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la princesse. On aurait fouillé tous ces agents le même jour et à la même heure qu'on aurait trouvé sur eux une vrille, un tube de fer, des cheville-plates, une pince, toutes sortes d'ustensiles nécessaires pour ces opérations, qui exigent une certaine dextérité. Il arrivait bien parfois qu'une pièce percée mal rebouchée fuyait outrageusement, mais c'était mis sur le compte de l'expéditeur et le bourgeois avalait tout cela, ou plutôt il n'avalait rien du tout. Je le répète, on ne saurait trop louer la Compagnie du Nord d'avoir fait condamner tous ces voleurs ; mais il faut que son bon exemple soit suivi. Cela se pratique partout, et rien n'est plus vexatoire que d'être audacieusement volé. Il faut convenir que l'homme est un étrange animal. Voici des agents de trains, pour la plupart anciens militaires ayant d'excellents états de service — il faut, pour être admis dans les Compagnies, une conduite sans reproche; on est choisi sur la grande masse des solliciteurs, parmi les plus méritants, — et pour la mince satisfaction de boire un peu de vin pour rien, on est amené à en voler des quantités considérables afin d'étouffer les complicités. Est-ce qu'il ne vaudrait pas mieux cent fois être buveur d'eau? Sans compter qu'on a la chance de vivre jusqu'à 90 ans bien portant et actif. Nous allons voir maintenant si nous recevrons des barriques mal remplies ; mais pourvu qu'on ne les remplisse pas avec de l'eau : ce serait peut-être encore pire que le vol. CHRYSALE. LES AVIS DIVERS MAISON DU PONT-NEUF-PARIS Vêtements complets pour hommes à IMI Envoi gratuit du catalogue illustré. L. T. PIVER 11. PARFUMEUR, b. de Strasbourg. Véritable Eau de Ninon, 31, r. du A-Septembre. On lit dans le Progrès médical : L'Eau de Botot est le plus efficace des dentifrices et le seul et unique approuvé par l'Académie de médecine de Paris. Il entre dans sa composition onze plantes médicinales macérant pendant plus d'une année dans un alcool de premier choix.— La Poudre dentifrice de Botot est composée des mêmes racines et plantes médicinales; aussi ces deux produits alliés ensemble | la res On aurait fouillé tous ces agents le même jour et à la même heure qu'on aurait trouvé sur eux une vrille, un tube de fer, ds hevlelts une pince, toutes sortes d'ustensiles nécessaires pour ces pértns, qui exigent une certaine dextérité. Il arrivait bien paf qu'une pièce percée mal brhéouece fuyait outrageusement, mais c'était mi sur le compte de l'expéditeur et le brgs vit tout cela, ou plutôt li n'avalait rien du tout. Je le répète, on ne saurait trop louer la Compagnie du Nord d'avoir ft condamner tous c voleurs ; mais il faut que son bon exemple soit suivi. Cela se pratique partout, et rien n'est plus vexatoire que d'être audacieusement vol Il faut convenir que l'homme st un étrange animal. Voici des gnts de trains, pour la plupart anciens militaires ayant d'excellents états de service — il faut, pour être ai dans les Compagnies, une conduite snsa reproche; on est choisi la grande masse des solliciteurs, parmi ls plus méritants, — t pour la mince satisfaction de boire un peu d vin pour rien, on est amené à en voler des quantités nsérle afin d'étouffer les complicités. Est-ce qu'il vaudrait pas mieux cnt fois être buveur d'eau? Sans compter qu'on la chnc de vivre jusqu'à 90 ans bien portant et actif. Nous allons voir mntnnt si nous recevrons ds brrqs mal remplies ; mais pourvu quon ne les remplisse pa avec de l'eau : ce serait peut-être encore pire que le vol. CHRYSALE. LES AVIS DIVERS MAISON DU PONT-NEUF-PARIS Vêtements complets pour hommes à IMI Envoi gratuit d catalogue illustré. L. T. PIVER 11. PARFUMEUR, b. de Strasbourg. Véritable Eau de Ninon, 31, r. du ASeptembre On lit ansd le Progrès méca : LEau de Botot st le plus efficace des dentifrices et le sl et unique approuvé par l'Académie de médecine de Paris. Il ntr dans sa composition onze plantes médicinales mar pendant plus d'n année dans un alcool de mrerpei choix.— La Poudre dentifrice de Botot est composée des mêmes racines et plantes médicinales; s ces du rodit alliés ensemble |
fois être buveur d'eau? Sans compter qu'on a la chance de vivre jusqu'à 90 ans bien portant et actif. Nous allons voir maintenant si nous recevrons des barriques mal remplies ; mais pourvu qu'on ne les remplisse pas avec de l'eau : ce serait peut-être encore pire que le vol. CHRYSALE. LES AVIS DIVERS MAISON DU PONT-NEUF-PARIS Vêtements complets pour hommes à IMI Envoi gratuit du catalogue illustré. L. T. PIVER 11. PARFUMEUR, b. de Strasbourg. Véritable Eau de Ninon, 31, r. du A-Septembre. On lit dans le Progrès médical : L'Eau de Botot est le plus efficace des dentifrices et le seul et unique approuvé par l'Académie de médecine de Paris. Il entre dans sa composition onze plantes médicinales macérant pendant plus d'une année dans un alcool de premier choix.— La Poudre dentifrice de Botot est composée des mêmes racines et plantes médicinales; aussi ces deux produits alliés ensemble forment-ils pour les soins de la bouche la plus précieuse des préparations. Entrepôt général : 229, rue Saint-Honoré. Vente au détail : 18, boulevard, des Italiens. VARIA LE RÉGIME DES ÉTABLISSEMENTS PÉNITENTIAIRES L'Assemblée est saisie d'un projet de loi tendant à séparer individuellement pendant le jour et la nuit dans les prisons départementales, les inculpés, les prévenus, les accusés et les condamnés à diverses peines. Les dépenses nécessitées pour les travaux d'appropriation et de construction des prisons, en vue du nouveau système projeté, seraient supportées concurremment par l'Etat et les départements. Depuis soixante ans on s'étudie à modifier le régime des prisons. La nécessité d'améliorer le sort des prisonniers et de mettre obstacle en même temps aux contacts corrupteurs s'est imposée à tous ceux qui se sont occupés de la question pénitentiaire. Parmi les systèmes mis en avant, il en est deux principaux : l'emprisonnement collectif et l'emprisonnement individuel. Certains philanthropes ayant posé en principe que l'isolement du condamné devait être le plus puissant agent de sa moralisation, une autre école attribuait au travail et au silence énergiquement imposés une efficacité suffisante. Des études approfondies ont été faites sur ces deux points, non-seulement en France, mais encore dans les autres | fois êtr buveur d'eau? Sans compter qu'on a l chance de vivre jusqu'à 90 ans bien tanptor et actif. Nous allons voir maintenant si nous recevrons des barriques mal remplies ; mais pourvu qu'on les remplisse a avec de l'eau : ce serait peut-être encore pire que le vol. CHRYSALE. LES AVIS DIVERS MAISON DU PONT-NEUF-PARIS Vêtements complets pr msohem à IMI Envoi grtt du catalogue illustré. L. T. PIVER 11. PARFUMEUR, b de Strasbourg. Véritable Eau de n, 31, r du A-Septembre. On lit dans le Progrès médical : 'Eu de Botot est le plus efficace des dentifrices et le seul et unique approuvé par l'Académie de médecine de Paris Il entre dans sa composition onze plantes éii macérant pendant plus d'une année dans un alcool d premier choix.— La Poudre dentifrice de Botot est eocopmés ds mêmes racines et plantes médicinales; aussi ces deux produits alliés ensemble forment-ils pour les soins de la bouche la plus prue des préparations. Entrepôt général : 229, rue Saint-Honoré. Vente ua détail 18, boulevard, Italiens. VARIA LE RÉGIME DES ÉTABLISSEMENTS PÉNITENTIAIRES bem'AélsLse est saisie d'un projet de loi tendant à séparer individuellement pendant le jour et la nuit dans ls pn départementales, ls inculpés, les prévenus, les accusés et les condamnés à diverses peines. Les dépnss nécessitées pour les travaux 'appropriation t de construction des prisons, en vue du vonueau système ojeé seraient supportées concurremment par l'Etat et sel départements. Depuis soixante ans on s'étudie à modifier le régime des prisons. La nécessité d'améliorer le sort des prisonniers et de ettr obstacle en mêm mtpse aux contacts corrupteurs s'est imposée à tous ceux qui se sont occupés de la question pénitentiaire. Parmi les systèmes mis en avant, il en est deux principaux : l'emprisonnement collectif et l'emprisonnement dvie Certains hhoiteasrnlpp ayant posé en principe que l'isolement du condamné devait être le plus puissant agent de sa moralisation, une autre école attribuait au travail et au silence énergiquement imposés une ffccté suffisante. Des études approfondies ont été faites sur ces deux points, non-seulement en France, ms encore dans ls autres |
les prisons départementales, les inculpés, les prévenus, les accusés et les condamnés à diverses peines. Les dépenses nécessitées pour les travaux d'appropriation et de construction des prisons, en vue du nouveau système projeté, seraient supportées concurremment par l'Etat et les départements. Depuis soixante ans on s'étudie à modifier le régime des prisons. La nécessité d'améliorer le sort des prisonniers et de mettre obstacle en même temps aux contacts corrupteurs s'est imposée à tous ceux qui se sont occupés de la question pénitentiaire. Parmi les systèmes mis en avant, il en est deux principaux : l'emprisonnement collectif et l'emprisonnement individuel. Certains philanthropes ayant posé en principe que l'isolement du condamné devait être le plus puissant agent de sa moralisation, une autre école attribuait au travail et au silence énergiquement imposés une efficacité suffisante. Des études approfondies ont été faites sur ces deux points, non-seulement en France, mais encore dans les autres Etats de l'Europe et aux Etats-Unis. La Belgique s'est appliquée à réaliser, dans toutes ses conséquences, la doctrine de la séparation individuelle. L'Angleterre a combiné, pour les longues peines, l'isolement, la vie commune et la libération préparatoire. Divers Etats nous donnent le spectacle de prisons établies suivant le régime cellulaire et de maisons où la séparation, maintenue pendant la nuit, fait place, le jour, au travail en commun dans les ateliers avec obligation du silence. En France, le régime en commun, avec obligation du silence, est appliqué dans nos maisons centrales ; la cellule, à Mazas, à la Roquette, à la Santé. Par une résolution du 25 mars 1872, l'Assemblée, justement émue du développement énorme de la criminalité, avait donné à une commission la mission de lui soumettre toutes les propositions qu'elle jugerait nécessaires à l'amélioration de notre système pénitentiaire. L'état de nos lieux de répression a d'abord appelé l'examen de cette commission. Laissant de côté pour le moment les questions qui se rattachent au mode d'exécution de la peine des travaux forcés, dont la récente transformation, par la création des établissements de la Nouvelle-Calédonie, ne permet pas d'apprécier encore les résultats, elle a successivement porté son attention sur nos | les prisons départementales, les ilpé, les prévenus, les accusés et les condamnés à diverses peines Ls dépenses nécessitées pour sle travaux d'appropriation et de construction des prisons, e vue d noua système projeté, seraient supportées concurremment par l'tt et les départements. Depuis soixante ns on s'étudie à modifier le régime des prisons. La nécessité d'améliorer le srot des prisonniers et de met obstacle en même temps aux cntcts corrupteurs s'est psée à tous ceux qui s sont occupés de l question pénitentiaire. Parmi les systèmes en avant, il en est deux principaux : l'emprisonnement collectif et l'emprisonnement individuel. Crtns philanthropes ayant pos en principe que l'isolement du ané devait être le plus puissant agent de sa moralisation, une autre école attribuait au travail et au slnc énergiquement mpsés une efficacité suffisante Des études prnds nt t faites sur ces deux points, non-seulement en Fan mais nrceeo dans sel trs Etats ed l'Europe et au EtatsUnis La Belgique s'est appliquée à rélse, dans toutes ses nsunce, la dtie de la séparation individuelle. L'Angleterre a combiné, pour les longues peines, l'isolement, la iev commune et la libération préparatoire. eDsirv Etats nous donnent e spctcl de prsns tablis suivant le régime cellulaire et de maisons ù la séparation, maintenue pendant la nuit, itaf place, le u au travail en commun dans les ateliers avec obligation silec. nE rce, le régime en commun, avec obligation du silne t aplu dans nos maisons centrales ; la cellule, à Mazas, la Roquette à la Santé. Pr une résltn du 25 mars 1872, ess'ebllm,éA justement uéem du développement énorme de l criminalité, aait donné à une commission la mission d liu soumettre tts les propositions 'luqeel jugerait nécessaires à l'amélioration de notre système pénitentiaire. L'état de ns lieux de répression 'abord appelé l'examen de ctt commission. Laissant de côté pour le moment les questions qui se rattachent au mode d'exécution d la peine s travaux forcés, dont la récente transformation, par la création e établissements d la Nouvelle-Calédonie, ne permet pas d'apprécier cr les résultats, elle a successivement prté s attention sur nos |
et de maisons où la séparation, maintenue pendant la nuit, fait place, le jour, au travail en commun dans les ateliers avec obligation du silence. En France, le régime en commun, avec obligation du silence, est appliqué dans nos maisons centrales ; la cellule, à Mazas, à la Roquette, à la Santé. Par une résolution du 25 mars 1872, l'Assemblée, justement émue du développement énorme de la criminalité, avait donné à une commission la mission de lui soumettre toutes les propositions qu'elle jugerait nécessaires à l'amélioration de notre système pénitentiaire. L'état de nos lieux de répression a d'abord appelé l'examen de cette commission. Laissant de côté pour le moment les questions qui se rattachent au mode d'exécution de la peine des travaux forcés, dont la récente transformation, par la création des établissements de la Nouvelle-Calédonie, ne permet pas d'apprécier encore les résultats, elle a successivement porté son attention sur nos maisons d'éducation correctionnelle, nos maisons centrales et nos maisons départementales ou maisons d'arrêt de justice ou de correction. Les premiers de ces établissements ne contiennent que les mineurs qui ont été condamnés à un emprisonnement de plus de six mois ou renvoyés après acquittement dans les maisons d'éducation correctionnelle, pour y être détenus et élevés pendant un nombre d'années déterminé. Les mineurs prévenus, ou accusés, ou condamnés à moins de six mois de prison, ou détenus par voie de correction paternelle, sont gardés dans les maisons départementales. Ces maisons sont bien tenues et peuvent nous faire honneur aux yeux de l'étranger. Toutefois, il est encore des questions très délicates sur lesquelles la science pénitentiaire appelle, en ce qui touche l'enfance, l'attention du législateur. Les maisons centrales sont destinées à recevoir : Les femmes condamnées, aux travaux forcés, qui ne sont pas déportées; Les réclusionnaires des deux sexes ; Les correctionnels des deux sexes, condamnés à plus d'une année d'emprisonnement ; Un certain nombre de condamnés aux fers et à la détention. Un vice grave se remarque dans les maisons centrales. Exactement surveillés pendant le jour, les condamnés y sont livrés pendant la nuit à tous les désordres qu'engendre la promiscuité | et de maisons ù la séparation, maintenue pendant la nuit, fait place le jour, au artavli en commun dans les ateliers avec blgtn d silence En Frce l régime en commun, vc obligation du silence, ets appliqué dans nos maisons cntrls ; la cellule, à Mazas à la Roquette, à al Snté. Par une résltn du 25 mars 1872, smbe, justement emué du développement énorme de la crinaié, avait donné à une cmio la mission de lui soumettre tts les propositions qu'elle jugerait nécessaires à l'amélioration de notre système itiie. L'état de nos lieux de irrpssnoeé a d'abord pel l'examen de ctt mmin Laissant de côté pour le moment les qstns qui s rattachent au mode d'exécution de la peine des travaux forcés, dont al éete trnsfrmtn, rap la técoinar des établissements de la Nouvelle-Calédonie, en prmt pas dapprécier encore ls réat, elle a successivement porté son attention sur n asmonis d'éducation correctionnelle, nos maisons etal et nos mao départementales ou msns d'arrêt d justice ou de crrct. Les premiers de ces établissements n contiennent que les mineurs qui ont été condamnés n emprisonnement de plus de six mois ou renvoyés après cquitten dans els maisons d'éducation correctionnelle, pour y être détenus et élevés pendant un nmbr 'années déterminé. Les mineurs prus, ou accusés, caoémndns à moins ed six ms de prison, ou détenus par v de correction pnteare,lle sont gardés dans les maisons déartmta Ces maisons sont bn tns et peuvent nous faire hnnr aux yx de 'etln.graré Toutefois, il est ce des questions très délicates sr lesquelles la scnc pénitentiaire ppll, en e qui touche l'nfnc, l'attention du législateur. Les maisons centrales snt dstnés à recevoir : Les fems onées, aux trvx forcés qui ne sont ps déportées; Les réclusionnaires des dx sexes ; Les correctionnels des deux sexes, condamnés plus d'une née 'emrionen ; Un nrieact nmbr d ds aux fers et à la détention. Un ievc grave se rmereuqa dans les maisons centrales. Exactement surveillés pendant e jour, esl condamnés y sont livrés pendant la nuit tous les rsdseérdo qu'engendre la promiscuité |
y être détenus et élevés pendant un nombre d'années déterminé. Les mineurs prévenus, ou accusés, ou condamnés à moins de six mois de prison, ou détenus par voie de correction paternelle, sont gardés dans les maisons départementales. Ces maisons sont bien tenues et peuvent nous faire honneur aux yeux de l'étranger. Toutefois, il est encore des questions très délicates sur lesquelles la science pénitentiaire appelle, en ce qui touche l'enfance, l'attention du législateur. Les maisons centrales sont destinées à recevoir : Les femmes condamnées, aux travaux forcés, qui ne sont pas déportées; Les réclusionnaires des deux sexes ; Les correctionnels des deux sexes, condamnés à plus d'une année d'emprisonnement ; Un certain nombre de condamnés aux fers et à la détention. Un vice grave se remarque dans les maisons centrales. Exactement surveillés pendant le jour, les condamnés y sont livrés pendant la nuit à tous les désordres qu'engendre la promiscuité des dortoirs communs. C'est l'emprisonnement collectif avec tous ses dangers qui en est la règle. Ces réserves faites, il faut reconnaître que ces maisons sont, en tout cas, ce qu'il y a de mieux organisé pour les adultes dans notre système pénitentiaire. L'administration y montre une vigilance, un esprit de suite, une sollicitude auxquels il faut rendre hommage. Un sage règlement a fait disparaître depuis longtemps l'usage du vin, du tabac, et n'a autorisé que la fourniture d'un très petit nombre d'aliments simples. Le travail, bien organisé, subit peu de chômages, le silence enfin règne partout. Des quartiers d'amendement destinés à encourager le repentir et à protéger la faiblesse ont été créés dans certains lieux. Les maisons qui, sous le nom de maisons d'arrêt de justice et de correction, ou plus simplement de maisons départementales, servent à la fois dans chaque arrondissement à la garde des prévenus et des accusés et à l'exécution des peines d'emprisonnement d'un an et au-dessous, offrent presque toutes l'inconvénient principal que nous avons signalé tout à l'heure dans les maisons centrales : la promiscuité absolue; et ce défaut n'y est atténué par aucun des correctifs qu'on y rencontre. Le travail est mal assuré ; souvent | êtr détenus et élevés pendant un nombre d'nnés déterminé. Ls mineurs prévenus, ou ccsés, ou condamnés à moins de sx mois prison, détenus par ve d correction paternelle, sont gardés dans les maisons déprtmntls. Cse maisons sont bien e et peuvent nous faire honneur aux yeux de l'étrngr. Toutefois, il s encore des questions rès délicates sur squeeelsll l ene pénitentiaire appelle, e ce qui touche l'enfance, l'ttntn du législateur. Les maisons centrales sont destinées à recevoir : Les femmes condamnées, aux travaux forcés, qui ne sont pas déportées; esL réclusionnaires sed dx sexes ; Les correctionnels des deux sexes condamnés à plus eun'd année d'emprisonnement ; Un certain nombre d condamnés aux fers et à la éenin. Un vice grave se remarque dns les maisons centrales. Exactement surveillés pendant le jour, les condamnés y on livrés pendant la nuit à tous les désordres qu'engendre la rmsc des dortoirs communs. C'est l'emprisonnement collectif avec tous ses dangers qui en st règle. Ces réserves faites, il ft reconnaître que ces maisons sont, en tout cas, ce quil y mieux rgnsé pour les adultes dans notre système pénitentiaire. L'administration mntr une vigilance, un esprit d st, une sollicitude auxquels il ufat rendre hommage. Un a règlement a fait disparaître ep ntmpoglse l'usage d vin, du tabac, t ' autorisé que la fouture d'n très p nome d'aliments simpls. Le travail, bn organisé, subit p de chômages, le lnc enfin règne partout. Des quartiers d'amendement dss à encourager le repentir et à protéger la fblss ont été créés dns certains lieux. Les maisons qui, ss le nom de ms 'rr de jstc et de correction, ou plus simplement de aso départementales, servent à la iosf dans chaque arrondissement à a ard des prévenus et s accusés et 'exécution e peines d'emprisonnement d'un n et -dsss, offrent presque toutes l'inconvénient principal que nous avons signalé tout à l'heure dans les maisons centrales : la promiscuité absolue; et c défaut 'yn est atténué par aucun des correctifs qu'on y rencontre. Le travail est al sséuar ; e |
suite, une sollicitude auxquels il faut rendre hommage. Un sage règlement a fait disparaître depuis longtemps l'usage du vin, du tabac, et n'a autorisé que la fourniture d'un très petit nombre d'aliments simples. Le travail, bien organisé, subit peu de chômages, le silence enfin règne partout. Des quartiers d'amendement destinés à encourager le repentir et à protéger la faiblesse ont été créés dans certains lieux. Les maisons qui, sous le nom de maisons d'arrêt de justice et de correction, ou plus simplement de maisons départementales, servent à la fois dans chaque arrondissement à la garde des prévenus et des accusés et à l'exécution des peines d'emprisonnement d'un an et au-dessous, offrent presque toutes l'inconvénient principal que nous avons signalé tout à l'heure dans les maisons centrales : la promiscuité absolue; et ce défaut n'y est atténué par aucun des correctifs qu'on y rencontre. Le travail est mal assuré ; souvent il n'existe pas. La règle du silence est fort peu respectée ; elle n'est même pas toujours imposée. L'insuffisance des gardiens rend la surveillance inefficace. Enfin parmi ces prisons, celles d'arrondissement n'offrent le plus souvent de séparation bien réelle qu'entre les sexes ; et dans certaines grandes villes, le quartier des femmes réunit les filles soumises, retenues par infraction à la police des mœurs, et les autres détenues. Depuis le commencement du siècle, de grandes améliorations matérielles ont été apportées dans le régime des prisons; mais l'ensemble de ces améliorations, bonnes en elles-mêmes, a eu pour effet de modifier sensiblement le régime pénal. Bien nourris, chaudement vêtus, à l'abri du froid, souvent dispensés du travail par le chômage, les détenus jouissent d'un bien-être supérieur à celui qu'ils trouveraient à l'état de liberté. Aussi voit-on les individus qui ont déjà fait de la prison y revenir sans effroi. La perspective de l'existence sans soins, parfois sans travail, sans trop de contrainte, n'est point indifférente à l'accroissement de population qui s'y remarque aux approches de l'hiver. Les parquets ont souvent constaté que certains repris de justice viennent y chercher un paisible hivernage. La corruption se montre au grand jour dans ces maisons. | suite, une sollicitude auquls il faut rndr hommage. Un sage règlement a fait dsprîtr depuis logemps gu'aesl ud vin, du tabac, te n'a autorisé que la fourniture d'un très petit nombre d'aliments simples. Le travail, bien organisé, subit peu de chômages, le silence eni règne partout. Des quartiers 'amendement destinés à enouger le repentir t à protéger la faiblesse ont été rs an irantecs lieux Les msns ,iuq sous le nom de maisons darrêt d jstc et de correction, ou plus simplement d maisons départementales, servent à al fois dans chaque arrondissement à la garde des prévenus et ds aés et à 'exécution des ein d'emprisonnement d'un an t au-dessous, offrent presque toutes linconvénient principal que nous vns signalé tout à l'heure dans s msns centrales la promiscuité bsl; et ce défaut n'y est atténué r aucun des correctifs q' y rencontre. L travail est mal assuré ; souvent il n'existe pas. La règle du silence est fort peu perctseée ; elle n's même psa toujours imposée. L'insuffisance des grdns rend la surveillance inefficace. Enfin parmi ces prisons, celles d'arrondissement nnoffte'r le plus souvent de séparatio bien réelle qu'entre ls sexes ; et dans certaines grandes vlls, le quartier des smfmee réunit les filles soumises retenues par nfrctn à la police esd mœurs, t les trs détenues. Depuis le commencement du siècle, de grandes améliorations matérielles ont été apportées dans el régime des prisons; mais l'ensemble e ces mélrtns, b elles-mêmes, a eu pour effet de mir sensiblement le régime pénal. Ben rri chaudement vêtus, à labri du frd, evuonst dieé du travail par le chômage les détenus jouissent d'un bien-être uprer à celui qu's troerait à léa de liberté. Aussi voit-on les vid qui n déjà fait de la prison y revenir sns ffr. La perspective de l'existence sans soins, parfois sans ,aavilrt sns trop de contrainte, n'est point ndinte à l'ccrssmnt de oult qui s'y rerque aux approches de l'hiver. eLs prqts ont souvent constaté que certains repris d jstc viennent y cecherhr un isbe hivernage. La crrptn se montre au grand jour dans ces maisons |
des femmes réunit les filles soumises, retenues par infraction à la police des mœurs, et les autres détenues. Depuis le commencement du siècle, de grandes améliorations matérielles ont été apportées dans le régime des prisons; mais l'ensemble de ces améliorations, bonnes en elles-mêmes, a eu pour effet de modifier sensiblement le régime pénal. Bien nourris, chaudement vêtus, à l'abri du froid, souvent dispensés du travail par le chômage, les détenus jouissent d'un bien-être supérieur à celui qu'ils trouveraient à l'état de liberté. Aussi voit-on les individus qui ont déjà fait de la prison y revenir sans effroi. La perspective de l'existence sans soins, parfois sans travail, sans trop de contrainte, n'est point indifférente à l'accroissement de population qui s'y remarque aux approches de l'hiver. Les parquets ont souvent constaté que certains repris de justice viennent y chercher un paisible hivernage. La corruption se montre au grand jour dans ces maisons. Il suffit de pénétrer, à l'heure où cesse le travail, dans le préau des condamnés, pour comprendre la domination qu'y exerce le vice. C'est là que l'habitué de prison se fait honneur de ses exploits et que la femme corrompue fait des recrues pour la débauche. Même dans les maisons les plus vastes, le meilleur système de classification laisse côte à côte, parmi les prévenus, l'homme arrêté pour la première fois, peut-être pour quelques instants, et le repris de justice ; parmi les condamnés, celui qui purge une peine de simple police et le malfaiteur éhonté, destiné à la maison centrale ou au bagne. On a dit que l'emprisonnement collectif est le noviciat de la récidivité. C'est très juste, et toutes les statistiques le prouvent. Sur cent condamnés qui entrent dans les maisons centrales, il n'y en a guère que 15 dont la vie soit pure de toute condamnation antérieure. Plus de 80 savent déjà ce que c'est que la prison, et presque tous connaissent la police correctionnelle. Si l'on fait la même recherche à l'égard des récidivistes de toutes catégories (condamnés aux travaux forcés, à la réclusion, à l'emprisonnement), on constate que près des deux tiers ont déjà été | des eme rént les flls soumises, retenues par nfrctn à la police ds r et les autres éstud.ene Depuis le commencement d siècle, de grnds améliorations matérielles ont été apportées dans e régime des prisons; mais l'ensemble de ces améliorations, bonnes n ellesmêmes a eu pour effet de modifier sensiblement le régime pénal. Bien nrrs, chaudement vêtus, à lbr du froid, souvent ssenpdési du travail par chômage, ls détenus jouissent d'un bien-être supérieur à celui qu'ils trouveraient à l'étt de liberté. Aussi voit-on les individus qui ont é fait d l prison y revenir sans iroffe. aL prspctv de l'existence sans soins, pas a travail, sans trp de contrainte, n'est point indifférente 'crisse de population qui s'y remarque aux approches de l'hiver. Les parquets nt souvent constaté q certains repris de justice viennent y chercher un paisible hivernage. La crrptn se montre au grand jour dans ces maisons. Il suffit de énéer, à l'heure où cesse le travail, dans le péa des cndmnés, pour comprendre la domination qu'y exerce le vice. C'est là que l'habitué de prison se fait honneur de ses exploits que la mmefe corrompue fat ds recrues pour la débauche. Mêm dns les maisons les plus vastes, leu système de classification laisse côte à côt, parmi les prévenus, 'me arrêté upro la première foi pt-êtr pour qlqs tnniatss, et le irreps de justice ; parmi les condamnés, celui qui egrup une pn de mpisle police et le malfaiteur éhonté, destiné à la maison centrale ou au bagne. On a dit que rine collectif est le noviciat de a récidivité. C'est très juste, et toutes ls taitue le prouvent. Sur cent condamnés qui entrent dans les maisons centrales, l n'y en a guère que 15 dnt la vie soit pure de tt condamnation anérre Plu de 80 savent déjà ce que c'est que la prison, et presque tous connaissent la police correctionnelle. S l'on fait la même rchrch à 'égard des récidivistes de toutes catégories codans aux travaux forcés, à rci à l'emprisonnement), on constate que près deu tiers ont déjà été |
les plus vastes, le meilleur système de classification laisse côte à côte, parmi les prévenus, l'homme arrêté pour la première fois, peut-être pour quelques instants, et le repris de justice ; parmi les condamnés, celui qui purge une peine de simple police et le malfaiteur éhonté, destiné à la maison centrale ou au bagne. On a dit que l'emprisonnement collectif est le noviciat de la récidivité. C'est très juste, et toutes les statistiques le prouvent. Sur cent condamnés qui entrent dans les maisons centrales, il n'y en a guère que 15 dont la vie soit pure de toute condamnation antérieure. Plus de 80 savent déjà ce que c'est que la prison, et presque tous connaissent la police correctionnelle. Si l'on fait la même recherche à l'égard des récidivistes de toutes catégories (condamnés aux travaux forcés, à la réclusion, à l'emprisonnement), on constate que près des deux tiers ont déjà été frappés de condamnations légères. La maison départementale ouvre donc souvent les portes de la maison centrale et du bagne; elle en est le vestibule, l'école préparatoire, ce qui prouve que le mode d'infliction des peines inférieures à un an corrompt au lieu de moraliser, et qu'en outre il n'exerce plus une intimidation suffisante. En même temps que la commission trouvait à ce système de tels inconvénients, elle reconnaissait qu'il était de tous nos modes de répression celui dont la sphère était la plus étendue. Destiné à pourvoir à l'exécution des peines de simple police et de la plupart des condamnations correctionnelles, il embrasse en effet à lui seul plus des neuf dixièmes de la population pénale (12,818 condamnés sur 135,495 d'après la statistique criminelle de 1869). De l'ensemble de toutes les observations faites par la commission, — observations que nous avons résumées très succinctement, — est née la conviction que notre système pénitentiaire réclamait des réformes à tous les degrés. Les unes se présentent avec le caractère de simples améliorations, de perfectionnements utiles : ce sont celles relatives au mode d'éducation correctionnelle pour les enfants. Les autres, celles qui se rattachent aux maisons centrales, ont plus d'urgence, car elles ont | les plus vastes, le meilleur système d classification lss côte à côte, prm les prévenus, l'homme rrê pour la première fois, peut-être pour quelques nstnts, et le repris de justice parmi les condamnés, celui q purge une enpie de simple police et le malfaiteur éhonté, eéndist à la maison centrale ou au bagne On a dit que l'emprisonnement collectif est le noviciat de la récidivité. C'st très juste, et tts les statistiques prouvent Sru cent condamnés qui entrent dans les aso centrales, l ny en guère q 15 dont la vie sito pure tteou condamnation antérieure. Plus de 80 savent déjà c que 'est que la prsn, et presque tous connaissent al police nneocctreil.lore Si l'on fait al même recherche l'égard des récidivistes de toutes catégories (condamnés aux travaux forcés, à la réclusion, à 'emprisonnement), on constate que près des deux tiers ont déjà t frappés d condamnations légères. La msn déprtmntl euvro donc souvent les portes de la maison rcaenlte et du bagne; ll en est e vestibule l'écl préparatoire ce qui prv que le mode d'infliction des pns féie à un an corrompt au lieu de moraliser, et qe ut il n'exerce plus une intimidation suffisante En même temp que la commission trouvait à ce système de tls inonénnts elle rconaii qu'il était de tous nos mds de répression celui dont la sphère était la plus étendue. Destiné à prvr à lexécution des peines de simple li et e la plupart des condamnations oecinl, il embrasse en effet à lui seul plus des neuf dixièmes de l population pénale (12,818 condamnés sur 15,9 d'près la statistique llemeicinr de 1869). De l'ensemble de e les sai fts par la commission, — observations que nous snova résmés très succinctement, — es née la conviction que notre système pénitentiaire réclamait des réformes à tous ls degrés. Le unes se présentent avec le caractère de sple améliorations, de mepnctenoitresenf utiles ce sont celles relatives au mode d'dtn correctionnelle pr les eat. Les autres, celles qui s rattachent aux iosmans centrales, ont plus d'urgence, cr elles ont |
une intimidation suffisante. En même temps que la commission trouvait à ce système de tels inconvénients, elle reconnaissait qu'il était de tous nos modes de répression celui dont la sphère était la plus étendue. Destiné à pourvoir à l'exécution des peines de simple police et de la plupart des condamnations correctionnelles, il embrasse en effet à lui seul plus des neuf dixièmes de la population pénale (12,818 condamnés sur 135,495 d'après la statistique criminelle de 1869). De l'ensemble de toutes les observations faites par la commission, — observations que nous avons résumées très succinctement, — est née la conviction que notre système pénitentiaire réclamait des réformes à tous les degrés. Les unes se présentent avec le caractère de simples améliorations, de perfectionnements utiles : ce sont celles relatives au mode d'éducation correctionnelle pour les enfants. Les autres, celles qui se rattachent aux maisons centrales, ont plus d'urgence, car elles ont pour but de substituer un système à un autre; mais la sévérité du régime actuel, l'exacte discipline avec laquelle il fonctionne, permettent quelque ajournement. Il en est d'autres enfin qui ne peuvent être différées : ce sont celles relatives aux maisons départementales. Là, le besoin social est évident, impérieux, pressant. Il demande à être immédiatement satisfait, malgré les considérations de l'état de nos finances. Ainsi s'explique la résolution de la commission, de borner, quant à présent, son œuvre aux réformes de nos prisons départementales. Même ainsi réduit, le problème a son importance. De sa solution dépend le régime de près de 900 de nos établissements pénitentiaires sur un nombre total de 156. Dans un prochain article, nous étudierons les moyens dont la commission s'est servie pour arriver à une solution. RAYMOND DE RAGUEL. LE CARNET DU DOCTEUR Le bâillement. — Le bâillement est l'exagération des mouvements respiratoires. En même temps que les mâchoires s'écartent pour ouvrir la bouche de manière à donner accès à un grand volume d'air, les bras s'élèvent pour dilater la poitrine et le tronc se renverse pour laisser toute liberté au ventre et permettre au diaphragme (sorte de voûte musculaire qui sépare le ventre de la | une imida sfte. En même es que la commission trouvait à ce ystèm de tels inconvénients, elle renaissait quil était de tous nos modes de rpresio celui don al sphère était l upsl étendue. estiné à uro à l'xéctn des ein de simple police et de la plupart des condamnations correctionnelles, l embrasse en effet à lui l plus des neuf dixièmes de la population pénale (12,818 condamnés sur 135,495 d'prè l statistique criminelle de 1869). De l'ensemble de toutes les observations faites par la commission, — observations que nous avons résumées très succinctement, — est née la conviction que notre systèm pénitentiaire réclamait des réformes à tous les dgrés. Les ns se présentent avec le tccèarera de simples améliorations, de perfectionnements utiles : ce sont celles relatives au md d'éducation correctionnelle pour les nans. Les autres, clls qui se rattachent aux maisons centrales, ont pls d'rgnc, car elles ont poru but de substituer n systèm à un autre; mais l sévérité du régime ctl, l'exacte discipline avec laquelle il fonctionne, permettent quelque .muertnjenoa Il en est de enfin qui ne peuvent être différées : ce sont celles relatives aux maisons départementales. Là, el besoin social est évident mpre pressant. Il demande à trêe immédiatement satisf malgré les considérations de l'état de nos finances Ainsi s'explique l résolution de la commission, de borner, quant à présent, nso œuvre aux réformes de nos prisons départementales. Même ainsi réduit le prblèm a son mprtnc. De sa olution p le régime de près de 900 de nos établissements pénitentiaires sur un nombre total d 156. nDas un prochain article, nous éters sle moyens dont la commission s'est servie pour arriver à un solution. RDYNAOM DE RGE L CARNET DU DOCTEUR Le bâillement. — Le bâillement ets l'exagération des ts rsprtrs. E mêm temps que les mâchoires s'écartent pour ouvrir la bouche de manière à donner ccès à un grand volume d'air, les bras s'élèvent pour dilater la poitrine et le tronc se renverse pour laisser toute liberté au ventre et permettre au mipgadareh (srt de voûte musculaire q sépare le ventre d la |
Il demande à être immédiatement satisfait, malgré les considérations de l'état de nos finances. Ainsi s'explique la résolution de la commission, de borner, quant à présent, son œuvre aux réformes de nos prisons départementales. Même ainsi réduit, le problème a son importance. De sa solution dépend le régime de près de 900 de nos établissements pénitentiaires sur un nombre total de 156. Dans un prochain article, nous étudierons les moyens dont la commission s'est servie pour arriver à une solution. RAYMOND DE RAGUEL. LE CARNET DU DOCTEUR Le bâillement. — Le bâillement est l'exagération des mouvements respiratoires. En même temps que les mâchoires s'écartent pour ouvrir la bouche de manière à donner accès à un grand volume d'air, les bras s'élèvent pour dilater la poitrine et le tronc se renverse pour laisser toute liberté au ventre et permettre au diaphragme (sorte de voûte musculaire qui sépare le ventre de la poitrine) de s'abaisser en refoulant les viscères abdominaux. L'acte n'est pas toujours aussi complet et le bâillement peut se borner à une inspiration profonde avec un écartement excessif des mâchoires. Le bâillement est involontaire. Il se produit par imitation avec une facilité remarquable. Il suffit d'y penser pour bâiller. Je bâille en écrivant ceci et vous bâillez en me lisant. Vous pourriez l'attribuer à la vertu soporifique de ma prose. Eh bien! Pas du tout. Je me rappelle un cours de physiologie sur le bâillement auquel j'ai assisté autrefois. Nous bâillions tous, à qui mieux mieux, et le professeur en vint à bailler lui-même. Cependant, je n'en connais pas de plus éloquent. Les physiologistes sont unanimes à dire que c'est le besoin d'air qui fait bâiller. Ils ne m'ont pas convaincu. Dans le besoin de bâiller, il y a autre chose que le besoin de respirer profondément, et la fréquence du bâillement n'est pas en rapport avec l'insuffisance de l'air respiré ou respirable. Il est cependant tout naturel que le besoin d'air provoque le bâillement, car le bâillement est un procédé efficace pour satisfaire ce besoin ; mais le soupir suffit dans les conditions habituelles ; et le soupir profond | Il demande à être immédiatement satisfait, malgré les considérations de l'état de nos finances. siniA s'explique la résolution de la mmisso, de borner, quant à présent, son œvr aux réformes de ns prisons départementales Même ainsi réduit, le prblèm a son importance. De s solution dépend le gi de près de 900 de nos établissements pénitentiaires sur un nombre total de 156. Dans un prochain article, nous étudierons les moyens dont la commission ' servie pour rrvr à une solution. RAYMOND DE RAGUEL. L CARNET DU DOCTEUR Le bâillement. — Le bâillement est l'exagération des mouvements rsptoir En même tep que mâchoires s'écartent pour ouvrir la bouche d manière à donner accès à un grnd volume 'air, les bras s'élèvent pour dilater la poitrine t el tronc se nvre pr laisser toute liberté au ventre et permettre au diaphragme (sorte de vût musculaire qui sépare le ventre de la poiin de s'abaisser en refoulant les viscères abdominaux. L'acte n'est pas toujours aussi complet et le bâillement peut s borner à une inspiration profonde avec un écartement excessif des mâchoires. L bâillement est involontaire. Il se produit par imitation avec une facilité remarquable. Il suffit ' penser pour bâiller. Je bâille n écrivant ceci et vous bâillez en me lsnt. Vous pourriez l'attribuer à la vrtu soporifique de am prose. Eh bien! Pas du tout Je me rappelle un de physiologie sur bâillement auquel j'ai assisté autrefois. Nous bâillions tous, à qui mieux mieux, et le professeur en vint à bailler lui-même. Cependant, je n'en connais pas de plus éloquent. Les physiologistes sont unanimes à dire que c'st le besoin d'air qui fait bâiller. Ils ne m'ont pas convaincu. Dns le bsn de bâiller, il a ate chose que le besoin de respirer profondément, et la fréquence d bâllmnt n'est pas en rapport cvea l'insuffisance de l'air respiré ou srbe. Il est cependant ottu naturel que le besoin d'r provoque le bâillement car le bâillement est un procédé efficace pour satisfaire ce besoin ; mais le soupir it dans les conditions habituelles ; et l soupir profond |
bâille en écrivant ceci et vous bâillez en me lisant. Vous pourriez l'attribuer à la vertu soporifique de ma prose. Eh bien! Pas du tout. Je me rappelle un cours de physiologie sur le bâillement auquel j'ai assisté autrefois. Nous bâillions tous, à qui mieux mieux, et le professeur en vint à bailler lui-même. Cependant, je n'en connais pas de plus éloquent. Les physiologistes sont unanimes à dire que c'est le besoin d'air qui fait bâiller. Ils ne m'ont pas convaincu. Dans le besoin de bâiller, il y a autre chose que le besoin de respirer profondément, et la fréquence du bâillement n'est pas en rapport avec l'insuffisance de l'air respiré ou respirable. Il est cependant tout naturel que le besoin d'air provoque le bâillement, car le bâillement est un procédé efficace pour satisfaire ce besoin ; mais le soupir suffit dans les conditions habituelles ; et le soupir profond remplit d'air les poumons mieux que ne le font certains bâillements, qui suffisent à satisfaire le besoin de bâiller et ne suffiseraient pas à satisfaire le besoin de respirer. Une preuve encore que le bâillement ne satisfait pas ce besoin, c'est que l'on soupire pendant que l'on bâille et souvent deux fois si le bâillement se prolonge. On bâille surtout quand on a envie de dormir, quand on s'éveille ou quand on s'ennuie. Dans tous les cas, le bâillement coïncide avec une certaine paresse musculaire ; il s'accompagne de pandiculations dans lesquelles les muscles sont tendus ou contractés, pour ainsi dire, convulsivement. La faim fait également bâiller, de même que le froid, la chaleur et une digestion laborieuse. Comme, dans tous ces cas, le renouvellement du sang ou plutôt sa revivification sont défectueux, il n'est pas étonnant qu'on ait rapproché ces deux faits : entrée de l'air en abondance à la faveur du bâillement, et pauvreté du sang, dans les circonstances où le besoin de bâiller se fait sentir ; mais peut-être ne faut-il voir dans cette contraction convulsive des muscles qu'un moyen d'activer la circulation du sang qui, dans ces états de torpeur ou de faiblesse, serait réparti d'une | bâille en écrvnt cc et vous bâillez en me lisant. Vuso pourriez l'attribuer à la vrt ofie de ma prose. Eh bien! Pas du ut Je m rappelle un crs ed ysiog sur le bâillement ql j'ai assisté autrefois. Nous bâillions tous, à qui mieux emix,u et le professeur en vint à bllr lui-même. Cependant je n'n connais pas d plus éloquent Les letpsissoyoigh sont unanimes à dire que 'est le besoin d'air fait bâiller. Il ne m'ont pas cnvnc. Dans le besoin de bâiller, il a autre chose que le bsn de respirer profondément et la fréquence d bâillement n'est pas en rapport avec l'insuffisance de l'air respiré ou respirable. Il est cependant tout naturel que le besoin d'air provoque le bâillement, car le bâillement est un procédé efficace pr satisfaire ce eoin ; mais le soupir suffit dans els conditions habituelles ; et le spr profond remplit d'air les poumons mieux que ne le font certains bâillements, qui suffisent à satisfaire le besoin de bâiller et ne suffiseraient pas à satisfaire le besoin de respirer. Une evepur encore que le bâillement ne satisfait pas ce besoin, c'est que l'on soupire pendant que lon bâille et souvent deux fois s le btelinmlâe se oeglporn. On bâille surtout qnd on a envie dormir, quand on s'éveille ou qnd on s'ennuie. Dans tous les cas, le bâillement coïncide avec une eaienrct paes musculaire ; il 'accompagne de pandiculations dans lesquelles les muscles sont tendus ou contractés, pour ainsi dire, convulsivement. L faim fit églmnt bâiller, de même q le froid, la chaleur et n digestion laborieuse. Comme, dans tous ces el rnvllmnt d sng ou plutôt sa revivification sot défectueux, l t ps étonnant qu'on ait rapproché ces deux fits entrée d l'air en abondance à la faveur du bâllmnt, t pvrté d sang, dans les circonstances ùo le besoin d bâllr se a sentir ; mais peut-être ne faut-il voir dans cette contraction convulsive des muscles qu'un emoyn d'activer la circulation du sang q, dans ces états de torpeur ed faiblesse, serait réparti d'une |
deux fois si le bâillement se prolonge. On bâille surtout quand on a envie de dormir, quand on s'éveille ou quand on s'ennuie. Dans tous les cas, le bâillement coïncide avec une certaine paresse musculaire ; il s'accompagne de pandiculations dans lesquelles les muscles sont tendus ou contractés, pour ainsi dire, convulsivement. La faim fait également bâiller, de même que le froid, la chaleur et une digestion laborieuse. Comme, dans tous ces cas, le renouvellement du sang ou plutôt sa revivification sont défectueux, il n'est pas étonnant qu'on ait rapproché ces deux faits : entrée de l'air en abondance à la faveur du bâillement, et pauvreté du sang, dans les circonstances où le besoin de bâiller se fait sentir ; mais peut-être ne faut-il voir dans cette contraction convulsive des muscles qu'un moyen d'activer la circulation du sang qui, dans ces états de torpeur ou de faiblesse, serait réparti d'une manière inégale. Il n'est pas facile de simuler le bâillement, ni plus que de le dissimuler. Cependant, en essayant bien, on parvient à bâiller sans nécessité, après quelques efforts infructueux ; on n'éprouve pas alors le plaisir d'un bâillement bien franc, exécuté en toute liberté. Les bâillements répétés et accompagnés de pandiculations sont quelquefois le signal d'une maladie qui débute. Hippocrate l'avait déjà constaté au début des fièvres, et surtout des fièvres intermittentes. On l'a donné comme un présage de terminaison malheureuse quand il survient pendant le travail de l'enfantement ou pendant les maladies aiguës des femmes en couche. Il ne faut pas cependant en exagérer l'importance. Il résulte vraisemblablement, dans le premier cas, d'une gêne de la circulation ; dans le second, d'une insuffisance du sang. On l'observe, en effet, dans d'autres circonstances où l'on peut apprécier cette insuffisance, comme à la suite des hémorrhagies abondantes ou des blessures graves. On a vu le bâillement se produire d'une manière maladive dans des cas rares, où il coïncidait quelquefois avec une maladie nerveuse. Dans l'épilepsie, il signale souvent le début des attaques, et il faut en tenir compte pour prendre les précautions nécessaires et empêcher le malade de se blesser | dx fois si l bâillement se prolonge. n bâille surtout quand on envie de dormir, quand on s'éveille ou quand on sennuie ns tous les cas le bitlmenâle coïncide avec une ertciena paresse musculaire il s'ccmpgn de pandiculations dans lesquelles les muscles snt tendus o t, pour ainsi dire, convulsivement. La faim fait également ilr, de même que le rod l chaleur et une digestion laborieuse. Comme, dans tous ce cas, le renouvellement du sang ou plutôt sa revivification sont défectueux il 'e pas étoat q'n ait rapproché ces deux faits : entrée de l'r en abondance à la fvu du bâllmnt, et pauvreté du sang, dans les circonstances où l besoin de bâiller se fait sentir ; ms peut-être ne faut-il voir dans cette contraction convulsive ds mscls quun myn d'activer la clio du sang qui, sadn ces ttséa d torpeur de bsisel,fae serait patrrié d'une manière ge. Il n'est pas facile ed simuler le bâillement, ni plus que de le dissimuler Cependant, en essayant bien, on parvient à bâiller sans esité, après quelques efforts infructueux on n'éprouve sap lrs l plaisir d'un bâillement bien franc, exécuté en toute liberté Ls bâillements répétés et accompagnés de pandiculations sont quelquefois le signal dneu' maae qui débute. Hippocrate l'avait déjà constaté début des fièvres, et surtout des fièvres intermittentes. On l' donné comme un présage de terminaison malheureuse quand l survient pendant l travail de l'enfantement ou pendant les mlds aiguës des feme en couche. Il ne faut pas cependant en are l'importance. l résulte vraisemblablement, dns le premier cas, d'une gêne de la circulation ; dans le second, d'une insuffisance du sang. n l'observe, en fft, dans d'autres circonstances où nol' pu pprécr cette insuffisance, comme à la suite des hémorrhagies bndnts ou des blessures graves. On a vu le bâillement se produire d'une mnèr maladive da des cas ares où il coïncidait quelquefois vec une maladie nerveuse. Dans seep'l,éliip l signale souvent le début des attaques et faut en tenir compte ur prendre les précautions nécessaires et empêcher le malade de se blssr |
