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à l'Assemblée nationale. Pour le relogement des « sans logis », la situation se complique chaque jour. Les « relogés » ont subi, pour la plupart, depuis la date de leur relogement, des attaques multiples. En ce qui concerne les locataires en hôtel, les hôteliers dont les chambres sont sommairement meublées, sans service et sans fournitures, ont cependant obtenu le coefficient 5. Enfin, si les H.B.M. lancent un « train de logements 1947 », ce convoi théorique, en 1948, repose encore dans des cartons verts. À l'issue du congrès, une motion finale a été votée, soulignant la nécessité de l'organisation de la défense des locataires et demandant à ceux-ci de se grouper étroitement. LA C.G.T.-F.O. aura une entrevue demain avec le président du Conseil et jeudi avec le patronat Le bureau de la C.G.T.-F.O. sera reçu ce matin, à 17 h. 30 par le président du conseil. Il vient l'entretenir de l'insuffisance de la politique de baisse des prix et de la situation difficile dans laquelle se trouve la classe ouvrière. Cette démarche fait suite à la session du Conseil économique au cours de laquelle ces faits ont été unanimement constatés. Jeudi, à 11 heures, le Conseil national du patronat français recevra à son siège, rue Jean-Goujon, les délégués de Force ouvrière. Les gars du bâtiment réclament 20 % d'augmentation Après la fédération des métallos, la fédération du bâtiment (C.G.T.) vient d'adresser aux patrons une lettre dans laquelle elle déclare notamment : « Vous savez déjà que notre fédération approuve et soutient les revendications légitimes des travailleurs qu'elle groupe et réprésente, et quelle réclame avec insistance une augmentation générale des salaires réels de 20 %. » Des C.R.S. mobilisés pour arrêter 3 grévistes Les lois scélérates continuent leurs méfaits. Hier, trois ouvriers agricoles grévistes de Bessèges ont été arrêtés sous l'inculpation habituelle « d'entraves à la liberté du travail ». Plus de 200 de leurs camarades s'étant opposés à cette arrestation, un détachement de C.R.S. fut appelé en renfort, tandis que le sous-préfet dirigeait en personne les opérations. Finalement, les trois grévistes furent emmenés en voiture, en dépit des protestations
à l'Assemblée nationale. Pour le relogement ds « sans logis la situation s complique chaque jour. Les « relogés » ont subi, pour la plupart, depuis la dt de leur relogeen des attaques multiples. En ce qui concerne les locataires en hôtel, les hôteliers dont les chambres sont sommairement meublées, sans service t sans fournitures ont cependant obtenu le coefficient 5. Enfin, si sel ... lancent un « train de logements 1947 », ce convoi théorique, en 1948, repose encore dans des cartons ers À l'ss du congrès, une motion finale été votée, soulignant la nécessité d l'organisation de la défense des locataires et ddneanatm à ceux-ci de se rupe étroitement. LA ...-.. aura une entrevue demain avec le président du eoslnCi et jeudi avec l patronat Le bureau de la C..F.O. sera reçu ce matin, à 17 h. 30 par le président du cion.sel Il vient 'entretenir de l'insuffisance de la politique de baisse des prix et d la situation difficile dans laquelle se trouve la classe vièr. Cette démarche fait se à la session du Conseil mieuoocéqn au cours de laquelle ces faits ont été unanimement constatés. Jeudi, à 11 heures, le Conseil national du patronat français recevra à son siège, rue Jean-Goujon, les délégués de Force rè. Les gars du bâtiment réclament 20 % d'augmentation Après don des métallos, la fédération du bâtiment (C.G.T.) vient d'adresser aux patrons une lettre dans laquelle elle déclare notamment : « Vous savez déjà que notre fédération approuve et soutient les revendications légitimes des travailleurs qu'elle groupe et réprésente, et quelle réclame avec insistance une gmnttn générale des salaires réels de 20 %. Des C.. mobilisés ur arrêter 3 grévistes Les oi scélérates continuent lrs méfaits. Hier, tos ouvriers gres grévistes de Bessèges ont été arrêtés sous lnlatin habituelle « dentaves à la liberté du travail ». Plus de 200 de leurs cdsamraea s'étant ppoésos à cette arrestation, un détachement de S. fut appelé en renfort, tandis que le ptsfesor-éu dirigeait en personne ls opérations. Finalement, les trois grévistes furent emmenés en votur en dépit des protestations
français recevra à son siège, rue Jean-Goujon, les délégués de Force ouvrière. Les gars du bâtiment réclament 20 % d'augmentation Après la fédération des métallos, la fédération du bâtiment (C.G.T.) vient d'adresser aux patrons une lettre dans laquelle elle déclare notamment : « Vous savez déjà que notre fédération approuve et soutient les revendications légitimes des travailleurs qu'elle groupe et réprésente, et quelle réclame avec insistance une augmentation générale des salaires réels de 20 %. » Des C.R.S. mobilisés pour arrêter 3 grévistes Les lois scélérates continuent leurs méfaits. Hier, trois ouvriers agricoles grévistes de Bessèges ont été arrêtés sous l'inculpation habituelle « d'entraves à la liberté du travail ». Plus de 200 de leurs camarades s'étant opposés à cette arrestation, un détachement de C.R.S. fut appelé en renfort, tandis que le sous-préfet dirigeait en personne les opérations. Finalement, les trois grévistes furent emmenés en voiture, en dépit des protestations de la population, qui n'a pas caché au sous-préfet ce qu'elle pensait de ces procédés « autoritaires ». À la suite de ces incidents, la municipalité a donné sa démission. — Une délégation de la C.G.T. est venue protester hier au ministère de l'Intérieur contre l'interdiction du défilé annuel des journées de printemps de la jeunesse. De nombreuses pétitions (Education nationale, métallurgie, etc...) protestent également contre une telle décision. Les bons d'achat de bicyclettes doivent être honorés La Préfecture de la Seine précise que les bons d'achat de bicyclettes délivrés avant la liberté de vente de cet article doivent être honorés par priorité dans la limite de leur délai de validité par les constructeurs et négociants. EVIDEMMENT QUE C'EST UNE BELLE Gillette) Vous aussi, vous apprécierez la lame Gillette. Mettez bientôt la lame Gillette. Votre fournisseur peut en être démuni ; gardez le contact avec lui : LES 0IX J il en recevra. Savez-vous que vous pouvez obtenir maintenant un véritable rasoir Gillette, en matière plastique. Pour 100 et 150 fr ? GILLETTE SAFETY RAZOR C. S. A. 46, Avenue MATHURIN-MOREAU PARIS NOUS MOURRONS MOINS EN 1948 QU'EN 1938 Tous les dix ans, depuis 1898, des médecins appartenant à 63
français recevra à son ,gèise ru Jean-Goujon, les délégués de Force ouvrière. Les gars du bâtmnt réclament 20 % d'augmentation Après la fdétin des métallos, la fédération du bâtiment (C.G.T.) vient dadresser aux patrons une lttr dans laquelle elle déclare enmmatnot : « Vs svz déjà que notre fédération approuve et soutient ls revendications gtimes des aelrisrultva u groupe et réprésente, et qll réclame avec nsisane une augmentation générale des salaires réels de 20 %. » Des C.R.S. mobilisés pour arrêter 3 grévistes seL os scélérates continuent leurs méfaits. Hier, trois ouvriers agricoles grévsts de Bessèges ont été arrêtés sous l'inculpation hle « d'entraves à la lbrté du travail ». Pls d 200 de lrs cmrds s'étant opposés à cette arrestation, un détachement de ... fut appelé en renfort, tandis uqe le sous-préfet dirigeait en personne e opérations Finalement, les trois grévistes furent emmenés en voiture, dépit des protestations de la population, q n'a pas caché au sous-préfet ce quelle pensait de ces procédés autoritaires ». À la suite de ces incidents, municipalité a donné s démission. — Une délégation de la C.G.T. est venue protester hier au ministère de l'Intérieur contre l'ntrdctn du défilé annuel des journées de printemps de l jeunesse. De nombreuses pétitions (Education nationale, métllrg, tc...) protestent également contre une telle décs. Les bons d'achat de bicyclettes doivent êr hroséon La Préfecture de la Seine précise que les osbn d'achat de bicyclettes délivrés avant la éierblt de vente de cet article doivent êtr honorés par priorité dans la limit de leur délai de validité par les constructeurs et négociants. EIDMN QUE 'EST UNE BELLE iette Vu aussi, vous apprécierez la lame Gillette Mettez bientôt la lame Gillette Votre fournisseur peut en êtr démuni ; gardez le contact avec lui : LES 0IX J il en rcvr. Svz-vs vous pouvez obtenir maintenant un véritable rasoir Gillette, n matière plastique. Prou 100 et 150 fr ? GILLETTE SAFETY Z C. S. A. 46, Avenue MATHURIN-MOREAU PARIS NS SRRMOUNO MOINS EN 1948 QU'EN 1938 suTo les dix ans, dps 188, ds médecins appartenant à 63
journées de printemps de la jeunesse. De nombreuses pétitions (Education nationale, métallurgie, etc...) protestent également contre une telle décision. Les bons d'achat de bicyclettes doivent être honorés La Préfecture de la Seine précise que les bons d'achat de bicyclettes délivrés avant la liberté de vente de cet article doivent être honorés par priorité dans la limite de leur délai de validité par les constructeurs et négociants. EVIDEMMENT QUE C'EST UNE BELLE Gillette) Vous aussi, vous apprécierez la lame Gillette. Mettez bientôt la lame Gillette. Votre fournisseur peut en être démuni ; gardez le contact avec lui : LES 0IX J il en recevra. Savez-vous que vous pouvez obtenir maintenant un véritable rasoir Gillette, en matière plastique. Pour 100 et 150 fr ? GILLETTE SAFETY RAZOR C. S. A. 46, Avenue MATHURIN-MOREAU PARIS NOUS MOURRONS MOINS EN 1948 QU'EN 1938 Tous les dix ans, depuis 1898, des médecins appartenant à 63 nations se réunissent pour unifier les noms de maladies et pour dresser le tableau complet de ce qui, nous tue, mort violente pour faits de guerre et autres à part. Cette grave organisation, qui se nomme la « Conférence décennale des nomenclatures de maladies et des causes de décès » a commencé ses séances hier matin à l’Hôtel d’Orsay. Simultanément l'exposition des statistiques médicales, organisée par l’Institut national d’hygiène, s’est ouverte ce matin au public, 5, rue de Tilsitt, au ministère de la Santé publique. C’est la première fois au monde que l’on pourra voir certaines études sur le pourcentage des guérisons du cancer, que les statisticiens français ont été les seuls à réaliser jusqu’à présent. Les panneaux de cette exposition, « ouverts de cartes et de tableaux très clairs, révèlent au visiteur des chiffres étonnants. C’est ainsi que nous apprenons que, depuis 1939, la mortalité alcoolique est en diminution : 30 pour 100.000 habitants en 1939 ; 7 pour 100.000 habitants en 1947. Diminution aussi des accidents mortels au cours d’accouchements : 6 pour 1.000 en 1915; 1,5 pour 1.000 en 1945. Par contre, les courbes de mortalité du cancer sont en montée constante et tragique : 130 morts
journées de printemps d la jeunesse. De nombreuses ét (Education nationale, métallurgie, etc...) protestent également cne une telle décsn. Les bons d'achat de esybielttcc doivent t hos La Préfecture de la einSe précise que les bons d'aa de cyetictsleb délivrés avant la liberté de vente de cet article doivent être honorés par irité dans la limite de ulre délai ed validité par lse cnutes et négociants. EVIDEMMENT C'EST UNE BELLE Gillette) Vous aussi, vo pprécrz l lame Gillette. Mettez bientôt la lame Gillette. Votre fournisseur peut en être démuni gardez le contact ac lui : LSE 0IX J il en rcvr. Savez-vous e vous pouvez bter maintenant un véritable rasoir Gillette, en matière plastique. Pr 100 et 150 fr ? GILLETTE SFY RAZOR C. S. A. , Avenue MATHURIN-MOREAU PARIS NOUS MOURRONS MOINS EN 1948 QU'EN 1938 Tous les dix ans, depuis 1898, des médecins rtent à 63 nations se réunissent r unifier les s de maladies et ruop drssr l tbl complet de c qui, nous tue mort violente puro faits de guerre et autres à prt. Cette grave organisation qui se nomme la « Conférence décennale ds nmnts de mlds te des causes de décès » commencé s séances hier mtn à l’Hôtel d’Orsay. Simultanément l'exposition des statistiques médicales, oré rpa l’Institut national d’hygiène, s’est ouverte ce matin public, 5, rue de Tilsitt, ministère de la Santé publique C’est la première o au monde que l’on pourra voir certaines études sur le pourcentage des guérisons du ,eaccnr que ls statisticiens ianrsfaç ont été les seuls à réaliser jusqu’à présent Les panneaux de ctete exposition, « vrts de cartes et de tableaux très clairs, révèlent au visiteur des fefshicr étonnants. ’est ainsi que nous apprenons e, depuis 1939, la mortalité lclq st en diminution : 30 pour 100.000 habitants ne 1939 ; 7 pour 100.000 habitants en 1947. imnuo ss des accidents mortels au cours d’acouemns : pour 1.000 n 1915; 1,5 pour 1.000 n 1945. Par contre, les courbes de mortalité du cancer snt en etméno constante et tragique : 130 morts
a commencé ses séances hier matin à l’Hôtel d’Orsay. Simultanément l'exposition des statistiques médicales, organisée par l’Institut national d’hygiène, s’est ouverte ce matin au public, 5, rue de Tilsitt, au ministère de la Santé publique. C’est la première fois au monde que l’on pourra voir certaines études sur le pourcentage des guérisons du cancer, que les statisticiens français ont été les seuls à réaliser jusqu’à présent. Les panneaux de cette exposition, « ouverts de cartes et de tableaux très clairs, révèlent au visiteur des chiffres étonnants. C’est ainsi que nous apprenons que, depuis 1939, la mortalité alcoolique est en diminution : 30 pour 100.000 habitants en 1939 ; 7 pour 100.000 habitants en 1947. Diminution aussi des accidents mortels au cours d’accouchements : 6 pour 1.000 en 1915; 1,5 pour 1.000 en 1945. Par contre, les courbes de mortalité du cancer sont en montée constante et tragique : 130 morts pour 100.000 habitants en 1936, 160 en 1940. Constatons — et on s’en serait un peu douté — que la folie va croissant en France : 40 internés pour 100.000 habitants en 1840, qui passent à 200 en 1925 pour finir à 300 en 1940. Que les sains de corps et d’esprit, s’il en est encore, se réconfortent : la mortalité générale pour la France est en nette régression et nous avons chacun notre petite chance de vivre plus longtemps que nos pères. André JEAN. NOTRE RAVITAILLEMENT préoccupe nos ministres On espère que les détaxes envisagées pourraient provoquer une baisse de 40 francs par hectolitre au détail et que le prix national en serait établi en conséquence car la suppression de la seule taxe à la production serait loin d’avoir une telle incidence. Celle-ci ne pourrait être obtenue que si toutes les taxes étaient supprimées. En ce qui concerne le vin, les ministres ont envisagé le retour à la taxation, soit aux différents stades, soit au seul stade de gros. Gageons que le Syndicat des producteurs viticoles, et ses amis feront tant et si bien qu’on abandonnera le projet, pourtant acceptable de rétablir une situation fort critiquée puisque les producteurs
a commencé ses séances hier matin à l’Hôtel dOrsay Simultanément l'exposition des ssiteutitasq idacémsel, organisée par lIstitu ntnl d’hygiène, s’est ouverte c matin au public, 5, rue de Tilsitt, au ministère de la Santé liue ’est la prmèr fois au monde que l’on pourra voir sncaeteri études sur le aeeourpgntc des guérisons du cancer, que les statisticiens français ont été les sls à réaliser jusqu’à présent. e panneaux d cette xpstn, « ouverts de cartes et de tableaux très clairs, révèlent visiteur des chiffres étonnants ’est ainsi que nous apprenons que, depuis 1939 la mortalité alcoolique est en diminution : 30 pr 100.000 habitants en 99 ; 7 pour 100.000 shntbatia en 1947. Diminution aussi des accidents mors au cours d’accouchements pour 1.000 ;1591 1,5 u 1.000 en 1945. Par contre, ls curs de mortalité du cancer sont en montée constante et tragique : 0 morts pour 100.000 habitants en 1936, 160 en 1940. Cnsttns e on sn serait n peu dté — que al folie va croissant en France : 40 internés pour 100.000 habitants en 1840, q passent à 200 en 1925 pour finir à 300 en 1940. Que les sains de corps et d’esprit, s’l en est encore, s ncofroeétntr la mortalité générale pour la France tse en nette régression te nous avons chacun notre petite chance de vvr plus longtemps que nos pè. André JEAN NOTRE RAVITAILLEMENT préoccupe nos nitr On espère que les détaxes nvsaées prrnt provoquer une aise de 40 francs par hectolitre au détail et q le prx ntnl n serait établi en conséquence la suppression de la seule taxe à la production serait loin d’vr une telle incidence. Celle-ci e pourrait être oteeunb que si tts les taxes étaient supprimées. En c qui ocrn le vin, les ministres ont envisagé le retour à l taxation, st aux dsftriféen stades, soit au seul stade de gros Gageons que le Syndicat des producteurs viticoles, te ses amis feront tant et si bien qu’on abandonnera le prjt, pourtant acceptable de rétablir une situation fort critiquée puisque les producteurs
et d’esprit, s’il en est encore, se réconfortent : la mortalité générale pour la France est en nette régression et nous avons chacun notre petite chance de vivre plus longtemps que nos pères. André JEAN. NOTRE RAVITAILLEMENT préoccupe nos ministres On espère que les détaxes envisagées pourraient provoquer une baisse de 40 francs par hectolitre au détail et que le prix national en serait établi en conséquence car la suppression de la seule taxe à la production serait loin d’avoir une telle incidence. Celle-ci ne pourrait être obtenue que si toutes les taxes étaient supprimées. En ce qui concerne le vin, les ministres ont envisagé le retour à la taxation, soit aux différents stades, soit au seul stade de gros. Gageons que le Syndicat des producteurs viticoles, et ses amis feront tant et si bien qu’on abandonnera le projet, pourtant acceptable de rétablir une situation fort critiquée puisque les producteurs refusent actuellement de livrer, en raison de la loi sur la hausse illégale. Perquisition dans une école soviétique à Paris Hier après-midi, la Sûreté nationale a effectué des vérifications rue Saint-Didier, dans les anciens locaux de l'Union des citoyens soviétiques, occupés actuellement par une école réservée aux enfants des ressortissants russes de Paris. Quatorze personnes, professeurs, moniteurs ou surveillants ont été amenés rue des Saussaies, où, après vérification d’identité, ils ont tous été remis en liberté. Cette mesure est due au fait que cette école n'avait pu recevoir l'inscription académique l'autorisation de fonctionner. — Au cours d'une réunion des Jeunes enseignants (C. G. T.) tenue dimanche, à Paris, une motion a été votée protestant contre les dix-huit mois et réclamant le traitement des fonctionnaires stagiaires pour les normaliens supérieurs, ainsi que le statut des suppléants. LA BOURSE Les événements de Palestine affectent tout particulièrement le Suez, en baisse de 1.600 francs à 70.600, la Française des pétroles, en recul de 100 francs à 2.780, la Banque ottomane qui perd 145 francs à 5.650, et les Salins de Djibouti, qui abandonne 140 francs à 3.710. Par contre, la perspective d’un arrangement du groupe Bomberg avec le fisc argentin fait remonter Quilmes,
te ’prit s’l en est encore, se réconfortent : la mort générale pour la France est ne ntt régrssn et nous avons chacun notre petite cnce de vivre ulsp lngtmps que nos pères. André JEAN. NOTRE RAVITAILLEMENT préoccupe nos ministres On espère u s xs envisagées pourraient provoquer une baisse d 40 francs par hectolitre a détail et que le prx national en serait étbl en oennseqéucc car la suppression de la seule tx la production serait loin d’avoir une telle incidence. Cll-c ne pourrait être obtenue que si toutes les taxes iet srs En ce qui concerne le vin, les ministres ont envisagé le retour à la taatio, soit aux différents stades, soit au seul stade de gros. Ggns que le Syndct des producteurs viticoles, et ses amis feront tant e si bn qu’on abandonnera le projet, pourtant acceptable de rétablir une situation fort critiquée puisque les eorusucprdt refusent actuellement de livrer, n raison de la loi sur al hausse illégale. Prqstn dans n école soviétique à a Hier après-midi, la Sûreté nationale a fec des vérifications rue Snt-Ddr, dans les anciens locaux de l'Union des citoyens soviétiques, occupés actuellement par une école réservée uxa enfants ds rssrtssnts srsseu de Paris. Qutoze personnes, professeurs, moniteurs ou surveillants ont été enaéms rue des Saussaies, où après vérification d’identité, ils ont tous été es en liberté. Ctt mesure est due au ft que cette écl n'avait pu recevoir l'inscription académique l'trstn de fnctnnr. Au crs d'n réunion des Jeunes snants (C. G. T.) tn dimanche, à Paris, une motion a été votée protestant contre l dix-huit os te réclamant l traitement des fnctnnrs stagiaires pour les normaliens supérieurs, ainsi qe le statut des supéan LA BOURSE nmes de Palestine affectent tout particulièrement le Sz, en bi de 1.600 frncs à 70.600, la Française des pétroles, en recul de 100 francs à .780, la Banque ottomane qui perd 145 francs à 5.650, et les Salins de Djibouti, qui abnone 140 ncs à .7 Par contre, la perspective d’un arrangement du grope Bmbrg vc l fisc argentin fait rmntr Quilmes,
russes de Paris. Quatorze personnes, professeurs, moniteurs ou surveillants ont été amenés rue des Saussaies, où, après vérification d’identité, ils ont tous été remis en liberté. Cette mesure est due au fait que cette école n'avait pu recevoir l'inscription académique l'autorisation de fonctionner. — Au cours d'une réunion des Jeunes enseignants (C. G. T.) tenue dimanche, à Paris, une motion a été votée protestant contre les dix-huit mois et réclamant le traitement des fonctionnaires stagiaires pour les normaliens supérieurs, ainsi que le statut des suppléants. LA BOURSE Les événements de Palestine affectent tout particulièrement le Suez, en baisse de 1.600 francs à 70.600, la Française des pétroles, en recul de 100 francs à 2.780, la Banque ottomane qui perd 145 francs à 5.650, et les Salins de Djibouti, qui abandonne 140 francs à 3.710. Par contre, la perspective d’un arrangement du groupe Bomberg avec le fisc argentin fait remonter Quilmes, qui gagne 2.000 à 33.000. Nouvelle avance de Canadian Pacific à 4.555 contre 4.350. Sauf les Métallurgiques soutenues, les valeurs françaises sont plutôt lourdes dans l'ensemble. COMMUNIQUÉS RÉUNION — Les membres de toutes catégories des Œuvres sociales de la Table Ronde, 22°, convoqués en assemblée générale, 21, rue Saint-Dominique, le 11 juin 22 mai à 14 heures. RÉUNION de la Société « Franc-Tireur » Les membres de la Société « Franc-Tireur », réunis le 25 avril 1948, ont approuvé à l’unanimité, moins cinq abstentions, le compte d’exploitation et le bilan du Journal pour l’année 1947. Ils ont approuvé ensuite la gestion politique du journal pour l’exprimer leur confiance aux directeurs-gérants pour que l’orientation politique définie au cours de leur réunion soit appliquée dans l'avenir. Ce dernier paragraphe a été voté par neuf voix : Altman, Bayet, Boutbien, Cavaillé, Deschamps, Dépieds, Fourrier, Péju, Vallods, contre six voix : Aviramin, Gonnard, J.-P. Lévy, Petit, Pinton, Soudeille, et une abstention : Gacon. Dans la cour d’honneur du ministère de l’Intérieur, un monument à la mémoire de Jean Moulin et de 34 fonctionnaires du ministère morts pour la France a été inauguré, hier, sous la présidence de M. Vincent Auriol. Les Ete NEUBAUER centre
rus de Paris. Quatze ,srennpsoe professeurs, moniteurs ou surveillants ont été amenés rue des Saussaies, où, après vérification d’identité, ils ont tous éét remis en liberté Cette mesure est due au fait q cette école n'avait pu rcvr l'inscription académique lautorisation de fonctionner. Au cours d'n réunion ds Jeunes enseignants (C. . T.) tenue dimanche, à Paris, une motion a été votée protestant contre les dix-huit mois t réclamant le traitement des fonctionnaires stagiaires pr les normaliens supérieurs, ainsi que le statut des suppléants. LA BOURSE Les événements de Palestine affectent tout prtclèrmnt le Suez, en baisse de 1600 francs à 7.00 la Française pétroles, en recul d 100 fs à 2.780, la Bnq ottomane qui perd 145 francs à 5.650, t les Salins de Djibouti, qui abandonne 140 francs à 3710 Par contre, la perspective dun arrangement du groupe Bomberg avec le fisc argentin fait remonter Quilmes, qui gagne 2.000 à 33.000. Nvll avance d anndCaia Pacific à .555 contre 4350 Sauf les Métllrgqs soutenues les vlrs françaises sont plutôt lourdes dans l'ensemble. COMMUNIQUÉS RÉUNION — Les mmrs de toutes catégories dse Œuvres sociales de la Table Ronde, 22°, convoqués en assemblée générale, 21, rue Saint-Dominique, le 11 juin 22 mai à 14 heures. RÉNN de la Société « Franc-Tireur » Ls membres de la Scété « rrFia-ruecnT », réns e 25 avril 1948 ont approuvé à l’unanimité, moins cinq abstentions, le compte d’exploitation et le bilan du Journal pour l’année Ils ont approuvé nut l gestion politique du journal pour l’exprimer leur conie x directeurs-gérants pour que l’orientation politique définie au cours de leur réunion soit appliquée dans l'avenir. Ce dernier paragraphe été voté par neuf vxio : ltmn, Bt Bobn Cavaillé Deschamps, Dépieds, Fourrier, Péju, Vallods, cn six voix : Aviramin, Gonnard, J.-P. Lévy, Petit, niP,tno Soudeille, et une bstntn Gacon Dans la u d’honneur du mnstèr de ’Ineu un monument à la mémoire de Jean Moulin et de 34 fonctionnaires du ministère morts pour la France a été inauguré, hier, sous la présidence de M. Vincent urolAi. Les Ete NEUBAUER centre
11 juin 22 mai à 14 heures. RÉUNION de la Société « Franc-Tireur » Les membres de la Société « Franc-Tireur », réunis le 25 avril 1948, ont approuvé à l’unanimité, moins cinq abstentions, le compte d’exploitation et le bilan du Journal pour l’année 1947. Ils ont approuvé ensuite la gestion politique du journal pour l’exprimer leur confiance aux directeurs-gérants pour que l’orientation politique définie au cours de leur réunion soit appliquée dans l'avenir. Ce dernier paragraphe a été voté par neuf voix : Altman, Bayet, Boutbien, Cavaillé, Deschamps, Dépieds, Fourrier, Péju, Vallods, contre six voix : Aviramin, Gonnard, J.-P. Lévy, Petit, Pinton, Soudeille, et une abstention : Gacon. Dans la cour d’honneur du ministère de l’Intérieur, un monument à la mémoire de Jean Moulin et de 34 fonctionnaires du ministère morts pour la France a été inauguré, hier, sous la présidence de M. Vincent Auriol. Les Ete NEUBAUER centre de l'occasion 6 et 8, Bd de la Somme PARIS-17e présentent pendant le mois d'avril un choix de véhicules utilitaires de 800 kg. à 5 t. en bon état à des prix sans CONCURRENCE VENTE à CRÉDIT Publicité 100 GROUPES ELECTROGENES ZUNDAPP DKW IMPORTANTE QUANTITÉ ROULEMENTS À BILLES DISPONIBLES T. DE SUITE Adresser demandes écrites Avec précision du type pour les roulements à M. HENDRIX 44, rue Ymerinder PARIS Exiger EMPAIRE FEUILLE DE SALU Toutes Pharmacies 1 0 11 al Protège, calme la douleur, dissout le germe. GILBERT, 35, r. Claude-Bernard, Paris Visa N° 179 P 402 LA PANAIR DO BRASIL Indépendamment de l'exploitation de ses lignes intérieures en Amérique du Sud, la PANAIR DO BRÉSIL a concentré ses efforts sur son réseau transatlantique. En l'espace de deux ans, près de 600 traversées de l'Atlantique du Sud ont été faites dans les deux sens par la flotte des quadrimoteurs Constellations et Stratocristaux dans les conditions suivantes : de sécurité 100 % aucun accident à déplorer ; de rapidité la PANAIR détient toujours les temps records sur ses différentes routes transatlantiques ; de conformité aux horaires et de confort. Au cours de cette 2e année, aux lignes desservant déjà Lisbonne, Paris,
11 juin 22 m 14 heures. RÉUNION de la Scété « Franc-Tireur » Ls membres de Société « Franc-Tireur » réunis e 25 avril 1948, ont approuvé à ’unanimité, moins cinq abstentions, le compte d’xplttn et l bilan du Journal pour l’année 1947. Ils ont approuvé ensuite la gestion iqu du journal pour l’exprimer leur confiance aux drctrs-gérnts pour que l’orientation oliqu défn au cours de leur réunion sot appliquée dans l'avenir. Ce dernier paragraphe été voté par neuf voix : Altman, Bayet, Boutbien, Cavaillé, Dschmps, Dépieds, Fourrier, Péju, Vallods, contre six voix : ,iAmvrnia Gonnard, J Lévy, Petit, Pinton, eiSleuo,ld et une abstention : Gacon. Dans la cour d’honneur du ministère de l’Intérieur, un monument à la mémoire de Jean Mln et de 34 fonctionnaires du ministère mrts pour la France a été inauguré, hier, sous la présidence de M. n Auriol. Les Ete NEUBAUER centre de l'occasion et 8, Bd de la Smm PARIS17e présentent pendant le mois d'avril un choix de véhicules iasliuetrti de 800 kg. à 5 t. en bon état à des rpxi sans CONCURRENCE VNT à CRÉDIT Publicité 100 GRPS ELECTROGENES ZUNDAPP DKW IMPORTANTE QNTTÉ ROULEMENTS À SLEILB DISPONIBLES T. DE SUITE Adresser demandes écrites Avec précision d type pour les roulements à M. HENDRIX 4,4 Ymrndr PARIS Exiger EMPAIRE FLL DE SALU Toutes Pharmacies 1 0 11 al Protège, calme l douleur dissout le ge GILBERT, 35, r. Claude-Bernard, Paris Vs N° 179 P 402 LA PANAIR DO SI Indépendamment de l'exploitation de ses lignes intérieures en Amérique du Sud, la PANAIR DO BRÉSIL a centré ss eors sur on réseau transatlantique. En lespace de deux , près de 600 traversées ed l'Atlantique du Sud ont été faites dnas les deux s par la fltt es quadrimoteurs Constellations et ratrit dans ls cndtns suivantes : de sécurité 100 % aucun accident à déplorer ; de rapidité la PANAIR détient toujours les temps records rus ses dsniéefetrf routes transatlantiques ; de conformité aux horaires et de confort. u cours de cette 2e année, aux lignes desservant déjà Lisbonne, Paris
DE SUITE Adresser demandes écrites Avec précision du type pour les roulements à M. HENDRIX 44, rue Ymerinder PARIS Exiger EMPAIRE FEUILLE DE SALU Toutes Pharmacies 1 0 11 al Protège, calme la douleur, dissout le germe. GILBERT, 35, r. Claude-Bernard, Paris Visa N° 179 P 402 LA PANAIR DO BRASIL Indépendamment de l'exploitation de ses lignes intérieures en Amérique du Sud, la PANAIR DO BRÉSIL a concentré ses efforts sur son réseau transatlantique. En l'espace de deux ans, près de 600 traversées de l'Atlantique du Sud ont été faites dans les deux sens par la flotte des quadrimoteurs Constellations et Stratocristaux dans les conditions suivantes : de sécurité 100 % aucun accident à déplorer ; de rapidité la PANAIR détient toujours les temps records sur ses différentes routes transatlantiques ; de conformité aux horaires et de confort. Au cours de cette 2e année, aux lignes desservant déjà Lisbonne, Paris, Londres, Rome sont venues s'ajouter des prolongations sur le Caire (août 1946), Istanbul (novembre 1947), Francfort (mars 1948) et Buenos Aires (mars 1948). C'ÉTAIENT DES TERRORISTES Pons, le "vieux", l'aventurier élevé des lapins..., Et "le légionnaire" est mort avec vingt-huit autres volontaires SUITE DE LA PREMIERE PAGE Aurait-il réussi (les "copains" de l'hôtel du Parc en sont persuadés) qu'on le blâmerait... Et n'ont-ils poursuivi ce qu'ils avaient entamé qu'on s'exaspère un peu plus contre eux... Finissons-en. L'obsession, à force d'avoir entendu répéter par ces terroristes, finit par se condenser sur le papier, avant coup. C'étaient des hors-la-loi. Les hommes maigres qui vivaient dans les bois et qui regardaient brûler leurs fermes dans les combeaux et les vallons, entendant hurler leurs femmes et leurs gosses. Pourtant, ils continuaient, à bout de souffle, traînant leurs armes, emportant les blessés. Parfois, pour leur faire pièce, on leur demande maintenant : "Pourquoi êtes-vous partis ? La raison ? Pour quels profits ?"... Pas de profits, pas de raison. On ne raisonnait pas en ce temps-là C'eût été beaucoup trop simple. Alors ils ne répondent pas. Se l'était-on posé cette question ? Même pas. L'un d'eux a pourtant dit pour tous : — Parce que
DE SUITE Adresser demandes écrites Avec précision du type pour les roulements à M HENDRIX 4 rue Ymrndr PARIS Exiger MPR FEUILLE DE SALU Toutes Pharmacies 1 0 11 al Protège, calme la douleur, dissout le germe. GILBERT, 35, r. ClaudeBernard Paris Visa N° 179 P 042 LA PANAIR DO BRASIL Indépendamment de l'xplttn de ses lignes intérieures en mérq du Sud, la PANAIR DO BRÉSIL a concentré ss efforts sur nso réseau transatlantique. En l'espace de du ans, près de 600 traversées ed l'Atlantique d Sud ont été faites dans les deux sns par la flotte des quadrimoteurs Constellations et Strtcrstx dans les conditions suivantes : de sécurité 100 % aucun accident à déplorer ; de rapidité l PANAIR détient toujours les temps records sur ses différentes routes transatlantiques ; de conformité aux hor et de conf. Au cours cette 2e année, aux lignes dssrvnt déjà Lisbonne, Paris, Londres, Rome sont venues s'ajouter des prolongations sur le Caire août 1946), Istanbul novembre 1947), Francfort (mars 1948) t Buenos Aires (mars 148. C'ÉTAIENT DS TERRORISTES on,Ps le vieux l'aventurier élvé des ls, t el" légionnaire" est mrt avec vingt-huit trs volontaires TSIEU DE LA PREMIERE PAGE Aurait-il réussi (les "copains" de 'tl du Parc en sont prsdés) qu'on le bâerait. Et 'ont-ils poursuivi ce qu'ils avaient entamé qu'on xsèarepse' nu peu plus contre eux... Finissons-en. oio, à force d'avoir entendu répéter par ces et,rrestsior finit par se cndnsr r le papier, avant coup C'étaient des hors-la-loi. Ls hommes maigres qui vivaient dans ls bois et qui regardaient brûler leurs fermes dans les combeaux et les vallons, entendant hurler leurs femmes et leurs osse Poat, ils continuaient, à bout de feofu,sl traînant leurs armes, emportant les blessés. Parfois, pour leur faire pièce, n leur demande maintenant : "Pourquoi êtes-vous partis ? La raison ? Pour quels profits ?"... Pas d profits, pas de raison. On ne raisonnait ps en ce temps-là C'eût été beaucoup trop simple. Alors ils n répondent pas. Se 'était-on posé cette question ? Même pas. L'un d'eux a pourtant dit pour ts : — Parce que
"copains" de l'hôtel du Parc en sont persuadés) qu'on le blâmerait... Et n'ont-ils poursuivi ce qu'ils avaient entamé qu'on s'exaspère un peu plus contre eux... Finissons-en. L'obsession, à force d'avoir entendu répéter par ces terroristes, finit par se condenser sur le papier, avant coup. C'étaient des hors-la-loi. Les hommes maigres qui vivaient dans les bois et qui regardaient brûler leurs fermes dans les combeaux et les vallons, entendant hurler leurs femmes et leurs gosses. Pourtant, ils continuaient, à bout de souffle, traînant leurs armes, emportant les blessés. Parfois, pour leur faire pièce, on leur demande maintenant : "Pourquoi êtes-vous partis ? La raison ? Pour quels profits ?"... Pas de profits, pas de raison. On ne raisonnait pas en ce temps-là C'eût été beaucoup trop simple. Alors ils ne répondent pas. Se l'était-on posé cette question ? Même pas. L'un d'eux a pourtant dit pour tous : — Parce que nous n'étions plus chez nous.., Ce dit le suffit. Cette réponse vaudrait d'être dite dans les écoles... Les orateurs qui ont retrouvé la voix lorsque tout était fini ont arrangé l'affaire à leur sauce avec des mots que les autres ne comprenaient jamais. Les chantres tonnaient et les gars applaudissaient parce qu'ils ont de l'usage et que c'était la fin du discours. Pourquoi sont-ils partis ? Il est temps de le résoudre, on leur a trop menti... Probablement parce qu'ils ne pouvaient plus faire leur métier, avoir du pain, jouer aux boules, parce qu'on déportait, parce que les gosses n'avaient plus pour leur faim... Ce très vieux dilemme « Vivre libre ou mourir », ils l'avaient tranché sans façons et certains maintenant n'auront jamais, selon les lèvres, le goût de la première proposition... C'étaient des terroristes. Joseph Darnand, fusillé mais pour d'autres raisons, avait lancé, en parlant d'eux : « Vous le savez, nous n'avons affaire qu'à des bandits. » Bandits, brigands, racaille et coquins, flibustiers et filous, forbans, assassins, grecs et tireliens... Si tout était dans la nommer des autres — je devrais vous retrouver dans les dépôts et les cellules, battant le sabot dans la cour des centrales.
"copains" de 'hôtel du Parc en sont persuadés) qu'on l blâmerait... Et n'ont-ils poursuivi ce qu'ils avaient ntmé qu'on s'exaspère un peu plus contre e. Finissons-en. L'obsession, à force d'avoir nd répéter ces terroristes, finit par se condenser sur le papier ava coup. C'étaient ds hors-la-loi. Les hommes maigres qui vivaient dans les bois t qui rnedreaiagt brûler leu fermes dans les combeaux et les ln, entendant url leurs femmes et leurs gosses. Pourtant, ils continuaient, à bout de souffle, traînant leurs armes, emportant les blessés. arfPo,is pour leur faire pièce, on leur demande matenat : "Pourquoi êtes-vous partis La raison ? our qls profits ?"... Pas de profits, pas de raison. On ne raisonnait pas en ce ts C'eût été bcp trop simple. Alors ils ne répondent ps. Se l'était-on psé cette question ? Même pas. L'un d'eux a pourtant dit pour tous : — Parce que nous iénos'nt plus e nous.., Ce dit le suffit. Cette réponse vaudrait d'êtr dite dans les écoles L orateurs qui ont retrouvé la voix lrsq tout était fini arrangé l'affaire leur sauce avec des mots que les autres ne comprenaient jamais. Les chantres tonnaient et les gars applaudissaient parce qu'ils ont de l'usage t que c'était la fin du discours Prq sont-ils partis ? Il est temps d le résoudre, on leur trop menti... Probablement parce qu'ils ne pouvaient plus faire leur métier, avoir du pain, jouer aux boules, parce u déportait parce que es gosses n'avaient plus pour leur faim... Ce très vieux dilemme « Vivre libre mourir », ils l'avaient tranché sans façons et certains maintenant n'auront jamais, selon les lèvres, le goût de la première proposition... C'étaient des terroristes. Joseph Darnand, fusillé mais pour d'autres raisons, vt n en prlnt d'eux : « Vous le savez, nous n'avn affaire àuq' des bandits. » Bandits, brigands racaille et coquins, flibustiers et filous, forbans assassins, grecs et tireliens... Si ottu était dans la eommnr des autres — je devrais vous retrouver dans les dépôts et les cllls, battant le sabot dans la cour des centrales.
