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6, cave, rez-de-chaussée, 1er étage, puits, jardin. Mise à prix : 60.000 francs. Etude de M. HAAS : Huissier à Aumale VENTE JUDICIAIRE, Le public est prévenu qu'il sera procédé le lundi 2 avril 1928, à 8 heures du matin, à Sidi-Aissa, à la vente aux enchères publiques de : Comptoir, étagères, casier, de 150 mètres d'étoffes diverses, 150 mètres tulle, gandouras, chemises hommes et chemises femmes, gandouras enfants, bonbons, tabacs, etc., Au comptant, 7,50 en Bus. L'Huissier poursuivant. Signé : HAAS. J DIVERS Ministère de la Guerre TROUPES D'OCCUPATION DU MAROC Service du Cénie CHEFFERIE DE MIDELT Adjudication restreinte à Midelt le 12 avril 1928 à quatorze heures pour les travaux de construction de la route du Ziz, section de Telghemt (entre les points kilométriques 0 et 5 kilomètres 050 à 7.400). * LOT UNIQUE Terrassements, fournitures de pierres pour chausser et empierrement et matériaux d'agrégation. Montant 248.000 f. Cautionnement prov. 2.500 f Cautionnement déf. 12.500 f. Le cahier des charges et les pièces du marché sont déposées aux Chefferies de : Midelt, Fez, Taza, Meknès, Rabat, Casablanca où l'on peut prendre connaissance. Les pièces nécessaires pour être admis à concourir devront être fournies au plus tard le 3 avril 1928; Pour tous renseignements, consulter les affiches. SOCIETE ALGERIENNE DES AUTOMOBILES RENAULT Société anonyme au capital de 1.800.000 francs Siège social, 28, rue de la Liberté, Alger Assemblée générale ordinaire du 14 avril 1928 CONVOCATION Les actionnaires de la Société Algérienne des Automobiles RENAULT, sont convoqués en Assemblée générale ordinaire le samedi 14 avril à 16 heures aux ateliers Renault rue et Constantine, au Hamma, Alger, pour délibérer sur l'ordre du jour suivant: ORDRE DU JOUR 1° Lecture des rapports du Conseil d'administration et du commissaire aux comptes sur l'exercice 1926-1927. 2° Approbation du bilan et des comptes présentés par le conseil; 3° Répartition des bénéfices et fixation du dividendes; 4° Quitus à donner aux administrateurs pour l'exercice écoulé; 5° Nomination d'administrateurs; 6° Désignation d'un commissaire aux comptes titulaires pour l'exercice 1927-1928 et d'un commissaire suppléant; 7° Fixation des honoraires des administrateurs et de la rénumération du commissaire aux | 6, cave, rz-d-chssé, 1er étage, puits, jardin Mise à pix : 60.000 francs. Etude de M. HAAS : Huissier à Aumale VENTE JUDICIAIRE, Le public est prévenu qu'il sera procédé le lundi 2 avril 1928, à 8 eures du matin, à Sidi-Aissa, à la enetv aux enchères ubqus de : Comptoir, étagères, casier de 150 mètres dosf'éetf diverses, 150 mètres tulle gandouras, chemises hommes et chemises femmes, gandouras enfants, bonbons, tabacs, etc., Au omctpn,at 7,50 en Bus. L'Huissier prsvnt. Signé : HAAS. J DIVERS Mnistè de la Guerre TROUPES D'OCCUPATION DU MAROC Service du Cénie CHEFFERIE D MIDELT Ajcation rstrnt à Midelt le 12 avril 1928 quatorze heures urpo ls travaux de construction de la route du Ziz, section Telghemt (entre les points kilométriques 0 et 5 kilomètres 050 à 7.400). * LOT UNIQUE Terrassements, fournitures de prrs pour hsreuasc empierrement et matériaux d'agrégation. Montant 248.000 f. Cautionnement .orvp 2.500 f Ctnnmnt déf. 12500 f. Le cahier des charges et les pièces du marché sont déposées aux Chefferies e : Mdlt, Fez, Ta, Meknès, Rabat, Casablanca où l'on peut prendre connaissance. Les esècip nécessaires ou être admis à concourir devront être fournies au plus tard le 3 avril 1928; Pour tous renseignements, consulter les cffseah.i SOCIETE ALGERIENNE DES AUTOMOBILES RENAULT Société anonyme au capital d 1.800.000 srfnac Sèg il,caos 28, rue de la Liberté Alger Assemblée générale ordinaire du 14 avil 1928 CONVOCATION Les actionnaires de la Société Algérienne des Automobiles RENAULT, sont convoqués n Assemblée générale ordinaire l samedi 14 avril à 16 heures aux ateliers Renault rue et Constantine, au Hamma, Alger, pour délibérer sur l'ordre du jour suivant: ORDRE DU JOUR 1° Lecture des rapports du Conseil d'administration et du commissaire aux comptes sur l'exercice 1926-1927. 2° Approbation du bilan et s comptes présentés par le conseil; 3° Répartition des bénéfices et fixation du dividendes; 4° Quitus à donner aux administrateurs pour l'exercice écoulé; 5° Nomination d'administrateurs; 6° Désignation d'un cmmssr aux comptes titulaires pour 'exercice 1927-1928 et d'un commissaire suppléant; 7° Fixation des honoraires ds administrateurs et de la éuérto d commissaire aux |
avril 1928; Pour tous renseignements, consulter les affiches. SOCIETE ALGERIENNE DES AUTOMOBILES RENAULT Société anonyme au capital de 1.800.000 francs Siège social, 28, rue de la Liberté, Alger Assemblée générale ordinaire du 14 avril 1928 CONVOCATION Les actionnaires de la Société Algérienne des Automobiles RENAULT, sont convoqués en Assemblée générale ordinaire le samedi 14 avril à 16 heures aux ateliers Renault rue et Constantine, au Hamma, Alger, pour délibérer sur l'ordre du jour suivant: ORDRE DU JOUR 1° Lecture des rapports du Conseil d'administration et du commissaire aux comptes sur l'exercice 1926-1927. 2° Approbation du bilan et des comptes présentés par le conseil; 3° Répartition des bénéfices et fixation du dividendes; 4° Quitus à donner aux administrateurs pour l'exercice écoulé; 5° Nomination d'administrateurs; 6° Désignation d'un commissaire aux comptes titulaires pour l'exercice 1927-1928 et d'un commissaire suppléant; 7° Fixation des honoraires des administrateurs et de la rénumération du commissaire aux comptes; 8° Autorisation à donner aux administrateurs conformément à l'article 40 de la loi du 24 juillet 1867, d'administration. Le Conseil d'administration. LA NOUVELLE BATCH L'ALGÉRIENNE Bat DEPÔTÉE des Établissements VIDAL, MANÉGAT et Cie Verte Souple Imperméable Imputrescible avec œillets, cordes, marquage gratuits EST LA BATCH DE CONFIANCE DIMENSIONS COURANTES : 14x3 5x4 6x4 6x5 7x5 1 Frs. 235 390 580 675 Toutes autres dimensions, livraison en 48 heures. — Echantillons sur demande VIDAL, MANÉGAT et 2 et 3, Bastion du Sâteau de Bourbon ALGER Telephone: 36-41 et 22-37. SACS. TOILES. CORDAGES. FILS et FICELLES. HOTCHKISS PARIS-NICE Impressionnante fut la régularité de marche de l'équipe HOTCHKISS les sept voitures ont marché en groupe, à belle allure de Paris à Nice sans aucun accroc et cette démonstration a valu à la grande marque d'être la grande triomphatrice de ce concours avec son réputé module 12 chevaux. (extrait de L'AVOINE) HOTCHKISS reine des voitures modernes CONSEVEZ-LA ELLE SERA VOTRE VOITURE Essai et démonstration à ALGER démonstration à A. A. Constantine LA REMINGTON COMPTABLE N. 23 est une assurance contre les Erreurs dans tous les Travaux comptables et Une source de RENSEIGNEMENTS PRÉCIEUX POUR LA DIRECTION par son incomparable rapidité dans l'Etablissement des | avril 1928; Pr tous renseignements, consulter ls affiches. SOCIETE ALGERIENNE ES TMBLS RENAULT Société anonyme au capital de 1.800.000 francs Siège social, 28, rue de la Liberté, Alger Assemblée générl ordinaire du 14 vrl 1928 CNVCN Les ctnnrs de la Société Algérienne des Automobiles RNLT, sont convoqués ne Assemblée générale ordinaire le samedi avril 16 heures aux ateliers Renault ru et Constantine, au Hamma, Alger, pour délibérer sur l'ordre du jour suivant: ORDRE DU JOUR 1° Lecture des rapports du Conseil d'administration et du commissaire aux comptes sur l'exercice 1926-1927. 2° pprbtn du bilan et des comptes présentés par le conseil; 3 Répartition ds bénéfices et fixation du dividendes; 4° Qts à donner aux administrateurs pour 'exercice écoulé; 5° Nomination d'administrateurs; 6° Désgntn d'un commissaire aux comptes titulaires pur l'exercice 1927-1928 et d'un commissaire suppléant; 7 Fixation des honoraires des administrateurs t de al rénumération du mssi aux cpt; 8° Autorisation à donner aux administrateurs conformément à l'article 40 de la loi d 24 jllt 1867, d'administration. e Conseil d'administration. LA NVLL BATCH L'ALGÉRIENNE Bat DEPÔTÉE tismens VIDAL, MANÉGAT et Cie Vrt Souple Imperméable Imputrescible avec œillets, cordes, marquage gratuits EST LA BATCH DE CONFIANCE DIMENSIONS COURANTES : 14x3 5x4 6x4 6x5 7x5 1 Frs. 235 390 580 675 Toutes autres dmnsns, livraison en 84 heures — Echantillons sur demande VIDAL, MANÉGAT et 2 et 3, a du Sâteau de Bourbon ALGER Telephone: 3164- et 22-37. A. TOILES. CORDAGES. FILS et FICELLES. HOTCHKISS PARIS-NICE Impressionnante fut la régularité de marche de l'équipe HOTCHKISS les sept voitures ont marché en groupe, à ble allure de Paris Nice sans aucun accroc et cette démonstration a vl à la grnd marque dêtre la grande triomphatrice de concours avec son réputé module 12 chevaux. (extrait de L'VN) HOTCHKISS reine des voitures modernes NEV- ELLE SERA VTR VOITURE Essai et démonstration à ALGER démonstration à . A. Constantine LA REMINGTON COMPTABLE N 23 st une assurance contre les Erreurs dans tous les Travaux comptables et n scrueo de NEIGMT PRÉCIEUX POUR AL DIRECTION par son incomparable rapidité dans l'Etablissement des |
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MAILLAS qualités supérieures et petite laine pour coussins, disponibles. Echantillons sur demande. Livraison domicile. DE TAVERNIER frères 13, rue Blandan, Hussein-Dey., Tél. 0-76 Feuilleton de l'Echo d'Alger ? 75 Les aventures de Todd Marvel Détective Milliardaire par Gustave Le Rouge CHAPITRE III LE PRIX DU SANG Après son allié hors de combat et menacé par le browning de Dadd, l'homme lâcha Toby à moitié étranglé et dont les mollets avaient été entamés par les crocs de Bramador. Pendant que Toby, furieux, reprenait haleine et pansait tant bien que mal sa blessure, Dadd sans cesser de tenir en joue l'ennemi vaincu, réfléchissait avec ce sang-froid qui, au cours de la lutte, avait sauvé la situation. Qu'est-ce qu'on va faire de cette brute ? demanda-t-il distraitement, comme s'il se posait la question à lui-même. L'homme eut un regard de fauve pris au piège, mais il ne bougea pas, il était devenu blanc et livide, il comprenait qu'il avait perdu la partie et qu'il allait falloir payer. Tu t'embarrasses de peu de choses, répliqua haineusement Toby; tiens, voilà ce qu'il faut en faire ! Et avant que Dadd eût pu deviner ses intentions, il avait foncé sur l'homme comme un taureau furieux et, d'un coup de tête dans le ventre, l'avait lancé dans le marécage. C'est alors que le misérable lacéré par les aiguilles acérées des plantes mortelles, immergé dans les eaux fétides, pullulantes de sangsues et de reptiles, avait lancé cet appel déchirant que, malgré la distance, avait entendu Marianna. Un instant, la face blême, fendue par un abominable rictus et dont les prunelles révulsées sortaient de leurs orbites, émergea au-dessus des eaux noires. Puis l'homme — il était sans doute devenu fou instantanément — éclata d'un rire aigu canvulsif qui fit frissonner d'horreur ses deux bourreaux. Il fit quelques faibles mouvements puis s'arracha à la vase qui l'enivrait et brusquement il s'enfonça et disparut. Tout à coup, au milieu des cercles qui allaient en s'élargissant sur l'eau dormante, une main noire de fange, apparut, chercha éperdument à s'accrocher à quelque chose, se déchira aux épines aiguës des dionées et retomba. Une | MAILLAS lt ueséursriep et petite ai pour coussins, disponibles. Echantillons r demande. Livraison domicile. DE TAVERNIER frères 13, rue Blandan, Hussein-Dey., Tél. 0-76 eulletn de lEcho d'Alger 75 s aventures de Todd Marvel Détective Milliardaire par Gustave Le Rouge CHAPITRE III LE PRIX DU NG pè son élial hors ed combat et menacé a le browning de Dadd, l'homme lâcha Toby à moti étranglé et dnt les mollets avaient été entamés pr les crocs d Bramador. Pendant q Toby, frx, reprenait haleine et pnst tant n q mal sa blessure, Dadd sans cesser de tenir en joue l'ennemi vaincu réfléchsst avec ce rd-nsgoifa qui, au cours e la lutte, avait sauvé la situation u's-e quon va faire cette brute ? demanda-t-il distraitement comme s'l se pst la question à lui-même. L'homme t n regard de fauve pris au piège, mais il en bougea pas, il é devenu blanc t livide il comprenait qu avait redpu la ratpei t qu'il allait falloir payer. Tu t'embarrasses de peu de choses, répliqua haineusement Toby; tneis, voilà ce qu'il faut en aferi ! Et avant que Ddd eût pu deviner ses intentions, il avait foncé sur l'homme comme n taureau furieux et, d'un coup d ê dans le ventre, l'avait lancé a le écg C'est alors que el msérbl ér par les aiguilles acérées des plantes mortelles, immergé dans les eux fétides, sptunlalleu de sngss et de reptiles, avait lancé cet appel déchirant que, malgré al distance, avait ntnd Marianna. Un nstnt, la face blême, unfdee pr un nbibomaela rics et dont les prunelles révulsées sortaient de leurs orbites, émergea au-dessus sde eaux noires. Puis ml'meoh — il était sans doute devu fou instantanément — éclata d'un rr aigu canvulsif qui ft frssnnr d'horreur ses deux bourreaux. Il fit quelques faibles mouvements puis s'arracha à la vase qui l'eirait et brsqmnt i s'enfonça et disparut. Tout à cp, au elimiu des cercles qui allaient en 'élrgisnt sur l'eau drmnt, une mn noire de fange, rtpaua,p chercha éperdument à 'accrocher à quelque chose, se déchira aux épns aiguës des dionées et retomba. Une |
d'un coup de tête dans le ventre, l'avait lancé dans le marécage. C'est alors que le misérable lacéré par les aiguilles acérées des plantes mortelles, immergé dans les eaux fétides, pullulantes de sangsues et de reptiles, avait lancé cet appel déchirant que, malgré la distance, avait entendu Marianna. Un instant, la face blême, fendue par un abominable rictus et dont les prunelles révulsées sortaient de leurs orbites, émergea au-dessus des eaux noires. Puis l'homme — il était sans doute devenu fou instantanément — éclata d'un rire aigu canvulsif qui fit frissonner d'horreur ses deux bourreaux. Il fit quelques faibles mouvements puis s'arracha à la vase qui l'enivrait et brusquement il s'enfonça et disparut. Tout à coup, au milieu des cercles qui allaient en s'élargissant sur l'eau dormante, une main noire de fange, apparut, chercha éperdument à s'accrocher à quelque chose, se déchira aux épines aiguës des dionées et retomba. Une minute s'écoula, l'eau était redevenue unie comme un miroir entre les larges feuilles des nymphéas géants. Dadd et Toby se regardèrent ils étaient d'une pâleur de mort ; nul des deux n'osait rompre le premier silence. Allons-nous-en, dit enfin Dadd, d'une voix tremblée ; toute ma vie, j'aurai devant les yeux, cette horrible gueule. Toby ne répliqua rien et tous deux, sans prononcer une parole, s'éloignèrent précipitamment de ce paysage d'épouvante. Ils ne retrouvèrent leur sang-froid que lorsqu'ils eurent atteint le bois qui s'étendait jusqu'aux murailles du jardin. Ils couraient plutôt qu'ils ne marchaient, et d'instant en instant, ils cédaient à l'irrésistible besoin de se retourner, dans une crainte inavouée et confuse de voir surgir derrière eux l'homme assassiné et son chien noir. C'est tout de même une chance, dit enfin Dadd, que j'ai trouvée un browning dans la chambre de la nourrice. Sans ça. C'est probablement nous qui servirions à l'heure qu'il est de pâture aux sangsues. Enfin tout est bien qui finit bien ; maintenant nous revoilà en fonds. C'est vrai, au fait, nous n'ayons seulement pas pensé à regarder ce qu'il y a dans le portefeuille. Toby exhiba une pochette de cuir de boeuf, comme en portent | d'un coup de tête dans le ventre, lavait lancé dans le marécage. C'est alors que le misérable lacéré par les aiguilles cére des plantes mortelles, immergé dans les eaux fétides, pullulantes de sangsues et de reptiles, viaat lncé cet appel déchirant que, mgr al distance avait entendu Marianna. Un tntsi,na la face blême, fendue par un abominable rictus et ntod les prunelles révulsées saoentitr de leurs rbts, émergea au-dessus des eaux .ernsio Puis lhomme il étai ans doute dvn instantanément — éclata d'un rire iu canvulsif qui fit frissonner d'horreur ses deux oura Il fit quelques fbls mouvements puis sarrcha à la vase qui l'enivrait et brusquement il senfonça et dsprt. Tout à coup, au milieu des cercles qui allaient en s'élargissant sur l' dormante, une main noire de ,nfgea apparut, chercha umet à s'accrocher à quelque chose, se déchira aux épines aiguës des dnés et retomba. n minute s'écoula, l'eau était redevenue unie comme n miroir entre les larges feuilles des nymphéas géants. Dadd et Toby se regardèrent ils étaient d'une pâleur de mort ; nl ds deux n'osait pr l premier silence. Allons-nous-en, dt n Dadd, d'une voix tremblée ; toute ma vie j'aurai devant les yeux, e horrible gueule. Toby ne répliqua rien et tous deux, sans eoocpnnrr une parole, s'élgnèrnt raépmtcpitienm ed ce paysage 'épouvante. Ils ne retrouvèrent leur sang-froid que lorsqu'ils eurent atteint l bois qui s'étndt jusqu'aux murailles du jardin. Ils couraient plutôt qu'ils e mrchnt, d'nstnt en instant, ils cédaient à 'irrésistible bsn ed se retourner, dans n crainte inavouée e confuse de voir surgir ie eux hmme assassiné t son chien noir C'est tout de même une chance, dit enfin Dadd, que 'i trouvée un browning dans la chambre de la nourrice. Sans ça. C'st probablement ns qui servirions à l'heure qu'il est de reptuâ aux sangsues. Enfin tout est bien qui finit nibe ; maintenant nous revoilà en fonds. C'st vrai, au ft, nous n'ayons seulement pas pensé à eardr ce qu'il a dans le portefeuille. Toby exhiba une pochette de cuir d boeuf, comme n portent |
yeux, cette horrible gueule. Toby ne répliqua rien et tous deux, sans prononcer une parole, s'éloignèrent précipitamment de ce paysage d'épouvante. Ils ne retrouvèrent leur sang-froid que lorsqu'ils eurent atteint le bois qui s'étendait jusqu'aux murailles du jardin. Ils couraient plutôt qu'ils ne marchaient, et d'instant en instant, ils cédaient à l'irrésistible besoin de se retourner, dans une crainte inavouée et confuse de voir surgir derrière eux l'homme assassiné et son chien noir. C'est tout de même une chance, dit enfin Dadd, que j'ai trouvée un browning dans la chambre de la nourrice. Sans ça. C'est probablement nous qui servirions à l'heure qu'il est de pâture aux sangsues. Enfin tout est bien qui finit bien ; maintenant nous revoilà en fonds. C'est vrai, au fait, nous n'ayons seulement pas pensé à regarder ce qu'il y a dans le portefeuille. Toby exhiba une pochette de cuir de boeuf, comme en portent les cow-boys. Elle contenait deux mille dollars, de la même monnaie et divers papiers, au nom de Elihu Kraddock, prospecteur. Les deux bandits se débarrassèrent des papiers qui ne pouvaient que les compromettre et se partagèrent royalement les banknotes. Tout va bien, s'écria Dadd qui, petit à petit, reprenait son entrain, il ne nous reste plus maintenant qu'à exécuter la seconde partie du programme, où je ne suis qu'un âne, ou nous avons encore aujourd'hui à encaisser des dividendes intéressants, comme on disait à la banque Rabington. Tu crois ? demanda Toby avec hésitation. J'en suis sûr, Ne serait-il pas plus sage, puisque nous avons de l'argent, de prendre le train immédiatement ? Il me tarde d'être loin de ce maudit pays. Quel chien de poltron tu fais, grommela Dadd en haussant les épaules. Je te dis que je réponds de tout. Et sans se préoccuper de son compagnon, Dadd se mit à la recherche de certains arbres dont, quelques heures auparavant, il avait entaillé les écorces et qui devaient lui servir à retrouver son chemin. Les entailles le conduisirent directement au pied d'un vieux chêne dont le feuillage dominait de sa masse imposante les arbres avoisinants. CHAPITRE IV VERS | yeux, cette horrible gueule Tby ne liu rien et tous deux, sans prnncr une parole, s'éloignèrent précipitamment de ce paysage d'épouvante. Ils n retrouvèrent leur sang-froid que lorsqu'ils eurent atteint le bs qui s'étendait jusqu'aux murailles du jardin. Ils couraient pu lqui's ne marchaient, t d'instant en instant, ils cédaient à l'irrésistible besoin de s retourner, dans une crainte inavouée et cnfs de voir surgir derrière eux l'hmm assassiné et son chien ni. C'est ot de êe enu chance, dt enfn Dd, que j' trouvée un browning dans la chambre de la nourrice. Sans ça. C'est probablement nous qui servirions à lheure qu'il est de pu aux sngss. Enfin tout st bien qui finit bien ; maintenant ns revoilà en fonds. C'est vrai, fait, nous n'yns seulement pas psé à regarder ce qu'il y a dans le portefeuille. Toby exhiba un pochette de cuir de boeuf, comme en portent les cowboys ll contenait deux mille dollars, de a même monnaie et divers papiers, au nom de Elihu Krddck, prospecteur. Les deux bandits se débarrassèrent des papiers qui ne otneuiavp que les compromettre et es partagèrent royalement les banknotes. Tout va bien, s'écria Dadd q, petit à petit, reprenait son entrain, il n nous reste plus maintenant quà exécuter la seconde pat d rogrmm, où je ne suis qu'un âne, ou nous avons encore aujourd'hui à encaisser des dividendes intéressants comme on disait à la banque Rabington. Tu crs ? and Toby avec hésitation. J'en suis sûr, N serait-il ps plus sage, puisque nous avons de l'argent, de prendre le train mmédtmnt ? Il me tr d'être loni de ce maudit pays. Quel chien de poltron tu fais, grommela Dadd en haussant les épaules. J te dis que je réponds de tout. tE sans se préoccuper de son compagnon, Dad e mit à la recherche de certains arbres dont, quelques heures auparavant, il avait entaillé les écorces et qui devaient lui servir à retrouver son chemin. Les entailles le iensnirctduo directement au pied d'un vieux chêne dont le egliaflue dominait de sa masse imposante les as avoisinants. CHAPITRE IV VERS |
entrain, il ne nous reste plus maintenant qu'à exécuter la seconde partie du programme, où je ne suis qu'un âne, ou nous avons encore aujourd'hui à encaisser des dividendes intéressants, comme on disait à la banque Rabington. Tu crois ? demanda Toby avec hésitation. J'en suis sûr, Ne serait-il pas plus sage, puisque nous avons de l'argent, de prendre le train immédiatement ? Il me tarde d'être loin de ce maudit pays. Quel chien de poltron tu fais, grommela Dadd en haussant les épaules. Je te dis que je réponds de tout. Et sans se préoccuper de son compagnon, Dadd se mit à la recherche de certains arbres dont, quelques heures auparavant, il avait entaillé les écorces et qui devaient lui servir à retrouver son chemin. Les entailles le conduisirent directement au pied d'un vieux chêne dont le feuillage dominait de sa masse imposante les arbres avoisinants. CHAPITRE IV VERS LE MEXIQUE L'évanouissement de Marianna avait été de peu de durée, la fraîcheur du sous-bois, humide de rosée, l'avait promptement fait revenir à elle. Mais, en reprenant conscience de sa navrante situation, la pauvre mulâtresse sentit renaître ses angoisses et son chagrin. L'espoir qu'elle avait un instant caressé de retrouver l'enfant avant qu'on se fût aperçu de sa disparition, s'était évanoui. Le cœur gonflé d'amertume, elle se disait qu'il ne lui restait plus qu'à aller apprendre à Marthe la terrible nouvelle et elle tremblait à la seule pensée de la scène qui allait se produire. Puis, les travailleurs de la plantation battraient le pays dans toutes les directions et, peut-être trouveraient-ils le petit Georges. Là-dessus d'ailleurs elle ne se faisait aucune illusion : l'enfant, étant perdu pour toujours. Ceux qui l'avaient enlevé avaient dû méditer leur coup de longue date et prendre toutes les précautions pour s'assurer l'impunité. Elle ne doutait pas que le coupable ne fût Elihu Kraddock, dont elle se rappelait la physionomie sinistre, pour l'avoir vu une ou deux fois au moment du procès et elle n'osait songer à ce que le bandit avait pu faire de l'innocent baby tombé entre ses mains. Torturée par les horribles | entrain, il ne nous reste plus maintenant qu'à exécuter seconde prt du prgrmm, où je ne sui qu'un âne, ou nous oansv encore aujourd'hui à encaisser des ivesdddine intéressants, comme on disait à la banque Rabington. Tu crois ? demanda Toby avec hésitation. J'en suis sûr, Ne serait-il pas spul sage, pu nous onsav de l'rgnt, de prendre le trn immédiatement ? Il me tarde d'êtr ln de ce tiuamd pays. Ql chien de poltron tu fs, grommela Dadd n haussant les épaules. Je te dis que je réponds de tout. Et sans se préoccuper de son mcaonp,gon add se mit à la rchrch de certains arbres dont quelques heures auparavant, l avait entaillé les écorces et q devaient lui servir à retrouver son chemin. Les entailles le conduisirent directement au pied d'un vx chên dont le uilae dominait de s masse imposante esl arbres avoisinants. CHAPITRE V V LE MEXIQUE Lévanouissement de Marianna avait été de peu de durée, la fraîcheur du sous-bois, hmd de rosée, l'avait promptement fait revenir à elle. Mais, en reprenant conscience de sa navrante situation, la pauvre mulâtresse sentit renaître ses angoisses e son chagrin. 'espoir qu'elle avait un instant crssé de etrr l'nfnt avant qu'on s fût aperçu de sa disparition, s'était évanoui Le cœur gnfé d'mrtm, elle se disi qu'il n lui restait plus qu'à aller apprendre à Marthe la terrible nouvelle et elle tremblait à la seule pse de la scène qui allait s produire us, l trvllrs de la plnttn battraient le s dans toutes les direcos et, peutêtre trouveraient-ils le petit Georges. Là-dessus d'llrs elle n se fst aucune illusion : 'enfant, étatn perdu pour toujours. Ceux qui l'avaient enlevé avaient dû méditer cp de nouelg date et prendre toutes les précautions pour s'assurer l'impunité. Elle e outt a que le coupable ne fût Elihu Kraddock, dont elle se rappelait la physionomie sinistre, pour l'avoir vu une ou deux fois au moment rc et elle n'osit songer à ce que le bandit avait pu fiear de l'innocent baby tombé entre ss mains Torturée a les horribles |
l'enfant avant qu'on se fût aperçu de sa disparition, s'était évanoui. Le cœur gonflé d'amertume, elle se disait qu'il ne lui restait plus qu'à aller apprendre à Marthe la terrible nouvelle et elle tremblait à la seule pensée de la scène qui allait se produire. Puis, les travailleurs de la plantation battraient le pays dans toutes les directions et, peut-être trouveraient-ils le petit Georges. Là-dessus d'ailleurs elle ne se faisait aucune illusion : l'enfant, étant perdu pour toujours. Ceux qui l'avaient enlevé avaient dû méditer leur coup de longue date et prendre toutes les précautions pour s'assurer l'impunité. Elle ne doutait pas que le coupable ne fût Elihu Kraddock, dont elle se rappelait la physionomie sinistre, pour l'avoir vu une ou deux fois au moment du procès et elle n'osait songer à ce que le bandit avait pu faire de l'innocent baby tombé entre ses mains. Torturée par les horribles images qui se présentaient à son esprit, Marianna pleurait à chaudes larmes. Elle eût voulu mourir ; l'idée d'un suicide qui mettrait fin d'un seul coup aux tortures morales qu'elle endurait se présentait de plus en plus dans son esprit. Lentement, comme à regret elle se dirigeait vers la porte du jardin, et à mesure qu'elle s'en rapprochait, sa démarche devenait plus hésitante, elle poussait de profonds soupirs. Non, c'est impossible ! bégaya-t-elle, je n'oserais jamais. Elle fit encore quelques pas et se trouva tout à coup nez à nez avec un adolescent dépenaillé et d'une remarquable laideur, dans lequel on a sans doute reconnu Petit Dadd qui, lui aussi, se dirigeait vers la porte du jardin. L'apercevant, Marianna avait eu un mouvement de recul. Dadd, dont le coup d'œil perçant avait tout de suite reconnu la femme dans la chambre de laquelle il s'était introduit la nuit précédente, comprit qu'il fallait tout d'abord la rassurer. — Vous pleurez, lui dit-il de sa voix la plus douce, si vous êtes la personne que je pense, je suis peut-être en mesure de vous consoler. — Que voulez-vous dire? s'écria la mulâtresse. se raccrochant avidemment au vague espoir que lui suggérait la | l'enfant avant qu'on se fût aperçu de sa disparition, s'était aou.ivné Le cœur gonflé d'amertume, elle se dst qu'il ne lui restait plus qu'à aller apprendre à Marthe l terrible nouvelle et elle tremblait à la seule pensée de la scène qui allait se produire. ,siuP les travailleurs de al patton battraient le pays dans tts dect et, peut-être trouveraient-ils le petit Georges. Là-dessus d'ailleurs elle n se faisait illusion : l'enfant, étant perd pour toujours. Ceux qui 'avaient enlevé avaient dû méditer leur coup de longue date et prendre toutes les précautions pour s'assurer l'impunité. Elle ne doutait pas que le coupable ne fût Elihu Kraddock, dont elle se rappelait la physionomie sinistre, pour l'avoir vu une deux fs au moment du procès et ll n'osait songer à ce q le bandit avait pu faire de l'innocent baby tombé entre ses mains. Torturée par les horribles images qui se présentaient à son sprt, Marianna pleurait à chaudes larmes. Elle eût voulu mrr ; l'dé d'un suicide qui mettrait fin d'un seul coup aux tortures morales qu'elle endurait se présentait de plus n plus dans son esprit. Lentement cm à regret elle se dirigeait vers la porte du jardin, et à mesure qu'elle s'en rapprochait sa démarche tdeneiav plus hésitante, ll poussait de profonds soupirs. Non, c'est impossible ! bégaya-t-elle, je n'oserais jamais. Elle fit encore quelques ps et se trouva tout à coup nez à nez avec un adolescent dnaillé et d'une remarquable laideur, ns lequel on a sans doute reconnu Ptt Dadd qui, lui aussi, se dirigeait vers la porte du jardin. L'apercevant, Marianna avait eu un movm de recul. Ddd, dont le cp d'œil prçnt avait tout ed suite connu l femme dns la chambre de laquelle il s'était introduit la nuit précédente, comprit quil fallait tout r la ar. — Vous pleurez, lui dit-il d sa voix la pslu douce, is vs êtes la personne que je pense, je s peut-être en mesure d vous consoler. — Que voulezvous dire? s'écria la mulâtresse. se raccrochant avidemment au vague ersoip que lui suggérait la |
du jardin, et à mesure qu'elle s'en rapprochait, sa démarche devenait plus hésitante, elle poussait de profonds soupirs. Non, c'est impossible ! bégaya-t-elle, je n'oserais jamais. Elle fit encore quelques pas et se trouva tout à coup nez à nez avec un adolescent dépenaillé et d'une remarquable laideur, dans lequel on a sans doute reconnu Petit Dadd qui, lui aussi, se dirigeait vers la porte du jardin. L'apercevant, Marianna avait eu un mouvement de recul. Dadd, dont le coup d'œil perçant avait tout de suite reconnu la femme dans la chambre de laquelle il s'était introduit la nuit précédente, comprit qu'il fallait tout d'abord la rassurer. — Vous pleurez, lui dit-il de sa voix la plus douce, si vous êtes la personne que je pense, je suis peut-être en mesure de vous consoler. — Que voulez-vous dire? s'écria la mulâtresse. se raccrochant avidemment au vague espoir que lui suggérait la phrase de l'inconnu. — Figurez-vous, ajouta-t-il d'un ton persuasif qu'un de mes camarades et moi — nous sommes deux pauvres diables de tramps — nous avons trouvé un petit enfant. — Ah ! si vous pouviez dire vrai, fit Marianna en joignant les mains, je crois que je deviendrais folle de joie, au moins ? Répétez-moi que c'est bien vrai, que vous avez trouvé un enfant !.. — C'est tout ce qu'il y a de plus vrai, déclara Dadd solennellement, je vous en donne ma parole d'honneur.. D'ailleurs vous allez le voir dans un instant, il est ici, à deux pas. — Où cela? — non, je ne peux me douter que c'est vrai ! — Je vous en prie, calmez-vous, je vous répète qu'il est là. Hé Toby, apporte le baby ! Mon camarade, ajouta-t-il, est resté un peu en arrière, il marche très doucement pour ne pas réveiller le petit. La vérité c'est que Dadd qui était en toutes choses d'une extrême prudence, s'était dit qu'en arrivant avec l'enfant dans les bras, il risquait tout d'abord d'être pris pour le voleur. "De la façon dont il avait arrangé la chose, une méprise, même momentanée, n'était pas possible. ; | du jardin, et à mesure qu'elle n'es rapprochait, sa démarche devenait plus hésitante, elle poussait de prfnds soupirs. Non, cest impossible ! bégaya-t-elle, j n'oserais jamais. Elle fit encore quelques a et se trouva tout à coup nez à nez avec un adolescent dépenaillé et n remarquable laideur, da lequel on sans doute reconnu Petit Dadd qui, lui si se dirigeait vers la porte du jardin. L'apercevant, Marianna avait eu un mouvement de recul. Dadd, dont le coup dœil perçant vt tout d suite reconnu la femme dans la chambre de laquelle il s'étt introduit la nuit précédente, comprit qu'il fallait tout dabord la rssrr. — Vs pleurez, lui dit-il de sa vx la plus douce, si vu êtes la personne que je pense je suis peut-être en mesure de vous consoler. — Que voulez-vous dire? s'écria la mulâtresse. se raccrochant avidemment au vague espoir que lui sugérai l hsaepr de l'inconnu. — Figurez-vous, ajouta-t-il d'un ton persuasif qu'un d m camarades et moi — nous sommes deux pvrs diables d tramps — nous avons trouvé un petit enfant. — Ah ! si vous pez dire ia,vr fit Marianna en joignant ls mains, ej crois euq e deviendrais folle de joie, mns ? Répti que c'est bien vrai, que vou av trouvé un enfant !.. — C'est tout ce quil y a de plus vrai, déclara Dadd solennellement, je vous en donne am parole d'honneur.. D'ailleurs vous allez le voir dans un instant, il st ici, deux pas. — Où cela? — non, je ne peux me douter que c'est vrai ! — Je vous en prie, calmez-vous, j vous répète qu'il est là. Hé Tby, apporte le baby Mon camarade, ajouta-t-il, est resté un peu en arrèr, il haremc srtè doucement pour ne psa réveiller le petit. La vérité c'est que Dadd qui était n toutes hs d'une extrême prudence, s'était dit u' arrivant avec l'enfant dans les brs, li risquait tout 'abord d'être pris por le voleur. "De l façon dont il avait arrangé la chose, une méprise, même momentanée n'était pas possible. ; |
de joie, au moins ? Répétez-moi que c'est bien vrai, que vous avez trouvé un enfant !.. — C'est tout ce qu'il y a de plus vrai, déclara Dadd solennellement, je vous en donne ma parole d'honneur.. D'ailleurs vous allez le voir dans un instant, il est ici, à deux pas. — Où cela? — non, je ne peux me douter que c'est vrai ! — Je vous en prie, calmez-vous, je vous répète qu'il est là. Hé Toby, apporte le baby ! Mon camarade, ajouta-t-il, est resté un peu en arrière, il marche très doucement pour ne pas réveiller le petit. La vérité c'est que Dadd qui était en toutes choses d'une extrême prudence, s'était dit qu'en arrivant avec l'enfant dans les bras, il risquait tout d'abord d'être pris pour le voleur. "De la façon dont il avait arrangé la chose, une méprise, même momentanée, n'était pas possible. ; Toby ne tarda pas à paraître portant sur sa proie, Marianna s'était jetée sur l'enfant, l'arrachant presque des bras de Toby, et elle le couvrait de baisers et de caresses, riant et pleurant à la fois. Ainsi bousculé, le petit Georges se mit lui aussi à pleurer et la mulâtre se souvint tout à coup qu'il n'avait pas bu depuis le milieu de la nuit. — Pauvre chéri ! murmura-t-elle, il meurt de faim, et moi qui n'y pensais pas. Elle dégrafa précipitamment son peignoir, elle donna le sein à l'enfant qui, aussitôt calmé, se mit à boire avidemment. Assise sur une grosse racine d'arbre et couvant des yeux le cher bébé reconquis, Marianna demeurait silencieuse, toute à la joie immense qu'elle ressentait, le regard perdu dans un rêve. On eût dit que maintenant qu'elle le tenait, il lui était égal de savoir comment il avait été volé; puis retrouvé. (A suivre) | de joie, au moins ? Répétez-moi que c'est bien i,rva que vous avez trouvé n enfant !.. — C'est tout ce qu'il y a de plus vrai, déclara Dadd solennellement, je vous en donne ma parole d'honneur.. D'ailleurs vous allez le voir dans un instant, il est ici, à deux .pas — Où cela — non, je ne peux me douter que c'est vrai ! — Je vous en prie, calmez-vous, je vous répète qu'il est là. Hé Toby, apporte le baby ! Mon camarade, ajouta-t-il, est resté un peu en arrière, il marche très doucement pour ne pas réveiller le petit. L vérité e'tcs u Dadd qui était en toutes choses d'une extrême prudence, ét dit qu'en arrivant avec 'enfant dans les bras, il risquait tout d'abord d'être pris pour le voleur. "De la façon dont il avait arrangé la chose, une méprise, même momentanée, nétait pas possible. ; Toby n tarda pas à paraître portant sur as proie, niMranaa s'était jté sr l'enfant, l'rrchnt presque des bras de Toby, et elle le couvrait d baisers et de caes riant e pleurant à la fois. Ainsi bousculé, le petit Georges se mit lui aussi à pleurer et la mlâtr se svnt tout à coup qu'il 'ava pas bu depuis le milieu de la nuit. — Pauvre chéri murmuratelle il meurt de faim, et moi qui n'y pensais ps. Elle dégrafa précipitamment son peignoir, ll donna l sein à l'enfant qui, aussitôt calmé, se mit à boire avidemment. Asise sur une grosse racine d'arbre et couvant des yeux le cher bébé reconquis, Marianna demeurait silencieuse, tt à la joie emnsemi qu'elle ressentait, le regard perdu dans un rêve. On eût dit que maintenant qu'elle le tenait, il li était égal de savoir mectomn il avait été olé puis retrouvé. (A suivre) |
se souvint tout à coup qu'il n'avait pas bu depuis le milieu de la nuit. — Pauvre chéri ! murmura-t-elle, il meurt de faim, et moi qui n'y pensais pas. Elle dégrafa précipitamment son peignoir, elle donna le sein à l'enfant qui, aussitôt calmé, se mit à boire avidemment. Assise sur une grosse racine d'arbre et couvant des yeux le cher bébé reconquis, Marianna demeurait silencieuse, toute à la joie immense qu'elle ressentait, le regard perdu dans un rêve. On eût dit que maintenant qu'elle le tenait, il lui était égal de savoir comment il avait été volé; puis retrouvé. (A suivre) | se souvint uott coup qu'il 'ivaant pas bu depuis le milieu ed la nuit — Pauvre chéri ! murmura-t-elle, il meurt de faim, et moi qui ny pensais pas. ll dégrafa précipitamment son peignoir, ll donna le sein à l'enfant qui, aussitôt calmé, s mit à boire avidemment. Assise sur une grosse ra d'arbre et couvant des yeux l cher bébé reconquis narManai demeurait silencieuse, toute à la eioj immense qu'elle n,sitrtesae l regard eru dans un re. On eû dit que aien qu'elle l tenait, il ui était égal de svr comment il avait été volé; puis retrouvé. (A svr) |
GRAND ÉCHO DU NORD DE LA FRANCE DERNIÈRE LÉGISLATION DE LILLE N° 83. — 118e ANNÉE. 25 centimes. L'OFFICE PARISIEN DE LA RÉGION 25 centimes. ABONNEMENTS Nord et Départements Limitrophes : — 3 mois ... 22 fr. — 6 mois ... 40 fr. — 1 an ... 76 fr. FRANCE : — 3 mois ... 23 fr. — 6 mois ... 43 fr. — 1 an .... 80 fr. Les abonnements sont ou achetés directement dans les Bureaux et dans toutes les Agences de Publicité de France et de l’Etranger. JOURNAL QUOTIDIEN Compte Chiffres Postaux : Lille 1484 SAMEDI 30 MARS 1935 BUREAUX : LILLE : 8, Grande-Place. 8 1 50-30. 50-31. 50-32 50-33. 50-34 PARIS : Boulevard des Italiens (13, rue de Marivaux) Tel. Richelieu. 76 24 LES ÉVÉNEMENTS D'ÉTHIOPIE et les intérêts français à Djibouti par Henry de MONFREID Jusqu'à ces derniers temps, le grand public ignorait Djibouti, colonie infime et sans ressource dont bien peu connaissaient la position à la surface du monde. Celui qui la créa, le gouverneur Lagarde, comprit toute la portée de son geste le jour où il planta notre drapeau sur cette terre brûlante et hostile, il y a près d'un demi-siècle. Lagarde était un diplomate, un vrai, comme il en faudrait un peu plus en ce moment à la France. Il voyait loin et ne craignait pas les responsabilités, car il travaillait à une œuvre et non aux succès de carrière ; peu lui importait la récolte des lauriers... et de fait, qui donc aujourd'hui parle de Lagarde dans le grand public ? Il vit cependant encore, ce grand homme de bien, modeste et retiré, vif et alerte malgré plus de 80 ans ! Il a vu naître le fils du Ras Makonnen, Tafari, dont il est le parrain ; mais aujourd'hui, devenu l'Empereur Haile Selassié, cet illustre filleul n'écoute plus les conseils affectueux et désintéressés de ce sage ami. C'est en 1897 que le traité avec Menelik, délimita notre territoire actuel de la Côte française des Somalis, mais Lagarde y était déjà depuis plusieurs années. Il fallait du cran pour oser | GRAND ÉCHO DU NORD DE LA FRANCE DERNIÈRE LTON DE LILLE N° 83. — 118e ANNÉE. 25 centimes. L'FFC PARISIEN DE LA RÉGION 25 centimes. ABONNEMENTS Nord et Départements Limitrophes : — 3 mois ... 22 fr. — 6 mois ... 40 fr. — 1 an ... 76 fr. FRANCE : — 3 mois ... 23 fr. — 6 mois .. 43 fr. — 1 an .... 80 fr. Les abonnements sont u achetés directement dans les Brx et dans toutes les Agences de Publicité de France et de l’Etranger. JOURNAL QUOTIDIEN Cmpt Chiffres Postaux : Lille 1484 SAMEDI 30 MARS 1935 BUREAUX : LILLE : 8, Grande-Place. 8 1 50-30. 50-31. 50-32 50-33. 50-34 PARIS Boulevard des Italiens (13, rue de vi)Maaxru Tel. Richelieu. 76 24 LES ÉVÉNEMENTS D'ÉTHIOPIE et les intérêts français à Djbt par Henry de MONFREID Jusqu'à ces derniers temps, le grand public ignorait Djibouti, colonie infime et sans ressource dont bien peu cnnssnt la position la surface du monde. Celui q al créa, l gouverneur Lagarde, comprit toute la portée de son geste le jour où il planta noter drapeau sur cette terre brûlante et hostile, il y a près d'n demi-siècle. Lagarde ttaié n iplmetoad, un vrai, comme il en faudrait un peu plus en ce moment à la France. Il voyait loin et ne inrictgaa pas les renabili car il travaillait à une œuvre et non aux succès de carrière ; peu lui importait l récolte des lauriers... et de ft, qui dnc aujurdui lapre de Lagarde dans le grand public ? Il vit cependant encore, ce grand homme de bien, modeste et téeri,r vif et alerte malgré plus de 80 ! Il vu naître le fils du Ras Makonnen, Tafari, dont il est le parrain ; mais aujourd'hui, n l'Empereur Haile Selassié cet illustre filleul n'écoute plus les conseils affectueux et désintéressés d ce sage ami. C'st en 1897 que le traité avec Menelik délimita notre territoire actuel de la Côte française des Smls, mais Lgrd y était déjà epuis plusieurs années. Il fallait ud cran pour seor |
était un diplomate, un vrai, comme il en faudrait un peu plus en ce moment à la France. Il voyait loin et ne craignait pas les responsabilités, car il travaillait à une œuvre et non aux succès de carrière ; peu lui importait la récolte des lauriers... et de fait, qui donc aujourd'hui parle de Lagarde dans le grand public ? Il vit cependant encore, ce grand homme de bien, modeste et retiré, vif et alerte malgré plus de 80 ans ! Il a vu naître le fils du Ras Makonnen, Tafari, dont il est le parrain ; mais aujourd'hui, devenu l'Empereur Haile Selassié, cet illustre filleul n'écoute plus les conseils affectueux et désintéressés de ce sage ami. C'est en 1897 que le traité avec Menelik, délimita notre territoire actuel de la Côte française des Somalis, mais Lagarde y était déjà depuis plusieurs années. Il fallait du cran pour oser s'installer en un lieu aussi déshérité, avec un arrière-pays dépourvu de toute ressource et de tout espoir d'avenir ; immense solitude couverte de pierres noires, sans autre végétation que de rares buissons épineux et une population nomade, hostile, barbare et farouche. Mais Lagarde savait qu'à deux mètres au-dessous du sol, en ce point de la côte, une nappe inépuisable d'eau douce imprégnait le sable, sorte de rivière souterraine venue des hauts plateaux d'Ethiopie... et d'autres choses encore qu'il ne disait point. Il laissa les Anglais du voisinage faire de l'humour à ses dépens. Ils riaient de sa folle entreprise, avec cette compassion de gens inégalables qui ont réalisé le surhumain prodige d'imposer leur grande nation au rivage le plus chaud du monde, en bâtissant une ville et un port de guerre dans le plus infernal cratère où il faut distiller l'eau de mer : Aden. Quelque temps après son débarquement à Djibouti, le gouverneur d'Aden passa avec son confortable yacht. Il fit demander, non sans une nuance d'ironie, à son collègue français qui vivait sous la tente, s'il n'avait pas besoin d'eau ! Lagarde remercia en envoyant un panier de légumes frais. Pourquoi cependant avions-nous abandonné Obock, base navale très | étt un diplomate, un vrai, comme en faudrait un peu plus ce moment à la France. Il voyait ln et ne craignait pas les responsabilités, car il travaillait à une œuvre e non aux succès de carrière ; peu lui importait la récolte des lauriers... t de fait, qui donc aujourd'hui prl de Lagarde d le grand public ? Il vt eacptdnne encore, ec grand homme de bien, modeste et retiré, vif et reetal malgré plus de 80 ans ! Il a vu naître le fils du Ras Makonnen, Tafari, dont il est le parrain ; mais jrd'h, devenu peeur Haile Selassié, ct illustre filleul n'écoute plus les ns affectueux et désintéressés de ce sage ami. 'est en 1897 que le aétitr avec Menelik, éli notre territoire actuel de la Côte française des Somalis, mais Lagarde y était déjà dps plusieurs années. I fallait du cran pr oser s'installer en un lieu aussi déshérité, avec un arrière-pays dépourvu de toute ressource et de tt espoir d'avenir ; immense solitude couverte de pierres noires, sans autre végétation que de rares buissons épineux et une population nomade, hostile, barbare et farouche. Mais Lgrd savait q' deux mètres au-dessous du sol, en c point de la côte, une nappe inépuisable d'eau douce imprégnait le sable, sorte de rivière oaie venue des hauts pltex d'Ethiopie... t d'autres choses encore qu'il ne tisida pnt. Il lss ls gai du voisinage faire ed l'humour à ses dépens. Ils riaient de sa folle entreprise avec cette compassion de nseg inégalables qui nt réalisé le surhumain prdg d'imposer leur grnd tnonai au rivage le plus chaud du monde, en bâtissant une ville et un port de guerre dans le plus infernal cratère où il ft distiller e'ual d mer : Aden. Quelque temps après sn débarquement à Djibouti, e eneur 'Aden passa avec son confortable yacht. Il fit demander, non sans une nuance d'ironie, à son collègue français qui vivait sous la tente, s'il n'avait pas besoin deau Lagarde remercia en envoyant un panier légumes frais. Pourquoi nd avions-nous abandonné Obock, base navale très |
