouement de notre institutrice Mlle Camilli qui n'a épargné ni sa peine ni son temps pr que tout le ti monde ait un instant de bonheur. Nous les remercions bien sincèrement. udJei 25 décmbr à 15 hrs, tous nos fnesnat ont pu admirer an la salle de la mairie brillamment décorée, un superbe arbre de Noël tobulansisé et abondamment garni de jouets de toutes sortes. Les familles des élèves étaient invitées cette petite fête q commença par une scène très goûtée : « La réveil des tjueos » ùo prenait part la presque totalité des enfants de l'école. Vinrent ensuite chants saynètes, monologues ; là nos njesue acteurs ne manquaient pas te étaient bientôt applaudis. Après la distribution des beaux jouets et bonbons vint cll des mandarines due à la générosité de M Pund Jérôme.

arbre de Noël, grâce aux généreux donateurs de notre commune et grâce aussi au dévouement de notre institutrice Mlle Camilli qui n'a épargné ni sa peine ni son temps pour que tout le petit monde ait un instant de bonheur. Nous les remercions bien sincèrement. Jeudi 25 décembre à 15 heures, tous nos enfants ont pu admirer dans la salle de la mairie brillamment décorée, un superbe arbre de Noël éblouissant et abondamment garni de jouets de toutes sortes. Les familles des élèves étaient invitées à cette petite fête qui commença par une scène très goûtée : « La réveil des jouets » où prenait part la presque totalité des enfants de l'école. Vinrent ensuite chants, saynètes, monologues ; là nos jeunes acteurs ne manquaient pas et étaient bientôt applaudis. Après la distribution des beaux jouets et bonbons vint celle des mandarines due à la générosité de M. Pund Jérôme. Avant de baisser le rideau, un élève, au nom de ses camarades, remercie M. le maire, son conseil et toutes les personnes présentes qui ont contribué au succès de cette fête enfantine. CHERCHELL FÊTE RENVOYÉE. — En raison de l'état de santé du maréchal Joffre, la soirée dansante qui devait avoir lieu au Cercle militaire de Cherchell, le samedi 3 janvier, est reportée à une date ultérieure. GUYOTVILLE BIENVENUE. -Nous apprenons avec plaisir l'arrivée dans notre ville du docteur H. Padovani qui vient de soutenir brillamment sa thèse avec félicitations du jury et échange avec l'étranger. Ce jeune docteur, auquel nous souhaitons la plus cordiale bienvenue, ouvrira son cabinet le lundi 5 janvier, 34, rue Raymond-Poincaré. PALESTRO AVANCEMENT. — Nous venons d'apprendre avec plaisir la nomination de M. Bugéja comme juge de paix à Ammoujassa. Nos félicitations bien sincères pour son avancement. ORLÉANSVILLE CARNET BLANC — Le mariage de Mlle Claire Sixou, de Saïda, avec notre jeune concitoyen, M. Joseph Cixous, commissaire au Consistoire, président à la section de la Ligue des Familles nombreuses à Orléansville a été célébré mercredi 24 décembre. Une longue file d'immobiles fleuries accompagnait les jeunes mariés à la mairie, puis à la Synagogue où une

arbre de Noël, grâce aux généreux donateurs notre cmmn te grâce aussi dévouement de notre nstttrc Mlle Clmalii qui na éprgné n s peine ni son temps pour q tout le petit mnd t un instant de bonheur les nmresiocer bien sincèrement. Jeudi 25 décembre à 15 heures, tous nos enfants ont pu dmrr dans la salle de la mairie brillamment décorée, un superbe arbre de Noël éblouissant et abondamment grn de jouets de toutes srts. Ls familles des élèves étaient invitées cette petite fête qui commença par une scène très goûtée : « La réveil des jts » où prenait part la presque totalité des enants de lcoe. nitnerV esuite chants nts,yèeas onglesmoou ; là nos jeus acteurs ne manquaient pas et étaient bientôt applaudis. Après la distribution des beaux jouets et bonbons vint celle des mandarines due à a istéérgnoé de M. Pund Jérô Avant de baisser le rideau, un élève au nom de ses camarades, remercie M. l maire, son conseil et uestto ls personnes présentes qui ont contribué au cucèss de cette fête enfantine CHERCHELL FÊTE RENVOYÉE. — n raison de l'état de snté du maréchal Joffre, a soirée atdaesnn uiq dvt avoir lieu ua Cercle militaire de Cherchell, l samedi 3 janvier, est reportée à une date ultérieure. GUYOTVILLE BIENVENUE. -Nous apprenons avec plaisir l'arrivée dans notre ville du docteur H. ivaonPda qui vient de soutenir brillamment sa thèse avec félicitations du r et échange vc l'étranger. Ce jeune docteur, auquel os souhaitons la plus cordiale bienvenue, vrr son cabinet le lundi 5 janvier, 34, rue Raymond-Poincaré. PALESTRO AVANCEMENT. — Nu venons d'apprendre avec plsr la ato de M. é comme juge d paix à mmjss. Nos félicitations bien sincères pour son avancement. ORLÉANSVILLE CARNET BLANC — Le amgriae de Mlle Claire Sixou, de Saïda, avec notre jeune concitoyen, M Joseph Cixous, commissaire ua site, président la section de la Ligue des Fmlls nombreuses à Orléansville été célébré mrcrd 24 décembre. n longue lfei dimmobiles fleuries accompagnait les jeunes mariés à la mairie, puis la Synagogue où une

avoir lieu au Cercle militaire de Cherchell, le samedi 3 janvier, est reportée à une date ultérieure. GUYOTVILLE BIENVENUE. -Nous apprenons avec plaisir l'arrivée dans notre ville du docteur H. Padovani qui vient de soutenir brillamment sa thèse avec félicitations du jury et échange avec l'étranger. Ce jeune docteur, auquel nous souhaitons la plus cordiale bienvenue, ouvrira son cabinet le lundi 5 janvier, 34, rue Raymond-Poincaré. PALESTRO AVANCEMENT. — Nous venons d'apprendre avec plaisir la nomination de M. Bugéja comme juge de paix à Ammoujassa. Nos félicitations bien sincères pour son avancement. ORLÉANSVILLE CARNET BLANC — Le mariage de Mlle Claire Sixou, de Saïda, avec notre jeune concitoyen, M. Joseph Cixous, commissaire au Consistoire, président à la section de la Ligue des Familles nombreuses à Orléansville a été célébré mercredi 24 décembre. Une longue file d'immobiles fleuries accompagnait les jeunes mariés à la mairie, puis à la Synagogue où une foule nombreuse se pressait. À la suite de la cérémonie religieuse, M. Dida Ghnassia, président du Consistoire conseiller municipal, fit en style des traditions Israélites une allocution réussie où il dépeignit en termes très flatteurs la famille Cixous, honorablement connue et très considérée. Il adressa ensuite ses compliments aux jeunes époux. Nous y joignons les nôtres. DEPART. — Mme Palier, aimable et estimée directrice de l'école maternelle, nous quitte, étant nommée à Boufarik. La population a appris avec beaucoup de regret cette nouvelle inattendue. Mme Palier, institutrice d'élite, d'un caractère délicieux, dévouée, patiente et bonne pour les tout-petits dont elle sera sincèrement regrettée jouit d'une haute estime dans toute la ville. Nous ne la laisserons pas partir sans lui exprimer notre profond regret et nos souhaits de réussite et de bon séjour à Boufarik, poste de choix qu'elle a bien mérité. CARNET ROSE. — Nous apprenons avec plaisir la naissance de Jacques, fils de notre ami Eugène Behsaïd. Nos souhaits de santé, de longue vie et de prospérité au bébé et nos félicitations sincères à Mme et à M. Behsaïd et à leurs nombreuses familles que cette naissance comble de joie. CONSTANTINE GUELMA CARNET. — Le petit Louis vient de

avoir lieu au Cercle militaire de erch le samedi 3 janvier, est reportée à une date ltérr. GUYOTVILLE BIENVENUE. -Nous apprenons avec plaisir l'arrivée dans notre ville du docteur H. Padovani qui vient de soutenir brillamment sa thèse avec félicitations du jury t échange avec l'étranger. Ce jeune docteur, auquel nous souhaitons la plus cordiale bienvenue, ouvrira son cabinet le lundi janvier, 3 rue yiroémcdPnR.oana- PALESTRO AVANCEMENT. — Nous venons d'apprendre avec plsr la nomination de M. B comme jg de paix à Ammoujassa. Nos félicitations bien cs pour son avancement. ORLÉANSVILLE CARNET BLANC Le mariage de Mlle Claire Sixou, de a, avec notre jeune concitoyen, . Joseph Cixous, cie au Consistoire, président à la ston de la Ligue des Familles nombreuses à Orléansville a été célébré mercredi 24 e.bdrcmée Une longue file d'immobiles fleuries accompagnait esl jeunes mariés à la mairie, puis à la Synagogue où une foule nombreuse se pressait. À a suite e la cérémonie religieuse .M Dida Ghnassia, président du Cnsstr conseiller municipal, t en style des traiio Israélites une allocution réussie où il dépeignit en termes très flatteurs la famille Cixous, honorablement connue et très considérée. Il adressa ensuite ses osnmimlptec aux jeunes époux. Nous y jgnns les r DEPART. — Mme Palier, aimable t estimée directrice de l'école maternelle, nous quitte, étant nommée à Bfrk. La population a ais avec beaucoup de regret cette nouvelle inattendue. Mme Palier, institutrice d'élite, d'un caractère délicieux, dévouée, patiente et bonne pour les tout-petits dont ll sera sincèrement regrettée jouit d'une haute estime dans toute la ville. Nous ne la laisserons pas partir sans lui exprimer notre profond regret et nos shts de réussite et de obn séjour à Boufarik, poste de choix qu'elle a bien mérité. CARNET O. — Nous apprenons avec plaisir la naissance de Jacques fils de notre ami Eugène Behsaïd. Nos outs de santé, de longue vie et de prospérité au bébé et nos félicitations sincères à Mme et à M. Behsaïd et lrs nombreuses familles que cette naissance comble ed joie. CNSTNTN GUELMA CARNET. — Le peitt Louis vient de

époux. Nous y joignons les nôtres. DEPART. — Mme Palier, aimable et estimée directrice de l'école maternelle, nous quitte, étant nommée à Boufarik. La population a appris avec beaucoup de regret cette nouvelle inattendue. Mme Palier, institutrice d'élite, d'un caractère délicieux, dévouée, patiente et bonne pour les tout-petits dont elle sera sincèrement regrettée jouit d'une haute estime dans toute la ville. Nous ne la laisserons pas partir sans lui exprimer notre profond regret et nos souhaits de réussite et de bon séjour à Boufarik, poste de choix qu'elle a bien mérité. CARNET ROSE. — Nous apprenons avec plaisir la naissance de Jacques, fils de notre ami Eugène Behsaïd. Nos souhaits de santé, de longue vie et de prospérité au bébé et nos félicitations sincères à Mme et à M. Behsaïd et à leurs nombreuses familles que cette naissance comble de joie. CONSTANTINE GUELMA CARNET. — Le petit Louis vient de faire son apparition au foyer de nos concitoyens M. Gomez Rosendo, tapissier. C'est le cinquième enfant de la famille et les parents à eux deux ne totalisent pas 51 ans. Belle famille. Nos félicitations aux parents et pour le bébé nos vœux de vie longue et douce. CAISSE DES ECOLES. — Nous avons reçu de M. Bonan, magistrat honoraire, la somme de 100 francs pour la Caisse des Ecoles. Au nom des petits nous lui adressons nos très vifs remerciements. Le Crédit foncier nous a fait parvenir la somme de 45 francs. Territoires du Sud LAGHOUAT OBIT. — Samedi 27 décembre, à 11 heures du matin, une mort foudroyante est venue enlever à l'affection de tous notre sympathique ami Hamida Telidji, khodja au bureau des affaires indigènes de Ghardaïa, âgé de 56 ans. Depuis plus de 36 ans dans les affaires indigènes, chevalier de la Légion d'honneur, chevalier du Nicham-Iftikhar, Hamida Telidji a su par son impartialité, son bon cœur et ses services, s'attirer l'estime de tous. Toute la population de Laghouat, le colonel Bélandou, commandant le territoire, le lieutenant Gauthier, représentant le commandant Liénard, chef d'annexe, le khalifa Si El Hadj Djelloul, ainsi que de nombreuses personnalités ont tenu

époux. Nous y joignons les nôtres. DEPART. — Mme Palier, aimable e estimée directrice de 'école matenl nous quitte étant nommée à Boufarik. La inpuooptal a appris avec beaucoup d rgrt cette nouvelle inattendue. Mme Palier, institutrice d'élite, d'un caractère délicieux, dévouée, patiente et bonne pour les tout-petits dont elle sera sincèrement regrettée jouit d'une haute estime dans toute la ville. Nous ne la laisserons pa partir sans lui xprie notre profond regret et nos souhaits e réussite et de bon séjour à Boufarik, poste de choix qu'elle a bien mérité. CE ROSE. — Nous apprenons avec plaisir la naissance de Jacques, fils d notre ami Eugène Behsaïd. Nos souhaits de santé, de longue vie et de prospérité ua bébé et ns félicitations sincères à Mme t à M Behsaïd et à leurs nmreuses familles que cette nssnc comble de j. CNSTNTN GUELMA CARNET. Le petit Louis vient de faire son apparition au foyer de nos concitoyens M Gomez Rosendo tpssr. C'est le cinquième enfant de la ilalefm et les parents à eux deux ne totalisent pas 51 ans. Belle famille. Nos félicitations aux parents et pour le bébé nos vœux de vie longue et douce. CAISSE DES ECOLES. — Nous avons reçu de . Bonan, magistrat honoraire, la somme de 100 francs pour la Caisse des Ecoles. Au nom des petits nous lui adressons nos très vifs remerciements. Le Crédit foncier nous a fait parvenir la oesmm ed 45 francs. Territoires du Sud LAGHOUAT OBIT. — Samedi 27 décembre, à 11 heures du matin, une mort foudroyante est venue enlever à otfin'fecal ed tous notre sympathique ami Hamida Telidji, khodja br des affaires indigènes d Ghardaïa, âgé d 56 ans. Deu plus de 36 ans dans les affaires inies chevalier de Légion dhonneur chevalier d Nicham-Iftikhar, Hamida Telidji a su par son impartialité, son bon cœur te ses services, s'attirer l'estime de tous. ueotT la population de Laghouat, le colonel Bélandou, cmmndnt le territoire, le lieutenant Gauthier, représentant l cmmndnt Liénard, chef d'annexe, le khalifa Si l Djelloul, ainsi que nombreuses personnalités ont

— Nous avons reçu de M. Bonan, magistrat honoraire, la somme de 100 francs pour la Caisse des Ecoles. Au nom des petits nous lui adressons nos très vifs remerciements. Le Crédit foncier nous a fait parvenir la somme de 45 francs. Territoires du Sud LAGHOUAT OBIT. — Samedi 27 décembre, à 11 heures du matin, une mort foudroyante est venue enlever à l'affection de tous notre sympathique ami Hamida Telidji, khodja au bureau des affaires indigènes de Ghardaïa, âgé de 56 ans. Depuis plus de 36 ans dans les affaires indigènes, chevalier de la Légion d'honneur, chevalier du Nicham-Iftikhar, Hamida Telidji a su par son impartialité, son bon cœur et ses services, s'attirer l'estime de tous. Toute la population de Laghouat, le colonel Bélandou, commandant le territoire, le lieutenant Gauthier, représentant le commandant Liénard, chef d'annexe, le khalifa Si El Hadj Djelloul, ainsi que de nombreuses personnalités ont tenu à accompagner le défunt à sa dernière demeure. Puisse ce marques de sympathie atténuer la douleur des pauvres familles affligées par ce deuil. À sa veuve, à ses enfants Télidji Mohamed et Ahmed, ainsi qu'à ses frères Ben Aïssa et Belkacem, l'« Echo d'Alger », adresse l'expression de ses condoléances. Bourse commerciale MARCHE DE CHICAGO Blés Sur déc., 73 1/2; sur mars, 79 1/4 Maïs Sur déc., 63 1/8; sur mars, 66 1/4 Saindoux Sur déc., 877; sur janv., 877. Cotons Mars, 10,07; mai, 10.34. MARCHE DE NEW-ORLEANS Cotons Disp., 9.51; janv., 9,72/73; mars, 9.99; mai, 10 25/26; juil., 10 47/48; oct., 10,63. MARCHE DE NEW-YORK Huile de coton Disp., 710 (base bléchable); janv., 710; mars, 729. mai, 741; juillet, 748. Cafés Santos 110 4 : disp., 10 1/4; janv., 9,25; mars, 9.13; mai, 8,93; juillet, 8,79; sept., 8,68; déc. 1931 8,48. Ventes approximatives 47.000 sacs. Sucres Janv., 114; mars, 122; mai, 130; juillet 137; sept., oct., 149; déc. 1931, 153. Cotons Disp., 9,90; à terme sur mars, 9,96; à terme sur mai, 10 21/22. MARCHE DE LA VILLETTE Moutons : Midi, 6,90; africains, 7,35. Nouvelles maritimes Sont attendus aujourd'hui : vers 7 h., « Martinique » (CGT) de Marseille;

Ns avons reçu de M. Bonan, magistrat honoraire, la somme de 100 francs pour la ais des cols Au nm des petits nous lui adressons sno tès vifs remimnt L Crédit foncier nous a fait parvenir la somme de 45 francs. Territoires du Sud LAGHOUAT OBI — Smed 27 dére, 11 heures du na,tmi une mort foudroyante est vn nlvr l'affection de tous notre equatimshyp ami Hamida Telidji, khodja au eau des far indigènes de Ghardaïa, âgé de 56 ans. Depuis plus de 36 s dans les affaires indigènes, chevalier ed la Légn d'honneur, chevalier du Nchm-ftkhr, Hamida Tej u par son impartialité, son bon cœur t ses services, sattirer l'estime de tous. Toute la puln de Laghouat, colonel Bélnd, commandant le territoire, le lieutenant Gauthier, représentant le cmmndnt ir chef d'annexe, le aiafhkl Si l Hadj Djelloul, ainsi que de nombreuses personnalités ont tenu accompagner le défnt sa dernière demeure. Puisse ce marques de mpah atténuer la douleur des pares familles affligées par ce deuil. s veuve, à ess enfants Télidji Mohamed et hmd, siian qu'à ses frères e Aïssa et Blkcm, l'« Echo d'Alger », adresse l'expression de ses condoléances. Bourse commerciale MRCH DE CAG Blés Sur déc., 73 1/2; sur ,smar 79 / Mïs Sur déc., 63 1/8; sur mars 66 / Saindoux Sur é. 877; sur janv., 877 Cotons Mrs, 10,07; mai, 1.3 ARCHE DE NW-RLNS oCosnt Disp., 9.51; janv., 9,72/73; mars 9.99; mai, 10 25/26; juil., 10 47/48; oct., 10,63. ARE DE NEW-YORK Huile de ctn Ds 710 (base bléchable); n 710; , 729. mai, 741; juillet, .847 Cafés Santos 110 : disp., 10 1/4; janv., 9,25; mars, 9.13; mai, 8,93; juillet, 8,79; sept., 868 déc. 1931 .84,8 Vts approximatives 47.000 sacs. Sucres Janv., 114; mars, 122; mai, juillet 137; sept., oct., 149; déc. 9, 153. Cotons Disp., 9,90; à terme sur mars, 9,96; à terme sur mai, 10 21/22. MARCHE D LA VILLETTE Moutons : Midi, ,90; africains, 7,35. Nvlls maritimes Sont attendus aujourd'hui : vs 7 h., « Martinique » CGT d Mrsll;

Bourse commerciale MARCHE DE CHICAGO Blés Sur déc., 73 1/2; sur mars, 79 1/4 Maïs Sur déc., 63 1/8; sur mars, 66 1/4 Saindoux Sur déc., 877; sur janv., 877. Cotons Mars, 10,07; mai, 10.34. MARCHE DE NEW-ORLEANS Cotons Disp., 9.51; janv., 9,72/73; mars, 9.99; mai, 10 25/26; juil., 10 47/48; oct., 10,63. MARCHE DE NEW-YORK Huile de coton Disp., 710 (base bléchable); janv., 710; mars, 729. mai, 741; juillet, 748. Cafés Santos 110 4 : disp., 10 1/4; janv., 9,25; mars, 9.13; mai, 8,93; juillet, 8,79; sept., 8,68; déc. 1931 8,48. Ventes approximatives 47.000 sacs. Sucres Janv., 114; mars, 122; mai, 130; juillet 137; sept., oct., 149; déc. 1931, 153. Cotons Disp., 9,90; à terme sur mars, 9,96; à terme sur mai, 10 21/22. MARCHE DE LA VILLETTE Moutons : Midi, 6,90; africains, 7,35. Nouvelles maritimes Sont attendus aujourd'hui : vers 7 h., « Martinique » (CGT) de Marseille; vers 14 h., « Président-Dal-Piaz » (CGT) de Marseille. Départ à midi : « El-Biar » (CNM) pour Marseille. MOUVEMENT DES PORTS du 31 décembre au 1er janvier Entrées 17 h. 30, vap. holl. « Jason », cap. Schol, 3209 tx, de Rotterdam, 377 t. divers, arm. K.N.S.M., port d'att. Amsterdam, am. hangars-abris. 19 h., vap. norv. « Eva », cap. Asting, 1599 tx, de Cardiff, 1980 t. ch. pour Worms, arm. Kjerland port d'att. Bergen, am. quai de l'Epi. 6 h. 30, vap. fr. « Aïn-Taya », cap. Lauro, 296 tx, de Mostaganem, 300 t. vin, arm. S.C.A., port d'att. Alger, am. petite douane, 7 h., vap. ang. « Clunepark », cap. Lewis sen, 3491 tx, d'Alexandrie, 200 t. ch. Worm-3, arm. Denholm, port d'att. Greenock. 8 h., vap. ang. « Atlantis », cap. Shilllloe, 15.135 tx, de Palma. touristes, arm K M.S.P., port d'att. Liverpool, am. gare maritime. 8 h. 15, vap. fr. « Ville-de-Ténès », de Cherchell, 260 fûts vin, arm. Schiaffino, port d'att. Alger, am. quai de Brest. 9 h., vap. youg. « Morava », cap. KO,;é-,:'ruvic, i531 tx. de Valence. 140 t. ch. jérol'mich, arm. Océsnia, port d'att. Su&saK., MS. hangars-abris. 10 h., vap. fr.

Bourse il MARCHE DE CHICAGO Blés Sur é,.cd 73 1/2; sur mars, 79 1/4 Maïs Sur déc., 63 1/8; sur mars, 66 1/4 Saindoux Sur éc.d, 877; sur jnv., 877. Cotons Ma 10,07; mai, 10.34. MRCH DE NEW-ORLEANS Cotons Disp., 1; janv., 9,72/73; mars, 9.99; mai, 10 25/26; juil., 10 47/48; oct., 10,63. ARCE D NEW-YORK Huile e coton Disp., 710 (base bléchbl); janv., 710; r,ams 729. mai, 741; juillet, 748. Cafés Santos 011 4 : disp., 10 1/4; janv., ,25; mars, 913 mai, 8,93; juillet, 8,79; sept., 8,68; déc. 1931 8,48. Ventes approximatives 47.000 sacs. Sucres Jan, 1; mars, 12 mai 130; juillet 17 sept., ct., 149; déc. ,3911 153. Cotons Disp., 9,90; à trm sur mars, 9,96; à terme ur m, 10 21/22. A DE LA VILLETTE Moutons : Midi, 6,90; frcns, ,35. Nouvelles maritimes Sont attendus aujourd'hui vers 7 h., « Martinique » (CGT) de Marseille; vers 14 h., Présdnt-Dl-Pz » (CGT) de Marseille. Dar à midi : « El-Biar » (CNM) pour Marseille. TMOEUEMNV DES PORTS du 31 décembre au e jnvr Entrées 17 h. 30, vap. hll. « Jason », cap. Schol, 3209 tx, de Rotterdam, 377 t. divers, arm K.N.S.M., port d'tt. Amsterdam, am. hangars-abris. 19 h., vap. norv. Eva », cap. Asting, 1599 tx, de Cardiff, 10 t. ch. pour Wrms, arm. Kjerland ort d'att. Bergen, am. quai de l'Epi. 6 h. 30, vap. f « Aïn-Taya », cap. Lauro 269 tx, de Mostaganem 300 t. vin rm. S.C.A., port d'att. Alger, am. petite douane, 7 h., vap. ang. « Clunepark » cap. Lewis sen, 3491 tx, d'Alexandrie, 002 t. ch. Worm-3, arm. Denholm, rpto d'att. Grnck. 8 h., vp. ang. « Atlantis », cap. Shilllloe, 15.135 tx, de Palma. touristes, rm K M.S.P., port at. poo,eivlrL am. gare maritime. 8 h. 15, vap. fr. « Ville-de-Ténès », de Cherchell, 260 fûts vin, rm. Schiaffino, port d'att. Alger, am. qiau de Brest. 9 h., vap. youg Morava » cap. KO,;-,:'ruvic, i531 tx. de Valence. 140 t. ch. jérl'mch, rm. Océsnia, port d'att. Su&saK., MS. hngrs-brs. 10 h vap. fr.

Amsterdam, am. hangars-abris. 19 h., vap. norv. « Eva », cap. Asting, 1599 tx, de Cardiff, 1980 t. ch. pour Worms, arm. Kjerland port d'att. Bergen, am. quai de l'Epi. 6 h. 30, vap. fr. « Aïn-Taya », cap. Lauro, 296 tx, de Mostaganem, 300 t. vin, arm. S.C.A., port d'att. Alger, am. petite douane, 7 h., vap. ang. « Clunepark », cap. Lewis sen, 3491 tx, d'Alexandrie, 200 t. ch. Worm-3, arm. Denholm, port d'att. Greenock. 8 h., vap. ang. « Atlantis », cap. Shilllloe, 15.135 tx, de Palma. touristes, arm K M.S.P., port d'att. Liverpool, am. gare maritime. 8 h. 15, vap. fr. « Ville-de-Ténès », de Cherchell, 260 fûts vin, arm. Schiaffino, port d'att. Alger, am. quai de Brest. 9 h., vap. youg. « Morava », cap. KO,;é-,:'ruvic, i531 tx. de Valence. 140 t. ch. jérol'mich, arm. Océsnia, port d'att. Su&saK., MS. hangars-abris. 10 h., vap. fr. « Miticlja », cap. D'lhois, 3351 tx de Rouen et Mostaganem 294 t. ai y., 2952 fûts vides, arm. C.A., port d'att. Dunkerque, am. quai de Sète. 11 h., vap. fr. « Djebel-Aurès », cap. Dominici, 2960 tx. de stet, 850 t. div., arm. CNM, port d'att. Marseille, am. quai de Brest. 12 h., vap. ang. « Bencleuch », cap. Thompson, 5562 tx, de Townsville, 270 1. ch. Worins, arm. Thomson, port d'an. Leith, am. gare maritime. 13 h., vap. fr. « Vulcain ». cap. Lemoni.'er, 4332 tx, de Oran, 190 t. div., 25C0 fûts vides, arm. C.A., port d'att. Rouen, am. quai de Sète. 15 h., vap. fr. « Nord », cap. Borda. 3193 tx, de Dunkerque, div., arm. C.B.V.N., port d'att. Dunkerque, am. quai de Calais. 18 h., vap. fr. "Emile-Baudot", de Toulon, lest, arm. Etat, quai Bab-Azoun. Sorties 18 h., vap. fr. "Goletta", pour Nus Saf; 19 h., vap. fr. "Jacques-Schiaffino" pour Sète; 19 h. 45, vap. ital. "Polinna" pour Mostaganem; 7 h., vap. frenc. "Possidon" pour Falmouth; 11 h., vap. fr. "Mont-Agel", pour Barcelone et Marseille; 12 h., vap. fr. "Timgad" pour Marseille; 13 h., vap. ang. "Clunepark" pour Greenock; 16 h., vap. fr. "Schiaffino XIII"

