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Nantes (Loire-Inférieure). — Société de Tir Saint-Hubert de l'Ouest. Grand Concours public au stand du Petit Port ouvert les 23, 24 mai, 6, 13, 20, 21, 22 et 27 juin, 3, 4, et 5 juillet. 17 cibles à 12, 20, 50 et 200 mètres. Catégories : Carabine à 12 m. Revolver à 20 m. Pistolet à 20 m. Armes libres à 50 m. Fusil Lebel couché et carabine debout et à genoux à 200 m. Concours de Dames. Jeunesse. Prix aux points et au centre. Concours Général de l'Union. Championnats et Concours de Sociétés de la Fédération de l'Ouest. Prime de voyage aux Dames en remplacement de la feuille de route. Feuille de route à demi tarif sur tous les réseaux pour les Messieurs. Cinq mille francs de prix en espèces, deux mille cinq cents en bijoux, objets d'art, etc... Demander le programme et la feuille de route quinze jours à l'avance à M. Voize, Villa des Oiseaux, aux Sorinières (Loire-Inférieure). Noyon (Oise). — Société de tir, d'exercices physiques et de préparation militaire. Concours publics du 11 avril au 26 septembre 1926 inclus : Fusil Lebel, 200 mètres et 50 mètres ; Fusil Gras transformé en 5.5 et pistolet à 50 mètres ; revolver à 20 mètres ; carabine à 12 mètres. 4.500 francs de prix. Pour tous renseignements, s'adresser à M. Lance (G.), trésorier, 56, rue d'Orroire. Ourville-en-Caux (Seine-Inférieure). — Société de tir « L'Ourvillose » (S.A.G.) : Du 2 mai au 29 août 1926, VII 0 Concours annuel de tir. — 200 prix : 6.000 fr., dont 4.500 en espèces. 1° Concours public, carabine à 12 mètres. 2° Concours public. 20 m. Lebel réduit. 3° Concours public 50 m. (toutes armes tirant le 22 L 11). 4° Concours de dames à 12 m. 5° Concours de délégation à 50 mètres. 6° Championnat du pays de Caux : Concours d'ensemble (limité) à 12, 20 et 50 m. (à effectuer en 3 années). 7° Jeunesse, 20 mètres Lebel. 8° Concours régional carabine 12 m. 9° Concours du 14 juillet et de la fête patronale (tireurs locaux) : nombreux prix espèces
Nantes (Loire-Inférieure). — Société d riT Saint-Hubert d l'Ouest. Grand Concours public au stand du Ptt Port ouvert les 23, 24 mai, 6, 13, 0, 21, 22 et 27 juin, 3, 4, et 5 juillet 17 cibles à 12, 20, 50 et 200 mèes. Catégories : Carabine à 2 m. Revolver à 20 m. Pistolet à 20 m. Armes lbrs à 50 . Fusil Lebel couché te ebnrcaia debout t à genoux à 200 m. Concours de as Jese Prix uax points et au centre. Cncrs Général de l'Union. Championnats et Concours de Sociétés de la Fédération de l'Ouest. Prime de oya aux Dames remplacement de la ul de route. Fll de route demi tarif sur tous les ruaxése pruo les Messieurs. Cinq mille francs de xrpi en espèces deux mille cinq cents en bijoux, objets d'art, etc Demander le programme et la el de route quinze jours à 'avance à M. Voize, Villa des Oiseaux, aux Sorinières (Loire-Inférieure). Noyon Oie — Société de tr, d'exercices physiques et de préprtn militaire. Concours publics du 11 avril au 26 septembre 1926 inclus : Fusil Lebel, 200 semètr et mètres ; Fusil Gras transformé en 5.5 et so 50 mètres ; revolver à 20 mètres bancaier à 2 mètres 4.500 francs de ri Pour tous renseignements, s'adresser à M. ace (G.), trésorier, rue 'Orroire. Ourville-en-Caux (Seine-Inférieure). — Société de tir « L'Ourvillose » (S.A.G.) : Du 2 mai u 29 août 1926, VII 0 Cncrs annuel de tr. — 200 prix : .0060 fr., on 4.500 en espèces 1° Concours public, carabine à 12 mètres. 2° Cncrs public. 20 . Lebel réduit. 3° Concours public 50 m. (toutes armes tirant le 22 L 11). 4° Concours de dames à 2 m. 5° Concours de délégation à 50 mètres. 6° Championnat du pays de Caux : Concours densemble (limité) à 12, 20 et 50 . (à effectuer n 3 années 7° Jeunesse, 20 mètres Lebel. 8° Concours régional crbn 12 m. 9° Concours du 14 jllt et de l fête pnterlaoa (tireurs lcx) : nombreux prix espèces
50 mètres ; revolver à 20 mètres ; carabine à 12 mètres. 4.500 francs de prix. Pour tous renseignements, s'adresser à M. Lance (G.), trésorier, 56, rue d'Orroire. Ourville-en-Caux (Seine-Inférieure). — Société de tir « L'Ourvillose » (S.A.G.) : Du 2 mai au 29 août 1926, VII 0 Concours annuel de tir. — 200 prix : 6.000 fr., dont 4.500 en espèces. 1° Concours public, carabine à 12 mètres. 2° Concours public. 20 m. Lebel réduit. 3° Concours public 50 m. (toutes armes tirant le 22 L 11). 4° Concours de dames à 12 m. 5° Concours de délégation à 50 mètres. 6° Championnat du pays de Caux : Concours d'ensemble (limité) à 12, 20 et 50 m. (à effectuer en 3 années). 7° Jeunesse, 20 mètres Lebel. 8° Concours régional carabine 12 m. 9° Concours du 14 juillet et de la fête patronale (tireurs locaux) : nombreux prix espèces et nature. Pour tous renseignements, programmes, adresser la correspondance au Président. Paris. — Une des Sociétés de Tir de la Région de Paris. Stands militaires du G. M. P. 42° Concours général Adultes et Jeunesse, tous les dimanches : Juillet : 4, Maisons-Laffitte 11, Fontainebleau, Le Vésinet, 18, Sèvres. Août : 22, Maisons-Laffitte, Melun, 29, Fontainebleau. Septembre : 5, Saint-Denis, 19, Maisons-Laffitte, Sèvres, 26, Maisons-Laffitte. Concours réduit 20 mètres Jeunesse Lebel, Gras 5,5 dans les stands des sociétés affiliées à la Région de Paris. Programme et renseignements : M. Mazuc, 150, boulevard de Grenelle. Paris (15e). Paris. — Amicale Victor-Hugo, Wavrin. — Les 6, 13, 20, 21, 27 juin, 4, 11, 14, 18 et 25 juillet. Grand concours à la carabine 6 mm à 12 mètres. Prix d'une valeur de 1.500 francs. Paris. — Société de tir du XVe Arrond., 67, r. Blomet. Concours public du 18 avril au 25 juillet 1926. Distance 12 mètres. Deux sortes de cartons : carton de l'Union à 10 zones pour la carabine Bosquette ou Scolaire. Carton à 4 blasons pour la carabine Martini 6 m/m ou le fusil Lebel. Séries illimitées de 4 balles. Classement aux 5 meilleures séries. 25 prix dont 20
50 mètres ; revr à 0 mètres ; carabine à mètres. 4.500 ran de prix. Pour tous renseignements, s'adresser à M. Lance (G.), trésorier, 56, rue d'Orroire. OurvilleenCaux (ein-Iéire). — Société de r « LOurvillose » (S.A.G.) : D mai au 29 août 9 VII 0 Concours ae de tir. — 200 ixpr : 6.000 .,rf dont 4.500 en espèces. cosnroCu public, baiencra à 12 mètres. ° Concours public 20 m. Lebel réduit. 3° Concours public 50 m. (toutes armes tirant le 22 11). 4° Cncrs de dae 12 m. 5° Concours de délégation à 50 mètres. 6° Championnat u sypa d Caux : Concours d'ensemble (limité) à 12, 20 et 50 m. (à effectuer en 3 années). 7° Jeunesse, 20 mètres Lebel. 8 Cncors régional carabine 12 9° Concours du 14 juillet t de la fête patronale (tireurs locaux) : nombreux prix espèces et nature. Pr tous renegmens, programmes, ssdrreea la correspondance au Président. Paris. — Une des Sociétés de Tir de la Région de Paris. Stands militaires du G. M. P. 42° Cncrs général Adultes et Jeunesse tous les dimanches : Jillute : 4 Maisons-Laffitte 11, Fontainebleau Le Vésinet, 18, Sèvres. Août : 22, Maisons-Laffitte, Melun, 29, Fontainebleau. pter : 5, Saint-Denis, 9, Maisons-Laffitte, Sèvres, 26, Maisons-Laffitte. Concours i 20 mètres Jeunesse Lebel, Gras 55 dans les stands des sociétés affiliées à Région de Par. Programme t renseignements : M. u, 150, boulevard de Grenelle. Paris (15e). Paris. — Amicale Victor-Hugo, Wavrin. — Les 6, 13, 20, 1,2 27 juin, 4, 11, 14, e 25 juillet Grand concours à la crb 6 mm à 12 mte. rx end'u ulvrea e .5 francs. Paris. — Scété de tir du XVe Arrond., 67, .r om Concours public du 18 avril au 25 juillet 1926. Distance 12 mètres. Dx sortes de cartons : carton de l'Union à 10 zones pou la carabine osute ou Scolaire Crtn à 4 blasons pour la carabine intiraM 6 m/m ou le fusil ebel Séries sliiilméte de 4 blls. Classement aux 5 meilleures séries. 25 prix dont 20
: 22, Maisons-Laffitte, Melun, 29, Fontainebleau. Septembre : 5, Saint-Denis, 19, Maisons-Laffitte, Sèvres, 26, Maisons-Laffitte. Concours réduit 20 mètres Jeunesse Lebel, Gras 5,5 dans les stands des sociétés affiliées à la Région de Paris. Programme et renseignements : M. Mazuc, 150, boulevard de Grenelle. Paris (15e). Paris. — Amicale Victor-Hugo, Wavrin. — Les 6, 13, 20, 21, 27 juin, 4, 11, 14, 18 et 25 juillet. Grand concours à la carabine 6 mm à 12 mètres. Prix d'une valeur de 1.500 francs. Paris. — Société de tir du XVe Arrond., 67, r. Blomet. Concours public du 18 avril au 25 juillet 1926. Distance 12 mètres. Deux sortes de cartons : carton de l'Union à 10 zones pour la carabine Bosquette ou Scolaire. Carton à 4 blasons pour la carabine Martini 6 m/m ou le fusil Lebel. Séries illimitées de 4 balles. Classement aux 5 meilleures séries. 25 prix dont 20 prix espèces. 1er prix : 80 francs. Concours de délégations et challenge Coquelin de Lisle jusqu'au 18 juillet. 4 délégués par société. 4 prix espèces. Programme sur demande à M. Lebeau, 60, rue Blomet. Perray (Seine-et-Oise). — Grand Concours public à la carabine et à l'arme de guerre ouvert au Stand de la Société les 1er et 3e dimanches de chaque mois, de 2 heures à 6 heures, du soir, à partir du 4 juillet jusqu'au 17 octobre 1926 inclus. Lots divers pour une valeur de plus de 1.000 francs. Port-Louis (Morbihan). — 5° concours de tir à la carabine 6 millimètres pour le dimanche 8 août au dimanche 26 septembre. Le tir aura lieu tous les dimanches et jours fériés de 9 heures à 12 heures et de 13 h. 30 à 18 heures. Nombreux prix en argent, et en nature. S'adresser à M. Louchet, directeur du tir, 22, rue de la Pointe, à Port-Louis. Riquewihr (Haut-Rhin). — Concours les 11 et 12 juillet. Augmenter les forces de l'UNION, c'est travailler à la prospérité des Sociétés 180 Le TIR NATIONAL Raapur (Ardennes). — 34e grand concours annuel ouvert à tous les tireurs civils et militaires le dimanche 30 mai
: 22, Maisons-Laffitte, Melun 29, Fntnbl. Septembre : 5, Saint-Denis, 19 Ms-Lait Sèvrs, 26, Maisons-Laffitte. Concours réduit mts Jeunesse Lebel, Gras 5,5 dans les stands des sociétés affiliées à la Région de ri. Programme t renseignements : M. Mazuc, 0, boulevard de Grenelle. Paris (15e). Paris. Amicale Victor-Hugo, ivnWra. — Ls 6, 13, 20, 2 72 juin , 11, 14, 18 et 2 juillet. Grand ococsrnu à la aabie 6 mm à 12 m. Prix dune valeur d 1.500 francs. Paris. — Société d tir du XVe Arrond., 67, r. Blmt. Concours public du 18 avril au 25 juillet 1926. Dstnc mètres. Deux sortes de cartons : tncaor d l'Union à 10 zones pour la carabine Bosquette uo Scolaire. Carton à 4 blasons pour la carabine Martini 6 m/m le fusil Lbel. Série illimitées de 4 balles. Clssmnt aux meilleures séries. 5 prix dnt 20 prix espèces. 1er prix : 80 farsc.n Concours de dégaions et challenge Coquelin de Lisle jusqu'au 18 juillet. 4 délégués r société. prix espèces Programme sur demande M Lebeau, 60, r t.loBme Per (Seine-et-Oise). — Gn Concours public à la crbn et à l'arme de guerre vrt au de la oSicété les 1er et 3e dimanches de chaque mois, de 2 heures à heures, du soir à partir du 4 jllt jusqu'au 17 octobre 1926 inclus. Lots divers pour n valeur de pls de 1.000 francs. Port-Louis (Morbihan). — 5° concours de tir à la carabine 6 millimètres pour le dimanche 8 ût au dimanche 26 septembre. Le tir aura lieu tus les dimanches et jours fériés de heures à 12 heures et d 13 h. 3 à 18 heures. Nombreux prix en argent, et n nature. Sadresser à .M Louchet, directeur du tir, 22, rue de la Pie à Port-Louis. Riquewihr (Haut-Rhin). — Concours les 11 et 12 jllt. Augmenter les forces de l'UNION, c'est travailler à la prospérité ds Sociétés 180 Le TIR NATIONAL Raapur Ardennes — 34e gr concours annuel ouvert à tous les tie civils et ilae le dimanche 30 mai
Stand de la Société les 1er et 3e dimanches de chaque mois, de 2 heures à 6 heures, du soir, à partir du 4 juillet jusqu'au 17 octobre 1926 inclus. Lots divers pour une valeur de plus de 1.000 francs. Port-Louis (Morbihan). — 5° concours de tir à la carabine 6 millimètres pour le dimanche 8 août au dimanche 26 septembre. Le tir aura lieu tous les dimanches et jours fériés de 9 heures à 12 heures et de 13 h. 30 à 18 heures. Nombreux prix en argent, et en nature. S'adresser à M. Louchet, directeur du tir, 22, rue de la Pointe, à Port-Louis. Riquewihr (Haut-Rhin). — Concours les 11 et 12 juillet. Augmenter les forces de l'UNION, c'est travailler à la prospérité des Sociétés 180 Le TIR NATIONAL Raapur (Ardennes). — 34e grand concours annuel ouvert à tous les tireurs civils et militaires le dimanche 30 mai 1926 et chaque dimanche jusqu'à fin août de 14 à 18 heures au stand de « La Bataille », Nombreux prix en espèces, objets d'art, médailles et diplômes. Cibles à 200 mètres, Roubaix (Nord), — Tir National, concours international annuel, du 1er mai au 4 juillet, dimanches et jours fériés (les samedis après-midi). Catégories à 200, 50, 20 et 12 mètres. Plus de 6.000 francs de prix. Stand des Trois Ponts, rue de Carmém. (Cars et H). Rouen (Seine-Inférieure). Stand des Bruyères, route d'Elbeuf (en face du Champa de Course), Grand concours de tir ouvert du 30 mai au 19 septembre 1926 les dimanches de 8 h. 30 à 11 h. 30 et de 13 h. 30 à 17 h. 30. 8.000 francs de prix et primes. Tous les tireurs, sans exception, peuvent prendre part à ce concours; il n'est donc pas nécessaire d'être inscrit sur les contrôles d'une Société de tir. Primes de voyage : Les tireurs étrangers à l'agglomération rouennaise qui prendront part au concours recevront une prime de voyage calculée sur la base de 0 fr 10 par kilomètre, du lieu de leur domicile à Rouen, et payée en estampilles à tirer à la catégorie Ville de
Stand de la Société les 1er e 3e dimanches de chaque ms, de 2 heures à 6 hee du rsio, à partir du 4 juillet jusqu'au 17 octobre 1926 inclus. Lots divers pour une valeur de plus de 1.000 francs. Port-Louis (Morbihan). 5 concours de tir à l carabine 6 millimre pour le dimanche août au dimanche 26 septembre. e tir aura lieu tous les dimanches et jours fériés de 9 heures à 12 heures et de 13 h. 30 à 18 heures. Nombreux prix en aen, et en nature. S'adresser à M. Lth,uceo directeur du tir, 22, e de la Pointe, à Port-Louis. Riquewihr (Haut-Rhin). — Concours les 11 et 12 juillet. Augmenter les forces de l'UNION, c'est travailler à la prospérité des Sociétés 180 Le TIR NATIONAL Raapur (Ardennes). — 34e grand concours annuel ouvert à tous les irer civils et militaires le dimanche 30 mai 1926 et chaque dimanche jusqu'à fin août de 14 à 18 heures au stand de « La Bataille », Nombreux pri en espèces, objets d'art, médailles et diplômes. Cibles à 200 mètres, Rbx (Nord), — Tr National, concours international annuel, du 1er mai au 4 juillet, dimanches et jours fériés (les samedis après-midi). Cates à 200, 50 20 et 12 mètres. Plus de 6.000 francs de prix Stand des Trois Ponts rue de Carmém. Cars e H). Rouen (Seine-Inférieure). S des Bruyères, route d'Elbeuf (en face du Champa de Course), Grand concours de tir ovrt du 30 mai au 19 septembre 1926 dimanches de 8 . 30 à 11 h. 30 et de 13 h. 30 à 17 . 30. 8.000 francs de prix et primes. Tous les tireurs, sans exception, ueptnev prendre part à ce concours; il n'est donc ps nécessaire 'être inscrit sur les contrôles d'une Société de tir. Primes de voyage : Les tireurs étrangers à l'agglomération rouennaise qui prendront part au concours rcvrnt neu prime de vae calculée sur la base de 0 fr 10 ar kilomètre, du lieu de leur domicile à Rouen, et payée en lsplaetmsei à tirer à la catégorie Ville de
(les samedis après-midi). Catégories à 200, 50, 20 et 12 mètres. Plus de 6.000 francs de prix. Stand des Trois Ponts, rue de Carmém. (Cars et H). Rouen (Seine-Inférieure). Stand des Bruyères, route d'Elbeuf (en face du Champa de Course), Grand concours de tir ouvert du 30 mai au 19 septembre 1926 les dimanches de 8 h. 30 à 11 h. 30 et de 13 h. 30 à 17 h. 30. 8.000 francs de prix et primes. Tous les tireurs, sans exception, peuvent prendre part à ce concours; il n'est donc pas nécessaire d'être inscrit sur les contrôles d'une Société de tir. Primes de voyage : Les tireurs étrangers à l'agglomération rouennaise qui prendront part au concours recevront une prime de voyage calculée sur la base de 0 fr 10 par kilomètre, du lieu de leur domicile à Rouen, et payée en estampilles à tirer à la catégorie Ville de Rouen. Les estampilles ne seront délivrées par le Trésorier qu'autant que le tireur, par la présentation de son livret, aura prouvé qu'il a tiré au moins pour une somme équivalente à la catégorie Ville de Rouen. Rouen. — Société de Tir de Rouen. Concours annuel ouvert les 30 mai, 6, 13, 20, 27 juin, 11, 18, 25 juillet, 1, 8, 22, 29 août, 5, 12, 19 septembre. Championnat de Normandie, Arme nationale 200 m., séries illimitées. Categorie Ville de Rouen ouverte à tous, 30 pr., 1.500 francs espèces. Catégorie Romain réservée aux tireurs n'ayant pas gagné, depuis la guerre, un prix de 60 francs espèces aux points, 40 prix valeur 1.500 fr. espèces. Catégorie Bergueman à centres. Catégorie Albert Régnier, Gras 5,5. Concours de délégations. Pour renseignements et programmes s'adresser au président, 21, rue de la Savonnerie, Rouen (Seine-Inférieure). Saint-Manvieu (Calvados). — Stand de Marcelet. Concours annuel au Lebel. 50 mètres, 1° Concours entre les sociétaires, 2 catégories dans le classement aux points. Un prix à chaque sociétaire. 2° Concours entre tous les amateurs, nombreux prix. 3° Concours carabine 10 m. pour les jeunes tireurs. Séances : 4 juillet, 10 août, 5 septembre. Renseignements : M. Eugène Maire, Président. Saint-Michel-de-la-Forêt.
(le samedis apè-ii. Catégories à 200 50, 20 t 12 mètres. Plus de 6000. francs de prix. Stand d Trois Ponts, eru de Carmém. (Cars et H). Rouen (Seine-Inférieure). Stand des Bruyères, route d'Elbeuf (en face du Champa de Course), Grand concours de tir eovutr du 30 mai au 1 septembre 1926 les dimanches de 8 h. 30 11 . 30 et de 13 h. 30 à 17 h. 30. 8.000 francs d prix et primes. Tous les tireurs, sans exception, peuvent prendre part à ce concours; il n'est dnc pa nécssr d'être inscrit sur ls contrôles d'une técoiSé de tir Primes de vyg : Les tesruir étrangers à l'agglomération rouennaise uqi prendront tarp au concours recevront une prime de voyage calculée sur la bae de 0 fr 1 par kilomètre, du lieu de leur domicile à Rouen, et payée en stmplls à tirer à la ctégr Ville de Rouen. s estampilles ne seront délivrées par le Trésorier qu'autant que e tireur, pr la présentation de son livret, aura prvé qu'il a tiré au moins pour une somme équivalente l octégeari V de Rouen. Rouen. — iéoéctS de Tir de Rouen. Concours annuel voruet les 30 mai, , 13 20, 27 juin, 11, 18, 25 juillet 1, 8, 22, 29 août, 5 12, 19 septembre. Championnat de Normandie, Arme nationale 200 m séries illimitées. Categorie ilelV de Rouen ouverte à tous, 30 pr., 5.010 francs spècs. égr Romain réservée aux tireurs n'ayant pas gagné, depuis la guerre, un prix de 60 francs espèces aux ont, 40 prix valeur .00 fr. espèces. Catégorie Bergueman à centres Catégorie Albert Régnier, Gras 5,5. nu de dééation. Pour renseignements et programmes s'adresser au président, 21, rue de la Savonnerie, Rouen (Seine-Inférieure). SaintManvieu (Calvados). — Stand de Marcelet. Concours annuel au Lebel 50 mètres, Concours entre les sociétaires, catégories dans le sceesmaltn aux points. Un prix à chaque sociétaire. ° Concours entre s les amateurs, uoxmnreb prix. 3° Concours carabine 10 m. pou ls jns etsr.rui Séances : 4 juillet, 10 août, septembre. Renseignements : M. Eugène Maire, Président Saint-Michel-de-la-Forêt.
13, 20, 27 juin, 11, 18, 25 juillet, 1, 8, 22, 29 août, 5, 12, 19 septembre. Championnat de Normandie, Arme nationale 200 m., séries illimitées. Categorie Ville de Rouen ouverte à tous, 30 pr., 1.500 francs espèces. Catégorie Romain réservée aux tireurs n'ayant pas gagné, depuis la guerre, un prix de 60 francs espèces aux points, 40 prix valeur 1.500 fr. espèces. Catégorie Bergueman à centres. Catégorie Albert Régnier, Gras 5,5. Concours de délégations. Pour renseignements et programmes s'adresser au président, 21, rue de la Savonnerie, Rouen (Seine-Inférieure). Saint-Manvieu (Calvados). — Stand de Marcelet. Concours annuel au Lebel. 50 mètres, 1° Concours entre les sociétaires, 2 catégories dans le classement aux points. Un prix à chaque sociétaire. 2° Concours entre tous les amateurs, nombreux prix. 3° Concours carabine 10 m. pour les jeunes tireurs. Séances : 4 juillet, 10 août, 5 septembre. Renseignements : M. Eugène Maire, Président. Saint-Michel-de-la-Forêt. — Le XIIIe Concours annuel de l'Amicale aura lieu les 4, 11, 14 juillet. Nombreux et importants prix. À 200 mètres. Séries illimitées. - Série fixe. Pavois et Prép. militaire à 12 mètres. Séries illimitées et Damars. Programme et renseignements sur demande à M. Marcel Carpe, St-Michel-de-la-Forêt, par Laigle (Orne). Saint-Quentin (Aisne). — M. Sentinelle. Concours annuel. Du 4 avril au 22 août. Cibles à 200 mètres et à 12. Nombreux prix. Saint-Quentin (Aisne). — Les Carabiniers Saint-Quentinois. Concours annuel, Les 27 juin et 11 juillet. Cibles 50 m. et 12 mètres. Nombreux prix. Saumur (Maine-et-Loire). — Concours Interrégional du 30 mai au 18 juillet. Cibles à 200 et 12 mètres. 2.000 francs de prix. Renseignements : M. Perrier, 26, rue Saint-Jean. Tours (Indre-et-Loire). — L'Amicale des Gares. Concours public au fusil et au pistolet, les dimanches du 8 au 16 mai, les samedis, dimanches et jours fériés, du 16 mai au 14 juillet inclus. Renseignements: M. Rondeau, 29, rue Bouilly. Tulle (Corrèze). — Le Tulsiste, grand concours les 18 et 25 juillet. Troyes (Aube), — Stand des Maïtres. Concours national ouvert les jours suivants : jeudi 27, dimanche 30 mai; dimanche 6, jeudi 10, dimanche 13, dimanche 20, dimanche
,13 2,0 27 juin, 11, 18, 25 juillet 1, 8, 22, 29 aot 5, , 19 septembre Championnat d Normandie, mAer nationale 200 m., séries illimitées. tragCeioe Ville de Rouen t à ts, 30 pr., 1.500 francs espèces. Catégorie Romain réservée aux tireurs n'ayant a ,éngag depuis a guerre, un prix de 60 racs espèces aux points, 40 prix valeur 1.500 .rf espèces Catégorie Bergueman à cntrs. rageCtéio Albert Régnier Gras 55 Concours d délégtns. Pour renseignements et programmes s'adresser au président, 21, rue de la Savonnerie Rouen (Seine-Inférieure). Saint-Manvieu (Calvados). — Stand de Marcelet. Concours annuel au Lebel. 50 mètres, 1° Concours entre ls sociétaires, 2 catégories dans l classement aux points Un prix à chaque sociétaire. 2° Concours entre tous ls amateurs, nombreux pi. 3 Concours carabine 10 . pour ls senuej tireurs. Séances : 4 juillet 10 août, septembre. Renseignements : M. Eugène Maire, Président. Saint-Michel-de-la-Forêt. — Le XIIIe Concours annuel d l'Amicale aura lieu les 4, 11 14 juillet. Nombreux et importants prix. À 200 mètres. Sérs illimitées. - Série fixe. Pavois et Prép. militaire 12 mètrs. Séries illimitées et Damars. Programme te renseignements sr dmnd à M. Mecral Carpe, St-Michel-de-la-Forêt, par Laigle (Orne). n-untn (Aisne). — M. Sntnll. Concours nn. uD 4 avril au 22 août. Cibles à 200 mètres et . Nombreux pri. ai-Quei An(sei). — Les Cbnrs Saint-Quentinois. Cnurs annuel, Les 27 juin et 11 juillet. Cibles 50 m. et 12 mètres. Nombreux prix. Saumur (Mn-t-Lr). — Concours Interrégional d 30 mai au 18 juillet. Cibles à 200 et 12 mètres 2.000 francs de prix Renseignements M Perrier, 6,2 rue Saint-Jean. Tours (Indre-et-Loire). — 'Amicale des Gares. Concours public fusil t au pistolet les dimachs du 8 ua 16 mai, les samedis, dimnches t jor fériés, du 16 mai au 14 juillet inclus. Renseignements: M. Rondeau, 29, rue Bouilly. Tulle zè(.rro)eC — Le Tulsiste grand rcocnuso les 18 et 25 jllt. Trys (Aube), — Stand des Maïtres. Concours national ouvert les jours suivants : jeudi 27, dcmehnai 30 mai; dimanche 6, jeu 10, iae 13, dimanche 20, dmnch
Saint-Quentin (Aisne). — M. Sentinelle. Concours annuel. Du 4 avril au 22 août. Cibles à 200 mètres et à 12. Nombreux prix. Saint-Quentin (Aisne). — Les Carabiniers Saint-Quentinois. Concours annuel, Les 27 juin et 11 juillet. Cibles 50 m. et 12 mètres. Nombreux prix. Saumur (Maine-et-Loire). — Concours Interrégional du 30 mai au 18 juillet. Cibles à 200 et 12 mètres. 2.000 francs de prix. Renseignements : M. Perrier, 26, rue Saint-Jean. Tours (Indre-et-Loire). — L'Amicale des Gares. Concours public au fusil et au pistolet, les dimanches du 8 au 16 mai, les samedis, dimanches et jours fériés, du 16 mai au 14 juillet inclus. Renseignements: M. Rondeau, 29, rue Bouilly. Tulle (Corrèze). — Le Tulsiste, grand concours les 18 et 25 juillet. Troyes (Aube), — Stand des Maïtres. Concours national ouvert les jours suivants : jeudi 27, dimanche 30 mai; dimanche 6, jeudi 10, dimanche 13, dimanche 20, dimanche 27 juin; dimanche 4 juillet. Cibles à 200, 150, 20, et 12 mètres. Nombreux prix. NOTRE CONCOURS D'ADHÉSIONS Les délégués de l'Union et tous les camarades qui s'intéressent au sort et au développement de notre œuvre sont informés que, ainsi qu'il a été fait en 1925, à compter du 1er janvier 1926, nous ouvrons un concours dit d'adhésions, avec attribution de divers prix de l'Union, dont ci-après la nomenclature. Le classement définitif aura lieu, à la fin de l'année; mais les classements trimestriels seront publiés au dernier numéro de chaque trimestre du Tir National. Voici les prix qui seront affectés à ce concours : 1er Coupe argent Valeur. 290 2e Montre argent 200 3e Couvert argent 186 4e Couvert à dessert 116 5e Coupe métal 105 6e Coffret bijoutier thuya 50 7e Coffret bijoutier thuya 50 8e Montre nickel 48 9e Cuiller à café 27 10e Liseuse 12 Classement du 2e trimestre 1926 MM Boitet, Dijon, 10 adhésions. — Commandant Bertrand, Mâcon, 9. — Pauthou, Argentan, 7. — Serrié, Chartres, 3. — Courquin, Saint-Juéry, 3. — Sartorio, Nice, 3. — Adelon, Paris, 2. — Gentil, Rouen, 2. — Brille, Saint-Prix, 2. — Saint-Doré, Neuchâtel, 2. — Soto, Paris, 2. —
Saint-Quentin (Aisne). — M. Sentinelle. Concours annuel. Du 4 avril au 22 août. Cibles à 200 mètres et à 12. Nombreux prix. Saint-Quentin (Aisne). — Les Carabiniers Saint-Quentinois. Concours annuel, Les 27 juin et 11 juillet. Cibles 50 m. et 12 mètres. Nombreux prx. Saumur (Maine-et-Loire). — Concours Interrégional du 30 ima au 18 juillet. iseblC à 200 et 12 mètres. 2.000 francs de prix. Renseignements : M. erri 26, rue Saint-Jean. Tours (Indre-et-Loire). — L'Amicale des raGe.s Concours public au fusil et au pistolet, les dimanches du 8 au 16 mai, les samedis, dmnchs et jours fériés, du 16 mai au 14 juillet inclus. Renseignements: M. Rd ,92 rue Bouilly. Tulle Corrèze — Le Tulsiste, grand concours les 18 et 25 juillet Troyes (Aube), — Stand des Maïtres. Concours national ouvert les jours suivants : jeudi 27, dimanche 30 mai; dimanche 6, jeudi 10, dimanche 13, dimanche 20, dimanche 27 juin; dimanche 4 juillet. Cibls à 200, 150, 20, et 12 .tèrmes Nombreux prix. NOTRE CONCOURS D'ADHÉSIONS Ls délégués de l'Union et tous les cmrds q sintéressent au sort t au développement de notre œuvre sont informés que, ainsi qu'il a été fait en 1925, à compter du 1er janvier 1926, nous ouvrons un concours dit d'adhésions, avec attribution de dsveri prix de l'Union, notd ci-après la nomenclature Le classement définitif uaar lieu, à la fin d l'année; mais les classements trimestriels seront pbé au dernier numéro de chaque trimestre du Tir National. Vc les prix qui seront affectés à ce concours : 1er Coupe anegtr Valeur. 290 2e Montre argent 200 3e Couvert argent 186 4e Couvert à dessert 116 5e Coupe métal 105 6e Coffret iie thuya 50 Coffret bijoutier thuya 05 8e Montre nickel 48 9e Cuiller à café 27 10e seieusL 12 Classement ud 2e trimestre 1926 MM Boitet, Dijon, 10 adhésions. — Commandant B c,Monâ 9. — Pauthou, Argentan, 7. — Serrié, Chartres, 3. — Courquin, Saint-Juéry, 3. — Sartorio, Nice, 3. — Adelon, Paris, 2. — Gentil, Rouen, 2. — Brille, Saint-Prix, 2. — Saint-Doré, Neuchâtel, . — Soto, Paris, 2. —
janvier 1926, nous ouvrons un concours dit d'adhésions, avec attribution de divers prix de l'Union, dont ci-après la nomenclature. Le classement définitif aura lieu, à la fin de l'année; mais les classements trimestriels seront publiés au dernier numéro de chaque trimestre du Tir National. Voici les prix qui seront affectés à ce concours : 1er Coupe argent Valeur. 290 2e Montre argent 200 3e Couvert argent 186 4e Couvert à dessert 116 5e Coupe métal 105 6e Coffret bijoutier thuya 50 7e Coffret bijoutier thuya 50 8e Montre nickel 48 9e Cuiller à café 27 10e Liseuse 12 Classement du 2e trimestre 1926 MM Boitet, Dijon, 10 adhésions. — Commandant Bertrand, Mâcon, 9. — Pauthou, Argentan, 7. — Serrié, Chartres, 3. — Courquin, Saint-Juéry, 3. — Sartorio, Nice, 3. — Adelon, Paris, 2. — Gentil, Rouen, 2. — Brille, Saint-Prix, 2. — Saint-Doré, Neuchâtel, 2. — Soto, Paris, 2. — Mazuc, Paris, 2. — Godard, Saint-Nazaire, 2. — Dubosle, Arleux-sur-La Lys, 2. — Vioard, Chamignelles, 2. — Tonnellé-Equihet, Tourcoing, 2. — Meniot, Arras, 2. — Percy, Epernay, 1. — Bonain, Tours, 1. — Gleïgel-Denoyel, Regny, 1. — Kuckler, Mulhouse, 1. — Buchy, Laon, 1. — Voize, Nantes, 1. — Pelletier, Le Creusot, 1. — Verdier, Roubaix, 1. — Le Celhay, Bapaume, 1. — Chuzeville, Roanne, 1. — L. Clonier, Noyon, 1. — Poggi, Marseille, 1. — Trancart, Abbeville, 1. — Kippstein, Troyes, 1. — Davis, Melun, 1. — Casier, Saint-Quentin, 1. — Sevelinges, Mont-Argenton, 1. — Schenkel, Nanterre, 1. — Lebret, Vire, 1. — Gaubert, Marseille, 1. — Catii, Paris, 1. — Delplat, Villefranche-sur-Lot, 1. — Véron, Vaudenay, 1. — De Szepessy, Paris, 1. — Tovay, Paris, 1. — Muller, Paris, 1. — Dominique, Alger, 1. — Raux, Amiens, 1. — Fayola, Limoges, 1. — L. Johnson, Le Vésinet, 1. — Osselin, Maubeuge, 1. — Bauchet, Graux, 1. Nous adresserons des bulletins d'adhésions, sur leur demande, aux camarades désirant prendre part au concours. AVIS IMPORTANT Nous prévenons les tireurs que les flacons de Solvent viennent de subir une hausse considérable. Le prix du flacon en est porté, à partir de
janvier 1926, nous ouvrons un cncrs dit d'adhésions, avec attribution de divers prix d l'Union, dont ci-après la nomenclature. Le classement définitif aura lieu, à la fin ed l'année; imsa les classements trimestriels seront publiés dernier numéro de chaque trimestre du rTi aona. Voici les prix qui seront affectés à ce concours : 1er Coupe argent Valeur 290 2e enMtro argent 200 3e Couvert argent 186 4 Couvert à dessert 116 5e Coupe métal 105 6e Coffret bijoutier thuya 50 7e Coffret bijoutier thuya 50 8e Montre nckl 48 9e Cuiller café 27 10e Liseuse 12 Classement du 2e trimestre 1926 MM Boitet, Dijon, 10 adhésions. — Commandant Bertrand, Mâcon, 9. — Pauthou, Argentan, 7. — Serrié, Chartres, 3. — Crqn, Saint-Juéry, 3. — Sartorio, Nice, 3. — Adelon, Paris, 2. — Gentil, Rouen, 2. — Brille, Saint-Prix, 2. — Saint-Doré, Neuchâtel, 2. — Soto, Paris, 2. — Mazuc, Paris, 2. — Godard, Saint-Nazaire, 2. — Dbsl, Arleux-sur-La Lys, 2. — Vioard, Chamignelles, 2. — Tonnellé-Equihet, Tourcoing, 2. — Meniot Arras, 2. — Percy, Epernay, 1. Bnn, Tours, 1. — Gleïgel-Denoyel, Regny, . — Kuckler, Mulhouse, 1. — Buchy, Laon, 1. — Voize, Nantes, 1. — Pelletier, L Creusot, 1. — Verdier, Rouax, 1. — Le Celhay, Bapaume, 1. — Chuzeville, Rnn, 1. — L Clonier, Noyon, 1. — Poggi, Marseille, 1. — Trancart, Abbeville, 1. — Kippstein, Troyes, . — Davis, Melun 1. — Casier, Saint-Quentin, . — Sevelinges, ne-rAnngoMott, 1. — Schenkel, Nanterre, 1. — Lebret, r, 1. — Gaubert, Marseille, 1. — Catii, Paris, 1. — Delplat, Villefranche-sur-Lot, 1. — Véron, Vaudenay, 1. — De Szepessy, Paris, 1. Tovay, Paris 1. — Muller, Paris, 1. — Dominique, Alger, 1. — Raux, Amiens, 1. — Fayola, Limoges 1. — L. Johnson, eL Vésinet, 1. — Osselin, Maubeuge, 1. — Bauchet, Graux, 1. Nous drssrns des bulletins d'adhésions, sur leur dmnd, aux camarades désirant prendre part au concours. AVIS IMPORTANT Nous prévenons les tireurs qu les flacons de Solvent viennent d subir une hausse considérable. Le prix du flacon ne est porté, à prtr de
Le Creusot, 1. — Verdier, Roubaix, 1. — Le Celhay, Bapaume, 1. — Chuzeville, Roanne, 1. — L. Clonier, Noyon, 1. — Poggi, Marseille, 1. — Trancart, Abbeville, 1. — Kippstein, Troyes, 1. — Davis, Melun, 1. — Casier, Saint-Quentin, 1. — Sevelinges, Mont-Argenton, 1. — Schenkel, Nanterre, 1. — Lebret, Vire, 1. — Gaubert, Marseille, 1. — Catii, Paris, 1. — Delplat, Villefranche-sur-Lot, 1. — Véron, Vaudenay, 1. — De Szepessy, Paris, 1. — Tovay, Paris, 1. — Muller, Paris, 1. — Dominique, Alger, 1. — Raux, Amiens, 1. — Fayola, Limoges, 1. — L. Johnson, Le Vésinet, 1. — Osselin, Maubeuge, 1. — Bauchet, Graux, 1. Nous adresserons des bulletins d'adhésions, sur leur demande, aux camarades désirant prendre part au concours. AVIS IMPORTANT Nous prévenons les tireurs que les flacons de Solvent viennent de subir une hausse considérable. Le prix du flacon en est porté, à partir de ce jour, à huit francs. AVIS Pour l’oppression ou chaudement d’adresses, prière, de joindre la bande du Tir National, N'écrivez jamais à l'UNION sans envoyer une adhésion LE TIR NATIONAL TARIFS DES PRIX DES TIR ET INSIGNES DE L'UNION Affiches de propagande, l'unité 075 Affiches de propagande, pas 10,...-. 0 60 Barette de délégué (prix net) 1 • Broche argent 21 m/' Union........ 8 » Broche vermeil 21 m/' — 10 » Golfret cigarettes en bois de thuya, incrustation motif Tireur 1........ ... 50 » Couteau à beurre ,. ......... 38 50 Couteau à dessert, manche argent. 87 50 Couteau à fromage..?.. — 42 » Couteau à pain manche ébène 84 » Couteau de table, manche argent 37 50 Coupé argent, UNION... 290 » Coupé-plaque argent, UNION 166 » Couvert à dessert Union Argent 160 » Crayon bronze argenté 10 50 Crayon métal avec monogramme UNION,... 10 50 Cuillère à café, argent Union, 40 » Cuiller à confiture.... 42 » Cuiller à glace 34 » Écrins pour breloques^. , .*' ■. 1 » Écrins médailles ou plaquettes G. M. 3 60 Écrins médailles ou plaquettes P. M 8 60 Liseuse bronze argenté...i 12 » Médaillon bronze encadré ;.. 180 »
Le us 1. — Verdier, Roubaix 1. — Le Cha, Bapaume, 1. — Chuzeville, Roanne, 1. — L. Clonier, Noyon, 1. — Poggi, Marseille 1 — Trancart, Abbeville, 1. — Kippstein, Tryes 1. — Davis, Melun, 1. — Casier, SaintQuentin 1. — Sevelinges, o-Ato 1. — Schenkel, Nanterre, 1. — Lebret, Vire 1 — Gaubert, Marseille, 1. — Catii, Paris .1 — Delplat efranhe-u-L 1. — Véron Vaudenay, 1. — De Szepessy, ari,Ps . — Tovay, Prs, 1 — Muller, Paris, 1. — Dominique, Alger, 1. — Raux, Amiens, . Fayola, Lmgs, 1. — L. Johnson, Le Vésinet, 1. — Osselin, Maubeuge 1 — Bauchet, Graux, 1. Nous adresserons des leis d'adhésions, sur leur demande, aux camarades désirant prendre part cncrs. IVAS IMPORTANT Nous res les teur que ls flacons de Solvent viennent de subir une hausse considérable Le prix du flacon en st porté, à partir de ce jr, à huit francs. AVIS Pour l’oppression ou cnmetdheua d’adresses, prière de jndr la bande d Tir National, N'écrivez jamais à l'UNION sans envoyer une adhésion LE TIR NATIONAL TARIFS DES IX DES TIR ET INSIGNES DE 'UNION Affiches de prpgnd, l'unité 075 Affiches de pnrpaage,od pas 10,...-. 60 Barette de délégué (prix net) 1 • Broche argent 21 m/' Union 8 » Broche vermeil 21 m/' — 10 » Golfret cigarettes en bois de thuya, incrustation motif Tireu 1........ ... 50 » Couteau à beurre ,. .... 38 50 Couteau à dessert, manche agren.t 87 50 Couteau à fromage..?.. — 42 » Couteau à pain manche ébène 84 » Couteau d tbl, nhe argent 37 50 o argent, UNION... 290 » Coupé-plaque arget NN 166 Cvrt à dessert Union Argent 160 » Crayon broz argenté 10 50 Cra métal avec monogramme UNION,... 10 50 Cuillère à café, rgnt Union, 40 » Cuiller à confiture.... 42 » luCielr à glace 34 » Écrins pr breloques^. , .*' ■. 1 » Écrins médailles ou plaquettes G. M. 3 60 Écrns médlls o plaquettes P. M 8 60 Liseuse bronze nég..er.tai 12 » édll bronze encadré ;.. 180 »
60 Barette de délégué (prix net) 1 • Broche argent 21 m/' Union........ 8 » Broche vermeil 21 m/' — 10 » Golfret cigarettes en bois de thuya, incrustation motif Tireur 1........ ... 50 » Couteau à beurre ,. ......... 38 50 Couteau à dessert, manche argent. 87 50 Couteau à fromage..?.. — 42 » Couteau à pain manche ébène 84 » Couteau de table, manche argent 37 50 Coupé argent, UNION... 290 » Coupé-plaque argent, UNION 166 » Couvert à dessert Union Argent 160 » Crayon bronze argenté 10 50 Crayon métal avec monogramme UNION,... 10 50 Cuillère à café, argent Union, 40 » Cuiller à confiture.... 42 » Cuiller à glace 34 » Écrins pour breloques^. , .*' ■. 1 » Écrins médailles ou plaquettes G. M. 3 60 Écrins médailles ou plaquettes P. M 8 60 Liseuse bronze argenté...i 12 » Médaillon bronze encadré ;.. 180 » Médaillon bronze sans cadre : 110 » Médaillon bronze argenté encadré 810 » Médaillon bronze tireur. 110 • Médaillon bronze argenté P. M 32 » Médaillon bronze P. M. 27 » Médaille argent G. M. 75 » Médaille argent P. M..; 46 » Médaille vermeil G. M M • Médaille vermeil P. M 76 • Montre argent ... 800 » Montre nickel 55 » Plateau avec 6 verres à liqueur. 145 » Plateau pour 6 verres à liqueur métal argenté, le plateau seul...... 56 » Plaquette éventuel « Tireur », avec monogramme UNION M s Plaquettes ou médailles bronze G. M........ a » — bronze P. M........ • • — bronze arg. G. M,. lt M — bronze arg. P. . M. I » Plaquette argent G. M ......". ....... 80 » Plaquette argent P. M 55 » Plaquette vermeil G. M 96 » Plaquette vermeil P. M 65 » Pochette pour plaquettes ou médailles........ 1 » Régence ruban noir, breloque Tireur, triplé or et monogramme UNION . 52 50 Régence ruban noir, breloque Tireur argent et monogramme UNION 29» Régence ruban noir, breloque Tireur, bronze doré et monogramme UNION"...: v'ïfi » Régence ruban noir, sans breloque avec anneau brisé,
60 Barette de délégué (prix net) 1 • Broche rent 21 m/' Union........ 8 » Broche vermeil 21 m/' 10 » Golfret cigarettes n bois de thuya incrustation mtf Trr 1 50 » Couteau à brr ,. ......... 38 50 Ct à dessert, manche argent. 87 50 Couteau à fmg. — 42 » Couteau à pain manche ébène 84 » Couteau d table, mne argent 37 50 Cpé argent, UNION... 290 » Coupé-plaque argent, UNION 166 » Couvert à er Union rgnt 160 » Crayon bronze argenté 10 50 Cn métal avec monogramme NO.,..UNI 10 50 Cuillère à café, argent Union, 40 » Cuiller à confiture.... 42 » Cuiller à glace 34 » Écrins pour breloques^. , .*' ■. 1 » Écrins médailles ou plaquettes G. M. 3 60 rs médlls ou plaquettes P. M 8 60 Liseuse bronze argenté...i 12 » Médaillon bronze encadré ;.. 180 » lon bronze sans cadre : 110 Médaillon bronze rgnté encadré 810 » Médaillon bronze tireur. 1 • Médaillon brnz argenté . M 32 » Médaillon bronze P. M 27 » Médll argent G M 75 » Médaille argent P. M..; 46 » iMleléda vermeil G. M M • Médaille vermeil P M 76 • Montre argent ... 800 » or nickel 55 » Plateau avec 6 verres à liqueur. 145 » Plateau pr 6 verres à liqueur métal argenté, le plateau seul...... 56 » Plaquette éventuel « Tireur », avec monogramme UNION M s Plaquettes ou médailles brnz G. M........ a » — bronze P. ....M.... • • — bronze arg. G M lt M — roz rg. P. . M. I » Plaquette argent G. M ......". ....... 80 » Plaquette argent M 55 » Plaquette vermeil G. M 96 » Plaquette vermeil P. M 65 » Pochette pour plaquettes ou mdale..... 1 » Régence rbn noir, breloque Trr, triplé or et monogramme NN . 52 50 Régence rbn noir, breloque Tireur argent et monogramme IN 9»2 Régence ra noir, leburoeq Tireur, bronze doré monogramme UNION"...: v'ïfi » Régence ruban noir, sans breloque avec nn brisé,
vermeil P. M 76 • Montre argent ... 800 » Montre nickel 55 » Plateau avec 6 verres à liqueur. 145 » Plateau pour 6 verres à liqueur métal argenté, le plateau seul...... 56 » Plaquette éventuel « Tireur », avec monogramme UNION M s Plaquettes ou médailles bronze G. M........ a » — bronze P. M........ • • — bronze arg. G. M,. lt M — bronze arg. P. . M. I » Plaquette argent G. M ......". ....... 80 » Plaquette argent P. M 55 » Plaquette vermeil G. M 96 » Plaquette vermeil P. M 65 » Pochette pour plaquettes ou médailles........ 1 » Régence ruban noir, breloque Tireur, triplé or et monogramme UNION . 52 50 Régence ruban noir, breloque Tireur argent et monogramme UNION 29» Régence ruban noir, breloque Tireur, bronze doré et monogramme UNION"...: v'ïfi » Régence ruban noir, sans breloque avec anneau brisé, monogramme UNION triplé or 16 50 Régence ruban noir, sans breloque avec anneau brisé, monogramme UNION argent.. 14 » Régence ruban noir, sans breloque. avec anneau brisé, monogramme UNION bronze doré • ' «» Rond de serviette métal argenté et monogramme UNION 750 » Truelle à poisson........ 78 * Verre à liqueur argent, UNION ..18 » Verre à liqueur à thumerèse métal argenté 16 * Nouveaux Prix (modèles en Tireur au fusil, pistolet et Dames). Médailles 50 m/m argent — 78 » - bronze argenté 8 58. - bronze -, 6. - Panneaux bronze argenté ... — 34 » bronze 30 » bronze argenté avec chevalet 21 » Broches or 190 s Pendentif or 290 » La Renommée bronze sur socle onyx, (hauteur 0,45), avec médailles et monogramme UNION 650 » Broche Cop bronze argenté 2 50 Port tri plus Bonification 1* X pour l'Union LE TIR NATIONAL À VENDRE M. Johnson René, antiquaire, 16, q. du Louvre, Paris. Suis acheteur d'armes anciennes, pistolets de combat en boite. Téléphone : Central 56-61. 1 carabine Martini7,5 (n° 25), 400 fr.; 1 Mauser, 7,5 tirant la cartouche suisse (n20), 400 fr.; 8 revolvers 4,4, Smith et Wesson, 200 fr. l'un; revolver d'ordonnance,
vermeil P. M 76 • noretM argent ... 800 » Montre nickel 55 » Plateau avec 6 verres à liquur 145 » Plateau pour 6 verres à lqr métal argenté l plateau seul...... 56 » Plaquette éventuel « Tireur ,» avec monogramme UNION Plaquettes ou médailles rzoneb G. M........ a » — bronze P. M........ • • — bronze arg M,. lt — bronze arg. P. M. I » Plaquette argent G. M ......". ....... 80 Plaquette argent P. M 55 » Plaquette vermeil G 96 » Plaquette vermeil P. M 65 » Pochette pr plaquettes ou médailles........ 1 » Régne ru noir, breloque Tireur, triplé r et monogramme UNION . 52 50 Régence ruban noir, breloque Tireur argent et eroangommm UNION 29» Régence ruban noir, breloque Tireur, bronze doré et mngrmm UNION"...: v'ïfi » Régence ruban noir, sans breloque avec anneau brisé, monogramme UNION triplé or 16 0 Régence ruban noir, sans breloque avec anneau brisé, monogramme UNION rgnt.. 14 » Régence ruban noir, breloque. avec anneau isbé,r monogramme UNION brnz dré • ' «» R de serviette métal argenté et monogramme UNION 057 » Truelle à poisson........ 78 * Vrr à liqueur argent, NN .8.1 Verre à liqueur à erèse métal argenté 16 * Nouveaux Prx (modèles en Tireur u fusil, pistolet et Dames). Médailles 50 m/m argent 78 » - bronze argenté 8 58 - bronze -, 6. - anx bronze argenté ... 34 » bronze 30 » bronze argenté avec chvlt 21 Broches or 9 Pendentif or 290 La Renommée bronze u socle onyx, (hauteur 0,45), avec médailles et monogramme UNION 650 Bhecro opC bronze argenté 2 50 Port tri plus Bonification 1* X pr 'U LE T NATIONAL À VENDRE . Johnson René antiquaire, 16, q. du Louvre, Paris Suis acheteur daes anciennes, pistolets d combat en oit. Téléphone : Cntrl 56-61. 1 carabine Martini7,5 (n° 25), 004 fr.; 1 Mauser 7,5 tirant la cartouche suisse (n20), 400 fr.; 8 revolvers 4,4, th et Wesson, 200 fr l'un; vov d'ordonnance,
à liqueur argent, UNION ..18 » Verre à liqueur à thumerèse métal argenté 16 * Nouveaux Prix (modèles en Tireur au fusil, pistolet et Dames). Médailles 50 m/m argent — 78 » - bronze argenté 8 58. - bronze -, 6. - Panneaux bronze argenté ... — 34 » bronze 30 » bronze argenté avec chevalet 21 » Broches or 190 s Pendentif or 290 » La Renommée bronze sur socle onyx, (hauteur 0,45), avec médailles et monogramme UNION 650 » Broche Cop bronze argenté 2 50 Port tri plus Bonification 1* X pour l'Union LE TIR NATIONAL À VENDRE M. Johnson René, antiquaire, 16, q. du Louvre, Paris. Suis acheteur d'armes anciennes, pistolets de combat en boite. Téléphone : Central 56-61. 1 carabine Martini7,5 (n° 25), 400 fr.; 1 Mauser, 7,5 tirant la cartouche suisse (n20), 400 fr.; 8 revolvers 4,4, Smith et Wesson, 200 fr. l'un; revolver d'ordonnance, état de neuf, 150 fr. S'adresser à l'Union. Carabine martini, très bon état, double détente avec deux canons 6 5/8 et 7 5/8, prix : 500 fr. S'adresser à M. E. Leyvat, 42, avenue Niel, Paris. Carabine de match Martini 0,5 Widmer, crosse Broeckle à pente réglable double détente, hausse et œilleton Widmer parfait état. S'ad. à M. Leyvat, 42, avenue Niel, Paris 1 Mauser sans étui, 1 Mauser avec étui, 1 Mauser avec étui et crosse (tous avec balles et chargeurs) 1.000 fr. 1 pistolet Colt automatique avec balles et chargeurs (faire offre). Série de fusils pour collection et baïonettes (faire offre). S'ad. à M. Thibault, près de la Bombarde Bernadaise, Le Bernard par Longeville (Vendée). Carabine Suisse 6,5, haute précision, longue portée, Krag-Jorgensen, parfait état, arme remarquable. S'adresser à M. V. Lecoute à Lillers (Pas-de-Calais). On demande revolver ou pistolet Smith et Wesson, automatique, Colt ou autre 22 long rifle, offres à M. Amigues, notaire à Garcasonne, (Aude), aussi carabine 7 5/8. Une 10/4 transformée, double détente, œilleton, canon et bloc neufs pour balle D, précision garantie, prix : 500 fr. Une carabine 122, douze rayures parfait état, double détente, œilleton Suisse, précision garantie à 12 et 50
à liqueur argent, N ..18 » Verre à liqueur thumerèse métal argenté 16 * Nouveaux Prix (modèles en Tireur au fusil pistolet et Dames). Médailles 50 / argent — 78 » - bronze argenté 8 58. - bronze -, 6. - Panneaux bronze argenté ... — 34 » bronze 30 » bronze argenté avec chevalet 21 » Broches or 190 Pendentif or 290 » La Renommée bronze sur socle onyx, (haut 0,45), avec médailles et monogramme UNION 650 » Broche Cop bronze argenté 2 50 Port t lus Bonification * X pour l'Union LE TIR NATIONAL À VENDRE M. Johnson René, antiquaire, 16, q. du Louvre ari Suis acheteur d'armes nine, pistolets cobt en boite. Téléphone : Central 56-61. 1 carabine Martini7,5 (n° 25), 400 fr.; 1 Mauser, 7,5 tirant la cartouche suisse n20 400 fr.; 8 sevroelvr 4,4, Smth et Wesson, 200 fr. l'un; revolver d'ordonnance, état e neuf, 150 fr. S'adresser à l'Union. Carabine martini, très bon ét, double détente avec deux canons 6 5/8 et 7 5/8, prix : 500 fr. S'adresser à M. E. Leyvat, ,24 avenue Niel, Paris. Carabine de match Martini 0,5 Widmer, crosse Broeckle à pente réglable double détente, haue et œilleton Widmer parfait état S'ad. à M. eLav,yt 42 avenue Niel, Paris 1 Mauser sans étui, 1 Mauser avec étui, Ma avec tuié et crss tu avec balles et chrgrs) 1.000 fr. 1 pistolet Colt automatique avec balles et chargeurs faire offre). Série de fusils pour collection et baïonettes (faire offre). Sad à M. Thibault, près de la Bombarde Bernadaise, Le Bernard apr Longeville Vendée Carabine Suisse 6,5, haute précision, longue portée, Krag-Jorgensen, parfait état, are remarquable. S'adresser à M. V. Lct à Lillers (Ps-d-Cls). On demande revolver ou pistolet Smith et Wesson, automatique, Colt ou autre 22 long fl, offres à M Amigues notaire à Gacon (Aude), aussi carabine 7 5/8. Une 10/4 transformée, double détente, œilleton, canon t bloc neufs pour balle D, précision garantie, prix : 500 fr. Une carabine 122, douze rayures parfait état, oue détente, œilleton Suisse, précision grnt à 12 et 50
et œilleton Widmer parfait état. S'ad. à M. Leyvat, 42, avenue Niel, Paris 1 Mauser sans étui, 1 Mauser avec étui, 1 Mauser avec étui et crosse (tous avec balles et chargeurs) 1.000 fr. 1 pistolet Colt automatique avec balles et chargeurs (faire offre). Série de fusils pour collection et baïonettes (faire offre). S'ad. à M. Thibault, près de la Bombarde Bernadaise, Le Bernard par Longeville (Vendée). Carabine Suisse 6,5, haute précision, longue portée, Krag-Jorgensen, parfait état, arme remarquable. S'adresser à M. V. Lecoute à Lillers (Pas-de-Calais). On demande revolver ou pistolet Smith et Wesson, automatique, Colt ou autre 22 long rifle, offres à M. Amigues, notaire à Garcasonne, (Aude), aussi carabine 7 5/8. Une 10/4 transformée, double détente, œilleton, canon et bloc neufs pour balle D, précision garantie, prix : 500 fr. Une carabine 122, douze rayures parfait état, double détente, œilleton Suisse, précision garantie à 12 et 50 mètres, prix ; 800 fr. S'ad. à M. des Jamonières, 22, rue Copernic, Nantes. Délégué de l'Union, serait heureux entrer en relations avec camarades tireurs pour l'achat, la vente, l'échange, de timbres-poste pour collections, V. Poutine, Le Vésinet (S.-et-O.). Poste téléphonique de campagne, parfait état de marche, la pièce : 60 fr. S'adresser, Leclère et Renard, 28, bout Huit-Octobre, Saint-Quentin (Aisne). Fusil « Springfield » à l'état de neuf, prix 350 fr.; 150 cartouches pour cette arme, 20 fr. le cent. S'ad. à M. Maillard, 46, rue Voltaire, Poissy (Seine). Un mousqueton 8 5/8, élat de neuf, prix 300 fr. S'adresser à M. L. Paillisson, 17, rue Collette, Paris. On demande pistolet Schmidt et Wessou 22, ou canon seul. S'ad. M. Martel, 1, rue de Turin. Le Directeur-Gérant : A. LEBLANT. PARIS - 20e. L. FOURNIER, 264, Bd Saint-Germain.
