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52 ; 2e qualité, 2 fr. 26 ; 3e qualité, 2 fr. 12; prix extrêmes, 2 fr. 04 à 2 fr. 80. Porcs gras. — Amenés ; 4.325 vendus 4.325 ; poids moyen 120, 1re qualité 1 fr 74 ; 2e qualité 1 fr. 71; 3e qualité 1 fr. 68; prix extrêmes 1 fr. 65 à 1 fr. 77. Peaux de moutons : 3 à 7 fr. Bœufs manceaux : 70 fr. à 78 fr. Veaux manceaux : 120 fr. à 127 fr. Porcs manceaux : 62 fr. à 65 fr. Vente difficile sur le gros bétail, mauvaise sur les veaux, sur les porcs, calme sur les moutons. MVZV de suite jeunes hommes de St-Lo pour apprendre le commerce. Ne se présenter que muni de très bonnes références. S’adresser Au Magasin Moderne, librairie-papeterie, E. HÉBERT, 52-54, rue Torteron, Saint-Lo. HERMES Dessinantes de Matrice Efforts Varices Varicocèles Hydrocèles Nous sommes très heureux d’informer nos lecteurs que M. E. JULIEN, le renommé Spécialiste de Paris dont l’habileté et l’expérience sont connues dans toute notre contrée pour ses nombreuses guérisons, sera à nouveau parmi nous très prochainement. Par sa Méthode personnelle, M. E. JULIEN guérit radicalement en moins de trois mois toutes les hernies et descentes (même anciennes et volumineuses) sans opération, sans interruption de travail et sans gêne. M. E. JULIEN garantit par écrit contenir, réduire et guérir toutes hernies ou descentes. Dans un but humanitaire, pour se mettre à la portée de tous et pour prouver l’efficacité absolue de son procédé, M. E. JULIEN, consent à faciliter le paiement du traitement jusqu’à complète guérison. Nous engageons donc toutes les personnes atteintes de ces infirmités et qui veulent guérir, à se rendre près du célèbre praticien qui sera de 9 heures à 4 heures, à : Carentan, lundi 24 Mars, hôtel d’Angleterre Walognes, mardi 25 hôtel du Louvre. Saint-Lo, dimanche 30, hôtel de la Gare. Coutances, lundi 31 hôtel de la Gare. Tilly, mardi 1er Avril, hôtel Bochot. St-Sauveur-d’Avegnon, mercredi 2, hôtel de la Poste. Dernières attestations de guérison : Mme DOUCHIN à Gouvillot (Manche), guérie de descente ; M. Prosper VICTOR, | 52 ; 2e qualité, 2 fr. 26 ; 3 qualité, 2 r.f 12; prix extrêmes, 2 fr. 04 à 2 fr. 80. Porcs gras — Amenés ; 4.325 vendus 4.325 ; odpsi moyen 120, 1re qualité 1 fr 74 ; 2e qualité fr. 71; 3e qualité 1 fr. 68; prix extrêmes 1 fr. 65 à 1 fr. 77. Px de moutons : 3 à fr. Bœufs manceaux : 70 fr. à 78 fr. Veaux manceaux : 120 fr. à 127 fr. Porcs manceaux : 2 fr à 65 fr. Vente difficile sru le gros bétail, mauvaise sur les veaux, sur les porcs, calme sur les moutons. MVZV de suite jeunes hommes de St-Lo pour apprendre le commerce. Ne se présenter que mn de ètsr bonnes références. S’adresser Au Magasin Moderne, librairie-papeterie, E HÉBERT, 52-54, rue Torteron, Saint-Lo. HERMES Dessinantes de arie Efforts Varices ioces Hydrocèles Nous smms très heureux d’informer nos lecteurs euq M. E. JULIEN, le renommé Spécialiste de Paris dont ’habileté et l’expérience sont connues dans toute notre contrée pour ses nombreuses guérisons, sera à nv parmi nous très prochainement. sa Méthode personnelle, M. . JULIEN guérit radicalement en moins de trois mois tts s hrns et descentes (même ncnns te volumineuses) sns opération sans interruption de travail et sans êe. M. . JULIEN garantit par écrit contenir, réduire et guérir tts eienshr ou descentes. Dans un but humanitaire, pour mettre à la prté de tous et pour prouver ’efficcté absolue de son procédé, . E. JULIEN, nst à faciliter le paiement du traitement jusqu’à complète guérison. Nous engageons on toutes les personnes atteintes de cs nfrmtés et qui veulent gurr à se rendre près du célèbr rtiien qui sera de hurs à 4 heures, à : Carentan, dulni 24 Mars, hôtel d’ngltrr Walognes, mardi 25 hôtel du Louvre. Saint-Lo, dmnch 30, hôtl de la Gare. Coutances, lnd 31 hôtel de la Gare. Tilly, mardi 1er Avril, htl Bochot. St-Sauveur-d’Avegnon, mercredi 2, el de la e.tsoP Dernières attestations de gérson : Mme DOUCHIN à Gouvillot (Manche), guérie ed descente ; M. Prosper VICTOR |
