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de mariage. En l'matériel et En l'immobilier. Maisons, Propriétés rurales, Entreprises industrielles et Fonds de commerce, Baux et Locations. Sociétés : Constitutions, Dissolutions et Liquidations. Prêts hypothécaires : Escompte et recouvrement de Créances Gérance de biens et fortunes. Consultations de neuf heures à midi AGENT CONSEIL DE MARSILLE Seul dépositaire pour la Normandie, Maison A. Michaux Plis, Vins et Spiritueux, 74, rue Lafayette, Rouen. BOULANGERIE MODERNE Eugène LÉCUYER rue de la République, 60 PANIFICATION VIENNOISE Médaille à l'Exposition de Rouen 1884 Tous les jours, à 2 h. 1/2 du soir, Croissants, Roulettes et Petits Pains chauds — Spécialité de pain au levain doux Prochaine ouverture d'une 2e maison, place du Vieux-Marché, 18 Maison LENOIR, DELAUNAY & NOËL, à Rouen 5, rue Duguay-Trouin, 5 EXPOSITION 1884, MÉDAILLES OR et ARGENT Également recommandé pour les COUPAGES des Ebans-de-Vie naturels. Demande des Réprésentants pour Rouen et la banlieue, Marque pour les SIROP, LIQUEURS et autres SPÉCIALITÉS déposée depuis sa fabrication, garantis purement Sucre de Canne. MAISON DE SANTÉ & D’ACCOUCHEMENT Rue de la République, 119, 121, 123, Sotteville-lès-Rouen ON PREND DES PENSIONNAIRES SALLE DE DOUCHES ET DE BAINS ENTORCES traitées par le MASSAGE et l’HYDROTHÉRAPIE UN MÉDECIN DEMEURE DANS L’ÉTABLISSEMENT GRAND JARDIN ENTOURÉ DE MURS — SALLE DE BILLARD ET JEUX Aux personnes économes Vous pouvez faire avec l’Extrait Halle une boisson saine, agréable, ressemblant à s’y tromper au petit cidre. Cette boisson ne vous révoltera qu’à cinq centimes le litre. La manière de la fabriquer accompagne chaque flacon, dont le prix est de 2 francs pour 110 litres. Rouen : dépôts chez A. GASCARD et HALLEY, 47, rue du Bac, et LATTRAYE, rue Damiette, 22. RÂLES & VICES DE LA PAROLE DÉLIÉS PAIEMENT APRÈS GUÉRISON Médecin spécialiste, Officier d’Académie SOUMETTE Ils-HOUES A. Loisel Fils HUILE A BRULLER Spécialement épurée pour avoir un bel éclairage et ne pas abîmer les lampes. Chez A. DUCLOS FABRICANT ÉPURATEUR 8, rue du Vieux-Palais, 8 ROUEN VINS & EAUX-DE-VIE A PLANCHON 371 Place du Vieux-Marché Ancienne Maison Marius GILLET Vins de table 120 fr. les 225 litres Bordeaux vieux, suivant année. Vins de Malaga par 16 et
de mariage. En l'matériel et En l'immobilier. Maisons, Propriétés rurales, Entreprises dinsulitelers et Fonds de commerce, Baux et Lin. Sociétés : nsttutio Dissolutions t Liquidations. Prêts shyehtracpoié : Escompte e recouvrement de Créncs Gérance ed biens et fortunes. Consultations de neuf heures à midi AGENT CONSEIL ED MARSILLE Sl dépositaire pour la Normandie, Maison A chaux Plis, Vns et Spiritueux, 74, rue Lafayette, Rouen. BOULANGERIE MODERNE èn LÉCUYER rue de la République, 06 PANIFICATION VIENNOISE Médaille l'Exposition de Rn 1884 Tous ls jours, à 2 1/2 du soir, Crssnts, Roulettes et Petits Pains chauds — ciai d pain au levain doux Prochaine vrtr d'une 2 maison place du Vx-Mrché, 18 Maison LENOIR DELAUNAY NOËL, à Rouen 5, rue Duguay-Trouin, 5 EXPOSITION 1884, MÉDAILLES OR et ARGENT Également recommandé pour les COUPAGES des Ebans-de-Vie ntrls. Demande des Réprésentants pour Rouen et la aue, Marque pour les SIROP, LIQUEURS et autres SPÉCIALITÉS déposée depuis sa fabrication, garantis purement Scr Canne. MAISON DE SANTÉ & D’ACCOUCHEMENT Rue de la République, 119, 121 123, Sotteville-lès-Rouen ON PREND DES PENSIONNAIRES SALLE DE DOUCHES ET DE IN ENTORCES traitées par le MASSAGE et l’HYDROTHÉRAPIE UN MÉDECIN DEMEURE DANS L’ÉTABLISSEMENT GRAND JARDIN ENTOURÉ DE URMS — SLL DE BILLARD ET JEUX Aux prsnns économes Vous pouvez faire ecva l’Extrait Halle une boisson saine, aré ressemblant à s’y tromper petit rceid. Cette s ne vous révoltera qu’à cinq ete le litre. La manière d la fabriquer ccmpgn chaque flacon, dont le prix est de 2 francs pour 110 litres. Rouen : dépôts chez A. GASCARD et HALLEY, 47 rue d Bac, et LTTRY, rue Damiette, 22. RÂLES & VICES DE PRL DÉLIÉS PAIEMENT APRÈS GUÉRISON Médecin spécialiste, Officier ’Aadmie SOUMETTE Ils-HOUES A. Loisel Fils LHUIE BRULLER Spécialement épurée pour avoir un bel éclrg et ne pas abîmer les lampes Chez A. DCLS FABRICANT ÉPURATEUR 8, rue du Vx-Pls, 8 ROUEN IN EAUX-DE-VIE PLNCHN 371 Plc du Vieux-Marché Ancienne Mo Marius IT Vins e table 120 fr. les 225 ies Brdx vieux, sivan année. Vins de al par 16 et
DE MURS — SALLE DE BILLARD ET JEUX Aux personnes économes Vous pouvez faire avec l’Extrait Halle une boisson saine, agréable, ressemblant à s’y tromper au petit cidre. Cette boisson ne vous révoltera qu’à cinq centimes le litre. La manière de la fabriquer accompagne chaque flacon, dont le prix est de 2 francs pour 110 litres. Rouen : dépôts chez A. GASCARD et HALLEY, 47, rue du Bac, et LATTRAYE, rue Damiette, 22. RÂLES & VICES DE LA PAROLE DÉLIÉS PAIEMENT APRÈS GUÉRISON Médecin spécialiste, Officier d’Académie SOUMETTE Ils-HOUES A. Loisel Fils HUILE A BRULLER Spécialement épurée pour avoir un bel éclairage et ne pas abîmer les lampes. Chez A. DUCLOS FABRICANT ÉPURATEUR 8, rue du Vieux-Palais, 8 ROUEN VINS & EAUX-DE-VIE A PLANCHON 371 Place du Vieux-Marché Ancienne Maison Marius GILLET Vins de table 120 fr. les 225 litres Bordeaux vieux, suivant année. Vins de Malaga par 16 et 32 litres, 2 fr. le litre. Madère depuis 2 fr. le litre. Vins de Champagne, duc de Montebello, Périer et autres marques. Eau-de-Vie, fine champagne 1858 Eau-de-Vie Armagnac 1865 Succursale : place de la Croix de Pierre, 157, à Edouard-Adam. Plus d’incendie GRENADE EXTINCTEUR HARDEN L’emploi en effet fort simple et l’efficacité n’a plus besoin d’être démontrée après l’expérience que nous venons de voir. (Nouvelliste de Rouen, 18 avril.) S’adresser chez A. Welby, Rouen. ROTISSOIRE-GRILLOIR économique à gaz (déposée) spécialement pour hôtels, restaurants et charcutiers. L. HARMANCE, tourneur en cuivre, fabrique d’appareils à gaz, 230, rue Martainville, Rouen. Facteurs Commissionnaires 105, rue Ganterie, 105 Course 0 fr. 50 Avec voiture... 0fr. 70 BREVET CHAUDET HUILE DE RICIN Lampante Brûlant sans odeur ni fumée 12 0/0 d’économie En vente chez GAUDU et DROUET rue de la Vicomté, 65, seuls concessionnaires pour l’Ouest et le Nord de la France. Station de Moulineaux VILLA ROBERT Restaurant à Prix Fixe Déjeuners... 2 fr 50 cidre Dîners 3 fr... compris Etablissement de 1er ordre, ouvert le Dimanche et le Lundi 2 MÉDAILLES Or 2 MÉDAILLES Argent BIÈRE FRANÇAISE DE LA BRASSERIE ALSACIENNE DE CROISSANT Bouteilles... 12 Bouteilles S’adresser à M. E. WAGNER, à Croisset, ou
DE MURS — LLE E BILLARD T JEUX Aux personnes économes Vs pouvez faire avec ’Extrait Halle n boisson saine agréable, ressemblant à s’y tromper au ptt cidre. Cette bsso ne vous révoltera qu’ cinq centimes le litre. La manière de la arqu accompagne chaque flcn, dont le prix est d 2 francs pour 110 litres. Rouen : dépôts chez A. GASCARD et HALLEY, 47, rue du B,ca et LATTRAYE r Damiette, 22. RÂLES & VICES LA PAROLE DÉLIÉS PAIEMENT APRÈS GUÉRISON Médecin spécialiste, Officier d’Académie SOUMETTE Ils-HOUES A. Loisel Fils HIL A BRULLER Spécialement épurée pur avr un bel éclairage et ne pas abîmer l lampes. Chez A. DUCLOS BRCANT ÉPURATEUR 8, rue du Vieux-Palais, 8 ROUEN VINS EAUX-DE-VIE A PLANCHON 371 Place du Vieux-Marché Ancienne Msn Marius GILLET Vins de table 120 fr. es 25 islert Bordeaux vieux suivant année. Vins de Malaga par 16 t 32 tl,seir fr. le litre. edèrMa depuis 2 fr. le litre Vins d Champagne, duc de Montebello, Périer et autres marques. Eau-de-Vie, fine champagne 1858 Eau-de-Vie Armagnac 1865 Succursale : place d la Cro de reeriP, 157, à Edouard-Adam. sulP d’incendie GRENADE EXTINCTEUR HARDEN L’emploi en effet fort simple et l’efficacité n’a plus besoin d’être démontrée après ’expérience que nous venons de voir. (Nouvelliste de Rouen, 18 avril.) Sadresser chez A. Wlby, Rouen. RTSSR-GRLLR économique à gaz (déposée) spécialement pour hôtels, restaurants t charcutiers. L. HARMANCE, tourneur en cuivre, fabrique d’pprls à gaz, 230, rue Martainville, Rouen. tes Commissionnaires 105 rue Gat 15 Course 0 fr. 50 Avec voiture... 0r. 70 BREVET CHAUDET HUILE DE CIINR Lmpnt Brûlant sans odeur ni fumée 12 0/0 d’économie En vente chez GAUDU et DROUET r de la Vicomté 65 seuls cncssnnrs pour lOuest t le Nord de la France. Staon de Moulineaux VILLA ROBERT Restaurant à rix Fxe Déjeuners... 2 fr 50 cidre Dîners 3 fr... pcormsi Etablissement de 1er r, ouvert le Dimanche et le Lnd 2 MÉDAILLES Or 2 MÉDLLS Argent BIÈRE FANASE DE LA BRASSERIE ALSACIENNE DE CRSSNT Bouteilles... 12 Bouteilles S’adresser à M. E. WAGNER, Crsst, ou
et l’efficacité n’a plus besoin d’être démontrée après l’expérience que nous venons de voir. (Nouvelliste de Rouen, 18 avril.) S’adresser chez A. Welby, Rouen. ROTISSOIRE-GRILLOIR économique à gaz (déposée) spécialement pour hôtels, restaurants et charcutiers. L. HARMANCE, tourneur en cuivre, fabrique d’appareils à gaz, 230, rue Martainville, Rouen. Facteurs Commissionnaires 105, rue Ganterie, 105 Course 0 fr. 50 Avec voiture... 0fr. 70 BREVET CHAUDET HUILE DE RICIN Lampante Brûlant sans odeur ni fumée 12 0/0 d’économie En vente chez GAUDU et DROUET rue de la Vicomté, 65, seuls concessionnaires pour l’Ouest et le Nord de la France. Station de Moulineaux VILLA ROBERT Restaurant à Prix Fixe Déjeuners... 2 fr 50 cidre Dîners 3 fr... compris Etablissement de 1er ordre, ouvert le Dimanche et le Lundi 2 MÉDAILLES Or 2 MÉDAILLES Argent BIÈRE FRANÇAISE DE LA BRASSERIE ALSACIENNE DE CROISSANT Bouteilles... 12 Bouteilles S’adresser à M. E. WAGNER, à Croisset, ou quai Saint-Sever, 12. 3, rue St-Jacques, près la Gare-Ville. — ELBEUF ALLAIN & LECLERC IMPRESSIONS RAPIDES EN TOUS GENRES Brochures, Thèses, Rapports Journaux, Factures Mandats, Chèques, Têtes de lettres, Enveloppes, Mémorandums, Fiches, Reçus, Prospectus, Affiches, etc PRIX MODÉRÉS — EXPÉDITIONS JOURNALIÈRES FRANCO A DOMICILE VITRAUX GLACIERS LA PLUS PARFAITE IMITATION DES VITRAUX PEINTS PERFECTIONNÉE AGRÉABLE BON MARCHÉ S’appliquant très facilement sur n’importe quelle fenêtre DÉPÔT POUR ROUEN ET LES ENVIRONS À LA PAPETERIE ROBARD 85-87, rue et près de la Grosse Horloge Ces Vitraux se fixent simplement à l’eau froide, directement sur le verre de la Fenêtre à orner, ils ne peuvent ni se détacher du verre, ni s’effacer au lavage. La pose peut être faite facilement par n’importe qui. Pour Renseignements, donner dimensions des carrés et plan de fenêtre. ALBUM COLORIÉ avec Echantillon, franco 3 f. EAU VÉRITABLE DES JACOBINS DE ROUEN des Frères GASCARD A. Gascard et Halley, seuls successeurs, 47, rue du Bac, titulaires de Cinq Médailles d’Argent et de Vermeille dont une de l’Exposition de Rouen 1884.— L’efficacité de cette eau la rend indispensable au sein des familles pour combattre : apoplexie, paralysie, choléra, vertiges, syncopes, etc. Prix : 2 fr. 60 Se trouve chez les
et l’efficacité a’n plus besoin d’être démntré après l’expérience que nous venons de voir. Nouvelliste d Rouen, 18 vrl.) S’adresser chez . Welby, Rouen. ROTISSOIRE-GRILLOIR économique à gaz éposée spécialement pour hôtels, restaurants et charcutiers. L. HRMNC, tourneur en cuivre, fabrique d’appareils à gaz, 230, rue Martainville, Rouen. Fctrs Commissionnaires 105, rue Ganterie, 105 Course 0 fr. 50 Avec .uvreoi.t. 0fr. 70 BRVT CHAUDET HUILE DE RICIN Lampante aBûltnr sans dr ni fmé 12 0/0 ’économie En vente chez GAUDU et DROUET rue d la Vicomté, 65 concessionnaires ur l’Ouest et le Nord de l France. Station de Moulineaux VILLA ROBERT Restaurant à Prix Fixe Déjeuners... 2 fr 50 cdr Dînrs 3 fr... compris Etabissmnt de 1er ordre, ouvert le Dmnch et l Lniud 2 MÉDAILLES Or MÉDAILLES rgnt BIÈRE FRANÇAISE DE LA BRASSERIE ALSACIENNE E CROISSANT Bouteilles... 12 Bouteilles Sadresser à . WAGNER, à Croisset, ou quai Saint-Sever, 12. 3, rue St-Jacques, près la Gare-Ville. — ELBEUF ALLAIN & ER IMPRESSIONS RAPIDES EN TOUS GENRES Brochures, Thèses, Rapports Journaux, Factures ats Chèques, Têtes de lettres Enveloppes, Mémorandums Fiches, Reçus, Prospectus, Affiches, etc PR DÉRÉOSM — EXPÉDITIONS JOURNALIÈRES FRANCO DOMICILE VITRAUX GLACIERS L PLUS PRFT MTTN DES VITRAUX PEINTS PERFECTIONNÉE AGRÉABLE BON MARCHÉ S’appliquant très facilement sur n’importe qule fenêtre DÉPÔT POUR ROUEN ET LES ENVIRONS À LA PAPETERIE RDBROA 85-87, rue t pèrs de la Grss Hrlg e Vitraux es txnfie nimmspleet à ’e froide, directement sur le eervr ed la Fenêtre orner, ils ne peuvent ni se détacher du verre ni ’effacer au lavage La pose peut tr faite ifaleetmnc arp n’importe qui. Pour Renseignements, donner dimensions des carrés e plan fenêtre. BU IOLCORÉ avec Echantillon, franco 3 f. UAE VÉRITABLE DES OSAINJCB DE ROUEN des Frères AS A. Gascard et Halley, sls successeurs 47, rue du Bac, titulaires de Cinq Médailles d’rgnt et de riemllVee dnt une d lExposition de Rouen 1884.— éf’aiLcifect de cette la rend indispensable au sein des s pour cmbte : apoplexie paralysie, choléra, vertiges syno etc Prix : 2 fr. 60 Se trouve chez ls
DES VITRAUX PEINTS PERFECTIONNÉE AGRÉABLE BON MARCHÉ S’appliquant très facilement sur n’importe quelle fenêtre DÉPÔT POUR ROUEN ET LES ENVIRONS À LA PAPETERIE ROBARD 85-87, rue et près de la Grosse Horloge Ces Vitraux se fixent simplement à l’eau froide, directement sur le verre de la Fenêtre à orner, ils ne peuvent ni se détacher du verre, ni s’effacer au lavage. La pose peut être faite facilement par n’importe qui. Pour Renseignements, donner dimensions des carrés et plan de fenêtre. ALBUM COLORIÉ avec Echantillon, franco 3 f. EAU VÉRITABLE DES JACOBINS DE ROUEN des Frères GASCARD A. Gascard et Halley, seuls successeurs, 47, rue du Bac, titulaires de Cinq Médailles d’Argent et de Vermeille dont une de l’Exposition de Rouen 1884.— L’efficacité de cette eau la rend indispensable au sein des familles pour combattre : apoplexie, paralysie, choléra, vertiges, syncopes, etc. Prix : 2 fr. 60 Se trouve chez les épiciers, Magasins de comestibles, débits de tabac, etc. PYPILU * 10 Une Capsule dorée avec sceau du couvent jointe; MûbiL. 2 0 Un Jacobi Gascard. 2 0 Un Jacobin moulé dans le verre avec les mots Frères 24 MÉDAILLES AU VIN DE MALAGA VIOLET Frères, à Thuir (P.-O.) ENTREPOT À ROUEN : Henri COULON, agent, r. des Charrettes, 182 LIVRAISON IMMEDIATE CAFES TORRÉFIES L. LATTRAYE 24, Rue Damiette, 24 EXPOSITIONS Rouen 1884, MÉDAILLE DE BRONZE Lyon 1885, MÉDAILLE d’OR et DIPLOME d’HONNEUR
DES VTRX PEINTS PERFECTIONNÉE AGRÉABLE BON MARCHÉ S’appliquant très facilement sur n’importe quelle êe DÉPÔT POUR ROUEN T LES ENVIRONS LA PAPETERIE ROBARD 85-87, rue et près de la Grosse Horloge Ces Vtrx se fixent simplement à l’eau froide, directement sur le verre de la Fenêtre à orner, ils ne unt ni se détacher du verre ni s’ffcr lavage. La pose peut être faite facilement par n’importe qui Pour Renseignements, donner dimensions des carrés te plan de fenêtre. ALBUM COLORIÉ avec Echantillon, franco 3 f. EAU VÉRITABLE DES JACOBINS DE ROUEN des Frères GASCARD . Gascard et Halley, seuls successeurs, 47, rue du Bac, titulaires de Cinq Médailles d’Argent et de Vermeille dont une de l’Exposition de Rouen 1884.— L’efficacité de cette eau la rend indispensable sein des fmlls pour combattre : apoplexie, paralysie, choléra, vrtgs, syncopes, etc. Prix : 2 fr. 60 Se trouve chez les épiciers, Magasins de comestibles, débits de tabac, etc. PILYUP * 10 Une Capsule dorée avec sceau du couvent jointe; MûbiL. 2 0 Un Jcb Gascard. 2 0 Un Jacobin moulé dans le rre e les mots Frères 24 MÉDAILLES AU VIN DE MALAGA VIOLET Frères, à Thuir (P.-O.) ENTREPOT À ROUEN : Henri COULON, gnt, r. des Charrettes 182 LIVRAISON IMMEDIATE CAFES TORRÉFIES L. LATTAY 24, Rue Dmtt, 24 EXPOSITIONS Rn 1884, MÉDAILLE DE BRONZE Lyon 1885, MÉDAILLE d’R et DIPLOME d’HONNEUR
ROUEN : Henri COULON, agent, r. des Charrettes, 182 LIVRAISON IMMEDIATE CAFES TORRÉFIES L. LATTRAYE 24, Rue Damiette, 24 EXPOSITIONS Rouen 1884, MÉDAILLE DE BRONZE Lyon 1885, MÉDAILLE d’OR et DIPLOME d’HONNEUR
ROUEN : Hnr COULON, agent, r. des Charrettes, 182 LIVRAISON IMMEDIATE CAFES ORRÉS . LATTRAYE 24, Rue Damiette, 24 EXPOSITIONS Rouen , MÉDAILLE DE BRONZE Lyon 1885, MÉDAILLE d’OR et DIPLOME d’HONNEUR
Le Concours agricole de Paris Un pittoresque instantané LE DISCOURS de Bordeaux Commentaires de la Presse italienne UNA NOTE DOMINE M. POINCARE VEUT APPELER LES PAYS À SE PRONONCER POUR OU CONTRE SA POLITIQUE Elan, 27 mars. On s'accorde à reconnaître dans les milieux officieux que M. Poincaré a fait un exposé impartial et élevé de la situation, et a su mettre en relief l'importance de l'œuvre qu'il a accomplie depuis juillet 1926 et justifier, en même temps, la politique financière et la politique extérieure de la législature 1919-1924. (Une note domine dans les commentaires de la presse italienne, à savoir que M. Poincaré semble avoir l'intention d'appeler la France à se prononcer, dans la prochaine consultation électorale, pour ou contre sa politique. Ce qui lui importe, écrit le correspondant de la « Stampa », c'est l'assurance à cette politique du plus grand nombre possible de suffrages. Ce serait sottise, de la part de la droite comme de la part de la gauche, que d'espérer monopoliser son nom au profit d'un parti. M. Poincaré veut, en réalité, que les élections de 1928 soient un plébiscite sur son nom et cela non point parce que l'esprit du Dixhuitième Boulangérisme s'est éveillé en lui, mais parce que son nom seulement peut offrir une plate-forme pour un travail en commun pour la droite et pour la gauche. C'est pourquoi son programme électoral sera le plus large possible. Le même correspondant remarque, d'ailleurs, que M. Poincaré s'est déclaré le ferme partisan de la laïcité et de la neutralité scolaire, des libertés publiques et de nombreux autres principes qui font partie du programme radical. Sa tactique, est-il encore écrit, est loin d'être exclusive. Le danger du plébiscite que l'on prépare, consiste précisément en ceci que, voulant ouvrir les bras à tous ceux qui jurent par le nom de Poincaré, on ne renvoie à la Chambre une majorité aussi peu homogène et aussi peu réalisatrice que celle qui l'a précédée. Pour le correspondant du « Resto del Carlino » la tactique de M. Poincaré tend, en somme, à constituer, à la faveur de la formule «
Le Concours agrcole d Paris U pittoresque instantané LE DISCOURS de Bordeaux Commentaires de la Prese tlnn UNA NOTE DOMINE M. POINCARE VEUT APPELER LES PAYS À SE PRONONCER POUR OU CONTRE SA POLITIQUE Elan, 27 mars. On s'accorde à reconnaître dans ls milieux ffcx que M. Poincaré a fait un xsé impartial et élevé de la situation, et a su mettre en rlf lmporae de l'œuvre q'l a accomplie depuis juillet 1926 et ris,eftiju e même temps la politique financière et politique extérieure d la égislare 1919-1924. (Une note domine dans les commentaires de la prss t à savoir que . Poincaré semble avoir l'intention d'appeler la France se prononcer dans la prochaine consultation électorale, pou ou contre sa politique. Ce qui lui importe, écrit le correspondant de la « Stampa », c'est l'ssrnc à cette politique du plus grand nombre possible de suffrages. Ce serait sottise, de la part de la droite comme de la part de la gauche que d'espérer monopoliser sn nom au profit d'un parti. M. Poincaré veut, en réalité, que les élections de 1928 soient un plébiscite sur son nm et cela non point parce que l'esprit du Dixhuitième Boulangérisme s'est évliéle en lui, mais parce que son nom elent peut offrir une plate-forme pour un travail en commun pour la droite et pour la cgh.aeu C'est pourquoi son programme électoral sera le plus large possible. Le même correspondant remarque, d'ailleurs, que M. Poincaré s'est déclaré le ferme partisan de la laïcité et de la neutralité scolaire, des libertés publiques et de nmbrx autres principes qui font partie du programme radical. Sa tacqe est-il encore r est loin dêtre exclusive. Le danger du plébiscite que l'on prépare, consiste précisément en ceci que, voulant ouvrir les brs à tous ceux qui jurent par le nom de Poincaré, on n renvoie à la Chambre une arit aussi peu homogène et aussi peu réalisatrice que celle qui l'a précédée. Pour le correspondant du « Resto del Carlino » l tactique e M. Poincaré tend, en somme, à constituer, à la faveur de la formule
en lui, mais parce que son nom seulement peut offrir une plate-forme pour un travail en commun pour la droite et pour la gauche. C'est pourquoi son programme électoral sera le plus large possible. Le même correspondant remarque, d'ailleurs, que M. Poincaré s'est déclaré le ferme partisan de la laïcité et de la neutralité scolaire, des libertés publiques et de nombreux autres principes qui font partie du programme radical. Sa tactique, est-il encore écrit, est loin d'être exclusive. Le danger du plébiscite que l'on prépare, consiste précisément en ceci que, voulant ouvrir les bras à tous ceux qui jurent par le nom de Poincaré, on ne renvoie à la Chambre une majorité aussi peu homogène et aussi peu réalisatrice que celle qui l'a précédée. Pour le correspondant du « Resto del Carlino » la tactique de M. Poincaré tend, en somme, à constituer, à la faveur de la formule « trêve des partis », un parti de gouvernement, intention que le journal trouve louable parce qu'elle peut assurer une majorité parlementaire. Mais le correspondant attend le discours de Carcassonne pour connaître le programme futur de cette majorité forcément composite, et savoir par quels moyens, le principe de l'union, qui servit à un moment critique à grouper toutes les bonnes volontés, pourra se transformer en formule magique de cristallisation gouvernementale. « Car, ajoute-t-il, il est à craindre que là où M. Poincaré entrevoit une solution définitive, les partis qui le suivent ne voient qu'une plate-forme électorale transitoire ». A l'Académie des Sciences UN NOUVEL APPAREIL POUR INTERDIRE L'USAGE DE SON TELEPHONE A TOUTE PERSONNE QUI N'EN POSSEDE PAS LA CLEF Paris, 27 mars. A la séance de l'Académie de lundi, le président Hannuy Auguste Rateau a présenté un nouvel appareil de MM. le comte Laville-Uroulx et Coret, qui permet par une clef d'interdire l'usage de son téléphone à toute personne qui n'en possède pas la clef : les appels du réseau sont reçus et l'on ne peut répondre au correspondant. La généralisation progressive de la conversation taxée, rend cette invention particulièrement pratique. Il faut ajouter que le même appareil légèrement modifié
en lui, mais parce q son nom seulement peut offrir une plate-forme pour n travail en cmn pour droite t pour la gauche. C'est pourquoi son programme électoral sr le plus large possible. Le mêm correspondant remarque, d'ailleurs, euq M Poincaré sest déclaré le ferme partisan de la laïcité et de la neutralité l des libertés publiques et de nombreux aurs prncps qui font partie du programme radical. S tactique, s-leit encore écrit est o d'être eclsv. Le danger du plébiscite que l'on prépare, consiste tirespcnméé en ceci que, voulant irrvou les brs à tous ceux qui jurent par le nom de oncar on ne eenvoir à la hrembCa une majorité aussi peu hmgèn t ss peu étercasralii que celle qui l'a précédée r le correspondant d « Resto dl Carlino » a tctq de .M Poincaré tend en somme à constituer, à l eur de la formule « trêve des ri nu pat d gouvernement, intention que le jal trouve louable parce 'l ut sraesur une majorité parlementaire. Mais le correspondant attend le discours d Carcassonne pour connaître le programme futur de cette majorité forcément composite, et savoir par quels moyens, le principe e lunion qui servit à un moment critique à grouper toutes les bonnes volontés, pourra se transformer en formule magique de rsaatin gouvernementale « Car, ajoute-t-il, l est à craindre que là où M Poincaré entrevoit une solution définitive, les partis qui le suivent ne voient qu'une plate-forme électorale transitoire ». A l'Académie des Sciences UN NOUVEL APPAREIL POUR INTERDIRE L'SG DE SON TLP A TOUTE PERSONNE I N'EN POSSEDE PAS LA CLEF ars 27 mars. A la séance de l'Académie de lundi, le psent Hannuy Auguste Rateau épéretsn un nouvel appareil de . le comte Laville-Uroulx et Coret, q rt par une clef irriddnt'ee l'sg de son téléphone à toute ersonne qui n'en possède pas l clef : les appels du réseau snt reçus et 'lon ne peut répondre correspondant. aL généralisation progressive de la conversation taxée, nrde cette invention particulièrement prtq. Il faut ajouter que le même appareil légèrement modifié
à un moment critique à grouper toutes les bonnes volontés, pourra se transformer en formule magique de cristallisation gouvernementale. « Car, ajoute-t-il, il est à craindre que là où M. Poincaré entrevoit une solution définitive, les partis qui le suivent ne voient qu'une plate-forme électorale transitoire ». A l'Académie des Sciences UN NOUVEL APPAREIL POUR INTERDIRE L'USAGE DE SON TELEPHONE A TOUTE PERSONNE QUI N'EN POSSEDE PAS LA CLEF Paris, 27 mars. A la séance de l'Académie de lundi, le président Hannuy Auguste Rateau a présenté un nouvel appareil de MM. le comte Laville-Uroulx et Coret, qui permet par une clef d'interdire l'usage de son téléphone à toute personne qui n'en possède pas la clef : les appels du réseau sont reçus et l'on ne peut répondre au correspondant. La généralisation progressive de la conversation taxée, rend cette invention particulièrement pratique. Il faut ajouter que le même appareil légèrement modifié peut servir à recevoir ou à envoyer seulement les communications faites selon une forme convenue. Ainsi les autorités civiles et militaires pourront se protéger, téléphoniquement au moins, contre les ordres lancés par des individus quelconques. A L'OFFICIEL REVENUS APPLICABLES AU BUDGET DE L'ALGERIE Paris, 27 mars. — L' « Officiel » publie une loi complétant la loi du 30 décembre 1927, autorisant la perception des droits produits et revenus applicables au budget spécial de l'Algérie pour l'exercice 1928 : Taxe sur les chevaux, voitures hippomobiles, cercles, constructions en saillie, valeurs mobilières, instruments de musique, tennis, patron, établissements de nuit, etc. Les grands raids aériens Berlin New-York LE « BREMEN » NE POSEDE NI EMBARCATION DE SAUVETAGE, NI POSTE DE T.S.F. Berlin, 27 mars. — Ainsi que nous l'avons annoncé, les deux aviateurs allemands Köhl, pilote nocturne de Lufthansa, et le baron von Hunefeld, qu'accompagne le mécanicien Spendler, ont pris leur départ lundi dans le plus grand mystère à l'aéroport de Berlin-Tempelhof, ne emportant que 360 litres d'essence afin de dérouter les curieux et surtout les concurrents, pour tenter la traversée de l'océan Atlantique. L'appareil dont se servent les deux pilotes, tous deux des as de la guerre émérités, est un
à un moment critique à grouper tuseot les bonnes volontés, pourra se transformer en formule mgq de cristallisation gouvernementale. « Car, ajoute-t-il, il et à craindre que là où M. Poincaré entrevoit une solution définitive, les partis qui le suivent ne voient qeu'nu te-f électorale transitoire ». A lAcadémie des ncecesSi UN NOUVEL APPAREIL POUR INTERDIRE L'SG DE SON TELEPHONE A TOUTE PERSONNE QUI N'EN POSSEDE PAS LA CLEF Paris, 27 mars. A la sénc de l'Académie de ui le président Hnny Auguste Rateau a présenté un nouvel appareil de MM. le comte Laville-Uroulx et Coret, qui permet par une clef d'interdire lusage de son téléphone à toute personne qui nen ossd pas la clef : les appels du réseau sont reçus et l'n ne peut répondre au correspondant. La généralisation ree de la conversation taxée rend cette invention miacèeirpttrneul pratique. l faut ajouter que le appareil légèrement modifié peut servir à recevoir ou à voyr seulement les communications faites selon une forme convenue. Ainsi les autorités civiles et militaires pourront se protéger, téléphoniquement au moins, contre els ordres lancés par es individus quelconques. L'OFFICIEL REVENUS APPLICABLES AU BUDGET DE L'ALGERIE Paris, 27 mrs — L' « Officiel » publie une loi complétant l loi du 30 décembre 1927, autorisant la perception esd droits produits et revenus applicables au budget spécial de l'Algérie pour 'exercice 1928 : Taxe sur les chevaux voitures hippomobiles, cercles, constructions en saillie, valeurs mobilières, instruments de musique, tnns, patron, établissements de nuit, etc. Les grands raids aériens Berlin Nw-Yrk LE « BREMEN » NE POSEDE NI EMBARCATION DE SAUVETAGE, NI POSTE DE T.S.F. Brln, 27 mars. — Ainsi que nous l'avons annoncé, les deux aviateurs allemands Köhl pilote nocturne de Lufthansa, et le baron von Hunefeld, qu'accompagne le mécanicien Spendler, ont pris leur départ lundi dans le plus grand mystère à l'érprt de Berlin-Tempelhof, ne emportant q 360 litres d'essence afin de dérouter les curieux t surtout es concurrents, pour tenter la traversée de l'océan Atlantique. Lappareil dont se servent les deux pilotes, tous deux des as de la guerre émérités, tse un
» publie une loi complétant la loi du 30 décembre 1927, autorisant la perception des droits produits et revenus applicables au budget spécial de l'Algérie pour l'exercice 1928 : Taxe sur les chevaux, voitures hippomobiles, cercles, constructions en saillie, valeurs mobilières, instruments de musique, tennis, patron, établissements de nuit, etc. Les grands raids aériens Berlin New-York LE « BREMEN » NE POSEDE NI EMBARCATION DE SAUVETAGE, NI POSTE DE T.S.F. Berlin, 27 mars. — Ainsi que nous l'avons annoncé, les deux aviateurs allemands Köhl, pilote nocturne de Lufthansa, et le baron von Hunefeld, qu'accompagne le mécanicien Spendler, ont pris leur départ lundi dans le plus grand mystère à l'aéroport de Berlin-Tempelhof, ne emportant que 360 litres d'essence afin de dérouter les curieux et surtout les concurrents, pour tenter la traversée de l'océan Atlantique. L'appareil dont se servent les deux pilotes, tous deux des as de la guerre émérités, est un monoplan Junker, en duralumine, muni d'un moteur de 270 HP, qui pourrait atteindre une vitesse de 186 kilomètres à l'heure et tenir l'air pendant 40 à 50 heures consécutives. L'avion, qui a été soigneusement mis au point dans le plus grand secret par les usines Junker, de Dessau, où Köhl et son compagnon ont fait leur plein d'essence définitif après s'être envolé de Tempelhof, soi-disant pour faire un petit vol d'essai. Köhl s'était contenté de dire à sa femme qu'elle ne devait pas l'attendre pour déjeuner. Il n'y a à bord ni poste de T.S.F. ni embarcation de sauvetage. Pour le cas où le « Bremen » - c'est ainsi qu'il a été baptisé, du nom de l'avion avec lequel les mêmes aviateurs tentèrent déjà, l'année dernière, de franchir l'océan ; mais ils furent arrêtés par la tempête au large des côtes d'Irlande - serait obligé d'amerrir par suite d'une panne, les deux pilotes, qui n'ont pas voulu surcharger l'aéroplane, jouent leur vie et se font uniquement au hasard et à la régularité de leur moteur. POUR ÊTRE LES PREMIERS À FRANCHIR LA MAREE AUX HARENGS On sait qu'ils ont atterri lundi soir, à 5 h. 30, à l'aérodrome de
» publie u loi complétant la loi du 30 décembre 1927, autorisant la peceto e droits produits et revenus applicables au budget spécial de l'Algérie pour l'exercice 1928 : Taxe usr le chevaux, voitures hippomobiles, cercles, constructions en sll, valeurs moiè nstrmnts de musique, tennis, patron, éablsemens de nt, etc. Les grands raids aériens Brln -owNrekY LE « BREMEN » NE POSEDE NI EMBARCATION DE SAUVETAGE NI POSTE DE T.F. Berlin, 27 mars. — Ainsi que nous l'avons nnncé, les deux iuaasevrt emnd Köhl, pilote nocturne de Lufthansa, et le baron von elnefd,uH qu'accompagne le mécanicien Spendler, ont pris leur départ lni dans le plus grand mystère à l'aéroport de Berlin-Tempelhof, e emportant que 360 litres d'ssnc afin e dérouter e curieux t surtout les concurrents, pour tntr la traversée de l'c Atlantique. L'appareil dont se servent esl deux pilotes, tous deux dse as de l guerre émérités, est un monoplan Jnkr, en duralumine, muni d'un mtr d 270 HP, qui pourrait atteindre une vtss de 186 kilomètres à l'heure et tnr l'air pendant 40 à 50 heures cnséctvs. L'avion, qiu téé usgeesmiteonn mis point dan le plus grand scrt par les usines Junker, de Dessau, ù Köhl et son compagnon ont fait leur plein d'essence définitif après s'être évonle de Tempelhof, soi-disant pour fr nu petit vol d'essai. Kölh 'était contenté de dire sa femme quelle ne devait ps 'attendre pour déjeuner. l ny' a à bord ni poste de TF.S.. in embarcation d svtge Pour le cas o le « Brmn » - c'est ainsi qu'il a été baptisé, ud nom de l'avion avec lue s mê aviateurs tentèrent éà, l'année dernière, de franchir l'océan ; mais ils furent rrêtés arp la tempête au large des côtes d'Irlande serait obligé d'amerrir p suite d'une pen,na les deux pilotes, qui n'ont pas voulu surcharger l'aéroplane, jouent leur vei t se ont nqmnt au sd et à la ruait d leur moteur. POUR ÊTRE LES PREMIERS À AHNFRIRC LA MAREE AUX HARENGS On sit q'ls ont atterri lundi soir, à 5 . 30 à l'aérodrome
et son compagnon ont fait leur plein d'essence définitif après s'être envolé de Tempelhof, soi-disant pour faire un petit vol d'essai. Köhl s'était contenté de dire à sa femme qu'elle ne devait pas l'attendre pour déjeuner. Il n'y a à bord ni poste de T.S.F. ni embarcation de sauvetage. Pour le cas où le « Bremen » - c'est ainsi qu'il a été baptisé, du nom de l'avion avec lequel les mêmes aviateurs tentèrent déjà, l'année dernière, de franchir l'océan ; mais ils furent arrêtés par la tempête au large des côtes d'Irlande - serait obligé d'amerrir par suite d'une panne, les deux pilotes, qui n'ont pas voulu surcharger l'aéroplane, jouent leur vie et se font uniquement au hasard et à la régularité de leur moteur. POUR ÊTRE LES PREMIERS À FRANCHIR LA MAREE AUX HARENGS On sait qu'ils ont atterri lundi soir, à 5 h. 30, à l'aérodrome de Baldonnel (Irlande), après un vol de 9 h. 1/2, et qu'ils ont décidé d'y attendre que les conditions météorologiques soient favorables à leur entreprise. On ne connaît en réalité que fort peu de choses sur les circonstances exactes de ce raid. On sait seulement que Kœhl et von Hohenfeld, très ambitieux, assoiffés de gloire, veulent être, à n'importe quel prix, les deux aviateurs européens qui, les premiers, auront franchi d'une traînée, d'Europe aux États-Unis, la mare aux harengs. Ils n'ont pas hésité, pour satisfaire leur ambition, à mettre leur vie en jeu et, avant de partir, le baron von Hohenfeld a adressé à la presse allemande un communiqué laconique, dans lequel il lui demande de ne pas juger leur geste avant de connaître résultat définitif du raid. Tout indique que cette tentative est financée par le Norddeutscher Lloyd de Brême, qui opère de concert avec les usines Junker. INUTILE TEMÉRITÉ DIT LA PRESSE ALLEMANDE Les journaux ne ménagent pas leurs critiques aux motos, dont ils soulignent l'inutile témérité. À leur avis, Kœhl n'a que fort peu de chances d'aboutir, même s'il emprunte en sens contraire, naturellement, à cause de la température plus élevée dans cette région que sur la route
et son compagnon ont fiat leur npeil d'essence définitif après s'être nvlé de Tempelhof, soi-disant pour faire n pt vl d'ss. Köhl s'était contenté d dire à sa femme quele ne devait pas atedre pour déjeuner. Il n'y a à rd ni poste de T.S.F. ni embarcation d savee Pour le cas où le « Bremen » c'est ainsi qu'il a été bptsé, du onm de l'avion aecv lequel les mêms vtrs tentèrent jà, l'année dernière, e franchir l'océan ; mais furent arrêtés pa la tempête lrgae des tsecô d'Irlande serait obligé d'amerrir par suite d'n panne, les deux pilotes, qui n'ont pas voulu surcharger l'aéroplane, jouent vie et se font uniquement au hasard et la régularité de leur mtr. POUR TR LES PRMRS À FRANCHIR LA MRE AUX HARENGS On at qu'ils ont atterri lundi soir, à 5 h. 30 à l'aérodrome de Baldonnel (rlnd), ps un vol de 9 h. 1/2, et qu'ils ont décidé d'y attendre que les conditions météorologiques soient faobls à leur entreprise. On ne connaît en réalité que fort peu de choses su les ronte xcts de ce raid. On sait seulement que Kœhl von Hohenfeld, très ambitieux, assoiffés de gloire veulent être à n'importe quel prix, les deux aviateurs rpéns qui, les premiers, auront franchi d'une traînée, d'Europe aux États-Unis, la mare aux harengs Ils n'ont pas été, pour satisfaire leur mbtn, à mettre leur vie en j et, avant de partir, e baron von Hohenfeld adressé à presse allemande un communiqué laconique, dans lequel il l demande de ne pas juger leu gst avant de connaître résltt définitif du ad Tt indique q cette tentative est financée par le Nordutche Lloyd de Brêm, qui opère de concert avec les usines Jnkr. INUTILE TEMÉRITÉ DIT LA PRESSE ALLEMANDE Les journaux en ménagent pas leurs ritqes x os, dont ils soulignent l'inutile témérité. À leur avis, Kœhl n'a que fort peu de chances 'aou, même s'il emprunte en sens contraire, naturellement, à cause de l température plus élevée das cette région que sur la route
ambitieux, assoiffés de gloire, veulent être, à n'importe quel prix, les deux aviateurs européens qui, les premiers, auront franchi d'une traînée, d'Europe aux États-Unis, la mare aux harengs. Ils n'ont pas hésité, pour satisfaire leur ambition, à mettre leur vie en jeu et, avant de partir, le baron von Hohenfeld a adressé à la presse allemande un communiqué laconique, dans lequel il lui demande de ne pas juger leur geste avant de connaître résultat définitif du raid. Tout indique que cette tentative est financée par le Norddeutscher Lloyd de Brême, qui opère de concert avec les usines Junker. INUTILE TEMÉRITÉ DIT LA PRESSE ALLEMANDE Les journaux ne ménagent pas leurs critiques aux motos, dont ils soulignent l'inutile témérité. À leur avis, Kœhl n'a que fort peu de chances d'aboutir, même s'il emprunte en sens contraire, naturellement, à cause de la température plus élevée dans cette région que sur la route du Nord, le parcours suivi par Lindbergh, lors de son vol de New-York à Paris. Les Allemands sont généralement d'avis que c'est une folie d'entreprendre un raid pareil avec un avion qui n'est pourvu que d'un seul moteur. Quoi qu'il en soit, l'Allemagne tout entière est déjà plongée dans l'angoisse de l'attente. Les Cadets anglais à Paris! UN DÎNER PRÉSIDÉ PAR LE MARECHAL LYAUTEY; LEUR EST OFFERT AU CERCLE INTERALLIÉ Paris, 27 mars. — Les cadets anglais conduits par le colonel Herschel et le général Girdwood et suivis d'une trentaine de Français qu'accompagnaient le général Colin, commandant l'École de St-Cyr, et de nombreux officiers supérieurs, se sont rendus, aujourd'hui, à midi, sur la tombe du soldat inconnu. Le maréchal Lyautey a présidé ensuite un déjeuner offert au Cercle interallié en l'honneur des élèves de l'école militaire de Sandhurst. Au dessert, le général Girdwood, commandant l'école militaire anglaise, a adressé au général Colin et au maréchal Lyautey une charmante allocution. Une galerie de femmes illustres établie par les suffrages du public Mme CURIE ARRIVE EN TÊTE 24.007 VOIX SUR 25.000 VOTANTS Paris, 27 mars. — « Le Quotidien » ayant organisé un concours en vue d'établir une liste des femmes illustres
ambitieux, assoiffés e gloire veulent être, à n'importe quel prix, les deux aviateurs européens qui, les premiers, auront franchi d'une traînée, d'Europe aux États-Unis, la mare aux hrs Ils n'ont pas hésité, pour satisfaire leur ambition, à mettre eur vie en jeu et, aat de partir, le baron von Hohenfeld a adressé à al presse allemande un communiqué laconique, dans lequel il lui demande de ne juger leur geste vnt de connaître résultat définitif du raid Tout ndq q cette tentative est financée par le Norddeutscher Lloyd de Brême, q opère de ncr avec les usines Junker. INUTILE TERIÉ DIT LA PRESSE ALLEMANDE Les journaux ne ménagent ps leurs critiques aux motos dont ils soulignent l'inutile témérité. À leur avis, Kœhl n'a que fort peu de chncs d'aboutir, même s'il emprunte en sens contraire, naturellement, à cause de température plus élevée dsna cette région que sur la route du Nord, le parcours suivi par Lindbergh, lors de son vol New-York à Paris. Les Allemands sont nélmnt d'avis que c'est une folie d'entreprendre un raid pareil avec un avion qui n'est pourvu que d'n seul moteur Quoi qu'il en soit, l'Allemagne tt entière est déjà plongée ns esgsa'inol de l'attente. Les Cadets anglais à Paris! UN DÎNER PRÉSI PAR LE MARECHAL LYAUTEY; LEUR EST OFFERT AU CERCLE INTERALLIÉ Paris, 27 mars. — Les cadets ngls conduits par le colonel Herschel et l général Girdwood et suivis d'une trentaine de Français q'ccmpgnnt le général Colin, commandant l'École de St-Cyr, et de nombreux officiers spérrs, s sont rendus, aujourd'hui, à midi, sr la tombe du soldat uonni.cn Le maréchal Lyautey a présidé ensuite un déjnr offert au Cercle interallié en l'honneur ds èe de l'école militaire de Sandhurst Au st le général Girdwood, commandant l'école militaire anglaise, a adressé au général Colin et au maréchal Lyautey une chrmnt allocution. Une galerie de femmes illustres établie pr les suffrages du public Mme CURIE ARRIVE EN TÊTE 24.007 VOIX SUR 25.000 VOTANTS Paris, 27 mars. — « L Quotidien » ayant organisé concours en vue détablir une liste des femmes illustres
de l'attente. Les Cadets anglais à Paris! UN DÎNER PRÉSIDÉ PAR LE MARECHAL LYAUTEY; LEUR EST OFFERT AU CERCLE INTERALLIÉ Paris, 27 mars. — Les cadets anglais conduits par le colonel Herschel et le général Girdwood et suivis d'une trentaine de Français qu'accompagnaient le général Colin, commandant l'École de St-Cyr, et de nombreux officiers supérieurs, se sont rendus, aujourd'hui, à midi, sur la tombe du soldat inconnu. Le maréchal Lyautey a présidé ensuite un déjeuner offert au Cercle interallié en l'honneur des élèves de l'école militaire de Sandhurst. Au dessert, le général Girdwood, commandant l'école militaire anglaise, a adressé au général Colin et au maréchal Lyautey une charmante allocution. Une galerie de femmes illustres établie par les suffrages du public Mme CURIE ARRIVE EN TÊTE 24.007 VOIX SUR 25.000 VOTANTS Paris, 27 mars. — « Le Quotidien » ayant organisé un concours en vue d'établir une liste des femmes illustres a fait appel aux suffrages du public. Voici le classement obtenu, après le dépouillement des 25.000 premiers bulletin : 1. Mme Curie, 20.607 voix; 2. Sarah Bernhardt, 21.535; 3. Edith Cavell, 19.616; 4. Générale Booth, 16.366 ; 5. Georges Sand. 16.086 ; 6. Louise Michel, 15.198; 7. Comtesse de Noailles, 13.699 ; 8. Séverine, 13.526 ; 9. Lenglen, 6.683; 10. Ruth Elder. 6.611; 11. De Staël, 6.565 ; 12. Rosa Bonheur, 5.623 ; 13. Delacroix-Lebrun, 5.315 ; 14. Nightingale, 5.196; 15. De Suttner, 5.048 ; 16. Brokowskaia; 5.044 ; 17. Pape-Carpantier, 4.937 ; 18. Mary Pickford, 4.893; 19. de Ségur, 4.744 ; 20. Pauline Roland, 3.451. 21. Réjane, 3.412; 22. Récamier, 3.204 ; 23. Beecher-Stowe, 2.920 ; 24. Isadora Duncan, 2.872 ; 25. Colette, 2.760; 26. Sophie Germain, 2.533 ; 27. Maria Deraismes, 2.304; 28. Emeline Pankhurst, 2.218 ; 29. Dieulafoy, 2.200 ; 30. Rachel, 2.049; 31. Juliette Adam, 2.032; 32. La Duse, 1.838 ; 33. Dejazet, 1.369 ; 34. Loïe Fuller, 1.333 ; 35. Judith Gautier, 1.326 ; 36. Clémence Royer, 965 ; 37. La Patrie. 939 ; 38. Desbordes-Valmore, 879 ; 39. George Eliot, 878; 40. Yvette Guilbert, 866. 41. Selma Lagerlöf 727; 42. Ackermann, 614 ; 43.
de l'attente. Les Cadets anglais à Paris UN DÎNER ÉRSDIÉP PR LE MARECHAL LYAUTEY; LEUR EST E CERCLE INTERALLIÉ Paris, 27 mars. Les cadets ngls conduits par le colonel Herschel te el général Girdwood et suivis d'une trentaine de Français qu'accompagnaient le général Colin, commandant l'É de yCr-,tS et de nombreux officiers supérieurs, e sont rnds, aujourd'hui, à midi, sur la otmeb du soldat inconnu. Le maréchal Lyautey a présdé ensuite un déjeuner offert u Cercle itilelréna en l'honneur des élèves de l'école tir d Sandhurst. Au tre,ssde le général Girdwood, commandant l'école militaire ngise a adressé au général Cln et au maréchal Lyautey une charmante louon. Une galerie ed femmes illustres établie par les ur du public Mme CU ARRIVE EN TÊTE 02074. VOIX SUR 25000 VOTANTS Paris, 27 mars — « Le Quotidien » ayant organisé un concours n u d'établir une liste ds femmes illustres a fait ap aux suffrages du public. Vci le classement obtenu, après le dépouillement des 25.000 premiers bulletin : 1 Mme Curie, 20.607 voix; 2. Sarah Bernhardt 21.535; 3 Edith Cavell, 19.616; 4 Générale Booth 16.366 ; 5. Grgs Snd. 16.086 . Ls Michel, 15.198; 7. Comtesse de Noailles, 13699 8. Séverine 13.526 9 Lenglen, 6.683; .01 Ruth Elder .1 11. De të, 6.565 ; 12. Rosa Bonheur, 5.623 ; 13. Delacroix-Lebrun, 5.315 ; 14. Nightingale, 5.196; 15. De Suttner, 4 ; 16. Brokowskaia; 5.44 17. Pp-Crpntr, 4937 ; 18. Mary Pkfo 4.893; 19 de Ségur, 4.744 ; 20. Pauline Roland, 3.451. 21. Réjane, 412 22. Récamier, 3.204 ; 23. BeecherStowe 2.920 ; 24. Idra Duncan, 2.872 ; 25. Colette, 2.760; 26. Sophie Germain, 2533 ; 27. Maria Deraismes, 20;4.3 28. mln Pnkhrst, 2218 ; 29. Dieulafoy, 2200 ; 30. Rachel, 2.049; 31. Juliette Adam, 2.032; 32 La Duse, 1.838 ; 33. z 1.369 ; . Loïe Fuller, 1.333 ; 35. Judith Gautier, 1.326 36. Clémence Royer, 965 ; 37. La Ptr. 939 ; 38. Desbordes-Valmore, 879 ; 39. George Eliot, 878 40. Yvette Guilbert 866. 41. Selma Lagerlöf 727; 42. Ackermann, 614 ; 43.