en ce point de la côte, une nappe inépuisable d'eau douce imprégnait le sable, sorte de rivière souterraine venue des hauts plateaux d'Ethiopie... et d'autres choses encore qu'il ne disait point. Il laissa les Anglais du voisinage faire de l'humour à ses dépens. Ils riaient de sa folle entreprise, avec cette compassion de gens inégalables qui ont réalisé le surhumain prodige d'imposer leur grande nation au rivage le plus chaud du monde, en bâtissant une ville et un port de guerre dans le plus infernal cratère où il faut distiller l'eau de mer : Aden. Quelque temps après son débarquement à Djibouti, le gouverneur d'Aden passa avec son confortable yacht. Il fit demander, non sans une nuance d'ironie, à son collègue français qui vivait sous la tente, s'il n'avait pas besoin d'eau ! Lagarde remercia en envoyant un panier de légumes frais. Pourquoi cependant avions-nous abandonné Obock, base navale très suffisante ? Un excellent port pouvait y être aménagé à meilleur compte qu'à Djibouti. Oui, mais Lagarde comprit que la clé de l'Ethiopie serait au détenteur de son débouché sur la mer, et cela il ne le disait pas. Il eut le courage de sacrifier ce faux départ qu'était le port d'Obock et de redonner tout pour fonder une œuvre durable. Menelik ne pouvait pas prévoir l'évolution hâtive de son Empire après sa mort, et les besoins nouveaux qui allaient rompre son antique équilibre. Jusqu'ici l'Ethiopie s'était suffisamment à elle-même sans s'inquiéter de la mer où elle n'avait que faire. C'est pourquoi il commit la faute de laisser isoler son empire en permettant à la France de prendre le seul territoire par où il pouvait encore communiquer librement avec le monde. Aussitôt maître de cette position unique, Lagarde, aidé de Chefneux (autre belle figure trop oubliée), obtint la concession du chemin de fer jusqu'à Addis-Ababa. Au congrès radical de Lyon, M. E. Herriot, très applaudi, prononce un grand discours Faisant allusion aux conversations internationales, le ministre d'Etat déclare: « Il n'y a pas de raison de perdre son sang-froid... J'aime cent fois mieux la situation d'aujourd'hui que celle que nous | en ce pnt de la côte, une nappe inépuisable d'eau douce ipégai le sable, sorte de rivière souterraine venue des hauts plateaux 'Ethiopie... et d'autres choses ncr qu'il ne disait point. Il laissa les Anglais du voisinage faire de l'hmr à ses dépens. Ils riaient de sa folle entreprise, avec cette opasi ed gs inégalables qui ont réalisé le surhumain prodige d'mpsr ler grande nation au rivage le pls chaud du monde, n bâtissant une ville et un port de guerre dans le plus infernal cratère où il faut distiller l'eau de mer : Aden. Quelque temps après son débarquement à Djibouti le uern d'Aden passa avec son confortable yacht. Il ft demander, non sans nue nuance 'ironie, à son collègue français qui vivait sous la tente, s'il n'avait besoin d'eau ! Lagarde remercia en envoyant un panier de légumes frais. Pourquoi cependant avions-nous abandonné Obock, base navale très suffisante ? Un excellent port pouvait y être aménagé à ier compte qu'à Djibouti. Oui, mais Lagarde cmprt que la clé d l'Ethiopie serait au détenteur de son débouché sur la mer, et cela il ne le disait pas. Il eut e courage de sacrifier ce faux départ qu'était le port d'Obock et de redonner tout pour fonder une œuvre durable. Menelik ne pouvait pas prévoir l'évolution htv de son Empire après sa mort, et les besoins nouveaux ui llnt rompre son antique équilibre. Jusqu'ici l'Ethiopie s'était suffisamment à elle-même sns s'inquiéter de la mer où elle 'avait que fir. Cest purqoi il commit la aue de laisser isoler son empire en permettant à la France d prendre le sl territoire par où il pouvait encore communiquer librement avec le monde. sstôt maître de cette position unique, Lagarde, aidé de Chefneux (autre bll fgu trop oubliée), btnt la concession du chemin de fer jusqu'à Addis-Ababa. Au congrès radical de Lyn, M. E. Herriot, très applaudi, prononce un grand discours Faisant allusion aux conversations internationales, le mnstr d'Etat déclare: « Il n'y a pas de raison de perdre son sang-froid... J'aime cent fois mieux la situation d'aujourd'hui que celle que nous |
port d'Obock et de redonner tout pour fonder une œuvre durable. Menelik ne pouvait pas prévoir l'évolution hâtive de son Empire après sa mort, et les besoins nouveaux qui allaient rompre son antique équilibre. Jusqu'ici l'Ethiopie s'était suffisamment à elle-même sans s'inquiéter de la mer où elle n'avait que faire. C'est pourquoi il commit la faute de laisser isoler son empire en permettant à la France de prendre le seul territoire par où il pouvait encore communiquer librement avec le monde. Aussitôt maître de cette position unique, Lagarde, aidé de Chefneux (autre belle figure trop oubliée), obtint la concession du chemin de fer jusqu'à Addis-Ababa. Au congrès radical de Lyon, M. E. Herriot, très applaudi, prononce un grand discours Faisant allusion aux conversations internationales, le ministre d'Etat déclare: « Il n'y a pas de raison de perdre son sang-froid... J'aime cent fois mieux la situation d'aujourd'hui que celle que nous connaissions il y a trois mois » Lyon, 29. — Le Congrès radical a été ouvert ce matin à 8 h. 30 par M. Maurice Rolland, sénateur du Rhône. La parole est tout d'abord à M. Schultz, qui, au nom de la section lyonnaise du comité républicain du commerce, développe les questions relatives au crédit et à la législation des faillites. L'orateur propose diverses mesures qu'il estime nécessaires au relèvement du niveau de la nation. Il demande que l'action de la justice soit renforcée en matière de crédit. C'est ainsi qu'aucune homologation ni concordat ne devrait être accordée si le règlement minimum proposé par le débiteur ne devrait pas atteindre 5 % de la créance. L'HEURE D'ÉTÉ Ce soir, avancez vos pendules d'une heure. L'heure d'été commence à minuit Les émissions de la Tour Eiffel interrompues du 29 mars au 1er avril Paris, 29. — Afin de permettre l'achèvement des derniers réglages du nouveau poste de la Tour Eiffel, qui doit travailler sur 206 mètres, les émissions de radiodiffusion sont interrompues du 29 mars au 1er avril. À cette date, elles seront reprises sur l'onde de 206 mètres. Le nouveau Cabinet belge se présente devant le Parlement Dans sa déclaration | prt d'Obock et de redonner tout pour fonder une œuvre rable. Menelik ne pouvait pas prévoir l'éo hâtive de son Empire asèrp sa mort, et les esn nouveaux allaient rp son antique équilibre. Jusqu'ici l'Ethiopie s'était suffisamment à elle-même sans sinquiéter de la mer où elle navait que faire. C'est pourquoi il commit la faute de laisser isoler son empire en permettant à la France de prendre le seul territoire p où il pouvait encore qmcemnruuoi librement eacv l monde. Aussitôt mîtr de cette position unique, gde aidé de Chefneux (autre belle figure trop oubliée), obtint la concession du chemin de fer jusqu'à Addis-Ababa. Au cngrès rdal de Lyon, M. E. Herriot, très applaudi, prononce n grand codrisus Faisant allusion aux cnvrstns internationales, le ministre d'Etat déclare: « lI n'y a pas de rao de perdre son sangfroid J'aime cent fois mieux la situation d'aujourd'hui que celle que nous coa il y trois mois » Lyon, 29. — Le Congrès radical a été ouvert c man à 8 h. 30 par M. Mrc Rolland, sénateur du Rhône. La parole est tout d'abord à Schultz, qui, au nom de l section lynns du comité rpulican du commerce, dévlpp les son relatives au crédit et la législation des fllts. L'orateur propose diverses msrs l'uqi estime nécessaires au relèvement du niveau de la ntn. I demande que a'litonc de la ustic soit renforcée ne matière crédt. C'est ainsi qu'aucune homologation ni concordat ne devt être accordée si le règlement minimum poéospr par le débiteur ne devrait pas atteindre 5 % e la créance. L'HEURE 'DÉTÉ Ce soir, avancez vos pendules dune heure. he dété commence minuit Ls émison de la Tour Eiffel uirtopenrmes du 29 mrs au er avril ,Psair 29. — Afin de permettre l'achèvement des derniers ggéaelsr du nv ost de l Tour Eiffel, qui doit tavaile sur 206 mètres, les émissions de radiodiffusion sont interrompues du 29 mrs au 1r avril. cette date, lls seront reprises s l'onde de 206 mètres. Le nouveau Cabinet belge se présente devant le Parlement Dans sa déclaration |
les questions relatives au crédit et à la législation des faillites. L'orateur propose diverses mesures qu'il estime nécessaires au relèvement du niveau de la nation. Il demande que l'action de la justice soit renforcée en matière de crédit. C'est ainsi qu'aucune homologation ni concordat ne devrait être accordée si le règlement minimum proposé par le débiteur ne devrait pas atteindre 5 % de la créance. L'HEURE D'ÉTÉ Ce soir, avancez vos pendules d'une heure. L'heure d'été commence à minuit Les émissions de la Tour Eiffel interrompues du 29 mars au 1er avril Paris, 29. — Afin de permettre l'achèvement des derniers réglages du nouveau poste de la Tour Eiffel, qui doit travailler sur 206 mètres, les émissions de radiodiffusion sont interrompues du 29 mars au 1er avril. À cette date, elles seront reprises sur l'onde de 206 mètres. Le nouveau Cabinet belge se présente devant le Parlement Dans sa déclaration ministérielle, qui a été lue hier, à la Chambre et au Sénat, M. Van Zeeland annonce une dévaluation de 25 % du Belga Dans la foule discute avec animation devant la Bourse de Bruxelles. (Ph. Fulgur) Bruxelles, 29.— C'est devant une Chambre au complet, une tribune diplomatique entièrement garnie et des tribunes publiques combles, que M. Van Zeeland, d'une voix posée, qui vibrait par instants d'émotion contenue a lu la déclaration ministérielle qu'on lira par ailleurs, puis a prononcé un discours pour exhorter le Parlement et la nation au calme et à l'union. Il a marqué le caractère exceptionnel de gravité que présentait la situation, s'est déclaré, convaincu de l'utilité de l'étalon-or, « mais, a-t-il dit, quand le Gouvernement s'est constitué, la dévaluation était un fait acquis. Il a révélé que, depuis l'année dernière, la Banque nationale a dû faire face à trois vagues de retraits. Pendant la dernière, d'octobre à novembre 1934, on a contraint deux retraits d'or de deux milliards. Depuis l'instauration du contrôle des changes, la sortie des capitaux a été 436 millions et près de 5 milliards ont quitté la Banque nationale depuis le début de 1934. » Il était donc impossible, a-t-il dit, de maintenir | les questions relatives au crédit et à la législation des faillites. L'orateur propose diverses mesures qu'il estime nécessaires au relèvement du niveau de la ntn. Il demande q l'action de l justice soit renforcée en mtèr de crédt. C'est ainsi qu'aucune oaonolthogmi ni ooda ne devrait être accordée si le règlement minimum proposé par le débiteur ne devrait pas atteindre 5 % de la céace.nr L'HEURE D'ÉTÉ Ce soir, avancez vos pendules d'une er.hue L'heure d'été commence à minuit Les émissions de la Tour Eiffel interrompues du 29 mars au 1er avril Paris, 29. — Afin de permettre l'achèvement des derniers réglages du nouveau poste de la Tour ffl, qui doti travailler sur 206 mètres les émissions de radiodiffusion sont interrompues du 29 mars u 1er avril. À cette date elles seront reprises sur l'onde de 206 mètres. Le ovaueun bne belge se présente devant le Parlement Dans sa déclaration ministérielle, qui été lue hier, à la Chmbr et au nSta,é M. Van Zeeland annonce une dévaluation de 25 % du Belga Dans la foule discute avec animation devant la Bue de Bruxee (Ph Flgr) Bruxelles, 29 C'est devant une Chambre au complet n tribune diplomatique entint garnie t des tribunes publiques combles, q M. Van Zeeland, d'une voix p qui vibrait par nta d'émotion contenue lu la torécialnad ministéril qu'on lira par ailleurs, puis a prononcé un discours pour exhorter le Parlement et la ntn au calme et à l'union. Il a marqué le caractère exceptionnel de gravité q présentait la situation s'st déclaré, convaincu de l'utilité de l'étalon-or, « mais, a-t-il dit, quand le Gouvernement 'est constitué, la dévaluation était un fait acquis. Il a révélé que, depuis l'ane drnèr, la Banque nationale dû faire face à trois vagues de rtrts. Pendant la dernière, d'octobre à novembre 1934, on contraint dx retraits d'or d deux milliards. Depuis l'instauration du cntrôl des changes, la sortie des capitaux a été 436 millions et pr de 5 milliards ont quitté la Banque nationale depuis le début de 1934. » Il était donc impossible, a-t-il dit, de mintr |
des tribunes publiques combles, que M. Van Zeeland, d'une voix posée, qui vibrait par instants d'émotion contenue a lu la déclaration ministérielle qu'on lira par ailleurs, puis a prononcé un discours pour exhorter le Parlement et la nation au calme et à l'union. Il a marqué le caractère exceptionnel de gravité que présentait la situation, s'est déclaré, convaincu de l'utilité de l'étalon-or, « mais, a-t-il dit, quand le Gouvernement s'est constitué, la dévaluation était un fait acquis. Il a révélé que, depuis l'année dernière, la Banque nationale a dû faire face à trois vagues de retraits. Pendant la dernière, d'octobre à novembre 1934, on a contraint deux retraits d'or de deux milliards. Depuis l'instauration du contrôle des changes, la sortie des capitaux a été 436 millions et près de 5 milliards ont quitté la Banque nationale depuis le début de 1934. » Il était donc impossible, a-t-il dit, de maintenir l'étalon-or à la parité ancienne. La politique des deux précédents Gouvernements n'a pas porté ses fruits. Nous avons été poussés hors de l'étalon-or. Le problème monétaire en Belgique, a-t-il insisté, dépend des conditions économiques, Il a ajouté que le dernier emprunt a été contracté à près de 7 pour 100 d'intérêt. Il fallait donc opérer la défense du franc sur la ligne de réserve. Puis, d'une voix grave, M. Van Zeeland cita une des dernières paroles que lui a dites le roi Albert avant sa mort : « La solidité économique d'un pays est la condition indispensable pour assurer la défense nationale contre un agresseur éventuel. » Le problème parlementaire Enfin, nettement, le Premier ministre a posé le problème parlementaire : « Je n'ai pas cherché le pouvoir, a-t-il dit ; aussi je n'entreprendrai pas la réalisation de ce programme, si je n'ai pas le concours d'une forte majorité et l'appui de tous les groupes sans exception. Ne sous-estimons pas les réactions psychologiques dans l'œuvre que nous entreprenons. » L'ENLÈVEMENT DE JAKOB La « Gestapo » a-t-elle son siège central près de Rouen ? Dans un communiqué officiel, le Reich prétend que le journaliste a été arrêté au moment où | des tribunes publiques combles, que M Van Zeeland, 'une voix posé, q vibrait par instants d'émotion ncteoeun a lu la déclrtn ministérielle q'n lira par ailleurs, puis prononcé un discours pour exhorter le Parlement et la nation au calme et à l'union. Il a marqué le caractère exceptionnel gravité qeu présentait la situation, s'est déclaré, convaincu de l'utilité de l'étalon-or, « mais -t-l dit, quand le Gouvernement s'st constitué, la dévaluation étt un ft acquis. Il a révélé que, depuis l'année dernière, la Banque nationale a dû faire face à trois vagues de retraits. Pendant la dernière, d'octobre à novembre 1934, on a contraint deux retraits dor de xude milliards. Depuis linstauration du contrôle changes, la sortie des capitaux a été 436 millions et près de 5 milliards ont quitté la Banque nationale depuis le début de 1934. » Il était impossible, a-t-il dt, de maintenir l'étln-r à la parité ancienne. La politique des deux précédents Gouvernements n'a pas porté es fruits. ouNs avons été poussés hors de l'étalon-or. L problème ronaémtie en Belgique, a-t-il inisté, dépend des conditions économiques, I a ajouté que le dernier emprunt a été tcanércot près de 7 pour 100 d'intérêt. Il fallait donc erorpé la défense du franc sur la ligne de réserve. P,usi edu'n voix grave, M. Van Zeeland cita une des dernières rle que lui dites roi Albert anatv s mort : « La solidité économique dun pays est la condition indispensable pour assurer la défense nationale contre un agresseur éventuel. » Le problème parlementaire Enfin nettement, le Premier ministre a posé le problème parlementaire : « Je n'ai pas cherché le pouvoir, a-t-il dit ; aussi je n'entreprendrai ps la réalisation de ce programme, si je n'ai pas le o d'une frte majorité et l'appui d tous els groupes sans exception. Ne sous-estimons pas les cions psychologiques lœuvre que nous entreprenons. » L'ENLÈVEMENT DE JKB La « Gestapo » a-t-elle son siège cntrl près de Roe ? Dans un communiqué officiel, le Rehci prétend que le journaliste a été até au moment où |
d'intérêt. Il fallait donc opérer la défense du franc sur la ligne de réserve. Puis, d'une voix grave, M. Van Zeeland cita une des dernières paroles que lui a dites le roi Albert avant sa mort : « La solidité économique d'un pays est la condition indispensable pour assurer la défense nationale contre un agresseur éventuel. » Le problème parlementaire Enfin, nettement, le Premier ministre a posé le problème parlementaire : « Je n'ai pas cherché le pouvoir, a-t-il dit ; aussi je n'entreprendrai pas la réalisation de ce programme, si je n'ai pas le concours d'une forte majorité et l'appui de tous les groupes sans exception. Ne sous-estimons pas les réactions psychologiques dans l'œuvre que nous entreprenons. » L'ENLÈVEMENT DE JAKOB La « Gestapo » a-t-elle son siège central près de Rouen ? Dans un communiqué officiel, le Reich prétend que le journaliste a été arrêté au moment où il passait la frontière Pont-de-l'Arche (Eure), 29. — De plus en plus, une véritable organisation de lutte hitlérienne, sorte de section de la Gestapo de Berlin en France, apparaît, et il semble même que l'on en connaisse son quartier-général et aussi ses principaux chefs et agents. C'est dans un village des environs de Rouen, à Pont-de-l'Arche, localité de 1.200 âmes, dont une soixantaine de réfugiés espagnols prétendus antihitlériens, que se trouverait ce centre. Dans ce paisible village français, l'état-major en France de la redoutable police politique allemande concurremment les renseignements et préparerait enlèvements et missions spéciales. L'ingénieur en chef est M. Siegfried Kiehne, né le 11 juillet 1885 à Nölschen-rode, dans le duché de Hesse. On dit, d'autre part, que M. Kiehne fut, pendant la récente guerre, le major Kiehne. LE CABINET ALLEMAND AURAIT VOTÉ LES LOIS D'APPLICATION DU SERVICE MILITAIRE OBLIGATOIRE Berlin, 29. — Le Gouvernement du Reich s'est réuni à la fin de l'après-midi sous la présidence de M. Hitler. On croit savoir qu'il a adopté le budget du Reich pour l'exercice 1935-1936. L'année budgétaire allemande commence le 1er avril. Le Cabinet du Reich s'est occupé, en outre, de la conversion des dettes communales. Celles-ci s'élèvent au total | d'intérêt. Il fallait donc opérer la défense du franc sur la ligne ed réserve. u d'n x reavg, M. Van Zlnd cita une des dees paroles que lui a dites le roi Albert avant sa mort : La solidité économique d'un pays est l ondtin ndspnsbl pour assurer l défns nationale contre un agresseur éventuel. » Le problème parlementaire Enfin, nettement, le Prmr ministre a o le èmelpobr parlementaire : « Je ni pas cherché le pouvoir, a-t-il it ; aussi e n'entreprendrai pas la réalisation de ce programme, si j n'ai pas le concours dne forte majorité et lappui de ts les grps sans xcptn. Ne sous-estimons pas ls rcio psychologiques dans l'œuvre que nous entreprenons. » L'ENLÈVEMENT DE JAKOB La « Gestapo » a-t-elle son siège central près de Rn ? Dans un communiqué officiel, le Reich prétend qu le journaliste a été arrêté au moment où il istspaa la frontière PontdelArche (Eure), 29. — De plus ne pls, ne véritable organisation d lutt hitlérienne, sorte de section de la soaptGe de Berlin en cneaF,r pprît, te il semble même que l'on en connaisse son qrtr-générl et aussi s principaux chefs et agents. C dans un village des nvrns de Rouen, à Pont-de-l'Arche, localité de 1.200 âmes, dont une sxntn de réfugiés espagnols prétendus antihitlériens, que s rov ce tecrne. Dans ce paisible village français, létatmajor en France de la rdtbl police politique llmnd concurremment les renseignements et rpaeri enlèvements et missions spéciales. L'ingénieur en chef est M. Siegfried Khn, né le 11 juillet 1885 à Nölschen-rode, dns le duché d ee. On dit dautre ,trpa que M Kiehne fut, pendant l récente guerre, le major Khn. LE CABN ALLEMAND AURAIT VOTÉ LES LOIS D'APPLICATION DU SRVC MLTR OBLIGATOIRE Berlin, 29. — L Gouvernement du Rei s'est réuni à la fin de l'près-md sous la présidence de M. leit.rH On croit savoir qu'il adopté le budget du Reich pour l'exercice 1935-1936. L'année budgétaire allemande commence l 1er avril. Le Cabinet d Reich et'ss occupé, en utre, de la conversion des dettes cmmnls. Celles-ci 'élve au total |
des environs de Rouen, à Pont-de-l'Arche, localité de 1.200 âmes, dont une soixantaine de réfugiés espagnols prétendus antihitlériens, que se trouverait ce centre. Dans ce paisible village français, l'état-major en France de la redoutable police politique allemande concurremment les renseignements et préparerait enlèvements et missions spéciales. L'ingénieur en chef est M. Siegfried Kiehne, né le 11 juillet 1885 à Nölschen-rode, dans le duché de Hesse. On dit, d'autre part, que M. Kiehne fut, pendant la récente guerre, le major Kiehne. LE CABINET ALLEMAND AURAIT VOTÉ LES LOIS D'APPLICATION DU SERVICE MILITAIRE OBLIGATOIRE Berlin, 29. — Le Gouvernement du Reich s'est réuni à la fin de l'après-midi sous la présidence de M. Hitler. On croit savoir qu'il a adopté le budget du Reich pour l'exercice 1935-1936. L'année budgétaire allemande commence le 1er avril. Le Cabinet du Reich s'est occupé, en outre, de la conversion des dettes communales. Celles-ci s'élèvent au total à environ 12 milliards de marks. D'après certaines informations, le Cabinet du Reich aurait également adopté les lois d'application du service militaire obligatoire prévues par la loi de conscription du 16 mai. Toutefois, on croit que la publication de ces mesures pourra être différée pour des raisons de politique extérieure. Les conversations de Moscou MM. Eden et Staline ont eu, au Kremlin, un entretien de la plus haute importance Moscou, 29. — L'événement de la journée a été la réception de M. Eden par M. Staline. On se rappelle que c'est à la demande du gouvernement britannique que cette entrevue fut décidée. Bien que les fonctions de M. Staline comme secrétaire général du Parti communiste soient, en apparence, modestes, ce n'est un secret pour personne qu'il est, en fait, le véritable chef du pays. Dans ces conditions, on comprend que Londres ait voulu obtenir confirmation, par la plus haute autorité du pays, des desseins actuels de la politique de l'URSS à un moment où celle de l'Angleterre tend à abandonner ses préventions contre l'Union Soviétique. Sans doute, le voyage de M. Eden n'est qu'un voyage d'information et il ne semble pas que des décisions liant les deux pays doivent être | des environs de Rouen, à Pont-de-l'Arche, localité de 1.200 âmes, dont une soixantaine de féirusgé elssapgon sduprétne antihitlériens, que e trouverait ce centre. Dans ce paisible va français l'état-major en France de la redoutable police politique allemande concurremment les renseignements et péat enlèvements et missions ale. L'ingénieur en chef st M. Siegfried Kiehne, né le 11 juillet 1885 à Nölschen-rode, dans l duché de Hesse. On dit, d'autre part que M. Kiehne fut, pendant la récente guerre, le major Kiehne. LE CABINET ALLEMAND AURAIT T LES LOIS D'APPLICATION DU SERVICE MEIAILITR OBLIGATOIRE Berlin, 29. — Le Guvemen du Reich s'st réuni à la fin d l'après-midi s la présidence de M. Hitler. On croit savoir qu'il a dpté l budget du Reich pour l'exercice 19351936 L'année udgétie allemande cmmnc le 1er avril Le Cabinet du Reich s'est occupé, n outre, de la conversion des dettes communales. Celles-ci s'élèvent au total environ 12 milliards de marks. D'après certaines informations, le Cabinet d Reich aurait également adopté les lois d'application du service militaire blgtr prévues par la loi de conscription du 61 mai. Toutefois, on croit que la publication de ces mesures urr être différée pour ds rasos de politique extérieure. Les conversations de Moscou MM. Eden et Staline ont , au Kremlin, un entretien de l plus haute importance Mosou, 29. — L'événement de la junreoé a été l réception de M. Eden par M. Staline. On se rappelle que c'est à la demande du gouvernement britannique que cette entrevue utf décidée. B que les fonctions de M. Staline comme secrétaire général du a communiste soient, en apparence, modestes, n'est un secret pour personne quil e, en fait, le véritable chef du ps. Dans ces conditions, on comprend que Londres ait voulu obtenir confirmation, rap l plus haute autorité d pays, des desseins tel de la politique de l'URSS à un moment où celle de l'Angleterre t à abandonner ses préventions cntr l'Union Soviétique. nsaS doute, el voyage de M. Eden ns q'n voyage dinformation et il ne semble pas que des décisions liant es deux pays dvnt être |
Les conversations de Moscou MM. Eden et Staline ont eu, au Kremlin, un entretien de la plus haute importance Moscou, 29. — L'événement de la journée a été la réception de M. Eden par M. Staline. On se rappelle que c'est à la demande du gouvernement britannique que cette entrevue fut décidée. Bien que les fonctions de M. Staline comme secrétaire général du Parti communiste soient, en apparence, modestes, ce n'est un secret pour personne qu'il est, en fait, le véritable chef du pays. Dans ces conditions, on comprend que Londres ait voulu obtenir confirmation, par la plus haute autorité du pays, des desseins actuels de la politique de l'URSS à un moment où celle de l'Angleterre tend à abandonner ses préventions contre l'Union Soviétique. Sans doute, le voyage de M. Eden n'est qu'un voyage d'information et il ne semble pas que des décisions liant les deux pays doivent être prises au cours du séjour à Moscou du ministre britannique. Mais la tendance au rapprochement se précise. Les milieux russes restent très confiants quant à l'issue des pourparlers. Les conversations de la matinée Moscou, 29. — Les milieux compétents déclarent que M. Eden et M. Litvinov ont poursuivi, ce matin, leurs conversations pendant une heure et demie. Ce nouvel entretien leur a permis de continuer un échange d'opinions sur les relations anglo-soviétiques. Les deux ministres ont constaté le progrès des pourparlers et un rapprochement des points de vue. Le Commissariat des Affaires étrangères souligne à nouveau que cette conversation a été conduite dans un esprit de cordialité et de confiance mutuelle. Le ministre britannique est reçu par M. Staline Moscou, 29. — M. Eden a été reçu cet après-midi à 16 heures, au Kremlin, par M. Staline. UN INCENDIE TRAGIQUE A SIN-LE-NOBLE Un sexagénaire périt asphyxié dans sa chambre ; en voulant le secourir, une femme est grièvement brûlée Affolée, une fillette se blesse légèrement en se jetant du premier étage dans la rue (DE NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER) Un commencement d'incendie, qui n'a occasionné que des dégâts matériels peu importants, et qui a eu cependant des conséquences tragiques s'est produit | Les conversations de Moscou MM. Eden et ieaStnl ont eu, au Kremlin, un entretien de la plus ht importance Moscou, 29 — L'événement de la journée a été l réception de M. Eden par M. Staline. On se rappelle que c'st à la demande du gouvernement britannique que ctt entrevue fut décidée. Bien que les fonctions de M. Staline comme secrétaire général du Parti communiste soient, en apparence, modestes, ce n'est un secret pour personne quil est, en fait, le véritable chef du pays. Dans ces conditions, on comprend que Londres ait voulu obtenir confirmation, par la plus haute autorité du pays, des desseins actuels de la politique de l'URSS un moment où celle de l'Angleterre tend à abandonner ses préventions ontre l'Union Soviétique. Sans doute, le voyage de . Ee n'est qu'un voyage d'information et il ne semble pas que des décisions liant les deux psay doivent être prises au cours du séjour à Moscou du ministre britannique. Mais la tndnc au rapprochement se précise. Les milieux russes restent très confiants qnt à e'uilss des pourparlers. Les conversations de la matinée Moscou, 29. — Les milieux compétents déclrnt que M. e et . Ltvnv ont poursuivi, ce matin, leurs conversations pendant une heure et demie. Ce nouvel entretien leur a permis de continuer un échange d'opinions sur les relations anglo-soviétiques. Les deux ministres ont constaté le progrès des pourparlers et un rapprochement des points de vue. Le Commissariat des Affaires téngrsaeèr souligne à nouveau que cette conversation a été cndt dans un esprit de cordialité et e confiance mutuelle. Le ministre britannique est reçu par M. Staline Moscou, 29. — M. Eden a été reçu cet après-midi à 16 heures, au Kremlin, par M Staline. UN INCENDIE TRAGIQUE A SINLENOBLE Un sexagénaire éprti asphyxié dans sa chambre ; en voulant le secourir, une femme est grièvement brûlée Affolée, une fillette se blesse légèrement en se jetant du premier étg dans la rue (DE NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER) nU commencement d'incendie, qui n'a occasionné que des dégâts matériels peu importants, et qui a eu cependant des conséquences tragiques s'est produit |
leurs conversations pendant une heure et demie. Ce nouvel entretien leur a permis de continuer un échange d'opinions sur les relations anglo-soviétiques. Les deux ministres ont constaté le progrès des pourparlers et un rapprochement des points de vue. Le Commissariat des Affaires étrangères souligne à nouveau que cette conversation a été conduite dans un esprit de cordialité et de confiance mutuelle. Le ministre britannique est reçu par M. Staline Moscou, 29. — M. Eden a été reçu cet après-midi à 16 heures, au Kremlin, par M. Staline. UN INCENDIE TRAGIQUE A SIN-LE-NOBLE Un sexagénaire périt asphyxié dans sa chambre ; en voulant le secourir, une femme est grièvement brûlée Affolée, une fillette se blesse légèrement en se jetant du premier étage dans la rue (DE NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER) Un commencement d'incendie, qui n'a occasionné que des dégâts matériels peu importants, et qui a eu cependant des conséquences tragiques s'est produit vendredi matin, au faubourg de Sin-le-Noble, près de Douai. Un sexagénaire, malade depuis quelques mois, a péri asphyxié ; une femme qui le soignait et habitait la même maison, a été grièvement brûlée en voulant se porter à son secours. Une maisonnette, rue Pasteur S'il est une rue bien calme, c'est la rue Pasteur qui, au faubourg de Sin-le-Noble, aux portes mêmes de Douai, aligne ses maisons proprettes derrière l'église Saint-Joseph. Au numéro 8 habitait M. Edmond Ladureau, âgé de 66 ans, ancien contremaître aux Etablissements métallurgiques Arbel. Depuis six mois environ, M. Ladureau avait cessé de travailler ; malade, et son état empirant, il s'était alité depuis trois mois et demi environ. Dans la chambre qu'il gardait continuellement, au premier et d'ailleurs unique étage, sur la cour, on entretenait évidemment du feu. Mme Eugénie Caron, veuve Leclercq, 62 ans, demeurait dans la même maison avec sa petite-fille, Jeanne Leclercq, 9 ans. Jeudi soir, M. Ladureau ayant reçu tous les soins que comporte son état La maison (marquée d'une croix) où s'est déroulé le tragique incendie. de se retira dans chambre santé, Mme Leclercq sur la rue, avec la fille donnant fillette. L'alerte Vendredi matin, Mme Gailliez, femme d'un employé | leurs conversations pendant une heure te demie. Ce nouvel entretien a permis de continuer un échange 'opinions sur les relations anglo-soviétiques. Les deux ministres ont cnstté pro des porprlr et un rapprochement des points de vue. Le Commissariat des ffrs étrangères slgn à nouveau ueq cette cvtin a été conduite dns un sri de cordialité et de fac mutuelle. Le ministre britannique est reçu par M. Staline Moscou, 29. — M. Eden a été reçu cet après-midi à 16 heures, au Krmln, par M. Staline. N INCENDIE TRAGIQUE A SIN-LE-NOBLE Un sexagénaire périt sphyxé dans sa chambre ; en voulant l secourir, une femme st grièvement brûlée Affolée, une fillette se blesse légèrement en se jetant du permrie étage dns la rue (D NTR CORRESPONDANT PARTICULIER) Un commencement d'incendie, qui n'a occasionné que des dégâts matériels peu importants, et qui a eu cependant des cnséqncs tragiques s'est produit vendredi matin, au ubuaogrf de Sin-le-Noble, près de Douai. Un sexagénaire, malade depuis quelques mois a péri asphyxié ; une femme qui le soignait et habitait la même maison, a été grièvement brûlé en voulant se porter à son rs. Une maisonnette, rue Pasteur 'il est une rue bien calme, c'est la e Pasteur qui, au faubourg de Sin-le-Noble, aux portes mêmes d Douai, aligne ses maisons proprettes derrière l'église Saint-Joseph. Au nmér 8 hbtt .M Edmond Ladureau, âgé de 66 ans, ancien contremaître ax Etablissements muutsailgréqel Arbel. Depuis six mois environ, . Laeau avait cessé de trvllr ; mld, et son étt empirant, il s'était alité depuis trois ms et demi environ. Dans la chambre qu'il grdt continuellement, au premier et sdi'elrula nqeuiu étage, sur la cour, on entretenait évidemment du feu. Mme Eugénie Caron, veuve Leclercq 62 ans, eit dans l même maison avec sa petite-fille, Jeanne Leclercq, 9 ans. Jeudi soir, M. Ladureau ayant reçu tous les soins qe comporte son éta La maison (marquée dune croix ù s'est déroulé le tragique incendie de se retira dans chambre santé, Mme Leclercq sur la rue, avec la fille donnant fillette. L'alerte Vendredi matin, Mme Gailliez, femme d'un employé |
c'est la rue Pasteur qui, au faubourg de Sin-le-Noble, aux portes mêmes de Douai, aligne ses maisons proprettes derrière l'église Saint-Joseph. Au numéro 8 habitait M. Edmond Ladureau, âgé de 66 ans, ancien contremaître aux Etablissements métallurgiques Arbel. Depuis six mois environ, M. Ladureau avait cessé de travailler ; malade, et son état empirant, il s'était alité depuis trois mois et demi environ. Dans la chambre qu'il gardait continuellement, au premier et d'ailleurs unique étage, sur la cour, on entretenait évidemment du feu. Mme Eugénie Caron, veuve Leclercq, 62 ans, demeurait dans la même maison avec sa petite-fille, Jeanne Leclercq, 9 ans. Jeudi soir, M. Ladureau ayant reçu tous les soins que comporte son état La maison (marquée d'une croix) où s'est déroulé le tragique incendie. de se retira dans chambre santé, Mme Leclercq sur la rue, avec la fille donnant fillette. L'alerte Vendredi matin, Mme Gailliez, femme d'un employé de chemin de fer qui demeure juste en face de cette maison entendait des cris aigus. Il était environ cinq heures. Elle n'y prêta pas tout d'abord attention, croyant qu'il s'agissait de chats qui se battaient sur les toits voisins ; tout de même intriguée par l'insistance de ces plaintes, elle se leva et alla regarder à la fenêtre. Au premier étage de la maison de M. Ladureau, la petite Jeanne Leclercq, penchée à la fenêtre, appelait au secours, tendant les bras vers un protecteur invisible. Des bouffées de fumée, passant au-dessus de sa tête mignonne, l'auréolaient sinistrement. Mme Gailliez éveilla son mari : — Eugène, vite, Eugène ! Le feu chez les voisins ! A la fenêtre la petite Jeanne criait : — Je vais me jeter ! Je vais me jeter ! M. Eugène Gailliez ne mit pas longtemps à sortir de sa maison et à courir au secours de la pauvre petite... Il arriva tout juste pour la recevoir dans ses bras. Jeanne Leclercq, n'obéissant plus qu'à la terreur panique qui la dominait, s'était lancée par la fenêtre. Sous le poids, le brave homme chancela, tomba à terre. La petite aussi. On En haut : Mme Veuve | c'est la rue Pstr qui, ua faubourg de Sin-le-Noble, x prts mêmes de Douai, agn ess maisons proprettes derrière 'église Saint-Joseph. Au uméo 8 habitait M. Edmond Ldr, âgé de 66 ans, ancien contremaître aux Etablissements métallurgiques Arbel. iDsepu six ms environ, adeau avait cessé d travailler ; dem,ala et son état empirant, il s'était alité depuis trois mois et demi environ. Dans la chambre qu'il gardait continuellement, premier et d'llrs ueinqu étage, rsu la cour, n entretenait évidemment du feu. Mme Eugénie Caron, vv Leclercq, 62 ans, demeurait dans la mêm maison avec a petite-fille, Jeanne Lclrcq, 9 ans. Jeudi soir, . Ladureau ayant reç tous les soins que comporte son état L maison (marquée d'une croix) ù sest éluordé tragique incendie. de se retira dans rbcahme ané Mme lecrqeLc sur la r, vc la fille dnnnt fillette. L'alerte Vendredi matin, Mm Gailliez, femme d'n employé de chemin de fer qui demeure juste n face de cette maison entendait des cris gs. Il étt environ cinq heures. Elle ' prêta pas tout d'abord attention, crynt u'qli 'agissait de chats qui se battaient sr les toits visosni ; tout de même ntrgé par l'insistance de ces plaintes, elle se lv et alla regarder à la fenêtre emrpeir ée de l maison d M Ladureau, la petite Jeanne Leclercq, penchée à fenêtre, apatepli au eos,curs tendant les bras vers un prtecteu invisible. es éoeusffb d fumée, passant au-us de sa mignonne, l'auréolaient reitmtesin.sn Mme Gailliez ia son imra — Eugène, vite uge ! Le f chez les voisins ! A l fenêtre la petite Jeanne criait : — J vais me jeter ! Je saiv me jeter ! M. Eugène Gailliez ne mit pas longtemps à sortir de sa maison et à courir secours de la pruvae petite... l rrva tout jst ourp la recevoir dans ses bras. Jeanne Leclercq, nobéissant plus qu'à la terreur panique qui la dominait, s'était lancée par la fnêtr. Sous le pid le brave homme chncl, tomba à terre. La petite usi n En haut : Mme Veuve |
elle se leva et alla regarder à la fenêtre. Au premier étage de la maison de M. Ladureau, la petite Jeanne Leclercq, penchée à la fenêtre, appelait au secours, tendant les bras vers un protecteur invisible. Des bouffées de fumée, passant au-dessus de sa tête mignonne, l'auréolaient sinistrement. Mme Gailliez éveilla son mari : — Eugène, vite, Eugène ! Le feu chez les voisins ! A la fenêtre la petite Jeanne criait : — Je vais me jeter ! Je vais me jeter ! M. Eugène Gailliez ne mit pas longtemps à sortir de sa maison et à courir au secours de la pauvre petite... Il arriva tout juste pour la recevoir dans ses bras. Jeanne Leclercq, n'obéissant plus qu'à la terreur panique qui la dominait, s'était lancée par la fenêtre. Sous le poids, le brave homme chancela, tomba à terre. La petite aussi. On En haut : Mme Veuve LECLERCQ. qui est soignée à l'Hôtel-Dieu de Douai. — En bas : la petite Jeanne LECLERCQ, ' qui s'est lancée dans le vide, par peur des flammes. (Photos « Echo ») la releva avec quelques contusions. M. Gailliez n'avait rien. Une torche vivante Attirés, eux aussi, par les cris, les voisins accouraient de toutes parts. La course au soleil Victoire au sprint de Louviot La 4e étape (Avignon-Marseille) n'a guère modifié le classement LOUVIOT (Photo . Mondial) . . Lire en Chronique Sportive le compte rendu de notre envoyé spécial .j Georges Legrand -1"; 1 Le prochain retour des marins sauvés du « Lieutenant Boyau » de Gravelines , Nos lecteurs se souviennent du dramatique naufrage du trois-mâts-brick « Lieutenant-Boyau », qui s'est jeté sur un brisant dans les parages de la côte Sud-Est d'Islande et qui coûta la vie à cinq hommes de l'équipage. M. Pierre Sagot, commandant le «Lieutenant-Boyau» vient d'envoyer de Hull (Angleterre), un télégramme annonçant son prochain retour à Gravelines, avec les rescapés. Voici les photographies de six d'entre eux. De gauche à droite et en haut : le capitaine Pierre SAGOT. le mousse Michel W ADOUX. le marin Emile WADOUX. En bas : le marin | elle se leva et al rgrdr à la fenêtre. Au premier étage de la maison d M. Ladureau, la petite Jeanne ceLqlec,r penchée à fenêtre, appelait au cours tendant e bras ver un protecteur invisible. Des bouffées de fumée, passant au-dessus de sa tête mignonne, uaet sinistrement. Mme Gailliez éveilla son mari : — Eugène, vt, Eugène ! Le feu chez les vsns ! la fenêtre la petite Jeanne criait : Je vis me jeter ! Je vais me jeter ! M. Eugène Gailliez ne mit pas longtemps à sortir de sa maison et à courir u secours de la pauvre petite... Il rraaiv tout juste pr la recevoir dans ses bras. Jeanne Leclercq, n'obéissant plus qu' la terreur panique qui l dominait, s'était lancée par la fenêtre. os le poids, le brave homme chancela, tomba à terre. La petite ss. On n haut : Mme Veuve LECLERCQ. qi ets soignée l'Hôtel-Dieu de Dai. — En bas : la ei Jeanne LECLERCQ, ' qui s'est lancée dans le vide, pa peur des flammes. (Photos « ch ») la releva avec quelques contusions. M. Gailliez n'avait rien Une torche vivante Attirés, eux aussi, par les cris, les voisins accouraient de toutes prts. La course au soleil Victoire au sprint de Louviot La 4e étape (Avignon-Marseille) n'a guère modifié le classement LOUVIOT (Photo . Mondial) . Lire en Chronique Sportive le ompt rendu ed renot envoyé spécial .j Georges Lga -1"; 1 Le pa rtr des marins sauvés du « Lieutenant Boyau de Gravelines , Nos lecteurs se souviennent du dramatique naufrage du trois-mâts-brick « Lieutenant-Boyau », qui s'est jeté sur un brisant dns les prgs de la côte Sud-Est neIdsdl'a et qui cot la ive à cinq hommes de l'équipage. M Pierre Sagot, commandant le «Lieutenant-Boyau» vient d'envoyer e Hull (Angleterre), un télégramme annonçant son poi retour à Gravelines, cvea les rescapés. Voici les photographies de six dentre eux De gauche à droite et en haut : le cptn Pierre SAGOT. le mousse Michel W ADOUX. le mrn Emile AU En bas : le marin |
voisins accouraient de toutes parts. La course au soleil Victoire au sprint de Louviot La 4e étape (Avignon-Marseille) n'a guère modifié le classement LOUVIOT (Photo . Mondial) . . Lire en Chronique Sportive le compte rendu de notre envoyé spécial .j Georges Legrand -1"; 1 Le prochain retour des marins sauvés du « Lieutenant Boyau » de Gravelines , Nos lecteurs se souviennent du dramatique naufrage du trois-mâts-brick « Lieutenant-Boyau », qui s'est jeté sur un brisant dans les parages de la côte Sud-Est d'Islande et qui coûta la vie à cinq hommes de l'équipage. M. Pierre Sagot, commandant le «Lieutenant-Boyau» vient d'envoyer de Hull (Angleterre), un télégramme annonçant son prochain retour à Gravelines, avec les rescapés. Voici les photographies de six d'entre eux. De gauche à droite et en haut : le capitaine Pierre SAGOT. le mousse Michel W ADOUX. le marin Emile WADOUX. En bas : le marin Adolphe LAURENT, le marin Charlemagne MERLIN et son père, le premier lieutenant Charles MERLIN. (Photo Lecerf, Gravelines) Le Cabinet belge devant les Chambres Après avoir montré qu'il était indispensable de réaliser tout le programme et rien que le programme, M. Van Zeeland a fait un vibrant appel au pays, puis a déposé deux projets de loi, l'un prorogeant les pouvoirs, l'autre sur le statut monétaire. La hardiesse de ce vaste plan, où l'influence des idées du président Roosevelt est par endroits nettement visible, quoique adaptées aux besoins du pays, a d'abord décontenancé un assez grand nombre de parlementaires habitués à un régime à tendances conservatrices. Ils étaient en face d'un plan de conceptions avancées et d'économie dirigée. Aussi y a-t-il eu du flottement sur les bancs des catholiques et libéraux lorsque le président de la Chambre a mis aux voix par un vote secret et levé le renvoi des projets à la Commission des Finances et a demandé la procédure d'urgence. Les socialistes se sont levés d'un seul bloc, ainsi que la majorité des catholiques et des libéraux, mais on avait l'impression que le Gouvernement aurait une majorité de 30 à 40 voix. C'est autour de M. Jaspar, protagoniste de | voisins accouraient d toutes parts. La course au sll Victoire au sprint de Louviot La 4e étape (Avignon-Marseille) n'a guère modifié le classement LOUVIOT (Photo . Mondial) . . Lire en Chronique ritvSpeo le compte rnd de notre voyé spécial .j Georges Legrand -"1; 1 L prochain rtr des marins sauvés du « Lieutenant Boyau d Gravelines , Nos lecteurs se souviennent du dramatique aufrge du i-ssâmrc-ottkirb « Lieutenant-Boyau », qui s'est jeté sur un brisant dns les parages de la te Sud-Est d'Islande et qui coûta la i à cinq hommes de l'équipage. M. Pierre Sagot, commandant le LieutenantBoyau vient reovydn'e ed Hull (gler, un télégram annonçant son prochain trroue à Gravelines, avec les rescapés. Voici les aherpoitsgpho d sx d'entre eux. De gauche à die et en haut : le capitaine Pierre SOT le mousse Michel W ADOUX. le marin Emile WADOUX. En bas : le marin Adolphe LAURENT, le m Charlemagne MERLIN et son ère l p lieutenant Ca MERLIN. (Photo Lecerf, Gravelines) Le Cabinet belge devant sel Chambres r avoir montré qu'il était indispensable de réaliser u le programme et que le programme, .M Van Zeeland fait n vibrant appel au pays, puis a déposé dx projets de loi, l'un prorogeant les upo,voirs l'tr sur le sttt monétaire. hardiesse de ce vaste pln, où 'influence des idés du président Roosevelt est par edri nettement vsib, quoique adaptées aux bsns du pays, a d'abord décontenancé un assez grand nb de parlementaires habitués à un régime à tendances conservatrices. Ils étaient en face d'un plan de conceptions nés et d'économie dirigée Aussi y -alt-i eu du flottement sur ls bancs des catholiques et libéraux lorsque l président de la Chambre a mis aux voix pra un vot secret et levé le rnv des projets à la Cmmssn des Finances et a demandé la oédur d'urgence. Le sclsts se sont levés dun' lsue bloc, aini que al majorité des catholiques et des libéraux, mais on avait l'impression que le Gouvernement aurait une majorité de 03 à 40 voix. Cest autour ed M. Jaspar epsoittoargn de |