parce qu'ils ont de l'usage et que c'était la fin du discours. Pourquoi sont-ils partis ? Il est temps de le résoudre, on leur a trop menti... Probablement parce qu'ils ne pouvaient plus faire leur métier, avoir du pain, jouer aux boules, parce qu'on déportait, parce que les gosses n'avaient plus pour leur faim... Ce très vieux dilemme « Vivre libre ou mourir », ils l'avaient tranché sans façons et certains maintenant n'auront jamais, selon les lèvres, le goût de la première proposition... C'étaient des terroristes. Joseph Darnand, fusillé mais pour d'autres raisons, avait lancé, en parlant d'eux : « Vous le savez, nous n'avons affaire qu'à des bandits. » Bandits, brigands, racaille et coquins, flibustiers et filous, forbans, assassins, grecs et tireliens... Si tout était dans la nommer des autres — je devrais vous retrouver dans les dépôts et les cellules, battant le sabot dans la cour des centrales. Certains d'ailleurs sont tombés... Les hommes en rouge n'oublient pas si vite leur serment. Je vous ai retrouvés. Je vous connaissais déjà. Je vous ai vus ; tout ce joli monde était retourné chez lui... Six hommes sur une photo Pons, le Vieux, comme ils disent, pose son pouce sur le grandiment. Pons dont la tête était mise à prix, mort ou vif, avant que les pancartes Michelin indiquent les frontières du petit pays de la liberté. C'est une photo d'amateur un peu floue et tremblée, la mise au point est mauvaise, le cadrage mal fait... — Il faisait gris ce jour-là, dit Pons qui se souvient très bien. « Ils sont six là-dessus autour du fanion de ma compagnie de volontaires. L'un d'eux est caché. Vous ne le retrouverez pas, d'ailleurs, il est mort sur le front. Au deuxième rang, le grand fifre en bandes molletières s'appelle Fié, Albert Fié ; il me servait de secrétaire et s'est établi comme épicier à Paris... L'autre, le petit gros en battle-dress, venait de la Légion. Né en Allemagne, il a été tué dans la 1re Armée, sur une crête vosgienne. On l'appelait Moustache. Le nom, je l'ai oublié... Premier rang, en
parce qu'ils nt de l'usage et que c'était la fin du discours. Pourquoi sont-ils partis ? Il et temps de le résoudre, on leur a trop enti... Probablement parce qu'ils ne pouvaient plus faire leur métier avoir pain, jouer aux boules, prc quon déportait, parce que les gosses n'avaient plus pour leur faim... Ce très vieux dilemme « Vivre libre ou mourir », ls l'avaient tranché sans façons et certains annat 'auront jamais, sln lse lèvres, le goût de la première proposition C'étaient des terroristes Joseph Darnand, luisflé mais pour d'autres raisons avait lancé, en prlnt 'eux : « Vous le savez, nosu n'vns aie q'à des bandits. » Bandits, brigands, racaille et coquins, flbstrs et filous, forbans assassins, grecs t tireliens... Si était dans l nommer des autres — je devrais vous retrouver dans ls dépôts et es lue, battant le sa dans la cr des centrales. Certains d'ailleurs sont tombés... Les hommes en rouge n'oublient pas si viet leur me.tersn Je vous ai retrouvés. Je vs connaissais déjà. Je vs ai vus tout ce joli monde était retou chez lui... Six hommes sur une photo Pons, le Vieux, comme ils disent, ps sn pouce sur le grandiment. Pons dont la tête était mise à prix, mort ou vif, avant que les pncrts Michelin iduneqnit les frontières du petit apsy de la lbrté. C'est une photo d'amateur n peu floue et tremblée, la mise au point est mauvaise, le cadrage mal fait... — l fst grs ce jour-là, dit Pons qui se sie très bien. « ls sont six là-dessus aturuo d fanion de ma compagnie de onvotealr.si Lun d'eux est caché. Vs ne le reuvre pas, d'ailleurs, il est mort sur le front. Au deuxième rg le grand fifre en bnds molletières s'appelle Fié, Albert Fé il me servait de acitéreser et s'est établi comme épicier à Prs... L'autre, le petit gros en battle-dress, venait de la Légion. Né en Allemagne, il a été tué dans l 1re Armée, sur une crête vsgnn. On l'appelait Moustache. Le nom je l'ai ul.. Premier rn, en
le grandiment. Pons dont la tête était mise à prix, mort ou vif, avant que les pancartes Michelin indiquent les frontières du petit pays de la liberté. C'est une photo d'amateur un peu floue et tremblée, la mise au point est mauvaise, le cadrage mal fait... — Il faisait gris ce jour-là, dit Pons qui se souvient très bien. « Ils sont six là-dessus autour du fanion de ma compagnie de volontaires. L'un d'eux est caché. Vous ne le retrouverez pas, d'ailleurs, il est mort sur le front. Au deuxième rang, le grand fifre en bandes molletières s'appelle Fié, Albert Fié ; il me servait de secrétaire et s'est établi comme épicier à Paris... L'autre, le petit gros en battle-dress, venait de la Légion. Né en Allemagne, il a été tué dans la 1re Armée, sur une crête vosgienne. On l'appelait Moustache. Le nom, je l'ai oublié... Premier rang, en allant de droite à gauche, d'abord le père Guion, présenté C'est cette plaque Michelin, rafistolée par un artisan du maquis, qui accueillait les hommes, après les lignes allemandes, aux avant-postes des volontaires de la Drôme... (Photo « Franc-Tireur »). Le père Guion, présenté Le porte-fanion, c'est Paul Bernard, dit Popaul, saboteur, trente-trois locomotives mises en l'air par son commando de neuf hommes... — Où est-il ? — Il répare les mêmes machines au dépôt de Portes-lès-Valence avec tous ses gars. C'était, avant, son métier... Et le dernier, en bras de chemise, second Joyen de mes volontaires avec Guion, est le papa juge qui a retrouvé, ayant rendu son fusil, son boulot d'employé de la ville à Creas... L'autre, celui du bout, en officier de marine, un colt sur le ventre, qui tourne la face, c'est Pons, commandant du maquis des volontaires de la Drôme... Armée Pons, comme on disait le 6 juin, compagnie depuis que les état-majors débarquèrent avec leurs états, leurs tampons, leurs officiers tamponneurs et leurs officiers porteurs de tampons... L'aventurier éleveur de lapins Pons est fermier. Le baroudeur, l'aventurier de toujours, éleve des lapins. Peut-être n'a-t-il pas dit son dernier mot... Le jour se lève sur le
le grandiment. Pons don la tête était mise à prix, t ou vif, avant que les pancartes Mice indiquent les frontières du petit pays de la ibet. 'est une photo d'amateur un peu floue et tremblée, la mise au point est mauvaise le cadrage mal fait... — Il fst gris ce jour-là, dt Pons q s souvient très bien. « Ils sont six là-dessus autour du onfnai de ma compagnie de volontaires. L'un d'eux est cacé Vous ne le retrouverez pas, d'ailleurs, il est mort sur le front. Au deuxième rang, le grand fifre en bandes molletières ael Fié, Albert Fié il me srvt secrétaire et s'est établi comme épcr à iPr..s.a L'autre, le petit gros en battle-dress, venait de la ién.oLg Né en Allemagne, il a téé té dans la 1re me,Aré sur une crête siene. On 'aait Mstch. Le nom, je l'ai oublié... Premier rang, en llnt de droite gauche, 'ad le père Gn, présenté 'est cette plaque Michelin, rfstlé a un artisan du maquis, qui accueillait ls hommes, après les lignes allemandes, aux avantpostes des vlntrs de la Drôme... Photo « Franc-Tireur »). Le pèr Gn, présenté Le porte-fanion, c'est Paul Bernard dit Pupl,ao saboteur, trnt-trs locomotives mises n l'air pr son commando de neuf hmms... — Où est-il ? — Il répr ls memsê machines au dépôt de Portes-lès-Valence avec tous ses gars. 'était, avant, son .ret..éim Et l dernier, en bras d chms, second Joyen de mes lootinsaver avec Guion, est le papa juge qui a retrouvé, ayant rendu son fusil, son boulot d'employé d l ville à Creas... L'autre, celui du buot, en officier de marine, un colt sur el ventre, qui tourne la fc, cest Pons, commandant maquis des oloais de la Drôme... Armée Pons, comme on disait le 6 juin, compagnie depuis q les état-majors débarquèrent a leurs états, l tampons, leurs officiers tamponneurs et leurs officiers porteurs de tampons... L'aventurier éleveur de lapins Pons est frmr. e baroudeur, l'aventurier de tojour, éleve ds lapins. Pt-êtr n'a-t-il pas dit son dernier mt... eL or se lève sur le
saboteur, trente-trois locomotives mises en l'air par son commando de neuf hommes... — Où est-il ? — Il répare les mêmes machines au dépôt de Portes-lès-Valence avec tous ses gars. C'était, avant, son métier... Et le dernier, en bras de chemise, second Joyen de mes volontaires avec Guion, est le papa juge qui a retrouvé, ayant rendu son fusil, son boulot d'employé de la ville à Creas... L'autre, celui du bout, en officier de marine, un colt sur le ventre, qui tourne la face, c'est Pons, commandant du maquis des volontaires de la Drôme... Armée Pons, comme on disait le 6 juin, compagnie depuis que les état-majors débarquèrent avec leurs états, leurs tampons, leurs officiers tamponneurs et leurs officiers porteurs de tampons... L'aventurier éleveur de lapins Pons est fermier. Le baroudeur, l'aventurier de toujours, éleve des lapins. Peut-être n'a-t-il pas dit son dernier mot... Le jour se lève sur le pays de la liberté. Pons trafique le carburateur d'une Rosengart poussive, prêtée pour la journée. Et je le revois, entouré de ses hommes, dans cette 402, crachant le feu par les portières, le canon d'un fusil-mitrailleur engagé dans le pare-brise. Dans la guimbarde trépidante qui m'emmène je sais que je ne retrouverai ni Brun, ni Arnaud, Daumas, Leclerc, Fouquet, Vigne et Blanc, Bernard, Doucet, Puget, Paccon, Rehs et Humbert, Bergeron, Defolié, Tournigand et Poulet, Thuile, Joseph, Brozil, Vialet, Brozille, Viallet, Brunet, Torteval, Tutier, Samuel, Lévy, Baudoin et Meyer Raymond. Ils sont morts, les volontaires... Mais seuls les morts enterrent les morts et Pons est toujours près de moi, comme il y a quatre ans, les platanes ont des feuilles, mais toutes les cheminées fument, les routes sont libres, les barricades sont mortes. Les terroristes aussi... Ils sont derrière leurs charrues, conduisent les boeufs ou les locomotives, tiennent boutique, sont soudeurs... Marche arrière, nous allons vite, plus vite que toutes les Rosengart du monde. Quatre ans d'un coup. Pons se perd dans ses manivelles. Il montre parfois une ferme. Il se retourne. Il me montre. — C'en était un, dit-il. (à suivre). UNE PARTIE DE LA 47-1 sera libérée le 1er
saboteur, trente-trois locomotives mises en l'air son commando de neuf hommes... — Où est-il ? — Il répare l mêmes machines au dépôt d Portes-lès-Valence avec tous ses grs. C'était, va,nta son métier... Et le dernier, en bras de chemise second Joyen de mes volontaires avec Guion est le papa juge qui a retrouvé, ayant rendu son fusil, son boulot d'employé d al ville à Creas... L'autre, celui du ,tuob en officier de marine, un colt sur l ventre, qui trn la face, c'est Pons, commandant d maquis des volontaires de la Drôme... Armée Pons, comme on disait le 6 jn, compagnie depuis que les état-majors débarquèrent avec leurs étts, leurs tampons, leurs iescfriof tamponneurs et leurs officiers porteurs de tampons... L'aventurier éleveur de lapins Pons est fermier. Le baroudeur, l'aventurier de toujours, éleve des lapins. Pt-êtr n'a-t-il pas dit son ndeirre mot... Le jour se lève sur le de la liberté. Pons trafique le carburateur d'une Rosengart poussive, prêtée pour la journée Et je le revois, entouré de ses oh,semm dans cette 402, crachant le feu par les portières, le canon d'un fusil-mitrailleur nggé dans le pare-brise. Dans la guimbarde trépidante qui 'emmène je sais que je ne uroteeivrra ni ru ni Arnaud, Dms, Leclerc, Fouquet, Vigne et Blanc, Bernard, Doucet, Puget, Pccn, Rehs et Humbert, Bergeron Defolié, Tournigand t Poulet, Thuile, Joseph, Brozil, Vlt, Brozille, lVlteia, Brunet, Torteval, Tutier, Sml, Lévy, Baudoin et Meyer Raymond. Ils sont morts, les volontaires... Mais seuls les morts entnt sel morts et Pons est toujours près de moi, comme il quatre as les platanes ont des feuilles, mais toutes les cheminées fet,unm les routes sont libres, ls barricades sont mortes. Les terroristes aussi... Ils derrière leurs charrues, conduisent les boeufs ou les locomotives, tiennent boutique, sont soudeurs... Marche arrière, nous allons vt, plus vite que toutes les Rosengart du monde. Quatre ans d'un coup. Pons se perd dans ses manivelles. Il montre parfois une ferme. Il se retourne. Il me montre. — C'en était n,u dit-il. (à suivre). UNE PARTIE DE LA 47-1 sera libérée le 1er
ne retrouverai ni Brun, ni Arnaud, Daumas, Leclerc, Fouquet, Vigne et Blanc, Bernard, Doucet, Puget, Paccon, Rehs et Humbert, Bergeron, Defolié, Tournigand et Poulet, Thuile, Joseph, Brozil, Vialet, Brozille, Viallet, Brunet, Torteval, Tutier, Samuel, Lévy, Baudoin et Meyer Raymond. Ils sont morts, les volontaires... Mais seuls les morts enterrent les morts et Pons est toujours près de moi, comme il y a quatre ans, les platanes ont des feuilles, mais toutes les cheminées fument, les routes sont libres, les barricades sont mortes. Les terroristes aussi... Ils sont derrière leurs charrues, conduisent les boeufs ou les locomotives, tiennent boutique, sont soudeurs... Marche arrière, nous allons vite, plus vite que toutes les Rosengart du monde. Quatre ans d'un coup. Pons se perd dans ses manivelles. Il montre parfois une ferme. Il se retourne. Il me montre. — C'en était un, dit-il. (à suivre). UNE PARTIE DE LA 47-1 sera libérée le 1er mai. Les militaires de la première fraction de la classe 1947 mariés et pères de famille ou appartenant à des familles de cinq enfants et plus seront libérés le 1er mai. Les déportés politiques bénéficieront d'allégements, ainsi que les Jeunes du S. T. O., les Jeunes cités ou blessés de guerre, les Jeunes gens ayant deux proches parents morts à la guerre, les détenus ou Internés pendant l'occupation à la suite d'une activité d'ordre national. Les mêmes mesures s'appliqueront également aux engagés volontaires dans les F. F. I., les agents de la France combattante, les engagés pour la durée de la guerre ayant fait un certain nombre de mois de service actif. (Journal officiel du 25 avril.) FAUTEUILS-CUIR Directement chez le FABRICANT Canapés Lits et Divans RUBIN FRÈRES 11y, Fg St-Antoine 3 Oj Dans la cour rez-de-chaussée gauche IMPORTANTE MAISON SARROISE RECHERCHE D'ARGENTURGE MACHINES à Bois et à METAUX D'OCCASION Paire parvenir offre à M. HUBNER 44, rue Lemercier, Paris O. F. achète comptant nouveaux ou petits : PIÈCES D'ARGENT de 1 fr.=15 Ir., de 2=30 fr., de 5=80 fr., de 10=38 fr., de 20=60 fr. et, TOUS BIJOUX 5, bd Strasbourg (Métro Strasbourg-St-Denis) L'SÉMAINE D'INAUGURATION DE VENTE SENSATIONNELLE HTE
ne retrouverai ni n,uBr ni Arnaud, Daumas, Leclerc, Fouquet, Vigne t Blanc, ern Doucet, Pgt, cn, Rehs et Humbert Bergeron, Defolié, Trngnd et Poulet, Thuile, Joseph, Brozil, Vialet, lo,lrBezi Viallet, Brunet, Torteval, Tutier, Samuel, Lévy, Baudoin et Raymond. Is sont morts, ls volontaires... Mais seuls les morts ernt les mts et Pons est tjrs près d moi, comme il y quatre ans, les platanes ont des le,lsfiue toutes les cheminées fument, les routes sont lbrs, les barricades sont mrts. Les terroristes aussi... Ils otsn derrière leurs charrues, conduisent les sbuefo ou les locomotives tiennent boutique, sont sdrs... Marche arrière, ns allons vite, plus vite que ttes les Rosengart du monde. Quatre ans d'un coup. Pons se perd dns ses manivelles Il montre parfois une ferme. Il s etou. me montre. — Cen était un, dit-il. (à suivre). UNE PARTIE DE LA 47-1 s libérée r mai. Les militaires de la première fraction de la classe 1947 mariés t pères de famille ou appartenant à des fmlls de cinq enfants et plus seront libérés le 1er mai. Les déportés politiques bénéficieront d'llégmnts, ainsi que les une du S. T. O., les seJeun cités ou blessés de regrue, les Jeunes gens ayant deux proches parents morts à la er, les détenus ou In pendant l'occupation la suite 'une activité d'ordre national. Les mêms mesures s'ie également aux engagés volontaires dans les F. F I les agents de la France combattante, lse engagés pour a durée de la guerre ayant fait un certain nombre de mois de service af. (Journal ofiil du 25 avri.) FAUTEUILS-CUIR Dirctee chez le FABRICANT Canapés Lits t Divans RUBIN RRSEFÈ 11y, Fg St-Antoine 3 j Dans la cour rez-de-chaussée gch IMPORTANTE MAISON SARROISE RECHERCHE 'ARGENTURGE MACHINES à Bs et à METAUX D'OCCASION Paire parvenir ffr à M. HUBNER 44, rue Lemercier, Pasir O. . tacheè comptant nouveaux ou petits : PIÈCES D'ARGENT de 1 =15 Ir., de 2=30 fr., de 5=80 fr., de 10=38 fr., ed 20=60 fr. et, TOUS BIJOUX 5, bd Strasbourg (Métro Strasbourg-St-Denis) LSÉMAINE D'NGRTN DE VENTE SENSATIONNELLE HTE
guerre, les Jeunes gens ayant deux proches parents morts à la guerre, les détenus ou Internés pendant l'occupation à la suite d'une activité d'ordre national. Les mêmes mesures s'appliqueront également aux engagés volontaires dans les F. F. I., les agents de la France combattante, les engagés pour la durée de la guerre ayant fait un certain nombre de mois de service actif. (Journal officiel du 25 avril.) FAUTEUILS-CUIR Directement chez le FABRICANT Canapés Lits et Divans RUBIN FRÈRES 11y, Fg St-Antoine 3 Oj Dans la cour rez-de-chaussée gauche IMPORTANTE MAISON SARROISE RECHERCHE D'ARGENTURGE MACHINES à Bois et à METAUX D'OCCASION Paire parvenir offre à M. HUBNER 44, rue Lemercier, Paris O. F. achète comptant nouveaux ou petits : PIÈCES D'ARGENT de 1 fr.=15 Ir., de 2=30 fr., de 5=80 fr., de 10=38 fr., de 20=60 fr. et, TOUS BIJOUX 5, bd Strasbourg (Métro Strasbourg-St-Denis) L'SÉMAINE D'INAUGURATION DE VENTE SENSATIONNELLE HTE QUALITÉ Affinée PURE LAINE HOMMES MADE UP COSTUMES. 7, boulevard MAGENTA TAILLEURS GABARDINES, RUBANS, MANTEAUX, VESTES, MÉTROS DE LA REPUBLIQUE, GABARDINES PANTALONS IMPER POPELINE CAOUTCHOUC PRIX EXCEPTIONNELS!... LES LIVRES ET LES HOMMES La guerre d'Hitler continue D'UN MEETING AU LIVRE D'YVES FARGE. IMAGE DE BIKINI. ROOSEVELT EST BIENTÔT MORT... ET L'EUROPE ? par Georges ALTMAN Le soir même où je recevais le nouveau livre de mon cher Farge, j'étais avec lui, et avec bien d'autres de l'époque clandestine, dans cette salle Wagram où, pour la première fois depuis la Libération, se retrouvaient dans un même élan tant de rescapés de la guerre d'Hitler. Je regardais ces quelques milliers de visages, que je me semblait presque tous reconnaître, visages d'hier apparus et disparus furtivement, secrètement à tous les coins des rues, dans les villes soumises; derrière eux, je voyais les autres disparus à jamais; sur un dernier sourire d'espoir, et dont nous sûmes après qu'ils étaient tumulés, ensanglantés jusqu'à la mort par les bourreaux de Pétain et d'Hitler. Etrange et poignante impression d'une grande veillée des rescapés autour du souvenir de leurs morts, veillée unanime et que rien ne troublait. Nous savons bien qu'il faut des circonstances exceptionnelles, comme une très
guerre, les Jeune gens ayant deux prchs parents morts à la guerre, les uédnets ou ntrnés pendant 'occupation à la suite dune activité d'ordre national. Les mêmes mesures s'appliqueront également aux engagés volontaires dans les F. F. I., les agents de la France combattante, les engagés pour la durée de la guerre ayant fait un tain nombre de mois de service actif. (Journal officiel du 25 avril.) FAUTEUILS-CUIR Directement chez le FABRICANT Canapés Lits et Divans RUBIN FRÈRES 11y, Fg St-Antoine 3 Oj Dans la cour rz-d-chssé gauche OT MAISON SARROISE HCEECERRH D'ARGENTURGE AINES à Bois et à METAUX D'OCCASION Paire parvenir offre à . HUBNER 44, rue Lemercier, Paris O. F. achète cmptnt nouveaux ou petits : PIÈCES D'ARGENT de 1 r1.f=5 Ir., de 2=30 fr., de 5=80 fr., de 10=38 fr., de 20=60 fr et, TOUS BIJOUX 5, bd Strasbourg (Métro Strasbourg-St-Denis) L'SÉMAINE D'INAUGURATION DE VENTE SENSATIONNELLE HTE AUÉQLIT Affinée PR LAINE HOMMES MADE COSTUMES. 7, boulevard MAGENTA TAILLEURS GABARDINES, RB, MANTEAUX, VESTES, MÉTROS DE LA REPUBLIQUE, ARNE TAL IMP POPELINE CAOUTCHOUC PRIX EXCEPTIONNELS!... LES LIVRES ET LES HOMMES La guerre d'Hitler continue D'UN MEETING AU VRILE D'YVS FARGE. IMAGE DE BIKINI. ROOSEVELT EST BIENTÔT MORT... ET L'EUROPE ? par Grgs LTMN Le soir même où je rcvs le nouveau de mon cher Farge, jétais l, et avec bien d'autres de l'époque clandestine, dans cette salle Wagram où, pour la première fo depuis la Lbértn, e retrouvaient dans un même élan tant de rescapés de la guerre 'Hitler. Je rgrds ces quelques milliers de visages, que je me semblait presque tous reconnaître, visages d'hier apparus et disparus furtivement, secrètement à tous les coins des rues, dans les il soumises; derrière eux, je voyais els trs disparus à saajm;i sur un dernier sourire d'spr, et dont us sûms après qu'ils étaient tumulés, nsnglntés jusqu'à la mort par s bourreaux de Pétain e d'Hitler. tEgrnae et poignante impression d'une re veillée des rescapés autour du souvenir de leurs morts veillée unanime te que erni ne troublait. Ns savons bien qu'il au des circonstances exceptionnelles comme une très
L'EUROPE ? par Georges ALTMAN Le soir même où je recevais le nouveau livre de mon cher Farge, j'étais avec lui, et avec bien d'autres de l'époque clandestine, dans cette salle Wagram où, pour la première fois depuis la Libération, se retrouvaient dans un même élan tant de rescapés de la guerre d'Hitler. Je regardais ces quelques milliers de visages, que je me semblait presque tous reconnaître, visages d'hier apparus et disparus furtivement, secrètement à tous les coins des rues, dans les villes soumises; derrière eux, je voyais les autres disparus à jamais; sur un dernier sourire d'espoir, et dont nous sûmes après qu'ils étaient tumulés, ensanglantés jusqu'à la mort par les bourreaux de Pétain et d'Hitler. Etrange et poignante impression d'une grande veillée des rescapés autour du souvenir de leurs morts, veillée unanime et que rien ne troublait. Nous savons bien qu'il faut des circonstances exceptionnelles, comme une très grande et maladroite audace de la contre-résistance pour faire l'union des survivants. Mais il suffit aussi, pour qu'une parcelle d'union couve toujours dans nos cœurs à tous, de savoir, de sentir de comprendre que la cause pour laquelle tant des nôtres sont morts, la cause de la liberté, est toujours en péril. Et c'est pourquoi j'aime surtout, dans le livre de mon ami Farge, la bouleversante, l'éblouissante préface dans laquelle il fait une synthèse du monde d'aujourd'hui tel que le laisse, matériellement et moralement la guerre d'Hitler: évocation du Vercors, de la scientifique cruauté du nazisme de son acharnement tranquille à tuer l'humanité; et puis, tout de suite, l'arrivée de l'âge atomique. Farge, on le sait, était à Bikini au moment de l'expérience; il nous l'évoque ici dans les pages admirables qui portent tout l'angoisse et la révolte humaines. Car, selon Farge, si la guerre d'Hitler continue aujourd'hui, c'est parce que, d'abord, l'homme usant de la science, n'a pas su se défendre de faire planer sur le monde la menace d'une arme, d'un fléau dont Hiroshima montre l'effroyable puissance. Pas un pays au monde qui accepte à envisager l'usage de cette force. Il a fallu que l'Amérique de Truman tourne
L'EURPE ? par Georges ALTMAN Le soir même où je reevi le nouveau livre de mon cher Farge, j'étais avec lui, et avec bien d'autres de l'pou clandestine, dans ctt salle g où, pour la première fois depis a Libération, se retrouvaient dans un même élan tant de rescapés d la guerre d'Hitler. Je regardais ces qlqs milliers de visages, que je me semblait presque ts reconnaître, visages d'hier apparus et disparus furtivement, secrètement à tous les coins des rues, dns les villes soumises; èr eux, je voyais les autres disparus à jamais; sur un dernier sourire d'espoir, et dont nous sûmes prs qu'ils étaient tmlés, ensanglantés jusqu'à l mort par ls bourreaux de Pétain et eH.tr'ldi Etrange et poignante impression d'une grande veillée des rescapés autour du souvenir d leurs morts, veillée unanime et que rien ne troublait. Nous savons en qu'il faut des circonstances exceptionnelles, comme une très grande et maladroite audace de l contre-résistance pour faire lunion des rvvt Mais il suffit aussi, pour qu'une parcelle d'union couve toujours dans nos cœurs à tous, de savoir, de sentir de re que la csuae o laquelle tant des nôtres sont trso,m la cs de la ,éblerit est toujours en péril. Et c'est pourquoi j'aime srtt, dans le lvrie de mn m Farge, la bouleversante, 'éblouissante préface dns lqll il fait une synthèse du monde d'aujourd'hui tel que le laisse, matériellement et moralement la guerre d'Hitler: évocation d Vercors, de la scientifique cat du nazisme de son acharnement tranquille tuer l'humanité; et puis, tout de suite, l'arrivée de l'âge atomique. Farge, on le sait, était à Bikini au moment de l'expérience; il nous l'évoque c dans les pages adbl qui portent tout l'angoisse et la révolte humaines Car, selon Farge, si la gur d'Hitler continue aujourd'hui, c'est parce que d'abord, l'homme usant de la science, n'a pas su se défendre de faire planer sur le mnd la menace dune arme d'un fléau dont Hiroshima montre l'effroyable puissance. Pas n pays au monde qui accepte à envisager l'usage de cette force. Il a fallu que l'Amérique e Truman tourne
en péril. Et c'est pourquoi j'aime surtout, dans le livre de mon ami Farge, la bouleversante, l'éblouissante préface dans laquelle il fait une synthèse du monde d'aujourd'hui tel que le laisse, matériellement et moralement la guerre d'Hitler: évocation du Vercors, de la scientifique cruauté du nazisme de son acharnement tranquille à tuer l'humanité; et puis, tout de suite, l'arrivée de l'âge atomique. Farge, on le sait, était à Bikini au moment de l'expérience; il nous l'évoque ici dans les pages admirables qui portent tout l'angoisse et la révolte humaines. Car, selon Farge, si la guerre d'Hitler continue aujourd'hui, c'est parce que, d'abord, l'homme usant de la science, n'a pas su se défendre de faire planer sur le monde la menace d'une arme, d'un fléau dont Hiroshima montre l'effroyable puissance. Pas un pays au monde qui accepte à envisager l'usage de cette force. Il a fallu que l'Amérique de Truman tourne violemment, et volontairement, le dos aux principes et à la politique de Roosevelt pour que l'image d'une civilisation enscurcie pour longtemps de ce nuage de Damoclès suspendu sur l'univers. DE cet avant-propos où l'auteur revendique toute liberté et toute dignité pour l'homme, Farge passe, en des pages lourdes d'une documentation précise, aux responsabilités d'aujourd'hui. Il est trop vrai que tant de ceux qui parlent de liberté dans la démocratie américaine veulent oublier les exigences de la justice sociale. Et Farge a raison de dire: « Nos gouvernants chantent de lugubres berceuses sur le thème de la pauvreté qui justifient l'asservissement, comme ils chantaient hier les hymnes des morts sur le thème de l'impuissance qui justifiaient la trahison. Il ne suffit pas de rendre la justice: il faut que la justice pénètre dans la vie des peuples, Rien n'est gagné sans cela ». Dans une implacable démonstration, Farge montre comment, depuis la mort de Roosevelt, les successeurs n'ont fait que trahir sa pensée et ses actes, animés seulement par le désir de prendre des positions stratégiques et politiques, face à l'U.R.S.S. S' ne concevant le travail qu'en vue d'une économie de guerre s'appuyant partout sur des forces qui traînent encore tous
en péril. Et c'est ouoi ji surtout, dans le livre nmo m Farge la bouleversante, blonte préface dans laquelle il ifta une synthèse d mone d'jrd'h tel que le laisse, mérielmn et moralement l guerre d'Htlr: évocation du Vercors, ed la scientifique cruauté du nazisme d son acharnement trnqll à tuer l'humanité; et puis, tout de suite, 'arrivée d l'âge atomique. Farge, on le sait, était à Bikini au moment de l'xpérnc; il nous l'évoque ici dans les pages admirables qui ornt tout l'ngss et l révolte humaines. Car, selon Farge, si l guerre d'Hitler oine aujourd'hui, c'est prc que, d'abord, l'homme usant d la science, na pas su s défndr de faire planer sur monde la menace d'une a,rem dun fléau notd moisHaihr montre l'ffrybl pssnc. Pas un pays monde qu accepte à envisager l'usage de cette force. Il fallu que lAmérique de Truman tourne violemment, t volontairement, l dos aux principes à la politique de Roosevelt poru que a d'une civilisation nscrc pour longtemps de ce nuage de Damoclès suu sur l'univers. DE cet avant-propos où l'auteur revendique toute liberté et toute dignité pour l'hmm, Farge passe en ds pages lourdes d'une documentation précise, aux rpobiis d'aujourd'hui. Il est trop vrai que tant de ceux qui parlent de liberté ns la démocratie mércn veulent oublier les exigences de la justice sociale Et Farge a raison de dire: « Nos ouvrans chantent de lugubres berceuses le thème de l pauvreté qui justifient l'ssrvssmnt, comme l ncaaniteht hier les hymns des morts sur le thème de l'impuissance qui justifiaient la trahison. Il ne sfft a de rendre la justice: il faut que la justice pénètre dns la vie des peuples, Rien n'est gé sns cela ». Dns n mplcbl démonstration, Farge mntr comment, depuis la mort de Roosevelt les successeurs n'ont fait qe trhr sa pense et s actes, animés seulement par le désir de prendre ds positions stratégiques et politiques, face R.l.S.S'U. S' ne concevant le ratialv 'qneu vue d'une économie de guerre s'appuyant partout sur des forces qui trîe encore tous
précise, aux responsabilités d'aujourd'hui. Il est trop vrai que tant de ceux qui parlent de liberté dans la démocratie américaine veulent oublier les exigences de la justice sociale. Et Farge a raison de dire: « Nos gouvernants chantent de lugubres berceuses sur le thème de la pauvreté qui justifient l'asservissement, comme ils chantaient hier les hymnes des morts sur le thème de l'impuissance qui justifiaient la trahison. Il ne suffit pas de rendre la justice: il faut que la justice pénètre dans la vie des peuples, Rien n'est gagné sans cela ». Dans une implacable démonstration, Farge montre comment, depuis la mort de Roosevelt, les successeurs n'ont fait que trahir sa pensée et ses actes, animés seulement par le désir de prendre des positions stratégiques et politiques, face à l'U.R.S.S. S' ne concevant le travail qu'en vue d'une économie de guerre s'appuyant partout sur des forces qui traînent encore tous les poisons de l'hitlérisme. C'est juste. Et on lira avec profit les chiffres, les citations, les déclarations, les extraits de discours, les cris d'alarme, les statistiques qui montrent dans quel infernal chemin se engage déjà une certaine politique du dollar et de la bombe. Le mouvement de pensée et de style de Farge est si entraînant, si chaleureux, si convaincant, qu'on le suit jusqu'au bout, avec passion. Et puis l'on s'interroge. A-t-il vraiment tout dit des raisons qui montrent que la guerre d'Hitler continue ? N'a-t-il pas trop rapidement glissé sur l'immense espoir de paix que l'Europe elle-même constitue ? Ne donne-t-il pas comme fatal ce vis-à-vis hargneux et menaçant des deux grandes puissances ? On eût aimé qu'avec la même chaleur humaine qui vibre dans sa préface, Farge revînt en d'autres pages sur ce qui reste de la guerre d'Hitler dans toutes les âmes et dans tous les systèmes ; sur cette résignation universelle à l'automatisme de pensée et d'action, sur l'homme changé en robot, sur le monde concentrationnaire qui partout continue, sur les abus de la force, sur les prisons, sur les bagnes, tout ce à quoi la noblesse de son âme répugne, nous le savons. On eût
précise, aux responsabilités d'aujourd'hui. Il est trop vrai que tant de ceux qui parlent de er dns la démocratie américaine veulent oublier les exigences de la justice sociale. Et Farge a raison de dire: « Nos ov chantent de lugubres berceuses sur m de la pauveé qui justifient l'asservissement, comme ils chantaient hier les hymnes des morts sur l thème de l'impuissance qiu justifiaient la trahison. Il n suffit pas de rendre la justice: il faut que la justice pénètre dans la vie des peuples, Rien n'est an sans cela ». Dns une implacable démonstration, Farge montre comment depuis la mort de Roosevelt, les successeurs n'ont fait que trahir s pensée et ses actes, animés seulement par le désir de prendre des positions stratégiques et politiques, face l'U.R.S.S. S' ne cncvnt le travail qu'en v d'une économie de guerre s'appuyant arou sur des forces i traînent encore tous les poisons de l'hitlérisme. C'est juste. Et on lira avec profit les chiffres, les citations, es déclarations, ls xtrts de ous les cris d'alarme, les tatiq qui montrent dns qel nfeal chemin se engage déjà une certaine politique du dollar et de la bombe. Le mouvement de pensée et de style de Farge est si entraînant, si aru,xucleeh si convaincant, qu'on le suit jusqu'au bout, avec passion. Et puis l'n s'interroge. A-t-il vraiment tout dit des raisons qui montrent que la guerre d'Hitler continue ? '-ta-Nli pas trop imtpearned glissé sur l'immense espoir de paix que 'Europe elle-même stu Ne donne-t-il pas comme fatal ce vis-à-vis grheaxnu et menaçant des deux ndes puissances ? On eût aimé qu'avec la même chaleur humaine qui vibre dans sa préface, Farge revînt en d'autres pages sur ce qui reste de la guerre d'Hitler dans toutes ls ms et dans tous les systèmes ; sur cette résignation universelle à aasltumemiot' de pensée et d'action, sur l'homme changé en robot, sur le monde concentrationnaire qui prtt continue, sr ls abus de la force, sur les prisons, sur les bagnes, tout ce à quoi la noblesse d son âme répugne, nous le savons. On et
style de Farge est si entraînant, si chaleureux, si convaincant, qu'on le suit jusqu'au bout, avec passion. Et puis l'on s'interroge. A-t-il vraiment tout dit des raisons qui montrent que la guerre d'Hitler continue ? N'a-t-il pas trop rapidement glissé sur l'immense espoir de paix que l'Europe elle-même constitue ? Ne donne-t-il pas comme fatal ce vis-à-vis hargneux et menaçant des deux grandes puissances ? On eût aimé qu'avec la même chaleur humaine qui vibre dans sa préface, Farge revînt en d'autres pages sur ce qui reste de la guerre d'Hitler dans toutes les âmes et dans tous les systèmes ; sur cette résignation universelle à l'automatisme de pensée et d'action, sur l'homme changé en robot, sur le monde concentrationnaire qui partout continue, sur les abus de la force, sur les prisons, sur les bagnes, tout ce à quoi la noblesse de son âme répugne, nous le savons. On eût aimé aussi que fût esquissée l'idée d'une confédération socialiste de la vieille Europe, d'une démocratie révolutionnaire européenne qui, nous en sommes de plus en plus convaincus, pourrait seule imposer au monde sa raison et sa paix. Que le visage du capitalisme et de l'impérialisme soit à jamais odieux et périmé qui peut le nier ? Qui veut le nier ? Mais il s'agit aussi de faire prendre au socialisme un visage où se reconnaissent ensemble justice et liberté. Ces réserves n'empêchent point que le livre d'Yves Farge soit une des études les plus fouillées et un des cris les plus émouvants que le monde d'aujourd'hui ait inspirés à un homme libre qui se révèle, une fois de plus, bel écrivain. La Guerre d'Hitler continue. Édit, La Bibliothèque française. Les deux Prix Claude-Blanchard 1947 et 1948, notre collaborateur Francis-Jean Armorin, auteur de Les Juifs quittent l'Europe, paru en feuilleton dans Franc-Tireur, et Serge Grousseard, auteur de Solitude espagnole et Pogrom, signeront leurs ouvrages le vendredi 30 avril, de 17 à 20 heures, à la Librairie du Camée, 3, rue de l'École-de-Médecine. Deux chefs-d'œuvre des "Refusés" Temple de l'art officiel, le « Salon » pratiqua toujours, à l'égal de... l'Académie française, l'art...
style de Frg est si entraînant, si chleru, is convaincant qu'on le suit jusqu'au bt, avec aion Et puis l'on s'interroge. A-t-il vraiment ou dit des raisons qui montrent que la guerre d'Hitler continue ? N'a-t-il pas trp peratmnedi glissé sur me espoir de i q 'rp elle-même constitue ? Ne donne-t-il pas comme fatal ce vis-à-vis hargneux et menaçant des deux grandes puissances ? On eût aimé qu'avec la même chaleur humaine qui vibre dans sa préface, Farge revînt en d'autres pages sur ce qui reste de la guerre d'Hitler dans toutes les âmes et dans tous ls systèmes ; sur eetct résignation universelle à l'automatisme de pensée et d'action, sur l'homme changé n robot, sur le monde cncntrtnnr qui partout continue sru les abus de la e, sur les prisons, sur les bagnes tout ec à quoi la olessebn de son âme ,ueéngpr nous le savons. On eût amié aussi que fût esquissée l'idée 'une confédération socialiste de la vll Europe d'une démocratie révolutionnaire européenne qui, nous en sommes de plus en plus convaincus, pourrait seule imposer au monde sa raison e sa px. u le visage du capitalisme et de l'impérialisme soit à ams dx et périmé qui peut le nier ? Qui veut le e ? Mais il s'agit aussi d faire prendre au sclsm un visage se reconnaissent ensemble justice t liberté. es rss n'empêchent point euq l livre d'Yves ge soit une des études les pls fouillées et un des cris l plus émouvants que le monde d'aujourd'hui ait inspirés à un homme libre qui se révèle, une fois de plus, b écrivain. La Guerre d'Hitler continue. Édit, La Bibliothèque française Les deux Prix Claude-Blanchard 1947 et 1948 ntr collaborateur Francis-Jean Armorin, auteur de Les Juifs quittent l'Europe, paru en feuilleton dans Franc-Tireur, et Sge Gos,edurras auteur de Solitude espagnole et Pgrm, sgnrnt leurs ouvrages le vendredi 30 avril, de 17 20 hrs, à l eLribarii du ame, 3, rue de l'École-de-Médecine. Deux chefs-d'œuvre des "Refusés" Temple de l'art officiel, le « Salon iqu toujours, à l'égal de... l'Académie française, l'art...
qui peut le nier ? Qui veut le nier ? Mais il s'agit aussi de faire prendre au socialisme un visage où se reconnaissent ensemble justice et liberté. Ces réserves n'empêchent point que le livre d'Yves Farge soit une des études les plus fouillées et un des cris les plus émouvants que le monde d'aujourd'hui ait inspirés à un homme libre qui se révèle, une fois de plus, bel écrivain. La Guerre d'Hitler continue. Édit, La Bibliothèque française. Les deux Prix Claude-Blanchard 1947 et 1948, notre collaborateur Francis-Jean Armorin, auteur de Les Juifs quittent l'Europe, paru en feuilleton dans Franc-Tireur, et Serge Grousseard, auteur de Solitude espagnole et Pogrom, signeront leurs ouvrages le vendredi 30 avril, de 17 à 20 heures, à la Librairie du Camée, 3, rue de l'École-de-Médecine. Deux chefs-d'œuvre des "Refusés" Temple de l'art officiel, le « Salon » pratiqua toujours, à l'égal de... l'Académie française, l'art... d'écarter de son sein, provisoirement au moins, les œuvres des novateurs. Le temps, galant homme, se est heureusement chargé de réparer ses erreurs, telles celles dont furent victimes Manet, peintre du Fleuve, Courbet, peintre de l'Enterrement d'Orléans (v. à droite, un détail), Renoir (à gauche, Le Moulin de la Galette) et tant d'autres dont la postérité et la gloire ont adopté les œuvres jadis scandaleuses. AU RADIO MARDI 27 AVRIL 6 h. 30 (N.), informations ; 1 h. 40 (N.), Informations ; sports; 6 h. 45, 7 h. 45, 12 h. 15, 13 h. 15, 19 h. 15, 23 h. 15 (L.), Informations ; 7 h. (N.), Informations, revue de presse ; 7 h. 45 (P. I ), Gazette du matin ; 7 h. 55 (N.), Émissions du consommateur ; 8 h. (N.), Informations, sports, ravitaillage de Paris ; 8 h. 15 (N.), Culture physique ; 8 h. 15 à 17 h. 15 (P. I.), Informations toutes les heures ; 9 h. (N.), Émissions, revue de presse ; 9 h. 15 (N.), Heure culture française; 12 h 30, 19 h 30, 22 h. 30 (P.), Informations ; 13 h., 14 h. (N.), Informations ; 18 h. 50 (N.), Résultats des
qui peut le nier ? Qui veut le nier ? Mais l s'agit sauis de faire prndr au socialisme un visage ù se reconnaissent ensemble justice et iber Ces résrvs n'empêchent point que le livre d'Yves Farge soit des études les supl fouillées et n des cris les pls émouvants que le monde hd'juroduui'a ait inspirés à un homme lbr qui se révèle, nue fois de plus, ble écrivain. La Guerre iler oninue. Édit, La Bibliothèque française. Les dx Prix Claude-Blanchard 1947 et 1948, notre labrteu Francis-Jean Armorin, auteur de Ls Juifs quittent 'Europe, pr flltn dans a-iru, et Serge Grssrd, auteur de Solitude anoe et Pogrom signeront leu ouvrages le vndrei 30 vrl, de 17 à 20 heures à la Librairie du Camée, 3, rue d l'École-de-Médecine. Deux chefs-d'œuvre ds "Refusés" Temple de l'art officiel, le « Salon » aiq toujours, à l'égal de... l'Académie française, l'art... 'car de son sein, provisoirement au moins, les œuvres des novateurs. Le ts, galant homme, s est heureusement chargé de réparer ses erreurs, telles celles dont unertf vicims Manet, peintre du Fleuve, Courbet, peintre de l'Enterrement d'Orléans (v. à drt, un détail), Rnr (à gauche L Moulin de l Glte) et tant d'autres dont la postérité t la liroge ont adopté ls œvrs jadis scandaleuses. AU RADIO MARDI 27 AVRIL 6 h. 30 (.), informations ; 1 h. 40 (N.), Informations ; sports; 6 h. 45, 7 h. 45 1 h. 15, 13 h. 5, 19 . 1, 23 h. 5 L Informations ; 7 .h N Informations, revue de presse ; 7 h. 45 (P. I Gazette du matin ; 7 h. 55 (N.), Émissions du consommateur ; 8 .h (N.), Informations, sports, ravitaillage ed Paris ; 8 h. 51 (N.), Cltr physique ; 8 h 15 à 17 h 15 (P. I.), Informations toutes les heures ; 9 h. (N.), Émissions, revue de presse 9 15 (N.), Heure culture française; 12 h 30, 19 h 30, 22 h. 30 P Informations ; 13 h., 14 h. (N.), Informations 18 . 50 (N.), Résultats des
et tant d'autres dont la postérité et la gloire ont adopté les œuvres jadis scandaleuses. AU RADIO MARDI 27 AVRIL 6 h. 30 (N.), informations ; 1 h. 40 (N.), Informations ; sports; 6 h. 45, 7 h. 45, 12 h. 15, 13 h. 15, 19 h. 15, 23 h. 15 (L.), Informations ; 7 h. (N.), Informations, revue de presse ; 7 h. 45 (P. I ), Gazette du matin ; 7 h. 55 (N.), Émissions du consommateur ; 8 h. (N.), Informations, sports, ravitaillage de Paris ; 8 h. 15 (N.), Culture physique ; 8 h. 15 à 17 h. 15 (P. I.), Informations toutes les heures ; 9 h. (N.), Émissions, revue de presse ; 9 h. 15 (N.), Heure culture française; 12 h 30, 19 h 30, 22 h. 30 (P.), Informations ; 13 h., 14 h. (N.), Informations ; 18 h. 50 (N.), Résultats des courses ; 19 h. 15 (P. I.), Informations ; 20 h. 2 (N.), Informations, revue de presse; 20 h. 25 (N.), Problèmes de gouvernement; 20 h. 45 (P.), Tribune de passe-temps 23 h. 15 (P. I.), Informations ; 23 h. 30 (N.), Informations, dernière heure. 8 h. 25 (N.), Les beaux voyages ; 8 h. 30 (P. I), À travers les provinces françaises (disques); 8 h. 45 (P. I), Les musiciens que j'ai connus; 9 h. 15 (N.), Heure de la culture française (peinture, littérature, La Lorraine) ; 11 h. (R. Sorba), Demi-heure des étudiantes 14 h. 18 (P. I.), Actualité sentimentale (Paul Haurigot) ; 13 h. (P. I.), Bon Appétit. Pierre Cour et Francis Blanche ; 13 h. 30 (N.), Géographie musicale (voyage aux Indes) ; 14 h. (R. Sorba), La comédie en France, les origines de la comédie française de la Renaissance 15 h. 45 (P i.), Banc d'essai des artistes lyriques; 17 h 15 à 18 h. (P. I.), Musique de jazz américaine ; 18 h. 30 (N ), Jeux radio-phoniques de Claude-Michel Laurent ; 20 h. (P. I.), Les apprentis du micro (Bernard Blin). 21 h. 5 (P.), PARIS ACCUEILLE LE PRINTEMPS, par Louis Verneux. Interviews
t tant 'autres dont la postérité t la glr ont adopté ls œuvres jadis scandaleuses. A MARDI 27 AVRIL 6 h. 30 ,()N. informations 1 h 40 (N.), Informations ; sprts; h. 45 7 h. 45, 12 h. 15, 13 h. 15, 19 h. 5 23 h. 15 (L.), Informations ; 7 h. (N.), nfrmtns, revue d presse ; 7 h. 45 I ), Gazette du matin ; . 55 (N.), Émissions du cnsmmtr ; 8 h. (.), famInnots,rio sports, ravitaillage de Paris ; 8 h. 15 (N.), Culture physique 8 . 15 à 17 h. 15 (P. I Informations toutes les heures 9 h. (N.), Émissions, revue de presse ; 9 .h 51 (N.), Heure culture française; 12 h 30, 19 h 30, 22 . 30 (P.), Informations ; 13 h., 4 . (N.), Informations ; 18 h. 50 (N.), Résultats des courses ; 19 h. 15 (P. ) nfrmtns ; 20 h 2 (., Informations, revue de presse 0 h. 25 (.), Problèmes d gouvernement 20 h. 45 (P.), Tribune de passe-temps 23 h. 51 (P. I), nsaofIrimont ; 23 h 30 (N.), Informations, dernière heure. 8 h. 25 (N.), Les beaux voyages ; 8 h 30 (P. I À travers sle provinces françaises (disques); 8 h. 45 (P. I), Les musiciens que j'ai connus; 9 h. 5 (N.), Heure de la culture française (peinture, littérature, La Lorraine) ; 11 . (R. Sorba), Demiheure des uantes 14 h. 18 (P. I.), Actualité sentimentale (Paul Haurigot) ; h. (P. I.), Bon Appétit. Pierre Cour et Frncs Blanche ; 13 h. (N.), Géographie musicale (voyage aux Indes 4 h. (R. Srb La comédie en Frnc, les origines de la comédie française de la Renaissance 15 h. 45 P i.), Banc d'essai des artistes lyriques; 17 h 15 à 18 h. (P. I),. Musique de jazz américaine 18 h. 30 (N ,) Jeux radio-phoniques de Claude-Michel Laurent ; 20 .h (P. I), Les espitnpra du micro (Bernard Bln). 21 h. 5 (P.), PARIS ACCUEILLE LE PRINTEMPS, par Louis Verneux. ew
beaux voyages ; 8 h. 30 (P. I), À travers les provinces françaises (disques); 8 h. 45 (P. I), Les musiciens que j'ai connus; 9 h. 15 (N.), Heure de la culture française (peinture, littérature, La Lorraine) ; 11 h. (R. Sorba), Demi-heure des étudiantes 14 h. 18 (P. I.), Actualité sentimentale (Paul Haurigot) ; 13 h. (P. I.), Bon Appétit. Pierre Cour et Francis Blanche ; 13 h. 30 (N.), Géographie musicale (voyage aux Indes) ; 14 h. (R. Sorba), La comédie en France, les origines de la comédie française de la Renaissance 15 h. 45 (P i.), Banc d'essai des artistes lyriques; 17 h 15 à 18 h. (P. I.), Musique de jazz américaine ; 18 h. 30 (N ), Jeux radio-phoniques de Claude-Michel Laurent ; 20 h. (P. I.), Les apprentis du micro (Bernard Blin). 21 h. 5 (P.), PARIS ACCUEILLE LE PRINTEMPS, par Louis Verneux. Interviews de J.-P. Sartre, Christian Dior, Simone Simon, etc... 20 h. 30 (N.), Zarzuelas, émission de José Padilla et Jacques Charles consacrée aux plus célèbres opérettes espagnoles. 21 h. (P.), Le club d'essai présente "LIGNE N°9", avec Jean Davy, Suzanne Vette, etc... 21 h. 18 (P I.), Negro Spirituals (La voix des États-Unis d'Amérique) ; 21 h. 35 (N.), Ferme bleue (émission réalisée par le poste de Nice, prologue de P. Laroche : Le baiser du Diable, L'incroyable naufrage de la fleur des mers. Un soir de carnaval; 22 h. 5 (P. I.), Carnaval (émission de P. Saka) ; 23 h. 35 (P. I.), Cycle de la sonate (Beethoven). AUJOURD'HUI À PARIS LA SCÈNE MONTSERRAT L'AIDE à la première pièce, c'est une initiative fort louable de la direction des Arts et Lettres. Afin de choisir les œuvres qui bénéficieraient de ce patronage officiel et de l'appui financier y afférent, une « commission », dont on ne saurait trop admirer l'abnégation, voire le goût du martyre, a lu, parait-il, cent quatre-vingt-dix-huit manuscrits envoyés par des auteurs qui n'avaient jamais encore été joués. Je crois qu'elle en a retenu deux. Montserrat l’un des deux. Le sujet rappelle (d’assez, loin) ceux de deux pièces
beaux voyages 8 h 30 (P. I), À travers les provinces françaises (disques); 8 h. 45 (P. ), Les musiciens que j'ai connus 9 h. 15 .(,)N Heure de la culture française (peinture, littérature, La Lorraine) 11 h. (R. Sorba), Demi-heure des étudiantes 14 h. 18 (P. I.), Actualité sentimentale Paul Haurigot) ; 13 h. (P. I.), Bon Appétit. re Cour et Francis Blanche ; 13 h. 30 N Géographie musicale (voyage aux Indes) ; 14 h. (R. Sorba), La comédie en France, les origines ed la comédie française de la Renaissance 15 h. 45 (P .), Banc d'essai des artistes lyriques; 17 h 15 à 18 h. (P. I.), sq de jazz américaine ; 18 h. 30 (N ), Juxe radio-phoniques de Claude-Michel Laurent ; 20 h. (P. .), Les apprentis du micro Bernard Blin 21 h. (P.), PARIS ACCUEILLE LE PRINTEMPS, par Louis Verneux. Interviews de J.-P. Sartre, Christian Dior, Simone Simon, etc... 20 h. 30 N Zarzuelas, émission de José Padilla et Jacques Charles consacrée aux plus célèbres opérettes se.neolpags 21 h. (P.), Le clb d'ss présente "LIGNE N°9", avec J Davy, Suzanne Vette, etc... 21 h. 18 (P I.), Negro Spirituals (La voix des États-Unis d'mérq) ; 21 h. 35 (N.), Ferme bleue (émission réalisée par le poste de Nice, prologue de P. Laroche : Le baiser d Diable, L'incroyable naufrage de la fleur ds mers. Un soir d carnaval; 22 h. 5 (P. I.), Carnaval (émission de P. Sk) ; 23 h. 35 (P. , Cycle de la sonate (Beethoven). AUJOURD'HUI À PARIS LA SCÈNE MONTSERRAT L'AIDE à la première pièce, c'est une initiative fort louable de la direction des Arts et Lettres. Afin de chr les œur qui bénéficieraient d ce patronage officiel t de l'appui financier y afférent, une « commission dnt ne saurait trop admirer l'abnégation, rivoe le goût du martyre, a lu, parait-il, cent quatre-vingt-dix-huit manuscrits envoyés par ds auteurs qui n'avaient jamais encore été joués. Je crois qu'elle en a retu deux. Montserrat l’un des deux Le sujet rappelle (d’assez, loin) ceux de deux pièces
des États-Unis d'Amérique) ; 21 h. 35 (N.), Ferme bleue (émission réalisée par le poste de Nice, prologue de P. Laroche : Le baiser du Diable, L'incroyable naufrage de la fleur des mers. Un soir de carnaval; 22 h. 5 (P. I.), Carnaval (émission de P. Saka) ; 23 h. 35 (P. I.), Cycle de la sonate (Beethoven). AUJOURD'HUI À PARIS LA SCÈNE MONTSERRAT L'AIDE à la première pièce, c'est une initiative fort louable de la direction des Arts et Lettres. Afin de choisir les œuvres qui bénéficieraient de ce patronage officiel et de l'appui financier y afférent, une « commission », dont on ne saurait trop admirer l'abnégation, voire le goût du martyre, a lu, parait-il, cent quatre-vingt-dix-huit manuscrits envoyés par des auteurs qui n'avaient jamais encore été joués. Je crois qu'elle en a retenu deux. Montserrat l’un des deux. Le sujet rappelle (d’assez, loin) ceux de deux pièces de Sartre à la fois : il y est question de torture, physique et morale, comme dans "Morts sans sépulture"; et il s'agit de savoir, comme dans "les Mains sales", si le fait de sauver des vies humaines vaut la peine d'abandonner les intransigeances de la conscience. Cela se passe au temps de la conquête du Venezuela par les Espagnols. Ceux-ci multiplient les atrocités aux dépens de la population opprimée. Montserrat, officier occupant, est révolté par les cruautés de ses compatriotes. Cette révolte le mène à trahir la cause espagnole. Mais c'est une trahison noble puisqu'il s'agit d'une vilaine cause. Montserrat pactise avec Simón Bolivar. Bolivar, c'est le chef de la résistance vénézuélienne, le libérateur éventuel. Montserrat sait où il se cache. Il s'agit de le "faire parler". On arrête au hasard six prisonniers, hommes et femmes. C'est à elles de décider l'officier à livrer Bolivar : sinon c'est elles qui seront exécutées, une à une. C'est ce lui arrive. Montserrat a gardé son secret. Il est sur le point de le lâcher plutôt que de sacrifier une nouvelle journée d'otages. Cette épreuve lui sera épargnée car on apprend que Bolivar est hors d'atteinte. Situations dramatiques traitées par le nouvel