hernies et descentes (même anciennes et volumineuses) sans opération, sans interruption de travail et sans gêne. M. E. JULIEN garantit par écrit contenir, réduire et guérir toutes hernies ou descentes. Dans un but humanitaire, pour se mettre à la portée de tous et pour prouver l’efficacité absolue de son procédé, M. E. JULIEN, consent à faciliter le paiement du traitement jusqu’à complète guérison. Nous engageons donc toutes les personnes atteintes de ces infirmités et qui veulent guérir, à se rendre près du célèbre praticien qui sera de 9 heures à 4 heures, à : Carentan, lundi 24 Mars, hôtel d’Angleterre Walognes, mardi 25 hôtel du Louvre. Saint-Lo, dimanche 30, hôtel de la Gare. Coutances, lundi 31 hôtel de la Gare. Tilly, mardi 1er Avril, hôtel Bochot. St-Sauveur-d’Avegnon, mercredi 2, hôtel de la Poste. Dernières attestations de guérison : Mme DOUCHIN à Gouvillot (Manche), guérie de descente ; M. Prosper VICTOR, à Barneville-le-Teilleul (Manche), guéri de deux hernies. M. Paul LELOUP, à Saint-Marlin-d’Aubigny (Manche), guéri d’hydrocèle. Consultations et renseignements gratuits E. JULIEN, spécialiste, 27, rue de Courbet, Levallois-Paris (Seine). JLrant d «entreprendre Montres, Bijoux, Révoilts, Pendule », Orfèvrerie, demandez les nouveaux Catalogues des meilleures Montres Besançon envoyés gratis et franco de France... JOLIS CAOEAUX-PR.IME SUR TOUT ACHAT Contre les Convulsions & les Vers (Enfants & Adultes) LE FLASK : 1 ™ à 5 Francs par 2 Flasks Pharmacie LOUIS GUILLOT ISIGNY (Calvados) Grande pharmacie Moderne, à Saint-Lo. — Husson, à Caen. — Lecannu, Carentan. — Lecornu, Cavray. — Gautier, Quettehou. — Lebrun, Cérences. — Fatout, Granville et toutes pharmacies. — Hébert, Sainte-Mère-Eglise. — Mauduit, Pont-l’Abbé-Picauville. — Chemin, Valognes. — Raulin, Saint-Jean-de-Daye. — Balle, Torigni. — Renouf, Tessy-sur-Vire. — Piel, Bréhal. — Pacilly, Périers. — Leprince, Remilly. — Miray, Montebourg. — Hamel, Coutances. — Lecannu, Cherbourg, et toutes pharmacies. — Foulon, pharmacie centrale Avranches. MIÜIE -JL DÉPLACEMENTS d,. ORGANES d. MATRICES La Méthode Edouard est la plus efficace. Seule a obtenu des milliers de succès. De tous les fléaux qui s’abattent sur notre pauvre humanité, il n’en est pas causant autant de ravages que la Hernie. Combien de personnes ont une vie | hernies t dscnts même anciennes et volumineuses) s né,aiootrp sans itern ed travail et sans gêne. M. E. JULIEN garantit a écrit cntnr, réduire t guérir toutes hernies ou descentes. anDs un but humanitaire, r se mettre à la portée de ts et pour prvr l’efficacité absolue de sn procédé, M E. JULIEN, cnsnt à faciliter le paiement du traitement jusqu’à complète gérsn. Nous engageons donc toutes les personnes aite de ces infirmités et qui veulent guir, à se rendre près du célèbr praticien qui sera de 9 heures à 4 heures, à : C,nntaaer lundi 24 Mars, hôtel d’Angleterre Walognes, mdira 25 hôtel du Lvr. Saint-Lo, dimanche 30, hôtel de la Gare. Coutances, lundi 31 hôtel de la Gare. Tilly, mardi 1er Avril hôtel Bochot. St-Sauveur-d’Avegnon, mercredi 2, hôtel de la Poste. Drnèrs teitsaottnsa de guérison : Mme DOUCHIN à Gouvillot (Manche), guérie de descente ; M. Prspr VCTR, à Barneville-le-Teilleul (Manche), guéri de deux hernies. M. Paul LELOUP, à urynlt-naAn’biigiaS-dM (Manche), guéri d’hydrocèle. Consultations et renseignements gratuits E. JULIEN, spécialiste, 27, rue de Crbt, Levallois-Paris (Seine). JLrant d «entreprendre Montres, Bijoux, Révoilts, Pndl », Orfèvrerie, dmndz les uxnvuaoe Catalogues des meilleures Montres Besançon envoyés gratis t frao de France... JOLIS CAOEAUX-PR.IME SUR TT ACHAT Contre les Convulsions & les Vrs (Enfants & tdeulsA) LE FLASK : 1 ™ à 5 Francs par 2 Flasks Pharmacie LOUIS GUILLOT ISIGNY (Calvados) Grnd pharmacie Moderne, à Saint-Lo. — Husson à Caen. — Lecannu, Cen Lecornu, Cavray. — Gautier, Quettehou. — Lebrun, Cérences. — Fatout, Granville et toutes pharmacies. Hébert, Sainte-Mère-Eglise. — Mauduit, Pont-l’Abbé-Picauville. — Chemin, Valognes. — Raulin, Saint-Jean-de-Daye. — Ball, Torigni. — of TessysurVire — Piel, Bréhal. — Pcll, Périers. — Leprince Remilly. Miray, Montebourg. — Hamel, Coutances. — Lecannu, Cherbourg, et toutes pharmacies. — Fln, pharmacie centrale Avranches. MIÜIE JL DÉPLACEMENTS d,. ORGANES d. MATRICES La Méthode Edouard est la plus efficace. Seule a obtenu des milliers de succès. De ts les fléaux qui s’abattent sur notre pauvre humanité, il n’en est pas causant autant de ravages que la Hernie. Combien d personnes t une vie |