et œilleton Widmer parfait état. S'ad. à M. Leyvat, 42, avenue Niel, Paris Mauser sans éti,u 1 Mauser avec étui, 1 Msr avec étui et crosse (tous avec balles e chargeurs) 1.000 fr. pst Colt tmtq avec balles et chargeurs (faire offre). Série de fusils pour collection t baïonettes (faire offre). S'ad. à M. Thibault, près de a Bombarde Bernadaise, Le Bernard par evnoeLglil (Vendée). Carabine Suisse 6,5, haute éisio longue portée, Krag-Jorgensen, prft état, arme rmrqbl. Seser à . V. Lecoute à Lillers (Pas-de-Calais). On demande revolver s Smith et Wesson, automatique, Colt ou autre 22 long rifle, offres à Amigues, notaire à Garcasonne, (Aude), aussi carabine 7 5/8. n 10/ transformée, double détente, œlltn, canon et bloc neufs pour balle D, précsn garantie, prx 500 fr. Une carabine 12, douze rayures parfait tt,aé lbudoe détente, œilleton Suisse, précision garantie à 12 et 50 mètres, prix ; 800 fr. 'ad. à M. des Jamonières, 22, rue Copernic, Nantes. Du de lUnion serait heureux entrer en lais avec camarades tireurs pour l'achat, la vente, l'échange, d timbres-poste pour cllctns, . Poutine, Le Vésinet (S.-et-O.). Pt téloiue de campagne, parfait état de marche, la pièce : 60 fr. S'drssr, Leclère te Renard, 28, bout Huit-Octobre, Saint-Quentin (Aisne). Fusil « Springfield » à l'état de neuf, prix 350 fr.; 150 cartouches pour cette arme, 20 fr. le cnt. S'ad. à M. aiad, 46, r Voltaire, Poissy (Seine). Un mousqueton 8 5/8, élat de nf, prix 300 fr. S'adresser à . L. Paillisson, 17, rue Cette Paris. On dmnd pistolet Schmidt et Wessou 22, ou canon seul. S'ad. M. Martel 1 rue de Turin. Le Directeur-Gérant : A. LEBLANT. PARIS 20e. L. FOURNIER, Bd Snt-Grmn.
60 fr. S'adresser, Leclère et Renard, 28, bout Huit-Octobre, Saint-Quentin (Aisne). Fusil « Springfield » à l'état de neuf, prix 350 fr.; 150 cartouches pour cette arme, 20 fr. le cent. S'ad. à M. Maillard, 46, rue Voltaire, Poissy (Seine). Un mousqueton 8 5/8, élat de neuf, prix 300 fr. S'adresser à M. L. Paillisson, 17, rue Collette, Paris. On demande pistolet Schmidt et Wessou 22, ou canon seul. S'ad. M. Martel, 1, rue de Turin. Le Directeur-Gérant : A. LEBLANT. PARIS - 20e. L. FOURNIER, 264, Bd Saint-Germain.
60 fr. S'drssr, Leclère et Renard, 28, ot Huit-Octobre, inQeatSninu-t (sn). Fusil « Sprngfld » à létat de uf, prix 350 fr.; 150 cartouches pour cette arme, 20 fr. le cent S'ad. à M. Mad 46, rue Vltr, Poissy Seine Un msqtn 8 5/8, élat de neuf, prix 300 fr. Sadresser à M. L. Paillisson, 17, rue Collette, Paris. On demande pistolet Schmidt et Wessou 22, ou canon seul S'ad. M. Martel, 1, rue de Turin. Le Directeur-Gérant . LBLNT. PARIS - 20e. L. FOURNIER, 264, Bd Saint-Germain.
QUESTIONS MILITAIRES OPERATIONS Front occidental. — Tandis qu'en Galicie orientale nos troupes, marchant épaule contre épaule, avec nos braves alliés, chassent devant elles les débris des armées russes battues, sur le front occidental, nos détachements d'assaut, nos bataillons et nos régiments toujours infatigables, ont porté comme les jours précédents des coups rapides et sensibles ; ils ont arraché aux Anglais et aux Français des positions importantes, conquis un riche butin et fait plus de 1.200 prisonniers. D'autres prisonniers français ont péri sous le feu de l'artillerie ennemie. En tout, le nombre des prisonniers faits ce mois-ci par nos troupes entre le 1er et le 25 s'élève à plus de 6.000 soldats et près de 150 officiers, tandis que, pendant cette période, Français n'ont pu annoncer plus de 500 prisonniers et les Anglais plus de 230. Dans les Flandres a continué à faire rage une bataille d'artillerie acharnée, la plus violente que l'on ait vue dans cette guerre. De fortes patrouilles ennemises qui avaient pénétré en différents points dans nos lignes ont été rejetées avec des pertes par des contre-attaques qui nous ont rapporté des prisonniers. Le 25 juillet, à 6 heures du matin, de nombreuses forces navales légères de l'ennemi se montrèrent ; elles furent, de même que celles qui avançaient le soir, chassées par nos batteries côtières et nos torpilleurs. Comme les jours précédents, nos aviateurs furent d'une activité infatigable. Sur le front de Lorraine les usines de Pompey furent bombardées avec une efficacité reconnue, par nos escadrilles de destruction. Le 25 juillet, ces usines ne fonctionnaient plus — (Officiel 26.7) Journaux allemands du 27.7. Front oriental. — Quartier général austro-hongrois, 26.7. — Après le franchissement de la ligne du Sereth et l'entrée de la troisième armée austro-hongroise à Stanislau, la voie Stanislau-Czortkow, la seule dont disposât encore l'adversaire dans la région au nord du Dniester, se trouvait privée pour lui de toute valeur avant même qu'elle eût été interceptée par notre avant-garde dans le secteur Monasterziska-Buczacz. Toute la retraite de la XIe armée russe au nord du Dniester se concentre maintenant sur le chemin de fer à voie
QUESTIONS MILITAIRES OPERATIONS Front occidental. — Tandis qu'en Galicie rntl nos troupes, marchant épaule contre épaule, avec nos eabsvr alliés, chassent dvant elles les débris des armées rsss battues, sur le front occidental, nos détachements d'assaut, nos bataillons et nos tmigesénr tjrs a,alfngibiest ont porté comme esl jours précédents des coups rapides et sensibles ; s ont arraché aux Anglais t aux açFasrni des positions importantes, isqnuco n riche butin fait plus de 1.200 prisonniers. D'autres prsnnrs fnsçarai ont péri sous le feu de lreie ennemie En tout, le nombre des prisonniers faits ce mois-ci par nos troupes entre le 1er et le 25 s'élève à plus de 6.000 soldats et près de 150 officiers, tandis que, tdepann cette période, Français n'ont pu nnncr plus de 500 prisonniers et les Anglais upls d 230. Dans les Flandres cntné à faire rage une bataille 'artillerie acharnée, l plus iolene equ l'on t vue dans cette guerre. De fortes patrouilles ennemises qui avaient pénétré en différents points dans nos lignes ont été rejetées avec sde eprets par es cntr-ttqs q nous nt rapporté des prsnnrs. Le 5 juillet, à 6 heures du matin, de nombreuses forces navales légres de l'ennemi se mntrèrnt ; elles furent, de même que celles qui avançaient le soir, chassées nos batteries côtières et nos rples. Comme les jours précédnts, nos vaers furent dune ctvté infatigable. Sur le frtno de Lorraine les usines de Pmpy furent bombardées avec une efficacité econu par nos escadrilles de dstrctn. L 25 jue cs usines ne fonctionnaient plus (ffcl 26.7) Journaux allemands du 2.. Front rntl. — Quartier général austro-hongrois, 26.7. — Après le franchissement d la ligne du Sereth et l'entrée de la troisième armée str-hngrs à Stanislau, la voie Stanislau-Czortkow, la seule dont disposât encore l'adversaire dans la région au nord du Dniester, se trouvait prvé pour lui de toute valeur avant même qu'elle eût été interceptée arp notre avant-garde dans le secteur Monasterziska-Buczacz. e la retraite de la XIe armée russe au nord du Dniester concentre maintenant sur l chemin d fer à voie
se montrèrent ; elles furent, de même que celles qui avançaient le soir, chassées par nos batteries côtières et nos torpilleurs. Comme les jours précédents, nos aviateurs furent d'une activité infatigable. Sur le front de Lorraine les usines de Pompey furent bombardées avec une efficacité reconnue, par nos escadrilles de destruction. Le 25 juillet, ces usines ne fonctionnaient plus — (Officiel 26.7) Journaux allemands du 27.7. Front oriental. — Quartier général austro-hongrois, 26.7. — Après le franchissement de la ligne du Sereth et l'entrée de la troisième armée austro-hongroise à Stanislau, la voie Stanislau-Czortkow, la seule dont disposât encore l'adversaire dans la région au nord du Dniester, se trouvait privée pour lui de toute valeur avant même qu'elle eût été interceptée par notre avant-garde dans le secteur Monasterziska-Buczacz. Toute la retraite de la XIe armée russe au nord du Dniester se concentre maintenant sur le chemin de fer à voie normale Tarnopol-Proskurow, aménagé à double voie, et sur quelques chemins de fer de campagne construits pendant la guerre. Au sud du Dniester, la voie normale Kolomea-Czernowitz forme l'artère vitale de la VIIIe armée et des parties de la VIIe armée qui se sont échappées au-delà du Dniepr. Une commune menace d'enveloppement se dessine aussi bien de l'Ouest par les troupes austro-hongroises et allemandes qui s'avancent de Solotwina sur Nadworna et Delatyn, que du Nord, où les avant-gardes allemandes ne sont plus qu'à une journée de marche des méandres Dniester, les Russes commencent à évacuer les Carpathes boisées dans une retraite qui tourne à la débandade. En avant de Stanislau se trouve l'importante tête de pont de Halicz. L'insubordination des 117e et 164e Divisions d'infanterie ne permit pas au général Jeremtchiev de tenir la crête de Nielitica, ce qui entraîna le refus ou la capture de fortes arrière-guards russes, sans parler des innombrables déserteurs qui, tout le long des routes où nous avançons, sortent des forêts et se constituent eux-mêmes prisonniers. Nous nous sommes, entre autres, emparés de batteries automobiles de 280 et de plusieurs obusiers. Une quantité de bétail errant dans les champs est ramassée par nous. La population civile
se montrèrent ; elles furent, de même que celles qui avçn le soir, écssaseh par nos batteries côtières et nos torpilleurs. Ceomm les jours précédents, nos aviateurs furent d'une activité infatigable Sur le front de Lorraine les usines de Pompey furent bombardées avec une efficacité reconue par nos escadrilles de destruction. e 25 juillet, ces ns ne fonctionnaient plus — (Officiel 26.7) Journaux ans du 27.7. Front oriental. — Quartier général austro-hongrois, 26.7. — Après le franchissement de la inegl du Sereth et l'entrée de la riième m austro-hongroise à Stanislau la voie Stanislau-Czortkow, la seule dont disposât encore l'adversaire dans la région au nord du Dniester, se rouvait privée pour lui d toute valeur avant même leuqel' eût été interceptée par rento avant-garde s le ectr Monasterziska-Buczacz. Toute la rtrt de la XIe armée russe au nrd du Dniester se concentre maintenant sur le iechnm de fer à voie orale Tarnopol-Proskurow, aménagé à ube v, et sur quelques chemins de fer d campagne construits pendant la grr. Au sud du Dniester, l voie normale Kolomea-Czernowitz forme l'artère vitale e l VIIIe armée et des parties de la VIIe armée qui s sont échappées audelà du Dniepr. Une commune mnc d'enveloppement se sednesi aussi bien de esOutl' par les troupes austro-hongroises et allemandes qui s'avancent d Solotwina sur Nadworna et Dltyn, que d Nord, où les avant-gardes allemandes ne sont plus qu'à une journée de marche des méandres Dniester, les Rsss omecnt à évacuer les Carpathes boisées dans une retraite qui tourne à la débandade. En avant de Stanislau se trouve l'importante tête de pont de Halicz. L'insubordination des 117e et 164e Divisions d'infanterie en permit pas au général Jeremtchiev de tnr la crête de Nielitica, ce qui ntrîn le refs ou la capture de fortes arrière-guards russes, sans parler des innombrables déserteurs qui, tout le long des routes où nous avançons, sortent ds forêts te se constituent eux-mêmes prsnnrs. Nous nous seomsm, entre trs, p de bttrs automobiles de 280 et de plsrs obusiers. Une qntté de bétail errant dans les champs est ramassée par nous. La population i
d'enveloppement se dessine aussi bien de l'Ouest par les troupes austro-hongroises et allemandes qui s'avancent de Solotwina sur Nadworna et Delatyn, que du Nord, où les avant-gardes allemandes ne sont plus qu'à une journée de marche des méandres Dniester, les Russes commencent à évacuer les Carpathes boisées dans une retraite qui tourne à la débandade. En avant de Stanislau se trouve l'importante tête de pont de Halicz. L'insubordination des 117e et 164e Divisions d'infanterie ne permit pas au général Jeremtchiev de tenir la crête de Nielitica, ce qui entraîna le refus ou la capture de fortes arrière-guards russes, sans parler des innombrables déserteurs qui, tout le long des routes où nous avançons, sortent des forêts et se constituent eux-mêmes prisonniers. Nous nous sommes, entre autres, emparés de batteries automobiles de 280 et de plusieurs obusiers. Une quantité de bétail errant dans les champs est ramassée par nous. La population civile s'est en grande partie enfuie dans les bois. Avec Tarnopol, où l'entrée de nos troupes a été saluée avec enthousiasme; le nombre des villes reconquises jusqu'à présent se monte à 12 au nord du Dniester et 4 au sud; il faut y ajouter plus de 100 gros villages. — (Léonard Adelt) Berlin. Tagbl, 26.7. — « C'est une manœuvre ! » s'est écrié un socialiste indépendant, jeudi, en séance du Reichstag, lorsque le Chancelier a donné lecture du télégramme de Hindenburg annonçant la percée de Zloczow. Cette nouvelle militaire, que le hasard a fait arriver juste le jour d'un événement politique non moins important, au lieu de provoquer dans cette salle de Thersite une joie bien naturelle, y a seulement éveillé le soupçon. Oui, certes, c'est une manœuvre, mais dans un autre sens que ne l'entendait l'internationaliste du Reichstag allemand, une fière manœuvre à la Hindenburg. Le maréchal a fourni la juste réplique aux calculs désespérés de l'Angleterre et de la France : il a réduit à néant leur espoir de liquider la situation en versant le sang des moujiks russes. Nous ne pouvons qu'être satisfaits de l'impression que l'offensive victorieuse de nos armées doit produire en Russie, où elle
d'enveloppement s dessine aussi bien d l'Ouest par les troupes austro-hongroises et allemandes qui s'avancent de Solotwina sur Nadworna et lDane,ty euq d Nord, o les vnt-grds allemandes n sont plus qu'à une journée de marche ds méandres Dniester, les Russes commencent à évacuer les rps boisées dans une raittree qui oure à la anabedéd.d En avant de Stanislau se trouve limportante tête de pont de Hlcz. L'insubordination des 1 et 164e vsiinDiso td'naiireefn ne prmt pas au général Jrmtchv de tenir la crête de Nielitica, ce qui entraîna le refus ou la capture de fortes rrèr-grds russes, sans parler des innombrables déserteurs u, tout le long ds routes où nous avançons, sortent des frêts et se cnun eux-mêmes prisonniers. Nous nus omes,ms entre autres, emparés de batteries automobiles de 280 t de plusieurs obusiers. Une qntté d béti errant dans les champs est ramassée par nous. La ppltn cvl s'est en grande partie enfuie an les bois Avec Tarnopol où l'entrée de nos troupes a été saluée avec enthousiasme; nombre des villes reconquises jusqu'à prs se monte à 12 au nr du Dniester et 4 au sud; il faut y jtr pls de 100 osrg villages. (Léonard Adelt) Berlin. Tagbl, 267 — « C'est une manœuvre ! » s'est écrié un sclst dpdan, jeudi, en éaescn du Reichstag, lorsque le Chancelier donné lecture du éégmm e Hindenburg annonçant la percée de Zloczow. Cette nouvelle militaire, que le hasard a fait arriver juste le ur 'dnu énemet pltq nn mns mprtnt, u lieu de provoquer dns cette salle de Thersite une joie bien naturelle a slmnt éveillé uç.nsoop Oui crts, c'est une ,uarmœevn ms dans un ueart sens que e l'entendait l'internationaliste d Reichstag allemand une fière manœuvre à l Hnebg Le maréchal a fourni la juste réplq aux calculs désspérés de l'Angleterre et de la France : il a rédt à ént leur espoir de liquider la sui en versant l sang des moujiks rs suNo ne pouvons quêtre satisfaits d l'mprssn que l'offensive victorieuse d nos armées doit produire en Russie, ù l
Adelt) Berlin. Tagbl, 26.7. — « C'est une manœuvre ! » s'est écrié un socialiste indépendant, jeudi, en séance du Reichstag, lorsque le Chancelier a donné lecture du télégramme de Hindenburg annonçant la percée de Zloczow. Cette nouvelle militaire, que le hasard a fait arriver juste le jour d'un événement politique non moins important, au lieu de provoquer dans cette salle de Thersite une joie bien naturelle, y a seulement éveillé le soupçon. Oui, certes, c'est une manœuvre, mais dans un autre sens que ne l'entendait l'internationaliste du Reichstag allemand, une fière manœuvre à la Hindenburg. Le maréchal a fourni la juste réplique aux calculs désespérés de l'Angleterre et de la France : il a réduit à néant leur espoir de liquider la situation en versant le sang des moujiks russes. Nous ne pouvons qu'être satisfaits de l'impression que l'offensive victorieuse de nos armées doit produire en Russie, où elle a frappé avec la rapidité d'un éclair ; en France, où les communiqués russes, d'une franchise désespérante, ont été interdits par crainte de leur effet démoralisant sur la population ; en Angleterre, où sans doute on garde encore assez de maîtrise de soi pour ne pas trahir ses sentiments, mais où l'on doit sentir qu'en ce moment s'écroule une des colonnes sur lesquelles on avait bâti ; en Amérique, où l'on sacrifie des millions et des millions de francs pour tenir à flot la Russie avant de pouvoir soi-même paraître en Europe ; chez les neutres surtout, qui, au témoignage de nombreux observateurs, étaient tombés, malgré l'éclat de notre situation militaire, dans l'étrange aberration de prendre les dissertations pacifistes des Scheidemann et consorts pour un signe de confiance en nous. Ils verront maintenant, une fois de plus, que notre volonté de vaincre et notre énergie sont aussi inébranlables que jamais, que l'épée allemande est aussi affilée à la fin de la troisième année de guerre qu'au commencement de la première. Plus notre offensive progressera, plus cet enseignement sera renforcé. Et en Allemagne, toutes les conséquences des événements qui se sont déclenchés le 19 juillet ne sont pas encore connues. Mais
Adelt) Berlin. Tgbl, 26.7. « C'est n manœuvre ! » s'est écrié un socialiste indépendant, jeudi, en séance du Reichstag, lorsque le Chancelier a donné lctr du télégrmm de Hndnbrg annonçant la percée de Zloczow. Cette nouvelle militaire, que le hasard a fait arriver juste le jour d'un événement politique non mns important, au lieu de provoquer dans etcet salle de Thersite une joie bien naturelle, a seulement éveillé le soupçon. Oui, certes, c'est une mnœvr, mais dans un aure sens que ne l'entendait l'internationaliste du Rchstg allemand, n fière manœuvre à la Hindenburg. Le maréchal a fourni la jst réplq aux calculs désespérés d lAngleterre et de la France : il a réduit à ét leur espoir de lir la situation en versant l sng des moujiks russes. Nous ne pvns u'êtr satisfaits de l'impression que l'offensive victorieuse d nos armées doit produire n Russie, ù le frppé vc la rapidité d'un éclair ; en France, où ls communiqués russes, d'n frcie désespérante, ont été interdits pr crainte de leur effet démoralisant sur la population en Angleterre, où sans doute on garde encore assez de mîtrs de soi pour ne pas trahir ses sntmnts, mais où l'n doit sentir qu'en ce moment s'écroule une des colonnes sur lesquelles on avait âi ; en Amérique, où l'on sacrifie des millions et des olisnlim de francs pour tenir à lot la Russie avant de pvr soi-même paraître en Europe ; chez les neutres surtout, qui, au témoignage d nombreux observateurs étaient tombés, malgré l'éclat de rotne situation militaire dans l'étrange aberration de prendre les dissertations pacifistes des Scheidemann consorts our un sgn de confiance en nous. Ils verront maintenant, enu fs de plus, que ntr vlonté de vaincre et notre énergie sont aussi inébranlables que jamais que l'épée allemande est aussi affilée à l fin de la troisième année de guerre qu'au commencement ed la première. Plus notre offesv progressera, plus cet neinmen sera renforcé. Et en Allemagne, toutes les conséquences des événements qui se sont déclenchés le 19 jllt ne sont pas ncr connues. Mais
où l'on doit sentir qu'en ce moment s'écroule une des colonnes sur lesquelles on avait bâti ; en Amérique, où l'on sacrifie des millions et des millions de francs pour tenir à flot la Russie avant de pouvoir soi-même paraître en Europe ; chez les neutres surtout, qui, au témoignage de nombreux observateurs, étaient tombés, malgré l'éclat de notre situation militaire, dans l'étrange aberration de prendre les dissertations pacifistes des Scheidemann et consorts pour un signe de confiance en nous. Ils verront maintenant, une fois de plus, que notre volonté de vaincre et notre énergie sont aussi inébranlables que jamais, que l'épée allemande est aussi affilée à la fin de la troisième année de guerre qu'au commencement de la première. Plus notre offensive progressera, plus cet enseignement sera renforcé. Et en Allemagne, toutes les conséquences des événements qui se sont déclenchés le 19 juillet ne sont pas encore connues. Mais déjà le fait que beaucoup de citoyens aient pavoisé leurs maisons sans y être invités dénote chez notre population des sentiments sains et d'une parfaite justesse. Quand Hindenburg sait ainsi « manœuvrer », il faut que le peuple allemand tout entier se laisse emporter sur les ailes de l'enthousiasme. — Magdeburgische Ztg., 26.7. — Le puissant mouvement d'avance de nos troupes en Galicie orientale s'est encore poursuivi pendant la journée du 24 juillet. Partout où l'ennemi cherchait à s'accrocher, il fut rejeté par des coups rapides et vigoureux. L'entrain et le mordant de nos troupes sont admirables ; leur opiniâtreté, en dépit des plus grandes fatigues, est inégalable. Nos aviateurs rivalisent d'ardeur en exécutant pendant des heures des vols d'exploration et de reconnaissance à grande distance, au cours desquels ils tâchent de semer le plus grand désarroi dans les colonnes russes en retraite par des attaques à coup de bombes et de mitrailleuses. Les convois de prisonniers affluent sur tous les chemins vers les centres de rassemblement. Le butin, dispersé sur une énorme zone d'opérations, ne peut pas encore être évalué, même approximativement. Près de 3.000 kilomètres carrés de terrain sont déjà arrachés aux mains des Russes. Les avantages locaux
ù l'on ot sentir ue ce moment 'écroule une des colonnes sur lesquelles on avait bâti ; en Amérique, où l'on sacrifie des millions et des millions de francs pour tenir à flot la Russie avant de pouvoir soi-même paraître en Europe ; chez les neutres surtout, q, au témoignage de nombreux observateurs, étaient ob, malgré l'éclat de notre situation militaire, dans l'étrange aberration de prndr les dissertations pacifistes des Scheidemann et consorts pour un signe de confiance en nous. l verront maintenant, une fois de lus que notre volonté de vaincre et notre énergie sont aussi inébranlables que jamais, que l'épée allemande est aussi affilée à la fin de la troisième année de guerre qu'au commencement de la première. Plus notre ffnsv progressera, plus cet enseignement sera renforcé. Et en Allemagne, toutes les conséquences des événements qui se sont déclenchés le 19 juillet ne snt pas encore connues. Mais déjà le fait que beaucoup de citoyens aient pvsé leurs maisons sans y être nvtés oetndé chez notre population des sentiments sains d'n parfaite jstss. uaQdn Hindenburg sait ainsi « manœuvrer », il faut que le peuple allemand tout entier s laisse emporter sur les ailes de l'enthousiasme. — Magdeburgische Ztg., 267 — Le pssnt mouvement d'avance de nos troupes en Galicie orientale s'est encore poursuivi pendant l journée du 24 juillet Partout où l'ennemi cherchait à s'accrocher, il fut rejeté par des coups rapides et vigoureux. inLte'ran et e mordant de os troupes sont admirables ; leur opiniâtreté, en dépit des plus grandes fatigues, est inégalable. Nos aviateurs rivalisent d'ardeur en exécutant pendant des e des lsov d'exploration et de reconnaissance à grande distance, au cous desquels ils tâchent de semer le plus grnd désarroi dans les colonnes russes en retraite par des attaques à coup de bombes te de mitrailleuses. Les convois de prisonniers affluent sur tous les chemins vers les centres de rassemblement. Le butin, dispersé sur une énorme zone érat, ne peut pas encore être évalué, même approximativement. Près de 0 kilomètres carrés de terrain sont déjà arrachés aux mains des Russes. Les avantages locaux
Magdeburgische Ztg., 26.7. — Le puissant mouvement d'avance de nos troupes en Galicie orientale s'est encore poursuivi pendant la journée du 24 juillet. Partout où l'ennemi cherchait à s'accrocher, il fut rejeté par des coups rapides et vigoureux. L'entrain et le mordant de nos troupes sont admirables ; leur opiniâtreté, en dépit des plus grandes fatigues, est inégalable. Nos aviateurs rivalisent d'ardeur en exécutant pendant des heures des vols d'exploration et de reconnaissance à grande distance, au cours desquels ils tâchent de semer le plus grand désarroi dans les colonnes russes en retraite par des attaques à coup de bombes et de mitrailleuses. Les convois de prisonniers affluent sur tous les chemins vers les centres de rassemblement. Le butin, dispersé sur une énorme zone d'opérations, ne peut pas encore être évalué, même approximativement. Près de 3.000 kilomètres carrés de terrain sont déjà arrachés aux mains des Russes. Les avantages locaux que Broussilov avait pu obtenir pendant sa dernière offensive sont annihilés. Dans un merveilleux élan, nos troupes ont pris la ville de Tarnopol dont beaucoup de quartiers étaient en feu, ainsi que la hauteur du Grel Zbira située au sud de cette ville ; elles ont repoussé de façon sanglante de violentes contre-attaques. Les Russes ont tenté au sud de Tarnopol une poussée désespérée ; ils débouchèrent de la direction du hameau de la Kapieczka échelonnés en vague épaissi et appuyés par des automobiles blindées. Cette attaque échoua avec les plus lourdes pertes en morts, prisonniers et matériel. Nos troupes ont également progressé au sud-est et au sud vers la voie ferrée Stanislau-Buczacz-Kopyczynce avec la même vigueur qu'à l'est de Tarnopol. Tandis que, sous leur pression, les positions défensives des Russes le long de la ligne Stanislau-Nadworna tombaient l'une après l'autre, dans les Carpathes boisées à la position de Siemczuk qui barrait au nord le col de Jablonica, fut arrachée aux Russes le 24 juillet. La résistance désespérée qu'ils offrirent entre Stanislau et Nadworna sur la Bystrica-Nadwornianska ne réussit pas davantage à arrêter l'écroulement de ce secteur. Là aussi les Russes furent rejetés en arrière par la poussée impétueuse de
Magdeburgische Ztg., 26.. — Le puissant mouvement d'avance de s troupes en Galicie orientale 'est encore poursuivi pendant l journée ud 24 jllt. Partout où l'ennemi cherchait à s'accrocher, i fut rejeté pr sde coups rapides et u.uvegixro Lentan et mordant de nos troupes s admirables ; leur opiniâtreté, en dépit des plus grandes fatigues, est inégalable. o aviateurs rivalisent duera'rd en xéctnt pendant des heures de vols d'exploration et de reconnaissance à grande dstnc, au cours desquels ils tâchent de smr le plus grand désrr dans les colonnes russes en retraite par des attaques coup de bombes et de mitrailleuses. Les convois de prisonniers fflnt sur tous les cemn vers les centres de rassemblement. Le butin, dispersé sur une énorme d'opérations, ne peut pas encore êtr é même approximativement. Près de 0 kilomètres carrés de terrain sont déjà arrachés aux mains des Russes es avantages lcau que Broussilov avait pu obtenir pnt sa dernière offensive n annihilés. Dans un merveilleux élan, nos troupes ont prs l ville de Tarnopol dont beaucoup de quartiers étaient en feu, naisi que la hauteur du Grel Zbira située u sud de cette ville ; elles ont repoussé d façon sanglante de violentes contre-attaques. Les Russes ont tenté au sud de Tarnopol une poussée désespérée ; ils débouchèrent de la direction du hameau de la Kapieczka échelonnés en vag épaissi et appuyés par d automobiles blindées. Cette auateqt échoua avec les plus lourdes pertes en mort prisonniers et irael.émt Nos troupes ont agleeénmt progressé au sd-st et au sud vers la oeiv ferrée Stanislau-Buczacz-Kopyczynce avec la même vigueur qu'à l'est de Trnpl. Tandis que, sous leur pression, les positions défensives des Russes le long de la ligne NraaS-dotnnaiuwasl tombaient l'une après l'autre, dans les Carpathes boisées à la position de Siemczuk qui barrait au nord le col de Jablonica, fut arrachée aux Russes le 24 juillet La résstnc désespérée qu'ils offrirent entre Stanislau te Nao sur l Bwr-idnkaansaaNrcoyits ne résst pas davantage à arrêter écmlr'teolenu de c secteur. Là aussi les Russes furent rejetés en rrèr par la poussée impétueuse de
de violentes contre-attaques. Les Russes ont tenté au sud de Tarnopol une poussée désespérée ; ils débouchèrent de la direction du hameau de la Kapieczka échelonnés en vague épaissi et appuyés par des automobiles blindées. Cette attaque échoua avec les plus lourdes pertes en morts, prisonniers et matériel. Nos troupes ont également progressé au sud-est et au sud vers la voie ferrée Stanislau-Buczacz-Kopyczynce avec la même vigueur qu'à l'est de Tarnopol. Tandis que, sous leur pression, les positions défensives des Russes le long de la ligne Stanislau-Nadworna tombaient l'une après l'autre, dans les Carpathes boisées à la position de Siemczuk qui barrait au nord le col de Jablonica, fut arrachée aux Russes le 24 juillet. La résistance désespérée qu'ils offrirent entre Stanislau et Nadworna sur la Bystrica-Nadwornianska ne réussit pas davantage à arrêter l'écroulement de ce secteur. Là aussi les Russes furent rejetés en arrière par la poussée impétueuse de nos soldats, et les routes extrêmement importantes ainsi que les nœuds de voies ferrées de Stanislau et Nadworna, les deux piliers angulaires des positions russes, leur furent arrachés. Un grand nombre de canons, parmi lesquels des pièces de très gros calibres, ainsi que des canons de campagne, des mortiers de tranchées et des lance-bombes non encore dénombrés, de grandes quantités de munitions et d'approvisionnements ont été pris. Nos troupes se sont avancées d'un élan irrésistible. Des attaques de diversion entreprises par l'infanterie russe dans le sud des Carpathes ont été repoussées. Sur le bas Sereth, deux pelotons d'infanterie seulement marchèrent contre nos troupes et furent aisément rejetés. A l'embouchure du Sereth et en Dobroudja, on ne signale que des tirs d'artillerie. Dans la partie au nord du front russe, l'attaque ennemie a été paralysée par les énormes sacrifices des derniers jours. Une partie du gain de terrain réalisé par les Russes au sud-ouest de Dvinsk a été reprise par nos détachements de choc. Une attaque ennemie déclenchée sur un front de 1.000 mètres au sud de Smorgon a été facilement repoussée. Le butin des combats des 22 et 23 juillet se monte à 500 prisonniers et un grand nombre de
de violentes contre-attaques. Les Russes ont tenté au sud de Tarnopol une pousé désespérée ; ils débouchèrent de la direction d hameau de la Kapieczka échlnnés en vague psi et appuyés par des automobiles blindées. Cette attaque échoua avec les plus lrds prts en morts, prisonniers et matériel. Nos troupes ont également progressé au sud-est et au sud vers l voie ferrée Stanislau-Buczacz-Kopyczynce acve la même vigueur quà l'est de Tarnopol. Tandis q, sous leur ,eniospsr les pstns défensives des ssesRu long ed la ligne Stanislau-Nadworna tombaient l'une après l'autre, dans les Carpathes boisées à la position de Semz qui barrait nord le col de Jica fut arrachée aux Russes le 24 juillet L résistance désespérée sq'lui ofire neetr tnisla et an sur la Bystrica-Nadwornianska ne réussit pas dvntg à rrêtr l'écroulement de e secteur. Là aussi les Russes furent rejetés en rrèr par la poussée impétueuse de nos sldat, et les rotes extrêmement importantes ainsi que les nœuds d voies ferrées de Stansla et Nadworna, les deux ilie nglrs des positions russes, leur furent arrachés. U grand nombre ed canons, parmi lesquels des pièces de très gros calibres, ainsi que des canons de campagne oirrsmet de trnchés et lance-bombes non encore dénombrés, de gd i de mntns t d'approvisionnements ont téé pris. Nos troupes se snt avancées d'un élan irrésistible. D attaques de diversion entreprises par l'infanterie russe ns le sud des Carpathes n été repoussées Sur le bas Sereth, deux netlopso d'infanterie seulement marchèrent contre nos troupes et furent asémet rejetés. A l'embouchure u Sereth et ne Dobroudja, on ne signale q des tirs d'artillerie. Dans la partie au nord du front russe, lattaque ennemie été paralysée par les énormes rs des derniers jours. Une partie du gain de terrain réalisé par l Rses au sud-ouest de Dvinsk a été reprise par nos détachements de o n tta ennemie déclenchée sr un front de 1.000 mètres sud de Smorgon a été facilement repoussée. Le butin eds combats des 22 et 23 juillet se o à 500 prisonniers te un grand nombre de
tranchées et des lance-bombes non encore dénombrés, de grandes quantités de munitions et d'approvisionnements ont été pris. Nos troupes se sont avancées d'un élan irrésistible. Des attaques de diversion entreprises par l'infanterie russe dans le sud des Carpathes ont été repoussées. Sur le bas Sereth, deux pelotons d'infanterie seulement marchèrent contre nos troupes et furent aisément rejetés. A l'embouchure du Sereth et en Dobroudja, on ne signale que des tirs d'artillerie. Dans la partie au nord du front russe, l'attaque ennemie a été paralysée par les énormes sacrifices des derniers jours. Une partie du gain de terrain réalisé par les Russes au sud-ouest de Dvinsk a été reprise par nos détachements de choc. Une attaque ennemie déclenchée sur un front de 1.000 mètres au sud de Smorgon a été facilement repoussée. Le butin des combats des 22 et 23 juillet se monte à 500 prisonniers et un grand nombre de mitrailleuses. Les pertes sanglantes des Russes sont, en outre, extraordinairement lourdes. Sur le front occidental, tous les événements passent à l'arrière-plan, à côté de l'effroyable bataille d'artillerie qui fait rage dans les Flandres — (Officiel, 25.7) L'ARMÉE ROUMAINE donne un noble exemple à ses alliés du Nord. L'objectif immédiat qu'elle poursuit est sans doute la passe d'Oltu. Les Autrichiens reconnaissent nettement la pression exercée par les Roumains ; c'est qu'ils ne les redoutent guère. Nous craignons fort que les Roumains ne puissent remporter que des succès purement locaux. Les Autrichiens et les Allemands ne semblent pas posséder de grandes forces en Moldavie. Les avantages obtenus dans les montagnes par nos alliés donnent une idée de ce qu'ils auraient été en mesure de faire si les armées russes de Galicie ne s'étaient pas débandées. La Roumanie aurait pu recouvrer cette année une grande partie de son territoire envahi. Cet espoir a disparu, au moins temporairement. (Ed.) Times, 30. 7. Front balkanique. — Actuellement, Il y a rentrée, les soldats bulgares sont tous sous les armes, au nombre de près d'un million. Si l'on en compte 200.000 pour le front de Dobroudja il en reste 800.000 contre l'armée Sarrail ; la raison
tranchées et des lance-bombes non encore dénombrés, de grandes quantités de munitions et apovisineme ont été pris Nos ru se sont avancées d'un élan irrésistible. esD attaques de diversion entreprises par l'infanterie russe dans le sud des Carpathes ont été repoussées. Sur le bs he,eSrt deux pelotons d'nfntr seulement marchèrent contre ns troupes et furent aisément rejetés A l'embouchure du Sereth et en Dobroudja, n ne signale que des tirs d'rtllr. Dans la partie au nord du frnt russe, l'attaque ennemie a été paralysée par ls énormes sacrifices de derniers jrs. Une partie du gain de terrain réalisé par les Russes au sud-ouest de Dvinsk été rprs par nos détachements de ho. Une attuqae ninemee déclenchée sur n fotrn de 1.000 mètres au dus de ogo t facilement e.useoépsr Le butin des acotbsm des 22 23 juillet se mnt 500 pone un grand nmbr e mitrailleuses. Les pts sanglantes des Russes sont, en outre, extraordinairement lourdes. Sur le front occidental, tous les événmnts passent à l'arrière-plan, à côté de leffroyable bataille d'artillerie qui fait rage dans les Flandres — fce 25.) L'ARMÉE ROUMAINE dnn un noble exemple à se alliés du Nord. L'bjctf immédiat qu'elle poursuit est sans doute la passe d'Oltu. Les Autrichiens reconnaissent nettement la pi exercée par les Roumains ; c'est qu'ils e les redoutent guère. Nous craignons fort que les Roumains n pssnt remporter que des succès purement locaux. Les Autrichiens et les Allemands ne smblnt pas posséder de grandes re en ldaie. Les avantages obtenus dans les montagnes par ns alliés donnent une idée de ce qu'ils auraient été en mesure de faire si les armées russes d Galicie ne s'étnt pas débandées. La Roumanie aurait pu recouvrer ctt année une grande partie de son territoire envahi. Cet espoir a disparu, au inosm temporairement. (Ed.) Times, 30. 7. Frot balkanique. — Actuellement, a rentrée, les ola bulgares sont tous sous les armes, nombre ed près un million Si 'on en compte 200.000 pour le front de Dobroudja il en reste 800.000 contre 'mé arrl ; la raison
poursuit est sans doute la passe d'Oltu. Les Autrichiens reconnaissent nettement la pression exercée par les Roumains ; c'est qu'ils ne les redoutent guère. Nous craignons fort que les Roumains ne puissent remporter que des succès purement locaux. Les Autrichiens et les Allemands ne semblent pas posséder de grandes forces en Moldavie. Les avantages obtenus dans les montagnes par nos alliés donnent une idée de ce qu'ils auraient été en mesure de faire si les armées russes de Galicie ne s'étaient pas débandées. La Roumanie aurait pu recouvrer cette année une grande partie de son territoire envahi. Cet espoir a disparu, au moins temporairement. (Ed.) Times, 30. 7. Front balkanique. — Actuellement, Il y a rentrée, les soldats bulgares sont tous sous les armes, au nombre de près d'un million. Si l'on en compte 200.000 pour le front de Dobroudja il en reste 800.000 contre l'armée Sarrail ; la raison pour laquelle les Bulgares n'ont pas attaqué jusqu'ici provient de ce que le gouvernement allemand ne le désirait pas, tant que le roi Constantin était encore à Athènes, : car une offensive bulgare n'aurait pas pu épargner la Grèce. Cette raison existant plus, il est à croire que la vaillante armée bulgare ne restera pas longtemps dans l'inaction. (J. G.) Berliner Tagbl., 26.7. MATERIEL Allemagne. — De Londres : Une des principales difficultés de la guerre moderne consiste dans l'impossibilité d'assurer régulièrement les communications entre les lignes avancées et les commandements à cause des tirs de barrage coupant les fils téléphoniques et empêchant le passage des porteurs d'ordres. Les Allemands ont récemment cherché à résoudre cette difficulté en adoptant des projectiles de communication. Suivant un ordre du jour du Q. G. allemand, du 22 mai, des « projectiles pour transmettre des messages », ont été distribués le long du front. Ils sont de deux types: le premier est une bombe tirée par un lance-bombes d'une portée d'environ 600 mètres, destinée à assurer les communications entre les tranchées de première ligne et les commandants de bataillon et de régiment. Le second type est une torpille lancée par un « minenwerfer »
poursuit est sans doute la passe d'Oltu. Les Autrichiens reconnaissent nemen l pression exercée par les Roumains ; c'est qu'ils ne les redoutent guère. Nous cigo fort que les Roumains ne puissent remporter que des succès purement locaux. Ls Autrichiens et les Allemands ne semblent pas posséder de grandes forces en Moldavie Les avantages obtenus dans les montagnes par nos alliés donnent une idée de ce qu'ils auraient été en mesure de faire si les amés russes de G ne s'étaient ps éans La Roumanie aurait pu vcreourre cette année une ge partie de son territoire envahi. Cet espoir a spru au moins temporairement. (Ed.) Times, 30. 7. Front balkanique. — Actuellement, Il y a rentrée, les soldats bulgares sont tous sous les armes, u b de près d'un million. Si l'on en compte 200.000 pour le front de bdaoDuojr il en reste 800.000 contre l'armée Sarrail ; la raiso pr laquelle les Bulgares n'nt pas éuatqta jusqu'ici provient de ce que le gouvernement allemand ne le désirait pas, ttan que le roi Constantin était encore Athènes, car une ffenve bulgare n'aurait pas pu épargner la Grèce Ctt raison existant pls, il est à crr que la vntlaelia armée blgr ne restera longtemps dns l'inaction. (J. G.) Berliner Tagbl., 26.7. MATERIEL Allemagne. De Londres : n des prncpale ficé de la grr moderne consiste dans olsitpbsmiéi'li d'assurer régulièrement les communications entre les lignes vncés et els commandements à cause des tirs de barrage coupant les fils téléphoniques et empêchant le passage des porteurs d'rd Les Allemands ont récemment céehcrh à résoudre cette difficulté en adoptant des projectiles de communication. Suivant un ordre du jour du Q. . allemand, du 22 mai, des « projectiles pour transmettre des messages », ont été ru le long du front. Ils sont de deux typs: le premier est une bombe tirée pr un lance-bombes due pt d'nvrn 600 mètres, destinée à assurer les communications re les tranchées de première ligne et les commandants de bataillon et de régiment. Le second type est n torpille lancée par un « minenwerfer »
armée bulgare ne restera pas longtemps dans l'inaction. (J. G.) Berliner Tagbl., 26.7. MATERIEL Allemagne. — De Londres : Une des principales difficultés de la guerre moderne consiste dans l'impossibilité d'assurer régulièrement les communications entre les lignes avancées et les commandements à cause des tirs de barrage coupant les fils téléphoniques et empêchant le passage des porteurs d'ordres. Les Allemands ont récemment cherché à résoudre cette difficulté en adoptant des projectiles de communication. Suivant un ordre du jour du Q. G. allemand, du 22 mai, des « projectiles pour transmettre des messages », ont été distribués le long du front. Ils sont de deux types: le premier est une bombe tirée par un lance-bombes d'une portée d'environ 600 mètres, destinée à assurer les communications entre les tranchées de première ligne et les commandants de bataillon et de régiment. Le second type est une torpille lancée par un « minenwerfer » à une distance de 2.100 mètres. Elle permettrait aux commandants de bataillon et de régiment de communiquer avec les commandements de l'artillerie et de la brigade. L'ordre du jour explique que lance-bombes et mortiers seront pointés sur des emplacements donnés tenus libres pour éviter des accidents, mais restant sous une surveillance constante afin que les messages puissent être rapidement extraits des projectiles. — Tribuna (ital.), 27.7. EFFECTIFS États-Unis. — La nouvelle de l'arrivée en France des troupes américaines donnera un choc à ceux qui, en prêtant leur appui à la campagne en faveur de l'augmentation de notre armée et de notre marine, songeaient uniquement à la défense du pays. Un nous disait alors que des dangers nous menaçaient, et qu'il nous fallait être en mesure de y parer. Et aujourd'hui, nos navires sont dans la mer d'Irlande, et nos soldats sont en France. Ceux qui soutenaient le programme militaire savaient-ils ce qui arriverait ? Ce sont des suppléments de Wall Street, des gens qui sont dans le secret des dieux, et ils reconnaissent aujourd'hui qu'ils marchaient les yeux ouverts. Mais alors ils trompaient le peuple ? Certainement. Et il ne cessera d'être trompé que le jour où, chez nous comme
armée bulgare ne restera pas longtemps dans l'inaction. (J. G.) Berliner Tagbl., .627. MATERIEL Allemagne. — De Londres : Une des principales difficultés de la guerre moderne consiste dans l'impossibilité d'assurer régulièrement les communications ete les lgns avancées t les commandements à cause ds tirs de barrage coupant les fils téléphoniques et empêchant le passage des porteurs d'rdrs. Les Allemands not récemment cherché à résoudre cette difficulté en adoptant des projectiles de nntc.uoiacommi uitaSvn un rdr du jour Q. G. allemand, du 22 mai, des « projectiles pour transmettre des messages », ont été distribués l long d front. Ils sont de ux types: le premier st une bombe tirée a un lance-bombes 'ednu portée d'environ 600 mètres, destinée à assurer les communications entre les tranchées ed première ligne et les commandants de bataillon et de régiment. Le second type est une torpille lancée rap n « minenwerfer » à une distance de 2.100 mètres. ll permettrait aux atmcmnsando de btlln et de régiment d communiquer avec les commandements de l'artillerie et de la brigade. 'ore d jour explique que besbaemcnl-o et mortiers seront pointés sur des mpacemet donnés tenus libres pour éviter des accidents, m rstnt sous n surveillance constante fi euq les messages puissent être rapidement extraits des lsirc.jpotee — Tribuna (ital.), 27.7. EFFECTIFS États-Unis. — L nvll de l'arrivée en Frnc des troupes américaines donnera un choc à ceux qui, en prêtnt leur appui la campagne en faveur de l'augmentation de tre armée et de notre raeinm, snent uniquement à la dfe d pays Un us disait alors que des dangers s menaçaient, et qu'il nous fallait être e mesure de y parer. Et aujourd'hui, nos navires sont dans la mer d'Irlande, et nos soldats sont en France. Ceux qui soutenaient le programme militaire savaient-ils ce qui aiver ? Ce sont des suppléments de Wall Street, des gens qui sont dans le secret des dieux, et ils reconnaissent aujourd'hui qu'ils marchaient les yeux ouverts. Mais alors ils trompaient l peuple ? Certainement. Et il ne cessera d'être trompé que le jour où, hez nous comme
surveillance constante afin que les messages puissent être rapidement extraits des projectiles. — Tribuna (ital.), 27.7. EFFECTIFS États-Unis. — La nouvelle de l'arrivée en France des troupes américaines donnera un choc à ceux qui, en prêtant leur appui à la campagne en faveur de l'augmentation de notre armée et de notre marine, songeaient uniquement à la défense du pays. Un nous disait alors que des dangers nous menaçaient, et qu'il nous fallait être en mesure de y parer. Et aujourd'hui, nos navires sont dans la mer d'Irlande, et nos soldats sont en France. Ceux qui soutenaient le programme militaire savaient-ils ce qui arriverait ? Ce sont des suppléments de Wall Street, des gens qui sont dans le secret des dieux, et ils reconnaissent aujourd'hui qu'ils marchaient les yeux ouverts. Mais alors ils trompaient le peuple ? Certainement. Et il ne cessera d'être trompé que le jour où, chez nous comme en Russie, c'en sera fait des gouvernements occultes et de la diplomatie secrète. — (Ed.) New York Calais, 29.6. — Nous avons toujours soutenu que les États-Unis ne devraient envoyer en Europe que des volontaires, s'y rendant de leur plein gré. Le résultat de la conscription fournit un argument de plus en faveur de cette politique. Le pays sait maintenant qu'il a assez de soldats pour se défendre contre n'importe quel agresseur, et cette assurance nous permet de laisser partir pour l'Europe ceux qui voudront s'y rendre. Mais nous n'y devrions, en stricte équité, envoyer aucun Américain contre son gré. Il est d'ailleurs inutile que nous le fassions. Avec les réserves que l'Angleterre garde inutilement chez elle, et avec tous les soldats qu'il serait possible de lever encore, dans les colonies anglaises, et aux États-Unis, parmi les sujets des Alliés, il n'y a aucun danger que la supériorité numérique passe aux Allemands. Nous pouvons donc considérer que ce que nous avons accompli suffit à la sécurité des Alliés comme à la nôtre, et nous en tenir à des envois de volontaires. — (Ed.) New York American, id. QUESTIONS ÉCONOMIQUES BLOCUS De Rio de Janeiro, 26.7. — On affirme dans les
surveillance onsae afin e les messages puissent être rapidement siaxtrte des projectiles. — Tribuna (ital.), 27.7. EFFECTIFS États-Unis. — La nouvelle de l'arrivée en France des troupes américaines donnera un choc à ceu qui, en prêtant leur appui à la campagne en faveur d 'augmentation de notre armée et de notre marine, songeaient uniquement à la défense du pys. Un nous disait alors que des dangers nous menaien e qu'il nous fallait être en mesure de y parer. Et jrd'h, nos navires sont dans la mer d'Irlande, e nos soldats sont en France. Ceux q soutenaient le programme militaire savaient-ils ce qui arriverait ? C sont des suppléments de Wall Street, ds gens qui sont dans le secret des dieux, et ils reconnaissent aujourd'hui qu'ils marchaient les yeux ouverts. Mais lrs ils trompaient le peuple ? Certainement. Et il ne cssr d'être trompé que l jour où, chez ns comme en Russie, 'en sera fait des gouvernements ocs et de la diplomatie secrète. — (Ed.) New York Calais, 29.6. — Nous avons tjrs soutenu que ls Étts-ns n devraient envoyer en Europe que des volontaires, 'ys rendant de leur epnli gré. Le résultat de la conscription fournit n argument de plus en faveur de cette politique. Le pys sait mntnnt qu'il assez de soldats pour se défendre contre n'importe quel agresseur, te cette assurance nous permet de la partir pour l'Europe ceux qui vdrnt s'y rndr. Mais nous n'y dvrns, en stricte équité, envoyer aucun Américain contre son r lI tes dailleurs inutile que nous le fassions. vc les ers que 'Angleterre garde inutilement chez elle, et avec tous les soldats qu'il serait possible de evr encore, dans ls colonies anglaises, et axu États-Unis, parmi ls sujets des Alliés, l n'y a aucun gdnera que la supériorité numérique passe Allemands. Nous pouvons donc oir que ce que nous avons accompli ufistf à la sré des Alliés comme à la nôtre, et nous en tenir à ds oisnve de volontaires. — (d.) New York American, id QUESTIONS ISUCMOENQÉO BLOCUS De R de Janeiro, 26.. — On affirme dans les