de pandiculations sont quelquefois le signal d'une maladie qui débute. Hippocrate l'avait déjà constaté au début des fièvres, et surtout des fièvres intermittentes. On l'a donné comme un présage de terminaison malheureuse quand il survient pendant le travail de l'enfantement ou pendant les maladies aiguës des femmes en couche. Il ne faut pas cependant en exagérer l'importance. Il résulte vraisemblablement, dans le premier cas, d'une gêne de la circulation ; dans le second, d'une insuffisance du sang. On l'observe, en effet, dans d'autres circonstances où l'on peut apprécier cette insuffisance, comme à la suite des hémorrhagies abondantes ou des blessures graves. On a vu le bâillement se produire d'une manière maladive dans des cas rares, où il coïncidait quelquefois avec une maladie nerveuse. Dans l'épilepsie, il signale souvent le début des attaques, et il faut en tenir compte pour prendre les précautions nécessaires et empêcher le malade de se blesser pendant l'attaque. J'ai soigné autrefois une jeune fille qui ne pouvait pas bâiller sans se luxer la mâchoire inférieure. Elle était réduite à ne jamais bâiller complètement; mais souvent il lui arrivait de n'y prendre pas garde, et la luxation se reproduisait à coup sûr. On a cité plusieurs faits analogues. Dupuytren réduisit, un jour, une luxation de ce genre chez une jeune femme, en présence de ses élèves. La malade en fut si joyeuse qu'elle se mit à rire à gorge déployée, et la luxation se reproduisit. Cette luxation n'est pas grave, pourvu qu'on appelle de bonne heure le chirurgien, et qu'on n'essaye pas de la réduire en donnant un coup de poing sur le menton, comme cela s'est vu. Les malades sont généralement très effrayés de leur état, et en se voyant dans cette piteuse situation, sont souvent pris de délire. Le pire est qu'une fois réduite, la luxation se reproduise à la première occasion. Au moment où elle se produit, le blessé ressent une douleur vive et est tout surpris de ne pouvoir fermer la bouche. La mâchoire inférieure est portée en avant et les incisives inférieures chevauchent sur les supérieures, comme dans ce qu'on appelle le | de pandiculations sont quelquefois le signal d'une madi i débute. Hippocrate l'avait déjà constaté au début des fièvres, e surtout des fièvres intermittentes. On l'a donné comme un présage de terminaison malheureuse quand il survient pendant le iavtalr de l'enfantement ou pendant les maladies aiguës des femmes en cch. Il ne faut pas cependant en xgérr l'importance. Il résulte vraisemblablement, dans l premier cas, d'une gêne de la circulation ; dans l second, d'une insuffisance du sang. nO l'observe, en effet, dans d'autres circonstances où lo peut apprécier cette insuffisance, comme à la suite des hémorrhagies abondantes ou des blessures graves. On vu le bâillement se produire d'une manière maladive dans des cas rares, où il coïncidait quelquefois avec une maladie nerveuse. Dans l'épilepsie, il signale souvent le début s attaques, et li faut en tenir compte pour prendre les précautions nécessaires t empêcher le malade de se blsser pendant l'attaque. J'ai soigné autrefois une jeune fille qui ne pouvait pas ilbâlre sans se luxer la mâchoire inférieure. Elle était rédt à ne jamais bâiller complètement; mais souvent il lui arrivait de n'y nerepdr pas garde, et la luxation se reproduisait à coup sûr. On a cité plusieurs faits analogues. Dupuytren réduisit, un jour, une luxation de ce genre chez une jeune fmm, en présence de ses élèves. La malade en ft si joyeuse qu'elle se mit à rire à gorge déployée, et la luxation se reproduisit. Cette luxation n'est ps grave, pourvu qu'on appelle de bonne hr le chirurgien, et quon n'essaye pas de la réduire en donnant un c d poing sur le menton, comme cela s'est vu. Les malades sont généralement très eraés de leur étt, et en se voyant dans cette piteuse situation, sont souvent pris de délire. Le pire est qu'une fois réduite, la luxation se reproduise l première occasion. Au moment où elle se produit, le blessé ressent une douleur vive et est out surpris de ne pouvoir fermer la bch. La mâchoire inférieure est portée en avant et ls incisives inférieures chevauchent sur les supérieures, dans qu'on appelle le |
analogues. Dupuytren réduisit, un jour, une luxation de ce genre chez une jeune femme, en présence de ses élèves. La malade en fut si joyeuse qu'elle se mit à rire à gorge déployée, et la luxation se reproduisit. Cette luxation n'est pas grave, pourvu qu'on appelle de bonne heure le chirurgien, et qu'on n'essaye pas de la réduire en donnant un coup de poing sur le menton, comme cela s'est vu. Les malades sont généralement très effrayés de leur état, et en se voyant dans cette piteuse situation, sont souvent pris de délire. Le pire est qu'une fois réduite, la luxation se reproduise à la première occasion. Au moment où elle se produit, le blessé ressent une douleur vive et est tout surpris de ne pouvoir fermer la bouche. La mâchoire inférieure est portée en avant et les incisives inférieures chevauchent sur les supérieures, comme dans ce qu'on appelle le menton de galoche. Le malade ne peut retenir sa salive ni articuler une parole. Pour remettre la mâchoire en place, le chirurgien la saisit des deux mains en plaçant les pouces dans la bouche. Les pouces servent à abaisser la mâchoire, qui, une fois abaissée suffisamment, se replace d'elle-même dans la position naturelle. On peut l'y aider en la poussant un peu en arrière quand elle est suffisamment abaissée. Quand l'accident est ancien, la réduction n'est pas aussi facile. On a inventé divers instruments pour effectuer avec plus de force la manœuvre que je viens de décrire. On peut indiquer des traitements pour les cas où le bâillement est incoercible et constitue une vraie maladie. En cherchant bien, on pourra souvent découvrir la maladie nerveuse à laquelle il est lié et le faire disparaître en guérissant cette maladie. Quand on connaîtra mieux la nature du sommeil, on déterminera peut-être le centre nerveux situé dans la moelle ou le cerveau, qui préside au bâillement. Dr AD. NICOLAS. LES TRIBUNAUX LE DRAME DE SENOZAN Le huis clos qui avait été prononcé dans cette affaire a été levé pour les plaidoiries ; elles ont occupé deux audiences. Samedi, Me Maritain, avocat de la | analogues. Dupuytren iséuit,rd un jour, luxation de ce genre chez n jeune femme, e présence de ses éls. La mld en fut si joyeuse qu'elle s mit à rire à gorge déplyé, et la luxation se reproduisit. Cette lxtn n'est pas grave, pourvu qu'on appelle de bonne heure le chirurgien, et q'n n'essaye pas de la réduire en donnant un coup de poing sur le menton, comme cela sest v. Les malades sont généralement très effrayés de leur état, et en se vnyaot dans cette piteuse situation, sont souvent pris de délr. Le pire est qu'une fois réduite, la luxation se reproduise à a première occasion. Au moment où elle se produit, le blessé ressent une douleur viv et est tout surpris de ne pouvoir fermer la o.ubche La mchore inférieure est portée en avant et les incisives inférieures chevauchent sur les supérieures, comme dans ce quon appelle le menton de galoche. Le malade ne pute retenir sa salive ni articuler une parole. Pour rteterme la mâchoire en place, le chirurgien la saisit des deux mns en plaçant les pouces dans la bouche. Les ecsopu servent à abaisser la mhir qui, une fois abaissée suffisamment, se replace d'elle-même dans la position naturelle. On peut l'y aider en la poussant un peu en arrière quand elle est sffsmmnt aai. Quand l'accident est ancien la réduction n'est pas aussi facile. On a nvnté divers instruments pour ffctr avec plus de frc la manœuvre que je n de décrire. On peut indiquer des traitements pour les cas ù le bâillement est incoercible et constitue une vrai maladie. En cherchant bien, on prr souvent découvrir a maladie nerveuse à ullaelqe il est lié et le faire disparaître en guérissant cette maladie Quand on connaîtra mieux la nature du sommeil, on déterminera peut-être le centre nerveux sité dans la moelle ou le cerveau, qui préside au bâillement. Dr D. NICOLAS. LES TRIBUNAUX LE DRAME DE SENOZAN Le huis clos qui avit été prononcé dans cette affaire a été levé pour les ldiis ; elles ont occupé deux audiences. Samedi, M Mrtn, avocat de la |
la position naturelle. On peut l'y aider en la poussant un peu en arrière quand elle est suffisamment abaissée. Quand l'accident est ancien, la réduction n'est pas aussi facile. On a inventé divers instruments pour effectuer avec plus de force la manœuvre que je viens de décrire. On peut indiquer des traitements pour les cas où le bâillement est incoercible et constitue une vraie maladie. En cherchant bien, on pourra souvent découvrir la maladie nerveuse à laquelle il est lié et le faire disparaître en guérissant cette maladie. Quand on connaîtra mieux la nature du sommeil, on déterminera peut-être le centre nerveux situé dans la moelle ou le cerveau, qui préside au bâillement. Dr AD. NICOLAS. LES TRIBUNAUX LE DRAME DE SENOZAN Le huis clos qui avait été prononcé dans cette affaire a été levé pour les plaidoiries ; elles ont occupé deux audiences. Samedi, Me Maritain, avocat de la partie civile, a pris le premier la parole pour soutenir l'accusation contre M. Lacroix. M. l'avocat général a prononcé ensuite son réquisitoire. À l'audience d'hier dimanche, Me Aulot a présenté la défense de l'accusé et Me Maritain a répliqué dans l'intérêt de M. Paul Bonnebaigt, pour lequel il a demandé des dommages-intérêts. Le jury ayant rendu un verdict négatif sur la culpabilité de M. Lacroix, il a été renvoyé de la poursuite et mis en liberté. La cour statuera sur la question des dommages-intérêts à une audience ultérieure. Depuis la levée du huis clos, le public s'était avidement précipité dans la salle des assises. ÉCHOS DE PARTOUT Le dîner donné samedi au ministère de la justice était de 50 couverts. Parmi les invités se trouvaient M. Buffet, président de l'Assemblée; le général de Cissey, vice-président du conseil; le duc Decazes, ministre des affaires étrangères, et les ministres de la marine, de l'instruction publique, du commerce, etc.; le général de Ladmirault; les chefs de la cour de cassation et de la cour d'appel et beaucoup de députés. La réception qui a suivi le dîner a été une des plus brillantes de la saison. On y remarquait le maréchal de Mac-Mahon, le | la position atu On peut l'y aider en la pssnt un peu en arrière quand elle est suffisamment abaissée. Quand 'accident est ancien, la réduction n'est pas aussi facile On a inventé divers instruments pour effectuer avec plus de force la manœuvre que je vns de décrr. On pt nrqdueii ds traitements pr les cas où le bâillement est incoercible et constitue une vraie maladie. En cherchant ,bnei on pourra souvent découvrir maladie nerveuse à laquelle il est lié et le faire disparaître en guérissant cette maladie. Quand on connaîtra mieux la nature du sommeil, on détrmnr peut-être le centre nerveux situé dans l moelle le cerveau, qui préside au bâillement. Dr AD. NICOLAS. LES TRIBUNAUX DRAME DE SNZN Le huis clos qui avait été prononcé s cette affaire a été levé pour les plaidoiries ; elles ont occupé dx audiences. Samedi, Me Maritain, cvtaao de la partie civile, pris le premier la parole pour soutenir l'accusation contre M. Lacroix. M. l'avocat génrl a prnncé ensuite son réquisitoire. À l'audience d'hier dimanche, Me Aulot a présenté la défense de l'accusé et Me Mrtai a rlqé dans l'intérêt d M. Paul Bonnebaigt, pour lequel il demandé des dommages-intérêts. Le jury ayant rendu un verdict négatif sur la culpabilité de M. Lacroix, il a été renvoyé de la poursuite et mis e liberté. La cour statuera sur la question des mmgeint une audience ultérieure Depuis la levée du huis clos, le public s'était avidement précipité dans la salle des assises. ÉCHOS D PARTOUT Le dîner donné smd au ministère d la justice était de 50 couverts. Parmi les vi se trouvaient M. Buffet, président de lAssemblée l général de Cissey, vice-président du conseil; le u Decazes, ministre des affaires étrangères, et les ministres de l marine, de l'instruction publique, du commerce, etc.; le général de Ladmirault; les chefs de la cour de cassation et de la cour d'appel et beaucoup de députés. La réception qui a sv le dîner a été enu des plus brillantes de la saison. y remarquait le chal e a-Mn le |
des dommages-intérêts. Le jury ayant rendu un verdict négatif sur la culpabilité de M. Lacroix, il a été renvoyé de la poursuite et mis en liberté. La cour statuera sur la question des dommages-intérêts à une audience ultérieure. Depuis la levée du huis clos, le public s'était avidement précipité dans la salle des assises. ÉCHOS DE PARTOUT Le dîner donné samedi au ministère de la justice était de 50 couverts. Parmi les invités se trouvaient M. Buffet, président de l'Assemblée; le général de Cissey, vice-président du conseil; le duc Decazes, ministre des affaires étrangères, et les ministres de la marine, de l'instruction publique, du commerce, etc.; le général de Ladmirault; les chefs de la cour de cassation et de la cour d'appel et beaucoup de députés. La réception qui a suivi le dîner a été une des plus brillantes de la saison. On y remarquait le maréchal de Mac-Mahon, le comte de Paris, le duc de Nemours, le prince de Joinville, le duc de Chartres; presque tout le corps diplomatique, notamment le nonce, lord Lyons et M. Nigra; de nombreux députés, parmi lesquels le marquis de Mortemart, le duc d'Uzès, le marquis de Guiche, le marquis des Roys, MM. Broët, Destrem, Combes, Rampon, etc. Au milieu de la soirée, les ambassadeurs birman ont fait leur entrée. Un grand nombre de dames élégantes ajoutaient à l'éclat de la soirée. Les salons de l'hôtel de la place Vendôme se sont trouvés bientôt trop petits pour contenir le flot des visiteurs, et il a fallu ouvrir la galerie. M. le garde des sceaux, Mme et Mlle Tailhand, ont fait les honneurs de leurs salons, avec une simplicité et une bonne grâce que tout le monde a appréciées. Il y a eu hier une brillante réception au ministère de l'intérieur, place Beauhaguë. M. le comte de Paris y assistait. La diplomatie y était représentée par M. Nigra, ministre d'Italie; M. de Zuylen, ministre des Pays-Bas; M. de Beyens, ministre de Belgique; M. de Moltke, ministre du Danemark; tous les collègues de M. de Fourtou et M. Buffet, président de l'Assemblée, étaient parmi les assistants. | des dommages-intérêts. Le jry ayant rendu un verdict négatif sur la culpabilité de M. Lacix il a été renvoyé de la poursuite et mis en liberté. La cour statuera sur la question des dommages-intérêts à une audience ultérieure. Depuis la levée du huis clos, le public s'était avidement précipité dans la salle des assises ÉCHOS D PARTOUT Le dîner donné samedi au ministère de la justice était de 50 couverts. Parmi les invités se trouvaient M. Buffet, président de l'Assemblée; le général de Cissey vice-président du conseil le duc e,czDsea ministre des affaires étrangères, et les ministres de la marine, de l'instruction publique, du commerce, etc.; le général de Ladmirault; les hf de la cour de csatin et de la cour d'appel et beaucoup de déptés. a réception q a suivi le dîner a été une d plus brillantes de la ssn. On y remarquait le maréchal d Mac-Mahon, le comte de Paris, le duc de Nemours, prince de Joinville, le duc de Chartres; presque tout le corps diplomatique notamment le nonce, lord Lyons e M. Nigra; de nmbrx députés, parmi lesquels le marquis ed Mortemart le duc d'Uzès, le marquis de Guiche, le marquis des Ry MM. Broët, Destrem, Combes, Rampon, etc. Au milieu de la soirée, les ambassadeurs birman nt fait leur entrée. Un grand nombre de dms élégantes ajoutaient à 'éclat de la soirée. Les salons de l'hôtel de la place Vendôme se sont trouvés bientôt trop petits pour noctrien le flot des visiteurs, et il a fallu ovri la galerie. . le garde des sceaux, Mme et Mlle Tailhand, ont fait les hnnrs de leurs salons, avec ne simplicité et une e grâce que tt le monde a appréciées. Il y a eu hier une brillante réception a ministère de l'intérieur, plc Beauhaguë. M. le comte de Paris y assistait La diplomatie y était représentée par M Nigra, ministre d'Italie; M. de Zuylen, ministre des Pays-Bas; M. de Byns, ministre de Belgique; M. de Moltke, ministre du Danemark; tous les collègues de M. de Fourtou et M. Buffet, président de l'Assemblée, étaient par les assistants. |
Destrem, Combes, Rampon, etc. Au milieu de la soirée, les ambassadeurs birman ont fait leur entrée. Un grand nombre de dames élégantes ajoutaient à l'éclat de la soirée. Les salons de l'hôtel de la place Vendôme se sont trouvés bientôt trop petits pour contenir le flot des visiteurs, et il a fallu ouvrir la galerie. M. le garde des sceaux, Mme et Mlle Tailhand, ont fait les honneurs de leurs salons, avec une simplicité et une bonne grâce que tout le monde a appréciées. Il y a eu hier une brillante réception au ministère de l'intérieur, place Beauhaguë. M. le comte de Paris y assistait. La diplomatie y était représentée par M. Nigra, ministre d'Italie; M. de Zuylen, ministre des Pays-Bas; M. de Beyens, ministre de Belgique; M. de Moltke, ministre du Danemark; tous les collègues de M. de Fourtou et M. Buffet, président de l'Assemblée, étaient parmi les assistants. Un grand nombre de députés, de conseillers d'Etat sont venus complimenter le ministre de l'intérieur sur le succès de tribune qu'il avait obtenu la veille à la Chambre. La réception a été précédée d'un dîner, auquel assistait M. le maréchal de Mac-Mahon. Son Eminence le cardinal-archevêque de Paris, accompagné de MM. les abbés d'Hulst, promoteur du diocèse, et Reulet, secrétaire particulier de Mgr Guibert, sont arrivés hier à Paris, venant de Rome, par le train express de Lyon n° 12. Le bourdon de Notre-Dame a annoncé l'heureuse arrivée du premier pasteur du diocèse. Mgr Guibert a été reçu par tout le chapitre métropolitain, ayant à sa tête M. le chanoine Marizot, archiprêtre de Notre-Dame. Notre confrère, M. de Saint-Albin-Lagayère, nous prie de déclarer en son nom qu'il n'a cédé à qui que ce soit la propriété du journal le Sport qu'il dirige depuis sa fondation en 1854. On annonce, dans la colonie hispano-américaine, le prochain mariage du duc de la Conquista, grand d'Espagne, avec Mlle de Gomez, fille de l'ancien président de la république de Venezuela. L'Académie nationale agricole, manufacturière et commerciale a tenu son assemblée générale annuelle le 17 juin, ainsi que nous l'avions annoncé, dans la salle des | Destrem, Combes, Rampon tc. Au milieu de la soirée, les ambassadeurs birman ont fait leur entrée. Un grand nombre de dms élégantes ajoutaient l'éclat de la s.éroei Les salons de l'hôtel de la ple Vendôme sont trouvés bientôt trop petits pour contenir le flt es visiteurs, et il a fallu ouvrir l galerie. M. le garde esd sceaux, Mme et Mlle Tailhand, ont fi e hns de leurs salons, avec n iltéimicps et bonne grâce que tout le monde arés. Il y a eu hie une brillante réception au ministère de eirné'tru,li place Beauhaguë . e comte de Paris assistait. La diplomatie y t représentée par M Ngr, mnstr d'Italie; .M d Zuylen, ministre des Pays-Bas; M. de Beyens, ministre de Belgique; M. de Moltke, ministre du Danemark; tous les collègues d M. d Fourtou t M. Buffet, président de l'ssmblé, étaient parmi les assistants. Un grand nombre de députés, de conseillers d'Etat sont venus complimenter le eimtsrni de l'intérieur sur le ucès d tribune qu'il avait obtenu la veille à la Chambre La réception a été précédée d'un dîner, lqauue assistait M. le maréchal de Mac-Mahon. Son mnnc le cardinal-archevêque de Paris, ccmpgné de MM. les abbés 'Hulst, promoteur du diocèse, et Reulet, secrétaire particulier de Mgr Guibert, onst arrivés hier à s venant de Rome, par le train express de Lyon n° 12. Le bourdon de Notre-Dame a annoncé l'heureuse arrivée du premier pasteur du èsi.odce Mgr Gbrt a été rç par tout le chapitre métropolitain, ayant à sa tête M. chanoine Marizot, archiprêtre de Notre-Dame. Notre fnèrrco,e M. de Saint-Albin-Lagayère, nous prie de déclarer en son nm qu'il n'a cédé à qui que ce soit l propriété du journal le Sor qi dirige depuis sa fondation ne 1854. On annonce, dans la cln hispano-américaine, l prochain mariage du duc de la Conquista, grand d'Espagne, avec Mlle de Gomez, fille de l'ancien président de la république e Venezuela. LAcadémie nainale manufacturière et commerciale a tenu son assemblée générale annuelle le 17 juin, ainsi que nous 'avns nnné dans la salle ds |
MM. les abbés d'Hulst, promoteur du diocèse, et Reulet, secrétaire particulier de Mgr Guibert, sont arrivés hier à Paris, venant de Rome, par le train express de Lyon n° 12. Le bourdon de Notre-Dame a annoncé l'heureuse arrivée du premier pasteur du diocèse. Mgr Guibert a été reçu par tout le chapitre métropolitain, ayant à sa tête M. le chanoine Marizot, archiprêtre de Notre-Dame. Notre confrère, M. de Saint-Albin-Lagayère, nous prie de déclarer en son nom qu'il n'a cédé à qui que ce soit la propriété du journal le Sport qu'il dirige depuis sa fondation en 1854. On annonce, dans la colonie hispano-américaine, le prochain mariage du duc de la Conquista, grand d'Espagne, avec Mlle de Gomez, fille de l'ancien président de la république de Venezuela. L'Académie nationale agricole, manufacturière et commerciale a tenu son assemblée générale annuelle le 17 juin, ainsi que nous l'avions annoncé, dans la salle des concerts Frascati, rue de Richelieu, sous la présidence de M. le baron de Corberon, ancien député et membre du conseil général de l'Oise. Cette réunion a offert le plus vif intérêt. L'immense salle était pleine, et les retardataires ont dû se résigner à trouver les portes closes. Un excellent discours sur la glorification du travail, par M. de Corbelon; la proclamation des récompenses, par M. Aymar-Bression, directeur général; des médailles en or, argent et bronze, délivrées séance tenante aux lauréats et en leur honneur; un charmant concert qui a duré jusqu'à minuit, telle a été cette attrayante soirée qui laissera les meilleurs souvenirs. Tous les travaux de gros œuvre du Théâtre-Lyrique touchant à leur fin, on va songer à la décoration intérieure, dont les travaux, devant nécessiter une dépense évaluée à 148,808 francs, seront adjugés aux enchères publiques, au palais du Tribunal de commerce, le 6 juillet prochain, à une heure. Le niveau de la Seine a baissé sensiblement depuis quelque temps. Cela vient à merveille pour les constructeurs du pont Saint-Germain; mais les bateaux-omnibus le voient d'un plus mauvais œil. En effet, si la baisse continue, ce service de locomotion devra être interrompu, du moins en partie. Hier, il | MM. els abbés d'Hulst, promoteur d diocèse et eut, secrétaire particulier de Mgr Guibert, snt arrivés hier à Pi, venant de Rome par le train express de Lyon n° 12. Le bourdon de Notre-Dame nnncé l'heureuse arrivée du premier pasteur du diocèse. Mgr Guibert a été rç par tout le chptr métropolitain, ynt sa tête M le chanoine Marizot, traêrpriech de Notre-Dame. Notre confrère, M. de Saint-Albin-Lagayère, nous prie de eldrréac n son nom qu'il ' cédé à uqi que ce soit la propriété du journal le Sprto q'l drg depuis sa fondation en 1854. n annonce, dans la cln ciireaémnnohap,-asi le prochain mariage du u de Conquista, drgan d'spgn, avec Mlle de Gomez, fille de l'ancien président d la répblq de Venezuela L'Académie nationale agricole, manufacturière et cmmrcl tenu son assemblée générale nnel le juin ainsi que nous 'avn annoncé, dasn la salle des concerts Frascati rue de Rhlieuec,i ss la présidence d M. le baron de Corberon, ancien député et membre du conseil ga d l'Oise. Cette réunion a ffrt le plus intérêt. L'immense salle était pleine, et les retardataires ont dû s résgnr à trvr les portes closes. Un excellent discours sur la glorification du travail, par . de Corbelon; la prclmtn des récompenses, par M. Aymar-Bression, direur général; des médailles n or argent et bronze, délivrées séance tenante aux lauréats et en leur honneur; un charmant concert qui a duré jusqu'à minuit, telle a été cette attrayante eoiérs qui laissera les lrmieleus souvenirs. Tous les travaux de gros œeuvr du Théâtre-Lyrique touchant à leur fin, on va songer la déto nérer dont les travaux, devant nécessiter eun dépns évaluée à 148,808 francs, seront djgés aux enchères publiques, au as du Tribunal de commerce, e 6 juilt ra, à une heure. Le niveau de la Sn a baissé sensiblement dps qlq temps Cela vient à ree pour ls constructeurs du pont Saint-Germain; mais els bateaux-omnibus le vnt d'un plus mauvais œil. En ee, si la baisse continue, ce srvc de locomotion devra être er du moins en partie. Hier, il |
sur la glorification du travail, par M. de Corbelon; la proclamation des récompenses, par M. Aymar-Bression, directeur général; des médailles en or, argent et bronze, délivrées séance tenante aux lauréats et en leur honneur; un charmant concert qui a duré jusqu'à minuit, telle a été cette attrayante soirée qui laissera les meilleurs souvenirs. Tous les travaux de gros œuvre du Théâtre-Lyrique touchant à leur fin, on va songer à la décoration intérieure, dont les travaux, devant nécessiter une dépense évaluée à 148,808 francs, seront adjugés aux enchères publiques, au palais du Tribunal de commerce, le 6 juillet prochain, à une heure. Le niveau de la Seine a baissé sensiblement depuis quelque temps. Cela vient à merveille pour les constructeurs du pont Saint-Germain; mais les bateaux-omnibus le voient d'un plus mauvais œil. En effet, si la baisse continue, ce service de locomotion devra être interrompu, du moins en partie. Hier, il y avait aux égouts 0 m. 88 cent. d'eau. Entre le pont d'Arcole et le pont au Change, les mécaniciens étaient obligés de ralentir, car on effleure le lit du fleuve. Au pont d'Austerlitz, les herbes apparaissent au-dessus de l'eau. Si le niveau de la Seine descendait à 0 m. 80 c., la navigation marchande devrait être interrompue. Hier, le Jardin d'acclimatation a enregistré à ses divers guichets le chiffre de 20,000 entrées. C'est le plus élevé qu'il ait atteint depuis longtemps. Les curiosités ne manquent point au Jardin d'acclimatation. Les deux orangs-outangs et le matelot du Sindh, leur cornac, font, pendant de longues heures, les délices du public. Beaucoup de monde aux pieuvres de l'aquarium, au repas des cormorans, des stercoraires, des phoques. A trois heures, foule au concert. Une caravane de douze magnifiques autruches d'Afrique venait d'arriver le matin même, et ces beaux oiseaux s'ébattaient dans leur parc réservé. Tout le succès de la journée a été pour l'éléphant nain promené en laisse dans le jardin comme un gros caniche par son cornac. Ce pachyderme à la fleur de l'âge, tient son rang dans la cavalcade fantastique du dimanche où l'on voit successivement défiler devant soi zèbres, hémiones, | sur la glorification du travail, par M. de Corbelon; la proclamation des ropnses, par M. Aymar-Bression, directeur général; des malles en or, argent et bronze, délivrées séance tnnt aux lauréats et en leur honneur; un charmant concert qui a duré jusqu'à mnt, telle a été cette attrayante soirée qui laissera ls mel svnrs. Tous les travaux de gros œuvre du ThâreLyre touchant à leur fin, on va songer à la irdnaootcé intérieure, dont ls travaux, devant nécessiter une dépense évlé à 148,808 francs, seront adjugés aux enchères publiques, au palais du Tna de commerce, le 6 juillet prochain, à une heure. Le niveau de la Seine a baissé sensiblement eduips quelque temps. Cela t à merveille pour les constructeurs du pont Saint-Germain; a les bateaux-omnibus le voient d'un plus mauvais œil. En effet, si la baisse continue, ce service de lcmtn devra être interrompu, du moins en partie. Hier, il y aavti aux égouts 0 m. 88 cent. eu Entre le pont 'Arcole et le pont au Change, les mécaniciens étaient iés de ralentir, car on effleure l lit du fleuve. Au pont 'Austerlitz, les herbes apparaissent au-dessus de l'eau. Si le niveau de la n descendait à 0 m 80 c., la navigation marchande devrait être interrompue. Hier, le Jardin d'acclimatation a enregistré à ses divers guichets le chiffre de 20,000 entrées. C'est le plus élevé qu'il t atteint depui longtemps. Les curiosités ne manquent point au Jardin d'cclmttn. Les deux rngs-tngs et le matelot du Sindh, leur cornac, fnt, pendant d longues heures, les délices du public. Beaucoup de monde aux pesuvrei de l'aquarium, au repas des cormorans, des strcrrs, des phoques trois heures, foul au concert. Une caravane de douze magnifiques truche 'Afrqe venait d'arriver le matin m,meê et ces beaux oiseaux 'ébattaient dans leur parc réservé. Tou le succès de la journée a été pour l'éléphant nain promené en laisse dans le jrdn comme un gros caniche par son crnc. Ce pachyderme à la fleur de l'âge, tient son rag dn la cavalcade fantastique du dimanche où l'on voit successivement défiler devant soi zèbres, hémiones, |
80 c., la navigation marchande devrait être interrompue. Hier, le Jardin d'acclimatation a enregistré à ses divers guichets le chiffre de 20,000 entrées. C'est le plus élevé qu'il ait atteint depuis longtemps. Les curiosités ne manquent point au Jardin d'acclimatation. Les deux orangs-outangs et le matelot du Sindh, leur cornac, font, pendant de longues heures, les délices du public. Beaucoup de monde aux pieuvres de l'aquarium, au repas des cormorans, des stercoraires, des phoques. A trois heures, foule au concert. Une caravane de douze magnifiques autruches d'Afrique venait d'arriver le matin même, et ces beaux oiseaux s'ébattaient dans leur parc réservé. Tout le succès de la journée a été pour l'éléphant nain promené en laisse dans le jardin comme un gros caniche par son cornac. Ce pachyderme à la fleur de l'âge, tient son rang dans la cavalcade fantastique du dimanche où l'on voit successivement défiler devant soi zèbres, hémiones, ânes de Jérusalem, zébus, éléphants, autruches, rennes, chevaux nains de Siam, Bangkok, etc. Les habitants de Neuilly et de Courbevoie seront prochainement avisés que la Compagnie générale des omnibus doit cesser ses deux services extra-muros aussitôt que le tramway de Neuilly sera mis en exploitation. Ainsi, les voitures qui vont du Louvre à Courbevoie s'arrêteront désormais aux fortifications. Celles qui, correspondant avec la ligne D (Ternes aux Filles-du-Calvaire), vont jusqu'au cœur de Courbevoie, cesseront complètement leur service. On redoute des protestations. Voici quelques détails sur la mort de Mme Adolphe Bazaine, belle-sœur du maréchal, courte à Cannes : Son mari avait obtenu du ministre une permission de douze visites, et il alla passer la journée avec sa femme et ses enfants à l’île Sainte-Marguerite. Pendant une des traversées, Mme Adolphe Bazaine a pris froid, et en rentrant à l'hôtel elle a dû se coucher. Malgré les soins empressés du docteur Guibert, son état a empiré, et mardi matin elle est morte. Mme Bazaine a quitté son mari pour venir soigner sa belle-sœur. C'est entre ses bras que Mme Adolphe Bazaine a rendu le dernier soupir. On annonce que M. Edmond Adam, député de la Seine, et tuteur des enfants de | 80 la navigation mare devrait être interrompue. Hier le Jardin d'acclimatation a enregistré ses divers guichets le chiffre de 20,000 entrées. C'est le plus élevé qu'il ait atteint depuis longtemps. Les curiosités ne manquent point Jardin dclimttin. Les deux asug et le matelot du Sindh, leur cornac, fnt, pendant longues heures, les délices du public. Beaucoup de monde aux pieuvres de l'aquarium, au repas des cormorans, des stercoraires, des euoph.sq A trs heures, foule au concert. Une crvn de douze magnifiques autruches 'Afrique vnt d'rrvr le matin même, et ces beaux oiseaux s'ébattaient dans leur parc réservé. Tout le succès de la journée a été pour l'éléphant nain promené en laisse dans le jardin comme un gros caniche par son cornac. Ce pachyderme à la fleur de l'âge, tient son rang dans la cavalcade fantastique du dimanche où l'on voit successivement défiler devant soi eèbszr, hémiones, ânes de ésl zub,sé éléphants, autruches, rennes, chevaux nains de Siam, Bangkok, etc Les habitants de Neuilly et de Courbevoie seront prochainement avisés que la Compagnie générale des omnibus doit cesser ses dx services extra-muros aussitôt que le tramway de Neuilly sera ms en exploitation. Ainsi, les voitures qui vont du Louvre à Courbevoie s'arrêteront désormais aux fortifications. Celles qui, correspondant avec la lgn D (Ternes aux Filles-du-Calvaire), vont jusqu'au cœur de Crbv, cesseront complètement leur service. On redoute sed protestations. Voici quelques détails sur la mort d Mme Adolphe Bazaine, belle-sœur du mréhl courte à Cannes : Son mari avait obtenu u ministre une permission de douze vsts, et il alla passer la journée avec sa femme et ses enfants à l’île Sainte-Marguerite. Pendant une des traversées Mme Adolphe Bazaine a pris frd, et en rntrnt à l'hôtel elle a dû se coucher. Malgré les soins empressés du docteur Guibert, son état a empiré, et i matin elle est morte. Mm Bazaine a quitté son mari pour venir soigner sa bellesœur C'st entre ses rs q Mme Adolphe Bazaine a rendu le dernier soupir. On annonce que M. Edmond Adam, député de l Sn, et tuteur des enfants de |
du Louvre à Courbevoie s'arrêteront désormais aux fortifications. Celles qui, correspondant avec la ligne D (Ternes aux Filles-du-Calvaire), vont jusqu'au cœur de Courbevoie, cesseront complètement leur service. On redoute des protestations. Voici quelques détails sur la mort de Mme Adolphe Bazaine, belle-sœur du maréchal, courte à Cannes : Son mari avait obtenu du ministre une permission de douze visites, et il alla passer la journée avec sa femme et ses enfants à l’île Sainte-Marguerite. Pendant une des traversées, Mme Adolphe Bazaine a pris froid, et en rentrant à l'hôtel elle a dû se coucher. Malgré les soins empressés du docteur Guibert, son état a empiré, et mardi matin elle est morte. Mme Bazaine a quitté son mari pour venir soigner sa belle-sœur. C'est entre ses bras que Mme Adolphe Bazaine a rendu le dernier soupir. On annonce que M. Edmond Adam, député de la Seine, et tuteur des enfants de Rochefort, s'est embarqué hier à Calais, se rendant à Londres avec M. Noémie Rochefort. L'ancien rédacteur du Mot d'ordre paraît disposé à se réfugier à Genève, si le séjour de la Hollande lui est interdit. Un duel a eu lieu il y a quelques jours à Dresde entre le général de Kotzebue, envoyé de la Russie à la cour de Dresde, et un noble Saxon, le comte Luckner. Ce dernier devait épouser une nièce du général, puis il rompit le mariage d'une manière blessante pour la famille. Le père de la fiancée, retenu par la maladie dans ses appartements, chargea le général de venger son honneur. Un duel au pistolet fut décidé entre les témoins au nombre desquels nous trouvons le fils du prince de Bismarck, du côté du baron de Luckner. Après deux coups tirés sans résultat de part et d'autre, on a déclaré l'honneur satisfait. La fameuse cloche impériale fondue avec des canons français et destinée à la cathédrale de Cologne, vient d'être remise pour la cinquième fois entre les mains du fondeur. Jusqu'à présent il a été impossible d'y représenter la couronne impériale qui surmonte le symbole de l'unité allemande ; de plus, les sons ont toujours | d Lve à Courbevoie sartt déora aux frtfctns. Celles qui, correspondant avec ligne D (Ternes aux Filles-du-Calvaire), vont jusqu'au cœur e Courbevoie, cesseront complètement leur service. On redoute des otesis Voici quelques détails sur la mort de Mme Adolphe Bazaine, belle-sœur du maréchal, courte à Cseann : Son mr avait obtenu du ministre une permission d douze visites, et il alla passer la journée avec femme et ses enfants à l’île Sainte-Marguerite. Pdat un ds traversées, Mme olhe Bazaine a pris froid, et en rentrant à l'hôtel elle a dû se coucher. agr les soins empressés d docteur Guibert, s état a empiré, et mardi matin elle est morte. Mme Bazaine a quitté son mr pour venir soner sa belle-sœur. C'est entre ss bras q Mme Adolphe Bazaine a rendu le dernier soupir. On annonce qu M. Edmond Adam, dpuété de l Seine, et tuteur des enfants de Rochefort s'est earqu hr à Calais, se rendant à Londres avec M. Noémie Rochefort. L'ancien rédctr Mot d'rdr paraît disposé à se réfgr à Genève, si le séjour de la Hollande lui est iindtr.te Un duel eu lieu i y a quelques jours à Dresde entre le général de ozbue envy de la Russie à la cour d Dresde, t n noble Saxon, le comte Luckner. Ce dernier devait épouser u nièce du général, puis l ptomri le mrg d'une anr blessante pour la famille. Le père de la fiancée, rtn par la maladie ands ses appartements, chargea le néa de venger son honneur. Un duel u pistolet ft dcd entre les témoins au nombre desquels ns trouvons le fls du prince de Bismarck du côté du brn de Luckner Après deux cps s sans résultat de part et d'autre, on a déclaré l'hnr satisfait. La fameuse cloche impériale fondue avec des canons français et dstné à la cathédrale d Cologne, vient d'être remise pour l cnqèm fois entre les mains du er Jusqu'à présnt il été miliespbos d'y représenter la couronne impériale u surmonte e symbole de éil'tun allemande ; de plus, les sson ont orsjtuuo |
de Kotzebue, envoyé de la Russie à la cour de Dresde, et un noble Saxon, le comte Luckner. Ce dernier devait épouser une nièce du général, puis il rompit le mariage d'une manière blessante pour la famille. Le père de la fiancée, retenu par la maladie dans ses appartements, chargea le général de venger son honneur. Un duel au pistolet fut décidé entre les témoins au nombre desquels nous trouvons le fils du prince de Bismarck, du côté du baron de Luckner. Après deux coups tirés sans résultat de part et d'autre, on a déclaré l'honneur satisfait. La fameuse cloche impériale fondue avec des canons français et destinée à la cathédrale de Cologne, vient d'être remise pour la cinquième fois entre les mains du fondeur. Jusqu'à présent il a été impossible d'y représenter la couronne impériale qui surmonte le symbole de l'unité allemande ; de plus, les sons ont toujours été très défectueux. Si M. de Bismarck était superstitieux !... Le steamer Sultan, qui vient d'arriver de Calcutta dans la Tamise avec un chargement d'animaux sauvages tels que lions, tigres, léopards, rhinocéros, a été le théâtre, pendant la traversée, d'une scène des plus émouvantes. Un léopard s'était échappé de sa cage et avait visité successivement le pont, l'entrepont, au grand effroi des passagers et de l'équipage. Chose singulière, il n'y avait pas un projectile à bord. Tous durent s'enfermer et attendre qu'un marin eût fabriqué une balle pour tuer le léopard. Un auteur souverainement ennuyeux que nous ne nomrerons pas, entretenait Jules Janin un jour du dessein qu'il avait formé d'écrire un ouvrage auquel personne n'eût jamais travaillé : — Voulez-vous mon avis ? dit le critique des Débats, eh bien faites votre éloge ! DON SPAVENTO. SPORT Courses de Fontainebleau Dimanche 21 juin Les sportsmen parisiens s'étaient donné rendez-vous sur l'hippodrome si pittoresque de la vallée de la Solle, où un grand nombre d'habitants de Melun et de Fontainebleau, ainsi que MM. les officiers de la garnison de Seine-et-Marne, se trouvaient réunis. Tout en regrettant que la fâcheuse coïncidence des courses de Lyon ait restreint les engagements, il faut | de Kotzebue, nvo d l Russie à la cour de Dresde, et un noble axon le comte Luckner. Ce erne devait épouser une nièce du général, puis il rompit le rage eu'dn manière blessante pour la famille Le pèr de la cféane,i retenu par la maladie dans ses appartements, chargea le général de venger son honneur. duel au pistolet fut décidé entre es témoins u nombre desquels nous trouvons le fils du prince de Bismarck, du côté du ao e unr. Après deux coups rstéi sns résultat de part t 'aure, on a déclaré l'honneur stsft. La fameuse cloche impériale fondue des caos français et destinée à l cathédrale d Cologne, netvi ' remise pour l cinquième fois entre les mains ud fondeur. Jusqu'à présent il a été impossible d'y représenter la crnn mélireapi qui surmonte le symbole d 'unité allemande ; de plus, les sons ont toujours très défectueux Si M. de Bismarck était superstitieux Le steamer Sultan, qui vient d'rrvr de lcaautCt dans la Tai avec un chargement 'anm sauvages tels que lions, tigres, léopards rhncérs, a été le théâtre, dn la traversée, nued' scène des plus émuane. Un léopard s'était éhppcaé de cage et avait visité successivement le n l'entrepont, grand oi ds passagers et d l'équipage. Chose singulière, l n'y avait pas un projectile bord. Tous durent erefne'smr et attendre qu'un in ût fabriqué une balle pour tuer olépd.ra Un auteur souverainement ennuyeux q nous ne nomrerons , ettannteire Jules Janin un jour du dessein qu'il i frmé d'écrire un ouvrage auquel personne n'ût jamais travaillé : — Voulezvous mon avis ? dit l critique des Débats eh nbei faites votre élg ! DON SPAVENTO. SPORT Courses de Fntnbl Dimanche 21 juin Les sportsmen parisiens s'étaient donné rendez-vous sur l'hippodrome s pittoresque de la vallée de al Sll, où un grand nmbr d'habitants de Melun te de Fontainebleau, ainsi que MM. ls officiers de la anon d Seine-et-Marne, se trouvaient réunis. Tout en regrettant que fâcheuse coïncidence des courses ed Lyon ait restreint les engagements, i faut |
cage et avait visité successivement le pont, l'entrepont, au grand effroi des passagers et de l'équipage. Chose singulière, il n'y avait pas un projectile à bord. Tous durent s'enfermer et attendre qu'un marin eût fabriqué une balle pour tuer le léopard. Un auteur souverainement ennuyeux que nous ne nomrerons pas, entretenait Jules Janin un jour du dessein qu'il avait formé d'écrire un ouvrage auquel personne n'eût jamais travaillé : — Voulez-vous mon avis ? dit le critique des Débats, eh bien faites votre éloge ! DON SPAVENTO. SPORT Courses de Fontainebleau Dimanche 21 juin Les sportsmen parisiens s'étaient donné rendez-vous sur l'hippodrome si pittoresque de la vallée de la Solle, où un grand nombre d'habitants de Melun et de Fontainebleau, ainsi que MM. les officiers de la garnison de Seine-et-Marne, se trouvaient réunis. Tout en regrettant que la fâcheuse coïncidence des courses de Lyon ait restreint les engagements, il faut convenir que presque tous les chevaux inscrits au programme se sont présentés, et que les épreuves, à l'exception du handicap de la Ville, ont été vaillamment disputées. Le comte Hocquart de Turtot jugeait l'arrivée, le baron d'Etreillis donnait les départs. Un pari particulier de 9,000 fr. a servi de lever de rideau. Fanchette, à M. Delâtre (Carratt), a battu Patricienne, à M. Moreau-Chaslon, par une longueur. Le Prix principal (3,000 fr., distance 3,000 mètres), a causé la surprise la plus inattendue. Wild-Boy, à M. Willers, est parvenu à battre difficilement, d'une tête, Tartane, au comte de Juigné, après une lutte finale des plus vives. Militante, à M. Ed. Fould, venait ensuite à trois longueurs. La défaite de Carratt avec Tartane a été mal reçue du public, qui s'était persuadé de sa victoire. Wild-Boy, vigoureusement abattu par Hudson, a fait preuve d'un grand cœur en répondant à toutes les exigences de son jockey. L'Express (1,500 fr., distance: 1,100 mètres), a été remporté par le favori Premier-Avril, à M. de Dorlodot (Ch. Pratt). Impromptu, au comte de Berteux, était deuxième à une encolure, et Rétribution, à M. Lupin, troisième à deux longueurs Bohémien avait été réclamé avant la course par M. de | cage et avait visité sccssvmnt le pont, l'entrepont, au grand effroi des passagers de l'équipage. Chose n il n'y avait ps un projectile à bord. Tous durent s'nfrmr et attendre qu'un marin eût aré une balle pou tuer le léopard. Un auteur souverainement nnyx que ns ne pas, entretenait Jules Janin un jour du dessein qu'il av formé d'écrire un ouvrage ql personne neût jamais trvllé — Voulez-vous mon avis ? tid le critique des Débats, he bien faites votre éloge ! DON SPAVENTO. SPORT Courses de Fontainebleau Dimanche 21 juin Les sportsmen parsen s'étaient donné z-vu sur l'hippodrome si pittoresque d la vallée de la Solle, où un grand nombre d'habitants de l et de Fntnbl, ainsi que MM. officiers de la garnison de Seine-et-Marne, s trouvaient réunis. Tt en regrettant que la fâcheuse coïncidence des courses de Lyon ait restreint les engagements, il faut convenir que presque tous l chevaux irts au programme se snot présntés, et que les épreuves, à 'exception d handicap de la Vll, ont été vllmmnt dsptés. Le comte Hocuart de uo jugeait l'arrivée, le aon d'Etreillis dnnt les départs. Un pari particulier de ,000 fr. a servi de lever de rideau Fanchette, à Dlâtr (Carratt), a battu Patricienne, à . auCslon, par une longueur. Le Prix prncpl ,0 fr., distance 3,000 mètres), a causé la surprise la plus inattendue. Wild-Boy, à M. Wllrs, est parvenu battre difficilement, dune tête, Tartane, au t de J, après une lutte finale des plus v.evsi Militante, à M. Ed. Fld, venait ensuite à trois longueurs. La défaite de Carratt avec Tartane a été mal reçue du public, qui s'étt persuadé de sa victoire. Wild-Boy, vigoureusement abattu par Hudson, a fait preuve 'un grand cœur en répondant tts les exigences de ons joke. 'Express (1,500 fr., distance: ,100 mètres), été rmprté par le fvr Prmr-vrl, à M. de Dorlodot (Ch. Pratt). Impromptu, au comte de Brtx, était deuxième à une encolure, et Rétribution, à M. ,iLpun trsèm à deux lons Bhémn avait été réclamé avant l course par M. de |
de rideau. Fanchette, à M. Delâtre (Carratt), a battu Patricienne, à M. Moreau-Chaslon, par une longueur. Le Prix principal (3,000 fr., distance 3,000 mètres), a causé la surprise la plus inattendue. Wild-Boy, à M. Willers, est parvenu à battre difficilement, d'une tête, Tartane, au comte de Juigné, après une lutte finale des plus vives. Militante, à M. Ed. Fould, venait ensuite à trois longueurs. La défaite de Carratt avec Tartane a été mal reçue du public, qui s'était persuadé de sa victoire. Wild-Boy, vigoureusement abattu par Hudson, a fait preuve d'un grand cœur en répondant à toutes les exigences de son jockey. L'Express (1,500 fr., distance: 1,100 mètres), a été remporté par le favori Premier-Avril, à M. de Dorlodot (Ch. Pratt). Impromptu, au comte de Berteux, était deuxième à une encolure, et Rétribution, à M. Lupin, troisième à deux longueurs Bohémien avait été réclamé avant la course par M. de Dorlodot ; Premier-Avril l'a été après sa victoire par le propriétaire pour 60 fr. Le prix de la ville de Fontainebleau (handicap, 3,000 fr., distance : 1,800 mètres), a réuni un champ de huit concurrents La Paix, au comte Le Gonidec (Rulf), a gagné avec la plus grande aisance par trois longueurs. Course-de-Nuit, à M. Halphen, était deuxième suivie par Eros, au baron de Rothschild, qui à deux longueurs séparait du précédent. Printemps, à M. Lupin, a été placé quatrième par le juge. Le jeune Rulf, qui montait le vainqueur, deviendra avant peu un excellent light-weight. Le prix de Seine-et-Marne (10,000 francs, distance, 2,800 mètres), a été sans contredit la plus belle course de la réunion. En entrant dans la ligne droite, Christiania, au comte de Juigné (Carratt), et Franc-Tireur, au major Fridolin, se sont détachés du peloton et ont entamé un duel acharné dont l'avantage est resté à la pouliche par une demi-encolure. Piston, à M. de la Charme, était mauvais troisième. C'est la plus belle performance que Christiania ait jamais accomplie, si on considère qu'elle courait à poids égal, ne bénéficiant que des trois livres dues à son sexe. Le prix des Haras (handicap, 3,000 fr. distance, 3,500 | de rideau. Fanchette, à M. Delâtre (Carratt), a attu Patricienne, à M. Moreau-Chaslon, par une longueur e Prix principal (3,000 fr distance 3000 mètres), a causé la surprise la plus inattendue. il-y, à M. Willers, est parvenu à battre difficilement, d'une têt, Tartane, au comte d Juigné, après une lutte finale des pls vives atnMi,lite à M. Ed. Fould, venait ensuite trois longueurs La défaite de Carratt avec Tartane a été mal reçue du puli ui sétait persuadé d sa or Wild-Boy, vigoureusement abattu pa Hudson, a fait preuve d'n grnd cœur en répondant à toutes ls exigences de son jockey. L'Express (1,500 fr., distance: 1,100 mètres), a été remporté r le favori Premier-Avril, à M. de orldt (Ch. Pratt). Impromptu au comte de xBee,utr était deuxième à une encolure, t Rétribution, à M. Lpn, troisième à dux longueurs Bhémn avait réclmé avant la course pr M. de Drldt ; Premier-Avril l'a été arès as vctr par le propriétaire pour 60 fr. Le prix d la vll d nabFutaeoelin (hndcp, 3,000 fr., distance : 1,800 mètres), a én champ de huit concurrents L Paix, au comte L Gndc (Rulf), a gagné vc la plus grnd aisance par trois longueurs. Course-de-Nuit, à M. Halphen était deuxième suivi par Eros, au baron de ihho,csRtld uqi à deux uolgernus séparait du nréédeptc. Printemps M. Lupin a été placé quatrième pa le juge. Le jeune Rulf, qui montait le vainqueur, deviendra avant p un excellent lght-weight. L xpri de Seine-et-Marne (10,000 francs, distance, 0 mètres), a téé sans contredit a plus bll crs de la réunion. En entrant dans la ligne droite, Christiania, au comte de Juigné Carratt Franc-Tireur, au major Fridolin, se sont détchés du peloton et ont entamé un duel acharné dont l'anae est resté à la pouliche par une demi-encolure. Piston, à M ed la Charme était mauvais troisième. Cst la plus belle performance que Christiania t ams ccmpl, si on conèr u'e courait à poids égal ne bénéficiant e des trois livres dues nso sexe. Le prix dse Haras (ndip, ,000 fr. distance 3,500 |