France... JOLIS CAOEAUX-PR.IME SUR TOUT ACHAT Contre les Convulsions & les Vers (Enfants & Adultes) LE FLASK : 1 ™ à 5 Francs par 2 Flasks Pharmacie LOUIS GUILLOT ISIGNY (Calvados) Grande pharmacie Moderne, à Saint-Lo. — Husson, à Caen. — Lecannu, Carentan. — Lecornu, Cavray. — Gautier, Quettehou. — Lebrun, Cérences. — Fatout, Granville et toutes pharmacies. — Hébert, Sainte-Mère-Eglise. — Mauduit, Pont-l’Abbé-Picauville. — Chemin, Valognes. — Raulin, Saint-Jean-de-Daye. — Balle, Torigni. — Renouf, Tessy-sur-Vire. — Piel, Bréhal. — Pacilly, Périers. — Leprince, Remilly. — Miray, Montebourg. — Hamel, Coutances. — Lecannu, Cherbourg, et toutes pharmacies. — Foulon, pharmacie centrale Avranches. MIÜIE -JL DÉPLACEMENTS d,. ORGANES d. MATRICES La Méthode Edouard est la plus efficace. Seule a obtenu des milliers de succès. De tous les fléaux qui s’abattent sur notre pauvre humanité, il n’en est pas causant autant de ravages que la Hernie. Combien de personnes ont une vie entière gâtée par cette dangereuse infirmité Combien d’autres, mal conseillées, ayant eu recours à de mauvais bandages, sont mortes dans les douleurs atroces de l’étranglement herniaire ! Aussi, notre devoir est d’informer nos lecteurs de l’arrivée prochaine de M. A. EDOUARD, l’habile spécialiste herniaire, inventeur d’une nouvelle méthode qui fait disparaître aussitôt les hernies et descentes, même réputées incurables, et assure la guérison en quelques mois sans gênes ni fatigue ainsi que le démontre cette récente attestation venant s’ajouter aux milliers de guérisons déjà obtenues et dont le nombre s’augmente chaque jour : « M. A. EDOUARD, Paris. Affligé d’une forte hernie depuis vingt ans et après avoir tout essayé, j’ai eu le bonheur de m’adresser à vous, et en quelques mois j’ai été radicalement guéri. Vous m’avez sauvé la vie, et dans un but humanitaire, je vous autorise à publier ma lettre. Joseph Narsollier à La Navais, par Janzé (Ille-et-Vilaine). Hernieux ne vous laissez pas tromper : seule la Méthode EDOUARD peut vous guérir M. A. EDOUARD, 440, boulevard Richard-Wilson, à Paris, est le seul spécialiste herniaire qui vient en personne de notre contrée. Il est le seul qui a obtenu le diplôme d’honneur. C’est donc lui seul qui | France... JLS AOUX-P SR TOUT ACHAT Contre les Convulsions & les Vers (Enfants Adultes) LE FLASK : ™ 5 Frncs par 2 Flasks Pharmacie LOUIS GUILLOT ISIGNY (Calvados) Grande pharmacie orn à SaintLo — Husson, à Cen. — Lecannu, Carentan. — Lecornu, Cavray. — Gautier, Quettehou. — Lbrn, Cérncs. — Fatout, Granville et toutes pharmacies. — Hébert, Sainte-Mère-Eglise. — Mauduit, Pont-l’Abbé-Picauville. — Chemin, Valognes. — Raulin, Saint-Jean-de-Daye. Balle, Torigni. — R,unoef Tessy-sur-Vire. — Piel, Bréhal. — Pacilly, Périers. — Leprince, Remilly. — Miray, Monb — Hamel, Coutances. — Lecannu, Cherbourg, et toutes pharmacies. — Foulon pharmacie centrale Avranches. IMEÜI -JL DÉPLACEMENTS d,. ORGANES d. MATRICES La Méthode Edouard est la plus efficace. Seule obtenu des milliers de succès. De tous les fléaux qui s’abattent sur notre pauvre humanité, i n’en est pas causant autant de ravages que la Hernie. Combien de personnes ont n e entière gâtée pr ctt dangereuse infirmité Combien d’autres, mal conseillées, ayant eu rr à de mauvais bandages, sont mortes dans les douleurs atroces de l’étranglement herniaire Aussi, notre devoir est d’informer nos lecteurs de l’rrvé prchn de M A. EDOUARD, l’habile spécialiste herniaire, inventeur d’une nouvelle méthode qui fait disparaître aussitôt les hernies et cst,densee même réputées incurables, et ssr la guérison en quelques mo sans gênes ni fatigue ainsi que le démontre cette récente attestation venant s’ajouter aux milliers de ignrsuéso déjà obtenues et dont l nombre s’aente chaque jour : M. A EDOUARD, Paris. Affligé d’une frt hernie dps vingt ans et après avoir tout ssyé, jai eu le bonheur e m’drssr à vous, et en quelques ms j’ai été dlmreceitaan guéri. Vous m’avez sauvé la vi et dans n but humanitaire, je vous autorise publier ma lettre. Joseph Nrsllr L Navais, par Janzé (Ille-t-Vilae. Hernieux ne vous laissez pas tromper : seule l Méthode EDOUARD peut vous guérir M. A. EDOUARD 440, ue Richard-Wilson, à Paris, est le seul spécialiste herniaire qui vient en personne de notre contrée. l est le seul qui bten le diplôme d’honneur. C’est donc l seul qui |
disparaître aussitôt les hernies et descentes, même réputées incurables, et assure la guérison en quelques mois sans gênes ni fatigue ainsi que le démontre cette récente attestation venant s’ajouter aux milliers de guérisons déjà obtenues et dont le nombre s’augmente chaque jour : « M. A. EDOUARD, Paris. Affligé d’une forte hernie depuis vingt ans et après avoir tout essayé, j’ai eu le bonheur de m’adresser à vous, et en quelques mois j’ai été radicalement guéri. Vous m’avez sauvé la vie, et dans un but humanitaire, je vous autorise à publier ma lettre. Joseph Narsollier à La Navais, par Janzé (Ille-et-Vilaine). Hernieux ne vous laissez pas tromper : seule la Méthode EDOUARD peut vous guérir M. A. EDOUARD, 440, boulevard Richard-Wilson, à Paris, est le seul spécialiste herniaire qui vient en personne de notre contrée. Il est le seul qui a obtenu le diplôme d’honneur. C’est donc lui seul qui mérite votre confiance et que nous conseillons d’aller consulter à : St-Lo, dimanche 9 mars, hôtel de l’Univers. COUTANCES, lundi 10 mars, hôtel de la gare (Le Bigot). VILLEDIEU, mardi 11 mars, hôtel du Louvre. St-HILAIRE-DU-HARCOUET, mercredi 12 mars, hôtel de la Poste. Ceintures-ventrières perfectionnées A. EDOUARD pour toutes les déviations des organes de la femme. Faire connaître le Vin du Docteur Debreyne, Trappiste et Médecin de la Grande-Trappe, c’est rendre Service aux personnes faibles.