plus en faveur de cette politique. Le pays sait maintenant qu'il a assez de soldats pour se défendre contre n'importe quel agresseur, et cette assurance nous permet de laisser partir pour l'Europe ceux qui voudront s'y rendre. Mais nous n'y devrions, en stricte équité, envoyer aucun Américain contre son gré. Il est d'ailleurs inutile que nous le fassions. Avec les réserves que l'Angleterre garde inutilement chez elle, et avec tous les soldats qu'il serait possible de lever encore, dans les colonies anglaises, et aux États-Unis, parmi les sujets des Alliés, il n'y a aucun danger que la supériorité numérique passe aux Allemands. Nous pouvons donc considérer que ce que nous avons accompli suffit à la sécurité des Alliés comme à la nôtre, et nous en tenir à des envois de volontaires. — (Ed.) New York American, id. QUESTIONS ÉCONOMIQUES BLOCUS De Rio de Janeiro, 26.7. — On affirme dans les milieux politiques que le gouvernement brésilien va prendre la résolution d'augmenter encore l'exportation des minerais et des denrées alimentaires pour les États-Unis et de réduire en conséquence l'exportation à destination des pays neutres envers lesquels il usera de la même rigueur que les États-Unis. Si le gouvernement brésilien emploie ce procédé, c'est uniquement en vue de réprimer les abus commis dans ces mêmes pays où la réexportation pour l'Allemagne se pratiquait sur une vaste échelle. — Primeiro de Janeiro, 27.7. MARINE MARCHANDE Suède. — D'après une communication du « Collège du Commerce », les pertes totales de la Suède en navires, du fait de la guerre, s'élèvent à 136 unités, représentant un total d'environ 125.000 tonnes brutes. On compte 45 navires rien que pour la première moitié de l'année 1917, alors qu'on en comptait 53 pour toute l'année 1916. Des 136 navires coulés, 94 sont des vapeurs et 42 des voiliers. — Journaux suédois du 23.7. Allemagne. — L'annuaire du Nord deutsche Lloyd pour 1916/17 vient de paraître. Le directeur général Heinecken y publie un rapport remarquable sur l'activité en temps de guerre et les projets d'avenir de cette grande société maritime. Un certain nombre de ses navires ont été
plus en faveur de cette qu. Le pays sait maintenant ilq'u a assez d soldats pour se défendre contre n'importe quel agresseur et cette assurance nous prmt de laisser partir pour l'Europe ex uqi voudront s'y rendre. aMsi nous n'y nei,odrsv en stricte équité, envoyer aucun Acan contre son gré. Il est d'ailleurs que nous le fassions. Avec sel réserves que l'Angleterre garde inutilement chz el, t avec tous les soldats qu'il rat possible de lever encore, dans les colonies anglaises, et aux États-Unis, prm les sujets des léiA,ls l ' a aucun danger que la supériorité numérique passe x Allemands. Nous pouvons donc considérer que ce q nous voans accompli suffit à la sécrté e lés comme à la nôtr, et ns n tenir à des envois de volontaires. — (Ed.) New York American, id. QUESTIONS ÉCONOMIQUES BLOCUS D Rio de Janeiro, .27.6 — On affirme dans les milieux poltius que le gouvernement brésilien va prndr la résolution d'gmntr encore l'exportation des minerais t d denrées alimentaires pour les États-Unis et d réduire en ecnéensquoc l'exportation à dstntn pys neutres nvrs lesquels il usera de al mêe rigueur que les États-Unis. Si el gvrnmnt bie emploie ce procédé, cest uniquement en vue de réprimer les abus commis dans ces mêms pys où la réexportation pour l'Allemagne se pratiquait sur une vaste échelle. — Primeiro de Janeiro, 27.7. MRN MARCHANDE Suède. — D'après une communication du « Collège du Cmmrc », les etsrep totales de la ue en navires, du fa de la , s'lt à 136 unités, représentant un total d'environ 125.000 tonnes brutes. On me 45 navires rien que pour la première moitié de l'année 1917, alors qu'on en comptait 53 pour tueto l'année 1916. Des 136 navires coulés, 94 snt ds vapeurs et 42 des voiliers. Journaux suédois du 23.7. Allemagne. — L'annuaire du Nord deutsche Lloyd pr 1916/17 vnt d paraître Le directeur général Heinecken y publie un rpprt remarquable sur 'activité en temps de guerre et les projets 'avenir de cette grnd société maritime. Un certain nombre de ses navires été
procédé, c'est uniquement en vue de réprimer les abus commis dans ces mêmes pays où la réexportation pour l'Allemagne se pratiquait sur une vaste échelle. — Primeiro de Janeiro, 27.7. MARINE MARCHANDE Suède. — D'après une communication du « Collège du Commerce », les pertes totales de la Suède en navires, du fait de la guerre, s'élèvent à 136 unités, représentant un total d'environ 125.000 tonnes brutes. On compte 45 navires rien que pour la première moitié de l'année 1917, alors qu'on en comptait 53 pour toute l'année 1916. Des 136 navires coulés, 94 sont des vapeurs et 42 des voiliers. — Journaux suédois du 23.7. Allemagne. — L'annuaire du Nord deutsche Lloyd pour 1916/17 vient de paraître. Le directeur général Heinecken y publie un rapport remarquable sur l'activité en temps de guerre et les projets d'avenir de cette grande société maritime. Un certain nombre de ses navires ont été transformés en vaisseaux de guerre. Deux amènent du minerai de Suède. La direction a créé, d'autre part, en accord avec la Hamburg-Amerika-Linie, un bureau d'émigration à Kovno et à Varsovie, afin de diriger les habitants de ces contrées vers la Hollande, qui se charge de les transporter en Amérique sur des bateaux hollandais. Pour les territoires occupés par les Autrichiens, un semblable bureau a été établi à Myslowicz. Les frais sont à peine couverts, mais de cette façon le personnel du Lloyd n'est pas inoccupé. C'est pour cette raison aussi que la Société a obtenu du Xe corps d'armée le droit d'aménager et de ravitailler des camps de prisonniers ; elle s'occupe ainsi de 20 camps contenant environ 20.000 prisonniers. A Bremerhaven, ses installations techniques sont utilisées par l'armée. Enfin, les constructions continuent sur une vaste échelle et de fortes avances ont été faites aux divers chantiers. — Le directeur général Heinecken ne croit pas à une guerre économique après la guerre militaire. — Vorwarts. 26.7. FINANCES Les Belligérants. — Dans les tableaux des circulations de billets de banque, on peut établir trois catégories : celle des circulations débordantes, démesurées, dans laquelle viennent en tête la Russie et la France
procédé c'st uniquement en de réprimer les abus commis snad ces mêmes pays où la réexportation pour l'Almgne s pratiquait sur une vaste échelle. — Primeiro de eiro, 27.7. MARINE MARCHANDE Suède. 'aprs une communication du Collège u Commerce », les pertes totales de al Suède en navires, du ait de la grr, sélèvent à 136 unités, représntant un total 'environ 125.000 tonnes brutes On compte 45 navires rien que pour la première moitié de l'année 1917, alors qu'on en comptait pour toute l'année 1916. sDe 1 nres ul 94 sont des vaps et 42 d voiliers. — Journaux suédois du 37. Allemagne. — L'annuaire du Nd hsdeceut Lloyd pour 1916/17 vient de prîtr. Le reudeictr général Hnckn y publie un rapport remarquable r l'activité en temps de grr et les pojts 'avei de cette grande société maritime. n certain nombre d ses navires n té transformés n vaisseaux de grr. Deux amènent d minerai de Suède. La direction a éérc, d'autre part, en odrcac avec la Hamburg-Amerika-Linie, n bureau d'émigration à Kovno et à Varsovie, fn de diriger les hbtnts de ces contrées vers la Hollande, q s eragch de le transporter n Amérique sur des btx hollandais. Pr les ertoes occupés par s Autrichiens, un smblbl bureau été tab à Myslowicz. esL frais snt à nieep couverts, mais de ctt façon le personnel du Lloyd n'est pas iocc. C'est pou cette raison aussi que la écéotSi a obtenu Xe cosrp rdé'ame le droit d'aménager et de ravitailler des camps de prisonniers elle s'occupe ainsi de 20 a contenant environ 20.000 piser A Bremerhaven, es installations techniques sont utilisées par l'armée. Enfin ls constructions continuent sur une vaste échll et de fortes avances ont été faites aux divers chantiers. Le directeur général Heinecken ne croit pas à une grr économique après l guerre militaire. — Vorwarts 26.7. FINANCES Ls Belligérants. — snaD les tableaux des circulations ed slitleb de banque, pt établir trois catégories celle des circulations débordantes, démesurées, dans laquelle vnn en tête la sRiseu et la France
des bateaux hollandais. Pour les territoires occupés par les Autrichiens, un semblable bureau a été établi à Myslowicz. Les frais sont à peine couverts, mais de cette façon le personnel du Lloyd n'est pas inoccupé. C'est pour cette raison aussi que la Société a obtenu du Xe corps d'armée le droit d'aménager et de ravitailler des camps de prisonniers ; elle s'occupe ainsi de 20 camps contenant environ 20.000 prisonniers. A Bremerhaven, ses installations techniques sont utilisées par l'armée. Enfin, les constructions continuent sur une vaste échelle et de fortes avances ont été faites aux divers chantiers. — Le directeur général Heinecken ne croit pas à une guerre économique après la guerre militaire. — Vorwarts. 26.7. FINANCES Les Belligérants. — Dans les tableaux des circulations de billets de banque, on peut établir trois catégories : celle des circulations débordantes, démesurées, dans laquelle viennent en tête la Russie et la France ; celle des circulations de billets remplaçant la monnaie, notablement accrues, sans sortir cependant des limites de la prudence, mais avec tendance à la dépasser, ce dont il faut se garder ; c'est le cas de l'Italie. Enfin, il y a les États neutres, dont profitent du mal de tous les combattants, Pays Scandinaves, Espagne, Hollande, Suisse, avec une circulation de papier qui ne s'est pas étendue ou qui est restée stable par des réserves d'or extraordinaires, de plus en plus grandes. L'Angleterre est dans une situation spéciale : sa circulation est libre en ce sens que les billets de banque et d'État se changent en or, la masse de papier s'étant accrue, mais non pas au point d'excéder la possibilité du change. Les pays à inflation, la France et la Russie, méritent quelques considérations particulières. La France, en juillet 1914, avait une circulation de 6 milliards 912 millions avec une réserve métallique dépassant 4 milliards et demi ; aujourd'hui, elle a une circulation de billets de banque sur le point d'atteindre 20 milliards avec une réserve métallique de plus de 5 milliards et demi. Mais sa Banque est très forte, a un très grand crédit, le pays est très
esd bateaux hollandais Pr les rriis occupés par les Autrichiens, un smblbl bureau été établi Myocz. Les frais sont à peine couverts ms de cette façon le personnel d Lloyd n'est as inoccupé. C'st pour cette raison usais que é a ben du Xe corps darmée le droit d'méngr et de ravitailler des cmps de prisonniers ; elle 'occupe ainsi e 20 mpcsa contenant environ 20.000 prisonniers. A Bremerhaven, ses installations techniques sont utilisées par l'armée. Enfin le cnstructon continuent sur une vaste échelle t d frts avances ont t faites aux divers chantiers. — L directeur général Heinecken ne croit ps à une guerre économique après l guerre litire Vorwarts. 26.7. FINANCES Les Belligérants. — Dans lse tableaux des circulations de blle de banque, on peut établir trois ciegtraéso : celle des cilati débordantes, dmé, dans laquelle vnnnt en tête la Russie e l rcaFne ; celle ds circulations de billets remplaçant la monnaie, notablement ccrs, sans sortir cependant des limites de l prudence, mais avec tendance à la dépasser, ce dont il faut se garder ; c'est le cas de l'Italie. Enfin, il y a les États neutres, dnt profitent du mal d ts les combattants, Pays Scndnvs, Espagne, Hollande, Suisse, avec une circulation de papier qui n s'e pas étendue ou u st restée lbates par des réserves d'r extraordinaires, de plus en plus grandes. L'Angleterre est dans une situation pé : sa circulation est ie en ce sens que les billets de baqe et dÉtat se changent or, la masse de ppr s'étant ccr, mais non pas au point d'xcédr la pssblté du change. Les pays à inflation, la France et la Russie, méritent qlqs considérations particulières. La Frnc, juillet 1914, avait une circulation de 6 milliards 912 millions avec une réserve métallique dépassant 4 milliards et demi ; aujourdhui elle a une circulation de billets de banque sur le point d'atteindre 20 milliards avec une réserve métallique de plus de 5 milliards t demi Mais sa Banque est très forte, a un très grand crédit, e pays est très
les combattants, Pays Scandinaves, Espagne, Hollande, Suisse, avec une circulation de papier qui ne s'est pas étendue ou qui est restée stable par des réserves d'or extraordinaires, de plus en plus grandes. L'Angleterre est dans une situation spéciale : sa circulation est libre en ce sens que les billets de banque et d'État se changent en or, la masse de papier s'étant accrue, mais non pas au point d'excéder la possibilité du change. Les pays à inflation, la France et la Russie, méritent quelques considérations particulières. La France, en juillet 1914, avait une circulation de 6 milliards 912 millions avec une réserve métallique dépassant 4 milliards et demi ; aujourd'hui, elle a une circulation de billets de banque sur le point d'atteindre 20 milliards avec une réserve métallique de plus de 5 milliards et demi. Mais sa Banque est très forte, a un très grand crédit, le pays est très riche, le budget de l’État se renforce par les nouveaux impôts, les emprunts affluent et, grâce à la vente des titres étrangers, le change se maintient dans des limites qui ne sont pas effrayantes, excepté avec l’Espagne où le franc perd presque trente centimes. Mais l’circulation en Russie va de mal en pis. Avant la guerre, sa Banque avait 4 milliards 358 millions de billets avec une réserve métallique de plus de 4 milliards 400 millions. Aujourd’hui, la circulation dépasse 31 milliards et la réserve métallique est diminuée ; elle est de 4 milliards 274 millions. C’est un vrai déluge de papier garanti par les richesses futures, de même que les emprunts anciens et nouveaux. À la démocratie sociale russe s’impose ce dilemme : Se dégager des assignats par une forte politique d’impôts et d’emprunts ou tomber dans les désastres de la révolution française, en proportions bien plus grandes, comme il arrive aujourd’hui en tout phénomène financier, qui acquiert des proportions gigantesques, incroyables. — (Luigi Luzzati) Sole, 25.7. Russie. De New-York nous arrive une nouvelle sensationnelle et qui, il faut l’espérer du moins, incitera les hommes d’État européens à la réflexion. Il y a quelque temps le bruit courait que
les combattants, Pays Scndnvs, sagn, Hollande, Sss, vc une circulation de papier qui ne s'est pas étendue ou qui est restée stable pr des réserves 'ord extraordinaires, de plus en plus grandes. L'Angleterre est dans une situation spéciale : sa ccaion est libre en ce sens que les blets de banque et d'État se changent en or, l masse de papier s'étant accrue i nno pas point 'excéder la possibilité du change. Les pays à inflation, la France et la Rusi, mértnt ulu ondérs particulières. La France, n juillet 1914, avait une circulation de 6 milliards 912 millions avec une réserve métallique dépassant 4 milliards et demi aujourdhui elle a n circulation de billets de banque sur le point d'atteindre 20 milliards avec une résrv métallique d plus de 5 milliards et demi. Ms sa Bnq est très frt, a un très grand ricét,d le apys est très riche, e budget de l’État se renforce par les nouveaux impôts, les emprunts affluent et, grâce à l envet des titres étrngrs, el change se tmnatneii dans des limites q ne sont pas effrayantes, xcpté avec l’Espagne où l franc erd res trente centimes. Mais l’circulation en Russie va de mal en pis. Avant la guerre, sa Banque avait mllrds 358 millions de billets avec une réserve métallique de plus de 4 milliards 400 millions Aujourdhui l circulation dépasse 31 milliards t la réserve métallique est diminuée ; ele est de 4 milliards 274 millions. C’est un vrai déluge de papier garanti pr les richesses futures, de mêm que les emprunts anciens et nouveaux. À démocratie sociale rss ’impose ce dilemme : S dégager des assignats par n forte politique dimpôts et d’emprunts mbe dans les désastres de l révolution française, e proportions bien plus grandes, comme il rri aujourd’hui en tout phénomène ni,cnrefia qui acquiert sed proportions gigantesques, incroyables. — (Luigi Luzzati) Sole, 25.7. Russie. De New-York nous arrive une nouvelle sensationnelle et qui, il faut ’eer du moins, incitera les hommes d’État européens à la réflexion. Il y a qlq temps le bruit courait q
mal en pis. Avant la guerre, sa Banque avait 4 milliards 358 millions de billets avec une réserve métallique de plus de 4 milliards 400 millions. Aujourd’hui, la circulation dépasse 31 milliards et la réserve métallique est diminuée ; elle est de 4 milliards 274 millions. C’est un vrai déluge de papier garanti par les richesses futures, de même que les emprunts anciens et nouveaux. À la démocratie sociale russe s’impose ce dilemme : Se dégager des assignats par une forte politique d’impôts et d’emprunts ou tomber dans les désastres de la révolution française, en proportions bien plus grandes, comme il arrive aujourd’hui en tout phénomène financier, qui acquiert des proportions gigantesques, incroyables. — (Luigi Luzzati) Sole, 25.7. Russie. De New-York nous arrive une nouvelle sensationnelle et qui, il faut l’espérer du moins, incitera les hommes d’État européens à la réflexion. Il y a quelque temps le bruit courait que la Russie avait dû mettre en gage une partie de ses côtes de la Baltique en garantie d’un emprunt consenti par l’Angleterre, mais ce bruit fut démenti comme une invention ridicule et calomnieuse pour les rapports entre les Alliés. À présent, le ministre du Commerce russe a proposé de remettre à un consortium de financiers américains une partie de la côte de l’île Sakhaline que la Russie possède encore en commun avec le Japon, en vue de la recherche et de l’extraction du pétrole et du charbon. En outre, la Russie cède aux Américains des mines d’or à Altaï, en Sibérie, des mines de cuivre dans le Caucase et des mines de fer dans l’Oural. On qualifie ces concessions de sagesse politique et de haute nécessité. Il s’agit de garanties pour des emprunts accordés par l’Amérique, mais nous pensons que plus d’un homme d’État européen frissonnera en lisant ces nouvelles. Voilà donc les conséquences du fait d’accepter de l’argent de l’Amérique, et nous ne sommes qu’au début de la mise en gage des richesses naturelles de l’Asie russe. À quand le tour de l’Europe? — Social-Demokraten (dan.), 16.7. POLITIQUE GÉNÉRALE ET DIPLOMATIE La rupture du Siam et de l’Allemagne. —
mal en pis. Avant la erre sa Banque avait 4 milliards 358 millions de billets avec une réserve métallique de plus de 4 milliards 400 millions. Aor’ la circulation dépasse 31 milliards e la réserve métallique est diminuée ; elle est de 4 milliards 274 mllns. C’est un vrai déluge de papier gart par les richesses ues de même que les emprunts anciens et nouveaux. À la démocratie sociale rss sse ce dilemme : Se dégager des ssgnts par une forte politique d’impôts et ’mprut tomber dans s désastres de la révolution française, en proportions bien plus grandes, comme il arrive aujourd’hui en tout phénomène financier, qui auer des proportions gigantesques, incroyables. — (Lg Luzzati) Sole, 25.7. Russie. D NewYork nous arrive une nouvelle sensationnelle et qui, il faut ér du moins, triiaecn les hommes ’État européens à la réflexion. Il y a quelque temps le bruit courait que la Russie avait dû mettre en gage n partie de ses côtes de la Baltique en garantie d’un emprunt consenti par l’ngltrr, mais ce bruit ft én comme n invention ridicule et calomnieuse pour les rapports entre les lA.ésli À présent, le ministre du Commerce russe a proposé de remettre un consortium de financiers américains une ipatre de la côte de l’île Sakhaline que la Russie possède en en commun veac le Japon, n vue de la recherche et de l’extraction du pétrole et du chrbn. En outre, al Russie cèd aux Américains des mines d’or à Altaï, en Sibérie, des mines d cuivre dns l Cucas et des mines de fer dans l’Oural. On qualifie ces cncssns de sagesse politique et de ht nécessité. Il s’gt d garanties or des emprunts accordés par l’Amérique, mais nous pensons que plus d’un homme Éta européen frissonnera en lisant ces nouvelles. Voilà donc les cnséqncs du fait d’accepter de l’argent de l’Amérique, et nous ne sommes qu’au début de l mise en gage des iesrcsshe naturelles de l’Asie russe. À aqdnu le tour de l’Europe? — Social-Demokraten (dn), 16.7. POLITIQUE GÉNÉRALE ET DIPLOMATIE La rupture du Siam et d l’Allemagne. —
à un consortium de financiers américains une partie de la côte de l’île Sakhaline que la Russie possède encore en commun avec le Japon, en vue de la recherche et de l’extraction du pétrole et du charbon. En outre, la Russie cède aux Américains des mines d’or à Altaï, en Sibérie, des mines de cuivre dans le Caucase et des mines de fer dans l’Oural. On qualifie ces concessions de sagesse politique et de haute nécessité. Il s’agit de garanties pour des emprunts accordés par l’Amérique, mais nous pensons que plus d’un homme d’État européen frissonnera en lisant ces nouvelles. Voilà donc les conséquences du fait d’accepter de l’argent de l’Amérique, et nous ne sommes qu’au début de la mise en gage des richesses naturelles de l’Asie russe. À quand le tour de l’Europe? — Social-Demokraten (dan.), 16.7. POLITIQUE GÉNÉRALE ET DIPLOMATIE La rupture du Siam et de l’Allemagne. — Le Siam parait vouloir suivre l’exemple du Brésil, de Costa-Rica, du Honduras et de Saint-Domingue et se mettre en guerre contre nous. Il se peut, au demeurant, que les mêmes atermoiements se prolongent à Bangkok et à Rio et que l’on s’en tienne à la mesure qui intéresse le plus les Anglais, à savoir à la saisie des navires de commerce allemands immobilisés dans les ports siamois, ainsi qu’à l’arrestation de tous les Allemands en résidence au Siam. Le plus sûr est cependant pour nous de nous placer devant le fait accompli, et d’admettre que le Royaume de l’Éléphant blanc, enclavé entre la Birmanie britannique et l’Annam français, a cédé à la pression de nos ennemis. Il nous faut, une fois de plus, constater le succès remporté contre nous par la coalition adverse, en détachant de notre amitié, à grand renfort de calomnies, un État sur le développement duquel, en épitaphe du voisinage franco-anglais, influence allemande s’était affirmée prépondérante. Les constructions de chemins de fer, depuis de longues années, étaient concédées, au Siam, à des Compagnies allemandes, et sur les 2-000 étrangers qui y résidaient à la veille de la guerre, on comptait 250 Allemands. Durant ses deux voyages en
à n consortium de financiers américains une pre ed la côte d l’île Sakhaline que la Russie possède encore en commun avec le Japon, en vue al recherche de l’extraction du pétrole et du charbon. En outre la Russie cède aux Américains des mines d’or à Altaï, en Sibérie, des mines ed cuivre dans le Caucase et des mines fer dans ’Oural. On qualifie ces concessions de sagese politique et de haute nécessité. Il s’agit de garanties pour des emprunts rcdacoés par l’Amérique, mais nous pensons que plus d’un om d’Étt européen frissonnera en lisant ces nouvelles. Voilà donc les conséquences du fait d’accepter de largent d l’Amérique, et nous ne sommes qu’au débt de la mise en gage des richesses tunrsealle de l’Asie russe. À quand le tr de l’Europe? — SocialDemokraten (dan 16.7. POLITIQUE ÉRL ET DIPLOMATIE La rupture du Siam et de l’Allemagne. — Le Siam parait vouloir suivre epxelm’le du Brésl, de Costa-Rica, du Honduras et de Saint-Domingue et se mr en guerre contre nous. Il se peut, au demeurant, que les mêmes atermoiements s prlngnt à Bangkok et à Rio et que l’on s’en tienne à la mesure i intéresse le plus sle Anglais, à savoir à la saisie des navires de commerce sadamlnel immobilisés dns ports siamois, ainsi uà’q l’arrestation de t les Allemands en résdnc au Siam. Le plus sûr est cependant pour nous de nous placer devant le fait cplo,iamc et d’admettre que aume de l’Éléphnt blanc, enclavé entre la Birmanie britannique et l’Annam français, a cédé à la pression d nos ennemis. Il nous faut une ifos de ls,pu constater l succès remporté contre nous par la coalition adverse en déaca de notre amitié à grand renfort de clmns, un État sur l développement duquel, en paetihép du voisinage franco-anglais, inlnc allemande s’était affirmée prépondérante. Les constructions de chemins de fr, depuis de longues années, étaient concédées, au Siam, à des Compagnies allemandes, et r les 2-000 étrangers qui y résidaient à la veille de la guerre, n comptait 250 llmnds. Durant ses deux voyages en
les Anglais, à savoir à la saisie des navires de commerce allemands immobilisés dans les ports siamois, ainsi qu’à l’arrestation de tous les Allemands en résidence au Siam. Le plus sûr est cependant pour nous de nous placer devant le fait accompli, et d’admettre que le Royaume de l’Éléphant blanc, enclavé entre la Birmanie britannique et l’Annam français, a cédé à la pression de nos ennemis. Il nous faut, une fois de plus, constater le succès remporté contre nous par la coalition adverse, en détachant de notre amitié, à grand renfort de calomnies, un État sur le développement duquel, en épitaphe du voisinage franco-anglais, influence allemande s’était affirmée prépondérante. Les constructions de chemins de fer, depuis de longues années, étaient concédées, au Siam, à des Compagnies allemandes, et sur les 2-000 étrangers qui y résidaient à la veille de la guerre, on comptait 250 Allemands. Durant ses deux voyages en Allemagne, le souverain lui-même avait pu mesurer notre force, et rien de ce qui justifie la réputation de l’ingénieur allemand, rien de ce qui fonde les succès du négociant allemand n’était ignoré à Bangkok. Le revirement dont nous sommes victimes au Siam, depuis la monopolisation des câbles par l’Angleterre et la rupture de toute relation directe entre l’empire asiatique et l’Allemagne, était peut-être inévitable. Il nous était devenu impossible de réfuter les mensonges colportés contre nous et de divulguer la réalité de nos prodigieux succès sur terre et sur mer. Une conséquence fatale de notre imprévoyance du temps de paix devait être, depuis le début de la guerre, la défiance conçue à notre égard par tous les neutres qui n’avaient pas avec nous de relations directes. Nous avons ignoré l’art d’exercer et d’étendre la propagande intellectuelle, et, comptant sur l’effet de nos seuls mérites, nous avons dédaigné, par scrupule de loyauté, de suivre les exemples que nous donnaient la faconde française et l’outrecuidance britannique. Avant nous sommes négligé de mesurer, en temps utile, l’action de la presse et du livre, nous ne pouvons, dans le tumulte de la guerre, réparer opportunément les préjudices d’une si grave omission. — Leipz. NstNachr.,
les Anglais, à savoir à la saisie ds navires de commerce allemands immobilisés dans les ports siamois, ainsi qu’à l’arrestation de tous les Allemands n résidence au Siam. e plus sûr est cependant pour nous de nous placer devant le fait accompli et d’admettre que le Rym de l’Éléphant blanc, enclavé ntr la Binie britannique et lAnnam français, a cédé à la pression de nos ennemis. Il nous faut, une fois de plus, coste le succès remporté contre nous par l coalition adverse en détachant de notre amitié, à grand enfo de calomnies, un État sur le développement duquel, en épitaphe du voisinage franco-anglais, influence allemande s’était affirmée prépondérante. Les constructions de chemins de fer, depuis de longues années, étaient cncédés, au Siam à des Compagnies allemandes, et sur les 2-000 étrangers qui y résidaient à la vll de la guerre, on comptait 250 Allemands. Durant ses deux voyages en Allemagne, e souverain lui-même avait pu mesurer notre force, et rien de ce qui justifie l réputation de l’ingénieur allemand, rien de c qui fonde ls succès d négociant allemand nétait ignoré à agk Le revirement dont nous sommes victimes au Siam, depuis la monopolisation ds câbles par l’Angleterre et la rupture de toute relation directe entre l’empire asiatique et l’Allemagne, était peut-être inévitable. Il nous ai devenu impossible d réfuter les mensonges colportés rtncoe nous et de divulguer la réalité de nos prodigieux succès sur terre et sur mer. Une conséquence fatale d ntr imprévoyance du temps de paix devait êtr, depuis le débt de la gue, la défiance conçue à notre égard par tous les neutres uqi n’avaient pas avec nous de relations directes. Nous avons ignoré lart d’exercer et d’étendre la propagande intellectuelle, et, comptant sur l’effet d ns seuls mérites, nous avons dédaigné, par scrupule de loyauté, de suivre les exemples que nous ateinnond la faconde fraaie et l’outrecuidance britannique Avant nous so négligé e mesurer, en temps utile, l’action de presse et du livre, nous ne puvns dans le tumulte de l guerre, rprr opportunément les préjudices dune si grave omission. — Leipz. NstNchr.,
la rupture de toute relation directe entre l’empire asiatique et l’Allemagne, était peut-être inévitable. Il nous était devenu impossible de réfuter les mensonges colportés contre nous et de divulguer la réalité de nos prodigieux succès sur terre et sur mer. Une conséquence fatale de notre imprévoyance du temps de paix devait être, depuis le début de la guerre, la défiance conçue à notre égard par tous les neutres qui n’avaient pas avec nous de relations directes. Nous avons ignoré l’art d’exercer et d’étendre la propagande intellectuelle, et, comptant sur l’effet de nos seuls mérites, nous avons dédaigné, par scrupule de loyauté, de suivre les exemples que nous donnaient la faconde française et l’outrecuidance britannique. Avant nous sommes négligé de mesurer, en temps utile, l’action de la presse et du livre, nous ne pouvons, dans le tumulte de la guerre, réparer opportunément les préjudices d’une si grave omission. — Leipz. NstNachr., 26.7. BUTS DE LA GUERRE Bulgarie. — Réplique à l’article de M. Rizov [Cf. Bull. n° 500, p. 2, c. 3]. Les preuves historiques de M. Rizov sont sans portée et les arguments qu’il tire des temps modernes ne sont malheureusement pas plus convaincants. Il cite un quarteron de noms d’auteurs qui auraient affirmé le caractère foncièrement bulgare de la population macédonienne. Mais parmi ceux même qu’il cite, plusieurs, Schafarik, Niederle, Khondakov sont défavorables à sa thèse. Et quand on lui concéderait tout son quarteron d’autorités, M. Rizov ne ruine-t-il pas lui-même leur témoignage en notant que la plus récente est de l’an 1877 ? Nous sommes en 1917. Depuis, l’ethnographie balkanique a fait des progrès. Le célèbre slaviste Iazitsch a déclaré que le dialecte macédonien représente la transition entre le serbo-croate et le bulgare. Les Autrichiens Hron (1890) et Sax (1908) se sont exprimés d’une manière analogue, et leur compatriote Chlumecky a dit en 1907 du peuple macédonien qu’il est assez peu serbe pour être revendiqué par les Bulgares et assez peu bulgare pour pouvoir passer pour serbe. Gelzer, le célèbre byzantiniste et balkanologue allemand, écrivait en 1900 qu'« on est tenté de rire quand on voit les savants
la rupture de toute relation directe entre lempire asiatique et ’Allemagne, était peut-être inévitable. Il nus était devenu impossible de réftr les mensonges clprtés contre nous et de divulguer l réalité de nos prdgx succès sur terre e sur mer. Une conséquence fatale de notre imprévoyance du temps de paix devait être, depuis le udétb de la guerre, la défiance cnç notre égard par tous les neutres qui n’avaient pas vc nous de relations directes. Nous noasv ignoré l’art dexercer et d’étendre la propagande intellectuelle, et, comptant ur l’effet de nos seuls mérts, nous avons dédaigné, par scrpl de loyauté, de sir les exemples que nous donnaient faconde frnçs et l’truiance britannique. vat uson sommes négligé e mesurer, en temps utile ’action de la presse et du livre, nous ne pouvons, dans le tumulte de la guerre, réparer pprtnémnt les réjudice d’une grave omission. Leipz. NstNachr 26.7. BTS DE LA GUERRE Bulgarie. Réplique à l’article de M. Rizov [Cf. Bull. n° 500, p. 2, c. 3]. Les preuves historiques de . izov sont sans portée te les arguments quil tire ds temps modernes ne sont malheureusement pas plus convaincants. Il cite n quarteron ed noms d’auteurs qui rnt ffrmé le caractère foncièrement bulgare de la pulin macédonienne. Mais parmi ceux même qu’il cite, plusieurs, hfk, Niederle, Khondakov sont défavorables sa tesèh. Et and on lui concéderait tout son qrtrn d’autorités, Rizov ne nei pas lui-même lr témoignage en notant que la plus récente e ed ’an 1877 ? Nous eomsms n 1917 Depuis, l’ethnographie balkanique a ft des progrès. Le célèbre slaviste Iazitsch a déclaré que l dialecte macédonien eretpsréen la transition ntr el serbocroate et le blgr. Les Autrichiens Hron (1890) t Sax (1908) se sont isxmperé d’n manière analogue, et leur compatriote Chlumecky a dit 1907 du peuple macédonien quil est assez pe serbe pour être revendiqué pr les Bulgares et assez bulgare pour pouvoir passer pour serbe. Gelzer, le célèbre byzantiniste t balkanologue edl,nmaal écrvt ne 1900 qu'« on set tenté de rire quand on voit esl savants
d’auteurs qui auraient affirmé le caractère foncièrement bulgare de la population macédonienne. Mais parmi ceux même qu’il cite, plusieurs, Schafarik, Niederle, Khondakov sont défavorables à sa thèse. Et quand on lui concéderait tout son quarteron d’autorités, M. Rizov ne ruine-t-il pas lui-même leur témoignage en notant que la plus récente est de l’an 1877 ? Nous sommes en 1917. Depuis, l’ethnographie balkanique a fait des progrès. Le célèbre slaviste Iazitsch a déclaré que le dialecte macédonien représente la transition entre le serbo-croate et le bulgare. Les Autrichiens Hron (1890) et Sax (1908) se sont exprimés d’une manière analogue, et leur compatriote Chlumecky a dit en 1907 du peuple macédonien qu’il est assez peu serbe pour être revendiqué par les Bulgares et assez peu bulgare pour pouvoir passer pour serbe. Gelzer, le célèbre byzantiniste et balkanologue allemand, écrivait en 1900 qu'« on est tenté de rire quand on voit les savants slaves s'exciter sur le point de savoir si certains cantons de la Macédoine orientale sont bulgares ou serbes ; la population elle-même n'en sait rien. » M. Rizov n'a pas pu trouver un savant impartial, ayant écrit depuis 1877, qui ait reconnu le pur bulgarisme des Macédoignes. L'argument tiré du « plébiscite » ne vaut pas mieux. Pressurés par la prétraille phanariote, les Slaves obtinrent en 1870 le firman qui instituait l'exarchat bulgare. Par milliers les Serbes de Turquie adhérèrent au schisme : en se ralliant à l'exarchat ils ne se prononçaient ni pour l'Etat bulgare, qui n'existait pas encore, ni pour le bulgarisme, mais seulement pour la liturgie slave et contre l'exploitation par le patriarcat oecuménique. Enfin, pour ce qui est de l'accord serbobulgare du 13 mars 1912, la Serbie n'y a nullement, comme l'affirme M. Rizov, reconnu toute la Macédoine comme sphère bulgare : elle n'a concédé aux Bulgares que le droit sur les territoires situés à l'est de la Strouma et du Rhodope. La zone contestée ne comprenait pas comme écrit M. Rizov « une partie dans le Nord » : elle s'étendait à tout le domaine compris entre le Schardagh, le lac d'Ohrida, la mer Egée
d’auteurs qui arae affirmé le caractère foncièrement bulgare de la population macédonienne. Mais parmi ceux même qu’il cite, plsrs, Schafarik, Niederle, Khondakov sont défavorables à sa thèse. Et quand on lui concéderait tout quarteron d’autorités, M. Rizov ne ruinetil pas lui-même leur témoignage en nott que la lus récnt est de l’an 1877 ? Nous sommes en 1917. Dps, l’ethnographie balkanique fait des progrès. Le célèbre slaviste Izih a déclaré que le dialecte macédonien représente la transition entre le serbo-croate et le bulgare. Les Autrichiens Hrn (1890) et Sax (1908) se sont exiéspmr ’une manière analogue, et leur compatriote Chlumecky a dit en 1907 du peuple médnn qu’il st assez peu serbe pour être revendiqué par les Bulgares et assez peu blgr pour pouvoir passer pour serbe. Gelzer, le célèbre byatn et balkanologue allemand, écrivait en 1900 qu' on est tenté de rire quand on voit les savants slaves s'exciter rsu le point de savoir si certains cantons de la Macédoine orientale sont bulgares ou serbes ; la population ele-ême n'en sait rien. » M Rizov n'a pas pu trouver savant impartial, ayant écrit depuis 1877, qui ait reconnu le pur mrgsbeiaul des Macédoignes. 'argument réit du « péiscit » ne vaut pas mieux. Pressurés par la prétraille phanariote, les Slaves obtinrent en 1870 le firman qui instituait 'exarchat bulgare. Pr milliers les Serbes de Turquie adhérèrent au schisme : en se rllnt à l'exarchat ils ne se prononçaient ni pour l'Etat bulgare, qui n'existait pas ncr, ni pour le blgrsm, mais seulement pour la liturgie slave et contre 'exploitation pr le patriarcat oecuménique. Enfin, pour ce qui est e l'ccrd rregbaousleb du 13 mars 1912, l Serbie n'y a nullement, comme l'affirme M. Rizov, reconnu toute la Macédoine comme he bulgare : elle na concédé aux Bulgares q le droit sur les territoires ué à l'est de la Strouma et du Rhodope. La zone contestée ne comprenait pas comme écrit M. Rizov « une partie dans le Nord » : elle s'étendait à tout le domaine compris entre le Schardagh, le lac d'Ohrida, la mer Egée
« plébiscite » ne vaut pas mieux. Pressurés par la prétraille phanariote, les Slaves obtinrent en 1870 le firman qui instituait l'exarchat bulgare. Par milliers les Serbes de Turquie adhérèrent au schisme : en se ralliant à l'exarchat ils ne se prononçaient ni pour l'Etat bulgare, qui n'existait pas encore, ni pour le bulgarisme, mais seulement pour la liturgie slave et contre l'exploitation par le patriarcat oecuménique. Enfin, pour ce qui est de l'accord serbobulgare du 13 mars 1912, la Serbie n'y a nullement, comme l'affirme M. Rizov, reconnu toute la Macédoine comme sphère bulgare : elle n'a concédé aux Bulgares que le droit sur les territoires situés à l'est de la Strouma et du Rhodope. La zone contestée ne comprenait pas comme écrit M. Rizov « une partie dans le Nord » : elle s'étendait à tout le domaine compris entre le Schardagh, le lac d'Ohrida, la mer Egée et le Rhodope. La seconde guerre balkanique est née de ce que la Bulgarie n'a pas voulu accepter comme convenu l'arbitrage du tsar quand la Serbie, écartée de l'Adriatique par la Conférence de Londres, demanda une révision de l'accord. Un diplomate bulgare énumérant les fautes de son pays s'est exprimé ainsi : « Le monde a été surpris de voir que nous ne voulions faire aucune concession en Macédoine aux Serbes et aux Grecs, alors que nous prétendions à toute la Thrace et que nous étendions nos frontières jusque sous les murs de Constantinople. Ces ambitions nous ont aliénés tous les esprits libéraux de l'Europe ». Ce diplomate était M. Rizov en personne. (Il. Wendel) Vorwärts, 26.7. RAPPORTS ENTRE ALLIES Conférence de Paris des 25-26 juillet. — La gravité du moment confère une importance toute spéciale à la Conférence de Paris. Étant donnée la tournure des événements de Russie, il est éminemment opportun que les hommes d'État et les chefs militaires des trois grandes Puissances occidentales examinent la situation. La solidarité de l'Italie, de la France et de l'Angleterre avec la Russie, alors que celle-ci traverse une si redoutable crise, reste inébranlable. La démocratie russe n'est pas directement représentée à
« plébiscite » ne vaut pas mx. Prssrés pr la prétraille phanariote, les Slvs obtinrent en 1870 le firman qui nsttt l'exarchat bulgare. Par milliers les Serbes de Turquie adhérèrent schisme : en se ralliant à l'exarchat ils ne se prononçaient ni pour l'Etat bulgare, qui n'existait pas encore, ni pour le bulgarisme, as seulement pour l liturgie le et contre l'xplttn par le patriarcat oecuménique. Enfin pr ce u est de laccord serbobulgare du 13 mrs 1912, la Serbie n'y a nullement comme l'affirme . Rizov, reconnu toute la Macédoine comme sphèr bulgare : elle n' concédé aux Bulgares que le droit sur les territoires situés à l'est de la Strouma et du dRe.opoh La zone contestée ne comprenait pas comme écrit M. Rzv « n partie dans le Nord » : elle s'étendait à tout le domaine compris entre le Schardagh, le lac d'hrd, la mer Egée et le Rhodope. La seconde guerre balkanique est née de ce que a Blgr n' pas voulu accepter comme convenu l'arbitrage du tsar qnd la Serbie, écartée de 'Adriatique par la Conférence de Londres, demanda une révision l'accord. Un diplomate agurlbe énumérant les fautes de son pays s'est exprimé ainsi : « L monde a été surpris de voir que nous ne voulions faire aucune concession en Macédoine aux Serbes et aux Grecs, alors que nous nenétsordpi à toute la Thrace et que nous étendions nos frontières jsq sous les mrs de Constantinople. Ces ambitions nous ont aliénés tous les s libéraux de l'Europe ». Ce dlmte itéat M. i en personne. (Il. Wendel) ätwor,Vrs 26.7. RAPPORTS ENTRE ALLIES Conférence de Paris des 2526 juillet. — La gravité d moment cnfèr une importance toute spéciale à la Conférence d Paris. Étant donnée la tournure des événements d Rse, il est éminemment opportun que les hommes d'État et les chefs militaires des trs grnds uns occidentales examinent la situation. La solidarité de l'Italie, de la ance et d l'Angleterre avec la Russie, alors que celle-ci trvrs une si redoutable crise reste inébranlable. La démcrt rss n'est pas directement représentée à
ainsi : « Le monde a été surpris de voir que nous ne voulions faire aucune concession en Macédoine aux Serbes et aux Grecs, alors que nous prétendions à toute la Thrace et que nous étendions nos frontières jusque sous les murs de Constantinople. Ces ambitions nous ont aliénés tous les esprits libéraux de l'Europe ». Ce diplomate était M. Rizov en personne. (Il. Wendel) Vorwärts, 26.7. RAPPORTS ENTRE ALLIES Conférence de Paris des 25-26 juillet. — La gravité du moment confère une importance toute spéciale à la Conférence de Paris. Étant donnée la tournure des événements de Russie, il est éminemment opportun que les hommes d'État et les chefs militaires des trois grandes Puissances occidentales examinent la situation. La solidarité de l'Italie, de la France et de l'Angleterre avec la Russie, alors que celle-ci traverse une si redoutable crise, reste inébranlable. La démocratie russe n'est pas directement représentée à la réunion ; il n'en est pas moins certain qu'on envisage à la Conférence la nécessité d'aider par tous les moyens Kerensky et Broussilov. Le gouvernement russe voudrait qu'au cours d'une nouvelle et prochaine Conférence on procédât à une revision des buts de guerre de l'Entente ; ce désir ne trouble nullement les gouvernements des Puissances occidentales ; celles-ci en effet et, avec elles, l'Amérique n'ont aucune ambition impérialiste ; le but suprême pour lequel elles luttent est la libération du monde. Les buts impérialistes, ce sont les Empires centraux qui les poursuivent. C'est pourquoi les Alliés d'Occident jugent que ce qui est nécessaire et urgent à l'heure actuelle, ce n'est pas de revoir les buts de guerre, mais de trouver les moyens les plus propres à aider loyalement et fraternellement la Russie. Cette volonté unanime des Italiens, des Français et des Anglais se manifeste à la Conférence et dans les conversations fréquentes que tiennent les ministres et les chefs militaires. — (V. Vittori) Giornale d'Italia, 27.7. — Les conclusions de la Conférence, en ce qui concerne la péninsule balkanique et le problème balkanique, doivent, à notre avis, s'inspirer des deux principes suivants : 1° l'existence de la monarchie danubienne
ainsi : « Le monde a été surpris de voir que nous ne voulions faire aucune concession en Macédoine aux Serbes et x Grcs, alors q nous onsndéripte à toute la Thrace et que nous ontéineds nos frontières jusque ss les murs de Constantinople. Ces ambitions nous ont aliénés tous les esprits libéraux de l'Europe ». Ce diplomate étt M. Rizov en personne. (l. Wendel) Vorwärts, 26.7. RAPPORTS ENTRE ALLIES Conférence ed Paris des 25-26 juillet. — La gravité du moment confère une importance toute spécia à la Conre de Paris. Étant doneén la tournure des événements de Russie, il est éminemment opportun que les hommes 'État t les chefs militaires des trois grandes Puissances ocdenes naemteinx la situation. La solidarité de l'Italie, la France et de l'Angleterre avec la Russie, alors que ele-i traverse une s redoutable crise, reste inébranlable. La démocratie russe n'est pas directement représentée à la réunion ; il ne'n es pas moins certain q'n envisage à la Conférence la nécssté d'aider par tous les moyens Kerensky et Broussilov. L gouvernement russe voudrait qu'au cours d'une nouvelle et prochaine ofenc on procédât à une iiersvon des buts de guerre de l'Entente ; ce désir ne trouble nullement les gouvernements des Puissances occidentales ; celles-ci en fe et, avec elles, l'Amérique 'nont aucune ambition ipéiate ; le but suprême pour lequel elles luttent est la libération du monde. Les buts impérialistes, ce sont les Empires centraux qui les poursuivent. C'est pourquoi les Alliés ccn jugent que ce qui est nécessaire et urgent à l'heure actuelle, ce nest pas de revoir les buts d guerre, ma de rroteuv les moyens les plus propres à der loyalement et fraternellement la Russie. Cette volonté unanime ds Italiens, ds Français e ds Anglais se manifeste à la Conférence et dans les conversations fréquentes que tiennent les ministres et les chefs militaires. — (V. Vitoi Giornale d'Italia, 27.7. — Les cnclsns de la Conférence, en ce i concerne la péninsule balkanique et le problème balkanique, doivent, notre avis, s'inspirer des deux principes suivants : 1° l'existence de la mnrch danubienne
trouble nullement les gouvernements des Puissances occidentales ; celles-ci en effet et, avec elles, l'Amérique n'ont aucune ambition impérialiste ; le but suprême pour lequel elles luttent est la libération du monde. Les buts impérialistes, ce sont les Empires centraux qui les poursuivent. C'est pourquoi les Alliés d'Occident jugent que ce qui est nécessaire et urgent à l'heure actuelle, ce n'est pas de revoir les buts de guerre, mais de trouver les moyens les plus propres à aider loyalement et fraternellement la Russie. Cette volonté unanime des Italiens, des Français et des Anglais se manifeste à la Conférence et dans les conversations fréquentes que tiennent les ministres et les chefs militaires. — (V. Vittori) Giornale d'Italia, 27.7. — Les conclusions de la Conférence, en ce qui concerne la péninsule balkanique et le problème balkanique, doivent, à notre avis, s'inspirer des deux principes suivants : 1° l'existence de la monarchie danubienne serait toujours une grave menace pour la liberté et pour l'existence même des petits peuples ; 2° les aspirations de l'Italie, loin de menacer l'existence et le droit d'autres nations, sont parfaitement conciliables avec cette existence et ce droit. Nous aimons surtout à croire que l'on a pris des décisions en conséquence : dans les pays alliés, où l'on constate la survivance d'une sympathie traditionnelle pour l'Autriche, on devra s'appliquer à populariser l'idée qu'il est nécessaire de détruire le vieil Empire oppresseur ; quant aux peuples destinés à recueillir l'héritage autrichien, ils devront établir entre eux des ententes préventives, pour que chacun d'eux se sente garanti contre tout péril et toute menace, dans l'avenir. Le moment est venu pour l'Italie de se mettre à la tête des peuples intéressés à la destruction de l'Empire austro-hongrois. Le moment est venu pour l'Entente de prouver clairement qu'elle a finalement compris que le meilleur moyen pour désarmer l'Allemagne est de la priver de son dangereux sicaire. Nous ne nous dissimulons pas qu'il est plus difficile d'aboutir à une paix rapide, si l'on pose comme condition préliminaire le démembrement de la monarchie austro-hongroise ; mais les peuples de l'Entente, malgré les illusions que l'insidieuse