13.699 ; 8. Séverine, 13.526 ; 9. Lenglen, 6.683; 10. Ruth Elder. 6.611; 11. De Staël, 6.565 ; 12. Rosa Bonheur, 5.623 ; 13. Delacroix-Lebrun, 5.315 ; 14. Nightingale, 5.196; 15. De Suttner, 5.048 ; 16. Brokowskaia; 5.044 ; 17. Pape-Carpantier, 4.937 ; 18. Mary Pickford, 4.893; 19. de Ségur, 4.744 ; 20. Pauline Roland, 3.451. 21. Réjane, 3.412; 22. Récamier, 3.204 ; 23. Beecher-Stowe, 2.920 ; 24. Isadora Duncan, 2.872 ; 25. Colette, 2.760; 26. Sophie Germain, 2.533 ; 27. Maria Deraismes, 2.304; 28. Emeline Pankhurst, 2.218 ; 29. Dieulafoy, 2.200 ; 30. Rachel, 2.049; 31. Juliette Adam, 2.032; 32. La Duse, 1.838 ; 33. Dejazet, 1.369 ; 34. Loïe Fuller, 1.333 ; 35. Judith Gautier, 1.326 ; 36. Clémence Royer, 965 ; 37. La Patrie. 939 ; 38. Desbordes-Valmore, 879 ; 39. George Eliot, 878; 40. Yvette Guilbert, 866. 41. Selma Lagerlöf 727; 42. Ackermann, 614 ; 43. Augusta Holmes, 555 ; 44. de Girardin, 550; 45. Agar, 538 ; 46. Pauline Viardot, 504 ; 47. Charlotte Bonté. 483 ; 48. La Malibran, 408; 49. Abbema, 396; 50. Barbet, 384; 51. Madeleine Lemaire, 259; 52. Dugarron, 256; 53. de Genlis, 246 ; 54. Hortense Schneider, 241; 55. Mars, 184 ; 56. Madeleine Brohan, 129; 57. d'Abrantes, 125 ; 57 bis, Carlotta Grisi, 125 ; 59. de Boigne, 114 ; 60. Marie Bashkirtseff, 112. une lettre posthume du pilote de l'Endeavour IL RECOMMANDAIT À MISS MABEL BOLL LA PLUS GRANDE PRUDENCE POUR TENTER UN RAID TRANSOCEANIQUE New-York, 26 mars. — Suivant un message de Roosevelt-O Field à New-York, la richissime miss Ruth Boll, dont l'ambition, depuis quelques années, est de traverser l'Atlantique, a fait connaître, lundi, une lettre du capitaine Hinchcliffe, dans laquelle l'aviateur disparu refusait une somme de 5.000 livres pour piloter l'aventureuse aventure au-dessus de l'Atlantique; « Je suis un homme sans fortune, observait le signataire, et comme j'ai reçu plusieurs offres de 100. 000 livres pour tenter le vol que vous me proposez, je dois à moi-même et aux miens de tirer de l'aventure le plus grand profit possible. » Après ce refus, daté de fin
13.699 ; 8. Sverin, 13.526 ; 9. Lenglen, 6.683; 10. Ruth Elder. 6611 11. De Staël, 6.565 ; 12. Rosa Bhur, 5.623 ; 13. Dlcrx-Lbrn, 5.315 ; 14. Nightingale, 5.196; 15. De Suttner, 5.048 ; 16. Brokowskaia; 5.044 ; 17. Pape-Carpantier, 4.937 ; 18. Mary Pickford, 4.893; 19. de Ségur, 4.744 ; 20. Pauline Rlnd, 3.451. 21. Réjane, 3.412; 22. Récamier, .204 ; 23. Beecher-Stowe, 2.920 ; 24. Isadora Duncan, 2.872 ; 25. Colette, 2.760; 26. Sophie Grmn, 2.533 ; 27. Maria Deraismes, 2.304; 28. Emeline Pankhurst, 2.218 ; 29. Dieulafoy, .0 ; 30. Rachel, 2.049; 31. Juliette Adam, 2.032; .23 L Duse, 1.838 ; 33. Dejazet, 1.369 ; 34. ïoLe Fuller, 1.333 ; 35. Judith Gautier, 1.326 ; 36. Clémence Royer 965 ; 3 La Patrie. 939 ; 38. DesbordesValmore 879 ; 39. George Eliot, 878; 04. Yvette Guilbert, 866. 41. Selma Lagerlöf 727; 42. kaenn,cmAr 614 ; 43. Augusta Holmes, 555 ; 44. de Girardin, 550; 45. Agar 538 ; 46. Pauline Viardot, 504 ; 47. Charlotte Bonté. 483 ; 48. La Malibran, 408; 49. bbm, 396; 5. Barbet, 384; 51. Madeleine Lmr, 259; 52. Dugarron, 256; 53. de Genlis, 246 54. Hortense Schndr, 241; 55. Mars, 184 ; 56. Madeleine Brohan, 129; 57. d'Abrantes, 125 ; 57 bis, oa iGir,s 125 ; 59. de Boigne, 114 ; 60. Marie asirt 112. enu lettre posthume du pilote de l'Endeavour IL RECOMMANDAIT À MISS MABEL BOLL LA S GRANDE PRUDENCE POUR TENTER UN IDRA TRANSOCEANIQUE New-York, 26 mars. — Suivant un message de Roosevelt-O Field à New-York, la richissime mss Ruth Boll dont l'ambition, depuis quelques années est de traverser l'Atlantique, a fait connaître, lundi une lettre du capitaine Hinchcliffe, dans laquelle l'aviateur disparu refusait une somme ed 5.000 livres pour piloter l'aventureuse aventure au-dessus de l'Atlantique; « Je ss un homme sans fortune, observait le signataire, et com 'ai reçu plsrs offres de 100. 000 lr pour tenter le vol que vous me proposez, je dois à moi-même et x mns de tirer de l'aventure le plus grand profit possible. » Après ce refus, daté de fin
184 ; 56. Madeleine Brohan, 129; 57. d'Abrantes, 125 ; 57 bis, Carlotta Grisi, 125 ; 59. de Boigne, 114 ; 60. Marie Bashkirtseff, 112. une lettre posthume du pilote de l'Endeavour IL RECOMMANDAIT À MISS MABEL BOLL LA PLUS GRANDE PRUDENCE POUR TENTER UN RAID TRANSOCEANIQUE New-York, 26 mars. — Suivant un message de Roosevelt-O Field à New-York, la richissime miss Ruth Boll, dont l'ambition, depuis quelques années, est de traverser l'Atlantique, a fait connaître, lundi, une lettre du capitaine Hinchcliffe, dans laquelle l'aviateur disparu refusait une somme de 5.000 livres pour piloter l'aventureuse aventure au-dessus de l'Atlantique; « Je suis un homme sans fortune, observait le signataire, et comme j'ai reçu plusieurs offres de 100. 000 livres pour tenter le vol que vous me proposez, je dois à moi-même et aux miens de tirer de l'aventure le plus grand profit possible. » Après ce refus, daté de fin janvier, Hinchcliffe exhortait miss Boll à la prudence et s'offrait à l'aider, dans la mesure de ses moyens. « Vous trouverez aisément d'autres pilotes, mais de grâce, prenez garde à votre choix. C'est par centaine qu'ils vous offriront leurs services. Ne faites confiance qu'à un pilote expérimenté et disposant d'une bonne machine, et ne vous risquez que par un temps favorable. Surtout, ne commettez pas l'erreur de miss Grayson, qui céda à son impatience et entreprit son raid d'une façon précipitée. « Si vous jugez que je puisse vous être de quelque utilité par mes avis ou mes cartes de navigation, je suis à votre entière disposition. » Je vous adresse mes meilleurs souhaits de succès et espère avoir la bonne fortune de vous rejoindre prochainement. Et la femme n'en est pas à ses débuts. Quant à Mary Mac Leish, née Fisher, âgée de 46 ans, elle a reconnu être la femme de l'escroc international Leish, alias Brandley Comway Whelan; âgé de 57 ans, originaire de Bnaff (Écosse), complice de Naughton dans un vol commis à Boulogne-sur-Mer; et actuellement passagers sur le « Beonaria », en route pour New-York. Avant de s'embarquer, Leish avait réussi à négocier à son passage
184 ; 56. Madeleine Brohan, 129; 57. d'Abrantes, 2 ; 57 bis, Ctloaatr Grisi, 125 ; 95. de Boigne, 114 ; 60. Mri Bashkirtseff, 112. une lttr posthume d ilte d l'Endeavour L RECOMMANDAIT À MISS MABEL BOLL LA PLUS GDNERA PRUDENCE POUR TENTER UN RAID TRANSOCEANIQUE New-York, 26 mars. — Suivant un esamgse de Roosevelt-O Field New-York, la richissime i Ruth Boll, 'ambition, spidue quelques née est de traverser llantqe a fait connaître, lnd, une lettre du capitaine Hinchcliffe, dans laquelle l'vtr dspr refusait une somme de 5.000 livres pour piloter l'aventureuse aventure uessdusa- d l'tlntq; « Je suis un homme sans fortune, observait le signataire, et cmoem j' reçu plusieurs offres de 100. 000 livres pour tenter le vol q vous me proposez, je dois à m-mêm et aux miens de r de l'aventure le plus grand profit possible. Après ce refus, dté de fin janvier, Hinchcliffe exhortait miss Boll à la prudence et s'offrait laider dans l msr de ses moyens. « Vous trouverez aisément d'autres pilotes, mais de grâce, prnz garde à votre choix. C'est par centaine qu'ils vous offriront leurs services. Ne ates confiance qu'à n plt expérimenté et disposant dne bonne machine, et ne vous risquez que par un temps favorable. Surtout, commettez pas rreur de mss Grayson, qui céda à sn impatience et entreprit son raid u'end façon précpté. « Si vous jugez que je puisse vs être de quelque utilité par mes avis ou mes cartes d navigation, je ss à votre nèe disposition. » vous s mes meilleurs souhaits de succès et eèe raovi la bonne fortune d vous rejoindre prochainement. Et la femme n'n est pas à ses débuts. Qnt à Mary Mac Lsh, née Fisher, g ed 46 ans, elle a reconnu être la femme de 'escroc international Leish, alias Brandley owy Whelan; âgé de 57 ans, originaire d Bnaff os), complice de Naughton dans un vol commis Boulogne-sur-Mer; et ctllmnt passagers sur el « Beonaria », en route pour New-York. vnt de s'embarquer, Lsh avait réussi à négocier à son passage
bonne machine, et ne vous risquez que par un temps favorable. Surtout, ne commettez pas l'erreur de miss Grayson, qui céda à son impatience et entreprit son raid d'une façon précipitée. « Si vous jugez que je puisse vous être de quelque utilité par mes avis ou mes cartes de navigation, je suis à votre entière disposition. » Je vous adresse mes meilleurs souhaits de succès et espère avoir la bonne fortune de vous rejoindre prochainement. Et la femme n'en est pas à ses débuts. Quant à Mary Mac Leish, née Fisher, âgée de 46 ans, elle a reconnu être la femme de l'escroc international Leish, alias Brandley Comway Whelan; âgé de 57 ans, originaire de Bnaff (Écosse), complice de Naughton dans un vol commis à Boulogne-sur-Mer; et actuellement passagers sur le « Beonaria », en route pour New-York. Avant de s'embarquer, Leish avait réussi à négocier à son passage au Havre des chèques volés à des Américains à bord d'un transatlantique par un troisième escroc international nommé Swift Harry Wilson, sujet américain. Naughton a été écroué. Sa compagne, recherchée par la police de Londres, sera refoulée sur l'Anvers. Dix navires norvégiens "sont disparus dans la Mer Blanche Moscou, 27 mars. — Dix navires chasse-glace norvégiens ont péri durant la tempête dans la mer Blanche, près du cap Kamine. Des bateaux de sauvetage soviétiques sont partis à leurs secours, emportant des vivres et des vêtements. La lutte contre le paludisme UNE COMMUNICATION INTERESSANTE DU PROF. JOUBIN À L'ACADÉMIE DES SCIENCES Paris, 27 mars. Nul n'ignore plus que le paludisme est propagé par les moustiques, de la famille des anophèles. dont les larves vivent dans l'eau et ne peuvent être détruites qu'en polluant celle-ci par du pétrole ou divers produits chimiques. Depuis quelques années on s'est avisé de mobiliser contre ces larves, de petits poissons, assez vigoureux pour vivre dans les eaux basses et stagnantes et le professeur Brumpt, qui dirige l'école de malariologie pratique, signale à l'Académie des sciences, dans une note présentée par le professeur Joubin, le succès qu'avec ces collaborateurs il a remporté en Corse, grâce à l'intervention
bonne machine, et ne vous rsqz que pr un temps favorable. ro ne commettez pas reruer'l de miss Grayson, q céda son impatience et entreprit son raid d'une façon précipitée. « Si vous jugez que je puisse vous être de quelque utilité par mes avis ou mes cartes de navigation, je suis à vtr entière disposition. » Je vs adresse mes meilleurs souhaits de succès et espère avoir la bonne fortune de vous rejoindre prochainement. Et la femme n'en st pas ses débuts. Quant à Mary Mac Leish, née Fisher, âgée de 46 ans, elle a reconnu être la femme de l'escroc international Leish, alias Brandley Comway Whelan; âgé d 57 ans, rrioieniga de Bnaff (Écss), complice Naughton s un vol commis ooge-srMr et actuellement pssgrs sr le « Beonaria », n route pour Nw-Yrk. Avant de s'embarquer, Leish vait réussi négocier à son passage au Hvr des chèques volés à des Américains à b d'un transatlantique par un troisième escroc international nommé Swift Harry Wilson, sujet américain Naughton a été écroué. Sa compagne, recherchée p la police d Londres, sera refoulée sur l'Anvers. Dix nves norvégiens sont disparus da la Mer Blanche Moscou, 27 mars. — Dix n chasse-glace norvégiens ont péri durant la tmêt dans la mer Blanche, près du cap Kamine Des bateaux de sauvetage soviétiques sont partis à leurs secours, emportant des rsivev et des vêtements. La lutte contre le paludisme UNE CMMNCTN INTERESSANTE DU PROF. INBJOU À L'ACADÉMIE SCIENCES Paris, 27 mrs. Nul n'ignore plus que le paludisme tse propagé par les moustiques, de la famille des anophèles. dont les larves vve dnas l'eau et ne peuvent être détruites qnue' pllnt celle-ci a du pétrole ou divers produits chimiques. Depuis quelques années on s'est avisé de mobiliser contre ces larves, de ptts poissons, assez vigoureux pour vivre dans le eaux basses et stagnantes et le professeur Brmt q dirige l'écl d malariologie prtq, signale à l'Académie des sciences dns une note pést par le professeur Jub le succès qu'avec ces olba il remporté en Corse, grâce à l'intervention
mars. — Dix navires chasse-glace norvégiens ont péri durant la tempête dans la mer Blanche, près du cap Kamine. Des bateaux de sauvetage soviétiques sont partis à leurs secours, emportant des vivres et des vêtements. La lutte contre le paludisme UNE COMMUNICATION INTERESSANTE DU PROF. JOUBIN À L'ACADÉMIE DES SCIENCES Paris, 27 mars. Nul n'ignore plus que le paludisme est propagé par les moustiques, de la famille des anophèles. dont les larves vivent dans l'eau et ne peuvent être détruites qu'en polluant celle-ci par du pétrole ou divers produits chimiques. Depuis quelques années on s'est avisé de mobiliser contre ces larves, de petits poissons, assez vigoureux pour vivre dans les eaux basses et stagnantes et le professeur Brumpt, qui dirige l'école de malariologie pratique, signale à l'Académie des sciences, dans une note présentée par le professeur Joubin, le succès qu'avec ces collaborateurs il a remporté en Corse, grâce à l'intervention de ces menus alliés. Cette sorte de vairon, le Gambusia Halbrook, ayant été introduit dans les eaux contaminées, s'y acclimata sans rechigner et satisfaisant aussitôt sa prodigieuse voracité, fit tant et si bien que l'entomologiste le plus obstiné a de la peine aujourd'hui à trouver une larve égarée dans les mares, qui, précédemment en contenaient des quantités. Il semble donc que le Gambusia soit voué à débarrasser la Corse du paludisme et il n'y a pas à redouter de ces précieux auxiliaires un envahissement analogue à celui des mangoustes introduites en Australie, pour mettre en déroute les serpents, envahissement tel, qu'à l'heure actuelle, c'est contre les mangoustes que les Australiens mobilisent. Un voleur de bijoux arrêté IL AVAIT SOUSTRAIT DEUX BAGUES A UN JOAILLIER D'AMIENS Amiens, 27 mars. — Un malfaiteur, qu'on croit être un professionnel du vol des bijoux a été arrêté dans les circonstances suivantes : Un client s'était présenté chez M. Devisme, bijoutier, à l'enseigne du « Carillon ». Il s'était fait présenter un choix de bagues et s'était retiré sans avoir rien acheté. Quand l'homme fut parti, M. Devisme constata la disparition de deux bagues valant 10.000 francs. Sans perdre un instant, le bijoutier se rendit
mars. — Dix navires chasse-glace norvégiens ont péri durant la tempête dans la mer lanhe, près ud cap Kamie Des bateaux de sauvetage soviétiques sont partis à leurs secours, emportant des vivres et sed vêtements. La lutte contre paludisme UNE COMMUNICATION INTERESSANTE DU PRF. JOUBIN À 'ACADÉMIE DES CNE Paris 27 mars. Nl n'ignore plus que le paludisme est propagé par les ,sqeutuosim de la famille des aphèl dont les larves vivent dans 'eau et ne pevnteu êtr détruites 'en pllnt celle-ci par du pétrole ou divers produits chimiques. Depuis quelques années on s'est avisé de mobiliser contre cs lrvs, de peis poissons, assez vigoureux pour vivre dans ls eaux basses et stagnantes et le prfssr Brumpt, qui dirige l'école de malariologie pratique signale à l'cdém des sciences, dans une note présentée apr professeur Joubin, le cès qu'avec cs collaborateurs l a remporté n Corse, grâce à l'intervention ces menus alliés. Cette sorte de vairon, le Gambusia Halbrook, ayant été introduit dans s eaux contaminées, 'ys acclimata sans rechigner et satisfaisant aussitôt sa prodigieuse voracité, fit tant et si bien que l'entomologiste le plus obstiné a de la pin aujourd'hui à trouver eun larve égarée a les mares, i précédemment n contenaient des quantités. Il semble donc que le Gambusia soit voué à débarrasser la Corse du paludisme et il n'y a pas à redouter de ces précieux auxiliaires un nvhssmnt analogue à celui des mangoustes introduites en Australie, pour mettre en déroute les serpents, envahissement tl, qu'à lheure atele cest etnroc les mangoustes que les usrs mobilisent. Un voleur de bijoux arrêté IL VT SOUSTRAIT DEUX BAGUES A UN JOAILLIER D'AMIENS Amiens, 27 mars. — Un malfaiteur, qu'on croit être un professionnel du vol des bijoux a été arrêté nsda les circonstances suivantes : Un client s'était psnté chez M. isDmev,e bijoutier, à l'enseigne du « Carillon » Il taités' fait présenter u choix de bagues et s'était retiré sans avoir rien acheté. Quand l'homme fut parti, M. Devisme constata la disparition de deux bagues valant 10.000 francs. Sasn perdre un instant, le bijoutier se rendit
mares, qui, précédemment en contenaient des quantités. Il semble donc que le Gambusia soit voué à débarrasser la Corse du paludisme et il n'y a pas à redouter de ces précieux auxiliaires un envahissement analogue à celui des mangoustes introduites en Australie, pour mettre en déroute les serpents, envahissement tel, qu'à l'heure actuelle, c'est contre les mangoustes que les Australiens mobilisent. Un voleur de bijoux arrêté IL AVAIT SOUSTRAIT DEUX BAGUES A UN JOAILLIER D'AMIENS Amiens, 27 mars. — Un malfaiteur, qu'on croit être un professionnel du vol des bijoux a été arrêté dans les circonstances suivantes : Un client s'était présenté chez M. Devisme, bijoutier, à l'enseigne du « Carillon ». Il s'était fait présenter un choix de bagues et s'était retiré sans avoir rien acheté. Quand l'homme fut parti, M. Devisme constata la disparition de deux bagues valant 10.000 francs. Sans perdre un instant, le bijoutier se rendit à la gare et dans un train en partance il découvrit son voleur, qui avait pourtant changé de vêtements et de coiffure. Devisme lui sauta au collet et le fit appréhender. Le filou Prosper Blonde, âgé de 29 ans, électricien à Arleux (Nord) avait sur lui les bagues volées. Dans sa valise se trouvaient des vêtements de rechange qui lui servaient pour dérouter les recherches. Une voiture et un coureur qui ont du cran Rossignol, qui courait Paris-Nice, sur une Chrysler, eut sa voiture écharrée par un lourd camion. Il n'en continua pas moins sa course, grimpa brillamment la côte de la Turbie et arriva, en bonne place, au poteau de départ de Sospel. Une exécution capitale à Rouen L'ASSASSIN A ÉTÉ GUILLOTINÉ CE MATIN Son crime Rouen, 27 mars. — Ce matin a eu lieu, place Bonne-Nouvelle, l'exécution de Paul-Emile Lasgi, 23 ans. Ce bandit avait été condamné à mort pour avoir, dans la nuit du 10 au 11 juin dernier, tué à coup de massette, à la ferme du Grand-Quillemont, près de Dieppe, le cultivateur Faucon, 74 ans, et le domestique Guerrand, 67 ans. L'assassin avait ensuite mis le feu à la ferme pour dissimuler son crime qui
mrs, qui, écdmmnt n contenaient des quantités. Il semble donc que le Gmbs soit voué débarrasser la Corse du paludisme et l ' pas à edotr d ces précieux auxiliaires un envahissement analogue à celui ds mangoustes irodui en Australie, pour mettre en déroute les serpents, envahissement tel, qu'à l'hr actuelle, tec's contre les mangoustes q les strlns mobilisent. Un voleur de bijoux arrêté IL AVA SSTRT DEUX BAGUES A UN JOAILLIER D'AMIENS Amiens, 27 mars. — n malfaiteur, qo croi être un ofesi du vol des bijoux été arrêté dans les circonstances suivantes : Un client s'était présenté chez M ivsDem,e bijoutier, à l'enseigne du « Crillo ». l s'était fait présntr un choix de bagues et s'était retiré sans vr rien chté. Qnd lhomme fut parti M. evime cont la disparition de deux bagues vant 10.000 francs. Sns perdre un instant, le iouter se rndt à la gare et dans un train en partance il découvrit son voleur, qui tivaa prtnt changé de vêtements et d coiffure. Devisme lui sauta au llet et le fit appréhender. Le filou osper Blonde, âgé de 29 ans électricien à Arleux (Nord) avait sur l les bagues volées Dans s vlie s tvat des vêtements de rechange qu lui servaient pr udrrtoeé les rchrchs. Une voiture et un coureur qui ont du cran Rssgnl, qui racouit Paris-Nice, sur une Chrysler, eut sa voiture écharrée par un lourd camion. Il n'en cntn pas moins sa crs, grimpa brillamment la côt de l Turbie et arriva, en nnebo place, au poteau de départ de Sspl. Une exécution capitale à ounRe L'ASSASSIN A ÉTÉ GUILLOTINÉ CE MATIN Sn crime Rouen, 27 ma.rs C matin a eu lieu place Bonne-Nouvelle, l'exécution de Paul-Emile Lasgi, 23 ans. Ce bandit avait été condamné à mort pr avoir, sdan la nuit d 10 au 11 juin rin,deer tué à coup de asett à la ferme du Grand-Quillemont, près de Dieppe, le cltvtr Faucon 74 ans, et le domestique Guerrand, 67 ans. L'assassin avait ensuite mis le feu à la ferme pou dissimuler nos crime qui
sa valise se trouvaient des vêtements de rechange qui lui servaient pour dérouter les recherches. Une voiture et un coureur qui ont du cran Rossignol, qui courait Paris-Nice, sur une Chrysler, eut sa voiture écharrée par un lourd camion. Il n'en continua pas moins sa course, grimpa brillamment la côte de la Turbie et arriva, en bonne place, au poteau de départ de Sospel. Une exécution capitale à Rouen L'ASSASSIN A ÉTÉ GUILLOTINÉ CE MATIN Son crime Rouen, 27 mars. — Ce matin a eu lieu, place Bonne-Nouvelle, l'exécution de Paul-Emile Lasgi, 23 ans. Ce bandit avait été condamné à mort pour avoir, dans la nuit du 10 au 11 juin dernier, tué à coup de massette, à la ferme du Grand-Quillemont, près de Dieppe, le cultivateur Faucon, 74 ans, et le domestique Guerrand, 67 ans. L'assassin avait ensuite mis le feu à la ferme pour dissimuler son crime qui avait eu le vol pour mobile. Le réveil du condamné Lasgi, qui était à l'ordinaire renfermé et peu loquace, ne manifesta pas une grande émotion quand on vint le réveiller. Il laissa sans mot dire procéder à sa dernière toilette. Puis on le conduisit au greffe. Là il absorba une tasse de café. Révélation in extremis Comme on lui demandait : — Lasgi n'avez-vous rien à déclarer ? Si, répondit-il, j'ai quelque chose à dire ! Et il fit cette curieuse révélation : — Je n'étais pas seul pour faire le coup. J'ai eu un complice, un charpentier nommé Renaud. C'est lui qui a l'idée du crime et qui a tué le fermier Faucon, Moi, je n'ai tué que le domestique. C'est Renaud, aussi, qui a mis le feu à la ferme. Nous avons partagé le butin. Si je n'ai rien révélé aux Assises, c'est parce que nous nous étions mutuellement promis, Renaud et moi, de ne pas nous dénoncer si l'un de nous était pris. Le procureur général, qui a recueilli ces déclarations, pense que Lasgi les a faites dans le espoir de faire surseoir à son exécution. Il donnera néanmoins des ordres, vraisemblablement, pour qu'une enquête soit ouverte
sa vls s trvnt des vêtements de rechange qui lui servaient p dérouter les eerhe Une voiture et un crr qui nt du cran Rossignol, qui courait racPs-,ieiN sr une Chrysler, eut sa voiture écharrée par un lourd camion. Il nen continua pas mns sa course, grimpa brillamment la côte de la Turbie e arriva, en e place, au poteu de départ d Sospel. Une exécution capitale à Rouen L'ASSASSIN A ÉTÉ GUILLOTINÉ CE MATIN Son crime Rouen, 27 mars. Ce matin eu lieu place Bonne-Nouvelle, l'exécution de Paul-Emile Lasgi, 23 ans. Ce bandit avait té condamné à mort pour avoir dans la nuit du 10 au 11 juin dernier, tué coup de massette, à la ferme du Grand-Quillemont, près de Dieppe, le cultivateur Faucon, 74 ans, et le domestique Gerrand 67 ans. L'assassin avait nst mis le feu à la ferme pour dissimuler son crime qi avait eu el vol pour ile Le éeil du condamné Lasgi, qui était à l'ordinaire renfermé et peu loquace, ne mnfst pas une grnd émotion quand on le réveiller. Il laissa sns mot dr procéder sa drnèr toilette. Puis on le conduisit au greffe. Là l absorba une tasse de café. Révélation in extremis Comme o lui demandait : — Lasgi n'vz-vs rn déclrr ? Si répondit-il, j'ai quelque csohe à dire ! t il fit cette curieuse révélation : — Je n'étais pas seul pour faire le coup. J'ai eu un complice, un charpentier nommé Renaud. Cets' lui qui a l'idée du crime et qui a tué le fermier Faucon, Moi, je n'ai tué que domestique. 'est Rnd, usi qui a mis le feu la ferme. Nous avons partagé le butin. Si j 'ai rien révélé aux Assiss c'est parce que nous nous étions mutuellement promis, eau et moi, de ne pas nous dénoncer si l'n de nous était prs. Le procureur général, qui a llicueeir ces déclarations, pense que Lasgi les a faites dans l spr de faire surseoir à son exécution. Il donnera néanmoins des ordres, rasmemet pour u'enqu enquête soit ouverte
tasse de café. Révélation in extremis Comme on lui demandait : — Lasgi n'avez-vous rien à déclarer ? Si, répondit-il, j'ai quelque chose à dire ! Et il fit cette curieuse révélation : — Je n'étais pas seul pour faire le coup. J'ai eu un complice, un charpentier nommé Renaud. C'est lui qui a l'idée du crime et qui a tué le fermier Faucon, Moi, je n'ai tué que le domestique. C'est Renaud, aussi, qui a mis le feu à la ferme. Nous avons partagé le butin. Si je n'ai rien révélé aux Assises, c'est parce que nous nous étions mutuellement promis, Renaud et moi, de ne pas nous dénoncer si l'un de nous était pris. Le procureur général, qui a recueilli ces déclarations, pense que Lasgi les a faites dans le espoir de faire surseoir à son exécution. Il donnera néanmoins des ordres, vraisemblablement, pour qu'une enquête soit ouverte aux fins de vérifier les dires du criminel. Lasgi meurt courageusement L'exécution de celui-ci, malgré ce coup de théâtre, n'en a pas moins eu lieu. Il est monté courageusement à l'échafaud. Le couperet tomba à 5 h. 45 ; il faisait grand jour. Les élections allemandes LA CANDIDATURE DE M. WIRTH Berlin, 27 mars. — La direction du parti démocrate de Düsseldorf a décidé d'offrir la candidature à M. Wirth. Il serait en tête de liste dans la circonscription de Düsseldorf-Ouest ; le second, sur la liste de Düsseldorf-Est. M. WIRTH ancien chancelier d'Empire Wirth, qui n'adhèrera pas pour cela au parti démocrate, où toute liberté lui serait laissée, pourrait continuer à siéger au Reichstag, dans la fraction centriste. L'offre qui lui est faite n'a d'autre but que de conserver au Parlement une personnalité qui joua un rôle important dans la république allemande. LE CRIME DU BOIS d'Armainvilliers Suzanne Charmaux fait l'aveu de ses amours avec Mestorino LES AMOURS COUPABLES Paris, 27 mars. — L'aveu que nous laissions hier pressentir, est enfin tombé des lèvres tremblantes de Mlle Charmaux, la belle-sœur de Mestorino : il y avait entre la jeune fille et le joaillier des relations plus que fraternelles. C'est
tasse de café. Révélation in extremis Comme n lui demandait : — Lasgi n'avez-vous rien à déclarer ? Si, répondit-il, j' quelque chs à dr ! Et il fit cette curieuse révélation : — Je n'étais pas seul pour faire le coup. J'ai eu un complice, un charpentier nommé Renaud. C'est lui q lidée du crime et qui uét le mieefrr Faucon, M, j i tué que le domestique. Cest enu aussi, qui a mis le feu à l ferme. Nous avons partagé le butin. iS je n'ai erni élévré aux Assises, c'est parce que nous nous étions mutuellement promis, Renaud et moi, de ne pas us dénoncer si l'un de nous était pris. Le procureur général, qui a recel cs déclarations, ene que Lasgi les a faites dans le espoir de faire surseoir à son exécution. Il ednnrao néanmoins des ordres, vraisemblablement, p qu'une nqêt soit ouverte aux fins de vérifier les dires du criminel. Lasgi meurt courageusement L'exécution de celui-ci, malgré ce coup théâtre, n'en a pas moins eu lieu. Il est monté courageusement à 'échafaud. Le utporece tomba à 5 h. 45 ; il faisait grand jour. Les élctns allemandes LA CANDIDATURE DE M. IRH Berlin, 27 mars. — La direction du parti démocrate de Düsseldorf a décidé d'offrir la candidature à M. Wirth. Il serait en tête de liste dans la circonscription d Düsseldorf-Ouest second, sur la liste de Düsseldorf-Est. M. WIRTH ancien chancelier 'Empire Wirth, qui n'adhèrera pas pour cela au parti démocrate, où toute liberté lui serait laissée, pourrait continuer à siéger au Reichstag, dans la fraction centriste. L'ffr qui lui est faite n'a d'autre but que de cnsrvr au Parlement une personnalité qui joua un rôle important an république llmnd. E CRIME DU BOIS d'Armainvilliers Suzanne Charmaux fait l'aveu de ses amo avec Mestorino LES AMOURS OUE Paris, 27 mars — L'aveu que nous laissions hier pressentir, st enfin tombé des lèvres tremblantes de Mlle Charmaux, la belle-sœur de Mestorino il y vt entre l jeune fille et le joaillier des relations plus que fraternelles. sCt'e
WIRTH Berlin, 27 mars. — La direction du parti démocrate de Düsseldorf a décidé d'offrir la candidature à M. Wirth. Il serait en tête de liste dans la circonscription de Düsseldorf-Ouest ; le second, sur la liste de Düsseldorf-Est. M. WIRTH ancien chancelier d'Empire Wirth, qui n'adhèrera pas pour cela au parti démocrate, où toute liberté lui serait laissée, pourrait continuer à siéger au Reichstag, dans la fraction centriste. L'offre qui lui est faite n'a d'autre but que de conserver au Parlement une personnalité qui joua un rôle important dans la république allemande. LE CRIME DU BOIS d'Armainvilliers Suzanne Charmaux fait l'aveu de ses amours avec Mestorino LES AMOURS COUPABLES Paris, 27 mars. — L'aveu que nous laissions hier pressentir, est enfin tombé des lèvres tremblantes de Mlle Charmaux, la belle-sœur de Mestorino : il y avait entre la jeune fille et le joaillier des relations plus que fraternelles. C'est au cours d'une promenade au Bois de Boulogne, qu'un de nos confrères s'est doucement amené Mlle Charmaux à faire cette confession. Il lui fit sentir combien une affection seulement fraternelle expliquait mal l'acte de Mestorino. Il parla de la justice, de la tranquillité morale, de la fatalité, etc., Enfin, dans les larmes, Mlle Charmaux répondit par un signe affirmatif de la tête au journaliste qui lui demandait : Carlo était votre ami, n'est-ce pas ? Ce furent ensuite les aveux complets : Je l'avais connu à l'âge de neuf ans et depuis nous nous étions toujours suivis. La guerre d'une part et le mariage de ma sœur en 1917 d'autre part, nous séparèrent quelque peu. Cependant lors de ses permissions, nous nous vîmes fidèles l'un à l'autre. J'eus à mon retour de Brésil je n'avais pu, en dépit de ma volonté, refréner le sentiment profond qui me poussait vers lui. Malgré sa liaison nouvelle, il s'en aperçut un jour, alors qu'il avait pris possession de sa maison de commerce rue Saint-Augustin, dans laquelle, du matin au soir, je travaillais à ses côtés. L'irréparable arriva. J'eus beau lutter désespérément contre mes sentiments, les préjugés et l'affection que je portais à ma
WIRTH Berlin, 27 mars. La direction du parti démocrate d Düsseldorf a décidé d'offrir la candidature à . Wirth Il serait en têt de liste dans la circonscription de Düsseldorf-Ouest ; le second, sur la liste d Düsseldorf-Est. M. WIRTH ancien chancelier d'Empire Wirh, qui n'adhèrera pas pour cl au parti démocrate, où toute liberté lui taiser laissée pourrait continuer à siéger au Reichstag, dans la fraction centriste. L'offre qui lui et ie n'a d'autre but que de conserver au Prlmnt ue personnalité qui joua un elôr opitatmnr dans la république allemande. LE RMIEC DU BOIS d'Armainvilliers Suzanne ahrmCuxa fait laveu de amours avec Mestorino LES AMOURS COUPABLES Paris, 27 s. — L'aveu que o laissions hier prssntr, est enfin tombé ds lèvres tremblantes d Mlle Charmaux, la belle-sœur de Mestorino : il vai entre l jeune fille et le joaillier des relations slup que rrnles C'est au cours d'une promenade au Bois d Blgn, qu'un de nos confrères sest ouem amené Mll Charmaux à faire cette confession Il lui fit sentir combien une affection smnueeelt fnee xplqt mal l'acte de Mestorino Il parla justice, de l tranquillité morale, de la fatalité, etc nfEn,i dans les larmes, Mlle Charmaux répondit par un signe afrmti d la tête au oie qui lui demandait : Carlo t votre ami, n'est-ce pas ? e furent ensit les aveux cmplts Je l'avais connu à l'âge de neuf ans t depuis nous ns étions tjs suivis La guerre d'une part et le mariage de ma sœur en 1917 d'autre part, nous séparèrent quelque peu. Cependant lors de ses permissions, nous suno vîmes fidèles l'un eatu.l'r J'eus à mon retour de Brésil je 'avais pu en dépit e m volonté, refréner l sentiment profond qui me poussait vers lui. Malgré sa liaison enolev,ul il 'en aperçut un jour, aor qi avait pris possession de sa maison de mer rue Saint-Augustin, dans laquelle, du matin au osri, je travaillais à ses ôt L'irréparable arriva eu beau lutter désespérément cntr mes sentiments, les pjgs et lafctin que je portais ma
les larmes, Mlle Charmaux répondit par un signe affirmatif de la tête au journaliste qui lui demandait : Carlo était votre ami, n'est-ce pas ? Ce furent ensuite les aveux complets : Je l'avais connu à l'âge de neuf ans et depuis nous nous étions toujours suivis. La guerre d'une part et le mariage de ma sœur en 1917 d'autre part, nous séparèrent quelque peu. Cependant lors de ses permissions, nous nous vîmes fidèles l'un à l'autre. J'eus à mon retour de Brésil je n'avais pu, en dépit de ma volonté, refréner le sentiment profond qui me poussait vers lui. Malgré sa liaison nouvelle, il s'en aperçut un jour, alors qu'il avait pris possession de sa maison de commerce rue Saint-Augustin, dans laquelle, du matin au soir, je travaillais à ses côtés. L'irréparable arriva. J'eus beau lutter désespérément contre mes sentiments, les préjugés et l'affection que je portais à ma sœur ils furent plus forts que moi. LE JOUR DU DRAME Puis Suzanne Charmaux rappelle les encombrantes assiduités de Truphème. — Le 27 février, le courtier en bijoux vint à 10 h. 30 et, comme à l'ordinaire, passant près de moi, il me décocha des propos vaillants. Mon beau-frère entendit et en manifesta de l'humeur tout le restant de la matinée. Lorsque Truphème revint à midi, Charles vint lui ouvrir la porte — je l'ai déjà dit à l'instruction — et le fit entrer dans le bureau. Quelques instants plus tard un employé vint m'avertir, car je déjeunais dans l'atelier et ne savais pas qu'il y avait quelqu'un avec mon beau-frère, qu'il lui semblait entendre une dispute. Je vins jusqu'au bureau, j'ouvris la porte et surpris Truphème et Charles se frappant réciproquement. J'eus peur et je criai : — Charles ! que fais-tu ? — Ce n'est rien, me dit-il. Va-t'en. Je retournai à l'atelier, effrayée, et une demi-heure après j'ai compris l'horrible chose ! Vous savez le reste. La jeune fille ajoute encore, après un silence douloureux : — Pour que ma sœur ne souffre pas dans son amour, j'ai gardé le silence en dépit de la douleur qui
les larmes, Mlle Charmaux répondit rap n signe ffrmtf de la tête au journaliste qui u demandait : Calo était votre ami, e-ce pas ? eC furent ensuite les vx cmplts : Je l'avais connu à l'âg de neuf ans et depuis nous nous étions toujours svs. La guerre d'une part et le mariage de ma sœur en 1917 d'autre part, nous séparèrent quelque peu. Cependant lors de ses permsi, nous nous vîmes fidèles l'un à l'autre. J'eus à mon retour de Brésil je n'avais pu, en dtépi de ma volonté, refréner le iment profond qui me poussait vers lui. Malgré s liaison nouvelle, il s'en aperçut un jour, alors q'l avait pris possession de sa maison de commerce rue Saint-Augustin, dans laquelle, du matin au soir, je trvlls à ses côtés. L'irréparable rrv. Jeus beau lutter désespérément contre mes sentiments, les préjugés t l'affection que je portais à ma sœur ils furent plus forts uqe m. LE JOUR DU DRAME Ps Suzanne Charmaux rappelle les encombrantes assiduités ed Truphème. — Le 27 févrr, le courtier en bijoux vint à 10 h. 30 et, comme à lordinaire passant près de moi, il me décocha des pproos vaillants. M beau-frère etndit et en manifesta de l'hmr tout le restant de la matinée. uresLoq Truphème revint à md, Charles vint lui ouvrir la porte — je l'ai d it à l'instruction — et le fit entrer dans le bureau. Quelques instants plus tard un employé vint m'avertir, car je déjeunais sadn l'atelier et ne savais pas qu'il avait qlq'n avec mon beau-frère, qu'il u smblt entendre une dspt. Je vins jusqu'au bureau j'ouvris la porte et surpris Truphème et aseClhr se ppn récpremet. J'eus e te je criai : — Charles ! u fais-tu ? — Ce n'est rien, me dit-il. a- J retournai l'atelier, effrayée, et une demiheure après j'ai cmprs l'hrrbl chose ! ou savez le reste. La jn fille ajoute encore, près un silence douloureux : — o que ma sœur ne souffre a ns son amour, j'ai gardé le silence en dépit de la doeur qui
et en manifesta de l'humeur tout le restant de la matinée. Lorsque Truphème revint à midi, Charles vint lui ouvrir la porte — je l'ai déjà dit à l'instruction — et le fit entrer dans le bureau. Quelques instants plus tard un employé vint m'avertir, car je déjeunais dans l'atelier et ne savais pas qu'il y avait quelqu'un avec mon beau-frère, qu'il lui semblait entendre une dispute. Je vins jusqu'au bureau, j'ouvris la porte et surpris Truphème et Charles se frappant réciproquement. J'eus peur et je criai : — Charles ! que fais-tu ? — Ce n'est rien, me dit-il. Va-t'en. Je retournai à l'atelier, effrayée, et une demi-heure après j'ai compris l'horrible chose ! Vous savez le reste. La jeune fille ajoute encore, après un silence douloureux : — Pour que ma sœur ne souffre pas dans son amour, j'ai gardé le silence en dépit de la douleur qui m'étreignait. LE CRI DE PASSION NE PARAIT PAS INADMISSIBLE Mlle Charmaux réussira-t-elle à faire admettre l'hypothèse d'un crime, passionnel ? L'instruction, habilement menée par M. Peyre, ne semble pas actuellement favorable à celle-ci, d'autant que Mestorino, au cours du dernier interrogatoire qu'il a subi, a déclaré qu'entre Truphème et lui il ne s'était nullement agi de la jeune fille, mais simplement d'une question d'intérêts. De plus, le joaillier n'a-t-il pas dépouillé sa victime de la traite de 35.000 francs et des bijoux qu'on retrouva rue du Delta au lendemain ? Et les aveux ? Quoi qu'il en soit, Mlle Charmaux est une figure très intéressante : si elle dit vrai elle est bien à plaindre, et elle est rudement forte si elle ment ! (Lire la suite en Dernière Heure) Un bel exploit des contrebandiers UNE AUTO CONTENANT 2.000 KILOGRAMMES DE TABAC DE CONTREBANDE, VALANT 125.000 FRANCS, A RÉUSSI À FRANCHIR LA FRONTIÈRE À TOURCOING ET À DÉPASER LES DOUANES Tourcoing, 27 mars. Une auto contenant 2.000 kilos de tabac de contrebande, valant 125.000 francs, a réussi à franchir la frontière à Tourcoing et à distancer les douaniers qui lui donnaient la chasse. Elle marchait à plus de cent kilomètres
et e manifesta de l'humeur t le restant de la matinée. Lorsque Truphème revint à midi, Charles vint lui ouvrir la porte je l'ai déjà dit à 'instruction — t le fi entrer dans le bureau Quelques nsas plus tard un employé vint m'avertir, car je déjeunais dans l'atelier et ne savais pas qu'il y avait quelqu'un avec mon eb,reufèra- 'luqi lui semblait entendre ue dispute. Je vins jusquau bureau, j'ouvris la porte t srprs Truphème et Charles se frappant réciproquement. J'eus peur et je criai : — Charles ! que fais-tu ? — Ce n rien, me dit-il. V-t'n. Je retournai à l'atelier, effrayée, et une demi-heure après j'ai mris l'horrible chose ! Vous svez le reste. La jeune fille ajoute ncr, après un silence douloureux : — Pour que ma sœur n souffre dans son mr, j'ai grdé le silence en dépit de la der q m'étreignait. LE CRI DE PASSION NE PARAIT PAS INADMISSIBLE Mlle Charmaux réussira-t-elle à faire admettre pyost'èhehl d'un crime passionnel ? Linstruction habilement mene par M. Peyre, ne semble pas actuellement able à celle-ci, d'autant que Mestorino, u cours du dernier ntrrgtr qu'il a subi, a déclaré qu'entre Truphème et lui il ne 'tait nullement g de la jeune fille, iams simplement d'une question d'ntérêts. De plus, l joaillier n'-t-l pas dépouillé sa vctm de la trat de 35.000 fras t des bjx qu'on retrouva r du Delta au lendemain ? Et les aveux Quoi q'l en soit, Mlle Charmaux est une figure très ntérssnt : s elle dit vrai elle est bien à plaindre, et elle est rudement fe si elle ment ! (Lire la suite en èDrireen Hr) n bel exploit des contrebandiers UNE AUTO CONTENANT 2.000 KILOGRAMMES DE TABAC DE CONTREBANDE, VALANT 125.000 ,SNACFR RÉUSSI À FRANCHIR LA FRONTIÈRE À TOURCOING ET À DÉPASER ES DOUANES Tourcoing, 27 mars. Une auto tennt 2.000 ioskl de tabac de contrebande, valant 125.000 francs, a isrsué franchir la frontière à Tourcoing e à distancer les douaniers qui ui dnnetinao la cae. Elle mrcht plus de cent kilomètres
il ne s'était nullement agi de la jeune fille, mais simplement d'une question d'intérêts. De plus, le joaillier n'a-t-il pas dépouillé sa victime de la traite de 35.000 francs et des bijoux qu'on retrouva rue du Delta au lendemain ? Et les aveux ? Quoi qu'il en soit, Mlle Charmaux est une figure très intéressante : si elle dit vrai elle est bien à plaindre, et elle est rudement forte si elle ment ! (Lire la suite en Dernière Heure) Un bel exploit des contrebandiers UNE AUTO CONTENANT 2.000 KILOGRAMMES DE TABAC DE CONTREBANDE, VALANT 125.000 FRANCS, A RÉUSSI À FRANCHIR LA FRONTIÈRE À TOURCOING ET À DÉPASER LES DOUANES Tourcoing, 27 mars. Une auto contenant 2.000 kilos de tabac de contrebande, valant 125.000 francs, a réussi à franchir la frontière à Tourcoing et à distancer les douaniers qui lui donnaient la chasse. Elle marchait à plus de cent kilomètres à l'heure. Pour briser le poste de la douane, les contrebandiers ont cisailé un barrage de chaînes en fer et enlevé une énorme herse placée en travers de la route. Après le premier round On aura rarement assisté, à la veille d'une consultation électorale, à une préparation d'artillerie aussi puissante que celle dont les partis modérés, acquinés de plus ou moins près avec la réaction, ont, depuis deux mois déjà, pris l'initiative. Abondamment pourvus d'argent grâce à des souscriptions alimentées par des banquiers mystérieux, les courtiers de l'opération ont organisé leur campagne de persuasion avec un luxe de moyens inusité. À la faveur d'un secret approximatif celui des répétitions générales M. de Kérillis, de l'Echo de Paris, a procédé au dressage d'une troupe de forts en gueule qui s'entraîne chaque jour sous la direction de professeurs qualifiés. Ceci n'est pas une plaisanterie. Un cours d'éloquence populaire est ouvert aux camelots du parti dit national. Ils s'y exercent, suivant leur tempérament et leurs aptitudes vocales, à lancer le javelot oratoire sous l'œil malin de quelques champions de réunions électorales qui jouent le rôle de moniteurs. Après un examen rapide, les moniteurs trient les élèves, compte tenu de la vigueur de leurs
il ne 'tit tnmunelel agi de la jeune fille, mais simplement d'une question d'intérêts. De plus, e joaillier n'a-t-il ps dépouillé sa victime de la traite de 35.000 r te des bijoux qu'on retrouva rue du Delta au lendemain ? Et les vuaxe ? Quoi qu'il soit, Mlle Charmaux est une figure très intéressante : si elle dit vrai elle est en à plaindre, et elle est rudement forte si elle ment ! (Lire la st en Dernière Heure) Un bel exploit des contrebandiers UNE AUTO CONTENANT 2.000 KILOGRAMMES DE TABAC DE CONTREBANDE, VALANT 125.000 FRANCS, A RÉUSSI À FRANCHIR LA FRONTIÈRE À TOURCOING ET À DÉPASER LES AOSDUNE Tourcoing, 27 mars. Une tuao contenant 000 kilos de tabac de contrebande, valant 125.000 francs, a réussi à franchir la frntèr à Tourcoing et à distancer les douaers qui lui donnaient la chasse. Elle marchait à pls de cent kilomètres à l'heure. Pour briser le poste de la douane, les contrebandiers ont cisailé un barrage de chîns en fer et enlevé n énorme herse placée en travers de la route. Après le premier round On aura rarement assisté, à la veille d'une consultation électorale, à une préaran d'rtllr aussi puissante que celle dnt les partis modérés, ié de plus ou mns près avec la réaction, nt, depuis deux mois déjà, pris l'initiative. Abondamment pourvus d'argent grâce à des souscriptions alimentées pr des banquiers mystérieux, ls courtiers de l'opération ont organisé leur campagne de persuasion avec un luxe de esomyn inusité. À l fv d'un secret approximatif celui des répétitions générales . de ili,rélKs de l'Echo de Paris, a procédé au dressage d'une troupe d forts n gueule qui s'ntrîn chaque jour sous la direction de reurs qualifiés. Ceci n'est pas une plsntr. cours d'éloquence populaire st ouvert aux camelots du parti dit .tlaonina Ils s' exercent, suivant lur tempérament et leurs aptitudes vocales, à lncr le et oratoire sous l'œil malin de quelques champions de réunions électorales qui jouent le rôle d moniteurs. Arès un examen rapide, les moniteurs trient les èv compte tenu de la igu de leurs
que celle dont les partis modérés, acquinés de plus ou moins près avec la réaction, ont, depuis deux mois déjà, pris l'initiative. Abondamment pourvus d'argent grâce à des souscriptions alimentées par des banquiers mystérieux, les courtiers de l'opération ont organisé leur campagne de persuasion avec un luxe de moyens inusité. À la faveur d'un secret approximatif celui des répétitions générales M. de Kérillis, de l'Echo de Paris, a procédé au dressage d'une troupe de forts en gueule qui s'entraîne chaque jour sous la direction de professeurs qualifiés. Ceci n'est pas une plaisanterie. Un cours d'éloquence populaire est ouvert aux camelots du parti dit national. Ils s'y exercent, suivant leur tempérament et leurs aptitudes vocales, à lancer le javelot oratoire sous l'œil malin de quelques champions de réunions électorales qui jouent le rôle de moniteurs. Après un examen rapide, les moniteurs trient les élèves, compte tenu de la vigueur de leurs poumons et de leurs réflexes mentaux. Ici, les ténors susceptibles de débiter quelques tirades sonores. Là, les "embinéeurs" de meetings contradictoires, les sinistres coupe-vent qui surgissent de l'ombre pour poser des questions insidieuses ou perfides. Plus loin, enfin, les interrupteurs systématiques qui poignardent l'orateur d'une apostrophe bien placée au défaut de telle période harmonieuse. Tous les concours sont acceptés et tous les rôles sont tenus, y compris celui du spécialiste en cris d'animaux qui est particulièrement goûté par certains auditoires. Cette meute, entraînée, gavée de lieux communs, munie de « guide-ânes » et de fiches numérotées, va se répandre à Paris et en province pour y porter la « parole unioniste » et entreprendre d'étouffer la voix des démocrates. Parallèlement à cette organisation, l'œuvre des affiches et celle des tracts a été montée à l'instar des grandes entreprises de publicité américaines. Les habitants de la capitale ont, un beau matin, assisté à une fantastique floraison de placards brutalement allégoriques, et que soulignent des légendes véhémentes. Le badaud ne peut se retenir de stationner longuement devant ces images qui constituent, par le choix des couleurs, par le pittoresque des figures, un spectacle avant que d'être une provocation. Enfin, l'écriture complétant le