a déposé deux projets de loi, l'un prorogeant les pouvoirs, l'autre sur le statut monétaire. La hardiesse de ce vaste plan, où l'influence des idées du président Roosevelt est par endroits nettement visible, quoique adaptées aux besoins du pays, a d'abord décontenancé un assez grand nombre de parlementaires habitués à un régime à tendances conservatrices. Ils étaient en face d'un plan de conceptions avancées et d'économie dirigée. Aussi y a-t-il eu du flottement sur les bancs des catholiques et libéraux lorsque le président de la Chambre a mis aux voix par un vote secret et levé le renvoi des projets à la Commission des Finances et a demandé la procédure d'urgence. Les socialistes se sont levés d'un seul bloc, ainsi que la majorité des catholiques et des libéraux, mais on avait l'impression que le Gouvernement aurait une majorité de 30 à 40 voix. C'est autour de M. Jaspar, protagoniste de la conférence du bloc de l'or que se cristallise la résistance au plan de M. Van Zeeland. Réunion de la Commission des finances A l'issue du débat, il a été décidé que la Commission des finances se réunirait avant la séance de l'après-midi de la Chambre. ■ La Commission des finances de la Chambre s'est donc réunie au début de l'après-midi. Elle a adopté par 16 voix contre 8 et 1 abstention, le projet de loi relatif au statut monétaire et, par 14 voix contre 9 et 2 abstentions, le projet prorogeant pour un an les pouvoirs spéciaux accordés au Gouvernement et complétant ceux-ci. Le débat de l'après-midi à la Chambre La Chambre s'est réunie ensuite, à 16 h. Elle a voté par 133 voix contre 11 et une abstention, l'ensemble du projet de loi accordant des crédits provisoires au Gouvernement. Puis elle a décidé de joindre la discussion des projets de loi de réforme monétaire et de prorogation des pouvoirs spéciaux à la discussion de la déclaration ministérielle. Cette discussion a commencé immédiatement. Le vote interviendra après une séance de nuit. Au Sénat Bruxelles, 29. — Le Sénat a entendu la lecture de la déclaration ministérielle. La discussion viendra | a poé deux projets de loi, l'un prrgnt els pouvoirs, l'autre sur e statut monétaire La hardiesse d ce vaste plan, où linfluence des dés du président Rsvlt est par endroits nettement visible, iu adaptées aux oi du pays, a 'abord décontenancé un ssz grand mbre d parlementaires habitués un rgim à tndncs conservatrices. Ils étaient en face 'n plan de conceptions avancées et déconomie drgé. Aussi y a-t-il eu du flottement sur les bancs des catholiques t libéraux lorsque le présdnt de la Chambre a mis aux voix par un vote secre et levé le renvoi des projets à la Commission des seaincnF et a demandé la prcédr d'urgence. Les soclise se sont levés dun seul bloc, ainsi que la majorité es catholiques et des libéraux, mais on avait l'impression que le Gouvernement aurait une majorité de 30 à 40 voix t autour de . Jaspar protagoniste de la conférence d bloc de l'or que se cristallise la résistance au plan de M. Van Zeeland. Rénn de la Commission des fnncs A 'issu du débat il a été décidé que la Commission sed finances se réunirait avant la sénc de laprèsmidi de la Chambre. ■ La Commission des finances de l Chambre s'est oc réunie au début de l'après-midi. Elle a adopté par 16 voix contre 8 et abstention, le porjte de l relatif au statut monétaire et, rap 14 voix contre et bstntns, l projet prorogeant pour un an les pouvoirs spéciaux ccrdés au Gouvernement t complétant ceux-ci. Le débat de l'après-midi à la Chambre La Chambre se réunie ensuite, à 16 h. Elle a voté pr 133 ox contre 11 et n abstention, lensemble du jet d loi accordant des céts provisoires Gouvernement. Puis elle décidé de joindre la discussion projets de loi de réforme monétaire t de prorogation des pouvoirs spéciaux à la discussion la déclaration ministérielle. Cette discussion a ecménomc immédiatement. Le vote interviendra après ne séance de nuit. Au Sénat Bruxelles, 29. — L Sénat a entendu la lecture de la déclaration ministérielle. La discussion viendra |
finances de la Chambre s'est donc réunie au début de l'après-midi. Elle a adopté par 16 voix contre 8 et 1 abstention, le projet de loi relatif au statut monétaire et, par 14 voix contre 9 et 2 abstentions, le projet prorogeant pour un an les pouvoirs spéciaux accordés au Gouvernement et complétant ceux-ci. Le débat de l'après-midi à la Chambre La Chambre s'est réunie ensuite, à 16 h. Elle a voté par 133 voix contre 11 et une abstention, l'ensemble du projet de loi accordant des crédits provisoires au Gouvernement. Puis elle a décidé de joindre la discussion des projets de loi de réforme monétaire et de prorogation des pouvoirs spéciaux à la discussion de la déclaration ministérielle. Cette discussion a commencé immédiatement. Le vote interviendra après une séance de nuit. Au Sénat Bruxelles, 29. — Le Sénat a entendu la lecture de la déclaration ministérielle. La discussion viendra demain. La déclaration ministérielle Bruxelles. 29. — Voici l'analyse de la déclaration ministérielle lue à la Chambre par M. Van Zeeland : Placé, au moment de sa constitution, en face de trois facteurs : 1° dépréciation de fait du Belga sur les marchés extérieurs ; 2° établissement d'un contrôle des changes impuissant à arrêter les fuites de capitaux ; 3° mouvement persistant de retrait qui met les banques dans la dépendance absolue de l'Institut d'émission, afin de conjurer de plus grands maux, le gouvernement propose : La parité-or actuelle du franc sera modifiée. L'obligation pour la Banque Nationale de Belgique de rembourser ses billets à vue et au porteur dans les conditions prévues par les arrêtés-lois de 1926 sera suspendue. « Restant au principe de l'étalon-or et souhaitant le voir rétablir sans délai dans des conditions qui assurent effectivement son fonctionnement international, nous nous proposons d'user de tous les moyens en notre pouvoir pour hâter la conclusion d'un accord international par lequel les principales monnaies seraient à nouveau stabilisées sur la base de l'or, en vertu d'un pacte auquel interviendraient les autres grands pays du monde, à un niveau qui ne serait plus celui d'aujourd'hui mais qui ne pourrait en | finances de la Chambre s'est dn réunie au début de l'après-midi. Elle adopté par 16 voix contre 8 et 1 bteton, le projet de loi relatif au sau monétaire et, par 14 voix contre 9 et 2 abstentions, le projet prorogeant pr un an les pvrs spéciaux aoé u Gvrnmnt et complétant ceuxci Le débat de laprèsmidi à la Chambre La Chambre 'est réunie ensuite, à 16 h. Elle a voté par 133 vx contre 11 et une abstention, l'nsmbl du projet de loi accordant des crédits provisoires au Gvrnmnt. Puis elle a décidé de joindre la suniiossdc ds projets d loi de réfrm mnétr t de prorogation des pouvoirs spéciaux à la discussion de écio ministérielle. Cette discussion a commencé immédiatement. Le vote interviendra après une séance de nuit. Au Sénat Bruxelles, 29. — Le Sénat a entendu la lecture d la déclaration ministérielle. La dscssn viendra demain. La déclaration ministérielle Brxlls. 29. Voici l'analyse de la délton ministérielle lue la Chambre par M. Van Zeeland : Placé, au mmnt de sa constitution, en face de trs facteurs : 1° dépréctn de fait du Belga sr les marchés extérieurs ; 2° établissement d'un contrôle des changes impuissant à arrêter les fuites de capitaux ; 3° mouvement persistant de retrait qui met les banques dans la dépendance absolue de l'Institut d'émission, afin de conjurer de plus grnds ux, le gouvernement propose : La parité-or actuelle du franc sera modifiée. L'obligation pour l e Nationale de Belgique de rembourser ses billets à vue et au porteur dans les conditions prévues par l arrêtés-lois de 1926 sera sspnd. « Restant au principe e l'étalon-or et shtnt le voir rétablir sans délai dns des coditins qui assurent effectivement son fonctionnement international, nous nous proposons 'user de tous esl ys en notre pouvoir pour hâter la conclusion d'un accord international par lequel les principales monnaies seraient à unaveou stabilisées sur la base de l'or, en vrt d'n pacte ql interviendraient les autres grands pys du monde à un nv qui ne serait plus celui d'aujourd'hui mais qui ne pourrait en |
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Le taux de cet échange sera établi à un cours fixé par arrêté délibéré en conseil des ministres, la Banque nationale de Belgique entendue. Le fond d'égalisation des changes sera doté des moyens les plus larges. L'encaisse-or de la Banque nationale sera réévaluée provisoirement sur la base d'un cours équivalent à 25 p. 100 de dépréciation par rapport au niveau actuel. Le contrôle des banques va être institué M. Van Zeeland signale alors les retraits persistants de dépôts auxquels les banques ont à faire face. Il ajoute : « La politique monétaire réaliste et nette que nous comptons appliquer mettra fin aux incertitudes des derniers mois ». Le Président du Conseil a déclaré ensuite que, pour éviter le retour de pareilles difficultés, il était amené à instaurer un contrôle des banques par un statut légal propre à celles-ci, dans lequel seront prévues notamment des stipulations spéciales relatives au capital, au rapport entre le capital et différents postes de l'actif ou du passif, le régime des emplois de fonds, etc... M. Van Zeeland passe ensuite à son programme d'extension économique. Il estime que la baisse doit être enrayée parce qu'elle dépasse le point d'équilibre économique. Par contre, il croit qu'une hausse modérée et lente paraît désirable pour alléger la situation critique des classes moyennes et il veillera à freiner toute hausse rapide. Mais c'est surtout par une action énergique des éléments du coût de production qu'il veut rendre aux affaires la marge du bénéfice indispensable. C'est pourquoi il entend poursuivre une politique de crédit abondant et à bon marché, dont la base sera fournie par la réorganisation bancaire. M. Van Zeeland déclare ensuite qu'il veut créer un Office de réescompte pour assurer aux banques une faculté supplémentaire de mobilisation, auquel les producteurs pourront aussi recourir. Il veut également instituer un Institut central hypothécaire pour assurer la mobilisation éventuelle de crédits sous forme hypothécaire, afin d'assainir ce marché et d'en abaisser le taux. Dégrèvements fiscaux Les charges fiscales étant disproportionnées aux facultés des contribuables, M. Van Zeeland propose de décréter immédiatement des dégrèvements importants, portant d'abord sur l'impôt foncier, puis sur toutes | Le taux d cet ceghnaé sera établi à un cours fix rap arrêté délibéré en conseil des ministres, la Banque nationale de Belgique entendue. Le fond d'églstn des hae sera doté des moyens les pls larges. Lencaisseor de la Banque nationale sera réévaluée provisoirement sur la bs 'ndu o équivalent à 25 p. 001 de dépréciation par rpprt au niuvea actuel. L contrôle des banques av être institué . Van Zeeland signale alors les etit persistants de dépôts auxquels les banques ont à faire a.ecf Il ajoute : « La politique monétaire réaliste et nette que nous comptons appliquer mettra fin aux incertitudes des drnrs mois ». Le Président du Conseil a déclaré ensuite que, pour éviter el retour de pareilles difficultés, il étt amené à instaurer un contrôle des banques par un tu légal propre à celles-ci, dans lequel srnt prévues notamment des stipulations spéciales relatives au capital, au rapport neert le pl et différents tspsoe d l'actif ou du pssf, le régime des emplois de fonds, etc... M. Van Zeeland passe ensuite à son programme d'xtnsn économique. Il esi que la baisse doit être enrayée parce qu'elle dépasse le point d'équilibre économique. Par contre, il croit qu'une hausse modérée et lente paraît désirable pour alléger la situation iiqurtec des classes moyennes et il veillera à freiner toute hausse rapide. Mais 'est surtout par une action énergique des éléments du coût de production qu'il veut rendre xau affaires la marge du bénéfice indispensable. C'est pourquoi il entend poursuivre une politique de crédit abondant e à bon maché, dont la base sera fournie par la otgénaiisonrar bancaire. M. Van Zeeland déclare ensuite qu'il veut créer un ffeciO de réescompte pour assurer aux q une faculté sppémene de mobilisation, qleuau les prdctrs pourront aussi recourir. Il veut également instituer un Institut central hypothécaire pour assurer la mobilisation éventuelle de crédits sous forme hypothécaire, afin d'assainir ce marché et d'en abasser le taux. Dégrèvements fiscaux Les charges fiscales étant disproportionnées aux facultés sed contribuables, M. Van Zeeland propose d décréter mmédtmnt des dégrèvements mprtnts, portant 'abord sur l'impôt foncier, ipus sur toutes |
modérée et lente paraît désirable pour alléger la situation critique des classes moyennes et il veillera à freiner toute hausse rapide. Mais c'est surtout par une action énergique des éléments du coût de production qu'il veut rendre aux affaires la marge du bénéfice indispensable. C'est pourquoi il entend poursuivre une politique de crédit abondant et à bon marché, dont la base sera fournie par la réorganisation bancaire. M. Van Zeeland déclare ensuite qu'il veut créer un Office de réescompte pour assurer aux banques une faculté supplémentaire de mobilisation, auquel les producteurs pourront aussi recourir. Il veut également instituer un Institut central hypothécaire pour assurer la mobilisation éventuelle de crédits sous forme hypothécaire, afin d'assainir ce marché et d'en abaisser le taux. Dégrèvements fiscaux Les charges fiscales étant disproportionnées aux facultés des contribuables, M. Van Zeeland propose de décréter immédiatement des dégrèvements importants, portant d'abord sur l'impôt foncier, puis sur toutes les taxes pesant sur l'industrie et l'agriculture. Pour provoquer la reprise de la vie économique et réduire le chômage, M. Van Zeeland veut dresser un programme de grands travaux. Il espère relever le niveau de la vie par l'augmentation de la masse des salaires payés à la classe ouvrière. Un Office de redressement économique harmonisera ces efforts. La politique extérieure Le premier ministre aborde ensuite sa politique extérieure. Il s'engage dans la voie des accords préférentiels, si elle paraît correspondre aux intérêts de la Belgique, mais en cherchant l'appui des grands systèmes économiques du monde. « Nos relations avec les Soviets, dit-il, seront renforcées sur la base de réciprocité. Nous sommes disposés à reconnaître le gouvernement des Soviets, aux fins et dans la mesure de cet accord ». Le programme du Gouvernement déclare M. Van Zeeland avec force, forme un tout et son succès dépend de son application dans son ensemble, mais son succès est conditionné plus encore par les conditions de son application que par les idées qui ont présidé à sa conception. Aussi estime-t-il qu'il a besoin au moins d'une année de stabilité gouvernementale et il demande de proroger d'un an la loi des pouvoirs spéciaux et déposera | modérée et lente paraît désirable pour alléger la situation riiqu des classes moyennes et il veillera à freiner toute hausse rapide. Mais c'est uustrto par une action énqu des éléments du coût de production qu'il veut rendre aux affaires la marge d bénéfice indispensable. C'est pourquoi il entend poursuivre une politique de crédit abondant et à bon marché, dont la base sera fournie par la réorganisation bancaire. . Van Zeeland déclare ensuite qu'il veut créer un Office d réscmpt pour assurer aux banques n faculté supplémentaire de mobilisation, auquel les producteurs pourront aussi recourir. Il veut éemet etiuirstn un Institut central hypothécaire pour assurer l mobilisation éventuelle de crédits sous forme hypothécaire, anif d'assainir ce marché et d'en bssr le taux. Dégrèvements fiscaux Les charges fselcsia étant disproportionnées aux fcltés des contribuables, M. Van Zeeland propose de décréter immédiatement des dégrèvements mprtnts, portant d'abord sur l'impôt foncier, puis sur toutes les taxes pesant sur l'industrie et l'agriculture. Pour prvuer l reprise de l vie économique et réduire l c, M. Van Zeeland veut dresser un programme de grands travaux. Il espère relever le niveau de la vie par l'augmentation de la masse des salaires payés la classe ouvrière. Un Office de redressement économique harmonisera ces efforts. La politique extérieure Le premier ministre aborde ensuite sa politique extérieure. Il s'engage dans la voie des accords préférentiels, si e paraît correspondre aux intérêts de la Belgique, mais en cherchant l'appui des grands ystèe économiques du ndm.oe « Nos relations avec les Soviets, dit-il, seront renforcées sur la bs de réciprocité. Nous soms disposés à rcnaît le gouvernement e Soviets, aux fns et dns la mesure de cet accord ». Le programme du Gouvernement déclare M. Van Zeeland vc force, forme un tout et son succès dépend son application dans son ensemble, mais son succès est conditionné plus encore par les conditions de son application que par les idées qui ont présidé à sa conception. Aussi estime-t-il qu'il a besoin au mns d'une année de stblté gornena et il demande de proroger d'un an la loi des pouvoirs spéciaux et déposera |
Office de redressement économique harmonisera ces efforts. La politique extérieure Le premier ministre aborde ensuite sa politique extérieure. Il s'engage dans la voie des accords préférentiels, si elle paraît correspondre aux intérêts de la Belgique, mais en cherchant l'appui des grands systèmes économiques du monde. « Nos relations avec les Soviets, dit-il, seront renforcées sur la base de réciprocité. Nous sommes disposés à reconnaître le gouvernement des Soviets, aux fins et dans la mesure de cet accord ». Le programme du Gouvernement déclare M. Van Zeeland avec force, forme un tout et son succès dépend de son application dans son ensemble, mais son succès est conditionné plus encore par les conditions de son application que par les idées qui ont présidé à sa conception. Aussi estime-t-il qu'il a besoin au moins d'une année de stabilité gouvernementale et il demande de proroger d'un an la loi des pouvoirs spéciaux et déposera des projets de loi sur la politique monétaire, bancaire et économique. Il exprime sa conviction profonde que l'exécution énergique de ce programme sortira le pays du désarroi matériel et moral. M. Van Zeeland termine en disant que le Cabinet exclut toute idée de parti et préconise la trêve. Cette entrevue a eu lieu dans le bureau de M. Molotov. L'entretien a duré une heure 10 et a été empreint de la plus grande cordialité, aux dires des milieux soviétiques. Après cet entretien, M. Eden a visité le Kremlin. Un entretien sans détour « Si ce n'est pas encore l'entente, c'est déjà la bonne entente », telle est la déclaration qu'on recueille ce soir dans l'entourage de M. Anthony Eden, à la suite de l'entrevue que le Lord du Sceau privé a eue cet après-midi avec M. Staline. La conversation a porté sur trois questions essentielles : D'après les révélations recueillies de la bouche même d'un témoin, les deux interlocuteurs se sont exprimés avec une franchise entière, sans clause de style et sans arrière-pensée. 1° En ce qui concerne le problème européen, M. Staline (comme M. Litvinov lui-même l'avait fait au cours de la réunion de ce matin), s'est placé d'emblée | Office de redressement économique harmonisera ces efforts. La politique extérieure Le pie ministre brd ensuite sa politique extérieure. Il s'engage dans al voie des accords préférentiels, si elle paraît crrspndr aux intérêts de la Belgique, mais en cherchant l'appui des grands systèmes économiques du monde. « Nos rltns avec les ovt dit-il, seront érrenefocs sur la base de réciprocité. Nous sommes disposés à reconnaître le gouvernement des o, aux infs et dans la mesure de cet accord . Le programme du Gouvernement déclare M. n Zeeland avec force, forme un tout et son sccès dépend de son application dans son ensemble, msai son succès est conditionné pls nreoec par les conditions de son application qeu par les idée qui ont présidé à sa conception. ss estime-t-il qu'il a bsn au niosm d'n année de stabilité gouvernementale et l demande de or 'un an la loi des pouvoirs spéciaux et déposera des projets de loi sur la politique monétaire bancaire et écnmq. Il xprm sa conviction prfnd que ilexn'oétcu énergique de ce programme sortira le pays d désarroi matériel et moral. M Van Zlnd termine n disant que le Cabinet lxeutc toute idée de ri t préconise la et.vêr Cette entrevue a eu l dans le bureau de M. Molotov. L'entretien a réud une heure 10 et a été mprnt de la pls grande cordialité, aux dires des milieux vie. Après cet entretien, M. dn a visité le Kremlin. Un entretien sans détr « Si ce n'est pas encore l'entente, ts'ce éjà la bonne entente », tll est la déclaration qu'on rcll ce soir dans l'entourage de M. Anthony ,Ened à la st de l'ntrv q le Lord du Sceau privé a eue cet après-midi avec M. Staline. La conversation a porté sr trois questions essentielles : D'après les révélations recueillies de la bouche même d'un nmtio,é les deux interlocuteurs se sont exprimés avec une frhis entière, sans clause de style et sans arrière-pensée. 1° En c qui concerne le problème européen, M. Staline (comme M. Litvinov lui-même l'avait afit au cours de la réunion de ce matin), 'est placé d'emblée |
a eu lieu dans le bureau de M. Molotov. L'entretien a duré une heure 10 et a été empreint de la plus grande cordialité, aux dires des milieux soviétiques. Après cet entretien, M. Eden a visité le Kremlin. Un entretien sans détour « Si ce n'est pas encore l'entente, c'est déjà la bonne entente », telle est la déclaration qu'on recueille ce soir dans l'entourage de M. Anthony Eden, à la suite de l'entrevue que le Lord du Sceau privé a eue cet après-midi avec M. Staline. La conversation a porté sur trois questions essentielles : D'après les révélations recueillies de la bouche même d'un témoin, les deux interlocuteurs se sont exprimés avec une franchise entière, sans clause de style et sans arrière-pensée. 1° En ce qui concerne le problème européen, M. Staline (comme M. Litvinov lui-même l'avait fait au cours de la réunion de ce matin), s'est placé d'emblée sur le terrain le plus délicat : « Est-il exact, a-t-il demandé en substance, que l'Angleterre puisse être tentée de laisser à l'Allemagne toute liberté d'action à l'Est, soit pour que les forces du Reich s'épuisent dans un conflit terrible, soit pour que l'Europe Occidentale soit prémunie contre une guerre à laquelle la Grande-Bretagne elle-même serait contrainte de participer par ses engagements et par ses intérêts ? M. Eden a réfuté vigoureusement ces assertions. « Dites que nous sommes faibles, se serait-il écrié notamment, dites que nous sommes hésitants, mais ne dites pas que nous méditons directement ou indirectement des desseins d'agression contre quiconque ! » Sur ce point capital, on affirme aux sources les mieux informées que les craintes des milieux soviétiques sont désormais presque totalement apaisées. 2° La question d'Extrême-Orient a joué dans les entretiens un rôle beaucoup moins considérable qu'on ne le croyait au premier abord. M. Litvinov n'a pas ouvertement soumis de propositions tendant à la conclusion d'un Locarno extrême-oriental, mais il a bien souligné qu'aux yeux du Gouvernement soviétique les solutions bonnes à l'Ouest étaient au moins souhaitables à l'Est. D'autre part, M. Staline aurait fait remarquer que l'atmosphère était considérablement moins tendue aux frontières | a eu lieu nsda l bureau de M. Molotov. L'entretien a duré une her 10 et a été empreint de la plus grnd cordialité, x dires des milieux oiiues. Après ct entretien, . Eden a vsté el Kremlin. Un entretien sns détour S c n'est pas encore l'entente, 'cest déjà la oe et » telle est la déclaration qu'on recueille ce soir dans l'entourage de M. Anthony Eden, à la suite de l'entrevue que le Lord du Sceau privé a eue cet près-md avec M. Stln. La cnvrstn a porté usr trois questions essentielles : D'après les raovéélntis recueillies de la bouche mêm 'un témn, ls deux interlocuteurs se sont exprimés avec une franchise entière, sans clause de ytlse sans arrièrepensée 1 En ce qui concerne le problème européen, M. ai (comme . Litvinov lui-même l'avait fait a cours de la réunion de ce matin s'est placé demblée urs le terrain le plus délicat : « i-stEl xct, a-t-il demandé en substance, que l'Angleterre puisse êtr tentée de laisser à lle uoett liberté d'action à l'Est, soit pr que les forces du Reich sépuisent dans un conflit terrible, soit pour q l'rp iete soit prémunie contre une guerre à auel al Grande-Bretagne elle-même srt contrainte de participer par ses engagements et p ses intérêts . Eden a réfuté vigoureusement ces ri. « Dites que nous sommes faibles, se serait-il écrié notamment, dsite que nous sommes hésitants, mais n dites ps que ns méditons teinedctrme ou indirectement des desseins d'agression contre quiconque ! » Sur ce point cptl, on afime aux sources les mx informées que les craintes des milieux soviétiques nsot démi presque totalement apaisées. 2° La question d'xtrêm-rnt a joué dans les entretiens un rôle beaucoup moins cnsdérbl qu'on ne le croyait au premier abord. M. Litvinov n'a pas ouvertement soumis de propositions tendant à l cnclsn d'un Locarno extrême-oriental, as a bien souligné qu'aux yeux d etmeGenovrnu soviétique les solutions bonnes l'Ouest étaient au moins sohaiabls l'Est. D'autre part, M. Salin aurait fait remarquer que l'atmosphère étt considérablement mis tendue aux frontières |
à laquelle la Grande-Bretagne elle-même serait contrainte de participer par ses engagements et par ses intérêts ? M. Eden a réfuté vigoureusement ces assertions. « Dites que nous sommes faibles, se serait-il écrié notamment, dites que nous sommes hésitants, mais ne dites pas que nous méditons directement ou indirectement des desseins d'agression contre quiconque ! » Sur ce point capital, on affirme aux sources les mieux informées que les craintes des milieux soviétiques sont désormais presque totalement apaisées. 2° La question d'Extrême-Orient a joué dans les entretiens un rôle beaucoup moins considérable qu'on ne le croyait au premier abord. M. Litvinov n'a pas ouvertement soumis de propositions tendant à la conclusion d'un Locarno extrême-oriental, mais il a bien souligné qu'aux yeux du Gouvernement soviétique les solutions bonnes à l'Ouest étaient au moins souhaitables à l'Est. D'autre part, M. Staline aurait fait remarquer que l'atmosphère était considérablement moins tendue aux frontières de la Mandchourie et qu'il fallait dans toute combinaison valable tenir compte de deux éléments nouveaux : a) La tendance nouvelle des Etats-Unis à se replier sur eux-mêmes, ou tout au moins à ne plus pratiquer en Extrême-Orient une politique de la présence continue ; b) La transformation de la Russie d'Asie en une forteresse inexpugnable, économiquement capable de suffire à ses propres besoins. M. Anthony Eden s'est borné à préciser, en réponse, que l'Angleterre, en Asie comme en Europe, n'avait qu'une politique, celle de la Société des Nations, et qu'elle demeurait dans tous les domaines aussi résolument attachée à la cause de la sécurité collective. A ce moment encore, les négociateurs soviétiques firent preuve de la plus vive satisfaction. 3° Sur le plan commercial, les deux parties sont tombées d'accord pour constater que leurs relations étaient réglées par un traité fondé sur le principe de l'égalité de traitement et fonctionnant avec satisfaction réciproque. Toutefois, un certain nombre d'ajustements s'avèreront nécessaires. LILLE-PARIS en Autocar (ITRUM 2 départs par jour dans chaque sens. Prix : Aller, 38 fr. ; Aller et retour, 62 fr. Location et Renseignements : Lille : Gare Automobile, "rue du Molinel. Tél. : 76-73. Paris : Aux | à lqll la Grande-Bretagne elle-même serait contrainte de participer pra ses engagements e par ses intérêts ? . Eden a réfuté iguesnt ces assrios « Dites que nous sommes faibles se serait-il écrié notamment, dites que nous sommes hésitants, mais ne dites pas que nous méditons drctmnt ou indirectement d dssns 'agression contre quiconque ! » Sur ce point capital, on affirme aux sources ls mieux informées que les craintes des milieux soviétiques sont désormais presque totalement apaisées. 2° La question 'Extrême-Orient a joué dans les entretiens un rôle beaucoup moins considérable qu'on ne le croyait au premier abord. M. Litvinov n'a pas ouvertement soumis de prpstns tendant la conclusion d'un Locarno extrême-oriental, mais il a en souligné qu'a yeux du Gouvernement soviétique les solutions bonnes à l'Ouest étaient au moins souhaitables à l'Est. D'autre part, Staline aurait fait reqr que latmosphère était considérablement moins tnd aux frontières de la Mandchourie et q'l fallait dans toute combinaison valable tenir compte d deux éléments nouveaux : a) La tendance nouvelle des Etats-Unis à se elrrpei sur x-mêms, ou tout au moins à ne plus pratiquer en Extrême-Orient une politique de la présence continue ; b) La transformation de la Russie dAsie en une forteresse inexpugnable, économiquement capable de suffire à ses propres besoins. M Anthony Eden s'est borné à préciser, en réponse, que lAngleterre en Asie comme en Europe, n'avait q'n politique, celle de la Société des Nations, et qu'elle demeurait dans tous les domaines aussi réslmnt attachée à la cause de la sécurité collective. A ce moment encore, les négociateurs soviétiques firent prv de la plus vv stsfctn. 3° Sur le plan commercial, les deux parties sont tombées d'accord pour constater que leurs relations tenaéti réglées par un tartié fondé sur le principe de li de traitement et fonctionnant avec satisfaction réciproque. Toutefois, un certain nmbr d'ajustements s'avèreront nécessaires. LILLE-PARIS en Autocar (ITRUM 2 départs par jour dans chaque sns. Prix : Aller, 38 fr ; Aller et retour 62 fr. Location et Rnsgnmnts : Lille : Gare Automobile "rue du Mlnl. T.él : 76-73. Paris : Aux |
Russie d'Asie en une forteresse inexpugnable, économiquement capable de suffire à ses propres besoins. M. Anthony Eden s'est borné à préciser, en réponse, que l'Angleterre, en Asie comme en Europe, n'avait qu'une politique, celle de la Société des Nations, et qu'elle demeurait dans tous les domaines aussi résolument attachée à la cause de la sécurité collective. A ce moment encore, les négociateurs soviétiques firent preuve de la plus vive satisfaction. 3° Sur le plan commercial, les deux parties sont tombées d'accord pour constater que leurs relations étaient réglées par un traité fondé sur le principe de l'égalité de traitement et fonctionnant avec satisfaction réciproque. Toutefois, un certain nombre d'ajustements s'avèreront nécessaires. LILLE-PARIS en Autocar (ITRUM 2 départs par jour dans chaque sens. Prix : Aller, 38 fr. ; Aller et retour, 62 fr. Location et Renseignements : Lille : Gare Automobile, "rue du Molinel. Tél. : 76-73. Paris : Aux Gares des Transports Citroën et 17, Bd des Capucines; T. : Opéra 03-65. 09438 Le tirage de la 22e série de la Loterie de l'Exposition Internationale de Bruxelles Le tirage au sort de la 22e série de la Loterie de l'Exposition internationale de Bruxelles qui avait été remis la semaine dernière, s'est effectué, jeudi et vendredi à Bruxelles. Rappelons que les lots sont attribués, non par billets, mais par carnets de dix billets. Voici les résultats : Un lot de 500.000 francs est attribué au carnet N° 444.156. Deux lots de 50.000 francs sont attribués aux carnets N° 393.888 et 511.996. Cinq lots de 20.000 francs sont attribués aux carnets N° 111.926 2C2.361 325.030 384.174 435.659 Dix lots de 10.000 francs sont attribués aux carnets N° 206.101 223.848 332.335 347.279 347.464 443.245 467.942 477.624 478.303 516.789 Deux cent dix carnets gagnent un lot de mille francs. Deux mille sept cent cinquante carnets gagnent un lot de 200 francs. Une série de lots est réservée aux couvertures. Un lot de 50.000 francs à la couverture N° 234.633. Un lot de 20.000 francs à la couverture N° 521.385. Un lot de 10.000 francs à la couverture N° 229.938. Neuf lots de 1.000 | Russie d'Asie en une freeortess iexugnabe économiquement capable de suffire à s propres besoins. M. Anthony Eden s'est borné préciser, en réponse, q l'Angleterre, en s comme n Europe, n'avait qu'une politique, celle de la Société des Nations et qu'elle demeurait dans tous lse dom aussi réslmnt ttceaéah à a cause de la scuri collective. ce moment encore, les négociateurs soviétiques firent preuve de l plus vive satisfaction. 3° Sur le plan commercial, les deux aeprsit st tombées d'accord pour constater que leurs relations étaient réglées par un trté fondé sur le principe de l'églté de traitement et fonctionnant avec satisfaction réciproque. fu,eotoTis un certain nombre dajustements s'avèreront nécessaires. LILLE-PARIS en Autocar ITRM dépat par jo dans chaque sens. Prix : Aller, 38 fr ; Aller et retour, 62 fr. Location te Renseignements Lille : Gare loiAbtu,ome "rue u Mlnl. Tél. : 76-73. Paris : Aux Gares de Transports Citroën et 17, Bd des Capucines; T. : Opéra 03-65. 09438 Le tirage de la 22e série ed la Loterie de l'Exposition Internationale de Bruxelles Le tirage au sort d l 22e série de la Loterie de l'Exposition internationale de Bruxelles qui avait été remis la semaine dernière, tse's effectué, jeudi et vendredi à Brxlls. pRponseal q les lots sont attribués, non r bilets mais par carnets de dix billets. Voici les résultats : Un lot de 500.000 francs est ibé au carnet N° 444.156. Deux lts de 50.000 francs ont attribués aux trsncae N° 9388 et 511.996. Cinq slot de 20.000 francs snt attribués carnets N° 111.926 2C2.361 325030 384.174 435.659 Dix lots d 10.000 francs sont ttib ax carnets ° 206.101 223.848 3323 347.279 347.464 443.245 467.942 477.624 478.303 51.9 Deux cent dix carnets gagnent un lot de mll francs Deux mille sp cent cnqnt carnets gagnent un lot de 200 francs. Ue série de lots est sevrréeé aux couvertures. Un t de 5000 francs à a couverture N° 234.633. U lot de 20.000 francs à la couverture N° 521.385. Un lot de 000 rncfsa à la couverture N° 229.938. Neuf lots de 0.001 |
dernière, s'est effectué, jeudi et vendredi à Bruxelles. Rappelons que les lots sont attribués, non par billets, mais par carnets de dix billets. Voici les résultats : Un lot de 500.000 francs est attribué au carnet N° 444.156. Deux lots de 50.000 francs sont attribués aux carnets N° 393.888 et 511.996. Cinq lots de 20.000 francs sont attribués aux carnets N° 111.926 2C2.361 325.030 384.174 435.659 Dix lots de 10.000 francs sont attribués aux carnets N° 206.101 223.848 332.335 347.279 347.464 443.245 467.942 477.624 478.303 516.789 Deux cent dix carnets gagnent un lot de mille francs. Deux mille sept cent cinquante carnets gagnent un lot de 200 francs. Une série de lots est réservée aux couvertures. Un lot de 50.000 francs à la couverture N° 234.633. Un lot de 20.000 francs à la couverture N° 521.385. Un lot de 10.000 francs à la couverture N° 229.938. Neuf lots de 1.000 francs aux couvertures N° 153.758 181.235 231.680 335.608 361.624 412.210 441.905 526.399 551.476. En outre, 1.010 couvertures gagnent un lot de 100 francs. M. Titulesco a eu, hier, un important entretien, à Paris, avec M. Pierre Laval « Nous sommes d'accord sur tous les points », a déclaré à la Presse le ministre de Roumanie Paris, 29. — Arrivé ce matin à Paris, venant de Belgrade où il avait conféré avec M. Jevtitch, président du Conseil de Yougoslavie, et de Bratislava où il avait rencontré M. Benès, ministre des Affaires étrangères de Tchécoslovaquie, M. Titulesco, ministre des Affaires étrangères de Roumanie, s'est rendu ce matin, à 11 h. 45, au Quai d'Orsay, pour s'entretenir avec M. Pierre Laval de la situation internationale. L'homme d'Etat roumain, qui est à Paris pour quatre ou cinq jours, compte rencontrer également M. Flandin, président du Conseil. L'entretien s'est prolongé jusqu'à midi 50. À la fin de leur conversation, les ministres des Affaires étrangères de France et de Roumanie ont reçu ensemble les représentants de la Presse. M. Titulesco a commencé par déclarer : « Je suis très heureux de me retrouver ici ». À quoi M. Pierre Laval a répondu : « Je suis | dernière, s'est effectué, jeudi et vendredi à Bruxelles. Rappelons que les lots sont attribués, non pr billets, mais par carnets de dix billets. Voici les résultats : Un lot de 500.000 francs est attribué au carnet N° 444.156. Dx lots d 50.000 francs sont attribués aux carnets N° 393.888 et 511.996. Cinq lts de 20.000 francs sont attribués aux carnets N° 111.926 61C223. 325.030 384.174 435.659 Dix lots de 10.000 rancs sont attribués aux carnets N° 206.101 223848 332.335 347.279 347.464 .244534 467.942 742.476 478.303 516.789 Deux cent dix crnts gagnent un lt d mille francs Dx mille sept cent cinquante carnets gagnent un lot de 200 frncs. e série de lots est réservée aux couvertures. Un lot de 50.000 francs à la couverture N° 234.633. Un lot de 20.000 francs à la couverture N° 521.385. Un lot de 10.000 francs à la couverture N° 229.938. Neuf lots de 1.000 francs aux couvertures N° 153.758 181.235 231.680 683.053 361.624 412.210 441.905 526.399 551.476. nE outre, 1.010 couvertures gnt un lot de 100 francs M. Titulesco a eu, hier, un important entretien, à Paris, avec . Pierre Laalv « Nous somes d'accord sur tous les points », a déclaré à la Presse le ministre e Roumanie Prs, 29. — Arrivé ce mtn à Paris, venant de Belgrade ù il avait conféré avec M. ei, président du Conseil de Yougoslavie, et de Bratislava où il vt rencontré M. Benès, ministre des Affaires étrangères de Tchécoslovaquie, M. Titulesco, ministre des Affaires étrangères de Roumanie, 'est rendu ce matin, à 11 h. 45, au Quai d'Orsay, pour s'entretenir avec M. Pierre Laval de la situation internationale. Lmm'oeh d'tt roumain, qui est à Paris pour quatre ou cinq jours, compte rencontrer également .M Flandin, président du Conseil. 'ettie s'est prolongé jusqu'à midi 50. À la fin de leur conversation les ministres sde Affaires étrangères de France t de Roumanie ont rç ensemble les rprésntnts de la Presse. M. Titulesco a commencé par déclarer : « Je suis très heureux de me retrouver ici ». À quoi M. Pierre Laval répondu : « Je sui |
Presse le ministre de Roumanie Paris, 29. — Arrivé ce matin à Paris, venant de Belgrade où il avait conféré avec M. Jevtitch, président du Conseil de Yougoslavie, et de Bratislava où il avait rencontré M. Benès, ministre des Affaires étrangères de Tchécoslovaquie, M. Titulesco, ministre des Affaires étrangères de Roumanie, s'est rendu ce matin, à 11 h. 45, au Quai d'Orsay, pour s'entretenir avec M. Pierre Laval de la situation internationale. L'homme d'Etat roumain, qui est à Paris pour quatre ou cinq jours, compte rencontrer également M. Flandin, président du Conseil. L'entretien s'est prolongé jusqu'à midi 50. À la fin de leur conversation, les ministres des Affaires étrangères de France et de Roumanie ont reçu ensemble les représentants de la Presse. M. Titulesco a commencé par déclarer : « Je suis très heureux de me retrouver ici ». À quoi M. Pierre Laval a répondu : « Je suis très heureux moi-même d'avoir accueilli. » L'homme d'Etat roumain a poursuivi, tandis que son collègue français l'approuvait : « C'est banal à dire, mais cette constatation est d'un grand intérêt politique, nous sommes, M. Pierre Laval et moi, tout à fait d'accord sur tous les points. Nous avons eu, ce matin, une première prise de contact qui sera suivie de nouveaux entretiens. » Le congrès radical M. Schultz préconise également la simplification de la procédure des faillites. Il faut enfin proclamer, déclare l'orateur, qu'une dette ne peut s'éteindre que par son paiement intégral et M. Schultz affirme qu'il incombe à l'Etat de donner l'exemple en payant ses dettes extérieures. A ce moment, l'assemblée adresse au président Herriot, qui arrive au Palais Rameau pour participer aux travaux du Congrès, une vibrante ovation, puis on adopte à l'unanimité le rapport de M. Julien sur le commerce français. Contre les ententes professionnelles Abordant ensuite l'étude de la question des ententes professionnelles, M. Margaine, député de la Marne, expose les conditions qui sont, selon lui, à la base de l'utilisation rationnelle, système institué par la Chambre. C'est ainsi qu'il conseille d'organiser le commerce extérieur avant d'appliquer au commerce intérieur la loi d'ailleurs encore en | Presse le ministre de Roumanie Prs, 29. — Arrivé ce matin à Paris, vent de Belgrade où il avait conféré vc M. vJtce,tih président du Conseil de Yougoslavie, et de Btla où il tavia rencontré M. Benès, ministre des Af étrangères de Tchécoslovaquie, M. Titulesco, ministre des Affaires étrangères de Roumanie, s'est rendu ce matin, à 11 h. 45, au Quai d'Orsay, pour s'entretenir avec M. Pierre Laval de la situation tatonle. L'homme d'Etat rmn, qui est à Paris pour quatre ou cinq jours, compte rencontrer également M. Flandin, président du e.losCin 'entretien s'est prolongé jusqu'à midi 50. À la fin de leur conversation, les ministres des Affaires étrangères de France t de Roumanie ont reçu ebelemsn les représentants de la Presse. M. Ttlsc a commencé par déclarer : « Je suis très heureux de me retrouver ici ». À quoi M. Pierre Laval répondu : « Je suis très uxuehre moi-même d'avoir accueilli. » L'homme d'Etat rmn a poursuivi, tandis que son collègue français l'approuvait : « Cest l à dr ms cette constatation est d'n n intérêt politique, nous sommes, M. Pirr Laval et moi tout à fait d'accord r tous ls points. Ns avons eu, ce matin, une première prise de contact qui sera suivie de uaonvexu entretiens. » Le congrès radical M. Schltz préconise également la simplification de a procédure des faillites. l fau enfin proclamer, realcdé l'orateur, quune dette ne peut s'étndr que par son paiement intégral et .M Schultz affirme qu'il incombe à lEtat ed donner 'emxeepll en payant ses dettes extérieures. A ce moment, 'assemblée adresse au président Herriot, u arrive au Palais auRmea pour participer aux travaux du Congrès, une vibrante ovation, puis on adopte à 'uanmt le rapport de M. Julien sur le commerce français. Contre l ententes professionnelles Abordant ensuite l'étude de la question des ententes professionnelles, M. Margaine, député de la Marne, expose les conditions qui sont, snloe lui, à la saeb de l'utilisation rationnelle, système institué par la Chambre. C'est ainsi qu'il conseille d'organiser el commerce extérieur avant d'appliquer au commerce intérieur la loi d'ailleurs encore en |
matin, une première prise de contact qui sera suivie de nouveaux entretiens. » Le congrès radical M. Schultz préconise également la simplification de la procédure des faillites. Il faut enfin proclamer, déclare l'orateur, qu'une dette ne peut s'éteindre que par son paiement intégral et M. Schultz affirme qu'il incombe à l'Etat de donner l'exemple en payant ses dettes extérieures. A ce moment, l'assemblée adresse au président Herriot, qui arrive au Palais Rameau pour participer aux travaux du Congrès, une vibrante ovation, puis on adopte à l'unanimité le rapport de M. Julien sur le commerce français. Contre les ententes professionnelles Abordant ensuite l'étude de la question des ententes professionnelles, M. Margaine, député de la Marne, expose les conditions qui sont, selon lui, à la base de l'utilisation rationnelle, système institué par la Chambre. C'est ainsi qu'il conseille d'organiser le commerce extérieur avant d'appliquer au commerce intérieur la loi d'ailleurs encore en discussion au Parlement. Au nom de la Fédération des Bouches-du Rhône, M. Liautier a adressé de vives critiques au projet relatif aux ententes professionnelles, tel qu'il ressort des délibérations de la Chambre, et se rallie à la politique prudente et rationnelle que conseille M. Margaine. Après un long débat, le Congrès décide de renvoyer à la Commission du Commerce l'étude de la question. Le discours de M. Herriot M. Edouard Herriot, prenant alors la parole, déclare : « Notre parti, dit-il, a voulu souligner l'urgence qu'il y a à résoudre les difficultés de l'heure par des procédés réalistes, essentiellement démocratiques. » Et il rappelle les résultats particulièrement intéressants obtenus dans ce domaine par la Russie soviétique. L'orateur affirme qu'il croit dans l'avenir économique de la Russie. « Rappelez-vous, dit-il, il y a eu de cela longtemps, j'avais donné à ce pays le conseil de ne pas négliger la Russie politique ni la Russie militaire. Je crois qu'aujourd'hui on s'est sur ce point rendu à mon sentiment. » Maintenant, je vous donne un nouvel avertissement. J'ai visité la Russie, je l'ai étudiée de très près. La Russie soviétique est le seul pays du monde qui soit encore dans une période ascensionnelle. | matin, une première prs de qui sera suivie de nvx entretiens. » Le congrès radical . Schultz préconise lmn la simplification de la procédure des faillites. Il faut enfin proclamer, déclare l'orateur, qu'une dette ne peut s'éteindre que par son paiement intégral et M. Schultz am qu'il incombe à l'Etat de donner l'exemple en n ses dettes extérieures. ce moment, l'assemblée adresse président Herriot, qui ariv au Palais Rameau pour participer aux travaux du Congrès, une vibrante ovation, puis on adopte à l'nanii le rapport de . Julien sur le commerce français. Contre les ententes professionnelles Abordant ensuite l'étude de la sneqouti des ententes professionnelles M Margaine, député de la Marne, expose ls conditions qui sont, selon lui, à la base de l'utilisation rationnelle, système institué par la Chambre. C'est ainsi quil conseille d'organiser le commerce xtérr avant 'appliquer au commerce intérieur la loi d'ailleurs encore en discussion au .tPareemnl Au no de la Fédération des Bouches-du Rhône, M. Lae adressé de vives critiques au projet relatif aux ententes professionnelles, tel qu'il ressort des délibérations de la ame et se rallie à la politique prudente et rationnelle que conseille M Margaine. Après nu long débat, le Congrès décide de renvoyer à la Commission du Commerce létude de la question. L discours de M. Herriot M. Edouard Herriot, prenant alors la parole, déclare : « Notre parti, dit-il, a voulu souligner l'urgence qu'il y a à résoudre les difficultés de l'heure par des procédés réalistes, essentiellement qiucéer.adsotm » tE il rappelle les résultats particulièrement intéressants obtenus dans ce domaine par la Russie soviétique. L'orateur affirme q'l croit dans l'avenir économique de la Russie. « Rappelezvous li,t-id il y a eu de cela longtemps, j'avais donné à ce pys le conseil de ne pas négliger al use politique ni la Russie militaire. Je crois quaujourdhui on sest sur ec point rendu à mon sentiment. » Maintenant, je vous donne un nouvel avertissement. J'ai iité la Russie je l'ai étudiée de très près. La Russie soviétique est le seul pays du monde qui soit encore dans une période ascensionnelle. |