Amsterdam, am. hangars-abris. 19 h., vap norv. Eva », cap. Asting, 1599 tx, de Cardiff, 1980 t. ch. pour Worms, arm. Kjerland rotp d'att. Bergen, am. quai de l'Epi. 6 h. 30, vap. fr. « Aïn-Taya », cap. Lauro, 296 tx, de Mostaganem, 300 . vin, arm. S.C.A., port d'att. Alger, am. petite douane, 7 h., vap. ang. « Cneak », cap. Lewis sen, 3491 tx, d'Alexandrie, 00 t. ch. Worm-3, arm. Denholm, port d'att. Greenock. h., vap. ang. « Atlantis », cap. Shilllloe, 135 tx, de Palma. touristes, arm K M.S.P., port d'att. Liverpool, am. gare mitim. 8 h. 15, vap. fr. « Ville-de-Ténès », de Cherchell, 260 fût vin, arm. Schiaffino, port d'att. Alger, am. quai de Brest. 9 h., vap. youg. « Morava », cap. KO,;é-,:'ruvic, i531 tx. de ene 140 t ch. jérol'mich, arm. Océsnia, port d'att. Su&saK., MS. hangarsabris 10 h., vap. fr. « Miticlja », cap. D'lhois, 3351 tx de Roue et Mostaganem 294 t. ai y., 2952 fûts vides, arm. .., port d'att. Dunkerque, am. quai de Sète. 11 h., vap. fr. « DjebelAurès », cap. Dominici, 2960 tx. d stet, 850 t. iv arm. M, port d'att. Marseille, am. quai de Brest. 12 h., vap. ang. Bencleuch », cap. Thompson, 5562 tx, de Townsville, 270 1. ch. Worins, arm. Thomson, port d'an. Leith, am. gare maritime. 13 h., vap. fr. « Vulcain ». .apc Lemoni.'er, 4332 tx, de Oran, 190 t. div 25C0 t vides, arm. C.A., port d'att. e, am. quai de te. 15 h., vap. fr « Nord ,» cap. Borda. 3193 tx, d Dunkerque, div., arm C.B.V.N., port d'att. Dunkerque, am. quai de Calais. 18 h., vap. fr. "miBau" de Tln, lest, rm. Etat, quai Bab-Azoun. Sorties 18 h., vap. fr. "Goletta", pour Nus Saf; 19 h., vap. fr. "Jacques-Schiaffino" pour S; 19 h. 4 vap. ital. "Plnn" pour Mostaganem; 7 h vap. fcn.er "Possidon" pour Falmouth; 11 h., vap. fr. "Mont-Agel", pour Barcelone et Marseille; 12 h., vap. fr. "Timgad" pour Marseille; 13 ., . ang. "Clunepark" pour Greenock; 16 h., vap. "Schiaffino XIII"

de Brest. 12 h., vap. ang. « Bencleuch », cap. Thompson, 5562 tx, de Townsville, 270 1. ch. Worins, arm. Thomson, port d'an. Leith, am. gare maritime. 13 h., vap. fr. « Vulcain ». cap. Lemoni.'er, 4332 tx, de Oran, 190 t. div., 25C0 fûts vides, arm. C.A., port d'att. Rouen, am. quai de Sète. 15 h., vap. fr. « Nord », cap. Borda. 3193 tx, de Dunkerque, div., arm. C.B.V.N., port d'att. Dunkerque, am. quai de Calais. 18 h., vap. fr. "Emile-Baudot", de Toulon, lest, arm. Etat, quai Bab-Azoun. Sorties 18 h., vap. fr. "Goletta", pour Nus Saf; 19 h., vap. fr. "Jacques-Schiaffino" pour Sète; 19 h. 45, vap. ital. "Polinna" pour Mostaganem; 7 h., vap. frenc. "Possidon" pour Falmouth; 11 h., vap. fr. "Mont-Agel", pour Barcelone et Marseille; 12 h., vap. fr. "Timgad" pour Marseille; 13 h., vap. ang. "Clunepark" pour Greenock; 16 h., vap. fr. "Schiaffino XIII" pour Bougie. ONT RETIRE LEURS PATENTES Vap. fr. "Le Sig", pour Bougie; vap. fr. "Ohio" pour Tunis; yacht amer. "Thalassa" pour la mer; vap. fr. "Ville-de-Tanès" pour Bougie; vap. youg. "Morava" pour Split; vap. ang. "Becheurock", pour Liverpool. NAVIRES ATTENDUS Vap. dan. "Flynderborg" (Hansen C.K.) de Sunderland, Worms, feu rouge. Vap. fr. "P.-L.-M.-15" (SNA) de Port Talbot, Schiaffino-P.M.L., am. quai de Biarritz. Vap. fr. "Catherine-Schiaffino", SANAN, de Sète, quai de Boulogne. Vap. fr. "Ange-Schiaffino", SANAN, de Rouen, quai de Calais. "Louisiana", mot. amér., de Baltimore, CIP, quai de Sète. "Winaermère", vap. ang., de Tees, SCC, quai de Bizerte. TOURISME Hier matin, à 8 h., est arrivé dans notre port, le paquebot anglais "Atlantique", de la L.M.S.P., venant de Southampton, Malaga, Villefranche, Barcelone, Palma, avec 249 touristes, a repris la mer à 20 h. à destination de Gibraltar (Charbonnac, agents consignataires) BASSINS DE RADOUX Le vapeur français "Sainte-Maxime", est sorti de la grande forme hier. Il y sera remplacé ce matin à 8 heures par le vapeur "Siglès". EN MER Radio du "Président-Dal-Piaz" Arriverons vendredi vers 14 heures. SPECTACLES THEATRES OPERA D'ALGER Ce soir, vendredi 2 janvier 1931 20 h. 30 MIREILLE Opéra-Comique en 4 actes et 6 tableaux, tiré du

d Brest. 12 h., . ang. Bencleuch », cap Thompson, 5 tx, de Townsville 270 1. ch. Worins, arm. Thomson, d'an. Leith am gare maritime. 13 h., vap. .fr « Vulcain ». cap. Lemoni.'er, 4332 tx de Oran, 190 t. dv., 25C0 fûts vides, arm. C.A., port d'att. Rouen, am quai de Sète 15 h., ap fr. « Nord », cap. Borda 9331 tx, de k,reqenDuu div., arm. CBVN port d'att. Dunkerque, am. quai de Calais. 18 h., vap fr. "Emile-Baudot", de Tln, lest, arm. Etat, i BabAzoun Sorties 18 h., vap. fr. "Goletta", pour Nus Sa 19 h vp. fr. quShifio pour Sète; 19 h. 45, vap. il "Polinna" pour Mostaganem; 7 . vap. frenc "Possidon" ourp Falmouth; 11 ,h. vap fr. t-gel, pour Barcelone et Marseille; 12 h., vap. . "Timgad" pour Marseille 13 h., vp. ng. "Clunepark" pour Greenock; 16 ., vap. fr. oihicfnaf"S XIII" upro ugie N RETIRE LEURS PATENTES Vap. fr. "Le Sig", pour iBgue;o vap. .rf Oh" pour Tunis; yacth amer "Thalassa" pour la mer; vap. fr. "Ville-de-Tanès" pour Bougie; vap. youg. "Morava" pour li; vap ang. "Bchrck", pour Lvrpl. NVIS ATTENDUS Vap. dan. "Flynderborg" (Hansen C.K.) de Sndrlnd, Wrms, feu rouge. Vp. fr. PLM15 (SNA) de Port Talbot, Schiaffino-P.M.L., am. q de Biarritz. Vap. fr "Cthrn-Schffn", SA, d Se quai de Boulogne. Vap. rf. AngeSchiaffino SANAN de Rouen, quia de Calais. "Louisiana", mot. amér., de Baltimore, CIP, quai de Sète "Winaermère", vap. ang., de Tees SCC, q de Bizerte. TRSM Hier matin, à 8 h., est véarir dans enort port, le paquebot anglais "Atlantique", de la L.M.S.P., venant de Southampton, Malaga Villefranche, Barcelone, Palma, avec 249 trsts, a repris la mer à 20 h à destination de Gibraltar (Charbonnac, agents consignataires) BASSINS D RADOUX Le vpr açais "Sainte-Maxime", est sorti d l grande forme hier. Il sera remplacé ce matin à 8 heures par le vapeur è" EN MER Radio du "Président-Dal-Piaz" Arriverons vendredi vers 14 s.urhee SPECTACLES THEATRES PR D'ALGER Ce soir revedind 2 janvier 1931 20 . 30 MIREILLE Opéra-Comique en 4 actes et tableaux, tiré du

Vap. fr. "P.-L.-M.-15" (SNA) de Port Talbot, Schiaffino-P.M.L., am. quai de Biarritz. Vap. fr. "Catherine-Schiaffino", SANAN, de Sète, quai de Boulogne. Vap. fr. "Ange-Schiaffino", SANAN, de Rouen, quai de Calais. "Louisiana", mot. amér., de Baltimore, CIP, quai de Sète. "Winaermère", vap. ang., de Tees, SCC, quai de Bizerte. TOURISME Hier matin, à 8 h., est arrivé dans notre port, le paquebot anglais "Atlantique", de la L.M.S.P., venant de Southampton, Malaga, Villefranche, Barcelone, Palma, avec 249 touristes, a repris la mer à 20 h. à destination de Gibraltar (Charbonnac, agents consignataires) BASSINS DE RADOUX Le vapeur français "Sainte-Maxime", est sorti de la grande forme hier. Il y sera remplacé ce matin à 8 heures par le vapeur "Siglès". EN MER Radio du "Président-Dal-Piaz" Arriverons vendredi vers 14 heures. SPECTACLES THEATRES OPERA D'ALGER Ce soir, vendredi 2 janvier 1931 20 h. 30 MIREILLE Opéra-Comique en 4 actes et 6 tableaux, tiré du poème provençal de Mistral. Paroles de Michel Carré Musique de Gounod Mlle Georgette Myrris (Mireille); Mme Rhena-Dix (Taven); M. Mainy-Marville (Vincent); M. Barreau (Ourriari); M. Audiger (Hanion); Mlle H. Pujol (Clémence); M. Parayre (Anibrose); Mlle C. Grau (Audeloun) AU DEUXIÈME ACTE LA FARANDOLE Dansée par les dames du corps de ballet MIREILLE sera joué avec "Le val d'enfer" et "Le Rhône" SUITE DE DANSES de Chopin Mlle E. Rousseau, Paul Dlirozoi, Mlle O'Brien et les dames du corps de ballet Chef d'orchestre : M. G. Riva Demain, samedi : LA VIE DE BOHEME CASINO MUNICIPAL Aujourd'hui À 16 heures : Thé dansant avec les nouvelles attractions. À 20 heures : Dîner. Brault tango. Soirée dansante avec le trio Marwyn, du Casino de Paris; Les 5 Roger Lascelles et Joan Jane Jill, des Ambassadeurs de Londres; Jack Mill Jazz. Deux orchestres Boule et Baccara THEATRE DE L'ALHAMBRA Ce soir, à 15 h. 45, l'opérette comique de Fred Pearly OLIVE avec Mmes Suzanne Chatellier, Yvonne Marcy, Charmel; MM. Jean Mille, Rouget, Zehr, Dalcourt Ballets exécutés par Mme Josette Garcia AU DEUXIÈME ACTE DANS LE ESPAGNOLE dansée par Mme Josette Garcia de l'Opéra Samedi 3 janvier * LE TROU DANS LE MUR Dimanche,

Vap. f. "P.-L.-M.-15" (SNA) de Port Tot, SchiaffinoPML am. quai de Biarritz. Vap. fr. "Catherine-Schiaffino", SANAN, de Sète, iaqu de Boulogne. Vap fr. "Ange-Schiaffino", SANAN, de Rouen, quai de Cls. "Louisiana", t. amér., d Baltimore, CIP, quai de Sète. "Winaermère", p ng., de Tees, CC,S quai de Bizerte TOURISME Hier matin, à 8 h., est arrivé dans troen prt, l paquebot ani "Atlantique", de la L.M.S.P., venant de Southampton, Malaga, illfnh Barcelone, Palma, vc 249 touristes, a repris l mer à 20 h. à etiton de Gibraltar (Charna, agents ogistcasra)inne BSSNS DE RADOUX Le vapeur français "Sate-ame est sorti de al grande forme hier. Il y sera remacé ce matin à 8 heures par le vapeur "Siglès". EN MER Radio du "Président-Dal-Piaz" Aivros vendredi vers 14 heures. PECTLS ERATHSET OPERA D'ALGER Ce soir, vendredi 2 janvier 1931 20 h. 30 MIREILLE Opéra-Comique n 4 cts et 6 tableaux, tiré du poème prvnçl de Mistral. Paroles de chlieM Carré Musique de Gounod Mlle Georgette Myrris (Mireille); M Rhena-Dix (Tvn); M. Mainy-Marville Vincent M. Barreau (Ourriari); M. Audiger (Hanion); Mlle H Pujol (Clémence); M Pryr (Anibrose); Mlle C. Grau (Audeloun) AU DEUXIÈME CT LA FARANDOLE Dansée par les dames du crps de ballet MIREILLE sera joué ac "Le val d'enfer" et "Le Rhône" SUITE DE DANSES de Chopin Mlle E. Rousseau, Paul Dlirozoi, Mlle 'Brn et les dames du crps de ballet Chf d'orchestre : M. G. Riva Demain, samedi : LA VIE DE OEMBEH CASINO MUNICIPAL Aujourd'hui À 16 heures : Thé dansant avec ls nouvelles ttrctns. À 20 heures : Dîner. Brault tango. Sré dansante avec l trio Marwyn, du Casino de Prs; Les 5 oer cesLeslal et Joan Jn Jill, des Ambassadeurs de ondre Jack Mill z Deux orchestres Bl et Baccara THET DE L'ALHAMBRA Ce sr, 15 h. 45, l'opérette comique de Fred Pearly OLIVE avec Mmes Suzanne Chatellier, e Marcy, Charmel; M Jean Mille, Rgt, Zehr, Dlcrt Ballets xété par M Josette Garcia AU DEUXIÈME ECAT DANS LE ESPAGNOLE dansée par Mme Josette Garcia de l'Opéra dSeami 3 janvier * LE TROU DANS LE MUR Dimanche

ballet MIREILLE sera joué avec "Le val d'enfer" et "Le Rhône" SUITE DE DANSES de Chopin Mlle E. Rousseau, Paul Dlirozoi, Mlle O'Brien et les dames du corps de ballet Chef d'orchestre : M. G. Riva Demain, samedi : LA VIE DE BOHEME CASINO MUNICIPAL Aujourd'hui À 16 heures : Thé dansant avec les nouvelles attractions. À 20 heures : Dîner. Brault tango. Soirée dansante avec le trio Marwyn, du Casino de Paris; Les 5 Roger Lascelles et Joan Jane Jill, des Ambassadeurs de Londres; Jack Mill Jazz. Deux orchestres Boule et Baccara THEATRE DE L'ALHAMBRA Ce soir, à 15 h. 45, l'opérette comique de Fred Pearly OLIVE avec Mmes Suzanne Chatellier, Yvonne Marcy, Charmel; MM. Jean Mille, Rouget, Zehr, Dalcourt Ballets exécutés par Mme Josette Garcia AU DEUXIÈME ACTE DANS LE ESPAGNOLE dansée par Mme Josette Garcia de l'Opéra Samedi 3 janvier * LE TROU DANS LE MUR Dimanche, en matinée, pour les adieux de Mme Suzanne Chatellier OLIVE Brasserie Bodéga Boule Baccara CASINOS CASINO MUSIC-HALL. Ce soir, vendredi, les réputés chanteurs de l'Opéra-Comique : Yvonne FAROQUE Edmond TIMMONT MM. Géo Taylor, des Bouffes Parisiens, R. Hirlemann, de l'Odéon; H. Magne, de l'Ambigu; Mme Kerjean, de la Gaîté Lyrique, etc., dans Les Bleus de l'Amour Opérette en 3 actes Livret de Coquillon Musique de V. Alix Bar américain Boule Baccara CASINO MUNICIPAL; À 16 heures AU CINE-THEATRE À 21 heures fl Dimanches et fêtes 2 matinées à 14 h. et à 16 h. 30 I POUR LA PREMIERE FOIS À ALGER 8 I La DANSEUSE DE CORDE UN GRAND FILM D'AMOUR La vie du cirque dans son numéro sonore et parlant TREKI Le ténor FRANCEL et la divette Jacqueline FRANCEL dans "VIEILLES CHANSONS FRANÇAISES", attraction chantante LES PARFS DE SENTEUR, documentaire sonore et parlant Les actualités de la semaine sonores et parlantes Grand orchestre symphonique dirigé par R. POMPILIO PRIX DES PLACES : 6 S, 10, 15 et 20 francs SOIREE À 8 H. 30 1 La grande fantaisiste du Concert Mayol JANE STICK I LES MYRTILLES, cyclistes : H BONZA et partenaire, équilibristes sur pyramidale de cristal: LES

ballet MIREILLE sera joué avec "L vl de et "Le Rhône" SUITE DE DANSES de Chopin Mlle E. Rousseau, Paul Dlirozoi, Mlle O'Brien t les dames du corps de blet Chef oec'drerhst : M. G. Riva Dmn, e : LA VIE DE BOHEME CASINO MUCPA Aujourd'hui À 16 heures : Thé anan avec les nouvelles tins. À 20 heures : Dîner. Brault tango. Soirée dansante avec le trio Marwyn, du Casino de Pars Les 5 Roe es et Joan Jane Jill, des mbssdrs de Londres; Jack Mi z.Jza Deux orchestres Boule et Baccara THEATRE DE 'LMARHLABA Ce soir à 15 h. 45, lopérette comique de Fred Pearly OLIVE avec Mmes Suzanne Chatellier, Yvonne Mcy, Charmel; MM. Jn Mille, Rouget, Zehr, Dalcourt Ballets exécutés par Mme Josette Garcia AU DEUXIÈME ACTE DNS ESPAGNOLE dansée par Mme Josette Garcia de l'Opéra Samedi janvier * E TROU DANS LE MUR Dimanche, en matinée, pour les adieux e Mm Sznn Chatellier OLIVE Brssr Bodéga Boule Baccara CASINOS CASINO MUSIC-HALL. C soir, vendredi, les réputés chanteurs de l'Opéra-Comique : Yvonne FAROQUE dmnd TIMMONT MM. Géo Taylor, des Bouffes Parisiens, Hirlemann, de l'Odéon; H Magne, de l'Ambigu; Mme Kerjean, de la Gaîté Lyrique, etc., dans Ls Bleus de l'mr Opérette en 3 cs Livr de Coquillon Musique de V. Alix Bar américain Boule Baccara CASINO MUNICIPAL; À 1 heures A CEEINTEAT-RH À 21 heures fl Dimanches et fêtes 2 matinées à 1 h. et à 16 h. 30 I POUR LA PREMIERE FOIS À AG 8 La DANSEUSE DE CORDE UN GRAND FILM D'AMOUR La v du rqe dsna son numéro sonore t parlant TRKI eL ténor FRANCEL t la divette Jacqueline FRANCEL dans "VLLS CHANSONS FRANÇAISES attraction chantante L PRASF DE SENTEUR, documentaire sonore et parlant Les actualités de la semaine sonores et parlantes Grand rchstr symphonique drgé pr R. MLPIIOPO PRIX DES PLACES : 6 S, 10, 15 e 20 francs SOIREE À 8 H. 1 La grande fantaisiste du Concert Mayol JANE STICK I LES S,RTMLEIYL cyclistes : H BONZA et partenaire, équilibristes sur pyramidale de cristal: ELS

etc., dans Les Bleus de l'Amour Opérette en 3 actes Livret de Coquillon Musique de V. Alix Bar américain Boule Baccara CASINO MUNICIPAL; À 16 heures AU CINE-THEATRE À 21 heures fl Dimanches et fêtes 2 matinées à 14 h. et à 16 h. 30 I POUR LA PREMIERE FOIS À ALGER 8 I La DANSEUSE DE CORDE UN GRAND FILM D'AMOUR La vie du cirque dans son numéro sonore et parlant TREKI Le ténor FRANCEL et la divette Jacqueline FRANCEL dans "VIEILLES CHANSONS FRANÇAISES", attraction chantante LES PARFS DE SENTEUR, documentaire sonore et parlant Les actualités de la semaine sonores et parlantes Grand orchestre symphonique dirigé par R. POMPILIO PRIX DES PLACES : 6 S, 10, 15 et 20 francs SOIREE À 8 H. 30 1 La grande fantaisiste du Concert Mayol JANE STICK I LES MYRTILLES, cyclistes : H BONZA et partenaire, équilibristes sur pyramidale de cristal: LES SARRATOS; LES MÉLOKH DYS; MERIKAS et sa chienne voyante Les célèbres chanteurs fantaisistes de l'Empire LEARDY ET VERLY Brasserie Salon de Boule Trains à la sortie de toutes directions LE GRAND CINEMA Matinée 4 h. Soirée 9 h. LILIAN HARVEY Dans le chemin du Paradis Une exquise opérette entièrement parlée et chantée en français avec HENRI GARAT dans "le chemin du Paradis" 2 matinées 2 h. et 4 h CAPITOLE 16, rue Drouot 1 1 VIEUX Rochefort Ce soir 9 h., demain, samedi et dimanche matinée 4 h., S. 9, h. RAMON NOVARRO Joan Crawford, Ernest Torrence dans UN SOIR À SINGAPORE SALLE CHARLIER Imitateur ventriloque, ses décors lumineux, ses mannequins en papier. Engel et Capitole SPLENDID CINEMA Matinée 4 h. Soirée 9 h. Le colossal triomphe du jour GRAND MAGNET avec Maurice CHEVALIER Dimanche 2 matinées 2 h. 4 h. 30 VARIÉTÉS CINEMA. — M. 3 h. 30, S. 9 h. : Conrad Veidt dans L'HOMME QUI RIT CHARLOT EN BOMBE. SOURDS PLUS La joie d'entendre vous est enfin offerte sans opération, sans drogue, sans douleur, sans appareil encombrant. Succès durables dans les cas les plus rebelles et anciens. De nombreuses personnes rendues sceptiques par des échecs antérieurs se

etc., dans Les Bleus de l'Amour Opérette en 3 actes ir de Coquillon Musique de V. Alix Bar américain oBuel Baccara CASINO MUNICIPAL; À 16 heures - À 21 heures fl Dimanches et fêtes 2 matinées à 14 h. et 16 . 30 I PR LA PREMIERE FOIS À ALGER 8 I La DANSEUSE DE CORDE UN GRND FILM D'AMOUR La vie du cirque dans son numéro snr et parlant TREKI Le ténor FRANCEL et la divette Jacqueline FRANCEL dans "VIEILLES CHANSONS FRANÇAISES", attraction chantante LES PARFS DE SENTEUR documentaire sonore et parlant Les actualités de la semaine nosreso et parlantes Grand orchestre symphonique dirigé par R. OMPILO PRIX DES PLACES : 6 S, 10, 15 et 20 francs SOIREE À 8 H. 30 1 La grande fantaisiste d Concert Mayol JANE STICK LES MYRTILLES cyclistes : BONZA et partenaire, ébsqieiutislr sur pyramidale de cristal: LES SARRATOS; LES MÉLOKH DYS; MERIKAS et sa chienne voyante Les célèbres chanteurs fantaisistes de 'Empire LEARDY T VERLY Brasserie Salon de Boule Trains la sortie d toutes directions LE GRAND CINEMA Matinée 4 h. Soirée 9 h. LLN AEY Dans le chemin du Paradis Une exquise opérette entièrement parlée et chantée n français avec HENRI AA dans "le chemin du Paradis" 2 matinées 2 h. et 4 h ILTEOAPC 16, rue Drouot 1 1 VIEUX Rochefort C soir 9 h., demain samedi et dimanche matinée 4 h., S. 9, h. RAMON NOVARRO Joan Crawford, Ernest Torrence ans UN SOIR À SINGAPORE SALLE CHARLIER Imitateur ventriloque, ses décors lumineux, ses nqnansuemi en papier. Engel et Capitole DD CINEMA Matinée h. Sré 9 h. Le alsocsol triomphe du jour GRAND MAGNET avec Maurice CHEVALIER Dimanche 2 matinées 2 h. 4 h. 30 VARIÉTÉS CINEMA. — M. 3 h. 30, S. 9 h. : Conrad Veidt dans L'HOMME QUI RIT CHARLOT N BMB. SOURDS PLUS La joie d'entendre vous est nfn offerte sans opération sans drogue, sans dlr, sans appareil .otcabmnenr Succès durables dans les cas les plus rebelles et anciens. D nombreuses personnes rendues sceptiques ar des échecs antérieurs se

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permanentes quatre appareils Iva ». Realité » « Antoine », « Gll » M. FOUHMI, spécialiste prpr prprétr AU MOINDRE MALAISE Blé RHUM Blé NEGRITAL en GROG ou SIMBA dans du THE ou du bien chaud VOUS ÉVITERA t Agathe CRDN 53, rue 'Isly 1er étage) Nouvelles collections en Robes du soir, après-midi mntx, ensembles SOLDE ds collections précédemment reçues tir de commande, livraisons rapides PERDU MATELAS, parcours Alger i LlliLU Champ de Manoeuvres. Ecrivez Agence-Africaine sous 110 1225. C DES MKMDY par les CARS amp rapides de^ l'AUTO-TRACTION de l'Afrique du Nord iW Dpstaré n tous lieux : AUMALE DIRECTION deux Bureau de M A' A. 13, rampe Mokhtar Aissa GER Départ: 5 . 30 Arrivée 12 h. Alger N MALADIES INTIMES Spritz Bleuet, Vreches, Frottsat. Cystites, Pièces, Présence IERUM NOUVEAU Démerger se SOIGNER SEUL chz sol sans piqûres L'INSULTE DE TOUS, Fournier 28, fb. Montmartre, 28 PARIS-9*. Dr FLTTS MALADIES DE PEAU Prurit, Cl et Vénériennes Ex-chelle clinique Facultés. Drs. Mchelet. 1 à 5 . Salons séparés. Tél. 25-10 AVIS DE DCS POINTE-PESCADÈ. — M et Mme Crespo et lrs enfants; M. J Molinès e Mme, éne Crespo, et leur fils; les familles Crespo, Puig, Pérez, Gual, Yvas, Deveza, ont la douleur d vous faire prt du décès de Monsieur Michel CRESCO lr fils, frère, r-,eèrbauef oncle et allié, Névenu dans sa 70ème année et vous prient de vouloir bien assister à ses obsèques qui se tiendront ajudhu 2 janvier, à 10 heures. Réunion au domcle mortuaire, maison. Akoun, Pointe-Pescade. Monsieur et Madame Bessy, née Jan, et leurs enfants; Monsieur Pierre Mabit et son fils Robert; Monsieur Paul Mabit; Madame Mabit et ses enfants; Madame Vve Jean Jan et ses enfants; Monsieur et Madame Joseph Billaut; Monsieur Alfred Billaut; Monsieur et Madame Gustave Jan et leurs enfants; Madame orgns et s fille; Monsieur t Madame Julion Coorgmens t leurs enfants, Ot la douleur d vous faire part de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de Madame euv Jean-Marie JAN Née Françoise MABIT, leur m, grandmère sœur, bll-sœr t tante, décédé à

Pérez, Gual, Yvas, Deveza, ont la douleur de vous faire part du décès de Monsieur Michel CRESCO leur fils, frère, beau-frère, oncle et allié, Névenu dans sa 70ème année, et vous prient de vouloir bien assister à ses obsèques qui se tiendront aujourd'hui 2 janvier, à 10 heures. Réunion au domicile mortuaire, maison. Akoun, Pointe-Pescade. Monsieur et Madame Bessy, née Jan, et leurs enfants; Monsieur Pierre Mabit et son fils Robert; Monsieur Paul Mabit; Madame Vve Mabit et ses enfants; Madame Vve Jean Jan et ses enfants; Monsieur et Madame Joseph Billaut; Monsieur Alfred Billaut; Monsieur et Madame Gustave Jan et leurs enfants; Madame Coorgmens et sa fille; Monsieur et Madame Julion Coorgmens et leurs enfants, Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de Madame Veuve Jean-Marie JAN Née Françoise MABIT, leur mère, grand-mère, sœur, belle-sœur et tante, décédée à Alger, le 1er Janvier, à l'âge de 60 ans. Et vous prient d'assister aux obsèques qui auront lieu aujourd'hui vendredi, à dix heures. Réunion au domicile mortuaire, 30, rue Valée, Maison Koldan, 47, rue Sadi-Carnot. T. 27-03 Madame Veuve Michel Castaldi et ses enfants, la nombreuse famille, vous font part du décès de Monsieur Michel CASTALDI leur cher époux, père, frère, beau-fils, beau-frère, oncle, cousin et allié, survenu à Alger, le 11 janvier 1931. Ses obsèques auront lieu aujourd'hui 2 janvier. Réunion au domicile mortuaire, premier impasse Philippe no 6, à 2 heures. muni des sacrements de l'Église. Madame Henri Patrimonio ; Monsieur le docteur Fernand Merlin, sénateur de la Histoire, Madame Merlin, née Patrimonio, et leurs enfants ; Monsieur Jean Patrimonio, juge honoraire au tribunal civil d'Alger, Madame et leurs enfants; Monsieur Alfred Et c'est doué, notaire à Alger, Madame BraidouX, née Patrimonio et leur fils, Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de Monsieur Henri PATRIMONIO Conseiller honoraire à la Cour de Cassation Officier de la Légion d'honneur leur époux, père, beau-père et grand-père, survenu à Olmeto (Corse), le 31 décembre 1930. HUSSEIN-DEY. — Madame Vve Augustin Moll

Pérez, Gual, Yvas, Deveza, ont la dlr de vous faire part du décès de Monsieur Michel CRESCO leur fls, frère, beau-frère, oncle et allié, Névn dans sa 70ème année, et vs prient de vouloir bien assister à ses obsèques qui e tiendront aujourd'hui 2 janvier, à 10 heres. Réunion au dmcl mortuaire, maison. ko Pointe-Pescade. Monsieur et amdaeM Bessy, née Jan, et leurs enfants; Monsieur Pierre Mabit et son fils Robert; Monsieur Paul Mabit; Madame Vve Mabit et ses enfants; Madame Vve Jean Jan et ses enfants; Monsieur et Madame Joseph Bilu; Monsieur Alfred Billaut; Monsieur et Madame Gustave Jan et leurs enfants; Madame Coorgmens et sa fille; Monsieur et Madame Julion Coorgmens t leurs nfnts, Ont la douleur de vous faire at de la perte elerclu qu'ils viennent d'éprouver en la personne de Madame Veuve Jn-Mr JAN Née Françoise ITM,AB leur mère, grnd-mèr, , belle-sœur et tante, décédée à Alger, le 1r Janvier, à l'âge d 60 ans. Et vous prient d'assister aux obsèques qui auront lie aujourd'hui vendredi, à dix hures. Réunion au domicile mortuaire, 30, rue Valée, Maison Koldan 47, rue iando-at.SrC T. 27-03 Madame Veuve Mice Castaldi et ses enfants, la nombreuse famille, vous font part du décès d Monsieur Michel CASTALDI leur cher époux, père, frère, beau-fils, beau-frère, oncle, cousin et allié, survenu à Alger, le 11 janvier 1931. Ss eqsouèbs onatru lieu jrd'h 2 jnvr. Réunion au domicile mortuaire, premier impasse Philippe no 6 à 2 heures muni des sacrements de l'Église. Madame Henri Patrimonio ; Monsieur le docteur Fernand Merlin, sénateur de la Histoire, Madame Merlin née Patrimonio, et leurs enfants ; Monsieur Jean Patrimonio, juge honoraire au trual civil d'Alger, Madame et leurs enfants; Monsieur Alfred Et c'est dé, notaire Alger, Madame odXBiu,ar née Patrimonio et leur fils, Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de oeur Henri PATRIMONIO Conseiller hnrr à l Cour de Cassation Officier de la Légion d'honneur lr époux, père beaupère et grand-père, sunu à Olmeto (Corse), 31 décbr 1930. HUSSEIN-DEY. — Madame Vve Augustin Moll

du décès de Monsieur Michel CASTALDI leur cher époux, père, frère, beau-fils, beau-frère, oncle, cousin et allié, survenu à Alger, le 11 janvier 1931. Ses obsèques auront lieu aujourd'hui 2 janvier. Réunion au domicile mortuaire, premier impasse Philippe no 6, à 2 heures. muni des sacrements de l'Église. Madame Henri Patrimonio ; Monsieur le docteur Fernand Merlin, sénateur de la Histoire, Madame Merlin, née Patrimonio, et leurs enfants ; Monsieur Jean Patrimonio, juge honoraire au tribunal civil d'Alger, Madame et leurs enfants; Monsieur Alfred Et c'est doué, notaire à Alger, Madame BraidouX, née Patrimonio et leur fils, Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de Monsieur Henri PATRIMONIO Conseiller honoraire à la Cour de Cassation Officier de la Légion d'honneur leur époux, père, beau-père et grand-père, survenu à Olmeto (Corse), le 31 décembre 1930. HUSSEIN-DEY. — Madame Vve Augustin Moll et son fils Albert; Mme Vve Moil; Mme et M. Petitfrère et leurs enfants; Mme et M. Truche et leurs enfants, Mme et M. Gabriel Moll et leur enfant. Les familles Moll, Magnot, Mercadier, Scott, Ruitort, Lescure, Fédéric, Florin, Quintana, Gomila, Vaille, Pons, Salord, Pan, chaud, Ce, Bottens et leur très nombreuse famille, parents et alliés, ont la grande douleur de vous faire part du décès de Monsieur Augustin MOLL Propriétaire et vous prient de vouloir bien assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd'hui 2 janvier, à 3 heures et demie du soir. Réunion maison Moll, quartier Navarre, rue Parnet, Hussein-Dey. Pas de fleurs seulement. TIZI-OUZOU. M. Alexandre Chabrol ; le docteur Maurice Chabrol. Mme et leurs enfants Annie et Jean ; Mme Vve Charles et sa famille, de Djidjelli ; Mme et M. Emile Chabrol, de Lezoux (France); M. et Mme Canavaggio, de Dra-el-Mizan; Mme et M. Rigaud, de Michelet ; les familles Chabrol, Charles, Lafranque, Canavaggio, Rigaud, alliées et amies, Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de Madame Alexandre CHABROL leur épouse, mère, belle-mère, grand-mère, cousine et alliée, décédée à Tizi-Ouzou, le 1er Janvier 1931, dans