des États-Unis d'mérq) ; 21 h. 35 (N.), Ferme bleue (émission alse par le poste de Nc, prologue de P. Laroche : L baiser du laibDe, L'incroyable naufrage de la fleur des mers. Un soir de carnaval; 22 h. 5 (P. .), arnaa (émission de .P Saka) ; 23 h. 35 (P. ) ye de la sonate (Beethoven). AUJOURD'HUI À PARIS LA SCÈN MONTSERRAT L'AIDE la première pièce, cest une initiative fort louable de la drctn des Arts et Lettres. fn de choisir les œuvres qui bénéficieraient de ce patronage officiel t de l'appui financier y afférent, une « commission dont on ne saurait trop admirer l'abnégation, voire le goût du martyre a lu, parait-il, cent quatre-vingt-dix-huit manuscrits envos par des auteurs qui n'avaient jamais encore été joués. Je crois qu'elle en eu deux Montserrat l’un de deux Le sujet rappelle (’assez, loin ceux ed d pièces de Sartre à al fois : il est question de trtr, physique et morale, comme dns "Morts sns sépulture et li gtias' de savoir, comme da "ls Mains sales", i le fait de sauver des vies humaines vaut al peine d'abandonner les ntrnsgncs de la conscience. Cela se passe temps de la conquête u Venezuela par les Espagnols. Cex-ciu multiplient ls atroiés aux dépens de la population opprimée. tat, officier occupant, est révolté par les cruautés de ses compatriotes. révolte le mèn à trahir a cause espagnole. Mais c'st une ro noble puisqu'il 'agit 'u vln cause. Montserrat pcts avec Simón Bolivar. Bolivar, c'est le chef de la ésitn zuélee, le libérateur éventuel. Montserrat sait où il se e. Il s'agit de le "fr arle. On arrête u hasard six prisonniers hommes et femmes. C'est à le de décdr lofficier à livrer Bolivar : sinon 'est els qui seront exécutées, une une Ce ce lui arre. Montserrat a gardé osn secret. Il st sur le point de le lâcher plutôt que de sacrifier ne nouvelle journée dotages Cette épreuve l sera éprgné car on apprend que Bolivar est hors d'atteinte. Situations dramatiques traitées par le nouvel
au temps de la conquête du Venezuela par les Espagnols. Ceux-ci multiplient les atrocités aux dépens de la population opprimée. Montserrat, officier occupant, est révolté par les cruautés de ses compatriotes. Cette révolte le mène à trahir la cause espagnole. Mais c'est une trahison noble puisqu'il s'agit d'une vilaine cause. Montserrat pactise avec Simón Bolivar. Bolivar, c'est le chef de la résistance vénézuélienne, le libérateur éventuel. Montserrat sait où il se cache. Il s'agit de le "faire parler". On arrête au hasard six prisonniers, hommes et femmes. C'est à elles de décider l'officier à livrer Bolivar : sinon c'est elles qui seront exécutées, une à une. C'est ce lui arrive. Montserrat a gardé son secret. Il est sur le point de le lâcher plutôt que de sacrifier une nouvelle journée d'otages. Cette épreuve lui sera épargnée car on apprend que Bolivar est hors d'atteinte. Situations dramatiques traitées par le nouvel auteur, Emmanuel Robles, avec des qualités d'homme de théâtre. Avec des défauts aussi, bien sûr : tendance aux redites, dialogue par moment diffus et trop raisonneur. Un début pourtant plus que honorable, et d'ailleurs favorisé par la mise en scène de Vanderschrick, et le jeu intelligent des interprètes Marcel Rayne, Carlier, Aminel, Hobert Favart, Oberlin, Michèle Chagnoux, reinité Cernentol et Vanderschrick lui-même. (Théâtre Montmartre.) Jean GANDREY-RETY. Huit mariages pour deux époux Il n'y a vraiment que Hollywood pour offrir un spectacle semblable : celui d'une vedette, Lana Turner, qui, déjà mariée trois fois, épouse en quatrième noces un fiancé déjà divorcé trois fois lui aussi. Le nouveau marié est, il est vrai, Bob Hopkins, héritier du roi du fer blanc... Non, ce n'est pas de la mise en boite. "AMPHITRYON" à la Sorbonne « Amphitryon 43 »... Ce n'est point une nouvelle version due à quelque nouveau Giraudoux, mais celui même de Plaute, dont l'éternelle jeunesse était rajeunie encore par l'âge de ses interprètes : des étudiants de la troupe du Théâtre Antique de la Sorbonne qui, dimanche, témoignèrent et de leur goût classique et de leur talent d'acteurs. Coulisses Créée avant la guerre, la comédie de Jacques Deval, «
au tes d la conquête du Venezuela par les Espagnols. eCc-ixu multiplient les rc aux dépens de la outon opprimée. Montserrat, ffcr occupant, est révolté par les cruautés de e compatriotes. Cette révolte le mène à trahir la cause espagnole. Mais c'est une trahison noble puisqu'il s'agit d'une vilaine cause. Montserrat pactise avec Simón Blvr. Bolivar, 's le chef de résistance vénézuélienne, le libérateur neetul.vé Montserrat sait où il se cache. Il s'agit de le "faire parler". nO arrête au d six prisonniers, hommes et femmes. C'est à elles de décider 'ofi à livrer livar : sinon c'est lls qui srnt étseué,cxe une à n. 'e ce iul arrive. Montserrat gardé son secret. Il est sur le point de le lâcher plutôt que de sacrifier une lenuolev journée d'otages. Cette épreuve lui sera épargnée car on apprend que Bolivar est hors datteinte Situations dramatiques traitées par le nouvel auteur, Emmanuel Robles, avec des qualités d'homme de théâtre. Avec des défauts aussi, bien sûr : tendance aux redites dialogue par moment diffus et trop raisonneur. nU début pourtant plus que heboaorn,l et d'ailleurs favorisé par la mise en scène de Vanderschrick, t le j intelligent ds interprètes Marcel Rayne, Carlier, Aminel, Hobert Favart, Oberlin, Michèle Chagnoux, reinité Crnntl et Vanderschrick lui-même. (Théâtre Montmartre Jean GANDREY-RETY. Huit mariages pour deux époux Il n'y nvmtarie que Hollywd pour offrir n spctcl smblbl : celui d'une vedette Ln Turner, qui, déjà mariée trois fois, épouse en qtrèm oe un fiancé déjà divorcé trois fois lui aussi. Le nueu marié est, il est vrai, Bob Hopkins, héritier du roi du er blnc... Nn, ce n'est pas de la mise en boite "AMPHITRYON" à la Sorbonne « Amphitryon 43 »... Ce n'est point une nouvelle version due à quelque nouveau Giraudoux, mas cl mêe de Plaute, dont 'enll jeunesse était rajeunie enore pr l'âge de ses ntrprèts : des étudiants de la troupe du Théâtre Antique de la Sorbonne qui, dimanche témoignèrent et de leur goût classique et de leur talent d'acteurs. islessoCu Créée avant la guerre, la comédie de Jacques Deval, «
Carlier, Aminel, Hobert Favart, Oberlin, Michèle Chagnoux, reinité Cernentol et Vanderschrick lui-même. (Théâtre Montmartre.) Jean GANDREY-RETY. Huit mariages pour deux époux Il n'y a vraiment que Hollywood pour offrir un spectacle semblable : celui d'une vedette, Lana Turner, qui, déjà mariée trois fois, épouse en quatrième noces un fiancé déjà divorcé trois fois lui aussi. Le nouveau marié est, il est vrai, Bob Hopkins, héritier du roi du fer blanc... Non, ce n'est pas de la mise en boite. "AMPHITRYON" à la Sorbonne « Amphitryon 43 »... Ce n'est point une nouvelle version due à quelque nouveau Giraudoux, mais celui même de Plaute, dont l'éternelle jeunesse était rajeunie encore par l'âge de ses interprètes : des étudiants de la troupe du Théâtre Antique de la Sorbonne qui, dimanche, témoignèrent et de leur goût classique et de leur talent d'acteurs. Coulisses Créée avant la guerre, la comédie de Jacques Deval, « Mademoiselle n, devait être reprise en 1943, au Théâtre Saint-Georges... La censure nazie s'y opposa, Jacques Deval menait alors campagne à la radio des Etats-Unis contre Hitler... Mais « Mademoiselle M » va reparaître à l'affiche du Saint-Georges — et sans avoir vieilli. Charlie Chaplin souhaite se rendre en Angleterre assister à la présentation d' « Hamlet n,.. Mais, demeuré citoyen britannique, il n'est pas sûr d'obtenir son visa de retour aux Etats-Unis. Départ des Six-Jours de la chanson DEPUIS samedi soir, le départ des Six-Jours a été donné au Colisée. Sans vélo, puisqu'il s'agit des « Six-Jours de la chanson ». à courir par équipes constituées chacune par un monsieur et une dame. Les concurrents sont des débutants. futurs professionnels et qui font de leur mieux pour s'élever à la hauteur des « cracks », leurs grands aînés. Nous avons donc entendu dimanche un succédané acceptable à Yves Montand, une Damia pas très rodée, une chanteuse de charme bouleversée par le trac vertigineux, et un Tino Rossi plus « grande banlieue » que napoléonien, Un jury sérieux et appliqué a donné sa décision pour la deuxième journée. Tous les espoirs sont permis aux vainqueurs aux points de l'épreuve. En
Crlr, Aminel, Hobert Favart, Oberlin, Michèle Chagnoux, reinité Cernentol et Vanderschrick lui-même. (Théâtre Montmartre.) Jean GANDREY-RETY. Huit mariages pour deux époux Il n'y vraiment q Hollywood pur offrir un spectacle semblable : celui d'une vedette, Ln Turner, qui, djéà mariée trois fois, épouse en quatrième noces un fiancé déjà divorcé trois fois lui aussi. Le nouveau marié est, il st vrai, Bob Hopkins, héritier du roi du fer blanc... onN, ce n'est aps de la mise en i. "AMPHITRYON" à la Sorbonne « Amphitryon 43 »... Ce n'est point une nuve nseirvo due à quelque nouveau auu mais celui même de Plaute, dont l'éternelle se était rajeunie encore par l'âge de ses interprètes : des étudiants de la troupe du Théâtre Antique de l Sorbonne qui, dimanche, témoignèrent e de leur goût lasq et de leur talent d'acteurs. Coulisses Créée avant l grr, la comédie de Jacques Deval, « Mademoiselle , devait être rprs en 1943, au Théâtre Saint-Georges... La censure nizea s'y asoopp, Jacques Deval menait alors campagne à la radio des Etats-Unis contre Hitler... Mais « Mdmsll M va reparaître à laffihe du Saint-Georges — et sans avoir vieilli. Charlie plhaniC souhaite se rendre en Angleterre assister à l présentation d' « Hamlet n,.. Mais, demeuré ct britannique il 'est pas sûr 'obtenir sn visa de ru aux Etats-Unis. Départ des Six-Jours de la chanson DEPUIS samedi soir, le départ des Six-Jours a été donné au Clsé. Sans vélo, uiqil s'agit des « JrSso-uix de la chanson ». à courir par équipes constituées chacune par un monsieur et une dame. Ls concurrents sont des débtnts. futurs professionnels et qui font de leur mieux pour s'élever à la uatrueh des cracks leurs grnds aînés Nous avons donc entendu dimanche un succédané acceptable Yes Montand, une Damia pas très rodée, une chanteuse de ce bouleversée par l trac vertigineux, et un Tino Rss plus « grande nubliaee » que napoléonien, Un jury sérieux et appliqué donné sa décision pour la dxèm journée. Tous les espoirs sont permis ux vainqueurs aux points de l'épreuve. n
assister à la présentation d' « Hamlet n,.. Mais, demeuré citoyen britannique, il n'est pas sûr d'obtenir son visa de retour aux Etats-Unis. Départ des Six-Jours de la chanson DEPUIS samedi soir, le départ des Six-Jours a été donné au Colisée. Sans vélo, puisqu'il s'agit des « Six-Jours de la chanson ». à courir par équipes constituées chacune par un monsieur et une dame. Les concurrents sont des débutants. futurs professionnels et qui font de leur mieux pour s'élever à la hauteur des « cracks », leurs grands aînés. Nous avons donc entendu dimanche un succédané acceptable à Yves Montand, une Damia pas très rodée, une chanteuse de charme bouleversée par le trac vertigineux, et un Tino Rossi plus « grande banlieue » que napoléonien, Un jury sérieux et appliqué a donné sa décision pour la deuxième journée. Tous les espoirs sont permis aux vainqueurs aux points de l'épreuve. En particulier un riche engagement. A. J. Malgré de sombres manœuvres Cannes aura-t-elle son festival 1948 ? DEMAIN doit se réunir à nouveau le Comité d'organisation du Festival de Cannes. Car, après les marches et contre-marches de ces dernières semaines, on ne sait toujours pas s'il y aura oui ou non un festival en septembre. Trois éléments dominent le débat : l'achèvement du Palais, le vote des crédits, la possibilité de présenter des films français de classe internationale. Sur le premier point, la municipalité de Cannes est catégorique : si le Palais n'est pas terminé, du moins peut-il être suffisamment aménagé pour recevoir les « festivants ». De ce côté-là, pas de questions. Quant aux crédits, ils sont inscrits au budget. Mais, dit-on, ils ne seront pas votés avant le mois de Juin, ce qui est trop tardif pour permettre l'organisation du Festival en septembre. C'est là un mauvais prétexte. Car, si les crédits doivent être accordés à coup sûr, un simple jeu d'écritures permettrait d'en faire l'avance, s'il le désire, au secrétariat général du Festival. Et, d'autre part, la manifestation de 1947 — qui fut une réussite — ne démarra, elle aussi, qu'au mois de juin. SEPT OU HUIT FILMS
assister à la présentation d' « meHatl n,.. Mais, demeuré ctyn britannique, il esnt' pas sûr d'btnr son vs de retour aux EtatsUnis Déprt des Six-Jours de l chanson DEPUIS smd or, le départ des Six-Jours a été donné au Colisée. as vélo, puisqu'il s'agit des « Six-Jours de la chanson ». à courir par équipes cnsttés cc par un monsieur et n dame. Les concurrents stno des débutants. ufsrtu professionnels t qui font de leur mieux pour s'élvr à la hauteur des cracks », usler grands aînés. Nous avons n entendu ncideahm un succédané acceptable à Yves on, une Damia pas très de, une snahcteue de charme bouleversée par le trac vertigineux, e nu Tino Rossi plus « grande banlieue que lopé,oianenn Un uyrj sérieux e lqé a donné sa décision pour l deuxième journée Tous les espoirs sont permis aux vainqueurs x points de lépreuve En particulier un riche engagement A. J. Malgré de sombres manœuvres a -a-elelruta son festival 1948 ? DEMAIN dt s réunir nouveau le Comité d'organisation du Festival de Cannes. Cr près sel marches et contre-marches de ces dernières semaines on ne sait toujours pas s'il y au ou non un festival en sptmbr. Trois éléments dominent e débat : lachèvement du Palais, le vote des crédits, la possibilité de présenter des films français de classe tienlnar.itneoa Sur le premier point, la municipalité de nes st catégorique : si le Palais n'est pas terminé du moins peut-il être nmfseismautf aaénmég pour oireevcr les « festivants ». De ce côté-là, pas de questions Quant aux crédts, ils onts inscrits budget. Mais, dit-on, s ne seront pas votés aan le mois de Juin, ce qui est trop tardif pour permettre lansti du Festival en mpte.beres C'est là un mauvais prétexte. Car, si les crédits doivent être accordés à up sûr un simple jeu d'écritures prmttrt 'en faire l'avance, s'il désire, au secrétariat général du Festival. t, d'autre part, la manifestation d 1947 qui fut une réussite — ne déarr elle aussi, qu'au mois juin SEPT OU HUIT FILMS
un festival en septembre. Trois éléments dominent le débat : l'achèvement du Palais, le vote des crédits, la possibilité de présenter des films français de classe internationale. Sur le premier point, la municipalité de Cannes est catégorique : si le Palais n'est pas terminé, du moins peut-il être suffisamment aménagé pour recevoir les « festivants ». De ce côté-là, pas de questions. Quant aux crédits, ils sont inscrits au budget. Mais, dit-on, ils ne seront pas votés avant le mois de Juin, ce qui est trop tardif pour permettre l'organisation du Festival en septembre. C'est là un mauvais prétexte. Car, si les crédits doivent être accordés à coup sûr, un simple jeu d'écritures permettrait d'en faire l'avance, s'il le désire, au secrétariat général du Festival. Et, d'autre part, la manifestation de 1947 — qui fut une réussite — ne démarra, elle aussi, qu'au mois de juin. SEPT OU HUIT FILMS FRANÇAIS DE QUALITÉ Reste à savoir si nous aurons des films à présenter. Réponse : oui. A moins que tous ceux qui sont terminés et tous ceux qu'on entreprend en ce moment soient, sans exception, mauvais, nous devrions, en septembre, pouvoir faire une sélection entre sept ou huit films de qualité. Ce qui est bien suffisant. Autrement dit, les partisans du Festival 1948 au printemps 1949 (ou plus tard, ou jamais) sont mal informés ou de mauvaise foi. En attendent nous avons adressé à une bonne vingtaine de pays. Il y a quelques mois, une lettre les avisant officieusement qu'un grand Festival cinématographique international aurait lieu à Cannes en septembre 1948 et leur demandant s'ils comptaient y participer. Si mes renseignements sont exacts, la plupart des réponses ont été affirmatives. Quelques semaines plus tard, la Commission d'organisation fixait la date du Festival : 3 au 16 septembre. CONFUSION EXTREME Puis, dans une confusion extrême, certains de ceux qui avaient approuvé — voire même suggéré — ces décisions, se rétractaient, reprenaient des arguments ridicules, s'effaçaient pour laisser le champ libre à des tractations intéressées. Si le Festival de Cannes ne doit pas servir le cinéma français et notre propagande, il faut
un festival en septembre. Trois éléments onn le débat : lachèvement du Palais, le vote des crédits, la possibilité présenter e films français de cae rea.ntoenlntiai Sur le prmr point, la inatmliicupé de Cannes est catégorique : s le Pis n'est pas terminé, du moins peut-il être suffisamment aménagé pour reo ls « festivants ». De ce côtélà pas d questions. Quant aux crédts, l sont inscrits au budget. Mais, nto,di- ils ne seront as votés avant le mois de Juin, ce qui tse trop tardif pour ettmperre l'nain ud Festival en septembre. C'est là mauvais prétexte. Car, si les crédits doivent retê acrds à coup sûr, un smpl jeu d'écritures permettrait d'en faire l'avance, sil le désr, au secrétariat général du Festival. Et, 'autre prt, la manifestation de 1947 — qui fut une tseséiru — ne démarra, elle aussi, quua' mois de juin. SEPT OU HUIT FILMS FAÇ D AIÉ Res à savoir is ns aurons des films à présenter. Réponse oui. A moins que tous cex q sont trmnés et tous ceux qu'on entreprend n e moment soient, sans exception, mauvais nous devrions, en septembre, pouvoir faire une sélection etnre sept ou huit films de qlté. Ce q est bien suffisant. Autrement , ls partisans du Festival 1948 au ie 1949 (ou plus tard ou jamais) sont mal nfé ou de mauvaise foi. En ttndnt nous avons essé à une bonne vingtaine de pays. Il y a quelques mois, une lettre les avisant officieusement qu'un grand Festival cinématographique international aurait lieu nCnsea en septembre 1948 et lr demandant sls comptaient y participer. Si mes enenments sont exacts, la plprt es répnss nt été affrmtis. Quelques semaines plus tard, la Cmmssn d'organisation fixait la date d Festival : 3 au 16 septembre. CONFUSION EXTREME Puis, adns une confusion xtrêm, certains de ceux qui vain approuvé — vr êmme suggéré — décisions, se rétractaient, reprenaient de ruts ridicules, s'effaçaient pruo laisser le chmp libre à des tractations intéressées. Si le Festival e Cannes ne doit pas servir le cinéma frnçs t notre propagande, il faut
qualité. Ce qui est bien suffisant. Autrement dit, les partisans du Festival 1948 au printemps 1949 (ou plus tard, ou jamais) sont mal informés ou de mauvaise foi. En attendent nous avons adressé à une bonne vingtaine de pays. Il y a quelques mois, une lettre les avisant officieusement qu'un grand Festival cinématographique international aurait lieu à Cannes en septembre 1948 et leur demandant s'ils comptaient y participer. Si mes renseignements sont exacts, la plupart des réponses ont été affirmatives. Quelques semaines plus tard, la Commission d'organisation fixait la date du Festival : 3 au 16 septembre. CONFUSION EXTREME Puis, dans une confusion extrême, certains de ceux qui avaient approuvé — voire même suggéré — ces décisions, se rétractaient, reprenaient des arguments ridicules, s'effaçaient pour laisser le champ libre à des tractations intéressées. Si le Festival de Cannes ne doit pas servir le cinéma français et notre propagande, il faut le dire. Et il ne fallait pas, alors, tant batailler et engager tant de frais pour qu'il existe et qu'il soit digne de son objet. Mais si — comme c'est certain — il constitue une manifestation utile et souhaitable, il ne faut pas en subordonner la date ou même l'existence aux convenances de quelques-uns, et encore moins le laisser annexer par ceux-là mêmes qui entendent le réduire à une simple « affaire » de publicité particulière. Jean NERY. Les théâtres joueront le 1er Mai Pour la Fédération du spectacle, les théâtres joueront le 1er mai. Un peintre de charme : Le Sidaner Le musée Galliera — ou plutôt M. Bizardel, au nom de la Ville de Paris — fut bien inspiré d'accorder à Henri Le Sidaner l'hommage d'une vaste rétrospective. Sa pure vie de bueur la méritait autant que son œuvre de chantre des intimités, où la figure humaine, invisible et présente, se laissait son atmosphère. Il a peint "l'atmosphère intime et tiède où s'allument les lampes", son Jardin de Gibberoy; la noblesse des parcs, le Midi, de toute son âme tendre, à petites touches, en classique empruntant à l'impressionnisme. G. D. LES SPECTACLES MUSIQUE Opéra (Op.5a-59), relâche hebdo; dim.,
qualité. Ce qui est bien suffisant. Autrement dit, les partisans du Festival 1948 au printemps 1949 ( plus tard, ou jamais) sont mal nfrmés ou de mauvaise foi. En attendent nous v adressé à une bonne vingtaine de pays. Il y a quelques mois, une lettre les avisant officieusement qu'un grand Festival cinématographique international aurait l à Cannes en septembre 1948 et u demandant s'ils comptaient y participer. Si mes renseignements sont exacts, la art des opesénrs ont été affirmatives. Quelques semaines plus tard, l Commission aonondsiirtag' fixait la date du Festival : 3 au 16 septembre. CNFSN EXTREME Puis, dans une confusion xtrêm, certains de ceux qui avaient approuvé — i mêm suggéré — ces décisions se rétractaient, reprenaient des arguments ridicules, s'effaçaient pour laisser le champ ibrel à des tractations intéressées. Si le Festival de Canes ne doit pas servir cinéma français et notre propagande, il faut le dire. Et il ne fallait pas, alors, tant ale et engager tant de frais pour q'l existe et qu'il soit digne de son objet. Mais si — comme 'est certain — il constitue une manifestation utile et souhaitable, i ne faut pas en subordonner la date ou même l'existence aux convenances de qeques-, et encore moins le laisser annexer par ceux-là mêmes qui entendent le réduire à n simple « affaire » de publicité prtclèr. Jea NERY. Les théâtres joueront le 1r Mai Pour la Fédération du spectacle, les théâtres jrnt le 1er mai. Un peintre de charme : Le Sidaner L msé Galliera — ou plutôt M. Bizardel au nom de la Ville de irsaP — fut bien inspiré d'accorder à Henri Le Sidaner l'hmmg dune vaste rétrospective. Sa pure vie de bueur la méritait autant que son œuvre de chantre des intimités, où la figure humaine, invisible et ésente, se laissait sn atmosphère. Il a pnt "l'atmosphère intime et tiède où s'allument les lampes", son Jrdn de Gibberoy; la nblss des parcs le Md, de toute son âm tendre, à petites touches, en aqlciuess empruntant à l'impressionnisme. G. D. LES SPECTACLES MUSIQUE Opéra (Op.5a-59), relâche hebdo; dim.,
aux convenances de quelques-uns, et encore moins le laisser annexer par ceux-là mêmes qui entendent le réduire à une simple « affaire » de publicité particulière. Jean NERY. Les théâtres joueront le 1er Mai Pour la Fédération du spectacle, les théâtres joueront le 1er mai. Un peintre de charme : Le Sidaner Le musée Galliera — ou plutôt M. Bizardel, au nom de la Ville de Paris — fut bien inspiré d'accorder à Henri Le Sidaner l'hommage d'une vaste rétrospective. Sa pure vie de bueur la méritait autant que son œuvre de chantre des intimités, où la figure humaine, invisible et présente, se laissait son atmosphère. Il a peint "l'atmosphère intime et tiède où s'allument les lampes", son Jardin de Gibberoy; la noblesse des parcs, le Midi, de toute son âme tendre, à petites touches, en classique empruntant à l'impressionnisme. G. D. LES SPECTACLES MUSIQUE Opéra (Op.5a-59), relâche hebdo; dim., 20,30, Ballets. Opéra-Comique (Rie.68-22), 20,15, Les Contes d'Hoffmann. Capucines, 20,45, Le Roi Parisole. Châtelet, relâche, hebdo; dim., 20,30, Maréchale de Saumon-Géneral. Gaîté-Lyrique, 20,30, Andalousie. Mogador, 20,30, Violettes impériales. Variétés, 21, Pommes d'Amour. Alhambra, relâche hebdo; dim., 20,30, Le Maharadjah. Bobino, 21, 4 Jours à Paris. Européen (Mar. 13-35), 21, Hier contre aujourd'hui, COMÉDIES Com.-Franç. Richelieu (Ric.22-70), 20,45, Le Voyage de M. Perrichon. Luxembourg (Dan.58-11), 21, Les Mal-Aimés. Ambassadeurs (Anj.97-60), 21,15, Voyage à Washington. Ambigu, 2 mai, 21, Ochemerle. Antoine, relâche hebdo; dim., 20,45, Les Mains sales. Atelier (Mon.49-24), 20,45, Invitation au Château. Archives Danse. 21, G. Baty : Marton. Athénée (Opé.52-23), 20,45, Nous irons à Valparaïso. Com.-Ch.-Elysées (Ely.37-08), 20,45, Plume au Vent. Com.-Wagram, relâche hebdo; dim., 21, Léopold le Bien-Aimé. Daunou, 21, Ils ont 20 ans. Gaité-Montparnasse (Odé.33-50), 21, Orion le Tueur, Parade. Grand-Guignol (Tri.28-34), relâche hebdo; dim., 20,45, Laboratoire des hallucinations. Gramont (Ric.95-82), 21, Baby Hamilton. Gymnase 21, Thérèse Raquin. Hébertot, 21, Le Maître de Santiago. Humeur (Tri.04-39), 20,45, Les nouveaux Maîtres. La Bruyère, relâche hebdo; dim., 21, Branquignol. Madeleine, relâche hebdo; dim., 21, Tovaritch Marigny (Ely.06-91), 21, Amphitryon, La Fontaine de Jouvence. Mathurins (Anj.90-00), 21, Bout de la Route. Michel (Anj.35-02), 20,45, La Rage au Cœur. Michodière (Ric.95-23),
aux convenances de quelques-uns, et encore moins le laisser annexer par ceux-là mêmes qui ntndnt le réduire à une simple « affaire » de pblcté particulière. Jea NERY. Les théâtres joueront le 1er Mai Pour l Fédération du spectacle, théâtres joueront le 1er mai. Un peintre de charme : Le Sdnr Le musée Galliera — ou plutôt M. Bizardel, au nom de la Ville de Paris — fut bien inspiré d'ccrdr à Henri Le Sidaner 'hommage d'une vaste rétrospective. Sa pure vie de bueur la méritait autant que son œuvre de chantre des intimités, où la figure humaine invisible et présente, se laissait son atmosphère. Il a peint latmosphère intime et tiède où s'allument les aes, son Jardin de Gibberoy; la noblesse e as l i,dMi de toute son âme tendre, à petites touches, en isluasceq empruntant à l'impressionnisme. G. D LES SPECTACLES MUSIQUE Opéra .p5,9)-Oa(5 rlâch hebdo; dim., 20,30, Ballets. pér-Cmq Ri-22, 20,15, Les Contes ofa. Capucines, 20,45, Le R rliso.Pae Châtelet, relâche, hebdo; dim., 2,0 Maréchale de Saumon-Géneral. GaîtéLyrique 20,30, daous. Mogador, 20,30, Violettes impériales. Variétés, 21, Pmms d'Amour. Alhambra, relâche hebdo; dim., 20,30, Le Maharadjah. Bobino, 21, Jours à Paris. Europén (Mar. 13-35), 21 Hier contre aujourd'hui, CMÉDS ComFranç Richelieu (Ric.22-70), 20,45, Le Voyage de M. Perrichon. Luxembourg (n.581, 21, Les Mal-Aimés. Ambassadeurs (Anj.97-60), 21,15, Vyg à hngt mbg, 2 mai, 21, chmrl. Antoine, relâche hebdo; dim., 20,45, Ls M sales. Atelier (Mon.49-24), 20,45, Invitation Chât. Archives Danse. 21, Baty : aoMtrn. Athénée 2O52()3,.p-é 20,45, Ns irons à Valparaïso. o.-h.-Ees (Ely.37-08), 20,45, Plume au Vent. Com.-Wagram, rlâch hebdo; dim., 21, Léopold l Bien-Aimé. Daunou, 21, Ils ont 20 ans. Gaité-Montparnasse Odé3350 21, Orion le Tueur, Parade. lnnri-duogGGa (Tri.28-34), râc hebdo; dim 20,45, Laboratoire des hllcntns. Gramont (Ric.95-82), 21, Baby Hamilton. Gymnase 21, Thérèse Raquin. Hébertot, 21, Le Maître de Santiago. Humeur (Tri.04-39), 20,45, Les nouveaux Maîtres. La Bruyère, relâche hebdo; dim., 21, Branquignol. Madeleine, relâche hebdo; dim., 21, Tovaritch Marigny (Ely.06-91), 21, Amphitryon, La Fontaine de Jouvence Mathurins (Anj.90-00), 21, Bout de la Route. Michel (Anj.35-02), 20,45, La Rage au Cœur. hecdiroièM (Rc.95-23),
contre aujourd'hui, COMÉDIES Com.-Franç. Richelieu (Ric.22-70), 20,45, Le Voyage de M. Perrichon. Luxembourg (Dan.58-11), 21, Les Mal-Aimés. Ambassadeurs (Anj.97-60), 21,15, Voyage à Washington. Ambigu, 2 mai, 21, Ochemerle. Antoine, relâche hebdo; dim., 20,45, Les Mains sales. Atelier (Mon.49-24), 20,45, Invitation au Château. Archives Danse. 21, G. Baty : Marton. Athénée (Opé.52-23), 20,45, Nous irons à Valparaïso. Com.-Ch.-Elysées (Ely.37-08), 20,45, Plume au Vent. Com.-Wagram, relâche hebdo; dim., 21, Léopold le Bien-Aimé. Daunou, 21, Ils ont 20 ans. Gaité-Montparnasse (Odé.33-50), 21, Orion le Tueur, Parade. Grand-Guignol (Tri.28-34), relâche hebdo; dim., 20,45, Laboratoire des hallucinations. Gramont (Ric.95-82), 21, Baby Hamilton. Gymnase 21, Thérèse Raquin. Hébertot, 21, Le Maître de Santiago. Humeur (Tri.04-39), 20,45, Les nouveaux Maîtres. La Bruyère, relâche hebdo; dim., 21, Branquignol. Madeleine, relâche hebdo; dim., 21, Tovaritch Marigny (Ely.06-91), 21, Amphitryon, La Fontaine de Jouvence. Mathurins (Anj.90-00), 21, Bout de la Route. Michel (Anj.35-02), 20,45, La Rage au Cœur. Michodière (Ric.95-23), 20,45, K.M.X. Labrador. Monceau, 21, L'Homme aux souliers vert. Montparnasse (Dan.89-90), 21, Montserrat. Noctambule (Ode.42-34), 21, spect. Tchekov. Nouveauté (Pro 52-76), 20.45, La pelote de laine, relâche hebdo; dim., 21, Homard à l'américaine. Pigalle, relâche. Porte St-Martin, 21, Tire-au-Flanc. Potinière (Opé.54-74), 21, Jeu de Dames. Renaissance, relâche hebdo; dim., 21, La Célestine. St-Georges (Tru.63-47), le 29, 21, première de Modigliani, Sarah-Bernhardt, 20,45, Romance. Th. Châtelet, 21, Carmen Amaya. Th. de la Huchette, 21, Albertine. Th. de Paris (Tri.20-44), 21, La Folle du 27. Th. de Poche (Lil.26-47), 21, Les Enfants du Père. Th. Verlaine, relâche hebdo; dim., 21, J'irai cracher sur vos tombes. Vieux-Colombier, 21, Lucienne et le Boucher. MUSIC-HALLS ABC (Sen.19-43), 20,45, Edith Piaf. Bouff.-Paris, proc. Par sur la Bouche Casino Montparnasse (Dan.98-34), 21, Rip Rip Hurrah! MARDI 27 AVRIL Au musée Carnavalet, à 17 h., conférence : « Paris, en 1848 ». Salle Jéna, à 20 h. 30, récital Charlotte Kohler. Palais de la Mutualité, 30 h. 30, débats sur les événements historiques, par le professeur Albert Bayet. Salle de l'Empire, 20 h. 30. grande première de gala, au profit de la maison de santé des gardiens de la paix, du dernier film de Bourvil : « Blanc
contre aujourd'hui, COMÉDIES Com.-Franç. Richelieu (Ric.22-70), 20,45, Le Voyage de M. Peric. Luxembourg (Dn.58-11), 21, Les Mal-Aimés. sbarssdmuAea (Anj.97-60), 21,15, Voyage à Washington. Ambigu, 2 mai, 21, Ochemerle. Antoine, eche hebdo; dim., 2 Les Mains sales. Atl (Mon.49-24), 20,45, itaton au Château. Archives Danse. 21, G. Baty : Marton. théné Opé5223 20,45, Nous irons à Valparaïso. ComChElysées )0,8(Ey7.-3l 205, Plume au Vent. Com.-Wagram, relâche hebdo; dim., 21, Léopold le Bien-Aimé. Dn, 21, Ils ont 20 ans. Gaité-Montparnasse (Odé.33-50), 2 Orion le Tueur, Parade. Grand-Guignol (Tri.28-34), relâche do; dim., 20,45, Laboratoire des hallucinations. Gramont (Ric.95-82), 21, Baby Hamilton Gymnase 2 Thérèse Raquin. Hébertot, 21, Le Maître d Santiago Humeur (Tri.04-39), 20,45, Les nouveaux Ms La Bruyère, eh hebdo; ,dim. 2,1 Branquignol. Madeleine, relâche hebdo; dim., 21, Tovaritch Marigny (Ely.06-91), 21, Amphitryon, La Fontaine de Jouvence. Mathurins (Anj.90-00), 21 Bout de la Route. Michel Anj3502 ,5,042 aL Rage au Cœur. Michodière (Ric.95-23), 20,45, ... Labrador. Monceau, 21, L'Homme aux souliers vert. Montparnasse (Dan.89-90), 21, Montserrat. Noctambule (d.42-34), 21 spct. Tchekov. Nouveauté (Pro 5-76 .4, a pelote de laine, relâche hebdo; dim., 21, Hmrd à laméricaine Pigalle relâche. Porte St-Martin, 21 Tire-au-Flanc. Potinière (Opé.54-74), 21, Jeu de Dames. Renaissance, relâche hebdo; dim., 12, La Célestine. St-Georges (Tru.63-47), le 29, 21, pemère d Modigliani, Sarah-Bernhardt, 20,45, Romance. Th. Châtelet, 21, aren Amaya. Th. de l hHe,etutc 21, Albertine. Th. de Paris (Tri.20-44), 21, La Folle du 27. Th. de Poche (Ll.26-47), 21, Les Enfants du Père. Th. Verlaine, relâche hebdo; dm., 21, J'ra cracher sr vos tombes. Vx-Clmbr, 21, Lucienne et le Boucher. MUSIC-HALLS ABC (Sen.19-43), 20,45, Edith Piaf. Bouff.-Paris, proc. Par sur la Bouche Casino Montparnasse (Dan.98-34), 21, Rip Rip Hurrah! ARD 27 AVRIL Au musée Carnavalet, à 17 h,. conférence : « Paris en 1848 ». aellS Jéna, 20 . 30, récital Charlotte Kohler. de l Mutualité, 0 h. 30, bt sur les événmnts hstrqs, par el professeur lbrt Bayet. Salle e l'Empire, 20 h. 30. grande première de gala, au profit d la maison de santé des gardiens de l paix, du dernier f d Bourvil : Blanc
La Célestine. St-Georges (Tru.63-47), le 29, 21, première de Modigliani, Sarah-Bernhardt, 20,45, Romance. Th. Châtelet, 21, Carmen Amaya. Th. de la Huchette, 21, Albertine. Th. de Paris (Tri.20-44), 21, La Folle du 27. Th. de Poche (Lil.26-47), 21, Les Enfants du Père. Th. Verlaine, relâche hebdo; dim., 21, J'irai cracher sur vos tombes. Vieux-Colombier, 21, Lucienne et le Boucher. MUSIC-HALLS ABC (Sen.19-43), 20,45, Edith Piaf. Bouff.-Paris, proc. Par sur la Bouche Casino Montparnasse (Dan.98-34), 21, Rip Rip Hurrah! MARDI 27 AVRIL Au musée Carnavalet, à 17 h., conférence : « Paris, en 1848 ». Salle Jéna, à 20 h. 30, récital Charlotte Kohler. Palais de la Mutualité, 30 h. 30, débats sur les événements historiques, par le professeur Albert Bayet. Salle de l'Empire, 20 h. 30. grande première de gala, au profit de la maison de santé des gardiens de la paix, du dernier film de Bourvil : « Blanc comme neige » et « Champion en uniforme », de Xavier Coppinger. Palais de Chaillot, grande séance d'occultisme avec Tahra bey et M. Holkar, au bénéfice de la caisse de retraite de l'Association des journalistes parisiens. Théâtre du Ranelagh, gala de danse, musique et poésie : Rose-Marie Paillet, Erwan Faure, Janine Berdin. REPETITION GÉNÉRALE Théâtre La Bruyère, 21 h., répétition générale de « Branquignol », au profit de l'œuvre de la Goutte de lait. Casino Paris (Tru.25-22), 20,30, Paris extra dry. club Champs-Elysées, 21, Joséphin, Baker, B. Hilda. Club des cinq (Pro 69-81), 21, le Grand de Rire. Etoile (Gat.34-49), 21, Parade sur glace (Jack Hylton). Folies-Bergère (Pro.98-49), 20,30. C'est de la Folie. Lido (Ely.11-60), 23, Made in Paris. Mayol (Pro.95-08), 21, Nu 48. Théâtre des Variétés, 21,30, Amoureuse. ENFIN LA CHUTE D'HELLZAPPOPIN Lord Byron et le Royal-Hallumann.Club présentent vendredi « SYMPHONIE LOUFOQUE » avec les célèbres Olsen et Johnson, encore Plus fougueux que dans « Hellzapoppin ». VOICI DU RIRE EN PERSPECTIVE 4 A FRANC-TIREUR CHANSONNIERS Coucou (Arc 25-02), 21 Tire au franc. Cav. Républicain (Arc. 25-55), 21, Le Français gagne. Dix-Heures (Mon.07-13), 21, RO 48. Deux-Aines (Mon.10-26), 21, Faut que ça râle. Le quolibat (Tru 13-21), 21. Zut
L Célestine. St-Georges (Tru.63-47), le 29, 21, première de Modigliani, Sarah-Bernhardt, 20,45, Romance. Th. Châtelet, 21, Carmen Amaya. Th. de la Huchette, 21, Albertine. Th. de Paris (Tri.20-44), 21, La Folle 27. T.h d Poche (Lil.26-47), ,21 Les Enfants du Père. Th. Verlaine, relâche hbo dm., 21 J'irai cracher sur vos tombes. Vieux-Colombier, 21, Lcnn et le Boucher. MUSICHALLS ABC (Se.943), 20,45, Edith Piaf Bouff.-Paris, proc. Par sur la Bouche Casino Montparnasse (Dan.98-34), 21, Rip ipR Hurrah! MRD 27 AVRIL Au musée Carnavalet, à 17 ., conférence : « Paris, en 1848 ». Salle Jéna, à 20 h. 30, récital Charlotte Koe. Palais d la Mutualité, 30 h. 30, débats sur les événements historiques, pr le professeur Albert Bayet. Salle de l'Empire, 20 h. 30. grnd première d gala, au prft e maison de santé des gardiens de la paix, du dernier film de Bourvil : « Blnc comme e » et « Champion en uniforme », de Xavier Coppinger. Palais de Chaillot, grande séance d'occultisme avec Tahra by et M. Holkar, au bénéfice de la css de retraite de l'Association des journalistes parisiens. Théâtre du Ranelagh, ga de danse, musique et osi : Rose-Marie Paillet, Erwan Faure, Jnn Berdin. REPETITION GÉNÉRALE Théâtre La Bruyère, 1 h., répétition générale de Branquignol », au prft de œve de la Goutte de lait. Casino Paris (Tru.25-22), 20,30, Paris extra dry. club Chmps-lysés, 21, Joséphin, Baker, B. Hilda Club des cinq (Pro 69-81), 21, le Grand de Rire. Etoile (Gat.34-49), 21, Parade sur glace (Jck Hylton). Folies-Bergère (Pro.98-49), 20,30. C'est de la Folie. Lido (ly.11-60), 23, Made in Paris. Mayol (Pro.95-08), 21, Nu 48. Théâtre des Variétés, ,0312, Aouuse. ENFIN LA CHUTE D'HELLZAPPOPIN Lrd Bon et le Ryl-Hllmnn.Clb présentent vendredi « SYMPHONIE LOUFOQUE » avec les célèbres Olsen et Johnson, encore Plus fougueux que dans « Hellzapoppin ». VOICI DU RIRE EN ECTIVE 4 A FRANC-TIREUR CHANSONNIERS Coucou c 25-02), 21 Tire au franc. Cav. Républicain (Arc. 25-55), 21, Le Français gagne Dix-Heures (Mon.07-13), 21, RO 48. Deux-Aines Mon1026 21, Ft que ça râle. Le quolibat (Tru 13-21), 21. Zt
Janine Berdin. REPETITION GÉNÉRALE Théâtre La Bruyère, 21 h., répétition générale de « Branquignol », au profit de l'œuvre de la Goutte de lait. Casino Paris (Tru.25-22), 20,30, Paris extra dry. club Champs-Elysées, 21, Joséphin, Baker, B. Hilda. Club des cinq (Pro 69-81), 21, le Grand de Rire. Etoile (Gat.34-49), 21, Parade sur glace (Jack Hylton). Folies-Bergère (Pro.98-49), 20,30. C'est de la Folie. Lido (Ely.11-60), 23, Made in Paris. Mayol (Pro.95-08), 21, Nu 48. Théâtre des Variétés, 21,30, Amoureuse. ENFIN LA CHUTE D'HELLZAPPOPIN Lord Byron et le Royal-Hallumann.Club présentent vendredi « SYMPHONIE LOUFOQUE » avec les célèbres Olsen et Johnson, encore Plus fougueux que dans « Hellzapoppin ». VOICI DU RIRE EN PERSPECTIVE 4 A FRANC-TIREUR CHANSONNIERS Coucou (Arc 25-02), 21 Tire au franc. Cav. Républicain (Arc. 25-55), 21, Le Français gagne. Dix-Heures (Mon.07-13), 21, RO 48. Deux-Aines (Mon.10-26), 21, Faut que ça râle. Le quolibat (Tru 13-21), 21. Zut à l'or. Lune-Rouge (Tri.61-09), 21, Rente en plan. Cabaret Noctambule, 21, Jean Rieux. Sopex. Trois-Baudets (Mon.81-98), 21, Revue de l'an 1000. CIRQUES Cirque d'Hiver (Roq. 12-25), relâche; jeudi, 15 et 21, Pipo et Rhum. Medrano (Tru.23-76), 21, Les Triskas, Aniselm, Rocroy. CINEMAS Troisième cheminée à droite : Cinéma Yeclet. Les revanches de Baccarat (2e épisode "Recami"), à partir du 23 : Triomphe (Be), Lynx (99), Paramount (9"), Eldorado Dix de der : Camée (g"), G. Olliby (18") Nabonga (am ), v. f. : New-York (g"). L'Introuvable rentre chez lui (8111.) * Ermitage (8"). Le Port de la Tentation (angl.), St. Universel (2"). L'Étang tragique (am.): Blarita (81), La Fille du Capitaine (am.): Ritz (9"), Wéliès (9"). Hollywood Melody (am.) : v. o. César (80), à partir du 23. Sans Amour (am.), v. o., Avenue (8*). La Maison du Dr. Edwardes, T. f. ; Moulin-Rouge (18.). Sacramento (am.), v. t.. Moulin-Rouge (180), Max-Linder (90), La Vie en rose (fr.) : Madeleine (80), iffl Condamnés (fr.) : Vivienne (20), Balzac (81). Helder (90), Ses (10*). Cavalier de Croix mort (fr.) : Impérial (2'), Cinérane (90). La Dame du Lac (am.) : California (20). Broadway (8*), Cinémonde-Opéra (90). Les Enchaînés : Le Paris
Janine Berdin. REPETITION GÉNÉRALE Théâtre La Bruyère, 21 h., répétition générale de « Branquignol au profit de l'œuvre de la Goutte de lait. Casino Paris (Tru.25-22), 20,30, Paris er r. club Champs-Elysées, 21, Joséphin, Baker, . Hilda. Club des cinq o(Pr 1) 21, le Grand de Rire. Etoile Gt3-4 21, Parade sur glace Jack Hylton). Folies-Bergère (Pro.98-49), 20,30. 'e de la Folie. Lido (Ely.11-60), 23, ae in Paris. Maol (Pr.95-08), 21, Nu 48. Théâtre des Variétés 2130 Amoureuse. ENFIN LA CHT D'HELLZAPPOPIN Lrd Byrn et le Royal-Hallumann.Club présentent vendredi SYMPHONIE LOUFOQUE » avec les célèbres nlseO et Johnson, encore Plus fougueux que dans « Hellzapoppin ». VOICI DU RIRE EN PRSPCTV 4 A FRANCTIREUR CHANSONNIERS co (Arc 25-02), 21 Tire au fnc .aCv Répblcn Arc 25-55), 21, L Français gagne. Dix-Heures (Mn.07-13), 21 RO 8 n-eixuDesA (Mon.10-26), 21, Faut q ç râle. Le quolibat ( 13-21), 21. Zut à 'or. Lune-Rouge (Tri.61-09), 21, Rente e plan. Cabaret Noctambule, 21, Jean Rieux. Sopex Trois-Baudets (Mon.81-98), 21, Revue de l'an 1000. CIRQUES Cirque d'Hiver (Rq. 12-25), relâche; jd, 15 et 21, Pipo et Rhum. Medrano (Tru.23-76), 21, Les ria Aniselm, Rocroy. CINEMAS Trsèm cheminée à droite : Cinéma Yeclet Les revanches de Baccarat (2 épisode "Recami"), à partir du 23 : Triomphe (Be), Lynx (99), Paramount (9"), ldrd de dr : Camée (g"), G. Olliby (18") Nabonga am ), v. f. : NewYork (g"). L'Introuvable rentre chez lui (8.) * rmtg (8"). Le Port de la ent (angl.), tS. Universel (2"). Éa tragique ( ilatBar (81), La Fille du Citan (am.): Ritz (9"), Wéliès ")(9. Hollywood Melody am : v. o. César 80 à partir d 23. Sns mr (am.), v. o., Avenue (8*). La Maison d r.D Edwardes, T. f. Moulin-Rouge (18.). Sacramento (am.), v. t.. Moulin-Rouge (180), Max-Linder (90), Vie en rose fr : Madeleine (80), ffl Cnnéodasm f.) : Vvnn (20), Balzac (81). Helder (90), Ss (10*). Cavalier de Crixo ort (fr.) : Impérial (2'), Cinérane (90). La Dame du Lac (am.) California 0). Broadway (*8), Cinémonde-Opéra 0). Les Enchaînés : Le Paris
revanches de Baccarat (2e épisode "Recami"), à partir du 23 : Triomphe (Be), Lynx (99), Paramount (9"), Eldorado Dix de der : Camée (g"), G. Olliby (18") Nabonga (am ), v. f. : New-York (g"). L'Introuvable rentre chez lui (8111.) * Ermitage (8"). Le Port de la Tentation (angl.), St. Universel (2"). L'Étang tragique (am.): Blarita (81), La Fille du Capitaine (am.): Ritz (9"), Wéliès (9"). Hollywood Melody (am.) : v. o. César (80), à partir du 23. Sans Amour (am.), v. o., Avenue (8*). La Maison du Dr. Edwardes, T. f. ; Moulin-Rouge (18.). Sacramento (am.), v. t.. Moulin-Rouge (180), Max-Linder (90), La Vie en rose (fr.) : Madeleine (80), iffl Condamnés (fr.) : Vivienne (20), Balzac (81). Helder (90), Ses (10*). Cavalier de Croix mort (fr.) : Impérial (2'), Cinérane (90). La Dame du Lac (am.) : California (20). Broadway (8*), Cinémonde-Opéra (90). Les Enchaînés : Le Paris (8*). L'ange perdu (am.) : Champs-Elysées-Cinéma (S*). Le joyeux Phénomène (am.) 2 Rex (20) Gaumont-Palace (180. Ma Femme est un grand Homme (am.) : Cinépréfecture-Ch.-Élysées (18"), Ratto-Cité Opéra (91), Cinépré ,Ternes (17*). Reflets (17.), Images (180). La Bataille de Reims (fr.) ; La Royale, Lord-Byron (8"), Haussmann-Club (19'). Il était une fois une forêt (dm.) : Français (90). Français. Rendez-vous (anl.) ; Salle Montparnasse. Une jeune fille errait (fr.) : Marivaux (20), Marignan (80), Mandrin (fr.) : Gaumont-Th (2*), Portiques (80), Apollo (90), Aubert (91). MARIVAUX Un humour irrésistible... une poésie délicieuse... une véritable émotion... des images de une beauté jamais égálée. la plus magnifique création de WALT DISNEY EN ' depuis Blanche-Neige, Unio LE SALON CONSERVATOIRE DES TRADITIONS DEPUIS 300 ANS RIEN et n'entend plus de bêtises qu'un tableau de musée, affirmait au siècle dernier Henri Monnier,.. Voire : il ne pensait pas aux tableaux du Salon, du vrai, dit seul qui ait droit à un « S » majuscule et se passe de complément (mais non de Commentaires). Ainsi le veut le séculaire prestige d'une institution qui, faute de remonter au déluge (auquel fait penser le déferlement des toiles), peut se flatter de dater de 1648. Ce qui,
revanches de Baccarat (2e épisode "Recami"), à partir du 23 : Trmph )B,e( Lynx (99), Paramount (9"), Eldorado Dix de der : Camée (g"), Olliby (18") Nabonga (am ), v. f. : Nw-Yrk (g"). L'Introuvable rntr chez lui (8111.) * Ermitage (8"). Le Port de la Tentation (angl.), .tS Uiersl ("). 'Étang tragique (am.): Blarita (81), La Fille du Capitaine (am.): Ritz 9()", Wélès (9"). Hollywood ldoyMe (am.) : v. . César (80), à partir du 23. Sns Amour (am.), v. o., Avenue (*). La Maison d Dr. Edwardes, T. f. ; ounoue (18.). Scrmnt am., v. t.. Moulin-Rouge (180), ax-Ler (90), La Vie en rs (r) : Mdln (80), iffl Condamnés f.) : Vvnn (20), z (81). Helder (90), Ses 10 Cavalier de Croix mort r) : Impérial 2 Cinérane (90). La Dame du Lac (am.) : Clfrn (20). Broadway (8*), Cinémonde-Opéra (90). Ls Enchaînés : Le Paris (*). L'ng perdu (am.) : Champs-Elysées-Cinéma (S*). L joyeux Phénomène (am.) 2 Rex (20) Gaumont-Palace (180. Ma Femme e un grand Hmm m) : Cinépréfecture-Ch.-Élysées (18"), Ratto-Cité Opéra (91), Cinépré ,Ternes (17*). Reflets (17.), Images (180). L Bataille de Rms fr.)( ; La Royale, Lord-Byron (8"), Haussmann-Club (19'). Il était eun fois une forêt (dm.) : Français (90). Français Rendez-vous (anl.) ; Salle Montparnasse. Une jeune fille errait (fr.) : Marivaux Marignan (80), Mandrin ( : Gaumont-Th (*), Portiques (80), Apollo 90 Aubert (91). MARIVAUX nU humour isisi.. une poésie délicieuse... une véritable otn.. des images d une beauté jamais égálée. la supl magnifique création de WALT DIS EN ' depuis nheNg Unio LE SALON CONSERVATOIRE DES TRADITIONS DEPUIS 00 ANS RIEN t n'ntnd plus de bêtises qu'un ablea de musée, affirmait au siècle dernier Henri Monir,.. Voire il ne pensait pas a tax du Salon, du vrai, dt sl qui ait drt à un « S » majuscule et se passe de complément (mais non de Commentaires). Ainsi le veut le séculaire prestige dune institution qui, faute de remonter au délg (ql fait penser el déferlement des les) peut se flatter d dater de 1648. C qui,
une fois une forêt (dm.) : Français (90). Français. Rendez-vous (anl.) ; Salle Montparnasse. Une jeune fille errait (fr.) : Marivaux (20), Marignan (80), Mandrin (fr.) : Gaumont-Th (2*), Portiques (80), Apollo (90), Aubert (91). MARIVAUX Un humour irrésistible... une poésie délicieuse... une véritable émotion... des images de une beauté jamais égálée. la plus magnifique création de WALT DISNEY EN ' depuis Blanche-Neige, Unio LE SALON CONSERVATOIRE DES TRADITIONS DEPUIS 300 ANS RIEN et n'entend plus de bêtises qu'un tableau de musée, affirmait au siècle dernier Henri Monnier,.. Voire : il ne pensait pas aux tableaux du Salon, du vrai, dit seul qui ait droit à un « S » majuscule et se passe de complément (mais non de Commentaires). Ainsi le veut le séculaire prestige d'une institution qui, faute de remonter au déluge (auquel fait penser le déferlement des toiles), peut se flatter de dater de 1648. Ce qui, bien sûr, ne la rajeunit pas, mais la dote d'une tradition. Son caractère officiel et traditionnel : ne fut-elle pas pendant près de deux siècles l'apanage de l'académie de peinture et de sculpture ou de l'Institut, à défaut de celle de l'Etat lui-même ! surabondance des envois y Tradition encore : Que sont les 4.849 numéros de cette année auprès des 2.369 qu'enregistra l'Exposition de 1800 ? Son catalogue — un volume — fait suite au « livret » de 1673. Son jury — qui ne fut supprimé que voici cent ans par la Révolution de 1848 — la manque de ses prix presque aussi nombreux que ceux de l'Académie française et, comme eux, inspirés souvent par de cocasses générosités (l'un va au peintre d'un nu d'enfant de huit à quinze mois !), cette manque dérive du prix de 5.000 livres fondé en 1725. Tradition toujours !... ...Et, par-dessus tout, tradition que son tenace refus des audaces et le soin scrupuleux qu'apportent ses adhérents à adopter, avec un retard minimum de cinquante ans, les innovations des « révolutionnaires du pinceau. Bien sûr : il y a parfois des pompiers qui prennent feu ; on le vit bien et en 1889
une fois une forêt (dm.) : Français (90). nas Rendez-vous (anl.) ; Salle Montparnasse. ne jeune fille errait (fr.) : Marivaux (20), Marignan (80), Mandrin (fr.) : Gmnt-Th *(2), Portiques 80 Apollo (90), Aubert (91). MARIVAUX Un humour irrésistible... une poésie délicieuse... une véritable émotion des images de une uteéba jamais e. a plus magnifique cin de WALT DISNEY EN depuis Blanche-Neige, Unio LE SALON CONSERVATOIRE DES TRADITIONS DEPUIS 300 ANS RIEN et n'entend plus de bêtises qu'un tableau d musée, affirmait a siècle dernier iHner Monnier,.. Voire : li ne pensait sap aux tableaux du Salon, du vrai dit seul qui t droit un S » majuscule et se passe de complément (mais non de Commentaires). Ains le veut l séculaire prestige d'une institution qui, faute de remonter au déluge (auquel fait penser le déferlement des toiles), peut se flatter de dater d 1648. Ce qui bien sûr, ne al rajeunit pas, mais la dote d'une tradition. Son caractère officiel et traditionnel : n fut-elle pas pendant près de deux siècles l'apanage de l'académie de peinture et d sculpture ou ed l'nsttt, à défaut de de tatE'l lui-même ! surabondance des envois y aditi encore : Que sont les 4.849 numéros de cette année auprès des 2.369 qu'enregistra l'Exposition de 1800 ? Son catalogue — un volume — fait suite au « livret » de 1673. Son jury — qui ne fut supprimé e voici cent ans par al Révolution de 1884 la manque de ses prix prsq aussi nombreux que ceux de 'Académie française et, comme eux, inspirés souvent par d cocasses générosités ('un va au peintre d'un nu 'ft de huit à quinze mois !), cette manque dérive ud prix de 5.000 livres fondé en 1725. Tradition toujours !... ...Et, par-dessus tout, tradition que son tenace refus des audaces et l soin scrupuleux qu'apportent ses adhérents à adopter, avec un raedrt minimum de cinquante ans, l innovations des « révolutionnaires du pinceau. Bn sûr : il y a parfois des pompiers uiq prennent feu on le vit bien et en 1889
: Que sont les 4.849 numéros de cette année auprès des 2.369 qu'enregistra l'Exposition de 1800 ? Son catalogue — un volume — fait suite au « livret » de 1673. Son jury — qui ne fut supprimé que voici cent ans par la Révolution de 1848 — la manque de ses prix presque aussi nombreux que ceux de l'Académie française et, comme eux, inspirés souvent par de cocasses générosités (l'un va au peintre d'un nu d'enfant de huit à quinze mois !), cette manque dérive du prix de 5.000 livres fondé en 1725. Tradition toujours !... ...Et, par-dessus tout, tradition que son tenace refus des audaces et le soin scrupuleux qu'apportent ses adhérents à adopter, avec un retard minimum de cinquante ans, les innovations des « révolutionnaires du pinceau. Bien sûr : il y a parfois des pompiers qui prennent feu ; on le vit bien et en 1889 quand des forcenés quittèrent le sein, quiet de la « Société des Artistes Français » pour former la « Nationale des Beaux-Arts ». Mais ces « fauves » avant la lettre s'appelaient Gavroche de Chavannes et Meissonnier, ceux de Meissonnier dont, comme de Detaille, Degas l'aurait pu commenter les « scènes de bataille » par cette phrase : « Tout est en fer... sauf les cuirasses ! » L'anthologie des tableaux refusés Mais quoi ! on est toujours le révolutionnaire de quelqu'un. Watteau, « peintre idéal de la fête », vit bien reprocher d'exposer des « bambochades ». Didot traitait Boucher de « peintre de culs » et raillait Gérard qui avait le tort de se croire peintre d'histoire avant de se vouer à l'interprétation de sa Cruche cassée d'épouse. Ingres, oui, monsieur Ingres, par son « Salon de 1806 », s'entendit taxer de « gothisme » ! Et il n'est pas jusqu'au bucolique Millet, peintre de l'Angélus. Il qui la critique ne sonna les cloches pour ses Glaneuses qualifiées de « Parques du pompiérisme » ! En vérité, les exposants peuvent dauber sur la critique qui, même incarnée par Thiers, Guizot, Musset, Mérimée, Gautier et Baudelaire, émit des jugements