— Brochure gratis. Directeur du Vin Debreyne, à Mortagne (Orne) Dépositaires : Pharmacies : à Saint-Lo, M. Raveneau. — Avranches, M. Héon. — Carentan M. Merluzeau. — Cérences, M. Le Brun. — Cerisy-la-Salle, M. Le Clère. — Coutances, M. Hamel. — Gavray, M. Jouenne. — La Haye-du-Puits, MM. Larquin et Moiton. — Lessay, M. Simon. — Pont-Hébert, M. Doullys. — Saint-Sauveur-Lendelin, M. Capet. — Saint-Sauveur-le-Vicomte M. Jeanne. — Torigni, M. Malassis. — Tessy, M. Renouf. — Granville, M. Etienne. ABAJOUR en l’étude et par le ministère dudit M c Nativelle, notaire à ce commis le lundi 10 mars 1913, à 1 heure 1/2 de l'après-midi D’IMMEUBLES importants situés dans les communes de Saint-Pellerin et St-Hilaire-Petitville, canton de Carentan et Montmartin-le-Gare, canton de Saint-Jean-de-Daye Désignation sommaire DES | disparaître aussitôt les hernies et descentes, même réputées incurables, et assure l guérison en quelques mois sans gênes in fatigue ainsi que le démontre cette récente tsti venant sjotr aux ilers de gérsns déjà obtenues et o le nombre gsae’mtuen chaque jr : « M. . EDOUARD, Pisra. Affligé d’n rte hernie depuis vngt ns et après avoir tout aées,sy j’a eu bonheur m’adresser à vous, et n quelques s j’ai été radicalement guéri. Vous m’avez sauvé la v, et dans un but humanitaire, je vous autorise à publier ler Joseph Narsollier à L Navais pr Janzé (Ille-et-Vilaine). Hernieux n vous laissez pas tromper seule la Méthd EDOUARD peut vous guérir M. . EUAR 440, boulevard Richard-Wilson, à Paris, est l seul spécialiste herniaire qui vient en personne de notre otrée Il t le seul qui a obtenu le diplôme d’honneur. C’est donc lui seul q mérite votre confiance t q ns cnseo d’aller consulter à St-L, dimanche 9 ars, hl de l’Univers. COUTANCES, lundi 10 mars, hôtl de la gae (Le Bigot). VILLEDIEU, mardi 11 mars, hôtel du Louvre. StHILAIREDUHARCOUET mr 12 mars ôtlhe de la Poste. Cntrs-vntrèrs perfectionnées A. EDOUARD pr toutes les déviations des organes de la femme Faire connaître le Vin du Docteur Debreyne Trappiste et Médecin de la Grande-Trappe, c’est rendre Service x personnes faibles Brochure gratis. Directeur du Vn Debreyne, à Mortagne Orne Dépositaires : Pharmacies : à Snt-L, M. Raveneau. — Avranches, M. Héon. — Carentan M. Mrlz. — Cérences, M. Le Brn. — Cerisy-la-Salle, M. Le Clèr. — cs,uoCtean . Hamel. — Gvry, . Jouenne. — La Haye-du-Puits, MM. Larquin et Moiton. — Lessay, M. Simon. — Pont-Hébert, . lys.luoD — tu--nSuadeaSleLeinrv,in M. Capet. — Sti-uaemeacn-e-vlVtuoSri M. Jeanne. — oi, M. Malassis. — Tessy, M. Reo. — ranvil, M. Etienne. ABAJOUR en l’étude et par le ministère dudit Nielle notaire à ce commis le lundi 0 mars 1913, à 1 heure 1/2 d apè-idi D’IMMEUBLES importants situés dans les communes de Saint-Pellerin et St-Hilaire-Petitville, canton de Carentan et MontmartinleGare canton de an-a-eDaye Désignation iosaremm DES |
déviations des organes de la femme. Faire connaître le Vin du Docteur Debreyne, Trappiste et Médecin de la Grande-Trappe, c’est rendre Service aux personnes faibles.— Brochure gratis. Directeur du Vin Debreyne, à Mortagne (Orne) Dépositaires : Pharmacies : à Saint-Lo, M. Raveneau. — Avranches, M. Héon. — Carentan M. Merluzeau. — Cérences, M. Le Brun. — Cerisy-la-Salle, M. Le Clère. — Coutances, M. Hamel. — Gavray, M. Jouenne. — La Haye-du-Puits, MM. Larquin et Moiton. — Lessay, M. Simon. — Pont-Hébert, M. Doullys. — Saint-Sauveur-Lendelin, M. Capet. — Saint-Sauveur-le-Vicomte M. Jeanne. — Torigni, M. Malassis. — Tessy, M. Renouf. — Granville, M. Etienne. ABAJOUR en l’étude et par le ministère dudit M c Nativelle, notaire à ce commis le lundi 10 mars 1913, à 1 heure 1/2 de l'après-midi D’IMMEUBLES importants situés dans les communes de Saint-Pellerin et St-Hilaire-Petitville, canton de Carentan et Montmartin-le-Gare, canton de Saint-Jean-de-Daye Désignation sommaire DES IMMEUBLES À VENDRE Commune de SAINT-PELLERIN 1 er LOT Cinq corps de bâtiments à usage d’habitation et d’exploitation, jardin légumier, herbage clair, herbage planté, le tout contenant environ 58 ares 70 centiares. Mise à prix fr. 2 e LOT Herbage clair, nommé La Fiece-au-Geai, contenant environ 1 hectare 84 ares 70 centiares. Mise à prix 7000 fr. Réunion en masse sur les prix de ces deux lots. 3° LOT Une pièce de terre en labour planté, nommé Les Coffres, contenant environ 0,3 ares 80 centiares. Mise à prix fr. 500. 