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affirmons sans hésiter, c'est que l'abrogation des lois de septembre ne serait pas pour le gouvernement une preuve de faiblesse, qu'elle ne désarmerait pas le pouvoir. Ces lois, quoi qu'on en dise, n'ajoutent pas à l'énergie de la force politique ; elles ne servent en aucune façon à réprimer l'émeute; elles ne procurent l'économie ni d'un soldat ni d'un coup de fusil. On a rendu, il est vrai, plus difficiles les conditions matérielles dans lesquelles la presse se meut ; on l'a soustraite, dans certains cas, à ses juges naturels, à ceux que la charte lui assigne, pour la soumettre au contrôle souverain et par conséquent à la chambre des pairs ; mais cette législation tout au moins surabondante, ne présente pas plus de garanties que laquelle existait déjà et que l'on a prétendu fortifier. Le principal objet des lois de septembre, au dire des ministres qui les ont conseillées et des orateurs ministériels qui les ont votées, c'était de prévenir jusqu'à la possibilité de l'assassinat, de l'attentat à la personne du roi. Eh bien! nous demandons, le but que se proposait cette législation, a-t-il été atteint? N'est-ce pas au contraire depuis les 29 septembre, que nous avons vu se reproduire et se multiplier ces exécrables forfaits? Et ne sommes-nous pas en droit de conclure que toute mesure qui ajoute à l'irritation des esprits est, de tous les moyens de comprimer les troubles civils, un moyen légitime et le moins certain? Aussi, comme moyen d'ordre, les lois de septembre ont comment trompé les espérances du législateur. En disparaisant, elles ne peuvent laisser ni trace ni lacune dans la société. Il y a un point de vue sous lequel l'action de ces lois nous menace : celui dont nous voulons parler de l'influence qu'elles exercent sur la politique du gouvernement. La législation de septembre implique la prétention de ne faire intervenir aucune puissance que celle de la force physique dans les troubles opposant la société. Ce sont des lois matérialistes, et, comme indignes d'une nation qui pense, qui sent, qui a des sympathies pour tous les malheurs. Moment où ces mesures
affirmons sans hésiter, c'est qeu l'abrogation des lois de septembre ne serait pas pour le gouvernement une preuve e aesse qu'elle ne désarmerait pas le pouvoir. Ces lois, quoi quon en dise n'ajoutent pas à lénergie de la force politique ; elles ne servent en aucune façon à réprimer l'émeute; elles ne procurent l'économie ni d'un soldat ni d'un coup de fusil On a rendu, il est vr, plus difficiles les conditions mtérlls dans lesquelles la presse se meut ; no l'a soustraite, dans certains cas, à ses juges naturels, à ceux que la charte lui assigne, pour la soumettre au contrôle souverain et pr socqneunét à la chambre des pairs ; mais cette législation tout au moins surabondante, ne rtéensep pas plus garanties que laquelle stitiaxe déjà et que l'on a prétendu fortifier Le principal objet des lois de septembre, au dire des ministres qui les ont conseillées et des orateurs ministériels qui les ont votées, c'était de prévenir jusqu'à la ssiité de l'assassinat, de lttea à l personne du roi. Eh bn! nous demandons, le but que se proposait cette législation, --il été atteint? N'st-c pas au contraire depuis les 29 septembre, que nous avons vu se reproduire et se multiplier ces exécrables forfaits? t ne sommes-nous pas en droit de rnluceoc que tt es qui ajoute à l'irritation des esprits st, d tous les moyens de comprimer les troubles civils, un moyen légitime le inoms certain? Aussi, comme nmeyo d'ordre, les lois de septembre ont comment trmpé les espérances du législateur. n disparaisant, seell ne peuvent lssr ni trace ni lacune dans la société. Il y a un point de vue sous lequel l'action de ces lois nous menace : celui dont nous voulons prler de l'influence qu'elles eet sur l politique du gouvernement. La législation de septembre implique l prétention de ne fe intervenir necuua puissance que celle de la force yiu dans les soebrult opposant la société. Ce sont des lois matérialistes et, comme indignes d'une nation qui pense, qui sent, qui a sde sympths pour tous les malheurs. Mmnt où ces mesures
reproduire et se multiplier ces exécrables forfaits? Et ne sommes-nous pas en droit de conclure que toute mesure qui ajoute à l'irritation des esprits est, de tous les moyens de comprimer les troubles civils, un moyen légitime et le moins certain? Aussi, comme moyen d'ordre, les lois de septembre ont comment trompé les espérances du législateur. En disparaisant, elles ne peuvent laisser ni trace ni lacune dans la société. Il y a un point de vue sous lequel l'action de ces lois nous menace : celui dont nous voulons parler de l'influence qu'elles exercent sur la politique du gouvernement. La législation de septembre implique la prétention de ne faire intervenir aucune puissance que celle de la force physique dans les troubles opposant la société. Ce sont des lois matérialistes, et, comme indignes d'une nation qui pense, qui sent, qui a des sympathies pour tous les malheurs. Moment où ces mesures furent mises en discussion, la France commençait à ressentir les atteintes de cette maladie originelle qui agite aujourd'hui presque tous les peuples civilisés. Nous avons vu les ouvriers de Lyon se soulever, en inscrivant sur leurs drapeaux cette funeste devise : « Vivre en travaillant ou mourir en combattant. » On entendait les derniers retentissements des prédications saint-simonianes, et l'on était à la veille de cette organisation communiste qui a introduit des germes d'anarchie dans toutes les classes d'ouvriers. Le gouvernement et les chambres n'avaient pas besoin d'une grande perspicacité pour prévoir que des dispositions plus ou moins répressives, ne seraient pas un remède efficace contre un mal qui se cachait dans les entrailles du corps social. En effet, le mal a vécu côte à côte avec la législation ; il a grandi, il s'est étendu. A l'heure qu'il est, cette contagion anarchique a séparé profondément une partie des classes laborieuses du reste de la nation. On a vu les résultats de cette séparation dans les enseignements communistes de Paris et dans les excès à jamais regrettables de Clermont. Cela durera, nous le craignons bien, jusqu'à ce que le pouvoir, sortant de sa longue indifférence, comprenne qu'il y a pour
reproduire et se multiplier ces exécrables forfaits? Et ne sme-ou pas en droit de ure q toute mesure qui ajoute à l'iratn des esprits est, de tous les moyens de comprimer les troubles civils, moyen légitime et le moins certain? Aussi, comme moyen d'ordre, les lois d septembre ont comment trompé les espérances du législateur. En disparaisant, elles ne peuvent laisser ni trace ni lacune dans la société. Il y a un nitpo d vue su lequel lacion de ces lois nous menace : celui dont nous voulons parler d l'influence qu'elles exercent sur la politique du gouvernement. La législation de septembre implique la prétention de ne faire intervenir aucune puissance que celle de la force psiq dans les troubles opposant la société. Ce sont ds lois matérialistes, et, comme indignes d'une ntn qui pense, qui snt, qui des sympathies pour stuo les malheurs. Moment où cs mesures furent mss en dscssn, la France commençait à ressentir les atteintes cette maladie originelle qui agite aujourd'hui presque tous les peuples civilisés. Nous avons vu ls ouvriers de Lyon se soulever, en inscrivant sur leurs drapeaux cette funeste dvs : « Vivre en travaillant ou mourir en combattant. » On entendait ls derniers rtntssmnts esd prédications saint-simonianes, et l'on était à la veille de cette organisation communiste qui a introduit ds emergs d'anarchie dans tous les classes d'ouvriers. Le gouvernement et les chambres n'avaient spa besoin d'une grande perspicacité pr prévoir que des dispositions plus ou moins répressives, ne seraient pas un remède efficace contre un mal qui se cachait dans les entrailles du corps social. En effet, le mal a vécu côte à côte avec la légsltn ; il a grandi, il s'est étendu. A l'heure qu'il s cette cntgn anarchique a séparé ooenmtfdnépr une e des classes laborieuses du reste de la nation. On a vu les résultats de cette séparation dans les enseignements cmmnsts de Paris et dans les excès à jamais regrettables de Clermont. Cela durera, nous le crgnns bien, jusqu'à e que le pouvoir, sortant de sa longue indifférence, comprenne qu'il y a pour
On entendait les derniers retentissements des prédications saint-simonianes, et l'on était à la veille de cette organisation communiste qui a introduit des germes d'anarchie dans toutes les classes d'ouvriers. Le gouvernement et les chambres n'avaient pas besoin d'une grande perspicacité pour prévoir que des dispositions plus ou moins répressives, ne seraient pas un remède efficace contre un mal qui se cachait dans les entrailles du corps social. En effet, le mal a vécu côte à côte avec la législation ; il a grandi, il s'est étendu. A l'heure qu'il est, cette contagion anarchique a séparé profondément une partie des classes laborieuses du reste de la nation. On a vu les résultats de cette séparation dans les enseignements communistes de Paris et dans les excès à jamais regrettables de Clermont. Cela durera, nous le craignons bien, jusqu'à ce que le pouvoir, sortant de sa longue indifférence, comprenne qu'il y a pour lui des devoirs non moins impérieux, mais d'un ordre plus élevé, que celui de protéger la paix des rues. Et nous aussi, nous sommes effrayés des passions qui fermentent parmi les classes ouvrières. Nous nous demandons avec inquiétude comment il deviendra possible d'arracher tous ces malheureux à leur isolement et aux doctrines insensées qui en sont le fruit; mais ce qui nous paraît d'abord nécessaire, c'est de travailler à un rapprochement entre la tête et les membres de notre société. Rien n'ira bien tant que les gouvernants ne confondront pas leurs intérêts, leurs vœux et leurs opinions avec ceux des gouvernés. L'égoïsme a égaré le pouvoir ; le dévouement seul peut le sauver. Les lois de septembre ont été le plus grave symptôme de la fausse direction où l'on a poussé la monarchie nouvelle, dès le lendemain de juillet. Si l'abrogation de ces lois stériles pour le bien et fécondes pour le mal devait changer les voies du gouvernement, ce serait le plus grand service que l'on pourrait rendre à la France. Une révolution ne ferait pas mieux. On nous écrit de Lausanne (Suisse), le 20 : « M. le ministre des travaux publics de France, pendant le court séjour
On entendait les drnrs retentissements s prédications saint-simonianes, et l'on était la veille de cette organisation communiste qui a utinrdtoi des germes d'anarchie dans toutes les clsss d'ouvriers. Le gouvernement et les chambres n'avaient pas bsn d'n grande perspicacité pour prévoir q des dispositions plus ou nmsio répressives, ne seraient as nu remède efficace contre n mal u se cachait dans les ntrlls du corps social. En effet, le mal véc côte à côte avec la iltéonagsil ; l a grandi il et étendu. A l'heure qu'il est, ctt contagion anarchique a séparé profondément une partie classes laborieuses d reste de la nation. On a vu résultats de cette séparation dans les enseignements communistes de Paris t dans les excès à jamais regrettables de Clermont. alCe durera, nsuo le craignos bien, jusqu' ce que le pouvoir, sortant de sa longue indifférence, oprene qu'il y a pour lui des devoirs nn moins mpérx, ai d'un rdr plus élevé, que celui d protéger la px des rues. Et no aussi, nous sommes effrayés des pssns qui fermentent parmi ls classes ouvrières. Nous s dema avec nqétd comment il deviendra possible d'rrchr tous ces malheureux leur isolement t aux doctrines insensées qui en sont e fruit mais ce qui nous art d'abord nécessaire, c'est de tavaile à un rapprochement entre la tête et les membres de notre société. Rien n' bn tant que les gerts ne confondront pas leurs intérêts, leurs vœx et leurs opinions vc ceux ds gouvernés. Léï a égaré le pouvoir le dévouement se pt le sauver. Les lois de septembre ont été le plus ragev symptôm de la usafse direction où lon a poussé la monarchie nouvelle, dès le di d juillet. Si l'abrogation de ces lois stériles pour le bien et fécondes pr l mal devait changer les voies du gouvernement, ce serait le plus grand service que l'on pourrait rendre à la rc. Une révolution ne ferait pas miu On nous écrit de Lausanne (Sss), l 20 : « M. le ministre des ra publics d France pendant le court séjour
aux doctrines insensées qui en sont le fruit; mais ce qui nous paraît d'abord nécessaire, c'est de travailler à un rapprochement entre la tête et les membres de notre société. Rien n'ira bien tant que les gouvernants ne confondront pas leurs intérêts, leurs vœux et leurs opinions avec ceux des gouvernés. L'égoïsme a égaré le pouvoir ; le dévouement seul peut le sauver. Les lois de septembre ont été le plus grave symptôme de la fausse direction où l'on a poussé la monarchie nouvelle, dès le lendemain de juillet. Si l'abrogation de ces lois stériles pour le bien et fécondes pour le mal devait changer les voies du gouvernement, ce serait le plus grand service que l'on pourrait rendre à la France. Une révolution ne ferait pas mieux. On nous écrit de Lausanne (Suisse), le 20 : « M. le ministre des travaux publics de France, pendant le court séjour qu'il a fait dans la Suisse occidentale, a fait, à ce qu'on assure, quelques ouvertures à nos administrateurs concernant la possibilité de lier la France et la Suisse par une union douanière. Cette idée ne serait probablement pas repoussée par nos confédérés, malgré l'opposition qu'elle pourrait rencontrer de la part de certains cantons où toutes les sympathies des hommes du pouvoir sont pour l'Allemagne. Toutefois, il a été objecté au ministre, et cette considération a paru le frapper, que l'association projetée entre les deux pays serait presque impraticable, à moins qu'on ne parvînt à y faire adhérer le roi de Sardaigne pour la partie de son territoire qui est contiguë à la Suisse, ce qu'il n'est guère permis d'espérer. Il ne s'agirait pas de moins, en effet, que de placer le duché de Savoie presque entier en dehors des douanes sardes, arrangement fort difficile, et qui aurait de plus, aux yeux de ce gouvernement timoré, le danger de favoriser dans ses provinces transalpines la circulation des produits de la presse française. Dans l'impossibilité presque démontrée où sont la France et la Suisse de former une alliance commerciale aussi intime que celle qui existe entre les états de l'Allemagne, il serait
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de certains cantons où toutes les sympathies des hommes du pouvoir sont pour l'Allemagne. Toutefois, il a été objecté au ministre, et cette considération a paru le frapper, que l'association projetée entre les deux pays serait presque impraticable, à moins qu'on ne parvînt à y faire adhérer le roi de Sardaigne pour la partie de son territoire qui est contiguë à la Suisse, ce qu'il n'est guère permis d'espérer. Il ne s'agirait pas de moins, en effet, que de placer le duché de Savoie presque entier en dehors des douanes sardes, arrangement fort difficile, et qui aurait de plus, aux yeux de ce gouvernement timoré, le danger de favoriser dans ses provinces transalpines la circulation des produits de la presse française. Dans l'impossibilité presque démontrée où sont la France et la Suisse de former une alliance commerciale aussi intime que celle qui existe entre les états de l'Allemagne, il serait possible et désirable de voir les deux pays s'unir par un traité de commerce, dont le préliminaire devrait être un concordat de garantie mutuelle pour la propriété littéraire qui mettrait de part et d'autre un terme au brigandage des contrefacteurs. Plus soigneux de leurs intérêts commerciaux que les Français, quelques états de la confédération germanique se sont liés par des concordats de ce genre avec nos cantons allemands, et les deux pays en ont retiré un avantage presque égal. Pourquoi la France ne suivrait-elle pas cet exemple ?» Nous avons annoncé que M. Hayos était parti de Madrid pour se rendre en France, chargé d'une mission de son gouvernement. Il paraît certain qu'il apporte ici des passeports à l'infant don François de Paul et à sa famille, pour qu'ils puissent retourner en Espagne. On ajoute que la révolution a beaucoup modifié les motifs que croyait avoir le général Espartero pour tenir cet infant loin de l'Espagne. On lit dans le Constitutionnel : « Nous avons annoncé, sans prétendre garantir cette nouvelle, la non division, à l'anarchie qui travaille cette malheureuse nation. Au contraire, qu'ils s'ils veulent et, pas voir. En attendant que le jour soit arrivé pour eux qu'ils ne
certains nt où toutes les sympathies des hommes du pouvoir sont pour l'Allemagne. Toutefois, il a été eocbtjé au ministre, t cette ndéon a pr le frapper, que l'association projetée entre les deux pays serait presque impraticable, à moins qu'on ne parvînt y faire adhérer l roi de Sardaigne pr la partie de sn territoire qui t contiguë à la Suisse, ce uil nest guère permis d'espérer. Il ne sagirait pas de moins, en ffe que de placer le duché de Savoie presque entier en dehors des douanes sardes, arrangement fort difficile, t qui aurait de plus, x yeux e ce gouvernement timoré, le degnra de favoriser nsad e provinces transalpines la circulation des prdut de la erspes française. Dans l'impossibilité presque démontrée où sont la France et la Suisse ed frmr une alliance commerciale aussi intime que celle qui existe entre les états de l'Allemagne, il serait possible et désirable de voir les deux pys s'unir par un traité d commerce, dnt le préliminaire devrait être un concordat de ganie mutuelle pour la propriété littéraire q mettrait de part et dautre un terme au brigandage des contrefacteurs. Pls soigneux de leurs intérêts commerciaux que les Français, quelques états de la confédération germanique s sont liés pr des concordats de ce genre avec nos cantons allemands, et les deux pays en ont retiré un avantage presque g. Pourquoi la France ne suivrait-elle pas cet exemple ?» Nous avons annoncé que M. Ha était parti de Madrid pour se rendre en France, chargé 'une mission de son gouvernement. Il paraît ran qu'il apporte ici des pssteoaprs à l'nfnt don François ed Pula t à sa famille, pour qu'ils ps retourner en segEp.na On ajoute que la révolution a beaucoup modifié les motifs que croyait avr le gal Espartero pour tenir ct infant loin de l'Espagne. On lit dans le Constitutionnel : « Ns avons annoncé, sns prétendre garantir cette nouvelle, la non division à l'anarchie qui travaille cette malheureuse nation. Au contraire, qu'ils s'ils veulent et, pas voir. En attendant que le jour soit arrivé pour e qu'ils ne
états de la confédération germanique se sont liés par des concordats de ce genre avec nos cantons allemands, et les deux pays en ont retiré un avantage presque égal. Pourquoi la France ne suivrait-elle pas cet exemple ?» Nous avons annoncé que M. Hayos était parti de Madrid pour se rendre en France, chargé d'une mission de son gouvernement. Il paraît certain qu'il apporte ici des passeports à l'infant don François de Paul et à sa famille, pour qu'ils puissent retourner en Espagne. On ajoute que la révolution a beaucoup modifié les motifs que croyait avoir le général Espartero pour tenir cet infant loin de l'Espagne. On lit dans le Constitutionnel : « Nous avons annoncé, sans prétendre garantir cette nouvelle, la non division, à l'anarchie qui travaille cette malheureuse nation. Au contraire, qu'ils s'ils veulent et, pas voir. En attendant que le jour soit arrivé pour eux qu'ils ne voient leurs projets ambitieux, elle fait sur les côtes de la Syrie pour ce qu'elle faisait naguère en Espagne. Elle occupe Beyrouth et Saint-Jean-d'Acre avec les mêmes titres et pour les mêmes fins qu'elle occupait le Saint-Passage. Elle inonde de ses produits commerciaux une partie de l'Asie-Mineure avec des marchandises débarquées en contrebande. Elle surtout s'attache à détruire de son influence publique la France, qui exerce encore sur les montagnards du Liban. Voilà ce que la France entend faire pour la Syrie, fortifier l'administration turque, empêcher les vexations de l'administration turque, et protéger non seulement les étrangers, mais encore elle ne veut pas le faire. Alors qu'elle ne le fait pas, mais encore elle ne veut pas le faire. Aussi, le Trident et le Hercules, renforcés de deux vaisseaux, et on annonce la prochaine arrivée de deux nouveaux navires. Notre rade offre en ce moment un coup d'œil magnifique, on y compte huit vaisseaux anglais et français, une frégate, une corvette, un brick et deux bateaux à vapeur. La flottille ottomane n'a pas encore été signalée, mais Leray a, dit-on, reçu l'ordre de s'opposer par tous les moyens dont il dispose au débarquement des troupes turques. Nous espérons que ces
états de la confédération germanique se snt liés par des concordats de ce genre avec nos cantons allemands, et ls deux pays en ont retiré un avantage presque égal. Pourquoi la France ne suivrait-elle pas cet exemple ?» Nous avons annoncé ue M. s était parti de Madrid pour se rendre en France, chargé d'une mission de son gouvernement. Il paraît certain q'i apporte ici des passeports à fnla'tni don François de u et à s famille, pour qu'ils puissent retourner en Espagne. On ajoute u la révolution a beaucoup mdfé les motifs que croyait avoir le général Espartero pour tenir ct infant nilo de l'Espagne. On lit ans le Constitutionnel : « Nous avons annoncé, sans prétendre garantir cette nouvelle, la non division à l'anarchie qui travaille cette malheureuse natio. Au contraire, qu'ils s'ls veulent t, pas voir En attendant que le jour soit arrivé pour eux qu'ils ne voient leurs projets ambitieux, elle ifat sur les côtes de la Syrie pour ce qu'elle faisait naguère n Espagne. Elle occupe eyrout et Snt-Jn-d'cr avec les mêmes titres et pour ls mêmes fins qu'elle occupait le Saint-Passage. Elle inonde de ses prdts commerciaux une partie de l'Asie-Mineure avec des marchandises débarquées n contrebande. Elle surtout s'attache à détruire de sn influence publique la France, qui xrc encore ur les montagnards du Liban. Voilà ce que la France entend faire pour la Syrie, fortifier l'dmnstrtn turque, empêcher les vexations de l'administration turque, et protéger non seulement les étrangers, mais encore elle ne veut pas le faire. Alors qu'elle n l fait pas, mais encore elle ne veut pas le faire. Aussi, le Trident et le Hercules, norcé de deux vaisseaux, on nnnc la prochaine arrivée de deux nouveaux navires. Nor rade offre en ce moment coup d'œil niqe, on y cmtope huit vaisseaux anglais et français, neu frégate, une corvette, un brick et deux bateaux à vapeur. La loille ottane n'a ps ncr été aels,éign mais Leray a, dit-on, reçu l'ordre de s'opposer par tous les moyens dont il dispose au débarquement des troupes turques. Nous espérons que ces
débarquées en contrebande. Elle surtout s'attache à détruire de son influence publique la France, qui exerce encore sur les montagnards du Liban. Voilà ce que la France entend faire pour la Syrie, fortifier l'administration turque, empêcher les vexations de l'administration turque, et protéger non seulement les étrangers, mais encore elle ne veut pas le faire. Alors qu'elle ne le fait pas, mais encore elle ne veut pas le faire. Aussi, le Trident et le Hercules, renforcés de deux vaisseaux, et on annonce la prochaine arrivée de deux nouveaux navires. Notre rade offre en ce moment un coup d'œil magnifique, on y compte huit vaisseaux anglais et français, une frégate, une corvette, un brick et deux bateaux à vapeur. La flottille ottomane n'a pas encore été signalée, mais Leray a, dit-on, reçu l'ordre de s'opposer par tous les moyens dont il dispose au débarquement des troupes turques. Nous espérons que ces dispositions, connues sans doute à Constantinople, feront donner contre-ordre au départ de Tahir-Pacha, à moins que l'Angleterre ne veut encore essayer de mettre à l'épreuve le courage du gouvernement français. Le chevalier Raffo, premier ministre du bey, est parti pour Paris, il s'entendraavec le gouvernement français sur la délimitation des frontières. Depuis l'occupation de la province de Constantine par l'armée française; un assez grand nombre de tribus, qui vivent dans la province, se retirent de notre côté au moment où les collecteurs du bey font leur tournée, et évitent ainsi de payer les impôts. Cette fois, on a donné aux collecteurs une forte escorte, afin de poursuivre les récalcitrants jusque sur notre territoire, sauf à régler avec la France la disposition des limites entre les deux pays. 1) et pour éviter toute contestation, on va s'occuper des équipages des vaisseaux français et anglais donnent une nouvelle terre quoique ne les laisse pas descendre tous les jours à Le bey est toujours à la goulette occupé à surveiller les travaux de fortifications qu'il fait exécuter. NOUVELLES D'AFRIQUE. de Toulon, à la date du 20 septembre, quelques nouveaux arrivants. La campagne d'automne doit être commencée. Le gouverneur-général a du s'embarquer le 17
débarquées en cntrbnd. Elle surtout s'attache à détrr de son nflnc publique la France, qui exerce encore sur les montagnards du Liban. Voilà ce euq la France entend faire pour la Syrie, fortifier l'administration turque, empêcher les vexations de 'administration turque, et protéger non seulement les étrangers, mais eore elle e veut pas le faire. lo qu'elle ne le fait pas, ms encore elle ne veut pas le faire. Aussi, l Trident et le Hercules, renforcés de deux vaisseaux, t on annonce la prochaine arrivée de deux nouveaux navires. Nteor rade off en ce moment un coup d'œil magnifique, on y compte huit vaisseaux anglais t français, une frégate une corvette, un brck et deux bateaux vapeur. La flottille ottomane n'a pas encore été signalée, mais Leray , dito, reçu l'ordre e s'ppsr par les moyens dont il pose au débarquement des troupes turques. Nous espérons q ces dispositions, connues ns doute à Constantinople, feront enodnr contre-ordre départ de Tahir-Pacha, à moins que l'Angleterre ne veut encore essayer de mettre lépreuve e courage du gouvernement raçi Le chevalier oRff,a premier ministre d bey, est parti pour Paris, il s'entendraavec le gouvernement français sur la délimitation des frontières. Depuis l'occupation de la province de Constantine par l'armée frnçs; un assez grand mbe de tribus, qui vivent ds la province, se ert de notre côté au moment où les cllctrs du bey fton leur tournée, t évitent ainis de payer les ômi.pst Cette fois, on a donné aux collecteurs neu frt escer,ot afin de poursuivre les récalcitrants jusque sr notre territoire, sauf à régler avec a France la disposition des limites entre les deux pays. 1) et pour éviter toute contestation, on v s'occuper des équipages es vaisseaux anrçfasi et anglais donnent une nvll terre quoique ne ls lss pas descendre tous les jours à Le bey ets toujours à la goulette occupé à surveiller les tx de fortifications qu'il ait ece NOUVELLES D'AFRIQUE. de Toulon, à la dt d 02 septmb, quelques nouveaux arrivants. La cmpgn me'unotad doit être cmnc. Le gouverneur-général a du s'embarquer le 17
frontières. Depuis l'occupation de la province de Constantine par l'armée française; un assez grand nombre de tribus, qui vivent dans la province, se retirent de notre côté au moment où les collecteurs du bey font leur tournée, et évitent ainsi de payer les impôts. Cette fois, on a donné aux collecteurs une forte escorte, afin de poursuivre les récalcitrants jusque sur notre territoire, sauf à régler avec la France la disposition des limites entre les deux pays. 1) et pour éviter toute contestation, on va s'occuper des équipages des vaisseaux français et anglais donnent une nouvelle terre quoique ne les laisse pas descendre tous les jours à Le bey est toujours à la goulette occupé à surveiller les travaux de fortifications qu'il fait exécuter. NOUVELLES D'AFRIQUE. de Toulon, à la date du 20 septembre, quelques nouveaux arrivants. La campagne d'automne doit être commencée. Le gouverneur-général a du s'embarquer le 17 pour Mostaganem où l'armée sera réunie le 18. Elle sera divisée en deux colonnes ; l'une, commandée par le gouverneur, nouveau bey de Mascara sur le territoire des tribus que l'on dispose à la soumission. Le général Bugeaud essaiera de grouper et d'organiser ces tribus, de manière à ce qu'elles puissent faire résistance au premier choc de l'ennemi. L'autre colonne sera chargée de rassembler des approvisionnements à Mascara pour la garnison qui s'y appuiera au printemps prochain. Le général Baraguay-d'Hilliers opérera, comme dans la dernière expédition, sur les provinces d'Alger et de Tittery. Il doit porter 50.000 rations à Medeah, autant à Miliana, revenir chaque fois par des routes différentes, afin de fatiguer les tribus de cette partie de l'Atlas, déjà foulées et épuisées par la dernière campagne. En revenant, il recherchera les Hadjoutes dans les montagnes où ils (1) L'envoi d'une forte colonne en avant de la Calle, dont parle dans sa dernière lettre notre correspondant de Bone, se rattache probablement aux faits dont parle la lettre de Tunis. Si cela est ainsi, les tribus récalcitrantes se trouveront prises entre deux feux et seront forcées d'acquitter les impôts. Les deux colonnes agiront de concert, et leurs chefs s'occuperont sans
frontières. Depuis l'occupation de la province de Constantine par l'rmé française; un assez grand nmbr de tribus, qui vivent dans la ciperovn, se retirent de oetnr côté au moment où les collecteurs du bey font leur tore et évitent ins de payer les impôts. Ctte fois on a donné aux collecteurs une forte escorte, afin de poursuivre els récalcitrants jusque sur notre territoire, au à régler avec la France l disposition des limites entre les deux pays. 1) et pour éviter toute contestatio on va s'ccpr des équipages des vaisseaux français et anglais donnent ue nouvelle terre quoique ne les laisse pas esre tous les jrs à Le bey est tujurs à al goulette occupé à surveiller les travaux de fortifications qu'il fait exécuter. NOUVELLES D'AFRIQUE. de Toulon, à la date du 20 septembre, quelques nouveaux arrivants. La campagne d'automne doit être commencée Le gouverneur-général a du s'embarquer le 17 pour naeatmoMsg où l'armée sera réunie l 18. Elle sera divisée en deux colonnes ; l'une, commandée par le gouverneur, nouveau e de csMaraa rus le eirteitorr des itrsub que l'on dispose à la soumission. Le général Bugeaud essaiera de grouper et danis ces tribus, de manière à ce quelles puissent faire résistance au premier choc de l'ennemi. L'autre clnn sera chargée de rassembler des oapsninreeptmosnvi à Mascara pour la garnison qui s'y appuiera au printemps prochain. Le général Baraguay-'Hilliers opérera, mmcoe dns la dernière ptio sur les provinces d'Alger et d Tittery. Il doit porter 50.000 rations à Medeah, autant à Miliana, revenir chaque fois par des routes différentes, afin de fatiguer les tribus de cette partie de l'Atlas, déjà foulées et épuisées par la dernière campagne. En revenant, il recherchera les Hadjoutes dans les montagnes où ils (1) L'envoi du re colonne en avant de la Cll, dnt parle dans as dernière lettre notre correspondant de Bone, se rattache probablement aux faits dont parle la ltre de .nsTiu Si cela est ainsi, les tis lcits se trvrnt prises entre deux feux et seront roceséf d'acquitter les impôts. Les deux colonnes agiront de concert, et srleu chefs p'tnosceocur sans
puissent faire résistance au premier choc de l'ennemi. L'autre colonne sera chargée de rassembler des approvisionnements à Mascara pour la garnison qui s'y appuiera au printemps prochain. Le général Baraguay-d'Hilliers opérera, comme dans la dernière expédition, sur les provinces d'Alger et de Tittery. Il doit porter 50.000 rations à Medeah, autant à Miliana, revenir chaque fois par des routes différentes, afin de fatiguer les tribus de cette partie de l'Atlas, déjà foulées et épuisées par la dernière campagne. En revenant, il recherchera les Hadjoutes dans les montagnes où ils (1) L'envoi d'une forte colonne en avant de la Calle, dont parle dans sa dernière lettre notre correspondant de Bone, se rattache probablement aux faits dont parle la lettre de Tunis. Si cela est ainsi, les tribus récalcitrantes se trouveront prises entre deux feux et seront forcées d'acquitter les impôts. Les deux colonnes agiront de concert, et leurs chefs s'occuperont sans doute de la délimitation des territoires. On disait à Bone au départ du paquebot, qu'un camp allait être établi en avant de la Galle sur l'extrême frontière est de la régence. VARIÉTÉS. LA JOLIE FILLE DE CHERBOURG. Notre récit commence, la digue de Cherbourg élevait à son dernier canton central au-dessus des eaux de la haute mer. Un fort ancien s'élevait sur cette île artificielle; on l'appelait fort Napoléon. Sa garnison de ses batteries étaient confiées à une garnison de deux à trois cents hommes. Un canot partit du débarcadère de la digue et gagna l'île en rames. Celui qui le montait s'élança à terre avec une main agitée comme pour saluer sa bienvenue. Car fixé au ciel au cœur d'un amant, l'était doublement pour notre Petite main et aussi pour épouser celle à qui appartenaient les mouchoirs blancs. Elle s'appelait Rose Etienne et était fille d'un négociant de la ville. Rose était petite, alerte, accorte, avec des yeux fraîches, les yeux vifs, la taille fine, le pied léger. Elle montrait des dents d'ivoire et elle souriait sans dire rien. La fille d'un artisan, Rose n'était pas une fille raffinée, sa éducation, et son futur mari, qui n'était rien de
puissent faire résstnc au premier choc de eei'lnm.n L'autre colonne sera chargée de rassembler des pprvsnnmnts à Mascara pour la garnison qui s'y appuiera au prntmps prchn. Le éa Baraguay-d'Hilliers opérera, comme dans la erièerdn expédition, sur les provinces 'Alger et de Tittery. Il doit prtr 50.000 rations à Medeah, autant à Miliana, revenir chaque fois par des routes différentes, afin ed fatiguer ls tribus ed cete partie d l'Atlas, déjà foulées et épuisées pr la drnèr campagne. E revenant, il recherchera les Hadjoutes dans les montagnes où ils (1) L'envoi d'une forte clnn en vtnaa de Calle, dnt parle dans sa dernière lettre notre correspondant de Bone, se rattache probablement aux faits dont parle la lettre de uinT.s Si cela est ainsi les tribus récalcitrantes se trouveront prises entre deux feux t seront forcées d'acquitter les impôts. Les dx colonnes agiront de concert, et leurs chfs soccuperont an doute de la délimitation des territoires. On iditas à Bon a dpa du paquebot, qu'un camp allait être établi en vn de a Galle sur l'extrême frontière est de la régence. VARIÉTÉS. LA JOLIE FILLE DE CHERBOURG. Notre récit commence, la digue de roug élevait à so dernier canton central au-dessus des eaux de la haute mer. fort ancien s'élait sur cette île ticiel no 'appelait fort Napoléon. Sa garnison d ses batteries étaient confiées à une garnison de deux à trois cents hommes. n cnt partit du débarcadère de la digue et gagna l'île en rames. Celui qui le montait çalné'sa à terre avec une main agé pour saluer sa bienvenue. Car fixé ciel au cœur d'un amant, atilét' doublement pour notre Petite main et aussi pour épouser celle à qu appartenaient ls mouchoirs blancs. Elle s'appelait Rose Etienne et était fille dun négociant de a le. Rose était petite, alerte, accorte, avec e yeux fraîches, ls yeux vifs a taille fine, l ed léger. Elle montrait es dents d'ivoire et elle souriait sans dire rien. ile d'un artisan, Rose n'était pas neu fille raffinée, sa éducation, t ons futur mr, qui n'était rien ed
au-dessus des eaux de la haute mer. Un fort ancien s'élevait sur cette île artificielle; on l'appelait fort Napoléon. Sa garnison de ses batteries étaient confiées à une garnison de deux à trois cents hommes. Un canot partit du débarcadère de la digue et gagna l'île en rames. Celui qui le montait s'élança à terre avec une main agitée comme pour saluer sa bienvenue. Car fixé au ciel au cœur d'un amant, l'était doublement pour notre Petite main et aussi pour épouser celle à qui appartenaient les mouchoirs blancs. Elle s'appelait Rose Etienne et était fille d'un négociant de la ville. Rose était petite, alerte, accorte, avec des yeux fraîches, les yeux vifs, la taille fine, le pied léger. Elle montrait des dents d'ivoire et elle souriait sans dire rien. La fille d'un artisan, Rose n'était pas une fille raffinée, sa éducation, et son futur mari, qui n'était rien de plus qu'un simple sous-lieutenant et auquel on ne connaissait pas d'autre nom que celui-ci, ne passait pas pour avoir fait un mauvais choix en elle était à peine à la ville, la perle des jolies filles de Cherbourg. On l'avait dans la maison, où son arrivée était évidemment notée mais au bout du jour elle ressortit en compagnie de l'ouvrier voilier et de son père, après un grand détour, ils furent accostés par un individu maigre et bronzed qu'on d'un port de la ville, et dont l'œil vitreux exprimait la farouche de Cherbourg, dit-il : "Ne redoute-t-elle pas d'exposer ses enfants à un froc, ainsi vivant ? Notre Rose est une fleur des vignes elle ne se sent pas plus les rigueurs du vent du nord que le vent du midi. "Le vent du nord dont vous parlez, monsieur Brisac, répondit le vieil équipier, tourne leurs vers l'ouest côté et dans ce cas, malheur aux gens qui ont couru leurs voiles du côté du grand Océan. Amis ou pas, ils ont l'intention de vous frapper, bon gré mal gré un choc un peu rude à soutenir comme mi-es mi de la côte. "Alors l'autre reprit le vieux voilier. Ne les
au-dessus ds e de la haute mer. Un fort ancien s'élevait sur cette île artificielle; on l'appelait fort Napoléon. Sa garnison de ses batteries étaient confiées à une grnsn de deux à trois cnts hommes. Un canot partit du éa d la digue et gagna l'île en rames. leCui qui le montait s'élança à terre avec e main agitée emcmo po saluer sa bienvenue. Car fixé au ciel au cœur 'un mnt, l'était doublement r enrto Petite main et aussi pour épouser l à qui appartenaient ls mouchoirs .bnlsca Eell s'appelait Rs Etienne et était fille d'un négociant d la ville. Rose était petite, alerte, accorte, avec des yeux fraîches, les yeux vifs, la taille fine, le iped léger. Elle montrait des dnts d'ivoire ll souriait sans dire rien. La fille d'un iatnsr,a Rose n'était pas une fille raffinée, sa éducation, et son futur mari, qui n'était rn de plus qu'un simple sous-liuena e auquel on ne connaissait pas d'tr nom que cl-c, ne passait psa pour avoir fait un mvs choix en elle était peine à la ville, la perle des jolies filles de Cherbourg. On l'vt as la maison, où son rrvé était évidemment notée ms au bout du jour elle ressortit en compagnie de 'voreiulr voilier et de son père, èraps un grand détour, ils frnt ccstés par un individu maigre et bronzed qu'on d'un port de la ville, et dont l'œil vitreux exprimait la farouche de Cherbourg, dit-il : "N redoute-t-elle pas 'exposer ses enfants un orfc, ainsi vivant ? Notre Rose est une fleur des vignes elle ne se sent pas plus les rigueurs du vent du nord que le vn d midi. "Le vent du nord dont vous parlez, monsieur Brisac, répondit le vieil équipier, tourne leurs vers lues côté et dans ce cas, mlhr aux gens qui ont couru leurs voiles du côté du gn Océan. Amis ou pa, ils ont l'intention de vous frapper, bon gré mal gré un chc un p rude à soutenir comme mies mi de la côte. "Alors l'autre rprt e vuiex voilier N ls
au bout du jour elle ressortit en compagnie de l'ouvrier voilier et de son père, après un grand détour, ils furent accostés par un individu maigre et bronzed qu'on d'un port de la ville, et dont l'œil vitreux exprimait la farouche de Cherbourg, dit-il : "Ne redoute-t-elle pas d'exposer ses enfants à un froc, ainsi vivant ? Notre Rose est une fleur des vignes elle ne se sent pas plus les rigueurs du vent du nord que le vent du midi. "Le vent du nord dont vous parlez, monsieur Brisac, répondit le vieil équipier, tourne leurs vers l'ouest côté et dans ce cas, malheur aux gens qui ont couru leurs voiles du côté du grand Océan. Amis ou pas, ils ont l'intention de vous frapper, bon gré mal gré un choc un peu rude à soutenir comme mi-es mi de la côte. "Alors l'autre reprit le vieux voilier. Ne les avez-vous pas vus rôder autour des bâtiments en route, requins affamés ? Les voiles qu'ils portent ne sont-elles pas des preuves monsieur Brisac; je m'y connais, voyez-vous; et je dis que ceux qui sont là dans le port ne reposeraient pas si leurs anciens n'étaient heureusement à l'abri des canons du fort Napoléon. "Le croyez-vous ? dit Brisac, évitant de donner son opinion. Eh bien! tant mieux pour les deux corvettes. Quoi qu'il arrive, ajouta-t-il gravement et en fixant les yeux sur le jeune sous-lieutenant, soit que le vent reste au nord ou tourne à l'ouest, M. Jules sera bien de retourner au fort de bonne heure, car avec ces changements de temps subits, la rade elle-même n'est pas sûre. Je comprends qu'il en coûte de quitter une si jolie femme ; mais je persiste à dire que le lieutenant jugera prudent d'être rendu au fort avant dix heures. Il avait appuyé sur cette dernière phrase avec une expression toute particulière. Le jeune militaire ne répondit point, mais se hâta de rejoindre Rose qui avait déjà fait quelques pas en avant. "You connaissez donc ce vilain homme ? lui dit-elle avec un sourire qui trahissait quelque émotion. " Il est
au bout du jour elle ressortit n compagnie d l'ouvrier voilier et de son pèr, après n grand détour, ls furent accostés par un individu maigre et bronzed qu'on d'un port d la l, et dont l'œil vitreux exprimait a farouche de Cherbourg, ditil : Ne redoute-t-elle spa 'exposer ses enfants à un froc ainsi tvvani ? Notre e est n fleur des vignes elle ne es sent pas plus les rigueurs d vent du nord que le vent du midi. e"L vent d nrd dont suvo parlez, monsieur Brsc, répondit le vieil équipier, tourne leurs vers l'ouest côté et dans ce cas, mlhr ax gens qui ont couru e voiles d côté du grand Océan. Amis ou pas, ils ont 'intention de vous frapper, bon gré mal gré un choc un peu rd stnr comme mi-es mi de la côte. "Alors l'tr reprit le vieux voilier. Ne les avez-vous pas vs rôder autour des âten route, requins ffmés ? Les voiles qu'ils portent ne sont-elles pas des preuves monsieur Brisac; je m'y sacn,ino y;evsuoo-vz et je s que ceux qui sont là da le port ne reposeraient pas is leurs anciens n'étaient heureusement à l'abri des cnns du fort Napoléon. "Le croyez-vous ? dit Brisac, tvnéiat de dnnr s opinion. hE bien! tant mieux pour les deux corvettes. Quoi ui ri ajouta-t-il vrgnaeemt et en fixant les yu r le jeune ss-ltnnt, soit que le vent reste au nord ou tourne à l'ouest, .M Jules sr iben de rerr au frt de bnne heure, car avec ces changements de mstpe subits, la rade elle-même nest pas sû. Je comprends quil en coûte de quitter une si jolie femme ; mais je persiste à dire q le lieutenant jugera prudent d'être rendu au fort avant dix heures. Il avait aéupyp sur cette drnèr phrase ac une expression toute arlièr Le jeune militaire ne répondit point, mais se hâta de rejoindre Rose qui avait déjà fait quelques pas en avant. "You connaissez dnc ec vln homme ? l dit-elle avec un sourire qui trahissait quelque émtn. " Il est
du fort Napoléon. "Le croyez-vous ? dit Brisac, évitant de donner son opinion. Eh bien! tant mieux pour les deux corvettes. Quoi qu'il arrive, ajouta-t-il gravement et en fixant les yeux sur le jeune sous-lieutenant, soit que le vent reste au nord ou tourne à l'ouest, M. Jules sera bien de retourner au fort de bonne heure, car avec ces changements de temps subits, la rade elle-même n'est pas sûre. Je comprends qu'il en coûte de quitter une si jolie femme ; mais je persiste à dire que le lieutenant jugera prudent d'être rendu au fort avant dix heures. Il avait appuyé sur cette dernière phrase avec une expression toute particulière. Le jeune militaire ne répondit point, mais se hâta de rejoindre Rose qui avait déjà fait quelques pas en avant. "You connaissez donc ce vilain homme ? lui dit-elle avec un sourire qui trahissait quelque émotion. " Il est maître d'armes de mon régiment, répondit Jules en essayant de jouer une indifférence que démentait son agitation secrète, et j'ai pris quelques leçons de lui. Mais vous, Rose, comment se fait-il qu'il vous soit connu ? " C'est toute une histoire, répondit-elle. Vous la saurez plus tard. La promenade s'acheva sans autre incident. Quand les futurs époux rentrèrent à la maison pour partager le repas commun, le froid avait sensiblement diminué d'intensité, et le premier coup d'œil qu'ils jetèrent sur la rade leur fit voir que les nuages s'amoncelaient les uns sur les autres, encadrant comme dans un triple cercle de fer les flots blanchissants qui baignent les rivages du département de la Manche. Le vent soufflait toujours du nord ; mais cette circonstance ne suffisait pas pour rassurer complètement l'expérimenté du vieux voilier. Après le repas, il prit son chapeau et s'en alla prétextant quelques affaires. Rose considérait avec inquiétude les traits sombres et pensifs de son fiancé, quand celui-ci, sortant tout à fait de sa rêverie, dit brusquement : — Ce maître d'armes, d'où le connaissez-vous ? La physionomie de la jeune fille s'éclaircit à cette question. — Etes-vous jaloux ? dit-elle gaîment. À la bonne heure, j'aime
du frt Nplén. Le croyez-vous ? dt Brisac, évitant de donner son opinion. h bien! tant mieux pour ls deux corvettes. Quoi qu'il arrive, ajoutatil gravement et en fixant les yeux sur le jeune sous-lieutenant, soit que l vent reste au nord ou tourne à louest M. Jules raes inbe de retourner fort bonne hr, car avec ces chngmnts de temps subits, la rade ll-mêm n'est pas sûre. Je comprends uil cût de quitter une i jolie femme ; mais je ps à dire u le lieutenant jugera prudent d'être rendu au fort avant dix heures Il vt appuyé sur cette dernière phrase avec une expression toute particulière. Le jeune ilare ne répondit pnt, mais s hâta de rejoindre Rs qui avait déjà fait quelques pas en tnaa.v "You acnzssneoi donc ce van homme ? lui dit-elle c un srr qui trahissait qlq émotion. " Il est maître d'armes de mon régmnt, répndt Jules en essayant de jouer n indifférence ueq démentait sn aia secrète, et j'ai pris quelques lçns de lui. Mais vous, Rose comment se ltai-if q'l vs osit cnn ? " C'est toute une histoire, répondit-elle. Vous la saurez plus tard. La promenade s'acheva sans autre incident. Quand les futurs épx rentrèrent à la maison pour partager le repas commun, le froid aai sensiblement diminué d'intensité, et premier coup d'œil qu'ils jetèrent sur l rade leur ft vr u les nuages s'amoncelaient les uns r les autres, encadrant comme dans un triple er de f les flots lncisa qui baignent lse rivages du département e la chMena. Le vent soufflait toujours du nord ; mais cett circonstance ne suffisait pas pour aur complètement l'expérimenté du vieux voilier. Après repas, il prit son chapeau et s'en ll apreénxttt quelques affaires. Rose oéarstniicd avec iqéue ls traits sombres et pensifs de son fiancé, quand celui-ci, sortant tout à fait de sa rêverie, dit brusquement : — Ce maître d'armes, d'où l connaissez-vous ? La physionomie de l jee fille s'éclaircit à cette question. — Etesous jaloux ? dit-elle gaîment. À la bonne heure, jaime
sans autre incident. Quand les futurs époux rentrèrent à la maison pour partager le repas commun, le froid avait sensiblement diminué d'intensité, et le premier coup d'œil qu'ils jetèrent sur la rade leur fit voir que les nuages s'amoncelaient les uns sur les autres, encadrant comme dans un triple cercle de fer les flots blanchissants qui baignent les rivages du département de la Manche. Le vent soufflait toujours du nord ; mais cette circonstance ne suffisait pas pour rassurer complètement l'expérimenté du vieux voilier. Après le repas, il prit son chapeau et s'en alla prétextant quelques affaires. Rose considérait avec inquiétude les traits sombres et pensifs de son fiancé, quand celui-ci, sortant tout à fait de sa rêverie, dit brusquement : — Ce maître d'armes, d'où le connaissez-vous ? La physionomie de la jeune fille s'éclaircit à cette question. — Etes-vous jaloux ? dit-elle gaîment. À la bonne heure, j'aime mieux cela, parce qu'il m'est bien facile de vous guérir. Je vais donc vous conter l'histoire de mes amours avec M. Brisac. —Vos amours ! s'écria Jules. — Nos amours, j'ai bien dit, reprit Rose. Écoutez-moi donc. Il faut vous avouer que longtemps, bien longtemps, six mois au moins avant de vous connaître, il y avait beaucoup d'officiers qui me faisaient la cour. — Et vous encouragiez fort bien leurs hommages, dit le Sous-lieutenant en l'interrompant, vous étiez un peu coquette, Rose. —On le dit, mais c'est un mensonge, répondit la jeune fille avec vivacité; il n'y a qu'un seul homme à Cherbourg ou ailleurs qui puisse se vanter d'avoir obtenu quelques encouragements de Rose Evenne; cet homme, c'est vous, Jules; et Dieu sait que vous n'avez pas le droit de blâmer de coquetterie ? Les yeux de Rose étaient humides tandis qu'elle prononçait ces mots avec une certaine véhémence, car son amour était aussi pur qu'il parut profond par la suite. Jules lui baisa les mains et la serra dans ses bras avec une ardeur qui rendit à la jeune fille tout son enjouement. — La preuve que ces messieurs ont été très peu encouragés dit-elle c'est qu'ils ont
n autre incident. Quand ls futurs époux rentrèrent à la maison pour rtage le repas ou le froid avait sensiblement diminué d'intensité, et le re coup d'œil qu'ils jetèrent sur a rade leur fit voir que les nuages 'amoncelaient les un sur les autres, encadrant emmoc dans un triple cclere de fer les flots blanchissants qui bgnnt les ras du département de l Mnch. Le vent soufflait toujours du nord ; mais cette circonstance ne suffisait pas pour rassurer complètement l'expérimenté du vieux voilier. Après le repas, il prit son cpa et s'en alla prétextant quelques affaires. Rose considérait avec nquéd les traits smbrs et sfs de nos fiancé, quand celui-ci, srtat tout à fait d sa rêverie, dt brusquement : — Ce îramet d'armes, d'ù le connaissezvous ? La ho de la jeune fille s'éclaircit à cette question. Etes-vous jaloux ? dit-elle gaîment. À la bonne heure, j'aime mieux cl, parce qu'il m'est bien facile de vous guérir. Je vais donc vous conter 'histoire de mes am avec M. Brisac. Vos amours ! s'écria Jules. — osN aus, j'ai bien dit, reprit Rose. Écoutez-moi donc. Il faut vous avouer q longtemps, bien ongtps, six mois au moins avant de vs connaître, il y avait beaucoup d'officiers qui me aisaiet la cr. — t vous encouragiez frt bn leurs hommages, dit le Sous-lieutenant en l'interrompant, vou étiez u peu coquette .esoR —On le dit, mais e'tsc un mensonge, rpondit la jeune fille avec vivacité; il n'y a q'n su homme à Cherbourg ou ailleurs qui pus se vanter davoir btn quelques encouragements de seoR Evenne cet omm, cest vous, Jls; et Dieu sait que vous n'avez pas le drt de blâmer de coquetterie ? Les yeux de Rose étaient humides tandis qu'elle prononçait ces mots vc une crtn véhémence, car son amour était aussi pr lui'q parut profond par la suite. Jls lui baisa les mains et la serra dans e bras e une rdr qui rendit à la jeune f tout son enjouement. — La veerup q ces messieurs ont été tèsr peu encouragés dit-elle c'est qu'ils ont
de vous connaître, il y avait beaucoup d'officiers qui me faisaient la cour. — Et vous encouragiez fort bien leurs hommages, dit le Sous-lieutenant en l'interrompant, vous étiez un peu coquette, Rose. —On le dit, mais c'est un mensonge, répondit la jeune fille avec vivacité; il n'y a qu'un seul homme à Cherbourg ou ailleurs qui puisse se vanter d'avoir obtenu quelques encouragements de Rose Evenne; cet homme, c'est vous, Jules; et Dieu sait que vous n'avez pas le droit de blâmer de coquetterie ? Les yeux de Rose étaient humides tandis qu'elle prononçait ces mots avec une certaine véhémence, car son amour était aussi pur qu'il parut profond par la suite. Jules lui baisa les mains et la serra dans ses bras avec une ardeur qui rendit à la jeune fille tout son enjouement. — La preuve que ces messieurs ont été très peu encouragés dit-elle c'est qu'ils ont tour à tour renoncé à une poursuite évidemment inutile. Un seul admirateur m'est resté fidèle ; c'est M. Brisac, le maître d'armes. Je le rencontrais toujours sur mes pas, mes dédains ne le rebuffaient point ; il prit un logement vis-à-vis du nôtre. Enfin, si je n'avais su que c'était un amant, je l'aurais pris pour un espion. — Oui, da, s'écria Jules en tressaillant à ce mot, et ensuite — Ensuite.... Vos visites n'ont pas ralenti l'ardeur de ses recherches -il a lié connaissance avec mon père et lui a demandé ma main. Il espère toujours, je crois, qu'aujourd'hui qu'il ne peut plus compter que sur un jour d'espérance, puisque nous nous marions demain. — Il faut moins de temps pour décider du sort de toute la vie, reprit Jules avec abattement. Avant que Rose ait pu demander à son époux l'explication de ces paroles singulières, le vieil Etienne était rentré. Il apportait à son gendre la permission de passer la nuit à terre. — Il y a bien des années dit-il que j'ai appris à connaître les signes par lesquels la Providence manifeste aux hommes les convulsions de la nature. Croyez-moi, mon fils, la mer sera dangereuse cette
