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n'est pas un bouquet d'Anglais ou de boyard; ce n'est pas un bouquet d'administration; ce n'est pas ce bouquet que l'ovationnée a payée à ses ovationneurs (de sa petite bourse secrète)... Il est de je ne sais quoi, et de je ne sais qui; mais il ne vaut pas plus de dix sous. Qu'y a-t-il dedans, alors? Un diamant, un poulet, des billets de banque, ou un sonnet réussi?... Qui l'a jeté? Est-ce un jeune beau; est-ce une vierge mâle; est-ce un fou d'amour à toutes femmes?... Point du tout. C'est un crâne nu, plat comme un cylindre de pendule; c'est un crâne noueux, monticule, osseux, qui ressemble à un dos de bossu; sans habit, sans gilet, sans chemise!... Ce crâne horrible a un nez, un nez dont le DIAGNOSTICISME explique la perte des cheveux du crâne aux batailles du vice. Il est donc bien riche, ce crâne de quarante ans? crâne peu crâne, au reste, qui vient de baisser les yeux, en se croisant les bras, après son action inconvenante, indécente. Personne n'a pu s'y tromper... plus que lui... et elle... Toute la scène est émotionnée... Les musiciens s'en sont réveillés... Le souffleur s'est retourné dans sa malle pour observer le public ébahi... Les gobeurs de tout, de cascades, de cuirs, de laxis, de coupures ou d'amplifications cabotines, sont offensés que le bombardier fleuri les ait arrachés à leur illusion!... Le calme, la silence se rétablissent. On écoute, on regarde; on regarde, on écoute... Les orchestriers, seuls, sont furieux, jaloux... Il y aura mort d'homme; car, chaque orchestrier croit que l'actrice est à lui. Mais non; non! il n'y aura pas mort d'hommes. Le bon Dieu, qui se mêle de tout, connaît son affaire. Si c'était si facile de s'entremortuer, à propos de tout ou rien, Lucifer manquerait tous ses rôtis, parce qu'il aurait trop de besogne. Non, il n'y aura pas mort d'homme: au contraire!... En effet... l'actrice ne s'embête plus. Elle a ramassé le bouquet en pleine scène, en pleine rampe, à la face du public, dont elle se moque. Cependant, elle va lui lancer ses coquetteries...
es'tn pas un bouquet d'Anglais ou d boyard; ce n'est pas un bouquet d'administration; ce n'est pas ce ouque que l'ovationnée a payée à ses vtnnrs (de as petite brs secrète)... est de j n sais qoi, e de je ne sais qui; ms il ne vaut ps plus de di ss. Qu'y atil ddns, alors? nU diamant, un plt, des billt d banque, ou un snnt réussi?... Qui l'a e? Est-ce u jeune beau; est-ce une vierge mâle; est-ce un d'amour à toutes ?emmes...f Point du tout Ces un crâne nu, plat comme un cylindre de punedl;e c'est un crân noueux, monticule ssx, qui ressemble un dos de bossu; sans hbt, sns gilet, sans chemise!... Ce crâne hrrbl un nez, un nez dont le GISNIMETAIDOSC xplq la peret des cheveux du crâne aux batailles du vice. Il est donc bien rch, ce crâne de urn ans? crân peu crâne, a t, qui vnt de bssr les yeux, en croisant es bras, après son aonitc inconvenante, indécente. Prsnn n' pu sy tromper... plus que lui et ll... Toute l scène est émotionnée Les musiciens s'en sont réveillés... Le souffleur s'est retourné dans sa malle pour observer le public ébahi... Les gobeurs de tout, d cace de cuirs, de laxis, d coupures ou damplifications cabotines, snt ffnsés que le bombardier fleuri les ait arrachés à leur llsn!... Le calme, la silence se rétablissent. On écoute, on regarde; on regarde, on écoute... Les orchestriers, seuls, sont furieux, jaloux... Il y aura mort mmo'h;ed car, chaque orchestrier croit que l'actrc à lui Mais non; non! il n'y aura pas mort d'hommes. Le bon Dieu, qui se mêle de tout, connaît son affaire. Si c'était facile de s'entremortuer, à propos d tt ou r Lucifer manquerait tous ses ts parce qu'il aurait trp de osng.ebe Non il n'y aura pas mrt d'hmm: au contraire!... En . l'actrice e embêe plus. Elle a ramassé le bouquet n pleine scène, en pleine rampe à la face du puic, dont le se moque. Cependant, elle va lui lancer ses cqttrs...
observer le public ébahi... Les gobeurs de tout, de cascades, de cuirs, de laxis, de coupures ou d'amplifications cabotines, sont offensés que le bombardier fleuri les ait arrachés à leur illusion!... Le calme, la silence se rétablissent. On écoute, on regarde; on regarde, on écoute... Les orchestriers, seuls, sont furieux, jaloux... Il y aura mort d'homme; car, chaque orchestrier croit que l'actrice est à lui. Mais non; non! il n'y aura pas mort d'hommes. Le bon Dieu, qui se mêle de tout, connaît son affaire. Si c'était si facile de s'entremortuer, à propos de tout ou rien, Lucifer manquerait tous ses rôtis, parce qu'il aurait trop de besogne. Non, il n'y aura pas mort d'homme: au contraire!... En effet... l'actrice ne s'embête plus. Elle a ramassé le bouquet en pleine scène, en pleine rampe, à la face du public, dont elle se moque. Cependant, elle va lui lancer ses coquetteries... car, elle n'oublie jamais de s'en faire applaudir... Sans cela, son prestige et sa clientèle seraient perdus!... Son rôle ne l'occupait déjà plus depuis cent représentations, sur cent cinquante... il l'occupe encore moins que jamais. Elle le joue, comme un tourne-broche, mais, comme un tourne-broche orné de diamants, de bijoux, de talent, de dentelles, de dents éclatantes et d'oeilades assassines... car, c'est une vraie, une grande comédienne, que cette blasée: par les amours menteuses, par les pièces menteuses, par les fortunes menteuses, les ovations menteuses qu'elle dévore et qui la dévorent, chaque soir, aux feux de la rampe. Puis, tout en jouant cette audacieuse comédie;... ainsi qu'un teneur de livres passionné... elle repasse ses comptes... elle interroge son avoir. Elle se dit: Il a 20 ans, je le ruine... et il croit se ruiner pour moi! Sa famille prétend qu'il faut que jeunesse se passe!... Il a 50 ans, il me donne des diamants et il me fait des rentes. Il a 80 ans: il me donne un château à une heure du chemin de fer, près de Paris; un château meublé de tout de chevaux, de voitures, de vaches, de volailles... et de véritables vassaux, de bons paysans... qui
observer le public ébahi... Les gobeurs de tt, de cascades, ed cuirs, de laxis, de coupures ou d'amplifications cabotines, sont offensés que le bombardier fleuri sle ait arrachés à leur illusion!... Le calme, la silence s rétablissent. On écoute, on regarde; on regarde, n écoute... Les orchestriers, seuls, sont furieux, jaloux... l aura mort d'homme; car, chaque orchestrier croit q lactrice est à i. Ms non; non! il n'y uaar pas mort .edmso'hm Le bon Dieu, qui se mêle de tout connaît son affaire. Si cétait si fl de rrt,noe'metsuer propos de tout ou rien, Lcr manquerait tous ses rôtis, parce qu'il aurait trp de besogne. Non, il n'y aura pas otmr dhomme au contraire!... En effet... l'actrice ne s'embête plus. Elle a ramassé le bouquet en pln scène, en pleine rampe, à l fc du public, dont ll se mou Cependant, elle va lui lancer ses coquetteries... car, elle 'oublie jamais de s'en faire applaudir Sans cela, son prestige et sa clientèle seraient e.d..rpsu! Son rôle ne l'occupait déjà plus dps cent rprésnttns, s cent cinquante... il l'occupe encore moins que jamais. Elle le joue, comme un tourne-broche, ms, cme n orr orné de diamants, de ouj,bxi de talent, de dentelles, de dents éclatantes et doildes assassines... car, c'st une vraie, un grande comédienne, u cette élbas:e par les amours menteuses, pr les pècs menteuses, par les fortunes menteuses, les ovations menteuses qu'elle dévore t qui la dévorent, chaque sr, aux feux de la rampe. Puis, tt en jouant cette audacieuse comédie;... ainsi 'u tenur d livres passionné... elle repasse ses ts... elle interroge son avoir. Ele se dit: Il a 20 ans je le ruine... et l croit se ruiner pour m! Sa famille prétend u'l faut que jnss se passe!... l a 50 ans, il me dnn des diamants et il me fait des rentes Il a 80 ans: il me donne château à une heure d chemin d fer, près d Paris; n château meué de tout de chevaux, de i,tseourv d vaches, de volail.. et de véritables vas de bons paysans... qui
de talent, de dentelles, de dents éclatantes et d'oeilades assassines... car, c'est une vraie, une grande comédienne, que cette blasée: par les amours menteuses, par les pièces menteuses, par les fortunes menteuses, les ovations menteuses qu'elle dévore et qui la dévorent, chaque soir, aux feux de la rampe. Puis, tout en jouant cette audacieuse comédie;... ainsi qu'un teneur de livres passionné... elle repasse ses comptes... elle interroge son avoir. Elle se dit: Il a 20 ans, je le ruine... et il croit se ruiner pour moi! Sa famille prétend qu'il faut que jeunesse se passe!... Il a 50 ans, il me donne des diamants et il me fait des rentes. Il a 80 ans: il me donne un château à une heure du chemin de fer, près de Paris; un château meublé de tout de chevaux, de voitures, de vaches, de volailles... et de véritables vassaux, de bons paysans... qui me prennent pour une grande dame. Et tout cela: pourquoi?... pour me voir et m'entendre marcher dans sa chambre à coucher, pendant qu'il s'endort. (Mais, il ne donne rien aux pauvres). Un jour il ne se réveillera pas... qu'importe! j'ai son testament... et... et... Le clerc de son notaire... est à moi! Elle ne sait, elle-même, ce qu'elle est; admirable ou coupable... Mais, comme le punch elle s'écrie: brûle ma flamme!... Applaudis, public... Inclinez-vous bourgeoises!... Humiliez-vous, filles à peine lancées! humiliez vos jeunesses... devant mes... je ne puis même plus dire mon âge... on en abuserait!... je triomphe... Oui, oui!... je suis au paroxisme de l'émotion personnelle... Et cependant... tout cela m'embête! Mais, ce qui m'anime ce soir, c'est ce crâne audacieux, ce crâne héroïque, ce crâne de faune qui m'a lancé sa provocation à la barbe de ce crétin de public! Comme un salamandre, la comédienne va jouer avec le feu... Et le feu de son génie va dévorer par un nouveau mensonge tous les mensonges qui l'ont tant de fois dévorée... Elle se passionne... pour le rôle, pour la scène, qu'elle vient de se créer, dans l'imagination de son âme alcoolisée... Et cependant... malgré cette effervescence, cette exaltation
de talent, de dentelles, de dents éclatantes et d'oeilades assassines... car, c'st une vraie, une grande comédienne, que cette éb:seal pr les amours menteuses, par pièces menteuses, par les fortunes menteuses les vtns eneuse qu'elle dévore et q la dévorent, chq sr, aux feux de la rampe. Ps, tout en jouant cette audacieuse comédie;... ainsi qu'un teneur de livres passionné... elle repasse ses cmpts... elle interroe son avoir. Elle se dit: Il a 20 ans, j le ruine... et il croit se eirnur pour moi! Sa famille prétnd qu'il faut que jeunesse se asse.. l 50 s, il me dnn des diamants et il m ft ds rentes. Il a 80 ans: il m dneno un château à une heure du chemin de fer, près ed Prs; un hau meublé de tout d heu, de su,eivotr de vaches, de volailles... et de véritables savxau,s de bons paysans... qui me prennent pour une grande dame Et tout pourquoi?... pour me voir et mentendre macehrr dans sa chambre à coucher, pennt u'il s'ndrt. (Mais, il ne donne rien aux pauvres). Un jour il ne se révllr pas oe! j'ai son testament... et... et... Le clerc de son notaire... est à moi! Elle ne sait, elle-même, ce qu'elle est; admirable ou copab. Mais, comme le punch elle cie brûle ma flamme!... Applaudis, public... nclnz-vs bourgeoises!... Humiliez-vous, flesil à peine lancées! humiliez vos jeunesses devant mes... je ne puis êmem supl dire nom âge on en abuserait!... je triomphe... Oui, oui!... je suis paroxisme de l'émotion personnelle... t cependant... tout cela m'embête! Mais, ce qui m'anime c soir, c'est ce crâne audacieux, ce crâne héroïque ce crâne de faune qui m' lancé sa provocation à la brb de c crétn d public! Comme n salamandre, l comédienne va jouer avec le feu... Et le feu de sn génie va dévorer par un novu mnsng tous les mensonges q l'nt tant e fois dévorée... Elle passionne... pour e rôle, pour la scène, qu'elle vnt de se créer, snad limagination de son âm alcoolisée... t cependant... malgré cette frvecne cette exaltation
à moi! Elle ne sait, elle-même, ce qu'elle est; admirable ou coupable... Mais, comme le punch elle s'écrie: brûle ma flamme!... Applaudis, public... Inclinez-vous bourgeoises!... Humiliez-vous, filles à peine lancées! humiliez vos jeunesses... devant mes... je ne puis même plus dire mon âge... on en abuserait!... je triomphe... Oui, oui!... je suis au paroxisme de l'émotion personnelle... Et cependant... tout cela m'embête! Mais, ce qui m'anime ce soir, c'est ce crâne audacieux, ce crâne héroïque, ce crâne de faune qui m'a lancé sa provocation à la barbe de ce crétin de public! Comme un salamandre, la comédienne va jouer avec le feu... Et le feu de son génie va dévorer par un nouveau mensonge tous les mensonges qui l'ont tant de fois dévorée... Elle se passionne... pour le rôle, pour la scène, qu'elle vient de se créer, dans l'imagination de son âme alcoolisée... Et cependant... malgré cette effervescence, cette exaltation d'invention, de création... la comédienne n'oublie pas l'actrice!... Non: l'actrice débite toujours son rôle à ce bon public, qui en a pour son argent. Mais elle commence; sa scène, sa comédie improvisée,... avec son crâne. Comme c'est réussi! Stupides auteurs, stupides directeurs... pourquoi avez-vous pourri ce génie, sous vos littératures, et sous vos mises-en-scène immondes! Les temps, les demi-soupirs, les regards, les détournements d'yeux, qui feignent l'embarras, les gestes, les repos, le pied (qui sait montrer sa jambe), les dents, qui attirent la luxure, comme un miroir d'allouettes; et le bouquet; le bouquet, démembré, démantelé... qui tombe, brin à brin, devant tout le monde... dans le gorgeret palpitant de la victorieuse. Fausse émotion, tout cela; c'est vrai: mais, souvenir stéréotypé... de sa première émotion d'amour... ce jour-là... où le mâle la trompait, aussi ; elle! Fausse émotion; c'est vrai! mais, qu'importe, pour le crâne... puisque les seins ont si bien imité les houles de la lubricité... Quel est donc ce crâne ? C'est le crâne d'un crieur de fausses liquidations,... c'est le crâne d'un marchand d'habits, pour maçons, sans ouvrage,... c'est le crâne d'un bâtelier du plus vil commerce de Paris. Il a payé son orchestre, à ce théâtre-là; il
à moi! Elle n tias, elle-même, ce quelle est; admirable ou coupable... Ma, comme le pnch elle s'écrie: brûle ma flamme!... Applaudis, public cn- bourgeoises!... Humiliez-vous, filles à pne lancées! hmlz vos jeunesses... devant mes... je ne puis même plus dire mn âge... on en abuserait!... je triomphe... Oui oui!... je suis u paoi de 'émotion esell.. Et cependant... tout cela membête is, ce qui manime ce soir, cest ce crâne audacieux, ce crân héroïque, ce crâne de faune q m'a lné sa provocation à la aebrb de ce crétin de public! Comme n saaand la comédienne va jouer avec le feu... Et le feu d son gén v dévorer par n nouveau esge tous les mensonges qui 'ont tant de fois dé. Elle se passionne... pour l rôe, pour la scèn, quelle vient de s créer dans limagination de son âme alcoolisée... t cependant... malgré ctt effervescence, tcete exaltation d'invention, de création la médinn n'oublie pas 'actrice!... Non 'actrice débite toujours son rôle à ce bon public, qui ne a pour son argent. Mais elle commence; s scène, sa comédie improvisée,... avec son crâne. Comme 'est réss! Stupides auteurs, stupides directeurs... pourquoi aez-os pourri ce génie, ou vos itures, et sous vos mises-en-scène immondes! Les tmps, sel demi-soupirs, les regards, les onmes d'yeux, qui feignent l'embarras, les gestes, es repos, le pied (qui sait mntrr sa ,mabe)j les dents, qui ttrnt la luxure, comme un miroir d'allouettes; et el bouquet; le bouquet, démembré, démantelé... qui tombe, brin à brin, dvnt tout le monde... dans le gorgeret palpitant de la victorieuse. Fausse émotion, tout l c'est vrai: mais, souvenir stéréotypé... de sa prire émotion 'au. ce jour-là... où le mâle la trompait, aussi ; elle! Fausse émotion; c'st vrai mais, q'mprt, pour le crân... puisque les seins ont s bien imité les houles de la lubricité... Quel est donc ce crâne ? C'est le crâne dun crieur de fausses liquidations,... c'est le âcnre d'un marchand s, pour mo, sans ouvrage,... c'est le crâne d'un bâtlr du plus vil commerce de Paris. Il a payé sn orchestre, à ce théâtre-là; il
et sous vos mises-en-scène immondes! Les temps, les demi-soupirs, les regards, les détournements d'yeux, qui feignent l'embarras, les gestes, les repos, le pied (qui sait montrer sa jambe), les dents, qui attirent la luxure, comme un miroir d'allouettes; et le bouquet; le bouquet, démembré, démantelé... qui tombe, brin à brin, devant tout le monde... dans le gorgeret palpitant de la victorieuse. Fausse émotion, tout cela; c'est vrai: mais, souvenir stéréotypé... de sa première émotion d'amour... ce jour-là... où le mâle la trompait, aussi ; elle! Fausse émotion; c'est vrai! mais, qu'importe, pour le crâne... puisque les seins ont si bien imité les houles de la lubricité... Quel est donc ce crâne ? C'est le crâne d'un crieur de fausses liquidations,... c'est le crâne d'un marchand d'habits, pour maçons, sans ouvrage,... c'est le crâne d'un bâtelier du plus vil commerce de Paris. Il a payé son orchestre, à ce théâtre-là; il n'aurait osé prendre un billet à l'Opéra... il sent que ce n'est pas sa place... Mais ici il a acheté le droit (selon lui) de choisir son actrice ;... comme autrefois on choisissait les filles, au Palais-Royal. À minuit, qui sera le plus volé des deux? La femme, c'est son lot ; parmi les honnêtes gens comme parmi la canaille. Mais tout cela n'est pas une raison pour que l'on fasse aujourd'hui du théâtre une concurrence au Palais-Royal d'autrefois. A. DUNAN-MOUSSEUX. IL FAUT FAIRE UNE FIN Au moment de mettre sous presse, le metteur en pages nous demande cinq lignes... Que dire? Ah ! si M. Saniou n'a pas mis sonnés beaucoup de fleurs à la Comédie Française et au Gymnase avec la Papillonne et la Perle Noire, il vient de prendre une splendeuse revanche au théâtre Déjazet avec les Prés-St-Gervais. — On parle d'un immense succès... — Encore trois lignes... — Que faire, que faire?.. Ah ! ce numéro de la Causerie manque peut-être de gaieté. — Mais dimanche prochain, nous aussi, nous aurons nos Prés St-Gervais, et notre verve sera aussi joyeuse, aussi vive que celle de Mme Déjazet. — C'est dire à nos confrères:— Apprêtez-vous... la concurrence
et sous vs sn immondes! Les e,psmt les demi-soupirs, les regards, les détournements d'yeux, qui feignent l'embarras, les gestes, ls repos, le pied (qui sait montrer sa jambe), les dents, qui attirent a luxure, comme un miroir d'allouettes; et e bqt; le bqt, démembré, démantelé... qui tombe, brn à brin, vadnet tout le monde... n le gorgeret palpitant de la victorieuse. Fase émotion, tout cela; c'st vrai ,asim souvenir stéréotypé... de sa première émotion d'amour... ce jour-là... où le mâle la trompait, aussi ; elle Fausse émotion; c'est vrai! as, qu'importe, pour le crâne... psq les sneis ont si bn imité l houles de l lubricité... Quel est donc ce crâne ? C'est le crâne d'un crieur de fausses liquidations,... c'est le crâne dun marchand his pour maçons, sans ouvrage c'est le crâne dun bâtelier du pls vil commerce de aPi.rs Il payé son rchstr, à ce théâtre-là; il n'aurait osé prendre un bl à l'Opéra... il sent que ce n'est pas s place... Mais ici l a acheté l droit (selon lui) de chsr son actrice ;... comme autrefois on choisissait les l,isfel au Palais-Royal. À minuit, qui er le plus volé des udex? La femme, c'st son lot parmi les honnêtes gens comme parmi la canaille. Mais tt cela n'est pas une raison pour que l'on fasse aujourd'hui du théâtre une concurrence au Palais-Royal 'autrefois. DUNAN-MOUSSEUX. IL FAUT FAIRE UNE NFI Au moment d mettre sous presse, l metteur en pages ns demande cinq lignes... Que r? Ah ! si M. Sn n'a pas mis sonnés beaucoup de fleurs à la Comédie Française et Gymnase avec la Papillonne et la Perle Noire, il vient de pdrreen u splendeuse revanche au théâtre Dje avec les -St-eais — O prl d'un immense succès... ncr trois ilg...sen Que faire, que faire?.. Ah ! ce numéro d la Causerie mnq peut-être de gaieté. — Masi dimanche prochain, nous ss, ns aurons nos Prés St-Grvs, et notre verve sr aussi joyeuse, aussi vv q ce de Mm D.eajézt — C'est dire à nos confrères:— Apprêtez-vous... la concurrence
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lt ; parmi les honnêtes gens cm parmi la canaille. Mais tout cela nest p une raison pour que lon fasse jrd'h du théâtre une concurrence au Palais-Royal 'autrefois. A. DUNAN-MOUSSEUX. IL FT FAIRE UNE FIN Au moment ttre sous presse, le metteur en pages nous demande cinq lignes... Que dire? Ah ! si . Saniou n'a ps mis sonnés uopcebau de fleurs à la Comédie Frnçs et au Gymnase avec la Papillonne et al Perle Noire il vient de prendre une splendeuse revanche théâtre Déjazet avec les Prés-St-Gervais. — ale 'un immense succès... — ecnrEo is ligne — Que faire, que faire?.. Ah ! ce numéro de la Causerie manque peut-être de gaieté. — Mais dimanche prochain, nous aussi, nous aurons ns Prés St-Gervais, et notre verve er aussi yeuse aussi vive que celle de Mme Daet — C'est dire nos confrères:— Apprêtez-vous... la cncrrnc que nous suvo ménageons sera rude. Encore trois mots: la transformation ed la r a inquiété le igr Il annonce q'l va changer son format Pauvre Hyloté ! DUNAN-MOUSSEUX. Le Gérant : DUNAN-MOUSSEUX. PARISS — Imprimerie parisienne, DUPRAY DE LA MAHERIE ET CIE, boulevard Bonaparte-Nouvelle, 16 (impasse de la Boucherie, 68
Boucherie, 687)
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JOURNAL OFFICIEL DE LA GUINÉE FRANÇAISE PARAISSANT LE 1er ET LE 15 DE CHAQUE MOIS, A CONAKRY ABONNEMENTS SIX MOIS UN AN Colonies île l'A. (). F. et France et Colonies 40 fr. 70 fr. Etranger et Colonies... 55 fr 85 fr Prix de l'année courante et précédente 3 fr. 50 Prix des années antérieures 4 francs. Par J. poste : Majoration de 0 fr. 25 par n' ABONNEMENTS ET ANNONCES Les demandes d'abonnement et annonces doivent être adressées au Chef du Service de l'Imprimerie, à Conakry Toute demande de changement d'adresse devra être accompagnée de la somme de 2 fr. 50. Les abonnements et les annonces sont perçus d'avance. ANNONCES ET AVIS SOMMAIRE PARTIE OFFICIELLE Actes du Pouvoir central 1944 Pages 1er janvier... Ordonnance portant fixation du budget du Comité français de la Libération nationale de l'exercice 1944 (art. 13 relatif à l'indemnité différentielle des fonctionnaires mobilisés) 112 11 avril Décret qui modifie les articles 18 (paragraphe 1er) et 22, du décret du 18 novembre 1882, relatif aux adjudications et marchés à passer pour le compte de l'Etat et fixe à 100.000 francs le montant maximum des achats sur facture et à 80.000 francs le montant maximum des travaux et des transports pouvant être exécutés sur simple mémoire (arrêté de promulgation n° 1326 A. p., du 8 mai 1944). 115 Instruction générale sur le régime de l'indemnité différentielle en faveur du personnel des administrations et services de l'Etat en temps de guerre 113 Actes du Gouvernement général 1944 10 mai 1338 F. — Arrêté portant modification à l'arrêté n° 1508 du 22 avril 1942 116 10 mai 1339 F. — Arrêté portant approbation d'un arrêté du Gouverneur de la Guinée, ouvrant 2 600.000 francs de crédits supplémentaires au budget local de cette colonie pour l'exercice 1943 116 10 mai 1348 T. P. — Arrêté modifiant le tarif spécial P. V. 13 Conakry-Niger 115 11 mai 1373 D. T. — Décision suspendant l'admission par voie aérienne de certains envois postaux... 116 Actes du Gouvernement local 1944 30 mai 1184 A. E. — Arrêté fixant les prix du miel pour la
JOURNAL OFFICIEL DE LA UNÉ FRANÇAISE PARAISSANT LE 1er T L 15 CHAQUE MOIS, CNKRY ABONNEMENTS X MOIS UN AN Colonies lîe '.Al (). F. et France et Colonies 40 fr. 70 fr. trngr et Colonies... 55 fr 85 fr Prix de l'année courante et précédente fr. 50 Prix des années antérieures frncs. Par J. poste : Majoration de 0 fr. 25 par n' ABONNEMENTS ET ANNONCES Le demandes d'abonnement et annonces dvnt être drssés au Chef du Service de 'Imprimerie, à Conakry Toute demande de changement d'adresse r êtr accompagnée de la somme de 2 fr. 50. Les abonnements et les annonces sont erçu 'avance. ANNONCES ET AVIS SOMMAIRE PARTIE FFCLL c du Pouvoir central 1944 Pages 1er janvier... Ordonnance portant fxtn du budget du Comité frnçs de la Libération nationale d l'xrcc 1944 (art. 13 ei à lindemnité différentielle des fonctionnaires mobilisés) 112 11 avril Décret qui modifie les articles 18 (paragraphe e) 22, d ct du 18 novembre 1882, relatif axu adjudications t marchés à passer pour l compte de 'Etat et fie à 100.000 francs le montant maximum des ts sr fctr et à 80.000 francs le montant mxamumi des travaux et des osrrtsptna pouvant être exécutés sr simple émoie (arrêté de promulgation n 1326 A. p du 8 mai 1944). 115 Instruction générale sur le régime de l'indemnité différentielle en faveur du personnel des administrations t services de atEl't en ptsme de guerre 113 Actes du Gvrnmnt général 44 10 mai 1338 F. — Arrêté portant modification l'arrêté n° 1508 du 22 avil 1942 116 10 mai 1339 F. — Arrêté ptt approbation d'n arrêté d Gouverneur de la Guinée, ouvrant 00 francs de céit supplémentaires au budget lcl de cette colonie p 'exercice 1943 116 10 m 134 . P. — Arrêté modifiant l tarif spécial . V. 13 Conakry-Niger 115 11 ima 1373 D. . Décision suspendant ladmission par voie aérienne de certains envois postaux 116 Actes du Gouvernement cal 1944 30 mai 1184 A. E. — Arrêté fixant les prix du miel pour la
et des transports pouvant être exécutés sur simple mémoire (arrêté de promulgation n° 1326 A. p., du 8 mai 1944). 115 Instruction générale sur le régime de l'indemnité différentielle en faveur du personnel des administrations et services de l'Etat en temps de guerre 113 Actes du Gouvernement général 1944 10 mai 1338 F. — Arrêté portant modification à l'arrêté n° 1508 du 22 avril 1942 116 10 mai 1339 F. — Arrêté portant approbation d'un arrêté du Gouverneur de la Guinée, ouvrant 2 600.000 francs de crédits supplémentaires au budget local de cette colonie pour l'exercice 1943 116 10 mai 1348 T. P. — Arrêté modifiant le tarif spécial P. V. 13 Conakry-Niger 115 11 mai 1373 D. T. — Décision suspendant l'admission par voie aérienne de certains envois postaux... 116 Actes du Gouvernement local 1944 30 mai 1184 A. E. — Arrêté fixant les prix du miel pour la campagne 1943-44 116 30 mai 1191 c. p. — Arrêté complétant le barème portant échelle des salaires journaliers des chauffeurs et plantons 116 30 mai 1192 c. P. — Arrêté complétant les tableaux n°186 1 et 2 fixant le salaire du personnel auxiliaire. 117 1944 Pages 30 mai 1213 A. E. — Arrêté accordant le permis d'occuper précaire d'un terrain de 1.500 mètres carrés, sis à Gaoual, à M. Brosse (Robert).... 117 30 mai 1214 A. E. — Arrêté autorisant le transfert à la S. A R. L. « Pilotaz et Clastres », à Coyah, de deux concessions provisoires et d'une autorisation de prise d'eau le tout à Coyah (cercle de Conakry), 711 30 mai 1215 A. E. — Arrêté accordant à Mme Bedin, la concession provisoire d'un terrain de 3 hectares, 90 ares, sis à Kankan 117 30 mai 1216 A. E. — Arrêté portant prorogation du bail d'un terrain de 934 mètres carrés, sis à N'Zérékoré, à M. Sébory Kourouma, par arrêté du 30 octobre 1928 117 30 mai 1217 A. E. — Arrêté portant prorogation du bail d'un terrain de 1.489 mètres carrés sis à N'Zérékoré, consenti à M. Sébory Kourouma, par arrêté du 22 mai 1936
et des transports pouvant être exécutés sr simple mémoire (arrêté de promulgation n° 26 A. p., d 8 mai 1944). 115 Instruction ée sur l régime de l'indemnité différentielle en faveur d personnel des administrations et scs d l'Etat en mstep de guerre 113 Actes du Gouvernement général 1944 10 mai 1338 F. — Arrêté portant modification à l'arrêté n° 150 u 22 avril 1942 116 10 mai 139 F. — Arrêté portant approbation d'un arrêté du Gouverneur de la eGi,néu ouvrant 2 600.000 francs de crédits supéntie au udet local de cette eoioncl pour l'exercice 1943 116 10 mai 1348 T. P. — Arrêté mdfnt le tarif spécial P. V. 13 Conakry-Niger 115 11 i 1373 D. T — Décision suspendant l'admission par voie aérienne e certains envois postaux... 116 Actes d Gvrnmnt local 1944 30 mai 1184 A. E. — Arrêté fixant les prix d miel pour la campagne 1943-44 116 30 mai 1191 c. p. — Arrêté complétant le barème portant échelle des salaires journaliers ds chauffeurs et plntns 03 mai 1192 c. P. — Arrêté cmplétnt les tableaux n186 1 et 2 fixant e salaire du prsnnl auxiliaire. 117 1944 Pages 30 mai 1213 A. E. — Arrêté accordant le prms 'ocp précaire d'un terrain de 1.500 mètres raé,rsc sis à Gaoual, à M. Brosse Rbrt.. 11 30 mai 1214 . — Arrêté autorisant l transfert à l S. A . L. « Pilotaz et Clastres », Cyh, de deux cncssns provisoires et d'une autorisation de prs 'eau le tout à Coyah (cercle de a)kCorny, 711 30 mai 1215 A. E. — Arrêté accordant à Mm Bdn, la concession prosore dun tnerari de 3 hctrs, 90 ares, sis nka 17 30 mai 1216 A. E. — rrêté portant prorogation du bail d'un tin 934 mètres carrés, sis à 'Zérékoré, à M. Sébory Krm, par arrêté du octobre 1928 117 30 m 1217 A. E. — Arrêté portant prorogation du bail d'un terrain de .489 mètres carrés sis à N'Zérékoré, consenti M. Sébory Kourouma, par arrêté du 22 mai 1936
E. — Arrêté accordant le permis d'occuper précaire d'un terrain de 1.500 mètres carrés, sis à Gaoual, à M. Brosse (Robert).... 117 30 mai 1214 A. E. — Arrêté autorisant le transfert à la S. A R. L. « Pilotaz et Clastres », à Coyah, de deux concessions provisoires et d'une autorisation de prise d'eau le tout à Coyah (cercle de Conakry), 711 30 mai 1215 A. E. — Arrêté accordant à Mme Bedin, la concession provisoire d'un terrain de 3 hectares, 90 ares, sis à Kankan 117 30 mai 1216 A. E. — Arrêté portant prorogation du bail d'un terrain de 934 mètres carrés, sis à N'Zérékoré, à M. Sébory Kourouma, par arrêté du 30 octobre 1928 117 30 mai 1217 A. E. — Arrêté portant prorogation du bail d'un terrain de 1.489 mètres carrés sis à N'Zérékoré, consenti à M. Sébory Kourouma, par arrêté du 22 mai 1936 7 30 mai 1218 A. E. — Arrêté accordant à M. Mamadou Bâ, la concession définitive du lot 34 du no 7 de lotissement de Pita 7 30 mai 1219 A. E. — Arrêté prorogeant pour une durée de 5 ans, la location accordée à M. Gay, Karam sur un terrain de 60 mètres carrés, .i* Cola (cercle de Boffa) 18 30 mai 1220 A. E. — Arrêté autorisant le transfert à M. Pouech, à Conakry, du permis d'occuper une parcelle de 500 mètres carrés à Conakry près la digue de Tumbo dépendant du domaine public maritime 118 30 mai 1221 A. E. — Arrêté autorisant le transfert à M. A. Pouech du permis d'occuper une parcelle du domaine public maritime sur le terre-plein du port de Conakry...... 118 30 mai 1222 A E. — Arrêté autorisant le transfert M. A. Pouech, à Conakry, de la concession provisoire du lot 17 de la zone industrielle Conakry 118 30 mai 1223 A. E. — Arrêté accordant à M. Trian Mengrelis, le permis d'occuper précaire sur un terrain de 1.282 mètres carrés, sis à Macenta 30 mai 1224 A. E. — Arrêté portant retrait à M. K Ba, le permis d'occuper un
E. Arrêté accordant le permis d'occuper précaire d'un terrain de 1.500 mètres carrés, sis à Gaoual, à M. Brosse (Robert).... 7 30 mai 1214 A E. — Arrêt autorisant le transfert à la S. A R. L. « zilaPto et Clastres », à Coyah, de uexd concessions provisoires et d'une autorisation de prise d'eau le tout à Coyah (cercle de Cnkry), 711 30 mai 1215 A. E. — Arrêté accordant à M Bedin, la concession provisoire d'un terrain de 3 hectares, 90 ares, sis à a 117 0 ma 1216 A E. — rr portant prorogation du bl d'un terrain de 934 mètres carrés, sis à NZérékoré à . Sébory ,Kroauuom par arrêté du 3 octobre 1928 117 30 mai 1217 A. E. Arrêté portant prrgtn du bail d'un terrain d .489 mètres carrés sis N'Zérékoré, consenti Sébory Kourouma, par raétêr du 22 mai 1936 7 03 m 1218 A. E. — Arrêté accordant à M Mamadou ,âB la concession ftive du lt 34 du on 7 d lotissement de Pita 7 30 mai 1219 . E. — Arrêté prorogeant pour une durée de 5 an la lctn accordée à M. Gay, Karam sur un terrain de 60 mètres carrés, .* Cola c(reecl d Boffa) 18 3 mai 1220 . E. — Arrêté autorisant le transfert à M. Pouech, à Conakry, du prms d'occuper enu parcelle de 500 mètres carrés à kr près digue de Tumbo dépendant du domaine public maritime 118 30 mai 1221 .A E. — Arrêté trsnt le transfert à A. Pouech du permis er une parcelle du domaine public maritime sur le terre-plein du port de Conakry...... 118 30 mai 1222 A E. — Arrêté autorisant le transfert M. A. Pouech, à Conakry, de la concession provisoire du lot 17 de la zone industrielle Cony 118 30 m 123 . E. — Arrêté accordant à M. Trian nieegls,rM le permis d'occuper précaire sur un terrain de 1.282 mètres carrés, ss à Macenta 30 mai 14 A. . — Arrêté portant retrait à M. K Ba, le prm d'occuper un
terrain de 60 mètres carrés, .i* Cola (cercle de Boffa) 18 30 mai 1220 A. E. — Arrêté autorisant le transfert à M. Pouech, à Conakry, du permis d'occuper une parcelle de 500 mètres carrés à Conakry près la digue de Tumbo dépendant du domaine public maritime 118 30 mai 1221 A. E. — Arrêté autorisant le transfert à M. A. Pouech du permis d'occuper une parcelle du domaine public maritime sur le terre-plein du port de Conakry...... 118 30 mai 1222 A E. — Arrêté autorisant le transfert M. A. Pouech, à Conakry, de la concession provisoire du lot 17 de la zone industrielle Conakry 118 30 mai 1223 A. E. — Arrêté accordant à M. Trian Mengrelis, le permis d'occuper précaire sur un terrain de 1.282 mètres carrés, sis à Macenta 30 mai 1224 A. E. — Arrêté portant retrait à M. K Ba, le permis d'occuper un terrain de 750 mètres carrés, sis à Duprou (cercle de Boffa) 119 30 mai 1225 A. E. — Arrêté portant résiliation de la location d'un terrain de 27 hectares, 03 ares, 35 centiares, sis à Morébila (cercle de Fria), consentie à M. Naji Hussein Hélali et attribuant à l'intéressé la concession provisoire dudit terrain 118 1944 Pages 30 mai 1226 A. E. — Arrêté portant retrait à M. Moussa Touré, le permis d'occuper un terrain de 435 mètres carrés, sis à Douprou (cercle de Boffa).... 118 30 mai 1227 A. E. — Arrêté prorogeant le délai de notification d'un acte de transfert régulier..... 119 30 mai 1228 A. E. — Arrêté prorogeant pour une durée d'un an à partir de la cessation officielle des hostilités, le délai de mise en valeur de la concession provisoire accordée à la Société Hernandez, Reyes, Batard, à Friguiagbé, par arrêté du 12 juin 1939 119 30 mai 1229 A. E. — Arrêté accordant à la Société de Culture du Fouta-Djallon, la concession provisoire d'un terrain de 199 hectares, sis près de Kignéko (cercle de Mamou) 119 30 mai 1230 A. E. Arrêté accordant l'autorisation de transfert à la S. A. R. L. Tambaya, d’une
terrain de 60 mètres carrés, .* Cola cl de Bff) 30 mai 1220 A. E. — rrêté autorisant le transfert M Pouech, Conakry du permis d'occuper une parcelle de 500 mètrs carrés Conakry sprè la digue de Tumbo dépendant du dmn public maritime 118 3 mai 1221 A. E. — Arrêté autorisant le transfert à .M Pouech u prms doccuper une parcelle du domaine public maritime sur l terreplein du port de Conakry...... 118 30 mai 1222 A E. — Arrêté autorisant le transfert M. . Pouech, à Cnkry, de la oon provisoire du lot 17 de la zone industrielle Conakry 118 30 mai 1223 A E. — Arrêté accordant à M Trian Mengrelis le permis d'occuper eripréca sur un terrain de 1.282 mètrs carrés, s à Mcnt 30 mai 1224 A. E. Arrêté portant retat à M. K B,a le permis d'occuper un ra de 750 mètrs carrés, sis Duprou (cercle de Bf 119 3 mia 1225 A. E. — Aêrrét rotpnta résiliation ed la location 'un terrain de 27 hectares, 03 ares, 35 centiares sis à Mrila (ecl de Fr), consentie à M. Naji Hussein Hélali et attribuant à l'intéressé al concession provisoire dudit terrain 118 1944 seaPg 30 mai 1226 A. E — rrê portant rtrt à M. Moussa Touré, le permis d'occuper un terrain de 435 mètres ar,rséc sis à Douprou (cercle de Bff).... 118 30 mai 1227 A. E. — Aé prorogeant le délai de notification d'un acte de transfert régulier..... 119 30 mai 1228 A E. — rrêté prorogeant pour une durée d'nu an à partir de l cessation officielle des hstltés, le dél de mise en valeur de la concession provisoire accordée à la Société Hernandez, ,yesRe Batard à Friguiagbé par arrêté du 12 juin 1939 119 30 m 1229 .A E — Arrêté accordant à la Société de Culture du Ft-Djlln, la concession provisoire dn errn de 991 hectares, sis près de Kignéko (cercle ed Mamou) 119 30 m 1230 A. E. Arrêté accordant lita'staruooin d ansfe à la S. A. R. L. amyba,Ta d’une
concession provisoire dudit terrain 118 1944 Pages 30 mai 1226 A. E. — Arrêté portant retrait à M. Moussa Touré, le permis d'occuper un terrain de 435 mètres carrés, sis à Douprou (cercle de Boffa).... 118 30 mai 1227 A. E. — Arrêté prorogeant le délai de notification d'un acte de transfert régulier..... 119 30 mai 1228 A. E. — Arrêté prorogeant pour une durée d'un an à partir de la cessation officielle des hostilités, le délai de mise en valeur de la concession provisoire accordée à la Société Hernandez, Reyes, Batard, à Friguiagbé, par arrêté du 12 juin 1939 119 30 mai 1229 A. E. — Arrêté accordant à la Société de Culture du Fouta-Djallon, la concession provisoire d'un terrain de 199 hectares, sis près de Kignéko (cercle de Mamou) 119 30 mai 1230 A. E. Arrêté accordant l'autorisation de transfert à la S. A. R. L. Tambaya, d’une concession provisoire de 40 hectares sise à N’Tohon, au lieu dit Tambaya (cercle de Forécariah) 19 mai 1944 A. E. — Arrêté accordant l’autorisation de transfert à la S. A. R. L. Tambaya, d’une concession provisoire de 9 hectares, 55 ares, 22 centiares, sise à Bentamou (cercle de Forécariah) 19 juin 1943 A. E. — Arrêté fixant la date d’ouverture de la période de traite de la campagne 1943-44 relative aux palmistes de la zone forestière 19 juin 1944 A. E. — Arrêté déclarant infesté de rage le centre de Dalaba ainsi qu’une zone de 10 kilomètres autour de ce centre 19 juin 1944 A. P. A. — Arrêté autorisant la création en Guinée française d’un groupement dénommé « Association pour le rapprochement Franco-Soviétique » (RAFSO) 19 juin 1944 A. E. — Arrêté fixant les valeurs à l’exportation des cuirs de bœufs secs arseniqués type Conakry-Brousse 19 juin 1944 A. E. — Arrêté fixant la date de fermeture de la traite de l’essence d’oranges 19 juin 1944 A. E. — Arrêté portant extension à la route intercoloniale no 2 de l’interdiction de transport de colas édictée par l’arrêté n° 1182 A. E. du 29 mai 1944 en ce qui concerne
csconsneio provisoire ddt terrain 118 1944 Pages 30 mai 1226 A E. — Arrêté portant rat à M. Mss Touré, le pri d'occuper un terrain de 435 mtrs carrés, sis à Douprou (cercle e Boffa).... 118 30 mai 1227 A. E. — Arrêté rorgan l délai de notification d'un acte de transfert régulier..... 119 30 mai 1228 A. E. — rrêté prorogeant pour une urée nu'd an partir de la cessation officielle des hostilités, le délai de ms en valeur d la concession provisoire accordée à la Société Hernandez, Reyes, Batard, à Friguiagbé, ar arrêté du 12 juin 1939 119 30 mai 1229 A. E. — Arrêté accordant à la Société de Culture du Fouta-Djallon, la concession provisoire d'un terrain de 199 hectares, sis près de Kignéko (cercle de Mamou 119 30 mai 1230 A. E. Arrêté accordant l'autorisation de transfert à la S. A. R. L. amabTya, d’une concession provisoire de 40 hectares sise N’Tohon, au lieu dit aby (cercle de Forécariah 19 mai 1944 A. E. — Arrêté accordant l’autorisation de rtsnftrae à la . . R. . Tambaya, d’une concession provisoire de 9 hectares, 55 ares, 22 centiares, sise Bentamou cercl de F)haacréori 19 juin 1943 A. E. — Arrêté fixant la date ’ouverture de la période d traite de la campagne 1943-44 relative aux palmistes de la forestière 19 juin 1944 A. E. — Arrêté déclrnt infesté de re le cntr d Dalaba ainsi quune zone de 10 klmètrs autour de ce centre 19 juin 1944 A P. A. — Arrêté autorisant la création en Guinée aase d’un groupement dénommé « Association pour le rapprochement Franco-Soviétique » (RAFSO) 19 juin 1944 .A E. — Arrêté fixant les valeurs à ’exportation des crs de bœufs secs arseniqués type nkry 19 juin 1944 A. E — rrt fixant l date de fermeture de la itetar de lessence d’oranges 19 un 1944 A E — Arrêté portant extension à la route intercoloniale o 2 d l’interdiction de transport de colas édcté par l’arrêté n° 1182 A. E. du 29 mai 194 en ce i concerne
juin 1943 A. E. — Arrêté fixant la date d’ouverture de la période de traite de la campagne 1943-44 relative aux palmistes de la zone forestière 19 juin 1944 A. E. — Arrêté déclarant infesté de rage le centre de Dalaba ainsi qu’une zone de 10 kilomètres autour de ce centre 19 juin 1944 A. P. A. — Arrêté autorisant la création en Guinée française d’un groupement dénommé « Association pour le rapprochement Franco-Soviétique » (RAFSO) 19 juin 1944 A. E. — Arrêté fixant les valeurs à l’exportation des cuirs de bœufs secs arseniqués type Conakry-Brousse 19 juin 1944 A. E. — Arrêté fixant la date de fermeture de la traite de l’essence d’oranges 19 juin 1944 A. E. — Arrêté portant extension à la route intercoloniale no 2 de l’interdiction de transport de colas édictée par l’arrêté n° 1182 A. E. du 29 mai 1944 en ce qui concerne la circulation des colas sur la route intercoloniale no 4. 19 juin 1944 A. E. — Arrêté rectificatif à l’arrêté n° 1024 A. E. du 1er mai 1944 relatif au rationnement du riz 19 juin 1944 A. p. A./1 . — Arrêté déclarant infesté de rage la zone de Conakry, Coléa et Camayenni 20 Communauté mixte de Conakry 1944 13 juin 1944 — Arrêté municipal interdisant aux propriétaires de chiens de laisser circuler leurs animaux sur la voie publique 20 Références au « Journal officiel » de l’Afrique occidentale française. Textes intéressant la Guinée et non insérés dans le Journal officiel de cette Colonie. Actes du Pouvoir central 1943 Pages 1er septembre Arrêté intercommissarial relatif au paiement des frais à destination 370 1944 6 avril Décret qui modifie le tableau annexé à l’article 103 (nouveau) du décret du 2 mars 1910, portant règlement sur la solde et les allocations accessoires des fonctionnaires, employés et agents des services coloniaux (indemnités pour perte d’effets) [arrêté de promulgation n° 1328 A. P., du 8 mai 1944] 373 1944 11 avril Décret qui annule l’acte dit « décret du 5 juin 1941 » et remet en vigueur, sous certaines réserves, les décrets des 19
juin 943 . . — Arrêté fixant la date d’oertre de la période de traite de la campagne 1943-44 relative aux palmistes de la zone frstèr 19 juin 1944 A. E. — Arrêté déclarant infesté de ae le centre de Dlb ii qu’une zone de 10 mseirolèkt autour d ce centre 19 jn 1944 A. P. A. — Arêt autorisant la céatio en Guinée française d’un groupement dénommé « Association pour le rapprochement Franco-Soviétique » (RAFSO) 19 juin 1944 A. E. — Arrêté fixant les valeurs à l’exportation des cuirs de bœufs secs arseniqués typ Conakry-Brousse 19 jn 1944 A. . — Arrêté iftaxn la da de fermeture de la traite de esse ’oranges 19 juin 1944 . E. — Arrêté portant xtnsn à la route intercoloniale no 2 de ’tediio de transport de colas édictée pr l’arrêté n° 1182 . du 9 mai 1944 en ce qui concerne la circulation ds colas sur la route intercoloniale no 4. 19 juin 1944 A. E. — Arrêté rectificatif à l’arrêté n° 1024 . E du 1er mai 1944 relatif au rationnement du riz 19 juin 1944 A. p. A1./ . — Arté déclarant infesté d rage la zone de Conakry, Clé et Camayenni 20 Communauté mixte de Conakry 1944 13 juin 19 — Arrêté municipal interdisant aux propriétaires de his de laisser circuler leurs nmx sur la voie publique 0 Références au « Journal officiel » de l’Afrique ocente française te intéressant l Guinée non insérés dans le Journal officiel de cette Cln. Actes du Pouvoir central 1943 Pages 1er septembre rrêté intercommissarial rltf au paiement ds frais à destination 370 1944 6 avril Décret qui modifie le tableau annexé l’article 103 (nouveau) du décret du 2 mars 1910, portant règlement sr la solde et les allocations oresiecssac des fonctionnaires, employés et agents des services coloniaux (indemnités pour perte d’effets) rêt de promulgation ° 1328 .A P., du 8 mai 1944] 373 1944 1 avril Décret qui annule l’ct dit « décret du 5 juin 1941 » t remet n vigueur, suso certaines réserves, e écrt des 19
Coléa et Camayenni 20 Communauté mixte de Conakry 1944 13 juin 1944 — Arrêté municipal interdisant aux propriétaires de chiens de laisser circuler leurs animaux sur la voie publique 20 Références au « Journal officiel » de l’Afrique occidentale française. Textes intéressant la Guinée et non insérés dans le Journal officiel de cette Colonie. Actes du Pouvoir central 1943 Pages 1er septembre Arrêté intercommissarial relatif au paiement des frais à destination 370 1944 6 avril Décret qui modifie le tableau annexé à l’article 103 (nouveau) du décret du 2 mars 1910, portant règlement sur la solde et les allocations accessoires des fonctionnaires, employés et agents des services coloniaux (indemnités pour perte d’effets) [arrêté de promulgation n° 1328 A. P., du 8 mai 1944] 373 1944 11 avril Décret qui annule l’acte dit « décret du 5 juin 1941 » et remet en vigueur, sous certaines réserves, les décrets des 19 avril et 22 août 1939 qui ont modifié la compétence des juridictions de l’Afrique occidentale française à l’égard des militaires et anciens militaires indigènes et des indigènes décorés de la Légion d’honneur ou électeurs aux assemblées locales (arrêté de promulgation n° 1325 A. p., du 8 mai 1944) 374 18 avril. Décret qui fixe uniformément, pour compter du 1er avril 1944, les traitements des administrateurs des colonies et modifie en conséquence les dispositions de l’article 2 du décret du 10 juillet 1920 réorganisant le personnel des administrateurs des colonies (arrêté de promulgation n° 1383 A. p., du 13 mai 1944) 384 Actes du Gouvernement général 1944 10 mai...... 1341 F. — Arrêté modifiant le tarif fiscal d’entrée 388 13 mai 1379 s. E. — Décision fixant pour le 1er semestre 1944 les contingents de tourteaux réservés aux besoins alimentaires et domestiques 389 Actes du Gouvernement local INSERTIONS SOMMAIRES Administration générale 380 Affaires politiques 380 Agriculture, Service Zootechnique 381 Enseignement 381 Postes, Télégraphes et Téléphones 381 Santé et Assistance médicale 382 Nécrologie 382 PARTIE NON OFFICIELLE AVIS ET COMMUNICATIONS : Annonces 382 PARTIE OFFICIELLE ACTES DU POUVOIR CENTRAL ORDONNANCE du 8 janvier 1944. Art. 13. — Les articles 4 et 5
Coléa et Camayenni 20 Communauté mit de Conakry 4419 13 juin 1944 — Arrêté municipal interdisant aux propriétaires de chiens de laisser circuler leurs animaux sur la voie publique 20 Références au « Journal ffcl » e l’Afrique occidentale française Textes nressant la Guinée te o nss dans le orn officiel de cette Colonie. Actes du Pouvoir cetr 1943 Pages 1er septembre Arrêté ntrcmmssrl relatif au pmnt des frais à dstntn 370 1944 6 avril Décret qui modifie le tableau annexé à l’article 103 (nouveau) du décret du 2 mars 1910, portant règlement s la solde et les allocations accessoires des fonctionnaires, employés agents des services coloniaux (indemnités pour perte d’effets) arrêté d promulgation n° 1328 A. P., du 8 mai 1944] 373 144 11 avril Décret qui nlunae l’acte i « décret du 5 juin 1941 » et mt en vigueur, ss certaines réserves les décrets des 19 avril et 22 ûaot 1939 qui otn modifié la compétence des uidrjsitcion ed l’Afrique occidentale française à l’égard des militaires anciens militaires indigènes et des ndgèns décorés de la Légion d’honneur électeurs aux assemblées locales (arrêté de promulgation n° 1325 A. p., du 8 mai 1944) 374 18 avril. Décret qui fixe uniformément, pour compter du 1er avril 1944, les traitements des administrateurs des oois et modifie en conséquence les dispositions de l’article 2 du décret du 10 juillet 1920 oas e personnel des admtu des colonies (arrêté de promulgation n° 1383 A. p., du 13 mai 1944) 384 Actes du Gouvernement générl 1944 10 mai...... 1341 F. — Arrêté modifiant l tarif fiscal d’entrée 388 13 mai 1379 s. E. — Décision fixant pour le er smstr 1944 les contingents de tourteaux réservés aux besoins alimentaires et domestiques 3 Actes du Gouvernement local INSERTIONS SOMMAIRES Admnitaton générale 380 Affaires politiques 380 Agriculture, Service Zootechnique 381 Enseignement 381 Postes, Télégraphes et épones 381 Santé t Assistance médicale 382 Nécrologie 382 PARTIE NON OFFICIELLE AVIS ET COMMUNICATIONS : Annonces 382 PARTIE OFFICIELLE ACTES DU POUVOIR CENTRAL ORDONNANCE du 8 janvier 1944. Art. 13. — Les articles 4 e 5