4° LOT Un herbage clair, nommé Le Parcnois et La Voie, contenant environ 2 hectares 46 ares 05 centiares. Mise à prix 1©©© fr. 5e LOT Un herbage dans lequel quelques pommiers, nommé La Pointe, contenant environ 67 ares 28 centiares. Mise à prix 2©©© fr. 6e LOT Un herbage dans lequel quelques pommiers, nommé La Pièce-Secqueville, contenant environ 1 hectare 1 are 90 centiares. Mise à prix fr. 7e LOT Un herbage planté nommé La Pièce-au-Geai, contenant environ 1 hectare 62 ares. Mise à prix fr. 8e LOT Un herbage planté nommé La Campagne, contenant environ 41 ares 60 centiares. Mise à prix........ fr. 9e LOT Une pièce de | déviations des organes de la femme. aiFre connaître le Vin du Docteur Debreyne, Trappiste et Médecin de la Grande-Trappe, c’est rendre Srvic aux personnes faibles.— Brochure gratis. Directeur du Vin Debreyne, à Mortagne (rn) Dépositaires : haraie : à Saint-Lo, M. Raveneau. — ,sAevachnr M. Héon. — Carentan M. Merlu. — Cérences, M. Le Brun. — Cerisy-la-Salle, M. Le Clèr. — Coutances, M. Hamel. — Gavray, M. Jouenne. — La Haye-du-Puits, MM. Larquin et Moiton. — Lessay, M. Simon. — Pont-Hébert, M. Doullys. Saint-Sauveur-Lendelin, . Capet. — Saint-Sauveur-le-Vicomte M. Jeanne. — Torigni, M. Malassis. — Tessy, M. Renouf. — Granville, M. Etienne. RUABAJO en l’étude et par le ministère dudit M c Nativelle, ntr à ce commis le lundi 10 mars 1913, à 1 heure 12 d l'après-midi D’IMMEUBLES importants situés ns les communes de Saint-Pellerin et St-Hilaire-Petitville, canton e Carentan et Montmartin-le-Gare, canton de Saint-Jean-de-Daye Désignation sommaire DES IMMEUBLES À VENDRE Commune de SAINT-PELLERIN 1 er LOT Cinq corps de bâtiments à usage d’habitation et d’exploitation, jardin légumier, herbage clair, herbage planté, le tout contenant enorniv 58 ares 70 cnisteaer. Mise à prix fr. 2 LOT Herbage clair, nommé La ieaeai cntnnt environ hectare 84 ares 70 si.neretac Mise à prix 7000 fr. Réunion en masse sur les prix ed ces deux lots. 3° LOT Une pièce de terre en labour planté, nommé Les Coffres, contenant environ 0,3 ares 80 centiares. Mise prix fr. 500. ° LOT Un herbage clair, émmon Le Parcnois et La Voie, contenant environ hectares ares 05 centiares. Mise à prix 1©©© fr. 5e LOT Un herbage dans lequel quelques pommiers, nmmé La Pointe, contenant environ 67 ares 28 centiares. Mise à prix 2©©© fr. 6e LOT Un herbage dans lequel quelques pommiers, nommé La Pièce-Secqueville, contenant environ 1 hectare 1 are 90 centiares. Mise à prix fr. 7e LOT Un herbage planté nommé La Pièce-au-Geai, tn environ 1 hctare 62 ares Mise à prix fr. 8e LOT Un herbage planté nommé La Campagne, contenant environ 41 ares 60 centiares. Mise à prix........ fr. 9e LOT Une pièce de |
70 centiares. Mise à prix 7000 fr. Réunion en masse sur les prix de ces deux lots. 3° LOT Une pièce de terre en labour planté, nommé Les Coffres, contenant environ 0,3 ares 80 centiares. Mise à prix fr. 500. 4° LOT Un herbage clair, nommé Le Parcnois et La Voie, contenant environ 2 hectares 46 ares 05 centiares. Mise à prix 1©©© fr. 5e LOT Un herbage dans lequel quelques pommiers, nommé La Pointe, contenant environ 67 ares 28 centiares. Mise à prix 2©©© fr. 6e LOT Un herbage dans lequel quelques pommiers, nommé La Pièce-Secqueville, contenant environ 1 hectare 1 are 90 centiares. Mise à prix fr. 7e LOT Un herbage planté nommé La Pièce-au-Geai, contenant environ 1 hectare 62 ares. Mise à prix fr. 8e LOT Un herbage planté nommé La Campagne, contenant environ 41 ares 60 centiares. Mise à prix........ fr. 9e LOT Une pièce de terre en labour planté, nommé Le Jardin-de-la-Campagne, contenant environ 84 ares 90 centiares. Mise à prix fr. COMMUNE de SAINT-HILAIRE-PELLETIER 10e LOT Un pré nommé le Mesnil, contenant environ 97 ares 90 centiares. Mise à prix fr. 11e LOT Un pré nommé Les Oziers, contenant environ 4 hectare 4 are 30 centiares. Mise à prix fr. 12e LOT Un pré nommé Le Pré-Taillepied, contenant environ 47 ares 75 centiares. Mise à prix fr. 13e LOT Un pré nommé Le Pré-Gramville, contenant environ 61 ares 90 centiares. Mise à prix fl fr. COMMUNE de MONTMARTINEN-CRAIGNES Canton de Saint-Jean-de-Daye 14e LOT 1° Un herbage clair dit Le Pré-Loupin-Fresnée et de La Haye, contenant environ 1 hectare 57 ares 90 centiares. 