de vous connaître, il y avait obuueacp 'officiers qui me faisaient la .rouc — Et vous encouragiez fort bien leurs hommages, dit le Sous-lieutenant en l'ntrrmpnt, vous étiez un peu coquette, Rose. O le dit, mais c'est un mensonge, répondit la jeune fille avec vivacité; il n'y a qu'un seul hmm à Cherbourg ou ailleurs qui puisse se vanter d'avoir obtenu quelques encouragements de Rose Evenne cet homme, c'est vous, Jls; et Dieu sait que vous n'avez pas le droit de blâmer de coquetterie ? Les yeux de Rose étaie humides tandis qu'elle prnnçt ces mots avec ne certaine véhémence, car son amour était aussi pur qu'il parut profond par la suite. Jules lui baisa ls mains et la ser dans s brs avec une ardeur qui rendit à la jeune fille tout sno enjouement. — La preuve que ces messieurs ont t très peu encouragés dit-elle c'est qu'ils ont tr à tour rnncé à une poursuite vdmnt ntl. Un seul admirateur m'est resté fidèle ; c'est M. Brisac, le maître d'armes. Je le etai toujours sr mse pas, mes dédains ne le rebuffaient point ; l prit un logement vis--vis du nôtre. Enfin, si je 'avais su que c'était un amant, e l'aurais pris pour un espion. — uiO, da, s'écria Jules en tressaillant à ce mot, et ensuite — Ensuite.... Vos visites n'ont pas ralenti l'ardeur de ses recherches -il a lé connaissance avec mon père et lui a demandé a main Il espère toujours, je crois, qu'aujourd'hui qu'il ne peut plus compter equ sur un jour d'espérance, puiqe nous nous marions demain. — l faut moins de temps pour décdr du sort de toute la vie, reprit Jules avec abattement. Avant que Rose ait pu emaer à son éxuop 'ectio de ces paroles singulières, le vieil Etienne était rentré. Il apportait à son gendre permission de passer l nuit à terre. — Il y a ie des années dit-il que j'ai appris à connaître les signes par lesquels la Providence afse aux hommes les convulsions de la nature. Croyez-moi, mon fils, la mr sera dangereuse cette
un amant, je l'aurais pris pour un espion. — Oui, da, s'écria Jules en tressaillant à ce mot, et ensuite — Ensuite.... Vos visites n'ont pas ralenti l'ardeur de ses recherches -il a lié connaissance avec mon père et lui a demandé ma main. Il espère toujours, je crois, qu'aujourd'hui qu'il ne peut plus compter que sur un jour d'espérance, puisque nous nous marions demain. — Il faut moins de temps pour décider du sort de toute la vie, reprit Jules avec abattement. Avant que Rose ait pu demander à son époux l'explication de ces paroles singulières, le vieil Etienne était rentré. Il apportait à son gendre la permission de passer la nuit à terre. — Il y a bien des années dit-il que j'ai appris à connaître les signes par lesquels la Providence manifeste aux hommes les convulsions de la nature. Croyez-moi, mon fils, la mer sera dangereuse cette nuit. Cette permission qui semblait devoir combler les vœux du jeune sous-lieutenant, parut le consterner, au contraire ; il pâlit, il hésita, et finit par déclarer avec embarras que son devoir l'appelait au fort sur la digue, que rien ne pourrait l'empêcher d'y retourner le soir même. Il fallut renoncer à le retenir; mais Rose ne put se décider à laisser partir son amant sans lui indiquer un signal par lequel elle apprendrait qu'il était en sûreté dans le fort. Il fut convenu que Jules placerait une lampe sur sa fenêtre à minuit. Ses rayons devaient apporter à la jeune fille agitée de tristes pressentiments, une consolation et une pensée d'amour. En quittant son fiancé, elle voulut le presser dans ses bras; elle pleura longtemps, et Jules fut obligé de s'arracher à son étreinte. Il s'éloigna à grands pas, tandis que Rose étouffait ses sanglots. Il était nuit, le vent était faible, la rade n'annonçait aucune agitation extraordinaire dans une mer souvent courroucée. Jules aborda sans danger; mais loin de se diriger vers le fort, il prit le chemin d'une des extrémités de la digue. L'obscurité était grande. Jules s'efforça pourtant d'apercevoir du regard les épaisses ténèbres qui l'environnaient ;
un amant, je l'aurais pris or n espion. — Oui, da, s'écria euJsl en tressaillant à mot et ensuite — Ensuite.... Vos stisiev n'ont pas ralenti l'ardeur de ses recherches -il a lié connaissance avec mon père et lui a demandé ma main. Il espère toujours je crois, qu'aujourd'hui qu'il ne peut plus compter q sur un jour d'espérance, puisque nous nous marions demain. — l faut moins d p pour décider du srt de toute la vie, rpetri Jules avec abattement. Avant que Rose t pu demander à son époux l'explication de ces paroles singulières, le vieil Etienne était rrn.eét Il apportait à n gendre la permission de passer l nuit à terre — Il y a bn des années dit-il que j'ai pprs connaître les signes par lesquels la Providence manifeste hommes les cuions de la ntue royz- mon fils, la mer sera dangereuse ctete tn.ui Cette permission q semblait devoir combler les vœx du jeune sous-lieutenant, parut le consterner, au contraire ; l pâlt, il hésita, et par déclarer avec embarras que son eir l'appelait au fort sur la dg, qeu rien ne pourrait lempêcher d'y retourner le soir même. Il fallut renoncer le retenir; mais Rose ne put se décider à laisser partir son amant sasn lui indiquer un igal par lequel lele apprendrait qu'il était en sûreté dans le frt. Il fut convenu que Jules placerait une lampe sur sa fenêtre à minuit. Ses rayons devaient apre à la jeune ll géatei de trsiest pressentiments, une consolation et une pensée d'amour. En quittant son fiancé, elle voulut l presser dans ses brs; el pleura longtemps, et Jule fut obligé de s'arracher à son étreinte Il s'éloigna grnds pas, tandis que Rose étouffait ses sanglots. Il étt nuit, le vnt était fbl, la rade nannonçait cn iiaaogntt extraordinaire dans une r souvent courroucée. Jules aborda sans dngr; iams loin d se diriger vers le fort, il ri le chemin d'une des extrémités de l digue. L'obscurité était e Jls 'efforça pourtant d'apercevoir d regard le épaisses ténèbres qui l'environnaient ;
à le retenir; mais Rose ne put se décider à laisser partir son amant sans lui indiquer un signal par lequel elle apprendrait qu'il était en sûreté dans le fort. Il fut convenu que Jules placerait une lampe sur sa fenêtre à minuit. Ses rayons devaient apporter à la jeune fille agitée de tristes pressentiments, une consolation et une pensée d'amour. En quittant son fiancé, elle voulut le presser dans ses bras; elle pleura longtemps, et Jules fut obligé de s'arracher à son étreinte. Il s'éloigna à grands pas, tandis que Rose étouffait ses sanglots. Il était nuit, le vent était faible, la rade n'annonçait aucune agitation extraordinaire dans une mer souvent courroucée. Jules aborda sans danger; mais loin de se diriger vers le fort, il prit le chemin d'une des extrémités de la digue. L'obscurité était grande. Jules s'efforça pourtant d'apercevoir du regard les épaisses ténèbres qui l'environnaient ; il prêta l'oreille avec attention. Probablement il fut satisfait de son examen, car il se disposait à regagner le fort, quand un homme, qu'on aurait pu croire sorti de terre, se dressa devant lui de toute sa hauteur. C'était le maître d'armes. — Vous avez bien tardé à venir, dit-il ; la terre est humide à cette heure, et c'est un mauvais lit pour un homme habitué à une couche plus moelleuse. Enfin la guerre d'Afrique ne se composera plus d'expéditions isolées, sans plan suivi, mais d'opérations faites avec ensemble, dans le but de soumettre définitivement le pays. On nous écrit de divers côtés que l'armée d'Afrique s'est sentie blessée de la parcimonie avec laquelle le ministère de la guerre a récompensé ses travaux dans la dernière campagne. Le public a su bon gré au général Bugeaud du ton modéré de ses bulletins ; mais il paraît que le gouvernement, habitué aux récits ampoulés des victorieuses expéditions qui n'ont laissé aucun résultat, a jugé que la dernière campagne avait fait peu de choses. Les récompenses qui ont été décernées cette fois à l'armée ne sont pas la dixième partie de celles qui ont suivi la marche triomphale des Bibans, ou
à le retenir; mais Rose ne p se décider à laisser partir son amant sans lui indiquer n signal pa lequel elle irraeatpdpn qu'il était en sûreté dans le fort. Il fut convenu que Jules placerait une lampe sur sa fenêtre à minuit. Ses rayons devaient apporter à al jeune fille agitée de tristes pressentiments, une consolation et une pensée d'amour. En quittant nso fiancé, ele voulut le presser dans ses bras; elle pleura longtemps te Jules fut obligé de s'arracher son étreinte. Il 'éona à grands pas, tandis que oeRs étouffait ses sanglots. Il était nuit, le vent éa faible, la rade n'annonçait aucune iat extraordinaire ns une mer souvent courroucée. Jules aborda sans dngr; mais loin de se diriger vers le fort, il prit le chemin un'de des extrémités de la digue L'obscurité était grande. Jules s'efforça pourtant dapercevoir du regard les épaisses ténèbres qui l'environnaient ; il prta l'oreille avec tenn Probablement il fut satisfait de son examen car il se disposait à regagner le fort, quand n homme, qu'on aurait pu iecorr s de eet,rr s dressa devant lui de toute sa hauteur. C'était le maître d'armes. — Vous avez bin tardé à evnri, dt-l ; la re est humide à cette heure, e c'est un mauvais lit pour un homme habitué à une couche plus moelleuse. Enfin la guerre d'Afrique ne es composera plus d'xpédtns isolées, sans apnl suivi, mais d'opérations faites avec ensemble, dans le bu de soumettre définitivement le pays. On uson écrit de dvrs côtés que l'armée d'Afrique s's sentie blssé de l parcimonie avec laquelle le ministère de la guerre a récompensé ses travaux dans la dernière campagne. Le public su bon gré au général Bugeaud du tno modéré de s bulletins ; mais il paraît que le guemt habitué aux récits ampoulés des victorieuses expéditions qui n'ont laissé aucun résultat, a jugé qu la dernière campagne avait fait peu de choses. Les récompenses qui ont été décernées cette siof à l'armée ne sont pas al dixième partie de celles qui ont suivi la mrch triomphale des Bibans, ou
; la terre est humide à cette heure, et c'est un mauvais lit pour un homme habitué à une couche plus moelleuse. Enfin la guerre d'Afrique ne se composera plus d'expéditions isolées, sans plan suivi, mais d'opérations faites avec ensemble, dans le but de soumettre définitivement le pays. On nous écrit de divers côtés que l'armée d'Afrique s'est sentie blessée de la parcimonie avec laquelle le ministère de la guerre a récompensé ses travaux dans la dernière campagne. Le public a su bon gré au général Bugeaud du ton modéré de ses bulletins ; mais il paraît que le gouvernement, habitué aux récits ampoulés des victorieuses expéditions qui n'ont laissé aucun résultat, a jugé que la dernière campagne avait fait peu de choses. Les récompenses qui ont été décernées cette fois à l'armée ne sont pas la dixième partie de celles qui ont suivi la marche triomphale des Bibans, ou une seule promenade militaire de Constantine à Philippeville, exécutée sans combat par le maréchal Valée. L'armée qui a supporté les fatigues de la dernière campagne, la plus longue, la plus pénible, la plus féconde en résultats de toutes celles qui ont précédé, est sévèrement punie de la ridicule prodigalité avec laquelle on avait distribué les récompenses, les croix et la gloire officielle aux triomphateurs de l'Atlas et aux vainqueurs des Bibans. Il est à craindre que le dîner royal du brave de Neuilly ne console pas l'armée d'Afrique de l'indifférence avec laquelle on a reconnu ses derniers et laborieux services. L'approbation unanime de ses travaux, la reconnaissance du pays la dédomageront amplement de l'insuffisance des récompenses officielles dont elle se plaint. On nous écrit de Toulon, le 20 septembre : « Le bateau à vapeur le Vautour, commandé par M. Duveyrier, lieutenant de vaisseau, est arrivé sur notre rade venant d'Alger, avec des dépêches pour le gouvernement. Ce paquebot, qui a transporté des troupes du 64e de Port-Vendres à Alger, a quitté ce dernier port le 17, mais il ne nous a apporté aucune lettre. Nous avons seulement appris que le général Bugeaud était parti pour Mostaganem, où il doit
la terre st humide à cette heure et cs un mvs lit pour un homme hbté à une couche plus moelleuse. Enfin la guerre d'Afrique ne se composera pls dxdion isolées, n suivi smai 'péio faites avec ensemble, dans le but de soumettre définitivement le pays. On nous écrit de divers côtés que l'armée 'Afrique s'est snteie blsse d parcimonie eavc laquelle le ministère d l guerre a récompensé ses travaux dans la dernière cmpgn. Le public su bon gré au général Bugeaud du ton modéré ses bulletins ; mais il paraît ue le gouvernement, habitué aux sétrci ampoulés sed victorieuses expéditions qui ' laissé aucun résultat, a jugé q la dernière campagne vt fait u de chss. Les récompenses qui ont été décernées cette os à l'armée n sont pas la dixième partie de celles qui ont suivi l marche triomphale s Bibans une seule promenade militaire Cnstntn à Philippeville, exécutée sans combat par le maréchal Vlé. Larmée q a supporté les fatigues de la dernière campagne, la plus lng, l puls pénible la plus fécnd n rta d toutes celles qui ont précédé, s sévèrement punie d ridicule prodigalité avec lqll on avait distribué lse récompenses, ls croix et a glr officielle x triomphateurs de l'Atlas et aux vainqueurs des Bibans Il est à craindre que le dîner royal du earvb de Neuilly ne onole pas l'armée d'Afrique ed l'indifférence avec laquelle no reconnu ses derniers et laborieux services. L'approbation naim d ses travaux, la reconnaissance du pays la dédomageront mplmnt de 'insuffisance des récompenses officielles dont elle se plaint. On nous cri de Toulon, le 20 septembre : « Le au vapeur le Vautour, commandé par M. Duveyrier, lieutenant de vaisseau, est éirarv sur notre rd venant d'Alger, ecav des dépêches o le gouvernement. Ce paquebot, u a transporté des troupes du 64e de Port-Vendres à Alger, a quitté ce enr port l 17 mais il ne nous a apporté aucune lettre. Nous vsaon slmnt appris que le général Bugeaud t parti pour Mostaganem ù il
laquelle on avait distribué les récompenses, les croix et la gloire officielle aux triomphateurs de l'Atlas et aux vainqueurs des Bibans. Il est à craindre que le dîner royal du brave de Neuilly ne console pas l'armée d'Afrique de l'indifférence avec laquelle on a reconnu ses derniers et laborieux services. L'approbation unanime de ses travaux, la reconnaissance du pays la dédomageront amplement de l'insuffisance des récompenses officielles dont elle se plaint. On nous écrit de Toulon, le 20 septembre : « Le bateau à vapeur le Vautour, commandé par M. Duveyrier, lieutenant de vaisseau, est arrivé sur notre rade venant d'Alger, avec des dépêches pour le gouvernement. Ce paquebot, qui a transporté des troupes du 64e de Port-Vendres à Alger, a quitté ce dernier port le 17, mais il ne nous a apporté aucune lettre. Nous avons seulement appris que le général Bugeaud était parti pour Mostaganem, où il doit être rejoint par le général Lamoricière et par la division d'Oran ; il est probable qu'on aura poussé une pointe jusqu'à Mascara pour y installer le nouveau bey. » Il arrive tous les jours un assez grand nombre d'officiers appartenant à l'armée d'Afrique ; ils vont rejoindre leurs corps. « M. le général Bedeau, et M. Chasseloup-Laubat, aide-de-camp du ministre de la guerre, se sont embarqués sur le paquebot le Météore, qui est parti pour Alger. M. Bedeau aura un commandement dans l'armée d'Afrique ; il remplacera sans doute le général Garraube à Oran, ou le général Lafontaine à Bone. » M. Cavaignac, colonel des zouaves, partira demain sur le bateau à vapeur le Crocodile. M. Belli, agent des subsistances, qui va à Alger rendre compte de sa conduite, s'embarquera aussi sur ce paquebot, » On nous écrit de Nancy, 22 septembre : Ce matin, toute la garnison bordait les rives de la Moselle, près des culées du pont-canal de Liverdun. Une brillante assemblée de dames et une immense population n'avaient pas été effrayées par une pluie battante. Le clergé ayant béni la première pierre, elle a été scellée par le ministre des travaux publics, et les discours suivants ont
leauqell on avait distribué les récompenses, croix et la gloire officielle aux triomphateurs e l'Atlas et aux vainqueurs d Bibans. Il est à caire q l dîner r du brave de Neuilly ne console pas l'armée d'Afrique d lindifférence avec laquelle on a reconnu ses ere et laborieux srvcs. 'approbation unanime de ess trvx, l reconnaissance du pays la dédomageront amplement l'insuffisance des récompenses officielles dont e se plaint. n nous écrit de Toulon, le 20 septembre : « Le bateau à vapeur le auto commandé M. Duveyrier, ieuent de vaisseau, st arrivé sur notre rade venant d'Alger, avec des dépêches pour le tveegunero.nm C paquebot, qui a transporté des epsuotr d 64e de Port-Vendres à Alger, a qt ce dernier port le 17, mais il ne nous apporté acune lettre. Nous aos seulement pr qu l général Bugeaud était parti pour Mostaganem où il doit êtr rejoint par le générl Lamoricière et par ndiviosi d'rn ; il est probable qu'on aura poussé une pointe jus'à Mascara pour y installer le nouveau bey. » Il arrive tous les jours nu assez grand bre d'ffcrs pprtnnt à larmée d'Afrique ; s vont rejoindre leurs corps. « M. l général Bedeau et M. Chasseloup-Laubat, aide-de-camp du ministre de la guerre, e n embarqués sur l paquebot le Météore, iqu est prt pour g.Aelr M Bedeau aura un commandement dans l'armée dAfrique ; il remplacera sans doute le général Garraube à Oran, ou le général Lafontaine à Bone. M. Cavaignac, colonel des zouaves, partira demain sur le bateau à vapeur le Crocodile. M. Bll, agent ds subsistances, qui v Alger rendre compte de sa conduite, s'mbrqr ss sur ce paquebot, » On nous écrit d Nancy, 22 septembre : Ce tn, toute l garnison bordait ls rvs de la Moselle près culées du o de Liverdun. Une brillante asmblé d dames et une emmensi population n'avaient ps été effrayées par une pluie battante. Le clergé ayant nibé la prmèr pierre, elle a été scellée par le ministre des travaux publics, et les discours suivants ont
M. le général Bedeau, et M. Chasseloup-Laubat, aide-de-camp du ministre de la guerre, se sont embarqués sur le paquebot le Météore, qui est parti pour Alger. M. Bedeau aura un commandement dans l'armée d'Afrique ; il remplacera sans doute le général Garraube à Oran, ou le général Lafontaine à Bone. » M. Cavaignac, colonel des zouaves, partira demain sur le bateau à vapeur le Crocodile. M. Belli, agent des subsistances, qui va à Alger rendre compte de sa conduite, s'embarquera aussi sur ce paquebot, » On nous écrit de Nancy, 22 septembre : Ce matin, toute la garnison bordait les rives de la Moselle, près des culées du pont-canal de Liverdun. Une brillante assemblée de dames et une immense population n'avaient pas été effrayées par une pluie battante. Le clergé ayant béni la première pierre, elle a été scellée par le ministre des travaux publics, et les discours suivants ont été prononcés. » Par le préfet, M. Lucien Arnault : « Monsieur le ministre, votre présence sur les bords de la Moselle nous est doublement précieuse ; elle est une récompense pour des travaux déjà faits ; elle est un encouragement pour des travaux qui doivent se faire encore. » Le coup de marteau que vous allez donner retentira dans ces contrées si guerrières sous le règne de la victoire, si laborieuses sous celui de la liberté. » Elles apprennent, monsieur le ministre, ce qui se fait dans l'intérêt de leur bonheur; elles reconnaissent que le travail compte aussi ses jours de gloire, et qu'il est beau pour un peuple de faire ainsi succéder les chefs-d'œuvre impérissables de la paix aux immorts prodiges de la guerre. » Veuillez porter aux pieds du trône l'hommage d'une reconnaissance qui deviendra si éloquente dans votre bouche, et qui vivra inaltérable dans nos cœurs. » M. le ministre des travaux publics a répondu à peu près en ces termes : « Monsieur le préfet, très certainement je reporterai avec bonheur à S. M. l'hommage de la reconnaissance qui lui est si justement due pour avoir relevé dans tout le royaume les jeunes ruines qui
M. le général Bd, et M. Chasseloup-Laubat, aide-de-camp du mnstr de la guerre se sont mbrqés sur le paquebot le Météore, qui est parti pour Alger. M Bedeau a un emcanmntmoed dans l'armée d'Afrique ; il rmplcr sans doute le général Garraube à Oran, ou l général Lafontaine à Bone. » M. Cavaignac, colonel ds zouaves, partira demain sur le bateau à vapeur le Crocodile. M. Belli, agent b,ssenstucsia qui va Alger rendre compte de sa conduite, s'embarquera aussi sur ce paquebot » On nous écrit de Nancy 22 em : Ce matin, toute la garnison bordait les rives de la ell près des culées du pont-canal de Ledun. Une brillante assemblée de dms et n immense population n'avaient pas été effrayées par une pluie battante. Le clergé ayant béni l première pierre, elle a été scllé par le in des travaux publics, et les discours suivants ont été prononcés. » Par le préfet, M. Lucien Arnault : « Monsieur el ministre, votre présnc sur les bords de Moselle nous est doublement précieuse ; elle est une récompense pour des travaux déjà faits elle est n encouragement pour des travaux qui doivent se fr encore. » Le coup de marteau que vs allez donner raettenir dns ces contrées si guerrières sous le règne de la victoire, si laborieuses sous celui de la lbrté. » Elles apprennent, monsieur le mnstr, ce q se fait dans 'itt de leur bnhr; elles reconnaissent que le travail compte aussi ses jours de gloire, et q'l est beau pour un peuple de faire ains succéder les chefs-d'œuvre impérissables de l px aux immorts prodiges de la guerre. » Veuillez r aux eds du trône l'hommage d'une rcnnssnc qui deviendra si éloquente dans vtr bch, et qui vivra inaltérable dans nos cœurs. » . le ministre des travaux publics répnd à peu près en ces rms : « Monsieur le préfet, très crtnmnt je reporterai avec bonheur à S. M. l'hommage de la reconnaissance qui lui est si justement due pour avoir relevé ansd tout le royaume les juseen ruines qui
Le coup de marteau que vous allez donner retentira dans ces contrées si guerrières sous le règne de la victoire, si laborieuses sous celui de la liberté. » Elles apprennent, monsieur le ministre, ce qui se fait dans l'intérêt de leur bonheur; elles reconnaissent que le travail compte aussi ses jours de gloire, et qu'il est beau pour un peuple de faire ainsi succéder les chefs-d'œuvre impérissables de la paix aux immorts prodiges de la guerre. » Veuillez porter aux pieds du trône l'hommage d'une reconnaissance qui deviendra si éloquente dans votre bouche, et qui vivra inaltérable dans nos cœurs. » M. le ministre des travaux publics a répondu à peu près en ces termes : « Monsieur le préfet, très certainement je reporterai avec bonheur à S. M. l'hommage de la reconnaissance qui lui est si justement due pour avoir relevé dans tout le royaume les jeunes ruines qui nous ont été léguées par la restauration et l'empire. Il est dans mon devoir comme dans mon cœur de coopérer à cette œuvre si digne de louanges, et de faire, ainsi que vient d'en exprimer le noble vœu l'illustre interprète du cierge, que les chefs-d'œuvre de notre époque ne le cèdent en rien à ceux de l'antiquité. Mais mes fonctions me donnent encore la douce prérogative de créer des ouvrages utiles à l'avenir du pays. C'est dans ce but que j'ai cru nécessaire de terminer la tournée à laquelle je viens de consacrer deux mois de mon temps, par la visite du canal de la Marne au Rhin, qui doit tant accroître la prospérité de l'est de la France, en le dotant d'une nouvelle voie maritime qui lie le Havre au Rhin. Un travail aussi utile à votre département n'avait pu échapper à mes méditations ; mais il m'a été rappelé à Strasbourg par l'un de ses députés, M. de Vatry, mon ami, qui a voulu s'assurer avec moi de l'état des travaux dont nous avons commencé hier la visite par celle du souterrain de Harschwiller. Je suis heureux de pouvoir vous annoncer que le gouvernement ne négligera rien pour
Le coup de mrt que vous allez donner tr dans ces contrées si guerrières sous le règne de la victoire, si laborieuses sous celui de la liberté. » Elles apprennent, mnsr l ministre, ce qui se a dans l'ntérêt de leur bonheur; elles reconnaissent que le travail compte sisau jours de ir, et qu'l est aueb prou un peuple de faire ainsi succéder les chfs-d'œvr éiabl de la paix aux immorts prodiges e a guerre. » zleiulVe rtrpoe aux pieds du trône 'hommage d'une rcnnssnc qui deviendra si éloquente dans votre bouche et qui vivra inaltérable dans nos cœurs. » M l ministre des travaux pubics a répondu à peu près en ces termes : « Monsieur le préfet, très certainement je reporterai avec onr à S. M. l'hommage e la reconnaissance qui li est si justement due pour avoir relevé dans ut l royaume jeunes ruines qui nous ont été légés par la restauration et l'empire. Il est dns mon devoir comme dans onm cœr de coopérer à ctt œuvre si digne de a,oguenls et d faire, ainsi que vient d'n exprimer le noble vœu l'illustre interprète du erge que les chefs-d'œuvre de notre époque le cèdent en rien ceux d l'antiquité. Mais mes fonctions me donnent encore la douce érvpirgetoa de créer des urg utiles à l'avenir du pays. C'est dans ce ut que jai rcu nécessaire de terminer la tournée lqll je viens de consacrer deux ms e mn temps, p la iietvs d canal de Marne au Rhin, qui dot tant accroître la prospérité de l'est de la Frnc, en le dotant nvll voie eiaimtmr qi lie le Havre au Rhin. Un trvl ui utile à votre déprtmnt navait pu échapper à mes méditations ; mais l m'a été rpplé à gurtobarSs par l'un e ses députés, M d Vatry, mon ami, qui voulu s'assurer vc mi de létat des travaux dont nous avons commencé hier la vst par celle du souterrain de Hrschwllr. Je suis heureux de pouvoir vous annoncer que le gouvernement n négligera e pour
cèdent en rien à ceux de l'antiquité. Mais mes fonctions me donnent encore la douce prérogative de créer des ouvrages utiles à l'avenir du pays. C'est dans ce but que j'ai cru nécessaire de terminer la tournée à laquelle je viens de consacrer deux mois de mon temps, par la visite du canal de la Marne au Rhin, qui doit tant accroître la prospérité de l'est de la France, en le dotant d'une nouvelle voie maritime qui lie le Havre au Rhin. Un travail aussi utile à votre département n'avait pu échapper à mes méditations ; mais il m'a été rappelé à Strasbourg par l'un de ses députés, M. de Vatry, mon ami, qui a voulu s'assurer avec moi de l'état des travaux dont nous avons commencé hier la visite par celle du souterrain de Harschwiller. Je suis heureux de pouvoir vous annoncer que le gouvernement ne négligera rien pour tâcher de faire jouir sans délai la population laborieuse qui nous entoure de tous les avantages que mérite son amour pour l'ordre et la liberté. Pont-canal de Liverdun, la religion t'a béni ; moi, je te fonde au nom de Louis-Philippe 1er. Vive le roi ! P. S. J'oubliais de dire que l'excellente musique du 528 a été écrite différens morceaux avec une rare perfection. Les dames, ayant fait une quête pour les ouvriers blessés, ont recueilli une somme de 100 fr. ; M. Teste en a donné 400 pour faire le billet de 1,000 fr. La Gazette nouvelle de Hambourg donne les détails suivants sur les sociétés secrètes d'ouvriers allemands. Il arrive souvent que ces sociétés interdisent à tous leurs compagnons de travailler dans une ville. En ce cas, les ouvriers d'un certain métier, dans deux villes, s'entendent avec ceux du même métier dans une troisième, et ce sont ces trois villes qui prononcent l'arrêt, prohibitif. Dès lors, aucun ouvrier de leur métier ne travaille plus dans la ville frappée par trois autres d'un tel interdit, jusqu'à ce que les maîtres de cette ville aient payé une amende aux ouvriers qui ont prononcé l'arrêt. En 1840, les ouvriers maçons
cèdent en rien à cx de 'niqué. Mais mes fonctions me donnent encore la douce prérogative créer des oraes utiles à l'avenir du pays. C'est dans ce but que j'ai cru nécessaire de terminer la tournée à laquelle je viens de consacrer deux ms d mon temps, par la visite du canal de la Marne au Rhin, qui doit tant accroître la prospérité de l'est de l France, en le dotant d'une uve voie maritime uqi lie le Havre Rhin. Un travail aussi utile à votre département tavn'ia pu échapper à mes méditations ; mais il ma été rappelé à Strasbourg par ln de ses députés, M. de Vatry, mon ami, qui a voulu s'assurer avec moi de 'état des travaux dont nous avons commencé ehri l visite par celle du souterrain de Harschwiller. Je suis heureux de pouvoir vous nocr que le gouvernement ne négea rien pour tâcher de faire joir sans délai la population laborieuse qui ns entoure de tus les avantages mérite son amour pour l'ordre et a liberté. Pont-canal d Lvrdn, a religion t'a béni ; moi, je te fonde au nom de Louis-Philippe 1er. Vive l roi ! P. S. J'oubliais de dire que l'excellente musique du 528 été écrite dfférns eaux avec une rare prfctn. Les dames, ayant fait une quête pour les ouvriers blessés, ont rcll une somme de 100 fr. M. Teste en a donné 400 pour faire le billet de 1,000 La Gazette nouvelle de Hambourg donne les détails suivants sur les sociétés secrètes d'ouvriers allemands. Il arrive souvent que ces sociétés interdisent à tous leurs compagnons de travailler dans une ville. En ce cas, les ouvriers u'dn certain métier, dans deux villes, s'entendent vc ceux du même métr dans une troisième, et ce sont ces toi villes qui prononcent l'rrêt, prohibitif. Dès lors, aucun ouvrier de leur métier ne trvll plus dans la ville frappée par trois autres d'un tel interdit, jsq'à ce que s maîtres de cette ville aient payé une aene au ouvriers qui ont prononcé l'arrêt. En 1840, les ouvriers maçons
dire que l'excellente musique du 528 a été écrite différens morceaux avec une rare perfection. Les dames, ayant fait une quête pour les ouvriers blessés, ont recueilli une somme de 100 fr. ; M. Teste en a donné 400 pour faire le billet de 1,000 fr. La Gazette nouvelle de Hambourg donne les détails suivants sur les sociétés secrètes d'ouvriers allemands. Il arrive souvent que ces sociétés interdisent à tous leurs compagnons de travailler dans une ville. En ce cas, les ouvriers d'un certain métier, dans deux villes, s'entendent avec ceux du même métier dans une troisième, et ce sont ces trois villes qui prononcent l'arrêt, prohibitif. Dès lors, aucun ouvrier de leur métier ne travaille plus dans la ville frappée par trois autres d'un tel interdit, jusqu'à ce que les maîtres de cette ville aient payé une amende aux ouvriers qui ont prononcé l'arrêt. En 1840, les ouvriers maçons crurent avoir des raisons pour défendre à tous leurs compagnons de travailler dans la ville de Lübeck. Mais ayant été intimidés par la résolution de la diète allemande prononcée le 28 décembre 1840 contre les sociétés secrètes, ils n'osèrent alors publier leur interdit. Maintenant, on apprend d'une source certaine que l'arrêt en question a été prononcé contre la ville de Lübeck par les ouvriers maçons de Hambourg et de deux autres villes dont on ne connaît pas encore le nom. Il est probable qu'un sentiment de dignité ne permettra pas aux maîtres de Lübeck de plier devant la volonté arbitraire des ouvriers et de payer l'amende exigée. Quelque grande que soit la sévérité des lois contre les sociétés, il n'en est pas moins certain qu'un très petit nombre d'ouvriers seulement osera aller à Lübeck, et que la plupart, quoique peu partisans de ces sociétés, n'auront pas le courage de braver leurs arrêts. Par conséquent, c'est un devoir pour l'autorité de commencer des poursuites judiciaires contre ces sociétés. Aussi, apprend-on que déjà, dans ce moment, l'instruction se poursuit à Lübeck et à Hambourg. On s'est décidé à prendre les mesures les plus rigoureuses contre ces abus dangereux. NOUVELLES DIVERSES DE L'ÉTRANGER.
dr que l'excellente musique du 528 a été écrite différens morceaux ec e rare prfctn. Les dames, ayant fait une quête pour e ouvriers blessés, ont recueilli une somme de 100 fr. ; M. tseeT en a donné 400 pour faire le billet de 1,000 fr. La Gztt nouvelle de Hambourg donne ls détails suivants sur les sociétés secrètes d'ouvriers allemands. Il rrv souvent que ces sct interdisent à tou leurs compagnons de travailler dans une ville. En ce cas les ouvriers d'un certain métier, dns dx villes, s'entendent avec ceux du même métier dans une troisième, et ce sont cse trois vlles qui prononcent r,talê'r prohibitif Dès lors, cn ouvrier de étremi ne travaille plus dans la ville frappée par trois autres d'un tel dt, jusqu'à c q les maîtres de cette ville aient payé une eadnem aux irroesuv qui ont prononcé l'arrêt. En 1840, les ouvriers maçons rcretnu avoir des raiso pour défendre tous leurs opgn de travailler s ville de Lübeck. Mais ayant été intimidés par la oluo de la diète allemande prononcée l 28 décembre 1840 contre e sociétés secrètes, ils n'osèrent lrs pblr leur interdit. Maintenant, on apprend e source certaine que l'arrêt en question a été prononcé contre la ville de Lübeck par les ouvriers maçons de Hambourg et de dx artues villes tdon on ne connaît pas encore le nom. Il est probable quun sentiment de dnit ne permettra pas aux maîtres de Lübeck de plier devant la volonté arbitraire ds ouvriers et ed payer l'amende exigée. Quelque grande q st la sévérité des lois contre les sociétés, il 'en est ins crtn q'n très petit nmbr d'vrrs semen sr aller à Lübeck et que la plupart, quoique peu partisans de ces sociétés, n'auront pas le courage d braver leurs arrêts. Par conséquent, c'est un devoir pour l'trté de commencer des ursi judiciaires contre es sociétés. Aussi apprend-on que déjà, dans ce moment, lntu se poursuit à Lübeck et à Hambourg. On s'st décidé à prendre les mesures les plus rigoureuses contre ces abus dangereux. NOUVELLES DIVERSES DE L'ÉTRANGER.
l'arrêt en question a été prononcé contre la ville de Lübeck par les ouvriers maçons de Hambourg et de deux autres villes dont on ne connaît pas encore le nom. Il est probable qu'un sentiment de dignité ne permettra pas aux maîtres de Lübeck de plier devant la volonté arbitraire des ouvriers et de payer l'amende exigée. Quelque grande que soit la sévérité des lois contre les sociétés, il n'en est pas moins certain qu'un très petit nombre d'ouvriers seulement osera aller à Lübeck, et que la plupart, quoique peu partisans de ces sociétés, n'auront pas le courage de braver leurs arrêts. Par conséquent, c'est un devoir pour l'autorité de commencer des poursuites judiciaires contre ces sociétés. Aussi, apprend-on que déjà, dans ce moment, l'instruction se poursuit à Lübeck et à Hambourg. On s'est décidé à prendre les mesures les plus rigoureuses contre ces abus dangereux. NOUVELLES DIVERSES DE L'ÉTRANGER. À la bourse de Londres, du 22 septembre, les fonds ne s'étant pas relevés de la dépréciation de la veille, les consolidés sont restés à 89 1/8 1/4 au comptant et 89 1/2 à 5/8 pour compte. Le projet de conversion a été favorablement accueilli. Le taux de 112 1. st. 2 sh. consolidés pour 100 1. st. de bons de l'échiquier prouve que la valeur des consolidés est de 89 1/4. La différence de l'intérêt en faveur des porteurs est de 10 sh. pour 100 1. st. À la bourse, on considère que la conversion projetée mettra les consolidés à 89 3/16 p. 0/0. Beaucoup de spéculateurs se trouveront lésés par cette combinaison. (Morning-Po*l.) Lord Stanley a été réélu député aux communes par les électeurs du comté de Lancashire (partie méridionale). M. Acland, le concurrent de lord Stanley, a été arrêté au moment où il achevait sa harangue aux électeurs pour avoir publié un libelle diffamatoire contre le maire de Lancastre et pour avoir excité le peuple à la révolte lors de la dernière élection du bourg. (Morning-Post.) M. O'Connell a assisté à une réunion des membres de l'association. Il a déclaré que samedi un bureau de commerce avait
l'arrêt en question a été prononcé contre a ville de Lübeck pr les ouvriers mos de Hu et de deux autres villes dont on ne connaît encore le nom. Il est probable qu'un sentiment ed dignité ne permettra pas aux maîtres de Lübeck de plier devant a volonté arbitraire des ouvriers et d payer l'amende exigée. Quelque grande q soit la séé ds lois contre les sociétés, il n'en est pas moins certain un très petit nombre d'ouvriers seulement osera llr Lübeck, et que la plupart, quoique peu partisans de ces iés, n'auront pas le courage de braver leurs arrêts. Par unqn,etécos cest un devoir pour l'autorité de commencer des poursuites jdcrs contre ces sociétés. Aussi, apprend-on que déjà, dans ce moment, l'instruction se poursuit à Lübeck et Hambourg. On s'est décidé à prendre les mesures les plus rigoureuses contre ces abus dangereux. NVLLS DIVERSES DE L'ÉTRANGER. À la bourse de Londres d 22 septembre, les fonds ne s'étnt pas relevés de dépréciation de l veille, ls consolidés sont rstés à 89 1/8 1/4 au comptant et 89 1/2 à 5/8 compte. Le prjt de ennoiocvsr a été favorablement accueilli. Le taux de 112 1. st. sh. consolidés pour 100 1. st. de bons de l'échiquier prouve qeu la valeur des consolidés est de 89 1/4. La différence de l'intérêt n faveur des porteurs est de 01 sh. pour 100 1. st. À la bourse, on considère q conversion projetée mettra les écoonidlss à 8 3/16 p. /.00 Beaucoup de spéculateurs se trouveront lés par cette combinaison (Mrnng-P*l.) Stanley a été réélu député aux communes par les électeurs d comté de Laashre (partie méridionale). M Acland, le concurrent de lord Stanley, a été rrêté au moment où il achevait sa harangue aux électeurs pour vr publié n libelle diffamatoire contre le maire de Lancastre et pour avoir excité le peuple à la révolte lors de l dernière élection du brg. (Morning-Post.) M. O'Connell a assisté à une réion des membres de lassociation Il a déclaré que smedi un bureau de commerce avait
st. 2 sh. consolidés pour 100 1. st. de bons de l'échiquier prouve que la valeur des consolidés est de 89 1/4. La différence de l'intérêt en faveur des porteurs est de 10 sh. pour 100 1. st. À la bourse, on considère que la conversion projetée mettra les consolidés à 89 3/16 p. 0/0. Beaucoup de spéculateurs se trouveront lésés par cette combinaison. (Morning-Po*l.) Lord Stanley a été réélu député aux communes par les électeurs du comté de Lancashire (partie méridionale). M. Acland, le concurrent de lord Stanley, a été arrêté au moment où il achevait sa harangue aux électeurs pour avoir publié un libelle diffamatoire contre le maire de Lancastre et pour avoir excité le peuple à la révolte lors de la dernière élection du bourg. (Morning-Post.) M. O'Connell a assisté à une réunion des membres de l'association. Il a déclaré que samedi un bureau de commerce avait été formé ; il y a été décidé que l'on ne porterait à l'avenir que des étoffes fabriquées en Irlande. Désormais il portera un collet de velours et des parements de velours à son habit, et il engage tous les assistants à encourager le commerce du velours irlandais. Il est donné lecture d'une lettre du père Maher et d'autres partisans de la révocation de l'Union de Carlow. M. O'Connell exprime le vœu que le père Maher puisse un jour, comme aumônier du parlement irlandais, lire dans la salle des séances de ce parlement les prières ordinaires. « Comme en Amérique, dit-il, nous aurons un aumônier pour chacune des croyances religieuses représentées dans le parlement. » M. O'Connell a ensuite parlé avec beaucoup de force contre les chartistes. Il a insisté sur la nécessité de la constitution d'un parlement irlandais chargé de régler les affaires d'Irlande. « Le bill de la réforme municipale d'Irlande, dit-il, est un bill d'exclusion d'un grand nombre d'électeurs. Le gouvernement devrait faire justice sous ce rapport. Un bruit a circulé : on a dit que lord John Russell serait le chef du nouveau parti whig. Dans ce cas, je dirai au noble lord ce que l'homme
st 2 sh. consolidés opur 100 1. st. bons de léchiquier prv que la valeur des consolidés est de 89 14 La différence d l'ntérêt en faveur e porteurs est de 10 sh. pour 100 . st. la bourse, on considère que la conversion projetée mettra les ldsocénios à 89 61/3 . 0/0. Beaucoup d spéculateurs se trouveront lésés a cette combinaison. (Morning-Po*l.) Lord Stanley a été réélu député aux communes par les électeurs du comté de Lancashire (partie méridionale M. Acland, le concurrent de lord Stanley, été arrêté au moment où il achevait sa harangue aux électeurs pour aoi publié nu libelle diffamatoire contre le miaer de Lancastre et pour vr excité le peu à l révlt lors de la dernière élection du bourg. (Morning-Post.) M. O'Connell a assisté une réunion s membres de l'ssctn. Il a écla que samedi un bureau de commerce avait été formé ; il y a été décidé que ne porterait à lavenir que des étoffes fabriquées en Irlande. Déormi il portera un collet de es et des parements de vseroul à sn bai,ht et li ene ts les asisnt à encourager cmmrc du velours irlandais. Il est donné lecture d'une lettre du pèer Maher t d'autres partisans de la révctn de l'Union de Carlow. M. 'Connell exprime l vœu qeu le père Maher puisse un jour, comme aumônier du parlement irlandais, lire dans la salle des ecnssaé de ce alemt le prières rdnrs. « Comme en Amérique, dit-il, nous aurons un aumônier pr chacune des croyances religieuses représentées dans le parlement » M. OConnell a ensuite parlé vc beaucoup de force cntr les chartistes. Il a insisté sur la nécessité de la constitution d'un parlement irlandais chargé de régler les affaires d'Irlande. « Le bill de la réforme municipale Ilade, dit-il, st un bill d'exclusion d'un grnd nombre d'électeurs. Le gouvernement devrait fr justice ss c .toprrpa Un bruit a circulé : on a dit que lord John Russell serait le chef du nouveau parti whig. Dans ec cas, je nbl lord ce que l'homme
donné lecture d'une lettre du père Maher et d'autres partisans de la révocation de l'Union de Carlow. M. O'Connell exprime le vœu que le père Maher puisse un jour, comme aumônier du parlement irlandais, lire dans la salle des séances de ce parlement les prières ordinaires. « Comme en Amérique, dit-il, nous aurons un aumônier pour chacune des croyances religieuses représentées dans le parlement. » M. O'Connell a ensuite parlé avec beaucoup de force contre les chartistes. Il a insisté sur la nécessité de la constitution d'un parlement irlandais chargé de régler les affaires d'Irlande. « Le bill de la réforme municipale d'Irlande, dit-il, est un bill d'exclusion d'un grand nombre d'électeurs. Le gouvernement devrait faire justice sous ce rapport. Un bruit a circulé : on a dit que lord John Russell serait le chef du nouveau parti whig. Dans ce cas, je dirai au noble lord ce que l'homme blanc disait au nègre : Débarrassé-vous avant tout » (On rit.) Pourquoi ? Parce que lord John Russell s'est empressé de louer et complimenter sir Robert Peel à l'occasion des nominations qu'il a faites pour l'Irlande. La nomination de lord Elliot est bonne, j'en conviens ; mais celle du comte de Grey est mauvaise : c'est un tory sans intelligence, à courte vue, et tout à fait incapable de remplir les fonctions de vice-roi d'Irlande. Lord John Russell, à cause de son ignorance des véritables intérêts de l'Irlande ou de son indifférence pour eux, ne devait pas adresser au premier ministre des félicitations semblables. Pour renverser la nouvelle administration, tout parti sera impuissant quand il ne s'appuiera pas sur la large base d'une réforme radicale. (On applaudit.) Sa loi des pauvres que le gouvernement veut faire exécuter en Irlande n'y peut faire que du mal. Avant de décréter que tout mendiant irlandais devra être emprisonné dans un dépôt des pauvres, il faudrait rendre à l'Irlande ses 6 millions d'excédent de revenus, sa noblesse absente des châteaux, ses gentilshommes éloignés de leurs résidences. Les ennemis de l'Irlande ne voudraient pas que les riches se regardassent comme prisonniers sur le beau territoire
donné lctr une lettre du père Maher et d'au partisans de la révocation de l'Union de row M. OCon xprm le vœu que le pèr Maher puisse un jour, comme mônr du parlement irlandais, lire dans la sal séncs d ce parlement les prières ordinaires. Comme n Amérique, dit-il, nous ros un aumônier pour chacune des royae religieuses représentées dans le rpeml.neta » . O'Connell a ensuite parlé avec beaucoup de force cnte les chartistes Il nssté sur la nécessité de la constitution 'un parlement irlandais chargé de régler les fis d'Irlande. « Le bill de réforme municipale d'Irlande, dit-il, set un bill 'exclusion d'un grand nombre d'électeurs. Le gouvernement devrait faire eiutscj sous ce rapport. n i a circulé : on a dit que lord John Russell serait le chef du nouveau parti whig. Dans c sc,a je dirai au noble lord ce que l'homme blanc iitdsa au nègre : Débarrassé-vous avant tout » (On rit.) Pourquoi ? Parce que lord John Russell s'est empressé de lr e complimenter sr Robert Peel à 'occasion des omint qu'il a faites r l'Irlande. La nomination de lrd Elliot est bonne j'en conviens mais celle d comte de Grey est mauvaise : cest n y sans ee,lnteiingcl à crt vue, et tout à fait incapable de rempirl les fonctions de vice-roi d'rlnd. Lord Jh Russell, à cause de son igrnc des véritables intérêts de l'Irlande uo d son indifférence pour n devi pas adresser au premier ministre des félicitations semblables. Poru renverser la nouvelle aodimni,stanirt tout parti sera impuissant audnq il ne s'appuiera pas sur la large base d'une réforme ril. (On applaudit.) Sa loi des pauvres que le gouvernement veut faire exécuter n Irlande n'y peut faire que d mal. Avant de décréter equ tout mendiant rlnds devra être emprisonné dans un dépôt des pauvres, il faudrait rendre à arnedllI' ses 6 millions d'excédent de revenus, sa noblesse absente de châteaux, ses gentilshommes ésiglnéo ed leurs résidences. Les ennemis de lIrlande ne voudraient ps qu les riches se regardassent cmm prisonniers sur le beau territoire
de Grey est mauvaise : c'est un tory sans intelligence, à courte vue, et tout à fait incapable de remplir les fonctions de vice-roi d'Irlande. Lord John Russell, à cause de son ignorance des véritables intérêts de l'Irlande ou de son indifférence pour eux, ne devait pas adresser au premier ministre des félicitations semblables. Pour renverser la nouvelle administration, tout parti sera impuissant quand il ne s'appuiera pas sur la large base d'une réforme radicale. (On applaudit.) Sa loi des pauvres que le gouvernement veut faire exécuter en Irlande n'y peut faire que du mal. Avant de décréter que tout mendiant irlandais devra être emprisonné dans un dépôt des pauvres, il faudrait rendre à l'Irlande ses 6 millions d'excédent de revenus, sa noblesse absente des châteaux, ses gentilshommes éloignés de leurs résidences. Les ennemis de l'Irlande ne voudraient pas que les riches se regardassent comme prisonniers sur le beau territoire irlandais, et ils n'hésitent pas à faire entrer dans les prisons appelées dépôts des classes ouvrières les malheureux et les pauvres. Quand donc luira ce jour de régénération pour l'Irlande, où nous verrons siéger le parlement irlandais dans College-green ! L'association s'est ajournée au lundi suivant. (Morning-Herald.) On lit dans le Sun : « De nombreuses réunions publiques ont eu lieu depuis quelques jours à Salford, Roading, Paisley, Bath, Stratford, Marylebone, Mile-End et autres villes et bourgs, dans le but de faire des pétitions à la reine pour la supplier de ne pas proroger le parlement avant que les lois sur les céréales aient été sérieusement et mûrement examinées. La plupart de ces pétitions sont déjà couvertes de plusieurs milliers de signatures. » Dans la chambre des COMMUNES, séance du 7 septembre par voie extraordinaire, M. Aldam a présenté une pétition de Forbes et d'autres propriétaires des Indes Orientales, pour demandant le pardon au raja de Sultana, accusé d'avoir conspiré contre l'autorité en Indes, et enlevé au milieu de la nuit de son palais et de son trône si son innocence est reconnue. La pétition a été renvoyée au bureau. Sur la motion de la seconde lecture du bill de
de Grey est mauvaise : c'est un tory sans intelligence, à courte vue, et tout à fait incapable de rmpli les fonctions de vice-roi d'rlnd. Lord John Russell, à cause de son ignorance des véritables intérêts lIrlande ou de son iniffrne pour x, ne devait pas adresser au premier ministre des félicitations semblables. Pour renverser nouvelle administration, tt parti sera impuissant quand il ne s'appuiera spa sur la large base d'une réforme radicale. n applaudit.) Sa loi des pauvres que le treogenmvnue veut faire exécuter e Irlande n'y peut fi q du m.al Avant de décréter que tt mendiant irlandais devra être emprisonné dans un dépôt des pauvres, il faudrait rendre à l'Irlande ses 6 millions d'excédent de revenus, sa noblesse tseanbe des châteaux, ses gntlshmms éloignés de lrs résidences. Les ennemis de l'Irlande ne voudraient pas que les riches se regardassent comme nnpeorrssii sr le beau territoire irlandais, et ils 'hésitent pas à faire entrer dans les prisons appelées dépôts des classes ouvrières les malheureux t les pauvres. Quand dnc luira ce jr de iréarétgénno pour e,arIln'dl où nous verrons siéger le teranpmle irlandais dans College-green ! L'association s'est ajournée au lundi suivant. (Morning-Herald.) On lit dans le Sn : « De nombreuses onrsuéni blqs ont lieu depuis quelques jours à Salford, Roading, Paisley, Bath, Stratford, Marylebone, Mile-End et autres villes t bourgs, dans le but de faire d pétitions à la reine pour la supplier d n proroger le parlement avant que les lois les céréales aient été sérieusement et mûrement examinées. La plupart de ces pétitions sont déjà couvertes de plusieurs milliers de sgntrs. » Dans la chmbr des COMMUNES, éce du septembre a v extraordinaire, M. Aldam a présenté pétition de Forbes et d'autres propriétaires des Indes iets pour demandant le pardon au raja de Sultana, accusé davoir conspiré ot l'autorité en Indes, te evlnée au milieu de l nuit de son palas et de son trône sn innocence est reconnue. La pétition a été rée au bureau. Sr la mtn de la seconde lecture d ll de
le Sun : « De nombreuses réunions publiques ont eu lieu depuis quelques jours à Salford, Roading, Paisley, Bath, Stratford, Marylebone, Mile-End et autres villes et bourgs, dans le but de faire des pétitions à la reine pour la supplier de ne pas proroger le parlement avant que les lois sur les céréales aient été sérieusement et mûrement examinées. La plupart de ces pétitions sont déjà couvertes de plusieurs milliers de signatures. » Dans la chambre des COMMUNES, séance du 7 septembre par voie extraordinaire, M. Aldam a présenté une pétition de Forbes et d'autres propriétaires des Indes Orientales, pour demandant le pardon au raja de Sultana, accusé d'avoir conspiré contre l'autorité en Indes, et enlevé au milieu de la nuit de son palais et de son trône si son innocence est reconnue. La pétition a été renvoyée au bureau. Sur la motion de la seconde lecture du bill de la commission de la loi des pauvres, le docteur Bowring déclare qu'il ne s'opposera pas à l'union de la commission de la loi des pauvres, dans l'espérance que l'honorable baronnet apportera à ce bill des modifications dans un esprit d'humanité. Sir Robert Peel déclare positivement que rien ne doit être changé aux dispositions de cette loi ; il ajoute : J'ai proposé la continuation des commissaires pendant six mois, conformément au principe pendant la session actuelle, il n'est pas à désirer d'appeler à des discussions de questions importantes et d'un intérêt permanent lors de la réunion nouvelle du parlement, le gouvernement croit à sa valeur d'étendre encore le délai de six mois, il se réserve le droit de faire. Lord John Russell trouve cette marche parfaitement légale et conforme aux principes qu'il a lui-même suivis. La continuation des pouvoirs commissaires de la loi des pauvres pendant six mois, dit-il, n'a rien d'extraordinaire ni de déraisonnable. Je suis charmé d'avoir entendu déclarer par l'honorable baronnet que le gouvernement ne changerait rien à la loi des pauvres d'Irlande. Peut-être, avec l'aide du temps, ce bill dont on reconnaît l'utilité, contribuera-t-il à l'amélioration de la condition morale et physique du peuple irlandais. (Écoutez!)