avril. Décret qui fixe uniformément, pour compter du 1er avril 1944, les traitements des administrateurs des colonies et modifie en conséquence les dispositions de l’article 2 du décret du 10 juillet 1920 réorganisant le personnel des administrateurs des colonies (arrêté de promulgation n° 1383 A. p., du 13 mai 1944) 384 Actes du Gouvernement général 1944 10 mai...... 1341 F. — Arrêté modifiant le tarif fiscal d’entrée 388 13 mai 1379 s. E. — Décision fixant pour le 1er semestre 1944 les contingents de tourteaux réservés aux besoins alimentaires et domestiques 389 Actes du Gouvernement local INSERTIONS SOMMAIRES Administration générale 380 Affaires politiques 380 Agriculture, Service Zootechnique 381 Enseignement 381 Postes, Télégraphes et Téléphones 381 Santé et Assistance médicale 382 Nécrologie 382 PARTIE NON OFFICIELLE AVIS ET COMMUNICATIONS : Annonces 382 PARTIE OFFICIELLE ACTES DU POUVOIR CENTRAL ORDONNANCE du 8 janvier 1944. Art. 13. — Les articles 4 et 5 du décret-loi du 1er septembre 1939, fixant la situation des personnels des administrations de l’Etat en temps de guerre sont annulés et remplacés par les dispositions suivantes : « Article 4 : Les fonctionnaires et employés civils titulaires des administrations, services ou établissements visés à l'article premier du présent décret qui ont satisfait aux obligations des lois sur le recrutement et sur l’inscription maritime en ce qui concerne le temps de service actif, reçoivent, lorsque le cas visé à l'article premier du présent décret, ils sont rappelés ou maintenus sous les drapeaux la rémunération militaire attachée à leur grade dans l’armée. Toutefois, lorsque cette rémunération est inférieure au traitement civil dont les intéressés bénéficiaient dans leur administration au moment où ils ont été appelés ou rappelés sous les drapeaux, il leur est accordé par leur administration d’origine une indemnité égale à la différence entre le total de leur rémunération civile et le total de leur rémunération militaire. » « Article 5 : Les dispositions de l'article précédent sont applicables aux personnels auxiliaires appelés ou rappelés sous les drapeaux et qui appartiennent à une administration de l’Etat depuis six mois au moins au moment de leur mobilisation. Elles ne s'appliquent pas
avril. Décret qui fixe uniformément, pr compter du 1er avril 1944, les traitements ds dmnstrtrs des colonies et modifie en conséquence les dispositions de ’article du décret du 10 juillet 1920 sotganrarnéi le personnel des administrateurs des coons arrêté de promulgation n° 1383 A. p., du 13 mai 1944) 384 Actes du Gourmt général 1944 10 mai...... 1341 F Arré modifiant le tarif fiscal nedért’e 388 13 mai 1379 . . Décision fixant pour l 1er semestre 1944 les contingents e trtx s x besoins alimentaires et domestiques 983 Actes du Gouvernement ollac INSETIO SMMRS Administration générale 380 Affaires piiu 380 Agriculture, Service Zootechnique 381 Enseignement 381 Pot, Télégraphes Téléphones 381 Snté et Assistance médicale 382 Nécrologie 382 PARTIE NON OFFICIELLE VS ET CMMNCTNS : Annonces 3 ARIE OFFICIELLE ACTES DU POUVOIR CENTRAL ORDONNANCE du 8 jvaneir 1944. Art. 13. — Les articles 4 t 5 du déi du 1r septembre 1939, fxnt la utanstoii des psones des administrations de l’tt n temps de ere nost annulés et emlcé par les dispositions suivantes « Article 4 : Les fonctionnaires et employés cvls titulaires des nimti,natiossdar services ou établissements visés à l'article premier du présent décret qui ont satisfait aux blgtns ds lois sur l recrutement et sur l’nscrptn maritime en c qui concerne le temps de service actif, reçoivent, lorsque le cas visé à l'article premier d présent décret, ils sont eérlpasp o maintenus sous les drapeaux la rémunération militaire attachée à leur grd dans l’armée. Toutefois, lorsque cette rémunération est inférieure au traitement civil dont ls intéressés bénéficiaient dans leur administration au moment où ils ont été pplés rappelés sous les drpx, il leur st accordé par leur administration d’origine une indemnité égale à la différence entre le total e leur oéériturmnna civile et le tal de leur rémunération militaire. » « Article 5 dispositions de c'etllira précédent o applicables aux personnels auxiliaires als ou rappelés ouss les drapeaux et qui appartiennent à une administration de ’Etat depuis six ms au moins au mmnt de leur mobilisation. Elles n s'appliquent pas
qui ont satisfait aux obligations des lois sur le recrutement et sur l’inscription maritime en ce qui concerne le temps de service actif, reçoivent, lorsque le cas visé à l'article premier du présent décret, ils sont rappelés ou maintenus sous les drapeaux la rémunération militaire attachée à leur grade dans l’armée. Toutefois, lorsque cette rémunération est inférieure au traitement civil dont les intéressés bénéficiaient dans leur administration au moment où ils ont été appelés ou rappelés sous les drapeaux, il leur est accordé par leur administration d’origine une indemnité égale à la différence entre le total de leur rémunération civile et le total de leur rémunération militaire. » « Article 5 : Les dispositions de l'article précédent sont applicables aux personnels auxiliaires appelés ou rappelés sous les drapeaux et qui appartiennent à une administration de l’Etat depuis six mois au moins au moment de leur mobilisation. Elles ne s'appliquent pas aux personnels liés à l’administration dans les conditions du droit commun. Des arrêtés contresignés par le Commissaire aux Finances, le Commissaire à la Guerre et à l’Air et le Commissaire à la Marine fixent les modalités d’application du présent article. » Alger, le 8 janvier 1944. DE GAULLE. Par le Comité français de la Libération nationale : Le Commissaire aux Finances, Pierre MENDÈS-FRANCE. INSTRUCTION GÉNÉRALE sur le régime de l’indemnité différentielle en faveur du personnel des administrations et services de l’Etat en temps de guerre. Sommaire L'article 13 de l'ordonnance du 8 janvier 1944, portant fixation du budget du Comité français de la Libération nationale de l'exercice 1944 annule et remplace les articles 4 et 5 du décret-loi du 1er septembre 1939, fixant la situation des personnels des administrations de l’Etat en temps de guerre. Les articles 4 et 5 nouveaux disposent : « Article 4 : « Les fonctionnaires et employés civils titulaires des administrations, services ou établissements, visés à l'article premier du présent décret qui ont satisfait aux obligations des lois sur le recrutement et sur l'inscription maritime en ce qui concerne le temps de service actif, reçoivent, lorsque dans le cas visé à l'article premier du présent
qui ont stsft u obligations des lois sr l recrutement et rus l’nscrptn maritime en ce qui concerne le petms d sevi actif, reçoivent, lorsque le cas vsé l'article premier du présent décret, ils sont rappelés ou maintenus ss les drapeaux la rémnértn militaire attachée à leur grade dans l’armée. Toutefois, lorsque cette rémunération est inférieure au trat civil dont les iésés bénéficiaient nsda leur administration au moent où ils nt été pplés rappelés sous les drapeaux, il leur st accordé par lr administration d’rgn une indemnité égale à la différence entre le total de leur rémunération civile et le talot leur rémunération militaire. » « Article 5 : Les potos de l'article dent sont applicables aux personnels auxiliaires appelés ou rappelés sous les drapeaux et qui pprtnnnt à n administration de l’Etat depi six mois au moins au mmnt de leur mobilisation. Elles s'appliquent pas aux personnels liés à l’administration dans les cndtns du droit commun. Des arrêtés contresignés pr le Commissaire aux Finances, le Commissaire à la Guerre et à lAir et Commissaire la Mrn fixent les mdltés d’application du présent article. » Alger, le 8 janvier 1944. DE GAULLE. Pr le omCéit français de la Libération nationale Le Commissaire aux Finances, Pere MENDÈS-FRANCE. INSTRUCTION NAGLRÉÉE sur l régime de l’indemnité différentielle en faveur u personnel des administrations et services de ’Etat en temps de guerre Sommaire Le'criatl 13 de oonce du 8 jnvr 1944, portant fxto du budget du Cmté français de la Libération ntnl de l'exercice 1944 annule et rmplc sel articles 4 et 5 du décret-loi du 1er septembre 1939, fixant a situation eds personnels des administrations l’tt en temps de er. Les ltrseiac 4 et 5 nvx disposent : « Article 4 : Les fonctionnaires et employés civils ttlrs des adnisrtos, services o établissements, vsés à larticle prmr du présent décret qui ont satisfait aux obligations esd lois sur le recrutement et sur l'inscription maritime en ce qui necrnceo le temps de service actif, reçoivent, lorsque dns le cas vsé à l'article premier du présnt
Comité français de la Libération nationale : Le Commissaire aux Finances, Pierre MENDÈS-FRANCE. INSTRUCTION GÉNÉRALE sur le régime de l’indemnité différentielle en faveur du personnel des administrations et services de l’Etat en temps de guerre. Sommaire L'article 13 de l'ordonnance du 8 janvier 1944, portant fixation du budget du Comité français de la Libération nationale de l'exercice 1944 annule et remplace les articles 4 et 5 du décret-loi du 1er septembre 1939, fixant la situation des personnels des administrations de l’Etat en temps de guerre. Les articles 4 et 5 nouveaux disposent : « Article 4 : « Les fonctionnaires et employés civils titulaires des administrations, services ou établissements, visés à l'article premier du présent décret qui ont satisfait aux obligations des lois sur le recrutement et sur l'inscription maritime en ce qui concerne le temps de service actif, reçoivent, lorsque dans le cas visé à l'article premier du présent décret ils sont rappelés ou maintenus sous les drapeaux, la rémunération militaire attachée à leur grade dans l'armée. « Toutefois, lorsque cette rémunération est inférieure au traitement civil dont les intéressés bénéficiaient dans leur administration au moment où ils ont été appelés ou rappelés sous les drapeaux, il leur est accordé par leur administration d'origine une indemnité égale à la différence entre le total de leur rémunération civile et le total de leur rémunération militaire. » « Article 5 : « Les dispositions de l'article précédent sont applicables aux personnels auxiliaires appelés ou rappelés sous les drapeaux et qui appartiennent à une administration de l'Etat depuis six mois au moins au moment de leur mobilisation. Elles ne s'appliquent pas aux personnels liés à l'administration dans les conditions du droit commun. » L'article 13 dont il s'agit, précise en finale que « des arrêtés contresignés par le Commissaire aux Finances, le Commissaire à la Guerre et à l'Air et le Commissaire à la Marine fixent les modalités d'application du présent article. » Dans un but de simplification, il a paru plus expédient de préciser par voie de circulaire les règles à observer pour l'application de l'article 13 sus-cité. Tel est l'objet
Comité français de la Libération nationale : Le Commissaire aux Finances, Pierre MENDÈS-FRANCE. INSTRUCTION GÉNÉRALE sur le régime de l’indemnité différentielle en faveur du personnel e administrations et services de l’Etat en temps de guerre. Sommaire L'article 13 de l'ordonnance du 8 janvier 1944, rtant fixation du budget du Comité français de la Libération nationale de l'exercice 1944 annule et remplace les articles 4 et 5 du décret-loi du 1er septembre 1939, fixant la situation des personnels des administrations de l’Etat en temps de grr. Les articles 4 et 5 nouveaux disposent : « Article 4 : « Les fonctionnaires t employés cvls titulaires des administrations, services ou issemt, visés à l'article premier du présent décret qui ont satisfait aux obligations des lois sur recrutement et sur l'inscription maritime en ce qui concerne l temps de service f,aict reçoivent, lorsque dans le cas visé à l'article premier du présent décret ils sont rappelés ou maintenus sous les drapeaux, la irnnéuroémat militaire attachée leur grade dans l'armée. « Toutefois, lorsque cette rémunération est inférieure au traitement civil dont les intéressés bénéficiaient dans leu administration au moment où ils ont été pplés u rappelés sous les drapeaux, l leur est accordé par lr administration dorigine une indemnité égale à la différence entre le total de leur rémunération civile et le total de leur rémunération militaire. » « Article 5 : « Les dispositions d l'article précédent sont applicables aux personnels auxiliaires appelés ou rappelés sous les areuapdx et qui ppene à une adintto de 'Etat depuis six mois au moins moment de leur mobilisation. Elles ne s'appliquent pas aux personnels liés à l'administration dans les conditions du droit commun. » L'article 13 dont l s'agit, précise en fnl que ds arrêtés contresignés par le Commissaire aux Fnncs, le Commissaire à la Guerre et à l'Air et le Commissaire à la Marine fixent les modalités d'application du présent article. » Dans un but de simplification, i a paru plus expédient de préciser par voie de circulaire les règles à observer pr l'application de l'article 13 ss-cté. Tel est l'objet
accordé par leur administration d'origine une indemnité égale à la différence entre le total de leur rémunération civile et le total de leur rémunération militaire. » « Article 5 : « Les dispositions de l'article précédent sont applicables aux personnels auxiliaires appelés ou rappelés sous les drapeaux et qui appartiennent à une administration de l'Etat depuis six mois au moins au moment de leur mobilisation. Elles ne s'appliquent pas aux personnels liés à l'administration dans les conditions du droit commun. » L'article 13 dont il s'agit, précise en finale que « des arrêtés contresignés par le Commissaire aux Finances, le Commissaire à la Guerre et à l'Air et le Commissaire à la Marine fixent les modalités d'application du présent article. » Dans un but de simplification, il a paru plus expédient de préciser par voie de circulaire les règles à observer pour l'application de l'article 13 sus-cité. Tel est l'objet de la présente instruction. TITRE PREMIER LES BÉNÉFICIAIRES 1. Les titulaires. Les dispositions de l'article 4, paragraphe premier, sont applicables à l'ensemble des fonctionnaires et agents titulaires des administrations visées à l'article premier du décret du 1er septembre 1939 à partir du moment où, ayant satisfait à leurs obligations militaires en ce qui concerne le temps de service actif, ils ont été à la mobilisation, rappelés ou maintenus sous les drapeaux. 2. Personnels auxiliaires. L'article 5 étend le bénéfice des dispositions de l'article précédent aux personnels auxiliaires appelés ou rappelés sous les drapeaux, mais à la condition formelle, qu'immédiatement avant leur mobilisation, ils aient servi six mois continus au moins dans une administration de l'Etat. TITRE II LES PRINCIPES DE LA NOUVELLE RÉGLEMENTATION Les nouvelles dispositions de l'article 13 de l'ordonnance du 8 janvier 1944 apportent une modification essentielle à la réglementation antérieure. Les masses qui doivent être prises pour bases de comparaison de la situation du fonctionnaire avant et après son appel sous les drapeaux ne sont plus constituées par un certain nombre d'éléments de la rémunération civile ou militaire de l'intéressé mais dans les deux cas par la plupart des éléments constitutifs de cette rémunération et notamment des
accordé par eu administration 'origine une indemnité galeé à la différence entre le totl de leur rémunération civile et le total de leur rémunération militaire. » « Article 5 « Ls dispositions de l'rtcl précédent snt applicables aux personnels auxiliaires appelés ou rappelés sous les drapeaux et qui appartiennent à une amnisttion de l'Etat depuis six mois au moins au mnmteo de leur mobilisation. Elles ne s'appliquent pas aux personnels liés l'administration dans ls conditions du droit commun atie 13 dont il s'gt, précise e finale que des arrêtés contresignés par le Cmmssr aux Fnncs, le Commissaire à la Guerre et à 'Air et le Commissaire à la Mie fixent les modalités dapliaio du présent article. » Dans un but de pn,iiitflmsaioc il a paru plus xpédnt de préciser par voie de circulaire les règles à observer pour l'application de 'ricl 13 sus-cité. Te est olbjet' d la présente instruction. TITRE PRMR S BÉNÉFICIAIRES 1. Les titulaires. Les dispositions d larticle 4, aarhe premier, sont applicables à l'ensemble des fonctionnaires et agents titulaires des administrations ss à larticle eepmrir du décret du septembre 1939 partir du moment ù ayant satisfait à leurs obligations mltrs en ce qui ncnecero le temps de service actif, ils ont été à la mobilisation, rpplés u mntns sous les drpx. 2. Personnels auxiliaires. L'article 5 d le bénéfice ds spsitin de l'article récént x prsnnls xlrs appelés ou rappelés sous les drapeaux mais à la condition formelle, méimanmdteqti'eu avant lr isaon lsi aient ivsre six mois continus au moins dns une administration de lEtat TITRE II LES PRINCIPES DE LA NOUVELLE RÉGLEMENTATION Les nouel dispositions de l'rtil 13 de l'ordonnance du 8 janvier 1944 apportent une modification ti à la réglementation antérieure. eLs masses qui doivent ête prises pour bases de comparaison de la itato du fonctionnaire avant et après sn appel sos les rpeu ne snt plus constituées par un certain nombre élm d la rémunération civile ou militaire d l'intéressé mais dans esl eux cas par la plupart des éléments constitutifs de cette rémunération et noet des
en ce qui concerne le temps de service actif, ils ont été à la mobilisation, rappelés ou maintenus sous les drapeaux. 2. Personnels auxiliaires. L'article 5 étend le bénéfice des dispositions de l'article précédent aux personnels auxiliaires appelés ou rappelés sous les drapeaux, mais à la condition formelle, qu'immédiatement avant leur mobilisation, ils aient servi six mois continus au moins dans une administration de l'Etat. TITRE II LES PRINCIPES DE LA NOUVELLE RÉGLEMENTATION Les nouvelles dispositions de l'article 13 de l'ordonnance du 8 janvier 1944 apportent une modification essentielle à la réglementation antérieure. Les masses qui doivent être prises pour bases de comparaison de la situation du fonctionnaire avant et après son appel sous les drapeaux ne sont plus constituées par un certain nombre d'éléments de la rémunération civile ou militaire de l'intéressé mais dans les deux cas par la plupart des éléments constitutifs de cette rémunération et notamment des avantages familiaux. Spécialement du fait de l'abrogation du troisième alinéa de l'article 4 du décret du 1er septembre 1939, il résulte que les masses à comparer doivent comprendre les sommes allouées à titre d'indemnités à caractère familial et résidentiel tant par l'administration civile d'origine que par l'armée. Par suite les principes directeurs de la réglementation relative à la situation des fonctionnaires et agents mobilisés sont désormais les suivants : 1° Le fonctionnaire ou agent mobilisé ne doit pas percevoir une rémunération totale inférieure à la rémunération civile qui lui était allouée avant son appel sous les drapeaux. Cependant étant donné le jeu des avancements et les mesures d'ordre général relatives aux traitements et allocations accessoires, il est bien évident que la cristallisation de la situation administrative des intéressés au moment de leur rappel sous les drapeaux, ne doit pas faire obstacle à l'entrée en ligne de compte dans la rémunération civile, du traitement net attaché au nouveau grade ou à la nouvelle classe de ces fonctionnaires, ainsi que des améliorations à caractère général des éléments des traitements et allocations formant la rémunération civile; 2° Le fonctionnaire ou agent mobilisé doit recevoir de l'année l'intégralité de la rémunération militaire attachée à
en ce qui cncrn le temps de service actif, ils nt été à la moiti, rappelés ou maintenus sous les drpx. 2. Personnels axiiis rLcei'lat étend le bénéfice des sposins de l'article précédnt aux prnes auxiliaires appelés rappelés sous les drapeaux, mais à la condition ome q'mmédtmnt avant leur mobilisation, ils aient servi six soim continus a moins dans une administration de l'Etat. TITRE II LS PRINCIPES DE LA NOUVELLE RÉGLEMENTATION Les nouvelles dispositions de l'article 13 de l'ordonnance du 8 janvier 1944 apportent une modification essentielle à la réglementation antérieure. Les masses qui doivent être prises pour bases de comparaison de l situation du fonctionnaire avant et après son appel sous les drapeaux ne sont plus ctoseétsuin par un certain nombre d'éléments de la rémunération civile ou militaire de rseési'ltén masi dans les deux cas par la plupart des éléments constitutifs de cette rémunération et notamment des avantages familiaux. Spécialement du fait de l'abrogation d troisième élaina de larticle 4 du décret du 1er te 1939, il réslt que les masses à oprarcme doivent comprendre les sommes allouées à titre d'indemnités à caractère familial et résidentiel tant par 'insat civile d'origine que par l'armée. Par suite les principes directeurs de la réglementation relative à la stuain des fnctnnrs et gnts mobilisés snt désormais les suivants : 1° eL fonctionnaire ou agent mobii ne doit pa percevoir une rémunération tl inférieure la rémunération civile iuq lui était allouée avant son appel sous les drapeaux. Cependant étant donné le jeu des avancements et sle mesures d'ordre général relatives aux traitements et allocations accessoires, il est bn évident que la cristallisation de la situation administrative des inrsés au ont de lr rappel sou e reu ne doit pas faire obstacle à l'entrée en ligne d compte dans la rémunération civile, du traitement net attaché au nouveau grade ou à la nouvelle classe de ces fnctnnrs, ainsi que des améliorations à crèctraae général des éléments des traitements et allocations formant la rémunération civile; 2° Le fonctionnaire ou agent mobilisé doit voeericr d l'année l'ntégrlté de la rémunération militaire acethtéa à
principes directeurs de la réglementation relative à la situation des fonctionnaires et agents mobilisés sont désormais les suivants : 1° Le fonctionnaire ou agent mobilisé ne doit pas percevoir une rémunération totale inférieure à la rémunération civile qui lui était allouée avant son appel sous les drapeaux. Cependant étant donné le jeu des avancements et les mesures d'ordre général relatives aux traitements et allocations accessoires, il est bien évident que la cristallisation de la situation administrative des intéressés au moment de leur rappel sous les drapeaux, ne doit pas faire obstacle à l'entrée en ligne de compte dans la rémunération civile, du traitement net attaché au nouveau grade ou à la nouvelle classe de ces fonctionnaires, ainsi que des améliorations à caractère général des éléments des traitements et allocations formant la rémunération civile; 2° Le fonctionnaire ou agent mobilisé doit recevoir de l'année l'intégralité de la rémunération militaire attachée à son grade, c'est-à-dire non seulement la solde et la majoration de solde, mais encore toutes les indemnités de toute nature, comme la prime d'entretien, l'indemnité compensatrice de frais extérieurs à la garnison et les indemnités à caractère familial; 3° Lorsque la rémunération brute reçue de l'armée est inférieure à la rémunération brute civile, le fonctionnaire ou agent mobilisé a droit, à la charge de son administration d'origine, à une indemnité égale à la différence entre le total de la rémunération civile et le total de la rémunération militaire. Par « rémunération », il faut entendre le salaire du service rendu par le fonctionnaire ou le militaire. Ne doivent pas être considérés comme éléments de la « rémunération » les sommes allouées à titre de remboursement de frais occasionnés par l'exercice de leur fonction, ni les éléments de la rémunération qui constituent la contre-démarche de risques spéciaux (indemnité de responsabilité, de caisse, etc.). C'est en fonction de ces principes qu'ont été déterminés les éléments à retenir pour la fixation des « rémunérations » civile et militaire. A. Rémunération civile. 1. — La « rémunération civile » au sens du deuxième alinéa de l'article 4 nouveau doit comprendre les éléments suivants :
principes directeurs de la réglementation relative la situation des fonctionnaires et agents mobilisés sont désormais les suivants : 1° Le nntciefoonair ou agent mobilisé ne doit ps percevoir une rémunération ttl inférieure à la rémunération civile qu l était allouée avant n appel sous ls drapeaux. Cependant étant donné le jeu des avancements e les mesures d'ordre énéa rltvs aux traitements t allocations accessoires, il est bien dénievt que a cristallisation e l situation misttv des intéressés au moment ed leur epalrp sous les drapeaux ne dt pas iefra obstacle à le en ligne de compte dans l rémunération civile, du traitement net attaché au nouveau grade ou à la nouvelle classe de ces fonire ainsi q des améliorations à aratèe général ds éléments des trtmnts et loos formant la rémunération civile; 2° nni ou agent obilié doit recevoir de 'année l'intégralité de l rémunération militaire attachée à sn grade, non seulement la solde et la majoration de sld, mais ncr tts les emnits de toute nature, me la prime netre'tiden, l'indemnité compensatrice frais extérieurs à la gri et les indemnités à caractère familial; 3° Lorsque la rémunération brute reçue de l'armée est inférieure à la rémunération brute civile, le fnctnnr ou agent mobilisé a droit, à charge d son administration d'origine, à une indemnité égale à la différence entre le total de la rémunération civile et le total de la rémunération i.maelriit Par « rémunération », il ft entendre le salaire du service rendu par le fonctionnaire ou le militaire. Ne dvnt pas être considérés comme éléments de la « rémnértn » les omssme oéuallse à titre de remboursement de frais occasionnés pr 'eerc de leur fnctn, ni les éléments de la rémunération qui constituent al contre-démarche de risques spéciaux (indemnité d responsabilité, css, etc.). 'est en fonction de es principes qu'ont été dmin les éléments à retenir pour la fixation d « rémunérations » civile e militaire. A. éto civile. 1. — L « rémunération civile au sens du deuxième alinéa d l'article 4 nouveau doit comprendre les éléments suivants :
rémunération brute civile, le fonctionnaire ou agent mobilisé a droit, à la charge de son administration d'origine, à une indemnité égale à la différence entre le total de la rémunération civile et le total de la rémunération militaire. Par « rémunération », il faut entendre le salaire du service rendu par le fonctionnaire ou le militaire. Ne doivent pas être considérés comme éléments de la « rémunération » les sommes allouées à titre de remboursement de frais occasionnés par l'exercice de leur fonction, ni les éléments de la rémunération qui constituent la contre-démarche de risques spéciaux (indemnité de responsabilité, de caisse, etc.). C'est en fonction de ces principes qu'ont été déterminés les éléments à retenir pour la fixation des « rémunérations » civile et militaire. A. Rémunération civile. 1. — La « rémunération civile » au sens du deuxième alinéa de l'article 4 nouveau doit comprendre les éléments suivants : Traitement net ; Supplément provisoire de traitement; Indemnité complémentaire de traitement; Le cas échéant, majoration à caractère colonial du traitement et du supplément de traitement; Indemnités de fonction (quelle que soit la forme qu'elles prennent dès lors qu'elles constituent un complément permanent de traitement); Indemnités de détention (des); Indemnités de résidence ou de zone; Remises soumises à retenue pour pension; Majoration spéciale du quart du traitement colonial attribué aux agents des Douanes leur tenant lieu de remises. Il — Constituent un complément de rémunération et, à partir de lors qu'ils doivent entrer en ligne de compte pour la détermination de la rémunération globale : Les indemnités résidentielles à caractère familial et les allocations. rôle pour charges de famille au sens le plus large du terme; Les indemnités de logement et les majorations de ces indemnités là où elles existent. III. — Ne doivent pas figurer dans les éléments servant à l'établissement de la rémunération civile globale les indemnités représentatives de frais réellement exposés par les intéressés à l'occasion de l'exercice de leurs fonctions et dont le bénéfice ne peut être maintenu aux fonctionnaires lorsqu'ils sont à la mobilisation, rappelés ou maintenus sous les drapeaux; Frais de tournée; Frais de bureau;
rémunération brute civile, e fonctionnaire ou agent mobilisé a droit, à la charge de son administration rne à une indemnité égale à la différence entre le total de la urténrmanéoi civile t le total de la rémunération militaire. r « rémunération », il faut entendre le salaire du service rendu pr le fonctionnaire ou l militaire. Ne doivent p être considérés comme éléments e la « munation » les sommes allouées à titre de remboursement de frais occasionnés par l'xrcc de leur fonction, ni les éléments de la rémunération qui constituent l contre-démarche de risques spéciax (ndmnté de responsabilité, de caisse, etc.). C'est e fonction d ces principes q'nt été tns les éléments à rtnr pour la fixation des rémunérations civile et litre A. Rémunération civile. 1. — La « rémnértn civile » sens du deuxième alinéa de larticle 4 nouveau doit comprendre les éléments suivants : Traitement net ; Supplément provisoire de traitement; Indemnité complémentaire e traitement; Le cas échént, majoration à caractère colonial d traitement et du supplément de temen; ndnts ed fonction uell que so la forme qu'elles prennent dès lors qu'elles constituent un complément rn e trtmnt); Indemnités de détention des Indemnités de résdnc ou d zn; Remises soumises à retenue pr pnsn; Maoi spéciale du quart du traitement colonial attribué au agents des Douanes lr tenant lieu de remises. Il — Consiun un complément ed runér t, à partir de lors qu'ils vindtoe ene en ligne de compte pour la détermination de la rémnértn elogbla : Les indemnités résidentielles à caractère familial et les allocations. r roup charges de famille au sens le pls large du terme Les indemnités de logement t es majorations d ces indemnités là où elles existent. III — N doivent pas figurer dans ls éléments servant à l'étblssmnt de la rémunération civile globale les indemnités représentatives de frais réellement exposés par les intéressés à l'occasion de l'exercice de leurs fonctions t dt le bénéfice ne pet êr ueanintm x fonctionnaires lorsqu'ils sont à la mobilisation, rappelés ou maintenus sous les drapeaux; Frais e tournée; Frais de be;rauu
résidence ou de zone; Remises soumises à retenue pour pension; Majoration spéciale du quart du traitement colonial attribué aux agents des Douanes leur tenant lieu de remises. Il — Constituent un complément de rémunération et, à partir de lors qu'ils doivent entrer en ligne de compte pour la détermination de la rémunération globale : Les indemnités résidentielles à caractère familial et les allocations. rôle pour charges de famille au sens le plus large du terme; Les indemnités de logement et les majorations de ces indemnités là où elles existent. III. — Ne doivent pas figurer dans les éléments servant à l'établissement de la rémunération civile globale les indemnités représentatives de frais réellement exposés par les intéressés à l'occasion de l'exercice de leurs fonctions et dont le bénéfice ne peut être maintenu aux fonctionnaires lorsqu'ils sont à la mobilisation, rappelés ou maintenus sous les drapeaux; Frais de tournée; Frais de bureau; Frais de chauffage; Frais de monture; Frais de voiture automobile; Frais de représentation; Indemnité de caisse. IV. — Ne doivent pas figurer dans les éléments servant à l'établissement de la rémunération civile et dont le bénéfice doit être maintenu aux fonctionnaires lorsqu'ils sont à la mobilisation, rappelés ou maintenus sous les drapeaux: Indemnité pour travaux extraordinaires (spéciale à la métropole et à l’Afrique du nord); Parts sur fonds communs (spéciales à la métropole et à l’Afrique du Nord). B. — Rémunération militaire. Le principe essentiel, celui dont la mise en vigueur a motivé la mesure réalisée par l’article 13 de l’ordonnance du 8 janvier 1944, est que les allocations à caractère familial doivent entrer en ligne de compte pour la détermination de la rémunération globale militaire des fonctionnaires et agents mobilisés et partant, le cas échéant, pour le calcul de l’indemnité différentielle. 1° Situation des fonctionnaires et agents mobilisés en Afrique du Nord et dans les colonies: Les allocations de solde comprennent, en Afrique du Nord: La solde de base dans laquelle est intégré le supplément provisoire; Les majorations de solde; La prime d’entretien sur laquelle est effectuée une retenue forfaitaire pour le logement gratuit des officiers; L'indemnité compensatrice de
résidence ou de zone Rmss soumises retenue pour pension; oMjiaaontr spécl du quart du traitement colonial attribué aux gnsate des Douanes er tenant lieu de remises. Il — Constituent un complément de rémunération et, à a de lors qu'ils doivent entrer en ligne de compte pour l détminat de l rémunération globale : Ls indemnités résidentielles à caractère familial et es allocations. rôl pr charges ed famille au sns le lus large d terme; Les indemnités de logement et les majorations de ces indemnités là où elles existent. III — Ne doivent ps figurer dans les éléments servant létablissement de l rémunération civile globale els indemnités représentatives de frais réellement exposés par les intéressés à l'occasion de l'xrcc de leurs fncti et dont le bénéfice ne peut être maintenu aux fonctionnaires lorsqu'ils sont à la mobilisation, rappelés ou maintenus sous les drapeaux; Frais de tournée; Frais de bureau; Frais de hauffg Frs de monture Frais de voitu tmbl; Fas de représentation; Indemnité de caisse. IV. — Ne doivent pas figurer dans les éléments servant à l'établissement de la rémunération civile et dnt le bénéfice doit être maintenu aux fnctnnrs lorsqu'ils sont à la mobilisation rappelés maintenus sous les drapeaux: Indemnité pour travaux extraordinaires (spéciale à la métropole t à l’Afrique u nord); Parts sur n communs (spécls à la métropole et à l’frq du Nord B. — Rémunération .realtiimi Le principe essentiel, celui dont la mise vigueur a tiovmé la mesure réalisée par t 1 de l’ordonnance du 8 janvier 1944, est ue les allocations à arat familial doivent entrer ligne de compte pour l détermination de la rémunération globale militaire des fonctionnaires t agents lmsébosii et ta,nptar le cas an,cthéé pour le calcul de l’indemnité différentielle. 1° tio des fonctionnaires et agents mobilisés en Afrique du Nrd et dans les colonies: Les allocations de soe comprennent, en frq du Nord: La solde e base dans laquelle est it le supplément provisoire; Les majorations de solde La prime d’entretien sur laquelle est effectuée n retenue rfair pour le lgmnt gratuit des officiers; L'indemnité compensatrice de
les drapeaux: Indemnité pour travaux extraordinaires (spéciale à la métropole et à l’Afrique du nord); Parts sur fonds communs (spéciales à la métropole et à l’Afrique du Nord). B. — Rémunération militaire. Le principe essentiel, celui dont la mise en vigueur a motivé la mesure réalisée par l’article 13 de l’ordonnance du 8 janvier 1944, est que les allocations à caractère familial doivent entrer en ligne de compte pour la détermination de la rémunération globale militaire des fonctionnaires et agents mobilisés et partant, le cas échéant, pour le calcul de l’indemnité différentielle. 1° Situation des fonctionnaires et agents mobilisés en Afrique du Nord et dans les colonies: Les allocations de solde comprennent, en Afrique du Nord: La solde de base dans laquelle est intégré le supplément provisoire; Les majorations de solde; La prime d’entretien sur laquelle est effectuée une retenue forfaitaire pour le logement gratuit des officiers; L'indemnité compensatrice de frais à l'extérieur de la garnison qui se substitue aux indemnités de déplacement: Les allocations de soldes militaires comprennent, dans les colonies, les mêmes éléments que ci-dessus ou des éléments de nature comparable. Doivent être retenus dans le chiffre de la rémunération militaire, à comparer à celle de la rémunération civile des fonctionnaires ou agents, appartenant à des administrations nord-africaines, coloniales ou métropolitaines, la solde de base et la majoration de solde ainsi que la prime d’entretien ou l’indemnité de zone spéciale aux militaires. Reste par contre en dehors des éléments à comparer l’indemnité compensatrice de frais à l'extérieur de la garnison qui remplace les indemnités de déplacement dans les territoires où celles-ci sont actuellement supprimées. Toutefois, cette indemnité doit être incluse dans la masse de la rémunération militaire à comparer, lorsque les fonctionnaires mobilisés exercent leur activité auprès d’une administration civile au lieu même de leur résidence habituelle, 2° Situation des fonctionnaires mobilisés recevant les soldes au taux « en opération ». Il y a lieu de prendre en considération les mêmes éléments que ci-dessus. 3° Situation des fonctionnaires mobilisés et servant dans les missions à l'étranger. Il convient de retenir la solde militaire du fonctionnaire mobilisé servant dans
les drapeaux: Indemnité pour trvx extraordinaires (spéciale à la métropole et à lf du nrd); Parts sur fonds communs (spéciales à la métropole et à l’Afrique du Nrd). B. — Rémunération mltr. Le principe ssntl, celui dont la mise en vigueur a motivé la mesure réalisée par lric 13 de l’ordonnance du 8 janvier 1944, est que les allocations à caractère mlailaif doivent ere en ligne de compte pour la détermination de la rémunération glle irmieliat des fonctionnaires et agents mobilisés et partant, l cas éhn pour l calcul de l’indemnité différentielle. 1° Situation des fntionares et agents mobilisés en Afrique u Nord et dans les colonies: Les allocations d solde oneertncpnm, en Afrique du Nord: La ol de base dans laquelle est intégré le supplément provisoire; Les majorations d solde; La prim d’entretien sur laquelle est effectuée une retenue forfaitaire pour le logement gratuit esd officiers; indmnit comnsatice d frais à ér de la garnison qui se substitue aux indemnités de déplacement: Les allocations de soldes ilar comprennent, dans les colonies, les mêmes éléments que ci-dessus s éestlmén de nature comparable. Doivent ê retenus dans le hffe de l rémunération militaire, à comparer à celle de la rémunération civile des fonctionnaires u agents, appartenant à ds administrations nrd-frcns, coloniales ou métropolitaines, la sole de base et la majoration de edosl ainsi que la prm d’entretien uo l’indemnité de zone spéciale aux iiie. Reste par contre en dehors des éléments comparer l’indemnité compensatrice de frais à 'xtreur de a garnison qui remplace ls indemnités d déplacement dans les territoires où c- sont actuellement supprimées. Toutefois, tt indemnité dt être incluse dans la masse ed la rémunération aie à comparer lorsque s fonctionnaires mobilisés exercent leur activité auprès d’une administration civile au lieu même de leur résidence habituelle, 2° Situation des fonctionnaires mobilisés recevant sle soldes au taux « en opération ». Il lieu de prendre en considération les mêmes élts que ci-dessus. 3° Situation des fonctionnaires mobilisés t servant dans ls missions à l'étrngr. Il convient de retenir la solde militaire du fonctionnaire mobilisé servant dans
civile des fonctionnaires ou agents, appartenant à des administrations nord-africaines, coloniales ou métropolitaines, la solde de base et la majoration de solde ainsi que la prime d’entretien ou l’indemnité de zone spéciale aux militaires. Reste par contre en dehors des éléments à comparer l’indemnité compensatrice de frais à l'extérieur de la garnison qui remplace les indemnités de déplacement dans les territoires où celles-ci sont actuellement supprimées. Toutefois, cette indemnité doit être incluse dans la masse de la rémunération militaire à comparer, lorsque les fonctionnaires mobilisés exercent leur activité auprès d’une administration civile au lieu même de leur résidence habituelle, 2° Situation des fonctionnaires mobilisés recevant les soldes au taux « en opération ». Il y a lieu de prendre en considération les mêmes éléments que ci-dessus. 3° Situation des fonctionnaires mobilisés et servant dans les missions à l'étranger. Il convient de retenir la solde militaire du fonctionnaire mobilisé servant dans cette position, à l’exception des indemnités détaillées au paragraphe 4 ci-dessous. 4° Indemnités qui ne doivent pas entrer en ligne de compte dans la masse de la rémunération militaire. Indemnités de frais de représentation: Indemnité de première mise d'équipement; Indemnité de départ en campagne; Indemnité de départ colonial; Indemnités pour frais de service; Indemnités pour perte d'effets; Indemnités de responsabilité des gestionnaires; Gratifications (dans la marine); Prime de langue arabe et de dialecte berbère; Indemnité compensatrice de frais à l'extérieur de la garnison (sauf cas signalé au paragraphe premier ci-dessus in fine). 5° Indemnités qu’il convient d'inclure dans la masse de la rémunération militaire. Allocation unique pour la famille; Indemnité de fonction (dès lors qu'elle constitue un complément permanent de traitement); Indemnité de logement; Indemnité et primes spéciales aux territoires sahariens; Indemnités spéciales à l'armée de l'air; Indemnité spéciale allouée à la gendarmerie, à la garde et à la gendarmerie maritime (d'anciens gendarmes ou gardes titulaires d'emplois réservés ont été reversés dans des unités à la mobilisation). TITRE III DISPOSITIONS PARTICULIÈRES A. — Liquidation, ordonnancement, paiement de l'indemnité différentielle. L’autorité militaire étant seule en mesure de faire connaître exactement le montant et la nature de la solde et des accessoires
civile des fnctnnrs ou agents, eprtnataanp à des administrations nord-africaines, coloniales ou métropolitaines, la solde de base et la majoration de solde ainsi que l pime dentretien ou l’indemnité de zone spéciale aux militaires. Reste par cntr en dehors des éléments à comparer ’indemnité compensatrice de frais à l'extérieur de la garnison qui remplace les ndmntés de déplacement dans les territoires où celles-ci sont actuellement supprimées. Toutefois, cette indemnité doit être incluse dans la masse de la rémunération militaire à comparer, lorsque les fonctionnaires mobilisés exercent leur activité auprès d’une dmnstrtn civile au lieu mêm ler résidence habituelle, Situation des fonctionnaires mobilisés recevant les lde au taux « en opération ». Il y lieu de prendre n cnsdértn sle mêmes éléments que ci-dessus. ° Situation des fonctionnaires iiss et servant dans les missions à létranger Il convient d retenir la solde militaire du tini mobilisé servant dans cte position, à l’exception des indemnités lées au paragraphe 4 ci-dessous. 4° Indemnités qui ne doivent ps entrer en de compte dans la masse de la rémunération militaire. Indemnités d frais de représentation: Indemnité de première mise d'équipement; tmendiIné de départ n campagne ndit de départ colonial; dnits pour frais de service; emié pour perte d'effets; Indemnités de pnotilisesérab e gestionnaires; Gratifications (dans la marine); Prm d langue arabe t de dialecte berbère; Indemnité compensatrice de frais à l'extérieur ed la garnison (afus cas signalé au prgrph premier cidessus in fine). 5° Indemnités qu’il convient d'inclure ndas l masse de la rémunération militaire. Allocation unique pour la famille; ntIemdéni de fncion (dès lors qu'elle uecinstto un cmplémnt permanent de traitement Indemnité logement; Indemnité et primes spéciales aux territoires sahariens; Indemnités spéciales à l'rmé de l'air; Indemnité spéciale allouée à la gendarmerie, à la adegr et à la gendarmerie mrtm (d'ni gendarmes ou gardes titulaires d'emplos réservés not été reversés dans des unités à la tb.si)mooilnia TITRE III ISPSTI PARTICULIÈRES . — Liquidation, tnre,dcononmena paiement de l'indemnité différentielle L’autorité militaire étant sele en mesure de iaref connaître exactement le montant et la nature de la solde et des accessoires
frais de service; Indemnités pour perte d'effets; Indemnités de responsabilité des gestionnaires; Gratifications (dans la marine); Prime de langue arabe et de dialecte berbère; Indemnité compensatrice de frais à l'extérieur de la garnison (sauf cas signalé au paragraphe premier ci-dessus in fine). 5° Indemnités qu’il convient d'inclure dans la masse de la rémunération militaire. Allocation unique pour la famille; Indemnité de fonction (dès lors qu'elle constitue un complément permanent de traitement); Indemnité de logement; Indemnité et primes spéciales aux territoires sahariens; Indemnités spéciales à l'armée de l'air; Indemnité spéciale allouée à la gendarmerie, à la garde et à la gendarmerie maritime (d'anciens gendarmes ou gardes titulaires d'emplois réservés ont été reversés dans des unités à la mobilisation). TITRE III DISPOSITIONS PARTICULIÈRES A. — Liquidation, ordonnancement, paiement de l'indemnité différentielle. L’autorité militaire étant seule en mesure de faire connaître exactement le montant et la nature de la solde et des accessoires perçus par les fonctionnaires mobilisés, tout agent sous les drapeaux, quelle que soit sa situation militaire, doit souscrire immédiatement sur papier libre, soit une délégation, soit, s’il n’entend pas déléguer tout ou partie de son traitement, une simple déclaration qu’il adresse directement à l’administration dont il relève, après l’avoir fait compléter par le chef de corps ou l’intendant militaire ordonnateur de la solde. Cette délégation ou déclaration sera établie dans la forme des modèles 1 et 2 annexés à la présente circulaire. Lorsque, compte tenu des éléments ci-dessus, la « rémunération » civile est supérieure à la « rémunération » militaire, l'ordonnateur mande l’indemnité différentielle. Pour justifier l’ordonnancement, l'ordonnateur établit un décompte comportant, avec l’indication de la fonction de l’intéressé et de son grade militaire : 1° La « rémunération » civile telle qu’elle est définie au paragraphe alinéa 1er et 2 du titre II; 2° La « rémunération » militaire déterminée en partant des éléments énumérés au paragraphe B, alinéas 1er et 5 du titre II; 3° Le montant de l’indemnité différentielle. À l'appui de l’ordonnance et du mandat, l'ordonnateur produit en outre, suivant les cas, une copie certifiée de la délégation (modèle n° 1) ou de la déclaration
frais d service; Indemnités pour perte d'effets; Indemnités de responsabilité des gestionnaires; Grtfctns (dans la marine); Prime de langue arabe et de dialecte berbère; Indemnité compensatrice de frais à l'extérieur de la garnison (sauf cas signalé au prgrph premier ci-dessus in fine). 5° Indemnités qu’il convient d'inclure dans la masse de la rémunération militaire. Allocation unique pour la famille; Indemnité de fonction (dès lors qu'elle constitue un complément permanent de traitement); Indemnité de logement; Indemnité et prms spéciales aux territoires sahariens; Indemnités spéciales à l'armée de l'ir Indemnité spéciale allouée à l gendarmerie, à la garde et à la gendarmerie maritime (d'anciens gndms ou grds titulaires d'emplois réservés ont téé reversés dans des unités à la mobilisation). TIR III DISPOSITIONS PARTICULIÈRES A. — Liquidation, ordonnancement, paiment de l'indemnité différentielle. ’autorité militaire étant seule en mesure de faire connaître exactement le montant et la nature de la solde et des accessoires perçus par les fonctionnaires mobilisés, tout agent sous ls drapeaux, que soit sa situation militaire, doit souscrire immédiatement sur papier libre, o une délégation, soit, s’il n’entend pas déléguer tout ou prt de son traitement, une smpl déclaration qu’il adresse directement à l’administration dont il relève, après l’avoir fait compléter par le chef de corps ou l’intendant ilti ordonnateur de la solde. Cette délégation ou aatio sera établie dans la forme des modèles 1 et 2 annexés à la présente circulaire Lorsque, compte tenu dse éléments ci-dessus, la « rémunération » civile est supérieure à la « rémunération » militaire, l'ordonnateur mande l’indemnité différentielle. Pour justifier l’ordonnancement, l'ordonnateur établit un décompte comportant, avec l’indication de la fonction de l’intéressé et de son grade mitr : 1° La « rémunération » civile te qu’elle est définie au paragraphe alinéa 1er et 2 du titre II; 2° La « rémunération » militaire déterminée en partant des éléments énumérés au paragraphe B, alinéas 1er et 5 du titre II 3° Le montant de l’indemnité différentielle. À l'appui de l’ordonnance et du mandat, l'ordonnateur produit en outre, suivant les cas une copie certifiée de la alitdégoné (modèle ° 1) ou de la déclaration
compléter par le chef de corps ou l’intendant militaire ordonnateur de la solde. Cette délégation ou déclaration sera établie dans la forme des modèles 1 et 2 annexés à la présente circulaire. Lorsque, compte tenu des éléments ci-dessus, la « rémunération » civile est supérieure à la « rémunération » militaire, l'ordonnateur mande l’indemnité différentielle. Pour justifier l’ordonnancement, l'ordonnateur établit un décompte comportant, avec l’indication de la fonction de l’intéressé et de son grade militaire : 1° La « rémunération » civile telle qu’elle est définie au paragraphe alinéa 1er et 2 du titre II; 2° La « rémunération » militaire déterminée en partant des éléments énumérés au paragraphe B, alinéas 1er et 5 du titre II; 3° Le montant de l’indemnité différentielle. À l'appui de l’ordonnance et du mandat, l'ordonnateur produit en outre, suivant les cas, une copie certifiée de la délégation (modèle n° 1) ou de la déclaration (modèle no 2). Le paiement de l'indemnité différentielle a lieu au moyen de bons de caisse individuels (mandats délivrés par les ordonnateurs) si son montant est inférieur à 4.000 francs, par virement au cas contraire. Toutefois, conformément aux dispositions de l’article 21, paragraphe 2, de l’ordonnance du 8 janvier 1944, cette règle ne s’applique pas aux indemnités différentielles payées aux troupes en opérations hors de l’Afrique du Nord ou stationnées dans les territoires où le défaut d’organisations bancaires rendrait ces règles difficilement applicables. D'autre part, il paraît nécessaire de rappeler à cette occasion qu'aux termes du règlement du 26 décembre 1866 (dispositions générales, article 19), au cas d'éloignement de sa résidence, tout fonctionnaire peut, par simple lettre dispensée de timbre, donner pouvoir à un tiers de toucher les émoluments lui revenant. Par conséquent, les bons de caisse établis au nom de fonctionnaires mobilisés pourront être payés à des tiers porteurs d'une telle autorisation, même en l'absence de délégation. Le porteur du bon de caisse devra, toutefois, justifier de son identité. B. Modifications survenues dans la situation des fonctionnaires mobilisés. En vue d'assurer l'ordonnancement régulier de l'indemnité différentielle l'autorité militaire notifiera aux administrations intéressées les modifications intervenues par suite de changement