2° Un autre herbage clair dit Le Pré-Loupin et Fresnée, contenant environ 1 hectare 69 ares 30 centiares. 3° Et un pré dit Le Pré-de-la-Rivière, contenant environ 63 ares 80 centiares. Mise à prix 700fr. 15e LOT Un herbage dans lequel quelques pommiers, nommé Le Couesne, contenant environ 61 ares 40 centiares. Mise à prix fr. 16e LOT Un herbage clair, nommé La Pièce-Mérienne, contenant environ 1 hectare 51 ares 26 centiares. Mise à prix fr. 17e LOT Un herbage clair dit | 70 ntare Mise à prix 7000 fr. Réunion en masse sur ls prix de ces edux lots. 3° LOT Une pièce de terre en labour planté, nommé Les Coffres, contenant environ 0,3 ares 80 centiares. Mise à prix fr. 500. 4° LOT Un herbage clair, nommé Le Parcnois t La Voie, contenant environ 2 hectares 46 ares 05 centiares. Mise à prix 1©©© fr. 5e LOT Un herbage dans lequel quelques pommiers, nommé La Pointe, contenant environ 67 ares 28 centiares. Mise à prix 2©©© fr. 6e LOT Un hrbg dns lequel quelques pmmrs, nommé La Pièce-Secqueville, contenant environ 1 hectare 1 are 90 centiares. ie prix fr. 7e LOT Un herbage planté nommé La Pièce-au-Geai, contenant environ 1 hectare 62 ares. Mise à prix fr. 8e LT n herbage planté nommé La Cmpgn, contenant environ 41 ares 60 centiares. Mise à prix........ fr. 9e LOT Une pièce de terre en abour planté, nommé Le Jardin-de-la-Campagne, contenant environ 84 rs 90 centiares. Mise à prix fr. COMMUNE de SAINT-HILAIRE-PELLETIER 10e LOT Un pré nommé le Mesnil, contenant environ 97 ares 90 centiares. Mise à prix fr. 11e LOT Un pré nommé Les Oziers, coneat environ 4 hectare 4 are 30 centiares. Mise à prix fr. 12e LOT Un pré nommé L PréTaillepied n environ 47 rs 75 cntrs. Mise à prix fr. 13e LOT Un pré nmm Le PréGramville contenant vioernn 61 ares 90 centiares. Mise à prix fl fr. COMMUNE de MNTMRTNN-CRGNS Canton ed SaintJeandeDaye 14e OT 1° Un herbage clair dit Le Pré-Loupin-Fresnée et de La Haye, contenant environ 1 hctr 57 ares 90 centiares. 2° Un tr herbage clair dit Le riP-Luénpo et Fresnée, contenant environ 1 teacreh 69 ares 30 centiares. 3° Et un pré dit Le Pré-de-la-Rivière, contenant environ 63 ares 80 centiares. Mise à prix 700fr. 15e LOT Un hrbg dns lequel qlqs pommiers, nommé Le Couesne, contenant environ 61 e 40 centiares Mise à prix fr. 16e LOT Un herbage clair, nommé La Pièce-Mérienne, contenant environ 1 hectare 51 ares 26 centiares. Mise prix fr. 17e LOT Un hrag clair dit |
30 centiares. Mise à prix fr. 12e LOT Un pré nommé Le Pré-Taillepied, contenant environ 47 ares 75 centiares. Mise à prix fr. 13e LOT Un pré nommé Le Pré-Gramville, contenant environ 61 ares 90 centiares. Mise à prix fl fr. COMMUNE de MONTMARTINEN-CRAIGNES Canton de Saint-Jean-de-Daye 14e LOT 1° Un herbage clair dit Le Pré-Loupin-Fresnée et de La Haye, contenant environ 1 hectare 57 ares 90 centiares. 2° Un autre herbage clair dit Le Pré-Loupin et Fresnée, contenant environ 1 hectare 69 ares 30 centiares. 3° Et un pré dit Le Pré-de-la-Rivière, contenant environ 63 ares 80 centiares. Mise à prix 700fr. 15e LOT Un herbage dans lequel quelques pommiers, nommé Le Couesne, contenant environ 61 ares 40 centiares. Mise à prix fr. 16e LOT Un herbage clair, nommé La Pièce-Mérienne, contenant environ 1 hectare 51 ares 26 centiares. Mise à prix fr. 17e LOT Un herbage clair dit Le Pré-Milhaire, contenant environ 4 hectare 35 ares 50 centiares. Mise à prix fr. 18e LOT Un herbage dit Les Buttes, contenant environ 25 ares 30 centiares. Mise à prix fr. 19e LOT L’emplacement d’une maison sur herbage planté, contenant environ 6 ares 74 centiares. Mise à prix fl fr. Pour tous renseignements, s’adresser : 1° à M. NAVELIE, notaire, rédacteur du cahier des charges et dépositaire des titres de propriété; 2° à M. JOUANNE avoué, poursuivant la vente; 3° à M. MAGNIAC, avoué, co-licitant. ETUDE de M. L. BARBANCHON, notaire à Saint-Clair. VENTE des meubles et de L'ÉCHAL et de MEUBLES pour cause de décès, à Saint-Jean-de-Savigny, au bourg, au domicile de feu M. Georges Mûris, maréchal. Le dimanche 2 mars 1913, à 1 heure et demie précise du soir. Pour le détail, voir les affiches. Argent comptant et 40 0/9.. MÊME ETUDE Vente de Fagots Le Dimanche 9 Mars, à 9 heures du matin, en la commune d’Airel, quartier de l’Hôtel-Ballot, requête de M. Louis Letourneur. 