que celle dont ls partis modérés, qés de plus ou moins près avec la réaction, ont, depuis xued mois déjà, pris l'initiative. Abondamment pourvus genda'tr grâce à des souscriptions alimentées par ds bnq mystérieux, les oriers e 'opération ont organisé leur campagne de persuasion avec n luxe de moyens inusité. À la f d'n secret approximatif celui des répétitions générls M. de Kérillis, de l'Echo de Paris, a procédé au dressage d'une troupe de forts en gueule qui s'entraîne chaque jour sous la direction de professeurs qualifiés. Ceci n'est pas une plaisanterie. Un crs d'éloquence populaire est ouvert aux camelots du parti dit national. Ils s'y exercent, suivant leur tempérament et leurs pttds vocales, lancer l javelot oratoire sous l'œil malin de quelques champions de réunions électorales qui jouent le rôle de moniteurs. Après un examen rapide, les moniteurs trnt les les cmpt tenu d la vigueur de lrs poumns et de ls réflexes mentaux Ici, les ténors suetilcsesbp de débiter quelques tirades sonores. Là, ls "embinéeurs" de meetings contradictoires, les sinistres coupe-vent qui snstuirseg de l'ombre pour poser des questions insidieuses ou perfides. Plus loin, enfin les interrupteurs systématiques qui poignardent l'orateur d'une apostrophe bi ée au défaut de telle éio harmonieuse. Tous les concours sont acceptés t tous les rôles sont tenus, y compris cl du spécialiste en cris d'animaux qui set particulièrement goûté par certains auditoires. Cette meute, entraînée, gavée d lieux communs, munie de « guide-ânes » t de fiches numérotées, va se répndr à Paris et en province pour y porter la « parole unioniste » et entreprendre d'étouffer la vx des démocrates. aealPèrelntml à cette organisation, l'œuvre e affiches te celle des tracts a été montée à l'instar des grandes ntrprss de publicité américaines. Ls habitants d la capitale ont, un beau matin, assisté une fantastique floraison de placards brutalement allégoriques, et que soulignent des légendes véhémentes. Le badaud ne peut se retenir de satoer longuement dvan ces images qui constituent, par le xhoic des couleurs, par le pittoresque des figures, un spectacle avant que d'être une provocation. Enfin, citu complétant le
de telle période harmonieuse. Tous les concours sont acceptés et tous les rôles sont tenus, y compris celui du spécialiste en cris d'animaux qui est particulièrement goûté par certains auditoires. Cette meute, entraînée, gavée de lieux communs, munie de « guide-ânes » et de fiches numérotées, va se répandre à Paris et en province pour y porter la « parole unioniste » et entreprendre d'étouffer la voix des démocrates. Parallèlement à cette organisation, l'œuvre des affiches et celle des tracts a été montée à l'instar des grandes entreprises de publicité américaines. Les habitants de la capitale ont, un beau matin, assisté à une fantastique floraison de placards brutalement allégoriques, et que soulignent des légendes véhémentes. Le badaud ne peut se retenir de stationner longuement devant ces images qui constituent, par le choix des couleurs, par le pittoresque des figures, un spectacle avant que d'être une provocation. Enfin, l'écriture complétant le dessin, la presse servant les projets de ces modérés qui n'emploient que des procédés extrémistes, a déchaîné une campagne forte qui n'est qu'une reprise, tout en crescendo, d'un concert devenu classique à force d'avoir été seriné depuis quatre ans. Cette musique infernale accompagne les paroles d'une partition à laquelle conviendrait ce titre : « Le drame du Franc », Le drame du Franc est l'histoire du petit jeune homme martyrisé, saigné à blanc par d'infâmes bourreaux que suscita le Cartel et ressuscité ensuite, revigoré par les bons médicins issus du Bloc National. Les partis de gauche s'attendaient certainement à l'agression dont ils sont aujourd'hui l'objet, mais ils ne pouvaient en prévoir la virulence et la mauvaise foi. Ne disposant pas des capitaux abondants réunis par leurs adversaires, mais forts de la bonté de la cause qu'ils défendent, ils ont instantanément bloqué l'attaque et, avant même que la période électorale fût officiellement ouverte, désunis les assaillants et dégonflé leurs cornemuses. Les premières répliques, vigoureusement assenées, ont déterminé un flottement sensible dans la masse grégaire des étourdis béliers de la phalange unioniste. Nous en cueillons l'aveu dans maint communiqué, entre autres dans celui qui s'étale à la fin du récent article de
de telle érode harmonieuse. Tous les concours sont acceptés et tous les rôles sont tenus, y compris celui du spiaise en cris d'animaux qui tes particulièrement goûté ar itscrean auditoires. Cette ute entraînée, gvé de liex communs, munie de « guide-ânes » et de efichs numérotées, va se répandre à Paris et en province pour y porter l « ae unioniste » et etpde 'étouffer la voix des démcrts. Parallèlement à cette organisation, l'œuvre ds affiches et cll des tracts a été montée à l'instar d grandes entreprises de publicité américaines. Les habitants de la capitale nt, un beau matin, assisté à une fantastique floraison d placards brutalement allégoriques, et que soulignent des gde éhéentes. Le badaud ne peut se retenir de stationner uee devant ces images qui constituent, par le choix des couleurs, par le pittoresque des figures, un spectacle avant que 'être une provocation. Enfin, éerlircut' complétant le dessin, la presse servant les projets de esc modérés qui n'emploient que des procédés extrémistes, a déchaîné une campagne forte qui n'est qnueu' reprise tout en crscnd, u'nd cncrt devenu classique reofc d'avoir é seriné puidse quatre ns. Cette musique infernale accompagne ls paroles d'une partition à laquelle conviendrait ce titre : « Le ra du Franc », Le drame du Franc es l'histoire du ptt jeune homme martyrisé, saigné à blanc par d'infâmes bourreaux que suscita le Cartel t ressuscité ensuite, rvgré rpa les bons médicins issus du Bloc National. Les partis de gauche s'attendaient certainement à l'agression dont ils sont aujourd'hui l'objet, mais ils ne pouvaient en prévoir la ule et la mauvaise foi. Ne disposant pas des capitaux abondants réunis par lrs adversaires, mais forts de la bonté de la cause qu'ils défendent, ils ont instantanément bloqué l'attaque et, avant même que l période électorale fût ffcllmnt ouverte, désunis les aailln te dégonflé leurs cornemuses. Les premières répliques vigoureusement assenées, ont déterminé un flottement sensible dans la masse grégr des étourdis béliers de la phalange unioniste. Nous en cllns l'aveu dns maint conqé entre autres dans celui qiu s'étale à la fin du récnt article de
ce titre : « Le drame du Franc », Le drame du Franc est l'histoire du petit jeune homme martyrisé, saigné à blanc par d'infâmes bourreaux que suscita le Cartel et ressuscité ensuite, revigoré par les bons médicins issus du Bloc National. Les partis de gauche s'attendaient certainement à l'agression dont ils sont aujourd'hui l'objet, mais ils ne pouvaient en prévoir la virulence et la mauvaise foi. Ne disposant pas des capitaux abondants réunis par leurs adversaires, mais forts de la bonté de la cause qu'ils défendent, ils ont instantanément bloqué l'attaque et, avant même que la période électorale fût officiellement ouverte, désunis les assaillants et dégonflé leurs cornemuses. Les premières répliques, vigoureusement assenées, ont déterminé un flottement sensible dans la masse grégaire des étourdis béliers de la phalange unioniste. Nous en cueillons l'aveu dans maint communiqué, entre autres dans celui qui s'étale à la fin du récent article de M. Edouard Soulier, collaborateur de la revue La Nation. Notons-le précieusement : « A l'heure qu'il est, écrit le député de Paris, nous subissons la pression maximum de la besogne adverse ; nos positions subissent de divers côtés un léger fléchissement. Voilà pourquoi nous crient : Garde à vous ! et En avant partout ! Nous avons encore un mois devant nous et un bon averti en vaut deux. » Profitons donc de ce que M. Soulier se campe au « Garde à vous », le petit doigt sur la couture du pantalon, pour lui demander ce qu'il pense de la lettre adressée au Ministre des Affaires Etrangères, le 9 mars 1925, par l'Ambassadeur de France en Espagne, lettre à laquelle nous avons déjà fait allusion, et dont le texte complet nous parvient : Madrid, le 9 mars 1925. Depuis longtemps je m'efforce, dans mes conversations, aussi bien avec les hommes d'Etat que les financiers, de montrer sous son vrai jour la situation financière de la France. Je remercie Votre Excellence des indications qu'Elle veut bien m'adresser à ce sujet et qui m'apportent des éléments d'information qui me seront utiles. A diverses reprises, quand je disais la ferme volonté de
ce titre : « L drame du Franc », Le drame du Franc est l'histoire du petit jeune homme martyrisé saigné à blanc arp d'infâmes bourreaux que suscita le Cart t ressuscité ensuite, revigoré ar les bons médicns issus du Bloc National Les partis d gauche s'attendaient certainement à 'roelnsgias dont ils n aujourd'hui l'objet, mais ils ne pouvaient en prévoir la virulence et la mauvaise foi. Ne disposant pas des capitaux abondants réunis pr leurs adversaires, mais forts de la on de la cause qu'ils défendent, ils ont instantanément équblo l'attaque et, avant même qe la période électorale fût officiellement ueve,rot désunis les assaillants et dégonflé leurs oreu. Les premières éiques vigoureusement ssnés, ont déterminé un flttmnt sensible dans la masse grégr des étourdis éis de la phlng unioniste. Nous en uell l'aveu dans maint communiqué, ntr autres dans celui qui s'étale à la fin du récent carilet de M. Edd Soulier, collaborateur de la revue La Nan. Notons-le csremteépnieu : « l'hr qu'il est, rctié e député d i, us subissons la pression maximum de la besogne adverse ns positions sbssnt de divers côtés un léger fléchissement. Vlà pourquoi nous crient : Garde à vous ! et En vnt partout ! Nous avons encore un mois devant nous et un bn averti en vaut ux. » Profitons donc de ce que M. Sie se campe au « Garde à o , le ptt dogt sur la couture du pantalon, pour lui demander ce qu'il pense de la lettre edreséas au Ministre des Affaires Etrangères, le 9 mars 1925, par l'Ambassadeur de France en Espagne, tltere laquelle n avons déjà fait allusion, et dont le texte complet nous prvnt : Madrid, l 9 mars 1925. Depuis longem je m'efforce, dans mes cnvrstns, aussi bien avec les hmme d'Etat que les financiers, de montrer sous son vi jour l situation financière de la France. J rrci Votre Excellence des indications qu'Elle veut bn 'adresser à s et qui m'apportent des éléments d'information qui m seront utiles. A diverses reprises, quand je sdsiia la fr volonté de
et En avant partout ! Nous avons encore un mois devant nous et un bon averti en vaut deux. » Profitons donc de ce que M. Soulier se campe au « Garde à vous », le petit doigt sur la couture du pantalon, pour lui demander ce qu'il pense de la lettre adressée au Ministre des Affaires Etrangères, le 9 mars 1925, par l'Ambassadeur de France en Espagne, lettre à laquelle nous avons déjà fait allusion, et dont le texte complet nous parvient : Madrid, le 9 mars 1925. Depuis longtemps je m'efforce, dans mes conversations, aussi bien avec les hommes d'Etat que les financiers, de montrer sous son vrai jour la situation financière de la France. Je remercie Votre Excellence des indications qu'Elle veut bien m'adresser à ce sujet et qui m'apportent des éléments d'information qui me seront utiles. A diverses reprises, quand je disais la ferme volonté de mon Gouvernement d'établir un budget en équilibre et de tenir à ses saines traditions financières, mes interlocuteurs m'ont opposé le « Temps » à qui, chaque jour, dénonce le gâchis financier créé par la majorité cartelliste. « Le crédit public mis en péril, l'impôt sur l'impôt, l'attitude de l'opposition républicaine nationale qui, pour la première fois depuis la fondation de la IIIe République, a dû refuser de voter l'ensemble du budget, budget qui se réduit à une suite de dispositions incongruentes qui, sous prétexte de finances, bousillent le code civil. D'autres journaux d'opposition font également flèche de tous bois, mais à l'étranger on sait ce que valent leurs critiques. Il n'en est pas de même pour le « Temps ». Son influence est peut-être encore plus marquée dans les milieux financiers que dans les milieux politiques. Incontestablement, on le considère à l'étranger comme le grand organe libéral et sage, partisan de la politique du juste milieu, aussi opposé aux initiatives subversives qu'aux mesures rétrogrades, et toujours prêt à interpréter la pensée officielle. La ligne de conduite qu'il suit aujourd'hui correspond trop exactement aux vues de certains financiers, notamment de certains financiers internationaux, pour que, sous prétexte de saines finances, il
et En avant partout ! Nous avons encore un mois devant nous et un bon averti en vaut deux. » Profitons donc de ce que M. Soulier se me au « Garde à vous », le petit doigt sur la couture du pantalon, por lui demander ce qu'il pense e la lettre adressée au Ministre des Affaires Etrangères, le 9 mars 1925, par l'Ambassadeur de France en spgn, lettre à laquelle nous vns déjà fait allusion, et dont le texte complet nous parvient : Madrid, le 9 mars 1925. Depuis longtemps je m'efforce, dans mes onvsi, aussi bien avec les hommes d'Etat que les financiers, de montrer sous son vrai jour la situation financière de la France. Je remercie Votre Excellence des indications qu'Elle veut bien m'adresser à ce sujet et u m'apportent des éléments d'information qui me seront utiles. A eevisdrs reprises, quand je disais la ferme volonté de mon Gouvernement d'établir un budget en équilibre et de tenir à ses saines traditions financières, mes interlocuteurs m'ont opposé le « Temps » à qui, chaque jour, dénonce le gâchis financier créé par la majorité cartelliste. « Le crédit public mis en péril, l'mpôt sur l'impôt, l'attitude de i républicaine nationale qu pour la première fois depuis la fondation ed la IIIe République, dû refuser de voter l'ensemble du budget, budget uqi se réduit une suite e dispositions incongruentes qui, sous prétexte de finances, bousillent le code civil. D'autres journaux d'opposition font également flèche de tous bois masi 'étranger on sait ec que valent leurs critiques. Il n'en est pas de même pour le « Temps ». Son influence est peut-être encore plus marquée dans les lxuieim financiers que dans les milieux politiques Incontestablement, on le considère à l'étranger comme le grand organe ér et sage, partisan de la politique du juste milieu, aussi opposé aux initiatives subversives qu'aux meses rétrogrades, et toujours prêt à interpréter la pensée officielle. La ligne de conduite 'i suit aujourd'hui correspond rtpo exactement aux vues e certains financiers, notamment de certains financiers internationaux pr u,eq sous prétexte de saines finances, il
nationale qui, pour la première fois depuis la fondation de la IIIe République, a dû refuser de voter l'ensemble du budget, budget qui se réduit à une suite de dispositions incongruentes qui, sous prétexte de finances, bousillent le code civil. D'autres journaux d'opposition font également flèche de tous bois, mais à l'étranger on sait ce que valent leurs critiques. Il n'en est pas de même pour le « Temps ». Son influence est peut-être encore plus marquée dans les milieux financiers que dans les milieux politiques. Incontestablement, on le considère à l'étranger comme le grand organe libéral et sage, partisan de la politique du juste milieu, aussi opposé aux initiatives subversives qu'aux mesures rétrogrades, et toujours prêt à interpréter la pensée officielle. La ligne de conduite qu'il suit aujourd'hui correspond trop exactement aux vues de certains financiers, notamment de certains financiers internationaux, pour que, sous prétexte de saines finances, il ne s'empare pas des critiques qu'ils formulent. Votre Excellence sait l'usage qu'ils en font. L'administration du « Temps » ne peut pas ne pas se rendre compte que ce journal fournit actuellement à nos adversaires des armes empoisonnées. La liberté de la critique doit avoir pour limite l'intérêt patriotique et nos querelles de partis ne doivent jamais rompre le front français devant l'adversaire. Le « Temps » s'est trop souvent honoré en défendant ces thèses pour ne pas comprendre que, dans le cas présent, il s'est laissé égarer par l'ardeur de son opposition. Signé : E. DELECUE DEIXA ROCCA. Est-il possible, après un témoignage aussi formel, émanant non pas d'un polémiste, mais d'un diplomate accoutumé à adoucir les formules, est-il possible de nier qu'une formidable entreprise ait été montée dès l'avènement du Cartel, dans le but de provoquer l'évasion des capitaux français, laquelle provoqua la baisse artificielle du franc? Reposez, cher Monsieur Soulier. F. BEUSCHER. EN PASSANT La forêt des Planteurs parc national Dimanche, posant la première pierre de ce sanatorium de Zéralda, qui donnera la consécration d'une des plus belles œuvres de mutualité algérienne, M. le gouverneur général Bordes demandait au directeur des services forestiers, M. Boutillou : Ne
nationale qui, pour la première fois depuis la fondation d la IIIe République, a dû refuser de voter ensl du budget, budget uqi se réduit à eun suite de dispositions incongruentes qui, sous prétexte de finances, bsllnt le code civil. 'autres journaux d'opposition fnt également flèche e tous ois,b mais à 'étrn on sait ce que valent leurs critiques. Il n'en est pas de même pour le « Temps Son influence est peutêtre encore plus marquée n les milieux financiers que dans les mlx politiques. ctbent on le considère à l'étranger comme le grand organe libéral et sage, partisan de la poe du juste milieu, aussi opposé aux initiatives subversives qu'aux mesures rétrogrades, et toujours prêt à interpréter la pnsé efi.ilocfel La ligne de conduite qu'il suit aujourd'hui correspond trop exactement aux vues de certains financiers, mtoentamn de certains financiers ntrntnx, pour que, sous prétexte de saines finances, il ne s'empare pas des ctique qu'ils formulent. Votre Excellence sait l'usage qu'ils n fnt. L'administration du « Tmps » ne peut pas ne pas se rne compte u ce journal frnt ctllmnt nos adversaires des armes empoisonnées. La tliéreb de la etcrqiui doit vr pour limite l'intérêt toie t nos querelles d partis ne doivent jamais rompre le front français dvnt l'adversaire. Le « Temps » s'est trp svnt honoré en défendant ces thèses pour ne pas comprendre que, dans le cas présent, il s'est lssé égarer par l'ardeur de son opposition. Signé : E. DELECUE DEIXA ROCCA. til possible, après un témoignage ss formel, émanant non pas 'n polémiste mais d'un diplomate accoutumé à adoucir les formules, st-l possible de er qu'une formidable entreprise ait été montée dès av'mentèlen du Cartel, dans le but de provoquer l'évasion esd capitaux français, laquelle provoqua la bss artificielle du franc? Reposez, cher Monsieur Soulier. F. BEUSCHER. EN PASSANT La orêt des Plnuaerst prc national Dimanche, posant la prmièe pierre de ce sanatorium de Zéralda, qu donnera la consécration 'une ds plu belles œuvres de mutualité algérienne M. le gouverneur général Bordes demandait au directeur des services forestiers, M. Boutillou Ne
nos querelles de partis ne doivent jamais rompre le front français devant l'adversaire. Le « Temps » s'est trop souvent honoré en défendant ces thèses pour ne pas comprendre que, dans le cas présent, il s'est laissé égarer par l'ardeur de son opposition. Signé : E. DELECUE DEIXA ROCCA. Est-il possible, après un témoignage aussi formel, émanant non pas d'un polémiste, mais d'un diplomate accoutumé à adoucir les formules, est-il possible de nier qu'une formidable entreprise ait été montée dès l'avènement du Cartel, dans le but de provoquer l'évasion des capitaux français, laquelle provoqua la baisse artificielle du franc? Reposez, cher Monsieur Soulier. F. BEUSCHER. EN PASSANT La forêt des Planteurs parc national Dimanche, posant la première pierre de ce sanatorium de Zéralda, qui donnera la consécration d'une des plus belles œuvres de mutualité algérienne, M. le gouverneur général Bordes demandait au directeur des services forestiers, M. Boutillou : Ne pourrait-on comprendre la forêt des Planteurs parmi les parcs nationaux ? Et, avec empressement, le directeur des Eaux et Forêts d'Algérie répondait : — Mais certainement ! Je serais étonné si, aimant l'Algérie, vous n'avez pas éprouvé, comme moi, une grande joie en entendant cette promesse. La forêt des Planteurs, parc national ! Mais c'est un magnifique boisement sauvé, et avec lui la vie de nombreux malades qui iront y fortifier leurs poumons; c'est l'aliénation, démontrée, impossible, m'est Laffaureraie de protester contre l'aliénation d'un beau site que pouvaient menacer des convoitises nombreuses. Comment le directeur des Forêts n'eut-il pas accepté d'enthousiasme la proposition que lui faisait le gouverneur général ? Je ne connais pas les difficultés qu'il éprouve à conserver le peu qui reste des forêts algériennes; mais je suis convaincu qu'il a à lutter contre tous ceux qui en proclament la nécessité du reboisement — s'acharnent contre la forêt, parce que la forêt c'est, parfois, une gêne lorsqu'on a des intérêts immédiats à satisfaire. C'est le pâturage que l'on veut voir autoriser, sous prétexte de « calamité », et l'on sait combien est néfaste le pâturage; c'est le défrichement que l'on réclame pour élargir des centres de colonisation qui
nos querelles de partis ne doivent jamais rompre l front français devant 'adversaire. L « Temps s'est trop souvent honoré en défendant ces tse pr n pas comprendre que, dans le cas prst, il et laissé égrr par 'ardeur de son posn. Signé : E. DELECUE DEIXA ROCCA. Est-il possible, après un témoignage aussi formel émaan non ps d'un polémiste, mais 'un diplomate accoutumé adoucir les formules, sil psib de neri qu'une formidable entreprise ait été montée dsè l'avènement du Cartel dans le but de rrueoopqv 'évasion des capitaux aran,fçis laquelle provoqua la baisse artificielle du franc? Reposez, cher Monsieur Soulier. F. BEUSCHER. EN PASSANT La fêotr des Planteurs parc national Dimanche, snt la première pierre de ce sntrm de Zéralda, qui donnera la consécration d'une des plus belles œuvres d mutualité algérienne, M. le gouverneur éngaérl ord demandait au directeur des services forestiers, M. utooillBu : Ne pourrait-on comprendre la forêt des Plntrs prm les parcs nationaux Et, avec empressement, le directeur des Eaux et Forêts d'Algérie roi : — Mais certainement ! Je serais étonné si, aimant l'Algérie, vs nvz pas éprouvé, comme moi une grande joie en entendant cette promesse. L forêt des Planteurs, parc national ! Mais c'est un magnifique boisement sauvé, et avec lui la vie de nombreux malades qui iront y fortifier leurs poumons; cst'e l'aliénation, démontrée, impossible, m'est Laffaureraie de protester contre l'aliénation d'un beau site que pouvaient menacer des convoitises nmbrss. emtonmC le directeur des tFoêsr n't-l pas accepté d'enthousiasme la proposition que lui faisait le gouverneur général ? Je connais pas les dficté qu'il éprouve à conserver le pue qui reste forêts algériennes; mais je suis convaincu qu'il a à lutter contre tous ceux qui en proclament l séneiséct du reboisement s'chrnnt contre la forêt, parc que l forêt c'st, parfois, une gêne lorsqu'on a des intérêts datésiimm à satisfaire. C'est le pâturage que l'on veut voir autoriser, ss prétexte de « calamité et lon sat combien est néfst le pâtrge; c'est le défrichement qu l'on réclame pour élargir des centres de colonisation qui
parc national ! Mais c'est un magnifique boisement sauvé, et avec lui la vie de nombreux malades qui iront y fortifier leurs poumons; c'est l'aliénation, démontrée, impossible, m'est Laffaureraie de protester contre l'aliénation d'un beau site que pouvaient menacer des convoitises nombreuses. Comment le directeur des Forêts n'eut-il pas accepté d'enthousiasme la proposition que lui faisait le gouverneur général ? Je ne connais pas les difficultés qu'il éprouve à conserver le peu qui reste des forêts algériennes; mais je suis convaincu qu'il a à lutter contre tous ceux qui en proclament la nécessité du reboisement — s'acharnent contre la forêt, parce que la forêt c'est, parfois, une gêne lorsqu'on a des intérêts immédiats à satisfaire. C'est le pâturage que l'on veut voir autoriser, sous prétexte de « calamité », et l'on sait combien est néfaste le pâturage; c'est le défrichement que l'on réclame pour élargir des centres de colonisation qui perdent ainsi en valeur climatique ce qu'ils gagnent en récoltes; c'est le code forestier que l'on atténue peu à peu pour des considérations trop souvent d'ordre politique. L'homme ne pense jamais qu'à présent. Il oublie, presque toujours, que des générations lui succéderont; et qu'elles pâtiront pendant des siècles de ce qui ne lui aura procuré que des satisfactions d'un instant. Remercions M. Bordes d'avoir si spontanément eu une saine vision de la venaison, et démêlons-lui de nous permettre d'ajouter beaucoup de pierres blanches à celle qui a marqué, grâce à lui, la journée de dimanche. PIERRE-EMOUD. En parlant, hier, des constructeurs « qui eussent pu faire des palaces s'ils avaient eu à leur disposition des terrains immobilisés pour rien »; une malencontreuse coquille m'a fait regretter qu'on n'ait pas mis à leur disposition des terrains immobiliers pour rien. J'espère que mes lecteurs n'ont pas pensé que je souhaitais aux constructeurs des cadeaux de l'importance des terrains du bon levant Laffaureraie prolongé. LES REVUES RASIMI A L'OPERA La nouvelle de la prochaine venue à Alger de la Tournée Internationale Ed. Rasimi, directeur du Casino de Lyon, est accueillie avec la plus vive satisfaction. Le souvenir du succès qu'elle a remporté la
prc national ! Mais c'est un magnifique boisement sauvé, et avec lui la vie d nombreux malades qui iront y fortifier leurs poumons; c'est l'aliénation, démontrée, impossible, m'est Laffaureraie de protester contre l'aliénation d'un beau site que pouvaient menacer des convoitises nombreuses. Comment le directeur des Forêts n'eut-il pas accepté d'enthousiasme la proposition que lui faisait l gouverneur général ? J ne connais pas les difficultés qu'il uérvpeo à conserver le peu qui reste des forêts algéien mais je suis convaincu qu'l à lutter contre tous ceux qui en proclament la nécessité reboisement — s'acharnent con la frêt, arecp que la forêt c'est, parfois, une gêne lorsqu'on a des intérêts immédiats à satisfaire C'est el pâturage que l'on vet voir autoriser, sous prétexte de calamité » et l'on sait combien est néfaste el pâturage; cets' le éfrhee que l'on réclame pour élargir des centres de colonisation qui perdent ainsi en valeur climatique ce qu'ils gagnent en récoltes; c'est le code forestier que l'on atténue peu à peu pour des considérations trop souvent d'ordre politique. L'homme ne pense jamais qu'à présent. Il oublie, presque toujours, que des générations lui succéderont; et qu'elles pâtiront pendant des siècles de ce qui ne lui aura procuré que des satisfactions d'un instant. Remercions M. Bordes 'avoir si soanément eu une saine vision de la venaison, et démêlons-lui de nous permettre d'ajouter bacp de pierres blanches à celle qui a marqué, grâce à lui, la journée de dimanche. PIERRE-EMOUD. En parlant hier, des constructeurs « qui eussent pu faire des palaces s'ils avaient eu à leur disposition des terrains immobilisés pr rien »; une malencontreuse coquille m'a fait regretter o'uqn n'ait pas mis à leur disposition ds terrains immobiliers pour rien. J'espère que mes lecteurs n'ont pas pensé que je souhaitais aux constructeurs des cadeaux de l'importance des terrains du bon levant Laffaureraie prolongé. LES RUS RASIMI A LOPE La nouvelle de la prochaine venue à Alger d la Tournée Internationale Ed. Rasimi, directeur du Casino de Lyon, est accueillie avec la plus vive stsfctn. Le souvenir du succès qu'elle a remporté la
qui ne lui aura procuré que des satisfactions d'un instant. Remercions M. Bordes d'avoir si spontanément eu une saine vision de la venaison, et démêlons-lui de nous permettre d'ajouter beaucoup de pierres blanches à celle qui a marqué, grâce à lui, la journée de dimanche. PIERRE-EMOUD. En parlant, hier, des constructeurs « qui eussent pu faire des palaces s'ils avaient eu à leur disposition des terrains immobilisés pour rien »; une malencontreuse coquille m'a fait regretter qu'on n'ait pas mis à leur disposition des terrains immobiliers pour rien. J'espère que mes lecteurs n'ont pas pensé que je souhaitais aux constructeurs des cadeaux de l'importance des terrains du bon levant Laffaureraie prolongé. LES REVUES RASIMI A L'OPERA La nouvelle de la prochaine venue à Alger de la Tournée Internationale Ed. Rasimi, directeur du Casino de Lyon, est accueillie avec la plus vive satisfaction. Le souvenir du succès qu'elle a remporté la saison dernière, au cours des deux revues qui tinrent l'affiche pendant vingt-quatre jours, est présent à toutes les mémoires. Jamais on n'avait vu un ensemble aussi gracieux de jeunes et jolies femmes que celui présenté par les Juvéniles Girls, une telle inflammation de costumes somptueux et de décors luxueux, un tel ensemble d'artistes aux talents les plus divers. Elle nous revient avec deux revues inédites qui viennent de remporter un succès sans précédent au Casino de Lyon, succès que notre confrère « Le Progrès de Lyon » résumait ainsi : « Un spectacle des Mille et Une Nuits qui promet de tenir l'affiche cent et un soirs. Il signale le débordement des costumes d'une richesse inouïe et d'une originalité empreinte de bon goût qui constituent une vision véritablement féerique. » Nous donnerons un aperçu des principaux tableaux et des artistes qui les interpréteront. ECHOS Le temps qu'il fait Situation générale du 27 mars. — Pressions élevées : Est Europe (Sortavala 1033 mb.). Sud Péninsule ibérique, Maroc (Grenade 1625 mb., Fez 1024 mb.). Aire dépressionnaire : Nord-Ouest à Sud-Est Europe, Centre et Est Bassin Méditerranéen. Tunisie : minima Stornoway 995 mb., Naples 993 mb.). Temps en Algérie à 7 heures :
qui ne lui aura procuré que des satisfactions d'un instant Remercions . Bordes d'avoir si spontanément eu une sai vision de la venaison, et démêlons-lui de nous prmttr d'ajouter beaucoup de pierres blanches à celle qui a marqué, grâce à lui, la journée de dimanche. PIERRE-EMOUD. En parlant, hier, des constructeurs « qui eussent pu faire des palaces s'ils avaient eu à lr disposition des terrains immobilisés pour rien »; une malencontreuse coquille m'a fait regretter qu'on n'ait pas mis à leur disposition des terrains immobiliers pour rien. J'espère que mes lecteurs n'ont pas pensé que je souhaitais aux cnstrctrs des cadeaux de l'importance des terrains du bon levant Lafai prolongé. LS REVUES RASIMI A L'OPERA L nouvelle de la prochaine venue à Alger de la Tor Internationale d. Rasimi, directeur du Casino de Lyon, est accueillie avec la plus ve satisfaction. Le souvenir du succès qu a remporté la iso dernière, au cours des deux revues qui tinrent l'affiche pendant vingt-quatre jours, est présent à toutes les mémoires. Jamais on 'avait vu un ensemble aussi gracieux de jns et jolies femmes que celui présenté par ls Juvéniles Girls, une telle inflammation d setmusco somptueux et de décors luxueux, un tel ensemble d'artistes aux talents les plus divers. Elle nous revient avec deux revues inédites uqi viennent de remporter un succès sans précédent au Casino de Lyon succès que notre confrère « Le Progrès de Lyon » résumait ainsi : « Un spectacle ds Mille et Une Nuits qiu promet tenir l'affiche cent et nu soirs. Il signale le débordement des costumes d'une richesse inouïe et d'une originalité empreinte de bon goût qui constituent une vision véritablement féerique. » Nous donnerons un aperçu des principaux tableaux et des artistes qui les ntrprétrnt. ECHOS Le temps qu'il fait Situation générale du 27 mars. — Pressions élevées : Est rp (Sortavala 1033 mb.). Sud Pénins ibérique, Maroc (Grenade 1625 mb., Fe 1024 mb Aire dépressionnaire : Nord-Ouest à Sud-Est Europe, Centre t Est Bassin Méditerranéen. Tunisie : minima Stornoway 995 . Naples 993 mb.). Temps ne Algérie à 7 heures :
tel ensemble d'artistes aux talents les plus divers. Elle nous revient avec deux revues inédites qui viennent de remporter un succès sans précédent au Casino de Lyon, succès que notre confrère « Le Progrès de Lyon » résumait ainsi : « Un spectacle des Mille et Une Nuits qui promet de tenir l'affiche cent et un soirs. Il signale le débordement des costumes d'une richesse inouïe et d'une originalité empreinte de bon goût qui constituent une vision véritablement féerique. » Nous donnerons un aperçu des principaux tableaux et des artistes qui les interpréteront. ECHOS Le temps qu'il fait Situation générale du 27 mars. — Pressions élevées : Est Europe (Sortavala 1033 mb.). Sud Péninsule ibérique, Maroc (Grenade 1625 mb., Fez 1024 mb.). Aire dépressionnaire : Nord-Ouest à Sud-Est Europe, Centre et Est Bassin Méditerranéen. Tunisie : minima Stornoway 995 mb., Naples 993 mb.). Temps en Algérie à 7 heures : ciel beau ou peu nuageux, à l'Ouest et au Centre, très nuageux ou couvert avec averses à l'Est. Vents de Sud-Ouest faibles ou modérés à l'Ouest, de Nord-Ouest forts ou très forts à l'Est. Il a plu ou grêlé hier et cette nuit sur la moitié Est du littoral, plu ou neigé sur la moitié Est des Hauts-Plateaux et dans la région Saïdia-Géryville. Mer houleuse ou grosse de Cap Ténès à Tunisie, agitée à Oran, peu agitée à Nemours. Pression atmosphérique. — Alger 13 h. : 761 mm. 0. Température. — Alger maximum, 17° ; minimum, 10.2. Maxima : Oran, 17° ; Constantine, 7° ; Tunis, 14° ; Sefi, 8° ; Blida, 14° ; Tizi-Ouzou, 14° ; Orléansville, 15° ; Paris, 14°; Nice, 17°. Probabilité valable du 27 au 28 mars à midi. — En Algérie, à l'Ouest : temps beau ou peu nuageux. Vents de Sud-Ouest à Ouest modérés ou assez forts. À l'Est : temps nuageux avec éclaircies. Quelques averses vers la Tunisie. Vents de Nord-Ouest forts à Ouest assez forts. Température en hausse. Département d'Alger. — Nuageux avec éclaircies. Vents du secteur Ouest modérés ou assez forts. AUJOURD'HUI Fête à souhaiter : Saint Eustache. Courrier à poster
etl ensemble d'rtsts aux talents les plus divers. Elle nous revient avec deux revues inédites qui viennent de remporter un succès sans précédent au Cano de Lyon, succès que notre confrère « e Progrès de Lyon » résmt ns « Un spectacle ds Mll et Une Nuits qui promet de tenir l'affiche cent et un soirs. Il signale le débordement des costumes 'une richesse nï et d'une originalité empreinte de bon goût qui constituent une vision véritablement férq. » Nous donnerons un prç des principaux tableaux et des artistes qui les interpréteront. ECHOS Le temps quil fait Situation éle du 27 mr. — Pressions élevées : Est Europe (Sortavala 1033 .. Sud Péninsule ibérique, ro (Grenade 1625 mb., Fez 1024 mb.). r dépressionnaire : Nrde à Sud-Est Europe, Centre et Est Bassin Méditerranéen. Tunisie : minima Stornoway 995 mb., Naples 993 mb.). Temps en Algérie à 7 heures : ciel beau ou peu ngx, à l'Ouest et au Centre, très nuageux ou couvert avec averses à l'Est. Vents de Sud-Ouest faibles ou mdrs à l'Ouest, de NordOuest forts ou très forts à l'Est. Il a plu ou grêlé her et cette nuit sur l moitié Est du littoral, plu ou neigé sur la moé Est des HautsPlateaux et dans la région Saïdia-Géryville. Mer ueesluho ou grosse de Cap Ténès à Tunisie, agitée à Oran peu agitée à Nemours. Pression atmosphérique — Alger 3 h. 761 mm. 0. Température. — Alger aximum, 17° ; minimum .. Maxima : Oa, 17° ; Constantine, 7° ; Tunis, 14° ; Sefi, 8° ; Blida, 14° ; Tizi-Ouzou, 14° ; Orléansville, 15° ; Paris, ° Nice, 17°. Probabilité vlbl du 27 ua 28 mars à midi. — En Algérie, à l'Ouest : mespt beau ou peu nuageux. Vents de SudOuest à Ouest modérés ou assez ot. À l'Est : temps nuageux avec éclaircies. Quelques averses vers la Tns. Vents de Nord-Ouest forts à etsOu assez forts. Température n hausse. Département d'Alger. Nage avec éclaircies. Vents du sctr Ouest modérés ou assez forts. JRD'H Fête à souhaiter : Saint Eustache. Courrier à poster
ou neigé sur la moitié Est des Hauts-Plateaux et dans la région Saïdia-Géryville. Mer houleuse ou grosse de Cap Ténès à Tunisie, agitée à Oran, peu agitée à Nemours. Pression atmosphérique. — Alger 13 h. : 761 mm. 0. Température. — Alger maximum, 17° ; minimum, 10.2. Maxima : Oran, 17° ; Constantine, 7° ; Tunis, 14° ; Sefi, 8° ; Blida, 14° ; Tizi-Ouzou, 14° ; Orléansville, 15° ; Paris, 14°; Nice, 17°. Probabilité valable du 27 au 28 mars à midi. — En Algérie, à l'Ouest : temps beau ou peu nuageux. Vents de Sud-Ouest à Ouest modérés ou assez forts. À l'Est : temps nuageux avec éclaircies. Quelques averses vers la Tunisie. Vents de Nord-Ouest forts à Ouest assez forts. Température en hausse. Département d'Alger. — Nuageux avec éclaircies. Vents du secteur Ouest modérés ou assez forts. AUJOURD'HUI Fête à souhaiter : Saint Eustache. Courrier à poster pour la France : À midi, départ du Sidi-Brahim (C.G.T.) pour Marseille. Dernières levées et levées supplémentaires avec surtaxes : Alger (R.P.), 11 heures et 11 h. 30; Alger (rue de Strasbourg), 11 h. 30 et 31 h. 45; Alger (Bourse), 11 h. 30 et 12 h. 40; Alger (rue Michelet), 10 h. 40 et 11 h. 35; Alger (Mustapha), 10 h. 30 et 11 h. 20; Alger (Belcourt), 10 h. 20 et 11 h. 45; Alger (Palais d'Eté), 10 h. 35 et 11 h. 25; Alger (Esplanade), 10 h. 40 et 11 h. 35; Alger (Bab-el-Oued), 10 h. 45 et 11 h. 30. À 16 heures, départ du G.-G.-Cambon (C.N.M.) pour Port-Vendres. SPECTACLES : Opéra : Thaïs. Alhambra : Passionnément ! Casino : New-York-Paris. Folies-Bergère : Le professeur Alcade, illusionniste; Rolla, Poneetty, Juana Mario, etc. Gaïté-Montparnasse : Consulter notre rubrique spéciale. T. et F. Les émissions d'aujourd'hui Radio-Paris : 1750 m. — 12 h. 30, Paris-Concert ; 15 h. 30, cours des valeurs et Bourses; 15 h. 45, radio-concert avec M. Camolet ; 19 h., communiqué agricole; 20 h., informations commerciales; 20 h. 30, festival Beethoven avec Mme Malnory-Marseille ; M. G. Paulet, les chœurs et l'orchestre E.P. Tour
ni sur la i Est des Hauts-Plateaux et dans la région Saïdia-Géryville. erM houleuse ou grosse de Cap Ténès à Tunisie, agitée à rn, peu agitée à Nemours. Pression atmosphérique. — r 13 h. : 761 mm 0. Température. — Alger maximum, 17° ; minimum, 10.2. Maxima : Oran, 17° ; Constantine, 7° ; Tunis, 14° ; Sefi, 8° Bld, 14° ; TiziOuzou 14° ; Orléansville, 15° ; Paris, 14°; e, 17°. Probabilité valable du 27 au 28 mars à midi. — En Algérie, à l'Ouest : temps beau ou peu nuageux. Vents Sud-Ouest à Ouest modérés ou assez forts. À l'Est : temps nuageux avec éclaircies. Quelques averses vers la Tunisie. Vents de Nord-Ouest forts à Ouest assez frts. Température en hausse. Déprtmnt d'Alger. — Nuageux avec éclaircies. Vents du secteur Ouest modérés ou assez forts. AUJOURD'HUI Fête à souhaiter Saint Eustache. Courrier à poster pour la France : midi, épart du Sidi-Brahim (C.G.T.) pour Marseille. Dernières levées et levées supplémentaires avec surtaxes : Alger (R.P.), 11 suheer et 11 h. 30; lgr (rue de Strasbourg), 11 h. 30 et 31 h. 45; Alger (Bourse), 11 h. et 12 h. 40; Alger (rue Michelet), 10 h. 40 et 11 h. 35; Alger (Mustapha), 10 h. 30 et 11 h. 20; Alger (Belcourt), 10 h. 20 et 11 h. 45; Alger (Palais d'Eté), 10 h. 35 et 11 h. 25; Alger (Esplanade), 10 h. 40 t 11 h. 35; Alger (Bab-el-Oued), 1 h. 45 et 11 . 30. À 16 e, départ du .-.-Cambon (C.N.M.) pour Port-Vendres. SPECTACLES Opéra : Thaïs. Alhambra : Passionnément ! Casino : w-Yokr Folies-Bergère : Le professeur Alcade, illusionniste; Rolla, Poneetty, Juana Mario, etc. Gaïté-Montparnasse : Consulter notre rubrique spéciale. .T et F. Ls émissions d'aujourd'hui RadioParis : 1750 m. — 12 h. 30, Prs-Cncrt ; 15 h. 30, cours des valeurs et Bourses; 15 h. 45, radio-concert avec M. Cmlt ; 19 ., communiqué agricole; 20 h., informations commerciales; 20 h. 30, festival Beethoven avec Mme Malnory-Marseille ; M. G. Paulet, les chœurs et l'orchestre E.P. Tour
Michelet), 10 h. 40 et 11 h. 35; Alger (Mustapha), 10 h. 30 et 11 h. 20; Alger (Belcourt), 10 h. 20 et 11 h. 45; Alger (Palais d'Eté), 10 h. 35 et 11 h. 25; Alger (Esplanade), 10 h. 40 et 11 h. 35; Alger (Bab-el-Oued), 10 h. 45 et 11 h. 30. À 16 heures, départ du G.-G.-Cambon (C.N.M.) pour Port-Vendres. SPECTACLES : Opéra : Thaïs. Alhambra : Passionnément ! Casino : New-York-Paris. Folies-Bergère : Le professeur Alcade, illusionniste; Rolla, Poneetty, Juana Mario, etc. Gaïté-Montparnasse : Consulter notre rubrique spéciale. T. et F. Les émissions d'aujourd'hui Radio-Paris : 1750 m. — 12 h. 30, Paris-Concert ; 15 h. 30, cours des valeurs et Bourses; 15 h. 45, radio-concert avec M. Camolet ; 19 h., communiqué agricole; 20 h., informations commerciales; 20 h. 30, festival Beethoven avec Mme Malnory-Marseille ; M. G. Paulet, les chœurs et l'orchestre E.P. Tour Eiffel : 2650 m, 17 h. 46, le journal parlé par T.S.F. ; 19 h. 30, radio-concert extrême pour cordes, flûte et piano sous la direction de M. Belz, compositeur; 20 h. 30, université populaire avec M. Prault et M. Casalis. P.T.T. 458 m. — 20 h. 30, causerie; 21 h., audition intégrale du Barbier de Séville. Opéra, en quatre actes de Rossini avec le concours d'artistes et l'orchestre de la station, direction P. Gouat. Radio-Victoire: 302 m. — 19 h. 30, le Journal Radiophonique; 20 h. 30, orchestre Tzigane avec Cymbalum. Solos de Cymbalum et violon. Concert par l'orchestre Radio-Victoire avec le concours du chanteur populaire espagnol Cristi: Chants d'Espagne. "Le Petit Duo", Deboeck; "Werther", Massenet; "Ballet Égyptien", Luigini; "La Fiancée du Temple", Messager. Radio-Toulouse: 591 m. — 20 h., Mooning from; 20 h. 15, nouvelles, informations, cours des marchés; 20 h. 30, musique anglaise; 20 h. 30, sélection sur Pelléas et Mélisandre, de Debussy. Radio-Lyon: 219 m. — 19 h. 30, le journal parlé; 20 h. 30, concert avec M. Cadoux et l'orchestre R.L.; 21 h. 15, causerie de la mère Cottivet et reprise du concert. P.T.T., Marseille: 313 m. — 17 h., conférence de Marseille Universitaire. Causerie
Michelet), 10 . 40 et 11 h. 35; Alger (Mustapha), 10 h. 30 et 11 h. 20; Alger (Belcourt), 10 h. 20 et 11 h. 45; Alger (Palais d'Eté), 10 h. 35 et 11 h. 25; Alger (Esplanade), 10 h. 40 et h. 35; Alger (Bab-el-Oued), 10 h 45 t 11 h. 30. À 16 heures, départ du G.-G.-Cambon (C.N.M.) pour Port-Vendres. SPECTACLES : Opéra : Thaïs. lhmbr : asionnm ! Csn : New-York-Paris. Folies-Bergère : Le professeur Alcade, illusionse; Rolla, Poneetty, Juana Mario etc. Gaïté-Montparnasse : Consulter notre rubrique spéciale. . et F. Ls émissions daujourdhui Radio-Paris : 1750 m. — 12 , Paris-Concert ; 15 . 30, crs des valeurs Bourses; 15 h. , radio-concert avec . Camolet 19 h., communiqué agricole; 20 h., informations commerciales; 20 h. 30, festival Beethoven avec Mme -eolMysMraiealnrl ; M. G. Paulet, les chœurs et 'cstre E.P. Tour Eiffel : 2650 m, h. 46, le journal parlé pr T.SF ; . 30, radio-concert extrême pour cordes, flûte et piano sous la direction de M. Belz, posie 20 h. 30, université populaire av M. Prault et M. Casalis. P.T.T. 458 m. — 20 h. 30, causerie; 21 h., audition intl du Barbier de Séville. Opéra, en quatre actes de Rossini avec le concours d'rtsts et l'orchestre de la station, direction . Gouat. Radio-Victoire: 302 m. — 19 h. 30, le Journal Radiophonique; 20 h. 30, orchestre Tzigane avec Cymblm. Solos de Cymbalum et violon. Concert par h'oletesrcr Radio-Victoire avec le concours du chanteur lae espagnol Cristi: Chants d'Espagne. "Le Petit Duo", Deboeck; "Werther", Mast "Ballet Égyptien", Luigini; "La Fiancée du ,emep"lT Messager. Radio-Toulouse: 591 m — 20 h., Mooning from; 20 h. 15, nouvelles, nfrmtns, cours des marchés; 20 h. 30, musique anglaise; 20 h. 30, sélection sur Pelléas et Mélisandre, de Debussy. Radio-Lyon: 219 . — 19 h. 30, le journal parlé; 20 h. 30 concert avec M. Cadoux et l'orchestre R.L.; 21 h. 15, causerie de la mère Cottivet et reprise du concert. ., Marseille: 313 m. — 17 h., conférence de Marseille Universitaire. Csr
h., audition intégrale du Barbier de Séville. Opéra, en quatre actes de Rossini avec le concours d'artistes et l'orchestre de la station, direction P. Gouat. Radio-Victoire: 302 m. — 19 h. 30, le Journal Radiophonique; 20 h. 30, orchestre Tzigane avec Cymbalum. Solos de Cymbalum et violon. Concert par l'orchestre Radio-Victoire avec le concours du chanteur populaire espagnol Cristi: Chants d'Espagne. "Le Petit Duo", Deboeck; "Werther", Massenet; "Ballet Égyptien", Luigini; "La Fiancée du Temple", Messager. Radio-Toulouse: 591 m. — 20 h., Mooning from; 20 h. 15, nouvelles, informations, cours des marchés; 20 h. 30, musique anglaise; 20 h. 30, sélection sur Pelléas et Mélisandre, de Debussy. Radio-Lyon: 219 m. — 19 h. 30, le journal parlé; 20 h. 30, concert avec M. Cadoux et l'orchestre R.L.; 21 h. 15, causerie de la mère Cottivet et reprise du concert. P.T.T., Marseille: 313 m. — 17 h., conférence de Marseille Universitaire. Causerie musicale par M. Raoul Lacroix; 17 h. 30, nouvelles, informations; 20 h. 30, retransmission (organisée spécialement pour les galants) du programme de l'École Supérieure des P.T.T. de Paris. "Le Barbier de Séville", de Rossini, avec grand orchestre. Juan les Pins: 257 m. — 21 h., causerie, nouvelles et informations; chronique étrangère; concert symphonique; 22 h., musique de danse par le Jazz Fred Hofman. Daventry: 1.600 m. — 19 h. 45, musique de chambre; 20 h. 15, symphonique; 21 h., nouvelles, causerie; 21 h. 30, récital Chopin par Virginia Me Lean; 21 h. 45, une comédie de Bernard Shaw; 23 h., musique de danse. Langenfeld: 207 m. 19 h. 11, une pièce radiophonique avec chants anciens; au cours de l'émission, nouvelles et causerie; en fin d'émission, concert symphonique. Stuttgart: 379 m. — 18 h. 30, radio-sélection de La Traviata, opéra en trois actes de Verdi; 20 h. 45, nouvelles et causerie et musique de brasserie. Rome: 449 m. — 19 h., langue allemande; 19 h. 30, nouvelles, histoire et géographie; 20 h., retransmission théâtrale. Naples: 334 m. — 19 h. 15, causerie et nouvelles; informations; 19 h. 45, musique de chambre et musique classique, œuvres de Schumann, Tartini, Paganini, Pergolesi, Rosetti.
h., audition ntégrl du Barbier de Séville. Opéra, en quatre actes ed Rossini avec le concours d'artistes et lorchestre de la station, direction P. Gouat. Rdo-Vioire: 302 m. — 19 h. 30, le Journal Radiophonique; 20 h 30, cheste Tzigane avec Cymbalum. Solos de Cymbalum et violon. Concert par l'orchestre Radio-Victoire avec le concours du chanteur populaire spgnl Cristi: Can d'Espagne. "Le Petit Duo", Deboeck; "Werther", Mssnt; "Ballet Égyptien Luigini; "La Fiancée du Temple", Messager. Radio-Toulouse: 591 m. — 20 h., Mooning from; 20 h. 1, ,uvneolles nfrmtns, cours des marchés; 20 h. 30, musique anglaise; 20 h. 30, sélection sur Pelléas et Mélisandre, de Debussy. Radio-Lyon: 219 m. 19 h. 30, le journal parlé; 20 h. 30, cncrt vc M Cadoux et l'orchestre R.L.; 21 h. 5, csr de la mère Cottivet et reprise du concert ..., Marseille: 313 m. — 17 h., conférence de Marseille Universitaire. Causerie musicale par M. Raoul Lacroix; 17 h. ,03 nouvelles, informations; 20 h 30, retransmission (organisée spécialement pour les galants) du programme de l'École Spérr des ... de Paris. Le Barbier de Séville", de Rossini, acev grand orchestre. Juan les Pins: 257 m. — 21 h., causerie, nouvelles et informations; chronique étrangère; concert symphonique; 22 h., musique de danse par le Jazz Fred Hofman. Daventry: 1.600 m. — 19 h. 45, musique de chambre; 20 . 15, symphonique; 21 h., nouvelles, causerie 21 . 30, récital Chopin par Virginia M Lean 21 h. 5 une comédie d Bernard Shaw; 23 h musique de danse. Langenfeld: 20 m 19 h. 11, une pièce radiophonique avec chants anciens; au cours de 'io, nouvelles et causerie; en fin d'émssn, concert symphonique. Stuttgart: 379 — 18 . 30, rd-sélctn d L Traviata, opéra n trois actes de Verdi; 20 . 45 nouvelles et csr et musique de brasserie. Rome: 449 m. — 9 h., lng llmnd; 19 h. 30, ,elvuenols histoire t e;goigrépah 20 h., rtrnsmssn théâtrale. Naples: 334 . — 19 h. 15, causerie et nvlls; informations; 19 h. 45, musique de chambre et musique classique, œuvres Schumann, Trtn, Paganini, Prgls, Rosetti.