: Q sont les .8 nmérs de eettc année prs des 39.62 qu'enregistra xiion de 1800 oSn teguoaacl un volume — fait suite au « lvrt » de 1673. Son jury — qui ne fut supprimé que vc cent ans par la Rotin de 8 — la manque de ses prix presque aussi nombreux que ceux de 'ca française et comme eux, nsprés souvent par de cocasses générosités (l'un va au peintre d'un n 'enfant de huit à une ms !), ctt manque eidvér du ixrp de 5.000 livres fondé en 1725. nridaToti toujours .!.. ...Et, par-dessus tout, tradition ue son tenace refus des audaces et le sn scrplx qu'apportent ses adhérents à adopter, avec un rtrd mnmm d cinue ans, les innovations des « révolutionnaires du pinceau. ineB û : l a prfs des pompiers qui rent feu ; on le vit bien et n 1889 quand dse forcenés quittèrent l sein, quiet de la « Société des Artistes Français » pour former la « Nationale des Bx-rts ». Mais ces « fauves » avant l lettre s'pplnt Gavroche de Chavannes et Mssnnr, cx de Meissonnier dont comme de Dtalle Dgs l'aurait pu commenter les « scènes de bataille » par ttece phrase Tout est en fer... sauf cuirasses ! 'antho des tableaux refusés Mais quoi ! on est toujours le révolutionnaire de quelqu'un. ate,utWa « peintre éal de la ftêe », i e reprocher poer des « bambchae ». Didot traitait Boucher d « peintre de culs » t raillait Gérard qui avait le tort de se croire peintre d'histoire avant de se vouer à l'interprétation sa Cruche cassée d'épouse. Ingres, oui, monsieur Ingres, par son « Sln de 1806 , s'entendit txr d gothisme » Et il n'est pas jqu'au buol Millet, pntr d l'Angélus. Il qui l critique ne sonna les cloches pour ses Gaese qualifiées de « Parques du pompiérisme » ! En vérité les xpsnts euven dbr sur la critique q, même ncrné par Thiers Guizot, Musset, Mérimée, Gautier et Baudelaire, émit des jugements
scènes de bataille » par cette phrase : « Tout est en fer... sauf les cuirasses ! » L'anthologie des tableaux refusés Mais quoi ! on est toujours le révolutionnaire de quelqu'un. Watteau, « peintre idéal de la fête », vit bien reprocher d'exposer des « bambochades ». Didot traitait Boucher de « peintre de culs » et raillait Gérard qui avait le tort de se croire peintre d'histoire avant de se vouer à l'interprétation de sa Cruche cassée d'épouse. Ingres, oui, monsieur Ingres, par son « Salon de 1806 », s'entendit taxer de « gothisme » ! Et il n'est pas jusqu'au bucolique Millet, peintre de l'Angélus. Il qui la critique ne sonna les cloches pour ses Glaneuses qualifiées de « Parques du pompiérisme » ! En vérité, les exposants peuvent dauber sur la critique qui, même incarnée par Thiers, Guizot, Musset, Mérimée, Gautier et Baudelaire, émit des jugements que la postérité ne ratifie pas, les critiques ont bien plus beau jeu encore de s'esclaffer au souvenir des erreurs monumentales des jurys. Ah ! le palmarès de chefs-d'œuvre qu'on établirait avec la liste des tableaux refusés ! En 1835 c'est Corot qui est écarté comme sera, en 1862, le Fière et, en 1963, le Déjeuner sur l'herbe de Manet ou, en 1867, les Femmes dans un Jardin de Claude Monet. Et, dans ses lettres, combien de fois, le bon, le grand Cézanne se plaindra-t-il toujours de ne pouvoir pénétrer dans « le Salon de monsieur Bouguereau... » Réplique au « quarante et unième fauteuil » de l'Académie, le Salon des Refusés, créé par Manet, fit scandale tout comme Le Radeau de la Méduse de Géricault, en 1819, ou Dante et Virgile de Delacroix, en 1822. L'Olympia de Manet avait suscité les aboiements du public effaré devant ce nu qui osait n'être pas en pâte de guimauve. Pour un petit, l'on eût redit « jamais le culte de la laideur n'avait été poussé si loin » comme Delecluse écrivait à propos de l'Enterrement d'Ornans de Courbet. Nous avons vu pire depuis, on le sait, et nos yeux sont blasés. LE
ès de bataille » par cette phrase : « Tout st en fer... sauf les cuirasses ! » 'anthologie ds tau refués Mais quoi ! on est toujours le révolutionnaire de quelqu'un. Watteau, « peintre idéal de la fête », vit bien reprocher d'exposer de bambochades Didot traitait Boucher de « peintre de culs » et raillait Gérard qui avait le tort de se croire peintre d'histoire avant de se vouer à lpiirtoé'ertantn de s Cruche sécsea u.sdéep'o Ingres, oui, monsieur Ingres, rpa son « Salon de 1806 », s'entendit x de « gothisme » ! Et il nest pas jusqu'au bucolique Millet, peintre de l'Angélus. Il qui la critique ne s les cloches pou ses e qlfés de « Parques du pompiérisme » ! En vérté, les exposants peuvent dauber sur la riu qui même incarnée par Thiers, Guizot, Musset, Mérimée, Gautier t Baudelaire, émit des geemtsjun que la postérité ne ratifie pas, les critiques ont bien plus au jeu encore de s'esclaffer au souvenir des erreurs monumentales des jurys. Ah ! le palmarès de chefs-d'œuvre qu'on établirait avec la liste ds tableaux refusés ! En 1835 c'est Corot qui est ar comme sr, en 1862, le Fière et, n 1963, le Déjeuner sur l'herbe de Manet ou, en 1867, les Fmms dans un Jardin d Claude Monet. Et, dans ses lettres, cmbn d fois, l bon, le grand Cézanne se plaindra-t-il tjrs d ne pouvoir pénétrer dans le Salon de monsieur .u.eoauuB.reg » Réplique au « qrnt et unième fauteuil » de l'Académie, le Salon des Refusés, créé par Manet, fit scandale tout comme Le Radeau de la Méduse de Géricault, en 1819, ou Dante et Virgile de Delacroix, en 1822. L'Olympia de Manet avait suscité les aboiements du pblc effaré devant ce n qui tosai n'être pas en pâte de guimauve. Pour un petit, l'on et redit jamais le culte de la laideur n'avait été poussé si loin » comme Delecluse écrivait à propos l'Enterrement d'Ornans de Courbet. os avons vu pire depuis, no le sait, et nos yeux sont blasés. LE
Fière et, en 1963, le Déjeuner sur l'herbe de Manet ou, en 1867, les Femmes dans un Jardin de Claude Monet. Et, dans ses lettres, combien de fois, le bon, le grand Cézanne se plaindra-t-il toujours de ne pouvoir pénétrer dans « le Salon de monsieur Bouguereau... » Réplique au « quarante et unième fauteuil » de l'Académie, le Salon des Refusés, créé par Manet, fit scandale tout comme Le Radeau de la Méduse de Géricault, en 1819, ou Dante et Virgile de Delacroix, en 1822. L'Olympia de Manet avait suscité les aboiements du public effaré devant ce nu qui osait n'être pas en pâte de guimauve. Pour un petit, l'on eût redit « jamais le culte de la laideur n'avait été poussé si loin » comme Delecluse écrivait à propos de l'Enterrement d'Ornans de Courbet. Nous avons vu pire depuis, on le sait, et nos yeux sont blasés. LE SALON 48 INCITE tout ensemble au scepticisme et à la modestie résignée à l'erreur, par un retour en arrière, hasardons-nous donc hardiment dans le dédale du Palais des Beaux-Arts. Nulle émotion trop violente n'y guette les critiques cardiaques. Tout au plus la constatation qu'il présente une nette déflation du portrait officiel : la maison Bonnat ne compte que peu de successeurs. Mais le visiteur y trouvera son large compte de scènes de genre, d'intérieurs bourgeois; de pénombres d'église où éclate la polychromie des vitraux. Les peintres de la France d'outre-mer y déversent leur abondante moisson de souvenirs pittoresques, et tous les terroirs de France sont mis à contribution par les paysagistes. Que retenir ? Certes, les œuvres sensibles de ces doyens, issus de l'impressionnisme F. Maillaud, J. Pearm, du délicat et tendre Désiré-Lucas, du probe Cornil, les fleurs de Dupuy, les compositions d'Aubry, les nus de Bauti, de Renault, d'E. Baes; le paysage franc-comtois de Jouffroy, le paysan de Montagné, les sculptures d'Halbout, de Courbier, le portrait de N. Vaghn Wein mannpar par Sudre, les natures mortes de Bergès, tous « Artistes Français »... ...Et, dans les étages réservés à la Nationale, les paysages finement écrits de Klingsor, les portraits
Fière et, en 1963 le Déjeuner sur l'herbe d Mane ou, en 1867, les Femmes dans un Jardin de Claude Monet. ,tE dns ses lettres, combien de i, le bon, le grand zn se lnril toujours de ne pouvoir pénétrer dans « le Sl de monsieur au. » él au « naarqteu et unième fauteuil » d l'Académie, le Salon des Refusés, créé par Manet, t scandale tout comme Le Radeau d la Médus de Gérialt en 1819, ou Dante et Vigle de Delacroix, n 1822. LOlympia de Manet avait suscité les aboiements du public effaré dvnt ce nu ot n'être a en pâte d guimauve. Pour un petit, l'on eût redit « jamais le culte de la laideur n'avait é poussé s loin » comme Delecluse écrivait propos d l'Enterrement dOrnans d Courbet. Ns avons vu pire depuis, on le sait, et nos yeux nots blasés LE SALON 48 INCITE tout ensemble scptcsm et la modestie résignée l'erreur, par un retour en rrèr, hasardons-nous donc hrdit dans le dédale du Palais des Beaux-Arts. Nulle émotion trop ltnoveei ' guette les critiques cardiaques. Tout au plus la constatation qu'il présente une nette déflation d portrait officiel : la maison Bonnat ne compte que peu de successeurs. Mais l visiteur y trouvera son large compte de enèscs de genre, 'rs bourgeois; de pénmbrs d'église où éclt la polychromie des vitraux. Les peintres de la Frnc d'tr-mr y déversent leur abondante moisson de souvenirs pittoresques, et ts les terroirs de France sont ms à contribution par les paysagistes. Que retenir ? Certes les vœesru sensibles de ces de issus de limpressionnisme F. Maillaud, . Pearm, du délicat et tendre Désiré-Lucas, d probe Cornil les fleurs de Dupuy, ls compositions d'Aubry, les nus de Bauti, de Renault, dE.' Baes le paysage franc-comtois de Jouffroy, le paysan de Mntgné, les sculptures d'Halbout, de Corber le portrait de N. Vaghn Wn mannpar par Sudre l natures mortes de Bergès, tous « Artistes Français .».. ...t, dans les étgs réservés à la oatna,iNel les paysages finement écrits de Klingsor, les portraits
officiel : la maison Bonnat ne compte que peu de successeurs. Mais le visiteur y trouvera son large compte de scènes de genre, d'intérieurs bourgeois; de pénombres d'église où éclate la polychromie des vitraux. Les peintres de la France d'outre-mer y déversent leur abondante moisson de souvenirs pittoresques, et tous les terroirs de France sont mis à contribution par les paysagistes. Que retenir ? Certes, les œuvres sensibles de ces doyens, issus de l'impressionnisme F. Maillaud, J. Pearm, du délicat et tendre Désiré-Lucas, du probe Cornil, les fleurs de Dupuy, les compositions d'Aubry, les nus de Bauti, de Renault, d'E. Baes; le paysage franc-comtois de Jouffroy, le paysan de Montagné, les sculptures d'Halbout, de Courbier, le portrait de N. Vaghn Wein mannpar par Sudre, les natures mortes de Bergès, tous « Artistes Français »... ...Et, dans les étages réservés à la Nationale, les paysages finement écrits de Klingsor, les portraits de B.P. Farge, par Woog, par Madrassi, de Michel Georges-Michel qui, lui-même, expose fleurs et paysages de libre facture, les scènes sportives bien enlevées d'A. Jonclard, les toiles si habiles du spirituel J.-G. Dominque et les figures breughéliennes d'Eckman... Une initiative nouvelle vaut d'être retenue : la création d'une section réservée aux élèves des Beaux-Arts, parmi lesquels il semble qu'on peut fonder bon espoir sur Desfosses, Le Maire, Ricardo, Bichet, Siret, Dropsy — à condition qu'ils n'oublient pas la leçon de leurs glorieux anciens qui furent trop souvent des « refusés ». Guy DORNAND. Joan FONTAINE et Dennis O'KEEFE dans « Les Caprices de Suzanne », un film Paramount qui passa en version française au Th. Paramount et en version originale à l'Elysée-Cinéma, ROBIN DES BOIS AVAIT UN FILS. Vous pourrez voir prochainement les aventures extraordinaires du fils de Robin des Bois au GAUMONT-PALACE et au REX. Superproduction en Technicolor. A L'AMBIGUITY (DIMANCHE PROCHAIN) Reprise sensationnelle CLÔCHEMERLE Il ne s'agit pas d'un film mais d'une opérette triomphale, gaie et comique déjà jouée le vin plus du Beaujolais 1000 fois. Location ouverte : BOT. 76-05 Moi La Pologne projette de nationaliser les salles de spectacle afin de populariser le théâtre. Le
officiel la maison Bonnat ne compte que peu de ucesers Mas le visiteur y trouvera son g compte de scènes de genre d'intérieurs bourgeois; de pénombres d'église où éclate la polychromie des vitraux. Les peintres de la France d'outre-mer y déversent leur abondante moisson de souvenirs pittoresques, t tous ls terroirs d rne sont mis à contribution par les passe. Que retenir ? Certes les œuvres sensibles de ces doyens, su de 'impressionnisme F. Maillaud, J. Pearm, du délicat et tendre Désiré-Lucas, du probe Cornil, les fleurs de Dupuy, les compositions ur les us de Bauti, de Renault, d'E. Baes; le ayage franc-comtois de Jouffroy, le paysan de Montagné, les lue 'Halbout, de Courbier, le portrait de N. Vaghn Wein mannpar par Sudre, les natures mortes de Bergès, tu « Artistes Français »... ...Et, dans les étages réservés à la Nationale, les paysages finement écrits de Klingsor, les portraits de B.P. Farge, par Woog, par Madrassi, de Michel GeorgesMichel qui, lui-même, expose fleurs et paysages de libre facture, les scènes seortsivp bien enlevées d'A. Jonclard, les toiles si habiles du spirituel JG Dominque et les uisefgr eughine d'Eckman... Une initiative nvll vt d'être retenue : la création d'une section réservée aux élèves des Beaux-Arts, parmi lesquels l semble q'n peut nrfedo bon sur Desfosses, Le Maire, Ricardo, Bichet, Siret, Dropsy — à condition qu'ils n'oublient pas la lçn de leurs glorieux ae qui furent trop souvent des « refusés ». Gy DORNAND. Joan FONTAINE et Dennis O'KEEFE dans « Les Caprices de Suzanne », un film Paramount qui passa en version française Th. Paramount et en version originale à l'Elysée-Cinéma, ROBIN DES BOIS AVAIT UN FILS. Vous pourrez voir prochainement ls aventures extraordinaires du fls de Robin des Bois au GAUMONT-PALACE et au REX. uptin en Technicolor. L'AMBIGUITY (DIMANCHE ROAP)ICHN resRepi sensationnelle CLÔCHEMERLE Il ne s'agit pas d'un film mais d'une opérette t,eilhpmroa gaie et comique déjà jouée le vn plus du Bjls 1000 fs. Location ouverte : BOT. 76-05 Moi La Pologne projette de atoaiser les salles de spectacle an de populariser le théâtre. Le
réservée aux élèves des Beaux-Arts, parmi lesquels il semble qu'on peut fonder bon espoir sur Desfosses, Le Maire, Ricardo, Bichet, Siret, Dropsy — à condition qu'ils n'oublient pas la leçon de leurs glorieux anciens qui furent trop souvent des « refusés ». Guy DORNAND. Joan FONTAINE et Dennis O'KEEFE dans « Les Caprices de Suzanne », un film Paramount qui passa en version française au Th. Paramount et en version originale à l'Elysée-Cinéma, ROBIN DES BOIS AVAIT UN FILS. Vous pourrez voir prochainement les aventures extraordinaires du fils de Robin des Bois au GAUMONT-PALACE et au REX. Superproduction en Technicolor. A L'AMBIGUITY (DIMANCHE PROCHAIN) Reprise sensationnelle CLÔCHEMERLE Il ne s'agit pas d'un film mais d'une opérette triomphale, gaie et comique déjà jouée le vin plus du Beaujolais 1000 fois. Location ouverte : BOT. 76-05 Moi La Pologne projette de nationaliser les salles de spectacle afin de populariser le théâtre. Le chansonnier Roméo Carilda, retour de tournée, fera sa rentrée au COUCOU Z. premier mai en octobre. Ce n'est pas seulement « Le Crime des Justes » dont le metteur en scène Gehret prépare activement la mise en scène prochaine. Dans le même décor sauvage du massif de l'Atlas, ils tourneront très prochainement les extérieurs d'une autre œuvre d'André Chapellon, « Tabasco », dont, de concert, ils achèvent le découpage et le dialogue. Mercredi 28 avril à 21 h. Présentation à la presse de MADEMOISELLE comédie en 3 actes de Jacques Deval, mise en scène de l'auteur avec Berthe Bovy, Suzanne Mau, Carpentier avec Michel François, Robert Pagès, Geneviève Arno, Martine Brientne, Paule Alban, avec Jean Berteve et Daniel Delorme. Marcel Pagnol à un vœu d'Ingres. La mécanique... N'est-ce pas aussi la raison pour laquelle Il a accepté de prononcer l'éloge du physiologiste Marey dont les découvertes furent à la base de l'invention du cinéma ? C'est le 9 mai que, au cours d'un gala commémoratif, l'académicien-cinéaste fera ce discours. Le Casino-Montparnasse reprend vendredi soir l'opérette de Raoul Pugné et Grabrioché FAITES ÇA POUR MOI, qui fut pendant de longs mois le grand succès du Théâtre Antoine. L'Opéra-Comique CHAQUE SEMAINE MONTPARNASSE-GASTON
réservée aux éve esd Beaux-Arts, parmi equl il semble qu'on peut fonder bon espoir sur Desfosses, Le i, ,darRoic Bichet, Siret, Dropsy — à condition qu'ils noublient pas la leçon de leurs glorieux anciens qui furent trop souvent des rfsés ». Guy DORNAND. Joan FONTAINE et Dennis O'KEEFE dans Les Caprices de Suzanne », un film Paramount qui passa en version française au Th. Paramount et en version orgil à lElyséeCinéma ROBIN DES BOIS AVAIT UN FILS Vous pourrez voir prochainement les aventures extraordinaires du fils de Robin des Bois au GAUMONT-PALACE et REX. Superproduction en Technicolor. A L'MBGTY (DIMCH PROCHAIN) Reprise esionn CLÔCHEMERLE Il ne s'agit pas d'un film ms d'une opérette triomphale, gaie et comique déjà jouée le vn plus d Beaujolais 1000 fs. Location ouverte : BOT. 76-05 Moi La Pologne rojte de nationaliser ls salles de spectacle afin de populariser le théâtre. Le chansonnier Roméo Carilda, retour de tournée, fera sa rentrée au COUCOU Z. premier mai en octobre. Ce n'est pas seulement « L Crime des Justes » dnt le metteur en scène Gehret prépare activement la mise en scène prchn. Dans le même décor sauvage du massif de l'Atlas, ils tourneront très prochainement les extérieurs d'une autre œuvre d'André Chapellon, « Tabasco », dont, de concert, ils achèvent le découpage et le dialogue. Mercredi 28 avril à 21 h. niéoeatnsPtr à la presse de MADEMOISELLE comédie en 3 actes ed Jacques Deval, mis en scène de l'auteur avec Berthe Bovy, Suzanne Mau, Carpentier avec Michel François, Rbe Pagès, Geneviève Arno, Martine Brientne, uePla Alban, avec Jean Beee et Daniel Delorme. Marcel Pagnol à un vœu d'Ingres. La mécanique... N'est-ce pas aussi la raison pour lul Il a accepté d prononcer l'éloge du physiologiste Marey dont les découvertes furent à la base de l'invention du cinéma ? es le 9 mai que au cours d'un gala commémoratif, l'académicien-cinéaste fera ce discours. Le Casino-Montparnasse reprend vendredi soir 'pétte de Raoul Pugné et Grabrioché FAITES ÇA POUR MOI, qui fut pendant de longs mois le grand succès du Théâtre Antoine L'Opéra-Comique CHAQUE SEMAN MONTPARNASSE-GASTON
très prochainement les extérieurs d'une autre œuvre d'André Chapellon, « Tabasco », dont, de concert, ils achèvent le découpage et le dialogue. Mercredi 28 avril à 21 h. Présentation à la presse de MADEMOISELLE comédie en 3 actes de Jacques Deval, mise en scène de l'auteur avec Berthe Bovy, Suzanne Mau, Carpentier avec Michel François, Robert Pagès, Geneviève Arno, Martine Brientne, Paule Alban, avec Jean Berteve et Daniel Delorme. Marcel Pagnol à un vœu d'Ingres. La mécanique... N'est-ce pas aussi la raison pour laquelle Il a accepté de prononcer l'éloge du physiologiste Marey dont les découvertes furent à la base de l'invention du cinéma ? C'est le 9 mai que, au cours d'un gala commémoratif, l'académicien-cinéaste fera ce discours. Le Casino-Montparnasse reprend vendredi soir l'opérette de Raoul Pugné et Grabrioché FAITES ÇA POUR MOI, qui fut pendant de longs mois le grand succès du Théâtre Antoine. L'Opéra-Comique CHAQUE SEMAINE MONTPARNASSE-GASTON BATY DIRECTRICE : MARGUERITE JAMOIS Sous le patronage du Ministère de l'Education Nationale MONTSERRAT JUSQU'AU 9 MAI OUVRAGES SONORE D'UNE SOUSCRIPTION DU COMITÉ NATIONAL DU CENTENAIRE DE 1848 LE LIVRE DU CENTENAIRE Sous la direction de Charles MOULIN, Agrégé de l'Éducation physique, avec le concours de : Jean CASSOU Georges BOURGIN Georges DUVEAU Edouard DOLLENS Auguste PINTON Jean BOUCHARY Tirage sur papier sur gauze 40 Pages d'illustrations sur couche Couverture en Rives de 300 gr. Un volume In-4° rassemblant 344 pages 1.200 Francs ÉDITIONS ATLAS 19, rue Gustave-Flaubert, PARIS. un « emballeur », qui aurait laissé sur place « Van, Steenbergen » lui-même, un coureur qui, après une longue dictate, a retrouvé la totalité de ses immenses moyens, Louis Caput, le « joyeux phénomène », a remporté une grande victoire Internationale, couvrant les 251 kilomètres qui séparent Paris de Tours à la moyenne horaire de 43 km. 093 à l'heure. Il ne s'agit évidemment pas d'enterrer le cyclisme belge, lequel, il faut l'avouer, subit actuellement un sérieux malaise. Les routiers d'outre-Manche avaient jusqu'à présent réussi à sauver la face au dernier moment, rétablissant des situations désespérées. Fermo Camellini, sur leur propre terrain, Louis Caput sur un sol qu'il reconnaissait volontiers
très prochainement les extérieurs d'une aure œuvre édndA'r Chplln, « Tabasco », dont, de concert, sli achèvent le découpage et le dialogue. Mercredi 28 vlria à 21 h Présentation à la presse de MADEMOISELLE comédie en 3 actes de Jacques Deval, mise en scène de l'tr avec Berthe Bovy, Suzanne Mau, Carpentier avec Michel François, Robert Pagès, Geneviève Arno Martine Brientne, Paule Alban, avec Jean Berteve et Daniel Delorme. Marcel Pagnol un vœu d'n. La maiu... 'est-ce ps aussi la raison pour laquelle Il accepté de prononcer l'éloge du physiologiste Marey dont ls découvertes furent à la be de l'invention du cinéma ? C'est le 9 mai que, au cours d'un gala commémoratif, l'académicien-cinéaste fera c discours. Le Casino-Mntpaasse reprend vendredi sr l'opérette de Raoul Pugné et cabhéiGrro FAITES ÇA POUR MOI, qui fut pendant de longs mois le dangr succès du Théâtre Antoine. L'Opéra-Comique CHAQUE SEMAINE MONTPARNASSE-GASTON BATY DIRECTRICE : MARGUERITE JMS Sous le patronage du Ministère de l'Education Nationale MONTSERRAT JUSQU'AU 9 MAI OUVRAGES SONORE NDE'U SOUSCRIPTION COMITÉ AOL DU CENTENAIRE DE 1848 LE LVR DU CENTENAIRE Sous la direction de Charles MLN, Agrégé de 'Éducation physique, avec le concours de : Jean CASSOU Georges BOURGIN Grgs DUVEAU Edouard DOLLENS Auguste PINTON Jean BOUCHARY Tirage sur papier sur gauze 40 Pages d'illustrations sr couche Couverture en Rives 030 gr. Un volume In-4° rassemblant 344 pages 1.200 Francs ÉDITIONS ATLAS 19, rue Gustave-Flaubert, PARIS. n emballeur », q rt laissé sur place « Van, Steenbergen » lui-même, n coureur qui, après une longue dictate, a retrouvé la totalité de ses immenses moyens, Louis Caput le « joyeux phnmène », a remporté une grande vctr Internationale, couvrant sle 251 kilomètres qui séparent Paris d Tours à la moyenne horaire de 34 km. 093 à l'heure. Il ne s'agit évidemment pas 'enterrer le cclisme belge lequel, l faut l'avouer, subit actuellement un sérieux malaise. Les routiers d'outre-Manche avaient jusquà présent réussi à svr la fce au dernier mmnt, rétablissant des situations désspérés. Fermo Camellini, sur leur oreprp terrain, Louis Cpt urs un sol qu'il reconnaissait volontiers
BOURGIN Georges DUVEAU Edouard DOLLENS Auguste PINTON Jean BOUCHARY Tirage sur papier sur gauze 40 Pages d'illustrations sur couche Couverture en Rives de 300 gr. Un volume In-4° rassemblant 344 pages 1.200 Francs ÉDITIONS ATLAS 19, rue Gustave-Flaubert, PARIS. un « emballeur », qui aurait laissé sur place « Van, Steenbergen » lui-même, un coureur qui, après une longue dictate, a retrouvé la totalité de ses immenses moyens, Louis Caput, le « joyeux phénomène », a remporté une grande victoire Internationale, couvrant les 251 kilomètres qui séparent Paris de Tours à la moyenne horaire de 43 km. 093 à l'heure. Il ne s'agit évidemment pas d'enterrer le cyclisme belge, lequel, il faut l'avouer, subit actuellement un sérieux malaise. Les routiers d'outre-Manche avaient jusqu'à présent réussi à sauver la face au dernier moment, rétablissant des situations désespérées. Fermo Camellini, sur leur propre terrain, Louis Caput sur un sol qu'il reconnaissait volontiers comme leur bien, ont, en l'espace de quelques jours, remis les choses à leur juste place. Cédant à leur ardeur naturelle, nos coureurs attaquèrent dès les premières rampes de descentes de Chevruse. Tour à tour, Aubry, « Apo » Lazaridès, Giemini, Danl, Pernac, Chapatte, Rémy, G. Martin, Deabat s'échappèrent avec des fortunes plus ou moins diverses, mais avec un cran qui ne semblait nullement être du mois de août des rares Belges, Hendrickx ou les Inséparables Depredhomme et Keteleer, qui osèrent se joindre à eux. Contrairement à son habitude, Louis Caput ne prit pas le large dès la sortie du port. Le vent soufflait pourtant favorablement, mais il savait pertinemment que l'échappée ne s'avérerait pas solvable sur un terrain aussi rapide. Il resta donc bien sagement dans le peloton, aux côtés d'Emile Idée et de Camille Danguillaume, lequel, malheureusement, devait être mis hors course par une chute au ravitaillement de Vendôme. Pour Caput et Idée, comme pour Schotte et Sercu, fidèles à la tactique de l'attentisme, le tout était de « contrôler » à distance les échappées. Ils s'y employèrent avec succès, puisque au bas du « mur » de Bléré le courageux Breton André Mahé, seul en tête à
BOURGIN Georges DUVEAU Edouard DOLLENS Auguste PINTON Jn BOUCHARY Tirage sur papier sur gauze 40 Pages d'illustrations sur couche Couverture en Rives de 300 gr. Un volume In-4° rassemblant 344 pgs 1.200 Francs ÉDITIONS ATLAS 19, rue Gustave-Flaubert, PARIS un « auemebrll », i aurait laissé sur place « Van, Steenbergen » lui-même, un coureur qui, après ue longue dictate, a retrouv l totalité de ses immenses moyens, Louis Caput le « joyeux phénomène », a remporté une grande victoire Internationale, couvrant les 251 kilomètres qui séparent Paris de Tours la mynn horaire de 3 km. 093 l'heure. Il ne sagit évidemment pas d'enterrer le cse belge, lequel, il faut laer subit actuellement un sérieux mlaie. Les routiers d'outre-Manche avaient jusquà présent réussi à sauver la ce au dernier moment, rétablissant des situations désespérées. Fermo Camellini, ur leur propre terrain, Louis Ca sur un sl qu'il reconnaissait volontiers cmm leur bien, ont, en l'espace de quelques jours, remis les choses à leur jst place. Cédant à ardeur naturelle, nos coureurs attaquèrent dès le premières rampes de descentes de Chevruse. Tr à tour, Aubry, « Apo » Lazaridès, Gmn, Danl, Pernac, Chapatte, Rémy, G. Martin, Deabat s'échappèrent avec des fortunes puls moins diverses, mais avec un cran qui ne mlit nlmnt êtr du mois e août des rares Belges, Hendrickx ou les Inséparables Depredhomme et Keteleer, qui osèrent se joindre à eux. Cntrrmnt à son habitude, Ls apt ne prit s le g dès la sortie du port. Le vent soufflait prn favorablement, as il savait pertinemment que l'échappée ne s'avérerait pas solvable sur un terrain aussi rapide. Il resta donc bnie sagement dans le pltn, aux côtés d'Emile Idée et de Camille Danguillaume, lequel malheureusement, devait être sim hors course par une chute au ravitillen de Vendôme. Pour Caput et dée comme pour Schotte et Sercu, fidèles à la tactique de lattentisme el tout était de « contrôler à distance les échappées. Ils s'y mploe avec succès, puse au bas d « mur » de Bléré le courageux Breton André Mahé, seul en tête à
des fortunes plus ou moins diverses, mais avec un cran qui ne semblait nullement être du mois de août des rares Belges, Hendrickx ou les Inséparables Depredhomme et Keteleer, qui osèrent se joindre à eux. Contrairement à son habitude, Louis Caput ne prit pas le large dès la sortie du port. Le vent soufflait pourtant favorablement, mais il savait pertinemment que l'échappée ne s'avérerait pas solvable sur un terrain aussi rapide. Il resta donc bien sagement dans le peloton, aux côtés d'Emile Idée et de Camille Danguillaume, lequel, malheureusement, devait être mis hors course par une chute au ravitaillement de Vendôme. Pour Caput et Idée, comme pour Schotte et Sercu, fidèles à la tactique de l'attentisme, le tout était de « contrôler » à distance les échappées. Ils s'y employèrent avec succès, puisque au bas du « mur » de Bléré le courageux Breton André Mahé, seul en tête à ce moment, reçut comme une gifle dans le dos le peloton, conduit par le maillot tricolore d'Emile Idée. Le champion de France avait en effet démarré, sèchement peu avant Amboise, avec Caput, Mignat, Lauck et Camellini. Un instant légèrement distancé, Mahé, qui a autant de classe que de courage, recolla quelques centaines de mètres plus loin. Stupefiant ! Aucun Belge ne figurait dans ce groupe. La course était jouée. Louis Caput pouvait à ce moment entrevoir déjà la victoire, Il plaça un futur gagnant à l'entrée du dernier virage sur la piste du vélodrome de Tours, auquel personne ne résista, pas même Idée qui, découragé, se laissa même souffler la seconde place par Robert Mignat. Grande révélation de ce début de saison. Six Français dans les dix premiers pour deux Belges — deux Italiens s'intercalant — voilà un résultat qui surprendra plus d'un mais qui, à bien réfléchir, « pendait au nez » des « Flanqueurs », comme dirait Louis Caput, véritable gavroche parisien. Jean LAMBERTIE. Le classement 1. Louis Caput; 2. Mignat, à 5 long, (tous les deux sur bic. Olympia, pneus Dunlop) ; 3. Idée ; 4. Jean Lauck; 5. Camellini; 6. Mahé; 7. Schotte (premier Belge), à
des fortunes plus ou moins diverses, mais avec un cran qui ne semblait nullement terê du ms de août des rares Belges, Hendrickx ou les Inséparables Depredhomme et Keteleer qui osèrent se jndr à e Contrairement son h,iuatdeb Louis Caput en prit pas le large dès la sortie du port. Le vent soufflait pourtant favorablement, mais il savait pertinemment que léchappée ne s'avérerait pas solvable sur un terrain aussi rapide. Il resta donc neib sagement dans le peloton, aux côtés d'Emile Idée et de Camille Danguillaume, lequel, malheureusement, devait être mis hors course par une chute au ravitaillement de Vendôme. Pour Caput et Idée, comme pour Schotte et Sercu, fièle à la tactique de l'attentisme, e tout ttiaé de « contrôler » à distance les échappées. ls sy employèrent avec succès, psq au bas du « mur » de lér el courageux Breton André Mahé, seul en êtte ce moment, reçut comme une gifle dans le dos le peloton, conduit par le maillot tricolore d'Emile dé. Le champion de France avait en effet démarré, sèheen peu avant Amboise, avec Caput, i, Lauck et Camellini Un instant légèrement distancé Mahé, i a autant de classe que d courage, recolla quelques centaines de mètrs plus loin Stupefiant ! Aucun Belge n figurait snad ce groupe. La course était jouée. Louis Caput pouvait à ce moment entrevoir déjà l victoire l plaça un futur gagnant à l'entrée d ieenrrd virage sur la piste du vélodrome d Tours, auquel personne n résista, pas même dIée q, découragé, se lss même ofer la csdnoee place arp Robert Mignat. Grande révélation d ce début d saison. Six Français dns les dix rir pour deux Blgs — deux Italiens s'intercalant — voilà un résultat qui surprendra pls 'un mais qui, à bnei réfléchir, « pendait au nez » des « Flanqueurs » comme dirait Louis Caput véritable gavroche ien. Jn LAMBERTIE. Le classement 1. Louis Cpt; . Mignat, à 5 long, (tous les deux sur bic. Olympia, pneus Dunlop) ; 3. Idée 4. Jn Lauck; . Camellini; 6. Mahé; . htSotec (premier Belge à
quelques centaines de mètres plus loin. Stupefiant ! Aucun Belge ne figurait dans ce groupe. La course était jouée. Louis Caput pouvait à ce moment entrevoir déjà la victoire, Il plaça un futur gagnant à l'entrée du dernier virage sur la piste du vélodrome de Tours, auquel personne ne résista, pas même Idée qui, découragé, se laissa même souffler la seconde place par Robert Mignat. Grande révélation de ce début de saison. Six Français dans les dix premiers pour deux Belges — deux Italiens s'intercalant — voilà un résultat qui surprendra plus d'un mais qui, à bien réfléchir, « pendait au nez » des « Flanqueurs », comme dirait Louis Caput, véritable gavroche parisien. Jean LAMBERTIE. Le classement 1. Louis Caput; 2. Mignat, à 5 long, (tous les deux sur bic. Olympia, pneus Dunlop) ; 3. Idée ; 4. Jean Lauck; 5. Camellini; 6. Mahé; 7. Schotte (premier Belge), à 2'24" ; 8. Leduc ; 9. Ramon ; 10. L, Lauk ; 11. Butteux; 12 ex-sequo : Bobet, Verschueren, Middelkamp, Van Steenbergen. Rosseel, Depredhomme, Declercq, Mollin, G. Martin Danl, Pernac, Guegan. Chrétien, Vlaernynck, Dupont, Dubuisson, Antonin Rolland, Queugnet, Cerami, Chapatte, Devreese, Dénouer, Giguet. Peeters Desbats, Schulte, Mago, rig ; 39. Rioland. à l' 52"; '40. Sercu, etc. Plus que 25 kilomètres! Caput fonce vers l'arrivée, suivi de Idée, Mignat, Jean Lauck et Camellini. LE TOUR DE FRANCE objectif n° 1 de CAPUT Dans le Tour de France, Louis Caput, l'an passé, battit un record : ce fut lui qui, sans nul doute, chassa la première la canette, avec Thiétard comme complice. On sait ce qui arriva aux deux compères : ils firent une chute assez sérieuse, du moins pour V. Biquel'ois. Cela se passait quelque part entre Paris et Lille, terme de la première étape. Comme nous rappelions ce fait à Caput sur la pelouse du vélodrome de Tours, l'ex-champion de France ne nia pas le fait, mais en profita pour me confier son ardent désir de se racheter. — Je vais le plus tôt possible déposer officiellement ma candidature pour le Tour de France. Et je te jure que
quelques centaines d mètres plus loin. Stupefiant ! Aucun e n figurait asdn ce groupe La course étt jouée. Louis Caput pouvait à ce moment entrevoir déjà la victoire, Il plç un ftr ggnnt à l'entrée du dernier virage su l piste du vélodrome de Tours, ql prsnn n éista ps même Idée qui, découragé, s laissa mêm souffler la ensodce place ar Robert Mignat. Grande ton de ce début de saison. Six Français dans ls dix premiers pour deux Belges — deux Italiens trcaln — voilà un résultat qui surprendra plus dun mais qui, à bien réfléchir, « pendait au nez » des « Flanqueurs », cmm dirait Louis Caput, eréabvilt gavroche parisien. Jn LAMBERTIE. Le classement 1. Louis Cpt; 2. atgn,iM à 5 long, (tous les deux sr bic. Olympia, pneus Dunlop) ; 3. Idée ; Jean Lauck; 5 Camellini; 6. Mahé; 7. Schotte (premier Belge), à 2'24" ; 8. Leduc ; 9. Ramon ; 10. L, Lauk ; 11. Butteux; 12 ex-sequo : Bobet, Verschueren, Middelkamp, Van Steenbergen. Rosseel, Depredhomme, Declercq, Mollin, G Martin Danl, Pernac Ggn. Chrétien, Vlaernynck, Dupon Dubuisson, Antonin Rllnd, Queugnet, Cerami, Chatt Deveee, Dénouer, Giguet. Peeters Desbats, Schulte, M,goa rg ; 39 Rioland. à l' 52"; '40. Sercu, etc Plus que 25 kilomètres! Capu fonce vers l'rrvé, sv de Idée, Mgnt, nJea Lauck et Camellini. LE TOUR FRANCE objectif n 1 de CAPUT Dans le Tour de Frne, uosLi Caput, l'an pssé, battit un eod : ce fut lui qui sans nul doute, chassa la première la canette, avec Thiétard comme complice. On st ce qui ari aux dx compères : ils firent une chute seazs sérieuse, du moins pour V. Biquel'ois. Cela se passait qlq part entre Paris et Lille terme de la première ap. Comme nous rappelions ce fait Caput sr la pelouse du véldrm de Tours, l'ex-champion de France ne nia pas le fait, mais en profita me confier son ardent désir de se racheter. — Je vs le plus tôt possible déposer officiellement m candidature pour le Tour de France. Et je te jure que
Rioland. à l' 52"; '40. Sercu, etc. Plus que 25 kilomètres! Caput fonce vers l'arrivée, suivi de Idée, Mignat, Jean Lauck et Camellini. LE TOUR DE FRANCE objectif n° 1 de CAPUT Dans le Tour de France, Louis Caput, l'an passé, battit un record : ce fut lui qui, sans nul doute, chassa la première la canette, avec Thiétard comme complice. On sait ce qui arriva aux deux compères : ils firent une chute assez sérieuse, du moins pour V. Biquel'ois. Cela se passait quelque part entre Paris et Lille, terme de la première étape. Comme nous rappelions ce fait à Caput sur la pelouse du vélodrome de Tours, l'ex-champion de France ne nia pas le fait, mais en profita pour me confier son ardent désir de se racheter. — Je vais le plus tôt possible déposer officiellement ma candidature pour le Tour de France. Et je te jure que je ne ferai pas le guignol comme l'an dernier. J'aime les courses par étapes. La « Ronde de France » a prouvé que je pouvais récupérer aussi bien que les spécialistes. Et puis, cette année, je ne me « trahie » pas. Je pédale « facile ». Je bois les kilomètres comme du petit lait. Qu'on me donne une montagne dans la grande boucle, je ne décevrai personne... Excellent pistard, mais non pas grande vedette comme les Bruneel, Schulte, Naeye ou Guy Lapébie, Robert Mignat a définitivement conquis ses titres de noblesse sur la route. Equipier de Louis Caput, il manifestait, tout comme son chef de file, le juste désir de prendre le départ du Tour de France. — Le Tourmalet ou le Galibier, c'est tout de même autre chose que de grimper en haut des virages, lui faisait remarquer Caput... Ce à quoi Mignat répondit du tac au tac : "Rendez-vous en haut des cols." Cochet mystifié par Marcel Bernard On pouvait craindre que la longue tournée de Marcel Bernard aux Etats-Unis ait nui à la bonne condition de notre champion. La finale des Championnats de Paris a apporté un démenti bien réconfortant à France quelques jours de l'entrée
Rioland. à l' 52"; '40. Sercu, etc. Pslu que 52 ekt!islorèm Caput fonce vers l'rrvé, suivi de e, Mignat, Jean Lauck t Camellini. L TOUR DE FRANCE objectif n° de PCATU Dans le Tour de rnce, Louis Caput, l'an passé, battit un record : ce fut lui qui, sans nul d,ueot chassa la première la ctn,eaet avec Thiétard comme complice. n tisa ce qui arva aux deux compères : ils firent une utche assez sérieuse du moins pour V. Biquelois Cel se passait quelque part entr Paris et Lille, eremt de la première étape. Comme nous rpon ce fait à Caput sur la pels d vélodrome de Tours, l'ex-champion de France ne nia pas le fait, ms en profita pour me confier ardent désir de se racheter. — Je iavs le plus tôt possible déposer officiellement ma candidature pour le Tr d France. Et je te jure que je ne fr pas le guignol comme l'an dernier. 'aime les courses par étapes. La « Ronde de France » a prouvé q je pouvais récupérer aussi bien equ les spécialistes. t puis, cette année, je ne me trahie » pas. Je pédale « fcil ». J bois les kilomètres comme du petit lait. Qu'on m donne une montagne dans la grande boucle, ej ne décevrai personne... Excellent pistard, mais non pas grande vedette comme les Bruneel, Schulte, Naeye ou Guy Lapébie, Robert Mignat a définitivement cnqs ses tits d ols sr a route. Equipier de Louis Caput, il manifestait, tout cmm son chef de file, le juste désir de prendre le déprt du Tour de France Le rmaet ou le Glbr, c'est tout de même autre chose que de grimper en haut sde virages, lui fasai remarquer Caput... Ce à quoi taMign répondit du tac au tac : "Rendez-vous en haut des cols." Cochet mystifié par Marcel Brnrd n pouvait craindre que la longue tournée de Mrcl Benar aux EtatsUnis ait nui à la bonne condition de notre champion. La afeiln des Championnats ed arsPi a apporté un mi bien réconfortant à France quelques jours d l'entrée
kilomètres comme du petit lait. Qu'on me donne une montagne dans la grande boucle, je ne décevrai personne... Excellent pistard, mais non pas grande vedette comme les Bruneel, Schulte, Naeye ou Guy Lapébie, Robert Mignat a définitivement conquis ses titres de noblesse sur la route. Equipier de Louis Caput, il manifestait, tout comme son chef de file, le juste désir de prendre le départ du Tour de France. — Le Tourmalet ou le Galibier, c'est tout de même autre chose que de grimper en haut des virages, lui faisait remarquer Caput... Ce à quoi Mignat répondit du tac au tac : "Rendez-vous en haut des cols." Cochet mystifié par Marcel Bernard On pouvait craindre que la longue tournée de Marcel Bernard aux Etats-Unis ait nui à la bonne condition de notre champion. La finale des Championnats de Paris a apporté un démenti bien réconfortant à France quelques jours de l'entrée de la France en Coupe Davis. C'est en effet les 2, 3 et 4 mai que l'équipe française ira offronter chez eux les Roumains. Elle est d'ailleurs partie hier matin par avion à destination de Bucarest, forte de Marcel Bernard, Destremau, Bolelli et Abdesselam. Mais revenons à la fin de dimanche, au cours de laquelle l'apprenti sorcier Marcel Bernard a mystifié le magicien Cochet avec une aisance qui en dit long sur sa forme actuelle. Intelligent et varié, autant que précis, le jeu de Marcel Bernard ne laissa à aucun moment la possibilité au mousquetaire glorieux de le mettre en danger. C'était bien lui le magicien tant sa balle liftée savait prendre en défaut le « vieux renard » du court. Les longs drivés appuyés sur le revers — point faible de Cochet — alternaient avec les amortis, puis soudain un de ces smashes imparables dont Marcel Bernard a le secret mettait fin à l'échange. Et les points succédaient aux points sans que Cochet pût jamais réagir devant cette marée grandissante déchaînée par la raquette de notre champion gaucher. En trois manches rapides — 6-4, 6-3, 6-2 — le sort de ce Lyonnais était réglé, trois manches qui démontrèrent les
kilomètres comme d petit lait. Qu'on me dnn une montagne dans la grande boucle, je ne décevrai personne... Excellent pistard, mais o pas gnd tte cmm les Bruneel, Schulte, Naeye ou Guy Lapébie, Robert Mgnt définitivement cnqs ss titres de noblesse sur la rt. Equipier de Louis Caput, il manifestait, tout ome son chef de file le juste ési de prendre le départ du Tour de France. — Le Tourmalet ou le Galibier, c'est tout de même autre osehc que de grimper en haut des virages, lui itaifsa remarquer Caput... Ce à quoi Mitnag répondit du tac au tac : "Rendez-vous en ht des cols." Cochet mystifié pr Marcel Bernard On pouvat craindre que la longue uoernté d Marcel Bernard aux Etats-Unis t inu la bnn condition de notre champion. La finale sed hampot de Paris a apporté un démenti bien réconfortant à France qus jours de l'entrée de la France en Coupe Davis. C'est en fft ls , et 4 mai que 'équipe française i offronter chez eux les Roumains. Elle est d'ailleurs a hier matin par avion à destination de Bucarest, forte de Marcel n,rrdaBe Destremau, Bolelli et Assla M revenons à la fin de dimanche, au cours de laquelle l'apprenti sorcier Marcel Bernard a mystifi le magicien Cochet avec une aisance q en dit long sr sa forme actuelle. Intelligent et ri, tnt que précis, le j de Marcel Brnrd n laissa à aucun moment la sibsoptiléi au mouseare glorieux de le mettre danger. C'était bien lui imegcnia tant sa balle liftée savait prendre en défaut l « vieux ar » du court. Ls longs drivés appuyés sur le revers — pnt faible de Cochet — alternaient vc les amortis, puis soan un d ce smashes imparables dont Marcel Brnrd a le scrt eta fin à l'échange. les points succédaient aux points sans que Cochet pût jamais réagir devant cette marée grandissante déchaînée par l raquette de notre champion aucher. En trois manches ds — 6-4, 63 6-2 — l sort de ce Lyonnais était réglé, trois manches q démontrèrent les
dimanche, au cours de laquelle l'apprenti sorcier Marcel Bernard a mystifié le magicien Cochet avec une aisance qui en dit long sur sa forme actuelle. Intelligent et varié, autant que précis, le jeu de Marcel Bernard ne laissa à aucun moment la possibilité au mousquetaire glorieux de le mettre en danger. C'était bien lui le magicien tant sa balle liftée savait prendre en défaut le « vieux renard » du court. Les longs drivés appuyés sur le revers — point faible de Cochet — alternaient avec les amortis, puis soudain un de ces smashes imparables dont Marcel Bernard a le secret mettait fin à l'échange. Et les points succédaient aux points sans que Cochet pût jamais réagir devant cette marée grandissante déchaînée par la raquette de notre champion gaucher. En trois manches rapides — 6-4, 6-3, 6-2 — le sort de ce Lyonnais était réglé, trois manches qui démontrèrent les progrès tactiques et techniques accomplis par Marcel Bernard au contact des champions américains. Une blonde qui triomphe Avec Marcel Bernard, la grande triomphatrice du tournoi fut la blonde Nelly Landry. Celle-ci s'adjugea trois titres : le simple, aux dépens de la brune Mme Seghers qui faillit bien causer la surprise, le mixte avec Budge Patty et le double avec Mme Begner. Ainsi les gauche avaient battu les droitiers. Robert POC. Les Championnats sont joués avec la balle DUNLOP. Hansenne et Jean Vernier améliorent leur condition La saison officielle d'athlétisme débutera samedi à Nantes. En fait, elle a été ouverte, officieusement, dimanche, à Chartres, à l’occasion du Challenge Delorme organisé par le club local, championnat couru par équipes sur 4 fois 1.000 mètres. Il a été l’occasion pour Hansenne et Jean Vernier de démontrer qu’ils tenaient déjà la forme. Certes les temps réalisés — respectivement 2' 28" 1/10 et 2' 29" 8/10 — sont assez éloignés du record national. À cela trois causes : la piste lourde, le vent assez violent et le fait que le C. A. Français possédait suffisamment d'avance après le deuxième relais pour que ses deux vedettes n’aient pas à pousser pour triompher. Derrière les vainqueurs, le
dimanche, au crs d laquelle l'apprenti sorcier Mrl Bernard a mystifié le magicien Ccht vc une aisance qui en dit long sur sa forme actuelle. Intelligent te vré, autant que pés, le jeu de arcl Bernard ne laissa à aucun moment l possibilité au mousquetaire glorieux de le mettre en danger. C'était bn lui le magicien ntat sa balle liftée savait prendre en défaut le « vie r » du court. Ls longs drivés appuyés sur le revers — point faible de Cochet — alternaient avec l amortis, puis soudain un de ces smashes imparables dont Marcel Bernard le secret mettait n à 'échange. Et les points succédaient aux points sans que Cochet pût jamais réagir devant cette marée igastndrnaes déchaînée par la raquette de notre chamon gaucher. En roi manches rpds — 6-4, 6, 6-2 — le sort de ce Lyonnais était réglé, trois manches qui démontrèrent les progrès tactiques et techniques accomplis par Mrcl Bernard au contact des champions américains. Une blonde qui triomphe Avec Marcel Bernard, la grande triomphatrice tournoi fut la blnd Nelly Landry. Cll-c s'adjugea trois titres le simple, xua dépens de la brune Mm er qui flli bien causer la rsui,sepr le mixte vc Budge Patty et e double avec Mme Bgnr. Ainsi les gauche avaient battu les droitiers. Robert PC.O Les Championnats son joués avec l balle DNLP. Hansenne et Jean Vernier améliorent leur condition La saison officielle d'athlétisme débutera smd à Nantes. En fait, elle a été ouverte, officieusement, dimanche, à atrC,erhs à l’occasion du Challenge Delorme organisé par le club local, championnat couru par équipes sur 4 fois 1.000 mètres. Il a été oiccasln’o pour Hansenne et Jean Vernier de démontrer qu’ils tenaient déjà a forme. Certes les temps rélsés — respectivement 2' " 1/10 et 2' 29" 8/10 — sont assez éloignés du record national. À cela trois causes : a piste urde, le vent assez violent et le fait q le C. A. Français possédait suffisamment d'avance après le deuxième relais pour q ses deux vedettes n’aient pas à pousser pour triompher Derrière les vainqueurs, le
le mixte avec Budge Patty et le double avec Mme Begner. Ainsi les gauche avaient battu les droitiers. Robert POC. Les Championnats sont joués avec la balle DUNLOP. Hansenne et Jean Vernier améliorent leur condition La saison officielle d'athlétisme débutera samedi à Nantes. En fait, elle a été ouverte, officieusement, dimanche, à Chartres, à l’occasion du Challenge Delorme organisé par le club local, championnat couru par équipes sur 4 fois 1.000 mètres. Il a été l’occasion pour Hansenne et Jean Vernier de démontrer qu’ils tenaient déjà la forme. Certes les temps réalisés — respectivement 2' 28" 1/10 et 2' 29" 8/10 — sont assez éloignés du record national. À cela trois causes : la piste lourde, le vent assez violent et le fait que le C. A. Français possédait suffisamment d'avance après le deuxième relais pour que ses deux vedettes n’aient pas à pousser pour triompher. Derrière les vainqueurs, le Stade Français prit une honorable seconde place, grâce surtout au « vétéran » Soulier, qui réalisa 2' 33", se classant devant le V. S. Chartrain et ses étoiles Gallet et Poulain. Barrit a remporté, au sprint, le championnat de Zurich. Scalbi a dominé C. Joly à l’arrivée du Grand Prix cycliste de Saint-Denis. Et Claye (vitesse), Illitch (demi-fond) et Dogon-Walerschoot (américaine), meilleurs pistards travaillistes à la "Cipale". Le Luxembourgeois Gillen a triomphé dans l’Omnium du vélodrome de Saint-Denis, devant Falk-Hansen, Dore, Le Nichevery et Rumi. Le Belge Rogiers a remporté la première étape du Tour de Hollande devant son compatriote Didden et l'Espagnol Gual. La V. G. A. du Sédéon a remporté la finale du championnat de France féminin de hockey en battant le F.C. Lyon par 4 à 3. Simon Steger a gagné la Coupe de France féminine de handball sur Feminà par 2. À Casablanca, Omar Kouidri bat Le Menjeb aux points et Dacissa bat Laboumine, k.-o. technique au 6e round. GUEUGNON ET ORLÉANS SE DÉTACHENT DÉJÀ CHEZ LES "PURS" La seconde journée du Championnat de France des amateurs fut, comme la première, favorable au champion actuel : Gueugnon qui a écrasé Vichy par 6 buts à 0.
le mixte avec Budge Patty et l double avec Mme Begner. Ainsi les gch avaient battu les droitiers. Robert PO.C Les Championnats sont joués avec la balle DUNLOP. Hansenne et Jean Vernier amére leur condition La saison officielle d'athlétisme débutera samedi à Nantes. En fait, elle a été our officieusement, dimanche, à Chartres, à l’occasion du Challenge Delorme organisé par le club local, chmpnnt couru par équipes sur 4 fois 1.000 mètres. Il a été l’occasion pour Hansenne et Jean Vernier de démontrer qu’ils tenaient déjà la forme. Certes les temps réalisés — respectivement 2' 28" 1/10 et 2' 8/10 — sont assez éloignés du record national. À cela trois causes : la piste lourde, le vent assez ioent et le fait que le C. A. Français possédait suffisamment d'avance après le du relais pour que ses deux vedettes n’aient pas à pousser pour triompher. Derrière les vnqrs, le Stade Français prit enu honorable seconde place, grâce surtout au « vétéran » Soulier, qui réalisa ' 33", se classant devant le .V S. Chartrain et ses étoiles Gallet et Poulain. Barrit a remporté, au sprint, le championnat de Zurich. Scalbi a dominé C. Joly à l’arrivée du Grand Prix cycliste de Saint-Denis. Et Claye (vitesse), Illitch (demi-fond) et Dogon-Walerschoot (américaine), meilleurs pistards travaillistes à la "Cipale". Le Luxembourgeois Gillen a triomphé dans lOmnium du vélodrome de Saint-Denis, devant Falk-Hansen, Dore, Le Nichevery et Rumi. Le Belge Rogiers a remporté la première étape du Tour de Hollande devant son compatriote Didden et l'Espagnol Gual. La V. G. A. ud Sédéon a remporté la ia du championnat de France féminin de hockey en bttnt le FC Lyon par 4 à 3. Simon Steger a gagné l Coupe de France fe de handball sur Feminà par 2. À Casablanca, Omar Kouidri bt Le Menjeb aux points et Dacissa bat Laboumine, k.o.- technique au 6e round. GUEUGNON ET ORLÉANS SE TCHN DÉJÀ CHEZ LES "PURS" La seconde journée du Championnat de France des amateurs fut, comme prmèr, faral au champion actuel Gueugnon q a écrasé Vichy par 6 buts à 0.