trouble nullement les ouvts des Puissances occidentales ; celles-ci en effet et, avec elles, lriqe n'ont aucune ambition ipiaise le but suprême pour lequel elles luen est la lbtion du mde. Les buts impérialistes, c sont les Empires centraux qui les prsvnt. C'est pourquoi les Alliés 'Occident jgnt que ce qui est nécessaire et rtegun à l'heure actuelle, ce n'est pas de revoir les buts de guerre, mais de r ls myns les plus propres à aider loyalement et fraternellement la Russie. Cette volonté unanime des Italiens, des Français et des Anglais se manifeste à la Cnférnc et dans ls conversations fréquentes que tiennent les ministres et les chefs militaires. — (V. Vittori) Giornale 'Italia, 27.7. — Les conclusions de l n,oCeéfcnre en ce qui cncrn la péninsule bniqe et le prblèm balkanique, doivent, à notre vs, s'inspirer des deux principes suivants : 1° l'existence de la monarchie danubienne serait toujours une grv menace pour la éetribl et pour l'existence même des petits peuples ; 2 les aspirations d ealtlI,'i loin de menacer lexistence et l droit d'autres nations, sont parfaitement conciliables avc cette existence t ce droit. Nous aimons surtout à croire que lon a pris des décisions n conséquence : dans les pays alliés, où l'on cna la surane d'une sympathie traditionnelle pr lutrh on devra s'appliquer à populariser 'ldeié qu'il est nécessaire de etriérud vieil Empire oppresseur ; quant aux peuples dtisnése à recueillir 'héritage icnu,hartei ils devront établir entre eux des ntes préventives, pour q chacun u'dxe e sente garanti contre tout péril et toute menace, dans l'avenir. Le mmnt est vn pour lItalie se mettre à la ête des seplepu intéressés la destruction de Eimpler' austro-hongrois. Le moment est venu pour l'Entente de prouver clairement qu'elle a finalement compris que le meilleur moyen pour désarmer l'Allemagne est de la priver d son dangereux sicaire. ousN ne nous dissimulons ps qu'il est plus difficile d'aboutir à une px rapide si l'on pose comme condition préliminaire le démembrement de la monarchie austro-hongroise ; mais ls peuples de 'Entente, malgré les illusions que l'insidieuse
en conséquence : dans les pays alliés, où l'on constate la survivance d'une sympathie traditionnelle pour l'Autriche, on devra s'appliquer à populariser l'idée qu'il est nécessaire de détruire le vieil Empire oppresseur ; quant aux peuples destinés à recueillir l'héritage autrichien, ils devront établir entre eux des ententes préventives, pour que chacun d'eux se sente garanti contre tout péril et toute menace, dans l'avenir. Le moment est venu pour l'Italie de se mettre à la tête des peuples intéressés à la destruction de l'Empire austro-hongrois. Le moment est venu pour l'Entente de prouver clairement qu'elle a finalement compris que le meilleur moyen pour désarmer l'Allemagne est de la priver de son dangereux sicaire. Nous ne nous dissimulons pas qu'il est plus difficile d'aboutir à une paix rapide, si l'on pose comme condition préliminaire le démembrement de la monarchie austro-hongroise ; mais les peuples de l'Entente, malgré les illusions que l'insidieuse propagande des Lenine, plus ou moins masqués, de l'internationale rouge ou des nombreux Ambrogetti de l'Internationale noire, peut avoir procurées à nos ennemis, sont plus que jamais décidés aujourd'hui à poursuivre la guerre non pas jusqu'à une paix de transition, mais jusqu'à une paix durable, jusqu'à une paix qui réduira à l'impuissance le militarisme prussien et donnera la tranquillité aux peuples d'Europe, y compris le peuple allemand lui-même. — Secolo, 28.7. — La déclaration finale de la Conférence nous autorise à penser que l'accord sur les questions soumises à son examen a été obtenu. En raison de l'importance de ces questions, spécialement en ce qui concerne l'Italie, et des occasions de dissentiment qu'elles présentèrent dans le passé, le fait que l'accord ait été obtenu et probablement consacré par des décisions solennelles est déjà à lui seul du plus grand intérêt. La déclaration permet de croire que M. Sonnino a éclairci le programme adriatico-balkanique de l'Italie et convaincu les Alliés qu'elle veut simplement, sans visées impérialistes, le résoudre suivant les exigences de sa sécurité. Corriera d'Italia, id. CONDITIONS DE PAIX OPINION ITALIENNE. — Les paroles prononcées à la Chambre des Communes par Lord Robert Cecil, en réponse au député pacifiste Buxton,
n conséquence : da les py alliés, où l'on constate la survivance 'une ymatie idletanroetnli uopr l'Autriche, on devra s'appliquer à plrsr l'idée qu'il est nécessaire de détruire le vieil Empier oppresseur ; quant aux peuples destinés à recueillir l'héritage autrichien, ils devront établir entre eux des ententes préventives, pour que chacun d'eux se et garanti contre tout péril et toute menace, dns l'avenir. Le moment est venu pour l'Italie de se mettre la tête des peuples intéressés la destruction de l'Empire austro-hongrois. Le moment s venu pour l'Entente de prouver cairn qu'elle a finalement compris que le meilleur moyen pour désarmer l'Allemagne est de la priver de son dangereux sicaire. Nous ne nous dissimulons pas qu'il est ls dffcl d'aboutir une paix rapide, si l'on pose comme cndtn éliminaie le tmmedeénbmer de la monarchie austro-hongroise ; mais les peuples de l'Entente, malgré les ision que l'insidieuse propagande Lenine plus ou moins uqéma,ss d l'internationale rouge ou des nombreux Ambrogetti de l'Internationale noire peut avoir pcrées à nos ennemis, sont plus que jamais décidés aujourd'hui à poursuivre la guerre non ps jusqu'à une paix de transition, ms jusqu'à une paix durable, jusqu'à une paix qui réduira à 'impuissance le militarisme prussien et donnera la tranquillité aux peuples d'Europe, y cmprs le peuple allemand lui-même. — Secolo, 28.7. — La déclaration fnl de l Conférence nous autorise à penser q l'accord sur les questions soumises à son examen a ét obtenu. n raison de l'importance de ces questions, cimenpatéles en ce qui concerne l'Italie, et des occasions de steidnesimtn qu'elles présentèrent dans e passé, le fait que laccord ait été obtenu et robalment consacré par de décisions solennelles st déjà à lui uels du plus grnd intérêt La déclaration permet de croire que M. Sonnino aiiccrél le programme adriaticobalkanique de l'Italie et convaincu les Alliés qu'elle veut simplement, sans visées impérialistes le résoudre suivant les exigences de sa sécurité. Corriera d'Italia, id. CONDITIONS DE PAIX OPINION ITALIENNE. — Les paroles prononcées à la Chambre des Communes par Lord Robert Cecil, en réponse au député pacifiste Buxton,
à l'impuissance le militarisme prussien et donnera la tranquillité aux peuples d'Europe, y compris le peuple allemand lui-même. — Secolo, 28.7. — La déclaration finale de la Conférence nous autorise à penser que l'accord sur les questions soumises à son examen a été obtenu. En raison de l'importance de ces questions, spécialement en ce qui concerne l'Italie, et des occasions de dissentiment qu'elles présentèrent dans le passé, le fait que l'accord ait été obtenu et probablement consacré par des décisions solennelles est déjà à lui seul du plus grand intérêt. La déclaration permet de croire que M. Sonnino a éclairci le programme adriatico-balkanique de l'Italie et convaincu les Alliés qu'elle veut simplement, sans visées impérialistes, le résoudre suivant les exigences de sa sécurité. Corriera d'Italia, id. CONDITIONS DE PAIX OPINION ITALIENNE. — Les paroles prononcées à la Chambre des Communes par Lord Robert Cecil, en réponse au député pacifiste Buxton, ne nous paraissent pas très heureuses. À l'entendre, le démembrement de l'Autriche ne serait pas l'un des buts de la guerre. Cette thèse peut satisfaire les sympathies que l'Autriche n'a pas encore perdues en Angleterre ; mais elle ne résiste pas à l'examen. Sans doute personne ne parle de conquérir Vienne et Budapest, ni d'effacer de la carte l'empire de Charles Ier. Démembrer l'Autriche veut dire concéder, aux dépens de l'Autriche, les plus légitimes satisfactions aux peuples qui combattent pour libérer leurs frères du joug autrichien. Cela signifie restaurer la Serbie dans la plénitude de ses droits et dans les justes limites de ses aspirations ; cela signifie encore accorder aux nations qui se sont rangées aux côtés des Alliés les avantages qu'elles peuvent légitimement exiger. Elles sont entrées en campagne pour la défense de la justice et de la liberté : mais leurs aspirations particulières se justifient au nom des principes que défendent les Alliés. Ceux-ci, d'ailleurs, ont reconnu expliciteusement les droits de l'Italie et de la Roumanie. Lorsqu'ils ont accepté le concours de l'Italie et de la Roumanie, ils ont conclu avec elles un contrat qui engage leur honneur. Or les justes aspirations de la Roumanie et de
à limpuissance e mltrsm prussien t donnera la tranquillité aux peuples d'Europe, compris le peuple allemand imême. — Secolo, 28.7. — La déclaration anifel de la Conférence nous autorise à penser que l'accord sur les questions smss à son examen a été obtenu. En raison de limportance de cse questions, spécialement en ce q concerne lItalie t des occasions d dissentiment q'lls présentèrent dans l passé le fait que l'accord ait été obtenu et probablement consacré par des décisions eelslnnosel est déjà à lui seul du plus agnrd intérêt. La déclaration permet de croire que M. Sonnino a éclairci l programme adriatico-balkanique de l'Italie et convaincu les Aéilsl qu'elle veut simplement, sans visées pelrisismaé,it le résoudre suivant les exigences de s u Crrr l,'Iiaadt id. CONDITIONS DE PAIX OPINION ITALIENNE. — Les r prononcées la Chambre des Communes par Lord Robert Cecil, en réponse au dété pacifiste Buxton, n nous paraissent pas très heureuses. À l'entendre, le démembrement de l'Autriche ne sai pas l'n des bts de la guerre. Cette thèse peut satisfaire les sympths que l'Autriche n'a pas encore ps en gleer ; msia elle n résiste ps à l'examen. Sns doute personne ne par de conquérir Vienne et Bdpst, d'effacer de la carte l'mpr de Charles . Démembrer lAutriche veut dire concéder, aux dépens de l'utiche, les plus tésigmiel satisfactions aux peuples qui ombtt pour lber lrs frères du joug autrichien. Cela signifie restaurer la Serbie dans la plénitude ses droits dans les justes limites de ss aspirations ; cela signifie encore accorder aux ntos qui se snt rangées aux côtés e Alliés les avantages qu'elles peuvent légitimement exiger leEls on res en campagne pr la défense de la jstc et d la liberté : mais leurs aspirations particulières se justifient au n des principes que défendent les Alliés. Ceux-ci, e'ur,iadsll ont reconnu expliciteusement les droits de 'ae et de la Roumanie Lrsq'ls nto accepté le concours de l'Italie et de Roumanie, ils nt conclu avec elles un cnta qui engage leur honneur. Or les esjstu tions de la Roumanie et d
Vienne et Budapest, ni d'effacer de la carte l'empire de Charles Ier. Démembrer l'Autriche veut dire concéder, aux dépens de l'Autriche, les plus légitimes satisfactions aux peuples qui combattent pour libérer leurs frères du joug autrichien. Cela signifie restaurer la Serbie dans la plénitude de ses droits et dans les justes limites de ses aspirations ; cela signifie encore accorder aux nations qui se sont rangées aux côtés des Alliés les avantages qu'elles peuvent légitimement exiger. Elles sont entrées en campagne pour la défense de la justice et de la liberté : mais leurs aspirations particulières se justifient au nom des principes que défendent les Alliés. Ceux-ci, d'ailleurs, ont reconnu expliciteusement les droits de l'Italie et de la Roumanie. Lorsqu'ils ont accepté le concours de l'Italie et de la Roumanie, ils ont conclu avec elles un contrat qui engage leur honneur. Or les justes aspirations de la Roumanie et de l'Italie sont incompatibles avec l'intégrité de l'Autriche. Si la Serbie doit rentrer en possession des territoires qui lui appartiennent et voir satisfaire ses légitimes prétentions, si, dans les Alpes et sur l'Adriatique, l'Italie doit porter ses frontières jusqu'aux limites fixées par la nature et par l'histoire, si la Pologne doit reconquérir l'unité et l'indépendance si la Bohême doit secouer le joug, comment pourra-t-on respecter l'indépendance de l'Autriche ? Lord Robert Cecil a eu tort également d'affirmer que l'Allemagne est le principal ennemi de l'Angleterre. Comment ne pas comprendre que seule la défaite de l'Autriche assurera le châtiment de l'Allemagne ? Séparer la cause de l'Allemagne et celle de l'Autriche est la plus grave erreur qu'un diplomate de l'Entente puisse commettre. Le démembrement de l'Autriche, avec la libération des nationalités qu'elle opprime, est la condition essentielle de la victoire. — Corr. de l'Il Sera, 27.7. OPINIONS ALLEMANDaises. Nos succès de Galicie nous rendent une contrée fertile et affirment une fois de plus notre invincible puissance, Kerensky n'avoue aussi ouvertement les défaillances de l'armée russe que pour éclairer ses alliés sur le véritable état moral de la Russie : celui-ci est des plus favorables à la paix ; le grave échec subi
Vienne et Bdpe ni d'effacer de la rtcae l'empire de Charles Ier. Démembrer l'Autriche veut dr concéder, aux dépns de l'Autriche, les plus légitimes satisfactions aux peuples qui cmbttnt pour libérer leurs frères du joug autrichien. Cela signifie restaurer la Serbie dans plénitude de ses droits et dans les justes lmts de ses aspirations ; cela signifie encore ccrdr aux nations qui se sont rangées aux côtés des Alliés les vntgs qu'elles peuvent légitimement exiger. Elles sont entrées en campagne pour la défense de la sic et ed la liberté : mais leurs aspirations particulières se justifient au nom des prncps que fenent les .Aéilsl eCix-cu, 'ailleurs, ont reconnu eiiemt les droits de l'Italie et de la Roumanie. Lrsq'ls ont accepté concours de lItalie et de la Roumanie, ils ont conclu avec elles un cntrt qui engage leur honneur Or les justes aspirations de la Roumanie et de l'Italie sont incompatibles avec l'intégrité de 'Autriche. Si la Serbie doit rentrer en possession des territoires qui lui appartiennent t voir satisfaire ses légitimes prétentions, si, dans les Alpes et sur l'Adriatique, l'Italie doit porter ses frontières jusquaux limites fixées pra la nature et par l'histoire, si la Pologne doit reconquérir l'unité et l'indépendance s la Bohême doit secouer le joug, comment pourra-t-on spet l'indépendance de 'Autriche ? Lord Robert Cecil a eu tort également 'affirmer que l'Allemagne est le principal ennemi de l'Angleterre. Comment ne pas comprendre q seule la déft de l'Autriche assurera le châtiment de l'Allemagne ? Séprr la cause de l'Allemagne et celle de 'Autriche est la plus grave erreur qu'un diplomate de l'Entente puisse commettre. Le mebmen de l'Autriche, avec la libération des nationalités quelle opprime, est la condition essentielle la victoire — Corr. ed l'I Sera, 27.7. PNNS ALLEMANDaises. Nos succès de Galicie nous rendent une contrée fertile et affirment ue fois de u notre invincible puissance, Kerensky 'avoue aussi ormet les défaillances de l'armée rss que pour éclairer ses alliés sur le véritable état moral d la Russie : celui-ci est des plus favorables à la paix ; l grave échec subi
reconquérir l'unité et l'indépendance si la Bohême doit secouer le joug, comment pourra-t-on respecter l'indépendance de l'Autriche ? Lord Robert Cecil a eu tort également d'affirmer que l'Allemagne est le principal ennemi de l'Angleterre. Comment ne pas comprendre que seule la défaite de l'Autriche assurera le châtiment de l'Allemagne ? Séparer la cause de l'Allemagne et celle de l'Autriche est la plus grave erreur qu'un diplomate de l'Entente puisse commettre. Le démembrement de l'Autriche, avec la libération des nationalités qu'elle opprime, est la condition essentielle de la victoire. — Corr. de l'Il Sera, 27.7. OPINIONS ALLEMANDaises. Nos succès de Galicie nous rendent une contrée fertile et affirment une fois de plus notre invincible puissance, Kerensky n'avoue aussi ouvertement les défaillances de l'armée russe que pour éclairer ses alliés sur le véritable état moral de la Russie : celui-ci est des plus favorables à la paix ; le grave échec subi accroîtra ce désir. Désormais, notre territoire étant intégralement en notre possession, l'Entente ne pourra plus exiger de nous des compensations, ni dénaturer nos intentions; nous nous trouverons, à la paix, en meilleure posture que tous les autres Etats. Evidemment cette guerre insensée peut continuer encore quelque temps ; mais la vérité des tranchées l'emportera sur la vérité artificielle et pourrie de la politique. « Une grande partie de l'armée russe n'en veut plus : Lloyd George est venu trop tard. » —Neue Freie Presse, 24.7. — Nous avons le devoir d'examiner sincèrement la situation, sans nous abandonner à aucune illusion ; cherchons donc à entrer en contact avec les pays ennemis en vue d'une paix de conciliation. Car si la paix nous était imposée, ah ! pauvre Autriche-Hongrie et pauvre Allemagne ! La pensée d'un Etat fédéral austro-hongrois ne me parait pas du tout une utopie. Il pourrait se faire que l'on nous contraignit plus tard il le devenir, au grand dam de l'Autriche-Hongrie. Les gens qui veulent à tout prix continuer la tuerie croient-ils donc sérieusement que les sous-marins puissent amener la décision de la guerre ? Serait-ce un résultat regrettable, si la guerre aboutissait à un désarmement général
reconquérir l'unité et l'ndépndnc si la mêheBo dt secouer joug, comment prr-t-n respecter lindépendance de l'Autriche Lord Robert Cecil a eu tort neételmag d'affirmer que Alglea'mlne est le principal nnm de 'Angleterre. Comment ne pas comprendre que seule la défaite de l'Autriche assurera le châtiment de l'llmgn ? Séparer la cause d l'Allemagne et cll de l'Autriche est l plus grav ureerr qu'un dplmt de lEntente pss cme. Le démembrement de l'trch, avec la libération ds nationalités qu'elle opprime, est la condition ssntll de la victi — Crr. de lIl rSe,a 27.7. OPINIONS ALLEMANDaises. Nos succès de Galicie nous rendent une contrée fertile et affirment une fois de plus notre inbelvniic pssnc, Kerensky n'avoue aussi ouvertement les csenféiaadll de ela'érm russe que pour éclairer ses alliés sur le véibe état moral de la Russie celui-ci est ds plus favorables la px ; le grave échec subi accroîtra ce désir. Désormais, notre territoire étant intégralement n notre pssssn, l'Entente pourra plus exiger d nous des cmpnstns, n dénaturer nos intentions; nous nous toveron, à la paix, en meilleure posture que tous les autres tsa.Et Evidemment cette guerre nensée peut continuer encore quelque temps ; mais la vérité des tranchées l'emportera sru la vérité artificielle et pourrie de la politique. Une grande partie de larmée russe n'en veut plus : Lloyd George est venu trop tard. » —e Freie Presse, 24.7. soNu avons le devoir d'examiner sincèrement la situation, sas nous abandonner à aucune illusion cherchons donc à entrer en contact aecv les pays ennemis en vue due paix de cncltn. Car si la paix nous était émoies,p ah ! pauvre Autriche-Hongrie et pauvre Allemagne L pensée d'un Etat fédéral austro-hongrois ne me parait pas du tout une utopie. l pourrait es faire q l'on nous contraignit plus tard il le devenir, au grand dam de l'Autriche-Hongrie. Les gens qui veulent à tout prix continuer la tuerie croet-l donc sérieusement que les aris-nsousm puissent amener la décision de la grr Serait-ce un résultat regrettable, si l guerre aboutissait à un tsdmnéreaem général
vérité des tranchées l'emportera sur la vérité artificielle et pourrie de la politique. « Une grande partie de l'armée russe n'en veut plus : Lloyd George est venu trop tard. » —Neue Freie Presse, 24.7. — Nous avons le devoir d'examiner sincèrement la situation, sans nous abandonner à aucune illusion ; cherchons donc à entrer en contact avec les pays ennemis en vue d'une paix de conciliation. Car si la paix nous était imposée, ah ! pauvre Autriche-Hongrie et pauvre Allemagne ! La pensée d'un Etat fédéral austro-hongrois ne me parait pas du tout une utopie. Il pourrait se faire que l'on nous contraignit plus tard il le devenir, au grand dam de l'Autriche-Hongrie. Les gens qui veulent à tout prix continuer la tuerie croient-ils donc sérieusement que les sous-marins puissent amener la décision de la guerre ? Serait-ce un résultat regrettable, si la guerre aboutissait à un désarmement général ? C'est à l'Autriche-Hongrie, qui jouit encore de grandes sympathies parmi nos ennemis, qu'il appartient d'intervenir énergiquement en faveur de la paix et de s'attirer ainsi la reconnaissance générale. — (Johann Ude, prof. à l'Université de Graz) Arbeiterztg., id. La Belgique. — Dans le naufrage des visées conquérantes des Alliés, il est frappant de voir que la France ne s'attache plus à sauver que le joyau de son imaginaire butin, l'Alsace-Lorraine, tandis que l'Angleterre concentre son intérêt sur le destin de la Belgique. Il suffit que M. Michaëlis, dans son discours au Reichstag, ait parlé « d'assurer les frontières de l'Allemagne » pour que M. Lloyd George en conclue que sa formule enveloppe une menace pour l'ancien Etat neutre. La réticence même lui paraît d'une gravité significative. Or, si nous ignorons quels sont au juste les desseins du Gouvernement impérial, en vue de garantir, du côté belge, « la sécurité des frontières allemandes », nous savons qu'il est résolu à ne pas prolonger la guerre, de la durée d'un jour, pour réaliser des conquêtes par la violence. Ses déclarations sont formelles et nettes. Si le seul obstacle à ce que commencent, le 1er août, les négociations de paix, réside dans
éréivt des rsénhtcae l'emportera sur la vérité artificielle et pourrie de la potq. « Une grande partie de 'armée russe n'n veut plus : Lloyd George est venu trop tard » —Neue Freie Presse, 247 — Nous avons le devoir 'eair sincèrement la situation, sans nous abandonner à aucune illusion ; cherchons donc à entrer en contact avec les pays ennemis en vue d'une paix d oati. Car si l paix nous était imposée, ah ! prvuae Autriche-Hongrie et pauvre Allemagne ! La néepse d'n Etat fédéral austro-hongrois ne me parait pas du ot une utopie. Il pourrait se fr que l'on nous contraignit plus rd il le der au grand m de l'Autriche-Hongrie. Les gens qui veulent à tout prix continuer la tuerie croient-ils donc sérieusement que les sous-marins puissent raemne la décision de la guerre ? eraitce un résultat regrettable, si la guerre outait à un désarmement général Cest à l'Autriche-Hongrie, qui jouit encore de grandes sympathies parmi nos ennemis, qu'il aptnt d'intervenir énergiquement en faveur d al paix et de s'attirer ainsi la reconnaissance générale. — (Jhnn d, prf. à 'Université Graz) g,btertAr.ize id La Blgq. — Dans le naufrage des visées conquérantes des Aliés, il est frappant de voir que al France ne s'attac plus à sauver que l jy de son imaginaire butin, l'Alsace-Lorraine, tandis que l'Angleterre concentre o intérêt sur le destin de la Belgique. Il suffit que M. Michaëlis, dans son dscrs au Reichstag, ait parlé « d'assurer les frontières de 'Allemagne » pour que M. lydLo ere en conclue que sa formule enveloppe n menace pour l'ancien Etat ntr. La réticence même lui paraît 'n gravité sgfia Or, si nous rnosgoni quels sont au juste les desseins du Gouvernement mpérl, en vue de garantir, du côté belge, « la sécurité des frontières allemandes », sonu savons q'l est résolu à ne pas prolonger la guerre, de la durée d'un jour, pr réliser ds conquêtes par la violence. Ses déclarations sont formelles et nettes. Si le seul obstacle ce q cmmncnt, le re1 août, les négociations de px, réside dans
il est frappant de voir que la France ne s'attache plus à sauver que le joyau de son imaginaire butin, l'Alsace-Lorraine, tandis que l'Angleterre concentre son intérêt sur le destin de la Belgique. Il suffit que M. Michaëlis, dans son discours au Reichstag, ait parlé « d'assurer les frontières de l'Allemagne » pour que M. Lloyd George en conclue que sa formule enveloppe une menace pour l'ancien Etat neutre. La réticence même lui paraît d'une gravité significative. Or, si nous ignorons quels sont au juste les desseins du Gouvernement impérial, en vue de garantir, du côté belge, « la sécurité des frontières allemandes », nous savons qu'il est résolu à ne pas prolonger la guerre, de la durée d'un jour, pour réaliser des conquêtes par la violence. Ses déclarations sont formelles et nettes. Si le seul obstacle à ce que commencent, le 1er août, les négociations de paix, réside dans la crainte conçue par nos adversaires, que nous ne voulions annexer la Belgique, une telle appréhension est nulle et vaine, et l'on peut délibérer. Mais tout le problème belge ne réside pas dans l'étroite question de l'annexion ou de la non-annexion du territoire. Quand Lloyd George parle d'une Belgique demeurée belge, il entend une Belgique qui ne soit pas allemande. Pour nous, la condition est inverse : il nous faut la garantie que la Belgique ne soit pas anglaise. Si nous avons cette garantie, il nous suffit. Mais pour l'établir, pour l'élaborer dans tout le détail, il est nécessaire que l'on examine et que l'on débatte la question, tout à loisir, à la table d'un Congrès. Des exposés de presse ni des monologues parlementaires n'épuisent le sujet. Lloyd George a raison de dire que la Belgique est un couloir d'accès entre les Puissances Centrales et l'Occident. Avant la guerre, la porte avait son gardien, dont le devoir était d'être neutre. Pour les intérêts économiques, le couloir d'accès, indiscutablement, est nôtre, puisque nous seuls, en temps de paix, l'utilisons. Pour l'Angleterre il n'a qu'une valeur stratégique, à son seul bénéfice, étant seule à pouvoir l'ouvrir, à son heure, comme porte d'invasion.
il est frappant de voir que la France ne s'attache splu à svr que le joyau de son imir butin, l'Alsace-Lorraine, tdasin euq l'Angleterre concentre son intérêt sur le destin de la Belgique. Il suffit que M. Michaëlis, dans son discours ua ech ait prlé d'assurer les frontières de l'Allemagne » pour que M. Lloyd George en conclue que sa formule enveloppe une menace pour aclenn'i Etat neutre. La réticence êmem lui paraît d'une gravité significative. Or, si nous ignorons quels sont au juste les desseins du Gouvernement mpérl, en vue de garantir, du côté belge, « la sécurité des frontières allemandes », nous son qu'il st résolu à ne pas prolonger la guerre, d a durée d'un jour, pour réalsr des cnqêts par la violence. Ses déclarations sont formelles et nettes Si le seul obstacle à ec que commencent, le 1er août, les négociations d paix, réside dans la crainte conçue par nos dvrires que uosn ne voulions annexer la Belgique, une telle appréhension e nulle et vaine, et l'o peut délibérer. Mais tout le prblèm belge ne rid pas dans l'étroite question de l'annexion ou de l n-nxion du territoire. Quand Lloyd George parle d'une Beqelgui demeurée blg, il entend une Belgique qui ne soit pas allemande. Pr su,on la odtin est inverse : il nous faut la garantie que la Begq ne soit pas anglaise. Si nous vns cette gaitan,er li nous suffit. Mais pour l'établir, pr l'élaborer dans tout le détail, il est nécessaire que l'n xmn et que 'oln débatte la tn tout à loisir, la table 'un Cngrès. Des exposés d presse ni ds monol parlementaires n'épuisent le sujet. Lloyd George raison de dire que la Belgique n couloir d'accès entre les Puissances Centrales et cn.tO'ecldi Avant la guerre, la porte avait son gardien, dont l devoir était d'être neutre. Pr les irê émiue le couloir d'accès, indiscutablement, et re, psq nous seuls en temps de paix, l'utilisons. Pour l'Angleterre il n'a quune valeur riqe à son seul bénéfice, étant seule à rouivpo uvi à sno hr, comme porte d'invasion.
belge, il entend une Belgique qui ne soit pas allemande. Pour nous, la condition est inverse : il nous faut la garantie que la Belgique ne soit pas anglaise. Si nous avons cette garantie, il nous suffit. Mais pour l'établir, pour l'élaborer dans tout le détail, il est nécessaire que l'on examine et que l'on débatte la question, tout à loisir, à la table d'un Congrès. Des exposés de presse ni des monologues parlementaires n'épuisent le sujet. Lloyd George a raison de dire que la Belgique est un couloir d'accès entre les Puissances Centrales et l'Occident. Avant la guerre, la porte avait son gardien, dont le devoir était d'être neutre. Pour les intérêts économiques, le couloir d'accès, indiscutablement, est nôtre, puisque nous seuls, en temps de paix, l'utilisons. Pour l'Angleterre il n'a qu'une valeur stratégique, à son seul bénéfice, étant seule à pouvoir l'ouvrir, à son heure, comme porte d'invasion. La question de savoir si nous pouvons passer par la poterne et accéder en France n'est, à l'heure présente, entre la France et nous, qu'une question de force. Pour fonder un statut de conciliation, qui écarte l'éventualité de nouvelles guerres, il est nécessaire que l'Angleterre, tenant compte des dispositions psychologiques durables que les épreuves actuelles fixeront dans l'âme belge et nous la garderont hostile, envisage avec nous les moyens d'écarter les nouvelles causes de frottement, par l'établissement de garanties réelles. La réalité historique des conventions anglo-belges de 1906 et de 1911 nous est un enseignement. Si M. Lloyd George demande ce que l'Allemagne entend par « la garantie » de ses frontières, nous lui répondrons qu'elle veut empêcher que la Belgique, — considérée comme une porte d'accès dont les piliers sont adossés à la maison anglaise et non à la nôtre, — ne puisse être ouverte et fermée, du côté de la mer, sans notre consentement. Le moment viendra où M. Lloyd George, ou son successeur, comprendra que nous ne voulons rien de plus ni rien de moins. — Hamb. LE SOCIALISME INTERNATIONAL ET LA GUERRE Déclarations du socialiste hollandais Vliegen à son retour de Stockholm : La question de
belg,e il entend n Belgique qui ne soit pas allemande. Pour nous, la condition est inverse : il nous faut la garantie que la Belgique ne soit pas .gansaile Si nous vos cette garantie, l nous fifsu.t saiM pour l'établir, pour l'élaborer dans tt le détail il est nécessaire que 'on aexemin et q l'n débatte la question, tout à loisir, à la abl d'un Congrès. Ds exposés de preess ni des monologues parlementaires n'épuisent le t.ejus Lloyd George a raison de dire que al Belgique est un couloir daccès entre ls Puasseicsn Centrales et l'Occident. Avant l guerre, la porte avait son grdn, dont el devoir était 'être neutre. Pour sel intérêts économiques, le couloir d'accès, indiscutablement, est nôtre, puisque nous sls, en temps de paix, l'utilisons. Pour 'nglter il n'a qu'une valeur stratégique, à son seul bénéfice, éa sl à ruooipv 'ouvrir, à son heure, omm porte d'invasion. La question de svr si nous pouvons passer par al poterne et accéder en France n'est, à l'heure présente, entre la France et nous, qu'une otienqus de force. Pour fonder un statut de conciliation, qui ée l'éventualité de nouvelles guerres, il est nécessaire que l'Angleterre, tenant compte des isposins psychologiques durables que les épreuves actuelles fixeront as l'âme blg et nous la gordarten hostile, envisage avec nous les moyens d'écarter les nouvelles causes de frottement, par létablissement de garanties réells La réalité historique des conventions anglo-belges de 1906 te de 9111 nous est un enseignement. Si M. Lloyd George demande ce que l'Allemagne etn par « la garantie » de ses frontières, nous lui répondrons qu'elle vt empêcher que la Belgique, — considérée comme une porte daccès dont les piliers sont adossés à la maison anglaise et non à la nôtre, — ne puisse être ouverte et fermée, du côté de la mer, sans notre consentement. Le moment viendra où M. Lloyd George, ou son successeur, comprendra que nous ne voulons rien de plus ni in de moins. — Hamb. LE SOCIALISME INTNTAL ET LA UER Déclarations du socialiste hollandais Vliegen à son retour de Stockholm : La qstn de
durables que les épreuves actuelles fixeront dans l'âme belge et nous la garderont hostile, envisage avec nous les moyens d'écarter les nouvelles causes de frottement, par l'établissement de garanties réelles. La réalité historique des conventions anglo-belges de 1906 et de 1911 nous est un enseignement. Si M. Lloyd George demande ce que l'Allemagne entend par « la garantie » de ses frontières, nous lui répondrons qu'elle veut empêcher que la Belgique, — considérée comme une porte d'accès dont les piliers sont adossés à la maison anglaise et non à la nôtre, — ne puisse être ouverte et fermée, du côté de la mer, sans notre consentement. Le moment viendra où M. Lloyd George, ou son successeur, comprendra que nous ne voulons rien de plus ni rien de moins. — Hamb. LE SOCIALISME INTERNATIONAL ET LA GUERRE Déclarations du socialiste hollandais Vliegen à son retour de Stockholm : La question de l'Alsace-Lorraine reste la plus difficile de toutes. La majorité allemande ne veut même pas en entendre parler. La minorité, mieux disposée, ne montre pas les qualités qui peuvent donner l'espoir qu'elle prendra la direction de l'évolution dont l'Allemagne a besoin. Pour la Belgique, la question la plus épineuse est celle des indemnités. Tous les partis sont d'accord sur une paix sans annexions ni indemnités de guerre. Mais cela ne signifie pas qu'aucune réparation ne sera accordée. Les cinquante millions que l'Allemagne lève chaque mois en Belgique devront être restitués. Il est également équitable d'exiger les réparations pour toutes les violations de la Convention de La Haye de 1907 commises en France. On a également agité le problème des nationalités. Deux socialistes turcs, Salamiah, député de Smyrne, et Hussein ont donné des preuves de grande compétence touchant la législation du travail. Les Tchèques veulent absolument se libérer de la domination autrichienne. L'entrevue que Vliegen a eue avec les délégués russes l'a rendu tout à fait optimiste. Ehrlich surtout semble être un homme politique remarquable. Grâce à l'exclusion des Zimmerwaldiens, une conférence internationale pourra être enfin tenue. Auparavant, aura lieu une réunion des socialistes de l'Entente qui déterminera leur attitude à la
durables que les éruve elles fixeront dans l'âme belge et nous la garderont hostile, envisage avec snou les moyens d'écarter s nouvelles causes de frottement, par 'établissement de grnts rélls. La ltrééia historique esd conventions anglo-belges de 1906 et de 1911 nous est un enseignement. M. Lloyd George demande ce qe l'Allemagne ntnd par « la garantie » de ses frontières nous lui répondrons qu'elle veut empêcher que l Belgique, — considérée cmm une porte d'accès dont les piliers sont adossés à la maison anglaise et non à al nôtre, — ne puisse être ouverte et fermée, du côté de la mer, sans notre consentement. Le moment viendra où M. Lloyd George, ou son sccssr, comprendra que nous ne voulons rn de plus ni rien de in. — Hamb. LE SOCIALISME INTERNATIONAL ET LA EERUGR Déclarations du tocaesiils hollandais Vliegen à son ru ed Stockholm : L question de l'Alsace-Lorraine ste la plus difficile de toutes. La jatiomér allemande ne veut même pas en entendre parler. La mnrté, mieux disposée, ne montre pas les qualités qui peuvent donner l'espoir qu'elle prendra la direction de l'évolution dont l'Allemagne a besoin. Pour la Beique, la question la ps épineuse est cll des indemnités Tous les partis sont d'acc sur une paix sans annexions ni indemnités d grr. Mais cela ne signifie s q'cn réparation ne sera accordée. Les cinquante millions q l'Allemagne lève chaque mois Belgique devront êre restitués. Il est églmnt équitable d'exiger les réparations pour toutes les violations de l Convention ed La Haye de 7910 commises en Frnc. On a également gté le problème des nationalités. Deux socialistes turcs, Salamiah, député de Smyrne, et Hussein ont donné des pees de grande compétence touchant la législation du travail. Les Tchèques veulent absolument se libérer d la domination autrichienne. Lentrevue que Vliegen a eue vaec les délégués russes la rendu u à ft optimiste. Ehrlich surtout semble êtr homme politique rmrqbl. Grâce l'exclusion des Zimmerwaldiens, un conférence internationale pourra êtr enfin ten Auparavant, aura lieu n réunion ds socialistes de 'tet qui déterminera lr attitude la
des indemnités. Tous les partis sont d'accord sur une paix sans annexions ni indemnités de guerre. Mais cela ne signifie pas qu'aucune réparation ne sera accordée. Les cinquante millions que l'Allemagne lève chaque mois en Belgique devront être restitués. Il est également équitable d'exiger les réparations pour toutes les violations de la Convention de La Haye de 1907 commises en France. On a également agité le problème des nationalités. Deux socialistes turcs, Salamiah, député de Smyrne, et Hussein ont donné des preuves de grande compétence touchant la législation du travail. Les Tchèques veulent absolument se libérer de la domination autrichienne. L'entrevue que Vliegen a eue avec les délégués russes l'a rendu tout à fait optimiste. Ehrlich surtout semble être un homme politique remarquable. Grâce à l'exclusion des Zimmerwaldiens, une conférence internationale pourra être enfin tenue. Auparavant, aura lieu une réunion des socialistes de l'Entente qui déterminera leur attitude à la Conférence générale. La voie de la démocratisation dans laquelle vient d'entrer l'Allemagne ne peut que contribuer au succès de cette conférence. — Volk, 16.7. POLITIQUE INTÉRIEURE SITUATION GENERALE Angleterre. — La réunion qui devait avoir lieu, le 28.7, en vue de former à Londres un « Conseil d'ouvriers et de soldats », n'a pas eu de succès. Peu avant 3 heures, une foule de deux ou trois cents personnes se dirigea, en chantant le Rule Britannia, vers le local choisi, l'église « congrégationaliste » de la Fraternité (Brotherhood Church), dans le quartier de Hackney, força la porte, brisa les vitraux, et contraignit les « délégués » à quitter la place. — Times, 30.7. États-Unis. — La Croix-Rouge américaine a décidé de ne pas recevoir parmi ses membres des gens d'extraction allemande, sur le désir, dit-on, de la France et de l'Angleterre qui redoutent les tentations de l'espionnage. C'est une erreur grave que M. Roosevelt a hautement condamnée et que le président de la Croix-Rouge lui-même, M. Davison, déplore. Il est inadmissible que des citoyens américains, quelle que soit leur origine, puissent être ainsi frappés d'ostétracisme. Nous n'avons pas le droit de les blesser dans leur loyalisme et leurs légitimes sentiments
des indemnités. Tous les partis sont d'accord sur une paix sans nxennaios ni indemnités de guerre. Mais cl ne sgnf pas qu'aucune réparation ne sera cd. Les cinquante millions que l'Allemagne lèv auheqc mois en Belgique ront être restitués. Il ste également équitable d'exiger l réparations pour toutes ls violations de l Convention de La Haye de 1907 commises en France. On a également agité le pmbreoèl ds nationalités. Deux socialistes stcru, Salamiah, député de mne, et Hss ont donné des eevrsup de grande compétence touchant la légsltn du travail. Le Tchèques veulent almt se libérer de la dmntn autrichienne. L'entrevue que Vliegen eue avec les délégués russes l'a rendu tout à fait ptmst. Ehrlich utout emlseb être un homme politique remarquable. Grâce à lexclusion des Zimmerwaldiens, une conférence internationale pourra être ifenn tenue. Auparavant, aura lieu une réunion des socialistes de l'ntnt qui déterminera leur attitude à la Conférence générale. La voie de la démocratisation dans laquelle vient dentrer l'Allemagne ne peut que contribuer au succès de cette conférence — Volk, 16.7. POLITIQUE INTÉRIEURE SITUATION GENERALE Angleterre. — L réunion qui dvt avoir lieu, le 28.7, en vue de former Londres un « Conseil d'ouvriers et de soldats », n'a pas eu de succès. Peu avant 3 heures, une foule de deux ou trois cents personnes se dirigea, en chantant le Rule Britannia, vers le local choisi, l'église « congrégationaliste de l tFtniéerar (Brotherhood Church), dans le quartier de Hackney, frç la porte, brisa les vitraux, et contraignit les « délégués » à quitter la place. — Times, 70..3 Étts-n — La Croix-Rouge américaine a décidé de en pas recevoir parmi ss membres ds egns d'extraction allemande, sur le désir, dit-on, de la Frnc et de 'Angleterre qui redoutent les tentations de l'spnng. C'est u erreur grave que M. Roosevelt a hautement condamnée et que le président de la Croix-Rouge lui-même, M. Davison, déplore. Il est ndmssbl que des citoyens américains, quelle ueq soit leur origine, stensiup être ainsi frappés d'ostétracisme. Nous navons pas le droit de les blesser dans leur loyalisme et lrs légitimes sentiments
soldats », n'a pas eu de succès. Peu avant 3 heures, une foule de deux ou trois cents personnes se dirigea, en chantant le Rule Britannia, vers le local choisi, l'église « congrégationaliste » de la Fraternité (Brotherhood Church), dans le quartier de Hackney, força la porte, brisa les vitraux, et contraignit les « délégués » à quitter la place. — Times, 30.7. États-Unis. — La Croix-Rouge américaine a décidé de ne pas recevoir parmi ses membres des gens d'extraction allemande, sur le désir, dit-on, de la France et de l'Angleterre qui redoutent les tentations de l'espionnage. C'est une erreur grave que M. Roosevelt a hautement condamnée et que le président de la Croix-Rouge lui-même, M. Davison, déplore. Il est inadmissible que des citoyens américains, quelle que soit leur origine, puissent être ainsi frappés d'ostétracisme. Nous n'avons pas le droit de les blesser dans leur loyalisme et leurs légitimes sentiments de dignité. D'ailleurs, où sera la règle ? Va-t-on empêcher que les Américains de nom allemand aillent dans la tranchée ? Que fera-t-on du général Kuhn, qui est à la tête de notre collège militaire, ou du général Goethals ? Combien de colonels et d'officiers qui devraient être exclus, si l'on adoptait l'absurde principe de la Croix-Rouge! (Ed.) Springfield Republican, 29.6. ATTITUDE DES PARTIS Allemagne. Lorsque l'éditeur Lehmann de Munich, fit paraître ses brochures pangermanistes sous les auspices du haut commandement, il y eut des protestations : lorsque la réclame pangermaniste se fut étalée dans les journaux militaires et que les fonctionnaires eurent abusé de leur situation en faveur de leur parti, on promit d'y remédier ; que va-t-on faire à présent que le W. T. B. (Wolff's Telegraphen-Bureau) contrecarre la politique du Reichstag, à laquelle le Chancelier lui-même vient d'adhérer ? Le Reichstag a déclaré nettement et sans ambages que des actes de violence politique, économiques ou financiers, étaient inconciliables avec cette parole de l'Empereur : "Ce n'est pas un désir de conquêtes qui nous pousse !" Le Reichstag a déclaré que son but était une paix d'entente et de réconciliation durable des peuples. Ce n'est pas pour son
soldats », n'a pas eu de succès. Peu at es, e foule de deux uo trs cents personnes se dirigea, en antchatn le Rule Britannia, vers l local choisi, l'église « congrégationaliste » de la Fraternité rtder(hBohoo Church), dans le aeirqurt de Hackney, força l porte brisa les vitrau te contraignit les « délégués » à quitter al place. — Times, 30.. États-Unis. La Croix-Rouge mércn a décidé de ne pas recevoir parmi ses membres des gens d'extraction allemande, sur le désir, o de la France et de 'Angleterre qui redoutent les tentations de l'espionnage. C'est n rrr grave que M. Roosevelt a hautement condamnée et que l président de la Croix-Rouge imm, M Davison, délo. Il est ndmssbl que des citoyens américains quelle que soit leur origine, puissent tre ainsi frappés dostétracisme Nous n'avons le droit de les blesser dans leur loyalisme t leurs légitimes sentiments de dignité. D'ailleurs, où sera la règle ? Va-t-on empêcher que les Américains de nom allemand aillent dasn la tranchée ? Que fera-t-on du générl Kuhn, qui est à tête de notre collège militaire, ou du général Goethals ? Combien de colonels e d'officiers qui devraient être xcls, si l'on adoptait l'absurde principe ed la Croix-Rouge! (Ed.) Springfield Republican, 29.. ATTITUDE DES PARTIS Allemagne. Lorsque l'éditeur Lehmann d Munich, fit paraître ess brochures pangermanistes s les auspices du haut commandement l y ut des protestations : lorsque la réclame pangermaniste se fut étlé dans les nxrujuao militaires et que les fnctnnrs eurent abusé de leur situation en faveur de leur parti, on promit d'y remédier ; que va-t-on faire én que le W T. B. (Wolff's Telegraphen-Bureau) contrecarre la politique du Reichstag, à laquelle le Chancelier lui-même vient h ? Le Reichstag a déclaré nettement et s ambages q des ctes de violence poiti, économiques ou nicsafi,enr étaient inconciliables avc cette pale de l'Empereur "Ce n'est pas n désir de conquêtes qui nous pousse Le Reichstag a déclaré que sn but éat une paix d'entente et de réconciliation drbl des ppls. C n'est pas pour son
l'on adoptait l'absurde principe de la Croix-Rouge! (Ed.) Springfield Republican, 29.6. ATTITUDE DES PARTIS Allemagne. Lorsque l'éditeur Lehmann de Munich, fit paraître ses brochures pangermanistes sous les auspices du haut commandement, il y eut des protestations : lorsque la réclame pangermaniste se fut étalée dans les journaux militaires et que les fonctionnaires eurent abusé de leur situation en faveur de leur parti, on promit d'y remédier ; que va-t-on faire à présent que le W. T. B. (Wolff's Telegraphen-Bureau) contrecarre la politique du Reichstag, à laquelle le Chancelier lui-même vient d'adhérer ? Le Reichstag a déclaré nettement et sans ambages que des actes de violence politique, économiques ou financiers, étaient inconciliables avec cette parole de l'Empereur : "Ce n'est pas un désir de conquêtes qui nous pousse !" Le Reichstag a déclaré que son but était une paix d'entente et de réconciliation durable des peuples. Ce n'est pas pour son plaisir propre qu'il a fait cette déclaration, il a parlé aux autres peuples en tant que représentant de l'Allemagne. Mais voici que le W. T. B. s'interpose, coupe le Reichstag de l'étranger et modifie le sens des débats. C'est un jeu d'enfants alors que de montrer, par des truquages à destination de l'étranger, que l'acte du Reichstag n'a été qu'un coup d'équinoxe dans l'eau, une humiliation de l'Allemagne et que nous n'adressions à l'étranger aucune parole raisonnable. A l'appui de nos dires, signalons le compte rendu des débats dans le journal suisse le Bund et la plainte du correspondant bernois de la Voss. Ztg. sur les effets désastreux d'un communiqué aussi tendancieux. Ce qui importe, écrit ce correspondant, plus encore que les paroles du Chancelier et leur appréciation par les divers partis, c'est de montrer à l'étranger comment, par la bouche de ses représentants, le peuple allemand explique la résolution de paix. Or, 1° le discours du Chancelier a été souligné dans ses allusions guerrières ; 2° le Reichstag est représenté comme s'il était complètement tombé ; en conséquence la résolution de paix est fortement rabaisée et quant à la vérité et quant à ses effets. D'autre part le W.
l'on adoptait labsurde principe de la Crx-Rg! (Ed.) Springfield Republican, 29.6. ATTITUDE DES PARTI Allemagne. Lorsque lit Lehmann de Munich, fit paraître ses brcures pangermanistes sous s auspices du haut commandement, il y eut des protestations : lorsque la réclame pangermaniste se fut étalée dans les ouaxurnj militaires et que ls fonctionnaires rnt abusé de leur situation en faveur de leur parti, on mptiro d'y remédier ; que va-t-on faire à présent q le W T B. (Wolff' Telegraphen-Bureau) cntrcrr la politique du Reichstag, à laquelle le Chancelier lui-même vient d'adhérer ? Le Reichstag a déclré nettement et sans absmeag que des actes de violence politique, économiques ou financiers, étaient inconciliables avec cet parole de l'Empereur : "Ce n'est pas un ésir de conquêtes qui nous pousse !" Le Reichstag a déclré que son but était une paix en t de réat durable des ppls. e t pas pour son plaisir propre qu'il a fait cette déclaration, il a parlé aux autr peueslp en tat que représentant de 'Allemagne. Mais o que le W. T. B. s'interpose, coupe le Reichstag de l'étranger et modifie sens ds débts. e un jeu ftensa'dn lrs que de montrer, par truquages à dstntn de l'étranger, que l'acte du Reichstag n'a été q'n coup d'équinoxe adns l'eau, une humiliation de l'Allemagne et ue nous n'adressions à létranger aucune parole raisonnable. l'pp de ns dires, signalons compte rnd des débats dns le journal suisse le Bund et la plnt du correspondant bernois de la Voss. tg.Z sur les ts désastreux d'un communiqué aussi tendancieux. eC qui importe, éi ce correspondant, ceenro que les paroles d Chnclr et er appréciation pr divers partis, c'st de montrer à l'étaner comment, par l bouche de ses représentants, le peuple allemand explique l résolution de paix. Or 1° le douicsrs du Chancelier a été souligné dns ses allusions grrèrs ; °2 le Reichstag est rprésnté comme s'il était mltemen tombé ; n conséquence la résolution d paix est fortement aasé et quant à l vérité et quant à ses effets. D'autre prt le .