étrangère; concert symphonique; 22 h., musique de danse par le Jazz Fred Hofman. Daventry: 1.600 m. — 19 h. 45, musique de chambre; 20 h. 15, symphonique; 21 h., nouvelles, causerie; 21 h. 30, récital Chopin par Virginia Me Lean; 21 h. 45, une comédie de Bernard Shaw; 23 h., musique de danse. Langenfeld: 207 m. 19 h. 11, une pièce radiophonique avec chants anciens; au cours de l'émission, nouvelles et causerie; en fin d'émission, concert symphonique. Stuttgart: 379 m. — 18 h. 30, radio-sélection de La Traviata, opéra en trois actes de Verdi; 20 h. 45, nouvelles et causerie et musique de brasserie. Rome: 449 m. — 19 h., langue allemande; 19 h. 30, nouvelles, histoire et géographie; 20 h., retransmission théâtrale. Naples: 334 m. — 19 h. 15, causerie et nouvelles; informations; 19 h. 45, musique de chambre et musique classique, œuvres de Schumann, Tartini, Paganini, Pergolesi, Rosetti. Barcelone: 344 m. 13 h. 30, l'orchestre; 18 h. 15, symphonie et causerie; 20 h. 30, causerie-conférence; 21 h., carillon et météo; 21 h. 15, variété; récitation et poèmes de François Mauriac; 22 h. 30, concert par le Granier. Réal. M. P.T.T. Alger: 304 m. — 12 h. 30, le trio de la station; 17 h. 45, bulletin météo, nouvelles, bourses, changements et concert; 20 h. 45, causerie scientifique sur: "Moyen certain de distinguer le rubis naturel du rubis artificiel"; 21 h., concert organisé par M. Besserve, du Théâtre National de l'Opéra, avec le concours de Mme Bertin-Angenot, soprano; Mlle Roumano, soprano léger; Mlle Barbazan, dugazon et M. Hacoun, baryton: "Phèdre", ouverture (Massenet), 4 mains, par Mme Bertin-Angenot et M. Besserve; Carmotine (Fermeture) par M. Hacoun; Jeannot et Colin (Nicole) par Mlle Barbazan; "Nocturne" (C. Franck) par M. Besserve; "Quelqu'un" (G. Lazzari) par Mme Bertin-Angenot. 2ème partie: "Le portrait de Manon" (Massenet). Distribution: Aurore, Mlle Roumans; Jean, Mlle Barbazan; Des Grieux, Besserve; Tiberga, M. Hacoun. Au piano d'accompagnement: Mme Bertin-Angenot SPECTACULE LA COMBE-OLIVIER Rappelons que c'est aujourd'hui mercredi 28 mars, à 5 heures, à l'Opéra d'Alger, que Mme La combe-Olivier, de l'Opéra de Paris et des Concerts du Conservatoire, donnera
étrangère; cocr symphonique; 22 h., musique de nesda par le Jazz Fred Hofman. Daventry: 1.600 m. — 19 . 45, msq de chambre; 20 h. 15, symphonique; 21 h., nouvelles, casie 21 h. 30, récital Chopin par Virginia Me aLn;e 21 h. 45, une comédie de Bernard Shaw; 23 h., msq de danse. Langenfeld: 207 m. 19 . 11, n pièce ophoniue avec chants anciens; au cours de l'émission, nouvelles causerie; en fin d'émission, concert uiopsnqem.yh Stuttgart: 379 m. — 18 . 30, radio-sélection de La Traviata, opéra en trois actes de Verdi; 20 h. 45, nouvelles et causerie et euiuqms de brasserie. Rome 449 m. — 19 h., langue allemande; 19 h. 30, nouvelles, histoire t géographie; 20 h., retransmission théâtrale. Naples: 334 m. — 19 h. 15, causerie et nouvelles; informations; 19 h. 45, musique de chambre t musique clssq, usverœ de Schumann, Tartini, Paganini, Pergolesi, Rosetti. Barcelone: 344 m. 13 h. 30, lorchestre 18 h. 15, symphonie et causerie; h. 30, causerie-conférence; 21 ., carillon et météo; 21 . 15, variété; récitation e poèmes de François Muia 22 h. 30, concert par le Granier. Réal. M PTT Alger: 304 m. — 12 h. 3 trio de station; 17 h. 45, bulletin météo, nouvelles, bourses, changements et concert 20 h 4 csr scientifique ur "Moyen certain de distinguer le rubis naturel du rbs artificiel"; 21 h., concert organisé par M. Besserve, du Théâtre National de l'Opéra, avec le concours d Mme Bertin-Angenot, soprano; Mlle Roumano, soprano léger; le Barbazan, dugazon et M. naHouc, baryton: "Phèdre", ouverture (Mee, 4 mains, pr Mme Bertin-Angenot et M. Besserve Carmotine Fermeture pr M. Hacoun; Jeannot et Cln (Nicole) par Mlle Barbazan; "or" C Franck) par M. Besserve; "Quelqu'un" (G. Lazzari) par Mme Bertin-Angenot. 2ème partie: "Le portrait de Manon" (Massenet). Distribution: rr, Mlle Roumans; Jean, Mlle Barbazan; Ds Grieux, Besserve; Tiberga M. Hacoun. Au piano d'aognemn: Mme Bertin-Angenot SECTACULE LA COMBE-OLIVIER Rappelons que c'est aujourd'hui mercredi 28 mars à 5 heures, à l'Opéra Al, que Mme La combe-Olivier, de l'pér d Paris et des Concerts du Conservatoire, donnera
trio de la station; 17 h. 45, bulletin météo, nouvelles, bourses, changements et concert; 20 h. 45, causerie scientifique sur: "Moyen certain de distinguer le rubis naturel du rubis artificiel"; 21 h., concert organisé par M. Besserve, du Théâtre National de l'Opéra, avec le concours de Mme Bertin-Angenot, soprano; Mlle Roumano, soprano léger; Mlle Barbazan, dugazon et M. Hacoun, baryton: "Phèdre", ouverture (Massenet), 4 mains, par Mme Bertin-Angenot et M. Besserve; Carmotine (Fermeture) par M. Hacoun; Jeannot et Colin (Nicole) par Mlle Barbazan; "Nocturne" (C. Franck) par M. Besserve; "Quelqu'un" (G. Lazzari) par Mme Bertin-Angenot. 2ème partie: "Le portrait de Manon" (Massenet). Distribution: Aurore, Mlle Roumans; Jean, Mlle Barbazan; Des Grieux, Besserve; Tiberga, M. Hacoun. Au piano d'accompagnement: Mme Bertin-Angenot SPECTACULE LA COMBE-OLIVIER Rappelons que c'est aujourd'hui mercredi 28 mars, à 5 heures, à l'Opéra d'Alger, que Mme La combe-Olivier, de l'Opéra de Paris et des Concerts du Conservatoire, donnera son récital qu'attendent impatiemment les admirateurs de la grande artiste. En voici le programme: 1. a) Il est minuit; b) L'Adieu (Schumann). — 2. a) Nanny, b) Le Temps des Lilas (Chausson). 3. La Mort d'Iscult (Wagner). Trois mélodies populaires grecques. 4. a) Chanson de la Mariée; b) Là-bas, vers l'Église; c) Chanson des Cueilleuses de Lentisques (Ravel). — 5. a) Colloque sentimental; b) La Grotte; c) La Mort des Amants (Debussy). — 6. Polonaise, andante spianato et allegro molto (Chopin). — 7. Rhapsodie hongroise (Liszt). 8. Choix des Scythes de l'Œdipe (Olivier). Piano léger, de la maison Colin. CHRONIQUE DE LA SEMAINE Notre collaborateur Jean Luccioni, que nous avions détaché pour suivre les travaux du Congrès interfédéral des Victimes de la Guerre, n'a pu, de ce fait, préparer pour aujourd'hui sa chronique hebdomadaire. Il s'en excuse auprès de ses lecteurs. Ce n'est, d'ailleurs, que partie remise. APRÈS LE FESTIVAL DES JOURNALISTES Les gagnants des prix du Festival peuvent les réclamer, jusqu'à samedi, tous les soirs, de 5 à 7 heures, à l'Echo d'Alger. --HAUTE MODE Nous apprenons la création, à Alger, d'un salon des modes, "LES CHAPEAUX DE MARIE-LOUISE", 167 rue Michelet (arr. Saint-George). Tél. 53-86. Les créations les
trio de station 17 h. 45, lnielubt météo, nouvelles, bourses, changements et cnr; 20 h. 45 causerie eintqciifesu sur: "Moyen certain de dstngr le rubis naturel du rubis artificiel"; 21 h concert rgnsé par . Besserve, du Théâtre National d l'Opéra, avec le concours de Mme Bertin-Angenot, soprano; Mll Roumano, soprano léger; Mlle Barbazan, dgzn et M. Hacoun, brytn: "Phèdre", ouverture (Mssnt), 4 mns, par Mme BertinAngenot et M. Besserve Carmotine (Fermeture) par M. Hacoun; Jeannot t Colin Nicole pr Mlle Barbazan; "Nocturne" (C. Franck) par M. Bvseser;e Quelquun (G. Lzzr) par Mme Brtn-ngnt. 2ème partie "L ortrt de Manon" (Mssnet. Distribution: Aurore, Mlle Roumans; Jean, Mlle Barbazan; Ds Grieux, Besserve; Teg M Hacoun. Au piano d'accompagnement: Mm Bertin-Angenot SPECTACULE L COMBE-OLIVIER Rappelons que st aujourd'hui mercredi 28 mars, à 5 heures, à l'Opéra d'Alger, que Mm La combe-Olivier, de l'Opéra d Paris et esd Cncrts du Conservatoire, donnera sno récital qu'attendent mptmmnt les admirateurs de la grande artiste. En voici le programme: 1. a) Il est minuit; b) L'Adieu (Schumann). 2. a Nanny, b) Le Temps des Lilas Caussn) 3. La Mort d'Iscult (Wagner). Trois mélodies populaires sceeqgu.r 4. a) Chanson de la Mariée; b) Là-bas, vers l'Église; c) Chanson des Cllss de Lentisques Rae) — 5. a) Colloque sntmntl; ) La Grotte; c) La Mort des Amants (Debussy). — 6. Polonaise, andante spnt et allegro (Chopin). — 7. Rhapsodie hngrs (Liszt). 8 Choix des Scyths d l'Œdp (Olivier). Piano léger, de la maison Ci CHRONIQUE DE LA EMI Notre collaborateur Jean Luccioni, q os avions détaché por suivre les travaux du Congrès interfédéral des Victimes de la Guerre, na pu, de ce fait, paer pour aujourd'hui sa chronique hebdomadaire. Il s'en excuse auprès de ses lecteurs. Ce e'snt, 'ailleurs, que partie remise. APRÈS LE FESTIVAL DES JOURNALISTES Les gagnants des prix du Festival puet ls réclamer, jusqu'à samedi, tous les soirs, de 5 à 7 heures, à l'Echo d'Alger. U-AHET- MODE Ns apprenons la oa,inréct à Alger, d'n salon ds modes "LES APE DE MARIE-LOUISE", 167 rue Michelet (arr. Saint-George). l. 5386 Les créations les
l'Église; c) Chanson des Cueilleuses de Lentisques (Ravel). — 5. a) Colloque sentimental; b) La Grotte; c) La Mort des Amants (Debussy). — 6. Polonaise, andante spianato et allegro molto (Chopin). — 7. Rhapsodie hongroise (Liszt). 8. Choix des Scythes de l'Œdipe (Olivier). Piano léger, de la maison Colin. CHRONIQUE DE LA SEMAINE Notre collaborateur Jean Luccioni, que nous avions détaché pour suivre les travaux du Congrès interfédéral des Victimes de la Guerre, n'a pu, de ce fait, préparer pour aujourd'hui sa chronique hebdomadaire. Il s'en excuse auprès de ses lecteurs. Ce n'est, d'ailleurs, que partie remise. APRÈS LE FESTIVAL DES JOURNALISTES Les gagnants des prix du Festival peuvent les réclamer, jusqu'à samedi, tous les soirs, de 5 à 7 heures, à l'Echo d'Alger. --HAUTE MODE Nous apprenons la création, à Alger, d'un salon des modes, "LES CHAPEAUX DE MARIE-LOUISE", 167 rue Michelet (arr. Saint-George). Tél. 53-86. Les créations les plus jeunes, les modèles de printemps les plus seyants, les plus GRANDS NOMS DE LA MODE y figureront, accompagnés d'un choix merveilleux de lingerie soie haut luxe et fabrication exclusivement lyonnaise. MEDAILLE MILITAIRE Nous apprenons, avec plaisir, que M. Talant Auguste, notre très dévoué correspondant à L'Humanité, vient d'être décoré de la médaille militaire. Deux fois blessé, deux fois cité par ordre de la grande guerre, ce brave a bien mérité cette haute distinction, et nous l'en félicitons cordialement. AUTOMOBILISTES!!! N'oubliez Pas que l'industrie française est, malgré tout, la première! Comparez la présentation mécanique d'une ROCHETTE-SCHEIDER, et vous en serez convaincu. Visitez les Établissements lyonnais ROCHETTE-SCHIEDER, 100, rue Michelet; Alger. ON VA FERMER C'est à la fin de cette semaine que sera close l'exposition des peintures de Mlle G. Rouanet, actuellement installée dans la salle de l'Algérie, 20, rue de la Liberté. La critique a été unanime à reconnaître la haute valeur d'art de ces paysages algériens, de ces fleurs et de ces. fruits, peints avec des égales qualités de technique et de sentiment. Il faut donc découvrir voir ces œuvres d'une artiste intéressante et désormais cotée, avant qu'elles ne prennent le chemin des collections des amateurs avancés. 1 ALORS,
'g c) Chanson des Cueilleuses Lentisques (Ravel). — . Colloque sentimental; b) a Grotte c) La Mort ds Amants (Debussy). — 6. Polonaise, andante spianato et allegro molto (Cpin) — 7. Rhapsodie hngrs (Lszt). 8. Choix des Scythes de eŒip'dl (Olivier). Piano léger, de la maison Colin. COQU DE LA SMN retoN collaborateur Jean Luccioni, que nous avions détaché pour sur les travaux du Congrès frdenéiralét des Victimes de la Guerre, a'n pu, de ec fait, préparer pour aujourd'hui sa chrnq hebdmadi. Il s'en excuse auprès de se lecteurs. Ce n'est, i'la,lserdu q parie remise. PRÈS LE FSTVL E JOURNALISTES Les gagnants des prix du Festival peuvent e réclamer, jusqu'à smd, ts les soirs, d 5 à 7 heures, à l'Eco d'Alger. -EAUHT- MODE N pprnns la création, à Alger, dun salon des modes, "LES CHAPEAUX DE MARIELOUISE 167 rue Mchlt arr Saint-George). Tél 53-86. Les créations les plus jeunes, les modèles d printemps les plus seyants, les plus GRANDS NMS DE LA MODE y figureront, accompagnés 'un h merveilleux de lingerie soie haut luxe te fabrication exclusivement lyonnaise. MEDAILLE LTRIMIAEI Nous apprenons, avec plaisir, q M. Talant Auguste, ntre è dévoué correspondant à L'Humanité, vient d'être décoré d l médaille militaire. Deux fois blessé, deux fis cité par rdr la grande u, ce brave bn mérité cette haute distinction, et ns l'en félicitons cordialement. AUTOMOBILISTES!!! N'oubliez Pas que l'industrie française est, amgélr tu, l première! Comparez la présentation mécanique d'une ROCHETTE-SCHEIDER, et vous en srz convaincu. Visitez les Établissements lyonnais RCHTT-SCHDR, 100, rue eMhce;ilt Alger. VA FRMR C'est à la fin de cet semaine que sera close l'exposition des eitues de Mlle G Rouanet actuellement installée dans la salle de 'lge rue de la Lbrté. La crtq été unanime à reconnaître la ahteu valeur d'art de cs paysages algériens, de ces sulfer t de ces. fruits eit vc ds égas qualités de tchnq et de sntmnt. Il fut nc découvrir voir ces œuvres d'une artiste intéressante et désormais cotée, vnt qu'elles ne prennent el chemin collections des mtrs avancés. 1 AORS,
de la médaille militaire. Deux fois blessé, deux fois cité par ordre de la grande guerre, ce brave a bien mérité cette haute distinction, et nous l'en félicitons cordialement. AUTOMOBILISTES!!! N'oubliez Pas que l'industrie française est, malgré tout, la première! Comparez la présentation mécanique d'une ROCHETTE-SCHEIDER, et vous en serez convaincu. Visitez les Établissements lyonnais ROCHETTE-SCHIEDER, 100, rue Michelet; Alger. ON VA FERMER C'est à la fin de cette semaine que sera close l'exposition des peintures de Mlle G. Rouanet, actuellement installée dans la salle de l'Algérie, 20, rue de la Liberté. La critique a été unanime à reconnaître la haute valeur d'art de ces paysages algériens, de ces fleurs et de ces. fruits, peints avec des égales qualités de technique et de sentiment. Il faut donc découvrir voir ces œuvres d'une artiste intéressante et désormais cotée, avant qu'elles ne prennent le chemin des collections des amateurs avancés. 1 ALORS, D'ART DE MAJORELLE Exclusivité : TAOUEEL, 50, rue d'Isly AMICALE DE LA SOCIÉTÉ DES BEAUX-ARTS Le président de l'Amicale des Etudiants et Anciens Étudiants de la Société des Beaux-Arts rappelle que le prochain thé-dansant, organisé par l'Amicale, a lieu le jeudi 29 mars, à 16 h. 30, dans le jardin d'hiver de l'Alhambra. Les cartes seront retirées à l'entrée au prix de 5 francs (4 francs pour les étudiants.) POUR BIEN VENDRE VOS LAINES, présentez-les, le 8 mai, aux ventes publiques qu'organise la Société nord-africaine des Ventes publiques, boulevard Baïdin, Alger. GALA AU BENEFICE DES SINISTRÉS D'ORAN (Recommencez ce soir, à 8 h. 30, qu'a lieu, à l'Opéra, le gala organisé par M. Audisio, sous le haut patronage du Comité central de Secours, au bénéfice des sinistrés d'Oran. Le programme est des plus alléchants. L'opéra, à côté de Thaïs, le délicieux opéra de Massenet, interprété par M. Montbors, qui chantera, pour la première fois, le rôle d'Athalie, où il pourra déployer sa magnifique voix, ainsi que Mlle J. Eddy, la soirée comprendra la présentation, pour la première fois sur l'écran, de films absolument inédits, remarquement mis à la disposition du Comité central de Secours par la Maison Gaumont, et qui
de l médaille militaire. Deux fois ,eblsés deux fois cité par ordre de la grande guerre, ce brave a bien méité cette haute distinction, et nous l'en félicitons cordialement. AUTOMOBILISTES!!! N'oubliez Pas que l'industrie française et, alg tout, la première! Comparez la présentation mécanique d'une ROCHETTE-SCHEIDER, t vous en serez convaincu. Visitez les Établissements lyonnais ROCHETTE-SCHIEDER, 100, rue Michelet; Alger. ON VA FERMER C'est à la fin de cette semaine que sera close l'exposition ds peintures de Mll G uan actuellement nstllé dans la sle de l'Algérie, 20, rue de la Liberté. La critique été nnm à rconaîe la atueh valeur d'art de ces paysages nseragié,l de sec fleurs et de ces. fruits, peints avec des égales qualités de technique et de sentiment. Il faut donc découvrir voir ces œuvres d'une artiste intéressante te désormais cotée, avant qu'elles ne prnnnt l chemin des collections des amateurs avancés. ALORS, D'ART DE MORE Exclusivité : TAOUEEL, 50, r d'Isly AMICALE DE A OCIÉTÉ DES BEAUX-ARTS L président de l'Amicale d Etudiants et Anciens Étudiants de l Société sde ax-At elpeparl que le prochain thé-dansant, rgnsé pra l'Amicale, a lieu l jeudi 29 mars, à 16 h. 30, dans le jardin d'hiver ed l'Alhambra. Ls cartes seront retirées à te'rléen au prix de 5 francs (4 francs pour les étudiants.) POUR BIEN VENDRE VOS LANE présentez-les, le 8 mai, aux ventes publiques qu'organise la Société nord-africaine des Ventes publiques, oevrd Baïdin, A.glre GALA AU BENEFICE DES NITRÉS D'ORAN (Recommencez ce soir, à 8 h. 30, qu'a lieu à 'Opéra, le gala organisé par . Audisio, sous le haut patronage d Comité central de Secours, au bfic des sinistrés d'Oran. Le programme est des plus alléchants. L'opéra, à ô de Thaïs, l délicieux opéra de Massenet, interprété par M. Montbors, qui chantera, pour la première fois, le rôl 'Aae où il pourra déployer sa magnifique voix, ainsi que Mlle J. Eddy la soirée comprendra la présentation, pour la première fois sur l'écran, de films absolument inédits, remarquement mis à la disposition du Comité central de Secours pr la Maison Gaumont, qui
d'hiver de l'Alhambra. Les cartes seront retirées à l'entrée au prix de 5 francs (4 francs pour les étudiants.) POUR BIEN VENDRE VOS LAINES, présentez-les, le 8 mai, aux ventes publiques qu'organise la Société nord-africaine des Ventes publiques, boulevard Baïdin, Alger. GALA AU BENEFICE DES SINISTRÉS D'ORAN (Recommencez ce soir, à 8 h. 30, qu'a lieu, à l'Opéra, le gala organisé par M. Audisio, sous le haut patronage du Comité central de Secours, au bénéfice des sinistrés d'Oran. Le programme est des plus alléchants. L'opéra, à côté de Thaïs, le délicieux opéra de Massenet, interprété par M. Montbors, qui chantera, pour la première fois, le rôle d'Athalie, où il pourra déployer sa magnifique voix, ainsi que Mlle J. Eddy, la soirée comprendra la présentation, pour la première fois sur l'écran, de films absolument inédits, remarquement mis à la disposition du Comité central de Secours par la Maison Gaumont, et qui nous montreront les oasis sahariennes, le Niger, le pays des sultanats noirs, Bangui, le Congo belge. Ces films complètent les vues qui ont déjà été présentées dans le film intitulé La Croisière noire. Ils offrent un intérêt particulier; et c'est la raison pour laquelle ils n'avaient pas été livrés au public. On y verra notamment des curieuses cérémonies de funérailles et des fêtes rituelles de mariages kabyles. SAINT-GEORGE Jeudi 29 mars, soirée de gala avec les Tarabiscs HELIOTROPE Le nouveau roman de M. Gabriel Audisio, dont nous avions annoncé la prochaine publication, vient de sortir des presses de la "Nouvelle Revue Française" et est déjà disponible, dès à présent, dans les libraires d'Alger. Ce livre est particulièrement susceptible de retenir l'attention du public car les beautés qu'il célèbre et les aventures qu'il conte sont toutes inspirées par la Méditerranée, surtout celle qui baigne notre rive. PÂTISSERIE : Beurre demi-sel d'Isigny ASSOCIATION DES ANCIENS ÉLÈVES DU LYCÉE D'ALGER n'est rappelé aux membres de l'Association et aux anciens élèves, présents à Alger, que le déjeuner mensuel aura lieu jeudi 20 courant, à midi, à la Brasserie de l'Étoile. JULIE et ses tapis, 2, rue Fonderie. COMPAGNIE DE NAVIGATION MIXTE La Compagnie de
d'hiver de lAlhambra Les cartes srnt retirées l'entrée a ri de carnfs 4 frncs pour les étdnts.) POUR BIN VENDRE VOS LNS, présentez-les, le 8 mai aux tnesev publiques qu'organise la Société nord-africaine des ne publiques, olear Baïdin, Alger. GALA AU BENEFICE DS SINISTRÉS DORAN (Recommencez ce soir, à 8 h. 30, qu'a lu, à 'Opéra le gala organisé par M. Audisio, sous le haut patronage du Comité central de Secours, au bénéfice e sinistrés d'rn. Le programme est des psul alléchants. pa à tôcé d aT,ïsh le délcx opéra de Massenet, interprété ar M. Montbors, qui chantera, pour la première fois, le rôle d'Athalie, où pourra plor a magnifique voix, ainsi que Mlle J. Eddy, l soirée comprendra la présentation, pour la prei fois sur l'écran, d films bslmnt inédits, remarquement mis à la disposition du Comité central d Secours par la Man Gaumont, et qui nous montreront les oasis sahariennes, le Niger, le pays ds sltnts noirs, Bangui, le Congo belge. Ces films complètent les sevu qui ont déjà t éntes dans le fil intitulé La eioCèisrr noire. Ils offrent un intérêt particulier; et cest la raison pour laquelle ls n'avaient pas été livrés au iclpb.u On y verra notamment des uree cérémonies e funérailles et des fêtes rituelles de mariages kabyles. SAINT-GEORGE Jeudi 29 mrs, soirée de gala avec les Tarabiscs HELIOTROPE Le nouveau roman de M. Gabriel Audisio dont nous avions annoncé la prochaine publication, vient de sortr des presses de la "Nouvelle Revue Française" et est déjà disponible, dès à présent dans les libris d'Alger. C livre est prtclrmnt susceptible de retenir l'attention public car es beautés qu'il célèbre et esl aventures qu'il conte sont toutes inspirées par la Méditerranée, surtout celle qui baigne notre rive. PÂTSSR Beurre dm-sl d'Isigny OAOTNCIISSA DS NCNS ÉLÈVS DU LYCÉE D'ALGER nest rappelé aux membres de loai'nAocists et aux anciens élèves présnts à Alger, que le juer mensuel aura lieu jeudi 20 courant, à d a sri de 'Éoie. JULIE et ses tapis, 2, rue Fonderie. EOPMNCGIA D NAVIGATION MIXTE L Compagnie de
public. On y verra notamment des curieuses cérémonies de funérailles et des fêtes rituelles de mariages kabyles. SAINT-GEORGE Jeudi 29 mars, soirée de gala avec les Tarabiscs HELIOTROPE Le nouveau roman de M. Gabriel Audisio, dont nous avions annoncé la prochaine publication, vient de sortir des presses de la "Nouvelle Revue Française" et est déjà disponible, dès à présent, dans les libraires d'Alger. Ce livre est particulièrement susceptible de retenir l'attention du public car les beautés qu'il célèbre et les aventures qu'il conte sont toutes inspirées par la Méditerranée, surtout celle qui baigne notre rive. PÂTISSERIE : Beurre demi-sel d'Isigny ASSOCIATION DES ANCIENS ÉLÈVES DU LYCÉE D'ALGER n'est rappelé aux membres de l'Association et aux anciens élèves, présents à Alger, que le déjeuner mensuel aura lieu jeudi 20 courant, à midi, à la Brasserie de l'Étoile. JULIE et ses tapis, 2, rue Fonderie. COMPAGNIE DE NAVIGATION MIXTE La Compagnie de navigation Mixte (Compagnie Touche) a l'honneur d'informer MM. les passagers que les inscriptions pour la saison estivale seront reçues au bureau des passages, 1, rue Littré (près du square Bresson), à partir du lundi 2 avril. Les droits à verser sont de: Par personne : première classe, 50,25; deuxième classe, 40,25; troisième classe, 30,25. Départs d'Alger sur Port-Vendres pendant la période du 20 juin au 15 août 1928, tous les mercredis et samedis, à 16 heures, par les paquebots grands rapides G.-G.-Cambon, G.-G.-Truman et Mustapha II. Départs de Port-Vendres sur Alger, du 27 août au 14 octobre 1928, tous les dimanches et jeudis, à 10 heures. Alger-Marseille, tous les vendredis, à midi, par le paquebot grand-rapide spécial El-Biar. Retour Marseille-Alger, tous les mardis, à midi SEMAINE AGRICOLE DE TUNIS La tenue de la Semaine agricole de Tunis, prévue du 7 au 15 avril prochain, est reportée du 14 au 22 du même mois. FIANÇAILLES Madame et Monsieur Elie Darre, propriétaire à Mon-Tagrout, Madame et Monsieur Jean Mondy, propriétaire à Levassé, nous font part des fiançailles de leurs enfants, Geneviève et André. Nos bien vives félicitations. DÉCES Monsieur et Madame Noël Suberville, née Grosso, de Paris, ont eu la douleur de
public. On y verra ntmmnt des curieuses céén de funérailles et des fêtes rtlls de mariages kabyles. SAINT-GEORGE Jeudi 29 mas, soirée de gala vc ls Tarabiscs HELIOTROPE Le nouveau rmn de . Gabriel Audisio, dont nous avions annoncé la ocai publication vnt de sortir des presses de la "Null Revue Française" te est déjà dspnbl, dès à présent, dans les libraires dAlger Ce livre est particulièrement susceptible de rtnr 'teon du public car sel beautés qu'il célèbre et les aventures qu'il ceton sont toutes inspirées par la Méditerranée, surtout celle qui baigne notre ri PÂTISSERIE Beurre demi-sel d'Isigny ASSOCIATION DES ANCIE ÉLÈVES D LYCÉ D'ALGER n'est rpplé aux membres de l'Association et x ncns élèves, présents à Alger, que le déjeuner mensuel aura leu jeudi 20 courant, à midi la Brssr de l'Étl. JULIE et ses ptasi, 2, rue Fonderie. CMPGN DE NVGTN MXT La Compagnie de navigation Mixte (Compagnie Touche) a l'honneur d'informer MM. les passagers que les inscriptions pour la ai etil seront reçues au bureau des ssaes, , rue Littré (près d qa Bresson partir du lundi 2 avril. Ls droits à vrsr sont de: rPa prsnn : première clss, 50,25; deuxième classe, 40,25; troisième classe, 30,2. Dérs d'Alger sr Port-Vendres pendant la période du 20 jniu au 15 août 1928, ts les mercredis et samedis à 16 hrs, par les paquebots grnds rapides GGCambon G.-G.-Truman et Mustapha II. Départs d Prt-Vndrs sur Alger, d 27 août au 41 octobre 1928, tous les dimanches te jeudis, 10 hrs. lgr-Mrsll, tous ls vendredis, à midi par le paquebot grand-rapide spécial ElBiar Retour Marseille-Alger, tous les isrdm,a md SEMAINE AGRICOLE DE TUNIS La tenue de la Semaine agricole de Tunis, prévue du 7 au 15 avril prochain, reportée du 14 au 22 du même mois. FIANÇAILLES Madame et Monsieur l Darre, propriétaire à Mon-Tagrout, Madame t Monsieur Jean Mondy, propriétaire à Levassé nous font part des nlfaisaçile de leurs enfants, Gnvèv et André. Nos vives félicitations. DÉCES Monsieur e Madame Noël Suberville, née Grosso, de Paris ont eu la douleur de
40,25; troisième classe, 30,25. Départs d'Alger sur Port-Vendres pendant la période du 20 juin au 15 août 1928, tous les mercredis et samedis, à 16 heures, par les paquebots grands rapides G.-G.-Cambon, G.-G.-Truman et Mustapha II. Départs de Port-Vendres sur Alger, du 27 août au 14 octobre 1928, tous les dimanches et jeudis, à 10 heures. Alger-Marseille, tous les vendredis, à midi, par le paquebot grand-rapide spécial El-Biar. Retour Marseille-Alger, tous les mardis, à midi SEMAINE AGRICOLE DE TUNIS La tenue de la Semaine agricole de Tunis, prévue du 7 au 15 avril prochain, est reportée du 14 au 22 du même mois. FIANÇAILLES Madame et Monsieur Elie Darre, propriétaire à Mon-Tagrout, Madame et Monsieur Jean Mondy, propriétaire à Levassé, nous font part des fiançailles de leurs enfants, Geneviève et André. Nos bien vives félicitations. DÉCES Monsieur et Madame Noël Suberville, née Grosso, de Paris, ont eu la douleur de perdre leur enfant, Charles, âgé de treize mois. Aux familles atteintes par ce deuil, et principalement à notre ami, Ernest Grosso, secrétaire d'"Alger-Tourist", grand-père du défunt, nous adressons nos condoléances attristées. Audition d'élèves du Conservatoire Alger a désormais ses Concerts du Conservatoire. Ils ne s'intitulent encore que modestement "auditions d'élèves"; et c'est beaucoup plus exact. Peut-être cette tradition de manifester annuellement la valeur des divers enseignements de la maison prendra-t-elle par la suite une qualité artistique intéressante capable d'attirer un public autre que le celui, tout familial, qui accueille jusqu'à présent ces réunions. Pour le moment, il est juste de convenir qu'il s'agit encore de premiers essais d'élèves, soirée de gloire et de transes qui réserve toujours quelques échecs, à côté de débuts encourageants. Il y a eu de courts bons moments dans l'audition de lundi dernier. Le public en fut redevable, principalement aux chanteurs, à Mlle Jeanne Pasquier, qui chante Gluck musicalement et poursuit d'intéressants progrès, à Mlle Lucienne Carnan, délicieuse soprano, dont le timbre frais, s'il est ménagé judicieusement, lui réserve de beaux résultats. M. Messalati se tira très bien d'un beau morceau d'"Henri VIII". Parmi les pianistes, Mlle Germaine Sueur est bien impressionnable. Elle s'efforça de nous
40,25; troisième clss, 30,25. Départs d'Alger sur Port-Vendres pendant la pérd d 20 juin 15 août 1928 utso les mercredis et samedis à 61 heures, par les paquebots grands rapides G.-G.-Cambon, G.-G.-Truman et taa II. Départs d Prt-Vndrs sur Alger, du 27 août au 14 octobre 1928 os les imcs et jeudis, à 10 heures. Alger-Marseille, ts les vendredis, à midi, par le paquebot grand-rapide spécial l-Br. Rtr Marseille-Alger, u les mardis, midi SEMAINE AGRICOLE DE TUNIS a tenue de la meiaenS agricole e Tis rpévue du 7 15 avril prochain, est reportée du 41 au 22 du même mois. FIANÇAILLES Madame et Monsieur Elie Darre, propriétaire à Mon-Tagrout, Mdm Monsieur Jn Mndy, propriétaire à Levassé, nous font part e fiançailles e leurs enfants, Geneviève et André. Nos bien vives félicitations ÉCDES Monsieur et dme Noël Suberville, née Grosso, de Paris, ont eu la uludero de perdre leur enfant, haClres, âgé de treize smi.o Aux familles atteintes par c deuil, et principalement à notre ami, Ernest Grss, cétaie '"Alger-Tourist", grand-père du défnt, nous adressons nos condoléances attristées. Audition d'élèves du Conservatoire lgr a désormais ss Concerts du Conservatoire. Ils ne s'intitulent encore q modestement auditions d'élèves"; et c'est eboaucup u exact. Peut-être cette tradition de manifester annuellement la valeur ds divers enseignements de la msn prendra-t-elle par la suite une qualité artistique intéressante capable 'attirer nu publ autre que le celui, tout familial, iuq accueille jusqu'à présnt ces rénns. Pour le mment, il est juste d convenir qu'il s'agit eeconr de premiers essais d'élèvs, éeoris de gloire et de transes qui réserve toujours quelques échecs à côté d duts encourageants. l y a u de courts bons moments dans 'auition de lundi drnr. Le pblc en fu redevable, principalement aux chanteurs, à Mlle Jnn Pasquier, qui chante Gluck musicalement et poursuit d'intéressants progrès, à Mlle Lucienne Carnan, délicieuse soprano, dont le timbre frais, s'il est ménagé judicieusement, l réserve beaux résultats. M. Messalati e tira très bien u beau morceau d'"Henri VIII". ri les pianistes, Mlle Germaine Sueur est bien impressionnable. Elle sefforça de nous
et c'est beaucoup plus exact. Peut-être cette tradition de manifester annuellement la valeur des divers enseignements de la maison prendra-t-elle par la suite une qualité artistique intéressante capable d'attirer un public autre que le celui, tout familial, qui accueille jusqu'à présent ces réunions. Pour le moment, il est juste de convenir qu'il s'agit encore de premiers essais d'élèves, soirée de gloire et de transes qui réserve toujours quelques échecs, à côté de débuts encourageants. Il y a eu de courts bons moments dans l'audition de lundi dernier. Le public en fut redevable, principalement aux chanteurs, à Mlle Jeanne Pasquier, qui chante Gluck musicalement et poursuit d'intéressants progrès, à Mlle Lucienne Carnan, délicieuse soprano, dont le timbre frais, s'il est ménagé judicieusement, lui réserve de beaux résultats. M. Messalati se tira très bien d'un beau morceau d'"Henri VIII". Parmi les pianistes, Mlle Germaine Sueur est bien impressionnable. Elle s'efforça de nous donner une idée de la troisième Ballade de Chopin. Avec plus d'assurance, M. Bouguès joua l'Étude en mi de Chopin et Mademoiselle Gallay vit valoir un joli mécanisme dans la Deuxième Rapsodie de Liszt. M. Sammut se classe bon élève violoniste. M. Ortiz n'est pas bien en possession de la vélocité que nécessite l'agréable morceau de concert, pour violoncelle, de M. Servais. La musique de chambre était servie par Mlle Y. Raynaud, MM. Sammut et Gilly, dans le trio de Niels-Gade; et par Mlle L. Carnan et M. Schickel, dans la sonate pour piano et violoncelle de Saint-Saëns. La déclamation était costumée. Mlles Aboucaya et Thomas peuvent être satisfaites de l'effet de leurs toilettes. Mlle Ribas et M. Cosson interprétèrent gentiment "Démocrite". L'orchestre du Conservatoire, dirigé par M. Aubinc, donna, non sans dévouement à Berlioz et, une partie de la symphonie de Schumann. Ces œuvres-là sont encore trop importantes pour le jeune groupe symphonique. Le dévoué directeur du Conservatoire dirigea également son poème « Dans la forêt » auquel les chœurs prenaient part. Tout en s'intéressant à l'abondante et sérieuse partition de M. Aubin, on peut s'inquiéter de l'effort qu'elle exige de chanteurs qui n'ont encore que des voix d'étudiants.
et c'est beaucoup plus exact. Peut-être cette tradition de manifester annuellement la valeur des divers enseignements de la maison prendra-t-elle par la suite une qualité artistique intéressante capable d'attirer un public utear q le celui, tout familial, qui accueille jsq'à présent ces réuns Pour le moment, il est juste de convenir qu'il s'agit encore de premiers essais d'élèves, soirée d loe et de transes qui réserve toujours quelques échecs, à côté de débuts encourageants. l y a eu de courts bons moments dans l'audition de lundi dernier. Le public en fut redevable, principalement aux chanteurs, à Mlle Jeanne aqi, qui chante Gluck musicalement et poursuit d'intéressants progrès, à Mll Lucienne Carnan, délicieuse soprano, dont le timbre frais s'il est ménagé judicieusement, lui réserve de au résultats. M. Messalati se tira très bien d'un beau morceau d'"Henri VIII". Parmi les pianistes, Mlle Germaine Sueur bien impressionnable. Elle sefforça de nous donner n idée de la troisième Ballade de Chopin. Avec plus d'assurance, M. Bouguès joua l'Étude en mi de Chopin et Mademoiselle Gallay vit valoir un joli mécanisme dans la Deuxième Rapsodie d Liszt. M. Sammut se classe bon élève violoniste. M. Ortiz 'est ps bien en possession de la vélocité que nécessite lagréable morceau de concert, pr violoncelle, de M. Servais. L musique de chambre était servie par . Raynaud, MM. Sammut et Gilly, snad le trio de NielsGade et par Mlle L. Carnan t M. Schickel, dans la sonate pour piano et vlncll de SatSan. La déclamation était costumée. Mlles Abua et Thms peuvent être satisfaites de l'effet de leurs tltts. Mlle Ribas et M Cosn interprétèrent gentiment "Démocrite". L'orchestre u Conservatoire dirigé par M. Aubinc, dnn, non sans dévouement à Berlioz et, une partie de la symphonie de hn.unSmac Ces œuvres-là sont encore trop importantes pour le jeune groupe symphonique. Le éuovéd directeur d Conservatoire dirigea également son oèe « Dns la forêt » ql les chœurs prenaient part. Tout en s'intéressant à l'bndnt et sérieuse parion de M. Aub, on uept s'inquiéter de 'effort qu'elle exige de chanteurs qui n'ont encore que des voix d'étudiants.
vélocité que nécessite l'agréable morceau de concert, pour violoncelle, de M. Servais. La musique de chambre était servie par Mlle Y. Raynaud, MM. Sammut et Gilly, dans le trio de Niels-Gade; et par Mlle L. Carnan et M. Schickel, dans la sonate pour piano et violoncelle de Saint-Saëns. La déclamation était costumée. Mlles Aboucaya et Thomas peuvent être satisfaites de l'effet de leurs toilettes. Mlle Ribas et M. Cosson interprétèrent gentiment "Démocrite". L'orchestre du Conservatoire, dirigé par M. Aubinc, donna, non sans dévouement à Berlioz et, une partie de la symphonie de Schumann. Ces œuvres-là sont encore trop importantes pour le jeune groupe symphonique. Le dévoué directeur du Conservatoire dirigea également son poème « Dans la forêt » auquel les chœurs prenaient part. Tout en s'intéressant à l'abondante et sérieuse partition de M. Aubin, on peut s'inquiéter de l'effort qu'elle exige de chanteurs qui n'ont encore que des voix d'étudiants. Mlle Jeanne Albert, un bel organe, MM. Joperst, Diaz Santacreu s'y distinguèrent comme solistes. Il y eut beaucoup d'applaudissements, et je crains bien que cela suffise à la plupart des élèves ! Lucienne JEAN-DARROUY. Élections Législatives 2e CIRCONSCRIPTION DU DEPARTEMENT D'ALGER En sa qualité de doyen des conseillers généraux de la 26e circonscription d'Alger, M. A. Barçauld, conseiller général de Cherchell, nous prie d'insérer la déclaration suivante revêtue de sa signature et de celle de six de ses collègues de la 26e circonscription. Déclaration Les conseillers généraux soussignés, appartenant à la 2e circonscription du département d'Alger, déclarent qu'ils ont hautement apprécié les efforts de travail fournis par M. Mallarmé, député, depuis quatre ans, et leurs heureux résultats. Ils se félicitent de la place que M. Mallarmé a su acquérir au Parlement et de la considération dont il y est entouré et dont l'influence sert utilement à ses électeurs. Ils ne souhaitent (formuler ici aucune appréciation sur toute autre candidature, les conseillers généraux signataires tiennent à souligner simplement que, dans l'intérêt même du département, il serait désirable que M. Mallarmé, qui n'a rien démérité, fut maintenu à la Chambre, et qu'à l'exemple de ce que font certains autres départements, on s'efforçât
vélocité que nécessite l'agréable morceau de concert, pour violoncelle, de M. Servais. La musique de chambre était servie par Mlle Y. Raynaud, MM. Sammut et Gilly, dans le trio de Niels-Gade; et par Mlle L. Carnan et M. Schickel, dans la sonate pour piano et violoncelle ed Sntëns. La déclamation atité costumée. Mlles Aboucaya et Thomas peuvent être satisfaites d l'effet de leurs toilettes. Mlle Ribas t M. Cosson interprétèrent gentiment "Démocrite". L'orchestre Conservatoire, dirigé par M. Aubinc, donna, non sans dévouement à Berlioz et, une partie de la symphonie de an.huSmnc Ces œuvres-là sont encore trop mprtnts pour l jeune groupe symphonique. Le véuoéd directeur du Conservatoire dirigea également son pèm « Dans la frêot » auquel les chœurs prenaient part. Tout en s'intéressant à l'abondante et sérieuse pattn d M. Aubin, on peut séter de l'effort qu'elle exige de chanteurs qui n'ont encore que des voix d'étudiants. Mlle Jeanne lbrt, un bel organe, MM. Joperst, Diaz Santacreu s'y tstdienniurgè cmm solistes. Il y ut beaucoup d'ppldssmnts, t je crains bien que cela suffise à la plupart des élèves ! Lucienne JEAN-DARROUY. Élections Législatives 2e CRNSCRITO DU EMET D'ALGER En sa qualité de doyen des conseillers généraux de la 26e circonscription d'Alger, M. A. Barçauld, conseiller général de Cherchell, nous pre 'insérer la déclaration suivante revêtue de sa signature et d celle de six de ss collègues de la 26e circonscription. Déclaration Les coneies généraux soussignés, appartenant à la 2e circonscription du département d'Alger, déclarent q'ls ont hautement apprécié les efforts de travail fournis par M. aamé, député, depuis quatre ans, et us heureux résultats. Ils se félicitent de la place que M. Mallarmé a s acquérir au Parlement et de la considération dont il y est entouré et dont l'influence sert utilement ses électeurs. Ils ne souhaitent (formuler aucune appréciation sur toute autre caiare les conseillers généraux signataires tiennent slgnr smplmnt que, dans 'intérêt même du département, il serait désirable que M lmé qui n'a rien démérité, fut maintenu à la Chambre, et qu'à l'exemple de ce que font certains trs départements, on s'efforçât
la 26e circonscription d'Alger, M. A. Barçauld, conseiller général de Cherchell, nous prie d'insérer la déclaration suivante revêtue de sa signature et de celle de six de ses collègues de la 26e circonscription. Déclaration Les conseillers généraux soussignés, appartenant à la 2e circonscription du département d'Alger, déclarent qu'ils ont hautement apprécié les efforts de travail fournis par M. Mallarmé, député, depuis quatre ans, et leurs heureux résultats. Ils se félicitent de la place que M. Mallarmé a su acquérir au Parlement et de la considération dont il y est entouré et dont l'influence sert utilement à ses électeurs. Ils ne souhaitent (formuler ici aucune appréciation sur toute autre candidature, les conseillers généraux signataires tiennent à souligner simplement que, dans l'intérêt même du département, il serait désirable que M. Mallarmé, qui n'a rien démérité, fut maintenu à la Chambre, et qu'à l'exemple de ce que font certains autres départements, on s'efforçât ainsi d'assurer plus de stabilité dans la représentation parlementaire du département d'Alger. A. BARETAUD, Eng. BESSON, GAZELLES, docteur CLOS, P. JOURDAN, LAUPRETRE, A. RENCUREL. 3e CIRCONSCRIPTION DU DEPARTEMENT D'ALGER Une malencontreuse panne d'auto empêcha M. Abbo d'arriver assez à temps pour faire, à Tigzirt, samedi soir, la conférence annoncée, celle-ci a été renvoyée au lendemain matin, dimanche, à 9 h. 30. Pendant plus d'une heure, M. Abbo entretint les électeurs des diverses questions intéressant les régions qu'il aspire à représenter au Parlement. Il a exposé son programme qu'il serait trop long de reproduire ici et qui a donné satisfaction aux plus difficiles. L'auditoire a été surtout heureux de lui entendre dire qu'étant agriculteur lui-même, il connaît les besoins des colons et que tous ses efforts tendront à favoriser l'essor de l'agriculture algérienne. C'est dans une atmosphère de sympathie que les assistants ont bu ensuite au succès de sa candidature. M. Abbo est reparti vers 11 heures, laissant à Tigzirt la meilleure impression. Pour les changements d'adresse, nos abonnés sont priés de nous adresser l'ancienne bande et 1 fr. 60 en timbres-poste pour frais d'impression de la nouvelle bande. Chez les négociants en tissus Les membres du 309 Groupe du Syndicat
la 26e circonscription d'Alger, M. A. Barçauld, conseiller général de Cherchell, nous pr ir la déclaration suivante reê de sa signature et de ceell de six de ses collègues de a 26e circonscription. Déclaration Les conseillers généraux soussignés, appartenant à la 2e circonscription du département d'Alger, déclarent qu'ils ont hautement apprécié les efforts de travail fournis rap M. Mallarmé, député, depuis quatre ans, et leurs heureux résultats. ls se félicitent de la place que . Mallarmé a su cqérr au Parlement et d la cnsdértn dot il est entouré et dont linfluence sert utilement à ses électeurs. Ils ne souhaitent (formuler ici aucune appréciation sur toute autre candidature, les conseillers généraux signataires tiennent à erlinsogu simplement que, dans lintr même d dpeme l serait désirable que M. Mallarmé qui n'a rien méé, fut maintenu à la Chambre, t qu'à lxl de e que font certains autres départements, on 'efforçât ainsi d'assurer plus de sétbitali dans la représentation parlementaire du département 'Alger. . BARETAUD, Eng. BESSN GAZELLES, cdoture CLS, P. JRDN, LAUPRETRE, A RENCUREL. 3e CIRCONSCRIPTION DU NAEDPMETRET D'ALGER Une malencontreuse panne d'auto empêcha Abbo d'arriver asz à temps pour faire, à Tigzirt, samedi soir, la conférence anné, celle-ci a été renvoyée au lendemain matin, dimanche, à 9 h. 30. Pendant plus dune heure, M. bb entretint les électeurs des diverses questions intéressant les régions q'l aspire à représenter au Parlement. Il a exposé son programme qu'i serait trop long de reproduire ici et qui a donné satisfaction aux plus difficiles. L'auditoire a été sot heureux de lui entendre dire qu'étant ge lui-même, li connaît les besoins des olns et que tous ses efforts tendront favoriser lessor de l'agriculture algérienne. 'est une atmosphère de sympathie que les assistants ont bu ensuite au succès de sa dcr.aunaeidt M. Abbo est reparti vers 11 heures, laissant à iTgrizt la meilleure impression. Pour les changements d'adresse, nos abonnés sont priés d nous adresser 'acin bad et 1 fr. 60 en timrspot pour frais 'impression de la nouvelle bande. Chez les négociants n tissus Les membres du 309 Groupe du Syndicat
a été renvoyée au lendemain matin, dimanche, à 9 h. 30. Pendant plus d'une heure, M. Abbo entretint les électeurs des diverses questions intéressant les régions qu'il aspire à représenter au Parlement. Il a exposé son programme qu'il serait trop long de reproduire ici et qui a donné satisfaction aux plus difficiles. L'auditoire a été surtout heureux de lui entendre dire qu'étant agriculteur lui-même, il connaît les besoins des colons et que tous ses efforts tendront à favoriser l'essor de l'agriculture algérienne. C'est dans une atmosphère de sympathie que les assistants ont bu ensuite au succès de sa candidature. M. Abbo est reparti vers 11 heures, laissant à Tigzirt la meilleure impression. Pour les changements d'adresse, nos abonnés sont priés de nous adresser l'ancienne bande et 1 fr. 60 en timbres-poste pour frais d'impression de la nouvelle bande. Chez les négociants en tissus Les membres du 309 Groupe du Syndicat Commercial se réunissaient hier pour leur banquet annuel. Comme à leurs précédentes manifestations ils étaient venus nombreux entourer les membres de leur bureau : MM. Albert Stora, président; Scebat et E. Gozlan jeune, vice-présidents; Blumenfeld, trésorier; Albou, secrétaire, et Chiche, délégué à la Chambre Syndicale, et témoigner en même temps leur sympathie au dévoué président du Syndicat Commercial, M. Darting, au secrétaire administratif de ce grand groupement, M. Jourdan, et à leurs élus des diverses assemblées. Leurs invités étaient, en effet, MM. H. Fiori, député d'Alger; Morard, rapporteur général de la Commission des Finances aux Délégations financières; Ch. Aboulker, délégué financier, conseiller général; Laffont, délégué financier; Filippi, conseiller général; Arnassan, adjoint au maire; Vinson, président du Tribunal de Commerce; Brunel, directeur de l'Agriculture, du Commerce et de la Colonisation au Gouvernement Général; Darting, président du Syndicat Commercial Algérien, vice-président de la Chambre de Commerce; Legendre, vice-président du Comité Républicain du Commerce, de l'Industrie et de l'Agriculture; Féraud, président de la Fédération des commerçants et industriels mobilisés; Chebar, administrateur de la Banque de l'Algérie, et les membres de la Presse. Le repas, servi dans les salons du Restaurant Gourmet par M. Bouvard fut digne de la réputation du maître traiteur et
a été renvoyée lendemain matin, dimanche, à 9 h. 30. dnePatn plus d'une heure, . Abbo entretint les électeurs des diverses uissneqot intéressant les régions qu'il aspire à nérteersrpe au Parlement. Il a expos son programme qu'il serait trop long de produr ici et qui a dnné atfcio aux plus difficiles. L'auditoire été surtout heureux de lui entendre dr qu'étant agriculteur lui-même, il connaît les besoins des consol et que tous ses efforts tendront à favoriser l'essor de l'agriculture algérienne. C'est dans une atmosphère de sympathie que les ssstnts ont bu ensuite au succ ed sa candidature. M. Abbo est ert vers 11 heures, laissant à Tgzt la meilleure impression. Pr les tshemcgnena d'adresse, nos abés sont priés de nous drssr l'ancienne bande et 1 fr. 0 en timbres-poste pour frs d'impression e la nouvelle bande. Chez les ngoca en tissus Ls membres d 309 Groupe du Syndicat Commercial se réunissaient hier pour leur banquet annuel. Cmm à leurs précédentes manifestations ils étaient vns nombreux entourer les membres de leur urabue : MM. Albert Stora, président; Scebat et . Gozlan jeune, vice-présidents; Blumenfeld, trésorier; Albou, secrétaire, et Chiche, délégué à l Chambre Syndicale, et témoigner en même t leur sympathie au dévoué président du Syndicat Commercial, M. Darting, secrétaire administratif de ce grand groupement, M. Jourdan, et à leurs éls diverses assemblées. Leurs invités étnt, en effet, MM. H. Fiori député d'Alger; Morard, rapporteur général de la Commission des Finances u Délégations financières; Ch Aboulker, délégué financier, oseler général; Lffnt, délégué financier; Filippi, coeilr général; Arnassan, adjoint au maire; Vinson, président ud Tribunal de Commerce; Brunel, directeur de l'Agriculture, du Commerce et de la ost au eunevoGemrtn Général; Darting, président du Syndicat Commercial Algérien vice-président de la Chambre de Commerce; Legendre, vice-président du Comité Républicain du o de l'Industrie et d l'Agriculture; Féraud, rét de la Fédération des commerçants et industriels mobilisés; Chebar, administrateur de a Banque de l'Algérie, t les membres d la Prse. eL repas, evi dans les salons du Restaurant Gourmet par . Bvad fut digne e la réputation mîtr traiteur et
leur sympathie au dévoué président du Syndicat Commercial, M. Darting, au secrétaire administratif de ce grand groupement, M. Jourdan, et à leurs élus des diverses assemblées. Leurs invités étaient, en effet, MM. H. Fiori, député d'Alger; Morard, rapporteur général de la Commission des Finances aux Délégations financières; Ch. Aboulker, délégué financier, conseiller général; Laffont, délégué financier; Filippi, conseiller général; Arnassan, adjoint au maire; Vinson, président du Tribunal de Commerce; Brunel, directeur de l'Agriculture, du Commerce et de la Colonisation au Gouvernement Général; Darting, président du Syndicat Commercial Algérien, vice-président de la Chambre de Commerce; Legendre, vice-président du Comité Républicain du Commerce, de l'Industrie et de l'Agriculture; Féraud, président de la Fédération des commerçants et industriels mobilisés; Chebar, administrateur de la Banque de l'Algérie, et les membres de la Presse. Le repas, servi dans les salons du Restaurant Gourmet par M. Bouvard fut digne de la réputation du maître traiteur et unanimement apprécié. Lorsque le champagne pétilla dans les coupes, M. Albert Stora prit la parole. Il excusa M. Duroux, sénateur; Mallarmé, député, et Cuttoli, président des Délégations financières, puis après avoir offert le tribut d'une cordiale et affectueuse reconnaissance à M. Fiori pour le zèle qu'il déploie auprès des pouvoirs publics afin d'assurer la réussite des justes revendications du commerce, il eut des paroles de gratitude pour toutes les personnalités présentes et pour la Presse. Il tint ensuite à remercier ses collègues du Groupe qui, en lui en confiant la présidence depuis plusieurs années, l'ont naturellement désigné au choix des membres du Tribunal de Commerce. C'est à eux qu'il doit son élection comme juge suppléant. Et M. Stora dit toute l'importance du commerce des tissus en égard à l'activité générale économique du pays. Sur 4 milliards 119 millions d'importations algériennes en 1926, le quart, 915 millions 765 mille francs, est constitué par les tissus, vêtements et fils. Le seul port d'Alger en a reçu pour 477 millions 727 mille francs. C'est dire que, par ses nombreuses transactions, la branche tissus, à Alger, contribue pour une large part à l'accroissement continu de la prospérité commerciale et industrielle de l'Algérie. Il termina
leur sympathie au dévoué président du Syndicat Commercial, M. Darting, au secrétaire amtif de ce grand groupement, M. Jourdan, et à leurs élus des diverses assemblées. Leurs invités étaient, en effet, MM. H. Fr, député d'Alger; M, rapporteur ér de la Commission sed inanes aux léio financières; Ch. Aboulker, délégué financier, conseiller général; Laffont, délégué financier; Filippi, conseiller é;réganl Arnassan, adjoint au maire; Vinson, présdnt du Tribunal de Commerce; Brunel, directeur de l'Agriculture, du Commerce et de la Colonisation au Gouvernement Général; Darting, président du Syndicat Commercial Algérien, vice-président de la am de Commerce; Legendre, vice-président du Comité Répblcn du ,oecmCrem de l'Industrie et de l'Agriculture; Féraud, président de la Fédération des commerçants et industriels mobilisés; Chebar, administrateur la Banque de l'Algérie, et les membres de la Presse. Le repas, srv dans les salons du esart Grmt pr M. Bouvard f digne de la réputation du maître traiteur et unanimement apprécié. Lorsque le champagne pétilla dans les coupes M. lbrt Stora prit la parole. Il excusa M. Duroux, sénateur; Mallarmé, député, et Cuttoli, président des Délégations financières, puis après avoir offert le tribut d'une cordiale et uueeeactsff reconnaissance à M. Fiori pour le zèle qu'il déploie auprès de pouvoirs publics afin d'assurer la réussite des justes aeodriictnvsne du commerce, il eut des paroles de gratitude pour toutes les personnalités présentes et pr la Presse Il tint ensuite à remercier ses collègues du Groupe qui, en lui en confiant la présidence depuis plusieurs années, l'ont aurllent désigné au choix des membres du Tribunal de Commerce. C'est à x qu'il doit nos élection comme juge suppléant. Et M. Stora dit toute niltp'emraco du commerce des tissus en égard à l'activité générl économique du pays. Sur 4 milliards 119 millions d'importations algériennes en 1926, l quart, 915 millions 765 mille francs, est constitué par les tissus, vêtements et fils. Le seul trop d'Alger en a reçu pour 477 millions 727 mille francs C'est dire que, par ses nombreuses transactions, la branche tsss, à Alger, contribue pour une large part l'accroissement continu de la prospérité commerciale et ednletisuirl de l'Algérie. Il termina
publics afin d'assurer la réussite des justes revendications du commerce, il eut des paroles de gratitude pour toutes les personnalités présentes et pour la Presse. Il tint ensuite à remercier ses collègues du Groupe qui, en lui en confiant la présidence depuis plusieurs années, l'ont naturellement désigné au choix des membres du Tribunal de Commerce. C'est à eux qu'il doit son élection comme juge suppléant. Et M. Stora dit toute l'importance du commerce des tissus en égard à l'activité générale économique du pays. Sur 4 milliards 119 millions d'importations algériennes en 1926, le quart, 915 millions 765 mille francs, est constitué par les tissus, vêtements et fils. Le seul port d'Alger en a reçu pour 477 millions 727 mille francs. C'est dire que, par ses nombreuses transactions, la branche tissus, à Alger, contribue pour une large part à l'accroissement continu de la prospérité commerciale et industrielle de l'Algérie. Il termina en demandant à tous les membres du Groupement d'unir leurs efforts et de travailler sans défaillance au relèvement économique et financier de la France. M. Tarting, après M. Stora, souligna l'entente qui règne au Syndicat Commercial parce qu'il a banni la politique de son sein. Il dit l'extension croissante de ce bel organisme de défense du commerce qui compte actuellement trois mille adhérents. Puis, résumant la situation économique de l'Algérie telle qu'elle se présente avec des prévisions de récoltes précieuses, il n'en conseilla pas moins la prudence et la prévoyance. « Ne spéculez pas, dit-il, on ne sait jamais de quoi sera fait l'avenir ». Il but à son ami, M. le député Fiori, au président Stora et aux membres du Syndicat Commercial. à toutes les personnalités présentes. En de courtes mais spirituelles allocutions, M. Arnassan, au nom du maire d’Alger; M. Filippi, conseiller général, remercièrent les négociants en tissus de leur cordialité. M. Morard, parlant en son nom et au nom de son collègue Laffont, dit excellemment l’œuvre féconde de celui-ci au sein des Délégations. C’est l’ensemble des travaux de l’Assemblée algérienne, en ce qu’ils touchent plus particulièrement le commerce, qu’il expliqua ensuite avec clarté. Nous avons fait, dit-il,
publics afin 'assrer la réussite des justes revendications du commerce, il eut des paroles de gratitude pour toutes ls personnalités présentes et pour la Prss. l tint ensuite à remercier ses collègues ud Groupe qui, en lui en confiant la esrpindcée depuis plsur na,neés l'ont naturellement désigné au choix des membres du Tribunal de Commerce. C'est à eux qu'il doit son élection comme juge suppléant. Et M. Stora dit toute l'importance du commerce des tissus en égrd à 'activité générale économique du pays. Sur 4 milliards 119 millions d'importations algériennes en 1926, le quart, 915 lons 765 mille francs, ets constitué r les tissus, vêtmnts et fils. Le seul port d'Alger en reçu pour 7 mlion 727 mille frncs. C'est dire que, par ses nombreuses transactions, la branche tissus, à Alger, brentuico pour e lrg prt à l'accroissement continu de la prospérité commerciale t industrielle de l'Algérie. Il termina en demandant à tous les membres du Groupement d'unir leurs efforts t de travailler sans défaillance u relèvement économique et aer de la France. M. Tarting, après M. Stora, soign l'entente qui règne au Syndicat Commercial parce qu'il a banni la politique de son sein. Il l'extension croissante de ce bel rgnsm de défense du commerce qui compte actuellement rsoit mille adhérents. Puis, résumant la situation onomie de 'Aléri telle qu'elle se présente avec des prévisions de récoltes précieuses, il n'en conseilla spa mois la prudence et l prévoyance. « Ne spéculez pas, -,dliit on n st jamais de quoi sera fati lavenir ». Il but à ons ami M. député Fiori, au président Stora et aux membres du Syndicat Commercial. à toutes les pltésnarsinoe présentes. En de courtes mais ieleputlriss allocutions, M. ass, au nom du maire d’Alger; M. Filippi, conseiller général, remercièrent les négociants en tissus de leur cordialité. M. Morard, parlant en son nom et au nom de son collègue Laffont, dit excellemment l’œuvre féconde de celui-ci ua sein des Délégations. C’est ’ensemble des travaux de l’Assemblée lgérnn, en ce qu’ils touchent lups particulièrement le commerce, q’l expliqua ensuite avec clarté. Nous avons fait, dit-il,
ce bel organisme de défense du commerce qui compte actuellement trois mille adhérents. Puis, résumant la situation économique de l'Algérie telle qu'elle se présente avec des prévisions de récoltes précieuses, il n'en conseilla pas moins la prudence et la prévoyance. « Ne spéculez pas, dit-il, on ne sait jamais de quoi sera fait l'avenir ». Il but à son ami, M. le député Fiori, au président Stora et aux membres du Syndicat Commercial. à toutes les personnalités présentes. En de courtes mais spirituelles allocutions, M. Arnassan, au nom du maire d’Alger; M. Filippi, conseiller général, remercièrent les négociants en tissus de leur cordialité. M. Morard, parlant en son nom et au nom de son collègue Laffont, dit excellemment l’œuvre féconde de celui-ci au sein des Délégations. C’est l’ensemble des travaux de l’Assemblée algérienne, en ce qu’ils touchent plus particulièrement le commerce, qu’il expliqua ensuite avec clarté. Nous avons fait, dit-il, au résultat, œuvre de modération et d’initiative. Celle-ci portera ses fruits. Ce n’est pas le député qui vous parle, déclara-t-il salué par une ovation enthousiaste, c’est le camarade, c’est l’ami que vous remercie d’une invitation fraternelle. Et, en une belle évocation poétique, il exalta la fraternité. C’est sur son toast que se terminèrent les discours. Peu après, tous les négociants repartirent à leurs affaires, heureux d’avoir prouvé une fois de plus l’union et la concorde qui font d’eux une des forces économiques de l’Algérie. R. Dzim. Avis aux Pensionnés de la Marine marchande Caisse des Invalides de la Marine Caisse nationale de Prévoyance L’administrateur de l’Inspection Maritime à Alger informe les intéressés que le paiement des pensions du premier trimestre 1928 aura lieu les lundi 2 avril, mardi 3 avril et mercredi 4 avril prochains, de la manière suivante : 1° Le lundi 2 avril, de 8 heures à 11 heures et de 14 heures à 16 h. 30 : pensionnés invalides, hommes ; 2° Le mardi 3 avril, de 8 heures à 11 heures et de 14 heures à 16 h. 30 : pensionnés invalides, veuves ; 3° Le mercredi 4 avril, de 8 heures à 11 heures, pensionnés
ce bel organisme de défense du commerce qui cmpe actuellement trois mille adhérents. Puis, résumant la situation économique de 'Algérie tll qu'elle se présente avec des prévisions d récoltes précieuses, l 'en conseilla pas mns la prudence et la prévoyance. « Ne elcépszu pas, dit-il, on ne sait jamais de quoi sera fait l'avenir ». Il but à son ami, M. péétud Fiori, président Stora et aux membres du Syndicat Commercial. à toutes sle rotaenpnéssil présentes. n de courtes mais spirituelles allocutions, M Arnassan, au om du mr d’Alger; M. Filippi, conseiller général, remercièrent les négociants en tissus de leur coilité. M. Mrrd, parlant en son nom et au nom de son collègue Laffont, dit excellemment l’œvr fécnd de e- au en des Délégations. C’est l’ensemble des travaux de lAssemblée algérienne, en ce qu’ils touchent plus particulièrement le commerce, qu’il expliqua ensuite ve clarté. Ns avons fait, dit-il, résultat, œuvre de mdértn et d’initiative. Celle-ci prtr ses fruits Ce n’st ps le député qui vous prl, déclara-t-il salué par une ovation enthousiaste, c’est le camarade, c’est l’ami q vous remercie d’une nvttn fraternelle. Et, en une belle évocation poétique, il exalta la fraternité. C’est sur son toast que se terminèrent les discours. ueP après tous les négociants repartirent leurs affaires, heureux d’avoir prouvé une fois de plus l’union et la concorde qui font d’eux une de fsocre économiques de l’lgér. R. Dzim. Avis aux Pensionnés de la Marine marchande Caisse des Inds de la Marine Caisse nationale de Prévync L’administrateur d l’nspctn miiMtrae à elrgA nfrm les intéressés que le paiement ds pensions du premier trimestre 1892 aura lieu les lundi 2 avril, mardi 3 avril et mercredi 4 avril prochains, ed la manière suivante : 1° Le lnd 2 avril, d 8 heures à 11 heues et de 14 hrs à 16 h. 30 : pensionnés invalides hmes ; 2° Le mdira 3 avril, de 8 heures à 11 heures te de 14 heures 16 .h 30 : pensionnés invalides, vvs ; ° e mercredi 4 avril, de 8 heures à 11 heures, pnsnnés
que se terminèrent les discours. Peu après, tous les négociants repartirent à leurs affaires, heureux d’avoir prouvé une fois de plus l’union et la concorde qui font d’eux une des forces économiques de l’Algérie. R. Dzim. Avis aux Pensionnés de la Marine marchande Caisse des Invalides de la Marine Caisse nationale de Prévoyance L’administrateur de l’Inspection Maritime à Alger informe les intéressés que le paiement des pensions du premier trimestre 1928 aura lieu les lundi 2 avril, mardi 3 avril et mercredi 4 avril prochains, de la manière suivante : 1° Le lundi 2 avril, de 8 heures à 11 heures et de 14 heures à 16 h. 30 : pensionnés invalides, hommes ; 2° Le mardi 3 avril, de 8 heures à 11 heures et de 14 heures à 16 h. 30 : pensionnés invalides, veuves ; 3° Le mercredi 4 avril, de 8 heures à 11 heures, pensionnés sur la Caisse de Prévoyance et retardataires invalides. Observation importante. — Les intéressés devront se présenter eux-mêmes munis de certificats de vie pour leurs enfants, et de pièces d’identité. Dans l’Enseignement SOCIÉTÉ DE SECOURS MUTUELS DES INSTITUTEURS ET INSTITUTRICES DU DEPARTEMENT D’ALGER L’Inspecteur d’Académie, président de la Société de Secours Mutuels, a l’honneur d’informer les membres honoraires et participants que l’assemblée générale annuelle est fixée au mardi 3 avril 1928 et aura lieu à 2 heures et demie de l’après-midi; à l’amphithéâtre de la Faculté de Médecine Université d’Alger.. : Anciennes élèves de l’École Normale de Miliana L’assemblée générale statutaire de l’Association Amicale des Anciennes Élèves aura lieu le mardi 3 avril 1928, à quatorze heures, dans une des salles de l’École primaire supérieure de jeunes filles, avenue Pasteur, à Alger. Toutes les anciennes élèves sont cordialement priées d’y assister. A El-Affroun UN OCTOGÉNAIRE est assommé et dévalisé chez lui L’UN DES ACRESEURS EST ARRÊTÉ Dans le courant de la nuit de lundi à mardi, M. Tarence François, âgé de 83 ans, qui vit seul dans un gourbi, au milieu de jardins, à El-Affroun, entendait des indigènes rôder autour de sa habitation et essayer d’y pénétrer par effraction. Le vieillard
que se terminèrent les uic.rssod Peu après, tous les négociants repartirent leurs affaires, heureux d’or prouvé une fsoi de pusl l’nn et l coe qui font d’eux une des forces économiques de l’Algérie. . Dzim. Avis x Pensionnés de la Marine marchande Caisse des Invalides d l Marine Caisse nationale de Prévoyance ’administrateur de l’nspctn riimMtea à Alger informe les intéressés q le paiement des pensions du e trimestre 1928 aura ulei les lundi 2 vrl, mardi 3 avril et mercredi 4 avril prochains, de la mèr suivante : 1° Le lundi 2 avril, de 8 heures à 11 heures t de 14 heures à 16 . 30 : pensionnés invalides, hommes ; 2° Le mardi 3 avril, d 8 heures 11 heures et de 14 heures à 16 h. 30 : pensionnés invalides, veuves ; 3° Le mercredi 4 avril de 8 heures à 11 heures, senoiénpns sur la Caisse de Prévoyance et retardataires invalides. Observation importante. — Les intéressés devront se présenter eux-mêmes munis de certificats de vie pour leurs fns et de pièces d’identité. Dans l’Enseignement SOCIÉTÉ ED SECOURS MUTUELS DES INSTITUTEURS ET INSITURIE DU DEPARTEMENT E’DRLAG L’Inspecteur d’Académie, président de la Société de Scrs Mutuels, a l’honneur d’informer les membres honoraires et participants que ’aemle égéeranl annuelle est fixée au mardi 3 avril 1928 et r lieu heures et demie de l’près-md; à lamite de a Faculté de Médcn Université d’lgr.. : Anciennes es de l’Écl Normale d ina ’assemblée ére statutaire de l’ssctn Amicale des Anciennes Élèves aura lieu le mad 3 avril 1928 à urqztoea heures, dans une d salles de l’École primaire supérieure de jeunes filles, avenue Pasteur, à Alger. Toutes sle anciennes élèves sont crdlmnt srpiée dy assister. A El-Affroun UN OCTOGÉNAIRE est assommé te dévalisé chez lui L’N DES ACRESEURS EST ÊT Dans l courant de la nuit de lundi à mardi, M. Tarence Frnçs, âgé de 83 ans, qui vit seul dans un gourbi, au milieu de jardins, à El-Affroun, entendait des indigènes rôder u de s inaotihbat et essayer d’y pénétrr par effraction. Le vieillard
Mutuels, a l’honneur d’informer les membres honoraires et participants que l’assemblée générale annuelle est fixée au mardi 3 avril 1928 et aura lieu à 2 heures et demie de l’après-midi; à l’amphithéâtre de la Faculté de Médecine Université d’Alger.. : Anciennes élèves de l’École Normale de Miliana L’assemblée générale statutaire de l’Association Amicale des Anciennes Élèves aura lieu le mardi 3 avril 1928, à quatorze heures, dans une des salles de l’École primaire supérieure de jeunes filles, avenue Pasteur, à Alger. Toutes les anciennes élèves sont cordialement priées d’y assister. A El-Affroun UN OCTOGÉNAIRE est assommé et dévalisé chez lui L’UN DES ACRESEURS EST ARRÊTÉ Dans le courant de la nuit de lundi à mardi, M. Tarence François, âgé de 83 ans, qui vit seul dans un gourbi, au milieu de jardins, à El-Affroun, entendait des indigènes rôder autour de sa habitation et essayer d’y pénétrer par effraction. Le vieillard ouvrait la porte pour faire fuir les rôleurs, mais il se trouvait en présence de quatre indigènes qui lui portaient des coups de matraque sur la tête et diverses parties du corps. Il tombait à terre sans connaissance. Pendant ce temps, deux des agresseurs pénétraient dans le gourbi, fracturaient une malle et emportaient divers effets d’habillement ainsi qu’une somme de 200 francs, toutes les économies de l’octogénaire. Leur coup fait, les malfaiteurs s’enfuyaient. Vers le matin, M. Tarence François revenait à lui et la tête ensanglantée avertissait les voisins qui lui donnaient les premiers soins. M. le Maire d’El-Affroun informa de cette lâche agression, M. le chef de la police générale qui dépêcha immédiatement sur les lieux M. Diainville, commissaire de la Sûreté assisté des inspecteurs Ghennouf et Padovani. Aussitôt arrivés, dans la matinée, M. Diainville et ses inspecteurs firent leur enquête, recueillirent des renseignements et, sur des précisions, arrêtèrent, peu après, l’un des membres de la bande, un repris de justice connu dans la région, Abdou Aissa ben Abdelkader, 46 ans, marchand de poissons, mutilé du bras droit mais ayant malgré cela le casier judiciaire orné de plusieurs condamnations. Bien qu’ayant été formellement reconnu par sa victime, Abdou Aïssa
Mutuels, a l’honneur ’informer les msemreb hair et participants que l’assemblée générale annuelle st fixée au mardi 3 avril 1928 et aura lieu à 2 ureseh et ideme de l’après-midi; à l’amphithéâtre d l Faculté de Médecine Université d’Alger.. : Anciennes élèvs de l’École Normale de Miliana L’assemblée générale statutaire de l’Association Amicale des Anciennes Élèves aura lieu l mardi 3 avril 1928, à quatorze heures, dans une des salles de ’École primaire supérieure de jeunes filles, vn Pasteur, à Alger. Toutes les anciennes élèves sont calent priées d’y se. A El-Affroun UN OCTOGÉNAIRE est assommé et dévalisé chez lui L’UN DES ACRESEURS EST ARRÊTÉ Dans le courant de la nuit de lundi mardi, M. Tr François, âgé de 83 ans, qui vit seul dans un gourbi, milieu de jardins, à El-Affroun, entendait des ndgèns rôder autour de sa habitation et essayer d’y pénétrer par effraction. e vieillard ouvrait la porte pour faire fuir les rôleurs, mais il s trouvt en présence de quatre indigènes q l portaient des coups de maaqe sur la tête et diverses parties du corps. Il tombait à trr sans connaissance. ndan ce temps, deux des agresseurs pénétraient dans le gourbi, fracturaient une malle et emportaient dvrs effets d’habillement ainsi qu’une somme de 200 francs, toutes les iéesoomnc de l’octogénaire. Leur cp fait, les malfaiteurs s’enfuyaient. Vers le mtn, M. Tarence François rvnt à lui et la tête ensanglantée avertissait sel voisins qui lui donnaient les premiers soins. M. le ire d’El-Affroun informa de cette lâche agression, le chef de la police ééle qui dépêcha mdiaten sur les lieux M. Diainville, commissaire de la Sûreté assisté des inspecteurs Ghnnf te Padovani. Aussitôt arrivés, dans la matinée, M. Dnvll t ses ncteur firent leur enquête, recueillirent des renseignements et, sur des précisions, arrêtèrent, peu après, lun des membres de la bande un repris de justice cn as la gréi,on Abdou ss ben Abdelkader, 46 ans, marchand de poissons, mutilé du bras droit mais ayant malgré cl l casier judiciaire orné de lsrs condamnations. Bien qu’ayant été freet reconnu par s victime, Abdou Aïssa
malle et emportaient divers effets d’habillement ainsi qu’une somme de 200 francs, toutes les économies de l’octogénaire. Leur coup fait, les malfaiteurs s’enfuyaient. Vers le matin, M. Tarence François revenait à lui et la tête ensanglantée avertissait les voisins qui lui donnaient les premiers soins. M. le Maire d’El-Affroun informa de cette lâche agression, M. le chef de la police générale qui dépêcha immédiatement sur les lieux M. Diainville, commissaire de la Sûreté assisté des inspecteurs Ghennouf et Padovani. Aussitôt arrivés, dans la matinée, M. Diainville et ses inspecteurs firent leur enquête, recueillirent des renseignements et, sur des précisions, arrêtèrent, peu après, l’un des membres de la bande, un repris de justice connu dans la région, Abdou Aissa ben Abdelkader, 46 ans, marchand de poissons, mutilé du bras droit mais ayant malgré cela le casier judiciaire orné de plusieurs condamnations. Bien qu’ayant été formellement reconnu par sa victime, Abdou Aïssa proteste de son innocence. Ses trois autres complices, dont le signalement est connu, sont activement recherchés. Ils ne sauraient tarder à être arrêtés. Le malheureux Tarence François est soigné par des religieuses en attendant le docteur qui se prononcera sur son état. A. S, LA SÉCURITÉ OPERE PLUSIEURS ARRESTATIONS Depuis quelques jours, des effets d’habillement étaient dérobés au préjudice des ouvriers, dans les ateliers de la maison Trissottin, mécanicien 10, rue de Lyon. Hamidchi Mohamed ben Tahar, 41 ans, employé comme trappeur à l’usine, a été arrêté par l’inspecteur de la Sûreté Bougerol. — Pour agression suivie de vol d’une somme de 75 francs et d’une chéchia au préjudice d’un marchand de légumes demeurant, 9, rue Levacher, les nommés Teldja Mohamed ben Lounès, dit Boutchidja, 18 ans, journalier, et Dabli Mohamed ben Mohamed, dit Rouget, 19 ans, marchand de légumes, ont été mis en état d’arrestation par les inspecteurs Bertin et Hacène. — Chez Saïdi Lakdar ben Saïd, 19 rue des Mameluks, il a été volé des effets d’habillement et une somme de 500 fr. francs. L’auteur du vol, retrouvé en possession d’un haïk volé, Remli Benzid ben Hanain, 28 ans, a été arrêté par les inspecteurs Bougerol et Julian.