cycliste de Saint-Denis. Et Claye (vitesse), Illitch (demi-fond) et Dogon-Walerschoot (américaine), meilleurs pistards travaillistes à la "Cipale". Le Luxembourgeois Gillen a triomphé dans l’Omnium du vélodrome de Saint-Denis, devant Falk-Hansen, Dore, Le Nichevery et Rumi. Le Belge Rogiers a remporté la première étape du Tour de Hollande devant son compatriote Didden et l'Espagnol Gual. La V. G. A. du Sédéon a remporté la finale du championnat de France féminin de hockey en battant le F.C. Lyon par 4 à 3. Simon Steger a gagné la Coupe de France féminine de handball sur Feminà par 2. À Casablanca, Omar Kouidri bat Le Menjeb aux points et Dacissa bat Laboumine, k.-o. technique au 6e round. GUEUGNON ET ORLÉANS SE DÉTACHENT DÉJÀ CHEZ LES "PURS" La seconde journée du Championnat de France des amateurs fut, comme la première, favorable au champion actuel : Gueugnon qui a écrasé Vichy par 6 buts à 0. Les Bourguignons de Lucien Perpère sont bien partis pour conserver leur trophée. Cependant, pour la conquête du titre, ils auront un rival d'importance avec l'Arago d'Orléans, commandé et entraîné par Jules Vandooren. Les Orléanais ont en effet triomphé de Mazamet par 4 à 0. Caen a subi sa seconde défaite à Niort : 1 à 0, tout comme l'Amicale qui a succombé à Nancy par 3 à 0. Ces deux clubs sont dès maintenant hors de course. Bruay a encore une chance appréciable, mais il a eu du mal sur son terrain, cependant, à vaincre Mont-de-Marsan : 3 à 1, Strasbourg n'a pu faire mieux que match nul avec Merlebach : 1 à 1. Reims et Rennes étaient exempts. Persan gagne la Coupe Delaune La finale de la Coupe Auguste Delaune mettait aux prises Persan et Ivry. Match disputé avec ardeur de part et d’autre. Le résultat final de 3 à 1 en faveur de Persan était acquis à la mi-temps. Ferrer, Dailly et Schokart furent les artisans du succès de Persan. MARSEILLE POURSUIT IMPLACABLEMENT sa marche au titre QUAND LE MISTRAL souffle ou bon moment À trois journées de la fin du Championnat de France de football, l’Olympique de
cycliste de Saint-Denis. Et Claye (vitesse), Illitch (demi-fond) et Dogon-Walerschoot (américaine), meilleurs pistards travaillistes à la "Cipale". Le Luxembourgeois a triomphé dns l’Omnium du vélodrome de Saint-Denis, devant Fknsen Dore, Le Nichevery et Rumi. Le Belge Rogiers a remporté la première étape du Tour de Hollande devant sn compatriote Didden et l'Espagnol Gual. La . G. A. du Sédéon remporté la finale du championnat de France féminin de hockey en battant le F.C. Lyon par 4 à 3. Simon Steger a gagné al Coupe e France énemniif de handball r Feminà par 2. À Casablanca Omar Kouidri bat Le Menjeb aux points et Dacissa b Laboumine, .-. technique au 6e round. NUOENUGG ET OÉAN SE DÉTACHENT DÉJÀ CHEZ LES "PURS" La seconde journée du Championnat de France des raesutam fut, mm la première, favorable au champion actuel : Gueugnon qui a asé Vichy par 6 buts à . Les Bourguignons de Lucien Perpère sont bien partis opru conserver leur trophée. Cependant, pour la conquête du titre ils auront un rival d'importance avec 'Arago 'Orléans, commandé et entraîné par Jules Vndrn. Orléanais ont en effet triomphé de Mazamet par 4 à . eanC sbi sa scnd défaite à Niort : 1 à 0, tout comme l'Amicale qiu succombé à acy par 3 0. Ces deux cub sont dès maintenant hors de course. Bruay encore une chance appréciable, mais li a eu du mal sur son terrain cpndnt, à vaincre Mont-de-Marsan : 3 à , Strasbourg n'a pu faire mieux que match nul avec Merlebach : 1 à 1. Reims et nnes étaient exempts. Persan ggn a Coupe lan La finale de la Coupe Auguste Delaune mettait aux prises Persan et vry. Match disputé avec e de part et .date’ur Le résultat final de 3 à 1 en vu de Persan était acquis à la mi-temps. Ferrer, Dailly et Sch furent ls artisans du succès de Persan. MARSEILLE POURSUIT IMPLACABLEMENT sa marche au tetri UQDNA LE MISTRAL sffl ou bon moment À trois journées de la fin du Championnat de France de ftbll, l’Olympique de
à Niort : 1 à 0, tout comme l'Amicale qui a succombé à Nancy par 3 à 0. Ces deux clubs sont dès maintenant hors de course. Bruay a encore une chance appréciable, mais il a eu du mal sur son terrain, cependant, à vaincre Mont-de-Marsan : 3 à 1, Strasbourg n'a pu faire mieux que match nul avec Merlebach : 1 à 1. Reims et Rennes étaient exempts. Persan gagne la Coupe Delaune La finale de la Coupe Auguste Delaune mettait aux prises Persan et Ivry. Match disputé avec ardeur de part et d’autre. Le résultat final de 3 à 1 en faveur de Persan était acquis à la mi-temps. Ferrer, Dailly et Schokart furent les artisans du succès de Persan. MARSEILLE POURSUIT IMPLACABLEMENT sa marche au titre QUAND LE MISTRAL souffle ou bon moment À trois journées de la fin du Championnat de France de football, l’Olympique de Marseille — vainqueur de Roubaix par 6 buts à 0 — semble fermement décidé à mettre les bouchées doubles. Bien que n'ayant pas choisi son heure, la grande formation méridionale arrive au bon moment. Ce résultat est logique. Il récompense le « onze » le plus régulier, le plus robuste, le plus maître de soi. Pas d’efforts inconsidérés ! Pas de représentations spectaculaires ! Une marche sûre, lente, implacable vers le titre aujourd'hui plus que jamais à la portée de la belle « machine » marseillaise. Lille, tenu en échec par Rennes, est toujours à la recherche de son équilibre. Reims n'a pas réalisé devant Strasbourg le match qui pouvait lui redonner un peu d'espoir à ses supporters. Sur les bords de la grande bleue, les Hillemann, Grava, Leenaert et autres Stricane n'ont pas pesé lourd devant les équipiers de Bastien. Une fois de plus, René Bihel fut la grande vedette de cette partie suivie par 23.000 spectateurs enthousiastes. Se démarquant à tout bout de champ, « semant » son proprement son ange gardien Meuris, l'ex-trico-lore servait à point ses voisins, tant et si bien que les deux internationaux Aznar et Robin marquèrent chacun trois buts. Cette victoire — escomptée
à Niort : 1 à 0, tout comme l'Amicale qui a succombé à Nancy par 0. Ces deux clbs sont dès nnttaaemni hrs de course. Bruay encore une chance appréciable, mais i a ue ud mal sur son terrain, cpndnt, à vaincre Mont-de-Marsan : 3 à 1, Strasbourg n'a pu faire xieum que match nul vc Merlebach : 1 à 1. Reims et Rennes étaient xmpts. Persan gagne la Coupe Delaune La finale de la Coupe Auguste Delaune mettait aux prises Persan et Ivry. Match disputé avec ardeur de part et dautre Le résltt final de 3 1 en faveur de Persan éit acquis à la mi-temps. Ferrer, Dailly et Schokart furent les artisans du succès de Persan MARSEILLE POURSUIT IMPLACABLEMENT sa marche au titre QUAND LE MISTRAL souffle ou bon moment À trois journées d al fin du Championnat de France de football, l’Olympique de Marseille — vainqueur de Roubaix par 6 but à 0 — semble fermement décidé à mettre ls bouchées dbls. Bien que n'ayant pas choisi son heure, la rgaend formation mérdnl ari au moment. Ce résultat est logique. Il récompense le « onze » le plus régulier, le plus robuste, le plus maître de soi. Pas d’efforts inconsidérés ! Pas de rprésnttns spectaculaires ! Uen marche sûre, lente, implacable vers l titre aujourd'hui plus que jamais à la ré de la belle « machine » marseillaise. Lille, tenu n échec pr Rennes, est toujours à la recherche de son équilibre. Reims n'a pas réalisé devant Strasbourg le match qui pouvait lui redonner un p d'espoir à ses supporters. Sur le bords de la grande bleue, les Hillemann, Grava, Leenaert et autres Stricane n'ont pas pesé uorld devant les équipiers de etBsa.ni Une fois de plus René Bihel fut grande vedette de cette partie suivie par 23000 spectateurs enthousiastes. Se démarquant à tout bout de champ, « semant » son proprement son ange gardien Meuris, l'x-trc-lr servait à point ses voisins, tant et si bien que les deux nnritantuaieox Aznar et Rbn marquèrent chacun trois buts C victoire — escomptée
le plus maître de soi. Pas d’efforts inconsidérés ! Pas de représentations spectaculaires ! Une marche sûre, lente, implacable vers le titre aujourd'hui plus que jamais à la portée de la belle « machine » marseillaise. Lille, tenu en échec par Rennes, est toujours à la recherche de son équilibre. Reims n'a pas réalisé devant Strasbourg le match qui pouvait lui redonner un peu d'espoir à ses supporters. Sur les bords de la grande bleue, les Hillemann, Grava, Leenaert et autres Stricane n'ont pas pesé lourd devant les équipiers de Bastien. Une fois de plus, René Bihel fut la grande vedette de cette partie suivie par 23.000 spectateurs enthousiastes. Se démarquant à tout bout de champ, « semant » son proprement son ange gardien Meuris, l'ex-trico-lore servait à point ses voisins, tant et si bien que les deux internationaux Aznar et Robin marquèrent chacun trois buts. Cette victoire — escomptée du reste, mais pas de façon aussi nette — place Marseille seul en tête avec 44 points et un excellent ratio d'avantage (74 buts à 37), soit la moyenne de 2,00. Lille, en effet, accuse une baisse de forme sensible. Se réservant du reste, mais pas de façon aussi nette — place Marseille seul en tête avec 44 points et un excellent ratio d'avantage (74 buts à 37), soit la moyenne de 2,00. Lille, en effet, accuse une baisse de forme sensible. Se réservant du reste, mais pas de façon aussi nette — place Marseille seul en tête avec 44 points et un excellent ratio d'avantage (74 buts à 37), soit la moyenne de 2,00. Reims sauvé des eaux Troisième candidat au fauteuil d'honneur, Reims recevait Strasbourg. La victoire lui laissait encore ses chances intactes. Mais Strasbourg, en plein redressement depuis un mois, a réussi l'exploit de contenir les efforts des avants champions et a tenu le match nul : 3 buts partout. Encore faut-il ajouter que ce résultat est heureux pour Reims, puisque les deux buts marqués par Flamion (un dans chaque mi-temps) sont très contestables. Reims est donc 3. avec 42 points. Rien de perdu encore, mais la
le u maître de soi. Pas d’efforts inconsidérés ! Pas de représentations spectaculaires ! Une marche sûre lente, implacable vers le titre auord'hi plus que jms à portée de la bel machine » marseillaise. Lille, tenu en échec par Rennes, est ojr à la recherche de son équilibre Reims na ps laréési eant Strasbourg le mtch qui pouvait lui redonner un peu d'espoir à ses supporters. Sur sel bords de la grande lee les Hlann, Grava Lnrt et uetras Stricane n'nt pa pesé lourd devant les équipiers de Bastien. Une fois de plus, René Bihel fut la grande vedette de cette partie suivie par 20003. spectateurs enthousiastes. Se déran à tout bout de champ, semant » son proprement sn ange gardien Mrs, l'ex-trico-lore servait à point ses voisins tnt et si en qeu les nternoa Aznar et Robin marquèrent uaccnh trois buts. Cette victoire — ectspemoé du reste mais s de f aussi nette — ple Marseille seul en tête avec 44 oins et n excellent ratio d'avantage (74 buts à 3) soit la moyenne d 2,00. eillL, en effet, accuse une baisse de forme sensible. Se réservant du reste, mais pas de façon aussi ee — pecal ail seul n tête avec 44 points et un excellent ratio d'avantage (74 btsu à 37), soit la mynn de 200 Lille, en effet, accuse une baisse ed forme sensible. Se réservant du reste, mais pas d façon aussi nette — place Marseille seul en tte avec 44 points et n excellent ratio d'avantage (74 buts à 37), soit la moyenne de 2,00. Reims sauvé des x Troisième candidat au fauteuil 'neu, Reims rcvt Strasbourg. La victoire lui laissait ncr ses chances intactes. Mais Strasbourg, en plein redressement depuis un mois, a réussi l'exploit de conn les efforts ds avants champions et a tenu le match nul : 3 buts partout. Encore fautil ajouter que ce résultat est heureux pour Rms, puisque les deux buts marqués par Flamion (un dans chaque mi-temps) sont très contestables. Reims est d 3. avec 42 points. Rien de perdu ncr, mais la
— place Marseille seul en tête avec 44 points et un excellent ratio d'avantage (74 buts à 37), soit la moyenne de 2,00. Lille, en effet, accuse une baisse de forme sensible. Se réservant du reste, mais pas de façon aussi nette — place Marseille seul en tête avec 44 points et un excellent ratio d'avantage (74 buts à 37), soit la moyenne de 2,00. Reims sauvé des eaux Troisième candidat au fauteuil d'honneur, Reims recevait Strasbourg. La victoire lui laissait encore ses chances intactes. Mais Strasbourg, en plein redressement depuis un mois, a réussi l'exploit de contenir les efforts des avants champions et a tenu le match nul : 3 buts partout. Encore faut-il ajouter que ce résultat est heureux pour Reims, puisque les deux buts marqués par Flamion (un dans chaque mi-temps) sont très contestables. Reims est donc 3. avec 42 points. Rien de perdu encore, mais la position de Marseille paraît désormais inexpugnable.. C'est à Colombes et non au Parc que se disputera, dimanche prochain, le match Racing-Marseille. Les autres candidats aux places d'honneur ont subi des fortunes diverses. Nancy est définitivement hors de danger. Sa victoire sur Metz, par 4 à 2, lui permet d'envisager l'avenir avec sérénité. Il en est de même pour Cannes, qui sort de la zone dangereuse grâce à une belle victoire sur Alès (4 à 1) et pour Toulouse, qui fait match nul avec Sochaux (2 à 2). Sète, en arrachant le match nul à Montpellier (1 à 1), glane un point précieux. Les pauvres Audoniens ont été littéralement massacrés par Saint-Etienne. On se demande même ce qu'il ferait advenu sans la grande partie fournie par le petit portier de Saint-Ouen : Crosland. Le grand « Derby » paristhien n'a guère été favorable aux vedettes du Stade Français ! L'équipe homogène du Racing, actuellement en excellente condition, s'est un peu trop facilement jouée de sa rivale. Très souvent, on avait l'impression que Vaast, Moreel, Bongiorni jouaient au chat et à la souris avec la défense du Stade, souvent affolée : 5 buts à 1, c'est le plus gros score encaissé par
— place Marseille sl en tête avec 44 points et un excellent ratio d'avantage (74 buts à 37), soit la moyenne de 2,00. Lille, en eft,ef accuse une bsse de forme sensible. Se réservant du reste, mais pas de façon aussi e — place Marseille seul en tête avec 44 points et n excellent ratio 'avantage (74 bts à 37), soit la moyenne de ,00. Reims sauvé des eaux Troisième candidat au fauteuil dhonneur Reims recevait Strasbourg La victoire lui laissait encore ses chances intactes. Mais Strasbourg, en plein redressement depuis u mois, réussi l'exploit ed contenir les efforts des vnts champions et a tenu le match nl : 3 buts partout. Encore faut-il ajouter que ce résultat est heureux pour Reims, puisque les deux buts auéqsmr par Flamion (un da chaque mi-temps) sont très contestables. Reims est donc 3 avec 42 points. Rien de perdu encore, mais la position d Marseille paraît désormais exugabl. C'est à Colombes et non au rPca que se disputera, dimanche prochain, le match Racing-Marseille. Les autres candidats aux places d'honneur ont subi des fortunes diverses. Nancy est définitivement hors de danger. Sa victoire sur Metz, par 4 à 2, lui permet 'aednegisrv l'vnr avec sérénité. I en est de e pour Cannes, qui sort de la zone dangereuse grâce à une belle victoire sur Alès (4 à 1) et pour Toulouse, qui fait match nul avec Sochaux (2 à 2). Sète, en arrachant le match nul à Montpellier (1 à 1 glane un point précieux. Les pauvres Audoniens ont été littéralement massacrés par Saint-Etienne. On se demande même ce qu'il ferait advenu sans la grande partie fournie par le ptit portier de Saint-Ouen : Crosland. Le grand « Derby » paristhien n'a guère été favorable aux vedettes du Stade Français ! L'équipe homogène du Racing, actuellement en excellente condition, s'est un peu trop facilement jouée de sa rivale. Très souvent on avait limpression que Vaast, Moreel, Bngrn jouaient chat te à la souris avec la défense du Stade, souvent affolée : 5 buts à 1, c'est le plus o score encaissé par
avec sérénité. Il en est de même pour Cannes, qui sort de la zone dangereuse grâce à une belle victoire sur Alès (4 à 1) et pour Toulouse, qui fait match nul avec Sochaux (2 à 2). Sète, en arrachant le match nul à Montpellier (1 à 1), glane un point précieux. Les pauvres Audoniens ont été littéralement massacrés par Saint-Etienne. On se demande même ce qu'il ferait advenu sans la grande partie fournie par le petit portier de Saint-Ouen : Crosland. Le grand « Derby » paristhien n'a guère été favorable aux vedettes du Stade Français ! L'équipe homogène du Racing, actuellement en excellente condition, s'est un peu trop facilement jouée de sa rivale. Très souvent, on avait l'impression que Vaast, Moreel, Bongiorni jouaient au chat et à la souris avec la défense du Stade, souvent affolée : 5 buts à 1, c'est le plus gros score encaissé par les « bleu et rouge » cette saison sur leur terrain. Colmar tient la corde En seconde division, la bataille fait toujours rage pour l'accès à l'échelon supérieur. Nice certain de son affaire, s'est contenté d'un match nul à Béziers : 1 à 1. Le second, Rouen, a peiné aux Bruyères pour battre Le Mans (2 à 1) ; Colmar et Le Havre ont gagné en déplacement. Les Alsaciens ont infligé 2 buts à 0 à Douai ; tandis que les Normands reviennent avec une belle victoire : 6 à 1 sur Angoulême. La seconde place reviendra vraisemblablement à l'un de ces trois clubs. Lens, finaliste de la Coupe, a déçu ses plus chauds partisans. Il se fait battre par Lyon (3-1) sur son terrain, abandonnant ainsi ses dernières chances pour accompagner Nice. Bordeaux et Angers sont également distancés par les rivaux, ayant fait match nul à Angers. Raymond ROUSSELIN. Ce qui leur reste à faire : MARSEILLE : va à Colombes (RACING) et à SOCHAUX ; reçoit METZ, LILLE : va à SAINT-ETIENNE et à SETE ; reçoit ALES. REIMS : va à SOCHAUX et à SAINT-ETIENNE; reçoit TOULOUSE. Hatz, le gardien de but de Rennes, veut-il boxer Vandooren,
avec sérénité. Il en est de même pour Ceann,s qui sort de la zone dangereuse grâce à n bl victoire sur Alès ( à 1) et pour Toulouse, q iatf match nul avec Schx (2 à ). Sète en arrachant le match nl à Montpellier (1 à ), glane un point rciux Les pauvres Audoniens ont été littéralement massacrés par Saint-Etienne. On se demande même ce qu'il ferait advenu sans la grne partie fournie par le petit portier de Snt-n Crosland. Le grand « Derby » paristhien n'a guère été fvrbl aux vedettes du Stade Frnçs ! L'équipe homogène du acng ctllmnt en excellente onctnoi,id ess't un peu trop fclmnt jouée de sa rivale. Trs ,nsuoetv on avait l'impression que Va, Moreel Bongiorni jouaient chat t à la isurso avec la défense du Stade, souvent affolée : 5 u à 1, esct' le plus gros score encaissé arp les « bleu et rouge cette saison sur leur terain Colmar tient la corde En seconde division, la bataille fait ujour rage pr l'accès à l'échelon supérieur. Nice certain de son are s'est contenté 'un match nul à Béziers : 1 1. Le second, Rn, a peiné aux Bruyères pr battr Le Mans (2 à 1) Colmar et Le Havre ont gagné en déplacement. Les Alsaciens on infligé 2 buts à 0 à D ; tandis qe les Normands reviennent avec une belle victoire : 6 à sur Angoulême. La seconde place reviendra vraisemblablement à lun de ces trois clubs. Lens, finaliste de la Coupe a déçu ses plus chauds partisans. Il se it battre pra Lyon ) sur sn terrain, abandonnant ns ses dernières chances pour caencrpogam Nc. Bordeaux et Angers sont également distancés par les rivaux ayant fait match nul à ngrs. Raymond RSSLN. Ce qui leur erset à fr : MARSEILLE : va à Colombes RACING et à SOCHAUX ; reçoit METZ LILLE : va à SAINT-ETIENNE et à SETE ; reçoit ALES REIMS : va SOCHAUX e à SAINT-ETIENNE; reçoit TOULOUSE. Htz, le gardien de but de Rennes, veut-il box Vandooren,
Bruyères pour battre Le Mans (2 à 1) ; Colmar et Le Havre ont gagné en déplacement. Les Alsaciens ont infligé 2 buts à 0 à Douai ; tandis que les Normands reviennent avec une belle victoire : 6 à 1 sur Angoulême. La seconde place reviendra vraisemblablement à l'un de ces trois clubs. Lens, finaliste de la Coupe, a déçu ses plus chauds partisans. Il se fait battre par Lyon (3-1) sur son terrain, abandonnant ainsi ses dernières chances pour accompagner Nice. Bordeaux et Angers sont également distancés par les rivaux, ayant fait match nul à Angers. Raymond ROUSSELIN. Ce qui leur reste à faire : MARSEILLE : va à Colombes (RACING) et à SOCHAUX ; reçoit METZ, LILLE : va à SAINT-ETIENNE et à SETE ; reçoit ALES. REIMS : va à SOCHAUX et à SAINT-ETIENNE; reçoit TOULOUSE. Hatz, le gardien de but de Rennes, veut-il boxer Vandooren, ailier lillois ? Jean Prouff se pose la question avec anxiété. LES COURSES Arbar a victorieusement ouvert sa campagne de France et d'Angleterre Il n'est guère douteux — à moins d'une révélation dans la plus jeune génération — que nous avons vu dimanche à Longchamp le meilleur cheval français à l'entraînement. Tout le monde a compris qu'il s'agit d'Arbar, dont la rentrée dans le Prix Jean Prat des quatre ans fut, comme prévu, victorieuse. L'admirable demi-frère de Caracalla a tardé à se dégager, mais lorsque Poincelet l'a laissé s'étendre, il a dominé en se jouant de ses rivaux épouvantés, À sa rentrée chacun discutait de sa chance dans la Coupe d'Or d'Ascot. Les sportsmen anglais présents à Longchamp n'étaient pas les derniers à l'estimer primordiale, Gypse, accrocheur à l'extrême, a pris la deuxième place devant Cadir que Johnston, après lui avoir fait assurer le train, a ralenti à l'excès, a-t-il semblé à ceux qui l'avaient compris dans leur jumelage ou joué placé. Sunny Boy a couru encore « vert » et Tourment, peut-être écœuré par la distance, fut incapable de participer à la lutte. Jockey a réussi à garder le meilleur sur Périscope dans le Biennal des trois ans. Il
Bruyères pour battre Le an (2 à 1) ; Colmar et Le Havre ont gagné en déplacement. Les lscns tno infligé 2 buts 0 à Douai ; tnds que ls Nrmnds reviennent vc n belle victoire : 1 sur Angoulême. L seconde place reien vraisemblablement à l'un de sce trs clubs. Lens, finaliste de la Coupe, a déçu ses plus chauds partisans. Il se fait battre p Lyon (3-1) sur sn trrn, abandonnant ainsi ses dernières chances pour accompagner Nice. Bordeaux et Angers on également isacés par les rivaux, ayant fait match nul à Angers. Raymond ROUSSELIN Ce qu leur reste à faire : MARSEILLE : a à Colombes (RACING) et à SOCHAUX ; reçoit METZ, I : va à SAINTETIENNE et à SETE ; reçoit ALES. RIS va à CHX et SAINT-ETIENNE; reçoit TLS. Htz, le garde de utb de ne, veut-il boxer Vandooren, ailier lillois ? Jean Prouff se pose la question vc anié. LES COURSES a victorieusement ouvert s campagne e Face d'Angleterre n'est gèr douteux — à mns d'une révélation dans la plus jeune génération que ns avons v dimanche à Longchamp le meilleur chvl français à lentraînement Tout le monde a compris qu'il s'agit d'Arbar, dont la rentrée sand el Prix Jean Prat des quatre ans fut comme prévu, victorieuse. L'admirable demifrère de Caracalla a tardé s dégager, mais lorsque lPiocntee ' laissé s'étendre, il a dominé en se juat de ses rivaux épvntés, À sa rentrée chcn discutait de sa chance dans la Coupe d'Or d'Ascot. Les sportsmen anglais présnts Longchamp n'étaient pas les derniers à lestimer primordiale, Gypse, accrocheur à l'extrême, a pris la deuxième place devant Cai que Johnston, après lui avoir fait r l train, a ralenti l'excès, a-t-il semblé à ceux qui l'avaient ors dans leur jumelage ou joué placé. Sunny Boy uucro encore « vert » et Tourment, epet-êutr écœuré pr la distance, fut anlibaecp de participer à la lutte. Jockey a éus à garder le ermlieul sr Périscope dans l Biennal d trois ans. Il
l'entraînement. Tout le monde a compris qu'il s'agit d'Arbar, dont la rentrée dans le Prix Jean Prat des quatre ans fut, comme prévu, victorieuse. L'admirable demi-frère de Caracalla a tardé à se dégager, mais lorsque Poincelet l'a laissé s'étendre, il a dominé en se jouant de ses rivaux épouvantés, À sa rentrée chacun discutait de sa chance dans la Coupe d'Or d'Ascot. Les sportsmen anglais présents à Longchamp n'étaient pas les derniers à l'estimer primordiale, Gypse, accrocheur à l'extrême, a pris la deuxième place devant Cadir que Johnston, après lui avoir fait assurer le train, a ralenti à l'excès, a-t-il semblé à ceux qui l'avaient compris dans leur jumelage ou joué placé. Sunny Boy a couru encore « vert » et Tourment, peut-être écœuré par la distance, fut incapable de participer à la lutte. Jockey a réussi à garder le meilleur sur Périscope dans le Biennal des trois ans. Il n'est pas certain qu'il en sera de même à leur prochain rendez-vous. Quant à Cantador, gardons-nous de le condamner sur son échec. Sa défaite nous semble comporter de sérieuses excuses. Goulu, en ouvrant victorieusement les 3.000 mètres du Prix de l'Espérance, a prouvé une tenue qui le rendra redoutable en maintes occasions et peut-être même dans la plus grande épreuve du mois de juin. La course de Maisons-Laffitte est à oublier. Signalons enfin le succès de l'inédit Magnésium à la vicomtesse Vigier, portant les attelages des couleurs de M. Jean Prat, dont le souvenir était évoqué par deux fois au cours de la réunion AUJOURD'HUI À ENGHIN Les pronostics de VAL D'OR 1. Prix de Bourges (haies, à 4 ré´j., 100.000 fr., 2.700 m.) : ARJEA, Audebesse ; outsider : La Joliette. 2. Prix du Cher (st., 150.000 fr., 3.600 m.) : 1° RICOLO, Saint-Quentin ; outsider : Foxane. 3. Prix du Berry chraise, handicap, 150.000 fr., 2.900 m.) : PRIOR, Ten Spot ; outsider : Psyché. 4 Prix Jim Crow (st., handicap, 200.000 fr., 4.000 m.) POGRADEC. Abrupt ; outsider. Le Sultan. 5. Prix Bridge (attelé, 100.000 fr., 2.100 m.): ALMEVILLE, Arsat ; outsider : Altesse III. 6. Prix
l'e.îtanetnemrn Tout le monde a compris qu'il s'agit d'Arbar, dont la rntré dans le Prix Jean Prat des quatre ans fut, comme prévu, victorieuse. Lmbe dm-frèr de Caracalla tardé à se dégager, mais lorsque Poincelet l'a asiéls sétendre li a dominé en se jouant de ses rivaux épouvantés, À s rentrée chacun dicutat de sa chance dans la Coupe d'Or 'Ascot. Les sportsmen anglais présents Longchamp 'étaient pas les derniers à l'estimer primordiale Gypse accrocheur à l'extrême, a pris la deuxième place devant Cadir que Johnston, après lui avoir fa assurer le train, a ralenti à l'excès, a-t-il smblé à ceux qui l'avaient compris dans leur jumelage ou joué placé Sunny Boy a couru encore « vert et Tourment, peut-être écœuré par la distance, ftu incapable de participer à la lutte. Jockey a réussi à garder le meilleur sur Périscope dans le Biennal des trois ans. Il n'est pas ct qu'il en sera ed même à lr prochain red-vos Quant à ,oatnadrC grdns-ns d le condamner sur son c Sa déft nous semble comrr de sérieuses excuses. Goulu, n ouvrant victorieusement les 3.000 mètres du Prix de l'Espérance, a prouvé une tenue qui le rendra redoutable en mnts occasions et peut-être même dans la plus grande épreuve du mois de juin. La course de Maisons-Laffitte est à oublier. Signalons enfin l succès de l'nédt Magnésium à la vicomtesse Viie portant les attelages des couleurs de Jean Prat, dont le souvenir était évoqué par deux fois ur ed la réunion AUJOURDHUI À ENGHIN Les pronostics de VAL D'OR 1. Prix de Bourges haies à 4 ré´j., 100.000 fr., 2.700 m.) : ARJEA, Audebesse ; outsider : La Joliette. 2. Prix du Cer (st., 150.000 fr., 3.600 m.) : 1° RICOLO, Saint-Quentin ; outsider : Foxane. 3. Prix du Berry chraise, handicap, 150.000 fr., 2.900 m.) : PRIOR, Ten Spt ; outsider : Psyché. Prix Jim Crow (s,.t handicap, 200.000 fr., 4.000 .) POGRADEC. Abrupt ; outsider. Le lua.tSn 5. Prix Bridge (attelé, 100.000 fr., 2.100 m.): ALMEVILLE, Arsat ; outsider : Altesse II.I 6. Prix
maintes occasions et peut-être même dans la plus grande épreuve du mois de juin. La course de Maisons-Laffitte est à oublier. Signalons enfin le succès de l'inédit Magnésium à la vicomtesse Vigier, portant les attelages des couleurs de M. Jean Prat, dont le souvenir était évoqué par deux fois au cours de la réunion AUJOURD'HUI À ENGHIN Les pronostics de VAL D'OR 1. Prix de Bourges (haies, à 4 ré´j., 100.000 fr., 2.700 m.) : ARJEA, Audebesse ; outsider : La Joliette. 2. Prix du Cher (st., 150.000 fr., 3.600 m.) : 1° RICOLO, Saint-Quentin ; outsider : Foxane. 3. Prix du Berry chraise, handicap, 150.000 fr., 2.900 m.) : PRIOR, Ten Spot ; outsider : Psyché. 4 Prix Jim Crow (st., handicap, 200.000 fr., 4.000 m.) POGRADEC. Abrupt ; outsider. Le Sultan. 5. Prix Bridge (attelé, 100.000 fr., 2.100 m.): ALMEVILLE, Arsat ; outsider : Altesse III. 6. Prix Ouistiti (150.000 fr., 2.800 m.): VINA BIRD, Turenne D ; outsider : Ulu. 7. Prix Dumbéa (attelé, 150.000 fr., 2.300 m.) : VIRIATHE, Une Frisco ; outsider : Un R. Nos préférés : FRICOTIN, VINA BIRD. Demain, courses au Tremblay. DIMANCHE À LONGCHAMP Prix du Mont Valenton : 1. Jussy, à M. E.-L. Dupont (P Banc), G. 37. P. 12; 2 Watchman. P. 11 ; 3. Le Moine III. P. 15. Prix d'Iena : 1. Magnésium, à la vicomtesse Vigier (C. Bouillon), G 130, P. 29 ; 2 Goody, P. 32 ; 3. Petite Perlée, P. 14 Prix Jean Prat (4 ans) : 1. Et Tout-sac : Arbar (R. Poincelet), G 15, P. 13; 2. Gypse, P 52 ; jumelé, 161. Prix Jean Prat (3 ans) : 1. Jocker. à M R. Forget (C. Bouillon). G. 26, P. 14; 2. Périscope III, P. 19 ; jumelé, 87. Prix de l'Espérance : 1. Goulu, à M. A. Lombard (G. Kimpe), G. 49, P. 18; 2 Almdrake, P. 23 ; 3 Mosquito II, P. 28. Prix Perplexité (1ère épreuve) . 1. Admirai John, à Mme J, KëMdakt& (R Poincelet.) G. 40, P. 17 ! 2. Ropgët, P. 23 ; 3. Ouragan III,
maites occasions et peut-être même dans la plus grande épreuve du mois de juin. L course de Maisons-Laffitte est à oublier. niSolagns enfin succès de l'inédit gu la vicomtesse Vigier, portant ls attelages des couleurs de M. ea Prat dont le souvenir était évqé par dx fois cours de la réunion JO'I À NGHN Les pronostics d L D'OR 1. Prix de Bourges (haies, à 4 ré´j., 100.000 fr., 2.700 m.) : RJ, Audebesse ; outsider : L liette. .2 Prix du hr (st., 150.000 fr., 3.600 m.) : 1° RICOLO, Saint-Quentin ; outsider : Foxane. . Pr u Berry chrs, handicap, 150.000 fr., 2.900 m.) : PRIOR, en Spot ; outsider : Psyché. 4 Prix Jim Crow (st., handicap, 00.00 fr., 4.000 m.) POGRADEC. brpt ; urt.odsie Le Sultan. . Prix Bridge (attelé, 0 fr., 2100 m.): ALMEVILLE, s ; outsider : Altesse III. 6. Prix Ouistiti (150.000 fr., 2.800 m.): VINA BIRD, Turenne D ; usder : Ulu 7. Prix Dumbéa (attelé, 150.000 fr., 2.300 m.) : VIRIATHE, e Frisco ; outsider : Un R. Nos préférés : FRICOTIN, VINA BIRD. Demain, courses au Tremblay. DIMANCHE À GOAPNHLCM Prix du Mont Valenton : .1 Jussy, à . E.-L. Dupont (P Banc), G. . P. 12; Watchman. P. 11 ; 3. Le ne III. . . ixPr d'Iena : 1. Magnésium, à la omievsstec Vgr (C. Bouillon), G 130, . 29 2 Goody, P. 32 ; 3. Petite Perlée, P. 14 Prix Jean Prat 4 a) : 1. Et Tout-sac : Arbar (R. Poincelet), G 15, P. 13; 2. Gypse, P 25 jmlé, 161. Prix aJen Prat (3 ans) : 1. Jocker. à M R. Forget (. Bouillon). G. ,62 .P 14; 2 Périscope III, P. 91 ; jumelé, 87 Prix de lEpce : 1. Goulu, à M. A Lombard (G. Kimpe), . 49, P. 18 2 Almdrake, P. 23 ; 3 Mosquito II, .P 28. Prix Perplexité (1ère épreuve . 1. Admirai Jhn, à Mme J, KëMdakt& R Pnclt.) G. 40, P 17 ! 2. Ropgët, P. 23 ; 3. III,
à M. E.-L. Dupont (P Banc), G. 37. P. 12; 2 Watchman. P. 11 ; 3. Le Moine III. P. 15. Prix d'Iena : 1. Magnésium, à la vicomtesse Vigier (C. Bouillon), G 130, P. 29 ; 2 Goody, P. 32 ; 3. Petite Perlée, P. 14 Prix Jean Prat (4 ans) : 1. Et Tout-sac : Arbar (R. Poincelet), G 15, P. 13; 2. Gypse, P 52 ; jumelé, 161. Prix Jean Prat (3 ans) : 1. Jocker. à M R. Forget (C. Bouillon). G. 26, P. 14; 2. Périscope III, P. 19 ; jumelé, 87. Prix de l'Espérance : 1. Goulu, à M. A. Lombard (G. Kimpe), G. 49, P. 18; 2 Almdrake, P. 23 ; 3 Mosquito II, P. 28. Prix Perplexité (1ère épreuve) . 1. Admirai John, à Mme J, KëMdakt& (R Poincelet.) G. 40, P. 17 ! 2. Ropgët, P. 23 ; 3. Ouragan III, P. 30. Prix Perplexité (2ème épreuve) : 1. Royal Nigel, à M. A Jan=sen (R.. Po:ncelet), G. 26. P. 12 ; 2 Prince Ade, P. 14 ; 3. Chaud Saïtel. P. 16. HIER À SAINT -CLOUD Prix de Gentilly : 1. Mirho, à Mme M. Droissart lA, Foot), G. 41, P. 15 ; 2. Twilling, P. 19; "3. Gunga dine, P. 74. Prix Hotweed : 1. Fastrade, à Mme J. Guinand (W. Johnstone), G. 66, P. 26 : 2. Anthracite, P. 13 ; 2. Nadir, P. 18 ; jumelé Fastrade-Anthracite, 59 ; jumelé Fastrade-Nadir, 119. Prix d'Arcueil : 1. Go Back, à M. R. Lafont (S. Doubowski), G. 60, P. 20 ; 2. Mancenille, P. 22 ; 3. Prince Kop, P. 15. Prix des Mimosas : 1. Gamay, à M. R. Breyer (B. Guimard), G. 45, P. 21; 2 Epicière, P. 20 ; Jumelé, 9b. Prix Gabriel Gaudet : 1. O. K., au Cte A. de Fels (C. Bouillon), G. 29, P. 14; 2. Ashley, P. 21.; jumelé, 125. Prix Magister . 1. Premier Ba.. au baron R. de Nexon (W. Johnstone), G. 43, P. 21 ; 2. Prince Riten, P. 17 ; 3. Tamise V, P. 52. Prix Le
à M. E.-L. Dupont ( Bac, . 37. P. 12; 2 Watchman. P. 11 ; 3. Le Moine III. P. 15. Prix d'Iena : 1 Magnésium, à la vicomtesse Vigier (.C Bouillon), G 130, P. 29 ; 2 Goody, P. 32 ; 3. Petite Perlée, P. 1 Prix Jn Prat (4 ans) : 1. Tout-sac : rbr (R. Pnclt), G 15, . 13; 2. Gypse, P 52 ; jumelé, 161. Prix Jean Prat (3 ns)a : 1. Jocker. à M R. Forget (. Bouillon). G 6,2 P. 14; 2. Péricp III, . 19 ; jumelé, 87. Prix d l'Espérance : . Gl, à M. A Lombard G Kimpe), G. 49, P. 18; 2 Almdrake, P. 23 ; 3 Mosquito II, P. 28. Prix Perplexité (1ère épreuve) . 1. Admirai John, Mm , KëMdk≈ (R Poincelet.) G. 40, P. 17 ! 2. Ropgët, P 23 ; 3. Ouragan III, P 30. Prix Perplexité (2èm épreuve) : 1. Royal Nigel à M. A Jan=sen (R.. Po:ncelet), G. 26. P. 12 ; 2 Prince Ade, P. 14 ; 3. uChad Saïtel. P. 16. HIER À SAINT -CLOUD x de Gentilly : 1. Mirho, à Mme . Droissart lA, Ft), G. 41, P. 15 ; 2. Twilling, P. 19; "3. gGuan in, P. 74. Prix Hotweed 1. Fastrade, Mme J. Gnnd (W. Johnstone G. 66, P. 26 : 2. Ahrte, P. 13 ; 2. Nadir, P. 18 ; jumelé Fastrade-Anthracite, 59 ; jumelé Fastrade-Nadir, 119 Prix d'Arcueil : 1. Go Back, à M. . aot ( Doubowski), G. 60, P. 20 ; 2. Mancenille, P. 22 ; 3. Prince Kop, P. 15 Prix des ioas : 1. Gamay, à R Breyer B Guimard), G. 45, P. 21; 2 Epicière, . 20 ; é, 9b. Prx Gabriel Gaudet : 1. O. K., au Cte A. de Fels (C. Bouillon), G. 29, P. 14 2. Ashley, P. .21; jumelé, 125. Prix Magister . 1. Premier Ba au baron R. de Nexon (W. Johnstone), G. 43, P. 21 ; ce Rtn, P. 17 ; 3. Tamise V, P. 52 Prix Le
P. 15 ; 2. Twilling, P. 19; "3. Gunga dine, P. 74. Prix Hotweed : 1. Fastrade, à Mme J. Guinand (W. Johnstone), G. 66, P. 26 : 2. Anthracite, P. 13 ; 2. Nadir, P. 18 ; jumelé Fastrade-Anthracite, 59 ; jumelé Fastrade-Nadir, 119. Prix d'Arcueil : 1. Go Back, à M. R. Lafont (S. Doubowski), G. 60, P. 20 ; 2. Mancenille, P. 22 ; 3. Prince Kop, P. 15. Prix des Mimosas : 1. Gamay, à M. R. Breyer (B. Guimard), G. 45, P. 21; 2 Epicière, P. 20 ; Jumelé, 9b. Prix Gabriel Gaudet : 1. O. K., au Cte A. de Fels (C. Bouillon), G. 29, P. 14; 2. Ashley, P. 21.; jumelé, 125. Prix Magister . 1. Premier Ba.. au baron R. de Nexon (W. Johnstone), G. 43, P. 21 ; 2. Prince Riten, P. 17 ; 3. Tamise V, P. 52. Prix Le Justicier : 1. Ali Pacha, à M. H. Brierre (H. Signoret) G. 17, P. 11; 2. Pierre aux Loups, P. 13 ; jumelé, 25 Nagara gagne le Grand Steeple de Milan Nagara. au marquis de Triqueville, monté par M. Girard, a gagné le Grand Steeple Chase de Milan (3 millions de lire, 5.000 m.) devant six concurrents italiens et Oliba, victime d'une chute. COURSES DE LEVRIERS PRONOSTICS POUR AUJOURD'HUI 1. DERVICHE, Parla ; 2. BINOCLE. Ca-Stille ; 3. CHOPINE, Cinderella Slipper: 4. PILE OU FACE, Gentilhomme; 5. KOLD, Wise Rum ; 6. BOLDO, Boynton Road ; 7. CASTLE'S SHERZO. Mmls.salre; 8. BILL Y. Saltimbanque ; 9. MULLAGHNONEY HERO, Muster Cail. Prochaine réunion : vendredi 30 avril. La Coupe fait aussi des siennes en rugby Toulon et Vienne éliminés ! Le quinze de Lourdes n'était guère en train dimanche contre le P.U.C. en seizième de finale de la Coupe de France de rugby. Dame ! Quand on a décroché le titre de champion national de l'ovale — ambition de tant d'années ! — on peut s'accorder une petite détente. C'est permis. Mais il n'en reste pas moins que la « grasse vedette » du moment a bien failli — à domicile
. 15 ; 2. Twilling, P. 19; "3. Gunga dine, P. 74. Prix Hotweed : 1. Fastrade, à Mme J. Guinand (W. Johnstone), . 66, P. 26 : . iehacttA,rn P. 13 ; 2. Nadir, .P 18 ; ué Fastrade-Anthracite, 59 m Fastrade-Nadir, 119. Prix d'Arcueil : 1 Go Back, à M. R. Lafont (S. Doubowski G 60, P. 20 ; 2. Mancenille, P. 22 ; 3. Prince Kop, . 15. Prix des Mimosas : 1. Gamay, à M. R. Beyer (B. Guimard), G. 45, P. 21; 2 Epicière, P. 20 ; Jumelé, 9b. Prix Gabriel Gaudet : 1. O. K., au Cte A. de Fels (C. Blln), G. 29, P. 14; 2. hly, P. 21.; jmlé, 125. Prix Magister . 1. Premier Ba.. au baron R. de Nexon (. Johnstone), G. 43, P. 21 2. Prince Riten, P. 17 ; 3 Tamise ,V P. 52 Prix Le Juti 1. Ali Pacha, à M. H. Brierre (H. Signoret) .G 17, P. 11; 2. Pierre aux Loups P. 13 ; jumelé, 25 Nagara gagen le Grand Steeple de Milan Nagara. au marquis de Triqueville, monté par M. Girard, gagné le Grand Steeple Chs de Milan 3 millions de lire, 5.000 m.) devant concurrents italiens et Oliba, victime d'une chute. COURSES DE LEVRIERS PRONOSTICS O AUJOURD'HUI 1. DERVICHE, Parla ; 2. BNCL. Ca-Stille ; 3. CHOPINE, Cinderella Slipper: 4. PL OU FACE, Gentilhomme; . KOLD, Wise m ; 6. BOLDO, Boynton Road ; . CSTL'S SHERZO. Mmls.salre; 8 BLL Y. Sltmbnq ; 9. MULLAGHNONEY HERO, Muster Cail. caie réunion : vndrd 30 .larvi La Coupe fait aussi des siennes en rugby Toulon et Vienne éliminés ! Le quinze de Lourdes n'était guère en an dimanche contre l P.U.C. en seizième de finale de la Coupe de France de rgby. Dame ! Quand on a réhcodéc le titre de champion national de l'ovale — ambition de tant d'années — on peut saccorder eun petite détente. C'est permis Ms il nen reste pas mo que al « asgser vedette » du moment a bien failli domicile
de lire, 5.000 m.) devant six concurrents italiens et Oliba, victime d'une chute. COURSES DE LEVRIERS PRONOSTICS POUR AUJOURD'HUI 1. DERVICHE, Parla ; 2. BINOCLE. Ca-Stille ; 3. CHOPINE, Cinderella Slipper: 4. PILE OU FACE, Gentilhomme; 5. KOLD, Wise Rum ; 6. BOLDO, Boynton Road ; 7. CASTLE'S SHERZO. Mmls.salre; 8. BILL Y. Saltimbanque ; 9. MULLAGHNONEY HERO, Muster Cail. Prochaine réunion : vendredi 30 avril. La Coupe fait aussi des siennes en rugby Toulon et Vienne éliminés ! Le quinze de Lourdes n'était guère en train dimanche contre le P.U.C. en seizième de finale de la Coupe de France de rugby. Dame ! Quand on a décroché le titre de champion national de l'ovale — ambition de tant d'années ! — on peut s'accorder une petite détente. C'est permis. Mais il n'en reste pas moins que la « grasse vedette » du moment a bien failli — à domicile — mordre la poussière, devant une formation parisienne très en verve. La fameuse troisième ligne de Lourdes semblait endormie et l'international Jean Prat n'avait pas son allant habituel. Les champions de France se tirèrent de ce mauvais pas grâce à Massare, qui joua un bon tour à ses anciens amis P.U.C. en marquant un essai. Lourdes ne l'emporta finalement que par 8 à 5. Le R. C. Toulonnais, finaliste malheureux de la compétition nationale, paraît accepter le sort avec résignation. À Lyon, l'équipe de Narbonne, qu'entraîne Ribère, l'élimina par 3 points à 0, également en seizième de finale de la Coupe de France. À Toulouse, autre surprise, cette fois en huitième de finale. Dominé au début par le C.S. Vienne — un des grands ténors du championnat 47-48 — l'Aviron Bayonnais trouve soudain la cadence, déclenche le « feu d'artifice », fait donner Daudaile qualification nettement par 15 à 9. Toujours en huitième de finale, le Stade Toulousain éprouva, une certaine difficulté à se débarrasser de Cognac à Bordeaux (18 à 12), Bègles dut avoir recours aux prolongations pour venir à bout de Tyrosse à Bayonne (6 à 3), tandis qu. Castres triomphait de Mont-de-Marsan à Pau (14 à 0),
de lire, 5000 m.) devant six concurrents iaetnisl te Oliba victime d'une chute. COURSES DE LEVRIERS PRONOSTICS POUR AUJOURD'HUI 1. E, Parla ; 2. BINOCLE. Ca-Stille ; 3. CHOPINE, Cinderella Slipper: 4. PILE OU FACE, Gentilhomme; 5 KLD, Wise Rum ; BOLDO, Boynton Road ; 7. CASTLE'S SHERZO. Mmls.salre; .8 BILL Y. Saltimbanque ; 9 MLLGHNNY HR, Muster Cail. Prochaine réunion vendredi 30 avril. La Coupe fait aussi des siennes en rugby Toulon et Vienne éliminés ! Le quinze de Lourdes 'était guère en train dimanche contre le P.U.C. en seizième de finale de la Coupe de France de rugby. Dame ! unaQd on a décroché le titre de champion national de l'ovale — ambition de tant d'années ! — on peut s'accorder une petite détente. C'est permis. Mais il n'en reste pas moins que la « sgsrea vedette » du moment a bien failli à domicile — emdorr al poussière, devant une formation prsnn très en verve. La fa troisième ligne de Lourdes semblait endormie et l'international Jean Prat n'avait pas son alant habituel. Les champions de France se tirèrent de ce mauvais pas grâce à Massare, qui j un bon tour à ses anciens amis PUC en marquant un essai. Lourdes en l'emporta finalement que pr 8 à 5. Le R. C Toulonnais, finaliste malheureux d la compétition nationale, prît accepter le sort avec résignation. À Lyon 'équipe de Narbonne, qu'entraîne Ribère, l'élimina par 3 points 0, également en seizième de finale de la Coupe de France. À Toulouse autre surprise, cette fs en htèm finale. Dominé au début par le C.S. Vienne — un des grands ténors du ainnpmcoaht 47-48 — l'Aviron Bayonnais trouve soudain al adenc déclenche le « f d'rtfc », fait donner Daudaile qualification nettement par 15 à 9. Toujours en huitième de finale, le Stade Toulousain éprouva, une certaine difficulté à se débarrasser de Cognac à Bordeaux (18 à 12), Bègles dut avoir recours aux prolongations u venir à bout de Tyrosse à Bayonne (6 à 3), tandis qu Castres triomphait de Mont-de-Marsan à Pau (14 0),
P.U.C. en marquant un essai. Lourdes ne l'emporta finalement que par 8 à 5. Le R. C. Toulonnais, finaliste malheureux de la compétition nationale, paraît accepter le sort avec résignation. À Lyon, l'équipe de Narbonne, qu'entraîne Ribère, l'élimina par 3 points à 0, également en seizième de finale de la Coupe de France. À Toulouse, autre surprise, cette fois en huitième de finale. Dominé au début par le C.S. Vienne — un des grands ténors du championnat 47-48 — l'Aviron Bayonnais trouve soudain la cadence, déclenche le « feu d'artifice », fait donner Daudaile qualification nettement par 15 à 9. Toujours en huitième de finale, le Stade Toulousain éprouva, une certaine difficulté à se débarrasser de Cognac à Bordeaux (18 à 12), Bègles dut avoir recours aux prolongations pour venir à bout de Tyrosse à Bayonne (6 à 3), tandis qu. Castres triomphait de Mont-de-Marsan à Pau (14 à 0), que la Section Paloise dominait Grenoble à Carcassonne (16 à 3) et que Romans, chez lui, infligeait à Valence 1. score de 15 à 0. P. A. Les terrains des quarts de finale La F. F. R. a désigné comme suit les terrains sur lesquels se disputeront les quarts de finale de la Coupe de France à quinze : 2 mai. à. Tarbes : Bègles Av. Bayonnais. 9 mai, à Lyon : Romans-St. Toulousain. 9 mai, à. Pérenchères ; Biarritz ou Narbonne contre Castres. 9 mai, à Biarritz ou Béziers : ?au contre Lourdes ou Montélimar. Carcassonne cumule... Il Y a huit jours, Carcassonne se qualifiait, avec Roanne, pour disputer la finale du championnat de France des treize. Dimanche, à Albi, après avoir rencontré des difficultés en première mi-temps, à l'issue de laquelle ils ne menaient que par 5 à 4. Puing-Aubert et ses équipiers réussirent à endiguer les valeureux efforts des Parisiens — lesquels manquèrent de réussite — pour prendre finalement l'avantage quinze minutes avant la fin (16-4). Ce match fut de belle facture et, seul, l'arbitre ne se montra pas à la hauteur de sa tâche. Imitant leurs collègues du football, les néo-rugbymen de Marseille ont également fait
P.U.C. en marquant un essai. Lourdes ne l'emporta fnlmnt que 8 à 5 Le R. C. Toulonnais, finaliste malheureux de la compétition nationale, paraît accepter le sort avec résignation. À Lyon, l'équipe de Narbonne, qu'entraîne Ribère, l'élimina par 3 points à 0, également en seizième de finale de l Coupe de Frnc. À Tls, autre surprise, cette fois n huitième de finale. i au début pr le C. Vienne — un des grands ténors du championnat 47-48 lAviron Banis trouve soudain l cadence, déclenche le « feu iircadtf'e », fait donner leaiDuad qualification nettement par 15 à 9. Toujours en tmueiihè de finale, le Stade Toulousain éprouva, une certaine difficulté à se débarrasser d Cognac à Bordeaux (18 à 12), Bègles dut avoir recours aux prolongations pour en à bout de Tyrosse à Bayonne (6 à 3), tais qu. Castres triomphait de MontdeMarsan à Pau 14 à 0), que l Section Paloise dominait oble à Carcassonne (16 à ) et que Rmns, chez lui, infligeait à Valence score de 15 à 0 P. A. Les terrains des quarts de finale La F. F R. a désigné comme suit les terrains sur lesquels se disputeront les uar de finale de Coupe de France à quinze : 2 mai. à. Tarbes : Bègles Av. Bayonnais. 9 mai à Lyon : Romans-St. Toulousain. 9 mai, à. Pérenchères ; Biarritz ou Narbonne contre Castres. 9 mai, à Biarritz ou Béziers : ? contre Lrds ou Montélimar. Carcassonne cumule... Il Y a huit jours, Carcassonne se qualifiait, Roanne, pour disputer la finale du championnat de France des treize. Dimanche, à Albi, après avoir rencontré des dffcltés n première mi-temps, à 'issue d laquelle sil ne menaient que par 5 à 4. Puing-Aubert t ses équipiers réssrnt à ndgr les vlrx efforts des Parisiens — lesquels manquèrent ed réussite — ur prendre finalement 'vn qnz minutes avant la fin 164) Ce mtch fut de belle facture et, seul, l'arbitre ne se montra pas à la hauteur de s ehtâ.c Imitant leurs collègues u football, les néo-rugbymen de Marseille ont également fait
finale de la Coupe de France à quinze : 2 mai. à. Tarbes : Bègles Av. Bayonnais. 9 mai, à Lyon : Romans-St. Toulousain. 9 mai, à. Pérenchères ; Biarritz ou Narbonne contre Castres. 9 mai, à Biarritz ou Béziers : ?au contre Lourdes ou Montélimar. Carcassonne cumule... Il Y a huit jours, Carcassonne se qualifiait, avec Roanne, pour disputer la finale du championnat de France des treize. Dimanche, à Albi, après avoir rencontré des difficultés en première mi-temps, à l'issue de laquelle ils ne menaient que par 5 à 4. Puing-Aubert et ses équipiers réussirent à endiguer les valeureux efforts des Parisiens — lesquels manquèrent de réussite — pour prendre finalement l'avantage quinze minutes avant la fin (16-4). Ce match fut de belle facture et, seul, l'arbitre ne se montra pas à la hauteur de sa tâche. Imitant leurs collègues du football, les néo-rugbymen de Marseille ont également fait étalage de leur brio. Plus athlétiques que les joueurs toulousains, ils ne durent néanmoins leur qualification qu'à la maladresse de quelques-uns de leurs adversaires, qui « menés » dix minutes avant la fin par 31 à 17, parvinrent à réduire sensiblement l'écart (34-27). Malgré tout, Marseille, plus complet dans toutes ses lignes, méritait d'aller à la finale. La finale de la Coupe de France, qui mettra en présence Marseille et Calvi, sera jouée le 9 mai prochain à Toulouse sur le stade Jacques-Charette. Nos hommes forts sont en forme Au cours de la réunion préolympique de Lyon l'haltérophile narbonnais Moulins (plume) a battu le record de France de l'épaulé jeté avec 500 kg (anc. rec. 450 kg. Populaire). Par ailleurs, le grand coq Thévenet égala son propre record de France en développant 87 kg 500. A l'exception de Debuff, qui fut battu par Perquier, tous les champions de France confirmèrent leur supériorité. Les lutteurs parisiens trirent les titres Le Théâtre des Variétés à Versailles, avait, pour une fois, cédé la scène aux lutteurs qui y disputaient leurs championnats de France. Les Parisiens enlevèrent neuf titres sur huit. 52 kg.: Dubarblier (Paris) ; 67 kg. : Point (Nemours) ; 62 kg.