trois longueurs. Course-de-Nuit, à M. Halphen, était deuxième suivie par Eros, au baron de Rothschild, qui à deux longueurs séparait du précédent. Printemps, à M. Lupin, a été placé quatrième par le juge. Le jeune Rulf, qui montait le vainqueur, deviendra avant peu un excellent light-weight. Le prix de Seine-et-Marne (10,000 francs, distance, 2,800 mètres), a été sans contredit la plus belle course de la réunion. En entrant dans la ligne droite, Christiania, au comte de Juigné (Carratt), et Franc-Tireur, au major Fridolin, se sont détachés du peloton et ont entamé un duel acharné dont l'avantage est resté à la pouliche par une demi-encolure. Piston, à M. de la Charme, était mauvais troisième. C'est la plus belle performance que Christiania ait jamais accomplie, si on considère qu'elle courait à poids égal, ne bénéficiant que des trois livres dues à son sexe. Le prix des Haras (handicap, 3,000 fr. distance, 3,500 mètres) a bien clôturé la journée en présentant un vif intérêt. Parlement, à M. de la Charme (Carrau), malgré le top weight a fini par avoir raison de Capitole, au baron de Rothschild, qui a été défait avec peine par une tête seulement. Fanchette, à M. Delâtre, était troisième à trois longueurs. Le grand favori Bertrand a été honteusement battu. Tous les chevaux sont arrivés dans un état complet d'épuisement dû à la longue distance de la course fournie sur un terrain sablonneux dépourvu d'élasticité. Dimanche, 28 juin, courses à Auteuil. H. DE KERGUEN. LES THÉÂTRES Ce soir, lundi, à l'Opéra-Comique, dernière audition de la messe de Requiem, de Verdi. *** Quelques renseignements sur les projets de M. Halanzier. La nouvelle salle serait inaugurée avec Hamlet, et des pourparlers sont engagés avec Mme Nilsson pour chanter le rôle d'Ophélie, qu'elle a créé. M. Nilsson n'a pas encore fixé le prix; mais elle a mis pour condition à son retour à Paris, qu'elle ne donnerait que six représentations, et que tout l'argent qu'elle gagnerait serait distribué aux musiciens nécessiteux. La Juive est le second ouvrage qui sera donné au nouvel Opéra; on a voulu, avec raison, inaugurer la salle du boulevard | trois longueurs. Course-de-Nuit, à Halphen, était deuxième suivie par Eros, au baron de Rothschild, qui à deux longueurs séparait du prcédet Printemps, à M pin, a été placé quatrième par le juge. Le jue Rulf, qui montait le vainqueur, deviendra avant peu un excellent lightweight Le prix e Seine-et-Marne 0001,(0 francs, distance, 2,800 mètres), a été sns contredit la plus belle course de la réunion. En nn dans la ngeil droite, Christiania, comte de Juigné (Carratt), et Franc-Tireur, au major Fridolin, se sont détachés du peloton t ont entamé un duel acharné dont l'avantage est resté à la pouliche par une demi-encolure. Piston, à M. d la Charme, était mvs troisième. 'est la plus belle performance que Christiania ait jms accomplie, si on considère qu'elle courait à poids égal, ne bénéficiant que des tro livre dues à sn ee. Le prix des Hrs (handicap, 3,000 r istc, 3,500 mètres) clôturé la journée en présentant un vif intérêt. Parlement, à M. de la Charme (Carrau), ar le top weight a fini par avoir raison ed Capitole, au baron de Rothschild, qui a été déft avec peine par une tête en. Fanchette à M Delâtre, était troisième à trois longueurs. eL grand favori Bertrand a été honteusement battu. Tous les chevaux sont arrivés dans n état complet d'épuisement dû la longue distance de la course fournie sur un terrain sblnnx dépourvu d'élasticité. Dimanche, 28 juin, courses à Auteuil. H. DE KERGUEN. LES THÉÂTRES Ce soir, in,ldu à l'Opéra-Comique, deère audition de la messe de Requiem, Verdi. *** Quelques renseignements sur les projets de M. Halanzier. La nouvelle salle seait inaugurée avec Hmlt, t des pourparlers sont engagés avec mMe Nilsson pour chanter le rôle d'Ophélie, qu'elle a créé. .M Nilsson n'a ps encore fixé le prix; mais elle a pour condition à son retour à Paris, qu'elle ne dnnrt que six représentations, et que tout l'rgnt qu'elle gagnerait serait distribué x musiciens nécessiteux La Juive le second ouvrage qui sera nénod au nouvel Opéra on voulu, vc raison inaugurer la salle du boulevard |
trois longueurs. Le grand favori Bertrand a été honteusement battu. Tous les chevaux sont arrivés dans un état complet d'épuisement dû à la longue distance de la course fournie sur un terrain sablonneux dépourvu d'élasticité. Dimanche, 28 juin, courses à Auteuil. H. DE KERGUEN. LES THÉÂTRES Ce soir, lundi, à l'Opéra-Comique, dernière audition de la messe de Requiem, de Verdi. *** Quelques renseignements sur les projets de M. Halanzier. La nouvelle salle serait inaugurée avec Hamlet, et des pourparlers sont engagés avec Mme Nilsson pour chanter le rôle d'Ophélie, qu'elle a créé. M. Nilsson n'a pas encore fixé le prix; mais elle a mis pour condition à son retour à Paris, qu'elle ne donnerait que six représentations, et que tout l'argent qu'elle gagnerait serait distribué aux musiciens nécessiteux. La Juive est le second ouvrage qui sera donné au nouvel Opéra; on a voulu, avec raison, inaugurer la salle du boulevard par deux opéras de compositeurs français. Nous espérons cependant que l'on reprendra, prochainement, la restauration des autres ouvrages du répertoire de l'Opéra, et que le directeur de l'Académie de musique montrera un peu plus d'activité que par le passé. N'est-il pas, en effet, navrant de voir l'inertie de notre première scène lyrique comparée au mouvement des théâtres allemands. Voici, à ce sujet, un curieux tableau des représentations données sur les différentes scènes d'outre-Rhin pendant le mois dernier. THÉÂTRE DE LA COUR de Vienne : Le Prophète, Guillaume-Tell, Aïda, Lohengrin, Faust, Rienzi, les Joyeuses commères, l'Étoile du Nord, Fantasca, Flick et Floch, les Nuits de Carnaval à Paris : en tout, huit opéras et trois ballets. OPÉRA ROYAL de Berlin : Die Meister, Aïda, Une Nuit à Grenade, Lohengrin, Songe d'une Nuit d'été, Freischütz, Flûte enchantée, Trouvère, le Czar et le Charpentier, les Huguenots, la Dame blanche, l'Africaine, Fidelio, Guillaume Tell, les Noces de Figaro, l'Enlèvement au sérail, Stradella, Gretna-Green, Sardanapale, Militaria, Flick et Floch; en tout dix-sept opéras et quatre ballets. THÉÂTRE DE LA COUR de Munich : Don Pasquale, le Barbier de Séville, Trouvère, Rigoletto Tristan et Isolde, Die Walküre, les Maîtres Chanteurs, Tannhäuser, le Vaisseau fantôme, Guillaume Tell, | trois longueurs. Le grand fvr Bertrand a été netshotenmeu battu. Ts les chevaux sont arrivés dans un état complet d'épuisement dû à la longue distance de la course fournie sur un terrain sablonneux déprv d'élasticité. Dimanche, 28 juin courses à tl. H. DE KERGUEN. LES THÉÂTRES Ce soir, lundi, à l'pér-Cmq, dernière audition de la mss de Requiem, de Verdi. *** Qlqs renseignements sur les projets de M. Halanzier. nouvelle salle inaugurée avec Hmlt, et des prprlrs sont gaénegs avec Mme Nilsson pour chanter le rôle dOphélie qu'elle a créé. M. Nilsson n'a pas eno fixé le prix; mais elle mis pour condition à son retour à Paris, qu'le ne donnerait que six représentations, et uqe tt l'argent u gagnerait serait distribué aux mucins nécsstx. Juive st l second ouvrage qui esra donné au nouvel Opéra; on voulu, avec raison, inaugurer la salle du boulevard par deux pérs de compositeurs français. Nous espérons cpndnt que lon reprendra, prochainement, la restauration des autres vrgs du répertoire de l'Opéra, et que le directeur de l'Académie d musique montrera un peu plus dactivité que par le passé. N'st-l as en effet, navrant de voir l'inertie de notre pemièr scène lyrique comparée ua mouvement des théâtres leman Voici, à ce sujet, un eicuxur ealabut des représentations données sur les différentes scènes d'outre-Rhin pendant le mois dernier. THÉÂTRE DE LA COUR de Vienne : Le Prophète, Guillaume-Tell, Aïda, Lohengrin, Faust, Rienzi, les Joyeuses commères, 'Étoile du Nord, antaca, Flick t Flch, les Nuits de Carnaval à Paris en tout, huit opéras et trois ballets. PÉR ROYAL de Berlin : Die Meister, Aïda, Une Nuit à Grenade, Lohengrin, Songe d'une utiN é'éd,t Freischütz, Flûte enchantée, Trouvère, le aCrz et l Charpentier, les Huguenots, la Dame blanche, l'Africaine, Fidelio, Giaume Tell, les Noces d Figaro, l'Enlèvement au ,silaér Srdla GretnaGreen Sardanapale Militaria, Flick et ocFhl; en tout dix-sept opéras et quatre ballets. THÉÂTRE DE LA COUR e Mnch : Don Pasquale, le Barbier de Séville, Trouvère, Rigoletto Tristan et Isolde, Die Wlü, les Maîtres Chanteurs, Tannhäuser, le Vss fntôm, Guillaume Tell, |
scène lyrique comparée au mouvement des théâtres allemands. Voici, à ce sujet, un curieux tableau des représentations données sur les différentes scènes d'outre-Rhin pendant le mois dernier. THÉÂTRE DE LA COUR de Vienne : Le Prophète, Guillaume-Tell, Aïda, Lohengrin, Faust, Rienzi, les Joyeuses commères, l'Étoile du Nord, Fantasca, Flick et Floch, les Nuits de Carnaval à Paris : en tout, huit opéras et trois ballets. OPÉRA ROYAL de Berlin : Die Meister, Aïda, Une Nuit à Grenade, Lohengrin, Songe d'une Nuit d'été, Freischütz, Flûte enchantée, Trouvère, le Czar et le Charpentier, les Huguenots, la Dame blanche, l'Africaine, Fidelio, Guillaume Tell, les Noces de Figaro, l'Enlèvement au sérail, Stradella, Gretna-Green, Sardanapale, Militaria, Flick et Floch; en tout dix-sept opéras et quatre ballets. THÉÂTRE DE LA COUR de Munich : Don Pasquale, le Barbier de Séville, Trouvère, Rigoletto Tristan et Isolde, Die Walküre, les Maîtres Chanteurs, Tannhäuser, le Vaisseau fantôme, Guillaume Tell, le Templier et la Juive; en tout onze opéras. THÉÂTRE DE LA COUR de Baden-Baden : la Favorite, les Héraclides d'armes, l'Africaine, l'Enlèvement au sérail, Fra Diavolo, Madeleine, le Vaisseau fantôme, Norma, la Juive, Oberon; en tout dix opéras. THÉÂTRE DE LA COUR de Weimar : Martha, Dame blanche, la Juive, Joseph, Lohengrin, Faust, Tannhäuser; en tout sept opéras. THÉÂTRE DE LA COUR de Cassel : Une Nuit à Grenade, Robert le Diable, Norma, Lohengrin, Don Juan, Barbier, les Porteurs d'eau, Rienzi, Faust, Martha, le Templier et la Juive; en tout onze opéras. THÉÂTRE DE MANNHEIM : La Muette, Tannhäuser, Don Juan, le Vaisseau Fantôme, Trouvère, Une Nuit à Grenade, Faust, les Noces de Figaro, la Favorite; en tout, neuf opéras. Eh bien! véritablement, sans parti-pris, en voyant ce qui se passe dans les théâtres lyriques de l'étranger, doit-on se montrer satisfait de la façon dont est dirigée notre première scène musicale? Quand dans des villes comme Munich, où la subvention atteint à peine la moitié de celle de l'Opéra parisien, on donne onze représentations seulement dans un mois, mais chacune composée d'un ouvrage différent, faut-il se contenter d'entendre pendant toute l'année les quatre ou cinq œuvres qui constituent le | scène lyrique om au mouvement des théâtres allemands. Voici, à ce sujet, u curieux tableau des rprésnttns données sur les différentes scènes d'outre-Rhin pendant le mois dernier. THÉÂTRE DE L COUR de Vienne : Le Prophète, Guillaume-Tell, Aïda, Lohengrin, Faust, les Joyeuses commères eilÉ'otl du Nord, Fantasca, Flick et Floch, les Nuits de Carnaval à Paris : n tout, huit opéras et trois ballets. OPÉRA ROYAL de Berlin : D Meister, Aïda, Une Nuit à Grenade, Lohengrin, Songe d'une Nuit d'été, Freischütz, Flûte enat, Trouvère, l Czar et le Charpentier, les Huguenots, la Dame blanche, l'Africaine, Fedl,oii Guillaume Tell, les Noces de Figaro, l'Enlèvement au sérail, Stradella, Gretna-Green, Sardanapale, Militaria, Flick et Floch; en tout dix-sept opéras et quatre ballets. THÉÂTR DE COUR de Munich Dn Pasquale, le Barbier de Séville, Trouvère, igett Tristan et Isolde, Die ükWle,ar les Maîtres Chanteurs, Tannhäuser, le Vaisseau fantôme, Guilau Tell le Templier et la Juive; en tout onze opéras. THÉÂTRE DE LA COUR de Baden-Baden : la Favorite, les Héraclides d'armes, 'icaine l'Enlèvement au sérail, Fra Diavolo, adee el Vaisseau fantôme, Norma, la Juive, Oberon; en tout dix opéras. THÉÂTRE DE LA COUR de Wmr : Martha, Dame blanche, la Juive, Joseph, Lohengrin, Faust, Tannhäuser en tout spt péas. THÉÂTRE DE L CR de Cssl : Une Nuit à Grenade, Robert le Diable, Norma, Lohengrin, Don Juan, Brbr, les Pres d'eau, Rienzi, Faust, Martha, le Templier t la Juive; en tout onze opéras THÉÂTR D MNNHM : La Mtt, Tannhäuser, Don uan, le Vaisseau nôme Trouvère, Une tNui à Grenade, Faust, les Ncs de Figaro, la Fvrt; en tout, neuf opéras. Eh bien! véritablement, sans prt-prs, en voyant c qui se passe dans les théâtres lyriques de l'étrngr, doiton se montrer satisfait de l fn dn est dirigée notre première scène musicale? Quand dans des lslvie cmm Munich, ù l subvention int à peine la moitié de celle de l'Opéra parisien, on donne nz représentations slmnt dns un ms, msia chacune composée d'un ouvrage dfférnt, faut-il s contenter d'entendre pendant toute l'année les quatre ou cinq œuvres qui constituent le |
Juive, Joseph, Lohengrin, Faust, Tannhäuser; en tout sept opéras. THÉÂTRE DE LA COUR de Cassel : Une Nuit à Grenade, Robert le Diable, Norma, Lohengrin, Don Juan, Barbier, les Porteurs d'eau, Rienzi, Faust, Martha, le Templier et la Juive; en tout onze opéras. THÉÂTRE DE MANNHEIM : La Muette, Tannhäuser, Don Juan, le Vaisseau Fantôme, Trouvère, Une Nuit à Grenade, Faust, les Noces de Figaro, la Favorite; en tout, neuf opéras. Eh bien! véritablement, sans parti-pris, en voyant ce qui se passe dans les théâtres lyriques de l'étranger, doit-on se montrer satisfait de la façon dont est dirigée notre première scène musicale? Quand dans des villes comme Munich, où la subvention atteint à peine la moitié de celle de l'Opéra parisien, on donne onze représentations seulement dans un mois, mais chacune composée d'un ouvrage différent, faut-il se contenter d'entendre pendant toute l'année les quatre ou cinq œuvres qui constituent le répertoire de notre Académie de musique. Une nouvelle encore inédite, et dont nous offrons la primeur aux lecteurs de la Liberté: La Patti ne viendra pas à Paris l'hiver prochain. M. Strakosch hésite beaucoup à rouvrir le Théâtre-Italien. Si le refus de la diva et la retraite de M. Strakosch pouvaient amener l'exploitation du Théâtre-Lyrique à la salle Ventadour, nous nous consolerions facilement de ne pas entendre la Patti cet hiver aux Italiens. Cette question du Théâtre-Lyrique est en effet très capitale, et nous ne partageons pas la confiance de notre confrère Moreno du Ménestrel, qui, à propos de la combinaison Harmant, plaisante les lamentations au moins prématurées de nos compositeurs. Comment prématurées! quand depuis quatre ans, les compositeurs attendent la réouverture de ce théâtre, et qu'au moment où la restauration en sera terminée, on parle d'y installer le drame. Il y a évidemment bien des projets dans l'air, on parle de M. Letellier à l'Ambigu, des nouveaux directeurs du Châtelet; mais tant que rien ne sera réalisé, tant que n'aurons pas retrouvé notre ancien Théâtre-Lyrique, nous ne cesserons de nous lamenter et de protester contre les combinaisons, qui peuvent en retarder l'accomplissement de nos espérances. On nous prie d'annoncer | Juive Joseph, Lohengrin, Faust, Tannhäuser; en tout sept opéras. THÉÂTRE LA COUR de Cas : Une Nuit à ae, Robert le Diable, r Lohengrin, Don , Barbier, les Potr d'eau, Rienzi Faust, Martha, le Templier et l Jv; en tout onze pérs. THÉÂTR DE MANNHEIM : La tMeeu,t Tannhäuser, Don Juan, le Vaisseau Fantôme, Trouvère, Une Nit à Grenade, Faust, les Noces de Figaro, la tirvoF;ae en tout, neuf ap.éosr Eh bien! tmvlenét,erabi sans prt-prs, en voyant ce u s pss dans s théâtres lyriques de lraner, doit-on se montrer satisfait de la faço dont est dirigée notre première scène musicale? Quand dans des es cmm Munich, où la subvention atteint à peine la moitié de celle de l'Opéra prsn, on donne onze représentations seulement dans un oi mais chacune composée d'un ouvrage différent, faut-il se contenter d'entendre pendant toute l'année les quatre cinq œuvres qui constituent el répertoire d notre Académie de musique. n nouvelle cr inédite t dont nous offrons la ru aux lecteurs de la Liberté: La tti ne vndr pas à Paris l'hiver prochain. M. Strakosch hésite beaucoup à oirurrv le Théâtre-Italien. Si le refus la dv et la retraite de M. Strakosch pouvaient amener lexploitation du Théâtre-Lyrique à la sal Ventadour, ns nous consolerions facilement d ne pas entendre la Ptt cet hiver aux Italiens. Cette question du Théâtre-Lyrique st en effet très capitale et os ne partageons pas la confiance e notre confrère Moreno d Ménestrel, q, à propos de la combinaison Hrmnt, plaisante les lamentations au nisom prématurées de nos cmpstrs. Comment prématurées! quand depuis quatre ans, les compositeurs tnet la réouverture de ce théâtre, t qu'au moment esarin en sera terminée, on par d'y installer le drame. lI y a évidemment bien d prjts dans l'air, on parle d M. Letellier à 'Ambigu, des nouveaux rcu du Châtelet; mais tant que rien ne sera réalisé, tant que n'aurons pas retrouvé notre ncn Théâtre-Lyrique, nous ne cesserons de nous lamenter et de ptte contre les combinaisons, qui peuvent en retarder l'accomplissement de nos espérances. On nous prie d'annoncer |
pouvaient amener l'exploitation du Théâtre-Lyrique à la salle Ventadour, nous nous consolerions facilement de ne pas entendre la Patti cet hiver aux Italiens. Cette question du Théâtre-Lyrique est en effet très capitale, et nous ne partageons pas la confiance de notre confrère Moreno du Ménestrel, qui, à propos de la combinaison Harmant, plaisante les lamentations au moins prématurées de nos compositeurs. Comment prématurées! quand depuis quatre ans, les compositeurs attendent la réouverture de ce théâtre, et qu'au moment où la restauration en sera terminée, on parle d'y installer le drame. Il y a évidemment bien des projets dans l'air, on parle de M. Letellier à l'Ambigu, des nouveaux directeurs du Châtelet; mais tant que rien ne sera réalisé, tant que n'aurons pas retrouvé notre ancien Théâtre-Lyrique, nous ne cesserons de nous lamenter et de protester contre les combinaisons, qui peuvent en retarder l'accomplissement de nos espérances. On nous prie d'annoncer qu'à partir d'aujourd'hui, de deux à quatre heures, des auditions auront lieu au théâtre du Châtelet, transformé en Opéra populaire. Les artistes et choristes qui désirent se faire engager peuvent donc se présenter à ce théâtre, en ayant soin d'apporter le morceau qu'ils veulent faire entendre. *** Orphée aux enfers est toujours le plus grand succès théâtral du moment, et, chaque soir, les étrangers affluent tellement à la Gaîté, que l'administration s'est vue forcée d'attacher plusieurs interprètes aux bureaux de location. Une telle vogue est due à l'éblouissante mise en scène, à la verve des artistes, à la grâce des danseuses; enfin, à l'exécution irréprochable des chœurs et de l'orchestre, dont l'ensemble artistique ajoute à cet opéra-féerie si populaire, un élément de succès sans précédent jusqu'ici. JEENNIUS. Cabinet médical du docteur REGNAULT, 71, rue Neuve-des-Petits-Champs, Paris, de 8 heures à 10 heures. Traitement par la thérapeutique dosimétrique du professeur Burggraeve. Sans médecine, sans sacrifice et sans frais, par la douce REVALESGÈRE DU BARRY, DE LONDRES, qui, depuis 27 ans, combat avec un succès invariable tous les désordres de l'estomac, des intestins, nerfs, foie, poitrine, vessie, cerveau et sang. Du Barry et ce, 26, place Vendôme, Paris, et partout chez les | pvnt amener l'exploitation du Théâtre-Lyrique à la salle Ventadour nous nous consolerions amelneftic de ne pas entendre la Patti cet hiver aux Italiens. Cette quion du Théâtre-Lyrique est n effet très capitale et nous ne prtgns pas la confiance de ntr confrère Moreno du nrl, u à propos de la combinaison Hn, plaisante les lamentations au moins prématurées de nos compositeurs. Comment rus!éétmepar quand depuis quatre ans, les compositeurs attendent l réouverture de e théâtre, t quau moment où la restauration en srae terminée, on pale d'y installer le drame. Il a évidemment bien sde prjts dans l'r, on parle de M. Letellier à l'Ambigu, ds nouveaux drctrs du Châtelet; mais tant que rien en sera réalisé, tant que n'aurons pas rtrvé notre ancien hârr nous ne cesserons de nous lamenter et de protester contre les combinaisons, qui peuvent en retarder laccomplissement de nos esnce On nous prie d'annoncer quà partir 'aujourd'hui, e dx à quatre heures, des auditions uonatr lieu au théâtre du Châtelet, rré en Opéra ppl. Les rtsts t choristes qui désirent se faire engager peuvent dnc se présntr c théâtre, en ayant oin d'pprtr le morceau qu'ils veulent faire entendre Orphée ux nfrs e toujours le plus grnd succès théâtral du met, et, chaque soir, les étrngrs fflnt tellement à la Gaîté, que 'administration 'est v forcée d'attacher plusieurs interprètes aux brx de location. Une tll vogue est due à l'binte sime n scène, à l verve des artistes, à la grâce des danseuses; fi à lxétio irréprochable ds chœurs et de l'orchestre, dont lensemble artistique ajoute à cet opéra-féerie si populaire, un élément de sccès ssna précédent jusqu'ici. JEENNIUS. Cabinet médical du docteur REGNAULT, 71, u Neuve-des-Petits-Champs, Paris, de 8 heures à 10 heures. ee pr la thérapeutique dosimétrique d professeur eagveuB.rgr Sans médecine, sans sacrifice et snsa frais, par a douce REVALESGÈRE DU BARRY, DE LONDRES, q, depuis 27 ans, oma vc un succès invariable tous ls désordres de l'estomac, ds intestins, nerfs, foie, poitrine, vss, cerveau et sang. Du Barry et ce, 26, place Vendôme, Pari et partout chez les |
est toujours le plus grand succès théâtral du moment, et, chaque soir, les étrangers affluent tellement à la Gaîté, que l'administration s'est vue forcée d'attacher plusieurs interprètes aux bureaux de location. Une telle vogue est due à l'éblouissante mise en scène, à la verve des artistes, à la grâce des danseuses; enfin, à l'exécution irréprochable des chœurs et de l'orchestre, dont l'ensemble artistique ajoute à cet opéra-féerie si populaire, un élément de succès sans précédent jusqu'ici. JEENNIUS. Cabinet médical du docteur REGNAULT, 71, rue Neuve-des-Petits-Champs, Paris, de 8 heures à 10 heures. Traitement par la thérapeutique dosimétrique du professeur Burggraeve. Sans médecine, sans sacrifice et sans frais, par la douce REVALESGÈRE DU BARRY, DE LONDRES, qui, depuis 27 ans, combat avec un succès invariable tous les désordres de l'estomac, des intestins, nerfs, foie, poitrine, vessie, cerveau et sang. Du Barry et ce, 26, place Vendôme, Paris, et partout chez les pharmacières et épicières. Plus de duvet importun : La Pâte épilatoire de Mme Dusser en débarrasse les dames sans aucun danger pour la peau. — 1, rue J.-J.-Rousseau. DÉCLARATIONS DE FAILLITES Du 18 juin 1874 JACOB (Alfred), chapelier et marchand de primeurs, demeurant à Paris, rue Poissonnière, 18, et ayant succursale à Anvers (Belgique), rue des Douze-Mois, 9. DEBETTE, entrepren. de serrurerie, demeurant à Paris, ci-devant impasse Saint-Sébastien, n° 8, actuellement sans domicile connu. GAUTHIER (Jean-Baptiste), en son vivant, négociant en cornes et écauelles à Paris, rue des Filles-du-Temple, 11. Du 19 juin 1874 BOULAY (Joseph), marchand de blouses, confections et tissus, demeurant à Saint-Ouen (Seine), avenue des Batignolles, 96. LA VANANT (Louis-Toussaint), marchand de cheveux, demeurant à Paris, rue de la Vrillière, 2. LENCOU (Pierre-Jacques), épicier, demeurant à Paris, rue Amelot, 151. POIRIER (Victor-Auguste), entrepreneur de transports, demeurant à Paris, rue de Bercy, 207. RAYER jeune (Victor-François), marchand de confections pour hommes, demeurant à Paris, rue de Flandre, 19A. ROGE (Joseph), marchand d'articles de chasse et voyage, demeurant à Paris, rue du Faubourg-du-Temple, 50. ROBERT (Adolphe), marchand de vin logisseur, demeurant à Aubervilliers, rue du Landy, 11 bis. SEPTFONTAINE, marchand de vin, demeurant à Choisy (Seine). NOUALHER (Achille), agent | est toujours le plus grand succès théâtrl du moment, et, chaque soir, ls étrangers fflnt tellement à la Gaîté, que l'administration s'est vue forcée dattacher pluiurs nterte aux uux de location. Une telle vogue due à léblouissante ie n scène à la vev des artistes, à la grâc des danseuses; nfn, à l'exécution irréprochable des chœurs et de l'orchestre, dn l'ensemble artistique ajoute à cet opéra-féerie si populaire, un élément de succès sans précédent jusqu'ici. SJUNEN.EI Cabine cialmdé du docteur REGNAULT 71, rue Neuve-des-Petits-Champs, Paris, de 8 heures à 10 hrs. naetermTit par la thérapeutique dosimétrique d professeur Brggrv. Sans médecine, sns sacrifice et sans frais, par la douce REVALESGÈRE DU BARRY, DE LONDRES, q depuis 27 ans, combat avec un succès invariable tous les ordres de l'estomac, des intestins, nerfs, ie poitrine vsie, cerveau et sang. Du Barry et ce, 26, peacl Vendôme Paris, et rou chez les acièrs et épcèrs. Plus de duvet importun : La Pâte épilatoire e emM Dusser n débrrss les dms sans aucun danger pour la peau. — 1, rue J.-J.-Rousseau. DÉCLARATIONS DE FAILLITES Du 18 juin 84 JACOB (Alfred), chapelier et marchand d primeurs, emuran Paris, rue Poissonnière 18, t ynt crae Anvers (Belgique), rue des Douze-Mois, 9. DBTT, entrprn de srrrr, demeurant Paris, ci-devant mpss Saint-Sébastien, °n , lmnaeeeuctlt sns domicile connu. GAUTHIER JenBai), en son vivant, négcnt n cornes et éclls Prs, e ds Fed-empe 11. Du 19 juin 1874 BOULAY (ep, marchand de blouses cnfion et tissus, demeurant à i-nnOeaStu (Seine), avenue des Batignolles, 96. LA VANANT (ou-oa), marchand de cheveux demeurant à Paris, rue de la Vrillière, 2. LNC (Prr-Jcqs), ierpic,é dmt à arisP, rue Amelot, 151. POIRIER t-,oAir)ugstV(uec entrepreneur de ,osnrstaptr demeurant à Paris, r de Bercy, 207. RAYER jeune (ctFançi, marchand de confections u hommes, demeurant à Paris, rue de Flandre, 19. ROGE (Jsph), marchand 'eidtrslca de chasse et vyg, demeurant à Paris, rue du Faubourg-du-Temple, 50. ROBERT (dlph), marchand de n logisseur, demeurant à Aubervilliers, r du Landy, 11 bis. EPFNTN, mad de vin emeuant à Choisy (Seine). NOUALHER (Achille), agent |
succursale à Anvers (Belgique), rue des Douze-Mois, 9. DEBETTE, entrepren. de serrurerie, demeurant à Paris, ci-devant impasse Saint-Sébastien, n° 8, actuellement sans domicile connu. GAUTHIER (Jean-Baptiste), en son vivant, négociant en cornes et écauelles à Paris, rue des Filles-du-Temple, 11. Du 19 juin 1874 BOULAY (Joseph), marchand de blouses, confections et tissus, demeurant à Saint-Ouen (Seine), avenue des Batignolles, 96. LA VANANT (Louis-Toussaint), marchand de cheveux, demeurant à Paris, rue de la Vrillière, 2. LENCOU (Pierre-Jacques), épicier, demeurant à Paris, rue Amelot, 151. POIRIER (Victor-Auguste), entrepreneur de transports, demeurant à Paris, rue de Bercy, 207. RAYER jeune (Victor-François), marchand de confections pour hommes, demeurant à Paris, rue de Flandre, 19A. ROGE (Joseph), marchand d'articles de chasse et voyage, demeurant à Paris, rue du Faubourg-du-Temple, 50. ROBERT (Adolphe), marchand de vin logisseur, demeurant à Aubervilliers, rue du Landy, 11 bis. SEPTFONTAINE, marchand de vin, demeurant à Choisy (Seine). NOUALHER (Achille), agent d'affaires, ayant demeuré à Paris, rue Gaillon, 3, puis boulevard Montmartre, 8, et actuellement sans domicile connu. VALLET, marchand de vin, demeurant à Paris, quai des Augustins, 54. GUIOT, marchand de futailles, demeurant à Paris, rue Bellièvre, 11. A. LAVIGERIE, FISCHER et CIE, ayant fait le commerce sous le nom de : The Foreign et Saint-Domingo (General-Agency), demeurant à Paris, rue Saint-Georges, 53. REX (André), marchand de vin, demeurant à Paris, rue de Meaux, 85. Emile CUISSET, commissionnaire en vins, ayant demeuré à Créteil, Grande-Rue, 85, et demeurant actuellement à Choisy-le-Roi (Seine), parc Nicolaï, rue Bordelaise, 36. PUBLICATIONS DE MARIAGES M. Labbéé, employé, rue de la Pompe, 31, et Mme Goujon, boulevard de Clichy, 10. M. Degarros, chef de bataillon au 89e de ligne, r. des Batignolles, 69, et Mlle Hamoir, r. de Clichy, 62. M. Grout, employé, rue Truffaut, 19, et Mme Thil, même rue. M. Ruch, horloger, rue Truffaut, 9h, et Mme Cañesse, rue des Moines, 18. M. Riéger, employé, rue de Rome, 129, et Mlle Fridel, rue de Provence, 111. M. Rolet, employé, rue Moreau, 64, et Mlle Frick, rue des Filles-au-Calvaire, 8. M. Rittheim, boulanger, rue Crozatier, 72, et Mlle Clerc, rue de l'Odéon, 7. M. | succursale à Anvers (Belgique), rue des oMzi-eo,sDu 9. DEBETTE, entrepren. de serrurerie, demeurant à Paris, c-dvnt impasse Saint-Sébastien, n° 8, tulle sans domicile connu. GAUTHIER (Jean-Baptiste), en son vivant, négociant en cornes et écauelles à Paris, rue ds Filles-du-Temple, 11. Du 19 juin 1874 BOULAY (Joseph), marchand de blouses, confections et tissus, demeurant à atOe eine(S,) avenue ds golateiB,nls 96. L VANANT (Louis-Toussaint), mrchnd de cheveux, eera à Paris, rue de la Vrillière, 2. LENCOU (Pierre-Jacques), épicier, demeurant à Paris re Amelot, 151. POIRIER VictorAuguste entrepreneur de transports, demeurant à Paris, rue de Bercy, 207. AYR jeune (Victor-François), marchand de cofecions pour hommes, demeurant à Paris, rue de Flndr, 19A. ROGE (Joseph), marchand d'artls de chasse et voyage, demeurant à ,isPra rue Faubourg-du-Temple, 50. ROBERT (Adolphe), marchand d vin logisseur, demeurant à Aubervilliers, rue du Landy, 11 bis. SEPTFONTAINE marchand de vin, demeurant à Choisy in()Se.e NOUALHER (Achille), agent d'affaires, ayant demeuré à Paris, rue aln, 3, puis boulevard Montmartre 8, et actuellement sans domicile connu. VALLET, marchand de vin, der à Paris, quai des Augustins, 54. GUIOT, marchand de futailles demeurant à Paris, rue Bellièvre 11. A. LAVIGERIE, FISCHER t C, ayant fait le commerce sous le nom de : The Foreign et Saint-Domingo (General-Agency), demeurant à Paris, rue Saint-Georges, 53 REX (André), marchand de vin, demeurant à Prs, rue de Meaux, 85. Emile CUISSET, misinir en vins, ayant demeuré à Créteil, Grande-Rue, 85, et demeurant cueent à Choisy-le-Roi (Seine), c Nicolaï, rue Bordelaise, 36. PUBLICATIONS DE MARIAGES M. Labbéé, employé, rue de la Pompe, 31, et Mme Goujon, boulevard de Clichy, 10. M. garrs, chef de bataillon au 89e de ligne, r. des Batignolles, 69, et Mlle Hamoir, r. de Clichy, 62. M. Grout, employé, Truffaut, 19 et Mme Thil, même rue. M. Ruch, horloger, rue Truau 9h, et Mme Cañesse, rue des Moines, 18. M Riéger, employé, rue de Rome, 129 et Mlle Fridel, rue d Provence, 111. M. Rolet, employé, rue ra 64 et Mll Frick, e des Filles-au-Calvaire, 8 M. Rtthm, boulanger, rue Crozatier, 72, Mlle Clerc, rue de l'Odéon, 7. M. |
de : The Foreign et Saint-Domingo (General-Agency), demeurant à Paris, rue Saint-Georges, 53. REX (André), marchand de vin, demeurant à Paris, rue de Meaux, 85. Emile CUISSET, commissionnaire en vins, ayant demeuré à Créteil, Grande-Rue, 85, et demeurant actuellement à Choisy-le-Roi (Seine), parc Nicolaï, rue Bordelaise, 36. PUBLICATIONS DE MARIAGES M. Labbéé, employé, rue de la Pompe, 31, et Mme Goujon, boulevard de Clichy, 10. M. Degarros, chef de bataillon au 89e de ligne, r. des Batignolles, 69, et Mlle Hamoir, r. de Clichy, 62. M. Grout, employé, rue Truffaut, 19, et Mme Thil, même rue. M. Ruch, horloger, rue Truffaut, 9h, et Mme Cañesse, rue des Moines, 18. M. Riéger, employé, rue de Rome, 129, et Mlle Fridel, rue de Provence, 111. M. Rolet, employé, rue Moreau, 64, et Mlle Frick, rue des Filles-au-Calvaire, 8. M. Rittheim, boulanger, rue Crozatier, 72, et Mlle Clerc, rue de l'Odéon, 7. M. Allesso, employé, rue Truffaut, 10, et Mlle Noël, avenue de Clichy, 74. M. Bernstorff, employé, avenue de Clichy, 136, et Mlle Guérin, même rue. M. Boucher, vinaigrier, rue des Epinettes, 9, et Mme Vinchester, avenue de Clichy, 115. M. Dodier, employé, rue Truffaut, 100, et Mlle Galmard, même rue. M. Gaillet, limonadier, avenue des Ternes, 9, et Mlle Desmoulins, rue Truffaut, 18. M. Langet, peintre, place Boulnois, 3, et Mlle Jolliet, avenue des Ternes, 22. M. Rotton, jardinier, rue du Chemin-Vert, 137, et Mme Potel, rue Demours, 33. M. Benard, employé, rue Brey, 7, et Mlle Lecoquier, même rue. M. Rozière, serrurier, rue d'Argenteuil, 15, et Mlle Piton, rue Tronçon-Ducoudray, 3. M. Guérard, papetier, rue de Rivoli, 20h, et Mlle Merlin, boulevard Haussmann, 86. M. Meunier, homme de lettres, rue St-Honoré, 198, et Mme Bassagot, rue de la Verrerie, 99. M. Lecardonnel, employé, rue du Bouloi, 9, et Mme Laffaiteur, même rue. M. Bezanson, notaire, quai du Louvre, 8, et Mme Dervillé, à Saint-Maurice (Seine-et-Oise). M. Leveillé, employé d'octroi, à Clichy, et Mlle Delarive, avenue de Clichy, 15S. M. Colin, employé, rue Rennequin, 33, et Mlle Ehrenburger, rue Lachaise, 36. DÉCÈS ET INHUMATIONS Du 16 juin 1874. M. Martin, 75 | de : The Frgn et SinDmig (General-Agency), edrumneta à Paris, rue Saint-Georges, 53. REX (ndré), marchand de vin, demeurant à Paris rue ed Meaux, 5.8 Emile CUISSET, omionar en vins, aat demeuré à Créteil, Gande-R, 85, et demeurant actuellement à Choisy-le-Roi (Seine), parc Nicolaï, ue Bordelaise, 36. PUBLICATIONS DE MARIAGES M. Labbéé, employé, rue de la Pompe, 31, e Mm Goujon, boulevard de Clichy 10. . Degarros, chef de bataillon au 89 de ligne, r. des Batignolles, 69, et Mlle Hamoir, r. de Clichy, 62. M. Grout, employé, rue Truffaut, 19, et Mme Thil, même rue. M. uRch, horloger, rue Truffaut, t Mme Cañesse, rue des Moines, 18. M. Riéger, loé rue d eR,om 129, et Mlle Fridel, rue de Prvnc, 111. M. Rolet, employé, rue Moreau, 64, et ll Frick, rue des Filles-au-Calvaire, 8. M. Rittheim, boulanger, rue Crozatier, 72, et Mlle Clerc, ue de l'Odéon, 7. M. Allesso, employé, rue Truffaut, 10, et Mlle Noël, avenue d Clichy, 74. M. Brnstrff, employé, avenue de yCichl, 136, et Mlle Guérin, mme rue. M. Boucher, vinaigrier, rue des Epinettes, 9, e Mme Vinchester, avenue de Clichy, 115. M. Dodier, employé, rue Truffaut, 100 et Mlle Galmard, même rue. M. Gaillet, iim,eoaldrn avenue des Ternes, 9, t Mlle Desmoulins, rue Truffaut, 18. M. Langet, peintre, place Boulnois 3, et Mll Jolliet, avenue des Ternes, 22. M Rotton, jardinier, rue du Chemin-Vert, 137, et Mme Potel, r Demours, 33. M. Bnrd, employé, rue Brey, 7, et Mlle Lecoquier, même r. M. Rozière serrurier, rue d'Argenteuil, 15, et Mlle Piton, r Tronçon-Ducoudray, 3. M Gérrd, pape, rue de Rivoli, 20h, et Mlle Mrln, boulevard Haussmann, 86. M. ir, homme de lettres, rue St-Honoré, 198, et Mme Bassagot, rue de la Verrerie, 99. M. Lecardonnel, employé, rue du Bouloi, 9, et Mme Laffaiteur, même rue. M. Bezanson, notaire, iaqu du Louvre, 8, et Mme Dervillé, à Saint-Maurice (Seine-et-Oise). M. evelé, employé d'octroi, à Clchy, et e Delarive, aeeunv de Clichy, 15S. M. Colin, employé, rue Rennequin, 3 et Mlle Ehrenburger, rue Lachaise, 36. DÉCÈS ET INHUMATIONS Du 16 jn 1874. M. Martin, 75 |
Gaillet, limonadier, avenue des Ternes, 9, et Mlle Desmoulins, rue Truffaut, 18. M. Langet, peintre, place Boulnois, 3, et Mlle Jolliet, avenue des Ternes, 22. M. Rotton, jardinier, rue du Chemin-Vert, 137, et Mme Potel, rue Demours, 33. M. Benard, employé, rue Brey, 7, et Mlle Lecoquier, même rue. M. Rozière, serrurier, rue d'Argenteuil, 15, et Mlle Piton, rue Tronçon-Ducoudray, 3. M. Guérard, papetier, rue de Rivoli, 20h, et Mlle Merlin, boulevard Haussmann, 86. M. Meunier, homme de lettres, rue St-Honoré, 198, et Mme Bassagot, rue de la Verrerie, 99. M. Lecardonnel, employé, rue du Bouloi, 9, et Mme Laffaiteur, même rue. M. Bezanson, notaire, quai du Louvre, 8, et Mme Dervillé, à Saint-Maurice (Seine-et-Oise). M. Leveillé, employé d'octroi, à Clichy, et Mlle Delarive, avenue de Clichy, 15S. M. Colin, employé, rue Rennequin, 33, et Mlle Ehrenburger, rue Lachaise, 36. DÉCÈS ET INHUMATIONS Du 16 juin 1874. M. Martin, 75 ans, rue de la Ste-Chapelle, 9. Mme Maisson, 61 ans, rue Sauval, 16. M. Marchal, 60 ans, rue Rambuteau, 9A. Mme Siskind, 38 ans, rue des Blancs-Manteaux, 19. Mme Limousin, 16 ans, rue de l'Hôtel-de-Ville, 18. Mme Fleury, 32 ans, quai de Béthune, 26. M. Garrouste, 73 ans, rue Lacépède, 1. M. Deligne, 86 ans, rue Jacob, 38. Mlle Lagniel, 57 ans, rue de Sèvres, 23. Mme Boron, 73 ans, rue Abattucci, 6. Mme Bra, 78 ans, avenue Percier, 8. M. Daillard, 65 ans, boulevard des Batignolles, 37. M. Chevrey, 84 ans, rue Clauzel, 10. M. Groult, 55 ans, rue Clauzel, 6. M. Senanne, 36 ans, rue Larochefoucauld, 22. Mme Despontin, 47 ans, faub. St-Martin, 11. Mme Lesaunier, 81 ans, faub. St-Denis, 200. M. Doisneau, 22 ans, rue de Nemours, 20. M. Lemoux, 37 ans, rue de Montreuil, 53. M. Gauthier, 65 ans, passage Forge-Royale, 25. M. Darnay, 72 ans, rue du Rendez-Vous, 2. Mme Texier, 37 ans, rue des Terres-Fortes, 3. Mme Iviffer, 58 ans, rue Picpus, 75. M. Tremblay, 32 ans, rue Soulages, 97. Mme Lucas, 50 ans, rue de la Glacière, 125. M. Bolifraud, 37 ans, rue du Chevaleret, 141. Mme Evrard, 25 ans, rue Cabanis, 1. | Gaillet, limonadier, avenue des Tne, 9, et Mlle Desmoulins, rue faut, 18. M. Langet peintre, place Boulnois, 3, et Mlle Jolliet, veue des Ternes, 22. M. Rotton, jardinier, rue d Chmn-Vrt, 137, et Mme Potel, rue Demours, 33. M. Benard, employé, rue Brey, 7, et Mlle Lecoquier, même ue. M. Rozière, serrurier, r d'Argenteuil, 15, et Mlle n, rue Tronçon-Ducoudray, 3. M. éuaG,drr pptr, rue de Rivoli, 20h, et Mlle el boulevard Haussmann, 86. .M Meunier, homme de lttrs, rue St-Hnré, et Mme sgo rue de la Verrerie, 99. M. Lecardonnel, employé, rue d Bouloi, 9, et Mme Laffaiteur même rue. M. Bezanson, notaire, quai du Luvre, 8, et Mme ,Dlilvére SaintMaurice (Seine-et-Oise). M. Leveillé, mplyé d'octroi, à Clichy, et Mlle Delarive, aeu d Clichy, 15S. M. Colin, employé, rue Rennequin, 33, et Mlle Ehrenburger, e Lachaise, 36. DÉCÈS ET NHMTNS Du 16 jn 1874 M. Martin, 75 ans, rue de la Ste-Chapelle, 9 Mm Maisson 61 ans, rue Sauval, 16. M. Mrchl, 60 ans, rue Rambuteau 9A. Mme sdiniS,k 38 ans, rue des Blancs-Manteaux, 19. Mme Limousin, 16 ans, rue de l'Hôtel-de-Ville, 18. Mme Fleury, 32 ans, quai d Béthune, 26. M. Garrouste, 73 ans, rue Lcépèd, 1. M. Deligne, 86 ans, rue Jacob 38. Mlle Lagniel, 57 ans, r de Sèvres, 23. Mme Boron, 73 ans, rue Abattucci, 6. Mme Bra, 78 ans, avenue Percier, 8. M Dllrd, 65 ns, blvrd des Batignolles 37. M. Chevrey 84 ans, ru Clauzel, 10. M. Groult, 55 ans, r Clauzel, 6. M Senanne, 36 ans, rue Larochefoucauld, 22. Mme Despontin, 47 ans, faub. St-Martin, 11. Mme Lesaunier, 81 ans, faub. St-Denis, 200. M. Doisneau, 22 ans, u de Nemours, 20. M. Lemoux 37 ans, rue de Montreuil, 53. M. Gauthier, 65 ans, passage Forge-Royale, 25. M. Darnay, 7 ans, rue du Rendez-Vous, 2. Mme Texier, 37 ans, des Terres-Fortes, 3. Mme Iviffer, 58 ans, rue Picpus, 75. . Tremblay, 32 ans, rue Soulages, 97. Mme Lucas, 50 ans, rue de la Glacière, 125. M. Bolifraud, 37 ans, rue du Chaleet, 141. Mme Evrard, 25 ans, r Cabanis, 1. |
1. M. Deligne, 86 ans, rue Jacob, 38. Mlle Lagniel, 57 ans, rue de Sèvres, 23. Mme Boron, 73 ans, rue Abattucci, 6. Mme Bra, 78 ans, avenue Percier, 8. M. Daillard, 65 ans, boulevard des Batignolles, 37. M. Chevrey, 84 ans, rue Clauzel, 10. M. Groult, 55 ans, rue Clauzel, 6. M. Senanne, 36 ans, rue Larochefoucauld, 22. Mme Despontin, 47 ans, faub. St-Martin, 11. Mme Lesaunier, 81 ans, faub. St-Denis, 200. M. Doisneau, 22 ans, rue de Nemours, 20. M. Lemoux, 37 ans, rue de Montreuil, 53. M. Gauthier, 65 ans, passage Forge-Royale, 25. M. Darnay, 72 ans, rue du Rendez-Vous, 2. Mme Texier, 37 ans, rue des Terres-Fortes, 3. Mme Iviffer, 58 ans, rue Picpus, 75. M. Tremblay, 32 ans, rue Soulages, 97. Mme Lucas, 50 ans, rue de la Glacière, 125. M. Bolifraud, 37 ans, rue du Chevaleret, 141. Mme Evrard, 25 ans, rue Cabanis, 1. Mme Boisot, 76 ans, rue des Entrepreneurs, 90. M. Marquis, 48 ans, rue Berton, 17. Mme Velghe, 30 ans, rue Pergolèse, 68. M. Hiscock, 70 ans, avenue d'Eylau, 25. Mme Capus, 38 ans, rue des Dames, 26 M. Fagot, 15 ans, passage Doudeauville, 36. M. Pierre, 61 ans, rue Petit, 61. M. Guillaume, 72 ans, rue Compans, 76. M. Faucheux, 20 ans, rue de la Mare, 18. Du 17 juin 1874. M. Boumier, 10 ans, rue Grenéta, 51. M. Davezies, 7 ans, rue Neuve-St-Augustin, 65. Mme Haury, 62 ans, rue Malher, 3. Mme Gaillon, 72 ans, rue Rollin, 38. M. Baudrier, 73 ans, rue Lacépède, 1. Mme Guilbert, 57 ans, r. de Grenelle-St-Germain, 10. Mme Voirin, 85 ans, rue Jacob, 117. Mme Petit, 95 ans, rue Oudinot, 16. Mme Duchêne, 74 ans, rue Roquépine, 16. Mme Coedes (v6), 86 ans, rue Bayard, 8. M. Leriche, 55 ans, rue Saint-Lazare, 66. M. Douin (v'), 7A ans, rue Taitbout, 5. M. Blanvillain, 77 ans, rue Lamartine, 5L. M. Barry, 85 ans, faub. Poissonnière, 175. Mme Hamm, 62 ans, rue Chauchat, 2. M. Boilly, 77 ans, faub. St-Denis, 200. M. Dejean, 13 ans, faub. St-Martin, Hl. Mme Bornard, 18 ans, bout. Magenta, 105. | 1 M Deligne, 86 ans, rue Jacob, 38. Mlle Lgnl, 57 ns, rue de Sèvres 23. Mme Boron, 73 ans, rue Abattucci, .6 Mme Bra, 78 ans, avenue Percier, 8. M. Daillard, ans, boulevard des Batignolles, 37. M. Chevrey, 84 ans, ure Clauzel, 10. M. Groult, 55 n rue Clauzel, . M. Senanne, 36 ans, rue Lrchfcld, 22. Mme Despontin, 47 ans, faub. St-Mrtn, 11. Mme Lesaunier, 81 ans, faub. St-Denis, 200. M. a,eDuniso 22 ans, rue de Nemours, 20 M. Lemoux, 37 ans, rue de Montreuil, 53 M. Gauthier, 65 ans, asgpsea Forge-Royale, 25. M. Darnay, 72 ans, rue du sR-,dVneuezo 2. Mme Txr, 37 ans, r des Terres-Fortes, 3 Mme Iviffer, 58 ans, rue Picpus, 75. M Tremblay, 32 ans, rue Soulages 97. Mme Lucas, 50 ns, rue de la Glcèr, 125. M. Bolifraud, 37 ans, re du Chevaleret, 141. Mme Evrard, 25 ans, rue Cabanis, 1. Mme Boisot, 76 ans rue des Entrepreneurs 90. M. Marquis, 48 s,an ure ero 17. Mme Velghe, 30 ans, rue Pergolèse, 68 M. Hiscock 70 ans, avenue d'Eylau, 25. Mme Capus 38 ans, rue des Dms, 26 M. Fagot, 15 ans, passage Doudeauville, 36. M. Pierre, 61 ans, rue t 61. M. Guillaume, 72 ans, rue Compans, 76. . Faucheux, 20 ans, rue de la Mr, 18. Du 17 juin 4187. M Boumier, 10 ans, rue Grenéta, 51. M. Dvei 7 ans, rue Neuve-St-Augustin, 65. Mme Haury, 62 ans, rue heaM,lr 3. Mme Gaillon 72 ans, reu Rollin, 38. M. Baudrier, 73 ans, rue Lacépède, 1. Mme Guilbert, 57 ans, r. de Grenelle-St-Germain, 10. Mme Voirin, 85 ans, rue Jacob, 117 Mme Petit, ans, rue Oudinot, 16. Mme Duchêne, 74 ans, rue Roquépine, 16 Mme Coedes (v6) 86 an rue Baya, 8. M. Lerh 55 ans, rue Saint-Lazare, 66. . Dn (v'), 7A ans u Taitbout, 5. M Blanvillain, 77 ans, rue Lamartine, 5L. M. Barry 85 s, faub. Poissonnière, 175 Mm Hamm, 62 ans, rue Chauchat, 2. M. oi 77 ans, faub. St-Denis, 200. M. ,jnDeea 13 ans, fb. t-Mai, Hl. Mme Brnrd, 18 ans, bout. Magenta 105. |
61. M. Guillaume, 72 ans, rue Compans, 76. M. Faucheux, 20 ans, rue de la Mare, 18. Du 17 juin 1874. M. Boumier, 10 ans, rue Grenéta, 51. M. Davezies, 7 ans, rue Neuve-St-Augustin, 65. Mme Haury, 62 ans, rue Malher, 3. Mme Gaillon, 72 ans, rue Rollin, 38. M. Baudrier, 73 ans, rue Lacépède, 1. Mme Guilbert, 57 ans, r. de Grenelle-St-Germain, 10. Mme Voirin, 85 ans, rue Jacob, 117. Mme Petit, 95 ans, rue Oudinot, 16. Mme Duchêne, 74 ans, rue Roquépine, 16. Mme Coedes (v6), 86 ans, rue Bayard, 8. M. Leriche, 55 ans, rue Saint-Lazare, 66. M. Douin (v'), 7A ans, rue Taitbout, 5. M. Blanvillain, 77 ans, rue Lamartine, 5L. M. Barry, 85 ans, faub. Poissonnière, 175. Mme Hamm, 62 ans, rue Chauchat, 2. M. Boilly, 77 ans, faub. St-Denis, 200. M. Dejean, 13 ans, faub. St-Martin, Hl. Mme Bornard, 18 ans, bout. Magenta, 105. M. Kastner, 81 ans, église Saint-Denis-du-Saint-Sacrement. Mme Morhange, 7A ans, rue St-Sébastien, 15. M. Sordot, 21 ans, boulevard Port-Royal, 111. Mme Bouillette, 16 ans, rue de Passy, 28. Mme Landry (v*), 69 ans, avenue de Clichy, 72. M. Plous, 10 ans, rue Lebouteux, 16. M. Cobolet, 55 ans, rue des Renaudes, 28. Mme Darbier, 38 ans, rue Lantiez, h. M. Morel, 55 ans, rue Doudeauville, 68. Mme Lherbon (v"), 58 ans, rue de Puebla, M).4. Mme Keller (v'), 78 ans, rue Clos-Rosselin, 31. Mme Bertin, 63 ans, rue des Rigoles, 3A. BULLETIN COMMERCIAL Paris, le 22 juin 1874. Céréales Blés. — Sans variation. Dispon. et cour., 38 25 à e») )I)J, — Prochain, 36 M" à f»> MM.— Août, 32 50 — Septembre et octobre, 31 50. — 14 derniers, 30 75 à »» lm. Farines de commerce La hausse a fait de nouveaux progrès, principalement sur le comptant et le rapproché ; les autres époques fermes. Huit marquai. — Dispon. et courant, 85 25 à MM ». Prochain, 85 25 à »» »If. Août, 77 "" Sept. et octob., 69 derniers,6725. Supérieures. — Dispon. et courant, 83 », Prochain, 81 50.—Août. 75 75. — Sept. et octob., 67 50 | 61. M. Guillaume, 72 ans, rue Compans, 76. M. Faucheux, 20 ans, rue de la Mr, 18. D 17 juin 1874. M. Boumier, 10 ans, rue Grenéta, 51. M Davezies, 7 n rue NeuveStAugustin 65. Mme Haury, 62 ans, rue Malher, 3. Mme Gailon 72 ans, rue Rollin, 38. .M Baudrier, 73 as, rue acède, 1. Mme Glbrt, 57 ans, r de GreelleGermai, 10. Mm Voirin, 85 ans, rue Jacob, 117 Mme Petit, 95 ans, rue Odt, 16. Mme Duchêne, 74 ans, rue Rqépn, 16. Mme Coedes v6(), 86 ans, r Bayard 8. . Leriche, 55 ns, rue Saint-Lazare, 66. M. Douin (v'), 7A ns, rue Taitbout, 5. M. Blanvillain 77 ans, rue Lamartine, 5L. M. Barry, 85 ans, faub. Poissonnière, 15 Mme Hamm, 62 ans, rue Chauchat, 2. M. Boilly, 77 ans, faub. St-Denis, 0. M. Dejean 13 ans, fb. atin Hl. Mme Bornard, 18 ans, bout. Magenta, 105. M. Kastner, 81 ans, église Saint-Denis-du-Saint-Sacrement. Mme Morhange, ans, rue St-Sébastien, 15. M. Sordot, 21 ans, boulevard Port-Royal, 111 Mm Bouillette, 16 ans, eru d Passy, 28. Mm Landry (v*), 69 ans, avenue de Clichy, 72. M. lous, 10 ans, rue Lebouteux 16. M. Cobolet 55 ans r des Renaudes, 28. Mme Darbier, 38 ns, reu Lantiez, h. . Morel, 55 ans, rue Doudeauville, 68. Mme Lhrbn (v"), 58 ans, rue de Puebla, M).4. Mme elKrel (v'), 78 ans, rue Clos-Rosselin, 31. Mme Bertin 63 ans, rue des Rigoles, 3A. BULLETIN CMMRCL Paris, le juin 1874 Créal Blés. — as vrtn. Dispon. et cour., 38 25 à e») )I)J, — Prochain, 36 à f»t;g& MM.— Aoû 32 50 — Septembre et octobre, 31 50. — 14 derniers, 30 75 à »» lm. Farines de commerce aL hausse a ft de nouveaux progrès, principalement sur le comptant et le rapproché ; les autres époques rfmee.s tHiu marquai. — Dispon. et courant, 85 5 à MM ». Prochain, 85 25 à »» If Août, 77 "" Sept. et octob., 69 derniers,6725. Spérrs. — Dspn. et courant, 83 », Prochain, 81 50Août 75 75. — Sept. et ,obo.tc 67 0 |
Renaudes, 28. Mme Darbier, 38 ans, rue Lantiez, h. M. Morel, 55 ans, rue Doudeauville, 68. Mme Lherbon (v"), 58 ans, rue de Puebla, M).4. Mme Keller (v'), 78 ans, rue Clos-Rosselin, 31. Mme Bertin, 63 ans, rue des Rigoles, 3A. BULLETIN COMMERCIAL Paris, le 22 juin 1874. Céréales Blés. — Sans variation. Dispon. et cour., 38 25 à e») )I)J, — Prochain, 36 M" à f»> MM.— Août, 32 50 — Septembre et octobre, 31 50. — 14 derniers, 30 75 à »» lm. Farines de commerce La hausse a fait de nouveaux progrès, principalement sur le comptant et le rapproché ; les autres époques fermes. Huit marquai. — Dispon. et courant, 85 25 à MM ». Prochain, 85 25 à »» »If. Août, 77 "" Sept. et octob., 69 derniers,6725. Supérieures. — Dispon. et courant, 83 », Prochain, 81 50.—Août. 75 75. — Sept. et octob., 67 50 — h derniers, 65 75. Trois-six Bonne tenue., Disp. et courant, 6J4 »». — Juillet et août, 67 75. — Septembre à décembre, 6.4 50. — Janvier à avril, 62 'n,. Huiles Huile de colza.-Mêmes cours, affaires calmes. Disp. et__ courant, 82 75 — Prochain, 83 25 — Août, 83 75. — la derniers, 85 50. — h premiers, 86. MI) Huile de lin. — Fermes ; on a traité quelques petites affaires à la cote. Dispon. et courant, 77 50.—Prochain, 78 »». — Août, 78 50. — h derniers, 79 50. L'Administrateur-Gérant, Louis G AL. PARIS. QUOTIDIEUX ET INF0MATION3 123 VENTES A L'ENCHÈRE — ADJUDICATIONS ADMINISTRATION GÉNÉRALE DE L'ASSISTANCE PUBLIQUE A PARIS Le mardi 11 juillet, à midi, adjudication en la chambre des notaires, par le ministère de M. HARLY-PERRAUD, l'un d'eux, Du bail, pour neuf années, à partir du 1er juillet 1874, D'UN TERRAIN DE 2,228 MÈTRES, avec façade d'environ 11 mètres, rue Delambre, n° 23 et 25 présumés. Mise à prix du loyer annuel 2,600 fr. S'adresser à l'Administration, quai de Gesvres, 1A° A, ou à M. Harly-Perraud, rue des Sts-Pères,15." (181 A) ou à M. DEQUET, avoué à Versailles, 113 86, avenue de Saint-Cloud. VENTE sur | Renaudes, 28. Mme abrDe,ir 38 n,as rue ntie h. M. Morel, 55 ans, rue Ddvll, 68. Mme Lherbon (v"), 58 ans, rue de Pbl, M).4. Mme Keller (v'), 78 ans rue ClosRosselin 31 Mme Brtn, 63 ans, rue s Rgls, 3A. BLEN CIMCELORMA iPr,as 22 jn 1874. Céréales Blés. — an variation. Dispon. et cour., 38 25 à e») )I)J, — Prochain 36 M" à f»> MM.— Août, 23 50 — Septembre et octobre, 31 50. 14 s 30 7 à »» lm. Farines d commerce La uhaess a fait nouveaux progrès, principalement sr le tpntmaco te l rapproché les autres poue fermes. Huit marquai. — Dispon. et courant, 85 25 ». rohan, 85 25 If.» Août, 77 Sept et octob., 69 ernirs,7 Spriues — Dispon. et courant, 83 », Prochain, 18 50.—ût. 75 75 — Spt. et octob., 50 h derniers, 65 75. Troissix Bnn tenue., Disp. et raucotn, 6J4 — Juillet et août, 67 5 — Septembre à décembre, 6.4 50. — Janvier à avril, 62 '. Huiles Huile de colza.-Mêmes cs, affaires ams. Disp. et__ courant, 82 75 — Prochain, 83 25 — Août, 83 75. — la derniers, 85 50. — h premiers, 86 MI) Huile de lin. — Frms ; on a trté quelques eies affaires à la ote. osniDp. et courant 77 50.—Prochain, 78 »». — Août, 78 50. — h derniers, 79 . L'dmnstrtr-Gérnt, ouis G AL. PA OTD ET INF0MATION3 123 VENTES A LENCHÈRE — DJDCTNS ADMINISTRATION GÉNÉRALE DE L'ASSISTANCE PUBLIQUE PARIS Le mardi 11 juillet, à midi, adudiati en la chambre des notaires, par le ministère de M. HARLY-PERRAUD, l'un d'eux, Du bail, pr neuf années, à riatrp du 1er juillet 1874, D'UN TERRAIN DE 2228 MÈTRES, avec fçd 'environ 11 mètres, r Delambre, n° 23 et 25 présmés. is à prix u loyer annuel ,600 f S'adresser à l'dmnstrtn, quai de Gesvres, 1A° , ou à M. Harly-Perraud, rue ds SsPe,. (181 A) ou à M. DEQUET, avoué à Versailles, 113 86, ane de Saint-Cloud. VENTE sur |
75. — la derniers, 85 50. — h premiers, 86. MI) Huile de lin. — Fermes ; on a traité quelques petites affaires à la cote. Dispon. et courant, 77 50.—Prochain, 78 »». — Août, 78 50. — h derniers, 79 50. L'Administrateur-Gérant, Louis G AL. PARIS. QUOTIDIEUX ET INF0MATION3 123 VENTES A L'ENCHÈRE — ADJUDICATIONS ADMINISTRATION GÉNÉRALE DE L'ASSISTANCE PUBLIQUE A PARIS Le mardi 11 juillet, à midi, adjudication en la chambre des notaires, par le ministère de M. HARLY-PERRAUD, l'un d'eux, Du bail, pour neuf années, à partir du 1er juillet 1874, D'UN TERRAIN DE 2,228 MÈTRES, avec façade d'environ 11 mètres, rue Delambre, n° 23 et 25 présumés. Mise à prix du loyer annuel 2,600 fr. S'adresser à l'Administration, quai de Gesvres, 1A° A, ou à M. Harly-Perraud, rue des Sts-Pères,15." (181 A) ou à M. DEQUET, avoué à Versailles, 113 86, avenue de Saint-Cloud. VENTE sur licitation, au tribunal de Versailles, le jeudi 16 juillet 1874, D'une MAISON A D' ANTIN, 22 faisant l'encoignure de celle de Port-Mahon (ancien 6e arrondissement, actuellement 9e'). Mise à prix : 130,000 fr. Produit actuel, susceptible d'augmentation : 12,300 fr. S'adresser pour les renseignements : A Versailles, à M. Dequett, Ducrocq et Legrand, avoués, et à Me Besnard, notaire, 17, rue Satory, Et à Paris, à M. Gentien, notaire, boulevard de Strasbourg, 6. " (1916) HÔTEL Leconte, et 2 BAINS r. Chaptal ] A Adjuger, même sur une enchère, en la ch. des not. de Paris, le 30 juin 1874. Appareil d'hydrothérapie, cont. 1,053 1. 94. R. 62,500 fr. env. M. à p. : 500,000 fr. Il est dû au Crédit foncier 225,000 fr. S'adresser à M. MASSON, notaire, 11, rue Perrault (place du Louvre), qui délivre permis de visiter. M (1673) LOCATIONS LOIJIQUE de 120 mètres carrés G-A-, à louer, 169, boul. de la Villette. Pr.1,200fr. S'adresser à M. Maestlé, 8, passage St-Louis, à Batignolles, de 11 h. à 1 h. et de 7 à 10 h. sr. « (1819) AVIS AUX ACTIONNAIRES CHEMINS DE FER ET CHANTIERS Avis urgents aux ACTIONNAIRES et aux OBLIGATAIRES. Arbitrages avantageux. OFFICE DU | 75. — la derniers, 85 50. — h premiers, 86. MI) Huile de lin. — Fermes ; on a traité quelques petites affaires à la .oect Dspn. et courant, 77 50.—Prochain, 78 »». — Août, 78 50. — h derniers 79 50. L'Administrateur-Gérant, Louis G AL. PARIS. QUOTIDIEUX TE INF0MATION3 123 ESVNET A L'ENCHÈRE — ADJUDICATIONS ADMINISTRATION GÉNÉRALE D L'ASSISTANCE PUBLIQUE A PARIS Le mardi 11 juillet, à idmi, adjudication en la chmbr des notaires, par le ministère de M. HARLY-PERRAUD, l'un d'eux, D bail, pour neuf années, à partir du 1er juillet 1874, D'UN TERRAIN DE 2,228 MÈTRES, avec façade d'environ 11 mètres, rue Delambre, n° 23 et 25 présumés. Mise à prix du loyer annuel 2,600 fr. Sesadr'esr à l'Administration, quai de sr,sGeev 1A° A, ou à M Harly-Perraud, r des s-res,5." (181 A) à M. , vé à Versailles, 13 86, avenue de Snt-Cld. VENTE sur licitation, au tribunal d Versailles, le jeudi 1 jllt 1874, D'une MSN D' ANTIN, 22 faisant l'encoignure de celle de Port-Mahon (ancien 6e arrondissement, actuellement 9e'). Mise à prix ,000310 fr Produit actuel, susceptible d'augmentation 12,300 fr. S'adresser pour ls rnsgnmnts : A Versailles, à M. Dequett, Ducrocq et r avoués, t à Me nrd notaire, 17, ure Satory, Et à Paris, à M. Gentien, notaire, boulevard de Strasbourg, 6. " (1916) HÔTEL Leconte, et 2 BAINS r. Chaptal ] A Adjuger, même sr une enchère, en la c. ds t.on de Paris, e 30 jn 1874. Appareil d'hydrothérapie, cont. 1,5 1. 94. R. 62,500 fr. env. M. à p. : 50,00 fr. Il est dû Crédit foncier 225,000 fr S'adresser à M. MASSON, notaire, 11, rue raut (place du Louvre), qui délivre permis de iser M (1673) LOCATIONS LOIJIQUE de 120 mètres carrés G--A, à louer, 169, boul. de la Vlt. Pr.1,200fr. S'adresser à M. Maestlé, 8, pssg St-Louis, à ilt,noagsBel de 1 h. à 1 h. et de 7 à 1 h. sr. « (1819) AVIS AUX ACTIONNAIRES CHEMINS DE FER ET CHANTIERS Avis urgents aux ACTIONNAIRES et x OBLIGATAIRES. Arbitrages avantageux. FIE DU |