compléter par le chef d corps ou ’tnda militaire ordonnateur de la solde. Cette délégation ou déclaration sera établie dans la frm des modèles 1 et 2 annexés à la présente clair. Lorsque, compte tenu des élémnts ci-dessus, la « rémunération civile est supérieure à la rémunération » militaire, l'ordonnateur mande l’indemnité différentielle. Pour ejriiftus ’ordonnancement, l'ordonnateur établit n décompte cooran, avec l’indication de la fonction de l’ntérssé t de son grade militaire : 1° La rémunération » civile tll q’e est dfinéie paragraphe alinéa 1er et 2 titre II; 2° La rémunération ilmaiiret déterminée en partant des éléments énumérés au paragraphe B, alinéas 1er et 5 ud titre II; 3° Le montant de l’indemnité différentielle. À l'appui ’ordonnance et du mandat ntolrenaour'd produit en or suivant les cas, une iecpo certifiée d la délégation (modèle n° 1) ou de la déclaration (modèle no 2). L pmen ed l'indemnité différentielle a lieu au en de bons de caisse individuels mandats délivrés par les ordonnateurs) si son montant est unrrfeiéi à 4.000 francs, par tmevnire au as contraire. Toutefois, conformément au dipositi de l’article 21, paragraphe 2, de lordonnance du 8 janvier 1944, cette règle n s’applique pas aux indemnités différentielles payées aux troupes en prai hors de ’Afiq du Nord ou stationnées dans les territoires où le défaut d’organisations bancaires rendrait règles dffclmnt applicables. Dtr p l paraît nécessaire de rpplr à ctt occasion qu'aux ermes d r du 26 décembre 1866 (dspstns générales, atice 19), au cas d'éloignement ed sa résidence, tout fonctionnaire peut par simple lettre dispnsée de timbre, donner pouvoir à u trs de toucher les émoluments lui revenant. Par conséquent, les bons de caisse établis au nom de cnrotasifoenin mobilisés pourront être payés e ier porteurs n telle autorisation, même en l'absence de dto. Le porteur du bon de csse devra, uf,itsteoo justifier de son dntté. B. Modifications survenues dans l situation des fnctnnrs mobilisés. En vue dasrr l'ordonnancement régulier de l'indemnité fetiele l'autorité mltr notifiera aux administrations ntérssés ls modifications intervenues par suite de chngmnt
cette règle ne s’applique pas aux indemnités différentielles payées aux troupes en opérations hors de l’Afrique du Nord ou stationnées dans les territoires où le défaut d’organisations bancaires rendrait ces règles difficilement applicables. D'autre part, il paraît nécessaire de rappeler à cette occasion qu'aux termes du règlement du 26 décembre 1866 (dispositions générales, article 19), au cas d'éloignement de sa résidence, tout fonctionnaire peut, par simple lettre dispensée de timbre, donner pouvoir à un tiers de toucher les émoluments lui revenant. Par conséquent, les bons de caisse établis au nom de fonctionnaires mobilisés pourront être payés à des tiers porteurs d'une telle autorisation, même en l'absence de délégation. Le porteur du bon de caisse devra, toutefois, justifier de son identité. B. Modifications survenues dans la situation des fonctionnaires mobilisés. En vue d'assurer l'ordonnancement régulier de l'indemnité différentielle l'autorité militaire notifiera aux administrations intéressées les modifications intervenues par suite de changement de grade ou d'échelon. Elle notifiera également le décès. C. - Retenue à la source de l'impôt sur le traitement et salaire et de la contribution nationale extraordinaire. La retenue à la source sera effectuée par l'autorité militaire sur la « rémunération militaire perçue. » Les administrations civiles ne devront par conséquent opérer la retenue que sur le montant de l'indemnité différentielle. Cependant le calcul de l'indemnité différentielle doit se faire par comparaison entre les rémunérations, impôts non déduits, militaires et civiles. D. - Vidé d'entrée en vigueur de la mesure. La date du 1er Janvier 1944 doit être retenue. Tous redressements utiles seront faits au titre des mois de janvier et février 1944, dès que les ordonnateurs seront en possession des renseignements émanant de l'autorité militaire. Pour toutes les difficultés que pourrait soulever l'application de la présente circulaire, le Commissaire aux Finances sera saisi sous le timbre du Service du Budget. PIERRE MENDES-FRANCE, Modèle n° 1 DÉCLARATION à faire par un fonctionnaire civil rappelé sous les drapeaux, à l'effet de déléguer tout ou partie des émoluments civils dont il continue à bénéficier. Administration Service (1) Je soussigné (nom, prénoms, fonctions civiles et domicile habituel), rappelé sous les drapeaux en
cette règle ne ’applique pas aux indemnités différentielles payées aux troupes en opérations hors de l’Afrique du Nord ou tainne dans les trrtrs où le défaut d’organisations bncrs nrait ces règles difficilement applicables. D'autre part, il paraît nécessaire de rappeler à cette occasion qu'aux termes du règlement du 26 décembre 1866 dispositions générales, article 19), au cas d'éloignement de sa résidence, tout fonctionnaire peut, par simple lettre dispensée de timbre, donner pouvoir à un iesrt de toucher les émoluments lui revenant. Par conséquent, ls bsno de caisse établis ua nom de fonctionnaires mblsés pourront pyés à des tiers porteurs due'n telle autorisation, même en l'absence de délégation. eL porteur du bon de caisse devra, toutefois, justifier de son ntié B. Modifications survenues dans la situation des fonctionnaires mobilisés. En vue d'assurer l'ordonnancement régulier l'inenié différentielle l'autorité militaire notifiera aux dntoitrssiimana intéressées les modifications intervenues par suite de changement de grade ou d'échelon. Elle notifiera également le décès. . - Retenue à la source de l'impôt sur le trtmnt et slr et de la contribution nationale extraordinaire. La retenue à la source sr effectuée par l'trté militaire sur la « rémunération mia perçue. » Les administrations civiles en devront par conséquent opérer la retenue que sur le montant de l'indemnité différentielle. Cependant le calcul de l'indemnité différentielle doit se faire par comparaison entre les rémunérations, impôts non déduits, militaires et cvls. D. - Vidé d'entrée en vigueur de la mesure. La date du 1er Janvier 1944 do être retenue. Tous redressements utiles seront faits au titre des ois de janvier et février 1944, dès que les ordonnateurs seront en possession des renseignements émanant de l'autorité militaire. Pour toutes les difficultés que pourrait soulever l'application d la présente circulaire, le Commissaire aux Finances sera saisi sous l timbre d Service du Budget. PIERRE MENDES-FRANCE, Modèle n° 1 DÉCLARATION à aeifr par un fonctionnaire civil rappelé sous les drapeaux, à l'effet de déléguer tout ou partie des émoluments civils dont il continue à bénéficier. Administration Service (1) Je soussigné (nom, prénoms, ocsnoitfn civiles et domicile habituel), rappelé sous les drapeaux en
par conséquent opérer la retenue que sur le montant de l'indemnité différentielle. Cependant le calcul de l'indemnité différentielle doit se faire par comparaison entre les rémunérations, impôts non déduits, militaires et civiles. D. - Vidé d'entrée en vigueur de la mesure. La date du 1er Janvier 1944 doit être retenue. Tous redressements utiles seront faits au titre des mois de janvier et février 1944, dès que les ordonnateurs seront en possession des renseignements émanant de l'autorité militaire. Pour toutes les difficultés que pourrait soulever l'application de la présente circulaire, le Commissaire aux Finances sera saisi sous le timbre du Service du Budget. PIERRE MENDES-FRANCE, Modèle n° 1 DÉCLARATION à faire par un fonctionnaire civil rappelé sous les drapeaux, à l'effet de déléguer tout ou partie des émoluments civils dont il continue à bénéficier. Administration Service (1) Je soussigné (nom, prénoms, fonctions civiles et domicile habituel), rappelé sous les drapeaux en qualité de (grade ou emploi militaire, corps de troupe ou service) donne délégation à M (nom, prénoms, qualité et domicile) de toucher pendant la durée de la guerre, la totalité (ou telle fraction) des émoluments civils auxquels je puis prétendre en vertu de l'article 13 de l'ordonnance du 8 janvier 1944. Date et signature. Le soussigné déclare que l'intéressé perçoit en qualité de (grade, échelon) : a) À titre de solde de base fixe b) À titre de traitement de solde fixe c) À titre de pérqu' d'emplacement fixe d) À titre d'indemnité compensatrice des frais en dehors de la garnison À la suite, le cas échéant, les allocations ou indemnités détaillées à l'alinéa 5, paragraphe B, du titre III. À, le 1944 Le Chef de corps L'Intendant militaire, Modèle n° 2 DÉCLARATION à faire par un fonctionnaire civil rappelé sous les drapeaux, à l'effet de déterminer les émoluments civils dont il peut continuer à bénéficier. (Cette déclaration n'est pas utile lorsque le fonctionnaire souscrit immédiatement une délégation conforme au modèle n° 1.) Administration ou Service (1) Je soussigné (nom, prénoms, fonctions civiles et domicile habituel), déclare en vue du paiement des émoluments civils auxquels je puis prétendre, conformément à
par conséquent opérer la rtn que sur le montant de l'indemnité différentielle. Cependant le calcul de 'indemé dfférntll doit se faire par comparaison entre les rémunérations, impôts non déduits militaires et civiles. D. - Vidé d'ntré en vigueur de la mesure. aL da du 1er Janvier 1944 doit êtr retenue Tous redressements utiles seront faits au titre des mois de janvier et février 4, dès que les ordonnateurs seront en possession des renseignements émanant de l'autorité militaire. Pour toutes s difficultés que pourrait soulever l'application de la présente circulaire, le Commissaire aux Finances srae saisi sous le timbre du Service du Budget PIERRE MENDES-FRANCE, Modèle n° 1 DÉCLARATION à fr pr un fonctionnaire civil rappelé sous ls drapeaux, à l'effet de déléguer tout ou partie émoluments cvils dont il continue à bénéficier. Administration Service (1) Je soussigné (nom, prénoms, fonctions civiles et domicile habituel), rappelé sous ls drapeaux en qualité de (grade ou emploi mitai corps de troupe ou service) donne délégation à M (nom, prénoms, qualité et domicile) de ortcehu pendant l durée de la guerre, la totalité (ou te fraction ds émoluments civils auxquels je puis prétendre en vertu de l'article 13 de l'ordonnance du 8 janvier 1944. eatD et signature. Le soussigné déclare que l'intéressé perçoit en qualité de (grd, échelon : a À titre de solde de base fixe b) À r d traitement de solde ix c) À titre de pérqu d'emplacement efxi d) À titre d'indemnité compensatrice des frais en dehors de la garnison À la st, le cas échéant, les allocations ou indemnités détaillées à l'alinéa 5, paragraphe B, d titre III. À, le 1944 Le feCh de corps 'Intendant militaire, Modèle n° 2 DÉCLARATION à faire par un fonctionnaire civil rappelé sous les drapeaux à l'effet de déterminer les émoluments civils dont il peut continuer à bénéfcr. (Cette déclaration ts'en pas utile lorsque le fonctionnaire sout immédiatement ne délégation conforme au oè n° 1.) Administration ou Service (1) Je soussigné (nom, prénoms, fonctions civiles et domicile habituel), déclare en vue du paiement des émoluments civils auxquels je puis prétendre, conformément à
1944. Date et signature. Le soussigné déclare que l'intéressé perçoit en qualité de (grade, échelon) : a) À titre de solde de base fixe b) À titre de traitement de solde fixe c) À titre de pérqu' d'emplacement fixe d) À titre d'indemnité compensatrice des frais en dehors de la garnison À la suite, le cas échéant, les allocations ou indemnités détaillées à l'alinéa 5, paragraphe B, du titre III. À, le 1944 Le Chef de corps L'Intendant militaire, Modèle n° 2 DÉCLARATION à faire par un fonctionnaire civil rappelé sous les drapeaux, à l'effet de déterminer les émoluments civils dont il peut continuer à bénéficier. (Cette déclaration n'est pas utile lorsque le fonctionnaire souscrit immédiatement une délégation conforme au modèle n° 1.) Administration ou Service (1) Je soussigné (nom, prénoms, fonctions civiles et domicile habituel), déclare en vue du paiement des émoluments civils auxquels je puis prétendre, conformément à l'article 13 de l'ordonnance du 8 janvier 1944, avoir été rappelé sous les drapeaux en qualité de (grade ou emploi militaire, corps de troupe ou service). Date et signature. (1) Administration ou service dont relève l'intéressé. ARRÊTÉ n° 1326 A. P. du 8 mai 1944, promulguant en Afrique occidentale française le décret du 11 avril 1944. LE GOUVERNEUR GÉNÉRAL DE L'AFRIQUE OCCIDENTALE FRANÇAISE, CHEVALIER DE LA LÉGION D'HONNEUR, Vu le décret du 18 octobre 1904, portant réorganisation du Gouvernement général de l'Afrique occidentale française, modifié par les décrets des 4 décembre 1920 et 30 mars 1925; Vu le décret du 2 janvier 1920, fixant le mode de promulgation et de publication des textes réglementaires en Afrique occidentale française; Vu le décret du 30 décembre 1912 sur le régime financier des colonies (promulgué en Afrique occidentale française par arrêté du 15 février 1913); Vu le décret du 26 octobre 1898, rendant applicables aux colonies certains articles du décret du 18 novembre 1882, relatif aux adjudications et marchés à passer pour le compte de l'Etat (promulgué au Sénégal et Dépendances par arrêté du 7 décembre 1898), ARRÊTE : Article premier. — Est promulgué en Afrique occidentale française le décret du 11 avril
1944. Date te signature. Le soussigné décr que l'intéressé perçoit en qualité de (grade, échelon) : a) À ite de solde de bs e b) À titre d traitement de solde fixe c) À titre de pérqu' d'emplacement fixe d) À d'indemnité compensatrice des frais en dehors de la garnison À la suite le as écha les allocations ou indemnités détaillées à l'alinéa , paragraphe B, du titre III. À, le 4194 Le Chef ed orps L'Intendant militaire, Modèle n° DÉCLARATION à faire par n fonctionnaire civil rappelé sous les drapeaux, à l'effet de déterminer les émoluments civils dont il peut continuer à bénéficier. (Cette déclaration n'est utile lorsque le fonctionnaire souscrit immédiatement u délégation conforme au moèl n° 1 Administration ou Service 1() Je soussigné (nom, prénoms, fnctns civiles et domicile habituel), déclare vue du paiement des émoluments civils auxquels je puis prétendre, conformément l'article 13 de 'ornnne du 8 janvier 1944, avoir été rappelé sous les drapeaux en qualité de (grade u emploi militaire, corps d troupe ou service). Date et signature. (1) Administration uo service dont relève l'intéressé. ARRÊTÉ n° 1326 A. P. du 8 mai 1944, promulguant en fqe occidentale française le décret du 11 avril 1944. LE GUERNE GÉNÉRL DE L'FQ OCCIDENTALE FRANÇAISE, CHEVALIER DE LA LÉGION O,UEH'RNND Vu le décret du 18 ctbr 1904, portant rérgnstn du Gouvernement générl d lAfrique occidentale française, modifié par les décrets des décembre 1920 et 30 mars 1925; V le décret du 2 jnvier 1920, fixant le md de promulgation et de publication ds textes réglementaires en Afrique occidentale frnçs; Vu le décret ud 30 décembre 1912 sur le régime financier des colonies (promulgué en uerfqAi occidentale française par arrêté du 15 février 1913); Vu le décret du 26 tbe 1898, drnetan applicables aux clns certains rtcls du décret du 8 novembre 1882 elaif adjudications t marchés à passer pour le compte de l'Etat (promulgué Sénégal e Dépendances par arrêté du 7 décembre 1898), ARRÊTE : Article prmr. — Est promulgué ne Afrique occidentale française le décret du 11 avril
le décret du 11 avril 1944. LE GOUVERNEUR GÉNÉRAL DE L'AFRIQUE OCCIDENTALE FRANÇAISE, CHEVALIER DE LA LÉGION D'HONNEUR, Vu le décret du 18 octobre 1904, portant réorganisation du Gouvernement général de l'Afrique occidentale française, modifié par les décrets des 4 décembre 1920 et 30 mars 1925; Vu le décret du 2 janvier 1920, fixant le mode de promulgation et de publication des textes réglementaires en Afrique occidentale française; Vu le décret du 30 décembre 1912 sur le régime financier des colonies (promulgué en Afrique occidentale française par arrêté du 15 février 1913); Vu le décret du 26 octobre 1898, rendant applicables aux colonies certains articles du décret du 18 novembre 1882, relatif aux adjudications et marchés à passer pour le compte de l'Etat (promulgué au Sénégal et Dépendances par arrêté du 7 décembre 1898), ARRÊTE : Article premier. — Est promulgué en Afrique occidentale française le décret du 11 avril 1944 qui modifie les articles 18 (§ 1ER) et 22 du décret du 18 novembre 1882, relatif aux adjudications et marchés à passer pour le compte de l'Etat et fixe à 100.000 francs le montant maximum des achats sur facture et à 80.000 francs le montant maximum des travaux et des transports pouvant être exécutés sur simple mémoire. Art. 2. — Le présent arrêté sera enregistré, publié, et communiqué partout où besoin sera. Dakar, le 8 mai 1944. P. COURNAFIE DÉCRET du 11 avril 1944. LE COMITÉ FRANÇAIS DE LA LIBÉRATION NATIONALE, Sur le rapport du Commissaire aux Colonies; Vu l'ordonnance du 3 juin 1943, portant institution du Comité français de la Libération nationale; Vu le décret du 2 octobre 1943, fixant l'organisation et le fonctionnement du Comité français de la Libération nationale; Vu le décret du 7 juin 1943, modifié par les décrets des 4 septembre et 18 octobre 1943, portant création de Commissariats du Comité français de la Libération nationale; Vu le décret du 23 juillet 1943, fixant les attributions du Commissariat aux Colonies; Vu le décret du 30 décembre 1912 sur le régime financier des colonies; Vu le décret du 18 novembre 1882, établissant les principes de
el décret du 11 avril 1944. LE GOUVERNEUR GÉNÉRAL DE L'AFRIQUE OCCIDENTALE FRANÇAISE, CHEVALIER DE LA LÉGION D'HONNEUR, Vu le décret du 18 octobre , portant réorganisation du Gouvernement général de l'Afrique occidentale française, modifié par les décrets des 4 décembre 1920 et 30 a 1925; Vu le décret du 2 janvier 1920, fxnt le de de pmuatn et de publication des textes réglementaires en Afrique occidentale française; Vu le décrt du 30 décembre 1912 sur le régime financier ds colonies (promulgué n Afrique occidentale française pr arrêté du 15 février 1913); Vu le décret du 62 octobre 1898, rendant applicables aux colonies certains articles du décret d 18 novembre 1882, relatif aux adjudications et marchés à passer pour le compte de l'tt (promulgué au Sénégal et Dépendances a arrêté du 7 décembre 1898), ARRÊTE : Article premier. — Est promulgué en Afrique occidentale française le décret du 11 avril 1944 q modifie les articles 18 (§ E) et 22 du décret du 18 novembre 1,828 relatif aux djdctns et marchés à spaser orpu le compte de tt'Eal et fixe à 100.000 ns le montant maximum ds achats sur facur et à 80.000 francs el montant maximum des travaux et des rspot pouvant être exécutés sur smpl mémoire. Art. . — Le présent arrêté sera enregistré publié, et communiqué partout où besoin sera. Dakar, le 8 mai 1944. P. COURNAFIE DÉCRET du 11 virla 1944. LE COMITÉ FRANÇAIS DE LA LIBÉRATION NATIONALE, ur le rapport d Commissaire aux Colonies; Vu l'ordonnance ud 3 juin 1943, portant institution du Comité français de la Libération nationale; Vu le décret du 2 ctbr 1943, fixant l'organisation et le fonctionnement du Comité français de la Libération nationale; Vu le décret ud 7 juin 1943, modifié par les décrets des 4 septembre et 18 octobre 1943, portant création de Commissariats du Comité français de la Libération nationale; Vu le décret du 23 juillet 1943, iat les attributions du Commissariat aux Colonies; Vu le décret du 30 émbr 1912 sur le régime financier esd colonies; Vu le décret u 18 novembre 1882, établissant les principes de
des transports pouvant être exécutés sur simple mémoire. Art. 2. — Le présent arrêté sera enregistré, publié, et communiqué partout où besoin sera. Dakar, le 8 mai 1944. P. COURNAFIE DÉCRET du 11 avril 1944. LE COMITÉ FRANÇAIS DE LA LIBÉRATION NATIONALE, Sur le rapport du Commissaire aux Colonies; Vu l'ordonnance du 3 juin 1943, portant institution du Comité français de la Libération nationale; Vu le décret du 2 octobre 1943, fixant l'organisation et le fonctionnement du Comité français de la Libération nationale; Vu le décret du 7 juin 1943, modifié par les décrets des 4 septembre et 18 octobre 1943, portant création de Commissariats du Comité français de la Libération nationale; Vu le décret du 23 juillet 1943, fixant les attributions du Commissariat aux Colonies; Vu le décret du 30 décembre 1912 sur le régime financier des colonies; Vu le décret du 18 novembre 1882, établissant les principes de la concurrence et de la publicité en matière d'adjudication et de marchés passés pour le compte du budget de l'Etat dont certains articles ont été promulgués aux colonies par décret du 26 octobre 1898 et les actes modificatifs subséquents; Vu l'ordonnance du 8 janvier 1944, portant fixation du budget du Comité français de la Libération nationale pour l'exercice 1944, notamment l'article 2, DÉCRÈTE : Article premier. — Dans les territoires placés sous l'autorité du Commissaire aux Colonies les limites fixées par les articles 18, paragraphes 1er et 22 du décret du 18 novembre 1882 sont ainsi modifiées : Pour les fournitures, des achats sur facture peuvent être substitués aux marchés écrits, lorsque ces fournitures sont livrables immédiatement et que le montant de la dépense envisagée ne dépasse pas 100.000 francs quelle que soit la nature ou la qualité des fournitures. La dépense du marché écrit s'étend aux travaux, et transports dont la valeur n'excède pas 80.000 francs et qui peuvent être exécutés sur simple mémoire. Art. 2. — Le Commissaire aux Colonies est chargé de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel de la République française. Alger, le 11 avril 1944. DE GAULLE. Par le Comité français
des transports ot être exécutés sur simple émoire Art 2. — Le présent arrêté sera enregistré, publié, et communiqué partout où besoin sera. Dakar, le 8 mai 1944. P. COURNAFIE DÉCRET du 11 avril 1944. LE COMITÉ FRANÇAIS DE LA LIBÉRATION NATIONALE, Sur le rapport du Commissaire aux Colonies; Vu l'ordonnance du 3 juin 94, portant isittion du Comité français de la Libération nationale; Vu le décret d 2 octobre 1943, fixant l'rgnstn et le fnctnnmnt du Comité français de Libération nationale; Vu le décret du 7 juin 1943, modifié par les décrets des tere et 8 octobre 1943, portant création de Commissariats du Comité français de la Libération atial Vu le décret du 23 juillet 1943, fixant les attributions du Commissariat aux Colonies; Vu le décret du 30 décembre 1912 sur le régime finnier des colonies; Vu le décret du 18 novembre 1882, établissant les principes de la concurrence et de l pblcté en matière d'adjudication et de marchés passés pour le op du budget de l'Etat dont certi articles ont été promulgués aux colonies par décret du 26 octobre 1898 et les cts mdfctfs subséquents; Vu l'ordonnance du 8 janvier 1944, portant du budget du Comité français de la Libération nationale pour lexercice 1944, notamment l'article 2, DÉCRÈTE : Article premier. — Dans les territoires placés sous l'autorité d Commissaire aux Colonies les limites féiesx par les articles 18, paragraphes 1er et 22 décret du 18 novembre 1882 sont ainsi modifiées : u les fournitures, e achats sur facture peuvent être substitués aux marchés écrits, lorsque ces fournitures sont livrables imdemn et que le montant de la dépense envisge ne dépasse pas 100.000 francs quelle que soit la nature ou la alit des fournitures. La dépense du marché écrit s'étend aux travaux, et transports dont la valeur n'excède pas 80.000 francs et qui peuvent être exécutés sur simple mémoire. Art. 2. — Le missi aux Colonies est chargé de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel de la République française. Alger, le 11 avril 1944. DE GAULLE. Par le Comité français
Comité français de la Libération nationale pour l'exercice 1944, notamment l'article 2, DÉCRÈTE : Article premier. — Dans les territoires placés sous l'autorité du Commissaire aux Colonies les limites fixées par les articles 18, paragraphes 1er et 22 du décret du 18 novembre 1882 sont ainsi modifiées : Pour les fournitures, des achats sur facture peuvent être substitués aux marchés écrits, lorsque ces fournitures sont livrables immédiatement et que le montant de la dépense envisagée ne dépasse pas 100.000 francs quelle que soit la nature ou la qualité des fournitures. La dépense du marché écrit s'étend aux travaux, et transports dont la valeur n'excède pas 80.000 francs et qui peuvent être exécutés sur simple mémoire. Art. 2. — Le Commissaire aux Colonies est chargé de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel de la République française. Alger, le 11 avril 1944. DE GAULLE. Par le Comité français de la Libération nationale : Le Commissaire aux Finances, Pierre ALINDÈS-FRANCE Le Commissaire aux Colonies, R. PLEVEN. ACTES DU GOUVERNEMENT GÉNÉRAL ARRÊTÉ n° 1348 T. P. du 10 mai 1944. LE GOUVERNEUR GÉNÉRAL DE L'AFRIQUE OCCIDENTALE FRANÇAISE, CHEVALIER DE LA LÉGION D'HONNEUR, Vu le décret du 18 octobre 1904, réorganisant le Gouvernement général de l'Afrique occidentale française, et tous actes modificatifs subséquents; Vu l'arrêté n° 4369 T P. du 31 décembre 1943, fixant l'organisation et le fonctionnement de la Direction générale des Travaux publics et l'arrêté n° 173 T P. du 17 janvier 1912, relatif à la Direction des Chemins de fer et Transports de l'Afrique occidentale française et du Togo; Vu l'arrêté n° 1538 T. P. du 8 juin 1937, mettant en vigueur le fascicule II du recueil des tarifs sur le Chemin de fer de Conakry au Niger et tous actes modificatifs subséquents; Vu l'avis du Conseil des Transports; Sur la proposition de l'Ingénieur général, Directeur général des Travaux publics de l'Afrique occidentale française et du Togo; La Commission permanente du Conseil de Gouvernement entendue, ARRÊTE : Article premier. — Le tarif spécial P. V. 13 Conakry-Niger est modifié comme suit : Le texte actuel qui concerne le
Comité français d la Lértio nationale pour l'xrcc 1944, notamment l'article 2, DÉCRÈTE : Article .rpreiem — Dans les territoires placés sous l'urit du Commissaire aux Colonies les limites fixées par les articles 18, paragraphes 1er et 22 du décret d 18 novembre 1882 sont ainsi semdoéifi : Pour les fournitures, des asatch sur facture u être substitués aux marchés écrits lorsque ces fournitures sont livrables immédiatement et que le montant de la dépense envisagée ne dépasse pas 100.000 francs qll que soit la nature uo la qualité des fournitures. La epdnesé du marché écrit s'étend aux travaux, et transports dont la valeur n'excède pas 80000 francs et qui pvnt être exécutés sur simple mémoire. rt. 2. — Le Commissaire axu Colonies est chargé de l'exécution du présent décret q sera publié au Journal officiel de la République française. Alger, le 11 avril 1944. DE GAULLE. Par le Comité français e la Libération nolaatien : Le iCaomeisrms aux Finances, Pierre ALINDÈS-FRANCE Le Commissaire aux Colonies, R. PLEVEN. ACTES DU GOUVERNEMENT GÉNÉRAL ARRÊTÉ n° 1348 T. P. du 10 mai 94 LE GOUVERNEUR GÉNÉRAL DE L'AFRIQUE OCCIDENTALE FRANÇAISE, CHEVALIER DE LA LÉGION D'HNNR, Vu le décret du 18 ctr 041,9 réorganisant l Gouvernement général de l'Afrique occidentale française, et tous actes modificatifs uéquet Vu l'arrêté n° 4369 T P du 31 décembre 391,4 fixant l'organisation et le fonctionnement de la Direction générale des Travaux publics et larrêté n° 173 T P du 17 janvier 1912, relatif la Direction des Chemins de fer et Transports ed l'frq ccdntl française et du ;ogoT Vu l'arrêté n° 1538 T. P. du 8 juin 1937, mettant en vigueur le fascicule II du recueil d tarifs sr le Chemin ed fer d Conakry au Niger et tous actes modificatifs subséquents; Vu l'avis du Conseil des Transports; Sur la proposition de l'Ingénieur général, Directeur général des rvax publics de 'Afrique occidentale française et du Togo; La Commission pemn du Conseil de Gernmt entendue, ARRÊTE : Article premier. — Le tarif spécl P. V. 13 Conakry-Niger est modifié cmm suit : Le texte actuel qui concerne le
le Gouvernement général de l'Afrique occidentale française, et tous actes modificatifs subséquents; Vu l'arrêté n° 4369 T P. du 31 décembre 1943, fixant l'organisation et le fonctionnement de la Direction générale des Travaux publics et l'arrêté n° 173 T P. du 17 janvier 1912, relatif à la Direction des Chemins de fer et Transports de l'Afrique occidentale française et du Togo; Vu l'arrêté n° 1538 T. P. du 8 juin 1937, mettant en vigueur le fascicule II du recueil des tarifs sur le Chemin de fer de Conakry au Niger et tous actes modificatifs subséquents; Vu l'avis du Conseil des Transports; Sur la proposition de l'Ingénieur général, Directeur général des Travaux publics de l'Afrique occidentale française et du Togo; La Commission permanente du Conseil de Gouvernement entendue, ARRÊTE : Article premier. — Le tarif spécial P. V. 13 Conakry-Niger est modifié comme suit : Le texte actuel qui concerne le transport du coton et kapok pressé en balle est dorénavant intitulé « chapitre premier ». Il est créé un chapitre II « Transport des feuilles de sisal par wagons complets sur le parcours Baro-Kankan ». Prix par tonne et par wagon chargé à la limite de charge autorisée ou payant pour ce poids de Baro à Kankan : 38 fr. 40. Prix passible de la majoration de 30 % prévue par l'arrêté n° 358 T. p. du 8 octobre 1943. CONDITIONS PARTICULIÈRES D'APPLICATION I. — Le transport est effectué à découvert. II. — L'expéditeur ne peut revendiquer l'application du tarif spécial P. V. 126. III. — Le chargement et le déchargement sont effectués par les soins, risques et périls des expéditeurs et des destinataires. IV. — Lorsque la responsabilité du Chemin de fer sera engagée pour pertes ou avaries survenues aux marchandises transportées aux conditions du présent tarif, l'indemnité à payer correspondra au montant réel de la perte ou de l'avarie sans pouvoir excéder 50 francs par tonne. Art. 2. — Le Directeur général des Travaux publics de l'Afrique occidentale française et du Togo est chargé de l'application du présent arrêté. Dakar, le 10 mai 1944. P. COURNARIE. 1338 F.
le Gouvernement général de l'Afrique occidentale française et ts actes modificatifs subséquents; Vu l'arrêté n 4369 T P. du 31 décbre 1943, fixant l'organisation et le fonctionnement de la Direction générale des Travaux pblcs et l'arrêté n° 173 T P du 17 jnvr 191, relatif à la rect des Chemins de fer te Transports de l'Afrique occidentale française et du Togo; V l'arrêté n° 1538 T. P. du 8 juin 1937, mettant en ige le fascicule II ud recueil des tarifs sur le Chemin de fer d Conakry au Niger et tous actes modificatifs subséquents; Vu l'avis du Conseil des Transports; Sur la proposition d l'Ingénieur général, Directeur général des uraaTvx publics de 'Afrique occidentale française et du Togo; La Cmmssn permanente du Conseil de Gtnemnroeeuv entendue, RTEÊAR : Article premier. — L tarif spécial P. V 13 Conakry-Niger est modifié comme suit : Le texte actuel qui concerne le trnsprt d coton et kapok pressé en bll est dorénavant intitulé « chapitre premier ». Il céér un chapitre II « Transport des feuilles de sisal pa wagons complets sur le parcours Baro-Kankan ». Prix par tonne et pr wagon chargé à la limite de charge autorisée pynt pour ce poids de Baro à Kankan : 38 fr. 40. Prx pssbl de la majoration de 30 % prévue par l'arrêté ° 358 . p. 8 octobre 193. CNDTNS PARTICULIÈRES D'APPLICATION I. Le transport est effectué à découvert. II. — L'expéditeur ne peut revendiquer l'application du tarif spécial P. V. 126. II. — Le chargement et le déchargement sont effectués par les soins, risques et périls ds expéditeurs et des destinataires. IV. — Lorsque la responsabilité du Chemin de fer sera engagée pour pertes ou avaries survenues aux marchandises trnsprtés aux conditions du présent tarif, l'indemnité à payer correspondra au montant réel ed la perte ou l'avarie sans pouvoir excéder 50 francs par tnne Art. 2. — Le Directeur al des Travaux publics de l'Afrique occidentale frnçs et d Togo est chargé de l'application du présent arrêté. Dakar, le 10 m 1944. P. COURNARIE. 338 F.
pour ce poids de Baro à Kankan : 38 fr. 40. Prix passible de la majoration de 30 % prévue par l'arrêté n° 358 T. p. du 8 octobre 1943. CONDITIONS PARTICULIÈRES D'APPLICATION I. — Le transport est effectué à découvert. II. — L'expéditeur ne peut revendiquer l'application du tarif spécial P. V. 126. III. — Le chargement et le déchargement sont effectués par les soins, risques et périls des expéditeurs et des destinataires. IV. — Lorsque la responsabilité du Chemin de fer sera engagée pour pertes ou avaries survenues aux marchandises transportées aux conditions du présent tarif, l'indemnité à payer correspondra au montant réel de la perte ou de l'avarie sans pouvoir excéder 50 francs par tonne. Art. 2. — Le Directeur général des Travaux publics de l'Afrique occidentale française et du Togo est chargé de l'application du présent arrêté. Dakar, le 10 mai 1944. P. COURNARIE. 1338 F. — Par arrêté du Gouverneur général de l'Afrique occidentale française du 10 mai 1944, pris en Commission permanente du Conseil de Gouvernement, l'article 5 de l'arrêté général n° 1508 s. s. du 22 avril 1942, relatif au fonctionnement de l'établissement de convalescence de Dalaba, est abrogé et remplacé par le suivant : « Article 5. — Les fonctionnaires et les membres de leur famille évacués sur la formation hospitalière de Dalaba ont droit aux frais de transport afférents à leur catégorie pour le trajet aller et retour. « Étant considérés en déplacement par ordre, ils ont droit également aux indemnités de déplacement temporaire pendant la durée du voyage aller et retour, à l'exclusion des membres de leur famille. « Les frais de transport et de déplacement des personnels de l'État et des membres de leur famille restent régis par la réglementation propre à chaque département. » 1339 F. — Par arrêté du Gouverneur général de l'Afrique occidentale française du 10 mai 1944, pris en Commission permanente du Conseil de Gouvernement, est approuvé l'arrêté local n° 664, du 16 mars 1944, du Gouverneur de la Guinée, ouvrant 5 millions 200,000 francs de crédits supplémentaires pour l'exercice 1943 au budget local de
pour ce pds de Baro à Kankan : 38 fr. 40 rx passible de l omrojntiaa de 30 % prévue par l'arrêté n° 358 T. p. d 8 octobre 1943. CONDITIONS AICUIÈ D'APPLICATION I. — Le transport est ffcté à découvert. II. — Lexpéditeur ne peut revendiquer l'application du tarif spécial .P V. 126. III. — Le chargement et le dcaeent sont effectués par les soins risques et périls des xédes et des destinataires. VI. — Lrsq la responsabilité d mn d fr sera engagée ur prts ou avaries survenues x marchandises transportées aux conditions ud présent tarif, l'indemnité à payer correspondra au montant e de la perte d l'avarie sans pouvoir excéder 50 frncs par tonne. Art. 2. — Le Directeur général des Travaux publics de l'Afrique occidentale française et d oTgo est chargé de l'application du présent arrêté. ,rDkaa le 10 mai 1944. P. CRNR. 1338 F. — Par arrêté du Gouverneur général de l'Afrique ccdntl française du 10 mai 1944, pris en Commission permanente d Conseil de Gouvernement, l'article 5 de l'arrêté général n 1508 s s. du 22 avril 1942, relatif au fonctionnement de l'étblssmnt de convalescence de Daaa, est abrogé t remplacé par le uvat : « Article . — Ls fonctionnaires t les mmbrs de leur famille éac sur la frmtn hospitalière de Dalaba nt droit aux frais de transport afférents à leru catégorie pour le trajet aller et u « Étant considérés en déplacement par ordre, ls nt droit également aux indemnités d déplacement temporaire pendant l durée du ogvyae aller et retour, à l'exclusion des membres de leur famille. « Les frais de transport et de déplacement des rspnoensel de lÉtat et des membres de e famille restent égs par la emterlénagtion propre à chaque département. » 1339 .F — rPa arrêté du Gouverneur général de l'Afrique occidentale française d 10 mai 1944, pris en Commission permanente du Conseil de Gnmt, est approuvé l'arrêté local n° 664 d 16 mars 14, du Gouverneur de la Guinée, ouvrant 5 millions 200000 francs de crédits supplémentaires pour l'exercice 1943 au budget local ed
suivant : « Article 5. — Les fonctionnaires et les membres de leur famille évacués sur la formation hospitalière de Dalaba ont droit aux frais de transport afférents à leur catégorie pour le trajet aller et retour. « Étant considérés en déplacement par ordre, ils ont droit également aux indemnités de déplacement temporaire pendant la durée du voyage aller et retour, à l'exclusion des membres de leur famille. « Les frais de transport et de déplacement des personnels de l'État et des membres de leur famille restent régis par la réglementation propre à chaque département. » 1339 F. — Par arrêté du Gouverneur général de l'Afrique occidentale française du 10 mai 1944, pris en Commission permanente du Conseil de Gouvernement, est approuvé l'arrêté local n° 664, du 16 mars 1944, du Gouverneur de la Guinée, ouvrant 5 millions 200,000 francs de crédits supplémentaires pour l'exercice 1943 au budget local de cette colonie. 1373 D. T. — Par décision du Gouverneur général de l'Afrique occidentale française du 11 mai 1944, est provisoirement suspendue, en Afrique occidentale française et au Togo, l'admission au transport aérien en provenance des peaux de caïmans, de serpents, d'iguanes ou de la maroquinerie de fabrication locale. ACTES DU GOUVERNEMENT LOCAL 1184 A. E. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, les prix à pratiquer en Guinée pour le miel de la campagne 1943/44 sont fixés ainsi qu'il suit : a) à l'exportation : Prix au quai Conakry, la tonne 10.066 francs. Prix loco-magasin Conakry, la tonne logée en fûts à rendre 12,083 francs. Prix FOB Conakry, la tonne logée en fûts à rendre 13.500 francs. b) à la production : PRIX NET À PAYER, PRIX NET A PAYÉ POINTS D’ÉVACUATION la tonne nue, la tonne nue au producteur au traitant Déli-éka (gare) 9.771 9.921 Kindia 9.661 9.811 Mamou 9.376 9.526 Dabola 9.163 9.313 Bissikrima 9.127 9.277 Kouroussa 9.031 9.181 Kankan 8.973 9.123 Forécaria-Benty-Ouassou-Bofta 9.458 9.608 Boké-Victoria-Nunez-Colo-Tugufili.., 9.364 9.514 Pour tout point de traite non désigné à l'article précédent, les prix à pratiquer au producteur et au traitant sont ceux fixés pour le point d'évacuation
svnt : « Article 5. — Les fonctionnaires et les membres de leur famille évacués sur la formation hospitalière d Dalaba ont droit x frais de ranr afférents à lr catégorie pour le trjt aller et retour « Étant considérés en déplacement pr ordre, ils ont droit également aux inits de déplacement tmprr pendant a durée voyage rleal et retour, à 'niouxsllec des membres de leur famille « Les frs de transport et de déplcmnt sde personnels de 'État et dse membres de leur famille restent régis par la remnaon propre à chaque département. » 1339 . — Par arrêté du Gouverneur général de 'Afrique occidentale française du 10 mai 1944, pris n Commission permanente d Conseil de Goment, est approuvé 'arêté local n° 664, du 16 mars 1944 du Gouverneur de la Guinée, vrnt 5 millions 200,000 francs de crédits supplémentaires pour l'exercice 1943 au budget local de cette colonie. 1373 D. T. — Par décision du Gouverneur général de l'Afrique occidentale française du 11 mai 1944, est provisoirement suspendue, en Afrique occidentale française et au Togo, l'admission au transport aérien en provenance des peaux de aïn d serpents, d'iguanes ou de la mrqnr de fabrication locale. ACTES DU GOUVERNEMENT LOCAL 1184 A. E. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, les prix à pratiquer en Guinée pour le miel de la campagne 1943/44 sont ix ainsi quil i : a) à lexportation : Prix au quai Conakry, l tonne 10.066 frans Prix loco-magasin Conakry, la tonne logée en fûts à rendre 12,083 francs. Prix FB Conakry, l tonne logée en fûts à errdne 13.500 francs. b) à la production : PRIX NET À PAYER, PRIX NET A PAYÉ PNTS D’ÉVACUATION la tonne nue, la one nue au rroueuptdc au traitant Déli-éka (gare) 9.771 9.9 Kindia 9.661 9.811 Mamou 9.376 9.26 Dabola 9 93 Bissikrima 9.127 9.277 Kouroussa 9.031 9.181 Kankan 8.973 9.123 Forécaria-Benty-Ouassou-Bofta 98 9.608 Boké-Victoria-Nunez-Colo-Tugufili.., 9.364 9.514 Pour tout point de traite non désigné à l'article précédent, les prix à pratiquer au prdctr et au traitant sont ceux ifxés pour le point d'évacuation
DU GOUVERNEMENT LOCAL 1184 A. E. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, les prix à pratiquer en Guinée pour le miel de la campagne 1943/44 sont fixés ainsi qu'il suit : a) à l'exportation : Prix au quai Conakry, la tonne 10.066 francs. Prix loco-magasin Conakry, la tonne logée en fûts à rendre 12,083 francs. Prix FOB Conakry, la tonne logée en fûts à rendre 13.500 francs. b) à la production : PRIX NET À PAYER, PRIX NET A PAYÉ POINTS D’ÉVACUATION la tonne nue, la tonne nue au producteur au traitant Déli-éka (gare) 9.771 9.921 Kindia 9.661 9.811 Mamou 9.376 9.526 Dabola 9.163 9.313 Bissikrima 9.127 9.277 Kouroussa 9.031 9.181 Kankan 8.973 9.123 Forécaria-Benty-Ouassou-Bofta 9.458 9.608 Boké-Victoria-Nunez-Colo-Tugufili.., 9.364 9.514 Pour tout point de traite non désigné à l'article précédent, les prix à pratiquer au producteur et au traitant sont ceux fixés pour le point d'évacuation habituel d'un vaisseau de même liens fréquentes de manutention et de transport entre ces deux points. Les infractions au présent arrêté sont passibles des sanctions prévues par la loi du 14 mars 1942. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est complété comme suit le barème portant échelle des salaires journaliers des chauffeurs et plantons fixé par l'arrêté local n° 317 c. P. : CHAUFFEURS PLANTONS ÉCHELONS = = ZONE 4mc ZONE 1 19 14 2 20 15 3 21 16 4 22 17 5 23 18 6 24 19 7 25 20 8 26 21 9 27 22 10 28 23 11 29 24 12 31 25 13 33 26 14 35 27 15 37 28 16 39 29 17 41 18 43 19 45 20 47 21 49 Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, les tableaux annexés nos 1 et 11 à l'arrêté local n° 301 c. p, fixant le salaire du personnel auxiliaire sont complétés ainsi qu'il suit : TABLEAU ANNEXE N° 1 PERSONNEL FÉMININ EUROPÉEN 1ère CATÉGORIE 2ème CATÉGORIE 3ème CATÉGORIE ÉCHELONS : = 4ème ZONE 4mc. ZONE 4ème ZONE 1 2.970 2.550 2.070 2 3.120 2.670 2.190 3
DU GOUVERNEMENT LCL 1184 A E Par arrêté du eGurrnevou en dt du 30 mai 1944, les prix à pratiquer en Gin pour le miel de la campagne 194344 st fixés ainsi qu'il suit : a) à l'exportation : Prix au quai Conakry, la tonne 10.066 francs. Prix loco-magasin Cnkry, la to logée n fûts à nr 12,083 Prix FOB Conakry, l tonne logée en fûts à rendre 13.500 francs. b) à la production : PRIX NET À PAYER, PRIX NET A PAYÉ PNTS D’ÉON a tenno la tonne nue au producteur au traitant Déli-éka (gare) 9.771 9.921 Kindia 9.661 9.811 Mamou 9376 9.526 Dabola 9.163 9.313 Bsskrm 9.127 92 Kouroussa 91 9.181 nnKaka .7893 9.123 Forécaria-Benty-Ouassou-Bofta 9.458 9.608 Boké-Victoria-Nunez-Colo-Tugufili.., 9.364 9.514 Pr tt inotp traite non désigné à larticle péent, les prix à pratiquer au producteur t au traitant sont xcue fixés pour le pnt d'évctn habituel d'un vaisseau de même liens éqents de manutention et de transport entre ces deux points. Les infractions présent arrêté sont passibles des sanctions prévues pr la loi du 41 mars 1942. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944 est complété eomcm tsui le barème prtnt échll des salaires journaliers des chauffeurs et paos fixé par l'arêt local n° 317 c. P : CHAUFFEURS PLANTONS ÉCHELONS = = ZONE 4mc ZONE 1 19 14 2 20 15 3 21 16 4 22 17 5 23 18 6 24 19 7 25 20 8 26 21 9 27 22 10 28 23 11 29 24 12 31 25 13 26 14 35 27 15 37 28 16 39 29 17 41 18 43 19 45 20 47 49 Par arrêté du Gvrnr en date du 30 a 1944, les tableaux annexés nos 1 e 11 à l'arrêté local n 301 . p, fixant le salaire du enl xlr snt complétés ns q'l suit : ABLAUET ANNEXE N 1 PERSONNEL IIN EUROPÉEN eèr1 ÉICEORGAT 2ème CTÉGR 3ème AOTÉCGIRE ÉCHELONS : = eèm4 ZONE 4mc. NE 4ème ZONE 1 2.970 2.550 2.7 2 3.120 20 2.190 3
échelle des salaires journaliers des chauffeurs et plantons fixé par l'arrêté local n° 317 c. P. : CHAUFFEURS PLANTONS ÉCHELONS = = ZONE 4mc ZONE 1 19 14 2 20 15 3 21 16 4 22 17 5 23 18 6 24 19 7 25 20 8 26 21 9 27 22 10 28 23 11 29 24 12 31 25 13 33 26 14 35 27 15 37 28 16 39 29 17 41 18 43 19 45 20 47 21 49 Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, les tableaux annexés nos 1 et 11 à l'arrêté local n° 301 c. p, fixant le salaire du personnel auxiliaire sont complétés ainsi qu'il suit : TABLEAU ANNEXE N° 1 PERSONNEL FÉMININ EUROPÉEN 1ère CATÉGORIE 2ème CATÉGORIE 3ème CATÉGORIE ÉCHELONS : = 4ème ZONE 4mc. ZONE 4ème ZONE 1 2.970 2.550 2.070 2 3.120 2.670 2.190 3 3.270 2.820 2.310 4 3.420 2.970 2.340 5 3.570 3.120 2.550 6 3.720 3.270 2.670 7 3.870 3.420 2.820 8 4.020 3.570 2.970 9 4.170 3.720 3.120 10 4.320 3.870 3.270 11 4.470 4.020 3.420 12 4.620 4.170 3.570 TABLEAU ANNEXE N° 11 PERSONNEL INDIGÈNE ÉCHELONS 4ème ZONE ÉCHELONS 4mc ZONE 1 930 14 1.710 2 990 15 1.770 3 1 050 16 1.830 4 1 110 17 1.890 5 1 170 18 1.950 6 1 230 19 2.010 7 1 290 20 2.070 8 1 350 21 2.130 9 1 410 22 2.190 10 1 470 23 2.250 11 1 530 24 2.310 12 1 590 25 2.370 13 1 650 Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est accordé à titre personnel et précaire à Monsieur Brosse Robert, commerçant à Gaoual, un terrain urbain de 1.500 mètres carrés sis à Gaoual en vue d'une installation commerciale provisoire et délimitée conformément au plan joint au présent arrêté, savoir : À l'est : par la route du fleuve Tominé; À l'ouest : par la colline de Dalaba ; Au nord : par le sentier qui mène à Sintiourou ; Au sud : par le village de
échelle des slrs journaliers des chauffeurs et ltos fixé par l'arrêté lcl n° 317 c. P. : CHAUFFEURS PLANTONS ÉCHELONS = = ZONE ZONE 19 14 2 20 15 3 21 16 4 22 17 5 23 18 6 24 19 25 20 8 26 21 9 27 22 10 28 23 11 29 24 12 31 25 13 33 26 14 35 27 15 37 28 16 39 29 17 41 18 43 19 45 20 7 21 49 Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944 les eaatlxub annexés nos 1 et 11 élr'raêt local n° 301 c. p, fixant le salaire du personnel auxiliaire sont complétés ainsi qu'il suit : TABLEAU ANNEXE N 1 PERSONNEL FÉMININ EUROPÉEN 1ère CTÉORIE 2ème CATÉGORIE 3ème CTÉGR ÉHLNESOC : = 4ème ZONE 4mc. ZONE 4ème ZONE 1 2.970 .5 2.070 2 3.120 2.670 2.190 3 3270 2820 2.310 4 3.420 .970 2.340 5 3.570 3.120 2.550 .720 3.270 2.670 7 3.870 3.420 2.820 4.020 3.570 .70 9 4170 3.720 3.120 10 4.320 3.870 3.270 11 4.470 4.020 3.420 12 4.620 4.170 3.570 TABLEAU ANNEXE N° 11 PERSONNEL INDIGÈNE ÉCHELONS me4è ZN ÉCHELONS 4mc ZONE 1 930 14 1.710 2 990 15 1077. 3 1 050 16 1.830 4 1 110 17 1.890 5 1 170 81 5 6 1 230 19 2.010 1 290 20 2.070 8 350 21 2.130 9 1 410 22 2.190 10 470 23 2.250 11 1 530 24 2.310 12 1 590 25 .370 13 1 650 Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est accordé à titre personnel et précaire à Monsieur osesrB Robert, commerçant Gaoual, un terrain urbain de 1.500 mètres caré sis à Gaoual en v d'une installation commerciale provisoire et déimée conformément au plan joint au rnt arrêté, savoir : À l'est : par la route du fleuve Tominé; À 'ust : par la oceilnl de Dalaba Au nord : par l sentier qui mène à Sintiourou ; Au sud : par le village e
ZONE 1 930 14 1.710 2 990 15 1.770 3 1 050 16 1.830 4 1 110 17 1.890 5 1 170 18 1.950 6 1 230 19 2.010 7 1 290 20 2.070 8 1 350 21 2.130 9 1 410 22 2.190 10 1 470 23 2.250 11 1 530 24 2.310 12 1 590 25 2.370 13 1 650 Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est accordé à titre personnel et précaire à Monsieur Brosse Robert, commerçant à Gaoual, un terrain urbain de 1.500 mètres carrés sis à Gaoual en vue d'une installation commerciale provisoire et délimitée conformément au plan joint au présent arrêté, savoir : À l'est : par la route du fleuve Tominé; À l'ouest : par la colline de Dalaba ; Au nord : par le sentier qui mène à Sintiourou ; Au sud : par le village de Dalaba. Le présent permis est accordé aux conditions fixées par les articles 53 et 59 de l'arrêté local du 31 mars 1936 et moyennant une redevance annuelle de mille-cinq-cents francs (1.500 fr.). Cette redevance courra du 1er janvier 1944 et sera payable d'avance au Bureau des Domaines de Conakry dans les deux premiers mois de l'année civile, et pour l'année en cours dans les trente jours de la notification du présent arrêté. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, sont autorisés les transferts de la Société à responsabilité limitée « Pilotaz & Clastres » formée au capital de 1 million de francs et dont le siège est à Coyah, représentée par Monsieur Pierre Clastres : 1° De la concession provisoire d'un terrain de 28 hectares à Coyah; 2° De l'autorisation de prise d'eau dans la rivière Sarinka; 3° De la concession provisoire d'un terrain de 1 ha. 78 à Coyah accordée à Monsieur René Pilotaz par arrêté susvisé. Ces concessions et autorisation de prise d'eau resteront soumises aux clauses et conditions tant des arrêtés précités que des cahiers de charges y annexés. Dans le délai de trois mois à compter de la date de la notification du