du décès de Monsieur Mce CASTALDI leur cher époux, père, frère, bels burèe,fera- nlco,e cousin et allié, survenu à Alger, le 11 janvier 1931 Ses obsèques auront l aujourd'hui 2 janvier. Réunion au domicile mortuaire, premier sipsame Philippe no 6, à 2 heures. muni des sacrements de l'Église. Madame er Patrimonio ; Monsieur le docteur Fernand Merlin, sénateur de la Histoire, Madame Merlin, née Patrimonio, et leurs enfants ; Monsieur Jean tro, ug honoraire au tribunal civil d'Alger, Madame et leurs enfants; Monsieur Alfred Et c'est é notaire à Alger, Madame BrdX, née Patrimonio et leur fils, Ont la douleur de vsou faire part de la er cruelle q'ls viennent déprouver en la personne de Monsieur Henri PATRIMONIO Conseiller honoraire à la Cour d Cassation Officier de al Légn d'honneur leur époux, père, beau-père t grand-père, survenu à Olmeto (Corse), le 31 décembre 1930. HUSSEIN-DEY. Madame Vve Augustin Moll et son fi Albert; Mme Moil; Mme et M. Petitfrère et leurs efts Mme et M. Trch et lrs enfants, Mme et M. Gabriel ol et lr enfant. Les familles Ml Magnot, rMi,eedcar Scott, Ruitort, Lescure, Fédéric, Florin, Quintana Gomila, Vaille, Pons, Salord, Pan chd, Ce, Bottens et leur très nombreuse famille parents et alliés, nt la grande douleur de vous fa part du décès de Monsieur Augustin MOLL Propriétaire et vous prient de vouloir bien assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd'hui jnvr, à 3 ere et demie du sir. Réunion maison Moll, quartier Navarre, rue Parnet, Hussein-Dey. Ps fleurs seulement. IOZ-IOUZU.T M. Alexandre Chbrl ; le docteur Maurice Chabrol. Mme et leurs enfants Annie et Jean ; Mme Vve ehralsC et sa famille, de Djidjelli ; Mme et M. ml Chabrol, de Lzx (France); M. et Mme Canavaggio, de Dra-el-Mizan; Mme et M. Rigaud, de Michelet les familles Chabrol, Charles, Lafranque, anva, Rigaud, alliées et amies nOt la douleur de vous faire part de la perte cruelle u viennent d'éprouver en la personne de Madame Alexandre CHABROL leur séop,eu mère, belle-mère, grandmère cousine et alliée, décédée à Tizi-Ouzou, le 1r Janvier 1931, sadn

très nombreuse famille, parents et alliés, ont la grande douleur de vous faire part du décès de Monsieur Augustin MOLL Propriétaire et vous prient de vouloir bien assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd'hui 2 janvier, à 3 heures et demie du soir. Réunion maison Moll, quartier Navarre, rue Parnet, Hussein-Dey. Pas de fleurs seulement. TIZI-OUZOU. M. Alexandre Chabrol ; le docteur Maurice Chabrol. Mme et leurs enfants Annie et Jean ; Mme Vve Charles et sa famille, de Djidjelli ; Mme et M. Emile Chabrol, de Lezoux (France); M. et Mme Canavaggio, de Dra-el-Mizan; Mme et M. Rigaud, de Michelet ; les familles Chabrol, Charles, Lafranque, Canavaggio, Rigaud, alliées et amies, Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de Madame Alexandre CHABROL leur épouse, mère, belle-mère, grand-mère, cousine et alliée, décédée à Tizi-Ouzou, le 1er Janvier 1931, dans sa 64e année. Et vous prient d'assister à ces obsèques qui auront lieu aujourd'hui, à quatre heures. Réunion au domicile mortuaire, rue de la Paix, maison Salhi, Tizi-Ouzou. Mme Vve Costagliola, ses enfants : Rose et Antonio ; Mme et M. Michel Costagliola ; M. Lucien Costagliola et Mme, née Ferrer; M. Nicolas Costagliola et ses enfants ; les familles Costagliola, d'Italie et d'Alger; Ferrer, Diméglio, Lauro, Barbier, alliées et amies, Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de Monsieur François COSTAGLIOLA décédé à Alger, le 1er janvier 1931, à l'âge de 66 ans. Et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd'hui, à quatre heures. Réunion au domicile mortuaire, rue Doria, 5. Les Algériennes, rue de Constantine. T. 27-03. Association mutuelle des employés du Petit Duc. — Le président et le conseil d'administration, ont le regret de faire part du décès de Monsieur COSTAGLIOLA François l'heure de Mademoiselle Rose Costagliola, sociétaire Et vous prient de bien vouloir assister à ces obsèques qui auront lieu aujourd'hui, à 16 heures. Réunion au domicile mortuaire, 5, rue. Eoria. Mesdemoiselles Marcienne et Suzanne Chabrolat ; Madame et Monsieur

très be ai parents et alliés, nt la grande douleur de vous faire prt du décès de osir Augustin MOLL Propriétaire et vous prient de vouloir bien assister à ss obsèques qui auront lieu aujourd'hui 2 janvier, 3 heures et demie d soir. Réunion maison Moll, quartier Navarre, rue Parnet, Husse-Dy Pas de fleurs seulement. TZ-Z. M. Alexandre Chabrol ; le docteur Maurice Chabrol. Mme et lrs nfnt Annie et Jean ; Mme Vve Charles et sa famille, de Djidjelli ; Mm et M. Emile Chabrol, de Lezoux (France); M. et Mm Canavaggio de Dra-el-Mizan; Mme et M. gad de Michelet ; les familles Chabrol, Charles, Lafranque, Canavaggio, Rigaud, alliées et amies, Ont l douleur de vs faire part de la perte cruelle qu'ils vinen 'éprouver en la person de Madame Alexandre CHABROL leur épouse mère, bellemère grand-mère, cousine et alliée, décédée TiziOuzou l 1er Janvier 1931, dans sa 64e nné. Et vous prient d'assister à ces obsèques qui auront l aujourd'hui, à quatre heures. Réunion au domicile mortuaire, rue de la Paix, maison Salhi, Tizi-Ouzou. Mme Vve Costagliola, ses nstefna oeRs et Antonio ; Mme et M. Michel Costagliola ; M. ie Costagliola et Mme, née Ferrer; M. Nicolas Costagliola t ses enfants ; les familles Costagliola, d'Italie e d'Alger; Frrr, Dmégl, Lauro, Barbier, alliées e amies, Ont la douleur d os faire part de la perte cruelle qu'ils neitnvne d'éprouver en la prsnn de Monsieur François COSTAGLIOLA à Alger, e 1er janvier 1931, à l'âge de 66 ans. Et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd'hui, à quatre heures. Rénn au domicile mortuaire, rue Dr, 5. Les Algériennes, rue de Constantine. T. 27-03. Association utuele des employés ud Ptt D. — Le président et le conseil d'administration, ont le regret de faire r du décès de Monsieur COSTAGLIOLA François l'heure de Mademoiselle Rose ,gaalsiCoolt sociétaire Et vous nrtpei de bien vouloir assister à ces obsèques qui auront lieu aujourd'hui, à 16 heures Rénn au domicile mortuaire, 5, rue. Eoria. Mesdemoiselles Marcienne t Suzanne Chabrolat Madame et Monsieur

Ferrer; M. Nicolas Costagliola et ses enfants ; les familles Costagliola, d'Italie et d'Alger; Ferrer, Diméglio, Lauro, Barbier, alliées et amies, Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de Monsieur François COSTAGLIOLA décédé à Alger, le 1er janvier 1931, à l'âge de 66 ans. Et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd'hui, à quatre heures. Réunion au domicile mortuaire, rue Doria, 5. Les Algériennes, rue de Constantine. T. 27-03. Association mutuelle des employés du Petit Duc. — Le président et le conseil d'administration, ont le regret de faire part du décès de Monsieur COSTAGLIOLA François l'heure de Mademoiselle Rose Costagliola, sociétaire Et vous prient de bien vouloir assister à ces obsèques qui auront lieu aujourd'hui, à 16 heures. Réunion au domicile mortuaire, 5, rue. Eoria. Mesdemoiselles Marcienne et Suzanne Chabrolat ; Madame et Monsieur Paul Tomasini et leurs enfants ; les familles Chabrolat, Hubert, Querlat, Bonneterre, Dupont, parents et alliés, Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de Monsieur Victor-Henri CHABROL Mutilé de guerre, réformé n° 1 Retraité des chemins de fer algériens de l'État leur père, beau-père, oncle et ami, décédé à Alger, le 19 décembre 1930, dans sa 61e année. Et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd'hui, à deux heures. Réunion à l'hôpital civil de Mustapha. Madame Edmée Bayer et sa fille : Monsieur et Madame Edmond Bayer, leurs familles et amis, vous font part du décès de leur mère, grand'mère, parente et amie Madame Veuve J. BAYER Née Eugénie VOIGNIER subvenu à Alger le 31 décembre 1930. Les obsèques ont eu lieu dans la plus stricte Lignité. Suivant le désir de la défunte, la famille ne portera pas le deuil. 10, chemin Fontaine-Bleue. REMERCIEMENTS ET AVIS DE MESSE Mme Vve Ortzet et sa famille remercient sincèrement toutes les personnes qui leur ont témoigné leur sympathie à l'occasion du décès de leur cher et regretté Monsieur François ORTZ dit « Pacot Photographe » Une messe

Ferrer; . Ncls Costagliola et ses enfants ; les familles Costagliola, d'Italie et 'Alger; Ferrer Diméglio, Lauro, Barbier, alliées et amies, Ont la douleur d us faire part de la perte crelle qu'ils vennent d'éprouver en la personne de Monsieur François COSTAGLIOLA décédé à Alger, le 1er janvier 1931 l'âge de 66 ans. t vous etripn de bien voir assister à ses bsèqs qui auront lieu aujourd'hui, à quatre heures. Réunion au domicile mortuaire, rue Doria, 5. Les Algériennes, rue de Constantine. . 27-03. nAtcooisais mutuelle des employés du Petit uc.D — Le présdnt et e conseil 'administration, ont le regret d faire part du décès de Monsieur COSTAGLIOLA François rhleeu' de Mademoiselle Rose Costagliola, sociétaire Et vous prient de bien vouloir assister à obsèques qui auront lieu aujourd'hui, 16 heures Réunion au domicile mrtr, 5, r. Eoria. Mesdemoiselles Marcienne et Suzanne Chabrolat ; Madame et Monsieur ul Tomasini et leurs enfants les familles Chabrolat, Hubert Querlat, Bonneterre, Dupont, parents et alliés, Ont douleur de s faire part la perte ruee qu'ils viennent d'éprouver en la esnneopr de Monsieur Victor-Henri CHR Mutilé de guerre, réformé n° 1 Retraité des meicsnh de fer algériens de 'État leur r, beau-père, oncle et ami, décédé à Alger le 19 décembre 1930, dans sa 61e année. Et vous prient de n vouloir esaritss à ss obsèques qui auront iuel aujourd'hui, à deux heures. Réunion à l'hôptl civil de Mustapha. Madame Edmée Bayer t sa fille : Monsieur et Madame Edmond Bayer, leurs familles t amis, vous font part du décès de leur mère, gd'èe, parente et amie Madame Veuve J. BAYER Eugénie VOIGNIER subvenu à Alger le 31 décembre 1930. Les obsèques ont eu lieu dans la plus stricte Lignité. vaSnitu le désir de la défunte, la famille n portera pas l deuil. 10, chemin Fontaine-Bleue. REMERCIEMENTS T AVIS DE SESME Mme Vve Ortzet et sa famille remercient sincèrement toutes les personnes qui leur nt témoigné leur sympathie à 'occasion du décès de ur cher et regretté Monsieur François ORTZ dt « Pacot Photographe » Une messe

l'État leur père, beau-père, oncle et ami, décédé à Alger, le 19 décembre 1930, dans sa 61e année. Et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd'hui, à deux heures. Réunion à l'hôpital civil de Mustapha. Madame Edmée Bayer et sa fille : Monsieur et Madame Edmond Bayer, leurs familles et amis, vous font part du décès de leur mère, grand'mère, parente et amie Madame Veuve J. BAYER Née Eugénie VOIGNIER subvenu à Alger le 31 décembre 1930. Les obsèques ont eu lieu dans la plus stricte Lignité. Suivant le désir de la défunte, la famille ne portera pas le deuil. 10, chemin Fontaine-Bleue. REMERCIEMENTS ET AVIS DE MESSE Mme Vve Ortzet et sa famille remercient sincèrement toutes les personnes qui leur ont témoigné leur sympathie à l'occasion du décès de leur cher et regretté Monsieur François ORTZ dit « Pacot Photographe » Une messe sera dite pour le repos de son âme le 12 janvier 1931, à huit heures du matin, en l'église Saint-Joseph de Bab-el-Oued. PK Algériennes, rue de Constantine. CHERCHELL-ALGER. — Les familles Pinelli, Chesneau, Plusquellac de Jollivet remercient les personnes qui leur ont témoigné leur sympathie à l'occasion du décès de leur regretté Monsieur Michel PINELLI survenu à Cherchell le 31 décembre 1930. Le Gérant : GORSE Les annonces non insérées ne sont pas rendues. SUR LA ROUTE SERVICE VICINAL DU DEPARTEMENT D'ALGER Les travaux ci-après désignés seront exécutés sur les chemins vicinaux pendant la semaine du 29 décembre 1930 au 5 janvier 1931 : Chemin de grande communication n° 2a. Embranchement sur Haussonvillers. — Cylindrages entre Rébeval et Haussonvillers, du point 0 k. 500 au point -1 k. 750. Chemin de grande communication n° 3a, de Cherchell à Bourkika. — Cylindrages entre la route nationale n° 11 et Zurich. Chemin de grande communication n° 11. de Mouzaïa à L'Aima. Cylindrage entre la ferme Ellul et le chemin d'intérêt communal n° 22. Chemin de grande communication n° 13, de Maison-Carrée à Zéralda. — Cylindrages entre Maison-Carrée et Birkadem. Chemin de grande communication n° 16, de Retour-de-la-Chasse à Palestro. — Cylindrages entre

l'État lr père, beau-père, oncle et m, décédé à Alger, le 91 décembre 1930, dans sa 61e nné. Et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques q o lieu aujourd'hui, deux heures. Rénn à l'hôpital cvl de Mustapha. Madame Edmée Bayer et sa fille : Monsieur et Madame Edmond Bayer, leurs familles et ,smai vous font prt du décès de leur mère, grand'mère, parente t amie Madame Vev J. BAYER Née Eugénie GER subvenu à Alger le 31 décembre 1930. Les obsèques ont eu lieu dans l p stricte Lignité Suivant l désir de la défunte, famille ne portera a le deuil. 10, chemin Fontaine-Bleue. EMCMNTS T AVIS DE MESSE Mme Vv Ortzet et sa famille rmrcnt sncèrmnt toutes les personnes qui leur ont témoigné leur sympathie à 'occasion du décès d leur chr t regretté ireonMsu Frnçs OZ di « Pacot Photographe » Une messe sr dite pour le repos de sn me le 12 janvier 1931 à ht heures du matin, en l'église Saint-Joseph de Bab-el-Oued. PK lerenAéin,sg rue de etnsioCn.tan CHERCHELL-ALGER. — Les familles Pinelli, Chesneau, squllc de Jollivet remercient les personnes qui er ont témoigné leur syi l'occasion du décès de leur regretté Monsieur Mh PINELLI survenu à Cerel le 31 décembre 1930. Le énatrG : GORSE Les annonces non sre n sont a rendues. SUR LA ROUTE SRVC VICINAL DU DEPARTEMENT D'ALGER Les travaux ci-après désignés seront exécutés sur les chemins vicinaux la smn du 29 décembre 1930 au 5 avir 1931 : Chemin de ade communication n° 2a. Embranchement sur Haussonvillers. — Cylindrages entre Rébeval et Hssnvllrs, point 0 k. 500 au point - k. 750. Chemin d grande communication n° 3a, de Cherchell à Bourkika. — Cylindrages retne l route atae °n 11 t Zurich. Chemin de grande communication n° 11. Mouzaïa L'Aima. Cylndrg entre l frm Ellul t le enmcih d'intérêt communal n° 22. Chemin d grande cmmnctn n° 13 de MaisonCarrée à Zéralda. — Cylindrages entre Maison-Carrée et Birkadem. Chmn de grande communication n° 16, de Retour-de-la-Chasse à Palestro. — Cylindrages entre

leur regretté Monsieur Michel PINELLI survenu à Cherchell le 31 décembre 1930. Le Gérant : GORSE Les annonces non insérées ne sont pas rendues. SUR LA ROUTE SERVICE VICINAL DU DEPARTEMENT D'ALGER Les travaux ci-après désignés seront exécutés sur les chemins vicinaux pendant la semaine du 29 décembre 1930 au 5 janvier 1931 : Chemin de grande communication n° 2a. Embranchement sur Haussonvillers. — Cylindrages entre Rébeval et Haussonvillers, du point 0 k. 500 au point -1 k. 750. Chemin de grande communication n° 3a, de Cherchell à Bourkika. — Cylindrages entre la route nationale n° 11 et Zurich. Chemin de grande communication n° 11. de Mouzaïa à L'Aima. Cylindrage entre la ferme Ellul et le chemin d'intérêt communal n° 22. Chemin de grande communication n° 13, de Maison-Carrée à Zéralda. — Cylindrages entre Maison-Carrée et Birkadem. Chemin de grande communication n° 16, de Retour-de-la-Chasse à Palestro. — Cylindrages entre Keddara et Palestro dans les gorges de Keddara. Débitage à la mine de blocs éboulés dans les gorges de Keddara. (Obéir aux signaux). Chemin de grande communication n° 17, d'Ammar à Michelet. — Enlèvement d'éboulements entre l'oued Tirli et l'oued Djemâa, du point 65 k. au point 75 k. Chemin de grande communication n° 17, embranchement sur Maillot. — Cylindrages entre 42 k. 700 et 43 k. 200. Elargissement de la plateforme à Mézairaï, entre 37 k. 800 et 38 k. 600 et dans la forêt de Château-Pin, entre 52 k. 600 et 52 k. 700. Chemin d'intérêt communal n° 2, du centre projeté de l'oued Guelta au centre projeté des Ouled-el-Adjem. — Cylindrages entre Bordj-Baal et le col de Bellouta. Chemin d'intérêt communal n° 8, de Bérard à Blida. — Cylindrages entre Attacha et Cuet-el-Allal. Chemin d'intérêt communal n° 11, de Guyotville à Bouinan. — Cylindrages entre Bouinan et Chebli. Chemin d'intérêt communal n° 25, de Palestro à Aumale. — Cylindrages aux abords d'Aïn-Bessem, entre 34 k. 500 et 36 k. 300. Chemin d'intérêt communal n° 26, de Dellys à Azeffoun. — Cylindrages entre Dellys et Mazer, de 3 k. 000 à 12 k. 000. Chemin d'intérêt communal n°

leur regretté Monsieur Michel PINELLI survenu à Cherchell le 31 décembre 190. Le Gérant : GORSE Les annonces non insérées ne sont pas rnds. SUR LA ROUTE SERVICE VICINAL DU DEPARTEMENT D'LGR Les travaux ciaprès désgnés seront exécutés sur les chemins vicinaux pendant la semaine du 29 dcre 1930 au 5 janvier 13 : Chemin de grande communication n° 2a. Embranchement sr Haussonvillers. Cylindrages ntr Rébeval et Haussonvillers, du point 0 k. 500 au point -1 k. 750. Chemin de grande communication ° 3a, de Cherchell à Bourkika. — Cylindrages ntr la route nationale n° 11 et Zurich. Chmn de gane communication n 11. d Mzï à L'Aima. Cylindrage ntr la frm Ellu et le chemin d'intérêt om n° 22. Chemin de grande communication n° 13, de Maison-Carrée à Zéralda. — Cylindrages entre MaisonCarrée et Birkadem. Chemin ed grande communication 16, de Retour-de-la-Chasse à Palr — Cylindrages ntr dda t Palestro dn les gorges de Keddara. Débitage à la mine de bos éboulés dans les gorges de Keddara. (bér au signaux). Chemin de grande communication n 17, d'Ammar à Michelet. — nlèvmnt 'éboulements entre l'oued irli et 'oued Djemâa d point 65 k au pnt 75 k. i de grande communication °n 17 embranchement sur Maillot. — Cylindrages entre 42 k. 700 et 43 k. 200. Elargissement de la rmfateeopl à Mézairaï, entre 37 800 et 38 k. 600 et dans la forêt de ChâteauPin entre 52 k 60 et 52 k. 700. Chemin dténri'êt communal n° 2, du centre projeté de l'oued Guelta au centre projeté sde Ouled-el-Adjem. — Cylindrages entre -l t le ol de Bellouta Chemin d'intérêt communal n° 8, de Bérard à Blida. — enlgridaCsy entre Attacha t Cuet-el-Allal. Chmn 'intérêt communal ° 11, de Guyotville à Bouinan. Cylindrages nrtee Bnn t Chebli. Chemin d'intérêt communal n° 25, de Palestro à ual. — Cylindrages a brds Bessem entre k. 500 et 36 k. 300. eimnhC 'intérêt communal ° 26, de Dellys à Azeffoun. — Cylindrages ntr Dellys et Mazer, de 3 k. 000 à 12 . 000. Chemin d'intérêt communal n°

de grande communication n° 17, embranchement sur Maillot. — Cylindrages entre 42 k. 700 et 43 k. 200. Elargissement de la plateforme à Mézairaï, entre 37 k. 800 et 38 k. 600 et dans la forêt de Château-Pin, entre 52 k. 600 et 52 k. 700. Chemin d'intérêt communal n° 2, du centre projeté de l'oued Guelta au centre projeté des Ouled-el-Adjem. — Cylindrages entre Bordj-Baal et le col de Bellouta. Chemin d'intérêt communal n° 8, de Bérard à Blida. — Cylindrages entre Attacha et Cuet-el-Allal. Chemin d'intérêt communal n° 11, de Guyotville à Bouinan. — Cylindrages entre Bouinan et Chebli. Chemin d'intérêt communal n° 25, de Palestro à Aumale. — Cylindrages aux abords d'Aïn-Bessem, entre 34 k. 500 et 36 k. 300. Chemin d'intérêt communal n° 26, de Dellys à Azeffoun. — Cylindrages entre Dellys et Mazer, de 3 k. 000 à 12 k. 000. Chemin d'intérêt communal n° 33 de Douera à La Trappe. — Cylindrages entre Ouied-Fayet et La Trappe. Chemin d'intérêt communal n° 34, de Dellys à Azazga. — Cylindrages entre le col d'Agouni, Chergui et Azazga. Chemin d'intérêt communal n° 37, de Bougzoul à Tiaret par Rebbell. Embranchement sur Bourbaki. — Cylindrages entre les points 22 k. 000 et 23 k. 000. Chemin vicinal ordinaire n° 1 de la commune de Ténès (p. e.). — Cylindrages entre la route nationale n° 11 et le chemin de grande communication n° 2. Chemin vicinal ordinaire n° 5 d'Aumale à l'oued Chebali. — Cylindrages aux abords d'Aumale, entre 0 k. 300 et 1 k. 200. Chemin vicinal ordinaire n° 9, d'Aumale aux cimetières. — Cylindrages aux abords des cimetières, entre 0 k. 000 et 0 k. 200. Chemin vicinal ordinaire n° 1 de Palestro (mixte). — Déblaiements entre Souk-el-Sebt et Guerrouma. Chemin vicinal ordinaire n° 3, de Draâ-el-Mizan (mixte). — Cylindrages entre Pirette et Bou-Mahni. PONTS ET CHAUSSEES DEPARTEMENT D'ALGER Les travaux suivants seront exécutés au cours de la semaine du 5 au 11 janvier 1931 : Route nationale n° 1 d'Alger à Laghouat. — Enlèvement d'éboulements dans les gorges de La Chiffa. Circulation difficile entre les kilomètres

de grande ounitn n° 17, embranchement sur Maillot. — Cylindrages entre 42 k 700 et 43 k. 200. Elargissement de la plateforme à Mézairaï, entre k. 8 et 38 k. 600 et dans la forêt de Château-Pin, entre 52 . 600 et 52 k. 700. Chmn d'intérêt communal n 2, du centre projeté de l'oued Guelta au centre projeté des Ouled-el-Adjem. — Cylindrages entre Bordj-Baal et le col de Bellouta. Chemin d'intérêt cmmnl n° 8 d Bérard à Blida. — Clinra entre Attacha et -ulla-e.lAelCt Chemin d'intérêt communal n 11, de Guyotville à Bouinan. Cylindrages entre Bouinan et Chebli. Chemin d'intérêt ommunl n° 25, de Palestro Aumale. — Cylindrages uxa abords d'Aïn-Bessem, erent 34 k. 500 et 36 k. 300. Chemin d'ntérêt communal n° 26, de Dellys à Azeffoun — Cylindrages enret Dellys et Mazer, de 3 k. 000 à 12 k. 000. Chemin d'intérêt mun n° 33 de oarueD à L Trappe. Cylindrages entre Ouied-Fayet et La Trappe. Chemin d'intérêt communal n° 34, de ly Azazga. — Cylindrages entre le c d'Agouni, Chrg et Azazga. Chemin 'intérêt communal n° 37, de Bougzoul à Tiaret par Rbbll. Embranchement sur Bourbaki. Cylindrages tr les points 22 k. 000 et 23 k. 000. Chemin vicinal ordinaire n° 1 de la cmmn de Ténès (p. .. — Cylindrages entre la route nationale n° 11 et le chemin de grande itcciaommonnu n° 2. Chmn vicinal ordinaire n 5 d'Aumale à l'oued eiC.ahbl — Cylindrages aux abords d'Aumale, entre 0 k 300 et 1 k. 0. Chemin vicinal ordinaire n° 9, d'Aumale au cimetières. — Cylindrages aux abords des cimetières, entre 0 k. 000 et 0 k. 0 Chemin vicinal ordinaire n° 1 d Pltreoas (mixte). — Déblaiements entre Souk-el-Sebt t Guerrouma. Chemin vicinal ordinaire n° 3, de Draâ-el-Mizan (mixte). — Cylndrgs entre Pirette et Bou-Mahni. PONTS ET CHAUSSEES DPRTMNT D'ALGER Les ravax suivants seront escétéxu au cours de la semaine d 5 au 11 jnvr 1931 : Route nationale n 1 'Alger à Laghouat. — nlèvmnt 'éboulements dans les gorges de La Chiffa Circulation dffcl entre les kilomètres

22 k. 000 et 23 k. 000. Chemin vicinal ordinaire n° 1 de la commune de Ténès (p. e.). — Cylindrages entre la route nationale n° 11 et le chemin de grande communication n° 2. Chemin vicinal ordinaire n° 5 d'Aumale à l'oued Chebali. — Cylindrages aux abords d'Aumale, entre 0 k. 300 et 1 k. 200. Chemin vicinal ordinaire n° 9, d'Aumale aux cimetières. — Cylindrages aux abords des cimetières, entre 0 k. 000 et 0 k. 200. Chemin vicinal ordinaire n° 1 de Palestro (mixte). — Déblaiements entre Souk-el-Sebt et Guerrouma. Chemin vicinal ordinaire n° 3, de Draâ-el-Mizan (mixte). — Cylindrages entre Pirette et Bou-Mahni. PONTS ET CHAUSSEES DEPARTEMENT D'ALGER Les travaux suivants seront exécutés au cours de la semaine du 5 au 11 janvier 1931 : Route nationale n° 1 d'Alger à Laghouat. — Enlèvement d'éboulements dans les gorges de La Chiffa. Circulation difficile entre les kilomètres 70 et 82 et sur le pont au kilomètre 145. Cylindrages entre 123 et 125 k. Revêtements entre les kilomètres 104 et 106. Carrière au kilomètre 138+300. Cylindrages entre les kilomètres 149 et 150, 180 et 181. Suppression de cassis au point kilomètre 244+850. Cylindrages entre les kilomètres 362 et 363. Route nationale n° 4 d'Alger à Oran (annexe). — Elargissement et rechargement entre les points kilomètres 2 et 6, 23 et 24. Reconstruction d'ouvrage au kilomètre 22+300. Passage difficile au gué de l'oued Maraman. Route nationale n° 5 d'Alger à Constantine. — Reconstruction du pont sur l'oued Réghaïa au 30+900. Travaux de coffrage et coulage de béton. Traverser le chantier à l'allure du pas et se conformer aux ordres donnés sur place. Elargissement entre 113 et 118 k. Revêtements entre 168 et 178 k. Route nationale n° 8 d'Alger à BouSaâda. — Mise de soutènement au 38 k. 3 et au 69+800. MM. les automobilistes sont priés de ralentir à ces points. Cylindrages entre 149 et 151 (entre Aumale et Sidi-Aissa). Revêtements entre 134 et 138 k. (entre Aumale et Sidi-Aissa). Route nationale n° 11 d'Alger à Mostaganem. — En raison des travaux d'élargissement de la route entre Alger

22 k. 00 23 k. 000. Chemin vicinal ordinaire n 1 de la commune de èéTsn (p. e.). — Cylindrages entre la route nationale n° 1 et le chemin de grande communication n° 2. Chemin vicinal ordinaire n° 5 d'Aumale à l'oued Chebali. — Cylindrages aux abords d'Aumale, entre 0 k. 3 et 1 k. 200. Chemin vicinal ordinaire n° 9, d'ml aux cimetières. — Cylindrages aux brds des cimetières, entre 0 k. 000 et k. 200. Chemin vicinal ordinaire n 1 de Palestro (mixte). — Débliments entre ok-l- et Guerrouma. Chemin vicinal ordinaire n 3, de Draâ-el-Mizan (mixte). — Cylindrages entre Pirette et ouM-hBa.in PONTS ET CHAUSSEES DEPARTEMENT DALGER Les travaux suivants seront xéctés au cours d la smn du 5 au 11 nvi 1931 : Route nationale n° 1 d'Alger à Laghouat. — Enlèvement d'éboulements dans les gorges de La Chiffa Circulation difficile entre les kilomètres 70 et 2 et sur le po au kilomètre 145. Cylndrgs entre 123 et 125 k. Revêtements et les kilomètres 104 et 106. Carrière ilore 138+300. Cylindrages entre les kilomètres 149 et 150, 180 et 11. Suppression de cassis au point kilomètre 244+850. Cylindrages entre ls komètrs 362 et 363. Route nationale n° 4 'Alger à an (annexe). — Elargissement et rechargement entre les points kilomètres 2 et 23 t 24. Reconstruction d'ouvrage au kilomètre 22+300. aPgasse difficile au gué de l'oued Mrmn. Route nationale n° 5 d'Alger Constantine. Reconstruction d pont sur luoed' Réghï 30+900. Travaux d coffrage et coulage de bétn. Traverser le chantier à l'llr du pas et s conformer aux ordres dnnés sur plc. Elargissement entre 113 et 118 k. Revêtements et 168 et 178 k. Route nationale n° 8 d'Alger à BouSaâda. — Mise d soutènement au 38 k. 3 et au 69+800. MM. les automobilistes ostn priés de ralentir à ces points. Cylindrages entre 149 151 (entre Aumale et Sd-ss). Revêtements entre 134 et 138 k. (entre Aumale Sidi-Aissa). Route nationale n° 11 d'Alger à Mostaganem — En raison des travaux 'élargissement de l rt e Alger