Ducrocq et Legrand, avoués, et à Me Besnard, notaire, 17, rue Satory, Et à Paris, à M. Gentien, notaire, boulevard de Strasbourg, 6. " (1916) HÔTEL Leconte, et 2 BAINS r. Chaptal ] A Adjuger, même sur une enchère, en la ch. des not. de Paris, le 30 juin 1874. Appareil d'hydrothérapie, cont. 1,053 1. 94. R. 62,500 fr. env. M. à p. : 500,000 fr. Il est dû au Crédit foncier 225,000 fr. S'adresser à M. MASSON, notaire, 11, rue Perrault (place du Louvre), qui délivre permis de visiter. M (1673) LOCATIONS LOIJIQUE de 120 mètres carrés G-A-, à louer, 169, boul. de la Villette. Pr.1,200fr. S'adresser à M. Maestlé, 8, passage St-Louis, à Batignolles, de 11 h. à 1 h. et de 7 à 10 h. sr. « (1819) AVIS AUX ACTIONNAIRES CHEMINS DE FER ET CHANTIERS Avis urgents aux ACTIONNAIRES et aux OBLIGATAIRES. Arbitrages avantageux. OFFICE DU COMPTANT, 1, rue St-Georges. (1569) PRÊTS HYPOTHÉCAIRES CH. DESOINDRE, banquier, 12, place de la Bourse. (1753) CAISSE GÉNÉRALE DES CHEMINS DE FER ! 83, rue Richelieu, 83. Le liquidateur et les commissaires de la caisse générale des chemins de fer préviennent MM. les ACTIONNAIRES que les adhésions à la constitution de la nouvelle société en formation, ne seront reçues que jusqu'au 30 juin, mois courant, 83, rue de Richelieu. Ce délai passé, aucune adhésion ne pourra plus être acceptée ; les adhérents seuls feront partie de la nouvelle société, et les non adhérents recevront, après une réalisation authentique et publique de l'actif social, 4% part qui leur reviendra dans la liquidation, suivant le nombre des actions qu'ils possèdent. « (191 A) LIBRAIRIE ET PUBLICATIONS DIVERSES L'ÉCONOMISTE DE SFONDS PUBLICS est envoyé gratis pendant deux mois sur demande au Directeur, 18, rue du Quatre-Septembre. (857) L'HISTOIRE NATIONALE collection de l'Éducation populaire, est en vente chez Sandoz et Fischbacher, 33, rue de Seine. Elle formera 9 volumes ou fascicules à 5 CENTIMES. 12 sont parus. On les reçoit franco contre l'envoi de 1 fr. ACHATS ET VENTE DE FONDS DE COMMERCE fabrique de Cadres et Moulures, ville de 300,000 hab., port de | Dcrcq et Legrand, avoués, à Me Besnard, notaire, 17, rue Satory, Et à Paris, à M Gentien, notaire, boulevard de Strsbrg, 6. " 1916 HÔTEL Leconte, et 2 BAINS r. Chaptal ] A Adjuge, même sur une echre en la ch. des not. d Paris, le 0 jn 1874. Appareil dhydrothérapie cont. 1,053 . 94. .R 62,500 fr env. M. à p. : 500,000 fr. Il est dû au Crédit foncier 250 fr. S'adresser à M. MASSON, notaire, 11, rue Prrlt (ace du Lu, qui délivre pimesr de visiter. M (1673) LOCATIONS LOIJIQUE de 120 mètres carrés G-A-, à louer, 169, boul. de la Villette Pr.1,200fr. S'adresser à M. Maestlé, 8, passage St-Louis, Batignolles, de 11 . à 1 h et de à 10 h. sr. (1819) AVIS X ACTIONNAIRES CHEMINS DE FR ET CHANTIERS Avis rgnts aux ACTIONNAIRES t aux OBLIGATAIRES Arbitrages avantageux. OFFICE DU NMCPTA,OT 1, rue St-Georges. (1569) PRSÊT HYPOTHÉCAIRES CH. DESOINDRE, banquier 12, place de la Bourse. (1753) CAISSE GÉNÉRL DES CHEMINS DE FER ! 83, rue Richelieu, 83. eL liquidateur et esl commissaires de la caisse générale des chemins de fr préviennent MM. les ACTIONNAIRES que les adhésions à la constitution de la nouvelle société en formation, ne seront reçues que jusqu'au 3 i, mois courant, 8,3 rue de Richelieu. Ce délai passé, aucune adhésion ne pourra plus être acceptée ; les adhérents u feront partie de la nouvelle ,ticééos et les non are recevront, après une réalisation authentique et publique de l'actif social, 4 part qui leur reviendra dans la dloiunitaiq, suivant le nombre des actions qu'ils possèdent. « (191 ) LBRR ET LANS DIVERSES L'ÉCONOMISTE DE SFONDS C st envoyé gratis pendant deux mois sur demande Directeur, 18, rue du Quatre-Septembre. 857 HSTIR NATIONALE collection de noicÉdt'lua populaire, est ne vente chez Sandoz et Fischbacher 33, rue de Seine. Elle formera 9 vlms uo fascicules à CENTIMES. 12 sont prs. On les reçoit franco contre l'envoi de 1 fr. ACHATS ET VENTE DE FONDS ED CMMRC fabie d Cdes et Moulures, ville de 300,000 hab., port de |
de la nouvelle société en formation, ne seront reçues que jusqu'au 30 juin, mois courant, 83, rue de Richelieu. Ce délai passé, aucune adhésion ne pourra plus être acceptée ; les adhérents seuls feront partie de la nouvelle société, et les non adhérents recevront, après une réalisation authentique et publique de l'actif social, 4% part qui leur reviendra dans la liquidation, suivant le nombre des actions qu'ils possèdent. « (191 A) LIBRAIRIE ET PUBLICATIONS DIVERSES L'ÉCONOMISTE DE SFONDS PUBLICS est envoyé gratis pendant deux mois sur demande au Directeur, 18, rue du Quatre-Septembre. (857) L'HISTOIRE NATIONALE collection de l'Éducation populaire, est en vente chez Sandoz et Fischbacher, 33, rue de Seine. Elle formera 9 volumes ou fascicules à 5 CENTIMES. 12 sont parus. On les reçoit franco contre l'envoi de 1 fr. ACHATS ET VENTE DE FONDS DE COMMERCE fabrique de Cadres et Moulures, ville de 300,000 hab., port de mer, pas de concours. Loyer, 3,500 fr. Prix, 12,000 fr. Liebbe, rue A-Septembre, 8. (1621) À céder de suite; a beau, DONNE 1 HÔTEL, 6,000,000 fr. net 5,000,000. Bail 11 ans. Pr. 1,000,000. 11. LAHAYE, boulevard Sébastopol, 103. (1912) AVIS DIVERS MARIAGES BICHE, l'. Maubeuge, Paris. 1 h. à 5 h. Vve GUYOT. (1701) LES DEMANDES D'EMPRUNTS faites à la BANQUE VIAGÈRE (.Société anonyme pour favoriser le développement du crédit par l'assurance), doivent être adressées directement au siège social, 17, r. de Châteaudun, Paris. (893) REQUISE Demande d'un Gérant, grande honorabilité exigée. P. reste. V. R., 23, Paris. (1891) RICHE MARIAGE Mme S'adresser ISÉRABLE, à une heure à cinq, 35, rue Richelieu, Paris. (1558) CONSEIL ET maison de santé de: VÉRITÉ, sage-femme de classe. Installation très confortable. Beau jardin. Hydrothérapie. Bains de vapeur. Asnières (Seine), 1, r.du Congrès. (1900) INDUSTRIE ET COMMERCE PIANOS FACTEURS Payables en trois années. — Envoi en province. GILSON, fabricant, 41, r. de la Chaussée-d'Antin. ACHETÉ DIAMANTSS BIJOUX H.L.uBleresses, 10, r. des Princes (Bd des Italiens). PIANOS de tous les facteurs CRÉDIT Chez SCHACK, 53, rue Caumartin. Envoi en province. MÉDECINE — PHARMACIE VICES DU SANG organes internes, cancers, épilepsies, asthmes, etc. UN garantit les honoraires | de la nouvelle société en formation, ne seront reçues que jusqu'au 30 jin, mois courant, 83, rue de Richelieu. C délai passé, aucune adhésion ne prr pls être acceptée ; les adhérents ses feront partie de l ol société, et les non adhérents recevront, è une risati authentique t publique d l'ctf social, 4% part qui leur rvdearnie dans la liquidation, snatuiv le om des actions qu'ils possèdent. « (191 A) LIBRAIRIE ET PUBLICATIONS DIVERSES L'ÉCONOMISTE DE SFONDS PUBLICS est envoyé gratis pendant deux mois sur demande au Directeur, 18, rue du Quatre-Septembre. (857) L'HISTOIRE NATIONALE collection de l'Éducation populaire, est en vente chez Sandoz et Fischbacher, 33, de Se Elle formera 9 volumes ou fascicules à CENTIMES. 12 nt parus. On les reçoit franco contre l'envoi de 1 fr ACHATS ET VENTE DE FONDS DE COMMERCE fabrique de Cadres et Moulures, vll de 300,000 hab., port de mer, pas de concours. yLro,e 3,500 fr. Prix, 12,000 fr. Liebbe, rue A-Septembre, 8. (1621) À céder de suite; a beau, DONNE 1 HÔTEL 6,000,000 fr. net 5,000,000. Bail 11 ans. Pr. 1,000,000. 11. LAHAYE, boulevard Sébastopol, 103. (2 AVIS SRVEID SREAMIAG BICHE, l'. Mbg, Paris. 1 h. à 5 h. Vve GUYOT (1701) LES DEMANDES D'MPRNTS faites à al BANQUE VIAGÈRE (océ anonyme pour favoriser le développement du crédit pr l'assurance), doivent être adressées directement au sèg alco,is 17, r de Châteaudun, Paris. (893) REQUISE Demande 'un Gérant, grande honorabilité exigée. P. reste. V. R., 23 Paris. (1891) RICHE MARIAGE Mme S'adresser ISÉRABLE, à une heure à cinq, 35, rue Richelieu, Paris. (1558) CONSEIL ET maison de santé de: VÉRITÉ, sage-femme de las Installation très confortable. Beau jardin. Hydrothérapie. Bains de vapeur. Asnières (Seine), 1, r.du Congrès. (1900) INDUSTRIE T OMCE PIANOS FACTEURS Payables en trois années. — Envoi en province. GI,NLOS fabricant, 41, r. de la Chaussée-d'Antin. ACHETÉ DIAMANTSS BIJOUX H.L.uBleresses, 10 r. des Princes (Bd des Italiens). PIANOS de tous les facteurs CRÉDIT Chez SCHACK, rue Cmrtn. Envoi n province. MÉDECINE — PHARMACIE VICES DU SANG organes internes, cancers, épilepsies, asthmes, etc. UN garantit les honoraires |
h. Vve GUYOT. (1701) LES DEMANDES D'EMPRUNTS faites à la BANQUE VIAGÈRE (.Société anonyme pour favoriser le développement du crédit par l'assurance), doivent être adressées directement au siège social, 17, r. de Châteaudun, Paris. (893) REQUISE Demande d'un Gérant, grande honorabilité exigée. P. reste. V. R., 23, Paris. (1891) RICHE MARIAGE Mme S'adresser ISÉRABLE, à une heure à cinq, 35, rue Richelieu, Paris. (1558) CONSEIL ET maison de santé de: VÉRITÉ, sage-femme de classe. Installation très confortable. Beau jardin. Hydrothérapie. Bains de vapeur. Asnières (Seine), 1, r.du Congrès. (1900) INDUSTRIE ET COMMERCE PIANOS FACTEURS Payables en trois années. — Envoi en province. GILSON, fabricant, 41, r. de la Chaussée-d'Antin. ACHETÉ DIAMANTSS BIJOUX H.L.uBleresses, 10, r. des Princes (Bd des Italiens). PIANOS de tous les facteurs CRÉDIT Chez SCHACK, 53, rue Caumartin. Envoi en province. MÉDECINE — PHARMACIE VICES DU SANG organes internes, cancers, épilepsies, asthmes, etc. UN garantit les honoraires qu'après guérison. Nr, 1 ,I-ln son. ROEBE, médecin homoopathiste, r. d'Amsterdam, 22, de 3 à 5 h. (Affranchir). STERILITÉ DE LA FEMME constitutionnelle ou accidentelle, complètement détruite par le traitement de Mme LACHAPELLE, maîtresse sage-femme, professeur d'accouchements. Consultations tous les jours de trois à cinq heures, rue Monthabor, 57, près les Tuileries. PALLITUBE anti-rheumatismale et antigoutteuse LE SAULT. Maison spéciale de Massage, sous la direction d'un Dr de la Fac. de Paris, 3, route de la Revolte (porte Maillot). Brochure gratuite. Dépôt de la pommade pharmaceutique Regumult, rue Caumartin, 25, Paris. SADENTIFRICE DU DOCTEUR JIMONEAU Cabinet, 8, rue Richelieu. Reçoit de 10 à 4 heures. NOUVEAU TRAITEMENT DU PISTILULAIRE CU' ENET médecin de la Faculté de Paris, Dr JL fjviUIjliJC 1 . membre de Sociétés scientifiques Guérison radicale des maladies contagieuses : écoulements récents ou anciens, ulcères et dartres. Ce traitement, par suite d'expériences comparatives faites tout récemment, est reconnu le plus efficace et le plus prompt. — Consultations gratuites de midi à sept heures et par correspondance. Rue des Halles, 5, près la Tour-St-Jacques. Paris. MONTURE FIXE (Système Anglais). A L'ISOMÉNIE NDEOEÉCHTISTIONS & ARMOURAIE y Pour Magasins, Bureaux, Agences et Appartements. Faisant ressortir les objets exposés dans les vitrines | h. Vve GUYOT. (1701) LES DEMANDES D'EMPRUNTS fts à la BAQUE VIAGÈRE (.Société anonyme pour favoriser le développement du crédit par l'assurance), doivent être adreses directement au siège social, 17, r. d Châteaudun, Paris. (893) REQUISE Demande 'un Gérant, grnd honorabilité éxegei. P reste. V. R 23, Paris. (1891) RICHE MG mMe S'adresser ISÉRABLE, n hr à cinq, 35, rue Richelieu, Paris. (18 CONSEIL ET maison de santé de: VÉRITÉ sage-femme de classe. Installation très confortable. Beau jardin. Hydrothérapie. ins vapeur. Asnières (Seine), 1, .du Congrès. (1900) INDUSTRIE ET COMMERCE PIANOS FUESCRAT Payables ne trois années. — Evoi en province GILSON fabricant, 41 . de la Chaussée-d'Antin. ACHETÉ DIAMANTSS BIJOUX H.L.uBleresses, 10, r. des Princes (B des Italiens). PNS de ts ls facteurs CRÉDIT zChe SCHACK, 53, rue Cm.ranatui Envoi en province. MÉDECINE — PHARMACIE VICES D SANG rgns internes, anc, épilepsies, asthmes, tc. UN garantit les honoraires qu'après gérsn. Nr, 1 ,I-ln son. ROEBE, médecin homoopathiste, r. esdrtd,'mmAa 22, de 3 à 5 h. (Affranchir). STERILITÉ D LA FEMME constitutionnelle ou accidentelle, complètement détruite par le traitement d Mme LACHAPELLE maîtresse sage-femme, professeur odsucmh'nacect.e Consultations ts ls jours de trois cinq heures, rue Monthabor, 57, près les Tuileries. PTUBE -mmutahteliseiaanr et antigoutteuse LE SAULT. Maison spéciale de Mae sous la direction d'un Dr d l Fac. ed risa,P 3, route de la Revolte (porte Mllt). Brochure grtt. tôDép de la me pharmaceutique Regumult, rue Caumartin, 25, Paris. SADENTIFRICE UD DOCTEUR JIMONEAU Cabinet, 8, rue Richelieu. Reçoit de 10 à 4 heures. NOUVEAU RATTENITEM DU PISTILULAIRE CU' ETEN médecin de la Faculté de Paris, Dr JL fjviUIjliJC . mmeber de Sociétés sniues Guérison radi des maladies contagieuses : écoulements récents ou anciens, ulcères t dartres Ce tritet, par suite d'expériences ecartompsiav faites tout récemment, est nuconre le plus efficace et l us prop. — Consultations gratuites de midi à sept heures te par rceooacnsnep.dr R des Halles, , près la Tour-St-Jacques. Paris. MONTURE FIXE (Système na.il)Ags A L'SÉI NDEOEÉCHTISTIONS & ARMOURAIE y ruoP Magasins, Bureaux, Aees Appartements. Fsnt ressortir les bet exposés dans les vitrines |
les Tuileries. PALLITUBE anti-rheumatismale et antigoutteuse LE SAULT. Maison spéciale de Massage, sous la direction d'un Dr de la Fac. de Paris, 3, route de la Revolte (porte Maillot). Brochure gratuite. Dépôt de la pommade pharmaceutique Regumult, rue Caumartin, 25, Paris. SADENTIFRICE DU DOCTEUR JIMONEAU Cabinet, 8, rue Richelieu. Reçoit de 10 à 4 heures. NOUVEAU TRAITEMENT DU PISTILULAIRE CU' ENET médecin de la Faculté de Paris, Dr JL fjviUIjliJC 1 . membre de Sociétés scientifiques Guérison radicale des maladies contagieuses : écoulements récents ou anciens, ulcères et dartres. Ce traitement, par suite d'expériences comparatives faites tout récemment, est reconnu le plus efficace et le plus prompt. — Consultations gratuites de midi à sept heures et par correspondance. Rue des Halles, 5, près la Tour-St-Jacques. Paris. MONTURE FIXE (Système Anglais). A L'ISOMÉNIE NDEOEÉCHTISTIONS & ARMOURAIE y Pour Magasins, Bureaux, Agences et Appartements. Faisant ressortir les objets exposés dans les vitrines et permettant voir à l'extérieur sans être vus. Voir les spécimens: Pl. de l'Opéra, r. du 4 Sept. et Scribe, boulevard des Italiens, galeries du Palais-Royal. FABRICATION 220, RUE St-DENIS, Paris EXTRÊME DE VIE LBIG1 : INALTERABLE — ÉCONOMIQUE BOULLION HYDROCHIQUE QUATRE MÉDAILLES D'OR ! Paris. 1860..Le Havre 1868-1869 TROIS GRANDS DIPLOMES D'HONNEUR Amsterdam 1869 ~ Paris 1868 I Vienne 1838 i MÉDAILLE — HORS CONCOURS LYON 1873 1 Exiger le fac-similé de la signature en encre bleue A 9 le Dernier des Petites-Boucher. Pas de détail chez les épiciers et marchands de comestibles. SAVON ROYAL DE TRIEDACE m VIOLET Seul recommandé par les Célébrités médicales pour le Velouté et la Fraîcheur de la Peau, 42, Boulevard des Capucines, La Rotonde du Grand-Teâtel. VINAIGRE DE TOILETTE de la Société Hygiénique M Le VINAIGRE DE LA SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE n'admet dans sa composition que des substances toniques, aromatiques et salutaires. Sans avoir l'action siccative et échauffante de l'eau de Cologne, il en possède toutes les propriétés bienfaisantes; il la remplace avec une grande supériorité dans tous ses usages; il est plus riche en principes aromatiques et balsamiques; l'odeur en est plus fine et plus suave: il assainit et purifie l'air; il fortifie | ls isuelr.ieT PALITU anti-rheumatismale t antigoutteuse LE SAULT. Maison spéciale de Massage, sous la direction d'un Dr de la Fac. de Paris, 3, route de la Revolte (peotr Mllt). Brchr gratuite. Dépôt de l pommade pharmaceutique Regumult, rue Caumartin, 25, Paris SADENTIFRICE DU DCTR JIMONEAU naeC,tbi 8, rue Richelieu. Reçoit de 10 à 4 heures. NOUVEAU TRAITEMENT DU EIITPRLLUAIS U' ENET médecin de la ed Paris, Dr JL fjviUIjliJC membre de Sociétés scientifiques Guérison radicale des maladies contagieuses : éscenotlmeu récents ou anciens, ulcères et dartres. Ce traitement, suite d'expériences eacrovmtaspi faites tout récemment, est ren le plus efficace te le plus prompt. — Consultations gratuites de midi à sept heures et par correspondance. Rue des Halles, 5, près la Tour-St-Jacques. Paris. MONTURE IXE Système Anglais). A 'ISOMÉNIE NDEOEÉCHTISTIONS & ARMOURAIE y Pour Magasins, Bureaux, gncs et Appartements. Faisant rssrtr les objets exposés dans les vitrines et permettant voir à l'extérieur sns être vus. Voir spécimens: Pl ed 'Opéra, . du 4 Sept. t Scribe, boulevard des Italiens, galeries du Palais-Royal. FBRIAO 220, RUE St-DENIS, Paris RME DE V LB1IG : NLTRBL COMÉQOENUI BOULLION HYDROCHIQUE QUATRE MÉDAILLES D'R ! Paris. .06e.L18 Havre 1868-1869 TRS RA DIPLOMES DHONNEUR Amsterdam 69 ~ iarPs 1868 I Vienne 1838 i MÉDAILLE — HORS CONCOURS LYON 1873 1 Exiger el fc-smlé d l sgnur n encre bleue A 9 l Dernier des Petites-Boucher. Pas de détl hcez les épiciers et marchands de comestibles SVN ROYAL ED TRIEDACE m VIOLET Seul recommandé par les Célébrités médicales uorp le Velouté et la Fraîcheur de la Peau, 42, Boulevard dse Capucines, La Rotonde du Grand-Teâtel. VINAIGRE DE TOILETTE de la Société Hygiénique M Le VINAIGRE DE LA SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE n'admet dans sa composition que des substances toniques, aromatiques et salutaires. aSsn avoir l'action siccative t échauffante de u de Cologne il en possède toutes ls propriétés bienfaisantes; il la remplace avec une grande supériorité n tous ses usages; l est plus riche en principes aromatiques et balsamiques; l'odeur en plus fine et plus suave: il ssnt t prf l'air; il fortifie |
GRANDS DIPLOMES D'HONNEUR Amsterdam 1869 ~ Paris 1868 I Vienne 1838 i MÉDAILLE — HORS CONCOURS LYON 1873 1 Exiger le fac-similé de la signature en encre bleue A 9 le Dernier des Petites-Boucher. Pas de détail chez les épiciers et marchands de comestibles. SAVON ROYAL DE TRIEDACE m VIOLET Seul recommandé par les Célébrités médicales pour le Velouté et la Fraîcheur de la Peau, 42, Boulevard des Capucines, La Rotonde du Grand-Teâtel. VINAIGRE DE TOILETTE de la Société Hygiénique M Le VINAIGRE DE LA SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE n'admet dans sa composition que des substances toniques, aromatiques et salutaires. Sans avoir l'action siccative et échauffante de l'eau de Cologne, il en possède toutes les propriétés bienfaisantes; il la remplace avec une grande supériorité dans tous ses usages; il est plus riche en principes aromatiques et balsamiques; l'odeur en est plus fine et plus suave: il assainit et purifie l'air; il fortifie et ranime les fonctions des organes de la respiration; il rafraîchit le cerveau, raffermit les chairs et donne du ton à tout l'organisme. BLANCHEUR DE LA PEAU TOILETTE DES DAMES BOUTONS, ROUGEURS Ses qualités toniques, balsamiques et rafraîchissantes, le rendent inappréciable pour la Blancheur de la Peau et la Toilette des Dames. Quelques gouttes par verre d'eau, il rafraîchit et adoucit la peau ; il lui donne du ton et de la fermeté; il fait passer les rougeurs, boutons, taches de rousseur, éphélides et efflammations. Les Médecins recommandent le VINAIGRE DE LA SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE aux personnes qui Après la barbe, il ôte le feu du rasoir mieux que tout autre préparation. Il est aussi d'une grande utilité pour celles qui sont fréquentes aux spectacles, les bals et autres lieux où l'air est plus ou moins vicié. Il est grand aussi d'une grande utilité pour celles qui sont sujettes aux pesanteurs de tête, aux migraines, aux maux de côlon, aux syncopes. Il convient parfois d'un flacon de ce VINAIGRE, raffermit les reins, redonne de la souplesse et de la vigueur aux membres fatigués, répare les forces, détruit toute odeur de transpiration, fétide, procure un bien-être inexprimable, et laisse tout le corps | GRANDS DIPLOMES D'HONNEUR Amsterdam 1869 ~ Paris 1868 I Venne 1838 i MDAE — HORS CONCOURS LYON 1873 1 xgeEir le fac-similé ed la signature en encre bleue A 9 l Dernier des Petites-Boucher. Pas de détail chez les escpriié et marchands de comestibles. SAVON ROYAL DE TRDC m VIOLET Seul recommandé par les Célébrités médicales pour le Velouté et la Frcheur de la Peau, 42, Boulevard ds Capucines, La Rotonde ud Grand-Teâtel. VINAIGRE DE TOILETTE de la Société Hygiénique M Le VINAIGRE DE LA SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE n'admet dans sa composition que des substances qes, aromatiques et salutaires. Sans avoir lio scctv et htéfancfuae d l'eu de Cologne, il en possède toutes les propriétés bienfaisantes; il la remplace avec une grande supériorité dans tous ses usages; l est plus riche principes aromatiques et balsamiques; l'odeur en est plus fine t plus suave: il assainit et purifie l'air; li fortifie et ranime les fonctions des organes de la respiration; il rafraîchit le cerveau, raffermit les chairs et donne du ton à tout l'organisme. BLANCHEUR DE LA PEAU TOILETTE DS DAMES BOUTONS ROUGEURS Ses qualités toniques, balsamiques et rafraîchissantes, le rendent inappréciable pour la Blancheur de l Peau et la Toilette des Dames. Quelques gouttes par verre d'eau, il rraftaichî et adoucit la peau ; il lui one du ton et de la fermeté; fait passer les rougeurs, souto,bn taches de rousseur, éphélides et elmtos Les Médecins recommandent le VINAIGRE DE LA SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE aux personnes qui Après al barbe, il ôte le feu du saiorr mieux que tout auret préparation. Il est aussi du grande tlté pour celles qui sont fréquentes aux spectacles, les bals et trs lieux où l'air est plus ou moins vicié. l est grand aussi d'une grande utilité pour celles qui sont sjtts aux pesanteurs de tête, aux migraines, aux maux d côlon, aux syncopes. Il convient parfois d'un flacon de ce VINAIGRE, raffermit els reins, redne de la souplesse et de la vigueur aux membres fatigués, répare les forces, détrut outte odeur ed transpiration, fétide, cuorerp un bien-être inexprimable, et laisse tout le corps |
des Dames. Quelques gouttes par verre d'eau, il rafraîchit et adoucit la peau ; il lui donne du ton et de la fermeté; il fait passer les rougeurs, boutons, taches de rousseur, éphélides et efflammations. Les Médecins recommandent le VINAIGRE DE LA SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE aux personnes qui Après la barbe, il ôte le feu du rasoir mieux que tout autre préparation. Il est aussi d'une grande utilité pour celles qui sont fréquentes aux spectacles, les bals et autres lieux où l'air est plus ou moins vicié. Il est grand aussi d'une grande utilité pour celles qui sont sujettes aux pesanteurs de tête, aux migraines, aux maux de côlon, aux syncopes. Il convient parfois d'un flacon de ce VINAIGRE, raffermit les reins, redonne de la souplesse et de la vigueur aux membres fatigués, répare les forces, détruit toute odeur de transpiration, fétide, procure un bien-être inexprimable, et laisse tout le corps imprégné d'un parfum suave et durable. ENTREPÔT général à Paris, rue de Rivoli, 55 Maison : Palais-Royal, galerie d'Orléans, 24; — Boulevard des Italiens, 11; Boulevard de la Madeleine, 19. On trompe le public en vendant comme provenant de la SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE certaines compositions qualifiées à dessein du mot HYGIÉNIQUE. Le public ne devra recevoir comme provenant de notre Établissement que les Articles portant pour inscription, non pas la seule et vague addition du mot HYGIÉNIQUE, mais ces deux mots : SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE, ainsi que le cachet de la Société et la signature ci-dessus. En exigeant la preuve de ces indications, le public évitera les imitations qui, comme les contrefaçons, n'en trompent pas moins l'Acheteur sur l'origine et la nature de la marchandise. Depuis 27 ans, elle combat avec un invariable succès les constipations, dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, vides, aigreurs, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements, même en grossesse, diarrhée, dysenterie, coliques, phthisie, toux, asthme, étouffements, étourdissements, oppression, congestion, névrases, insomnie, mélancolie, diabète, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose. 85,000 cures, y compris celles de M. le duc de Pluskow, Mme la marquise de Bréban, des docteurs Dédé, Wurzer, Campbell, Schorland, Ure, Angelstein, etc. Elle économise 50 fois son prix en | des Dames. Quelques gouttes par verre d'eau, il rafraîchit et adoucit la peau ; il lui donne du tn et de frmté; il fait passer s rougeurs, boutons, taches de rousseur éphélides et efflammations. Les Médecins recommandent le VINAIGRE DE LA SOCIÉTÉ IÉNIQE aux prsnns qui Après la barbe, il ôte le feu du aoi mieux que ut autre préparation. Il est aussi d'une grande utilité pour celles qui sont fréquentes aux spectacles, sel bals t autres ieux où l'air s plus ou moins vcé. Il est grand aussi d'une rne utilité pour celles qui sont sujettes aux pesanteurs ed tte, aux mgrns, aux maux de côlon, aux syncopes Il convient parfois 'un flacon de ce VINAIGRE, raffermit les reins, redonne de la souplesse te la igueu aux membres fatigués, répare les forces, détruit to odeur d transpiration, fétide, procure un bien-être inexprimable, t laisse tout le corps imprégné d'un parfum suave et durable. ENTREPÔT général à Paris, rue de Rivoli 5 Maison : Palais-Royal, galerie d'Orléans, 24; — Boulevard des Italiens, 11; Boulevard de la Madeleine, 19. On trompe le public en vendant comme provenant de la SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE crtie comsins qualifiées à dessein du mot HYGIÉNIQUE. Le public ne dvr recevoir comme provenant de notre Étblssmnt que s Articles ort pour inscription, non pas la seule et vague addition du mot HYGIÉNIQUE, mais cs deux mots : SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE, ainsi que le echtac de la Société et la signature ciesus. En exigeant la preuve de ecs indications le public évitera les imitations qui, comme les contrefaçons, n'en trompent pas moins l'chtr sur l'origine et la nature de la mrchnds. Depuis 7 ans elle combat avec un invariable succès les constipations, dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, lires, vds, aigreurs, acidités, pituites, nsés, renvois, vomissements, mêm en grossesse diarrhée, dysenterie, coliques, phthisie, toux, asthme, étouffements, étourdissements, oppression, congestion, névrases, insomnie, mélancolie, dbèt, faiblesse épsmnt, anémie, chlorose. 85000 cures, y compris celles de . le duc de lusw Mme la marquise d Bréban, des docteurs Dédé, Wurzer, Campbell, Schorland, Ure, Angelstein, etc. El oi 50 fois son prix en |
Le public ne devra recevoir comme provenant de notre Établissement que les Articles portant pour inscription, non pas la seule et vague addition du mot HYGIÉNIQUE, mais ces deux mots : SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE, ainsi que le cachet de la Société et la signature ci-dessus. En exigeant la preuve de ces indications, le public évitera les imitations qui, comme les contrefaçons, n'en trompent pas moins l'Acheteur sur l'origine et la nature de la marchandise. Depuis 27 ans, elle combat avec un invariable succès les constipations, dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, vides, aigreurs, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements, même en grossesse, diarrhée, dysenterie, coliques, phthisie, toux, asthme, étouffements, étourdissements, oppression, congestion, névrases, insomnie, mélancolie, diabète, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose. 85,000 cures, y compris celles de M. le duc de Pluskow, Mme la marquise de Bréban, des docteurs Dédé, Wurzer, Campbell, Schorland, Ure, Angelstein, etc. Elle économise 50 fois son prix en médecine BIT BiBRV et €o, PARIS Et Partout chez les Pharmaciens et Épicier (1370) L'EAU DE CACHOU DENTIFRICE Célèbre par les célébrités médicales, de la préférence et de la faveur du public, qui la placent au premier rang des dentifrices, peut affirmer son immense supériorité sur toutes les autres eaux dentifrices à base d'ANIS, qui échauffent et irritent la bouche et la gorge. Le CACHOU-OPIUM À LA GLYCERINE et la POUDRE DENTIFRICE AU CACHOU, donnent aux dents blancheur et solidité. — Vente en gros: 13, boulevard Saint-Germain, Paris. Détail chez les principaux pharmaciens, parfumeurs et coiffeurs. (1912) Doctor Benito del Rio de Mexico, si recommandée pour ses sucres dans la guérison des maladies de poitrine, notamment, etc., se vend à 2 fr. 25, 3 fr. et 7 fr., à Paris, 9, place des Petits-Pères, 6h rue Basse-du-Rempart, et dans toutes les principales maisons. Propagateur R. Barlerin, Tarare (Rhône), envoie franco 20 potages pour 2 fr. 75. Mise en dents et maladies faciales, Une application du Topique dans l'oreille est souvent suffisante pour la guérison. PHARMACIE, 26, rue Temple, Paris (Exp.). RÉGIE DES ANNONCES DE LA LIBERTÉ PERFECTIONNEMENT EAU GAULOISE À BASE DE GLYCÉRINE ET DE JAMBON Pour l'hygiène et la | Le public ne devra recevoir comme provenant de notre Établissement que les Articles portant pour inscription, non ps la seule et vague addition du mt HYGIÉNIQUE, mais ces deux mots : SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE, ainsi que le cachet de la Société et la signature ci-dessus. En exigeant la preuve de ces ndicaons le public évitera les imitations qui, comme les contrefaçons, n'en trompent pas moins l'Acheteur sur l'origine et la nature de la marchandise. Depuis 27 ans, elle combat avec un invariable succès ls constipations, dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, vides, aigreurs, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements, même en grossesse diarrhée, dysenterie, coliques, phthisie, toux, asthme, étouffements, étourdissements, oppression, congestion, névrases, insomnie, laoie, diabète, fblss, épuisement, ia,enmé chlorose. 85,000 cures, y compris celles de M. le u de Pluskow, Mme la marquise d Bréban, des docteurs Dédé, Wurzer, Campbell, Sholnd, Ure, nglstn, etc. Elle économise 50 fois son prix en médecine BIT BiBRV et €o, PARIS Et Partout chez les Pharmaciens et Épicier (1370) L'EAU DE CACHOU DENTIFRICE Célèbre rap ls célébrités médicales, de l préférence et de la faveur du public, iqu la placent au premier rang des dentifrices, peut affirmer sn immense supériorité sur toutes les autres eaux dentifrices à base 'ANIS, qui échauffent et irritent la bouche te la gorge. eL CACHOU-OPIUM À LA GLYCERINE et la PDR DENTIFRICE AU CACHOU, donnent aux dents blancheur et sldté. — Vnte en gros: 13, boulevard Saint-Germain, Paris. Détail chez les principaux pharmaciens, parfumeurs et coiffeurs. (1912) coroDt Benito del Rio de Mexico, si recommandée pour ses sucres dans la guérison des maladies de poitrine, notamment, etc., se vend à fr. 25, 3 fr. et 7 fr., à Paris 9, place des Ptts-Pèrs, 6h rue Basse-du-Rempart, et dans toutes les principales maisons. Propagateur R. Barlerin, Tarare (Rhône), envoie franco 20 potages pour 2 fr. 75. Ms en dents et maladies faciales, Une application du Topique dans l'oreille est souvent suffisante pour la gérsn. PHARMACIE, 26, rue Temple, Paris (Exp.). RÉG DES ANNONCES DE LA LIBERTÉ PERFECTIONNEMENT EAU GAULOISE À BASE DE GLYCÉRINE ET DE JAMBON Pour l'hygiène et la |
dentifrices à base d'ANIS, qui échauffent et irritent la bouche et la gorge. Le CACHOU-OPIUM À LA GLYCERINE et la POUDRE DENTIFRICE AU CACHOU, donnent aux dents blancheur et solidité. — Vente en gros: 13, boulevard Saint-Germain, Paris. Détail chez les principaux pharmaciens, parfumeurs et coiffeurs. (1912) Doctor Benito del Rio de Mexico, si recommandée pour ses sucres dans la guérison des maladies de poitrine, notamment, etc., se vend à 2 fr. 25, 3 fr. et 7 fr., à Paris, 9, place des Petits-Pères, 6h rue Basse-du-Rempart, et dans toutes les principales maisons. Propagateur R. Barlerin, Tarare (Rhône), envoie franco 20 potages pour 2 fr. 75. Mise en dents et maladies faciales, Une application du Topique dans l'oreille est souvent suffisante pour la guérison. PHARMACIE, 26, rue Temple, Paris (Exp.). RÉGIE DES ANNONCES DE LA LIBERTÉ PERFECTIONNEMENT EAU GAULOISE À BASE DE GLYCÉRINE ET DE JAMBON Pour l'hygiène et la RECOLORATION des Cheveux et de la Barbe Cette Eau incomparable ne rend pas seulement aux cheveux décolorés leur nuance primitive, elle leur donne la force, la souplesse et le lustre de la jeunesse. Entrepôt général à Paris, 4, RUE DE PROVENCE. JUPON ARTICULÉE à branches verticales, pliant comme les jambes. Soutient bien le dos. Robe en arrière. Plus de balonnement. Au bal, en ville, en voiture, partout on apprécie ses avantages. — TOURNURE POUFF, grossissant à volonté, se redressant d'elle-même. Bêtes s. g. d. g. Ecrire, 39, Boulevard St-Martin. PARIS. PHARMACIES DE FAMILLE à 20, 40 et 60 francs 1ère édition aux Éditions — Envoi franco de la Notice PHARMACIE NORMALE 18, rue Drouot. — Paris PILULES DE CLÉRAMBOURG purgatives, digestives, dépuratives; détruisent CONSTIPATION, ACIDE, VICES DU SANG, rétablissent l'APPÉTIT, purgent doucement sans coliques, sans interrompre les occupations. — 0,60, 1,20, 2,40 la boîte dans les pharmacies. Dépôt : Phéde 93, r.St-Honoré, envoi par poste contre 0,75 timbre-p. Exiger nom de l'inventeur. COMMISSION pour décors, costumes, partitions, brochures, manuscrits. MISE EN SCÈNE d'opéras, féeries, ballets, comédies, drames, vaudevilles anciens et modernes et d'opérettes. Dessins de salon, en couleurs, pour commandes de décors et costumes, ainsi que de toilettes de ville | dentifrices à baes 'ANIS, qui uffet irritent la bouche t la gorge. Le CACHOU-OPIUM L GLYCERINE et la POUDRE DENTIFRICE AU CACHOU, donnent xau dents blancheur et solidité. — ete en grs: 13, boulevard Saint-Germain, Paris. Détail chez les principaux pharmaciens, urmfpauesr et coiffeurs. (1912) Doctor Benito del Rio de Mexico, si recommandée r ses sucres dns la guérison des maladies de poitrine, ntammn, etc., se ve à 2 fr. 25 3 fr. et 7 fr., à Paris, 9 place des Petits-Pères, 6h rue Bss-d-Rmprt, et dans toutes les principales maisons. Propagateur . Barlerin, Tarare (Rhône), envoie franco 20 potages pour 2 fr. 75. ie en dents et adeilmas fcls, Une application du Topique dans l'oreille est souvent suffisante pour la guérison. PHARMACIE, 26, rue Temple, Paris (Exp.). RÉGIE DES NOS DE LA LIBERTÉ PERFECTIONNEMENT EAU GAULOISE À BASE DE GLYCÉRINE ET D JAMBON Pour l'hygiène et la RECOLORATION des Chvx et de la Barbe Cette Eau incomparable ne rend ps slmnt x chvx décolorés leur nuance prmtv, elle lreu donne la force la souplesse et le lustre de la jeunesse. Entrepôt général à Paris, 4, EUR DE PROVENCE. JUPON ARTICULÉE à branchs verticales, pliant comme les jambes. Stnt inbe le dos. Robe en aèr Plus de balonnement. Au bal, n ville, en vtr, partout on apprécie ses avantages. — TOURNURE POUFF, grossissant lv,étnoo s rdrssnt d'elle-même. Bêtes s. g. d. g. Ecrire, 39, Boulevard St-Martin. PARIS. PHARMACIES DE FAMILLE à 20, 40 et 0 francs 1ère édition aux Éditions — Envoi franco de la Notice PHARMACIE NORMALE 18, rue Drouot. — Paris PILULES DE CLÉRAMBOURG purgatives, digestives, dépuratives; détruisent CONSTIPATION, AD,ICE VCS DU SANG, rétablissent l'APPÉTIT, egrntup dcmnt sans sqeiuloc, sans interrompre ls occupations. — 060 ,20, 2,40 la boîte dans les pharmacies. Dépôt : Phéde 93, rtnHor.Sé,-o nivoe par poste ctenro 0,75 timbre-p. Exiger nom d l'inventeur. COMMISSION pour décors, costumes partitions, brochures, manuscrits. MISE EN SCÈNE dopéras féeries, ballets, comédies, drames, vaudevilles anciens et modernes et d'opérettes. Dessins de salon, en luerc,sou pour commandes de décors t costumes, ansi que de toilettes de ville |
Soutient bien le dos. Robe en arrière. Plus de balonnement. Au bal, en ville, en voiture, partout on apprécie ses avantages. — TOURNURE POUFF, grossissant à volonté, se redressant d'elle-même. Bêtes s. g. d. g. Ecrire, 39, Boulevard St-Martin. PARIS. PHARMACIES DE FAMILLE à 20, 40 et 60 francs 1ère édition aux Éditions — Envoi franco de la Notice PHARMACIE NORMALE 18, rue Drouot. — Paris PILULES DE CLÉRAMBOURG purgatives, digestives, dépuratives; détruisent CONSTIPATION, ACIDE, VICES DU SANG, rétablissent l'APPÉTIT, purgent doucement sans coliques, sans interrompre les occupations. — 0,60, 1,20, 2,40 la boîte dans les pharmacies. Dépôt : Phéde 93, r.St-Honoré, envoi par poste contre 0,75 timbre-p. Exiger nom de l'inventeur. COMMISSION pour décors, costumes, partitions, brochures, manuscrits. MISE EN SCÈNE d'opéras, féeries, ballets, comédies, drames, vaudevilles anciens et modernes et d'opérettes. Dessins de salon, en couleurs, pour commandes de décors et costumes, ainsi que de toilettes de ville et de bal pour les dames. — S'adresser à M. DAVID, de l'Opéra, r. St-Georges 9, Paris PHOTOGRAPHIE DU CHATELET EUGÈNE CLÉMENT 43 — Rue de Rivoli — 43 ANNONCES ÉCONOMIQUES Ce Feuillet d'annonces spéciales a été créé dans la Liberté pour vulgariser la publicité de certains avis au public : ce que les Commandités et Fonds de commerce, les Ventes à l'amiable et locations d'immeubles, les Ventes et achats de chevaux, voitures et objets d'occasion, les Demandes et offres d'emplois, etc. PRICE DE LA LIBERTÉ 50 CENTIME S'adresser à MM. Ch. Lagrange, Cerf et C, 6, place de la Bourse, ou à l'administration de la Liberté, 158, rue Montmartre. VENTES À L'AMIABLE ET LOCATIONS D'IMMEUBLES 687 — L'Isle Adam, 5 min. station. À louer, belle villa meublée, Ecurie. Jardin de 40,000 hl. Vue superbe. M. Besançon, 521, r. N.-D. de Lorette. 1088.-À louer Maison avec grand jardin, 400 f. r. Péragé, 67, Neuilly. 3069.-À louer meublé, Château de Peautmarchais, près Tournus, 71-73, route de Courmoye, avec droit à la pêche et à la chasse sur 150 hectares terre et bois d'un seul tenant. S'adresser à M. Salmon, notaire à Tournus (Seine-et-Marne). 3090. — A. LOUES, pour le terme, JOLI | Soutient bien el dos. Robe en arrière. Plus de balonnement. Au bal, en ville, en voiture, partout on apprécie ess avantages. — TOURNURE FUOFP, grossissant volonté, se redressant d'll-mêm. Bêtes s. . d. g. Ecrire, 39, Boulevard Sttin. IS. PHARMACIES DE FAE à 20 40 et 60 francs 1ère édition aux ositnÉdi — oiEnv franco de la Ntc PHARMACIE NRML 18, rue Drouot. — Paris LLESIPU DE CLÉRAMBOURG purgatives, digestives, dépuratives; riéstduetn CONSTIPATION, ACIDE, VICES DU S,GNA tabit l'APPÉTIT, purgent doucement sans coliques, sans interrompre les occupations. 0,60, ,20, 240 la boîte dans les phrmcs. Dépôt : Phéde 93, r.St-Honoré, envoi apr poste contre timbre-p. Exiger nom de liete COMMISSION pour décors, costumes, partitions, brochures, manuscrits. MISE EN SCÈNE d'péras féeries, ballets, comédies, drames, vaudevilles anciens et modernes et 'opérettes. Dessins de salon, en couleurs, pour commandes de décors et costumes, ainsi que de toilettes d ville et de bal pr les dames — S'adresser à M DVD, de l'Opéra, . St-Georges 9, Paris PHOTOGRAPHIE DU CHATELET EUGÈNE CLÉMENT 43 Rue de Rivoli — 43 ANNONCES ÉCONOMIQUES Ce Feuillet d'anncs spéciales a été créé dans la Liberté poru vulgariser la publicité de crtns avis au public ce que les Commandités et Fnsod de commerce, les Ventes à l'mbl et locations d'immeubles, les Vnts et achats d chevaux, voitures objets c,oocsa'dni les Demandes et offres 'emlos tc. PRICE DE LA LIBERTÉ 50 CENTIME S'adresser à MM. Ch. Lagrange, Cerf et C, 6 place de la Bourse, ou à l'administration de la Liberté, 158, rue Montmartre. VNTES À L'AMIABLE ET LOCATIONS D'IMMEUBLES 687 L'Isle Adam, 5 min. station À louer, belle vll meublée, Ecurie. Jardin de 40,000 hl. Vue sprb. M. Besançon 521, r. . d Lorette. 1088.-À louer Maison avec grand jardin, f. r. Péag 67, Neuilly. 3069.-À louer meublé, Château de Peautmarchais, près Tournus, 71-73, route de Courmoye, avec droit la heêcp et à la chasse sur 10 hectares terre te bois d'un esul tenant. S'adresser à M. Salmon, i à Tournus (Seine-et-Marne). 3090. — A. LOUES, pour le trm, JL |
: ce que les Commandités et Fonds de commerce, les Ventes à l'amiable et locations d'immeubles, les Ventes et achats de chevaux, voitures et objets d'occasion, les Demandes et offres d'emplois, etc. PRICE DE LA LIBERTÉ 50 CENTIME S'adresser à MM. Ch. Lagrange, Cerf et C, 6, place de la Bourse, ou à l'administration de la Liberté, 158, rue Montmartre. VENTES À L'AMIABLE ET LOCATIONS D'IMMEUBLES 687 — L'Isle Adam, 5 min. station. À louer, belle villa meublée, Ecurie. Jardin de 40,000 hl. Vue superbe. M. Besançon, 521, r. N.-D. de Lorette. 1088.-À louer Maison avec grand jardin, 400 f. r. Péragé, 67, Neuilly. 3069.-À louer meublé, Château de Peautmarchais, près Tournus, 71-73, route de Courmoye, avec droit à la pêche et à la chasse sur 150 hectares terre et bois d'un seul tenant. S'adresser à M. Salmon, notaire à Tournus (Seine-et-Marne). 3090. — A. LOUES, pour le terme, JOLI APPARTEMENT, composé de Salon, Salle à manger, Cuisine, trois Chambres à coucher, deux Chambres de domestiques, 3,000 francs. Boulevard des Capucines, 9. 3091. — Appartement à louer, rue Galilée, 43. S'adresser au concierge. 3092. — À louer de suite à Surènes, jolie Maison meublée, avec jardin, écurie et remise, 400 fr. par mois. S'adresser au concierge rue Louis-le-Grand, 38. 3093 — APPARTEMENT MEUBLÉ à louer de suite pour l'été, rue du Septembre, 31. S'adresser au concierge. 3094 À louer entière et pour un prix modique, Une petite Maison située à Paris, rue de la Grande-Truanderie, 98, touchant les Rames centrales, où l'exploitait, il y a quelques jours encore une industrie de fermier et marchand de produits agricoles. S'adresser les renseignements à la rédaction de la Liberté, 188, rue Montmartre, de 9 heures à 5 heures. COMMANDITES ET FONDS DE COMMERCE 3095. — Bains, 50 baignoies, jardin d'agrément et potager, beau logement de maître. Loyer rare, 3,000 fr. Net 10,000 fr. Prix 30,000 fr. Agence Norbert Estibal et Cie, 77, rue de Rivoli. 3096 — Hôtel meublé, place de Vendôme, 24, 5,000 fr. loyer, net 6,000 fr. P. 16,000 fr. Bell, 9, fg Poissonnière DEMANDES ET OFFRES D'EMPLOIS 3097. — Un | : ce que les Commandités te Fonds de commerce, les Ventes à 'amiable et loas d'immeubles, les Ventes et achats de vx, voitures et objets d'occasion, les Demandes e offres d'emplois, etc. IE DE LA LIBERTÉ 50 CENTIME S'adresser à .MM Ch. Lgrng, Cerf te C, 6, elapc de la Bourse, ou à l'administration d la Liberté, 158, rue Montmartre. VENTES L'AMIABLE ET LOCATIONS D'MMBLS 687 — sIleL' Adam, 5 min. station. À lr, belle vlla mblé, Ecurie. Jardin de 40,000 hl. Vue sprb. M ,nBsançoe 521, r. .-D. de Lorette. 1088.-À louer Maison avec grd jardin, 40 f. r. a,réPgé 67, Neuilly. 3069.-À louer meublé, Château de Ptmrchs, près Tournus, 71-73, rt de Courmoye, avec drt à l pêch et à la chasse sur 150 hectares terre et bois d'un seul tenant. S'drssr à M. Salmon, notaire à our SeineetMarne 3090. A. LOUES, pour le terme, JO PPRTMNT, composé e Salon, Sale manger, Cuisine, trois Chambres à coucher, deux Chambres de domestiques, 3000 francs. Boulevard s Capucines, . 30 — Appartement à louer, rue Galilée, 43. 'adresser au cncrg. 3092. — À louer de suite à Surènes, jolie Maso meublée, avec jardin, écurie et remise, 400 fr. par ms. S'adresser au concierge r edluirso,aLn--G 38. 3093 — APPARTEMENT MEUBLÉ à louer de suite pr l'été, rue du Septembre, 1. S'drssr au concierge. 3094 À louer entière et pour un prix modique, Une petite n située à Pis, rue de la Grande-Truanderie, 98, touchant les Rames centrales, où l'exploitait, il y a quelques jours encore une industrie de fermier et marchand de rt agricoles. S'adresser les renseignements à la rédaction de la Liberté, 188, rue Montmartre, de 9 heures à 5 heures. COMMANDITES ET FONDS DE COMMERCE 3095. — Bains, 50 bgns, jardin d'agrément et potager, beau logement de maître. oer ae,rr 3,000 fr. Net 10,000 fr. Prix 30,000 f Agence Nrbrt Estibal et Cie, 77, rue de Rivoli. 3096 — Hôtel meublé, place de Vede, 24, 5,000 fr. loyer, net 6000 fr. 1600 fr Bell, 9, fg ssoniè DEMANDES ET OFFRES 'EMPLOIS 3097. — Un |
fr. par mois. S'adresser au concierge rue Louis-le-Grand, 38. 3093 — APPARTEMENT MEUBLÉ à louer de suite pour l'été, rue du Septembre, 31. S'adresser au concierge. 3094 À louer entière et pour un prix modique, Une petite Maison située à Paris, rue de la Grande-Truanderie, 98, touchant les Rames centrales, où l'exploitait, il y a quelques jours encore une industrie de fermier et marchand de produits agricoles. S'adresser les renseignements à la rédaction de la Liberté, 188, rue Montmartre, de 9 heures à 5 heures. COMMANDITES ET FONDS DE COMMERCE 3095. — Bains, 50 baignoies, jardin d'agrément et potager, beau logement de maître. Loyer rare, 3,000 fr. Net 10,000 fr. Prix 30,000 fr. Agence Norbert Estibal et Cie, 77, rue de Rivoli. 3096 — Hôtel meublé, place de Vendôme, 24, 5,000 fr. loyer, net 6,000 fr. P. 16,000 fr. Bell, 9, fg Poissonnière DEMANDES ET OFFRES D'EMPLOIS 3097. — Un excellent Cuisinier demande à se placer. Prendre des renseignements chez M. D..., 3, rue Cambacérès. 3098.-Une demoiselle de bonne famille pouvant offrir les meilleures références, désire commencer l'instruction française et musicale des enfants. S'adresser, 4, rue Monsigny, 11. 3099. — Leçons de piano, collège, enseignement musical, principaux du Conservatoire, chez Mme Hortet, rue de Lanczy, 30. Conditions très avantageuses. AVIS DIVERS 3100.—MARIAGES. M. et Mme Coy, 1 rue de Rivoli, 150, ancienne maison. Le Yéritable CIRAGUÉ des Ménages, Marque à la Jf Usine de Cesson (Seine-et-Marine), se vend dans les bonnes maisons d'Épicerie, Mercerie, Bazar et Brosserie. 3103.—VINS. François-Antoine, prop., à Serrigny-la-Forêt (Côte-d'Or), expédie ses vins Cortons 72 à 10 fr. la pièce, pris sur place.— VINS FINS, Beaune et Corton, à 100 fr. le quart. Spécialité (Arrondissement de Beaune). 3103. — Notions pour contenter promptement la Règle des participes et pour en résoudre toutes les difficultés, suivies d'Exercices d'application, par Louis Loire. (Deuxième édition.) Ce petit livre fait de l'étude des participes une véritable distraction; par un enseignement simple et rationnel, il apprend à éviter les écueils d'une phrase comme celle-ci : « Après s'être aimés avec tendresse, ces personnes ont passé à des sentiments tout opposés : elles | fr. par mois. S'adresser au concierge rue Louis-le-Grand, 38. 3093 — APPARTEMENT MBLÉ à louer de suite pour l'été, rue ud Sptmbr, 31. S'adresser au concierge. 0439 À louer entière et pour un prix modique, Une petite Maison située à Paris rue de la Grande-Truanderie, 98, touchant l Rames centrales, où l'exploitait, il a quelques jours encore une industrie de fermier et rchnd de produits agricoles. S'adresser les renseignements à la rédaction de la Liberté, 188, rue Montmartre, de 9 heures 5 heures. COMMANDITES ET FONDS DE COMMERCE 3095. — sniBa, 50 baignoies, jardin d'agrément et potager beau logement de maître. Loyer rare, 3,000 fr. Net ,00 fr. Prix 30,000 fr. Agence Norbert Estibal et Cie, 77, rue de Rivoli. 3096 — Hôtel meublé, place d Vendôme 24, 5,000 fr. loyer, net 6,000 fr. P. 16,000 fr. Bll, 9, fg Poissonnière DEMANDES ET OFFRES D'EMPLOIS — Un excellent Cuisinier demande se placer. Prendre des renseignements chez M D 3, rue Cambacérès. 3098Une demoiselle de bonne famille pouvant offrir les meilleures références, désre commencer 'nsuon française t musicale des enfants. S'adresser, 4, rue Monsigny, 11. 3099. — Leçons de piano, collège, enseignement musical, prncpx d Conservatoire, chez Mme Hortet, rue de Lanczy, 30. Conditions très avantageuses. AVIS DIVERS 3100MARIAGES M. et m Coy, 1 r de Rivoli, 150, ancienne maison. Le Yértbl ÉURIGAC des Ménages, Marque à la Jf Usine de Cesson (Seine-et-Marine), se vend dans les bonnes maisons d'Épicerie, Mercerie, Bazar et Brosserie. 3103.—VINS. François-Antoine, prop., à Serrigny-la-Forêt (Côte-d'Or), expédie ses vins Crtns 72 à 10 fr. la è pris sur place.— VINS FINS, Beaune et Corton, à 100 fr. le quart. Spécialité (rrndssmnt de Beaune). 3103. — Notions pour neer promptement la Règle des participes et pour en résdr toutes les difficultés, suivies d'Exercices d'application, par Louis Loire. (Dxèm édition.) Ce petit livre fait de l'étude des participes une véritable distraction; r un enseignement smpl et rationnel, il apprend à éviter les écueils d'une phrase come celle-ci : « pèsrA 'être aimés avec tendresse, c personnes ont passé à des sentiments tout opposés : elles |