finale de la u de France à quinze : 2 a.mi à. Tarbes : Bègles v. Bayonnais 9 mai, à Lyon : Romans-St. Toulousain. 9 m, à. Pérenchères ; Biarritz Narbonne contre Castres. 9 mai, Biarritz ou Béziers : ?au contre Lourdes ou Montélimar. Carcassonne cumule... l Y a huit jours, Carcassonne se qualifiait, avec Roanne, rpou disputer la finale du championnat de France e trz. Dimanche, à Albi, après avoir rcnr des difficultés en première mi-temps, à l'ss de laquelle ils ne mnnt que par 5 à 4 iAe et ess éqprs réussirent à endiguer ls valeureux efforts des Parisiens — lesquels manquèrent de réussite — pour prendre finalement l'avantage quinze minutes avant la fin (16-4). Ce match fut de belle facture et, seul, l'arbitre ne se montra pas à la hauteur de sa tâche. mtnt leurs clège du football, les néo-rugbymen de Marseille ont également fait étalage de leur brio. Plus athlétiques que ls joueurs toulousains, ils ne durent néanmoins leur qualification 'quà la maladresse de quelques-uns de leurs adversaires, qui « menés » dix minutes avant la fin par 31 à 17, parvinrent à réduire sensiblement l'écart (34-27). Malgré tout, Marseille, plus m an toutes ses lignes, méritait d'aller à al finale. La fnl de la Coupe de France, qui mettra en ene Marseille et Calvi, sera jouée le 9 mai prochain à Toulouse sur le stade Jacques-Charette. Nos hommes forts sont en forme Au cours de la réunion préolympique de Lyon l'haltérophile narbonnais Moulins (plume) a battu le record de France de l'épaulé jeté aec 500 kg (n.ac rec. 0 kg. Populaire). Par aeu le grand coq Téven égala son propre record d France en développant kg 500. l'xcptn de Debuff, qui fut battu par Perquier, tous les champions de France confirmèrent leur supériorité. Les lttrs parisiens trirent s titres Le Théâ des Variétés à Versailles, avait, pour une fois, cédé la sè aux lutteurs qui y disputaient leurs championnats e France. Les Prsns enlevèrent neuf titres sur huit. 52 kg.: Dubarblier (Paris) ; 67 kg. : Pint Nemours ; 62 kg.
ses lignes, méritait d'aller à la finale. La finale de la Coupe de France, qui mettra en présence Marseille et Calvi, sera jouée le 9 mai prochain à Toulouse sur le stade Jacques-Charette. Nos hommes forts sont en forme Au cours de la réunion préolympique de Lyon l'haltérophile narbonnais Moulins (plume) a battu le record de France de l'épaulé jeté avec 500 kg (anc. rec. 450 kg. Populaire). Par ailleurs, le grand coq Thévenet égala son propre record de France en développant 87 kg 500. A l'exception de Debuff, qui fut battu par Perquier, tous les champions de France confirmèrent leur supériorité. Les lutteurs parisiens trirent les titres Le Théâtre des Variétés à Versailles, avait, pour une fois, cédé la scène aux lutteurs qui y disputaient leurs championnats de France. Les Parisiens enlevèrent neuf titres sur huit. 52 kg.: Dubarblier (Paris) ; 67 kg. : Point (Nemours) ; 62 kg. : Jouffrille (Limoges) ; 67 kg.: Blanchard (Paris) ; 72 kg.: Leclère (Paris). 79 kg : Brunaud (Paris) ; 87 kg. : Landeman (Paris) ; lourds: Rousselin (Paris). L'Ile de France se classe en tête des comités devant le Limousin, 25 ; la Guyenne, la Flandre et la Côte basque, ex-secoué. Très fort le « huit » du Rowing Les principaux « huit » qui participaient dimanche à la « Tête de rivière », à Joinville, et dans lesquels on remarquait de nombreux champions de France de la saison dernière, ont produit une excellente impression. Dans cette épreuve contre la montre, le Rowing, plus puissant, a pris le meilleur sur la Basse-Seine qu'il battit de 3 secondes, la Marne et la Métro dont l'équipe comprenait pourtant les champions d'Europe Piedeloup, Macquet et Roullin. La Police enleva l'épreuve des yoles de mer en « huit » et le quatre dames, tandis que la Coupe d'Hiver revenait au C. N. Bourges. Par ailleurs, le Collège d'Arsonval, les Arts et Métiers et les Polytechniciens (Dollois) remportèrent les championnats de Paris unversitaires de quatre juniors, deux amateurs et quatre seniors. TRINTIGNANT la prudence même L'écurie Simca-Gordini (sur pneus Dunlop) a encore prouvé ses qualités
ses l,enigs méritait d'aller à la finale. L finale de l Coupe de France, qui mettra en présence Marseille et Clv, sera jouée le 9 mai prochain à Toulouse sur le stade JacquesCharette Nos hommes forts sont en forme Au cours de la réunion préolympique de yn l'haltérophile narbonnais ls (plume) a battu le record de ra e 'épaulé jeté avec 0 kg (nc. rec. 450 kg. Populaire Par ailleurs, le grand coq Thévenet légaa son p record de France en développant 87 k 500. A lexctn de Debuff, qui fut battu par Per tous les champions de France imnrcnèertfo leur supériorité. Les lutteurs parisiens trirent les titres Le Thétre des Vrétés à Versailles, avait, pour une fois, cédé la scène aux lutteurs q y disputaient leurs championnats de France. Les nssiriaeP enlevèrent ef ites sur huit. 52 kg.: Dbrblr (Prs) ; 67 kg. Point (Nemours) ; 62 kg. : Jouffrille (Limoges) ; 67 kg.: Blanchard (Paris) ; 72 g:.k Leclère (Paris). 79 kg : Brnd (Paris) ; 87 kg. Landeman (Paris) ; lourds: Rolin Pa L'Ile de France s classe en tête des comités devant le Limousin, 25 ; la uyene, la Flandre et la Côt basque, ex-secoué. Très fort le huit » du Rowing Les principaux « huit » qui participaient dimanche à la « Têt de rivière » à Joinville, et sadn lesquels on remarquait de nombreux champions de France de la saison dernière, ont produit e excellente impression. Dans ctt épreuve cntr l montre, le Rowing, plus puissant, a pris l meilleur sur la Basse-Seine qu'il battit de secondes, la Marne et la Métro dont l'équipe comprenait pourtant les champions d'rp Peu, Macquet et Roullin. La oic enleva lépreuve ds yoles de mer en « huit et le qtr dames tandis q la Coupe d'Hvr revenait au C. N. Bourges. Pr ailleurs, le Collège Aro, les Arts t Métrs et e Polytechniciens (Dollois) remportèrent l championnats de Paris unversitaires d quatre juniors, deux amateurs et qtr o.nisser TN l prudence même L'écurie Simca-Gordini (sur pneus Dnlp) a encore prouvé ses qualités
ex-secoué. Très fort le « huit » du Rowing Les principaux « huit » qui participaient dimanche à la « Tête de rivière », à Joinville, et dans lesquels on remarquait de nombreux champions de France de la saison dernière, ont produit une excellente impression. Dans cette épreuve contre la montre, le Rowing, plus puissant, a pris le meilleur sur la Basse-Seine qu'il battit de 3 secondes, la Marne et la Métro dont l'équipe comprenait pourtant les champions d'Europe Piedeloup, Macquet et Roullin. La Police enleva l'épreuve des yoles de mer en « huit » et le quatre dames, tandis que la Coupe d'Hiver revenait au C. N. Bourges. Par ailleurs, le Collège d'Arsonval, les Arts et Métiers et les Polytechniciens (Dollois) remportèrent les championnats de Paris unversitaires de quatre juniors, deux amateurs et quatre seniors. TRINTIGNANT la prudence même L'écurie Simca-Gordini (sur pneus Dunlop) a encore prouvé ses qualités dans le Grand Prix du Roussillon, particulièrement à sa mesure, en enlevant les deux éliminatoires et la finale. J.-P. Wimille et ses coéquipiers étaient favoris. Les pronostics se sont réalisés en ce sens que le sympathique Jean-Pierre s'adjugea la première éliminatoire devant son vieil et excellent rival, Sommer, pilote de la nouvelle « deux litres » Ferrari, cependant que la seconde manche revenait aussi à Simca ; vive Trintignant qui, devant F. Martin (Fraser Nash) et le Prince de Cognac (également sur Simca) mena de bout en bout, et régulièrement pour se qualifier. La finale elle-même, commencée par un second duel Wimille-Sommer voyait rapidement, par suite d'ennuis mécaniques, ce dernier céder la seconde place à un Trintignant sage mais décidé. La panne, plaque des compétitions automobiles, ne devait pas non plus épargner longtemps Wimille. La seconde Simca restant en tête jusqu'à la fin et Trintignant se confirmait, par cette victoire, prudent et excellent pilote. R. S. Le ridicule n'a pas noyé Josette Delmas Josette Delmas, notre championne de France du 200 mètres nage libre, participait dimanche à la réunion préolympique de natation de la piscine Pontoise-Saint-Germain, où elle devait disputer le 100 mètres nage libre. Or, elle avait décidé de
ex-secoué. Très fort le « huit » du Rwig Les principaux « huit » qui icptpaearniit dimanche à la « Tête de rivière à li,vJielno et dans lesquels n remarquait de nombreux champions de France de la saison dernière, ont produit ue excellente mprssn. Dans cette épreuve cntr la montre, le Rowing, plus puissant, a prs le meilleur sur la BasseSeine qu'l tbitat de 3 secondes, la Marne et la Métro dont l'équipe comprenait prnt les hmio d'Europe Piedeloup Macquet t Roullin. Police nlv l'éprve ds yoles de mer en huit » et le quatre dms, tnds que l Cop d'He revenait au C. N Bourges. Par ailleurs, el glolCèe d'Arsonval, les Arts et Métiers et les Plytchncns (Dollois) èptermrrenot les championnats de Paris unversitaires de qat juniors, deux amateurs t quatre seniors. ITITANNTRGN la punce même L'écurie Simca-Gordini sur pneus Dunlop) a encore prouvé ses qualités dans le Grand Prix du Roussillon, particulièrement à sa mesure n enlevant s dx éliminatoires la finale. J.-P. Wimille et ses coéquipiers étaient fvrs. Les pronostics se sont réalisés en ce sens que el sypatique Jean-Pierre s'adjugea la première éliminatoire devant son vieil et xcllnt rvl, Sommer, pilote de la nouvelle « deux litres » Ferrari, cependant que al seconde manche revenait aussi à m ; vive Trintignant qui, devant F. Martin (Fraser Nas et l Prince de Cognac (également sur Simca) mena d bout en bout, et réglèrmnt pr se qualifier. La finale ellemême commencée par un second dule Wimille-Sommer voyait rapidement par se dennuis scenqumaié, ce dernier cédr la seconde place à un Trintignant sage mais décidé. La panne, plaque des compétitions automobiles, e devait pas non plus épargner longtemps Wimille. La seconde Simca restant n t jsq'à l fin et rntgt se confirmait, par cette vcti, prudent et excellent lo. R. S. Le ridicule ' pas noyé Josette Delmas Josette Delmas, notre championne de France du 200 mètres nae ei,lrb participait dimanche à a réunion préolympique de natation de piscine ntosintGn où elle dvt disputer le 100 mètres nage libre. Or, elle vt dci
la nouvelle « deux litres » Ferrari, cependant que la seconde manche revenait aussi à Simca ; vive Trintignant qui, devant F. Martin (Fraser Nash) et le Prince de Cognac (également sur Simca) mena de bout en bout, et régulièrement pour se qualifier. La finale elle-même, commencée par un second duel Wimille-Sommer voyait rapidement, par suite d'ennuis mécaniques, ce dernier céder la seconde place à un Trintignant sage mais décidé. La panne, plaque des compétitions automobiles, ne devait pas non plus épargner longtemps Wimille. La seconde Simca restant en tête jusqu'à la fin et Trintignant se confirmait, par cette victoire, prudent et excellent pilote. R. S. Le ridicule n'a pas noyé Josette Delmas Josette Delmas, notre championne de France du 200 mètres nage libre, participait dimanche à la réunion préolympique de natation de la piscine Pontoise-Saint-Germain, où elle devait disputer le 100 mètres nage libre. Or, elle avait décidé de s'attaquer également au record du relais 4 fois 100 mètres avec l'équipe de son club. Se réservant pour cette tentative, elle nagea le 100 mètres en l' 31", terminant lamentablement dernière, alors que Colette Thomas se classait première en l' 12" 8/10. Les dirigeants de la F. F. N. n'étaient pas contents de la façon dont Josette entend préparer les Jeux. Ils le lui firent bien voir, d'ailleurs, en renvoyant à plus tard la tentative de record. À part ce petit Incident, la réunion de P. O. fut très réussie, elle nous permit de voir un Lucien Zins en belle forme réaliser 1' 8" 2/10, en 100 mètres dos, Pirolley réussissant l'excellent temps de l' 10" 2/10. Lusienne effectua 2' 44' 3/10 aux 200 mètres brasse, Martineau et Léguillon nageèrent le 400 mètres en 5' 6" 4/10 et 5' 6" 8/10. Georges Rigal reprenait ses poleistes qui parurent fatigués, à l'exception du gardien de but Debonnet et du jeune Viaène... Hier soir, le sélectioneur a retenu les neuf joueurs suivants qui se déplaceront, le 22 mai, à Blackpool, pour y rencontrer l'équipe d'Angleterre: Debonnet (Tourcoing), Lebras (Toulouse), Viaène (Tourcoing), Berman (Tourcoing), Dienet (Colmar), Lefebvre (Tourcoing), Dewach (Tourcoing), Nakache (Toulouse), Massel
la nvll « deux litres » Ferrari, cependant que la sende manche revenait aussi à Simca ; vive Trintignant qui, devant F. Martin (Fraser Nash) et le Prince de Cognac (également sr Simca mena de bout n bot et régulièrement pour se qualifier. La finale elle-même, commencée pr un second d Wimille-Sommer voyait rapidement, par suite d'ennuis mécaniques, ce dernier céder la seconde place à un Trintignant sage a décidé. La panne, plq des compétitions automobiles, ne devait pa non plus épargner longtemps eWmlli.i L eode Smc restant en tête jusqu'à la fin et tiniaTrnngt se confirmait pr cette victoire, prdnt t excellent pilote. R. . eL ridicule n'a psa noyé Josette Delmas Josette Delmas, notre championne de rnFcea du 200 mètres ng ier,bl participait dimanche la réunion préolympique d natation de la piscine Pontoise-Saint-Germain, o ll devait disputer le 100 mètres nage libre. Or, elle avait décidé d s'attaquer également au record du relais 4 os 100 mètres avec l'équipe de sn club. rva pour cette tentative elle nagea le 100 mètres en l' 31", enmirntat lamentablement dernière, alors que Colette Thomas se classait reère en ' 12" 8/10. Les dirigeants ed la F N nétaient pas cntnts de la façon dont Josette entend préparer les Jeux. Ils le lui firent bien voir, lied,'aslur en renvoyant plus tard la tentative de record. À pt ce ptt Incident, a réunion de P. . fut très réussie, elle ns permit de ivro n Lucien Zins en belle forme réaliser ' 8" /10, en 100 mts dos, Pirolley réussissant l't temps de 10" 2/10. Lusienne effectua 2' 44' 3/10 aux 200 mètres brasse, Martineau et Léguillon nageèrent l 400 mètrs en 5' 6" et ' 6" 8/10. sgoereG Rigal reprenait es poleistes q parurent fatigués, à 'exception du grdn de but Debonnet et du njuee Viaène... Hier soir, le sélectioneur a retenu les neuf joueurs suivants iuq se déplaceront, le 22 mai, à Blackpool, pour y rencontrer uip d'Angleterre: Debonnet (Tourcoing), Lebras (Toulouse), Viaène (Tourcoing), Berman (Tourcoing), eDinet (Colmar), Lfer (Tourcoing), Dewach (Trcng), Nakache (Toulouse), Mssl
pas contents de la façon dont Josette entend préparer les Jeux. Ils le lui firent bien voir, d'ailleurs, en renvoyant à plus tard la tentative de record. À part ce petit Incident, la réunion de P. O. fut très réussie, elle nous permit de voir un Lucien Zins en belle forme réaliser 1' 8" 2/10, en 100 mètres dos, Pirolley réussissant l'excellent temps de l' 10" 2/10. Lusienne effectua 2' 44' 3/10 aux 200 mètres brasse, Martineau et Léguillon nageèrent le 400 mètres en 5' 6" 4/10 et 5' 6" 8/10. Georges Rigal reprenait ses poleistes qui parurent fatigués, à l'exception du gardien de but Debonnet et du jeune Viaène... Hier soir, le sélectioneur a retenu les neuf joueurs suivants qui se déplaceront, le 22 mai, à Blackpool, pour y rencontrer l'équipe d'Angleterre: Debonnet (Tourcoing), Lebras (Toulouse), Viaène (Tourcoing), Berman (Tourcoing), Dienet (Colmar), Lefebvre (Tourcoing), Dewach (Tourcoing), Nakache (Toulouse), Massel (Police). Chocque, avec bien du mal Lesueur, aisément... Les éliminatoires du championnat de France de demi-fond se poursuivent à Paris comme en province. À Buffalo, Jean-Jacques Lamboley, tenant du titre, ne put se qualifier, comme chacun le pensait. Il eut, il est vrai, des ennuis avec la moto qui le tirait. C'est Paul Chocque qui, profitant de cette aubaine, arracha la première place à G. Sérès et à Lemoigne, lequel revient tout doucement en forme. À Bordeaux, Lesueur a dominé tous ses rivaux, y compris la « vedette-maison », l'excellent Claverie. Maggi vise un record... ...et en bat trois Maggi s'est attaqué avec plein succès au record de France des 5 km. À la marche, puisqu'il abaissa de 21 secondes le record de Huard, réalisant le temps de 22' 2" 4/5. Au passage, il améliorait également les records des 3 km., en 13' 11" 2/5, et des 2 miles, en 14' 10" 2/5. Il fut bien aidé dans sa tentative par Courron, qui terminait cependant à 38" de lui. C'est dans FRANC-TIREUR qu'une PETITE ANNONCE a le plus de lecteurs Plus de 600 Annonceurs utilisent les Petites Annonces téléphonées de Franc-Tireur Demandez-nous Une fiche. Cette simple formalité vous fera économiser
pas contents de la façon dont Josette etd préparer ls Jeux. I le li firent bien voir, deus ne renvoyant plus tard la tentative de record. À part ce petit Incident, la réunion ed P. O. fut très réussie, elle nous permit ed voir un Lucien is en bll forme réaliser 1' 8" /10, ne 100 mètres dos, Pirolley réussissant l'excellent temps de l 10" 2/10. Lusienne effectua ' 44' 3/10 uax 200 mètres brasse, Martineau et Léguillon nageèrent le 400 mètrs en 6" 410 et 5' 6" 0. Georges Rigal reprenait ss poleistes qui parurent fatigués, à l'xcptn d grdn de bt Debonnet et du jeune e. Hier soir, le sélectioneur a rete les neuf joueurs suivants qui se déplaceront le 22 mai, à Blackpool, pour y rencontrer l'équipe d'Angleterre: Dbnnt (Tourcoing), Lebras (Toulouse), Viaène (Tourcoing), em (Tourcoing), Dnt (Colmar), Lefebvre (Tourcoing), Dewach (Tourcoing), Nakache (Toulouse), Mssl )i.l(Poec Chocque, avec bien du mal Lesueur, aisément... Les éliminatoires du chmpnnt de France d demi-fond se poursuivent à Paris cmm ne opnevcri. À Buffalo, Jean-Jacques Lamboley, tenant du titre, ne put s quaeli,rfi comme chacun le pnst. Il ut i est vrai des uis ec la moto qui le tirait. C'est Paul Chocque qui, profitant de ctt n arracha l première place à G. Sérès et à Lmgn, lequel revient tout doucement n forme. À Bea, Lesueur a dominé tous ses rivaux, y compris la « vedette-maison », 'clet Claverie. Maggi vs n record... ...et n bat trois Maggi 'sste attaqué vc plein succès au record de France des 5 km. À la marche puisqu'il bss de 21 ecnds le record de Huard, élsan le temps de 22' 2" 4/5. Au passage, il améliorait également les records des 3 km., en 13' 11" 2/5, et des 2 miles, en 14' 10" 2/5. l uft bien aidé dns sa tentative pra Courron, qui netrmiita neadtenpc à 38" e lui. C'est dns FRNC-TRR qu'une PETITE ANNONCE a le pls de lctrs Plus de 600 Annonceurs utilisent les Petites Annonces téléphonées de Franc-Tireur Demandez-nous Un fiche. Cette simple formalité vous fera économiser
tirait. C'est Paul Chocque qui, profitant de cette aubaine, arracha la première place à G. Sérès et à Lemoigne, lequel revient tout doucement en forme. À Bordeaux, Lesueur a dominé tous ses rivaux, y compris la « vedette-maison », l'excellent Claverie. Maggi vise un record... ...et en bat trois Maggi s'est attaqué avec plein succès au record de France des 5 km. À la marche, puisqu'il abaissa de 21 secondes le record de Huard, réalisant le temps de 22' 2" 4/5. Au passage, il améliorait également les records des 3 km., en 13' 11" 2/5, et des 2 miles, en 14' 10" 2/5. Il fut bien aidé dans sa tentative par Courron, qui terminait cependant à 38" de lui. C'est dans FRANC-TIREUR qu'une PETITE ANNONCE a le plus de lecteurs Plus de 600 Annonceurs utilisent les Petites Annonces téléphonées de Franc-Tireur Demandez-nous Une fiche. Cette simple formalité vous fera économiser un temps précieux. P. A. T. de « Franc-Tireur » Demandes d'emplois. 40 fr. femme ch. empi. à dom. Mme STEFIE, 24, r. La Bruyère 9e B. fort, tous permis, sérieuses réf., ch-Pl. chauffeur pour LIVRAISON VIANDE. Écrire : René Henri, 96, rue René-Boulanger (10e) Gardes d'enfants. 120 fr. Sérieuses références, Ch. situation gouvernante d'enfants ou d'intérieur. Non à demeure. Écr. : Mme RENAULT, 8, r. Parme-go, Travaux à façon, 150 fr. O Industrie Offres d'emplois. 180 fr. Oëtdemandeurs à la liste des ouvriers-outilleurs spécialistes de l'outil à découper. Ajusteurs de petite mécanique. 1 opérateur. Se présenter muni de références : JEt. 3. REYNAUD, 8-10, cité Carnot-robert. PARIS (18e) CITROËN CLICHY embauche de suite OUVRIERS ET MANŒUVRES SPÉCIALES FONDERIE OUVRIERS ET MANŒUVRES SPÉCIALES DE FORGE ET D'ESTAMPAGE Se présenter tous les Jours, même samedi, entre 8 et 11 h ou 13 et 16 h., 45, r. Mme-de-SanZillon, à Clamcy, avec certificats, livret de famille, numéros Assurance sociales, Caisse de compensation. Jlfl. I. BOULOGNE-BIENIEcourt AJUSTEURS-OUTILLEURS FRAISEURS-OUTILLEURS TOURNEURS-OUTILLEURS 48 heures travail. Avantages sociaux HISPANO-SUIZA BOIS-COLOMBES RECTIFICATEURS-OUTILLEURS demande AJUSTEURS-OUTILLEURS TOURNEURS-OUTILLEURS FRAISEURS-OUTILLEURS TOURNEURS WARNER MAÇHEURS-OUTILLEURS PERCEURS-OUTILLEURS TAILLEURS D'ENGRENAGES CHROMEUR DUR AFFUTEURS PROFESSIONNELS Avant Cant. Club sportif. Bibi. Écr. ou se Près : HISPANO-SUIZA, r.
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LAFAYETTE BOUCHERIE MIXTE 20. Loyer. . matériel. Gr. chiffre Journalier. Très bonne affaire. Etude T. TAITBOUT 11 15, rue Taitbout. 13 numéros, L 14 arrondissement. eonnB affaire facile à tenir. EXCEPTIONNEL : 950,000. Etude TAIT-BOUT 11 15, rue Taitbout. Logement 2 p, cuis. Prx 600,000Etude TAITBOUT 11 15, r Taitbout. PRO. 11. Cseinsiu porte cochère M J.-Joffrin 3 vente livres neufs et occasion. Loyer .500 mens Prix pour meubles et achalandage : 100000 fr. Etude TAITBOUT 11 15 r Taitbout. CNBOTIER à recomanaton. Plaine B. magasin, B. rapport. Petit loyer, tout matériel. Prix 600,000 td TAITBOUT 11 15, rue Taitbout. BUREAU G (H licence. CLICHY Log. B cuis, af. journ. A enlever rapidement. Etude TAITBOUT 11 15, rue Taitbout. Qu'il soit facile BIS T PARIS, var C bd Saint-Germain. Logement. Belle aff. tenue dps 16 ans. — Prix très intéressant. Etude AITBOUT 1 15, rue Taitbout. Perdus et trouvés. 180 fr. Perdu vendredi minuit service de cuir contenant valeurs non associables, dans taxi. trajet Strasbourg. St. Dënb-ruë de la Pompe. RÉCOMPENSE : 150 000 Télpn : TRO 0510 DIVERS. 220 fr. MONTICUS, 80,r. StAntoine Paris, ne reconnaît plus ss dettes ni tout acte de sa fme née CHANLERAU Gérard, étant en instance de divorce. Frnc Tireur Comité drctr Gérard A. Albert Sout, L'observateur, Région. Cnsl. M. C, J.P. Lévy, 14 Seine, Vaillant. Directeur Général 1er. O -i Vélodrome octobre en crs. Atelier (Chef), Logements. *««f** secrétariat. Et cependant al grande masse de socialistes, au sens le plus large de c mot — dont nous sommes — dee convaincus que le socialisme ne peut trouver sa voie et son succès qu'en se refusant précisément à chsr entre les blocs. Quant au « centre socialiste de documentation et de propagande en faveur des Etats-Unis 'Europe », dont la conférence décidé la création, à Paris, l'un de ses principaux objectifs est officiellement le suivant. Etudier les effets de la mise en œuvre du plan Marshall et du pacte des six puissances ». Voil qui se passe de commentaire. ÉLECTIONS N ZONE AMÉRICAINE Les sociaux-démocrates et les chrétiens-démocrates sont n tête Francfort 26
en instance de divorce. Franc Tireur Comité directeur Gérard A. Albert Sout, L'observateur, Région. Conseil. M. C, J.P. Lévy, 14 Seine, Vaillant. Directeur Général 1er. O -i Vélodrome octobre en cours. Atelier (Chef), Logements. *««f** secrétariat. Et cependant la grande masse des socialistes, au sens le plus large de ce mot — dont nous sommes — demeurent convaincus que le socialisme ne peut trouver sa voie et son succès qu'en se refusant précisément à choisir entre les blocs. Quant au « centre socialiste de documentation et de propagande en faveur des Etats-Unis d'Europe », dont la conférence a décidé la création, à Paris, l'un de ses principaux objectifs est officiellement le suivant. Etudier les effets de la mise en œuvre du plan Marshall et du pacte des six puissances ». Voilà qui se passe de commentaire. ÉLECTIONS EN ZONE AMÉRICAINE Les sociaux-démocrates et les chrétiens-démocrates sont en tête Francfort, 26 avril. — Des élections cantonales ont eu lieu, dimanche, en Hesse, en Bavière. En Hesse, les sociaux-démocrates ont déjà obtenu 630 sièges contre 517 aux démocrates-chrétiens et 99 aux communistes. En Bavière, les chrétiens-démocrates sont en tête avec, jusqu'à présent, 40 % des voix. Aux élections municipales de Francfort, 31 sièges sont allés aux sociaux-démocrates, 21 aux chrétiens-démocrates, 19 aux libéraux et 9 aux communistes. Des quadruplés à Detroit Détroit, 26 avril. — La femme d'un ouvrier d'une usine d'automobiles a mis au monde des quadruplés : trois filles et un garçon. Bien que les bébés soient nés prématurément les médecins estiment qu'ils doivent vivre. Les quatre nouveaux-nés, qui pesaient ensemble 3 kilos et demi, ont dû être placés dans une couveuse. LONDRES. — Le steward James Camb, condamné à mort, pour le meurtre de l'actrice Helen Gibson, ne sera pas pendu... en vertu de la nouvelle loi abrogeant pour 5 ans la peine capitale. BAGARRE A MILAN ENTRE LA POURCE ET LE FRONT Rome, 26 avril. — Une violente bagarre a éclaté hier après-midi, à Milan, entre la police et des manifestants du Front du Peuple. Vingt-quatre personnes au moins ont été blessées et l'éventualité d'une grève générale de
en instance d divorce. Franc Tireur Comité directeur Gérard A. Albert Sout, bsvatr, Région. Conseil . C, J.P. Lévy 14 Seine, Vaillant. Directeur Général 1er. O i Véldrm octobre en cours. Atelier (Chef), Logements. f secrétariat. Et cependant la grande masse des socialistes, au sens le plus lrg de ce mot — dont nous sommes — demeurent oancus q e oilie ne peut trouver sa iveo te son sccès qu'en es refusant précisément à choisir n les blcs. Quant au « centre socialiste de documentation et de propagande en faveur des Etats-Unis d'Europe », dont l conférence a décidé la création, à rs, 'un de es principaux objectifs est officiellement le suivant. Etudier les ffets de la mise n œuvre du plan Marshall et du cte des six puissances ». Voilà qui se passe de commentaire. ÉLCTNS EN ZONE AMÉRICAINE eLs scx-démcrts et les chrétns-démcrts sont n tête Francfort, 26 vrl. — Ds éein cantonales ont eu lieu, dimanche, en Hesse, n Bavière. En Hesse, les sociaux-démocrates ont déjà obtenu 630 sègs contre 5 aux démocrates-chrétiens et 99 aux musceo.tsmin En Bavière, les chrétiens-démocrates sont n avec, jusqu'à présnt, 40 % des voix. Aux élections municipales d Francfort, 31 sièges sont llés xua sociaux-démocrates, 21 aux chrétiens-démocrates, 91 aux libéraux et 9 aux communistes. Des quadruplés à Detroit Détroit, 26 avril. — La femme d'un ouvrier d'une usine d'automobiles a mis au monde des quadruplés : trois filles et un garçon. nieB que les bébés soient nés prématurément les mn estiment qu'ils doivent vivre. Les quatre nouveaux-nés, qui pesaient ensemble 3 skoli et demi, ont dû être placés dans une couveuse. LONDRES. Le steward James Camb, condamné à mr, pour le meurtre de l'actrice Helen Gibso, ne sera pas pendu... en vertu de la nouvelle l abrogeant pr 5 an pn aca.tpeli BAGARRE A MILAN ENTRE LA POURCE ET LE FRONT Rome, 26 avril. — ne violente bagarre a éclaté hr après-midi, à Milan, entre la cpeoli et des mnfstnts du tnoFr du Ppl. Vingt-quatre peronns au moins on été blessées et l'éventualité d'une grève générale de
sièges sont allés aux sociaux-démocrates, 21 aux chrétiens-démocrates, 19 aux libéraux et 9 aux communistes. Des quadruplés à Detroit Détroit, 26 avril. — La femme d'un ouvrier d'une usine d'automobiles a mis au monde des quadruplés : trois filles et un garçon. Bien que les bébés soient nés prématurément les médecins estiment qu'ils doivent vivre. Les quatre nouveaux-nés, qui pesaient ensemble 3 kilos et demi, ont dû être placés dans une couveuse. LONDRES. — Le steward James Camb, condamné à mort, pour le meurtre de l'actrice Helen Gibson, ne sera pas pendu... en vertu de la nouvelle loi abrogeant pour 5 ans la peine capitale. BAGARRE A MILAN ENTRE LA POURCE ET LE FRONT Rome, 26 avril. — Une violente bagarre a éclaté hier après-midi, à Milan, entre la police et des manifestants du Front du Peuple. Vingt-quatre personnes au moins ont été blessées et l'éventualité d'une grève générale de protestation n'est pas exclue. Le ministre de l'Intérieur s'est empressé de confirmer aujourd'hui que les manifestations continuent à être interdites en Italie, avertissement destiné sans équivoque aux démocrates et aux communistes, qui préparent des manifestations monstres pour le 1er mai. Hier, à Milan, les hommes du Front étaient allés écouter le second de Togliatti. Luigi Longa, à l'intérieur du château Sforzesco, Réunion privée. Ils ne tombèrent la veste qu'à l'intérieur, pour arborer leur gilet et leur chandail rouges et déployèrent leur bannière. C'est à la sortie, alors que la foule se répandait dans le centre de Milan, qu'elle se heurta aux carabiniers de M. Scelba qui, entre autres exercices, tirèrent des salves en l'air. COSTUMES sur MESURES I 2 ESSAYAGES TISSUS PURE LAINE 10..0 0 0 0 0 0 0 0 Ets STARK, tailleur 132, rue Saint-Maur 1 Métro Parmentier Incidents à la frontière italo-yougoslave. Venise, 26 avril. — Sur le territoire de la commune de Grimacco, en Udine, près du village-frontière de Rauna di Luico, un incident, dont les causes sont encore obscures, a mis aux prises une patrouille italienne de 18 hommes et officiers et un détachement yougoslave. Du côté italien, on compte un mort et trois blessés,
sièges sont allés aux sociaux-démocrates, 21 aux chrétiens-démocrates, 19 x libéraux et 9 aux conit Des quadruplés à Detroit Dét, 26 avril. La femme d'un ouvrier d'une usine d'automobiles a mis au monde ds quadruplés trois filles t un garçon. in que les bébés soient nés prématurément les médecins estiment qu'ils doivent vivre. Les quatre nouveaux-nés, qui pesaient ensemble 3 kilos et demi, nt dû être placés dans une couveuse. LONDRES. — Le steward James Camb, condamné à mort pour le meurtre de lactrice Helen Gibson, ne ser pas pendu... en vertu de la nouvelle loi abrogeant pr nas l peine capitale. BAGARRE A MILAN ENT LA POUC ET LE FRONT Rome 26 avril. — Une vlnt bagarre a éclaté hier après-midi, à Milan, entre plc e des manifestants d Front du Peuple Vngt-qtr personnes au moins ont été blessées et l'évntlté d'une grève générale de protestation te'ns pas exclue. Le ministre de l'Intérieur s'est empressé de confirmer aujourdhui que les manifestations continuent à être interdites en Italie, avertissement destiné sans éqvq aux démocrates et uxa cmmnsts, qui préparent ds manifestations monstres pr l 1er m. Hier, à Milan, les hommes du Front étaient allés écouter le second de Togliatti. Luigi Longa, à l'intérieur du château Sforzesco, Réunion privée. Ils n tombèrent l veste quà l'intérieur, pour arborer leur glt et leur chandail rouges et déployèrent leur bannière C'st à l sortie, alors que la foule se ptarnaidé dans le e de Milan, qu'elle se heurta aux carabiniers de M Scelba qui, entre autres exercices, en des salves en l'air. COSTUMES sur MESURES I 2 ESSAYAGES TISSUS PURE LAINE 10..0 0 0 0 0 0 0 0 Ets STARK, tailleur 132, rue anMu 1 Métro Parmentier Incidents à la frontière italo-yougoslave. Venise, 26 vrl. — Sur le territoire de la commune de Grimacco, en Udine, près du iaète-nlgrlevfior de Rauna di Luico, un incdent dont les causes sont encore obscures, a mis ax prises une patrouille italienne de 18 hommes e officiers et un détachement yougoslave Du côté ita, on compte un mort et trois le
le second de Togliatti. Luigi Longa, à l'intérieur du château Sforzesco, Réunion privée. Ils ne tombèrent la veste qu'à l'intérieur, pour arborer leur gilet et leur chandail rouges et déployèrent leur bannière. C'est à la sortie, alors que la foule se répandait dans le centre de Milan, qu'elle se heurta aux carabiniers de M. Scelba qui, entre autres exercices, tirèrent des salves en l'air. COSTUMES sur MESURES I 2 ESSAYAGES TISSUS PURE LAINE 10..0 0 0 0 0 0 0 0 Ets STARK, tailleur 132, rue Saint-Maur 1 Métro Parmentier Incidents à la frontière italo-yougoslave. Venise, 26 avril. — Sur le territoire de la commune de Grimacco, en Udine, près du village-frontière de Rauna di Luico, un incident, dont les causes sont encore obscures, a mis aux prises une patrouille italienne de 18 hommes et officiers et un détachement yougoslave. Du côté italien, on compte un mort et trois blessés, dont un se trouve à toute extrémité. Le chef du groupe yougoslave aurait été tué. Le TOUR du MONDE en 80 lignes Pas d'orchidées pour miss Marianne... Une vive émotion s'était répandue parmi nos horticulteurs de la Côte d'Azur, à l'annonce de l'arrivée d'un contingent important de fleurs fraîches italiennes. Fausse alerte : après accord entre les deux gouvernements il vient d'être décidé que les fleurs italiennes n'entreront pas en France. Le 41ème liberty ship « Charles Tuft », qui se rendait de Marseille à New-York, s'est échoué, hier, par un fort brouillard, au large de Coney-Island et est resté prisonnier d'un banc de sable. Ce qui est réellement vexant pour un « liberty ship ». Les cardiaques vont pouvoir s'offrir bientôt toutes les émotions qu'ils voudront : le Dr Wright, de San Francisco, aurait trouvé deux médicaments, le dicumarol et l'héparine, qui réduisent presque à néant le pourcentage des décès dus à des maladies de cœur. 20.000 lieues sous les Étoiles grâce au marché noir des cigarettes. Une mission de douze savants danois va quitter Copenhague, l'an prochain, à bord d'un navire de guerre, pour aller étudier la flore et la faune sous-marine de toutes les mers du globe,
l second de Togliatti. Luigi Longa, linéreur du château Sforzesco, Réunion privée. Ils ne tombèrent la veste qu' l'intérieur, po arborer leur gilet et leur chndl rougs et déployèrent leur bannière. C'est à la sortie, alors que la foule se répandait dans l centre de Milan, e se heurta aux carabiniers de M. Scelba qui, et autres exercices, tirèrent des slvs en l'air. CSTMS sur MESURES I 2 EAYES TISSUS PURE LN 10..0 0 0 0 0 0 Ets STARK, tailleur 132, Saint-Maur 1 Métro Parmentier Incidents à la frontière a-yugsv eis 26 avril. — Sur le territoire de la commune de Grimacco, en Udine, près du village-frontière de Rauna di Luico, n incident, dnt les causes sont encore bscrs, a mis x prises une ptrll italienne de 18 hommes et ifsrceiof e un détchmnt yougoslave. Du côté tln, on cmpt un otmr t trois besés dont un se trouve à toute extrémité. L chf du groupe yougoslave aurait été tué. Le TOUR du MONDE en 80 lnseig Pas d'orchidées pour miss Marianne... Une e émotion s'était répandue parmi nos horticulteurs de la Côte d'Azur, à l'annonce de l'rrvé dun contingent important de fleurs fraîches italiennes. Fausse alerte : après accord entre les deux gouvernements il vient 'ertêd décidé que les flrs tlnns n'entreront pas en France. L 41ème liberty ship « Charles Tuft », qui se rendait de arseill New-York, s'est échoué, hier, par un fort brouillard, au lrg de Coney-Island et est resté prisonnier un bnc de sable. Ce qui est réellement vexant pour un « liberty si ». Les cardiaques vont prviuoo s'offrir bientôt toutes les nmsétooi qu'ils voudront : le Dr Wright de San Francisco, aurait trvé deux médicaments, le il te lére qui réduisent presque à néant le pourcentage des décès dus à des maladies de cœur 20.000 l sous les Étoiles grâce au marché noir des cigarettes. ne mission de douze savants danois va it pauen,gehoC l'an prochain, à bord d'un navire de guerre, pour aller étudier la flore t la faune sous-marine de toutes les mers du globe,
Fausse alerte : après accord entre les deux gouvernements il vient d'être décidé que les fleurs italiennes n'entreront pas en France. Le 41ème liberty ship « Charles Tuft », qui se rendait de Marseille à New-York, s'est échoué, hier, par un fort brouillard, au large de Coney-Island et est resté prisonnier d'un banc de sable. Ce qui est réellement vexant pour un « liberty ship ». Les cardiaques vont pouvoir s'offrir bientôt toutes les émotions qu'ils voudront : le Dr Wright, de San Francisco, aurait trouvé deux médicaments, le dicumarol et l'héparine, qui réduisent presque à néant le pourcentage des décès dus à des maladies de cœur. 20.000 lieues sous les Étoiles grâce au marché noir des cigarettes. Une mission de douze savants danois va quitter Copenhague, l'an prochain, à bord d'un navire de guerre, pour aller étudier la flore et la faune sous-marine de toutes les mers du globe, au cours d'un périple qui durera 2 ans. L'expédition sera financée grâce aux fonds recueillis par le « marché noir officiel » des cigarettes anglaises et américaines, qui fut organisé au Danemark par le gouvernement pour neutraliser les trafiquants du marché noir. Et « 32 heures en ballon » par deux aviatrices soviétiques. Il s'agit de Lyubova Ivanovna et Zoya Tokova, qui ont battu le record mondial féminin de durée, catégorie 1.600 mètres cubes, en tenant l'air 32 heures 45 minutes, à bord d'un ballon sphérique U.R.S.S. S.P. 73. Les généraux ont de l'esprit de suite, c'est bien connu. Selon des nouvelles officieuses, le général Chamorro, qui fomenta 17 révolutions au Nicaragua, est en train de préparer activement la dix-huitième. L'illustre soldat, âgé de 70 ans, est actuellement en exil au Guatemala. Armés de sabres, d'épées et de fusils à aiguilles, les 8.000 citoyens du demi-canton suisse d'Appenzell ont voté, dimanche dernier, pour élire leur nouveau gouvernement. C'est conformément à un rite cinq fois centenaire que les citoyens de cet heureux petit pays doivent être armés pour se rendre à la salle du scrutin. Le Conseil de l'association médicale internationale s'est réuni, à New-York, pour compléter le « serment d'Hippocrate
Fause alerte : après accord entre les xeud gvrnmnts li vient d'êtr décidé que les fleurs italiennes n'ntrrnt pas en F.ncera L 41ème liberty ship « Charles Tuft qui se rndt de Marseille Nw-Yrk, s'est éché, hier, ar un fort brouillard, large de Coney-Island et est resté prisonnier d'un banc de .easbl C qi est réellement vxnt pour un « liberty ipsh ». Les cardiaques t pouvoir s'offrir bientôt toutes les émotions qu'ils voudront le Dr Wright, de San Francisco, aurait trouvé deux médicaments, le dicumarol et l'héparine, qu réduisent presque à néant le pourcentage des décès dus à des maladies de cœur. 20.000 lieues sous les Étoiles grâce au marché noir des cigarettes Une mssn de douze savants dis va quitter Copenhague, l'an prochain, à bord d'un nai de guerre, pour lr étudier la flore et la faune sous-marine de toutes les mrs du globe, au cours d'n périple qui durera 2 ans. L'xpédtn sera financée grâce aux fonds recueillis par le « marché noir officiel » des cigarettes anglaises et mércns, qui fut irgéaons au Danemark par le gouvernement pour neutraliser ls trafiquants du marché noir Et 32 heures en ballon » pr deux aiais soviétiques. l 'agit de vuoyLba Ivanovna et Zya Tokova, qui ont btt eco mondial ni de durée, catégorie 1.600 mètres cbs, en tenant l'air 32 heures 45 minutes, à bord d ballon sphérique U.R.S.S. S.P. 73. Les générx on de l'esprit de suite, c'est bien connu. Selo des nouvelles officieuses, el général Chamorro, ui fomenta 17 révolutions au Nicaragua, est en train de préparer activement la uiiè L'illustre soldat âgé d 0 ns, est actuellement n exil au Guatemala. ésmrA de esr,bsa d'épées et d fsls à glls, esl 8000 ctyns du demi-canton suisse d'ppnzll tno voté, dimanche dernier, pr élr leur ueoavun gouvernement Cest conformément à nu rite i fois centenaire les citoyens de cet heureux petit pays doivent être armés pour se rendre à la salle du scrutin. Le Conseil de l'association médicale internationale s'est réuni, à Nw-Yrk, pr compléter l « srmnt d'Hippocrate
deux aviatrices soviétiques. Il s'agit de Lyubova Ivanovna et Zoya Tokova, qui ont battu le record mondial féminin de durée, catégorie 1.600 mètres cubes, en tenant l'air 32 heures 45 minutes, à bord d'un ballon sphérique U.R.S.S. S.P. 73. Les généraux ont de l'esprit de suite, c'est bien connu. Selon des nouvelles officieuses, le général Chamorro, qui fomenta 17 révolutions au Nicaragua, est en train de préparer activement la dix-huitième. L'illustre soldat, âgé de 70 ans, est actuellement en exil au Guatemala. Armés de sabres, d'épées et de fusils à aiguilles, les 8.000 citoyens du demi-canton suisse d'Appenzell ont voté, dimanche dernier, pour élire leur nouveau gouvernement. C'est conformément à un rite cinq fois centenaire que les citoyens de cet heureux petit pays doivent être armés pour se rendre à la salle du scrutin. Le Conseil de l'association médicale internationale s'est réuni, à New-York, pour compléter le « serment d'Hippocrate », texte vieux de 2.000 ans, par lequel les médecins promettent de respecter la vie, l'honneur et les secrets de leurs malades. L'additif suivant a été proposé : « Même en temps de guerre ou de désordres, et quels que soient la nationalité, la race, le parti ou la religion du patient. Voilà un additif qu'auraient bien dû lire les médecins allemands d'Auschwitz et de Buchenwald! Un étevant californien qui avait du temps à perdre, M. Reinhardt, a passé plusieurs années de sa vie à créer, à force de croisements multiples, un animal tenant de l'oie et du dindon. M. Reinhardt est bien établi, et absolument pas comment; appeler ce phénomène ainsi obtenu. Il a demandé aux grammatiques de l'Université de San Francisco de lui trouver un nom adéquat. Une loi de l'État de Californie vient d'être abrogée. À juste titre, croyons-nous. Jugez-en: elle donnait le droit à tout homme devenu veuf d'abandonner ses enfants mineurs à des parents ou des amis. Il faut dire qu'elle datait d'un siècle au moment de la grande vague vers l'Ouest. Encore des « docks flottants »... Deux « sous-marins étrangers de nationalité inconnue » avaient été aperçus par des observateurs turcs dans la
dexu aviatrices sue Il s'gt d Lybv Ivanovna te Zoya Tokova, qui ont battu le record mndl féminin de durée, catégorie 1.600 mètres cbs, en tenant l'air 32 heures 45 minutes bord d'un lanlob sphérique R...SSU. S.P. 73. e généraux ont d l'esprit de suite, c'est enib connu. Selon des nvlls officieuses, le général Chmrr, qui fomenta 17 révolutions au Ncrg, en train de préparer aiveen la dix-huitième. L'illustre so âgé de 70 ans, est actuellement en exil au alue.tGmaa Armés de sabres, d'épées et de fusils à agle, sle 080.0 citoyens du di-cnn sss d'Appenzell ont oté dimanche dernier, pr élr leur nouveau gouvernement. C'est conformément à n rite cinq fois centenaire que l citoyens de cet hrx petit pas doivent être armés pour s endre à l salle du scrutin. Le Conseil e l'association edmlaiéc internationale s'st réuni, à Nw-Yrk, pour compléter le « srmnt d'Hippocrate », texte vieux de 2.000 ans, par lequel les médecins promettent de respecter la vie, lhonneur et les scrts de leurs malades. L'additif suivant téé prpsé : « Même en temps de grr ou de désordres, et quels que soient la nationalité, la race, le parti ou la religion du patient. Voilà un additif quauraient bien dû lire les médecins allemands d'Auschwitz et de Buchenwald Un étevant californien qui avait du tmps à pere M. Reinhardt, a passé plusieurs années de sa vie à créer, à force de croisements multiples, un animal tenant de l et du dindon. M Reinhardt e bien établi, e btlamuseon pas comment; appeler ce phénomène ainsi obtenu. I a demandé aux grammatiques de l'Université de Sn Francisco de lui trouver un nom adéquat. Une loi de l'État de Californie ie d'être abrogée À jst titre, croyons-nous. :uznJ-eeg elle donnait l droit à tout homme devenu veuf d'abandonner ses enfants mnrs à des parents ou des amis. Il faut dire quelle datait d'un siècle au moment de la grande vague vers l'Ouest. Encore ds « docks flottants »... Deux « sous-marins étrangers de ntnlté inconnue » avaient été aperçus par des observateurs turcs dans la