363. Route nationale n° 4 d'Alger à Oran (annexe). — Elargissement et rechargement entre les points kilomètres 2 et 6, 23 et 24. Reconstruction d'ouvrage au kilomètre 22+300. Passage difficile au gué de l'oued Maraman. Route nationale n° 5 d'Alger à Constantine. — Reconstruction du pont sur l'oued Réghaïa au 30+900. Travaux de coffrage et coulage de béton. Traverser le chantier à l'allure du pas et se conformer aux ordres donnés sur place. Elargissement entre 113 et 118 k. Revêtements entre 168 et 178 k. Route nationale n° 8 d'Alger à BouSaâda. — Mise de soutènement au 38 k. 3 et au 69+800. MM. les automobilistes sont priés de ralentir à ces points. Cylindrages entre 149 et 151 (entre Aumale et Sidi-Aissa). Revêtements entre 134 et 138 k. (entre Aumale et Sidi-Aissa). Route nationale n° 11 d'Alger à Mostaganem. — En raison des travaux d'élargissement de la route entre Alger (La Salpétrière) et Guyotville il est recommandé à tous les conducteurs de véhicules de traverser les chantiers à une allure modérée et de se conformer rigoureusement aux signaux qui leur sont faits, notamment sur le boulevard Front-de-Mer et au tournant du Grand-Rocher de Guyotville. Cylindrages entre 198 et 199 k., 260 et 261 k. Route nationale n° 12 d'Alger à la frontière tunisienne. — Cylindrages au point kilomètre 109 entre Tizi-Ouzou et Tamda. Route nationale n° 15 de Tizi-Ouzou à Beni-Mansour. — Cylindrage entre 74 et 80. Le col de Tirourda est toujours bloqué par les neiges. Route nationale n° 18 d'Affreville à Bouïra. — Circulation difficile entre les kilomètres 30 et 40 et au pont du kilomètre 111+400. Carrière au kilomètre 40+600. Cylindrages entre les kilomètres 160 et 165 (entre Bir-Rabalou et Souk-el-Arba). Route nationale n° 19 de Ténès à Vililal. — Le pont sur le Chéliff, entre Orléansville et Ténès, est inutilisable. Circulation difficile entre Bougainville et Vililal. Revêtement au colas. Cylindrages entre les kilomètres 70 et 71 près de la Fontaine du Lion. Route nationale n° 24 de Maison-Carrée à Félix-Faure. — Rechargement de la chaussée entre 25 et 20+800. La plateforme, très étroite, oblige aux usagers

363. Route nationale n° dAlger à Oran annexe — Elargissement et armntegerhec entre les points kilomètres 2 et 6, 23 et 24. Reconstruction d'vrg kilomètre 22+300. Passage difficile a gué de l'oued Maraman Route nationale n° 5 d'Alger à Constantine. — Reconstruction du pont sur l'oued Réghaïa au 30+900. Travaux de ofrg et eaolcgu de béton. Traverser le chantier à l'allure du pas et s conformer aux ds donnés sur place. Elargissement enrte 113 et 118 . Revêtements entre 168 et 178 k Route nationale n° 8 d'Alger à BouSaâda. — Mise de soutènement au 38 k. 3 et au 69+800. MM. les automobilistes snt priés ed ralentir à ces points. Cylindrages entre 1 et 151 (entre Aumale et Sidi-Aissa). Revêtements entre 431 et 138 k. (entre Aumale et Sidi-Aissa). Route ntnl n° 11 rgld'Ae Mostaganem — En raison sde travaux d'élargissement de la route entre lgr (La Salpétrière) et Guyotville il est recommandé à tous les conducteurs de véhicules de traverser les chantiers à une allure modérée et ed se conformer rigoureusement axu signaux qui leur sont faits, ntmmnt sur le boulevard Front-de-Mer t au ornn du Grand-Rocher de Guyotville. Cylindrages entre 198 t 199 k., 260 et 261 k. Route ntnl n° 12 d'Alger à la frontière tunisienne. — Cidrs au point lktèormei 109 entre Tizi-Ouzou et Tamda Rt nationale n° 15 de Tizi-Ouzou à Beni-Mansour. — Cylindrage entre 74 et 80. Le col de Trrd est toujours bloqué par ls neiges Route nationale ° 18 d'Affreville à Bouïra. — Circulation ificl entre les mères 30 et 40 et au onpt du kilomètre 111400 Carrière au kilomètre 40+600. Cylndrgs entre les kilomètres 160 et (entre Bir-Rabalou et u.-SarbeA-olk) Route nationale ° 1 de Ténès à Vililal. — Le pont sur le Chéliff, entre Orléansville t Ténès, est inutilisable. Circulation difficile entre Bougainville et Viia. Revêtement au colas. Cylindrages teenr les kilomètres 70 71 rès ed la Fontaine du Lion. Route nationale n° 24 d MaisonCarrée à Félix-Faure. — henecrgRmtea de la chssé entre 25 et 20+800. a plateforme, très étroite, oblige aux usagers

260 et 261 k. Route nationale n° 12 d'Alger à la frontière tunisienne. — Cylindrages au point kilomètre 109 entre Tizi-Ouzou et Tamda. Route nationale n° 15 de Tizi-Ouzou à Beni-Mansour. — Cylindrage entre 74 et 80. Le col de Tirourda est toujours bloqué par les neiges. Route nationale n° 18 d'Affreville à Bouïra. — Circulation difficile entre les kilomètres 30 et 40 et au pont du kilomètre 111+400. Carrière au kilomètre 40+600. Cylindrages entre les kilomètres 160 et 165 (entre Bir-Rabalou et Souk-el-Arba). Route nationale n° 19 de Ténès à Vililal. — Le pont sur le Chéliff, entre Orléansville et Ténès, est inutilisable. Circulation difficile entre Bougainville et Vililal. Revêtement au colas. Cylindrages entre les kilomètres 70 et 71 près de la Fontaine du Lion. Route nationale n° 24 de Maison-Carrée à Félix-Faure. — Rechargement de la chaussée entre 25 et 20+800. La plateforme, très étroite, oblige aux usagers de la route d'observer la plus grande prudence sur la partie où circule le cylindre. Réfection du platelage du pont du Boudouaou (kilomètre 34+150). La circulation est interrompue sur le pont pendant l'exécution des travaux (arrêté préfectoral du 15 novembre 1930). Limitation de la vitesse à celle d'un homme au pas sur le pont du kilomètre 25+400, près de Surcouf. Route nationale n° 25 d'Ammar à Dellys. — Elargissement de la plateforme au point kilomètre 37 entre Tleta et Draâ-el-Mizan. Carrière au kilomètre 23+650 entre Tleta et Draâ-el-Mizan. Prière de ralentir. Communications sportives Football-Club Blidéen (section d'Alger). — Réunion du conseil d'administration ce soir, à 18 h. 30, bar du Vélo, 13, rue de Constantine. Red Star Algérois. — Football. — Ce soir, à 18 h. 30, au local du club, réunion des joueurs. Equipiers juniors et minimes spécialement convoqués. F. A. Avis aux Clubs. La deuxième manche du cross de la première foulée qui devait avoir lieu le dimanche 4 janvier est reportée au 18 janvier. Gallia Sports. — Ce matin à partir de 8 heures entraînement général au football association. Spécialement convoqués : Bouillon, équipiers minimes, juniors, quatrième et troisième. Vendredi à 18 heures 30, réunion de la

260 te 261 k. Route nationale n° 12 d'Alger à frontière tunisienne. — Cylindrages au point kilomètre 109 enetr TiziOuzou et Tamda. Rt nationale n° 15 de Tizi-Ouzou à Beni-Mansour. — Cylindrage ente 74 e 80. L col de Tirourda est touo blqé apr les neiges. Route nationale n° 18 d'Affreville à Bouïra. — Crcltn difficile entre les kilomètres et et au pont du kilomètre 111+400. Carrière au kilomètre 40+600. Cylindrages ntr les kilomètres 160 et en(tre Bir-Rabalou et SoukelArba Rt nationale n° 19 de Ténès à Vililal. — Le pnt sur le Chéliff, entre Orléansville et Ténès, est .aeiuillistnb Circulation difficile entre Bougainville et Vililal. Revêtement au colas. Cylindrages entre les kilomètres 70 et 71 près de la Fontaine du Lion. Route nationale n° 24 de MaisoCarée à éx-Fae. — Rehrgemn de a cus entre 25 te 20+800. La plateforme, èstr étroite, oblige aux usagers de la route d'observer la plus grande prudence su la partie où circule le cylindre. Réfection du pltlg du pont du Boudouaou (kilomètre 34+150). La circulation est interrompue sr le on pendant 'ectn des travaux (arrêté préfectoral du 1 novembre 1930). Limitation de la vitesse à celle und' homme au ps sur e pont du kilomètre 25+400, près de Surcouf. Route nationale n° 25 d'Ammar à Dellys — Elgssmnt de al plateforme au point mektolèir 37 entre Tleta et Draâ-el-Mizan. Carrière au kilomètre 3+6 entre Tleta e a-elMiz. Prière de ralentir. Cmmnctns sportives Football-Club Blidéen (section 'Alger). — nniRuoé du conseil dadministration ce soir, à 18 h 30 bar du l,oéV 13, r de Constantine. Red Star Algérois. — Football. — Ce soir, à 18 h. 30, au lolac du club, réunion des joueurs. qiEeuiprs juniors et minimes spécialement convoqués. .F . Avis aux Cb La dxièm manche du cross e la eerimprè foulée qui devait avoir lieu le dimanche 4 janvier est reportée au 18 janvier. Gallia Sprts. — e mtn à partir de 8 heures entraînement général a football association. Spécialement convoqués : Bouillon, équipiers minimes, jnrs, quatrième et trsèm. Vendredi à 18 heures 30, unin de la

pas sur le pont du kilomètre 25+400, près de Surcouf. Route nationale n° 25 d'Ammar à Dellys. — Elargissement de la plateforme au point kilomètre 37 entre Tleta et Draâ-el-Mizan. Carrière au kilomètre 23+650 entre Tleta et Draâ-el-Mizan. Prière de ralentir. Communications sportives Football-Club Blidéen (section d'Alger). — Réunion du conseil d'administration ce soir, à 18 h. 30, bar du Vélo, 13, rue de Constantine. Red Star Algérois. — Football. — Ce soir, à 18 h. 30, au local du club, réunion des joueurs. Equipiers juniors et minimes spécialement convoqués. F. A. Avis aux Clubs. La deuxième manche du cross de la première foulée qui devait avoir lieu le dimanche 4 janvier est reportée au 18 janvier. Gallia Sports. — Ce matin à partir de 8 heures entraînement général au football association. Spécialement convoqués : Bouillon, équipiers minimes, juniors, quatrième et troisième. Vendredi à 18 heures 30, réunion de la commission et de tous les joueurs. Sont priés de bien vouloir assister à la réunion les joueurs : Clavières, Decurey, Costa, Pérez. Formation des cinq équipes jouant contre l'U.S.B. à Blida. Il y aura trois départs en billets collectifs : 5 heures 45, équipiers troisième, quatrième ; 7 heures 45, équipe réserves, juniors et première. 12 heures 50 supporters. Trésorerie : Les sociétaires désirant renouveler leur carte pour l'année 1931, sont priés de bien vouloir s'adresser au trésorier qui se tient à leur disposition tous les vendredis, Brasserie de la Bourse (Champ-de-Manœuvres) ou de bien vouloir déposer leur ancienne carte au Bar de la Régence (place du Gouvernement) qui fera faire la nécessaire. Club Athlétique du Phare. — Vendredi, réunion générale à 19 heures. Formations des trois équipes jouant dimanche contre l'OMR et le SCA. Gallia-Sports (section d'athlétisme). — Ce soir, entraînement à la course à pied pour tous les seniors et juniors. Rendez-vous à 7 heures au local du club. Agents : MM. VINCENT Frères, 41, rue d'Isly, Alger. Le Syndic. THE GAZETTE ENGENDERED BY THE HEAT CAP. ENDS AND COMBAT "8 TOUCH GRIPPE BRONCHITIS! RHEUMATISM, POINTS OF PAIN LUMBAGO, ETC. MODE D'EMPLOI. — Appliquer le Thermogène sur l'endroit

pas sur l pont du kilomètre 25+400, près de Surcouf. Route nationale n 25 d'Ammar à Dellys. — Elargissement de la plateforme au point klmètr 37 entre etaTl t Draâ-el-Mizan. Carrière au kilomètre 23+650 entre Tleta et Draâ-el-Mizan. Prière de ralentir. Communications rives Ftbll-Clb Blidéen sei d'Alger). — Rénn du oilscne d'administration ce soir, à 18 h. 30, bar ud Vélo, 13, rue de Constantine. Red Star Algérois. — lobolt.Fa — Ce soir, 18 h. 30, a local d b,luc réunion des joueurs. Equipiers juniors et minimes spéilemnt convoqués. F. A. Avis aux Clubs La deuxième manche du crss de la première foulée qui devait avoir l le dimanche janvier est reportée au 8 janvier. Gallia Sports. — Ce matin à pti de 8 heures entraînement général au football association. Spécialement convoqués : Bouillon, équipiers eimsmi,n juniors, qui et troisième Vendredi à 18 heures , réunion de la commission et de tous les joueurs. Sont priés d bien vouloir assister à la rénn les joueurs : Clavières, Decurey, Costa, Pérez Formation des cinq équipes jouant contre l'U.S.B. à Blida. Il aura trois départs en billets collectifs : 5 heures 45, équipiers troisième, quatrième ; 7 heures 45, équipe réserves, juniors et ee. 12 seheur 50 supporters. Trésorerie : Ls scétrs nisdaért renouveler leur tacre pour 'année 1931 so priés de bien vouloir s'adresser au trésorier q se tient à leur disposition t les vendredis, Brasserie de la Bourse (Champ-de-Manœuvres) ou de bien vouloir déposer leur ann crt au Br d la Régence (place du Gouvernement) qui fera faire la nécessaire. b Athlétique du Phare. — Vendredi, réunion générale à 19 ereu.hs Formations des trois éqps jouant dimanche cntr l'OMR et le SC. Gallia-Sports (section dathlétisme — Ce soir, entraînement à la course à pied o tous les seniors juniors. Rendez-vous à 7 heures au local du club. Agents : MM. VINCENT Frères, 41, rue d'Isly, lgr. Le Syndic. THE GAZETTE DNEEEDGERN BY THE HEAT CAP. ENDS AND CMBT "8 TOUCH GRIPPE BRONCHITIS! RHEUMATISM, PNTS OF PN LUMBAGO, ETC. MD DEMPLOI — Appliquer l Thermogène sur l'endroit

équipe réserves, juniors et première. 12 heures 50 supporters. Trésorerie : Les sociétaires désirant renouveler leur carte pour l'année 1931, sont priés de bien vouloir s'adresser au trésorier qui se tient à leur disposition tous les vendredis, Brasserie de la Bourse (Champ-de-Manœuvres) ou de bien vouloir déposer leur ancienne carte au Bar de la Régence (place du Gouvernement) qui fera faire la nécessaire. Club Athlétique du Phare. — Vendredi, réunion générale à 19 heures. Formations des trois équipes jouant dimanche contre l'OMR et le SCA. Gallia-Sports (section d'athlétisme). — Ce soir, entraînement à la course à pied pour tous les seniors et juniors. Rendez-vous à 7 heures au local du club. Agents : MM. VINCENT Frères, 41, rue d'Isly, Alger. Le Syndic. THE GAZETTE ENGENDERED BY THE HEAT CAP. ENDS AND COMBAT "8 TOUCH GRIPPE BRONCHITIS! RHEUMATISM, POINTS OF PAIN LUMBAGO, ETC. MODE D'EMPLOI. — Appliquer le Thermogène sur l'endroit douloureux en ayant soin que la feuille d'ouate adhère bien à la peau. Pour obtenir une action plus rapide et plus énergique, asperger le Thermogène avant son application, d'un peu d'eau tiède salée, de vinaigre ou d'Eau de Cologne. Le Thermogène remplace avantageusement les gouttes, sinapismes, emplâtres, liniments, vésicatoires et autres révulsifs dont il possède toutes les propriétés, sans en avoir les inconvénients. En vente dans toutes les Pharmacies. L'image ci-dessus du PIERROT CRACHANT LE FEU doit se trouver au dos de chaque boîte. AVIS AU COMMERCE ! MM. les Chargeurs et Réceptionnaires sont avisés qu'à partir du 10 janvier, l'agence la S. A. NAVIGARE représentant les armements : HAMBURG. AMERIKA LINIE, NORDBEDUTSCHE LLOYD, DEUTSCHE LEVANTE LINE, ROB. M. SLOMAN Jr., RICKMERS LINIE, ZEGLUCA POLSKA, est transférée à MM. ATWATER et Cie, agents maritime, 5, boulevard Carnot. Alger. Les Clients, tant chargeurs que réceptionnaires de ces compagnies, sont priés de s'adresser pour tous renseignements de fond et échange de connaissements à l'adresse ci-dessus. IMPOTENCE Forces viriles rendues par les Pilules VIRVOS. Traitement rationnel de la neurasthénie de l'épuisement nerveux et de l'impuissance à tout âge. Toutes pharmacies : 20 fr. le flacon ou franco. Légal. NIKEUS 79, rue Legendre, Paris

équipe réserves, juniors et première. 12 heures 50 supporters. Trésorerie : Les sociétaires désirant renouveler leur carte pour l'année 1931, sont priés de bien vouloir s'adresser au trésorier q se tient à leur isdopitniso tous ls vendredis, Brasserie de l Bourse (Champ-de-Manœuvres) u de bien vouloir déposer leur nne carte Bar de la Régence (place ud Gouvernement) qui fera faire la nécessaire. Clb Athlétique du Phare. Vendredi, réunion générale à 19 heures. Formations des trois équipes jouant dimanche contre lMRO' et le SCA. Gallia-Sports (section d'thlétsm). — Ce i,sro entraînement la course à pied pour stou les seniors et juniors. Rendez-vous à 7 hrs au local du club gsAtne : MM. VINCENT Frères, 41, rue d'Isly, Alger. Le Syndic. THE GZTT NGNDRD BY THE HAT CAP. ENDS AND COMBAT "8 TOUCH GRIPPE BRONCHITIS! RHEUMATISM, POINTS OF PAIN LUMBAGO, ETC. MODE PLOI'MDE. — Appliquer le Thermogène rus lendroit douloureux en antay soin que la feuille 'ouate adhère bien à peau. Pour obtenir une action plus rapide et plus énergique, asperger le Thermogène avant son application, d'un peu 'eau tiède salée, de vinair ou d'Eau de Cologne. Le Thermogène remplace avantageusement les gouttes, sinapismes, emplâtres, liniments, vésicatoires et autres révulsifs dont il possède tts e propriétés, sans en avoir les inconvénients. En vente dans toutes les Pharmacies. L'image c-des du PIERROT CRACHANT LE FEU doit se trouver au sod de chaque boîte. AVIS AU COMMERCE ! MM les Chargeurs et ceoae nsto avisés quà partir du 10 janvier, lagence la S. A. NAVIGARE era ls armements : HAMBURG AMERIKA LINIE, NORDBEDUTSCHE LLOYD, DTSCH LEVANTE LINE ROB. M. SLOMAN Jr., RCKEIRMS LINIE, ELUCA POLSKA, est trnsféré à MM. ATWATER et Cie, agents maritime, 5, boulevard aCortn. Alger. Les Clients, tant chargeurs que réceptionnaires de ces compagnies, sont priés de s'adresser pour tous renseignements de fond et échange de cassmts à l'adresse ci-dessus. IMPOTENCE Frcs viriles rendues par les Pilules VIRVOS. Traitement rationnel de la neurasthénie de l'épuisement nerveux et de l'impuissance à tout âge. Toutes pharmacies : 20 fr. le flcn ou franco. Légal. NIKEUS 79, Lgndr, Paris

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30 avril. Prix du billet : 2 fr. Pour recevoir ajouter au montant 0.50 pour 5 billets et .30 pu la lst des gagnants. S'adrs. UIA.NOIX, journaux. square Hresson, Alger. DOULEURS RHUMATISMES, LUMBAGO SCIATIQUE GOUTTE, NEURALGIES, etc. Le meilleur remède est le BAUME Victor 50 ans de succès. — TOUTES PHARMACIES P. BLANCHET-BAYLE, La Courtine (Creusot) Etude de M. L. SHER avoué à Alger. FAILLITE BLASCO Vente aux enchères par M. Js VUTTOLI, avoué à Alger, 11, rue d'Isly, le vendredi 9 janvier 1931, à 14 heures, de: une maison ditue à Alger, quartier du Lycee-Supérieur, lieu itd « Tétemy », comprenant (les) élevées d'un rez-de-chaussée t d'un g,etaé mise à prix: 40.000 francs, frs et droits en sus. Se renseigner chez M. SHER, avoué, et chez M. CHARIOTNIER, syndc de faillite. DOMAINE région Toulouse Près y,onL tout cuit, tous cheptels, belle maison, style Filippe, stables parfaits, beaux revenus élevage, céréales, laiterie. Prix 450.000 fr. Facilités. S'adrs. SUL, ingénieur Montauban. SOCIETE ALGERIENNE de constructions industrielles et travaux d'art (SACITA) rue Jules-Ferry ALGER MM. les ctnnrs sont informés l'assemblée générale ordinaire liquidant les comptes de l'exercice 1920-1930 aura lieu au sèg social de la ité le jeudi 22 janvier 1931, à 9 heures du matin. Le Conseil d'administration. MINISTERE E LA GUERRE SERVICE D GENIE DJDCTN A la chefferie de é,Mdaé l mardi 27 janvier 1931, à 15 use:reh Construction de 5 logements ed sous-officiers de carrière, mariés, n la place de Laghouat. Travaux évalués à 30000 sncfra adjugés un lot unique, savoir: Terrassement, maçonnerie, ciment, pierre, dallages, carrelages, plomberie, ziguri, frrnnr, apprei sanitaires, ,aisicatoasnnl menuiserie, serrurerie, peinture, vitrerie, blanchiment. Cahier des charges et pièces déposés aux rax du Génie 'Alge Blida, Djelfa, Laghouat et à la chefferie de Médéa où connaissance peut être prise es jours non féi de 8 res à 11 heures et de 14 h. à 17 heures. Les ièces nécessaires pour être admis au concours devront parvenir au chef du génie de Médéa, le 19 janvier 1931, dernier délai. Poru tous autres renseignements, consulter les affiches. M. Jules VUTTOLI, avoué à Alger, 11,

1931, à 9 heures du matin. Le Conseil d'administration. MINISTERE DE LA GUERRE SERVICE DU GENIE ADJUDICATION A la chefferie de Médéa, le mardi 27 janvier 1931, à 15 heures: Construction de 5 logements de sous-officiers de carrière, mariés, dans la place de Laghouat. Travaux évalués à 300.000 francs adjugés en un lot unique, savoir: Terrassement, maçonnerie, ciment, pierre, dallages, carrelages, plomberie, zinguerie, ferronnerie, appareils sanitaires, canalisations, menuiserie, serrurerie, peinture, vitrerie, blanchiment. Cahier des charges et pièces déposés aux bureaux du Génie d'Alger, Blida, Djelfa, Laghouat et à la chefferie de Médéa où connaissance peut être prise les jours non fériés de 8 heures à 11 heures et de 14 h. à 17 heures. Les pièces nécessaires pour être admis au concours devront parvenir au chef du génie de Médéa, le 19 janvier 1931, dernier délai. Pour tous autres renseignements, consulter les affiches. M. Jules VUTTOLI, avoué à Alger, 11, rue d'Isly, procédera à l'vente orbitale le 9 janvier 1931, à 14 heures, au tribunal civil d'Alger, de la vente à l'encan d'une maison, mauresque, sise à Alger, rue Montcavrin n° 8, élevée de un étage, couverte en tuile. Mise à prix : 13.000 fr. S'adresser 1 v À M-" CUTTULI nu PLANELLi. avoués en cause. Petites Annonces Classées DEMANDES D'EMPLOI FAMILLE viennoise sér. 1 an, Alger, b. réf., femme tr. b. cuisinière vien. et franç., 2 hommes, valets de ch., chauffeur, petit jardinage, cherche emploi, év. intér. Écrire REIMANN. nos-te l'est. Alger. DESSEINATEUR ordre accepterait tout travail pour le soir Écrire Agence africaine. 9.187 OFFRES D'EMPLOI 24 rue Edgar-Quinet Dactylo m Stéro Schwartz ta meilleure Comptabilité Location marchande BONNE dactylo aide-conseil. Se présenter Hemingway. 5, rue Charras. STENO-DACTYLOS demandés. Débutants s'abstenir. Écrire avec références Entreprise Ylalvlouf SC ÉHAT, Alger. CHEZ SOI écrit., gains int. el m ouillv si-Pot ÍI'-,:/'-I: 180 FR. par semaine, 2 h o. jour si qual. emrd Écrire Établissement Éventuel. (Marseille. 7 FRANC par heure, deux sexes, ss qual., emploi en "appli chez soi trav. manuel tr. facile. Offre loyale, not. el échantillon gratis sur demande. Écrire MAMELON. IL G. Lyon (France) INDUSTRIE demande : 1°

1931, à 9 heures du mtn. Le Cnsl d'administration. MINISTERE DE LA GUERRE SERVICE DU GENIE ADJUDICATION A la chffr de Médéa, le mrd 27 janvier 1931, à 15 heures: Construction de 5 logements de sous-officiers de carrière, mariés, dans la place de Laghouat. Trvx évalués à 300.000 francs adjugés en un lt unique, savoir: Trrssmnt, maçonnerie, ciment, pierre, dallages, carrelages, plomberie, zinguerie, frrnnr, appareils sanitaires, canalisations, menuiserie, serrurerie pen vitrerie, blnchmnt. Cahier ds gsearch et pièces déposés aux bureaux du Génie d'Alger, Blida, Djelfa, Laghouat et à la chefferie de Médéa où cnnssnc peut être prise le jours non fériés de 8 heures à 11 heures et de 14 h. à 17 hures. Les pièces nécessaires o être dms au concours dvrnt parvenir au chef du gén de Médé, le 19 janvier 1931 dernier délai. Pour suot autres renseignements neutsoclr es ie M. Jules VUTTOLI, avoué à Alger, 11, rue d'Isly, procédera à let orbitale le 9 janvier 1931, à 14 heures, tribunal civil d'lgr, de la vente à l'encan ' maison, mauq sise à Alger, rue Montcavrin n° 8, élevée de un étg, couverte en tuile. Ms prix : 13.000 fr. S'adresser 1 v À M-" CUTTULI nu PLANELLi. avoués n cause. Petites Annonces Classées DEMANDES D'EMPLOI FAMILLE viennoise sér. an, Alger b. réf., femme tr. b. cuisinière vien. et a.f,nçr hmose,m elstav de ch., chauffeur petit jardinage, cherche emploi, év. intér. Écrire REIMANN. nos-te l'est. Alger. DESSEINATEUR ordre accepterait tout arvailt o le soir Écrire Agence africaine. 9.187 OFFRES D'EMPLOI 24 rue Edgar-Quinet Dactylo m Stéro Schwartz ta mllr Comptabilité Loato marchande BONNE dactylo aide-conseil. Se présenter Hemingway. 5, rue Charras. STENO-DACTYLOS dmndés. Débutants 'abstenir. Écrr avec références Entreprise Ylalvlouf SC ÉHAT, Alger. CHZ SOI écrit., gains int. el m ouillv si-Pot /'I:',I:Í-- 1 FR. par semaine, 2 h o jour s ulaq. mrd Écrire Établissement ventel. (Marseille. 7 FRANC par heure, deux sexes, ss qual., mipole en "appli chez soi trav. manuel tr. facile. Offre loyale, not. el échantillon gratis sur demande. Écrire MAMELON. IL G Lyon (France) INDUSTRIE demande : 1°