Mme Hortet, rue de Lanczy, 30. Conditions très avantageuses. AVIS DIVERS 3100.—MARIAGES. M. et Mme Coy, 1 rue de Rivoli, 150, ancienne maison. Le Yéritable CIRAGUÉ des Ménages, Marque à la Jf Usine de Cesson (Seine-et-Marine), se vend dans les bonnes maisons d'Épicerie, Mercerie, Bazar et Brosserie. 3103.—VINS. François-Antoine, prop., à Serrigny-la-Forêt (Côte-d'Or), expédie ses vins Cortons 72 à 10 fr. la pièce, pris sur place.— VINS FINS, Beaune et Corton, à 100 fr. le quart. Spécialité (Arrondissement de Beaune). 3103. — Notions pour contenter promptement la Règle des participes et pour en résoudre toutes les difficultés, suivies d'Exercices d'application, par Louis Loire. (Deuxième édition.) Ce petit livre fait de l'étude des participes une véritable distraction; par un enseignement simple et rationnel, il apprend à éviter les écueils d'une phrase comme celle-ci : « Après s'être aimés avec tendresse, ces personnes ont passé à des sentiments tout opposés : elles se sont craintes, DEPLU, détestées, MENTI, trompées, NUI. haïes. » — prix : 50 centimes, franco, à la librairie Boyer, 49, rue St-André-des-Arts. PROGRAMME DES SPECTACLES DU 23 JUIN 1878 OPÉRA. — 7 h. 3/4. GUILLAUME TELL op. 4 a., Rossini Arnold Salomon Guillaume Lassalle Walter Belval Gessler Bataille Ruodi Grisy Rodolphe Sapin Leuthold Auguez Melchthal Gaspard le pasteur Jolivet Mathilde Edouard Fouquet Jean Arnaud Edwige Nivet-Greuier THÉÂTE-FRANÇAIS. — 7 h. 3/4 BATAILLE DE DAMES com. 3 a., Scribe, E. Legouvet De Grignon Got DeMontrichard Thiren Henry Laroche Un brigadier Tronchet Mmes d'Autréval M. Brohan Léonie Reichemberg TARARIN c. 2 a. en vers, P. Ferrier Tabarin Coquelet Gaulthier Boucher Montdor Emma Nicole Coquelin cadet Maillefer Martel un drapier Jelet un exempt D. Vernon Guillerot Roger Michaud Villain un mercier Tronchet Françoisequine mesd Lloyd Alison Martin L'AUTRE MOTIF c. 1 a., Ed. Pailleron. Georges Febvre Claire Mme P. Ponsin Emma A. Plissart OPÉRA-COMIQUE. — 9 h. 0/0 7e et dernière audition de la NABUCHO DE VERDI L'Orchestre et les chœurs, 300 exécutants, sous la direction de Verdi VAUDEVILLE. — 8 h. 0/0 LES GANACHES com. 4 a., Victorien Sardou Le marquis J. Deschamps Fromentel Delannoy Barillo D. Saal-Germain Marcel Cavalier Abel | Mme Hortet, rue de Lanczy, 30. Conditions très avangeuss. AVIS DIVERS 3100.—MARIAGES. M. et Mme Coy, 1 rue de Rivoli, 150, ancienne maison. Le Yéritable CIRAGUÉ des Ménages, Marque à la Jf Usine de Cesson (Seine-et-Marine), se v dans les bonnes msns d'Épicerie, Mercerie, Bazar et Brosserie. 3103.—VNS. François-Antoine, prop., à Serrigny-la-Forêt (Côte-d'Or), expédie ses vins stonorC 72 à 10 fr. la pièce, pris sur place.— VINS FINS, Beaune et Corton, à 100 fr. le quart. Spécialité (Arrondissement de Beaune). 3103. Notions pour contenter promptement la Règle des participes et pour en résoudre toutes les difficultés, suivies d'Exercices loapt,adnipi'c par Li oire. (Deuxième édition.) Ce itpet livre fait de l'étude des particps une véritable distraction; par un enseignement simple et rationnel, il apprend à éviter les écueils d'une phrase comme celle-ci : « Après s'être aimés avec tendresse, cs personnes ont passé à des sentiments tout opposés : elles se sont craintes, DEPLU, détestées, MENTI, trompées, NUI. haïes. » — prix : 50 centimes, franco, à la librairie Boyer, 49, rue St-André-des-Arts. PROGRAMME DES SPECTACLES DU 2 JUIN 1878 OPÉRA. — 7 h. 3/4. GAE TELL p. 4 a., Rssn Arnold Salomon Guillaume Lassalle Walter Belval lsGsere Bataille Ruodi Grisy Rodolphe Sapin Leuthold Auguez Melchthal Gaspard le pstr Jolivet Mathilde Edouard Fouquet Jaen Arnaud Edwige Nivet-Greuier THÉÂTE-FRANÇAIS. 7 h. 3/4 BATLLE DE DAMES com. 3 a., Scribe, E. Le De Groignn Gt DeMontrichard Thiren rHyen Laroche Un brigadier Tronchet Mmes d'Autréval M. Brohan Léonie Reichemberg TARARIN c. a. en vers, P. Ferrier Tabarin Coquelet Gaulthier Bchr Montdor Emma Nicole Coquelin cadet Maillefer Martel n drapier Jelet un exempt D. Vernon Guillerot Roger Michaud Villain un mre Tronchet Françoisequine msd Lloyd Alison Martin 'AUTRE MOTIF c. 1 a., E.d Pllrn. Georges Febvre Claire Mme P. Ponsin Emma A. Plissart OPÉRA-COMIQUE. — 9 h. 0/0 7e et dernière audition de la NABUCHO DE VERDI Lrcstre et les surh,cœ 300 exécutants, sous la direction de Verdi VAUDEVILLE. — h. 0/0 LES GANACHES com. a., iciVnerot Sardou Le marquis J. Deschamps Fromentel Delannoy Barillo D. Saal-Germain Marcel Cavalier Abel |
Grisy Rodolphe Sapin Leuthold Auguez Melchthal Gaspard le pasteur Jolivet Mathilde Edouard Fouquet Jean Arnaud Edwige Nivet-Greuier THÉÂTE-FRANÇAIS. — 7 h. 3/4 BATAILLE DE DAMES com. 3 a., Scribe, E. Legouvet De Grignon Got DeMontrichard Thiren Henry Laroche Un brigadier Tronchet Mmes d'Autréval M. Brohan Léonie Reichemberg TARARIN c. 2 a. en vers, P. Ferrier Tabarin Coquelet Gaulthier Boucher Montdor Emma Nicole Coquelin cadet Maillefer Martel un drapier Jelet un exempt D. Vernon Guillerot Roger Michaud Villain un mercier Tronchet Françoisequine mesd Lloyd Alison Martin L'AUTRE MOTIF c. 1 a., Ed. Pailleron. Georges Febvre Claire Mme P. Ponsin Emma A. Plissart OPÉRA-COMIQUE. — 9 h. 0/0 7e et dernière audition de la NABUCHO DE VERDI L'Orchestre et les chœurs, 300 exécutants, sous la direction de Verdi VAUDEVILLE. — 8 h. 0/0 LES GANACHES com. 4 a., Victorien Sardou Le marquis J. Deschamps Fromentel Delannoy Barillo D. Saal-Germain Marcel Cavalier Abel Léonidas Michel Urbain Richard de Valcreus Thomasse la duchesse Ambroise Bourgogne Pauvre Marguerite mesd L. Gérard Rosalie Alexis GYMNASE.— 7 h. 0/0 MULLOTS D'AUSTRALIE c. 2 a. G. Kadar Dubois Pradeau d'Outreville Frances Lagarenne Blaisot Gasparine mesd Lecteur de Maisonneuve Prieur Clémence Legault LE CHEVALIER BAPTISTE c. 1 a., Hission, A. Sylvane Baptiste Bavel le fils des cotonniers Dubois Ernest Ulric Mme du Fils Angelo Suzette Juliette LA DRAGONNE c. 2 a. E. Plouvier Faut F. Achard Marie mesd M. Legault LE FILLEUL DE POMPIGNAC c. 4 a., A. de Jalion Pompidou Ravel M. Dornan Landreau Paul Porran Villeray le général Pujol Saint-Félix Ulric Marthe mesd Délia Mmes Lambert Othon — de Bussy Argelio Hersilie Juliette Florence Tessier VARIÉTÉS — 7 h. 1/2 LE PHOTOGRAPHE c. 1 a., Thémire, Halévy LES BRIGANDS com. 3 a., Thémire, Halévy, Oostenbach Fiacre Dupuis Antonio Léonce chef carabiniers Baron Pietro Boisselot Campo-Tasso Blondari et de Santoue Lanlley Gloria-Cassis Gaussins Barbavano D. Bac Pipo Hussay Fiorella mesd Paola-Marie Fragoletto Berthe la princesse Lina Bell la duchesse Schewska la marquise E. Martin Adolphe Valpré Zelma Lavigne PALAIS-ROYAL. — 8 h. 0/0 BOBINETTE op. 1 a., Saïd-Aignan, Chotier LA DAME AU PASSE-PARTOUT v. 1 a., Grangé, V. | Grisy Rodolphe Sapin Leuthold Auguez Melchthal Gaspard le pasteur ove adhtileM drd Fouquet Jean Arnaud Edwige NivetGreuier THÉÂTE-FRANÇAIS. — 7 h. 3/4 BATAILLE DE DAMES om 3 ., Scribe E. o De Grignon Gt DeMontrichard Thiren Henry Laroche Un brgdr Tronchet mes d'trévl M. Brohan Léonie Reichemberg TARARIN c. . en vers, P. Ferrier Tabarin Coquelet Gaulthier uer Montdor Emma Ncl ueiCqnlo cdt aillef Martel un drapier Jelet un exempt D. Vernon Guillerot Roger Michaud Villain un mercier Tronchet Frnçsqn mesd Lloyd Alison Martin L'AUTRE MOTIF c. a., Ed. Pailleron. Georges vebrFe Claire Mme P. onPins Emma A. Psrt OPÉRACOMIQUE — 9 h. 0/0 7e et dernière dtn de la NABUCHO DE VERDI 'Orchestre et les chœurs, exécutants, ss la direction de Verdi VAUDEVILLE. — 8 h 0/0 LES GANACHES com. 4 a., Victorien Sardou e marquis J. Deschamps Frmntl Delannoy Brll D. Sl-Grmn Marcel Cavalier Abel Léonidas Michel Urbain R de Valcreus Thomasse la duchesse Ambroise Bourgogne Pvr Margueie mesd L Gérrd Rosalie Alexis Y. 7 h. 0/0 MULLOTS D'AUSTRALIE c. 2 a G. Kadar Dubois Pradeau d'Outreville Frances Lagarenne Blaisot sarin mesd Lecteur de aisnneuv Prieur Clmenc Legault LE CHEVALIER BAPTISTE c. . Hission, A. lvne Bptst Bavel le l des cotonniers Dubois Ernest Ulric e du Fils Angelo euStzet Juiee LA DRAGONNE c. 2 . E. Pluvir Ft Achard are msd M. Legault LE LILFEUL DE POMPIGNAC .c 4 a., A. de Jalion Pmpd Ravel M. Dornan Lndrau Paul Porran Villeray le général uo SaintFélix Ulric Marthe mesd Délia Mmes Lambert Othon — de ssuyB Argelio Hersilie Juliette Florence Tessier VARIÉTÉS — 7 h. 1/2 LE POTORH c. 1 ., Thémire, Halévy LES BRIGANDS com. 3 a., Thémire, Hayé,lv Oostenbach Fiacre Dupuis Antonio Léonce chef carabiniers Baron Pietro Boisselot Cmp-Tss Blondari et de Santoue Lanlley Glr-Csss Gaussins Barbavano D. Bac Pipo Hussay Fiorella mesd Paola-Marie Fragoletto Berthe la princesse Ln Bell la duchesse Ssk l marquise E. artin Adolphe Valpré la Lavigne PALAISROYAL — 8 h. 0/0 OBI op. 1 ., Saïd-Aignan, Chotier LA DAME AU PASSE-PARTOUT v. 1 a., Grangé, V. |
A. Sylvane Baptiste Bavel le fils des cotonniers Dubois Ernest Ulric Mme du Fils Angelo Suzette Juliette LA DRAGONNE c. 2 a. E. Plouvier Faut F. Achard Marie mesd M. Legault LE FILLEUL DE POMPIGNAC c. 4 a., A. de Jalion Pompidou Ravel M. Dornan Landreau Paul Porran Villeray le général Pujol Saint-Félix Ulric Marthe mesd Délia Mmes Lambert Othon — de Bussy Argelio Hersilie Juliette Florence Tessier VARIÉTÉS — 7 h. 1/2 LE PHOTOGRAPHE c. 1 a., Thémire, Halévy LES BRIGANDS com. 3 a., Thémire, Halévy, Oostenbach Fiacre Dupuis Antonio Léonce chef carabiniers Baron Pietro Boisselot Campo-Tasso Blondari et de Santoue Lanlley Gloria-Cassis Gaussins Barbavano D. Bac Pipo Hussay Fiorella mesd Paola-Marie Fragoletto Berthe la princesse Lina Bell la duchesse Schewska la marquise E. Martin Adolphe Valpré Zelma Lavigne PALAIS-ROYAL. — 8 h. 0/0 BOBINETTE op. 1 a., Saïd-Aignan, Chotier LA DAME AU PASSE-PARTOUT v. 1 a., Grangé, V. Bernard ŒDIPUS ET LE SPHINX L'ART DE S'EMPOISONNER EN SOCIÉTÉ roman d'une jeune femme riche, en un feuillet, de Ad. Guénée Hidippe Lhéritier un marquis R. Luguet Blanche Lassouche Verte Calvin lord Osselet Deschamps l'amiral suisse Montbars de Bobigny Strintz une dame mesd Reynold l'ouvreuse Christine LE HOMARD v. 1 a., Id. Gondinet PORTE-SAINT-MARTIN. — 7 h. 3/4 LE PIED, DE MOUTON féerie, 5 a. 20 t., Cogniard frères, n. Crémieux; mus. de Debillemont Lazarille Laurent Nigaudinos Alexandre don Lopez Mangin le Gommeux Ernest le régisseur Lansf'y Gusman mesd H. Dupont Léonora B. Girardin la fée Primevère de Barzia Brigitte Murray la fée Souci Mâchaut la reine des fées Verteuil Six ballets nouveaux composés et exécutés par M. Gredel CHATELET.— 7 h. 1/2 DEUX ORPHELINES dr. 8 a., d'Ennery et Cormon Pierre Taillade de Linière Lacressonnière de Vaudrey Régnier Jacques Laray Picard Voilier le docteur Mangia Martin Macbainette Maret Bouyer LaSeur Petit de Presles Fraizeir la comtesse mesd Doche Henriette U. Vayolic Marianne Lacressonnière Louise Patry La Frochart Ilaciette sœur (Gênerive Daubrun GAITÉ. — 7 h. 1/2 ORPHÉE AUX ENFANTS opéra-féerie, 4 a. 1/2, Crémieu sans, de J. Offenbach Ariane et Philomène Montaubry Jupiter Christophe John Styx Ismene Mercure Grivot | A. Sylvane aettpiBs Bavel le fils des cotonniers Dubois Ernest Ulric Mme du Fils Angelo Suzette Juliette LA DRGNN c. 2 a. E. Plouvier Faut F. Achard Marie mesd M. Legault LE FILLEUL DE POMPIGNAC c. 4 a A. de Jalion Pompidou Ravel M. Dornan Landreau Pl Prrn Villeray le général Pujol Saint-Félix Ulric Marthe mesd Délia Mmes Lambert Othon — e Bussy Argelio ilieesrH ltuJeeit Florence Tessier VARIÉTÉS — 7 h. / LE PHOTOGRAPHE c. 1 a., Thémire, Halévy LS BRGNDS com. 3 a., Thémire, Halévy, Oostenbach Fiacre Dupuis Atninoo Léonce chef carabiniers rBona Pietro Boisselot Campo-Tasso Blondari et Santoue Lanlley GliCass Giuasnss Barbavano D. Bac Pipo Hussay Fiorella mesd Paola-Marie Fragoletto Berthe la princesse Lina Bel la duchesse Schewska la marquise E. Martin dlph Valpré Zeaml Lavigne PALAIS-ROYAL. — 8 h. 0/0 BOBINETTE op. 1 a., Saïd-Aignan, Chotier LA DAME AU TSPPS-ORTAAUE v. 1 a., Grangé, V. Bernard ŒDPS ET LE SPHINX L'ART DE S'EMPOISONNER EN SOCIÉTÉ roman dune jeune emmef riche, en un feuillet d Ad. Guénée Hidippe Lhéritier un marquis R. Luguet Blanche Lassouche Vee Calvin lord Osselet Deschamps lamiral uie Montbars de Bobigny Strintz une dame mesd Reynold l'ouvreuse Chrstn LE HOMARD v. 1 a., d. Gondinet PORTE-SAINT-MARTIN. — 7 h. 3/4 LE PIED, DE MOUTON féerie, 5 a. 2 t., Cogniard frères, . Crémieux; mus. de Debillemont Lazarille Laurent Nigaudinos Alexandre don ozepL Mangin le Gommeux Ernest le régisseur Lansf'y nmasuG ed H. Dupont Léonora B. Girardin la fée Pimvèe de Barzia Brigitte Murray la fé Souci Mâchaut la rn ds fées Verteuil Six ballets nouveaux composés et exécutés par M. Gredel CHATELET.— 7 h. 1/2 EUX ORPHELINES dr. 8 a., d'Ennery et Cormon Pierre Taillade de Linière Lacressonnière de Vaudrey Régnier Jacques Laray Picard Voilier le docteur Mangia Martin Macbainette Maret Bouyer LaSeur Ptt de Presles Fraizeir la comtesse mesd Doche Henriette U. Vayolic Marianne Lacressonnière Louise Patry La Frochart Ilaciette sœur (Gênerive Daubrun T.ÉAIG — h. 1/2 ORPHÉE AUX ENFANTS opéraféerie a. /, Crémieu sans, de J. Offenbach Ariane et Philomène Montaubry Jupiter Christophe John Styx Ismene eMrrcue Grivot |
a., Id. Gondinet PORTE-SAINT-MARTIN. — 7 h. 3/4 LE PIED, DE MOUTON féerie, 5 a. 20 t., Cogniard frères, n. Crémieux; mus. de Debillemont Lazarille Laurent Nigaudinos Alexandre don Lopez Mangin le Gommeux Ernest le régisseur Lansf'y Gusman mesd H. Dupont Léonora B. Girardin la fée Primevère de Barzia Brigitte Murray la fée Souci Mâchaut la reine des fées Verteuil Six ballets nouveaux composés et exécutés par M. Gredel CHATELET.— 7 h. 1/2 DEUX ORPHELINES dr. 8 a., d'Ennery et Cormon Pierre Taillade de Linière Lacressonnière de Vaudrey Régnier Jacques Laray Picard Voilier le docteur Mangia Martin Macbainette Maret Bouyer LaSeur Petit de Presles Fraizeir la comtesse mesd Doche Henriette U. Vayolic Marianne Lacressonnière Louise Patry La Frochart Ilaciette sœur (Gênerive Daubrun GAITÉ. — 7 h. 1/2 ORPHÉE AUX ENFANTS opéra-féerie, 4 a. 1/2, Crémieu sans, de J. Offenbach Ariane et Philomène Montaubry Jupiter Christophe John Styx Ismene Mercure Grivot Orphée Damourette Mars Gravier Lino. Courcelles Éaque Jean-Paul Neptune Gaspard l'urgente sesd Dartaux Cupides Mâts-serrès-Diane Wagner Ovinel Gilbert Venus Angèle Minerve Castelli FOLIES-DRAMATIQUES. — 7 h. 3/4 ÉLEONORE la. Chabrillat LA FILLE DE MADAME ANGOT com. 3 a., Clairville, Siraudin, Koning mus. de Lecocq Angot Pitou Raoult Pomponnet Mousseron La Hivaudrière Luco Trénis Clémence Clairette mesd J. Guillot Lange Desclauzas Amantine Toudouze CLUNY. — 8 h. 0/0 UNE NUIT DE PARIS dr. 12 heures, 12 tableaux Léon et Frantz Leauvalette. Frusquin Mercier Mayeux — Amand Acoly Tobie Farre Craquelet V. Gay Baltazar Bernès Casimir Job Bernard Attila Berthet Louisette J. Andrieux Jeanne Eira Mme Bruck Bovery BEAUJOLAIS. — 8 h. 0/0 LES FARCES DRAMATIQUES 1 pièce 5 a. LES BAINS DES FLEURS pièce aquatique, Lemonnier CONCERT DES CHAMPS-ÉLYSÉES. On commencera à 8 h. PREMIÈRE PARTIE Ouverture de Montano et Stéphanie Berton Folle Nuit, valse Flamant Marche des Magots Le coq des Roches ouverture d'Aout M. de la Dame blanche Boieldieu A la Campagne, quadrille Métra DEUXIÈME PARTIE Mosaïque sur l'Africaine Meyerbeer Solente l'heur ma, Molé Ouverture de Martha Flotow La Réjouissance des Siècles Strauss Schottich de Schonbrunn Auber Marche du Dernier Jour de Pompéi Joncières FOLIES-MARIGNY. — 8 h. 0/0 | a., Id. tGnnoied PORTE-SAINT-MARTIN. — 7 h. 3/4 LE PIED, DE MOUTON féerie, a. 20 t Cogniard frères, n. riex; mus. de Debillemont Lzrll Laurent Nigaudinos Aere dn Lopez Mangin le Gommeux Ernest le régisseur Lansf'y Gusman mesd H. noutDp Léonora B. Girardin la fé Primevère de Barzia Briit Murray la fée Soc Mâchaut la reine des fées Verteuil Six ballets nouveaux composés et exécutés par M. Gredel CHATELET.— 7 h. / DEUX ORPHELINES dr 8 , d'nnry et Cormon Prr Taillade de Linière Lacressonnière de u Régnr queacsJ Laray Picard Voilier le dctr Mangia Martin Macbainette ae Bouyer LSr Petit de Presles Fraizeir la comtesse mesd Doche Henriette U. Vylc Marianne Lcrssnnèr Louise Patry La Frochart Ilaciette sœur Gênerive run GAITÉ — 7 h. 1/2 ORPHÉE AUX ENFANTS po,éfeéir-are 4 a. 1/2, Crémieu sans, ed J. Offenbach Ariane et Philomène Montaubry Jupiter Christophe John Styx Ismene Mercure Grivot Orphée Damourette Mars Gravier Lino. Courcelles Éaque Jn-Pl Neptune Gsard l'urgente sesd Dartaux Cupides Mâts-serrès-Diane Wagner Oinlev Glbrt ns Angèle Minerve Castelli FOLIES-DRAMATIQUES. 7 h. 3/4 ÉLEONORE la. Chbrllt LA FLL DE MADEMA ANGOT com. a, Clairville, Siraudin, Koning ms. de Lecocq Angot Pt Raoult Pont Mousseron La Hvdrèr Luc Trénis Clén Clairette mesd J. Guillot Lange Desclauzas Amantine Toudouze C.YNUL — h. 00 UNE NT DE PARIS d.r 12 heures, 12 tableaux én et Frantz Leauvalette. uqu rcr Mayeux — Amand Acoly Tobie Farre Craquelet V. Gay Balr Bernès Casimir Job Bernard Attila Brtht Louisette .J Andrieux Jeanne Eira Mme Bruck Bovery BEAUJOLAIS. — 8 h 0/0 LES FARCES DRMTQS 1 pèc a. LES A DES FLEURS pièce aquatique, Lemonnier CONCERT S CHAMPS-ÉLYSÉES. O commencera à 8 h. PREMIÈRE PARTIE Ouverture de Montano et téphai Berton Folle Nuit, valse Flamant Marche des Magots L coq des Rchs vrtr d'Aout . de la Da blanche Bld A la Campagne, quadrille Métra ÈUXEMDIE PARTIE Mosaïque sur l'frcn Meyerbeer eotnleS l'heur ma, Molé Ouverture de Martha Flotow La Réjouissance des Siècles Strauss Schottich de Schonbrunn ur Marche du Dernier Jour de Pompéi Joncières FOLIES-MARIGNY. — h. 0/0 |
Hivaudrière Luco Trénis Clémence Clairette mesd J. Guillot Lange Desclauzas Amantine Toudouze CLUNY. — 8 h. 0/0 UNE NUIT DE PARIS dr. 12 heures, 12 tableaux Léon et Frantz Leauvalette. Frusquin Mercier Mayeux — Amand Acoly Tobie Farre Craquelet V. Gay Baltazar Bernès Casimir Job Bernard Attila Berthet Louisette J. Andrieux Jeanne Eira Mme Bruck Bovery BEAUJOLAIS. — 8 h. 0/0 LES FARCES DRAMATIQUES 1 pièce 5 a. LES BAINS DES FLEURS pièce aquatique, Lemonnier CONCERT DES CHAMPS-ÉLYSÉES. On commencera à 8 h. PREMIÈRE PARTIE Ouverture de Montano et Stéphanie Berton Folle Nuit, valse Flamant Marche des Magots Le coq des Roches ouverture d'Aout M. de la Dame blanche Boieldieu A la Campagne, quadrille Métra DEUXIÈME PARTIE Mosaïque sur l'Africaine Meyerbeer Solente l'heur ma, Molé Ouverture de Martha Flotow La Réjouissance des Siècles Strauss Schottich de Schonbrunn Auber Marche du Dernier Jour de Pompéi Joncières FOLIES-MARIGNY. — 8 h. 0/0 TOUT POUR LES FILLES L'HOMME A LA FOURCHETTE UN TRIO DE MUTE TH. LA LATOUR-D'AUVERGNE. 8 h. 0/0 Répétition du soir sous la direction de M. Talbot CIRQUE DES CHAMPS-ELYSEE. EXTRAVAGANZAS JARDIN MABILLE Ouvert tous les soirs Mardi, Jeudi, Vendredi. Grande à 8 h. TIVOLI DES CHAUSSURES Dandin, Samedis, Bal. | Hivaudrière Luco Trénis Clémence Clairette msd J. Gllt Lange Desclauzas Amantine Toudouze CLUNY. — 8 h. 0/0 UEN NUIT DE PARIS dr. 12 heures, 12 tableaux Léon et Frantz Leauvalette. Frusquin Mercier Mayeux — Amand Acoly Tobie Farre Craquelet Gay Bltaaazr Bernès mCiasri Job Brrande Attila Brtht Louisette .J eu Jeanne Eira Mme kcruB Bovery BJLS. — 8 . 0/0 LES SACFER DRAMATIQUES 1 pièce 5 . LES BAINS DS FLEURS pèc aquatique, Lmnnr CNET DES PEACÉMHSLSYS.É- On commencera à h. PREMIÈRE PRT Ouverture de Montano et Stéphanie Berton Folle Nuit, valse nalmFta rhceaM dse Magots Le coq des Roches ouverture d'Aout M. de la m blanche Boieldieu A la apane quadrille Métra DEUXIÈME PARTIE Mosaïque sur l'Africaine Meyerbeer Solente ' ma, Mé Ouverture d Martha Flotow La Réjouissance des Siècles Strauss cSocitthh d Schonbrunn Auber Marche d Drnr Jour de Pompéi Joncières FOLIES-MARIGNY. — 8 h. 0/0 TOUT POUR LS FILLES L'HOMME A LA FOURCHETTE UN TRIO DE MUTE TH. LA LATOUR-D'AUVERGNE. 8 h. / Répétition du sr sous la direction de M. Talbot CIRQUE DES CHAMPS-ELYSEE. EXTRAVAGANZAS JARDIN MABILLE euvrtO suto les sor ,aMird ,euJdi Vendredi. Grande h. TIVOLI DES CHASUES Dandin, Smds, Bal. |
Paris-Midi MARDI 1er MAI 1928 25 cent. 5, rue Lamartine (9e), Téléphone : Trudaine 81-21, 81-22 EN PAGE 2 : La Vie à Paris EN PAGE 3 : Nos informations de la Dernière Heure EN PAGE 4 : "Paris-Midi" Economique et Financier EN PAGE 5 : Les Spectacles VENDREDI Supplément gratuit de "Paris-Midi" L'erreur de nos Salons de peinture Ils sont disposés pour la vanité des peintres et non pour le plaisir des visiteurs Je souhaite que vous profitiez du 1er Mai pour aller dans les bois cueillir le muguet. Mais, à supposer qu'il pleuve, vous irez aux Salons des Beaux-Arts du Grand-Palais, cueillir de la peinture fraîche. Ne croyez pas les Esthètes qui vont répétant que ces Salons annuels sont médiocres et assommants. C'est une très curieuse promenade. Les critiques d'art n'éprouvent aucun plaisir à la faire, parce qu'ils savent devoir écrire un article en rentrant. Mais pour l'honnête badaud qui n'y va que pour s'amuser, c'est charmant. C'est charmant, ou plutôt ça devrait être charmant ; car ils sont là cinq ou six mille artistes qui s'ingèrent chaque printemps à reproduire ce qu'ils ont vu de plus joli dans l'année. La critique s'indigne parce qu'ils n'ont pas tous le génie de Rembrandt ou de Raphaël et ne renouvelent pas de fond en comble l'art de peindre ? Hé ! La nature aussi, dans ses forêts et ses jardins, recommence chaque printemps la même exposition ! En est-elle moins agréable ? "Mais nos Aristarques prétendent ne s'émerveiller que devant la facture des tableaux. Il est bourgeois de s'intéresser au « sujet » représenté. Il est distingué de s'extasier uniquement et sévèrement sur la technique du peintre. C'est absolument comme si, à table, quand vous dégustez un bon dîner, il n'était distingué que de parler des sauces, des épices et des fourneaux avec lesquels on l'a confectionné. Que diable ! Dégustez d'abord ! Faites appeler le cuisinier ensuite; si ça vous intrigue de connaître comment il a obtenu cette saveur rare, mais commençez par là savourer ! On nous gâte la peinture avec cette manie pédante de n'en parler qu'en | Paris-Midi MARDI 1er IAM 1928 25 cent. 5, rue Lmrtn (9e), Téléphone : Trudaine 81-21, 81-22 EN PAGE 2 La Vie à Paris EN PG 3 : Nos informations de l Dernière Heure EN PAGE 4 : "Paris-Midi" Economique et Financier EN PAGE 5 : Ls Spctcls VDREDI Supplément gratuit de "Paris-Midi" Lerreur de nos Salons de peinture Ils snt disposés pu la vanité de peintres et non pour l ais des visiteurs e souhaite que vous profitiez du 1er pour aller dans l bois cueillir le muguet. Mais, à supposer q'l pleuve, vous irez aux Salons des Beaux-Arts du Grand-Palais, cueillir de a peinture fraîche. Ne croyez pas sel Esthètes qui otvn répétant que ces Salons annuels osnt médiocres t assommants. C'st une très curieuse pomeae Les riq d'art n'éprouvent aucun plsr à la faire, parce qu'ils savent devoir écrire un article n rentrant. Ms pour l'honnête badaud q n'y va q pour s'amuser, ces charmant C' chrmnt, ou plutôt ça devrait être charmant ; car ils sont là cinq ou six mille artistes qui s'ingèrent chaque rpstpmnie à reproduire ce q'ls ont vu de pls joli dans l'année. La critique sindigne parce quils n'ont pas tous le génie de Rmbrndt ou de Raphaël et ne rnvlnt pas de fond en ce l'art de peindre ? H ! La nature aussi dans ses forêts ses jardins, recommence chaque printemps la même exposition ! est-elle moins agréable ? "Mais nso Aristarques prétendent s'émerveiller que dt la fctr des tableaux. Il est bourgeois de s'intéresser au « sujet » représenté. Il est distingué de 'extasier uniquement e sévèrment sur la technique du r.neetpi C'est absolument comme si, à table, anqud vous dégstz un bon dîner, il n'était distingué que de parler des sauces, des épices et des fourneaux avec lsqls o la confectionné. Que diable ! Dégustez 'abord ! Faites appeler l cuisinier ensuite; si ça vous intrigue de onaître comment il a obtenu ce saveur rare, mais commençez pr là savourer ! On nous gâte la pntr avec cette manie pédante de n'n parler qu'en |
le génie de Rembrandt ou de Raphaël et ne renouvelent pas de fond en comble l'art de peindre ? Hé ! La nature aussi, dans ses forêts et ses jardins, recommence chaque printemps la même exposition ! En est-elle moins agréable ? "Mais nos Aristarques prétendent ne s'émerveiller que devant la facture des tableaux. Il est bourgeois de s'intéresser au « sujet » représenté. Il est distingué de s'extasier uniquement et sévèrement sur la technique du peintre. C'est absolument comme si, à table, quand vous dégustez un bon dîner, il n'était distingué que de parler des sauces, des épices et des fourneaux avec lesquels on l'a confectionné. Que diable ! Dégustez d'abord ! Faites appeler le cuisinier ensuite; si ça vous intrigue de connaître comment il a obtenu cette saveur rare, mais commençez par là savourer ! On nous gâte la peinture avec cette manie pédante de n'en parler qu'en argot d'atelier. Cette erreur a pour conséquence funeste que les tableaux du Salon sont placés dans un désordre rebûtant. Imaginez un dîner où l'on vous forcerait à manger pêle-mêle la salade avec la glace à la vanille et le poisson après le café ! Le principe qui préside à la disposition des toiles sur la cheminée est la jalousie du peintre célèbre, auteur d'un tableau qui trône au centre du panneau. Chacun de ces puissants du jour veut son mur bien à lui et, ne pouvant l'occuper seul tout entier, ne tolère du moins à droite et à gauche que des toiles radicalement différentes de la sienne. S'il est portraitiste, il s'encadrera d'un paysage et d'une nature morte. Et voilà le malheureux promeneur forcé d'avaler à la file un combat d'Arabes dans le Sahara, une dame en toilette de bal et un plat de cornichons ! Comment voulez-vous qu'il digère des impressions aussi hétéroclites ? Vous m'objecterez qu'au Louvre, aussi, une marine s'accroche très bien entre un portrait de gentilhomme et une chasse aux lions. Dans aucun musée du monde, les tableaux ne sont rangés par genres. Mais encore le sont-ils par siècles et chaque salle a sa couleur d'époque. | le génie de Rembrandt ou de Raphaël et ne renouvelent pas de fond ne comble l'art de peindre ? Hé ! La nature aussi, dns ses forêts et ses jardins, recommence chaqu printemps la êm exposition ! En est-elle moins agréable ? "Ms nos Aristarques prétendent ne s'émerveiller que devant la facture des tableaux. Il est bourgeois de 'intéresser au « sujet » représenté. Il est distingué de 'extasier uniquement et sévèrement r la technique ud pere C'est nolaesbutm comme si, à table, quand vous dégustez un bon dîner, il n'était distingué que de parler des sauces, des épices et des fourneaux avec lesquels on la cofecné Que diable ! Dégustez d'abord ! Faites appeler le cuisinier ensuite; si ça vous intrigue de cnnîtr comment il a obtenu cette saveur rare, mais commençez par là savourer ! On ns gâte la peinture avec cette manie pédante de n'en parler qu'en argot d'atelier. Cette erreur a pour conséquence funeste que ls tableaux du Salon sont placés dans un désordre rebûtant. Imaginez un dîr où l'on vous forcerait à manger pêle-mêle al salade vc la glc à la vanille et le poisson après le café ! Le principe qui présd à la disposition des toiles sur la cheminée est la jalousie du peintre célèbre, auteur d'un tableau qui trône au centre d panneau. Chacun de ces puissants du jour veut sn mur bn à lui et, ne pouvant l'occuper seul tout entier, ne tolère mns à droite et à gauche que des toiles radicalement différentes de la sienne. S'il est portraitiste, l s'encadrera d'un paysage et d'une nature morte. Et voilà le malheureux repuoemrn forcé d'avaler à la file un maobtc d'Arabes dans le Sahara, une dame en toilette de bal et un plat de cornichons ! moteCmn voulez-vous qu'il digère des impressions aussi hétéroclites ? Vs m'objecterez qu'au Louvre, aussi, une meinar s'accroche très bien entre un pr de gentilhomme te une chasse aux lions. Dans auc musée du monde, les tableaux ne sont rangés par genres Mais encore l sont-ils pr siècles t chaque salle sa cue d'époque. |
disposition des toiles sur la cheminée est la jalousie du peintre célèbre, auteur d'un tableau qui trône au centre du panneau. Chacun de ces puissants du jour veut son mur bien à lui et, ne pouvant l'occuper seul tout entier, ne tolère du moins à droite et à gauche que des toiles radicalement différentes de la sienne. S'il est portraitiste, il s'encadrera d'un paysage et d'une nature morte. Et voilà le malheureux promeneur forcé d'avaler à la file un combat d'Arabes dans le Sahara, une dame en toilette de bal et un plat de cornichons ! Comment voulez-vous qu'il digère des impressions aussi hétéroclites ? Vous m'objecterez qu'au Louvre, aussi, une marine s'accroche très bien entre un portrait de gentilhomme et une chasse aux lions. Dans aucun musée du monde, les tableaux ne sont rangés par genres. Mais encore le sont-ils par siècles et chaque salle a sa couleur d'époque. Tandis qu'au Salon, cinq mille peintures brossées en 1928 relèvent de la même optique, et dans cette interminable enfilade de salles rutilantes des mêmes couleurs fraîches, les nuances de métier sont si faibles qu'elles échappent au profane. En outre, dans un musée séculaire, où l'on va étudier les maîtres, le classement par écoles peut se défendre. Mais dans un salon annuel, pour le gros public, l'intérêt d'un tableau est souvent moins dans sa signature que dans le sujet représenté. Voyons ! Serait-il si difficile d'organiser le Salon de l'an prochain pour l'agrément du visiteur ? Que diable ! Un théâtre est fait pour le spectateur, et non pour la troupe qui y joue. Sous prétexte que le grand tragédien veut se détacher de ses camarades, va-t-on le faire paraître en scène entre le comique et la prima donna, jouant la tragédie pendant que le clown fera des culbutes et la cantatrice des roulades ? Le tour du Grand-Palais pourrait s'ouvrir sur des salles de « Paysages », les marines séparées des paysages terrestres, ceux-ci se divisant en exotiques et européens, et les européens subdivisés en quatre salles des quatre saisons. Viendraient ensuite une ou deux salles de « Natures mortes | dspstn des toiles sur la cheminée est la jalousie du peintre célèbre, auteur d'un tableau qui trône a cntr du aneau. Chacun de ces puissants u jour veut son mur bien à lui t, ne pouvant l'ccpr sl tout entier, ne tolère du moins à droite e à gauche que des toiles radicalement différentes de l sienne. S'il est portraitiste, il s'encadrera d'un paysage et d'une nature mrt. Et voilà le malheureux promeneur forcé d'avaler la file un combat d'Arabes dans l Sahara, dame en toilette de bal et un plat de cornichons ! Comment voulez-vous qu'il digère des impressions aussi hétéroclites ? Vous m'objecterez qu'au Louvre, aussi, uen marine s'accroche très bien entre un portrait de gentilhomme et une chasse aux lions. Dans aucun musée du edmn,o les tableaux ne sont rngés par genres. Mais encore le sont-ils par siècles et chaque salle sa couleur d'époque. Tandis qu'au Salon, n mll peintures brossées en 1928 relèvent de la même optique, et dans cette interminable enfilade de l rtlnts des smmêe couleurs fraîches, les nuances de métier sont si faibles ul échappent au profane. En outre, dans u musée séculaire, où lon va étudier les maîtres, le classement par écoles peut se défendre. Mais dans un sln annuel, pour le grs public, lintérêt d'n ultabae est souvent moins dans sa signature que dans le sujet représenté. Voyons ! tlra-eiiS s difficile d'organiser le Sln de l'an rochan po l'agrément du visiteur ? Que diable ! Un théâtr est f pour le spectateur, et non pour la troupe qui y joue. Sous prétexte que le grand tragédien veut se détacher de ss camarades, va-t-on le faire paraître en scène entre l comique et l prima donan, jouant la tragédie pendant que le clown fera ds culbutes et la cantatrice dse roulades ? Le tour du aiPsaa-Grndl pourrait s'ouvrir sur des salles de « Paysages », lse marines séparées des paysages terrestres, ceux-ci se divisant ne exotiques et européens, et les européens subdivisés en quatre salles des quatre saisons. Viendraient ensuite une ou deux salles de « Natures mortes |
classement par écoles peut se défendre. Mais dans un salon annuel, pour le gros public, l'intérêt d'un tableau est souvent moins dans sa signature que dans le sujet représenté. Voyons ! Serait-il si difficile d'organiser le Salon de l'an prochain pour l'agrément du visiteur ? Que diable ! Un théâtre est fait pour le spectateur, et non pour la troupe qui y joue. Sous prétexte que le grand tragédien veut se détacher de ses camarades, va-t-on le faire paraître en scène entre le comique et la prima donna, jouant la tragédie pendant que le clown fera des culbutes et la cantatrice des roulades ? Le tour du Grand-Palais pourrait s'ouvrir sur des salles de « Paysages », les marines séparées des paysages terrestres, ceux-ci se divisant en exotiques et européens, et les européens subdivisés en quatre salles des quatre saisons. Viendraient ensuite une ou deux salles de « Natures mortes ». Puis la salle des peintures animalières. L'entrée en scène de la comédie humaine débuterait par la salle des grandes peintures allégoriques ou mythologiques. Puis les études de nus. Les salles ensuite réservées aux peintures historiques. Puis les tableaux de genre et les inférieurs anecdotiques. Et enfin les portraits. Je prétends que le visiteur, arrêté au centre d'une pareille salle, jouirait d'une impression d'harmonie et d'ensemble qui ne serait nullement monotone. Au contraire ! Sur vingt femmes nues, dressées ou couchées autour des quatre murs, il saisirait bien mieux les différences de brosse et de palette et le tempérament de chaque peintre. Puisque j'ai dit le parler « métier », c'est ici que l'unité de sujet ferait éclater la diversité des procédés ! Et nous en aurions fini avec ce tohu-bohu affolant, cette sarabande abracadabrante de visions contradictoires qui fatigue l'œil et n'arrive plus jusqu'au cerveau. Maurice de Waleffe. L'ELECTION DE LA GUADELOUPE A la Guadeloupe, première circonscription, M. Gratien Clemenceau (indépendant, républicain socialiste), député sortant, a été proclamé élu. LES GRANDS COMBATS DE BOXE Sharkey a knockouté Delaney au premier round New-York, 1er Mai. Hier soir, au Madison's Square Garden s'est déroulée la rencontre de boxe opposant Jacques Delaney | classement par écoles peut se défendre. Mais dans un osaln annuel, pour le gros public, 'intérêt d'un tbl est souvent moins dns sa signature que dans le sjt représenté. Voyons ! Serait-il si difficile 'organiser le Salon de 'an prochain pour l'agrément du vier Que i ! Un théâtre est fait pour le spcttr, te non pour la troupe q y joue. Sous prétexte que l grand tragédien veut se détchr ed ses camarades, va-t-on le faire paraître en scène entre l comique et la prima donna, jouant la trgéd pendant que le clwn fera des culbutes et la cantatrice ds rlds ? Le tour du Grand-Palais pourrait s'ouvrir sr des salles de Paysages », les marines séparées des paysages terrestres, ceux-ci se divisant n exotiques et européens, et les rpéns subdivisés en quatre salles des quatre saisons. Viendraient ensuite une ou deux salles de atur mortes ». Puis al salle des peirs animalières. n'eLtéer en scène de la comédie humaine débuterait par la l des grnds peintures allégoriques ou mythologiques. Puis les edusté de nus. Ls salsle ensuite réservées aux peintures historiques. Puis les tableaux de genre et les inférieurs anecdotiques. t enfin les portraits. Je prétends que le visiteur, arrêté au centre d'une pareille salle, jouirait d'n mprssn dharmonie et d'ensemble qui ne serait nullement monotone. Au contraire ! Sur vingt femmes nues, dressées ou couchées autour des quatre murs, il saisirait bien mieux les différences de brosse et d palette et le tempérament d chaque peintre. Psq j'ai dit le parler « métier », c'est ici qu l'unité d sujet erit éclater la diversité des procédés ! Et nous en aurions fini vec tohu-bohu affolant cette sarabande abracdrn de visions otricres qui fatigue l'œil et n'arrive pl jusquau cerveau. Maurice de Waleffe. L'ELECTION DE LA GUADELOUPE A a Guadeloupe, première circonscription, M Gratien Clemenceau (indépendant, républicain esiosalc,it) téuédp ortat, a été proclamé élu. LES GRANDS COMBATS D BX Sharkey knockouté Delaney au premier round NewYork 1er Mai. Hier soir, au Madsn Square Garden s'est déroulée la rencontre d boxe ppsnt Jacques Delaney |
prétends que le visiteur, arrêté au centre d'une pareille salle, jouirait d'une impression d'harmonie et d'ensemble qui ne serait nullement monotone. Au contraire ! Sur vingt femmes nues, dressées ou couchées autour des quatre murs, il saisirait bien mieux les différences de brosse et de palette et le tempérament de chaque peintre. Puisque j'ai dit le parler « métier », c'est ici que l'unité de sujet ferait éclater la diversité des procédés ! Et nous en aurions fini avec ce tohu-bohu affolant, cette sarabande abracadabrante de visions contradictoires qui fatigue l'œil et n'arrive plus jusqu'au cerveau. Maurice de Waleffe. L'ELECTION DE LA GUADELOUPE A la Guadeloupe, première circonscription, M. Gratien Clemenceau (indépendant, républicain socialiste), député sortant, a été proclamé élu. LES GRANDS COMBATS DE BOXE Sharkey a knockouté Delaney au premier round New-York, 1er Mai. Hier soir, au Madison's Square Garden s'est déroulée la rencontre de boxe opposant Jacques Delaney à Jack Sharkey. Prévu pour 15 rounds, le match s'est terminé au premier par le knock-out de Delaney. Dès le coup de gong initial, Sharkey attaqua. Delaney sembla alors intimidé et ne put pas riposter. C'est ainsi que 73 secondes seulement suffisent à Sharkey pour conclure défisivement. Cette soirée se déroula en présence des aviateurs du Bremen qui furent l'objet de la part des spectateurs d'une chaleureuse ovation. À MIDI STATISTIQUE POUR 1932 Il n'y a pas de fête sans lendemain. Ce calme premier mai — où "on peut traverser la chaussée tout en composant un quatrain ! — nous repose de la dure journée où nous avons mis au monde 425 députés, presque neufs. Pour nous divertir, nous pouvons aujourd'hui comparer les statistiques. Il n'y en a pas deux qui accordent ; quoi d'étonnant, et comment les pointeurs s'y reconnaîtraient-ils entre les grands et les petits C, la gamme des R, des R. I., des R. D., des R. G., des R. U., des R. R. R. S., des R. S., des S. U., des S. C.? Au surplus, tout le monde sait qu'un simple It. peut-être un homme de gauche à Saint-Nazaire et au contraire un homme de | prétends que le visiteur, arrêté au centre d'une pareille sll, jouirait d'une impression d'harmonie et d'ensemble qui ne serait nullement monotone. Au cnre ! Sur vingt femmes ns, dressées ou couchées autour des quatre murs, il saisirait bien uemix les différences ed brosse et de pltt te le tempérament de chaque peintre. Puisque j'ai dit le rrepal « métier », 'est ici que l'unité de sujet ferait éclater la diversité des procédés ! tE nous n aurions fn avec c u-toubhho affolant, cette srbnd abracadabrante d visions contradictoires q fatigue l'œil et n'arrive plus jusqu'au erve. Maurice de Waleffe. 'ELECTION DE LA GUADELOUPE A la Guadeloupe, première circonscription, M. Gratien Clemenceau (indépendant, républicain socialiste), député sortant, été proclamé élu. LES GRANDS COMBATS DE BOXE Sharkey a knockouté Delaney premier round New-York, er1 Mai. Hier soir, au Madison's Square Garden s'est déroulée la errtnecon de boxe opposant Jacques ey à Jck Sharkey. Prévu pour 15 rounds, le match s'est trmné au premier par e knock-out de ea Dès le coup de gong ,laniiti Sharkey attaqua Dlny sembla alors intimidé et ne put pas riposter. C'est ainsi que 73 secondes seulement suffisent à Sharkey pu conur défisivement. Cette soirée s déroula en présence des aviateurs du Bremen qui furent 'objet de la part des spectateurs d'e chaleureuse ovatn À MIDI STATISTIQUE POUR 1932 Il n'y a pas de fête sans lendemain. Ce calme premier m — où on e traverser la chaussée tout en composant un qtnuiaar ! — nous rps de al dure journée ù ns avons mis au monde 425 députés, prsq neufs Pour nous rrietvdi, nous pouvons aujourd'hui comparer les statistiques. Il ' en a pa deux qui accordent ; quoi d'étonnant, et comment les pointeurs s'y reconnaîtraient-ils ntr les rand et les petits , la gamme des R, des . I., des R. D., des R. G., des R. ., des R R. R. S., des R. S., des S. U., sde S. C surplus, tout le monde st q'unu simple It peutêtre un homme de euhgac à Saint-Nazaire et au contraire un hmm de |
déroula en présence des aviateurs du Bremen qui furent l'objet de la part des spectateurs d'une chaleureuse ovation. À MIDI STATISTIQUE POUR 1932 Il n'y a pas de fête sans lendemain. Ce calme premier mai — où "on peut traverser la chaussée tout en composant un quatrain ! — nous repose de la dure journée où nous avons mis au monde 425 députés, presque neufs. Pour nous divertir, nous pouvons aujourd'hui comparer les statistiques. Il n'y en a pas deux qui accordent ; quoi d'étonnant, et comment les pointeurs s'y reconnaîtraient-ils entre les grands et les petits C, la gamme des R, des R. I., des R. D., des R. G., des R. U., des R. R. R. S., des R. S., des S. U., des S. C.? Au surplus, tout le monde sait qu'un simple It. peut-être un homme de gauche à Saint-Nazaire et au contraire un homme de droite à Arcachon si pleut. En vérité, il n'est qu'une statistique qu'on devrait, après quatre ans d'observation, établir : celle de la composition de la Chambre défunte. Car voyez en quelles erreurs un jugement hâtif peut nous entraîner ; on nous a montré en mai 1924 de fort belles statistiques qui nous prouvaient sans réplique que la nouvelle Chambre comprenait au moins 370 antipoincaristes irréductibles. Nous l'avons cru, et nous nous sommes trompés. On nous présente aujourd'hui d'admirables statistiques qui établissent sans conteste que la Chambre nouvelle compte au moins 370 poincaristes fervents, et peut-être bien 460 ! Mon Dieu ! quelle précipitation! quelle hâte! Attendez un peu, nous ne saurons l'exacte composition de la Chambre de 1923 qu'en avril 1932... Et encore, à condition que les élections de 1932 n'aient pas lieu en mai. Pierre Audiat. ET SOURIEZ ! Paris-Midi. C'est un nouveau métier que celui de moulleur... de ces bustes en cire, au sourire figé. Les vitrines des boutiques parisiennes ont des exigences et des coquetteries de jolies femmes ! SOUS LE SIGNE DU MUGUET ET DE L'ÉGLANTINE 1er Mai, jusqu'à présent, calme À Boulogne-Billancourt nombre d'usines ont travaillé sans incident. À Paris, seuls les taxis sont en | déroula en présence des aviateurs du Bremen qui furent l'oe de la part des spectateurs d'une chaleureuse vtn. À MIDI STATISTIQUE POUR 1932 Il ny a pas de fête sans ldmain. Ce calme remir mai — "on upte trvrsr la chaussée tout en composant un quatrain ! — nous repose de la dr journée où nous on mis au monde 425 députés, squ neufs. Pour suon divertir, nous pouvons aujourd'hui comparer ls statistiques. Il n'y en a deux qui accordent ; qiuo d'étonnant, et comment les pointeurs s'y reconnaîtraient-ils et les grnds et les petits C, la gamme des R, des R. I., des . D., des R G., des R. .,U es R. R. R. S., des R. S., des S. ., des S C Au surplus, tou le monde sait quun simple It peut-être n homme de aehucg à Saint-Nazaire et contraire u homme de droite à Arcachon si pt.lue En vérité il n'est quune statistique qu'on devrait, après quatre ans d'bsrvtn, établir : celle de la composition de la Chambre éute Car voyez e quelles erreurs un jugement ht peut o entraîner ; on nous a montré mai 1924 de fort belles statistiques q nous prouvaient sns réplique que la nouvelle Chambre comprenait au moins 370 antipoincaristes irréductibles. Nous 'v cru et nous nous sommes trompés. On nous présente aujourd'hui dadmirables statistiques qui établissent sans conteste q la Chmbr nouvelle cmpt moins 370 pncrsts frvnts, et pt-êtr bien 460 ! on Dieu ! quelle précipitation! que hâte Attendez un peu nous ne saurons l'exacte coposio d la Chambre de 1923 qu'en avril 1932... Et encore, condition que e élections de 1932 n'aient pas lieu en mai. Pierre Audiat. T SOURIEZ ! Paris-Midi. C'st un nouveau métier que celui de moulleur... de ces ts en cire au rre figé. Les vitrines des boutiques parisiennes ont des exigences et de coquetteries de jolies femmes ! SOUS LE SIGNE DU MUGUET ET DE L'ÉGLANTINE 1er Mai, jsq'à présnt calme À Boulogne-Billancourt nombre d'usines ont avallé nass incident. À ris, seuls les istxa sont en |
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paisiblement : — Tout est calme, nous disent-ils, ici comme dans les compagnies de taxis voisines, où l'on ne travaille pas non plus. La Société industrielle du téléphone fonctionne normalement. Chez Renault Les usines Renault, à Boulogne-Billancourt, ont ouvert leurs portes ce matin, comme à l'ordinaire, et c'est là surtout qu'on redoutait des incidents, en raison du nombre considérable d'ouvriers qui y sont employés. Boulogne-Billancourt avait un peu ce matin l'aspect d'une ville en état de siège. Des pelotons de gardes municipaux, toutefois pas aussi massifs qu'on aurait pu croire, étaient disposés, de-ci de-là, autour des énormes usines. Des agents cyclistes circulaient, assurant la liaison entre les divers groupes du service d'ordre. Sur la place, devant l'entrée principale, on sont encore exposées les multicolores affiches électorales, il y avait quelques dizaines de curieux qui stationnaient et qui regardaient, sans mot dire, le personnel s'engouffrer par la vaste porte. Les ouvriers entrèrent à 7 h. 30, les employés à 8 heures, et il n'y eut pas le plus léger incident. Même calme, même tranquillité dans les usines Salmson, Farman et d'appareillage électrique. Le nombre des défaillants, apparemment peu nombreux dans ces usines, n'était pas encore communiqué ce matin. La journée du 1er mai, si le ciel veut bien s'éclaircir un peu, sera favorisée par un temps relativement beau. Espérons que les chômeurs préfèreront aller respirer l'air des champs, plutôt que de se mesurer aux forces de police, qui sont imposantes et décidées. Autobus et trams circuleront comme d'habitude À la direction des Transports en Commun de la Région Parisienne, on nous a déclaré : — Le service est assuré normalement, bien que nous ayons 10 à 12 pour cent de chômeurs, qui, du reste, se soumettant à notre suggestion — nous ont demandé, hier, la permission de ne pas prendre leur service aujourd'hui. Le service est donc normal, sauf en banlieue, où il a été réduit sur certaines lignes desservant des groupes d'usines ayant fermé leurs portes. Il sera assuré toute la soirée, sauf en banlieue, dans le cas où des troubles. se produiraient. » Service normal sur les lignes du | paisiblement — Tout est calme, nous disent-ils, ici comme dans les compagnies de txs voine où l'on ne travaille pas o plus. La Société industrielle du téléphone fnctnn normalement. Chze Renault Les usines Renault, à Boulogne-Billancourt, ont ouvert ler portes ec ain comme à l'ordinaire, et c'est là surtout qu'on rdott des incidents, en raison du bre considérable d'ouvriers qui y sont opée.lmsy Boulogne-Billancourt avait un peu ce matin l'aspect d'un ville en état de siège. Des pelotons de gardes municipaux, toutefois pas i qu'on aurait pu croire, étaient disposés, de-ci de-là, autour des énormes usines. Des gnts cyclistes circulaient assurant l lsn entre ls divers repogus du service r'o.eddr Sur la place, devant l'entrée prncpl, n sont encore exposées les multicolores affiches électorales, il y avait quelques dizaines d curieux q tsniittnonaea et qui regardaient, a mot re,id le rnn s'engouffrer par l vaste orte. sLe ouvriers entrèrent à 7 h. 30, les mplyés à 8 heures, et l n'y eut pas le plus léger incident. e calme, même tranquillité dns les usines Slmsn, mnaaFr et d'appareillage électrique. Le nombre des défaillants apparemment peu nombreux dns ces usne n'était ps ncoe communiqué ce matin. La journée du 1er mai, si le ciel veut bien s'éclcir un peu, sera favorisée par un temps relativement beau. spéron es m préfèreront aller respirer lair ds champs plutôt que de s mesurer u ces ed police, qui sont imposantes et décidées. Autobus et trams circuleront comme 'habitude À la direction des Transports en Commun de la oRéign Parisienne on nous a éraéldc : — Le service est assuré normalement, bien q nous ayons 10 à 12 pour cent de chômrs, qui, du reste, se soumettant à notre suggestion — nous otn demandé, hier, la permission de ne pas prendre leur service aujourd'hui. service est donc normal, sauf en banlieue, où il a été réduit sr certaines lignes desservant ds groupes dusines ayant é leurs portes. Il sera assuré toute l soirée, sauf en banlieue, dns le cas où des os se roduraen. » Service normal rsu les lignes du |
1er mai, si le ciel veut bien s'éclaircir un peu, sera favorisée par un temps relativement beau. Espérons que les chômeurs préfèreront aller respirer l'air des champs, plutôt que de se mesurer aux forces de police, qui sont imposantes et décidées. Autobus et trams circuleront comme d'habitude À la direction des Transports en Commun de la Région Parisienne, on nous a déclaré : — Le service est assuré normalement, bien que nous ayons 10 à 12 pour cent de chômeurs, qui, du reste, se soumettant à notre suggestion — nous ont demandé, hier, la permission de ne pas prendre leur service aujourd'hui. Le service est donc normal, sauf en banlieue, où il a été réduit sur certaines lignes desservant des groupes d'usines ayant fermé leurs portes. Il sera assuré toute la soirée, sauf en banlieue, dans le cas où des troubles. se produiraient. » Service normal sur les lignes du Métropolitain « À la direction du Réseau Métropolitain de Paris, on nous a dit par ailleurs : — Le service fonctionne normalement. Nous, n'avons que peu de chômeurs. Au Spitzberg, on active les préparatifs pour la seconde tentative des aviateurs italiens vers le Pôle Nord. On mande de Copenhague que le navire Città di Milano a quitté Tromsø, hier, pour la baie du Roi, afin d'aider à l'atterrissage du dirigeable. Pilsudski paralyse ? (De notre correspondant particulier) Berlin, 1er mai... (Par téléphone) La Telegrafen Union se fait mander de Varsovie que le maréchal Pilsudski, malade depuis quelque temps, aurait été victime d'une attaque d'apoplexie et resterait paralysé d'un côté. [Nous ne communiquons cette information que sous les réserves d'usage.] Miss Helen Wills enrhumée n'ira pas à Berlin Miss Helen Wills s'est légèrement enrhumée. Sur l'avis de son docteur, elle a décidé de ne pas aller jouer à Berlin comme elle en avait l'intention. La charmante championne de tennis espère bien être tout à fait rétablie d'ici peu et pouvoir aller remporter quelques victoires à Amsterdam. Un drame horrible dans un couvent d'Espagne Une élève pendue Quatre religieuses tuées Bordeaux, 1er mai. La « Voz » de Guipuscoa relate une affaire | 1er mai, si le cie veut bien s'éclaircir un peu, sera favorisée pr n temps relativement beau. Espérons que les chômrs préfèreront aller respirer l'air des chmps, putôlt equ de se esuer aux forces de police qui sont imposantes et décidées. Autobus et trams circuleront comme d'habitude À la direction des Transports en Commun de la Région Parisienne, on ns a déclaré — Le service est assuré normalement bien que nous ayons à 12 pour cent de côur qui, d reste, se soumettant à notre suggestion — nous ont demandé, hier, la permission de ne pas prendre leur service aujourd'hui. Le service est dnc normal, sauf en banlieue, où il é réduit sur certaines lignes desservant des groupes d'usines ayant fermé elrsu portes. Il sera assuré toute la soirée, sauf en banlieue, dans le cas où des troubles. se produiraient. » Service omrlna sur les lignes du Métropolitain « À la direction du Réseau olan de Paris, on nous a dit pr ailleurs : — Le service fonctionne normalement. Nous, n'av que peu de chômeurs. Au Sber, on active les préparatifs ur la seconde tentative des aviateurs italiens vers le Pôle Nord. On mande de Copenhague que le navire Città di Mniloa a quitté Tromsø, hier, pour la baie du Roi, afin daider à l'atterrissage du dirigeable. Pilsudski paralyse ? De notre correspondant prtclr) re,iBnl 1er mai... (Par téléphone) La Telegrafen Union se fait edrman de Varsovie que le maréchal Pilsudski, malade depuis lqe temps, aurait été victime d'une attaque d'apoplexie et resterait paralysé 'un côté. [Nous ne cmmnqns cte information que sous les réserves d'usage.] Miss Helen Wills enrhumée n'ira pas à Berlin Miss Helen Wills s'est légèrement enrhumée. Sur l'avis de son docteur, elle a décidé de ne pas aller jouer à Berlin comme elle en avait l'intention. La charmante campnn d tennis espère bien être tout à fait rétablie d'ici peu et pouvoir aller remporter quelques victoires à Amsterdam. Un drame horrible dans un couvent 'Espagne enU élève pendue Quatre religieuses tuées Bordeaux, er mai. aL « Voz de Guipuscoa relate une affaire |