all et emportaient divers effets d’habillement snaii qu’une somme de 200 francs, toutes les éom de l’octogénaire. Leur coup fait, les malfaiteurs fint. Vers le matin, M. Trnc Frnçs revenait à lui t la tête ensanglantée avertissait les voisins qui iul donnaient les premiers soins. M. le Maire d’El-Affroun informa de cette lâche agression, M. le chef d la police générale qui dépêcha immédiatement sur les lieux M. Diainville, commissaire de la Sûreté assisté des inspecteurs Ghennouf et Padovani. Aussitôt arrivés dans la mine, M. Diainville et ses inspecteurs firent leur enquête, recueillirent des renseignements t, sur des précisions, arrêtèrent, pu après, n des membres de la bande, un irrspe de justice connu dans la région, Abdou Aissa ben Abdelkader, 46 ans, marchand de poissons, mutilé du bras droit mais ayant malgré cela l casier judiciaire orné de plusieurs condamnations. Bien qu’ayant été formellement reconnu par sa victime, Abdou Aïssa proteste de son innocence. Ses trois autres complices, dont le signalement est connu, sont ctvmnt recherchés. Ils ne sauraient tarder à être arrêtés. Le malheureux Tarence François est soigné par ds religieuses n attendant le docteur qui s prononcera sur s état. A. S, LA SÉCURITÉ OPERE PUIRS ARRESTATIONS Depuis quelques jours, des effets d’habillement étaient dérobés au préjudice des ouvriers, dans les ateliers de la maison Trissottin, mécanicien 10, rue de Lyon. Hamidchi Mohamed ben Tahar, 41 ans, yé comme trappeur à l’usine, a été arrêté par l’inspecteur de la Sûreté Bougerol. — Pour agression suivie de vol ’e somme de 75 francs et d’une chéchia au préjudice d’un marchand de lme demeurant, 9, rue Lvchr, les nommés Teldja Mohamed ben Lounès, dit Boutchidja 18 ans, journalier, et Dabli Mohamed ben Mohamed dit Rouget, 19 ans, marchand d légumes, ont été ms en état d’arrestation par les inspecteurs Bertin et Hacène. — Chez Saïdi Lakdar ben Saïd, 19 rue des Mameluks, il a été volé des effets d’habillement et une somme de 500 fr. francs. Lauteur du vol, retrouvé en possession d’un haïk volé, el Benzid ben Hanain, 28 ans, a été arrêté par les inspecteurs Bougerol t Julian.
quelques jours, des effets d’habillement étaient dérobés au préjudice des ouvriers, dans les ateliers de la maison Trissottin, mécanicien 10, rue de Lyon. Hamidchi Mohamed ben Tahar, 41 ans, employé comme trappeur à l’usine, a été arrêté par l’inspecteur de la Sûreté Bougerol. — Pour agression suivie de vol d’une somme de 75 francs et d’une chéchia au préjudice d’un marchand de légumes demeurant, 9, rue Levacher, les nommés Teldja Mohamed ben Lounès, dit Boutchidja, 18 ans, journalier, et Dabli Mohamed ben Mohamed, dit Rouget, 19 ans, marchand de légumes, ont été mis en état d’arrestation par les inspecteurs Bertin et Hacène. — Chez Saïdi Lakdar ben Saïd, 19 rue des Mameluks, il a été volé des effets d’habillement et une somme de 500 fr. francs. L’auteur du vol, retrouvé en possession d’un haïk volé, Remli Benzid ben Hanain, 28 ans, a été arrêté par les inspecteurs Bougerol et Julian. Après information faite par M. Diainville, commissaire de la Sûreté, Remli Benzid a été présenté au Parquet et placé sous mandat de dépôt. — Inculpé de vol avec effraction commis rue du Rempart-Méditerranéen, 31, au préjudice de plusieurs locataires à qui il avait dérobé pour plus de mille francs d’effets d’habillement et d’objets divers, Mekmouche Amar ben Arfi, 25 ans, a été arrêté par l’inspecteur de la Sûreté Laleg. UN MEURTRE à Gouraya UN INDIGÈNE EST TUE DE DEUX BALLES DE REVOLVER Gouraya, 27 mars. — Samedi 24 mars, Merouche Amar ben Slimane, du douar Aarhat, était trouvé tué de deux coups de revolver. Ce cadavre gisait au fond d'un ravin, non loin de son habitation. MM. Lamotte, chef de la gendarmerie, et Bonnot, gendarme, dès avisés, se sont rendus sur les lieux du crime pour ouvrir une enquête. Le docteur Lartigue et M. Baron, juge de paix, accompagnés du greffier et de l'interprète se sont transportés à leur tour pour le constat et la direction de l'enquête. De graves présomptions pèsent sur Boumedil Mohamed ben Mohamed, qui a été arrêté. Le docteur Lartigue a procédé à l'autopsie du corps de la victime et a constaté la perforation du poumon
quelques jours, des effets d’habillement éi dérobés au préjudice des ouvriers, dans les ateliers d la maison Trissottin, mécncn 10, rue de Lyon. Hamidchi Mohamed ben Tahar, 41 ans, employé comme trappeur à l’usine, a été rê par l’inspecteur de la Sûreté ugo — Pour agression suivie de vl d’n somme de 75 frncs et dune chéchia au préjudice d’un marchand de légumes demeurant, 9, rue reaehL,vc ls nommés Teldja Mhmd ben Lounès, dit Boutchidja, 18 ans, jrnlr, et Dabli Mohamed bn Mhmd, dit Rgt, 19 ans, marchand de légumes, ont été mis en état d’arrestation par les inspecteurs Bertin et Hacène. — Chez Saïdi Lakdar ben Saïd 19 rue des Mameluks, il a été volé des ffts d’habillement e une somme de 500 r. francs. ’auteur ud vol retrouvé en possession haïk volé, Rml Benzid ben Hanain, 28 ans, a été arrêté par les inspecteurs Bougerol et Julian. Après information faite par M. Diainville commissaire de al Sûreté, Rml Benzid a été pése au Parquet et placé sous mandat de dépôt. — Inculpé de vol avec effraction m rue du RempartMéditerranéen 31, au préjudice de s locataires à qui il avait dérobé pour plus de mille francs d’effets d’habillement et ds’bejto divers, Mekmouche Amar ben Arfi, 25 ans, a été arrêté par ’inspecteur de la Sûreté Laleg. UN MEURTRE à Gouraya UN INDIGÈNE EST T DE DEUX BALLES DE REVOLVER Gouraya, 27 mars Samedi 24 mars, Merouche Amar ben Slimane, du douar Aaha, était trvé tué ed dx coups de rov Ce cdvr gisait u fond d'un ravin, non loin de son hitin MM. Lamotte, chef d la gendarmerie, et Bonnot, gendarme, dès avisés, se sont rendus sur les lieux du crime pour ouvrir une enquête. Le docteur Lartigue e M. Baron, eguj de paix, accompagnés d reefifrg et de l'interprète se sont transportés à leur tour pour le constat et la direction d l'nqêt. De graves présomptions e sr Boudl domMeah ben Mohamed, qui a été arrêté docteur Lartigue a procédé à l'autopsie du corps de la victime et a stté la perforation du poumon
d’habillement et d’objets divers, Mekmouche Amar ben Arfi, 25 ans, a été arrêté par l’inspecteur de la Sûreté Laleg. UN MEURTRE à Gouraya UN INDIGÈNE EST TUE DE DEUX BALLES DE REVOLVER Gouraya, 27 mars. — Samedi 24 mars, Merouche Amar ben Slimane, du douar Aarhat, était trouvé tué de deux coups de revolver. Ce cadavre gisait au fond d'un ravin, non loin de son habitation. MM. Lamotte, chef de la gendarmerie, et Bonnot, gendarme, dès avisés, se sont rendus sur les lieux du crime pour ouvrir une enquête. Le docteur Lartigue et M. Baron, juge de paix, accompagnés du greffier et de l'interprète se sont transportés à leur tour pour le constat et la direction de l'enquête. De graves présomptions pèsent sur Boumedil Mohamed ben Mohamed, qui a été arrêté. Le docteur Lartigue a procédé à l'autopsie du corps de la victime et a constaté la perforation du poumon droit par une balle, et la rupture de la clavicule gauche par une seconde balle. L'enquête est laborieuse, vu l'audition de trente-quatre témoins. La foudre tombe à Médéa UN INDIGÈNE EST CARBONISÉ DANS SON GOURBI Médéa, 27 mars. (De notre correspondant particulier.) — Dimanche un violent orage s'est produit à 4 heures du soir. La foudre est tombée sur un gourbi qui a été complètement carbonisé. Le propriétaire du gourbi, Allaoui Larbi ben Senoussi et deux chèvres ont été tués par la foudre. Un double fratricide Aïn-M'Lila. (De notre correspondant particulier.) — Dans la journée du 25 courant le nommé Ben Chérif, du douar Oulad Zouaou, a tué à coups de couteau, ses deux frères utérins. Le père, qui s'était porté à leur secours, ne dut la vie sauve qu'à une fuite précipitée. L'assassin, arrêté peu après, a fait des aveux complets. Il a déclaré avoir tué à la suite de la contestation d'un terrain qu'il prétend lui appartenir. M. Turpault, juge de paix, s'est transporté sur les lieux pour procéder à l'enquête d'usage. Où en est la météorologie ? "Grâce aux intéressants travaux des jeunes écoles météorologiques, la science de l'atmosphère a fait de remarquables progrès au cours des
dilbhea’mnelt et d’objets divers, Mekmouche Amar ben rf, 25 ans, a été arrêté a ’insectur de la Sûreté Laleg. UN MEURTRE à Gouraya UN NDGÈN EST TUE DE DEUX BALLES DE EVLR Gouraya, 27 mrs — Samedi 24 mars, Merouche Amar ben Slimane, du douar Aarhat, était trouvé tué de dex p de revolver. Ce arcvaed gisait au fond d'un ravin, non loin de son habitation. M.M Lamotte, chf de la gendarmerie, et Bonnot, gendarme, dès ais se sont rendus sr les lieux crime pour ouvrir une enquête. Le docteur Ltigu et M noaB,r ug d paix, accompagnés ud greffier et e l'interprète se sont transportés à leur tour pour le constat t la eticdniro de 'enquête. D graves présomptions pèsent sr Boumedil Mhmd ben Mohamed, qui été rrêté. L docteur Lartigue procédé à l'autopsie du corps de la vci et a constaté la perforation du poumon droit par une balle, et la rupture la clavicule gauche par une scnd balle. L'enquête est laborieuse, vu l'audition de trente-quatre témoins. La foudre tombe à Médéa UN INDIGÈNE EST CARBONISÉ DANS SON GOURBI Médéa, 27 mars. (De ntr correspondant particulier.) — Dimanche violent orage s'est produit à 4 heures du sr. La fdr et tombée sr un gibour q a été complètement carbonisé. propriétaire du gob, Allaoui Larbi ben Senoussi et deux vsrhceè ont téé tués par la foudre. Un double fratricide Aïn-M'Lila. (De notre crrspndnt prtclr.) — Dans la journée du 25 courant le nommé Ben Chérif du douar ld Zouaou, a tué à cu de couteau ses deux frères utérins. Le père, qui s'étt porté à leur secours, ne dut la vie sv qu'à une fuite précipitée. L'assassin, arrêté peu après, a fait des aveux complets. Il déclaré avoir tué à l suite de la snotntceaoti d'un terrain qu'il prétend lui pptni. M Trplt, juge de paix, s'est transporté ur les lieux pr procéder à l'enquête d'usage. Où en est la météorologie ? "Grâce aux intéressants travaux ds jns écoles météorologiques, la cc de l'atmosphère a fait de remarquables prgrès ua cours des
4 heures du soir. La foudre est tombée sur un gourbi qui a été complètement carbonisé. Le propriétaire du gourbi, Allaoui Larbi ben Senoussi et deux chèvres ont été tués par la foudre. Un double fratricide Aïn-M'Lila. (De notre correspondant particulier.) — Dans la journée du 25 courant le nommé Ben Chérif, du douar Oulad Zouaou, a tué à coups de couteau, ses deux frères utérins. Le père, qui s'était porté à leur secours, ne dut la vie sauve qu'à une fuite précipitée. L'assassin, arrêté peu après, a fait des aveux complets. Il a déclaré avoir tué à la suite de la contestation d'un terrain qu'il prétend lui appartenir. M. Turpault, juge de paix, s'est transporté sur les lieux pour procéder à l'enquête d'usage. Où en est la météorologie ? "Grâce aux intéressants travaux des jeunes écoles météorologiques, la science de l'atmosphère a fait de remarquables progrès au cours des dernières années", nous déclare M. Petitjean, chef de la prévision du temps, au Service météorologique de l'Algérie. LA NAISSANCE, LA VIE ET LA MORT DES DEPRESSIONS ATMOSPÉRIQUES La météorologie tend de plus en plus à prendre une importance qui intéresse jusqu'aux plus petits détails de la vie quotidienne. Où en est l'étude de l'océan aérien au fond duquel nous sommes placés ? M. Petit-Jean, le chef distingué de la prévision du temps au Service Météorologique de l'Algérie, va nous le dire et nous donner sur ce point pleine satisfaction. Nous voici dans son bureau ; la conversation s'engage : — Je serais fort heureux, M. Petitjean, d'obtenir de votre amabilité coutumière quelques renseignements sur l'état actuel de la météorologie, notamment en ce qui touche la science de l'atmosphère et la prévision du temps. — Je suis entièrement à vous ; je répondrai avec plaisir aux questions que vous me poserez vous laissant ainsi libre de choisir celles dont les réponses peuvent intéresser le plus les lecteurs de l' « Echo d'Alger ». Quelles sont les idées modernes sur la structure des « dépressions » atmosphériques ? — On s'était habitué autrefois à considérer les dépressions atmosphériques comme des tourbillons circulaires.
4 heures du soir. La foudre t tombée usr un grb qui a été complètement carbonisé. Le propriétaire du gourbi, llao Larbi ben Senoussi et deux chèvres ont été tués par la fdr. Un double fratricide AïnMLila (De notre correspondant particulier.) — Dans la journée du 25 courant le nommé Ben Chérif, du douar Oulad Zouaou, a tué à cps de couteau, ses deux frères térns. Le père, qui s'était porté leur secours, udt la vi sauve qu'à une fuite précipitée. L'assassin, arrêté peu après, a fait des vx complets. Il a dclaré vi tué à la suite de la contestation d'un terrain qu'il prétend lui appartenir. M. Turpault, juge de paix, s'est transporté sur els lieux pour procéder à l'enquête d'usage. Où en est la météorologie ? Grâce aux iérants travaux des jeunes écoles météorologiques, la science de l'atmosphère a fait de remarquables prgrès au ous des dernières années", nous déclare M. Petitjean, chef de la prévision du temps, au Service météorologique d l'Algérie. LA NAISSANCE, LA VIE ET LA MORT DES DPRSSNS ATMOSPÉRIQUES La météorologie tend de plus en u à prendre une iotace qui intéresse jusqu'aux plus petits détails de la vie quotidienne. Où en est l'étude de l'océan aérien au fond duquel nous sommes placés ? M. Petit-Jean, le chef distingué de la prévision d temps au ervie Météorologique de lg're,Aiél va nous le d et nous donner sur ce pnt pleine satisfaction. Nous voici dans son bureau ; la conversation s'engage : — Je serais fort heureux, M. Petitjean, d'obtenir de votre amabilité coumire uelqus renseignements sur l'état el de la météorologie, notamment en ce qui touche la science de l'atmosphère et la prévision du temps. — Je suis entièrement à vo ; je répondrai avec plaisir aux questions que vous me poserez vous laissant ainsi libre de iorisch celles dont les réponses peuvent intéresser le plus les lecteurs de ' « Echo d'Alger ». Quelles sont sle idées modernes sur la structure des « drsions atmosphériques ? — On 'était habitué autrefois à considérer les dépressions atmosphériques oecmm des tourbillons circulaires.
est l'étude de l'océan aérien au fond duquel nous sommes placés ? M. Petit-Jean, le chef distingué de la prévision du temps au Service Météorologique de l'Algérie, va nous le dire et nous donner sur ce point pleine satisfaction. Nous voici dans son bureau ; la conversation s'engage : — Je serais fort heureux, M. Petitjean, d'obtenir de votre amabilité coutumière quelques renseignements sur l'état actuel de la météorologie, notamment en ce qui touche la science de l'atmosphère et la prévision du temps. — Je suis entièrement à vous ; je répondrai avec plaisir aux questions que vous me poserez vous laissant ainsi libre de choisir celles dont les réponses peuvent intéresser le plus les lecteurs de l' « Echo d'Alger ». Quelles sont les idées modernes sur la structure des « dépressions » atmosphériques ? — On s'était habitué autrefois à considérer les dépressions atmosphériques comme des tourbillons circulaires. Autour de leur centre convergeaient les vents qui tournaient dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Cependant, une étude plus complète des cartes du temps et surtout des investigations en atmosphère libre à l'aide d'enregistreurs emportés par ballons, cerfs-volants et avions ont conduit à modifier cette conception primitive des dépressions. Les Norvégiens V, et J. Bjerknes ont l'un, édifié une théorie magnétique de la formation des dépressions le long d'une surface de discontinuité séparant un courant d'air chaud d'un courant d'air froid, et l'autre, expliqué le cycle de vie d'une dépression. — Comment naissent, vivent et meurent les dépressions atmosphériques ? Au début de son existence, la dépression est une vague atmosphérique formée autour d'un axe faiblement incliné sur l'horizon entre deux masses d'air de densités différentes. Ensuite de l'air de plus en plus froid afflue à la partie postérieure, constituant le creux de la vague, tandis que de l'air chaud se précipite au-devant de lui vers la crête de la vague ; le tourbillon se creuse et l'aspect du phénomène est donné par le schéma que voici (nos lecteurs peuvent le voir ci-dessus) L'air chaud est bientôt de plus en plus étranglé entre les deux masses d'air froid
est l'étude de oél'nca aérien au fond duquel nous sommes placés ? M. etJ le chef distingué de l prévsn du temps au Service Météorologique de l'Algérie, va nous le dire et nous donner sur ce point pleine aictn Nous voici dans son br ; la crs s'engage : — Je serais frt heureux, M. Petitjean, d'obtenir d votre amabilité outuère quelques renseignements sur l' actuel de la météorologie, notamment en ce qui touche la science de l'atmosphère et la prévision d tmps. — Je ssiu entièrement à vous ; je répondrai ave plaisir aux questions que vous me poserez vous laissant ainsi libre de choisir clls dont les réponses peuvent intéresser le plus les lecteurs l' « ho d'Alger ». Quelles sont les idées modernes sur la structure des « dépressions » tphiques ? — On s'était hbté autrefois à considérer les déprssns atmosphériques comme des tourbillons circulaires Autour e le centre convergeaient les vents qui tournaient dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Cependant, une étude plus complète dse cartes du temps et surtout des investigations en atmosphère libre à l'aide d'enregistreurs emportés par ballons, cerfs-volants et avions ont cndt à mdfr ctt conception primitive es dépressions. esL Norvégiens V, et J. jene ont l'n, éf une théorie mgnétq de la formation ds dépressions le long d'une surface ed iontinuité éparant un courant d'air chaud d'un crnt d' froid, et 'autre, xplqé le cycle de vie d'une pédsoiners. — Comment naissent, vven et meurent les dépressions atmosphériques ? début d son tene la dépression est une vg atmosphérique formée autour d'un axe faibement incliné sur l'hrzn entre deux masse d'r de densités ientes nst l'air de plus en plus froid afflue à a partie postérieure, constituant le creux de la vg, tandis que de l'air dahuc se précipite -dvnt de lui vrs la crêt de la vague ; l tourbillon se creuse et l'aspect du phénomène est doné par le schéma que voici (nso lecteurs pvnt le voir ci-dessus) L'r chaud est bientôt de plus en plus rgl entre les deux masses 'ai froid
dépressions. Les Norvégiens V, et J. Bjerknes ont l'un, édifié une théorie magnétique de la formation des dépressions le long d'une surface de discontinuité séparant un courant d'air chaud d'un courant d'air froid, et l'autre, expliqué le cycle de vie d'une dépression. — Comment naissent, vivent et meurent les dépressions atmosphériques ? Au début de son existence, la dépression est une vague atmosphérique formée autour d'un axe faiblement incliné sur l'horizon entre deux masses d'air de densités différentes. Ensuite de l'air de plus en plus froid afflue à la partie postérieure, constituant le creux de la vague, tandis que de l'air chaud se précipite au-devant de lui vers la crête de la vague ; le tourbillon se creuse et l'aspect du phénomène est donné par le schéma que voici (nos lecteurs peuvent le voir ci-dessus) L'air chaud est bientôt de plus en plus étranglé entre les deux masses d'air froid antérieure et postérieure qui finissent par se réunir et le soulèvent à des niveaux de plus en plus élevés. La dépression est alors en voie de comblement ou au stade d'une occlusion ; l'énergie du tourbillon qui se manifestait par la force des vents est en voie de décroissance. LE MÉCANISME DES PLUIES Où se produisent les fortes pluies et les amoncellements de nuages ? — Les précipitations et les formations nuageuses abondantes se produisent au voisinage des discontinuités atmosphériques. En effet, à l'avant d'une dépression, l'air chaud s'élève au-dessus de l'air froid le long d'une surface appelée « front chaud ». S'il est humide, comme c'est le cas en Europe où les courants chauds viennent en général de l'Océan, il abandonne son humidité sous la forme de pluies continues au fur et à mesure qu'il s'élève (voir sur le schéma la partie droite du dessin). À l'arrière de la dépression, c'est l'air froid qui soulève violemment l'air chaud le long d'une surface dite « front froid » en donnant naissance à des averses et à des orages de « grains » (voir la partie gauche du schéma). Le front polaire et le front méditerranéen, le 23 février 1928 Schéma
dépressions. Les Norvgies V, et J. Bjerknes ont l'un, édifié une théorie magnétique de la formation des dépressions le long d'une surface d discontinuité séparant un courant d'air cu dun courant d'air froid, et l'autre, expliqué le cycle de vie d'une dépression. — Comment naissent, vivent et erent les dépressions tmsphérqs ? Au ébt de son existence, l dépression st une vague ehéurtspaqiom formée autour d'un axe faiblement incliné sur l'horizon entre deux msss d'air de ens différentes Ensuite de l'air d plus en lpus iford ffl à la partie postérieure, cnsttnt l creux de la vague, tandis q de ra'il chaud se précipite audevant de lui vers l trêce de la vague ; l tourbillon se creuse et 'p du phénomène est dnné par le schéma euq voici (nos lecteurs peuvent le voir ci-dessus) L'air chaud est bientôt d plus en pls étranglé entre ls deux masses d'air froid antérieure et postérieure qui finissent par s réunir et le soulèvent à des niveaux de plus en plus élevés. La dépression est alors en voie de eocbmntlem ou au stade 'une occlusion ; l'énergie du tourbillon qui se manifestait par la force des vents est en voie de décroissance. LE MÉCANI DES PLUIES Où se produisent les frts pls et les moeleen de nsaegu ? — Les préipitn t les formations nuageuses bonnts se prdsnt au voinge des discontinuités atmosphériques. En effet, à tlavan' d'une dépression l'air chaud s'élève auue-dsss de l'air froid le long d'une surface appelée « front chaud ». S'il est humide, comme c'est le cas en Europe où le courants chauds viennent n lrgnaéé de l'Océan, il abandonne son humidité sous la frm de pluies cntns au fur et à msr qu'il s'élève v sur le schéma la partie droite du dessin). À arère de la dépression, cts'e 'air frd qui soulève ilemm l'air chaud le long d'une srfc dite « front frd » en donnant naissance des averses et à des orages de « grains » (voir la partie gch u schéma Le rot polaire et le ronft méditerranéen, le 23 février 18 émhacS
MÉCANISME DES PLUIES Où se produisent les fortes pluies et les amoncellements de nuages ? — Les précipitations et les formations nuageuses abondantes se produisent au voisinage des discontinuités atmosphériques. En effet, à l'avant d'une dépression, l'air chaud s'élève au-dessus de l'air froid le long d'une surface appelée « front chaud ». S'il est humide, comme c'est le cas en Europe où les courants chauds viennent en général de l'Océan, il abandonne son humidité sous la forme de pluies continues au fur et à mesure qu'il s'élève (voir sur le schéma la partie droite du dessin). À l'arrière de la dépression, c'est l'air froid qui soulève violemment l'air chaud le long d'une surface dite « front froid » en donnant naissance à des averses et à des orages de « grains » (voir la partie gauche du schéma). Le front polaire et le front méditerranéen, le 23 février 1928 Schéma d'une dépression atmosphérique LE FRONT POLAIRE ET LE FRONT MEDITERRanéEN — Mais comment se forment les « discontinuités » le long desquelles naissent les vagues et les tourbillons qui constituent les dépressions ? — Le physicien allemand Helmholtz a démontré que les discontinuités résultent de la circulation générale atmosphérique. Entre les masses d'air très froides qui se tiennent au voisinage des pôles et l'air des régions tempérées, de même qu'entre les vents alizés d'une part et les contre-alizés d'autre part, il se forme à l'intérieur de l'atmosphère terrestre des sortes d'anneaux faiblement inclinés sur l'horizon, du Nord au Sud. Leur intersection avec le sol s'appelle, pour le premier, le front polaire, et, pour le second, le front des alizés. Le front polaire passe à travers les centres de dépression de la zone tempérée. Quant au front des alizés, il se poursuit, comme je l'ai montré depuis 1921, sur le continent africain et la Méditerranée. Pour cette raison on l'appelle plutôt « front saharien » ou front méditerranéen. Il réunit les centres dépressionnaires de nos régions. Voici, par exemple, une carte des courants aériens du 23 février dernier qui comprend une partie des fronts polaire et méditerranéen. On peut y voir
MÉCANISME E PLUIES Où se produisent les frts pluies et les amoncellements de nuages ? — Les précipitations et les formations nuageuses abondantes e produisent u voisinage des discontinuités atmosphériques. En effet, à l'vnt 'une dépression, l'air chaud ève au-dessus de l'air frd le lng 'une surface appelée « front chaud ». S'il est humide comme c'est le cas en Europe où les courants chauds viennent en éélangr ed l'Océan, il abandonne son humidité sous la forme de pluies continues au fur et à mesure qu'il s'élève (voir sur schéma la prt droite du dessin). À l'arrière de la dépression, cest l'r froid qui soulève violemment l'air chaud le long d'une auscrfe dite « front froid » en donnant naissance des vre et à des orages de « iansgr » (vr la partie gauche d schéma). Le front polaire et l front méditerranéen le 23 février 1928 Schéma d'une dépression atmosphérique LE FRONT POLAIRE ET LE FRONT MEDITERRanéEN Mais comment se forment les « discontinuités le on desquelles naissent les vagues t les tourbillons qui tnseonuitct les dépressions ? — Le physicien allemand Hlmhltz a démntré que les discontinuités résultent de la cualrnictoi générale tmsphérq. Entre les sasmse d'air très frds q se tiennent au vsng des pôles et l'air des régions tempérées, de même qu'entre les vents alizés dune part et les contre-alizés 'autre part, il se forme à 'intérieur de l'atmosphère terrestre de sortes d'anneaux faiblement iilnscné sur l'horizon, du Nord au Sd. Leur rstin avec l sol sappelle pour le premier, le front polaire, et, pour le second, le ron des alizés. Le front polaire passe à travers les centres de dépression la zone tempérée. Quant au front des alizés, l se poursuit, comme je l'ai montré depuis 1921 sur le nti africain et la Méditerranée. Pour cette raison n l'appelle plutôt « front saharien » ou front méditerranéen. Il réunit les centres déprssnnrs de nos régions. Vc, pr empl n carte des courants aériens du 23 février dernier qui comprend ne partie des fronts polaire et méditerranéen. On peut y voir
les masses d'air très froides qui se tiennent au voisinage des pôles et l'air des régions tempérées, de même qu'entre les vents alizés d'une part et les contre-alizés d'autre part, il se forme à l'intérieur de l'atmosphère terrestre des sortes d'anneaux faiblement inclinés sur l'horizon, du Nord au Sud. Leur intersection avec le sol s'appelle, pour le premier, le front polaire, et, pour le second, le front des alizés. Le front polaire passe à travers les centres de dépression de la zone tempérée. Quant au front des alizés, il se poursuit, comme je l'ai montré depuis 1921, sur le continent africain et la Méditerranée. Pour cette raison on l'appelle plutôt « front saharien » ou front méditerranéen. Il réunit les centres dépressionnaires de nos régions. Voici, par exemple, une carte des courants aériens du 23 février dernier qui comprend une partie des fronts polaire et méditerranéen. On peut y voir sur le front polaire, en A, une dépression presque entièrement comblée (l'air chaud est étranglé entre l'air froid d'avant et d'arrière), en B, une dépression en voie de comblement ; sur le front méditerranéen, en C et D, des dépressions arrivées à un stade intermédiaire enfin, en E, Une dépression qui se creuse. LES LIGNES DE "PARTAGE DES VENTS" ET LES FLUX "ACTIFS" ET "PASSIFS" Mais comment parvenez-vous à tirer ces déductions par le simple vu de votre carte de courants aériens ? — Voici : Vous pouvez observer avec moi que les sources des masses d'air constitutives des dépressions sont réparties le long de lignes telles que MN ou PN Ce sont des lignes de "divergence" ou de "partage des vents" qui passent par les points où la pression est la plus élevée (voir notre carte), tandis que les fronts sont des lignes de "convergence" qui réunissent les points de plus basse pression. Les flux qui s'échappent des lignes de divergence tournent, soit dans le sens des aiguilles d'une montre, soit en sens inverse. Pour des raisons théoriques, j'ai appelé les premiers "passifs" et les seconds "actifs" et j'ai trouvé que le déplacement des fronts était d'autant plus rapide
les masses d'air très sofderi qui se tiennent au voisinage des pôles et l'air des os tempérées, de même qu'entre les vents alizés dune part t les contrealizés d'autre part, il s forme à l'intérieur de l'atmosphère terrestre ds soesrt d'anneaux faiblement inclinés sur l'horizon, du Nord Sud. Leur intersection vc le sol s'appelle, pour le prmr, le front polaire, et, pour le scnd, le front des alizés. Le front polaire pss à travers es centres de déprssn de la zone tempérée. Quant au frn des alizés, il se poursuit, comme je lai montré depuis 1921, sur le continent frcn t la Méditerranée. Pour cette rsn on l'appelle plutôt « front saharien » front dtrae Il réunit les cetersn esodéneiirprnsas de nos régions. oc, par eeme, une carte des courants en du 23 février dernier q comprend une partie des fronts polaire et médtrrnén. On peut y voir sur el front polaire, n A, une dépression prsq ntèrmnt comblée (l'air chd est étranglé et l'air froid d'vnt t d'rrèr), en B, une dépression en voie de comblement ; sur le front méditerranéen, en C et D, des dépressions arrivées à un stade intermédiaire enfin en ,E Une dépression qui se creuse. LES LIGNES DE "PARTAGE DE VENTS" ET LES FLUX "ACTIFS" ET "PASSIFS" Mi comment parvenez-vous à tirer ces déductions par el simple v e vtr carte de courants aériens ? — Voici : Vous pouvez observer avec moi que les sources d masses d'air constitutives des dépressions snt réparties l long de lignes telles q MN ou PN Ce sont des lignes de "divergence" d "partage s vents" q passent pr les points où pression est la plus élevée (voir notre carte), tandis que les fronts sont des lignes de convergence qui réunissent les points ed plus basse pression. Ls flux qui s'échappent des l de divergence oure st dans le sens des aiguilles dune montre, soit en sens inverse. Pour des raisons hoiq, 'ai appelé les premiers "passifs" et les scnds "actifs" et j'ai trouvé que el déplacement des fronts était d'autant pls rapide
qui se creuse. LES LIGNES DE "PARTAGE DES VENTS" ET LES FLUX "ACTIFS" ET "PASSIFS" Mais comment parvenez-vous à tirer ces déductions par le simple vu de votre carte de courants aériens ? — Voici : Vous pouvez observer avec moi que les sources des masses d'air constitutives des dépressions sont réparties le long de lignes telles que MN ou PN Ce sont des lignes de "divergence" ou de "partage des vents" qui passent par les points où la pression est la plus élevée (voir notre carte), tandis que les fronts sont des lignes de "convergence" qui réunissent les points de plus basse pression. Les flux qui s'échappent des lignes de divergence tournent, soit dans le sens des aiguilles d'une montre, soit en sens inverse. Pour des raisons théoriques, j'ai appelé les premiers "passifs" et les seconds "actifs" et j'ai trouvé que le déplacement des fronts était d'autant plus rapide que les flux actifs les attaquaient plus directement. Eh bien ! voyez sur ma carte les flux froids qui soufflent à l'arrière des dépressions A, B, C, D ; ils sont très actifs et tendent à combler ces dernières. Par contre, le flux chaud qui pénètre vers E est actif alors que le flux froid situé à l'ouest de la dépression est passif : celle-ci doit, par suite, se creuser. Ces déductions ont été confirmées par les faits du 23 au 24 février écoulé. LA PREVISION DU TEMPS Une dernière question : Vos cartes vous permettent-elles de prévoir le temps plus de vingt-quatre heures à l'avance ? — Cela n'est possible que lorsque nous sommes en possession d'un grand nombre de renseignements sur l'Atlantique. Mais puisque vous abordez la question de la prévision du temps à longue échéance, je vais pouvoir vous donner des indications précises sur la périodicité des phénomènes atmosphériques. — Vous pouvez, assurément, renseigner les lecteurs de "l'Echo d'Alger" avec d'autant plus de détails que vous avez apporté vous-mêmes, récemment, une précieuse contribution à cette importante partie de la météorologie. — C'est exact. LA PRÉVISION DU TEMPS sera donc l'objet de notre prochain article. A. COLOMBANI. Revue
qui se .cueser LES LIGNES DE "PARTAGE DE VENTS" ET LES FLUX "ACTIFS" ET "PASSIFS" Mais comment parvenez-vous à tirer ces déductions par le simple vu de votre carte de courants aériens ? Voici : Vous pouvez observer avec moi que les sources des masses d'air constitutives des dépressions sont réparties le long de lignes telles que MN ou PN C sont des lignes de "divergence" ou de "partage des vents" qui passent par les points où la pression est la plus élevée (voir notre carte), tandis que les fronts sont sed lignes de "convergence" qui ussen sel points de plus basse pression. e flux qui s'échappent des lignes de divergence tournent, soit dans le sens ds aiguilles d'une montre, soit en ss inv. Pour des in théoriques, j'ai appelé les premiers "passifs" et les seconds "actifs" et j'ai trouvé que le déplacement ds fronts était d'autant plus rapide que les flux actifs les attaquaient plus drctmnt. Eh bien ! voyez sur ma carte les flux frds qui sfflnt à l'arrière des dépressions A, B, C, D ; ils ntso très actifs et tendent à combler ces dernières. Par contre, le flux chaud q pénètre vers E est cti alors que le flux roid situé à l'ouest de la dépression est passif : cll-c doit, par ite,su se creuser. Ces déductions ont été confirmées arp ls faits du 23 au 2 février écoulé. LA PREVISION DU TEMPS Une dernière question : Vos cartes vous permettent-elles de prévoir le temps plus de vingt-quatre heures à l'avance ? — Cela n'est possible que nous oesmsm en possession d'un grnd nombre de renseignements sr l'Atlantique. Mais puisque vous abordez la question de la prévision du temps à longue échéance, je vais pouvoir vs on des indications précises sur la périodicité des phénomènes atmosphériques. — Vous pvz, ssrémnt, renseigner les lecteurs de "Echo d'Alger" avec udtn'aat plus de détails u vs avez apporté vous-mêmes, récemment, n précieuse cnibui à cette importante partie d a météorologie. C'est exact. LA PRÉVISION DU TEMPS sera donc l'bjt d notre prochain rtcl. A. COLOMBANI. Revue
alors que le flux froid situé à l'ouest de la dépression est passif : celle-ci doit, par suite, se creuser. Ces déductions ont été confirmées par les faits du 23 au 24 février écoulé. LA PREVISION DU TEMPS Une dernière question : Vos cartes vous permettent-elles de prévoir le temps plus de vingt-quatre heures à l'avance ? — Cela n'est possible que lorsque nous sommes en possession d'un grand nombre de renseignements sur l'Atlantique. Mais puisque vous abordez la question de la prévision du temps à longue échéance, je vais pouvoir vous donner des indications précises sur la périodicité des phénomènes atmosphériques. — Vous pouvez, assurément, renseigner les lecteurs de "l'Echo d'Alger" avec d'autant plus de détails que vous avez apporté vous-mêmes, récemment, une précieuse contribution à cette importante partie de la météorologie. — C'est exact. LA PRÉVISION DU TEMPS sera donc l'objet de notre prochain article. A. COLOMBANI. Revue des Sciences UN BATEAU SANS PILOTE M. Chauveau, ingénieur à la Société française Radio-électrique, a résolu le problème du pilotage à distance d'un appareil de navigation maritime : il a construit et équipé une vedette pouvant être dirigée — ainsi que des expériences décisives l'ont établi — par les ondes hertziennes. Cette vedette d'expériences mesure 10 mètres environ de longueur et 3 mètres de largeur ; son tirant d'eau est de 1 mètre ; sa vitesse, est de 70 kilomètres à l'heure, avec une charge utile de 800 kilogrammes représentée par une substance explosive. Une telle embarcation n'est pas appelée à jouer un rôle pacifique; c'est un engin destructeur de navires au premier chef ; il peut, en effet, porter une charge d'explosifs suffisante pour creuser contre les flancs d'un cuirassé un cratère énorme dans lequel l'engin pénétrera lui-même ; dans ce cas, la vedette est perdue ; mais on peut l'utiliser pour lancer des torpilles à distance et la faire revenir aussitôt en arrière ; elle est capable également de remplir les fonctions de mouilleurs de mines. « Telle qu'elle, écrit M. René Roncières dans la "Science et la Vie", elle intervient efficacement à la défense des côtes. Mais
alors que le flux froid situé à l'ouest de la dépression ste passif : ce-i doit, par suite, e creuser Ces dédctns ont été cnfrmés par les faits du 23 au 24 réirefv écoulé. LA VIO DU TEMPS Une dernière question : Vos crts vous pree-eles d prévoir le temps plus de vingt-quatre heures l'avance ? Cela n'est possible que orsqu nous sommes en possession d'un grand mrebno de negens sur l'Atlantique. Mais puisque suvo abordez la question de la péviio du temps à longue échéance, je vais pouvoir vous donner des indications précises sur la périodicité sde onèsmhépne atmosphériques. — Vous z assurément, nienegsrer les lctrs de l'Ech d'Alger" avec d'autant plus de détails que vous avez apporté vo-mmes récemt, une prceuse contribution à cette importante partie de la météorologie. — 'est exact. LA PRÉVISION DU TEMPS sera donc 'objet de notre prochain article. A. COLOMBANI. Revue des Sciences UN BATEAU SANS PILOTE .M Chauveau, ingénieur à la Société française Radio-électrique, a résolu le problème d pilotage à distance d'un appareil de navigation maritime : il construit équipé une vedette pvnt être dirigée — ainsi q des expériences décisives ot'nl établi — r les ondes hertziennes. Cette vedette d'expériences mesure 10 mètres environ de ue et 3 mtre de largeur ; nos inratt 'aude est d 1 mètre ; s vitesse, est de 70 kilomètres l'heure, avec une charge utile ed 800 klgrmms représentée par une substance explosive. Une telle embarcation n'est pas appelée à jouer un rôle pacq; c'st n ngn destructeur de navires au premier chef ; il peut, en effet, porter une charge d'explosifs suffisante pour creuser contre les flncs d'un cuirassé un cratère énorme dans lequel l'engin pénétrera lui-même ; dans ce cas, la vedette est perdue ; mais on peut l'utiliser pour lncr des torpilles à distance et la ar rvnr aussitôt en arrière ; elle est capable également de remplir les fonctions de mouilleurs ed mines. Telle qu'elle, écrit M. René Roncières an l "Science et la Vie", elle intervient efficacement à a défense des côtes. Mais
hertziennes. Cette vedette d'expériences mesure 10 mètres environ de longueur et 3 mètres de largeur ; son tirant d'eau est de 1 mètre ; sa vitesse, est de 70 kilomètres à l'heure, avec une charge utile de 800 kilogrammes représentée par une substance explosive. Une telle embarcation n'est pas appelée à jouer un rôle pacifique; c'est un engin destructeur de navires au premier chef ; il peut, en effet, porter une charge d'explosifs suffisante pour creuser contre les flancs d'un cuirassé un cratère énorme dans lequel l'engin pénétrera lui-même ; dans ce cas, la vedette est perdue ; mais on peut l'utiliser pour lancer des torpilles à distance et la faire revenir aussitôt en arrière ; elle est capable également de remplir les fonctions de mouilleurs de mines. « Telle qu'elle, écrit M. René Roncières dans la "Science et la Vie", elle intervient efficacement à la défense des côtes. Mais chaque cuirassé d'escadre peut en emporter un certain nombre avec lui pour les mettre à l'eau au moment favorable ; elles peuvent être ainsi des flottilles d'assaut d'une puissance et d'une efficacité redoutables. » On voit que l'art de détruire, de tuer est en progrès. Il est à souhaiter qu'il parvienne à un degré de perfectionnement tel que l'on puisse au moyen des ondes hertziennes ou autres anéantir en quelques fractions de seconde une flotte entière, un port, une ville. Peut-être alors les hommes comprendront-ils que l'intérêt des peuples réside dans la paix. Encore, malgré ces destructions foudroyantes, ne faut-il avoir qu'une confiance relative dans le triomphe de la raison. Comme l'a dit Renan, la seule chose qui peut donner l'idée de l'infini, c'est la bêtise humaine. NOUS NE VOYONS JAMAIS LE SOLEIL OÙ IL EST On sait que la distance qui nous sépare du Soleil est — d'après les dernières mesures — de 149 millions 501 mille kilomètres (Annuaire du Bureau des Longitudes). Voilà qui est entendu. Il est entendu et bien connu aussi que la lumière fait 300.000 kilomètres par seconde; c'est beaucoup à certains points de vue, mais c'est bien peu, eu égard à la distance qui
hertziennes. Cette vedette d'expériences mesure 1 mètres environ de luruoeng et mètres de lrgr son tirant d'eau est de 1 mètre ; sa vitesse, est de 70 kilomètres à 'heure, avec une charge tle de 800 kilogrammes représentée par une substance explosive. Ue telle embarcation n'est pas appelée à or un rôle pacifique; c'est un engin destructeur de navires ua premier chef il pt, en fft, porter une charge d'xplsfs sffsnt pour creuser contre le flancs d'un cuirassé un cratère énorme dans leqel l'engin pénétrera lui-même ; dans ce cas, la vedette est perdue ; mais on peut 'utiliser pour lancer des trplls à distance e la faire revenir aussitôt en rreèari ; elle est capable également de remplir les fonctions de mouilleurs de mines. « Telle qu'elle, écrit M. René Roncières dans la "Science et la V", elle intervient efficacement à la défense des ôs Mais chaque cuirassé d'escadre peut en emporter n tin nombre vc lui pour les mettre à leau au moment favorable ; elles ent être ainsi de flottilles d'assaut d'une pssnc et d'une ffccté redoutables. » nO voit que l'art de détruire, d tuer est e progrès. Il ets à souhaiter qu'il parvienne à n degré de perfectionnement tel que l'on puisse moyen sed ondes erienns ou autres anénatri en quelques fractions de seconde une flotte entière, un port, une ville. Peut-être alors les hommes comprendront-ils que l'intérêt des peuples réside dans la paix Encor malgré ces destructions foudroyantes, ne fautil avoir qu'une confiance relative dans le triomphe d la raison. Comme l'a dit Rnn, la seule chs qui peut donner l'idée de l'infini, c'est la bêtise humaine. NOS NE VOON JAMAIS LE SOLEIL OÙ IL EST On st que la distance qui nous sépare du Soleil est — d'après les dernières mesures d 149 millions 501 mll kilomètres (Annuaire du Bureau des Longitudes). Voilà qui est entendu. Il est entendu et bien connu ss que la lumière fait 300000 kilomètres pr seconde; cest uoebpuac à certains oin de vue, mais tce's bien peu, eu r la distance uqi
parvienne à un degré de perfectionnement tel que l'on puisse au moyen des ondes hertziennes ou autres anéantir en quelques fractions de seconde une flotte entière, un port, une ville. Peut-être alors les hommes comprendront-ils que l'intérêt des peuples réside dans la paix. Encore, malgré ces destructions foudroyantes, ne faut-il avoir qu'une confiance relative dans le triomphe de la raison. Comme l'a dit Renan, la seule chose qui peut donner l'idée de l'infini, c'est la bêtise humaine. NOUS NE VOYONS JAMAIS LE SOLEIL OÙ IL EST On sait que la distance qui nous sépare du Soleil est — d'après les dernières mesures — de 149 millions 501 mille kilomètres (Annuaire du Bureau des Longitudes). Voilà qui est entendu. Il est entendu et bien connu aussi que la lumière fait 300.000 kilomètres par seconde; c'est beaucoup à certains points de vue, mais c'est bien peu, eu égard à la distance qui nous sépare de l'Astre-roi. Voici une curieuse conséquence de cela. Supposons que le Soleil soit éteint, mais qu'il se rallume instantanément à un moment donné ; les rayons lumineux s'élancent aussitôt dans toutes les directions ; mais il leur faut du temps pour arriver jusqu'à nous ; à chaque seconde, ils avancent de 300.000 kilomètres ; malgré cette vitesse, c'est au bout de 8 minutes 16 secondes seulement que nous verrons tout à coup le Soleil. Pendant ce temps, il restera pour nous aussi invisible que s'il était resté éteint. Si la transmission de la lumière était instantanée, nous verrions le Soleil s'éteindre au moment où il s'éteint et se rallume à l'instant précis où il se rallume. Mais du moment que la vitesse de la lumière — pourtant vertigineuse — est limitée, les choses se passent comme nous venons de le dire dans l'hypothèse d'une expérience qui ne se fera jamais. Une conséquence s'impose : jamais nous ne pouvons voir le Soleil où il est réellement. Durant le jour, nous le voyons à tout moment où il était 8 minutes 16 secondes auparavant puisque à tout moment notre rétine reçoit les rayons lumineux partis 8 minutes 16 secondes auparavant,
prvnn à un degré de perfectionnement tel equ l'on puisse au moyen des ondes hertziennes ou autres anéantir en quelque fractions de seconde une lotte entière, un port, une vll. Peutêtre alors les mhsemo comprendrontils que l'intérêt des peuples réside dans la paix Encore malgré ces destructions foudroyantes, ne at-i vir quune confiance vtaeleir dans le triomphe de la ra. Com ' dit Renan, la seule chose qui peut donner l'dé de linfini c'est la bêtise humaine. NOUS N VOYONS JAMAIS LE SOLEIL OÙ IL EST On sait que la distance qui ns esrpaé du Soleil est — d'près les dières meurses — de 149 millions 510 ile kilomètres (Annuaire du Bureau des Longitudes). Voilà qui est entendu. Il est entendu et bien on aussi que la lumière fait 300.000 kilomètres par seconde; c'est beaucoup à certains points de vue, a c'st bien peu, eu égard à l dita qui nous sépare de l'Astre-roi. Voici une crs conséquence de cela. Supposons que le Soleil soit éteint, mais qu'il se rallume instantanément à un moment donné ; les rayons lmnx s'élancent aussitôt dans toutes les directions ; mais il l faut du temps pour arriver jsq'à nous ; à chauqe scnd, ils avancent d 300000 sèklmetoir ; malgré cette vites c'est u bout de 8 minutes 16 secondes seulement que nous verrons tout à cpuo le Sll. Pendant ce temps, il restera pour nous aussi invisible q s'il ttaié sté éteint. Si la transmission de la lumière était instantanée, ous verrions le Soleil s'éteindre au mmnt où il s'éteint et se rallume à l'instant précis où il se rallume. Ma du moment euq la vies de la lumière — punt vrtgns — est limitée ls choses se passent cmm nous venons de le dire dans 'hyohèse 'une expérience qui ne s fera iajma.s n conséquence s'impose jamais nous ne pouvons vr le Soleil où il est réellement. Durant le jour, nous le voyons à tout mmnt où il ait 8 minutes 16 sens auparavant puisque à tout moment notre rétne reçoit les rayons lumineux 8 minutes 16 secondes upavt
ils avancent de 300.000 kilomètres ; malgré cette vitesse, c'est au bout de 8 minutes 16 secondes seulement que nous verrons tout à coup le Soleil. Pendant ce temps, il restera pour nous aussi invisible que s'il était resté éteint. Si la transmission de la lumière était instantanée, nous verrions le Soleil s'éteindre au moment où il s'éteint et se rallume à l'instant précis où il se rallume. Mais du moment que la vitesse de la lumière — pourtant vertigineuse — est limitée, les choses se passent comme nous venons de le dire dans l'hypothèse d'une expérience qui ne se fera jamais. Une conséquence s'impose : jamais nous ne pouvons voir le Soleil où il est réellement. Durant le jour, nous le voyons à tout moment où il était 8 minutes 16 secondes auparavant puisque à tout moment notre rétine reçoit les rayons lumineux partis 8 minutes 16 secondes auparavant, alors qu'il occupait une certaine situation dans le Ciel. Mais le Soleil se déplace sans cesse et à l'instant où nous le voyons en tel point, nous sommes assurés qu'il est en réalité en avant de celui-ci. Ceci fait que chaque jour nous sommes le jouet d'une illusion : quand le Soleil commence à se montrer, il est tout entier au-dessus de l'horizon, tout entier « levé »; le soir, quand il arrive au contact de l'horizon et s'apprête à plonger, il est déjà tout plongé. Le matin, il est debout avant que nous en doutions ; le soir, il est déjà couché alors qu'il nous apparaît encore debout. LA LUTTE POUR LA VIE CHEZ LES INSECTES Dans le monde des insectes, la lutte féroce pour la vie fait que les petits, les faibles, et en somme les prédis, sont plus fortes que les forts. Voici quelques exemples frappants : Le Carabe doré a une prédilection prononcée pour les intestins du hanneton ; il le poursuit, le renverse, entame son abdomen et se repaît avec délices de ces entrailles ; il est insensible aux pattes qui s'élèvent et s'abaissent, ni aux soubresauts du corps de sa victime dont le supplice
ls avancent de 300.000 kilomètres ; malgré cette vitesse, 'est a bout de minutes 16 secondes seulement que ns verrons tout à cp le Soleil. Pndnt ce temps, il rstr pour nous ss invisible u l'is était resté én. S transmission e l lumière était instantanée, nous verrions le Soleil 'tre au moment où l s'éteint et s rllm à l'instant précis où il se rallume. asiM du moment que la vitesse de la lumière — pourtant vertigineuse — est limitée e choses se passent cmm nous vnns d le dir s l'ythse d'une expérience qui ne se fera jamais. Une conséquence 'impose : jamais nous ne pouvons voir le Soleil où il e réellement. rn l jour, nous le voyons à tout moment où il était 8 mnts 16 secondes auparavant puisque à tout mmnt notre rétine reçoit les rayons lumineux partis 8 minutes 16 scnds auparavant alors qu'il occupait une certaine ituatn dans el Ciel Mais le Soleil se déplace sans cesse et à l'instant ù nuos el voyons en tel point, nous sommes assurés qu'il s en alié en avant de celui-ci. Ceci fait que chq jour sommes le juteo d'une illusion : quand le Sli cmmnc à se montrer, il est entier audessus de l'horizon, totu entier « levé »; le soir, quand il arrive au contact de l'horizon te s'apprête plonger, il est djà tuot plongé. Le matin il est dbt avant que nous en nuoistdo ; le soir l est déjà couché alors qu'il nous apparaît encore debout. LA LUTTE POUR L VIE CHEZ LES INSECTES Dans le monde des insectes a lutte féroce pour la vie fait que les petits, les faibles, et en somme les prédis, sont plus t les forts Voici quelques exemples frap : Le Carabe doré e prédlctn proné pour les intestins du hanneton ; il poursuit, le renverse entame son abdomen et se rpît avec délices de cs entrailles ; l est insensible aux pattes q s'élèvent et s'bssnt, ni aux soubresauts du corps de sa victime dnt le supplice