destination de l'étranger, que l'acte du Reichstag n'a été qu'un coup d'équinoxe dans l'eau, une humiliation de l'Allemagne et que nous n'adressions à l'étranger aucune parole raisonnable. A l'appui de nos dires, signalons le compte rendu des débats dans le journal suisse le Bund et la plainte du correspondant bernois de la Voss. Ztg. sur les effets désastreux d'un communiqué aussi tendancieux. Ce qui importe, écrit ce correspondant, plus encore que les paroles du Chancelier et leur appréciation par les divers partis, c'est de montrer à l'étranger comment, par la bouche de ses représentants, le peuple allemand explique la résolution de paix. Or, 1° le discours du Chancelier a été souligné dans ses allusions guerrières ; 2° le Reichstag est représenté comme s'il était complètement tombé ; en conséquence la résolution de paix est fortement rabaisée et quant à la vérité et quant à ses effets. D'autre part le W. T. B. fait une large place à un article du général d'infanterie en disponibilité von Blume, qui polémique contre le Reichstag et contre une paix d'entente ; le W. T. B. offre même, pour bien faire ressortir l'importance de l'article, la matière à ceux qui voudraient le reproduire en entier. Pour terminer disons que le Berlin. Tagbl. reproche de son côté au W. T. B. de présenter au lecteur allemand, de façon inexacte et tendancieuse, le discours des hommes d'Etat ennemis ; la preuve en est le discours de Lloyd George à Glasgow, que le W. T. B. a dénaturé. — Qu'est-ce que le W. T. B. ? La façade des agences de presse Krupp, le jouet de fonctionnaires autonomes, ou un instrument du Gouvernement ? Si vraiment, bien que d'après les exemples ci-dessus cela paraît presque incompréhensible, le W. T. B. est un instrument du Gouvernement, pourquoi donc ne sert-il pas le Gouvernement ? Pourquoi contrecarre-t-il sa politique ? La conséquence en est que la politique allemande paraît être à double sens, fausse, astucieuse et ce que le Gouvernement, le Reichstag et enfin tout le peuple seront compromis ! La politique de l'Empire allemand doit être une, claire et
destination de 'étranger, que l'acte du Reichstag n'a été q'n coup déquinoxe dans l'eau, une humiliation de l'Allemagne et que nous n'adressions à l'étranger aucune parole raisonnable. A l'appui de ns dires, signalons le compte dnreu des débats dans le journal sss le Bund et la plainte d correspondant bernois de la Voss. Ztg. sur ls effets désstrx d'un communiqué aussi tendancieux. C qui importe, rtcié ce correspondant, plus encore que les paroles du Chnclr et leur rciio par les dvrs partis, c'est de montrer à nglr'térea comment, a la bouche de ses représentants, le peuple allemand exlue l résolution de paix. Or, ° le discours du Chancelier a été souligné dans ses allusions guerrières ; 2° le Reichstag est représenté comme s'il était complètement tombé en conséquence l résolution de paix est frtmnt rabaisée et quant à la vérité et quant à ses effets. D'ae part le . . B. fait une rg place à un article du général d'infanterie en disponibilité von Blume, qui polémique one le Reichstag et contre une paix d'entente ; le W. T. B. offre même, pour bien faire ressortir l'importance de 'article, la matière à cx qui voudraient le rprdr en entier. Pour terminer disons que le Berlin. Tagbl. reproche de son côté au W. T. B. de présenter au lecteur llemd, de façon inexacte et tendancieuse, le dscrs des hommes d'Etat ennemis ; la preuve e st le discours de Lloyd eore à Glasgow, que le T. . a dénaturé. — Q'st-c que e W. T. B. ? La façade des gnce de presse Krupp, le jouet de fonctionnaires autonomes, ou un instrument du Gouvernement ? Si vraiment, bien q è'asprd les exemples ci-dessus cela paraît presque incompréhensible, le W. T . est un instrument du Gouvernement, pourquoi donc ne sert-il pas l Gouven ? Pourquoi contrecarre-t-il sa politique ? La conséquence en est que la politique allemande paraît être à buldoe sens, fausse, euetusaisc et c que le Gouvernement, l Reichstag t enfin tout le eluppe seront compromis ! La politique de l'Empire allemand it être une claire et
Pour terminer disons que le Berlin. Tagbl. reproche de son côté au W. T. B. de présenter au lecteur allemand, de façon inexacte et tendancieuse, le discours des hommes d'Etat ennemis ; la preuve en est le discours de Lloyd George à Glasgow, que le W. T. B. a dénaturé. — Qu'est-ce que le W. T. B. ? La façade des agences de presse Krupp, le jouet de fonctionnaires autonomes, ou un instrument du Gouvernement ? Si vraiment, bien que d'après les exemples ci-dessus cela paraît presque incompréhensible, le W. T. B. est un instrument du Gouvernement, pourquoi donc ne sert-il pas le Gouvernement ? Pourquoi contrecarre-t-il sa politique ? La conséquence en est que la politique allemande paraît être à double sens, fausse, astucieuse et ce que le Gouvernement, le Reichstag et enfin tout le peuple seront compromis ! La politique de l'Empire allemand doit être une, claire et ferme. Fierlement le Chancelier a lancé cette parole audacieuse : « Je n'ai pas l'intention de me laisser enlever le gouvernail » : il le prouvera seulement le jour où il aura remporté ce premier succès : en finir avec le chassé-croisé des gouvernants en Allemagne. — Vorwärts, 25.7. — La Wormser Volkszeitung s'était plainte récemment de la distribution de manifestes pangermanistes par les soins de la police urbaine. « Les agents de police, écrivait-elle, pas plus que d'autres fonctionnaires, ne doivent être employés au service d'un parti quelconque. Si les pangermanistes veulent répandre des manifestes dans toutes les maisons, qu'ils paient des porteurs ! » Nous n'avions pas relevé cette plainte, car nous croyions à une erreur. Mais voici que la Deutsche Tageszeitung vient confirmer la chose, et cherche à la justifier en déclarant qu'il « s'agit simplement de fortifier la volonté de tenir ». Nous n'avons pas vu le manifeste, mais nous protestons : la police n'est pas là pour cela. — Berlin. Tagbl., 26.7. OPINIONS SUR LES PUISSANCES DE L'ENTENTE Russie. — Le mouvement des nationalités grandit en Russie. Partout les nationalités qui s'opposent au peuple grand-russien ont les mêmes buts : acquérir l'autonomie ou l'indépendance avant
Pr terminer disons que le Berlin. Tagbl. reproche de on côté au W. T. B. de présenter au lecteur allemand, de façon inexacte e tendancieuse, le dscrs des hommes d'Etat en ; la preuve en est le discours de Lloyd Grg à Glasgow, que le W. . B. a dénaturé — use que le W. T. B. ? La façade des agences de presse Krupp, le jouet de fctoaie autonomes, ou un instrument du Gouvernement ? Si vraiment, bien que d'après les exemples ci-dessus cela paraît presque incompréhensible, le W. T. B. est un nstrmnt du Gouvernement, pourquoi donc ne sert-il sap le overnemet Pourquoi -neor-ttaccrrile sa politique ? La conséquence en est que la politique allemande paraît être à double sens, fausse, stcs et ce que le Gouvernement, le Rchstg et enfin tout le peuple seront compromis ! La politique de l'Empire allemand doit être une claire et frm. Fierlement le Chancelier a lancé cette aole audacieuse : « Je n'ai pas l'intention de me laisser enlever le gouvernail » : il le prouvera seulement le jour où il aura remporté ce premier succès : en finir avec le chassé-croisé des gouvernants en Allemagne. — Vorwärts, 25.7. — Wormser Volkszeitung s'était plainte éem de la sriio de manifestes pangermanistes par les soins de la police urbaine. « Les ent de police, écrivait-elle, pas plus que d'autres fonctionnaires, e doivent être employés au service d'un parti quelconque. Si les pangermanistes veulent répandre des aitesfesnm dans toutes les maisons, qu'ils pnt des porteurs ! » Nous n'avions pas evé cette plainte, car nous croyions à une erreur. Mais voici qu la Deutsche Tageszeitung vient confirmer la ,ehosc et cherche à la justifier en déclarant qu'il « s'agit simplement de fortifier la vonté de tenir ». Nous n'avons pas vu le manifete, mais nous protestons : plc 'es pas là pour cela. — Berlin. Tagbl., 26.7. OPINIONS SUR LES PUISSANCES DE L'ENTENTE Russie. — Le mouvement des nationalités grandit en Russie. Partout les nationalités qui ost'pesopn au peuple grand-russien ont les mesêm buts : acquérir l'autonomie uo pdan'néeedclni avant
La Wormser Volkszeitung s'était plainte récemment de la distribution de manifestes pangermanistes par les soins de la police urbaine. « Les agents de police, écrivait-elle, pas plus que d'autres fonctionnaires, ne doivent être employés au service d'un parti quelconque. Si les pangermanistes veulent répandre des manifestes dans toutes les maisons, qu'ils paient des porteurs ! » Nous n'avions pas relevé cette plainte, car nous croyions à une erreur. Mais voici que la Deutsche Tageszeitung vient confirmer la chose, et cherche à la justifier en déclarant qu'il « s'agit simplement de fortifier la volonté de tenir ». Nous n'avons pas vu le manifeste, mais nous protestons : la police n'est pas là pour cela. — Berlin. Tagbl., 26.7. OPINIONS SUR LES PUISSANCES DE L'ENTENTE Russie. — Le mouvement des nationalités grandit en Russie. Partout les nationalités qui s'opposent au peuple grand-russien ont les mêmes buts : acquérir l'autonomie ou l'indépendance avant la réunion de la Constituante, où l'élément grand-russien prédominera ; plus tard, obtenir pour le nouvel état de choses des garanties internationales. La Finlande a pris les devants. Elle a cherché à exploiter la situation au moyen d'un projet de loi sur les droits de la Diète, qui ne faisait pas mention des droits de souveraineté de la Russie, sous la réserve, exprimée dans des termes très vagues, des relations extérieures et des questions militaires. Le 13 juillet, le gouvernement russe a déclaré cette proposition inacceptable ; elle fut toutefois adoptée le 18, mais non à la majorité requise par la Constitution, des cinq sixièmes. On ne sait rien de précis sur le texte voté par la Diète : ce n'est pas une déclaration d'indépendance, car toutes les informations parlent simplement d'autonomie. Les libéraux russes, centralistes décidés, combattent le mouvement finlandais; les ministres socialistes et le Soviet reconnaissent le droit de la Finlande à disposer d'elle-même, mais sous réserve des droits de la Constituante ; les Bolcheviki reconnaissent à la Finlande le droit à l'indépendance complète. Jusqu'à présent, ni solution, ni conflit ouvert. Il faut tenir compte de la disette dont souffre la Finlande, qui ne peut recevoir de ravitaillement
La Wormser Volkszeitung sétait plainte récemment de la trto de manifestes pangermanistes par les soins de la police urbaine. « Les agents de police, écrivait-elle, pas plus que d'autres fonctionnaires, ne doivent être employés au service d'un prt uecnue Si les pangermanistes veulent répandre des manifestes dans toutes les maisons qu'ils paient des porteurs ! » Nous n'vio pas relevé cette plainte, car nous croyions à n erreur. Mais ivioc que la Deutsche Tageszeitung vnt confirmer la ce,osh et cherche à la justifier en déclarant quil « s'agit emet de fortifier volonté de tenir ». Ns n'avons pas vu le manifeste, masi nous protestons : la police n'est pas là pour cl. — elin. Tagbl., .7.62 PNNS SUR LES PUISSANCES DE L'ENTENTE Russie. — Le mouvement des nationalités grandit en Russie. Prtt les nationalités qui s'ppsnt au peuple rndrsin ont les mêmes buts cquiréra l'autonomie ou leé'anncpedndi avant l réunion de la Constituante, où l'élément grand-russien prédominera ; plus tard, obtenir pour l uel état d choses des garanties internationales. La Finlande a pris les ads.vnte Elle a cherché à exploiter l situation au moyen d'un projet de iol sur les droits de la Dèt, qui ne faisait pas mention des droits de souveraineté de la Russie, sous l résrv, exprimée dans des termes très vagues, des relations extérieures et des questions militaires. Le 13 juillet, el gouvernement russe a déclaré cette proposition inacceptable ; elle fut toutefois adoptée le 18, mais non à la majorité requise par la Constitution, des cinq sixièmes. On ne sait rien de p sur le texte voté par la Diète : ce n'est pas une déclaration d'indépendance, car toutes ls informations parlent sipee d'autonomie. Les libéraux russes, centralistes décidés, combattent le mouvement finlandais; les ministres socialistes et el Soviet reconnaissent el droit ed la Finlande à disposer d'elle-même, mais sous réserve des droits de la Constituante ; les Bolcheviki reconnaissent à la Finlande le droit à l'ndépndnc complète. Jusqu'à présnt, ni solution, ni conflit ouvert. Il faut tenir compte de la dist dont souffre la Finlande, qui ne peut recevoir de ravitaillement
pas mention des droits de souveraineté de la Russie, sous la réserve, exprimée dans des termes très vagues, des relations extérieures et des questions militaires. Le 13 juillet, le gouvernement russe a déclaré cette proposition inacceptable ; elle fut toutefois adoptée le 18, mais non à la majorité requise par la Constitution, des cinq sixièmes. On ne sait rien de précis sur le texte voté par la Diète : ce n'est pas une déclaration d'indépendance, car toutes les informations parlent simplement d'autonomie. Les libéraux russes, centralistes décidés, combattent le mouvement finlandais; les ministres socialistes et le Soviet reconnaissent le droit de la Finlande à disposer d'elle-même, mais sous réserve des droits de la Constituante ; les Bolcheviki reconnaissent à la Finlande le droit à l'indépendance complète. Jusqu'à présent, ni solution, ni conflit ouvert. Il faut tenir compte de la disette dont souffre la Finlande, qui ne peut recevoir de ravitaillement que du côté de la Russie. Le pays est en proie au désordre social, presque à l'anarchie. Il est dominé par une social-démocratie radicale qui déçoit singulièrement les calculs que le gouvernement russe basait sur elle en 1906-7. A ce moment, le gouvernement a cru mater les bourgeois suédois par une social-démocratie hostile à la Suède et dont il jouerait contre les possédants. C'est la social-démocratie acheminée vers le pouvoir par le gouvernement russe qui mène aujourd'hui le mouvement séparatiste. Mais comment entendre ce séparatisme ? Au point de vue économique, la Finlande a besoin de la Russie, à qui elle vend son bois et son papier, de laquelle elle reçoit les produits alimentaires qui lui font défaut. Les milieux industriels et commerciaux de Finlande sont attentifs aux possibilités de développement économique qu'offrira la Russie nouvelle, de sorte que la bourgeoisie suédoise se trouve partagée entre ses tendances séparatistes et ses intérêts. Les suédois, d'ailleurs, n'ont pas d'influence à la Diète où règnent les intérêts finlandais exprimés par la social-démocratie. Or, la volonté séparatiste des Finlandais se borne à une réorganisation intérieure entreprise sans souci de la Constituante russe et à une temporisation en matière de relations extérieures et d'affaires
pas mention des iodtrs de vnaeéeoitrus de la Russie, sous la réserve, exprimée dans eds termes trs vagues, des relations extérieures et des questions militaires. Le 13 juillet, le gouvernement russe a déclaré cette proposition inacceptable ; elle fut toutefois adoptée le 18, mais non à la majorité requise par al Constitution, des cinq sixièmes. On ne sait rien de précis r le texte voté par la Diète : ce n'est pas une déclaration d'indépendance, car toutes lse informations parlent simplement d'autonomie. Les libéraux russes, centralistes décidés combattent le mouvement finlandais; les ministres socialistes et Sovie reconnaissent l droit d la Finlande à disposer d'elle-même, mais sous réserve des droits de la Costan ; les Bolcheviki reconnaissent à la Fnlnd le droit à l'indépendance complète. Jusqu'à présent, ni sltn, ni conflit ouvert. Il t eir compte de la disette dont souffre la Fnlnd, qui ne peut rcvr de ravitaillement que d côté de la Rss. Le pays st en proie au désordre social, presque à acia.le'rhn Il est dominé par une social-démocratie radicale qui déoçti singulièrement s calculs que le gouvernement russe basait sur leel en 1906-7. A ce moment, le gouvernement a cru mater les bourgeois suédois par une social-démocratie hostile à la Suède et dont il jouerait contre les possédants. 's la social-démocratie acheminée vers el pouvoir par le gouvernement russe qui mène aujourd'hui le mvent séparatiste. Mais comment entendre ce séparatisme ? Au point de vue économique, la Finlande a so de la Russie, à qui elle vend son bois et son papier, de laquelle elle reçoit ls produits alimentaires qui lui font défaut. Les milieux industriels et commerciaux de Finlande sont tti aux possibilités de développement économique qu'offrira la Rss nouvelle de sorte que a brgs suédoise se trouve partagée entre ses tendances séparatistes et ses intérêts Les éds d'ailleurs, 'ont pas d'influence à la Diète où règnent les intérêts finlandais exprimés par la scl-démcrt. Or, la volonté séparatiste ds Finlandais se borne à une réorganisation intérieure ntrprs sans souci de la Constituante russe et à n temporisation en matière de relations extérieures et d'ffrs
une social-démocratie hostile à la Suède et dont il jouerait contre les possédants. C'est la social-démocratie acheminée vers le pouvoir par le gouvernement russe qui mène aujourd'hui le mouvement séparatiste. Mais comment entendre ce séparatisme ? Au point de vue économique, la Finlande a besoin de la Russie, à qui elle vend son bois et son papier, de laquelle elle reçoit les produits alimentaires qui lui font défaut. Les milieux industriels et commerciaux de Finlande sont attentifs aux possibilités de développement économique qu'offrira la Russie nouvelle, de sorte que la bourgeoisie suédoise se trouve partagée entre ses tendances séparatistes et ses intérêts. Les suédois, d'ailleurs, n'ont pas d'influence à la Diète où règnent les intérêts finlandais exprimés par la social-démocratie. Or, la volonté séparatiste des Finlandais se borne à une réorganisation intérieure entreprise sans souci de la Constituante russe et à une temporisation en matière de relations extérieures et d'affaires militaires, calculée de manière à assurer au régime futur de la Finlande la sanction de garanties internationales. Tels sont les faits qui doivent dicter notre conduite. L'agitation, qui s'étend jusqu'à l'Allemagne, des cercles activistes finno-suédois, éveille des idées erronées quand elle nous présente le mouvement d'indépendance finnois sous les couleurs d'une tendance favorable à l'Allemagne et qui n'attend que notre appui. (Otto Hoetzsch) Kreuzberg. Zeitung, 25.7. La patrie est en danger ! Le Gouvernement provisoire aura pleins pouvoirs pour le salut public ! Voilà les remèdes que le Comité des ouvriers et soldats applique à la situation périlleuse de la Russie : mais en réalité il n'y a qu'un seul remède possible : la paix immédiate. L'offensive russe a été une grosse faute, commise contre les principes mêmes de la révolution russe, et les soldats qui ne cherchent pas maîtrise ont été plus fidèles que Kerensky à ces mêmes principes lorsqu'ils ont refusé de marcher en avant. On peut espérer que l'échec subi renforcera le désir de paix. L'invitation lancée par le gouvernement russe à ses alliés en vue d'une conférence destinée à fixer l'orientation de la politique générale signifie tout simplement que la Russie va essayer de briser la
une social-démocratie hostile à la Suède et dont il jouerait contre les possédants. C'est al social-démocratie acheminée vers le pouvoir par le gouvernement russe qui mène aujourd'hui le mouvement séparatiste. Mais comment entendre ce séparatisme Au point de vue économique, l Finlande a besoin de la Russie, à q elle vend sn bos et son papier, de laquelle elle reçoit les produits alimentaires qui l font défaut. Les milieux industriels et cmmrcx de inln sont attentifs aux possibilités de développement économique qu'offrira la Russie nouvelle, de sorte que la bourgeoisie suédoise se trouve partagée entre ses tendances séparatistes ses intérêts. Les suédois, d'ailleurs, n'ont a d'influence à la Diète où règnent les nês finlandais exprimés pra la socialdémocratie Or, la volonté séparatiste ds Finlandais se borne à une réorganisation intérieure eese sans souci de la Constituante russe et à une temporisation en matière ed relations extérieures et d'affaires militaires, calculée de ièr à assurer au régime futur de la Fnlnd la sanction de garanties internationales. Tels son els faits iuq doivent dicter notre conduite. Lagitation s'étend à'sqjuu l'Allemagne, des cercles activistes finno-suédois, éveille des idées erronées quand elle nous présente le mouvement pace finnois sous les couleurs 'une tendance favorable lAllemagne e qui n'attend que notre appui. (Otto Hoetzsch) Kreuzberg. Zeitung 25.. La patrie est en er ! Le Gouvernement provisoire aura ples pvrs pour le salut public ! Và les remèdes que le Comité des ouvriers et soldats applique à la sttn périlleuse de la Russie : mais en réalité il ' a qu'un seul remède possible : la paix mmédt. L'offensive russe a été une grosse faute, commise contre les principes mêmes d la révolution russe, et les soldats ui ne cherchent pas maîtrise ont été pls fidèles que Kerensky à ces mêmes principes lorsqu'ils ont refusé de marcher en avant. On peut espérer que l'échec subi refoc le désir de paix. L'invitation lancée par le gouvernement rss à ses alliés en vue d'n conférence esinée à fixer riento de la politique générale signifie tout simplement que la Russie va essayer de briser la
d'une tendance favorable à l'Allemagne et qui n'attend que notre appui. (Otto Hoetzsch) Kreuzberg. Zeitung, 25.7. La patrie est en danger ! Le Gouvernement provisoire aura pleins pouvoirs pour le salut public ! Voilà les remèdes que le Comité des ouvriers et soldats applique à la situation périlleuse de la Russie : mais en réalité il n'y a qu'un seul remède possible : la paix immédiate. L'offensive russe a été une grosse faute, commise contre les principes mêmes de la révolution russe, et les soldats qui ne cherchent pas maîtrise ont été plus fidèles que Kerensky à ces mêmes principes lorsqu'ils ont refusé de marcher en avant. On peut espérer que l'échec subi renforcera le désir de paix. L'invitation lancée par le gouvernement russe à ses alliés en vue d'une conférence destinée à fixer l'orientation de la politique générale signifie tout simplement que la Russie va essayer de briser la résistance de la France et de l'Angleterre aux idées pacifiques et de les convaincre que la Russie ne peut pas se passer de la paix. - Lavorer:.tg.. Bureau de la Presse Etrangère.
d'n tendance favorable à lAllemagne et qi n'attend que notre appui. to Hoetzsch) Kreuzberg. Zeitung, 25.7. La patrie est en danger ! Le Gouvernement provisoire aura pleins pouvoirs pr le salut public ! Voilà les remèdes que le Cté des ouvriers et sldts applique à la situation périlleuse de la Russie : mais n réalité i n'y a u'u seul remède possible l paix mmédt. Loffensive rss a téé une grosse faute, commise contre ls principes mêmes de la révolution use, et les soldats qui ne cherchent pas maîtrise ont été plus fidèles que Kerensky à s mêmes principes oruls ot refusé de marcher n avant. On peut spérr q l'échec sb renforcera le désir de a L'invitation lncé par l gouvernement russe à ses l en vue dune conférence destinée fixer l'orientation de la politique générale signifie tout simplement que la Rss v essayer briser la résistance de la France et de l'ngltrr aux és pacifiques et de les convaincre e la Russie ne peut pas se passer d paix. - Lavorer:.tg.. Bureau de la Prss Etrangère.
Franc-Tireur Edition de 5 heures À L'AVANT-GARDE DE LA RÉPUBLIQUE LE QUOTIDIEN DE PARIS Ainsi dândesbaumement depuis 1946 MARDI 27 AVRIL 1948 5e ANNÉE. — NOMBRE 1164 100, rue Réaumur, PARIS (2e) Téléph. : GUT. 80-60, GUT. 88-00 C. C. P. Paris 283-07 LE NUMÉRO: 5 FRANCS PRIX DE L'ABONNEMENT : 3 mois : 350 fr. — 6 mois : 650 fr. Les abonnements partent les 1er et 15 de chaque mois. Une grande enquête de F.-J. Armorin Que sont-ils devenus? CES SIX HOMMES AUTOUR D'UN FANION À TÊTE DE MORT C'étaient des terroristes L'idée nous a pris comme ça, un soir en regardant une photo délavée... Il y a pourtant longtemps que quatre punaises sont épinglées dans la matière et la poussière avait révélé les cassures, effacé les traits des hommes; les mois de trois étés avaient érodyé le glaçage. Quelqu'un me dit un — Ils ont de drôles de gueules, ces gars-là... Avec évidemment l'air de penser qu'ils sont des types que je n'aimerais pas rencontrer au coin des bois... De drôles de gueules... Et si vous pouviez deviner ce qu'ils ont subi, les sept, rangés autour du fanion à tête de mort, tous les volontaires qui défilent devant et que l'on ne voit pas, que l'on ne verra jamais, au moins pour vingt-huit des leurs... — Qu'est-ce qu'ils sont devenus ? Mais moi, je n'en savais rien. Les vents changent, les saisons tournent. Nous n'avons plus la même voilure et ne faisons plus route en convoi. Certains ont mis à l'ancrage au port de la fin. Nous nous retrouverons au même quai... Ce n'est pas que l'on s'oublie... Il y aura toujours un pot à boire avec ceux qui restent, les coudes bien posés sur la table. J'en reviens. J'ai beaucoup bu... Au pays de la liberté Ainsi le noyau a tout de même éclaté. Les gars qui avaient une drôle de gueule — comme vous dites — ne sont plus au fond des bois. Ils gravitent autour du monde et de leur département... Leurs routes se croisent rarement et sur la terre aride de ce premier
Franc-Tireur Edition de 5 hrs L'AVANT-GARDE DE LA RÉPUBLIQUE LE QTDN DE PARIS Ainsi dândesbaumement depuis 1946 MARDI 27 AVRIL 1948 5e ANNÉE. — NOMBRE 1164 100, rue Réaumur, PARIS (2e) Téléph : GUT. 80-60, GUT. 88-00 C. C. P. Paris 283-07 LE NUMÉRO: 5 FRANCS PRIX D L'ABONNEMENT : 3 mois : 350 fr. — 6 mois : 650 fr. abonnements partent les 1er et 15 de h mois. Une grande enquête d F.-J. nmiorAr Que sont-ils devenus? CES SIX HOMMES AUTOUR D'UN FANION À TÊTE DE MORT C'étaient des terroristes L'idée nous a pris ecomm ça, un soir en regardant un photo délvé... Il y a pourtant longtemps que quatre punaises sont épinglées dans la matière et la poussière vtaai révélé les cassures effacé les traits des hommes; les mois de trois étés avaient érodyé le glaçage. Quelqu'un me dit un — Ils ont de drôles de gueules, ces gars-là... Avec évidemment l'air ed penser qu'ils sont ds types que je n'aimerais pas rencontrer au coin des bois... De drôles de gls... Et si vous pouviez deviner ce qu'ils ont subi, les sept, rangés ut du fanion à tête de mort, tous les volontaires qui dtélneif dvn et que l'on ne voit pas, que l'on ne verra jamais, au moins pr vingthuit sed leurs... — Qu'est-ce qu'ils sont devenus ? Mais moi, je n'en svs rien. Les vnts changent, les saisons tournent. Nous n'avons plus la même voilure et ne faisons plus route en co. Certains ont mis à l'ancrage au port de la fin. Nous nous retrouverons au même a Ce n'est pas que l'on s'oublie... Il y aura toujours un opt à bor avec ceux qui restent, les coudes bien posés sur la tle J'en reviens. J'ai beaucoup bu... Au pys de la liberté Ainsi le noyau a tout de même éclaté. Les gars qui avaient une lrôde d gueule — comme vous dites — ne sont plus au o des bs. Ils gravitent autour du monde et d leur département... Leurs routes se croisent rarement sur la erret aride de ce premier
devant et que l'on ne voit pas, que l'on ne verra jamais, au moins pour vingt-huit des leurs... — Qu'est-ce qu'ils sont devenus ? Mais moi, je n'en savais rien. Les vents changent, les saisons tournent. Nous n'avons plus la même voilure et ne faisons plus route en convoi. Certains ont mis à l'ancrage au port de la fin. Nous nous retrouverons au même quai... Ce n'est pas que l'on s'oublie... Il y aura toujours un pot à boire avec ceux qui restent, les coudes bien posés sur la table. J'en reviens. J'ai beaucoup bu... Au pays de la liberté Ainsi le noyau a tout de même éclaté. Les gars qui avaient une drôle de gueule — comme vous dites — ne sont plus au fond des bois. Ils gravitent autour du monde et de leur département... Leurs routes se croisent rarement et sur la terre aride de ce premier pays de liberté retrouvée, à vingt kilomètres les uns des autres, souvent ils ne se sont pas revus depuis quatre ans... Mais, comme des navigateurs, au hasard des escales, au café de la Préfecture, à la ferme de Toine, chez Chizat, l'un et l'autre se rencontrent parfois et ce sont des : « Tu as vu le vieux ? » « René se remet bien ? » « Paul a la médaille ? » « Ta femme ? » Restent aussi les commémorations, année après année, des bornes, des coins de murs où l'on a ajouté du marbre et quelques noms, une palme de bronze... où demeurent des impacts de balles que la pluie, le vent et le soleil ont commencé à roussir et qui se cicatrisent comme les souvenirs. Vingt dieux ! Que ça fait loin... Nos camarades sont morts. Les autres ont mis les bouchées doubles, les tueurs sont libérés — quand ils ne sont pas libres — le maréchal se porte bien, merci, ceux qui travaillaient de la francisque opèrent dans la croix de Lorraine, on se demande, si, la Résistance... tout bien pesé... avec le recul... était utile... Nos camarades l'ont morts. Et puis ? Rien
den et que l'on ne voit pas, que l'on ne verra jamais, au moins pour vingt-huit des leurs... — Qu'est-ce u's snt dvns ? Mais m, je n'en savais e Les vents changent, les saisons .unotrnte Nous n'avons plus la même voilure et ne faisons plus route en ooi Certains ont mis à l'ancrage au port de la fin. Ns nous retrouverons ême quai... Ce n'est pas q l'on s'oublie... I y aura toujours un pot à boire vc ceux qui restent, les coudes bien posés sur l table. 'e reviens. J'ai beaucoup bu... Au pays de la liberté Ainsi l auyon a tout de même éclaté. Les gars q avaient une drôle de gueule comme vous dites — ne sont plus au nd des bois. Ils ai tr du mnd e de leur département... Lrs routes se croisent rarement et sur la terre rd de ce premier pays de liberté retrouvée, à vingt kilomètres les uns des autres, souvent il ne se nt pas rvs depuis quatre ans... Mais, comme des nvgtrs, hasard des escales, au café de la Préfecture, à la ferme de Toine, cz Chizat, l'un et l'tr se rencontrent parfois et ce sont des : « Tu vu le vieux ? » « René se remet en ? » « Paul a a mai ? » « Ta femme ? » Restent aussi les cmmémrtns, année rpaès année, des bornes, des coins ed murs où l'on a ajouté u marbre et quelques noms, une palme de bronze où dmrnt des mcts de balles que la pluie, le vent et le soleil ont commencé à roussir et qui se cicatrisent comme les souvenirs. Vingt dieux ! Que ça fait loin... Nos camarades sont morts. Les trs ont mis les bouchées doubles, les tueurs sont libérés — quand ils ne on pas libres — le maréchal se porte bien, merci, ceux q travaillaient de la francisque pèrnt dans la croix de Lrrn, on se demande, si, la Résistance... tout bien pesé... avec le recul... était utile Nos camarades l'ont morts. Et puis ? Rien
des : « Tu as vu le vieux ? » « René se remet bien ? » « Paul a la médaille ? » « Ta femme ? » Restent aussi les commémorations, année après année, des bornes, des coins de murs où l'on a ajouté du marbre et quelques noms, une palme de bronze... où demeurent des impacts de balles que la pluie, le vent et le soleil ont commencé à roussir et qui se cicatrisent comme les souvenirs. Vingt dieux ! Que ça fait loin... Nos camarades sont morts. Les autres ont mis les bouchées doubles, les tueurs sont libérés — quand ils ne sont pas libres — le maréchal se porte bien, merci, ceux qui travaillaient de la francisque opèrent dans la croix de Lorraine, on se demande, si, la Résistance... tout bien pesé... avec le recul... était utile... Nos camarades l'ont morts. Et puis ? Rien que de ceux que j'ai connus, la petite équipe lyonnaise, nous étions neuf ; j'en compte encore trois... Gay a laissé sa peau à Buchenwald, et Carreau, et Carbone... Miguet est quelque part entre les lignes à Saint-Cloud. Tirons l'échelle. Il est décomposé. Ils ne sentent plus... Un squelette fait moins peur qu'une charogne et personne ne regarde les monuments. Nos camarades sont morts. LA TRANSJORDANIE DECLARE LA GUERRE AU SIONISME L'armée du roi Abdullah occupe Jéricho DURS COMBATS AUTOUR DE JAFFA ET DE JERUSALEM Les troupes britanniques interviennent sur place et l'URSS entre au Conseil de tutelle de l'O.N.U. Les États juifs (hachures cerrées) et arabes (larges hachures) selon le projet de l'O.N.U. Le gouvernement de Transjordanie a déclaré, hier soir, la guerre au sionisme. L'armée transjordanienne a occupé Jéricho. Telle est la nouvelle qui nous est parvenue de Damas dans la nuit. Elle avait été précédée par une déclaration du roi Abdallah : « La seule manière de résoudre le problème palestinien, c'est la guerre ! » De son côté, Azzam pacha, secrétaire général de la Ligue arabe, avait dit, à l'issue d'une séance secrète : « Nous avons accepté le défi et nous ferons de notre mieux
des « Tu as vu le vieux ? » « René se emtre bn ? » « Paul a la médaille ? » « Ta femme ? Restent aussi ls commémorations, année après année, des bornes, des coins de murs où l'on a ajouté du marbre et quelques noms, une palme de bronze... où demeurent des impacts de balles que la pluie, le vent te le olsiel ont commencé à roussir et qui se iatisen comme les souvenirs. nt dieux Que ça fait loin... Nos camarades sont morts. s trs ont mis les bouchées doubles, les trs sont libérés — quand ils ne sont pas resbil — le mr se ot bien, merci, ceux qui ratlianvletai de la francisque opèrent dans la croix de Lorraine, on se demande, si, la Résistance... tout bn s..pée. avec le recul... était utile... Nos camarades l'ont morts. Et puis ? Rien que de ceux que j'ai connus, la petite éqp lyonnaise, nous étns nfue ; 'en compte encore trs... Gay a laissé sa peau à Buchenwald, et Carreau, et Carbone... Migue est quelque part entre les lignes à Saint-Cloud. ros l'échelle. l décomposé Ils n sentent plus... nU squelette fait moins peur qu'une charogne et personne ne regarde les mnmnts. Nos camarades sont morts LA TRANSJORDANIE DECLARE LA GRR AU SIONISME 'armée du roi Abdullah occupe Jéricho DURS COMBATS AUTOUR DE JAFFA ET DE JERUSALEM Les troupes britanniques interviennent sur place et 'URSS entre au Conseil de tutelle de l'O.N.U. Les tÉsta juifs (hachures cerrées) et arabes (larges hachures) selon le prjt de 'O. L gouvernement de Transjordanie déclaré, hier soir, la guerre au sionisme. L'armée transjordanienne a occupé Jéricho. Tl est la nouvelle qui nous st parvenue d Damas dans la nuit. ll at été précédée p une déclaration du roi Abdallah : « La seule mnèr de résoudre l poble palestinien, c'st la guerre ! » De son côté, Azzam pacha, secrétaire nra de la Ligue rb, avait dit, à l'issue d'une séance scrèt : « Nous as ccpté le défi t nous feos de notre mieux
moins peur qu'une charogne et personne ne regarde les monuments. Nos camarades sont morts. LA TRANSJORDANIE DECLARE LA GUERRE AU SIONISME L'armée du roi Abdullah occupe Jéricho DURS COMBATS AUTOUR DE JAFFA ET DE JERUSALEM Les troupes britanniques interviennent sur place et l'URSS entre au Conseil de tutelle de l'O.N.U. Les États juifs (hachures cerrées) et arabes (larges hachures) selon le projet de l'O.N.U. Le gouvernement de Transjordanie a déclaré, hier soir, la guerre au sionisme. L'armée transjordanienne a occupé Jéricho. Telle est la nouvelle qui nous est parvenue de Damas dans la nuit. Elle avait été précédée par une déclaration du roi Abdallah : « La seule manière de résoudre le problème palestinien, c'est la guerre ! » De son côté, Azzam pacha, secrétaire général de la Ligue arabe, avait dit, à l'issue d'une séance secrète : « Nous avons accepté le défi et nous ferons de notre mieux pour battre les Juifs. » La décision de la Transjordanie fait suite à un accord signé à Amman, capitale de ce royaume, entre les armées syriennes, libanaises, transjordaniennes et irakiennes. Selon cet accord, trois fronts d'attaque sont ouverts contre la Palestine et 40.000 hommes seront engagés dans les opérations qui doivent commencer officiellement le 15 mai. L'affaire de Jaffa Durant les vingt-quatre heures qui précédaient ces dramatiques décisions, la situation avait été dominée par trois faits nouveaux : la bataille pour Jaffa, l'intervention des troupes britanniques et les préparatifs des États arabes. Désavouée par la Haganah (Agence juive), qui accepte le plan de partage, l'opération menée par l'Irgoun contre l'enclave arabe de Jaffa semble destinée à forcer la main aux sionistes majoritaires, à prendre les devants ou à bloquer le seul port où les Arabes de l'extérieur peuvent débarquer et menacer la cité juive de Tel Aviv toute proche. Charles RONSARD. Terre promise terre due Cette guerre qui se déchaine en Palestine est quelque chose d'abominable. Une tuerie absurde. Un crime. Mais le fureur versé à Halfa, à Jaffa et à Tel Aviv éclabousse le monde civilisé. Et sa responsabilité retombe sur ceux qui, ayant toutes les possibilités de prévenir
moins peur uq'une charogne et personne ne regarde les monuments. Nos camarades sont morts. LA TRANSJORDANIE DECLARE LA GUERRE SIONISME L'armée du roi Abdullah occupe Jéricho DURS COMBATS AUTOUR DE JAFFA ET DE RUSA Ls troupes itaniqu ntrvnnnt sur place et l'RSS entre au Conseil de tutelle de lO.N.U. Les États juifs (hachures cerrées) et arabes (lrgs hachures) sn le projet de l'O.N.U. L gouvernement de Transjordanie a déclaré, hier soir, la guerre sionisme. L'armée transjordanienne a occupé Jéricho. Telle est l nouvelle qui nous est prvn Damas dsna la nuit. Elle avait té précédée rap une déclaration u roi bdllh : « a elues manière de résoudre le problème palestinien, c'est la grr ! » De son côté, Azzam pacha, secrétaire général de la Ligue rb, avait dit, à l'issue dune séance scrèt : « uoNs avons cecpaté le défi e nous ferons d notre mieux pour battre les Juifs. » La décision de la Transjordanie fait uie à un accord signé à Amman, capitale de ce royaume, entre les armées syriennes, libanaises, transjordaniennes et irakiennes. Selon cet accord, trois frnts d'attaque sont ouverts contre l Palestine et 40.000 hommes srnt engagés dans les opérations qui doivent commencer officiellement le 15 m. r'faeiafL de Jff Durant les vingt-quatre heures qui pécdan ces dramatiques décisions, la situation avait été ine par trois faits nouveaux : la atil pour fa, l'intervention des troupes britanniques et les réparaif des États arabes. Désavouée par la Haganah (Agence juive), qui ccpt le plan de partage lpérao menée par l'rgn contre l'enclave arabe de Jaffa semble destinée à forcer la main aux sionistes tsimaior,ajre à prendre les devants ou à blqr l seul port où les ab d l'extérieur peuvent débarquer et menacer l cité juive de Tle Aviv toute proche. Charles RONSARD. Terre promise terre due Cette guerre qui se déchaine en Palestine est quelque chose dabominable Une tuerie absurde Un crime. Ms le frr versé à Hl à Jaffa et à Tel Aviv éclabousse le monde civilisé. Et sa responsabilité retombe sur ceux qui, ayant toutes les possibilités de pn
doivent commencer officiellement le 15 mai. L'affaire de Jaffa Durant les vingt-quatre heures qui précédaient ces dramatiques décisions, la situation avait été dominée par trois faits nouveaux : la bataille pour Jaffa, l'intervention des troupes britanniques et les préparatifs des États arabes. Désavouée par la Haganah (Agence juive), qui accepte le plan de partage, l'opération menée par l'Irgoun contre l'enclave arabe de Jaffa semble destinée à forcer la main aux sionistes majoritaires, à prendre les devants ou à bloquer le seul port où les Arabes de l'extérieur peuvent débarquer et menacer la cité juive de Tel Aviv toute proche. Charles RONSARD. Terre promise terre due Cette guerre qui se déchaine en Palestine est quelque chose d'abominable. Une tuerie absurde. Un crime. Mais le fureur versé à Halfa, à Jaffa et à Tel Aviv éclabousse le monde civilisé. Et sa responsabilité retombe sur ceux qui, ayant toutes les possibilités de prévenir le conflit, n'ont pas même levé le petit doigt pour faire respecter la paix sur ce petit coin du globe. À qui fera-t-on croire que si les États-Unis avaient dit « non » aux rotes de la Ligue arabe, on assisterait à cette véritable invasion de la Palestine par des troupes fanatiques, recrutées parmi les populations les plus arriérées, armées et encadrées par les Anglo-Saxons et commandées parfois par des officiers nazis ? À qui fera-t-on croire que si les Anglais avaient exercé leur mandat sans chercher à s'assurer au Moyen-Orient certaines bases stratégiques et certains concours, Juifs et Arabes en viendraient aujourd'hui à des opérations de guerre ? Car, enfin, il ne s'agit pas d'un conflit limité entre les Juifs et les Arabes de Palestine. Nous assistons à un conflit entre les Juifs palestiniens et des armées venues de l'extérieur qui ont pénétré en Palestine avec le soutien de la Ligue arabe et avec la complicité de l'Angleterre. Il existe une décision, prise par l'Assemblée des Nations unies, qui a reconnu aux Juifs le droit à un État. Contre cette décision, la Ligue arabe s'insurge. De quel côté est le droit ? De quel côté la justice ? N'est-il
doivent commencer officiellement le 15 mai. L'affaire de Jaffa Durant les vingt-quatre hrs qui précédaient ces dramatiques décisions, la situation avait été dominée par trois faits vnxueuao : la bataille prou Jaffa, l'intervention s troupes britanniques et les préparatifs des États arabes. Désavouée par l gnaahHa (Agence jv), qui accepte le plan de partage, l'opération menée par l'Irgoun contre l'nclv arabe de Jaa semble destinée à forcer la main aux st majoritaires, à prendre sle devants ou à bloquer le seul port où les Arabes de reu'iérxetl peuvent débarquer et menacer la cité juive de Tel Aviv toute proche. e RONSARD. Terre promise err due tCeet guerre qui se déchaine en Palestine est quelque coe bomnabe. Une tuerie absurde. n crm. Mais le fureur versé à Hla à Jaffa et à Tel Aviv éclabousse le monde civilisé Et sa responsabilité retombe sur ceux qui, ayant toutes ls possibilités de prévenir le conflit n'ont pas mêm levé le petit doigt pour faire respecter la paix sur ce petit coin du globe. À qui fera--on croire que si les États-Unis vnt dit « non » aux rotes de la Ligue arabe on assisterait à cette véritable invasion de la Palestine par des troupes fanatiques, recrutées parmi les populations les plus rrérés, am et encadrées pr les Anglo-Saxons et commandées parfois par des officiers nazis ? À qui fera-t-on croire que s les Anglais avaient exercé lr mandat sans chercher à s'assurer au Moyen-Orient crtns bases stratégiques et certains concours, Juifs et Arabes ne viendraient jrd'h à de opérations gue ? Car, enfin, il ne s'agit pas d'un conflit limité entre les Juifs et les ab de Palesi. Nous assistons à un conflit entre les Jfs palestiniens et des armées venues de l'extérieur qi ont pénétré en Palestine avec le soutien de la Lg arabe et avec la ici de l'Angleterre. I xst une décision, prise par l'Assemblée des Nations unies, uqi a reconnu aux Juifs le droit à un État. Contre cette décision, l Ligue arabe s'insurge. De quel côté est le droit ? eD quel côté la justice ? N'est-il
troupes fanatiques, recrutées parmi les populations les plus arriérées, armées et encadrées par les Anglo-Saxons et commandées parfois par des officiers nazis ? À qui fera-t-on croire que si les Anglais avaient exercé leur mandat sans chercher à s'assurer au Moyen-Orient certaines bases stratégiques et certains concours, Juifs et Arabes en viendraient aujourd'hui à des opérations de guerre ? Car, enfin, il ne s'agit pas d'un conflit limité entre les Juifs et les Arabes de Palestine. Nous assistons à un conflit entre les Juifs palestiniens et des armées venues de l'extérieur qui ont pénétré en Palestine avec le soutien de la Ligue arabe et avec la complicité de l'Angleterre. Il existe une décision, prise par l'Assemblée des Nations unies, qui a reconnu aux Juifs le droit à un État. Contre cette décision, la Ligue arabe s'insurge. De quel côté est le droit ? De quel côté la justice ? N'est-il pas inimaginable de constater que ce sont les Juifs seuls qui se battent pour faire respecter la volonté des nations les plus puissantes du monde ? Sept cent mille Juifs palestiniens, le dos au mur. Qui ont bâti, défriché. Qui ont fait jaillir l'eau et transformé un désert de pierres en jardins, en vignobles. Qui ont organisé des communautés qu'on doit citer comme d'étonnants exemples de libres associations humaines et au sein desquelles le socialisme est devenu une réalité vivante. Ces sept cent mille Juifs de Palestine et leurs frères, rescapés des ghettos de Pologne, survivants des camps de torture hitlériens, qui ont cent fois forcé notre admiration par leur foi, leur ardeur, leur ténacité, leur courage, nous ne pourrons tolérer qu'on les abandonne lâchement, après avoir proclamé à la face du monde que, sur cette terre fécondée par eux, ils seraient libres et souverains. Certes, les « Grands » peuvent tout se permettre. Même de renier leur signature au bas d'un acte international ; même de susciter une guerre pour imposer une trêve et prendre la Palestine en tutelle. Mais, alors, que ces « Grands » aient la franchise de proclamer qu'ils placent leurs intérêts économiques, militaires et stratégiques
troupes fanatiques, recrutées parmi ls populations les plus arriérées, earsém et encadrées par ls Anglo-Saxons te commandées parfois par des officiers nazis ? À qui feraton croire que si les ngl avaient exé leur mndt sans chercher à s'assurer au OrnM-yineeto certaines bsesa stratégiques et certains oour Juifs et Arabes en ivedntnraie aujourd'hui à ds opérations de guerre ? Car, enfin il ne sat pas d'un conflit limité ne les Jfs et les raAesb de Palestine. Nous astns à un ilocnft entre les uif palestiniens et des armées venues d l'extérieur qui ont pénétré en Palestine avec le soutien de la Ligue arabe et avec la complicité de lAngleterre Il existe une décision, prise par l'Assemblée des Nations unies, qui a rcnn aux Juifs le droit à un État. Cntr e décision, la Ligue arabe s'insurge. De quel côté st le tirod ? quel côté la justice N'est-il pas inimaginable de constater que ce sont les Juifs seuls qui s battent pour faire respecter la volonté de nations les pls puissantes du monde ? Sept cnt mille Juifs palestiniens, le dos au mur. u not bâti, défriché. Qui ont fait jaillir l'eau et transformé n désert d pierres en jardins, en eovnblsi.g Qui ont organisé des communautés qu'on doit citer comme d'étonnants exemples de ib associations hmns et au sein desquelles l socialisme est devenu une réalité vivante. Cs spt cent mille Juifs de Palestine et leurs fe,srrè rscpés des ghtts de Pologne, survivants des psmca e torture htlérns, q ont cent fois forcé notre admiration pr leur foi, leur ardeur, lr ténacité, leur courage, nous n pourrons tolérer qu'on les and lâchement, après avoir prclmé à la face ud monde que, sur cette trr fécondée par eux, ils seraient libres et souverains. Certes, les « Grands » peuvent tt se prmttr. Même de rie leur signature au bas d'n acte international ; même de susciter une guerre pour imposer une trêve et prendre la Palestine en tutelle. Mais, alors, qe cs « Grands » aient la frnchs d proclamer qu'ils placent leurs itêsrnét écnmqs, militaires et stratégiques
en jardins, en vignobles. Qui ont organisé des communautés qu'on doit citer comme d'étonnants exemples de libres associations humaines et au sein desquelles le socialisme est devenu une réalité vivante. Ces sept cent mille Juifs de Palestine et leurs frères, rescapés des ghettos de Pologne, survivants des camps de torture hitlériens, qui ont cent fois forcé notre admiration par leur foi, leur ardeur, leur ténacité, leur courage, nous ne pourrons tolérer qu'on les abandonne lâchement, après avoir proclamé à la face du monde que, sur cette terre fécondée par eux, ils seraient libres et souverains. Certes, les « Grands » peuvent tout se permettre. Même de renier leur signature au bas d'un acte international ; même de susciter une guerre pour imposer une trêve et prendre la Palestine en tutelle. Mais, alors, que ces « Grands » aient la franchise de proclamer qu'ils placent leurs intérêts économiques, militaires et stratégiques au-dessus des intérêts collectifs des Nations unies. Au-dessus de la Justice et du Droit. Hélas ! au-dessus de la Paix. Marcel FOURRIER. Psychose de guerre yankee Le général Bradley s'en va-t-en guerre ...pour effaroucher les pères conscrits Par câble, de notre correspondante particulière Maria CRAIPEAU New-York, 26 avril. — Aujourd'hui, le général Omar Bradley n'est plus sûr que la guerre ne soit pas toute proche. Il ne pensait pas ainsi il y a trois mois. — Nous avons un peu plus peur que quelque chose pourrait arriver qu'il y a trois mois, vient-il de déclarer au comité des Forces armées du Sénat, qui délibère sur l'opportunité de l'entraînement militaire universel (E.M.U.). Selon ce général, sans une telle mesure, les U.S.A. devront se contenter d'une guerre purement défensive. — Si nous n'avons pas de réserves, a ajouté Bradley, nous perdrons du temps pour les créer et les équiper, et alors nous serons en danger de perdre des bases précieuses d'attaque contre l'U.R.S.S., car nous savons que nous parlons de l'U.R.S.S. Cette fois, ce n'est pas un obscur sénateur qui parle ainsi, c'est le chef militaire n° 1 des U.S.A. Ses déclarations étaient confidentielles, mais on vient de les rendre publiques. Pourquoi
en jardins, en vignobles. Qui ont organisé des communautés n doit citer comme détonnants exemples de libres associations humaines et au sein desquelles el socialisme est devenu une rlé vivante. Ces sept cent mille Juifs d Palestine et leurs frères, rescapés des ghettos de Pologne, survivants des camps de torture hitlériens, qui ont cent fois rcé notre admiration par leur foi, leur ardeur, leur ténacité, leur rage, nous ne pourrons tlérr 'oqun sle abandonne lâchement, après ar proclamé à la fc du mnd que sur cette terre fécondée par eux, ils seraient libres et souverains. Certes, les « Grands » peuvent tout se permettre. Même de renier leur signature au bas d'un acte international ; même de suter une guerre pour imposer une trêve et prendre la Palestine n tutelle. Mais, alors, que sec « Grands » aient la franchise de proclamer qu'ils placent leurs intérêts économiques, militaires et stratégiques au-dessus des intérêts collectifs des Nations unies. Au-dessus de la Justice et du Droit. Hélas ! au-dessus de la Paix. Marcel FOURRIER Psychose de guerre ykeena Le général yerdBal 'en v-tn guerre ...pour effaroucher les pères conscrits Par câble, de notre correspondante particulière Maria CRAIPEAU New-York, 26 vrl. — Aujourd'hui, le général Omar Bradley n'est plus sûr que la guerre ne soit pas toute proche. Il ne pensait pas ainsi il a trois mois. — Nous avons un peu plus peur que quelque chose pourrait arriver qu'il y trois mois, vnt-l de déclarer au comité des Forces rmés d Sénat, qui délibère sur l'opportunité de l'entraînement militaire uves (...). Selon ce général, sans une telle mesure les U.S.A. devront se contenter d'une guerre purement défensive — Si nous n'vns pas de réserves, a ajouté Bradley, nous perdrons du temps pour ls créer et ls équiper, e alors nous serons en dngr d perdre des bases précss d'attaque contre l'U.R.S.S., cr nous savons q nous parlons de l'U.R.S.S. eCtte fois, ce sn'et pas un obscur sénateur uiq parle isi, c'est le chef militaire n° 1 des U.S.A. Ses déclarations étaient confidentielles, mais on ient de les rendre pblqs. Pourquoi