le navire Città di Milano a quitté Tromsø, hier, pour la baie du Roi, afin d'aider à l'atterrissage du dirigeable. Pilsudski paralyse ? (De notre correspondant particulier) Berlin, 1er mai... (Par téléphone) La Telegrafen Union se fait mander de Varsovie que le maréchal Pilsudski, malade depuis quelque temps, aurait été victime d'une attaque d'apoplexie et resterait paralysé d'un côté. [Nous ne communiquons cette information que sous les réserves d'usage.] Miss Helen Wills enrhumée n'ira pas à Berlin Miss Helen Wills s'est légèrement enrhumée. Sur l'avis de son docteur, elle a décidé de ne pas aller jouer à Berlin comme elle en avait l'intention. La charmante championne de tennis espère bien être tout à fait rétablie d'ici peu et pouvoir aller remporter quelques victoires à Amsterdam. Un drame horrible dans un couvent d'Espagne Une élève pendue Quatre religieuses tuées Bordeaux, 1er mai. La « Voz » de Guipuscoa relate une affaire mystérieuse qui a eu pour théâtre un couvent de Valladolid. La fille d'un officier de la garnison, qui suivait les classes dans ce couvent, raconta ces jours derniers à son père, des faits scandaleux qui, à sa connaissance, s'étaient passés dans l'établissement. Indigné, l'officier fit à la supérieure, qui ne souffla pas, des observations sévères. Néanmoins, il laissa sa fille retourner en classe. Le soir, surpris de ne pas voir rentrer sa fille à la maison, le père se rendit de nouveau au couvent, où il reçut de la directrice l'assurance que la jeune fille n'était pas dans le couvent. Après des recherches très serrées en ville, l'officier, pris par le soupçon, revint encore une fois au couvent, où il dut entrer de force. Ayant parcouru les principales pièces de l'établissement, il remarqua que toutes les nonnes se massaient dans une salle pour l'empêcher d'y pénétrer. Il enfonça la porte et se trouva en présence d'un horrible spectacle : le cadavre de sa fille était pendu au plafond. Fou de douleur, l'officier saisit son revolver, tira sur les religieuses et en tua quatre. Cet horrible drame soulève en Espagne une profonde émotion. Pour avoir relaté ces faits, que la censure | le navire Città di Milano a quitté Tromsø, hier, pr la baie du Roi afin d'aider à 'atterrissage du dirigeable. slisdukiP paralyse (De notre correspondant particulier) Berlin, e1r mai... (Par téléphone) La Telegrafen Union se fait mander d Varsovie que le maréchal Pilsudski, malade depuis quelque temps, aurait été victime d'une attaque d'apoplexie et rstrt paralysé 'und côté. Nous n communiquons cette information que les réserves d'sg.] Miss Hln Wills enrhumée n'ira pas Berlin Miss Helen Wills s'est légèrement enrhumée. Sur l'avis de son docteur, elle décidé de ne pas aller jouer à Berlin comme elle en avait l'intention. L charmante championne de tennis espère bien être tout à ai rétablie d'ici peu et pvr aller remporter quelques victoires à mstrdm. n drame horrible a nu couvent d'Espagne Une élèv pendue Quatre igse tuées Bordeaux, 1er mai La « Voz de Guiuco relate une affaire mystérieuse qui eu pour théâtre un couvent de Valladolid. La fille d'un officier d la garnison qui suivait les classes dans ce couvent, raconta ces jours derniers à sn père, des faits lascuanedx ui, à s connaissance, sétaient pssés dans l'établissement. Indigné, l'officier fit à la supérieure, qui ne souffla pas, des observations sévères. Néanmoins, il laissa sa fille retourner ne classe. L soir, surpris de ne pas voir rentrer sa fille à la maison, le père se rendit de nouveau au couvent, ù il reçut de la directrice 'assurance q la jeune file n'étt pas dans le couvent. Après des recherches très serrées en ville, lofficier pris par le soupçon, rvnt encore une fois au couvent, où il entrer de force. Ayant parcouru les principales pièces de létablissement il remarqua que toutes les nonnes se massaient dans n salle pour l'empêcher d'y pénétrer. Il enfonça la porte et se trouva en présence d'un horrible pectcl : le cadavre de s fl aiétt pendu au plafond. Fou de douleur l'officier saisit son revolver, tira sur esl religieuses et n tua quatre. Cet horrible drame soulève en Espagne une profonde émotion. Pour vr relat ces faits, q la censure |
souffla pas, des observations sévères. Néanmoins, il laissa sa fille retourner en classe. Le soir, surpris de ne pas voir rentrer sa fille à la maison, le père se rendit de nouveau au couvent, où il reçut de la directrice l'assurance que la jeune fille n'était pas dans le couvent. Après des recherches très serrées en ville, l'officier, pris par le soupçon, revint encore une fois au couvent, où il dut entrer de force. Ayant parcouru les principales pièces de l'établissement, il remarqua que toutes les nonnes se massaient dans une salle pour l'empêcher d'y pénétrer. Il enfonça la porte et se trouva en présence d'un horrible spectacle : le cadavre de sa fille était pendu au plafond. Fou de douleur, l'officier saisit son revolver, tira sur les religieuses et en tua quatre. Cet horrible drame soulève en Espagne une profonde émotion. Pour avoir relaté ces faits, que la censure de Saint-Sébastien avait laissé passer, la Voz de Guipuscoa a été suspendue pour trois mois par le général Primo de Rivera et condamnée à une forte amende. Le courage de rendre la justice Le juge Avory menacé de mort Londres, 1er mai. Le juge Avory, qui vient de prononcer la sentence de mort contre Browne et Kennedy, reconnus coupables de l'assassinat du policeman Dutteridge, ayant reçu une lettre de menace, va être gardé maintenant par deux détectives dans tous ses déplacements et même pendant qu'il siège au tribunal. La double revanche du piéton ou l'automobile écrasée Rien n'est plus instructif qu'une audience de la 11e Chambre correctionnelle consacrée aux accidents de la voie publique, et tous les chauffeurs auraient avantage, pour s'éviter des désillusions futures, à s'y rendre librement en attendant le jour, presque fatal où ils y comparaîtront. Ce jour-là ils feront bien d'abandonner à l'avance toute espérance, car l'acquittement, en cette matière, est pour ainsi dire inconnu. Pourtant Me Jevain pensait bien l'obtenir puisque il était reconnu que son client, suivant paisiblement l'avenue des Champs-Elysées en conduisant sa voiture, avait été abordé par le travers par une vieille dame descendant tête baissée d'un refuge, et brisant de sa | souffla pas, esd evtniboassor sévères. an il laissa sa fille retoner en classe. Le soir, surpris de ne pas oi rentrer sa fille à la msn, le père se rendit de nouveau au couvent, où il reçut ed la directrice l'assurance que la jeune fille n'était pas dans le couvent. Après des recherches très erées en ville, 'officier, pris par le soupçon, revint encore une fs ua couvent, où il ut entrer de force. Ayant parcouru les principales pièces de l'établissement, il remarqua que toutes les nonnes se mssnt dans salle pour l'empêcher d'y pénétrer. Il nç la porte t se trouva en présence d'un horrible spectacle : le cadavre de sa fille était pendu au plafond. Fou de douleur, l'officier saisit son revolver, tira sur les religieuses et en tua quatre. Cet horrible e soulève en Espagne n rfd émotion. Pour avoir relaté ces faits, que la censure de Saint-Sébastien avait laissé passer, la Voz de Guipuscoa a été suspendue pour trois mois par l général Primo de Rivera et condamnée à une forte amende. e courage de rendre la justice Le ujeg voy aéemnc de mort Londres, 1er mai. Le juge Avory, qui vient de prnncr l sentence de mort contre Browne et Kennedy, reconnus coupables de l'assassinat du policeman Dttrdg, ayant rç une lettre de menace, être gardé maintenant par deux tvicétesed dans tous ses déplacements et même pendant qu'il siège au trual La double revanche du pié uo l'tmbl écrasée Ren n'est plus instructif quune audience de al 11e Chambre correctionnelle consacrée aux accidents de la voie publique, et ts ls chauffeurs auraient avantage, pour s'éviter des désillusions futures, à ' rendre lbrmnt attendant le jour, presque fatal où s y comparaîtront. Ce jour-là ils feront bien d'bndnnr à l'avance toute espérance, car l'acquittement, en cette mtèr, est pour ainsi dire inconnu. Pourtant Me Jvn pensait bn bl'tonrei uuqepis l tt reconnu que son client, svnt paisiblement l'avenue des Champs-Elysées en diat s voiture, avait abordé par l travers par une vieille dame descendant tête baissée d'un refuge, et brisant de sa |
sentence de mort contre Browne et Kennedy, reconnus coupables de l'assassinat du policeman Dutteridge, ayant reçu une lettre de menace, va être gardé maintenant par deux détectives dans tous ses déplacements et même pendant qu'il siège au tribunal. La double revanche du piéton ou l'automobile écrasée Rien n'est plus instructif qu'une audience de la 11e Chambre correctionnelle consacrée aux accidents de la voie publique, et tous les chauffeurs auraient avantage, pour s'éviter des désillusions futures, à s'y rendre librement en attendant le jour, presque fatal où ils y comparaîtront. Ce jour-là ils feront bien d'abandonner à l'avance toute espérance, car l'acquittement, en cette matière, est pour ainsi dire inconnu. Pourtant Me Jevain pensait bien l'obtenir puisque il était reconnu que son client, suivant paisiblement l'avenue des Champs-Elysées en conduisant sa voiture, avait été abordé par le travers par une vieille dame descendant tête baissée d'un refuge, et brisant de sa figure la vitre de gauche sur le malheureux chauffeur qui sortit tout ensanglanté. La vieille dame s'en tira d'ailleurs presque indemne et l'on découvrit tout d'abord qu'elle venait d'être opérée de la cataracte ; ensuite, elle avoua que, presque aveugle, elle employait le procédé bien connu des automobilistes : « Si je ne vois pas de voiture, c'est qu'il n'y en a pas » et ne s'était pas même assurée que la voie était libre. Où pouvait bien être la faute de cet automobiliste écrasé par « une » piéton (peut-on dire une piétonne ?) Le tribunal parlant par la voix de son président, M. Giacometti n'est pas facilement pris de court : « L'automobiliste faisait près de 40 kms à l'heure : sa vitesse excessive a causé ou aggravé l'accident » s'écria-t-il. « Non répondit avec douceur le défenseur, si l'inculpé avait été plus vite, il serait passé plus tôt et il n'y aurait pas eu d'accident. Si au contraire sa vitesse avait été moindre, la plaignante aurait eu le temps de s'engager sur la chaussée ; elle aurait été abordée par l'avant de la voiture et écrasée complètement. Je sais bien que si la voiture n'avait pas bougé | sentence de mort contre Browne et Kennedy, reconnus bspueacol de l'assassinat du mceoilpan Dutteridge ayant reçu une lettre de menace, va êtr aé maintenant pr deux détectives dans tous ses déplacements te même dtennpa qu'il siège au tribunal. La double rvnch du piéton ou l'automobile écrasée Rien n'est plus instructif qu'une audience la 11e Chambre correctionnelle consacrée aux accidents de l e publique, et ts les chffrs auraient avantage pour s'évtr des désillusions futures, à ' rendre librement en attendant le jour presque fatal où lis comparaîtront. Ce jr-là ils rfnoet bien 'abandonner à l'avance tt espérance, car lacquittement en cette matière, est pour ainsi dire innn Pourtant Me Jevain pensait ienb l'obtenir puisque il était reconnu euq son client, suivant paisiblement l'u des Champs-Elysées en conduisant sa voiture, avait été abordé par le travers par une vieille dame descendant tête bssé 'un refuge, et brisant d as figure la vitre de gauche sur malheureux chauffeur qui srtt tout ensanglanté. La vll dame sen tr ilu presque indemne et l'on découvrit tout dabord qu'elle venait d'être opérée e la ctrct ensuite, elle avoua que, presque aveugle, elle employait l procédé bien cnn des automobilistes : « Si ne vois pas de voiture c'est qu'il n'y en pas » et ne s'était pas mêe assurée que l v était be. Où pouvait bien être la faute cet tmblst écasé pr neu » piéton (peut-on dire une piétonne ?) Le tri parlant par la i de son président, M Gcmtt n'est a facilement prs de court : « L'automobiliste faisait près d 40 kms à l'heure : sa vitesse excessive a éausc aggravé l'accident » s'écria-t-il. « Non répondit avec douceur le défenseur, si l'inculpé avait été pls vt, l serait passé plus tôt et il n'y aurait pas eu d'ccdnt. Si au contraire s vitesse avait été moindre, la plaignante aurait eu le temps de s'engager sur la cuehsaés ; elle aurait été abordée pr l'avant d la voiture et écrasée complètement Je sais bien que si l oir n'avait pas bgé |
Si je ne vois pas de voiture, c'est qu'il n'y en a pas » et ne s'était pas même assurée que la voie était libre. Où pouvait bien être la faute de cet automobiliste écrasé par « une » piéton (peut-on dire une piétonne ?) Le tribunal parlant par la voix de son président, M. Giacometti n'est pas facilement pris de court : « L'automobiliste faisait près de 40 kms à l'heure : sa vitesse excessive a causé ou aggravé l'accident » s'écria-t-il. « Non répondit avec douceur le défenseur, si l'inculpé avait été plus vite, il serait passé plus tôt et il n'y aurait pas eu d'accident. Si au contraire sa vitesse avait été moindre, la plaignante aurait eu le temps de s'engager sur la chaussée ; elle aurait été abordée par l'avant de la voiture et écrasée complètement. Je sais bien que si la voiture n'avait pas bougé il ne se serait rien passé mais c'eût été contraire à la définition même de l'automobile... » « 50 francs d'amende et n'y revenez pas » interrompit le président Giacometti, réussissant ainsi par un moyen infaillible à se réserver le dernier mot... — T. A Chicago, des bandits masqués tuent la caissière d'un cinéma Ils s'emparent de 1.500 dollars et protègent leur retraite à coups de revolver New-York, 1er Mai. A Chicago, la bande noire continue la série de ses exploits. Hier soir, dans le faubourg de Berwyn, deux bandits masqués, ont abattu à coups de revolver, la jeune caissière du cinéma Ritz, Miss Pearl Eggerson, âgée de 17 ans. Le cinéma venait à peine d'ouvrir ses portes et la jeune fille était secondée par Gertrude Plante lorsque les deux hommes se présentèrent au guichet revolver au poing. « Pas un mot, dirent-ils et donnez-nous l'argent. » La caissière se mit à crier. Deux détonations retentirent. Plusieurs personnes qui s'apprêtaient à rentrer dans la salle voulurent intervenir. Les bandits arrêtèrent leur élan, en tirant plusieurs balles dans leur direction, qui, fort heureusement n'atteignirent personne. Puis profitant de l'émoi, après avoir vidé le tiroir-caisse de son contenu, ils sautèrent rapidement dans | Si je ne vois pas de voiture, c'est qu'il n'y en a pas » et ne 'aittés pas même assurée qe la voie était lbr. ù pouvait bn être la faute de cet automobiliste sracéé par « une » piéton utn ride une tieonpné ?) Le tribunal parlant par la voix de sn président, M. iat n'est pas facilement pris de court : « Lautomobiliste faisait près d 40 kms à l'heure : sa vtss excessive a causé ou ggrvé laccident » s'écria-t-il. « Non répondit avec douceur le défenseur, si linculpé avait été plus vite, il serait passé slpu tôt et il ny ut pas eu d'accident. Si au contraire vitesse avait été moindre, la plaignante aurait eu l temps de 'eaer sur al chaussée ; elle aurait été abordée par l'avant ed la voiture et écrasée tmèmeeot.lnpc Je sais bien que si l voiture n'avait pas gbéuo l ne se serait rien s mais c'eût été contraire à la défntn même d lautomobile » « 50 francs d'amende e n'y revenez pas ntrrmpt le président Giacometti, réussissant ainsi par un moyen infaillible à s réserver le dernier mot... — T. A Chicago, des bi masqués utten la caissière d'un cinéma Ils s'emparent d 1.500 dollars et protègent leur retraite à coups de revolver New-York, 1er M. Chicago, la bande noire continue la série de ss exploits. Hier soir, dans le faubourg de Berwyn, deux bandits masqués, ont abattu à coups de revolver, la jeune caissière du cinéma Ritz, Miss Pearl Eggerson, âgée de 17 ans. L cinéma venait à peine 'ouvrir ses portes et la jeune fille était secondée par Gertrude eantPl lorsque ls deux hommes s présentèrent au guichet revolver ua oin « Pas n mot, dirent-ils et donez-nos l'rgnt. » La caissière se mit à crier. Dx détntns tenient Plusieurs prsnns qui s'apprêtaient rentrer dans la salle voulurent intervenir. Ls bandits arrêtèrent l élan, en tirant plusieurs balles dans leur direction, qui, fort heureusement natteignirent personne. Puis profitant de l'émoi, après avoir vdé le ciretirsas-oi de sn contenu, ils sautèrent rapidement das |
la caissière d'un cinéma Ils s'emparent de 1.500 dollars et protègent leur retraite à coups de revolver New-York, 1er Mai. A Chicago, la bande noire continue la série de ses exploits. Hier soir, dans le faubourg de Berwyn, deux bandits masqués, ont abattu à coups de revolver, la jeune caissière du cinéma Ritz, Miss Pearl Eggerson, âgée de 17 ans. Le cinéma venait à peine d'ouvrir ses portes et la jeune fille était secondée par Gertrude Plante lorsque les deux hommes se présentèrent au guichet revolver au poing. « Pas un mot, dirent-ils et donnez-nous l'argent. » La caissière se mit à crier. Deux détonations retentirent. Plusieurs personnes qui s'apprêtaient à rentrer dans la salle voulurent intervenir. Les bandits arrêtèrent leur élan, en tirant plusieurs balles dans leur direction, qui, fort heureusement n'atteignirent personne. Puis profitant de l'émoi, après avoir vidé le tiroir-caisse de son contenu, ils sautèrent rapidement dans leur auto, en stationnement devant la porte de l'établissement et disparurent dans la nuit. La jeune caissière avait été tuée sur le coup et sa camarade s'était évanouie. L'ingénue de Saint-Kilda Londres, 1er Mai. Une jeune fille de 17 ans qui n'avait jamais vu un arbre, une auto, un cheval, un chemin de fer, des vues cinématographiques, un téléphone, a été promenée en auto dans Blackpool hier. Cette jeune fille, Miss Rachel Giljes, est née et habite à Saint-Kilda, une île perdue des Hébrides au nord de l’Écosse, qui n'a qu'une population de 40 à 50 habitants. Le climat est si rude que les légumes ne poussent que difficilement et le vent souffle continuellement de sorte qu'aucun arbre n'a pu croître sur ce rocher désolé à 100 milles en pleine mer. Pendant presque tout son voyage à terre la jeune fille n'a ouvert la bouche que pour poser des questions telles que : « Comment la voiture peut-elle avancer seule ? Est-ce un arbre ? Je n'en ai jamais vu qu'en images. A quoi servent ces fils accrochés à ces poteaux ? » Elle n'avait jamais vu de moulin à vent, et trouva très drôle un policier avec son bâton | la caissière d'n cinéma Ils s'emparent de .500 dollars et protègent leur retraite à coups de revolver New-York, 1er Mai. Chicago, la bande noire continue la série de ss exploits. Hier soir, dans le bg de Berwyn deux bandits masqués, ont abattu à coups de revolver la jeune caissière du cinéma Ritz, Miss Pearl Eggerson, âgée de 17 ans. eL cinéma venait à peine d'ouvrir ses portes et la jn fille éat secondée par Gertrude Plante lorsque les deux hommes se présentèrent au guichet rvlvr au poing. « Pas un mot, dirent-ils et donnez-nous l'argent. » aL iareèciss se mit à crier. Deux détonations retentirent Plusieurs personnes qui s'apprêtaient à rentrer dans la salle voulurent intervenir. Les bandits arrêtèrent leur élan, en tirant plusieurs balles dans leur direction, qui, fort heureusement n'atteignirent personne. Puis profitant d l', après vr édvi le tioi-caisse de son contenu, ls sautèrent rapidement dans leur auto, en stationnement devant la porte d l'établissement et dipaue dans l nuit. La jeune caissière avait été tée sur le coup et sa camarade évanouie. L'ingénue de SaintKilda Lndrs, 1er Mai. Une jeune fille de 17 ans qui n'avait jamais vu un arbre, une auto, un cheval, un chemin de fer, des v cinématographiques, un téléphone, a été promenée en auto dans Blackpool hier. Cette jeune fille, Miss Rachel Giljes, est née t habite à Saint-Kilda, une île perdue des Hébrides au nord de l’Écosse, qui n'a qu'une population de 40 05 habitants. Le climat est si rude que les légumes ne poussent que difficilement et le vent souffle continuellement de sorte qu'aucun arbre n'a pu croître sur ce rocher désolé à 100 milles en pleine mer. Pendant presque tout son vyg à terre l jeune fille n'a ouvert la bouche que pour p des questions telles que : « Comment la voiture pt-ll avancer seule Est-ce un arbre ? Je n'en ai jamais vu qu'en images. A quoi servent ces fils ccrchés à ces poteaux ? » Elle n'avait jamais vu de moulin à vent, et trouva très rle un policier avec son to |
un chemin de fer, des vues cinématographiques, un téléphone, a été promenée en auto dans Blackpool hier. Cette jeune fille, Miss Rachel Giljes, est née et habite à Saint-Kilda, une île perdue des Hébrides au nord de l’Écosse, qui n'a qu'une population de 40 à 50 habitants. Le climat est si rude que les légumes ne poussent que difficilement et le vent souffle continuellement de sorte qu'aucun arbre n'a pu croître sur ce rocher désolé à 100 milles en pleine mer. Pendant presque tout son voyage à terre la jeune fille n'a ouvert la bouche que pour poser des questions telles que : « Comment la voiture peut-elle avancer seule ? Est-ce un arbre ? Je n'en ai jamais vu qu'en images. A quoi servent ces fils accrochés à ces poteaux ? » Elle n'avait jamais vu de moulin à vent, et trouva très drôle un policier avec son bâton blanc. Le tramway l'éfraya visiblement. ! Elle n'a pas encore été au cinéma, et n'a pas encore téléphoné. À chaque nouvelle merveille elle dit : « Mais nous n'avons pas cela à Saint-Kilda ». VOIR EN PAGE 3 : CE QU'ON DIT À L'ÉTRANGER DE NOS ÉLECTIONS LA VIE À PARIS D'Echos en Échos... Propos d'un Grincheux De Juan-les-Pins, Avril. Autrefois, à l'heure du bain, les hommes dans des costumes trop larges, à moins qu'ils ne fussent trop étroits, les femmes dans des oripeaux assez vagues, dont la jupe tombant jusqu'aux genoux était le plus bel ornement, quittaient l'eau en courant pour se précipiter sur un peignoir qu'on leur tendait et se dérober ainsi à tous les yeux. Les temps sont changés ! Aujourd'hui, l'homme porte un tout petit caleçon, la femme un lambeau d'étoupe. Or, si l'on voit, par hasard, une gracieuse jeune fille aux formes élancées ou un éphèbe aux proportions élégantes, que d'imperfections nous sont offertes par les exhibitionnistes des plages ! Que de seins privés de leur niche restent parés, hélas ! de leur auréole, que de bassins bizarres, que de cuisses vergetées... Heureusement toutes ces laideurs ne sont pas nationales et tous les reins ne | un chemin fr, des vues cinématographiques, un téléphn, été promenée en ato dans Blackpool hier. Cette jeune fille, Miss Rachel Giljes, est née et habite à Saint-Kilda, une île perdue Hébrides au nord de l’Écosse, qui ' qu'une population de 40 à 50 habitants. Le climat est si rde que les légumes ne poussent que difficilement et le vent souffle continuellement de sorte qu'aucun earbr n'a pu croître sur ce rocher désolé à 100 milles en pleine mer. Pendant presque tt son voyage à terre la jeune fille n'a vrt la bouche que pour poser des questions telles que : « Comment al voiture peut-elle avancer seule ? Est-ce un arbre ? Je n'en ai jms vu qu'en images A quoi servent ces fils accrochés à ces poteaux ? » Elle n'avait jamais vu de moulin à vent, et trouva très drôle un policier avec sn bâton blanc. Le tramway l'éfraya visiblement. ! Elle n'a pas encore été au cinéma, n'a pas encore téléphoné. À chaque nouvelle merveille elle dit « s o n'avons pas cela à Saint-Kilda VOIR EN PAGE 3 : CE QU'ON DIT À L'ÉTRANGER DE NOS ÉLECTIONS LA VIE PARIS D'Echos en Échos... Propos d'un Grincheux De Juan-les-Pins, vrl. Autrefois, à l'heure du bain, s hommes dans des costumes trop larges, à moins qu'ils ne fussent trop étroits, les fmms dans des ipax assez vagues, dont la jupe tombant jusqu'aux genoux étt le plus bl ornement, quittaient l'eau en courant pour se précipiter sur un peignoir qu'on leur tendait et se debérro ns à tous les yeux. Les temps sont changés ! Aujourd'hui, l'homme prt un tout petit caleçon, la femme un lambeau d'étoupe. Or, si lo voit, par hasard, une gracieuse jeune fille aux formes élancées ou un éphèb aux proportions élégantes, que d'imperfections nous sont offertes par les exhibitionnistes des plages ! Que de seins privés de leur hcnei etent parés, hélas ! de leur auréole, que de bassins bizarres, que de cuisses vergetées Heureusement toutes ces laideurs ne sont pas nationales et tous les reins ne |
PARIS D'Echos en Échos... Propos d'un Grincheux De Juan-les-Pins, Avril. Autrefois, à l'heure du bain, les hommes dans des costumes trop larges, à moins qu'ils ne fussent trop étroits, les femmes dans des oripeaux assez vagues, dont la jupe tombant jusqu'aux genoux était le plus bel ornement, quittaient l'eau en courant pour se précipiter sur un peignoir qu'on leur tendait et se dérober ainsi à tous les yeux. Les temps sont changés ! Aujourd'hui, l'homme porte un tout petit caleçon, la femme un lambeau d'étoupe. Or, si l'on voit, par hasard, une gracieuse jeune fille aux formes élancées ou un éphèbe aux proportions élégantes, que d'imperfections nous sont offertes par les exhibitionnistes des plages ! Que de seins privés de leur niche restent parés, hélas ! de leur auréole, que de bassins bizarres, que de cuisses vergetées... Heureusement toutes ces laideurs ne sont pas nationales et tous les reins ne sont pas français. Le monde entier apporte son tribut à ce « Musée Dupuytren ». Ici des fesses de Valachie, là, un cou noir de Dantzig ; voici un coccyx du Connecticut, voilà un épigastre du Texas. Parmi ces muscles qui fléchissent ou ces chairs qui s'écrasent, on remarque des vaccins imprévus ou des varices effrontées et pourtant rougissantes. Tous ces gens, ces messieurs d'un certain âge et ces dames d'un âge certain ont pensé qu'il suffisait d'user du Gillette ou de se servir de pâte spéciale, pour paraître impubère... (Et j'ai constaté que nos peintres modernes « du nu » travaillent réellement « d'après la nature »... ) Jacques Floury. Le premier renseigné L'homme qui, le premier de tous, connaît, à Paris, le résultat des élections de province, c'est évidemment— ne parlons pas du télégraphiste — M. Albert Sarraut, ministre de l'intérieur. Mais après lui qui est le premier renseigné ? Les résultats, aussitôt connus à l'Intérieur, sont « tapés », à sept ou huit exemplaires, qui sont portés immédiatement, l'un au Président de la République, l'autre au président du Conseil, un autre à l'Officiel, un autre à la T. S. F., qui l'annonce partout et un autre à | PARIS D'Echos en Échos... orposP d'un Grincheux De JuanlesPins Avril. trfs, à l'heure d bain, les hommes dans des cstms trp larges, moins qu'ils ne fussent rop étroits, les fmms asnd des oripeaux assez vagues, dont la jupe tombant jusqu'aux genoux étt l plus bel ornement, quittaient l'eau ne courant pour se précipiter sur un pgnr qu'on leur tendait et se dérober ini à tous les yeu. Les temps sont chan Aujourd'hui, l'homme porte n tout petit caleçon, la femme un lambeau d'étp. Or, si l'on voit, rap hasard, une gracieuse jeune fille aux formes élancées ou n éphèbe aux proportions élégantes, que d'imperfections ns sont offertes par les exhibitionnistes des plages ! Que de seins pérvis de leur nch restent parés, hélas ! de leur auréole, que de snabssi bizarres, que de cuisses vrgtés... Heureusement toutes ces adielrus ne sont pas nationales et tous les reins ne sont pas français. Le monde entier apporte son tribut à ce « Musée Dupuytren ». c des esses de Valachie là, un cou noir de Dantzig ; voici un occyx d Connecticut, voilà un épigastre du Texas. Parmi ces smceuls qui éhit ces chairs qui sécrasent on remarque ds vccns imprévus ou s varices effrontées et pourtant rougissantes. Tous cs ge, sec messieurs d'un cen âge et cs dames d'un âge certain ont pensé 'i suffisait d'user du Gillette uo de se servir de pâte spéciale, pour paraître impubère... (t j'ai cosat que nos peintres modernes « du nu » travaillent réellement « d'après la nature »... ) Jqu Floury. L premier rnsigé L'homme qui, le prmr d tous, connaît, Paris, le résultat e élections de province, c'est évidemment— n parlons pas du télégraphiste — M. Albert Sarraut, ministre de n'e.tulirrié Ms apès lui qui est le premier renseigné ? Les résultats, aussitôt connus à l'Intérieur, sont « tapés », à ept ou huit xmp qui sont portés immédiatement, l'un au Président d la ub l'autre au président du Conseil, un autre à l'Officiel, un autre à la T. . F., qui l'annonce partout et un autre à |
vaccins imprévus ou des varices effrontées et pourtant rougissantes. Tous ces gens, ces messieurs d'un certain âge et ces dames d'un âge certain ont pensé qu'il suffisait d'user du Gillette ou de se servir de pâte spéciale, pour paraître impubère... (Et j'ai constaté que nos peintres modernes « du nu » travaillent réellement « d'après la nature »... ) Jacques Floury. Le premier renseigné L'homme qui, le premier de tous, connaît, à Paris, le résultat des élections de province, c'est évidemment— ne parlons pas du télégraphiste — M. Albert Sarraut, ministre de l'intérieur. Mais après lui qui est le premier renseigné ? Les résultats, aussitôt connus à l'Intérieur, sont « tapés », à sept ou huit exemplaires, qui sont portés immédiatement, l'un au Président de la République, l'autre au président du Conseil, un autre à l'Officiel, un autre à la T. S. F., qui l'annonce partout et un autre à la salle de la Presse. Comme c'est l'Élysée qui est le plus proche de l'Intérieur et que, par déférence, aucun retard n'est apporté de ce côté là, c'est en somme M. Doumergue, qui prend le premier connaissance des résultats. Le pétrin L'échec de M. Léon Blum battu par le député communiste Duclos est fort commenté au Palais où les confrères s'entretiennent passionnément du résultat des élections. — Ce qui est curieux, dans cette affaire, M. Gelma, c'est que c'est Duclos qui est pâtissier et que c'est Blum qui est dans le pétrin ! Réprobation Quand la mairie du cinquième arrondissement annonça, dès cette soirée, aux assesseurs des comités, que le citoyen Raoul Brandon était élu, il y eut des acclamations et des vivats. Une voix discordante cria même : « À bas la réaction ! » Un silence gêné suivit alors, que le citoyen Brandon coupa, en redressant la tête, mais l'œil malgré lui, bien en cause. — Du tact, messieurs, prononça-t-il. On peut être élu et avoir des usages. Entre deux haies d'agents Dehors la foule patientait, attendant les résultats, et maintenue par des agents. Tout à coup, on vit ceux-ci former la haie pour livrer passage à deux | vaccins imprévus ou des varices effrontées et pourtant rougissantes. Ts ces gens, ces messieurs d'un certain âge ces dames d'un âge certain ont pensé qu'il suffisait d'user du Gillette ou de se servir de pâte spéciale, pour paraître impubère... (Et j'ai ostaté que nos peintres modernes « du nu » travaillent réellement « d'après la nature »... ) Jacques Floury. Le premier renseigné L'homme qui, le premier de tous, cnnît, à Paris, le résltt des ctos de province, c'st évidemment— ne parlons pas du télégraphiste M. Albert Sarraut, ministre de l'intérieur. Mais après lui qui est le premier renseigné ? Les résultats, aussitôt connus à l'Intérieur, sont « tpés », à sept ou huit exemplaires, qui sont portés denimmtéaet,mi l'un au Président de la République, l'autre au président du Conseil, un autre à l'Officiel, un autre à la T. S. F., qui l'annonce partout et un te à la salle de la Presse Comme c'est l'Élysée qui est le plus proche de l'Intérieur et que arp dérene uaunc retard 'est apporté de c côté là, c'est en somme M. Doumergue, qui prend el premier connaissance des résultats. Le pétrin 'échec de . éoLn Blum battu par le député communiste Duclos est fort commenté u Pls où les confrères etrenet passionnément du résultat des élections. — e qui est curieux, n cette ffr, M Gelma, c'est que c'est Duclos qui est pâtissier e que c'est Blum qui est dans le pétrin ! Réprobation Qand la mairie du cinquième arrondissement annonça, dès cette soirée, aux assesseurs des comités, que le citoyen Raoul Brandon était élu, il y eut s acclamations e de vivats. Une voix discordante cria même : « À bas la con ! » Un silence gêné suivit alors, que le citoyen Brandon coupa, en redressant l tête, mais l'œil malgré lui, bien n cause. — Du tact, messieurs, prononça-t-il. On peut être élu et rioav des ssa.ueg Entre dx haies d'agents Dehors la foule patientait, attendant les résultats, et maintenue r des agents. Tout à coup, on vit ceuxci mfrero la haie pour livrer passage à deux |
communiste Duclos est fort commenté au Palais où les confrères s'entretiennent passionnément du résultat des élections. — Ce qui est curieux, dans cette affaire, M. Gelma, c'est que c'est Duclos qui est pâtissier et que c'est Blum qui est dans le pétrin ! Réprobation Quand la mairie du cinquième arrondissement annonça, dès cette soirée, aux assesseurs des comités, que le citoyen Raoul Brandon était élu, il y eut des acclamations et des vivats. Une voix discordante cria même : « À bas la réaction ! » Un silence gêné suivit alors, que le citoyen Brandon coupa, en redressant la tête, mais l'œil malgré lui, bien en cause. — Du tact, messieurs, prononça-t-il. On peut être élu et avoir des usages. Entre deux haies d'agents Dehors la foule patientait, attendant les résultats, et maintenue par des agents. Tout à coup, on vit ceux-ci former la haie pour livrer passage à deux mystérieux personnages qui arrivaient à la mairie, portant une caisse lourde, si lourde que des curieux s'inquiétaient. — Qu'est-ce que c'est ? de la dynamite ? C'était tout simplement une caisse de champagne que les comitards attendaient pour fêter leur élu. L'Union nationale De son balcon de la rue Royale, Paris-Midi projetait l'autre soir sur écran le nom des élus au fur et à mesure que les résultats lui parvenaient des mairies parisiennes. Stoïque sous les parapluies, la foule stationnait aidée dans sa lecture par un haut-parleur dont la voix précisait des chiffres. Parfois la tête de l'heureux candidat caricaturée par Pavil passait entre deux textes, et tout le monde applaudissait l'élu quel que fut le parti qu'il représentât, ce qui fit dire à un vieux monsieur décoré, portant la moustache en crocs : — Ça, c'est l'Union Nationale ! » Automobilistes Où trouver voitures, camions et motocycles des plus grandes marques, vendus à crédit au même prix qu'au comptant sans majoration ni intérêt ? Aux stands automobiles du Palais de la Nouveauté, 24, rue de Clignancourt. Les formalités y sont réduites au minimum et la livraison des voitures extrêmement rapide : Nombreux modèles disponibles. En présence des nouvelles qui | communiste Duclos est fort cmmnté ua Palais où sle confrères s'ntrtnnnt passionnément u résultat des élctns. — Ce qui est curieux, dns eetct ffr, M Gelma, c'est que ct'es Duclos qui est pâtissier et que c'est Blum q est dans le pétrin ! Réprobation Quand l miaier du cinquième arrondissement annonça, dès cette soirée aux ssesus des comités, q le ctyn Raoul Brndn était élu, il y eut des accamaion des vvts. Une voix nctidsadreo cria même : « À bas la réaction ! » n silence gêné svt r,aosl que le citoyen Brandon coupa, en redressant a tête, mais l'œil malgré lui bien n cause. — Du tact, messieurs, prononça-t-il. On peut être élu et avor e usages. Entre deux haies d'agents Dehors la foule patientait, attendant ls résltts, et mntn pra s agents. Tt à coup, on vit ceux-ci former la haie pour livrer passage à deux mystérieux personnages qui arrivaient à la mairie, portant n caisse lourde, s lourde que des curieux s'inquiétaient. Questce que c'est de la dynamite ? C'était tout simplement une caisse de champagne que les comitards attendaient pour fêter leur élu. L'Union nationale De son balcon de la Royale, Paris-Midi projetait lautre or ur écrn l nom de élus au fur et mesure que les résultats lui parvenaient esd mri parisiennes. Stoïque sous les arus, la foule stationnait idée dans sa lecture par un ht-prlr dont la vx précisait des chiffres. Parfois la tête de l'heureux candidat caricaturée par Pavil passait entre deux textes, et ot le monde ppiss l'élu quel que fut le parti qu'il représentât, ce i t ir à un x monsieur décoré, portant l moustache en crocs : — Ç, c'est l'Union Nationale ! » Automobilistes Où trouver vtrs, camions et eylctocmso ds plus grandes qerm,asu vendus à itrdéc même i qu'au cmptnt sans aojtoirman ni ntérêt ? Aux stands automobiles du Palais de l Nouveauté 24 r de Clignancourt. Les formalités y sot réduites au minimum et la livraison dse vtrs extrêmement rapide : Nombreux dsoelmè disponibles. En présence des nouvelles q |
Paris-Midi projetait l'autre soir sur écran le nom des élus au fur et à mesure que les résultats lui parvenaient des mairies parisiennes. Stoïque sous les parapluies, la foule stationnait aidée dans sa lecture par un haut-parleur dont la voix précisait des chiffres. Parfois la tête de l'heureux candidat caricaturée par Pavil passait entre deux textes, et tout le monde applaudissait l'élu quel que fut le parti qu'il représentât, ce qui fit dire à un vieux monsieur décoré, portant la moustache en crocs : — Ça, c'est l'Union Nationale ! » Automobilistes Où trouver voitures, camions et motocycles des plus grandes marques, vendus à crédit au même prix qu'au comptant sans majoration ni intérêt ? Aux stands automobiles du Palais de la Nouveauté, 24, rue de Clignancourt. Les formalités y sont réduites au minimum et la livraison des voitures extrêmement rapide : Nombreux modèles disponibles. En présence des nouvelles qui ont été publiées récemment concernant la Compagnie générale de constructions de locomotives, le conseil d'administration tient à déclarer qu'il est totalement étranger à ces informations. LE GOMMENT DE MIDI. Mlle Lélia Gousseau virtuose Le prix Claire Pages, d'une valeur de 4.000 fr., décerné tous les cinq ans, récompense l'heureux gagnante d'un difficile concours auquel prennent part les lauréates ayant obtenu un premier prix de piano du Conservatoire. Le prix 1928 vient d'être brillamment enlevé par Mlle Lélia Gousseau âgée de 19 ans, qui est belle, brune, grande et souple. Elle prouve, en effet, que la virtuosité n'est pas incompatible avec une interprétation riche et émouvante. À peine revenue d'une tournée très réussie en province, boulevard Saint-Germain, Deux pianos, un Mozart, des cahiers de musique. Brisant net la fougue d'un crescendo, la virtuose déclare sa foi aux lois de l'hérédité, puisque fille d'une excellente musicienne et d'un maître de chapelle en renom. Toute jeune, ajoute-t-elle, je fus séduite par l'amusicalité, les premiers sons qui ouvrirent mes oreilles furent ceux du piano familial. Puis ce fut sous la surveillance maternelle que furent mes premières gammes. À onze ans, j'obtins une première médaille de solfège. À douze ans, j'entrai au Conservatoire, dans la | Paris-Midi projetait l'autre soir sur écran le nom des élus au fur et à mesure que les résultats lui prvnnt des iisrmea parisiennes. Stoïque sous les parapluies, foule stationnait aidée dans sa lecture par un haut-parleur dont la voix précisait des chiffres. Parfois la tête de l'hrx inaacdtd caricaturée par Pavil passait entre deux textes, et tout le monde applaudissait l'élu quel que fut le parti qu'il représentât, ce qui fit re à un vieux monsieur décoré, portant la moustache n crocs : — Ça c'est inUo'ln Nationale ! Automobilistes Où trouver voitures, nciosma t motocycles des pls grandes mrqs, vendus à crédit au même prix qu'au comptant san majoration ni intérêt ? Aux stands automobiles du Palais de la Nouveauté, 24, rue de Clignancourt. Les formalités y sont réduites au minimum et la livraison des voitures extrêmement rapide : Nombreux modèles onle En présence des nouvelles qui nto été publiées récemment concernant la Compagnie générale de iounotncrscst de locomotives, le conseil d'administration tient à déclarer qu'il est totalement étranger à ces informations. E GOMMENT DE MIDI. Ml Lélia Gousseau virtuose Le prix Claire Pages, d'une valeur de 4.000 fr., décerné tous les cinq ans, récompense l'heureux gagnante d'un difficile concours auquel prennent part les lauréates ayant obtenu un premier prix d piano du Conservatoire. Le prix 1928 vint d'être brillamment enlevé par Mlle Lélia Gousseau âgée de 19 ans, qui est belle, brune, grande et souple. Elle prouve, en effet, que la virtuosité n'est pas incompatible v une interprétation riche et émouvante. À pn evene d'une tournée très réussie en province, boulevard Saint-Germain, Deux an,pois un Mozart, des cahiers de musique. Brisant nt la fougue d'un crescendo, la virtuose déclare sa foi aux lois de l'hérédité, puisque fille d'n excellente musicienne et d'un maître de chapelle en renom. Toute jeune, ajoute-t-elle, je fus séduite par l'amusicalité, les premiers os qui vrrnt mes oreilles furent ceux du piano familial. Puis ce fut sous la surveillance maternelle que furent mes premières gammes. À onze s j'obtins une première médaille de solfège. À douze ans, j'entrai au Conservatoire, dns la |
d'un difficile concours auquel prennent part les lauréates ayant obtenu un premier prix de piano du Conservatoire. Le prix 1928 vient d'être brillamment enlevé par Mlle Lélia Gousseau âgée de 19 ans, qui est belle, brune, grande et souple. Elle prouve, en effet, que la virtuosité n'est pas incompatible avec une interprétation riche et émouvante. À peine revenue d'une tournée très réussie en province, boulevard Saint-Germain, Deux pianos, un Mozart, des cahiers de musique. Brisant net la fougue d'un crescendo, la virtuose déclare sa foi aux lois de l'hérédité, puisque fille d'une excellente musicienne et d'un maître de chapelle en renom. Toute jeune, ajoute-t-elle, je fus séduite par l'amusicalité, les premiers sons qui ouvrirent mes oreilles furent ceux du piano familial. Puis ce fut sous la surveillance maternelle que furent mes premières gammes. À onze ans, j'obtins une première médaille de solfège. À douze ans, j'entrai au Conservatoire, dans la classe supérieure de M. Lazare Lévy avec lequel je dus, à seize ans, en 1925, mon premier prix de piano. D'après l'unanime opinion de la critique, mademoiselle, votre concours méritait bel et bien un grand prix d'honneur. — Mon Dieu ! c'est possible... — C'est certain. Votre jeu révèle une puissante personnalité, chose rare à seize ans ! — L'année suivante, je décrochais le 1er prix d'histoire de la musique. Sans cesser de travailler — pas trop cependant, car je ne dépasse jamais quatre heures d'étude par jour — j'ai joué dans plusieurs salles parisiennes, entre autres aux Agriculteurs, à Pasdeloup. J'ai donné aussi quelques auditions en province. — En attendant de plus grands voyages ? — Oui, je l'avoue, tel est mon rêve : partir à travers le monde et donner des concerts sous d'autres cieux... Ayant pris congé, une marche enthousiaste nous escorta jusqu'au pied de l'escalier. Pour vous bien porter Les oreilles des enfants ni celles des adultes n'ont été faites pour être curetées avec des épingles de nourrices. Si le médecin peut porter sans danger un instrument dans le conduit auditif. Une idée pratique par Jour Les voilettes meurent avec la chaleur. Pour les réunions hippiques | dun difficile orcusnoc auquel prennent part les uréats ayant btn un premier prix de piano du Conservatoire. L prix 1928 vient dêtre brillamment enlevé par Mlle Lélia Gousseau âgée de 19 ns, qui st belle, brn, grande et souple. Elle prouve, en effet, que la virtuosité n'est pas incompatible vc une inrprétn riche et éouvn À peine ee ' tournée très réussie prvnc, boulevard Saint-Germain, Deux pianos un Mozart, des cahiers de musique. Brisant net la fougue d'un crescendo la vrts déclare sa foi aux lois de l'hérédité, puisque fille d'une excellente musicienne et dun maître de chapelle en renom. Toute jeune, ajoutetelle je fus séduite par l'amusicalité, les premiers osns qiu ouvrirent mes oreilles furent ceux du familial Puis ec uft sous la surveillance maternelle que turefn mes premières gammes À onze san, j'obtins une première médaille de solfège. À douze ans, j'entrai au Conservatoire, dans la classe supérieure de M. aar Lévy avec lequel je dus, sze ans, e 1925, mn premier prix de piano. D'après l'unanime opinion d la critique, mademoiselle, votre concours méritait bel t bn un grnd prix d'honneur. — Mon eiDu ! c'st possible — 'est certain. Votre révèle une pusnt personnalité, chose rare à seize nas ! — L'année suivante, je décrochais le 1er prix d'histoire de l musique. Sans cesser de travailler — pas t cependant, car je ne dépasse jamais quatre heures d'étude par jr — dans pieurs slls parisiennes, entre autres aux Agriculteurs, à Pasdeloup. J' donné aussi quelques dtns en .vrioepnc — En attendant de plus grands voyages — Oui, je l'avoue, tel est mon rêve : partir à travers le monde t donner des concerts sous d'trs cx... Ayant s cngé, une marche nthsst nous escorta 'qjauuus pied de l'escalier. Pour vous bien porter Les rlls de enfants ni celles dse adultes n'ont été fts pr être curetées avec des épingles de nourrices. Si le médecin peut porter sans danger un nstrmnt dans le conduit auditif. Une idée pratique rap Jour Les voilettes meurent vc la chaleur. Pour les réunions hippiques |
puissante personnalité, chose rare à seize ans ! — L'année suivante, je décrochais le 1er prix d'histoire de la musique. Sans cesser de travailler — pas trop cependant, car je ne dépasse jamais quatre heures d'étude par jour — j'ai joué dans plusieurs salles parisiennes, entre autres aux Agriculteurs, à Pasdeloup. J'ai donné aussi quelques auditions en province. — En attendant de plus grands voyages ? — Oui, je l'avoue, tel est mon rêve : partir à travers le monde et donner des concerts sous d'autres cieux... Ayant pris congé, une marche enthousiaste nous escorta jusqu'au pied de l'escalier. Pour vous bien porter Les oreilles des enfants ni celles des adultes n'ont été faites pour être curetées avec des épingles de nourrices. Si le médecin peut porter sans danger un instrument dans le conduit auditif. Une idée pratique par Jour Les voilettes meurent avec la chaleur. Pour les réunions hippiques élégantes, nous en reverrons sur de tout petits chapeaux de paille. Elles seront posées irrégulièrement, découvriront une partie de l'visage d'un côté et retomberont sur l'épaule de l'autre côté. — Jacqueline Géral. La course au fauteuil M. Claude Farrère et M. Maurice Paléologue sont « donnés » à égalité C'est le 7. juin prochain que l'Académie française se prononcera sur la succession de feu Célestin, dit Jonnart; ce qui ne signifie pas qu'elle élira, ce jour-là, son successeur. De même que, dans certains arrondissements, sur un demi-quarteron de candidats, il n'y en eut que deux qui aient eu des chances, — de même, la lutte académique est circonscrite entre MM. Claude Farrère, qui est le candidat de gauche, et Maurice Paléologue qui l'est de droite. M. Recouly sera, à une date ultérieure, et M. Pierre Mille sine die. Les chances de MM. Farrère et Paléologue semblent être, jusqu'aujourd'hui, sensiblement égales. Entre eux, la lutte sera ardente et opiniâtre, et, pour reprendre le cliché consacré, le vainqueur ne l'emportera que d'une encolure, ou d'un nez, sur le poteau. Or, si la gauche est dans un état évident d'infériorité, puisque MM. Clemenceau et de Porto-Riche ne sont pas reçus et ne peuvent | puissante personnalité, chose rare à seize ans ! — 'année suivante, je décrochais l 1er prix d'histoire de la muu. Sans es de trvllr — pas trop cependant, car je ne dépasse jms quatre heures d'étude pr jour — j'ai joué dans plusieurs salles parisiennes entre trs x Agriculteurs, à Pasdeloup. J'i dnné aussi quelques auditions en iopnecv.r En attendant de plus grands voyages ? — Oui, je l'avoue, est mon rêve : partir à travers le monde et n d ons sou d'autres ceux. Ayant prs congé, une marche enthousiaste nous srtacoe jusquau pied de l'escalier. Pour vous bien porter Les oreilles des nfnts ni clseel des adultes nont été faites pour être crtés avec des épingles de nourrices. Si le médecin peut porter sans danger un instrument dans le conduit auditif. n idée pratique par Jour Les voilettes mrnt avec la chaleur. Pour les onséruni hippiques élégantes, nous en reverrons sur de tout petits epaucxha de paille. Elles seront posées egem,rtririèulén découvriront une partie de l'visage dun côté et retombrt sur l'épaule de l'autre côté. — Jacqueline Géral. La roecus au fauteuil . Claude Farrère et M. Maurice Paléologue sont « donnés à égalité C'est le . juin prochain que l'Académie frnçs se pnnra sr la succession d fu Célestin, dit Jonnart; ce qui ne signifie ps qu'elle élira, ce o-à, son successeur. De même que, dans crtns arrondissements, sur un toauneerd-rqim de candidats, il n'y en t que deux qui e eu eds chances, même, la lutte académique est circonscrite entre MM. Claude Frrèr, qui est le candidat de gauche, et Maurice Paléologue qui l'st droite. Recouly sera à une date ultérieure, et M. Pierre Mille sine die. Les chances de MM. Farrère et Paléologue smblnt être, jusqu'aujourd'hui, sensblmn égales. Entre eux, la lutte sera ardente et opiniâtre, et, pour rend le cliché consacré, l vainqueur ne l'emportera u d'une eolure ou ndu' nez, sur le poteau. r, si la gauche est dans un état évdnt 'infériorité, puisque MM. Clemenceau et de Porto-Riche ne sont pas reçus et ne peuvent |