le Soleil commence à se montrer, il est tout entier au-dessus de l'horizon, tout entier « levé »; le soir, quand il arrive au contact de l'horizon et s'apprête à plonger, il est déjà tout plongé. Le matin, il est debout avant que nous en doutions ; le soir, il est déjà couché alors qu'il nous apparaît encore debout. LA LUTTE POUR LA VIE CHEZ LES INSECTES Dans le monde des insectes, la lutte féroce pour la vie fait que les petits, les faibles, et en somme les prédis, sont plus fortes que les forts. Voici quelques exemples frappants : Le Carabe doré a une prédilection prononcée pour les intestins du hanneton ; il le poursuit, le renverse, entame son abdomen et se repaît avec délices de ces entrailles ; il est insensible aux pattes qui s'élèvent et s'abaissent, ni aux soubresauts du corps de sa victime dont le supplice est atroce. Le Carabe est fort, le hanneton est faible. La Cicindèle champêtre, pour vivre, happé au vol de l'éléophage, un de ses mets favoris, les mouches, les petits coléoptères, les petits papillons sans défense. Le Bombardier, dans sa lutte pour la vie, possède un moyen original de défense contre les gros insectes qui le poursuivent pour le dévorer : il fait exploser une vapeur irritante, qui entrave la poursuite de son agresseur. Les femelles de l'Ichneumon sont constamment à la chasse des chenilles pour déposer leurs œufs dans leurs corps. Chaque espèce a son mode particulier pour trouver ses victimes ; qu'elles soient abritées dans le tronc des arbres ou enfoncées dans la terre, elles n'échappent presque jamais au puissant hymnoptère. La Cornue à massue a des enfants qui se nourrissent des enfants d'une minuscule Brachidontes, qui lui-même se régale de pucerons. La larve du Dytrique chasse pour vivre, dans l'eau, tous les êtres vivants, y compris les grenouilles et les poissons d'une certaine taille. Mais la palme revient à des fourmis de l'Amérique du Sud du genre Eciton, très carnivores. M. Alphonse Labitte, attaché au Muséum d'histoire naturelle, décrit ainsi leurs exploits : « Les fourmis voraces s'en
le Soleil commence à se montrer, il est tout entier au-dessus de l'horizon, tt entier « levé »; sr, quand il arrive au contact de l'horizon et s'apprête à plonger, il est déjà tou plongé. Le matin, il st debout avant que nous en doutions ; le soir, il est déjà cché lrs qu'il nous pparaî encore debout. LA LUTTE POUR LA VIE CHEZ LES INSECTES Dans le mnd des insectes, al lutte féroce pr la vie fait que les petits, ls faibles, et en somme les prédis, sont plus frts que les forts. Voici quelques exemples frppnts : Le Carabe doré a une pilcion nncreéoop pour les intestins du hanneton ; il le poursuit, le renverse, entame son abdomen te se repaît avec délices de ces entrailles ; il est insensible aux pattes q s'élèvent et s'abaissent, ni x soubresauts du corps de s victime dont le supplice est atroce. Le Carabe est fort, le hanneton est ile. La cèl champêtre, pour vivre, happé vol de l'éléophage, un de ses mets favoris, les mouches, les petits coloptèe, les petits papillons sans défense. Le Bombardier dans s lutte pour la vie, possède u moyen rgnl d défense contre les gros insectes qui e poursuivent pour le dévorer : il ft exploser une vapeur irritante, qui entrave la poursuite de son agresseur. Les femelles de l'Ichneumon sont constamment à la chasse des chenilles pour déposer leurs œufs dans leurs corps. Chaque espèce son od particulier pour trouver ses victimes ; qu'elles soient arite dans le tronc ds arbres ou enfoncées s la terre, elles n'échappent presque jamais au puissant hymnoptère La Cornue à mas a des enfants qui se nourrissent des enfants d'une mnscl Brchdnts, qui lui-même se régale de pcrns. L larve du Dytrique chasse pour vivre, dans l'eau, ts les êtres vivants y compris les grenouilles et les poissons dune certaine taille. Mais la palme revient à des fourmis de l'Amérique du Sud du genre Eciton, très carnivores. M. Alphonse Labitte, attaché au Muséum d'histoire naturelle, décrit ainsi leurs exploits : « Les fourmis voraces s'en
les gros insectes qui le poursuivent pour le dévorer : il fait exploser une vapeur irritante, qui entrave la poursuite de son agresseur. Les femelles de l'Ichneumon sont constamment à la chasse des chenilles pour déposer leurs œufs dans leurs corps. Chaque espèce a son mode particulier pour trouver ses victimes ; qu'elles soient abritées dans le tronc des arbres ou enfoncées dans la terre, elles n'échappent presque jamais au puissant hymnoptère. La Cornue à massue a des enfants qui se nourrissent des enfants d'une minuscule Brachidontes, qui lui-même se régale de pucerons. La larve du Dytrique chasse pour vivre, dans l'eau, tous les êtres vivants, y compris les grenouilles et les poissons d'une certaine taille. Mais la palme revient à des fourmis de l'Amérique du Sud du genre Eciton, très carnivores. M. Alphonse Labitte, attaché au Muséum d'histoire naturelle, décrit ainsi leurs exploits : « Les fourmis voraces s'en vont par bandes innombrables pour attaquer les grands et les petits animaux ; elles se jettent avec furie sur eux, détruisant insectes, reptiles et mammifères. Lorsqu'elles arrivent, ou plutôt lorsque leurs avant-coureurs annoncent leur arrivée, hommes, femmes, enfants abandonnent leurs habitations où elles pénètrent en masses serrées ; bientôt toutes les maisons d'un village sont purgées des moustiques, punaises, blattes, scolopendres, scorpions, serpents, rats, etc., qui étaient venus s'y retirer. » Ainsi, d'un bout de la vie à l'autre les insectes, en majeure partie les plus forts, torturent, massacrent les insectes les plus faibles, obéissent à la loi impitoyable qui régit notre monde, la loi de fer de la lutte pour la vie. UN GESTE CURIEUX DE PASTEUR Dans la "Science moderne", M. Dufour-Magnaval nous donne un très vivant portrait de l'"Homère des insectes", le célèbre entomologiste Fabre. Parmi les intéressantes anecdotes racontées par l'auteur, nous retiendrons celle qui se rapporte à la rencontre de Fabre avec Pasteur. Fabre, âgé de 43 ans, était professeur au Lycée d'Avignon, lorsqu'il reçut la visite de Pasteur, venu pour étudier sur place la maladie des vers à soie. Pasteur n'ayant jamais vu de cocons, exprima le désir d'en posséder. « Vous tombez bien,
les gros insectes qui le poursuivent pr le dévorer : il fait exploser une vapeur irritante, qui entrave la pouit de son grssr. Les femelles de l'Ichneumon sont ctonmamtesn à la chasse des chnlls pour déposer leurs œufs dans leurs p Chaque espèce a son mode atiule po trouver ses vctms ; quls soient abritées dns le trnc des rbrs ou enfoncées dans l terre, elles 'écapn presque jms au puissant hymnoptère. La Cornue à massue a des enfants qui se nrrssnt des enfants d'une minuscule aiont, qui lui-même se régale de pucerons. La larve du Dytrq chasse pour vivre, dans l'eau, tous els vvnts, y compris les grnlls t les snososip dune ertin tll. Mais la plm revient des fourmis de l'Amérique ud Sud d genre Eciton, trsè carnivores. M lphns Labitte, attaché au Muséum 'histoire naturelle, décrit ainsi lrs exploits : Les fourmis voraces s'en vont par bandes innombrables pour attaquer les grands et les petits nmx elles s ettet ave furie sur eux, détruisant insectes reptiles et mmmfèrs. Lorsqu'elles arrivent u plutôt lrsq leurs avant-coureurs annoncent leur arrivée, homs femmes, enfants abandonnent leurs habitations elles pénètrent en masses srrés ; bientôt toutes les maisons d'un village sont ées des moustiques, punaises, blattes, sclpndrs, scorpo serpents, rts, t. qui étaient v s'y retirer. » ns, dun obut de la vie à l'autre ls insectes, en mjr art les pls frts, torturent, massacrent ls insectes les pls fibl, béssnt la loi impitoyable i régit notre monde, la loi de fer de la lutte pour la v. UN GESTE CURIEUX DE PSTR Dans la "Science moderne", M. Dufour-Magnaval nous donne un très vivant portrait de l'"Hmèr des nscts", le célèbre entomologiste Fabre. Parmi les inéeae anecdotes rat par re'aulut, n retiendrons celle q s rapporte à la rencontre de Fabre avec Pasteur. Fabre, âgé ed 43 ans, était prfssr au Lycée d'Avignon, lrsq'l reçut la vst de Pasteur, venu pour étudier sur place la mld des vrs à s.eio Pasteur n'ayant jamais vu de cocons, exprima le désir d'en posséder. « Vous tombez bien,
les maisons d'un village sont purgées des moustiques, punaises, blattes, scolopendres, scorpions, serpents, rats, etc., qui étaient venus s'y retirer. » Ainsi, d'un bout de la vie à l'autre les insectes, en majeure partie les plus forts, torturent, massacrent les insectes les plus faibles, obéissent à la loi impitoyable qui régit notre monde, la loi de fer de la lutte pour la vie. UN GESTE CURIEUX DE PASTEUR Dans la "Science moderne", M. Dufour-Magnaval nous donne un très vivant portrait de l'"Homère des insectes", le célèbre entomologiste Fabre. Parmi les intéressantes anecdotes racontées par l'auteur, nous retiendrons celle qui se rapporte à la rencontre de Fabre avec Pasteur. Fabre, âgé de 43 ans, était professeur au Lycée d'Avignon, lorsqu'il reçut la visite de Pasteur, venu pour étudier sur place la maladie des vers à soie. Pasteur n'ayant jamais vu de cocons, exprima le désir d'en posséder. « Vous tombez bien, dit Fabre ; il y en a dans la maison même, car mon propriétaire en fait le commerce. » Le solitaire de Serignan ne tarda pas à apporter une poignée de cocons. Pasteur en prit un, l'examina, et, sentant rouler la chrysalide à travers l'enveloppe soyeuse, secoua le cocon auprès de son oreille, et s'écria : « Tiens ! s'écria-t-il surpris, on dirait qu'il y a quelque chose là-dedans ! » Fabre lui donna la clef du mystère : "Peut-être, ajoutait malicieusement le vieux naturaliste. Pasteur croyait-il que ce qu'on entendait ainsi était une sorte de noyau." A. C. LE VIe CONGRES Interfédéral des Victimes de la Guerre (Suite) Nous avons, dès lundi dernier, publié dans l'Echo une première série des vœux adoptés par le VIe Congrès Interfédéral Nord-Africain. Nous la continuons aujourd'hui : HABITATIONS A BON MARCHE Le Congrès demande : Que le taux des avances consenties aux organismes d'habitations à bon marché, soit ramené à 2 %. Que les maxima prévus par la législation soient augmentés dans une proportion de 70 %. Que la circulaire ministérielle du 14 avril 1925 soit abrogée en ce qui concerne la remise par le syndicat d'un certificat de non imposition sur le
les ai d'un vilage sont purgées des moustiques, punaises, alb,estt scolopendres, scorpions, serpents rats, etc., qui étaient vs s'y retirer. Ainsi 'un bout d la vie à l'autre les nscts, n majeure pri ls plus forts torturent msscrnt les insee les plus faibles, obéissent à la loi pab qui régit notre eodm,n la oi de fe de la lutte pour la vie. UN GESTE CURIEUX DE PAST sanD l "Science moderne", M. Dufour-Magnaval nous ne un très vivant portrait ed l'"Homère ds nscts", le célèbre entomologiste Fabre. Parmi les intéressantes anecdotes racontées par l'tr, nous nerdensotir celle qui se rapporte à la rencontre de Fbr avec Pasteur. Fabre, âgé de 43 ans, était professeur au Lycée d'Avignon, lorsqu'il reçut la visite de Pasteur, venu pour étudier sur place l maladie des vers soie Pasteur aat majais vu de cocons exprima le désir d'en posséder. « Vs tombez bien, dit Fabre ; il y en a a la aonmsi même, arc mon propriétaire en fait l cmmrc. » Le sltr de Serignan en tarda ps à repartpo une poignée de cocons. Pasteur en prit n, l'examina, et, sentant rouler la chrysalide à travers 'enveloppe soyeuse, secoua l cocon auprès de son oreille, et s'écria : « Tns s'écria-t-il ris, n dirait qu'il y a quelque chose làdedans ! » Fabre l donna la clef du mystère : "Peut-être, ajoutait malicieusement le vieux nurlise. Pasteur croyait-il que ce qu'on entendait ainsi était une srt de yo."aun .A LE VIe CONGRES Interfédéral des Victimes de la Guerre (Suite) Nous von, dès lundi dernier éiplbu dans lEcho une première éri des vœux adtés par le VIe Congrès Interfédéral dArca. Nous la continuons aujourd'hui : HABITATIONS A BON MARCHE Le Congrès aemddne : Que le taux des avances consenties aux organismes dabiaio à bon marché, soit ramené à 2 %. Que les maxima pévs par la législation snt augmentés dans une proportion d 70 %. Que la circulaire ministérielle du 14 alvir 15 soit graébeo en ce qui concerne la remise par le syndicat d'un certificat de non imposition sur le
de son oreille, et s'écria : « Tiens ! s'écria-t-il surpris, on dirait qu'il y a quelque chose là-dedans ! » Fabre lui donna la clef du mystère : "Peut-être, ajoutait malicieusement le vieux naturaliste. Pasteur croyait-il que ce qu'on entendait ainsi était une sorte de noyau." A. C. LE VIe CONGRES Interfédéral des Victimes de la Guerre (Suite) Nous avons, dès lundi dernier, publié dans l'Echo une première série des vœux adoptés par le VIe Congrès Interfédéral Nord-Africain. Nous la continuons aujourd'hui : HABITATIONS A BON MARCHE Le Congrès demande : Que le taux des avances consenties aux organismes d'habitations à bon marché, soit ramené à 2 %. Que les maxima prévus par la législation soient augmentés dans une proportion de 70 %. Que la circulaire ministérielle du 14 avril 1925 soit abrogée en ce qui concerne la remise par le syndicat d'un certificat de non imposition sur le revenu et en ce qui concerne les ménages sans enfants. Que les terrains appartenant à l'État et administrés par le Génie militaire, soient remis directement aux organismes d'habitations à bon marché, et aux Offices publics. Que le Gouvernement de l'Algérie accorde aux Anciens combattants les mêmes avantages qu'aux mutilés, fonctionnaires et pères de familles nombreuses. Que dans les locations simples des Offices publics d'habitations à bon marché un droit de priorité soit accordé aux mutilés, veuves de guerre et anciens combattants. RETRAITE MUTUELLE Vote rapide des projets de loi tendant à augmenter le taux de la pension maximum bénéficiant de la subvention de l'État (fixation de ce maximum à 3.000 francs) et augmentation de la subvention pour les vieilles classes. OFFICE DU COMBATTANT Le Congrès demande que cet office puisse fonctionner rapidement ; qu'un délai supplémentaire soit accordé pour la délivrance de la carte du combattant et que l'attention des corps de services soit appelée sur l'importance de cette carte afin que la délivrance des certificats provisoires soit entourée de toutes les garanties désirables et effectuée le plus rapidement possible, c'est ainsi que les certificats provisoires demandés à Paris pour les militaires détachés aux sections de chemins de fer, ne
de son oreille, et s'écria : « Tiens s'écria-t-il surpris, on dirait qu'il y a quelque chose là-dedans ! abr lui donna la clef du mystère "Peut-être, tit mlcsmnt le vieux naturaliste. Pasteur croyait-il que ce q'n netadient ainsi était un sorte de noyau." A. . LE VIe CONGRES Interfédéral des Victimes de la Guerre St Ns ons, dès lundi dernier, publié dans l'Echo neu première série des vœux adoptés par le VIe Congrès Interfédéral Nord-Africain. Nous la cntnns aujourd'hui : HABITATIONS A MARCHE Le Congrès de : Que le au des avances consenties aux organismes d'habitations bn marché, soit ramené 2 %. Que ls mxm prévus par la législation snt augmentés as une prprtn de 70 Q la circulaire ministérielle du 14 avril 1925 st abrogée en ce qui concerne la smreie par l syndicat d'un certificat e non imposition sr le revenu t en c qui cenecorn les ms sans enfants. Que les tniaersr appartenant à l'État et administrés par e Génie militaire, soient rms directement x organismes haoii'stbdtan à bon mrh et aux Offices publics Que le Gouvernement e Algie accorde aux Anciens combattants les mêmes avantages qu'aux ,iltémus fonctionnaires pres e efslalim nombreuses Que dans les locations simples de Offices publi d'hbttns à marché un droit de iité st cdcaoré aux mutilés, veuves de guerre et anciens ttn.tboscmaa RETRAITE MUTUELLE Vt rapide des projets de loi tednt à augmenter le tx de la pension maximum bénéficiant de la subvention de 'État (aion ed ce maximum à 3.000 francs) et gmnttn de la subvention pour sle vieilles clsss. FFC DU TOCAATMTNB Le Cgr demande que office pss fonctionner rapidement ; uu délai supplémentaire soit cdé pour la délivrance de la carte du combattant t que lattention des osrpc de services i appelée sur l'importance d cette carte afi q la délvrnc des certificats provisoires soit entourée de tutes les garanties désirables et effectuée l plus rapidement possible, c'est ainsi que les certificats provisoires demandés à Paris pour les mitaes détachés aux sections de chemins de e ne
et pères de familles nombreuses. Que dans les locations simples des Offices publics d'habitations à bon marché un droit de priorité soit accordé aux mutilés, veuves de guerre et anciens combattants. RETRAITE MUTUELLE Vote rapide des projets de loi tendant à augmenter le taux de la pension maximum bénéficiant de la subvention de l'État (fixation de ce maximum à 3.000 francs) et augmentation de la subvention pour les vieilles classes. OFFICE DU COMBATTANT Le Congrès demande que cet office puisse fonctionner rapidement ; qu'un délai supplémentaire soit accordé pour la délivrance de la carte du combattant et que l'attention des corps de services soit appelée sur l'importance de cette carte afin que la délivrance des certificats provisoires soit entourée de toutes les garanties désirables et effectuée le plus rapidement possible, c'est ainsi que les certificats provisoires demandés à Paris pour les militaires détachés aux sections de chemins de fer, ne sont pas encore délivrés aux intéressés qui en ont fait cependant la demande il y a plus de cinq mois; que la subvention de 90.000 francs accordée à chacun des Offices marocain et tunisien soit augmentée en tenant compte des difficultés plus grandes rencontrées, dans la lutte pour la vie par les anciens combattants hors de la métropole. AVANTAGES AUX COMMERÇANTS Considérant les dommages subis par les commerçants anciens combattants de l’Afrique du Nord du fait de l’abandon de leurs maisons de commerce et de la concurrence qu'ils ont eu à subir de ce fait de la part des étrangers ; les services qu'ils ont rendus et continuent à rendre au pays. Le Congrès demande : 1° que, par analogie aux facilités de crédit accordées aux anciens combattants agriculteurs les Gouvernements de l’Afrique du Nord veuillent bien, soit par des avantages aux banques populaires, soit par entente avec la Banque de l'Algérie, faire accorder aux commerçants anciens combattants leur commerce, des facilités d’escompte pour trois mois, à un taux égal à la moitié du taux de ces banques; 2° Que le maximum des prêts professionnels consentis en Tunisie et au Maroc, soit augmenté et que les crédits mis à la
et pères de familles nombreuses Que as les locations simples ds Offices publics dhabitations bon marché un droit de priorité soit accordé aux mutilés vvs de guerre et anciens cmbttnts. RETRAITE ULUELTEM Vote rapide des projets de loi tendant à gmntr le taux de la pension maximum bénéfcnt de la subvention de l'État (fixation de c maximum à .00 francs) et gmnttn de subvention pr les vieilles classes. OFFICE DU COMBATTANT Le Congrès demande que cet office pss fonctionner rapidement ; quun délai supplémentaire soit accordé pour la délivrance de la carte du b et que l'attention des corps d services soit appelée sur l'importance de cette atcre afin que la délivrance des certificats provisoires soit entourée de toutes les garanties désirables et effectuée le plus rapidement possible, c'est aini que les certificats provisoires demandés à Paris pour les militaires détachés aux sections de chemins de fer sont pas encore délivrés aux intéressés qui en ont fait cependant la ednemad il y a plus de cinq mois; que la subvention de 90.000 francs accordée à chacun des ffcs marocain e tunisien soit augmentée en tenant compte des difficultés pls egadnsr rencontrées, dans la lutte pour la vie par les ie combattants hors de la métropole. AVANTAGES AUX COMMERÇANTS Considérant les dommages subis par lse cmmrçnts ac combattants de l’Afrique d Nord du fait de l’abandon de leurs maisons de commerce et de la concurrence ui ont eu à subir de ce fait de la part des étrngrs ; les services quils ont rendus et continuent à rendre au sapy. Le Congrès ema : 1° que, pr analogie aux facilités de crédit accordées xau anciens combattants agriculteurs Gvrnmnts de l’Afrique du Nord veuillent bien, soit par des avantages aux banques populaires, soit p entente avec la Banque de l'Algérie, faire reaccord x comerçns anciens omaat lr commerce, des facilités d’escompte pour trois mois, à un taux égal à la moitié d taux de ces banques; 2° Que le maximum des prêts rfein consentis en Tunisie t au Maroc, soit gmnté et que les crédits mis à la
par les anciens combattants hors de la métropole. AVANTAGES AUX COMMERÇANTS Considérant les dommages subis par les commerçants anciens combattants de l’Afrique du Nord du fait de l’abandon de leurs maisons de commerce et de la concurrence qu'ils ont eu à subir de ce fait de la part des étrangers ; les services qu'ils ont rendus et continuent à rendre au pays. Le Congrès demande : 1° que, par analogie aux facilités de crédit accordées aux anciens combattants agriculteurs les Gouvernements de l’Afrique du Nord veuillent bien, soit par des avantages aux banques populaires, soit par entente avec la Banque de l'Algérie, faire accorder aux commerçants anciens combattants leur commerce, des facilités d’escompte pour trois mois, à un taux égal à la moitié du taux de ces banques; 2° Que le maximum des prêts professionnels consentis en Tunisie et au Maroc, soit augmenté et que les crédits mis à la disposition des Offices soient suffisants pour satisfaire à toutes les demandes ; 3° Que dans les adjudications pour fournitures diverses, la priorité soit réservée aux commerçants mutilés et anciens combattants. FOURNITURES POUR LES ADMINISTRATIONS Le Congrès décide de demander aux Gouvernements de l’Afrique du Nord, d’inviter les administrations civiles et militaires et les chefs de corps à donner, à prix égal, leur préférence, dans les achats qu’ils effectuent aux fournisseurs mutilés, combattants et victimes de la guerre. Signale, en outre, l’utilité de faire exercer un contrôle de l’application des dispositions qui interviendraient, et de publier périodiquement la liste des fournisseurs, mutilés et victimes de la guerre, ainsi que l’énumération des opérations effectuées. AVANTAGES AUX AGRICULTEURS Le Congrès demande que la priorité, pour l’attribution des lots de colonisation, doit être réservée aux agriculteurs mutilés et anciens combattants. PRETS A LONG TERME La somme de 40.000 francs étant notoirement insuffisante, dans l’Afrique du Nord, pour l’acquisition et la mise en valeur d’une propriété susceptible de faire vivre une famille française, le Congrès demande que soit augmenté le chiffre limité maximum des prêts à long terme. PAIEMENT DES PENSIONS Considérant que tous les pensionnés de guerre indigènes nantis d’un titre de pension ou
par les anciens combattants hor de la métropole. AVANTAGES AUX CMMRÇNTS Considérant les dommages subis par e commerçants anciens combattants de l’Afrique du Nord du fait de l’abandon de leurs maisons de cmmrc et de la concurrence qu'ils ont eu à subir de c fait de l part des étrangers ; les services sl'qui nt rendus et continuent rendre au pays. Le Congrès demande : 1° que par analogie aux facilités de crédit accordées ax anciens combattants agriculteurs les Gouvernements de l’Afrique du Nord vllnt bien, soit par des avantages aux banques pplrs, soit par entente avec la Banque de l'Algérie, faire accorder aux commerçants anciens combattants leur ,mmoceecr des facilités descompte pour toirs mois, un tx égal à la oiti du taux de ces bnqs; 2 Qe le maximum des rts professionnels cnsnts en n t Maroc, soit augmenté et que crédits mis à la disposition des Offices soient suffisants pour satisfaire à toutes les emans ; 3° e dans les adjudications pour fournitures diverses, la prrté soit résrvé aux cmerat mutilés et anciens combattants. FOURNITURES POUR LS ADMINISTRATIONS Le Congrès éd de demander aux orteunevesnmG de ifAreulq’ du Nrd,o d’inviter sel administrations civiles et mltrs et sle chefs de corps à donner, à prix égal, leur préférence, dans les achats quils effectuent aux fournisseurs mutilés, combattants et vit de la guerre. Signale, en outre, l’utilité d faire exercer un lrôncote de l’application des dispositions qui interviendraient, e de publier périodiquement la lst des fournisseurs, mutilés et victimes de la guerre, ainsi u l’énumération des oraios effectuées. AVANTAGES AGRICULTEURS Le Congrès dmnd que la priorité, pour atr’tintolbui des lts d clnstn, doit être réservée aux rle mutilés et anciens cata. PRTS LONG TE La somme d 40.000 francs étn notoirement insuffisante, dans l’Afrique du Nord, pour l’acquisition et la mise en valeur d’une propriété susceptible ed faire vivre une famille française, le Congrès demande que soit gmnté le chiffre limité maximum des prêts à long terme. PAIEMENT DES PENSIONS Considérant que tous les pensionnés d guerre ndgèn nantis ’un te d pension ou
militaires et les chefs de corps à donner, à prix égal, leur préférence, dans les achats qu’ils effectuent aux fournisseurs mutilés, combattants et victimes de la guerre. Signale, en outre, l’utilité de faire exercer un contrôle de l’application des dispositions qui interviendraient, et de publier périodiquement la liste des fournisseurs, mutilés et victimes de la guerre, ainsi que l’énumération des opérations effectuées. AVANTAGES AUX AGRICULTEURS Le Congrès demande que la priorité, pour l’attribution des lots de colonisation, doit être réservée aux agriculteurs mutilés et anciens combattants. PRETS A LONG TERME La somme de 40.000 francs étant notoirement insuffisante, dans l’Afrique du Nord, pour l’acquisition et la mise en valeur d’une propriété susceptible de faire vivre une famille française, le Congrès demande que soit augmenté le chiffre limité maximum des prêts à long terme. PAIEMENT DES PENSIONS Considérant que tous les pensionnés de guerre indigènes nantis d’un titre de pension ou d’un titre définitif et ne sachant pas signer en français, sont également tenus de produire un certificat de vie, délivré par le Contrôleur civil de leur circonscription pour percevoir les arriérés de leur pension. Considérant qu’il en est de même pour les pensionnés de guerre illitrés nantis d’un certificat provisoire; Considérant que l’établissement du certificat de vie, exige que l’intéressé se présente, en personne, au siège du Contrôle civil et lui occasionne ainsi des frais de déplacement et de séjour, souvent supérieurs à la somme qu’il reçoit au titre de pensionné ; Le Congrès émet le vœu que des mesures soient prises pour que les intéressés puissent faire établir le certificat de vie par une autorité administrative immédiatement voisine de leur lieu de résidence et ne soient pas astreints à des frais de voyage onéreux qui absorbent souvent la totalité ou la plus grande partie des arriérés de la pension. LE FRONT UNIQUE La proposition suivante de la section de Tunis, animée d’une générosité toute française, a rallié la sympathie unanime de tous les membres du Congrès : Que soit envisagée, retenue et poursuivie la création d’une Association unique des mutilés, anciens combattants, veuves, orphelins, et ascendants ; que le
mltrs et les chefs de corps à donner, à prix égal, leur préférence, dans les achats qu’ils effectuent aux fournisseurs mils, combattants et victimes de la guerre. Signale, en otre, l’utilité de faire exercer n contrôle de l’application des dispositions qui interviendraient, et de publier périodiquement la liste des fournisseurs, mutilés et victimes d la guerre, ainsi que l’énumération des pértns effectuées. AVANTAGES AX AGRICULTEURS e Congrès demande que la priorité, pour l’attribution des lots d clnstn, doit être réservée aux agriculteurs mtlés et anciens combattants. PRETS A LONG TRM La somme de 40.000 racfns étant notoirement insuffisante, dans l’Afrique du Nord, pour laton et la mise en valeur d’une propriété sscptbl de faire vivre une famille française, le Congrès demande q soit augmenté le chiffre limité maximum des prêts à long terme. PAIEMENT DES PENSIONS Considérant q tous ls pensionnés de guerre indigènes nantis d’un titre de pension ou d’u titre définitif et ne sachant pas signer n français, sont églmnt tns de produire un certificat de vie, délivré par le Contrôleur liicv de leur cocrptin pr percevoir les arriérés de leur pension. Considérant qu’il n est d même pour les pensionnés de guerre illitrés nantis d’un certificat provisoire; Considérant que l’établissement du certificat de vie, exige que l’intéressé se présente, en personne, au siège du ore civil et lui occasionne isain des frais de déplacement et de séjour, suen supérieurs à la smm qu’il reçoit au titre de pensionné Le Congrès émet le vœu que de es oi prises pour que les intéresés puissent fr établir le certificat de vie par une autorité administrative immédiatement voisine de leur lieu de résidence et ne soient pas astreints à des frais de voyage onéreux qui absorbent souvent la totalité ou la plus grande prt des arriérés de la pension LE FRONT NQ La positin suivante de la section de i,usnT animée d’une générosité tt française, a rallié la sympathie unanime de tous l membres du Congrès : Que soit envisagée, retenue et poursuivie la création d’une Association unique des mutilés, anciens combattants veuves, orphelins, et ascendants ; que le
Considérant que l’établissement du certificat de vie, exige que l’intéressé se présente, en personne, au siège du Contrôle civil et lui occasionne ainsi des frais de déplacement et de séjour, souvent supérieurs à la somme qu’il reçoit au titre de pensionné ; Le Congrès émet le vœu que des mesures soient prises pour que les intéressés puissent faire établir le certificat de vie par une autorité administrative immédiatement voisine de leur lieu de résidence et ne soient pas astreints à des frais de voyage onéreux qui absorbent souvent la totalité ou la plus grande partie des arriérés de la pension. LE FRONT UNIQUE La proposition suivante de la section de Tunis, animée d’une générosité toute française, a rallié la sympathie unanime de tous les membres du Congrès : Que soit envisagée, retenue et poursuivie la création d’une Association unique des mutilés, anciens combattants, veuves, orphelins, et ascendants ; que le groupement ainsi constitué s’affirme aussitôt, auprès du Gouvernement, du Parlement et de l’opinion publique, comme un organisme agissant pour assurer, en même temps que la grandeur et la prospérité de la Patrie victorieuse, la Paix des peuples. PRIORITÉ SUR LES NON-COMBATTANTS Le Congrès émet le vœu que l’Interfédération Nord-Africaine intervienne auprès de la Confédération Nationale des Anciens Combattants et Victimes de la Guerre, pour qu’une proposition de loi soit déposée, (par ses soins, afin de sanctionner le principe de la priorité — à mérite égal — des anciens combattants sur les non-combattants, dans tous les domaines. Nous avons omis bien involontairement de mentionner que les belles photographies de groupes de mutilés que nous avons publiées dans l’Echo d’Alger, avaient été prises par M. S. Rolando fils, photographe, 54, rue Sadi Carnot, Alger. Voilà un oubli réparé. — Dans le compte rendu de la pose de la première pierre du sanatorium de Saint Ferdinand, une coquille typographique nous a fait dire que la lourde pierre avait été placée « sur » l’œil de M. Bertin, entrepreneur ». Fort heureusement que l’on n’a pas commencé la construction immédiate du « sana », sur la pierre et l’œil de notre excellent ami. Importante
Considérant que l’établissement d certificat de vie, exige que l’intéressé se présente, en personne, a siège du Contrôle civil et l occasionne ainsi ds frais de déplacement te de séjour, souvent supérieurs à la somme qu’il reçoit au titre de pension Le Congrès émet le œu que des msrs soient prises pour qe les intéressés puissent fr établir le certificat de vie par une aorit administrative immédiatement voisine de leur lieu de résidece et n soient pas astreints à des frais de ayoegv nérx qui absorbent souvent l totalité ou la plus grande parie des arriérés de la pension. LE FRONT UNIQUE La proposition suivante de section de Tunis, animée d’une générosité toute française, a rallié la sympathie unanime de tous les mmbrs du Congrès Que soit envisagée, retenue et poursuivie la création d’une ssctn unique des mutilés, anciens combattants, vvs, orphelins, et ascendants ; que le groupement ainsi constitué sfme aussitôt, auprès du Gouvernement, d Parlement et de l’opinion publique, comme un organisme agissant pour assurer, en même temps que la grandeur et la prospérité de la Patrie victorieuse, la Paix des peuples. PRIORITÉ SUR LES NON-COMBATTANTS Le Congrès émet le vœu que lInerdéri Nord-Africaine intervienne auprès de a Confédération Nationale ds Anciens Combattants et iisVmcet de la Guerre, pour quune proposition de loi soit déposée, par( ses soins, afin de sanctionner le prinipe de priorité — à érte égl — dse anciens combattants sur es non-combattants, dans tous les omies Nous avons omis bien involontairement de mentionner que les belles photographies de groupes de mutilés que nous avons publiées dns lEcho d’Alger, avaient été prises par M. S. Rolando fils, photographe, 54, re Sadi Crtona, Alger. Voilà un oubli aé. — Dans le compte rendu de la pose de la première pierre du rosaunamit de Stain Ferdinand, un cqll typographique nous a fait dire que eordul pierre avait été placée « sur » l’œil d M. Bertin, entrepreneur ot heureusement que lon n’a ps commencé la construction immédiate du « sana », sur l pierre et lœi de notre excellent ami. Importante
auprès de la Confédération Nationale des Anciens Combattants et Victimes de la Guerre, pour qu’une proposition de loi soit déposée, (par ses soins, afin de sanctionner le principe de la priorité — à mérite égal — des anciens combattants sur les non-combattants, dans tous les domaines. Nous avons omis bien involontairement de mentionner que les belles photographies de groupes de mutilés que nous avons publiées dans l’Echo d’Alger, avaient été prises par M. S. Rolando fils, photographe, 54, rue Sadi Carnot, Alger. Voilà un oubli réparé. — Dans le compte rendu de la pose de la première pierre du sanatorium de Saint Ferdinand, une coquille typographique nous a fait dire que la lourde pierre avait été placée « sur » l’œil de M. Bertin, entrepreneur ». Fort heureusement que l’on n’a pas commencé la construction immédiate du « sana », sur la pierre et l’œil de notre excellent ami. Importante Réunion des éleveurs et exportateurs de bétail d’Algérie Mardi 20 mars, à 9 heures du matin, s’est tenue à la C.G.A.A., à Alger, l’assemblée générale de la Fédération des Syndicats des Éleveurs et Exportateurs de bétail d’Algérie, sous la présidence de M. Moatti Emile. MM. Joye, président; Daumen, et 80 membres du Syndicat des commissionnaires en bestiaux, de Marseille ; Rivière, Valerd, Foucard, Nave et Albert Ghighi, représentant les éleveurs de l’Oranie : Delbosc Bekkouche, vice-président du Syndicat d’Alger ; Wibaux, Cherqui, Chouraqui, Achouche Marence, éleveurs d’Alger, ainsi que de nombreux éleveurs, assistaient à la réunion. S’étaient fait excuser les présidents d’Oran, de Constantine, MM. Smadja, d’Oran ; Peters et Guerri, d’Alger. M. Moatti souhaite la bienvenue à MM. les commissionnaires de Marseille, ainsi qu’aux éleveurs du département d’Oran, et les remercie d’avoir bien voulu venir à Alger pour discuter de l’amélioration de la vente de nos moutons sur le marché de Marseille. On aborde immédiatement l’ordre du jour par la question des transports ferroviaires des régions d’élevage aux ports d'embarquement, question qui a déjà fait l’objet de discussions aux assemblées générales des années précédentes. Au nom des Oranais, M. Ghighi expose les difficultés éprouvées par les éleveurs pour avoir
auprès de la Confédération Nationale des Anciens Combattants et Victimes de la Guerre, pr qu’une proposition de loi soit déposée, par ses soins, afin de sanctionner le principe de la priorité — à tméire égal — des anciens combattants sur les non-combattants, dn tous les domaines. Nous vns omis bien involontairement de mentionner que les belles photographies de groupes de uiés que nous avons publiées dans l’Echo d’Alger, avaient t prises par M. S. Rolando fils, photographe, 54, rue Sadi Carnot, Alger. Voilà un oubli réparé. — Dans le compte rendu de pose de la première pierre du sanatorium de Saint Ferdinand, une cqll typographique nous a fait dire que la rd pierre avait été placée « sur » lœil de M. Bertin entrepreneur ». r ereusemnt que l’on n’a pas commencé la construction immédiate du sana », sur la pierre et l’œil de notre excellent ami. Importante Réunion des éleveurs et exportateurs de bétail lgie Mardi 20 mars, à 9 heures matin, s’est tenue à la CGAA à lgr, l’assemblée générale de la Fédération des Syndicats eds vÉleures et Exportateurs de bétail dAlgérie sous la présidence de M. Moatti Emile. . oy, président; Daumen et 80 membres du Syndicat des commissionnaires en bestiaux, de Marseille Rivière, Valerd, Foucard, Nave et bAlrte Ghighi, rpsan les éleveurs de l’Oranie : eosDlbc Bekkouche, vice-président du Syndicat d’Alger ; Wibaux, Cherqui, Chouraqui, Achouche Marence, éleveurs d’Alger, ainsi que d nombreux éleveurs, assistaient à la réunion. S’étnt fait excuser présidents d’Oran, de Constantine, MM. Sdma,ja ’Oran ; Peters et Guerri, d’Alger. . Moatti souhaite la bienvenue à MM. les commissionnaires de Marseille, ainsi uqaux’ éleveurs du département ’Oran, et les remercie d’avoir bien voulu venir Alger pour discuter de l’amélioration de la vente de nos moutons usr le marché d Marseille. On aborde immédiatement l’ordre du jour par la question des transports ferroviaires des régions d’élevage aux ports d'embarquement, question qui a déjà fait l’objet de discussions aux assemblées générales des années précédentes. Au nom des Oranais, . Ghighi xps les difficultés éprouvées pr les éleveurs pour avoir
membres du Syndicat des commissionnaires en bestiaux, de Marseille ; Rivière, Valerd, Foucard, Nave et Albert Ghighi, représentant les éleveurs de l’Oranie : Delbosc Bekkouche, vice-président du Syndicat d’Alger ; Wibaux, Cherqui, Chouraqui, Achouche Marence, éleveurs d’Alger, ainsi que de nombreux éleveurs, assistaient à la réunion. S’étaient fait excuser les présidents d’Oran, de Constantine, MM. Smadja, d’Oran ; Peters et Guerri, d’Alger. M. Moatti souhaite la bienvenue à MM. les commissionnaires de Marseille, ainsi qu’aux éleveurs du département d’Oran, et les remercie d’avoir bien voulu venir à Alger pour discuter de l’amélioration de la vente de nos moutons sur le marché de Marseille. On aborde immédiatement l’ordre du jour par la question des transports ferroviaires des régions d’élevage aux ports d'embarquement, question qui a déjà fait l’objet de discussions aux assemblées générales des années précédentes. Au nom des Oranais, M. Ghighi expose les difficultés éprouvées par les éleveurs pour avoir des wagons destinés aux transports des moutons ; on continue, malgré les réclamations justifiées transmises l’année dernière au Gouvernement Général, à faire passer l’alfa avant le bétail, marchandise maintenant bien périssable, au grand dam des éleveurs du Sud qui se donnent tant de mal à amener leurs troupeaux en bon état et des consommateurs métropolitains qui attendent nos moutons avec impatience. M. Ghighi demande, ainsi que MM. Walaid, Rivière-et Foucard, que la priorité soit enfin accordée au transport du bétail sur l’alfa. Après une discussion, à laquelle prennent part les membres présents, le président constate avec regret que l’Administration des Chemins de fer n’a pas tenu compte des desiderata à ce point de vue, puisqu’elle continue à donner la priorité à l’alfa qui va à l’étranger plutôt que celui de nos moutons, si nécessaire au ravitaillement de la France, la catastrophe de l’Oranie n’ayant pas permis aux réseaux de l’État de rétablir la circulation ferroviaire normale du Sud aux ports d'embarquement. Il y a évidemment, comme le signalait très justement M. Ghighi, plus de difficultés cette année que les années précédentes à l’acheminement des troupeaux vers le Nord ; néanmoins, pendant les deux ou trois mois de la période d’expédition,
membres du Syndicat des commissionnaires en bestiaux, de Marseille ; Rivière, Valerd, Foucard, Nave et lbrt Ghighi, représentant les éleveurs de l’Oranie : Db kouch vice-président du Syndicat d’Alger ; Wibaux, Cherqui, Chouraqui, Achouche Mrnc, éleveurs d’Alger, n que de noubermx élvrs, assistaient à la réunion. S’étaient fait excuser les présdnts d’Oran, de Constantine, M Smadja, dOran ; Ptrs et Guerri, d’Alger. M. Mtt souhaite la bienvenue à MM. ls cmmssnnrs de Marseille, ainsi qu’aux éleveurs du département d’Oran, et les remercie d’avoir bien voulu vrnei à lger pour discuter de l’amélioration de la vente de nos moutons sur le marché de Marseille. On aborde immédiatement lordre du jour par la question des transports ferroviaires des régions d’élevage aux ports d'embarquement, question qui a déjà fait l’objet de discussions aux assemblées générales des sennaé précédentes. Au nom des Oranais, M. Ghighi expose les difficultés éprouvées par les éleveurs pour avoir des wagons destinés x transports des moutons ; on continue, malgré les réclamations justifiées transmises l’année dernière Gouvernement Général, à faire passer lalfa avant le bétail, marchandise maintenant bien périssable, gnrda a des éleveurs du Sud qui se donnent tant de mal à amener leurs troupeaux en bon état et des consommateurs métropolitains qui attendent nos mtns avec impatience. M. hhgiiG demande, in que MM. Walaid, Rivière-et Foucard, que la priorité soit enfin accordée au transport du bétail rsu ’alfa. près n discussion, à laquelle prennent part les membres présents, le président constate avec regret que l’Administration des Chemins de fr ’ pas tenu compte des desiderata à ce point de vue, puisqu’elle continue à donner la priorité l’alfa qui va à l’étranger plutôt que celui de nos moutons, is nécessaire au ravitaillement de la France, la catastrophe de l’Oranie n’ayant pas permis aux réseaux d l’État de rétablir la circulation ferroviaire normale du Sud aux ports d'embarquement. Il y a évidemment, comme le signalait très ttemjusne M. Ghighi, plus de difficultés cet année que les années précédentes à l’acheminement des troupeaux vrs Nord ; néanmoins, pendant les deux ou trois mois de la période ’expédition,
état et des consommateurs métropolitains qui attendent nos moutons avec impatience. M. Ghighi demande, ainsi que MM. Walaid, Rivière-et Foucard, que la priorité soit enfin accordée au transport du bétail sur l’alfa. Après une discussion, à laquelle prennent part les membres présents, le président constate avec regret que l’Administration des Chemins de fer n’a pas tenu compte des desiderata à ce point de vue, puisqu’elle continue à donner la priorité à l’alfa qui va à l’étranger plutôt que celui de nos moutons, si nécessaire au ravitaillement de la France, la catastrophe de l’Oranie n’ayant pas permis aux réseaux de l’État de rétablir la circulation ferroviaire normale du Sud aux ports d'embarquement. Il y a évidemment, comme le signalait très justement M. Ghighi, plus de difficultés cette année que les années précédentes à l’acheminement des troupeaux vers le Nord ; néanmoins, pendant les deux ou trois mois de la période d’expédition, c’est aux moutons qu’il faut donner la priorité sur toutes les autres marchandises. Une délégation est désignée pour aller exposer à M. le Gouverneur Général les doléances des éleveurs en lui demander de prendre toutes les mesures utiles pour donner satisfaction aux exportateurs de moutons. L’Assemblée adopte à l’unanimité le vœu de M. Jaillet, de Sidi-Ali, déjà adopté par la C.G.A.A. samedi dernier, concernant l'exagération des tarifs de transport ferroviaire mettant dans une situation pénible les éleveurs du Sud. Cette question sera également soumise à M. le Gouverneur Général. La question de vente de nos moutons au poids vif sur le marché de Marseille est mise en discussion. M. Delbosc fait un remarquable exposé sur la question et signale les difficultés d’application de ce mode de vente, en raison des catégories spéciales d’acheteurs de nos moutons sur le marché de Marseille; M. Rivière, d’abord, et M. Foucard, ensuite, soutiennent la thèse exposée en faisant valoir les ennuis de toute sorte et les pertes énormes subies par les éleveurs qui attendent quelquefois jusqu’au vendredi le poids de leurs moutons vendus le mardi, d'où un déchet énorme et une perte inutile à l’éleveur et au consommateur ; malgré les difficultés que causerait,
état e e consommateurs métropolitains qui attendent nos moutons avec impatience. M. Ghighi demande, ainsi q MM Walaid, Rivière-et Foucard, que la priorité soit enfin accordée au trnsprt du bétail sur l’alfa. Après une discussion, laquelle prennent part les membres présents, le président constate avec regret que l’Amition des Chemins de fer n’a pas tenu compte des desiderata à c point de vue, uisu’ee continue à r la priorité à l’alfa qui va à l’étranger plutôt que celui de nos moutons, si nécessaire au ravitaillement de la France, la catastrophe d lrnie n’ayant pas permis aux réseaux de l’État de rétablir la circulation ferroviaire normale du Sdu aux ports d'embarquement. Il y a évidemment, comme l signalait très justement M. Ghighi, plus d difficultés cette année que les années précédentes à l’acheminement des troupeaux vers le Nrd ; néanmoins, pendant les dx ou sorit mois de la période d’expédition, ’est aux moutons qu’il faut donner la priorité sur toutes l autres marchandises. Une aégndtolié est désignée pour llr exposer à M. le Gouverneur Général les doléances des éleveurs en lui demander de prendre toutes les mesures utiles pour donner satisfaction aux exportateurs de moutons. L’Assemblée adopte à lunanimité le vœu de M. Jaillet, de Sidi-Ali, déjà adopté par la .... samedi dernier, concernant l'exagération des tarifs de transport ferroviaire mettant dns une situation pénible les éleveurs du Sud. Cette question sare également soumise M. l Gouverneur Générl. La question de vente de nos moutons au poids vif sur le marché de areil tse mise en discussion. M. Delbosc tifa un remarquable exposé r la question et signale les difficultés dapplication de ce mode de vente, en inaosr ds catégories spéciales dacheteurs de nos moutons sru le marh de Marseille; M. Rivière, d’abord, et M. Foucard, ensuite, soutiennent la thèse exposée en faisant valoir les ennuis de toute sorte et les prts énormes subies par les éleveurs qiu attendent quelquefois jusqu’au vendredi le poids de leurs moutons vendus le mardi, d'où un déchet énorme et une perte inutile à l’éleveur et au consommateur ; malré les diffcs que causerait,
vœu de M. Jaillet, de Sidi-Ali, déjà adopté par la C.G.A.A. samedi dernier, concernant l'exagération des tarifs de transport ferroviaire mettant dans une situation pénible les éleveurs du Sud. Cette question sera également soumise à M. le Gouverneur Général. La question de vente de nos moutons au poids vif sur le marché de Marseille est mise en discussion. M. Delbosc fait un remarquable exposé sur la question et signale les difficultés d’application de ce mode de vente, en raison des catégories spéciales d’acheteurs de nos moutons sur le marché de Marseille; M. Rivière, d’abord, et M. Foucard, ensuite, soutiennent la thèse exposée en faisant valoir les ennuis de toute sorte et les pertes énormes subies par les éleveurs qui attendent quelquefois jusqu’au vendredi le poids de leurs moutons vendus le mardi, d'où un déchet énorme et une perte inutile à l’éleveur et au consommateur ; malgré les difficultés que causerait, au début, la vente au poids vif, contraire aux habitudes actuelles, M. Rivière est convaincu que c’est la seule façon rationnelle de vendre nos moutons sans causer de préjudice à personne. M. Joye, président du Syndicat des commissionnaires, ainsi que MM. Daumen et Bô, partagent aussi l’opinion de M. Delbosc sur les grosses difficultés à instaurer la vente au poids vif à Marseille ; ils constatent et déplorent l’influence fâcheuse de MM. les chevillards qui ne sont pas toujours raisonnables et qui ne tiennent pas leurs engagements d’abattre les lots la lendemain des jours de vente. Ces messieurs se sont efforcés et s’efforceront de faire comprendre aux chevillards qu’en allant contre les intérêts des éleveurs d’Algérie ils allaient contre leurs propres intérêts. M. Joye demande si l’indemnité payée aux chevillards, déjà assez élevée, peut être augmentée pour obtenir d’eux l’abattage complet des lots au lendemain des ventes; après discussion l’assemblée répond par l’affirmative. MM. les commissionnaires demandent qu’il leur soit fait confiance car s’ils n’obtenaient pas satisfaction de MM. les chevillards ils traiteraient avec un entrepreneur, quittes à augmenter l’indemnité de l’abattage. L’Assemblée adopte. M. Rivière insiste à nouveau et de même M. Foucard qu’un essai de vente au poids
vœu M. Jllt, de Sidi-Ali, déjà adopté par la .G.A.A samedi dernier, cncrnnt l'exagération sde tarifs de transport ferroviaire mettant dns une situation ib les éleveurs du uSd. Cette question sera également soumise à M. le Gouverneur Général. La question de vente de nos mouto au poids vif sur e marché de Maelle est ms discussion. M. Dlbsc ifat un eqble pésxeo sur la qstn et signale les difficultés ’application de c mode de vente, en raison des catégories spéciales d’acheteurs de nos mtns sur le marché de Marseille; M Rivière, d’abord, et M aFr,oduc ensuite, soutiennent l thès exposée en faisant valoir les ennuis de toute sorte et les pertes énormes us pr les éleveurs qui attendent quelquefois ’au vendredi le poids de leurs moutons vendus le mardi, d'où un déchet énorme et une perte inutile à ’éleveur et au consommateur ; mlgré les dffcltés que causerait, au début, la vente u poids vif, contraire x habitudes ctlls, M. Rivière est convaincu q c’est l seule façon rationnelle d vendre nos nuostom sans causer de préjudice à prsnn. . Joye sedténpir du Syndicat des cmmssnnrs, iansi que MM. Daumen et Bô, partagent aussi lopinion de M. Delsc sur les o difficultés à instaurer la vente au osdpi vif à Marseille ; ls constatent et déplorent l’influence fâcheuse de MM. les ellihardcvs qui ne sont pas toujours raisonnables te qui ne tiennent pas lrs engagements d’abattre les lots la lendemain des jours de vnt. Ces messieurs s sont efforcés et s’ffrcrnt de fr comprendre aux chevillards qu’en allant contre les intérêts des éeu d’Algérie ils at cn leurs rpspore intérêts. . Joye demande si l’indemnité payée aux chevillards, déjà assez élevée pt être augmentée pour obtenir deux l’abattage complet des lot au lendemain es ventes; après discussion l’assemblée répond par l’affirmative. MM. les cmmssnnrs demandent qu’il leur soit fait confiance car sils n’obtenaient pas satisfaction de MM. les chevillards ils traiteraient avec un epu quittes augmenter l’indemnité de l’abattage. L’Assemblée adopte. M. Rvèr insiste à nv et d même M Foucard q’n ss d ete au poids