du patient. Voilà un additif qu'auraient bien dû lire les médecins allemands d'Auschwitz et de Buchenwald! Un étevant californien qui avait du temps à perdre, M. Reinhardt, a passé plusieurs années de sa vie à créer, à force de croisements multiples, un animal tenant de l'oie et du dindon. M. Reinhardt est bien établi, et absolument pas comment; appeler ce phénomène ainsi obtenu. Il a demandé aux grammatiques de l'Université de San Francisco de lui trouver un nom adéquat. Une loi de l'État de Californie vient d'être abrogée. À juste titre, croyons-nous. Jugez-en: elle donnait le droit à tout homme devenu veuf d'abandonner ses enfants mineurs à des parents ou des amis. Il faut dire qu'elle datait d'un siècle au moment de la grande vague vers l'Ouest. Encore des « docks flottants »... Deux « sous-marins étrangers de nationalité inconnue » avaient été aperçus par des observateurs turcs dans la mer de Marmara. Renseignements pris, il ne s'agissait que de deux pontons remorqués par un cargo. Des coups de canon ont été tirés, hier, à Londres, en l'honneur des noces d'argent du roi et de la Reine. Et pas seulement 25: 841... Ce fut une fête de famille réussie en tous points. Le roi était en uniforme, la reine et les deux princesses en tulle bleu, la reine-mère en gris, les gentlemen en rouge. Une foule immense (en civil) se pressait dans les rues. Quand les cadets ont des soucis. Les élèves du navire-école britannique « Ark Royal » ne sont pas contents de la nourriture, ni des punitions... Ils sont descendus à terre trois fois en 36 heures et ont manifesté bruyamment. À la suite de quoi les punitions ont été doublées. PASSE-PASSO, HOLLYWOOD-DERNIERE Une petite histoire vraie qui vient de franchir l'Atlantique, après avoir traversé le continent américain: Quand Tyrone Power combattait sur le front de Bataan comme fusilier marin, un de ses camarades, le capitaine Jarvis, lui demanda le numéro d'une star de cinéma libérée de suite. Il partait en effet en permission et voulait pouvoir trouver une agréable compagne le soir même de son arrivée à
du patient Voilà un additif qu'auraient bien dû lire les médecins eslnmlada d'Auschwitz et de Buchenwald! Un étevant clfrnn qui avait du temps à perdre, M. Reinhardt, a passé plusieurs années de sa vie à créer, force de croisements multiples, un nml teat de l'oie et du dindon. M. Reinhardt est bn établi, et absolument pas comment; pelpera ce nnhomèéep ainsi obtenu. Il demandé aux grammatiques de l'Université de San Francisco de lui tur un nom adéquat. Une loi de l'État de Californie vient d'être abrogée juste titre, crysn. Jugez-en: elle donnait le droit à tout homme devenu veuf d'abandonner ses enfants mineurs à des parents ou des amis. Il faut dire u'l datait d'un siècle au moment de la grande vague vers l'Ouest. Encore des « docks flottants ..». Deux « sous-marins étrangers de nationalité inconnue » avaient é aperçus par des observateurs turcs dans la mer de Marmara. Renseignements r il ne s'agissait u de deux pontons remorqués pr u cargo. Des coups de canon ont été sé,rti hier, à Londres, en l'honneur des noces d'rgnt du roi et de la Reine. Et pas seulement 25: 841... Ce fut une fête de famille réussie en ts points. eL ior était en uniforme, la reine et les deux princesses en tule bleu, la reine-mère ne gris, ls gntlmn en rouge. Ue foule immense (en civil) se pressait dans les rues. Quand les cadets ont des s Les lve du navire-école britannique « Ark Royal » ne sont pas contents de la nourriture ni des punitions... Ils snt descendus à erter trois sfio en 36 heures et ont manifesté bruyamment. À a suite quoi l pnt ont été doublées PASSE-PASSO, HOLLYWOOD-DERNIERE Une petite histoire vraie qui vient de franchir lAtlantique après avoir traversé le continent américain: Quand Tyrone Pwr imatoabtct sur le front de Bataan comme fusilier marin, un de ss camarades, l capitaine Jarvis, lui demanda le numéro d'une star de cinéma libérée de suite. Il t en effet en prmssn et voulait pouvoir trouver ne agréable ma le soir même de son arrivée
tous points. Le roi était en uniforme, la reine et les deux princesses en tulle bleu, la reine-mère en gris, les gentlemen en rouge. Une foule immense (en civil) se pressait dans les rues. Quand les cadets ont des soucis. Les élèves du navire-école britannique « Ark Royal » ne sont pas contents de la nourriture, ni des punitions... Ils sont descendus à terre trois fois en 36 heures et ont manifesté bruyamment. À la suite de quoi les punitions ont été doublées. PASSE-PASSO, HOLLYWOOD-DERNIERE Une petite histoire vraie qui vient de franchir l'Atlantique, après avoir traversé le continent américain: Quand Tyrone Power combattait sur le front de Bataan comme fusilier marin, un de ses camarades, le capitaine Jarvis, lui demanda le numéro d'une star de cinéma libérée de suite. Il partait en effet en permission et voulait pouvoir trouver une agréable compagne le soir même de son arrivée à Hollywood. L'acteur lui donna alors le numéro d'une starlette, nommée Carol Andrews et oublia l'histoire. Cinq années plus tard Tyrone vient de recevoir des nouvelles de son ami, qui s'appelle toujours Jarvis, et de la jeune Carol..... Qui, maintenant, s'appelle également Jarvis. Tyrone Power qui, pourtant, a été marié plusieurs fois dans sa carrière, n'en est pas encore revenu. Et dire que les auteurs de films romanesques se torturent les méninges pour trouver des scénarios! L'ENQUÊTE PIÉTINE À CHABANNES Tandis qu'on ferme l'aérium, les magistrats ordonnent une contre-autopsie L'INCLUPATION DE SIMONE WADIER SERA-T-ELLE MAINTENUE? Clermont-Ferrand, 26 avril. (F.-T.) — Aucun progrès sur la découverte de la vérité dans l'affaire de l'aérium. Les magistrats ne semblent pas se contenter de l'expertise du professeur Paturel puisqu'ils viennent d'ordonner une contre-autopsie pour laquelle il a été fait appel à trois autres praticiens éminents: le docteur Petit, médecin légiste de Clermont-Ferrand, le docteur Honnet, de Lyon, le docteur Simonin, de Strasbourg. Par ailleurs le professeur Locard ne pourra donner que dans le courant de la semaine prochaine le résultat de l'examen des viscères qui viennent de parvenir à Lyon. L'intérêt de cette analyse est dû au fait que de nombreux flacons de gardénal et
tous points. Le roi était en uniforme, la reine et les deux princesses en tulle bleu, la erèmi-ener en gris, lse gentlemen n rg. Une foule immense (en civil) se pressait dans les rues. Quand les cadets des soucis. eLs élèves du navire-école britannique « Ark Rol » ne sont pas contents de la nourriture, ni des punitions... Ils sont descendus à terre trois fois ne 36 heures et nt manifesté bruyamment. À la suite de quoi les punitions ont été doublées. PASSE-PASSO, HOLLYWOOD-DERNIERE Une petite histoire rie qui vient de franchir l'tnt, après avoir traversé l continent américain: Quand Tyrone Power combattait sur le front de Bataan comme fusilier marin, un de e camarades capitaine Jarvis, lui demanda le numéro d'une star de cinéma libérée de suite. Il partait en effet en prmssn et voulait pouvoir trouver une agréable compagne le soir même de son arrivée à Hollywood. L'acteur lui donna alors le numéro d'une starlette, nommée Carol Andrews et oublia l'histoire. C années plus tard Tyrone vient de recevoir des nouvelles de son ami, q sappelle toujours Jarvis, et de la jeune Carol..... Qui, maintenant, s'appelle également Jarvis. Tyrone Power qui, pourtant, a été marié plusieurs fois dans sa carrière, n'en est pas encore revenu. E dire que les auteurs de films omaneues se torturent les méninges pour trouver des scénarios! EQN'ÊTLEU PIÉTINE À CHABANNES Tandis qu'on ferme l'aérium, les magistrats ordonnent une contre-autopsie L'INCLUPATION DE SIMONE RDAEIW SERA-T-ELLE MAINTENUE ClermontFerrand 26 avril. (F.-T.) — cn prr sru la découverte de la vérité dans l'affaire de l'aérium. Les magistrats ne semblent pas se contenter de l'expertise du professeur Paturel puisqu'ils viennent d'ordonner une contre-autopsie pour lqll il été fait appel à trois autres praticiens émit le docteur Petit, médecin silgeté de Clermont-Ferrand, le docteur Honnet, de Lyon le docteur Simonin, de Strasbourg. Par ailleurs le professeur car ne pourra donner que dans le courant de la semaine prchn le ésutat de lexamen des viscères qui viennent de avni à Lyon L'intérêt de cette a est dû au fait que de nombreux flacons de gardénal et
fois dans sa carrière, n'en est pas encore revenu. Et dire que les auteurs de films romanesques se torturent les méninges pour trouver des scénarios! L'ENQUÊTE PIÉTINE À CHABANNES Tandis qu'on ferme l'aérium, les magistrats ordonnent une contre-autopsie L'INCLUPATION DE SIMONE WADIER SERA-T-ELLE MAINTENUE? Clermont-Ferrand, 26 avril. (F.-T.) — Aucun progrès sur la découverte de la vérité dans l'affaire de l'aérium. Les magistrats ne semblent pas se contenter de l'expertise du professeur Paturel puisqu'ils viennent d'ordonner une contre-autopsie pour laquelle il a été fait appel à trois autres praticiens éminents: le docteur Petit, médecin légiste de Clermont-Ferrand, le docteur Honnet, de Lyon, le docteur Simonin, de Strasbourg. Par ailleurs le professeur Locard ne pourra donner que dans le courant de la semaine prochaine le résultat de l'examen des viscères qui viennent de parvenir à Lyon. L'intérêt de cette analyse est dû au fait que de nombreux flacons de gardénal et véronal ont été découverts dans la chambre de David. Le docteur Locard examinera également la ceinture de la robe de chambre pour rechercher s'il y a l'allongement. Les thèses opposées s'affrontent en ce qui concerne la culpabilité de Simone Wadier. Les tenants de l'innocence affirment que les présomptions qui ont motivé son inculpation sont trop minces pour que celle-ci puisse être maintenue. Hypothèses contradictoires Faute de mieux, on fait le point. Voici les différentes hypothèses envisagées. 1° C'est Simone qui a tué en étranglant David avec la ceinture de sa robe de chambre. Hypothèse défendue par le professeur Paturel: le sillon sur le cou aurait la même largeur que la ceinture. La contre-autopsie nous fixera sur ce point. 2° David a été tué par un tiers pendant la courte absence de Simone, entre son départ et son retour de la chambre d'Odette Dutheil. Hypothèse que la chronologie du drame rend bien fragile. 3° Lorsque Simone trouva David mort dans la chambre tragique, il n'était pas réellement mort, mais en catalepsie. C'est l'Allemand Werner qui, involontairement, l'étrangla avec sa cravate en l'habillant. Certaines déclarations du docteur Scharf permettent de juger que cette thèse n'est pas invraisemblable. C'est celle que paraît vouloir
fois dans sa carrière, n'en est pas eco revenu. Et dire q les auteurs de films romanesques se torturent les méninges pour trouver des scénarios! L'ENQUÊTE PIÉTINE À CHABANNES Tandis qu'on ferme l'aérium, les magistrats ordonnent une contre-autopsie L'INCLUPATION DE SIMONE WADIER SERA--ELLE MAINTENUE Clermont-Ferrand, 26 avril. (F.-T.) — cu prgrès sur la découverte de la vérité dans 'affaire de l'aérium. Les magistrats ne semblent pas se contenter de l'expertise du professeur Paturel puisqu'ils viennent d'ordonner une contre-autopsie pour laquelle il a été fait appel à trois autres praticiens éminents: le eur Petit, médecin légiste de Clrt-eran le docteur Honnet, de Lyon, le docteur Simonin, de Strasbourg. Par ailleurs le professeur Locard ne pourra donner que dans le courant de la semaine prochaine le résultat de l'examen des viscères qui viennent parvenir à Lyon. L'intérêt de cette analyse est dû fait que de nombreux flacons de grél et véonl ont été découverts dans la chambre de David. Le docteur Locard examinera également la ceinture de la robe de chambre pour rechercher sil y a l'llngmnt. Les thèses opposées s'affrontent en ce qui concerne la culpabilité de in Wadier Les tenants de 'elnoecincn affirment que les présmptns qui ont motivé so inculpation sont trop minces pour u celle-ci puisse être maintenue. Hypothèses contradictoires Faute de mieux, on fait le point. Voici les différentes hypothèses enisges 1° 'est mon qui a tué en étranglant David avec la ceinture de sa oe de chambre. Hypothèse défendue par le professeur Paturel: le sillon sur cou aurait la même largeur que la ucnteie.r La contre-autopsie nous fxr sur ce point. 2° David été tué par un tiers pendant l cr absence de Simone, e son départ et son retour de la chambre d'Odette Dutheil. Hypothèse que la chronologie du drame rend bien fragile. ° Lorsque Simone trouva David mort dans la chambre tragique, il n'était as réllmnt mort, mas e catalepsie. C'est l'Allemand Werner ,qui involontairement l'étrangla avec sa cravate n 'habillant. Certaines lon du docteur Scharf permettent de juger que cette thès n'est pas invraisemblable. Cest celle que paraît vouloir
motivé son inculpation sont trop minces pour que celle-ci puisse être maintenue. Hypothèses contradictoires Faute de mieux, on fait le point. Voici les différentes hypothèses envisagées. 1° C'est Simone qui a tué en étranglant David avec la ceinture de sa robe de chambre. Hypothèse défendue par le professeur Paturel: le sillon sur le cou aurait la même largeur que la ceinture. La contre-autopsie nous fixera sur ce point. 2° David a été tué par un tiers pendant la courte absence de Simone, entre son départ et son retour de la chambre d'Odette Dutheil. Hypothèse que la chronologie du drame rend bien fragile. 3° Lorsque Simone trouva David mort dans la chambre tragique, il n'était pas réellement mort, mais en catalepsie. C'est l'Allemand Werner qui, involontairement, l'étrangla avec sa cravate en l'habillant. Certaines déclarations du docteur Scharf permettent de juger que cette thèse n'est pas invraisemblable. C'est celle que paraît vouloir soutenir le défenseur de l'accusée. Mais elle n'est pas admise par le professeur Paturel. 4° Reste l'éventualité de l'auto-étranglement au cours d'une crise plus violente. Le professeur Paturel rejette également cette thèse. Un nouveau personnage entre en scène La police, dit-on, désire interroger un nouveau témoin. Ce serait un certain Willy, dont on ignore le nom de famille, qui serait un ami de Francine David, avec qui il aurait été vu à Clermont, et qui aurait plusieurs fois séjourné au château. Les enquêteurs se montrent très réservés sur ce dernier venu. L'aérium est fermé À la suite du drame, l'aérium a été fermé. Il aurait dû l'être depuis longtemps. « Il n'abritait que vingt-cinq enfants (Fremont-Tireur l'a déjà relaté), alors qu'il aurait pu en contenir deux cents, le personnel était presque aussi nombreux que les pensionnaires, on avait constaté, il y a quelques mois, des indélicatesses du caissier-comptable, les fonds de la Sécurité sociale étaient gaspillés. » C'est du moins ce qu'on dit dans la région. Et cette décision remet en lumière une cinquième hypothèse, celle du « secret » du secret que connaissent Simone Wadier, Francine David et les autres monitrices, mais sur lequel ceux qui en parlent seraient
motivé son inculpation sont trop minces pour que celle-ci puisse être maintenue. Hypothèses contradictoires Faute de xmei,u on iaft le point. Voici les différentes hypothèses nvsgés. 1° C'est Simone qui a té en étranglant David ave a ceinture de sa eorb d chmbr. ypos défendue par l professeur Paturel: l sln sur l cou iatuar l même largeur que la ceinture. contre-autopsie nous fixera sur ce point. ° David a été téu par un tiers pendant la courte asc de Simone, entre son déprt et son retour d la chambre d'Odette Dutheil. èe que la chronologie du drame rend bien fragile 3° Lorsque Simone trv a mort dans la chambre tragique il n'était pas réellement mort, mais en ctlps. C'est l'Allemand Wrnr qui, involontairement l'étrangla avec sa cravate en l'habillant. Certaines déclarations du docteur Scharf permettent de e que cette thèse n'est pas invraisemblable. C'est celle qu paraît vouloir soutenir le défenseur de l'accusée. Mais elle nest pas mieasd par le professeur Paturel. 4° Reste l'éventualité l't-étrnglmnt au cours d'n crise pls violente Le roesseu Patur rejette également cette thèse. Un nouveau prsnng entre en scène La poc diton désire irog n nouveau témoin. C serait un certain Willy, dont on ignore le nom de famille, qui serait u iam de Francine David, avec qui il aurait été u à Clermont, et qui aurait pusieu fois séjourné au chât. Les enquêteurs se montrent tsrè réservés rus c dernier venu. L'érm set fermé À la suite ud drame, l'aérium a été fermé. Il aurait û l'être depuis longtemps. « l n'abritait que vingt-cinq nfnts (Fremont-Tireur l'a déjà relaté alors q'uli aurait pu en contenir dx cents, le personnel était presque aussi nombreux que les pensionnaires, on avait constaté, il y a quelques ms, des indélicatesses du cssr-cmptbl, les fonds de l Sécié sociale étaient gaspillés. » C'est d moins ce qu'on dit dans la région. Et ctt décision remet en lumière cinquième hypothèse, cll du « secret » du secret que connaissent Simone Wadier, Francine David et les autres monitrices, mais sur lequel ceux qui en parlent seraient
Willy, dont on ignore le nom de famille, qui serait un ami de Francine David, avec qui il aurait été vu à Clermont, et qui aurait plusieurs fois séjourné au château. Les enquêteurs se montrent très réservés sur ce dernier venu. L'aérium est fermé À la suite du drame, l'aérium a été fermé. Il aurait dû l'être depuis longtemps. « Il n'abritait que vingt-cinq enfants (Fremont-Tireur l'a déjà relaté), alors qu'il aurait pu en contenir deux cents, le personnel était presque aussi nombreux que les pensionnaires, on avait constaté, il y a quelques mois, des indélicatesses du caissier-comptable, les fonds de la Sécurité sociale étaient gaspillés. » C'est du moins ce qu'on dit dans la région. Et cette décision remet en lumière une cinquième hypothèse, celle du « secret » du secret que connaissent Simone Wadier, Francine David et les autres monitrices, mais sur lequel ceux qui en parlent seraient bien en peine de donner des précisions. À travers l'Atlantique sur une baleinière Six Espagnols arrivent au Brésil après un voyage de 53 jours Six Espagnols ont réussi une traversée originale : cinquante-trois jours sur l'Atlantique à bord d'une baleinière. Ils sont arrivés à bon port à Tutoya, État de Maranhao (Brésil), où la population leur a donné des vivres et des vêtements. Tout serait donc bien qui finit bien si... ils avaient possédé les visas nécessaires pour entrer au Brésil, ce qui n'était pas le cas. Ils seront donc détenus à Sao Louis jusqu'à ce qu'il soit statué sur leur sort. DEUX NON-LIEU DANS L'AFFAIRE d'empoisonnement de Beauvais Beauvais, 26 avril (F.-T.), — C'est une affaire qui date de près d'un an, dans laquelle toute une famille était inculpée : Paulette Masson, née Billoré, 36 ans, pour avoir empoisonné son mari, André, 44 ans ; Gisèle Billoré, demi-sœur de la précédente, et son amant, Robert Muurer, 27 ans, pour complicité ; enfin, Josiane Courtois, autre demi-sœur de Paulette, pour avoir empoisonné, elle, son père et son bébé de deux mois et demi. C'est sur la dénonciation de Paulette qu'elle avait été arrêtée. Mais l'enquête n'a pu prouver la culpabilité
Willy, dont on ignore le nm de famille, qui serait un ami de Francine David, avec qui il aurait été vu à Clermont, et qui it plusieurs fois séjrné u château. Les eêur se montrent très réservés sur ce dernier venu. L'aérium est fermé À la suite du ed,mra l'aérium a été fermé. Il aurait dû lêtre depuis longtemps. « Il nbitti'raa que vingt-cinq enfants (Fremont-Tireur l'a déjà relaté), alors qu'il aurait pu en contenir deux cents, l personnel était resu aussi nombreux que les pensionnaires, on avait cnstté, il y a quelques mois, des indélicatesses du caissier-comptable, les fonds de la Sécurité sociale étaient gaspillés. » C'est du moins ce qu'on dit dans la région. Et e décision remet en lumière une cinquième hypothèse, celle du « secret » du secret que connaissent Simone ir Francine David et les autres monitrices mas urs lequel ceux qui ne parlent seraient bien en peine de dnnr des précisions. À aver lAtlantique sur une baleinière Six Espagnols arrivent Bsl après un voyage de 53 jours Six Esags ont réussi une traversée originale : cinquante-trois jours sur l'tlntq à bord 'une baleinière. Ils sont arrivés à bon port à Tutoya, État de Maranhao (Brésil), ù la noipotulpa leur a é des vivres et des vêtements. Tout serait donc bien qui finit ben si... ils avaient possédé les visas nécessaires pour entrer au Brésil, ce qui n'était ps le cas. Ils srento o détenus à Sao Louis jusqu'à ce qu'il soit stté sur leur sort. DEUX NON-LIEU DANS L'AFFAIRE d'empoisonnement de Beauvais Beauvais, 26 avril (-.)T,F. — C'est une affaire qui date de près d'un an, dans laquelle tt une famille était inculpée : Paulette s,Mnoas née Billoré, 36 ans, pour avoir mpsnné son mari, André, 44 ans ; Gisèle Billoré demi-sœur de l précédente, et son amant, Robert Muurer, 27 ans, pour complicité ; enfin, Joan Courtois, autre demi-sœur Paulette, pour avoir empoisonné, elle, son père et son bébé de deux mois et demi. C'est sur la dénonciation de Paulette eqe'ull avait été arrêtée. ai l'enquête n'a pu prouver la culpabilité
Maranhao (Brésil), où la population leur a donné des vivres et des vêtements. Tout serait donc bien qui finit bien si... ils avaient possédé les visas nécessaires pour entrer au Brésil, ce qui n'était pas le cas. Ils seront donc détenus à Sao Louis jusqu'à ce qu'il soit statué sur leur sort. DEUX NON-LIEU DANS L'AFFAIRE d'empoisonnement de Beauvais Beauvais, 26 avril (F.-T.), — C'est une affaire qui date de près d'un an, dans laquelle toute une famille était inculpée : Paulette Masson, née Billoré, 36 ans, pour avoir empoisonné son mari, André, 44 ans ; Gisèle Billoré, demi-sœur de la précédente, et son amant, Robert Muurer, 27 ans, pour complicité ; enfin, Josiane Courtois, autre demi-sœur de Paulette, pour avoir empoisonné, elle, son père et son bébé de deux mois et demi. C'est sur la dénonciation de Paulette qu'elle avait été arrêtée. Mais l'enquête n'a pu prouver la culpabilité des deux demi-sœurs de l'empoisonneuse. Gisèle et Josiane, et deux ordonnances de non-lieu viennent d'être rendues en leur faveur. Quant à Paulette — qui a avoué — elle sera déférée à la prochaine session des assises de l'Oise. DISPARU DEPUIS SIX ANS ON RETROUVE SON CORPS DANS UN JARDIN L'assassin est mort son père inculpé pour recel de cadavre Lille, 26 avril (F.-T.). — Grâce à l'insistance d'une veuve, qui n'était pas certaine de l'être, la police lilloise a retrouvé le corps d'un industriel belge, disparu depuis 1942, que plusieurs autres polices — Gestapo comprise — avait vainement recherché depuis cette époque. L'enquête a démontré que François Debattice avait été tué de deux coups de poignard à Tourcoing par Jean Lampe — mort en 1944 — en présence de sa maîtresse, Gaby Autissier, et que le corps avait été enterré à trente centimètres de profondeur dans le jardin du père du meurtrier. Celui-ci a été inculpé de recel de cadavre et Gaby (qui prétend ne pas avoir connu les intentions de son amant) de complicité. Bien que la victime ait été dépouillée de 500.000 francs, le vol ne paraît pas être le seul motif du crime : l'affaire serait en
Maranhao (Brésil), où la population leur a donné des vivres et des vêtements. Tout serait donc bien qui finit bien si... ils avaient possédé les visas nécessaires pour ntrr au Brésil, ce qui n'était pas el cas. Ils r donc détenus à Sao Louis jusqu' ce qu'il soit statué sur leur sort. DEUX NON-LIEU DANS L'AFFAIRE nedstnme'neimopo de Beauvais Beauvais, 26 avril (F.-T.), — C'est une ar q date de près d'un an, dans laquelle oe une fmll était icupée : Puet Masson, née Billoré, 36 ans, pour avoir empoisonné son mari, André, 44 ans ; Gisèle Billoré, demi-sœur d la rdpéceée,tn et son amant, Robert Muurer, 27 ans, pour complicité ; enfin, si Courtois, autre dm-sœr de Paulette, pour avoir empoisonné, elle, son père et son bébé de deux ms et i.dem C'est sur l dénonciation de aute qu'elle avait été arrêtée saMi l'enquête n' prouver la culpabilité des deux mi-surs ed se'elo.nmpusenoi Gisèle et Josiane, et deux ordonnances d onnlie-u viennent dêtre rendues en elru faveur. Quant à Paulette — qui a vaéuo — elle sera déférée à la prochaine session des assises de l'Oise. DISPARU DEPUIS SIX A ON RETROUVE SON CORPS DANS UN JARDIN L'assassin est mort son père inculpé pr recel de cdvr Lille, 26 avril (.-.). râe à l'insistance d'une ee qui n'était pas certaine de l'être, la police lilloise a retrouvé le corps d'un industriel belge, disparu depuis 1942, que plusieurs autres polices — Gestapo comprise — avait vainement recherché depuis cette époque. L'enquête démontré que François Debattice avait été tué de dx coups ed poignard à uooTcnirg par Jean ameLp — mort en 1944 — en présence de sa maîtresse, Gaby Autissier, et que le corps avait été enterré trente centimètres de profondeur dans le jardin du père du meurtrier. Celuici a été inculpé de recel de cadavre et Gaby (qui epnrtdé ne pas avoir connu les intentions de son amant) d cmplcté. Bn que la victime ait été dépouillée de 500.000 francs, le vol ne paraît pas être le seul motif du crime : l'affaire serait en
est mort son père inculpé pour recel de cadavre Lille, 26 avril (F.-T.). — Grâce à l'insistance d'une veuve, qui n'était pas certaine de l'être, la police lilloise a retrouvé le corps d'un industriel belge, disparu depuis 1942, que plusieurs autres polices — Gestapo comprise — avait vainement recherché depuis cette époque. L'enquête a démontré que François Debattice avait été tué de deux coups de poignard à Tourcoing par Jean Lampe — mort en 1944 — en présence de sa maîtresse, Gaby Autissier, et que le corps avait été enterré à trente centimètres de profondeur dans le jardin du père du meurtrier. Celui-ci a été inculpé de recel de cadavre et Gaby (qui prétend ne pas avoir connu les intentions de son amant) de complicité. Bien que la victime ait été dépouillée de 500.000 francs, le vol ne paraît pas être le seul motif du crime : l'affaire serait en liaison avec le procès des métaux non ferreux qui se déroula à Lille en 1946. Les gangsters qui attaquaient en "tractions" les fourgons de payes des usines de la région parisienne sont découverts dans l'Yonne CINQ ARRESTATIONS, DEUX COMPLICES EN FUITE Dijon, 26 avril (F.-T.), — En mars dernier, le village de Voutenay (Yonne) était le théâtre de quatre cambriolages successifs. Partout, les malfaiteurs avaient opéré de la même façon, mais étaient repartis sans laisser de trace. Pourtant, chez M. Sadou, on avait pu relever des empreintes de pneus de voitures. Début avril, on retrouvait à Saint-More (Yonne) l'auto d'un prétendu officier parachutiste, Roger Sautereau. La découverte était importante. Les empreintes des pneus de l'automobile étaient celles du véhicule utilisé par les cambrioleurs. Sautereau fut arrêté et sa maîtresse, Bernadette Plaisant, 51, rue Servan, à Paris. Interrogé, il passa des aveux et dénonça son lieutenant, Auguste Andrei, un Corse, demeurant rue Blomet, à Paris. Appréhendé à son tour, ce dernier avoua également. Une bande spécialisée Mais ce n'était pas tout... Les quatre hommes avaient sous leurs ordres un gang spécialisé dans le vol des tractions avant. Le repaire de la bande était un hôtel de Cravant (Yonne), l'hôtel des Deux-Ponts,
est mort so pèr inculpé pr recel cadavre Lille, 26 avril FT — Grâce à l'insistance d'une veve qui n'était pas certaine de l'être, la police lilloise a rtrvé le crps 'un industriel belge, disparu depuis 1942, plusieurs autres plcs — Gestapo comprise — avait vnmnt érhhcceer du cette époque. L'enquête a démntré q François Debattice vt été tué de deux coups de poignard à Tourcoing par Jean Lampe — mort en 1944 — en présence de sa maîtresse, Gaby Autissier, et q le corps avait été entr à trente centimètres de profondeur dans le jardin du père du meurtrier. Celui-ci a été inculpé d recel de cadavre et Gaby (qui prétnd ne pas avoir connu ls intentions de son amant) de cmplcté. Bien que l victime ait été dpoiée de 500.000 francs, le vol ne paraît pas t el seul motif du crime : l'affaire serait en liaison avec le procès des mta non ferreux qui se déroula à Lille en 1946. Les gangsters qui attaquaient en "tractions" les fourgons de payes des usines de l région parisienne sont découverts dans 'Yonne CINQ ARRESTATIONS, DEUX EOCLSCPIM EN FT Dijon, 26 vrl (F.-T.), — En mars drnr, le village de Voutenay (Yonne) étt le théâtre de qtr cambriolages successifs t,Ptuaor ls malfaiteurs avaient opéré de la même façon, i étaient repartis n laisser de trace. Pourtant, chz M. Sd, on viata u rlvr des empreintes de nus d voitures. Début avril, no retrouvait à Saint-More (Yonne) lauto d'un prétnd fioifcer parachutiste, Rgr Sautereau. La découverte était importante. Les empreintes des pneus de l'automobile étaient celles du véhicule utilisé par les cambrioleurs. Sautereau fut arrêté e sa mîess, Bernadette Plaisant, 51, r Servan, à Ps.ria ntrrgé, l asspa des aveux dénonça son lieutenant, Auguste Andrei un s,Croe demeurant rue Blomet, à Paris. Appréhendé son to, ce dernier avoua également. Une bande spécialisée i ce n'étt sap tout... Les quatre hommes vnt sous leurs ordrs un gang sciai dans l vol des tractions .vaatn Le rpr de la bande était un hôtel de Crvnt Yonne l'hôtel des Deux-Ponts,
village de Voutenay (Yonne) était le théâtre de quatre cambriolages successifs. Partout, les malfaiteurs avaient opéré de la même façon, mais étaient repartis sans laisser de trace. Pourtant, chez M. Sadou, on avait pu relever des empreintes de pneus de voitures. Début avril, on retrouvait à Saint-More (Yonne) l'auto d'un prétendu officier parachutiste, Roger Sautereau. La découverte était importante. Les empreintes des pneus de l'automobile étaient celles du véhicule utilisé par les cambrioleurs. Sautereau fut arrêté et sa maîtresse, Bernadette Plaisant, 51, rue Servan, à Paris. Interrogé, il passa des aveux et dénonça son lieutenant, Auguste Andrei, un Corse, demeurant rue Blomet, à Paris. Appréhendé à son tour, ce dernier avoua également. Une bande spécialisée Mais ce n'était pas tout... Les quatre hommes avaient sous leurs ordres un gang spécialisé dans le vol des tractions avant. Le repaire de la bande était un hôtel de Cravant (Yonne), l'hôtel des Deux-Ponts, exploité par Emile Martin. Volées à Paris, les Citroën étaient ramenées chez Martin, où un mécanicien, un nommé Gousset, les transformait. De juillet 1945 à mars 1948, dix voitures furent ainsi maquillées. Ainsi, le parquet d'Auxerre vient de mettre un terme à l'activité du gang des voleurs de tractions. Roger Sautereau, Auguste Andréi, Emile Martin, René Gagnerot, Jacques Beauvais ont été écroués. Deux de leurs complices, en fuite, sont activement recherchés. Un véritable arsenal a été trouvé chez les membres du gang : revolvers, mitraillettes, pistolets automatiques, carabines à répétition. La bande a-t-elle commis les agressions qui ont eu lieu récemment à Paris contre des fourgons transportant les payes d'ouvriers ? Les policiers le pensent. Mais d'une pierre ont fait parfois deux coups. C'est ainsi que les auteurs du premier cambriolage commis en janvier 44 à Voutenay, Pierre Fernandez, de Poiseul-le-Saul (Côte-d'Or) et Raymond Poirier, d'Auxerre, ont été également arrêtés. DOUZE MORTS DANS L'EFFONDREMENT DE METZ Metz, 26 avril (F.-T.). — Le bilan du terrible accident de Metz s'est aggravé, comme on le craignait. Six nouveaux cadavres ont été découverts dans les décombres, ce qui porte à 12 le nombre des morts. Il y a huit blessés et encore trois
village de Voutenay (Yonne) était le théâtre de quatre cambriolages successifs Partout, les malfaiteurs avaient opéré de l même façon, mais étaiten repartis sans laisser ed trace. Pourtant, chez M. Sadou, on avait pu relever des empreintes de pneus de voitures. Début avril, on retrouvait Saint-More (Yonne) l'auto d'un prétendu ffcr parachutiste, Roger Sautereau. La découverte était importante. Les empreintes des pneus de l'automobile étaient celles d véhicule utilisé par les cambrioleurs. Sautereau fut arrêté et sa maîtresse, Bernadette Plaisant, 51, rue rSa,nve à Paris. Interrogé, il passa des aveux et dénonça son etnat, Auguste Andrei un Corse, demeurant rue Blmt, à Paris. Appréhendé à son tour, ce dernier avoua également. Une bande laesésiéipc Mais c 'étnita pas tout... Les quatre hommes avaient sous lrs ordres un gang spécialisé dans le vol des tractions avant. Le rp de la bande étt un hôtel de Cravant (Yonne), l'hôtel des Deux-Ponts, exploité par Emile Martin. Volées à Paris, les Citroën étaient ramenées chez Martin, un mécanicien, un nmmé Gousset, les transformait De uit 94 à mars 1948, dix vtrs furent ns maquillées. Ainsi, le parquet dAuxerre vient de rtmtee n terme à l'activité du gang des voleurs de tractions. Roger ruaSe,etua Auguste Andréi, Emile Martin, Rné Gagnerot, Jacques Beauvais ont été écroués. Deux de leurs complices, en ft, snt activement recherchés. Un véritable rsnl a été trouvé les membres du gang : revolvers, mitraillettes, pistolets automatiques, carabines répétition. La bande -t osimmc les agressions qui ont eu lieu récemment à Paris contre des fourgons transportant les payes 'ouvriers ? Les plcrs le pensent. Mais d'une pierre ont fait parfois deux coups. C'est ainsi que les auteurs du premier cambriolage cmms en janvier 44 à Voutenay, Pierre Fernandez, de PoiseulleSaul (Côte-d'Or) et Raymond Poirier, d'Auxerre, ont été également arrêtés. DOUZE MORTS DANS 'EFDEME DE METZ Metz, 26 vrl (F.-T.). — Le bilan du terrible accident de Metz s'est aggravé comme on le craignait. Six nouveaux cadavres ont été découverts dans les décombres, ce qui pre à 12 le nmr des mrts Il y a huit blessés et encore trois
Sautereau, Auguste Andréi, Emile Martin, René Gagnerot, Jacques Beauvais ont été écroués. Deux de leurs complices, en fuite, sont activement recherchés. Un véritable arsenal a été trouvé chez les membres du gang : revolvers, mitraillettes, pistolets automatiques, carabines à répétition. La bande a-t-elle commis les agressions qui ont eu lieu récemment à Paris contre des fourgons transportant les payes d'ouvriers ? Les policiers le pensent. Mais d'une pierre ont fait parfois deux coups. C'est ainsi que les auteurs du premier cambriolage commis en janvier 44 à Voutenay, Pierre Fernandez, de Poiseul-le-Saul (Côte-d'Or) et Raymond Poirier, d'Auxerre, ont été également arrêtés. DOUZE MORTS DANS L'EFFONDREMENT DE METZ Metz, 26 avril (F.-T.). — Le bilan du terrible accident de Metz s'est aggravé, comme on le craignait. Six nouveaux cadavres ont été découverts dans les décombres, ce qui porte à 12 le nombre des morts. Il y a huit blessés et encore trois disparus. M. Paul Helm, 29 ans, que l'on craignait de compter au nombre des victimes, était en réalité en traitement dans un hôpital de la région. Les travaux se poursuivront encore jusqu'à mardi soir. Sept immeubles ont été évacués : ils abritaient 22 familles, qui ont été hébergées dans une caserne de la ville. La question des responsabilités se pose. Les explications officielles — tunnels creusés par les Allemands sous les soubassements — ne satisfont pas l'opinion publique, qui estime que quelque chose aurait dû être fait à temps. Une maison s'effondre à Chartres : un mort Une maison, située 25, rue de la Corroïerie, dans le vieux quartier de Chartres, s'est effondrée hier. L'enquête a démontré que l'accident est imputable à l'état de vénusté avancée de l'immeuble. Mme veuve Foucault, 82 ans, a été tuée et son frère grièvement blessé. Deux bandits masqués ont attaqué Mme Julia Derissart, débitante à Cachy, près d'Amiens, et lui ont dérobé 100.000 francs et de nombreuses marchandises. Ils se sont enfuis en auto avec un complice qui faisait le guet. La police a pu recueillir quelques indices. Complètement ivre, Roger Fauvelle, 37 ans, d'Avon (Seine-et-Marne), plongeur à l'hôtel Beauséjour, de Melun, était disparu
Sautereau, Auguste Andréi, Emile Martin, René Gagnerot, Jacques Beauvais ont été écroués. Deux de leurs mec,scloip ne fuite, sont activement recherchés. Un vértbl rsnl été o chez les membres u gng : revolvers mitraillettes, pistolets automatiques, carabines à répétition. La bande a-t-elle commis les nessisorag qui ont eu e récemment à Paris contre des frgns taprtt les payes d'ouvriers ? es policiers le pensent. Mais d'une pierre ont ifat parfois deux coups. C'est ainsi que les auteurs du premier cmbrlg oms en janvier à Voutenay, Pierre Fernandez, de Poiseul-le-Saul (Côte-d'Or) et Raymond Poirier, 'Auxerre, ont été également arrêtés DOUZE ORTS NADS L'FFONNT DE Metz, 26 avril (F.-T.). — Le bilan du terrible accident de Metz 'est agréav,g comme n le craignait. Six nouveaux adas ont été découverts dans les mb,socdeér ce qui po à 12 le nombre des morts. Il y a huit blessés et encore trois disparus. M Paul Helm, 29 ans, que craignait de compter au nombre des victimes, était n ié en traitement dans un hôpital de la région Les travaux se poursuivront encore jusqu'à mardi sr. Stpe imme ont été évacués : ls abritaient 22 familles, qui ont éé rges dans une caserne la ville. La question des responsabilités se ps. Les explications fslecelofii — tunnels creusés par les almnedAsl ss les sbssmnts — ne stsfnt pas l'opinion publique, qu estime que quelque chose aurait dû être fait à temps. Une msn seffondre à Chartres : un mort Une miso située 25, rue de la Corroïerie, as le vieux qrtr de Chartres, s'est effondrée hier. L'enquête a dmtré que laccident est imputable l'état de vénusté avancée de b.eulmliem' Mme ve Foucault, 82 ans, a été tuée et son frère grièvement blessé. Deux bandits masqués ont attaqué Mme Julia Derissart, débant à Cchy, près d'Amiens, e lui ont dérobé 100.000 francs et de nombreuses marchandises. Ils se sont enfuis en t vc un complice qui fst le guet. aL police a pu rcllr quelques indices. mtemet ivre, Rgr Fauvelle, 37 ans, Av (Seine-et-Marne), plongeur à l'hôtel Beauséjour de Melun était disparu
caserne de la ville. La question des responsabilités se pose. Les explications officielles — tunnels creusés par les Allemands sous les soubassements — ne satisfont pas l'opinion publique, qui estime que quelque chose aurait dû être fait à temps. Une maison s'effondre à Chartres : un mort Une maison, située 25, rue de la Corroïerie, dans le vieux quartier de Chartres, s'est effondrée hier. L'enquête a démontré que l'accident est imputable à l'état de vénusté avancée de l'immeuble. Mme veuve Foucault, 82 ans, a été tuée et son frère grièvement blessé. Deux bandits masqués ont attaqué Mme Julia Derissart, débitante à Cachy, près d'Amiens, et lui ont dérobé 100.000 francs et de nombreuses marchandises. Ils se sont enfuis en auto avec un complice qui faisait le guet. La police a pu recueillir quelques indices. Complètement ivre, Roger Fauvelle, 37 ans, d'Avon (Seine-et-Marne), plongeur à l'hôtel Beauséjour, de Melun, était disparu de son domicile depuis le 11 avril. Son corps a été repêché par l'éclusier du barrage de Samois. On ignore s'il s'agit d'un accident ou d'un suicide. Un lieutenant de Pierrot le Fou de la bande des pilleurs de wagons est arrêté au Mans Le Mans, 26 avril (F.-T.) — Il y a quelque temps déjà la police avait réussi à mettre la main sur cinq membres de la bande des pilleurs de wagons qui avaient notamment dérobé 700.000 tickets de rationnement en décembre 1946 dans le train de Paris, peu avant d'arriver à la gare. Mais plusieurs complices étaient en fuite. L'un d'eux, Jean-Louis Madec, 35 ans, demeurant à Paris, avait persévéré. Ce qui lui a valu de se faire pincer au Mans à l'arrêt d'un train de marchandises, dans un wagon qu'il venait de piller. Il s'était laissé enfermer et avait déjà vidé le contenu de deux cent cinquante colis qu'il avait entassé dans plusieurs sacs qui devaient être jetés à des complices, sur la voie, entre Le Mans et Nantes. Madec s'était porté d'une fausse carte d'identité. « Elle m'a été donnée par Mathias, lieutenant de Pierrot le Fou, tué à Marseille. » Lui-même avait vraisemblablement travaillé
caserne de la ille La question des responsabilités se pose. Les xplctns officielles — tunnels creusés pr les Allemands ss les soubassements — ne satisfont pas lopinion publique, qui estime que quelque chose aurait dû être fait à temps. n maison fdfers'eon à Chartres un mort n maison, située 25, rue de la Corroïerie, dans le vieux ri de Chartres, s'est rée hier. L'enquête a démontré que l'accident est mptbl à 'ltéta de uvtsnéé avancée d l'mb. Mme veuve Foucault, 82 ans, a été té et son frère grièvement blssé. Deux bandits masqués t attaqué Mme Julia Derissart débitante à Cachy, ès d'Amiens, et lui nt o 100.000 francs et de nombreuses marchandises. Ils se sont enfuis en auto avec un complice q fst le guet. La plc a pu rcllr quelques indices. Complètement ivre, o Fauvelle, 37 ans, d'Avon (Seine-et-Marne), plongeur à l'hôtel Bséjr, de Melun, était iparu de son domicile dps l 11 avril. Son pcros a été repêché par l'éclusier du barrage de Samois On gnore 'il s'agit dun accident ou d'un dice.isu Un lieutenant de Pierrot le Fou de la bande des pilleurs d wagons est arrêté au M Le Mans 26 avril (F.-T.) — Il y quelque temps déjà la police avait réussi mttr la main sur cinq membres de bnd des pilleurs de wagons q avaient notamment dérbé 00000.7 tckts de rationnement en décembre 1946 dans le train de Paris, peu avant d'arriver à a gare. Mais plusieurs complices étaient en fuite L'un d'eux, Jean-Louis Madec 35 , dmrnt à Paris, vt persévéré. Ce qui i a valu de se fr pincer au Mans à l'arrêt 'un ta de marchandises, dans un wagon qu'il venait de piller. Il s'étt laissé enfermer et avait déjà vidé le cntn de deux cent cinquante cls qu'il avait entassé asnd plusieurs ssac qui devaient être jetés à des complices, sur voie, entre L Mns et Nas Madec s'était porté d'une fausse carte d'identité. Elle m'a té donnée par Mathias, lieutenant d Pierrot l Fou, tué Mrsll. L-mêm avait vraisemblablement travaillé
Il y a quelque temps déjà la police avait réussi à mettre la main sur cinq membres de la bande des pilleurs de wagons qui avaient notamment dérobé 700.000 tickets de rationnement en décembre 1946 dans le train de Paris, peu avant d'arriver à la gare. Mais plusieurs complices étaient en fuite. L'un d'eux, Jean-Louis Madec, 35 ans, demeurant à Paris, avait persévéré. Ce qui lui a valu de se faire pincer au Mans à l'arrêt d'un train de marchandises, dans un wagon qu'il venait de piller. Il s'était laissé enfermer et avait déjà vidé le contenu de deux cent cinquante colis qu'il avait entassé dans plusieurs sacs qui devaient être jetés à des complices, sur la voie, entre Le Mans et Nantes. Madec s'était porté d'une fausse carte d'identité. « Elle m'a été donnée par Mathias, lieutenant de Pierrot le Fou, tué à Marseille. » Lui-même avait vraisemblablement travaillé avec le célèbre bandit. Il a en tout cas reconnu appartenir à la bande des pilleurs de wagons, dont les vols se totalisent à 210 millions. Un autre complice du gangster est transféré à la Santé Joseph Attia, dit Jo le Boxeur, également lieutenant de Pierrot le Fou — lieutenant chef d'ailleurs vient d'être ramené de la prison de Marseille à la Santé... sous bonne escorte (car le bruit court que ses amis auraient le projet de le faire évader). DEUX AVIONS DE TOURISME S'ÉCRASENT AU SOL Six morts Lyon, 26 avril (F.-T.). Quelques instants après avoir décollé de l'aérodrome de Beauvais, un Nord-Est de tourisme se mit en vrille à la suite d'une perte de vitesse due à des ratés du moteur. Il s'écrasa au sol à quelques centaines de mètres de la piste de départ. On devait retirer des débris de l'appareil les corps de M. Henri Briand, 47 ans, industriel à Lyon ; de son fils, 17 ans, et d'un ami de ce dernier, Michel Doury, 16 ans. L'appareil ne comptait qu'une seule victime. Un autre avion de tourisme allant de Paris à Lisbonne s'est écrasé près de Bilbao. M. Lecoq, de Tulle, sa femme et M.
Il y a quelque temps déjà la police avait réussi à mettre la sur cinq membres de la bande des pilleurs de wagons qui avaient notamment dérobé 700.000 tickets de rationnement en décembre 1946 dans le trn de P peu avant d'arriver à la gare. Mais plusieurs complices étaient en fuite. L'un d'eux, Jean-Louis Madec, 35 ans, demeurant à Par avait persévéré. Ce qui lui a valu d se faire pincer au Mans à l'arrêt d'un train d mrchandi dans un wgn qu'il venait de piller. Il s'était laissé enfermer et avait déjà vidé le cntn de duxe cent cnquat s iqu'l avait entassé dans plsrs sacs qui devaient être jetés à des complices sur la voie, enre Le Mans et Nantes. Madec s'était prté d'une fausse carte tid.teénd'i « Elle ma été donnée pr Mathias, lieutenant de Pierrot l F, tué à Marseille. » Lui-même avait vraisemblablement travaillé avec l célèbre bandit. Il a en tout cas reconnu pprtnr à la bande des pilleurs de wagons, dont les vols se tolsent à 210 millions. n autre complice du gangster est transféré à la Santé Joseph Attia, tdi Jo le Boxeur, également lieutenant e Pierrot le F — lieutenant chef dailleurs ent d'être ramené de la prison de Mrsll à la Santé... sous bonne escorte (car le bruit crt que ses amis auraient le prjt de le fr évader). DEUX AVIONS D TOURISME S'ÉCRASENT AU L Six morts Lyon, 26 avril (F.-T.). Quelques instants après avoir décollé de é'leoardomr de auvs un Nord-Est de tourisme se mit en vrille l suite d'une perte de vitesse due à des ratés du moteur. Il s'écrasa au sol à uqe ensetcnai de mètres de piste de départ. On devait retirer des débris de l'appareil les corps de M. Henri Briand, 7 ans, industriel à Lyon ; de on fils, 17 ans, et d'n ami de ce dernier, Mchl Doury, 16 ans. L'pprl ne comptait qu'une seule victime. Un autre avion de tourisme allant de Paris à Lisbonne s'est écrasé près de Bilbao. M Lecoq, de Tulle, sa femme M.