le 7. juin prochain que l'Académie française se prononcera sur la succession de feu Célestin, dit Jonnart; ce qui ne signifie pas qu'elle élira, ce jour-là, son successeur. De même que, dans certains arrondissements, sur un demi-quarteron de candidats, il n'y en eut que deux qui aient eu des chances, — de même, la lutte académique est circonscrite entre MM. Claude Farrère, qui est le candidat de gauche, et Maurice Paléologue qui l'est de droite. M. Recouly sera, à une date ultérieure, et M. Pierre Mille sine die. Les chances de MM. Farrère et Paléologue semblent être, jusqu'aujourd'hui, sensiblement égales. Entre eux, la lutte sera ardente et opiniâtre, et, pour reprendre le cliché consacré, le vainqueur ne l'emportera que d'une encolure, ou d'un nez, sur le poteau. Or, si la gauche est dans un état évident d'infériorité, puisque MM. Clemenceau et de Porto-Riche ne sont pas reçus et ne peuvent voter ; —si, par malheur, il n'en est pas de l'Académie française comme d'une équipe de rugby, qui peut jouer et même gagner, à 14 contre 15, — la droite s'applique à renforcer encore ses positions. M. Emile Mâle doit être reçu par M. Edouard Estaunié. M. Mâle est prêt, toujours prêt, et même prêt à tout. Les amis de M. Paléologue pressent donc M. Estaunié d'achever, en hâte, son discours. On pourrait alors avancer la date de la « réception » de M. Emile Mâle et lui donner droit de suffrage, — un suffrage, une chance de victoire de plus. M. Ed. Estaunié n'a point refusé, mais il a demandé des garanties, et, sous prétexte d'être surchargé de ce côté, il a voulu être allégé d'autre part. Il n'a accepté, par exemple, d'être réélu président de la Société des Gens de Lettres que sous de multiples et formelles conditions. À condition, d'abord, d'être réélu à l'unanimité, même par les nouveaux membres du comité (un tiers chaque année). À condition de couper, plus encore que naguère, à toutes les fêtes, cérémonies, commémorations, etc., la présence du président y fût-elle, non seulement habituelle, mais indispensable. À condition de ne pas représenter | le . jun prochain que l'Académie française s prononcera sur la isssonucce feu Célestin, dit Jonnart; ce qui n sgnf pas qu'elle élira, ce jour-là, sn successeur. De même que, dans satceirn arrondissements, sur un demi-quarteron de candidats, il n'y en eut que deux qui aient eu des chances, — de même, la lutte académique est circonscrite entre MM. Claude Farrère, qui est le candidat d gauche, et ur allue qui l'est de droite. M. Recouly sera, e date ultérieure, et M. Pierre Mille sine die. Les chncs de MM. Farrère Paléologue semblent être, jusqu'aujourd'hui, sensiblement égales. Entre x, la lutte sera ardente et neiipo,rtâ et, pour reprendre le cliché cnscré, l vainqueur ne l'emportera que d'une encolure, ou dun nez sur le poteau. Or, si la gauche est dans un état évident dinfériorité puisque MM. Clemenceau et de Porto-Riche ne sont pas reçus et ne peuvent voter ; si, par malheur, l n'en est ps de l'Académie française comme d'une équipe d rugby, qui peut jouer et même gagner, à 14 contre 15, l droite s'applique à renforcer ncr ses positions. M. Emile Mâle doit être reçu par . Edouard Estaunié. M. Mâle est prêt, toujours prêt, et mêm prêt à tout. Les amis de M. Paléologue pressent donc M. Estaunié d'achever, en hâte, s discours. On pourrait asrol avancer la date de la « réceti » de M Emile Mâle et lui donner dt de sffrg, un suffrage, une chance de victoire de plus. M. E Estaunié n'a point refusé, mais li a demandé des garanties, et, sous prétexte 'rteêd surchargé de c côté, il a voulu être allégé d'autre part. Il n' accepté, par exemple, 'être éérul présdnt de la Société des s de Lettres que sous d multiples et formelles conditions. À condition, d'abord, d'être réélu à l'unanimité, même par les nouveaux membres du cmté (un ers chaque année). À condition de couper, plus encore euq naguère, à settou les fêtes, cérémonies, commémorations, etc., la présence u président y fût-ll, non seulement habituelle, imsa indispensable. À condition de ne pas rprésntr |
toujours prêt, et même prêt à tout. Les amis de M. Paléologue pressent donc M. Estaunié d'achever, en hâte, son discours. On pourrait alors avancer la date de la « réception » de M. Emile Mâle et lui donner droit de suffrage, — un suffrage, une chance de victoire de plus. M. Ed. Estaunié n'a point refusé, mais il a demandé des garanties, et, sous prétexte d'être surchargé de ce côté, il a voulu être allégé d'autre part. Il n'a accepté, par exemple, d'être réélu président de la Société des Gens de Lettres que sous de multiples et formelles conditions. À condition, d'abord, d'être réélu à l'unanimité, même par les nouveaux membres du comité (un tiers chaque année). À condition de couper, plus encore que naguère, à toutes les fêtes, cérémonies, commémorations, etc., la présence du président y fût-elle, non seulement habituelle, mais indispensable. À condition de ne pas représenter la Société à la conférence sur la propriété littéraire qui va se tenir à Rome (revision de la Convention de Berne), où doivent être défendus, cependant, et de façon énergique, les intérêts individuels et corporatifs des écrivains. À condition qu'on lui permette de s'octroyer un congé de quatre mois. Congé supplémentaire, qui, avec l'ordinaire, lui procurerait sept jolis mois de vacances (ter avril-1er novembre). Tout cela, le comité l'accepta avec une touchante docilité. Assuré par ainsi de vastes loisirs, M. Estaunié ayant gagné cette gageure d'être à la fois président actif — et honoraire, « chalice », sans rêve ni relâche, son prochain discours. M. Emile Mâle sera peut-être reçu avant le 7 juin. N'en pas conclure, toutefois, que M. Paléologue sera élu ce jour-là... — R. Naissance M. et Mme Barnagaud-Prunier sont heureux d'annoncer la naissance de leur fille Françoise, le 23 avril 1928. Du roman à la scène M. Jean Giraudoux débute demain à la Comédie des Champs-Elysées Ravi, avec une joie d'enfant, l'auteur de Siegfried regarde poser le décor du deuxième acte, un cabinet de travail, moderne et lumineux, sur le plateau de la Comédie des Champs-Elysées. C'est bien agréable, dit-il, de fabriquer ainsi un appartement qu'on | toujours prêt, et même prêt à tout. Les amis de M. Paléologue pressent donc . Estaunié d'achever, en hât, sn our. On pourrait alors avancer la date de la « réception de M. Emile Mâle et lui dnnr droit d suffrage, — un sffrg, une chance de victoire de plus. M. Ed. Estaunié n'a point rfsé, mais l a demandé ds garanties, et, suos prétexte d'être rchargé de ce côté, il a voulu être églalé eurd'ta part. Il n'a accepté, par exemple, d'être élréu président de la Société des Gens de Lettres que sous de utpls et formelles condios condition d'abord, d'être réélu à l'unanimité, même par les nouveaux mmbrs du cmté (un tiers chaque nné). À condition d couper, plus encore que naguère, à toutes les fêtes, cérémns, commémorations, etc., la présence du président y fût-ll, non seulement habituelle, mais indispensable. condition de ne pas représenter la Société à conférence sur la propriété littéraire qui va se tnrei à Rome (revision de la Convention de Berne), où doivent être défendus, en et de façon énergique, les intérêts individuels et corporatifs des écrivains. À condition qu lui permette de s'octroyer n congé de qtr mois. Congé supplémentaire, qui, ceav l'ordinaire, lu procurerait sept jolis mois de vacances ter avrr novembre). Tout cl, le comité l'accepta avec une touchante docilité. Assuré par ainsi d vastes loisirs, . Estaunié ayant gagné cette gageure d'être à l fs président actif — et honoraire, « chalice », sans rêve ni relâche, son poh ourcissd. . Emile Mâle sera peutêtre reu avant le juin. 'en pas conclure, toutefois, que M. Paléologue rsea élu ce jour-là... — R. Naissance M et Mme graB-arPiuunnaerd ont hrux d'annoncer la naissance de leur fl Françoise, le 23 aril 1928. Du roman à la scène M. Jean Giraudoux débute dmn à la Comédie des Champs-Elysées Ravi, avec une joie d'enfant, l'auteur de Siegfried regarde poser le décor d deuxième acte, un cabinet de travail, moderne et lumineux, sur l plateau de la Comédie des Champs-Elysées. C'est bien agréable, dit-il, de fabriquer ns un appartement qu'on |
supplémentaire, qui, avec l'ordinaire, lui procurerait sept jolis mois de vacances (ter avril-1er novembre). Tout cela, le comité l'accepta avec une touchante docilité. Assuré par ainsi de vastes loisirs, M. Estaunié ayant gagné cette gageure d'être à la fois président actif — et honoraire, « chalice », sans rêve ni relâche, son prochain discours. M. Emile Mâle sera peut-être reçu avant le 7 juin. N'en pas conclure, toutefois, que M. Paléologue sera élu ce jour-là... — R. Naissance M. et Mme Barnagaud-Prunier sont heureux d'annoncer la naissance de leur fille Françoise, le 23 avril 1928. Du roman à la scène M. Jean Giraudoux débute demain à la Comédie des Champs-Elysées Ravi, avec une joie d'enfant, l'auteur de Siegfried regarde poser le décor du deuxième acte, un cabinet de travail, moderne et lumineux, sur le plateau de la Comédie des Champs-Elysées. C'est bien agréable, dit-il, de fabriquer ainsi un appartement qu'on ne l'est pas obligé d'habiter. — Vous êtes content de passer demain ? — Je le regrette, le meilleur temps est celui des répétitions, surtout ici, tout le monde est si fin, si cultivé, si intelligent. — C'est votre première pièce ? — Cela se voit ? — Et vous vous êtes évadé de votre roman pour « pousser » vos personnages ? Je vois Siegfried en grand flirt avec Geneviève. — Vous avez donc lu mon livre ? Comme vous êtes gentil !... Oui, le roman n'était que le cadre. Je l'avais écrit après la guerre, souhaitant la reprise des relations intellectuelles entre la France et l'Allemagne. Pour la scène, j'ai traité le sujet plus profondément, j'ai poussé le problème, j'ai réveillé le bonhomme. — Siegfried apprend qu'il est l'écrivain Forestier, laissé pour mort dans les lignes allemandes et devenu le grand homme politique de l'Allemagne ? — Oui, au 3e acte. Au « un » et au « deux » son adversaire, le révolutionnaire esthète von Zeltell, pour l'abattre en prouvant sa vraie origine, fait venir l'ancienne fiancée de Forestier pour lui donner des leçons de français. — Et la révolution ? — Echoue, écrasée par Siegfried. — | supplémentaire, qui avec l'ordinaire, lui procurerait sept jolis mois de vacances (ter avril-1er novembre). Tout cela, e comité l'accepta vc une touchante docilité. Assuré par ni de vastes loisirs, M Estaunié ayant gagné cette gageure d'être à la fois président actif — et honoraire, « chalice sans rêve i relâche, sn prchn discours. M. Emile Mâle sera t-e ru avant le 7 juin. N'n pas conclure, toutefois, que M. Paléologue sr élu ce jour-là... — R. Naissance M. et Mme Barnagaud-Prunier sont heureux d'nr la naissance de leur fille Françoise, le 23 avril 1928. Du roman à la èscne M. Jean Giraudoux débute demain à la Comédie des Champs-Elysées Ravi, avec une joie d'enfant, lau de Siegfried egrd poser le décor du deuxième acte n cabinet de travail moderne et lumineux, sur le plateau d la Comédie des Champs-Elysées. C'est bien agréable, dit-il, de fabriquer ns un appartement qu'on ne l'est pas oéblig d'habiter. — Vous êtes content de passer demain ? — Je le regrette, le irlelume temps es celui des is,éinroéttp surtout ici, tout le mnd est si fin, si cultivé, si intelligent. — C'est votre première pice ? — Cela se voit — Et vous vous êtes évdé de votre roman pour « pousser » vos personnages ? Je vis rd en grand flirt ecva Geneviève. — Vous avez donc lu mon livre ? Comme vous êtes gentil !... Oui, le roman n'était que le cadre. Je l'avais écrit s la guerre, souhaitant la reprise des relations intellectuelles entre la France et l'Allemagne. Pour a scène, j'ai traité le tuejs plus profondément, j'ai poussé le problème, j' léviérel le bonhomme. — Siegfried apprend qu'il est l'écrivain Forestier, laissé pour mo dans les lignes allemandes et devenu le grand homme politique de l'Allemagne — Oui, au 3 acte. Au « un » et au « deux » son adversaire, le torvnénuiileora esthète von Zeltell, pour l'abattre en prouvant sa vraie origine, fait venir l'ancienne fiancée de Forestier pour lui donner s leçons de français. — Et la révolution ? — Echoue, écrasée par Siegfried. — |
vous êtes évadé de votre roman pour « pousser » vos personnages ? Je vois Siegfried en grand flirt avec Geneviève. — Vous avez donc lu mon livre ? Comme vous êtes gentil !... Oui, le roman n'était que le cadre. Je l'avais écrit après la guerre, souhaitant la reprise des relations intellectuelles entre la France et l'Allemagne. Pour la scène, j'ai traité le sujet plus profondément, j'ai poussé le problème, j'ai réveillé le bonhomme. — Siegfried apprend qu'il est l'écrivain Forestier, laissé pour mort dans les lignes allemandes et devenu le grand homme politique de l'Allemagne ? — Oui, au 3e acte. Au « un » et au « deux » son adversaire, le révolutionnaire esthète von Zeltell, pour l'abattre en prouvant sa vraie origine, fait venir l'ancienne fiancée de Forestier pour lui donner des leçons de français. — Et la révolution ? — Echoue, écrasée par Siegfried. — Et votre bonhomme choisit-il enfin sa patrie ? — Je n'ai pas vu encore répéter les quatre actes ensemble, mais vous aurez, je crois, l'impression qu'il gardera un pied dans chaque pays, tout en préférant la France... — C'est-à-dire Geneviève. — C'est pourquoi le 4e acte se passe dans une gare-frontière. — Cela me rappelle la fin du Pèlerin, de Charlie Chaplin. — Ah ! Chaplin ! — Somme toute, s'il y avait un 5e acte, il pourrait s'appeler Le Limousin ? — Sans doute. Mais pour mon début, je trouve que quatre actes, c'est déjà effrayant ! En scène, trois généraux allemands, Louis Jouvet, Jim Gérald, et Delauzac, menacent Valentine Teissier. Siegfried — Pierre Renoir cause en coulisse avec Eva — Lucienne Bogaert, l'infirmière qui l'a rendu allemand. Michel Simon, douanier français, fait les cent pas avec Romain Bouquet, son compatriote, professeur de philologie. Jean Giraudoux me dit combien il a d'admiration et de reconnaissance pour Jouvet. — Vous allez aimer le théâtre ! — C'est un art de premier ordre. Et puis un écrivain doit faire de tout. — Et le dialogue de théâtre vous intéresse ? — Beaucoup : deux rouages qui mordent l'un sur l'autre. — | vous êtes évdé de vtr roman pour « pousser » vos personnages ? vois Siegfried en grand flirt avec Geneviève — Vous avez donc lu mon lvr ? Comme vous êtes gentil !... , le roman n'était que l cadre. Je l'avais écrit pr la guerre, souhaitant la repis des rltns intellectuelles ent la France et l'Allemagne. Pour la scène, j'ai traité le sujet plus rnd j'ai poussé le problème, j'ai réveillé le bonhomme. Siegfried apprend q'l est l'écrivain Forestier, laissé pour mort dans les lignes allemandes et devenu l ngadr homme politique de 'Allemagne ? — , au 3e acte. Au « un » et au « deux » son adversaire, le révolutionnaire sthèt von Zeltell, or l'abattre en prouvant sa vraie origine, fait reinv l'ancienne fiancée de Forestier pour lui donner des leçons d français. Et la révolution ? — e,uohcE éaé pr Siegfried. Et votre bnhmm choisit-il enfin sa ptr ? — Je n' pas vu encore répéter les quatre cts ensemble, mais vous aurez je crois, l'impression q'l gardera un pied dans chaque pays, tu en préférant la ne — 'est--dire Geneviève. — C'est pourquoi le 4e acte se passe dans une gare-frontière. Cela ppee la fin du Pèlerin, de Charlie Chaplin. — Ah ! Chaplin ! — Somme toute, s'il y avait un 5e acte, il pourrait s'appeler Le Limousin — Ss doute. Mais pour mon débt, je trouve que qtr cas,te c'est déjà effrayant En scène tro généraux amnd, souLi Jvt, Jim Gérald, et Delauzac, menacent Valentine Teissier. Siegfried — Pierre cause en clis avec Eva — Lucienne Bogaert, l'infirmière qui l'a rendu allemand. Michel Simon, douanier français, fait les cent pas avec Romain Bouquet son compatriote, professeur de philologie. Jean Giraudoux me dit cmbn il a d'admiration et d reconnaissance urop Jvt. — Vous allez aimer le théâtr ! — C'est un at de premier ordre. Et puis un écrivain doit faire de tout. — Et le dialogue de théâtre vous ntérss ? — Beaucoup : deux roues qui mordent l'un sur l'autre. — |
gare-frontière. — Cela me rappelle la fin du Pèlerin, de Charlie Chaplin. — Ah ! Chaplin ! — Somme toute, s'il y avait un 5e acte, il pourrait s'appeler Le Limousin ? — Sans doute. Mais pour mon début, je trouve que quatre actes, c'est déjà effrayant ! En scène, trois généraux allemands, Louis Jouvet, Jim Gérald, et Delauzac, menacent Valentine Teissier. Siegfried — Pierre Renoir cause en coulisse avec Eva — Lucienne Bogaert, l'infirmière qui l'a rendu allemand. Michel Simon, douanier français, fait les cent pas avec Romain Bouquet, son compatriote, professeur de philologie. Jean Giraudoux me dit combien il a d'admiration et de reconnaissance pour Jouvet. — Vous allez aimer le théâtre ! — C'est un art de premier ordre. Et puis un écrivain doit faire de tout. — Et le dialogue de théâtre vous intéresse ? — Beaucoup : deux rouages qui mordent l'un sur l'autre. — Votre prochaine pièce ? — Mon rêve serait de mettre à la scène les lettres qu'ont échangées pendant longtemps Charlie Chaplin et Léonine... Vous ne saviez pas ? Mais oui... Dites-moi donc ce que vous feriez à ma place pour les avoir ! Il va m'interviewer. Heureusement, on l'appelle au téléphone. — Paul Achard. Battu, mais content M. Georges Claude, candidat non élu, n'aime pas la « saleté » Des quatre candidats à la députation fournis par l'Académie des sciences — deux élus, deux battus — un seul de ces derniers, M. Georges Claude est venu, le plus naturellement, du monde, assister à la séance d'hier. Son échec ne semble l'avoir atteint ni physiquement, ni moralement. Il n'est ni moins rose de teint, ni plus blanc de cheveux, et, c'est un état chronique pour son vêtement gris, d'être une veste. Ce n'est même pas très sûr qu'il eût été enchanté d'un succès. La politique ! Il a voulu voir de tout près ce que c'est. Il est fixé : — C'est sale, m'a-t-il dit. Et de ce que les électeurs ont repoussé les méthodes scientifiques qu'il apportait et dont l'application — selon lui — devait assurer la prospérité de la | .rfrngot-ièraee Cela me rappelle la fn du Pèlerin, de Charlie Chapn — Ah ! pn ! — Somme toute, s'il y avait un acte, il pourrait s'appeler Le Limousin ? — Sans doute. Mais pr mn début, je trouve q quatre actes, c'est déjà effrayant ! En èe, trois générx allemands, iusoL Jouvet, Jim Gérald, et Delauzac, ntcemane Vlntn Teissier. Siegfried Pierre Renoir cause e coliss avec Eva — Lucienne Bogaert, linfirmière qui l' rendu allemand. Michel Simon, inareodu français, fi les cent a avec Romain Buoq,tue son compatriote, professeur de philologie. en Giraudoux me dit meniocb l d'admiration t de reconnaissance rpou Jouvet. — Vous allez aimer le théâtre — eCst' un art de prer ordre. Et ps un écrivain doit faire de tout. — Et le dialogue de théâtre vous intéresse ? — Beaucoup : deux rouages q mordent l'u sur l'autre. — Votre prochaine pièce ? — o ervê serait de mettre l scène les lettres qu'ont échangées pendant longtemps Charlie Chaplin et Léonine... Vous en saviez pas ? Mais oui Dites-moi donc ce que vous feriez à ma plce pour les avoir ! Il va m'interviewer. Heureusement, on l'appelle téléphone. — Paul Achard. Battu, ms content M. Georges Claude, candidat non élu, naime pas la « saleté » Des quatre candidats la députation fournis par l'Académie des sciences — deux élus, dxeu battus — un sl de ces derniers, M Georges Claude est venu, le plus naturellement du monde, assister à la séance d'hier. Son échec ne semble l'avoir atteint ni physiquement, ni moralement. I n'st ni moins rose de teint, n lsup blanc de cheveux et, et n état chronique pour son vêtement grs, dtr une veste. Ce n'est même pas très sûr qu'l ût été eanté 'un succès. La politique ! Il a voulu voir de u près ce que c'est. Il est fixé : — set'C sale, '--il dit t de ce que les électeurs ont repoussé les méthodes scientifiques qu'il apportait et dont l'application — selon liu — devait assurer la rorépipsté de la |
téléphone. — Paul Achard. Battu, mais content M. Georges Claude, candidat non élu, n'aime pas la « saleté » Des quatre candidats à la députation fournis par l'Académie des sciences — deux élus, deux battus — un seul de ces derniers, M. Georges Claude est venu, le plus naturellement, du monde, assister à la séance d'hier. Son échec ne semble l'avoir atteint ni physiquement, ni moralement. Il n'est ni moins rose de teint, ni plus blanc de cheveux, et, c'est un état chronique pour son vêtement gris, d'être une veste. Ce n'est même pas très sûr qu'il eût été enchanté d'un succès. La politique ! Il a voulu voir de tout près ce que c'est. Il est fixé : — C'est sale, m'a-t-il dit. Et de ce que les électeurs ont repoussé les méthodes scientifiques qu'il apportait et dont l'application — selon lui — devait assurer la prospérité de la France, il s'est trouvé tout de suite consolé : la Science demeure une si fidèle maîtresse ! Et il lui a sacrifié toute son attention, en entretenant l'Académie des sciences de l'énergie thermique des mers tropicales... Ça, c'est propre. — Hélène du Taillis Un banquet franco-cubain La Presse latine a donné, hier, son déjeuner mensuel en l'honneur de la République cubaine représentée par M. de Cespédès, ministre de Cuba, à Paris, les membres de la légation et de nombreuses personnalités de la colonie cubaine. Cent-vingt journalistes d'Europe et d'Amérique assistaient à ce banquet. M. Maurice de Waleffe, secrétaire général, a mis rassemblée au courant des résultats obtenus par le septième Congrès de la Presse latine à La Havane, dont il a reporté tout l'honneur sur le président de la grande république antillaise, général Machado. M. de Cespédès a répondu par un vibrant éloge de la France et des nations latines qui ont brillé à ce congrès. M. Lopez de Araujo, au nom de la presse brésilienne, et M. de Fonvielle, au nom des Franco-Argentins, ont entretenu la Presse latine des futurs congrès prévus en Amérique du Sud. Et le poète roumain Constantin Pavlescu a adressé en vers le salut de | téléphone. — Paul Achard. Battu, ms content M. Georges Claude, candidat non élu, n'aime pas la « saleté » Des quatre candidats à la apdioutnté fournis par l'Académie des sciences — deux élus, deux battus — un seul de ces derniers, M. Georges Caud est venu, le plus naturellement, du monde, assister à la séance d'hier. Son échec ne semble l'avoir atteint ni mnshyiequt,pe n ment Il n'est ni msnio rose de teint, ni plus blanc de cheveux, ,te c'est n état chronique pour son vêtement gris, d'être un veste. Ce nes même pas très sûr qu'il eût été enchanté d'un succès La politique ! Il voulu voir de tout près ce que c'est. Il est fixé : — Cest sale, m'a-t-il .tid Et de ce que les écrs ont repoussé ls mdeésoth scientifiques qu'il apportait et dnt l'application — selon lui — devait assurer la roprt de l France, il s't trouvé tout de suite consolé : la Scnc demeure une si fidèle maîtresse ! Et l lui sacrifié toute son ttntn, ne entretenant l'Académie sed sciences de l'énergie thermique es mers tropicales... Ça, c'est propre. — Hélène du Taillis U banquet frnc-cbn L Presse latine a dnné, hier, sn déjeuner mensuel en 'honneur de la Répui cubaine représentée par M. de Cespédès, ministre de Cuba, à Paris, les smmerbe de la légation et d nombreuses personnalités d la colonie cubaine. Cetvig jrnlsts d'rp et d'Amérique ssstnt à ce banquet. M. Mrc de f,Wleaef secrétaire général, a mis rassemblée au courant des résultats obtenus par le sptèm Congrès de la Presse latine à La Havane, dont il a reporté tt l'honneur sur le président de l grande république antillaise, général Mchd. M. ed Cespédès répondu par un vibrant éloge de la France et des nations ltns qui ont brillé à ce congrès. M. Lopez de Araujo, au nom de la presse brésilienne, et M. de Fonvielle, au nom des Franco-Argentins, nt entretenu la Pesse latine des futurs congrès prévus en Amérique du Sud. Et le èe rmn Constantin Pavlescu a adressé en rsve le salut de |
donné, hier, son déjeuner mensuel en l'honneur de la République cubaine représentée par M. de Cespédès, ministre de Cuba, à Paris, les membres de la légation et de nombreuses personnalités de la colonie cubaine. Cent-vingt journalistes d'Europe et d'Amérique assistaient à ce banquet. M. Maurice de Waleffe, secrétaire général, a mis rassemblée au courant des résultats obtenus par le septième Congrès de la Presse latine à La Havane, dont il a reporté tout l'honneur sur le président de la grande république antillaise, général Machado. M. de Cespédès a répondu par un vibrant éloge de la France et des nations latines qui ont brillé à ce congrès. M. Lopez de Araujo, au nom de la presse brésilienne, et M. de Fonvielle, au nom des Franco-Argentins, ont entretenu la Presse latine des futurs congrès prévus en Amérique du Sud. Et le poète roumain Constantin Pavlescu a adressé en vers le salut de la Roumanie à Miss France, la championne de beauté française en Amérique, qui assistait à la réunion. GALERIE ARMAND DROUANT 66, rue de Rennes (6e) du 30 Avril au 12 Mai Maurice Savreux HENRY SYLVA Fournisseur des grands hôtels et restaurants Boulangerie-Pâtisserie Maison fondée en 1790 E. CARDIN & Cie, Cognac | Sont les vrais spécialistes pour les VIEILLES FINES CHAMPAGNES et GRANDES CHAMPAGNES | Agence générale, 8, rue Allard (SAINT-MANDE) Les Bons Restaurants au comte de Provence Tél. Louvre 09-77 CUISINE INCOMPARABLE CAVE DE PRÉMIER ORDRE ! Même que celle de la Haute Mère Dieu ! Châlons-sur-Marne ! CHATHAM VOLNEY son Grill Room 17, rue Daunou son Restaurant 16, rue Volney Il llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll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En d’autres tenues, c’est par le milieu que passe l’axe de la majorité qui permettra au gouvernement de vivre et de durer. Nous retrouvons un écho de cette mise au point, d’allure officieuse, dans le « Journal », le « Petit Journal », le « Petit Parisien »... Le centre, arbitre de la situation « La nouvelle Chambre donne au Gouvernement la certitude d’achever le redressement national », dit le Journal. Victoire prévue. Mais qui donc pouvait penser qu’elle serait aussi éclatante ! Tous les partis | donné, hier, son déjeuner mensuel en l'honneur de la République cubaine représentée par M. de Cespédès, ministre de Cuba, à Paris les membe de légao et de nombreuses personnalités de la colonie ba. Cent-vingt journalistes d'Europe et réAdqemui' assistaient à c banquet. M. Mace de Waleffe, secrétaire général, a mis rassemblée au courant des résultats obtenus par le septième Congrès de la Presse latine à La Havane, dont il a reporté tout l'honneur sur le président de la grande buprléqeiu antillaise, général Machado. M. de Cespédès répondu par n vibrant éloge de la France et des nations latines qui ont brillé à ce congrès. M. Lopez de Araujo, au nom de la esepsr brésilienne, et M. de Fonvielle, au nom des FrancoArgentins ont entretenu la Presse latine des ftrs congrès srpéuv en mérq du Sud. Et le poète roumain Constantin Pavlescu a adressé en vers le salut de la Rumie à Miss France, la championne de beauté française en Amérique, qui assistait à la runo. GALERIE ARMAND DROUANT 66 eur d Rennes (6e) du 30 Avril au 12 Mai Maurice Savreux HENRY SYLV Fournisseur des grands hôtels et restaurants Boulangerie-Pâtisserie Maison fondée en 1790 E. CARDIN & C, Cognac | Sont les vrais spécialistes pour les VIEILLES FINES CHAMPAGNES et GRANDES CHAMPAGNES Agence générale, , r Allard (SAINT-MANDE) Ls Bons Restaurants au comte de Provence Tlé. Louvre 09-77 CUISINE INCOMPARABLE CAVE DE PRÉMIER ORDRE ! Même q ell de la Haute Mère Dieu Châlons-sur-Marne ! CHATHAM VOLNEY son irllG mooR 17, rue Daunou son Resaurat 16, rue Volney Il lllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll En d’trs tns, c’est par le milieu u passe laxe de la majorité qui permettra au gouvernement de vivre et de durer. Nous rtrvns un écho de cette mise au onip,t dallure scei,oeuiff dans le Journal », le « Petit Journal », le « Petit Parisien »... Le centre, arbitre de la situation « La nouvelle Chambre donne au Gouvernement la certitude d’achever le redressement national », dit le our r prévue. Mais uqi donc pouvait penser qu’elle serait aussi éclatante ! Ts les partis |
Cognac | Sont les vrais spécialistes pour les VIEILLES FINES CHAMPAGNES et GRANDES CHAMPAGNES | Agence générale, 8, rue Allard (SAINT-MANDE) Les Bons Restaurants au comte de Provence Tél. Louvre 09-77 CUISINE INCOMPARABLE CAVE DE PRÉMIER ORDRE ! Même que celle de la Haute Mère Dieu ! Châlons-sur-Marne ! CHATHAM VOLNEY son Grill Room 17, rue Daunou son Restaurant 16, rue Volney Il llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll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lllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll En d’autres tenues, c’est par le milieu que passe l’axe de la majorité qui permettra au gouvernement de vivre et de durer. Nous retrouvons un écho de cette mise au point, d’allure officieuse, dans le « Journal », le « Petit Journal », le « Petit Parisien »... Le centre, arbitre de la situation « La nouvelle Chambre donne au Gouvernement la certitude d’achever le redressement national », dit le Journal. Victoire prévue. Mais qui donc pouvait penser qu’elle serait aussi éclatante ! Tous les partis politiques qui ont soutenu le ministère Poincaré reviennent de la bataille avec des forces accrues. Ceux qui l’ont combattu en reviennent affaiblis. Déroute (les communistes, recul des socialistes et des radicaux-socialistes, telle est la caractéristique de ce combat qui nous donne une droite élargie, de telle sorte que deux blocs de forces équivalentes se sont constitués à droite et à gauche de l’assemblée. Entre ces deux blocs, dont aucun ne pourrait gouverner, se placent les radicaux modérés et nationaux, arbitres de la situation. Or, qui ne sait que les radicaux modérés et nationaux sont partisans résolus de l’Union nationale, que cent radicaux socialistes et que trente républicains socialistes ont toujours voté pour le gouvernement Poincaré ? M. Poincaré « est servi » écrit M. Léon Bailby (Intransigeant) — et par M. Marin : À la différence de ce qu’elle était dans la dernière Chambre où elle demeurait instable, sans cesse exposée aux coups sournois de la bande cartelliste, elle est, cette fois-ci, parfaitement cohérente, parce qu’elle est solidement axée au centre. Le groupe Marin qui, du scrutin, sort renforcé du tiers de son ancien effectif, ne peut plus se voir contester par personne le crédit et l’influence auxquels il a | Cognac | Sont les vrais spécialistes pour ls VIEILLES FINES CHAMPAGNES et GRANDES CHAMPAGNES | Agence générale, 8, rue Allard (SAINT-MANDE) Les Bns Restaurants au comte de Prvnc Tél Louvre 0977 CUISINE INCOMPARABLE CV DE PRÉMIER DE ! Même que celle de la Haute Mère Dieu ! Châlons-sur-Marne ! CHATHAM VOLNEY son Grill Room 17, rue Daunou son Restaurant 16, rue Volney Il llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll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llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll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En d’autres tenues, c’est par le milieu que passe l’axe de la majorité qui permettra au gvrnmnt de vivre et de durer. Nous retrouvons un écho de cette mise ua point, d’allure officieuse, dans le « Journal », le « Ptt Journal », le « Petit Parisien »... Le centre, arbitre de la situation « La nouvelle Chambre donne au Gouvernement la certitude d’achever le redressement national », dit le Journal. otViecri prévue. Mais qui donc pouvait penser qu’elle serait ss éclt ! Tous les partis pltqs qui ont soutenu le miistère Poincaré reviennent de la bataille avec des forces accrues. Ceux qui l’ont combattu en reviennent affaiblis. éroue (les communistes, recul des sclsts et des radicaux-socialistes, telle est la caractéristique de ce combat qui nous donne n droite élargie, de telle srt que deux blocs de frcs équivalentes se sont constitués à droite et à gauche e l’assemblée. Entre ces deux blocs, dont aucun ne pourrait gvrnr, se placent les aau modérés et ntnx, arbitres de la tinsao.tiu Or, qui ne sait q les radicaux mdséoér et nationaux sont prtsns résolus de l’Union nationale, que cent radicaux sclsts t q trente républicains socialistes ont toujours voté pour le guremn Poincaré ? M. Poincaré « est servi » écrit M Léon Bailby tI(nanrgetain)s — et par M. Marin : À la différence d c qu’elle était dans la dernière Chmbr où elle demeurait nstbl, sans cesse exposée x scuop sournois de la bande cartelliste, elle tes, cette fois-ci, parfaitement cohérente, prc qu’elle st solidement axée cr Le groupe Marin qui, du scrutin, sort renforcé d isrte de son ancien fcf ne peut plus se or contester par personne le crédit et ’influence auxquels il a |
de forces équivalentes se sont constitués à droite et à gauche de l’assemblée. Entre ces deux blocs, dont aucun ne pourrait gouverner, se placent les radicaux modérés et nationaux, arbitres de la situation. Or, qui ne sait que les radicaux modérés et nationaux sont partisans résolus de l’Union nationale, que cent radicaux socialistes et que trente républicains socialistes ont toujours voté pour le gouvernement Poincaré ? M. Poincaré « est servi » écrit M. Léon Bailby (Intransigeant) — et par M. Marin : À la différence de ce qu’elle était dans la dernière Chambre où elle demeurait instable, sans cesse exposée aux coups sournois de la bande cartelliste, elle est, cette fois-ci, parfaitement cohérente, parce qu’elle est solidement axée au centre. Le groupe Marin qui, du scrutin, sort renforcé du tiers de son ancien effectif, ne peut plus se voir contester par personne le crédit et l’influence auxquels il a droit. M. Poincaré avait réclamé, à Bordeaux et à Carcassonne une majorité qui serait avec lui d’esprit et de cœur : il est servi. Il a le droit, et il a le moyen, de travailler en paix à l’achèvement de sa tâche. « Le retour du Bloc national est, imprime tout crûment M. Gustave Hervé (Victoire) en tête de son article. Pour un coup de barre à droite, c’est un beau coup de barre à droite, si on appelle droite le côté où l’on est pour l’autorité, pour le progrès dans l’ordre, pour toutes les disciplines nationales, y compris les disciplines religieuses, et si l’on appelle gauche le côté d’où souffle sans discontinuer l’esprit de révolte contre toutes les traditions et toutes les disciplines sous la double influence de la franc-maçonnerie irreligieuse et du socialisme international de lutte de classes et de guerre civile. « Aujourd'hui, nous nous sentons soulagés. L’espérance et la confiance remplissent nos cœurs », nous confie M. de Kérillis (Echo de Paris) : La politique de M. Poincaré est approvée par l’immense majorité du pays. Sa situation parlementaire semble invulnérable. Elle est telle qu’il pourrait dès maintenant gouverner même sans l’appui des radicaux-socialistes, avec environ 330 | d équivalentes se sont constitués à drt et à gauche d ’assemblée. Entre ces deux o,sclb dnt cun e pourrait gouverner, se enclatp les radicaux modérés et nationaux, arbitres de la situation. Or, qui ne sait uqe les radicaux modérés et nationaux son patsns résolus de l’Union nationale, ueq cent radicaux socialistes et que trente rbasiucépnil socialistes t toujours voté pour le gouvernement Poincaré ? M. Poincaré « est servi » écrit M. Léon Bailby Intransigeant — et par M. Marin : À la différence d e qu’elle t dans l dernière aerhmCb où elle demeurait instable, sans cesse exposée x coups sournois de l bande cartelliste, ee est, cette s, parfaitement cohérente, parce qu’elle est eemtsidoln axée au centr. L gop Marin qui, du scrutin, srto renforcé du tiers de son ancien effectif, ne peut plus se voir contester par personne le crédit et cnel’enulif xqls il a droit. M. Poincaré avait réclamé, à Bordeaux et à Carcassonne une majorité q serait vc lui ’esprit et de cœur : il est servi. Il l i il a le moyen, de travailler en paix à l’achèvement de sa tâche. « Le retour du Bloc national est, imprime tout crûment M. Gustave Hervé (Vctr) en tête de son article Pr un coup de barre droite, ’sect un beau coup de barre droite si n appelle droite le côté où lon est pour l’autorité, pour l progrès dans l’ordre, pour toutes les disciplines nationales, y compris les disciplines relieus, et si l’on appelle gauche le côté d’où souffle sans discontinuer l’ei de révolte contre tos les traditions et toutes els disciplines sous la double nflnc de la francmaçonnerie irreligieuse et du socialisme international de lutte de classes et de grr civile. « Aujourd'hui, nous nous sentons soulagés. npeé’csrLae et la confiance rmplssnt nos cœurs », nous confie M. de Kérillis (Echo de Paris) : La politique de M. Poincaré est approvée pr l’immense majorité du ps S situation parlementaire semble invulnérable. Elle est telle quil otpaurir dès maintenant gouverner même sas lappui ds radicaux-socialistes, vc environ 330 |
tout crûment M. Gustave Hervé (Victoire) en tête de son article. Pour un coup de barre à droite, c’est un beau coup de barre à droite, si on appelle droite le côté où l’on est pour l’autorité, pour le progrès dans l’ordre, pour toutes les disciplines nationales, y compris les disciplines religieuses, et si l’on appelle gauche le côté d’où souffle sans discontinuer l’esprit de révolte contre toutes les traditions et toutes les disciplines sous la double influence de la franc-maçonnerie irreligieuse et du socialisme international de lutte de classes et de guerre civile. « Aujourd'hui, nous nous sentons soulagés. L’espérance et la confiance remplissent nos cœurs », nous confie M. de Kérillis (Echo de Paris) : La politique de M. Poincaré est approvée par l’immense majorité du pays. Sa situation parlementaire semble invulnérable. Elle est telle qu’il pourrait dès maintenant gouverner même sans l’appui des radicaux-socialistes, avec environ 330 voix de majorité, et, qu’avec l’appoint de tous ceux qui vont accourir au secours de la victoire, il est assuré de près de 400 voix. L’œuvre de redressement financier va donc pouvoir se poursuivre librement, et la lutte contre la révolution s’organiser enfin. Inquiétude et imprécision Cela ne donne pas entièrement satisfaction à M. René Lara (Gaulois). L’ensemble des élections est évidemment moins décevant qu’on pouvait le craindre. Il justifie même à certains égards la confiance que l’on conserve toujours au robuste bon sens des éléments sains de notre pays. Toutefois, ne nous leurrons pas : les résultats de cette consultation nationale accusent une lacune grave ; ils ne dissipent pas suffisamment les causes d’inquiétude nées de l’imprécision à l’égard de certains Programmes et de l’incertitude à l’égard de certains hommes. Quelques conseils : « La véritable majorité reste donc en puissance. Il est nécessaire qu’elle se définisse, abstraction faite de toutes adhésions d’opportunité ou de complaisance... La clarté est nécessaire, mais plus encore la loyauté, la probité envers le pays, au sein du gouvernement... Le rôle du gouvernement sera, demain, de convier à cette tâche la majorité qu’il se sera faite. Qu’il l’y prépare dès aujourd’hui ! Le premier | tout crûment M. Gustave Hervé (Victoire) en tête de son article. Pour un coup de barre à droite, c’est un beau coup de barre à droite, si on ppll droite le côté ù l’on est pour luité, pour le progrès dans l’ordre, pour tts les disciplines nationales, y compris les disciplines religieuses, et si l’on appelle gauche le côté d’où souffle sans discontinuer l’esprit de révolte ntr toutes les traditions et toutes es disciplines sous la double influence de l fc-mr irreligieuse et du socialisme international de lutte de clsss et de guerre civile. « Aujourd'hui, nous ns sentons soulagés. L’espérance et la confiance empse ns cœurs », nous confie M. de Kérillis (Echo de Paris) : La politique de M. Poincaré est approvée par l’immense majorité du pays. Sa situation rieelmnpratea semble invulnérable. le est telle qu’il uroairtp s maintenant gouverner même sans ’appui des radicaux-socialistes, avec environ 330 voix de majorité, et, qu’avec l’appoint de tous ceux qui vont accourir au secours de la victoire, il est assuré de près de 400 voix. L’œuvre de redressement financier va donc pouvoir se poursuivre librement, et la lutte contre la révolution s’organiser enfin. Inquiétude et imprécision Cela ne dnn pas entièrement satisfaction à M. René Lara (Gaulois). L’ensemble des élections est éievdemntm moins décevant qu’on pouvait l craindre. Il justifie même à certains érdasg la confiance q l’on conserve toujours au robuste bon sens des éléments sains d o pays. Toutefois, ne s leurrons pas : les résultats de cette consultation nationale accusent une lacune grave ; ils ne dissipent pas suffisamment les causes d’inquiétude nées de l’imprécision à l’égard de certains Programmes et de l’incertitude à l’égard ed certains hmms. Quelques conseils « La véritable majorité reste donc en puissance. lI est nécessaire ’eqelul se définisse, abstraction faite de toutes adhésions d’opportunité ou de complaisance... La clarté est nécessaire, mais plus encore la loyauté, la probité envers le pays, au sein du gouvernement... Le rôle du gouvernement sera, demain, de convier à cette tâche la majorité qu’il se sera faite Qu’il l’y prépare dès aujourd’hui ! Le premier |
entièrement satisfaction à M. René Lara (Gaulois). L’ensemble des élections est évidemment moins décevant qu’on pouvait le craindre. Il justifie même à certains égards la confiance que l’on conserve toujours au robuste bon sens des éléments sains de notre pays. Toutefois, ne nous leurrons pas : les résultats de cette consultation nationale accusent une lacune grave ; ils ne dissipent pas suffisamment les causes d’inquiétude nées de l’imprécision à l’égard de certains Programmes et de l’incertitude à l’égard de certains hommes. Quelques conseils : « La véritable majorité reste donc en puissance. Il est nécessaire qu’elle se définisse, abstraction faite de toutes adhésions d’opportunité ou de complaisance... La clarté est nécessaire, mais plus encore la loyauté, la probité envers le pays, au sein du gouvernement... Le rôle du gouvernement sera, demain, de convier à cette tâche la majorité qu’il se sera faite. Qu’il l’y prépare dès aujourd’hui ! Le premier geste de M. Poincaré Ce sera d’éliminer Herriot et Perrier. Car « c’est la fin d’un ministère d’union politique » constate M. François Coty (Figaro). Maître de la situation en 1927, il ne tenait pourtant qu’à M. Poincaré d’écarter les ministres cartellistes et d’associer le pays tout entier à cette œuvre de relèvement qu’il a poursuivie sans pouvoir la consolider jusqu’aux élections d’avril 1928. Il aima mieux, sous l’enseigne de l’Union nationale, laisser les pires adversaires de sa politique faire opposition tantôt sournoise et tantôt publique à ses desseins les mieux arrêtés. Maintenant, M. Poincaré doit agir sans aucune hésitation. Il a d’autant plus le devoir de les éliminer qu’il lui faudra demain reprendre la lutte contre le socialisme, nullement affaibli par l’échec de M. Blum, et retranché sur toutes ses positions. C’est pour M. Poincaré le premier geste à faire, s’il veut réaliser cet assainissement politique, économique, financier, qu’il a promis à la France et que, jusqu’à présent, le Cartel ou ses débris ne lui ont pas permis d’accomplir. À Chambre nouvelle, nouveau ministère « M. Poincaré, qui l’envisage déjà », écrit M. Roger Deleplanque dans le Petit Bleu, « devra le constituer sensiblement plus à droite que l’actuel, | tèt satisfaction à . Rné Lara (Gaulois). L’ensemble des élections est évidemment moins décevant qu’on pouvait le craindre. Il justifie même à certains égards la cnfnc que l’on conserve toujours au but bon sens ds éents sains d notre pays Toutefois, n usno leurrons p : ls résltts de cette consultation ntnl accusent une lacune grave ; ils ne dissipent pas suffisamment les causes uud’tdieéiqn nées e l’imprécision à arg’ldé de certains Programmes et de ’incertitude à l’égard de crtns hommes. Quelques cnsls : « La véritable mté reste donc en puissance. l et nécessaire qu’elle se définisse abstraction faite de toutes adhésions d’opportunité ou de complaisance... La ctlaré st nécessaire, mais plus encore la loyauté, la probité envers le pays, au sein u gvrnmnt... L rôle d gouvernement sera, demain, e convier à ete tâche la aréojitm qu’il se sa faite. Qu’il l’y prépare dès aujourd’hui Le premier geste de M. Poincaré Ce sera déliminer Herriot et Perrier. Car « c’est la d’un ministère d’union politique » constate .M sniçFoar Coty (Figaro). eatîrM de a situation en 1927, il ne tenait pourtant qu’à M. Pncaré d’écarter les ministres cartellistes et d’associer le pays tout entier à cette œuvre de relèvement qu’il a poursuivie sas pouvoir la consolider jusqu’aux stelcoéin d’avril 1928. lI aima mieux, ss l’enseigne de l’Union nationale laisser les pires dvrsrs de sa politique faire opposition tantôt srns t tantôt publique à ses dssns les mx arrêtés. Maintenant, M. Poincaré doit agir sans aucune hésitation. Il d’autant plus le dvr de les éliminer qu’il lui faudra demain reprendre la lutte contre e socialisme nullement affaibli par l’échec M. Blum, retranché sur toutes ses pstns. C’est pour M. Poincaré l premier geste à faire s’l veut réaliser cet assainissement politique, économique, financier, qu’il a promis à al France et que, jusquà présnt, le Cartel ou ses débris n lui ont pas permis d’accomplir. À Chambre oell nouveau iitsenmrè « M. Poincaré, qui lenvisage déjà , écrit M. Roger Deleplanque dans l Petit Bleu, « devra l constituer sensiblement plus à droite e l’actuel, |
œuvre de relèvement qu’il a poursuivie sans pouvoir la consolider jusqu’aux élections d’avril 1928. Il aima mieux, sous l’enseigne de l’Union nationale, laisser les pires adversaires de sa politique faire opposition tantôt sournoise et tantôt publique à ses desseins les mieux arrêtés. Maintenant, M. Poincaré doit agir sans aucune hésitation. Il a d’autant plus le devoir de les éliminer qu’il lui faudra demain reprendre la lutte contre le socialisme, nullement affaibli par l’échec de M. Blum, et retranché sur toutes ses positions. C’est pour M. Poincaré le premier geste à faire, s’il veut réaliser cet assainissement politique, économique, financier, qu’il a promis à la France et que, jusqu’à présent, le Cartel ou ses débris ne lui ont pas permis d’accomplir. À Chambre nouvelle, nouveau ministère « M. Poincaré, qui l’envisage déjà », écrit M. Roger Deleplanque dans le Petit Bleu, « devra le constituer sensiblement plus à droite que l’actuel, en raison de la composition de la nouvelle Chambre. » (Dans le texte figurent, outre les portraits de MM. Poincaré et Sarraut, ceux de MM. Paul Reynaud et Forgeot). Géométrie : Dans l’ensemble, avouons, en toute sincérité, que le changement, par comparaison avec la précédente législature n’est pas formidable. Nous n’assistons pas, en dépit de ce qu’affirment bien des gens, à une espèce de révolution. Si nous osons, employer une image géométrique et quelque peu audacieuse, nous dirons ceci : en considérant l'hémicycle comme un demi-cercle tournant autour de son centre, il a, en tout et pour tout, glissé vers la droite d'une vingtaine de degrés (sur les 360 que compte un cercle entier)... Hydrographie : Arbitrant entre ces deux masses (Union républicaine et radicaux), les partis du centre peuvent exercer une action souvent décisive. D'autant plus que le « marais » est de moins en moins le marais. Beaucoup des pâles libéraux qui le composaient dans la précédente Chambre — hésitants et ductiles comme pâte molle — ont disparu dans les lessivages des 23 et 29 avril. Le « pas triomphal » La droite a tort de danser si tôt le pas triomphal, nous dit l'Homme Libre, car « | œuvre de relèvement qu’il a poursuivie sans ou la consolider jsq’x élections ’avril 1928. Il m mieux, sous l’enseigne de l’Union nationale laisser les pires adversaires de sa politique fr opposition tantôt sournoise et tantôt pblq à ses desseins les mieux arrêtés. Maintenant, M. Poincaré doit agir sans aucune hésitation. Il a d’autant plus le devoir de les éliminer qu’il lui faudra demain reprendre la utt contre le socialisme, nullement affaibli par l’échec de M. Blum, et retranché sur toutes ses positions. C’est pour . Poincaré le premier gst à fr s’l veut réaliser cet assainissement politique, écnmq, financier, qu’il a promis à la France te q, jusqu’à présent, le Cartel ou ses débris ne lui ont pas permis ac À Chambre nouvelle, nouveau ministère M. Poincaré, qui ’enia déjà », écrit M. Roger Deleplanque dans le Petit Bleu « devra le constituer sensiblement plus à droite q l’actuel, en raison de composition de la nouvelle Chambre. » (Dans le texte figurent, outre les portraits de MM. Poincaré et Sarraut, ceux de MM. Paul Reynaud et Forgeot Géométrie : Dans l’ensemble, avouons, en toute sincérité, que le changement, par comparaison avec la précédente législature n’est pas frmdbl. Nous n’assistons ps, en pdiét de ce qu’affirment bien des gens, à une espèce de révolution. S nous osons, employer une image géométrique et quu peu audacieuse, nous dirons cc : en considérant l'hémicycle comme un demi-cercle tournant autour de son centre, il , en tout et pour tout, glissé vers la drt d'une vingtaine de degrés (sur les 360 que compte un cercle entier)... Hydrographie : Arbitrant entre ces dx masses (Union républicaine et )ui,adcarx les partis du centre peuvent exercer une action ouvet décisive. a'tauntD plus que le « marais » est de mns en onsmi l marais. Beaucoup des pâles libéraux q le composaient dans la précédente Chambre héstnts et ductiles comme pâte molle ont disparu dans les lessivages des 23 et 29 i. e « pas iopl » La droite tort de danser si tôt le pas triomphal, nous dt l'Homme Lbri,e car « |
n’assistons pas, en dépit de ce qu’affirment bien des gens, à une espèce de révolution. Si nous osons, employer une image géométrique et quelque peu audacieuse, nous dirons ceci : en considérant l'hémicycle comme un demi-cercle tournant autour de son centre, il a, en tout et pour tout, glissé vers la droite d'une vingtaine de degrés (sur les 360 que compte un cercle entier)... Hydrographie : Arbitrant entre ces deux masses (Union républicaine et radicaux), les partis du centre peuvent exercer une action souvent décisive. D'autant plus que le « marais » est de moins en moins le marais. Beaucoup des pâles libéraux qui le composaient dans la précédente Chambre — hésitants et ductiles comme pâte molle — ont disparu dans les lessivages des 23 et 29 avril. Le « pas triomphal » La droite a tort de danser si tôt le pas triomphal, nous dit l'Homme Libre, car « la majorité républicaine est plus à gauche que dans la Chambre précédente ». La presse de droite esquisse un pas triomphal qui ne durera pas beaucoup plus que celui du lundi 23 avril. On a beau tripoter les statistiques, couper en trois ou quatre groupes les radicaux et réunir les progressistes en un seul, on n'arrive pas à démontrer que la Chambre du 29 avril est une Chambre de droite. Ce n'est pas parce que le suffrage universel a réglé son affaire à la révolution moscovite et délaissé les S.P.I.O., qu'on peut l'accuser d'avoir appelé la réaction au pouvoir. On le peut, il suffit de savoir lire et compter pour déterminer sans cesse que la majorité républicaine est sensiblement plus à gauche que la précédente. Et il se pourrait qu'on s'en aperçût avant qu'il fût longtemps. Victoire ? Pas encore... Pour M. Emile Buré (Avenir), « personne — pas même M. Poincaré — n'a encore le droit de chanter victoire très haut. » Un ami nous disait l'autre jour : « La Chambre du 11 mai a soutenu à son aurore Herriot, à son crépuscule Poincaré; celle du 29 avril pourrait bien donner d'abord sa confiance à Poincaré, ensuite à | n’assistons pas, en dépit de ce qu’affirment bien des gens, à une espèce d révolution. Si ns osons, r une image géométrique et qule peu audacieuse, nous dirons ceci : en considérant l'hémicycle comme un demi-cercle tournant autour de son centre, il a, en tout et pour tout, glissé vers la droite d'une vingtaine de degrés (sur les 360 que compte un cercle t). Hydrographie Arbitrant entre ces deux masses (Union républicaine et radicaux), les ris du centre peuvent exercer une action souvent décisive. D'autant plus ue l « raamis » est de moins en nsimo le marais. Beaucoup ds pâles libéraux qui l composaient dans la précédnt Chambre — hésitants et ductiles comme pâte ol — ont disparu dans les lessivages ds 23 et 29 avril. L « ps triomphal La droite a tort de danser s tôt le pas triomphal, nous dit 'Homme Libre, car « la majorité républicaine est plus à gauche q dans la Chambre précédente ». La pesse de droite esquisse un asp triomphal q ne durera pas ucpeoaub plus que celui du lundi 23 avril. On beau tripoter les statistiques, couper en trois ou quatre groupes les radicaux et réunir les progressistes en un seul, on n'rrv pas à éreormndt que la Chmbr du 29 avril est n Chmbe de droite. Ce n'est ps parce que le suffrage universel a réglé son affaire à la révolution moscovite et délaissé ls S.P.I.O., qu'on peut l'accue d'avoir pe l réaction au pouvoir. On le put, il uffsit de savoir lire et compter pr déterminer sans cesse que la majorité républicaine est sensiblement plus gauche que la précédente. t il se urri qu'on 'en aperçût avant ' fût ontep Victoire ? Pas encore... Pour . imlEe Buré (Avenir), « personne — pas même M. Poincaré — n' encore l droit de chntr victoire très ht. » Un ami nous disait l'autre jour « La Chambre du 11 mai a stn à son aurore Herriot, à son crépuscule Poincaré; celle du 29 avril pourrait bn donner d'brd sa confiance Poincaré, nst à |