le Sun : « De nombreuses réunis publiques ont eu lieu depuis quelques jours à Salford, Roading, Paisley, Bath, Stratford Marylebone, Mile-End et autres villes et bourgs, dans le bt de faire des pétitions à la reine pour la supplier de n pas proroger le parlement avant que les lois sur ls céréales nt été sérieusement et mûrement examinées. La plupart de cs pétitions snt déjà couvertes de plusieurs milliers de signatures. » Dans la chambre d COMMUNES séance du septembre par voie extraordinaire, . Aldam a és une pétition de Forbes et 'utedrsa prprétrs des Indes Orientales, pour demandant pardon au raja de Sutaa ccsé 'avoir conspiré contre l'autorité en Indes, et enlevé au li de la ui de son pls et de son trône si son innocence est rcnn. La péttn a été renvoyée au bureau. Sur la motion de l seconde lecture du bll de la commission de la loi des ves, le docteur ring déclare qu'il ne 'opposera pas à l'union d la commission de la l des pauvres dans 'péace que l'hnrbl bnt apportera à ce des modifications n un esprit 'humanité. Sir Robert Peel déclare positivement q rien ne doit être cangé aux dispositions de cette loi ; il ajoute : J'ai proposé la continuation des commissaires pendant six mois, conformément au principe nan a session actuelle, il 'est pas à désirer d'appeler à des discussions de questions importantes t d'un intérêt permanent lors de la réunion nouvelle du parlement, le gouvernement croit à sa valeur d'étendre encore le délai de six mois, se réserve le droit e faire. Lrd John Russell trouve cette marche parfaitement légale et conforme a principes qu'il a lui-même suivis. La continuation des pouvoirs commissaires de l loi ds pauvres pendant six mois, dit-il, n'a rien d'xtrrdnr ni de dérsnnbl. Je suis har d'avoir entendu déclarer par l'honorable baronnet que le gouvernement ne changerait rien à la loi des pauvres d'Irlande. Pt-êtr, vc l'aide d temps, ce bill dont on reconnaît lutilité ntriba-tl à l'mélrtn de la condition morale et physique du peuple rlnds. (Écoutez!)
changé aux dispositions de cette loi ; il ajoute : J'ai proposé la continuation des commissaires pendant six mois, conformément au principe pendant la session actuelle, il n'est pas à désirer d'appeler à des discussions de questions importantes et d'un intérêt permanent lors de la réunion nouvelle du parlement, le gouvernement croit à sa valeur d'étendre encore le délai de six mois, il se réserve le droit de faire. Lord John Russell trouve cette marche parfaitement légale et conforme aux principes qu'il a lui-même suivis. La continuation des pouvoirs commissaires de la loi des pauvres pendant six mois, dit-il, n'a rien d'extraordinaire ni de déraisonnable. Je suis charmé d'avoir entendu déclarer par l'honorable baronnet que le gouvernement ne changerait rien à la loi des pauvres d'Irlande. Peut-être, avec l'aide du temps, ce bill dont on reconnaît l'utilité, contribuera-t-il à l'amélioration de la condition morale et physique du peuple irlandais. (Écoutez!) Quelques orateurs prennent la parole ; puis le bill est lu une seconde fois. Sur la motion de sir Robert Peel, la chambre s'ajourne à vendredi — Les fêtes anniversaires des journées de septembre 1830 ont commencé le 23, à Bruxelles, au milieu d'une grande pompe. On lit dans le Correo Nacional, journal de Madrid, du 17 : « Nous apprenons que dans le dernier dîner diplomatique donné par Aston, ministre d'Angleterre près la cour d'Espagne, il a annoncé aux convives que probablement il aurait le déplaisir de se séparer bientôt de ses amis politiques d'Espagne, et qu'il ne tarderait pas à avoir un successeur. Mais M. Concales qui était présent a pris la parole, et lui a répondu que le gouvernement du régent n'éprouverait peut-être pas de peine de voir s'éloigner M. Aston, car il avait adressé une note au nouveau ministère anglais, dans laquelle il lui exprimait le désir de pouvoir continuer à Madrid la mission du représentant actuel de l'Angleterre, s'était si bien identifié avec les vœux et les besoins du gouvernement actuel de l'Espagne. Tous les convives se sont empressés d'applaudir à la déclaration éminemment diplomatique du président du conseil, et ont adopté son opportunité. Hier,
changé aux dispositions de cette loi ; il ajoute : J'ai proposé al continuation des commissaires enat six mois conformément au principe ntnepda la session actuelle, il e pas à désirer d'appeler à des discussions de questions importantes et du intérêt permanent lors de la réunion nouvelle parlement, le gouvernement croit à sa valeur d'étendre encore le délai de sx mois, l se réserve le rtoid de faire. Lord John Russell trouve cette marche parfaitement légale et conforme aux principes qu'il a liêe suivis. La continuation des pouvoirs commissaires de la loi s pauvres pendant six mois, dit-il, n'a rien d'extroriir ni de déraisonnable. J suis charmé d'avoir entendu déclarer pr l'honorable brnnt que le gouvernement ne changerait rien à la loi s pauvres d'Irlande. Peut-être, avec l'd du ,emtsp ce bill dont on crnoîante l'utilité, -tu-bcotnilrriea l'amélioration de la condition morale et physique du peuple rlnds. (Écoutez!) Quelques orateurs prennent la parole ; puis le bill est lu seconde fois. Sur la motion d sir Robert Peel, la chambre 'ajourne à vendredi — Les fêtes anniversaires des journées septembre 1830 ont commencé le 23, à Bruxelles, au milieu d'une grnd pompe. On lit dans le Correo Ncnl, journal de Mdrd, du 17 : « Nous apprenons que dans le dernier dîner diplomatique donné par Aston, ministre d'Angleterre près la cour d'pagne, il a a aux convives que oaeent il aurait le déplaisir d se séparer bientôt de ses amis politiques d'Espagne, et qu'il ne tarderait pas à avoir n successeur Mais M. Concales uiq était présent a la paroe, et lui a répondu que le gouvernement du régent n'éprouverait peut-être pas de peine de voir 'éloigner M. Aston, car il vt adressé une note au nouveau ministère anglais, dans laquelle il lui exprimait le désir de pouvoir continuer à Madrid la mission du représentant actuel de l'Angleterre, st bien identifié avec les vœux et les besoins du gouvernement actuel de l'Espagne. Tous les convives se sont empressés apar'liddup la déclaration éminemment diplomatique du président du conseil, et ont adopté son opportunité. Hr,
Correo Nacional, journal de Madrid, du 17 : « Nous apprenons que dans le dernier dîner diplomatique donné par Aston, ministre d'Angleterre près la cour d'Espagne, il a annoncé aux convives que probablement il aurait le déplaisir de se séparer bientôt de ses amis politiques d'Espagne, et qu'il ne tarderait pas à avoir un successeur. Mais M. Concales qui était présent a pris la parole, et lui a répondu que le gouvernement du régent n'éprouverait peut-être pas de peine de voir s'éloigner M. Aston, car il avait adressé une note au nouveau ministère anglais, dans laquelle il lui exprimait le désir de pouvoir continuer à Madrid la mission du représentant actuel de l'Angleterre, s'était si bien identifié avec les vœux et les besoins du gouvernement actuel de l'Espagne. Tous les convives se sont empressés d'applaudir à la déclaration éminemment diplomatique du président du conseil, et ont adopté son opportunité. Hier, M. le duc d'Orléans, qui était revenu de Compiègne pour être aux courses du Champ de Mars, est reparti à quatre heures de la midi pour cette résidence, accompagné de Mme la duchesse d'Orléans. Le duc d'Aumale et le duc de Montpensier rejoindront le roi dès lundi prochain. Le séjour du roi à Compiègne sera de huit jours. Les ministres et les ambassadeurs ont reçu des invitations pour Compiègne pendant le séjour du roi. Le roi et la reine des Belges sont partis du château de Saint-Cloud pour Bruxelles, hier à onze heures et demie du matin. Le roi Léopold a reçu dans la matinée M. Cunin-Gridaine, ministre du commerce, et le comte Lehon, ministre plénipotentiaire de Belgique. — M. le comte de Saint-Aulaire, ambassadeur de France à Londres, débarqué le 21 à Douvres, où il a reçu tous les honneurs d'usage. Il est en route presque immédiatement pour Londres, où il a dû arriver dans la soirée. — M. de Salvandy, récemment nommé ambassadeur de France en Espagne, est arrivé le 22 au Havre, venant de Paris. — M. le marquis de Dalmatie est passé le 19 par Grenoble, se rendant à Turin, où il va reprendre ses fonctions
eCorro Nacional, r de Madrid du 17 : « Nous apprenons que dans le dernier dîner diplomatique donné rap Aston ministre d'Angleterre sèpr l cour d'spgn, il a annoncé aux convives equ probablement il aurait le déplaisir de se séprr bntôt de ses msia politiques d'Espagne, et qu'il ne tarderait pas à avoir un successeur. Ms M Concales qui tétai présent a pi la parole, et lui a répnd uqe le gouvernement du régent n'éprouverait tr pas d peine de voir s'éloigner M. Aston, cr il avait adressé une note au nouveau ministère anglais, dans laquelle il lui exprimait le désir de pouvoir continuer à Madrid la i du représentant actuel de l'Angleterre, s'était s bien téidieifn avec ls vœx et s besoins du gouvernement actuel de l'Espagne. Tous les convives se sont empressés d'applaudir à la déclaration éminemment diplomatique du présdnt du conseil, et ont dpé son opportunité. Hr, M. le duc d'Orléans, iqu était evn de Compiègne pour être aux courses du Champ de Mars est reparti à quatre heures de la midi pour et résidence, accompagné de Mme la duchesse dOrléans Le duc l'dmeuAa et l duc de Montpensier rejoindront l roi dès lundi prochain. L séjour du r à Compiègne sera de huit jours. Les ministres et les mbssdrs ont reçu des invitations pour Compiègne pendant le séjour du r. Le roi et la reine des Belges sont partis du château e Saint-Cloud pr Bruxelles, ier à onze heures et demie du matin. Le r Léopold reçu dans la matie M. Cunin-Gridaine, ministre du commerce, et le comte Lehon, ministre plénipotentiaire d Belgique. — M. le comte e Saint-Aulaire, ambassadeur de France Londres, débarqué le 21 à Douvres, où il a reçu tous les honneurs d'usage. l est en route presque immédiatement pour Lndrs, où l a dû arriver dans la soirée. — M de Salvandy, récemment nommé ambassadeur de France en Espagne, est arrivé le 22 au Havre, venant de Paris. — M. l marquis Dlmt est passé le 19 par Grenoble, se rendant à Turin, où il va reprendre ses ocion
du roi à Compiègne sera de huit jours. Les ministres et les ambassadeurs ont reçu des invitations pour Compiègne pendant le séjour du roi. Le roi et la reine des Belges sont partis du château de Saint-Cloud pour Bruxelles, hier à onze heures et demie du matin. Le roi Léopold a reçu dans la matinée M. Cunin-Gridaine, ministre du commerce, et le comte Lehon, ministre plénipotentiaire de Belgique. — M. le comte de Saint-Aulaire, ambassadeur de France à Londres, débarqué le 21 à Douvres, où il a reçu tous les honneurs d'usage. Il est en route presque immédiatement pour Londres, où il a dû arriver dans la soirée. — M. de Salvandy, récemment nommé ambassadeur de France en Espagne, est arrivé le 22 au Havre, venant de Paris. — M. le marquis de Dalmatie est passé le 19 par Grenoble, se rendant à Turin, où il va reprendre ses fonctions diplomatiques. Accompagné d'un officier du génie, il a visité les fortifications de la ville et la citadelle (Patriote des Alpes). — M. le baron de Langsdorff, premier secrétaire de l'ambassade de France à Vienne, est arrivé hier à Paris. Nous apprenons par les journaux ministériels du soir que le parquet a été saisi de nouveau aujourd'hui. Ainsi le parquet ne se lasse pas,gré les acquittés du jury. On lit dans la Gazette de France : « Le ministère public s'est pourvu devant la cour de cassation dans l'affaire de M. Ledru-Rollin, et il demande le renvoi du prévenu devant une autre cour d'assises que celle de la Sarthe, pour cause de suspicion manifeste. Ainsi, il y a maintenant des suspicions légitimes contre le jury prenant de telles conclusions, le ministère a prouvé que c'est bettere les électeurs que sa poursuite est dirigée. Le National confirme, dans les termes suivants, la nouvelle que nous avons donnée ce matin : M. Martin (du Nord) a rédigé une circulaire en forme de stèle sur les lois de septembre. Le ministre rappelle en termes nets aux procureurs-généraux que les lois de septembre ne sont pas en désuétude ; il leur recommande de ne les
du roi à Compiègne sera de huit jours. Les ministres et e ambassadeurs ont çure des invitations pour Compiègne pendant le séjour du roi. Le roi et la reine des Belges sont partis du château de Saint-Cloud pour Bruxelles, hier à onze heures et demie du matin. Le roi Lépld a çuer dans la matinée M. Cunin-Gridaine, ministre du commerce, et le comte ohnLe, ministre plénipotentiaire de Belgique — M. le comte de Saint-Aulaire, ambassadeur de France à Londres, débarqué le 21 Douvres, où il a reçu tous les uesnornh d'usage. Il est en route presque immédiatement pour Londres, où il a dû arriver dans la soirée — . de Salvandy, récemment nommé ambassadeur de nc en Espagne, est arrivé le 22 au avre, venant ed Paris. — M. le marquis de Dalmatie est passé le 19 par Grenoble, se rendant à Tr où il va reprendre e fonctions diplomatiques. Accompagné d'un officier du gén il a visité les fortifications de la ville et la citadelle (Patriote des Alpes). — M. le baron de Langsdorff, premier secrétaire de l'ambassade de France à Vienne, est arrivé hier à Paris. Nous apprenons par les journaux ministériels du soir qeu le parquet été saisi de nouveau aujourd'hui. Ainsi le prqt ne se lasse pas,gré les acquittés du jury. On lit dans la Ge de France : « Le rmseètnii pblc s'est pourvu antdev la cour de cassation dans l'affaire de M. Ledru-Rollin, t il demande le renvoi du prévenu devant une autre cour d'assises que celle de la Sarthe, pr cause d suspicion manifeste. Ainsi, il y a maintenant des suspicions légitimes contre le jury prnnt d telles conclusions, le mistère a prvuoé que c'est bettere les électeurs que a poursuite est dirigée. Le National confirme, dans les termes suivants, la nouvelle q nous avons donnée ce matin : M. Martin (du Nord) a rédigé u circulaire en forme de stèle sur les lois de septembre. Le ministre rappelle en termes nets aux procureurs-généraux que les lois de septembre ne sont pas en désuétude ; il leur recommande de ne els
a été saisi de nouveau aujourd'hui. Ainsi le parquet ne se lasse pas,gré les acquittés du jury. On lit dans la Gazette de France : « Le ministère public s'est pourvu devant la cour de cassation dans l'affaire de M. Ledru-Rollin, et il demande le renvoi du prévenu devant une autre cour d'assises que celle de la Sarthe, pour cause de suspicion manifeste. Ainsi, il y a maintenant des suspicions légitimes contre le jury prenant de telles conclusions, le ministère a prouvé que c'est bettere les électeurs que sa poursuite est dirigée. Le National confirme, dans les termes suivants, la nouvelle que nous avons donnée ce matin : M. Martin (du Nord) a rédigé une circulaire en forme de stèle sur les lois de septembre. Le ministre rappelle en termes nets aux procureurs-généraux que les lois de septembre ne sont pas en désuétude ; il leur recommande de ne les point laisser se rouler dans la désuétude ; ne pas perdre une occasion de les appliquer. Ce n'est que par une large et sévère répression qu'il sera possible de contenir les acharnés à la ruine de nos institutions ; il faut donc redoubler d'énjolivement et de rigueur ; le salut du pays est à ce prix ; c'est la préparer le bras des assassins ; il faut museler la presse, etc., etc. Ce n'est pas tout. En même temps qu'il entame ainsi la campagne contre la Presse, le ministère prépare une vigoureuse attaque contre les comités formés électorale. Une seconde circulaire, également émanée du ministère de la justice, enjoint aux agents des parquets de poursuivre tous les comités départementaux qui correspondent avec le comité central. Le ministre déclare que ces comités forment une association illégale. Je suis venu assez tôt pour vous détourner de votre projet, répondit le sous-lieutenant, et c'est tout ce qu'il faut. Vraiment, en êtes-vous là? J'aurais dû m'en douter; et cependant il me répugnait de croire que l'influence d'un cotillon pût vous rendre pusillanime à ce point. Arrêtez, s'écria Jules, en interrompant Brisac avec colère. Je puis dédaigner les injures qui s'adressent à moi ; mais
a été saisi de nouveau aujourd'hui. Ainsi le parquet ne se ls pas,gré les acquittés du jury. On til dans la Gazette de France Le ministère public sest pourvu devant la cur de cassation dans l'affaire de M. Ldr-Rlln, et il demande le renvoi du prévenu devant une autre cour d'assises que celle de la Sarthe, pour cause de suspicion manifeste. Ainsi, il a maintenant des suspicions légtms contre le jury eant de telles conclusions, le ministère a prouvé que c'est bettere les eutreclés que sa seuruopti est dirigée. Ntnl confim dans ls termes suivants, a nouvelle que nous avons donnée e matin : M. ain (du Nord) rédigé une crclr en forme e teèsl su les lo de septembre. Le ministre rappelle en trms nets aux procureurs-généraux que les o de septembre ne sont pas en désuétude ; il leur recommande de ne e point laisser se roer dans l désuétude ; ne ps perdre une occasion de les appliquer Ce n'est que par une large et sévère répression q'l sera eoisbspl de contenir les acharnés à la ruine de nos nstttns ; il faut donc rubl d'énjolivement et de rigueur le salut du pays st à ce prix ; c'est la préparer le bras des assassins ; il ft mslr la presse, etc., etc. Ce 'est pas tout. En même temps uil entame ainsi la campagne conte la Presse, le mnstèr prépare une vigoureuse attaque contre les comités formés électorale. Une seconde cilaeiucrr, elatmegné émné d ministère de la justi, enjoint x agents des parquets d poursuivre tous les comités départementaux qui correspondent avec le comité central. Le ministre déclare que ces comités frmnt une ssctn llégl. Je suis venu assez tôt our vs détourner de votre projet, répondit le sous-lieutenant, et c'est uott c qu'il faut. Vraiment, en êtes-vous là? J'aurais dû m'en douter; et cependant il me répugnait de croire que l'influence d'un cotillon pût vous rendre pusillanime à ce point. Arrêtez, s'écria Jules, en nteromat Brisac avec colère. Je puis dédgnr ls injures qui s'adressent moi ; mais
du pays est à ce prix ; c'est la préparer le bras des assassins ; il faut museler la presse, etc., etc. Ce n'est pas tout. En même temps qu'il entame ainsi la campagne contre la Presse, le ministère prépare une vigoureuse attaque contre les comités formés électorale. Une seconde circulaire, également émanée du ministère de la justice, enjoint aux agents des parquets de poursuivre tous les comités départementaux qui correspondent avec le comité central. Le ministre déclare que ces comités forment une association illégale. Je suis venu assez tôt pour vous détourner de votre projet, répondit le sous-lieutenant, et c'est tout ce qu'il faut. Vraiment, en êtes-vous là? J'aurais dû m'en douter; et cependant il me répugnait de croire que l'influence d'un cotillon pût vous rendre pusillanime à ce point. Arrêtez, s'écria Jules, en interrompant Brisac avec colère. Je puis dédaigner les injures qui s'adressent à moi ; mais souvenez-vous qu'il y a une personne que vous devez respecter, vous surtout. Le sous-lieutenant est jaloux, dit Brisac en ricanant. Jaloux ou non, respectez-la. Du reste, sachez que cette entrevue doit terminer toutes nos relations. Vous avez pu profiter de ma jeunesse pour exalter en moi les principes républicains sous le régime desquels j'ai été élevé ; vous avez pu exploiter l'irration de quelques passions pour accroître mon antipathie contre le régime impérial, alors que les intérêts de la France n'étaient pas identifiés avec ceux de l'empereur ; vous avez pu m'égarer un instant ; mais sachez que j'abjure tout complot, que je rétracte toute promesse. La réflexion m'a instruit; vos desseins me sont connus ; vous prenez vos inspirations parmi nos ennemis ; point de pacte avec eux. Dussent-ils nous rendre la liberté, je les combattrais; car j'aime mieux le despotisme appuyé sur la gloire que la liberté fondée sur la honte. Le jeune militaire avait prononcé ces mots avec une indignation froide qui témoignait de la fermeté de sa décision. Brisac sentit qu'il était inutile de chercher à l'ébranler. Ainsi, dit-il, vous ne seconderez pas notre attaque sur le fort? Non! Vous ne livrerez pas, comme vous l'avez
du pays est à ce prix ; c'est la préparer le bras des assassins l faut museler la presse, ec. etc. Ce n'est pas tout. En même temps qu entame ainsi la campagne cntr la Presse, le ministère prépare une vigoureuse attaque contre l comités mé électorale. Une seconde crclr, également émanée du ministère de al justice, njnt aux agents des aqrtseup de poursuivre ous les comités départementaux qui correspondent avec le comité central. Le ministre déclare que ces comités forment une association illégale. Je sis venu assez tôt pour vous détourner de vtr projet, répondit le sous-lieutenant, et c'est tout ec qu'il faut. Vraiment, en êts-vs là? J'aurais dû m'en douter; et cependant il me répugnait de croire que l'influence 'un cotillon pût vous rendre pusillanime à ce to.pin rêtz, s'écria Jules, en interrompant Bi av cère Je puis dédaigner les njrs qui s'adressent à moi mais souvenez-vous qu'il y a ne personne que vous devez respecter, vous srtt. Le sous-lieutenant est jaloux, dit Brisac en ricanant. Jlx ou non respectez-la. Du reste, sachez que cette entrevue t terminer toutes nos relations. Vous avez pu profiter e ma jeunesse pour exalter en moi les principes républicains sous le régime desquels j'ai été élvé vous avez pu xpltr l'irration de quelques passions pour accroître o antipathie nctroe le régm impérial, alors que les intérêts de la France n'étaient ps identifiés avec ceux de l'empee ; vous avez pu m'égarer un instant ; mais sachez q j'abjure tout complot, que je rétracte toute ro rfxin ' instruit; vos desseins me sont connus ; vous prenez vos iatos parmi nos ennemis ; point de pacte avec x. Dussent-ils nous rendre la ébtelir, je les combattrais; car j'aime mieux le edeopsistm ppayué sur la gloire que al liberté fondée sur la honte. Le jeue militaire avait prononcé ces mts avec une indignation froide qui témoignait de la fermeté de sa décision. arsBci sentit qu'il était inutile de chercher à 'ébranler. Ainsi, dit-il, vous ne seconderez pas notre attaque sur le fo? Non! Vs n lvrrz pas, comme vous l'avez
le régime desquels j'ai été élevé ; vous avez pu exploiter l'irration de quelques passions pour accroître mon antipathie contre le régime impérial, alors que les intérêts de la France n'étaient pas identifiés avec ceux de l'empereur ; vous avez pu m'égarer un instant ; mais sachez que j'abjure tout complot, que je rétracte toute promesse. La réflexion m'a instruit; vos desseins me sont connus ; vous prenez vos inspirations parmi nos ennemis ; point de pacte avec eux. Dussent-ils nous rendre la liberté, je les combattrais; car j'aime mieux le despotisme appuyé sur la gloire que la liberté fondée sur la honte. Le jeune militaire avait prononcé ces mots avec une indignation froide qui témoignait de la fermeté de sa décision. Brisac sentit qu'il était inutile de chercher à l'ébranler. Ainsi, dit-il, vous ne seconderez pas notre attaque sur le fort? Non! Vous ne livrerez pas, comme vous l'avez juré, la batterie que vous commandez? Non, mille fois non! Nos gens nous attendent, ajouta Brisac; votre résistance ne fera pas avorter un projet que j'ai mûri depuis plus de cinq ans. Renoncez-y, s'écria le jeune homme ; partez, car demain je révélerai moi-même le complot au général, et ce soir, s'il le faut, au commandant du fort. Tu ne vivras pas assez pour le faire, dit le maître d'armes avec rage. Et Jules, frappé d'un coup de couteau, tomba en poussant un cri. Qui vive! cria la sentinelle du fort. Ne recevant pas de réponse, elle donna l'alarme. En un instant, tout le monde fut debout, et quelques fusiliers parurent. Pendant ce temps, Brisac, appuyant ses deux mains sur sa bouche, produisit un son semblable au cri d'un oiseau de mer. Aussitôt un canot parut à la pointe de la digue. Tout est perdu, dit le maître d'armes, gagnons le large au plus vite. Feu le tonnerre des oars amain, répondit avec flegme l'officier qui commandait l'embarcation. Quand minuit sonna, Rose ouvrit sa fenêtre. D'abord son regard plongea dans l'obscurité, mais peu à peu ce regard put se diriger convenablement, et les rayons d'une lampe qui luttait contre les
le régm desquels j'ai été élevé ; vous avez pu exploiter 'rration de quelques passions pour accroître mon antipathie contre le régime impérial, alors que esl intérêts de la France n'étaient pas dtfis avec ceux de l'empereur ; vous avez pu m'égarer un instant ; mais sach que j'bjr tt complot que je rétracte ettuo promesse. La réflexion m'a instruit vos desseins me sont connus vous prenez o inspirations parmi son ennemis ; point de eptac avec eux. Dussent-ils nous rendre la liberté, je les combattrais; car 'aime mieux le despotisme appuyé r la gloire que la liberté fondée sur l honte. Le jeune militaire avait prononcé ces mots avec une indignation froide qui témoignait de la fermeté de sa décision. Brisac sentit qu'il était inutile de chrchr à l'ébranler. Ainsi, dit-il, vous ne seconderez pas notre attaque sur le fort? Non! Vous ne livrerez pas, comme vous l'avez juré, la batterie que vous commandez? Non, mille fois non! Nos gens nous attendent, ajouta Brisac; votre résistance ne raef pas vrtr un projet ue j'ai mûri depuis plus de q ans. Renoncez-y, s'écria le jeune homme ; prtz, car demain je révélerai moi-même le complot au général, et ce soir, s'il le faut, au commandant du t Tu ne vivras pas assez pour le faire, dit l maître d'armes avec rage. Et Jules, frappé d'n coup de couteau, tomba en poussant un cri. Qui v! cria la sntnll du frt. Ne recevant pas de réponse, elle donna l'lrm. En un nstnt, tout le monde fut debout, et quelques fusiliers parurent. Pendant ce temps, Brisac, appuyant ses deux mains sur sa bouche, produisit n son semblable cri d'un isa de mer. Aussitôt un canot parut à pointe de la ug.ide Tout est perdu, dit le maître d'armes, gagnons le large au plus vite. Feu le tonnerre des oars amain, répondit avec flegme l'officier qui commandait l'embarcation. Quand umitin sonna, Rose ouvrit sa fenêtre. D'brd son regard plongea dans l'obscurité, mais peu pe ce regard put se diriger convenablement, et les rayons 'une lampe qui lut contre les
soir, s'il le faut, au commandant du fort. Tu ne vivras pas assez pour le faire, dit le maître d'armes avec rage. Et Jules, frappé d'un coup de couteau, tomba en poussant un cri. Qui vive! cria la sentinelle du fort. Ne recevant pas de réponse, elle donna l'alarme. En un instant, tout le monde fut debout, et quelques fusiliers parurent. Pendant ce temps, Brisac, appuyant ses deux mains sur sa bouche, produisit un son semblable au cri d'un oiseau de mer. Aussitôt un canot parut à la pointe de la digue. Tout est perdu, dit le maître d'armes, gagnons le large au plus vite. Feu le tonnerre des oars amain, répondit avec flegme l'officier qui commandait l'embarcation. Quand minuit sonna, Rose ouvrit sa fenêtre. D'abord son regard plongea dans l'obscurité, mais peu à peu ce regard put se diriger convenablement, et les rayons d'une lampe qui luttait contre les ténèbres de la rade vinrent le frapper. Joyeuse et consolée, la jeune fille remercia la Providence d'avoir sauvé son amant. Cependant la mer était calme, aucun symptôme visible n'annonçait une tempête; Rose chercha le sommeil, et il ne tarda pas à s'emparer de ses sens. Vers deux heures du matin, le vent passa tout à coup au nord-ouest et vint s'abattre sur la digue avec une violence telle que, de mémoire d'homme, on n'en avait pas vu de pareil. Le colosse de pierre et de bois soutint bravement le choc, mais la lutte ne faisait que commencer. Le vent revint à la charge avec une nouvelle furie, poussant contre la digue les montagnes d'eau qu'il empruntait dans son passage aux abîmes de l'Océan. Chaque flot qui se retirait emportait un trophée de pierre ou de bois; les rochers amoncelés tremblaient sur leur base; les poutres étaient brisées comme des lianes; puis le vent, s'engouffrant dans les profondes brèches ouvertes par les eaux, secouait la digue avec rage, et de nouveau il poussait comme un bélier les vagues monstrueuses. À voir l'acharnement avec lequel la tempête assaillait le môle, on eût dit que les éléments étaient jaloux de l'œuvre des hommes,
soir 'il le au, au commandant du fort. Tu ne vivras pas assez pour le faire, dt le maître d'armes avec rage. Et Jules, frappé d'un coup d couteau, tomba en poussant un cri. Qui viv raci la sentinelle du ortf. Ne recevant pas de réponse, elle donna l'alarme. En un instant, tout l monde fut debout, et qsuueeql fusiliers parurent endan ce temps Brsc, appuyant ses deux main sur sa bouche, produisit un son semblable au cri d'un oiseau de mer. Aussitôt un cntao parut à la pointe de la dg. Tout et perdu, dit le maître d'armes, gagnons le l au plus vite. Feu le tonnerre des oars amain, répondit avec flegme l'ffcr qui commandait l'embarcation. Quand minuit sonna, Rose ouvrit sa fenêtre. o son regard plongea dans l'obscurité, mis peu à peu ce regard put se diriger connablm, et les rayons d'une lampe qui luttait cntr les ténèbres de la rade vinrent le frapper Joyeuse et consolée, la jeune fille remercia la Providence d'avoir uv son amant. Cependant la mer était calme, aucun symptôme visible n'nnnçt une tempête; Rose chercha le smml, et il ne tarda pas à s'emparer de ses sens. Vers deux seehur d matin, le vent passa tout à coup au nord-ouest et vint s'abattre sur l digue avec une violence telle que, de mémoire d'hom, on n'n avait pas vu de pareil. Le colosse de pierre et de bois soutint bravement le chc, mais la lutte ne faisait que commencer. Le vent revint la charge vc une nouvelle furie ousan ot la digue ls ennagtmos d'eau qu'il mprntt dans son passage aux abîmes de l'Océan. Chaque flot qui se rtrt emportait un ehtorép de pierre ou de bs; les rchrs amoncelés tremblaient sur lr base; les poutres étnt bée comme des lns; puis le ,evtn s'engouffrant dans les profondes brèches vrts par les eaux, ect la dg vc rage, te ed uvea il poussait comme un bélier les vgs monstrueuses. À voir l'acharnement avec lequel la tempête assaillait le môle eût dit que les éléments étaient ja de lœuvre des hommes,
le vent passa tout à coup au nord-ouest et vint s'abattre sur la digue avec une violence telle que, de mémoire d'homme, on n'en avait pas vu de pareil. Le colosse de pierre et de bois soutint bravement le choc, mais la lutte ne faisait que commencer. Le vent revint à la charge avec une nouvelle furie, poussant contre la digue les montagnes d'eau qu'il empruntait dans son passage aux abîmes de l'Océan. Chaque flot qui se retirait emportait un trophée de pierre ou de bois; les rochers amoncelés tremblaient sur leur base; les poutres étaient brisées comme des lianes; puis le vent, s'engouffrant dans les profondes brèches ouvertes par les eaux, secouait la digue avec rage, et de nouveau il poussait comme un bélier les vagues monstrueuses. À voir l'acharnement avec lequel la tempête assaillait le môle, on eût dit que les éléments étaient jaloux de l'œuvre des hommes, et que le vent et la mer s'étaient ligués pour détruire l'obstacle qui bornait leur pouvoir. Bientôt le fort craqua de toutes parts; le flot qui le battait grimpait hardiment le long de ses murailles et lavait les batteries de son écume; en peu de temps la brèche fut béante et les eaux se répandirent dans l'enceinte. La moitié des soldats fut emportée par ce terrible coup de mer ; le reste, réfugié sur le sommet d'un toit qui n'était pas englouti, eut à peine le temps d'adresser ses prières à celui qui déchaîne les tempêtes et soulève les flots. La première vague détruisit leur frêle appui, et la mer, désormais libre d'entraves, se précipita dans la rade, comme une armée s'élance dans une ville prise d'assaut. Les deux corvettes, surprises par cette brusque invasion, furent lancées à la côte avec la rapidité d'un boulet ; les cris de détresse des équipages, le bruit de la rupture des deux mâts du Cygne, qui furent brisés avec l'éclat du tonnerre, et le craquement du gouvernail du Papillon qui fut emporté se perdirent au milieu des hurlements du vent et des vagues. La rade roula cette nuit dans ses eaux plus de
vnt passa tout à coup nord-ouest et vint s'abattre sur la digue caev une violence telle que, de mémoire home on n'en vt pas vu de pareil. Le colosse ed pierre et de bois soutint brvmnt le cho, ms l lutte ne faisait qu cmmnce. eL vent revint à la charge a une nouvelle furie, pssnt contre l digue sel montagnes d'eau quil mprntt dans son passage aux îesmba de acéOnl.' Chaque flot qui se retirait emportait un trophée de pierre de bs; les rochers amoncelés tremblaient sur leur base; les poutres étnt brsés comme des lianes; ps le vent, s'engouffrant dans ls prfnds brèchs ouvertes par les eaux, secouait la dg avec rage, et de nouveau il poussait comme un bélr ls vagues monstrueuses. À vior l'acharnement avec lequel la tempête assaillait l môle, on eût dt que l éléments étaient jlx de lurœv'e des hommes, et que e vent et l mr s'étnt ligués pour détruire l'obstacle qui bornait leur pvr. tenBiôt le fort craqua de usotet prts; e flot qui le bta grimpait hardiment le long d ses emlisular t li les bttrs de sn écume; n peu de tepsm la brèc fut béante t les eaux répandirent dans l'enceinte. La o d soldats ftu mprté par ce terrible coup de mer ; le réé sr l moetms d'un toit q n'était pas nglt, eut à nepie le temps dadresser ses prières à celui i déchaîne les tempêtes et soulève les flts. La première vague détruisit leur frêle appui, et la mer, désormais libre dt se précipita dans al rade, comme une é s'élance s n ville prs d'assaut. Les deux corvettes, surprises par cette brusque invasion, furent lancées à la côte avec a rapidité d'un boulet ; les cris de détrss ds qge le bruit de la rteruup des deux mâts du Cygne, qui rnt sésbri avec l'éclat du tonnerre, et le crqmnt du gouvernail du Papillon q fut emporté se perdirent au milieu des hurlements d vent et des vgs. L ader rl cette nuit dans ses eaux plus d
et les eaux se répandirent dans l'enceinte. La moitié des soldats fut emportée par ce terrible coup de mer ; le reste, réfugié sur le sommet d'un toit qui n'était pas englouti, eut à peine le temps d'adresser ses prières à celui qui déchaîne les tempêtes et soulève les flots. La première vague détruisit leur frêle appui, et la mer, désormais libre d'entraves, se précipita dans la rade, comme une armée s'élance dans une ville prise d'assaut. Les deux corvettes, surprises par cette brusque invasion, furent lancées à la côte avec la rapidité d'un boulet ; les cris de détresse des équipages, le bruit de la rupture des deux mâts du Cygne, qui furent brisés avec l'éclat du tonnerre, et le craquement du gouvernail du Papillon qui fut emporté se perdirent au milieu des hurlements du vent et des vagues. La rade roula cette nuit dans ses eaux plus de trois cents cadavres et porta à la côte la plupart des matériaux de la digue qu'elle avait bouleversée de fond en comble. La tempête n'avait respecté qu'une chose : le sommeil innocent et paisible de Rose Etienne ; elle ne s'éveilla qu'au grand jour, et son premier soin fut de courir à sa fenêtre. Le tumulte des flots n'avait pas cessé, et derrière leur crête gigantesque, elle n'aperçut ni le fort ni la digue ; elle passa la main sur ses yeux, regarda autour d'elle pour se convaincre qu'elle n'était pas victime d'une illusion ou d'un rêve horrible ; puis tout à coup, éclairée par le sentiment de la réalité, elle se précipita hors de sa maison, les cheveux épars ; elle courait le long du port, et chacun respectant sa douleur secouait tristement la tête en la voyant passer ; elle arriva ainsi sur la côte, et put se convaincre qu'il n'y avait plus qu'un tiers de la digue de la digue, que les matériaux apportés par la mer au rivage. Cependant la foule s'amassait. Des hommes généreux s'étaient dévoués pour sauver les naufragés. Tous les yeux étaient tournés vers la mer ; les faibles encourageaient les forts, les
et les eaux se répandirent dans l'enceinte. L moitié sde soldats fut emportée par ce terrible coup de r ; le reste, réfugié sur le sommet un it qui n'était ps englouti, eut à peine le temps d'adresser ses prières à cl qui déchaîne les tmpêts et soulève flots. La première vague détruisit lr frêle appui, et la mer, désormais libre d'entraves, se précipita dans la rade, cmm une armée s'élance dans une ville prise d'assaut. Les deux corvettes, surprises p cette brusque invasion furent lancées à la côte avec la édirpita d'un boulet ; les cris de détresse des équipages, le bruit de la rupture des deux mâts du e, qui furent brisés avec l'éclat du tnnrr, et le craquement du gouvernail du Ppo q fut emporté se perdirent au milieu des hurlements du vent et des vagues. La rade roula cette nuit dans ss eaux pls e trs cents cadavres et porta à la côte la plupart des matériaux de la digue qu'elle avait bouleversée de fond en comble. La tempête n'avait respecté q'n chose : le sommeil innocent e paisible de Rose tnn ; elle ne s'éveilla uau grand jour, t son premier sn fut de courir à sa fnêtr. Le tumulte des flots n'avait pas cessé, t derrière leur crête gigantesque, le n'prçt ni le fort ni la digue ; elle s la main sur ss yeux, regarda autour d'elle pour s cnvncr quelle n'était pas victime d'une illusion ou 'udn rêve horrible ; puis tout à coup, éclairée par le sentiment de la réalité, elle se précipita hors de sa maison, ls cheveux épars ; elle courait le long du port, et chacun respectant sa douleur secouait tristement la tête en l voyant passer ; elle rrv ainsi sur la côte, te put se convaincre qu'il n'y avait plus q'n tiers de la digue de l digue, que les matériaux apportés par la mer au rivage. Cependant la foule s'msst. Des hommes généreux s'étaient dévoués pour sauver les naufragés. Tous les yux étaient tournés vers la mer ; les faibles encourageaient ls forts, les
courir à sa fenêtre. Le tumulte des flots n'avait pas cessé, et derrière leur crête gigantesque, elle n'aperçut ni le fort ni la digue ; elle passa la main sur ses yeux, regarda autour d'elle pour se convaincre qu'elle n'était pas victime d'une illusion ou d'un rêve horrible ; puis tout à coup, éclairée par le sentiment de la réalité, elle se précipita hors de sa maison, les cheveux épars ; elle courait le long du port, et chacun respectant sa douleur secouait tristement la tête en la voyant passer ; elle arriva ainsi sur la côte, et put se convaincre qu'il n'y avait plus qu'un tiers de la digue de la digue, que les matériaux apportés par la mer au rivage. Cependant la foule s'amassait. Des hommes généreux s'étaient dévoués pour sauver les naufragés. Tous les yeux étaient tournés vers la mer ; les faibles encourageaient les forts, les timides faisaient vœu pour les braves. Les efforts de ces derniers n'avaient aucun succès, et plus d'un mourant avait été arraché à la mort par leur amour généreux ; quand apparut au loin, porté par la mer, un corps ou un cadavre ! Tantôt il apparaissait sur la crine verdâtre tantôt il plongeait dans les profondes vallées creusées par la vague. Une sorte d'intuition qui n'est donnée qu'à l'amour, Rose connaissait, avait son fiancé sous les yeux ; ses jambes fléchirent, elle s'évanouit ... Cependant deux hommes s'étaient jetés à la mer pour porter secours au naufragé. Une galère était ballottée au milieu de la rade, sa toile rompue, ses hommes rompus à cet exercice, ces braves gens réussirent à l'aborder et furent conduits vers celui qu'ils espéraient sauver. Déjà ils tendaient les bras pour le tirer de l'eau, quand une vague irrésistible, venue de la lointaine, lança au rivage avec la rapidité de la foudre. On le vit la lame qui formait une sorte d'amphithéâtre en face des gens étonnés ; il était mort ! Ses traits portaient la trace d'une fiévreuse maladie, on voyait à son flanc une large blessure où était encore dans l'effroi des premiers moments
or à sa fenêtre. Le umu des flots n'avait as cessé, et derrière leur crête gigantesque, elle n'aperçut n fort ni la digue elle passa la mi sur ses yx, regarda autour d'elle pour se convaincre q'll n'était pas victime d'n illusion ou 'un rêve horrible ; puis tout coup, lairé par le sentiment de la réalité, elle se précpt hrs sa maison, les cheveux épars ; elle courait l long du port et chacun respectant sa douleur sct tristement la tête en la voyant passer ; ll arriva ainsi sur a côte, et ut se convaincre qu'il n'y avait plus qu'un tiers de la digue de la dg, que e matériaux apportés par a mer rvg. Cependant la ufeol s'msst. Des hommes exgénuré s'étaient dévés pour usevra les naufragés. Tous les ye étnt tournés r la mer ; les faibles encourageaient les ,ostrf les timides faisaient vœu pour les braves. Les efforts de ces eer n'avaient aucun succès, t plus d'un oran avait été aché à la mort par leur mr généreux ; quand apparut au i, oétrp par la r,em un corps ou n cadavre ! Tantôt il apparaissait sur la crine verdâtre attôtn il plngt dans les profondes vallées creusées par la vague. Une sorte d'intuition qui n'est donnée quà l'amour, Rose connaissait, avait son fiancé sous les yeux ; ses jambes fléchirent ee s'évanouit ... Cependant deux hmms s'éaet jetés à la mer pour porter secours au naufragé. Une glèr était ballottée au ml de la rade, sa toile rompue, ses hmms rompus à cet execice, ces braves gs réussirent à l'brdr et furent conduits vers celui quils espéraient sauver. Déjà ils tendaient ls bras pour le tirer de l'eau, qnd une vague irrésistible, venue de la lointaine lança rivage avec la rapidité d la foudre. On le i lame u formait une sorte padhâmeiért'ht en face des gens étonnés ; il était mort ! Ses traits portaient la trace d'une fiévreuse amedlia, on vaoity à son flanc une large blessure où était encore snda l'ffr des pemes moments
tantôt il plongeait dans les profondes vallées creusées par la vague. Une sorte d'intuition qui n'est donnée qu'à l'amour, Rose connaissait, avait son fiancé sous les yeux ; ses jambes fléchirent, elle s'évanouit ... Cependant deux hommes s'étaient jetés à la mer pour porter secours au naufragé. Une galère était ballottée au milieu de la rade, sa toile rompue, ses hommes rompus à cet exercice, ces braves gens réussirent à l'aborder et furent conduits vers celui qu'ils espéraient sauver. Déjà ils tendaient les bras pour le tirer de l'eau, quand une vague irrésistible, venue de la lointaine, lança au rivage avec la rapidité de la foudre. On le vit la lame qui formait une sorte d'amphithéâtre en face des gens étonnés ; il était mort ! Ses traits portaient la trace d'une fiévreuse maladie, on voyait à son flanc une large blessure où était encore dans l'effroi des premiers moments et en l'absence des secours médicaux. On n'avait pas osé retirer de la plaie l'arme meurtrière, de peur que la victime ne s'échappât avec son sang ; il apparut ainsi aux yeux des bras raidis et étendus comme pour demander une juste vengeance. Avant qu'on l'eût tiré sur la grève, Rose se était élancée, elle connaissait son amant ! Cependant, pas une seule plainte ne surgit ; elle contemplait, muette d'horreur, le cadavre de Jules. — C'est ainsi que je me venge de vos dédains, murmura un des assistants ! Rose tressaillit comme une panthère blessée ; plus prompte que moi, elle se précipita sur le corps de son fiancé, arracha le reste dans la plaie, et avant que le maître d'armes eût pu lui faire la pensée de la terrible représaille qu'il avait appelée sur sa tête, frappé par l'instrument même de son crime. On entraîna la jeune fille qui fut remise entre les mains des autorités, et on emporta Brisac dangereusement blessé, ce qui ne fut pas peu surpris de le voir se soustraire au traité qui, dans la gravité de sa blessure. Dès la nuit suivante, l'instruction commencée contre Rose Etienne fut interrompue, parce que les médecins
tantôt il plongeait dans les profondes vallées creusées par la vague. Une ote d'intuition uiq n'est donnée qu'à l'amour, Rose connaissait, tiaav son infacé sous les yeux ; ses jambes fléchirent, elle s'évanouit ... Cependant deux hommes s'étaient jetés à a mer pour porter secours au naufragé. Une galère était ballottée au milieu de la rade, sa toile rompue, ses hmms rompus à cet xrcc, ces braves gens réussirent à l'aborder et furent cndts vers celui qu'ils espéraient esra.vu Déjà ls tendaient les bras pr le tirer de l'eau, quand une vague irrésistible, venue de la lntn, lança a rivage avec la rapidité d la foudre. On le vit la lame qui formait nue sorte d'amphithéâtre en face des gens étonnés ; il était mort ! Ses traits portaient la trace d'une fiévreuse maladie, on voyait à son flanc une large blessure où était encore dans l'effroi des premiers moments t en l'absence des secours médicaux. On n'avait pas osé retirer de la pi ae meurtrière, d peur que la victime n s'échappât avec son sang ; il apparut ainsi aux yeux des brs raidis et étendus comme pour dmndr une juste vengeance. Avant qu'on l'eût tiré sur la grève, Rose se étita élancée, elle connaissait ons amant ! Cependant, pas une seule plainte ne surgit ; ll contemplait, muette 'horreur, le cadavre de Jules. — C'est ns que j me venge de vos dédains, murmura un des ttsnasassi ! Rose tressaillit comme une panthère blessée ; plus prompte moi, elle se précipita sur le corps de son fiancé, arracha le e dans la plaie, et avant que le maître d'armes eût pu lui faire la pensée de la terrible représaille qu'il vt appelée sur sa tête, frappé ar l'instrument même de son crime. On entraîna la jeune fille qui fut remise entre les mains des autorités, et on emporta Brisac dangereusement blessé, ce qui ne fut pas peu surpris de le voir se outrar au traité qui, dns la gravité de s blessure. Dès la nuit sute l'instruction commencée contre Rose ntiEnee fut interrompue, parce que les médecins