le général Omar Bradley n'est plus sûr que la guerre ne soit pas toute proche. Il ne pensait pas ainsi il y a trois mois. — Nous avons un peu plus peur que quelque chose pourrait arriver qu'il y a trois mois, vient-il de déclarer au comité des Forces armées du Sénat, qui délibère sur l'opportunité de l'entraînement militaire universel (E.M.U.). Selon ce général, sans une telle mesure, les U.S.A. devront se contenter d'une guerre purement défensive. — Si nous n'avons pas de réserves, a ajouté Bradley, nous perdrons du temps pour les créer et les équiper, et alors nous serons en danger de perdre des bases précieuses d'attaque contre l'U.R.S.S., car nous savons que nous parlons de l'U.R.S.S. Cette fois, ce n'est pas un obscur sénateur qui parle ainsi, c'est le chef militaire n° 1 des U.S.A. Ses déclarations étaient confidentielles, mais on vient de les rendre publiques. Pourquoi ? Ce n'est tout de même pas sans avoir réfléchi profondément qu'on rend publiques de telles déclarations. Le même jour, le secrétaire à la Défense, Forrestal, est venu à la rescousse du général : — Nous pensons maintenant que vous avez à envisager la possibilité de la guerre. LES IMPOTS Le délai pour le dépôt des déclarations est reporté au 15 mai Ainsi que « Franc-Tireur » a été le premier à l'annoncer, la date-limite pour la déclaration des revenus de 1947 est prorogée au 15 mai pour les particuliers et au 31 mai pour les contribuables soumis à l'impôt sur les bénéfices industriels et commerciaux. Avant d'envoyer leur déclaration au contrôleur des Contributions directes, les contribuables ont intérêt à attendre le vote définitif, par le Conseil de la République, du projet de loi aménageant l'impôt général sur le revenu et l'impôt sur les B. 1. C. On sait, en effet, que l'Assemblée nationale a adopté un texte qui autorise la déduction du quart de l'impôt général de 1947 se rapportant à 1947. Les contribuables qui ont déjà envoyé leur déclaration sans déduire le quart de l'impôt général de 1947 devront la rectifier. SUR UN AIR BRETON Aux avances de
le général mar Bradley n plus sûr que la guerre ne soit pas toute prch. Il ne ipesnat pas ainsi il y a trois os. — Nous avons un peu plus peur que quelque chose pourrait arriver qu'il y a trois mois, vient-il de dclrer au comité des Fre armées du Sénat, qui délibère sur l'opportunité de lentraînement militaire universel (E.M.U.). eoSnl ce général, sns neu telle mr les U.S.A. devront se contenter d'une guerre purement défensive. — Si nous pas de réserves, é Bradley, ns err du temps pour les crér et ls équiper, et alors nous serons en danger de prdr des bases précieuses d'attaque contre l'U.R.S.S., car ous savons que nous parlons de ..Sl.RSU.' Cette fois, ce nset' pas obscur sénateur qui parle ainsi, s le chef militaire n° des .S.. Ses déclarations étaient confidentielles, mais on t de les rendre publiques. Pourquoi ? Ce 'est tout de même ps sans avoir réfléchi profondément qu'on rend publiques de telles tis.oécaardnl même jour seétre à la éens, Forrestal, est venu à a rescousse du général : — Nous pensons aet que vous avez à envisager la possibilité de la ge LES IMPOTS dél pour le dé des déclarations est reporté 15 i Ainsi que « arF-ruTcienr » a été le premier à l'annoncer, la dt-lmt pour a déclaration des reveus de 1947 est prorogée au 15 ami pr els particuliers et u 31 mai pour les contribuables soumis à l'impôt s ls bénéfices sirldenusit et commerciaux. Avant d'nvyr leur ératio au contrôleur des Contributions directes, les contribuables on intérêt à ene le vote définitif, par l Conseil de la ublie du projet de l méngnt limpôt gé urs le revenu et l'impôt sur les . 1. . n sait, en effet, que l'Assemblée nationale adopté un texte qui trs la déduction du quart de l'impôt général de 1947 se rapportant à 1947. Le contribuables q ont déjà envoyé leur déclaration snsa déduire le quart de l'impôt général de 1947 dvrnt la ctf SR UN R BRTN Aux avances de
Le délai pour le dépôt des déclarations est reporté au 15 mai Ainsi que « Franc-Tireur » a été le premier à l'annoncer, la date-limite pour la déclaration des revenus de 1947 est prorogée au 15 mai pour les particuliers et au 31 mai pour les contribuables soumis à l'impôt sur les bénéfices industriels et commerciaux. Avant d'envoyer leur déclaration au contrôleur des Contributions directes, les contribuables ont intérêt à attendre le vote définitif, par le Conseil de la République, du projet de loi aménageant l'impôt général sur le revenu et l'impôt sur les B. 1. C. On sait, en effet, que l'Assemblée nationale a adopté un texte qui autorise la déduction du quart de l'impôt général de 1947 se rapportant à 1947. Les contribuables qui ont déjà envoyé leur déclaration sans déduire le quart de l'impôt général de 1947 devront la rectifier. SUR UN AIR BRETON Aux avances de M. Pleven nuancées par celles de M. Palewski M. SCHUMAN ne dit pas oui M. BIDAULT ne dit pas non LA journée de dimanche a été marquée par les discours prononcés par MM. Pleven, Robert Schuman, Georges Bidault et par le lieutenant du général de Gaulle, M. Palewski. M. René Pleven, à Rambouillet, n'a fait, somme toute, que de lancer une nouvelle fois un appel en faveur d'un rapprochement varié,mentaire et électoral du « triforce » et du R. P. F. Le député des Côtes-du-Nord n'a apporté en faveur de sa thèse aucun argument nouveau. Il s'est borné à paraphraser ses précédentes déclarations. Il n'a pas changé de disque. M. Robert Schuman a fait preuve d'une imagination tout aussi grande. Aux suggestions de M. Pleven, il n'a répondu encore une fois ni oui ni non. Il s'est contenté de répéter, à Langres, ce qu'il avait dit à Poitiers, en précisant toutefois que, « pour ce qui était de la durée du Parlement actuel, l'Assemblée nationale était maîtresse de son propre destin ». André SAUGER. TAXER LE VIN C'est à quoi songe le gouvernement, qui prépare aussi un projet sur la viande, mais n'a pris sur le lait aucune décision. De
Le délai opru le dépôt sde déclarations est rprté au mai Ainsi que « Franc-Tireur » a été le em à lannoncer la dt-lmt pr la déclaration ds rvns d 1947 est prorogée au 15 mai pour les particuliers et au 31 mai pour les contribuables us à l'impôt sur les bénéfices industriels et commerciaux. Avant d'envoyer leur déclaration au contrôleur des Contributions directes, les cntrbbls ont intérêt à attendre el vote définitif, par le Cnsl de la République, du projet d loi aménageant 'impôt général u le rvn et limpôt sur le B. 1. C. nO tsi,a en teeff, q l'Assemblée nationale a potdéa un texte qui autorise la déduction du quart de l'impôt générl de 1947 se rptt à 1947. Ls ctbuabs qui ont déjà envoyé leur déclaration sans déduire le quart de 'impôt général de 1947 devnt la rectifier SUR UN AIR BRETON Aux eavcsan de M. Pleven nuancées par celles de M. Paw M. SCHUMAN ne dit pas M. DAILTUB ne dit pas non L journée de dimanche a été marquée par les dicurs prnncés par MM. Pleven Robert Schuman, Grgs Bidault et par le lieutenant du générl de Gaulle, M. Plwsk. M. René Pleven, à Rambouillet n' fait, smm toute, que de lancer une nouvelle fois un appel en faveur d'n rpprchmnt varié,mentaire et élctrl du « triforce » et du .R P. F Le dépté de CôtesduNord 'na apporté en faveur de s thèse aucun argument nouveau. Il s'est borné à paraphraser ses précédnts déclarations. Il n'a pas changé de disque. Robert Schuman a fait prv ue miat tout ss grande. Aux suggestions de M. Pleven, il na répondu encore n fois in oui ni non. Il s'est contenté d répéter, à reLs,gna ce qu'il avait dit à Poitiers, en cntéparsi toutefois que, « pour c qui était de la durée du Parlement actuel, 'lmseeéslAb nationale ta îtmraeess de son propre d ». né SAUGER. TAXER LE VIN C'est quoi songe le gvrnmnt, qui prépare aussi un projet sur la viande s n'a pris sur le lait aucune décision. De
Pleven, à Rambouillet, n'a fait, somme toute, que de lancer une nouvelle fois un appel en faveur d'un rapprochement varié,mentaire et électoral du « triforce » et du R. P. F. Le député des Côtes-du-Nord n'a apporté en faveur de sa thèse aucun argument nouveau. Il s'est borné à paraphraser ses précédentes déclarations. Il n'a pas changé de disque. M. Robert Schuman a fait preuve d'une imagination tout aussi grande. Aux suggestions de M. Pleven, il n'a répondu encore une fois ni oui ni non. Il s'est contenté de répéter, à Langres, ce qu'il avait dit à Poitiers, en précisant toutefois que, « pour ce qui était de la durée du Parlement actuel, l'Assemblée nationale était maîtresse de son propre destin ». André SAUGER. TAXER LE VIN C'est à quoi songe le gouvernement, qui prépare aussi un projet sur la viande, mais n'a pris sur le lait aucune décision. De Conseil des ministres en Conseil des ministres, on semble éluder "les questions importantes." LE LAIT Ainsi l'on pouvait penser qu'à la réunion interministérielle tenue hier soir, des décisions seraient enfin prises pour mater ceux des producteurs laitiers qui, à l'instigation de M. Biset, sont en état de rébellion ouverte contre les pouvoirs publics et se refusent à remplir leurs obligations à l'égard de la collecte. Cette attente aura été déçue, une fois de plus... À l'issue du Conseil, M. Abelin s'est en effet borné à déclarer que « la question était à l'étude » et qu'il n'y avait encore rien de fait. « Au demeurant, tout va bien, a-t-il ajouté, puisque Paris reçoit du lait ». LA VIANDE Pour ce qui est de la viande, nous avions annoncé la suppression de certaines taxes. Le principe en est retenu, mais il n'entrera en application qu'après le vote d'une loi dont on prépare le texte et dont on ne précise pas quand elle sera soumise au Parlement. P. J. BAGARRES À MILAN Quant il s'agit de s'opposer aux manifestations populaires, les carabiniers n'arrivent pas trop tard. C'est ce qui s'est passé à Milan, où l'intervention de la police a provoqué de graves
Plvn, Rambouillet, n'a fait, somme toute, que de lancer une nouvelle fois un appel en faveur d'un rapprochement varié,mentaire e électoral du « trfrc » du R. P F. Le député e Côtes-du-Nord n'a apporté en faveur de sa tehès aucun argument nouveau. l 'sest borné paraphraser ses précédentes déclarations. l n'a pas changé de disque. M. Robert Schuman fait preuve d'une imagination tout aussi grande Aux suggestions de M. Pleven, il n'a répondu encore une fois ni oui ni non. Il s'st contenté e ,ptéérre à Langres, ce qu'il avait dit à Poitiers, en précisant toutefois que, « prou ec qui était de la dré du Parlement actuel, l'Assemblée nationale était maîtresse de son propre destin ». André SAUGER. TAXER LE VIN C'est à quoi songe le gouvernement, qui prépare aussi un projet sur la viande, mais n'a prs sur le lait aucune décision. e Conseil des ministres en Conseil des ministres o semble éluder "les questions importantes." LE LAIT Ainsi l'on pouvait penser quà la réunion interministérielle tenue hier soir des décisions seraient enfin prises pour mtr ceux des pu ltrs qui, à l'instigation de .M sti,eB sont en état réblln vrt contre les pouvoirs pblcs et se refusent à mliprre leurs obligations à l'égard de la collecte. Cette attente aura été déç, une fois de plus... À l'issue du Conseil, M. Abelin s'est en effet borné à déclarer que « la nustqeoi était à 'ét » et qu'il n'y avait enore rien de fait. « Au demeurant, tout va bien, a-t-il ajouté puisque Prs reçoit du a ». LA VIANDE Pour ce iuq ets de viande, nous avions connaén la suppression de certaines te Le principe en est retenu, sima il entr en application qu'après le vote d'une l dont on prépare le texte et dont on ne précise sap quand elle sea soumise au Parlement. P. J. BAGARRES À MILAN Quant il s'agit d s'opposer x manifestations populaires, les carabiniers n'arrivent pas trop tard. C'est ce qui s'est passé à Milan, où l'intervention d la police a prvqué de graves
les pouvoirs publics et se refusent à remplir leurs obligations à l'égard de la collecte. Cette attente aura été déçue, une fois de plus... À l'issue du Conseil, M. Abelin s'est en effet borné à déclarer que « la question était à l'étude » et qu'il n'y avait encore rien de fait. « Au demeurant, tout va bien, a-t-il ajouté, puisque Paris reçoit du lait ». LA VIANDE Pour ce qui est de la viande, nous avions annoncé la suppression de certaines taxes. Le principe en est retenu, mais il n'entrera en application qu'après le vote d'une loi dont on prépare le texte et dont on ne précise pas quand elle sera soumise au Parlement. P. J. BAGARRES À MILAN Quant il s'agit de s'opposer aux manifestations populaires, les carabiniers n'arrivent pas trop tard. C'est ce qui s'est passé à Milan, où l'intervention de la police a provoqué de graves bagarres. (Voir détails 6e page, 2e colonne) Franc-Parler Un vrai petit homme C'est au Huron que l'on a laissé le soin de vous présenter un personnage d'utilité vraiment publique. Il s'agit du « premier robot de force atomique », dont une dépêche United Press nous apprend la naissance.... Son père : Le Comité de l'énergie atomique des Etats-Unis. Sa mère : La General Electric Co. L'enfant est né similivable, et il agite présentement deux ravissantes petites menottes en duralumin. Deux menottes avec lesquelles il peut, paraît-il, ouvrir une bouteille et... écrire. Le Huron va immédiatement passer commande à la General Electric et prendre une première dose de vaj'ez... En ce qui concerne, bien entendu, le critério seulement. Quant à la bouteille, merci, on n'est pas fatigué. Pour les pauvres, s.v.p. Vous ne voulez pas croire que les socialistes et les communistes sont de vilains sectaires ? Eh bien ! en voici une preuve : Le conseil municipal de Mulhouse se débats actuellement dans les rets d'un budget à nul autre pareil, la nouvelle municipalité M.R.P.-J.P. ayant réussi, en six mois de gérance, à faire monter de 50 % les impôts locaux. Au chapitre des dépenses (somptuaires) figure, sous le titre
ls pouvoirs sucblip et se refusent à remplir leurs obligations à l'égard de la collecte. Cette attente aura été déçue, neu fois de plus... À l'issue du Conseil, M. Abelin s'est en ef bn à c que « la question était à l'étude » t qu'il n'y avait encore rien de fait. « Au demeurant, tout av bn, --il ajouté, puisque Paris reçoit du lait ». L VIANDE Pour ce qui st de la viande, nous avions annoncé la spprssn de certaines taxes. Le principe en est retenu, mais il n'entrera en application qu'après le vote d'une loi dont on prépare le texte et dont on ne précise pas quand elle sera sumse au Parlement. P. J. BAGARRES À MILAN Quant il s'agit de sopposer aux manifestations pplrs, les carabiniers n'rrvnt pas trop tard. C'est ce qui s'est passé à Milan, ùo l'intervention de la police a provoqué de grvs bagarres. (Voir détails 6e page, 2e colonne) Franc-Parler Un vrai petit homme C'est au Huron que l'on a laissé le soin de vous présenter un personnage d'utilité vraiment publique. Il s'agit du « premier robot de force oe », dont une dépêche United Press nous apprend la naissance.... Son pèr : Le omi de l'énergie atomique des Etats-Unis. Sa mère : La General Electric Co. Lnant est né similivable, et il egtia énrpmetsnete deux ravissantes petites menottes n duralumin. Deux menottes avec lesquelles il peut, paraît-il, ouvrir une bouteille et... écrire. L Huron va immédiatement passer commande à la General Electric et prendre une première dose de vajez En ce qui concerne bien entendu, le critério lt. Quant à la bouteille, merci, on 'est pas fatigué. Pour les pauvres, s.v.p. Vous ne voulez pas croire que les socialistes et els soiectsnmmu sont de vilains sectaires ? hE bien ! en voici une preuve : Le conseil municipal de Mulhouse se débats actuellement dans les rets d'un budget à nul autre pareil, la nouvelle municip M.R.P.-J.P. ayant réss, en six mois de gérance, à faire monter de 50 % les impôts locaux. Au chapitre des dépenses (somptuaires) figure, sous le titre
: Le Comité de l'énergie atomique des Etats-Unis. Sa mère : La General Electric Co. L'enfant est né similivable, et il agite présentement deux ravissantes petites menottes en duralumin. Deux menottes avec lesquelles il peut, paraît-il, ouvrir une bouteille et... écrire. Le Huron va immédiatement passer commande à la General Electric et prendre une première dose de vaj'ez... En ce qui concerne, bien entendu, le critério seulement. Quant à la bouteille, merci, on n'est pas fatigué. Pour les pauvres, s.v.p. Vous ne voulez pas croire que les socialistes et les communistes sont de vilains sectaires ? Eh bien ! en voici une preuve : Le conseil municipal de Mulhouse se débats actuellement dans les rets d'un budget à nul autre pareil, la nouvelle municipalité M.R.P.-J.P. ayant réussi, en six mois de gérance, à faire monter de 50 % les impôts locaux. Au chapitre des dépenses (somptuaires) figure, sous le titre des cultes, un supplément de traitement alloué aux ministres d'iceux, d'un montant de 600.000 fr. Une paille, aux cultes ? Eh bien, croyez-vous que l'opposition « rouge » ait compris l'état de dénuement dans lequel se trouvent ces braves curés, qui n'ont pour subsister que le fric de l'Etat (because concordat), la gratuité du chauffage et de l'éclairage, et les petits dons en nature ? Pas du tout : les édiles mécréants se sont élevés contre cette belle manifestation de charité laïque, sous prétexte qu'aux petits des corbeaux Dieu donne leur pain. Heureusement, une majorité, c'est fait pour s'en servir. Les curés alsaciens auront leurs 600.000 balles. Amenez... Retour de goupillon Il n'a d'ailleurs, pas fini d'en faire couler, de l'encre et de la salive, ce sacré concordat. De l'eau bénite aussi, et cela par la main goupillonnière de Mgr Hincky — vous savez : ce chanoine qui, du temps où il était M.R.P., prétendait défendre, les armes à la main s'il le fallait, l'Alsace contre les lois laïques. Du M.R.P. Ce belliqueux prélat est passé au R.P.F. ça s'est fait l'autre jour à Marseille, et cette recrue de poids a immédiatement été bombardée membre du comité directeur du parti
: Le Comité de l'énergie atomique des Etats-Unis. aS mère : La General lctrc Co. L'enfant est né similivable, et il agite présentement deux ravissantes petites menottes en duralumin. Dx menottes avec lesquelles il peut prît-l, ouvrir une bot t.. écrire. eL n va immédiatement passer commande à la General Electric et prendre n première dose de vaj'ez... En c qui concerne, bien entendu, le critério seulement. Quant à la bouteille, merci, on n'est pas fatigué. Pour les pauvres, s.v.p. Vous ne voulez pas croire que sle soials et les communistes sont de vilains sectaires ? E bien ! en voici une preuve : L conseil municipal de Mulhouse se débats actuellement dans les rest d'un budget à nul e pareil, la nouvelle municipalité ...-.. ayant réussi, en six mois de gérance faire monter de 50 % les impôts locaux. Au chapitre des dépenses (somptuaires) figure, sous le titre des cultes, un supplément de traitement alloué aux ministres d'iceux, d'un montant de 600.000 fr. Une paille, aux cultes ? Eh bien croyez-vous que l'opposition « rouge » ait compris l'état de dénuement dans lequel se trouvent ces braves curés, qui n'ont pour subsister que el fric d 'Etat (because concordat), la riguétta u chauffage et d l'éclairage, et les petits dons en nature Pas du tout : les dsileé mécréants se sont élevés contre cette belle manifestation de charité laïque, ss prétexte qu'aux petits des corbeaux Dieu donne leur pain. Heureusement, une majorité, c'st fait pour 'en ire.svr Les curés alsaciens auront leurs 600.000 bal. Amenez... Retour de il l n'a d'ailleurs, pas fini d'en faire couler de l'encre et e la salive, ce sacré concordat. De l'eau bénite aussi, et cela par la main goupillonnière de Mgr Hncky — vous savez : ce chanoine qui, du temps où il était M.R.P., prétendait défendre, les armes à la mn s'il le fallait, l'Alsace contre les lois laïques. Du M.R.P. Ce belliqueux prélat est passé au R.P.F. ça s'est fait l'autre jour à aeie, et cette rcr de poids a immédiatement été bombardée membre du comité directeur du parti
concordat), la gratuité du chauffage et de l'éclairage, et les petits dons en nature ? Pas du tout : les édiles mécréants se sont élevés contre cette belle manifestation de charité laïque, sous prétexte qu'aux petits des corbeaux Dieu donne leur pain. Heureusement, une majorité, c'est fait pour s'en servir. Les curés alsaciens auront leurs 600.000 balles. Amenez... Retour de goupillon Il n'a d'ailleurs, pas fini d'en faire couler, de l'encre et de la salive, ce sacré concordat. De l'eau bénite aussi, et cela par la main goupillonnière de Mgr Hincky — vous savez : ce chanoine qui, du temps où il était M.R.P., prétendait défendre, les armes à la main s'il le fallait, l'Alsace contre les lois laïques. Du M.R.P. Ce belliqueux prélat est passé au R.P.F. ça s'est fait l'autre jour à Marseille, et cette recrue de poids a immédiatement été bombardée membre du comité directeur du parti charliste. Vous pensez bien qu'il en a profité aussitôt pour déblatérer contre la laïcité ! Seulement, voilà : ça n'a pas plu à tout le monde. Et le délégué mulhousien à la propagande R.P.F. vient de déclarer tout de gai que si Mgr Hincky voulait exploiter sa visibilité au comité national, ça pourrait faire des étincelles. Marrant, n'est-ce pas ? Mais ce qui l'est le plus, c'est ce qu'oublient tous ces gens-là, savoir que si les lois laïques ne sont toujours pas introduites en Alsace, c'est que après la libération « on s'est oublié de le faire ». Ce pronom indéfini, ayant, en l'occurrence, un caractère très personnel. Le Huron. "Zut ! encore des soles !" RUPTURE des relations Bao Dai-Bollard ? Saigon, 26 avril (A.P.). — On apprend, de source bien informée, que l'ex-empereur Bao Dai a envoyé, il y a quatre jours, au haut commissaire de France en Indochine, un message télégraphique dans lequel il déclarait que les négociations étaient rompues avec la France. Selon la même source, au réception de ce télégramme, rédigé « en termes inadmissibles pour un représentant de la France », M. Bollard a déclaré « qu'il voulait ignorer ce message ». Dans certains
concordat), la ttuaérgi chauffage et de l'éclairage, et les ptts dons n nature ? Pas du tout : les édls mécréants se sont élevés contre ctt belle manifestation de chrté ,uaïqel sous prétexte qu'aux petits des oeux Di donne leur pain Heureusement, n majorité c'est fait por servir. Les curés alsaciens auront leurs 600.000 balles. mez.. Retour de goupillon Il n'a d'ailleurs, ps den faire couler, de l'encre et de la slv, c sacré concordat. De leau bént aussi, et cela par l main goupillonnière de Mgr Hincky — vous ae : ce cnenaoih qui du temps où il étt M.R.P., prétendait défendre, les armes à l main s'l le alla, l'Alsace contre les s seual.qï Du M.R.P. C belliqueux éaltpr pssé au ... ça s'st fait l'tr jour à Marseille et tctee recrue de poids a immédiatement été bombardée membre du té directeur du parti hrite Vous pensez bien qu'il en a profité aussitôt pour betéarldré coe la laïcité ulmet vlà ça na pas pl à tout le monde. Et le délégué mulhousien propagande R.P.F. vient de déclarer tout gai que si Mgr k vlt exploiter sa visibilité au m national, ç pourrait fa des étincelles. Marrant, n'est-ce pas ? ai ce qui l's le plus, 'est ce qu'oublient tous cs gens-là, savoir qeu si ls lois lïqs ne sont toujours pas introduites en Alsace, e q après la libération « on s'est oublié de le faire ». Ce pronom indéfini, ayant, en l'occurrence, n caractère très personnel. Le Huron. "Zut ! ecr des soles !" RUPTURE des relations Bao -lrd ? Saigon, 26 avril (A.P.). — On apprend, d source iben infoée, que eum-x'erlerep B Dai a envoyé il y a quatre js au haut commissaire de rce en Indochine, un message télégraphique dans lequel l déclarait que les négociations taet rmp avec la France. Selon la même source, ua réception de ce laméeg,mrét rédigé « en termes inadmissibles pour un représentant de la nce », M Bollard a délaé « qu'il vlt ignorer ce message ». Dans crtns
national, ça pourrait faire des étincelles. Marrant, n'est-ce pas ? Mais ce qui l'est le plus, c'est ce qu'oublient tous ces gens-là, savoir que si les lois laïques ne sont toujours pas introduites en Alsace, c'est que après la libération « on s'est oublié de le faire ». Ce pronom indéfini, ayant, en l'occurrence, un caractère très personnel. Le Huron. "Zut ! encore des soles !" RUPTURE des relations Bao Dai-Bollard ? Saigon, 26 avril (A.P.). — On apprend, de source bien informée, que l'ex-empereur Bao Dai a envoyé, il y a quatre jours, au haut commissaire de France en Indochine, un message télégraphique dans lequel il déclarait que les négociations étaient rompues avec la France. Selon la même source, au réception de ce télégramme, rédigé « en termes inadmissibles pour un représentant de la France », M. Bollard a déclaré « qu'il voulait ignorer ce message ». Dans certains milieux, on rapporte ce message de la crise qui éclata récemment au sein du comité administratif de Hué, capitale de l'Annam, et qui fut marquée par la démission du président du comité, M. Tran Van Ly. On déclare, dans ces milieux, que le général de Lyll a parti en avion, pour Hong-Kong, à la demande de M. Bollard, afin de faire revenir Bao Dai à de « meilleurs sentiments ». LA RIDON avait trouvé à la caserne le gîte et la paie Il s'appelle Laridon. Il est clochard et s'il est venu s'asseoir sur le banc des prévenus de la seizième chambre correctionnelle, c'est pour s'être une fois de trop confié au destin pour le règlement de sa modeste existence. Un après-midi de décembre 1947, Laridon errait, le cœur joyeux et le cheveu fraîchement coupé. Il n'avait pour toute fortune que la somme de 1 fr. 50. Il s'arrêta machinalement devant la caserne Clignancourt. La sentinelle, l'avisant en train de contempler d'un air tout à fait dubitatif le porche, lui dit : — Alors, c'est-y que tu rentres ou que tu rentres pas ? Laridon est un doux. Il entra. C'était l'heure de la soupe. On lui fit place. On
national, ça pourrait faire des étincelles. Marrant, n'st-c pas ? Mais ce qui l'est l pls, 'est ce qu'oublient tous cs gens-là, savoir que si les ls laïques ne snt ou pas introduites en Alsace, c'est que après l libération « on s'est oublié de le fare ». Ce pronom indéfini, ayant, en l'occurrence, un caractère très personnel. Le Huron. Zut ! encore des sls !" RUPTURE des relations Bao Dai-Bollard ? Sa, 26 avril (A.P.). — On apprend, de src bien informée, que l'ex-empereur Bao Di a n, il y a quatre jours, au haut commissaire de France en Indochine n message térpqu dans lequel il déclarait que les négociations étnt rompues avec la France. Selon a même source, au réception de c télégramme, rédigé « en termes inadmissibles u un représentant de la France », M. Bor a déclaré « qu'il vlai egirnor ce message Dans certains milieux, on rpprt ce message de la crise qui éclata récemment au sein du cmté administratif de Hué cptl de l'Annam, et qui fut marué p démission du président du comité, M. Tran Van . On déclare, dans ces milieux, que l général de Lyll a parti en avion, pour Hong-Kong, la demande de M. Bollard, afin de faire e Bao Dai à de « meilleurs sentiments ». LA RIDON avait trouvé à la caserne le gîte et la paie Il s'appelle Laridon. Il est clchrd et sil est venu s'asseoir sur l bnc des prévenus de la sem chambre correctionnelle, s pour s'être une fois de tro cnfé au destin pour le règlement de sa modeste existence. n après-midi de décmbr 1947, Laridon errait, le r joyeux et le cheveu fraîchement coupé. Il n'avait pr toute fortune que la somme de 1 fr. 50. Il s'arrêta machinalement devant la caserne Clignancourt. La sentinelle, l'avisant en train de contempler d'n air tout à fait dubitatif le porche, lui dit : — Alors, c'est-y que tu rentres u que tu rentres pas ? Laridon est un doux. Il ntr. C'était l'ee ed la soupe n lui fit place. On
pour Hong-Kong, à la demande de M. Bollard, afin de faire revenir Bao Dai à de « meilleurs sentiments ». LA RIDON avait trouvé à la caserne le gîte et la paie Il s'appelle Laridon. Il est clochard et s'il est venu s'asseoir sur le banc des prévenus de la seizième chambre correctionnelle, c'est pour s'être une fois de trop confié au destin pour le règlement de sa modeste existence. Un après-midi de décembre 1947, Laridon errait, le cœur joyeux et le cheveu fraîchement coupé. Il n'avait pour toute fortune que la somme de 1 fr. 50. Il s'arrêta machinalement devant la caserne Clignancourt. La sentinelle, l'avisant en train de contempler d'un air tout à fait dubitatif le porche, lui dit : — Alors, c'est-y que tu rentres ou que tu rentres pas ? Laridon est un doux. Il entra. C'était l'heure de la soupe. On lui fit place. On le prenait pour un bleu. Ce fut l'heure du couvre-feu. Il se laissa faire encore et se mit au lit dans la chambrée qu'on lui indiquait. Il dormit comme un dieu. C'est seulement le lendemain matin qu'un sergent fourrier remarqua ce bonhomme à la civil et dit : « Qu'est-ce que c'est que cet homme-là ». Laridon éprouva que ce n'était pas le moment de plaisanter : « Je suis planton au ministère de la guerre D, » et il s'immobilisa en un impeccable garde-à-vous. DE QUOI PARLE-T-ON AUJOURD'HUI A NEW-YORK ? De la pluie et du beau temps, du comportement amoureux de l'Américain moyen, de la "P... respectueuse" et de mille autres potins sans importance... par MARIA CRAIPEAU New-York, ... avril. LE long hiver qui n'en finissait pas a fini tout de même. Voici le printemps, les asphodèles fleurissent au Central Park, et les écureuils fouguillards assaillent le passage en quémandant des noisettes. Les New-Yorkais ne se disent plus en se rencontrant : « Vous croyez que ça finira jamais, vous ? », en remontant frileusement le col de leur pardessus. Ils se disent, en se tapant sur le dos : « Vous vous rappelez, hein ? Quel hiver
pour Hong-Kong, à la demande de . Bllrd, afin de faire revenir Bao Dai à de « meilleurs sntmnts ». LA RIDON avait tové à la caserne le gîte et la paie Il s'appelle Laridon. Il est clochard et sil est venu 'asseoir sur le banc des prévenus de la seizième chambre correctionnelle, 'est pour s'être une fois de trop confié au destin pour le règlement de sa mdst xitnce Un après-midi de décembre 1947, Laridon errait, le cœur joyeux et le cheveu fraîchement cpé. Il n'avait pr toute fortune que la somme de 1 fr. 50. Il s'arrêta machinalement devant la caserne Clignancourt. La sentinelle, l'avisant en train de nclotreepm d'un air tout à fait dubitatif le porche, lui dit : Alors, c'est-y que tu rentres ou que tu rentres pas ? Lrdn est un doux. Il entra. C'était l'heure d la soupe. On i fit place. On le rait pr un bleu. Ce fut l'heure du couvre-feu. Il se laissa faire encore et se mit au lit dans la chambrée qu'on lui indiquait. Il dormit comme un dieu. C'est seulement le lendemain matin qu'un sergent frrr remarqua ce bonhomme à la civil et dit : « Qu'est-ce que c'est que cet hmm-là ». Laridon éprouva que ce n'était a le moment de plaisanter : « Je suis planton au ministère de la guerre D, » e il s'immobilisa en un impeccable garde-à-vous. DE QUOI PRL-T-N AUJOURD'HUI A NEW-YORK ? De la pui et du beau temps, du comportement amoureux de l'Américain moyen, de la "P... respectueuse" et de emill autres potins sans importance... par MARIA CRAIPEAU New-York, ... avril. LE long hiver qui 'en finissait pas fini tout de mê.em Voici le printemps, les asphodèles fleurissent au Central Park, et les écureuils fouguillards assaillent le passage n qémndnt des noisettes. Les New-Yorkais ne s disent plus en se rencontrant : « Vous croyez que ça finira am vous ? », en remontant frileusement le col de leur pardessus. Ils se disent, en es tpnt sur le dos : « Vous ou rappelez, hein ? Quel hvr
que c'est que cet homme-là ». Laridon éprouva que ce n'était pas le moment de plaisanter : « Je suis planton au ministère de la guerre D, » et il s'immobilisa en un impeccable garde-à-vous. DE QUOI PARLE-T-ON AUJOURD'HUI A NEW-YORK ? De la pluie et du beau temps, du comportement amoureux de l'Américain moyen, de la "P... respectueuse" et de mille autres potins sans importance... par MARIA CRAIPEAU New-York, ... avril. LE long hiver qui n'en finissait pas a fini tout de même. Voici le printemps, les asphodèles fleurissent au Central Park, et les écureuils fouguillards assaillent le passage en quémandant des noisettes. Les New-Yorkais ne se disent plus en se rencontrant : « Vous croyez que ça finira jamais, vous ? », en remontant frileusement le col de leur pardessus. Ils se disent, en se tapant sur le dos : « Vous vous rappelez, hein ? Quel hiver ! Quelle neige ! », racontent pour la nième fois les huit heures qu'ils passèrent un jour dans leur train de banlieue bloqué par la neige, et discutent âprement avec ceux de « L'association de la tempête de neige de 1888 » qui prétendent, en se rendant bien entendu ridicules, que c'était pire en 1888. Mais qui pourrait enlever aux New-Yorkais le souvenir de la grande aventure, que fut l'hiver 47-48, l'image de la neige montant haut comme ça, monsieur, des milliers de voitures abandonnées comme des jouets au milieu des rues de New-York, et de la belle-mère qui, arrivée pour le week-end, en resta un mois, parce de la neige. Enfin, on en sort, comme d'un long tunnel. Et, puisqu'on ne peut plus parler de la neige (les communiqués à la radio et les journaux furent, pendant des semaines, comme dans une ville assiégée, préoccupés d'une seule et même chose, la neige, de la neige, à la neige, la neige), on parle d'autre chose. De quoi parle New-York alors que les bourgeons éclatent et les oiseaux reviennent ? "Honni soit qui mal y pense" aurait parlé... du "Kinsey report". Qu'est-ce donc, dites-vous, que le "rapport Kinsey" ? Vous ne
que c'st que cet hmm-là Laridon éprouva que ce n'était pas l moment de plaisanter : « Je suis planton a ministère de la guerre D, » et il bmiasliioms' en un impeccable garde-à-vous. DE QUOI ON-RLATPE- AUJOURD'HUI NW-YRK ? De la pluie et ud beau pt,sme d comportement amoureux l'Américain moyen, de l "P... rspcts" et de mille autres potins as importance... rap MARIA CRAIPEAU Ne, ... vrl. LE long hiver qui n'en finissait ps a fn tt de ême.m Voici le rinteps, les asphodèles fleurissent au telarnC Park, et les écureuils ufrolsgluadi assaillent le passage e nuanmqdtaé des noisettes. Les New-Yorkais ne se disent plus n se rencontrant : « Vous croyez que ça fnr jms, vous ? », en remontant frileusement le col de leur desus Ils se disent, en se tapant sur le dos : « Vous vous rappelez, hein ? Quel hiver ! Quelle ei ! », racontent pour la iemèn fois les huit heures qu'ils passèrent un our dans leur atirn de banlieue bloqué par la neige, et discutent âprement avec ceux de « L'association d la tmpêt d neige de 1888 » q prétendent, en rendant bien entendu ridile que c'était pire en 1888. Mais qui orat enlver aux New-Yorkais l svnr ed l grande aventure, que fut l'hiver 4748 l'image ed la ng man haut comme ça, monsieur, des iirmlels de voitures bndnnés comme ds jouets au milieu des rues de New-York, et de la èemlrbele- qui arrivée pour l wke,d-een en resta un mois, parce de la neige. Enfin, on en ,tosr ommec d'n long tunnel. Et, puisqu'on ne peut plus parler de l ge (les communiqués à la rd et les journaux furent, pendant sde semaines, comme dns ne ville assiégée, préoccupés d'une seule et même chose, la neige, d la neige, la neige, la neige), on parle 'autre chose. De quoi parle Ner aors que ls bourgeons éclatent et les oiseaux reviennent ? "Honni soit qui mal y pense" aurait parlé... du "Kinsey report". Qu'est-ce donc, dts-vs, que le "rapport Kinsey" Vous ne
que c'était pire en 1888. Mais qui pourrait enlever aux New-Yorkais le souvenir de la grande aventure, que fut l'hiver 47-48, l'image de la neige montant haut comme ça, monsieur, des milliers de voitures abandonnées comme des jouets au milieu des rues de New-York, et de la belle-mère qui, arrivée pour le week-end, en resta un mois, parce de la neige. Enfin, on en sort, comme d'un long tunnel. Et, puisqu'on ne peut plus parler de la neige (les communiqués à la radio et les journaux furent, pendant des semaines, comme dans une ville assiégée, préoccupés d'une seule et même chose, la neige, de la neige, à la neige, la neige), on parle d'autre chose. De quoi parle New-York alors que les bourgeons éclatent et les oiseaux reviennent ? "Honni soit qui mal y pense" aurait parlé... du "Kinsey report". Qu'est-ce donc, dites-vous, que le "rapport Kinsey" ? Vous ne pourriez l'ignorer, si vous étiez ici. Le "rapport Kinsey" s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires, le "rapport Kinsey" est discuté par des savants, des adolescents, des businessmen et des prêtres, le "rapport Kinsey" est mis en chansons. Mais qui est donc M. Kinsey ? vous écriez-vous, ne pouvant, plus tenir. Eh bien ! Kinsey est un savant qui a consacré des années de sa vie, et pas mal de capitaux, à « étudier... les habitudes sexuelles du mâle ». Après avoir interviewé des milliers d'Américains, Kinsey a conclu que ces habitudes ne sont pas ce qu'on pense, que la polygamie est plutôt de règle et que pire encore, les homosexuels véritablement pullulent. Kinsey fit donc un gros rapport — et c'est ce rapport-là qui se vend comme des petits pains. Indignation, colère, approbation, étonnement, sourcils levés — et une chanson : J'ai vu ce que tu as dit au "Kinsey report", et tu es l'homme qu'il me faut. (Vous dites que Kinsey ne vous apprend rien ? Ah mais, rappelez-vous, les Etats-Unis sont un pays puritain. Ce sont des choses dont on n'avait pas l'habitude de parler...) Sartre partout On parle... de "La P... respectueuse". Mais oui, c'est le
que icéa'tt pire en 1888. Mais qui pourrait enlever aux New-Yorkais le svnr de la grande aventure, que fut l'hiver 47-48, limage de la neige mntnt haut comme ça, monsieur, des milliers d voitures abandonnées comme des jouets milieu des rues de New-York, et de la belle-mère qui, arrivée pour le ekd, en resta un mois, parce de la neige. Enfin, on en sort, comme d'un long tunnel. t, puisqu'on ne tuep plus parler de la neige (ls communiqués à la radio et les journaux furent, pendant des semaines, comme dans n ville assiégée, préoccupés d'une seule et même chose, la neige de a neige à la eg la neige on parle d'autre chose. De quoi parle New-York alo que les bouns éclatent et les oiseaux reviennent "Honni st qui mal y pense" rt prlé... du "Kinsey report". Qu'est-ce donc, dites-vous, que le "rapport Kinsey" ? Vous ne pourriez 'ignorer, si vous étiez ici. Le "ppr Kinsey" s'est vendu à plus d'un d'exemplaires, l "rapport Kinsey est discuté par d vns, des dlscnts, des businessmen et des prêtres le "rapport Kinsey" est ms en chansons. Mais qui est donc M. Kinsey ? vous écriez-vous, ne pouvant, pls tnr. Eh bn ! Kinsey st un savant qui a consacré des années de sa vie, t pas mal de capitaux, à « étudier... lse habitudes sexuelles du mâle ». Après avoir interviewé des milliers dAméricains Knsy a conclu u ces abitues ne sont pas ce qu'on pense, que la plygm est plutôt de elèrg t que pire encore, les homosexuels véritablement pullulent. Kinsey fit donc un grs rapport — et c'est ce rapport-là qui se vnd comme sde ptts pains. Indignation, o approbation, étonnement, sourcils levés — et nue chanson : J'ai uv ce que tu sa dt au "Kinsey report", et tu es 'homme qu'il me ft. (Vous dites q Kinsey ne vous apprend rien ? Ah mais, rappelez-vous, lse Etats-Unis sont un pays puritain. C sont sde choses dont on n'avait pas 'habitude de parler...) Sartre prtt On parle... de "La P... respectueuse". Mais u c'st le
tenir. Eh bien ! Kinsey est un savant qui a consacré des années de sa vie, et pas mal de capitaux, à « étudier... les habitudes sexuelles du mâle ». Après avoir interviewé des milliers d'Américains, Kinsey a conclu que ces habitudes ne sont pas ce qu'on pense, que la polygamie est plutôt de règle et que pire encore, les homosexuels véritablement pullulent. Kinsey fit donc un gros rapport — et c'est ce rapport-là qui se vend comme des petits pains. Indignation, colère, approbation, étonnement, sourcils levés — et une chanson : J'ai vu ce que tu as dit au "Kinsey report", et tu es l'homme qu'il me faut. (Vous dites que Kinsey ne vous apprend rien ? Ah mais, rappelez-vous, les Etats-Unis sont un pays puritain. Ce sont des choses dont on n'avait pas l'habitude de parler...) Sartre partout On parle... de "La P... respectueuse". Mais oui, c'est le grand succès en attendant "Les Gants rouges", pour nous "Les Mains sales", car on a changé le titre de la dernière pièce de l'écrivain français, qui va être montée à New-York. Les critiques et le public sont d'accord sur "La P... respectueuse". New-York trouve que Sartre, tout en exagérant, tient là quelque chose; après que son "Huis-clos" fut un "flop" (mot américain désignant une pièce qui tombe, ce n'est pas mal trouvé, n'est-ce pas ? on t'entend presque tomber), sa pièce sur le Sud plaît dans le Nord. D'abord, ici, on n'aime pas le Sud, et puis, la pièce n'est pas prêche-prêcha, elle est forte — et sensuelle, ce qui ne gâte rien. On aime bien aussi le film français "Quai des Orfèvres", mais "Le Corbeau" n'eut pas le moindre succès. Les critiques le trouvèrent incompréhensible. Je n'y vois qu'une seule explication possible, il dut être taillé en pièces, complètement déplumé, avec des scènes entières enlevées. (Il faudrait vraiment surveiller ça, les films français devraient être joués ici intacts.) A propos du Corbeau, savez-vous que les journaux d'ici ont trouvé moyen de répéter que ce film a été joué en Allemagne sous le titre : "Un Village français". Seul, l'intelligent
tenir. Eh bien ! Kinsey est un savant qui a c des années de sa vie, et pas mal de capitaux, à « étudier... ls habitudes sexuelles du mâle ». Après avoir interviewé des milliers m, Kinsey a conclu que ces habitudes ne sont pas ce qu'on pense, que la polygamie est plutôt de règle t que pire encore, les homosexuels véritablement pullulent. Kinsey fit donc un grs rapport — et c'est ce appt-à qui se vend cmm des petits ns.iap nio, colère, approbation, étonnement, sourcils levés — et une chanson : J'ai vu c que tu a dit "Kinsey report", et tu s l'homme qil me faut. (Vous dites que Ks ne vous pprnd rien ? Ah mais, rappelez-vous, les Etats-Unis snt n pays puritain. Ce sont des choses dont on n'avait pas l'habitude de parler...) Sartre partout On prl... de La P... respectueuse Mais , c'est le grand succès en attendant "Les Gants rouges pour nous "Les Mains sales", car on a changé le titr de la dernière pièce ed l'écrivain français, qui va être montée à New-York. Les iestruicq et le public sont d'accord sur "La P. eteu". New-York trouve que Sartre, tout en exagérant, tient là quelque chose; après que son "Huis-clos" fut un "flp" (mot américain dign une pièce qui tombe, ce n'est pas ml trouvé, n'st-c pas ? on t'entend presque tomber), pièce sur le Sud plaît dans le Nord. D'abord, ici, on n'aime pas le Sud, et puis, la pièce 'est ps prêche-prêcha, elle est forte — et sensuelle, ce qu ne gâte rien On aime bn aussi le flm français "Quai des Orfèvres", mais "Le Corbeau" n'eut pas le moindre sccès. Les critiques le trvèrnt incompréhensible. Je n'y vois qu'une seule explication possible, il dut être taillé en pièces complètement déplumé vc des scèns entières enlevées. (l faudrait vraiment surveiller ça, els flms français devraient être joués ici intacts.) A propos du Corbeau, savez-vous que les journaux 'ici ont trouvé moyen de répéter que ce film a été joué en Allemagne sous le ttr : "Un Vilage français". Seul, l'intelligent
là quelque chose; après que son "Huis-clos" fut un "flop" (mot américain désignant une pièce qui tombe, ce n'est pas mal trouvé, n'est-ce pas ? on t'entend presque tomber), sa pièce sur le Sud plaît dans le Nord. D'abord, ici, on n'aime pas le Sud, et puis, la pièce n'est pas prêche-prêcha, elle est forte — et sensuelle, ce qui ne gâte rien. On aime bien aussi le film français "Quai des Orfèvres", mais "Le Corbeau" n'eut pas le moindre succès. Les critiques le trouvèrent incompréhensible. Je n'y vois qu'une seule explication possible, il dut être taillé en pièces, complètement déplumé, avec des scènes entières enlevées. (Il faudrait vraiment surveiller ça, les films français devraient être joués ici intacts.) A propos du Corbeau, savez-vous que les journaux d'ici ont trouvé moyen de répéter que ce film a été joué en Allemagne sous le titre : "Un Village français". Seul, l'intelligent critique du "Time" affirma qu'il n'en était rien. Adieu Maurice ! On parle... non, on ne parle plus de Chevalier. La première fois qu'il reparut, les New-Yorkais écrasèrent un larme — c'était leur jeunesse, c'était Paris, c'était l'avant-guerre. Mais Chevalier revint — et les New-Yorkais lui trouvèrent un goût déjà vu, et même de rencard. Que voulez-vous, on ne peut pas passer son temps, comme ça, à se souvenir... On parle, bien sûr, des prix qui augmentent, de John Lewis (encore et toujours, qui vient encore de gagner une grève), de Truman, de Eisenhower. On parle de la grève de Wall Street, où, devant les bâtiments abritant la richesse du monde, les grévistes se firent matraqués par la police. On parle — mais oui, vous n'avez pas besoin de me le rappeler — on parle de la guerre. Mais aujourd'hui, voulez-vous, rien que pour cinq minutes nous n'y penserons pas. Offrez plutôt une pensée fraternelle à Mr John Smith qui vient de sortir d'un long hiver, et se demande s'il va sortir sans pardessus et s'il va mener le dimanche son fils au Zoo du Central Park. C'est le printemps, offrez-lui un peu d'amitié, et, si vous le rencontrez, parlez-lui
là quelque chose; après que son "Huis-clos" fut n "flop" (mot américain désignant une pièce q tombe, ce n'est pa mal uét,ovr n'est-ce pas ? on t'entend presque tomber), sa pièce sur le Sud plaît dans le Nord. ,'obraDd c, on n'aime pas le Sud et puis, la pièce ts'ne pas prêche-prêcha, elle est forte — t sensuelle, ce qui ne gâte rien. On aime bien aussi le film frança "Quai des Orfèvres", mais "Le Corbeau" n'eut pas le mndr succès. Les critiques le trouvèrent incompréhensible. Je n'y vois q'n seule explication possible, il dut être taillé en pièces complètement déplumé, vc des scènes entières enlevées. (Il faudrait vraiment surveiller ça, les films fiçarsan eanvidret être joués ici intacts.) A propos du Corbeau, savez-vous q ls journaux d'ici ont trouvé moyen de répéter que ce film a été joué n Allemagne sous le titre : "Un Village français". Seul, l'intelligent critique du "Time" affirma qi n'en était rien. Adieu Maurice ! On parle... non, on ne parle pu de Chevalier. La première fois qu'il reparut, les New-Yorkais écrasèrent un larme — c'était luer jeuee c'était Paris, c'était l'avant-guerre. Mais Chevalier revint — et els New-Yorkais lui trouvèrent u goût déjà vu, et même e rencard. Que voulez-vous, n ne peut pas passr son temps, comme ça, à se souvenir... On parle, bien sûr, des prx qui augmentent, de John Lewis (encore et toujours, qui vient encore de gagner grève), de Truman, de Eisenhower. O parle de la grève e Wall Street, ù, devant les nstebimât abritant la ices du monde, les grévistes se firent matraqués par la police. On perla — mais oui, vous n'avez a besoin de m l rappeler — on ale de la guerre. Ms aujourd'hui, voulez-vous, rien que pour cinq minutes nous ny' penserons pas. Offrez plutôt une pensée fraternelle Mr John Smith qui vient de sortir d'un long hir et s demande s'l va sortir sans pardessus et s'il va mener le dimanche son fils au du Central Park. e le printemps, fez-lui un peu d'amitié, et, si vous le rencontrez, parlezlui
vu, et même de rencard. Que voulez-vous, on ne peut pas passer son temps, comme ça, à se souvenir... On parle, bien sûr, des prix qui augmentent, de John Lewis (encore et toujours, qui vient encore de gagner une grève), de Truman, de Eisenhower. On parle de la grève de Wall Street, où, devant les bâtiments abritant la richesse du monde, les grévistes se firent matraqués par la police. On parle — mais oui, vous n'avez pas besoin de me le rappeler — on parle de la guerre. Mais aujourd'hui, voulez-vous, rien que pour cinq minutes nous n'y penserons pas. Offrez plutôt une pensée fraternelle à Mr John Smith qui vient de sortir d'un long hiver, et se demande s'il va sortir sans pardessus et s'il va mener le dimanche son fils au Zoo du Central Park. C'est le printemps, offrez-lui un peu d'amitié, et, si vous le rencontrez, parlez-lui de la pluie et du beau temps. "VOICI LES CRAPAUDS À SIX DOIGTS " Jean Rostand les produit à l'Académie des sciences qui l'applaudit de toutes ses mains JEAN ROSTAND vient d'être félicité par l'Institut, pour ses travaux de biologiste. Non qu'il ait découvert le veau à cinq pattes. Mais, peu s'en faut, des crapauds à six doigts ou à quatre orteils. Il y a longtemps que les travaux de ce remarquable savant ont attiré l'attention du monde scientifique. Véritable bénédictin de la science, Jean Rostand, voilà vingt-cinq ans, sauva l'honneur de la biologie française en s'instaurant, chez nous, envers et contre tous, le champion de la Génétique, la science exacte de la biologie. Aujourd'hui, la Génétique triomphe. Elle avance à grands pas et même à grands coups de compas, car on trouve aujourd'hui partout dans le monde des spécialistes généticiens occupés à dresser des cartes de « chromosomes ». Aujourd'hui, chacun parle des chromosomes, ces « artisans de l'hérédité et du sexe » comme les présentait Rostand dès 1928 — « ces particules dont l'homme de la rue lui-même » était, invité à la même époque par Julian Huxley « à incorporer le nom à son vocabulaire puisque ce
vu, et même de rencard Q voulez-vous, on ne peut pas passer son tmps, comme ça, à se souvenir... On parle, bien sûr, des prix qui augmentent, de Lewis (encore et toujours qui vient encore de gagner une grève), de Truman, de Eisenhower. On parle de l grève de Wll Street, ù,o devant les bâtmnts brtnt a richesse du monde, les grévistes se firent matraqués par la pe On parle — mais oui, vous z pas sn de em le rappeler — on parle de la ue. Mais aujourd'hui, voulez-vous, rien q pour cinq minutes nous n'y penserons pas. Offrez plutôt une eenéps fraternelle à Mr John Smith qui vient de sortir d'un long hiver, t se demande s'il va sortir sans pardessus et s'il va mener le dimanche sn fils au Zoo du Central Park C'est le printemps, offrez-lui un peu d'amitié, et, si vous le rencontrez, parlez-lui de la pluie et du b tmps. "VOICI LES CPAUS À SIX DOIGTS " Jean Rostand les produit à l'Académie s sciences qui l'applaudit d toutes ses mains JEAN ROSTAND vient d'être félicité par l'Institut, pr ses travaux de biogt Non quil ait découvert le veau à cinq pattes Mais, peu s'n faut, des crapauds à six doigts à quatre orteils. l y a longtemps que les travaux de ce remarquable savant ont attiré l'attention du monde scientifique. Véritable bénédictin de la science, n Rostand, voilà vingt-cinq ans, sauva l'honeu de la bol française e s'instaurant, hzce ,nuso envers et contre tous, le champion de la Génétique, la science exacte de la biologie. Aujourd'hui, la Génétique triomphe. Elle avance à grands pas et même grands coups de compas, car on trouve aujourd'hui partout dans le monde des spécialistes généticiens occupés à dresser des cartes de « chrmsms ». Aujourd'hui, chacun parle des chromosomes, ces « artisans de l'hérédité et du sxe » comme les présentait Rostand dès 1928 — « ces particules dont l'homme de la rue lui-même » était, invité à la même époque p Julian Huxley « incorporer e onm à son vocabulaire puisque c