Congrès décide de renvoyer à la Commission du Commerce l'étude de la question. Le discours de M. Herriot M. Edouard Herriot, prenant alors la parole, déclare : « Notre parti, dit-il, a voulu souligner l'urgence qu'il y a à résoudre les difficultés de l'heure par des procédés réalistes, essentiellement démocratiques. » Et il rappelle les résultats particulièrement intéressants obtenus dans ce domaine par la Russie soviétique. L'orateur affirme qu'il croit dans l'avenir économique de la Russie. « Rappelez-vous, dit-il, il y a eu de cela longtemps, j'avais donné à ce pays le conseil de ne pas négliger la Russie politique ni la Russie militaire. Je crois qu'aujourd'hui on s'est sur ce point rendu à mon sentiment. » Maintenant, je vous donne un nouvel avertissement. J'ai visité la Russie, je l'ai étudiée de très près. La Russie soviétique est le seul pays du monde qui soit encore dans une période ascensionnelle. Presque toutes les nations du monde, même les Etats-Unis, sont, en effet, dans une période décroissante, parce que leur capacité de production a dépassé leur capacité de consommation. » La Russie, au contraire, en est encore à la période constructive et c'est d'ailleurs la raison pourquoi il n'y a point là-bas de chômage. » L'exemple russe L'orateur soulignant que la Russie entre aujourd'hui dans une période nouvelle parce qu'à une politique économique extensive, elle a substitué une politique économique intensive et qu'elle a introduit dans son économie la notion de qualité, attire une fois again l'attention des radicaux sur l'exemple russe, qui sera, dit-il, à l'est de l'Europe ce que fut l'Amérique à l'ouest. La situation internationale Faisant une rapide étude de la situation internationale, M. Edouard Herriot déclare que ceux qui répandent aujourd'hui le pessimisme dans le pays commettent une mauvaise action. « Il n'y a pas, dit-il, la moindre raison de perdre son sang-froid. J'aime cent fois mieux la situation internationale telle que nous la connaissons aujourd'hui que celle que nous connaissions il y a trois mois. » Et l'orateur s'affirme convaincu qu'il y a dans cette situation nouvelle un point de départ beaucoup plus sûr pour le | Congrès décide de renvoyer à la Commission du Commerce l'étude d la question. Le discours de M. Herriot M. Eauddor riot prenant alors la parole, déclare « rNeot parti, dit-il, a voulu souligner cnu'relge 'il a à résdr ls dffcltés de l'heure par des proédé réalistes, essentiellement démocratiques. » Et il rappelle les résultats paricuemn intéressants btns dans ce oadmine par la Russie oiqe L'orateur affirme 'il croit dans l'avenir économique de la Russie. « Rappelez-vous, dt-l, il y a eu de cela longtemps j'avais donné à ce pays le conseil de ne pas négliger la Rss pltq ni la Russie militaire. Je crois qu'aujourd'hui on s'est sur c point rnd à mon inmentste. » Mntnnt, je vous donne nu nouvel .mvitaeeresnst J'ai visité la Russie, je l'ai étudiée de très près. L Russie soviétique st le seul pays du mnd qui soit encore dans une période ascensionnelle. Presque toutes les nations du mond même Etats-Unis, sont, en effet, dans une pérd décroissante, parce que leur pcié de prdctn a aéédssp rleu capacité d consommation. » La Rss, contraire, n encore à la période viscetcuront t c'est d'ailleurs la raison pourquoi il y a point làbas de chômage. » eple usrse L'orateur sigan ueq la Russie entre aujourdhui dans une rie nouvelle parce qu'à une politique écnmq xtnsv, elle substitué une pltq économique intensive et leuq'le a introduit dns son économie la notion de qualié ttr une fois again altni'oetnt ds radicaux sur lepe russe, q sera, ditil à l'est de l'Europe ce q fut l'mérq à louest La situation teione Faisant n rapide étd e l situation internationale, M. Edouard Hrrt déclare que cx qui répndnt aujourd'hui l pessimisme dans le pays commettent une mauvaise action. « Il ny a pas, dit-il, la moindre rsaino d perdre son sang-froid. J'aime cnt fois exium la situation internationale telle qe nous la cnnssns aujourdhui que cll que nos cnnii il y a trois mois. » Et 'orateur frims'fae ncncuiavo qu'il dans tte situation nouvelle un point de dépt beaucoup plus sûr pour le |
là-bas de chômage. » L'exemple russe L'orateur soulignant que la Russie entre aujourd'hui dans une période nouvelle parce qu'à une politique économique extensive, elle a substitué une politique économique intensive et qu'elle a introduit dans son économie la notion de qualité, attire une fois again l'attention des radicaux sur l'exemple russe, qui sera, dit-il, à l'est de l'Europe ce que fut l'Amérique à l'ouest. La situation internationale Faisant une rapide étude de la situation internationale, M. Edouard Herriot déclare que ceux qui répandent aujourd'hui le pessimisme dans le pays commettent une mauvaise action. « Il n'y a pas, dit-il, la moindre raison de perdre son sang-froid. J'aime cent fois mieux la situation internationale telle que nous la connaissons aujourd'hui que celle que nous connaissions il y a trois mois. » Et l'orateur s'affirme convaincu qu'il y a dans cette situation nouvelle un point de départ beaucoup plus sûr pour le recours aux solutions internationales auxquelles, bien entendu, il demeure plus que jamais attaché. « C'est là, dit-il en terminant, aux applaudissements du Congrès, une base bien meilleure pour une politique de collaboration internationale à laquelle la majorité des Français veulent demander la sécurité. » Cette déclaration du président du parti radical est accueillie par de longues acclamations. Puis le Congrès, interrompant ses travaux, renvoie à cet après-midi la suite du débat. La séance de la dernière nuit, à la Chambre Nous avons signalé, dans les dernières éditions de notre numéro d'hier, qu'au cours de sa séance de nuit, la Chambre avait décidé de ne pas se mettre immédiatement en vacances et repoussé les dates de rentrée qui lui étaient suggérées. Au cours de cette séance, M. Flandin, rappelant le travail fait depuis le 15 janvier, a déclaré qu'il trouvait normale la séparation immédiate, d'autant plus que si les circonstances devenaient plus graves, le gouvernement pourrait toujours convoquer les Chambres. Il a affirmé à ce sujet : « Le gouvernement, en face de certains périls, ne restera ni inactif ni désarmé ». Après cette intervention, on a mis aux voix l'ajournement au 28 mai. Il a été repoussé par 362 voix | là-bs de chômage. » L'exemple russe tL'auroer uig que l Rss entre aujourd'hui dans une période nouvelle prc qu'à n politique économique tsive, elle substitué une politique économique intensive et qelle a introduit dans son économie la notion de qlt attire n fois again l'attention des radicaux sur 'exemple russe qui sera, dit-il, à l'est de l'Europe ce que ft 'Amérique à oe'st.lu La situation internationale Faisant rpd étude de la astoiunit internationale, M. Edouard Herriot déclare que ceux qui répandent aujourd'hui l pssmsm dans le pays commettent une muvas action. « Il n'y a pa,s dit-il, la moindre raison de perdre son sang-froid. 'aime cent fois mieux la situation ntrntnl telle que ns la connaissons aujourd'hui que celle que nous connaissions il y a trois ois » Et l'orateur s'affirme convaincu qu'il y a dans cette situai nouvelle un point de départ buoueacp plus sûr pour el recr aux solutions internationales auxquelles, bien entendu, il rmedeue plus que jamais attaché. « C'est ,là dit-il n terminant, aux applaudissements du Congrès, un base bien mleu pour une politique de collaboration internationale à laquelle al majorité des Français veulent demander la sécurité. » Cette déclaration du président du parti rdi est accueillie par de longues acclamations. Puis le Congrès, interrompant ss travaux, renvoie à ct après-midi la te du débt. séance de a drnèr nuit, à la Chambre Ns avons signalé, dans les dernières éditions de ntr numéro d'hr, qu'au ours de sa séance de nt, la Chambre avait décdé de ne pas se mettre mtidméeeminta en vacances et repoussé les dates de rentrée qui l étaient suggérées. cours de cette séance, M. Flandin rpplnt le travail ft depuis le 15 janvier, a ér qu'il trvt normale la sarat immédiate d'autant plus que si les cicnte devenaient plus graves, le gouvernement prrt jors convoquer les Chambres. Il a aré à ce sujet « Le gouvernement, en face de certin périls, ne era ni inactif ni désarmé ». Après cette intervention, on a mis aux voix l'ajournement au 28 mai. Il a été repoussé par 362 voix |
radical est accueillie par de longues acclamations. Puis le Congrès, interrompant ses travaux, renvoie à cet après-midi la suite du débat. La séance de la dernière nuit, à la Chambre Nous avons signalé, dans les dernières éditions de notre numéro d'hier, qu'au cours de sa séance de nuit, la Chambre avait décidé de ne pas se mettre immédiatement en vacances et repoussé les dates de rentrée qui lui étaient suggérées. Au cours de cette séance, M. Flandin, rappelant le travail fait depuis le 15 janvier, a déclaré qu'il trouvait normale la séparation immédiate, d'autant plus que si les circonstances devenaient plus graves, le gouvernement pourrait toujours convoquer les Chambres. Il a affirmé à ce sujet : « Le gouvernement, en face de certains périls, ne restera ni inactif ni désarmé ». Après cette intervention, on a mis aux voix l'ajournement au 28 mai. Il a été repoussé par 362 voix contre 238. L'ajournement au 21 mai a ensuite été repoussé par 301 voix contre 266. Finalement, l'Assemblée s'est ajournée à aujourd'hui samedi. Le vote de nos députés Scrutin sur l'ajournement de la Chambre des députés au 21 mai. (Résultat du pointage). Nombre de votants, 566 ; majorité absolue, 284 ; pour l'adoption, 266 ; contre l'adoption, 300. La Chambre des députés n'a pas adopté. Pour le Nord, MM. Lacourt, Delsart, Vincent Maurice, Parmentier, Faure, Plichon, Coutel, des Rotours ont voté pour. M. Nicolle s'est abstenu. M. Grousset était absent par congé. Tous les autres ont voté contre. Pour le Pas-de-Calais, MM. Taillon, Candeaux, Bacquet, Abrami, Dcrequy, Tillie, de Saint-Just ont voté pour. M. de Diesbach s'est abstenu. Tous les autres ont voté contre. Pour l'Aisne, MM. Lengrand, Feuillette, Blériot, Hauet ont voté pour. Tous les autres ont voté contre. Pour la Somme, MM. Coache, Basquin ont voté contre ; tous les autres pour. L'ENLÈVEMENT DU JOURNALISTE JAKOB Ses ouvriers le saluent chaque fois qu'il apparaît sur le chantier, le bras tendu à la naziste et les talons joints. Ils l'appellent commandant. Le major Kiehne est secondé par un jeune ingénieur de trente ans, bien connu dans la Reichswehr, M. Fures, | radical s eille par de longues acclamations. Puis l Congrès, interrompant ses travaux, renvoie à cet après-midi la suite d b La séance de la dernière nuit, à la Chambre Nous avons signalé, dans les dernières éditions de ntr numéro d'hier, qu'au cours de a séance de nuit, la Chambre avait décdé de ne pas se mttr immédiatement en vacances et oé les dates de rntré qui lui tit suggérées. cours de cette séance, M. Flandin, rappelant le travail fait depuis le 15 janvier, déclré qu'il trvt nrml la séparation immédiate d'autant plus que si les circonstances devenaient plus graves, le gouvernement pourrait toujours convoquer les Chambres Il a fmé à ce sujet : Le gouvernement, en face de certains périls, ne restera ni ncitfia désarmé » Après ctt itrveon on a mis aux voix l'ajournement au 28 mai. Il a téé repoussé par 362 voix contre 238. L'ajournement au 21 mai a ensuite été rpssé par 301 voix contre 266. Finalement, l'Assemblée sest ajournée à aujourd'hui smd. eL vote de nos députés rut sur l'ajournement de la Chambre ds députés au 21 mai. (Résultat du pointage). Nome de votants, 566 ; majorité absolue, 284 ; pr ladoption 26 ; contre l'adoption, 300. La Chambre dse députés n pas adopé. Pour le Nord, MM. Lacourt, Delsart, Vincent aurce Parmentier, Faure, Plichon, Coutel, des Rotours ont v pour. M. Nicolle s'est abstenu M. Grousset était bsnt par congé. Tous les autres ont voté cntr. Pour le Pas-de-Calais, MM. Taillon, Candeaux, Bacquet, bimraA, Dcrequy, Tillie, de Saint-Just nto voté pour M. de Diesbach sest abstenu. Tous les autres ont voté contre. Pour 'Aisne, MM Lengrand, Feuillette, Blériot, Hauet ont voté u Tous les trs ont voté contre. Pour la Somme, MM. Coache, Basquin ont voté contre ; tous les autres pour. LN'VTEÈNLEME DU JOURNALISTE BJOAK Ses vrrs e saluent chaque fois qu'il p sur le chantier, l bras tendu la naziste et les talons jnts. s l'appellent commandant. L major Kehn est secondé par un jeune ngénr de tret ans, bn connu dans al Reichswehr, M. rs,Feu |
pour l'adoption, 266 ; contre l'adoption, 300. La Chambre des députés n'a pas adopté. Pour le Nord, MM. Lacourt, Delsart, Vincent Maurice, Parmentier, Faure, Plichon, Coutel, des Rotours ont voté pour. M. Nicolle s'est abstenu. M. Grousset était absent par congé. Tous les autres ont voté contre. Pour le Pas-de-Calais, MM. Taillon, Candeaux, Bacquet, Abrami, Dcrequy, Tillie, de Saint-Just ont voté pour. M. de Diesbach s'est abstenu. Tous les autres ont voté contre. Pour l'Aisne, MM. Lengrand, Feuillette, Blériot, Hauet ont voté pour. Tous les autres ont voté contre. Pour la Somme, MM. Coache, Basquin ont voté contre ; tous les autres pour. L'ENLÈVEMENT DU JOURNALISTE JAKOB Ses ouvriers le saluent chaque fois qu'il apparaît sur le chantier, le bras tendu à la naziste et les talons joints. Ils l'appellent commandant. Le major Kiehne est secondé par un jeune ingénieur de trente ans, bien connu dans la Reichswehr, M. Fures, né en 1905, à Phalsbourg. On y chante beaucoup, affirmait l'hôtelier. Et qu'y chante-t-on ? Des hymnes à la gloire du nazisme et à la gloire de Hitler. Puis on y fait des conférences et, lorsque les hommes sont partis, les chefs demeurent en longs conciliabules avec des « gens venus de Paris ». Ces gens venus de Paris, la police semble les avoir identifiés. Ce sont : M. Stiecker, chef de la section étrangère des Nazis ; M. Klein, dirigeant suppléant des sections nazistes ; MM. Ravens et Kerschter, délégués par Berlin ; enfin, MM. Appel et Schneyer, chefs de la redoutable « Gestapo » berlinoise. Singuliers conciliabules avec Wesemann avant l'enlèvement de Jakob Il en est un autre dont la présence a été plusieurs fois signalée à Pont-de-l'Arche ; c'est le Docteur Wesemann, qui organisa le rapt de Berthold Jakob, et cela ne prouverait peut-être pas tellement de choses, si l'on ne devait ajouter que, le 24 février dernier, c'est-à-dire peu de jours avant le rapt du journaliste allemand, ces Messieurs, au tri 3 au complet, ont tenu de singuliers conciliabules dans le pavillon du major Kiehne. « De ces sortes de réunions nous ne sommes naturellement pas | pour l'adoption, 266 ; re l'adoption, 300. La Chmbr des éus n'a pas adopté. Pour le oNrd, MM. Lacrt, Delsart, Vincent Maurice, amen Faure, Plichon, Coutel, des Rotours nt voté .pruo M. Nicolle s'est abstenu M. Grousset était sbtane par congé. Tous les autres ont voté contre. Pour le Pas-de-Calais, MM. Taillon, Candeaux, Bacquet, Abrami, Dcrequy, Tillie, de Saint-Just ont voté ur M. de Diesbach s'est abste. Tous les autres ont voté contre. Pour 'Aisne, MM. Lngrnd, Feuillette, Blért, Hauet ont voté pour. Tous e autres ont voté contre. Pour la Somme, M Coache, Basquin ont voté contre ; tous els autres pour. 'ENLÈVEMENT DU JOURNALISTE J Ses ouvriers l slnt chaque fois qu'il apparaît sur le chantier, le bras tendu à al naziste et ls talons joints. Ils lappellent commandant. Le major Kiehne est secondé par un jeune ingénieur de trente ans, bien connu dans l Reichswehr, . Fures, é en 1905, Phalsbourg. n y cat beaucoup, affirmait l'hôtelier. Et qu'y chante-t-on Des hymnes à la gloire du nazisme et à la gloire de Hitler. Puis on y fait des conférences et, lorsque les hommes sont partis, les chefs dmrnt en longs conciliabules avec des gens venus de Paris ». Ces gens venus de Paris, al police semble les avoir identifiés. Ce sont : M. Stiecker, chf de la cio étrangère des Nais M. Klein, dirigeant suppléant des sections nazistes ; MM. Ravens et Kerschter, délégués par Berlin ; i MM. Appel et ,ehrenycS cs de la redoutable « Gestapo berlinoise. Singuliers conciliabules c Wesemann avant l'enlèvement de Jakob l en est un autre n la enéesrpc a été plusieurs fois signalée à Pont-de-'Arche ; cest Dctr Wesemann, qui organisa le rapt de Berthold Jakob, te cela ne prouverait peut-être pas tellement de choses, si l'on ne devait ajouter que, le 24 février dernier, c'est-à-dire peu de jrs avant le rapt du journaliste allemand, ces Messieurs, au tri 3 au complet, ont tenu de singuliers conciliabules dans le pavillon du major Kiehne. « De ces sortes de réunions u n sommes natrellet pas |
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de Berlin à Paris, le 23. Ils étaient le soir même à Pont-de-l'Arche. Ils n'ont couché dans aucun hôtel de la ville, mais le pavillon du major Kiehne offre de nombreuses chambres. La réunion qui ne comptait que quinze de ces Messieurs, a déclaré l'hôtelier, s'est terminée par un repas à huis clos. M. Kiehne proteste Rouen, 29. — En apprenant par la Presse ce dont on l'accusait, M. Kiehne a déclaré : « A partir de aujourd'hui, je ne lirai plus un seul journal français. » Cependant M. Kiehne a amassé sur son bureau une collection considérable de journaux. M. Kiehne ne veut fournir à la Presse aucun renseignement sur les allées et venues suspectes remarquées ces temps derniers à Pont-de-l'Arche. Qu'est venu faire Schleyer ? Qu'a-t-il dit ? Pour le moment, personne ne le sait. Espérons que la police réussira bientôt à l'établir. ...Et il est convoqué à l'ambassade d'Allemagne A la suite du bruit fait autour de la colonie allemande de Pont-de-l'Arche, l'ambassade d'Allemagne à Paris s'est émue. Elle a convoqué le docteur Kuhne. « Wesemann a été arrêté par des douaniers allemands », déclare un communiqué du Reich Berlin, 29. — Après avoir observé un silence absolu sur les circonstances dans lesquelles le journaliste allemand Berthold Jakob a été emmené en territoire allemand, les autorités du Reich font publier aujourd'hui par le D. N. B. la version officielle suivante : D'après les constatations faites jusqu'ici, Berthold Salomon, dénommé Jakob, avait déjà franchi illégalement la frontière franco-suisse. Il se proposait de passer illégalement aussi en territoire allemand pour s'y rencontrer avec des hommes de confiance. » Les douaniers allemands parvinrent à l'appréhender au moment où il passait la frontière. Il ne put justifier qu'à l'aide d'un passeport allemand depuis longtemps périmé et par conséquent non valable. » Salomon fut tout d'abord arrêté pour manque de papiers d'identité valables. Son arrestation fut ensuite décidée lorsqu'il fut établi qu'il s'agissait de Salomon, dont le casier judiciaire porte diverses condamnations pour trahison, recel, etc... » Une instruction est actuellement en cours contre Berthold Salomon pour différents délits, graves. Dans l'intérêt | de e à Paris, l 23. Ils étaient soir ê à n-elAh ls 'ont couché dans aucun hôtel la ville, mais le vln du major Kiehne offre de ms chambres. La réunion qui ne comptait qe quinze de ces Messieurs, déclaré l'hôtelier, s'est terminée par n repas à huis c M. Kiehne proteste Rouen, 29. En apprenant pr al Presse ce dont on l'accusait, M. Kiehne a déclaré : « A prtr d aujourdhui je ne lirai pu nu seul journal français. » Cependant . Kiehne a amassé sur son bureau une collection considérable de jrnx. M Kiehne ne veut fournir à la Presse aun rnseinm sur les allées venues sspcts remarquées ces temps derniers Pont-de-l'Arche. Quest venu fre Schleyer ? Qu'a-t-il dt ? Pour le moment, personne ne le st. Espérons que la police réussira bientôt à l'établir. ...Et il est convoqué à l'mbssd d'Allemagne A la suite du bruit fait atou de la colonie allemande de Pont-de-l'Arche, aaldsmbas'e d'Allemagne à Paris s'est émue. Elle a cnvqé le tcroude Kuhne. « Wesemann a té arrêté ar ds douaniers allemands », déclr un communiqué ud Reic Berlin, 29. — Après avoir observé un silence absolu sur lse circonstances dans lqlls le journaliste allemand Berthold Jak a t emmené en territoire allemand, les autorités du Rch font publier uiudhj'auro par l D . B. la version ffcll suivante : après les constatations faites jusquici Berthold Salomon dénommé Jakob, avait déjà franchi illégalement la frontière frnc-sss. Il se proposait de passer illégalement aussi en trrtr allemand pour s'y rncntrr avec des hommes e confiance. » Les douaniers allemands parvinrent l'aphedr ua moment ù il passait la frontière. Il ne upt justifier qu'à 'aide dun passeport allemand depuis longtemps périmé et par conséquent nn al. » Salomon fut tout br'odad arrêté pour mque de papiers d'identité valables. Son arrestation ft ensuite décidée lorsqu'il fut établi qu'il sagissait de Salomon, dont le casier judiciaire porte diverses condamnations puor trahison, recel, etc... » Une instruction est actuellement en cours contre Berthold Salomon pour ésrfifnetd dis graves. Dans l'intérêt |
absolu sur les circonstances dans lesquelles le journaliste allemand Berthold Jakob a été emmené en territoire allemand, les autorités du Reich font publier aujourd'hui par le D. N. B. la version officielle suivante : D'après les constatations faites jusqu'ici, Berthold Salomon, dénommé Jakob, avait déjà franchi illégalement la frontière franco-suisse. Il se proposait de passer illégalement aussi en territoire allemand pour s'y rencontrer avec des hommes de confiance. » Les douaniers allemands parvinrent à l'appréhender au moment où il passait la frontière. Il ne put justifier qu'à l'aide d'un passeport allemand depuis longtemps périmé et par conséquent non valable. » Salomon fut tout d'abord arrêté pour manque de papiers d'identité valables. Son arrestation fut ensuite décidée lorsqu'il fut établi qu'il s'agissait de Salomon, dont le casier judiciaire porte diverses condamnations pour trahison, recel, etc... » Une instruction est actuellement en cours contre Berthold Salomon pour différents délits, graves. Dans l'intérêt de l'instruction et pour permettre d'établir l'identité des acolytes de Berthold Jakob, aucune communication n'a pu être faite jusqu'ici sur cette affaire. » M. Guillaume continue son enquête Paris, 29. — Cet après-midi, M. Guillaume, commissaire à la police judiciaire, a entendu un nouveau témoin dans l'affaire Wesemann, M. Adolphe Philipsborn, 10, Avenue de la Porte de Ménilmontant. Après cette audition, M. Guillaume s'est rendu rue Cournot pour faire préciser à Mme Wesemann la date de son mariage et celle de son divorce. Mme Wesemann a également répondu à une question que lui posait le commissaire, que son mari avait fait la connaissance, il y a quelques années, de Schultz, un des chefs de la Gestapo, au moment où ce dernier fut impliqué dans l'affaire de la Sainte-Vehme et arrêté. Il dut interviewer Schultz à cette époque, mais ne l'a pas revu par la suite. LOTERIE NATIONALE. — Devant le succès obtenu par ses Participations au tirage de la 3ème tranche, RIVOIRE ET CARRET continue la vente de ses « VINGTIÈMES » dans toutes les Maisons d'Alimentation. Prix : 5 francs. 09437 tire en 5. nage : Les Sports En 8ème page : L'Echo agricole RÉGION NORD CALENDRIER Samedi 30 | absolu sur les circonstances dans lesquelles journaliste allemand Berthold Jakob a été emmené en territoire allemand, les autorités du Reich fnt publier aujourd'hui par le . N. B. la version officielle svnt : D'après les constatations faites jusqu'ici, Berthold Salomon, dénommé Jakob, avait à franchi illégalement la frontière franco-suisse. Il es proposait de passer illégalement aussi n territoire allemand pour s'y rencontrer avec des hommes de confiance. » Les douaniers allemands parvinrent à l'ppréhndr au moment où il passait la frontière Il ne put justifier qu'à l'aide d'un passeport allemand depuis longtemps périmé et par conséquent non valable. » Slmn ft tout d'abord arrêté pour manque de papiers d'identité valables. Son arrestation fut ensuite décidée lorsqu'il fut établi qu'il s'agissait de Salomon, dont le casier judiciaire porte diverses cnamnon pour trhsn, recel, etc... » Une instruction est actuellement en cours nre Berthold Salomon pour différents délits, graves. Dans linrt de l'instruction et oupr permettre d'établir l'identité des acolytes de Berthold Jakob, aucune communication n' pu être te jusqu'ici sur cette ffr. » M. Guillaume continue son enquête Paris, 29. — Cet après-midi, M. Guillaume, commissaire à la pl judiciaire, a ntnd un nouveau témoin dans l'affaire Wesemann, M. Ade Philibr, 10, vee de la Porte de Ménilmontant. Après cette audition, M. Guillaume s'est rendu rue Cournot pour faire préciser à Mme Wesemann la date de son mariage et le de son divorce. Mme Wesemann a également répondu à une question que lui posait le commissaire, que son mari avait fait la connaissance, il y a quelques années, de Schultz, n des chefs de la Gestapo, au moment où ce dernier fut impliqué dans l'affaire la Sainte-Vehme et arrêté. Il dut interviewer Schultz à cette époque, ms n la pas revu par la suite. LOTERIE NATIONALE. — Devant le succès btn par ses Participations au tirage de la 3ème tranche, RIVOIRE ET CARRET continue la n de ses « VINGTIÈMES » dans toutes les Maisons d'Alimentation. Prix : 5 frc. 09437 tr en 5. nage : Les Sports nE 8ème page : L'Echo agricole RÉGION NORD CALENDRIER Samedi 30 |
Philipsborn, 10, Avenue de la Porte de Ménilmontant. Après cette audition, M. Guillaume s'est rendu rue Cournot pour faire préciser à Mme Wesemann la date de son mariage et celle de son divorce. Mme Wesemann a également répondu à une question que lui posait le commissaire, que son mari avait fait la connaissance, il y a quelques années, de Schultz, un des chefs de la Gestapo, au moment où ce dernier fut impliqué dans l'affaire de la Sainte-Vehme et arrêté. Il dut interviewer Schultz à cette époque, mais ne l'a pas revu par la suite. LOTERIE NATIONALE. — Devant le succès obtenu par ses Participations au tirage de la 3ème tranche, RIVOIRE ET CARRET continue la vente de ses « VINGTIÈMES » dans toutes les Maisons d'Alimentation. Prix : 5 francs. 09437 tire en 5. nage : Les Sports En 8ème page : L'Echo agricole RÉGION NORD CALENDRIER Samedi 30 mars 1935. — 89e jour de l'année. — Soleil : lever à 5 h 36 ; coucher à 18 h. 16. Lune : lever à 3 h. 33 ; coucher à 13 h. 12. Saint du jour : Saint Ulphe Observations météorologiques faites à la Station de Lille le 29 mars 1935, à 18 h. : Baromètre, 770 m/m. 9 ; hausse depuis le matin à 9 heures : 4 m/m. 1. Thermomètre : Fronde, 6°1 ; minima, 5° ; maxi-ma, 12°1. Etat hygrométrique : 58. Hauteur d'eau tombée depuis le matin à 9 h. : Néant. Direction du vent : Nord ; force : Assez fort. Direction des nuages : Nord ; état, du ciel : Rares nuages. Prévisions pour la journée de samedi : Froid le matin, beau. OFFICE NATIONAL MÉTÉOROLOGIQUE Voici les prévisions de l'Office National Météorologique pour la journée du 30 mars et pour la région du Nord : Ciel brumeux, très nuageux, avec éclaircies, se couvrant en fin de matinée avec pluies faibles ; Vent du secteur Nord-Ouest faible ou modéré ; Température diurne en baisse ; gelées blanches par place. Minimum de température en baisse sur la veille. LA LOTERIE NATIONALE et la vente | Philipsborn, 10, Avenue de la Porte de Ménilmontant. Après cette dton M. Giame s'st rendu rue Cournot puro faire préciser à Mme Wesemann la date de son mariage et celle sn divorce. Mme Wesemann a également répondu à une question que posait le commissaire, que son mr avait fait la connaissance, li quelques années, de Schultz, un des chefs de la Gestapo, au moment où ce dernier fut impliqué dans 'affaire de la Sainte-Vehme et arrêté. Il dut weeiietnvrr Schltz à cette époque, mais ne l'a pas revu par la sut.ie LOTERIE NATIONALE. — Devant le ècuscs obtenu par ses rticii au tirage de la 3ème tranche, RVR ET CARRET continue la vente de ses « VINGTIÈMES » dans toutes les Mais 'Almentin Prix : 5 francs. 09437 tire en 5. nage : Les Sports En 8ème page : L'ch agricole RÉGION NORD CALENDRIER Smd 30 mrs 1935. — 89e jour de l'année. — Soleil : lever 5 h 36 ; coucher à 18 h. 16. Lune : lever à 3 . 33 ; coh à 13 h. 1 Saint du jour : Saint Ulphe Observations météorologiques faites à la Station de Lille le 29 mars 1935, à 18 h. : Bm 770 m/m. 9 ; hausse depuis le matin à 9 heures : 4 m/m. 1. Thermomètre : Fronde, 6°1 ; minima, 5 ; maxi-ma, 12°1. Etat hygrométrique : 58. Hauteur 'eau tombée depuis le matin à h : Néant. Direction du vent : Nord ; force : ssz fort. Direction des nuages : Nord ; ,téat du ciel : are nuages. Prévisions pour la journée de samedi : Froid le matin, beau. OFFICE NATIONAL MÉTÉOROLOGIQUE Voici les prévsns de l'Office National Météorologique pour la journée d 0 mars et r la région du Nord : Ciel brumeux, très nuageux, avec éclrcs, s couvrant en fin de matinée avec pluies faibles ; tVne du secteur Nord-Ouest faible ou mdéré Température diurne en baisse ; ges blanches par place. Minimum d température en baisse sur la vll. L LOTERIE NATIONALE et la vente |
mars 1935, à 18 h. : Baromètre, 770 m/m. 9 ; hausse depuis le matin à 9 heures : 4 m/m. 1. Thermomètre : Fronde, 6°1 ; minima, 5° ; maxi-ma, 12°1. Etat hygrométrique : 58. Hauteur d'eau tombée depuis le matin à 9 h. : Néant. Direction du vent : Nord ; force : Assez fort. Direction des nuages : Nord ; état, du ciel : Rares nuages. Prévisions pour la journée de samedi : Froid le matin, beau. OFFICE NATIONAL MÉTÉOROLOGIQUE Voici les prévisions de l'Office National Météorologique pour la journée du 30 mars et pour la région du Nord : Ciel brumeux, très nuageux, avec éclaircies, se couvrant en fin de matinée avec pluies faibles ; Vent du secteur Nord-Ouest faible ou modéré ; Température diurne en baisse ; gelées blanches par place. Minimum de température en baisse sur la veille. LA LOTERIE NATIONALE et la vente des dixièmes de billets Des députés du Nord et du Pas-de-Calais déposent une proposition de résolution L'on nous fait part d'une proposition de résolution tendant à déterminer les conditions dans lesquelles peuvent être mis en vente les dixièmes de billets de la Loterie Nationale et, en général, des loteries émises avec l'autorisation et sous le contrôle de l'Etat, et à préciser la rémunération équitable que peuvent prélever les vendeurs de ces billets, en compensation des frais engagés et des risques courus à l'occasion de ces ventes, et déposée par : MM. Léon Delsart, Appourchaux, Paul Bacquet, Desprez, des Rotours, Guillemin, de Diesbach, Canda, Tillie. Couteau, Maurice Vincent, Coache et Lacourt, députés. En voici la teneur : Un certain nombre de maisons de crédit, en vue de permettre aux personnes de condition modeste, qui n'ont pas la possibilité d'acheter un billet entier de la Loterie Nationale ou de la Loterie des Régions Libérées, ont mis en vente des dixièmes de ces billets tout en se permettant de réclamer aux acheteurs une modeste rémunération, généralement de un franc, pour un billet vendu 10 francs, en compensation de leurs frais pour les opérations de vente, achat de papier, frais d'impression, supplément de personnel | mars 1935 à 1 h. : Baromètre, 770 m/m. 9 ; hausse depuis le matin à heures : 4 m/m. 1. Thermomètre : Fronde 6°1 ; minima, 5° ; maxi-ma, 12°1. ta hygrmétrq : 58. Hauteur a tée depuis le matin à 9 h. : Néant. Direction ud vent : Nord ; force : Assez fort. Direction des nuages : Nord ; état, du ciel Rares nuages. Prévisions pour la journée ed samedi : Frd le matin, b OFFICE NATIONAL QOÉIEMOGLUOTRÉ Voici les prévisions de l'Office National Météorologique pour la journée du 30 mars et pour la réi du Nord : Ciel brumeux, rèst nuageux, avec éclaircies, se couvrant en fin de matinée avec pluies faibles ; Vent u rtcuees Nord-Ouest faible ou modéré ; Température diurne en baisse gelées blanches pra place. Minimum de température en bsesai sur la vll. LA LTR NATIONALE t la vente des dixièmes de billets Des députés d od et du Pas-de-Calais déposent une proposition d réslution L'n nous ft part dune proposition de résolution tendant à déterminer les cndtns dans lesquelles peuvent êtr mis ne ntvee les dixièmes d billets de la otri Nationale et, n général, des loteries émises avec lautorisation et sous le contrôle de l'Etat, et à préciser la rémunération équitable que pevnt prélever les vendeurs de ces billets, en compensation des frais nggés t ds risques courus à 'occasion de ces ventes, et déposée par : MM. Léon Delsart, Appourchaux, Paul Bacquet, Desprez, des Rotours, Guillemin, de Diesbach, Canda, Tillie Couteau, Maurice Vincent, Cahe et Lacourt, députés. En voici la tneu : Un certain nmbr de maisons crédit en vue de permettre aux personnes de condition modeste, qui n'ont pas l pssblté d'chtr un elbtil entier de la Loterie Nationale ou de la Loterie des Régions bs ont mis en vente des ix d sec billets tout en se permettant d réclamer ux acheteurs une modeste rémunération, généralement de un arfnc, pour un billet vendu 10 francs en comion d le fs pour les opérations de vente, achat de papier, frais 'impression, supéen d prsnnl |
avec l'autorisation et sous le contrôle de l'Etat, et à préciser la rémunération équitable que peuvent prélever les vendeurs de ces billets, en compensation des frais engagés et des risques courus à l'occasion de ces ventes, et déposée par : MM. Léon Delsart, Appourchaux, Paul Bacquet, Desprez, des Rotours, Guillemin, de Diesbach, Canda, Tillie. Couteau, Maurice Vincent, Coache et Lacourt, députés. En voici la teneur : Un certain nombre de maisons de crédit, en vue de permettre aux personnes de condition modeste, qui n'ont pas la possibilité d'acheter un billet entier de la Loterie Nationale ou de la Loterie des Régions Libérées, ont mis en vente des dixièmes de ces billets tout en se permettant de réclamer aux acheteurs une modeste rémunération, généralement de un franc, pour un billet vendu 10 francs, en compensation de leurs frais pour les opérations de vente, achat de papier, frais d'impression, supplément de personnel et risques divers. Le public a été informé que des informations judiciaires avaient été suivies contre plusieurs vendeurs de ces dixièmes de billets de loterie, à qui on reprochait d'avoir fait monter le prix des billets de loterie à un taux supérieur à celui de leur valeur réelle. C'est ainsi qu'un agent de change, poursuivi pour avoir vendu au-dessus de 10 francs des dixièmes de billets de la Loterie Nationale, fut relaxé des fins de la poursuite par le Tribunal correctionnel de Lille. Devant un autre tribunal, siégeant dans une autre ville, quelques jours plus tard, pour le même délit, deux condamnations de principe ont été prononcées. Le tribunal correctionnel de Marseille a de même condamné, en basant son jugement sur l'article 6 de la loi du 23 décembre 1923, d'après lequel les billets de loterie ne peuvent être vendus au-dessus de leur cours d'émission, le législateur ayant voulu empêcher que les billets de la Loterie Nationale fassent l'objet de spéculations. Tout en maintenant la lettre et l'esprit de la loi du 23 décembre 1923, il apparaît équitable de permettre aux vendeurs de billets de loterie, de prélever une modeste et juste rémunération en compensation des frais engagés et des | avec l'autorisation et sous l contrôle de l'Etat, t à préciser la rémunération équitable que peuvent prélever les vendeurs de ces bllts, n compensation des frais engagés et ds risques courus à l'occasion de cse ventes, t dse par MM Léon Delsart, Appourchaux, Paul utaqec,B Desprez, des Rotours, Guillemin, de Diesbach, Canda, Tillie. Couteau, Maurice Vincent, Coache et Lcrt, dpts. voici la tur : Un certain nombre de msns de crédit, en vue de mpteetrre aux personnes de condition modeste, qui n'ont ps la possibilité d'aht n billet entier de la Loterie Nationale ou de al Loterie de Régions Lbérés, nt mis n ente des dixièmes de ces bill tout en se prmttnt de réclamer aux acheteurs une modeste rémunération, généralement de un franc, pour un lilbte vendu 10 francs, compensation de lures frais pour les opérations d vente, achat de papier, frais d'impression, pénltpsmeu de personnel te risques divers. Le public a été noé ue des tosirmfonain judiciaires avaient été suivies contre plusieurs er de ces dixièmes d lsbltie de loterie, à qui on rprcht d'vr ft monter le prix des bllts de loterie à un taux supérieur à celui de leur valeur réelle. C'est ainsi quun agent de change, poursuivi pour avoir vendu au-dessus ed 10 rcsnaf des dxèms de billets de la Loterie Nationale, ft relaxé ds fns de la poursuite par le Trba correctionnel d Lille. Devant un autre un, siégeant dans une aute ville, euqlqseu jours plus tard, pour le êe délit, deux condamnations de principe ont été prononcées. Le tribunal correctionnel de Marseille a de même comé en basant son jugement su l'article 6 d la o du 23 décmbr 1923, d'près lequel ls billets de loterie ne peuvent être vendus au-dessus de leur crs 'is, le légsltr ayant voulu empêcher que les billets de la Loterie Nationale fassent l'bjt d spéculations. Tout en mntnnt la lettre et l'esprit de la loi du 23 décembre 1923, il apparaît équitable de permettre aux vendeurs de bltiels de ri, de prélever n modeste t juste rémunération en compensation des frais engagés et des |
qu'un agent de change, poursuivi pour avoir vendu au-dessus de 10 francs des dixièmes de billets de la Loterie Nationale, fut relaxé des fins de la poursuite par le Tribunal correctionnel de Lille. Devant un autre tribunal, siégeant dans une autre ville, quelques jours plus tard, pour le même délit, deux condamnations de principe ont été prononcées. Le tribunal correctionnel de Marseille a de même condamné, en basant son jugement sur l'article 6 de la loi du 23 décembre 1923, d'après lequel les billets de loterie ne peuvent être vendus au-dessus de leur cours d'émission, le législateur ayant voulu empêcher que les billets de la Loterie Nationale fassent l'objet de spéculations. Tout en maintenant la lettre et l'esprit de la loi du 23 décembre 1923, il apparaît équitable de permettre aux vendeurs de billets de loterie, de prélever une modeste et juste rémunération en compensation des frais engagés et des risques courus par eux à l'occasion de la mise en vente de ces billets. Il importe, par ailleurs, de mettre fin par un texte de loi précis à une divergence de jurisprudence, sur laquelle la Cour de Cassation ne s'est pas encore prononcée. C'est pourquoi nous avons l'honneur de déposer la proposition de résolution suivante : PROPOSITION DE RESOLUTION La Chambre invite le gouvernement à déposer d'urgence un projet de loi afin de déterminer les conditions dans lesquelles peuvent être mis en vente les dixièmes de billets de la Loterie Nationale et, en général, des loteries émises avec l'autorisation et sous le contrôle de l'Etat, et à préciser la rémunération équitable que peuvent prélever les vendeurs de ces billets en compensation des frais engagés et des risques courus à l'occasion de ces ventes. Nos lecteurs écrivent À PROPOS DU MARASME DE LA PÊCHE À BOULOGNE M. A. Delchambre, ingénieur-conseil à Lille, nous écrit : Monsieur le Directeur, Le cri d'alarme, jeté par l'un de vos rédacteurs, dans un article de votre très estimable journal, sur la pêche de Boulogne, n'est, hélas, que trop conforme à la réalité dramatique des faits. La pêche se meurt, la pêche est morte. S.O.S. au | qu'un agent de change, poursuivi pour avoir vendu au-dessus e 10 francs des dixièmes de billets de la Ltr Nationale, fut relaxé des fins de la poursuite par le Tribunal correctionnel de Lille. Devant un autre tribunal, siégeant dans une autre ville, quelques jours pls tard, pour le même délit, dx condamnations de principe ton été prononcées. Le tribunal correctionnel de Marseille a de même condamné, en basant sn jgmnt sur l'rtcl 6 de la loi du 23 décembre 1923, d'après lequel les billets de loterie ne peuvent être vendus au-dessus de leur cours d'émission, le législateur ayant voulu empêcher que les billets de la Loterie Nationale fassent l'objet de spéculations. out en mtean la lettre et l'esprit de la loi du 23 décembre 1923, il apparaît équitable de permettre aux vendeurs de billets d loterie, de prélever une modeste et juste rémunération en compensation des frais engagés et esd rsqs courus par eux à l'occasion de la mise en vente de ces billets. Il importe, par ailleurs, de mettre in pr n texte de loi précis à une divergence de jurisprudence, sur laquelle la Cour de Cassation ne s'est pas encore prononcée. C'est pourquoi nous avons l'honneur d déposer la proposition de résolution suivante : PROPOSITION DE RESOLUTION La Chambre invite le gouvernement à déposer durgence un projet d loi afin de déterminer les conditions dans lesquelles peuvent être mis en vente les dixièmes de billets de la Loterie Nti et, en général, des loteries émises avec l'autorisation et sous le contrôle de l'Etat, et à précsr la rémunération équitable que peuvent prélvr les vendeurs de ces billets n compensation des frais engagés et des risques courus à l'occasion de ces ventes. Nos lecteurs éet À PROPOS DU MARASME DE LA PÊCHE BOULOGNE M. A Delchambre, ingénieur-conseil à Lille, nous écrit : oer le Directeur, Le cri 'alarme, tejé par l'un de vos rédacteurs, dans un article de vtr très estimable joual, sur la pêche d Blgn, n'est, hélas, qu trop conforme à la réalité dramatique des faits. La pêche es meurt, la pêche est morte. S.O.S. au |
la proposition de résolution suivante : PROPOSITION DE RESOLUTION La Chambre invite le gouvernement à déposer d'urgence un projet de loi afin de déterminer les conditions dans lesquelles peuvent être mis en vente les dixièmes de billets de la Loterie Nationale et, en général, des loteries émises avec l'autorisation et sous le contrôle de l'Etat, et à préciser la rémunération équitable que peuvent prélever les vendeurs de ces billets en compensation des frais engagés et des risques courus à l'occasion de ces ventes. Nos lecteurs écrivent À PROPOS DU MARASME DE LA PÊCHE À BOULOGNE M. A. Delchambre, ingénieur-conseil à Lille, nous écrit : Monsieur le Directeur, Le cri d'alarme, jeté par l'un de vos rédacteurs, dans un article de votre très estimable journal, sur la pêche de Boulogne, n'est, hélas, que trop conforme à la réalité dramatique des faits. La pêche se meurt, la pêche est morte. S.O.S. au Gouvernement. S.O.S. aux fournisseurs. S.O.S. aux clients. Hélas, personne ne veut entendre ! L'État a besoin de toutes les ressources d'un budget pourtant trop lourd, pour ses fins politiques. Les fournisseurs succombent sous le poids des impôts directs et indirects, leur trésorerie chancelle, les réserves prudentes des bonnes années sont englouties, le spectre de la faillite hante leurs nuits d'insomnie. Ils ne peuvent, dans ces conditions, abaisser leurs prix. Quant aux clients, j'entends ceux qui mangent encore à leur faim, ils sont contraints de se tourner vers les articles d'alimentation à bon marché. Ce n'est pas le poisson, aliment de premier ordre pour tous les âges, qu'ils envisagent de se procurer. Ils le savent trop cher à Lille, même quand il est pour rien à Boulogne. J'ai tenté l'expérience cette semaine. Dans une maison, l'on m'a fait sept francs la dorade. Entendez bien, 7 fr. la livre, 14 fr. le kilo. Dans une autre six francs la livre le cabillaud et un marchand des rues, un nomade, m'a consenti le prix de six francs le kilo pour des maquereaux de conservation plus que douteuse, qui sentaient leur alcali, comme un garçon de laboratoire. Qu'auriez-vous fait à ma place, Monsieur le | la proposition résolution suivante : PROPOSITION DE RESOLUTION La rChemab invite le gouvernement à déposer gnerdu'ec n projet de loi afin de déterminer les ndii dans sleequesll pvnt être mis en ete les dixièmes de billets de la Loterie Nationale et, en général, ds loteries émises vc 'autorisation et sous le contrôle d l'Etat, et pscérrei al rémunération équitable q pvnt eevérrlp les vendeurs de cs billets en cmpnstn des frais engagés et de risques corus à loccasion de ces ventes. Nos lecteurs écrivent À ROPO DU MARASME DE LA PÊCHE À BOULOGNE .M Delchambre, nnigéulsc-oiieren à Lille, nous écrt : Monsieur le Directeur, Le cri d'alarme, jeté par l'n de sov rédacteurs, dans un article de votre très estible journal, sur la pêche de Boulogne, n'est, hélas, que trop fmneoroc à la réalité drmtq des ts. La pêche se meurt, la ceêph est morte S.O.S. au Gvrnmnt. S.O.S. x fournisseurs. ... aux clients. Hélas, personne ne veut entendre ! L'État a besoin de o les reorces d'un budget pourtant trp lourd, pour ses fins ipu.itsoeql Les fournisseurs succombent su e pids des impôts directs et indirects, leur trésorerie chancelle, ls réserves prdnts des bonnes nés sont nglts, le spectre de la faillite hante leurs nuits dinsomnie Ils ne peuvent, dns ces conditions abaisser leurs prix. Qnt x clients, j'entends ceux qi mangent encore à leur faim, ils sont contraints de se tourner vers ls aices d'alimentation bon marché. Ce ' pas le poisson, aliment de premier ordre pour tous les âges, qu'ils isant de se ceo.rrrpu Ils le savent trop cher Lille, mêm qnd il est pour rien à Boulogne. J'ai tenté l'expérience tecet semaine. Dans une maison, l'on m'a fait sept francs la dorade. Entendez bien, fr l livre, 14 fr. l kilo Dans une t sx francs la livre le cabillaud et un marchand des rues, n mo,dena m'a consenti le prx de sx francs le kilo pour des maquereaux de conservation pls que douteuse, qui sntnt leur lcl, comme un garçon de laboratoire. Qauriezvos fait ma place, Monsieur le |