Rose se était élancée, elle connaissait son amant ! Cependant, pas une seule plainte ne surgit ; elle contemplait, muette d'horreur, le cadavre de Jules. — C'est ainsi que je me venge de vos dédains, murmura un des assistants ! Rose tressaillit comme une panthère blessée ; plus prompte que moi, elle se précipita sur le corps de son fiancé, arracha le reste dans la plaie, et avant que le maître d'armes eût pu lui faire la pensée de la terrible représaille qu'il avait appelée sur sa tête, frappé par l'instrument même de son crime. On entraîna la jeune fille qui fut remise entre les mains des autorités, et on emporta Brisac dangereusement blessé, ce qui ne fut pas peu surpris de le voir se soustraire au traité qui, dans la gravité de sa blessure. Dès la nuit suivante, l'instruction commencée contre Rose Etienne fut interrompue, parce que les médecins déclarèrent qu'elle était dans une faiblesse absolument liée à sa maladie mentale. Quant à Brisac, on sut qu'il était en fuite sous la protection du gouvernement anglais pour éviter l'arrestation, réservée dans sa lettre aux actions et aux trahisons. PAUL MERRUAU. Distribuée que leur existence est proscrite par les lois, et que le gouvernement ne peut pas permettre qu'il se forme ainsi un gouvernement à côté du gouvernement. Telles sont, en substance, les deux circulaires de M. Martin. Le cabinet les a approuvées, et elles seront expédiées demain ou après-demain aux départements. -on lit dans le Commerce : Le nom de l'agent de change qui a quitté Paris est celui de M. Joubert qui a succédé, il y a dix-sept ans, à M. Clairet, qui lui-même avait été forcé de se retirer dans des circonstances analogues. On racontait que, cependant, M. Joubert avait essayé de mettre fin à ses jours par un suicide d'une nature extraordinaire. Il s'était présenté, à onze heures du matin à Versailles, au chemin de fer de la rive droite, et avait pris un train pour lui seul, en annonçant la nécessité d'un retour imprévu à Paris. Puis arrivé au tunnel de Saint-Cloud, il avait ouvert
Rose se était élancée, ee connaissait son amant ! Cependant, ps ue seule plainte n sgit ; elle contemplait, muette d'horreur, le cadavre de Jules. — eC'ts ainsi que je me vng de vos dédains, murmura ds ssstnts ! Rose tressaillit comme n panthère blessée ; plus prompte q moi, elle s précipita sur le corps de son fiancé, arracha le reste dans la e, et vnt que l maître 'armes ût pu lui fr l pensée de al terrible représaille q'l avait léepepa sur sa tête, aépfpr par l'instrument même d son crime On entraîna la jeune fille qui ut remise entre ls mains des autorités, e on emporta Br dangereusement blssé, ce qui ne fut pas surpris ed le irvo se soustraire au traité qui, dans la gravité d sa blssr. Dès la nuit suivante, 'instruction commencée contre s ine fut interrompue, parce que les médcns déclarèrent qu'elle était dans une faiblesse amn liée à sa maladie mentale. tnaQu Brisac, on u qu'il était e fuite ss la protection du gouvernement anglais o éviter l'arrestation, réservée dans sa lettre aux ain te aux trahisons. PAUL MRR. Distribuée q leur existence est prscrt par ls lois, et que e gvrnmnt peut aps permettre qu'il se forme ainsi un nrnegvomuete côté du gouvernement. Telles sont, en bstn, e deux circulaires de M. Martin. Le cabinet els a approuvées, et elles seront expédiées demain ou après-demain au départements. -on lit d le Commerce : Le nom de l'agent d change qui a qtté Pais est cluei de .M Joubert qui a succédé, il y a dix-sept ans, à Clairet, qi luimême avait été frcé de se rerrite dans des crcnstncs analogues. On rcntt que endnt, M. Joubert avait essayé de mretet fin à ses jours pr un suicide d'n treuna extraordinaire. Il s'étt présenté, à onze heures du matin à Vrslls, au chemin de fer de la rive droite, et avait pris un train pour lui seul, en annonçant la nécessité d'un retour mprév à is. Puis rrvé u tunnel de Saint-Cloud, il avait vtoure
et que le gouvernement ne peut pas permettre qu'il se forme ainsi un gouvernement à côté du gouvernement. Telles sont, en substance, les deux circulaires de M. Martin. Le cabinet les a approuvées, et elles seront expédiées demain ou après-demain aux départements. -on lit dans le Commerce : Le nom de l'agent de change qui a quitté Paris est celui de M. Joubert qui a succédé, il y a dix-sept ans, à M. Clairet, qui lui-même avait été forcé de se retirer dans des circonstances analogues. On racontait que, cependant, M. Joubert avait essayé de mettre fin à ses jours par un suicide d'une nature extraordinaire. Il s'était présenté, à onze heures du matin à Versailles, au chemin de fer de la rive droite, et avait pris un train pour lui seul, en annonçant la nécessité d'un retour imprévu à Paris. Puis arrivé au tunnel de Saint-Cloud, il avait ouvert la portière et s'était élancé, espérant trouver la mort sur les rails ; mais la secousse l'avait jeté contre le mur, et l'instinct de la conservation ayant repris le dessus, il s'était sauvé du convoi. Bientôt après on l'a vu sortir du tunnel, fort en désordre, annonçant que s'étant endormi appuyé sur la portière, elle s'était ouverte accidentellement et qu'il ne savait comment il avait réussi au danger. Voilà du moins ce qui paraît résulter de rapports que l'on dit authentiques. M. Joubert, par suite de sa liquidation, s'est trouvé débiteur de 700,000 fr. envers le parquet pour le mois de septembre; mais on dit que le mois d'octobre offre 300 000 fr. de bénéfice, de sorte que la perte du parquet serait de 40 à 50 p. 0/0; on ne sait pas aussi exactement quelles sont les pertes que la coulisse aura à supporter; quant aux créances en-dehors de la Bourse, on en ignore le montant exact. -On écrit du camp de Compiègne, 23 septembre, au Moniteur parisien : Le 20, il y a eu grandes manœuvres et exercice à feu pour les deux premières divisions. La première pause a été commandée par le duc de Nemours. Pendant le
et que le gouvernement ne peut pas permettre quil se forme ainsi un gouvernement côté du gouvernement. Telles sont, en nsacstube, les deux circulaires de M. Mrtn. Le ain les a approuvées, et elles seront expédiées dmn après-demain aux départements no- lit as le mere : L nom de l'agent de change qui a quitté Paris est celui de M. uber qui a succédé i y a dx-spt ns, à M. Clairet, qui lui-même avait été frcé de se rtrr dans des circonstances anaos. On racontait que, cependant, M. Joubert avait essayé de mettre fin à ss jours par un suicide d'une nature nriieoadxtr.era Il s'était présnté, onze heures d matin à Versailles, au chmn de fer de la rv droite, et avait pris u train pour lui sl, en annonçant la nécessité d'un retour mprév Paris Puis arrivé au tneuln de Saint-Cloud, il tiaav ouvert la prtèr et s'était élancé, spérnt trouver la mort sur les rails ; mais la secousse l'avait jeté contre le mur, et l'instinct de la conservation ayant repris le dessus, l s'était své d convoi. Bientôt après on l' vu sortir du tunnel, fort en désordre, ntannnçao que s'én endormi ppyé sur la pr, s'était ouverte cientlemn et quil ne savait comment li avait réussi au danger Voilà du moins qui prît résulter d rapports que lon dit authentiques. M. Joubert, par suite de sa lqdtn, s'est trouvé débiteur de 700000 fr. v le parquet pour el mois de septembre sima on dit que le is d'octobre offre 300 000 fr. de bénéfice, sorte que la perte du parquet serait de 40 à 50 . 0/0; n ne tsai pas aussi atemn quelles sont les pertes que la coulisse aur supporter; quant aux créances en-dehors de la Bourse, on en ignore e tmotnna exact. -O écrit du camp de Compiègne, 23 septembre, au Mntr asieprni : Le 2, il a eu grandes manœuvres et exercice à f sel deux premières divisions. La première pause a été commandée par le duc de Nmr Pedan le
appuyé sur la portière, elle s'était ouverte accidentellement et qu'il ne savait comment il avait réussi au danger. Voilà du moins ce qui paraît résulter de rapports que l'on dit authentiques. M. Joubert, par suite de sa liquidation, s'est trouvé débiteur de 700,000 fr. envers le parquet pour le mois de septembre; mais on dit que le mois d'octobre offre 300 000 fr. de bénéfice, de sorte que la perte du parquet serait de 40 à 50 p. 0/0; on ne sait pas aussi exactement quelles sont les pertes que la coulisse aura à supporter; quant aux créances en-dehors de la Bourse, on en ignore le montant exact. -On écrit du camp de Compiègne, 23 septembre, au Moniteur parisien : Le 20, il y a eu grandes manœuvres et exercice à feu pour les deux premières divisions. La première pause a été commandée par le duc de Nemours. Pendant le repos, le prince a invité son frère, M. le duc d'Orléans, à commander la seconde pause, ce que le prince royal a accepté. Le 22, il y a eu petite guerre; toutes les opérations ont été brillantes. La journée s'est passée sans accident. Les dispositions prises par le commandant en chef ont été unanimement approuvées. M. le duc de Nemours a, de son côté, paru très satisfait des diverses manœuvres. Le temps continue à nous favoriser; aussi les curieux sont-ils ici en fort grand nombre. -Le roi de Prusse vient de conférer le titre de comte à M. d'Arnim, ambassadeur de son gouvernement en France. D'après des lettres de Breslau, ce ne serait point à Varsovie, mais bien à Kalisch que se rend le roi de Prusse pour y avoir une entrevue avec l'empereur de Russie. (Constitutionnel.) La Gazette des Tribunaux, après avoir rapporté l'article du Temps, que nous avons donné ce matin, sur l'instruction dirigée contre Quenisset, dit: « Nous pouvons ajouter à ces renseignements que, par suite des révélations de Quenisset, trois ouvriers, domiciliés dans le faubourg Saint-Antoine, ont été arrêtés hier et déposés à la Conciergerie. » L'Emancipation annonce qu'une batterie est partie de Toulouse pour Honneller.
appuyé usr la portière, elle s'était ouverte accidentellement et qu'il ne savait comment il avait réussi au danger. Voilà du moins ce qui paraît résulter d rapports que l'on dit authentiques. M. Joubert par suite de sa liquidation, s'est roué débtr de 700,000 fr. envers le parquet pour le mois de septembre; mais n dt que le mois d'octobre offre 300 000 fr de bénéfice, de sorte que la ere du parquet tesair de 40 à 5 p. 0/0; on ne atsi s aussi exactement quelles sont les pertes qu la coulisse aura à supporter; quant aux créances en-dehors de a Bourse, on en ignore le tanmont exact. -On écrit du camp de Compiègne, 23 septembre, au ni parisien : Le 2 il y a grandes manœuvres et exercice à feu pour les deux premières divisions. aL première pause a été cmmndé par le duc de Nemours. Pendant le reo, le prince a invité son frère, M. le duc d'rléns, à commander la seconde pause, ce qeu le prince royal a accepté. Le 22, il y a petite guerre; toutes es réoptoians ont été brillantes. La journée s'est passée sans accident. Les dspstns prises par el commandant n chf ont été unanimement aprus M. le duc de emrs a, de son côté, pr très satisfait des diverses mave. Le temps continue à os favoriser; aussi les curieux sont-ils ici en grand nombre -Le roi de Prusse vient de cnférr le titre de ome à M. d'Arnim, ambassadeur de son gouvernement n France. Dprès des lettres de Breslau, ce ne serait point à Varsovie, mais bien à Kalisch que se rend le roi de Prusse pour avoir une entrevue avec l'empereur d Russie. (Constitutionnel.) La Gazette des Tribunaux, après avoir rapporté l'rtcl du Temps, e ns avons donné ce mtn, sr l'instruction dirigée contre Quenisset, dit: « Nous pouvons ajouter à ces renseignements que, par suite des révélations de Quenisset, trois ouvriers, domiciliés dans le faubourg Sititaone-An,n ont été arrêtés hier et sdoééps à la Conciergerie. » L'Emancipation annonce qu'une batterie est partie de Toulouse pour Honneller.
chef ont été unanimement approuvées. M. le duc de Nemours a, de son côté, paru très satisfait des diverses manœuvres. Le temps continue à nous favoriser; aussi les curieux sont-ils ici en fort grand nombre. -Le roi de Prusse vient de conférer le titre de comte à M. d'Arnim, ambassadeur de son gouvernement en France. D'après des lettres de Breslau, ce ne serait point à Varsovie, mais bien à Kalisch que se rend le roi de Prusse pour y avoir une entrevue avec l'empereur de Russie. (Constitutionnel.) La Gazette des Tribunaux, après avoir rapporté l'article du Temps, que nous avons donné ce matin, sur l'instruction dirigée contre Quenisset, dit: « Nous pouvons ajouter à ces renseignements que, par suite des révélations de Quenisset, trois ouvriers, domiciliés dans le faubourg Saint-Antoine, ont été arrêtés hier et déposés à la Conciergerie. » L'Emancipation annonce qu'une batterie est partie de Toulouse pour Honneller. On lit dans l'Echo de resonance, du 22: « L'épidémie s'éteint partout. À Périgueux et dans les communes environnantes, on ne compte plus que des convalescents, et il n'apparaît aucun cas grave. » M. Fulchiron se trouvait le 19 à Marseille. Il venait de Lyon et se rendait en Italie, où son collègue M. Sauzet continue à passer ses vacances législatives. On lit dans la Sentinelle de la marine, journal de Toulon, du 21: « On dit que les vaisseaux désignés pour Brest doivent partir incessamment. La Circé doit aller en station aux Antilles. On ne parle pas encore du restant de l'escadre. Rien ne fait supposer, quoique l'inspection générale soit terminée, qu'on songe à un désarmement. » M. Belvèze, capitaine de corvette, est nommé au commandement de la Cornaline; M. Mortemart de Boisse, capitaine de corvette, à celui du Renard; M. Ferrand, capitaine de corvette, à celui de la Surprise; M. Baligot, capitaine de corvette, à celui de la Triomphante; M. Sauvan, lieutenant de vaisseau, à celui de l'Étoile; M. Lefrapper, lieutenant de vaisseau, à celui de l'Émulation. La frégate la Forte, de 60 canons, en construction depuis douze ans, a été lancée des chantiers de Cherbourg. À côté
chf ont été unanimement pprvés. M. le duc d Nemours a, de son côté, pr très satisfait ds diverses manœuvres. Le temps iunonetc à nous favoriser; aussi les curieux ols ici en fort adngr nombre. -Le roi de Prusse vient de conférer le titre de comte M. d'Arnim, ambassadeur de son gouvernement en France. D'après des lettres de Breslau ce ne serait point à Varsovie, mais bien à Kalisch que se rend le roi de Prusse pr avoir une entrevue avec l'empereur de Russie. (Constitutionnel.) La Gazette des Tribunaux, après avoir rpoté l'article du Temps, que nous avons doné c matin, sur l'instruction dirigée contre Quenisset, dit: « Nous pouvons ajouter à ces renseignements que, par suite des révélations de Quenisset trois ouvriers, domiciliés dans le faubourg Snnieit,n-tAao ont été arrêtés hie et déposés à la Conciergerie. » L'Emancipation eacnonn qu'une batterie est partie de Toulouse pour Honneller. On lit s l'Echo de rsnnc, du 22: « L'épidémie s'éteint partout. À Périgueux et dans les ommue environnantes, on ne compte plus que des cnvlscnts, et il n'apparaît aucun cas grave. » . Fulchiron se trouvait le 19 à Marseille. Il venait de Lyon et se rendait en Italie, où son collègue M. Sauzet continue passer ses vacances législatives. O lit dans la eintlnleSe de la marine, journal de Toulon, du 21: « On dit que les vssx désignés pour Brest dvnt partir incessamment. La Circé doit lr en station aux Antilles. On ne parle pas encore du restant de desrca.el' Rien ne fita supposer, quoique l'inspection générale soit terminée, q'o songe à un désarmement. » M. Belvèze capitaine corvette, est nommé commandement de la Cornaline; M. Mortemart de Boisse, capitaine de corvette, à celui d Renard; M. Ferrand, capitaine d corvette, à celui de la Surprise; M. Baligot, capitaine de treov,tec à celui d la Triomphante; M. Sauvan, lieutenant de vaisseau, à celui de l'Étoile; M. Lefrapper, lieutenant de vaisseau, à celui de l'Émulation. La frégate la Forte, de 60 canons, n construction depuis douze ans, été lancée des chantiers de Cherbourg. À côté
où son collègue M. Sauzet continue à passer ses vacances législatives. On lit dans la Sentinelle de la marine, journal de Toulon, du 21: « On dit que les vaisseaux désignés pour Brest doivent partir incessamment. La Circé doit aller en station aux Antilles. On ne parle pas encore du restant de l'escadre. Rien ne fait supposer, quoique l'inspection générale soit terminée, qu'on songe à un désarmement. » M. Belvèze, capitaine de corvette, est nommé au commandement de la Cornaline; M. Mortemart de Boisse, capitaine de corvette, à celui du Renard; M. Ferrand, capitaine de corvette, à celui de la Surprise; M. Baligot, capitaine de corvette, à celui de la Triomphante; M. Sauvan, lieutenant de vaisseau, à celui de l'Étoile; M. Lefrapper, lieutenant de vaisseau, à celui de l'Émulation. La frégate la Forte, de 60 canons, en construction depuis douze ans, a été lancée des chantiers de Cherbourg. À côté de la caisse laissée vide par cette frégate, on remarquait le gigantesque squelette d'un paquebot transatlantique de 450 chevaux. Un autre bâtiment à vapeur de la même tonneur est en construction sur la cale, où a été bâti le trois-ponts le Friedland. On écrit de Brest, 20 septembre: On a fait la semaine dernière à Brest les épreuves des machines du vapeur le Pluton. Une commission, composée d'ingénieurs et mécaniciens de marine, était chargée de suivre ces épreuves, de vérifier si les machines remplissaient toutes les conditions du marché, et de décider si elles devaient être admises. Le résultat des ingénieurs a été aussi satisfaisant que possible; la commission a eu à constater un succès complet national, puisque nous pouvons dès à présent cesser d'être tributaires de l'Angleterre pour les grandes machines à vapeur. Voici, du reste, quelles ont été les conclusions du rapport adressé au ministre par la commission des épreuves: En résumé, la machine du Pluton est une fort belle machine, dont l'entretien bien entendu et très soigné offre toutes les garanties nécessaires et peut rivaliser avec les meilleures machines anglaises de 240. En payant ici un juste tribut d'éloges à MM. les constructeurs, la commission éprouve une
où son collègue . Sauzet continue passer ses vcncs législatives. On lit dans la Sentinelle de la marine, journal de Toulon, du 21: « On dit que les vaisseaux désignés pour Brest doivent partir incessamment. La Circé dt aller en station aux Antilles. On ne parle pas encore du rstnt de l'escadre. Rien ne ait supposer, quoique linspection générale soit terminée, qu'on enosg à un désarmement. » M. Belvèze capitaine de corvette, est nommé au commandement de la Cornaline; M. Mrtmrt de Boisse, capitaine de vte à celui du Renard; M. re,drnaF capitaine de corvette, à celui de la Surprise; M. Baligot, capitaine de corvette, à celui de la Triomphante; M. Svn, lieutenant de vaisseau, à celui de l'Étoile; M. Lefrapper, lieutenant de vaisseau, à celui de l'Émulation. La frégate la Forte, de 60 canons, en construction depuis douze ans, a été lancée des chantiers de Cherbourg. À côté de al caisse laissée vide par cette ge n earquai le gigantesque squelette d'n paquebot tsaantiue de 405 chevaux. Un autre bâtiment à vapeur de la même tonneur est en cnstrctn sur la cale, où a été bâti le trois-ponts le Friedland. On écrit de Brest, 20 septembre: On a fait la semaine dernière à Brest l épreuves d machines du vapeur le Pluton. Une commission, cmpsé d'ingénieurs et mécaniciens de marine, était chargée de suivre ces épreuves, de vérifier si les machines remplissaient toutes les conditions du marché, et de décider si elles devaient être admises. Le résultat des ingénieurs a été aussi satisfaisant que possible; la commission a eu à constater un sccès complet national, puisque nous pouvons dès à présent cesser d'être tributaires de l'Angleterre pr les grandes machines à vapeur. Voici, du reste, quelles ont été les conclusions du rapport adressé au ministre par la commission des épreuves: En résumé, la machine du Pluton est ne fort belle machine, dont l'entretien bien entendu et sèrt soigné offre tut e garanties nésars et peut rivaliser avec les meilleures machines anglaises 240 En payant ici un juste tribut déloges à MM. les constructeurs, la commission éprv une
fait la semaine dernière à Brest les épreuves des machines du vapeur le Pluton. Une commission, composée d'ingénieurs et mécaniciens de marine, était chargée de suivre ces épreuves, de vérifier si les machines remplissaient toutes les conditions du marché, et de décider si elles devaient être admises. Le résultat des ingénieurs a été aussi satisfaisant que possible; la commission a eu à constater un succès complet national, puisque nous pouvons dès à présent cesser d'être tributaires de l'Angleterre pour les grandes machines à vapeur. Voici, du reste, quelles ont été les conclusions du rapport adressé au ministre par la commission des épreuves: En résumé, la machine du Pluton est une fort belle machine, dont l'entretien bien entendu et très soigné offre toutes les garanties nécessaires et peut rivaliser avec les meilleures machines anglaises de 240. En payant ici un juste tribut d'éloges à MM. les constructeurs, la commission éprouve une satisfaction d'autant plus vive, car la machine du Pluton, la première sortie d'ateliers français, fait voir que l'on saura désormais trouver dans sa propre industrie toutes les ressources qu'un développement de la navigation à la vapeur peut engendrer. On lit dans le Mémorial Dieppois: À cinq heures et demie, un petit canot, monté par trois hommes et manœuvré par l'un d'eux, est sorti du port et s'est dirigé vers un sloop anglais, qui était environ à une lieue et demie au large. À l'approche, un autre canot du bord est venu au devant de lui, a recueilli les hommes qu'il montait et les a conduits au sloop, sur lequel ils sont embarqués, pendant que le canot qui les avait amenés de l'autre revenait au port. Les étaient ces hommes qui avaient eu recours, pour quitter notre Léguillon, à un moyen si peu ordinaire ? Cette question fut faite par ceux qui avaient vu la manœuvre du canot qui les avait conduits ; quand aussitôt l'alarme avait été donnée, et son patron, Milliot fils, fut soumis par l'autorité maritime à un interrogatoire en règle, tant que quatre douaniers, se jetant à la hâte dans une frégate, se mirent à la poursuite
fait la sema dernière à Brest les épreuves des machines du vapeur l lPoun.t Une iss copoe d'ingénieurs et mécaniciens de mre, était chargée de suivre ces prue, de vérifier si les mhcansei remplissaient toutes les conditions du marché, et de décider si elles devaient être admises Le résultat ds ingénieurs a été aussi satisfaisant que possible; la commission a à srtneoact un succès cmt national, puisque nous pouvons dès à présent cesser d'être tutarsieirb de l'Angleterre pour les grandes machines à vapeur. Voici, d reste, quelles ont été les conclusions du rapport adressé au ministre par la commission des épreuves: En résumé, la machine du Pluton est une fort belle machine, ontd l'entretien bn entendu et très soigné offre toutes les garanties nécessaires et peut rvlsr avec les meilleures achins anglaises de 2. En payant ici un juste tribut 'éloges à MM. les constructeurs, la commission éprouve une satisfaction d'autant plus vive, car la machine du lut, l prmèr sortie d'ateliers français, it vr que l' saura désormais trouver dans sa propre industrie oteust les ressources qu'un développement de la navigation à la vapeur peut enede. On lit dans le Mémorial Dieppois: À cinq heures et demie, un petit canot, monté par trois hommes et manœuvré par l'un d'eux, ets sorti du prt et 'est dirigé vers un sloop anglais, qui était environ à une lieue et demie au large. l'approche, un autre canot du bord est venu au devant de lui, a recueilli les hommes qu'il montait et les a conduits au sloop, sur leque l sont embarqués, ed q le canot ui les avait amenés de l'autre revenait au port. Les étaient ces hommes q avie eu recours, pr quitter notre Léguillon, à un oen si peu ordinaire ? Cette question fut ft par ceux qui avaient vu la manœuvre du canot qui les avait conduits ; quand aussitôt l'alarme vt été donnée, et son patron, Milliot fils, fut somuis par l'autorité maritime à un interrogatoire en règle, tant que quatre douaniers, se ea à la hâte dans une frégate, se mirent à l poursuite
petit canot, monté par trois hommes et manœuvré par l'un d'eux, est sorti du port et s'est dirigé vers un sloop anglais, qui était environ à une lieue et demie au large. À l'approche, un autre canot du bord est venu au devant de lui, a recueilli les hommes qu'il montait et les a conduits au sloop, sur lequel ils sont embarqués, pendant que le canot qui les avait amenés de l'autre revenait au port. Les étaient ces hommes qui avaient eu recours, pour quitter notre Léguillon, à un moyen si peu ordinaire ? Cette question fut faite par ceux qui avaient vu la manœuvre du canot qui les avait conduits ; quand aussitôt l'alarme avait été donnée, et son patron, Milliot fils, fut soumis par l'autorité maritime à un interrogatoire en règle, tant que quatre douaniers, se jetant à la hâte dans une frégate, se mirent à la poursuite du sloop, qui était encore en vue. Arrivés à une arme de fusil, les douaniers, laissant là leurs avirons, prirent leurs élévés une décharge. Mais le sloop, profitant d'une brise qui douanément en ce moment, et pendant la halte forcée que les douaniers avaient fait pour opérer leur décharge, se mit à filer de telle sorte que ceux-ci, désespérant de l'atteindre, revinrent au port. Pris par leur infructueuse navigation, des informations avaient été prises on savait que les deux hommes qui venaient de s'embarquer avec un bon anglais, sous le costume de matelots, étaient arrivés de Puis denier du Soir à Dieppe, avaient logé chez un Anglais qui tient un café sur le quai Duquesne, et étaient convenus dès la veille avec lui qu'il les conduirait en mer le lendemain de bon matin. On est sûr que le sloop qui les a recueillis était dès hier au soir en rade et est demeuré longtemps à l'ancre en face de l'établissement des halleaux tout près du rivage. Les deux fugitifs paraissaient le domestique de l'autre, et tous deux avaient l'accent anglais. On demande que M. le commissaire de police avait reçu depuis quelqu'avant l'arrivée prochaine en rade d'un navire suspect, et,
petit canot, mnté par trois hommes et ué par l'un xe,d'u est sorti du port et s'est dirigé vrs un sloop ni, qui était environ une lieue et demie large. À l'approche, un autre canot du bord est venu au devant de lui, a recueilli les hommes qu'il montait et les a conduits au sloop, sur lequel ils sont embarqués, pendant q le can qui les avait amenés de l'autre revenait au port. Les étaient cs hommes qui avaient eu recours pour quitter notre Léguillon à un nmyoe si peu ordinaire Cette question fut faite par ceux qui avaient vu la manœuvre du canot qui les avait conduits quand aussitôt l'alarme avait été donnée, et son patron, Milliot fils, fut soumis par l'autorité maritime à un ntrrgtr en règle, tant que quatre dnrs, se jetant à a hâte dans une frégate, se mirent à l poursuite du sloop, qui était encore en vue. Arrivés à une arme fusil, les douaniers, laissant là leurs avirons, prirent leurs élévés n décharge. Mais el sloop, profitant d'une brise qui douanément en ce moment, et pendant la halte forcée q douaniers vnt fait uorp pérr leur déchrg, se mit filer de telle sorte que ceuxci désespérant de latteindre revinrent au port. Pris par leur infructueuse nvgtn, ds informations aa été prises on savait que les deux hommes qui venaient de s'embarquer avec un bon anglais, sous le cstm matelots, ttaineé riv de Puis denier d iSor à Dieppe, avaient logé chez un Anglais qui etitn un café sur quai Duquesne, et étaient convenus dès la veille avec lui qu'il les conduirait en mer le lendemain de bon mati. On st sûr que le sloop q les a recueillis était dès hier or en rade et est demeuré longtemps à l'ancre en face de létablissement ds halleaux tout près du rivage. Les deux fugitifs arisie le domestique de l'autre, et tous deux avaient l'accent anglais. On demande que M. le commissaire police avait reçu depuis quelqu'avant l'rrvé prochaine en rade d'un navire suspect, et,
mit à filer de telle sorte que ceux-ci, désespérant de l'atteindre, revinrent au port. Pris par leur infructueuse navigation, des informations avaient été prises on savait que les deux hommes qui venaient de s'embarquer avec un bon anglais, sous le costume de matelots, étaient arrivés de Puis denier du Soir à Dieppe, avaient logé chez un Anglais qui tient un café sur le quai Duquesne, et étaient convenus dès la veille avec lui qu'il les conduirait en mer le lendemain de bon matin. On est sûr que le sloop qui les a recueillis était dès hier au soir en rade et est demeuré longtemps à l'ancre en face de l'établissement des halleaux tout près du rivage. Les deux fugitifs paraissaient le domestique de l'autre, et tous deux avaient l'accent anglais. On demande que M. le commissaire de police avait reçu depuis quelqu'avant l'arrivée prochaine en rade d'un navire suspect, et, conformément à cet avis à la douane, celle-ci, croyant qu'il agissait d'un fait de contrebande, avait doublé tous ses postes. Le Moniteur parisien annonce que la ville de Paris va très prochainement être dotée de la bienfaisante institution des prud'hommes. De la population industrielle de cette grande ville reclame cette autorité paternelle et économique dont se trouvent si bien les bénéfices en jouissant en France, et notamment Lyon et Rouen. La préfecture a fait les plus louables efforts pour naturaliser l'institution des prud'hommes. Par ses soins, une commission a été nommée à l'effet de préparer l'organisation de cette juridiction. Cette commission est composée de MM. Gandon, Perrier, Leboc, Pepin-Lehault, Samson, Davillier, De Chereaux et Moton. Elle s'est réunie plusieurs fois sous la présidence de M. le préfet de la Seine et a, dit-on, arrêté les bases de cette organisation. Une circulaire du ministre de la guerre porte qu'à l'avenir les engagés volontaires et les jeunes soldats devançant l'appel seront toujours dirigés sur les dépôts des corps auxquels ils doivent appartenir. Une décision ministérielle met à la charge du budget du chauffage et de l'éclairage, à partir du 1er janvier 1842, les fournitures de cette nature à faire aux corps de
mit à filer de telle sorte que ceux-ci, désespérant de l'atteindre, revinrent au port. Pris par leur infructueuse navigation, des nfrmtns avaient été prises n savait que les deux hommes qui venaient de s'embarquer avec un bon anglais, sous le costume de matelots, étaient arrivés de Puis denier du Soir à Dieppe, avaient logé chez u Anglais qui tient un café r le quai Duquesne, et étaient convenus dès la vll avec lui q'l les conduirait en mer le lendemain de bon matin. On est sûr que le lop qui les a recueillis était dès hier soir en rade et est demeuré longtemps à l'ancre en e d l'établissement des halleaux tout près du rivage. Les deux fugitifs paraissaient le domestique de l'autre, et tous deux avaient l'accent ngls. On demande que le commissaire de police avait reçu depuis quelqu'avant l'arrivée prochaine en rade dun navire p, et, conformément à cet avis à la douane, celei croyant l agissait d'un fait de contrebande, avait dblé tous ses postes. Le rtoniMue parisien annonce que la ville de Paris va très prochainement être dotée d la bienfaisante institution des prudhommes De la population industrielle de cette grande ville reclame cette autorité paternelle et économique dont se trouvent si bien lse niéecsfbé en jouissant en France, et notamment Lyon et Rn. La préfecture a fait ls plus louables efforts pour naturaliser l'nstttn des prud'hommes. Par s soins, une commission été nommée à l'fft de préparer l'organisation de cette uin Cette commission est composée de MM. Gandon, Perrier, Leboc, Pepin-Lehault, Samson, Davillier, De Chereaux e Moton. Elle s'est réunie plusieurs osfi sous la présidence de M. le tfepér de la Seine et a, don, arrêté les bases de cette organisation. Une circulaire du ministre de l guerre porte qu'à lavenir les engagés volontaires et ls jeunes soldats dvnçnt l'appel seront toujours dirigés sur les dépôts des corps auxquels l doivent appartenir Une décision mnstérll met à la charge ud budget du ufage et de l'éclairage, à partir du 1er janvier 1842, les fournitures e cette nature à faire aux corps de
autorité paternelle et économique dont se trouvent si bien les bénéfices en jouissant en France, et notamment Lyon et Rouen. La préfecture a fait les plus louables efforts pour naturaliser l'institution des prud'hommes. Par ses soins, une commission a été nommée à l'effet de préparer l'organisation de cette juridiction. Cette commission est composée de MM. Gandon, Perrier, Leboc, Pepin-Lehault, Samson, Davillier, De Chereaux et Moton. Elle s'est réunie plusieurs fois sous la présidence de M. le préfet de la Seine et a, dit-on, arrêté les bases de cette organisation. Une circulaire du ministre de la guerre porte qu'à l'avenir les engagés volontaires et les jeunes soldats devançant l'appel seront toujours dirigés sur les dépôts des corps auxquels ils doivent appartenir. Une décision ministérielle met à la charge du budget du chauffage et de l'éclairage, à partir du 1er janvier 1842, les fournitures de cette nature à faire aux corps de garde établis auprès des poudreries militaires. Suivant une note ministérielle du 9 septembre, les sous-officiers et militaires détachés dans les gymnases divisionnaires, lorsqu'ils voudront contracter un réengagement, recevront, s'il y a lieu, l'attestation d'aptitude exigée, de l'officier-directeur du gymnase sous les ordres duquel ils seront employés. — On écrit de Granville dans le Journal d'Avranches : « Les bateaux houprites de notre ville s'étant permis, il y a peu de temps, de pêcher sur un banc prohibé, malgré la défense des maîtres jurés, ont été frappés par le commissaire principal de la marine d'une suspension de pêche pendant dix jours. Nous doutons que ce fonctionnaire ait le droit d'infliger une semblable peine qui, au fond, n'est pas équitable, puisqu'elle prive de leur seul moyen d'existence plus de cinq cents hommes, dont plusieurs n'étaient pas complices de l'infraction, et dont les autres obéissaient à leurs maîtres de bateau. Ce sont ces derniers seulement qu'en pareille circonstance il serait convenable de punir. » — Un meurtre atroce et un acte de piraterie abominable ont été commis par les habitants des îles Nicobar, dans la baie de Boho, contre la vie du capitaine et de l'équipage du navire le Pilote, qui était mouillé
autorité paternelle et comouéineq dont se trouvent si bien les bénéfcs en jouissant na,eFrc et notamment Lyn et Rouen L préfecture a fai les plus louables efforts pr naturaliser 'institution des prud'hommes. Par ses soins, une commission a éét nommée à l'effet de préprr l'organisation de cette juridiction. e commission est composée d MM. do Pier Lbc, Pepin-Lehault, Samson, Davillier, De Chereaux et Moton. Elle se réunie plusieurs fois sous la présidence de M. le préfet de la ei et a, dit-on, rétraê les bases de cette organisation. Une circulaire du mnstr de la guer porte qu'à l'avenir les engagés volontaires et les jeunes soldats devnn l'appel seront toujours dirigés sur les dépôts ds corps auxquels ils doivent appartenir. Une décision ministérielle met à la charge du budget du chauffage et de léce, à partir du 1r janvier 2 les fournitures de cette nature faire crps de grd établis auprès des poudreries militaires. Suivant n note mnstérll du 9 septembre, les sous-officiers t militaires détachés dans les gymnases divisionnaires, lorsqu'ils voudront contracter un réengagement, recevront, s'il y a lieu, l'attestation d'aptitude exigée, de 'officier-directeur du gymnase sous les rdres duquel ls seront employés. — On écrit de Granville dans le aournJl d'Avranches : « Les bateaux houprites de re ville s'étant permis il y a peu de temps d pêcher sur un banc prohibé, malgré la défns des maîtres jurés, ont été frappés ar le commissaire principal de la main d'une suspension de pêche ntpdaen dix jours. Nous doutons que ce atneinocinofr ait le droit d'infliger une semblable peine qui, au fond, n'est pas équitable, puisqu'elle prive de er seul moyen d'existence pls d cinq cents hommes, dont plusieurs n'étaient pas complices de l'nfrctn, et dont les autres obéissaient à esurl maîtres de bateau Ce sont cs drnrs seulement qe pareille circonstance il serait convenable de p » — n meurtre atroce e un ct de piraterie abominable été commis par es habitants des îles Nicobar, dans l baie de Bh, contre la vie du capitaine et de lqae du aerinv le Pilote, qui t mllé
Granville dans le Journal d'Avranches : « Les bateaux houprites de notre ville s'étant permis, il y a peu de temps, de pêcher sur un banc prohibé, malgré la défense des maîtres jurés, ont été frappés par le commissaire principal de la marine d'une suspension de pêche pendant dix jours. Nous doutons que ce fonctionnaire ait le droit d'infliger une semblable peine qui, au fond, n'est pas équitable, puisqu'elle prive de leur seul moyen d'existence plus de cinq cents hommes, dont plusieurs n'étaient pas complices de l'infraction, et dont les autres obéissaient à leurs maîtres de bateau. Ce sont ces derniers seulement qu'en pareille circonstance il serait convenable de punir. » — Un meurtre atroce et un acte de piraterie abominable ont été commis par les habitants des îles Nicobar, dans la baie de Boho, contre la vie du capitaine et de l'équipage du navire le Pilote, qui était mouillé et qui faisait le commerce avec les naturels. Vingt-un hommes de l'équipage ont été massacrés et dix se sont sauvés dans un canot n'ayant pour toute nourriture que vingt-sept noix de coco. Le navire a été entièrement pillé par les naturels. (Son ) — Un vol a été commis dans l'église de la commune de la Forêt-du-Parc (Eure), dans la nuit de jeudi à vendredi dernier. Les voleurs se sont introduits dans l'église en faisant sauter, à l'aide d'un fort levier en bois, une des grilles en fer de l'une des fenêtres, et ont forcé l'armoire du banc du trésorier. La somme qu'ils ont volée est très minime, car cette église est très pauvre. — On lit dans le Publications de l'Ouest : « Dans la nuit de dimanche dernier, vers les trois heures du matin, la diligence de Paris à Brest s'embourbée en passant sur le pont qu'on rencontre en arrivant à Belle-Ile en-Terre, pont en ce moment en construction et qui n'est que remblayé. Les roues de la voiture s'y enfoncèrent tellement, que les efforts des chevaux furent infructueux pour l'en retirer. M. Le Vincent, juge-de-paix de Belle-Ile ayant son domicile près ce pont, éveillé par le bruit
Granville dans le Journal d'Avranches : « Les bateaux houprites de notre ville s'étant permis, l y a peu temps, de rechpê sr un banc prohibé, malgré la défense des mîtrs jurés, ont été frappés par le commissaire principal de l marine d'une seso de pcheê pendant ou. Nous doutons que c fonctionnaire at le droit d'infliger une semblable peine qui, au fnd, n'est pas éqtbl, puisqu'elle prive de leur sl moyen d'existence plus de cinq cents hommes dont plsrs n'étaient pas complices de l'infraction, t dont les ue obéissaient à leurs maîtres d beau Ce sont ces derniers seulement qu'en reil circonstance l serait convenable de punir. » — Un mrtr atroce et un acte d prtr abominable ont été commis pr els att des îles Niobr, dans la baie de Boho, cntr la vie du capitaine et de 'ae du nvr le Pilote, u ét mil et qui asifita le commerce avec les naturels. Vingt-un hommes de l'équipage ont été massacrés et dix se sont ausésv dans un cnt n'ayant pour toute reroinruut que vingtsept noix d coco. Le navire été entièrement pillé par ls naturels. (nSo — Un vol a cmms dans l'église de la commune de la Forêt-du-Parc (re dans la nuit d jeudi à dredi inrrde.e Ls voleurs se sont introduits dans l'église en faisant sauter, à l'aide d'n fort levier en bois, une de grilles en fer de l'une des fenêtres, ont forcé 'armoire du banc du trésorier. La somme quils ont volée est très minime, car cette église est très pvr. — nO lit dans le Publications de l'Ouest : « Dans nuit de dimanche dernier, vers les istor heures du matin, la diligence d Paris à Brest s'embourbée en passant sur le pont qu'on rencontre en arrivant à Belle-Ile n-Trr, pont en ce moment en construction et qui n'est que remblayé. Ls rs de la voiture s'y enfoncèrent tellement, que les efforts des chevaux rn infructueux pour l'en retirer . Le Vincent, juge-de-paix de Belle-Ile ayant nos domicile srpè ce pont, éveillé par le bruit
l'église de la commune de la Forêt-du-Parc (Eure), dans la nuit de jeudi à vendredi dernier. Les voleurs se sont introduits dans l'église en faisant sauter, à l'aide d'un fort levier en bois, une des grilles en fer de l'une des fenêtres, et ont forcé l'armoire du banc du trésorier. La somme qu'ils ont volée est très minime, car cette église est très pauvre. — On lit dans le Publications de l'Ouest : « Dans la nuit de dimanche dernier, vers les trois heures du matin, la diligence de Paris à Brest s'embourbée en passant sur le pont qu'on rencontre en arrivant à Belle-Ile en-Terre, pont en ce moment en construction et qui n'est que remblayé. Les roues de la voiture s'y enfoncèrent tellement, que les efforts des chevaux furent infructueux pour l'en retirer. M. Le Vincent, juge-de-paix de Belle-Ile ayant son domicile près ce pont, éveillé par le bruit qu'occasionait le danger où se trouvait tant de monde, et poussé par un louable mouvement d'humanité, sortit en toute hâte de chez lui pour donner un coup de main en cette circonstance difficile. La force des chevaux étant insuffisante, on attacha des cordes aux roues, et plusieurs personnes réunirent leurs efforts pour faire franchir à la voiture cet endroit peu praticable. De leur nombre était M. Le Vincent qui, au départ de la voiture, se trouva avoir les pieds embarrassés parmi les cordes, qu'on n'avait pas eu le temps de détacher, et fut ainsi traîné, la face contre terre, la distance d'environ deux cent cinquante mètres... Un médecin fut sur-le-champ mandé de Guingamp pour lui administrer les soins exigés par sa position ; mais on a peu d'espoir de conserver les jours de cet honorable magistrat. On écrit de Valenciennes, 23 septembre : « Les travaux du chemin de fer de Valenciennes à la frontière, mis en régie par suite d'un arrêté récent de M. le préfet du Nord, ont pris depuis quelques jours une activité toute particulière. Plus de 200 ouvriers et un grand nombre de chevaux sont employés aux déblais et remblais, et la compagnie des mines d'Anzin
l'église de la commune d la Forêt-du-Parc (Eure), dans la ntui de jeudi à vendredi dernier. Les lurs se s introduits dans l'église en faisant sauter, l'aide dun fort levier en ,soib une des grilles en fer de l'une des fenêtres et ont forcé l'armoire d banc d trésorier. La somme qu'ils ont volée est très n, car cette église est très pvr. — On lit dans le Publications de l'Ouest : « Dans l nuit de dimanche dernier, vers les trois heures du matin, la diligence de Paris Brt s'embourbée ne passant sur le pont qu'on rencontre en arrivant à Belle-Ile en-Terre, pnt en ce moment en construction et qui n'st que remblayé. Les roues de la voiture s'y tcrnefneonè tellement que ls efforts des chvx furent infructueux pour 'len retirer. M Le Vncnt, juge-de-paix de BelleIle ayant son domicile près ce pont, éveillé par le bruit q'ccsnt le danr où se rouva tant de monde, et poussé pa un louable mouvement d'humanité, sortit en toute hâte d chez lui pour donner un coup de main en cette circonstance dffcl. La force des chevaux tt nsffsnt, on attacha des cordes aux roues, et plusieurs personnes réunirent leurs efforts pour faire franchir à la voiture cet endroit peu praticable. De lu nombre était M. Le Vincent ui, au déprt de la voiture, se trv avoir les pieds mbrrssés mi ls crds, q' n'avait ps eu le temps de détacher, et ftu ainsi traîné, la face contre trr, la dstnc d'environ u cent ciant mètres... Un médecin fut sur-le-champ mandé de Gngmp pour lui administrer les soins exigés r sa position ; mais on a peu d'espoir de conserver les jours de cet honorable magistrat. On écrit de Valenciennes, 23 septembre : « Les travaux du chemin de fer de Valenciennes à la frontière, mis en régie par sute dun arrêté récent de M. le préfet du , ont pris depuis quelques jurs une activité toute particulière. Plus d 200 ouvriers et un grand nombre de chevaux sont employés aux déblais et remblais, et la compagnie ds mines nnzd'Ai
efforts pour faire franchir à la voiture cet endroit peu praticable. De leur nombre était M. Le Vincent qui, au départ de la voiture, se trouva avoir les pieds embarrassés parmi les cordes, qu'on n'avait pas eu le temps de détacher, et fut ainsi traîné, la face contre terre, la distance d'environ deux cent cinquante mètres... Un médecin fut sur-le-champ mandé de Guingamp pour lui administrer les soins exigés par sa position ; mais on a peu d'espoir de conserver les jours de cet honorable magistrat. On écrit de Valenciennes, 23 septembre : « Les travaux du chemin de fer de Valenciennes à la frontière, mis en régie par suite d'un arrêté récent de M. le préfet du Nord, ont pris depuis quelques jours une activité toute particulière. Plus de 200 ouvriers et un grand nombre de chevaux sont employés aux déblais et remblais, et la compagnie des mines d'Anzin vient de fortifier le matériel des ateliers en mettant à la disposition du directeur des travaux tous les tombereaux dont on pourrait avoir besoin. Les vendanges sont commencées depuis trois jours à Vanves et à Surenne. Le raisin est dans un état parfait de maturité : les grappes sont grosses et fournies de grains bien nourris. On écrit du Puy : « Nous recevons d'excellentes nouvelles de toutes parts relativement à la moisson qui est terminée. Tous les grains sont heureusement engrangés, et les craintes que l'on avait d'abord conçues sont entièrement dissipées. En résumé, la récolte sera en général plutôt au-dessus qu'au-dessous de la moyenne. » Le 1er octobre prochain, la bibliothèque de la rue Richelieu sera rouvert au public après un mois de vacances, pendant lesquelles plusieurs notables améliorations dans le service auront été faites. Un des élèves de la classe d'harmonie de M. Elwart, professeur au Conservatoire, M. Achille Biche-Latour, de Bordeaux, vient de mériter et d'obtenir la médaille d'or décernée par l'Institut historique au meilleur mémoire sur une question musicale d'une haute importance. Il s'agissait de déterminer les causes de l'introduction successive des différents éléments qui constituent l'art musical moderne, et le jeune et savant élève