peu s'en faut, des crapauds à six doigts ou à quatre orteils. Il y a longtemps que les travaux de ce remarquable savant ont attiré l'attention du monde scientifique. Véritable bénédictin de la science, Jean Rostand, voilà vingt-cinq ans, sauva l'honneur de la biologie française en s'instaurant, chez nous, envers et contre tous, le champion de la Génétique, la science exacte de la biologie. Aujourd'hui, la Génétique triomphe. Elle avance à grands pas et même à grands coups de compas, car on trouve aujourd'hui partout dans le monde des spécialistes généticiens occupés à dresser des cartes de « chromosomes ». Aujourd'hui, chacun parle des chromosomes, ces « artisans de l'hérédité et du sexe » comme les présentait Rostand dès 1928 — « ces particules dont l'homme de la rue lui-même » était, invité à la même époque par Julian Huxley « à incorporer le nom à son vocabulaire puisque ce sont elles qui nous font ce que nous sommes ». Une carte « naturelle » d'identité Toute personne cultivée sait qu'elle possède dans le noyau de chacune de ses cellules un stock de 48 chromosomes dont il dépend qu'elle soit blonde ou brune, aux yeux bleus ou aux yeux noirs, idiote ou géniale et, pour comble de déterminisme, homme ou femme. Les 48 chromosomes qui fixent ainsi notre « carte naturelle d'identité » avec tant de rigueur qu'il n'en est probablement pas deux absolument identiques — fût-ce chez les jumeaux les plus « univitellin » issus du même œuf subdivisé. — tout le monde sait qu'ils nous ont été offerts à parts égales 24 par notre papa, et 24 par notre maman au retour de leur voyage de noces et que leur assemblage fut l'occasion d'une réédition des cérémonies du mariage. Car les 24 couples ont dû se reformer en cortège, l'un « du côté de la fiancée et de sa famille » et l'autre « du côté de la famille adverse ». Alors des erreurs de préséance ou même des tricheries de cousin à cousine ont pu se produire dans la formation du cortège infinitésimal : une « loterie
peu sen faut, des ps à six doigts ou à u orteils Il y a longtemps que les travaux de ce remarquable savant nt attiré l'attention du monde scientifique. Véritable bénédictin de al science, Jean Rostand, voilà vingt-cinq ans, sauva l'hnnr de la biologie française en s'instaurant, chez nous envers et contre tous, le champion de la Génétique, la cisnece exacte de al biologie. Aujourd'hui, la Génétique triomphe. Elle avance à grands pas te même à grands coups de compas, ca on trv aujourd'hui partout dans le monde des spécialistes généticiens occupés à dresser des cartes de « chromosomes ». Aujourd'hui, chacun parle ds chromosomes, ces « artisans de 'héédit et sexe » comme les présentait Rostand dès 1928 — « ces prtcls dont l'homme de la rue lui-même it,éat invité à la même époque par Juan Huxley « à incorporer le nom à son uaiaolvcber s ce sont elles qui nous font ce qeu ns smms Une carte « aturl » denté Tt personne cultivée s qu'elle possède dans le noyau de chacune de ses cellules u stock de 48 chromosomes on il dépend qu'elle soit blonde ou brune, aux yeux bleus ou aux yeux noirs, idiote ou génl et, pour comble de déterminisme, ome femme. Les 48 ros qui fixent ainsi notre carte tlleeuran d'identité » avec tant de rigueur qu'il ne est prbblmnt pas dx absolument identiques fût-ce h les jumeaux les plus « nitl » issus du même œuf sbdvsé. tout le monde sait qu'ils nous ont été offerts parts égales 24 par notre a, et 24 par notre maman au retour e leur voyage de noces t que leur assemblage fut l'ccsn e'dun réédition des cérémonies du mariage. Car les 24 couples ont dû se reformer en cortège, l'un du côté d la fiancée et de sa famille » et l'autre « du côté de la famille adverse ». Alors des erreurs de préséance ou même des tricheries de cousin à csn ont pu e produire dans la formation du cortège infinitésimal : une « loterie
idiote ou géniale et, pour comble de déterminisme, homme ou femme. Les 48 chromosomes qui fixent ainsi notre « carte naturelle d'identité » avec tant de rigueur qu'il n'en est probablement pas deux absolument identiques — fût-ce chez les jumeaux les plus « univitellin » issus du même œuf subdivisé. — tout le monde sait qu'ils nous ont été offerts à parts égales 24 par notre papa, et 24 par notre maman au retour de leur voyage de noces et que leur assemblage fut l'occasion d'une réédition des cérémonies du mariage. Car les 24 couples ont dû se reformer en cortège, l'un « du côté de la fiancée et de sa famille » et l'autre « du côté de la famille adverse ». Alors des erreurs de préséance ou même des tricheries de cousin à cousine ont pu se produire dans la formation du cortège infinitésimal : une « loterie », écrit Jean Rostand. Mais encore, chaque couple régulier étant constitué, à l'intérieur de la cellule fécondée, de nouvelles occasions de « bisbille » ont pu se introduire dans le couple lui-même. Car chaque chromosome est constitué par un chapelet complexe de « gènes » qui sont comme les électrons de cet atome vital. Et «les gènes élémentaires ne se sont pas bien alignés, il en résulte chez le nouveau-né « jeux de la nature » assez inattendus. Avez-vous jamais observé des gens parfaitement constitués qui ont six doigts ou six orteils et même sept ? Deux orteils de trop Certain jour de la lointaine jeunesse, sur une plage bretonne, nous étions quelques amis des deux sexes à jouer aux « prix de beauté ». Le jeu était que chacun ou chacune découvrait une tare sur tel ou tel camarade. Le prix revenait au moins « taré ». Il revenait incontestablement à un copain qui faisait sa médecine. On allait le couronner lâchement d'algues ou de varechs lorsqu'il protesta. Lâchant une sandale, il montra son pied : « Et ça ? » Sept orteils ! Son « flirt » tomba dans les pommes. Tout fut fini entre eux. En quoi
odiiet ou géniale et, pour e de eiis homme femme. Les 48 chromosomes ui fixent ainsi notre « carte naturelle d'identité » avec natt de rigueur qu'il n'en st probablement pas deux absolument identiques — fût-ce chez les jumeaux sel plus « univitellin » issus du même œuf subdivisé. — tout le monde sait qu'ils nous ont été offerts à parts égales 24 par notre papa et 4 par notre maman au retour de leur voyage de ncs t que leur assemblage fut l'occasion d'une réédtn des oi du mariage Car les 24 couples ont dû se reformer en cortège, l'un « du côté de a fiancée et de s famille » et l'autre du ct de la famille adverse ». los des erreurs de préséance ou même des tricheries de cousin à cousine ont p se prdr ans la formation cortège infinitésimal : une « loterie » écrit Jean Rostand Mais encore chaque couple régulier étant constitué, à l'intérieur de la celu fécondée, de nouvelles occasions de « bisbille » ont p se introduire dans le couple lui-même. Car chaque chromosome est constitué par un chplt lpemcoex de « ès iqu sont omme les électrons de cet atome vital. Et «ls ges élémentaires ne se snt pas bien alignés, il n résulte chez le nouveau-né « jeux de la nature » assez inattendus. Avez-vous aai observé des gens parfaitement constitués qui ont six doigts ou six orteils et même sept ? Deux orteils de trop Crtn jour de la lointaine jeunesse, sur une plage bretonne, nous étions quelques amis des deux sexes à jouer aux « prix de beauté ». Le jeu était que chacun ou chacune découvrait une tare sur tel ou el camarade. Le prix revenait au moin taré ». Il revenait incontestablement à un copain qui ait sa médecine. On allait le couronner lâchement d'algues u de varechs liqrlsuo' protesta. Lâchant une sandale, il montra son pied : « Et ça ? » Sept oteil ! Son « flirt » tomba dans les pommes. Tout fut fn entre x. En quoi
de cet atome vital. Et «les gènes élémentaires ne se sont pas bien alignés, il en résulte chez le nouveau-né « jeux de la nature » assez inattendus. Avez-vous jamais observé des gens parfaitement constitués qui ont six doigts ou six orteils et même sept ? Deux orteils de trop Certain jour de la lointaine jeunesse, sur une plage bretonne, nous étions quelques amis des deux sexes à jouer aux « prix de beauté ». Le jeu était que chacun ou chacune découvrait une tare sur tel ou tel camarade. Le prix revenait au moins « taré ». Il revenait incontestablement à un copain qui faisait sa médecine. On allait le couronner lâchement d'algues ou de varechs lorsqu'il protesta. Lâchant une sandale, il montra son pied : « Et ça ? » Sept orteils ! Son « flirt » tomba dans les pommes. Tout fut fini entre eux. En quoi ils eurent tort car Jean Rostand, vingt ans plus tard, leur aurait expliqué que cet accident ne signifiait ni plus ni moins qu'une « coquille » dans un texte d'imprimerie par ailleurs fort correct. Un généticien assez savant, muni d'un microscope assez puissant (l'électronique y parviendra) devrait théoriquement pouvoir dépister parmi les 24 couples du cortège baptiste « chromosomique », lequel commettre pareille farce. Fille ou garçon à volonté ? A ce moment, on pourra peut-être intervenir à temps chez l'enfant nouveau-né. Non pour empêcher le sixième doigt de se développer (il est déjà là), mais pour refréner certaines tares à évolution lente. Turpin et Boulier n'ont-ils pas déjà obtenu des résultats sur l'hémophilie congénitale ?... Car — et c'est précisément le plus récent progrès de la science des chromosomes — le stock de ces atomes de vie et l'agencement de leurs gènes élémentaires ne sont pas les seuls agents de l'hérédité. Il y a les sécrétions que ces éléments provoquent ou qui orientent leur évolution. Par introduction d'une hormone mâle dans un embryon femelle on fait naître un mâle et inversement. Ainsi réalise-t-on « l'inversion expérimentale de sexe ». Une larve de mouche drosophile à œil vermillon (race mutée)
d ct atome vital. Et es«l gènes élémntrs ne se sont pas bien alignés, il en résulte chez l nouveau-né « jeux de la t az inattendus. Avez-vous jms observé des gens parfaitement constitués qui ont si doigts ou six orteils et même sept Deux orteils trp Crtn jour de la lointaine jeunesse, sur une plage bretonne, nous étions quelques amis des deux sexes à jouer aux « prix de bté ». jeu était que chcn ou chacune découvrait une tare sur tl ou tel camarade. Le prix revenait au moins « tré Il revenait ncntstblmnt à un copain qui faisait sa médecine. On a l couronner lâchement dalgues ou de varechs lorsqu'il protesta. Lâchant une sandale, il montra nso pd : « Et ça » Sept rtls ! Son « flirt » tomba dsna les pmms. Tout fut fini entre x. En quoi ils eurent tort car Jn Rstnd, vgt ans u tard, leur aurait expliqué que cet adecticn ne signifiait ni pls ni moins qu'une « coquille » dans un texte d'imprimerie par ailleurs fort correct. éietnciégn assez svnt, unim d'un microscope se nitpsasu lélectronique y rvda) devrait nreihtoeéqtmu pouvoir dépister parmi les 24 couples d cortège baptiste « chrmsmq », lequel commettre pareille farce Fille ou garçon à volonté ? A c moment, pourra peutêtre intervenir à temps chez 'enfant nouveau-né. Non pr erehpcmê le sixième doigt de se développer (l est déjà là), mais pour refréner certaines tares à évolution lente. Turpin e Boulier n'ont-ils pas déjà obnu des résultats sur l'hémophilie congénitale ?... Car — t c'est précisément le plus récent progrès ed la science des chromosomes le stock ed atomes de vie et lacet de leurs gènes élémentaires ne sont pas les susle agents d l'hérédté. Il y a les sécrétions que ces éléments prvqnt ou qui orientent leur évolution. Par introduction d'une mâle dasn embryon fmll on ft naître un mâl t ve. Ainsi réalise-t-on « linversion expérimentale de sexe Une larve mouche lpodiehors à œl vermillon (race mutée)
parmi les 24 couples du cortège baptiste « chromosomique », lequel commettre pareille farce. Fille ou garçon à volonté ? A ce moment, on pourra peut-être intervenir à temps chez l'enfant nouveau-né. Non pour empêcher le sixième doigt de se développer (il est déjà là), mais pour refréner certaines tares à évolution lente. Turpin et Boulier n'ont-ils pas déjà obtenu des résultats sur l'hémophilie congénitale ?... Car — et c'est précisément le plus récent progrès de la science des chromosomes — le stock de ces atomes de vie et l'agencement de leurs gènes élémentaires ne sont pas les seuls agents de l'hérédité. Il y a les sécrétions que ces éléments provoquent ou qui orientent leur évolution. Par introduction d'une hormone mâle dans un embryon femelle on fait naître un mâle et inversement. Ainsi réalise-t-on « l'inversion expérimentale de sexe ». Une larve de mouche drosophile à œil vermillon (race mutée) traitée à la cynéamine évolue en mouche normale qui a les yeux rouge brique. Jean Rostand, lui, s'occupe, depuis toujours, des crapauds. Sur 7.400 crapauds adultes, il a trouvé six individus à six orteils aux pattes postérieures. Et c'est bien une mutation. La première observée chez les crapauds, analogue à celle que Hugo de Vries observa jadis sur l'anémone œnotherie lamarckiana, ce qui fut à l'origine de la théorie des mutations. Dans ces conditions, le crapaud n'a pas fini « d'en voir ». Déjà Rostand, après Bataillon, provoquait l'éclôsion de ces œufs vierges (parthénogénèse) ou, encore, celle de leurs œufs fécondés par des spermatozoïdes altérés. Histoire de provoquer la naissance de monstres. Déjà Rostand et Faulkhauser savaient doubler le stock chromosomique de leurs œufs en les refroidissant brusquement, sitôt après leur fécondation. Que ne vont pas subir les crapauds, maintenant que Rostand a découvert leurs manières de se reproduire six doigts. Je ne voudrais pas être à leur place, Bien que je ne sois pas ni un if, le temps qu'il fera. Jean CABRERETS. le temps qu'il fera Région parisienne Temps bruineux le matin, s'éclaircissant... l'après-midi vent nord-est modéré. Température progressivement en hausse. Autres régions Temps généralement pluvieux avec, égale
parmi les 24 couples du cortège baptiste « chromosomique », el cmettr pareille farce. Fille ou çn à volonté ? A ce moment, on pourra peut-être interven à temps chez l'enfant nouveau-né. Non pour empêcher le sixième doigt de se développer (il est déjà là), mais our refréner eai tares à évolution lente. Turpin e Boulier n'ont-ils pas déjà obtenu des résultats sur l'hémophilie congénitale ?... Car — et 'est précsémnt le plus récent progrès de la science des chromosomes — l stck de ces atomes de vie et l'agencement de leurs ènegs élémentaires ne sont pas les seuls agents de hd. Il y a ls sécrétions que ces éléments provoquent uo qui orientent leur évolution. Par ntrdctn d'une hormone mâle dans un embryon femelle on fait nîtr un mâle et inversement. Ainsi réalise-t-on « l'inversion expérimentale de sexe ». Une larve de mouche drosophile œil vermillon (race mutée) traitée à la cynéamine évolue en mouche normale q a les yeux rouge brique. Jean Rostand, lui, s'occupe, dps toujours, des crapauds. Sur 7.400 crapauds adultes, a trouvé six individus à sx orteils aux pattes postérieures. E c'est bien une mutation. La première bsev chez les crapauds, analogue à celle que Hugo de Vries observa jds sur 'anémone œnotherie lamarckiana, e qui fut à l'origine de la théorie dse mutations. Dans ces conditions, le crapaud n'a pas fini « d'en voir ». Déjà Rostand, après Bataillon, provoquait l'éclôsion de ces œufs vierges (parthénogénèse) ou, ncr, celle de leurs œufs fécondés pr des sprmtzïds altérés. i de prvqr la naissance de oes.rntsm Déjà Rostand et Faulkhauser savaient doubler le stock oecshouqrmimo de leurs œfs en les refroidissant brusquement, sitôt après leur fécondation. Que en vont pas subir les crapauds, maintenant que Rostand a découvert leurs manières de se reproduire six dgts. J ne voudrais pas être à leur place, Bn que je ne sois pas ni un if, le temps qu'il fera. Jean CABRERETS. le temps qu'il fera Région parisienne Temps bruineux le matin, s'éclaircissant... l'après-midi vent nord-est modéré Tmpértr progressivement en hausse. Autres régions Tems généralement pluvieux avec, égale
celle que Hugo de Vries observa jadis sur l'anémone œnotherie lamarckiana, ce qui fut à l'origine de la théorie des mutations. Dans ces conditions, le crapaud n'a pas fini « d'en voir ». Déjà Rostand, après Bataillon, provoquait l'éclôsion de ces œufs vierges (parthénogénèse) ou, encore, celle de leurs œufs fécondés par des spermatozoïdes altérés. Histoire de provoquer la naissance de monstres. Déjà Rostand et Faulkhauser savaient doubler le stock chromosomique de leurs œufs en les refroidissant brusquement, sitôt après leur fécondation. Que ne vont pas subir les crapauds, maintenant que Rostand a découvert leurs manières de se reproduire six doigts. Je ne voudrais pas être à leur place, Bien que je ne sois pas ni un if, le temps qu'il fera. Jean CABRERETS. le temps qu'il fera Région parisienne Temps bruineux le matin, s'éclaircissant... l'après-midi vent nord-est modéré. Température progressivement en hausse. Autres régions Temps généralement pluvieux avec, égale ment, légère baisse de température. Concours des fables de La Fontaine BON N° 7 CONCOURS DES FABLES DE LA FONTAINE POUR ses jeunes lecteurs, Franc-Tireur a commencé la publication le 20 avril — et cela jusqu'au 20 mai — d'une série de douze dessins illustrant chacun une fable de La Fontaine. Rappelons que le jeu consiste à indiquer : 1. Le titre de la fable à laquelle se rapporte chacun des dessins ; 2. Le nombre d'erreurs matérielles que comporte ledit dessin 3. La description la plus claire possible de chacune de ces erreurs matérielles. A la fin du concours une feuille de réponse sera publiée dans Franc-Tireur. Il suffira à chacun des participants de remplir cette feuille et D'Y AJOUTER LES VINGT-SEPT BONS NUMÉROTÉS intitulés : « Concours des fables de La Fontaine » qui paraîtront chaque jour (sauf le lundi) dans Franc-Tireur. A une réponse envoyée avant le 21 mai ne sera fait avis. Le jeune lecteur auquel il manque des exemplaires du journal pour participer au concours peut en faire la demande à Franc-Tireur en joignant cinq francs par numéro. Parmi les premiers prix figurent des postes de radio de la marque LAKMÉ-TORIAL, qui s'offrent aux Établissements,
celle que Hugo ed Vries observa jadis sur l'némn œnotherie lamarckiana, ce uiq fut à l'origine de la théorie des mutations. nDas cs conditions le crapaud na pa fini « d'en rvio ». Déjà Rostand, après Bataillon, provoquait l'éclôsion de ces œufs vierges (parthénogénèse) ou, encore celle de leurs œufs ondés par des spermatozoïdes altérés. Hstr d provoquer la naissance de monstres. Déjà Rostand et Faulkhauser savaient doubler le stock chromosomique de leurs œufs n les refroidissant brusquement, sitôt après leur fécondation. Que n vont pas subir les crapauds, maintenant que Rostand découvert leurs manières de reproduire six doigts. Je ne voudrais pas être à eulr place, Bien que je ne sois pas ni un if, le temps quil fera Jean CABRERETS. le temps qu'il fera Région parisienne Temps xuirunbe le matin, s'éclaircissant... laprèsmidi vent nord-est mdéré. Température prgrssvmnt en hausse. Autres régions ps généralement pluvieux avec, égl mnt, légère baisse de température. Concours des fables de La onaneitF BON N° 7 CONCOURS DES FABLES DE LA FONTAINE POUR ses jeunes lecteurs, Franc-Tireur a commencé la publication le 20 arilv — et c jusqu'au 20 mai — 'une ri de douze dessins illustrant chacun une fable de La Fontaine. Rappelons que le jeu consiste à indiquer : 1. Le titre de la fbl à laquelle se raprt chacun des dssseni ; 2. Le nmbr d'erreurs matérielles que comporte ledit dessin 3. La dscrptn la plus claire possible de chacune de ces erreurs matérielles. A la fin du concours n feuille de réponse sera publiée dans u.FcrrearT-in Il suffira à chacun es participants de remplir cette feuille et D'Y AJOUTER LES VINGT-SEPT BONS NUMÉROTÉS intitulés : Concours des fables de La Fontaine » qui paraîtront chaque jour (sauf le lundi) dans Franc-Tireur. une réponse envoyée avant le 21 mai ne sera ft avis. Le jeune lecteur auquel il manque des exemplaires du journal pour participer au concours peut en faire la demande à Franc-Tireur en joignant cinq francs par numéro Parmi les prmrs prix figurent des postes de radio de a marque LAKMÉ-TORIAL, qui s'offrent aux Établissements,
Fontaine. Rappelons que le jeu consiste à indiquer : 1. Le titre de la fable à laquelle se rapporte chacun des dessins ; 2. Le nombre d'erreurs matérielles que comporte ledit dessin 3. La description la plus claire possible de chacune de ces erreurs matérielles. A la fin du concours une feuille de réponse sera publiée dans Franc-Tireur. Il suffira à chacun des participants de remplir cette feuille et D'Y AJOUTER LES VINGT-SEPT BONS NUMÉROTÉS intitulés : « Concours des fables de La Fontaine » qui paraîtront chaque jour (sauf le lundi) dans Franc-Tireur. A une réponse envoyée avant le 21 mai ne sera fait avis. Le jeune lecteur auquel il manque des exemplaires du journal pour participer au concours peut en faire la demande à Franc-Tireur en joignant cinq francs par numéro. Parmi les premiers prix figurent des postes de radio de la marque LAKMÉ-TORIAL, qui s'offrent aux Établissements, Lakmé-Torial, 157, rue du Temple. La reine des Madelons 1948 Au cours d'une soirée au Palais de la Mutualité, la reine des Madelons 1948 vient d'être élue. Le titre est revenu à Mlle Josette Thillier, 18 ans, que notre photo montre (à droite) recevant l'écharpe de la Madelon 1947. Le Ravitaillement APRÈS LE LAIT, VA-T-ON LIMITER LES LIVRAISONS DE BLÉ ? DANS un discours prononcé hier à Issy-les Moulineaux, M. Halle, secrétaire national de l'Association générale des producteurs de blé, a déclaré notamment : « La bataille est engagée en vue de revaloriser le prix du blé et nous utilisons toutes les ressources de la paysannerie pour la gagner, car le consommateur français préfère payer son pain plus cher pourvu qu'il ait l'assurance de n'en manquer jamais. Or, ou bien le blé sera plus cher, ou bien le pain sera plus rare. L'intérêt des cultivateurs se confond en ceci avec celui des populations. » Il a même ajouté qu'il réclamait « des mesures de protectionnisme en faveur du blé français » ce qui veut dire qu'il faudrait limiter les importations pour ne pas faire concurrence aux prix français ! Le mauvais exemple est toujours suivi. De l'instant où on a
Fontaine. Ro que le jeu cons à indie : 1. Le titre de la fable à laquelle se rapporte cu dessins ; 2. Le nombre d'erreurs matérielles que comporte ledit sn 3. La description la plus clr possible de chacune d ces rrrs matéiles. A la fin du concours une feuille de réponse sera publiée dans Franc-Tireur. Il suffira à chacun ds participants de remplir cette feuille et D'Y AJOUTER LES VIGTST BONS ÉTMSÉNURO intitulés : « Concours des fables de La Fntn » qui paraîtront chaque jour (sauf le lundi) dans Franc-Tireur. A une répns envoyée avant le 21 mai ne sera fait avis. Le jeune lecteur auquel il mnq des exemplaires du ulnjroa pour participer au concours peut en ar la demande Franc-Tireur n joignant cinq franc par nmér. Parmi les prmrs prix futengri des postes de radio ed la marque LAKMÉ-TORIAL, qui s'offrent aux Étblssmnts, Lakmé-Torial, 157, rue du Temple. La reine sed Madelons 1948 Au cours d'une soirée au Palais de la Mutlé la reine des Madelons 1948 vint d'être élue. Le titre est revenu à Mlle Josette llriT,eih 18 que notre photo montre (à roie) recevant l'écharpe d la Madelon 1947. Le Ravitaillement APRÈS LE LAIT, VA-T-ON LIMITER LES LIVRAISONS DE BLÉ ? DANS un discours prononcé hier à Issy-les ounax, M. Halle, secrétaire national d l'Association générale des ucus de blé, a déclaré notamment : « L bataille est ngagéee en vue de revaloriser prix du blé et nous utilisons toutes le ressources de la paysannerie pour la gagner, car consommateur français préfère payer son pain plus h prv qu'il ait l'assurance de n'en manquer jamais r, ou bien le blé sera plus cher, ou e le pain sera plus rare. Lintérêt des cultivateurs se cond en ceci avec celui des ppltns. » Il a même ajouté q'l réclamait « des mesures de protectionnisme en faveur du blé français » ce qui vet dire qu'il faudrait limiter les importations pour ne pas fr concurrence aux prix français ! Le mauvais exemple est toujours suivi. De l'instant o on
Ravitaillement APRÈS LE LAIT, VA-T-ON LIMITER LES LIVRAISONS DE BLÉ ? DANS un discours prononcé hier à Issy-les Moulineaux, M. Halle, secrétaire national de l'Association générale des producteurs de blé, a déclaré notamment : « La bataille est engagée en vue de revaloriser le prix du blé et nous utilisons toutes les ressources de la paysannerie pour la gagner, car le consommateur français préfère payer son pain plus cher pourvu qu'il ait l'assurance de n'en manquer jamais. Or, ou bien le blé sera plus cher, ou bien le pain sera plus rare. L'intérêt des cultivateurs se confond en ceci avec celui des populations. » Il a même ajouté qu'il réclamait « des mesures de protectionnisme en faveur du blé français » ce qui veut dire qu'il faudrait limiter les importations pour ne pas faire concurrence aux prix français ! Le mauvais exemple est toujours suivi. De l'instant où on a laissé M. Biset et la Fédération des producteurs laitiers s'opposer à la collecte et aux lois sur le Ravitaillement, on pouvait s'attendre à ce que d'autres producteurs s'inspirèrent de ces méthodes. P. J. À PARTIR D'AUJOURD'HUI LAIT ENTIER EN POUDRE (aux V.) RIZ (aux E) CHACUN vaut une boîte de 453 g. de lait entier en poudre aux V du département de la Seine, là où ils sont inscrits pour les distributions de lait frais. (Ticket d'avril, valable jusqu'au 27 mai.) N° 26 vaut 300 gr. de riz aux E. Jusqu'au 27 mai (ticket de la feuille semestrielle). Les tickets de travailleurs d'avril seront valables jusqu'au 15 mai. Le 1er mai, sera jour de fermeture pour les services de la préfecture de la Seine et des mairies de Paris, Il en sera de même pour les abattoirs de la Villette et de Vaugirard. À Bordeaux une baisse de 15 % sur le poisson, 5 % sur la charcuterie, la chemiserie, l'ameublement et la bonneterie, 5 à 10 % sur les nouveautés a été décidée par les commerçants, en réponse à un appel du préfet. POISSONNAGE du poivre véritable, sélectionné garanti pur, emballé automatiquement, que vous utiliserez jusqu'à la dernière parcelle,
Ravitaillement PRS LE LAIT, VA-T-ON LIMITER LES LIVRAISONS D BLÉ ? DANS un discours prononcé hier à Issy-les Moulineaux, M. Halle secrétaire national de l'Association générale des producteurs de blé, a déclré notamment : La baile est engagée en vue de revaloriser le prix du blé et ns utilisons toutes les ressources de la paysannerie pour l gagner cr l cnsmmtr français préfère payer son pain plus cher rpvuuo qu'il a l'assurance de n'en manquer jamais Or, ou bien l blé sera plus cher, ou bien le pain sera upsl rare L'intérêt des cultivateurs se confond en ceci avec celui des populations. » l même ajouté qul réclamait « des mesures de protectionnisme en faveur du blé français ce qui veut dire qu'il faudrait ltermii sle importations pour ne pas faire concurrence aux prix français ! Le mauvais xmpl est tjrs suivi. D l'instant où on a laissé M. istBe et la Fédération des producteurs laitiers s'opposer à la collecte et aux lois sur le Ravitaillement, on pouvait s'attendre à ce que ueastr'd producteurs s'inspirèrent de ces méthodes. P. J. À PARTIR D'AUJOURD'HUI LIT ENTIER EN POUDRE (u V.) RIZ (aux E) CHACUN vaut une boîte de 453 g. de lait entier en pdr aux V du dprtement de la Seine, là où ils sont inscrits pour les distributions de lait frais. (Ticket d'avril, valable jsq' 27 mai.) N 26 vaut 300 gr. de riz aux E Jusqu'au 27 mai (ticket de la feuille semestrielle). Les tickets ed travailleurs 'avil torens saabelvl jusqu'au 15 mai. Le 1er ai sera jour de frmtr o les services de la préfecture d la Seine et des mairies e rs Il en sera de même pour les abattoirs de la Vlltt et de Vaugirard. Bordeaux une baisse d 15 sur le poisson, % sur la arrie, la chemiserie, lameublement et la bonneterie, 5 à 10 sur les nouveautés a été décidée par les commerçants, n réponse à un appel ud préft. PSSNNG du poivre véritable, sélectionné garanti rup, eal automatiquement, que vous utiliserez jusqu'à la dernière parcelle,
453 g. de lait entier en poudre aux V du département de la Seine, là où ils sont inscrits pour les distributions de lait frais. (Ticket d'avril, valable jusqu'au 27 mai.) N° 26 vaut 300 gr. de riz aux E. Jusqu'au 27 mai (ticket de la feuille semestrielle). Les tickets de travailleurs d'avril seront valables jusqu'au 15 mai. Le 1er mai, sera jour de fermeture pour les services de la préfecture de la Seine et des mairies de Paris, Il en sera de même pour les abattoirs de la Villette et de Vaugirard. À Bordeaux une baisse de 15 % sur le poisson, 5 % sur la charcuterie, la chemiserie, l'ameublement et la bonneterie, 5 à 10 % sur les nouveautés a été décidée par les commerçants, en réponse à un appel du préfet. POISSONNAGE du poivre véritable, sélectionné garanti pur, emballé automatiquement, que vous utiliserez jusqu'à la dernière parcelle, L'exposition de PESKE « 50 ans de peinture », a été inaugurée à la Galerie Saint-Pacide par M. Bizardel, directeur des Beaux-Arts de la Ville de Paris. Ce que vous ne savez pas de BOURVIL l'ancien fermier devenu chanteur Les débuts, les succès, la vie du plus grand comique français révélés dans le N° 2 du MÉMOIRES 5, rue Lamartine, PARIS (9ème) 64 pages de texte et d'illustrations Déjà paru Ne 1. ô Édith PIAF Cinq centaines devenu vedette Les dix perles noires 45 fr. VOUS n'en êtes pas certain alors ? — Je savais qu'elle avait une certitude de dire la vérité, mais... mais j'espérais presque qu'elle se trompait ! — Pourquoi donc, grand Dieu ? — Parce que Royal devait aller chez elle cette nuit-là... C'est elle qui me l'avait dit ! CHAPITRE XXII Ellis est sur la sellette J'en étais sûr ! Bigwin était allé trop loin ! Dire qu'il avait amené Renneck petit à petit à perdre complètement pied et à n'être qu'un jouet entre ses mains pour en arriver finalement à une déclaration qui démolissait d'un seul coup tout son système de défense, c'en était vraiment navrant ! Mon défenseur cligna des yeux, passa un
453 g. de lait entier en poudre au V du déprtmnt de la Seine, là ils sont inscrits pour les distributions de frais. (Ticket d'avril, valable jusqu'au 7 mai.) N° 26 vaut 300 gr. de riz x E. Jusqu'au 27 mai (it de la feuille semestrielle). Les tickets de trvllrs d'avril seront valables jusqu'au 15 mai. Le 1er mai, sera jour de fermeture pour les services de la préfecture de la Seine et des mairies de Paris, Il en sera de même les abattoirs de la Villette et de ugiad. À Bordeaux neu baisse d 15 % sur le poisson, % sur la charcuterie, la chemiserie, l'ameublement et la bonneterie, à 10 % sur les nouveautés a été décidée par ls commerçants, en réponse à un appel du préfet. POISSONNAGE du poivre l,areéitvb sélectionné garanti pur, emballé automatiquement, que vous utiliserez jusquà la dernière parcelle, L'exposition de PESKE « 50 ans de penr », a été inaugurée à la Galerie Saint-Pacide pr M. Bizardel, decer des Beaux-Arts de a Ville de Paris. Ce que vous ne savez pas de BOURVIL l'ancien fermier devenu chanteur Les débts, les succès, la vie du plus grand comique français révélés dans le N° 2 du MÉMOIRES 5, rue Lamartine, PARIS (9ème) 64 pages ed texte et d'illustrations Déjà par N 1. ô thdÉi PIAF Cinq centaines devenu vdtt Les dx perles noires 45 fr. VOUS n'n êtes pas ceta alors ? — Je savais qu'elle avait une certitude de dr la vérité, mais... mais j'espérais presque qu'elle se trompait ! — Pourquoi donc, grand Dieu ? — Parce ue oRyla devait aller chez elle cette nuit-là... C'est elle qui m l'avait dit ! CHAPITRE Ellis est sur la sellette J'en éts sûr ! Bigwin était llé trop loin ! Dire qu'il avait amené Renneck petit à petit à perdre complètement idep et à nêtre qu'un jou entre ses mains pour en arriver finalement à une dénotcalrai qui démolissait d'un seul coup tout son système de défense, c'en était vraiment navrant ! Mon défenseur cligna des yeux, as un
révélés dans le N° 2 du MÉMOIRES 5, rue Lamartine, PARIS (9ème) 64 pages de texte et d'illustrations Déjà paru Ne 1. ô Édith PIAF Cinq centaines devenu vedette Les dix perles noires 45 fr. VOUS n'en êtes pas certain alors ? — Je savais qu'elle avait une certitude de dire la vérité, mais... mais j'espérais presque qu'elle se trompait ! — Pourquoi donc, grand Dieu ? — Parce que Royal devait aller chez elle cette nuit-là... C'est elle qui me l'avait dit ! CHAPITRE XXII Ellis est sur la sellette J'en étais sûr ! Bigwin était allé trop loin ! Dire qu'il avait amené Renneck petit à petit à perdre complètement pied et à n'être qu'un jouet entre ses mains pour en arriver finalement à une déclaration qui démolissait d'un seul coup tout son système de défense, c'en était vraiment navrant ! Mon défenseur cligna des yeux, passa un mouchoir sur sa figure et se rassit... Pourquoi donc n'avait-il pas continué à harceler Renneck jusqu'à ce que ce dernier admit qu'il pouvait, à la rigueur, se tromper ?... Abandonner le combat de cette façon ne pouvait faire qu'empirer les choses, si du moins cela était possible... Bien entendu, sir James Keaton ne perdit pas les pédales, lui ! Le témoin s'était-il assis qu'il se leva lentement. — Une minute, témoin, s'il vous plaît. En disant « Royal », je suppose que l'accusé faisait allusion à l'accusé ? — Oui. Estelle espérait toujours M. Prince « Royal ». — Merci beaucoup. Et ce fut tout. Sur un geste courtois de sir James, Bigwin fit signe qu'il ne désirait plus poser de questions au témoin et Roy Renneck, toujours accompagné de sa vigilante escorte, disparut de la salle. — Appelez Gordon. Je me dressai sur mon siège, n'en croyant pas mes oreilles — Puis je compris pourquoi Gordon avait été cité. C'était lui le témoin qui avait vu Renneck dans les parages de mon appartement à Westminster la nuit du crime, à trois heures moins vingt. En fait, c'était le portier-homme à tout faire de l'immeuble et je le connaissais bien.
vél dans le N° 2 du MÉMOIRES 5, reu Lamartine, PARIS (9ème) 64 pgs de texte et d'llstrtns Dé paru Ne 1. ô Édith PIAF Cinq centaines devenu vedette Les dix perles noires 45 fr. VOUS ne êtes pas certain alors — Je savais q'll avait une certitude de dire la vé mais mais j'espérais presque qu'elle se trompait ! — Pourquoi donc, grand Dieu ? — Parce que Royal devait aller chez elle cette nuit-là... C'est elle qui me l'avait dit ! CHAPITRE XX Ellis est sur la stte J'en étais rsû ! Bigwin était allé trop loin ! Dire qu'il avait amené Renneck petit à petit à perdre complètement pied et à n'être qu'un jue ntr ses mains pour en arriver fiemnt à une déclaration qui démolissait d'un seul coup tout son système de ene, c'en était vraiment navrant ! Mon énser cligna des yeux, passa un mchr sr sa figure et se rai. Pourquoi donc n'avait-il pas continué à hleercra Renneck jusqu'à ce que c rr admit qu'il pouvait, à la reug,iru se tromper ?... Abandonner l combat de cette façon ne upvotai faire qu'empirer s choses, si du moins cela était possible... Bien entendu, sir James Keaton ne perdit ps les pédales, lui ! Le moi s'était-il assis qu'il se lv lentement. — n minute, témn, 'il vous plaît En disant « Royal », je suppose que l'accusé faisait allusion à l'accusé ? — Oui. Estelle espérait ujurs M. Prince « Royal ». — Merci beaucoup. Et ce fut tout Sur un get cut de sir James, Bigwin fit signe qu'il ne désirait plus psr de qstns témoin e Roy Renneck, toujours accompagné de sa vigilante escorte, disparut de la salle. — Apel Gordon. Je me dressai sur mon siège n'en croyant pas mes oreilles — Puis je compris pourquoi Gordon avait été cité. C'était lui l témoin qui avait vu Renneck dans les parages d mon appartement à Westminster la nuit du crime, à trois heures moins vingt. En fait, c'était le portier-homme à tout faire de l'mmbl et je le connaissais bien.
James Keaton ne perdit pas les pédales, lui ! Le témoin s'était-il assis qu'il se leva lentement. — Une minute, témoin, s'il vous plaît. En disant « Royal », je suppose que l'accusé faisait allusion à l'accusé ? — Oui. Estelle espérait toujours M. Prince « Royal ». — Merci beaucoup. Et ce fut tout. Sur un geste courtois de sir James, Bigwin fit signe qu'il ne désirait plus poser de questions au témoin et Roy Renneck, toujours accompagné de sa vigilante escorte, disparut de la salle. — Appelez Gordon. Je me dressai sur mon siège, n'en croyant pas mes oreilles — Puis je compris pourquoi Gordon avait été cité. C'était lui le témoin qui avait vu Renneck dans les parages de mon appartement à Westminster la nuit du crime, à trois heures moins vingt. En fait, c'était le portier-homme à tout faire de l'immeuble et je le connaissais bien. Son témoignage fut extrêmement court. Il était resté assis, la moitié de la nuit devant son poste de T.S.F., essayant de « prendre l'Amérique ». puis, fatigué de tripoter les boutons de la radio, il s'était levé pour se dégourir les jambes. Il avait jeté un coup d'œil par la fenêtre et avait vu Renneck quitter l'immeuble. Comment savait-il que c'était Renneck ? Il l'avait formellement reconnu au cours d'une séance d'identification dans les bureaux de Scotland Yard. Et voilà ! Donc, Renneck était complètement blanchi en ce qui concerne l'assassinat d'Estelle Cantor ! Ce fut ensuite le tour de trois témoins qui affirmèrent qu'à différentes dates j'avais passé la nuit chez Estelle. Bigwin ne s'étant livré à aucun interrogatoire, sir James Keaton n'insista pas non plus sur leurs dépositions. — Appelez Edmund Ellis ! Quelques minutes après l'inspecteur faisait son entrée dans la salle et prêta rapidement serment, je remarquai que son nez était encore gonflé et violacé et je souhaitai sincèrement qu'il ne restât pas longtemps ainsi défiguré. Il me donna l'impression de ne pas être tout à fait dans son assiette. Il déclara que l'agent Carter avait régulièrement transmis le message d'Estelle Cantor et que les instructions
James Keaton ne perdit pas les pédales, lui ! Le témoin s'était-il assis qu'il se leva lentement. — Une minute, témoin, sil vous plaît. En disant « Royal », je suppose que l'accusé faisait allusion à l'accusé — Oui. Estelle spért toujours M. Prince « Royal ». — Merci beaucoup t ce fut tut Sur un geste courtois de sir James, Bgn fit signe qu'il ne éitisrda plus poser de qstns au témoin et Roy Renneck, toujours ccmpgné de sa vigilante escorte, disparut de salle. — Appelez Gordon. Je me dressai rsu mon siège, 'en croyant pas mes oreilles — Puis je compris pourquoi Gordon avait été cité. C'était lui le témoin qui avait vu Renneck dans lse parages de mon appartement à Westminster la nuit du crime, à trois heures moins vingt. n fait, c'é le portier-homme à tout faire de l'immeuble et je le connaissais bien. Son témoignage fu extrêmement court. Il éa resté assis, la moitié de la nuit devant son poste de ...TS,F essayant de « prendre l'Amérique ». puis, fatigué de tripoter les boutons de la radio, il s'était levé pour se dégourir sle jambes Il avait jeté un coup d'œil par la fenêtre et avait vu Renneck quitter 'meel.ubmil Comment savait-il que c'était Renneck ? Il l'avait formellement reconnu u cours d'une séance didentification dans les bru ed Scotland Yard. Et voilà ! Donc, Renneck était mtment blanchi en ce qui concerne l'assassinat d'Estelle Cantor ! eC fut ensuite le tour de trois témoins qui affirmèrent qu'à différentes dates j'avais passé la nuit chez Estelle. Bigwin ne s'étant livré à aucun interrogatoire, sir James Keaton n'insista pas non plus sur lrs dépositions. — Appelez Edmund Ellis ! Quelques mnts après l'inspecteur faisait son ntré dans salle et prêta rapidement serment, j remarquai que ez était encore gonflé et violacé et je souhaitai sincèrement q'l ne restât pas longtemps ainsi défiguré. Il m donna l'impression de ne pas être tout à fait dans sn assiette. Il déclara que l'agent eartCr avait régulièrement transmis le message d'Estelle Cntr t que les instructions
fenêtre et avait vu Renneck quitter l'immeuble. Comment savait-il que c'était Renneck ? Il l'avait formellement reconnu au cours d'une séance d'identification dans les bureaux de Scotland Yard. Et voilà ! Donc, Renneck était complètement blanchi en ce qui concerne l'assassinat d'Estelle Cantor ! Ce fut ensuite le tour de trois témoins qui affirmèrent qu'à différentes dates j'avais passé la nuit chez Estelle. Bigwin ne s'étant livré à aucun interrogatoire, sir James Keaton n'insista pas non plus sur leurs dépositions. — Appelez Edmund Ellis ! Quelques minutes après l'inspecteur faisait son entrée dans la salle et prêta rapidement serment, je remarquai que son nez était encore gonflé et violacé et je souhaitai sincèrement qu'il ne restât pas longtemps ainsi défiguré. Il me donna l'impression de ne pas être tout à fait dans son assiette. Il déclara que l'agent Carter avait régulièrement transmis le message d'Estelle Cantor et que les instructions nécessaires avaient été données en conséquence. Une équipe de policiers avait été envoyée au domicile de M. Rudolf Rennstein pour s'assurer que le vol avait bien été perpétré. A ce moment de sa déposition, il devint très circonspect. Il ne se risqua pas à déclarer que sa visite chez moi était le résultat direct du message d'Estelle. La justice anglaise est très pointilleuse et il n'est pas admis qu'un jury puisse être influencé par les soupçons ou les manœuvres de la police. Et l'inspecteur Ellis ne voulait pas, si j'étais condamné, me fournir matière à aller en appel. — Me conformant à des instructions reçues, dit-il, j'eus à me rendre à l'appartement de M. Henry Prince, Glavering Building, Westminster, pour lui demander certains renseignements. Je trouvai la clé dans la serrure et l'occupant ne répondait ni à mes coups de sonnette, ni à mes appels, je jugeai de mon devoir d'entrer pour me rendre compte de ce qui pouvait se passer. M. Prince n'était pas chez lui — en fait il n'y arriva que vingt minutes plus tard, en voiture. L'inculpé a déclaré qu'il s'agissait d'un taxi. Avant qu'Ellis ait pu continuer, le président Flannigan intervint : — Un moment,
fenêtre et avait vu Renneck qttr l'immeuble. Comment savait-il que c'étt Renneck ? Il l'avait frmllmnt reconnu au cours d'une séance d'identification dans les bureaux Sctlnd Yard. Et voilà Donc Rnnck était complètement blanchi en ce qui co l'assassinat d'Estelle Cantor ! Ce fut nst le tour de trois témoins qui affirmèrent qu'à différentes dates j'avais passé la u chez Estelle. Bigwin ne s'étant ivé à interrogatoire sir James Keaton n'insista pas non plus urs leurs dépositions. — Appelez dumdnE Ellis ! Quelques minutes après l'inspecteur faisait son entrée dans la salle t prêta rapidement serment, je remarquai que son ezn était encore gonflé et violacé et je souhaitai sincèrement qu'il ne rstât pas longtemps ainsi défiguré. Il me donna smiolpe'snri ed ne as être tout à fait dans son assiette. l déclara que l'agent art avait réglèrmnt transmis le message d'Estelle Cantor et que les instructions nécessaires avaient été snéoedn en conséquence. Une équipe de policiers avait été envoyée au domicile ed M. Rudolf Rennstein pour s'assurer que l vol avait bien été perpétré. A ce moment de sa déposition, il devint très circonspect. Il n se risqua pas à déclarer que sa visite chez m était le résultat direct du message d'Estelle. La justice anglaise est très pointilleuse et il n'est pas admis q'n jury puisse être influencé par les spçns ou les manœuvres de la police. Et l'nspctr Ellis ne tivoual pas, s tis'éaj condamné, me fournir matière à aller en appel. — Me conformant à des nstrctns reçues, dit-il, j'eus à me rendre à l'appartement d M. Henry Prince, Gvin lding Westminster, pour lui demander certains renseignements. Je trouvai la clé dns la serrure et l'ccpnt ne répondait ni à mes coups de sonnette, ni à mes pe je jugeai de mon devoir d'entrer pour me rendre compte de ce qui pouvait se pssr. M. Prince n'était pas chez lui — n fait il n'y arriva ueq ntvig minutes plus tard, en voiture. L'inculpé a déclaré qu'il s'agissait d'un taxi Avant qu'Ellis ait pu continuer, le président Flannigan intervint : — Un moment,
était le résultat direct du message d'Estelle. La justice anglaise est très pointilleuse et il n'est pas admis qu'un jury puisse être influencé par les soupçons ou les manœuvres de la police. Et l'inspecteur Ellis ne voulait pas, si j'étais condamné, me fournir matière à aller en appel. — Me conformant à des instructions reçues, dit-il, j'eus à me rendre à l'appartement de M. Henry Prince, Glavering Building, Westminster, pour lui demander certains renseignements. Je trouvai la clé dans la serrure et l'occupant ne répondait ni à mes coups de sonnette, ni à mes appels, je jugeai de mon devoir d'entrer pour me rendre compte de ce qui pouvait se passer. M. Prince n'était pas chez lui — en fait il n'y arriva que vingt minutes plus tard, en voiture. L'inculpé a déclaré qu'il s'agissait d'un taxi. Avant qu'Ellis ait pu continuer, le président Flannigan intervint : — Un moment, témoin... Sir James, a-t-on fait citer le chauffeur de ce véhicule ? — Je regrette, monsieur le président, mais il a été impossible de le retrouver. — Je pense que, s'il se fait connaître après avoir appris qu'on l'a réclamé au cours des débats, vous ne manquerez pas de le faire appeler. — Bien entendu, monsieur le président. Le président ne dit pas pour qui, mais au moins, il avait posé un point précis. Le témoignage du chauffeur ne devait pas être systématiquement écarté par l'accusation et Bigwin pouvait, au besoin, le faire citer pour la défense. Pauvre vieux Fred ! Je me demandais ce qu'il allait bien penser de tout cela quand il lirait les comptes rendus du procès ! Je ne souhaitais pourtant qu'à moitié sa comparution devant le tribunal, étant donné son penchant naturel à faire les gaffes les plus monumentales avec la meilleure bonne volonté du monde... Et le vieux Flannigan fit signe à l'inspecteur Ellis de continuer. — Je demandai à M. Prince s'il pouvait me dire d'où il venait et il me déclara spontanément qu'il était resté en compagnie d'une jeune femme. Il me donna son numéro de téléphone mais quand j'obtins la communication,
était le résultat drct du messge d'Estelle. a jstc anglaise est très pointilleuse et il n'est pas admis q jury pss être influencé par les soupçons ou les manœuvres de la cep.oil Et linecur Ellis ne o pas, s j'étais onm me fournir matière à aller en appel. — e for à intrcn reçues, l,dt-ii j'eus à me rendre à 'apprme de M. Henry Prince, lvnaregGi un Westminster pr lui demander rtin renseignements. Je trouvai la c dans la serrure et l'occupant ne répondait n mes osucp de sonnette, ni à mes appels je jugeai d mno devoir d'ntrr pour me rendre compte de ce qui pouvait s passer. M. Prince n'était pas chez lui — en ft il n'y arriva que vingt minutes plus tard, en voiture. L'inculpé a déclaré qu'il 'agissait d'un taxi. Avant l'Equsil ait u continuer, e président Flannigan intervint : — Un moment, témoin... Sir Jms, a-t-on fait citer le chauffeur de ce véhicule ? — Je regrette, monsieur le président, mais il a été impossible de le retrouver. — Je pense que, s'il se fait connaître après avoir appris qu'on ' réclamé au cours des débats, vous ne manquerez pas de le faire appeler. Bien entendu, monsieur le présdnt. Le éde ne dit ps pr qui, mais au mns, il aai posé un point précis. Le témoignage du fhcruaeuf ne devait pas être systématiquement écarté par l'accusation et Bigwin pouvait, au besoin, le faire citer pour l défense. Pauvre vieux Fred ! Je me demandais ce i allait bien penser de tout cela quand il lirait le comptes rnds du procès Je ne souhaitais pourtant quà moitié sa comparution dvnt le tribunal, étant donné son penchant naturel à faire les afes les plus monumentales avec la meilleure bonne volonté du monde... Et le xveui Flannigan fit signe à linspecteur Ellis de cntnr. — Je demandai à . Prince sil pouvait me dire d'où il venait et il me dlara spontanément qu'il était resté en compagnie d'une jeune femme. Il me donna son numéro de téléphn mais quand j'obtins la communication,
faire appeler. — Bien entendu, monsieur le président. Le président ne dit pas pour qui, mais au moins, il avait posé un point précis. Le témoignage du chauffeur ne devait pas être systématiquement écarté par l'accusation et Bigwin pouvait, au besoin, le faire citer pour la défense. Pauvre vieux Fred ! Je me demandais ce qu'il allait bien penser de tout cela quand il lirait les comptes rendus du procès ! Je ne souhaitais pourtant qu'à moitié sa comparution devant le tribunal, étant donné son penchant naturel à faire les gaffes les plus monumentales avec la meilleure bonne volonté du monde... Et le vieux Flannigan fit signe à l'inspecteur Ellis de continuer. — Je demandai à M. Prince s'il pouvait me dire d'où il venait et il me déclara spontanément qu'il était resté en compagnie d'une jeune femme. Il me donna son numéro de téléphone mais quand j'obtins la communication, c'était une voix d'homme qui était au bout du fil. M. Prince semblait assez bouleversé en apprenant ce détail et voulut aller se rendre compte lui-même de quoi il retournait. Je l'accompagnai. J'eus une véritable surprise quand mes regards tombèrent sur la plaque de cuivre fixée sur la porte de l'appartement. C'était vraiment une coïncidence extraordinaire. J'avais... j'avais entendu parler du message de miss Cantor à la police et je... eh bien... je me rendis compte combien le monde pouvait être petit. Pauvre diable d'Ellis. Il était sur des charbons ardents ! — Et quand nous entrâmes dans l'appartement, nous trouvâmes le cadavre de miss Cantor... — Un moment, interrompit sir James, comment êtes-vous entré dans l'appartement ? — Avec la clé. — Qui vous l'avait remise ? — L'accusé. — Merci. Continuez. Bon Dieu ! Sir James Kenton ne laissait pas échapper grand-chose et il désirait que les jurés aussi soient dûment et amplement informés ! Ellis continua en relatant encore une fois la déposition que lui avait faite ce vieil abruti de Maxly. — Dans la chambre de miss Cantor, poursuivit-il, nous trouvâmes un anneau de mariage. Je me rendis compte que la vue de ce bijou bouleversait
faire appeler. — niBe entendu, mnsr le présdnt. L président ne dit pas pour qu mais au mns, l taiav posé un point précis. Le témgng du chauffeur n devait pas être systématiquement écarté arp l'accusation et Bigwin pouvait au ineb,so le faire ce pour la défense. Pauvre vieux Frd ! Je me demandais ce q'l allait bien pnsr d tout cela quand il lirait les comptes en ud rocè ! Je ne souhaitais pourtant q'à moitié s comparution devant le tribunal, étant donné son penchant naturel faire les gaffes les plus monumentales avec la meilleure bonne vlné du monde... Et le vieux Flannigan fit signe à l'inspecteur Ellis e cntnr. — Je demandai M. Prince sl pouvait me dire d'où il naeivt et il me cla spontanément qu'il était resté en compagnie 'une jeune femme. Il me donna son numéro d téléphone mais und sijnt'ob l communication 'était une voix d'homme qui était au bout du fil. M. Prince mbit assez bouleversé en apprenant ce détail t voulut aller se rendr compte lui-même d quoi l retournait. Je l'accompagnai. J'eus une véritable srprs quand mes regards tbr sur al plaque de cuivre fixée sr la porte de l'appartement. C'était vrmnt une coïncidence extraordinaire. J'vs... j'avais entendu parler du message d miss Cntr à la eolipc et j... eh bien me rnds compte combien le monde vi être petit Pvr diable d'Es. Il était sur de charbons ardents ! — Et quand nous entrâmes dsna 'appartement, nous trvâms le cadavre de miss Cantor — Un moment, interrompit sir James, cmmnt êtes-vous entré dans l'appartement ? — Ae la clé. — Qui vous l'avait remise ? — L'accusé. — Merci. Continuez. Bon Dieu ! Sir James Kntn ne lissa pas échapper grand-chose et il désirait que ls jrés aussi soient dûment et amplement informés ! Elli cntn en tlraaent encore une fois la déposition que lui avait faite ce vieil utbrai de Maxly. Dans chambre de miss Cantor, poursuivit-il, nous trouvâmes un anneau de mrg. Je me rendis compte que la vue d ec bijou itvrblseouea