progressistes en un seul, on n'arrive pas à démontrer que la Chambre du 29 avril est une Chambre de droite. Ce n'est pas parce que le suffrage universel a réglé son affaire à la révolution moscovite et délaissé les S.P.I.O., qu'on peut l'accuser d'avoir appelé la réaction au pouvoir. On le peut, il suffit de savoir lire et compter pour déterminer sans cesse que la majorité républicaine est sensiblement plus à gauche que la précédente. Et il se pourrait qu'on s'en aperçût avant qu'il fût longtemps. Victoire ? Pas encore... Pour M. Emile Buré (Avenir), « personne — pas même M. Poincaré — n'a encore le droit de chanter victoire très haut. » Un ami nous disait l'autre jour : « La Chambre du 11 mai a soutenu à son aurore Herriot, à son crépuscule Poincaré; celle du 29 avril pourrait bien donner d'abord sa confiance à Poincaré, ensuite à Paul-Boncour. » Nous avions souri de ce discours paradoxal ; il nous arrête aujourd'hui. A une majorité nationale pourrait bien, en effet, succéder en fin de session une majorité cartelliste qui soutiendrait un gouvernement auquel participeraient les socialistes si le vainqueur de dimanche s'abandonnait. Ce serait alors la catastrophe ! Toutefois, M. Bure convient que « le franc sera sauvé ». Mais la paix sociale lui sera indispensable pour retrouver dans le monde son ancien prestige. A M. Poincaré de l'assurer avec l'appui de l'élite parlementaire. Les « stupides élections » Ainsi M. Charles Maurras (Action Française), qualifie-t-il les votes de 1928. Nous écrivons sans plaisir le mot de stupidité, et nous l'écrivons sans passion. Il y a, dans les élections d'avant-hier, à boire et à manger pour tout le monde. Mais il y a aussi les éléments d'une nausée universelle. Si M. Jean Guiraud ne l'avait pas fait avant nous, nous aurions écrit volontiers : « Le mieux que l'on puisse dire de l'ensemble des élections, c'est qu'elles consolident celles de 1924 » que nous considérions alors comme un désastre. » Il y a quinze jours, nous disions à peu près dans les mêmes termes qu', si l'électeur négligeait | progressistes en un seul, on n'arrive pas à démontrer que la Chambre du avril est une Chambre de droite. Ce n'est pas parce que le suffrage universel a réglé so affaire à la révolution moscovite et délaissé les S.P.I.O., qu'on peut l'accuser d'avoir appelé l réaction au pouvoir. On l peut il suffit de savoir lire et compter pour déterminer sans css que la majorité républicaine est sensiblement pu à gauche que la précédnt. Et il se pourrait qu'on s'en aperçû avant qu'il fût longtemps. Victoire ? Pas encore... uorP M. Emile Buré (vnr), personne — pas même M. Poincaré — n'a encore le dorit de chanter victoire très haut. » Un ami nous disait ut jour : « La Chambre du 11 mai a soutenu à son aurore Herriot, à son crépuscule Pncré; cll du 29 avril pourrait bien donner d'abord sa confiance à Poincaré ensuite à PaulBoncour » Nous avions souri de ce discours paradoxal ; il nous arrête aujourd'hui. A une majorité nationale pourrait bien, en effet, succéder en fin de session n majorité tlist qui soutiendrait un gouvernement auquel participeraient les socialistes si le vainqueur de dimanche s'abandonnait. Ce serait alors la catastrophe ! Toutefois, M. Bure convient que « le frnc sera sauvé ». Mais la p sociale lui sera indispensable pour retrouver dans le monde son ancien prestige. A M. Poincaré de l'assurer avec lappui d léte parlementaire. Les « stupides élections » Ainsi M. Charles Maurras (ct Française), qualifie-t-il les votes de 1928. Nous écrivons sans plaisir le mot de stupidité, et nous l'écrivons sns passion. Il y a, dans les élections d'vnt-hr, à boire et à manger pour tout le mnd. Mais il y a aussi les éléments d'une nausée universelle. Si . Jean Guiraud ne l'avait pas fait avant nous, nous aurions écrit volontiers : « Le mieux que l'on puisse dire de l'ensemble des élctns, cest qu'elles cooin celles d 1924 » que nous considérions alors comme un désastre. » Il y a quinze jours, nous disions à peu près dans les mêmes termes qu', is l'électeur négligeait |
Toutefois, M. Bure convient que « le franc sera sauvé ». Mais la paix sociale lui sera indispensable pour retrouver dans le monde son ancien prestige. A M. Poincaré de l'assurer avec l'appui de l'élite parlementaire. Les « stupides élections » Ainsi M. Charles Maurras (Action Française), qualifie-t-il les votes de 1928. Nous écrivons sans plaisir le mot de stupidité, et nous l'écrivons sans passion. Il y a, dans les élections d'avant-hier, à boire et à manger pour tout le monde. Mais il y a aussi les éléments d'une nausée universelle. Si M. Jean Guiraud ne l'avait pas fait avant nous, nous aurions écrit volontiers : « Le mieux que l'on puisse dire de l'ensemble des élections, c'est qu'elles consolident celles de 1924 » que nous considérions alors comme un désastre. » Il y a quinze jours, nous disions à peu près dans les mêmes termes qu', si l'électeur négligeait d'aggraver la sinistre dépression du 31 mai 1924, on appellerait cela un progrès. « Je te baptise carpe ». M. Jean Guiraud, qui vit chez Gorenflot, DERNIÈRES NOUVELLES 11 HEURES du matin LA POLITIQUE POUR TOUS «Aurea mediocritas» On chercherait vainement dans l'opinion étrangère de grands éclats de voix ou de plume au sujet de nos élections. Les appréciations sont aussi modérées et pondérées que l'a été notre scrutin lui-même. C'est qu'à l'étranger comme chez nous, il n'y a eu aucune surprise. On a ce qu'on attendait : Une défaite du communisme. Un triomphe de la politique financière de M. Poincaré. Une victoire des idées de paix. Ce sont ces trois points de vue qu'envisagent en général, les commentateurs raisonnables de tous les pays, c'est-à-dire ceux qui voudraient voir s'établir enfin la tranquillité internationale. Ici, en Angleterre ou en Italie par exemple, on est plus sensible aux premier et au second. Là, comme en Allemagne, on se montre plus intéressé par le troisième. Mais partout on se félicite d'une victoire générale de la modération et du bon sens, quel que soit le domaine visé, politique, financier, diplomatique. Ce que le Times résume en ce raccourci typique : « A Bordeaux | Toutefois, M. Bure convient que « el franc sera uavés ». Mais la paix scl l sera indispensable pour retrouver dans l monde son nniaec prestige. A M. Poincaré de l'assurer avec l'appui de l'élite parlementaire. Les « stupides élections » Ainsi M. Charles Mrrs (Action nsr,)Faeiça iut-fl-iqliea les votes de 1928. Nous écrivons sans plaisir l mot de stupidité, et nous l'écrivons sans passion lI y a, dans les élections 'avant-hier, à boire et à manger pour tout le monde. Mais il y a aussi les éléments d'une nausée universelle. Si M. Jean Guiraud ne lavait pas fait avant nous, nous aurions écrit volons : « Le mieux que lon puisse dire de l'nsmbl ds élections, c'est qu'elles consolident clls de 1924 » que nous considérions alors comme un désastre. » Il y a quinze or nous dsns à peu près dans les mêmes termes qu', si l'électeur igai d'ggrvr la sinistre dépression du 31 ma 1924, on appellerait cela un progrès. « Je te baptise carpe ». M. Jean Guiraud, qui vit chez Gorenflot, DERNIÈRES NOUVELLES 11 HEURES du matin LA POLITIQUE POUR TOUS «Aurea amo»tdiiescr O chercherait vainement dans l'opinion étrangère de grands éclats de voix de plume au sujet de nos électin. Les appréciations sont aussi modérées et pondérées q l'a été notre scrutin lui-même. C'est qu'à l'étranger coe chez no il n'y a eu un surprise On a ce q'n attendait Une déft du communisme Un triomphe de la politique financière de M. Pncré. Une victoire des idées e paix. Ce sont ces trois points de vue qu'envisagent en éé les commentateurs raisonnables de t les pays, c'est-à-dire ceux qui voudraient voir s'établir enfin la tranquillité internationale Ici, en ngltrr ou en Italie par exemple, on est plus sensible aux premier et au scnd. Là, comme en Allemagne, on se montre plus intéressé par le troisième. Mais partout on se félicite d'une victoire générale de l modération d bon sens, ql que soit le domaine i politique, financier, diplomatique. Ce que le Times résume c raccourci typique : « A Bordeaux |
de plume au sujet de nos élections. Les appréciations sont aussi modérées et pondérées que l'a été notre scrutin lui-même. C'est qu'à l'étranger comme chez nous, il n'y a eu aucune surprise. On a ce qu'on attendait : Une défaite du communisme. Un triomphe de la politique financière de M. Poincaré. Une victoire des idées de paix. Ce sont ces trois points de vue qu'envisagent en général, les commentateurs raisonnables de tous les pays, c'est-à-dire ceux qui voudraient voir s'établir enfin la tranquillité internationale. Ici, en Angleterre ou en Italie par exemple, on est plus sensible aux premier et au second. Là, comme en Allemagne, on se montre plus intéressé par le troisième. Mais partout on se félicite d'une victoire générale de la modération et du bon sens, quel que soit le domaine visé, politique, financier, diplomatique. Ce que le Times résume en ce raccourci typique : « A Bordeaux et à Carcassonne, M. Poincaré a demandé au pays de voter pour la paix et pour le franc. Sagement, et d'une façon décisive, le pays a voté pour la paix et pour le franc. » En Allemagne en particulier on se félicite que les élections françaises ne changeront rien à la politique de paix poursuivie jusqu'ici et au delà des nationalistes, personne ne prend prétexte du léger déplacement de la majorité à droite pour suspecter la politique de paix de notre pays. Avec raison. En somme, ce qui se dégage des opinions recueillies jusqu'ici, c'est que le monde n'aime pas les grands élans irréfléchis quel que soit leur but et leur orientation. Les peuples pris dans leurs rapports entre eux semblent se délecter particulièrement de cette « médiocrité » (au sens étymologique du mot !) du résultat des élections françaises. Pourvu seulement que ce soit une médiocrité dorée ! Gabriel Perreux. Une élection contestée dans l'Ariège Nous avons annoncé, hier, l'élection de M. Paul Laffont, républicain socialiste, dans l'arrondissement de Saint-Girons, en Ariège. Or, cette élection est contestée. Les chiffres connus donnent 7.028 VOIX à M. Paul Laffont contre 7.309 à M. Galy-Gasparron, radical socialiste. M. Galy-Gasparron serait donc élu. | d plume au sujet de nos élections. Les appréciations sont uasis mdérés et pondérées que l'a été notre scrutin lui-même. C'est qu'à l'étrngr comme chez nous, il ny eu aucune surprise. On a ce qu'on attendait : Un défaite du communisme. Un triomphe de la oiiq financière de M. Poincaré. Une victoire des idées de paix. Ce sont ces trois points de vue qu'envisagent e général, ls commentateurs sales de tous l pays, àrtee--'iscd xceu qui vdrnt voir a'tirlbsé enfin la tranquillié ntrntnl. Ici, en Agltnreeer ou en Italie par exemple, on t plus sensible aux premier et second. Là comme ne Allemagne on se montre plus intéressé par le troisième. Mais partout n se fi dun'e victoire générale de la modération et du bon sens, ql que soit le dmn visé, politique, financier, diplomatique. Ce que le ieTms résume en ce raccourci typique : « A Bordeaux et à Carcassonne, M. Poincaré a dema au pays de voter pour la paix t pour l franc. Sagement, et 'une façon décisive, le pays a voté pour la paix t pour le franc » En Allemagne en prtclr on se félicite que les élections françaises ne changeront ie à la politique ed pai poursuivie jsq'c et au delà des ntnlsts, prsnn n prend prétexte du éelrg déplacement de la majorité à droite oupr suspecter la politique de paix de notre pays Avec raison. En somme ce qui se dégage des opinions recueillies qu,usijci' c'est que le monde n'aime pas les grands élns céhsfrrélii quel que soit lr but t leur oetritnna.oi Les peuples pris d leurs rapports entre eux emblen se délecter particulièrement de ctt « médiocrité » (au sens étymlgq du mot !) d résultat des élections françaises Pourvu seulement e c soit e éidrcoétmi dorée ! Gbrl Perreux. Une élection contestée dans rige Nous avons noncé, hier, l'élection de . Pl Laffont, républicain socialiste, dans l'arrondissement de Snt-Grns, Ariège. Or cette élctn st notesecté. Les chiffres oucnns donnent 7.028 VOIX à M. Paul Laffont contre 7.309 à M. Galy-Gasparron, radical socialiste. M. Gly-Gsprrn serait donc él. |
la politique de paix poursuivie jusqu'ici et au delà des nationalistes, personne ne prend prétexte du léger déplacement de la majorité à droite pour suspecter la politique de paix de notre pays. Avec raison. En somme, ce qui se dégage des opinions recueillies jusqu'ici, c'est que le monde n'aime pas les grands élans irréfléchis quel que soit leur but et leur orientation. Les peuples pris dans leurs rapports entre eux semblent se délecter particulièrement de cette « médiocrité » (au sens étymologique du mot !) du résultat des élections françaises. Pourvu seulement que ce soit une médiocrité dorée ! Gabriel Perreux. Une élection contestée dans l'Ariège Nous avons annoncé, hier, l'élection de M. Paul Laffont, républicain socialiste, dans l'arrondissement de Saint-Girons, en Ariège. Or, cette élection est contestée. Les chiffres connus donnent 7.028 VOIX à M. Paul Laffont contre 7.309 à M. Galy-Gasparron, radical socialiste. M. Galy-Gasparron serait donc élu. Mais il manque les résultats de deux Communes, les maires de ces communes ont retenu les bulletins de vote et déclarent ne vouloir les transmettre qu'à la commission de recensement. La campagne présidentielle aux Etats-Unis Un comité examinera les frais de la campagne Washington, 1er Mai. Le Sénat a voté à l'unanimité un décret en vertu duquel un comité spécial de cinq sénateurs que désignera le général Dawes, vice-président du Sénat, fera un examen minutieux de tous les frais de la campagne présidentielle de cette année. Les élections françaises vues de l'étranger L'opinion allemande pense que la Nouvelle Chambre continuera la politique de Locarno (De notre correspondant particulier.) Berlin, 1er Mai. (Par téléphone.) Les résultats des élections françaises ont été accueillis par les gauches allemandes comme une consécration définitive de la politique de paix et d'entente poursuivie en complet accord par MM. Poincaré et Briand, tandis que les droites affirment, au contraire, que la France ne connaît d'autre but que de maintenir l'Allemagne sous le joug des traités. Tout le monde est naturellement d'accord ici pour faire remarquer que Poincaré est sorti grand vainqueur de la consultation populaire et que son prestige personnel se trouve encore rehaussé du fait de | la politique de paix poursuivie jui et au delà des nationalistes, personne ne prend prétexte du léger déplacement de la majorité à droite pr suspecter la politique de paix de notre pays. Avec raison. En somme, ce qui s dégage des opinions recueillies jusqu'ici, c'est que le monde n'aime ps es grands élans irréfléchis quel que oist leur t et leur orientation. Les peuples pris dans leurs rapports entre eux elntbems se délecter particulièrement d cette « médiocrité » (au sens étymologique du mot !) du résultat des élections françaises. Prv slmnt que ce soit une médiocrité dorée abre Perreux. Une élection cntsté dans 'Ariège Ns avons annoncé, hier, lélection de .M Paul Laffont, rpbian socialiste, dans l'arrondissement de Saint-Girons, e A. Or, cette élection est contestée. Les chiffres connus donnent 7.028 VOIX à M. Paul Laffont contre .309 à M. Galy-Gasparron, radical socialiste. . GalyGasparron serait donc élu. Mais il manque les résultats de deux Communs les maires de ces communes ont retenu les bulletins de e et élrent ne vouloir les transmettre qu'à la commission de recensement. La campagne présidentielle u Etats-Unis Un comité xmnr les frais de la campagne Washington, 1er Mai. Le Sét a voté à l'unanimité un décret en vertu duquel un comité spécial de cinq snaeus que désignera le général Dawes, vice-président Sénat, fera un examen minutieux de tous les frais de la campagne présidentielle de cette année. Les élections françaises vs de létranger oiion allemande pense que la Nouvelle Chambre etcaroninu la politique de Locarno (De notre correspondant particulier.) Berlin, 1er .aMi (Par téléphone.) Les résultats des élections fs ont té accueillis par ls gauches allemandes comme une consécration définitive de la pqoiiuelt de paix et d'entente poursuivie en complet accord par MM. Poincaré et Briand, tandis q les drts fment au contraire, qeu la France ne connaît d'autre but de maintenir l'Allemagne ss le joug ds traités. Tout le monde st naturellement d'accord ici pour faire remarquer que Pncré est rt grand vainqueur de la consultation pop et que son prestige personnel se trouve encore rehaussé du fait de |
à l'unanimité un décret en vertu duquel un comité spécial de cinq sénateurs que désignera le général Dawes, vice-président du Sénat, fera un examen minutieux de tous les frais de la campagne présidentielle de cette année. Les élections françaises vues de l'étranger L'opinion allemande pense que la Nouvelle Chambre continuera la politique de Locarno (De notre correspondant particulier.) Berlin, 1er Mai. (Par téléphone.) Les résultats des élections françaises ont été accueillis par les gauches allemandes comme une consécration définitive de la politique de paix et d'entente poursuivie en complet accord par MM. Poincaré et Briand, tandis que les droites affirment, au contraire, que la France ne connaît d'autre but que de maintenir l'Allemagne sous le joug des traités. Tout le monde est naturellement d'accord ici pour faire remarquer que Poincaré est sorti grand vainqueur de la consultation populaire et que son prestige personnel se trouve encore rehaussé du fait de la manifestation de confiance dont il vient d'être l'objet, de la part de la nation française. Les milieux gouvernementaux ont enregistré de leur côté les résultats des élections avec calme et se sont abstenus de donner à la presse un mot d'ordre destiné à inspirer ses commentaires. Berlin reste intimement convaincu que la politique extérieure française ne subira aucune modification et paraît assez disposé à faire sien le point de vue des gauches du Reich d'après lequel les élections françaises auraient consacré le triomphe des partis du milieu qui n'ont jamais cessé de soutenir, depuis janvier 1925, la politique locarnienne et le rapprochement franco-allemand poursuivie méthodiquement par M. Briand. Les journaux de droite, en dénaturant sans vergogne les résultats des élections françaises pour faire croire à l'opinion que ce sont les nationalistes, adversaires d'une politique d'entente avec le Reich, qui l'ont emporté en France sur toute la ligne, visent à amener les électeurs allemands à voter, le 20 mai prochain, pour la réaction pan-germaniste « contre Poincaré, l'homme de la Ruhr » et il n'est pas sans intérêt de relever à cette occasion que, pour les droites allemandes, l'abc de toute politique est resté la mauvaise foi. Voilà les gens | l'unanimité un décret en vertu duquel un comité spécial de cinq sénateurs que désignera le général Dawes, vice-président du Sénat, fera un mn minutieux de tous les frais de la cmpgn présidentielle ed ctt année. Les élctns françaises vues de l'étranger L'opinion allemande pense que l Nouvelle Chambre continuera la politique de cro (De notre correspondant particulier.) Berlin, Mai. (Pr téléphn.) Les ruats des élections frnçss ont été accels par les usegahc llmnds cmm n consécration définitive de la politique de paix dentente poursuivie en complet accord par MM. Poincaré et Briand, tandis que les droites affirment, au contraire, que l France ne connaît d'autre but que de maintenir l'Allemagne sous le joug des traités. Tout e monde est naturellement d'ccrd c pour fr remarquer que Poincaré est sorti grand vainqueur d la otnsilcnaotu populaire et que son prestige pesnn se trouve encore rehaussé du fait de la manifestation d cnfnc dont il vient d'être lobjet de la part de la nation frçaise. Les eliixum gouvernementaux ot nrgstré de leur côté les résultats des élections avec calme et se o abstenus de donner à la presse un mot d'ordre stediné à inspirer ses commentaires. ein reste intimement convaincu equ la politique extérieure française ne subira ucunae modification paraît assez disposé à faire esni le pnt de euv des gauches du Rcehi d'après lequel les élections françaises arant cnscré le triomphe des partis du milieu qui nt jamais cessé soutenir, depuis janvier 1925, la politique locarnienne et le reocpenapmhrt frnc-llmnd poursuivie méthodiquement par M. Brnd. Les journaux de drt, en dénaturant sans vergogne es résltts des élections françaises pour faire croire à l'pnn que ce ostn les nationalistes dsairs d'une politique d'entente ve le Reich, qu l'ont emporté en France sur toute la lin,eg vsnt à amener les électeurs allemands à oe le 20 prochain, pour l réaction pan-germaniste « contre Poincaré, l'homme de la Rh » et l n'est pas sans intérêt de relever cette occasion que, pour les droites allemandes, l'abc de toute politique st resté al mauvaise foi. Voilà les gens |
convaincu que la politique extérieure française ne subira aucune modification et paraît assez disposé à faire sien le point de vue des gauches du Reich d'après lequel les élections françaises auraient consacré le triomphe des partis du milieu qui n'ont jamais cessé de soutenir, depuis janvier 1925, la politique locarnienne et le rapprochement franco-allemand poursuivie méthodiquement par M. Briand. Les journaux de droite, en dénaturant sans vergogne les résultats des élections françaises pour faire croire à l'opinion que ce sont les nationalistes, adversaires d'une politique d'entente avec le Reich, qui l'ont emporté en France sur toute la ligne, visent à amener les électeurs allemands à voter, le 20 mai prochain, pour la réaction pan-germaniste « contre Poincaré, l'homme de la Ruhr » et il n'est pas sans intérêt de relever à cette occasion que, pour les droites allemandes, l'abc de toute politique est resté la mauvaise foi. Voilà les gens qui affirment, ce matin encore, qu'au nouveau gouvernement français d'union nationale, l'Allemagne devra opposer un gouvernement fort où les conservateurs, nationalistes nuance Westarp, joueront un rôle prépondérant. Comment peut-on supposer un seul instant que nous consentirions jamais à croire aux paroles de paix d'un gouvernement qui subirait l'influence de ceux qui, dans ce pays, constituent la négation vivante de l'idée même de la paix ? Victoire du bon sens dit-on à Londres Londres, 1er Mai. Times (éditorial) : La France a fait un choix décisif. Le scrutin de ballottage a confirmé le premier. La France a donné à M. Poincaré en nombre — et il y a tout lieu de s'y attendre, en composition — la majorité qu'il demandait. La question de confiance a été posée à la nation. Elle a répondu en des termes sur lesquels on ne saurait se méprendre. La politique sur laquelle la France a rendu son verdict est celle comprise dans les discours de Bordeaux et de Carcassonne. C'est une politique traditionnelle de républicanisme modéré, une politique de paix et d'amitié avec toutes les puissances, basée sur des garanties adéquates pour la sécurité de la France, mais inspirée d'une horreur sincère de tout ce qui | convaincu q la politique extérieure çeasafrni ne subira aucune modification et paraît assez disposé faire sien l point de vue des gauches d Reich d'après lequel ls élections françaises auraient n le triomphe des partis du milieu qui nont jamais cessé d soutenir, dps janvier 1925 la politique oniee et rprohen colman poursuivie méthodiquement par M. Brnd. Ls journaux de droite, en dénaturant sans vergogne les résultats des élections françaises rpuo faire or à lopinion que ce sont les nationalistes, adversaires d'une politique d'entente avec le Reich, qui l'ont emporté en France sr toute la lgn, visent amener les électeurs allemands à voter, le 20 mai prochain, pour l réaction pan-germaniste « cntr Poincaré, l'homme de la Ruhr » et l n'est sans intérêt de relever à cette ccsn que, pour les droiest allemandes, l'abc de toute politique est resté la mvs foi. Voilà les gens qui affirment, ce t encore qu'au naoveuu gouvernement français d'union nationale, 'emgne dvr opposer n gouvernement fort où les conservateurs, nationalistes nuance Westarp, joueront un rôle prépondérant Comment peut-on supposer un seul instant que nous consentirions jamais à croire aux paroles de paix d'un gouvernement qui subirait 'influence de ceux qui dans ce pys, stt la ténonaig vivante de l'idée même de la paix ? Victoire d bon essn dit-on Londres Londres, 1er Mai. Times (éditorial) : La France a fait un choix décisif. e st de ballottage a confirmé e pemie La France a donné à M. Poincaré en nmbr — et il y tout lieu de sy ter, en composition — la majorité qu'il demandait. L qstn de confiance a été posée à la nation. Elle a répondu en des termes sur lesquels on ne saurait se méprendre. La politique sur lqll la rnFaec a rendu on verdict est cll cmprs dans les discours de Bordeaux et de Carcassonne. C'est une politique traditionnelle de républicanisme modéré, une politique de paix et d'mté avec toutes les puissances, basée sur des sagnratei adéquates ruop la sécurité d l France, mais inspirée d'une horreur sincère de tout ce qui |
qui, dans ce pays, constituent la négation vivante de l'idée même de la paix ? Victoire du bon sens dit-on à Londres Londres, 1er Mai. Times (éditorial) : La France a fait un choix décisif. Le scrutin de ballottage a confirmé le premier. La France a donné à M. Poincaré en nombre — et il y a tout lieu de s'y attendre, en composition — la majorité qu'il demandait. La question de confiance a été posée à la nation. Elle a répondu en des termes sur lesquels on ne saurait se méprendre. La politique sur laquelle la France a rendu son verdict est celle comprise dans les discours de Bordeaux et de Carcassonne. C'est une politique traditionnelle de républicanisme modéré, une politique de paix et d'amitié avec toutes les puissances, basée sur des garanties adéquates pour la sécurité de la France, mais inspirée d'une horreur sincère de tout ce qui pourrait ressembler à l'agression. Personne, parmi ceux qui connaissent la France, n'a le moindre doute que cette politique représente son plus vif désir et sa plus ferme détermination. Le pouvoir du franc a brisé la machine politique Morning Post (éditorial) : Il semble clair que M. Poincaré a remporté une victoire notable et, qu'il sera à même de continuer son beau travail avec une majorité plus forte. Le pouvoir du franc a brisé la machine politique qui fut expressément imaginée et construite pour détenir tout le pouvoir dans les groupes de la gauche. Si M. Poincaré réussit à maintenir le franc, le pays lui demandera peu de chose d'autre que d'avoir la main ferme en cas de désordres bolchévistes. Stabilisation prochaine Daily Mirror : La mémoire des hommes est notoirement courte en matière politique, mais la masse des Français n'a pas oublié que M. Poincaré les a sauvés du chaos financier, il y a deux ans. Il est clair qu'elle a l'intention de compter sur lui pour une stabilisation encore plus grande. À ce moment de l'histoire française, eût été folie que de faire confiance aux extrémistes de n'importe quelle nuance. C'est donc là, pour une fois, une victoire du | qui, dans ce pays, constituent la négation vivante de l'idée même de la paix ? Victoire du bon sens dit-on à Londres ones 1er Mai. Times (éditorial) : La Frnc a fait n choix décisif. Le scrutin ed ballottage a confirmé le premier. La France a donné à M. Poincaré en nombre — et il y tout lieu de s'y attendre, en omostio — la majorité qu'il demandait. L question de cnfnc a été posée à la nation. Elle a rpdu en des termes sur lsqls on ne saurait se méprendre. La politique sur laquelle la France a rendu sn verdict est celle comprise dans les dscrs de Bordeaux t de enrC.asnoacs C'est une politique traditionnelle de républicanisme modéré, un politique de paix et d'amitié ceva toutes les puissances, basée sur garanties adéquates pour la sécurité de la France, mais inspirée d'n horreur sincère de tout ce qui pourrait esemle à l'agression. Personne, parmi ceux qui connaissent la France, n'a le moindre doute que cette politique représente nos plus vif désir et sa plus ferme détrmitn. Le pvr du franc a brisé la machine politique Mrnng oPst (éditorial) : Il semble clair que M. Poincaré a remporté une vctr notable et, qu'il sera à même de continuer son beau travail avec une majorité plus forte. Le pvr du franc a brisé la machine politique qui fut eésespxnetmr mgné et construite pour détenir tout l pouvoir dans les grps de la gauche. Si . Poincaré réussit à maintenir le franc, le pays lui demandera peu e chose d'autre que d'avoir la main ferme en cas de désordres bolchévistes Stabilisation prochaine Daily Mirror : La mémoire ds hommes est notoirement courte en matière politique, ma la masse des Français ' pas oublié que M. éPriacon les svés du chaos financier, il y deux a l est clair qu'elle a l'intention de compter sur lui pr une stabilisation encore plus grande. À ce moment de l'histoire française, e été folie que de faire confiance aux extrémistes de n'mprt quelle nuance. C'est donc là, pour fois, une victoire du |
victoire notable et, qu'il sera à même de continuer son beau travail avec une majorité plus forte. Le pouvoir du franc a brisé la machine politique qui fut expressément imaginée et construite pour détenir tout le pouvoir dans les groupes de la gauche. Si M. Poincaré réussit à maintenir le franc, le pays lui demandera peu de chose d'autre que d'avoir la main ferme en cas de désordres bolchévistes. Stabilisation prochaine Daily Mirror : La mémoire des hommes est notoirement courte en matière politique, mais la masse des Français n'a pas oublié que M. Poincaré les a sauvés du chaos financier, il y a deux ans. Il est clair qu'elle a l'intention de compter sur lui pour une stabilisation encore plus grande. À ce moment de l'histoire française, eût été folie que de faire confiance aux extrémistes de n'importe quelle nuance. C'est donc là, pour une fois, une victoire du bon sens. Les électeurs français ont choisi Londres, 1er Mai. Le Times écrit : « Il est encore trop tôt pour envisager combien réelle et durable sera la force du gouvernement d'union nationale français. Le bon sens de l'électorat français a fait un choix décisif et affirme sa confiance en M. Poincaré. Il reste à savoir si tous les partisans d'union nationale resteront fidèles à leurs serments. LES HÉROS DE L'ATLANTIQUE New-York fait aux aviateurs du "Bremen" une réception pompeuse et enthousiaste New-York, 1er mai. Toute la pompe que peut déployer New-York en accueillant des hôtes de marque, a honoré l'arrivée des aviateurs du « Bremen », le commandant Herman Koehl, le baron von Hunefeld et le major Fitzmaurice. La réception commença au moment où les trois héros débarquèrent à « La Batterie » comme s'ils étaient arrivés en avion jusque dans la baie. Les sirènes et les sifflets de tous les navires se mirent à mugir et retentir en même temps cependant que les aviateurs remontaient vers Broadway. De nombreux avions valaient au-dessus du cortège. Sur les marches de l'Hôtel de Ville, le maire Jimmy Walker leur souhaita la bienvenue. Ils furent ensuite conduits par la cinquième avenue, au | victoire notable et, q'l sera à même d continuer son beau trvl avec n majorité pls forte. Le pouvoir du franc a brisé la machine politique qui fut expressément imaginée te construite pour détenir tout le ruiovpo dans les roupes e la gauche. Si M Poincaré réussit à maintenir le franc, le pays lui demandera peu de chose d'autre que d'avoir la main ferme en cas de ésordres bolchévistes. Stblstn prochaine Daily Mirror : La mémoire des hmms et notoirement courte en matière politique, mais la masse des Fai n'a ps oublié que M. Poincaré ls a sauvés du chaos fnncr, il y a deux ans. Il est clair qu'elle a l'intention de compter sur lui pour une stabilisation encore plus grande. ce moment de l'hstr française, tûe été folie que de faire confiance aux extrémistes de n'importe quelle nuance. 'est donc là, pour une fois, n victoire du bon sens. Les électeurs français ont ciihos Londres, 1er Mai. Le Times écrit : Il est encore o tôt ou envisager combien réelle et durable sera la force du gouvernement d'union nationale français. L nob sens de l'élctrt français a fait un choix cii et affirme sa confiance en M. Poincaré. Il reste à savoir si tous les partisans d'union ntnl resteront fidèles à lus serments S HÉROS DE L'TLNTQ eNkYowr- fait aux aviateurs du "Bremen" une réception pmps et enthousiaste New-York, 1er mai Toute l ppe que peut déployer New-York en accueillant des hôtes de mrq, a honoré l'arrivée des aviateurs du « Bremen », l commandant Herman Koehl, le baron von need et le major Fitzmaurice. La réception commença au moment où les trois héros débquèret à « La Batterie » comme s'ils étaient arrivés en avion jsq dans la baie. Les sirènes et les sifflets de tous les ais se mirent à mgr et retentir en même temps cependant que les aviateurs remontaient vers Broadway. De nombreux aios valaient au-dessus du crtèg. Sur les marches de l'Hôtl de Ville, le maire Jimmy Walker leur hiausoat la bienvenue. Ils furent ensuite conduits par la cinquième avenue, au |
M. Poincaré. Il reste à savoir si tous les partisans d'union nationale resteront fidèles à leurs serments. LES HÉROS DE L'ATLANTIQUE New-York fait aux aviateurs du "Bremen" une réception pompeuse et enthousiaste New-York, 1er mai. Toute la pompe que peut déployer New-York en accueillant des hôtes de marque, a honoré l'arrivée des aviateurs du « Bremen », le commandant Herman Koehl, le baron von Hunefeld et le major Fitzmaurice. La réception commença au moment où les trois héros débarquèrent à « La Batterie » comme s'ils étaient arrivés en avion jusque dans la baie. Les sirènes et les sifflets de tous les navires se mirent à mugir et retentir en même temps cependant que les aviateurs remontaient vers Broadway. De nombreux avions valaient au-dessus du cortège. Sur les marches de l'Hôtel de Ville, le maire Jimmy Walker leur souhaita la bienvenue. Ils furent ensuite conduits par la cinquième avenue, au milieu des cris de joie et d'applaudissements frénétiques, jusqu'à « Central Park » où ils reçurent la médaille du mérite que leur décerna l'État de New-York. La police eut bien de la peine à maintenir la foule enthousiaste. L'ovation qui salua Lindbergh s'éleva encore plus haut lorsqu'il revint d'Europe, il faut dire que jamais des étrangers n'avaient été aussi chaudement accueillis à New-York. La pompe déployée pour les recevoir peut se comparer à celle qui est habituelle dans les capitales européennes lorsqu'elles sont favorisées de la visite de souverains étrangers. Un grand banquet réunit ensuite au Commodore Hôtel les aviateurs et 2.000 de leurs admirateurs. LA GUERRE HORS LA LOI La presse du Reich félicite le gouvernement de sa réponse à M. Kellogg (De notre correspondant particulier) Berlin, 1er Mai. Le texte de la réponse allemande à la note Kellogg relative au pacte de paix hors la loi de la guerre, est reproduit ce matin par toute la presse berlinoise qui l'accompagne de commentaires ad hoc où l'on démêle un certain besoin de protester contre les critiques dont a été l'objet, à Paris, la réponse quelque peu hâtive du Reich, lequel, on le sait, n'a tenu aucun compte du contre-projet | M. Poincaré. Il reste à savoir si tous les partisans d'i nationale resteront fidèles à leurs serments. LES HÉROS DE L'ATLANTIQUE NewYork fat aux viaer du Bremen une réception pompeuse et ntoae New-York, 1er mai. Ttoeu a pompe que peut déployer New-York en accueillant des hôtes de marque, honoré l'arrivée des aviateurs du « Bremen le commandant Herman Koehl, le baro o Hunefeld et le major etrmua.zFici La réception commença au moment où les trs héros débarquèrent à « La Batterie » comme s étaient arrivés en avion jusque dans la baie. Les sirènes et les sifflets de tous les navires se mirent à mugir et retentir en même ms cependant que les aurs remontaient vers Broadway. De nombreux avions laent au-dessus d cortège. Sur les marches de l'Hôtel d Ville, le maire Jimmy Wlkr leur souhaita l bnvn. Ils furent ensuite conduits par la cinquième avenue milieu des cris de joie et d'applaudissements frnétqus, jusqu'à « Central Park » où ils reçurent la médaille du mérite que lr décerna l'État de New-York. La police eut bien de la peine à maintenir la fl enthousiaste 'oai qui salua Lindbergh s'éleva ernceo plus haut lorsqu'il revint d'Europe, li faut dire que jamais des étrangers n'avaient été aussi chaudement accueillis Ne-Yok. La pompe déployée pour les recevoir peut se comparer à celle qui est habituelle dans les cptls européennes lorsqu'elles sont favorisées de la visite de souverains éans. Un grnd banquet rént ensuite a ooCrommed Hôtel ls aviateurs t 2.000 de leurs admirateurs. LA GUERRE HORS LA LOI La presse du Reich félicite le gouvernement de sa réponse à M. Kellogg (D ntr correspondant particulier) Berlin, 1er Mai. Le texte de la réponse allemande à la note Kellogg relative au pacte de paix hors la loi de la guerre, st reproduit ce matin par toute l s berlinoise qui l'accompagne de commentaires ad hoc où l'on démêle n certain besoin de prtstr contre l critiques dont a été l'objet, à Paris l réponse quelque p hâtive d Reich, lequel, on le sait, ' tenu aucun compte du contre-projet |
faut dire que jamais des étrangers n'avaient été aussi chaudement accueillis à New-York. La pompe déployée pour les recevoir peut se comparer à celle qui est habituelle dans les capitales européennes lorsqu'elles sont favorisées de la visite de souverains étrangers. Un grand banquet réunit ensuite au Commodore Hôtel les aviateurs et 2.000 de leurs admirateurs. LA GUERRE HORS LA LOI La presse du Reich félicite le gouvernement de sa réponse à M. Kellogg (De notre correspondant particulier) Berlin, 1er Mai. Le texte de la réponse allemande à la note Kellogg relative au pacte de paix hors la loi de la guerre, est reproduit ce matin par toute la presse berlinoise qui l'accompagne de commentaires ad hoc où l'on démêle un certain besoin de protester contre les critiques dont a été l'objet, à Paris, la réponse quelque peu hâtive du Reich, lequel, on le sait, n'a tenu aucun compte du contre-projet français. D'une manière générale, les commentaires allemands sont connus dans un style pondéré et ne contiennent aucun point agressif à l'égard d'une nation étrangère quelle qu'elle soit. Les journaux se contentent de faire observer que, dans cette affaire de pactes, ce n'est pas l'Allemagne qui a commencé et que, par ailleurs, les intérêts comme le point de vue du Reich, ne sont pas, en la circonstance, les mêmes que ceux de la France. On retire toutefois des articles des feuilles allemandes l'impression que, dans les milieux sérieux de la capitale, personne ne paraît, en vérité, croire à la réalisation prochaine des propositions de M. Kellogg, surtout dans leur forme initiale. Tous les journaux, sans distinction de couleurs politiques, approuvent le gouvernement d'avoir d'ores et déjà tiré les conclusions que comporte le projet américain et réclamé le désarmement général et le développement des pactes d'arbitrage. LES ELECTIONS ALLEMANDES Les national-socialistes bavarois ont trouvé leur tête de liste C'est un général pangermaniste plein d'arrogance ! Munich, 1er Mai. — Les national-socialistes bavarois ont présenté, comme candidat tête de liste pour les élections au Reichstag, le général von Epp, qui jouit en Bavière d'une grande popularité. C'est le général von Epp qui, en | faut dire q jamais des érnr n'avaient été aussi cden accueillis à Nw-Yrk. La omp dypleoéé pour ls recevoir peut se comparer à celle qui est habituelle dans les capitales européennes lorsqu'elles sont favorisées de la visite de souverains érn. n grand banquet réunit ensuite au Commodore Hôtel les aviateurs et 2.000 de us admirateurs. LA GUERRE HORS LA LOI aL presse du hcRei félicite le gouvernement de sa rnépeso à M. Kellogg e notre correspondant particulier Berlin, 1er Mai. Le texte de la réponse allemande à la note Kellogg eltive au pacte de paix hors l loi de la grr, est reproduit ce matin par toute la presse berlinoise qui 'accompagne e commentaires a hoc où 'on démêle un certain besoin de opstrtere contre les critiques dnt a été l'bjt, à Paris, a réponse quelque hâtive du eh lequel, on l sait n'a tenu aucun mectpo du contreprojet français. D'une mnèr générale, les commentaires allemands sont connus an un style pondéré et ne contiennent aucun pnt agressif à l'égrd d'une nation étrangère quelle qu'elle soit. Les journaux e contentent de faire observer ,uqe dans cette affaire de pactes, ce n'est pas l'Allemagne qui commencé et que, par ailleurs, les intérêts comme le point de vue du Reich, ne sont pas, en la circonstance, els mêmes que cx de la France. On retire toutefois de aties des feuilles allemandes l'impression que, dns les milieux sérieux de la capitale, personne ne paraît, en vérité, croire à la réalisation prochaine des propositions de Kellogg, surtout dans leur forme initiale. Tous les jrnx, sans snti de clrs politiques, approuvent le gouvernement d'avoir d'ores et déjà tiré ls conclusions que comporte le projet américain et réclamé le désarmement général t le dévlppmnt des pactes d'arbitrage. LES ELECTIONS ALLEMANDES Les ntnl-sclsts barois ont trouvé leur tête de lite C'st un général nignmetesraap plein d'arrogance ! Munich, 1er Mai. — Les olitoasisna-eantcils bavarois ont présenté, comme candidat têt de liste pour les élections au Reichstag, le géél von Epp, qui jt en Bavière d'une grande popularité. tCe's le général v Epp q, en |
ailleurs, les intérêts comme le point de vue du Reich, ne sont pas, en la circonstance, les mêmes que ceux de la France. On retire toutefois des articles des feuilles allemandes l'impression que, dans les milieux sérieux de la capitale, personne ne paraît, en vérité, croire à la réalisation prochaine des propositions de M. Kellogg, surtout dans leur forme initiale. Tous les journaux, sans distinction de couleurs politiques, approuvent le gouvernement d'avoir d'ores et déjà tiré les conclusions que comporte le projet américain et réclamé le désarmement général et le développement des pactes d'arbitrage. LES ELECTIONS ALLEMANDES Les national-socialistes bavarois ont trouvé leur tête de liste C'est un général pangermaniste plein d'arrogance ! Munich, 1er Mai. — Les national-socialistes bavarois ont présenté, comme candidat tête de liste pour les élections au Reichstag, le général von Epp, qui jouit en Bavière d'une grande popularité. C'est le général von Epp qui, en 1920, à la tête de son corps franc, a délivré Munich du régime soviétique. On se rappelle que le général von Epp, en 1926, fut convoqué devant la Commission parlementaire chargée d'enquêter sur les crimes de la Sainte-Georgette germanique, et qu'il souleva alors l'enthousiasme des pangermanistes, en s'étant présenté devant la Commission la mine arrogante, les mains enfoncées dans les poches de son pantalon. La Commission dut se contenter de désapprouver l'attitude du général. Mais celui-ci donna à entendre qu'il s'en moquait. Le groupe indépendant Le 3 mai sera fondé à Hambourg, dans le cadre du parti démocratique allemand, le « groupe indépendant des professions libérales ». Un parti qui a de la peine à se constituer Une assemblée, qui s'est tenue hier, à Cassel, en vue de la fondation du nouveau parti dit « chrétien-national », s'est séparée sans avoir pris de décision, après huit heures de laborieux débats. Les leaders de la Ligue agricole allemande, ainsi que les députés de Wiesbaden s'étaient, en effet, prononcés nettement contre la réalisation de ce projet. LE PREMIER MAI À PARIS ET EN BANLIEUE Des sévères mesures d'ordre ont été prises par la préfecture de police Il est devenu traditionnel à l'approche | ailleurs, les intérêts comme le pt de v du Reich, e sont pas, en la circonstance ls mêmes que cx de la Frc On retire toutefois des articles des feuilles allemandes l'impression ,euq dans les milieux sérieux de la capitale, personne ne paraît, en vérité, croire à la réalisation prochaine des propositions de M Kellogg, surtout dans leur forme initiale Tous les au sans distinction de couleurs politiques, approuvent le gouvernement 'avoir d'ores et déjà tiré ls conclusions que cmprt le projet américain et réclamé el désarmement général et le développement des pactes .iaerrdga'bt LES LCTNS LLMNDS Les national-socialistes bavarois ont trouvé leur tête de liste C'est n général pngrmnst plein drogane Munich, 1er Mai. — Les national-socialistes bavarois ont présenté, comme candidat tête de liste pour le élections au Rchstg, e général von Epp, qui jt n av d'une grande popularité C'est l général von E qui, en 1920, à la tête de son corps franc, a délivré Munich du régime soviétique On se rappelle q e nél von Epp, en 1926, fut convoqué devant la Commission parlementaire chargée d'enquêter sur les crimes de la Sainte-Georgette germanique et u'l souleva alors l'enthousiasme des pangermanistes, en s'étant prénté devant la Commission l mine arrogante, ls mains enfoncées dans les poches de son pantalon. La Commission dut se contenter de désapprouver l'attitude du général ais celui-ci nn à netnerde qu'il s'n moquat Le groupe indépendant Le 3 mai sera fondé à Hambourg, dans le cadre du parti édtrocmueiaq allemand, le « oup indépendant des professions lbérls ». nU prati qui a de la peine à se constituer n semblé i s'est tenue hier, à Cssl, en vue de la fondation du nouveau parti dit « chrétien-national », s'est séé sans oivar prs de décision, après huit heures de laborieux débats. Les leaders de la Ligue agricole allemande, ainsi que les députés d Wiesbaden s'étaient, en effet prononcés nettement rteonc la réalisation de ce prjt. LE PREMIER MAI À PARIS ET N BANLIEUE Des ère mesures d'ordre ont été prises par la préfecture de plc Il est devenu traditionnel l'approche |
la Commission la mine arrogante, les mains enfoncées dans les poches de son pantalon. La Commission dut se contenter de désapprouver l'attitude du général. Mais celui-ci donna à entendre qu'il s'en moquait. Le groupe indépendant Le 3 mai sera fondé à Hambourg, dans le cadre du parti démocratique allemand, le « groupe indépendant des professions libérales ». Un parti qui a de la peine à se constituer Une assemblée, qui s'est tenue hier, à Cassel, en vue de la fondation du nouveau parti dit « chrétien-national », s'est séparée sans avoir pris de décision, après huit heures de laborieux débats. Les leaders de la Ligue agricole allemande, ainsi que les députés de Wiesbaden s'étaient, en effet, prononcés nettement contre la réalisation de ce projet. LE PREMIER MAI À PARIS ET EN BANLIEUE Des sévères mesures d'ordre ont été prises par la préfecture de police Il est devenu traditionnel à l'approche du 1er mai d'envisager des troubles à Paris et dans certaines cités populaires de la part des éléments d'extrême-gauche. Mais il semble que cette année la crainte de manifestations communistes soit basée sur des bruits plus sérieux que de coutume. Ne nous a-t-on pas affirmé que les ouvriers qui se réclament de la doctrine de Lénine avaient l'intention d'envahir certaines usines et d'y briser la majeure partie du matériel, peut-être même de s'en emparer par la force. Cette affirmation se trouve étayée par les affiches que la confédération des syndicats unitaires a fait apposer, ces jours-ci, sur les murs de Paris. Cette affiche commence ainsi « Il nous faut un 1er mai de lutte. » Et il est question dans le texte, non seulement de meetings, mais de manifestations organisées. Par contraste, la C.G.T. se borne à déclarer : — Chômeurs le 1er mai. Menace ou bluff La menace communiste n'a-t-elle d'autre but au lendemain d'élections qui n'ont pas satisfait le Bloc ouvrier et paysan, d'effrayer la population parisienne. Toujours est-il que le gouvernement la tient pour sérieuse et que la Préfecture de police, d'accord avec le ministère de l'Intérieur a pris des mesures préventives. « L'ordre régner dans la | la Cmmssn la mine arrogante, ls mains enfoncées dans les poches de son pantalon. La Commission dut s contenter de désapprouver 'attitude général. Mais celui-ci donna à entendre quil s'en moquait L groupe indépendant Le 3 mai sera fondé à Hambourg, dans le cadre du parti démocratique allemand, le « groupe indépendant des professions libérales ». Un parti qui a de la peine se constituer Une assemblée qui et tenue hier, Cassel, n vue de la fondation du nouveau parti dit « htienatio », s'est séparée sans avoir pris de décision, après thui heures de arie débats Les leaders de la Lg agricole allemande, ainsi q les députés de Wiesbaden s'étaient, en fft, prononcés nettement contre la rélstn de projet. LE PREMIER MAI À PARIS ET EN NBEEUALI Des sévères mesures dordre tno été prises pr la péecue de police l est devenu traditionnel à l'approche du 1er mai d'nvsgr des troubles à Paris et dans certaines ctés appilesruo de l pat ds éléments d'extrême-gauche. Mais il semble que cette année la crainte de manifestations communistes soit basée sr des bruits plus sérieux que de coutume. N nous a-t-on pas affirmé que les ouvriers qui se réclament de la doctrine de Lénine avaient iointneln't d'envahir certaines usines et d'y briser la majeure partie du matériel, peut-être même de s'en emparer par la force. Ctt affirmation se trouve étaée p les affiches que la fdration des syndicats unitaires a fait apposer, s jours-ci, sur les us de Paris. Ctt affcehi commence ainsi Il nous faut nu 1er mai d lutte. Et l est question dans le texte, nn seulement d meetings, mais e manifestations organisées. Par contraste, la ... se borne à déclarer : — Cmeu le 1er mai. Mnc ou bluff La menace cmmnst n'a-t-elle d'autre but lnemin d'élections qui n'ont pas satisfait le Bloc ur et paysan, 'effrayer la population parisienne. ojs est-il que le gouvernement la tient pour sérieuse et que la Préfecture de police, d'accord avec le ministère e l'ntérr a prs ds mesures préventives. « L'ordre régner dans la |