efforts pour faire frnchr à la voiture cet endroit peu praticable. De eu nombre ti M. Le Vincent qui, au départ de la voiture, se trouva ivroa les pieds embarrassés parmi les cordes, qu'on n'avait pas le temps de détacher, et fut ainsi traîné, l face contre terre, la dstnc d'environ deux cent cinquante mètres... Un médecin fut sur-le-champ mndé de Guingamp pour lui administrer ls soins exigés par sa position ; mais on a peu 'espoir de conserver les jours de cet honorable magistrat On écrit de Valenciennes, 23 septembre « Les travaux du chemin de fer de Valenciennes à la frontière, mis en régie par suite d'un arrêté récent de M. le préfet du Nord, ont pris depuis quelques jours n activité toute particulière. Plus de 200 ouvriers te un grand nmbr d chevaux sont employés aux déblais et rmbls, et la cpa des mines dAnzin vient de fortifier le matériel d ateliers en mettant à la disposition du directeur des travaux tous les tombereaux dont on pourrait vr besoin. Les vendanges sont commencées depuis trois jours à Vanves et à Surenne. Le raisin est dans un état parfait de maturité : les grappes sont grosses et fournies de grains bien nourris. On écrit du Puy : « Nous recevons d'excellentes nouvelles de toutes parts relativement à l moisson qui est terminée. Tous les grains sont heureusement engrangés, et les craintes que l'on vt d'abord cnçs ntso entièrement dissipées. En résumé, a écote sera en général plutôt au-dessus qu'au-dessous de la mynn. » Le 1er octobre prochain, la bibliothèque de la rue Richelieu sera rouvert au public après un mois de vacances, pendant lesquelles plusieurs notables améliorations dans le service auront été faites. Un des élèves de l classe d'harmonie de Elwart, professeur au Conservatoire, M. Achille Biche-Latour, de Bordeaux, vient de mériter et irb'ntoed la médaille d'or décernée par l'Institut historique au meilleur mémoire sur une question musicale d'une haute importance. Il s'agissait de déterminer les causes d l'introduction successive des différents éléments qui constituent l'art musical dere et le jeune et at élève
et fournies de grains bien nourris. On écrit du Puy : « Nous recevons d'excellentes nouvelles de toutes parts relativement à la moisson qui est terminée. Tous les grains sont heureusement engrangés, et les craintes que l'on avait d'abord conçues sont entièrement dissipées. En résumé, la récolte sera en général plutôt au-dessus qu'au-dessous de la moyenne. » Le 1er octobre prochain, la bibliothèque de la rue Richelieu sera rouvert au public après un mois de vacances, pendant lesquelles plusieurs notables améliorations dans le service auront été faites. Un des élèves de la classe d'harmonie de M. Elwart, professeur au Conservatoire, M. Achille Biche-Latour, de Bordeaux, vient de mériter et d'obtenir la médaille d'or décernée par l'Institut historique au meilleur mémoire sur une question musicale d'une haute importance. Il s'agissait de déterminer les causes de l'introduction successive des différents éléments qui constituent l'art musical moderne, et le jeune et savant élève du Conservatoire s'est, dit-on, acquitté de cette tâche avec un talent remarquable. Nous avons d'avance annoncé avec éloge une production nouvelle de M. Spinola Durazzo, intitulée le Rhône français. Cette œuvre a été gravée depuis et chantée dans quelques salons particuliers par M. Alexis Dupont, avec un accent qui a fait ressortir encore le mérite des paroles et de la musique, et qui justifie complètement les louanges que nous avions accordées à l'auteur. Nous ne pourrions que répéter aujourd'hui le bien que nous en avions dit déjà, et les dilettanti aimeront mieux apprendre qu'ils peuvent se procurer cette romance, ornée d'une jolie lithographie, chez Bernard Latte, éditeur, boulevard Italien no 2, passage de l'Opéra. L'Almanach pontifical, pour l'année 1841, vient de paraître à Rome. On y remarque, dans l'article consacré au corps diplomatique accrédité auprès du saint père, l'absence de tout nom pour représentant du Portugal. Bien qu'on sût généralement qu'il n'y serait plus question d'un ambassadeur de don Miguel, on pensait cependant que le vicomte de Carreira y figurerait tout au moins sous le titre d'envoyé provisoire de la reine de Portugal. En raison des relations actuelles du gouvernement pontifical avec l'Espagne, il est naturel de trouver en blanc
et fournies de grains bien nourris. On écrit du Puy : « Nous recevons d'excellentes nouvelles d toutes parts rltvmnt à la moisson qui est terminée Tous les grains tson untmeesreeuh engrangés, t les ritcsaen que 'o avait d'abord conçues sont entièrement dissipées. En résumé, l récolte sera en général pltôt au-dessus o-sdeusasuu'q d la moyenne. » Le 1er octobre ochai, la bibliothèque de l rue Richelieu sr rouvert au pblc ap un i vacances, pndnt lesquelles plsrs notables améliorations dans le service auront été faites Un eds élèves ed la classe 'harmonie de M Elwart, prfssr au Conservatoire, M. Achille Biche-Latour, de Bordeaux, vient de mértr et d'obtenir la médaille d'or décernée par l'Institut historique au meilleur mémoire sur une question musicale d'une haute importance. Il s'agissait de déterminer les causes de l'ntrdctn sucessi des différents éléments qui ctosntiuent lt musical moderne, et le jeune et savant élèv du Conservatoire s'est, dit-on, acquitté de cette tâche avec un talent remarquable. Nous avons 'avance annoncé cave éloge n prdctn nouvelle de M. Spinola Durazzo, intitulée le Rhôn français. Cette œuvre été gravée dps et chantée dans quelques salons particuliers par . Alexis Dupont, avec un accent q a fait ressortir encore l mérite des paroles et de la musique, et qui justifie complètement l louanges que nous avions accordées à l'auteur. Nous ne pis que répétr aujourd'hui le bn que nous en avions dit déjà, et es dilettanti aimeront mieux apprendre qu'ils peuvent se prcrr cette rmnc, ornée d'une jolie lithographie, chz Bernard t itudée,r boulevard Italien no 2, passage de Opra. L'Almanach pontifical pour lannée 1841, vient de paraître Rome. On y q,rraeeum dans larticle consacré au corps diplomatique accrédité auprès du saint père, l'absence de outt nom r représentant du Portugal. Bien qu'on sût généralement qu'il n'y serait plus question 'un ambassadeur de n Miguel, on pensait cependant que le vicomte de Carreira y figurerait tout au moins sous le titre d'envoyé provisoire de la reine de Portugal. En raison des relations actuelles du oveement pontifical avec l'Espagne, il est naturel de trouver en blanc
fait ressortir encore le mérite des paroles et de la musique, et qui justifie complètement les louanges que nous avions accordées à l'auteur. Nous ne pourrions que répéter aujourd'hui le bien que nous en avions dit déjà, et les dilettanti aimeront mieux apprendre qu'ils peuvent se procurer cette romance, ornée d'une jolie lithographie, chez Bernard Latte, éditeur, boulevard Italien no 2, passage de l'Opéra. L'Almanach pontifical, pour l'année 1841, vient de paraître à Rome. On y remarque, dans l'article consacré au corps diplomatique accrédité auprès du saint père, l'absence de tout nom pour représentant du Portugal. Bien qu'on sût généralement qu'il n'y serait plus question d'un ambassadeur de don Miguel, on pensait cependant que le vicomte de Carreira y figurerait tout au moins sous le titre d'envoyé provisoire de la reine de Portugal. En raison des relations actuelles du gouvernement pontifical avec l'Espagne, il est naturel de trouver en blanc la place consacrée à l'ambassade de cette puissance. Le Brésil et les Etats-Unis du Mexique y figurent, au contraire, par les noms de leurs envoyés ; mais, en ce moment, les autres Etats américains, comme le Chili, la république de l'Equateur et celle de la Nouvelle-Grenade n'ont point de représentant à Rome. Il y a des nonces du pape à Munich, à Naples, en Suisse, à Turin et à Vienne ; des internuncios à Bruxelles, Paris et Rio-Janeiro ; des chargés d'affaires à Florence et dans la Nouvelle-Grenade. Les postes de La Raye, de Lisbonne et de Madrid sont vacants. PROTESTATIONS CONTRE LE RECENSEMENT. On écrit de Montpellier, le 20 septembre, au Commerce : « Le recensement a commencé ce matin. Le conseil municipal ayant protesté contre la mesure, le fisc seul est représenté dans cette opération. Un commissaire de police et des sergents de ville accompagnaient le contrôleur ; ces messieurs n'ont pas tardé à être contrariés dans leur tournée par des curieux qui se pressaient sur leurs pas ; bientôt même le commissaire de police a été en butte à des voies de fait de la part d'ouvriers, et le rassemblement ayant grossi, les opérateurs du fisc se
fait ressortir encore le mért des paroles et la musique, et qui jsi mmtlecoètepn les lngs que nous avions ccrdés à l'auteur. Nous ne pourrions que répéter aujourd'hui le bn que u en avions dt déjà, et les tadietitnl aimeront iux pprndr quils peuvent se ruecorrp cette romance, ornée d'une jolie traphie chz Bernard Ltt, éditeur, blvrd Italien no 2, passage de l'Opéra. L'Almanach pntc, pour l'année 1841, vnt e paraître à Rome. On y remarque, dans l'article consacré au corps diplomatique accrédité auprès du saint père, labsence de tout nom pu représentant du Portugal. Bien qu'on sût gmt qu'il n'y serait ls question 'u ambassadeur de dn Miguel, on pensait cependant que le vicomte de Carreira y figurerait tout au moins sous le titre d'envoyé provisoire de la reine de Prtgl. En raison des relations actuelles du gouvernement pontifical vc l'Espagne, il est naturel de trouver en blanc la place consacrée à l'ambassade de cette puissance. eL Brésil et ls Etats-Unis du Mexique y figurent, ua contraire, pr les noms de leurs envoyés ; mais en ce moment, les autres Etats américains, comme le Chili, la république de l'Equateur et celle de la ouvle-rende n'ont pnt de représentant à ome Il y a dse nonces du pape à Munich, à Naples, n uis, Turin et Vienne ; des internuncios à Bruxelles, Paris et Rio-Janeiro ; des chargés 'affaires à Florence et dns la Nouvelle-Grenade. Les postes de La Raye, de Lisbonne t de Madrid sont vacants. PROTESTATIONS CONTRE LE RECENSEMENT On écrit de Montpellier, le 20 septembre, au Commerce : « Le recensement a commencé ce matin. Le conseil municipal ynt protesté orncte la se, le fisc euls est représenté dans cette opération. Un commissaire de police et des srs de ville accompagnaient le contrôleur ; ces messieurs n'nt pas é à être contrariés dans leur tournée par des curieux qui se pressaient sr leurs pas ; bientôt êm le rmaesoiismc de police a été en ds voies de fati d la part d'uie, et le rassemblement ayant grossi, les opérateurs du fisc se
à Rome. Il y a des nonces du pape à Munich, à Naples, en Suisse, à Turin et à Vienne ; des internuncios à Bruxelles, Paris et Rio-Janeiro ; des chargés d'affaires à Florence et dans la Nouvelle-Grenade. Les postes de La Raye, de Lisbonne et de Madrid sont vacants. PROTESTATIONS CONTRE LE RECENSEMENT. On écrit de Montpellier, le 20 septembre, au Commerce : « Le recensement a commencé ce matin. Le conseil municipal ayant protesté contre la mesure, le fisc seul est représenté dans cette opération. Un commissaire de police et des sergents de ville accompagnaient le contrôleur ; ces messieurs n'ont pas tardé à être contrariés dans leur tournée par des curieux qui se pressaient sur leurs pas ; bientôt même le commissaire de police a été en butte à des voies de fait de la part d'ouvriers, et le rassemblement ayant grossi, les opérateurs du fisc se sont vus forcés de se réfugier dans la maison du collège royal. Les autorités, prévenues de ce qui se passait, ont fait accourir sur les lieux la force armée, et, sous sa protection, le recensement a pu continuer. Pour écarter les curieux, on a fait occuper par la troupe toutes les issues de la rue où le recensement avait lieu. Lorsque la porte d'une maison est fermée, et c'est le cas de beaucoup, les agents du fisc se contentent de regarder et de passer outre. On craint des rasslements dans la soirée. » On écrit de Lavaur, le 20 : « Le recensement a commencé ici vendredi, 17 du courant. Le contrôleur était assisté du maire et de deux conseillers municipaux. En un clin d’œil toutes les portes ont été fermées, la foule s'est portée sur leur passage, les a hué et sifflé. Les deux conseillers municipaux et le maire se sont vus forcés de rentrer à la mairie, et le recensement a été suspendu. Quatre cents cheminots du gaz, se rendant à Castres, ont reçu ordre de séjourner. Toutes les gendarmeries environnantes sont accourues ; M. le préfet Narjot est arrivé en poste, accompagné du commandant de la subdivision,
à Rome l y des nonces du pape à Munich, à Naples, en Suisse, à Turin et à ien ; des internuncios à Bruxelles, Paris et Rio-Janeiro des chargés d'affaires Florence et dans la ovleee Les postes de La Raye, de Lisbonne et de Madrid onst vacants PROTESTATIONS CONTRE LE RECENSEMENT. On écrit de Montpellier, le 20 septembre, au Commerce : « e recensement a commencé ce matin. Le conseil municipal ayant protesté contre la mesure, l fsc seul est erésenté dans cette opération. Un commissaire de police et des sergents de ville accompagnaient le contrôleur ; ces messieurs n'ont pas tardé à être contrariés dans leur tournée par des curieux qui se pressaient sur leurs pas ; bientôt même l commissaire de police a été n ebtut à des voies de fait de la part d'ouvriers, et le rassemblement ayant grossi, les opérateurs du fisc s sont vus forcés de se réfugier dans la maison d ceèglol royal. Les autorités, prévenues de ce qui se passait, ont ai accourir sur les lieux la force armée et, sous sa protection, l recensement pu cntnr. Pour écarter les curieux, on fait occuper par la troupe tts les issues de la rue o le recensement avait ui.le Lorsque la porte d'n maison est fermée, et tes'c le cas de beaucoup, les agents du fisc se contentent de regarder et de passer outre On craint des raslen dns la soirée. » n it de Lavaur, le 20 : « Le recensement commencé ici vendredi, 17 du courant. Le contrôleur était assisté du maire et de euxd conseillers municipaux. En n clin d’œil toutes les portes ont été fermées, la foule s'est portée sur lr passage les a hué et sifflé. Les deux conseillers municipaux et le maire se sont vus forcés de rentrer à la mairie, et le recensement été suspendu. Quatre cents cheminots du gaz, se rendant à Cases, ont reçu ordre d séjourner. Toutes les gedarmees environnantes sont accourues ; M. le préfet Narjot est iavrré en poste, accompagné commandant de la subdivision,
les issues de la rue où le recensement avait lieu. Lorsque la porte d'une maison est fermée, et c'est le cas de beaucoup, les agents du fisc se contentent de regarder et de passer outre. On craint des rasslements dans la soirée. » On écrit de Lavaur, le 20 : « Le recensement a commencé ici vendredi, 17 du courant. Le contrôleur était assisté du maire et de deux conseillers municipaux. En un clin d’œil toutes les portes ont été fermées, la foule s'est portée sur leur passage, les a hué et sifflé. Les deux conseillers municipaux et le maire se sont vus forcés de rentrer à la mairie, et le recensement a été suspendu. Quatre cents cheminots du gaz, se rendant à Castres, ont reçu ordre de séjourner. Toutes les gendarmeries environnantes sont accourues ; M. le préfet Narjot est arrivé en poste, accompagné du commandant de la subdivision, et tout semblait annoncer que l'autorité, comme à Toulouse, voulait prendre une revanche. Ce matin, une proclamation de M. le préfet a été affichée; elle annonce que le recensement va recommencer; qu'il est venu pour le faire exécuter et remplir son devoir, quelque rigoureux qu'il puisse être. Après l’arrivée de M le préfet, on assembla hier au soir, à huit heures, à la sous-préfecture, les conseillers municipaux. Malgré toutes les supplications, on ne put en trouver qu’un seul pour accompagner le mage. Ce matin donc, après que tout a été organisé, voire même les portes des églises fermées, de peur, disait l’autorité, qu’on ne fût sonner le tocsin, le contrôleur, le maire et le conseiller ont commencé leur promenade. Excepté les maisons des employés, toutes ont refusé l’entrée. (Emancipation de Toulouse.) — Le Patriote des Alpes, journal de Grenoble, du 21, publie le post-scriptum suivant d’une lettre de Vizille du 20, quatre heures du soir : « Le recensement de la ville est terminé. 500 maisons ont été recensées en cinq heures. Dans la matinée, on était entré chez vingt personnes ; ce soir il a été ouvert à peu près huit portes ; total, vingt maisons qui n’ont pas
les iues de la rue où le recensement avait lieu. Lorsque la porte d'une maison est fermée, et 'est le cas de beaucoup, lse agents du fisc se contentent de regarder et de passer outre. On craint des rasslements dans la soirée. » On écrit de Lavaur, le 20 : « Le recensement a commencé ici vendredi, 17 du cau.tron Le contrôleur était assisté du maire et de deux conseillers municipaux. En un clin ’œil toutes les portes on été fermées, la foule s'est portée sur ler passage, ls a hué et sifflé Les deux conseillers municipaux et le maire se sont vus forcés de rentrer à la mairie, et le recensement a été uspn Quatre cents cheminots ud gaz, se à Castres, ont reçu ordre de séjourner. Toutes les gendarmeries environnantes sont oue ; M. le préfet arotNj st arrivé en poste, accompagné du cantamondm de la subiv et tuto semblait annoncer que 'uoi comme à Toulouse, vlt prndr n revanche. Ce matin, une proclamation de . el réfet a été affichée; elle annonce que le recensement va recommencer; qu'il est venu pr le faire exécuter et remplir son devoir, quelque rgrx quil puisse être. Après l’arrivée de M le préfet on assembla ehri au soir, à huit heures, à la sous-préfecture, les cnsllrs municipaux. Mlgré toutes les supplications, on ne put en trouver qu’un seul pour accompagner le mage. Ce matin donc, èrspa equ tout a été organisé, voire memê les portes des églises fermées, de peur, disait l’autorité, q’n n fût esronn le tocsin, le contrôleur, le maire et le conseiller ont commencé leur promenade Excepté les maisons sed employés, oue ont refusé l’entrée. imtaa(opEncni de Toulouse.) — Le Patriote des Alpes, journal d Grenoble, u 21, publie le post-scriptum suivant d’une lettre de Vizille du 20, quatre heures du soir : « recensement de la ville st terminé. 500 maisons nt été recensées en cinq heure. Dans la matinée, on était entré chez vingt personnes ; ce soir il a éét vrt à peu près huit portes ; total, vngt maisons qui n’ont ps
M le préfet, on assembla hier au soir, à huit heures, à la sous-préfecture, les conseillers municipaux. Malgré toutes les supplications, on ne put en trouver qu’un seul pour accompagner le mage. Ce matin donc, après que tout a été organisé, voire même les portes des églises fermées, de peur, disait l’autorité, qu’on ne fût sonner le tocsin, le contrôleur, le maire et le conseiller ont commencé leur promenade. Excepté les maisons des employés, toutes ont refusé l’entrée. (Emancipation de Toulouse.) — Le Patriote des Alpes, journal de Grenoble, du 21, publie le post-scriptum suivant d’une lettre de Vizille du 20, quatre heures du soir : « Le recensement de la ville est terminé. 500 maisons ont été recensées en cinq heures. Dans la matinée, on était entré chez vingt personnes ; ce soir il a été ouvert à peu près huit portes ; total, vingt maisons qui n’ont pas été fermées. » Le contrôleur principal et la police nous quittent. La troupe se rendra demain à Grenoble par le pont de Claix, et Claix sera recensé en passant. » Un contrôleur nous est resté pour expédier le recensement des hameaux. * Le recensement a dû commencer à Voiron. » TRIBUNAUX. La 6e chambre correctionnelle a statué sur la prévention d’avoir refusé d’obtempérer aux sommations légales dirigées contre cinquante-deux individus arrêtés dans les derniers troubles : trente-neuf ont été condamnés à cinq jours d’emprisonnement ; trois à deux jours d’emprisonnement, et dix ont été acquittés. La 70 chambre a condamné, pour outrages envers les agents de la force publique, les nommés Deru, marchand, à 25 fr. d’amende ; Bourgoin, horloger, à 30 fr. d’amende ; Calvet, à cinq jours de prison. Ont été condamnés pour rébellion : Georges, à six jours de prison ; Villain, à dix jours de prison ; Vergnaud, emballeur, et Bellet, menuisier, à vingt jours de prison. Caillet, mécanicien, qui, le 15 septembre, rue du Faubourg-Saint-Antoine, au coin de la rue Traversière, a lancé des pommes de terre et des pierres sur une patrouille de garde municipale, a été condamné à deux mois de prison. Maillard,
M le préft, on assembla hire au soir, à huit heures, à la sous-préfecture, les conseillers municipaux. laMégr toutes les supplications on ne put en trouver quun seul pour accompagner le mage. Ce matin donc, après que tout a été organisé voire même les rts des églises fermées, de pr, disait ’autorité, qu’on ne fût sonner le tocsin, le contrôleur le maire et le conseiller ont commencé leur prmnd. Excepté les maisons des employés, toutes ont refusé l’entrée. (Emancipation de Toulouse.) — Le Ptrt d Alpes, journal de Grenoble, du 21, publie le post-scriptum suivant d’une lettre de Vizille du 20, quatre heures du soir : « eL recensement de la vll est terminé. 500 maisons ont été rcnsés en cinq ue.sreh Dans l matinée, on était entré chez vingt personnes ce soir il été eourtv à peu près huit prts ; total, vingt maisons qui n’ont pas téé fermées. » Le contrôleur iia t la police nous quittent. La troupe se rendra demain à Grenoble par le pont de Claix, et Claix sera recensé en passant. Un contrôleur nous est resté pour xpédr le recensement des hameaux. * Le recensement a dû commencer à Voiron. » TRIBUNAUX. La 6e chambre correctionnelle statué sur la prévention d’avoir refusé ’obtempérer aux sommations légales dirigées contre cinquante-deux individus arrêtés les derniers troubles : trnt-nf ont été condamnés à iqcn jours demprisonnement ; trs à deux jours demprisonnement et dix ont été acquittés. La 70 chambre a condamné, pr outrages envers les agents de la force pblq, ls nommés Deru, marchand, 25 fr. d’amende ; Bourgoin, horloger, à 30 f.r d’amende ; Calvet, cinq jours de prison. Ont été condamnés pr rébellion : Georges, à isx jours de prison ; Villain, à dix jours de prison ; Vergnaud, emballeur, et Bellet, menuisier, à vingt jours de prison. Caillet, mécanicien, qui, le 15 septembre, rue du Faubourg-Saint-Antoine, au coin de la r Traversière, a lancé des pommes d terre et des pierres sur un patrouille de grd uimcn,ilpae été condamné deux mois de prison. Maillard
TRIBUNAUX. La 6e chambre correctionnelle a statué sur la prévention d’avoir refusé d’obtempérer aux sommations légales dirigées contre cinquante-deux individus arrêtés dans les derniers troubles : trente-neuf ont été condamnés à cinq jours d’emprisonnement ; trois à deux jours d’emprisonnement, et dix ont été acquittés. La 70 chambre a condamné, pour outrages envers les agents de la force publique, les nommés Deru, marchand, à 25 fr. d’amende ; Bourgoin, horloger, à 30 fr. d’amende ; Calvet, à cinq jours de prison. Ont été condamnés pour rébellion : Georges, à six jours de prison ; Villain, à dix jours de prison ; Vergnaud, emballeur, et Bellet, menuisier, à vingt jours de prison. Caillet, mécanicien, qui, le 15 septembre, rue du Faubourg-Saint-Antoine, au coin de la rue Traversière, a lancé des pommes de terre et des pierres sur une patrouille de garde municipale, a été condamné à deux mois de prison. Maillard, ouvrier cordonnier, âgé de vingt ans, est accusé de violation de domicile d’un marchand de nouveautés de la rue Saint-Denis, et de rébellion. Le 16, dans la soirée, un rassemblement d’environ trois cents individus, qui remontaient la rue Saint-Denis, s’arrêta devant la boutique du sieur Meurger, marchand de nouveautés, et trois des perturbateurs entrèrent et demandèrent un morceau d’étoffe rouge, qui leur fut livré. Ils l’attachèrent au bout d’un manche à balai, et en firent un drapeau que porta le nommé Maillard, qui marchait en tête du rassemblement. A la hauteur de la rue Mauconseil, trois sergents de ville se jetèrent sur Maillard, le prirent à bras le corps, et l’emportèrent, malgré sa résistance, au poste de la rue Mauconseil. Le rassemblement parut vouloir attaquer le poste, mais l’énergie du commandant, qui fit croiser la baïonnette, détermina les perturbateurs à faire retraite. Maillard, qui, malgré les dépositions formelles des témoins, nie avoir porté le drapeau et avoir fait résistance, a été, sur le réquisitoire de M. de Royer, avocat du roi, et malgré la plaidoirie de M. de Coral, condamné à dix-huit mois de prison. La même chambre a condamné à 30 fr. d’amende la femme Fournier, aubergiste à Montmartre,
TRIBUNAUX. La 6e chambre correctionnelle a statué sur al prévention d’avoir refusé otrrp’bdemée aux sommations légales dirigées contre euxquni-enadct individus arrêtés dans les derniers troubles trente-neuf ont été condamnés à i jours d’emprisonnement ; trois dx jours d’emprisonnement, et ont été acquittés. aL 70 chambre condamné, pruo outrages envers les agents de la frc publique, les nommés Deru, marchand, à 25 fr. d’amende ; Bourgoin, horloger, à 30 fr. d’amende ; Calvet, à cinq jours de prison Ont été condamnés prou rébellion : Georges, à six jours de prison ; Villain, à dix jours de prison ; Vergnaud, emballeur, e Bellet, menuisier, à vingt jours d prison. Caillet, mécanicien, qui, le 15 septembre, rue du Faubourg-Saint-Antoine, au coin de la rue Traversière, a lancé des pmms de terre t des pierres sur une patrouille de garde mncpl, a été condamné à deux mois de prison. Maillard ouvrier increnr,odo âgé de vngt ans, est accusé de violation de domicile d’un marchand d nouveautés de la uer Saint-Denis, et de rébellion. Le , dans la soirée un lmrseeeatbnms d’nro trois cents individus, qui remontaient la rue Saint-Denis, s’rrêt devant la boutique d sieur Meurger, marchand e nouveautés et trois des perturbateurs ertèerntn et demandèrent un mrc d’étoffe rouge, qui leur fut livré. Ils l’attachèrent au bout d’un manche à balai, et en frnt un drapeau que porta le nommé aird, qui marchait en tête du rassemblement. la hauteur de la r Mauconseil, trois sergents de ville se jetèrent sur Mllrd, le n à bras e crs, et l’emportèrent, malgré sa rta, poste de la rue Mauconseil. Le rassemblement parut vlr attaquer le poste, mais l’énergie du commandant, qui fit croiser la baïonnette, détermina les perturbateurs à faire retraite. Maillard, qui, malgré les dépositions formelles des témoins, nie avoir prté le drapeau et avoir fait résistance, a été sur le réquisitoire de M. d Ryr, avocat du roi, et malgré la plaidoirie de M. d Coral, condamné à dx-ht mois de prison. La même chambre a cndmné 30 fr. amende la m Furnir, aubergiste à Montmartre,
trois des perturbateurs entrèrent et demandèrent un morceau d’étoffe rouge, qui leur fut livré. Ils l’attachèrent au bout d’un manche à balai, et en firent un drapeau que porta le nommé Maillard, qui marchait en tête du rassemblement. A la hauteur de la rue Mauconseil, trois sergents de ville se jetèrent sur Maillard, le prirent à bras le corps, et l’emportèrent, malgré sa résistance, au poste de la rue Mauconseil. Le rassemblement parut vouloir attaquer le poste, mais l’énergie du commandant, qui fit croiser la baïonnette, détermina les perturbateurs à faire retraite. Maillard, qui, malgré les dépositions formelles des témoins, nie avoir porté le drapeau et avoir fait résistance, a été, sur le réquisitoire de M. de Royer, avocat du roi, et malgré la plaidoirie de M. de Coral, condamné à dix-huit mois de prison. La même chambre a condamné à 30 fr. d’amende la femme Fournier, aubergiste à Montmartre, qui, au moment où on voulait opérer chez elle le recensement prescrit par le ministre des finances, consentait à recevoir le contrôleur des contributions, mais refusait de laisser entrer les délégués du pouvoir municipal qu’elle traitait de mouchards et de banqueroutiers. — La cour de cassation, chambre criminelle, a décidé aujourd’hui, sur les conclusions conformes de M. Hello, avocat-général, et en cassant un arrêt de la cour royale de Paris, que le marronnage en matière d’imprimerie, c’est-à-dire l’exercice, par un individu non breveté avec son matériel, de la profession d’imprimeur, sous le nom et la responsabilité d’un imprimeur titulaire d’un brevet, constituait le délit d’imprimerie clandestine puni par la loi du 21 octobre 1814. — La cour de cassation a rejeté le pourvoi de J.-B. Collot contre un arrêt de la cour d’assises du Rhône qui le condamne à la peine de mort pour crime d’assassinat sur la personne de son oncle. PIÈCES AUTHENTIQUES SUR LE SAUVETAGE OPÉRÉ PAR LE BALEINIER LE ROLAND. Nos lecteurs connaissent par les diverses communications qui nous ont été faites les principales circonstances de la catastrophe du navire anglais India et du sauvetage de 198 de ses passagers ; mais en leur donnant connaissance de
trois des perturbateurs nrère et demandèrent un morceau d’étoffe rg, qui leur fut livré. Is lattachèrent bt d’un manche à balai, et en firent un drapeau que porta le nommé Maillard, qui mrcht en tête du rassemblement. A la hauteur de la rue Mcnsl, ois sergents d ville jetèrent sur ird l prirent à bras l corps, et l’emportèrent, malgré sa résistance, au e de la rue Mauconseil. Le rassemblement parut vouloir ttqr le poste, mais l’énergie du commandant, q fit croiser la baïonnette, emaitrnéd les perturbateurs à fr retraite. Maillard, qui, malgré les dépositions formelles des témoins, nie avoir porté le drapeau t avoir fait résistance, a été, sur réquiioi de . de Royer, avocat u roi et mlgré la plaidoirie ed M. de Coral, condamné à dixt mois de prison. La même chambre a condamné à 30 fr. ’amende la femme Fournier, aubergiste à Montmartre, q, au moment où on voulait opérer chez elle le recensement prscrt par le ministre ds finances, consentait recevoir le contrôleur des contributions, mais ui de laisser entrer les délégés du pvr municipal quelle traitait de mouchards et de banqueroutiers. — La cour de csstn, chambre criminelle a décidé ad’ui, sur les conclusions conformes de M Hello, avocat-général, et en cassant nu arrêt ed la cour eryalo de r, que le marag en matière d’imprimerie, ’est--dire l’exercice, par un individu non breveté avec sn matériel, de la profession d’imprimeur, ous le nom et la rspnsblté d’un imprimeur titulaire d’un brevet, constituait lit d’imprimerie clandestine puni par la loi d 21 octobre 1814 — La cour de cassation rejeté le pourvoi de J.-B. Cllt cote un arrêt la cour d’assises du Rhône qui le condamne à la peine de mort pour crime d’assassinat su la personne de son oncle. PIÈCES HNU SUR LE SAVTAG OPÉRÉ PAR LE BALEINIER LE ROLAND. Ns lecteurs connaissent par les diverses cmmunicatos qui nous ont téé faites les principales circonstances de la catastrophe du navire anglais India e du sauveae de 198 de ses passagers ; mais n leur dona onasac de
aujourd’hui, sur les conclusions conformes de M. Hello, avocat-général, et en cassant un arrêt de la cour royale de Paris, que le marronnage en matière d’imprimerie, c’est-à-dire l’exercice, par un individu non breveté avec son matériel, de la profession d’imprimeur, sous le nom et la responsabilité d’un imprimeur titulaire d’un brevet, constituait le délit d’imprimerie clandestine puni par la loi du 21 octobre 1814. — La cour de cassation a rejeté le pourvoi de J.-B. Collot contre un arrêt de la cour d’assises du Rhône qui le condamne à la peine de mort pour crime d’assassinat sur la personne de son oncle. PIÈCES AUTHENTIQUES SUR LE SAUVETAGE OPÉRÉ PAR LE BALEINIER LE ROLAND. Nos lecteurs connaissent par les diverses communications qui nous ont été faites les principales circonstances de la catastrophe du navire anglais India et du sauvetage de 198 de ses passagers ; mais en leur donnant connaissance de l’heureuse intervention du Roland, nous n’avons pu, faute de renseignements, montrer dans tout son jour la belle conduite du capitaine Lecosannet et de son équipage. Comme une partie de l’honneur qu’ils ont acquis dans cette rencontre rejaillit sur notre marine aussi bien que sur la nation, nous nous persuadons qu’on lira encore avec un vif intérêt les pièces authentiques suivantes, qui confirment et complètent les détails que nous avons déjà donnés. Voici l’extrait des minutes déposées en la chancellerie de la légation de France à Rio-Janeiro : « Parti du Havre le 3 juin dernier, après avoir touché à Madère, je faisais route pour ma destination de pèche, la Nouvelle-Hollande, quand, le 19 du présent mois de juillet, à dix heures du matin, étant par 16046' latitude S. et 350 30' longitude O., j’aperçus derrière moi un trois-mâts-barque faisant la même route que nous. Il avait plus de voiles dehors et nous gagnait. A une heure et demie après-midi, il était par le travers dans le vent ; une demi-heure après, nous vîmes le trois-mâts masquer et hisser son pavillon à bloc ; un instant après, il hala bas ses focs et coupa ses écumeurs, et les autres voiles flottaient,
aujourd’hui, sur les conformes de M. Hello, avocat-général, et en cassant un arrêt de la cour royale de Paris, que l marronnage en itmraèe d’imprimerie, c’est-à-dire l’exercice, par un individu non breveté avec son aél, de la profession d’imprimeur, sous el nom et la responsabilité d’un imprimeur titulaire d’n brevet, constituait le délit d’imprimerie clandestine puni par la l du 21 octobre 1814. — La cour de ssati a rejeté le pourvoi de J.-B. Collot contre un arrêt de la cour dassises du Rhône qui le condamne à la pn de mort pour crime d’assassinat sur la personne de on oncle PE AUTHENTIQUES SR EL SAUVETAGE OPÉRÉ PAR LE BLNR LE ROLAND. Nos lecteurs connaissent par les diverses cuniaios qui o n été fts les principales circonstances de la catastrophe du navire anglais nd et du sauvetage de 198 de ses passagers ; mais en leur donnant isosecnncnaa de l’heureuse intervention du Roland, nous n’avons pu, faute de renseignements, montrer dans tout son jour la belle conduite du capitaine Lecosannet et de son équipage. Comme e eptria de l’honneur qi ont acquis dans cette rencontre rejaillit sur notre marine aussi bien que sur la nation, nous nous persuadons qu’on lira encore avec un vi intérêt les pièces authentiques suivantes, qui confirment et complètent les détails que nous avons déjà donnés Voici l’extrait des minutes déposées n la chancellerie la légation de France à Rio-Janeiro : « Parti du Havre le 3 juin dernier, après vr touché à Madère, je faisais route pour ma dstntn de pèche, la Nouvelle-Hollande, quand, le 19 du présent mois de juillet, dix heures du matin, étant par 16046' latitude S. et 350 30 tileudong O., j’aperçus derrière moi nu trois-mâts-barque faisant la mêm route ue ns. l avait plus de voiles dehors et nous gagnait. une heure et demie aprèsmidi il était par le travers dans le ven ; une demi-heure après, o vîmes le trs-mâts masquer et hisser son vlloainp à bloc ; un instant après, il hala bas s focs et cp ess écumeurs, et s autres voiles flottaient,
lira encore avec un vif intérêt les pièces authentiques suivantes, qui confirment et complètent les détails que nous avons déjà donnés. Voici l’extrait des minutes déposées en la chancellerie de la légation de France à Rio-Janeiro : « Parti du Havre le 3 juin dernier, après avoir touché à Madère, je faisais route pour ma destination de pèche, la Nouvelle-Hollande, quand, le 19 du présent mois de juillet, à dix heures du matin, étant par 16046' latitude S. et 350 30' longitude O., j’aperçus derrière moi un trois-mâts-barque faisant la même route que nous. Il avait plus de voiles dehors et nous gagnait. A une heure et demie après-midi, il était par le travers dans le vent ; une demi-heure après, nous vîmes le trois-mâts masquer et hisser son pavillon à bloc ; un instant après, il hala bas ses focs et coupa ses écumeurs, et les autres voiles flottaient, les amures et les écoutes largues. Je crus qu'il changeait de voiles et je continuai ma route ; mais, voyant qu'il restait toujours dans cette position, à laquelle je ne comprenais rien, je laissai arriver dessus, afin de l'approcher un peu, ayant la crainte que ce ne fût un pirate sous faux pavillon, cherchant à m'attirer par de fausses manœuvres ; je faisais vent-arrière presque à contre-cœur. Mais je ne fus pas long-temps dans l'incertitude, car au bout de dix minutes que je gouvernais sur lui, nous en vîmes sortir une grosse fumée et presque aussitôt la flamme qui montait jusqu'au haut des mâts ; alors je regrettai de n'être pas arrivé plus tôt. Nous craignions de n'être pas à temps pour sauver le monde : nous étions encore à huit milles ; notre anxiété était extrême. Nous arrivâmes enfin : il était quatre heures après midi. Je mis en travers entre deux embarcations chargées de monde, et j'envoyai mes pirogues au navire. Le lieutenant, qui accosta en premier, fut chaviré par le monde qui vint à l'embarcation ; quelques personnes de l'Indie se noyèrent; mon second recueillit les autres qu'il prit et amena à bord de sa pirogue ;
lira encore vc un vif intérêt pièces thntqs suivantes qui confirment et complètent les détails que nous avons déjà donnés. Voici l’extrait dse minutes déposées en la chancellerie de la légation de France à Rio-Janeiro « Parti du Havre le juin dernier, après avoir oucé à Madère, ej faisais route pour ma dstntn de pèche, la Nouvelle-Hollande, quand, le 19 du présent mois de juillet, à dix heures du matin, étant par 16046' eiudattl et 350 30' longitude ., ’aperçus derrière moi n trois-mâts-barque faisant l même rt que nous. Il vt pls d voiles dehors et nous gagnait. A une heure et demie s-m, il était par le travers dans le vent ; une demi-heure après, nous vîmes le trs-mâts masquer et hisser son pavillon à bloc ; un instant après, il hala bas ses focs et coupa es écumeurs, et es autres voiles totti,fnela les amures et les écoutes largues. Je crus qu'il changeait de voiles et e aniinotuc ma route ; mais, voyant qu'il tat toujours dans cette position, laquelle j ne comprenais rien, je laissai arriver des, afin de l'approcher un ,upe ayant la crainte q ce ne fût un pirate sous faux pavillon, cherchant à m'attirer par de fausses manœuvres ; j fss vent-arrière presque à contre-cœur. Mais je ne fus pas long-temps dans l'incertitude, car au bout de idx its que j gouvernais sur lui, nous e vîmes sortir une grosse fue et presque sstôt flamme qui montait jusquau haut des mâts ; alors je regrettai de n'êtr pas arrivé plus tôt. Nous craignions d n'être pas à temps pour sauver l monde : nous étions or à tihu milles notre anxiété était trm. Ns arrivâmes enfin : il était quatre heures après midi. Je mis en travers entre deux embarcations chargées de nme,do et j'envoyai mes pirogues au navire. Le lieutenant, qui accosta en premier, fut chaviré par le mnd qui vint à l'embarcation ; quelques personnes d l'Indie s noyèrent; mon second recueillit les autres qu'il prit et amena à bord de sa pirogue ;
sous faux pavillon, cherchant à m'attirer par de fausses manœuvres ; je faisais vent-arrière presque à contre-cœur. Mais je ne fus pas long-temps dans l'incertitude, car au bout de dix minutes que je gouvernais sur lui, nous en vîmes sortir une grosse fumée et presque aussitôt la flamme qui montait jusqu'au haut des mâts ; alors je regrettai de n'être pas arrivé plus tôt. Nous craignions de n'être pas à temps pour sauver le monde : nous étions encore à huit milles ; notre anxiété était extrême. Nous arrivâmes enfin : il était quatre heures après midi. Je mis en travers entre deux embarcations chargées de monde, et j'envoyai mes pirogues au navire. Le lieutenant, qui accosta en premier, fut chaviré par le monde qui vint à l'embarcation ; quelques personnes de l'Indie se noyèrent; mon second recueillit les autres qu'il prit et amena à bord de sa pirogue ; la mer était d'ailleurs grosse et mauvaise : mon embarcation fut entièrement perdue, et partie même de son équipage faillit périr au milieu de gens qui se crochaient entre eux. Ayant reçu à bord ceux qui étaient dans la chaloupe et dans le grand canot, je mis du monde dans la chaloupe avec le lieutenant, et à l'aide de nos pirogues, de la chaloupe et du grand canot de l'autre navire, nous parvînmes à sauver tous ceux des naufragés qui existaient encore ; pour m'assurer qu'il n'y en avait plus, je me tins jusqu'à la nuit noire aussi proche que possible de la coque qui brûlait ; le feu était alors au ras du cuivre, il était sept heures du soir. Le capitaine de l'Indie avait eu la courageuse présence d'esprit de jeter à la mer une partie des poudres du bord, et l'explosion, du reste, paraît avoir été de peu d'effet. L'incendie s'était développé rapidement; il avait commencé à deux heures après-midi, et, à ce qu'il semble, par une chandelle qui était tombée dans une seiche dans laquelle on tirait de l'eau-de-vie. La flamme s'étant immédiatement communiquée à la pipe, à quatre heures elle avait toute son intensité. L'avant
sous faux pavillon, cherchant à m'attirer par de fausses manœuvres ; je faiisas vent-arrière presque à contre-cœur. Mais je ne fus pas otems dns l'incertitude, car au bout de dix minutes que je gouvernais sur lui, nous en vîmes sortir une grosse fumée et presque aussitôt la flamme qui montait jusqu'au haut des mâts ; alors je regrettai de n'être pas arrivé plus tôt. Nous craignions de n'être pas à temps pour sauver e monde : nous étions reenco à huit milles ; notre anxiété était extrême. Nous arrivâmes enfin il était quatre hrs après midi. Je mis en travers entre deux embarcations chargées de monde, et j'nvy mes prgs au navire. eL lieutenant, qui accosta n premier, fut chaviré par l edonm qui vint l'embarcation ; quelques personnes de 'Ie se noyèrent; mon second recueillit les autres qu'il prit et amena à bord de sa pirogue ; la mer étt d'ailleurs grosse et mvs : mon embarcation fut entièrement perdue, et partie même de sn éqpg faillit pérr au milieu de gens qui se crochaient entre eu. Ayant reçu à bord ceux qui étaient dans la chaloupe et dans le grnd canot, je ms du monde dans la chaloupe avec le lieutenant, et à l'aide de nos pirogues, de la chaloupe et du grand canot de l'autre navire, nous parvînmes à sauver tous ceux ds naufragés ui existaient encore pour 'assurer qu'il n'y n avait plus, je me tins jusqu'à la nuit noire aussi proche q possible de la coque qui brûlait ; le f était alors au ras du cuivre il était sept heures ud soir. Le aan de l'Indie avait eu la courageuse présence d'esprit de jeter à la mer une partie des poudres du bord, et lnloxosi,ep' du reste, paraît avoir été de peu d'effet. L'incendie s'était dévlopp rapidement l avait commencé à deux heures près-md, et, à ce q'l semble, par une chandelle qui était tombée dans une seiche dans laquelle on tirait de l'eau-de-vie. La flmm s'étant immédiatement communiquée à la pipe, à quatre heures elle avait toute son intensité. L'avant
la chaloupe avec le lieutenant, et à l'aide de nos pirogues, de la chaloupe et du grand canot de l'autre navire, nous parvînmes à sauver tous ceux des naufragés qui existaient encore ; pour m'assurer qu'il n'y en avait plus, je me tins jusqu'à la nuit noire aussi proche que possible de la coque qui brûlait ; le feu était alors au ras du cuivre, il était sept heures du soir. Le capitaine de l'Indie avait eu la courageuse présence d'esprit de jeter à la mer une partie des poudres du bord, et l'explosion, du reste, paraît avoir été de peu d'effet. L'incendie s'était développé rapidement; il avait commencé à deux heures après-midi, et, à ce qu'il semble, par une chandelle qui était tombée dans une seiche dans laquelle on tirait de l'eau-de-vie. La flamme s'étant immédiatement communiquée à la pipe, à quatre heures elle avait toute son intensité. L'avant seul du navire était un peu préservé ; aussi tous affluaient sur le beaupré et s'y pressaient les uns les autres, de telle sorte que, l'espace manquant, il en tombait de temps en temps à l'eau. Il en périt ainsi plusieurs ; les autres se raccrochaient aux manœuvres, où ils étaient reçus par une espèce de train ou radeau que formait de ce côté la mâture qui toute y était tombée, et qui tenait encore au navire. Un bout de dehors du grand foc, suspendu par ses extrémités, y frappait dans son balancement des coups à tout écraser ; c'était pourtant par le beaupré que tous descendaient. Toutes les autres parties du navire, et principalement l'arrière, étaient en flammes. Si le navire eût arrivé, ils étaient tous perdus : mais heureusement le grand poids de tant de personnes réunies sur le beaupré le maintenait au vent. Nous entendions de grands cris toutes les fois que le mouvement du tangage ou le vent y portaient les flammes. Dans cette scène affreuse, il y eut des traits touchants qui ont été remarqués et qu'on s'est rappelé ensuite. Il y avait là une femme avec trois enfants, un dans chaque bras, le troisième
la chal avec le lieutenant, et à lai de nos pirogues, de la chaloupe et ud grand canot de l'autre navire, nous parvînmes à sauver tous ceux des naufragés qui existaient encore ; pour m'assurer q'l n'y en avait plus, je me tins jusqu'à la nuit noire aussi proche que pssbl de la coque qui brûlait ; le feu était alors au ras du cuivre, il éti tpse heures du soir. Le capitaine de l'Indie avait eu la courageuse présence d'esprit de jeter à la mer une partie des ors du bord, et lexplosion du reste, paraît avoir été de peu d'effet. L'incendie s'était développé rapidement; il it commencé à deux hrs après-midi, et, c qu'il semble, pr une chandelle i était tombée dans une seiche dans laquelle on tirait d l'eau-de-vie. La flamme s'étant immédiatement communiquée à la pp, à qtr hrs elle vt utoet son intensité. 'avant seul d navire était un peu préservé ; aussi tous affluaient r le beaupré et sy pressaient les uns les autres, de telle sorte que, 'espace manquant, l en tombait de temps en temps à l'. Il en périt ainsi plusieurs ; les trs se raccrochaient aux manœuvres où ils étaient sureç par une espèce train ou reau que formait de ce côté la mâture qui toute y était tmbé, et qui tenait encore au nvr. Un bout de dehors du grnd foc, suspendu par ses extrémités, y frappait dans son balancement des coups à tout écraser ; c'était pourtant par le beaupré que tou dscndnt. Toutes les autres parties du navire te principalement l'arrière, étaient en flammes. S le navire eût arrivé, s étaient tous perdus : mais heureusement le grand poids de tant de personnes réunies sur le ur le tat au vent. Nous edintesnon de grands cs toutes les fois que le mouvement du tangage ou le vent y portaient les flammes. Dans cette scène affreuse, il eut des traits touchants qui ont été remarqués t qu'on s'est rpplé ensuite. Il y avait là une femme avec trois enfants, un dans chq bras, le troisième