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Réussite certaine 6, vn de la Manou. Alger. VENTE DES STOCKS AMERICAINS KALIFA, 56, rue Consantin otCplsem chaux cives huilés pour marine. Imperméables américains. Couvertures militaires pure laine. Caps militaires pure laine Chaussures militaires. Bûches et lames maroquines. Grands hangars Adrian en toile. Gants américains. Luils bads américains Harnachements militaires. VOYAGEZ P LA ROUTE ! plus vite et plus agréablement SERVICES RAPIDES PAR AUTO-CARS DE LUXE Blida à Alger (par Boufarik et Bovigny), aux Bains e Bovigny, à Castiglione, à Coléa, à Attatba, à Boufarik, à Boghari, à Chrea. Alger à Djelfa, à Hammam-Righa et Miliana. Marché de la Maison-Carrée, Boufarik, Moulalvillé; Ain Il à Boucif et état des Douairs. EXCURSIONS À PRIX FORFAITAIRES POUR TOUTES DIRECTIONS Société anonyme des Autos-cars bidentines 5 millions de francs 3, rue des Chevaliers de Malte, BLIDA, — Direction 21-60 AVIS Le smd 3 janvier 1931, à 10 heures, au Tribunal de 1st tac l Commission a procédé, en séance publique, par M. le Préfet de Constantine n Conseil de Préfecture, et en pésenc de M. rnIlgénui'e en chef des Ponts et Chaussées, dans ls formes réglementaires, à l'adjudication au rabais, sur soumissions cachetées, sde Travaux partiels de la zone de transit des quais Nord des deux darses d port de Bône et de la e du quai aux phosphates. Ces travaux sont évalués mcome il suit Travaux à l'Entrepreneur 532000 Somme à vlr 168.000 Cautionnement provisoire 4.000 Commissionnement 8.000 Les pièces ud présent roje seront communiquées aux rpueretensren sotu les jours, excepté es dimanches et jours fériés, dns les bureaux de la Préfctr (4e Bureau), de à 11 heures du matin et de 2 à 5 heures du soir, et aux mêmes heures dans les bureaux de M. l'Ingénieur ordinaire des Ponts e Chaussées, à Bône (Môle Cigogne). Feuilleton d '« ECHO D'ALGER » MYSTÉR DE LA NOUVELLE AMÉRICAIN grand roman par René PUJOL IEIMRTOSÈ PARTIE QUATORZIÈME Le bal Directoire Mme La Borde vous ie d'assister ua bal Directoire qu'elle donnera en son hôtel mardi prochain à dix heures du soir. R. S. V. P. 11 bis, avenue Henri-Martin. Jean

des quais Nord des deux darses du port de Bône et de la chaussée du quai aux phosphates. Ces travaux sont évalués comme il suit Travaux à l'Entrepreneur 532.000 Somme à valeur 168.000 Cautionnement provisoire 4.000 Commissionnement 8.000 Les pièces du présent projet seront communiquées aux entrepreneurs tous les jours, excepté les dimanches et jours fériés, dans les bureaux de la Préfecture (4e Bureau), de 8 à 11 heures du matin et de 2 à 5 heures du soir, et aux mêmes heures dans les bureaux de M. l'Ingénieur ordinaire des Ponts et Chaussées, à Bône (Môle Cigogne). Feuilleton de l'« ECHO D'ALGER » MYSTÉRIE DE LA NOUVELLE AMÉRICAIN grand roman par René PUJOL TROISIÈME PARTIE QUATORZIÈME Le bal Directoire Mme La Borde vous prie d'assister au bal Directoire qu'elle donnera en son hôtel mardi prochain à dix heures du soir. R. S. V. P. 11 bis, avenue Henri-Martin. Jean de Vassal relisait pour la vingtième fois le bristol gravé qu'il venait de recevoir « in extremis ». On était en effet mardi, le jour même du bal. Jusque-là, Jean n'avait plus eu aucune nouvelle de la jeune fille. Pourtant, pas un matin le jeune homme n'avait bougé de chez lui, en prévision d'un coup de téléphone qui n'était pas venu. Et aujourd'hui, alors qu'il n'attendait plus rien, il recevait cette invitation, à quelques heures à peine de la fête mondaine. — Ce n'est pas très poli, mais qu'importe ! pensait Jean. Je suis invité, c'est l'essentiel. Evidemment, les La Borde mère et fils ne me portent pas dans leur cœur. C'est sans doute Suzy Nelson qui, à force d'insistance et pour ne pas manquer à sa promesse, a fini par arracher ce carton à sa tante. Je dis que cela m'est égal, mais j'ai tort. Je ne devrais pas aller à ce bal. Après tout, je n'ai pas le droit d'imposer ma présence à ces gens. Mais, en tournant et retournant machinalement le bristol entre ses doigts, il lut derrière un mot hâtivement écrit au crayon : « Venez. — S. » Et ce mot eut raison de ses

des quais Nord de deux drss du por d Bn et de la chaussée du quai aux phsphts. Ces travaux snt évalués om il suit Travaux à lEntrepreneur 532.000 Somme à valeur 168.000 Cautionnement provisoire 4.000 Commissionnement 8.000 Les pièces du présnt projet seront communiquées aux entrepreneurs tous les jours, excepté les dimanches et jours fériés, dans les bureaux de la Préfctr (4e Bureau), d 8 à 11 heures du matin et de 2 à 5 heures du soir, et aux mêmes heures dans les bureaux de . l'Ingénieur ordinaire ds Ponts et Chaussées, à Bôn (Môle Cigogne Feuilleton de l'« ECHO D'ALGER » MYSTÉRIE DE LA NVLL AMÉRICAIN grand omn par René PUJOL TROISIÈME QUATORZIÈME Le bl Directoire eMm La Borde vous prie dassister au bal Directoire ule donnera en son hôtel mardi prochain dix heures du soir. R. S. P. 11 bis, avenue Henri-Martin. Jean de Vassal eiait our la vingtième fois le bristol gravé qu'il venait de rcvr « in extremis ». On a en effet mrd, le jour même du bal. Jusque-là, Jean tavina' eu aucune nvll de l jeune fille. Pourtant, pas un mtn le jeune homme n'avait bué de chez l, n prévision d'un upoc de téléphone ui ntit pas eun.v Et aujourd'hui, alors qui 'teit plus rien, il recevait cette invitation, à quelques heures à peine de la fête mondaine. — Ce n'est pas très poli, ms qu'importe ! pensait Jean Je suis invité, c'est l'essentiel. Evidemment, les Borde mère et fils ne me portent pas dans eu cœur. est sans euodt Suzy Nelson q, à force d'insistance et pour ne pas ruqemna sa prmee fini par arracher ce carton sa tnt. Je dis que cela m'est égal, mais j'ai tort. Je ne devrais pas aller à ce bl. Après tout, je 'ai ps le droit d'imposer ma présence à ces gens. Mais, en tournant t retournant machinalement le bristol entre ses doigts, il lut derrière un mot hâtivement écrit au crayon : « Venez. — S. » Et ce mot eut raison de ses

lui, en prévision d'un coup de téléphone qui n'était pas venu. Et aujourd'hui, alors qu'il n'attendait plus rien, il recevait cette invitation, à quelques heures à peine de la fête mondaine. — Ce n'est pas très poli, mais qu'importe ! pensait Jean. Je suis invité, c'est l'essentiel. Evidemment, les La Borde mère et fils ne me portent pas dans leur cœur. C'est sans doute Suzy Nelson qui, à force d'insistance et pour ne pas manquer à sa promesse, a fini par arracher ce carton à sa tante. Je dis que cela m'est égal, mais j'ai tort. Je ne devrais pas aller à ce bal. Après tout, je n'ai pas le droit d'imposer ma présence à ces gens. Mais, en tournant et retournant machinalement le bristol entre ses doigts, il lut derrière un mot hâtivement écrit au crayon : « Venez. — S. » Et ce mot eut raison de ses dernières hésitations. Malgré les conditions anormales de l'invitation, Jean irait au bal Directoire. On a toujours de l'imagination quand on aime. Le jeune homme resta plusieurs minutes les yeux fixés sur ce mot. Il était à la fois comminatoire et plein de douceur. Quel sentiment l'avait dicté; sinon le désir qu'éprouvait Suzy de revoir Jean de Vassal ? Et si elle désirait le revoir, c'était parce que. — Ne nous montons pas le coup ! s'interrompit familièrement Jean. Son costume d'époque fut vite choisi. Il trouva chez un costumier un habit d'incroyable tout neuf qui semblait coupé pour lui. Quand il eut revêtu le pantalon à pont, le frac en drap puce et le gilet de faille; quand il eut arrangé chiffonné sa cravate de dentelle, il avait grand air. Sans être de nature coquette, il se regarda avec une certaine complaisance dans son miroir — Ça peut aller, dit-il. Je ne suis pas trop grotesque. Le danger de ces bals travestis c'est qu'on sombre souvent dans le ridicule, sans s'en apercevoir. J'espère que ce n'est pas mon cas ce soir. Et pour compléter son travestissement, il se passa autour du cou le large ruban noir d'un cordon de face

lui, en prévision nud' coup de téléphone u n'était pas venu. Et aujourd'hui, alors qui tnatdaeint' plus rien, il recevait cette invitation, à quelques heures à peine de fêt mondaine. — Ce n'est pas très pli, mais qu'importe ! pensait Jean. Je suis v,itnié est l'essentiel. Evidemment, les La Borde mère et fils ne me portent pas ns leur cœur. Cest snas doute Suzy Nelson qui à force 'insistance et po ne p manquer à sa promesse, a fini par arracher ce carton à sa tnate. Je dis que ea m'est égal mais j'ai tort. Je ne devrais pas aller à ce bal Après tout, je n'ai pas le droit d'imposer ma préene à ces gens. Mais, en tournant et retournant machinalement le bristol entre ses doigts, il lut derrière un mot hâtivement tiérc au crayon : « Vnz. — . » Et ce mot eut n de ses dernières hésitations. Malgré les conditions anormales d l'invitation, Jnea rat au bal Directoire. On a toujours de l'imagination quand on aime. Le jeune homme strae plusieurs minutes els yeux fixés sur ce mot. Il étt à la fois comminatoire et plein d dcr. lueQ ntimn l'vt dicté; sinon le désir qu'éprouvait Suzy d o Jean de Vassal ? Et si lele désrt le rvr, c'était parce que. — Ne nous montons spa le coup ! s'ntrrmpt familièrement Jean Son costume d'épq fut vite choisi. Il trouva chez un coemsutri habit 'incroyable tout neuf qui semblait coupé pour l. a il eut revêtu le pantalon à pont, le frac en drap ue et le gilet de faille; quand il eut arrangé chiffonné sa caae de dentelle, il avait grand air. Sns être de nature coqette, il s rgrd avec une certaine complaisance dans son miroir — Ça pt aller, dit-il. Je ne suis pas trop grotesque. Le danger de ces bals travestis c'est qu'on sombre souvent dans le ridicule, sans s'en apercevoir. J'espère que ce 'est pas mon cs ce soir. Et pour mlétr son travestissement, il se ps autour du cou le large ruban noir dun cordon de face

qu'éprouvait Suzy de revoir Jean de Vassal ? Et si elle désirait le revoir, c'était parce que. — Ne nous montons pas le coup ! s'interrompit familièrement Jean. Son costume d'époque fut vite choisi. Il trouva chez un costumier un habit d'incroyable tout neuf qui semblait coupé pour lui. Quand il eut revêtu le pantalon à pont, le frac en drap puce et le gilet de faille; quand il eut arrangé chiffonné sa cravate de dentelle, il avait grand air. Sans être de nature coquette, il se regarda avec une certaine complaisance dans son miroir — Ça peut aller, dit-il. Je ne suis pas trop grotesque. Le danger de ces bals travestis c'est qu'on sombre souvent dans le ridicule, sans s'en apercevoir. J'espère que ce n'est pas mon cas ce soir. Et pour compléter son travestissement, il se passa autour du cou le large ruban noir d'un cordon de face à main. "Voilà qui est terminé. Maintenant, il ne me manque plus qu'une chose : pouvoir exécutif". J'ai tort de ne pas en prendre un, car j'en aurai peut-être besoin. Bah ! On essayera de s'en passer. Le "pouvoir exécutif", c'était la trique solide que les Incroyables n'abandonnaient jamais et dont ils jouaient avec maestria quand on les y contraint. — D'ailleurs, reprit le jeune homme, un bâton est une arme périmée. Un revolver est plus sûr et ça tient moins de place. Et Jean de Vassal glissa un browning et deux chargeurs supplémentaires dans la poche arrière de sa culotte. C'était un anachronisme, mais il s'y résigna sans débat. Depuis son étrange conversation téléphonique avec Winconnu, il veillait soigneusement à sa sécurité personnelle. Lorsqu'il arriva avenue Henri-Martin vers dix heures et demie, la fête battait déjà son plein. Deux orchestres alternaient : un jazz trépidant composé de nègres américains à l'épilepsie conventionnelle, et un septuor de cordes qui ne jouait que des airs d'autrefois comme "Ah! ma mère, qu'est-ce donc ?" ou bien le "Soleil des Pyramides". Une des premières personnes qui reconnut Jean de Vassal fut Chiquette Thénard. Le décolleté carré de son corsage était gentiment indiscret et

qu'éprouvait Suzy de revoir Jean de Vassal ? Et si elle désirait el revoir, c'était parce que. — Ne nous montons pas le coup ! 'errmi familièrement Jean. Son costume d'époque fut tiev ii.ohcs Il ov chez un costumier un habit d'incroyable tout neuf q semblait coupé pour lui. Quand il eut revêtu le pantalon à pont, le frac en drap puce et e glt de aile quand il eut arrangé chiffonné a cravate de dletelne, il avait grand air. Sans être de nature coquette il se regarda vc une certaine complaisance das n miroir Ça peut aller dit-il. Je ne suis ps trop grtqe. Le danger de cs bals travestis c'est qu'on sombre souvent dans le ridicule, sans s'en apercevoir. J're que ce n'est pas mon cas ce soir. Et pour compléter son travestissement, il se pasas autour du cou le large ruban nr d'un cordon de face à main. "Voilà qui est terminé. Maintenant, il ne me manque plus qu'une chose : pouvoir exécutif Jai trt de ne pas en prendre un, car j'en aurai peutêtre besoin. Bha ! On essayera de sen pssr. Le "pouvoir exécutif", c'était la trique solide que les ncrybls n'abandonnaient jamais et dt ils jouaient avec maestria quand on s y contraint. D'ailleurs, triepr le jeune hmm, un bâtn es une arme périmée. Un revolver est plus sûr et ça tient moins de place. Et Jean de Vassal glissa un browning et deux chargeurs supplémentaires dans al poche arrière de sa culotte. C'était u anachronisme, mais il s'y résgn sans débat. Depuis son étrange onncvteoiras téléphonique avec Winconnu, il vllt soigneusement à s sécurité prsnnll. Lorsqu'il arriva avenue Henri-Martin vers dix heures et demie la fête battait déjà son plein. Deux orchestres alternaient : un jazz trépidant cmpsé de nègres américains à l'épilepsie conventionnelle, et n septuor de cordes iuq ne jouait que des airs d'autrefois comme "Ah! ma mère, qu'est-ce dnc ou bien le lel des Pyramides". Une des premières personnes qui reconnut Jean de Vassal fut Chiquette Thénard. Le décolleté carré de son corsage ét gentiment indiscret et

dont ils jouaient avec maestria quand on les y contraint. — D'ailleurs, reprit le jeune homme, un bâton est une arme périmée. Un revolver est plus sûr et ça tient moins de place. Et Jean de Vassal glissa un browning et deux chargeurs supplémentaires dans la poche arrière de sa culotte. C'était un anachronisme, mais il s'y résigna sans débat. Depuis son étrange conversation téléphonique avec Winconnu, il veillait soigneusement à sa sécurité personnelle. Lorsqu'il arriva avenue Henri-Martin vers dix heures et demie, la fête battait déjà son plein. Deux orchestres alternaient : un jazz trépidant composé de nègres américains à l'épilepsie conventionnelle, et un septuor de cordes qui ne jouait que des airs d'autrefois comme "Ah! ma mère, qu'est-ce donc ?" ou bien le "Soleil des Pyramides". Une des premières personnes qui reconnut Jean de Vassal fut Chiquette Thénard. Le décolleté carré de son corsage était gentiment indiscret et sa robe, fendue sur le côté, laissait parfois voir sa jambe fort au-dessus du genou, selon les prescriptions les plus audacieuses de cette époque, où tout parait perdu collectivement la tête, comme cela lui arrive d'ailleurs au moins une fois par siècle. — Bonjour, monsieur le muscadin ! dit-elle au nouvel arrivant. Vous êtes magnifique ! — Bonsoir, mademoiselle ! Vous êtes charmante ! Mais elle le réprimanda : — Mettez-vous donc dans la peau du rôle ! Les Incroyables le faisaient tous. Et les yeux, juste au-dessus de son éventail déployé : "Me ferez-vous un peu danser, ce soir, bourreau des cœurs ? — Bien sûr, ensorceleuse, si vous m'y autorisez. répondit Jean. — Ce sera nécessaire que vous pensiez un peu à moi. Vous ne pouvez pas faire danser toujours la même sans la compromettre affreusement. — De qui voulez-vous parler ? Chiquette Thénard pouffa : — Vous avez bien dit ça, hypocrite ! Vous ne savez vraiment pas à qui je fais allusion ? — Je vous assure, je ne comprends pas, fit Jean de Vassal sans se douter. Chiquette dégagea sa jambe avec un impudeur tranquille pour la faire admirer à plusieurs jeunes gens qui passaient

dont ils jouaient avec maestria quand on les y cntrnt. — D'ailleurs, reprit le jeune homme, un bâton es une rm périmée. Un rvlvr est plus sûr et ç tient onsim de place. Et Jean de asVlas glissa un browning et deux chargeurs supplémentaires dans la poche arrière de s culotte. C'était un anachronisme, mais il s'y résigna sans débat. Depuis son étrange cnvrstn téléphonique vc Winconnu, il veillait soigneusement sa curé prsnnll. ors arriva avenue Henri-Martin vers dix heures et dm, la fetê battait jàdé son plein. Deux rchstrs alternaient : n jzz trépidant composé de nègres américains l'épilepsie cnvntnnll, et un septuor de cordes qui ne jouait que des airs d'trfs comme "Ah! ma mère, qu'est-ce dnc ?" ou bien le "Soleil des Pyramides". Une des premières personnes qui reconnut Jn de asalsV ft Chiquette Thénard. Le décolleté a de son corsage était gtimen ndscrt et sa robe, nd sur le côté, laissait parfois voir sa jambe fort au-dessus du genou, selon les prescriptions les plus audacieuses de cette époque, où tout parait perdu cllctvmnt la tête, comme cela uil arrive d'ailleurs au moins une fois par siècle. — Bonjour, monsieur le muscadin ! dit-elle au nouvel arrivant. Vous êtes magnifique ! — Bnsr, mademoiselle Vous êtes charmante ! Ms elle le réprimanda : — Mettez-vous donc dans la peau du rôle ! Les Incroyables le faisaient tous. Et les yeux, juste au-dessus d son éventail déployé : "Me ferez-vous un peu danser, ce sor, bourreau des cœurs ? — Bien rs,û ensorceleuse, si vous m'y autorisez. rp Jean. — C sera nécessaire que vous pensiez un peu à moi. Vous ne pouvez pas faire danser toujours la même sns la compromettre affreusement. — De qui voulez-vous parler ? Chiquette Thénard pouffa : — Vous avez bien dit ça, hypocrite ! Vous n savez vraiment pas à qui j fais allusion — Je vous assure, je ne comprends pas, fit Jean de Vassal sans se douter. Chiquette dégagea sa jambe avec un impudeur qlutalerni pour la faire admirer à lsers jeunes gens qui passaient

nouvel arrivant. Vous êtes magnifique ! — Bonsoir, mademoiselle ! Vous êtes charmante ! Mais elle le réprimanda : — Mettez-vous donc dans la peau du rôle ! Les Incroyables le faisaient tous. Et les yeux, juste au-dessus de son éventail déployé : "Me ferez-vous un peu danser, ce soir, bourreau des cœurs ? — Bien sûr, ensorceleuse, si vous m'y autorisez. répondit Jean. — Ce sera nécessaire que vous pensiez un peu à moi. Vous ne pouvez pas faire danser toujours la même sans la compromettre affreusement. — De qui voulez-vous parler ? Chiquette Thénard pouffa : — Vous avez bien dit ça, hypocrite ! Vous ne savez vraiment pas à qui je fais allusion ? — Je vous assure, je ne comprends pas, fit Jean de Vassal sans se douter. Chiquette dégagea sa jambe avec un impudeur tranquille pour la faire admirer à plusieurs jeunes gens qui passaient : — Ce n'est pas à moi qu'il appartient de nommer votre Dulcinée. Si ça peut vous faire plaisir, apprenez que vous avez fait une grande impression, mon cher. Tout à l'heure encore, on me parlait de vous. on me questionnait. On voulait savoir des détails... tous les détails ! — Mais qui est-ce "on" ? — Si vous ne devinez pas, vous ne méritez pas l'intérêt qu'on vous porte. — Vous plaisantez, Chiquette ? — Moi, plaisanter sur ce sujet ? Jamais !. Je suis d'accord avec le poète : on ne badine pas avec l'amour ! — Vous êtes trop taquine, dit Jean. Accordez-vous ce tango langoureux ? — Je l'ai déjà promis à un concurrent. Allez présenter vos devoirs et nous nous retrouverons plus tard, si vous vous souvenez encore de moi ! À tout à l'heure, don Juan ! Elle le laissa sur place, ravi et un peu désorienté. Comme tous les sincères, il n'aimait pas qu'on s'aperçût de ses histoires de cœur. Il alla cérémonieusement baiser la main de Mme La Borde, qui fut pour lui aimable et froide, ni plus ni moins que d'habitude. En hôtesse courtoise, elle crut bon de mentir : —

nouvel arrivant. Vous êtes magnifique ! — Bonsoir, mademoiselle ! Vous êtes charmante ! Mais elle le réprimanda : — Mettez-vous donc dans la peau du rôle ! Les Incroyables le faisaient tous. Et les yeux, jst au-dessus de son éventail déployé : Me zrufeevso- un peu danser, c soir, bourreau des cœurs ? — Bien sûr ensorceleuse, si vous m autorisez. épdit Jean. Ce sera nécessaire que vous pes un peu à moi. Vous ne pouvez pas faire danser toujours la même sns la compromettre affreusement — De qui voulez-vous er ? Chiquette Thénard pouffa : — Vous avez bien dit ça, hypocrite ! Vous ne savez vraiment pas à qui je fais allusion ? — Je vous assure, je ne comprends ps, fit Jean de Vassal sans se douter Chiquette dégagea sa jambe avec un impudeur tranquille pour la fr admirer à plusieurs jeunes en qui passaient : Ce n'est pas à moi qu'il appartient de nommer votre Dulcinée. Si ça peut vous faire plaisir, prz euq vous avez fait une grnd impression, mon cher. Tout à l'heure encore, on me parlait de vous. on me euinstqa.toin On voulait savoir des détails... tous le détails ! — Mais qui est-ce on ? — Si us ne devinez pas, vous ne méritez ps l'intérêt qu'on vous porte. — Vous plaisantez, Chiquette ? — Moi, plaisanter sur c sujet ? Jamais !. Je ss d'accord avec le poète : on ne badine pas avec l'amour ! — Vous êts trop taquine, dit Jean. Accordez-vous c tango langoureux ? — Je l'ai déjà promis à un concurrent. Allez présntr os devoirs et nous nous retrouverons plus tard, si vous vs souvenez encore de moi ! À tout à l'heure, don Juan ! Elle e laissa sur place, ravi et un peu désorienté. Comme tous les sincères, l n'aimait pas q' apç de ses histoires de cœur. Il alla cérémnsmnt baiser la main de m La Borde, u fut pour lui aimable et froide, ni plus ni mns q h'aedtibd.u En hôtesse courtoise, ll crut bon de mentir : —

— Mais qui est-ce "on" ? — Si vous ne devinez pas, vous ne méritez pas l'intérêt qu'on vous porte. — Vous plaisantez, Chiquette ? — Moi, plaisanter sur ce sujet ? Jamais !. Je suis d'accord avec le poète : on ne badine pas avec l'amour ! — Vous êtes trop taquine, dit Jean. Accordez-vous ce tango langoureux ? — Je l'ai déjà promis à un concurrent. Allez présenter vos devoirs et nous nous retrouverons plus tard, si vous vous souvenez encore de moi ! À tout à l'heure, don Juan ! Elle le laissa sur place, ravi et un peu désorienté. Comme tous les sincères, il n'aimait pas qu'on s'aperçût de ses histoires de cœur. Il alla cérémonieusement baiser la main de Mme La Borde, qui fut pour lui aimable et froide, ni plus ni moins que d'habitude. En hôtesse courtoise, elle crut bon de mentir : — Monsieur de Vassal, je m'excuse du retard subi par votre invitation. Ma première carte m'est revenue, il y avait une erreur d'adresse. J'ai réparé cela le plus tôt qu'il m'a été possible. Vous ne m'en voulez pas ? Un sourire ambigu coulait cette phrase. Mme La Borde n'attenda even pas la réponse du jeune homme et se tourna avec beaucoup de naturel vers d'autres invités qui arrivaient. Jean de Vassal pensa en s'éloignant : — Hum !. Je crois que la bonne dame me trouve de trop ce soir chez elle. Si j'avais du tact, je devrais reprendre mon veston sur-le-champ et m'en retourner chez moi. Mais après tout ce n'est pas pour elle que je suis venu, ce n'est pas pour celui-là non plus. Celui-là, c'était Robert La Borde. La poignée de main des deux jeunes gens fut cordiale. — Ah ! vous êtes en Incroyable ? dit le cousin de Suzy. — Comme vous, cher ami. répondit Jean. — Il n'y avait pas d'autre costume possible. — Si, celui de Directeur. — Il y a trop de plumes au chapeau ! — C'est vrai, David aimait le faste ! C'est lui qui dessina tout cela. C'est quand même

— Mais qui st-c "on" — Si vous ne devinez pas, vous ne méritez pas l'intérêt qu'on vous porte. — Vous plaisantez, Chiquette ? — Moi, plaisanter sur ce sujet ? Jamais !. Je suis d'accord avec le poète : on ne badine pas avec l'amour ! — Vous êtes trop taquine, dit Jean. Aceos ce tango langoureux ? — Je l'ai déjà promis à un concurrent. Allez présenter vos devoirs et nous nous retrouverons plus tard, is vous vous souvenez encore de o ! À tt à l'heure, don Juan ! Elle le ilssaa sur place, rv t un peu désorienté. Comme tous les sincères, il n'aimait pas qo s'aperçût de ses histoires de cœur. Il alla cérémonieusement baiser al mn d Mme La Borde, qui fut pour lui aimable et froide, ni plus ni is que d'habitude. n hôtesse courtoise, elle crut bon d mntr : — Monsieur de Vassal, je m'excuse du retard subi par vtr invitation. Ma première carte m'est revenue, il y vt une erreur d'adresse. J'ai ré cela le u tôt qu'il ma été possible. Vous ne m'n le pas ? Un sourire ambigu coulait cette phrase Mme La Borde n'attenda even a la réponse ud jeune homme et se tourna av bcp de naturel vers d'autres invités qui arvaiet. Jean de Vassal pensa en itoslnénga' : — u !. Je crois que la bonne dame me trouve de trop ce soir chez elle. Si j'avais du att,c je devrais reprendre mon veston sur-le-champ et m'en retourner ez moi. i après tout ce nste' pas pour elle que je suis ven,u ce n'est pas pour celui-là non plus ài-C,ulle c'était Robert La Borde La poignée de inma des deux jeunes gens fut cordiale. — Ah ! vous êtes n ncrybl ? dit le cousin d Suzy. — Comme vous, cher ami. répondit Jean. — Il n'y avait pas d'autre costume possible. — Si, celui de Directeur. — Il y a trop de plumes au uhcepaa ! — 'est vrai David aimait le faste ! C'est lui qi dessina tout cela. C'est quand mêm

la réponse du jeune homme et se tourna avec beaucoup de naturel vers d'autres invités qui arrivaient. Jean de Vassal pensa en s'éloignant : — Hum !. Je crois que la bonne dame me trouve de trop ce soir chez elle. Si j'avais du tact, je devrais reprendre mon veston sur-le-champ et m'en retourner chez moi. Mais après tout ce n'est pas pour elle que je suis venu, ce n'est pas pour celui-là non plus. Celui-là, c'était Robert La Borde. La poignée de main des deux jeunes gens fut cordiale. — Ah ! vous êtes en Incroyable ? dit le cousin de Suzy. — Comme vous, cher ami. répondit Jean. — Il n'y avait pas d'autre costume possible. — Si, celui de Directeur. — Il y a trop de plumes au chapeau ! — C'est vrai, David aimait le faste ! C'est lui qui dessina tout cela. C'est quand même plus brillant que le triste habit de soirée en usage aujourd'hui. — Cela, je vous le concède. Mais je vous demande pardon, cher ami. Ma mère m'appelle. — Faites donc, dit Jean de Vassal. Et dès qu'il fut seul : "Ouf ! Les deux corvées que j'avais à faire sont terminées. Passons maintenant aux choses plus agréables." Et il chercha Suzy Nelson, qui était très entourée. La grâce de son sourire séduisait tous les hommes et désarmait les femmes. La jeune fille avait l'air de s'excuser d'être jolie, ce qui l'en rendait davantage. Sa robe était blanche, toute simple et, cette fois encore, comme les vraies jeunes filles, elle ne portait aucun bijou. Quand elle distingua Jean de Vassal dans la foule, elle eut une sorte d'élan irrésistible vers lui : — Vous êtes en retard, monsieur ! dit-elle. Vous méritez une punition pour n'avoir pas mis plus d'empressement ! — Je suis là depuis un moment, mademoiselle. J'ai déjà vu Mme La Borde, Robert, et j'ai fait un bout de causette avec Chiquette. Thénard. Comprenant qu'une conversation particulière s'engageait, les autres invités s'éloignèrent avec des regards d'envie vers Jean qui s'en souciait d'ailleurs fort peu. — Je croyais que

la réponse du jeune homme et se trn avec beaucoup de naturel vers d'autres invités qui arrivaient. Jean de Vassal pensa en s'éloignant : — H !. Je crois que la bnn dame me trouve de trop c soir chez elle. Si j'avais d tact je devrais reprendre mn veston sur-le-champ et m'en retourner chez moi. Mais après tout ce n'est pas pour elle ue ej suis venu, ce n'st pas pr celui-là non plus. Celui-là, 'était Robert La Borde. La poignée de mn des deux jeunes gens fut cordiale. — Ah ! vous êtes en Incroyable dit le cousin de Suzy. — omCem vous, rhec a réit Jean. — Il ny avait pas d'autre costume possible — i, celui de Directeur. — Il y a trop de lsumep au chapeau ! Ct vrai, Dav aimait le faste ! C'est lui qui dessina tout cela Ce'st quand même plus brillant que le triste habit soirée n usage jrd'h. — Cela je vous le concède. Mais je vou demande pardon, chr ami. Ma mère m'appelle. — Fts ,cnod d Jean de Vassal Et dès quil fut esul : "Ouf ! Les deux corvées que j'avais faire sont trmin Passons maintenant aux choses plus agréables Et il chercha Suzy Nelson, qui était très té. La grâce de son srr séduisait tous ls hommes et raésdmita les femmes. La jn fille avait l'air d s'excuser d'êtr jolie, ce qui 'en rendait davantage. Sa robe était blanche, toute simple et cette fois encore, c les vraies jeunes fls, elle ne otit cn bijou. Quand elle gdiinastu Jn de Vassal dns la foule, elle eut une sorte d'élan irrésistible vers l : — Vous êtes en rear, monsieur ! dit-elle. Vous méritez une punition pour 'avoir pas mis plus 'empremt ! Je suis là depuis un moment, mademoiselle. 'i déàj vu Mme La Borde, Robert, et j'ai fait un bout de causette avec Chiquette Thénard Comprenant qu'une cnvrstn particulière sengageait les autres invités soigre avec des rs d'envie vers Jean qui s'en souciait d'ailleurs fr peu — Je croyais qe

terminées. Passons maintenant aux choses plus agréables." Et il chercha Suzy Nelson, qui était très entourée. La grâce de son sourire séduisait tous les hommes et désarmait les femmes. La jeune fille avait l'air de s'excuser d'être jolie, ce qui l'en rendait davantage. Sa robe était blanche, toute simple et, cette fois encore, comme les vraies jeunes filles, elle ne portait aucun bijou. Quand elle distingua Jean de Vassal dans la foule, elle eut une sorte d'élan irrésistible vers lui : — Vous êtes en retard, monsieur ! dit-elle. Vous méritez une punition pour n'avoir pas mis plus d'empressement ! — Je suis là depuis un moment, mademoiselle. J'ai déjà vu Mme La Borde, Robert, et j'ai fait un bout de causette avec Chiquette. Thénard. Comprenant qu'une conversation particulière s'engageait, les autres invités s'éloignèrent avec des regards d'envie vers Jean qui s'en souciait d'ailleurs fort peu. — Je croyais que vous ne viendriez pas, reprit la jeune fille en changeant de ton. Cela me préoccupait. — Je suis venu, dit Jean, parce que vous avez ajouté un mot au dos de la carte. C'était un ordre, je ne pouvais pas désobéir. Les beaux yeux bleus se troublèrent: — Ce que j'ai fait n'est pas très correct, mais je voulais vous donner des nouvelles du petit Douglas. Je sais qu'il vous intéresse. Tout le monde est parfaitement heureux à Londres, grâce à vous. Grâce à vous surtout!, rectifia-t-il. Mettons grâce à nous deux! Lord Helms s'est embarqué aujourd'hui pour l’Afrique. Avant de partir, il m’a écrit une lettre affectueuse dans laquelle il me parle de « son fils » en des termes enthousiastes. C’est touchant! Ne vous moquez pas de lui. Mon cousin est un brave homme, un cœur tendre sous ses dehors glacés. Et vous, comment allez-vous maintenant? — Je suis tout à fait émue. Nous dansons? — Si vous voulez. Le regard de Jean de Vasal rencontra soudain celui de Robert. À ce moment, le visage du cousin de Suzy exprimait une véritable haine. — Votre cousin me déteste cordialement, plaisanta Jean de Vassal. Je ne lui ai pourtant

terminées. Passons mntnnt aux choses plus agréables." Et il chercha Suzy Nelson, qui était très entourée. L grâc de on sourire séduisait ou les hommes t désarmait les femmes. La jeune fille avait l'air e s'excuser d'être jolie, ce qui l'en rendait davantage. Sa robe était blanche, toute simple et, cte fois encore, comme les vrs jeunes filles, elle ne portait aucun bijou. Quand elle distingua Jean de Vassal dans a foule, elle eut une sorte d'élan irrésistible vers lui : — Vous êtes en retard, monsieur ! dit-elle. Vous méritez une punition pour navoir pas is p d'mprssmnt ! — Je suis là depuis un moment, mademoiselle. J'ai déjà vu Mme La Borde, Robert, et a fait un bt de causette avec Chiquette. Thénard. Comprenant q'n conversation particulière s'engageait, les autres invités s'éloignèrent avec des regards d'envie vers Jean q s'en souciait d'llrs fort peu. — Je croyais que vous en viendriez pas, reprit la jeune fille en ct de ton. Cela me préoccupait. — Je suis venu, dit Jean, parce que vous avez ajouté un mot au dos de la carte. C'était un ordre, je ne pouvais pas désobéir. Les beaux yeux ls se troublèrent: Ce que j'ai fait n'est pas très correct, mais je voulais vous donner ds nouvelles du petit Douglas. Je sais i'qlu vous intéresse. Tout le ode est parfaitement heuux à nres grâce à vous. Grâce à vs surtout!, ctfa Mn grâce à nous deux! Lrd Helms s'est embarqué ujud'hu pour l’Afrique. Avant de partir, il m’a écrit une lettre affectueuse dans ae il m parle de sn fils ne des termes enthousiastes. ’est touchant! Ne vous mqz pas de lui. Mon cousin est un rae homme, un cœur tendre sous ses dehors glcés. Et vous, comment allez-vous maintenant? — Je suis tout à fait émue. Nous dansons? — Si vous voulez. Le regard d Jean de Vasal rencontra soudain celui de obert À ce moment, le visage du cousin de Suzy epria une véritable hn. — Votre cousin me déteste crdlmnt, plaisanta Jean d Vasa Je n lui ai pourtant

j'ai fait n'est pas très correct, mais je voulais vous donner des nouvelles du petit Douglas. Je sais qu'il vous intéresse. Tout le monde est parfaitement heureux à Londres, grâce à vous. Grâce à vous surtout!, rectifia-t-il. Mettons grâce à nous deux! Lord Helms s'est embarqué aujourd'hui pour l’Afrique. Avant de partir, il m’a écrit une lettre affectueuse dans laquelle il me parle de « son fils » en des termes enthousiastes. C’est touchant! Ne vous moquez pas de lui. Mon cousin est un brave homme, un cœur tendre sous ses dehors glacés. Et vous, comment allez-vous maintenant? — Je suis tout à fait émue. Nous dansons? — Si vous voulez. Le regard de Jean de Vasal rencontra soudain celui de Robert. À ce moment, le visage du cousin de Suzy exprimait une véritable haine. — Votre cousin me déteste cordialement, plaisanta Jean de Vassal. Je ne lui ai pourtant rien fait. Pourquoi vous figurez-vous qu'il vous déteste? demanda la jeune fille. (A suivre)

j'ai fait 'est pas très correct, mais je voulais vous donner nvlls du petit Douglas. J sais qu'il v intéresse. utoT le monde t parfaitement heureux à Londres, grâce à vous. Grâce à ous surtout!, rectifia-t-il. ens grâce à nous deux! Lord Hes s'est rmébqaeu aujourd'hui pour l’Afrique. Avant de partir, il m’a écrit une lettre ffcts dans laquelle il me parle de « sn fls » n des termes enthousiastes. Cet’s touchant! Ne vs moquez pas de l. Mon cousin est n brave homme un cœur tendre sous ses dehors glacés. Et vous, comment allez-vous maintenant? — eJ suis tout à fait émue. Nu dansons? — Si vous voulez. L regard de Jean d Vasal rencontra soudain celui de Robert. À ce mmnt, le evisag du cousin de Suzy exprimait une véritable haine — Votre cousin me edtstée cordialement plaisanta Jean e Vassal. Je ne l ai pourtant rn fait. Pourquoi vous figurezvous u vs déteste? demanda la jeune fille. ( suivre)