sur les grosses difficultés à instaurer la vente au poids vif à Marseille ; ils constatent et déplorent l’influence fâcheuse de MM. les chevillards qui ne sont pas toujours raisonnables et qui ne tiennent pas leurs engagements d’abattre les lots la lendemain des jours de vente. Ces messieurs se sont efforcés et s’efforceront de faire comprendre aux chevillards qu’en allant contre les intérêts des éleveurs d’Algérie ils allaient contre leurs propres intérêts. M. Joye demande si l’indemnité payée aux chevillards, déjà assez élevée, peut être augmentée pour obtenir d’eux l’abattage complet des lots au lendemain des ventes; après discussion l’assemblée répond par l’affirmative. MM. les commissionnaires demandent qu’il leur soit fait confiance car s’ils n’obtenaient pas satisfaction de MM. les chevillards ils traiteraient avec un entrepreneur, quittes à augmenter l’indemnité de l’abattage. L’Assemblée adopte. M. Rivière insiste à nouveau et de même M. Foucard qu’un essai de vente au poids vif soit fait à Marseille au moment où les commissionnaires le jugeront utile. Après avoir rappelé les conventions passées à la réunion de Marseille, en novembre 1926, avec MM. les chevillards, à la Chambre de Commerce, M. Moatti déplore que ces messieurs veuillent encore nous imposer des conditions contraires à tout esprit commercial et au bon sens; il clôt la discussion se faisant l’interprète de tous les exportateurs, en faisant confiance à MM. les commissionnaires de Marseille pour qu’à partir du premier avril prochain satisfaction soit donnée aux expéditeurs pour l’abattage rapide des lots. L’assemblée adopte cette manière de voir qui sera transmise immédiatement au Syndicat des commissionnaires de Marseille. Lecture est donnée d’un vœu des éleveurs de Constantine réclamant un vétérinaire clavelisateur pour les régions de Barika, Biskra, Constantine, Annaba, etc. Ce vœu est adopté et sera transmis à M. le Gouverneur général ce soir. M. Moatti donne lecture du programme du Congrès du mouton dont il a pris l’initiative au nom de la Fédération le 3 février dernier, à suivre à l’occasion du centenaire de 1930 : tout ce qui est relatif à l’amélioration des pâturages, à la création de points d’eau, aux différentes races de moutons, ainsi
sur les grosses difficultés à instaurer la vnt au poids vif à Mrsll ; ils constatent et déplorent l’influence fâcheuse de MM. les chevillards qui ne sont pas toujours raisonnables et qui ne tiennent pas eurs engagements d’abattre les lots la lendemain des jours de vente. Ces ieeusrmss se sont efforcés et s’efforceront e faire comprendre aux chevillards quen allant contre les intérêts ds élvrs gdéelrA’i ils allaient contre leurs propres intérêts. M. Joye demande si l’indemnité payée aux chevillards, déjà assez élevée, peut être augmentée pr obtenir d’eux l’bttge complet des lots au lendemain des ventes; après discussion l’ssmblé répond par l’affirmative. MM. les ommssna demandent qu’il leur st fait cnfine car s’ils n’obtenaient pas satisfaction de MM. les chevillards ils traiteraient avec un entrepreneur, quittes à augmenter l’indemnité de l’abattage. L’Assemblée dpt. M. Rivière insiste à nouveau et de même M. Foucard q’n ss de vnt au poids vf soit fait à Marseille au moment les isionae le jgrnt uil. Après vor rappelé les conventions pssés à la réunion de Marseille, en novembre 1926, avec MM. les chevillards, à la Chambre de Cmmrc, M. Moatti déplore que ces messieurs veuillent encore nous reipsom des conditions contraires à tout esprit commercial et au bon sens; il clôt a discussion se faisant ’interprète de tous les exportateurs, en faisant confiance à MM. e commissionnaires de Marseille pr qu’à partir du premier avril prochain satisfaction st donnée aux expéditeurs pour l’abaae rapide des lots. L’assemblée dpt cette manière de voir qui sera transmise immédiatement a Syndicat des commissionnaires de Mrsll. Lctr est donnée d’un vœu des éleveurs de Constantine réclamant un vétérinaire clavelisateur pour les régions de Barika, Biskra, Constantine, Annaba, etc vœu est adopté et sera transmis à M. le Gouverneur général ce soir. M. Moatti donne lecture d rgae du Congrès du mouton dont il a pris l’initiative au nom de la Fédération le 3 février dernier, à suivre à loccasion du ni de 1930 : tout ce qui est rltf à l’amélioration des res à la création de points d’eau, aux dfférnts races de moutons, ainsi
tout esprit commercial et au bon sens; il clôt la discussion se faisant l’interprète de tous les exportateurs, en faisant confiance à MM. les commissionnaires de Marseille pour qu’à partir du premier avril prochain satisfaction soit donnée aux expéditeurs pour l’abattage rapide des lots. L’assemblée adopte cette manière de voir qui sera transmise immédiatement au Syndicat des commissionnaires de Marseille. Lecture est donnée d’un vœu des éleveurs de Constantine réclamant un vétérinaire clavelisateur pour les régions de Barika, Biskra, Constantine, Annaba, etc. Ce vœu est adopté et sera transmis à M. le Gouverneur général ce soir. M. Moatti donne lecture du programme du Congrès du mouton dont il a pris l’initiative au nom de la Fédération le 3 février dernier, à suivre à l’occasion du centenaire de 1930 : tout ce qui est relatif à l’amélioration des pâturages, à la création de points d’eau, aux différentes races de moutons, ainsi qu’aux maladies de nos moutons, l’amélioration des laines, le transport ferroviaire et maritime, etc., seront étudiés avec toute l’ampleur voulue, d'accord avec la Société Nationale d’encouragement à l’agriculture pour permettre l’intensification de nos productions de viande et de laine. L’assemblée approuve. A l’unanimité, est également approuvée l’affiliation de notre Fédération à l’Association générale des producteurs de viande qui vient de se créer à Paris pour protéger l’élevage des départements de la métropole et de l’Algérie L’ordre du jour étant épuisé la séance est levée à midi trente. Un banquet amical réunissait, dans les salons du Chapon Fin, les éleveurs, exportateurs et les commissionnaires de Marseille. Au dessert, le président de la Fédération montra les bienfaits de pareilles réunions pour y discuter, chaque année, tout ce qui a trait à l’élevage dans le Sud, aux transports et à la vente de nos moutons et, en félicitant tous les membres présents de la cordialité avec laquelle les dissertations se déroulèrent ce matin, il buura à la prospérité de tous les groupements intéressés et à l’union plus étroite de la France et de l’Algérie. Dans la soirée, M. le Gouverneur général Bordes reçut la délégation désignée dans la matinée. Après un exposé fait
tout esprit commercial te au bon sens; il clôt la discussion se faisant l’interprète de tous les exportateurs, en fisa confiance à MM. les commissionnaires de Marseille pour qu’à partir du premier avril prochain satisfaction soit donnée aux expéditeurs pour l’abattage rapide des lots. L’assemblée adopte ctt a de voir qui sera transmise immédiatement au Syndicat des mioinaesmosriscn de Marseille. Lecture est donnée un’d vœu des élvrs de Constantine réclamant un vétérinaire clavelisateur pour les régions de Barika, Biskra Constantine, Annaba, etc. Ce vœu est adopté et sr transmis à M. le Gouverneur général ce sr. M. Moatti donne lecture d programme du Congrès du mouton dont il a r l’initiative au nom de la Fédération le 3 février dernier à suivre à l’occasion du centenaire de 1930 : tout qui est relatif à l’mélrtn des pâturages à la création de points ’eau, aux différentes races de moutons, ainsi qu’aux mlds de nos moutons, l’amélioration des laines, le rsor ferroviaire et ,mmtrieai etc., seront étudiés vc toute l’ampleur ou d'accord avec la Société aonale dencouragement à l’agriculture pour permettre l’intensification de nos productions de viande et de laine. L’assemblée approuve. A l’unanimité, est également appe ’affiliation de notre Fédération à l’Association générale des producteurs de viande qui vient de s créer à Paris pour protéger l’élevage ds départements de la métropole et de l’Algérie L’ordre du jour étant épuisé la séance est levée à midi trente. banquet amical réunissait dns les salons du Chapon Fin, les éleveurs, exportateurs et ls commissionnaires de Marseille. Au dessert, le président de la Fédération montra les bienfaits de pareilles réunions pour y discuter, aqu année, tout ce qui a trait à l’élevage dans le Sud, aux transports et l vente de nos moutons et, en félicitant ts les membres présents de la cordialité avec lllqaeue les dssrttns se déroulèrent ce matin, il buura à la prspérté de tous les groupements intéressés et à l’union plus étroite de la France et de l’Algérie. Dans la soirée, M. le Gouverneur général Brds reçut la délégation snéeidég dans la matinée. Après un exposé fait
à l’Association générale des producteurs de viande qui vient de se créer à Paris pour protéger l’élevage des départements de la métropole et de l’Algérie L’ordre du jour étant épuisé la séance est levée à midi trente. Un banquet amical réunissait, dans les salons du Chapon Fin, les éleveurs, exportateurs et les commissionnaires de Marseille. Au dessert, le président de la Fédération montra les bienfaits de pareilles réunions pour y discuter, chaque année, tout ce qui a trait à l’élevage dans le Sud, aux transports et à la vente de nos moutons et, en félicitant tous les membres présents de la cordialité avec laquelle les dissertations se déroulèrent ce matin, il buura à la prospérité de tous les groupements intéressés et à l’union plus étroite de la France et de l’Algérie. Dans la soirée, M. le Gouverneur général Bordes reçut la délégation désignée dans la matinée. Après un exposé fait par MM. Moatti, Joye, Rivière et Ghighi au sujet de la priorité des transports de moutons sur l’alfa, des tarifs exagérés des transports, de l’insuffisance de vétérinaires dans le département de Constantine et, enfin, de la deuxième taxe sur le chiffre d’affaires réclamée indûment aux commissionnaires de Marseille pour la période du 25 juillet au premier octobre 1925, ces messieurs reçurent l’assurance de M. le Gouverneur général que satisfaction leur serait accordée dans la mesure du possible, étant donné l’intérêt national que présentent les questions qui venaient de lui être soumises. En s’abattant un mur Quatre enfants que deux gendarmes sauvent Aumale, 27 mars (De notre correspondant particulier). — Un mur entourant la propriété d’un nommé Amza Aïssa, banlieue d’Aumale, s’est abattu dans la matinée du samedi 24 courant, ensevelissant 4 enfants, âgés de 3 à 6 ans, ainsi qu’un khamès. Heureusement qu’au même instant, passaient le maréchal des logis Bonnemaison et le gendarme Molière, qui se portèrent au secours des victimes. Après plus d’un quart d’heure d’efforts ils réussirent à retirer sains et saufs tout ce petit monde de leur triste position. Le khamès s’était tiré d’affaire lui-même. Seul une chèvre trouva la mort dans les décombres. Nos félicitations
à cin générale des producteurs de viande qui vient de s re Paris pour protéger l’élevage des départements de la métropole et de l’Algérie L’ordre du jour étant épuisé l séance est levée midi tee. Un banquet amical réunissait, dans les salons du Chapon Fin, les éleveurs, exportateurs et les commissionnaires de Marseille. Au dessert, le président de la Fédération montra les bienfaits de pareilles réunions pour y discuter, chaque année, tout ce qui trait à l’élevage dans le Sud, uxa transports et à la vente de nos moutons et, en félicitant tous les membres présents de la cordialité vc laquelle les dssrttns se déroulèrent ce matin, li buura à la prospérité d tous les groupements intéressés e à l’union plus étroite de la France et de l’Algérie. Dans la soirée, M. le Gouverneur générl Bordes reçut la délégation désignée dans la mtné. Après un exposé fait par MM. Moatti, Jy, Rivière et Ghighi au sujet d l ritériop des transports de moutons sur l’lf, des tarifs exagérés des transports, de l’nsffsnc de vétérinaires dans le département de Conanti et, enfin, de al deuxième taxe sur le chiffre d’affaires réclamée indûment aux cmiionaie de Marseille pour la période du 25 juillet au premier octobre 95 ces messieurs reçurent l’assurance de M. le Gouverneur général que satisfaction leur serait accordée dans la msr du loebpsis, étant donné l’intérêt natioal que présentent les questions qui venaient de lu être smss. En s’abattant n mr Quatre enfants que deux gendarmes sauvent Aumale, 27 mars (De notre correspondant particulier). — Un mur entourant la propriété d’un énmmo Amza Aïssa, banlieue d’Aumale, s’est btt dans la mtné du samedi 24 courant, nsvlssnt 4 enfants, âgés de 3 à ans, ainsi qu’un hmkè.as Heureusement qu’au même instant passaient e maréchal ds logis Bonnemaison et le gendarme Molière, qui se onetprtèr au secours des victimes. Après plus d’un quart d’heure d’efforts ils réssrnt à retirer sains et saufs tout ce petit monde de leur triste position Le khamès s’étt tiré d’affaire lui-même. Seul une chèvre trouva la mort dans ls décombres. Nos félicitations
période du 25 juillet au premier octobre 1925, ces messieurs reçurent l’assurance de M. le Gouverneur général que satisfaction leur serait accordée dans la mesure du possible, étant donné l’intérêt national que présentent les questions qui venaient de lui être soumises. En s’abattant un mur Quatre enfants que deux gendarmes sauvent Aumale, 27 mars (De notre correspondant particulier). — Un mur entourant la propriété d’un nommé Amza Aïssa, banlieue d’Aumale, s’est abattu dans la matinée du samedi 24 courant, ensevelissant 4 enfants, âgés de 3 à 6 ans, ainsi qu’un khamès. Heureusement qu’au même instant, passaient le maréchal des logis Bonnemaison et le gendarme Molière, qui se portèrent au secours des victimes. Après plus d’un quart d’heure d’efforts ils réussirent à retirer sains et saufs tout ce petit monde de leur triste position. Le khamès s’était tiré d’affaire lui-même. Seul une chèvre trouva la mort dans les décombres. Nos félicitations aux braves gendarmes, car sans leur prompte intervention, nous aurions eu quatre morts à déplorer. Nous espérons que l’autorité supérieure leur en tiendra compte. CYCLISME Grand Critérium de Pâques UNE NOTE AMUSANTE Nous avons reçu, hier, d’un aimable correspondant, la lettre que nous reproduisons ci-dessous ; « Monsieur, « Je voudrais bien dans la mesure de mes moyens participer au succès de votre Critérium. Ma double qualité ( ?) de cul-de-jatte et de marchand d’escargots me commande d’arriver toujours en retard. Espérons que cette fois, je serai au moins l’antépénultième pour vous offrir deux paniers d’escargots qui seront expédiés, franco aux gagnants des bons ci-attachés. » Pour ne pas répéter toujours « aux derniers les bons » voulez-vous les attribuer aux avant-derniers de chaque circuit. « Si le gagnant se trouve trop encouragé ou qu’il n’aime pas les escargots, qu’il envoie alors son bon à une œuvre hospitalière. Je crois savoir qu’on y accueille favorablement ce genre de cadeau. « Recevez, Monsieur, avec l’assurance de ma sympathie pour vos organisations, l’expression. » J. Bradane. MODIFICATION À L’ITINÉRAIRE DU PETIT CRITERIUM La coupure de la route nationale au pont de l’Oued-Kherma nous empêche de passer du Gué-de-Constantine à Baba-Ali. Pour conserver
période du 25 juillet ua remi cobr 1925 ces messieurs reçurent l’assurance de M. l Gouverneur général qeu satisfaction leur serait accordée dans la mesure du possible, étant dnné l’intérêt national que présentent les qesn qui venaient de lui être soumises. En s’abattant un mur a enfants que deux gendarmes sauvent ml, 27 mars (D notre correspondant particulier). Un umr entourant la propriété ’un nommé Amza Aïssa banlieue d’Aumale, ’sste abattu as la matinée du samedi 24 courant, ensevelissant 4 enfn âgés de 6 ans, ainsi qun kam Heureusement quau même instant passaient le hcaaélmr des logis Bonnemaison et l gearme Molière, qui se portèrent au secours ds victimes Après plus d’un qur d’heure d’efforts s réussirent à retirer sains et saufs tout ce petit mnd de leur triste position. Le khamès ’tasité tiré d’affaire lui-même. Seul eun chèvre trouva mort dans ls décombres. Nos félicitations x braves r,sadegenm car sans leur prompte intervention, nous aurions e ute morts à déplorer. Nous nsepoérs que loéta’urit supériere leur en tiendra compte. CYCLISME Grand Critérium de Pâques UNE NOTE USN Nous avons reçu, hier, d’n aimable correspondant, la lttr que nous reproduisons ci-dessous ; Monsieur, J voudrais bien dans la mesure d ms moyens participer au succès de votre Critérium. Ma dbl qualité ( ? de cul-de-jatte et de marchand d’scrgts me cmmnd d’arriver toujours en retard Espérons q cette fi, je eai u moins lantépénultième pour vous offrir deux ns descargots ui seront expédiés, franco a ggnnts des bns ci-attachés. » Pour ne spa répéter tjrs « x derniers les nosb voulez-vous les attribuer aux avantderniers de chaque circuit. Si le gagnant se trouve trop encouragé qu’il naime ps ls escargots, q’l envoie alors son bon à une œuvre hospitalière. Je crois svr qu’on y accueille favorablement ce genre de cd. « Recevez, Monsieur, avec l’assurance de ma sympathie opur vos organisations l’expression. » . Bradane. MODIFICATION À L’ITINÉRAIRE DU PTT CRITERIUM La cpr de la ot nationale au pont e l’Oued-Kherma nous empêche pssr d Gué-de-Constantine à Baba-Ali. Pour conserver
voudrais bien dans la mesure de mes moyens participer au succès de votre Critérium. Ma double qualité ( ?) de cul-de-jatte et de marchand d’escargots me commande d’arriver toujours en retard. Espérons que cette fois, je serai au moins l’antépénultième pour vous offrir deux paniers d’escargots qui seront expédiés, franco aux gagnants des bons ci-attachés. » Pour ne pas répéter toujours « aux derniers les bons » voulez-vous les attribuer aux avant-derniers de chaque circuit. « Si le gagnant se trouve trop encouragé ou qu’il n’aime pas les escargots, qu’il envoie alors son bon à une œuvre hospitalière. Je crois savoir qu’on y accueille favorablement ce genre de cadeau. « Recevez, Monsieur, avec l’assurance de ma sympathie pour vos organisations, l’expression. » J. Bradane. MODIFICATION À L’ITINÉRAIRE DU PETIT CRITERIUM La coupure de la route nationale au pont de l’Oued-Kherma nous empêche de passer du Gué-de-Constantine à Baba-Ali. Pour conserver la même longueur à notre petit circuit nous avons dû modifier l’itinéraire en supprimant le passage à Sidi-Moussa, Baraki, Gué-de-Constantine et Baba-Ali et en le remplaçant par le crochet suivant : Boufarik, Bouïnan, Rovigo, Pont de Mimouch, Chebli, Birtouta. Le Petit Critérium empruntera entre Bouïnan et Rovigo la route du Grand Critérium, mais en sens inverse et à une heure différente de la journée. Le parcours du Petit Critérium devient donc le suivant : Ruisseau, Birmandreïs, Colonne Voirol, El-Biar, Châteauneuf, Chéragas, Dely-Ibrahim, Ouled Fayet, Saint Ferdinand, Douéra, Quatre-Chemins, Boufarik, Bouïnan, Rovigo, Pont de Mimouch, Chebli, Birtouta, Crescia, Saoula, Birkadem, Kouba, Ruisseau, Alger, Saint-Eugène. Cette modification raccourcit le Petit Critérium de trois kilomètres environ. NOUVEAUX ENGAGEMENTS Guercy L., Guercy CI., Guercy A. t., Fagioli Joseph (débutant). NOUVELLES PRIMES Deux ons de chacun 25 francs à choisir parmi les casquettes de la Maison Henry-Malinconi. Au nom des futurs bénéficiaires - merci. POUR S’ENGAGER Nous rappelons que les engagements pour le Critérium de Pâques sont reçus tous les jours aux bureaux de l’ « Echo d’Alger », boulevard Carnot. moyennant la somme de cinq francs (Petit Circuit) et dix francs (Grand Circuit). Notre épreuve est ouverte à tous les licenciés de l’U.V.F. et
voudrais bien dans la mesure de mes moyens ii au succès de votre Critérium. Ma double qualité ( ?) de cul-de-jatte et de marchand ’escargots me commande d’arriver ujr en retard. Espérons que cette fi, je serai au moins l’antépénultième pour vous rfofir uedx paniers d’escargots qui seront xpédés, franco aux gnant des bons ci-attachés. » Pour pas répéter toujours « x derniers les bons » voulez-vous ls attribuer aux avant-derniers ed chaque circuit. « le gagnant se trouve trop encouragé ou qu’il n’aime pas les scrgts, q’l nv alors son bon à une œuvre hospitalière. Je crois savoir qu’on y accueille favorablement c genre de cadeau. « Recevez, Monsieur, avec ’assurance e sympathie pour vos rgnstns, l’expression. » J. Bradane. MODIFICATION À LITINÉRAIRE DU PETIT CRITERIUM La coupure de la route nationale pont de l’d-Khrm nous empêche de passer du Gué-de-Constantine à Baba-Ali. Pr conserver l ême longueur à notre petit circuit ns avons dû modifier lnae en supprimant le passage à Sidi-Moussa, Baraki, Gué-de-Constantine et BabAi et en le remplaçant par le crochet suivant : Boufarik, Bouïnan, Rovigo, Pont de Mimouch Chebli, Birtouta. Le Petit Critérium empruntera ntr Bouïnan et Rovigo la route du Grand Critérium, mais en sens inverse et à une heure différente de la journée. Le parcours du Petit Critérium devient onc le suivant : Ruisseau, Birmandreïs, Colonne Voirol, El-Biar, Châteauneuf, Chéragas, Dely-Ibrahim, Ouled Fayet, Saint Ferdinand, Douéra, Quatre-Chemins, Boufarik, Bouïnan, Rvg, Pont de Mimouch, Chebli, Birtouta, Crescia, Sl, Birkadem, Kouba Ruisseau, Alger, Saint-Eugène. Cette modification raccourcit le Ptt Critérium de trois kilomètres environ. NOUVEAUX ENGAGEMENTS Guercy L., Guercy CI., Guercy A. t., ilaFigo oh (débutant). NOUVELLES PRIMES Deux ons de chacun 25 francs à choisir parmi les casquettes de la Maison Henry-Malinconi. Au onm des futurs bénéficiaires - merci. POUR S’ENGAGER Nuso rappelons que les engagements pr le Critérium de Pâques sont reçus tous les jours aux bureaux de l’ « Echo d’Alger oulva Carnot. moyennant la somme de cinq francs (Petit Circuit) et dix francs (Grand Circuit). Notre épreuve est ouverte à utos les icecié e l’U.V.F. et
Grand Critérium, mais en sens inverse et à une heure différente de la journée. Le parcours du Petit Critérium devient donc le suivant : Ruisseau, Birmandreïs, Colonne Voirol, El-Biar, Châteauneuf, Chéragas, Dely-Ibrahim, Ouled Fayet, Saint Ferdinand, Douéra, Quatre-Chemins, Boufarik, Bouïnan, Rovigo, Pont de Mimouch, Chebli, Birtouta, Crescia, Saoula, Birkadem, Kouba, Ruisseau, Alger, Saint-Eugène. Cette modification raccourcit le Petit Critérium de trois kilomètres environ. NOUVEAUX ENGAGEMENTS Guercy L., Guercy CI., Guercy A. t., Fagioli Joseph (débutant). NOUVELLES PRIMES Deux ons de chacun 25 francs à choisir parmi les casquettes de la Maison Henry-Malinconi. Au nom des futurs bénéficiaires - merci. POUR S’ENGAGER Nous rappelons que les engagements pour le Critérium de Pâques sont reçus tous les jours aux bureaux de l’ « Echo d’Alger », boulevard Carnot. moyennant la somme de cinq francs (Petit Circuit) et dix francs (Grand Circuit). Notre épreuve est ouverte à tous les licenciés de l’U.V.F. et réservée aux coureurs toutes catégories, sauf amateurs, pour le Grand Circuit. Pourront prendre part au Petit Circuit tous les coureurs catégories indépendants et débutants. LA CLOTURE DES ENGAGEMENTS EST FIXÉE AU MERCREDI 4 AVRIL Les engagements seront clos le mercredi 3 avril 1928, à 19 heures, la liste complète des engagés devant être publiée dans l’ « Echo d’Alger » du 6 avril. LA VIE ÉCONOMIQUE L’industrie d’État en Russie L’Industrie d’État en Russie, occupe plus de 2 millions d’ouvriers. Voici les étapes de son développement, de la fin 1925 au mois d’avril 1927 : Périodes Nombre d’ouvriers Production brute employés (en milliers) (en milliers) de roubles d’avant-guerre 1er trim. 1925 1.858 1.006.100 1er trim. 1926 1.943 1.063.500 2e trim. 1926 1.908 1.037.700 3e trim. 1926 1.927 1.063.200 4e trim. 1926 1.976 1.266.500 1er trim. 1927 2.027 1.269. 200 Pendant la période sous revue, ainsi que l'indiquent les chiffres que l'on vient de lire, le nombre des ouvriers employés dans les industries d'État est passé de 1.858.000 à 2.027.000 unités. L'augmentation est donc de l'ordre de 9 Pendant le même laps, la production brute (évaluée en millions de roubles d'avant-guerre) est passée de 1.006.100 roubles à 1.269.200 ; la progression
Grand Critérium, mais en sens inverse et une heure différente de la journée. Le parcours du Petit Critérium dvnt donc le suivant : Ruisseau, Birmandreïs, Colonne Voirol, El-Biar, Châteauneuf, Chéragas, Dely-Ibrahim, Ouled Fayet, Saint Ferdinand Douéra, Quatre-Chemins, Boufarik, Boï Rvg, Pont de Mimouch, Chebli, Brtt, Crescia, Saoula, Birkadem, Kouba, Ruisseau, Alger, Saint-Eugène. Cette modification raccourcit Petit Critérium de tr kilomètres environ. NOUVEAUX NGGEMTS Guercy L., Guercy CI Guercy A. t., Fagioli Joseph (débutant). NOUVELLES PRIMES Dx o de chacun 25 francs à choisir parmi les casquettes de l Maison Henry-Malinconi. Au nom des futurs bénéficiaires - merci. POUR S’ENGAGER Nous rappelons que les engagements pour le Critérium de Pâques sont reçus tous les jours aux bureaux de l’ Echo d’Alger , boulevard Carnot. neotmyann la somme de cinq francs (Petit Circuit) et dix francs (Grand Circuit). Notre épreuve est ouverte à tous les licenciés de l’U.V.F. et réservée aux coureurs toutes éas,cetigro sauf amateurs, pour le Grand Circuit. Poro prendre part au Petit ri tous les coureurs catégories indépendants et débtnts. LA CLOTURE DS ENGAGEMENTS EST FIXÉE MERCREDI 4 AVRIL Les engagements seront clos le mercredi 3 avril 1928, à 19 heures, la liste complète des nggés devant être publiée ndas l « Eohc d’Alger » du 6 rilav. LA VIE ÉCONOMIQUE L’industrie d’État en Russie L’Industrie d’Étt en Rsues,i occupe pslu de 2 millions d’ouvriers. Voici les étapes de son développement, de la fin 1925 au mois d’avril 1927 : Périodes Nombre d’vrrs Production brute employés (en milliers) (en milliers) de roubles d’avant-guerre 1er trim. 1925 1.858 1.006.100 1er trim. 1926 1.943 1.063.500 2e trim. 1926 1.908 1.037.700 3e trim. 1926 1.927 1.063.200 4e trm. 1926 1.976 1.266.500 1er trim. 1927 2.027 1.269. 200 Pndnt la période sous revue, ainsi que l'indiquent les chiffres que l'on in de lire, le nombre des ouvriers employés dans les industries d'État est passé de 1.858.000 2.027.000 unités neaatug'mnLito est donc de l'ordre d 9 Pendant le même laps, la production brute (évaluée en millions de roubles d'avant-guerre) st psé de 1.006.100 roubles à 1.269.200 ; la progression
engagés devant être publiée dans l’ « Echo d’Alger » du 6 avril. LA VIE ÉCONOMIQUE L’industrie d’État en Russie L’Industrie d’État en Russie, occupe plus de 2 millions d’ouvriers. Voici les étapes de son développement, de la fin 1925 au mois d’avril 1927 : Périodes Nombre d’ouvriers Production brute employés (en milliers) (en milliers) de roubles d’avant-guerre 1er trim. 1925 1.858 1.006.100 1er trim. 1926 1.943 1.063.500 2e trim. 1926 1.908 1.037.700 3e trim. 1926 1.927 1.063.200 4e trim. 1926 1.976 1.266.500 1er trim. 1927 2.027 1.269. 200 Pendant la période sous revue, ainsi que l'indiquent les chiffres que l'on vient de lire, le nombre des ouvriers employés dans les industries d'État est passé de 1.858.000 à 2.027.000 unités. L'augmentation est donc de l'ordre de 9 Pendant le même laps, la production brute (évaluée en millions de roubles d'avant-guerre) est passée de 1.006.100 roubles à 1.269.200 ; la progression est donc de 26 Le salaire moyen de l'ouvrier était au cours du 4e trimestre 1925, de 2,21 roubles tchervonetz par jour ; il s'élevait en avril 1927, au chiffre de 5,59 roubles tchervonetz. On sait que la valeur d'un rouble tchervonetz s'établit aux environs de la moitié d'un rouble d'avant-guerre. Les salaires se sont donc accrues de 15 en valeur nominale. Malheureusement pendant la même période le coût de la vie s'est élevé, passant de l'indice 190 à l'indice 208 (ce qui équivaut à l'indice 1.050 en France). Il est indéniable que l'industrie russe d'État a développé sa production. Il faut en chercher la raison principale dans le relèvement de l'agriculture et l'aisance où se trouvent certain nombre de paysans. Pendant les années de communisme et la période de famine, la demande des produits industriels avait été tout à fait minime. À présent, les paysans éprouvent le besoin de s'approvisionner en vêtements, objets, outils, etc., de toutes sortes. La crise du logement particulièrement grave, impose la construction de nouveaux immeubles, ce qui provoque la demande d'une grande quantité de matériaux de construction. Les chemins de fer et les entreprises industrielles ont le plus grand besoin de réparations. La demande
engagés devant être publiée dans l’ « c d’Alger » du 6 vrl. LA VIE ÉCNMQ L’industrie d’État en Russie L’Industrie ’État n Russie, occupe plus de 2 millions dovers Voici les étapes de son développement, de l fin 1925 au mois ’avril 1927 : Périodes Nombre d’ouvriers idPncoutro brute employés (en milliers) (en milliers) d roubles d’aate 1er trim 1925 1.858 1.006.100 1er trim. 1926 1.943 1.063.500 2e trim. 16 1.908 1.037.700 3e trim. 1926 1 1063200 4e trim. 192 .976 1.266.500 1er trim. 1927 2.027 1.269. 200 Pendant la période sous revue, ainsi que l'indiquent les chiffres q l'on vient de lire, le nombre des ouvriers employés dans les industries d'État est passé de 00180..85 à 2.027.000 unités. L'augmentation est donc de l'ordre de 9 Pendant le même laps, la production brute (évlé en millions de roubles d'avant-guerre) est passée de 1.006.100 roubles à 1.269.200 la progression e dn de 2 L salaire myn de l'ouvrier était au cours du 4e rimes 1925, de 2,21 roubles tchervonetz par jour ; il s'élevait en avril 1927, au chiffre de 5,59 lrouesb ezt.ornvetch On sait que la valeur 'u rouble tchervonetz étal aux environs de la moitié d'un rouble d'avant-guerre. Les salaires se sont onc accrues de 15 en valeur nominale. Malheureusement pendant la même période le coût de la vie s'est élevé, passant de 'lecidni 190 à l'indice 820 (c qui équivaut à l'indice 1.050 en France). Il est indéniable uqe l'industrie russe d'État a développé sa production. Il faut en chercher la raison principale dans le relèvement de l'agriculture et l'aisance où se trouvent certain nombre de paysans. Pendant esl années de nis e la période de famine, la demande des pous industriels avait été tout à ft minime. À présent, les ya éprouvent le besoin de s'approvisionner en vêtements, objets, outils, etc de toutes sortes. La crs du logement particulièrement grave, impose la construction de nouveaux immeubles, ce qui prvq la demande d'une grande quantité d matériaux de construction. Les chemins de fer e ls entreprises industrielles ont le plus grand besoin de éarions La amenedd
d'avant-guerre. Les salaires se sont donc accrues de 15 en valeur nominale. Malheureusement pendant la même période le coût de la vie s'est élevé, passant de l'indice 190 à l'indice 208 (ce qui équivaut à l'indice 1.050 en France). Il est indéniable que l'industrie russe d'État a développé sa production. Il faut en chercher la raison principale dans le relèvement de l'agriculture et l'aisance où se trouvent certain nombre de paysans. Pendant les années de communisme et la période de famine, la demande des produits industriels avait été tout à fait minime. À présent, les paysans éprouvent le besoin de s'approvisionner en vêtements, objets, outils, etc., de toutes sortes. La crise du logement particulièrement grave, impose la construction de nouveaux immeubles, ce qui provoque la demande d'une grande quantité de matériaux de construction. Les chemins de fer et les entreprises industrielles ont le plus grand besoin de réparations. La demande de produits industriels s'est accrue dans une proportion considérable, si bien qu'on se trouve en présence d'une véritable disette de marchandises. Par rapport à l'avant-guerre, l'industrie russe d'État se rapproche du niveau de 1913 en ce qui concerne les industries textile et pétrolifère ; la production d'avant-guerre est quelque peu dépassée dans les charbonnages ; mais l'industrie métallurgique ne fournit guère plus de 50 % de sa production de 1913. Il faut donc que l'État russe envisage d'intensifier la production industrielle. Jusqu'à présent, l'amélioration n'a été obtenue que par la remise en exploitation des entreprises arrêtées pendant les premières années de la révolution. et par une utilisation plus complète des entreprises déjà en marche, mais qui ne fonctionnaient qu'à rendement réduit. Maintenant tout l'outillage utilisable a été remis en action ; une nouvelle augmentation ne peut être obtenue qu'en réparant à fond l'outillage vieilli et usé, tel qu'il existe dans la plupart des entreprises ou en le remplaçant par du matériel neuf et en créant de nouvelles entreprises. Il faudra également envisager la réorganisation de la production industrielle sur des bases rationnelles, tant au point de vue technique qu'administratif. En effet, il convient de ne pas se leurrer quant au
'avant-guerre. Les salaires se sont donc as de 15 en valeur nominale. Malheureusement pa la même période le coût de la vie s'est élvé, passant de l'indice 190 à l'indice 208 (ce qui équivaut à inli'dce 1050 en France). Il est indéniable ue l'industrie russe d'État a développé sa production. I faut en chercher la raison principale dns le relèvement de l'agriculture et l'aisance où s trouvent cerain nmbr de payss Pendant les années de communisme et la période de famine, la demande ds produits industriels avait été tout fait mnm. À présent, les pysns éprouvent le besoin de s'pprvsnnr n vêtmnts, objets, outils, etc., de oes sortes. La du logement particulièrement grave, impose la cnstrctn de nouveaux immeubles, ce qui provoque la demande d'une grande atié de matériaux de cntrcto Les chemins de fer et les etpr industrielles ont le plus and besoin de réparations. La demande de prouts industriels s'est accrue dans une proportion cnsdérbl, si bien qu'on es trouve en présence d'une vértbl sdtieet de marchandises. Par rapport à lavantguerre l'industrie russe d'État se rpprch du nve de 11 en ce q concerne l industries textile et pétrolifère la prdctn d'avant-guerre est quelque peu dépassée dans les asencboaghnr ; ms l'industrie métallurgique ne ornt guère us de 50 % de sa production de 1913. Il faut donc que tat russe envisage dintesiier la prdctn industrielle. Jusqu'à présent, l'amélioration n'a été obtenue que par la re en exploitation des entreprises arrêtées pendant les prmèrs années de la révolution. et par une utilisation plus complète de entreprises déjà en marche, msia qui ne fonctionnaient qu'à rendement réduit. Maintenant tt l'outillage taibliusel été emrsi en action ; une nouvelle augmentation ne peut être obtenue qu'en réparant à fond l'outillage vieilli et usé, tel quil existe dans la plupart des reres ou en le remplaçant par du matériel neuf et en créant de nvlls entreprises. Il faudra également envisager la réorganisation de la production industrielle sur des bases stna,ilreolne tant u point de vue technique quadministratif En effet, convient de ne pas se leurrer quant au
dépassée dans les charbonnages ; mais l'industrie métallurgique ne fournit guère plus de 50 % de sa production de 1913. Il faut donc que l'État russe envisage d'intensifier la production industrielle. Jusqu'à présent, l'amélioration n'a été obtenue que par la remise en exploitation des entreprises arrêtées pendant les premières années de la révolution. et par une utilisation plus complète des entreprises déjà en marche, mais qui ne fonctionnaient qu'à rendement réduit. Maintenant tout l'outillage utilisable a été remis en action ; une nouvelle augmentation ne peut être obtenue qu'en réparant à fond l'outillage vieilli et usé, tel qu'il existe dans la plupart des entreprises ou en le remplaçant par du matériel neuf et en créant de nouvelles entreprises. Il faudra également envisager la réorganisation de la production industrielle sur des bases rationnelles, tant au point de vue technique qu'administratif. En effet, il convient de ne pas se leurrer quant au progrès économique que semble révéler l'accroissement de la production industrielle de la Russie. Si l'on consulte les rapports des Commissaires à l'industrie, on constate qu'un cri d'alarme est poussé quant au prix de revient de cette production. Non seulement jusqu'à présent l'État russe n'en a tiré aucun bénéfice, mais bien au contraire, le budget a dû parer aux déficits causés par le régime étatiste. Nous ne reviendrons pas aujourd'hui sur la mauvaise utilisation de la main-d'œuvre, ni sur l'invraisemblable paperasserie des méthodes soviétiques. Dans la majorité des usines, l'ouvrier intelligent ne fournit aucun travail. Il se débrouille », suivant l'expression, pour faire partie des organisations parasites vivant aux dépens de l'atelier. Le naïf seul travaille réellement dans les conditions restreintes que lui permettent son maigre salaire et une sous-alimentation. Il n'en n'est pas moins vrai qu'un effort réel est actuellement accompli pour améliorer l'industrie russe. On conçoit aisément que ce pays ait besoin de produits et de crédits. On regrettera que l'attitude politique des dirigeants soviétiques vis-à-vis de l'étranger, soit le principal obstacle à la réalisation de cet objectif. Mais on peut espérer qu'à mesure que le relèvement économique s'accentuera, une évolution se produira dans les esprits, qui se rallieront
dépssé dans les charbonnages ; mais l'industrie métllrgq ne frnt guère supl d % de sa production de 139.1 Il faut donc que 'tlaÉt srsue nvsg ntensfie la production industrielle. Jusqu' présent l'mélrtn n' été obtenue que par la remise en exploitation des ntrprss arrêtées pendant les pire années de l évoltn. et par une utilisation plus complète des entreprises déjà en marche, mais qui ne fonctionnaient q'à rndmnt éut. atennt ut l'outillage ilisle a été remis en action ; une nouvelle augmentation ne pt t obtenue qu'en réprnt à fnd l'outillage vieilli et usé, tel q'l existe dan la plupart ds entreprises ou en le remplaçant par du matériel nu et en créant de nouvelles entreprises. Il faudra également envisager a réorganisation de la pocon industrielle sur eds bases rationnelles, tant au point de ve technique qu'administratif. En effet, il convient ed ne pas s leurrer quant au progrès économique que révéler cric'seneotsmal de la rutio industrielle de la Rss. Si l'on consulte s rpprts des Commissaires à l'industrie, n constate n'quu cri d'alarme est poussé qnt au prix de revient ed cette di.notcurpo Non seulement jusqu'à présent l'État us en'n a tiré aucun bénéfice, mais bn au contraire, le budget a dû parer aux céftisdi ssuaéc pr le régime étatiste. Nous ne reviendrons pas aujourd'hui sur al mauvaise utilisation de la mn-d'œvr, ni sur l'invraisemblable paperasserie des méthodes soviétiques Dns la mjrté des uis, l'ouvrier intelligent n fori aucun travail. Il se rouil », svnt lexpression pour faire partie des rgnstns parasites vivant aux dépens d l'tlr. Le naïf luse travaille réllmnt les idtnscooin restreintes que lui permettent son maigre slr e une sous-alimentation. Il n'en nest pas nmois vrai qu'un effort réel est actuellement accompli pour mélrr l'industrie rue. On conçoit aisément q ce pays ait bein de produits t de crédits On rgrttr euq l'attitude politique des dirigeants soviétiques visàvis de létranger soit le rnp obstacle à al réalisation de cet objectif. Ms on peut espérer qu'à mesure que l relèvement économique scetua, e vlutio s odui dans les esprits, qui se rallieront
au contraire, le budget a dû parer aux déficits causés par le régime étatiste. Nous ne reviendrons pas aujourd'hui sur la mauvaise utilisation de la main-d'œuvre, ni sur l'invraisemblable paperasserie des méthodes soviétiques. Dans la majorité des usines, l'ouvrier intelligent ne fournit aucun travail. Il se débrouille », suivant l'expression, pour faire partie des organisations parasites vivant aux dépens de l'atelier. Le naïf seul travaille réellement dans les conditions restreintes que lui permettent son maigre salaire et une sous-alimentation. Il n'en n'est pas moins vrai qu'un effort réel est actuellement accompli pour améliorer l'industrie russe. On conçoit aisément que ce pays ait besoin de produits et de crédits. On regrettera que l'attitude politique des dirigeants soviétiques vis-à-vis de l'étranger, soit le principal obstacle à la réalisation de cet objectif. Mais on peut espérer qu'à mesure que le relèvement économique s'accentuera, une évolution se produira dans les esprits, qui se rallieront aux doctrines normales des nations civilisées. L. DELANDE. La Philanthie agricole CAISSE RÉGIONALE D'ALGER La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel d'Alger a tenu, le mardi 27 courant, en son siège social, 8 rue Portalis, une assemblée générale particulièrement importante. Nous sommes heureux de publier ci-après le compte rendu de cette réunion où se trouvaient représentées 60 Caisses de Crédit et 26 Coopératives. Au bureau prennent place : M. Demangeat, président ; Pasquier-Bonde, administrateur-délégué ; le commandant Rodet, président de l'Union des Syndicats Agricoles d'Alger ; Tabone, directeur ; Royer, sous-directeur ; Boyer-Bance, délégué du Gouvernement général ; Gartiser et BeDoli, scrutateurs. M. le Président remercie tout d'abord les assistants de l'empressement avec lequel ils ont répondu à l'avis de convocation. Il salue également les représentants des Sociétés affiliées dans le courant de l'exercice 1927 : Caisses de Crédit d'Azazga-Tizi-Ouzou, Birmandreis, Fouka, Malakoff, Mitidja (Planteurs de géranium de la), Palestro, Pontéba et Taine, Docks de Bourbaki, Bouïra et Victor-Hugo, Caves de Camp-du-Maréchal. Fouka, Littré, Loverdo, Ouled-Fayet et Zéralda, Coopératives de Matériel agricole de Boghar, Bourbaki, Douéra, Hardy, Maillot, Malakoff, Montenotte, Moudjebeur, Palestre, Pontéba, Souaghi et Trolard, Taza, Viticoop du Dahra, Société de Labourage Electrique d'Inkermann, Charbonneau. Après lui, M. l'Administrateur-Délégué
au contraire le budget a parer x déficits causés par le régime étatiste. Nous ne reviendrons pas aujourd'hui sur la mauvaise utilisation de l main-d'œuvre, n sur l'invraisemblable paperasserie des méthodes éiqe. Dns l mjrté des usines, l'ouvrier nleteigltni ne frnt aucun travail. l se débrouille », uvan l'expression, pour fr partie des organisations parasites vivant aux dépens de l'atelier. Le naïf seul ravail réllmnt dans les conditions rite que lui permettent son maigre slair et une sous-alimentation. Il nen n'st pas moins vr quun effort réel est actuellement accompli pour améliorer inusre russe. On cnçt aisément que ce pays ait bsn de irtouspd et de crédits. On rgrttr que l'attitude peqtouili dse dirigeants soviétiques à-is de 'étranger, soit le principal obstacle à la réalisation d cet objectif. sMai peut espérer qu'à mesure que le reèven économique saccentuera une évolution s produira dans les sprts, qui se rallieront aux doctrines normales des nations civilisées. L. DELANDE. La Philanthie agricole CAISSE RÉGIONALE D'ALGER La Caisse Rinogélae e Crédit Agricole Mutuel d'lgr tenu, le mardi 27 crnt, en son sèg social, rue Portalis, une assemblée générale particulièrement importante. Nous sommes heureux de publier ciaprès le cmpt rendu de cette réunion se trouvaient représentées 60 Cas de Crédt et 26 Coopératives. bureau prennent place : M. Demangeat, président ; Pasquier-Bonde, administrateur-délégué ; le commandant Rodet, président de 'Union des Syndcts Agricoles d'Alger ; Tbn, directeur ; Rye, ousdtur ; reBec-a,nyoB délégé du Gouvernement néa ; Gartiser et BeDoli, scrttrs. M. le Président rmrc t d'brd les assistants de l'empressement avec lequel ils ont répondu à l'avis de convocation. Il salue égaemnt les représentants des Sociétés affiliées dans le courant de l'exercice 1927 : Caisses d rdi d'Azazga-Tizi-Ouzou, Birmandreis, Fouka aoal,ffkM Mj (Planteurs de gérnm d la), Plstr, Pontéba t i Dos de Bourbaki, Bouïra et Victor-Hugo, Caves de CampduMaréchal Fouka, Littré, Lvrd, ld-Fyt et Zéralda, Coopératives de Matériel agricole de Boghar, Bourbaki, Douéra, Hardy, Maillot Malakoff, Montenotte, Moudjebeur, Palestre, Pontéba, Soh e Trolard, Taza Viticoop ud Dhr, ciété de Labourage Electrique 'Inkermann, Cronnu. spArè lui, M. l'Administrateur-Délégué
cette réunion où se trouvaient représentées 60 Caisses de Crédit et 26 Coopératives. Au bureau prennent place : M. Demangeat, président ; Pasquier-Bonde, administrateur-délégué ; le commandant Rodet, président de l'Union des Syndicats Agricoles d'Alger ; Tabone, directeur ; Royer, sous-directeur ; Boyer-Bance, délégué du Gouvernement général ; Gartiser et BeDoli, scrutateurs. M. le Président remercie tout d'abord les assistants de l'empressement avec lequel ils ont répondu à l'avis de convocation. Il salue également les représentants des Sociétés affiliées dans le courant de l'exercice 1927 : Caisses de Crédit d'Azazga-Tizi-Ouzou, Birmandreis, Fouka, Malakoff, Mitidja (Planteurs de géranium de la), Palestro, Pontéba et Taine, Docks de Bourbaki, Bouïra et Victor-Hugo, Caves de Camp-du-Maréchal. Fouka, Littré, Loverdo, Ouled-Fayet et Zéralda, Coopératives de Matériel agricole de Boghar, Bourbaki, Douéra, Hardy, Maillot, Malakoff, Montenotte, Moudjebeur, Palestre, Pontéba, Souaghi et Trolard, Taza, Viticoop du Dahra, Société de Labourage Electrique d'Inkermann, Charbonneau. Après lui, M. l'Administrateur-Délégué donne lecture du rapport du conseil. Ce document fait ressortir les progrès remarquables réalisés par le groupement en 1927. Les crédits de campagne se sont élevés à 52 millions, et les dépôts de fonds à 25 millions. Quant aux crédits à long terme ils ont atteint plus de 12 millions de francs. Au 31 décembre les Sociétés affiliées s'élevaient à 250, dont 62 Caisses d'Assurances, 91 Coopératives et 97 Caisses de Crédit. Le solde bénéficiaire, malgré les frais considérables qui ont dû être exposés en vue de la création d'une dizaine d'agences dans l'intérieur du département, s'établit à 800.705 francs 53. M. Royer donne ensuite lecture du rapport du commissaire aux comptes, empêché de participer à l'assemblée. À l'issue de cette lecture une discussion générale est ouverte. Elle fournit aux délégués l'occasion d'être renseignés sur tous les points qui leur paraissent mériter quelques précisions. Puis M. le Président met aux voix les résolutions suivantes : 1° Les comptes sont approuvés. Le solde bénéficiaire sera versé à la réserve, sous déduction des participations habituelles au profit du personnel, des Caisses locales et du Concours de familles nombreuses organisé par l'Union des Syndicats Agricoles d'Alger. 2° MM. Boyer-Banse, Dupont, Maître, Moulin, Purtsochet
ttcee réunion où se trouvaient représentées 60 Caisses de Ci et 26 Coopératives Au bureau prennent apcle M. Demangeat, président ; PasquierBonde administrateur-délégué ; le commandant Rodet, président de l'Union des Syndicats grcls d'Alger ; Tabone, directeur ; Royer, sous-directeur ; Boyer-Bance, délégué du Gvrnmnt général Gartiser t BeDoli scrutateurs. M. le Président remercie tout d'abord les assistants de l'empressement avec lequel ils ont répnd à l'avis de ti. Il salue également les représentants des Scétés affiliées dans le courant de ccle'rxeei 1927 : Caisses de Crédit d'Azazga-Tizi-Ouzou, Brmndrs, ua Malakoff, Mitidja (Planteurs géranium de la), Palestro, Pontéba t Taine, cks de Bourbaki, Bouïra et Victor-Hugo, Caves de Camp-du-Maréchal. Fouka tté,iLr Loverdo, Ouled-Fayet et Zéralda, Coopératives de Mtérl agricole de Boghar, Bourbaki Douéra, Hardy, ilt, afoakf,lM Montenotte, Moudjebeur, Palestre, Pontéba, Souaghi te Toard Tz, Viticoop du Dahra, Société de Labourage Electrique d'Inkermann, Charbonneau. p lui M. l'Administrateur-Délégué donne lecture du rapport du conseil. Ce document fait ressortir les progrès remarquables réai par le groupement en 1927. Les ét de campagne se sont élevés à 52 millions, et les dépôts de fonds 25 mlls Quant aux crédits à long terme ils nt tte slpu de 12 mllns de francs. Au décembre les Sociétés affiliées s'élevaient à 250 dont 62 saCisse d'Assurances, 91 Cpértvs et 97 Caisses de Crédit. Le solde bénéficiaire, malgré les frais codabs qui ont dû être exposés en vue de la création d'une dizaine d'agences dans l'intérieur du département, s'établit à 800.705 francs 53. M. Royer odnne ensuite tur du rapport du commissaire aux comptes, empêché de participer à l'assemblée. À l'issue de cette lecture une discussion générale est ouverte. Elle fournit aux délégués loccasion erêt'd rseiés sur tous le pnts qui leur paraissent mériter quelques précisions. Puis M. le Présdnt met aux voix les résolutions suivantes : 1° Les comptes sont pprvés. L solde bénéficiaire sr versé à la réserve, sous déduction des patiiptons leueabhlsti au prft du personnel, des Csss locales et du Concours familles nombreuses organisé par lUnion des Syndicats Agricoles d'Alger. 2° MM. Boyer-Banse, Dupont, Mîtr, Moulin, Purtsochet
de francs. Au 31 décembre les Sociétés affiliées s'élevaient à 250, dont 62 Caisses d'Assurances, 91 Coopératives et 97 Caisses de Crédit. Le solde bénéficiaire, malgré les frais considérables qui ont dû être exposés en vue de la création d'une dizaine d'agences dans l'intérieur du département, s'établit à 800.705 francs 53. M. Royer donne ensuite lecture du rapport du commissaire aux comptes, empêché de participer à l'assemblée. À l'issue de cette lecture une discussion générale est ouverte. Elle fournit aux délégués l'occasion d'être renseignés sur tous les points qui leur paraissent mériter quelques précisions. Puis M. le Président met aux voix les résolutions suivantes : 1° Les comptes sont approuvés. Le solde bénéficiaire sera versé à la réserve, sous déduction des participations habituelles au profit du personnel, des Caisses locales et du Concours de familles nombreuses organisé par l'Union des Syndicats Agricoles d'Alger. 2° MM. Boyer-Banse, Dupont, Maître, Moulin, Purtsochet et Rodet, dont le mandat vient à terme, sont réélus administrateurs. En augmentation du nombre des membres du conseil, sont nommés administrateurs : MM. Allian (Aïn-Bessem), Becker (Bouïra), Belloli (St Ferdinand) et Ripoll (Blida). Le capital de la Société pourra être porté de 4 millions à 10 millions de francs. Les statuts et le règlement intérieur de la Caisse Régionale d'Alger seront modifiés, conformément au projet élaboré par le conseil d'administration. En terminant, que le capital et les réserves de la Caisse Régionale d'Alger atteignent 10 millions de francs. C'est dire toute l'importance prise par cette institution. Ses dirigeants méritent vraiment la reconnaissance des colons de ce département. À L'OPÉRA D'ALGER MATINÉE-CONCERT organisée au bénéfice de la Fédération des Amicales d'anciens élèves des écoles primaires La location est ouverte à l'Opéra d'Alger pour la matinée du jeudi 29 mars, à laquelle participera la Fédération des Amicales d'anciens élèves des écoles primaires publiques et où l'on donnera principalement : « Coppelia », « Cendrillon » et « Un client sérieux ». Le prix des places, détaillé sur les affiches, varie de 2 francs à 5 francs. Outre les concours annoncés par ces affiches, la Fédération a obtenu celui de M. Périsnard,
de francs. Au 31 cedembré e Sociétés affiliées s'élevaient à 250, dont 62 Caisses dAssurances 91 Coopératives t 97 Caisses de Crédit. Le solde bénéficiaire, malgré es frais considérables q ont dû être exposés en vue de la crétn d'une dizaine d'agences dans l'intérieur du département, s'établit à 800.705 rafscn 53. M. Royer donne ensuite lecture du rapport du commissaire aux comptes, empêché de participer à lassemblée À l'issue de cette lecture une discussion générale est ouverte. Elle fournit aux délégués loccasion 'être renseignés sur tous les points qui leur paraissent mériter quelques précisions. Psui M. le Président met au voix les résltns suivantes : 1° Les comptes sont approuvés. Le solde bénéficiaire ser versé à la réserve, sous déduction des participations habituelles au profit du personnel, des Caisses locales et du Concours de familles nombreuses organisé par l'Union des Syndicats Agricoles dAlger 2° MM. Boyer-Banse, Dupont, Maître, Moulin, uthe et Rodet, dont le mandat vient à terme, sont réélus administrateurs. En augmentation du nombre des membres du conseil, sont nommés administrateurs : MM. nalilA (Aïn-Bessem), Becker (Bouïra), Blll (St Ferdinand) e Ripoll (B Le capital de la Société pourra être porté de 4 millions à 10 millions de francs. Les statuts et le règlement intérieur de la Caisse Régionale d'Alger seront modifiés, conformément au projet élaboré r le conseil d'administration. n terminant, que le capital et e réserves de la Caisse Régionale d'Alger ttgnnt 10 millions d francs. C'est dire toute l'importance prise par tctee institution. Ses dirigeants méritent vraiment al reconnaissance des coons de ce département. À L'OPÉRA D'ALGER MATINÉECONCERT organisée au bénéfice de la Fédération des Amicales d'anciens élèves des écoles primaires La location est ouverte à 'Opéra d'Alger pour la matinée du jeudi 29 mars, à laquelle participera la Fédération des Amicales d'anciens élèvs des écoles primaires publiques et où lon dnnera principalement : « Coppelia », « Cendrillon » et « Un client sérieux ». Le prix des places, détaillé sur les affiches, varie de 2 francs à 5 francs. Outre les concours annoncés par ces affiches, la Fédération a obtenu celui de M. Périsnard,