englouties, le spectre de la faillite hante leurs nuits d'insomnie. Ils ne peuvent, dans ces conditions, abaisser leurs prix. Quant aux clients, j'entends ceux qui mangent encore à leur faim, ils sont contraints de se tourner vers les articles d'alimentation à bon marché. Ce n'est pas le poisson, aliment de premier ordre pour tous les âges, qu'ils envisagent de se procurer. Ils le savent trop cher à Lille, même quand il est pour rien à Boulogne. J'ai tenté l'expérience cette semaine. Dans une maison, l'on m'a fait sept francs la dorade. Entendez bien, 7 fr. la livre, 14 fr. le kilo. Dans une autre six francs la livre le cabillaud et un marchand des rues, un nomade, m'a consenti le prix de six francs le kilo pour des maquereaux de conservation plus que douteuse, qui sentaient leur alcali, comme un garçon de laboratoire. Qu'auriez-vous fait à ma place, Monsieur le directeur? Vous vous seriez passé de poisson. C'est ce que j'ai fait ou plutôt, j'ai achevé une boîte de thon, que ma ménagère a fondu dans une salade de haricots. Et Boulogne s'est passé de ma commande, comme il se passe, chaque jour dans toute la France, de millions de consommateurs, faute de régularité dans les prix et de bien d'autres choses. Les statistiques dévoilent que la France ne consomme que quatre kilos de poissons par tête d'habitant, contre trente-deux en Angleterre, quatre-vingts au Japon, deux cents en Norvège. Il faut des raisons graves pour expliquer une telle carence. On les trouve dans le manque d'entente entre les armateurs, dans l'entêtement de conserver des moyens désuets de pêche et de conservation du poisson à bord de leurs chalutiers, dans les prix trop bas consentis par les mareyeurs aux Halles, faute de cohésion encore. Dans une thèse désormais célèbre de M. Reisenthel. avocat de Cour d'Appel à Douai, n'était-il pas prouvé que les découverts de l'un et l'autre, en banque se balançaient à six mois d'intervalle, et que par conséquent une entente entre les parties eût supprimé les agios par un simple jeu d'écriture ? Pourquoi cela ne se fait-il pas | engltie, le spctr de la faillite hante lrs nuits 'insomnie. Ils ne peuvent, dans ces conditions, abaisser leurs prix. Quant aux clients j'entends ceux qui mangent encore à leur faim, ils sont contraints de se trnr vers les articles tinmoae'ntadli à bn marché. Ce n'est asp le poisson lmnt d premier odr pour tous ls âges, q'is envisagent de s procurer. Ils le savent orpt cher à Lille, même quand il est pour rien à Boulogne. J'ai tenté 'expérience cette smn. Dans une maison l' m'a fait sept francs la dorade. Entendez bien, 7 fr. la livre, 14 fr. le kilo. Dans une ate xis francs la livre e cabillaud et un marchand ds rues, un ae, m'a consenti le xrip de six francs le kilo urop des maquereaux de cnsrvtn plus que douteuse, qui sentaient leur lcl, comme un garçon de laboratoire Q'rz-vs fait à m place, Monsieur le ect? Vous vous seriez passé de poisson. 'est ce que jai fait ou plutôt, 'ai éecavh une boîte d thon, que ma ménagère a fondu dans une salade de haricots. Et Boulogne s'est passé de ma commande, comme il se passe, chaque jour dans toute la France, de millions de consommateurs, faute de régularité dans les prix et de bien d'trs oehs.sc Les statistiques dévoilent que la France ne consomme q quatre l d poison par tête tnd,iatahb' contre trentedeux en Angleterre, quatrevingts au Japon, deux cents en Norvège. Il faut ds raisons gae pour expliquer une tll re On les trouve dans le manque d'entente entre les armateurs, dans l'entêtement de conserver des moyens désuets de pêch et de coseti du poisson à brd de leurs chalutiers, dans les prix potr bas cos par les mareyeurs aux Halles, faute de cohésion encore. Dans une thèse désormais cér d M Reisenthel. avoca d Cour dl'pApe à Douai, n'était-il as prvé que les découverts de l' et l'autre, en banque s balançaient à six mois dintervalle et que pr conséquent une entente ntr les parties eût supprimé les agios par un simple jeu d'écriture ? Pourquoi cela ne se fat |
consommateurs, faute de régularité dans les prix et de bien d'autres choses. Les statistiques dévoilent que la France ne consomme que quatre kilos de poissons par tête d'habitant, contre trente-deux en Angleterre, quatre-vingts au Japon, deux cents en Norvège. Il faut des raisons graves pour expliquer une telle carence. On les trouve dans le manque d'entente entre les armateurs, dans l'entêtement de conserver des moyens désuets de pêche et de conservation du poisson à bord de leurs chalutiers, dans les prix trop bas consentis par les mareyeurs aux Halles, faute de cohésion encore. Dans une thèse désormais célèbre de M. Reisenthel. avocat de Cour d'Appel à Douai, n'était-il pas prouvé que les découverts de l'un et l'autre, en banque se balançaient à six mois d'intervalle, et que par conséquent une entente entre les parties eût supprimé les agios par un simple jeu d'écriture ? Pourquoi cela ne se fait-il pas ? Pourquoi cela ne se fera-t-il jamais ? Il y a aussi la joie pour l'armateur de faire un bon coup après une grande tempête, par exemple, en trouvant un prix exagéré de sa pêche. Tout cela est enfantin et dangereux. Le résultat que vous signalez le prouve surabondamment. Veuillez agréer, etc... Une grève des étudiants en médecine de la Faculté Catholique de Lille La Fédération des Etudiants de l'Université Catholique de Lille, d'accord avec l'Association Corporative des Etudiants en Médecine de Paris, a invité les Etudiants de la Faculté Catholique de Médecine de notre ville à faire grève les 29 et 30 mars, par solidarité avec tous les Etudiants français, qui réclament des mesures spéciales à l'égard des étrangers et l'application immédiate des projets Armbuster et Dommange ; lesquels projets autoriseront les étrangers à exercer la médecine, en France, dix ans après leur naturalisation et après qu'ils se seront acquittés des obligations militaires. L'appel du Comité d'Entente des Associations d'Etudiants en Médecine de Paris qui représente : l'Association Amicale des internes en exercice ; l'Association professionnelle des externes en exercice ; l'Association amicale des Etudiants en Médecine de Paris et l'Association Corporative des Etudiants en Médecine, a été entendu | consommateurs, faute ed luigaértré n les prix et de bien d'autres ces Les statistiques dévoilent que l France ne cnsmm que quate kilos de poissons par tête dhabitant cntr trente-deux en Angleterre, quatre-vingts au Japon, deux cents en Norvège Il faut des raisons graves pour qrupxliee une telle carence. On les trouve dans le manque d'entente entre les armateurs, dans l'entêtement de conserver dse moyens tsueséd de pêche et de conservation sopsoin bord de leurs chalutiers, dans les prix to consentis rap les mareyeurs ux Halles, uafet de cohésion encore. Dans une thèse désormais célèbre d M. Reisenthel. vct de Cu d'Appel à Di n'était-il pas prvé que les urt de l'un et l'autre, en banque se enbtlaaainç six m d'intervalle, et que par conséquent une entente entre les parties eût supprimé les gs ar un smp jeu d'écriture ? Pourquoi el ne se fait-il pas Piuqoruo cela ne se a-efrtli- amais ? Il y a aussi la je pour l'armateur de faire un bon up après une grnd tempête, par exemple, en trouvant un prix xgér e sa pêche. outT ce est iafntnen et dangereux. L résultat vous signalez le prouve surabondamment. Veuillez agréer, etc... Une grève des étudiants n méec de la Faculté Catholique de Lille La Fédération ds Etudiants ed l'Université Catholique d Lll, d'accord avec l'Association Corporative des Etudiants Médecine de Paris a invité les Etudiants de la Faculté Catholique de ec de notre ville à ifera grève les 29 et 30 mars, par solidarité avec tous les Etudiants français, uqi réclament des mesures écae à l'égard eds étrngrs t l'application immédiate des projets bmtsrAure t Dommange lesquels projets autoriseront les étrangers à rxercee la médecine, e France, dix ans après lr naturalisation et après 's se srnt acquittés des obligations mltrs. L'appel du Comité d'Entente des Associations d'Etudiants en Médecine de Paris q représente ilossatnci'oA Amicale des internes en exercice ; l'Association professionnelle des externes en exercice ; l'ssctn amicale des Etudiants en Médecine de Paris et l'Association Corporative dse Etudiants en Médecine a téé entendu |
agréer, etc... Une grève des étudiants en médecine de la Faculté Catholique de Lille La Fédération des Etudiants de l'Université Catholique de Lille, d'accord avec l'Association Corporative des Etudiants en Médecine de Paris, a invité les Etudiants de la Faculté Catholique de Médecine de notre ville à faire grève les 29 et 30 mars, par solidarité avec tous les Etudiants français, qui réclament des mesures spéciales à l'égard des étrangers et l'application immédiate des projets Armbuster et Dommange ; lesquels projets autoriseront les étrangers à exercer la médecine, en France, dix ans après leur naturalisation et après qu'ils se seront acquittés des obligations militaires. L'appel du Comité d'Entente des Associations d'Etudiants en Médecine de Paris qui représente : l'Association Amicale des internes en exercice ; l'Association professionnelle des externes en exercice ; l'Association amicale des Etudiants en Médecine de Paris et l'Association Corporative des Etudiants en Médecine, a été entendu par les Etudiants de la « Catho » de Lille. Nous avons vu, vendredi dans la matinée, l'un des dirigeants de l'Association catholique des Etudiants en médecine qui nous a affirmé cette décision de solidarité de ses camarades de Lille. — Nos délégués, nous a-t-il dit, ont tenu, jeudi matin, une réunion et il a été décidé que l'on suivrait les directives du Comité d'entente des Associations de Paris. « A la « Catho », de Lille, ajouta-t-il, nous sommes au nombre de quelque cent cinquante étudiants en médecine. Il a été convenu, que, dans la matinée de vendredi, l'on n'assisterait pas aux séances d'examen des malades, dans les dispensaires. Dans l'après-midi, nos camarades n'assisteront pas plus aux différents cours de la Faculté. — Et dans les hôpitaux ? avons-nous demandé. — Je puis vous affirmer que les externes et les internes ont assuré, comme convenu, leur service dans tous les hôpitaux de Lille. Dans un établissement hospitalier de notre ville, où nous nous sommes rendus, nous avons en effet, lu un avis émanant de l'A.C.E.M., qui invitait les externes et les internes des hôpitaux à assurer leur service. Ce même avis disait en outre : « Tous les étudiants | agréer etc... Une grèv des étudiants en mdcin de la éalFutc Catholique de Lille La Fédération ds Etudiants de l'Université Catholique de Lille, 'accord aevc 'Association Crprtv des Etudiants en Médecine de Paris, a invité les Etudiants de la Fclté Catholique de Médecine de notre vll à faire grève les 29 et 30 mars, par solidarité avec tous les Etudiants français, qui réclament des mesures sies à l'égard des étrngrs et l'application immédiate des projets Armbuster et Dommange ; lesquels projets oront les étrangers à exercer a médecine en France, dix ans après ur naturalisation et après qu'ils se seront acquittés ds obligations militaires. L'appel ud Comité d'Entente des Associations d'Etudiants en Médecine de r qui représente : l'Association Amicale des enisnter en exercice ; l'Association professionnelle dse externes en exercice ; l'Association amicale des Etudiants en Médecine de Prs et l'Association Crprtv des Etudiants en Médecine, a été entendu par les Etudiants de la Catho de Lille Nous avons , vendredi dans la matinée, l'un des rtgdinieas de l'Association catholique des Etudiants en médecine qui nous a affirmé cette décision d solidarité de ses camarades de Lille. — Nos ,géédsélu nous -t-l dt, ont tn, udeji matin, une réunion et il a été décdé que l'on svrt les directives du Comité d'entente sed Associations de Paris. « A la « Catho », de Lille, ajouta--il, nous sommes au nombre de quelque c cinquante étudiants en médcn. Il a é convenu, que, dans la matinée vndrd, l'on n'assisterait pas aux séances d'examen ds malades, dans les dispensaires. Dans l'après-midi, nos camarades i'tosratsnsen pas plus aux différents cours de la Faculté. — t dans les hôpitaux ? avons-nous demandé. — Je puis vous affirmer que les externes et les internes ont assuré, cmm convenu, leur srvc as tous les hôpitaux de Lille. Dans un établissement hospitalier d notre ville, où nous nous sommes use,rdn nous avons en effet, lu un avis émanant de l'A.C.E.M., qui invitait ls externes et les internes des hôptx à assurer lr service. Ce mêm avis disait en outre : « Tous s étdnts |
une réunion et il a été décidé que l'on suivrait les directives du Comité d'entente des Associations de Paris. « A la « Catho », de Lille, ajouta-t-il, nous sommes au nombre de quelque cent cinquante étudiants en médecine. Il a été convenu, que, dans la matinée de vendredi, l'on n'assisterait pas aux séances d'examen des malades, dans les dispensaires. Dans l'après-midi, nos camarades n'assisteront pas plus aux différents cours de la Faculté. — Et dans les hôpitaux ? avons-nous demandé. — Je puis vous affirmer que les externes et les internes ont assuré, comme convenu, leur service dans tous les hôpitaux de Lille. Dans un établissement hospitalier de notre ville, où nous nous sommes rendus, nous avons en effet, lu un avis émanant de l'A.C.E.M., qui invitait les externes et les internes des hôpitaux à assurer leur service. Ce même avis disait en outre : « Tous les étudiants en médecine sont priés de faire grève pour protester contre la facilité avec laquelle les Pouvoirs publics accordent des « équivalences » à des étudiants étrangers qui, tout en ayant les mêmes droits que nous, n'ont pas les mêmes devoirs. » Ajoutons que notre jeune et aimable interlocuteur nous déclara qu'il y a environ six semaines, les étudiants de la Faculté de l'Etat se livrèrent également, par solidarité et poursuivant les mêmes buts, à un semblable mouvement de protestation. ...Ajoutons que notre jeune et aimable interlocuteur nous déclara qu'il y a environ six semaines, les étudiants de la Faculté de l'Etat se livrèrent également, par solidarité et poursuivant les mêmes buts, à un semblable mouvement de protestation. ...Nous apprenons, en dernière heure, que le cours du P.C.B. dans l'après-midi, à la Faculté des sciences de l'Université catholique de Lille n'a pas eu lieu ; les étudiants ayant quitté l'établissement quelques minutes après leur entrée. Une interview du président de la Fédération des étudiants des F.C. Dans la soirée d'hier, M. Gaston Rohart, président de la Fédération des Etudiants des Facultés catholiques de Lille, nous a confirmé que les cours, en médecine et en P.C.B., (Physique, Chimie et Biologie) n'avaient pas | une réunion e il a été décidé q l'on suivrait les directives du Comité tne eds Associations de Paris. « la « Catho », de Lille, ajoutatil nous sommes au nombre de qelqu cent cinquante udia e médecine. Il a été convenu, q, dans la matinée de vendredi, l'on n'assisterait pas aux séances d'examen ds malades, dans les s.pissedienra Dans 'après-midi, o camarades 'assisteront pas plus aux différents cours d la Faculté. Et dns les hôpitaux ? avons-nous demandé. — Je puis vous affirmer que les xtrns et les netiesnr ont ssré, comme convenu, leur service dans tous les hôptx de Lille. Dans un établissement hsptlr de notre ville où nous nous sommes rendus, nous avons en effet, l un avis émanant de l'A.C.E.M., qi invitait les externes et ls t ds hôpitaux à assurer leur service. même avis disait en outre : « Tous es étudiants en médecine sont prs de faire grève ou protester rcteon la facilité avec laquelle les Pouvoirs publics accordent des « ualec » à des étdnts étrangers qui, tout en ayant les mêmes droits que os 'ont pas les esmêm devoirs. » nusoAotj que notre jeune et mbl interlocuteur nous déclara q'l y a environ six semaines, les étudiants de la ctulFaé de 'Etat se livrèrent également, par lidrté et pousun s mêms buts, à un semblable mouvement de protestation ...Ajoutons que notre jeune et aimable interlocuteur nous déclara qu'il a environ six semaines, étdnts de la Faculté de l'tt se lvrèrnt également, par solidarité et poursuivant les smêem bts, à n semblable mouvement de protestation. ...Nous apprenons, en dernière heure, q l cours du PCB asnd laprèsmidi à l Faculté des sciences de l'nvrsté alq de Lille n'a pas eu lieu ; les uan ayant quitté l'étblssmnt quelques minutes après leur entrée. Une interview du président de la Fédération ds étudiants des F.C. Dans la soirée d'hier, M. Gaston Rohart, président de la Fédération ds Etudiants des Facultés catholiques de Lille, ns a confirmé que ls cours, en éce et ne P.C.B., (Physique, Chimie et Biologie) n'vnt ps |
qu'il y a environ six semaines, les étudiants de la Faculté de l'Etat se livrèrent également, par solidarité et poursuivant les mêmes buts, à un semblable mouvement de protestation. ...Ajoutons que notre jeune et aimable interlocuteur nous déclara qu'il y a environ six semaines, les étudiants de la Faculté de l'Etat se livrèrent également, par solidarité et poursuivant les mêmes buts, à un semblable mouvement de protestation. ...Nous apprenons, en dernière heure, que le cours du P.C.B. dans l'après-midi, à la Faculté des sciences de l'Université catholique de Lille n'a pas eu lieu ; les étudiants ayant quitté l'établissement quelques minutes après leur entrée. Une interview du président de la Fédération des étudiants des F.C. Dans la soirée d'hier, M. Gaston Rohart, président de la Fédération des Etudiants des Facultés catholiques de Lille, nous a confirmé que les cours, en médecine et en P.C.B., (Physique, Chimie et Biologie) n'avaient pas eu lieu, en raison de la « grève » des Etudiants. — Notre « manifestation », ajouta M. Rohart, n'est pas dirigée contre les Etrangers qui suivent les cours à la « Catho », mais simplement contre les abus. Véritablement, une trop grande liberté a été accordée à ceux du dehors. Voici un exemple, entre tous : à la Faculté de l'Etat de Montpellier, 60 % des Etudiants en médecine sont des Etrangers qui peuvent, sitôt leur naturalisation, exercer chez nous la médecine. » Loin de nous la pensée d'une manifestation xénophobe. Nous avons simplement voulu accomplir un acte de solidarité avec tous les Etudiants en médecine de France, qui désirent voir disparaître de notre pays des privilèges qui ne doivent, en toute équité, appartenir qu'à des Français. A des Etrangers également s'ils veulent se faire naturaliser et souscrire à toutes les obligations militaires auxquelles sont soumis les citoyens français. » La meilleure preuve, poursuit M. Rohart, que nous conservons d'excellentes rapports avec les Etudiants étrangers, c'est que nous prenons notre part aux fêtes organisées par nos camarades d'outre-frontière. C'est ainsi que le jeudi 4 avril encore, les Etudiants français de la « Catho » de Lille participeront à une | qu'il y a noneivr six semaines, l étudiants e a Faculté de l'Etat s livrèrent également, par solidarité t poursuivant les mêmes buts, à semblable mvmnt de protestation. ...Ajoutons que notre jeune et aimable interlocuteur unos déclr q'l y a environ six semaines, les nstadéuit de la Faculté de l'Etat se livrèrent également, par oit et poursuivant les mêmes buts, à n semblable mouvement de protestation. Nous apprenons, en dernière heure, q le cor du P.C.B. dans l'après-midi, à la Faculté ds sciences de lriévetnis'U catholique de Lille n'a pas eu lieu ; les étudiants aan quitté l'établissement quelques minutes après leur entrée. enU weveirnit du président ed la Fédération des étudiants des F.C. Da la soirée d'hr, M. Gaston Rohart, niersdtép de la Fédération des Etudiants des tFalésuc catholiques de Lille, nous a confirmé que les cours, en médecine et en P.C.B., (Physique, Chimie et Biologie) n'vnt pas eu lieu, en raison de la « grève » des Etudiants. — Notre « mieatin », ajouta . Rhat, n'est ps erdigéi contre les Etrangers uqi suivent les cours à la « Catho », mais simplement contre les bu. Véritablement n trop grande ibreétl a été accordée à ceux du dhrs. Vc un epe, entre tous : à la Faculté de l'Etat de Montpellier, 60 % des Etudiants en médcn ot des trngrs qui peuvent, sitôt leur naturalisation, exercer ezhc nous la médecine. » Loin de nous la pensée d'une manifestation xénophobe. Nous avons smplmnt vl accomplir un acte de solidarité avec tous les Etudiants n ece de re,ancF qui dés voir disparaître de ore pays des privilèges q ne doivent, en toute équité, appartenir uq'à des Français A des Etrangers également s'ils u s fr naturaliser et souscrire à toutes les obligations militaires lluaqexesu sont soumis les citoyens français. » La meilleure preuve, prst M. Rohart, que nous conservons 'ecllens parspotr avec les Etudiants étrangers, c'est que nous osnernp notre part aux fêtes orés par nos camarades doutrefrontière C'et ainsi que le jeudi avril encore les Etudiants français de la Cth » de Lille participeront à une |
dehors. Voici un exemple, entre tous : à la Faculté de l'Etat de Montpellier, 60 % des Etudiants en médecine sont des Etrangers qui peuvent, sitôt leur naturalisation, exercer chez nous la médecine. » Loin de nous la pensée d'une manifestation xénophobe. Nous avons simplement voulu accomplir un acte de solidarité avec tous les Etudiants en médecine de France, qui désirent voir disparaître de notre pays des privilèges qui ne doivent, en toute équité, appartenir qu'à des Français. A des Etrangers également s'ils veulent se faire naturaliser et souscrire à toutes les obligations militaires auxquelles sont soumis les citoyens français. » La meilleure preuve, poursuit M. Rohart, que nous conservons d'excellentes rapports avec les Etudiants étrangers, c'est que nous prenons notre part aux fêtes organisées par nos camarades d'outre-frontière. C'est ainsi que le jeudi 4 avril encore, les Etudiants français de la « Catho » de Lille participeront à une soirée musicale, au Cercle des Etudiants rue Meurein, qui sera offerte par les Etudiants étrangers, sous le patronage des « Amitiés Françaises ». Et, aujourd'hui samedi les traditionnelles fêtes universitaires de la Mi-Carême vont commencer ; nous y associerons nos camarades étrangers ; d'autre part, nous attendons une cinquantaine d'Etudiants des Universités belges et luxembourgeoises. Ces fêtes auront une durée de deux jours : aujourd'hui samedi, et demain dimanche. » 1 rue Grande-Chaussée, LILLE A EXPOSE ACTUELLEMENT ses nouveautés de la saison d'été : MANTEAUX ROBES TAILLEURS 57 Le chômage dans la batellerie M. le Ministre des Travaux publics a promis aux bateliers d'examiner leurs revendications et de réprimer les abus (De notre rédaction parisienne) Paris, 29..— Vendredi matin, à dix heures, M. Henri Roy, ministre des Travaux publics, a reçu une délégation de la Batellerie française venue l'entretenir de ses revendications. Cette délégation, que lui présenta M. Brodel, député du Nord, était composée de MM. Lalouette, secrétaire du S.U.B.; Décarpentrie et Waessen. Elle a d'abord entretenu le ministre de la question du chômage qui frappe cruellement cette corporation. Certes, des décrets et circulaires prévoient l'attribution de secours, mais jusqu'ici les chômeurs n'ont rien vu venir. Il ne faudrait pas | dehors. Voici un exemple, entre s : à la Faculté de l'Etat de Montpellier 60 % des Etudiants n médecine nots des Etrangers qui peuvent, sitôt leur naturalisation, exercer chez nous la médecine. » Loin de nos la ps d'une manifestation xénophobe. Nous avons simplement voulu accomplir un acte de solidarité vaec tous les Etudiants en médecine de France, u désirent voir prat notre pays des privilèges qui ne doivent, en toute équité, appartenir q'uà des Français. A des Etrangers également s'ls veulent se faire naturaliser t souscrire à toutes les bigin mltrs auxquelles sont usoims les citoyens français. » La mllr preuve, poursuit M. Rohart, que nos cosevs d'excellentes rapports avec les Etudiants étrangers, c'est que nous prenons notre part aux fêtes ogaiées pr nos camarades d'outre-frontière. C'est ainsi que l jeudi 4 avril encore, les Etudiants français de a « Catho » de Lille participeront à une soirée usale au Cercle ds Etudiants rue Meurein, qui esar offerte par l Etudiants étrangers, ossu le ptrng des « mtés Françaises ». t, aujourd'hui samedi les traditionnelles fêtes universitaires de la Mi-Carême vont oemrnmcec ; nous associerons nos camarades étres ; d'autre part, nous ttndns une cinquantaine ttids'Endua des nvrstés belges et luxembourgeoises. Ces fêtes arnt une éeudr de deux jrs aujourd'hui samedi, et demain dimanche. » 1 rue Grande-Chaussée, LILLE XPS ACTUELLEMENT ses nouveautés de la san d'été : MANTEAUX ROBES TAILLEURS 57 Le hômag dans la batellerie M. le Ministre des Travaux bupilsc a promis x bateliers d'examiner leurs revendications et de réprimer les abus (De nre rédaction parisienne) Paris, 29..— Vendredi mtn, à dix hur, M. Henri Roy, ministre des Travaux publi, a reçu une délégation ed a Batellerie française venue l'entretenir de ses revendications. Cette délégation, que lui présenta M Brodel, député du Nord, était cmpsé de MM. oeteua,ltL scréire du S.U.B.; Décarpentrie et Waessen. Elle a d'abord entretenu le mnstr de la question du chômage qui frappe cruellement cette corporation. Certes, des décrets et circulaires prévoient l'attribution de secours, mais jusqu'ici les er n'ont rien vu venir. Il ne artfiuda pas |
des Universités belges et luxembourgeoises. Ces fêtes auront une durée de deux jours : aujourd'hui samedi, et demain dimanche. » 1 rue Grande-Chaussée, LILLE A EXPOSE ACTUELLEMENT ses nouveautés de la saison d'été : MANTEAUX ROBES TAILLEURS 57 Le chômage dans la batellerie M. le Ministre des Travaux publics a promis aux bateliers d'examiner leurs revendications et de réprimer les abus (De notre rédaction parisienne) Paris, 29..— Vendredi matin, à dix heures, M. Henri Roy, ministre des Travaux publics, a reçu une délégation de la Batellerie française venue l'entretenir de ses revendications. Cette délégation, que lui présenta M. Brodel, député du Nord, était composée de MM. Lalouette, secrétaire du S.U.B.; Décarpentrie et Waessen. Elle a d'abord entretenu le ministre de la question du chômage qui frappe cruellement cette corporation. Certes, des décrets et circulaires prévoient l'attribution de secours, mais jusqu'ici les chômeurs n'ont rien vu venir. Il ne faudrait pas que se renouvelât ce qui s'est passé en 1932 où ces secours ont été alloués en une seule fois avec un retard de six mois. Les besoins de ces travailleurs, privés de leur gagne-pain, sont immédiats. C'est chaque semaine qu'il convient de leur payer les allocations prévues pour qu'ils puissent assurer leur subsistance. Le ministre a aussitôt promis de faire diligence. Ce qui a retardé la solution de la question, dit-il, c'est le deuil cruel qui vient de frapper M. Germain-Martin, mais le nécessaire va être rapidement fait. Déjà d'ailleurs, sur l'initiative de M. le Préfet du Nord, des secours de cinquante à cent francs ont été distribués aux chômeurs les plus chargés de famille. La délégation a ensuite abordé la question des heures de travail à fournir par les salariés employés par les Compagnies de navigation. Le décret du 28 novembre 1919 qui institue un semblant de loi de huit heures, puisque, en fait, il permet neuf heures de travail l'hiver, dix au printemps et à l'automne, onze l'été, n'est pas appliqué. Les Compagnies exigent des quatorze, quinze et même seize heures de travail, ce qui est tout à fait excessif. Le matériel qu'elles emploient s'en accommode, mais alors | des Universités belges et luxembourgeoises. Cs fêtes auront une durée de deux jours : aujourd'hui samedi, et demain dimanche. » 1 rue Grande-Chaussée, LILLE A EOEPXS ACTUELLEMENT ses nouveautés de la saison d'été : MANTEAUX ROBES TAILLEURS 57 Le chômage dans la batellerie M. le Ministre des Travaux publics a promis aux btlrs 'examiner es revendications et de réprimer les abus (D notre rédaction parisienne) Paris, 29 Vendredi matin, à dix heures, M Henri Ry, mnstr des Travaux publics, a reçu une délégation de la Batellerie française venue l'entretenir de ses revendications. Cette délégation, que l présenta . Brodel, pté du Nord, était composée de MM. Lalouette, secrétaire du S.U.B.; Décarpentrie et Waessen. Elle a d'abord entretenu le ministre e la question du chômage qui frappe cruellement cette corporation. Certes, des décrets et circulaires prévoient l'attribution de secours, mais jusqu'ici les chômeurs n'ont rien vu venir. l ne aifdurat pas que es renouvelât ce qui s'est passé en 1932 où ces secours ont t alloués en une seule fois avec nu trerad de six mois. Les besoins de ces travailleurs, privés de leur ggn-pn, sont médts. C'est chaque semaine qu'il convient de leur pyr les allocations prévues r q'ls puissent assurer leur subsistance. Le ministre a aussitôt promis e faire diligence. Ce qui retardé la solution de la question, dit-il, c'st le deuil ulcre qui vient de frapper M. mn-Mrtn, mais le nécssr va être rapidement fait. jàDé daileurs sur l'initiative de M. le Préfet du Nord, ds secours ed qientcuna à cent francs été rsiditsbéu x chômeurs les plus chargés de famille. La délégation ensuite abordé la question des heures de travail à fournir rpa les l employés par les Compagnies de navigation. Le décrt du novembre 9 qui institue n smblnt e loi de huit heures, puisque, en fait, il prmt neuf heures de travail l'hiver, dix au printemps et à l'automne, onze l'été, 'est pas appliqué. L Compagnies exigent des quatorze, quinze et même eiezs heures de travail, ec q est tout à fait cessif. Le matériel qu'elles emploient s'en accommode, mais alors |
assurer leur subsistance. Le ministre a aussitôt promis de faire diligence. Ce qui a retardé la solution de la question, dit-il, c'est le deuil cruel qui vient de frapper M. Germain-Martin, mais le nécessaire va être rapidement fait. Déjà d'ailleurs, sur l'initiative de M. le Préfet du Nord, des secours de cinquante à cent francs ont été distribués aux chômeurs les plus chargés de famille. La délégation a ensuite abordé la question des heures de travail à fournir par les salariés employés par les Compagnies de navigation. Le décret du 28 novembre 1919 qui institue un semblant de loi de huit heures, puisque, en fait, il permet neuf heures de travail l'hiver, dix au printemps et à l'automne, onze l'été, n'est pas appliqué. Les Compagnies exigent des quatorze, quinze et même seize heures de travail, ce qui est tout à fait excessif. Le matériel qu'elles emploient s'en accommode, mais alors qu'elles constituent des doubles équipes. Il n'est pas possible que, dans le moment où l'on supprime toutes les dérogations, le personnel des Compagnies de navigation reste seul en dehors des nouvelles mesures prises. M. Henri Roy n'a pu, sur ce point, prendre d'engagements fermes. Cependant, il a informé la délégation qu'il compte, dès la semaine prochaine, procéder à un examen d'ensemble de la question de la batellerie et qu'il est dans ses intentions de faire respecter la loi. La délégation traite ensuite du problème de l'accord de coordination qui a été réglé par les décrets de mai et de septembre 1934. Où en est notamment, demande-t-elle, la question de la représentation de la batellerie et que sont devenues les promesses faites par M. Paganon à cet égard ? Pourquoi refuse-t-on la participation du secrétaire du syndicat alors que sont représentées au sein de toutes les commissions d'autres organisations qui ne groupent qu'un nombre infime d'adhérents ? Ou ce qui revient au même, pourquoi s'abstient-on de le convoquer ? Là encore le ministre promit d'intervenir et de faire comprendre le secrétaire du S.U.B. au nombre des membres régulièrement convoqués. Abordant alors la question de la commission de régularisation des frets, la | assurer leur subsistance. Le ministre a aussitôt promis de faire diligence. Ce qui a retardé la solution de la qstn, dit-il, c'est le deuil cruel qui vient de frapper M. Germain-Martin, mais le nécessaire va être apem fait. d'ailleurs, s l'initiative de . le Préfet du Nord, des secours de cinquante à cent frans ont été dstribés uxa chômeurs les plus chargés de famille. La délégation a ensuite rdaéob la question ds heures de travail à fournir par les slrés employés par les Compagnies de navigation. Le décret du 28 novembre 1919 qui institue un semblant de loi de huit eures, puisque en ft, il permet neuf heures de travail l'hiver, dix au printemps et à l'automne, onze l'été, n'st pas appliqué. Les Compagnies exigent des quatorze, quinze et même seize heures de travail, ce qui est tout à fait excessif. Le matériel qu'elles emploient s'en accommode, mais lrs qu'elles constituent des doubles équipes. Il n'est pas possible que, dans le moment où l'on supprime toutes les dérogations, le personnel des Compagnies de navigation reste seul en dehors des nouvelles mesures prises. M. Henri Roy ' pu, sr ce point, prendre dnagemnt fermes. Ce, il a informé la délégation qu'il compte, sdè la semaine prochaine, procéder à un xmn d'ensemble de la question de la batellerie et qu'il est dans ses intentions de fr respecter la loi. La délégtn traite ensuite du problème d l'accord de crdntn qui a été réglé pr les décrets de mai et de septembre 1934 Où en est notamment, demande-t-elle, a question de la représentation de la batellerie et que sont devenues les promesses faites . Paganon à cet égard ? Pourquoi refuse--on a participation du secrétaire du syndicat alors que sont représentées au sein de toutes les commissions d'autres organisations qui ne grpnt qu'un nombre infime 'adhérents ? Ou ce qui revient au même, pourquoi s'abstient-on de le convoquer ? Là ornece le ministre promit d'intervenir et de faire comprendre le secrétaire ud S..B. au nombre des membres régulièrement convoqués. Abordant alors la question de la commission de régularisation des frets, la |
qu'il compte, dès la semaine prochaine, procéder à un examen d'ensemble de la question de la batellerie et qu'il est dans ses intentions de faire respecter la loi. La délégation traite ensuite du problème de l'accord de coordination qui a été réglé par les décrets de mai et de septembre 1934. Où en est notamment, demande-t-elle, la question de la représentation de la batellerie et que sont devenues les promesses faites par M. Paganon à cet égard ? Pourquoi refuse-t-on la participation du secrétaire du syndicat alors que sont représentées au sein de toutes les commissions d'autres organisations qui ne groupent qu'un nombre infime d'adhérents ? Ou ce qui revient au même, pourquoi s'abstient-on de le convoquer ? Là encore le ministre promit d'intervenir et de faire comprendre le secrétaire du S.U.B. au nombre des membres régulièrement convoqués. Abordant alors la question de la commission de régularisation des frets, la délégation a fait observer qu'une véritable spéculation s'opère à la faveur des ristournes. M. Lalouette ayant demandé que l'on procédât à la moralisation de l'affrètement, le ministre, très frappé par la légitimité de cette revendication, a déclaré qu'il ne tolérerait pas de tels abus, qu'il les poursuivrait et que, d'ailleurs, il en avait déjà donné l'assurance ces jours-ci à la délégation des Chambres de commerce reçue par lui. Au moment de prendre congé, M. Brodel, revenant sur la question des huit heures en ce qui concerne les rouliers de la traction des voies navigables, au préjudice desquels elle est constamment violée, dit-il, et évoquant celle des licenciements, M. Henri Roy lui demanda de rédiger un rapport sur la question, se déclarant acquis quant à lui, à la modification du système existant. Le Préfet ARRAS Le plus bel établissement de la région Ouverture le 31 mars Chaque dimanche, des milliers de personnes. Des centaines de voitures 5222 L'admission aux Ecoles nationales d'Agriculture et à l'Ecole des Industries agricoles de Douai Les épreuves écrites du concours d'admission aux Ecoles nationales d'Agriculture, en 1935, auront lieu les lundi 3, mardi 4 et mercredi 5 juin 1935. Elles seront subies, au choix des candidats, | qu'il compte, dès la semaine prochaine, procéder à un examen blnesmed'e d la question de la batellerie et qu'il est dans ses intentions de faire respecter la loi. La délégation traite sieuent du problème de l'accord de coordination qui a été rgéél par les décrts de m et de septemb 1934. Où en est notamment, dmnd-t-ll, la question de la représentation de la batellerie e que sont devenues les promesses faites a M. Paganon à cet égrd ? Pourquoi refuse-t-on la participation du secrétaire du syndicat alors que sont représentées au sein de toutes les commissions dures organisations qui ne groupent qu'un nombre infime d'adhérents ? Ou ce qui revint au même, pourquoi s'abstient-on de le convoquer ? Là encore le mnstr promit dintervenir et de faire comprendre scrétair du ... au nombre des membres régulièrement convoqués. Abodan ar la question de la commission de rlaisaio des frets la délégation a fait observer qu'une véritable spéculation erp'èso à la faveur des ristournes. . Lalouette ntaay demandé que l'on procédât à la moralisation de l'affrètement, le ministre, ès frappé par la légitimité de cette revendication, a déclaré qu'il ne tolérerait pas de tels abus, qu'il les poursuivrait et que d'ailleurs, li en avait déjà dnné l'assurance ces coiujsr- à la délégation des Chambres de commerce reçue par lui. Au moment de prendre congé, M. Brdl, revenant rsu la question des huit heures en ce qui concerne les rouliers de la traction des voies navigables au préjudice desquels ll est cnstmmnt violée, dit-il, et évoquant celle des licenciements, M. Henri Roy lui dmnd de rédiger un rapport sur la question, se ltdrancéa aus quant à lui la iiomidcfotan du système existant. Le Préfet ARRAS Le splu bel établissement de la région Ouverture le 31 mars Chaque dimanche, des milliers de personnes. Des centaines de voitures 5222 Ladmission aux Ecoles nationales d'Agriculture et à lEcole des Industries agricoles de Douai Les épreuves écrites du concours d'admission aux Ecoles nationales d'Agriculture, en 1935, auront lieu les luni , mardi 4 et mercredi 5 juin 1935. Elles seront subies, au choix sed candidats, |
il en avait déjà donné l'assurance ces jours-ci à la délégation des Chambres de commerce reçue par lui. Au moment de prendre congé, M. Brodel, revenant sur la question des huit heures en ce qui concerne les rouliers de la traction des voies navigables, au préjudice desquels elle est constamment violée, dit-il, et évoquant celle des licenciements, M. Henri Roy lui demanda de rédiger un rapport sur la question, se déclarant acquis quant à lui, à la modification du système existant. Le Préfet ARRAS Le plus bel établissement de la région Ouverture le 31 mars Chaque dimanche, des milliers de personnes. Des centaines de voitures 5222 L'admission aux Ecoles nationales d'Agriculture et à l'Ecole des Industries agricoles de Douai Les épreuves écrites du concours d'admission aux Ecoles nationales d'Agriculture, en 1935, auront lieu les lundi 3, mardi 4 et mercredi 5 juin 1935. Elles seront subies, au choix des candidats, soit à Paris dans un local qui sera ultérieurement indiqué, soit en province dans les hôtels des préfectures d'Alger, Bordeaux, Lyon, Montpellier, Nancy, Rennes et Toulouse. Le registre d'inscription sera ouvert le 25 avril 1935 et clos le 15 mai 1935, dernier délai. Les épreuves écrites du concours d'admission à l'Ecole nationale des industries agricoles de Douai en 1935 auront lieu les jeudi 6, vendredi 7 et samedi 8 juin. Elles seront subies, au choix des candidats, soit à Paris à l'Institut national agronomique, 16, rue Claude-Bernard, soit en province dans les hôtels des préfectures d'Alger, Bordeaux, Lille, Lyon, Montpellier, Nancy, Rennes et Toulouse. Le registre d'inscription sera ouvert le 25 avril 1935 et clos le 15 mai 1935, dernier délai. Le tragique incendie de Sin-le-Noble Il y avait le feu et il fallait organiser au plus vite les secours, apporter son aide aux habitants. C'est alors que d'autres clameurs, de véritables hurlements, se firent entendre à l'intérieur de la maison. — Au secours ! A moi ! Je brûle... Sous la poussée de M. Gailliez, aidé des autres sauveteurs bénévoles, la porte d'entrée de l'habitation, céda. Spectacle terrifiant ! Une femme, qui n'était plus qu'une torche embrasée jaillit du | il e avait déjà donné l'assurance ces jours-ci la délégation des Chambres de commerce reçue par lui. Au moment de prendre congé, M. Brodel, revenant sr la question des ht heur en ce q concerne les rlrs de la traction sde voies nvgbls, au préjudice desquels elle est constamment violée, dit-il, t évoquant cll s licenciements, . Henri Roy lui demanda de rédiger un rapport sur a question, se déclarant acquis quant à u, à la modification du système a.enttxis L Préfet ARRAS Le plus bel étblssmnt de a régio Ouverture le 31 mars Chaque dimanche, des milliers d personnes. Des cntns de voitures 5222 Ladmission aux Ecoles nationales d'grcltr t à l'Ecole des dutes agricoles d D Les revs écrites du onur d'admission ux Ecoles nationales d'Agriculture, n 1935, auront lieu les lundi , mardi 4 et mercredi 5 juin .3519 Elles seront ube, au choix des candidats, soit à Paris dans un local qui sr ultérieurement d st en province dns les hôtels des préfectures d'Alger, rdau Lyn, Moteler Nancy, Rennes et Tuls Le registre d'inscription sera ouvert 25 vrl 1935 et cls 15 mai 19 dernier délai Les épreuves écrites du concours d'admission à leo'lcE niole des industries agricoles de D en 1935 auront lieu les jeudi 6, vendredi 7 et samedi 8 juin. Elles seront subies au choix des candidats, soit à Paris à lInstitut national agronomique, 16, rue Claude-Bernard, soit n pevinroc dans les hôtels sed préfectures d'Alger, Bordeaux, Lille, Lyn, Montpellier, Nancy ees et Toulouse Le registre 'inscription sera ouvert le 25 avril 1935 et clos le 15 mai 5 dernier délai. Le tragique incendie de Sin-le-Noble Il y avait le efu et il fallait organiser au plus vite les secours, apporter son aide aux habitants. C'est alors que d'autres clameurs, de véritables hrlmnts, s firent entendre à 'intérieur de la maison. — Au scour ! A moi ! Je brûle... Sous la ousé de M. liialeG,z dé des autres sauveteurs néve la porte d'entrée de l'habitation, céda. pece terrifiant ! Une femme qui n'était plus qu'une torche embrasée jaillit du |
l'Ecole nationale des industries agricoles de Douai en 1935 auront lieu les jeudi 6, vendredi 7 et samedi 8 juin. Elles seront subies, au choix des candidats, soit à Paris à l'Institut national agronomique, 16, rue Claude-Bernard, soit en province dans les hôtels des préfectures d'Alger, Bordeaux, Lille, Lyon, Montpellier, Nancy, Rennes et Toulouse. Le registre d'inscription sera ouvert le 25 avril 1935 et clos le 15 mai 1935, dernier délai. Le tragique incendie de Sin-le-Noble Il y avait le feu et il fallait organiser au plus vite les secours, apporter son aide aux habitants. C'est alors que d'autres clameurs, de véritables hurlements, se firent entendre à l'intérieur de la maison. — Au secours ! A moi ! Je brûle... Sous la poussée de M. Gailliez, aidé des autres sauveteurs bénévoles, la porte d'entrée de l'habitation, céda. Spectacle terrifiant ! Une femme, qui n'était plus qu'une torche embrasée jaillit du couloir, s'abattit sur le trottoir. On l'entoura, on étouffa les flammes qui l'entouraient... Il restait, dans la maison, le pauvre sexagénaire malade. M. Gailliez monta l'escalier, essaya de pénétrer dans la chambre, remplie de hautes flammes. Il dut reculer pour ne pas être asphyxié. Les secours Peu après arrivaient, avec leur matériel, les sapeurs-pompiers de Sin-le-Noble qui, sous la direction du lieutenant Vion et du sous-lieutenant Beaujmont, attaquèrent le foyer. Avant sept heures, ils s'en étaient rendus maîtres. Hélas ! M. Edmond Ladureau gisait sur son lit, privé de vie. Le pauvre homme avait été certainement asphyxié, puis à demi-grillé. Quant à Mme Vve Leclercq, elle gémissait dans le petit salon de la maison où on l'avait transportée. Bientôt le docteur Dupas vint lui donner ses soins et la fit conduire à l'Hôtel-Dieu de Douai en voiture d'ambulance. À travers les flammes Il était facile de reconstituer la scène tragique, comme s'y sont employés dès les premières heures de la matinée le chef Delmotte et ses gendarmes de la brigade de Sin-le-Noble. En pénétrant dans la chambre où dormait la victime, ceux-ci constatèrent, en effet, une large ouverture dans le plancher, devant une fenêtre donnant sur la cour. Il était | l'Ecole ntnl des industries isloagcer de Douai en 1935 auront lieu les jeudi 6, vendredi 7 et seaidm 8 juin. lls seront subies au choix des candidats, soit à Paris à lInstitut ntnl grnmq, 16, rue Claude-Bernard, soit en province dans les hôtels des préfectures d'lgr, Bodeax, Lille, Lyon, Montpellier, Nancy, Rennes et Toulouse. Le registre d'inscription sare otveru le 25 avril 1935 et clos le 15 mai 195, dernier délai. Le qrgtieau incendie de Sin-le-Noble Il y avait l e et il fallait organiser au plus viet les secours, proapret son aide x habitants s alros que d'autres clameurs, de ebérisvtal hurlements, e firent entendre à l'intérieur d la msn. Au secou ! A moi ! Je brûle... Sous al poussée de M. iGil,zlea aidé des autrs sauveteurs bénévoles, l porte néerdt'e de l'habitation, céda. Spectacle terrifiant ! Une mfe,me qui n'étt plus qu'une torche mbrsé jaillit du couloir, s'abattit sur le trottoir. On l'entoura, on étouffa les flammes qui 'entouraient... restait, dans la maison, le pvr sexagénaire malade. M Gileilaz monta l'sclr, essaya de pénétrer dans la chambre, remplie de hautes flammes. Il dut reculer pour ne pas être asphyxié. Les secours Peu après arrivaient, avec leur re les sapeurs-pompiers de Sin-le-Noble qui, sous la direction du lieutenant Vion et du sous-lieutenant Bjmnt, ttqèrnt le fyr. Avant sept hrs, ils s'en étien rendus maîtres. éa ! M. Edmond Ladureau gisait sur son lit, éiprv de i. Le pauvre homme avi été crtainen sphyxé, puis demi-grillé. Qnt à Mme e Leclercq, elle gémissait dans le peit salon de la oisamn où on 'avait transportée. Bientôt le tocrdeu u vtin lui donner ss sns et la fit conduire à lHôtelDieu de D en voiture d'ambulance. À travers les flammes Il était facile d reconstituer la scène tragique, comme sont employés dès les sèiemrrpe heures de la matinée e chef Delmotte et ses gendarmes de la brigade de i-Noble. En pénétrant dans la hrmbcea où dormait al victime, ceux-ci constatèrent, en effet, une large ouverture dans le plancher, devant une fenêtre dnnnt sur la cour. l éti |