Mulhouse, 28 Juillet 1858. BOURSE. Les affaires sont toujours en bonne voie et seraient plus suivies encore si la marchandise était plus abondante. Il n'existe en effet que très peu de disponible sur notre place en filés et calicots ; aussi les prix se raisonnent-ils en hausse. — Les cotons en laine restent fermes. La bourse de ce jour a été assez animée ; on y remarquait la présence de plusieurs acheteurs étrangers, qui ne veulent pas encore aborder les prix demandés. Le tableau des courtiers est resté à l'état négatif, faute de transactions conclues en bourse par leur ministère. .... La dépêche télégraphique du Havre se résume ainsi : Le très bas IV. 80. — Le bas, 05. — Le très ord., 105. — Le middling la veille à Liverpool, 0 15/10 d. — Ventes de la veille, au Havre 1001 IV. à Liverpool 5000. — Manchester, calme bien soutenu : ici demande suivie. r. b.xiibt. Le tableau des cours du jour. — Le 20. Le 27. Le 28. Rente 4 1/2 p. 0/0 95.85 90. 90. — 5 p. 0/0 08.15 08.25 08.10 Rente de France 3090. 1000. 1000. Bulletin commercial et industriel. Douanes. — Le tableau du revenu des douanes pour le mois de Juin et le premier semestre de l’année courante indique une amélioration croissante et soutenue dans les transactions commerciales. ... Le total des droits perçus pendant le premier semestre de 1858 s’élève à 93,559,517 fr. ; il avait été de 90,387,459 fr. pendant le premier semestre de 1857. Le total des droits perçus en 1857 étant de 183,212,054, il en résulte que le second semestre n'avait produit que 87 millions, c'est à dire 6 millions de moins que le premier semestre de 1858. Les principales diminutions pendant le semestre portent sur le café, les fils anglais et belges, les laines en masse, la fonte, les sucres étrangers. Il y a augmentation sur la houille, l'huile d'olive, le cuivre, le sel brut, le sucre des colonies, etc. En examinant séparément les chiffres du mois de Juin, on constate sur-le-champ la reprise commerciale. Les droits perçus

Mulhouse, 28 Juillet 1858. BOURSE. Les air sont toujours en bnn voie et seraient plus suivies encore si la marchandise était plus abondante. Il n'xst en effet q très peu de disponible sur notre lc en filés et calicots ; a les prix raisonnent-ils en hausse. — Les cotons en laine restent fermes. La bourse d ce jour été assez animée ; on y trrequaaim la prsécene d sie acheteurs étrangers, qui ne vlnt pas encore aborder les prix demandés. Le tableau des courtiers est resté à tt'éla négatif, uteaf de transactions esonuccl en bourse arp leur ministère. .... La dépêche télégraphique du Havre se résume ainsi Le très bas I 80. — Le bas, 05. — Le très ord., 105. — Le middling la ile à Liverpool, 0 15/10 d. — Ventes de la veille, au Havre 1001 IV. à Lvrpl 00. — Manchester, calme bien soutenu : c demande suivie. r. .i Le tableau des cours du .uojr — Le 0. Le 27. Le 28. nte 4 / p. 0/0 95.85 90. 9.0 — 5 p. 0/0 08.15 825 10 Rente de France 3090. 1000. 1000. Bulletin commercial et industriel. Douanes. — Le tbl du revenu des douanes pour le mois de Juin et l premier semestre de l’année courante ndq n amélioration croissante et soutenue dans les transactions cmmrcls. ... L total des droits perçus pendant el premier semestre de 1858 s’élèv à 93,559,517 fr. ; il vt été de 0,3,9 fr. pendant le prmerei smstr de 1857. Le total des droits perçus en 1857 étant de 183,212,054, li en ru qu le second semestre n'ait produit que 87 millions, 'est dire 6 mllns de omnsi que le premier semestre de 58 Les principales diminutions endt le semestre prtnt sur le éca,f les fils anglais et belges, ls laines en masse, la fon, les scrs étrangers Il y augmentation sur la houille, l'huile d'olive, l cuivre, le sel r l sucre des colonies, etc. En examinant séparément ls chiffres du mois de Juin, on constate sur-le-champ la reprise commerciale. Ls droits perçus

revenu des douanes pour le mois de Juin et le premier semestre de l’année courante indique une amélioration croissante et soutenue dans les transactions commerciales. ... Le total des droits perçus pendant le premier semestre de 1858 s’élève à 93,559,517 fr. ; il avait été de 90,387,459 fr. pendant le premier semestre de 1857. Le total des droits perçus en 1857 étant de 183,212,054, il en résulte que le second semestre n'avait produit que 87 millions, c'est à dire 6 millions de moins que le premier semestre de 1858. Les principales diminutions pendant le semestre portent sur le café, les fils anglais et belges, les laines en masse, la fonte, les sucres étrangers. Il y a augmentation sur la houille, l'huile d'olive, le cuivre, le sel brut, le sucre des colonies, etc. En examinant séparément les chiffres du mois de Juin, on constate sur-le-champ la reprise commerciale. Les droits perçus s'élèvent, pour 1858, à 19,581,141 fr. ; ils n'avaient été que de 17,290,452 fr. en 1857 et de 10,357,148 fr. en 1850. Il y a augmentation des droits perçus à l’entrée du café, de la houille, du poivre, du sucre des colonies, etc. L'exportation des céréales a pris un grand développement; de 48,928 quintaux métriques en Juin 1850, elle est montée à 105,900 quint. met. en Juin 1858. L'industrie des verres et cristaux continue sa marche ascendante ; l’exportation avec primes, qui n'était que de 17,070 quint. met. en Juin 1850, s’élève à 18,420 quint. met. en Juin 1858. L’exportation des sucres raffinés a été aussi très-considérable pendant le mois de Juin. Il n'est sorti de France, pendant les six premiers mois de 1858, que 91,000 kilogrammes d'argent environ, représentant 18 à 20 millions de francs. Mais il a été importé 94,000 kilogrammes d'or représentant environ 310 millions de livres. C'est un accroissement de près de 300 millions dans le stock métallique du pays pendant le premier semestre de 1858. Marchés français. — Il n’y a pas de différence sensible à signaler dans la tenue du marché de Rouen. La rouennerie et les mouchoirs de Bollée continuent à être bien

revenu des duane pour le mois de Juin e le premier smstr de lannée crnt ndq une amélioration croissante et soutenue dans les transactions commerciales. ... Le total des droits perçus pendant le premier semestre de 1858 s’élève à 93,559,517 fr. ; il avait été de 90,387,459 fr. dt le premier semestre 1857. Le total ds droits perçus e 1857 étant d 183,212,054, l en résulte que le second semestre n'avait ri que 87 millions, c'est à dire 6 lsiolnmi de moins que le premier semestre de 1858. Les principales diminutions pendant le semestre portent ur le café, les fl anglais et belges, laines en masse, la n les sucres étrangers. Il y a augmentation sur la houille, l'hl d'olive, le cuivre, le lse brut le reucs des clns, etc. En examinant séparément les chiffres du os de Juin, on constate sur-le-champ la rpis commerciale. Les droits perçus 'élèvent, pour 1858, à 19,581,141 .rf ; ils n'avaient été que de 17,290,452 f en 1857 et de 10,357,148 fr. en 1850. Il y aume des droits perçus à ’entrée du café, de la houille, d poivre, du sucre des colonies etc. L'exportation sed céréales a pris un grand développement; d 8298,4 qnt métriques en Juin 058,1 elle est mnté à 105,900 qnt. met. en Juin 1858 L'industrie s verres et cristaux continue s marche ascendante ; l’exportation avec primes, q 'était que de 17,070 quint. met. en Jn 1850, s’élève à 18,420 quint. met. en Juin 1858. L’exportation des sucres raffinés a été ss très-considérable pendant l mois d Juin. Il n'est sot de France, pendant ls six premiers mois de 1858, que 91,000 kilogrammes d'argent environ, npesérnatert 18 à 20 millions de francs. Mais il a été importé 94,000 kilogrammes do'r représentant environ 310 millions de livres. 'est un accroissement d près de 300 millions dans l stock maiqu du pays pendant l prmr semestre de 1858. Marchés français. — Il ’ a pas de différence sensible à signaler dans la tn ud marché de Rouen. La ruere et les mouchoirs d eéloBl continuent à être bien

développement; de 48,928 quintaux métriques en Juin 1850, elle est montée à 105,900 quint. met. en Juin 1858. L'industrie des verres et cristaux continue sa marche ascendante ; l’exportation avec primes, qui n'était que de 17,070 quint. met. en Juin 1850, s’élève à 18,420 quint. met. en Juin 1858. L’exportation des sucres raffinés a été aussi très-considérable pendant le mois de Juin. Il n'est sorti de France, pendant les six premiers mois de 1858, que 91,000 kilogrammes d'argent environ, représentant 18 à 20 millions de francs. Mais il a été importé 94,000 kilogrammes d'or représentant environ 310 millions de livres. C'est un accroissement de près de 300 millions dans le stock métallique du pays pendant le premier semestre de 1858. Marchés français. — Il n’y a pas de différence sensible à signaler dans la tenue du marché de Rouen. La rouennerie et les mouchoirs de Bollée continuent à être bien demandés ; ils ont même obtenu un peu de hausse. Les calicots compte 50 et les filés pour lissage mécanique maintiennent très bien leurs prix, quoiqu'il ne se soit pas fait beaucoup d’affaires, pas plus que la semaine dernière, par suite des marchés à livrer précédemment conclus. La vente de l’indienne n’a pas eu toute l'importance désirable, la nouveauté d'automne n’étant pas encore sortie. — La fabrique lyonnaise déploie une activité chaque jour plus grande. Les soieries s'écoulent bien, avec une hausse minime, mais graduelle. De bonnes commissions ont été données de l’intérieur. L’importation recherche surtout les châles double face, nouveauté pour l'hiver. La matière première a haussé de 2 à 3 fr. ; on recherche principalement l’organdsin Brousse, les titres 22/24 et 24/20 organdins filatures et les bonnes olivraisons des mêmes titres. — Les affaires ont repris de l'activité sur les marchés de la Drôme et de l’Ardèche. On signale de la hausse à Romans, Joyeuse et Aubenas. Voici les cours : soies fines de pays, 60 et 64 fr. ; les deuxièmes, de 58 à 60 fr. ; soies fines, de 60 à 64 fr. — Les renseignements qui nous parviennent sur les cours des fers laminés diffèrent

développement; e 48,928 quintaux métriques en Juin 1850, elle st montée à 105,900 quint. m. en Juin 1858. L'industrie des verres et cristaux continue sa marche ascendante ; l’exportation avec rpme,si q n'était que de 17,070 qnt. met. en Juin 1850, s’élève à 18,420 quint. met en Jn 588.1 L’exportation des usrsec raffinés a été aussi très-considérable pendant le mois de Juin. n'est sorti de an, pendant les six premiers mois de 1858, que 91,000 kilogrammes tag'enrd environ, représentant 18 à 20 millions de francs. Mais il a été importé 94,000 kilogrammes d'or représentant environ 310 nmsiliol e livres. C'est nu accroissement de près de 300 millions dans le stock iaueqllémt du pays pendant le premier semestre ed 1858. Marchés français. — Il n’y pas de différence sensible à signaler dans la tenue du marché de Rouen. La neoieurnre et sel mouchoirs de Bollée continuent à être bien demandés ; ils ont même obtenu un peu de hausse. Les calicots compte 50 t les filés pour lssg mécanique maintiennent très bien lurse prix, quoiqu'il ne se soit s fait beaucoup d’affaires, pas plus que la semaine dernière, pr suite des marchés à livrer précédemment conclus. La vente de l’indienne n’a pas eu oue l'mprtnc désirable, la nouveauté d'automne n’étant pas encore sortie. — La fabrique lyonnaise déploie une activité chaque jour plus and Les soieries s'écoulent bien, avec une hausse minime, s radel. De bonnes commissions ont été données de l’intérieur. L’importation recherche surtout les châles ob face, nouveauté pour l'hiver. a matière première a haussé de 2 à 3 fr. ; on recherche principalement l’organdsin Brousse, les titres 22/24 et 24/20 organdins filatures et les bonnes olivraisons des mêmes titres. — Les ffires ont repris de l'activité sr les hés de la Drôme et de l’Ardèche. On signale e la hausse à Romans, Joyeuse te Aubenas. Voici les cours : soies fines d pays, 60 et 64 fr. ; les xm de 58 à 60 fr. ; soies fines, de 60 à 64 fr. — Les renseignements qui nous parviennent sur les cours es frs laminés diffèrent

l’indienne n’a pas eu toute l'importance désirable, la nouveauté d'automne n’étant pas encore sortie. — La fabrique lyonnaise déploie une activité chaque jour plus grande. Les soieries s'écoulent bien, avec une hausse minime, mais graduelle. De bonnes commissions ont été données de l’intérieur. L’importation recherche surtout les châles double face, nouveauté pour l'hiver. La matière première a haussé de 2 à 3 fr. ; on recherche principalement l’organdsin Brousse, les titres 22/24 et 24/20 organdins filatures et les bonnes olivraisons des mêmes titres. — Les affaires ont repris de l'activité sur les marchés de la Drôme et de l’Ardèche. On signale de la hausse à Romans, Joyeuse et Aubenas. Voici les cours : soies fines de pays, 60 et 64 fr. ; les deuxièmes, de 58 à 60 fr. ; soies fines, de 60 à 64 fr. — Les renseignements qui nous parviennent sur les cours des fers laminés diffèrent trop entre eux, pour que nous puissions établir des prix fixes. Nous devons nous borner à consigner toutes ces divergences de prix. Les forges réunies de Champagne et de Bourgogne maintiennent leur cote à 505 fr. la 1re classe à Saint-Dizier et à Longeuses, et 520 fr. à Paris ; elles conservent aussi l’écart de 5 fr. par classe jusqu’à la 5e, et de 10 fr. de la 5e à la 7e et font un écart de 40 fr. entre la 7e et la dernière, ce qui donne les prix suivants : Lamines au bois 1re classe 503 à Saint-Dizier. 2e id. 510 — 3e id. 515 4e id. 520 — 5e id. 525 — 6e id. 530 — 7e id. 545 8e id. 538 — D’autres forges cotent 500 fr. la 1re classe franco gares de l’Est, avec 5 fr. pour les quatre premières classes et 10 fr. pour les quatre dernières. D’autres usines encore offrent la 1re classe à 590 et 595 fr. en maintenant un écart de 10 fr. pour toutes classes, Un laminoir a lancé vers le 10 Août un tarif à 28 fr. la 1re classe et 5 fr. d'écart jusqu’à la 6e classe inclusivement;

l’ndnn n’a pas eu toute l'importance désirable, l nouveauté d'tmn n’tnt pas ncr srt. — La fabrique lni déploie une activité chaque jour plus grande. Ls srs 'écoulent bien, vc une hausse minime, mais graduelle. De bonnes commissions tno été données de lintérieur L’importation recherche surtout lse châles double face, nvté pour l'hiver. La matière première a haussé de 2 à 3 fr. ; on recherche principalement l’rgndsn Brousse, ls titres 22/24 et 24/20 organdins filatures te les bonnes lvrsns des mêmes titres. — Les affaires ont repris de l'activité sur les marchés de la Dôm et de l’Ardèche. signale de la hausse à Romans, Joyeuse et Aubenas. Voici les cours : soies ne pays, 06 et fr. ; les deuxièmes, de 58 à 60 f ; soies sef,ni d 60 à 64 fr. Les renseignements qui unos parviennent sur les cours des fers laminés diffèrent trop entre eux, pour que o puissions établir des irpx fixes. Nous devons nous borner à consigner toutes ces divergences de prx. Les forges réunies de Champagne e de Bourgogne mntnnnt leur cote à 5 fr. la 1r clss à Saint-Dizier et à Longeuses, et 520 fr. à Prs ; elles conservent aus ’écart de 5 fr. par classe jusqu’à la 5e, et de 10 fr de la 5e à la 7e et font un écart de 40 fr. entre la 7 t la dernière, c qui donne les prix suivants : Lamines au bois 1re classe 503 Saint-Dizier. 2 id. 50 — 3e id. 515 4e id. 520 — 5e d. 525 — e6 id. 530 — 7e id. 545 8e id. — D’autres forges cotent 500 fr. la 1r classe franco ar de tsl,’E ve 5 fr. pour les quare prmèrs lasscse et 10 f. pour les quatre dernières. D’autres niuess encore offrent la 1r cas à 590 et 595 fr. en maintenant un écart de 10 fr. pour ou classes, Un loir a lancé vers le 10 Août un trf à 28 fr. la 1re classe t 5 fr. 'écart jusqu’à la 6e classe inclusivement;

elles conservent aussi l’écart de 5 fr. par classe jusqu’à la 5e, et de 10 fr. de la 5e à la 7e et font un écart de 40 fr. entre la 7e et la dernière, ce qui donne les prix suivants : Lamines au bois 1re classe 503 à Saint-Dizier. 2e id. 510 — 3e id. 515 4e id. 520 — 5e id. 525 — 6e id. 530 — 7e id. 545 8e id. 538 — D’autres forges cotent 500 fr. la 1re classe franco gares de l’Est, avec 5 fr. pour les quatre premières classes et 10 fr. pour les quatre dernières. D’autres usines encore offrent la 1re classe à 590 et 595 fr. en maintenant un écart de 10 fr. pour toutes classes, Un laminoir a lancé vers le 10 Août un tarif à 28 fr. la 1re classe et 5 fr. d'écart jusqu’à la 6e classe inclusivement; mais on nous dit que cette forge refuse maintenant de s’engager, à ces conditions. Les fers martelés ne changent pas au prix de 350 fr. à Saint-Dizier. La verge de tréfileries vaut de 520 à 550 fr. Le N° 20, 520 le N° 21 franco Paris. Une affaire en fonte de forge a été traitée cette semaine à 123 fr. — La foire de Beaucaire s'annonce sous les auspices les plus favorables. Le nombre des magasins loués dépasse de beaucoup celui de l'année dernière. Le marché grandit de jour en jour ; il est vrai que ces quelques maisons colossales qui ne traitaient que par millions deviennent de plus en plus rares ; mais, en revanche, tel commerçant de second ordre qui précédemment n’osait hasarder le voyage se rend maintenant à Beaucaire avec confiance. Il y a donc tout lieu d'espérer que, si les matadors du commerce ne jugent plus nécessaire de se rendre à Beaucaire à l’époque de la foire, ils y seront remplacés par plusieurs maisons secondaires qui, réunies, finiront par réaliser un chiffre aussi considérable que les premiers. Des trains de plaisir amènent de tous les points de la France une foule de visiteurs, et il est

elles conservent aussi l’écart ed 5 fr. par ssalce jusquà la 5e, t de 10 fr. d la 5 à la 7e et font un écart de 40 fr. entre a 7e et la drnèr, ce qui donne les prix suivants Lamines au bois 1re classe 503 à Saint-Dizier. 2e id. 510 — 3e id. 515 4e id 520 — 5e id. 525 — 6e id. 530 — 7 id. 545 8e id. 538 D’autres forges cotent 500 fr. la 1re classe fcanro gares de ’Est, avec 5 fr. pour les quatre premières classes t 10 fr. pour les qtr dernières D’autres usines encore offrent la 1re classe à 590 et 595 fr. en maintenant un écart de 10 fr pour toutes classes, Un lmir a lancé vers le 10 Août un tarif à 28 fr. la 1r classe et 5 fr. d'écrt jusqu’à l classe inclusivement mais on nous tid que cette forge refuse maintenant de s’engager, à ces nin.sotcdio Les fers martelés ne changent as au prix de 350 fr. à Saint-Dizier. La verge de tréfileries vaut de 520 à 550 fr. e N 20, 520 le N° 21 franco Paris. Une affaire en fonte de orefg a été taté cette semaine à 123 fr. — La foire de Beaucaire s'annonce sous les auspices les plus favorables Le nombre des magasins loués dépasse de beaucoup celui de l'année dernière. Le marché grandit de jour en jour ; il est vrai que ces quelques maisons colossales qui ne traitaient que par millions deviennent de plus en plus rares ; mais, en revanche tel commerçant de second ordre ui précédemment n’osait hsrdr le voyage se rend maintenant à Beaucaire avec confiance. Il y a donc tout lieu d'espérer que, si les matadors du cmmrc ne jugent plus nécessaire de se rendre à Beaucaire à ’époque de la foire, ils y seront remplacés par plusieurs maisons eir qui réunies, finiront rap éalise un chiffre aussi considérable que les premiers. Des trains de plaisir amènent de tous les points de la France une foule de visiteurs, et il est

de forge a été traitée cette semaine à 123 fr. — La foire de Beaucaire s'annonce sous les auspices les plus favorables. Le nombre des magasins loués dépasse de beaucoup celui de l'année dernière. Le marché grandit de jour en jour ; il est vrai que ces quelques maisons colossales qui ne traitaient que par millions deviennent de plus en plus rares ; mais, en revanche, tel commerçant de second ordre qui précédemment n’osait hasarder le voyage se rend maintenant à Beaucaire avec confiance. Il y a donc tout lieu d'espérer que, si les matadors du commerce ne jugent plus nécessaire de se rendre à Beaucaire à l’époque de la foire, ils y seront remplacés par plusieurs maisons secondaires qui, réunies, finiront par réaliser un chiffre aussi considérable que les premiers. Des trains de plaisir amènent de tous les points de la France une foule de visiteurs, et il est à noter que l'abaissement en ville du prix des loyers contribuera à en augmenter le nombre. Le Coton de la Guadeloupe. Le Moniteur universel annonçait récemment que le ministère des colonies avait prescrit la vente publique, au Havre, le 51 de ce mois, de soixante-dix-sept balles de coton Edislo longue-soie, de la Guadeloupe. Quatre-vingts balles choisies sur la récolte de 1857 étaient arrivées au Havre. Trois ont été cédées au prix officiel d'estimation du courtier, c’est-à-dire à raison de 0 fr. 30 c., 0 fr. 50 c. et 7 fr. le kilogramme, à des premiers fabricants de Lille, désireux de constater la valeur de ce beau produit français, comparativement au Géorgie des Etats-Unis. Nous apprenons, disent les journaux du Havre, avec un vif intérêt, les premiers résultats de ces essais sérieux. Quarante-sept kilogrammes longue-soie Guadeloupe, désiraillement, troisième classe, viennent d'être filés par MM. Delcharle et Lardemer, en chaîne fil simple n° 144, et en retors n° 170 ou 210 anglais. Les mêmes (Dates) ont mis en fabrication trois autres types supérieurs de la Guadeloupe. Nous en ferons connaître les résultats, dans l’intérêt de l'industrie, du commerce maritime et des colonies. Ce nouveau colon français, introduit depuis 1852 dans nos Antilles

de forge a été traitée cette semaine à 123 fr. — La foire de Beaucaire s'annonce sous les auspices les plus favorables Le nombre des magasins loués dépasse de beaucoup celui de l'année dernière. Le marché grandit de jour en j ; il est vrai que ces qule maisons colossales qui ne traitaient que pr millions deviennent de plus en plus rares ; mais, en revanche, tel commerçant de second ordre qui précédemment ’oit hasarder le voyage se rend maintenant à Beaucaire avec confiance. l y donc tout lieu d'espérer que si les matadors du commerce ne jugent plus eaésriscne de se rendre à Beaucaire à l’époque de la foire ils y seront remplacés pra plusieurs maisons secondaires qu,i réunies, finiront par réaliser un chiffre aussi considérable que les premiers. Des trains de plaisir amènent de tous les points de la France une foule de visiteurs, et il est à noter que l'abaissement en ville du prix des loyers contribuera à en augmenter le nombre. Le Coton de la Guadeloupe. Le Moniteur universel nnnçt ént que le ministère des colonies vt prescrit l vente publique, au Havre, le 51 de c mois de soixante-dix-sept balles de coton Edislo longue-soie, d la Guadeloupe Quatre-vingts balles choisies sur la récolte de 1857 étaient arrivées au Havre. Trois ont é cédées au prix ffcl d'estimation du courtier, c’est-à-dire à raison de 0 fr. 30 c., fr. 50 c. et 7 fr le klogme à des premiers fabricants d l, désireux de constater la valeur de ce beau produit français, comparativement a Géorgie des Etats-Unis. Nous apprenons disent les journaux du Havre, avec un vf ntérêt, les premiers résultats de ces essais sérieux. Quarantesept kilogrammes longue-soie Guadeloupe, désiraillement, troisième classe, viennent d'être filés par MM Delcharle et Lardemer, en chaîne fil simple n° 144, et en retors n° 170 ou 210 anglais. Les mêmes (Dates) ont mis en fabrication trois taresu types supérieurs de la Guadeloupe. Nous en ferons connaître les résultats, dans l’ntérêt d l'industrie, d commerce maritime et des colonies. Ce nouveau colon raa introduit depuis 1852 ans nos Antilles

de la Guadeloupe. Quatre-vingts balles choisies sur la récolte de 1857 étaient arrivées au Havre. Trois ont été cédées au prix officiel d'estimation du courtier, c’est-à-dire à raison de 0 fr. 30 c., 0 fr. 50 c. et 7 fr. le kilogramme, à des premiers fabricants de Lille, désireux de constater la valeur de ce beau produit français, comparativement au Géorgie des Etats-Unis. Nous apprenons, disent les journaux du Havre, avec un vif intérêt, les premiers résultats de ces essais sérieux. Quarante-sept kilogrammes longue-soie Guadeloupe, désiraillement, troisième classe, viennent d'être filés par MM. Delcharle et Lardemer, en chaîne fil simple n° 144, et en retors n° 170 ou 210 anglais. Les mêmes (Dates) ont mis en fabrication trois autres types supérieurs de la Guadeloupe. Nous en ferons connaître les résultats, dans l’intérêt de l'industrie, du commerce maritime et des colonies. Ce nouveau colon français, introduit depuis 1852 dans nos Antilles par M. Grélet-Balguerie, a été jugé magnifique longue-soie par les premiers fabricants et les plus connaisseurs, entre autres MM. Gox et Herzog, lequel ajoutait que « sa production devrait être vivement encouragée par la consommation nationale. » CHRONIQUE D'ALSACE. L’Empereur à Munster. Nous avons reçu, lundi et mardi, plusieurs lettres particulières de Munster, nous annonçant l'arrivée inattendue de S. M. dans la soirée de samedi. L’Empereur était venu à la rencontre de Mad. la grande-duchesse Stéphanie de Bade, qui l'attendait au col de la Schlucht. MM. Hartmann, avertis de la venue de S. M., s'étaient rendus sur ce point, et l’Empereur avait bien voulu accepter l'invitation que lui avait faite M. Fréd. Hartmann, ancien pair de France, de passer la nuit à Munster. La suite de l’Empereur se composait de M. le général baron de Reville, de M. le colonel comte Lepic, de M. de Bulassel, et de M. Mocquard, secrétaire particulier. La princesse Stéphanie était accompagnée de M. de Lopriching, son chevalier d’honneur. Le lendemain dimanche, L'Empereur a passé en revue le corps des sapeurs-pompiers et est reparti à 9 heures, au milieu d’une foule immense accourue de tous côtés pour le saluer de ses acclamations. MM. Hartmann, Kirner,

de la Guadeloupe. Quatre-vingts bale chss sur la récolte de 1857 étaient arrivées au Hvr. Trois nt été cédées au prix officiel d'estimation du courtier, c’est-à-dire raison de 0 fr. 30 c., fr. 50 c. et 7 f. le kilogramme, à des premiers fabricants de Lille, désireux de constater la valeur de ce beau produit français, comparativement Géorgie des Etats-Unis. Nous apprenons, dsnt ls journaux du Havre, avec un vif intérêt, les premiers résultats de ces essais sérx. Quarante-sept kilogrammes longue-soie Guadeloupe, désiraillement, troisième classe, viennent d'êtr filés par MM Dchre et Lder, en chaîne fil simple n° 144, et en rs 170 ou 210 anglais. Les mêmes (Dates) ont mis en fabrication trois autres types suéeurs de la Guadeloupe Nous en ferons cnnîtr les résultats, dans l’intérêt de l'industrie, du commerce ariim et des colonies. Ce nouveau colon français introduit depuis 1852 dans nos Antilles par M. Grélet-Balguerie, a été jugé mgnfq longue-soie pr les premiers fabricants et les pls connaisseurs, entre autres MM Gox et Herzog, lequel ajoutait que « sa production dait être im encouragée par la consommation nationale. » CHRONIQUE D'ALSACE. L’Empereur à Munster. Nous ns reçu, lnd et mrd, plusieurs lettres iclès de Munster, nous annonçant l'arrivée inattendue de S. M. dans la soirée de samedi. L’Empereur était venu à la rencontre de Mad. la grande-duchesse Stéphanie de Bade, qui l'attendait au cl de l Schlucht. MM. Hartmann, avertis de la venue de S. M., s'étaient rendus sur ce point, et l’Empereur avait bien voulu accepter iaitti'lnnov que lui avait faite M. Fréd. mn ancien pair de France, de passer la nuit Munster. La suite de l’Empereur se composait de M. le général baron Reville de . le colonel comte Lepic, de M de Bulassel, et de . Mocquard, eétar particulier. L princesse Stéphanie était ccmpgné de M. de Lopriching, sno chevalier ’oneur. Le lendemain dimanche, L'Empereur a asé en revue le corps des sprs-pmprs et est reparti à 9 hree,su au ml d’une fol immense accourue de tous côtés pour le saluer de ses acclamations. MM. Hartmann, Kirner,