étaient reçus par une espèce de train ou radeau que formait de ce côté la mâture qui toute y était tombée, et qui tenait encore au navire. Un bout de dehors du grand foc, suspendu par ses extrémités, y frappait dans son balancement des coups à tout écraser ; c'était pourtant par le beaupré que tous descendaient. Toutes les autres parties du navire, et principalement l'arrière, étaient en flammes. Si le navire eût arrivé, ils étaient tous perdus : mais heureusement le grand poids de tant de personnes réunies sur le beaupré le maintenait au vent. Nous entendions de grands cris toutes les fois que le mouvement du tangage ou le vent y portaient les flammes. Dans cette scène affreuse, il y eut des traits touchants qui ont été remarqués et qu'on s'est rappelé ensuite. Il y avait là une femme avec trois enfants, un dans chaque bras, le troisième sur son dos et accroché à son col ; elle serrait de ses mains les chaînes de haubans brûlants ; et dans cette position, disparaissant sous la lame de temps en temps dans les coups de roulis, elle attendit qu'une embarcation vint la prendre.... Un homme descendit et parvint à faire placer dans un des canots sa femme et ses trois enfants ; et voyant que l'embarcation était assez chargée, craignant d'en compromettre la sûreté s'il cherchait à s'y introduire lui-même, il remonta sur le beaupré alors déjà tout en feu, en témoignant beaucoup de joie de ce que sa femme et ses enfants étaient sauvés; peu lui importait, à ce qu'il disait, le reste. Ce brave homme fut ensuite sauvé lui-même. Quand ils furent tous à bord, je comptai et trouvai 198 personnes de plus que mon équipage. Quelques jeunes femmes avaient perdu leurs maris; ils se cherchaient tous les uns les autres. Ils étaient arrivés tous presque nus et en partie blessés ; nous leur donnâmes tous nos effets, beaucoup restèrent à demi-nus encore. Je fis faire la chaudière dans la cambuse, et l'équipage fut depuis continuellement occupé à préparer les vivres et à maintenir quelque apparence d'arrangement
étaient reçus pa une espèce de trn ou radeau que frmt de ce côté l mâture q toute y était tombée, et qui tenait ncr au navire. Un bout d dehors du grand foc, suspendu par ses extrémités, y frappait dans son balancement des coups tout écraser ; c'était pourtant par le beaupré q tous descendaient. Toutes les autres parties du navire, et nlnmpecretpaii l'arrière, étaient en flammes. Si le navire eût arrivé, ils étaient ts perdus : mais et le grand poids de tant de prne réunies sur le eap le mntnt au vent. Ns entendions de grands cris toutes les fois que le mouvement du tangage ou le vent y portaient les ms. Dans cete scène affreuse, il y eut des trts touchants qui ont été remarqués et n'quo s'est rappelé ensuite. Il y avait là une femme a trois enfants, un dans chaque bras, le troisième sur son dos t accroché à son col ; elle serrait de ses mains les chaînes de haubans brûlants ; et dns cette position, disparaissant sous la lame e temps en temps dans les coups de roulis, elle attendit qu'une mbcain nitv la prendre.... Un homme descendit et parvint à faire plcr dans un des canots sa femme et ses trois enfants et voyant que lembarcation était assez chargée, craignant d'en compromettre la sûreté sil cherchait à s'y introduire lui-même, il rmnt sur le beaupré alo déàj tt en feu, en témoignant beaucoup de joie de ce que femme et ses enfants étaient sauvés; peu lui importait à ce qu'il dst, le reste. Ce brave homme fut ensuite sauvé -mmêiel.u Quand ils furent tous à bord, je comptai et trouvai 198 personnes de lus que mon éqpg. Quelques jeunes femmes avaient perdu leurs maris; ils se cherchaient tous les uns les autres Ils étaient arrivés tous prsq nus et en partie blessés nous lr donnâmes tous nos effets, beaucoup restèrent à demi-nus encore. Je fis faire la chaudière dans la cambuse, et l'équipage fut dps continuellement occupé à préparer les vivres et à maintenir quelque apparence d'arrangement
faire placer dans un des canots sa femme et ses trois enfants ; et voyant que l'embarcation était assez chargée, craignant d'en compromettre la sûreté s'il cherchait à s'y introduire lui-même, il remonta sur le beaupré alors déjà tout en feu, en témoignant beaucoup de joie de ce que sa femme et ses enfants étaient sauvés; peu lui importait, à ce qu'il disait, le reste. Ce brave homme fut ensuite sauvé lui-même. Quand ils furent tous à bord, je comptai et trouvai 198 personnes de plus que mon équipage. Quelques jeunes femmes avaient perdu leurs maris; ils se cherchaient tous les uns les autres. Ils étaient arrivés tous presque nus et en partie blessés ; nous leur donnâmes tous nos effets, beaucoup restèrent à demi-nus encore. Je fis faire la chaudière dans la cambuse, et l'équipage fut depuis continuellement occupé à préparer les vivres et à maintenir quelque apparence d'arrangement à bord, plus encore qu'à manœuvrer ; il fatigua beaucoup. Le docteur n'a pas eu un moment de repos ; mon second, mes officiers et tous les hommes du bord ont fait dignement leur devoir, et c'en est un pour moi de rendre hommage à la belle conduite du capitaine Campbell, de l'Indie. Veuillez, etc. Signé : J. LECOSANNET. Rio Janeiro, 24 juillet 1841. LÉGATION BRITANNIQUE. Rio-Janeiro, 24 juillet 1841. Monsieur le baron, Le navire anglais l'India ayant pris feu près des côtes du Brésil, environ 200 émigrés passagers allaient périr, lorsqu'ils ont été sauvés par les secours du capitaine Lecosannet, du baleinier français le Roland. Le capitaine Lecosannet ne s'est pas borné, en cette occasion, à déployer une promptitude et une humanité qui lui font le plus grand honneur ; il n'a cessé d'entourer ces malheureux émigrés anglais (parmi lesquels se trouvaient plusieurs femmes et enfants dans un état déplorable de nudité et de faiblesse) des soins les plus généreux et les plus efficaces. Il m'est bien doux, monsieur le ministre, d'avoir à vous prier, comme représentant du roi des Français en cette cour, d'offrir à ce brave marin de votre nation les assurances de la plus vive reconnaissance,
faire placer dns un des ntsoac s femme et ss trois et ; e voyant u 'aaio était assez charg craignant den compromettre la sûreté s'il cherchait à s'y introduire êlm,i-ume il remonta sur le beaupré l déjà tout feu, en tmogan beaucoup de joie de ce que sa femme ses enfants étaient sauvés; peu lui mprtt, à ce qu'il disait, le reste. C bv homme ft ensuite své lui-même. Quand ils furent tous à bord, je comptai et trouvai 98 personnes de plus que mon équipage. Quelques jeunes femmes avaient perdu leurs ; ils se cherchaient tous les uns les autres. Ils étaient arrivés tous prsq u et en ati blessés ; nous leur onnâes tous nos effets, auubcepo restèrent à dn ceonre. Je fis faire la iè dans la cambuse, et l'équipage fut depuis continuellement occupé à préparer ls vivres et à maintenir quelque apparence darannt à bord, plus encore quà manœuvrer ; il fatigua beaucoup. L docteur n'a pas e un moment de sroep ; mon second, mes officiers et tous les hommes du bord ont ft dignement leur er, et c'en est un ruop moi de rendre hommage à la belle conduite du capitaine Campbell, de 'Indie. Veuillez, etc. Signé J LECOSANNET. io Janeiro, 24 jllt 1841. LÉGTN BRITANNIQUE. Rio-Janeiro, 2 juillet 1841. Monsieur le baron, Le navire anglais lIndia ayant pris feu près d côtes du Brésil, environ 200 émigrés passagers allaient périr, lrsq'ls ont été sauvés par les secours capitaine Lecosannet, du baleinier français le Roland Le capitaine Lecosannet ne s'est pas borné, ne cette occasion, à déplyr neu promptitude et n humanité qui lui fnt l plus grand honneur ; il n'a cessé etouer ces malheureux émigrés anglais (parmi lesquels se trouvaient uiplersus emmes et enfants dans un état déplorable de nut t de faiblesse des soins les plus généreux et les plus efficaces. Il m'est bien dx, monsieur le ministre, d'avoir à vous prier, cmm représentant d ri des Français en cette cour, d'offrir à c brave marin de votre nation ls assurances d la plus vive reconnaissance,
Campbell, de l'Indie. Veuillez, etc. Signé : J. LECOSANNET. Rio Janeiro, 24 juillet 1841. LÉGATION BRITANNIQUE. Rio-Janeiro, 24 juillet 1841. Monsieur le baron, Le navire anglais l'India ayant pris feu près des côtes du Brésil, environ 200 émigrés passagers allaient périr, lorsqu'ils ont été sauvés par les secours du capitaine Lecosannet, du baleinier français le Roland. Le capitaine Lecosannet ne s'est pas borné, en cette occasion, à déployer une promptitude et une humanité qui lui font le plus grand honneur ; il n'a cessé d'entourer ces malheureux émigrés anglais (parmi lesquels se trouvaient plusieurs femmes et enfants dans un état déplorable de nudité et de faiblesse) des soins les plus généreux et les plus efficaces. Il m'est bien doux, monsieur le ministre, d'avoir à vous prier, comme représentant du roi des Français en cette cour, d'offrir à ce brave marin de votre nation les assurances de la plus vive reconnaissance, exprimée de ma part, tant comme organe du gouvernement britannique que comme compatriote de ceux qui doivent la vie à ses honorables efforts. Je crois pouvoir solliciter votre bienveillante intervention, monsieur le baron, pour me procurer des renseignements sur le montant des frais encourus par le capitaine Lecosannet, dans cette circonstance, qui fait autant d'honneur à son caractère personnel qu'à l'état auquel il s'est voué. Il est, du reste, Français, et un acte d'humanité et de générosité fut est, dès lors, ce qu'il était naturel d'en attendre. J'aurai ultérieurement l'honneur, monsieur le ministre, de vous consulter sur le mode à choisir pour témoigner plus positivement, de la part de mon gouvernement, tout ce que cette belle action fait éprouver de reconnaissance et d'estime, et vous prie, en attendant, de vouloir bien donner les instructions nécessaires à la chancellerie de la légation française pour communiquer au consulat de S. M., aux fins de remboursement immédiat, le compte des frais avancés pour les malheureux sauvés par le capitaine Lecosannet. Je me félicite de pouvoir profiter d'une pareille occasion pour vous réitérer, monsieur le baron, les assurances de ma très haute considération et estime. Au capitaine Lecosannet, commandant le navire le Roland, du
Campbell, de l'Indie. Veuillez, etc. Signé : J. LECOSANNET. Rio Janeiro, 24 juilet 1841 LÉGATION BRITANNIQUE. RioJaneiro 2 illt 1841 Monsieur le baron, navire anglais l'India ayant pris feu près des côtes du Brésil, environ 200 émigrés passagers allaient périr, lorsqu'ils ont été sauvés par les secours du capitaine Lecosannet, d baleinier français le Roland. Le capitaine Lecosannet n s'est pas borné, en cette occasion, à déployer une promptitude et une humanité iuq lui font le uslp grand honneur ; il n'a cessé d'entourer ces malheureux émigrés anglais (parmi lesquels se trouvaient plusieurs femmes et enfants dans un étt déplorable de nudité et ed fblsse) des soins les plus généreux et les plus efficaces Il m'est bien doux, monsieur le ministre d'avoir à vous prier, mcemo représentant du roi des Français n ct cour, fri'drof à ce brv marin de votre nation les assurances de la plus vive reconnaissance, exprimée de ma part, tant cmm organe du gouvernement britannique que comme compatriote de ceux qui doivent la vie à ses honorables efforts. Je roics vr solliciter votre bienveillante intervention monsieur le baron, pour me procurer des renseignements sur e montant des frais encourus pr le capitaine Lecosannet, dans cette circonstance, qui fait autant dhonneur à son caractère personnel 'qàu 'état auquel il s'est voué. Il est, du reste, Français, et un acte 'humanité et de nésté fut est, dès lors, ce qu'il était lturane d'en attendre J'r ultérieurement l'honneur, monsieur l ministre, de vous consulter sur le md choisir pour témoigner plus positivement, de la part de mon gouvernement, tout ce que cette belle action fait éprouver de reconnaissance et d'estime, et vuos prie, en attendant, de vouloir bien donner les instructions acssérienes à la chancellerie de la légation françis pour mnu au consulat de S. M., x fins de emst immédiat, le compte des frais avancés pour les malheureux aés par l capitaine Lecosannet. eJ me félicite de ouoir profiter d'une pareille occasion pour vous rétérr, umrioens le baron, les assurances de ma très ht considération estime. Au capitaine Lecosannet, commandant le nvr le Rand, du
circonstance, qui fait autant d'honneur à son caractère personnel qu'à l'état auquel il s'est voué. Il est, du reste, Français, et un acte d'humanité et de générosité fut est, dès lors, ce qu'il était naturel d'en attendre. J'aurai ultérieurement l'honneur, monsieur le ministre, de vous consulter sur le mode à choisir pour témoigner plus positivement, de la part de mon gouvernement, tout ce que cette belle action fait éprouver de reconnaissance et d'estime, et vous prie, en attendant, de vouloir bien donner les instructions nécessaires à la chancellerie de la légation française pour communiquer au consulat de S. M., aux fins de remboursement immédiat, le compte des frais avancés pour les malheureux sauvés par le capitaine Lecosannet. Je me félicite de pouvoir profiter d'une pareille occasion pour vous réitérer, monsieur le baron, les assurances de ma très haute considération et estime. Au capitaine Lecosannet, commandant le navire le Roland, du Havre, mouillé en cette rade de Rio-de-Janeiro. Rio-de-Janeiro, 29 juillet 1841. Monsieur, les Anglais résidant à Rio de Janeiro, spécialement réunis aux fins ci-après, ayant résolu de vous témoigner leur sympathie reconnaissante pour l'humanité avec laquelle vous vous êtes empressé d'aller au secours du navire anglais l'India, tandis qu'il brûlait, le 19 du présent mois de juillet, et leur haute admiration pour les efforts héroïques par lesquels vous êtes parvenu à sauver l'existence de 198 individus des deux sexes, dont la destruction imminente allait être infailliblement l'ouvrage de deux éléments combinés contre eux; et plus tard, pour la générosité avec laquelle vous n'avez cessé de soulager et soutenir les malheureux naufragés, jusqu'au moment où vous les avez, sains et saufs, mis à terre en ce port, ont délégué le comité soussigné pour vous assurer de la haute admiration dont votre conduite les a pénétrés, et pour vous offrir, à vous ainsi qu'à vos officiers et équipage, l'hommage de leur gratitude pour votre honorable bienfaisance envers leurs infortunés compatriotes. Le comité, monsieur, s'empresse de vous solliciter d'offrir à votre équipage, de la part et au nom des Anglais résidant ici, la somme jointe à la présente, de 1,000 fr., comme un
circonstance, qui fait autant d'honneur à caractère personnel qu'à l'état auquel il voué. I est, du reste, Français, et un acte d'humanité et générosité fut est, dès lors c qu'il était atl d'n attendre. J'aurai ultérieurement l'honneur, monsieur le ministre, de vous cnsltr sr le mode à choisir pour témoigner plus positivement, de la part de mon gouvernement, tt e que cette belle action fait éprouver de reconnaissance te d'estime, et vous prie, en attendant, de vouloir bien donner les instructions nécessaires la chancellerie de l légation française pour communiquer u consulat de S. M., aux ifns de sebeerumortmn immédiat, le compte des frais avancés pr les malheureux sauvés pr le capitaine Lecosannet. Je e félicite de pouvoir profiter d'une pareille occasion pr vous réitérer, monsieur le baron, les assurances de ma très haute considération et estime. Au capitaine Lecosannet, commandant le navire le Roland, du Havre, mouillé en cette rade de R-d-Jnr. Rio-de-Janeiro, 29 jllt 1841. Monsieur, les Anglais résidant à Rio de Janeiro, spécialement réunis aux fins ci-après, ayant résolu de vous témoigner leur aithpymse reconnaissante pour 'ialtuhnmé avec laquelle vous vous êtes empressé d'aller au secours du navire anglais l'India, tandis qu'il brûlait, le 19 du présent mois de juillet, et leur haute admiration pour les efforts héroïques pr lesquels vous êtes parvenu à sauver lexistence d 198 individus deux ses, dont la destruction imminente allait être infailliblement l'ouvrage de deux éléments combinés contre eux; et plus tard, pour la générosité aec laquelle vous n'avez cessé de loagreus et soutenir les malheureux naufragés, jusqu'au moment où vous les avez, sains et saufs, ms à terre en ce port, ont délégué le comité soussigné pour vous assurer de la auteh admiration dont votre conduite les a pénétrés, et pour v offrir, à vous ainsi qu'à vos officiers et équipage, l'hommage de eu gratitude pour votre honorable bienfaisance envers leurs infortunés compatriotes. Le comité, monsieur, s'empresse de vous siceroillt d'offrir à votre équipage, de la part et ua nom des Anglais résidant ici, la somme jnteio à la présente, de 1,000 fr., comme un
le 19 du présent mois de juillet, et leur haute admiration pour les efforts héroïques par lesquels vous êtes parvenu à sauver l'existence de 198 individus des deux sexes, dont la destruction imminente allait être infailliblement l'ouvrage de deux éléments combinés contre eux; et plus tard, pour la générosité avec laquelle vous n'avez cessé de soulager et soutenir les malheureux naufragés, jusqu'au moment où vous les avez, sains et saufs, mis à terre en ce port, ont délégué le comité soussigné pour vous assurer de la haute admiration dont votre conduite les a pénétrés, et pour vous offrir, à vous ainsi qu'à vos officiers et équipage, l'hommage de leur gratitude pour votre honorable bienfaisance envers leurs infortunés compatriotes. Le comité, monsieur, s'empresse de vous solliciter d'offrir à votre équipage, de la part et au nom des Anglais résidant ici, la somme jointe à la présente, de 1,000 fr., comme un léger témoignage approbateur de sa noble conduite; et le comité ose vous prier, monsieur, d'en prendre sur vous la distribution. Ayant à cœur de conserver la mémoire de votre conduite, si bien en harmonie avec le caractère de la grande nation française, la communauté anglaise, établie à Rio de Janeiro, prend la liberté de vous offrir, monsieur, un chronomètre d'or comme souvenir d'elle. Le comité se flatte que la Providence qui vous a choisi, monsieur, comme l'instrument de miséricorde et de secours dans une si grande catastrophe, fera descendre sur vous toutes les bénédictions dont vous êtes digne, et vous prie de vouloir bien agréer, avec l'expression de tous ses vœux, ses assurances de sincère et très haute considération et respect. Signés Fred. GRIGG, J. THORESTON CHAMPIONS, chapelain anglais; George NAYLOR, Stephen COLLINS, James ANDREW, Henry F. WHITTLE. Je soussigné certifie que les signatures ci-dessus sont celles des six membres du comité formé aux fins ci-dessus exprimées, ajoutant que je sympathise pleinement et en tout avec leurs déclarations et sentiments. Signé, ROBERT KESKETH, consul de S. M. B. Sur ce chronomètre est gravée en anglais une inscription dont voici la traduction légale: "Offert par les Anglais résidant à Rio de
le 19 du présent mois juillet, et leur haute admiration pour les efforts héroïques par lesquels vs êtes aevunpr sauver l'existence de 198 individus des deux sxs, dont a destruction imminente allait être infailliblement l'ouvrage de u éléments combinés nercto eux; et plus trd, pour la générosité avec laquelle vous n'avez cessé de soulager et soutenir les mlhrx naufragés, qua moment où vs les avez, sains et fs,asu mis à trr en ce port, ont délégué le comité soussigné pour vous srsuare d la ht admiration dont votre conduite les a pénétrés, et pour os ffrr, à vous ainsi quà vos officiers et équipage, h'egmalmo de leur gratitude pour votre honorable iabscaenneif envers lsuer infortunés compatriotes. Le comité monsieur s'empresse de vous solliciter d'offrir votre équipage, de a part et au nom des Anglais é ici, la somme jointe à la présente, de 1,000 fr., cmemo un léger tée approbateur de sa noble conduite; et le comité ose vs prier, ieur den rede sur vs la dstrbtn. Ayant à cœur d conserver la meoimré de conduite, si bien n harmonie avec caractère de la grande ntn française, la communauté anglaise, établie à Rio de Janeiro, prend la liberté vous offrir, monsieur, un chroomtre d'r comme souvenir d'elle. L comité se e que la idec qui ous a choisi, monsieur, comme l'instrument de miséricorde et de scrusoe as une si grande catastrophe, fera descendre sur vous ustote les bénédictions dont vous êtes digne, et vous prie de vouloir bien agréer, avec l'eprso de tous ses vœux, ses assurances de inèe et r ht considération respect. énigSs Fred. GRIGG, J. THORESTON CPNOIHS,MA chapelain anglais; George NAYLOR, Stephen COLLNS, James ANDREW, Hen F. WHTTL. Je soussigné certifie que les signatures ci-dessus sont el des six membres du o formé aux fins sseis-ucd exprmes, ajoutant que je sympathise pleinement et en tout avec leurs déclarations et sentiments. Signé, RBRT KESKETH, consul d .S M B. S ce eèhrcrntomo est gravée en anglais une inscription dont vi al toauinrtdc légale "efOtfr par les Anglais résidant à Rio de
prend la liberté de vous offrir, monsieur, un chronomètre d'or comme souvenir d'elle. Le comité se flatte que la Providence qui vous a choisi, monsieur, comme l'instrument de miséricorde et de secours dans une si grande catastrophe, fera descendre sur vous toutes les bénédictions dont vous êtes digne, et vous prie de vouloir bien agréer, avec l'expression de tous ses vœux, ses assurances de sincère et très haute considération et respect. Signés Fred. GRIGG, J. THORESTON CHAMPIONS, chapelain anglais; George NAYLOR, Stephen COLLINS, James ANDREW, Henry F. WHITTLE. Je soussigné certifie que les signatures ci-dessus sont celles des six membres du comité formé aux fins ci-dessus exprimées, ajoutant que je sympathise pleinement et en tout avec leurs déclarations et sentiments. Signé, ROBERT KESKETH, consul de S. M. B. Sur ce chronomètre est gravée en anglais une inscription dont voici la traduction légale: "Offert par les Anglais résidant à Rio de Janeiro au capitaine Lecosannet, du navire le Roland, du Havre, en commémoration de ses efforts vraiment héroïques, en sauvant providentiellement, dans la perte par incendie du trois-mâts barkentine India; de Greenock, par lat. 160 41' S et long. 35° 15' W., le 19 juillet 1841, la vie de 198 Anglais qu'il a amenés heureusement à Rio-de-Janeiro." (Journal du Havre) TRAVAUX PUBLICS. — DÉCOUVERTES. La ville de Paris a confié à M. Théodore Chassériau les peintures de la chapelle de Sainte-Marie-Egyptienne, dans l'église Saint-Méry. — D'immenses travaux d'embellissement et d'utilité publique doivent s'exécuter prochainement dans les quartiers du Louvre et des Tuileries. Le remaniement du pavage des places de l'Oratoire et du Louvre, de l'intérieur de la cour du Louvre et le convertissement de la chaussée usée de la rue des Poulies-Saint-Honoré en chaussée bombée; le remplacement des mauvaises planches qui entourent l'emplacement où étaient les tombes de juillet, devant la colonnade du Louvre, par une belle grille en fer semblable à celle qui entoure le côté droit de cette même colonnade; l'établissement de larges trottoirs en asphalte tout le long des quais du Louvre, des Tuileries, Voltaire et Malaquais, de la grille des Tuileries, ainsi que sur les places du
prend la lbrté de uvos offrir, monsieur, un chronomètre d'or comme svnr d'elle. L comité se flat que l Providence qui vous a choisi, monsieur, comme l'instrument de miséricorde et secours dans une si grnd eacttrpa,ohs fera descendre sur vous toutes l bénédictions dont uvso êtes digne et pr de vouloir bien agréer, avec 'expression de ts ses vœux, ses assurances de sincère et très ht considération et respect. Signés Fred. GRIGG, J. THORESTON CHAMPIONS, chapelain anglais; Grg NYLR, Stephen COLLINS, James ANDREW, Henry F WHITTLE. Je soussigné eti que les signatures cdess sont celles des six membres du comité férmo aux fns ci-dessus exprimées, ajoutant que je sympathise pleinement et ne tout avec les déclarations et setimens. Signé, ROBERT KESKETH, consul de S. M. .B Sur ce chronomètre est gravée en anglais une inscription dont voici la traduction légale: "Offert par le Anglais résidant à Rio de Janeiro au capitaine Lecosannet, du navire le Roland, du Havre, en commémoration de ses efforts vraiment héroïques, en sauvant providentiellement, dans la prt par incendie du trois-mâts barkentine India; de Grnck, arp lat. 160 41' S te lon 5° 15' W le 19 juillet 1841, la vie de 198 Anglais qu'il a amenés heureusement à Rio-de-Janeiro." (Jrnl du Hvr) TRVX PUBLICS. — OUVS La lliev de Prs confié à M. éodr Chassériau les peintures de la chapelle de Sainte-Marie-Egyptienne, dans l'église Snt-Méry. — D'immenses travaux 'ebllisement te d'utilité publique doivent us'rxetecé prochainement dans les quartiers du Louvre et des Tuileries. Le remaniement du pavage des places de l'Orator et du Louvre, de l'intérieur de la cour du Lvr et convertissement de l chaussée usée de la rue des Poulies-Saint-Honoré en chaussée bmbé; le remplacement des mauvaises planches q entourent lemplacement où étaient les somtbe de juillet, devant la colonnade du Louvre, rap une belle grille en fer sembabl lclee qui entoure côté droit de cette même nnoodc;lea l'établissement de larges trottoirs asphalte tout el long des quais du Louvre, des Tuileries, Voltaire t Malaquais, de la grille ds Tuileries, ainsi que sur les places d
qu'il a amenés heureusement à Rio-de-Janeiro." (Journal du Havre) TRAVAUX PUBLICS. — DÉCOUVERTES. La ville de Paris a confié à M. Théodore Chassériau les peintures de la chapelle de Sainte-Marie-Egyptienne, dans l'église Saint-Méry. — D'immenses travaux d'embellissement et d'utilité publique doivent s'exécuter prochainement dans les quartiers du Louvre et des Tuileries. Le remaniement du pavage des places de l'Oratoire et du Louvre, de l'intérieur de la cour du Louvre et le convertissement de la chaussée usée de la rue des Poulies-Saint-Honoré en chaussée bombée; le remplacement des mauvaises planches qui entourent l'emplacement où étaient les tombes de juillet, devant la colonnade du Louvre, par une belle grille en fer semblable à celle qui entoure le côté droit de cette même colonnade; l'établissement de larges trottoirs en asphalte tout le long des quais du Louvre, des Tuileries, Voltaire et Malaquais, de la grille des Tuileries, ainsi que sur les places du Louvre et de l'Oratoire du Louvre; l'amélioration de la partie de la place du Carrousel comprise entre la rue Saint-Thomas-du-Louvre et la rue de Chartres, partie qui, comme on sait, est impraticable depuis si longtemps, non seulement pendant les jours d'hiver, mais aussi dans la saison d'été au moindre temps de pluie; enfin, l'éclairage au gaz, par plusieurs lignes de candélabres, de la place du Carrousel, du trottoir qui longe la grille du château des Tuileries, de la place du Muséum et de l'intérieur de la cour du Louvre. Il faut aussi ajouter à cette revue de travaux le dallage prochain en asphalte comme la belle place de la Concorde, des contre-allernes de l'avenue des Champs-Élysées, depuis les chevaux de Marly jusqu'à la barrière de l'Étoile, et de l'avenue de Neuilly, depuis l'Arc de Triomphe jusqu'au pont de Courbevoie. — La grande plaine de Montrouge, ainsi que les plateaux d'Ivry et d'Arcueil, en suivant la route d'Orléans, offrent l'aspect continu d'exploitations de carrières nouvellement ouvertes. On fouille partout les entrailles de la terre pour en tirer les matériaux des fortifications de Paris. Il en est de même sur un autre point, en remontant la Seine jusqu'à Melun. Les propriétaires riverains
qu'il a amenés heureusement à RiodeJaneiro (Journal du Hve TRAVAUX PUBLICS. — DÉCOUVERTES. La ville de Paris a confié à M. Théodore Chassériau ls peintures e la chapelle de Sainte-Marie-Egyptienne, a l'église Saint-Méry. — D'immenses travaux dembellissement et d'utilité publique etvindo s'exécuter prochainement dans les quartiers du Louvre et ds Tlrs. Le remaniement du pavage eds places de l'Oratoire et du Louvre, de l'intérieur de la cour du Louvre et le convertissement de la chaussée usée de la rue des Poulies-Saint-Honoré e chaussée bombée; le remplacement des mauvaises planches qui euntertno maceme où inetaté les tombes de juillet, devant la colonnade du Louvre, par belle grille en fer semblable à celle qui entoure le côté drit cette même colonnade; l'établissement de larges trottoirs en asphalte tout le long es quais du Louvre, des Tuileries, Voltaire et Malaquais, de la grille ds Tuileries, ns ueq sur les places du ore et de l'Oratoire d Louvre; l'amélioration de al pai de la pe du Carrousel opise entre la rue Saint-Thomas-du-Louvre et la r de Chartres, partie qui, comme on ,tsia t impraticable depuis si longtemps, non seulement pendant les rs d'hiver, mais aussi dans la saison d'été au mir temps de pluie; enfin, l'éclairage au gaz, apr plusieurs lignes de candélabres, e la place du Carrousel, du rto qui longe la relgil du château des Tuileries de a place du Muséum et de l'intérieur de la cour d Louvre. Il faut aussi ajouter à cette revue de travaux le dllg prochain en asphalte comme la belle place de la Concorde, des contre-allernes de l'avenue ds Champs-Élysées, depuis les chevaux de Marly jusqu'à la barrière de l'Étoile, t de l'avenue de Neuilly, depuis lAr de Triomphe jsq' pont de ouee — La grande plaine de Montrouge, ainsi que les plateaux 'Iv et d'Arcueil, en suivant la rt d'Orléans, offrent 'aspect continu d'exploitations de carrières nouvellement ouvertes. On fouille prtt les entrailles de la terre pour n tirer les matériaux des fortifications de Paris. Il en est de m sur un tr point en remontant la Seine jusqu'à Melun Les propriétaires riverains
de pluie; enfin, l'éclairage au gaz, par plusieurs lignes de candélabres, de la place du Carrousel, du trottoir qui longe la grille du château des Tuileries, de la place du Muséum et de l'intérieur de la cour du Louvre. Il faut aussi ajouter à cette revue de travaux le dallage prochain en asphalte comme la belle place de la Concorde, des contre-allernes de l'avenue des Champs-Élysées, depuis les chevaux de Marly jusqu'à la barrière de l'Étoile, et de l'avenue de Neuilly, depuis l'Arc de Triomphe jusqu'au pont de Courbevoie. — La grande plaine de Montrouge, ainsi que les plateaux d'Ivry et d'Arcueil, en suivant la route d'Orléans, offrent l'aspect continu d'exploitations de carrières nouvellement ouvertes. On fouille partout les entrailles de la terre pour en tirer les matériaux des fortifications de Paris. Il en est de même sur un autre point, en remontant la Seine jusqu'à Melun. Les propriétaires riverains font arracher de leur sol la pierre meulière dont le département de Seine-et-Marne a, sur beaucoup d'autres, l'avantage d'être abondamment pourvu, et la livrent aux entrepreneurs qui la font descendre par bateaux sur Paris. On sait combien ce silex molaire, d'une extrême dureté, est précieux et recherché pour former les meules à moudre le grain, et dans certaines constructions, notamment aussi pour les murs de forts et de remparts. — L'Auxiliaire breton rapporte le fait suivant : « On nous a remis un certain nombre de pièces de monnaie qui ont été trouvées à Saint-Aubin-du-Cormier. En creusant au pied d'un rocher pour extraire des terres, on a trouvé le squelette d'un homme de forte taille, et, près de la cuisse droite, réunies en un monceau, de façon à témoigner qu'elles avaient été dans une des poches et peut-être dans la bourse de l'homme dont ces os restes étaient les restes, environ 60 pièces de monnaie. Le plus grand nombre de ces pièces est en cuivre ; quelques-unes sont en argent, mais presque toutes sont du XVIe siècle. Selon toute apparence, ce squelette est celui d'un cavalier du temps de la Ligue ; car la bataille de Saint-Aubin est antérieure d'un
de pluie; enfin, 'cai au gaz, par plusieurs lignes de candélabres, de l place du Carrousel, du trottoir qui longe la lielrg d âte des Tuileries, de la lce du Muséum et de l'intérieur de la cour du Louvre. Il faut aussi ajouter à cette revue de travaux le dallage prochain en asphalte comme a belle place de l Concorde, des contre-allernes de l'avenue des Champs-Élysées, depuis les hex de Marly jusqu'à la barrière de l'Étoile, t de de Neuilly, dps l'Arc de Triomphe jusqu'au pont de Courbevoie. — La grande plaine de Montrouge, ainsi que sel elaxautp dIvry et dArcueil en suivant la route d'Orléans, offrent laspect continu d'exploitations de carrières nouvellement eesortvu. On fouille partout les ntrlls de la terre pour en tirer ls matériaux des frtfctns de Prs. Il en est de même sur un autre point, en retnt la Seine jusà Melun. s propriétaires rves font arracher de lr sl la pierre meulière dont le département de Sn-t-Mrn a, sur beaucoup d'trs, l'avantage d'être abondamment pourvu, et la livrent aux entrepreneurs qui l font descendre par bateaux sur Paris. On sait combien ce silex mlr, d'une extrême dureté, st précieux t rchrché rpou former les meules à moudre le grn, et dans certaines constructions, notamment aussi pr les murs forts et de remparts. — L'uiii breton rapporte le fait suivant : « On nous a remis un certain nombre de pièces de monnaie qui ont été trvés à Saint-Aubin-du-Cormier. n creusant au pied d'un rocher pour extraire dse terres, on a trouvé le squelette d'un homme de forte taille, et, pèrs de la cuisse drt, réunies en un monceau, de façon à éer qu'elles vnt été dans une des poches et peut-être dans la bourse d l'homme dont cse os restes étaient le restes, vroinne 60 pièces ed monnaie. Le plus grand nombre de ces pièces est n cuivre ; quelques-unes sont n argent, is presque toutes sont d XVIe siècle. Slon toute apparence, ce squelette est celui d'u cvlr ud teps de la Ligue car la bataille de SaintAubin est éaeteurnri d'n
meules à moudre le grain, et dans certaines constructions, notamment aussi pour les murs de forts et de remparts. — L'Auxiliaire breton rapporte le fait suivant : « On nous a remis un certain nombre de pièces de monnaie qui ont été trouvées à Saint-Aubin-du-Cormier. En creusant au pied d'un rocher pour extraire des terres, on a trouvé le squelette d'un homme de forte taille, et, près de la cuisse droite, réunies en un monceau, de façon à témoigner qu'elles avaient été dans une des poches et peut-être dans la bourse de l'homme dont ces os restes étaient les restes, environ 60 pièces de monnaie. Le plus grand nombre de ces pièces est en cuivre ; quelques-unes sont en argent, mais presque toutes sont du XVIe siècle. Selon toute apparence, ce squelette est celui d'un cavalier du temps de la Ligue ; car la bataille de Saint-Aubin est antérieure d'un siècle aux monnaies d'Henri III et de François II (de France), qui composent la majorité de cette petite trouvaille. » On a découvert récemment, en faisant des fouilles près de Canterbury, un certain nombre d'anciens tombeaux, ainsi que des épées romaines, des couteaux, des vases, des fragments de boucliers. À M. le rédacteur du Courrier français. Monsieur, En lisant votre compte-rendu de la dernière séance de l'Académie des sciences, je me suis aperçu que votre rédacteur semblait m'attribuer le mérite d'avoir le premier constaté d'une façon irréfragable la présence de l'électricité dans un jet de vapeur sortant d'une chaudière. En montant sur un isolement et en me chargeant du fluide suffisamment pour émettre des étincelles, je n'ai fait, monsieur, jusqu'à présent, que répéter la curieuse expérience dont M. l'ingénieur belge Tassin m'a rendu témoin à Liège. Restituer à César ce qui est à César est, monsieur, mon devoir de chaque jour. Mon amour pour les sciences ne me le fera jamais oublier. En donnant place à cette rectification dans votre journal, vous concourrez à un acte de justice. Agréez, etc. Baron SÉGUIER. huitième volume de l'Encyclopédie nouvelle, que vient de terminer la publication de la 38e livraison mensuelle, est en
meules à moudre le grain, et dans certaines conrcts notamment ssi pour les murs de forts et de remparts. — L'Auxiliaire etrbno rapporte le fait suivant : « On nu a remis un certain nombre de pièces de monnaie qui ont trouvées à Saint-Aubin-du-Cormier. n ea au pied 'und rocher pour extraire des terres, on a trouvé le squelette d'un homme de forte taille, , près de la cuisse dit réunies en un monceau, e façon à témoigner qu'elles avaient été dans une des pchs et peut-être dans bourse de l'homme dont ces os restes étaient les restes, environ 60 pièces de monnaie. Le plus grand nombre de ces pièces est cuivre ; quelques-unes sont en argent, mais presque o sont du XVIe siècle. Selon toute apparence, ce squelette est celui d'un cavalier du temps de la Ligue ; car la bataille d Saint-Aubin est antérieure d'n siècle ax monnaies d'Henri III et de François II (de France), qui composent la majorité de cette petite trouvaille. » On a découvert récemment, e faisant des fouilles près de Cntrbry, un certain nmbr d'anciens tombeaux, ns que des épées romaines, des couteaux, ds vases, des atnfrmesg de boucliers. À M le rédacteur du Courrier français. Monsieur, En lisant vtr compte-rendu de la dernière séance de l'Académie des sciences, je me ss aperçu ueq votre rédacteur semblait m'attribuer le ie d'avoir le prmr constaté d'une fçn irréfragable la présence de l'électricité d u jet de vapeur sortant d'une chaudière. En montant sur un isolement et en me chargeant du fluide suffisamment pour émettre des étincelles, je nai ft, s,riunmoe jusqu'à pren que répéter curieuse expérience dot M. 'inénieur belge Tssn ' rendu témoin Liège Restituer à César c qui est à éarCs est, monsieur mon devoir de chaque jour. Mno amour pour les e ne me le fea jamais oublier. En dtnnaon plc à cette rectification dans votre journal, vous concourrez à un acte de justice. Agréez, etc. Brn SÉGUIER. mèetiihu vlm d l'Encyclopédie nouvelle, que vient de terminer la publication de la 38e livraison mensuelle, est en
M. le rédacteur du Courrier français. Monsieur, En lisant votre compte-rendu de la dernière séance de l'Académie des sciences, je me suis aperçu que votre rédacteur semblait m'attribuer le mérite d'avoir le premier constaté d'une façon irréfragable la présence de l'électricité dans un jet de vapeur sortant d'une chaudière. En montant sur un isolement et en me chargeant du fluide suffisamment pour émettre des étincelles, je n'ai fait, monsieur, jusqu'à présent, que répéter la curieuse expérience dont M. l'ingénieur belge Tassin m'a rendu témoin à Liège. Restituer à César ce qui est à César est, monsieur, mon devoir de chaque jour. Mon amour pour les sciences ne me le fera jamais oublier. En donnant place à cette rectification dans votre journal, vous concourrez à un acte de justice. Agréez, etc. Baron SÉGUIER. huitième volume de l'Encyclopédie nouvelle, que vient de terminer la publication de la 38e livraison mensuelle, est en vente à la librairie de Gosselin. Ce volume est un de ceux qui font le plus d'honneur à MM. P. Leroux et J. Reynaud. Il permet largement de se faire une idée de ce grand ouvrage, en même temps qu'il est une preuve que leurs éditeurs, fidèles à leur engagement, ne dépasseront pas le nombre de volumes qu'ils ont promis. En effet, ce volume est le dernier. La livraison qui le termine est pleine d'intérêt ; entre autres articles, nous y avons remarqué : Zoroastre, par M. J. Reynaud Cet article, un des plus étendus de l'Encyclopédie, est un résumé de tout ce que la science moderne a découvert sur les hautes antiquités de l'Orient ; Voltaire, par M. P. Leroux, article tout empreint de l'esprit du XVIIIe siècle ; Zoologie, par M. Is. Geoffroy Saint-Hilaire, membre de l'Institut; Zoophytes, par M. Gervais, naturaliste du Muséum; Modes de communication, par M. L. Reynaud, professeur d'architecture à l'École polytechnique; Zinc, par M. Le Play, professeur de métallurgie à l'École des mines, etc., etc. Cette livraison était digne de clore l'ouvrage. Demain samedi, les acteurs de l'Opéra-Comique donneront à Compiègne, devant le roi et la famille royale, une représentation de Richard Coeur-de-Lion.
M. l rédacteur du Courrier français. Monsieur, En lisant votre compte-rendu de la dernière séance de l'cdém esd sciences, je em suis aperçu que votre rédacteur semblait m'abu le mérite d'avoir le premier cnstté d'une façon irréfragable la présence de l'électricité dans un jt de vapeur sortant d'une cudr. En montant usr un isolement et en me get du fluide sffsmmnt pour émettre des étincelles, je n'ai fait, monsieur, jusqu'à présent, que répéter la curieuse expérience dont M. l'ingénieur belge n m'a rendu témoin Liège. Restituer à César ce q est César est, monsieur, mn devoir de chaque jour. Mn amour pour l sciences n me le fera msiaaj oublier. En donnant place cette rectification dans votre journal, vous concourrez un acte de justice. Agréez, etc. Baron SÉGUIER. huitième volume e l'Elpéi nouvelle, q vient de terminer la publication de la 38e livraison mensuelle, est en vente à la librairie de Gosselin. Ce elmouv est n de uecx qui font le pls d'honneur à MM. P. e et J. Reynaud. Il permet largement de se faire une ée de grand ouv en mêm temps qul st une preuve que leurs éditeurs, fidèles à leur engagement, n dépasseront pas le nombre de volumes qu'ils nt promis. En effet, ce vlm est le dernier. La iva qui le termine est pleine d'intérêt ; entre autres articles, nous y avons remarqué : Zoroastre, pr M. . Reynaud Cet article, u des plus tdus de l'Encyclopédie, est un résumé de tout ce que la science moderne a découvert sur les hautes antiquités e l'rnt ; Voltaire, par M P. Leroux, article utto empreint e l'esprit du XVIIIe siècle ; Zoologie, par M. Is. Geoffroy Saint-Hilaire, membre d l'Institut; Zoophytes pr M. Gervais, nrtaalesiut du Muséum; Modes de communication, pr . L. Reynaud, professeur d'architecture à l'École oyei; Zinc, par M. e Play, professeur de métallurgie à l'École des mines, etc., etc. Cette livraison était digne de co 'vrag. Demain samedi, les acteurs d 'Opéra-Comique donneront à Compiègne, devant le roi et la fmll royale, une représentation de Richard Coeur-de-Lion.
ne dépasseront pas le nombre de volumes qu'ils ont promis. En effet, ce volume est le dernier. La livraison qui le termine est pleine d'intérêt ; entre autres articles, nous y avons remarqué : Zoroastre, par M. J. Reynaud Cet article, un des plus étendus de l'Encyclopédie, est un résumé de tout ce que la science moderne a découvert sur les hautes antiquités de l'Orient ; Voltaire, par M. P. Leroux, article tout empreint de l'esprit du XVIIIe siècle ; Zoologie, par M. Is. Geoffroy Saint-Hilaire, membre de l'Institut; Zoophytes, par M. Gervais, naturaliste du Muséum; Modes de communication, par M. L. Reynaud, professeur d'architecture à l'École polytechnique; Zinc, par M. Le Play, professeur de métallurgie à l'École des mines, etc., etc. Cette livraison était digne de clore l'ouvrage. Demain samedi, les acteurs de l'Opéra-Comique donneront à Compiègne, devant le roi et la famille royale, une représentation de Richard Coeur-de-Lion. — Demain samedi, aux Variétés, spectacle demandé. L'Inconsolable, par Lepic, Hyacinthe, Mme Flore et Esther ; Jocrisse, chef de brigands et les Deux précepteurs, par Lepeintre et Brunet. — À l'occasion du jeu des grandes eaux de Versailles, après-demain dimanche, il y aura sur les deux chemins de fer des départs à toutes les demi-heures jusqu'à onze heures du soir. « Sans. Illustre on demande des pensionnaires pour la table et le logement, 7, rue du Mail. » TRIBUNAL DE COMMERCE. Déclarations de faillites. Du 24 septembre 1852. SOETAERT, tailleur, rue de la Tour, S. Juge-commissaire H. Thi-1'C prot.s., M. Pellerin, rue Lepicletier, 16. BRONCARD, ancien marchand de meubles, actuellement à Charonne, aux Quatre-Chemins. Juge-commissaire M Lamaille • syndic prov., M.T. pb. Kne, rue Saint-Lazare, 10. DEMONCHY, marchand de vin à la Chapelle-Saint-Denis, Grande-Route, 167. Juge commissaire, M. Gaillard; syndic Drôvis de S. Filles-Saint-Thomas, 7. MARTENOT, LIMONADIER, PRÈS de l'École-de-Médecine, 3. Juge-commissaire, M. Gaillard; syndic prov., M. Magnier, rue Tait Assemblées de créanciers. Samedi, 25 septembre. Demoiselle Bérenger, lingère, reddition de comptes. 10 h. — Deruelle, restaurateur, reddition de comptes, 10 h. Simonot père, grainier, syndicat, 10 h. Du truc, marchand de vin, vérification, 10 h. Robert, gravateur, vérification, midi.
ne dépasseront pas le nombre de volumes qu'ils nto pos En effet, ce volume est le drnr. La lvrsn qui le termine st pleine d'intérêt ; entre autres articles, u avons remarqué Zoroastre, pr M. J. Reynaud Cet article un des plus étendus d l'Encyclopédie, est un résumé de tout ce que la science moderne a découvert sur les hautes antiquités de lOrient ; Vltr, pa M. .P Lrx, article tout emnpirte de l'esprit du siècle ; Zoologie, par M. Is. Geoffroy Saint-Hilaire, membre de l'Institut; Zoophytes, par M. Gervais, naturaliste du Muséum; Modes d commnitn, par M .L Reynaud, professeur 'architecture à l'Écl plytchnq; Zinc par M. Le Play, professeur de métallurgie à l'École des mines, etc., etc. Cette lvrsn était digne de clore l'ouvrage. Demain samedi, les acteurs de l'Opéra-Comique dnnrnt à Compiègne, devant e r et la famille royale, une rprésnttn de Richard CoeurdeLion — Demain samedi aux Variétés, spectacle demandé. L'Inconsolable, par Lepic, Hycnth, Mm Flr t Esther ; Jocrisse, chef de brgnds et les Deux précepteurs, par Lepeintre et rt — À l'occasion du jeu des grandes x de Vs,sleleiar aprèsdemain dimanche, il y aura sur les deux chemins de f eds départs à tutes les demi-heures jsq'à onze heures d soir. « Sans. llstr on aemnded des pensionnaires pour la table et le logement, 7, rue du ail. TRIBUNAL DE COMMERCE. Déclarations de faillites Du 24 septembre 1852. SOETAERT, tailleur rue de la Tour, S. Juge-commissaire H hi-C prots M. Pellerin, re Lepicletier, 16. BRONCARD, ancien marchand de es, actuellement à Charonne, aux Quatre-Chemins. Jge-cssie M Lamaille • syndic prov., M.T. pb. ne rue Saint-Lazare, 1.0 DEMONCHY, marchand de vin à la Chapelle-Saint-Denis, Grande-Route, 167. Juge commissaire M. iraadllG; syndic Drôvis de S. Filles-Saint-Thomas, 7 MARTENOT, LIMONADIER, PRÈS de l'École-de-Médecine, 3. Juge-commissaire, M. Gaillard; syndic prov., M. Magnier, rue Tit Assemblées de créanciers. Samedi, 25 septembre. Demoiselle Bérngr, lingère, reddition de mp 10 . — Deruelle, restaurateur reddition de comptes, 10 h. moiotSn père, grainier, syndicat, 10 h. Du truc, marchand de vin vérification, 10 h. Robert, gravateur, vérification, midi.