leur matériel, les sapeurs-pompiers de Sin-le-Noble qui, sous la direction du lieutenant Vion et du sous-lieutenant Beaujmont, attaquèrent le foyer. Avant sept heures, ils s'en étaient rendus maîtres. Hélas ! M. Edmond Ladureau gisait sur son lit, privé de vie. Le pauvre homme avait été certainement asphyxié, puis à demi-grillé. Quant à Mme Vve Leclercq, elle gémissait dans le petit salon de la maison où on l'avait transportée. Bientôt le docteur Dupas vint lui donner ses soins et la fit conduire à l'Hôtel-Dieu de Douai en voiture d'ambulance. À travers les flammes Il était facile de reconstituer la scène tragique, comme s'y sont employés dès les premières heures de la matinée le chef Delmotte et ses gendarmes de la brigade de Sin-le-Noble. En pénétrant dans la chambre où dormait la victime, ceux-ci constatèrent, en effet, une large ouverture dans le plancher, devant une fenêtre donnant sur la cour. Il était aisé de concevoir que Mme Leclercq ayant perçu une odeur de brûlé, s'était rendue dans la chambre où reposait le malade. Suffoquée par la fumée, elle se dirigea instinctivement vers la fenêtre. C'est alors que le plancher, sous lequel le feu couvait depuis quelque temps déjà, céda et qu'elle fut précipitée dans la cuisine, au rez-de-chaussée. Ses vêtements s'étaient enflammés lorsqu'elle traversa le gîtage en ignition. On sait le reste. Il est certain que l'incendie est dû à une cause accidentelle ; on croit même pouvoir l'attribuer, non au poêle qui roulait en permanence dans la chambre de M. Ladureau, mais un feu de cheminée qui s'était déclaré dans sa cuisine, il y a une quinzaine de jours. En effet, la cuisine se trouve immédiatement au-dessous de la chambre incendiée et on peut supposer qu'une étincelle aura fait le feu aux poutres qui, cependant, n'étaient pas faites de vieux bois, la maison étant de construction assez récente. Sur les lieux L'enquête que nous avons faite sur les lieux nous a permis de dégager les précisions que nous venons de donner sur cette tragique affaire. Au premier étage, lorsque nous nous sommes présentés, le corps du pauvre contremaître était allongé sous | leur matériel, les sapeurs-pompiers d Sin-le-Noble ,iuq sous la direction du lieutenant Vion et du sous-lieutenant Beaujmont, attaquèrent le oer. Avant sept heures, ils s'en étaient rendus maîtres. Hélas ! M. Edmond Ladureau gisait sur son lit, privé de vie. Le pvre homme avait été certainement ip,ésahxy puis à demi-grillé. Quant Mme Vve Leclercq, elle gési dan petit salon d la inoasm où on l'avait transportée. Btt le docteur Dupas vint lui donner e soins et la fit conduire lHôtelDieu de Douai en ie 'ambulance. À travers les flammes l était fealic de reconstituer la scène tragique comme s'y sont péoyseml dès les prmèrs heures de la matinée l chef Delmotte e sse gndrms de l brigade de Sin-le-Noble. En pénétrant dans la chambre ù drmt victime, ceux-ci cnsttèrnt, en effet, une large ouverture dans le plancher, devant ue fr donnant sur la u.ocr Il était aisé de concevoir que Mme Leclercq aya perçu une dr de ,érbûl s'était rendue dans la chambre où reposait malade. Suffoquée pr la fumée, elle se dirigea instinctivement vers la fenêtre. C'est l que le plancher, s lequel le feu couvait depuis quelque temps déjà, céda et qu'elle fut précipitée dans la cuisine, au rez-de-chaussée. Ses vêtmnts s'étaient em lrsq'll traversa le gîtage en ignition. On st le reste. Il est certain que l'incendie est dû une cause accidentelle ; on croit même pouvoir lattribuer non au poêle iqu roulait en permanence an la chambre de M. Ladureau, aims un f de cheminée q s'était déclaré dans sa cuisine il y a une quinzaine d jours. En fft, la cuisine se trv immédiatement audessous de la chambre cné et on eupt supposer quune étincelle aura fait le feu aux ot qui, cependant, a pas faites de vieux bois, la maison étant de construction assez réte. Sr les ixuel L'enquête que nous avons faite sur sle lieux nous a permis de déggr les précisions que ou venons de donner sur cette tragique fair. Au premier ége, lorsque nous nous sommes présntés, le cops d pauvre contremaître était allongé sous |
précipitée dans la cuisine, au rez-de-chaussée. Ses vêtements s'étaient enflammés lorsqu'elle traversa le gîtage en ignition. On sait le reste. Il est certain que l'incendie est dû à une cause accidentelle ; on croit même pouvoir l'attribuer, non au poêle qui roulait en permanence dans la chambre de M. Ladureau, mais un feu de cheminée qui s'était déclaré dans sa cuisine, il y a une quinzaine de jours. En effet, la cuisine se trouve immédiatement au-dessous de la chambre incendiée et on peut supposer qu'une étincelle aura fait le feu aux poutres qui, cependant, n'étaient pas faites de vieux bois, la maison étant de construction assez récente. Sur les lieux L'enquête que nous avons faite sur les lieux nous a permis de dégager les précisions que nous venons de donner sur cette tragique affaire. Au premier étage, lorsque nous nous sommes présentés, le corps du pauvre contremaître était allongé sous une courte-pointe, dans le désordre inexprimable d'une chambre saccagée. À l'angle de la cheminée, le trou béant, les poutres noircies. C'est par là que Mme Leclercq a fait cette chute terrifiante. À l'Hôtel-Dieu, où on la soigne, on ne peut se prononcer encore sur son état qui est considéré comme grave. On la remonte avec du sérum. Quant à la petite Jeanne, elle n'est que superficiellement blessée et quittera sous peu l'hôpital. G. S. Le congrès de la Fédération des polices du Nord s'est tenu, hier, à Armentières Vendredi, les policiers appartenant à l'Union départementale du Nord, se sont réunis en Congrès, à Armentières, au Café Excelsior, 46, rue de Lille, aux fins d'examiner leurs revendications en cours. Soixante-dix délégués représentant un millier d'adhérents appartenant à vingt-six villes et communes avaient répondu à la convocation. Avaient pris place au bureau : MM. Lepoivre (Armentières), qui présida les travaux ; Huvenne. (Roubaix), secrétaire général ; Noutour (Lille), secrétaire adjoint ; Hovaere (Dunkerque), secrétaire administratif ; Swart (Roubaix), trésorier général ; Mahieu (Roubaix), trésorier adjoint. La première séance a été ouverte à 9 heures par M. Lepoivre, secrétaire de la Section syndicale d'Armentières, qui présenta, au nom de ses collègues, ses souhaits | précipitée dans la cuisine, au rez-de-chaussée. Ss vêtemnts a'sntetié enflammés lorsqu'elle traversa le îtg en ignition. On sait l reste. Il est certain que l'incendie est dû n cause accidentelle ; on croit même pouvoir l'attribuer, non au poêle qui rlt en permanence dans l chambre de M. Ladureau, mais n feu de cheminée qui ttséi'a déclaré dans s cuisine il y a une quinzaine de jours. En effet, la cuisine se trouve éediinmetammt au-dessous de la chmbr ncndé et on pt supposer qu'une étincelle aura tafi le f aux poutres qui, cependant, n'étaient pas faites d vieux bois la msn étant de t assez récente. Sur les lieux L'enquête que nous avons faite sr les lieux nou a permis de dégager les précisions q nous vnns de der sr cette tragique affaire. Au premier étage, lorsque nous nous sommes éss,tnepér le p du pauvre contremaître était allongé sous une crt-pnt, l désore inexprimable 'une chambre sccgé. À l'nge de la nehi,ecém l trou béant les optesru noircies. C'est là que Mme Leclercq a fait cette chute terrifiante. À l'Hôtel-Dieu, ù on la ine on ne eput es prononcer encore sur son étt qui est considéré comme grave O al remonte vc é.rmsu Quant à la pt Jeanne, elle nest que superficiellement blessée et quittera ss peu l'hôpital. G. S. Le congrès de la Fédération des polices du Nord s'est tenu, hier, à Armentières Vndrd, les policiers appartenant à l'Union départementale du Nord, s sont réunis en Congrès, à Armentières, au Cfé Excelsior 46, rue ed Lille, aux fins d'examiner leurs revendications en cours. in délégués représentant un mllr 'adhérents aann à vingt-six villes et communes avaient répondu à la convocation. Avaient pris place au bureau : MM. Lepoivre Armentières qui présida l travaux ; Huvenne (Roi), secrétaire général ; Notur (Lille), secrétaire adjoint ; Hovaere (Dunkerque), secrétaire administratif ; Swart (Roubaix), tésr général ; Mahieu uaix), trésorier adjoint. La première séance a té ouverte 9 heures a M. Lepoivre, secrétaire d la Section syndicale 'Armentières, qui présenta, au mon d ses collègues, ss shts |
grave. On la remonte avec du sérum. Quant à la petite Jeanne, elle n'est que superficiellement blessée et quittera sous peu l'hôpital. G. S. Le congrès de la Fédération des polices du Nord s'est tenu, hier, à Armentières Vendredi, les policiers appartenant à l'Union départementale du Nord, se sont réunis en Congrès, à Armentières, au Café Excelsior, 46, rue de Lille, aux fins d'examiner leurs revendications en cours. Soixante-dix délégués représentant un millier d'adhérents appartenant à vingt-six villes et communes avaient répondu à la convocation. Avaient pris place au bureau : MM. Lepoivre (Armentières), qui présida les travaux ; Huvenne. (Roubaix), secrétaire général ; Noutour (Lille), secrétaire adjoint ; Hovaere (Dunkerque), secrétaire administratif ; Swart (Roubaix), trésorier général ; Mahieu (Roubaix), trésorier adjoint. La première séance a été ouverte à 9 heures par M. Lepoivre, secrétaire de la Section syndicale d'Armentières, qui présenta, au nom de ses collègues, ses souhaits de bienvenue. M. Huvenne, secrétaire général de l'Union départementale, remercia comme il le convient les policiers d'Armentières de leur bon accueil ainsi que d'avoir bien voulu organiser le XIIe Congrès. Après avoir traité des affaires litigieuses, favorablement solutionnées pour la plupart, nos policiers échangèrent leurs vues sur leurs principales revendications relevant des traitements, accidents du travail, suppression d'emplois, conseils de discipline, allocations familiales, Commissions paritaires, retraites communales et départementales dont celle des traitements, a particulièrement retenu leur attention et a fait l'objet d'un ordre du jour que nous reproduisons d'autre part. L'assemblée décida ensuite de ratifier les décisions de la Commission des fêtes et tombolas et de lancer dans le public les décrets de tombola pour l'année 1935. Les vœux à soumettre aux Congrès fédéral et mutualiste, dont les assises auront lieu à Tunis, en mai prochain. En résumé, le Congrès s'est déroulé dans d'excellentes conditions et nos policiers, après une journée très remplie, ont rejoint leurs villes respectives, conscients d'avoir servi les intérêts de leurs mandats. Le prochain Congrès se tiendra à Dunkerque en septembre prochain. L'ordre du jour Voici, d'autre part, l'ordre du jour adopté par l'assemblée : Les délégués de l'Union départementale des Syndicats, Associations de police | grave. n la remonte avec du sérum. Quant à al petite nn, ell n'est que superficiellement blessée t eqiruatt sous peu l'hôpital. G. S Le congrès de la Fédération es polices du Nord s'est , hier, à Armentières Vendredi, les policiers appartenant à l'Union départementale du Nord, se sont réunis en Congrès, à Armentières, Café Excelsior, 46, rue de Lille, aux fins 'xmier lrs revendications en cours. Soixante-dix délégués représentant un millier d'adhérents appartenant à vingt-six villes et communes avaient répondu à la convocation. Avaient pris place au bureau : MM. Lepoivre Armentières qui présida les travaux ; Huvenne. (Roubaix), secrétaire néra ; Noutour (Lille), secrétaire adjoint ; Hovaere (Dunkerque), secrétaire administratif ; Swart (Roubaix), trésorier général ; Mahieu (Rbx), trésorier adjoint. La première séance a été ouverte 9 heures par M. Lepoivre, secrétaire de la Section syndcl d'Armentières, qui présenta, u nom de ses collègues, ses souhaits de bienvenue. M. Huvenne, secrétaire général de l'nn départementale, remercia comme il le convient les policiers d'Armentières de leur bon accueil ainsi que d'avoir bien voulu organiser le XIIe Congrès. Après aorvi trté des affaires litigieuses, favorablement solutionnées pour la plupart, nos policiers échangèrent leurs vues sur leurs principales revendications rlvnt esd trtmnts, accidents du travail, suppression d'emplois, conseils de discipline, allocations familiales, Commissions paritaires, retraites communales t départementales dont celle des traitements, a particulièrement retenu leur attention et a fait 'objet d'un ordre du jr que nous reproduisons d'autre p. L'assemblée décida ensuite de ratifier les décsns de la Commission des fêtes et tombolas et de lancer dans le public les décrets de tombola pour l'année 1935. Les vœux à soumettre aux Congrès fédéral et mutualiste, dont les assises auront lieu à Tunis, en mai prochain. En u,sémér le Congrès s'est déroulé dans d'excellentes conditions et nos policiers, èspar une journée très remplie, tno rejoint ur villes respectives, conscients d'avoir servi les intérêts de leurs mndts. Le prochain Congrès es tiendra à Dunkerque en septembre prochain. L'ordre du jr Voici, d'autre part, l'ordre du jour adopté par l'assemblée : Les délégués de l'Union départementale des Syndicats, soci de plc |
relevant des traitements, accidents du travail, suppression d'emplois, conseils de discipline, allocations familiales, Commissions paritaires, retraites communales et départementales dont celle des traitements, a particulièrement retenu leur attention et a fait l'objet d'un ordre du jour que nous reproduisons d'autre part. L'assemblée décida ensuite de ratifier les décisions de la Commission des fêtes et tombolas et de lancer dans le public les décrets de tombola pour l'année 1935. Les vœux à soumettre aux Congrès fédéral et mutualiste, dont les assises auront lieu à Tunis, en mai prochain. En résumé, le Congrès s'est déroulé dans d'excellentes conditions et nos policiers, après une journée très remplie, ont rejoint leurs villes respectives, conscients d'avoir servi les intérêts de leurs mandats. Le prochain Congrès se tiendra à Dunkerque en septembre prochain. L'ordre du jour Voici, d'autre part, l'ordre du jour adopté par l'assemblée : Les délégués de l'Union départementale des Syndicats, Associations de police et gardes champêtres du Nord, réunis en Congrès à Armentières, le vendredi 29 mars 1935, salle des fêtes du Café Excelsior, rue de Lille, au nombre de soixante-dix délégués, représentant les polices des villes et communes du département du Nord. Après discussion et explications données, par le bureau de l'Union départementale, en ce qui concerne la réduction opérée sur les traitements des fonctionnaires de l'État en général, des policiers étatistes et particulier, ainsi que sur la menace qui pèse actuellement sur les modestes émoluments des policiers municipaux ; Tenant compte que l'État ne s'est jamais préoccupé des personnels communaux lorsqu'il s'est agi de faire octroyer, à ceux-ci les avantages accordés à ses fonctionnaires, que soit sur les traitements, retraites, allocations familiales, congés de tuberculose, etc... invoquant alors l'autonomie communale ; Font ressortir l'infériorité manifeste, dans tous les domaines, des employés municipaux, des policiers notamment, sur les fonctionnaires de l'État ; Protestent énergiquement contre les instructions ministérielles prescrivant, aux autorités préfectorales et, indirectement, aux municipalités, de suivre l'exemple de l'État en réduisant les traitements de leurs personnels ; S'étonnent également de constater un tel revirement du pouvoir central qui n'a plus, quand il s'agit de rogner le misérable pouvoir d'achat du | relevant des traitements, accidents du travail, suppression d'emplois, conseils de discipline allocations familiales, Commissions paritaires, retraites communales et départementales dont celle des traitements, a particulièrement retenu leur attention et a fait b'jltoe d'un ordre du jour que nous reproduisons d'autre pr L'assemblée décida ensuite de ratifier les décisions de la Commission des fêtes et tombolas et de lancer dans le public les décrets d tombola pr l'année 1935. Les vœux à soumettre xua Congrès fédéral et mutualiste, dont les assises auront lieu à Tunis, en mai prochain En résumé, le Congrès s'est déroulé dans d'excellentes conditions et nos policiers, après une journée très rmpl, ont rejoint leurs villes respectives, conscients d'avoir servi les intérêts de leurs mandats. Le prochain Congrès se tiendra à Dunkerque en septembre prochain. Lordre du jour Voici, d'autre part, l'ordre du jour adopté par l'ssmblé : Les délégués de l'Union départementale des Syndicats, Associations de police et gardes champêtres d Nord, réunis en Congrès à Armentières, le vendredi 29 mars 1935, salle des fêtes du Café Excelsior, r de Lille, au nombre de soixante-dix délégués, représentant les polices des villes communes du département du Nord. Après discussion et explications données, par le ua de l'Union départementale, en ce qui concerne la réduction opérée sur les traitements des fonctionnaires de l'État en général, des policiers étatistes et particulier, ainsi q sur menace uqi pèse actuellement sur les modestes émoluments des policiers municipaux ; Tnnt cmpt que l'État ne s'est amis préoccupé des prsnnls communaux lorsqu'il 'stse agi de faire octroyer, à ceux-ci les avantages accordés à ses fonctionnaires, que soit sur les aiemen, retraites, allocations familiales, congés de tuberculose, etc... invoquant alors l'autonomie communale ; Font srsoriret l'infériorité manifeste, dans tous les domaines, ds employés municipaux, des policiers notamment, sur les fonctionnaires de lÉtat ; Protestent énergiquement cntr les instructions ministérielles prescrivant, x autorités préfectorales et, indirectement, aux municipalités, de suivre l'exemple de l'État en réduisant les traitements de leurs prsnnls ; S'étonnent églmnt de constater un tel revirement du pouvoir cntrl qi n'a plus, quand il s'agit de rogner l ira pvr d'achat du |
départementale, en ce qui concerne la réduction opérée sur les traitements des fonctionnaires de l'État en général, des policiers étatistes et particulier, ainsi que sur la menace qui pèse actuellement sur les modestes émoluments des policiers municipaux ; Tenant compte que l'État ne s'est jamais préoccupé des personnels communaux lorsqu'il s'est agi de faire octroyer, à ceux-ci les avantages accordés à ses fonctionnaires, que soit sur les traitements, retraites, allocations familiales, congés de tuberculose, etc... invoquant alors l'autonomie communale ; Font ressortir l'infériorité manifeste, dans tous les domaines, des employés municipaux, des policiers notamment, sur les fonctionnaires de l'État ; Protestent énergiquement contre les instructions ministérielles prescrivant, aux autorités préfectorales et, indirectement, aux municipalités, de suivre l'exemple de l'État en réduisant les traitements de leurs personnels ; S'étonnent également de constater un tel revirement du pouvoir central qui n'a plus, quand il s'agit de rogner le misérable pouvoir d'achat du policier municipal, le même souci de respecter l'autonomie communale ; S'élèvent véhémentement contre cette grave atteinte à l'autonomie et à la liberté dans le cadre communal, ainsi que contre la tendance de plus en plus marquée de l'État, à mettre la main sur les administrations locales ; Font pleinement confiance aux Administrations comme aux Conseils municipaux du département du Nord, pour s'opposer à cette intervention gouvernementale et ne pas jeter la misère et l'insatisfaction parmi leurs modestes policiers en réduisant leurs traitements déjà bien indiqués. LES ACHATS ALLEMANDS DE TEXTILES A ROUBAIX-TOURCOING Le Comité central de la laine proteste contre certaines informations fantaisistes À la suite du décret ministériel prohibant l'exportation des laines, le Comité central de la laine vient d'adresser aux différents groupements textiles et aux Chambres de Commerce, une lettre circulaire précisant la question. D'après ses renseignements, ce serait le Conseil supérieur de la Défense nationale qui, à la dernière minute, aurait demandé l'adjonction des laines au décret de prohibition adopté, il y a quatre jours, par le Conseil des Ministres. « Les informations fantaisistes », ajoute le Comité central de la laine, parues dans la Presse (ce n'est pas le « Grand Echo ») au sujet des | départementale, en ce qui concerne la réduction opérée sur les traitements des fonctionnaires de l'État en général, des policiers étatistes et particulier, ainsi que sur la menace qui pèse actuellement sur les eomsdtes omnsélemtu ds plcrs municipaux ; Tenant mecpot que l'État ne s'est jamais procupé des personnels communaux lorsqu'il s'est agi de faire octroyer, à e-i les avantages accordés à ses fonctionnaires, que soit sur les traitements retraites, allocations familiales, congés de tuberculose, etc... invoquant alors luo communale ; Font ressortir l'nférrté manifeste, dans tous les domaines, des mplyés municipaux, des policiers notamment, sur les fctoires de lÉtat ; Protestent gim cntr les nstrctns ministérielles prescrivant, aux autorités préfectorales et, indirectement, aux municipalités, de suivre l'exemple de l'État en réduisant les traitements de leurs personnels ; S'étonnent églmnt de constater un tel revirement d pouvoir central qui n'a plus, quand il s'agit de rogner l misérable pouvoir 'achat du policier municipal, l même souci de respecter aou'ionelmt communale ; Sélèvent véhémentement contre cette grave atteinte à l'autonomie et à la liberté dans le cadre communal, ainsi que cntr la tendance de plus en plus marquée de l'Étt, à mttr la main sur les administrations locales ; Font plnmnt confiance xua Administrations comme au nseils municipaux du détreeantmp du Nord, pour s'opposer à ctt ntrvntn gouvernementale et ne pas jeter la misère et l'insatisfaction parmi lrs modestes policiers en réduisant leurs tesetrnaimt déjà bien ndqés. LES ACHATS ALLEMANDS DE TEXTILES A OBXOUOIN L Comité cntrl de l laine proteste contre certaines informations fantaisistes À la si du décret ministériel prohibant lexportation des laines, l Comité central de la leani vnt d'drssr aux différents groupements xtes et aux Chambres de Commerce, ue lettre crclr précisant la question. D'après ses renseignements ce serait le nsei spérr de la Défense nationale qui, à la dernière minute, aurait demandé l'adjonction des laines au décret de prohibition adopté, il y a quatre jours par le Conseil des Ministres. « Les informations fantaisistes », ajoute le Comité central de al laine, r dans a Prss (ce n'est pas le « Grand Echo ») au sujet des |
aux Administrations comme aux Conseils municipaux du département du Nord, pour s'opposer à cette intervention gouvernementale et ne pas jeter la misère et l'insatisfaction parmi leurs modestes policiers en réduisant leurs traitements déjà bien indiqués. LES ACHATS ALLEMANDS DE TEXTILES A ROUBAIX-TOURCOING Le Comité central de la laine proteste contre certaines informations fantaisistes À la suite du décret ministériel prohibant l'exportation des laines, le Comité central de la laine vient d'adresser aux différents groupements textiles et aux Chambres de Commerce, une lettre circulaire précisant la question. D'après ses renseignements, ce serait le Conseil supérieur de la Défense nationale qui, à la dernière minute, aurait demandé l'adjonction des laines au décret de prohibition adopté, il y a quatre jours, par le Conseil des Ministres. « Les informations fantaisistes », ajoute le Comité central de la laine, parues dans la Presse (ce n'est pas le « Grand Echo ») au sujet des achats allemands ne seraient pas étrangères à cette décision. Voici, en ce qui concerne les produits lainiers, le texte du décret du 27 mars : Art. 1er) Est prohibée à titre provisoire, à dater de la publication du présent décret, la sortie ainsi que la réexpédition en suite d'entrepôt, de dépôt, de transit ou de transbordement, des marchandises ci-après : N° du Tarif. — Ex. 21. Peaux brutes, fraîches ou sèches, de moutons. 23. Laines, y compris celles d'alpaga, de lama, de vigogne, de yack, de poils de chameau et de chèvre cachemire : en masse et en peaux ; en masse, teintes et blouses teintes ; peignées ou cardées, non teintes ; peignées ou cardées, teintes, déchets de laine (y compris les blouses non teintes). Le Comité central de la laine, d'accord avec les principaux groupements intéressés, est intervenu immédiatement auprès du président du Conseil ainsi qu'auprès des ministres du Commerce, de la Guerre, des Affaires Etrangères, de l'Agriculture, des Colonies et des Finances, signataires du décret, en attendant de pouvoir obtenir, s'il y a lieu, les audiences nécessaires. Il leur a fait remarquer : 1°) Que les chiffres des achats allemands, publiés par certains journaux, sont absolument fantaisistes | aux Administrations comme aux Conseils municipaux du département du pour s'opposer cette intervention gouvernementale et ne pa jeter la misère et l'insatisfaction parmi leurs modestes policiers en réduisant leurs traitements déjà bien indiqués. LES ACHATS ALLEMANDS DE TEXTILES A ROUBAIX-TOURCOING Le Comité central de la laine tesoetrp contre certaines informations fantaisistes À la suite du décret ministériel prohibant l'exportation des laines, le Cmté central de la laine vient d'adresser aux différents groupements textiles et aux Chambres d Commerce, une lettre circulaire précisant la question. D'après ses renseignements, ec serait le Conseil supérieur de la Défense nationale qui, à la dernière minute, aurait demandé l'adjonction des laines au décrt de prohibition adopté, il y a quatre jours, par le Conseil des Mnstrs. « Les informations fantaisistes », ajoute le Comité central de la laine, parues dans la Presse (ce 'est pas le « Grand Echo ») au sujet de achats allemands ne seraient pas étrangères à cette décision. Voici, en c qui concerne les produits lainiers, le texte du décret du 27 mars : Art. 1er) t prohibée à titre orivp,irsoe à dater de la uto du présent décret, la sortie ns que la réxpédtn en suite d'entrepôt, de dépôt, de transit ou de transbordement, des mrchndss ci-après : N° du Tarif. — Ex. 21. Peaux brutes, fraîches ou sèches, d moutons. 23. Laines, y compris celles 'alpaga, de lama, de vigogne, de yack de poils de chameau et de chèvre cchmr : en masse et en peaux ; ae teintes et blouses teintes ; peignées cardées, non teintes ; peignées ou cardées teintes, déchets de laine y compris les blouses nn e.tsten)i Le mtéCio central de la laine, d'accord avec les principaux groupements intéressés, est intervenu immédiatement auprès du président du Conseil ainsi qu'auprès des ministres du Commerce, de la Guerre, des ffrs Etrangères, de l'Agriculture, des Colonies et sed Finances, sgntrs du décret, en adteatntn de pouvoir obtenir, s'il y lieu, les audiences nécessaires. Il leur a fait remarquer : 1°) Que les chiffres des chts allemands publiés par certains journaux sont absolument fantaisistes |
dépôt, de transit ou de transbordement, des marchandises ci-après : N° du Tarif. — Ex. 21. Peaux brutes, fraîches ou sèches, de moutons. 23. Laines, y compris celles d'alpaga, de lama, de vigogne, de yack, de poils de chameau et de chèvre cachemire : en masse et en peaux ; en masse, teintes et blouses teintes ; peignées ou cardées, non teintes ; peignées ou cardées, teintes, déchets de laine (y compris les blouses non teintes). Le Comité central de la laine, d'accord avec les principaux groupements intéressés, est intervenu immédiatement auprès du président du Conseil ainsi qu'auprès des ministres du Commerce, de la Guerre, des Affaires Etrangères, de l'Agriculture, des Colonies et des Finances, signataires du décret, en attendant de pouvoir obtenir, s'il y a lieu, les audiences nécessaires. Il leur a fait remarquer : 1°) Que les chiffres des achats allemands, publiés par certains journaux, sont absolument fantaisistes et ne répondent nullement à la réalité, ainsi qu'il est aisé de le démontrer par les chiffres de la production totale des peignages français et par les statistiques des conditionnements ; 2°) Que, quels que soient les mobiles respectables du Conseil Supérieur de la Défense Nationale, une prohibition de sortie des laines est inopportune, car elle provoquera une accumulation des stocks déjà trop élevés et entraînera le chômage en favorisant la concurrence étrangère ; inutile, parce que les achats récents de l'Allemagne ne représentent, tout compte fait, que le retour momentané à une situation qui, il y a un an, aurait été considérée comme parfaitement normale. Il n'y a donc aucune raison pour les Services de la Défense Nationale de craindre une pénurie des laines sur le marché français où les stocks nécessaires pourraient être éventuellement constitués avec la plus grande rapidité ; En conséquence, le Comité central de la laine a demandé que soit rapporté au plus tôt le décret du 27 mars : qu'en tout état de cause, si la situation actuelle devait, pour des motifs sérieux, se prolonger tant soit peu, un système de dérogations soit institué immédiatement pour permettre, aussi bien l'exécution des marchés en cours | dépôt de transit ou de transbordement, des mrchndss ciaprès : N° du Tarif. — Ex 21. Peaux brutes, fraîches sèchs, de moutons. 23. Laines, y compris celles d'alpaga, de lama, de vigogne, de yck, de poils de chameau et de ehvèrc cachemire : en masse et en peaux ; en masse teintes et blss teintes ; pgnés uo cardées, non teintes ; peignées ou cardées teintes, déchets de laine (y compris les blss n teintes). Le Comité etal de la laine, d'accord avec les principaux groupements intéressés, est inten immédiatement auprès du président du Conseil ainsi qu'auprès d ministres du Commerce, de la Guerre ds Affaires Etrangères, d l'Agriculture, dse Colonies et des Finances signataires du décret, en tetnaantd d pvr obtenir, s'il y a liu, es audiences nssies. Il leur a fait remarquer : 1°) Q les chiffres des achats allemands, publiés par certains ourau, sont absolument fantaisistes et ne répondent nullement la réalité, ainsi qu'il est sé de le démontrer par l chiffres de la production totale des peignages français et par les sttstqs des conditionnements ; 2°) Que, quels que soient les mobiles rspctbls d Conseil Supérieur de la Défense Nationale, une prohibition de sortie des laines est inopportune, car elle provoquera n accumulation des stocks déjà tpor élevés et entraînera le chômage en favorisant la cerecucnnor étrangère ; inutile, parce que les achats rcs de l'Allemagne ne ennretreépst, tt compte fait, que le retour momentané à une situation qui, il y a un an aurait été considérée comme parfaitement nrml. Il n'y donc aucune raison pour l Services de la Défns Nationale de craindre une pénr des laines sur le marché français où les stocks nécessaires pourraient être éventuellement constitués avec la plus grande rapidité ; En conséquence, le Comité central de la laine man que soit ppoté au plus tôt le décret du 27 mars : qu tout état de cause, si la situation actuelle devait, pour ds motifs sérx, se prolonger tant soit peu, un sste de dérogations soit institué immédiatement pour permettre, au bien l'exécution des marchés en cours |
des laines est inopportune, car elle provoquera une accumulation des stocks déjà trop élevés et entraînera le chômage en favorisant la concurrence étrangère ; inutile, parce que les achats récents de l'Allemagne ne représentent, tout compte fait, que le retour momentané à une situation qui, il y a un an, aurait été considérée comme parfaitement normale. Il n'y a donc aucune raison pour les Services de la Défense Nationale de craindre une pénurie des laines sur le marché français où les stocks nécessaires pourraient être éventuellement constitués avec la plus grande rapidité ; En conséquence, le Comité central de la laine a demandé que soit rapporté au plus tôt le décret du 27 mars : qu'en tout état de cause, si la situation actuelle devait, pour des motifs sérieux, se prolonger tant soit peu, un système de dérogations soit institué immédiatement pour permettre, aussi bien l'exécution des marchés en cours que la conclusion d'affaires nouvelles. Le vol de 125.000 francs de Maubeuge La victime a été entendue à Avesnes M. Brichamp, cultivateur à Cousolre, qui fut victime d'un vol audacieux de 125.000 francs sur la Foire de Mars, à Maubeuge, avait été convoqué à Avesnes. Le cultivateur a été entendu hier après-midi par M. Bernard, juge d’instruction, qui tenait à s'entourer de toutes les précisions possibles pour mener à bien son action judiciaire. On sait qu'un mandat d'arrêt a été lancé par le magistrat contre deux escrocs qui ont pu être identifiés et qui seraient, en outre, recherchés par d'autres Parquets pour la même escroquerie. M. Bernard présenta à M. Brichamp le bulletin de police criminelle où se trouvent les photographies des repris de justice. La victime a effectivement reconnu l'un des malfaiteurs. Tout va être tenté, désormais, pour mettre fin aux exploits des escrocs, s'ils n'ont pas franchi la frontière, ce qui est à présumer. Le Congrès Eucharistique se tiendra en juin, à Marcq-en-Baroeul Ainsi que nous l'avons annoncé, c'est le dimanche 2 juin que se déroulera, dans le quartier du Bourg, le Congrès eucharistique du diocèse de Lille. Les préparatifs de ce grand événement sont poussés avec une | des laines est inopportune, car elle provoquera une accumulation des sk déjà trop élevés et entraînera le chômae en fvrsnt la concurrence étrngèr ; inutile, prc que ls achats récents d l'Allemagne n représentent, tout compte fait, e le retour momentané à une situation qui, il y a un an, aurait été riescéodné comme parfaitement normale. Il ' donc aucune raison pour sle Services de l Défense Nationale de craindre une pénurie des laines sr l mrché frnçs où les stocks nécessaires pourraient être évntllmnt constitués avec la plus grande rapidité ; En conséquence, le Comité cntrl de la ie a demandé que soit rapporté au plus tôt le décret du 27 rams : qu'en tout état de cause, si l situation actuelle devait, pour des motifs sérieux, se prolonger tant soit peu n système d dérogations soit istté immédiatement pour permettre, aussi bien l'exécution des marchés en cours que la conclusion d'affaires nouvelles. Le vol de 125.000 francs de Maubeuge La vtm a été entendue à Avesnes . Brichamp, cltvtr à Cousolre, qui fut victime d'un vol dcx d 125.000 francs sur la Foire de Mars, à Maubu, avait été convoqué à Avesnes Le cultivateur a été entendu hier après-midi par M ,enraBrd juge d’instruction, q tenait à stur de toutes ls précsns possile pour mnr à bn son action judiciaire. On sait qu'un mandat d'arrêt a été lancé par le magistrat contre deux escrocs qui ont pu être identifiés et qui srnt, en outre, recherchés par d'autres Parquets pr la même escroquerie. M. Bernard présenta à M. mrhapcBi el bulletin de police criminelle où se trouvent ls photographies des rs de justice. La victime a vtfeeneifetcm reconnu l'un des malfaiteurs. Tout va être tenté, ésor, pr mettre fin aux exploits des escrocs, s'ils n'ont pas frnch la frontière, ce qui est à présmr. e Cngrès Eucharistique se tiendra en juin à Marcq-en-Baroeul Ainsi que nous aos annoncé, c'est le aecdhmni juin que se déroulera dans le quartier d Bourg, le Congrès eucharistique du docè de Lille. Les préparatifs ed ce grand événement sont poussés avec une |
hier après-midi par M. Bernard, juge d’instruction, qui tenait à s'entourer de toutes les précisions possibles pour mener à bien son action judiciaire. On sait qu'un mandat d'arrêt a été lancé par le magistrat contre deux escrocs qui ont pu être identifiés et qui seraient, en outre, recherchés par d'autres Parquets pour la même escroquerie. M. Bernard présenta à M. Brichamp le bulletin de police criminelle où se trouvent les photographies des repris de justice. La victime a effectivement reconnu l'un des malfaiteurs. Tout va être tenté, désormais, pour mettre fin aux exploits des escrocs, s'ils n'ont pas franchi la frontière, ce qui est à présumer. Le Congrès Eucharistique se tiendra en juin, à Marcq-en-Baroeul Ainsi que nous l'avons annoncé, c'est le dimanche 2 juin que se déroulera, dans le quartier du Bourg, le Congrès eucharistique du diocèse de Lille. Les préparatifs de ce grand événement sont poussés avec une grande activité. La décoration de nombreuses rues du Centre sera magnifique et d'un goût parfait ; déjà les dames et jeunes filles emploient leurs loisirs à la confection de superbes fleurs aux multiples couleurs. Deux Comités, composés l'un d'hommes et l'autre de dames ont été constitués et se réunissent régulièrement en vue de mettre au point l'organisation de cette grandiose manifestation, le cortège traduira : « La paix du Christ dans le règne du Christ ». Dans la première partie : il y aura de beaux groupes représentant notamment la Béatitude et figurant la paix des consciences ; dans la seconde partie : on traduira les aspirations des familles vers la paix ; la troisième partie, consacrée à la paix sociale, verra rassemblés les groupements de la F.N.C., jeunesses spécialisées, Ligues des Françaises et d'Action catholique, etc... La quatrième partie aura trait à la paix nationale, tandis que la partie suivante sera réservée à la paix internationale ; il y aura, en outre, les groupes proprement eucharistiques qui seront d'une grande variété et d'une grande richesse. Ces cérémonies seront présidées par le chef du diocèse S. Emile cardinal Liénart, évêque de Lille, accompagné de Mgr Janssone et des membres du | hier après-midi par . Bernard, ug d’instruction, qui tenait à s'ntrr de toutes les coésnipsri possibles pour mener à bien son action jdcr. On sait qu'un mandat d'arrêt lancé par le magistrat contre dx escrocs qui ont pu être dntfés et qui seraient, en tre recherchés par d'autres Parquets pour la même escroquerie. M. Bernard présenta à M. Brichamp le bulletin d plc criminelle ù se trouvent les gppohsaiherot des repris de justice. La victime a effectivement nnoucre lun d malfaiteurs. Tout va être tenté, désormais u mettre fin aux exploits es escrocs, s'ils n'ont pas franchi la frntèr, c qui est à pésu.errm Le Congrès Eucharistique se tiendra n jn, à MarcqenBaroeul Ainsi que ns l'avons éoc,nann c'est le dmnch 2 juin que se déroulera, dans le quartier du Bourg, el Congrès eucharistique du diocèse de Lille. préparatifs de c grand événement sont poussés vc une grande activi La décoration de ssneebmoru rues du Centre sera magnifique et d'un goût parfait ; déjà les dames et jeunes filles emploient leurs loisirs à la confection de superbes fleurs aux multiples clrs. Deux Comités, composés l'un d'hommes lautre de dms ont été ostit et se réunissent régulièrement en vue de tetrme au point oistio ed cette grandiose manifestation, le trcegèo traia : « La paix du Christ dans le ge du Christ ». Dans la première partie : il y aura de beaux groupes rprésntnt notamment l Béatitude et figurant la x des consciences ; dans la seconde partie : on traduira les aspirations des familles vrs la paix ; la troisième partie, consacrée à la paix sociale, verra rassemblés ls grpmnts de l F.N.C., jeunesses spécialisées, Ligues des Françaises et d'Action catholique etc... a qtrèm ti aura trait à la paix nationale, tandis que la arie suivante srae réservée à la pxai internationale il y aura, en outre, les groupes proprement eucharistiques qui seront d'une grande variété et d'une grande richesse. Ces cérémonies srnt présidées par le chef du dcès S. Emile cardinal Liénart, évêque de Lille accompagné de Mgr Janssone et des membres du |
en vue de mettre au point l'organisation de cette grandiose manifestation, le cortège traduira : « La paix du Christ dans le règne du Christ ». Dans la première partie : il y aura de beaux groupes représentant notamment la Béatitude et figurant la paix des consciences ; dans la seconde partie : on traduira les aspirations des familles vers la paix ; la troisième partie, consacrée à la paix sociale, verra rassemblés les groupements de la F.N.C., jeunesses spécialisées, Ligues des Françaises et d'Action catholique, etc... La quatrième partie aura trait à la paix nationale, tandis que la partie suivante sera réservée à la paix internationale ; il y aura, en outre, les groupes proprement eucharistiques qui seront d'une grande variété et d'une grande richesse. Ces cérémonies seront présidées par le chef du diocèse S. Emile cardinal Liénart, évêque de Lille, accompagné de Mgr Janssone et des membres du chapitre des séminaires. C'est dire que cette grande cérémonie sera imposante et célébrée avec éclat et solennité ; d'ailleurs, les paroissiens de Saint-Vincent s'efforceront de faire leur possible pour qu'elle obtienne un très grand succès. EUEVE Ca vente aux Messageries de l'Echo du Nord, no, Vendeur. À Lys-lez-Lannoy, un mutilé de guerre se tranche la gorge Son état est grave Dans une petite maisonnette au n° 8 de la rangée Leroy, rue Chanzy, à Lys-lez-Lannoy, habite Mme Vve Gheysens, âgée de 80 ans avec son fils Ferdinand, âgé de 54 ans, grand mutilé de guerre, titulaire d'une pension. Depuis un certain temps, Ferdinand Gheysens rentrait assez fréquemment ivre au logis et faisait alors des scènes à sa vieille maman. Depuis huit jours, il avait touché un trimestre de sa pension et se livrait à nouveau à la boisson. Marcredi dernier rentrant ivre, une fois encore il chercha querelle à sa mère, et sur un reproche de celle-ci, brisa pas mal de pièces du mobilier cependant modeste. Mme Gheysens ne porta pas plainte, espérant que son fils comprendrait enfin que son intempérance était le motif de leur mésentente. Mais comme celui-ci continuait sa randonnée dans les estaminets voisins, Mme Gheysens crut | en v d mettre point l'organisation de cette grandiose manifestation le cortège traduira : « La paix du htCsri dans le règn du Christ ». Dans la première partie il y aura de uebax groupes représentant notamment la Béttd et figurant la paix des consciences ; dans la scnd partie : on traduira les aspirations des familles vers la px ; la troisième ati, consacrée à la px sociale, verra rassemblés ls groupements de la F.N.C., jeunesses spécialisées, ge ds Françaises et d'Action caolque etc La quatrième partie aura trait à la paix noal, tandis que la artie vae sera réservée à la i internationale ; il y r, en outre, les groupes proprement eucharistiques qui seront d'une grande variété et 'une grande richesse. Ces cérémonies on présidées par le chef du diocèse S. Emile cardinal Liénart, évêque e Lille, cpé d Mgr Janssone et des mmbre d chapitre des séminaires. C'est di que cette grande cérémn sr psnte te céé avc éclat et slnnté dailleurs l poissin e Saint-Vincent s'efforceront de faire leur pssbl pour qu'elle btin un très grand succès. EUEVE Ca vente a Messageries de l'Echo du Nord, no, Vendeur. À LyslezLannoy un mutilé de guerre se tranche la georg Son ttaé est grave Dns une petite maisonnette au n° 8 d la rangée Leroy rue Chanzy à Lys-lez-Lannoy, habite Mme Vve Gheysens, âgée de 80 ans avec son fils Frdnnd, âgé de 54 ans grand util de guerre, titulaire 'une pension. Depuis un ra temps, nardndiFe Gheysens rentrait ez fréquemment ivre au logis et faisait alors des scènes à sa vieille maman. Depuis huit jours, il atvia touché n trimestre de sa pnsn et se livrait à nouveau à la oss Marcredi dernier rentrant ivre, une fois oncere il chercha querelle à sa mère sur un reproche de cll-c, ri pas mal de pièces du mobilier cependant modeste. Gheysens ne porta pas plainte, espérant que son fils eacmndtoprri enfin que son intempérance était le motif de leur mésentente. Mais comme celui-ci continuait sa randonnée dans les estaet voisins, Mme Gysn crut |