particulières de Munster, nous annonçant l'arrivée inattendue de S. M. dans la soirée de samedi. L’Empereur était venu à la rencontre de Mad. la grande-duchesse Stéphanie de Bade, qui l'attendait au col de la Schlucht. MM. Hartmann, avertis de la venue de S. M., s'étaient rendus sur ce point, et l’Empereur avait bien voulu accepter l'invitation que lui avait faite M. Fréd. Hartmann, ancien pair de France, de passer la nuit à Munster. La suite de l’Empereur se composait de M. le général baron de Reville, de M. le colonel comte Lepic, de M. de Bulassel, et de M. Mocquard, secrétaire particulier. La princesse Stéphanie était accompagnée de M. de Lopriching, son chevalier d’honneur. Le lendemain dimanche, L'Empereur a passé en revue le corps des sapeurs-pompiers et est reparti à 9 heures, au milieu d’une foule immense accourue de tous côtés pour le saluer de ses acclamations. MM. Hartmann, Kirner, Huhland et Immer ont eu l’honneur d'accompagner, à cheval, Sa Majesté jusqu'au-delà du col de Retournement. Une heure environ après le départ de l’Empereur, est arrivé au grand galop un escadron de cuirassiers de Colmar, ayant à sa tête son colonel M. de Grammont et la plupart des officiers du régiment. Les fonctionnaires de Colmar, qui n’avaient pas été prévenus, sont également arrivés trop tard pour présenter leurs hommages à Sa Majesté. À Schlewihr, le conseil municipal réuni en corps devant la mairie, et la compagnie des pompiers eut l'honneur de saluer sur son passage le chef de l'Etat, lors de son retour à Plombières. Mad. la grande-duchesse Stéphanie est revenue le dimanche soir à Munster et n'en est repartie que le lendemain vers midi. FEUILLETON DE L’INDUSTRIEL ALSACIEN. BARTHOLOME SCHWARTZ. Reproduction interdite. Le XIVe siècle venait à peine de commencer que déjà des signes précurseurs annonçaient les orages politiques et religieux qui l'agitèrent. De sourdes rumeurs comme celles qui précèdent les grands événements semblaient s’élever des quatre points cardinaux. L'Angleterre tressaillait sous un souffle inconnu et puissant; on eût dit qu’elle pressentait qu'elle allait donner le jour à un de ces génies lancés pour bouleverser le monde, et elle

prtclèrs de Munster nous annonçant l'arrivée nttnd de S. M. dans l soirée de samedi. L’Empereur était venu à la tnecronre de Mad. la grande-duchesse Stéphanie d Bade, qui l'attendait au col de la Schlucht. MM. Hartmann avertis de la venue de S. M., s'étaient rendus sur ce point, t ’Empereur avait bien voulu accepter l'invitation que lui avait fi M Fréd. Hartmann, ancien pr de France, de pasr la nuit à Munster. La suite de l’Empereur se composait de M. le général baron d Reville, de M. le colonel comte Lepic, de M. de Bulassel et d M. Mocquard secrétaire tilie La nesspriec Stéphn était acmpag de M. de Lopriching, sno chevalier d’honneur. Le lendemain e,cahdnmi L'mprr a passé ne revue le corps des sapeurs-pompiers et est ari à 9 heures au milieu d’une foule immense accourue de tous côtés p le slr de ses acclamations. MM. Hartmann Kirner, Huhland et Immer ont eu hnr 'oagner à cheval, Sa Majesté jusqu'au-delà du col de Retournement. Une heure environ après le départ de l’Empereur, est arrivé au grand galop un escadron de crssrs de Clmr, ayant à a tête sn lonl M. de Grammont et la pat des officiers du réet Les fonctionnaires de Clmr, qui n’avaient pas été prévenus, sont églet arrivés trop trd pour prétersen lrs hommages à aS Majesté. Schlewihr, le conseil mncpl rén en crps devant la mr, et l compagnie des pompiers eut l'honneur de saluer sur son passage e chef de t',aElt lors de son reor à Plombières. Mad. la grande-duchesse Stéphanie est rvn le dimanche soir Munster et nen est repartie que le eai vers md. FEUILLETON E L’NDSTRL ALSACIEN. BARTHOLOME SCHWARTZ. Reproduction interdite. L XIVe ièslec venait peine d commencer que déjà des signes précurseurs annonçaient les aroesg politiques et religieux qui l'agitèrent. De sourdes rumeurs comme celles qui précèdent les grands événements semblaient s’élever ds quatre points cardinaux. netee tressaillait sous un souffle inconnu e puissant; n dt qu’elle pressentait qu'elle allait dnnr le jour à un de ces génies lancés pr bouleverser le monde, et elle

régiment. Les fonctionnaires de Colmar, qui n’avaient pas été prévenus, sont également arrivés trop tard pour présenter leurs hommages à Sa Majesté. À Schlewihr, le conseil municipal réuni en corps devant la mairie, et la compagnie des pompiers eut l'honneur de saluer sur son passage le chef de l'Etat, lors de son retour à Plombières. Mad. la grande-duchesse Stéphanie est revenue le dimanche soir à Munster et n'en est repartie que le lendemain vers midi. FEUILLETON DE L’INDUSTRIEL ALSACIEN. BARTHOLOME SCHWARTZ. Reproduction interdite. Le XIVe siècle venait à peine de commencer que déjà des signes précurseurs annonçaient les orages politiques et religieux qui l'agitèrent. De sourdes rumeurs comme celles qui précèdent les grands événements semblaient s’élever des quatre points cardinaux. L'Angleterre tressaillait sous un souffle inconnu et puissant; on eût dit qu’elle pressentait qu'elle allait donner le jour à un de ces génies lancés pour bouleverser le monde, et elle se reposait un instant pour se préparer aux luttes que les doctrines de Wiclef devaient soulever. La science médicale, jusqu’alors fort arriérée, combattait vaillamment de son côté contre la soutane de Boniface VIII, qui voulait la réduire à l'impuissance; et résolue à accomplir la loi du progrès au prix des plus grands sacrifices, elle laissait frapper d'anathème ceux de ses disciples assez hardis pour se livrer à la dissection. Au milieu de ces troubles, l'Allemagne, un instant tranquille, se réveillait au bruit du tocsin des révolutions et des rivalités qui s'agitaient autour du trône impérial, devenu vacant par la mort de Henri de Luxembourg. Deux hommes puissants se trouvaient en présence, Frédéric d'Autriche et Louis de Bavière; Frédéric, cœur loyal qui portait sur son front et dans son regard mélancolique le pressentiment de sa fatale destinée; Louis IV, prince du saint empire, ruiné, haï, perdu de débauches, laissant souvent au fond de sa coupe sa raison et les derniers lambeaux de son honneur. Louis IV était cruel et avide; souvent ses archers s'étaient répandus sur le Tyrol, où ils avaient commis des exactions effroyables et des cruautés sans but. Leurs bandes années pillant et saccageant les villages, livrant aux flammes

régiment. Les fonctionnaires de Colmar, qui n’avaient pas été prévenus, sont également arrivés trop tard pour présenter leurs hommages à Sa Majesté. À Schlewihr, le conseil municipal réuni en corps devant la mr, et la compagnie des pompiers eut l'honneur de saluer sur son passage le chef de l'Etat, lors de son retour à Plombières. a.dM la grande-duchesse Stéphanie set revenue le dimanche soir Munster et 'e est repartie que le lndmn vers midi. FEUILLETON DE RNTIEDSILL’U ALSACIEN. BARTHOLOME SCHWARTZ. Reproduction interdite. Le XIVe siècle venait à peine de commencer que déjà des signes précurseurs annonçaient les orages politiques t religieux qui l'agitèrent. De sourdes rumeurs ce celles qui précèdent les grands événements semblaient ’élever des quatre points cardinaux. L'Angleterre tressaillait sous souffle inconnu et puissant; on eût dit qu’elle pressentait qu'elle allait donner le jour à un de ces génies lancés pour bouleverser le monde, et elle se reposait un instant pour se préprr aux luttes que e doctrines de Wiclef devaient soulever. La science médicale, jusqu’alors fort arriérée, combattait vaillamment de son côté contre la soutane de Boniface II,VI qui loiatuv la réduire l'impuissance; et résolue à accomplir la loi du progrès au prix des plus grands sacrifices, eell laissait frapper d'anathème ceux de ses disciples assez hardis pour se livrer la dissection. Au ml d ces troubles, l'Allemagne, un instant rall se réveillait ua bruit u tocsin des révolutions et des rivalités q s'agitaient autour du trône impérial, veudne vacant rap la mort de Henri ed Luxembourg. Dx hommes puissants se trouvaient en présence, Frédéric d'Autriche et Louis de Bvèr; Frédéric, cœur loyal qui portait sur son front t dans son regard mélancolique le pressentiment de sa fatale destinée; Louis IV, prince du saint empire, ruiné, haï, perdu de débauches, laissant souvent au fond de sa coupe s raison et les derniers amelbuxa de son honneur. Louis IV était cruel et avide; souvent ses archers eittnsaé' us sur le Tyrol, où ils avaient commis des exactions effroyables et des cruautés sans bt. Leurs bandes années pillant et saccageant les villages, livrant aux flammes

plus grands sacrifices, elle laissait frapper d'anathème ceux de ses disciples assez hardis pour se livrer à la dissection. Au milieu de ces troubles, l'Allemagne, un instant tranquille, se réveillait au bruit du tocsin des révolutions et des rivalités qui s'agitaient autour du trône impérial, devenu vacant par la mort de Henri de Luxembourg. Deux hommes puissants se trouvaient en présence, Frédéric d'Autriche et Louis de Bavière; Frédéric, cœur loyal qui portait sur son front et dans son regard mélancolique le pressentiment de sa fatale destinée; Louis IV, prince du saint empire, ruiné, haï, perdu de débauches, laissant souvent au fond de sa coupe sa raison et les derniers lambeaux de son honneur. Louis IV était cruel et avide; souvent ses archers s'étaient répandus sur le Tyrol, où ils avaient commis des exactions effroyables et des cruautés sans but. Leurs bandes années pillant et saccageant les villages, livrant aux flammes les maisons, enlevant les femmes et les enfants pour les offrir en pâture aux caprices de leur maître, ou lui servir à se faire payer d'énormes rançons. Ils étaient les deux compétiteurs qui se présentaient pour recueillir l’héritage de Henri VII, héritage qu'une double élection et huit années de guerre devaient ensanglanter, et qui devait se terminer par le meurtre de Frédéric. Au milieu de ces scènes désolantes, un homme jeune encore s’était retiré du monde, vivant dans un cloître, sans se préoccuper des guerres qui désolaient l’empire. Cet homme, qu’une grande douleur avait brisé, se livrait à l’étude des sciences et consacrait le reste de sa vie à secourir l'humanité. Père sans enfants, il avait pris le genre humain pour famille et donnait à tous l'amour qu'il ne pouvait plus répandre comme une douce rosée sur le front de sa fille, qui lui avait été ravinée un jour de pillage, ainsi que sur le front de sa femme qui avait été tuée par les archers du Bavarois en défendant son enfant. Chrétien, il n'avait pas maudit; il avait refoulé au fond de son cœur la haine, ce poison violent qui corrode les âmes les plus pures. Sa douleur, au

plus grands sacrifices, le laissait frapper d'anathème ceux de ses disciples assez ardis pour se livrer à l dissection. Au milieu de ces troubles, l'Allemagne, un nstnt trnqll, réveillait au bruit du tocsin ds ositélrvuon t des vit qui s'agitaient autour du trône impérial, devenu vcnt par la mort de Henri de Luxembourg. Deux hommes pssnts se trouvaet n présence, Frédéric cAtruehi'd et Louis de Bavière; Frédéric, cœur loyal qui portait sur son front et dans son regard mélancolique l pressentiment de sa fatale stiné Louis V, prince du saint empire, ruiné, aï pd de débchs, laissant souvent au fond de sa cp a raison et les derniers lambeaux de sn honneur. Lou IV tait cruel et vd; souvent se archers s'étaient pandu sur l Tyrol, où ils avaient commis des exactions effroyables et ds cruautés sns but. Leurs bandes années pillant et saccageant ls villages, livrant aux flammes s maisons, enlevant les femmes et les enfants pr les offrir en pâture aux cpi de leur maître, ou l servir à se faire payer dénms rnçns. Ils étaient les deux cmpéttrs qui se présentaient pour cll l’héritage e Henri VII, hértg qu'une double élection et huit années de guerre devaient nsnglntr, t qui devait se mtinreer par le meurtre de Frédéric Au milieu de ces scènes désolantes, un homme eue encore ’était retiré ud o, vivant dans un clîtr, sans se préoccuper e guerres qui ésnt l’mpr. Cet homme, q’n grande douleur avait bsé se livrait à l’étude des sciences et consacrait le ret de sa vie à secourir lhan.tuémi' Père sans enfants, il avait pris l genre hmn pour famille e donnait à tous l'amour qu'i ne pouvait plus répandre comme ue douce rosée sur le frnt de s fille, qu lui vt été ravinée un jour de pillage ainsi que sur le front de sa fmm qui avait été tuée par les archers du Bavarois en défendant son enfant. Chrétien, il n'avait p maudit il avait refoulé au fond de son cœur la hne, ce pionso violent qui corrode ls âmes les pls pures. Sa orduue,l au

devaient ensanglanter, et qui devait se terminer par le meurtre de Frédéric. Au milieu de ces scènes désolantes, un homme jeune encore s’était retiré du monde, vivant dans un cloître, sans se préoccuper des guerres qui désolaient l’empire. Cet homme, qu’une grande douleur avait brisé, se livrait à l’étude des sciences et consacrait le reste de sa vie à secourir l'humanité. Père sans enfants, il avait pris le genre humain pour famille et donnait à tous l'amour qu'il ne pouvait plus répandre comme une douce rosée sur le front de sa fille, qui lui avait été ravinée un jour de pillage, ainsi que sur le front de sa femme qui avait été tuée par les archers du Bavarois en défendant son enfant. Chrétien, il n'avait pas maudit; il avait refoulé au fond de son cœur la haine, ce poison violent qui corrode les âmes les plus pures. Sa douleur, au lieu de se trahir en imprécations, s’était traduite par cette œuvre admirable de résignation et de pardon, par ce monument impérissable de tendresse, qui s'appelle la limitation de Jésus! Disciple fervent, il attendait que le Dieu de justice frappât les coupables, quels qu’ils fussent, certain qu'ils n'échapperaient pas au monde de tous. Guillaume, dont la science médicale tenait du prodige, pour l'époque, avait acquis une réputation qui était arrivée jusqu'au Saint-Siège. Jean XXIII s'était ému de cette gloire obscure qui s'élevait d'autant plus qu'elle se tenait cachée, et avait voulu s’attacher ce moine; aussi l'avait-il nommé successivement évêque, cardinal, sans que celui-ci voulût quitter son monastère et abandonner les malades qu’il soignait. Chaque soir, accompagné d’un serviteur fidèle, il descendait du cloître et se rendait à une ferme où les malades des environs se réunissaient pour recevoir ses consultations, et, chaque soir, il emportait les bénédictions de ceux qu’il guérissait. Au moment où s'ouvre notre récit, en l’an de grâce 1540, le pape Clément VI, tenant sa cour à Avignon, venait, par une nuit, de casser l’élection de Louis. Cette décision du Saint-Siège remettait tout en question. En quelles mains allaient tomber le sceptre et l'empire d’Allemagne? La guerre allait-elle

devaient ensanglanter, et qui dvt se terminer par le meurtre de Frédéric. Au milieu de ces scènes désolantes, un homme jeune encore s’était retiré d monde, vivant dans un cloître, sans se préoccuper des guerres qui désolaient l’empire. Cet homme, qu’une grande douleur avait brisé, se livrait à l’étude des sciences et consacrait le reste d sa vie à courir l'humanité. Père sans enfants, il vai pris le genre humain pour famille et donnait à ts 'amour qu'il ne pouvait plus répandre comme une douce se sr le front de sa fille, qui lui avait été véareni un jour de pillage, ainsi que sur le front de sa femme qui avait été tuée par les archers du Bavarois e défendant son enfant. Chrétien, l n'avait pas maudit; il avait refoulé au fond d son cœur la haine, ce poison violent qui corrode les âmes les plus pures. Sa douleur, au lieu d s trahir en imprécations, s’était tradite par cette œuvre admirable de résignation et de pardon, par ce nnt impérissable de tendresse, uqi s'appelle la limitation de Jésus! Disciple fervent, il attendait qeu le Dieu de justice frappât les cpbls, quels qu’ils fussent, certain qu'ils n'échapperaient pas au monde de tous. Guillaume, dont la science médicale eat du prodige, pour l'époque, avait acquis u réputation qui était arrivée jusqu'au SaintSiège Jean XXIII s'étt ém de cette gloire obscure qui s'élevait d'autant plus ulle se tenait cachée, et avait voulu s’attacher ce moine; aussi l'avait-il nommé suesivmen évêque, cardinal, sans que celui-ci voulût quitter son monastère et abandonner les malades qu’il soignait. Chaque soir, accompagné u serviteur fidèle, il descendait du cloître et se rendait à une ferme où les malades des environs se rénssnt pour rcvr ses consultations, et, chaque soir, il emportait les bénédictions d ceux qu’il guérissait. Au moment où 'ouvre ronet récit, en l’an de grâce 1540, le pape Clément VI, tenant sa cour Avignon, venait, par une nuit, de casser l’élection de Louis. Cette décision du Saint-Siège remettait tout en question. En quelles mains allaient tomber le sceptre et lempire dmnlla’ege?A a guerre llt-ll

de tous. Guillaume, dont la science médicale tenait du prodige, pour l'époque, avait acquis une réputation qui était arrivée jusqu'au Saint-Siège. Jean XXIII s'était ému de cette gloire obscure qui s'élevait d'autant plus qu'elle se tenait cachée, et avait voulu s’attacher ce moine; aussi l'avait-il nommé successivement évêque, cardinal, sans que celui-ci voulût quitter son monastère et abandonner les malades qu’il soignait. Chaque soir, accompagné d’un serviteur fidèle, il descendait du cloître et se rendait à une ferme où les malades des environs se réunissaient pour recevoir ses consultations, et, chaque soir, il emportait les bénédictions de ceux qu’il guérissait. Au moment où s'ouvre notre récit, en l’an de grâce 1540, le pape Clément VI, tenant sa cour à Avignon, venait, par une nuit, de casser l’élection de Louis. Cette décision du Saint-Siège remettait tout en question. En quelles mains allaient tomber le sceptre et l'empire d’Allemagne? La guerre allait-elle de nouveau sortir de ce conflit? Louis de Bavière allait-il se retirer devant son compétiteur Charles, fils du roi de Bohême, que le pape lui opposait? La question ne fut pas longtemps sans solution. Comme pour Frédéric d’Autriche, Louis de Bavière essaya de faire assassiner Charles de Bohême; mais prévenu à temps, celui-ci échappa au piège qui lui était tendu et dans lequel il devait succomber pendant une grande chasse au sanglier. Déçu dans son attente, le duc comprit qu'il fallait se préparer à la lutte; il leva de nouvelles bandes et les jeta sur le Tyrol, comme des vautours sur un cadavre pantelant: il faisait de ce pays une mine à ses exactions. Son trésor était épuisé, et le Bavarois avait compris que ce n'était pas les armes à la main qu'il fallait enlever le pape et le vaincre, mais au sein du palais électoral qu’il fallait remporter la victoire; pour cela, il fallait acheter les électeurs séculiers dont le vote pouvait lui être défavorable. Sans motifs, il s'était jeté sur la ville de Bâulenz, dont les habitants, pris à l'improviste, n'avaient que faiblement résisté; puis après avoir rasé plusieurs maisons et fait pendre les auteurs des émeutes, il

de otus. Guillaume, dont la science médicale tenait du prodige, pour lépoque avait acquis une réputation qui était arrivée jusqu'au Saint-Siège. Jean XI s'était ému de cette rgoiel obscure qui s'élevait d'autant plus qu'elle se tenait cché, et avait voulu ’attacher c moine; aussi l'avait-il nommé successivement évêque, cardinal, sans que celui-ci vlût quitter son monastère et abandonner les malades qu’il soignait. Chaque soir, accompagné d’un srvtr fidèle, il descendait du cloître et s rendait à une ferme où s malades des environs e réunissaient pour recevoir ses consultations, et, chaque soir, il emportait les bénédictions ed ceux qu’il guérissait. Au moment où s'ouvre notre récit, en l’an de grâce 1540, le pape Clément VI, tenant sa cour à Avignon, venait, par une nuit, de casser l’élection de Louis. Cette disin du Saint-Siège remettait tout en question. En quelles mains allaient tomber le sceptre et l'mpr d’Allemagne? La guerre allait-elle de nov rtr de ce conflit? Louis de Bavière allait-il es retirer devant son compétiteur Charles, fils du roi de Bohême, que le pape lui opposait? La question ne fut pas longtemps sans solution. Comme pour Frédéric d’Autriche, Louis de Bavière essaya de faire assassiner Charles de Bohême; mais prévenu à temps, celui-ci échappa au piège qui lui était tendu et dans lequel il ietavd succomber pendant n grande chasse au sanglier. Déçu dans son attente, le udc comprit qu'il fallait se préparer à la lutte; il lv de nvlls bandes et les jeta sur le Tyrol, comme des vautours sur un cadavre pantelant i faisait de ce pays une mine à ses exactions. Son trésor était épuisé, et le Bavarois avait compris q ce n'était pas les armes à la ain q'l fallait enle le pape et le vaincre, mais au sein u palais électoral qu’il fallait remporter la victoire; pour cela, fallait acheter les électeurs séculiers dont le vte pouvait lui être défavorable. Sans motifs, il s'était j sur la ville de Bâulenz, dont les habitants, pris à l'improviste, n'vnt que faiblement résisté; puis après avoir rasé plusieurs msns et fait penre les auteurs des émeutes, il

à temps, celui-ci échappa au piège qui lui était tendu et dans lequel il devait succomber pendant une grande chasse au sanglier. Déçu dans son attente, le duc comprit qu'il fallait se préparer à la lutte; il leva de nouvelles bandes et les jeta sur le Tyrol, comme des vautours sur un cadavre pantelant: il faisait de ce pays une mine à ses exactions. Son trésor était épuisé, et le Bavarois avait compris que ce n'était pas les armes à la main qu'il fallait enlever le pape et le vaincre, mais au sein du palais électoral qu’il fallait remporter la victoire; pour cela, il fallait acheter les électeurs séculiers dont le vote pouvait lui être défavorable. Sans motifs, il s'était jeté sur la ville de Bâulenz, dont les habitants, pris à l'improviste, n'avaient que faiblement résisté; puis après avoir rasé plusieurs maisons et fait pendre les auteurs des émeutes, il avait ordonné le pillage. Vendant que ses gens saccageaient la ville, Louis entra dans une maison respectée par le feu, pour contempler le vaste incendie qui se déroulait sous ses yeux, et attendre que les trésors de la ville fussent apportés dans ses chariots. Pauvres trésors! Bâulenz avait été tant de fois pillée par le Bavarois, qu'elle n'avait pas même le moyen de faire reconstruire ses remparts. À quelque distance de là, un nouveau groupe se présente : deux hommes s'en détachent; ils déclarent aux agents de police que celui qu’ils conduisent un poste est leur frère, et ils leur enjoignent de le rendre immédiatement à la liberté, afin des agents de police, esclaves de leur consigne. Tandis que ce colloque, le groupe s'était insensiblement rapproché, et à un moment donné, ceux qui le composaient se jetèrent sur Koch et son compagnon, qu'ils parvinrent à désarmer en jetant leurs sabres à quelques mètres du là. Une lutte opiniâtre s'ensuit, pendant laquelle le prisonnier, qui est parvenu à s'échapper, se montre le plus acharné. Enfin, par un effort désespéré Koch se débarrasse de ses assaillants et ne fait qu'un bond jusqu'à son sabre, qu'il ramasse, et qui va devenir dans ses

à temps, iucl-eic échappa au piège qui lui était endut et dans lequel il devait succomber pendant n grande chasse au snglr. Déçu dans son attente, le dc comprit q'l fllt se préparer à la lutte; il leva de nvlls bandes et les jeta sur le Tyrol, o des vautours sur un cadavre pantelant: il faisait de ce pays ue mi à ses xctns. Son trésor était épuisé, et le Bavarois avait compris que ce n'était pas les armes à la main qu'il fallait enlever le pape et le vaincre, mais au sein du palais électoral qu’il fallait remporter la victoire; pr ael,c fllt acheter ls électeurs séculiers ont le vt pouvait lui être défavorable. Sans motifs il sétait tjée sur la ville de Bâulenz, dont les hbtnts, pr à l'improviste, n'vnt que faiblement résisté; puis après avoir rasé plusieurs ssiomna et fait en les auteurs des émeutes, il avait ordonné le pillage. nat que ses gns saccageaient ville, Louis entra dns une maison respectée par e feu, pour cntmplr le vaste incendie qui s déroulait sous ses yeux, et attendre q les trésors de l ville fussent apportés dans ss chariots. Pauvres trésors! Bâulenz avi été tant de fois pillée par le Bavarois, qu'elle n'avait pas mmeê e moyen de fair reconstruire ses remparts. À quelque itae de là, un nouveau groupe se présente : dx hommes s'n détachent; ils déclarent aux agents de police que celui qu’ils conduisent un poste est leur frère, et ls lr njgnnt de le rendre dtnimmeimetéa à la liberté afin des satnge de police, esclaves de leur consigne Tandis que ce colloque, le groupe t insensiblement rapproché, et à un moment onén,d ceux qui le composaient se jetèrent sur Koch et s cmpgnn, qu'ils parvinrent à désarmer en et leurs sabres à quelques mètres du là. Une lutte opiniâtre s'ensuit, pendant laquelle l prisonnier, qui est parvenu à s'échapper, se montre le plus acharné. Enfin, par n ffrt désespéré Koch se érse d ses salaltnassi et ne qu'un bond jusqu'à on sabre, qu'il ramasse, et qui va devenir dans ses

de fois pillée par le Bavarois, qu'elle n'avait pas même le moyen de faire reconstruire ses remparts. À quelque distance de là, un nouveau groupe se présente : deux hommes s'en détachent; ils déclarent aux agents de police que celui qu’ils conduisent un poste est leur frère, et ils leur enjoignent de le rendre immédiatement à la liberté, afin des agents de police, esclaves de leur consigne. Tandis que ce colloque, le groupe s'était insensiblement rapproché, et à un moment donné, ceux qui le composaient se jetèrent sur Koch et son compagnon, qu'ils parvinrent à désarmer en jetant leurs sabres à quelques mètres du là. Une lutte opiniâtre s'ensuit, pendant laquelle le prisonnier, qui est parvenu à s'échapper, se montre le plus acharné. Enfin, par un effort désespéré Koch se débarrasse de ses assaillants et ne fait qu'un bond jusqu'à son sabre, qu'il ramasse, et qui va devenir dans ses mains une arme terrible. Deux des agresseurs sont cruellement atteints par lui et prennent la fuite, sans qu’il ait été possible de retrouver leurs traces depuis ; un troisième reste sur le terrain; la bande affaiblie se disperse dans toutes les directions. L'individu couché par terre portait au côté gauche du cou une blessure assez grave, qui nécessita son entrée à l’hospice : c’est un nommé Ilarnisch Joseph, habitant la maison N° 40 de la chaussée de Dornach. — Dans la même nuit, l'agent Lutringer, en rentrant chez lui, a été assailli à coups de pierres sur le pont du canal de décharge, par quelques individus restés inconnus jusqu’à présent. Lutringer a été atteint par un caillou, qui lui a fait une forte contusion à l’épaule gauche. Une enquête est ouverte. — Un arrêté préfectoral du 1er courant porte que la substance dite « Coque du Levant » ne pourra être vendue à l'avenir que dans les pharmacies. Il n’en pourra être délivré que sur la prescription d'un médecin, chirurgien, officier de santé, ou d’un vétérinaire breveté. Les contraventions aux dispositions ci-dessus seront constatées par des procès-verbaux et poursuivies conformément à la loi. — C'est en Juillet que tous les

de fois pillée par le Bavarois, n'avait ps même le moyen de faire reconstruire ses remparts À quelque distance de , un nouveau groupe se présente : deux hommes s'en détachent; ils déclarent aux agents de police que celui qu’ils conduisent un poste est leur frère, et ils leur enjoignent de e rendre immédiatement la liberté, afin des agents de police, esclaves de leur consigne. Tandis que ce colloque, le groupe s'était insensiblement rapproché, et à un moment donné, ceux qui l composaient se tret sur Koch et s compagnon, qu'ils parvinrent à désarmer en jetant lurs sabres à quelques mètres du là. Une lutte opiniâtre s'ensuit, pendant laquelle le prisonnier, qui est nveaurp à s'échapper, s montre l plus acharné. Enfin, par n effort désespéré Koch se débarrasse de ses assaillants et ne fait bond jusqu'à sn sar, qu'il ramasse, t qui va devenir dns ses mains une rm terrible. Deux des agresseurs sont cruellement atteints par lui et prennent al fuite sans q’ ait été possible de retoue leurs traces spudie ; un troisième reste sur le trrn; la bande affaiblie se disperse dns toutes ls directions. 'individu couché pr terre portait au côté gauche d c une blessure assez grave, qiu nécessita son reénte l’hospice : c’est n nommé Ilarnisch Joseph, hbtnt la maison ° 40 de la chaussée de Dornach. — Dans al même nuit, nt trie, en rentrant chez lui, a été assailli à coups d pierres sr le pont du canal de décharge, par quelques individus restés inconnus jusqu’à présent. ritegnrLu a été atteint par un cailou uqi lui a fait une forte contusion à l’épaule gauche. Une enquête est vert. — nU arrêté préfectoral du 1e nt porte que la substance ie « Coque du Lean » ne pourra êtr vendue à l'avenir que dans ls pharmacies. Il n’en pourra être délivré que sur la prescription d'un médcn, chirurgien, officier de tés,na u d’un vétérinaire breveté. Les contraventions x dispositions ci-dessus seront constatées r des procès-verbaux et poursuivies conformément à la loi. — C'est en Juillet uqe tous les