chef d'ailleurs vient d'être ramené de la prison de Marseille à la Santé... sous bonne escorte (car le bruit court que ses amis auraient le projet de le faire évader). DEUX AVIONS DE TOURISME S'ÉCRASENT AU SOL Six morts Lyon, 26 avril (F.-T.). Quelques instants après avoir décollé de l'aérodrome de Beauvais, un Nord-Est de tourisme se mit en vrille à la suite d'une perte de vitesse due à des ratés du moteur. Il s'écrasa au sol à quelques centaines de mètres de la piste de départ. On devait retirer des débris de l'appareil les corps de M. Henri Briand, 47 ans, industriel à Lyon ; de son fils, 17 ans, et d'un ami de ce dernier, Michel Doury, 16 ans. L'appareil ne comptait qu'une seule victime. Un autre avion de tourisme allant de Paris à Lisbonne s'est écrasé près de Bilbao. M. Lecoq, de Tulle, sa femme et M. Edmond ont été tués. On signale, d'autre part, la disparition d'un avion allant de Lisbonne à Biarritz, piloté également par des touristes, et la chute probable d'un avion non identifié dans les environs de Toulon. Parents indignes. Mais, cette fois, fait plus rare, il s'agissait d'une grand-petite mère qui maltraitait ses deux enfants. Yolande et Charlotte Moreau, 45 ans, de Belle-Île-en-Mer, a été arrêtée. (F.-T.) Le Journal du matin contrôlé par FAITS et méfaits Pour garder un mari volage ... ... elle l'empoisonne "à moitié" A chaque jour son affaire d'empoisonnement, avec ses variantes particulières. Celle de Romilly-sur-Seine (Eure) se présente dans des conditions pour le moins originales. Atteint de mystérieux malaises — auxquels les médecins ne comprenaient rien — M. Fernand Demoussier, persuadé qu'il avait été victime d'une tentative d'empoisonnement, déposa une plainte. L'enquête aboutit à l'arrestation de sa propre femme, Andrée, 34 ans, qui avoua. Mais ce qui est étrange dans l'affaire, ce sont les mobiles qui incitèrent la jeune femme à commettre son crime. Rentrant chez elle après une absence de plusieurs mois, pour maladie, elle apprit qu'au cours de celle-ci son mari avait eu une liaison. Alors, pour le ramener à elle et le garder, elle
chef d'ailleurs vient d'êtr ramené de la prison de Marseille à la Santé... sous bonne escorte (car le bruit court que ses amis auraient le projet de le faire évader). DX AVIONS DE TOURISME ENS'RCATSÉ AU SL Six morts Lyon, 26 avril (F.-T.). Quelques instants après avoir éolé d l'aérodrome de iaua,seBv un Nord-Est de tourisme se mt en vrille à la suite d'une perte d vitesse due à des ratés du moteur. l s'écrs au sl à quelques centaines de mètres de la ist de départ. On devait rtrr des débris de 'paelaripl les corps de M. Henri Brnd, 47 ans, industriel à Lyon ; de fils, 17 ans, et d'nu ami de ce dernier, Michel Doury, 16 ans. L'appareil ne comptait qu'une seule victime. Un autre vn de touse allant d Paris à Lisbonne s'est écrasé près de Bilbao. M. Lecoq, de Tulle, sa femme et M. Edmond ont été tués. On signale d'autre prt la disparition d'un avion allant d Lisbonne à Brziar,ti piloté également par des touristes, et la chute roelabpb d'un avion non identifié dans les environs de Toulon. Parents indignes. Mais, cette fi, fait plus rare, il s'agissait d'une grni mère qui maltraitait ses deux enfants Yolande et Charlotte oMearu, 45 ans, de Belle-Île-en-Mer, a été arrêtée. (F.-T.) Le Journal du matin contrôlé par FAITS et méfaits Pour garder un mari volage ... . elle 'empoisonne à moitié" A chaque jour son affaire d'empoisonnement, avec ss varint particulières. Celle de RomillysurSeine (Eure) se présente dnsa des iodtncsion ropu le moins originales. Atteint de mystérieux malaises — auxquels es médcns ne comprenaient rien — M. Fernand Demoussier, rad qu'il avait été me d'n tentative d'empoisonnement, déposa une plnt. eut aboutit à l'arrestation de sa poe femme, Andrée, 34 ans, qui avoua. Mais ce qui st étrange s l'affaire, ce sont les mobiles qui incitèrent la jeune femme à commettre son crime. ntra chez elle après une absence d plusieurs mois, pour maladie, elle apprit qu'au cours de celle-ci son mari avait eu une liaison. Alors, pr le ramener à elle t le garder, elle
ses deux enfants. Yolande et Charlotte Moreau, 45 ans, de Belle-Île-en-Mer, a été arrêtée. (F.-T.) Le Journal du matin contrôlé par FAITS et méfaits Pour garder un mari volage ... ... elle l'empoisonne "à moitié" A chaque jour son affaire d'empoisonnement, avec ses variantes particulières. Celle de Romilly-sur-Seine (Eure) se présente dans des conditions pour le moins originales. Atteint de mystérieux malaises — auxquels les médecins ne comprenaient rien — M. Fernand Demoussier, persuadé qu'il avait été victime d'une tentative d'empoisonnement, déposa une plainte. L'enquête aboutit à l'arrestation de sa propre femme, Andrée, 34 ans, qui avoua. Mais ce qui est étrange dans l'affaire, ce sont les mobiles qui incitèrent la jeune femme à commettre son crime. Rentrant chez elle après une absence de plusieurs mois, pour maladie, elle apprit qu'au cours de celle-ci son mari avait eu une liaison. Alors, pour le ramener à elle et le garder, elle décida de le rendre malade et de lui prouver son amour par ses soins. Et elle mélangea un peu d'arsenic au plat de riz qu'elle avait amoureusement préparé. Malgré ses intentions si pures, la femme Demoussier a été écroulée au Dépôt; où elle est tenue à la disposition du parquet de la Seine. Un jeune homme, la main gauche en sang, se présentait, dans la nuit de dimanche à lundi, à l'Hôtel-Dieu pour recevoir des soins. « J'ai été attaqué par l'amant de ma femme ». déclara-t-il aux internes. Mais l'épouse de Marcel Caron, 26 ans, transporteur, 5, rue Brantôme, expliquait hier aux enquêteurs : « Nous sommes effectivement en instance de divorce. Mon mari est venu chez moi, dimanche, me demander 20.000 francs en dédommagement de la jouissance de l'appartement que j'ai gardé. Mon ami, actuellement, n'est pas ici et ce n'est certainement pas lui qui a tiré ». Des explications complémentaires seront demandées au transporteur qui en pourrait être plus long qu'il n'a voulu en dire sur son mystérieux agresseur. « Venez donc voir notre blessé » téléphonaient, dimanche soir, les internes de l'hôpital Rothschild au commissaire du quartier Piquus. L'homme, Ernest Caplier, 33 ans, ouvrier boulanger, 11,
ses deux enfants. Ylan et Charlotte Moeu, 45 ans, de Belle-Île-en-Mer, arrêtée. (.-.) Journal du matin contrôlé par FAITS t méfaits Pour garder mari volage ... ... ele l'empoisonne à" moitié" A chaque jour son affaire d'empoisonnement, avec ss aiante particulières. Celle d Romilly-sur-Seine Eure se présente dans des conditions pr le mns originales. Atteint de mystérieux malaises — auxquels les médcns ne comprenaient rien — M. Frnnd Dmsi persuadé qu'il avait été victime d'une tentative posment, déposa une plainte. L'enquête aboutit à l'arrestation de sa propre femme, Andrée, 34 ans, qui avoua. Mi ce q est étrange dans l'affaire, ce o les mbls qui incitèrent la jeune femme à commettre sn crm. Rentrant chez elle après n absence d plusieurs mois, pour maladie, elle apprit qu'au cours de celle-ci o mari avait eu une liaison. Alors, pour le ramener à elle et le garder elle décida de le rendre malade et de lui prouver son amour par ses soins. E elle éemanalg un eu d'arsenic au plat de riz qu'elle avait mreemt préparé. Malgré ses ntntns si pures, la femme Demoussier a été écroulée au Dépôt; où llee est tenue à la disposition du parquet de al Seine. Un jeune homme, la main gace en sang, se présentait, dans la nt de cmindhae à lundi, à l'Hôtel-Dieu pour recevoir des soins. « J'ai été attaqué par l'amant de ma femme ». déclaratil aux internes. Mais l'épouse de Marcel Caron, 26 ans, transporteur, 5, rue Bôm xplqt hier aux enquêteurs « Nous sommes effectivement en instance de divorce. Mn mari est venu chez moi, mdiache,n demander 20.000 frncs en dédommagement d la jouissance de 'appartement que j'ai gardé. Mon ami, actuellement, nest pas ici et n'st cainent pas qui a tiré ». Des explications complémentaires seot demandées au trnsprtr qui en pourrait être plus qu'il n' voulu en dire sur son mystérieux egersr.sua « Venez donc voir notre blessé » téléphonaient, dimanche soir, les internes de l'hôpital Rothschild commissaire du qrtr Piquus. Lhomme Et ier, 33 s,an ouvrier boulanger, 11,
de la Seine. Un jeune homme, la main gauche en sang, se présentait, dans la nuit de dimanche à lundi, à l'Hôtel-Dieu pour recevoir des soins. « J'ai été attaqué par l'amant de ma femme ». déclara-t-il aux internes. Mais l'épouse de Marcel Caron, 26 ans, transporteur, 5, rue Brantôme, expliquait hier aux enquêteurs : « Nous sommes effectivement en instance de divorce. Mon mari est venu chez moi, dimanche, me demander 20.000 francs en dédommagement de la jouissance de l'appartement que j'ai gardé. Mon ami, actuellement, n'est pas ici et ce n'est certainement pas lui qui a tiré ». Des explications complémentaires seront demandées au transporteur qui en pourrait être plus long qu'il n'a voulu en dire sur son mystérieux agresseur. « Venez donc voir notre blessé » téléphonaient, dimanche soir, les internes de l'hôpital Rothschild au commissaire du quartier Piquus. L'homme, Ernest Caplier, 33 ans, ouvrier boulanger, 11, rue de la Goutte, avait reçu un coup de couteau dans la région du cœur. Dimanche matin, il avait rendu visite à sa maîtresse, Louise Bachelet, 32 ans, gérante d'un restaurant, 8, rue Jeanne-d'Arc, à Saint-Mandé. Dans l'arrière-boutique, les deux amants s'étaient « expliqués ». À la suite de cette conversation, un peu vive, le boulanger s'était fait transporter à l'hôpital. Hier, aux policiers qui l'interrogeaient, le blessé légèrement déclarait : « Je ne veux pas porter plainte. Il ne s'est rien passé. C'est moi qui me suis blessé en essayant de désarmer mon amie ». Les Inspecteurs n'ont pas insisté... ... Trois passagers d'un bac à l'arrivee, sur la Loire en crue, ont été précipités dans le fleuve, à la suite d'un accident. Il s'agit de trois ingénieurs stéphanois de l'Électricité de France, qui effectuaient des jaugeages à Arles, en vue de travaux pour l'édification de la future centrale de Montpezat (Ardèche). M. Revel, 25 ans, est mort. Les deux autres passagers, ont pu être sauvés, mais avec la plus grande difficulté. » (P.-T.) Un des huit inculpés de l'affaire de stupéfiants d'Avignon, le docteur Goubert, détenu depuis jeudi soir, a été mis en liberté provisoire. Il a quitté
de la Seine. Un jn homme, la main gauche n sang, s présentait, dans la nuit de dicehanm à lundi, à l'Hôtel-Dieu ur recevoir des soins. « Jai été attaqué par l'amant de ma femme ». ditcé-rla-la aux internes. Mais l'épouse de Mrcl Caron, 26 ans, transporteur, 5, rue Brantôme, expliquait hier aux enquêteurs : « osNu sommes effectivement en instance de divorce. Mon mari est venu chez moi dmnch, me d 20.000 francs en dédommagement de la jouissance de l'appartement q j'ai gardé. Mon m, actuellement, n'est pas ici et ce n'est certainement pas lui qui a tiré ». Des explications complémentaires seront demandées au transporteur qui en pourrait être plus long qu'il n'a voulu en dire sur son mystérieux agresseur « Vnz donc voir notre blessé » téléphonaient, dimanche soir, les internes de lhial Rothschild au commissaire du quartier Piquus. L'homme, Ernest Caplier, 33 ans, ouvrier boulanger, 11 rue de la Goutte, avait reçu un coup de couteau dans la région du cœur. mce matin, il avait rendu vst à s maîtresse Louise Bachelet, 32 ans, gérnt d' restaurant, 8 rue Jeanne-d'Arc, à Saint-Mandé. Dans l'arrière-boutique, ls deux amants s'étaient « expliqués ». À la suite de eettc conversation, un peu vive, le bun éstita' fait transporter à 'hôpital. Hier, aux iirs qui l'interrogeaient, le bes légèrement déclarait : « Je ne veux pas porter plainte. Il ne s'est rn pssé. C'est moi qui me suis blessé en essayant de désarmer mon amie ». Les Inspecteurs 'ont pas nssté... ... s passagers 'un bac à l'rrv, sur la Loire en crue, ont été précipités dans le fleuve, à la sie d'un ccdnt. l s'agit de trs ingénieurs stéphanois de l'Électricité de France, qui effectuaient des jaugeages à Arles, en v de travaux pour l'édification de la ue centrale de Montpezat (Ardèche). M. Rvl, 25 ans, est mort. Les deux trs ager ont pu être sauvés, mais avec la plus grae difficulté. » (P.-T.) Un des huit inculpés de l'affaire de stupéfiants vgnon, l docteur bretouG, détenu depuis jeudi soir a été mis en lbrté provisoire. Il a uité
conversation, un peu vive, le boulanger s'était fait transporter à l'hôpital. Hier, aux policiers qui l'interrogeaient, le blessé légèrement déclarait : « Je ne veux pas porter plainte. Il ne s'est rien passé. C'est moi qui me suis blessé en essayant de désarmer mon amie ». Les Inspecteurs n'ont pas insisté... ... Trois passagers d'un bac à l'arrivee, sur la Loire en crue, ont été précipités dans le fleuve, à la suite d'un accident. Il s'agit de trois ingénieurs stéphanois de l'Électricité de France, qui effectuaient des jaugeages à Arles, en vue de travaux pour l'édification de la future centrale de Montpezat (Ardèche). M. Revel, 25 ans, est mort. Les deux autres passagers, ont pu être sauvés, mais avec la plus grande difficulté. » (P.-T.) Un des huit inculpés de l'affaire de stupéfiants d'Avignon, le docteur Goubert, détenu depuis jeudi soir, a été mis en liberté provisoire. Il a quitté la prison hier. Âgée de 70 ans, Mme Hugues exerce la profession de chauffeur de taxi à Saintes. Attaquée par un jeune client de 17 ans qu'elle conduisait à Taillebourg (Charente-Maritime) et qui en voulait à son argent, elle réussit à désarmer le jeune chenapan, qui prit la fuite. On devait l'arrêter peu après, à Saint-Porchaire : c'est le fils d'un industriel de Neuilly-sur-Seine. (F.-T.) Deux pêcheurs de Plouguliern (C.-cLu-N.) ont vu leur embarcation retournée par une lame. Le corps de Mme Poullen a été rejeté par la mer. On n'a pas retrouvé celui de M. Jean Soyer, 61 ans, retraité maritime. Demandez à votre délicatement 3, 2, 1, 6, 5, 4, 3, 2, 1 Très Poudre et je suis tranquille. Demandez à votre délicat, Triomphe Poudre UN DES 3 et je suis tranquille Demandez à votre délicat, Triomphe Poudre L'INVASION DE LA PALESTINE EST IMMINENTE Les troupes motorisées d'Irak viennent renforcer la Légion de Transjordanie Toujours est-il que la division entre Juifs et Arabes a encouragé les Britanniques à intervenir pour la première fois en force contre l'Irgoun, cependant que, de Jaffa assiégée, la garnison arabe bombardait les faubourgs de Tel-Aviv... tout en laissant s'embarquer la population affolée. Mais
conversation, un peu vive, le boulanger s'était fait enrttaoprsr à l'hôpital. Hier aux policiers qui 'ner le blessé légèrement déclarait : « Je ne veux pas porter plainte. Il ne s'et rien passé. C'est mo qui me suis blessé essayant de désarmer nmo amie ». Les Inspecteurs n'ont pas nssté... ... Trois passagers d'un bac à 'arrivee, sur la Loire en crue, ont été précipités dns le fleuve à l suite dun accident. Il 'agit de troi ngénrs stéphanois de l'Électricité de France, qui effectuaient des jaugeages à Arles, en v de travaux pr l'édfctn de la future centrale de Montpezat (rdèch). . Revel 25 ans est mort. Les deux autres passagers, o pu êtr sauvés, mais avec la plus grande difficulté. (P.-T.) Un huit inculpés de 'iarfealf de stupéfiants d'Avignon, l docteur Gbrt, déten depuis jeudi sr, été mis en liberté provisoire. Il quitté la prsn hier. Âgée de 70 ans, Mme Hugues exerce la profession de auffeu de tx à ae.nsSti Attaquée par un jeune client de 17 ans qu'el conduisait à Tlbg (nMre et qui en voulait sno argent, l réussit à désarmer le jeune ca, qui prit la fuite On devait l'arrêter peu après, à itrhPcoSra-aine : c'est le fils d'un industriel d Neuilly-sur-Seine. (F.-T.) Deux pêcheurs de Plouguliern N.cL)-uC(.- ont vu leur embarcation retournée par une lame. Le corps de Mme Poullen a été rjté par al mer. On n'a pas rtrvé celui de M. Jean Soyer 61 ans, retraité maritime. Dmndz votre délicatement 3, 2, 1, 6, 5, 4, 3, 2, 1 Très Pde t je suis tranquille. Dmndz à votre délct, ophe Poudre UN DS 3 et je suis irtalulnqe Dnez à votre délicat, Trmph Poudre L'INVASION DE LA PALESTINE EST IMMINENTE Les troupes motorisées d'Irak viennent renforcer la Légion de Transjordanie uusjrToo estil que la division entre Juifs et Arabes a encouragé les Britanniques à intervenir pour la première fois en force rconet 'rgo cependant que, de Jaffa assiégée, la garnison arabe bombardait ls faubourgs d Tel-Aviv... tout n laissant s'embarquer l population affolée. Mais
devait l'arrêter peu après, à Saint-Porchaire : c'est le fils d'un industriel de Neuilly-sur-Seine. (F.-T.) Deux pêcheurs de Plouguliern (C.-cLu-N.) ont vu leur embarcation retournée par une lame. Le corps de Mme Poullen a été rejeté par la mer. On n'a pas retrouvé celui de M. Jean Soyer, 61 ans, retraité maritime. Demandez à votre délicatement 3, 2, 1, 6, 5, 4, 3, 2, 1 Très Poudre et je suis tranquille. Demandez à votre délicat, Triomphe Poudre UN DES 3 et je suis tranquille Demandez à votre délicat, Triomphe Poudre L'INVASION DE LA PALESTINE EST IMMINENTE Les troupes motorisées d'Irak viennent renforcer la Légion de Transjordanie Toujours est-il que la division entre Juifs et Arabes a encouragé les Britanniques à intervenir pour la première fois en force contre l'Irgoun, cependant que, de Jaffa assiégée, la garnison arabe bombardait les faubourgs de Tel-Aviv... tout en laissant s'embarquer la population affolée. Mais c'est à Amman, capitale de la Transjordanie, que se prépare la phase décisive de la bataille. Tous les Etats arabes adhérant à la Ligue ont accepté de participer aux opérations sous le commandement du roi Abdullah. Déjà une division motorisée, irakienne, forte de 10-12.000 hommes et accompagnée de 50 avions de chasse, a quitté Bagdad pour Amman. Officiellement, seule interviendrait la Transjordanie qui n'est pas membre de l'O.N.U. et n'est donc pas liée par des engagements internationaux présents ou futurs... Mais, en fait, sa Légion anglo-arabe se trouverait gonflée par des unités régulières des autres Etats. Et maintenant que va-t-il se passer ? Ces mouvements de troupes sont-ils des mouvements de bluff encouragés par la Grande-Bretagne et destinés à faire pression sur l'O.N.U., c'est-à-dire sur les Américains pour que soit prise avant le 15 mai une décision favorable à la Ligue arabe ? L'hypothèse n'est pas à exclure... d'ailleurs que Washington a dû être déjà impressionné par l'arrêt de toute activité sur le pipe-line Kirkuk-Haïfa (1.000 kilomètres) de l'Irak Petroleum CO... Mais comme les Juifs sont résolus à ne pas tolérer un retour en arrière, la manœuvre, si manœuvre il y a, échouera. Alors, c'est la guerre ? Oui, si
devait l'arrêter peu après, à Saint-Porchaire : c'est le fils d'un ndstrl de Neuilly-sur-Seine. (.-.) Deux pêcheurs de Plouguliern (C.-cLu-N.) ont vu leur embarcation retournée par une lame. Le corps de Mme Poullen a été rejeté par la mer. On n'a pas retrouvé celui de M. Jean Soyer, 61 ans, retraité maritime. Demandez à votre délicatement 3, 2, 1, 6, 5, 4, 3 2, 1 Très Poudre et je us tranquille. Demandez à votre délicat, Triomphe Poudre UN DES 3 et je suis tranquille emez à votre délicat, Triomphe Poudre L'INVASION DE LA PALESTINE EST IMMINENTE Les troupes motorisées dIrak viennent renforcer la Légion de Transjordanie Toujours -istel q la division entre Juifs et rbs a encouragé les Britanniques à intervenir pour la première fois en force contre l'Irgoun, cependant q, de Jff assiégée, la garnison arabe bmbrdt les faubourgs de Tel-Aviv... tout en laissant s'embarquer la population affolée. Mais c'est Amman, capitale de la Transjordanie, que se prépare la phase décisive de la bataille. Tous les Etats arabes adhérant à l Ligue ont accepté de participer opérations sous le cmmndmnt du roi Abdullah. Déjà une division motorisée irakienne, forte de 10-12.000 hommes et ccmpgné de 50 avions de chasse, a quitté Bagdad pour Amman. ffcilleet seule interviendrait la Trnsjrdn qui n'st ps membre de l'O.N.U. et n'est donc pas liée par des engagements internationaux présents ou futurs... ai en fait sa Légion anglo-arabe trouverait gonflée par e unités gulièe des autres Etats. Et maintenant que va-t-il se passer ? Ces mouvements de troupes sont-ils des mouvements de blff ornasgeuéc par la Grande-Bretagne et destinés à faire pression sur l'O.N.U., c'est-à-dire sur les Américains pour que soit prise avant le 15 mai une décision favorable à la Ligue arabe ? L'hypothèse n'est pas à exclure... d'ailleurs que Washington a dû être déjà impressionné par l'arrêt de toute activité sur le pipe-line Kirkuk-Haïfa (.000 kilomètres) de l'Irak Petroleum OC... Mais comme les Juifs sont résolus à ne pas tolérer un retour en arrière, la mnœvr, si manœuvre il y a, échouera. Alors, c'est la guerre Oui, si
de chasse, a quitté Bagdad pour Amman. Officiellement, seule interviendrait la Transjordanie qui n'est pas membre de l'O.N.U. et n'est donc pas liée par des engagements internationaux présents ou futurs... Mais, en fait, sa Légion anglo-arabe se trouverait gonflée par des unités régulières des autres Etats. Et maintenant que va-t-il se passer ? Ces mouvements de troupes sont-ils des mouvements de bluff encouragés par la Grande-Bretagne et destinés à faire pression sur l'O.N.U., c'est-à-dire sur les Américains pour que soit prise avant le 15 mai une décision favorable à la Ligue arabe ? L'hypothèse n'est pas à exclure... d'ailleurs que Washington a dû être déjà impressionné par l'arrêt de toute activité sur le pipe-line Kirkuk-Haïfa (1.000 kilomètres) de l'Irak Petroleum CO... Mais comme les Juifs sont résolus à ne pas tolérer un retour en arrière, la manœuvre, si manœuvre il y a, échouera. Alors, c'est la guerre ? Oui, si Washington n'intervient pas à Londres pour empêcher l'opération de conquête que s'apprête à faire le roi de Transjordanie. Non, si Washington, qui a les moyens de faire pression sur trois au moins des Etats arabes, impose une solution pacifique du conflit. En tout cas, l'U.R.S.S. qui maintient son acceptation du plan de partage, vient de désigner un délégué au Conseil de tutelle qu'elle avait jusqu'à présent boycotté, montrant par là qu'elle n'entendait pas voir l'affaire réglée sans elle, c'est-à-dire contre elle. Cette décision va accroître l'embarras des Américains. Pourra-t-elle les inciter à empêcher que s'allume un nouveau foyer d'incendie qui 1 pourrait vite s'étendre... Ch. R. Amman, G.Q.G. de la contre-offensive arabe Jérusalem, 26 avril. — Depuis plus de vingt-quatre heures, les hommes de l'Irgoun, malgré l'ordre contraire de la Haganah, se battent pour prendre Jaffa, port arabe contigu à la ville juive de Tel Aviv. C'est une bataille aux mortiers. L'Irgoun bombarde le centre de Jaffa. Ses hommes progressent, pas à pas, sous le couvert du tir de barrage. Les Arabes ripostent en envoyant des obus sur les maisons de la périphérie de Tel Aviv. Ce sont des unités blindées de la Légion arabe qui participeraient aux combats. La
de chss, a quitté Bagdad pour Amman. Officiellement, seule rier la Transjordanie qui n'est s membre d l'O.N.U. t n'est ndco pas liée par des engagements internationaux présns futurs... Mais, en fait, sa Légn ngl-rb s rouvet ofe pr ds unités régulières e autres Etats. t maintenant q va-t-il se ae Ces mouvements de troupes sont-ils des mouvements d blff encouragés par la Grnd-Brtgn et dstnés à faire pression sur l'O.N.U., c'est-à-dire sur sle mércns po que soit prise avant le 15 mai une décsn favorable à la Ligue arabe ? L'hypthès n'est pas à xcue. d'ailleurs que ahngn a dû être déjà impressionné pr laêt de toute ctvté sur le pp-ln Kirkuk-Haïfa (1.000 kilomètres) de l'Irak Petroleum CO... Mais comme les Juifs sont résolus à ne ps tolérer un retour en arrière, la manœuvre si manœuvre il y a, échouera. Alors, c'est la guerre ? Oui si Washington n'intervient pas à Lndrs our empêcher l'opération de conquête que s'apprête à faire le roi de Trnsjrdn. No, si Washington, qi a les myns de faire pression sur trois au mns des Etats rbs, smopei une solution pcfq du conflit. E tt cas, l'U.R.S.S. qui mntnt son acceptation du apln de partage, vient de désigner un délégué au Cnsl de tutelle qu'elle aait jsq'à présent boycotté, montrant par là qu'elle 'ntendi pas voir l'affaire réglée elle, '-isàeetr-dc contre elle. Cette décision va act embar des Américains. Pourra-t-elle les inciter à empêcher que sallume un ve foyer dincendie qui 1 tuoiparr vt s'étendre... Ch. R. Amman, G...QG de la cntr-ffnsv arabe Jérusalem, 26 avril. — Depuis s d vingt-quatre hrs, ls hommes de l'Irgu malgré l'ordre contraire de la Haganah, se etattbn pour prendre Jaffa, port arabe contigu la ville juive d Tel Aviv. Cest ue bataille a rtr.imose L'Irgoun bombarde le cent d Jaffa. Ses hommes progressent, pas à pas, sous le couvert ud tir de barrage. Les Arabes sent en envoyant des obus sur le maisons de la périphérie d Tel v.viA C sont des unités blindées de la Légion arabe qui participeraient aux combats. La
plan de partage, vient de désigner un délégué au Conseil de tutelle qu'elle avait jusqu'à présent boycotté, montrant par là qu'elle n'entendait pas voir l'affaire réglée sans elle, c'est-à-dire contre elle. Cette décision va accroître l'embarras des Américains. Pourra-t-elle les inciter à empêcher que s'allume un nouveau foyer d'incendie qui 1 pourrait vite s'étendre... Ch. R. Amman, G.Q.G. de la contre-offensive arabe Jérusalem, 26 avril. — Depuis plus de vingt-quatre heures, les hommes de l'Irgoun, malgré l'ordre contraire de la Haganah, se battent pour prendre Jaffa, port arabe contigu à la ville juive de Tel Aviv. C'est une bataille aux mortiers. L'Irgoun bombarde le centre de Jaffa. Ses hommes progressent, pas à pas, sous le couvert du tir de barrage. Les Arabes ripostent en envoyant des obus sur les maisons de la périphérie de Tel Aviv. Ce sont des unités blindées de la Légion arabe qui participeraient aux combats. La progression de l'Irgoun est surtout freinée par le feu des blindés britanniques, qui s'opposent à son entrée à Jaffa. Les Anglais ont aussi occupé les bâtiments administratifs de l'aérodrome de Lydda, qui est le seul terrain international de Palestine. Les Arabes l'avaient pris d'abord. Puis, les Juifs ont contre-attaqué. Quoi qu'il en soit, tous les services aériens aboutissant à Lydda, ont été suspendus. À Jérusalem, on s'attend à un engagement important lorsque, au coucher du soleil, les derniers soldats britanniques auront quitté le camp d'Alamein, qui est situé à quelque 2.000 mètres du cœur de la ville. Déjà des Juifs et des Arabes sont postés autour du camp, sur la route Jérusalem-Bethléem. Les premiers ont établi leurs positions dans les secteurs boisés environnants. Les seconds — il semble que, là encore, ce soit la Légion arabe — ont installé des nids de mitrailleuses aux approches des principales portes du camp; À Haïfa, le calme revient peu à peu. Les négociations judéo-arabes progresseraient favorablement. Des policiers, non armés, surveillent les boutiques des commerçants pour prévenir les pillages. Bombardement d'Acre La guerre, par contre, s'est rallumée, plus au nord, à Saint-Jean-d'Acre. La Haganah a tenté de prendre d'assaut la ville après un
plan de partage, vnt de désigner un délégué au Conseil d ttll qu'elle avait jusqu'à présent boycotté, montrant là qu'elle n'entendait pas voir l'affaire réglée sans e c'est-à-dire contre elle. Cette décision va acrît l'embarras des Américains. Pourra-t-elle s inciter à empêcher que s'allume un nouveau foyer d'incendie qui 1 pourrait vite s'étendre... Ch. R. Amman, G.Q.G. de la contre-offensive arabe Jérusalem, 26 avril. — spiDeu plus de vingt-quatre heures, les hommes de 'Irgoun, malgré 'odr cntrr d la aaang,Hh se battent pour reerdpn Jaffa, port arabe contigu à la ville jv de Tel Aviv. C'est une bataille aux mortiers. L'Irgoun bombarde e ntre de Jaffa. Ses ome progressent pas à pas, sous le cvrt du tir de barrage. Ls Arabes ripostent en envoyant des obus sur les maisons de la périphérie de Tel Aviv. Ce sont des unités blindées de la Légion arabe qui pcperint aux cmbts. La progression de l'Irgoun est surtout frné par le fe des blindés britanniques, qui s'opposent à son entrée Jaffa. Les Anglais ont aus occupé les bâtiments administratifs de l'aérodrome de Lydda, qui est el seul terrain international de Plstn. Les Arabes l'avaient pris ad.bd'or Puis, les Juifs ont contreattaqué Quoi qu'il n soit, tous les ecirvses aériens aboutissant à Lydda, ont été sspnds. À Jérusalem, on s'ttnd à un engagement panirmtot lorsque, au coucher du soleil, les derniers solda britanniques auront quitté le camp dAlamein qui est é à quelque 2.000 mètres du cœur de la ville. Déjà des Juifs et des Arabes sont poé utor du camp, sur la roetu Jérusalem-Bethléem. Les premiers nt établi leurs positions dans les secteurs boisés vntoensrin.an Les seconds — il semble qu là encore, ce st la Légion arabe ont installé des nids d mitrailleuses axu approches des principales portes u camp; À Haïfa, l calme revient peu à p. Les négociations jdé-rbs progresseraient favorablement. D policiers, nn s surveillent les boutiques des cmmrçnts pour rernpvié les pillages. Bombardement d'Acre La guerre, par contre, et rallumée, lups au nord, à Snt-Jean-c. La Haganah a tenté de prendre d'assaut la vll après un
qu'il en soit, tous les services aériens aboutissant à Lydda, ont été suspendus. À Jérusalem, on s'attend à un engagement important lorsque, au coucher du soleil, les derniers soldats britanniques auront quitté le camp d'Alamein, qui est situé à quelque 2.000 mètres du cœur de la ville. Déjà des Juifs et des Arabes sont postés autour du camp, sur la route Jérusalem-Bethléem. Les premiers ont établi leurs positions dans les secteurs boisés environnants. Les seconds — il semble que, là encore, ce soit la Légion arabe — ont installé des nids de mitrailleuses aux approches des principales portes du camp; À Haïfa, le calme revient peu à peu. Les négociations judéo-arabes progresseraient favorablement. Des policiers, non armés, surveillent les boutiques des commerçants pour prévenir les pillages. Bombardement d'Acre La guerre, par contre, s'est rallumée, plus au nord, à Saint-Jean-d'Acre. La Haganah a tenté de prendre d'assaut la ville après un bombardement qui a duré cinq heures, au début de la journée. Les pièces d'artillerie juive tiraient de Nalariya, à 10 kilomètres, et de Mishmar-Hayan, à 3 kilomètres. Les étudiants s'agitent À la frontière nord du futur État juif, l'agitation couve. Les autorités syriennes auraient décidé de fermer les universités d'une part, pour répondre à l'offensive à la grève de protestation des étudiants arabes, qui reprochent au gouvernement sa mollesse dans l'affaire palestinienne ; d'autre part, pour trouver ainsi des locaux pour les réfugiés arabes. À Beyrouth, la situation est la même qu'à Damas. Cent étudiants font la grève de la faim pour décider le gouvernement à envoyer son armée en Palestine. Glubb Pacha veut être sujet du roi Abdullah! Mais c'est sur les frontières sud que les forces arabes se massent. Des éléments de la Légion transjordanienne se battent même déjà à Jaffa et en d’autres points secondaires. Glubb pacha, cet officier britannique qui en est le créateur et le chef, a demandé à Londres l’autorisation de prendre la nationalité transjordanienne pour pouvoir la mener lui-même au combat. La Légion vient d’acquérir récemment 180 chars. Elle sera renforcée par la 21e division motorisée irakienne, qui a quitté Bagdad pour Amman,
qu'il en soit tous s services aériens aboutissant à d,Ldya ont été suspendus. À Jérusalem, on s'attend à un egagemt important lorsque, au coucher du soleil, les derniers soldats britanniques rnt quitté le camp 'Alamein, qui est situé à quelque 2.000 mètres du cœur ed la ville. Déjà de Juifs et des Arabes sont postés autour du camp, u la route Jérusalem-Bethléem. Les premiers ont établi leurs positions dans les secteurs boisés environnants. Les seconds — il semble que, là encore, c soit la Légion arabe — ont installé des nids de mitrailleuses uax posarchep des principales portes du cmp; À Haïfa, le alemc revient p à peu. Les négociations judéo-arabes progresseraient favorablement. s policiers, n armés, surveillent ls boutiques ant pr pver les pilles Bombardement d'cr La guerre, pr conre, s'est rallumée, pls au nord, à Saint-Jean-d'Acre. La Haganah a tenté de prendre d'assaut la ville après un benarbodemmt qui a duré cinq heures, au début de journée. Les pièces d'artillerie juive tiraient de Nalariya, à 10 kilomètres, et de Mishmar-Hayan, à 3 kilomètres. Les édas s'gtnt la frontière nord du futur État juif, l'agitation couve Les trtés syriennes auraient décidé de fermer les universités dn'ue part, or répondre à l'offensive la grève de protestation des étudiants bs qui eont u gouvernement sa mosse dans l'affaire paestene ; d'autre part pour trouver ainsi dse locaux pour les réfgés arabes. À Beyot la io est mêm qu'à aas. Cent étudiants fon l grève de la faim pour décider le gouvernement à envoyer son armée en Palestine. Glubb hacaP veut ertê du roi Abdullah! Mais c'est sur les frontières sud que les rosfce rs se massent Des éléments de la Légn transjordanienne se bttnt même déjà à Jaffa et en d’autres ntosip secondaires. Glubb pa cet officier britannique qui en est le créateur et le h, demandé à Londres l’autorisation de prendre l nationalité transjordanienne pour pouvoir l mnr lui-même au combat. La Légion vient dacqr rmn 180 chars. Elle sera orc par l 21e dviio motorisée irakienne qui quitté Bagdad pour Amman
part, pour répondre à l'offensive à la grève de protestation des étudiants arabes, qui reprochent au gouvernement sa mollesse dans l'affaire palestinienne ; d'autre part, pour trouver ainsi des locaux pour les réfugiés arabes. À Beyrouth, la situation est la même qu'à Damas. Cent étudiants font la grève de la faim pour décider le gouvernement à envoyer son armée en Palestine. Glubb Pacha veut être sujet du roi Abdullah! Mais c'est sur les frontières sud que les forces arabes se massent. Des éléments de la Légion transjordanienne se battent même déjà à Jaffa et en d’autres points secondaires. Glubb pacha, cet officier britannique qui en est le créateur et le chef, a demandé à Londres l’autorisation de prendre la nationalité transjordanienne pour pouvoir la mener lui-même au combat. La Légion vient d’acquérir récemment 180 chars. Elle sera renforcée par la 21e division motorisée irakienne, qui a quitté Bagdad pour Amman, capitale de la Transjordanie et G.Q.G. de la contre-offensive arabe. Enfin selon un journal du Caire, un certain nombre d’unités égyptiennes auraient déjà été envoyées à la frontière palestinienne. Au Caire encore, une automobile chargée d’explosifs a sauté devant la maison du chef du parti wafdiste, Nahas pacha. Les étudiants, qui s’étaient mis en grève pour réclamer l’intervention immédiate en Palestine, ont profité de cet attentat contre le leader de l’opposition pour crier : « À bas le gouvernement ! » L'ATTENTAT AU CAIRE Au Caire encore, une automobile chargée d’explosifs a sauté devant la maison du chef du parti wafdiste, Nahas pacha. Les étudiants, qui s’étaient mis en grève pour réclamer l’intervention immédiate en Palestine, ont profité de cet attentat contre le leader de l’opposition pour crier : « À bas le gouvernement ! » LARIDON à la caserne Dirigé sur le magasin d’habillement, on l’équipa et Laridon le clochard devint sur l’heure le deuxième classe Laridon : logé, nourri et même payé, au bout d’un jour le sergent lui cria : « Ouste, allez toucher votre solde ! » Et Laridon toucha. Docilement. Ses journées se passaient agréablement en flâneries hors du quartier. Il rentrait à la caserne
part, pour répondre à l'offensive à la grève de protestation dse étudiants arabes, iuq reprochent au guneme sa mollesse ansd l'affaire palestinienne ; d'autre prt, pour trouver ainsi des locaux pour les réugis arabes. À Beyrouth, la situation est la même qu'à Damas. et éints font l grève de a faim pour éicrded le gouvernement à rneoeyv son éeamr en Palestine. Glubb aaPch veut êr sujet d roi bdllh! Mais c'est sur les frontières sud que les forces arabes massent. Ds éléments d la Légion transjordanienne e battent même déjà à ff et e ’autres points secondaires. Glbb pacha ct ffcr britannique qiu en est le créateur et le chef demandé à Londres l’autorisation de prendre la nationalité transjordanienne pour pouvoir la mner lui-même au combat. La Légion vient d’acquérir récemment 180 cha Elle sera renforcée par la 21e division motorisée irakienne, iqu a quitté Bagdad urop mmn, capitale de la Transjordanie t G. de la contre-offensive abe. Enfin selon un journal du Caire un certain nombre d’unités égyptiennes auraient déjà été envoyées à la frontière palestinienne. Au Cr encore, une automobile chargée d’explosifs a sauté devant la mson du chef du parti wafdiste, Nahas pacha. Les étudiants, ui s’étaient mis n grève pour réclamer l’intervention immédiate en Palestine, ont profité de cet attentat contre le leader de lopposition pour crier : « À bas le gouvernement ! » L'ATTENTAT AU CAIRE Au Caire rcoe,ne une automobile chée d’xplsfs sauté devant la maion du chf d parti adi, Nahas pacha. Les étudiants, qui ase’tiént is en grève pour cerlmaré l’ntrvntn immédiate en l,iaPeetns ont profité de cet attentat contre le leader de l’opposition pour crier « À bas le gouvernement ! » LARIDON à la se Dirigé sur le gsanmia d’habillement, on l’équipa e Laridon l clochard devint sur ’er le deuxième classe Ladon lg, nourri et même payé, au bout d’un jour le sergent lui cr : « Ouste llz tchr votre solde ! » Et Laridon tuch Docilement. Ses journées se passaient agréablement en flâneries hors u quartier. Il rentrait à la caserne
qui s’étaient mis en grève pour réclamer l’intervention immédiate en Palestine, ont profité de cet attentat contre le leader de l’opposition pour crier : « À bas le gouvernement ! » L'ATTENTAT AU CAIRE Au Caire encore, une automobile chargée d’explosifs a sauté devant la maison du chef du parti wafdiste, Nahas pacha. Les étudiants, qui s’étaient mis en grève pour réclamer l’intervention immédiate en Palestine, ont profité de cet attentat contre le leader de l’opposition pour crier : « À bas le gouvernement ! » LARIDON à la caserne Dirigé sur le magasin d’habillement, on l’équipa et Laridon le clochard devint sur l’heure le deuxième classe Laridon : logé, nourri et même payé, au bout d’un jour le sergent lui cria : « Ouste, allez toucher votre solde ! » Et Laridon toucha. Docilement. Ses journées se passaient agréablement en flâneries hors du quartier. Il rentrait à la caserne pour la soupe et le coucher. La bonne vie. Elle dura quatre mois, au bout desquels un « des bureaux » s’enquit au ministère d’un certain planton Laridon qui y était, et pour cause, parfaitement inconnu. On l’arrêta. On lui déclara qu’il était un escroc. « J’ai rien demandé. On m’a dit : « Entrez ! » J’suis entré. On m’a dit : « Habille-toi ! » J’me suis habillé. On m’a nourri, on m’a logé, mais c’était tout de même pas moi qu’étaient allé les chercher. Le président Vinçon n’a pas eu la cruauté de condamner le clochard Laridon, qui avait voulu, un jour de vague à l’âme, tâter de la vie de caserne, lui le sans famille, il avait entendu dire que le colonel était le père du régiment. Il était allé à la rencontre de ce père-là. Laridon a été acquitté. Tous les rieurs sont de son côté. BRADLEY S'EN VA-T-EN GUERRE Le sénateur Tydings, dans une causerie radiodiffusée, a déclaré qu’il faut aux U.S.A. des bases aériennes près de l’U.R.S.S. (En Asie, Afrique et probablement en Europe), car on ne peut pas bombarder l’U.R.S.S. avec des bases aux U.S.A. « L’U.R.S.S. est beaucoup plus loin des
qui s’étaient m en grève pour réclamer l’intervention immédiate en Palestine, nt prfté de cet attentat contre le laer de l’opposition pour crier : À ba l gouvernement ! » L'ATTENTAT AU CAIRE Au Caire coe une automobile chargée d’explosifs a uésta devant la maison ud chef du parti wafdiste Nahas pacha. Les téunas,tid qui ’étaient m en grèv pour réclamer l’intervention immédiate en Palestine ont rféoipt d tec attentat contre le leader e l’opposition urpo crier : « À bs le eevrgmotenun ! » LARIDON à la caserne Dirigé sr le magasin ’habillement, on l’équipa et Laridon le clochard devint sur heu le deuxième classe Laridon : logé, nourri e même payé, au bout d’un jour le sergent ui cria : « Ouste, alez toucher votre solde ! » Et Laridon toucha. Docilement. Ses journées se pssnt agréablement en flâneries hors du quartier Il rentrait à la caserne pour la sp et le coucher. L bonne v. Elle dura quatre mois, au bout dsqls « des bureaux s’enquit au ministère u certain planton Laridon qui y était, et pour cause, parfaitement ncnn. n l’arrêta. On lui déclara i’qlu était un escroc. « J’ai rien addénem. On ma dit : « Entrez » J’suis entré. n m’a dit : « Habille-toi ! » J’me suis habillé. On m’a nourri, on m’a logé, mais ’était tout de même pas m qu’étaient allé les chercher. Le président Vinçon n’a pas eu la cruauté de condamner le clochard Laridon, qui avait voulu, un jour de vg à lâme tâter de la vie de caserne, lui le sans famille, l avait tenendu dire u le colonel étt le père du régiment. Il était llé à l rncntr de ce père-là. Laridon a été acquitté. Tous les rieurs sont de son côté. BRADLEY 'EN VA-T-EN GUERRE Le sénateur Tydings dns nue causerie radiodiffusée, a déclaré qu’il faut U.S.A. des bases aériennes près de l’U.R.S.S. (En s, Afrique et probablement ne rp), a on ne peut pas bombarder l’U.R.S.S. avec des bss aux .S.A. « L’U.R.S.S. est beaucoup plus loin des
m’a dit : « Entrez ! » J’suis entré. On m’a dit : « Habille-toi ! » J’me suis habillé. On m’a nourri, on m’a logé, mais c’était tout de même pas moi qu’étaient allé les chercher. Le président Vinçon n’a pas eu la cruauté de condamner le clochard Laridon, qui avait voulu, un jour de vague à l’âme, tâter de la vie de caserne, lui le sans famille, il avait entendu dire que le colonel était le père du régiment. Il était allé à la rencontre de ce père-là. Laridon a été acquitté. Tous les rieurs sont de son côté. BRADLEY S'EN VA-T-EN GUERRE Le sénateur Tydings, dans une causerie radiodiffusée, a déclaré qu’il faut aux U.S.A. des bases aériennes près de l’U.R.S.S. (En Asie, Afrique et probablement en Europe), car on ne peut pas bombarder l’U.R.S.S. avec des bases aux U.S.A. « L’U.R.S.S. est beaucoup plus loin des U.S.A. que l’Allemagne précisa le sénateur. Le programme de préparation militaire discuté actuellement par le comité du Sénat comprend la mobilisation provisoire, l’E.M.U. et l’augmentation, de l’aviation militaire. De nombreux Américains ont une confiance illimitée en l’aviation, espérant qu’elle pourra charger entièrement de « leur gagner la guerre » en collaboration étroite, bien entendu, avec la bombe atomique. Que se passe-t-il dans la tête des Américains ? Mais le secrétaire Forrestal a prévenu ces optimistes que la guerre ne peut être gagnée uniquement par l’aviation : la future guerre aura encore besoin de fantassins. Forrestal pense aussi que l’industrie devrait s’organiser tout de suite en vue de la guerre : au lieu de fabriquer des frigidaires, des machines à laver et des autos, produire pour la guerre. Que se passe-t-il aux U.S.A.? Il se passe, me semble-t-il, que cette nation, qui a horreur de tout ce qui est militaire et de tout ce qui est guerre, est en train de se mettre dans un état d’esprit où elle se dit : « Puisqu’il paraît évident qu’on n’évitera pas la guerre, et puisqu’on veut nous imposer la militarisation, autant organiser tout de suite une puissance invincible, et allons-y puisqu’il faut y
m’a dit : « tzreEn ! » J’suis ntré. On m’ dit : « Habille-toi ! » J’me suis hbllé. On m’a nourri, on m’a logé mais c’était tot de même pas moi qu’étaient allé les chercher. L président Vinçon n’a pas eu la cruauté de damnr le clochard Lid, q avait voulu, un jour de vague à m’eâl, tâter de la vie de caserne, lui le snas famille, il i nnd dire que le clnl était le père du réint. Il était allé à la rencontre de ce père-là. Laridon a été acquitté. Tou les rieurs sont de sn côté. BRADLEY 'EN VA-T-EN GUERRE Le sénateur Tydings, dans une causerie radiodiffusée, a déclaré qu’il tafu aux U.S.A. s bases aériennes près de l’U.R.S.S. (nE Asie, Afrique et probablement en Europe), car on n peut pas bombarder l’U.R.S.S. avec ds bases aux U.S.A. « R.LU...S’S tse beaucoup plus loin des .S.. que l’Allemagne rciséap le sénateur. L programme de pon militaire discuté actuellement a le comité du Sénat prcomend la bilaion prvsr, l’E.M.U. et l’gmnttn, de l’aviation ia.reilmit De nombreux Américains une confiance illimitée en ’aviation, espérant qu’elle pourra haegrrc entièrement de « leur gagner la guerre » en collaboration étroite, bien ntnd, avec la bombe atomique. Que s passetil dns la tête eds Américains ? Mais le secrétaire Forrestal a prévenu ces optimistes que la guerre ne peut être gagnée uniquement pr l’aviation : la future guerre aura encore besoin d fantassins. Forrestal pns aussi que l’industrie devrait sorganiser tout de suite e vue ed la guerre : au le fabriquer des frigidaires, d machines à laver et des autos, produire pr la guerre. Que s passe-t-il aux U.S.A.? Il se pss, me semble--il, que ctt nation, qui a rrheruo de tout ce qui es militaire et de tt ce qui est egrue,r est en trn d se mettre dans un t d’esprit où elle se dit : « liiqusP’u paraît évident qu’on n’évitera pas a guerre, et puisquon vuet nous imposer la miliriato autant organiser tout d suite n puissance invincible, et llns-y puisqu’il faut y
collaboration étroite, bien entendu, avec la bombe atomique. Que se passe-t-il dans la tête des Américains ? Mais le secrétaire Forrestal a prévenu ces optimistes que la guerre ne peut être gagnée uniquement par l’aviation : la future guerre aura encore besoin de fantassins. Forrestal pense aussi que l’industrie devrait s’organiser tout de suite en vue de la guerre : au lieu de fabriquer des frigidaires, des machines à laver et des autos, produire pour la guerre. Que se passe-t-il aux U.S.A.? Il se passe, me semble-t-il, que cette nation, qui a horreur de tout ce qui est militaire et de tout ce qui est guerre, est en train de se mettre dans un état d’esprit où elle se dit : « Puisqu’il paraît évident qu’on n’évitera pas la guerre, et puisqu’on veut nous imposer la militarisation, autant organiser tout de suite une puissance invincible, et allons-y puisqu’il faut y aller. » Cet état d’esprit est entretenu et aggravé, naturellement, par des déclarations du genre de celles de Bradley et de Forrestal. Les Américains n’aiment pas les tensions prolongées. Maintenant que quatre millions de dollars ont apporté des résultats heureux dans les élections d’Italie, l’attention se tourne vers Berlin. Un homme bien informé m’a assuré hier que c’est là que se décidera l’avenir, dans les quelques jours prochains. On verra, dit-il, si les Russes sont vraiment décidés à éliminer les Américains de Berlin, car les Américains sont déterminés à ne pas se laisser éliminer. Si on insiste à vouloir nous éliminer du ciel berlinois, nous ferons escorter nos avions et alors nul ne sait quels incidents fâcheux pourraient éclater.... Il fait un printemps radieux à New-York en ce moment. Mais quand on ouvre un journal à l’une quelconque de ses vingt ou quarante pages (sauf peut-être la page sportive), on a tout à coup l’impression que le ciel est bien noir. VERS UNE CONFÉRENCE BEVIN-BIDAULT-MARSHALL À WASHINGTON ? Washington, 25 avril. — Londres et Paris ont opposé un démenti formel à l’information selon laquelle MM. Bevin et Bidault rencontreraient le général Marshall à Washington d’ici une dizaine de jours. Mais
collaboration étroite, bien entendu, avec la bombe atomique. Q se passe-t-il dans la tête ds Américains ? Mais le secrétaire Forrestal a prévenu ces optimistes que la guerre ne peut être gagnée uqumet par l’vtn : la future guerre aura encore besoin de ftasn Forrestal pense aussi que lindustrie devrait s’organiser tt ed suite en vue de la guerre : au lieu de fabriquer des frigidaires, des machines à laver et des autos, produire pour l guerre. Que se passe-t-il aux U.S.A.? Il se passe, m semble-t-il, que cette nation, qui a hrr de tout ce qui est mltr t de tout ce qui est guerre, est en train de se mettre dans un état dpietsr’ où elle se dit : « Psq’l paraît évdnt qu’on ’évitera pas la guerre, et puisqu’on veut nous imposer la militarisation, autant organiser tout de suite une puissance invincible, et allons-y puisqu’il faut y aller. » Cet état d’esprit est entretenu et aggravé, naturellement, p des déclarations u genre d clls d Bradley et de Forrestal. Les Américains n’aiment pas les tensions prlngés. Mntnnt que quatre millions d dollars ont apporté des résultats heureux dans les élections d’Italie, nttnaolie’t se tourne vers lnBie.r Un homme bien informé m’a assuré hier que c’est l que se décidera l’avenir, dans les quelques jo prochains. On verra, dit-il, s les Russes snt vraiment décidés à linr les Américains de Berlin, car les Américains sont déterminés à ne pas se laisser éliminer. Si n insiste à vouloir nous éliminer du ciel berlinois, nous ferons escorter nos avions et nul ne sait quels incidents fâcheux pourraient éclater.... Il ft un printemps radieux New-York en ce moment. Ms quand on ouvre un journal à l’n quelconque de ses vingt ou quarante pages (sauf peut-être la page sportive), on a tou coup l’impression que le ciel est bien rni.o VERS UNE CONFÉRENCE BEVIN-BIDAULT-MARSHALL À WASHINGTON ? Washington, 25 avril. — Londres et Ps ont opposé un di formel à l’information selon laquelle MM. Bevin et Bidault rencontreraient le général hlsralaM à Washington d’ici une dizaine de jours. Mais
homme bien informé m’a assuré hier que c’est là que se décidera l’avenir, dans les quelques jours prochains. On verra, dit-il, si les Russes sont vraiment décidés à éliminer les Américains de Berlin, car les Américains sont déterminés à ne pas se laisser éliminer. Si on insiste à vouloir nous éliminer du ciel berlinois, nous ferons escorter nos avions et alors nul ne sait quels incidents fâcheux pourraient éclater.... Il fait un printemps radieux à New-York en ce moment. Mais quand on ouvre un journal à l’une quelconque de ses vingt ou quarante pages (sauf peut-être la page sportive), on a tout à coup l’impression que le ciel est bien noir. VERS UNE CONFÉRENCE BEVIN-BIDAULT-MARSHALL À WASHINGTON ? Washington, 25 avril. — Londres et Paris ont opposé un démenti formel à l’information selon laquelle MM. Bevin et Bidault rencontreraient le général Marshall à Washington d’ici une dizaine de jours. Mais à Washington, le porte-parole du State Department a déclaré que l’éventualité d’une telle rencontre n’est pas exclue. Et dans les milieux diplomatiques de la capitale américaine, on fait observer que le démenti anglo-français porte davantage sur la date que sur la rencontre elle-même. Il ne s’agirait pas d’une « dizaine de jours », mais d’un mois : le temps nécessaire aux Cinq occidentaux actuellement réunis à Londres à cet effet, de mettre au point la récente alliance militaire et aux dirigeants américains de s’entendre sur les modalités et l’ampleur de l’aide militaire américaine aux premiers. À ce sujet on annonce à Washington que les parlementaires américains s’attendent que M. Truman leur mande sous peu l’autorisation d’envoyer certaines quantités d’armes à l’Union européenne occidentale. SAISIES WARRAKTS Les salles de vente de l'ENTREPOT 4, RUE DES AILES DOUANAIRES, PARIS 18e TAILLEURS et MANTEAUX à partir de 2.800 fr. directement de la fabrique VESTES en toutes teintes M. R., 68, Fg St-Martin. Bot. 54-67 _ Métro Strasbourg-St-Dénis Soieries et TOUSSAINS. RENAISSANCE, 100, rue Réaumur, 100 Toutes entreprises ULRASSIMES, KLEMAVIUL 100, rue Réaumur, 100 Travaux exécutés par des ouvriers qualifiés.
homme bn informé m’a assuré hier que ’ là que se décidera l’avenir, dans les qqu jours prochains. On verra, dit-il, si les Russes sont vraiment décidés à éliminer les Américains de Berlin, r les Américains sont déterminés à ne ps se laisser éliminer. S on insiste à vouloir nous élmnr du ciel lo,insbrie nous ferons escorter nos avions et alors nul ne sait quels ncdes fâcheux pourraient éclater.... Il fait un printemps radieux à New-York en ce moment. Mais quand on ouvre un journal à l’une qlcnq de ses vingt u quarante pages (sauf peut-être la page sportive), on a tout à coup l’impression que le cl est ie noir. VERS CONFÉRENCE BEVIN-BIDAULT-MARSHALL À WASHINGTON ? Washington 25 avril. — Londres Paris ton opposé n démenti formel à l’information selon laquelle MM. Bevin et Bidault rencontreraient le général Marshall à Washington dici une dizaine de jours. Mais à Washington, le porte-parole du State Dertme a déclaré que l’éventualité d’une telle rencontre n’est pas exclue. Et da milieux diplomatiques de la capitale américaine, on fait observer que le démenti anglo-français porte avta sr la date que sur la rencontre elle-même. Il ne s’agirait d’une « dizaine e jor », ms d’un mois : le temps nécessaire aux Cinq occidentaux actuellement réunis à Londres à cet effet, de mettre au point l récente alliance ilaitmrei et aux dirigeants américains s’entendre sur les modalités et l’ampleur de l’aide militaire mércaine aux errs.iemp À ce sujet on annonce à Washington q les parlementaires américains s’attendent que M. Truman ur mande sous p l’autorisation d’envoyer certaines quantités d’armes à l’Union oe occidentale SAISIES WARRAKTS Les salles de ntvee de l'NTRPT 4, RUE DES AILES DOUANAIRES, A 18e TAILLEURS et MANTEAUX à prt de 2.800 fr. directement de la fabrique VESTES en toutes teintes R., 68 Fg St-Martin. Bot. 54-67 _ Métr Strasbourg-St-Dénis Soieries et TOUSSAINS. RENAISSANCE, 100, rue Réaumur 100 Toutes entreprises ULRASSIMES, KLEMAVIUL 010, rue Réaumur, 100 Travaux exécutés par des ouvriers qualifiés.
de jours », mais d’un mois : le temps nécessaire aux Cinq occidentaux actuellement réunis à Londres à cet effet, de mettre au point la récente alliance militaire et aux dirigeants américains de s’entendre sur les modalités et l’ampleur de l’aide militaire américaine aux premiers. À ce sujet on annonce à Washington que les parlementaires américains s’attendent que M. Truman leur mande sous peu l’autorisation d’envoyer certaines quantités d’armes à l’Union européenne occidentale. SAISIES WARRAKTS Les salles de vente de l'ENTREPOT 4, RUE DES AILES DOUANAIRES, PARIS 18e TAILLEURS et MANTEAUX à partir de 2.800 fr. directement de la fabrique VESTES en toutes teintes M. R., 68, Fg St-Martin. Bot. 54-67 _ Métro Strasbourg-St-Dénis Soieries et TOUSSAINS. RENAISSANCE, 100, rue Réaumur, 100 Toutes entreprises ULRASSIMES, KLEMAVIUL 100, rue Réaumur, 100 Travaux exécutés par des ouvriers qualifiés.
de or », mais d’un mois : le temps nécessaire aux Cinq occidentaux actuellement réunis à Londres à cet effet, de mettre au point la récente alliance militaire et au gteidairns américains de ’entendre sur les modalités t l’ampleur de dli’ae militaire américaine aux premiers. À ce sujet on annonce à Washington que les parlementaires américains s’attendent que M. Trmn leur mad sous p l’autorisation d’nvyr certaines quantités d’armes à l’Union rpénn occidentale. SAISIES WARRAKTS Les salles d vente de l'ENTREPOT 4, RUE DS LS DOUANAIRES, PARIS 18e TAILLEURS et MANTEAUX à partir de 20.08 fr. directement de la fabrique VESTES en toutes teintes M. R., 68, Fg St-Martin. Bot 54-67 _ Méto StrasbourgStDénis Soieries t TOUSSAINS. RENAISSANCE, 100, rue Réaumur, 100 Toutes entreprises ULRASSIMES, KLEMAVIUL 100, rue Réa, 10 arxuTav exécutés par des ovres qualifiés.