départs à toutes les demi-heures jusqu'à onze heures du soir. « Sans. Illustre on demande des pensionnaires pour la table et le logement, 7, rue du Mail. » TRIBUNAL DE COMMERCE. Déclarations de faillites. Du 24 septembre 1852. SOETAERT, tailleur, rue de la Tour, S. Juge-commissaire H. Thi-1'C prot.s., M. Pellerin, rue Lepicletier, 16. BRONCARD, ancien marchand de meubles, actuellement à Charonne, aux Quatre-Chemins. Juge-commissaire M Lamaille • syndic prov., M.T. pb. Kne, rue Saint-Lazare, 10. DEMONCHY, marchand de vin à la Chapelle-Saint-Denis, Grande-Route, 167. Juge commissaire, M. Gaillard; syndic Drôvis de S. Filles-Saint-Thomas, 7. MARTENOT, LIMONADIER, PRÈS de l'École-de-Médecine, 3. Juge-commissaire, M. Gaillard; syndic prov., M. Magnier, rue Tait Assemblées de créanciers. Samedi, 25 septembre. Demoiselle Bérenger, lingère, reddition de comptes. 10 h. — Deruelle, restaurateur, reddition de comptes, 10 h. Simonot père, grainier, syndicat, 10 h. Du truc, marchand de vin, vérification, 10 h. Robert, gravateur, vérification, midi. Follent, marchand de vin, vérification, midi. — Bergeret, marchand de laine et literie, clôture, midi. Rousée jeune, entrepreneur de maçonnerie, clôture, 1 h. Fan dou, ancien dentiste, clôture, 1 h. Chevassus, boisselier, syndicat 1 h. Fatout, marchand d'estampes, syndicat, 1 h.-Gontier, entrepreneur de peinture, syndicat, 1 h. Lebel, confectionneur d'habillements, vérification, 1 h. Barrot voit du fier, vérification, et Jacqueson, marchand de vin, concordat, S. H. Pecholier, faïencier, concordat, 2 h. — Veuve Gaillard, marchande de nouveautés, clôture à 1 h. Thenadey, tapissier, clôture, 2 h. — Drouilleaux, traiteur, reddition de comptes, à 1 h. BULLETIN DE LA BOURSE, est malin, au café de Paris, le 3 % se donnait à 79 5. Ouvert au parquet à 79 10, il a tout fondement tombé à 79 fr, puis assez péniblement remonté à 79 10. Pendant le reste de la séance, la rente, extrêmement lourde, a flotté entre 79 50 et 79 5, auquel jusqu'à 5 h. 10 c. plus bas qu'hier, la clôture du parquet. Le report s'est élevé dans la coulisse, après la bourse, elle est descendue et restée vers quatre heures et demie à 78 90. Le 3 % est la seule valeur en hausse, et la faveur
départs à toutes les demi-heures jusqu' onze heures soir. « Sans. Illustre on ne des pensionnaires pour la table et le logement, 7, rue du Mail. TRIBUNAL DE COMMERCE. Déclarations de faillites. Du 24 septembre 1852. SOETAERT, tailleur rue de la Tour, S. Juge-commissaire H. Thi-1'C prot.s., M. ei,Pnrlel rue Lepicletier, 16. BRONCARD, ancien marchand de ule, actuellement à Charonne, x Quatre-Chemins. -comisi M Lamaille • yd prov., M.T. p. Kne, rue Saint-Lazare, 10. DEMONCHY, marchand d vin la Chapelle-Saint-Denis, Grande-Route, 167 Juge issare M. Gllrd; syndic Drôvis de . FnhmslS-,-atsTieolai 7. MARTENOT, LIMONADIER, PRÈS d l'École-de-Médecine, 3. Juge-commissaire, M. Gaillard; syndic prov., . Magnier, eur Tt selés de créanciers. Smd, 25 sptmbr. Demoiselle Bérngr, lingère, reddition de comptes. 10 h. — Drll, retaeur, reddition de comptes 10 h. Sono père, grnr, syndat, 10 h. Du truc, mrchnd de vn, vérification, 10 h. Robert, gravateur, vérification, midi. Follent, marchand de vin, vérification, midi. — Bergeret mrchnd d laine et literie, clôture, midi. Rousée jeune, entrepreneur de maçonnerie clôture, 1 h. Fan dou, ancien dentiste, clôture, 1 ,eCuvahsss boisselier tiaysdnc 1 h. Fatout, marchand 'estampes, acniydst, hGontier entrepreneur de peinture, syndicat, 1 h. Lebel confectionneur d'hbllmnts, vérification, 1 h. Barrot voit du fier, vrifctn et Jacqn nrdaahmc de vin, concordat, S. H. Pecholier, faïencier, tcdaoro,nc 2 h — Veuve Gaillard, marchande de nouveautés, clôture à 1 h. Thenadey, tapissier, clôture 2 . — Drouilleaux, traiteur, reddition de comptes, à 1 h. BULLETIN D LA BOURSE, est lan,mi au café de Paris, l 3 % se donnait à 79 5. Ouvert au parquet à 79 10, il a tt ofmdeetnn tombé à 79 fr, puis assez péniblement remonté 79 10. Pendant le reste de la séance, rente, extrêmement lourde, a flotté ne 79 50 t 79 5, auquel jusqu'à 5 h. 10 c. s bas e,ui'hrq la clôture u parquet. Le rprt s'est élvé dns la coulisse, près la bourse, elle est descendue t restée vers qtr hrs et demie à 78 90. eL 3 % est la seule valeur en hausse, et la fvr
vérification, 1 h. Barrot voit du fier, vérification, et Jacqueson, marchand de vin, concordat, S. H. Pecholier, faïencier, concordat, 2 h. — Veuve Gaillard, marchande de nouveautés, clôture à 1 h. Thenadey, tapissier, clôture, 2 h. — Drouilleaux, traiteur, reddition de comptes, à 1 h. BULLETIN DE LA BOURSE, est malin, au café de Paris, le 3 % se donnait à 79 5. Ouvert au parquet à 79 10, il a tout fondement tombé à 79 fr, puis assez péniblement remonté à 79 10. Pendant le reste de la séance, la rente, extrêmement lourde, a flotté entre 79 50 et 79 5, auquel jusqu'à 5 h. 10 c. plus bas qu'hier, la clôture du parquet. Le report s'est élevé dans la coulisse, après la bourse, elle est descendue et restée vers quatre heures et demie à 78 90. Le 3 % est la seule valeur en hausse, et la faveur qu'il a obtenue s'est bornée à 5 c. sur son dernier cours de hier. Saint-Germain perd 5 fr. (clos à 730 fr.) ; la rive droite, 1 fr. sur celui de mercredi (dit à 310 fr.) ; la gauche et Orléans, 25 c. (207 50 à 478 75 cours unique) ; le 3 % belge, 50 c. (75 fr., unique) ainsi que le 5 % turc de Naples, comme elle a fermé hier. Tout le reste sans variations. Au comptant, finissent aux prix dernièrement indiqués : 4 % d'obligations Hypothécaires de l'Ile de la République, Phare. Ont rétrogradé : 3 % de 50 c., Jonque de France de Sépt, 5 bouclier rive droite de 7 50 Orléans et Strasbourg 5 25, rive gauche. Coupons Saint Bruc et jouissance des 4 canaux de 2 50. — S'est amélioré : 6 % de 80 fr. Lat-N B. Bons du trésor à deux et trois années d'échéance, 1 5/8. Fonds étrangers. — Baisse : Naples et 8 % belge, Hambourg 25 c. BOURSE DU 24 SEPTEMBRE. 1000 f. Caisse hypothécaire, Fonds courant 114 60 114 70 114 60 114 70 500 — Oblig. du 22 juill. compt. 79 79 10 79 79 10
vérification, 1 h. Barrot voit du fier, vérification, et Jacqueson, rchnd de vin, concordat, S. H. Pecholier, faïencier, concordat, 2 h. — Veuve Gaillard, marchande de nouveautés, clôture à 1 h. Thenadey, tapissier, clôture, 2 h. — Drouilleaux, traiteur, reddition de cmp à 1 h. BULLETIN DE L BOURSE, est malin, au café de Paris, le % se donnait à 79 Ouvert au parquet 79 10, il a out fondement tombé à 79 fr, assez péniblement remonté à 79 10. Pendant le reste de la sénc, la rente, extrêmement lourde, a flotté entre 79 50 et 79 5, auquel u'àusqj 5 h. 10 c. plus bas qu'hier, la clôture du parquet. Le report s's élevé dans la coulisse, après la bourse, elle est descendue et esétre vers qtr heures et demie à 78 90. Le 3 % est la seule valeur en ,uashes et la faveur qu'il a obtenue s'est bornée à 5 c. sur son dernier cours de hier. Saint-Germain perd 5 fr (clos à 730 fr.) ; la rive droite, 1 fr. sur celui de mercredi (dit à 310 fr.) ; la gauche et Orléans 25 c. (207 50 à 478 75 crs unique) ; le 3 belge, 50 c. (75 fr., unique) ainsi que le 5 % turc de Naples, comme elle rfeém her Tt le rst sans varatio. Au omtant finissent x prix dernièrement indiqués : 4 % d'obiga Hypothécaires de l'Ile de la Répblq, Phare. Ont rétrogradé 3 % de 50 c., Jonque de France de Sépt, 5 bclr rive droite de 7 50 rléns et Strasbourg 5 25, rive gauche. Coupons a Bruc et jouissance des 4 canaux de 2 50. — S'est amélioré : 6 % de 80 fr. a-N B. Bons du trésor à deux et trois années d'échéance, 1 5. Fonds étrangers. — a : Naples et 8 belge, Hambourg 25 c. BOURSE DU 24 SEPTMBE 1000 f. Caisse hypothécaire, Fonds courant 114 60 114 70 114 60 114 70 500 — Oblig. du 22 u. compt. 79 79 10 7 79 1
; le 3 % belge, 50 c. (75 fr., unique) ainsi que le 5 % turc de Naples, comme elle a fermé hier. Tout le reste sans variations. Au comptant, finissent aux prix dernièrement indiqués : 4 % d'obligations Hypothécaires de l'Ile de la République, Phare. Ont rétrogradé : 3 % de 50 c., Jonque de France de Sépt, 5 bouclier rive droite de 7 50 Orléans et Strasbourg 5 25, rive gauche. Coupons Saint Bruc et jouissance des 4 canaux de 2 50. — S'est amélioré : 6 % de 80 fr. Lat-N B. Bons du trésor à deux et trois années d'échéance, 1 5/8. Fonds étrangers. — Baisse : Naples et 8 % belge, Hambourg 25 c. BOURSE DU 24 SEPTEMBRE. 1000 f. Caisse hypothécaire, Fonds courant 114 60 114 70 114 60 114 70 500 — Oblig. du 22 juill. compt. 79 79 10 79 79 10 1000 L'année. Fonds courant 79 10 79 19 79 79 1000 Dito. 41 1/2 % du 22 sept. 1000 Fr. J. de juill. 3325 1000 Bons du Trésor. 4 % (OBLIGATIONS). de juill. 1285 FONDS ÉTRANGERS. 1000 Italien. Juill.comp. 105 25 105 25 105 25 105 25 Idem -Rhône ms Fonds courant... 100 50 1160 50 100 50 100 50 idem — Sambre. ESPIGNE. Dette courante 22 1/4 BELGE. 3 %. 71 85 71 85 71 85 71 85 Emp. 5 %. 103 3/4 idem 4 %, 85, Dnouty. ————D. 1840. 104 7/8, À jouissance. 3 152 50 Passive. Banque 767 50 POMPEII. 5 % 1841. De 1841. Ch 730 D*3 Soc. gén. Emp. dudit. Higuél. PRIME. 4 % en or. prime. 1132 50 ROLL. 1 1/2 %. ETATS ROMAINS. Oblig. 1832.103 1/2 25 gône dudit, 5 %. ÀUTRICHE. 1834 avec lots. 356 25 n'ayant pas suffisamment BAÏTIS 1828. 616 25 Paris 1828 n.prime. * — Prix Rouen. PRIME: Fonds courant. Fonds prochain. idem idem -Orléans. Libérée. 478 75 S.. 478 75 478 75 idem Sambre. * * * * * » » * * * * d. 50 1000 Montpellier * * * * * » » d. 1
; le 3 % belge, 50 . (75 fr., unique) ainsi que le turc de Naples, comme elle a ré hier. Tout le reste sans variations. Au comptant, finissent aux prix dernièrement nqé : 4 % d'obligations thécais de l'Ile de la uulbéeq,piR Phare. Ont rétrogradé : 3 % de 50 ., Jonque de France de Sépt, 5 bouclier rive drot de 7 50 Orléans et Strasbourg 5 25, rive gauche. Coupons Saint Bruc et jouissance d 4 canaux de 2 50. — S'est amélioré : % de 80 fr. Lat-N B. Bons du trésor à deux et trois années d'échéance, 1 5/8. Fonds étrangers. — Baisse : le et 8 % belge, Hambourg 25 c. BOURSE DU 24 SEPTEMBRE. 1000 f. Caisse ypthr Fonds courant 114 60 114 70 114 60 114 70 050 — Oblig. d 22 juill. cmpt. 79 79 10 79 79 10 1000 L'année. Fonds courant 79 10 79 19 79 79 1000 Dito. 41 1/2 % du 22 sept. 1000 Fr. J. de juill 3325 1000 Bo du Trésor. 4 % (OBLIGATIONS). de juill. 1285 FONDS ÉTRANGERS. 1000 Italien. Juill.comp. 105 25 105 25 105 52 105 25 Idem -Rhône ms Fnds courant... 100 50 1160 50 100 50 100 50 idem — Sambre. ESPIGNE. Dette courante 22 1/4 BLE 3 %. 71 85 71 85 71 85 71 85 Emp. 5 %. 103 3/4 d 4 85, nout. ————D. 1840. 104 7/8, À jouissance. 3 152 50 Passive. Banque 767 50 POMPEII. % 181 De 1841. Ch 730 D*3 Sc. gén. Emp. dudit. Higuél PRIME. 4 % n or. prime. 1132 50 ROLL. 1 1/2 %. ES ROMAINS. Oblig. 1832.103 1/2 25 gône dudit, 5 %. ÀUTRICHE. 184 avec lts. 356 5 n'ayant pas uimment BAÏTIS 1828. 616 25 Paris 1828 n.prime. — Prx Rouen. ME: Fonds courant. Fonds prochain. idem idem ls-an.Oré Lbéré. 478 75 S.. 478 75 48 75 idem Sambre * * * * * » » * * * * d. 50 1000 Montpellier * * * * * » d. 1
Fonds courant... 100 50 1160 50 100 50 100 50 idem — Sambre. ESPIGNE. Dette courante 22 1/4 BELGE. 3 %. 71 85 71 85 71 85 71 85 Emp. 5 %. 103 3/4 idem 4 %, 85, Dnouty. ————D. 1840. 104 7/8, À jouissance. 3 152 50 Passive. Banque 767 50 POMPEII. 5 % 1841. De 1841. Ch 730 D*3 Soc. gén. Emp. dudit. Higuél. PRIME. 4 % en or. prime. 1132 50 ROLL. 1 1/2 %. ETATS ROMAINS. Oblig. 1832.103 1/2 25 gône dudit, 5 %. ÀUTRICHE. 1834 avec lots. 356 25 n'ayant pas suffisamment BAÏTIS 1828. 616 25 Paris 1828 n.prime. * — Prix Rouen. PRIME: Fonds courant. Fonds prochain. idem idem -Orléans. Libérée. 478 75 S.. 478 75 478 75 idem Sambre. * * * * * » » * * * * d. 50 1000 Montpellier * * * * * » » d. 1 50 1000 — Obligation dudit * * * * * » » d. 5 1250 Id. St-Etienne * * * * » * » d. 3 500 — Mulhouse. * * * " » * d. 4 Idem — Bordeaux à large * * * * » » * d. 5 350 — Strasbourg à Belfort 1831 * * * * » * d. 3 50 — Réscriptiohs n 15 * * * » * d. 1 1000 Houille H.-L. * * * * d. 1 50 1000 — Lyan. * * 79 60 79 50 d. 1 idem Pont de Loup. 79 15 79 55 80 79 85 d. 50 idem Gr'Combe. REPORTS. DU comptant à Banque de mois. D'un mois à l'autre Oblig. lib. Cinq % 10 35 37 1/2 Non lib. Trois % 05 07 1/2 30 27 1/2 idem Aspb. Seyssel. Ducats * * * Bougie du Phare. Versailles dr. * * 1. *, idem 600 J. P. Maberly. Gauche. Portugais. * * Bat. à vapeur B..S. 1200 Obl. À Bracquehomme. Change sur Londres (3 mois) : 25 07 1/2 -Hambourg: 1000 Pool Beaucaire. 1861/2 — Amsterdam : 208 1/2 B 92 ohio 6 K MARCHANDISES.
Fonds courant... 100 50 1160 50 10 50 100 50 idem — Sambre. ESPIGNE. Dette courante 22 1/4 BELGE. 3 %. 71 85 71 85 71 85 71 85 Emp. 5 %. 103 3/4 idem 4 %, 85, Dnouty. ————D. 1840. 104 8,/7 À jouissance. 3 152 50 Passive. Banque 67 50 POMPEII. 5 % 1841. 1841. Ch 730 D*3 Soc. gén. Emp. dudit. Higuél. PRIME. 4 % n r. prime. 1132 50 ROLL. 1 1/2 %. ETATS ROMAINS. Oblig. 1832.103 1/2 25 ônge dudit, 5 %. ÀUTRICHE. 1834 avec lots. 356 n'ayant ps sffsmmnt BAÏTIS 1828. 616 25 Paris 2 n.prime. * — Prix Rouen. PRIME: Fonds courant. Fonds prochain idem idem -Orléans. Libérée. 478 S.. 478 75 478 75 idem Sambre. * * * » » * * * * . 50 1000 Montpellier * * * * » » d 1 50 1000 — Obligation dudit * * * * * » » . 5 1250 Id. St-Etienne * * * * » * » d. 3 500 — Mulhouse. * * * " » * d. 4 Idem — Bordeaux à large * * * * » * d. 5 350 — Strasbourg à Belfort 1831 * * * » * d. 3 50 — Réscriptiohs n 15 * * * » * d. 1 1000 Houille H.-L. * * * * . 1 50 1000 — Lyan. * * 79 60 79 50 d. 1 idem Pont de Lu. 79 15 79 55 80 79 85 d. 50 idem GrCombe REPORTS. DU comptant à Banque de ms. D'un mois l'autre Oblig. lib Cinq % 10 35 37 1/2 Non lib. Trois % 05 07 1/2 30 27 1/2 idem Aspb. Seyssel. Ducats * * * Bougie du Phare. Versailles dr. * * . idem 600 J. P. Maberly. Gauche. Portugais. * * Bat. à vapeur B..S. 20 Obl À Bracquehomme. negahC sur Ls (3 mois) : 25 07 1/2 -Hambourg: 1000 Pool Beaucaire. 1861/2 — Amsterdam : 208 1/2 B 92 ohio 6 K MARCHANDISES.
5 350 — Strasbourg à Belfort 1831 * * * * » * d. 3 50 — Réscriptiohs n 15 * * * » * d. 1 1000 Houille H.-L. * * * * d. 1 50 1000 — Lyan. * * 79 60 79 50 d. 1 idem Pont de Loup. 79 15 79 55 80 79 85 d. 50 idem Gr'Combe. REPORTS. DU comptant à Banque de mois. D'un mois à l'autre Oblig. lib. Cinq % 10 35 37 1/2 Non lib. Trois % 05 07 1/2 30 27 1/2 idem Aspb. Seyssel. Ducats * * * Bougie du Phare. Versailles dr. * * 1. *, idem 600 J. P. Maberly. Gauche. Portugais. * * Bat. à vapeur B..S. 1200 Obl. À Bracquehomme. Change sur Londres (3 mois) : 25 07 1/2 -Hambourg: 1000 Pool Beaucaire. 1861/2 — Amsterdam : 208 1/2 B 92 ohio 6 K MARCHANDISES. Lièges Huile mois, colza, à 1841, Courant du mois. Chanvre, Lille. 101 Colza, à 101 S.v 1838, 50 ; lin '81 Cr.; Lyon. Colza (les 100 disponibles et courant du mois, 110 fr. ; trois derniers mois, 149 fr. ; quatre premiers 1842, 147 fr. Esprit 3/6. Montpellier. Disponible et courant du mois, 65 fr. ; octobre, 65 à 65 50; novembre et décembre, 66 à 67 Cr. ; huit premiers 1848, 67 à 68 fr. ; quatre derniers mois, 70 à 71 fr. Savons. — Marseille bleu pâle, sous escompte de 1 % pour le disponible (premier sort) , 110 fr. le pied de 120 Cr. les 100 kilos; de 3 à 5 % (bonne sorte), même prix; de 6 à 10 % (ordinaire) ; 4 % pour les ordres de livraison. MARCHE AUX CHEVAUX. — 22 SEPTEMBRE. Il a été amené 295 chevaux, dont 70 de selle et de cabriolet, 95 de trait et 130 de boucherie. Vendu 49 chevaux, de 16 à 800 fr. Il en a été vendu 7 aux enchères, de 60 à 1,110 fr. MARCHE DE POISSY. — 23 SEPTEMBRE. Le livrament. Arrivés. Vendus. Poids moyen. Au quai. 2. J. BULLETIN DES COURS. —
5 350 — Strasbourg à Belfort 83 * * * * » * d 3 50 — Réscriptiohs n 15 * * * » * d. 0100 Houille H.-L. * * * * d. 1 50 1000 — a. * * 79 60 79 50 d. idem Pont de uLo.p 79 15 9 55 80 79 85 d. 50 m Gr'Combe. REPORTS. DU cmptnt à Banque de mois. n mois à l'autre Oblig. lib. Cinq % 10 35 37 1/2 Non lib. Trois % 05 1/2 30 27 1/2 id Aspb. Seyssel. Ducats * * Bougei du Phare Versailles dr. * 1. *, idem 600 J P. Maberly. Gauche. uais * * at à vapeur B..S. 1200 Obl. À Bracquehomme. Change sur Londres (3 mois) : 25 07 1/2 -Hmbrg: 1000 Pool Beaucaire. 21618/ Amsterdam : 208 1/2 B 92 ohio 6 K MARCHANDISES. Lièges Huile mois, colza, à 1841, Courant mois Chanvre, illeL. 101 Colza, à 101 Sv 138, 50 ; lin '81 Cr.; Lyn. Colza les( 100 dspnbls t courant du mois, 110 fr. ; trois derniers mois, 149 fr. ; quatre premiers 1842 4 fr. Esprit 36 Montpellier. Disponible et courant du mois, 65 r.f ; octobre, 65 à 6 50; novembre et décembre, 66 à 67 Cr. ; huit premiers 1848, 67 à 68 fr. ; quatre derniers mois, 70 à 71 fr Savons. — Marseille bleu pâle, sous escme de 1 % p le disponible (premier sort) , 110 fr. le pd e 120 Cr. les 100 kilos; de 3 à 5 % (bonne ot) même prix; 6 10 % (ordinaire) ; 4 % po les ordres de livraison. MARCHE AUX CHEVAUX. 2 SPEMBR Il a été amené 295 ,vehxuac dont 70 d selle et de ci 95 d trait et 130 de boucherie. Vendu 49 chevaux, d 16 800 fr. Il en a été vendu 7 aux enchères, de 60 à 1,110 fr. MARCHE DE POISSY. — 23 SEPTEMBRE. Le livrament. Arrivés. Vendus. Poids moyen. Au quai. 2. . BULLETIN DES COURS. —
courant du mois, 65 fr. ; octobre, 65 à 65 50; novembre et décembre, 66 à 67 Cr. ; huit premiers 1848, 67 à 68 fr. ; quatre derniers mois, 70 à 71 fr. Savons. — Marseille bleu pâle, sous escompte de 1 % pour le disponible (premier sort) , 110 fr. le pied de 120 Cr. les 100 kilos; de 3 à 5 % (bonne sorte), même prix; de 6 à 10 % (ordinaire) ; 4 % pour les ordres de livraison. MARCHE AUX CHEVAUX. — 22 SEPTEMBRE. Il a été amené 295 chevaux, dont 70 de selle et de cabriolet, 95 de trait et 130 de boucherie. Vendu 49 chevaux, de 16 à 800 fr. Il en a été vendu 7 aux enchères, de 60 à 1,110 fr. MARCHE DE POISSY. — 23 SEPTEMBRE. Le livrament. Arrivés. Vendus. Poids moyen. Au quai. 2. J. BULLETIN DES COURS. — 28 SEPTEMBRE. Peu de variations, comme on peut le voir par le tableau ci-après des cours. Il y a toujours insuffisance d'arrivages. Dans les petites peaux, on remarque que la chèvre devient rare ce qui semble annoncer une prochaine augmentation des prix. CUIRS FABRIQUÉS. f. c. f. c. Cuir jaune acidé (le kil.).. 2 30 à 2 40 — Sans acide 3 20 à 3 20 — Buenos-Ayres..... 2 50 à 2 60 — — Sans acide.. 2 70 à 2 80 Bœuf en croûte 2 50 à 2 60 Vache en croûte....... 2 60 à 2 70 — Légère 3 20 à 3 10 — Etirée 3 20 à 3 30 Veau en croûte 3 20 à 3 30 — Sec d'huile........ 3 60 à 3 70 Cheval en croûte ........ 2 40 à 2 50 Cuir de Hongrie ........ 1 80 à 1 90 CUIRS EN POIL. noir, ou gris, et au-dessus 44 à 45 — de 39 kil. et au-dessous 42 à 43 Vache 45 à 46 — 1/2 sel 53 à 55 — étrangère salée... 53 à 55 Veau avec tête 67 à 70 — Sans tête 72 à 75 — Sec en poil 2 40
courant du mois, 65 ; octobre 65 à 65 50; novembre et deméec,rb 66 à 67 Cr. ; ht premiers 1848, 67 à 68 fr. qtr drnrs mois, 70 à 71 fr. Savons. — rseill blu pâle ss escompte de 1 % pour le disponible (premier srt) , 110 fr. l pied de 120 Cr. les 100 kilos; 3 à 5 % (bonne sorte), même prix; de 6 10 % (ordinaire) ; 4 % les ordres ed livraison MARCHE AUX CHEVAUX. — 22 SEPTEMBRE. Il a été anéme 25 chvx, dont 70 selle et de cabriolet, 95 de trait et 1 d boucherie. Vendu 49 chevaux, de 16 à 800 fr. Il en é vendu 7 aux enchères, de 60 1,110 fr. MARCHE DE POISSY. — 23 SEPTEMBRE L livrament. Arrivés. Vendus. Poids moyen. Au quai. 2. J. BULLETIN SDE COURS. — 28 SEPTEMBRE. Peu d variations, comme on peut le voir par le aleau ci-après des cours. Il y a toujours iafssnfiecun geiarad.v'sr Dans les petites peaux, on emrque que la chèvre devient rare ce qui semble nnncr une ochranpei augmentation des prix. UCSRI FABRIQUÉS. f. c f. c. Cuir jaun acidé (le kil.).. 2 30 à 2 40 — Sans acide 3 20 à 3 20 — Buenos-Ayres..... 2 50 à 2 60 — — Sans acide.. 2 70 à 2 80 Bœuf en croûte 2 50 à 06 Vch en croûte....... 2 60 à 2 70 — Légère 3 20 3 10 — Etirée 3 2 à 3 30 Veau en croûte 3 20 à 30 — Sec d'huile........ 3 0 à 3 70 Cheval n cro ........ 2 40 2 50 Cuir de Hongrie ........ 1 80 à 1 90 CUIRS E POIL. noir, ou gris, et au-dessus 4 à 45 — de 39 kil. et au-dessous 4 43 Vache 45 à 64 — 1/2 sel 53 à 55 — étrangère salée... 53 à 55 Veau avec tête 67 à 70 — Sans tête 72 à — Sec en poil 2 40
acidé (le kil.).. 2 30 à 2 40 — Sans acide 3 20 à 3 20 — Buenos-Ayres..... 2 50 à 2 60 — — Sans acide.. 2 70 à 2 80 Bœuf en croûte 2 50 à 2 60 Vache en croûte....... 2 60 à 2 70 — Légère 3 20 à 3 10 — Etirée 3 20 à 3 30 Veau en croûte 3 20 à 3 30 — Sec d'huile........ 3 60 à 3 70 Cheval en croûte ........ 2 40 à 2 50 Cuir de Hongrie ........ 1 80 à 1 90 CUIRS EN POIL. noir, ou gris, et au-dessus 44 à 45 — de 39 kil. et au-dessous 42 à 43 Vache 45 à 46 — 1/2 sel 53 à 55 — étrangère salée... 53 à 55 Veau avec tête 67 à 70 — Sans tête 72 à 75 — Sec en poil 2 40 à 2 50 Buenos-Ayres léger 1 90 à 2 — Fort poids ........ 1 80 à 1 90 COURS DES PETITES PEAUX. Basane en croûte, f. c. 1. c, sorte 38 à 40 — 2. sorte 20 à 21 — 3' sorte 12 à 13 Chèvre sèche d'huile, 1" sorte (le kil.) 7 50 à 8 — 2. sorte 5 50 à 6 — 3. sorte 3 à 30 Moutons sumacs (la douzaine) 21 à 23 — Chamoisés m à 2" Veaux bronzés 80 à 85 Peaux ramaillées (la 12.). 16 à 18 PEAUX DE MOUTONS MÉGISSÉS. Peaux blanches (extragrandes) 190 à 194 — passes grandes 190 à 200 — accoudees 80 à 100 — verges à Chevreaux bl., 1er sorte.. 34 à 36 — 2e sorte 28 à 31 TAN. Bourgogne, 500 kil., tout nouveau.. 70 à 75 — 2e quart ............ 65 à 70 Normandie ............. 80 à 90 SPECTACLES DU 25 SEPTEMBRE. FRANÇAIS. — Un Mariage sous Louis XV. George Dandin. OPERA-COMIQUE. — Camille VARIETES.-Le L'Enlèvement des Sabines. Un Monstre de femme, ce sexe Prisonnier. Jocrisse, chef de brigands. L'Inconsolable. Deux Pieds GYMNASE. — Fille de l'Avare. Foire Jocrisse. de la Fiole. Exercices rouges. Le Ténor. Champs-Elysées,
acidé (le kil.).. 2 30 à 2 40 — Sans cd 3 20 à 3 20 Buenos-Ayres..... 2 50 à 2 60 — — Sans acide.. 2 70 à 2 8 Bœuf en croûte 2 50 à 2 60 Vache en croûte....... 2 60 à 70 — Légère 3 20 à 3 10 — Etirée 3 20 à 30 Veau en roût 3 20 3 30 — Sec d'huile........ 3 60 à 3 70 Cheval n croûte ........ à 50 Cuir de Hgnoeir ........ 1 80 1 90 CUIRS EN POIL. nr, o gris, te au-dessus 44 à 45 — de 39 i. et au-dessous 42 à 43 Vache 45 à 46 — 1/2 sel 53 à 55 — étrangère salée... 53 à 55 V avec tête 67 à 70 — Sns tête 72 à 75 — Sec en poil 2 40 à 2 50 Buenos-Ayres léger 1 90 2 — Fort poids ........ 1 80 à 1 90 COURS DES PETITES PAU ane en rot, f. c. 1. c sorte 38 à 40 — 2. sorte 20 à 21 '3 srt à 13 Chèvre sèche 'huile, 1" sorte (le kil.) 7 50 8 2. sorte 50 à 6 — 3. sorte 3 à 30 Moutons sumacs (la daie) 21 à 23 — éCasmisoh m à 2" Vx bronzés 08 85 Peaux ramaillées (la 12.). 16 8 EPUAX DE MOUTONS MÉGISSÉS Peaux blnches extragrandes 190 à 194 — passes grandes 190 à 200 — ccds 80 à 100 — verges à Chevreaux bl., 1e sorte.. 34 à 3 — 2e sorte 28 à 31 TAN. Bourgogne, 500 kil., tout noua.. 70 75 — 2 quart ............ 65 à 70 Normandie ............. 80 à 90 SPETCE DU 25 SEPTEMBRE. FRANÇAIS. — Un iag sous Li XV. George Dandin. OPERA-COMIQUE. Camille LeEEI.R-TSAV L'Enlèvement des Sabines. Un Monstre de femme, ce sexe Prsnnr. Jcrss, chef de brigands. L'Inconsolable. Deux Pieds GYMNASE. — Fille de Av Foire Jcrss. de la Fiole. Exercices rouges. Le Ténor. Champs-Elysées,
(le kil.) 7 50 à 8 — 2. sorte 5 50 à 6 — 3. sorte 3 à 30 Moutons sumacs (la douzaine) 21 à 23 — Chamoisés m à 2" Veaux bronzés 80 à 85 Peaux ramaillées (la 12.). 16 à 18 PEAUX DE MOUTONS MÉGISSÉS. Peaux blanches (extragrandes) 190 à 194 — passes grandes 190 à 200 — accoudees 80 à 100 — verges à Chevreaux bl., 1er sorte.. 34 à 36 — 2e sorte 28 à 31 TAN. Bourgogne, 500 kil., tout nouveau.. 70 à 75 — 2e quart ............ 65 à 70 Normandie ............. 80 à 90 SPECTACLES DU 25 SEPTEMBRE. FRANÇAIS. — Un Mariage sous Louis XV. George Dandin. OPERA-COMIQUE. — Camille VARIETES.-Le L'Enlèvement des Sabines. Un Monstre de femme, ce sexe Prisonnier. Jocrisse, chef de brigands. L'Inconsolable. Deux Pieds GYMNASE. — Fille de l'Avare. Foire Jocrisse. de la Fiole. Exercices rouges. Le Ténor. Champs-Elysées, entre le Concerge. MODELE des DE fêtes. Le Danse de Moscou. par M.Ch. Langlois. Prix d'entrée 3 fr. 50 c. ROME, réduit au format in-8° d'Andrea Gamba. Tous les jours (excepté le Dimanche), DE de 11 à 6, rue Bergère, 23. LE GÉRANT, V. DE LA PELOUZE. Imprimerie de P. DUPONT et Cie, rue de Grenelle-Saint-Honoré, 55, (Hôtel des Fermes.) VENTE de la Bibliothèque d'élite, format in-18 sur vélin, à 3 fr. 50 c. le volume, des œuvres Scott, Cooper, etc., 9, rue Sainte-Anne 38e livraison mensuelle. ABONNEMENTS ET MISE EN VENTE PAR CEUX-ci. Cette livraison renferme les articles suivants : Tome 8e et dernier Sensation, par M. J. Reynaud. — Virgile, par M. Hipp. Fortoul. — Voies de communication, PUBLIÉE sous LA DIRECTION DE LE se composera de 8 volumes. M. L. Reynaud. Voltaire, par M. Pierre de 1,664 colonnes. Chaque volume contient Waddington, par M. Th. Fabas. Emmanuel IV, par MM. P. LEROUX et J. REYNAUD. J. Encore M. E. Le Play. — Zoologie, par M. Th. Lacordaire, Lamarck, Dovève, P. Roland Rousseau — Huot — V. Transon — E. Charton, — Aycard, — Paulhier, recevoir francs de port par la POSTE DE M. Geoffroy-Saint-Hilaire. — Zoophytes, par
(le kil.) 7 50 à 8 — 2. sorte 5 50 à 6 — 3. sorte 3 à 30 Moutons smacs (l douzaine) 21 à 23 — Chamoisés m à 2" Veaux bronzés 80 85 Peaux rmllés (la 1. 16 à 18 PX DE MOUTN MÉGISSÉS. Px blanches (extragrandes) 190 à 194 — passes grandes 190 à 200 — accoudees 80 100 — vrgs à Chevreaux bl., 1e sorte 34 à 36 — 2e srt 28 à 31 TAN. Bourgogne 500 kil., tout nouveau.. 70 57 2e quart ............ 65 à 70 Normandie ............. 0 à 90 SPCTC DU 25 PBTERES.EM FRANÇAIS. Un Mariage sous Louis XV. George Dandin. OPERA-COMIQUE. — Camille VARIETES.-Le L'Enlèvement des abine. Un Monstre de femme, ce sexe Prsnier Jocrisse, chef d brigands. L'ncnslbl. Deux Pieds GYMNASE. — Fille de l'Avare. Foire Jcrss. ed l.iFeo Exercices rouges. Le Ténr. Champs-Elysées, entre l Concerge. MODELE ds DE fêtes. Le Danse de Msc. par M.Ch. Langlois. Prix d'entrée fr. 0 c. RM, réduit au format in8 d'Andrea Gamba Tous jours (excepté le Dimanche), DE de 11 6, u Bergère, 23. E GÉRANT V DE LA PELOUZE. Imprimerie de P. DUPONT t e, re de Grenelle-Saint-Honoré, 55, (Hôtel des Fermes.) VENTE de la Bibliothèque d'élite, format n-18 sur vélin, à 3 fr. 50 c. le volume, sed œuvres Sctt, Cooper, etc., 9, rue Sainte-Anne 38e livraison mensuelle. ABONNEMENTS ET MISE EN VENTE PAR CEUX-ci. Cette livraison rnfrm les articles suivants : Tom 8e et erdienr Snstn, par M. J enau Vrgl, par M Hipp. Fortoul. — Voies de cmmnctn, PUBLIÉE sous LA DIRECTION D LE se composera de os M. L. Rynd. Voltaire, par M. Pr de 1,664 colonnes. qheaCu volume contient Waddington, pa M. Th. Fabas. mmnl , par MM. P. LEROUX et . REYNAUD. Encore E. Le Play. — Zoologie par M. Th. Lacrdai Lamarck, Dovève, P. Roland Rousseau — Huot — V. Transon — . Chrtn, Aycard, — Paulhier, recevoir nscrfa de port par la POSTE DE M. Geoffroy-Saint-Hilaire. — Zoophytes, par
DUPONT et Cie, rue de Grenelle-Saint-Honoré, 55, (Hôtel des Fermes.) VENTE de la Bibliothèque d'élite, format in-18 sur vélin, à 3 fr. 50 c. le volume, des œuvres Scott, Cooper, etc., 9, rue Sainte-Anne 38e livraison mensuelle. ABONNEMENTS ET MISE EN VENTE PAR CEUX-ci. Cette livraison renferme les articles suivants : Tome 8e et dernier Sensation, par M. J. Reynaud. — Virgile, par M. Hipp. Fortoul. — Voies de communication, PUBLIÉE sous LA DIRECTION DE LE se composera de 8 volumes. M. L. Reynaud. Voltaire, par M. Pierre de 1,664 colonnes. Chaque volume contient Waddington, par M. Th. Fabas. Emmanuel IV, par MM. P. LEROUX et J. REYNAUD. J. Encore M. E. Le Play. — Zoologie, par M. Th. Lacordaire, Lamarck, Dovève, P. Roland Rousseau — Huot — V. Transon — E. Charton, — Aycard, — Paulhier, recevoir francs de port par la POSTE DE M. Geoffroy-Saint-Hilaire. — Zoophytes, par A. Petetin, — Gaudin, — Le Play, etc. D'Avenier, Franqueville, — Joguet, — Thoré, Les tomes 1er, 2e, et 3e sont de M. Gervais. — Zoroastre, par M. J. Reynaud. S. Pinel, — Bissol, etc., etc. Archives, Loiseleur-Delonchamps, — D'Avezac, — Catieau, Combes, — Saint-Cheron, — Villedom, vente. Les trois quarts du tome 5e Les souscripteurs peuvent ne retirer qu'une ou plusieurs livraisons à la fois. Ceux qui prendraient déjà publiés. et ceux qui prendraient d'un seul coup les 38 livraisons les recevront à domicile franches de port et d'emballage, et ne paieront que contre la remise du salaire. Nouveau ouvrage, en livraisons à 3 fr. 50 c., se poursuit chaque mois. PURNE et Cie. La 38e livraison est en vente.
DUPONT et Cie, rue de Grenelle-Saint-Honoré, 55, e(lHôt des e.r)smFe VENTE de la ilotèu ideét'l, format in-18 sur i, à 3 fr. 50 c le volume, des œuvres Scott, Cooper etc., , re Sainte-nne 38e lison mensuelle. ABONNEMENTS ET MISE N VENTE PAR CEUX-ci. Cette livraison renferme les articles suivants : Tome 8e et dernier Snstn, par . J. Reynaud. — Virgile, par M. Hipp. Fortoul. — Voies e communication PUBLIÉE sous AL DRCTN D LE se composera de 8 volumes. M. L. Reynaud. Voltaire, par M. Pierre de 64 eslon.onc Chaque omvleu contient dinto, par M. Th. Fabas. Emmanuel IV, par .MM P. ERO et J. RYND. J. Encore M. E. Le Play. Zoologie, par M. Th. doir,rLaace Lamarck, Dovève, P. Roland Rousseau — Huot — V. Transon E. Charton, — ycr, — Paulhier, recevoir francs de port par la POSTE DE M. Geoffroy-Saint-Hilaire. — Zoophytes, par A. Petetin, — Gaudin, — Le Play, etc. D'Avenier, Franqueville, — ugJot,e — To Les tomes 1er, 2e et 3 sont de . Gervais. Zoroastre, par M. J. Reynaud. S. Pinel, — Bissol, etc., etc. Archives, lpD,oLs-scmieeulronhea — D'Avezac, — Catieau, Combes, Saint-Cheron, — Villedom, vente. Les trois quarts du tome 5e Les souscripteurs peuvent ne retirer qe ou plusieurs livraisons à la fois. Ceux qui prndrnt déjà publiés. et ceux qui prendraient d'un sl coup lse 38 livraisons les rcvrnt à dmcl fah de port et d'emballage, et n paieront que contre la remise du slr. Nouveau ouvrage, en livraisons à 3 fr. 50 c., se ou chaque mois. PURNE te Cie. La 38 livraison est en vente.
quarts du tome 5e Les souscripteurs peuvent ne retirer qu'une ou plusieurs livraisons à la fois. Ceux qui prendraient déjà publiés. et ceux qui prendraient d'un seul coup les 38 livraisons les recevront à domicile franches de port et d'emballage, et ne paieront que contre la remise du salaire. Nouveau ouvrage, en livraisons à 3 fr. 50 c., se poursuit chaque mois. PURNE et Cie. La 38e livraison est en vente.
quarts ud tome 5e Les souscripteurs peuvent ne ie qu'une ou plusieurs livraisons à la fois. Ceux qui prendraient déjà publiés. et ceux qui prnrant d'un seul coup les 38 livraisons les recevront à domicile franches de port et d'emballage, et ne paieront uqe contre la remise du salaire. Nouveau or, en livraisons à 3 fr. 50 c., se poursuit chaque mois. PURNE et Cie. L 38e livraison est en vente.