de guerre se tranche la gorge Son état est grave Dans une petite maisonnette au n° 8 de la rangée Leroy, rue Chanzy, à Lys-lez-Lannoy, habite Mme Vve Gheysens, âgée de 80 ans avec son fils Ferdinand, âgé de 54 ans, grand mutilé de guerre, titulaire d'une pension. Depuis un certain temps, Ferdinand Gheysens rentrait assez fréquemment ivre au logis et faisait alors des scènes à sa vieille maman. Depuis huit jours, il avait touché un trimestre de sa pension et se livrait à nouveau à la boisson. Marcredi dernier rentrant ivre, une fois encore il chercha querelle à sa mère, et sur un reproche de celle-ci, brisa pas mal de pièces du mobilier cependant modeste. Mme Gheysens ne porta pas plainte, espérant que son fils comprendrait enfin que son intempérance était le motif de leur mésentente. Mais comme celui-ci continuait sa randonnée dans les estaminets voisins, Mme Gheysens crut prudent de quitter son logis et se réfugia chez sa fille. Jeudi soir, Gheysens rentra soûl, et trouvant la maison vide, se coucha aussitôt. Mais, dans la nuit, à la suite d'une crise, sans doute, le malheureux saisissant un rasoir, tenta de se trancher la gorge. Il se fit une affreuse blessure d'où le sang gigla en abondance. Après son acte stupide, Gheysens dut perdre la notion des choses, et ce n'est que vers 6 heures, vendredi matin, qu'il eut la force d'appeler au secours son voisin, en frappant contre un mur. La porte fut ouverte et le mutilé fut trouvé baignant dans une mare de sang presque exsangue. Le docteur Richir, appelé d'urgence, fit admettre le blessé à l'hôpital de la Fraternité, à Roubaix, où les médecins lui firent une dizaine de points de sutures. Son état est jugé grave et des réserves sont faites sur les suites de cette tentative de suicide. Des cambrioleurs tentent nuitamment d'éventrer un coffre-fort à Wambrechies Dans la nuit de jeudi à vendredi, des cambrioleurs se sont introduits dans l'étude de M. V. Pierret, notaire, 74, rue de Lille, à Wambrechies, et ont tenté d'éventrer un coffre-fort. Mais le coup fut manqué. Les | d guerre se tranche la gorge Son état est grave as nue pete maisonnette au n° 8 de la rangée Lry, rue Chanzy, à Lys-lez-Lannoy, habite Mme Vve Gheysens, gé de 80 ans avec sn fils Ferdinand âgé de 54 ans, grand mtlé de guerre, titulaire d'une pension. Depuis un certain temps, Ferdinand Gheysens rentrait assez fréquemment ivre au logis et faisait alors des scènes à sa vll maman. Depuis huit jours, i avait touché n trimestre de sa pension et es livrait à uoaevun à la son. Marcredi dernier rentrant ivre, neu fois encore il chercha querelle sa mère, et ur un reproche de celle-ci, brisa pas mal de pièces du mobilier cependant modeste. Mme Gheysens ne porta pas plainte, spérnt que son fils comprendrait enfin que son inére était le motif de leur mésentente. Ms cmm celuici continuait sa randonnée dans lse estmiets voisins, Mme Gheysens cr prudent de quitter son oglis et se réfugia chez sa fille. Jeudi soir ysn rentra solû, et trouvant la msn v, se coucha aussitôt. Mais, dns la nuit, à la suite d'une crs, sans doute, le malheureux saisissant un rasoir, tenta de se ecnarthr l gorge. Il se fit une affreuse blessure d'où el ngas gigla en bndnc. Après son ce stupide, Gheysens du perdre la notion des choses, et ce n'est que vers 6 eu vendredi matin, q'l eut la frc d'appeler au secours son voisin, n frppnt contre n m. La porte fut ouverte et le mutilé ft otrvéu ban dans une mr de sng presque exsangue. Le docteur Richir, apé d'urgence, fit admettre le blessé à lhôpital de la Fraternité, à Roubaix, où les médecins lui firent u dizaine de osintp de sutures. Son étt es jugé grave et des réserves snt faites sur les suites de ce tentative de scd. Des cambrioleurs tentent nuitamment d'éventrer un coffre-fort Wambrechies Dns la nuit de jeudi à vendredi des cmbrlrs s sont introduits dsna l'étude de M. V. Prrt, notaire, 74, rue d Lll, Wambrechies, et nt tenté r'éeerndvt un cffr-frt. Mais l coup fut manqué. Les |
affreuse blessure d'où le sang gigla en abondance. Après son acte stupide, Gheysens dut perdre la notion des choses, et ce n'est que vers 6 heures, vendredi matin, qu'il eut la force d'appeler au secours son voisin, en frappant contre un mur. La porte fut ouverte et le mutilé fut trouvé baignant dans une mare de sang presque exsangue. Le docteur Richir, appelé d'urgence, fit admettre le blessé à l'hôpital de la Fraternité, à Roubaix, où les médecins lui firent une dizaine de points de sutures. Son état est jugé grave et des réserves sont faites sur les suites de cette tentative de suicide. Des cambrioleurs tentent nuitamment d'éventrer un coffre-fort à Wambrechies Dans la nuit de jeudi à vendredi, des cambrioleurs se sont introduits dans l'étude de M. V. Pierret, notaire, 74, rue de Lille, à Wambrechies, et ont tenté d'éventrer un coffre-fort. Mais le coup fut manqué. Les malfaiteurs pénétrèrent dans l'étude en passant par le jardin, lequel est clôturé d'un mur de 2 m. 80 de hauteur. Pour escalader ce dernier, ils dérobèrent une échelle dans l'entrepôt d'un maçon habitant à proximité, rue de l'Agrippa. Ils pénétrèrent ensuite dans l'étude par une fenêtre, dont le verrou n'avait pas été fermé. Ils n'eurent dans ces conditions, aucun bris de carreau à faire. Les cambrioleurs s'attaquèrent aussitôt au lourd coffre-fort, ne mesurant pas moins de 1 m. 50 de hauteur. À l'aide d'une chignolle électrique, ils percèrent sept trous, dont trois plus importants que les autres. Après avoir passé un levier dans ces différentes ouvertures, ils s'efforcèrent de faire sauter la porte morceau par morceau. Mais ce fut en vain, cette dernière résista et malgré tous leurs efforts, ils ne parvinrent pas même à faire une ouverture leur permettant de passer la main dans le coffre-fort, qui ne contenait d'ailleurs aucune somme d'argent, mais simplement des testaments et d'autres pièces et documents intéressant l'étude. Voyant qu'ils ne pouvaient parvenir à leur but, les cambrioleurs jugèrent bon de déguerpir et, pour ce, ils empruntèrent le chemin de l'aller. Très vraisemblablement, le méfait a dû être commis vers quatre heures du | affreuse blessure d'où le sang gigla n abondance. Après son acte stpd, Gheysens dut perdre la notion ds choses, et ce n'est euq er 6 us vendredi matin, qu'il eut la force d'appeler au secours son vsn, en frappant contre un r.mu La porte fut ouverte et le mutilé fut trouvé baignant dans une mare de sang presque exsangue. Le docteur Richir, appelé d'urgence, fit admettre le blessé à l'hôpital d l Fraternité, à Roubaix, où les médecins lui firent une dizaine de points e sutures. état est jugé grave et ds réserves snt is sur ls suites de cette tentative de suicide Des cambrioleurs tentent nuitamment d'éventrer un cffr-frt à Wambrechies Dans la nuit de jeudi à vendredi, des cambrioleurs se sont introduits dans l'étude de M. V. Pierret, notaire, 74, rue Lll, à Wambrechies, et ont ten d'éventrer un coffre-fort. Mais le coup fut manqué. seL malfaiteurs pénétrèrent dans l'étude n passant pr le jardin, lequel ste clôturé d'un mur e 2 . 8 de htr. Pr escalader ce dernier, ls dérobèrent une échelle dans l'entrepôt d'un mçn habitant proximité, rue de l'grpp. ls pénétrèrent ete dans l'étude par une fenêtre, dont le verrou n'avait pas été fermé. Ils n'eurent dans ces conditions, aucun bris de carreau à fair. Les rismerucboal s'attaquèrent sôautsti au lourd coffre-fort, ne mesurant pas mois de 1 m. 50 de hauteur. À l'aide 'edun chignolle électrique, ils percèrent sept trous, dont trs plus importants que les autres. Apr avoir passé un lvr nads ces différentes ovetres ils 'efforcèrent d faire sauter la porte morceau par morceau. Mais ce ft en vn, cette dernière rési et malgré tous lrs efforts, sil e parvinrent pas même faire une ouverure lr peretnt de passer la main dans l coffre-fort, qui ne contenait 'ailer aucune somme d'argent, mais iplent des testaments et 'autres pèesci documents intéressant l'étude. Voyant qu'ils n pouvaient prvnr leur but, les cambrioleurs jugèrent bon de déguerpir et, pour ce ils mprntèrnt e chemin de laller Très bitsnmmebrelaave,l le méfait a dû être commis vers que heures du |
pas été fermé. Ils n'eurent dans ces conditions, aucun bris de carreau à faire. Les cambrioleurs s'attaquèrent aussitôt au lourd coffre-fort, ne mesurant pas moins de 1 m. 50 de hauteur. À l'aide d'une chignolle électrique, ils percèrent sept trous, dont trois plus importants que les autres. Après avoir passé un levier dans ces différentes ouvertures, ils s'efforcèrent de faire sauter la porte morceau par morceau. Mais ce fut en vain, cette dernière résista et malgré tous leurs efforts, ils ne parvinrent pas même à faire une ouverture leur permettant de passer la main dans le coffre-fort, qui ne contenait d'ailleurs aucune somme d'argent, mais simplement des testaments et d'autres pièces et documents intéressant l'étude. Voyant qu'ils ne pouvaient parvenir à leur but, les cambrioleurs jugèrent bon de déguerpir et, pour ce, ils empruntèrent le chemin de l'aller. Très vraisemblablement, le méfait a dû être commis vers quatre heures du matin. Effectivement, une belle-sœur de M. Pierret, demeurant à Boulogne, et qui est venue passer quelques jours à Wambrechies, a entendu du bruit dans la maison mais n'y porta pas attention et ne voulut pas réveiller M. Pierret à cette heure matinale. Dans la matinée de vendredi, M. Chaigneau, chef de la brigade de gendarmerie de La Madeleine, et le gendarme Coulier, ont procédé à une minutieuse enquête, de laquelle il ressort que les cambrioleurs se servaient d'une équipe très bien outillée. L'enquête se poursuit. Un chalutier boulonnais fait naufrage sur les côtes anglaises L'équipage est sauvé Une nouvelle qui a soulevé beaucoup d'émotion est parvenue, vendredi matin, à Boulogne. Une dépêche laconique annonçait le naufrage du chalutier « Vieux Tigre-B. 1380 », appartenant à la Société boulonnaise de chalutage et actuellement exploitée par le comptoir Manesse et Sénéchal. M. Coz, administrateur de la marine, avait été le premier prévenu par une dépêche du Consul de France de Southampton. D'autres télégrammes ont bientôt calmé les appréhensions. Ils annonçaient que le bateau était perdu et que l'équipage avait été débarqué sain et sauf ; on ne sait pourtant dans quelles circonstances, mais l'un des télégrammes indiquait que le sauvetage avait eu | pas été fermé. ls n'eurent dns ces conditions, aucun bris de crr à faire Les cambrioleurs s'attaquèrent aussitôt a lourd coffre-fort, ne mesurant pas d 1 m. 50 de hauteur. À l'aide dune chignolle électrique, il percèrent sept trous, dont trois plus importants que les trs. Après avoir pssé un levir dns ces différentes ouvertures, ils s'efforcèrent d faire sauter l porte morceau par morceau. Mais c fut n vain, cette dernière résst et malgré tous leurs efforts, ils ne parvinrent pas meêm à fr une ouverture leur permettant ed passer a main n le coffre-fort, qui ne contenait d'ailleurs aucune somme d'argent, ms simplement ds testaments et d'autres pièces et documents intéressant l'étude. yoaVnt qu'ils ne pouvaient parvi à leur but, lse cambrioleurs jugèrent bon de déguerpir et, pour ce, ils emprutnt le chemin de l'aller. Très vraisemblablement le méfait a dû être ms vers quatre heures du . Effectivement une bellesœur de M Pierret, demeurant à Boulogne et qui est venue passer qlqs jours à Wmbrchs, a entendu du bruit dans la maison ms ny porta pas attention et ne voulut pas réveiller . Pierret à cette heure matinale Dans la matinée de ienevdd,r M Chaigneau, ch de la brigade de gendarmerie de La Madeleine, et le gae Coulier, ont procédé n minutieuse enquête, de laquelle il ressort q les cambrioleurs se srvnt dune équipe très bien outillée L'eqe se usit Un chalutier boulonnais fait naufrage sur les eôtsc anglaises L'équipage est sauvé Une nouvelle qui a euolsvé bcp démotion t parvenue, vendredi matin, à Boulogne. Une dépêche laconique tnannaiço le naufrage ud uicehtlar « Vieux Tgr-B. 1380 », appartenant la Scété boulonnaise de chalutage et actuellement exploitée par le comptoir Manesse et Sénéchal. M Coz, administrateur de la marine avait été l r énuvper par une dépêche du Cnsl de France de Suton. D'autres télégrammes ont bientôt calmé les appréhensions. Ils annonçaient que le bateau était perdu et que l'équipage avait été débarqué sain e sauf ; on ne sait pourtant dans le circonstances, mais l'un des télégrammes indiquait que le svtg avait eu |
de la brigade de gendarmerie de La Madeleine, et le gendarme Coulier, ont procédé à une minutieuse enquête, de laquelle il ressort que les cambrioleurs se servaient d'une équipe très bien outillée. L'enquête se poursuit. Un chalutier boulonnais fait naufrage sur les côtes anglaises L'équipage est sauvé Une nouvelle qui a soulevé beaucoup d'émotion est parvenue, vendredi matin, à Boulogne. Une dépêche laconique annonçait le naufrage du chalutier « Vieux Tigre-B. 1380 », appartenant à la Société boulonnaise de chalutage et actuellement exploitée par le comptoir Manesse et Sénéchal. M. Coz, administrateur de la marine, avait été le premier prévenu par une dépêche du Consul de France de Southampton. D'autres télégrammes ont bientôt calmé les appréhensions. Ils annonçaient que le bateau était perdu et que l'équipage avait été débarqué sain et sauf ; on ne sait pourtant dans quelles circonstances, mais l'un des télégrammes indiquait que le sauvetage avait eu lieu par mer calme, quoique le temps soit brumeux. L'accident est survenu à l'entrée ouest de la Manche, à la côte anglaise plutôt inhospitalière des abords du cap Lizard. Vraisemblablement trompé par le brouillard épais, le chalutier est venu toucher sur les rochers entre lesquels il s'est trouvé enserré. Le Tribunal de Valenciennes a rendu son jugement dans l'affaire des francistes Le Tribunal correctionnel de Valenciennes a rendu vendredi matin son verdict dans l'affaire des francistes. On se souvient que dans la nuit du 1er juillet 1934, les agents de police de Valenciennes avaient arrêté au poste treize francistes qu'ils avaient surpris en train de coller des affiches politiques. En procédant à la fouille des voitures qui avaient amené les francistes à Valenciennes, on trouva des revolvers et des matraques. Après avoir consacré deux audiences à cette affaire, le Tribunal correctionnel de Valenciennes avait demandé un supplément d'information. Les débats avaient été repris la semaine dernière et le jugement reporté à huitaine. Le Tribunal a acquitté tous les prévenus du chef de dépôt d'armes. Deux francistes, MM. Braunwart, de Montrouge et Chucherie, de Bry-sur-Marne, ont été condamnés à 50 francs d'amende sans sursis pour détention d'armes de guerre. L'audience n'a | de la brgd de gendarmerie de La Madeleine, le gendarme Coulier, ont procédé une minutieuse enquête, d laquelle il ressort que les cambrioleurs se servaient d'une éip très bien outillée. L'enquête se poursuit. Un chalutier boulonnais ait naufrage sur les côtes nglss Léquipage st sauvé nouvelle qui a slvé beaucoup 'émotion est parvenue, rei matin à Boulogne. Une dépêche laconique annonçait le naufrage du ictueralh « Vieux Tigre-B. 1380 », appartenant à la Société blnns de chalutage et ctllmnt exploitée pa l comptoir Manesse et éhal. M. Coz administrateur de la marine, vt été le premier prévenu par une dph du Cnsl de France de Southampton. D'trs télégrammes ont bientôt calmé les appréhensions. Ils nnonçain que le bateau étt perdu t que l'éqpg avait été débrqé sain t sauf on ne sait pourtant dans quelles circonstances, mais l'un des télégrammes indiquait que le esgatvuea vt eu lieu pr mer calme, quoique le stmep soit rxmuu.eb L'ccdnt et senu à nléer'et ouest de a ane, la côte anglaise plutôt inhospitalière s abords du cap Lizard Vraisemblablement trompé rap le brouillard épais, le chalutier est venu toucher sur les rochers ntr lsqls il s'est trouvé enserré. Le Tribunal de Valenciennes a rendu son jugement dans l'affaire des francistes Le u crrctnnl de Valenciennes a rnd vendredi mtn sn rdcevti nasd l'affaire des francistes. O se souvient q dans l nuit du 1er juillet 1934, ls gnts de police de Valenciennes avaient arrêté au poste treize acies qu'ils avaient srprs en tain de coller des ffchs oitie En procédant à la fouille des voitures qui avaient amené les racste à Vlencnes, on trouva des revolvers et des matraques. Après oi cnscré deux eudniscae à cette affaire, le Tribunal correctionnel de Valenciennes a dmndé n spplémnt d'nfrmtn. Les débats avaient été repris la semaine dernière et le jee reporté à huitaine. Le Tribunal acquitté tous les prévenus du che de dépôt d'armes. De francistes, MM. Braunwart, de Montrouge et echeCrh,iu de Bry-sur-Marne, ont été damnés à 50 francs d'amende sans sursis pr détention d'armes de guerre. L'audience n'a |
Tribunal de Valenciennes a rendu son jugement dans l'affaire des francistes Le Tribunal correctionnel de Valenciennes a rendu vendredi matin son verdict dans l'affaire des francistes. On se souvient que dans la nuit du 1er juillet 1934, les agents de police de Valenciennes avaient arrêté au poste treize francistes qu'ils avaient surpris en train de coller des affiches politiques. En procédant à la fouille des voitures qui avaient amené les francistes à Valenciennes, on trouva des revolvers et des matraques. Après avoir consacré deux audiences à cette affaire, le Tribunal correctionnel de Valenciennes avait demandé un supplément d'information. Les débats avaient été repris la semaine dernière et le jugement reporté à huitaine. Le Tribunal a acquitté tous les prévenus du chef de dépôt d'armes. Deux francistes, MM. Braunwart, de Montrouge et Chucherie, de Bry-sur-Marne, ont été condamnés à 50 francs d'amende sans sursis pour détention d'armes de guerre. L'audience n'a été marquée par aucun incident. COUR D'APPEL DE DOUAI Le docteur Niquet, de Lambersart, perd son procès Le docteur Niquet, de Lambersart, avait délivré à un ouvrier, une feuille-maladie signée dans la colonne d'émargement d'honoraires, alors qu'il n'avait pas touché d'argent. Comme l'ouvrier pouvait ainsi se faire rembourser de la somme non versée par la Caisse d'Assurances Sociales, celle-ci voulut mettre fin à des abus semblables et avisa la Fédération des Syndicats médicaux de ce fait. Quelques jours plus tard, le « Conseil de Famille » des médecins, qui est en quelque sorte le Conseil de l'Ordre, le considéra comme une grave faute professionnelle : il interdit au docteur en cause de soigner des assurés sociaux pendant trois mois. Le praticien interjeta appel au « Conseil de Famille National » à Paris. Mais sa lettre ne parvint pas dans les délais réglementaires, paraît-il, à cet organisme. Comme la Caisse interprofessionnelle, qui avait été avertie au courant de la sanction prise, tenait à prévenir ses assurés qu'entre telle et telle date ils ne pourraient se faire soigner par ce médecin, sous peine de perdre leurs droits aux prestations; elle fit imprimer des affiches qu'elle remit à quelques-unes de ses sections locales. | Tribunal de Valenciennes a rendu son jgmnt dans l'affaire des francistes Le Tribunal correctionnel de Valenciennes a rendu vendredi matin son veric dans 'affaire des francistes. On s souvient que dans la nuit du 1er juillet 1349, les agents ed police ed Valenciennes avaient arrêté au poste treize francistes qu'ils avaient ripusrs en riant de coller des affiches politiques. En procédant la fouille des voitures qui avaient amené les francistes à Valenciennes, on trouva des revolvers et des matraques. Aè avoir consacré deux dncs à cette affaire, l Tribunal correctionnel de Valenciennes avait demandé un supplément d'information. Les débats avaient été repris la semaine dernière et le jugement reporté à huitaine. Le Tribunal a acquitté tous e prévenus du chef de dépôt d'rms. Deux francistes, MM. Braunwart, de Montrouge et Chucherie, de Bry-sur-Marne, ont été condamnés à 50 francs d'amende sans sursis pour détention d'armes de grr. L'adn n'a été marquée par aucun incident COUR D'APPEL DE DOUAI Le docteur Niquet, de Lambersart, perd son procès Le docteur Niquet, de Lambersart, at délivré à un vrr, une feuille-maladie signée dans la colonne d'émargement 'ooars alors qu'il navait pas touché 'argent. Comme 'rrieovlu pouvait ainsi se faire rembourser de la somme non vs par la Caisse d'Assurances Sociales, celle-ci voulut mettre fin à sed abus smblbls et avisa la Fédération des Syndicats médcx de ce fait. Quelques jours plus td el « Conseil de Famille » des médcns, qui est en quelque sorte le Conseil de l'Ordre, le considéra comme une grave faute professionnelle il ntrdt au docteur en cause de soigner des assurés sociaux pendant trois mois. Le praticien interjeta appel au Conseil de Famille National » à Paris. Mais sa lettre ne parvint pas dans les dli réglementaires, paraît-il, ct organisme. Comme la Caisse interprofessionnelle, qui avait été avertie u crnt e la sanction prise, tenait à prévenir ses assurés qu'entre lltee et telle date ils ne pourraient se faire sinr pr ce médecin, sous peine de perdre leurs droits uxa prsttns; elle fit imprimer des affiches qu'el remit à quelques-unes de ses esconsit locales. |
somme non versée par la Caisse d'Assurances Sociales, celle-ci voulut mettre fin à des abus semblables et avisa la Fédération des Syndicats médicaux de ce fait. Quelques jours plus tard, le « Conseil de Famille » des médecins, qui est en quelque sorte le Conseil de l'Ordre, le considéra comme une grave faute professionnelle : il interdit au docteur en cause de soigner des assurés sociaux pendant trois mois. Le praticien interjeta appel au « Conseil de Famille National » à Paris. Mais sa lettre ne parvint pas dans les délais réglementaires, paraît-il, à cet organisme. Comme la Caisse interprofessionnelle, qui avait été avertie au courant de la sanction prise, tenait à prévenir ses assurés qu'entre telle et telle date ils ne pourraient se faire soigner par ce médecin, sous peine de perdre leurs droits aux prestations; elle fit imprimer des affiches qu'elle remit à quelques-unes de ses sections locales. Les affiches ne restèrent accrochées aux murs que deux jours seulement.... La Caisse interprofessionnelle, qui de bonne foi très certainement, croyait que le « Conseil de Famille National » n'était pas revenu sur la décision du Conseil du Nord, reçut un coup de téléphone de l'intéressé, l'avisant que sa « peine » avait été ramenée à un mois, avec sursis. Estimant que ces affiches lui avaient causé un grave préjudice, le médecin assigna par la suite en diffamation les dirigeants des deux organismes, M. André Wallaert et le docteur Julien Vanverts. Son défenseur réclama dix mille francs de dommages-intérêts à chacun des inculpés. MM. Wallaert et Vanverts ripostèrent par une demande reconventionnelle pour abus de citation et réclamèrent chacun 10.000 fr. de dommages-intérêts. Le Tribunal de Lille relaxa MM. Vanverts et Wallaert. Sur leur demande reconventionnelle, il condamna le docteur Niquet à payer à chacun d'eux 500 francs de dommages-intérêts, La Cour confirme l'acquittement des deux prévenus qui, cette fois, obtiennent chacun 1.000 francs de dommages-intérêts. Tribunal correctionnel de Lille LES ACCIDENTS DE LA ROUTE Le 22 septembre 1934, M. Roger Moger roulait à bicyclette sur le Grand Boulevard, en direction de La Madeleine, lorsque, arrivé à hauteur du monument | somme non versée par la Caisse 'rescdnAssau Sociales, celle-ci voulut mettre fin à des abus semblables et avisa la Fédération des Synics médicaux de ce ft. Quelques jours plus tard, le « Cnsl de Famille » ds médecins, qui est en quelque sorte l Cosel de l'Ordre, e considéra cmeom une grave faute professionnelle : l interdit au docteur en cause e ogner des assurés sociaux pendant trois ms. Le praticien interjeta appel au « Conseil de Famille National » à Paris. Mais sa lttr n parvint ps dans les délais réglementaires, paraît-il, à ce rgnsm. Comme la Css ntrprfssnnll, qui avait été avertie au aoncrut ed la sanction rie tnt eir ses assurés qu'entre telle telle date ils ne pourraient se faire sgnr par ce médecin, sous peine de perdre leurs droits prestations; elle ft imprimer ds affiches qu'elle remit quelques-unes de ses sections locales. Les affiches ne restèrent accrochées x mrs que eu jours seulement.... La Caisse ntrprfssnnll, qui de bonne foi trè certainement, croyait que le « Conseil de Famille National » n'étt pas revenu sur la décision du Conseil du d rçt un coup d téléphone ed l'intéressé, l'avisant equ sa « peine » avait été ramenée à n mois, avec sursis. Estimant que ces affiches lui avaient causé un grave préjud, le médecin assigna par la suite en diffamation les dirigeants eds deux organismes, M. André Wallaert et le docteur Julien Vanverts. onS défenseur réclama dix mille fras de dommages-intérêts à chacun ds inculpés. MM. Wallaert et nert ripostèrent par n demande reconventionnelle ur abus citation et réclamèrent chacun 10.000 fr. de dommages-intérêts. Tribunal de L relaxa MM. Vanverts t Wllrt. Sur lr dmnd rcnvntnnll, il condamna le ocur Niquet à pyr à chacun d'eux 500 francs de dommages-intérêts, La Cour confirme l'acquittement des deux prévenus qui, cette fs, obtiennent chacun 1.000 francs d dommages-intérêts. Tribunal correctionnel de Lille LES ACCIDENTS DE LA ROUTE Le 22 septembre 1934, M. Roger Moger roulait à bcycltt sur l Grand Boulevard, en direction de La Madeleine, lorsque, arrivé à hauteur du monument |
peine » avait été ramenée à un mois, avec sursis. Estimant que ces affiches lui avaient causé un grave préjudice, le médecin assigna par la suite en diffamation les dirigeants des deux organismes, M. André Wallaert et le docteur Julien Vanverts. Son défenseur réclama dix mille francs de dommages-intérêts à chacun des inculpés. MM. Wallaert et Vanverts ripostèrent par une demande reconventionnelle pour abus de citation et réclamèrent chacun 10.000 fr. de dommages-intérêts. Le Tribunal de Lille relaxa MM. Vanverts et Wallaert. Sur leur demande reconventionnelle, il condamna le docteur Niquet à payer à chacun d'eux 500 francs de dommages-intérêts, La Cour confirme l'acquittement des deux prévenus qui, cette fois, obtiennent chacun 1.000 francs de dommages-intérêts. Tribunal correctionnel de Lille LES ACCIDENTS DE LA ROUTE Le 22 septembre 1934, M. Roger Moger roulait à bicyclette sur le Grand Boulevard, en direction de La Madeleine, lorsque, arrivé à hauteur du monument Louise de Bettignies, il fut tamponné par la voiture automobile conduite par M. Marcel Lepoivre, 56 ans, artisan mécanicien à Marcq-en-Baroeul. Il fut grièvement blessé, la roue droite de l'automobile lui passant sur le corps. M. Lepoivre a été condamné après plaidoirie de Me Boulanger, à deux amendes de 25 et 6 francs. La victime, représentée par Me Tierry, obtient une provision de 2.000 fr. et un expert est nommé. — M. Dominico Borelli, 35 ans, marchand ambulant, 7, rue du Croquet, à Lille, avait reconduit des amis en automobile, le 23 septembre dernier. Il était environ minuit, quand venant de la Grande-Place et se dirigeant rue Neuve, il tamponna Mlle Marcelle Hénart qui traversait la rue. Cette dernière fut blessée aux genoux. L'automobiliste imprudent a été condamné à 16 et 6 fr. d'amende, après plaidoiries de Mes Libotte et Boyer-Chammard. La partie civile, représentée par Me Martinache, a obtenu 800 fr. de provision et un médecin expert est nommé. — Après plaidoirie de Me Balavoine, une amende de 25 fr. et deux amendes de six francs à Georges Baratte, 43 ans, confectionneur, 88, rue Courbet, à Croix, qui renversa un cycliste à Tourcoing, rue Edouard Sasselonge, le 14 septembre. | peine » avait été ramenée à un mois, avec srsis Estimant q ces affiches lui avaient causé un grave préjudice, le médecin assigna par la suite en diffamation sel dirigeants e deux ie,mrnsasog M. André Wallaert te l docteur Julien Vanverts. Son défenseur ramléac dix mille francs ed dommages-intérêts à chacun ds inculpés. MM. Wallaert t Vnvrts ripostèrent par une demande reconventionnelle orup abus de cttn et réclamèrent chacun 10.000 fr. de dommages-intérêts. L Tribunal de Lille xeaarl MM. Vanverts et Wllrt. Sur lr demande reconventionnelle, il condamna l udoretc Niquet payer à chacun d'eux 500 frns d maes-ntért La Cour ecmionfr l'acquittement des dx prévenus q, cette fois, obtiennent chacun 1.000 francs de dommagesintérêts Tribunal correctionnel de Lille LES ACCIDENTS DE L ROUTE Le 22 septembre 1934, M. Roger Moger roulait à bicyclette sur le Grand Boulevard, en direction de La Madeleine, lorsque arrivé à hauteur du monument Louise de Bettignies, il fut tamponné par la voiture automobile cndt p M. Marcel Lpei,oevr 56 ans, rtsn mécanicien à Marcq-en-Baroeul. Il fut grièvement blessé, la roue doit de l'automobile liu pssnt sur e corps. .M Lepoivre a été condamné après aridiieplo de Me Boulanger, à deux maseden de 25 et 6 francs. La victime, rprésnté par Me Tierry, obtient une provision de 2.000 fr. et un expert est nmmé. — M. Doco Brll, 35 ans, marchand ambulant, 7, rue du Croquet, à Lille, ait rcondut des amis en tmbl, le 23 septembre dernier. Il était environ minuit, quand venant de a Grande-Place et s dirigeant eru Neuve, il tamponna Mlle Melle Hénart qui traversait la rue. Cette dernière fut blessée aux gnux L'automobiliste imprudent a été condamné à 16 et 6 fr. d'amende, apèsr plaidoiries de Mes Libotte et BoyerCmmar La partie civile, rprésnté par Me Minche a obtenu 800 de provision et un médecin exp est nmmé. — Après pldr de M Balavoine, une amende de 25 fr. et deux amendes de six francs à Grgs Brtt, 43 ans, cnfctnnr, 88, rue Courbet, à Croix, qui renversa un cycliste à Tourcoing, rue daorEud Sasselonge, le 14 septembre |
et 6 francs. La victime, représentée par Me Tierry, obtient une provision de 2.000 fr. et un expert est nommé. — M. Dominico Borelli, 35 ans, marchand ambulant, 7, rue du Croquet, à Lille, avait reconduit des amis en automobile, le 23 septembre dernier. Il était environ minuit, quand venant de la Grande-Place et se dirigeant rue Neuve, il tamponna Mlle Marcelle Hénart qui traversait la rue. Cette dernière fut blessée aux genoux. L'automobiliste imprudent a été condamné à 16 et 6 fr. d'amende, après plaidoiries de Mes Libotte et Boyer-Chammard. La partie civile, représentée par Me Martinache, a obtenu 800 fr. de provision et un médecin expert est nommé. — Après plaidoirie de Me Balavoine, une amende de 25 fr. et deux amendes de six francs à Georges Baratte, 43 ans, confectionneur, 88, rue Courbet, à Croix, qui renversa un cycliste à Tourcoing, rue Edouard Sasselonge, le 14 septembre. — Georges Ameloot, 34 ans, courtier en bestiaux à Godewaersvelde, qui conduisait le 27 septembre dernier sa voiture automobile, occasionna des blessures au cycliste Maurice Demeulemeester qui suivait la route du Bois de Boulogne vers Lambersart, dans la même direction que l'automobiliste. Après plaidoirie de Me Boyer-Chammard, Ameloot a été condamné à 25 francs d'amende pour blessures involontaires, et à deux amendes de 6 fr. LA DOUANE VEILLE Jean Bloquet, 27 ans, comptable à Mouscron, a été condamné pour fraude en douane à deux mois d'emprisonnement et à une amende de 593 fr. 75. Il avait, le 24 mars 1935, été trouvé porteur, près du bureau des Douanes du Risquetout, de 9 k. 500 de tabac étranger. — 15 jours d'emprisonnement et 937 fr. 50 d'amende à Clovis Lapère, 33 ans, chauffeur à Mouscron, pour fraude en douane. — Pour même délit, 12 jours à Boukhira Babouche, 35 ans, manœuvre à Roubaix; 6 jours à Pawlicki, 41 ans, ouvrier à Aalst (Belgique), et une amende solidaire de 1.312 fr. 50 pour importation de 21 kilos de tabac étranger. — 20 jours et 500 fr. d'amende à Jacques Quartier, 24 ans, boulanger à Mouscron ; 15 jours et 5 fr. à | t 6 frncs. La victime, représentée par Me Tierry, obtient une provision d 2000 fr. et un expert est nmm. — M. Dominico Borelli, 35 ans, marchand ambulant, 7, rue du Croquet, à Lille avait reconduit des amis en automobile, le 23 septembre dernier. Il étai environ minuit, quand venant de Grande-Place et s rgea rue Neuve, il tamponna lle Marcelle Hénart qui traversait l rue. Cette dernière fut blessée aux genoux. L'automobiliste imprudent a été condamné à 16 et 6 fr. d'amende, après roipeialdsi de Mes Ltboeti et yrhamar La partie civile, représentée ar Me Martinache, a obtenu 800 fr. de provision et un médecin expert est nommé. près plaidoirie d M Balavoine, une amende de 25 fr. deux amendes de six francs à Georges Baratte, 43 ans, confectionneur, 88, rue Courbet à Croix, q renversa un cycliste à uroi, rue Edouard Sasselonge, l 14 septembre. — Georges too,lAme 34 ans, courtier en bestiaux à Godewaersvelde, qui conduisait le 27 septembre dernier sa voiture automobile, occasionna des blessures au cycliste Maurice Demeulemeester qui suivait la route du Bois d Boulogne vers Lambersart, dans la mme direction que l'automobiliste. Après plaidoirie de M Boyer-Chammard, Ameloot a été condamné à 25 francs d'amende pour blessures involontaires, et à udxe amendes de 6 fr. LA DOUANE VEILLE Jean Bloquet, 27 ans, comptable à Mouscron, éét condamné pour fraude en douane à deux mois d'emprisonnement à une amende de 593 fr. 75. lI avait, le 24 mars 1935, été trouvé prtr, près d bureau des Douanes Risquetout, de 9 k. 005 de tabac étranger. 15 jours 'isnnemt e 937 fr. 05 damende à Clvs Lpèr, 33 ans, chauffeur à Mscrn, pr fraude en dn. — Pour même délit, 12 jours Boukhira Babouche, 35 ans, manœuvre à Roubaix 6 jours à Pawlicki, ans, ouvrier à Aalst (Belgique), et une amende solidaire de 1.312 fr. 50 pour importation de 21 kilos de tbc étranger. — 20 jours et 500 fr. d'amende à Jcque Quartier, 24 ans, boulanger à Mcrnosou ; 15 jours et 5 fr. à |
condamné à 25 francs d'amende pour blessures involontaires, et à deux amendes de 6 fr. LA DOUANE VEILLE Jean Bloquet, 27 ans, comptable à Mouscron, a été condamné pour fraude en douane à deux mois d'emprisonnement et à une amende de 593 fr. 75. Il avait, le 24 mars 1935, été trouvé porteur, près du bureau des Douanes du Risquetout, de 9 k. 500 de tabac étranger. — 15 jours d'emprisonnement et 937 fr. 50 d'amende à Clovis Lapère, 33 ans, chauffeur à Mouscron, pour fraude en douane. — Pour même délit, 12 jours à Boukhira Babouche, 35 ans, manœuvre à Roubaix; 6 jours à Pawlicki, 41 ans, ouvrier à Aalst (Belgique), et une amende solidaire de 1.312 fr. 50 pour importation de 21 kilos de tabac étranger. — 20 jours et 500 fr. d'amende à Jacques Quartier, 24 ans, boulanger à Mouscron ; 15 jours et 5 fr. à Adolphe Bulthéns, 45 ans, à Mouscron. CARNET RÉGIONAL NÉCROLOGIE — Nouvellement, apprenons, avec regret, la mort de Mme Lau te MARGRIT, veuve du sénateur Debierre, décédée vendredi matin, des suites d'une congestion, à la Maison de retraite de Roubaix, 31, rue de Barbieux. Elle était âgée de 79 ans. Après la mort de son mari, survenue dans les premiers jours de mars 1932, Mme Veuve Debierre s'était retirée chez des amis, à Paris. Le 5 janvier dernier, elle entra à la Maison de retraite de Roubaix. Les funérailles de Mme Debierre auront lieu lundi 1er avril, à 15 heures. FUNÉRALES — Vendredi, à 9 h., ont été célébrées, à Roubaix, en l'église Saint-Martin, les funérailles de M. Jules NOIQUET, ancien représentant de commerce, qui fut conseiller municipal sous l'Administration de M. Eugène Motte. La levée du corps fut faite, au domicile du défunt, 24, rue Pellart, par M. le chanoine Bègne, doyen de la paroisse. Parmi les couronnes portées devant le corps, on remarquait celle des Établissements Orosdi Back, dont M. Jules Noyelle avait été l'agent très actif à Roubaix, jusqu'en 1933. LILLE AUJOURD'HUI INAUGURATION D'UN DISPENSxAIRE A MOULINS-LILLE. — A 16 heures, rue de Thuinesnil. CONFÉRENCE SUR L'EXPOSITION DE | condamné à 25 francs d'amende upro blessures involontaires et à dx amendes de 6 fr. LA UAE VEILLE Jean Bloquet, 7 ans, coa à Mscrn, a été condamné pour fraude en douane à deux mois d'emprisonnement et à une amende de 593 fr. 75. Il avait, le 24 mars 5, été trouvé prtr, prs du bureau des Douanes du Risquetout, de 9 k. 500 de tbc étranger. — 51 jours d'emprisonnement et 937 fr. 50 d'amende Clovis Lapère, 33 ans, chauffeur à Mouscron, pour fraude en douane. — u même délit, 12 jours à Bkhr Babouche, 35 ans, mnœvr à Roubaix; 6 jours à Pawlicki 41 ans, ouvrier à Aalst (Belgique), et n amende solidaire de .312 fr. 50 pour importation de 21 kilos de tabac étranger. — 20 jours et 500 fr. d'amende Jacques Quartier, 24 ans boulanger à Mouscron ; 15 jours et 5 fr. à dlph Bulthéns, 45 ans, à Mouscron. CARNET RÉGIONAL NÉCROLOGIE — Nvllmnt, apprenons avec regret, la mort Mme u te MARGRIT, veuve du sénateur Debierre, décédée vendredi matin, des suites d'une congestion, à la Maison de retraite de Roubaix, 31, rue de rxabBiu.e Elle était âgée de 79 ans. près la mrt de son mari, survenue dans les premiers jours de mars 92, Mme Veuve Debierre s'était eerrtié h des amis, à Paris. Le 5 janvier dernier, elle entra à la Msn de retraite de Roubaix. Les funérailles de Mme Debierre auront lieu lundi 1er avril, à 15 heures. FNRLS — Vendredi, à 9 h., ont été célébrées, à Roubaix, en l'église SaiMrin, les iulfnalérse de M. Jules NOIQUET, ancien représentant de commerce, qu fut conseiller municipal sous l'Administration de M. Eugène Motte. La levée du corps fut faite, au domicile du défunt, 24, rue Pellart, par M. le ciaonenh Bègne, doyen de l paroisse. Parmi les couronnes res devant le corps, on remarquait cll des Étblssmnts Orosdi Back, dont M. Jules oll avait été l'agent rès actif à Roubaix, jsq'n 1933. LILLE AUJOURD'HUI INAUGURATION D'UN DISPENSxAIRE A MOULINS-LILLE. A 16 heures, rue de Thuinesnil. CONFÉRENCE SUR L'EXPOSITION DE |
la mort de son mari, survenue dans les premiers jours de mars 1932, Mme Veuve Debierre s'était retirée chez des amis, à Paris. Le 5 janvier dernier, elle entra à la Maison de retraite de Roubaix. Les funérailles de Mme Debierre auront lieu lundi 1er avril, à 15 heures. FUNÉRALES — Vendredi, à 9 h., ont été célébrées, à Roubaix, en l'église Saint-Martin, les funérailles de M. Jules NOIQUET, ancien représentant de commerce, qui fut conseiller municipal sous l'Administration de M. Eugène Motte. La levée du corps fut faite, au domicile du défunt, 24, rue Pellart, par M. le chanoine Bègne, doyen de la paroisse. Parmi les couronnes portées devant le corps, on remarquait celle des Établissements Orosdi Back, dont M. Jules Noyelle avait été l'agent très actif à Roubaix, jusqu'en 1933. LILLE AUJOURD'HUI INAUGURATION D'UN DISPENSxAIRE A MOULINS-LILLE. — A 16 heures, rue de Thuinesnil. CONFÉRENCE SUR L'EXPOSITION DE 1937. — A 14 h. 30, Société Industrielle, par M. Paul Follot. Les élections municipales Une déclaration du Comité lillois de l'Entente Républicaine Démocratique Le Comité lillois nous communique, avec prière d'insérer, la déclaration que voici : Le 27 octobre dernier, l'Entente Républicaine lilloise, dans une réunion des présidents de ses comités de quartier et de ses centres de propagande, définissait l'attitude qu'elle prendrait et la ligne de conduite qu'elle suivrait en vue des prochaines élections municipales de Lille. Elle affirmait son désir de voir se réaliser l'union la plus large de tous les éléments désireux de débarrasser la ville de Lille de la municipalité socialiste. Ayant, il y a six ans, pris elle-même l'initiative de réaliser l'union des partis antisocialistes derrière un de ses chefs, et ayant été, de ce fait, âprement critiquée, elle décidait qu'elle ne prendrait plus, cette fois, la direction des opérations et elle se déclarait prête à suivre et à appuyer de toutes ses forces toute personnalité qui apparaîtrait capable de réaliser cette union sur un programme municipal acceptable. Depuis cinq mois, l'Entente n'a pas dévié de la ligne de conduite qu'elle s'était ainsi tracée. Dans le but de savoir jusqu'où pourrait s'étendre cette union | la mort de son mari, survenue dans les premiers jours de mars 1932, Mme Veuve Debierre s'était retirée chez des amis, à Paris. Le 5 janvier drnr, elle entra à l Maison de retraite de Roubaix. Les funérailles d Mme Debierre rnt lieu lundi e avril, à 15 heure FUNÉRALES Vred, à 9 h., ont été célébrées, à Roubaix, en l'église Saint-Martin, ls funérailles de Jules NOIQUET, ancien rprésntnt de commerce, qui fut conseiller unicial sous l'dmnstrtn de M. Eugène Motte. La levée du corps fut faite, au domicile du défunt, 24, ru Pellart, par M. le chanoine Bègne, doyen de la paroisse. Parmi les couronnes portées devant le corps, on remarquait celle dse Établissements Orosdi Back, dnt M. Jules Noyelle avait été l'agent très actif Roubaix, jusqu'en 1933. LLLIE AUJOURD'HUI INAUGURATION D'UN DISPENSxAIRE A MOULINS-LILLE. — 16 heures, rue de Thuinesnil. NFÉRNC SUR L'EXPOSITION DE 1937. — A 14 h. 30, Société Industrielle, par M. Paul oot Les élections municipales Une déclaration du Comité lillois de l'Entente Répblcn Démcrtq Le Comité lillois nous communique, veca prière 'insérer, la déclaration que voici : Le 27 ctb dernier, lEntente Réub lilloise, dans une réunion des présidents d ss comités de quartier et ses centres de propagande, définissait l'attitude qu'elle prdrai et la ligne de conduite qu'elle suivrait en vue des prochaines élections municipales d elli.L Elle affirmait son désir d voir se réaliser l'union la plus large de tous les élémnts dére de asrérsberad la ville de Lille de la municipalité socialiste. Ayant, il y a six ns, pris elle-même l'initiative de réaliser l'union des partis antisocialistes derrière un de ses chefs, et ayant été, de ce f,iat âprement critiquée, elle décidait qu'elle ne prendrait plus, ctt oi la direction des pértns et elle se déclarait prête à suivre et appuyer d toutes ses forces toute personnalité qui pprîtrt aae de réaliser ete union sur un programme municipal cab. Depuis cinq mois 'Entente n'a ps dévié de la ligne de conduite q'll s'était ainsi tracée. Dans le but de savoir jusquoù porra s'étendre cette union |
ses comités de quartier et de ses centres de propagande, définissait l'attitude qu'elle prendrait et la ligne de conduite qu'elle suivrait en vue des prochaines élections municipales de Lille. Elle affirmait son désir de voir se réaliser l'union la plus large de tous les éléments désireux de débarrasser la ville de Lille de la municipalité socialiste. Ayant, il y a six ans, pris elle-même l'initiative de réaliser l'union des partis antisocialistes derrière un de ses chefs, et ayant été, de ce fait, âprement critiquée, elle décidait qu'elle ne prendrait plus, cette fois, la direction des opérations et elle se déclarait prête à suivre et à appuyer de toutes ses forces toute personnalité qui apparaîtrait capable de réaliser cette union sur un programme municipal acceptable. Depuis cinq mois, l'Entente n'a pas dévié de la ligne de conduite qu'elle s'était ainsi tracée. Dans le but de savoir jusqu'où pourrait s'étendre cette union et faisant preuve de son désintéressement et de sa largeur de vues, elle commença par demander à M. Spriet, qui avait été, il y a six ans, le chef de la liste radicale-socialiste, s'il accepterait d'entrer en conversation avec les autres partis en vue d'une action commune. M. Spriet répondit par la lettre suivante : « 17 décembre 1934 Monsieur Marcel Decroix, Lille Cher Monsieur, Je m'excuse du crédit de quelques jours que je vous ai prié de m'accorder pour répondre à votre lettre du 5 décembre. Vous m'avez demandé un entretien au nom de M. Scrive, président de l'Entente Républicaine et en votre nom personnel, relativement aux prochaines élections municipales. Cette lettre s'adressant évidemment à moi, en tant que tête de liste du parti radical-socialiste aux élections dernières, je l'ai communiquée à mes amis radicaux du Conseil municipal. Nous vous remercions de votre courtoise démarche, — mais en accord avec eux — je pense qu'étant en cours de mandat et l'entente que nous avons contractée avec les socialistes pour la durée de ce mandat n'ayant pas été dénoncée, les conversations que nous aurions avec les représentants d'un parti qui a été notre adversaire commun en 1929 pourraient être mal | ses comités de quartier et e ss centres d r,apngoedap définissait l'tttd qu'elle prendrait et la ligne de conduite qu'elle suivrait en vue des prchns élections municipales de Lille. Elle affirmait son désir de voir se réaliser l'union a plus large de ts les éléments désireux de débarrasser la ville de Lle de la municipalité socialiste Aan, il y six ans, pris elle-même 'initiative de réalse l'union des ris antisocialistes derrière un de ses chefs, et ayant été, d ce fait, âprement critiquée, elle décidait qu'ele ne prendrait plus, cette fois, la direction des opérations et elle se déclarait prête à suivre et à appuyer d tts s forces toute personnalité qui apparaîtrait capable de réaliser ctt union sur un programme municipal acceptable. Depuis cinq mois, 'Entente na aps dévié de la ligne de conduite qu'elle s'était ainsi trcé. l but de svr jusqu'où purrait s'éende cette ui et asan preuve de son désintéressement et de sa largeur d vues, elle oç par demander à M. Spriet, i avait été, il y a six ans, le chef de la liste radicale-socialiste, s'l accepterait d'entrer en conversation avec les autres prti en evu d'une action commune. .M Sprt répondit par la lettre suivante : « 17 décembre 1934 Monsieur Marcel Decroix, Lll Cher Monsieur, J m'excuse d crédit d quelques jrs que je vous ai prié de 'accorder pour répondre à vtr lettre du 5 décembre. Vous m'vz demandé un entretien au nom de M. Scrive, présdnt de l'Entente Républicaine et en votre nom personnel, relativement aux prchns élections municipales. Ctt lettre s'drssnt évidemment à m, en tant que tête de du parti radical-socialiste uax élections dernières, je l' communiquée à mes amis radicaux du Conseil municipal. Nous vous remercions de votre courtoise démrch, mais en accord avec eux — je pense qu'étant n cours de mandat et 'entente q nous vns contractée avec les socialistes pour la durée de ce mandat n'ynt pas été dénoncée, les conversations que nous aurions avec les représentants d'un ari qui a été otr adversaire commun en 1929 prrnt être ml |