ZONE 1 930 14 1.710 2 990 15 1.770 3 050 16 1.830 4 1 110 17 1.890 5 170 18 1.950 6 1 230 19 2.010 7 1 290 20 2.070 1 350 21 .130 9 1 410 22 2.190 10 1 470 23 2.250 11 1 035 24 21 12 1 590 25 .2703 1 1 650 Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est accordé à titre personnel et précaire à Monsieur Brosse eRobt,r commerçant à Gaoual, un terrain urbain de 1.500 mètres carrés sis à Gaoual en vue d'une installation commerciale provisoire e délmté conformément au plan joint n arrêté, svr : À l'est : par a route du fleuve Tominé; À l'ouest : p l clln de Dalaba ; Au nord : par le sentier qui mène à Sintiourou ; Au sud : pr village de Dalaba. Le présent permis est accordé aux onditios fixées pr les articles 53 t 59 de l'arrêté local d 31 mars 1936 et moynt une redevance annuelle e mille-cinq-cents francs (1.500 fr.). Cette redevance courra du 1er jnvr 1944 et sera payable d'avance au Bureau des Domaines de Conakry dans les deux premiers mois de lannée livic,e t pour l'e en cours dns les rteent jours de la notification du présent arrêté. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 ma 1944, sont autorisés les transferts e la Société à responsabilité limitée « Pilotaz & Clastres » o au capital de million de francs et dont le siège est à Coyah, représentée par Monsieur Pierre lestCsra : 1° eD la concession provisoire d'u terrain de 28 ecta à Coyah; ° De l'autorisation de prise d'eau dans la rivière Sarinka; 3° eD l concession provisoire d'un terrain de ha. 78 à Coyah accordée à Mnsr René Pilotaz par arrêté susvisé. Ces concessions et autorisation de prise d'eau resteront soumises aux clauses et conditions tant des arrêtés précités que des cahiers de charges y . Dans le dléai de trois mois à compter de l date d l notification du
les deux premiers mois de l'année civile, et pour l'année en cours dans les trente jours de la notification du présent arrêté. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, sont autorisés les transferts de la Société à responsabilité limitée « Pilotaz & Clastres » formée au capital de 1 million de francs et dont le siège est à Coyah, représentée par Monsieur Pierre Clastres : 1° De la concession provisoire d'un terrain de 28 hectares à Coyah; 2° De l'autorisation de prise d'eau dans la rivière Sarinka; 3° De la concession provisoire d'un terrain de 1 ha. 78 à Coyah accordée à Monsieur René Pilotaz par arrêté susvisé. Ces concessions et autorisation de prise d'eau resteront soumises aux clauses et conditions tant des arrêtés précités que des cahiers de charges y annexés. Dans le délai de trois mois à compter de la date de la notification du présent arrêté, un exemplaire enregistré de l'acte de cession des concessions ci-dessus devra être notifié au Receveur des Domaines, sous peine de retrait de la présente autorisation. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est accordé pour une durée de sept ans, à compter de la date du présent arrêté à Madame Bedin à Kankan la concession provisoire, en vue de l'installation d'une briquetterie, d'un terrain d'une superficie de 3 hectares 90 situé à Kankan, près du Milo cercle de Kankan et limité conformément au plan joint au présent arrêté, savoir : À l'est : par des terrains vagues; À l'est : par le Milo; Au sud : par le Milo; À l'ouest : par le Milo, Le concessionnaire sera tenu annuellement au paiement de la somme de cent francs (100) à titre de redevance. La présente concession est soumise aux clauses et conditions déterminées par le cahier des charges annexé au présent arrêté et accordée sous réserve expresse des droits des tiers. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est prorogé de cinq ans, à partir du 1er octobre 1944, le bail consenti à Monsieur Sébory Kourouma, commerçant à N'Zérékoré, par arrêté
les deux premiers mois d lannée civile, te pour lannée en cours dans les trente jours de la notification présent arrêté. Par arrêté du Guvn en e du 30 mai 944, sont autrs les tsfer de l Société à responsabilité limitée « Pio Clastres » formée au capital d 1 mion de francs dont le siège est à Choay, représentée par Monsieur Prr Clastres 1° D la concession provisoire d'un trrn e 28 hectares Coyah; 2° De l'autorisation de iresp d'eau dans la rivière Srnk; 3 De la cneo provisoire d'un terrain de 1 ha. 78 à Coyah accordée à Monsieur René Pltz par arrêté susvisé. Ces concessions et nsrautaoioti de prise d'eau resteront soumises aux clauses et conditions tnt des arrêtés précités que ds cahiers d charges annexés. Dans l éladi de trois mois à omte ed la date de la ntfctn du présent arrêté, un xmplr enregistré ed l'acte d cession des concessions c-dsss devra être notifié au Receveur des Domaines, sous peine de retrait de la présente autorisation. Par rrêté du Gouverneur en date du 03 mai 1944, il est accordé pour une derué de sept n,as à compter d la date du présent aêt à Madame Bedin à akn la concession oi, en vue de l'installation d'une briquetterie dun terrain d'une superficie de hectares 90 situé à Kankan près du Milo cercle de Kankan et limité cnfrmémnt au plan intjo au présent rrêté, savoir : À l'est : par des terrains vagues; À l'est : r le Milo; Au sd : par l l; louest : par l Milo, Le eonarinsceinsoc sera te annuellement au paiement de la somme d cent francs (100) à titre de redevance. La présente concession est soumise aux clauses et conditions déterminées par le cahier des ashecgr annexé pren arrêté et ccrdé sous réserve expresse des droits des tiers. Pr arrêté du Gouverneur n date du 30 mai 194 es prorogé de cinq ans, à partir du 1er octobre 1944, le bl consenti à Monsieur Sébory Kourouma, commerçant à N'Zérékoré, r arrêté
date du présent arrêté à Madame Bedin à Kankan la concession provisoire, en vue de l'installation d'une briquetterie, d'un terrain d'une superficie de 3 hectares 90 situé à Kankan, près du Milo cercle de Kankan et limité conformément au plan joint au présent arrêté, savoir : À l'est : par des terrains vagues; À l'est : par le Milo; Au sud : par le Milo; À l'ouest : par le Milo, Le concessionnaire sera tenu annuellement au paiement de la somme de cent francs (100) à titre de redevance. La présente concession est soumise aux clauses et conditions déterminées par le cahier des charges annexé au présent arrêté et accordée sous réserve expresse des droits des tiers. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est prorogé de cinq ans, à partir du 1er octobre 1944, le bail consenti à Monsieur Sébory Kourouma, commerçant à N'Zérékoré, par arrêté n° 1739 du 30 octobre 1942, et concernant un terrain de 934 mètres carrés sis à N'Zérékoré. La présente prorogation est accordée aux conditions du cahier des charges annexé à l'arrêté et moyennant le paiement d'une redevance annuelle de neuf-cent-trente quatre francs. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est prorogé de cinq ans, à partir du 1er octobre 1944, le bail consenti à Monsieur Sébory Kourouma, commerçant à N'Zérékoré, par arrêté n° 1185 du 22 mai 1936 et concernant un terrain de 1.489 mètres carrés sis à Lola cercle de N'Zérékoré. La présente prorogation est accordée aux conditions du cahier des charges annexé à l'arrêté susvisé et moyennant le paiement d'une redevance annuelle de mille-quatre-cent-vingt-neuf francs. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est attribué à titre définitif à M. Mamadou Bâ, commerçant demeurant à Pita, le lot 34 du plan de lotissement de Pita dont l'adjudication avait été prononcée à son profit suivant procès-verbal du 20 juin 1939, ratifié par arrêté du 7 août 1939. Ce terrain mesurant deux mille cinq cents mètres carrés est immatriculé au nom de l'Etat français sous le n° 17 du Livre foncier des Timbis. Dans
date du sent arrêté à Madame Bedin à Kankan la concession provisoire en vue de atnls'lnaiitlo nd'eu brqttr, d'un trrn d'une superficie de 3 hectares 90 situé à Kankan, près ud Milo cercle de Kankan et limité conformément au plan joint au présent arrêté, savoir : À lest : par des terrains vagues À l'est par le Milo; Au sud : par le Milo; À 'ouest : par l Milo, Le concessionnaire sera unet annuellement au paiement d la somme d cent francs 0) à titre de redevance. La présnt concession est sms aux clauses et conditions déterminées par le cahier des charges annexé au présent arrêté et accordée sous réserve expresse des droits des tiers. Pr arrêté du Gouverneur en date d 30 mai 1944, est pogé de cinq ns, à partir d 1er octobre 1944, le bail consenti à Monsieur Sébory Kourouma, commerçant à N'Zérékoré, par arrêté °n 1739 du 30 octobre 1942, oean un terrain de 934 mètres cré sis à 'Zérékoré. La présnt prorogation est accordée aux conditions du cahier des charges annexé à l'arrêté et mynnnt le pmnt d'une rdvnc annuelle de neuf-cent-trente quatre francs. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est prorogé de cinq ans, à partir du e1r octobre 1944, le bail consenti à Monsieur Sébory Kourouma, commerçant à N'Zérékoré, par arrêté n° 1185 du 22 mai 1936 t concernant un trrn e 1.489 mètres cr sis à Lola cercle de NZérékoré La présente prorogation est accordée aux conditions du cahier des ahgcsre annexé à l'arrêté susvisé t moyennant le paiement d'une redevance annuelle de mille-quatre-cent-vingt-neuf francs. Par arrêté du Gvrnr n date du 30 mai 1944, il est attribué à titre définitif à M. Mamadou Bâ, commerçant demeurant à Pt, le lot 34 du plan de ltssmnt de Pita dont l'adjudication avait été prononcée à son profit suivant procès-verbal du 20 juin 1939, ratifié par arrêté du 7 août 1939. Ce terrain mesurant deux mille cinq cents mètres carrés est immatriculé au nom d l'Etat français os le n° 17 du ivr foncier des Timbis. Dans
mai 1944, est prorogé de cinq ans, à partir du 1er octobre 1944, le bail consenti à Monsieur Sébory Kourouma, commerçant à N'Zérékoré, par arrêté n° 1185 du 22 mai 1936 et concernant un terrain de 1.489 mètres carrés sis à Lola cercle de N'Zérékoré. La présente prorogation est accordée aux conditions du cahier des charges annexé à l'arrêté susvisé et moyennant le paiement d'une redevance annuelle de mille-quatre-cent-vingt-neuf francs. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est attribué à titre définitif à M. Mamadou Bâ, commerçant demeurant à Pita, le lot 34 du plan de lotissement de Pita dont l'adjudication avait été prononcée à son profit suivant procès-verbal du 20 juin 1939, ratifié par arrêté du 7 août 1939. Ce terrain mesurant deux mille cinq cents mètres carrés est immatriculé au nom de l'Etat français sous le n° 17 du Livre foncier des Timbis. Dans la quinzaine qui suivra la notification du présent arrêté, le concessionnaire versera au Bureau des Domaines de Conakry tous droits exigibles. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est prorogé pour une durée de cinq ans, à compter du 16 juin 1943, la location accordée par arrêté du 15 juin 1939 à M. Gabriel Karam, commerçant à Conakry, portant sur un terrain de 60 mètres carrés sis à Colo, cercle de Boffa. Cette prorogation est accordée aux clauses et conditions de l'arrêté précité, sauf en ce qui concerne la redevance annuelle qui sera portée de 30 francs à 60 francs, et ce, à compter du 16 juin 1943. Dans la quinzaine de la notification du présent arrêté, le concessionnaire versera au Bureau des Domaines, à Conakry, tous droits exigibles. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est autorisé le transfert à M. Pouech, commerçant à Conakry, du permis d'occupation d'une parcelle de 500 mètres carrés, sise à Conakry près de la digue de Tumbo et dépendant du domaine public maritime, accordée à Mme Aminthe par arrêté du 16 juin 1928, modifié par celui du 24 avril 1941. Le permis d'occupation restera soumis aux clauses
mai 1944, est érorgop de cinq ans, prtr du 1er ctbr 1944, le bail consenti à Monsieur ySbroé o,ruaomuK oeçat à N'Zérékoré, par arrêté ° 1185 du 22 mai 1936 et concernant un terrain de 1.489 mètrs carrés sis à Lola cercle de N'Zérékoré. La présente prrgtn est accordée aux conditions du chr des charges annexé à l'arrêté susvisé et moyennant le paiement 'une redevance annuelle de mille-quatre-cent-vingt-neuf francs. Par arrêté du Gouverneur en adte du 30 mai 1944, il tse attribué à titre définitif à M Mmd Bâ tcrommneaç demeurant à Pita, le lot 34 du plan de lotissement Pita dont 'adjudication vait été onpoerncé à son profit suivant procès-verbal du 20 juin 1939, ratifié pr arrêté d 7 août 1939. Ce tr mnt deux mille cinq cents mètres carrés et immatriculé au nom de 'Ea français sous l n° 7 d Livre foncier des Timbis. Dans la quinzaine qui suivra la notification du présent arrêté, le cncssnnr versera au Bureau des Domaines de Conakry tous droits eigb Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est pgéoror pour durée de cinq ans, à compter du 16 juin 1943, la location accordée par arrêté du 15 juin 1939 à M. Gre Karam, commerçant à Conakry, rnt ur un terrain de 60 mètres carrés ssi à Cl cercle de Boffa. tCete prorogation est accordée a clauses et conditions de 'arrêté précité, sauf ce qui concerne la redevance annuelle qui rase orée 30 francs à 60 francs, et c, à compter du 16 juin 1943. Dans la quinzaine de la niicion du présent arrêté, el concessionnaire versera au Bureau des Domaines, à Conakry, tous droits exigibles. Par arrêté du Gvrnr ne date d 30 m 1944, est autorisé le transfert à M. Pouech, cmmrçnt à Conakry, du prms d'occupation 'une lperealc de 0 mètres carrés sise à Conakry près de la digue de Tumbo et dépendant du domaine plc maritime, accordée à Mme Aminthe pr arrêté du 16 juin 1928, d par iclue du 24 avril 1941. L permis doccupation restera soumis aux clauses
du 15 juin 1939 à M. Gabriel Karam, commerçant à Conakry, portant sur un terrain de 60 mètres carrés sis à Colo, cercle de Boffa. Cette prorogation est accordée aux clauses et conditions de l'arrêté précité, sauf en ce qui concerne la redevance annuelle qui sera portée de 30 francs à 60 francs, et ce, à compter du 16 juin 1943. Dans la quinzaine de la notification du présent arrêté, le concessionnaire versera au Bureau des Domaines, à Conakry, tous droits exigibles. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est autorisé le transfert à M. Pouech, commerçant à Conakry, du permis d'occupation d'une parcelle de 500 mètres carrés, sise à Conakry près de la digue de Tumbo et dépendant du domaine public maritime, accordée à Mme Aminthe par arrêté du 16 juin 1928, modifié par celui du 24 avril 1941. Le permis d'occupation restera soumis aux clauses et conditions tant des arrêtés précités que du cahier des charges y annexé. Dans le délai de trois mois à compter de la date de notification du présent arrêté, un exemplaire enregistré de l'acte de cession des droits immobiliers de Mme Aminthe devra être notifié au Receveur des Domaines, sous peine du retrait de la présente autorisation. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est autorisé le transfert à M. A. Pouech, commerçant à Conakry, du droit d'occuper à titre précaire et révocable un terrain de 6 mètres carrés sur le terre-plein du port et dépendant du domaine public maritime, accordé à M. Aminthe par arrêté local n° 2686 A. E, du 16 novembre 1937, mais dans un autre emplacement qui sera situé dans le prolongement de l'appontement en bois d'une part et le prolongement de la façade nord des magasins-cale, d'autre-part, conformément au plan joint. M. A. Pouech sera tenu de transporter sur le nouveau terrain les installations qui auraient pu être édifiées sur l'ancien en se conformant aux prescriptions de l'arrêté du 16 novembre 1937 et toutes celles qui pourraient lui être imposées par le Service du Port tant pour la mise en place des
du 15 jui 1939 à M. Grbiale rm mrçt à Cnro,ayk portant sur terrain de 60 mètres arés sis à Colo cercle e Boffa. Cette apgirronoto est ccrdé aux clauses et conditions de l'arrêté précité, sf en ce qui cncrn la redevance annuelle qui sera portée de 30 francs à 0 francs, et ce, à compter du 16 juin 1943. Dans la quinzaine de la notification du présent arrêté, le cncssnnr versera au Bureau ds Dains, à Conakry, tous droits exigibles. Par rrêté du Gouverneur date ud 03 mai 1944 est autorisé le transfert à M. Pouech, commerçant à Conakry du permis d'occupation d'une parcelle de 500 mètrs carrés, sise à oarCnky près de la digue de Tumbo t dépendant du domaine pblc maritime, accordée à Mm Aminthe par r 16 juin 1928, modifié par celui d 24 avril 1941. Le permis 'cupan restera soumis aux clauses conditions tant des arrêtés précités que du cahier des charges y annexé. Dans le délai de trois mois à compter de la date de notati du présent rrêté, exemplaire nrgé de l'acte d cession des droits immobiliers de Mme Aminthe devra être notifié au Reer des Domaines, sous peine du retrait de la présente autorisation. Par arrêté du Gouverneur en dt du 30 mai 1944, est autorisé le transfert à M. A. Pouech, commerçant à Cnkry, du drt d'occuper titre précaire et révocable un terrain de 6 mètrs carrés su le terre-plein d port et dépendant u di public martm, aord à M. Aminthe par arrêté lcl n° 2686 . E, du 16 novembre 1937, a dns autre emplacement uqi sera situé dans l geonoleptrmn de l'appontement en bois d'une part et le prolongement d la fçd nord des mgsns-cl, d'autre-part, conformément au plan joint. M. A. Pou sera tn de trnsprtr sur le nouveau terrain les installations qui auraient pu être édifiées sur lancien en se conformant au ceirrnsipospt de l'rrêté du 16 novembre 193 et toutes celles u orraen lui être imposées par le Service du Port tnt pour mise en place ds
peine du retrait de la présente autorisation. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est autorisé le transfert à M. A. Pouech, commerçant à Conakry, du droit d'occuper à titre précaire et révocable un terrain de 6 mètres carrés sur le terre-plein du port et dépendant du domaine public maritime, accordé à M. Aminthe par arrêté local n° 2686 A. E, du 16 novembre 1937, mais dans un autre emplacement qui sera situé dans le prolongement de l'appontement en bois d'une part et le prolongement de la façade nord des magasins-cale, d'autre-part, conformément au plan joint. M. A. Pouech sera tenu de transporter sur le nouveau terrain les installations qui auraient pu être édifiées sur l'ancien en se conformant aux prescriptions de l'arrêté du 16 novembre 1937 et toutes celles qui pourraient lui être imposées par le Service du Port tant pour la mise en place des nouveaux aménagements que pour la mise en état du terrain antérieurement occupé. L'occupation se fera aux clauses et conditions stipulées à l'arrêté du 16 novembre 1937 qui ne seront pas contraires à celles du présent arrêté. Les effets du présent transfert seront reportés rétroactivement au 1er janvier 1944. Le permissionnaire paiera une redevance forfaitaire de trente francs, annuellement, dans les deux premiers mois de chaque année et pour la première fois dans les quinze jours de la notification du présent arrêté. Par dérogation à l'article 11 de l'arrêté du 16 novembre 1937, la présente autorisation d'occupation est accordée sans stipulation de durée. Dans les trois mois de la notification du présent arrêté, les parties seront tenues de présenter au Receveur des Domaines un exemplaire enregistré de la cession des droits immobiliers objet du transfert, sous peine du retrait de l'autorisation. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est autorisé le transfert à M. A. Pouech, commerçant à Conakry, de la concession provisoire du lot 17 de la zone industrielle de Conakry, accordée à M. Aminthe par arrêté local du 30 décembre 1937. Le présent transfert est accordé sans prorogation de délai et la concession restera soumise aux
ineep du retrait de la présente autorisation. Par rrêté d Gouverneur en date du 30 m 14 est autorisé le transfert à M. A. Pouech, cmmrçnt à Cnr du droit d'occuper titre précaire et révocable un terrain 6 mètres carrés ur le terreplein prt t dépendant du domaine public maritime, accordé à M Aminthe par arrêté local n° 2686 A. , d 16 novembre 1937, mais dans n autre emplacement qui sr stiué dans le prolongement d l'appontement en bois 'une part et le prolongement de la fçd nord des magasins-cale, d'tr-prt, conformément au plan joint. M. A. ePhocu sera tenu de trnsprtr sur l nouveau terrain les installations qui auraient u être édifiées sur l'ancien en se conformant ux prescriptions de larré du 16 novembre 1937 et toutes celles qui pourraient lui êre ms par le Service du Port tant pour la ms en plc des nvx aménagements que p la mise en état du terrain antérieurement .cocpéu L'occupation se a aux clauses et conditions spu à l'arrêté du vme 1937 uqi ne r pas contraires à clls du présent arrêté. Les effets du sen transfert srt reportés rétroactivement au 1er janvier 1944. Le permissionnaire paiera n redevance forfaitaire ed tetrne francs au dns les deux premiers mois d chaque année et r l prmèr fois dans e quinze jours e la notification du présent arrêté. Par dérogation l'article 11 de trê'laré du 16 novembre 1937, l présente autorisation d'ccptn est accordée sns stipulation de dré. nasD les trois mois de la notification du st rê e parties seront u de présenter au Receveur des mie un exemplaire enregistré de la cession dse drts immobiliers objet u traser sous peine d retrait de lautorisation Par arrêté du Gouverneur en date d 30 mai 1944, est autorisé le transfert à M. A Pouech, commerçant à Conakry de la concession provisoire du lot 17 de la zone ndstrll de Conakry, accordée à Aminthe par arrêté local du 30 décembre 1937. Le présent transfert st accordé sans prorogation d dél et al cessin restera sms aux
paiera une redevance forfaitaire de trente francs, annuellement, dans les deux premiers mois de chaque année et pour la première fois dans les quinze jours de la notification du présent arrêté. Par dérogation à l'article 11 de l'arrêté du 16 novembre 1937, la présente autorisation d'occupation est accordée sans stipulation de durée. Dans les trois mois de la notification du présent arrêté, les parties seront tenues de présenter au Receveur des Domaines un exemplaire enregistré de la cession des droits immobiliers objet du transfert, sous peine du retrait de l'autorisation. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est autorisé le transfert à M. A. Pouech, commerçant à Conakry, de la concession provisoire du lot 17 de la zone industrielle de Conakry, accordée à M. Aminthe par arrêté local du 30 décembre 1937. Le présent transfert est accordé sans prorogation de délai et la concession restera soumise aux conditions tant de l'arrêté du 30 décembre 1937 précité que du cahier des charges y annexé. Dans le délai de trois mois à compter de la notification du présent arrêté, un exemplaire enregistré de l'acte de cession de la concession devra être notifié au Receveur des Domaines sous peine de retrait de la présente autorisation. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est accordé à titre personnel et précaire à M. Trianta Mengrelis, commerçant à Macenta, un terrain urbain de 1282 mètres carrés formant la parcelle 1 du lot 15 de Macenta, en vue d'une installation commerciale provisoire et délimité conformément au plan joint au présent arrêté, savoir : Au Nord, par la route de Kankan-Gueckedou ; Au Sud, par la parcelle 2 ; A l'Est, par une route de 10 mètres ; A l'Ouest, par la rue résidence-Bureau. Le présent permis est accordé aux conditions fixées par les articles 53 à 59 de l'arrêté local du 31 mars 1936 et moyennant une redevance annuelle de 1.282 francs (mille deux-cent quatre-vingt-deux francs). Cette redevance courra du 1er janvier et sera payable d'avance au Bureau des Domaines de Conakry dans les deux premiers mois de l'année civile,
paiera une redevance forfaitaire de trente francs, annuellement, dans le deux premiers mois de chaque nné et pour la première fois dans les quinze jours de la notification du présent arrêté. Par dérgtn à l'article 11 de l'arrêté ud 16 novembre 1937, la présente trstn 'occupation est accordée sans stipulation de durée. Dans les trois mois de la notification du présent arrêté, les parties seront tenues de présntr au Rcvr des Domaines un xmplr ertr de la cession des droits immobiliers objet du transfert, sous peine du retrait l'autorisation. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est autorisé le transfert à M A. Pouech, commnt à Conakry, de la concession provisoire du lot 17 de l zone industrielle de Cnkry, accordée à M Aminthe par arrêté local du 30 décembre 1937. Le présent transfert est accordé sns prorogation de délai et la concession rstr soumise aux conditions tant de l'arrêté du 30 décembre 1937 précité que du cahier des charges y annexé. Dans e délai de trois mois à compter de la notification d présent arrêté, un exemplaire enregistré d l'acte de cession de la coei devra être notifié au Receveur des Domaines sous peine de retrait de la présnt autorisation. Pr arrêté du Gouverneur en aetd du 30 mai 94,41 l est accordé à titre personnel et précaire à M. Trianta Mengrelis, commerçant à Macenta, un terrain urbain de 1282 mètres carrés formant la parcelle 1 du lot 15 de aea, en v d'une nstlltn commerciale provisoire et délimité conformément au pln joint au présent arrêté, savoir : Nord, par la route de Kankan-Gueckedou ; Au Sud, par la parcelle 2 ; A sEtl', par une route de 10 mètres A l'st, par la rue résidence-Bureau. Le présent permis tes accordé aux conditions fixées par les articles 53 à 59 de l'arrêté c 31 mars 1936 et moyennant une nedceevra null de 1.282 francs (mille deux-cent quatre-vingt-deux francs). Cette redevance courra du 1er janvier et sera payable avane au Bureau e Domaines d Conakry dans les deux premiers mois de l'année civile
retrait de la présente autorisation. Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est accordé à titre personnel et précaire à M. Trianta Mengrelis, commerçant à Macenta, un terrain urbain de 1282 mètres carrés formant la parcelle 1 du lot 15 de Macenta, en vue d'une installation commerciale provisoire et délimité conformément au plan joint au présent arrêté, savoir : Au Nord, par la route de Kankan-Gueckedou ; Au Sud, par la parcelle 2 ; A l'Est, par une route de 10 mètres ; A l'Ouest, par la rue résidence-Bureau. Le présent permis est accordé aux conditions fixées par les articles 53 à 59 de l'arrêté local du 31 mars 1936 et moyennant une redevance annuelle de 1.282 francs (mille deux-cent quatre-vingt-deux francs). Cette redevance courra du 1er janvier et sera payable d'avance au Bureau des Domaines de Conakry dans les deux premiers mois de l'année civile, et pour l'année en cours, dans les quarante-cinq jours de la notification du présent arrêté. 1124 A. E. — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est et demeure rapporté l'arrêté local du 16 novembre 1937, accordant à M. Habib Balagui, commerçant à Conakry, le permis d'occuper précaire d'un terrain de 750 mètres carrés sis à Don Prou (cercle de Boffa). Le dit terrain fait retour au Domaine libre de toutes charges. Au reçu d'une amplification du présent arrêté, le Receveur des Domaines à Conakry annulera sur les sommiers les articles ouverts au nom du concessionnaire déchu. 1225 A. E. — L'arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est résilié à compter du présent arrêté la location consentie à M. Najib Hussein Hélai, par arrêté du 11 mars 1938, d'un terrain de 27 hectares 3 ares 35 centiares sis à Morébaya, cercle de Forécariah. La concession provisoire dudit terrain lui est accordée pour une durée de deux ans à compter de la date du présent arrêté en vue de la culture des plantes tropicales d'exportation. Le concessionnaire sera tenu annuellement au paiement de la somme de cent quarante francs à titre de redevance. La présente
retrait de la présente autorisation. Par rrêté du Gvrnr en date du 30 mai 1944, il est accordé titre on et précaire à M. Trianta Mengrelis, commerçant à Macenta, un terrain urbain de 1282 mètres carrés formant la parcelle 1 du lot 15 d Macenta, en vue d'une installation commerciale prvsr et déiié conformément plan joint présent arrêté, savoir : Au Nord, arp la route de Knkn-Gckd ; Au Sud, par l parcelle 2 ; s,tE'l n route de 10 mètres ; A ust, par la rue résidence-Bureau. L présent permis est accordé aux conditions fixées pr les articles 53 59 de l'arrêté ocl du 31 mars 1936 et moyennant une redevance annuelle de 1.282 francs (mille deux-cent quatre-vingt-deux francs). Cette redevance courra du 1er janvier et sera balpeya d'avance au Bureau des Domaines de Conakry dans les deux premiers mois de l'année civile, et pour l'année en ,rsuco dans les quarante-cinq jours de la notification du présent arrêté. 1124 A. E — Par arrêté du Gouverneur date du 30 mai 94, est et demeure rpraptéo l'arrêté local ud 16 nvmbr 1937, accordant à M. Habib Balagui, commerçant à Conakry, le mepsir d'occuper précaire d'un terrain de 750 mètres crrés sis à Don Pr (cercle de Bff). Le dit terrain fait retour au Domaine libre de outs hage. Au reçu dune amplification du présent arrêté, le Receveur des Domaines à Conakry annulera urs le sommiers les rtcls ouverts au nom du concessionnaire déchu. 225 E. — L'arrêté du Gvrnr en date du 30 mai 1944, est résilié à compter du présent arrêté la location consentie à M. Najib Hussein ,aéliH par rrêté du 11 mars 1938, d'un terrain d 27 hectares 3 ares 35 centiares sis à Mréby, cercle de Forécariah. La concession provisoire dudit rertina lui est accordée pour une durée de deux ans à compter ed la t du présent arrêté en vue de al culture des plantes tropicales d'xprttn. Le concessionnaire sera tenu annuellement au iemn de la somme de cent quarante francs à titre d redevance. La présente
précaire d'un terrain de 750 mètres carrés sis à Don Prou (cercle de Boffa). Le dit terrain fait retour au Domaine libre de toutes charges. Au reçu d'une amplification du présent arrêté, le Receveur des Domaines à Conakry annulera sur les sommiers les articles ouverts au nom du concessionnaire déchu. 1225 A. E. — L'arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est résilié à compter du présent arrêté la location consentie à M. Najib Hussein Hélai, par arrêté du 11 mars 1938, d'un terrain de 27 hectares 3 ares 35 centiares sis à Morébaya, cercle de Forécariah. La concession provisoire dudit terrain lui est accordée pour une durée de deux ans à compter de la date du présent arrêté en vue de la culture des plantes tropicales d'exportation. Le concessionnaire sera tenu annuellement au paiement de la somme de cent quarante francs à titre de redevance. La présente concession est soumise aux clauses et conditions déterminées par le cahier des charges annexé au présent arrêté et accordée sous réserve expresse des droits des tiers. 1226 A. E. — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est et demeure rapporté l'arrêté local n° 711 A. E. du 28 mars 1939 accordant à M. Moussa Touré, commerçant à Douprou, le permis précaire d'occuper un terrain de 435 mètres carrés sis à Douprou, cercle de Boffa. Ledit terrain fait retour au Domaine, libre de toutes charges. Au reçu d'une amplification du présent arrêté, le Receveur des Domaines à Conakry annulera sur les sommiers les articles ouverts au nom du concessionnaire déchu. 1227 A. E. — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, l'article 3 de l'arrêté n° 2425 A. E. du 11 septembre 1943 accordant le transfert aux Tanneries de l'Afrique occidentale française à Kindia, de la concession provisoire d'un terrain de 8 hectares sis à Sankouré (cercle de Kindia) précédemment accordé à Mme Champagne par arrêté du 29 mai 1942, est modifié comme suit : "Article 3. — Dans un délai de 6 mois à compter du 12 janvier 1944, un exemplaire enregistré de
précaire d'un terrain de 750 mètres carrés sis à Don Prou (cercle de Boffa). Le dit terrain fait retour au Domaine libre d toutes charges. Au reçu d'une mplfctn d présent arrêté, le Receveur ds Domaines à Conakry annulera sur les sommiers les articles ouverts au nom du concessionnaire déchu. 1 . E. — Larrêté du Gouverneur en dt du 30 mai 1944, est résilié à compter du présent rrêté la location consentie à M. Najib Hussein Hélai, par arrêté du 11 mars 1938, d'un terrain d 27 hectares 3 ares 35 centiares sis à Morébaya, cercle de Forécariah. La concession provisoire dudit terrain lui est accordée pour due de uedx ans à cmptr d la date d présent rrêté en vue de la culture des plantes tropicales d'exportation. Le concessionnaire sera tenu annuellement au paiement de l somme de cent quarante francs à titre de redevance. La réte concession est soumise aux clauses et conditions détrmnés par le cahier des charges nnxé en arrêté et accordée sous réserve expresse sde droits des tiers. 1226 . E. — Par arrêté du Gouverneur en a du 30 mai 1944, est et demeure rapporté l'rrêté local n° 711 A E. du 28 mars 1939 accordant à M. Moussa Touré, commerçant à Douprou, le em précaire d'occuper un terrain de 435 mètres carrés si à Dpr, cercle de Boffa. Ledit terrain fait retour Domaine, libre de toutes charges. Au rç 'une amplification du présent arrêté, le Rcvr des Domaines Conakry annulera sur sommiers ls articles uvts au nom du concessionnaire déchu. 1227 A. E. — Par aê du Gouverneur en date du 30 mai 1944, l'article 3 de l'arrêté n° 2425 A. du 11 ebr 194 accordant le transfert aux Tanneries de l'Afrique occidentale française à Kindia, de la concession provisoire d'un terrain de 8 hectares sis à Sankouré (cercle de Kindia) précédemment ccrdé à Mm Champagne par arrêté du 29 mai 1942, st modifié comme suit : "Article 3. — Dans un délai de 6 mois à prmceto du 12 janvier 1944, un exemplaire enregistré de
du 28 mars 1939 accordant à M. Moussa Touré, commerçant à Douprou, le permis précaire d'occuper un terrain de 435 mètres carrés sis à Douprou, cercle de Boffa. Ledit terrain fait retour au Domaine, libre de toutes charges. Au reçu d'une amplification du présent arrêté, le Receveur des Domaines à Conakry annulera sur les sommiers les articles ouverts au nom du concessionnaire déchu. 1227 A. E. — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, l'article 3 de l'arrêté n° 2425 A. E. du 11 septembre 1943 accordant le transfert aux Tanneries de l'Afrique occidentale française à Kindia, de la concession provisoire d'un terrain de 8 hectares sis à Sankouré (cercle de Kindia) précédemment accordé à Mme Champagne par arrêté du 29 mai 1942, est modifié comme suit : "Article 3. — Dans un délai de 6 mois à compter du 12 janvier 1944, un exemplaire enregistré de l'acte de cession dudit terrain devra être notifié au Receveur des Domaines à Conakry, sous peine de retrait de la présente autorisation". 1228 A. E. — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est prorogé pour une durée qui expirera un an après la date de cessation officielle des hostilités, le délai de mise en valeur de la concession provisoire de 87 hectares accordée par arrêté du 12 juin 1939 à la Société Hernandez, Reyes, Batard à Céenta, canton de Samoukiri, cercle de Kindia. Cette prorogation est accordée aux clauses et conditions du cahier des charges annexé à l'arrêté de concession et prendra cours à compter du jour de la publication du présent arrêté. 1229 A. E. — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est accordé pour une durée de sept ans, à compter de la date du présent arrêté, à la Société de Culture du Fouta Djallon, Société à responsabilité limitée dont le siège est Conakry, représentée par M. Gète demeurant à Mamou la concession provisoire, en vue de la culture d'arbres fruitiers exotiques, d'un terrain de 199 hectares sis près du village de Kiniéko (cercle de Mamou) et délimité conformément
du 28 ms 1939 accordant à M. Moussa Touré, commerçant à Douprou, le permis précaire d'occuper un terrain de 435 mètres carrés sis à Douprou, cercle d Boffa. Ledit terrain fait retour au Domaine, libre de ue charges. Au reçu d'une mplfctn du présent arrêté, el Receveur des Domaines à Conakry annulera sur les somiers les rtcls ouverts au nom du concessionnaire déchu 1227 A. — Pr arrêté d Gouverneur en date ud 30 mai 1944, l'rtcl 3 de l'arrêté n 2425 . . d 11 septembre 1943 accordant le transfert x Tanneries de l'Afrique occidentale française à Kindia, de concession provisoire d'un terrain ed 8 hectares sis à Sankouré (crcl de Kindia précédemment accordé à Mme Champagne par arrêté du 29 mai est modié comme suit : "Article 3. — Dans n délai de mois à compter du 1 janvier 1944, nu exemplaire enregistré de l'acte d cession diutd terrain devra être notifié au Receveur des Domaines à Conakry, sous peine de it de la présente autorisation". 1228 A. E — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, est prorogé pour n durée qui expirera un an après la date de cessation officielle des hostilités, le délai de mise en valeur de la concession provisoire de 87 hectares accordée par arrêté du 12 juin 1939 la Société Hernandez, Rsyee, Batard à Céenta, canton de mkir cercle de .ainKid Cette prorogation est éacroedc aux clauses et conditions du chr de charges annexé t'rrêlaé de concession et prendra cours à compter jr de la publication du présent arrêté. 1229 A. E. — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est accordé pour une durée de sept ans, à compter de a date du présent arrêté, la Société de Culture du Fouta Djallon, Société à responsabilité limitée dont le siège est Cnkry, rprésnté par M. Gète demeurant à Mamou la concession provisoire, en vue de la culture d'arbres fruitiers exotiques, d'un terrain de 199 hectares sis près du villae de Kiniéko (crcl de Mamou) et délimité conformément
officielle des hostilités, le délai de mise en valeur de la concession provisoire de 87 hectares accordée par arrêté du 12 juin 1939 à la Société Hernandez, Reyes, Batard à Céenta, canton de Samoukiri, cercle de Kindia. Cette prorogation est accordée aux clauses et conditions du cahier des charges annexé à l'arrêté de concession et prendra cours à compter du jour de la publication du présent arrêté. 1229 A. E. — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est accordé pour une durée de sept ans, à compter de la date du présent arrêté, à la Société de Culture du Fouta Djallon, Société à responsabilité limitée dont le siège est Conakry, représentée par M. Gète demeurant à Mamou la concession provisoire, en vue de la culture d'arbres fruitiers exotiques, d'un terrain de 199 hectares sis près du village de Kiniéko (cercle de Mamou) et délimité conformément au plan joint au présent arrêté, savoir : au Sud par l'emprise de la voie ferrée du C. F. C. N.; à l'Est par une ligne orientée Nord-Sud partant de P. K. 342, 480 de la voie ferrée et aboutissant au confluent est du delta du Tigue et du Bafing 810 mètres; au Nord par une ligne droite de 780 mètres entre le point précité et une boucle du Bafing, une autre ligne de 430 mètres entre deux sentiers et touchant au fleuve ensuite par le Bafing (limite du Domaine public) jusqu'à la limite est; à l'Ouest par une ligne droite partant de la voie ferrée du P. K. 344, 520 et aboutissant au Bafing 1350 mètres. Le concessionnaire sera tenu annuellement au paiement de la somme de neuf cent quatre-vingt-quinze francs à titre de redevance. La présente concession est soumise aux clauses et conditions déterminées par le cahier des charges annexé au présent arrêté et accordée sous réserve expresse des droits des tiers. 1230 A. E. — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est autorisé le transfert à la Société à responsabilité limitée dite Société de Tambaya, de la concession provisoire d'un terrain de
officielle ds hostilités, le délai de mise en valeur de la oncesio provisoire de 87 hectares accordée par arrêté du 12 juin 1939 à la Société Hernandez, Reyes, Batard à Céenta, canton de Samoukiri, cercle de Kindia. Cette prorogation est accordée aux clauses et ocoinidstn du cahier s charges nexé à larrêté de onss et prendra cours à compter du jour de la lctn d présent arrêté. 1229 A. E. — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est accordé pour une durée de sept ans, à compter de la date du présent arrêté, à la Société de Culture du Fouta jl,oDnal Société à responsabilité limitée dont le siège s Conk représentée par M. Gète demeurant à Mamou la concession provisoire, en vue de la culture d'arbres frtrs exotiques, d'un iaerntr de 199 hectares sis près du village ed Kiniéko (cercle de Mamou) et tliédéim cnfrmémnt au plan joint au présent arrêté, savoir : au Sud par l'emprise de la voie ferrée du C. F. C. N.; l'Est par une ligne orientée Nord-Sud partant de P. K. 342, 480 de la voie ferrée te aboutissant au confluent est du delta du Tg et du Bafing 810 mètres; au Nord par n ligne droite de 780 mètres entre le point précité et une ol du Bafing, une autre ligne de 430 mètres entre dx sentiers et touchant au fleuve ensuite par le g (limite du Domaine public) jusqu'à la m est; l'Ouest par une lgn droite partant de la voie ferrée du P. K. 344, 520 et aboutissant au Bafing 1350 mers.tè Le cncssnnr sera tenu annuellement au paiement de la somme de neuf cent quatre-vingt-quinze francs à titre d redevance. La présente concession est soumise aux clauses et conditions déterminées par le cahier des charges annexé au présent rrêté et accordée sous rérvsee expresse des droits des tiers. 1230 A. E. — Par arrêté du ouneu en date 30 mai 1944, il est autorisé le transfert la Société à rspnsblté ité dite Société de Tambaya, de la concession provisoire 'un terrain d
810 mètres; au Nord par une ligne droite de 780 mètres entre le point précité et une boucle du Bafing, une autre ligne de 430 mètres entre deux sentiers et touchant au fleuve ensuite par le Bafing (limite du Domaine public) jusqu'à la limite est; à l'Ouest par une ligne droite partant de la voie ferrée du P. K. 344, 520 et aboutissant au Bafing 1350 mètres. Le concessionnaire sera tenu annuellement au paiement de la somme de neuf cent quatre-vingt-quinze francs à titre de redevance. La présente concession est soumise aux clauses et conditions déterminées par le cahier des charges annexé au présent arrêté et accordée sous réserve expresse des droits des tiers. 1230 A. E. — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est autorisé le transfert à la Société à responsabilité limitée dite Société de Tambaya, de la concession provisoire d'un terrain de 40 hectares sise à N'Tohon, au lieu dit Tambaya (cercle de Forécariah) accordée à M. Obry (Paul), par arrêté du 12 août 1939. La concession reste soumise aux clauses et conditions tant de l'arrêté précité du 12 août 1939, que du cahier des charges y annexé. Dans le délai de trois mois à compter de la date de notification du présent arrêté, un exemplaire enregistré de l'acte de cession de la concession susvisée devra être notifiée au Receveur des Domaines, sous peine de retrait de la présente autorisation. 1231 A. E. — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est autorisé le transfert à la Société à responsabilité limitée dite Société de Tambaya, de la concession provisoire d'un terrain de 9 hectares, 55 ares, 22 centiares sise à Benta-mou (cercle de Forécariah) accordée à Mme Obry (Paul), par arrêté du 6 février 1940. La concession reste soumise aux clauses et conditions tant de l'arrêté précité du 6 février 1940, que du cahier des charges y annexé. Dans le délai de trois mois à compter de la date de notification du présent arrêté, un exemplaire enregistré de l'acte de cession de la concession susvisée devra être notifié
810 mètres; au Nord une ligne droite de 780 mètres entre le point précité et une boucle du Bafing, une autre ligne de 3 mètres entre deux sentiers et touchant au fleuve nst par le Bafing (limite du Dmn public) jusqu'à la limite est à l'Ouest par une ligne droite partant la voie ferrée du P. K. 344, 5 et aboutissant au Bafing 1350 mètrs. Le concessionnaire sera tenu annuellement au paiement de la somme de nf cent quatre-vingt-quinze francs à titre de rdvnc. La présnt concession est soumise aux clauses et conditions déterminées par l cahier des charges annexé au psnt arrt t accordée sous réserve expresse ds droits des tiers. 1230 . E. — Par té du Gouverneur n date du 30 mai 1944, l est autorisé le transfert à la Société à responsabilité limitée dite Société de by,maaTa de a concession provisoire dun ea d 40 seethrca sise à N'Tohon, au lieu dt Tambaya (crcl de éF)craoirha accordée à .M Obry (Paul), par arrêté du 12 août 1939. La oiesccosnn rst soumise aux clss et conditions tant de l'arrêté précité du 21 août 1939, que d cahier des charges y annexé. Dans le délai de trois mois à compter de la date de notification du npétser arrêté, un exemplaire nrgstré de l'acte de cession de la concession susvisée devra être notifiée au Receveur des Domaines, sous peine d retrait de la présente autorisation. 1312 A. E — Pr rté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est autorisé le transfert à la Société à responsabilité limitée dite Socét de Tambaya, de l concession provisoire d'n terrain de hctrs, 55 ares, 22 centiares sise Benta-mou (cercle e Forécariah) accordée à Mme bry Paul par arrêté du 6 vrir 1940 La concession reste soumise ax clauses t conditions tant de l'arrêté pi du 6 févrr 1940, que du cahier des charges y annexé. Dans le délai de trois mois à compter d la dt ntfctn u présent arrêté, n exemplaire enregistré e l'acte de cession de la concession susvisée être notifié
trois mois à compter de la date de notification du présent arrêté, un exemplaire enregistré de l'acte de cession de la concession susvisée devra être notifiée au Receveur des Domaines, sous peine de retrait de la présente autorisation. 1231 A. E. — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est autorisé le transfert à la Société à responsabilité limitée dite Société de Tambaya, de la concession provisoire d'un terrain de 9 hectares, 55 ares, 22 centiares sise à Benta-mou (cercle de Forécariah) accordée à Mme Obry (Paul), par arrêté du 6 février 1940. La concession reste soumise aux clauses et conditions tant de l'arrêté précité du 6 février 1940, que du cahier des charges y annexé. Dans le délai de trois mois à compter de la date de notification du présent arrêté, un exemplaire enregistré de l'acte de cession de la concession susvisée devra être notifié au Receveur des Domaines, sous peines de retrait de la présente autorisation. Par arrêté du Gouverneur en date du 10 juin 1944, la date d'ouverture de la période de vente pour la campagne 1943-1944, relative aux palmistes de la zone forestière, est fixée au 1er juin 1944. Par arrêté du Gouverneur en date du 10 juin 1944, le centre de Dalaba ainsi qu'une zone de dix kilomètres autour de ce centre sont déclarés infectés de rage. Les mesures prophylactiques prévues à l'arrêté général du 29 mai 1933 sont applicables au centre et à la zone susvisée. Par arrêté du Gouverneur en date du 1er juin 1944, le Groupement dénommé « Association pour l’approchement Franco-Soviétique » (R.A.F.S.O.) est autorisé à fonctionner sous ce nom, conformément à ses statuts annexés au présent arrêté. Par arrêté du Gouverneur en date du 2 juin 1944, les valeurs à l'exportation des cuirs de bœufs secs arseniques type Conakry-brousse destinés à l'Office Français d'Approvisionnement sont fixées comme suit à la tonne : 1er choix 2e choix 3e choix Nu-bascule Conakry 12.000 8.891 5.832 Loco-magasin Conakry 13.770 10.312 6.853 FOB Conakry (non compris majoration forfaitaire de 800 frs, la tonne pour classement, contrôlement, réemballage et marquage) 16.610
trois mois à compter de al date de notification du présent arrêté un xmplr enregistré de l'ct de cession d la concession susvisée devra être notifiée au Receveur ds Domaines, sous peine de tit de la présnt autorisation. 1231 A. — Par arrêté du Gouverneur en date du 30 mai 1944, il est autorisé le transfert à la Société à responsabilité limitée etid Société de Tambaya, de l nssio provisoire d'un terrain de 9 hectares, 55 ares, 22 centiares ss à Benta-mou r de Forécariah) accordée à Mme Obry (Pl), par arrêté du 6 février 1940. La coeso reste aux clauses et conditions tant de l'rrêté précité du 6 février 1940, que du hr des charges y annexé. Dans le délai de trois mois à compter de la date de notification du présent arrêté, un exemplaire enregistré de l'acte de ei de la concession susvisée devra être notifié au Receveur des Domaines, sous peines de retrait e la présente urtion Par arrêté du Gouverneur en date d 10 juin 1944 la date douverture de la période d vente pour la cmpgn 19431944 rltv aux palmistes de la zone tsrè,ieofer tes fxé au 1er juin . Par arrêté Gouverneur en date du 10 juin 14 le ceretn de ab ainsi qu'une zone de dix kilomètres autour de ce cntr sont déclarés téscefni de rage. Les mesures ytie prévues à l'arrêté éna du 29 mai 1933 sont applicables au cntr et à l zone susvisée. Par rêé du Gouverneur en date du 1er jniu 1944, le ropemnt dénommé « Association pour l’approchement Franco-Soviétique » (R.A.F.S.O.) est aoié à fnctnnr sous ce nom conformément à ses statuts annexés au présent arrêté. Par arrêté du nouureGrev en dt d 2 juin 1944, les valeurs à l'exportation des cuirs de bœufs secs arseniques type Conakry-brousse destinés à l'Office Français d'Approvisionnement sont fixées comme suit à la tonne : re1 choix 2e choix 3e choix Nu-bascule Conakry 12.000 8.891 5.832 Locomagasin Conakry 13.770 10.312 6.853 FOB Conakry (nn compris majoration forfaitaire de 800 frs, la tonne pour tlsscen,eam contrôlement réemballage t marquage) 16.610