du cou une blessure assez grave, qui nécessita son entrée à l’hospice : c’est un nommé Ilarnisch Joseph, habitant la maison N° 40 de la chaussée de Dornach. — Dans la même nuit, l'agent Lutringer, en rentrant chez lui, a été assailli à coups de pierres sur le pont du canal de décharge, par quelques individus restés inconnus jusqu’à présent. Lutringer a été atteint par un caillou, qui lui a fait une forte contusion à l’épaule gauche. Une enquête est ouverte. — Un arrêté préfectoral du 1er courant porte que la substance dite « Coque du Levant » ne pourra être vendue à l'avenir que dans les pharmacies. Il n’en pourra être délivré que sur la prescription d'un médecin, chirurgien, officier de santé, ou d’un vétérinaire breveté. Les contraventions aux dispositions ci-dessus seront constatées par des procès-verbaux et poursuivies conformément à la loi. — C'est en Juillet que tous les calendriers fixent le commencement des jours caniculaires qui sont réputés les plus chauds de l’année dans notre climat. On a, de notre temps, fait bien des relevés d’anciennes observations pour établir quel est, en moyenne chez nous, le jour le plus chaud de l'année. Nous connaissons deux résultats de ces relevés, qui sont loin de s’accorder entre eux. Suivant l’un, ce serait le 14 Juillet qui serait le plus chaud, tandis que ce serait le 20, suivant l'autre. Quant à la canicule, on la fait actuellement commencer le 24 Juillet et finir le 20 Août; dans l’antiquité, en la comptait du 22 Juillet au 23 Août. Alors, on lui attribuait une puissance hors de toute raison. Hippocrate et Pline nous disent que, pendant ce temps, la mer bouillonne, le vin tourne dans les caves, les chiens entrent en rage, la bile s’irrite, tous les animaux tombent dans l'abattement. La plupart de ces chimères sont encore en vogue parmi les populations de nos campagnes. Les Romains étaient si persuadés du malin pouvoir de la canicule que, pour en conjurer les influences, ils lui sacrifiaient tous les ans un chien roux. La canicule est d'origine égyptienne. On la faisait consister dans la

du cou une lere ssz grave, qui nécessita son entrée à l’hospice : c’est un nmmé Ilarnisch Joseph hbtnt la maison N° 40 de la chaussée de Dornach. — Dans la même nuit, l'agent Lutringer, en rentrant cez li, a été assailli à coups ed pierres sur le npot du canal de décharge, par quelques individus restés inconnus uu’ présent. Lutringer a été atteint pr un caillou, qui lui a fait une forte contusion à l’épaule gauche. Une nqêt est ouverte. — Un arrêté préfectoral r courant porte que la ubstce dite « Coque du Levant » pourra être vendue à l'avenir que n les pharmacies. Il n’en pourra être ié que sur la prescription d'un médecin, chirurgien, officier de santé, ou d’un vétérinaire breveté. Les cnants aux dispositions ci-dessus rsneot constatées par des procès-verbaux et poursuivies conformément à la loi — Cest en Juillet que tous les calendriers fixent le commencement des our caniculaires iuq sont réputés les plus cds de l’année dans ntr climat. On a, de notre temps, fait bn des relevés d’anciennes observations pour étblr quel est, en moyenne chez nous, le jour le plus chaud de lannée Nous connaissons deux résultats de ces relevés, qui sont lion de ’acrer entre eux. Suivant l’un, ce iasert le 14 Juillet qui serait l plus chaud, tandis que ce srt le 20, suivant l'autre. Quant à la canicule, on la fait actuellement commencer le 24 Juillet et finir le 20 Août; dans lantiquité en la comptait du 22 Juillet au 23 Août. Alors, on lui attribuait une puissance hors de toute raison. Hippocrate et Pline nous disent que, pendant ce temps, la mer bouillonne, le vin tourne dans les caves, les chiens entrent en rage, la bile ritrsi’,e tous les animaux tombent dans a.beem'tatltn La plupart de ces chimères sont encore en vogue parmi les populations de nos campagnes. Les Romains étaient si prsdés du malin pouvoir de la canicule que, pour en conjurer les nflncs, ils lui sacrifiaient tous lse ans un chien roux. canicule est dorigine égyptienne. On la faisait consister dans la

relevés, qui sont loin de s’accorder entre eux. Suivant l’un, ce serait le 14 Juillet qui serait le plus chaud, tandis que ce serait le 20, suivant l'autre. Quant à la canicule, on la fait actuellement commencer le 24 Juillet et finir le 20 Août; dans l’antiquité, en la comptait du 22 Juillet au 23 Août. Alors, on lui attribuait une puissance hors de toute raison. Hippocrate et Pline nous disent que, pendant ce temps, la mer bouillonne, le vin tourne dans les caves, les chiens entrent en rage, la bile s’irrite, tous les animaux tombent dans l'abattement. La plupart de ces chimères sont encore en vogue parmi les populations de nos campagnes. Les Romains étaient si persuadés du malin pouvoir de la canicule que, pour en conjurer les influences, ils lui sacrifiaient tous les ans un chien roux. La canicule est d'origine égyptienne. On la faisait consister dans la conjonction du astre Sirius, qui fait partie de la constellation du Grand-Chien (major canis), avec le soleil. Son rayonnement, joint à celui de ce dernier qui se levait et se couchait en même temps qu’elle, était réputé produire les funestes effets dont nous avons parlé. — La Société de chant l'Union chorale de Mulhouse, sous la direction de M. Maisch, a été autorisée, par un arrêté de M. le préfet, en date du 21 Juin dernier, à se constituer légalement. — Le concours de piano a eu lieu samedi au Conservatoire impérial de musique : nous voyons figurer parmi les noms des lauréats celui de Mlle Lesch, élève de M. Henri Herz, qui a obtenu un 3e accessit. Concert des Chœurs de N. Pellerin, dans la salle réservée des falais Moll. Il nous a été permis d'assister, samedi dernier, à la charmante soirée des élèves de la musique d'ensemble de M. Pellerin. La salle était comble, et, eu égard au but que s’est proposé d'atteindre l'habile professeur, nous avons compris cet empressement des familles et des amis à se rendre à son initiation. L'œuvre de M. Pellerin est éminemment utile, et de nature à lui mériter non-seulement les encouragements des

relevés, qui ston loin de s’accorder entre eux. Suivant l’un, c serait le 14 Juillet qui serait le plus hduac, tandis que ce serait le 20, suivant 'autre. Qnt à la canicule, on la fait actuellement commencer le 24 Juillet et finir le 20 Août; dans ’antiquité, en la comptait du 22 illt au 23 Août. Alors, on uli attribuait une puissance hrs de toute raison. Hippocrate et Pline nous dsnt que, pendant ce temps, la mer ouilo le vin tourne dans les caves, les ens entrent en age l bile s’rrt, tous ls animaux tombent dans l'bttmnt. La plupart d ces chimères sont encore en vogue prm les populations de ns campagnes. Les Romains étaient si persuadés du main pouvoir ed la canicule q, pour en conjurer les influences, ils lui scrfnt tous ls n chn roux. La cncl est d'origine égyptienne On la faisait consister dans conjonction du astre Sirius, qui fait partie de la constellation du Grnd-Chn major s),iacn avec el soleil. Son rayonnement, joint à celui de c dernier qui se levait et se couchait en même temps qu’elle, étt réputé produire ls funestes effets d nous avons parlé. — La Sété de chant 'Union chorale de Mulhouse, sous l direction de M. Maisch, téé autorisée, par un arrêté de M. le préft, en date du 21 Juin dernier, à se constituer légalement — L concours de piano a eu l samedi au Conservatoire impérial de musique : ns voyons figurer parmi les noms des lauréats celui de Mlle Lesch, élève de M. Henri Herz, qui a obtenu un 3e accessit. Concert des Chœrs de . Pellerin, dans la salle réservée des falais Moll. Il nous a été prms d'assister, samedi dernier, à la mae soirée des élèves de la su d'nsmbl de M. Pellerin. aL salle était comble, t, eu égard au but q s’est proposé d'ttndr l'habile poesser, nous vns compris cet empressement des familles et des amis à se renr à on ti. L'œuvre de M. Pellerin est éminemment tie et de nature lui mériter non-seulement les encouragements s

l'Union chorale de Mulhouse, sous la direction de M. Maisch, a été autorisée, par un arrêté de M. le préfet, en date du 21 Juin dernier, à se constituer légalement. — Le concours de piano a eu lieu samedi au Conservatoire impérial de musique : nous voyons figurer parmi les noms des lauréats celui de Mlle Lesch, élève de M. Henri Herz, qui a obtenu un 3e accessit. Concert des Chœurs de N. Pellerin, dans la salle réservée des falais Moll. Il nous a été permis d'assister, samedi dernier, à la charmante soirée des élèves de la musique d'ensemble de M. Pellerin. La salle était comble, et, eu égard au but que s’est proposé d'atteindre l'habile professeur, nous avons compris cet empressement des familles et des amis à se rendre à son initiation. L'œuvre de M. Pellerin est éminemment utile, et de nature à lui mériter non-seulement les encouragements des parents, mais encore de ceux qui ont quelque souci de la musique et de l’art. C'est avec un grand plaisir que nous verrions le succès la couronner en récompensant le maître des peines qu'il se donne et de l’activité qu'il déploie. Et certes ce n'est pas chose facile que de réunir d'aussi jeunes élèves, de maîtres différents, de les soumettre à sa méthode, de les contraindre à un travail ingrat et nouveau, et de les forcer à la précision, à cet ensemble rigoureux que réclame un orchestre. Et quel service n'est-ce pas rendre à ces mêmes élèves que de leur offrir, sous une savante direction, l’occasion si précieuse d'essayer leurs forces naissantes avec des émules de même âge, et de ployer les connaissances acquises sous la discipline de la mesure. Combien de familles n'offriront pas l’exemple du frère et de la sœur, habiles exécutants, chacun en son particulier, mais incapables de s'accompagner mutuellement, et à plus forte raison de faire sa partie dans le moindre concert, dans le plus petit orchestre ? L'école fondée par M. Pellerin comblera cette lacune dans l'enseignement musical à Mulhouse et sera peut-être le point de départ d'une ère nouvelle.... Aussi — et nous le

l'Union chorale de Mulhouse, sous la cenirtido de . Maisch, a été autorisée, par un arrêté de M. l préfet en date du 21 Juin dernier, à se constituer égem. — Le concours de piano a eu lieu samedi au Conservatoire impérial de musique : nous voyons figurer prm les o des lauréats celui de lMle Lesch, élève de M. Hei Herz qui a obtenu un 3e accessit. Concert des Chœurs de N. Pellerin, dans l sll eéérserv des fais Moll. Il nous a été permis d'assister, samedi drnr, à al charmante soirée ds élèves de la sque mbe de M. Pellerin. La salle était comble, et égard au ut que s’est proposé d'atteindre l'habile professeur, ns avons compris ct empressement eds familles et des msai se rendre à on initiation. L'œuvre de M. Pellerin est émnemnt utile, et de nature à l mériter non-seulement les encouragements des parents, mais encore d ceux qui ont quelque souci de l musique et de l’art. Cest avec un grand plaisir que nous verrions le succès la couronner en pnasmértceon le maître des peines qu'il es donne et de l’activité q'l déploie. Et certes ce n'est pas chs facile uqe de réunir d'aussi jeunes élèves, de mît ristfed,énf de les soumettre sa méthode, ed les cntrndr à un travail ingrat t nouveau, et de les forcer à la précision, à cet ensemble rigoureux que rée un orste. Et quel service n'st-c pas rndr à ces mêmes élèves que de lr offrir sous une savant cii,dtneor locsi si précieuse d'essayer leurs frcs naissantes avec ds émules de même âge, et de yer les cnnssncs acquises sous la discipline de la mesure. Combien de familles 'offriront pas l’exemple du frère et de la sœur, habiles exécutants, chacun en son particulier, mais incapables de s'accompagner mutuellement, t à plus treof raison de faire sa prt dans le moindre concert, dans le plus petit orchestre ? L'école fondée par .M Pellerin comblera cette lacune dans l'enseignement musical uous t sera peut-être le point de départ dune ère nouvelle.... Aussi — et nous le

réunir d'aussi jeunes élèves, de maîtres différents, de les soumettre à sa méthode, de les contraindre à un travail ingrat et nouveau, et de les forcer à la précision, à cet ensemble rigoureux que réclame un orchestre. Et quel service n'est-ce pas rendre à ces mêmes élèves que de leur offrir, sous une savante direction, l’occasion si précieuse d'essayer leurs forces naissantes avec des émules de même âge, et de ployer les connaissances acquises sous la discipline de la mesure. Combien de familles n'offriront pas l’exemple du frère et de la sœur, habiles exécutants, chacun en son particulier, mais incapables de s'accompagner mutuellement, et à plus forte raison de faire sa partie dans le moindre concert, dans le plus petit orchestre ? L'école fondée par M. Pellerin comblera cette lacune dans l'enseignement musical à Mulhouse et sera peut-être le point de départ d'une ère nouvelle.... Aussi — et nous le disons avec certitude — les artistes, ses confrères, lui sauront gré d'avoir pris l'initiative de cette excellente création, laquelle, si elle est pour le présent, un reproche indirect à l’adresse de ceux qui pourraient mais ne veulent pas, promet à l'avenir des recrues exercées pour une future société philharmonique. Donc, en nous rendant l’écho de vœux chaleureusement exprimés, nous engageons M. Pellerin à persévérer dans cette voie ; et les familles, qui comprennent déjà l'utilité du sa mission, qui, par des concerts trimestriels, seront appelées à juger des progrès réalisés, ne lui marchanderont ni la reconnaissance, ni les sympathies. Nous espérons donc qu'à la prochaine soirée le nombre des élèves de son petit conservatoire se sera considérablement accru. Maintenant que dire de la soirée de samedi, sinon qu’elle a répondu à l'attente générale et satisfait les plus exigeants. Mais, nous le répétons, quelque plaisir que le public ait goûté à l’audition des morceaux si bien choisis, qui composaient le programme de la fête, l’intérêt n'était pas là. Ce n’est pas après deux mois d’existence que l’école de M. Pellerin pouvait offrir des résultats hors ligne. Et cependant il y en n cil de magnifiques déjà. On s'étonnait à bon droit

réuir d'aussi jeunes élèves, de maîtres différents, de les soumettre à sa méthode, de les contraindre à un travil ingrat et nouveau, et de les forcer la précision, à cet ensemble rigoureux que réclame un orchestre. t quel service nestce pas rendre à ces mêmes élèves euq de leur offrir, s une savante drctn, l’occasion si précieuse dasesyr'e leurs forces naissantes avec eds émules de même âge, et de ployer les connaissances saecqsiu sous la dcipn de la mesure. Combien de familles n'offriront pas l’exemple du frère et de la sœur, habiles exécutants, chacun en son particulier, mais incapables de saccompagner mutuellement, et à supl forte raison de faire sa partie dns le roinmed concert, dans le plus petit orchestre L'école fée par M. ele comblera cette lacune dans 'enseignement musical à Mulhouse et sera peut-être le pnt de départ d'une ère nouvelle Asi — et nous le do avec certitude les artistes, ses confrères, lui sauront gré d'avoir pris l'initiative de cette excellente création, laquelle, si elle est pour le présent, n reproche indirect à l’adresse de ceux qui raen mais ne veulent a, prmt à l'avenir des ces xrcés pour une future ocit pirqu. Dn,oc en nous rendant lécho de vœux chaleureusement exprimés, nous engageons M. Pellerin à persévérer dans cette voie et ls fmlls, qui comprennent déjà l'utilité du sa mission, qui, par des concerts trimestriels, e appelées à juger des progrès réalisés, ne lui mrchndrnt ni la reconnaissance, ni les sympathies. Nous espérons do qu'à la prochaine soirée le nombre des élèves de n ptit conservatoire se sea considérablement accru. Maintenant que dire de la oersié de samedi, sinon qu’elle a répondu à l'attente générale et satisfait les plus exigeants. Mais, nus le répétons, quelque pirlsia que le public ait goûté à l’audition dse morceaux si bien choisis, qui composaient le programme d la fête, l’intérêt n'était pas là. Ce n’st pas après deux mois d’existence que l’école M. lrn pouvat offrir de résultats hors ligne. Et pedat il y en n cl de magnifiques déjà. n s'étonnait à bon ro

en nous rendant l’écho de vœux chaleureusement exprimés, nous engageons M. Pellerin à persévérer dans cette voie ; et les familles, qui comprennent déjà l'utilité du sa mission, qui, par des concerts trimestriels, seront appelées à juger des progrès réalisés, ne lui marchanderont ni la reconnaissance, ni les sympathies. Nous espérons donc qu'à la prochaine soirée le nombre des élèves de son petit conservatoire se sera considérablement accru. Maintenant que dire de la soirée de samedi, sinon qu’elle a répondu à l'attente générale et satisfait les plus exigeants. Mais, nous le répétons, quelque plaisir que le public ait goûté à l’audition des morceaux si bien choisis, qui composaient le programme de la fête, l’intérêt n'était pas là. Ce n’est pas après deux mois d’existence que l’école de M. Pellerin pouvait offrir des résultats hors ligne. Et cependant il y en n cil de magnifiques déjà. On s'étonnait à bon droit de voir des virtuoses de 12 à 13 ans apporter autant d’entrain, de verve, de précision dans l’exécution de morceaux qui n'étaient pas sans difficultés. Nous avons remarqué surtout un très jeune archer, donnant de belles espérances, qui se promenait sur un violon avec un aplomb superbe. Une tout aussi jeune fillette l'accompagnait gravement au piano. Plus tard, une de ses compagnes, comme elle aussi, élève de Mad. Pellerin, s’acquitta de sa tâche avec succès dans un trio pour violon, flûte et piano. Comme bien l'on pense, les applaudissements n'ont pas manqué à tous, et à voir la satisfaction s'épanouir sur ces figures roses, nous avons compris que la fête qu'elles nous offraient, devenait un puissant motif d'émulation, presque un engagement pour l’avenir.... N'en disons pas davantage de peur, par des éloges intempestifs, de tourner l'esprit à toutes ces têtes blondes, et de leur faire accroire qu’elles touchent déjà le ciel. Non.... non.... qu'elles apprennent au contraire, et de bonne heure, que le talent qui s’ignore ou s’efface est celui qui plaît et qu'on prône le plus; que c’est le seul qui, en ne portant ombrage à personne, conquiert le respect et l'estime de ses pairs en recueillant les bravos

en nous rendant l’écho de vœux chaleureusement exprimés, nus engageons M. Pellerin à persévérer dans cette vo ; et les familles, qui comprennent déjà l'utilité du sa mission, qui, par des concerts trimestriels, seront appelées à juger des progrès réalisés, ne lui dtherncaronma ni la reconnaissance, n ls sympathies. sNuo spérns donc qu'à la prochaine soirée le mbe des élèves de son petit conservatoire se sera considérablement accru. Maintenant que dire de la soirée de samedi, sinon qu’elle a répondu à l'attente générale et satisfait les plus eat. Mais, nous le répétons, quelque plaisir que le public ait goûté à l’audition des morceaux si bien choisis, qui composaient l programme de la fête, lintérêt n'était pas là. Ce n’est pas après deux mois d’existence que lécole de M. lrieelPn pouvait offrir des résltts hors ligne. Et cpndnt il n n cil de magnifiques déjà. On s'étonnait à bon droit d voir des virtuoses de 12 13 ans apporter autant d’entrain, ed verve, de précision dans ’exécution de morceaux qui nnéa'eitt pas sans difficultés. Nous avons remarqué surtout un très jeune archer, donnant de belles spérncs, qui se promenait sur un violon e un aplomb superbe. Une tout aussi jeune flet laccompagnait gravement au piano. Plus tard, une de ses compagnes, comme elle aussi, élève de Md. Pellerin, s’acquitta de sa tâche avec succès dans un trio pour violon, flûte et piano. Comme bien l'on pense, les applaudissements n pas manqué tous, et à voir l satisfaction s'épanouir sur ces figures roses, nous avons compris que la êfet qu'le nous orefftnai, neiadetv un puissant motif d,lié'atnmuo presque un engagement ur l’avenir.... Nen disons pas davantage de peur, par des éloges intempestifs, de tourner l'esprit à toutes cs ts blnds, et de leur faire accroire qu’elles touchent déjà le ciel. Non.... on.n... quelles apprennent au contraire, et de bonne heure, que l talent qui s’ignore s’efface est celui qui plaît t qu'on prône le plus que c’est le seul qui, en ne portant ombrage à personne, conquiert le respect et l'estime de ses pairs en recueillant les bravos

jeune fillette l'accompagnait gravement au piano. Plus tard, une de ses compagnes, comme elle aussi, élève de Mad. Pellerin, s’acquitta de sa tâche avec succès dans un trio pour violon, flûte et piano. Comme bien l'on pense, les applaudissements n'ont pas manqué à tous, et à voir la satisfaction s'épanouir sur ces figures roses, nous avons compris que la fête qu'elles nous offraient, devenait un puissant motif d'émulation, presque un engagement pour l’avenir.... N'en disons pas davantage de peur, par des éloges intempestifs, de tourner l'esprit à toutes ces têtes blondes, et de leur faire accroire qu’elles touchent déjà le ciel. Non.... non.... qu'elles apprennent au contraire, et de bonne heure, que le talent qui s’ignore ou s’efface est celui qui plaît et qu'on prône le plus; que c’est le seul qui, en ne portant ombrage à personne, conquiert le respect et l'estime de ses pairs en recueillant les bravos et les sympathies du public. J.-a. n. Cour d’assises du Haut-Rhin. Nous donnons ci-après la liste des jurés appelés à faire le service de la cour d’assises du Haut-Rhin pendant la session ordinaire du 3ème trimestre 1853, dont l’ouverture est fixée au lundi 9 Août prochain : Jurés titulaires.—Castre Jean-Joseph, capitaine en retraite à Altkirch. Gros James, fabricant à Bollwiller. Hiltischwerlin Joseph, aubergiste à Brisach. Herrgott Jean-Baptiste, propriétaire à Guebwiller. Vogelweil Ambroise, boucher à Guebwiller. Reininger, rentier à Altkirch. Faust Etienne-Gaspard, capitaine en retraite à Cernay. Edmond Louis, pharmacien à Cernay. Heckinger Sébastien, cultivateur à Niederherzberg im. Hunziker Jean-Marc, maire à Kembs. Hermann Jean, marchand à Munster. Durrheimer François-Joseph, propriétaire à Ribeauville. Thouvenin Nicolas, propriétaire à Angeot. Schoubart Frédéric, filateur à Ste-Marie-aux-mines. Ahl Georges, propriétaire à Riedisheim. Duplatre Joseph, limonadier à Altkirch. Albert Victor, commis-négociant à St-Louis. Bägert Michel, maire à Kaysersberg. Bonjean Jacques-Eugène, percepteur à Belfort. Schöffel Louis-Jacques, teinturier à Ste-Marie-aux-mines. Giroy Auguste, greffier à Belfort. Arelermeycr Frédéric, menuisier à Munster. Dürrwell Maurice, propriétaire à Issenheim. Rüller Joseph-Jean-Martin, propriétaire à Hussingen. Omeyer François-Xavier, marchand de meubles à Mulhouse. Menny Joseph, fabricant à Guebwiller. Cavot Henri, coloriste à Hussingen (Belfort). Paraf Benjamin, négociant à Mulhouse. Heinis Jésus-Antoine, cultivateur à Pfetterhausen.

jeune fillette l'accompagnait gravement au piano. Plus tard une de compagnes comme elle aussi, élève de Mad. Pellerin, ics’auqtta de sa tâche avec succès dans un trio pour violon, flûte et i. Comme n l'on pense, les applaudissements nont pas manqué à tous, et à voir la satisfaction sépanouir sur ces figures roses, nous avons compris que l fête qu'elles ns offraient, eveni n puissant motif d'émulation, presque un engagement pour l’avenir.... N'en disons pas davantage de pr, par des éloges intempestifs, de tourner l'esprit toues ces têtes blondes, et de leur faire accroire qu’elles touchent déjà le ciel. Non.... non.... quelles apprennent au n,oaertcir et de bonne heure, que e talent q eoirsng’ s’ffc est celui qui plaît qu'on prône le plus; que c’est le seul qui, en ne portant ombrage à personne, conquiert le respect t 'estime de ses prs en recueillant les bravos et les sympathies du public. J.-a. n. r d’assises du Haut-Rhin. o odnonns ci-après la liste des jurés appelés à faire le service de a cour d’assises du Haut-Rhin pendant la sssn ordinaire du 3ème trimestre 1853, dont l’ouverture est fixée au lundi 9 Août prochain : Jurés titulaires.—Castre Jn-Jsph, capitaine en retraite à Altkirch. Gros James, fbcnt à Bollwiller. Hltschwrln Joseph, aubergiste à Brisach. Herrgott Jean-Baptiste, propriétaire à Guebwiller. Vogelweil Ambroise, boucher à Guebwiller. Reininger, rentier à Altkirch. Faust EtienneGaspard ceiipatna en retraite à Cernay. Edmond iu,osL pharmacien à Cernay. Heckinger Sébstn, cultivateur Niederherzberg im. Hunziker Je-Marc maire à Kembs. Hermann Jean, marchand à Munster. Drrhmr François-Joseph, propriétaire à Ribeauville. Thouvenin Nicolas, propét à Angeot Schoubart Frédéric, filateur à Ste-Marie-aux-mines. l Georges, propriétaire à Riedisheim. Duplatre Joseph, limonadier à Altkirch. Albert Victor, commis-négociant à St-Louis. Bägert Michel, maire à aebrg Bonjean Jacques-Eugène, percepteur à Belfort. e Louis-Jacques, teinturier à Ste-Marie-aux-mines. Giroy Auguste, greffier à Belfort. Arelermeycr Frédéric, meisie à Munster. Dürrwell Maurice, propriétaire seImnhie.s Rüller Joseph-Jean-Martin, propriétaire à Hussingen. Omeyer François-Xavier, marchand de meubles à Mulhouse. Menny Jose, fabricant à Guebwiller. Cavot Henri, coloriste à Hussingen Bfot. Paraf Bnjmn, négociant à Mulhouse. Hns Jésus-Antoine, cultivateur à Pfetterhausen.

capitaine en retraite à Altkirch. Gros James, fabricant à Bollwiller. Hiltischwerlin Joseph, aubergiste à Brisach. Herrgott Jean-Baptiste, propriétaire à Guebwiller. Vogelweil Ambroise, boucher à Guebwiller. Reininger, rentier à Altkirch. Faust Etienne-Gaspard, capitaine en retraite à Cernay. Edmond Louis, pharmacien à Cernay. Heckinger Sébastien, cultivateur à Niederherzberg im. Hunziker Jean-Marc, maire à Kembs. Hermann Jean, marchand à Munster. Durrheimer François-Joseph, propriétaire à Ribeauville. Thouvenin Nicolas, propriétaire à Angeot. Schoubart Frédéric, filateur à Ste-Marie-aux-mines. Ahl Georges, propriétaire à Riedisheim. Duplatre Joseph, limonadier à Altkirch. Albert Victor, commis-négociant à St-Louis. Bägert Michel, maire à Kaysersberg. Bonjean Jacques-Eugène, percepteur à Belfort. Schöffel Louis-Jacques, teinturier à Ste-Marie-aux-mines. Giroy Auguste, greffier à Belfort. Arelermeycr Frédéric, menuisier à Munster. Dürrwell Maurice, propriétaire à Issenheim. Rüller Joseph-Jean-Martin, propriétaire à Hussingen. Omeyer François-Xavier, marchand de meubles à Mulhouse. Menny Joseph, fabricant à Guebwiller. Cavot Henri, coloriste à Hussingen (Belfort). Paraf Benjamin, négociant à Mulhouse. Heinis Jésus-Antoine, cultivateur à Pfetterhausen. Braun Jean Adolphe, dessinateur à Dornach. Million Alexandre-Jean-Baptiste, propriétaire à Lahrnach. Lollier Michel, arpenteur à Belfort. Burgnlater François-Xavier, cultivateur à Ste-Croix en-Plaine. Freynd Jean-Jacques, notaire à Buhl. Blenzinger Georges, cultivateur à Commerscheidt, ladin Jean, aubergiste à Mulhouse. Jures supplémentaires. — Schneider Daniel, marchand de farine à Colmar. Plister François, épicier à Colmar. Palist Gustave, adjoint à Colmar. Laurent Alphonse-Félix, rentier à Colmar. Enfants abandonnés. La nommée Agathe Krafft, journalière, native de Herrlisheim, âgée d'environ 29 ans, a abandonné, à Merxheim, son enfant naturelle Marie-Félicité Krafft. — Le nommé Xavier Kieffer, ouvrier-horloger, a quitté la commune de Bergheim, dans le courant de l'année 1831, en y abandonnant ses enfants Charles, Joséphine, Marie-Catherine, Elisabeth et Anne-Marie Kieffer. MM. les maires des communes dans lesquelles ces individus seront découverts, sont priés de les faire arrêter et de les faire mettre à la disposition de M. le préfet dans l’une des maisons d’arrêt du département. Dornach. — Le maître, et les élèves de l’école communale de Dornach ont adressé à Son Exc. le ministre de l'instruction publique une somme de 15 fr. 87 c. montant d'une cotisation destinée à l'Orphelinat du Prince Impérial. Thann. — Par arrêté de M. le préfet du Haut-Rhin, en

capitaine en retraite à Altkirch. Gros James, fabricant Bollwiller. Hiltischwerlin sJp,hoe erit Brisach Hrrgtt ptit, propriétaire à Guebwiller ogelwei Ambroise, boucher à Guebwiller. Reininger, rentier Altkirch. stFau Etienne-Gaspard, capitaine en retraite à Cernay. dmnd Louis, pharmacien à Cernay. Heckinger Sébastien, cultivateur à Niederherzberg im. uniker Jean-Marc, maire à Kembs. Hermann Jea mrchnd à Munster. Durrheimer François-Joseph, propriétaire à Ribeauville. Thouvenin Ns propriétaire Angeot. Schoubart Frédéric, filateur à Ste-Marie-aux-mines. Ahl Georges, propriétaire à Riedisheim. Dpltr Jh limonadier à Altkirch. Albert Victor, commis-négociant à St-Louis. Bägert Michel, maire à ayebr. Bnjn Jacques-Eugène, percepteur Belfort. Schöffel Ls-Jcqs, teinturier à Ste-Marie-aux-mines. Giroy Auguste, greffier Berftl.o Arelermeycr Frédéric, menuisier à Munster. Dürrwell Maurice, propriétaire à Issenheim. Rüller Jsph-Jn-Mrtn, propriétaire à Hussingen. Omeyer FrançoisXavier marchand de meubles à Mulhouse. Menny Joseph, fabricant à Guebwiller. Cavot Henri, coloriste à Hsge frt) Paraf Benjamin, négociant Mulhouse. Heinis Jésus-Antoine, ltitu à feteaun Braun Jean ohe, dessinateur à rcahoD.n Million Alexandre-Jean-Baptiste, propriétaire à Lhrnch. Lollier Mchl, enur à Belfort. Burgnlater François-Xavier, cultivateur Ste-Croix en-Plaine. Freynd Jean-Jacques, notaire à Buhl. Blenzinger Georges, cultivateur Cmmrschdt, ldn Jn, aubergiste à Mulhouse. Jures supplémentaires. — Schneider Daniel, marchand de farine à Clmr. Plister François, épicier à Colmar. Plst Gustave, adjoint à Colmar Laurent Alphonse-Félix, rentier à Colmar. Enfants abandonnés. La nommée gth Krafft, journalière, aive de Herrlisheim, âgée d'environ 29 ans, abandonné, Merxheim, son enfant naturelle MarieFélicité Krafft. — Le nommé Xavier Kieffer, ouvrier-horloger, a éuittq la commune de Brghm, dans le crnt de 'nnée 1831, en y abandonnant ses enfants Charles, Joséphine, Marie-Catherine, iEbehslta et AnneMarie Kieffer. MM. les maires des communes ds lesquelles ces individus seront découverts, sont prés de les faire arrêter t de les fr mettre à la dspstn de M. le préfet dnas e’nul des sns d’arrêt du département. Dornach. — Le maître, et le élèves de l’école communale d Dornach ont adressé à Son Exc. le ministre ed l'instruction publique une somme de fr. 87 c. montant d'une cotisation destinée l'Orphelinat du Prince Impérial. Thann. — Par arrêté de M. le préfet du Haut-Rhin, en