Les statuts et le règlement intérieur de la Caisse Régionale d'Alger seront modifiés, conformément au projet élaboré par le conseil d'administration. En terminant, que le capital et les réserves de la Caisse Régionale d'Alger atteignent 10 millions de francs. C'est dire toute l'importance prise par cette institution. Ses dirigeants méritent vraiment la reconnaissance des colons de ce département. À L'OPÉRA D'ALGER MATINÉE-CONCERT organisée au bénéfice de la Fédération des Amicales d'anciens élèves des écoles primaires La location est ouverte à l'Opéra d'Alger pour la matinée du jeudi 29 mars, à laquelle participera la Fédération des Amicales d'anciens élèves des écoles primaires publiques et où l'on donnera principalement : « Coppelia », « Cendrillon » et « Un client sérieux ». Le prix des places, détaillé sur les affiches, varie de 2 francs à 5 francs. Outre les concours annoncés par ces affiches, la Fédération a obtenu celui de M. Périsnard, ténor de l'Opéra. On commencera par l'ouverture du « Domino Noir », jouée par l'orchestre de l'Opéra. Le « Domino Noir » est la plus exquise partition d'Auber ; plus de 1.200 représentations en ont été données à l'Opéra-Comique depuis 1837. L'orchestre de l'Opéra jouera, en outre, la musique de ballet d'« Orphée et Eurydice », de Gluck, au début de la troisième partie. Le nombreux public qui assistera à cette matinée en emportera certainement un excellent souvenir. Société de Géographie d'Alger ET DE L'AFRIQUE DU NORD La Société de Géographie a tenu sa séance bimensuelle, le mercredi 21 mars, à 5 heures du soir, dans la salle des Maréchaux, au Cercle militaire, sous la présidence, en l'absence du général de Bonneval, empêché, de M. Louis de Sambœuf, assisté de MM. Duchêne et Aubry, vice-présidents et M. Vitalis, secrétaire. M. le Préfet d'Alger, s'était fait représenter par M. le conseiller de préfecture Roy. Après l'éloge funèbre de M. le procureur de la République Drago, et l'admission de membres nouveaux, M. de Sambœuf donne la parole à Mme Bugéja, dont il rappelle les divers écrits appréciés et les huit conférences précédentes à la Société. La conférencière fait du Soussou, qu'elle qualifie
Les statuts t le rèen intérieur de la Caisse Régionale d'Alger seront modifiés, conformément au projet éabr par le conseil 'administration. En terminant, que le capital les réserves de la Caisse Régionale d'Alger atteignent 10 millions de nfc.sra Cest dire toute l'importance prise pr cette institution. Ses dirigeants méritent vraiment la reconnaissance des colons de ce département. À L'OPÉRA D'ALGER MATINÉE-CONCERT rgnsé au bénéfice de l Fédération des Amicales d'anciens élèves des écoles primaires La location est ouverte à l'Opéra d'Alger pour la matinée du jeudi 29 mars, à laquelle participera la Fédération des Amicales d'anciens élèves des écls primaires publiques et où l'n donnera principalement : « Coppelia », « Cendrillon » et « Un client sérieux ». Le prix des places, détaillé sur les affiches, varie de 2 francs à 5 francs. Outre les concours annoncés par ces affiches, la Fédération a obtenu celui de M. Pérsnrd, ténor de raOé.'pl On commencera par l'ouverture du Domino Noir », jouée par l'orchestre de l'pér. Le « Domino Noir » est al plus exquise partition d'Auber ; plus de 1.200 représentations en ont été données à l'Opéra-Comique depuis 1837. L'orchestre de 'pOélar jouera, en outre, la musique de ballet d'« Orphée et Eurydice », de Gluck, au début ed la troisième partie. Le nombreux public qui siarseats à cette matinée en mprtr certainement un excellent souvenir Société de Géographie d'Alger ET DE AFRIE DU NORD La Société de ogra a tenu sa séance bimensuelle, le mercredi 21 mars, à 5 heures du sr, dans la salle des Maréchaux, au Cercle militaire, sous l préidn en l'absence du général de Bonneval, empêché, de M. Louis d Sambœuf, assisté de MM. Duchêne et vice-présidents et M. Vitalis, secrétaire. M. le Préfet d'Alger, 'était fait rent par M le conseiller de préfecture Roy. Après l'éloge funèbre de M. le procureur de la République Do et l'admission de membres nouveaux, M. de Sambœuf donne la parole à Mme Bugéja, dont il el les divers écrts appréciés et les huit conférences précédentes à la ciétS.éo La conférencière fait du Soussou qu'elle q
ballet d'« Orphée et Eurydice », de Gluck, au début de la troisième partie. Le nombreux public qui assistera à cette matinée en emportera certainement un excellent souvenir. Société de Géographie d'Alger ET DE L'AFRIQUE DU NORD La Société de Géographie a tenu sa séance bimensuelle, le mercredi 21 mars, à 5 heures du soir, dans la salle des Maréchaux, au Cercle militaire, sous la présidence, en l'absence du général de Bonneval, empêché, de M. Louis de Sambœuf, assisté de MM. Duchêne et Aubry, vice-présidents et M. Vitalis, secrétaire. M. le Préfet d'Alger, s'était fait représenter par M. le conseiller de préfecture Roy. Après l'éloge funèbre de M. le procureur de la République Drago, et l'admission de membres nouveaux, M. de Sambœuf donne la parole à Mme Bugéja, dont il rappelle les divers écrits appréciés et les huit conférences précédentes à la Société. La conférencière fait du Soussou, qu'elle qualifie de « Pays de la soif », un intéressant et pittoresque tableau. Elle le décrit d'abord aride, abandonné ou délaissé, en retrace les légendes, les itinéraires, les querelles des diverses tribus qui le parcourent sans espoir, et sans en connaître les richesses cachées. ni les chercher. Il a fallu les efforts de la colonisation française, la ténacité et la foi des administrateurs et des autorités gouvernementales éclairées par eux pour arriver aux résultats acquis aujourd'hui. Le Soussou est donc venu un grenier d'abondance, et la reconnaissance de la Société de Géographie va à ceux qui ont collaboré à son développement. Le Président félicite chaudement Mme Bugéja, aux unanimes applaudissements de tous ses auditeurs. La séance est levée à 6 h. 30. Université d'Alger FACULTÉ DES SCIENCES Exploitation des mines. — Conférence de M. Dussert, aujourd'hui mercredi, à 17 heures, au laboratoire de créolocrie. Nos Sociétés Régionales Françaises LES ENFANTS DU TARN L'apéritif mensuel de l'Amicale aura lieu dimanche prochain, 1er avril, à 10 heures précises, au Café de la Belle Etoile, place d'Isly n° 1. Tous les originaires du Tarn, affiliés ou non, sont cordialement invités à cette réunion au cours de laquelle le président fera connaître les dispositions prises
ballet d'« Orphée et Eurydice », de Gluck, au début de l troisième partie. Le nombreux public qui assistera à cette matinée en emportera certainement n exclnt souvenir. Société de Géographie d'Alger ET DE L'AFRIQUE DU NORD La Société de Géographie a tenu sa sace bimensuelle, le mercredi 21 mars, 5 heures du soir, dans la salle des Maréchaux, au Cercle mltr, sous la présidence, en l'absence du général de Bonneval, empêché, de M. Louis de Sambœuf, assisté de MM. neuchêD et Aubry, vice-présidents et M Vitalis, secrétaire. M. l Préfet dAlger iatt'és fait représenter par M. el conseiller de préfecture Roy. Après l'éloge funèbre de M. le procureur de la République Drg, t l'admission de membres nouveaux, M de Smbœf one la parole Mm Bugéja, dont il rappelle ls divers écrits appréciés et les huit conférences précédentes à la Société. La conférencière fait du Soussou, qu'elle qualifie de « Pays de la soif », un intéressant et pittoresque au. Elle le décrit d'abord aride, abandonné ou délaissé, en retrace les légendes les itinéraires, les querelles des diverses tribus qui le parcourent sans espoir, et sns en cnnîtr les richesses cachées. ni ls chercher. Il fallu les tfsoefr de a colonisation frnçs, la ténacité et foi ds administrateurs t des autorités gouvernementales éclairées par eux pr arriver aux résultats acquis auour' Le o est donc venu un nierrge dabondance et la reconnaissance d l Société de Géographie av à ceux qui ont collaboré à son développement. Président félicite chaudement Mme Bugéja, aux unanimes applaudissements de tous ses auditeurs. La séance est levée à 6 h. 30. Université dgeAlr' FACULTÉ DES SCIENCES Exploitation des mines. — Conférence de M. Dussert, aujourd'hui mercredi, à 17 heures, au laboratoire de créolocrie. Nos Scétés Régionales Françaises LES ENFANTS DU TARN L'apéritif mensuel de l'Amicale aura lieu dimanche prchn, 1er avril, à 10 heures précises, au Café d l Belle Etoile place d'Isly n° .1 Tous ls originaires du Tarn, affiliés ou non, sont clm invités à cette réunion au cours de laquelle le président fera connaître les dispositions prises
efforts de la colonisation française, la ténacité et la foi des administrateurs et des autorités gouvernementales éclairées par eux pour arriver aux résultats acquis aujourd'hui. Le Soussou est donc venu un grenier d'abondance, et la reconnaissance de la Société de Géographie va à ceux qui ont collaboré à son développement. Le Président félicite chaudement Mme Bugéja, aux unanimes applaudissements de tous ses auditeurs. La séance est levée à 6 h. 30. Université d'Alger FACULTÉ DES SCIENCES Exploitation des mines. — Conférence de M. Dussert, aujourd'hui mercredi, à 17 heures, au laboratoire de créolocrie. Nos Sociétés Régionales Françaises LES ENFANTS DU TARN L'apéritif mensuel de l'Amicale aura lieu dimanche prochain, 1er avril, à 10 heures précises, au Café de la Belle Etoile, place d'Isly n° 1. Tous les originaires du Tarn, affiliés ou non, sont cordialement invités à cette réunion au cours de laquelle le président fera connaître les dispositions prises pour assurer le succès de la fête de printemps. C'est le 6 mai, à la Grande Terrasse, que les Tarnais se retrouveront, autour de leur conseil d'administration, pour fêter la petite patrie tarnaise, ce soin du Languedoc, auquel ils sont restés si attachés. Après le banquet, un très beau concert précèdera la sauterie traditionnelle; aussi tous les compatriotes voudront assister à cette fête de famille. Donc à dimanche prochain, à 10 h., à l'apéritif où d'autres détails bien intéressants seront donnés. L'ARLESOIS Apéritif mensuel le 1er avril, à 10 h. du matin dans le salon de la brasserie Laferrière. Prière aux compatriotes de venir nombreux. On parlera du pays et de divers projets envisagés. LES ENFANTS DU GARD La réunion mensuelle du dimanche 1er avril, 10 heures du matin, aura lieu dans la salle spéciale du Grand Café Bar du Commerce, place du Gouvernement. Cette séance sera des plus intéressantes, la commission nommée à la dernière réunion pour organiser le banquet et la sortie de printemps rendra compte de ses démarches et fera des propositions. Comme de coutume, les originaires du Gard, non sociétaires, et les dames sont cordialement invités à y assister. LES ENFANTS DE LA DROME Le 18
efforts de la colonisation française, la ténacité et la f des administrateurs t des autorités gouvernementales éclairées par x pour rrvr aux résultats cqs aujourd'hui. Le Soussou est donc venu un grenier d'abondance, et la rciconnsaeasne de la Société de eorphaiéGg va à ceux qui ont collaboré son développement. Le Président félct chdmnt Mme Bugéja aux nnms applaudissements tous ses dtrs. L séance est lev à 6 h. 30. Université 'Alger FACULTÉ DES SCIENCES Exploitation des mines. — onére de M. Dussert, aujourd'hui mercredi, à 17 heures, au laboratoire de créolocrie. Nos Sociétés Régionales Françaises LES ENFANTS D TARN L'apéritif mensuel de l'mcl aura l dimanche prochain, 1r avril, à 10 hr précises, au Café de la Belle Etoile place d'Isly n° 1. uTso les rgiaires du Tarn, affiliés ou nn, sont cordialement invités à cette rénn au urs de elle le président fera connaître les ispsion prss pour assurer le succès de la fêt de printemps. C'st le ima, à Grande Terrasse, que les Tarnais se retrouveront, autour lur conseil aiiaio pr fêtr la petite patrie tarnaise, ce snio du Languedoc, auquel ils sont restés i attachés. Après le bnqt, un très beau concert précèdera l sauterie tditon aussi tu les compatriotes voudront assister à cette fête de ml Donc à dimanche prochain, à 10 h., à 'apéritif où d'trs détails bien intéressants seront donnés. 'ARLESOIS Apéritif mensuel l 1er avril, 10 h. du mtn da l salon d la brasserie Lfrrèr. Prière aux ctrtes de venir nombreux. n parlera du pays et de divers projets envisagés. LES ENFANTS D GRD La réunion mensuelle du di 1er avril, 10 heures du matin, aura lieu dans la salle spéciale du Grand Café Bar du Comerc place du Gouvernement. Cette séance se des plus intéressantes, l commission nommée à la dernière réunion pour organiser le banquet et la soe de printemps rendra cmpt de e démarches et fera des propositions. Comme d coutume, les originaires du Gard, non sociétaires, t dames sont cordialement invités à y ssstr. LES ENFANTS ED LA DRM Le 18
précèdera la sauterie traditionnelle; aussi tous les compatriotes voudront assister à cette fête de famille. Donc à dimanche prochain, à 10 h., à l'apéritif où d'autres détails bien intéressants seront donnés. L'ARLESOIS Apéritif mensuel le 1er avril, à 10 h. du matin dans le salon de la brasserie Laferrière. Prière aux compatriotes de venir nombreux. On parlera du pays et de divers projets envisagés. LES ENFANTS DU GARD La réunion mensuelle du dimanche 1er avril, 10 heures du matin, aura lieu dans la salle spéciale du Grand Café Bar du Commerce, place du Gouvernement. Cette séance sera des plus intéressantes, la commission nommée à la dernière réunion pour organiser le banquet et la sortie de printemps rendra compte de ses démarches et fera des propositions. Comme de coutume, les originaires du Gard, non sociétaires, et les dames sont cordialement invités à y assister. LES ENFANTS DE LA DROME Le 18 mars dernier, l'assemblée générale statutaire a eu lieu à la Brasserie Lorraine. M. Laget, le dévoué et sympathique président, ayant à ses côtés MM. Audran, Chauvet et les membres du conseil d'administration, ouvre la séance. Il remercie les nombreux compatriotes présents, en excusant un certain nombre de sociétaires ne pouvant assister à la réunion, adresse ses condoléances aux familles éprouvées, ses félicitations à celles ayant eu des événements heureux et souhaite la cordiale bienvenue aux nouveaux adhérents venant ainsi augmenter la famille drômoise d'Alger. Il cède ensuite la parole au secrétaire chargé de donner un aperçu de la situation morale de l'Amicale. Celui-ci parcourt rapidement les diverses étapes de la Société, les succès obtenus par les banquets de printemps et d’automne et surtout, par les sorties familiales avec le port traditionnel de « la blanche ». Pendant la guerre, l’Amicale subit un arrêt dans sa marche ascendante, mais à partir de 1920, elle sort de son état léthargique et progresse rapidement. Actuellement, elle compte plus de 150 membres ; c’est donc un merveilleux résultat. Son essor ne peut que continuer grâce aux éléments dont elle dispose. Il engage vivement les compatriotes à se réunir le plus souvent possible pour évoquer
éca la sauterie trtoele; aussi tous les compatriotes voudront assister à cette fête de famille. Donc à dimanche prochain, à 10 h,. à l'apéritif où d'autres détails bien iresan srnt donnés. SLRASE'ILO Apéritif mensuel le 1er avril 10 h. du matin nsad le so de la brasserie Laferrière. Prière aux omparoes de venir nombreux. n parlera du pays et de divers projets envisagés LES ENFANTS DU GARD La réunion mensuelle du dimanche 1er avril, 0 heures d matin, aura lieu dans la aslle spéciale du Grnd Cfé Bar du Commerce, place du Gouvernement. Cette sénc srea des plus intéressantes, la commission nommée à la dernière réunion pour organiser le banquet et la sortie de printemps rendra cmpt e ses démrchs t fera des propositions. Comme de ecmuo,ut les originaires du Gard, non sociétaires, et les s sont olme ts à y assister. LES ENFANTS ED LA ME Le 18 mars dernier, lassemblée générale statutaire lieu à la Brasserie Lorraine. M. Laget, l dévoué sympathique rée, ayant à ses côtés MM. Audran, Chauvet et les membres du conseil d'dmnstrtn, ouvre la séance. Il remercie les nbreux compatriotes présents, en xcsnt un certain nombre de sociétaires n pouvant assister à la réunion, adresse ses condoléances aux familles éprouvées, se citions celles ayant eu ds événements heureux et souhaite la cordiale bienvenue x nouveaux adhérents venant ns augmenter la famille drômoise d'lgr. Il cède euntise la parole au secrétaire chargé de doner un aper de l ttn morale de l'Amicale. Celui-ci parcourt rapidement les dirses étapes de la Société, ls succès obtenus pr les bnqts de printemps et d’automne et surtout, par les sorties familiales avec l port traditionnel de « la blanche ». Pendant la guerre, lAmicale b un arrêt dans sa mrch ascendante, mais à prtr de 1920, elle sort de son état léthargique et progresse rapidement. Actuellement, elle compte pls de 150 membres ; c’est donc un merveilleux résultat Son o ne peut que continuer grâce aux éléments dont elle dispose. Il ngg vivement les compatriotes à s réunir le l svnt possible pour évqr
assister à la réunion, adresse ses condoléances aux familles éprouvées, ses félicitations à celles ayant eu des événements heureux et souhaite la cordiale bienvenue aux nouveaux adhérents venant ainsi augmenter la famille drômoise d'Alger. Il cède ensuite la parole au secrétaire chargé de donner un aperçu de la situation morale de l'Amicale. Celui-ci parcourt rapidement les diverses étapes de la Société, les succès obtenus par les banquets de printemps et d’automne et surtout, par les sorties familiales avec le port traditionnel de « la blanche ». Pendant la guerre, l’Amicale subit un arrêt dans sa marche ascendante, mais à partir de 1920, elle sort de son état léthargique et progresse rapidement. Actuellement, elle compte plus de 150 membres ; c’est donc un merveilleux résultat. Son essor ne peut que continuer grâce aux éléments dont elle dispose. Il engage vivement les compatriotes à se réunir le plus souvent possible pour évoquer les lieux familiers du pays natal, les sites admirables de la Drôme qui attirent aujourd’hui une foule de touristes et les faits historiques de son passé glorieux. En outre, il prie instamment les sociétaires de faire une active propagande auprès des Drômeois restés en dehors du groupement, l’union étant rendue plus urgente par le milieu cosmopolite dans lequel on vit. Enfin, il cite quelques exemples où l’amour du pays natal est porté au plus haut degré, pris dans les œuvres d’éminents compatriotes : feu Maurice Faure et Louis Gallet, et dans les ouvrages récents de Gabriel Faure qui vient de se retirer au Seillon, près de Die. L’assemblée est surtout impressionnée par la citation des dernières paroles adressées à son fils par un des premiers et des plus fervents sociétaires, quelques instants avant de mourir : « Tout ce que je te demande, c’est de ne pas oublier la grande et petite patrie, surtout les Enfants de la Drôme.» M. Girouin, le zélé trésorier, expose la situation financière qui accuse un excédent respectable. M. Chauvet, l’infatigable vice-président, en un style élégant et humoristique expose les raisons militant en faveur de la réorganisation de la Fédération des Sociétés dauphinoises pour sceller
assister à la réunion, adresse ses condoléances aux familles éprouvées, ses félicitations à celles ayant eu des événements ueu et souhaite la cordiale bienvenue aux nouveaux adhérents venant ainsi gmntr la mi drômoise dAlger Il edèc ensuite la prl au secrétaire chargé de ronnde un aperçu de la situation mrl de 'Amicale. Celui-ci parcourt emtdaripen les diverses étapes de la Société usècsc obtenus par les banquets de printemps et d’automne et surtout, par les sorties fiae avec le port trdtnnl de « la blanche ». Pendant l guerre, l’Amicale subit un arrêt dans sa marche scndnt, ms à partir de ,0912 elle sort de son état léthargique e progresse apdmt. Actuellement, elle compte pls de 150 meres ; c’est donc un merveilleux résultat. Son o n peut que continuer grâce aux éléments dn elle dsps. Il aggene vivement ls compatriotes à s réunir l plus souvent pssbl pour évoquer ls lieux mirlafies du pays natal, les sites admirables de la Drôme qui attirent aujourd’hui une foule touristes et les faits historiques de son passé glorieux. En outre, l prie nstmmnt les soétares de faire une ctv prpgnd auprès des Drômeois restés en dehors du groupement, ’union étant rendue plus urgente par le milieu cosmopolite dans lequel on vt. Enfin, il cite qlqs exemples l’amour pays ntl et porté plus haut degré pris nasd les œuvres d’éminents compatriotes : feu Maurice Fr et Louis ltea,lG t dans les ouvrages récents de Gabriel Faure qui vient de s retirer au Slln, près de Die. L’assemblée est surtout impressionnée par la citation des dernières paroles adressées à son fl apr n ds pme et des plus fervents sociétaires, quelques instants avant e mourir : « Tout ce que je te demande, c’est de n pas lier al grande et petite ptr, surtout les Enfants de la Drôme.» M. Girouin, le zélé trésorier, expose la situation financière qui accuse un excédent rspctbl. M. Chauvet, ’be vice-président, en n style élégant et humoristique expose les rsns mltnt en favr de l oranstion de la Fédération des Sociétés dauphinoises ou sceler
plus urgente par le milieu cosmopolite dans lequel on vit. Enfin, il cite quelques exemples où l’amour du pays natal est porté au plus haut degré, pris dans les œuvres d’éminents compatriotes : feu Maurice Faure et Louis Gallet, et dans les ouvrages récents de Gabriel Faure qui vient de se retirer au Seillon, près de Die. L’assemblée est surtout impressionnée par la citation des dernières paroles adressées à son fils par un des premiers et des plus fervents sociétaires, quelques instants avant de mourir : « Tout ce que je te demande, c’est de ne pas oublier la grande et petite patrie, surtout les Enfants de la Drôme.» M. Girouin, le zélé trésorier, expose la situation financière qui accuse un excédent respectable. M. Chauvet, l’infatigable vice-président, en un style élégant et humoristique expose les raisons militant en faveur de la réorganisation de la Fédération des Sociétés dauphinoises pour sceller une bonne entente entre tous les Dauphinois. Le président félicite MM. Chauvet, Girouin et Albert pour leurs rapports et leur dévouement. Il constate avec plaisir la brillante situation de la Société, l’harmonie parfaite et l’esprit de solidarité régnant entre ses membres. On liquide ensuite les autres questions à l’ordre du jour et on procède à l’élection des membres renouvelables. POUR 1928, le bureau est ainsi composé : Présidents d’honneur : MM. Lacanaud et Junillon ; Président : M. Laget ; Vice-Présidents : MM. Bossy et Chauvet ; Secrétaire : M. Albert ; Trésorier : M. Girouin ; Assesseurs MM. Aime, Brun, Clavel, Coste, Cotte, Délaye, Doyon, Gonnet, Mazard, Saurel, Vallet, Wathier. La séance est levée en se donnant l’endez-vous aux sorties organisées dans le courant de l’année. La première aura lieu au Camp-des-Chênes, le 27 avril. NOS SOCIETES ESTUDIANTINA DE MUSTAPHA ORPHEE 1 Commissaire de service, M Vidal ; lundi, à 20 h. 30, élèves mandolines jeunes gens ; mardi, à 20 h. 30, 8 mandolines ; jeudi, à 17 h. 30, élèves mandolines jeunes filles ; à 20 h. 30, élèves guitares jeunes filles et jeunes gens ; vendredi, à 20 h. 30, répétition générale. Communication au sujet de
plus rnt par le milieu cosmopolite dans eleqlu on vit. Enfin, il cite esquleuq exemples o l’amour du pays natal s porté au plus haut degré, pris dans les œuvres ’éminents compatriotes feu Maurice Faure et L Gallet, et dans les ouvrages récents de Gabriel Faure qui vient de se retirer Seillon, près de Die. Lassemblée est surtout impressionnée par la citation e dernières prls adressées son fils par un des premiers et des plus fervents sotaies quelques instants avant de mourir : « Tout c que je te demande, c’est d ne pas oublier la grande et ieetpt patrie, uru les Enfants de l Drôm.» M Girouin, le zélé trésorier, expose la situation financière qui accuse un excédent respectable. M Chauvet, l’infatigable vice-président, n un style élégant et humoristique expose les raisons militant en faveur de la réorganisation de la Fédération des Sociétés dauphinoises pour sceller une bonne ennttee entre tous les Dauphinois. Le président félicite MM. Chauvet, Girouin t lbrt pr leurs rapports et leur dévouement. Il otae vc plaisir la brillante situation de la Société, l’hrmn parfaite et l’esprit de ditéiosarl régnan entre ses membres. n liquide ensuite les autres questions à l’ordre du uojr et no procède à l’élection ds msermeb renoabes. PR 1928, le bureau est ainsi composé : Présidents dhonneur : MM. Lacanaud et Jnlln ; Président : M. Laget Vice-Présidents : MM. Bossy et Chauvet ; Secrétaire : . Albert ; Trésorier : . Girouin Assesseurs MM. Aime, Brun, Clvl, Coste, Cotte, Dély, Doyon, Gonnet, Mazard, Saurel, Vallet, Wthr. La séance est levée n se donnant l’endez-vous aux sorties organisées n le courant de l’année. La première aura lieu au Cese-sdn,p-êamhC le 27 avril. NOS SOCIETES ESTUDIANTINA D MUSTAPHA ORPHEE 1 Cmmssr de service M Vidal ; lundi, à 20 h. ,03 éèv mandolines jeunes gens ; mardi, à 20 h. 30, sidnlemnao ; judi à 17 h. 3, élèves mandolines jeunes filles ; à 20 h. 30, élèves guitares jeunes filles te jns gens ; vendredi, à 20 h. 30, répétition générale. Communication au sujet de
jour et on procède à l’élection des membres renouvelables. POUR 1928, le bureau est ainsi composé : Présidents d’honneur : MM. Lacanaud et Junillon ; Président : M. Laget ; Vice-Présidents : MM. Bossy et Chauvet ; Secrétaire : M. Albert ; Trésorier : M. Girouin ; Assesseurs MM. Aime, Brun, Clavel, Coste, Cotte, Délaye, Doyon, Gonnet, Mazard, Saurel, Vallet, Wathier. La séance est levée en se donnant l’endez-vous aux sorties organisées dans le courant de l’année. La première aura lieu au Camp-des-Chênes, le 27 avril. NOS SOCIETES ESTUDIANTINA DE MUSTAPHA ORPHEE 1 Commissaire de service, M Vidal ; lundi, à 20 h. 30, élèves mandolines jeunes gens ; mardi, à 20 h. 30, 8 mandolines ; jeudi, à 17 h. 30, élèves mandolines jeunes filles ; à 20 h. 30, élèves guitares jeunes filles et jeunes gens ; vendredi, à 20 h. 30, répétition générale. Communication au sujet de la participation de la Société à un concours de musique en France. Dimanche, cours gratuits de solfège, mandoline et guitares. Pour les inscriptions et renseignements s’adresser chez M. Pagès, 17, place Hoche. à Alger. GROUPEMENT AMICAL ET SPORTIF DES ANCIENS DE LA PATRIOTE D’ALGER Dimanche 12 mars écoulé, a eu lieu à la Mairie d’Alger, l’Assemblée statutaire à l’effet de procéder au renouvellement du Conseil d’administration. Le sympathique président, M. Romoli, prend la parole et avec la bonne humeur qui lui est coutumière, fait l’exposé du compte rendu moral de la Société, lequel est coupé par des salves d’applaudissements. Il retrace l’historique de ce vaillant groupement qui débuta par un tout petit noyau et qui réunit aujourd’hui plus de 250 membres, et ce grâce au dévouement et aux efforts de tous les Sociétaires. Il félicite les anciens gymnasiens : Lamarque, Donato, Louis, Jh et Fs Scanapico et Guenoun qui ont obtenu une récompense honorifique au cours de l’année écoulée. Après lui, le non moins sympathique et dévoué M. Lambert, rend compte de son mandat financier qui est approuvé par des applaudissements nourris, montrant à M. Lambert, combien les camarades le remercient du dévouement qu’il apporte pour la prospérité et la
ju et on procède à l’élection des mersmeb renouvelables. POU 1928, le bureau est ainsi composé : Présdnts d’honneur : MM. aud et Jnlln ; Président : M. tgaLe ; Vice-Présidents MM. Bossy te Chauvet ; Scrreieéat M. Albert ; Trésorier : M. Girouin ; ssssrs MM. Aime, Brun, Clavel, set,Co Cot, Délaye, Doyon, Gonnet, Mazard, Srl, Vallet, Wathier. La séance est levée n se dnnnt l’endez-vous aux sorties organisées snda le courant de l’nné. La première aura lieu au Camp-des-Chênes, le 27 liv.ra NOS SOCIETES ESTUDIANTINA MUSTAPHA ORPHEE 1 Commissaire d service, M Vidal ; lundi, à 02 h. 30, élèves mandolines jeunes gens ; mardi, à 20 h. 30, 8 sdalinnome ; jeudi, à 17 h. 30, élèves mandolines jeunes s à 20 h 30, élèves guitares jeunes filles et jeunes gens ; vendredi, 20 h. 30, répétition nrlageé.é Communication au sujet de l npptticioaair la Société à un concours de musique en Frnc. inc, cours gratuits de slfèg, mndln et guitares. Pour les inscriptions et renseignements s’adresser chez M. Pgès, 17, plc Hch. à Alger. GRPMNT AMICAL ET SPORTIF DES ANCIENS DE LA PATRIOTE D’LGR Dimanche 12 mars écoulé, a eu lieu à la Mri d’lgr, l’Assemblée statutaire à l’effet de procéder au renouvellement du Conseil d’administration. Le sympathique président, M. Rml, prend la prl et vc la bonne humeur qui lui est coutumière, fait l’xpsé du compte rendu moral de la Scété, lequel est cpé par des salves d’applaudissements. Il retrace l’hstrq de ce vllnt oemgetupnr qui tbéadu pr n tout petit noyau et qui réunit aujourd’hui pls de 250 membres, et ce grâce au dévouement et aux efforts de tous ls rcéiSs.oiaet Il félct les anciens gymnsns : Lamarque, Donato, Louis, Jh et Fs Scanapico et Guenoun qui ont obtenu une récompense honorifique au cours de l’année écoulée. près l, le nn moins yatu et dévoué M Lambert, rend compte de son mandat financier qui st pprvé par ds applaudissements nourris, montrant à M Lambert, combien les camarades le rmrcnt du dévouement quil apporte pour la prospérité et la
lieu à la Mairie d’Alger, l’Assemblée statutaire à l’effet de procéder au renouvellement du Conseil d’administration. Le sympathique président, M. Romoli, prend la parole et avec la bonne humeur qui lui est coutumière, fait l’exposé du compte rendu moral de la Société, lequel est coupé par des salves d’applaudissements. Il retrace l’historique de ce vaillant groupement qui débuta par un tout petit noyau et qui réunit aujourd’hui plus de 250 membres, et ce grâce au dévouement et aux efforts de tous les Sociétaires. Il félicite les anciens gymnasiens : Lamarque, Donato, Louis, Jh et Fs Scanapico et Guenoun qui ont obtenu une récompense honorifique au cours de l’année écoulée. Après lui, le non moins sympathique et dévoué M. Lambert, rend compte de son mandat financier qui est approuvé par des applaudissements nourris, montrant à M. Lambert, combien les camarades le remercient du dévouement qu’il apporte pour la prospérité et la bonne marche de l’Amicale. Au nom de tous, M. Romoli, président, lui exprime toute sa reconnaissance et sur sa proposition, M. Lambert est élu président d’honneur. On procède ensuite à l’élection du Conseil d’administration qui a lieu au vote secret, sous la présidence de M. Fiévé, doyen d’âge. Sont élus 2 Président actif : M. R. Romoli ; vice-présidents : MM. Schoepfer Gaston, Donato, Scanapico Joseph, Fiévé, Valentini, Accardo ; secrétaire général : M. R. Mir ; secrétaire adjoint : M. Rolland fils ; trésorier général : M. Lambert ; trésorier-adjoint : M. Scanapico François ; commission de contrôle : MM. Pozzi et Laurenseau ; directeurs artistiques : MM. Saint-Sauveur et Marlix ; conseillers assesseurs : MM. Ballester, Rolland père, Cumbo, Guenoun, Moucardeau, Italiano, Perez A., Serrano, Mitjaville, Di Crescenzo. À l’issue des élections, notre estimé président Romoli offrait un apéritif où l’esprit ardent et jamais en défaut du camarade Accardo, fit fuser dans les airs, les cris de « Vive les anciens de la Patriote ! » Sur la proposition de l’ami Schoepfer un pique-nique familial sera organisé très prochainement, en attendant les grandes fêtes, dont un programme sera très minutieusement préparé à cet effet. FÊTES ET CONCERTS CERCLE
lieu à la Mairie d’Alger, ’Assemblée statutaire à l’effet de rrépoedc au eome du Conseil dainon. Le sympathique tpirds,éen M. Romoli, prend la parole et avec la on mu qui lui est ctmèr, fait l’exposé du compte rendu moral de la Société, lequel est coupé pa des salves d’applaudissements. Il retace lhistorique de ce vaillant groupement qui débt par un tout petit noyau et qui réunit aujourd’hui lus de 250 membres, et ce grâce au dévouement t x efforts de tous les Sociétaires. Il félicite ls anciens gymnasiens : Lamarque, notaD,o Louis, Jh et Fs Scanapico et Guenoun qui ont obtenu n récompense honorifique au cours de ann’éel écoulée. Après lui, le non moins sympathique et dv . Lmbrt, rend compte de son mandat fnncr qui est ppo par es laisment nour, ortnatmn M. Lambet combien les cmrds le emern du dévouement qu’il apporte upro la prospérité et la bnn marche de lmi Au om de ts, M. Romoli, président, lu exprime ot sa reconnaissance et sur sa proposition, M. Lambert est élu président d’honneur. n procède ensuite à l’élection du Conseil d’administration qui a l u vote secret, sous l présidence de .M Fiévé, doyen d’âge. Sont élus 2 Présdnt actif : M. R. ooRmli ; vice-présidents : MM Schoepfer Gstn, Donato, Scanapico Joseph, Fiévé, Valentini, cardo ; secrétaire général : M. R. Mir ; secrétaire djnt . lad fils trésorier général : M. Lambert ; trésorier-adjoint : M. nao François ; commission de contrôle : MM. zPizo et Laurenseau ; directeurs artistiques : MM. Saint-Sauveur et Marlix ; conseillers assesseurs : MM. Ballester, Rolland père, Cumbo, Guenoun, Moucardeau Italiano, Perez A., Serrano, Mitjaville, Di Crescenzo. À lissue des élections, notre estimé président Romoli offrait un apéritif où l’esprit ardent e jamais en défaut du raeaacdm Accardo, fit fuser dans les airs, les cris de « Vive les anciens e la Patriote ! » Sur l proposition de l’ami Schoepfer un pique-nique familial sr organisé très prochainement, en attendant es grandes fêtes, dont un programme sera très minutieusement préparé cet effet. FÊTES ET CONCERTS CERCLE
2 Président actif : M. R. Romoli ; vice-présidents : MM. Schoepfer Gaston, Donato, Scanapico Joseph, Fiévé, Valentini, Accardo ; secrétaire général : M. R. Mir ; secrétaire adjoint : M. Rolland fils ; trésorier général : M. Lambert ; trésorier-adjoint : M. Scanapico François ; commission de contrôle : MM. Pozzi et Laurenseau ; directeurs artistiques : MM. Saint-Sauveur et Marlix ; conseillers assesseurs : MM. Ballester, Rolland père, Cumbo, Guenoun, Moucardeau, Italiano, Perez A., Serrano, Mitjaville, Di Crescenzo. À l’issue des élections, notre estimé président Romoli offrait un apéritif où l’esprit ardent et jamais en défaut du camarade Accardo, fit fuser dans les airs, les cris de « Vive les anciens de la Patriote ! » Sur la proposition de l’ami Schoepfer un pique-nique familial sera organisé très prochainement, en attendant les grandes fêtes, dont un programme sera très minutieusement préparé à cet effet. FÊTES ET CONCERTS CERCLE MILITAIRE Programme du concert du jeudi 27 mars Yaminé, par Mme et M. Lafont, professeur de piano et violon. 1. Sémiramide, ouverture de Rossini, trio, par Mme Lafont et MM. Iborra et Teulié. 2. Clavecin, de Gaston Paulin, chantée par Mme Lafont, accompagnée au violon par Mlle Ripoll. 3. Apothéose de Lulli, de Couperin (1668-1733) première audition à Alger. a) Lulli aux Champs Elysées, concertant avec les ombres lyriques. b) Plainte des auteurs contemporains, de Lulli. c) Rumeur souterraine causée par les contemporains, quatuor : Mlles Coste, Ripoll et MM. Teulié et Iborra. 4. Czardas, de Manti, par M. Jean Iborra, élève de M. Lafont. 5. Arlequin, de David Popper, solo de violoncelle tiré des scènes de Carnaval, par M. Teulié. 6. Rondel du cœur, de Wittmann, chanté par Mme Lafont. 7. Concerto, de Bériot (allegro final) solo de violon par Mlle Ripoll, élève de Mme Lafont. 8. Nocturne, de René Guillou, trio par Mme Lafont, Mlle Ripoll et M. Teulié. ESPERANCE SPORTIVE ALGEROISE Matinée dansante Une semaine à peine nous sépare de la grande matinée dansante qu'organise pour dimanche, cette intéressante société. On confirme de tous côtés, que cette date du 1er avril, choisie par le Comité d'organisation, a
2 Président actif : M . Romoli ; vice-présidents : MM. Schoepfer Gaston, Donato, npic Jsph, Fiévé, Valentini, ccdraoA ; eersratéci général : .M R. Mir ; scrétr adjoint : . Rolland fils ; trésorier général : M Lambert ; trésorieradjoint : M. Scanapico François ; cmmssn ed onô : MM. Pozzi t Laurenseau ; directeurs artistiques : MM. Snt-Svr et aix conseillers ssusersesa : MM. Ballester, Rolland pèr, Cumbo, Guenoun, Moucardeau, Italiano, Perez , Serrano Mitjaville, Di Crescenzo. À l’issue esd élections, notre étmise présdnt Romoli offrait un apéritif où l’esprit ardent et jamais n défaut du camarade Accardo, fit fuser ndas les airs, les crs de « Vv les anciens de la Patriote ! » Sur la proposition de l’ami Schoepfer un pique-nique familial sera rgnsé èrst rohimen en ttndnt ls grnds fêtes, don un programme sera très minutieusement préparé à cet effet FÊTS ET CONCERTS CERCLE MILITAIRE Programme du concert d jeudi 27 mars Yaminé, pr Mme et M. Lafont, professeur de piano te violon. 1. Sémiramide, ouverture d Rossini, tr, par Mme Lafont et MM. Iborra et Teulié. 2. Clavecin, de Gstn Paulin, chantée par Mme Lafont, accompagnée voolin par Mlle Ripoll. 3. Apohés de Lulli, de Couperin (1668-1733) première audition à Alger. a) Lulli aux Champs e concertant vc les ombres lyriques. ) Plainte des auteurs contemporains, de Lulli. c) umu souterraine as par les acsp,romeniton quatuor Mll Coste, ip et MM. Teulié et Iborra. 4. Czardas, de Manti, par M. Jean Iborra, élève de M. Ln.ofat 5. Arlequin, de David Popper, solo de violoncelle tiré d scènes de Carnaval, par M. Teulié. 6. Rondel du cœur, de Wittmann, chanté par Mme Lafont. 7. Concerto, de Bériot (allegro final) solo de iolon par Mlle Ripoll, élève de Mme Lafont. 8. cnrtoue,N de René Guillou, trio par Mme fnt, Mlle Ripoll et .M Teulié. ESPERANCE SPORTIVE ALGEROISE Matinée dansante Une sie à peine nous sépare d a grande matinée dansante qu'organise pour dimanche, ctt intéressante société. On confirme d tous côtés, que cette date du 1er avri choisie par le Comité d'organisation, a
de Lulli, de Couperin (1668-1733) première audition à Alger. a) Lulli aux Champs Elysées, concertant avec les ombres lyriques. b) Plainte des auteurs contemporains, de Lulli. c) Rumeur souterraine causée par les contemporains, quatuor : Mlles Coste, Ripoll et MM. Teulié et Iborra. 4. Czardas, de Manti, par M. Jean Iborra, élève de M. Lafont. 5. Arlequin, de David Popper, solo de violoncelle tiré des scènes de Carnaval, par M. Teulié. 6. Rondel du cœur, de Wittmann, chanté par Mme Lafont. 7. Concerto, de Bériot (allegro final) solo de violon par Mlle Ripoll, élève de Mme Lafont. 8. Nocturne, de René Guillou, trio par Mme Lafont, Mlle Ripoll et M. Teulié. ESPERANCE SPORTIVE ALGEROISE Matinée dansante Une semaine à peine nous sépare de la grande matinée dansante qu'organise pour dimanche, cette intéressante société. On confirme de tous côtés, que cette date du 1er avril, choisie par le Comité d'organisation, a surtout pour but de réserver aux invités une surprise qui étonnera les plus sceptiques. Inutile de répéter que la fête se déroulera dans la vaste salle du Beau-Séjour et que l'orchestre remarquable de l'Alhambra est engagé. On peut se procurer des invitations : Chez M. Jis, huissier, 7, place du Gouvernement ; au secrétariat, 25, rue de la Lyre ; Au Petit Duc, rue Henri-Martin et rue Bab-el-Oued ; au Sphinx, rue Dumont-d'Urville et enfin chez M. Dahan Marius, 15, rue Marengo ou 4, rue Zola. Téléphone 24-20. L'ETOILE D'AFRIQUE Poursuivant la série de ses bals, l'« Etoile d'Afrique » organise, le 31 mars, une grande soirée dansante dans la coquette salle Bélisaire, rue Jacques-Cartier. Nul doute que cette soirée remportera un énorme succès si l'on en juge par celui obtenu à la dernière soirée qui avait lieu à la Brasserie de l'Etoile. La salle sera magnitiquement décorée ; un buffet, largement approvisionné, sera mis à la disposition des danseurs. Cette société, créée par un groupe de philanthropes, mérite qu'on la soutienne et c'est pourquoi on peut espérer que nombreux seront ceux qui lui donneront, en assistant à la fête, les marques de sympathie auxquelles elle a droit. Les Excursions
de Lulli, de Couperin (1668-1733) première audition à Alger. a Lulli xua Champs Elysées, concertant avec les ombres lyriques. b Plainte ds auteurs contemporains, d Lulli. c) Rumeur souterraine csée par les eiopanmnr,cots quatuor : Mlles Coste Ripoll et MM. Teulié et brr. 4. azsC,dra de Manti, par M. Jean Iborra, élève d M. Lafont. 5. Arlequin, de David Popper, solo de violoncelle tiré des scènes de Carnaval, par M. Teulié. 6. Rndl du cœr, de Wittmann, chanté par Mme Lafont. 7. Concerto, de érit (allegro fin solo de violon par Mlle Ripoll, élève de Mme Lafont. ocue, de René Guillou, trio par Mme Lafont, Mlle Ripoll et M. Teulié. ESPERANCE SPORTIVE LGRS Matinée dansante Ue semaine à peine nous sépare de l grande matinée dnsnt q'rgns pour dimanche, cette intéressante soc. On confirme de tous côtés, uqe cette dt du 1er avril, choisie p le Cmt d'organisation, a surtout pour but de réserver x invités une surprise q éonn els plus sceptiques. Inutile de répéter que la fête se déroulera dans la vaste leasl du Beau-Séjour et que l'orchestre remarquable de 'hmr est engagé. On peut se procurer des invitations : Chez M. Jis hssr, , place du Gvrnmnt ; au secrétariat, 25, r de la Lyre ; Petit Duc, rue Henri-Martin et Bab-el-Oued ; au Sphinx, rue DumontdUrville et enfin chez M. Dahan Marius, 15, r Mrng ou , rue Zola. Téléphone 24-20. L'TL D'AFRIQUE Poursuivant la série ed ses bals, l'« Etoile d'Afrique » organise, le 31 mars, une grande soirée dansante dans la coquette leals Bélisaire, rue Jacques-Cartier. Nul doute que te réesio remportera n énorme succès si l'on en juge par celui obtenu à la dernière soirée qui avait lieu à la Brasserie de l'Etoile. La salle sera magnitiquement décorée ; un f,etubf largement approvisionné, sera mis à la disposition des danseurs Cette société, créée par un groupe de philanthropes mérite qu'on la soutienne et c'est pourquoi on peut espérer que nombreux seront ceux qui lui donneront, en assistant à la fête, e marques de sympathie auxquelles elle a droit. Les Excursions
Gouvernement ; au secrétariat, 25, rue de la Lyre ; Au Petit Duc, rue Henri-Martin et rue Bab-el-Oued ; au Sphinx, rue Dumont-d'Urville et enfin chez M. Dahan Marius, 15, rue Marengo ou 4, rue Zola. Téléphone 24-20. L'ETOILE D'AFRIQUE Poursuivant la série de ses bals, l'« Etoile d'Afrique » organise, le 31 mars, une grande soirée dansante dans la coquette salle Bélisaire, rue Jacques-Cartier. Nul doute que cette soirée remportera un énorme succès si l'on en juge par celui obtenu à la dernière soirée qui avait lieu à la Brasserie de l'Etoile. La salle sera magnitiquement décorée ; un buffet, largement approvisionné, sera mis à la disposition des danseurs. Cette société, créée par un groupe de philanthropes, mérite qu'on la soutienne et c'est pourquoi on peut espérer que nombreux seront ceux qui lui donneront, en assistant à la fête, les marques de sympathie auxquelles elle a droit. Les Excursions LES ENFANTS DE LA CAIÈTE AUX GORGES DE LA CHIFFA C'est avec plaisir que nous apprenons que l'inauguration de la saison touristique de cette importante Société aura lieu le dimanche 15 avril prochain aux Gorges de la Chiffa et Camp-des-Chênes. Les organisateurs sont à féliciter car ils ne pouvaient choisir pour cette première sortie de lieu plus pittoresque et plus agréable, où en cette saison le charme est à son apogée. Cette excursion pique-nique est organisée d'une façon impeccable : le trajet s'effectuera dans de luxueux et confortables autobus. Un programme des mieux choisis a été élaboré. Il comporte notamment : la visite des plus beaux sites des gorges, un apéritif-concert, des jeux divers et une grande sauterie avec le concours d'un jazz des plus réputés. Le retour aura lieu par la Côte Turquoise. Le prix du voyage est fixé comme suit : invités, 24 fr. ; sociétaires, 20 fr. Pour les inscriptions et tous renseignements, s'adresser dans le plus bref délai au siège social : Brasserie du Fort-Bab-Azoun, boulevard Laferrière, où le programme général de cette agréable journée, sera distribué à tout excursionniste sur sa demande. Syndicat d'Initiative du Plateau du Cimetière de Mustapha Dans le but de protester
Gouvernement ; au secrétariat 25, r de la Lyre ; Au Petit Duc, rue Heni- et rue BabelOued ; au pnxShi, rue Dumont-d'Urville et enfin chez M. Dahan Marius, 15, rue Marengo ou 4, ue Zola. Téléphone 02-.42 L'ETOILE DAFRIQUE Poursuivant la série de ses bals, l'« Etoile d'Afrique » organise, le 31 mars, une grande soirée dansante dans la coquette salle Bélisaire, rue Jacques-Cartier. Nul dt que cette soirée remportera un énorme sccès si l'on en juge par celui obtenu à la dernière sré qui avait lieu la Brasserie de l'oile. L salle era magnitiquement décorée ; n buffet, largement approvisionné, sera ms à la disposition des danseurs. Cette société, e par un groupe de philanthropes, mérite qu'on l soutienne et c'st pourquoi on peut espérer que nombreux seront ceux qui u donneront, en assistant à la fête, les marques e ytmishpea auxquelles l droit. Les cursi L ENFANTS DE LA CAIÈTE AUX GORGES DE LA CHIFFA C'est avec plaisir que nous apprenons que l'inauguration de la saison trstq de cette mprtnt Société aura lieu le dimanche 15 avril prochain aux Gorges de la Chiffa et Cmp-ds-Chêns. Les organisateurs sont à féliciter car ils ne pouvaient choisir pour cette première sortie de lieu plus etreiqtpsuo et plus agréable, où en cette saison le est à son apogée. Cette excursion pique-nique est organisée d'une façon impeccable : le trajet s'effectuera dans de luxueux et confortables otuuab.s Un prgrmm des mieux choisis a été élbré. Il comporte notamment : la visite des plus beaux ste ds gs, un apéritifconcert des jeux divers et eun grande sauterie avec le concours 'un jazz e plus réputés. Le retour aura lieu par la Côte Turquoise. Le prix du vya est fié comme suit : invités, 24 fr. ; scétrs, 20 fr. Pour les inscriptions et tous renseignements, 'adresser dns le plus brf délai au siège social Brasserie du Fort-Bab-Azoun, boulevard Laferrière, où le prgrmm général de cette agréable ée, sera distribué tout excursionniste sur sa demande Syndicat d'Initiative du Paea u Cimetière de Mustapha Dans el but de protester
pour cette première sortie de lieu plus pittoresque et plus agréable, où en cette saison le charme est à son apogée. Cette excursion pique-nique est organisée d'une façon impeccable : le trajet s'effectuera dans de luxueux et confortables autobus. Un programme des mieux choisis a été élaboré. Il comporte notamment : la visite des plus beaux sites des gorges, un apéritif-concert, des jeux divers et une grande sauterie avec le concours d'un jazz des plus réputés. Le retour aura lieu par la Côte Turquoise. Le prix du voyage est fixé comme suit : invités, 24 fr. ; sociétaires, 20 fr. Pour les inscriptions et tous renseignements, s'adresser dans le plus bref délai au siège social : Brasserie du Fort-Bab-Azoun, boulevard Laferrière, où le programme général de cette agréable journée, sera distribué à tout excursionniste sur sa demande. Syndicat d'Initiative du Plateau du Cimetière de Mustapha Dans le but de protester contre la création du cimetière musulman sur la propriété El Mansali, une réunion générale, à laquelle ont été invités tous les conseillers municipaux européens et indigènes de la ville, sera organisée par le Comité de défense du Syndicat d'initiative du Plateau du Cimetière de Mustapha, le dimanche premier avril, à 9 h. 30, chez MM. Alba et Mari, ancienne propriété Desnues. Étant donnée l'importance de cette réunion, le président compte sur la présence de tous les habitants des quartiers du Plateau du Cimetière. Les Comités de défense des quartiers limitrophes sont cordialement invités à y assister. Une délégation du Comité, en permanence près la Villa Sesini, indiquera le lieu exact de la réunion. Association Algérienne des Retraités de l'Etat Le président de cette association nous communique la lettre suivante : Alger, le 26 mars 1928. A Monsieur le Président du Conseil des ministres, Monsieur le Président, J'ai l'honneur de vous transmettre, ci-joint, le compte rendu d'une réunion extraordinaire de notre association. Je me permets d'appeler votre haute attention sur l'importance de cette réunion et sur les trois ordres du jour nouveaux qui ont été votés. Les retraités, et je parle ici des retraités à l'ancienneté, sont mécontents. Ils ont grandement
pour cette première sortie de lieu plus pttrsq t plus agréable, où en cette saison le charme est à son apogée. teCte excursion ueiqe est organisée d'une façon impeccable : le trajet s'effectuera dans de luxueux et confortables autobus. Un programme des iuxem coi a été élaboré. Il oocerpmt notamment : la visite des plus beaux t des gorges, apéritif-concert, des jeux divers et n grnd sauterie avec l cncrs d'un jzz des plus réputés. Le retour aura l par la Ce Turquoise. Le prix du voyage est fxé cmm suit : nvtés, 24 fr ; sociétaires, 20 fr. Pour les inscriptions et tous renseignements s'adresser dans le pus bref délai au siège social : Brasserie du Fort-Bab-Azoun, blvrd Laferrière, où l programme général d cette agréable journée, sera distribué à out excursionniste sur sa demande. Syndicat d'Initiative du Plateau du Cimetière de Mustapha Dans le but de protester contre la création du cmtèr musulman su la prprété El Mansali, une éuio générale, à laquelle nt é invités tous les issorclleen municipaux européens et indigènes de la ville sera organisée par le Comité de défense du ict 'eviitiandti du Plateau du Cimetière d Mustapha l dimanche premier avril, h. 0 chez MM. Alba t Mari, ceneainn péoirrtpé Desnues. ntÉta donnée lrce de cette ni le présdnt compte sur la présnc de tous les habitants des quartiers du Plateau Cimetière. Les Comités de défense des quartiers limitrophes sont cordialement invités à y assister. Une délégtn du Cmté, en prmanc près la Villa Sesini, indiquera le lieu exact de la réunion. Association Algérienne des Retraités de l'Etat Le président de cette association ns communique l lettre suivante : Alger, le 26 mars 1928. A Monsieur le Président du Conseil des ministres, Monsieur le Présdnt, J'ai l'honneur de uvso transmettre, ci-joint, l compte rendu 'une réunion extraordinaire de notre association. Je me permets 'appeler votre haute attention sur l'importance de cette réunion et sur les trois eorrsd du jour nouveaux qui ont été votés. Les retraités et ej ae ici des retraités à lenenaéni,c't sont mécontents. Ils ont grandement