Gouverneur en date du 10 juin 1944, le centre de Dalaba ainsi qu'une zone de dix kilomètres autour de ce centre sont déclarés infectés de rage. Les mesures prophylactiques prévues à l'arrêté général du 29 mai 1933 sont applicables au centre et à la zone susvisée. Par arrêté du Gouverneur en date du 1er juin 1944, le Groupement dénommé « Association pour l’approchement Franco-Soviétique » (R.A.F.S.O.) est autorisé à fonctionner sous ce nom, conformément à ses statuts annexés au présent arrêté. Par arrêté du Gouverneur en date du 2 juin 1944, les valeurs à l'exportation des cuirs de bœufs secs arseniques type Conakry-brousse destinés à l'Office Français d'Approvisionnement sont fixées comme suit à la tonne : 1er choix 2e choix 3e choix Nu-bascule Conakry 12.000 8.891 5.832 Loco-magasin Conakry 13.770 10.312 6.853 FOB Conakry (non compris majoration forfaitaire de 800 frs, la tonne pour classement, contrôlement, réemballage et marquage) 16.610 12.490 8.360 Les infractions au présent arrêté sont passibles des sanctions prévues par la loi du 14 mars 1944. Par arrêté du Gouverneur en date du 6 juin 1944, la date de clôture de la période actuelle de vente de l'essence d'oranges est fixée au 5 juin 1944. Par arrêté du Gouverneur en date du 6 juin 1944, l'interdiction de circuler pour les véhicules chargés en totalité ou en partie de colas édictée par l'arrêté N° 182 A. E. du 29 mai 1944 pour la route intercoloniale n° 4 est étendue à la circulation dans le sens sud-nord sur la route intercoloniale n° 2 (Mamou-frontière Sénégal). Les infractions au présent arrêté sont passibles des sanctions prévues par la loi du 14 mars 1942. Par arrêté du Gouverneur en date du 6 juin 1944, l'article premier de l'arrêté n° 1024 A. E. du 3 mai 1944 relatif au rationnement du riz est rectifié comme suit : Rationnaires cartes A (Indigènes) : Au lieu de : « 9 kgs de riz net ou 12 kgs de paddy par mois. Lire : 9 kgs de riz net ou 13 k. 500 de paddy par mois ». Le reste sans changement. Par arrêté du
Gouverneur e date du 10 juin 1944, le centre de Dlb ainsi qu'une zone de dix kilomètres autour de ce cnr sont déclarés infectés de rage. Les mesures prophylactiques prévues à l'arrêté général du 29 mai 1933 sont applicables au centre et à la zone susvisée. Par aéêtrr du Gvrnr en date du re1 juin 1944, le Groupement dénommé « Association pour l’approchement Franco-Soviétique (R.A.F.S.O.) est ouiatérs à fonctionner sous ce nom, conformément à ses statuts annexés au présent arrêté. Par arrêté du Gouverneur en date du 2 juin 1944, les valeurs à l'exportation des cuirs de bœufs secs arseniques type Conakry-brousse destinés à l'Office Français 'Approvisionnement sont fxés cmm suit à la tonne : 1er choix 2 choix 3 chx Nu-bascule Conakry 12.000 8.891 5.832 Locomagasin Conakry 13.770 10.312 6.853 BFO Conakry (non compris majoration forfaitaire e 800 frs, la tnnoe pu classement, cntrôlmnt, rémbllg t marquage) 16.610 12.490 08.63 Les infractions au présent arrêté sont passibles des sanctions prévues par la loi du 14 mars 194. Par arrêté du rneu en dt du 6 juin 1944, la date de clôture de la période actuelle de ne de l'essence d'oranges est ixe au 5 juin 1944. Par arrêté ud Gouverneur en date du 6 juin 1449, l'interdiction de iucrlecr pour les véhl chargés en totalité ou en partie de colas édictée par l'arrêté N° 182 A. E. du 29 mai 1944 pour la route intercoloniale ° 4 est étendue à la circulation dans l sens sud-nord sru la route intercoloniale n° 2 (Mamou-frontière Sénégal). Les infractions au pre arrêté sont pasilbses des sanctions prévues par la loi du 14 mars 1942. Par arrêté du Gouverneur en date du 6 juin 1944, l'article premier de l'arrêté n° 1024 . . du 3 mai 1944 eati au rtionnmt du riz est rectifié comme suit : Rationnaires cartes A (Indigènes) : Au lieu de : 9 kgs de riz nt ou 12 kgs de paddy par mois. Lire : 9 gs de riz net ou 13 k. 500 de paddy par mois reste sans changement. Par aêértr du
du Gouverneur en date du 6 juin 1944, l'interdiction de circuler pour les véhicules chargés en totalité ou en partie de colas édictée par l'arrêté N° 182 A. E. du 29 mai 1944 pour la route intercoloniale n° 4 est étendue à la circulation dans le sens sud-nord sur la route intercoloniale n° 2 (Mamou-frontière Sénégal). Les infractions au présent arrêté sont passibles des sanctions prévues par la loi du 14 mars 1942. Par arrêté du Gouverneur en date du 6 juin 1944, l'article premier de l'arrêté n° 1024 A. E. du 3 mai 1944 relatif au rationnement du riz est rectifié comme suit : Rationnaires cartes A (Indigènes) : Au lieu de : « 9 kgs de riz net ou 12 kgs de paddy par mois. Lire : 9 kgs de riz net ou 13 k. 500 de paddy par mois ». Le reste sans changement. Par arrêté du Gouverneur en date du 13 juin 1944, est déclarée infectée de rage la zone comprenant la commune mixte de Conakry et les villages de Coléah et Camayenne. Les mesures prescrites au titre III de l'arrêté général n° 1252 S. E. du 29 mai 1933 réglementant la police sanitaire des animaux en Afrique occidentale française, sont applicables immédiatement dans les territoires sus-indiqués. COMMUNE MIXTE DE CONAKRY N° 27. — Par arrêté municipal en date du 13 juin 1944, un cas de rage ayant été constaté à la date de ce jour dans la ville de Conakry, il est interdit aux propriétaires de chiens de laisser circuler leurs animaux sur la voie publique et pendant un délai de deux mois à compter de ce jour. En cas d'inexécution des prescriptions qui précèdent, il sera dressé procès-verbal contre les contrevenants qui seront poursuivis conformément aux dispositions du décret du 7 décembre 1915 sur la Police sanitaire des animaux en Afrique occidentale française. Les chiens errants seront abattus sans délai. Par arrêtés et décisions du Gouverneur (Insertions sommaires). Administration générale Liste par ordre de mérite des candidats admis au concours du 25 mai 1944 pour l'emploi d'expéditionnaire du cadre local. 1 Camara Sékou (centre
du oereur en date du 6 juin 1944, 'interdiction de circuler pr les véhicules chargés en totalité ou en partie de colas édictée par 'arrêté N° 182 . E. du 29 mai 1494 pour la route intercoloniale n° 4 est étendue à la circulation dans le sens sdn sur l te nece n° 2 Mè-mroriftneoau( Sénégal). Les infractions au présent rrêté sont passibles des sanctions prévues par la loi d 14 mars 1942. Par arrêté du Gouverneur en date du 6 juin 1944, l'article premier de l'arrêté ° 2014 . E. d 3 m 1944 relatif au rationnement du riz est rectifié comme suit : Rationnaires cartes A Indigènes : Au lie de : « 9 kgs de riz ou kgs de paddy par mois. i : 9 kgs de riz net 13 k. 500 de pddy par mois ». Le reste sans changement. Par arrêté du Gouverneur en date du 13 juin 1944, est déclarée nfcté de rage la zone comprenant la comne mxe de Conakry t lse villages de Coléah t Cmynn. Les mesures prescrites au titre III de êréa'rtl général n° 1252 S E. du 29 ai 1933 réglementant la police sntr ds animaux en Afrique ile française, sont applicables mmédtmnt dans les teriir ss-ndqés. COMMUNE MIXTE DE CONAKRY N° 27. — Par arrêté municipal en dt du 13 juin 1944, un cas de rage ayant été constaté à la date de ce jour dans l ville de oaky li est ntrdt aux propriétaires de chiens de laisser circuler leurs ania sur la v publique et pendant un adéil de deux mois à compter de ce jour. En cas d'inexécution des prescriptions qui précèdent, il sr dressé procès-verbal contre les contrevenants q seront ouruii conformément aux dispositions d décret ud 7 décmbr 1915 sur la Police sanitaire des animaux en Afrique occidentale fan Les chiens errants seront abattus sans délai. Par arrêtés et décisions d Gouverneur (nsrtns sommaires). Administration naéegrlé Liste par ordre d mérite des candidats admis au cncrs du 25 m 9414 pour l'emploi d'expéditionnaire du cadre local. 1 Camara Sékou tre
en Afrique occidentale française, sont applicables immédiatement dans les territoires sus-indiqués. COMMUNE MIXTE DE CONAKRY N° 27. — Par arrêté municipal en date du 13 juin 1944, un cas de rage ayant été constaté à la date de ce jour dans la ville de Conakry, il est interdit aux propriétaires de chiens de laisser circuler leurs animaux sur la voie publique et pendant un délai de deux mois à compter de ce jour. En cas d'inexécution des prescriptions qui précèdent, il sera dressé procès-verbal contre les contrevenants qui seront poursuivis conformément aux dispositions du décret du 7 décembre 1915 sur la Police sanitaire des animaux en Afrique occidentale française. Les chiens errants seront abattus sans délai. Par arrêtés et décisions du Gouverneur (Insertions sommaires). Administration générale Liste par ordre de mérite des candidats admis au concours du 25 mai 1944 pour l'emploi d'expéditionnaire du cadre local. 1 Camara Sékou (centre de Kankan); 2 Sali Ibrahima (centre de Conakry); Traoré Mamadi — 4 Mara Karifa (centre de Conakry); Diassi Pierre François (centre de Conakry); 6 Faye Ibrahima (centre de Conakry); Diallo Karifala — Diallo Mamadou Oury (centre de Conakry); 9 Traoré Sandaly (centre de Conakry); Touré Mouhamed — 11 Dugbé Jean-Marie — 12 Conaté Mamadou (centre de Labé); Tounkara Mamadou — 14 Guillan Mamadou Lamine (centre de Labé); 15 Diallo Mamadou Oury (centre de Conakry); Bary Mamadou Siradiou — Dossah Apollinaire — Mara Djomba — Diallo Sadou — Cissé Ibrahima. — Affaires politiques Par décisions et arrêté du Gouverneur en date des : 30 mai 1944. — Le territoire du cercle de Siguiri est assigné comme lieu de résidence obligatoire pendant dix ans, à compter du 1er juin 1944, date de sa libération, au nommé Noumbi Kéita, ancien boutiquier, fils de feu Tiécoura Mamadou Keité et de Aye Kéita, né à Siaba vers 1896. Le présent arrêté sera notifié à l'intéressé la veille de sa libération par les soins du régisseur de la prison de Conakry. 31 mai. — Les Chefs de canton et de quartier des Communes mixtes de la Colonie dont les noms suivent, sont nommés aux classes ci-après
en Afrique occia française, sont applicables immédiatement dans les territoires sus-indiqués. COMMUNE MIXTE DE CONAKRY N° 2.7 — Par arrêté municipal en date du 13 juin 1944, un cas de rage ayant été constaté à l date de ce ujor dns l ville de Conakry, il est interdit aux propriétaires de chiens de laisser circuler leurs aia sur la voie publique et pendant un délai de euxd ms à compter de jour En cas d'inexécution des prescriptions qui précèdent, il sera dressé procès-verbal ornect les nrvtnocaentes q seront prsvs conformément aux dispositions d cdéter du 7 décembre 1915 sur la Police sanitaire des nmx en Afrique occidentale française. Les chiens errants seront abat sans délai. Par arrêtés et décisions du Gouverneur Insertions sommaires). Administration eégraénl Liste par ordre d mérite des candidats admis au cncrs du 25 mai 1944 pour eloplmi' d'expéditionnaire ud cadre local. 1 Cmr ou cer de an)Ka;nk 2 Sl Ibrahima (cntr d Cnkry); Traoé Mmd 4 raaM Karifa (centre de naky; Diassi ere François (centre de Conakry); 6 Faye Ibrahima (centre de r)a;konCy Diallo Krfl Diallo Mamadou Oury (cntr de Conakry); 9 Trré Sandaly (centre de Conakry); Touré Mouhamed — 11 Dugbé Jean-Marie — 21 Conaté Mamadou (centre de Labé); ouara Mamadou — 14 Guillan Mamadou Lamine (centre ed Labé); 1 a Mamadou Oury ec(rnte de Conakry); y Mamadou Siradiou — Dossah Apollinaire — Mara Djomba — aloiDl Sadou — Cissé Ibrahima. — Affaires politiques Par décisions et arrêté d Gvrnr en date des : 03 mai 1944. — Le territoire du cercle de Siguiri est assigné comme l d résdnc obligatoire pendant dix ns, compter du 1er jn 1944, dt de sa libération, au nommé Nmb Kéita, ancien boutiquier, flsi de feu Tiécoura Mamadou Keité et de Aye Kéita, né à Siaba vers 1896. Le présent arrêté sera notifié à lntessé la veille de sa libération par les soins du régisseur de la prison de Conakry. 31 mai. Les Chefs de canton de quartier des Cmmns mixtes de la Colonie dont les somn suivent, sont nommés aux classes ci-après
— 12 Conaté Mamadou (centre de Labé); Tounkara Mamadou — 14 Guillan Mamadou Lamine (centre de Labé); 15 Diallo Mamadou Oury (centre de Conakry); Bary Mamadou Siradiou — Dossah Apollinaire — Mara Djomba — Diallo Sadou — Cissé Ibrahima. — Affaires politiques Par décisions et arrêté du Gouverneur en date des : 30 mai 1944. — Le territoire du cercle de Siguiri est assigné comme lieu de résidence obligatoire pendant dix ans, à compter du 1er juin 1944, date de sa libération, au nommé Noumbi Kéita, ancien boutiquier, fils de feu Tiécoura Mamadou Keité et de Aye Kéita, né à Siaba vers 1896. Le présent arrêté sera notifié à l'intéressé la veille de sa libération par les soins du régisseur de la prison de Conakry. 31 mai. — Les Chefs de canton et de quartier des Communes mixtes de la Colonie dont les noms suivent, sont nommés aux classes ci-après pour compter du 1er janvier 1944, au point de vue solde et ancienneté : a) CHEFS DE CANTON DE 2e CATÉGORIE 98 classe à 1.800 francs : Mane Kabita Coniagui Gaoual Boiro Demba dit Damba Lel Badiar — N'Famoro Doumbouya Balimakana Kankan Kono Traoré Manan — Amara Mansaré Yendé Kissidougou Sallo Kourouma Firaoua Saa Kondio Millimouno Ouandé — Saa Faoulan Kamano Kama Sanékongo — Alpha Tibabou Kamano Doukono — Koina Koivogui Farakoro Macenta G'Bamou Béro N"Zérékoré Gata Doré Lola — 8e classe à 2. 400 francs : Bangoura Ansoumani Filicoundji Contéry Fasséli Mara Bokoba Kankan Mamadou Mara Ouassamandou Kissidougou Yambou Kagbadou Koundiadou Bangali Kamano (ou Kourouma) Millimou Dondia Bairdagouaka Millimouno Toly-Ouladé Kissidougou Kéléti Kamano 1 Koléadou — Baré Koivogui Konokore-Toma Macenta 7e classe à 3 000 francs : Doukara Oumarou Missirah Dabola Oulaba Kourouma Kourani-Oulété Kankan Bangaly Kéita (ou Mansaré) Ouoridiémérédou Kissidougou Koura Nambi Kéita Kendé-Mendé Siguiri 6e classe à 3 . goo francs : Kédi Camara Îles de Loos Conakry Kerfala Soumah Banlieue Conakry — Dianougbé Kaba Konaté Dienné Kankan Fabou Konaté Goundo — Djibo Kondouno Témessadou Kissidougou Dialio Yaya Labbo Pellal Labé Tierno Boubakar Ba Bomboli Mamou 1re classe à 4.500 francs : Karamoko C. mara Guirila Beyla
— 12 Conaté Mamadou (centre de Labé); rkanoauT Mamadou 14 Guillan Mamadou Lamine (centre de Labé); 15 Diallo Mamadou Oury (centre de Conakry); Bary Mamadou Siradiou — Dossah pllnr — Mara Djomba Diallo Sadou — Cissé Ibrahima. — ffrs politiques a décisions et é du Gouverneur en date des : 30 mai 1944. — Le teitr du cercle de Siguiri est assigné comme lieu de résidence obligatoire pendant dix ans, à compter du 1er juin 1944, date de libération au nommé Noumbi at,éKi ancien boutiquier, fils de feu Tiécoura Mamadou Keité et de Aye tiK,éa né à Siaba vers 1896. Le présent arrêté sera notifié l'intéressé la veille de sa libération par les sns du régssr de la prison de Conakry. 31 mai. — Les Chfs de canton et de quartier sde Communes mxts ed a Colonie nt les noms suivent, sont nommés aux classes ciaprès pour compter du 1er janvier 1944, au pot de vue solde et ancienneté : a) CHEFS DE NT DE 2e CTÉGR 98 classe à 1.800 francs : Mane Kabita Coniagui Gaoual oroBi Demba dt Damba Lel Badiar — N'Famoro Doumbouya Balimakana Kankan Kono Traoré Manan — Amara Mansaré Yendé sdou Sallo Kourouma Firaoua Saa Kondio Millimouno Ouandé — Saa Faoulan Kamano Km Sanékongo — Alpha Tibabou Kamano Doukono — Koina Koivogui Farakoro Macenta G'Bamou Béro N"Zérékoré Gata Doré Lola — 8e clase à . 400 francs : Bangoura suni Filicoundji Contéry Fasséli aa Bokoba anka amadu Mara Ouassamandou Kissidougou Ymb Kagbadou Koundiadou Bangali Kamano (ou Krm) lou odaDni Bairdagouaka Millimouno TolyOuladé iudgouossKi Kéléti Kamano 1 Koléadou — Baré Koivogui Konokore-Toma Macenta 7e classe à 3 000 francs : Doukara Oumarou Missirah Dabola Oulaba Kourouma Kourani-Oulété Kankan Bangaly Kéita (ou r)sMaané odémédou Kissidougou Koura Nambi Kéita Kendé-Mendé uiiSrig 6e classe à 3 goo francs : Kédi Camara Îles de Loos Conakry Kerfala Soumah Banlieue Conakry — Dianougbé Kaba Konaté Dienné Kankan uoabF Konaté Goundo — Dib Kondouno Témessadou isdouu Dialio Yaya Labbo Pellal Labé Tierno Bouka Ba Bomboli ou 1r classe à 4.500 francs : Karamoko C. ara Guirila Beyla
Sallo Kourouma Firaoua Saa Kondio Millimouno Ouandé — Saa Faoulan Kamano Kama Sanékongo — Alpha Tibabou Kamano Doukono — Koina Koivogui Farakoro Macenta G'Bamou Béro N"Zérékoré Gata Doré Lola — 8e classe à 2. 400 francs : Bangoura Ansoumani Filicoundji Contéry Fasséli Mara Bokoba Kankan Mamadou Mara Ouassamandou Kissidougou Yambou Kagbadou Koundiadou Bangali Kamano (ou Kourouma) Millimou Dondia Bairdagouaka Millimouno Toly-Ouladé Kissidougou Kéléti Kamano 1 Koléadou — Baré Koivogui Konokore-Toma Macenta 7e classe à 3 000 francs : Doukara Oumarou Missirah Dabola Oulaba Kourouma Kourani-Oulété Kankan Bangaly Kéita (ou Mansaré) Ouoridiémérédou Kissidougou Koura Nambi Kéita Kendé-Mendé Siguiri 6e classe à 3 . goo francs : Kédi Camara Îles de Loos Conakry Kerfala Soumah Banlieue Conakry — Dianougbé Kaba Konaté Dienné Kankan Fabou Konaté Goundo — Djibo Kondouno Témessadou Kissidougou Dialio Yaya Labbo Pellal Labé Tierno Boubakar Ba Bomboli Mamou 1re classe à 4.500 francs : Karamoko C. mara Guirila Beyla Vamo Camara Goye — Kaba Koi1dé Guérédougou Kankan Alpha Oumarou Oury Baldé Kollé Labé Diémori Sako Sakodougou Siguiri Fakourou Kamara Ménien — 4e classe à 6.000 francs : Ibrahima Soumah Quartier Corentbie Commune mixte 4 Conakry Ibrahima Sory Touré Mellacorée Forécariab Mody Marna Bary Boullivel Mamou Tierno Ousmane Ba Maci — Magassouba Nagnouma Friki Nouga Siguiri 3e classe à 7.800 francs : Bangoura Sogbé Soumbouya Conakry Moustapha Sékou Soumah Quartier Centre Commune mixte Conakry Alfa Mamadou Oury Sow Oredjima Labé Yoro Fine Koulibali Koulibalidougou Siguiri 2e classe à 9 . 600 francs : Tah Modou Fernandez Bramaya Conakry Alfa Amadou Oury Baldé Koin Labé 1re classe à 12.000 francs'. Tierno Sori Ibrahima Ba Timbi-Touni Mamou Hors classe à 14.000 francs : Alfa Yaya Diallo Labé Labé Alfa Bakar Laria Cusséguéré — Alama Amadou Kaba Paté Kankan 9 juin. — Le notable Abdoulaye Bademba Barry est nommé chef stagiaire de 8e classe du canton de Fougoumba (cercle de Mamou) en remplacement d'Alpha Mamadou Barry, révoqué le 23 octobre 1943. 14 juin — MM. Franceschetti, ingénieur des Travaux publics, Delmas, conducteur des Travaux agricoles, sont nommés pour l'année 1944, assesseurs près le tribunal criminel de Kankan, en remplacement de MM. Thomas et
Sallo Kourouma Firaoua Saa Kondio Millimouno Ouandé — Saa Faoulan Kamano Kama Snoo — Alpha Tibabou Kmn Doukono — Koia Kvg Farakoro Macenta G'Bamou Béro N"Zérékoré Gata oré Lola — 8e classe à . 040 francs : Bngr Ansoumani Filicoundji Contéry Fasséli Mara oaBobk Kankan Mamadou Mr ssmnd Kissidougou Yambou Kagbadou ndKaudoiuo Bangali Kamano (ou Kourouma) Millimou Dondia Brdgk Millimouno Toly-Ouladé Kissidougou Kéléti Kamano 1 Koléadou — Bré Koivogui Konokore-Toma Macenta 7e classe 3 000 francs : Doukara Oumarou Missirah Dabola Oulaba Kourouma Kourani-Oulété Kankan Bangaly Kéita ( Mansaré) uoéérou Kissidougou Koura Nambi Kéita e-eé Siguiri 6e clss à 3 . goo francs : é Camara Îles de Loos Conakry Kerfala Soumah Banlieue Conakry — Dianougbé Kaba Konaté Dienné Kankan Fabou Konaté Goundo — Djibo Kndn Témessadou Kissidougou Dialio Yaya Labbo Pellal Labé Tierno Boubakar Ba Bomboli Mamou 1re ls 4.500 frncs : Karamoko C. mara Grl Beyla Vm Camara Goye — Kaba Koi1dé Guérédougou Kankan Alpha Oumarou ry Bldé Kollé Labé Diémori Sk Sakodougou Siguiri Fakourou Kamara Ménien — 4e clss à 6000 francs Ibrahima Sah Quartier Corentbie Commune mixte 4 Conak Ibrahima Sry Touré Mellacorée Forécariab od Marna Bary uviBoelll Mamou Tierno Ousmane Ba Maci — Mgssb Nagnouma Friki Nouga Siguiri 3e classe .0087 francs : Bangoura Sogbé uabmoyuSo Conakry Moustapha Sékou Soumah Quartier eCtrne Commune mixte Cnkry Alfa Mamadou Oury Sow Oredjima Labé Yoro Fine Koulibali Koulibalidougou Sgr 2e classe à 9 . 600 rnascf : ah Modou Fernandez Bramaya Conakry Alfa Amadou r Bldé Kn Lbé 1re classe à 12.000 fn'. Tierno rSio Ibrahima Ba Tmb-Tn Mamou Hors classe à 14.000 francs : Alfa Yy Diallo Lbéa Labé Alfa Bakar Laria Cusséguéré Alama Amadou Kaba Pté Kankan 9 juin. — Le notable oeluaAybd Bademba Barry est nommé chef stagiaire e 8e classe d canton de Fougoumba (cercle de Mamou) en remplacement d'Alpha Mamadou Barry, révoqué le 23 octobre 14. 14 juin — MM. Franceschetti, ingénieur des Travaux publics Delmas, conducteur des Trau scegl,aior sont nmmés pour 'année 1944, assesseurs près le tribunal criminel de Kkn en remplacement de MM. Tmhoas te
— Magassouba Nagnouma Friki Nouga Siguiri 3e classe à 7.800 francs : Bangoura Sogbé Soumbouya Conakry Moustapha Sékou Soumah Quartier Centre Commune mixte Conakry Alfa Mamadou Oury Sow Oredjima Labé Yoro Fine Koulibali Koulibalidougou Siguiri 2e classe à 9 . 600 francs : Tah Modou Fernandez Bramaya Conakry Alfa Amadou Oury Baldé Koin Labé 1re classe à 12.000 francs'. Tierno Sori Ibrahima Ba Timbi-Touni Mamou Hors classe à 14.000 francs : Alfa Yaya Diallo Labé Labé Alfa Bakar Laria Cusséguéré — Alama Amadou Kaba Paté Kankan 9 juin. — Le notable Abdoulaye Bademba Barry est nommé chef stagiaire de 8e classe du canton de Fougoumba (cercle de Mamou) en remplacement d'Alpha Mamadou Barry, révoqué le 23 octobre 1943. 14 juin — MM. Franceschetti, ingénieur des Travaux publics, Delmas, conducteur des Travaux agricoles, sont nommés pour l'année 1944, assesseurs près le tribunal criminel de Kankan, en remplacement de MM. Thomas et Garnier, qui ont quitté le cercle. M. Montout, administrateur adjoint des Colonies, est nommé pour l'année 1944, assesseur près le tribunal criminel de Kouroussa, en remplacement de M. Ferry qui a reçu une nouvelle affectation. — Bâ Madani Sabitou, instituteur du cadre commun supérieur de l'Afrique occidentale française, en congé hors cadres, est suspendu de ses fonctions de chef du canton de Loufa (cercle de Dabola). Agriculture. — Service Zootechnique Par décisions du Gouverneur en date des : 4 juin 1944. — Le Moniteur agricole Tambada Mansaré, ancien élève de l'Ecole pratique d'agriculture de Toulon, actuellement en service à Kouroussa, est agréé en qualité de contre-maître auxiliaire de 4e classe stagiaire pour compter du 1er juin 1944. L'intéressé est maintenu en service à Kouroussa. — Est et demeure rapportée en ce qui concerne le contre-maître auxiliaire de 4e classe Mara Sara la décision n° 1123 c. p. Le contre-maître auxiliaire de 4e classe stagiaire, Mata Sara, en service à Dalaba (cercle de Mamou), est soumis à une nouvelle période de stage d'une année à compter du 1er août 1943. 10 juin. — Les infirmiers vétérinaires dont les noms suivent, admis à l'examen probatoire prévu par l'arrêté local du 15 novembre
— Magassouba Nagnouma Friki Nouga Siguiri 3e clss à 7.800 francs : Bangoura Sgbé Soumbouya Conakry Moustapha Sékou Soumah rtr Centre Commune mixte Conakry Alfa Mamadou Oury Sow Oredjima Labé r Fine Koulibali Koulibalidougou Siguiri 2e classe à 9 . 600 francs : Th Modou Fernandez Bramaya Cnary Alfa md ury Baldé Koin Labé 1re classe à 12.000 francs'. Tierno Sori Ibrahima Ba Timbi-Touni Mamou Hors classe 14.000 francs : Alfa Yaya Diallo Lbé Labé lf Bakar araLi Cusséguéré — Alama Amadou Kaba étPa Kankan 9 juin. — Le notable Abdoulaye Bademba Barry est nommé fhce riagtasie de 8e classe du canton d Fougoumba (cercle de Mamou) en remplacement p'lahdA Mamadou Barry, révoqué le 23 octobre 1943. 14 juin — MM. Franceschetti, ingénieur des Trvx publics, Delmas, conducteur des Travaux agricoles, sont nommés pour l'année 1944, ssseu près le tribunal criminel de Knkn, en remplacement de MM. Thomas et Garnier, qui ont qtté le crcl. M. Montout, administrateur adjoint des Colonies, st nommé pour l'aeénn 1944, assesseur près le tribunal criminel de Kouroussa, n remplacement ed M. Ferry qui a reçu une nouvelle affectation. — Bâ Mdn Sabitou, instituteur du cadre commun supérieur de l'Afrique occidentale française, en congé hors cadres, est suspendu d ses fonctions d chef du canton de Loufa (cercle de Dabola). Agriculture. — Service Zootechnique Par décisions du Governur en date des : 4 juin 1944. — Le Moniteur agricole Tambada Mansaré, ancien élève de l'Ecole pratique d'agriculture de Toulon, actuellement en service à Kouroussa, est agréé en qualité de contre-maître auxiliaire de 4e classe stagiaire pour compter d 1er juin 1944. 'intéressé est maintenu en service à Kouroussa. — Est et demeure rppoé en ce qui ccene le tr-matr auxiliaire de 4e classe Mara Sara la décision n° 1123 c. p. Le contre-maître auxiliaire de 4e classe stagiaire, Mata Sara, en service à Dalaba (cercle de Mamou), est soumis à n nouvelle période de stg d'une année à compter du 1er août 1943. 10 juin. — Les nfrmrs vétérinaires dnt les noms suivent, admis à l'examen probatoire prév par larrêté local du 15 novembre
hors cadres, est suspendu de ses fonctions de chef du canton de Loufa (cercle de Dabola). Agriculture. — Service Zootechnique Par décisions du Gouverneur en date des : 4 juin 1944. — Le Moniteur agricole Tambada Mansaré, ancien élève de l'Ecole pratique d'agriculture de Toulon, actuellement en service à Kouroussa, est agréé en qualité de contre-maître auxiliaire de 4e classe stagiaire pour compter du 1er juin 1944. L'intéressé est maintenu en service à Kouroussa. — Est et demeure rapportée en ce qui concerne le contre-maître auxiliaire de 4e classe Mara Sara la décision n° 1123 c. p. Le contre-maître auxiliaire de 4e classe stagiaire, Mata Sara, en service à Dalaba (cercle de Mamou), est soumis à une nouvelle période de stage d'une année à compter du 1er août 1943. 10 juin. — Les infirmiers vétérinaires dont les noms suivent, admis à l'examen probatoire prévu par l'arrêté local du 15 novembre 1926, sont titularisés dans leur emploi et nommés infirmiers vétérinaires de 4e classe pour compter des dates ci-après : 7 avril 1944. Traoré Fodé-Gaba (Mamou), Camara Mamadou (Mamou). 12 mai 1944. Camara Guiramba (Mamou). 19 mai 1944. Diallo Souleymane (Kankan), Camara Mono (Kankan). 21 mai 1944. Oularé Kouta-Mory (Kankan). 22 mai 1944. Barry Arbaba (Kankan). Les infirmiers vétérinaires stagiaires dont les noms suivent, non admis à l'examen probatoire, sont soumis à une nouvelle période de stage d'une année à compter des dates ci-après : 2 mars 1944. Camara Famo (Mamou). 4 mai 1944. Kandé Namorigbé (Mamou). 12 mai 1944. Traoré Mamadou Lamine (Mamou). 19 mai 1944. Diallo Toumani (Mamou). Enseignement Par décision du Gouverneur en date du : 4 juin 1944. — Sont désignés pour faire partie : 1° De la Commission de surveillance du concours d'entrée à l'Ecole Normale William-Ponty et à l'Ecole Normale rurale Frédéric Assomption, qui aura lieu à Conakry les 12 et 15 juin 1944. Président : Le Chef de service de l'Enseignement. Membres : MM. Vinay, Instituteur du cadre supérieur; Cadier, Adjoint principal des Services civils; Lac, Mme Gimello, Institutrice du cadre supérieur. 2° De la Commission de surveillance du concours d'entrée à l'Ecole technique
hrs cadres, est suspendu ses fonctions de chef du canton de oufa cercle de Dabola). grcltr. — Service Zootechnique Par décisions du Gouverneur en e ds 4 juin 1944. — Le Moniteur agricole Taada Mansaré, ancien éève de l'Ecole pratique d'agriculture d Toulon, actuellement en srvc Krss, est agréé en qualité de contre-maître auxiliaire de 4e classe stagiaire pour compter du 1er jn 1944. 'intéressé est maintenu en service à Krss. Est et demeure rapportée en ce qui cncrn le contre-maître auxiliaire de 4e classe Mara Sa la décision n° 1123 c. p. Le contre-maître auxiliaire de 4e classe isetiga,ar Mata Sara, en service à Dalaba (cercle de Mamou), est soumis à une nouvelle période de stage d'une année à compter du 1er août 1943. 10 juin. Les infirmiers vétérinaires dont les osmn suivent, admis à l'examen probatoire prévu par 'arrêt lcl d 15 novembre 1926, sont titularisés dns leur emploi et nmmés infirmiers vétérinaires de 4e classe pour compter ds dates ci-après : 7 avril 1944. Traoré Fodé-Gaba ou Camara Mamadou (Mamou). 12 mai 1944. Camara Guiramba (Mamou). 19 mai 1944. Diallo Souleymane (Kankan), Camara Mono (Knkn). 21 mai 1944. Oularé Kouta-Mory Kankan 22 i 1944. Barry Arbaba (Kankan). esL infirmiers vétérinaires stagiaires dont les noms suivent, non admis à l'examen probatoire, sont soumis à une nouvelle période de stage d'une année mceotpr des dates ci-après : 2 mars 1944. Cr Famo (Mamou). 4 mai 1944. Kandé Namorigbé (Mamou). 12 mai 1944. Traoré Mamadou Lamine (Mamou). 19 mai 1944. Diallo Toumani )o.Mmua( Enseignement Par décision du Gouverneur en tade du : 4 juin 1944. Snt désignés pour faire partie : 1 De a Commission d surveillance ud concours d'entrée à l'Ecole Normale William-Ponty et l'Ecole Normale rurale Frédéric Assomption, qui aura lieu à Cnary les 12 et 15 juin 1944. Président Le Chef de service de l'Enseignement. Membres : MM. aiVyn, Instituteur du cadre rueprséu;i Cadier, Adjoint prncpl des Services civils; Lac, Mme Gimello, Institutrice du cadre spr 2° De la Commission de surveillance du concours d'entrée à 'Ecole technique
mai 1944. Barry Arbaba (Kankan). Les infirmiers vétérinaires stagiaires dont les noms suivent, non admis à l'examen probatoire, sont soumis à une nouvelle période de stage d'une année à compter des dates ci-après : 2 mars 1944. Camara Famo (Mamou). 4 mai 1944. Kandé Namorigbé (Mamou). 12 mai 1944. Traoré Mamadou Lamine (Mamou). 19 mai 1944. Diallo Toumani (Mamou). Enseignement Par décision du Gouverneur en date du : 4 juin 1944. — Sont désignés pour faire partie : 1° De la Commission de surveillance du concours d'entrée à l'Ecole Normale William-Ponty et à l'Ecole Normale rurale Frédéric Assomption, qui aura lieu à Conakry les 12 et 15 juin 1944. Président : Le Chef de service de l'Enseignement. Membres : MM. Vinay, Instituteur du cadre supérieur; Cadier, Adjoint principal des Services civils; Lac, Mme Gimello, Institutrice du cadre supérieur. 2° De la Commission de surveillance du concours d'entrée à l'Ecole technique supérieure qui aura lieu à Conakry les 12, 13 et 14 juin 1944. Président : M. Liatte, Directeur de l'Ecole G. Poiret, délégué du Chef du Service de l'Enseignement. Membres : Un Délégué des Travaux publics (à désigner par le Chef de Service); Un Délégué de la Radio (à désigner par le Chef de Service); M. Diallo Yacine, Instituteur du cadre supérieur; Mme Jean, Institutrice du cadre supérieur; 3° De la Commission de surveillance du concours d'entrée à l'Ecole Normale de jeunes filles de Rufisque qui aura lieu à Conakry les 12 et 13 juin 1944, Président : M. Moiard, Instituteur du cadre supérieur. Membres : Mme Herve, Institutrice du cadre supérieur; Mlle Canetti, Institutrice auxiliaire. 4° De la Commission de surveillance du concours d'entrée à l'Ecole de Médecine (sages-femmes) qui aura lieu à Conakry le 12 juin 1944. Président : M. Gimello, Instituteur du cadre supérieur. Membres : Mme Testanière, Institutrice auxiliaire; M. Baldé Saïkhou, Instituteur du cadre secondaire. 14 juin. — Sont admis comme élèves à la section d'apprentissage de la station d'expérimentation et de vulgarisation agricole de Kankan les nommés : Saa Millimouno, originaire du cercle de Kankan. Mamadou Rassi, Sylla Malik, Maki Bah, Tibou Doumbouya, Alpha
mai 1944. Barry Arbaba (Kankan). Les infirmiers vétérinaires stagiaires dont les noms suivent non ami à l'examen probatoire, sont soumis à une nouvelle période de stage d'une année à compter des dates c-près : 2 mars 1944. Camara mo (Mamou). 4 mai 1944. Kandé Namorigbé (Mamou). 12 mai 1944. Traoré Mamadou Lamine (Mamou). 19 mai 1944 Diallo Toumani Mamou nsniemegteEn Par décision du Gouverneur en date du : 4 juin 1944. — Sont désignés pour faire partie : ° De al Commission de srvllnc du concours d'entrée à l'cl Normale William-Ponty et à l'Ecole Normale rurale Frédéric Assomption, qui aura lieu à Conakry les 12 et 15 juin 1944. Président : Le Chef de service de l'Enseignement. Membres : MM. Vny Instituteur du cadre supérieur; Cadier Adjoint principal des Services civils; Lac, Mme Gimello, Institutrice du cadre supérieur. 2° De la Commission de surveillance du concours 'te à l'Ecole technique supérieure ui aura ie à Cnkry les 12, 13 et 14 uin 1944. Président : M ateiL,t Directeur de l'Ecole G. Poit, délégué d Chef du Service de l'Enseignement. Membres : Un Délégé des Travaux publics (à ésgeindr par le Chef d Service); Un ugééléD de la Radio ( désigner par l Chef de Service); M. Diallo Yacine, Instituteur du cadre supérieur; Mme Jean, Institutrice du cadre supérieur; 3° De la Cmmssn de surveillance du concours dr à l'Ecole Normale de jeunes filles de Rufisque qui ur lieu à Conakry les 12 et 13 juin 1944, Président : M. Moiard, Instituteur du cadre supérieur. Membres : Mme Herve, Institutrice du adre supérieur; Mle ane, Institutrice auxiliaire. 4° eD la Commission de surveillance du nours d'entrée à Eollec' de Médecine (sages-femmes) qui aura lieu à Conakry 12 juin 1944 sdnt : M. Gimello, Instituteur du cae ir. Membres : Mme Testanière, Institutrice auxiliaire; M. Baldé Saïkhou, Instituteur du cadre secondaire. 14 juin. — Sont admis o élèves à l section d'apprentissage de la station dexpérimentation et de vulgarisation e de Kankan les nommés : Saa illio, rgnr du rce de na. Mamadou Rassi, Sylla Malik, Maki Bah, Tibou Doumbouya, Alpha
par le Chef de Service); M. Diallo Yacine, Instituteur du cadre supérieur; Mme Jean, Institutrice du cadre supérieur; 3° De la Commission de surveillance du concours d'entrée à l'Ecole Normale de jeunes filles de Rufisque qui aura lieu à Conakry les 12 et 13 juin 1944, Président : M. Moiard, Instituteur du cadre supérieur. Membres : Mme Herve, Institutrice du cadre supérieur; Mlle Canetti, Institutrice auxiliaire. 4° De la Commission de surveillance du concours d'entrée à l'Ecole de Médecine (sages-femmes) qui aura lieu à Conakry le 12 juin 1944. Président : M. Gimello, Instituteur du cadre supérieur. Membres : Mme Testanière, Institutrice auxiliaire; M. Baldé Saïkhou, Instituteur du cadre secondaire. 14 juin. — Sont admis comme élèves à la section d'apprentissage de la station d'expérimentation et de vulgarisation agricole de Kankan les nommés : Saa Millimouno, originaire du cercle de Kankan. Mamadou Rassi, Sylla Malik, Maki Bah, Tibou Doumbouya, Alpha Bah, originaires du cercle de Dabola, subdivision de Dinguiraye. Les Commandants de cercle de Kankan et de Dabola mettront en route, sans délai les susnommés qui ont droit au transport gratuit. Postes, Télégraphes et Téléphones Par décision du Gouverneur en date du : 14 juin 1944. Le mécanicien stagiaire du cadre local des P. T. T., Camara Momo, en service à Conakry, est titularisé dans son emploi et nommé mécanicien de 4e classe pour compter du 12 mai 1944, date à laquelle il a accompli son année de stage réglementaire. Santé et Assistance médicale indigène Par décision du Gouverneur en date du : 4 juin 1944. — Le nommé Camara Yaya, titulaire du certificat d'études primaires élémentaires est agréé en qualité d'infirmier de visite stagiaire avec le numéro matricule 228 et affecté à l'Hôpital Ballay à Conakry. NÉCROLOGIE Le Gouverneur de la Guinée française a le regret de faire part des décès de : M. IBRILA Bangoura, Ouvrier de 1re classe du cadre local de l'Imprimerie, survenu à Conakry le 31 mai 1944. M. KALISSA Ansoumani, surveillant des P. T. T., survenu à Mali le 10 juin 1944. ANNONCES. Aucune annonce commerciale ou à caractère commercial n'est acceptée. L'administration n'entend
par le Chef de Service . Dil Yacine, Instituteur du cadre supérieur; Mme Jean, Institutrice du cadre supérieur; 3° De la Commission de surveillance du concours d'entrée à l'Ecole Normale de un filles de Rufisque qui aura lieu à Conakry les 12 et 13 juin 194 Président : M. Moiard, nstttr du cadre supérieur. Membres : Mme Herve Institutrice du cadre supérieur; Mle Canetti, Institutrice auxiliaire. 4° De l Commission de surveillance du concours d'entrée à l'Ecole d Médecine (sages-femmes) qui aura lieu à Conakry le 12 juin 1944. Président : M. Gimello, Instituteur du cadre supérieur. ere : Mme Testanière, Institutrice auxiliaire; M. Baldé akou Instituteur u cadre secondaire. 14 jn. — Sont admis comme élèves à la section d'apprentissage de la station d'expérimentation et de vulgarisation aic de Kankan les nommés : Saa Millimouno, originaire du cercle de Kankan. Mamadou Rassi, Sylla Malik, Maki Bah, Tibou Doumbouya, lph Bah, originaires du cercle Dabola, subdivision e Dinguiraye. Les Commandants d cercle de Kankan et de Dabola mettront en route, ssna délai les susnommés qui nt droit au tsort gratuit. Postes, Télégraphes et Téléphones Par décision du Grner en date du : 14 jn 1. Le mécanicien stagiaire du cadre local des P. T. T., Cra Mo, en service à Conakry, est titularisé dans sn emploi et nmmé mécanicien de 4e classe pour compter du 12 mai 1944, date à laquelle il a accompli son nné d stage réglementaire. Santé et Assistance médicale indigène Par décision d Gouverneur en date du 4 juin 1944. — Le nommé Camara Yaya titulaire du certificat d'études primaires élémentaires est agréé ne qualité d'infirmier de visite stagiaire avec le nmér matricule 2 et affecté à l'Hôpital Ballay à Conakry. NÉCROLOGIE Le Gouverneur de la Guinée française le regret ed faire prt des décès de : M. BRL Bangoura, Ouvrier de 1re classe du cadre lcl e l'Imprimerie, survenu à Conakry le 31 mai 1944. M. KALISSA nsmn, surveillant des . T. T., survenu à Mali le 10 jn 1944. ANNONCES. Aucune annonce cmerce ou à caractère commercial n'est acceptée. L'administration n'entend
cadre local des P. T. T., Camara Momo, en service à Conakry, est titularisé dans son emploi et nommé mécanicien de 4e classe pour compter du 12 mai 1944, date à laquelle il a accompli son année de stage réglementaire. Santé et Assistance médicale indigène Par décision du Gouverneur en date du : 4 juin 1944. — Le nommé Camara Yaya, titulaire du certificat d'études primaires élémentaires est agréé en qualité d'infirmier de visite stagiaire avec le numéro matricule 228 et affecté à l'Hôpital Ballay à Conakry. NÉCROLOGIE Le Gouverneur de la Guinée française a le regret de faire part des décès de : M. IBRILA Bangoura, Ouvrier de 1re classe du cadre local de l'Imprimerie, survenu à Conakry le 31 mai 1944. M. KALISSA Ansoumani, surveillant des P. T. T., survenu à Mali le 10 juin 1944. ANNONCES. Aucune annonce commerciale ou à caractère commercial n'est acceptée. L'administration n'entend nullement être responsable de l'oubli de ces rubriques par les particuliers. ETUDE DE MAÎTRE HASSID Simon, AVOCAT-DÉFENSEUR A CONAKRY VENTE SUR LICITATION Il sera procédé le mercredi dix-neuf juillet mil neuf cent quarante-quatre, à huit heures et suivantes, en l'audience des criées du Tribunal de première instance de Conakry, étant au profit de Justice de la dite ville, à l'adjudication au plus offrant et dernier enchérisseur de : TROIS IMMEUBLES sis à Conakry Le premier faisant l'objet du titre foncier n° 457 du Livre foncier de la Commune de Conakry, sis 125 avenue, et constituant la parcelle 8 du lot n° 61 ; consistant en un terrain portant une maison d'habitation à rez-de-chaussée surélevé et dépendances d'une superficie de 2'298 m2 50 ainsi que ledit immeuble se poursuit et se comporte avec ses attenances et dépendances, droits et facultés, l'agencement et les immeubles, par destination qui peuvent en dépendre et ce sans aucune exception ni réserve; Cet immeuble est limité au Nord par la 12me avenue; au Sud par l'emprise du chemin de fer; à l'Est par les parcelles 7 et 4 du lot 61 ; même lot. Le deuxième faisant l'objet du titre foncier n° 49 du Livre foncier
cadre local des P. T. T., ma Momo, en service à Conkr, est titularisé dans son emploi et nommé mécncn de 4e classe pr compter du 12 mai 1944, date laquelle il a accompli son année de stage réglementaire. Santé et Assistance médicale indigène Par décision du Gouverneur en date du : 4 juin 1944. — Le nommé Camara Yaya, titulaire du certificat d'études prmrs élémentaires est r en qualité 'infirmier de visite sgaire avec l numéro matricule 228 affecté à l'Hôpital Ballay à Conakry. NÉCROLOGIE Le ervnouGuer de la Guinée française le regret de fae part des décès de : M. IBRILA Bangoura, Ouvrier de 1r classe du cadre local d l'Imprimerie, survenu à Cnkry le 31 mai 1944 M. KALISSA Ansoumani, surveillant des P. T. T., survenu à Mali l 10 juin 1944. ANNONCES. Aucune annonce commerciale ou à caractère commercial n'est acceptée. 'administration n'entend nullement être responsable de l'oubli de ces rubriques par esl particuliers. ETUDE DE MAÎTRE HASSID Simon, AVCAT-ES A CONAKRY VENTE SUR LICITATION Il sera prcédé le mercredi dix-neuf juillet mil neuf cent quarante-quatre, à huit heures et suivantes, en l'audience des criées du Tribunal de première instance Conakry, étant profit de Justice de la dite ville, à l'adjudication au plus offrant et dernier enchérisseur de : TRO MILESEMBU iss à Conakry Le premier faisant l'objet du titre fncr n° 457 du Livre foncier de la Commune de Conakry, sis 125 avenue, et constituant la parcelle 8 d lot n° 61 ; consistant en un terrain portant une maison d'habitation à rez-de-chaussée surélevé et dépendances d'une superficie de '298 m2 50 ns q ledit immeuble es poursuit et se comporte vc ses ttnncs et dépendances, droits et at, l'agencement et les immeubles, par destination qui peuvent en dépendre et ce sans aucune exception ni réserve; Cet immeuble est ié odNr par la 12me avenue; a Sud par l'emprise d chemin de fer; à El'ts rap ls parcelles 7 et 4 du lot 61 ; mêm lot Le deuxième faisant l'objet d titre foncier n° 49 du Livre foncier
au profit de Justice de la dite ville, à l'adjudication au plus offrant et dernier enchérisseur de : TROIS IMMEUBLES sis à Conakry Le premier faisant l'objet du titre foncier n° 457 du Livre foncier de la Commune de Conakry, sis 125 avenue, et constituant la parcelle 8 du lot n° 61 ; consistant en un terrain portant une maison d'habitation à rez-de-chaussée surélevé et dépendances d'une superficie de 2'298 m2 50 ainsi que ledit immeuble se poursuit et se comporte avec ses attenances et dépendances, droits et facultés, l'agencement et les immeubles, par destination qui peuvent en dépendre et ce sans aucune exception ni réserve; Cet immeuble est limité au Nord par la 12me avenue; au Sud par l'emprise du chemin de fer; à l'Est par les parcelles 7 et 4 du lot 61 ; même lot. Le deuxième faisant l'objet du titre foncier n° 49 du Livre foncier de la Commune de Conakry, sis 301 avenue; constituant la parcelle 28 du lot n° 27; consistant en un terrain portant une maison d'habitation et dépendances d'une superficie de 500 m2 ainsi que ledit immeuble se poursuit et se comporte avec ses attenances et dépendances, droits et facultés, l'agencement et sans aucune exception ni réserve; Cet immeuble est limité : au Nord par la propriété Samba N'Dar; à l'Ouest par le 8e boulevard. Le troisième consistant en un terrain portant des constructions à usage d'habitation d'une contenance de 962 m2 29, constituant la parcelle 1 du lot 63 du plan cadastral de la ville de Conakry; ainsi que ledit immeuble se poursuit et se comporte avec ses attenances et dépendances, droits et facultés, l'agencement et les immeubles par destination qui peuvent en dépendre et ce sans aucune exception ni réserve; Cet immeuble est limité : au Nord par la 10me Avenue; au Sud par le titre foncier n° 190; à l'Est par le 7e boulevard; à l'Ouest par le titre foncier n° 390. Les trois immeubles ci-dessus sont vendus à la requête de Madame Veuve BURKI (Edouard), agissant tant en son nom personnel que comme tutrice légale de ses quatre
au profit de Justice de la dite ville, à l'adjudication au plus frat e dernier enchérisseur de : TROIS IMMEUBLES si à Conakry Le remer faisant bl'oetj du titre foncier n° 457 du Livre fncr de la Cmeounm de Conakry, s 125 nu et constituant la parcelle 8 du lot n° 61 consistant en un terrain portant une maison d'habitation rez-de-chaussée surélevé et dépendances d'une superficie de 2'298 m2 50 ainsi que ledit immeuble e poursuit et se comporte avec ses attenances et dépendances, droits et facultés, mgclntne'eae t les immeubles, par destination ui peuvent en déeerpdn et ce sans aucune exception ni résrv; Cet mmbl est limité au Nrd par l 12me avenue; au Sud par l'emprise du chemin de fer; à lEst par les parcelles 7 et 4 du lot 61 ; même lot. L deuxième fis 'objet du titre foncier n° 49 du Livre foncier de la Commune d Conakry, sis 301 avenue; constituant la prcll 28 du lot n° 27; consistant en un terrain portant une maison d'habitation et dépendances dne superficie de 500 m2 ainsi que ledit mmbl se poursuit et s comporte avec se attenances et dépendances, droits et facultés, l'agencement et sans aucune exception ni réserve; Cet immeuble est lmté : au Nord par la propriété a N'Dar; à l'Ouest par le 8e boulevard. Le troisième cnsstnt en un terrain portant des constructions à usage d'hbitatn d'une cotnc de 962 m2 29, constituant la parcelle 1 du lot 63 du plan cdstrl de la vll e Conakry ainsi q ledit mmbl se prst et se comporte avec ses attenances et dépendances, droits et facultés, l'agencement et les immeubles rpa destination qui peuvent en dépendre e ce sans cn exception ni réserve; Cet mmbl est limité : au Nord par la 10me Avenue au Sud par le titre foncier n° 190 à l'st par le 7 blvrd; à l'Ouest par le titre foncier n° 390. Ls trois immeubles ci-dessus snt vendus à la qêeetru d Madame Vv BURKI (Edouard), gssnt tant e son nm personnel que comme tutrice légale de ses quatre
sans aucune exception ni réserve; Cet immeuble est limité : au Nord par la propriété Samba N'Dar; à l'Ouest par le 8e boulevard. Le troisième consistant en un terrain portant des constructions à usage d'habitation d'une contenance de 962 m2 29, constituant la parcelle 1 du lot 63 du plan cadastral de la ville de Conakry; ainsi que ledit immeuble se poursuit et se comporte avec ses attenances et dépendances, droits et facultés, l'agencement et les immeubles par destination qui peuvent en dépendre et ce sans aucune exception ni réserve; Cet immeuble est limité : au Nord par la 10me Avenue; au Sud par le titre foncier n° 190; à l'Est par le 7e boulevard; à l'Ouest par le titre foncier n° 390. Les trois immeubles ci-dessus sont vendus à la requête de Madame Veuve BURKI (Edouard), agissant tant en son nom personnel que comme tutrice légale de ses quatre enfants mineurs : BURKI (Marc-Jean-Christian); BURKI (Alain-Armand); BURKI (Edith-Lina-Isabelle); BURKI (Axel-Nicolas); suivant autorisation du Conseil de famille par délibération en date du 24 janvier 1944, pour le titre foncier n° 457 dont elle est seule co-propriétaire avec M. LESTEL (Elie), suivant jugement rendu par défaut le 22 mars 1944 signifié à personne et dont le dispositif a été confirmé par M. POUECH (Auguste), mandataire de M. LESTEL suivant acte notarié de Maître MONET, notaire à Alger en date du 3 septembre 1941 ; pour les deux immeubles, le premier faisant l'objet du titre foncier n° 49; le deuxième faisant l'objet de la parcelle 1 du lot 64 du plan cadastral de Conakry dont Madame Veuve BURKI et ses quatre enfants mineurs sus nommés sont co-propriétaires avec MM. FERRACCI (Jean-Baptiste) et LESTEL (Elie), suivant jugement contradictoire du Tribunal Civil de Conakry en date du 17 mai 1944, accepté par toutes les parties. Outre les charges, clauses et conditions arrêtées au cahier des charges; les enchères seront reçues sur la mise à prix de : 1er Immeuble. — Titre foncier n° 457 Deux cent cinquante mille francs. 250,000 2me Immeuble. — Titre foncier n° 49 Cinq cent mille francs 500,000 3e Immeuble.
sans aucune exception ni réserve; Cet immeuble t limité : au Nord par la propriété Samba N'Dar; à l'Ouest par le 8e boulevard. Le troisième consistant en un terrain portant des constructions à usage d'habitation d'n contenance de 962 m2 29, constituant l parcelle 1 u lot 63 du plan cadastral de la ville de Cnkry; ainsi que ledit immeuble se prst et se comporte avec ses attenances et dépendances, droits et facultés, l'agencement et les immeubles par destination qui ue en dépendre et ce sans aucune exception ni réserve; Cet immeuble est im : au Nrd par la 10me v; au Sd par le titre oner n° 190; à l'Est par le 7e boulevard; lOuest par le ttr foncier n 390. L trois mmbls ci-dessus sont vendus à la requête de Madame Vv BURKI Edouard agissant tant en sn nm personnel que comme tutrice légale de ses qr enfants mineurs I (Marc-Jean-Christian); BURKI (Alain-Armand); BURKI (Edith-Lina-Isabelle); BURKI (Axel-Nicolas); svnt autorisation du Conseil de famille par délbértn en dt du 24 janvier 1944, pour el titre foncier n° 457 dont elle est seule co-propriétaire ae M. LESTEL (Elie), suivant jugement rendu par dfau le 22 smar 1944 signifié à personne et dont le dispositif a été confirmé par M. PCH (Auguste), mandataire de M. LESTEL nasuvit acte notarié de Maître MONET, notaire à Alger en date du 3 septembre 1941 ; pour les deux immeubles, l premier faisant l'objet du titre foncier n° 49; le dxè faisa l'objet de la parcelle du lot 64 du pln cadastral de Conakry dont Madame Veuve BURKI et se uatr enfants mineurs ss nommés sont co-propriétaires avec MM. IFRCACRE (Jean-Baptiste) et LSTL (Elie), suivant jgmnt contradictoire du Tribunal Civil de Conakry en date du 17 ami 1944, accepté ar toutes les parties. Outre les charges, clauses et conditions arrêtées au rhaiec des charges; les enchères sontre r sur l ms rx de : r1e Immeuble. — Titre foncier n 457 Deux cent cinquante mille francs. 250,000 2me Immeuble. — Tte focr ° 49 Cnq cent mille francs 500,000 3e Immeuble.