80 fagots et plusieurs lots de coupelles MÊME ÉTUDE VENTE de MEUBLES Le dimanche 9 mars 1913, à 2 heures à l’ÉMIÉJL village des Audrieux, au domicile et à la requête de | 3 ctare Mise à prix fr. 12e LT Un pé nommé Le Pré-Taillepied, contenant environ 47 ares 75 centiares. Mise à r fr. 13e LOT Un pré nommé Le Pré-Gramville, contenant environ 61 ares 90 centiares. Mise fl f COMMUNE de MONTMARTINEN-CRAIGNES Canton de Saint-Jean-de-Daye 14e LOT 1° Un herbage clair dt Le Pré-Lon-Frsn et ed La Haye, contenant evro 1 hectare 57 ares 90 ntiae 2° U autre hrbg clair dit Le é-upin et Fresnée contenant environ 1 hectare 69 ars 30 centiares. 3° Et un pré dt Le Pré-de-la-Rivière, contenant environ 63 ares 80 centiares. Mise à prix 700fr. 15e LOT Un herbage dans lequel qlqs pommiers nommé Le Couesne, contenant environ 61 saer 40 centiares. Mise prix fr. 16e LOT Un herbage clair, nommé La Pèc-Mérnn, contenant ninorve 1 hectare 51 ares 26 centiares. Mise à prix fr. 17e LOT Un herbage lraci dt Le Pré-Milhaire, cntnnt environ 4 hectare 35 ares 50 centiares. Mise à ri fr. 18 LOT Un dt Les Buttes, contenant environ 25 ares 30 centiares. Mise à prix fr. 19e LT L’emplacement dune maison sr hrbg planté, contenant environ 6 74 cntirs Mise à prix fl fr. our tous renseignements ’adresser : 1° à M. NAVELIE, notaire, rédacteur du cahier des charges et dépie des titres d propriété; 2° à M. JOUANNE avoué, poursuivant la vente; 3° à M. MAGNIAC, avoué, co-licitant. TD de M. L. BARBANCHON, ntr à Saint-Clair. ENTE des meubles et de LÉCHAL et de MEUBLES ropu cs d décès, Saint-Jean-de-Savigny, au bourg, au domicile de feu M Georges Mûris, maréchal. Le dimanche 2 mars 1913, à 1 heure demie précise du soir. Pour détail, voir les affiches. Argent mtat et 40 0/9.. MÊME ETUDE Vente de Fagots Le Dmnch 9 Mas, à 9 heures du matin, en la omuncme d’Airel, quartier de o,-tltHlôlB’lae requête de M. Louis Letourneur. 80 fagots et pis lots de coupelles MÊ ÉTUDE VENTE de BS dimanche mars 1913 heures à ’ÉMIÉJL village ds Audrieux, dmcl et à al requête de |
Pour tous renseignements, s’adresser : 1° à M. NAVELIE, notaire, rédacteur du cahier des charges et dépositaire des titres de propriété; 2° à M. JOUANNE avoué, poursuivant la vente; 3° à M. MAGNIAC, avoué, co-licitant. ETUDE de M. L. BARBANCHON, notaire à Saint-Clair. VENTE des meubles et de L'ÉCHAL et de MEUBLES pour cause de décès, à Saint-Jean-de-Savigny, au bourg, au domicile de feu M. Georges Mûris, maréchal. Le dimanche 2 mars 1913, à 1 heure et demie précise du soir. Pour le détail, voir les affiches. Argent comptant et 40 0/9.. MÊME ETUDE Vente de Fagots Le Dimanche 9 Mars, à 9 heures du matin, en la commune d’Airel, quartier de l’Hôtel-Ballot, requête de M. Louis Letourneur. 80 fagots et plusieurs lots de coupelles MÊME ÉTUDE VENTE de MEUBLES Le dimanche 9 mars 1913, à 2 heures à l’ÉMIÉJL village des Audrieux, au domicile et à la requête de M. Jean Sébert. Pour le détail, voir les affiches. — Les articles de 10 fr. et au-dessous comptant, et deniers à 10 %. Pour le surplus, crédit de 3 mois. GIKC Etude de M. Emile SINEL, huissier à Saint-Lo. à bis, rue du Rempart, VENTE de Bois Taillis et Bandes à Saint Georges-tl’Ailly M. SINEL, huissier à Saint-Lo, procédera le Mercredi 5 Mars 1913, à 2 heures après-midi, en la commune de Saint-Georges-d’Elle dans le bois du Grand Soutaire, requête de M. le Marquis de Malher, à la vente de : 5 randes de très beau bois taillis. Enlèvement facile. Crédit et conditions ordinaires Etude de M. Emile SINEL, Huissier à Saint-Lo, 5 bis, rue du Rempart VENTE DE MEUBLES à Saint-Jean-de-Savigny M. SINEL huissier à Saint-Lo, procédera le Jeudi 6 Mars 1913, à 2 heures après-midi, à Saint-Jean de-Savigny, sur la ferme du Couay, appartenant à M. de la Moissonnière, anciennement exploitée par M. Gabriel Desmonts, à la vente de : 4 tontons pleins de gros cidre (fûts et jus). Crédit et Conditions ordinaires Aussitôt après, au même lieu, requête de M. de la Poissonnière, vente de: 80 bottes de paille d’orge et d’avoine. Et 103 bottes de foin, | Pour tous renseignements s’adresser : 1° à M. NVL, ntr, ractu du cahier ds hs et dépositaire des titres ed propriété; 2° à M. JOUANNE oé prsvnt la vente; ° à . MAGNIAC, avoué, co-licitant. TD de M. L. BNARCHBAO,N n à Snt-Clr. TEVNE des meubles et de L'ÉCHAL et de MEUBLES pour eusca de décès, à Saint-Jean-de-Savigny, au bourg, au dol de feu M. Georges Mûris, aar.mchél Le dimanche 2 mars 1913, à 1 heure et meedi précise du soir. Pour le détail, voir lse affiches. Argent comptant t 40 0/9.. MÊME ETUDE Vente d Fagots e Dimanche 9 Mars, à 9 heures du