par la lettre suivante : « 17 décembre 1934 Monsieur Marcel Decroix, Lille Cher Monsieur, Je m'excuse du crédit de quelques jours que je vous ai prié de m'accorder pour répondre à votre lettre du 5 décembre. Vous m'avez demandé un entretien au nom de M. Scrive, président de l'Entente Républicaine et en votre nom personnel, relativement aux prochaines élections municipales. Cette lettre s'adressant évidemment à moi, en tant que tête de liste du parti radical-socialiste aux élections dernières, je l'ai communiquée à mes amis radicaux du Conseil municipal. Nous vous remercions de votre courtoise démarche, — mais en accord avec eux — je pense qu'étant en cours de mandat et l'entente que nous avons contractée avec les socialistes pour la durée de ce mandat n'ayant pas été dénoncée, les conversations que nous aurions avec les représentants d'un parti qui a été notre adversaire commun en 1929 pourraient être mal interprétées et être considérées comme un manquement de notre part à la loyauté politique. Or, nous plaçons cette loyauté au-dessus de toutes les autres considérations. Je vous prie donc de m'excuser, et si vous entendez donner suite à votre projet de conversations, de vous adresser à Monsieur Emile Roche, président de la Fédération du Nord. Veuillez agréer, cher Monsieur, l'expression de mes bons sentiments. Signé : Henri SPRIET. » L'Entente ne pouvait qu'enregistrer ce refus formel de M. Spriet et de ses amis de rompre actuellement avec la municipalité socialiste sortante. Aucune autre initiative ne paraissant surgir des autres partis ou groupements, et estimant qu'il fallait pourtant que les dispositions nécessaires soient prises au plus tôt pour entreprendre une lutte énergique contre la municipalité sortante, l'Entente accepta qu'une haute personnalité, étrangère jusqu'ici à la lutte des partis, entreprenne les démarches nécessaires en vue de constituer une liste de large union à laquelle l'Entente se déclarait prête à adhérer sans conditions ni exclusives. Les pourparlers eurent lieu dans ce but D'autre part, M. Balavoine annonça son intention de constituer une liste de personnalités, en dehors des partis, sur un programme très large auquel l'Entente considéra qu'elle pouvait se rallier. M. Balavoine | par al lettre suivante : « 17 décembre 1934 Monsieur Marcel Decroix, Lll Cher Monsieur, Je m'excuse du crédit de quelques jours uqe je vous ai prié de m'accorder pu répondre votre lettre du décembre. Vous 'avez demandé un entretien au nom de M. Scrive, président de l'Entente Républicaine et n votre nom prsnnl, rltvmnt aux prochaines éln municipales. Ctt lettre dr'ansssate évidemment moi, en tant que tête ed liste u parti -isolasicdrliaetca aux élections dernières, je l'ai communiquée à mes amis rdcx ud lesCnio municipal. Nous o remercions de votre courtoise démarche, — mais en accord avec eux — je pseen qu'étant en cours de mandat et l'entente que ns avons contractée avec les socialistes upro la durée de ce mandat n'ynt pas t dénoncée, les conversations que ns aurions avec les représentants d'un parti qui a été notre adversaire commun ne 1929 pourraient être mal interprétées et être considérées comme un manquement de notre part à yultéao politique. Or, nous plaçons cette yaté d-uesauss de toutes les autres considérations. Je vous prie donc de m'excuser, et si vous entendez do suite votre re de conversations, de vous adresser à Monsieur Emile Roche, président de la Fédération du o Veuillez agréer, cher Monsieur, leresio de mes bons sentiments. Signé : Henri SPRIET. » L'Entente ne pouvait quenreer ce refus frml de M Spriet et de ses amis de rompre actuellement avec la municipalité socialiste sortante Aucune autre initiative ne paraissant surgir des autres partis ou groupements, et estimant qu'il fallait pourtant que les dispositions eas soient prises au plus tôt pour entreprendre une lutte énergique crtnoe la municipalité sortante, 'Entente accepta qu'une haute personnalité, étrangère jusqu'ici la lutte des partis, entreprenne les démarches nécessaires en v de constituer une liste de large union à laquelle l'Entente se déclarait prête à adhérer sans conditions ni exclusives. Les pourparlers uen lieu dans ce but D'aute part, M. Balavoine annonça sn ntntn de constituer une liste de personnalités, en dehors des partis, sr n programme très large ql l'Entente considéra qu'elle vpoitua se rallier. M. Balavoine |
de la Fédération du Nord. Veuillez agréer, cher Monsieur, l'expression de mes bons sentiments. Signé : Henri SPRIET. » L'Entente ne pouvait qu'enregistrer ce refus formel de M. Spriet et de ses amis de rompre actuellement avec la municipalité socialiste sortante. Aucune autre initiative ne paraissant surgir des autres partis ou groupements, et estimant qu'il fallait pourtant que les dispositions nécessaires soient prises au plus tôt pour entreprendre une lutte énergique contre la municipalité sortante, l'Entente accepta qu'une haute personnalité, étrangère jusqu'ici à la lutte des partis, entreprenne les démarches nécessaires en vue de constituer une liste de large union à laquelle l'Entente se déclarait prête à adhérer sans conditions ni exclusives. Les pourparlers eurent lieu dans ce but D'autre part, M. Balavoine annonça son intention de constituer une liste de personnalités, en dehors des partis, sur un programme très large auquel l'Entente considéra qu'elle pouvait se rallier. M. Balavoine demandait aux partis de s'effacer afin de permettre l'Union Générale contre l'esprit de la Municipalité sortante. L'Entente déclara que, son but principal étant précisément cette union, elle n'avait aucune objection à faire à l'initiative de M. Balavoine et qu'elle était disposée à l'appuyer si l'union espérée se réalisait. Les autres partis s'étant également ralliés à cette formule, le champ libre fut laissé à M. Balavoine pour constituer sa liste d'Union pour la Défense des Intérêts Lillois. L'Entente Républicaine Démocratique Lilloise ne peut que souhaiter bonne et prompte réussite à M. Balavoine. Elle a le ferme espoir que la liste qui sera constituée sera telle qu'elle déclenchera dans la population lilloise le grand courant d'enthousiasme qui libérera notre ville. Quant à elle, qui, depuis si longtemps, de tout l'effort constant et persévérant de ses chefs et de ses militants, combat le socialisme et en dénonce les méfaits et les fautes, elle apportera sans réserve, à la liste ainsi formée, un concours loyal et énergique. Au-dessus des hommes, elle veut que le 5 mai, triomphent les idées de patriotisme, d'ordre, de liberté, de sagesse et de bonne administration. Elle veut chasser de la Mairie de Lille les hommes qui ruinent, oppressent et | de la Fédération du Nord. Veuillez agréer, cher Monsieur, l'expression de mes bons sentiments. Signé : Henri SPRIET. » L'ntnt ne pouvait qu'enregistrer ce refus formel de M. Spriet et de ses mi de rmpr actuellement avec la municipalité socialiste sortante. Aucune autre initiative ne paraissant surgir des autres partis ou ruemen, et estimant qu'il fallait pourtant que les dispositions nécessaires soient prises au plus ttô pour entreprendre une lutte énergique contre la municipalité sortante, l'Entente ccepa quune haute prsnnlté, étrangère jusqu'ici à la lutte des prts, entreprenne les démarches nécessaires en vue de constituer une stiel de large union à laquelle l'Entente se déclarait prête à sans cndtns ni exclusives. Les pourparlers eurent lieu dans ce but Dautre part, M. alo annonça son intention de sttr ue liste de personnalités, en dehors ds partis, sur n programme très large auel l'Entente conidra qu'elle pouvait se rlir M. Balavoine demandait aux prts de 'effacer afin de prmttr nion Générale contre l'esprit d la Municipalité sortante. LEntente déclara que, son bt principal étant iément cette union, elle taniav' aucune obectio à faire à 'initiative de M. Balavoine t qu'elle était disposée à l'ppyr si 'unon espérée es réalisait. Les autres partis s'étant également ralliés à cette formule, le champ libre fut isé à M. Balavoine pour constituer sa liste d'Union pour al Défense des Intérêts Lillois. L'Entente eiéapnubicRl Démocratique sLelolii ne peut que souhaiter bonne t prompte réussite à M. Balavoine. Elle a l ferme espoir que la liste qui sr constituée sera telle qu'elle déclenchera dans la population lilloise le grand courant sdieenmsaht'uo qui libérera notre vll. tanQu à elle, qui, depuis si longtemps, de tout l'effort constant et persévérant de ses chefs et de ses militants, combat le socialisme et en ée ls méfaits et les fautes, elle prera sans ersvr,ée à la ietsl ainsi formée, un concours oy et énergique. -dsss des mms,heo ll veut que le 5 mai, trmphnt les idées de patriotisme, dordre de liberté, de sagesse et ed bonne administration. Elle veut chas d la airie de Lille les oemsmh qui ruinent, oppressent et |
partis s'étant également ralliés à cette formule, le champ libre fut laissé à M. Balavoine pour constituer sa liste d'Union pour la Défense des Intérêts Lillois. L'Entente Républicaine Démocratique Lilloise ne peut que souhaiter bonne et prompte réussite à M. Balavoine. Elle a le ferme espoir que la liste qui sera constituée sera telle qu'elle déclenchera dans la population lilloise le grand courant d'enthousiasme qui libérera notre ville. Quant à elle, qui, depuis si longtemps, de tout l'effort constant et persévérant de ses chefs et de ses militants, combat le socialisme et en dénonce les méfaits et les fautes, elle apportera sans réserve, à la liste ainsi formée, un concours loyal et énergique. Au-dessus des hommes, elle veut que le 5 mai, triomphent les idées de patriotisme, d'ordre, de liberté, de sagesse et de bonne administration. Elle veut chasser de la Mairie de Lille les hommes qui ruinent, oppressent et tyrannisent notre cité. Elle s'estimera heureuse si le socialisme subit, en la personne de M. Salsengro, un échec dont les répercussions seront immenses dans le pays tout entier. Et dans ce but, elle convie tous ses adhérents et tous ses amis à participer à la lutte avec la vigueur, l'élan et la discipline qui assureront la victoire. Les camps municipaux de vacances fonctionneront aux Fêtes de Pâques Une conférence s'est tenue hier à l'Hôtel de Ville. Elle assemblait MM. Roger Salsengro, député-maire ; Ragheboom, adjoint au maire, président de la Caisse des Ecoles ; Oscar Hermez, administrateur de la Caisse des Ecoles ; Dhoosche, chef de bureau à la Caisse des Ecoles ; Van den Hende, chef de la direction de l'Instruction publique. La conférence avait pour objet l'organisation des camps de vacances aux fêtes de Pâques. Les camps s'ouvriront le jeudi avant Pâques et se poursuivront jusqu'au vendredi qui précédera la rentrée. Les enfants inscrits aux camps recevront le repas de midi et le goûter de l'après-midi. Ils seront conduits, suivant la température, aux terrains de jeux ou aux salles de spectacle. Le vendredi avant Pâques, une distribution d’œufs de Pâques aura lieu au cours des matinées offertes à | partis s'étant également ralliés à cette frmul, le champ libre fut laissé à M. oiBaalenv pr cnsttr sa liste d'Union pour la Défense des Intérêts Lillois. L'Entente Républicaine Démocratique Lilloise ne pt equ souhaiter bonne et prompte résst à M. Balavoine. Elle a le ferme espoir que la liste qui sera constituée sera telle qu'elle éclncra dans la population lloie le grand courant d'enthousiasme qui libérera notre vll. Quant elle, qui depuis si longtemps de tout l'effort constant et persévérant de ses chefs et de s militants, combat l socialisme et en déo les méfaits et ls fautes, elle prra sans réserve, à liste ainsi formée, un concours loyal et énergique. Au-dessus des hommes, elle veut que le mai, timhnt les idées de patriotisme d'ordre, de liberté, de sagesse et de bonne administration. Elle veut chasser de la iaeiMr de Lille sel hommes qui ruinent, oppressent et tyrannisent notre cité. Elle s'estimera heureuse si le socialisme subit, en la personne de M. Salsengro, un échec dont les répercussions seront immenses ans le pays tout enier. Et dans ce but, elle convie tous ses adhérents et tous ses amis à participer à la lutte cvae la vigueur, l'élan et la discipline q assureront la vctr. Les p municipaux de vacances fonctionneront aux Fêtes de Pâsqeu Une conférence s'est tenue hier l'Hôtel de Ville. Elle assemblait MM. Roger Ssr, député-maire ; Ragheboom, adjoint au maire, président de al Caisse des coElse ; Oscar Hermez, administrateur de la Caisse des Ecoles Dhoosche, chf de bureau à la Cse des Ecoles Van den Hende, chef de la direction de l'Instruction publique. La conférence aat pour objet l'organisation des camps de vacances aux fêtes de Pâques. Les camps s'ouvriront l jeudi avant Pâques t se poursuivront q'u vendredi qui précédera la rentrée. Les enfants inscrits aux camps rcvrnt le repas de midi et le goûter de l'après-midi. Ils seront conduits, suivant la température, aux terrains de jeux ou aux salles de spectacle. Le vndrd avant Pâques, une distribution d’œufs de Pâques aura lieu au cours des matinées offertes à |
et la discipline qui assureront la victoire. Les camps municipaux de vacances fonctionneront aux Fêtes de Pâques Une conférence s'est tenue hier à l'Hôtel de Ville. Elle assemblait MM. Roger Salsengro, député-maire ; Ragheboom, adjoint au maire, président de la Caisse des Ecoles ; Oscar Hermez, administrateur de la Caisse des Ecoles ; Dhoosche, chef de bureau à la Caisse des Ecoles ; Van den Hende, chef de la direction de l'Instruction publique. La conférence avait pour objet l'organisation des camps de vacances aux fêtes de Pâques. Les camps s'ouvriront le jeudi avant Pâques et se poursuivront jusqu'au vendredi qui précédera la rentrée. Les enfants inscrits aux camps recevront le repas de midi et le goûter de l'après-midi. Ils seront conduits, suivant la température, aux terrains de jeux ou aux salles de spectacle. Le vendredi avant Pâques, une distribution d’œufs de Pâques aura lieu au cours des matinées offertes à la fois au Grand Théâtre, au Théâtre Sébastopol et à la Salle des fêtes de Fives. Cinquième fête des Pâques laïques Le Comité Lillois du Sou des Ecoles laïques fêtera, demain dimanche, sept cents enfants des écoles municipales de garçons et de filles. Au cours de la cérémonie, qui se déroulera à 10 heures, dans le Grand Hall de l’Hôtel de Ville, la Symphonie Baggio et la Chorale de l’Ecole Lamartine, exécuteront le programme ci-contre : 1. Symphonie Baggio : « Le P’tit Quinquin » ; 2. Chorale de l’Ecole Lamartine : « La Jolie Patineuse » ; 3. Symphonie Baggio : 1° « Chanson d’amour, fantaisie (Schubert) : 2° « La Bohémienne », ouverture ; 3° « Brigade fantôme » (Myddleton) ; 4° « Martha », ouverture (Flotow) ; 5° « Isoline », ballet (Messager) ; 6° « Marche turque » (Mozart). On entrera porte Saint-Sauveur. On sortira porte des Sahuteaux. À l’issue de la cérémonie, le maire de Lille et le Conseil municipal recevront, salle des Mariages, les membres du Comité du Sou des Ecoles. Société Amicale des Anciens cuirassiers du Nord. — La prochaine assemblée générale aura lieu demain dimanche 31, à 16 h. 30 au siège | et la discipline q assureront la victoire. Les camps municipaux de vacances fnctnnrnt aux Fêtes de Pâques enU conférence s'est tenue hier à l'Hôtel de Ville. Elle assemblait MM. Roger Salsengro, députémaire ; Ragheboom, adjoint au mr, président de la Caisse des Ecoles ; Oscar Hermez, administrateur de la Caisse ds esEocl ; Dhoosche, chef de bureau à la Caisse des Ecoles ; Van den Hende, chef de al direction de lInstruction publique. La conférence avait pour objet l'organisation des camps de vacances aux fêt de Pâques. Les camps s'ouvriront le jeudi avant Pâques et se poursuivront jusqu'au vendredi u précédera la rentrée. Les enfants inscrits x camps recevront le repas de midi et le goûter de l'après-midi. Ils seront cndts, suivant la température, aux terrains de jeux ou xua salles de spectacle. Le enedi avant Pâques, une distribution d’œufs de Pâques aura lieu au cours des matinées offertes à la fois au Grand Théâtre, au Théâtre Sébastopol et à la Salle des fêtes de Fives. Cinquième fête des Pâques laïques Le Comité Liloi du Sou des Ecoles laïques fêtera, emi dimanche, sept cents enfants des écoles municipales de garçons et de filles. Au cours de la cérémonie, qui se déroulera à 10 heures, dans le Grand Hall de l’Hôtel de Vll, la Sphon Baggio et la Chorale de l’Ecole Lmrtn, exécuteront le programme c-cntr : 1. Symphonie Baggio : « Le P’tit Quinquin » ; 2. leChrao de l’Ecole Lamartine : « La Jolie Patineuse » ; 3. Symphonie Baggio : 1° « Chanson d’mr, fantaisie (Schubert) : 2° La Bohémienne », vrtr ; 3° « Brigade fantôme » Md) ; 4° « Martha », ouverture (Flotow) ; 5° « sln », ballet ge) ; 6° « Marche turque » (Mozart). On entrera prt Saint-Sauveur. On srtr porte des Sahuteaux. À l’issue de la oécnerm,éi le a de Lille et le Conse municipal recevront, salle des Mariages, les membres du Coité du Sou des Ecoles. Société Amicale des Anciens cuirassiers du Nord. — a prochaine assemblée générale aura l demain dimanche 31, à 16 h 30 au siège |
déroulera à 10 heures, dans le Grand Hall de l’Hôtel de Ville, la Symphonie Baggio et la Chorale de l’Ecole Lamartine, exécuteront le programme ci-contre : 1. Symphonie Baggio : « Le P’tit Quinquin » ; 2. Chorale de l’Ecole Lamartine : « La Jolie Patineuse » ; 3. Symphonie Baggio : 1° « Chanson d’amour, fantaisie (Schubert) : 2° « La Bohémienne », ouverture ; 3° « Brigade fantôme » (Myddleton) ; 4° « Martha », ouverture (Flotow) ; 5° « Isoline », ballet (Messager) ; 6° « Marche turque » (Mozart). On entrera porte Saint-Sauveur. On sortira porte des Sahuteaux. À l’issue de la cérémonie, le maire de Lille et le Conseil municipal recevront, salle des Mariages, les membres du Comité du Sou des Ecoles. Société Amicale des Anciens cuirassiers du Nord. — La prochaine assemblée générale aura lieu demain dimanche 31, à 16 h. 30 au siège : Café du Pélican, Grand’Place. LES FLAMBEAUX « Beethoven » par René Fauchois « La vie sublime de Beethoven »... tel est le titre que M. René Fauchois, auteur d’un « Beethoven » qui fut joué avec un succès retentissant à l’Odéon, avait choisi pour nous parler de celui, qui, successeur de Haydn et Mozart, fut néanmoins un novateur et rendit son nom immortel. Nous regrettons de ne pouvoir nous étendre aussi longuement que nous le voudrions, sur la conférence extrêmement attrayante, documentée, pleine d’émouvants accents, que nous donna M. Fauchois. On voudrait, en effet, consacrer maintes colonnes à parler du génial Beethoven, affligé par le sort barbare, d’un mal qui l’empêchait d’entendre l’exécution de ses propres œuvres ; du grand compositeur dont l’inspiration était à la fois si riche, si brillante et si pathétique ; de celui qui ayant connu tour à tour la fortune et la gloire, mourut presque abandonné de ses amis, sauf du fidèle Hummel à qui il cria, avant de rendre l’âme : « N’est-ce pas, Hummel, que j’avais du talent ?... » Afin d’illustrer les dires de l’éminent conférencier, Mlle Yvonne Saint nous interpréta avec une attachante sensibilité, mise au service d’une remarquable technique, | déroulera à 10 heures, dans le Grand Hall de l’Hôtl de Vie la Symphonie Baggio et la Chorale de lEcole Lamartine xéctrnt prgrmm ci-contre : 1 Symphonie Baggio : « Le P’tit Quinquin » ; . Chorale de lEcole Lamartine : « aL Jolie Ptns » 3. Symphonie o : 1° « Chanson d’amour, fantaisie rSctbh(ue) : 2° « La Bohémienne », ouverture 3° Brigade fantôme » (Myddleton) ; 4° « Martha », ouverture (Fltw) ; ° Isoline », ballet (Messager) ; 6° « Marche turque » (Mozart). On entrera porte Saint-Sauveur. On sortira porte des Sahuteaux. À l’issue d l cérémonie, le maire de Lille et le Conseil municipal recevront, salle ds Mrgs, ls membres du Comité du Sou ds Ecoles. Société Amicale ds Anciens cuirassiers du Nord. — a prchn mée générale aura lieu demain dimanche 31, à 16 . 30 au siège : Café du Pélican Grand’Place. LES FLAMBEAUX « Beethoven » par René Fauchs « L vie bumlesi de Beethoven »... tel st le titre que M. René Fauchois, auteur ’dun « Beethoven » qui fut joué avec un succès retentissant à l’dén, avait choisi pour nou parler de celui, qui, successeur de ydn et Mozart, fut néanmoins un novateur et rendit son no immortel. Nous tsrrotenge de ne pouvoir nous tere asi longuement que nous e voudrions sur la conférence xeemnetmtrê atay documentée, pleine d’émouvants accents, que nous donna M Fauchois. n vra, en effet, consacrer maintes colonnes à parler du génial Beethoven, affligé pr le so barbare, d’un qui l’empêchait ’tnre lexécution de ses propres œuvres ; grand cmpstr on l’inspiration était à la fs si riche, brillante e si pathétique ; ed celui qui ayant connu tour à tour l fortune et l gloire, mourut esrupeq abandonné de ses is,am sauf du dèeifl Hummel à qui il cria, avn de rendre lme « N’est-ce pas, Hummel, que j’ais du talent Afin d’illustrer les dires de l’éminent conférencier, Mlle Yvonne nitSa nous neé aec une attachante sensibilité, meis u service d’n remarquable thiue |
successeur de Haydn et Mozart, fut néanmoins un novateur et rendit son nom immortel. Nous regrettons de ne pouvoir nous étendre aussi longuement que nous le voudrions, sur la conférence extrêmement attrayante, documentée, pleine d’émouvants accents, que nous donna M. Fauchois. On voudrait, en effet, consacrer maintes colonnes à parler du génial Beethoven, affligé par le sort barbare, d’un mal qui l’empêchait d’entendre l’exécution de ses propres œuvres ; du grand compositeur dont l’inspiration était à la fois si riche, si brillante et si pathétique ; de celui qui ayant connu tour à tour la fortune et la gloire, mourut presque abandonné de ses amis, sauf du fidèle Hummel à qui il cria, avant de rendre l’âme : « N’est-ce pas, Hummel, que j’avais du talent ?... » Afin d’illustrer les dires de l’éminent conférencier, Mlle Yvonne Saint nous interpréta avec une attachante sensibilité, mise au service d’une remarquable technique, la sonate du maître « L’aurore », et M. Raymond Durot, l’organisateur des belles soirées d’art « Les Flambeaux » joua avec une communicative émotion, le célèbre « Concerto » de Beethoven. Il est à peine besoin de dire que le public témoigna au conférencier, ainsi qu’aux artistes, sa reconnaissance émue, par des applaudissements prolongés. Les femmes voteront-elles demain ? Cette question, toute d’actualité, sera examinée dimanche prochain à Lille, par M. Théry, professeur à l’Institut Catholique de Paris, au cours d’une réunion organisée à 17 heures, rue de l’Orphéon, 15, par la Section de Lille de la Fédération Nationale des Femmes. À l’issue de la conférence, Mlle Bazy, secrétaire générale de la F. N. F., exposera ce que doit être, dès aujourd'hui, l’action des femmes soucieuses de voir assurée la défense des droits de l’enfance, de la femme et du foyer. Les Messieurs sont invités à accompagner les dames à cette réunion dont l’intérêt exceptionnel ralliera, sans aucun doute, un très vaste auditoire. LA FÊTE ANNUELLE DES GROUPEMENTS MÉDICAUX Encouragée par le succès que sa fête avait remporté l’an dernier, l’Association de prévoyance de secours mutuels des médecins du Nord que préside M. le Professeur Emile Bertin, de la | ucssu d ydn te Mozart fut néanmoins un nvtr t rendit son nm immortel. Ns rgrttns d ne pvr nous étendre aussi longuement que nous le voudrions, sur la cnférnc extrêmement te dcmnté, pleine d’émouvants accents, que ns donna M. Fauchois. On voudrait, n effet, consacrer maintes colonnes à parler du génial ethov iéalfgf par le sort barbare, d’un mal qui l’empêchait ’entendre l’exécution de ses propres œuvres ; du grand compositeur dont l’inspiration était à la fois si riche, si brillante t si pathétique de celui qui ytaan connu tour à tour la fortune et la gloire, murt presque abandonné de ses amis, sf du fidèle Hummel qui il cr, avant de rendre l’âme : N’est-ce ps, Hummel que j’vs du talent . » Afin d’illustrer les dires d l’éminent conférencier, Mlle Yvonne Saint nous ierrta veca une attachante sensibilité, mise au service d’une remarquable technique, la sonate du maître « L’aurore », et M. Raymond Durot, l’organisateur des belles srés d’art « Les Flambeaux » joua avec une communicative n,oitmoé le célèbre « Concerto » de Beethoven. Il es à peine besoin de dire que le bicupl témoigna au conférencier, ainsi qu’aux artistes, sa reconnaissance émue, par des applaudissements prolongés. Ls femmes voteront-elles demain ? Cette question, toute d’actualité, sera examinée dimanche iprancho à Lille, par M. Théry, prfssr à l’Institut Catholique de Paris, au cours d’une réunion organisée à 17 heures, rue de l’rphén, 15, par la Section Lille de la Fédération Nationale des Femmes. À ’issue de la conférence, Mlle Bazy, secrétaire générale de la F. N .,F exposera c que doit être, dès aujourd'hui, l’action des femmes soucieuses de voir assurée la défns des droits de l’enfance, de la femme et du foyer. Les Messieurs sont invités à accompagner les seamd à cete réunion dont l’intérêt exceptionnel llier sans cn doute, un très vaste auditoire. LA FÊTE ANNUELLE GROUPEMENTS MÉDICAUX Encouragée par le succès que sa fête avait remporté l’n dernier, ’Association d prévoyance de secours mutuels s médecins du Nord que préside M. le Professeur Emile Brtn, de la |
émue, par des applaudissements prolongés. Les femmes voteront-elles demain ? Cette question, toute d’actualité, sera examinée dimanche prochain à Lille, par M. Théry, professeur à l’Institut Catholique de Paris, au cours d’une réunion organisée à 17 heures, rue de l’Orphéon, 15, par la Section de Lille de la Fédération Nationale des Femmes. À l’issue de la conférence, Mlle Bazy, secrétaire générale de la F. N. F., exposera ce que doit être, dès aujourd'hui, l’action des femmes soucieuses de voir assurée la défense des droits de l’enfance, de la femme et du foyer. Les Messieurs sont invités à accompagner les dames à cette réunion dont l’intérêt exceptionnel ralliera, sans aucun doute, un très vaste auditoire. LA FÊTE ANNUELLE DES GROUPEMENTS MÉDICAUX Encouragée par le succès que sa fête avait remporté l’an dernier, l’Association de prévoyance de secours mutuels des médecins du Nord que préside M. le Professeur Emile Bertin, de la Faculté de médecine de Lille, organise le dimanche 7 avril, à 15 heures, une matinée récréative suivie d’une sauterie. Cette fête aura lieu dans la salle des Ambassadeurs et, grâce aux concours qui ont été spontanément apportés aux organisateurs par d’excellents artistes professionnels et amateurs, on peut être assuré dès maintenant de sa complète réussite. Le programme de la matinée récréative comporte notamment une revue de la danse présentée par Mme Desmet, régisseur des ballets des Théâtres municipaux et un aimable divertissement intitulé, « Galliénades ». Cette spirituelle revue en un nombre illimité de tableaux, sera interprétée par Line Dariel et Simons, Yvonne Daly, Robert Villers. entourés d'amateurs presque tous étudiants en médecine. Dans la soirée, le jazz Max fera danser l’assistance qui certainement sera, comme l’an dernier, aussi nombreuse que choisie. Il y aura un buffet chaud et froid. La location sera ouverte le jeudi 4 avril, de 10 heures à midi, aux Ambassadeurs et le dimanche 7, à partir de 10 heures. Inauguration des dispensaires de Moulins-Lille et de Fives Le maire de Lille et le Conseil Municipal inaugureront aujourd’hui et demain les dispensaires que le Bureau de bienfaisance ouvre à Moulins-Lille et à Fives-Saint-Maurice. Autorités et délégations | émue, par des applaudissements prolongés. Les femmes voteront-elles demain ? Cette question, toute d’actualité, sera examinée dimanche prochain Lille, arp M. Théry, professeur à lInstitut Colq de Paris, au cours ’une réunion organisée à 17 heures, rue de l’Orphéon, 15, par la Section de Lille de la Fédération Nationale des Femmes À l’issue de la conférence, Mlle Bazy, crereiséta générale de la F. N. F., exposera c que doit être, dès aujourd'hui, l’action des femmes soucieuses de vr assurée la défense des droits de l’enfance, ed la femme t du foyer. Les Messieurs snt invités à nmpaocergca les dames à cette uniréon dont l’intérêt exceptionnel ,lrealrai sans aucun doute, un très vaste auditoire. LA FÊTE ANNUELLE DES GROUPEMENTS MÉDICAUX Encouragée par le succès que sa fête avait remporté l’an dernier, l’Association de prévoyance de secours mutuels des médecins du Nord que préside M. le Professeur Emile Bertin, de la Fétcaul de médecine d Lll, organise le dimanche 7 vrl, à 15 heures, une matinée récréative suivie dune ueiersta. Cette fête aura lieu dans la salle des Ambassadeurs et, grâc aux concours qui ont été spntnémnt ppotés aux organisateurs par d’excellents saersitt professionnels et amateurs, on peut être assuré dès maintenant de sa complète réussite. Le programme de l matinée récréative comporte oat une revue de la da présentée par Mme Desmet, régssr des ballets des Théâtres municipaux et un aimable vrtise intitulé, « Galliénades ». Cette sprtll revue en un nombre illimité de tableaux, sera interprétée par Ln Dariel et Simons, Yvnn Daly, Robert Villers. entourés damateurs presque tous étudiants en médecine. Dans la sré, le jazz Max fera danser l’assistance qui certainement sera, comme l’an drnr, aussi nombreuse que choisie. Il y aura n buffet chaud et frd. La location sera ouverte le jeudi 4 avril, de 10 heures à di, axu Ambassadeurs et l dimanche 7, à partir de 10 heures. Inauguration des dispensaires de Moulins-Lille et d Fives Le maire de Lille et l Conseil Municipal aurt aujourdhui et demain les dispensaires que le Bureau de bienfaisance ouvre à Moulins-Lille et à Fives-Saint-Maurice. Autorités et délégations |
maintenant de sa complète réussite. Le programme de la matinée récréative comporte notamment une revue de la danse présentée par Mme Desmet, régisseur des ballets des Théâtres municipaux et un aimable divertissement intitulé, « Galliénades ». Cette spirituelle revue en un nombre illimité de tableaux, sera interprétée par Line Dariel et Simons, Yvonne Daly, Robert Villers. entourés d'amateurs presque tous étudiants en médecine. Dans la soirée, le jazz Max fera danser l’assistance qui certainement sera, comme l’an dernier, aussi nombreuse que choisie. Il y aura un buffet chaud et froid. La location sera ouverte le jeudi 4 avril, de 10 heures à midi, aux Ambassadeurs et le dimanche 7, à partir de 10 heures. Inauguration des dispensaires de Moulins-Lille et de Fives Le maire de Lille et le Conseil Municipal inaugureront aujourd’hui et demain les dispensaires que le Bureau de bienfaisance ouvre à Moulins-Lille et à Fives-Saint-Maurice. Autorités et délégations s’assembleront aujourd’hui, à 16 heures, place Déliot, face à la Crèche Municipale. Sous la conduite de la Musique Municipale, le cortège se mettra en branle à 16 h. 30. Précédées de la Clique Municipale Scolaire, des Sections masculine et féminine de la Société municipale de gymnastique, de la Musique Municipale, autorités et délégations s’assembleront, demain dimanche, à 15 h. 30, rue Belle-Vue. Par la rue Pierre-Legrand, le cortège se rendra ensuite, rue Bourjembois, où se déroulera la cérémonie. UNE IMPORTANTE REMISE DE RECOMPENSES À L’AMICALE LAVOISIER Les membres de l’Amicale Lavoisier vont se réunir en assemblée générale le dimanche 31 mars, à 9 h. 30, à l’école Lavoisier, rue des Stations, 72, sous la présidence d’honneur de M. Richard Coolen, adjoint au maire de Lille. Au cours de cette réunion, une manifestation de sympathie aura lieu en l’honneur des nouveaux décorés, parmi lesquels il faut souligner particulièrement M. Albert Beernard, vice-président de l’Amicale qui vient d’être nommé officier d’Académie en récompense de son précieux dévouement aux œuvres post-scolaires et aux patronages laïques ainsi que MM. Raoul Demessine et Arthur Segers qui ont reçu également les mêmes insignes. D'autre part, une membre de ce groupement, M. Gustave Derycke, adjudant au Pompiers | maintenant de sa cmplèt réussite. L programme d la matinée récréative comporte notamment une revue d la a présentée par Mme Desmet, régisseur ballets des Théâtres municipaux et un aimable divertissement intitulé « Galliénades ». et spirituelle revue en un erombn illimité de tableaux, sera interprétée par Line Dariel et Simons, Yone Daly, Robert Villers. entourés d'amateurs presque tous étudiants en médecine Dans la soirée, le jazz Max fera danser ’tce qui certainement sr, comme l’an dernier, aussi nombreuse que choisie. Il y aura un buffet chaud et froid. La location sera ouverte le jeudi 4 avril, de 10 heures à midi, aux Ambassadeurs et le dimanche 7, à partir de 10 hrs. Inauguration des dispensaires de Mlns-Lll et Fives L mai de Lille t le Conseil Municipal inaugureront aujourd’hui et demain les dispensaires que el Bureau de bienfaisance r à Moulins-Lille et à Fives-Saint-Maurice. Autorités et délégations sablrot aujourd’hui, à 16 heures, place Déliot, face à la Crèche Municipale. Sous la conduite de la Musique Municipale, le cortège se mettra en branle à 16 h. 30. Précédées de l Clique Municipale Scolaire, des Sections masculine et féminine de la Société municipale de gymnstq, de la Musique Municipale, autorités et délégations s’assembleront, demain dimanche, à 15 . 30, rue le.leeu-VB Par la rue Pierre-Legrand, le cortège se rndr nst, rue Bourjembois, où se déroulera a cérémonie. UNE IMPORTANTE REMISE D RECOMPENSES LAMICALE VOIIR membres de l’Amicale Lvsr vont se réunir en assemblée générale le dimanche 31 mars, à 9 . 30, à l’écl Lavoisier, ure des oS,ttsian 72, suso la présidence dhonneur de M. Richard Cln, adjoint au maire ed Lille. Au cours de cette réunion ne manifestation de sympathie aura lieu en l’honneur des nouveaux décorés, parmi lesquels il faut souligner particulièrement M. Albert Beernard, vi-prdent de l’Amicale uqi vient d’être nommé ie d’Académie en récompense de son précieux dévouement aux œvrs post-scolaires et aux patronages laïques ainsi que MM. Raoul snmsDeeie et Arthur Segers qui ont reçu également ls mêmes insignes. D'autre part, une mmbr de ce n, M. Gustave Derycke, adjudant au Pompiers |
autorités et délégations s’assembleront, demain dimanche, à 15 h. 30, rue Belle-Vue. Par la rue Pierre-Legrand, le cortège se rendra ensuite, rue Bourjembois, où se déroulera la cérémonie. UNE IMPORTANTE REMISE DE RECOMPENSES À L’AMICALE LAVOISIER Les membres de l’Amicale Lavoisier vont se réunir en assemblée générale le dimanche 31 mars, à 9 h. 30, à l’école Lavoisier, rue des Stations, 72, sous la présidence d’honneur de M. Richard Coolen, adjoint au maire de Lille. Au cours de cette réunion, une manifestation de sympathie aura lieu en l’honneur des nouveaux décorés, parmi lesquels il faut souligner particulièrement M. Albert Beernard, vice-président de l’Amicale qui vient d’être nommé officier d’Académie en récompense de son précieux dévouement aux œuvres post-scolaires et aux patronages laïques ainsi que MM. Raoul Demessine et Arthur Segers qui ont reçu également les mêmes insignes. D'autre part, une membre de ce groupement, M. Gustave Derycke, adjudant au Pompiers de Lille, a reçu du Gouvernement la médaille de bronze pour acte de courage. Voici d'ailleurs le palmarès des récompenses qui seront remises officiellement : Diplôme d'honneur et médaille de bronze. — MM. Capelle, Pierre Senelar et René Linard. Diplôme d'honneur. — MM. Constant Cocheteux, Maurice Fruleux, Gustave Helbig. Lettre de félicitations de l'Union Départementale. — MM. Julien Laporte, Paul Billiet, Raoul Delerive, Maurice Martinché. Breloque de vermeil de l'Union Départementale. — Mme Anna Cocheteux, MM Clovis D'Haene, Albert Bouquet, Henri Conia, Edouard Facompréz. Breloque d'argent. — MM. Albert Hendoux et Lucien Macquet. Breloque de bronze. MM. Louis Roffians, Georges Walbecq, Gustave Deconinck, Jules Sattler, Marcel De Wolf, Raymond Du Bois, André Cardon, Gaston Durand, Raymond Closse, Louis Descamps, Arthur Foucart, Henri Stemput, Paul Rosseel. Rappelons que cette remise de récompenses sera suivie d'un vin d'honneur. Les amis et amiçants sont cordialement invités. Conférence sur l'exposition de 1937. — M. Paul Follot, désigné par l'Union Corporative de l'Art Français viendra samedi 30 mars, faire une conférence à la Société Industrielle, à 14 heures 30, sur la prochaine exposition de 1937. Il parlera des directives artistiques, de l'organisation des emplacements, des pavillons régionaux. Quatre voleurs de vélos sont tombés entre les | trtés et délégations s’assembleront, dnemia dahenmci, à h. 30, e Belle-Vue. Par la rue nL-iger,Pdraere le cte se rendra nst, rue Bourjembois, se déroulera la cérémonie. UNE IMPORTANTE RMS DE RECOMPENSES À ’AMICALE AOSE Les membres de l’Amicale Lavoisier vont se réunir en assemblée générale le dimanche 31 mars, à 9 h. 03, à ’cole Lavoisier, rue des Stations, 72 sous la présidence d’honneur de M. Richard Coolen, djnt au mare e Lille cours de cette réunion une mnfsttn sympathie aura lieu ne des nouveaux décorés parmi lsqls il faut souligner atculièmt . Albert Beernard, vice-président de l’Amicale qui vient d’être nommé officier d’Académie en récompense ed son précieux dévouement aux uresœv post-scolaires et aux patroges laïques as que MM. Raoul Demessine t Arthur Segers qui nt reçu églmnt les mêmes insignes. D'autre part, e er de ce groupement, M. Gustave Drk, adjudant au Pompiers de Lille, a reçu du Gouvernement la médaille de bronze pour te d oug. Voici d'llrs l palmarès des cen q seront remises officiellement : Diplôme donnr et médaille d bronze. — MM pee Pierre Senelar et René Linard. Diplôme 'honneur. — MM. Constant Cchetux, Maurice Fruleux, Gustave Helbig. Lettre de félicitations de l'o Déprtmntl. — MM. Julien Laporte, Paul Billiet Raoul Dlrv, Maurice Martinché. Breloque de vermeil de l'Union Départementale. — Mm Anna Cocheteux, MM Clovis D'Haene, Albert Bouquet, Henri Conia, roEddau Facompréz. Breloque d'argent. — MM. Albert Hendoux et Lucien Mcqt. Breloque de bronze. MM. u Roa, Georges Walbecq, Guav ,iencconkD Jules Sattler Marcel De Wolf, Rymnd Du Bois, ndré Cardon, Gaston Durand, Rmn Closse, Louis Descamps, Arthur Foucart, Hnr Stemput, Paul Rose Rappelons q cette rms de oéseenscmrp sera suivie d'un vin d'honneur. Les amis et amiçants sont cordialement invités. Conférence sur l'exposition de 197 — M. Paul lt désigné par l'Union Corporative de l'Art Français ndr samedi 30 mars faire une conférence à la éoSéict Industrielle, à 14 heures 30, sur la prochaine exposition d 1937. Il parlera des directives artistiques, de l'organisation ds emplacements, des pavillons régionaux. Quatre voleurs de vélos sont tombés entre les |
de félicitations de l'Union Départementale. — MM. Julien Laporte, Paul Billiet, Raoul Delerive, Maurice Martinché. Breloque de vermeil de l'Union Départementale. — Mme Anna Cocheteux, MM Clovis D'Haene, Albert Bouquet, Henri Conia, Edouard Facompréz. Breloque d'argent. — MM. Albert Hendoux et Lucien Macquet. Breloque de bronze. MM. Louis Roffians, Georges Walbecq, Gustave Deconinck, Jules Sattler, Marcel De Wolf, Raymond Du Bois, André Cardon, Gaston Durand, Raymond Closse, Louis Descamps, Arthur Foucart, Henri Stemput, Paul Rosseel. Rappelons que cette remise de récompenses sera suivie d'un vin d'honneur. Les amis et amiçants sont cordialement invités. Conférence sur l'exposition de 1937. — M. Paul Follot, désigné par l'Union Corporative de l'Art Français viendra samedi 30 mars, faire une conférence à la Société Industrielle, à 14 heures 30, sur la prochaine exposition de 1937. Il parlera des directives artistiques, de l'organisation des emplacements, des pavillons régionaux. Quatre voleurs de vélos sont tombés entre les mains de la police Mardi dernier, M. Louis Girod, surveillant pénitentiaire; demeurant à Haubourdin, rue de la Râche, avait déposé son vélo sur la façade de son habitation pendant qu'il prenait son repas. Passa un baigneur, qui, trouvant la bicyclette d'ailleurs presque neuve, à son goût, l'emporta, lui substituant un vieux « clou », d'une valeur de 25 francs environ. M. Girod porta plainte au commissariat de police qui ouvrit une enquête. Mais, par un heureux hasard, M. Girod apprit que son voleur, dont on avait d'ailleurs le signalement, devait être un marchand ambulant, habitant au Faubourg du Sud, à Lille. Ne voulant laisser à d'autres le soin de confirmer ce renseignement, il se rendit à l'endroit indiqué et, se dissimulant, eut l'agréable surprise d'apercevoir son vélo, qu'un quidam maquillait habilement. Le plaignant avertit aussitôt M. Dumortier, commissaire de police d'Haubourdin, qui signala le fait à la sûreté de Lille, lui donnant toutes indications utiles. C'est ainsi que, vendredi matin, chargés par M. Entremont, chef de la Sûreté, d'ouvrir une enquête, les brigadiers et inspecteurs Carpentier, Legrand et Colin se rendirent 10, rue Courtois, où ils avaient appris que demeuraient les individus recherchés. Après avoir entendu les suspects, les policiers, | ed félicitations de l'Union éarte MM. Julien Laporte Paul Bilet Raoul De,rielev Maurice Martinché. Breloque vermeil de 'Union Départementale. — Mme nn Cocheteux, MM Clovis D'Haene, Albert Bouquet, Henri Conia, Edouard Facompréz Breloque d'argent. — M. Albert Hendoux et ien Mcqt. Breloque de bnze MM Louis Rffns, Grgs Walbecq, Gustave Deconinck, Jls Sattler, Marcel De Wolf, Raymond Du Bois, André Cardon, Gaston Durand, Raymond Closse Louis Descamps, Arthur Foucart, Henri Stemput, Paul Rosseel. Rpplns que cette remise de récompenses sera suivie 'un vin d'honneur. Ls amis et amiçants sont cordialement nvtés. Conférence sur l'exposition de 1937. — M. Paul Follot, désigné par l'Union Corporative de 'Art Frnçs viendra samedi 30 mars, fi une conférence à la Société Industrielle, à 14 heures 30, sr la poc exposition de 1937. Il parlera des directives arsqe de l'organisation emplacements des pavillons x Quatre voleurs de vélos sont tombés etner les mains de la police Md dernier, M. uosLi Girod, survla pénitentiaire; demeurant à Hbrdn, rue e l Râche, vt déposé son vélo sur l façade de sn habitation pendant qu'il prenait son repas. Passa un baigneur, qui, trouvant la bicyclette d'ailleurs presque ee, à son goût, 'emporta, lui substituant n vieux « colu », 'une valeur de 25 frncs environ M. Girod porta plainte au commissariat d police qui vriout eun enquête. ,aMis par un heureux hasard, M. Girod aprt que son voleur, dont on avait d'ailleurs le signalement, devait êtr un marchand ambulant, habitant au Fbrg du Sud, Lille. Ne voulant laisser à 'autres l soin de confirmer ce renseignement, il se rei à l'endroit indiqué et se isiat, eut l'agréable surprise d'apercevoir son vélo, ' quidam maquillait habilement. Le plgnnt verttia aussitôt M. Dumortier, commissaire de police d'Haubourdin, qui sgnl le fait à la sûreté de Lille, l donnant toutes indications tls. C'est an que, vendredi matin, chrgés par M. Entremont, chef de la rt douvrir une enquête, les brigadiers et inspecteurs Crnier, Legrand et Colin se nenrdtrie 10, r Courtois, ù ls avaient appris que demeuraient les individus recherchés. Arè avoir entendu les suspects ls policiers, |
vieux « clou », d'une valeur de 25 francs environ. M. Girod porta plainte au commissariat de police qui ouvrit une enquête. Mais, par un heureux hasard, M. Girod apprit que son voleur, dont on avait d'ailleurs le signalement, devait être un marchand ambulant, habitant au Faubourg du Sud, à Lille. Ne voulant laisser à d'autres le soin de confirmer ce renseignement, il se rendit à l'endroit indiqué et, se dissimulant, eut l'agréable surprise d'apercevoir son vélo, qu'un quidam maquillait habilement. Le plaignant avertit aussitôt M. Dumortier, commissaire de police d'Haubourdin, qui signala le fait à la sûreté de Lille, lui donnant toutes indications utiles. C'est ainsi que, vendredi matin, chargés par M. Entremont, chef de la Sûreté, d'ouvrir une enquête, les brigadiers et inspecteurs Carpentier, Legrand et Colin se rendirent 10, rue Courtois, où ils avaient appris que demeuraient les individus recherchés. Après avoir entendu les suspects, les policiers, dont la conviction était établie, emmenèrent au commissariat central les voleurs et emportèrent en même temps une partie du matériel volé et que l'on avait commencé à maquiller. Le quatuor se compose de Antoine Grass, 28 ans, et Nicolas Grass, 23 ans, marchands ambulants; Henri Hoff, 28 ans, asphalteur, et Alfred Lechat, marchand ambulant. Demeurant ensemble, 10, rue Courtois, les membres de la bande ramenaient là les vélos qu'ils dérobaient, les démontaient, les transformaient avant d'essayer de les revendre. Cette coupable industrie devait durer depuis un certain temps déjà et la bande était parfaitement organisée: On a retrouvé en leur possession, non seulement des vélos non encore transformés, mais encore des pièces détachées, de la peinture, du vernis et des lampes destinées à brûler la peinture des machines volées et que l'on recouvre ensuite d'une autre couleur de revêtement. On procède actuellement à l'interrogatoire des quatre inculpés. Peut-être arrivera-t-on à leur faire confesser tous leurs méfaits qui doivent être nombreux. En tout cas, c'est une belle prise que vient d'effectuer la Sûreté de Lille, avec l'aide de la police d'Haubourdin. et on ne peut que féliciter ces deux services. BELLEVUE Samedi 30 mars, à l'apéritif et en soirée ■ Monsieur | vieux « colu », d'une valeur de 52 francs environ. M Girod porta plainte au commissariat de olc q ouvrit une enquête. Mais, par un heureux hasard, M. Girod apprit q sn voleur, dont on avait d'ailleurs le aemnt, devait être un marchand ambulant, habitant ua buogaFru du Sud, à Lille Ne voulant laisser à d'autres le soin de confirmer ce renseignement, il se rendit à l'endroit indiqué t, se dissimulant, eut l'agréable surprise d'apercevoir son vélo, u quidam maquillait habilement. L plaignant avertit aussitôt M. Dumortier, commissaire d police d'Haubourdin, qui signala le fait à la sûreté de Lille, lui donnant toutes indications utiles. C'est ainsi que, vendredi matin chargés par M. Entremont, chef de la Sûreté, d'ouvrir une enquête, les brigadiers et inspecteurs Carpentier, Legrand et Colin se rndrnt 10, rue Courtois, où ils avaient appris que demeuraient les individus recherchés. Après avoir entendu les suspects, les policiers, odnt la conviction était ali emmenèrent u commissariat central les ruveols t emportèrent en mê tep une partie du matériel vlé et que l'on vt commencé à maquiller. L quatuor compose e Antoine Grass, 28 ans, et Nicolas Grass, 23 ns, marchands ambulants; Henri Hoff, 28 ans, asphalteur, et Alfred Lechat, marchand ambulant. Demeurant nsmbl, 10, rue Courtois, l membres de la bande rmnnt là les vélos qu'ils oen les dmonaie, les transformaient avant d'essayer de les revendre. Cette coupable industrie devait durer depuis un certain temps déjà et la bande était pariemn organisée: On a retrouvé en leur possession, non nlmseteue des vélos non encore transformés, mais encore des is détachées de la peinture, du vernis et des lampes destinées brûlr la peinture des machines volées et que lon recouvre ensuite d'une autre couleur ed revêtement. O procède actuellement à l'interrogatoire des quatre inculpés. Pt-êtr arrivera-t-on à leur faire confesser tous leurs méfaits qui doivent être neux En tout cas, c'est une belle prise que vient d'effectuer la Sûreté de Lille, avec l'aide de la clpoei d'Hubordi et on ne peut q féliciter ces deux services. BELLEVUE Samedi 30 mars, à 'apéritif et en roeéis ■ Mnsr |