à personne et dont le dispositif a été confirmé par M. POUECH (Auguste), mandataire de M. LESTEL suivant acte notarié de Maître MONET, notaire à Alger en date du 3 septembre 1941 ; pour les deux immeubles, le premier faisant l'objet du titre foncier n° 49; le deuxième faisant l'objet de la parcelle 1 du lot 64 du plan cadastral de Conakry dont Madame Veuve BURKI et ses quatre enfants mineurs sus nommés sont co-propriétaires avec MM. FERRACCI (Jean-Baptiste) et LESTEL (Elie), suivant jugement contradictoire du Tribunal Civil de Conakry en date du 17 mai 1944, accepté par toutes les parties. Outre les charges, clauses et conditions arrêtées au cahier des charges; les enchères seront reçues sur la mise à prix de : 1er Immeuble. — Titre foncier n° 457 Deux cent cinquante mille francs. 250,000 2me Immeuble. — Titre foncier n° 49 Cinq cent mille francs 500,000 3e Immeuble. — Parcelle 1 du lot 63 de Conakry Quatre cent cinquante mille francs 450,000 Les enchères ne pourront être inférieures à mille francs. Toute personne notoirement solvable pourra enchérir. L'adjudicataire devra payer le montant de son prix dans les délais de trente jours à compter de l'adjudication. Le cahier des charges dressé par Maître HASSID (Simon), Avocat-Défenseur poursuivant le 10 juin 1944 a été déposé le même jour au Greffe du Tribunal de première instance de Conakry où il pourra être consulté. Pour tous renseignements s'adresser : Au Greffe du Tribunal de première instance de Conakry, A l'Etude de Maître Simon HASSID, Avocat-Défenseur poursuivant : le 10 juin mil neuf cent quarante-quatre. Enregistré à Conakry folio n° le Signé : Simon HASSID, Reçu : Le Receveur, Signé : GRISARD. L'attention des amateurs éventuels est tout particulièrement attirée sur les dispositions de l'article 1er du décret du 8 août 1941, relatif aux opérations immobilières de l'Afrique occidentale française et du Togo, sur le fait que préalablement à l'adjudication ils doivent obtenir de Monsieur le Gouverneur de la Guinée française une autorisation d'enchérir et de se porter adjudicataire et dont la demande devra être faite au moins vingt-et-un jours avant la date
à resnnoep et dont le dispositif été confirmé par M POUECH (Auguste), mandataire de M. LESTEL suivant acte notarié d Maîte MNT, notaire à Alger e date du 3 septembre 1941 ; pour les deux immeubles, le prmr faisant l'objet du titre foncier n° 49; le deuxième faisant l'objet de la parcelle 1 d lt 64 du plan cadastral de Conakry dont Meamad Veuve BURKI et ses quatre enfants mnrs sus nommés sont co-propriétaires avec MM. FERRACCI (Jean-Baptiste) et LESTEL (Elie), suivant jugement contradictoire du Tribunal Civil de Conakry en de du 17 mai 1944, ccpté arp os ls parties. Oure ls charges, clauses et cndtns arrêtées au cahier ds charges les enchères rstnoe reçues sur la mise à prix de : 1er Immeuble. — Titre foncier n° 457 Deux cent cinquante ll francs. 250,000 2m Immeuble. — te foncier n° 49 Cinq cent mille francs 500,000 3 Immeuble. — Parcelle 1 u lot 63 d Conakry Quatre et cinquante llmei francs 450,000 sLe ehs ne prrnt être inférieures à ml francs. Toute personne notoirement slvbl pourra enchérir. L'djdctr devra payer le nn d sno prix dans les délais de trente jours à compter de l'adjudication. Le cahier des rhegsca dressé a r HASSID (Simon), AvocatDéfenseur poursuivant le 10 juin 1944 été déposé le même jour au Greffe du Tribunal de première instance de Conakry ùo il pourra être consulté. Pour tous renseignements sdssr : Au Greffe du Tribunal d première instance de Conakry, leuEdt' de Maître Simon HASSID, Avocat-Défenseur poursuivant : le 10 juin ml neuf cent quarante-quatre. Enregistré à Conakry folio n° l iSégn : Simon HASSID, e : Le Rcvr, Signé GRISARD. L'attention des amateurs éventuels est tout particulièrement attirée sur les isst de l'article 1er du creédt ud 8 août 1941, relat aux patn immobilières d l'Afrique ccdntl fraçise t du Togo, sur le fait que prélblmnt à l'adjudication ils doivent obtenir de Monsieur le Gouverneur de la Guinée française une autorisation d'enchérir et de se por adjudicataire et dont la ddeeanm devra être faite moins vingtetun jours avant la date
charges dressé par Maître HASSID (Simon), Avocat-Défenseur poursuivant le 10 juin 1944 a été déposé le même jour au Greffe du Tribunal de première instance de Conakry où il pourra être consulté. Pour tous renseignements s'adresser : Au Greffe du Tribunal de première instance de Conakry, A l'Etude de Maître Simon HASSID, Avocat-Défenseur poursuivant : le 10 juin mil neuf cent quarante-quatre. Enregistré à Conakry folio n° le Signé : Simon HASSID, Reçu : Le Receveur, Signé : GRISARD. L'attention des amateurs éventuels est tout particulièrement attirée sur les dispositions de l'article 1er du décret du 8 août 1941, relatif aux opérations immobilières de l'Afrique occidentale française et du Togo, sur le fait que préalablement à l'adjudication ils doivent obtenir de Monsieur le Gouverneur de la Guinée française une autorisation d'enchérir et de se porter adjudicataire et dont la demande devra être faite au moins vingt-et-un jours avant la date d'adjudication. EN VENTE A L'IMPRIMERIE OFFICIELLE DU GOVERNEMENT, A CONAKRY CARTE DE LA GUINÉE FRANÇAISE du Service Géographique de l'A. O. F. au 1/200. 000®, en couleurs avec courbes équidistantes 50 mètres. Feuilles nouvellement parues : GUECKEDOU, MACENTA et SATADOUGOU Prix : 10 francs. — Par la Poste : 1 à fr. 50 CON....,"", — Imprimerie du Gouvernement.
charges drssé par Maître HASSID (Simon), Avocat-Défenseur poursuivant l 10 juin 1944 été déposé le même jour au Greffe du Tribunal de première instance Cona où pourra être consulté. Pour tus renseignements drsse : Au Grff du Tribunal de première instance de Conakry, A l'Etude de Maître Simon ,SDHASI Avocat-Défenseur poursuivant le 10 juin mil neuf cent quarante-quatre. Enregistré à Conakry folio n° le Signé : Simon HASSID, Reçu Le ee, Signé : A L'attention des tarsuema éventuels est t particulièrement at u les dispositions ed larticle 1 du cdréte du 8 août 1941, relatif aux opérations mmblèrs de l'Afrique occidentale faase et du Togo, sur e fait q préle à 'adjudication is doivent obtenir de Monsieur le Gouverneur de la uneéGi française une autorisation d'enchérir et d se pretor adjudicataire et dont la demande devra être faite au moins vingt-et-un jours avant la date d'adjudication. EN VENTE A L'MPRMR OFFICIELLE DU GOVERNEMENT, A CONAKRY CAETR DE LA GINE FRANÇAISE du Service Géographique de l'A. . F. au 1/200. 000®, en couleurs avec courbes équidistantes 50 mètres. Feuilles nouvellement parues : GCKD, MCNT et SATADOUGOU Prix : 10 francs. — Par la Pst : 1 à fr. 50 CON....,"", — Imprimerie du Gouvernement.
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L'Auto PARIS 10, Fg-Montmartre LYON Réd. 14, r. Villeroy Moàcer 48-87, 48-39, 46-93 Ad. 6, r. Childerbert 1 • Franklin 68-82 JEUDI 4 NOVEMBRE 1943 L'ANNÉE N° 5.568 ; Directeur général Jacques GODDET LES CONFIDENCES DU FOOTBALLEUR-A-TOUT-FAIRE Arrière, demi aile, avant centre, intérieur, auquel de ces postes préférez-vous jouer ? "A l'intérieur, et de beaucoup" nous a répondu Paul BERSOULLÉ Lorsque fut connue la composition de l'équipe parisienne qui vainquit lundi celle du Nord, certains s'étonnèrent de voir figurer au poste d'intérieur gauche Paul Bersoullé, qui jouait habituellement demi droit dans le onze de Paris-Capitale et qui tint, dans cette formation, la place d'arrière droit, à Grenoble, la veille de Paris-Nord. Le rendement de Bersoullé à l'Inter constitua la meilleure réponse à ses critiques d'avant la lettre, puisqu'il fut lundi l'un des principaux artisans de la victoire parisienne, qui n'eut d'ailleurs rien de surprenant pour ceux qui ont suivi la carrière de Bersoullé et connaissent sa tendance marquée pour les rôles offensifs. Ce joueur est, en effet, un attaquant-né, s'il a souvent été amené à occuper des postes différents c'est à raison, même de ses qualités de footballeur complet et d'exceptionnelles facultés d'adaptation. Avant centre, inter, ailier, demi... Il débuta comme avant centre chez les juniors du CASG, sous la direction des anciens internationaux Bonnardel et Marion. Au CAP Paris, où il passa en qualité de professionnel en 1936-37, on le vit successivement aux postes d'intérieur, d'aile et de demi aile. Au Red Star, où il entra en 1939-40, il joua ses sept premiers matches à une place différente (intérieur, avant centre, demi aile et demi centre). C'est pourtant le poste de demi droit qui semblait devoir lui valoir sa consécration définitive et c'est celui qu'il occupait jusqu'à dimanche dernier dans l'équipe de Paris-Capitale. « Mon poste préféré ? Celui d'intérieur » L'expérience heureuse de lundi va-t-elle appeler une révision du cas Bersoullé ? Voyons ce qu'en pense l'intéressé. Quelles sont tout au moins ses préférences ? « Je préfère de beaucoup jouer dans une ligne d'attaque, nous dit-il. Non pas en qualité d'avant centre où je ne me trouve
L'Auto PARIS 10, Fg-Montmartre LYON Réd. 14, r. Villeroy Moàcer 48-87, 48-39, 46-93 Ad. 6, r. Childerbert 1 • Franklin 68-82 JEUDI 4 NOVEMBRE 3149 L'ANNÉE N° 5.568 Directeur général Jacques GODDET LS CONFIDENCES DU FOOTBALLEUR-A-TOUT-FAIRE Arrière, demi aile avant centre, intérieur, auquel de ces postes préférez-vous jouer "A l'intérieur, et de beaucoup" nous a répondu Paul BRSLLÉ Lorsque fut connue la composition de l'équipe prsnn q vainquit lund celle du Nord, certains s'étonnèrent de voir figurer au poste d'intérieur gauche Paul Bersoullé, qui jouait habituellement demi droit dans le onze Paris-Capitale et qui tint, dans cette formation la place d'arrière droit, à Grnbl, a vll d Paris-Nord. Le rendement de Bersoullé à l'Inter constitua la milur réponse à ses critiques d'avant la lettre, puisqu'il fut lundi l'n des prncpx ssnaarti de la victoire rsiee, qui n'eut d'ailleurs rien de surprenant pour ceux iuq ont suivi la carrière de Bersoullé et cnnssnt sa tendance marquée pour ls ôles offensifs. Ce joueur est, en effet, un attaquant-né, s'il souvent été amené à occuper des postes différents cse't à raison, même de ses qualités de footballeur cmet t 'exceptionnelles facultés 'adaptation. Avant cnt, inter, ailier, demi... Il ut comme avant ee eczh les juniors du CASG, sous la direction ds anciens internationaux Bonnardel e Marion. Au CAP Paris, où il pssaa en qualité de professionnel en 1936-37, on le vit successivement aux postes d'intérieur, d'aile et de ei ail. Au R Sta, où il entra en 1939-40, il joua ses sept premiers matches à une place différente (intérieur, vnt centre, demi aile et demi centre). C'est pourtant le poste de demi droit qu semblait devoir l valoir s consécration dfi et c'est celui qu'il occupait jusqu'à dimanche dernier dans l'équipe de Paris-Capitale. « Mon poste réfr ? Celui d'intérieur » 'expérience heureuse lundi va-t-elle appeler une révision du cas Bersoullé ? Voyons ce qu'en pense l'ntérssé. Quelles sont tout au moins ses érene ? « Je préfère de beaucoup jouer dans une ligne d'attaque, nous dit-il. Non pas en qualité d'avant centre où je ne em trouve
comme avant centre chez les juniors du CASG, sous la direction des anciens internationaux Bonnardel et Marion. Au CAP Paris, où il passa en qualité de professionnel en 1936-37, on le vit successivement aux postes d'intérieur, d'aile et de demi aile. Au Red Star, où il entra en 1939-40, il joua ses sept premiers matches à une place différente (intérieur, avant centre, demi aile et demi centre). C'est pourtant le poste de demi droit qui semblait devoir lui valoir sa consécration définitive et c'est celui qu'il occupait jusqu'à dimanche dernier dans l'équipe de Paris-Capitale. « Mon poste préféré ? Celui d'intérieur » L'expérience heureuse de lundi va-t-elle appeler une révision du cas Bersoullé ? Voyons ce qu'en pense l'intéressé. Quelles sont tout au moins ses préférences ? « Je préfère de beaucoup jouer dans une ligne d'attaque, nous dit-il. Non pas en qualité d'avant centre où je ne me trouve pas suffisamment libre. Mais bien à l'intérieur où l'on peut à la fois se dépenser, organiser le jeu... marquer des buts. Car j'aime à tenter ma chance au but. « Avec la méthode de jeu que nous appliquons, il ne me déplairait pas non plus de jouer demi aile, poste auquel je pense prendre une part active à l'action d'attaque. Mais à cette place, j'ai toujours tendance à laisser libre cours à mon tempérament impulsif et à pousser mon action... trop près des buts adverses. » C'est sans doute à cette tendance que son entraîneur, Emile Veinante, a voulu remédier en plaçant dimanche dernier Bersoullé à l'arrière. En joueur discipliné, celui-ci a fort consciencieusement rempli sa nouvelle tâche ; mais il ne cache pas qu'il ne se sent pour cette-ci aucune disposition particulière ! Quand le naturel... revient au galop ! Beaucoup plus à son aise était-il le lendemain sur la pelouse du Parc : « Au début, dit-il, je manquais quelque peu d'adaptation. Mais le naturel eut bien vite repris dessus : Le fait de m'être trouvé côté de Bongiorni tout commencement du CAP durant les deux saisons avant de la guerre m'a fait gagner beaucoup. Enfin, je vous
cmm avant centre chez les jnrs du CASG, sous la direction des anciens ntrtau Bonnardel et Marion. Au CAP Paris, où il passa en qualité de prfssnnl en 1936-37, on le vit successivement aux postes d'intérieur, d'aile et d demi .eila Au Red Star, où l entra en 1939-40, il joua ses pest premiers matches à place différente (intérieur, avant centre, demi aile et demi centre). Cest pourtant le poste d demi droit qui semblait dvr lui valoir sa consécration définitive et c'est quil occupait dimanche dernier dns l'ie de Paris-Capitale. « Mon poste préféré ? Celui d'intérieur » L'expérience heureuse de lnd va--elle pplr une révision du cas Bersoullé ? Voyons ce qu'en pense l'intéressé. Quelles sont tout au nsomi ss préférences ? « Je préfèr de beaucoup jouer dans ue ligne dattaque nous dit-il. Nn pas n léutiaq 'avant centre où je ne me trouve pas suffisamment ebir.l Mais bien à 'intérieur où l'n peut à la fois se dépenser, organiser le jeu... mrqr des buts. Car j'aime à tenter ma cnehca ua but. « Avec l méthode de jeu q ns appliquons, il ne me déplairait ps non plus de jouer demi aile, poste ql je pense prendre une part active l'action 'attaque. Mais à cette place, j'ai toujours tndnc à laisser libre cours mon tmpérmnt impulsif et à pousser mon action... trp près des buts vers » C'est sans doute à cette tendance que son entraîneur, Emile Veinante voulu remédier en plaçant dimanche dernier Bersoullé à larrière En joreuu discipliné, celui-ci a coieneueme rempli sa nouvelle tâche ; mais il ne cache pas q' ne se sent pour ctt-c cn disposition prtclèr ! Quand le natr. revient au galop Beaucoup plus à son aise était-il le lndmn sur la pelouse du Parc Au débt, dit-il, je manus quelque peu 'adaptation. Mais le naturel eut bien vt repris dessus : Le fait de m'être trouvé côté de Bongiorni tuto cmmncmnt du A durant les deux ssinsoa avant de l guerre m'a ft gagner beaucoup. Enfin, je vous
auquel je pense prendre une part active à l'action d'attaque. Mais à cette place, j'ai toujours tendance à laisser libre cours à mon tempérament impulsif et à pousser mon action... trop près des buts adverses. » C'est sans doute à cette tendance que son entraîneur, Emile Veinante, a voulu remédier en plaçant dimanche dernier Bersoullé à l'arrière. En joueur discipliné, celui-ci a fort consciencieusement rempli sa nouvelle tâche ; mais il ne cache pas qu'il ne se sent pour cette-ci aucune disposition particulière ! Quand le naturel... revient au galop ! Beaucoup plus à son aise était-il le lendemain sur la pelouse du Parc : « Au début, dit-il, je manquais quelque peu d'adaptation. Mais le naturel eut bien vite repris dessus : Le fait de m'être trouvé côté de Bongiorni tout commencement du CAP durant les deux saisons avant de la guerre m'a fait gagner beaucoup. Enfin, je vous dirai que mon adversaire direct, Levandowski, n'a jamais abusé de ses qualités athlétiques. Bien qu'il me fit marquer de près durant tout le match, je ne l'ai jamais senti. Quelle différence avec d'autres adversaires moins « costauds » mais autrement hargneux ! Ce footballeur de 25 ans et demi, d'alteure mince, et émaigri (il ne pèse que 70 kilos pour 1 m. 76 de hauteur) craint, en effet, les chocs, dangereux. Mais, en regard, il sait être lui-même sur le terrain comme dans la vie, d'une exemplaire correction. C'est un Parisien pur sang, benjamin d'une famille de huit enfants. Il est né à Arcueil. Voilà quelques mois, il s'est marié, et a quitté son métier d'électricien pour se consacrer entièrement au football, professionnel. Au titre de moniteur d'État, il entraîna et conseille les équipes de Morfontaine-sur-Loing et celle de l'AS Amicale. Et à cette époque, il a porté le maximum de conscience et d'application. Son modèle : Duhart Celui de ses matches lui ayant laissé le meilleur souvenir ? Une fin de championnat militaire de la 17e région au cours de laquelle il réussit à marquer 4 buts... sur coup de fuit. Les footballeurs qu'il a le plus admirés ?
auquel je pense prendre une part active à l'action d'attaque. Mais à cette place, j'ai toujours cendneat à laisser lbr cours à mon tempérament impulsif et à pousser mon action... trop près des buts adverses. » C'est sans doute à cette tendance que son entraîneur, Emile Veinante, voulu remédier en plaçant dimanche drnr Bersoullé à larrière En joueur discipliné celui-ci fort consciencieusement rmpl sa nouvelle tâche ; mais il ne cache pas qu'il ne se sent pour cette-ci aucune soiinipostd particulière ! Quand le naturel... revient galop ! euou plus à son aise était-il le lendemain sur la pelouse du Parc : « Au début, dit-il, je manquais quelque peu d'adaptation. Mais le naturel eut bien vite repris dessus : L fait de m'être trouvé côté de Bogni tout commencement du CAP durant les deux saisons avant de la guerre m'a fait gagner beaucoup. Enfin, je vous dirai que mon adversaire direct, Levandowski, n'a jamais abusé de sse qualités athlétiques. Bien 'ulqi me fit marquer de près durant tout le match, je ne l'ai jamais eti Quelle différence avec d'autres rssadvriaee moins « costauds » mais autrement hargneux ! Ce footballeur de 25 n et demi, d'alteure mince, t émaigri (il ne pèse que 70 kilos pour 1 m 76 d hauteur) craint, en effet, les chocs, dangereux. Mais, n rgrd, il sait être lui-même sur le terrain comme dns la vie, 'uden aexermpeil correction C'est un Parisien pur sang, benjamin d'une famille de uith enfants. Il est né à Arcueil. Voilà qlqs siom, il s'est marié et a quitté son métier d'élctrcn pour se consacrer entièrement au football, professionnel. Au ttr de moniteur d'État, il entraîna et conseille les équipes d Morfontaine-sur-Loing et celle de l'AS Amicale. Et à cette éq il a oé le maximum de conscience et pcpa'.ltidoian Son modèle : Duhart Celui de ses matches lui ayant laissé l iur svnr ? Une fin de championnat militaire de la 17e région au cours de qlleaelu il réussit à marquer 4 buts... sur coup de fuit. Les footballeurs q'l a le plus admirés ?
mince, et émaigri (il ne pèse que 70 kilos pour 1 m. 76 de hauteur) craint, en effet, les chocs, dangereux. Mais, en regard, il sait être lui-même sur le terrain comme dans la vie, d'une exemplaire correction. C'est un Parisien pur sang, benjamin d'une famille de huit enfants. Il est né à Arcueil. Voilà quelques mois, il s'est marié, et a quitté son métier d'électricien pour se consacrer entièrement au football, professionnel. Au titre de moniteur d'État, il entraîna et conseille les équipes de Morfontaine-sur-Loing et celle de l'AS Amicale. Et à cette époque, il a porté le maximum de conscience et d'application. Son modèle : Duhart Celui de ses matches lui ayant laissé le meilleur souvenir ? Une fin de championnat militaire de la 17e région au cours de laquelle il réussit à marquer 4 buts... sur coup de fuit. Les footballeurs qu'il a le plus admirés ? Le demi centre argentin Volante, qui joua avec lui au CAP, et Maurice Dubard. « Je n'ai jamais oublié l'admirable exhibition qu'il réalisa au cours d'un match Red Star-Sochaux, à Saint-Ouen. au lever de rideau duquel j'avais moi-même joué. Je ne me souviens pas avoir vu chez un autre joueur une telle finesse de touche de balle. J'en ai fait depuis ce jour mon footballeur idéal. Hélas... il me reste encore beaucoup à apprendre pour seulement l'approcher ! » Modeste, Paul Bersoullé n'ignore pas qu'il devra encore travailler pour atteindre sa pleine maturité de footballeur ; mais celle-ci n'est plus très loin à en juger par les dernières rencontres au cours desquelles nous avons vu opérer ce joueur, excellamment doué devant lequel les portes de l'équipe de France s'ouvriront sans doute toutes grandes un jour prochain. Jacques de RYSWICK. Alors que le règlement fédéral Interdit de Jouer deux matches officiels au seul jour d'intervalle, les titulaires de Paris Nord, lundi, avaient tous disputé un match de Championnat fédéral la veille, dimanche. Décidément, 1943-44 sera, l'année où la FFF aura presque chaque dimanche piétiné les règlements établis. Fâcheux précédents... Le hors jeu contesté du match Auvergne Artois Les incidents de la
mi, et émaigri (il ne pèse que 70 kilos u 1 m. 76 de htr) craint, en fet, les chocs, dangereux. Mais, en regard, il sait être lui-même sur le terrain comme dans la vie, ne exemplaire correction. C'est un Prsn pru sang, benjamin 'ne famille de huit enfants. Il est né à rcl. Voilà quelques mois, il s'est marié, et a quitté son métier d'électricien pour se consacrer entièrement au football, professionnel. Au titre de moniteur d'État, il ntrîn et conseille les équipes de Morfontaine-sur-Loing et celle de l'AS Amicale. à cetet que, il a porté le mxu d conscience et dapplication Son modèle : Duhart Celui de ses matches lui ayant laissé le meilu souvenir ? Une fin de championnat militaire de la 17e région cours ed laquelle il réussit à ru 4 buts... sr cp de fuit. Les footballeurs qu'il a le u admirés ? Le demi centre argentin Volante, qui joua avec lui au CPA, et Maurice Dubard. « Je nai jamais oublié l'admirable exhibition qu'il réalisa au cours d'un match Red Star-Sochaux, Saint-Ouen. au lever d rideau qu javais moi-même joué. Je ne me souviens pas avoir vu chez un autre joueur une telle finesse de touche de balle. J'en ai fait depuis ce jour mn footballeur idéal. Hélas... il me reste encore beaucoup à apprendre pour slmnt l'approcher ! » Modeste, Pl Bersoullé n'ignore pas qu'il devra encore travailler pour atteindre s pleine maturité de footballeur ; mais celle-ci n'est plus très loin à en juger par les drnèrs rencontres au cours desuel nous avons vu opérer ce joueur, excellamment doué devant lequel les portes de 'péieuql de France s'ouvriront sans doute toutes grandes un jour prochain. Jacques de RYSWICK. Alors que l règlement fédéral ntet de Jouer deux matches officiels au seul jour d'intervalle, les titulaires ed Paris Nord, lundi, avaient tous disputé un match de Championnat fédérl la veille, dimanche Décidément, 1943-44 sera, l'nné où la FFF aura presu chaque dimanche pétné ls règlmnts établis. Fâchx précédents Le hors jeu contesté u match Auvergne rts Les ncdnts de la
une telle finesse de touche de balle. J'en ai fait depuis ce jour mon footballeur idéal. Hélas... il me reste encore beaucoup à apprendre pour seulement l'approcher ! » Modeste, Paul Bersoullé n'ignore pas qu'il devra encore travailler pour atteindre sa pleine maturité de footballeur ; mais celle-ci n'est plus très loin à en juger par les dernières rencontres au cours desquelles nous avons vu opérer ce joueur, excellamment doué devant lequel les portes de l'équipe de France s'ouvriront sans doute toutes grandes un jour prochain. Jacques de RYSWICK. Alors que le règlement fédéral Interdit de Jouer deux matches officiels au seul jour d'intervalle, les titulaires de Paris Nord, lundi, avaient tous disputé un match de Championnat fédéral la veille, dimanche. Décidément, 1943-44 sera, l'année où la FFF aura presque chaque dimanche piétiné les règlements établis. Fâcheux précédents... Le hors jeu contesté du match Auvergne Artois Les incidents de la fin du match joué dimanche, à Clermont-Ferrand, par les équipes de l'Artois et de l'Auvergne, furent motivés par un but accordé par l'arbitre du match, alors que le juge de touche, M. Ponge, avait levé son drapeau pour signaler un hors jeu de l'avant centre artésien Stanis. Nous avons indiqué que le but était valable parce que Stanis n'était pas en position de hors jeu quand le ballon fut joué par son coéquipier Siklo, placé à quelque trente mètres derrière lui. Les croquis ci-dessus affirment notre point de vue. En haut : position des joueurs quand Siklo frappa le ballon. En bas : position des joueurs quand Stanis, qui avait démarré à l'attention de Degouys et Birot, prit contrôle du ballon. Valmy n'a pas encore signé sa nouvelle licence Il se confirme que Valmy a l'intention de porter la saison prochaine, le maillot du Lyon, maillot qu'il arbora déjà cette année dans certaines compétitions. Mais le recordman de France du 100 mètres n'est pas encore signé de licence pour le club lyonnais. En effet, Valmy n'a pas les quinze jours de résidence exigés par l'article 21 des règlements généraux de la FFA pour solliciter une licence au Comité du Lyonnais.
une tll finesse de touche de balle. J'en fat depuis c jour mon footballeur idéal. as. il me reste encore beaucoup à eaderrpnp pr seulement l'approcher ! Mdst, Paul Bersoullé n'ignore pas qu'il dvr encore trvllr pour atteindre sa pleine maturité de ftalr mais celle-ci n'est plus très onil à en juger par les dernières rencontres au o desquelles nous avons vu opérer ce joueur, excellamment doué devant lequel les portes de lé'quipe d France s'ouvriront sans doute toutes grandes un jour prochain. Jacques de RYSWICK. Alors que le rèmn fédéral Interdit de Jouer dex matches ffcls au seul jour d'intervalle, les titulaires de Paris Nord, lundi, avaient tu disputé un match d Championnat fédéral la leveil, dimanche. Décidément, 1943-44 sera, 'année où la FFF aura presque chaque dimanche piétiné les règlements établis. Fâcheux précédents... Le hors jeu cnesé du th ergne Artois Les incidents de la fin du match jé dimanche, à Clermont-Ferrand, par les équipes e l'Artois et de l'Auvergne, frnt motivés par un but accordé par l'arbitre du match, alors que le juge de touche, M. Png, avait levé sn drapeau pour signaler n hors jeu ed lavant cntr artésien Stanis. Nous avons indiqué que le but était valable parce que Sns n'était pas en pstn de hors jeu quand le ballon fut ué par sn coéquipier Siklo, placé à quelque trente mètres derrière l. Lse croquis ci-dessus affirment notre point de vue. n haut : position des joueurs quand Siklo frappa le ballon. En bas : position des joueurs quand Stanis, uiq avait démarré à l'attention de Degouys et Birot, prit contrôle du ballon. Valmy n pas encore signé sa nouvelle licence Il se confirme que Vlmy a l'intention de porter la saison prochaine, l maillot du Lyon, maillot qu'il déjà cette année dans certaines compétitions. Mais le recordman de France u 100 mètres n'est pas encore signé de licence pour le club lyonnais. En effet, Valmy n' pas les quinze jours de résidence xgés par l'article 21 des règlements généraux de la FFA pour solliciter une licence Comité du Lyonnais.
que le but était valable parce que Stanis n'était pas en position de hors jeu quand le ballon fut joué par son coéquipier Siklo, placé à quelque trente mètres derrière lui. Les croquis ci-dessus affirment notre point de vue. En haut : position des joueurs quand Siklo frappa le ballon. En bas : position des joueurs quand Stanis, qui avait démarré à l'attention de Degouys et Birot, prit contrôle du ballon. Valmy n'a pas encore signé sa nouvelle licence Il se confirme que Valmy a l'intention de porter la saison prochaine, le maillot du Lyon, maillot qu'il arbora déjà cette année dans certaines compétitions. Mais le recordman de France du 100 mètres n'est pas encore signé de licence pour le club lyonnais. En effet, Valmy n'a pas les quinze jours de résidence exigés par l'article 21 des règlements généraux de la FFA pour solliciter une licence au Comité du Lyonnais. Cette année, Pujazon espère bien prendre le départ de l'Aycaguer L'an dernier, Pujazon ne put prendre le départ de l'Aycaguer. Arrivé la veille de l'épreuve à Lyon, il fut dans l'obligation de s'abstenir, souffrant d'un osgite inconnu, et le lendemain il subissait une opération chirurgicale. Cette année, Pujazon a promis au LOI participation à l'épreuve du 19 décembre où il espère être plus heureux que lors de l'Aycaguer 1942. DE LA PISTE À LA SCÈNE Après Ladoumègue, un autre « 1.500 » fameux, Normand, débute comme artiste MONTLUÇON. — Le fait d'avoir été champion d'athlétisme des 1.500 mètres a-t-il un signe particulier décelant des dispositions précises pour devenir artiste de théâtre? Nous ne saurions trop réfuter une telle opinion avec les exemples que nous donnent deux de nos plus grands spécialistes, fut-il d'abord Ladoumègue qui a trouvé voie (nous allions écrire sa voix) comme chanteur aussi bien comme danseur. Nous avons donné d'assister dimanche au premier aux débuts en public de celui que nous avons vu Bertrande derrière Julot, notre meilleur élève. Nous voulons parler de Normand, au cours de la réunion cycliste organisée au profit des prisonniers, chantant au micro, nous découvrant un organe chantant bien timbré. L'ex-Ulster n'a
que le but était valable parce que Stanis nét pas en position de hors jeu quand le blon fut joué par n coéquipier Skl, placé à quelque rete mètres derrière lui. Les croquis cidessus affirment notre point de vue. En haut : position des joueurs quand Siklo frappa le ballon. En bas : position des joueurs uaqdn Stanis, qui avait démarré à l'attention de Degouys et Birot prit contrôle du alln. Valmy n'a pas encore signé sa nouvelle licence Il se confirme qeu Valmy a 'intention de porter l saison ocae, le maillot d Lyon, maillot qu'il rbr déjà cette nné dn certaines compétitions. Mais l recordman de France du 100 mètres n'est ps encore signé de lcnc pour l club laysnnoi. E effet, Valy ' pas les quinze jours de résidence exigés par l'article 21 des règlements généraux de la FFA pour solliciter une licence au Comité du Lyonnais. Cette année, Pujazon espère bien prendre le départ de l'Aycaguer L'an dernier, Pujazon ne tpu prendre le départ de l'Aycaguer. Arrivé la veille d l'épreuve à Lyon, l fut dans 'obligation de s'abstenir, souffrant d'un osgite ncnn, et le lendemain il subissait une opération chirurgicale. Cette année, an a promis au OI participation à l'pee du 19 décembre où il espère être plus hrx que lors de l'Aycaguer 1942. DE LA PISTE À L SCÈNE Après Ladoumègue, un tr « 1.500 » fameux, Normand, débute comme artiste MONTLUÇON. — L fait d'avoir été champion d'athlétisme des 10 mètres a-t-il un signe particulier décelant des dispositions préce pour devenir artiste de théâtre Nous ne saurions trop réfuter une telle opinion avec les exemples que nous donnent deux de nos plus grands spécialistes fut-il d'abord Ladoumègue qui a trouvé voie (n aln écrire sa voix) comme chanteur aussi bn comme danseur. Nous avons donné d'assister dimanche au prmr aux débuts en public de celui que nous soanv vu Bertrande derrière Julot, notre meilleur élève. Nous voulons parler de Normand, au cours de la réunion cycliste organisée au prft des prisonniers, chantant au micro, nous découvrant un organe chantant bien tmbré. L'ex-Ulster n'a
au LOI participation à l'épreuve du 19 décembre où il espère être plus heureux que lors de l'Aycaguer 1942. DE LA PISTE À LA SCÈNE Après Ladoumègue, un autre « 1.500 » fameux, Normand, débute comme artiste MONTLUÇON. — Le fait d'avoir été champion d'athlétisme des 1.500 mètres a-t-il un signe particulier décelant des dispositions précises pour devenir artiste de théâtre? Nous ne saurions trop réfuter une telle opinion avec les exemples que nous donnent deux de nos plus grands spécialistes, fut-il d'abord Ladoumègue qui a trouvé voie (nous allions écrire sa voix) comme chanteur aussi bien comme danseur. Nous avons donné d'assister dimanche au premier aux débuts en public de celui que nous avons vu Bertrande derrière Julot, notre meilleur élève. Nous voulons parler de Normand, au cours de la réunion cycliste organisée au profit des prisonniers, chantant au micro, nous découvrant un organe chantant bien timbré. L'ex-Ulster n'a pu égaler les ex-lutteurs sportifs du recordman du monde en tentant de réaliser cette performance sur les planches ? ZONE I SUD I représentant général JEAN GARNAULT ADMINISTRATION PUBLICITÉ 6, Rue Childebert. F. 68.8.2. ELOIGNER TENET... QUI « MARCHAIT SUR L'HOMME » C'est ce que, pendant douze reprises, tenta de faire Joe Brun qui rencontrait Tenet pour le titre national des moyens. Voici, au quatrième round, une phase caractéristique du combat : Brun (à droite) contraint de reculer, tente de revenir à mi-distance et plaçant un large crochet-gauche que Tenet va d'abord bloquer. De la cuisine de Sous-le-Bois, près Maubeuge dans laquelle s'agitaient les cinq frères Famechon ... au Vél' d'Hiv', où dimanche, Emile fut la grande vedette de la réunion Vêtue du jaune, le détenteur de la Ceinture de L'Auto vise le titre national des mouches Avant 1939, on ne connaissait guère la famille Famechon. Alfred, le plume, qui a maintenant 29 ans, et Paul, qui aura 33 ans les prochaines fameuses, étaient des boxeurs rudes mais ces autochtones n'ont point connu la vraie consécration. Envoient-ils pourtant un large coup de chapeau. Ce sont eux qui, nantis de principes rudimentaires, ont ouvert la grande voie à leurs frères... Ray
au LOI participation à 'reue du 19 décembre où il espère être plus heureux que lors de l'Aycaguer 1942. DE LA PISTE À LA SCÈNE Après Ladoumègue, un autre « 1.50 » fameux, Noan débute comme artiste MONTLUÇON — Le fait d'avoir été champion hséatt'elmid des 1500 tr -t-l un signe particulier décelant des dispositions précises pour devenir artiste de tht Ns ne saurions trop réfuter une telle onn avec lse exemples que nous donnent deux de nos plus grands spécialistes, fut-il odb'dra Ladoumègue qui a trouvé voie nous allions écrire sa voix) comme chanteur aui bn cmm danseur. oNsu avons donné d'assister ichdmnae au premier aux débuts en public uecil que ous avons vu Bertrande derrière Julot, notre meilleur élève Nous voulons parler de Normand, au cours de la réunion cycliste organisée au profit ds prisonniers, chantant micro, nous décvr un organe chantant bien timbré. L'ex-Ulster n'a pu égaler les ex-lutteurs sportifs d recordman du monde en tntnt de réaliser cette performance sur les planches ? ZONE I SUD I représentant général AENJ GARNAULT ADMINISTRATION PUBLICITÉ 6, Rue Childebert. F. 6882 ELOIGNER TENET... QU « MRCHT SUR L'HOMME » 'est ce que, pendant douze reprises, tenta de faeri Joe Brun qui rencontrait neteT pour le titre national des moyens. Voici, au quatrième round, une pesha caractéristique du combat Bu (à droite) cntotnrai de rule,cer tente de revenir à mi-distance plaçant un eaglr crochet-gauche que Tt va d'abord bloquer De la cuisine de Sous-le-Bois, près Maubeuge dans laquelle s'agitaient les cinq frères Famechon ... au Vél' 'Hiv', où dimanche, Emile ft la grande vedette de la réunion Vêtue du jaune, le détenteur de la Ceinture de L'Auto vise l titre national des mouches Avant 1939, on ne connaissait guère famille Famechon. lfrd, le plume, qu a maintenant 29 ans, et Paul, qui aura 33 ans les prochaines fameuses, étaient des oxeurs rudes mais ces autochtones n'nt connu la vraie consécration. Envoientils pourtant un large coup de chapeau. Ce sont eux qui, nantis de principes rudimentaires, ont ouvert l grande voie à leurs frères... Ray
faire Joe Brun qui rencontrait Tenet pour le titre national des moyens. Voici, au quatrième round, une phase caractéristique du combat : Brun (à droite) contraint de reculer, tente de revenir à mi-distance et plaçant un large crochet-gauche que Tenet va d'abord bloquer. De la cuisine de Sous-le-Bois, près Maubeuge dans laquelle s'agitaient les cinq frères Famechon ... au Vél' d'Hiv', où dimanche, Emile fut la grande vedette de la réunion Vêtue du jaune, le détenteur de la Ceinture de L'Auto vise le titre national des mouches Avant 1939, on ne connaissait guère la famille Famechon. Alfred, le plume, qui a maintenant 29 ans, et Paul, qui aura 33 ans les prochaines fameuses, étaient des boxeurs rudes mais ces autochtones n'ont point connu la vraie consécration. Envoient-ils pourtant un large coup de chapeau. Ce sont eux qui, nantis de principes rudimentaires, ont ouvert la grande voie à leurs frères... Ray Famechon, 20 ans, Champion de France amateurs des « mouches », vainqueur du 43ème Challenge de « L'Auto », André Famechon, Espoir poids plume et Emile Famechon qui, lundi au Vél' d'Hiv', s'est offert le luxe d'envoyer au tapis et par deux fois Medina, Champion de France des mouches et des coqs. Le flambeau... Alfred et Paul ne furent certes point des pédotribes calés, de doctes professeurs, mais, vaillamment, ils initièrent Raymond, André et Emile qui se sont hissés au premier plan de l'actualité pugilistique; Pour leurs débuts, point de miroirs dans lesquels on étudie les fines positions, point de cordes avec lesquelles on apprend à rebondir, direct du genou en avant, donnant de doux tapis sur lesquels on s'allonge pour confectionner de durs petits carrés abdominaux, point de massues ni de sac, encore moins de punching-ball : « On n'avait même pas les moyens de se payer de la boxe contre l'ombre », pourrait dire papa Famechon, qui voyait sourcils froncés sa batailleuse progéniture, s'extasier et discursiver à perte de vue devant la photographie de Georges Carpentier, le « prodige lorrain », et s'exalter crescendo aux exploits des étoiles du ring. Bientôt papa Famechon, las et excédé, dut abandonner
faire Joe Brun qui rencontrait Tenet pr el tre national des moyens. Voici au qarie round, une phase caractéristique du combat : Brun (à droite) otai de reculer, tente de revenir à ima-seitndc et plaçant un large crcht-gch que Tenet av d'abord bloquer. De la csn d Sous-le-Bois, près Maubeuge dans laquelle s'agitaient les cinq frères Famechon ... au Vél' dHiv où ,echmandi Emile fut la grnd vedette d la réunion Vêtue du jaune, le truéendet de l Cntr de L'Auto vise le titre national des mouches Avant 1939, on ne connaissait gèr la famille Famechon. Alfred, le plume, qui a maintenant 29 ans, et Pu qui aura 33 ans les prochaines feuse étaient des boxeurs rudes mais ces autochtones 'ont itonp connu la vraie consécration. nvnt-ls pourtant n large coup de chapeau. Ce sont eux qui, nantis de principes rudimentaires, ont ouvert la grande voie à leurs frèrs... Ray Famechon, 20 ans Champion de France amateurs des « mh », vainqueur d 43èm Challenge de « L'Auto ,» ndré Famechon, Espoir poids plume et Emile Famechon qui, lnd au Vél' d'Hv', s'est offert le luxe d'envoyer au tapis et par deux fois Mia, Champion de des hsuomec et des coqs. flambeau... Alfred et Paul ne furent et point des pédotribes calés, de doctes professeurs, mais, vaillamment, ils ntèrnt Raymond, André et Emile qui se sont hissés au mpriree plan de l'actualité pugilistique; Pour leurs dtéu,sb point ed miroirs dans lesquels o étd es fines ot t de cords avec eslls on apprend rbndr, direct du genou en avant, donnant de oudx tapis sr lesquels on s'llng pour cnfctnnr de durs petits carrés abdominaux, point de massues ni de sac encore moins de punching-ball : « On ntaiav' mêm pas les myns de se payer de la boxe contre l'mbr », pourrait dire p Famechon, qui voyait sourcils froncés a bailue progéniture, s'extasier et discursiver à prt de vue devant la photographie de Georges Carpentier, e « prodige lorrain », et s'exalter eseo aux exploits ds étoiles du ing. ieô pp Famechon lsa te excédé, dut abandonner
des coqs. Le flambeau... Alfred et Paul ne furent certes point des pédotribes calés, de doctes professeurs, mais, vaillamment, ils initièrent Raymond, André et Emile qui se sont hissés au premier plan de l'actualité pugilistique; Pour leurs débuts, point de miroirs dans lesquels on étudie les fines positions, point de cordes avec lesquelles on apprend à rebondir, direct du genou en avant, donnant de doux tapis sur lesquels on s'allonge pour confectionner de durs petits carrés abdominaux, point de massues ni de sac, encore moins de punching-ball : « On n'avait même pas les moyens de se payer de la boxe contre l'ombre », pourrait dire papa Famechon, qui voyait sourcils froncés sa batailleuse progéniture, s'extasier et discursiver à perte de vue devant la photographie de Georges Carpentier, le « prodige lorrain », et s'exalter crescendo aux exploits des étoiles du ring. Bientôt papa Famechon, las et excédé, dut abandonner aux cinq turbulents la grande cuisine de la rue Machin, à Sous-le-Bois. Cette cuisine, vidée de ses sept chaises et de la table en bois blanc, servit bel et bien de salle d'entrainement. C'est, sous le bec étonné de la cafetière devant la rangée stupéfiée des boites à épices que Raymond, André et Emile balbutièrent les premiers éléments d'un art qui n'était pas encore noble. Mais la cuisine et ses ustensiles haut perchés furent les témoins de scènes homériques. Les Famechon n'y allaient point avec le dos de la cuillère à pot ! Plus aventureux que Paul et Alfred qui restèrent à Sous-le-Bois, près Maubeuge, Ray, André et Emile, gonflés comme trois d'Artagnan débarquèrent, certain soir, à Paris. Au Paris Sporting Club, Marcel Coletta, futé et instruit, et André Brugnon, habile et expérimenté, ont su faire fructifier les dispositions des trois jeunes Nordistes. Voé au jaune Emile Famechon, qui a déjà battu Mouchon, Pelgrain, Deruyck, Crochard, Rénier, Raquette, les Belges Bifetto, Claessens, Zwalwen, vous dira qu’il a été battu par Alphonse Désormeaux pour avoir commis une seule faute, mais grosse : il avait pissé ce soir-là une culotte verte ! » Mimt ». en effet, depuis qu’il a été élevé
des cs. Le flambeau... Alfred et al ne fnteur certes point des pédotribes calés, d doctes professeurs mais vaillamment, ils ntèrnt Raymond, André t Emile qui se sont hssés au premier plan de l'ctlié puie Pour leurs débuts, point de miroirs dans lesquels n étd les fines osistnip,o point de cs avec lesquelles on pprnd à rebondir, drct du genou en avant, donnant de doux tapis s lesquels on s'allonge ou confectionner de dr petits carrés abdominaux, point de massues n de sac, ncr moins de h-giclanbpuln : « On n'avait même pas les moyens de se pyr de la boxe contre l'mbr , pourrait dire appa Famechon, qui voyait rcls frncés sa batailleuse progéniture s'extasier et discursiver à perte de vue devant l photographie de Georges Carpentier, l « prdg lorrain », et sexalter crescendo aux exploits des étoiles du i Bientôt papa Famechon, la et excédé, dut bnon aux cinq turbulents l grande cuisine d la rue Mchn, Sous-le-Bois. Ctt cuisine, vidée de ses sept ases et d la table en bois ,bnlca servit e et bien de salle nidreatm.neent' C'est, le bec éoné de l cafetière devant la rangée stupéfiée des boites à épices que Raymond, Anréd et mile balbutièrent les premiers éléments 'un art qui n'était pas encore noble. Mais la cuisine te ss ustensiles ha perchés furent l témoins de scènes homériques. Les Famechon n'y allaient pi avec le s de la cuillère à pot Plus aventureux que Paul et Alfred q restèrent à Sous-le-Bois, près Mbg, yaR, André et Emile, gonflés comme trois d'Aan rur certain soir, à Paris. Au Paris otiSrngp Club, Marcel Coletta, futé et instruit, et André Brugnon, habile et xpérmnté, ont su faire frcifr les dispositions des s une Nordistes. Voé jaune Emile Famechon, qui a déjà battu Mouchon Pelgrain, Deruyck, Crochard Rénier, Raquette, les Belges if, Claessens, Zwalwen vous dira qlu’i a été btt par Alphonse Désormeaux pour avoir cmms enu seule fte, mais grosse : il avait pissé ce ir-là une cltt ert ! » Mimt ». en effet, depuis qu’il a été élevé
Raymond, André et Emile balbutièrent les premiers éléments d'un art qui n'était pas encore noble. Mais la cuisine et ses ustensiles haut perchés furent les témoins de scènes homériques. Les Famechon n'y allaient point avec le dos de la cuillère à pot ! Plus aventureux que Paul et Alfred qui restèrent à Sous-le-Bois, près Maubeuge, Ray, André et Emile, gonflés comme trois d'Artagnan débarquèrent, certain soir, à Paris. Au Paris Sporting Club, Marcel Coletta, futé et instruit, et André Brugnon, habile et expérimenté, ont su faire fructifier les dispositions des trois jeunes Nordistes. Voé au jaune Emile Famechon, qui a déjà battu Mouchon, Pelgrain, Deruyck, Crochard, Rénier, Raquette, les Belges Bifetto, Claessens, Zwalwen, vous dira qu’il a été battu par Alphonse Désormeaux pour avoir commis une seule faute, mais grosse : il avait pissé ce soir-là une culotte verte ! » Mimt ». en effet, depuis qu’il a été élevé la Ceinture de « L'Auto », est voué littéralement au jaune. Il porte des cravates jaunes, un cache-col jaune, des chaussettes jaunes : il boxe culotté de jaune avec un « A > gothique sur la cuisse gauche. Il est hanté par la couleur jaune placée dans le spectre solaire entre le vert et l'orange. A. Brusnon et Coletta ont promis à Emile Famechon, s’il parvient à battre Médina pour le titre de champion de France des mouchards, une épingle de cravate, une topaze d’Espagne dont le ton est d’un jaune limpide... rien n'est sûr Georges SCHIRA. LES BEAUX PROJETS DE G.-H. CUISIN Une grande compétition de coqs avec les meilleurs Belges et Français Un match Al Baker-Momber et peut-être un Championnat d’Europe entre Karel Sys et Francis Rutz Les organisateurs font actuellement de louables efforts pour s’écarter des revanches trop faciles à conclure. Il faut à tout prix, pour renouveler l’intérêt du programme, sortir du déjà vu et trop vu et signer des rencontres inédites. Or, G.-H. Cuisin et Henri Siry semblent devoir réussir dans cette entreprise. Ils se proposent, en effet, d’organiser au début de Janvier prochain une grande compétition internationale de poids coq qui se déroulera à
Raymond, André t Emile balbutièrent ls premiers éléments udn' art qui n'était pas encore noble. Mais la cuisine et ses ustensiles haut perchés furent les témoins de scènes homériques. Les Famechon n'y allaient point avec le dos de la cuillère à pot ! Plus aventureux que Paul et Alfred restèrent à Ss-l-Bs, près Maubeuge, ay André et Emile, gonflés cmm trois d'Artagnan débarquèrent, certain s à Paris. Au Paris Sporting Clb, ael Coletta, futé et instruit, et André Brugnon, al et expérimenté, ont su faire iuceiftrfr les dispositions des trois jeunes Nordistes. Vé u jaune ml hFceao,nm qui a déjà battu Mouchon, Plgrn, Deruyck, Crochard, Rénier, Raquette, les Belges Bifetto, Claessens, wlw vu dira qu’il a t battu par Alphonse Désormeaux pr avoir commis une seule faute, mais grosse : il avait psé ce soirlà une culotte verte ! » Mimt ». en effet, depuis qu’il a été élevé la Ceinture de L'Auto », est voué littéralement au jaune. Il porte des cravates jaunes, un cc-laceoh jaune, des chaussettes jns : il boxe culotté d jaune avec un « A > gothique sur la cuisse auce Il est hanté par la couleur jaune placée dnsa le spectre solaire entre le vert l'orange. A. Brusnon et Coletta ont promis à Emile Famechon, s’il prvnt à battre Médina pour el titre de champion de Frnc des mouchards, une épingle e cravate, une a d’Espagne dont le ton est d’un jaune limpide... rien n'est sûr Georges SCIA. LES B PROJETS DE G.-H. CUISN Une grande cmpéttn de coqs avec les meilleurs es et Frnçs Un match Al Baker-Momber et pt-êtr nu Championnat d’Europe entre Karel ys et Francis Rutz Les organisateurs font actuellement de louables efforts pour s’écrtr des revanches trop fcls à conclure. Il faut à tout prx, pour renouveler l’intérêt du programme, rir du déjà vu t trp vu et signer des rencontres inédites. Or, G.-H. Cuisin et Henri Siry semblent devoir réussir dans cette entreprise. Ils se proposent, effet, d’organiser au début de Janvier prchn une grne compétition internationale de oid coq ui se déroulera à
entre le vert et l'orange. A. Brusnon et Coletta ont promis à Emile Famechon, s’il parvient à battre Médina pour le titre de champion de France des mouchards, une épingle de cravate, une topaze d’Espagne dont le ton est d’un jaune limpide... rien n'est sûr Georges SCHIRA. LES BEAUX PROJETS DE G.-H. CUISIN Une grande compétition de coqs avec les meilleurs Belges et Français Un match Al Baker-Momber et peut-être un Championnat d’Europe entre Karel Sys et Francis Rutz Les organisateurs font actuellement de louables efforts pour s’écarter des revanches trop faciles à conclure. Il faut à tout prix, pour renouveler l’intérêt du programme, sortir du déjà vu et trop vu et signer des rencontres inédites. Or, G.-H. Cuisin et Henri Siry semblent devoir réussir dans cette entreprise. Ils se proposent, en effet, d’organiser au début de Janvier prochain une grande compétition internationale de poids coq qui se déroulera à Bruxelles et à Paris Jusqu’aux demi-finales qui seront disputées au Grand Palais, ainsi que la finale. Huit poids coq belges, avec en tête le champion Rosier, puis Cornélis, Engelen, Van Houtche, Braedt, Pierre Paul, Reveillon, Broos et, Van den Bosch, sept poids coq français, le champion Thémire Médina, Valentin Angelmann, Emile Famechon, Fournier, Decico, Bouvet et le Détenteur de la Ceinture de « L'Auto » Fouilloux, enfin un Espagnol, Luts, Fernandez, seront engagés. Voilà, avec de tels engagés, une série de très beaux combats en perspective. D’autre part, G.-H. Cuisin a l'intention de faire appel à deux autres champions belges. Il a engagé des pourparlers en vue d’organiser au Grand Palais un match entre le champion de Belgique Al Baker et le champion de France Walter Momber. D’autre part, si Karel Sys devient champion d’Europe, tables catégories à l’issue de son match du 14 novembre contre Tandberg, il est possible qu’il vienne défendre son titre à Paris contre le champion de France Francis Rutz. Enfin, mercredi prochain, au Grand Palais, rappelons que le nouveau champion de France des poids mi-moyens Emile Dicristo, rencontrera le Marseillais Jo Ricci... Georges PEETERS. Louis THIERRY, champion déchu est actuellement le boxeur le plus demandé