4e Année. — N° 150. — 8 Août 1885 ADMINISTRATION 21, Boulevard Gambetta AU BANQUET DE BOURGTHEROULDE Tous nos confrères, généralement mal informés, ont fait beaucoup de bruit autour de l’affaire de Bourgtheroulde que l'on ne connaît que d’après leurs versions. Le Nouvelliste a dit, en parlant des ruraux, on ne saurait être plus régence ; pour une réception, voilà une réception, ce qui prouve une fois de plus encore qu’il ne saurait y avoir de gens bien en dehors de la réaction. Le Journal de Rouen n’est pas tout à fait de l’avis de son confrère le Nouvelliste. Quant au Petit Rouennais il est fort embarrassé, n’ayant pas été invité le vénérable à cette petite fête de famille, il ne connaît que des bruits contradictoires. Aussi a-t-il demandé quelques jours pour avoir le temps de se procurer de la bonne encre. La Cloche d’Argent, qui d’ordinaire n’est pas conviée à avaler les discours prononcés dans les comices, a dû, au moyen de sacrifices énormes, se procurer le moyen d’avoir, elle aussi, ses renseignements précis. La chose est bien simple, seulement ne débinez pas le truc, cela nous ferait du tort. Tout l’hiver, notre rédacteur en chef a suivi assidûment le cours de cuisine du docteur Laurent, et lorsqu’il y a un banquet politique, il se fait engager comme aide-cuisinier. C’est en cette qualité qu’il a tout vu, tout entendu au Bourgtheroulde. Ceci exposé, je lui passe la plume. Un des rares républicains du conseil municipal de l’endroit en ayant gros sur le cœur de ne pas avoir été délégué par ses collègues aux dernières élections sénatoriales, avait juré, à ces derniers, une vengeance qui dépasse de cent coudées toutes celles que la Corse peut avoir dans son répertoire. Quelques jours avant le banquet, sous prétexte qu’il avait besoin à Rouen pour remplacer l’abat-jour de sa lampe, notre conseiller républicain débarque à la gare de l’Etat, fait quatre enjambées de la passerelle, puis il se glissa furtivement chez Alphonse. Sa marche, son air inquiet annonçaient quelque chose de mystérieux. Cinq minutes après, il en sortit avec quelques habitués. Le dimanche
4e Année. — N 150. — 8 Août 1885 ADMINISTRATION 21, Boulevard Gmbtt AU BANQUET D BOURGTHEROULDE Tous nos confrères, généralement mal é,rifsmno ont a beaucoup d bruit autour de l’affaire de Bourgtheroulde que nol' ne connaît ue d’après lrs versions. Le Nouvelliste a dit, en plnt des ruraux, on ne saurait être plus régence ; pour une réception, voilà une réception, ce i prouve une fois d plus encore qu’il ne saurait y avoir de gens bien en dehors de la técanior. Le rnJoalu de Rouen n’est pas tout à ft de l’avis de son confrère le Nouvelliste. Quant au Petit Rouennais il est fort embarrassé, n’ayant ps été invité le vénérable à cette petite fête de famille, il ne connaît que des bruits contradictoires. Aussi t--ial demandé quelques jrs pour avoir el temps de se procurer de l bonne encre. La Cloche d’Argent, qui d’ordinaire n’est pas conviée avaler les discours prononcés dans l comices, a dû, au moyen de sacrifices énormes s procurer l moyen davoir elle aussi, ses renseignements précis. La chose est bn e,pslmi seulement ne débinez pas le truc, cela nous ferait du tort. Tout l’hiver, tneor rédacteur n chef a suv assidûment le cu ed csn d dctr Laurent, et lorsqu’il y a un banquet politique, il s fait engager comme aide-cuisinier. ’e en ctt qualité qu’il a tout vu, tout entendu au Bourgtheroulde. Ceci exposé, je lui ssape la plume. Un des rares républicains du conseil municipal de l’endroit en ayant gros sur le cœur de n pas vr été délégué par ses cllègs aux dernières élections sénatoriales, avait juré à ces derniers, une vengeance qui dépasse de cent coudées toutes celles que la Corse peut avoir dans son réprtr. Quelques jours avant le banquet, sous prétexte qu’il avait bsn à Rouen pr remplacer ’abat-jour de sa lmp, notre conseiller rpicin débarque à la gare de l’tt, fait quatre enjambées d la passerelle, puis l se glss furtivement chez Alphonse. Sa marche, son air inquiet annonçaient quelque chose ed mystérieux. Cinq minutes après, il en sortit avec quelques habitués. L dimanche
le cours de cuisine du docteur Laurent, et lorsqu’il y a un banquet politique, il se fait engager comme aide-cuisinier. C’est en cette qualité qu’il a tout vu, tout entendu au Bourgtheroulde. Ceci exposé, je lui passe la plume. Un des rares républicains du conseil municipal de l’endroit en ayant gros sur le cœur de ne pas avoir été délégué par ses collègues aux dernières élections sénatoriales, avait juré, à ces derniers, une vengeance qui dépasse de cent coudées toutes celles que la Corse peut avoir dans son répertoire. Quelques jours avant le banquet, sous prétexte qu’il avait besoin à Rouen pour remplacer l’abat-jour de sa lampe, notre conseiller républicain débarque à la gare de l’Etat, fait quatre enjambées de la passerelle, puis il se glissa furtivement chez Alphonse. Sa marche, son air inquiet annonçaient quelque chose de mystérieux. Cinq minutes après, il en sortit avec quelques habitués. Le dimanche arrive et avec lui les faux ruraux. On se met à table. Le rédacteur du Petit Patriote bénit tout bas son bénédiction, détail qui échappe aux convives en question ; l’un d’eux trouvait gênant d’être obligé de manger avec son paletot, tandis qu’un autre faisait de la morale avec ses ongles aux habitants des plis de sa chemise. Les plats se succèdent avec cette variété qui est le propre de tous les banquets : on arrive au dessert, c’est le moment ! La parole est à M. le préfet qui se lève. — Tais-toi donc, la Poterne, y a-t-il nous chanter quelque chose, dit un habitué d’Alphonse à son camarade. M. le Préfet. — Messieurs, l’agriculture est en ce moment une des questions qui préoccupent le plus notre gouvernement. 1er faux Rural (interrompant). — Il a du zinc ton gouvernement. M. le Préfet. — Cette préoccupation est d’autant plus grande... 2e faux Rural (interrompant). — Et ta sœur ? M. le Préfet. — ... que les bras font de plus en plus défaut dans les campagnes... 3e faux Rural (interrompant). — Ça doit pas leur être commode pour s’moucher. M. le Préfet (continuant). — Les droits prélevés sur les blés
le cours de cuisine d docteur Laurent, et lrsq’l y a un banquet pltq, il se ft engager comme ecuiner C’est en cette qualité qu’il a tout vu, tout entendu au Bourgtheroulde. Ceci exposé, je lui passe l plume. Un des rares républicains du conseil municipal de l’endroit en ayant gros sr le cœur d ne pas avoir été dé par ses collègues aux drnèrs élections séntrls, avait juré, à ces derniers, vengeance qui dépasse de cent coudées toutes celles que l Corse peut avoir dans son répertoire. Quelques jours avant l banquet, sous prétexte qu’il vt besoin à Rouen pour remplacer l’abat-jour de sa lampe, ntr conseiller républicain débarque à la gare de l’Etat, fait quatre njmbés de la passerelle, puis il se glissa furtivement chez Alphonse. Sa marche, son air inquiet annonçaient quelque chose de mystérieux Cinq mus après, il en sortit avec luequqes hités Le dimanche arrive et avec lui les faux ruraux. On se met à table. L rédacteur du Petit Ptri bént tout bas son bénédiction, détail qui échappe convives en qstn ; l’un d’eux trouvait gênant d’être obligé de manger avec son paletot, tandis qu’un autre faisait de la morale avec ses ongles aux habitants des plis de a chemise. L a se succèdent vace cette viétéra qui est le propre de tous les banquets : on au dessert, c’ l moment ! La roe est à M. l préfet qui se lèv — Tais-toi donc, la Poterne, y -t-l nous chanter quelque chose, dit un hab d’Alphonse à son camarade M. le Pr — Messieurs, ’agriculture est en ce mmnt une des qustion qui préoccupent le plsu notre gouvernement. 1er faux Rural interrompant — Il a u zinc gouvernement. M. le Préfet. — Cette préoccupation est d’autant plus grande... 2e faux Rural (interrompant). — Et ta sœur ? M. le Préfet ... que les bras font d lsup en plus défaut dans les campagnes... 3e faux Rural (interrompant). Ça do pas leur être commode pour smoucher M. le Préfet continuant — Les droits prélevés sur ls blés
ongles aux habitants des plis de sa chemise. Les plats se succèdent avec cette variété qui est le propre de tous les banquets : on arrive au dessert, c’est le moment ! La parole est à M. le préfet qui se lève. — Tais-toi donc, la Poterne, y a-t-il nous chanter quelque chose, dit un habitué d’Alphonse à son camarade. M. le Préfet. — Messieurs, l’agriculture est en ce moment une des questions qui préoccupent le plus notre gouvernement. 1er faux Rural (interrompant). — Il a du zinc ton gouvernement. M. le Préfet. — Cette préoccupation est d’autant plus grande... 2e faux Rural (interrompant). — Et ta sœur ? M. le Préfet. — ... que les bras font de plus en plus défaut dans les campagnes... 3e faux Rural (interrompant). — Ça doit pas leur être commode pour s’moucher. M. le Préfet (continuant). — Les droits prélevés sur les blés étrangers... 4e faux Rural (interrompant). — C’est sur la cicatrice qui faut pas de droits. M. le Préfet (continuant). — ... Ces blés qui poussent sur des terres riches où l'engrais... 5e faux Rural. — Qui qui vient nous parler d’engrais après dîner, en v’ia de la société (tendant son verre à son voisin de gauche). Tiens, si t’es pas sollicite, verse-moi un verre de raide, j’sens ma crème qui m’tourne su’l’cœur. M. le Préfet (continuant) ... Devient inutile. 1er faux Rural (à son voisin de droite). — Dis donc tête de gourde? Y m’embête avec son discours, j’ préfère on l’chante, y es-tu ? j’entonne: J’avais mon ponpon en venant d’ Ouenne, tout le long de la Seine... Plusieurs voix. — À la porte ! à la porte ! La belle X... a reçu son courrier ; elle se présente avec une lettre, qu’elle ouvre, et qu’elle lit en y mêlant ses réflexions. Ce matin, j’ai trouvé ce pli de papier rose Avec les billets doux qui pleuvent chaque jour, L’amour, dont j’étais fi, sans cesse l’on m’en cause; Vais-je relire encore une lettre d’amour ? Lisant : « Vous le savez déjà ; mais je veux vous le
ongles aux habitants ds plis de sa chemise Les plats se succèdent avec cette variété qui st le propre ed tous les banquets : on arrive au dessert, c’est le moment ! La parole est M. l préfet qui se lève — Tais-toi dnc, la Ptrn, a-t-il ns chanter quelque chose, un habitué dAlphonse à son camara M. le Préfet. Messieurs, l’agriculture est en ec moment e des questions qui préoccupent le plus notre gouvernement. 1er faux Rrl (interrompant). — Il a du zinc ton gouvernement. M. le Prfe. — Cette préoccupation est d’autant plus grande... 2e faux Rural interrompant — Et ta sœr ? M. l Préfet. — ... que les brs font de plus en plus défaut dans les campagnes... 3e faux Rural (ntrrmpnt). Ça dit pas leur être domcmeo pour s’moucher. M. e Préfet coint). Les rotdsi prélevés sur ls lé étrangers... 4e faux Rural (ntrrmpnt). — C’est sr la ciatie qui faut pas de droits. M. le Préfet (continuant). — ... Ces blés qui poussent sur des terres riches où lengrais 5e fx Rural. — Qui qui vient nous parler d’engrais sèpra dîner, en v’ai de la société tendant son vrr à son voisin de gauche). Tiens, si t’es pas sollicite, verse-moi un verre de raide, j’sens ma crème qiu ’tourne su’lcœ. M. l Préfet to(n)uainnct ... Devient ntl. 1er fx ul à son voisin de droite). Dis donc tête de gourde? Y ’embête avec sno discours j’ pfèerér on l’chante, y es-tu ? ’entonne: J’vs mon pnpn en vnt Ouenne, tt l lng de la Seine... Plusieurs voix. — À la porte ! la porte La belle X... a rç sn courrier ; elle se présente avec une lettre, qu’elle ov, et qu’elle lit y mêlant ses réflxns. Ce matin, j’ai trouvé ce pli de papier rose Avec les bllts doux qui pleuvent chaque jr, L’mr, dont j’étais fi, sans css l’on ’en cs; Vais-je lir enore une lettre d’amour ? Lisant « Vous le savez déjà ; a j veux vous le
verre à son voisin de gauche). Tiens, si t’es pas sollicite, verse-moi un verre de raide, j’sens ma crème qui m’tourne su’l’cœur. M. le Préfet (continuant) ... Devient inutile. 1er faux Rural (à son voisin de droite). — Dis donc tête de gourde? Y m’embête avec son discours, j’ préfère on l’chante, y es-tu ? j’entonne: J’avais mon ponpon en venant d’ Ouenne, tout le long de la Seine... Plusieurs voix. — À la porte ! à la porte ! La belle X... a reçu son courrier ; elle se présente avec une lettre, qu’elle ouvre, et qu’elle lit en y mêlant ses réflexions. Ce matin, j’ai trouvé ce pli de papier rose Avec les billets doux qui pleuvent chaque jour, L’amour, dont j’étais fi, sans cesse l’on m’en cause; Vais-je relire encore une lettre d’amour ? Lisant : « Vous le savez déjà ; mais je veux vous le dire : « Je vous aime, Madame, et viens vous reprocher « Quand depuis si longtemps mon pauvre cœur soupire, « De vous trouver de marbre, et si dure à toucher Toujours cela, toujours ! O pli de papier rose, Comme les billets doux qui pleuvent tous les jours, L’amour, moi j’en fais fi ; lui dis la même chose : Faut-il relire encore une lettre d’amour? « Je ne vous cherchais pas ; le hasard implacable « Un jour à mes regards est venu vous offrir, « Et depuis ce jour-là, votre beauté du diable « M’a donné du bonheur et m’a fait bien souffrir ! Tu ne parles pas mal, chiffon de papier rose Semblable aux billets doux qui pleuvent chaque jour. Ai-je peur de l’amour dont sans cesse on me cause? Non !— Lisons jusqu’au bout cette lettre d’amour. « Vous voir est un plaisir qui dure une seconde, « Vous quitter, un souci qui dure tout un jour; « Car vous êtes pour moi la femme jeune et blonde « Que j’ai souvent rêvée en des songes d’amour. J’ai trouvé ce matin, ce pli de papier rose Avec les billets doux qui pleuvent chaque jour ;
verre à son voisin de gauche). Tiens, si t’es pas sollicite, verse-moi un rerev de raide, jsens ma crème qui m’trn s’l’cœr. M. le Préfet (continuant) ... Devient inutile. 1 faux Rural (à son voisin de droite). — Dis donc tête de gourde? Y ’embête avec son dscrs, j’ préfère on l’chante, y es-tu ? j’entonne: J’avais mon ponpon en vtenna d’ Ouenne, tout le long de la Seine... Plusieurs voix. — À la porte ! à la porte ! La belle X... a rç son courrier ; elle se présente acev une lettre, qu’elle ouvre, et qu’elle lit n y mêlant ses rélis. Ce matin, j’ai trouvé ce pli de rppaie rose Avec les billets doux qui pleuvent chaque jour, L’amour, dont j’étais fi, sans cesse l’on m’en cause; Vais-je relire encore une lettre ’amour ? Lsnt : « Vous le savez déjà ; mais je veux vous le dire : « Je vous aime, Madame, et viens vous reprocher « Quand depuis si longtemps mon pauvre cœur soupire, « De vous trouver de marbre, et si dure toucher Toujours cela, toujours ! pli de papier rose, Comme ls billets doux qui pleuvent tous ls jours, L’amour, moi j’en iafs f ; lui dis la même chose : Faut-il relire encore une lttr d’amour? « Je ne vous cherchais pas ; le hasard implacable « Un jour à mes regards venu vous offrir, « t depuis ce jour-là, votre bté du diable « Ma donné du bonheur et m’a fait bien souffrir Tu ne parles pas mal, chiffon de ppr rose Semblable aux billets do qui pleuvent chaque jour. Ai-je peur de l’amour dont sns cesse on me cause? Non !— Lisons jusqu’au bt cette lettre d’amour. « Vous voir est un plaisir qui dure une scnd, « Vs quitter, un souci qui dure tout n jour; « Car vous êtes pour moi al femme jeune et blonde « Q jai souvent rêvée en des songes d’amour. J’ai trouvé ce matin, c pli d papier rose Avec les billets dou qui pleuvent chaque jr ;
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mi ’e fais fi ; lui dis la même chose : Faut-il relire encore une lettre d’amour? « Je ne vous cherchais pas ; le hasard implacable « Un jour à mes regards est vune vous offrir, Et depuis ce jour-là, votre beauté du diable « M’a donné du bonheur et m’a fait bien souffrir ! T ne parles pas mal, chiffon de papier rose Semblable aux billets doux qui pleuvent chaque jour -j peur de l’mr dont sans cesse on e ?ucsea Nn !— Lisons jusqu’au bout cette lttr d’amour. « Vous voir est un plaisir qui dure une seconde, « Vous quitter, u souci qui dure tout un jour; « Car vous êtes pour moi la femme jeune et blonde « Que j’ souvent rêvée en des songes d’amour. J’ai trouvé ce matin, ce pli de papier rs Avec les slelbit x qui pleuvent chaque jour ; Je veux le dédaigner, l’amour dont on em cause... Finissons-la, prtnt cette lettre d'amour! « Vous ne vous doutez pas, combien une parole, « Peut soulager d’ennuis, mettre de baume au cœur, « nmioebC un doux regard pute charmer et consoler « Ce regard, je l’te; je ne suis pas moqueur. » J’ai choisi, c matin, ce pli de ir rose Parmi les bls dx qui pleuvent chaque jour; m’a pourtant répété toujours la même chose; Mais je conserverai cette page d'amour. L. H. était faux; seule, sa décoration était e argent. Aujourd’hui, plus rien de tout cela, ô miracle! ô prodige!... esrlouq l’éminent violoniste (cette qualification est antérieure à la cure), je dis don lorsque l’éminent violoniste fait entendre ses variations sur l’opéra Camille ou le Sous tes reins, la foule s’écrase autour d oukeiqs sic (rvyz le Monde-Artiste du 25 juillet). Les journaux locaux ’ont pas enregistré jusqualors le nombre dse istvmi,ce mais je tiens de bonne scroeu que la municipalité de La Bourboule, écrasée par les rélmn écrsnts des personnes écrasées, a voté en réunion doeraaintrxrie des fonds écrasants pour l budget qu’écrasera les contribuables. fani de venir en aide uxa familles des victimes. Agréez, etc.
moqueur. » J’ai choisi, ce matin, ce pli de papier rose Parmi les billets doux qui pleuvent chaque jour; Il m’a pourtant répété toujours la même chose; Mais je conserverai cette page d'amour. L. H. était faux; seule, sa décoration était en argent. Aujourd’hui, plus rien de tout cela, ô miracle! ô prodige!... lorsque l’éminent violoniste (cette qualification est antérieure à la cure), je dis donc lorsque l’éminent violoniste fait entendre ses variations sur l’opéra Camille ou le Sous tes reins, la foule s’écrase autour du kiosque (sic), (revoyez le Monde-Artiste du 25 juillet). Les journaux locaux n’ont pas enregistré jusqu’alors le nombre des victimes, mais je tiens de bonne source que la municipalité de La Bourboule, écrasée par les réclamations écrasantes des personnes écrasées, a voté en réunion extraordinaire des fonds écrasants pour le budget qu’écrasera les contribuables. afin de venir en aide aux familles des victimes. Agréez, etc. Vicomtesse de Banduitres, Villa-Joseph, A la Bourboule. Correspondance La Bourboule, 8 août 1885. Mon cher Légeron, Vous savez dans quel état j’étais il y a un mois, lorsque mon docteur m’ordonna d’aller passer une saison à La Bourboule? A l’heure qu’il est je suis complètement rétabli, je connais votre extrême confiance dans les Pilules Suisses, et je vous vois attribuer de suite ma guérison à ce précieux panacé. J’avais, il est vrai, et cela sur votre conseil, emporté deux boîtes de ce remède universel, mais je vous déclare sur l’honneur n’en pas avoir fait usage; la preuve, c’est que dès mon arrivée à La Bourboule j'ai offert ces boîtes à deux de mes bons amis, de Lestrang et Lamoury, François, ou François Lamoury, si vous le préférez, que j’ai eu le plaisir de retrouver parmi les Auvers, l’un comme chef d’orchestre du no, l’autre comme second violon. A vrai, ces messieurs ont pas mal goûté mes pilules, et bien leur en a. De Lestrang qui, jusqu’alors, n'était plus musicien que le garde-chasse de Petit-Quevilly, (puis s’était, vous avez comme moi, improvisé chef d’orchestre du Théâtre des-Arts comme on s’était marché de marrons à la foire du Louvre, est aujourd’hui une
ouur. » J’ai choisi, ce matin, ce pli papier rose Parmi les billets x qui pleuvent chaque jour; l m’a pourtant répété toujours l même chose; Mais je cevei cette page d'amour. L. H. était faux esle,u sa décoration était n argent. Aujourd’hui, plus ienr de ot cela, ô miracle! ô prodige!... lorsque l’éminent violoniste (cette qualification est atrre à l cure), je dis donc lorsque léminent violoniste fait entendre ses variations sur l’opéra Cale ou le Sous tes ris la foule s’écrase autour du kiosque (sic), revoyez le Monde-Artiste du 25 juillet). Les journaux locaux n’ont pas nrgstré jusqu’alors le nombre des victimes mais je tiens de bonne source que la municipalité de La o,Beluuobr rae par les réclamations rsnéeacsat des personnes écrasées, a voté en réunion extraordinaire ds fonds écrasants pour le budget qérasea les contribuables. afin d venir en aide aux familles des victimes. Agréez, etc. Vcotss de e,aitBsrudn Villa-Joseph, A la Bourboule. Correspondance L Bourboule, 8 août 1885. Mon cher Légeron, Vs savez dans quel état i il y a un ms, lorsque mon docteur m’ordonna d’llr passer une ssn à La Burul A uee’lrh qu’il est je suis complètement rétabli, je connais votre extrême confiance dans les Pilules Sss, et je vous vois attribuer de suite am guérison à ce précieux pncé. J’avais, il est vrai, et cela su votre conseil, emporté exdu boîtes de ce remède universel mais je vous déclare sur l’honneur n’en pas avoir fait usage; l preuve, c’est que dès mon arrivée à La Bourboule j'ai offert ces boîtes à deux de mes bons amis, de Lestrang t Lamoury, François, ou anis Lamoury, si vous le préférez, que j’ai eu le plaisir ed retrouver parmi les Auvers l’un comme chef d’rchstr du no, l’autre comme second violon. A , ces messieurs nt pas mal goûté mes pilules et bien leur en . De Lestrang qui, jusqu’alors, n'était pls musicien que le r-hase de Petit-Quevilly, (puis s’était, vous avez comme m, improvisé chef d’orchestre du Théâtre des-Arts comme on s’étt marché de marrons à l foire du Louvre, est aujourd’hui une
confiance dans les Pilules Suisses, et je vous vois attribuer de suite ma guérison à ce précieux panacé. J’avais, il est vrai, et cela sur votre conseil, emporté deux boîtes de ce remède universel, mais je vous déclare sur l’honneur n’en pas avoir fait usage; la preuve, c’est que dès mon arrivée à La Bourboule j'ai offert ces boîtes à deux de mes bons amis, de Lestrang et Lamoury, François, ou François Lamoury, si vous le préférez, que j’ai eu le plaisir de retrouver parmi les Auvers, l’un comme chef d’orchestre du no, l’autre comme second violon. A vrai, ces messieurs ont pas mal goûté mes pilules, et bien leur en a. De Lestrang qui, jusqu’alors, n'était plus musicien que le garde-chasse de Petit-Quevilly, (puis s’était, vous avez comme moi, improvisé chef d’orchestre du Théâtre des-Arts comme on s’était marché de marrons à la foire du Louvre, est aujourd’hui une personnalité, un chef d’orchestre célèbre entre les célèbres (voyez le Monde-Artiste du 25 juillet). Lamoury François, ou François Lamoury, si vous le préférez, avait joué du loti jusqu’à ce jour sans le savoir. Il avait bien çà et là quelque succès parmi la foule ignorante, mais le public délicat lui reprochait de nombreuses incorrections dans sa manière de jouer: son style. La Bourboule, le 5 août 1885. Mon cher Légeron. Je tiens à être le premier à porter à votre connaissance un fait qui intéresse au plus haut point les Rouennais en général et le public du Théâtre-des-Arts en particulier. Hier soir, au concert du Casino, au moment où l’éminent violoniste Lamoury François, ou François Lamoury, si vous le préférez, exécutait sa grande cadence du Pianos Clercs, un bébé qui venait de souhaiter la fête à sa tante, tournait dans ses petits doigts une pièce de 5 fr. Lamoury François, ou François Lamoury, si vous le préférez, ouvrait-il la bouche? Tout le fait supposer. Le moutard croyant avoir devant lui la grenouille d’un jeu de tonneau, lança la pièce de 5 fr. dans le gosier de l’éminent violoniste, et cela avec une sûreté extraordinaire. Après avoir chancelé, l’éminent violoniste devint
cnfnc dans les Pilules Suisses, t je vous vois treburati de suite ma guérison ce précieux panacé. J’avais, il est vrai, et cela sur votre conseil, emporté deux boîtes de ec remède universel, mais je vous déclare sur onr n’n pas avoir fait usage; la preuve, ’est que dès mon vrriéea à L Bourboule j'ai offert ces boîtes à deux de mes onbs amis, de tnLgsrea te Lamoury, açois, ou François Lamoury si vous l pér q j’ai eu le plaisir de retrouver parmi les Auvers, l’un comme chf d’orchestre d no, lautre comme second violon. A vrai ces messieurs ont ps mal goûté mes pilules, et bien lr en a. De srgaLnet qui, jusqu’alors, n'était plus mscn que le garde-chasse de Petit-Quevilly, (puis s’étt, vous ve comme moi, improvisé ehfc d’orchestre du Théâtre des-Arts comme on s’était marché de marrons à la foire du Louvre est aujourd’hui une prsnnlté, un chef dorchestre éèbr entre les célèbres (y l Monde-Artiste du 25 juillet). Lamoury François, ou Frnçs Lamoury, si vous l préférez avait joué du loti jusqu’à ce jour sans le savoir. Il vt bien çà te là quelque succès parmi la foule ignorante, mais le public délicat lui reprochait de nombreuses incorrections dans s manière de jouer: sno style. La Bourboule, le 5 août 1885. Mon hr Légeron. Je tins à être le premier à porter à votre connaissance un afit q ntérss au plus haut point les oninseuRa général e le public du Théâtre-des-Arts n prtclr. Hier soir, au concert du Casino, au moment ù l’éminent violoniste Lamoury François, François Lamoury, si vous le préférez, exécutait sa grande cadence du Pianos Clercs, un bébé qui venait de souhaiter la fête à sa tante tournait dans ses petits doigts une pièce de 5 fr. Lamoury François, ou Franois my,rLoau si vous le préférz, ouvrait-il la bouche? Tout le fait supposer. Le moutard coyan avoir et lui la grenouille n jeu tonneau, lança la pièce d 5 f. dans le gosier de l’éminent vlnst, et cela avec n sûreté extraordinaire. Après avoir chancelé, l’éminent violoniste devint
reprochait de nombreuses incorrections dans sa manière de jouer: son style. La Bourboule, le 5 août 1885. Mon cher Légeron. Je tiens à être le premier à porter à votre connaissance un fait qui intéresse au plus haut point les Rouennais en général et le public du Théâtre-des-Arts en particulier. Hier soir, au concert du Casino, au moment où l’éminent violoniste Lamoury François, ou François Lamoury, si vous le préférez, exécutait sa grande cadence du Pianos Clercs, un bébé qui venait de souhaiter la fête à sa tante, tournait dans ses petits doigts une pièce de 5 fr. Lamoury François, ou François Lamoury, si vous le préférez, ouvrait-il la bouche? Tout le fait supposer. Le moutard croyant avoir devant lui la grenouille d’un jeu de tonneau, lança la pièce de 5 fr. dans le gosier de l’éminent violoniste, et cela avec une sûreté extraordinaire. Après avoir chancelé, l’éminent violoniste devint blême, puis pourpre; l’effroi régnait partout, toutes les poitrines étaient gonflées, quelles angoisses! c’était navrant!... Te puis dire à sa louange, avoir vu plusieurs jolies femmes se hausser sur la pointe de leurs pieds mignons pour recevoir le feu de son dernier regard. Lorsque, tout à coup, il mit la main à la poche de son habit, et comme inspiré (le génie l’est souvent), en sortit une boîte qu’il porta à ses lèvres. Tout le monde a cru qu’il donnait un baiser d’adieux à sa boîte de tabac. Les femmes déjà allaient se disputer cette précieuse relique Erreur! trois fois erreur!... C’était une dernière Pilule Suisse qui lui restait. La pièce de 5 fr. fut transformée comme par enchantement, en dix pièces de 50 centimes, frappées à l’effigie de Sa Majesté le roi de Portugal dont l'éminent virtuose est le violon solo. Le non moins éminent piston Joast, témoin de ce fait, a demandé par télégramme une grosse de douzaines de boîtes de Pilules Suisses. Confiant à bon droit sur leur efficacité notoire, il a fait mettre au programme du premier concert son grand thème varié sur Il Glavioso, del maestro Molardini. Agréez, etc. Vicomtesse de Banduitres, Villa-Joseph, à La
reprochait de nombreuses incorrections dans sa manière de jouer son style. aL Bouule, le 5 août 1885. Mon erch Légeron. Je tiens à être le premier porter à votre connaissance un fait qui intéresse au plus haut point les Rouennais n réléagn et le public du Théâtre-des-Arts en particulier. Hier soir, au once du Casi au moment ù l’éminent ointviolse Lamoury François, ou François Lamoury, si vous le préférez, exécutait s grande cadence du Pns Clercs, un bébé qui venait de souhaiter la fête sa tante, tournait dans ses petits doigts une pi de 5 fr. Lamoury François, ou François Lamoury, si vous le préférez, vrt-l la bouche? Tout le fait supposer. Le mar croyant avoir devant l la grenouille d’n jeu de tonneau lança la pèc de 5 fr. dans le gosier de l’éminent violoniste, et cela avec une sûreté extraordinaire. Après avoir chancelé l’éminent ioi devint blêe, puis pourpre; l’effroi régnait partout, toutes ls poitrines étaient gonflées, quelles angoisses! c’était navrant!... Te puis dire à sa louange, avoir vu plsrs oies femmes se hausser sr la ienopt de leurs pds mignons pour recevoir le eu de son drnr r.edarg Lorsque, tou à coup, l mit la main à la poche d son habit, et comme nspré (le génie l’est souvent), en sortit une boîte qu’il tpoar à ses lèvres. Tt le monde a cru qu’il otidnna un ir d’adieux à sa boîte de tabac. Les femmes déjà allaient se dr cette précieuse relique Erreur! s iofs erreur!... C’était une dernière Pilule Suisse qui lui restait. L pièce de 5 fr. fut transformée comme par enchantement dix pièces de 50 centimes, frappées à l’effigie de Sa Majesté le roi de Portugal dont émnt vit est l violon solo. L non moins émnnt piston Joast, témoin de c fait, a demandé par télégramme une grosse de dzns de boîtes de Pilules Suisses. Confat à o droit sur leur eficcié notoire, il a fait mettre u programme d premier concert son grand thème varié sur Il Glavioso del mstr Molardini. géez etc. Vicomtesse de Banduitres, Villa-Joseph, La
main à la poche de son habit, et comme inspiré (le génie l’est souvent), en sortit une boîte qu’il porta à ses lèvres. Tout le monde a cru qu’il donnait un baiser d’adieux à sa boîte de tabac. Les femmes déjà allaient se disputer cette précieuse relique Erreur! trois fois erreur!... C’était une dernière Pilule Suisse qui lui restait. La pièce de 5 fr. fut transformée comme par enchantement, en dix pièces de 50 centimes, frappées à l’effigie de Sa Majesté le roi de Portugal dont l'éminent virtuose est le violon solo. Le non moins éminent piston Joast, témoin de ce fait, a demandé par télégramme une grosse de douzaines de boîtes de Pilules Suisses. Confiant à bon droit sur leur efficacité notoire, il a fait mettre au programme du premier concert son grand thème varié sur Il Glavioso, del maestro Molardini. Agréez, etc. Vicomtesse de Banduitres, Villa-Joseph, à La Bourboule. La Suppression de l’Exercice Un certain nombre de comités électoraux ont fait figurer sur leur programme une réforme qui intéresse au plus haut point le commerce des boissons: c’est la suppression de l’exercice. Ce fait s’est passé en Bourgogne, sur l’initiative de plusieurs négociants, et dans le Languedoc où il a été provoqué par le Midi Vinicole. LA CLOCHE D’ARGENT Il est à souhaiter que l'exemple donné par ces comités se généralise. L’exercice est un mode de perception tout à fait discordant au milieu d’institutions démocratiques. Il comporte la faculté pour les agents de la Régie de pénétrer à toute heure du jour ou de la nuit chez les marchands de liquides, présents ou non à ces visites. Leur domicile cesse donc d’être inviolable. Il rend nécessaire le partage du produit des procès-verbaux ou des saisies de marchandises entre les verbalisants, les « indicateurs » et l’Etat qui ne touche qu’une faible part. La dénonciation est donc récompensée par la loi. et les agents, quoique intéressés, sont crus en justice jusqu’à l’inscription de faux. 11 engendre dans la pratique une foule d'abus de toutes sortes. En ligne, les assujettis sont à la merci du licencieux et soumis à des
main à la poche de son habit, et comme inspiré (le génie l’est souvent), en sortit n boîte qlu’i porta à es lèvres Tout e mnd a ru qu’il ona n baiser ’uddieax à sa boîte de tabac. Les femmes déjà alaint se disputer cette précieuse relique Erreur trois oifs erreur!... Céit une drnèr Pilule Suisse qui lui at La pièce de 5 fr fut trnsfrmé cmemo par enchantement, en idx pièces de 50 centimes, frappées à ’effigie de Sa Majesté l roi de Prtgl dont l'éminent esuvtroi est l violon solo. Le nno oimsn éminent piston Joast, témoin de ce fait, a demandé pr télégramme une grosse de douzaines d bîts de ues Suisses. Confiant à bon droit sur leur efficacité notoire, il a fait mettre au prgrmm du premier concert son grnd thème varié sr l Glavioso, del maestro olani Agréez, etc. Vicomtesse de Banduitres, Villa-Joseph, à La Bourboule L Suppression de l’Exercice Un crtn nombre de comités électoraux ont fait figurer sur leur programme une réforme qui intéresse au plus ht point le commerce des boissons: c’est uression d lexercice C ft s’est passé en oeg,ungorB sr l’initiative de plusieurs éct et dans le Languedoc ù l a été proqué par le Midi Vinicole. LA CLCH ’ARGENT Il est à souhaiter que e donné par ces comités se généralise. ercci’eeLx est un mode de prcptn tout à fait discordant au milieu d’institutions démocratiques. Il comporte la faculté pr les agents d la Régie de pénétrer à toute heure d jour ou de la nuit chez les marchands e lqds, présents ou non à ces isie. euLr domicile cesse donc d’être vlbl. Il rend neeacrsséi le partage du produit des procès-verbaux ou des saisies e marchandises entre les verbalisants es « indicateurs » et l’tt qui ne touche qu’une faible part. La dénonciation est odcn récompensée par la loi. et les agents, uie itén,éssres sont crus en jieucts q’ l’nscrptn de fx. 11 engendre dans la prtq une foule d'abus de toutes sortes. En lgn, les assujettis sont la merci du licencieux et soumis à de
il a été provoqué par le Midi Vinicole. LA CLOCHE D’ARGENT Il est à souhaiter que l'exemple donné par ces comités se généralise. L’exercice est un mode de perception tout à fait discordant au milieu d’institutions démocratiques. Il comporte la faculté pour les agents de la Régie de pénétrer à toute heure du jour ou de la nuit chez les marchands de liquides, présents ou non à ces visites. Leur domicile cesse donc d’être inviolable. Il rend nécessaire le partage du produit des procès-verbaux ou des saisies de marchandises entre les verbalisants, les « indicateurs » et l’Etat qui ne touche qu’une faible part. La dénonciation est donc récompensée par la loi. et les agents, quoique intéressés, sont crus en justice jusqu’à l’inscription de faux. 11 engendre dans la pratique une foule d'abus de toutes sortes. En ligne, les assujettis sont à la merci du licencieux et soumis à des vexations continuelles et insupportables. Cependant, le commerce des boissons n’est pas un des moins importants. Il compte, tant débitants que marchands en gros, environ 500,000 citoyens, et paye chaque année au Trésor, plus de 400 millions de francs. La suppression de l'exercice ne porterait nul atteinte à ce revenu, mais elle serait un acte de justice que les comités électoraux peuvent hâter en inscrivant sur leurs programmes : « la réforme de l’impôt des boissons. » À propos des rubans rouges L’habitude de décorer les gens, à époque toxique, a inspiré un joli mot à feu Léopold Ier, le père du roi des Belges actuel. À l’occasion de sa fête, on lui demandait la croix pour une certaine quantité d’individualités sans valeur : — Mais se récria-t-il. je ne vois là-dedans personne qui ait fait quelque chose pour obtenir une telle faveur. — Sire, répartit un des ministres, on ne décore pas toujours les gens pour le bien qu'ils ont fait, mais pour le mal qu’on veut les empêcher de faire. Le vieux roi éclata de rire : — C’est cela, dit-il, vous prétendez me persuader que Henri IV vivrait encore, s’il avait eu la bonne idée de nommer Ravaillac
il a été provoqué par l Midi Vinicole LA CLCH D’ARGENT Il st à souhaiter que l'exemple donné par ces comités se généralise L’exercice est un md d perception ttuo à fait discordant au milieu tutn démocratiques. Il comporte la faculté pour les agents de la Rée de pénétrr à toute heure d jour ou ed la nuit chez les marchands de liquides, présents ou non à ces visites. Leur domicile cesse donc d’être inviolable. l rend rscisneeaé le partage du produit des procès-verbaux ou des saisies de marchandises entre les verbalisants, les « indicateurs » et l’Etat qui ne tce q’n faible part. La nonaon est donc récompensée par la l. et les agents, quoique intéressés, sont crus en justice jusqu’à l’inscription de fau 11 engendre dsan la pratique une foule d'abus de ueostt sortes. En ligne, les assujettis sont à la merci du licencieux su à des vexatis continuelles et insupportables. Cependant, le commerce ds boissons n’est pas un des moins mprtnts. Il compte, tant débitants que marchands en gros, environ 500,000 citoyens, et paye chaque énnae au Trésor, plus d 400 millions de francs. La suppression d l'exercice ne porterait nul atteinte à ce revenu, mais elle serait un acte de justice que les comités électoraux peuvent âtreh en inscrivant sur leurs programmes : « la réforme de limpôt e bssns. » À propos des rubans rouges L’habitude d décorer les gens, à époque toxique, a inspiré un jli mot à fe Léopold Ier, le père du roi dse Belges actuel. À l’occasion de sa fête, on lui demandait croix pour une certaine titéunaq d’ndvdltés sans valeur : — Mais se récria-t-il. je ne vois là-dedans personne qui ait fait quelque chose ou obtenir une telle faveur. — Sire, répartit un ds ministres, on ne décore pas toujours les ns pour le bien qu'ils on fait, mais pour le mal qu’on veut les empêcher de faire. L vieux roi éclata de rire : — C’est cela, ii,-tld vuso tdérzeenp me persuader que Henri IV vivrait encore, ’il va eu la bonne idée de nommer Ravaillac
elle serait un acte de justice que les comités électoraux peuvent hâter en inscrivant sur leurs programmes : « la réforme de l’impôt des boissons. » À propos des rubans rouges L’habitude de décorer les gens, à époque toxique, a inspiré un joli mot à feu Léopold Ier, le père du roi des Belges actuel. À l’occasion de sa fête, on lui demandait la croix pour une certaine quantité d’individualités sans valeur : — Mais se récria-t-il. je ne vois là-dedans personne qui ait fait quelque chose pour obtenir une telle faveur. — Sire, répartit un des ministres, on ne décore pas toujours les gens pour le bien qu'ils ont fait, mais pour le mal qu’on veut les empêcher de faire. Le vieux roi éclata de rire : — C’est cela, dit-il, vous prétendez me persuader que Henri IV vivrait encore, s’il avait eu la bonne idée de nommer Ravaillac chevalier de la Légion d’honneur!... Extrait du carnet d’un chasseur en date de la saison dernière : Mon fusil coûte 200fr. — Munitions 50 »» — Permis 13 20 — Frais de voyage 100 »» — Temps perdu 500 »» Total en 3 mois.... 803 20 — Tué : 6 perdrix, 2 lièvres, 1 lapin et une caille. En tout, dix pièces de gibier. Valeur maxima : 05 fr. — Déficit 800 fr. environ. C’est la revanche du gibier. BULLETIN FINANCIER de l’agence française de publicité 152, rue Montmartre, Paris. La faiblesse du marché persiste, il ne faut pas s’en étonner puisque tous les ans le même état de stagnation se produit sur les places financières au moment où les spéculateurs vont au bois, à la mer ou ailleurs. Cette époque est également marquée par un nettoyage des portefeuilles, on vend pour pouvoir purifier le contenu de la caisse des valeurs et racheter plus tard de meilleurs titres. Le 30e a encore baissé de 15c.; même perte se constate sur le 4 1/2 : quant à l’amortissable qui n’a jamais été très demandé, il descend seulement de 105. Les cours des valeurs étrangères sont faibles. Nos Sociétés de Crédit sont
elle serait un ctae de justice que les tsmcoié électoraux peuvent hâter en inscrivant sur leurs programmes : « la réforme de l’impôt de osn. » À prps des rubans rouges L’habitude de décorer les gens, à époque toxique, a inspiré un joli mot à feu Léopold Ier, le père du roi des Belges actuel. À l’occasion de sa fête, on lui demandait la croix pour une certaine quantité d’individualités sans valeur : — Mais se récria-t-il. je n vois là-dedans perse qui ai fait quelque eoshc pour obtenir une telle faveur. — Sire, répartit un des ministres, on ne décore pas toujours les gens pour le bien q'ls ont fait, mais pour le mal qu’on vt les empêcher de faire. Le vieux roi éclata de rire : — C’est cela, dit-il, vous prétendez me persuader que Hnr IV vivrait encore, s’il avait eu la bonne idée de nommer Ravaillac chevalier de la Légion d’honneur!... Extrait du carnet d’un chasseur en date de la saison dernière : fusil coûte 0fr. — Munitions 50 »» — Permis 13 20 — Frais e voyage 100 »» — Temps perdu 500 »» Total en 3 mois.... 803 20 — Tué : 6 perdrix, 2 lièvres 1 lapin t une .aelilc n tout, dix pièces de gibier. Valeur maxima : 50 fr. Déficit 800 fr. environ. Cs la revanche du gibier. BULLETIN FINANCIER de l’agence française e publicité 5, rue Montmartre, Pais La faiblesse du marché persiste, il ne faut ps s’en étonner puisque tous les ans le même état de stagnation se produit sur les places fanières au moment où les spéculateurs vont au bois, à la mer ou ailleurs. Cette pqe est également marquée par un nettoyage des portefeuilles, on vend pour pouvoir purifier le contenu de la aie des valeurs et racheter plus tard de meilleurs titres. Le e03 a encore baissé de 15c.; même perte se atescont sur le 4 1/2 : quant à l’amortissable q na’ jamais été très demandé, l descend elmn de 105. Les cours des valeurs étrangères sont faibles. Nos Sociétés de Crédit sont
perdrix, 2 lièvres, 1 lapin et une caille. En tout, dix pièces de gibier. Valeur maxima : 05 fr. — Déficit 800 fr. environ. C’est la revanche du gibier. BULLETIN FINANCIER de l’agence française de publicité 152, rue Montmartre, Paris. La faiblesse du marché persiste, il ne faut pas s’en étonner puisque tous les ans le même état de stagnation se produit sur les places financières au moment où les spéculateurs vont au bois, à la mer ou ailleurs. Cette époque est également marquée par un nettoyage des portefeuilles, on vend pour pouvoir purifier le contenu de la caisse des valeurs et racheter plus tard de meilleurs titres. Le 30e a encore baissé de 15c.; même perte se constate sur le 4 1/2 : quant à l’amortissable qui n’a jamais été très demandé, il descend seulement de 105. Les cours des valeurs étrangères sont faibles. Nos Sociétés de Crédit sont peu mouvementées. Le Crédit foncier est à 1312.50. On cote la Société Générale à 455 fr.; on prévoit la hausse sur cette valeur. Quant au Crédit Lyonnais, la perte récente et définitive du procès de la foncière lyonnaise n’est pas étrangère aux mauvaises dispositions du public pour cet établissement, qui en outre a dans son bilan le Monde (Cie d’assurances) et la nouvelle émission du Nord de l'Espagne. On nous dit qu’à côté des valeurs scabreuses, il y a encore certaines participations financières non liquidées, qui sont faites pour laisser des inquiétudes au Crédit Lyonnais. Parmi les valeurs industrielles nous pouvons noter les actions de la Société Générale de produits et spécialités pharmaceutiques. Ces titres sont recherchés en raison de leur revenu de 9 fr. minimum, que donnera la Société pour l’exercice en cours. Le Byrrh au Malaga dont vous avez sans doute vu parfois rayonner le nom sur votre route. Est un apéritif à nul autre pareil : On peut dire qu’il est nouveau sous le soleil. La Maison Violet, au pied des Pyrénées, Lui fit en le créant, de belles destinées, Car on ne saurait trop en vanter les vertus. Ses détracteurs jaloux dès longtemps se sont tus.
perdrix, 2 lèvrs, 1 lapin et une caille. n tout, dix pièces de gibier. Valeur maxima 05 fr. — Déficit 800 fr. environ. C’est la revanche du gibier. BULLETIN FINANCIER de l’agence française de publicité 152, rue Montmartre, Paris. La faiblesse du marché persiste, il ne faut pas s’en étnnr puisque tous les ans le même état de stagnation s produit sur les places financières u on où es spéculateurs vont bois, à la mer ou ailleurs. et époque est également marquée par un nettoyage des portefeuilles, on vend pouvoir purifier el contenu de la caisse esd valeurs et racheter plus tard de meilleurs titres. Le 30e a cenoer baissé de 15c.; même prt se constate sur le 4 1/2 : quant à l’amortissable qui n’a jamais été très dad, il descend ulemt de 105. Les cours des valeurs étrangères sont aie. Nos Sociétés de Crédit sont p mouvementées. Le Crédit foncier est à .. On cote la Société Générale à 455 fr.; on prévoit la hausse sur ee valeur. n au Crédt Lyonnais, la perte cent et définitive du procès de la ièr lyonnaise n’est pas étrangère xua mauvaises dispositions du public pour cet établissement, q en outre a dans son bilan l Monde (Cie d’assurances) et la nouvelle émission du Nord de l'Espagne. On nous dit qu’à côté des valeurs scabreuses, il a encore certaines participations financières non liquidées, qui sont fts pour laisser des inquiétudes au Crédit ynns. Parmi les valeurs esdiltilesnur nous pouvons noter les actions de la cité Générale ed produits et spécialités pharmaceutiques. Ces titres n recherchés n raison de revenu de 9 fr. niu, que dnnr la Société pour l’exercice en rs Le Byrrh au Malaga dont vous avez sans doute vu parfois rayonner le nom sur votre tuo.er Est un apéritif à nul e pareil : On peut dr qu’il est nouveau sous le soleil. La Maison Violet, au pied des Pyrénées, Lui fit n le créant, de blls destinées, Car on ne saurait trop en vanter e vertus. Ses détracteurs jaloux dès longtemps se sont tus
en outre a dans son bilan le Monde (Cie d’assurances) et la nouvelle émission du Nord de l'Espagne. On nous dit qu’à côté des valeurs scabreuses, il y a encore certaines participations financières non liquidées, qui sont faites pour laisser des inquiétudes au Crédit Lyonnais. Parmi les valeurs industrielles nous pouvons noter les actions de la Société Générale de produits et spécialités pharmaceutiques. Ces titres sont recherchés en raison de leur revenu de 9 fr. minimum, que donnera la Société pour l’exercice en cours. Le Byrrh au Malaga dont vous avez sans doute vu parfois rayonner le nom sur votre route. Est un apéritif à nul autre pareil : On peut dire qu’il est nouveau sous le soleil. La Maison Violet, au pied des Pyrénées, Lui fit en le créant, de belles destinées, Car on ne saurait trop en vanter les vertus. Ses détracteurs jaloux dès longtemps se sont tus. Or écoute, mortel, l’avis que je te donne : Puisque l’éternité n’appartient à personne, Si tu veux ici-bas prolonger ton séjour, Il faut prendre de Byrrh, trois verres chaque jour. EVERAERT 11 & 13, rue des Carmes ROBES ET CONFECTIONS Soieries, Lainages, Deuil M. Everaert a l'honneur d’informer sa clientèle qu’étant à fin de bail et cessant les affaires, il fait la liquidation de toutes ses marchandises, à des prix de bon marché inconnus jusqu’à ce jour. ON DEMANDE le placement d’un travail artistique. — Conditions avantageuses. fortes remises. — S’adresser, tous les jours de 10 heures à midi, chez M. Soret, 2 bis, route de Bonsecours. BANQUE DE COMPTE DE ROUEN 31, place des Carmes OPÉRATIONS de BOURSE AU COMPTANT & À TERME Paiement Gratuit des Coupons Renseignements sur toutes les Valeurs PRÊTS SUR TITRES COTÉS ET NON COTÉS Le Propriétaire-Gérant : J. LÈGERON Elbeuf — Imp. ALLAIN et LECLEER, rue St-Jacques SAGE-FEMME DIPLOMÉE Mme Vattier 37, boulevard St-Hilaire, 37 MAISON d’ACCOUCHEMENT avec JARDIN PREND DES PENSIONNAIRES FRIX RÉDUITS Exposition de Rouen — 2 Diplômes d’honneur USINE XY OUTILLAGE À VAPEUR AAx J-à. J.YA À perfectionne 18, Quai du Mont-Riboudet. — ROUEN Entreprise à forfait pour constructions industrielles. —
en outre a dans son bilan le Monde (Cie anc te la nouvelle émission du Nord de l'Espagne. On nous dit qu’à côté des vlrs scbrss, il y a encore certaines participations financières o uidées qui sont fies pour laisser des nque au Crédit Lyonnais. Parmi les valeurs industrielles ouns pouvons noter les actions de l Scété Générale de produits et spécialités pharmaceutiques. Ces titres snto recherchés en raison de leur revenu de 9 fr. minimum, que donnera la Société pour l’exercice en crs. Le Byrrh au Malaga ntdo vous avez ns doute uv parfois yonne le nom sur votre route. Est un apéritif à nl autre pareil : On peut dire qu’il est nouveau sous le soleil. L Maison Violet, au pied des Pyéne Lui fit en le créant, de belles destinées, Car on ne sarait trop en vanter les vertus. Ses détracteurs aou dès longtemps se sont ts. rO écoute, mortel, ’vlsai que e te donne : Puisque l’éternité n’apten à personne, iS tu veux icibas prlngr ton séjour, Il faut prendre Byrrh, trois vrrs chaque jour. EVERAERT 11 & 3,1 rue des Carmes ROBES ET CONFECTIONS Soieries, Lainages, Deuil . Everaert a l'honneur d’informer sa clientèle qu’étant à f de bail t cessant e affaires, il fait la diaqtuiilon de toutes ses marchandises, à des prix de bon marché ncnns jusqu’ ce jour. ON DEMANDE le placement ’ndu travail artistique. — Conditions avantageuses. fortes remises. — ’aesr ts les jours de 10 heures à midi, chez M. Soret, 2 bis, route de Bonsecours. BANQUE DE COMPTE DE ROUEN place des Carmes OPÉRATIONS de BOURSE U COMPTANT & À TERME Pen Gratuit des Coupons Renseignements sur sueott ls Valeurs PÊ SUR TITRES OS ET ON COTÉS Le Propriétaire-Gérant : J. LÈGERON Elbeuf — Imp. ALLAIN et EELL,ERC rue St-Jacques SAGE-FEMME DIPLOMÉE Mme Vttr 37, boulevard StHilaire 37 MAISON d’ACCOUCHEMENT avec JARDIN PREND DES PENSIONNAIRES FRIX RÉDUITS xpstn de Rouen — 2 Diplômes dhonneur SN XY OUTILLAGE À VAPEUR AAx J-à. J.Y À perfectionne 18, Quai du Mont-Riboudet. ROUEN Entreprise forfait pour constructions ndstrlls. —
qu’étant à fin de bail et cessant les affaires, il fait la liquidation de toutes ses marchandises, à des prix de bon marché inconnus jusqu’à ce jour. ON DEMANDE le placement d’un travail artistique. — Conditions avantageuses. fortes remises. — S’adresser, tous les jours de 10 heures à midi, chez M. Soret, 2 bis, route de Bonsecours. BANQUE DE COMPTE DE ROUEN 31, place des Carmes OPÉRATIONS de BOURSE AU COMPTANT & À TERME Paiement Gratuit des Coupons Renseignements sur toutes les Valeurs PRÊTS SUR TITRES COTÉS ET NON COTÉS Le Propriétaire-Gérant : J. LÈGERON Elbeuf — Imp. ALLAIN et LECLEER, rue St-Jacques SAGE-FEMME DIPLOMÉE Mme Vattier 37, boulevard St-Hilaire, 37 MAISON d’ACCOUCHEMENT avec JARDIN PREND DES PENSIONNAIRES FRIX RÉDUITS Exposition de Rouen — 2 Diplômes d’honneur USINE XY OUTILLAGE À VAPEUR AAx J-à. J.YA À perfectionne 18, Quai du Mont-Riboudet. — ROUEN Entreprise à forfait pour constructions industrielles. — Mobilier des écoles.—Parquets chêne façonnés. — Fourniture en acier pour magasins. — Expéditions à bref délai. — Vente à prix réduits. HÔTEL DU VIEUX-PALAIS Place Henri IV, Rouen Installation nouvelle Déjeuners et Diners à la carte. — Table d’hôte, à 11 h. 1/2 et 6 h. 1/2 Déjeuner, Dîner et Chambre : 6 fr. par jour. MAISON DE RENTIER à louer, rue Dinanderie, 6, près le jardin Solférino. Porte-cochère, cour et remise. S’adresser, pour visiter et traiter, rue Montpée, 38 À VENDRE MAISON À LOUER d’habitation avec Jardin, serre, écurie, remise, buanderie, cabinets et basse-cour. 148, rue Thiers, Petit-Quevilly. S’adresser, pour visiter et traiter à AL Delivet, jardinier, rue aux Anglais, à Rouen, et à M. Morin-Baussort, 57, rue Lafayette, à Rouen, et rue Saint-Maur, 19. Lait pur 15, rue des Petites-Eaux, près du FrancHanois, Traite, six heures du matin, midi et sept heures et demie du soir. LAIT DE CHÈVRE À VENDRE “Gorximerce de quincaillerie, fers, charbons de terre, plâtres, ciments et atelier de serrurerie, à Bourg-Achard (Eure). S’adresser à M. DELAPORTE, à Darnétal. Maison de campagne, écurie, remise et jardin, située place de Quimcampoix, à louer présentement, 500 fr Visible chaque jour. Pour renseignements, s'adresser à M. BATAILLE,
qu’étant à fin de bail et cessant les affaires, il fait la iqudtin d toutes ses marchandises, des prix bon marché inconnus jusqu’à ce jour. ON DEMANDE le placement d’n travail artistique. — Conditions avantageuses. efrsto remises. — S’adresser, tous les jours de 10 heures à midi, chez M. r, 2 bis, route de Bonsecours. AQ DE COMPTE DE ROUEN 31, place des Carmes PÉRNS de BOURSE AU COMPTANT & À TERME Paiement raut des Coupons Renseignements sur toutes les Valeurs PRÊTS SUR TITRES COTÉS ET NON S Le Propriétaire-Gérant J. LÈGERON Elbeuf — Imp. ALLAIN et LECLEER, rue tacqs SAGE-FEMME ILOÉ Mme Vattier 37, boulevard St-Hilaire, 37 MSN d’ACCOUCHEMENT avec JARDIN PREND DES PEN FRIX RÉDUITS Exposition de — 2 Diplômes d’honneur USINE Y OUTILLAGE À VPR AAx J-à. J.YA À ncefeotenrpi 18, Q du Mont-Riboudet. — ROUEN Entreprise à forfait pour constructions industrielles. — Mobilier des écoles.—Parquets chêne façonnés. — Fourniture en acier pour magasins. — Expéditions à bref délai — Vente à i réduits. HÔTEL DU IEUPIS Place Henri IV, Rouen Installation nuvl Déjeuners et Diners à la carte. — Table d’hôte, à 11 h. 1/2 et 6 h. 1/2 Déjeuner, Dîner et Chambre : 6 fr. par jour. MAISON DE RENTIER à lo, rue Dinanderie, 6, près le jardin Solférino. recocèe, cour et remise. Sadrser pour visiter t traiter, rue Montpée, 38 À VENDRE MAISON À U d’habitation avec Jardin, see, écurie, remise, buanderie, cabinets e bss-cr. 148, rue Thiers, Ptt-Qvlly. S’adresser, pour visiter et trat à AL Delivet, jardinier, rue aux Anglais, à Rouen et à M. Morin-Baussort, 57, rue Lafayette, à Rouen, et rue SaintM 9. Lait pur 15, rue des Petites-Eaux, près du FrancHanois, Traite, six heures du mtn, midi et sept heures et demie du soir LAIT DE CHÈVRE À VENDRE “Gorximerce de quincaillerie, fers, charbons de terre, plâtres, ciments et atelier de serrurerie à crrhAguda-oB (r). S’adresser à M. DELAPORTE, à Drnétl. Maison de campagne écurie, rms et jardin, située place de Quimcampoix, à louer présentement, 500 fr Visible chaque jour. Pour neents s'adresser à M. BATAILLE,
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