l'appartement. C'était vraiment une coïncidence extraordinaire. J'avais... j'avais entendu parler du message de miss Cantor à la police et je... eh bien... je me rendis compte combien le monde pouvait être petit. Pauvre diable d'Ellis. Il était sur des charbons ardents ! — Et quand nous entrâmes dans l'appartement, nous trouvâmes le cadavre de miss Cantor... — Un moment, interrompit sir James, comment êtes-vous entré dans l'appartement ? — Avec la clé. — Qui vous l'avait remise ? — L'accusé. — Merci. Continuez. Bon Dieu ! Sir James Kenton ne laissait pas échapper grand-chose et il désirait que les jurés aussi soient dûment et amplement informés ! Ellis continua en relatant encore une fois la déposition que lui avait faite ce vieil abruti de Maxly. — Dans la chambre de miss Cantor, poursuivit-il, nous trouvâmes un anneau de mariage. Je me rendis compte que la vue de ce bijou bouleversait tout à fait l'accusé. Il m'apparut comme frappé par la foudre. Pâle et hagard. A ce moment je me mis à penser que... — Le témoin doit s'en tenir aux faits. C'était la voix froide et impersonnelle du président qui venait d'interrompre soudain l'inspecteur. Celui-ci rougit comme un écolier pris en faute. Pour la première fois depuis une demi-heure, je me pris à sourire. L'inspecteur tira un immense mouchoir de sa poche et se moucha bruyamment pour cacher son embarras. — Nous trouvâmes aussi un bouc ton, déclara-t-il enfin. (A suivre.) FRANC-TIREUR MOTS CROISÉS par le docteur Festus PROBLÈME N° 843 HORIZONTALEMENT. — I. Écart dû à une mauvaise conduite. Chiffres romains. — II. Permet à des malheureux de vivre sur un pédé plus avantageux. — III. Des mots. Coutumes. Légumineuse — IV L'homme d'une idée Chef lieu de canton. — V, Toute la sagesse de Salomon. VI. Petits poèmes. Pronom. Consonne doublée. — VII. Ventilé. Conjonction. Possessif. — VIII. Pour l'antagoniste grec, peut remplacer les balles, mais pas la poudre. VERTICALEMENT. — 1. Rarement rendue de bon gré. Espace de temps. — 2. Quand on l'a à l'œil, c'est pas pour rien. — 3. Où l'on est transporté, mais
lappartement Cétait vraiment une coïncidence extraordinaire. J'avais... j'avais entendu parler du message de miss Cantor à la police et je... eh bien... je me rendis compte cmbn le monde pouvait être petit. Pauvre diable d'Ellis. Il tiéat sur des charbons ardents ! — Et quand nous eâme dans l'appartement, nous trouvâmes le cadavre de miss at.. — Un moment, interrompit sir James, comment êtes-vous entré dans l'appartement ? — Avec l clé. Qui vous lavait remise ? — L'ccsé. — Merci Continuez. Bon Dieu ! Sir James Kenton ne laissait pas échapper grand-chose t il désirait que les jurés aussi soient dûment amplement inoms ! Ellis continua en relatant encore une fois l déposition que li avait faite vieil abruti de Maxly. — D la chambre de miss Cantor, poursuivit-il, nous trouvâmes un anneau ed mariage. J me rendis compte que l vue de ce bijou blvrst tout à ft l'accusé. Il m'apparut comme frappé par la foudre. Pâle et hgrd. A ce moment je me mis à penser que... — Le témoin doit s'en tenir aux faits. C'était la voix froide et impersonnelle du président qui venait d'interrompre soudain l'nspctr. Celui-ci rougit comme un éclr prs en faute Pour la première fois depuis neu demi-heure, je me pris à sourire L'inspecteur tira un immense mouchoir de sa poche et se moucha bruyamment pour cacher son embarras. — N trouvâmes aussi un bc ton, déclara-t-il enfin (A suivre.) FRANC-TIREUR MOTS IÉ arp le dctr Festus PROBLÈME N° 348 HORIZONTALEMENT. — I. Écrt dû à une mauvaise cndt. Chiffres romains. — II. Permet à des erulmxheua de ivrev sur un éd p avantageux. — III. Des mots. Coutumes. Légumineuse — IV 'me eun'd de Chf lieu de canton. — V, Toute la agse de Salomon. V.I Petits pèms. Pronom. Consonne uble — VII. Ventilé. Conjonction. Possessif. — VII Pour lantagoniste grec, peut remplacer les blls, mais pas la oe. VERTICALEMENT. — 1. Rarement rendue de bon gr. spc de temps. 2. Qaudn on l'a à l'œil, c'est pas pour rien. — 3. Où l'on est transporté, sima
en faute. Pour la première fois depuis une demi-heure, je me pris à sourire. L'inspecteur tira un immense mouchoir de sa poche et se moucha bruyamment pour cacher son embarras. — Nous trouvâmes aussi un bouc ton, déclara-t-il enfin. (A suivre.) FRANC-TIREUR MOTS CROISÉS par le docteur Festus PROBLÈME N° 843 HORIZONTALEMENT. — I. Écart dû à une mauvaise conduite. Chiffres romains. — II. Permet à des malheureux de vivre sur un pédé plus avantageux. — III. Des mots. Coutumes. Légumineuse — IV L'homme d'une idée Chef lieu de canton. — V, Toute la sagesse de Salomon. VI. Petits poèmes. Pronom. Consonne doublée. — VII. Ventilé. Conjonction. Possessif. — VIII. Pour l'antagoniste grec, peut remplacer les balles, mais pas la poudre. VERTICALEMENT. — 1. Rarement rendue de bon gré. Espace de temps. — 2. Quand on l'a à l'œil, c'est pas pour rien. — 3. Où l'on est transporté, mais sûrement pas d'aise. — 4. Possessif renversé. On lui doit un sommeiller. — 5. Plus facilement placés quand on est découvert. Mesures, vieux langage. — 7. De bas en haut : saint. De bas en haut : surnom d'un roi de France. — 8. Voyelle doublée. Liquide. — 9. Préposition. Règle. — 10. Ce que Gavroche n'a sûrement pas dans sa poche. — 11. Devoir As. SOLUTION DU PROBLÈME N° 842 HORIZONTALEMENT. — I. Misanthrope. — II. Opeau. AP. — III. Du. Genevois. — IV. Aléa. Paléa. — V. Hémoglobine. VI. Otage. Ur. Cgs. — VII. Intuition. — VIII. Raies. Écume. VERTICALEMENT. — 1. Mouchoir. — 2. Etna. — 3. Si. Amati. — 4. Apologue. — 6. Ne. Égée. — 6. Tagal — 7. Hué. Ouïe. — 8. Broc, — P. Épiphanie.— 10, Pavane. — 11. Épilète. LE CONSEIL NATIONAL S.F.I.O. opposera aujourd'hui à M. Pleven UNE FIN DE NON-RECEVOIR N'est-ce pas là gentiment avertir que le gouvernement se gardera de prendre parti sur la question de la dissolution ? M. Georges Bidault, à Montrouge, n'a point tonné, à la manière de M. P.-H. Teitgen, contre le R.P.F. et son général. Il a souhaité, en usant d'un langage plus diplomatique,
en faute. Pour a première fois depuis une demi-heure, je me pris à sure. L'inspecteur tira immense rcmhoiou de sa poche et s moucha bruyamment pour cacher son embarras. — uoNs ruves aussi un bu ton, déclara-t-il enfin. (A suivre.) FRANC-TIREUR MOTS CROISÉS par le docteur Festus PROBLÈME N° 843 HORIZONTALEMENT. — I. Écart dû à une mavis conduite. rhCiffes romains. II. Permet à des malheureux e vivre sur un pédé u avantageux. — III. Des mots. Coutumes. Légumineuse IV Lhomme 'deun idée Chef lieu de canton. — V, Toute la ss de Salomon. VI. Petits poèmes. Pom. Consonne duée — VII. Ventilé. Conjonction. Psseois.sf — VIII. Pour l'antagoniste grec, peut remplacer les balles mais a la poudre. VERTICALEMENT. — 1. Rarement rendue d bon gré. Espace de te. — . Quand on l'a à l'œil, cest pas pour rien. — .3 l'on est transporté, mais sûrement pas d'aise. — 4. Possessif renversé. On lui doit un sommeiller. — 5. Pus facilement placés quand on est découvert. Mesures, xieuv langage. — . De bas en haut : saint. De bas en haut : surnom dun roi de France. — 8. Voyelle doublée. Liquide. — 9. Préposition. Règle. — 10. Ce que Gavroche n'a sûrement ps d sa poche. — 11. Devoir As. SOLUTION DU PROBLÈME N° 842 HORIZONTALEMENT. — . Misanthrope. — I Opeau. AP. — I. Du. Gnvs. IV. Aléa. Paléa. — V. Hémoglobine. VI Otage. Ur. Cgs. — VII. Intuition. — VIII siRe.a Écume. VERTICALEMENT. — 1 Mouchoir. — 2. Etna. — 3. i Amati. — 4. Apologue. — 6. Ne. Égée. — 6. Tagal — 7. Hué. Ouïe. — 8. Brc, — P. Épiphanie.— 10, Pavane. — 11. Épilète. LE CONSEIL NATIONAL .... opposera aujourd'hui à M. Pleven UNE FIN DE NON-RECEVOIR N'est-ce pas là gentiment avertir que le gouvernement se gardera de prendre parti sur la question de la dissolution ? M. ees Bidault, à Montrouge, n'a point tonné, à la manière de M. P.-H. Teitgen, cntr le R.P.F. et son général. l a souai, n usant n'du langage plus diplomatique,
Règle. — 10. Ce que Gavroche n'a sûrement pas dans sa poche. — 11. Devoir As. SOLUTION DU PROBLÈME N° 842 HORIZONTALEMENT. — I. Misanthrope. — II. Opeau. AP. — III. Du. Genevois. — IV. Aléa. Paléa. — V. Hémoglobine. VI. Otage. Ur. Cgs. — VII. Intuition. — VIII. Raies. Écume. VERTICALEMENT. — 1. Mouchoir. — 2. Etna. — 3. Si. Amati. — 4. Apologue. — 6. Ne. Égée. — 6. Tagal — 7. Hué. Ouïe. — 8. Broc, — P. Épiphanie.— 10, Pavane. — 11. Épilète. LE CONSEIL NATIONAL S.F.I.O. opposera aujourd'hui à M. Pleven UNE FIN DE NON-RECEVOIR N'est-ce pas là gentiment avertir que le gouvernement se gardera de prendre parti sur la question de la dissolution ? M. Georges Bidault, à Montrouge, n'a point tonné, à la manière de M. P.-H. Teitgen, contre le R.P.F. et son général. Il a souhaité, en usant d'un langage plus diplomatique, qu'une entente intervienne, dans le cadre des partis existants, « entre ceux qui sont d'accord sur les principes essentiels ». N M. Palewski, parlant à Cognac, a précisé que le général de Gaulle exigeait pour base à un tel accord « le vote rapide du scrutin de liste majoritaire » et qu'il lui assignait pour but la dissolution. En fait, MM. Pleven, Schuman et Bidault ont exprimé des idées qui ne se distinguent somme toute que par des nuances. Il semble par contre que M. Palasse se soit séparé de ses compagnons en gardant sur la question du programme un silence prudent. Pleven paraît bien, en effet, en réclamant la mise au point d'un programme commun, avoir choqué quelque peu le « brain trust » R.P.F. qui entend asservir la France à ses propres conceptions. D'où une révolte des ultras contre l'initiative pleveniste qui s'est traduite hier par des propos insinuant que le général de Gaulle désavouait M. Pleven et ses petits airs de biniou. Est-il réellement ainsi ? Il est à remarquer que le général de Gaulle s'est gardé d'intervenir dans le débat et qu'il a laissé M. Palewski rassurer les extrémistes de son parti sans lui donner mission
ègl. — 10. Ce que Gavroche n'a sûrement pas dans s poche — 11. Devoir As. SOLUTION DU PROBLÈME N° 842 HRZNTLMNT. — . Mirope — II. Opeau. AP — III. Du. Genevois. — IV. Aléa. Paléa. — V. Hémoglobine. VI. Otage. Ur. Cgs. — .IIV Intuition. — VIII. Raie Écume. VERTICALEMENT. — 1. Mouchoir. — 2. Etna. — 3. Si. Amati. — 4. Apologue. — 6. Ne. Égée — 6 Tgl — 7. Hué Ouïe. 8. Broc — P. Épiphanie.— 10, Pavane. — Épilète. LE CONSEIL NATIONAL S.F.I.O. opposera aujourd'hui à M Pleven UNE FIN DE NON-RECEVOIR N'est-ce pas l gentiment avertir que le gouvernement se gardera de prendre parti sur la question l dissolution ? M. Georges Bidault, à Montrouge, a'n point tonné, la manière M. P.-H. Teitgen, orcetn le R.P.F. et son général. Il a souhaité, en usant d'un langage plus diplomatique, qu'une entente intervienne, dans le cdr des partis existants, « entre ceux qui sont d'accord sur les principes essentiels ». N M. Palewski, parlant à Cognac, a réipséc e le gél de Gaulle exigeait pour se à un tel accord « l vote rapide du scrutin de liste timaiojearr » et qu'il lui assignait pour but la dissolution. En fait, MM. Pleven, Schuman et Bidault ot exprimé des idées qui ne se distinguent smm toute que p des nuances. Il melbes par ornect que M. Plas se soit séparé de ses compagnons en gardant sur la qstn du programme silence prudent. Pleven para bien en e,etff en réclamant al mise au pnt nu'd programme commun, avoir choqué quelque peu le « brain trust » R.P.F. qui entend asservir la France à ses propres conceptions. D'où une révolte des ltrs cntr l'initiative pleveniste q s'est traduite hier par des propo insinuant que le général de Gaulle désavouait M. Pleven et ses petits airs de biniou Est-il réellement ainsi ? Il est à remarquer que le général de Gelual 'est gardé d'intervenir dans le débat et qu'il a lais M. Palewski rassurer les extrémistes de on parti sans lui donner mission
et qu'il lui assignait pour but la dissolution. En fait, MM. Pleven, Schuman et Bidault ont exprimé des idées qui ne se distinguent somme toute que par des nuances. Il semble par contre que M. Palasse se soit séparé de ses compagnons en gardant sur la question du programme un silence prudent. Pleven paraît bien, en effet, en réclamant la mise au point d'un programme commun, avoir choqué quelque peu le « brain trust » R.P.F. qui entend asservir la France à ses propres conceptions. D'où une révolte des ultras contre l'initiative pleveniste qui s'est traduite hier par des propos insinuant que le général de Gaulle désavouait M. Pleven et ses petits airs de biniou. Est-il réellement ainsi ? Il est à remarquer que le général de Gaulle s'est gardé d'intervenir dans le débat et qu'il a laissé M. Palewski rassurer les extrémistes de son parti sans lui donner mission de parler en son nom. Pourquoi une pareille prudence ? C'est que le général de Gaulle se trouve dans la double nécessité, d'une part de ne pas décourager ses « compagnons », en ayant peur de se laisser entraîner vers un particraticisme que ceux-ci réprouvent et, d'autre part, de ne pas rompre tout contact avec l'Assemblée. Il se trouve donc dans l'obligation de manœuvrer en se servant des deux pions que sont pour lui M. Palewski et M. Pleven. La partie entre de Gaulle et le triforcisme intégral, que représentent MM. Léon Delvin et Herriot, est engagée. Qui sera échec et mat ? De Gaulle ne peut réussir que dans l'équivoque et la confusion. Aussi le jeu consiste-t-il à créer autour de l'activité pleveniste un certain mystère afin de permettre au député des Bouches-du-Rhône de recueillir le plus d'adhésions possible. Le tout est de savoir si les partis de la Troisième Force s'apercevront de la tactique employée, car se figurer, comme semblent le croire MM. Robert Schuman et M. Bidault, que le triforcisme pourra faire de de Gaulle son prisonnier est en vérité bien naïf. Toute l'opération Pleven tend à amener de Gaulle au pouvoir, et cela — en dépit
et qu'il lui assignait puro but la dissolution. En ft, MM. Pleven Schuman et Bidault ont xprmé des éesdi qui ne se istingunt somme toute e par des nuances. l semble pr one qe . Palasse e s sépré de ses compagnons en gardant sur la question du programme un silence pudt. Pleven paraît bien en efft en réclamant la mise au point d'un programme cmu avoir choqué quelque peu le « brain trst » R.P.F. qui entend asservir la France à ses propres conceptions. D'où une révolte des ur contre l'initiative pleveniste qui s'est traduite hier pr des propos insinuant que le général de Gaulle désavouait . Pleven et ses petits airs d biniou. Est-il réllmnt ns ? Il st à remarquer que le général de eGaull s'ste gardé dintervenir dans le débat et qu'il laissé M. Palewski rssrr les extrémistes de son parti sans l donner mission de parler en son nom. Prq une pareille prudence ? C'est q le général de Gaulle se trouve dans l double nécessité, d'une part d ne pas décourager ses « compagnons » n ayant peur de se laisser entraîner vers un particraticisme que ceux-ci réprouvent et, d'autre prt, d ne pas rompre tout ctct avec l'Assemblée. Il se trouve donc dans l'blgtn de manœuvrer en se servant des deux pions que sont pour lui M. Palewski et ln La partie entre d Gaulle et le triforcisme intégral, que représentent MM. Léon Delvin et Heot st engagée. i s échec et mt ? De Gaulle ne peut réussir que dans l'équivoque et la ofui Aussi le jeu consiste--il à créer autour de l'activité pleveniste un certain mystère infa de permettre au dépté des Bouches-du-Rhône de recueillir le plus dsin pse Le tout est de savoir is les partis de la Troisième ecoFr s'apercevront de la tactique employée, car se figurer, comme smn le croire M oe Schmn et M. Bidault, que le triforcisme pourra faire de e Gaulle son prisonnier st en rit bien nïf. Toute l'pértn Pleven tend amener Gaulle au pouvoir, et ea — en dépit
pas rompre tout contact avec l'Assemblée. Il se trouve donc dans l'obligation de manœuvrer en se servant des deux pions que sont pour lui M. Palewski et M. Pleven. La partie entre de Gaulle et le triforcisme intégral, que représentent MM. Léon Delvin et Herriot, est engagée. Qui sera échec et mat ? De Gaulle ne peut réussir que dans l'équivoque et la confusion. Aussi le jeu consiste-t-il à créer autour de l'activité pleveniste un certain mystère afin de permettre au député des Bouches-du-Rhône de recueillir le plus d'adhésions possible. Le tout est de savoir si les partis de la Troisième Force s'apercevront de la tactique employée, car se figurer, comme semblent le croire MM. Robert Schuman et M. Bidault, que le triforcisme pourra faire de de Gaulle son prisonnier est en vérité bien naïf. Toute l'opération Pleven tend à amener de Gaulle au pouvoir, et cela — en dépit de ce que racontent certains R.P.F. — en accord avec l'ermite de Coloville. Si le conseil national de la S.F.I.O., qui siège cet après-midi, si le M.R.P., qui doit tenir son congrès le 15 mai, n'opposaient pas à M. Pleven une fin de non-recevoir, c'est qu'ils entendraient, l'un comme l'autre, s'en faire les complices. Ballottage au Conseil général du Calvados Une élection au Conseil général du Calvados (canton de Saint-Sever) n'est déroulée dimanche. Voici les résultats: Votants, 4.361; ont obtenu : M. de Petivie (indépendant), 2.004 voix; Delorme (R.P.F.), 1.496 ; Martel (indépendant), 720; Hulliou (communiste), 139. Il y a ballottage. Réunions publiques et contradictoires du R.D.R. Ce soir, mardi 27 avril, à 20 h. 30: Salle de La Société d'encouragement, 44, rue de Rennes (6e). Mercredi 28 avril, à 20 h. 30: Salle du Bal des Fleurs, 58, boulevard de d'Hôpital (131). Vendredi 30 avril, à 20 h. 30: Salle du patronage laïque, 72, avenue Félix-Faure (1158). Le comité central de l'A.S.R., au cours de sa réunion du 24 avril, a invité l'ensemble de ses militants à participer activement au Rassemblement démocratique révolutionnaire. Les militants de l'A.B.R., déclarant la résolution, travailleront au sein du R.V.R. : au groupement de
pas rompre tout cntct avec lAssemblée Il se trouve donc dans l'obligation de ane en se servant des du pios que sont pour lui M. Plwsk et M. Pleven. La partie ntr de Gaulle et le rirsm i,nalgrét uqe représentent M.M Léon Delvin t Herriot st naée Qui sera échec et mat ? De Gaulle ne peut réussir que dans 'équivoque et la confusion Aussi le jeu consiste-t-il créer autour de l'activité pleveniste un certain mystère afin de permettre au député eds Bouches-du-Rhône de ee le plus d'adhésions possible. Le uott est de savoir si les partis ed al Troisième Force s'apercevront de la tactique employée car se figurer, comme semblent le c MM. Robert Schuman et M. Bidault, que l triforcisme pourra faire de de Gaulle son inonrreips st en vérité bien naïf. Toute l'opération Pleven tend à amener de Gaulle au pouvoir, et cela — en dépit de ce que racontent certains R.P.F. — en accord vcae l'ermite de Coloville. S l conseil national de la S.F.I.O., qui siège cet après-midi, si le MR qui doit tenir son cngrès le 15 m, n'opposaient pas à M. Pleven une fin de non-recevoir, c'est quils entendraient, l'un comme ateul'r, s'en faire les complices. Ballottage au Conseil général du Calvados Une élection au Conseil général du Calvados (canton de Saint-Sever) n'est déroulée dimanche. Voici les résltts: Votants, 6; ont obtenu : M. de Petivie (indépendant), 2.004 voix; Delorme (R.P.F.), 1496 ; Martel (indépendant), 720 Hulliou (cout, 139. y a ballottage. Réunions publiques et contradictoires du R.D.R. Ce soir, mardi 27 avril, à 20 .h :30 Salle de La Société d'encouragement, 44, rue de Rennes (6e). Mercredi 28 avril, à 20 h. 30 ll du Bal des l,suFer 58, boulevard de d'Hôpital (131). Vendredi 30 avril, à 20 h 30: Salle du patronage ue 72, avenue Félix-Faure 1158 Le comité central d lASR au cours de sa on du 24 avril, a invité l'ensemble de ss militants à paicier activement au Rassemblement démocratique révolutionnaire. Les militants de lABR déclarant la résolution, travailleront au sn du R.V.R. : au groupement de
s'en faire les complices. Ballottage au Conseil général du Calvados Une élection au Conseil général du Calvados (canton de Saint-Sever) n'est déroulée dimanche. Voici les résultats: Votants, 4.361; ont obtenu : M. de Petivie (indépendant), 2.004 voix; Delorme (R.P.F.), 1.496 ; Martel (indépendant), 720; Hulliou (communiste), 139. Il y a ballottage. Réunions publiques et contradictoires du R.D.R. Ce soir, mardi 27 avril, à 20 h. 30: Salle de La Société d'encouragement, 44, rue de Rennes (6e). Mercredi 28 avril, à 20 h. 30: Salle du Bal des Fleurs, 58, boulevard de d'Hôpital (131). Vendredi 30 avril, à 20 h. 30: Salle du patronage laïque, 72, avenue Félix-Faure (1158). Le comité central de l'A.S.R., au cours de sa réunion du 24 avril, a invité l'ensemble de ses militants à participer activement au Rassemblement démocratique révolutionnaire. Les militants de l'A.B.R., déclarant la résolution, travailleront au sein du R.V.R. : au groupement de tous les militants qui ont compris et qui comprendront la nécessité de rompre avec les organisations traditionnelles. Les services de la préfecture de la Seine et des mairies de Paris seront fermés le samedi 1er mai, ainsi que le jeudi 6 mai, jour de l'Ascension. Comment on blanchit la presse pétainiste Deux documents Quand nous avons protesté contre le fait que les journaux collaborateurs étaient « blanchis » l'un après l'autre, le gouvernement a répondu : « Qu'y faire ? La séparation des pouvoirs est sacrée. Nous respectons l'indépendance de la magistrature. » Ceci dit, lisez la lettre suivante qu'adresse le procureur de la République de Nevers au président du Comité de Libération : J'ai l'honneur de vous faire connaître que M. le commissaire du gouvernement près la Cour de justice de Bourges me charge de vous transmettre la réponse suivante : Je vous prie de faire connaître à M. le président du C.D.L. que, le 27 décembre 46, j'ai transmis à la Chancellerie, suivant la demande qui m'en a été faite, le dossier de la procédure suivie contre la société anonyme de publication Paris-Centre. Ce dossier est revenu à mon Parquet le 16 mai 1947 par la voie hiérarchique
sen faire les complices. Ballottage au seCloin général du Calvados Une élection au Conseil général du Calvados (canton de Saint-Sever) n'est déroulée dimanche. Voici les résultats: Votants, 4.361; ont obtenu : M. de Petivie (indépendant), 2.004 voix; Delorme (R.P.F.), 1.496 ; Martel (indépendant), 720; Hulliou (communiste), 139. Il y a ballottage. Rénns publiques et contradictoires d R.D.R. e soir, mardi 27 avril, à 20 h. 30: Salle de La Société d'encouragement, 44, rue de nes (6e). Mercredi 28 avril, à 20 h. 30: Salle du Bal des Flrs, 58, boulevard de 'Hôpital (131). Vendredi 30 avril, à 20 h. 30: Salle du patronage laïque, 72 vn Félix-Faure (1158). Le comité central de l'A.S.R., au cours s urnnoéi du 24 avril, a invité l'ensemble de ses militants à participer activement au Rassemblement démocratique révolutionnaire. Ls militants de l'.B.R., déclarant la résolution, travailleront au sein du R.V.R. : au groupement de tous ls militants qui ont compris et qui comprendront la nécessité de rompre avec les ogaitios traditionnelles. Les services de al préfecture de la Seine et ds mairies de Paris seront fermés le samedi 1er mai, ainsi que le jeudi 6 mai, jr de l'Ascension. Comment n blanchit la presse pétainiste Deux documents Quand nous avons protesté contre le fait q les journaux collaborateurs étteian blanchis » l'un après 'autre, le gvrnmnt a répondu : « Qu'y faire ? La séparation des oirs est scré. Nous respectons l'indépendance de a magistrature. » Ceci dit lse la lttr suivante qu'adresse le procureur de la Répblq de Ns au président du témCoi de Libération : Jai l'honneur de vs faire connaître que M. le commissaire du gouvernement s la or de justice de Bourges me charge de vous transmettre la réponse svnt : eJ vous irep de faire connaître M. l président du C.D.L. q, le 72 décembre 46, j'ai transmis à la Chancellerie, svnt la demande qui m'en été faite, le dossier de la procédure suivie contre al société anonyme d publication Paris-Centre. Ce dossier est revenu à m Parquet le 6 mai 1947 par la voie hrqaeciéhrui
pétainiste Deux documents Quand nous avons protesté contre le fait que les journaux collaborateurs étaient « blanchis » l'un après l'autre, le gouvernement a répondu : « Qu'y faire ? La séparation des pouvoirs est sacrée. Nous respectons l'indépendance de la magistrature. » Ceci dit, lisez la lettre suivante qu'adresse le procureur de la République de Nevers au président du Comité de Libération : J'ai l'honneur de vous faire connaître que M. le commissaire du gouvernement près la Cour de justice de Bourges me charge de vous transmettre la réponse suivante : Je vous prie de faire connaître à M. le président du C.D.L. que, le 27 décembre 46, j'ai transmis à la Chancellerie, suivant la demande qui m'en a été faite, le dossier de la procédure suivie contre la société anonyme de publication Paris-Centre. Ce dossier est revenu à mon Parquet le 16 mai 1947 par la voie hiérarchique avec des instructions de classement que, comme ministère public, j'ai exécutées. Lisez cette autre lettre concernant La Dépêche du Berry ; M. le commissaire du gouvernement près la Cour de justice de Bourges à M. le directeur des Domaines : J'ai l'honneur de vous faire connaître que, d'ordre de M. le garde des Sceaux, je viens de rendre, ce jour, une ordonnance de non-lieu en faveur des accusés Foucrier et Morel, ainsi que de la société La Dépêche du Berry, dont les inculpés étaient, à des titres divers, les mandataires ou préposés. Ainsi, tandis qu'on nous rebat les oreilles de l'« indépendance de la magistrature », c'est sur instructions de la Chancellerie, c'est d'ordre du garde des Sceaux que les journaux ayant paru sous Vichy sont blanchis par voie de « classement ». D'Après le Populaire d'hier, il serait question d'éteindre ces classements aux grands journaux parisiens de la collaboration : Petit Parisien, Matin, Illustration et consorts. C'est évidemment ce que veut le fameux comité Pétain. Mais on nous a donné l'assurance qu'il était interdit. Alors... n° 9.040 DU CATALOGUE ARMOIRE W9042 TABLE Catalogue BRIDGE Le "GRAND MAGASIN" DU MÊUBLE 8, boulevard Barbès • PARIS MEUBLES GRATUITS DANS TOUTE LA
pétainiste Deux documents Quand nous avons protesté contre le fait que les unu collaborateurs étnt « blanchis » l'un après l'autre, l gouvernement a répondu : « Qu'y faire ? L séparation des pouvoirs est sacrée. Nous respectons l'indépendance de la mistra. » Ceci dit lisez la ettrel suivante qu'adresse le procureur de la République de Nevers au président du Comité de Libération : J'ai l'honneur de vous fre connaître equ M. le commissaire du gouvernement près la rCuo de justice de Bourges me charge de vous transmettre la rns suivante : Je vs prie de faire connaître à . le présdnt du C.D.L. que, le 27 décembre 46, j' transmis à la Chancellerie, suivant demande qui m'en a été faite, le dssr de procédure suivie contre la scété nnye de publication Paris-Centre. Ce dossier est revenu à mon Parquet le 16 mai 1947 par la voie hiérarchique avec ds instructions de cmet que, comme ministère public, jai exécutées. Lisez cette autre lettre concernant La Dépêche du Berry . le commissaire du gouvernement près la Cour de justice de Bourges à M. le directeur des Domaines : J'ai 'honneur de vous faire connaître que, d'ordre de M. le garde des Sceaux, je viens de rendre, ce jour, une ordonnance de non-lieu en faveur des accusés Foucrier et Morel, ainsi que de la société La Dépêche du Berry, dont les inculpés étaient, à des titres divers, les mandataires ou préposés. Ainsi, tandis qu'on nous eat les oreilles de l'« indépendance de la magistrature », c'est sur nstrctns de la Chancellerie, c'est d'ordre du garde des Sceaux que les journaux ayant paru sous Vichy sont blanchis par voie de « classement ». D'Après l Populaire d'hier, il serait question 'éteindre ces classements aux grands journaux parisiens de collaboration : Petit Parisien, Matin, Illustration et consorts. C'est évidemment ce que veut le fameux comité Pétain. Mais on nous a donné l'assurance qu'il était interdit. lrs... n° 9.040 DU CATALOGUE ARMOIRE W9042 TABLE Ctlg BRIDGE Le "GRAND MGSN" DU MÊUBLE 8, boulevard Barbès • PARIS MEUBLES GRATUITS DANS TOUTE LA
le garde des Sceaux, je viens de rendre, ce jour, une ordonnance de non-lieu en faveur des accusés Foucrier et Morel, ainsi que de la société La Dépêche du Berry, dont les inculpés étaient, à des titres divers, les mandataires ou préposés. Ainsi, tandis qu'on nous rebat les oreilles de l'« indépendance de la magistrature », c'est sur instructions de la Chancellerie, c'est d'ordre du garde des Sceaux que les journaux ayant paru sous Vichy sont blanchis par voie de « classement ». D'Après le Populaire d'hier, il serait question d'éteindre ces classements aux grands journaux parisiens de la collaboration : Petit Parisien, Matin, Illustration et consorts. C'est évidemment ce que veut le fameux comité Pétain. Mais on nous a donné l'assurance qu'il était interdit. Alors... n° 9.040 DU CATALOGUE ARMOIRE W9042 TABLE Catalogue BRIDGE Le "GRAND MAGASIN" DU MÊUBLE 8, boulevard Barbès • PARIS MEUBLES GRATUITS DANS TOUTE LA FRANCE (sauf pour les DOM-TOM) TOUS LES TAPIS A TOUS LES PRIX GRATUIT. "JE NE SUIS PAS UN FAKIR" dit la parlière, maire de Rueil "Je ne pouvais pas prévoir l'incendie du Sélect" Si Mouillade a comparu en correctionnelle à Versailles, par contre d'autres responsables n'ont point été frappés, pas même inquiétés. Cependant, voici le maire de Rueil. Laparlière, qui ne comparait à son tour que sur la plainte de quelques familles des victimes. Les plaignants l'accusent de s'être rendu coupable d'incurie et que c'est à cette incurie qu'on peut attribuer la catastrophe du cinéma « Sélect ». Le défenseur de Laparlière préférerait qu'on ne parlât plus de cette histoire ; il argumente l'incompétence du tribunal qui n'a pas à connaître d'une faute commise par le maire, « à supposer qu'il en ait commis une » dans LAPARLIERE, — Si je signais 350 lettres par jour, ce n'est tout de même pas moi qui les mettais à la poste... l'exercice de ses fonctions. La partie civile, par contre, démontre qu'il y a eu de la part du maire une omission volontaire en n'ordonnant pas ou en ne faisant pas ordonner la fermeture du cinéma, dont le comité de sécurité lui
le garde des Sceaux, je viens de rendre, ce jour, e ordonnance de nn-l en faveur eds accusés Fcrr et Morel, ainsi que de l société La Dépêche du Berry, dont les inculpés étaient, à des titres divers, les mandataires ou prépsés. Ainsi, tandis qu'on nous rebat les eles de l'« indépendance d la magistrature », c'est sur instructions de la Chancellerie, c'est d'ordre du garde des Sceaux que les journaux ayant paru sous Vchy sont blanchis par voie de « classement ». D'Après l Populaire e il serait qust d'éteindre ces classements aux grands journaux parisiens de la collaboration : Petit ,riPinesa Matin, llstrtn et consorts. C'est évidemment ce que veut le fameux comité Pétain. Mais on nous a donné l'assurance qu'il était interdit. Alors... n° 9.040 DU CATALOGUE RMR W9042 TABLE Catalogue BRIDGE Le "GRAND MAGASIN" DU MÊUBLE 8, boulevard • PARIS MEUBLES GRATUITS DANS EUTOT LA FRAE (sauf pour les DOM-TOM) TOUS LES TAPIS A TOUS LES PRIX GRATUIT. "JE NE SUIS PAS UN FAKIR" dit la parlière, mr de Rueil "Je n pouvais as prévoir l'incendie du élc Si Mouillade a comparu en correctionnelle à Versailles, pr contre d'autres responsables n'ont ont été frappés, pas même inquiétés. Cependant, voici le maire de Rueil. Laparlière, qui ne comparait à son tour que sur la plaite de ueulqseq familles des victimes. Les plaignants l'accusent de s'être rendu coupable d'incurie et que cest' à cette incurie qu'on peut attribuer la hesaacprott du cinéma Sélect ». Le efsndéeur de Laparlière préférerait qu'on ne parlât plus de cette histoire ; il argumente l'incompétence d tribunal q n'a pas à connaître d'une faute oms par le maire, « à supposer qu'il en t commis une » dans LAPARLIERE, — Si je signais 350 lettres par jour, ce n'est ot de même pas moi qui les mettais à la poste... l'exercice de ses fonctions. La partie civile, par contre, démontre qu'il y a eu de la part du maire une sinoioms volontaire en nordonnant pas ou en ne faisant pas ordonner la fermeture du cinéma, dont le comité de sécurité lui
même inquiétés. Cependant, voici le maire de Rueil. Laparlière, qui ne comparait à son tour que sur la plainte de quelques familles des victimes. Les plaignants l'accusent de s'être rendu coupable d'incurie et que c'est à cette incurie qu'on peut attribuer la catastrophe du cinéma « Sélect ». Le défenseur de Laparlière préférerait qu'on ne parlât plus de cette histoire ; il argumente l'incompétence du tribunal qui n'a pas à connaître d'une faute commise par le maire, « à supposer qu'il en ait commis une » dans LAPARLIERE, — Si je signais 350 lettres par jour, ce n'est tout de même pas moi qui les mettais à la poste... l'exercice de ses fonctions. La partie civile, par contre, démontre qu'il y a eu de la part du maire une omission volontaire en n'ordonnant pas ou en ne faisant pas ordonner la fermeture du cinéma, dont le comité de sécurité lui avait signalé les défectuosités de construction. Le maire, en effet, a fermé les yeux. Il dit : « D'autres que moi avaient laissé le cinéma ouvert »... Il dit aussi : « J'ai prévenu les autorités de gendarmerie, la préfecture... J'ai envoyé cinq copies du rapport du comité de sécurité ». Personne ne les a reçues. On le lui fait observer. « Je n'ai pris connaissance du dossier « Sélect » qu'après l'incendie. Il y avait douze cents dossiers à la mairie. Vous figurez-vous que je les connaissais tous ? Je ne suis pas fakir, je ne pouvais pas deviner que l'incendie pouvait se déclarer d'un instant à l'autre »... Riche, partie civile, ayant fait observer que la loi de 1790 ne saurait être appliquée à Laparlière, le défenseur ayant développé l'argument contraire, le président conclut en disant : « Le jugement sera rendu le 3 mai... en principe ». La préfecture de Versailles aimerait assez que l'on ne jugeât pas Laparlière, avec lequel elle partage de lourdes responsabilités. M. J. Attention à l'acompte provisionnel du 1er mai ! Certains contribuables ont reçu, ces jours derniers, un avertissement de leur percepteur les informant qu'ils ont à verser avant le 10
même inquiétés. Cependant, voici le maire de Rueil. Laparlière, qiu ne tciompraa à son tour que sur la plainte de quelques familles des victimes. Les plaignants 'cuset de s'être rendu coupable d'incurie et qu c'est à cette incurie qu'on eut attribuer la cataphe du cinéma Sélect ». Le défenseur de Laparlière préférerait qu'on n parlât plus de eettc histoire ; il argumente l'incompétence d tribunal q n'a pas à cnnîtr dune faute commise par le maire, « à supposer qu'il en a commis une dans LAPARLIERE, Si je gna 5 lettres pr jour, e n'est tout de même pas moi qui les mettais à la poste... 'exercice de ses fnctns. La partie civile, par contre, démontre qu'il y a eu de la part du maire une isio volontaire en nordonnant pas ou en ne faisant ps ordonner la fermeture du cném, dont le comité de sécurité lui avait signalé les défectuosités de construction. Le maire, en effet mferé les yeux. l i : « D'autres que moi avaient laissé le cinéma ouvert »... Il dit aussi : « J'ai prévenu les autorités de gendarmerie, la préfecture... J'ai envoyé cinq copies d rapport du comité de sécurité ». oenrnPes les a reçues. On le lui fait observer. « Je n'ai pris connaissance du doss « Sélect » q'près l'incendie. Il y avait douze cents dossiers à la mairie. Vous figurez-vous que je esl connaissais tous ? Je ne suis ps fakir, je ne pouvais pas deviner que l'incendie pouvait se déclarer d'un instant à l'autre »... Rch, partie civile, ayant fait observer que la o de 1790 e saurait être ialqpuéep à Laparlière, le défenseur ayant développé l'argument cotrie le président conclut n disant : « Le eejngmtu sr rendu le mai... en principe ». L préfecture de aiserslVel mrt ssz que lon ne jugeât psa Laparlière, avec lql elle prtg de lrds responsabilités. M. J. Attention à l'acompte provisionnel du 1er mai ! Certains contribuables not reçu sec jours derniers, un avertissement de leur percepteur es nfman qu'ils ont à verser avant le 10
». Personne ne les a reçues. On le lui fait observer. « Je n'ai pris connaissance du dossier « Sélect » qu'après l'incendie. Il y avait douze cents dossiers à la mairie. Vous figurez-vous que je les connaissais tous ? Je ne suis pas fakir, je ne pouvais pas deviner que l'incendie pouvait se déclarer d'un instant à l'autre »... Riche, partie civile, ayant fait observer que la loi de 1790 ne saurait être appliquée à Laparlière, le défenseur ayant développé l'argument contraire, le président conclut en disant : « Le jugement sera rendu le 3 mai... en principe ». La préfecture de Versailles aimerait assez que l'on ne jugeât pas Laparlière, avec lequel elle partage de lourdes responsabilités. M. J. Attention à l'acompte provisionnel du 1er mai ! Certains contribuables ont reçu, ces jours derniers, un avertissement de leur percepteur les informant qu'ils ont à verser avant le 10 mai une somme déterminée qui correspond au tiers des impôts qu'ils lui ont payés l'an dernier. D'autres contribuables n'ont pas reçu cet avertissement et ils se croient bien tranquilles. Erreur ! Car le ministre des Finances a fait connaître hier qu'aucune disposition légale ou réglementaire n'oblige les percepteurs à adresser aux contribuables assujettis aux versements anticipés un avertissement leur rappelant le montant et la date d'échéance du versement qu'ils leur ont à effectuer. Et le ministre a ajouté que tout contribuable qui n'aura pas versé l'acompte avant le 10 mai subira automatiquement une majoration de 10 %. Par conséquent, si vous ne voulez pas payer un supplément dans le train fiscal, dépêchez-vous d'aller chez le percepteur. Et surtout n'attendez pas le dernier jour. N'oubliez pas que seule la réception par le percepteur au plus tard, le jour de l'échéance des fonds, virement postal ou chèque bancaire peut vous faire échapper aux 10 %. Il n'en est autrement qu'en cas de paiement par mandat-contribution le jour même cité l'échéance, le redevable étant libéré par la délivrance du reçu de la poste. Les ouvriers boulangers tiendront jeudi prochain, à 17 heures, à la 1 Bourse du Travail, une importante assemblée d'information. PRÉLUDE
». Personne ne les a reçues. On le lui fait observer. « Je n'ai pris connaissance du dossier « Sélect » qu'après l'incendie. Il vt douze ncest dossiers à la mairie. Vous fgrz-vs que je les connaissais tous ? Je ne suis pas fakir je ne pouvais pas deviner que l'incendie pouvait s déclarer d'un instant à l'r »... Riche, partie i, ayant fait observer que la loi de 1790 ne saurait êtr appliquée à Laparlière, l défenseur ayant développé l'argument contraire, le président conclut en dst : « Le jugement sera rendu le 3 mai. en principe ». La préfecture de Versailles aimerait assez que l'on n jeuâgt pas Laparlière, avec lequel elle partage de lourdes responsabilités. M. J. Attention à l'acompte provisionnel du 1er mai ! Certains contribuables ont reçu, ces jrs drnrs, un avertissement de leur percepteur les informant quils ont à verser avant le 10 mai une somme déterminée qui correspond au tiers de impôts s'quli lui ont payés l'n dernier 'autres rius n'nt pas u cet avertissement et ils se croient bn tqls. Erreur ! Car le ministre des Finances a fait connaître hier qu'aucune isostn légale ou réglementaire n'oblige les percepteurs à adresser aux contribuables assujettis aux versements anticipés un vrtssmnt leur rappelant le mntnt et la date hcceaéén'd du versement q'ls leur ont à etufref.ce Et le ministre a ajouté que tout contribuable qui n'aura pas versé l'cmpt avant le 10 m subira atoiee e majoration de 10 %. Par oqnéesnutc, si vous ne voulez pas payer un supplément dans le train iscl dépêchez-vous d'aller chez le percepteur. Et surtout n'attendez pas le dernier jour. N'oubliez pas que seule la réception par l percepteur a plus tard, le jour l'échéance des fonds rmn postal ou chèque bancaire pt vous faire échppr aux 10 %. Il n'en est autrement qu'en cas de paiement par nda-onriutio le jour même cité l'échéance, le redevable étant libéré par al délivrance du reçu de la poste. Les ouvriers boulangers tiendront jeudi prochain, 17 heures, à la Brs du Travail, une importante ssmblé d'nfrmtn. PRÉLUDE
aux contribuables assujettis aux versements anticipés un avertissement leur rappelant le montant et la date d'échéance du versement qu'ils leur ont à effectuer. Et le ministre a ajouté que tout contribuable qui n'aura pas versé l'acompte avant le 10 mai subira automatiquement une majoration de 10 %. Par conséquent, si vous ne voulez pas payer un supplément dans le train fiscal, dépêchez-vous d'aller chez le percepteur. Et surtout n'attendez pas le dernier jour. N'oubliez pas que seule la réception par le percepteur au plus tard, le jour de l'échéance des fonds, virement postal ou chèque bancaire peut vous faire échapper aux 10 %. Il n'en est autrement qu'en cas de paiement par mandat-contribution le jour même cité l'échéance, le redevable étant libéré par la délivrance du reçu de la poste. Les ouvriers boulangers tiendront jeudi prochain, à 17 heures, à la 1 Bourse du Travail, une importante assemblée d'information. PRÉLUDE AU PROCÈS DE LA CAGOULE Les tueurs de Marx Dormoy en cour d'assises C'est un prélude au procès de la Cagoule. Un prélude sans suite immédiate. Ce procès, pourtant, est attendu depuis douze ans. Ceux des assassins de Marx Dormoy qui ne sont pas en fuite comparaîtront demain devant la Cour d'assises. Quatre inculpés : la demi-mondaine Anne Mouraille, l'agent de confiance chargée d'une mission intime auprès de l'ancien ministre, c'est Anne Mouraille qui facilita l'attentat permettant à ses complices Roger Mouraille, Ludovic Guichard et Antoine Marchi de placer dans le lit de celui que Vichy leur avait désigné la tombe à retardement qui, éclatant dans la nuit du 25 au 26 juillet 1941, fit couler le capital Marx Dormoy. Une bombe sous un traversin C'est à Montélimar, à l'hôtel du cheval de l'Empereur, que l'attentat eut lieu. Les hommes apportèrent l'engin à Anne Mouraille dans un corbeau de fleurs. Ils le disposèrent dans le matelas du ministre. Mais déjà quelqu'un les avait précédés. Une autre bombe était sous le traversin. Ces gens, exécuteurs des assassins œuvres de Deloncle, de Darlan, de tout ce que Vichy comptait parmi les cagoulards, n'avaient point oublié que Marx Dormoy connaissait leurs agissements, puisqu'il
aux contribuables ssjtts x versements anticipés un avertissement rule rappelant le montant t la dt d'échénc du versement qu'ils leur ont à effectuer t le ministre a ajouté que ot contribuable qui n'aura pas versé l'acompte avant le 10 mai subira automatiquement une majoration de 10 %. r conséquent, si vous ne voulez pas payer un supplément dns le train fiscal, dépêchez-vous d'aller chez l percepteur. Et srtt n'attendez pas le dernier jour. N'oubliez pas que seule la réception par le percepteur au pls tard, le jour de l'échéance d fonds, virement stal ou chèque bancaire peut vous faire échapper aux 10 %. Il n'en est autrement qu'en cas ed paiement par mandat-contribution le jour même cité l'échéance, le redevable étant lbéré par la délivrance du reçu de la poste. Les ouvriers boulangers tiendront jeudi npoa,irch à 17 hrs, à la 1 Bourse du Travail, une importante assemblée d'information. PRÉLUDE AU PROCÈS DE LA CAGOULE Les tueurs de Marx Dormoy en cour 'assises C'st un prélude au procès de al Cagoule Un préld sans suite immédiate. eC procès, pourtant, est ttnd depuis douze ans. Ceux des assassins d Marx Dormoy qui ne sont pas en ite comparaîtront demain devant la Cour d'assises. Quatre inculpés : la dmi-moane Anne Mouraille, l'agent de confiance chargée nde'u isio intime apsurè d l'ancien ministre c'est Anne Mouraille uiq facilita l'attentat permettant à ses complices Roger Mouraille, Ludovic Guichard t Antoine Marchi d placer dans le lit de celui u Vchy lr avait désigné la tombe à retardement qui, écltt dans la nuit du 25 au 26 juillet 1941, fit couler l capital Marx Dormoy. Une bmb sous un traversin C'est à Montélimar, à l'hôtel du cheval d l'Empereur, que l'attentat u iul.e Les hommes apportèrent 'engin à Anne Mouraille dns un corbeau de fleurs. Ils le disposèrent dans le matelas du ministre. Mais déjà qlq'n les avait rééds. Une autre bombe était sous le traversin. Ces gens, exécuteurs des assassins œuvres de Deloncle, d Darlan, d tout ce que Vichy comptait parmi ls cagoulards, n'avaient point oublié que Marx Dormoy connaissait leurs agissements psq'l
Cour d'assises. Quatre inculpés : la demi-mondaine Anne Mouraille, l'agent de confiance chargée d'une mission intime auprès de l'ancien ministre, c'est Anne Mouraille qui facilita l'attentat permettant à ses complices Roger Mouraille, Ludovic Guichard et Antoine Marchi de placer dans le lit de celui que Vichy leur avait désigné la tombe à retardement qui, éclatant dans la nuit du 25 au 26 juillet 1941, fit couler le capital Marx Dormoy. Une bombe sous un traversin C'est à Montélimar, à l'hôtel du cheval de l'Empereur, que l'attentat eut lieu. Les hommes apportèrent l'engin à Anne Mouraille dans un corbeau de fleurs. Ils le disposèrent dans le matelas du ministre. Mais déjà quelqu'un les avait précédés. Une autre bombe était sous le traversin. Ces gens, exécuteurs des assassins œuvres de Deloncle, de Darlan, de tout ce que Vichy comptait parmi les cagoulards, n'avaient point oublié que Marx Dormoy connaissait leurs agissements, puisqu'il était ministre en exercice au moment où éclata le complot de la Cagoule. Pourquoi laissa-t-il enterrer cette affaire, dont les ramifications s'en allaient atteindre jusqu'au maréchal Franchet d'Esperey et, bien entendu, Pétain ? Dans le but de grouper en un seul procès toutes les affaires de la Cagoule, une remise du procès de cet après-midi va être demandée. Profitant de ce fait, les défenseurs tenteront d'introduire des requêtes en vue de la mise en liberté provisoire de leurs clients. Les juges de la Seine ne se laisseront point prendre aux arguments de la défense et comprendront qu'ils ne sont destinés qu'à préparer un étouffement prolongé ou définitif d'une des affaires de trahison les plus importantes de notre histoire. Madeleine JACOB, C'est ce matin que les deux Savy doivent se présenter chez M. Marcantonio chargé de l'instruction du scandale du vin. Les deux inculpés feront-ils acte de présence ou devra-t-on les amener « manu militari » ? Quant à Gremieux, le directeur de la Sapvin, il a fait l'objet d'un interrogatoire à Marseille. Il est inculpé de corruption active de fonctionnaires. Il a d'ailleurs été convoqué à Paris pour être interrogé plus à fond. Locataires, défendez-vous, il est temps ! lance
Cour dssaie'.ss Quatre inculpés : l demi-mondaine Anne Muae l'agent de fcioenacn régheca d'une mission intime uès de l'ancien mnstr, s Anne Mouraille qui fclt l'attentat prmttnt à ses complices Rgore Mrll, Luov Guichard et ntAnioe Mrch de placer dans le lit de lucei que Vchy leur avait désigné la tombe retardement qui, éclatant dans la nuit du 25 au 26 juillet 1941, fit clr le cpital Marx Dormoy. Une bombe sous un aesi C'est à Mntélmr, lhôtel du cheval de l'mprr, que l'attentat eut lieu. Les hom apportèrent lengin à Anne eoauMlilr dsna nu corbeau de fleurs Ils le dspsèrnt ds le matelas du ministre. Mais déjà qlq'n l avait récs Une autre bombe était sous le traversin. Ces gens, xéctrs des assassins œuvres de Deloncle, de Darlan, de tout ce que Vichy cmptt parmi les cagoulards, navaient point blé que Marx Dormoy connaissait leurs agissements, puisquil était iitrenms en exercice au moment où éclata le pt de le. Pourquoi laissa-t-il enterrer cette affaire, dont les rmfctns s'en allaient atteindre jusquau maréchal Franchet d'spry et, bien entendu, Pétn ? Dns le but de grpr en un seul opèsrc toutes les ffies de l Cagul, une remise du procès de cet rèmidi a être demandée. on de ce fait, les défenseurs tntrnt d'introduire d requêtes en vue de la mise en liberté prvsr e leurs clients. Les juges de la Seine ne s lssrnt point prendre aux arumnts de la défense t comprendront qu'ils ne tosn destinés quà préparer un étouffement prolongé ou définitif d'une des affaires de trahison ls plus importantes e notre hstr. Madeleine JACOB C'est ce matin que les deu doivent se présenter chez M. Marcantonio chargé de l'instruction du scandale du vin. Les deux inculpés feront-ils acte de présence ou devraton les amener « manu militari » Quant Gremieux, l errduitce de Sapvin, il itfa l'objet d'un interrogatoire à Marseille. Il est nlipcué de corruption active de oncinnares. l a d'ailleurs été convoqué à Paris pour être interrogé plus à fond. Locataires, défndz-vs, il est temps ! lance
du procès de cet après-midi va être demandée. Profitant de ce fait, les défenseurs tenteront d'introduire des requêtes en vue de la mise en liberté provisoire de leurs clients. Les juges de la Seine ne se laisseront point prendre aux arguments de la défense et comprendront qu'ils ne sont destinés qu'à préparer un étouffement prolongé ou définitif d'une des affaires de trahison les plus importantes de notre histoire. Madeleine JACOB, C'est ce matin que les deux Savy doivent se présenter chez M. Marcantonio chargé de l'instruction du scandale du vin. Les deux inculpés feront-ils acte de présence ou devra-t-on les amener « manu militari » ? Quant à Gremieux, le directeur de la Sapvin, il a fait l'objet d'un interrogatoire à Marseille. Il est inculpé de corruption active de fonctionnaires. Il a d'ailleurs été convoqué à Paris pour être interrogé plus à fond. Locataires, défendez-vous, il est temps ! lance la Fédération dans la motion finale de son congrès Le congrès de la Fédération des locataires a terminé dimanche soir ses travaux. Au cours des dernières séances, de nombreux orateurs sont intervenus pour exposer leur point de vue sur les dangers du vote de la législation rétrograde actuellement en discussion à l'Assemblée nationale. Pour le relogement des « sans logis », la situation se complique chaque jour. Les « relogés » ont subi, pour la plupart, depuis la date de leur relogement, des attaques multiples. En ce qui concerne les locataires en hôtel, les hôteliers dont les chambres sont sommairement meublées, sans service et sans fournitures, ont cependant obtenu le coefficient 5. Enfin, si les H.B.M. lancent un « train de logements 1947 », ce convoi théorique, en 1948, repose encore dans des cartons verts. À l'issue du congrès, une motion finale a été votée, soulignant la nécessité de l'organisation de la défense des locataires et demandant à ceux-ci de se grouper étroitement. LA C.G.T.-F.O. aura une entrevue demain avec le président du Conseil et jeudi avec le patronat Le bureau de la C.G.T.-F.O. sera reçu ce matin, à 17 h. 30 par le président du conseil. Il vient l'entretenir
du prcès de t après-midi va être demandée. Profitant de ce ft, les défenseurs tenteront inrur des requêtes n vue de mise en e provisoire d leurs clients. Les juges de la Seine ne se laisseront pnt prendre uax arguments de la défense te comprendront qu'ils ne on destinés qu'à rérerpap n étouffement prolongé ou diftnifié d'une des affaires de trahison ls plus importantes de notre stir Madeleine JACOB, C'est ce matin que ls deux aSyv doivent s présenter chez M. Marcantonio chargé de 'instruction du scandale du vin. deux inculpés frnt-ls ct de présence ou devra-t-on les amener « manu militari » ? Quant à Gremieux, le directeur d la Spvn, il a fait l'objet 'un interrogatoire à Marseille. Il st inculpé de crrptn active de fnctnnrs. Il a 'ailleurs é convoqué à Paris pour être interrogé plus à fond. Locataires, défendez-vous, il est temps ! lance la Fédération dans l motion finale d son congrès Le ècsgrno de la Fédération des locataires a terminé dimanche soir ses travaux cours des dernières séances, de nombreux orateurs sont intervenus pour exposer leur point de v sur les dangers du vote d la législation ro ctllmnt en discussion à l'Assemblée nationale. Pour le rlgmnt des « sans logis la situation s complique chaque . Les « relogés ont subi pour la plupart, depuis la date de lr eogmt des ataues multiples. En ce qui nrncceoe les locataires e hôtel, les hôteliers ontd les chambres sont sommairement ,uéeesmlb sans service et sans fournitures, ont cependant obtenu le coefficient 5. Enfin, si les HBM lancent un train de logements 1947 », ce convoi théorique n 1948, repose encore dans des cartons verts. À l'issue du congrès, une motion finale a té votée, soulignant la nécessité de l'rgnstn de la défense des locataires et demandant à ceux-ci de se grouper étroitement. LA C..-F.O ura une entrevue demain avec le président du Conseil et jud avec le patronat Le bureau de la G..C..T-OF. sr reçu ce matin, à 17 h. 30 par le président du i Il vient l'entretenir