entre le ver t l'orange. A. Brusnon et Coletta nto promis à Emile Fmchn, s’il rpvieant à battre iaénMd rupo le titre de champion de France sed mouchards, une épingle de craa une topaze d’Espagne dont le ton est d’un ujean lp. rien n'est sûr Georges SCHIRA LES BEAUX PROJETS DE G.-H. CUISIN Une grande compétition de cos avec les mllrs Belges et Français Un match Al akr-ome et peut-être un Championnat d’rp retne al Sys et Francis Rutz Ls organisateurs font actuellement de lbls ffrts pour s’écarter des revanches trop faciles à conclure. Il faut à tout prix, pour renouveler l’intérêt d programme, sortir du déjà v et trop vu et sgnr des rncntrs nédts. Or, G.-H. Cuisin t Henri Siry semblent devoir réuir dns cette entreprise. Ils se proposent, en fft, d’oris au début de Janvier prochain nue grande tépmiinctoo internationale de poids coq qui s éol Bruxelles et à Paris Jusqu’aux demi-finales qi seront disputées au Grand Palais, ainsi u la finale. Huit poids coq blg, avec en tête le chmpn Rosier, puis Cornélis, Engelen, Van htHoc,ue Braedt, Pierre Paul, ein Broos et, Van ned Bsch, spt poids coq français, l champion Thémire Médina, Valentin Angelmann E Famechon, reFrou,ni Decico, Bouvet et Détenteur de la Ceinture de « L'Auto » Fouilloux, enfin un Espg, Luts, Fernandez, seront engagés. Voilà, de tels engagés, une série de très bx combats en perspective. D’autre rtap, G.-H. uCnsii a l'intention de faire appel à dx autres champions belges. Il a engagé ds pourparlers en vue d’organiser au Grnd Palais un match entre le champion de Belgique Al akeBr et le champion de France Walter Momber D’tr part, si Karel Sys devient champion d’Europe, tbls catégories à ’issue de son match du 14 novembre contre Tandberg, il est possible u’il vienne défendre son titre à Paris contre le champion de France Francis Rutz. Enfin eredcmri prochain, au Grand Pla, rappelons que le nouveau champion de France s poids mi-moyens ielEm crto rencontrera le Mleaiisrasl Jo Ricci... Georges PEETERS. Louis THIERRY, champion déchu est actuellement l boxeur le plus demandé
Emile Famechon, Fournier, Decico, Bouvet et le Détenteur de la Ceinture de « L'Auto » Fouilloux, enfin un Espagnol, Luts, Fernandez, seront engagés. Voilà, avec de tels engagés, une série de très beaux combats en perspective. D’autre part, G.-H. Cuisin a l'intention de faire appel à deux autres champions belges. Il a engagé des pourparlers en vue d’organiser au Grand Palais un match entre le champion de Belgique Al Baker et le champion de France Walter Momber. D’autre part, si Karel Sys devient champion d’Europe, tables catégories à l’issue de son match du 14 novembre contre Tandberg, il est possible qu’il vienne défendre son titre à Paris contre le champion de France Francis Rutz. Enfin, mercredi prochain, au Grand Palais, rappelons que le nouveau champion de France des poids mi-moyens Emile Dicristo, rencontrera le Marseillais Jo Ricci... Georges PEETERS. Louis THIERRY, champion déchu est actuellement le boxeur le plus demandé de Paris La défaite qu'il subit au début de la présente saison professionnelle que par Louis Thierry devant Dicristo aura finalement comporté de sérieux avantages pour le poulain de Gaston-Charles Raymond Le boxeur angevin a perdu son titre de champion de France des poids légers, mais cette défaite lui rapporte de nombreux contrats. Vainqueur et champion imbattu, Thierry aurait trouvé difficilement des adversaires, champion déchu, il a maintenant la possibilité de disputer de nombreux matches revanches. On croit, — en effet que Thierry n’est plus invulnérable et on lui oppose à nouveau les adversaires qu’il a déjà battus au cours de ces deux dernières saisons. Cette série de revanches est déjà commencée et nous avons assisté l’autre soir aux Arènes du Grand Palais à une deuxième édition mouvementée du match Thierry-DEvinck. Thierry a gagné moins nettement que la première fois, il est allé au tapis et les spectateurs sont partis en se promettant de revenir la fois suivante Thierry est donc devenu la vedette la plus demandée des organisateurs parisiens et faire tour des salles. On parle déjà d'autres revanches contre le Nordiste Frank Harsene qu'il rencontrera pour la quatrième fois, contre le Marocain El Houssine, qui vient de se
Emile Famechon, Fournier Decico Bouvet et le Détenteur de la Ceinture d « L'Auto » Fouilloux, f un Espagnol, Luts, Fernandez, seront engagés. Voilà, vc de tels engagés, une série de très beaux cmbts en perspective. ’autre part, G.-H. iin a l'intention de faire appel à deux autres chmpns blgs. Il a engagé des pourparlers en vue ’organiser au Grand Palais un match entre le champion de Belgique Al Baker et le chmpn de Frnc Walter Momber. D’autre part, i Karel Ssy devient ampion d’Europe, tables catégories à l’issue d son match d 14 novembre te Tandberg il est possible qu’il vienne défendre son titre à Paris contre le champion de France Francis Rutz. Enfin, ercd prochain, au Grand Palais, raplos que le nouveau chmpn de France des poids mi-moyens ml Dicristo, rencontrera l Marseillais Jo .ic.R.ic Georges PTRS. Louis THIERRY, champion dh est actuellement le bxer le plus demandé de Prs La défaite q'l bit au début de la présnt saison professionnelle que par Louis Thierry devant Dicristo aura finalement comprté de sérieux avantages pour le poulain de Gaston-Charles Raymond eL boxeur angevin perdu son titre de champion de France des poids légers, mais cette défaite lui rapporte de nomru corat. Vainqueur et champion imbat Thierry aurait trouvé difficilement des adversaires, champion déchu, il a maintenant la possibilité d disputer de nombreux matches revanches. On croit, en effet que rerThyi n’est plus invulnérable et on l oppose à nouveau les vsair qu’il a déjà battus au cos de ces deux dernières saisons. Ctt série de revanches ste déjà cmmncé et ns vs assisté l’autre ir aux Arènes du Grand Palais à une deuxième édition mvmnté du match Thierry-DEvinck. Thierry a gagné moins nettement que la première fos, il est allé au tapis et les spectateurs sont partis en se promettant de revenir la fois utnsvaei Thierry est donc devenu la vedette a plus demandée de organisateurs parisiens et erifa tour des slls. On parle déjà d'autres revanches cntr le Nordiste Frank Harsene qu'il rencontrera pour la quatrième fois, contre le Marocain El Houssine, qui vient de se
de nombreux contrats. Vainqueur et champion imbattu, Thierry aurait trouvé difficilement des adversaires, champion déchu, il a maintenant la possibilité de disputer de nombreux matches revanches. On croit, — en effet que Thierry n’est plus invulnérable et on lui oppose à nouveau les adversaires qu’il a déjà battus au cours de ces deux dernières saisons. Cette série de revanches est déjà commencée et nous avons assisté l’autre soir aux Arènes du Grand Palais à une deuxième édition mouvementée du match Thierry-DEvinck. Thierry a gagné moins nettement que la première fois, il est allé au tapis et les spectateurs sont partis en se promettant de revenir la fois suivante Thierry est donc devenu la vedette la plus demandée des organisateurs parisiens et faire tour des salles. On parle déjà d'autres revanches contre le Nordiste Frank Harsene qu'il rencontrera pour la quatrième fois, contre le Marocain El Houssine, qui vient de se mettre en vedette par sa victoire en deux reprises sur Pol Flamand.. Cette série de matches devrait, à condition que, se dérouler à heureuse façon pour Thierry, et nous le pensons, se terminer bien entendu par la revanche du Championnat de France contre Emile Dicristo. Ajoutons que Thierry n’est pas seulement très demandé à Paris, mais également en Belgique où il doit disputer deux combats fin décembre et dans le courant du mois de janvier prochain. G. P. « Les Parisiens ne connaissent pas encore le vrai Nadal » nous a dit Eugène Huat Yves Nadal, le nouveau champion de France des plumes, pratique le football et le rugby depuis ses 16 ans. Il était un des plus ardents équipiers de la JSB Bonnefoy, à Toulouse, et ce n’est que par hasard que le Toulousain débuta dans la boxe amateur. Ce n’est qu’en 1941, alors que le futur champion de France n'était pas un pugiliste, et tellement maigre, qu’il entra dans les rangs professionnels, mais l'ancien champion d'Europe Eugène Huat, installé à Toulouse, prit en main les intérêts et la direction de l'entraînement de l'ex-footballeur et Yves progressa rapidement. L'an 1942 fut la grande année du Toulousain, qui, après avoir
de nombreux contrats. Vainqueur et champion imbattu, Thrry aurait trouvé difficilement des adversaires champion déchu, il a maintenant la possibilité de disputer de nombreux matches revanches. n croit, — en effet que Thierry n’est plus invulnérable et on lui oppose à nouveau l adversaires qu’il a déjà battus au cours de ces deux dernières saisons. Cette série de revanches est déjà ncecmeméo et nous vns assisté ue sr aux Arènes du Grand Palais à une deuxième édition mouvementée du match Thierry-DEvinck. Thrry gagné moins tement que la prmèe fois, il est allé au tapis et les spectateurs sont partis en se promettant de revenir la fois suivante Thierry est devenu la vedette la plus demandée des rgnstrs ariien t faire tour des salles. On parle déjà d'trs revanches contre le Nordiste Frank Harsene quil rencontrera pour la quatrième fois, cntr le Marocain El Houssine, ui vient de se mettre en vedette par sa victoire en deux erepissr sur Pol Flamand.. Ctt série de matches der, à cndtn que, se dérouler à heureuse fço pour Thierry, et nous le pensons, se terminer bien nntduee par la revanche du Championnat de France contre ml Dicristo. Ajoutons que Thierry n’est pas seulement très demandé à Paris, ms également n Belgique où il doit disputer deux combats fin décembre et dans le courant du mois de janvier prochain. G. P. « Les Parisiens ne connaissent pas encore le vrai Nadal » nous a dit Eugène Huat Yves Nadal, le nouveau champion de France des plumes, pratique le football et le rb depuis ses 16 ans. l était un des plus ardents équipiers de la JSB Bonnefoy, à Toulouse, et ce n’est que pr hasard que le Toulousain débuta dans la boxe amateur Ce n’est qu’en 1941, alors que le futur champion de France n'était pas un pugiliste, t tellement maigre, qu’il taern dans e rngs professionnels, mais l'ancien champion d'Europe Eugène Huat, installé à Toulouse, prit en main les intérêts et l direction de l'entraînement de l'ex-footballeur t Yves progressa rapidement L'an 1942 fut la grande année du Toulousain, qui, après avoir
seulement très demandé à Paris, mais également en Belgique où il doit disputer deux combats fin décembre et dans le courant du mois de janvier prochain. G. P. « Les Parisiens ne connaissent pas encore le vrai Nadal » nous a dit Eugène Huat Yves Nadal, le nouveau champion de France des plumes, pratique le football et le rugby depuis ses 16 ans. Il était un des plus ardents équipiers de la JSB Bonnefoy, à Toulouse, et ce n’est que par hasard que le Toulousain débuta dans la boxe amateur. Ce n’est qu’en 1941, alors que le futur champion de France n'était pas un pugiliste, et tellement maigre, qu’il entra dans les rangs professionnels, mais l'ancien champion d'Europe Eugène Huat, installé à Toulouse, prit en main les intérêts et la direction de l'entraînement de l'ex-footballeur et Yves progressa rapidement. L'an 1942 fut la grande année du Toulousain, qui, après avoir battu Sapin, écrivait de justesse devant Peyre puis face à Germain Perez, pour le titre. Au cours d'une belle apparition à Paris, Nadal prit le meilleur sur le Havrais Rose. Mais la grande victoire de Nadal fut celle qu’il obtint sur Dogniaux à Toulouse. Ce fut ensuite son succès devant Germain Perez, qui, blessé, dut abandonner au septième round, laissant son titre à Nadal. Le 8 septembre dernier, Nadal, handicapé par la fracture de deux côtes des deuxième round, ne put donner, face à Tison, la mesure de ses possibilités. « Yves n'a pas eu l'occasion de prouver aux Parisiens sa classe certaine, nous a dit Eugène Huat. Dimanche, à l’Elysée Montmartre... où il sera opposé à Mattou, ils auront cette occasion... REGARDS SUR L'INDUSTRIE Ce que Française veut... C'est entre 1895 et 1900 que l'industrie et le commerce du cycle prirent leur réel essor... La "petite reine" allait jouir d'une vogue extraordinaire : on assistait à une véritable ruée vers cette nouvelle source de profits. On fut vite en mesure de juger et de juger les gens de la corporation santé. Des hommes sérieux, envisageaient un lointain avenir et s'occupaient conséquemment ; d'autres avaient en tête que le gain
seulement très mnéadde à Paris, mais également en Belgique où il doit ispr deux combats fin décembre et dans le courant du mois de janvier prochain. G. P « e Pisin n connaissent pas eo le vrai Nadal » nous a dit Ee Ht Yves Nadal, le nouveau champion de France des plumes, pratique le football et le rugby ispdeu ses 16 . Il était un des plus ardents équipiers de la JSB Bonnefoy, à Toulouse, et e ’nste que par hasard que le Tous débuta dans la boxe amateur Ce n’est qu’en 1941, lrs que le futur champion de France n'était ps un pugiliste, et tellement maigre, qu’il ntr dans les rangs prfssnnls, mais l'ancien champion d'Europe Eugène Huat installé à Toloue, prit en main les intérêts et la direction de l'entraînement de l'ex-footballeur et Yves progressa rapidement. L'an 1942 fut la grande année du Toulousain, qui, après avoir battu Sapin écrivait de justesse devant Peyre puis face à Gei Perez, pr le titre. Au cours d'une belle apparition à Paris, Nadal rit l meilleur sur le Havrais Rose. Mais la grande vctr de Nadal fut celle luq’i obtint sur Dogniaux à Toulouse. C fut ensuite son succès dvnt inrGeam Perez, qui, blessé, dut abandonner au septième round, laissant son titre à Nadal. Le 8 septembre dernier, Nadal, handicapé par la fracture de deux côtes des deuxième round, ne put donner, face à Tsn, l mesure de ses possibilités. « Yves n'a pas eu l'occasion de prouver aux Parisiens sa classe certaine, nous a dit Eugène H. Dimanche, à l’Elysée Montmartre... où il sera opposé à Mattou, ls untaro cette occasion... REGARDS SUR L'INDUSTRIE Ce q rança veut... C'est entre 1895 te 1900 q l'industrie et le commerce du cycle prirent leur ée essor... La "petite reine" allait jouir d'une vogue extraordinaire : on assistait à une véritable ruée vers cette uenlovle source de profits. On fut vite en mesure de juger et de juger les gens de la crprtn snté. Des hommes sérieux, nvsgnt un lointain avenir et s'occupaient conséquemment d'autres vnt en têt que le gain
Germain Perez, qui, blessé, dut abandonner au septième round, laissant son titre à Nadal. Le 8 septembre dernier, Nadal, handicapé par la fracture de deux côtes des deuxième round, ne put donner, face à Tison, la mesure de ses possibilités. « Yves n'a pas eu l'occasion de prouver aux Parisiens sa classe certaine, nous a dit Eugène Huat. Dimanche, à l’Elysée Montmartre... où il sera opposé à Mattou, ils auront cette occasion... REGARDS SUR L'INDUSTRIE Ce que Française veut... C'est entre 1895 et 1900 que l'industrie et le commerce du cycle prirent leur réel essor... La "petite reine" allait jouir d'une vogue extraordinaire : on assistait à une véritable ruée vers cette nouvelle source de profits. On fut vite en mesure de juger et de juger les gens de la corporation santé. Des hommes sérieux, envisageaient un lointain avenir et s'occupaient conséquemment ; d'autres avaient en tête que le gain immédiat et vendaient sans sourciller tout ce que le client, encore mal instruit, voulait bien acheter. Deux formules ! Attachés nous sommes à la carrière d'un de ceux auxquels nous avons fait allusion en premier lieu. Un jeune Savoyard, M. Léon Roilet, était entré dans la vie des affaires, en 1835, sous la direction de son frère, installé à Londres, où il dirigeait une firme d'accessoires pour cycles. 1895... Au Stanley Show de Londres, en novembre, un fabricant dénommé, précisément, une très belle série de spécialités en caoutchouc, parmi lesquelles les pneus, garde-boue et pont-péjes, qui devaient faire la fortune de la maison Bluemels. Notre jeune Savoyard ne manqua pas de s'intéresser à ces articles. Il s'intéressa même de si près que, deux ans plus tard, estimant venu le moment de voler de ses propres ailes, et ayant demandé à son aîné de lui rendre sa liberté, il s'assura l'agence générale pour la France de la production Bluemels ! Il s'installa rue de la Folie-Méricourt, à Paris, là où sont encore installés les Établissements Roilet, et eut tôt fait d'adoindre à ses cartes initiales d'autres représentations : ces fameuses petites clés King Dick, toujours aussi recherchées 46 ans plus tard
Germain Perez, q, blessé, dut abandonner au septième round, laissant son titre à Nadal. Le 8 septembre dernier, Nadal, handicapé par la fracture de deux stecô des deuxième round, ne put donner, face à Tison, la mesure d ss possibilités. « Yves n'a pas l'occasion de prvr aux Prsns sa classe certaine, ns a dit Eugène Huat. Dimanche, à lElysée Montmartre... où il aesr à Mattou, ls auront cette occasion REGARDS SUR RILUTIN'ESD Ce que ans veut... st'eC entre 1895 et 190 que l'industrie et le commerce d cycle prirent u réel essor... La "petite reine" allait jouir d'une vogue extraordinaire on assistait à ue véritable ruée vers etetc le so de profits. On fut vite en mesure de juger et e juger les gens de la crprtn santé. Des hommes sérieux, envisageaient un lointain avenir et s'occupaient oquemment ; d'autres avaient en têt q le gain méit et vendaient sans suc tout ce que le client, encore ml instruit, voult bien acheter. Deux frmls ! Attachés nous sommes à la carrière 'un de ceux auxquels ns avons ft allusion premier lieu. Un jeune y,avarodS . Léon Roilet, était entré dns la vie des affaires, en 1835, sous la direction de sno frère, installé à Londres, où il dirigeait une frm d'accessoires pour cycles. 1895... u Stnly Show de Londres, en novembre, un fabricant nomm, rcéme une très belle série de spécialités en caoutchouc, parmi lesquelles les nu garde-boue et pontpéjes q devaient fr la rtounfe de la maison Bemel Notre jn Savoyard ne manqua pas de s'intéresser à esc articles. Il 'intéressa même d si près que, deux ans puls tard, estimant venu le moment de voler de ses propres ailes, et ayant dmné à son éaîn de lui rendre sa liberté, il sassaur' l'cgeean générale pour la France de la production Bluemels ! Il s'installa rue d l eFcMii,-urolrtéo à ari, là où sont encore installés les Établissements Roilet, t t tôt fait d'adoindre à ses cartes initiales dautres représentations : cs fameuses petites clés King Dck, toujours aussi recherchées 4 ans plus tard
1835, sous la direction de son frère, installé à Londres, où il dirigeait une firme d'accessoires pour cycles. 1895... Au Stanley Show de Londres, en novembre, un fabricant dénommé, précisément, une très belle série de spécialités en caoutchouc, parmi lesquelles les pneus, garde-boue et pont-péjes, qui devaient faire la fortune de la maison Bluemels. Notre jeune Savoyard ne manqua pas de s'intéresser à ces articles. Il s'intéressa même de si près que, deux ans plus tard, estimant venu le moment de voler de ses propres ailes, et ayant demandé à son aîné de lui rendre sa liberté, il s'assura l'agence générale pour la France de la production Bluemels ! Il s'installa rue de la Folie-Méricourt, à Paris, là où sont encore installés les Établissements Roilet, et eut tôt fait d'adoindre à ses cartes initiales d'autres représentations : ces fameuses petites clés King Dick, toujours aussi recherchées 46 ans plus tard ; les roulements Hoffmann, etc. L'affaire prospéra, Cela se conçoit sa marche étant basée sur deux principes intangibles : 1° La fidélité au fournisseur, mais à un fournisseur choisi, sélectionné, pourrait-on dire ; 2° Le respect du client, auquel on se fait un véritable devoir de n'offrir que des spécialités éprouvées. Une ligne de conduite d'une rectitude aussi absolue ne peut que conduire tout droit au succès ! A 25 ans, rigoureusement indépendant, parce qu'ayant démarré avec ses propres économies, Léon Roilet pouvait donner libre cours à son esprit d'entreprise. Il équipa un atelier de montage et les cycles Roilet virent le jour. S'arrêterait-il là ? Non ! Il eut foi en une industrie nouvelle, celle de la machine à tailler, et il commença par vendre des Sunderland. Les commandes furent si nombreuses qu'il fallut décider de construire en France... Une licence fut acquise et, rue Trousseau, de nouveaux ateliers furent installés ! Les choses allèrent ainsi jusqu'à 1921. date à laquelle la firme Roilet devint une société. Le fondateur, bien entendu, conservait le contrôle de l'affaire. Mais, "patron social", il profitait de la circonstance pour récompenser les membres les plus héritiers d'un personnel dévoué, et faisait cadeau de quelques
1835, sous la direction de son frère, installé à oes, où il dirigeait ue firme d'accessoires pour cycles. 1895... Au Stanley Show d Londres, en novembre, un fabricant dénommé, précisément, une très belle série de spécialités en caoutchouc, parmi lslelqeues s pneus, garde-boue et pontpéjes qui devaient faire la fortune de la maison Bluemels. Ntr jn Savoyard ne manqua pas de s'intéresser à ces articles. l s'intéressa même de près que, deux ans plus tard, estimant venu le moment de voler d ses prres ailes, et ayant demandé à son aîné de ui rendre sa liberté, il s'assura l'agence générl pour al France de la production Bluemels ! Il sstala rue de l Folie-Méricourt, à Paris, là ù sont encore installés les Établissements Roilet, et eut tôt fait d'adoindre à ses cartes initiales 'autres représentations : ces fameuses petites clés King Dick, toujours aussi recherchées 46 ans plus tard esl roulements Hoffmann, etc. L'affaire prospéra, Cela se conçoit sa marche étant basée sur deux principes intangibles : 1 La fidélité au urisr ms un frnssr choisi, sélectionné, pourrait-on dire ; 2° Le respect du client, ql on se fait un véritable devoir d n'offrir que des spécialités éprouvées. Une ligne de conduite d'une rectitude ss absolue ne peut que conduire tout droit au succès ! A 25 ans, rigoureusement indépendant, rapce qaat démrré avec ses propres économies, Léon Roilet pouvait donner elbir cours à son sprt d'entreprise. Il éqp un atelier d montage et les cycles Roilet vrnt le jour. S'arrêterait-il là ? Non ! Il t foi en une industrie uelle celle e la machine à tllr, et il commença par vendre des Srn. L commandes furent si nombreuses qu'il fallut décider construire en France... Une licence fut acquise et, rue Trousseau, de nouveaux eialetsr furent installés ! Les choses allèrent ainsi jusqu'à 1921. date à laquelle al firme Roilet devint neu société. Le fondateur, be entendu, st le contrôle de l'affaire. Mais, "patron social", il profitait de la circonstance pr récompenser les membres sel plus héritiers d'un personnel dévoué et faisait cadeau de quelques
éprouvées. Une ligne de conduite d'une rectitude aussi absolue ne peut que conduire tout droit au succès ! A 25 ans, rigoureusement indépendant, parce qu'ayant démarré avec ses propres économies, Léon Roilet pouvait donner libre cours à son esprit d'entreprise. Il équipa un atelier de montage et les cycles Roilet virent le jour. S'arrêterait-il là ? Non ! Il eut foi en une industrie nouvelle, celle de la machine à tailler, et il commença par vendre des Sunderland. Les commandes furent si nombreuses qu'il fallut décider de construire en France... Une licence fut acquise et, rue Trousseau, de nouveaux ateliers furent installés ! Les choses allèrent ainsi jusqu'à 1921. date à laquelle la firme Roilet devint une société. Le fondateur, bien entendu, conservait le contrôle de l'affaire. Mais, "patron social", il profitait de la circonstance pour récompenser les membres les plus héritiers d'un personnel dévoué, et faisait cadeau de quelques actions à ses meilleurs et plus anciens collaborateurs. Un an plus tard la mort l'arrachait à l'affection de sa femme et de ses deux jeunes enfants. Qu'allaient devenir les Ets Roilet ? Des mains étrangères allaient-elles s'en emparer ? C'est alors que se révéla la fille compagnie du disparu. Sur les instances de ce personnel, dont nous venons de dire l'attachement à l'affaire et qui, instinctivement, s'était rassemblé autour d'elle, Mme Roilet prit les levriers de commandement. Et, très rapidement, celle qui, au départ, la n'avait eu pour ambition que de donner à son mari les joies d'un intérieur douillet, devint l'égale du plus averti des chefs d'industrie. Le résultat ? Vingt et un ans de gestion ont fait de Roilet-Cycles, aussi bien que de Roilet-machines-outils et engrenages, des maisons prospères autant qu'estimées. Au départ, Mme Roilet avait bénéficié de la confiance de ses fournisseurs : ceux-ci avaient vu juste. Depuis 1938 est édifiée, à Vendôme, une usine Roilet, d'où sortent les machines-outils et où diverses fabrications de guerre furent montées en 1939. Suivant la voie tracée par son mari, Mme Roilet a prévu l'édification de maisons populaires, l'aménagement de terrains de sport, la création d'une école d'apprentissage et de
éprouvées. eUn ligne de conduite d'n rectitude aussi bsl ne peut que conduire tout droit au succès ! A 25 ns, rigoureusement ndépndnt, parce qu'ayant démrré vec ses propres économies, Léon Rlt pouvait donner libre cours à son esprit d'entreprise. Il équipa un atelier de montage et les cycles Roilet virent le jour. S'arrêterait-il là ? Non ! Il eut en une idtuenirs nouvelle, celle d l mchn tailler, t il cmmnç arp vendre des Sunderland. Ls cmnds furent s nombreuses qu'il fallut décider de construire en France... n i fut ui et rue Trss, de nouveaux ateliers furent installés ! Les choses allèrent ainsi qu 1921. date à laquelle la firme Roilet devint une société. Le fondateur, bien ntnd, cnsrvt le contrôle de laire. Mais, "patron social", il prftt de l crcnstnc pour eercnsoémpr les membres le plus héritiers d'un personnel dévoué, et faisait ceau de quelques actions à ses meilleurs et plus anciens olbateurs Un a plus trd la mrt larrachait à l'affection de sa femme et de ses deux jeunes enfants. Qu'allaient devenir les Ets Roilet ? Des mai étrngèrs aetl nse' emparer ? 'est alors que se révéla la fille compagnie d pausr.di Sur les instances d ce personnel, dont nous venons d dire l'ttamet à l'affaire e qui, instinctivement, s'était rassemblé autour d'elle, Mme iet prit les levriers de commandement. Et, très rapidement, celle uiq, au départ, la n'avait e pour ambition que de donner à son mari ls joies dun intérieur douillet, devint 'égale du plus averti des cf d'ndstr. Le réultat ? Vingt et n ans d gestion ont fait de Roilet-Cycles, aussi bien que de Rletaines-ou et engrenages, des smisnoa prospères autant qu'estimées. Au a Mme Roilet avait bénéficié ed la cnfnc de ses fournisseurs : ceux-ci aiet uv juste. Depuis 1938 est édifiée, à Vndôm, une iunes Roilet, d'où sortent les nseluiimtshco-a et où diverses fabrications ed ere furent montées n 1939. Suivant l v tracée par son rai,m Mme Rlt a prévu lédification de a pplrs, 'aménagement de terrains de sport, la création 'endu école d'pprntssg et de
les instances de ce personnel, dont nous venons de dire l'attachement à l'affaire et qui, instinctivement, s'était rassemblé autour d'elle, Mme Roilet prit les levriers de commandement. Et, très rapidement, celle qui, au départ, la n'avait eu pour ambition que de donner à son mari les joies d'un intérieur douillet, devint l'égale du plus averti des chefs d'industrie. Le résultat ? Vingt et un ans de gestion ont fait de Roilet-Cycles, aussi bien que de Roilet-machines-outils et engrenages, des maisons prospères autant qu'estimées. Au départ, Mme Roilet avait bénéficié de la confiance de ses fournisseurs : ceux-ci avaient vu juste. Depuis 1938 est édifiée, à Vendôme, une usine Roilet, d'où sortent les machines-outils et où diverses fabrications de guerre furent montées en 1939. Suivant la voie tracée par son mari, Mme Roilet a prévu l'édification de maisons populaires, l'aménagement de terrains de sport, la création d'une école d'apprentissage et de jardins ouvriers aux abords immédiats de cette usine. Mais elle n'a pas oublié pour cela la branche noire : le vélo ! Avant la guerre, elle s'enorgueillissait d'un département "Exportation" grâce auquel on trouvait des bicyclettes Roilet en différents points du monde et, notamment, en Argentine, au Chili, au Mexique... Soyez assurés que ses projets pour le prochain avenir sont tout aussi vastes. La haute valeur de Mme Roilet, qui possède d'ailleurs de remarquables dons de polyglotte et parle couramment trois langues, a été consacrée par une distinction dont peu de femmes ont fait l'objet : la nomination au titre de Conseillère du Commerce Extérieur. Ce que Française veut... En voici l'un des plus édifiants exemples. Claude TILLET. STADE, PUC, RACING S'ENTRAINENT DEJA AU GRAND-PALAIS Sera Martin estime que la piste couverte peut revigorer l'athlétisme parisien Mais aurons-nous des compétitions "sous le toit" ? "Ô ! le bruit de la pluie par terre et sur les trottoirs... " chantait le tendre Verlaine ! Début de novembre : les trottoirs sont luisants et humides, le vent gémit, contant à l'avance les couleurs de la froidure qui vient et le bord de la lune hachurée découpe d'étranges arabesques, sur le ciel d'automne.
les instances de ce personnel, dont nous venons de dire lattachement à l'affaire et qui, instinctivement, s't rassemblé utor d'elle, Mme Rlt pit les levriers de commandement. Et, très rapidement, celle , au départ, la n'avait eu pour ambition que de donner à son mari les oi d'un intérieur douillet, devint l'égale du ulsp averti des chefs d'industrie. Le résultat ? igVnt et un ans de gestion ont fait de Roilet-Cycles, ss bien q d Roilet-machines-outils et engrenages, des maisons prospères autant qu'estimées. Au départ, Mme Roilet avait bénéficié de la confiance de ses fournisseurs : ceux-ci avaient vu juste. Depuis 1938 est édifiée, à Vnme, une usine Roilet, doù sortent les machines-outils et où diverses fabrications de guerre furent montées en 1939. Suivant la voie tracée par son mari, Mme Roilet prévu l'édification de maisons populaires, l'aménagement de terrains de sport, la création dune école d'apprentissage et de jardins ouvriers aux abords immédiats de cette usine. Mais elle n'a pas oublié pour cela la branche noire : le vélo ! Avant la guerre, elle s'enorgueillissait d'un département xEarn"t"toipo grâce auquel on trouvait des bicyclettes Roilet en différents points du mnd et, notamment, en Argentine, au Chili, au Mexique... Soyez assurés que ses poet pour le prochain avenir sont tout aussi vastes. La haute valeur de Mme Roilet, qui posde d'ailleurs d remarquables dons de polyglotte et prl couramment trois langues, a été consacrée par une distinction dont peu de femmes ont fait 'objet la nomination titre de Conseillère du Commerce xtérr. Ce ue Française veut... En voici lun des plus édifiants exemples. Caude TILLET. STADE, , RACING S'NTRNNT DEJA AU GRAND-PALAIS Sera Martin estime que la piste couverte peut revigorer l'athlétisme parisien Mais aurons-nous des compétitions "sous le toit" ? "Ô le bruit de la pluie pr terre et sur les trottoirs... " chantait le tndr Verlaine ! Débt de novembre les trottoirs tnos luisants et sem,idhu le vent gémit, ntcntoa à l'avance les couleurs de la froidure qui vient et le bord de la lune hachurée découpe d'étranges arabesques, sur le ciel d'automne.
Soyez assurés que ses projets pour le prochain avenir sont tout aussi vastes. La haute valeur de Mme Roilet, qui possède d'ailleurs de remarquables dons de polyglotte et parle couramment trois langues, a été consacrée par une distinction dont peu de femmes ont fait l'objet : la nomination au titre de Conseillère du Commerce Extérieur. Ce que Française veut... En voici l'un des plus édifiants exemples. Claude TILLET. STADE, PUC, RACING S'ENTRAINENT DEJA AU GRAND-PALAIS Sera Martin estime que la piste couverte peut revigorer l'athlétisme parisien Mais aurons-nous des compétitions "sous le toit" ? "Ô ! le bruit de la pluie par terre et sur les trottoirs... " chantait le tendre Verlaine ! Début de novembre : les trottoirs sont luisants et humides, le vent gémit, contant à l'avance les couleurs de la froidure qui vient et le bord de la lune hachurée découpe d'étranges arabesques, sur le ciel d'automne. - À Paris, maintenant, on se couche tôt et les enfants, berçés par le crépitement de la pluie sur les toits, s'endorment dans les bras chauds de leur mère. Près de la Seine, des souffles d'air froid, portant toute la senteur de l'eau, nettent en péril la stabilité des couleurs-chefs des passants qui, les mains aux poches, pressent le pas vers leurs chambres à coucher... Vers leurs chambres à coucher ? Voire ! En tout cas, pas tous. Le Grand Palais, proche de la vieille rivière, absorbe quelques-uns de ces passants attardés dans les rues d’une capitale obscure. "Le pôle est au Grand Palais..." C’est que le Grand Palais est maintenant, pour les sportifs, un pôle d’attraction irrésistible depuis la mise en service du « stade couvert ». Il y a longtemps que l’on souhaitait et que l’on réclamait pareille création. Il ne s’agissait pas de mettre nos athlètes — déjà trop enclins à se ménager — dans du coton pendant la saison froide. Nullement ; maints pays étrangers, en effet, où les athlètes sont pourtant réputés comme énergiques, sont des adeptes fervents du sport « sous le toit ». Il fallait plutôt offrir à nos sportifs un instrument de
Soyez assurés que ses projets pour le prochain avenir sont utto aussi vastes. La hae valeur de Mme Roilet, qui possède d'ailleurs de remarquables dons de polyglotte et parle couramment trois langues, a été consacrée par une distinction dont peu de femmes ont fait l'bjt : a nomination au titre de Conseillère du Cermomec .eErrtéiux Ce que Française veut... En voici 'un des plus édifiants exemples. Claude TILLET. STADE, PUC, RACING S'NTRNNT DEJA AU GRAND-PALAIS Sera Martin esi que la piste oe peut revigorer l'athlétisme parisien Mais aunso ds compétitions "sous le toit" ? "Ô le bruit de la pluie par terre et sur les trottoirs... " chantait le tendre Verlaine Début de novembre : les trottoirs sont luisants et humides, le vent gémit, contant à l'avance les cours de la froidure qui vnt et le bord de la lune hachurée découpe d'étranges arabesques, sur e ciel 'automne. - À i, maintenant, on se couche tôt les enfants, berçés pr le crépitement de la pluie sr les toits s'endorment dans les bras chauds de leu mère. Près de la Seine, des souffles d'air froid, portant toute la senteur de l'eau, nettent en péril la stabilité des ceurs-ches des passants qui, les mains aux poches, pressent le pas vrs leurs chambres hucc.r..oe Vers leurs harsmbec cucer ? Voire ! En tout cas, pas to. Le Gra iP,asal proche de la vieille rivière, absorbe quelques-uns de ces passants attardés dans les rue d’ lpeictaa obscure. "Le pôle est au Grand Palais C’est que le Grnd Pls est maintenant, pour les sprtfs, un pôle d’attraction rrésstbl depuis l mise en service du « stade couvert ». Il y a longtemps que l’on shtt et que lon réclmt prll création. Il ne s’agissait pas de mettre nos athlètes — déjà trop enclins à se ménager — dans d coton pendant la saison froide. Nullement ; maints pays étrangers, en fft, où les athlètes sont pourtant réputés cmm énergiques, sont des adeptes fervents du sport « sous le tiot ». Il fallait plutôt offrir à nos sportifs un instrument de
des passants qui, les mains aux poches, pressent le pas vers leurs chambres à coucher... Vers leurs chambres à coucher ? Voire ! En tout cas, pas tous. Le Grand Palais, proche de la vieille rivière, absorbe quelques-uns de ces passants attardés dans les rues d’une capitale obscure. "Le pôle est au Grand Palais..." C’est que le Grand Palais est maintenant, pour les sportifs, un pôle d’attraction irrésistible depuis la mise en service du « stade couvert ». Il y a longtemps que l’on souhaitait et que l’on réclamait pareille création. Il ne s’agissait pas de mettre nos athlètes — déjà trop enclins à se ménager — dans du coton pendant la saison froide. Nullement ; maints pays étrangers, en effet, où les athlètes sont pourtant réputés comme énergiques, sont des adeptes fervents du sport « sous le toit ». Il fallait plutôt offrir à nos sportifs un instrument de travail moderne. Quand il y a quelques mois, le centre d’initiatives sociales prit possession du Grand Palais, l’un des directeurs du CIS, M. Trémouilas, fervent sportif, vit tout de suite le parti à tirer d’un tel cadre. Aussi, sur des plans établis par M. Trémouilas, inspecteur des services techniques de Paris, M. Trémouilas fit-il écouter avec célérité les travaux du stade couvert. Une installation splendide ! Tout, est maintenant achevé. La piste de 200 mètres de tour, ceinturée une vaste aire sur laquelle sont établis terrains de basket, et sautures. Gymnase, vestiaires, toutes les installations annexes sont, elles aussi, achevées. Mais ce qui nous intéressait particulièrement était le pouvoir évaluer la qualité et l’utilité de la nouvelle piste. Nous sommes allés, avant-hier, munis de pointes et de l’équipement « ad hoc », nous entraîner au Grand Palais avec le Stade Français. Sur les pistes, une cinquantaine d’athlètes — au moins aussi enthousiastes que leur entraîneur. Crestois — évoluèrent pointues aux pieds. La cendrée nous a paru dure et comparable, comme structure, à celle de Jean-Bouin. C’est-à-dire, 200 mètres de tour, ce n’est pas assez court ! Mais il semble que cela suffise amplement pour l’entraînement. Et Chamaret, Henry, Laborieux, Chotard,
des passants qui, les mains aux poches prssnt le pas vers leurs chambres à coucher... Vers leurs chambres à coucher iroeV ! En tout cas, pas tous. Le Grand Pis proche de a vieille rivière, absorbe quelques-uns de ces passants atrs dans les rues d’une capitale obscure. e"L pe est au Grand Pls..." C’est q le ad Palais est mntnnt, pour les pf,ostirs un pôl ’attraction irrésistible depuis l mise en service du « teads rcotuve Il y a longtemps que l’on isaiothtua et que l’on réclamait pareille création. Il ne s’ait ps de mettre nos athlètes — déjà trop enclins à se ménager — dans du coton pendant la saison froide. Nullement ; maints pays étrangers, en effet, où les athète sont pourtant réputés comme énergiques, snt des adeptes rnfevset du sport « sous le toit ». fllt plutôt r à nos sportifs n instrument de travail moderne. Quand il y a quelques ms, el centre d’initiatives sociales prit possession du Grand Palais, l’un des directeurs du CIS M. Trémouilas, fervent sportif, ivt tout suite le parti à tirer d’un tel cadre. Aussi, sur dse plans établis par M Trémouilas, inspecteur des services techniques d Paris, M. Trémls fit-il écouter avec célérité les travaux du stade cvrt. Une installation splendide ! Tout, est maintenant achevé La piste de 0 mètres de tour, ceinturée une vst aire sur laquelle sont étbls terrains de basket, et sautures. Gymnase, vestiaires toutes les installations annexes sont, elles aus chvés. Mais ce qui nous intéressait tiu était le pouvoir évaluer la qualité et l’u de la nouvelle piste. Nous sommes allés, avanthier munis de pointes et de l’équipement « ad hoc », nous entraîner au Grand Palais avec le Stade Français. Sur pistes, une cinquantaine d’athlètes — au moins aussi enthousiastes que leur entraîneur. Crestois — oln pointues x pieds. La cendrée us a paru dure et comparable, comme structure, à celle d Jean-Bouin. C’est-à-dire, 200 mètres de tr, c n’est pas assez court ! Mais il semble que cela suffise amplement pour l’entraînement. Chamaret, Henry, Laborieux, Chotard,
Paris, M. Trémouilas fit-il écouter avec célérité les travaux du stade couvert. Une installation splendide ! Tout, est maintenant achevé. La piste de 200 mètres de tour, ceinturée une vaste aire sur laquelle sont établis terrains de basket, et sautures. Gymnase, vestiaires, toutes les installations annexes sont, elles aussi, achevées. Mais ce qui nous intéressait particulièrement était le pouvoir évaluer la qualité et l’utilité de la nouvelle piste. Nous sommes allés, avant-hier, munis de pointes et de l’équipement « ad hoc », nous entraîner au Grand Palais avec le Stade Français. Sur les pistes, une cinquantaine d’athlètes — au moins aussi enthousiastes que leur entraîneur. Crestois — évoluèrent pointues aux pieds. La cendrée nous a paru dure et comparable, comme structure, à celle de Jean-Bouin. C’est-à-dire, 200 mètres de tour, ce n’est pas assez court ! Mais il semble que cela suffise amplement pour l’entraînement. Et Chamaret, Henry, Laborieux, Chotard, Forestier, Bloch, tous authentiques champions, étaient bien d’accord : c’est idéal pour s’entraîner et sans doute très impossible pour organiser quelques compétitions hivernales. C’est d’ailleurs bien l’intention des dirigeants « bleu et rouge » de prévoir des épreuves interstadistes. Mais aurons-nous un programme hivernal de compétitions Interclubs ? M. Trémouilas nous a dit à ce sujet que le calendrier prévoyait des matches de basket au Grand Palais pour presque tous les dimanches après-midi (les après-midi de semaine, samedi inclus, sont réservés à l’entraînement). Par ailleurs, l’éclairage, le soir, doit être en règle avec la défense passive, donc faible, d’où difficulté d’organiser des compétitions nocturnes. C’est, donc, un cercle vicieux. La solution serait, vraisemblablement, d’incorporer des épreuves d’athlétisme au cours des matches de basket. Savoir... intégralement réservées à l’athlétisme, ces réunions seraient néanmoins fort utiles ! Un exemple probant ! Espérons donc qu’une solution sera trouvée. Car il serait très souhaitable que nos athlètes couraient un peu l’hiver. C’est ce que nous a déclaré Sera Martin, recordman de France du 800 mètres, qui participa à des réunions sur des pistes couvertes en Amérique, en janvier 1931. « Nous nous sommes, Kerler et moi, nous a-t-il rappelé, produits sur des pistes de
Paris, M. Trémouilas fit-il oréuetc avec célérité les travaux u stade couvert. n installation splndd ! Tout, est maintenant achevé. L piste de 200 mètres de tour, ceinturée une vaste aire sur laquelle sot établis terrains de basket, et sautures. Gymnase, vestiaires, toutes es installations annexes sont, elles aussi, achevées. Mais ce qui nous intéressait partèement était le pouvoir éuavler la qualité te l’utilité de la nouvelle piste. Nu sommes allés, avant-hier, mni de pnts et e l’équipement ad hoc », nous entraîner au Grand Palais avec le Français. Sur les pistes, une cinquantaine t — moins aussi enthousiastes que leur entraîneur. Crestois — évoluèrent pointues aux pieds. La cendrée nous a paru dure t comparable, comme structure, à celle de Jn-Bn. C’est-à-dire, 200 mètres de tour, ce n pas assez court ! asiM il semble q cela suffise amplement pour l’entraînement. t Chamaret Henry, Laborieux, Chotard, Frstr, Bloch, tous authentiques champions, étaient bn ’accord : ’ idéal pour s’entraîner et sans doute très impossible or organiser quelques compétitions hivernales. C’est ’ailleurs bien l’intention des dirigeants « bleu t rouge » de prévoir épreuves interstadistes. Mais rns-ns un programme hivernal de compétitions ntrclbs ? M. Tuila nous a dit à ce sujet que le calendrier prévoyait des matches de basket au Grand Palais pour presque tous les dimanches après-midi ls après-midi d semaine, samedi inclus, ont réservés à l’ntrînmnt). Par ailleurs, l’éclairage, l io,rs doit rtêe en règle avec al défense passive, donc faible, d’ù dculté d’organiser ds compétitions urns. C’est, dnc, un crcl vicieux. La solution serait, vraisemblablement, d’incorporer des ersvépeu ’éthsetadlmi au cours des matches de basket. Savoir... intégralement réservées à lathlétisme ces rénns seraient néanmoins fort utiles ! Un exemple probant ! Espérons donc qu’une solution sera trouvée. Car il serait très souhaitable que nos athlètes couraient n peu l’hiver. C’est ce que nous a déclaré Sera Martin, recordman de rce du 800 mètres, qui participa à des réunions sur des pistes couvertes en Amérique, en janvier 1931. « Nous nous sommes, Kerler et moi, nous a-t-il rappelé, produits sur des pistes de
nous a dit à ce sujet que le calendrier prévoyait des matches de basket au Grand Palais pour presque tous les dimanches après-midi (les après-midi de semaine, samedi inclus, sont réservés à l’entraînement). Par ailleurs, l’éclairage, le soir, doit être en règle avec la défense passive, donc faible, d’où difficulté d’organiser des compétitions nocturnes. C’est, donc, un cercle vicieux. La solution serait, vraisemblablement, d’incorporer des épreuves d’athlétisme au cours des matches de basket. Savoir... intégralement réservées à l’athlétisme, ces réunions seraient néanmoins fort utiles ! Un exemple probant ! Espérons donc qu’une solution sera trouvée. Car il serait très souhaitable que nos athlètes couraient un peu l’hiver. C’est ce que nous a déclaré Sera Martin, recordman de France du 800 mètres, qui participa à des réunions sur des pistes couvertes en Amérique, en janvier 1931. « Nous nous sommes, Kerler et moi, nous a-t-il rappelé, produits sur des pistes de bois de 160 mètres de tour, ce qui était autrement dur que courir sur votre cendrée de 200 mètres ! Et pourtant, avec ma préparation, nous avons fort bien marché, N'ai-je pas gagné trois des épreuves sur les cinq auxquelles j'ai participé ?... Je suis sûr que une saison hivernale, de janvier à mars, ne serait pas de tout négatif, au contraire, à nos fragiles athlètes. Et quelle occasion pour tous de travailler le style « au chaud » ! Tout plaide pour l’entraînement et la compétition hivernale dans ces conditions : l'athlétisme parisien s'en ressentirait cet été ! D'après ce que j’ai vu là-bas, il me semble que les relais peuvent, sur piste couverte, être mis en vedette. On courait outre-Atlantique, surtout le relais 1 600 mètres x 880 yards x 440 yards x 220 yards x 100 yards. Quelle atmosphère il y avait dans les réunions ! Je voudrais bien que l'on vît cela ici grâce à la piste du Grand Palais ! Pourquoi pas ? Personne, et surtout pas les athlètes, ne serait contre ! Le reste n'est qu'une question d'accommodation, c’est-à-dire peu de choses. Robert Cusin. Grand champion, mais mauvais caractère, Adolphe Prat, le vainqueur des
nous a dit à c sujet que le calendrier prévoyait des matches de basket au Grand Palais pour presqe tous les mane après-midi (les apri de semaine, samedi inclus, ont réservés à l’entraînement). Par lu léclairage le or, dt être en règle avec la défense passive, donc faible, d’où difficulté dorganiser des compétitions nocturnes. Cest donc, un cercle vicieux. La sltn serait, seblalemnt, d’incorporer des peues d’athlétisme au crs des matches d basket. Savoir ermgtnetlanié réservées à l’athlétisme, ces réunions nesateri nanmon fort utiles ! Un exemple robant ! Espérons donc qu’une tisloonu sera trouvée. Car il artsei très souhaitable que ns thlèts couraient un peu l’hiver. C’es ce que nous a déclaré Sera Martin, recordman de France du 800 mètres, q ipapcarti à des nins sr des pistes cueres en Amérique, en janvier 1931. « Ns ns sommes, Kerler et ,imo no atil rappelé, produits sur des siptse de bois de 160 mètres de tru,o ce qui éi autrement dur que courir sur votre cendrée de 200 m Et pourtant, vc préparation, nous avons fort bien rch, N'ai-je pas gagné trois ds épreuves sur les in auxquelles j'ai prtii ?... Je suis sûr q une ssn hivernale, ed janvier à mars, ne serait pas d tout négatif, au contraire, à nos iaeslgrf athlètes. Et quelle occasion pour tous de travailler le style « au chaud » ! Tout plaide pour l’ntrînmnt et l cmpéttn hiernale dans ces cotns : lathlétisme pisn s'en ressentirait cet été ! D'après ce ue j’ai là-bas, l me semble que les relais peuvent, sur iste couverte, être mis n vedette. On tarcuio outre-Atlantique, surtout le relas 1 600 mètrs x 088 yards x 440 yards 220 yards x 100 yards. ulle atmosphère y avait dans les snuriéon ! Je voudrais einb que l'n vtî cela ici grâce à pst du Grnd Palais ! Pourquoi pas ? Personne, et surtout ps les athlètes, ne serait contre ! Le reste 'est qu'une tion d'accommodation, c’est-à-dire peu d choses. Robert Cusin. Grand champion, mais mauvais caractère, Adolphe Prat, e vainqueur des
de janvier à mars, ne serait pas de tout négatif, au contraire, à nos fragiles athlètes. Et quelle occasion pour tous de travailler le style « au chaud » ! Tout plaide pour l’entraînement et la compétition hivernale dans ces conditions : l'athlétisme parisien s'en ressentirait cet été ! D'après ce que j’ai vu là-bas, il me semble que les relais peuvent, sur piste couverte, être mis en vedette. On courait outre-Atlantique, surtout le relais 1 600 mètres x 880 yards x 440 yards x 220 yards x 100 yards. Quelle atmosphère il y avait dans les réunions ! Je voudrais bien que l'on vît cela ici grâce à la piste du Grand Palais ! Pourquoi pas ? Personne, et surtout pas les athlètes, ne serait contre ! Le reste n'est qu'une question d'accommodation, c’est-à-dire peu de choses. Robert Cusin. Grand champion, mais mauvais caractère, Adolphe Prat, le vainqueur des Belges, a la classe internationale en omnium Suspendu pour un mois, il se voit privé de son maillot tricolore jusqu’en mars ! On l’a vu dimanche, au Vélodrome d'Hiver, Adolphe Prat remporter une nouvelle victoire en poursuite et réaliser des temps excellents, tandis qu’au cours de la même réunion Raoul Breuskin se faisait rejoindre promptement par Lindrièux. Or, Breuskin est champion de Belgique de poursuite, et il est certain que sur sa forme actuelle, qui lui permet d’aller d’ailleurs s’arrêter rapidement, il ne pèserait pas lourd contre Prat... Lui, à Bruxelles, deux autres maillots aux couleurs belges étaient opposés au maillot tricolore de « Gueuglou ». Faut-il vous présenter Rik Vansteenberghe et Frans Cools ? Non, n'est-ce pas ?... Le premier est champion de Belgique sur route, mais il a surtout une réputation de « pistard » invincible ; le second est champion de Belgique de Omnium. Cela suffit, Et la victoire de Prat à Bruxelles — la première remportée depuis longtemps par un Français en Belgique — vient à point pour montrer que notre champion de France de poursuite a la classe internationale en Omnium, et qu’il serait également champion de France dans ce domaine si ce titre était,
de ai à mars, serait ps de tout négatif, au contraire, à nos fragiles athlètes. Et quelle occasion pruo tous de travailler le style « au chaud » ! Tout plaide l’entraînement et la compétition hivernale dans ces conditions : l'athlétisme parisien s'en ressentirait cet été D'après ce que j’ai vu là-bs, l me semble que les relais ut, sur piste uvte être mis en vedette. nO courait outre-Atlantique, surtout e relais 1 600 mètres x 880 yards 440 yards x 220 yards 100 yards. ul èpesthomra il y avait d ls éuns ! J voudrais bien que lon vît cela ici grce à la piste du Grand Palais ! Pourquoi pas ? Personne, surtout pas les ts ne serait contre ! Le reste nest qu'une question 'accommodation, cestàdire peu de chss. Robert usi. Grand champion, mais mauvais caractère Adolphe Prat, le vainqueur des Belges la classe internationale n unmoim Sspnd pour un mois il se voit privé de sn maillot rclo jusqu’en mars ! On la dimanche, au Vélodrome Hirv'd,e Adolphe Prat remporter une nouvelle victoire en prst et éeailrsr des temps excellents, tandis quau cours ed la mêm réunion Raoul Breuskin e faisait rejoindre prmptmnt par Lindrièux. r, Breuskin est champion de Belgique de poursuite, t il est rntiaec que sur sa forme ctll, qui lui permet d’aller d’ailleurs s’arrêter dtrapme,nie il ne pèsrt pas lourd contre Prt... ui à Bruxelles dexu autres maillots x couleurs belges étaient oos au maillot tricolore de « Gueuglou ». Faut-il vous présenter Rik Vansteenberghe et Frans Cools Non, ntc pas ?... Le premier est champion de Belgique sur route, mais il a surtout une répttn de « pistard invincible ; le second est champion de Belgique de Omnium. Cela ufit, Et l victoire de Prat Bruxelles — la première remportée depuis longtemps par un Français en Belgique — vient point oupr montrer que notre icnaphmo de Fra de poursuite l sleasc internationale en Omnium, et qu’il serait également champion d France dans ce domaine si ce titre était,
Breuskin se faisait rejoindre promptement par Lindrièux. Or, Breuskin est champion de Belgique de poursuite, et il est certain que sur sa forme actuelle, qui lui permet d’aller d’ailleurs s’arrêter rapidement, il ne pèserait pas lourd contre Prat... Lui, à Bruxelles, deux autres maillots aux couleurs belges étaient opposés au maillot tricolore de « Gueuglou ». Faut-il vous présenter Rik Vansteenberghe et Frans Cools ? Non, n'est-ce pas ?... Le premier est champion de Belgique sur route, mais il a surtout une réputation de « pistard » invincible ; le second est champion de Belgique de Omnium. Cela suffit, Et la victoire de Prat à Bruxelles — la première remportée depuis longtemps par un Français en Belgique — vient à point pour montrer que notre champion de France de poursuite a la classe internationale en Omnium, et qu’il serait également champion de France dans ce domaine si ce titre était, mis en jeu. Victoire peu banale « Dans mon match contre Vansteenberghe, nous disait-il hier, j’ai couvert les 5 km, en 5' 11"... Au profit, quoique battu d’un cinquième sur les 500 mètres lancés, j'avais réalisé 30" 1/5. C’est dire que cela allait vite. Mais c'est l'individuelle qui fut la manche la plus mouvementée. J'avais le premier et le troisième classé, puis nous étions tombés. Le dernier sprint devenait décisif... C'est alors que je suis démarré pendant que les deux Belges s'observaient, et je les ai doublés en cinq tours ! Victoire peu banale, on le voit : Et qui met définitivement Prat. Quatre mois sans maillot... Hélas ! Au moment même où il atteint une notoriété aussi grande à Bruxelles qu'à Paris. Prat est frappé par la FFC. Du 3 novembre au 8 décembre, il est suspendu. Puis, jusqu'au 8 mars, il n'aurs pas le droit de porter le maillot tricolore. Sanctions sévères, et très justifiées. Car si Prat a les qualités d'un grand champion, il a aussi mauvais caractère. Et le 19 septembre, à Tours, il a frappé un spectateur qui l'insultait après sa défaite. J'ai accepté ma suspension, nous dit-il, mais je ne comprends pas qu'on me
Breuskin se faisait rejoindre tmen par Lindrièux. Or, Breuskin est champion de Belgique de poursuite, et l est certain que sur sa forme actuelle, q lui permet ’aller d’ailleurs s’arrêter rapidement, il ne pèserait pas lourd contre P.. u à Bruxelles, deux autres maillots aux couleurs belges étaient opposés au maillot tricolore de « Gueuglou ». Faut-il vous pénr Rik Vansteenberghe et Frans Cools ? Non, n'est-ce pas ?... Le premier est champion de Blgq sur route, mais il a surtout une réputation de « pstdrai » invincible ; le second est champion de Belgique de Omnium. la suffit, Et la victoire de Prat à Bruxelles — la première remportée depuis longtemps par un Français n Belgique — vient à point pour montrer que notre champion d France de poursuite a la classe internationale en Omnium, et qu’il eait également champion de France dans ce domaine s ce titre était, mis en jeu. Victoire peu banale « Dans mon match contre Vnstnbrgh, nous disait-il hier j’ai couvert les 5 km, en 5' 11"... Au profit, quoique battu n cinquième sur ls 500 mètres lancés, j'avais réalisé 30" 1/5. C’est dire q el allait vite. Mais 'es l'individuelle qui fut la manche la plus mouvementée. J'avais le premier et e troisième classé, upsi nous étions tombés. Le dernier sprint devenait décisif... C'est alors que je suis démarré pendant que les deux Belges 'observaient, et je les ai doublés en cinq tours ! Victoire peu banale, on l voit : t qui emt définitivement a.Prt Quatre mois sans maillot... Hélas ! mn même où atteint une notoriété aussi grande à Bruxelles qu'à Paris. Prat est frappé par la FFC. Du 3 novembre au 8 décembre, il est suspendu. Puis, jusqu'au 8 mars il n'aurs pas l droit de porter le maillot tricolore. Sanctions sévères, et très justifiées. Car si Prat a les qualités 'un gand champion, il a aussi mauvais caractère. E el 19 septembre, à Tours, il a frppé un spectateur qui l'insultait après sa défaite. J'ai accepté m suspension, nous dit-il, mais e ne cmprnds pas qu'on me
manche la plus mouvementée. J'avais le premier et le troisième classé, puis nous étions tombés. Le dernier sprint devenait décisif... C'est alors que je suis démarré pendant que les deux Belges s'observaient, et je les ai doublés en cinq tours ! Victoire peu banale, on le voit : Et qui met définitivement Prat. Quatre mois sans maillot... Hélas ! Au moment même où il atteint une notoriété aussi grande à Bruxelles qu'à Paris. Prat est frappé par la FFC. Du 3 novembre au 8 décembre, il est suspendu. Puis, jusqu'au 8 mars, il n'aurs pas le droit de porter le maillot tricolore. Sanctions sévères, et très justifiées. Car si Prat a les qualités d'un grand champion, il a aussi mauvais caractère. Et le 19 septembre, à Tours, il a frappé un spectateur qui l'insultait après sa défaite. J'ai accepté ma suspension, nous dit-il, mais je ne comprends pas qu'on me prive de mon maillot, et cette sanction n'est pas prévue par les règlements. Et nous voilà, privés du seul coureur français capable de battre les Belges. Lendrieux lance le défi... Le seul ? Ce n'est pas ravi d'Aimé Lendrieux, qui espère être l'un des premiers à rencontrer Prat lorsque celui-ci pourra reprendre la piste, en décembre. « Je suis satisfait de mes performances en poursuite, nous dit-il. J'ai battu Breuskin sans pousser à fond, si bien que j'aurais pu continuer à cette cadence jusqu'au cinquième kilomètre. Or : le temps que j'ai réalisé représente à peu près 6' 25" sur cette distance. D'ailleurs, j'ai battu Prat au Parc dans les éliminatoires du Championnat de France. — Pourtant, il vous a dominé dans le tournoi poursuite, voilà quinze jours ! — Oui. Mais j'avais commis ce jour-là, l'erreur de courir avec des manivelles, le 18,5 pour un braquet de 24,7 (7 m. 32). J'ai maintenant un vélo approprié pour la poursuite et je suis certain de me défendre. » On ne peut imposer à Lendrieux un duel fratricide contre son coéquipier, Le Boulch et, soit en poursuite, soit en omnium, il sera intéressant le voir aux prises avec Prat et les
manche la us mouvementée J'avais le premier et le troisième classé, puis nous étions tmbés. Le dernier sprnt devenait décisif... 's alors que je suis démarré pendant que les deux Belges s'observaient, et je les ai doublés en cinq tours ! Victoire peu banale, on le voit tE qui mt définitivement Prat. Quatre mois sans maillot... Hélas ! Au moment même où il atteint n notoriété aussi grande Bruxelles qu'à Paris. Prat st frappé par la FFC. Du 3 menoebvr au 8 décembre, l est sspnd. Puis, jusqu'au 8 mrs, il n'aur pas le droit de porter le maillot tricolore. Sanctions sévères, et très justifiées. Car si Prt les qualités d'un grand champion il a aussi mauvais caractère. Et le 19 septembre, à Trs, a frappé un spectateur qui l'insultait après sa défaite. J'ai accepté ma suspension, nous dit-il, mais je ne comprends ps qu'on me prive de mon maillot, et cette sanction n'est pas prévue par les règlements. E nous voilà, privés du seul crr français apbe de br les Belges. Lendrieux lance le défi... L seul ? Ce n'est pas ravi d'Aimé Lendrieux, qui espère tr l'un des premiers à rencontrer Prt lorsque celui-ci pourra reprendre la piste, n décembre. « Je suis satisfait de mes performances e poursuite, nous dit-il. 'ai battu Breuskin sans pousser à fond, si bien que jaurais pu ertncniou à cette cadence qu'sjuua cinquième kilomètre. Or : le temps que j'ai réalisé représente à peu près 6' 25" sur cette distance. liaD,ru'esl j'ai battu Prat au ar dans les éliminatoires du Championnat de France. — Pourtant, il vous a dominé dans le tournoi poursuite, voilà q jours ! Oui. Mais j'avais commis ce jour-là, l'erreur de courir avec des manivelles, le 18,5 pour un braquet de 24,7 (7 m. 32). J'ai maintenant un vélo approprié pour la poursuite et je suis certain de me défendre. » On ne peut imposer à Lendrieux un duel fratricide contre son coéquipier, Le Boulch et, soit en poursuite, soit n omnium, il sera intéressant le voir aux prises avec Prat et les
pourra reprendre la piste, en décembre. « Je suis satisfait de mes performances en poursuite, nous dit-il. J'ai battu Breuskin sans pousser à fond, si bien que j'aurais pu continuer à cette cadence jusqu'au cinquième kilomètre. Or : le temps que j'ai réalisé représente à peu près 6' 25" sur cette distance. D'ailleurs, j'ai battu Prat au Parc dans les éliminatoires du Championnat de France. — Pourtant, il vous a dominé dans le tournoi poursuite, voilà quinze jours ! — Oui. Mais j'avais commis ce jour-là, l'erreur de courir avec des manivelles, le 18,5 pour un braquet de 24,7 (7 m. 32). J'ai maintenant un vélo approprié pour la poursuite et je suis certain de me défendre. » On ne peut imposer à Lendrieux un duel fratricide contre son coéquipier, Le Boulch et, soit en poursuite, soit en omnium, il sera intéressant le voir aux prises avec Prat et les Belges... A. BAKER D'ISY. LES ESPOIRS DU CYCLISME RÉGIONAL MAURICE SEIGNOBOS DE L'UC VALENTINOISE (De notre corresp. R. BERTRAND) VALENCE. — Bien qu’âgé de 20 ans seulement le jeune Seignobos Maurice, de la rue Valentinoise, a accompli une saison remarquable, triomphant à maintes reprises de seniors déjà cotés. Cycliste extrêmement consciencieux, le Valentinien, par suite du départ de ses deux excellents coéquipiers Ollagnon et Mottin, deux autres sérieux espoirs aussi, a couru un peu en isolé. Ceci ne l'a pas empêché de triompher de coalitions régionales et d'enlever de nombreuses épreuves comme en témoigne le palmarès suivant 1er au Grand Prix des Quais de Grenoble, vainqueur du Tour d'Aubes, champion de la Drome juniors 1943, champion Dauphiné-Savoie Juniors 1943, sélectionné pour le match Paris-Province disputé à Paris, 1er au Grand Prix de Grimal, 2e au Grand Prix des Deux-Rives à Valence, 3e au Grand Prix des Commerçants de Vienne, 3e au Grand Prix Saint-James à Montélimar, 3e au Grand Prix du Puy. Seignobos courra, l'an prochain, comme aspirant. Il a signé chez Mercier, à Saint-Étienne. Ce jeune coureur, sérieusement épaulé, accomplira, nous n’en doutons pas, des performances qui surprendront encore plus d’un initié. Encore quelques efforts et Paul Dogniaux sera
pourra reprendre la piste, n décembre. « Je suis satisfait e mes performances en poursuite, ns dit-il. J'ai battu Breuskin sans pousser à fond, si bien que j'aurais p continuer à cette cadence jusqu'au eimuènicq klmètr. Or : le temps que j'ai réalisé représente à peu près 6' 25" sur tceet distance. D'ailleurs, j'ai battu Prat au Parc dans les élioires du Championnat de France. Pourtant il vous a dominé das le tournoi poursuite, voilà quinze jrs ! — Oui. Mais j'avais commis ce jour-là, l're d courir avec des manivelles, le 18,5 pr un braquet de 247 ( m. 32). J'ai maintenant un vélo pprpré pr la poursuite et je suis certain d e défendre. » n n peut imposer à edrix un duel fratricide contre son coéquipier, Le Boulch et, oits en poursuite, soit en omnium, il sera intéressant le voir aux prises avec Prat et les Belges... A BAKER D'SY. LES ESPOIRS DU CYCLISME RÉGIONAL MURICE SEIGOOS DE L'UC VALENTINOISE (De notre corresp. R. BERTRAND AL. — Bien qu’âgé de 20 ans seulement le jeune Seignobos Maurice, de la rue Valentinoise, a accompli n saison remarquable, triomphant à maintes reprises de seniors déjà . Cycliste extrêmement consciencieux, l Valentinien, par suite du départ de ses deux xcllnts qceirsipoéu Ollagnon et noti,tM de trs sérieux espoirs as,siu a couru un epu en isolé. Ccie n l'a pas empêché de triompher de coalitions régionales et d'enlever de nmbrss épreuves comme en témoigne le lmaè suivant 1er au Grand riPx des Quais de Grenoble, vai du Tour d'Aubes, champion de la Drome juniors 1943, champion DauphinéSavoie Juniors 1943, ecné pour le match Paris-Province disputé à Paris, 1er au Grand Prix de Gim, 2e au Grnd Prix esd Deux-Rives à Valence, 3e ua Grand Prix des Commerçants de eV,inne 3e au Grand xPri Saint-James à ontélim 3e au Grand Prix du Puy. Sgnbs ,uacrro l'an prochain, comme aspirant. Il signé chez Mercier, à SaintÉtienne Ce jeune coureur, sérieusement épaulé, accomplira, nous n’en doutons p des performances qui surprendront encore plus d’un initié. Encore ulus efforts et ulaP Dogniaux sera
consciencieux, le Valentinien, par suite du départ de ses deux excellents coéquipiers Ollagnon et Mottin, deux autres sérieux espoirs aussi, a couru un peu en isolé. Ceci ne l'a pas empêché de triompher de coalitions régionales et d'enlever de nombreuses épreuves comme en témoigne le palmarès suivant 1er au Grand Prix des Quais de Grenoble, vainqueur du Tour d'Aubes, champion de la Drome juniors 1943, champion Dauphiné-Savoie Juniors 1943, sélectionné pour le match Paris-Province disputé à Paris, 1er au Grand Prix de Grimal, 2e au Grand Prix des Deux-Rives à Valence, 3e au Grand Prix des Commerçants de Vienne, 3e au Grand Prix Saint-James à Montélimar, 3e au Grand Prix du Puy. Seignobos courra, l'an prochain, comme aspirant. Il a signé chez Mercier, à Saint-Étienne. Ce jeune coureur, sérieusement épaulé, accomplira, nous n’en doutons pas, des performances qui surprendront encore plus d’un initié. Encore quelques efforts et Paul Dogniaux sera parfaitement au point Après avoir débuté avec une élégante nonchalance, il activa l'allure et enleva une nette victoire aux points sur Kid Richer Kid Richer a de solides qualités. Paul Dogniaux, qui ne sembla pas en forme parfaite, a pu en rendre compte au Grand Palais, la vaste et magnifique arène qui, hier soir, sonnait un peu creux après une semaine de boxée particulièrement chargée. Le Toulonais Kid Richer, sobre et classique, bon comptable de ses efforts, mesuré, dur encaisseur et jamais désuni, avait pris le meilleur départ ; au second round, Dogniaux, qui doit toujours vaincre sa nonchalance avant de se décider à combattre, fut quoique peu bousculé par un adversaire plus vite en action. Mais « l'homme du coin » l'alerta et, à partir de la troisième reprise, malgré d'âpres et énergiques contre-attaques, Paul en s'emballant à fond réussit à se montrer plus actif. Cette confrontation, dans l'ensemble assez serrée, nous permit de mieux apprécier Dogniaux, plus brillant d'allure et dont le travail d'obstruction est des plus savants. Il exécuta plus vite, et quelques bons crochets très précis eus vent sérieusement menacés, coulé un autre adversaire que le solide Kid Richer, pour l'heure pratiquement indépendable. Très à l'aise
consciencieux, le Valentinien, pr e du départ de ses deux excellents coéquipiers Ollagnon et Mttn, deux autres eiusxré espoirs aussi, a couru un peu en isolé. Ceci ne l'a pas empêché de triompher de coalitions régionales t d'enlever de nombreuses épreuves comme n témoigne le palmarès suivant 1er au Grand Prix des Quais de Grenoble, aue du Tour d'bs, champion e la Drome juniors 1943 champion Dphné-Sv Juniors 1943, sélectionné pour le mtch Paris-Province disputé à Paris, 1er au Grand Prix de rmal, 2e au Grand Prix des DeuxRives à Valence, 3e au Grand Prix des ment de Vienne, 3e au Grand Prix Saint-James à Montélimar, 3e au Grand Prix d Puy. Seignobos courra l'an prochain, me ra. Il a signé chez Mercier, Saint-Étienne. Ce jeune coureur, sérieusement épaulé accomplira, ous n’en doutons s,ap des performances q surprendront encore plus ’nud nté. Encore quelques efforts et Paul Dogniaux sera parfaitement au point Aè avoir débuté avec une élégante nonchalance, il activa l'allure et enleva une nette victoire aux pnts sur Kid Richer Kid Richer a de solides qualités. Paul Dogniaux, qui ne sembla pas en frm parfaite, a pu en rendre compte au Grand Palais, la astev et magnifique arène ,iqu hier oir sonnait un peu creux après une semaine de boxée particulièrement eha.récg Le Toulonais Kid iche sobre et classique, bon polmbetac de ses efforts, mesuré, dru encaisseur et jms désuni, vt pris le meilleur départ ; ua second roud Dogniaux qui doit toujours vaincre sa nonchalance avant d se décider à combattre, fu quoique peu bousculé par un adversaire plus vt en action. Mais « l'homme du coin » l'alerta et, partir de la ois reprise, malgré d'âpres et énergiques contre-attaques, Paul n s'emballant à fond réussit à se montrer plus actif. Cette confrontation, ds l'ensemble assez serrée, nous permit de mieux apprécier Dogniaux, plus brillant d'allure et dont le travail d'bstrctn est esd pls svnts. l exécuta pls vite, et qlqs bons crochets très précis eus vnte sérieusement menacés, coulé un t adversaire que le solide Ki Richer pour 'er pratiquement indépendable. Très à 'aise
arène qui, hier soir, sonnait un peu creux après une semaine de boxée particulièrement chargée. Le Toulonais Kid Richer, sobre et classique, bon comptable de ses efforts, mesuré, dur encaisseur et jamais désuni, avait pris le meilleur départ ; au second round, Dogniaux, qui doit toujours vaincre sa nonchalance avant de se décider à combattre, fut quoique peu bousculé par un adversaire plus vite en action. Mais « l'homme du coin » l'alerta et, à partir de la troisième reprise, malgré d'âpres et énergiques contre-attaques, Paul en s'emballant à fond réussit à se montrer plus actif. Cette confrontation, dans l'ensemble assez serrée, nous permit de mieux apprécier Dogniaux, plus brillant d'allure et dont le travail d'obstruction est des plus savants. Il exécuta plus vite, et quelques bons crochets très précis eus vent sérieusement menacés, coulé un autre adversaire que le solide Kid Richer, pour l'heure pratiquement indépendable. Très à l'aise dans la deuxième partie du combat, Paul Dogniaux sut concrétiser en beauté dans les dernières reprises. Le poids n'a pas avantagé Ali Larbi Le premier combat professionnel se termina par la victoire aux points de Fonteix, plus souple, plus varié, plus vite et plus expérimenté, sur le poids léger nord-africain Ali Larbi. Ce dernier, plus lourd, le 3 k. 800, résista avec vigueur dans le cours de la septième reprise, en s'attribuant un gain cependant trop léger pour qu'on accorde le match nul. Résultats : Arnaud. (3X3') : Mi-moyens : Bodeau b. Le Gai, pts ; Légers : Triméace b. Galiot, nul. Prof. (10X3') : Légers : Fonteix b. Ali Larbi, pts ; Plume : Paul Dogniaux b. Kid Richer, pts ; Moyens : Michelot b. Leclerc, pts. Brillante rentrée de Michelot On se retira après avoir grandement apprécié la très belle démonstration de Michelot, qui a effectué une brillante et victorieuse rentrée devant le solide et résistant Eugène Leclerc. Michelot, agressif, puissant et mobile, utilisa avec le meilleur goût toute la gamme des coups de boxe, notamment un uppercut droit au cœur qui est le coup favori et peut-être le plus redoutable du champion olympique. Dominé en boxe pure,
arène qui, hier soir, sonnait un peu creux après un semaine de boxée particulièrement hrée. Le Toulonais Kid Richer, sobre et classique, bon comptable de ss efforts, msré, dur encaisseur et jamais désuni, vt pris le meilleur départ ; au second round, Dogniaux, qui doit toujours vaincre sa nonchalance aan de se décider à combattre, fut quoique peu bousculé par un adversaire plus e en action. Mais « l'homme du coin » l'alerta et, à prtr de la tim pse, malgré d'âpres et énergiques ct-tqs Paul en a'abmeltlns à fond résst à se mntrr pls actif. Cette confrontation dans l'ensemble assez serrée, nous permit de mieux aérecippr Dogniaux, plus brillant dallure e dont le travail d'obstruction est ds pl savants. Il éut pls vite, et quelques bons crochets rès précis eus vent sérieusement menacés coulé un autre aesarvider que le solide Kid Richer, pour l'heure pratiquement indépendable. Très à l'aise dans la deuxième pae du combat, Paul Dogniaux sut concrétiser en beauté dans les dernières reprises. Le poids n'a pas avantagé l Larbi Le ermierp combat professionnel se termina par la victoire aux pnts de Fonteix, plus souple, plus varié, plus vite et plus expérimenté, sur le p le nord-africain Ali Larbi. Ce dernier, plus lourd, le 3 k. 800, résista avec vigueur dans le cours de la septième reprise, en s'attribuant un gn cependant trop léger pour qu'on accorde e match nul. Résultats : Arnaud. (3X3') : Mi-moyens : Bodeau b. Le i, pts ; Légers : Triméace b Galiot, nul. Prof (10X3') Légers : Fonteix b. Ali Larbi, pts ; Plume : Pl Dogniaux b. iKd Richer, pts ; Moyens : Michelot b. Leclerc, pts. Brillante rentrée de Michelot On se retira après avoir grandement apprécié la très bll démnstrtn d Michelot, q a effectué une brillante et victorieuse rentrée devant le sld et résistant Eugène Leclerc. Michelot, agressif, puissant t mobile, utilisa avec le meilleur goût toute la gamme des coups de boxe, notamment un uppercut d au cœur qui t le coup favori et pt-êtr l plus redoutable du champion olympique. Dominé en boxe pure,
Ali Larbi. Ce dernier, plus lourd, le 3 k. 800, résista avec vigueur dans le cours de la septième reprise, en s'attribuant un gain cependant trop léger pour qu'on accorde le match nul. Résultats : Arnaud. (3X3') : Mi-moyens : Bodeau b. Le Gai, pts ; Légers : Triméace b. Galiot, nul. Prof. (10X3') : Légers : Fonteix b. Ali Larbi, pts ; Plume : Paul Dogniaux b. Kid Richer, pts ; Moyens : Michelot b. Leclerc, pts. Brillante rentrée de Michelot On se retira après avoir grandement apprécié la très belle démonstration de Michelot, qui a effectué une brillante et victorieuse rentrée devant le solide et résistant Eugène Leclerc. Michelot, agressif, puissant et mobile, utilisa avec le meilleur goût toute la gamme des coups de boxe, notamment un uppercut droit au cœur qui est le coup favori et peut-être le plus redoutable du champion olympique. Dominé en boxe pure, battu en force, Leclerc résista courageusement et fit de méritables efforts jusqu'à l'ultime coup de sifflet. Georges SCHIRA. La première assemblée générale du C.N.S. aura lieu en 1944, vers avril ou mai Les représentants fédéraux, au lieu d'être élus, seront désignés par le C. G. La première assemblée générale du Comité National aux Sports tel qu'il fonctionne depuis deux ans sous la direction du CG, aura lieu l'an prochain, vraisemblablement en avril ou mai. L'article 10 de la Charte des Sports, les articles 20 et 35 du règlement d'administration publique prévoient l'organisation de cette assemblée générale qui « se entend les rapports sur la situation financière et donne son avis sur les questions renvoyées à son examen par le CG ». Cette assemblée présidée par le Commissaire général, est composée : 1° Des présidents des fédérations sportives (44 sont actuellement officiellement reconnus) ; 2° De 20 membres élus par les assemblées générales des fédérations, à raison de trois par groupement, étant toutefois spécifié que chaque fédération ne dispose que d'une voix au vote. Provisoirement « jusqu'à une date qui sera fixée par décret », le CG nommera ces membres en lieu de les faire élire ; 3° De 22 membres
Ali Larbi. Ce drnr, plus lourd, le 3 k 00,8 résista vc vigueur dans le cours de al èemepsit eprie, en s'attribuant un gain cependant trop ée pour qu'on accorde l match nl. Résltts Arnaud. (3X3') : Mi-moyens : Bodeau b. Le G,ia pts ; Légers : Triméace b. Galiot, nul. Prof. (10X3') : Légers : Fonteix b. Ali Larbi, pts ; Plume : Pl Dogniaux b Kid Rchr, pts ; Moyens : Michelot b. Leclerc, pts Brillante t de Mheo On se retira après avoir grandement apprécié la très belle démonstration de Michelot, qui a effectué ne brillante et vctrs rentrée dvnt le solide et st Eugène Lclrc. Michelot, agi, puissant mobile, utilisa avec le meilleur goût toute la gamme des coups de bx, tetmannom un uppercut droit au cœur qui st le coup favori et peut-être el plus redoutable du champion olympique. Dominé en boxe pe, btatu en force, Leclerc résista courageusement et fit de méritables efforts jusqu'à 'ultime coup de sifflet. Georges SCHIRA. La ière assemblée générale du C.N.S. aura lieu en 1944, vers avril ou mai Les représentants fédéraux, au l 'être us seront désgnés pr le C. G a première assemblée rle du Comité ol aux Sports tel quil fonctionne depuis deux ans uoss la direction du CG, aura lieu 'an prochain, vraisemblablement en avril ou mai. L'article 10 de la Charte des Sports, les articles 20 et 35 du règlement d'administration publique prévoient l'organisation de ette assemblée générale qui « e entend ls rapports sur la situation financière et donne son avis sur les questions renvoyées à son xm par le CG Cette assemblée présidée pr l Commissaire général, est cmpsé : 1° Des présidents des fédérations sprtvs (44 sont actuellement officiellement reconnus) ; 2 De 20 membres élus par ls assemblées générales des fédérations, à raison trois par groupement, tnéta ttfs spécifié que chaque fédération ne dispose u d'n voix au vote. Provisoirement « jusqu'à une date qui sera fixée par décret », le CG nommera cs membres en lieu d ls faire lre ; 3° De 22 mmbrs
Comité National aux Sports tel qu'il fonctionne depuis deux ans sous la direction du CG, aura lieu l'an prochain, vraisemblablement en avril ou mai. L'article 10 de la Charte des Sports, les articles 20 et 35 du règlement d'administration publique prévoient l'organisation de cette assemblée générale qui « se entend les rapports sur la situation financière et donne son avis sur les questions renvoyées à son examen par le CG ». Cette assemblée présidée par le Commissaire général, est composée : 1° Des présidents des fédérations sportives (44 sont actuellement officiellement reconnus) ; 2° De 20 membres élus par les assemblées générales des fédérations, à raison de trois par groupement, étant toutefois spécifié que chaque fédération ne dispose que d'une voix au vote. Provisoirement « jusqu'à une date qui sera fixée par décret », le CG nommera ces membres en lieu de les faire élire ; 3° De 22 membres désignés par le CG. En tout 199 membres. La date d'avril ou mai s'impose, car le comité de direction ne pourra connaître de la gestion financière 1943 complète que vers la fin du premier trimestre 1944. La majorité des ressources du CNS est maintenant constituée par le produit de la Carte nationale Sportive et sa participation aux bénéfices réalisés par le Groupement des Assurances. Pour la première année d'exploitation, la totalité des bénéfices éventuels des assureurs ira au CNS, mais ces bénéfices ne pourront être évalués qu'après le règlement de tous les sinistres 1943 et l'on évalue à trois mois environ le temps nécessaire. Notons que pour la deuxième année d'exploitation le CNS continuera de participer aux bénéfices de l'assurance, mais pour une part seulement. Le rapport brut des sommes de la Carte restant au CNS (son coût moins les versements aux assureurs) sera d'environ 5 millions et demi à 3 millions. On ne se fait pas l'idée des bénéfices qui pourront être réalisés ; personnellement, nous pensons qu'ils doivent être substantiels. Souhaitons que ces sommes ainsi perçues, après avoir assuré l'existence du CNS, soient ensuite reversées aux fédérations, surtout aux sociétés, en venant s'ajouter aux subventions que le CG
Comité National aux Sports tel q'l fonctionne depuis deux ans sous la direction d CG r lieu lan prochain vraisemblablement n viral u mai. L'article 10 de la Charte des Sports, les articles 20 et 35 du règlement ntdinitdaarmio's publique prévoient l'naio de cette assemblée ergéélna qui « se entend les rapports sur la situation financière et noden son avis sur les questions renvoyées son examen par le CG ». Cette assemblée présdé par le Commissaire général, est coposée 1° Des présidents des fédérations sportives (44 sont actuellement officiellement reconnus) ; 2° De 20 membres éls pr les assemblées générales e fédérations, à raison de trois par groupement, étant toutefois spécifié que chaque fédération ne dispose que d'une voix au vote. Prvsrmnt « jusqu'à une date qui sera fixée par décret », e CG nommera cs membres en lieu de es faire élire ; 3° De 22 membres désignés par le CG. tout 199 membres. La date 'avril ou m s'impose, car le comité de direction ne pourra connaître de la gestion financière 1943 cmplèt que vers la fin d premier trimestre 1944. La majorité des ressources du CNS est maintenant ontituée pa le pdotuir de ae nationale Sportive et sa participation aux bénéfices réalisés par le Groupement des Assurances. Pour la première année d'xplttn, la totalité des bénéfices éventuels des assureurs r au CNS, mais cs bénéfcs ne pourront être évalués qu'après le règlement de tous ls snstrs 1943 et l'on évalue à trois mois environ le temps nécessaire. Notons que pour la deuxième année d'xplttn l CNS continuera de participer aux bénéfices de l'assurance, mais pour une art seulement. L rapport brut des sommes ed la Carte restant au CNS (son coût moins les versements aux assureurs) sera d'environ 5 millions et demi à lioi.nlms On ne se fait pas l'idée sde bénéfices qui pourront être réalisés ; personnellement, nous pensons i'squl doivent être substantiels. Souhaitons que ces sommes ainsi prçs, après avoir assuré l'xstnc du CNS, soient ensuite rvrsés aux fédérations, surtout aux sociétés, en venant s'ajouter aux subventions que le CG
Carte nationale Sportive et sa participation aux bénéfices réalisés par le Groupement des Assurances. Pour la première année d'exploitation, la totalité des bénéfices éventuels des assureurs ira au CNS, mais ces bénéfices ne pourront être évalués qu'après le règlement de tous les sinistres 1943 et l'on évalue à trois mois environ le temps nécessaire. Notons que pour la deuxième année d'exploitation le CNS continuera de participer aux bénéfices de l'assurance, mais pour une part seulement. Le rapport brut des sommes de la Carte restant au CNS (son coût moins les versements aux assureurs) sera d'environ 5 millions et demi à 3 millions. On ne se fait pas l'idée des bénéfices qui pourront être réalisés ; personnellement, nous pensons qu'ils doivent être substantiels. Souhaitons que ces sommes ainsi perçues, après avoir assuré l'existence du CNS, soient ensuite reversées aux fédérations, surtout aux sociétés, en venant s'ajouter aux subventions que le CG leur accorde et non pas en déduction des subventions déjà données. Marcel OGER. LE DERNIER « STADE RACING » L'APRÔVE... Les rugbymen français sont trop crispés La décontraction musculaire permettrait une qualité de jeu bien supérieure SI nous revenons aujourd'hui sur le 85e Stade-Racing disputé dimanche-dernier au Parc des Princes, c'est qu'il nous a permis une nouvelle fois une remarque d'ordre général qui est toujours valable. Les joueurs du Stade Français abordèrent cette rencontre capitale pour les deux clubs rivaux dans une condition physique indubitablement bien supérieure à celle de leurs adversaires. Ceux-ci pallièrent cette infériorité par une « condition de match » incontestablement meilleure, ce qui s'explique par les deux rencontres qu'ils disputèrent coup sur coup contre les excellentes formations du S.U. Agenais et de l'Aviron Bayonnais. Ceci dit, l'on put constater que les 30 joueurs, nous l'avons dit, étaient « sur les nerfs » et disputèrent la partie « contractés ». Rien d'étonnant, par conséquent, pour que les maladresses et les bébêtes les plus étonnantes y fussent légion. Les entraîneurs d'athlétisme peuvent utilement conseiller leurs collègues du rugby... On se demande — et c'est là que nous voulions en venir — comment il est possible que les entraîneurs
Carte nationale Sportive et sa participation aux bénéfices réalisés par l Groupement des Assurances. Pour la re année d'eotn, ttlté des bénéfices éventuels des assureurs ira au mais ces bénéfcs ne pon être évalués quaprès le règlement de tous les sinistres 1 et l'n évalue à trois mois environ temps nécessaire. Notons qeu pr la dxèm a d'exploitation le CNS continuera de participer x bénéfices de 'assurance, mais pour une part selet. eL rapport brut d sommes de la Carte restant au N (son coût moins les versements aux assureurs) sera d'environ 5 mllns et demi à 3 millions. On ne s f pas l'idée des bénéfcs ui pourront être réalisés ; personnellement, nous pensons q'ls doivent re substantiels. Souhaitons que ces sommes ainsi perçues, après aor assuré l'existence du CNS, soient ut reversées u fédérations, surtout aux sociétés, n venant sautr aux subventions que le CG leur accorde et non pas en déduction des subventions déjà dnésno.e Marcel OGER. LE DERNIER « STADE CIRAGN » L'APRÔVE... Les rugbymen français sont trop crispés La décontraction uae permettrait une qualité de jeu bien supérieure SI nous revenons aujourd'hui sur l 85e Stade-Racing iput dimanche-dernier au Parc des ,Penrics c'est qu'il nous a permis une nouvelle os une remarque dodr lnérgaé qui est toujours valable. Les joueurs du Stade Français nrbtèderoa cette rencontre capitale pour les deux clubs rvx nasd une condition physique indubitablement bien supérieure à celle de leurs adversaires. eu-i pallièrent cette iéir rap un « cndtn de match » incontestablement meilleure, ce qui s'explique par les deux rncntrs qu'ils disputèrent coup sr cp trocen les excellentes formations du .. isnegaA et de l'Aviron Bayonnais. Cc dit, 'on pt constater que sel 30 joueurs, nous l'avons t,di étaient « sur l nerfs » t disputèrent la partie « contractés ». Rien d'étonnant, par conséquent, pour que les maladresses et les bébêtes les plus étonnantes y fussent légion Les entraîneurs 'athlétisme pvnt utilement conseiller leurs elègulsco d rugby... n se demande — et s là que nous voulions en venir — cont il st possible que les entraîneurs
c'est qu'il nous a permis une nouvelle fois une remarque d'ordre général qui est toujours valable. Les joueurs du Stade Français abordèrent cette rencontre capitale pour les deux clubs rivaux dans une condition physique indubitablement bien supérieure à celle de leurs adversaires. Ceux-ci pallièrent cette infériorité par une « condition de match » incontestablement meilleure, ce qui s'explique par les deux rencontres qu'ils disputèrent coup sur coup contre les excellentes formations du S.U. Agenais et de l'Aviron Bayonnais. Ceci dit, l'on put constater que les 30 joueurs, nous l'avons dit, étaient « sur les nerfs » et disputèrent la partie « contractés ». Rien d'étonnant, par conséquent, pour que les maladresses et les bébêtes les plus étonnantes y fussent légion. Les entraîneurs d'athlétisme peuvent utilement conseiller leurs collègues du rugby... On se demande — et c'est là que nous voulions en venir — comment il est possible que les entraîneurs de rugby n'aient point encore réalisé l'importance capitale de la décontraction musculaire qu'ont parfaitement compris leurs collègues d'athlétisme ; car on peut écrire sans exagération que les remarquables progrès de l'athlétisme supérieur international sont dus à cette pratique. où les noirs ont montré le chemin : Major Taylor en rugby, Al Brown en boxe et plus récemment, Jef Owens Cornélius Britton, etc., en athlétisme. Il faudrait donc que les directeurs techniques des équipes se familiarisent auprès de leurs collègues de l'athlétisme avec les méthodes les plus modernes d'entraînement et qu'ils apprennent à leurs joueurs, juniors, seniors... et ancêtres, à ne pas se crisper en courant, à relâcher leur musculature entre les différents gestes qui peuvent impliquer une contraction musculaire plus ou moins grande, tels que passes, coups de poitrine, plaquage, par exemple. ...comme ceux du football Une connaissance de cet ordre améliorerait, nous en sommes convaincus, dans de notables proportions la production moyenne des matrices de rugby, tout comme en football, s'il faut en croire notre ami Lucien Gamblin, qui nous affirme que les joueurs actuels sont bien moins souples que ceux de son époque. Mais ceci nous entraînerait à déploier des efforts en entraîneurs et joueurs de rugby français
c'est qu'il nous prms neu nvll fois une remarque d'ordre général qui tse toujours valable. Les joueurs du Stade Français r cette rencontre capitale pour les deux clubs rivaux dans une condition physique lidanmunebtbite bin supérieure à celle de leurs adversaires. Cx-c pallièrent ctt infériorité ar une « condition de match » incontestablement meilleure, ce qui s'explique par les x rencontres qi disputèrent coup sur cp contre les excellentes ormaons du S.U. Agenais et de l'Aviron Bayonnais. Ceci dit, l'on put constater q les 30 jrs, nous l'avons dit, étaient « sur les nerfs » disputèrent la partie « cntacé ». Rien d'étonnant, par cuent, pour que les maladresses et les bébêtes les plus étonnantes y fsset légion. Les entraîneurs d'athlétisme peuvent tilent conseiller leurs collègues d ruy... On se mnde et c'est là que nous voulions en venir — cmmnt il est possible que les entraîneurs de rugby 'aient pnt encore réalisé l'importance capitale de la décntrctn msclr qu'ont parfaitement compris lrs collègues dathlétisme on peut écrire sans exagération que les remarquables rès d l'athlétisme ri international sont dus à cette pratique. où l noirs ont montré le chemin : or Taylor en rugby, l Brown en boxe te plus récemment, Jef sewOn Cornélius Britton, etc., en athlétisme. Il faudrait donc que le directeurs techniques des équipes se familiarisent auprès de leurs collègues d l'ahltsme avec méthodes les plus modernes 'entraînement et qu'ils apprennent à rs joueurs, juniors seniors... et ancêtres, à ne pas se crisper en courant, à relâcher leur musculature entre les dfférnts es qui ent impliquer une contraction lausirmcue plus ou moins gre tels que psss, coups de prine plaquage, par exele. .ce ceux du football U connaissance de cet ordre améliorerait nous en osesmm convaincus dans de ntbls niopsoortpr la production moyenne des matrices de u,gryb tout comme en football, 'il faut en rir noter ami Lue Gamblin, qui ous affirme que les joueurs cluaset sont bien moins souples que ceux de son époque. Ms ceci nous entraînerait à oirepldé des efforts en entrs et joueurs de ru ras
Al Brown en boxe et plus récemment, Jef Owens Cornélius Britton, etc., en athlétisme. Il faudrait donc que les directeurs techniques des équipes se familiarisent auprès de leurs collègues de l'athlétisme avec les méthodes les plus modernes d'entraînement et qu'ils apprennent à leurs joueurs, juniors, seniors... et ancêtres, à ne pas se crisper en courant, à relâcher leur musculature entre les différents gestes qui peuvent impliquer une contraction musculaire plus ou moins grande, tels que passes, coups de poitrine, plaquage, par exemple. ...comme ceux du football Une connaissance de cet ordre améliorerait, nous en sommes convaincus, dans de notables proportions la production moyenne des matrices de rugby, tout comme en football, s'il faut en croire notre ami Lucien Gamblin, qui nous affirme que les joueurs actuels sont bien moins souples que ceux de son époque. Mais ceci nous entraînerait à déploier des efforts en entraîneurs et joueurs de rugby français accordent aussi peu d'importance aux questions de régime alimentaire, désintoxications, massages, etc., et le cadre d'un tel article suffirait-il à esquiver la question, qui demanderait des pages et des pages pour être approfondie. Il est en tout cas facile de faire un effort dans ce sens-là et nous sommes certains que les équipes qui auront été dirigées vers cette pratique s'en trouveront bien lors des prochains matches de championnat où l'on voit couramment une formation supérieure à une autre être incapable de conclure par suite de la nervosité et de la contraction de ses joueurs. Maurice BLEIN. CAZACTUALITÉS SPORTIVES (Texte et dessin de CAZA) | ~, " ' ,: . l'»-...1 ... Quand Paris « flambe », le Nord est flambé. ., . 1 1 ~ ~ = € "iv ; des ouvriers français travaillant en Allemagne Depuis le 1er octobre L'AUTRI publie DEUX NUMÉROS par semaine ! à l'intention des sportifs travaillant en Allemagne. Le LUNDI (tous les résultats du dimanche) ; . Le JEUDI (annoncements et commentaires de la semaine). Les abonnements ont reçu aux bureaux de Conti-Press (Distribution de la Presse Continentale), 111. rue Réaumur, Paris (IIIe). Compte chèques postaux 3.938-71. Prix, 3 mois : 60 francs,
Al Brown en boxe et pls récemment, Jef Owens Cornélius Brttn, etc., athlétisme. Il ruftaaid donc que les directeurs techniques des qieupsé se familiarisent rupèas de leurs ou de l'athlétisme avec les méthodes ls plus modernes dentraînement et qu'ils pprnnnt à leurs eju,osru juniors, seniors... et ancêtres, à ne pas se crisper en courant, à relâcher leur musculature n les trféeisndf esetsg qui peuvent impliquer une contraction musculaire plus ou moins grande tels que passes, coups de poitrine, pa,qgaelu par exemple. ...comme ceu du football Une connaissance de cet ordre améliorerait, nous en sommes convaincus, dans de notables proportions la production moyenne des atries de rugby, tout comme en football, s'il faut en croire notre ami Lucien Gamblin, uqi nous affirme que les jues t sont bien mosni souples que xuec de sn époque. Mais ceci osun entraînerait à déplr des efforts en entraîneurs et joueurs de gby rani accordent aussi peu d'mprtnc aux qstns de régime alimentaire, désintoxications, mssgs, etc., et le cadre d'un tel article suffirait-il à esquiver la question, uiq demanderait de pages et des pages pour être approfondie Il est en utto cas facile de faire un effort dans ce senslà et nous sommes certan que les équipes qui auront été dirigées vers cette pratique s'en trouveront bien lors des prchns matches de championnat où l'on voit couramment une formation uru à une autre être iab de conclure par suite de la sitneévro et de la contraction de ses joueurs. Maurice EI. CAZACTUALITÉS SPORTIVES (Texte et dessin de CAZA) | ~, " ' ,: . l'»-...1 ... Qnd Paris « flambe », le Nord est flambé. ., . 1 ~ ~ = "iv ; ds irvoseru français travaillant en Allemagne Depuis le 1er octobre L'AUTRI publie DEUX NUMÉROS par semaine ! à l'intention des spf travaillant en Allemagne. L LUNDI (tous les ttrséuasl du dimanche) ; . Le JD (annoncements et commentaires de la semaine). Les abonnements ont reçu aux bureaux de Conti-Press (Dstrbtn ed la Presse Continentale), 111. rue Réaumur, Paris (IIIe). Compte chèques uaopxts .8 ri,Px 3 mois : 60 francs
que les équipes qui auront été dirigées vers cette pratique s'en trouveront bien lors des prochains matches de championnat où l'on voit couramment une formation supérieure à une autre être incapable de conclure par suite de la nervosité et de la contraction de ses joueurs. Maurice BLEIN. CAZACTUALITÉS SPORTIVES (Texte et dessin de CAZA) | ~, " ' ,: . l'»-...1 ... Quand Paris « flambe », le Nord est flambé. ., . 1 1 ~ ~ = € "iv ; des ouvriers français travaillant en Allemagne Depuis le 1er octobre L'AUTRI publie DEUX NUMÉROS par semaine ! à l'intention des sportifs travaillant en Allemagne. Le LUNDI (tous les résultats du dimanche) ; . Le JEUDI (annoncements et commentaires de la semaine). Les abonnements ont reçu aux bureaux de Conti-Press (Distribution de la Presse Continentale), 111. rue Réaumur, Paris (IIIe). Compte chèques postaux 3.938-71. Prix, 3 mois : 60 francs, CM AVAS TRÈS SPORT LAU GERVAIS, VILLA J LE C.O.A. COMMUNIQUE... COMITE D'ORGANISATION DE L'INDUSTRIE ET DU COMMERCE DE L'AUTOMOBILE, DU CYCLE ET DE LEURS ACCESSOIRES Taxe professionnelle sur les ventes des produits dérivés du pétrole Par arrêté intervenu entre le Comité Général d'Organisation des Combustibles Liquides et le Comité d'Organisation de l'Industrie et du Commerce de l'Automobile et du Cycle, en application de l'arrêté du 13 mai 1943, les ventes de produits pétroliers et de remplacement sont exonérées de la taxe professionnelle de 1,50 francs sur le chiffre d'affaires, instituée par le décret du 22 juillet 1943 au profit du Comité d'Organisation de l'Industrie et du Commerce de l'Automobile et du Cycle. Les commerçants remplissant leurs déclarations d'impôt, quand ils calculent leur chiffre d'affaires pour l'application de la taxe, doivent, en même temps, déduire de leur chiffre d'affaires global le montant des ventes de produits de pétrole ou de remplacement. Les sommes déjà encaissées par le COA à cet effet, pour le premier semestre de 1943, seront ultérieurement remboursées. Les produits visés sont les suivants : — carburants liquides, pétrole lampant, white-spirit, essence spéciale ; — gasoil ; — combustibles liquides ; — huiles de graissage, graisses, éthylates ;
que les équipes qui auront été dirigées vs cette pratique s'en trouveront bien lors des prochains matches de championnat ù l'on voit couramment une formation supérieure à une autre êe incapable de onlreccu ar suite de la nervosité et de la contraction d ses joueurs. Maurice BLEIN. CAZACTUALITÉS SPORTIVES (ee et dessin d CAZA) | ~, " ' ,: . l'»-...1 ... Quand Paris « flambe », le Nord ste flambé . 1 ~ ~ = € iv ; des vrrs français travaillant en Allemagne Depuis le 1er octobre L'TR publie DEUX NUMÉROS par semaine ! à l'intention ds sportifs travaillant n llmgn. Le LUNDI tous les résultats du dimanche) . Le JEUDI (nnncmnts et commentaires de la semaine Les abonnements ont reçu x bureaux d Conti-Press (Distribution de la sse Continentale), 111. rue Réaumur Paris (IIIe). Compte chèques paux 3.938-71. Prix, 3 mois 60 francs, CM AVAS TRÈS SPORT LAU GERVAIS, VILLA J LE .C.O.A COMMUNIQUE... CMT GSNIIROT'ANODA DE 'INE ET D COMMERCE DE L'AUTOMOBILE, CYCLE T DE LEURS CSS Taxe srefeeponinosll sur les ventes des produits sdéévri du pétrole Par arrêté intervenu ntr le Comité Général d'Organisation des Combustibles Liquides et le o d'Organisation d l'Industrie et du Commerce de l'Automobile et du Cycl, en application de l'arrêté du 13 mai 1943, les ventes de prdts pétroliers et de remplacement sont exonérées de la taxe ofsnnell de 1,50 francs rsu le chiffre daffaires instituée pr le décret d 22 juillet 1943 au profit du Comité dOrganisation de l'Industrie et du Commerce de lAub et du Cycle. Ls commerçants remplissant leurs éclio d'mpôt, quand ils calculent leu cife d'affaires ourp 'ncliptialaop ed la taxe, doivent, n même tmps, déir d lr chiffre d'affaires global l montant des ventes de produits de ptrl ou de remplacement. Les sommes déjà encaissées par l CA à ct fft, pour le premier semestre de 1943, seront ultérieurement remboursées. Les prdts visés sont les suivants : — carburants ueliq,isd pétrole lampant, white-spirit, essence spéciale — aoi ; — combustibles liquides hles de saagierg,s ssriags,e éthylates ;
d'Organisation de l'Industrie et du Commerce de l'Automobile et du Cycle, en application de l'arrêté du 13 mai 1943, les ventes de produits pétroliers et de remplacement sont exonérées de la taxe professionnelle de 1,50 francs sur le chiffre d'affaires, instituée par le décret du 22 juillet 1943 au profit du Comité d'Organisation de l'Industrie et du Commerce de l'Automobile et du Cycle. Les commerçants remplissant leurs déclarations d'impôt, quand ils calculent leur chiffre d'affaires pour l'application de la taxe, doivent, en même temps, déduire de leur chiffre d'affaires global le montant des ventes de produits de pétrole ou de remplacement. Les sommes déjà encaissées par le COA à cet effet, pour le premier semestre de 1943, seront ultérieurement remboursées. Les produits visés sont les suivants : — carburants liquides, pétrole lampant, white-spirit, essence spéciale ; — gasoil ; — combustibles liquides ; — huiles de graissage, graisses, éthylates ; — paraffine, cires minérales ; — gaz de pétrole liquéfiés (butane et propane) ; — brais de pétrole ; qu'il s'agisse de produits pétroliers propriétaires dits ou de produits de remplacement, dès lors qu'ils ont été vendus contre tickets ou bons émis par l'ORCR, section Pétrole et Carburants. Service de documentation technique du C.O.A. Nous rappelons que le COA a organisé un « Service de documentation technique » qu'il met, désormais, à la disposition de ses ressortissants pour les aider dans leurs recherches. En relations avec les principaux organismes de documentation nationaux, avec des bibliothèques techniques et avec les divers laboratoires existants, ce service peut : — entreprendre, soit directement, soit par l'intermédiaire de laboratoires qualifiés et spécialisés, tous types et recherches qui peuvent lui être confiés ; — recueillir tous renseignements utiles de toutes documentations ; — aider les intéressés dans leurs propres recherches en leur indiquant les sources de documentation qu'ils ignorent ou qu'il leur est difficile d'obtenir ; — faciliter aux ressortissants du COA l'accès aux bibliothèques techniques et leur permettre de consulter, dans la salle de lecture socialement ouverte à leur intention, tous les documents, articles ou livres français et étrangers faisant partie de la bibliothèque
d'Organisation de l'Industrie et du Commerce de Able et u Cycle, en application ed l'rrêté du 13 mai 1943, les ventes de tsurodpi pétroliers et de remplacement sont exonérées d la taxe professionnelle de 50,1 frncs sur le chiffre d'ffrs, instituée par le décret du 22 juillet 1943 au profit du Comité d'Organisation de nu'rdisIelt et du Commerce de l'Automobile et du Cycle. Les commerçants remplissant leurs déclarations d'impôt, quand ils calculent leur chiffre d'affaires pour l'application de la taxe, doivent, en même temps, déduire d leur chiffre d'affaires global le montant des ventes de produits de pétrole d remplacement. Les sommes déjà encaissées par le CA à cet e,efft pour le premier semestre de 1943, seront etiuetelnurémr remboursées. sLe produits visés sont les suivants : — carburants liquides, pétrole lampant, white-spirit, essence spéciale ; — gasoil ; — combustibles liquides — huiles de graissage, graisses, éthylates ; — paraffine, crs minérales ; gaz de pétrole liquéfiés (butane et propane) ; — brais de pétrole ; qi 'agisse de produits pétroliers i dits ou de produits e remplacement, dès lors qu'ils ont été vnds contre tickets ou bons émis par l'ORCR, section Pétrole et Carburants. Seri de documentation tcnqu du C.O.A. Nous rappelons que le COA organisé un « Service de documentation tchnq qu met, désormais, à la doisiptinso de ses ressortissants pr les aider dans leurs recherches. En relations avec les principaux organismes de documentation ia vc des qhieluobbsièt techniques et avec les divers laboratoires existants, ce service peut : — entreprendre, soit directement, s ar l'intermédiaire ed laboratoires qualifiés et spécialisés, usto typs et recherches qui peuvent l être confiés recueillir tous renseignements utiles de toutes documentations ; aider les intéressés dans lrs propres recherches en leur iia les ource d documentation qu'ils ignorent ou qu'il leur est difficile d'obtenir ; — faciliter aux ressortissants du C l'accès aux bibliothèques techniques et leur prmttr de consulter, dans la salle de lecture socialement vrt à leur intention, tous les documents, articles ou livres frnçs et étrangers faisant partie de la bibliothèque