matin, en la commune d’Airel, quartier de l’Hôtel-Ballot, requête de M. Louis etru 80 fagots et plusieurs lots de coupelles MÊME ÉTUDE VENTE de MEUBLES Le enadihcm 9 mars 1913, à 2 heures à l’ÉMIÉJL village des Audrieux, au domicile et à l requête de M. Jean Sébert. Pour le détail, voir les affihes — Les rtcls de 01 fr. et au-dessous cmptnt, et deniers à 10 %. Pour le surplus, crédit de mois. GIKC Etude d . Emile SNEL huissier à Saint-Lo. à bis, rue du Rempart, VENTE de Bois Tlls et Bandes à Saint Georges-tl’Ailly M. SINEL, huissier à Saint-Lo, procédera le Mercredi 5 Mars 1913, à 2 ueeshr après-midi, en la commune de Saint-Georges-d’Elle dans le ois Grand Soutaire, rquêe de M. le Marquis de Malher, à vente de : 5 randes d très beau bois tlls. Enlèvement fcl. Crédit et conditions rdnrs Etude de M. Emile SINEL, Huissier à Saint-Lo, 5 bis, rue du Rempart E DE MEUBLES à Saint-Jean-de-Savigny M SINEL huissier à SaintLo procédera le Ju 6 Mars 93, à 2 heures après-midi, à Saint-Jean de-Savigny, sur la ferme ud Couay, appartenant M. de la Moissonnière, ncnnmnt iexpéoelt par M Gabriel Desmonts, à la vente de : 4 tontons pleins de gros cidre tsf(û et jus). Crédit et Conditions ordinaires Aussitôt près, au même lieu, requête de M. de la Poissonnière, vente de: 08 bottes de ail d’orge et d’vin Et 103 btes de nif,o |
à Saint Georges-tl’Ailly M. SINEL, huissier à Saint-Lo, procédera le Mercredi 5 Mars 1913, à 2 heures après-midi, en la commune de Saint-Georges-d’Elle dans le bois du Grand Soutaire, requête de M. le Marquis de Malher, à la vente de : 5 randes de très beau bois taillis. Enlèvement facile. Crédit et conditions ordinaires Etude de M. Emile SINEL, Huissier à Saint-Lo, 5 bis, rue du Rempart VENTE DE MEUBLES à Saint-Jean-de-Savigny M. SINEL huissier à Saint-Lo, procédera le Jeudi 6 Mars 1913, à 2 heures après-midi, à Saint-Jean de-Savigny, sur la ferme du Couay, appartenant à M. de la Moissonnière, anciennement exploitée par M. Gabriel Desmonts, à la vente de : 4 tontons pleins de gros cidre (fûts et jus). Crédit et Conditions ordinaires Aussitôt après, au même lieu, requête de M. de la Poissonnière, vente de: 80 bottes de paille d’orge et d’avoine. Et 103 bottes de foin, parfaitement récoltés. Crédit et Conditions ordinaires EKSC Etude de M. Léon RAULLINE, commissaire-priseur de l'arrondissement de Saint-Lo. VENTE 4 * E * ra P cr * es * «ouAiEs, 1 lui 3 L merceries, bonneteries, meubles, à Saint-Lo, au domicile où est décédée Mme Laisney, mercière, rue Saint-Thomas, 25. Vendredi 7 et samedi 8 mars 1913, chaque jour, à 2 heures du soir : Toiles, corsets, culottes pour hommes, blouses, chemises, jupons, tricots, lainages, confections, chandails, fichus, tabliers, corsages, mouchoirs, bas, peignoirs, etc., mannequins, glaces, chaises, armoire chêne, vaisselle, casseroles, etc. Au comptant. Etude de M. Léon RAULLINE, commissaire-priseur de l’arrondissement de Saint-Lo. Vente d’Herbe à dépouiller aux Champs-de-Losques, à La Bécasse, le dimanche 9 mars 1913, à 3 heures, hectares sur neuf pièces de terre. Faculté de mettre des chevaux ou juments à poulain. — Eau courante. — Herbe abondante dès maintenant. Après la vente d’herbe, vente au même lieu de 3 matériaux de démolition provenant de la forme de la bécasse et de 30 fagots secs. (Voir le numéro de samedi). — Crédit et conditions ordinaires. Etude de M. Léon RAULLINE, commissaire-priseur de l'arrondissement de Saint-Lo. VENTES SALLE DES SAIINTS-DUC, 18, rue Haut-Torteron, mardi 11 mars 1913, à | à Saint GeorgestlAilly . SINEL, huissier à Saint-Lo, procédera le Mercredi 5 Mars 1913, à 2 heures après-midi, en la commune de Saint-Georges-d’Elle dans le bois du Grand Soutaire, requête de M. le Marquis de Malher, à la vente de : 5 randes de très beau bois taillis. Enlèvement facile. Crédit et conditions rdnrs Etude de M. Emile SNL, Huissier à Saint-Lo, 5 bis, rue du Rempart VENTE DE MEUBLES à Saint-Jean-de-Savigny M. SINEL huissier à Saint-Lo, procédera le eu 6 Mars 1913, à ures après-midi, à Saint-Jean de-Savigny, sur la ferme du Couay, appartenant à M. de a Moissonnière, anciennement exploitée par M. Gabriel Desmonts, à l vente de : 4 tontons pleins d gros cidre (fûts t u) Crédit et Conditions ordinaires Aussitôt après, au m lieu, requête de M. de la esrisPoni,èno vente de: 80 bottes de paille d’orge et d’avoine. Et 103 bottes de foin, parfaitement récoltés. Crédit et Conditions ordinaires EKSC Etude e M. Léon RAULLINE, commissaire-priseur de l'arrondissement de Saint-Lo. VENTE 4 * E * ra P cr * s * «ouAiEs, 1 lui 3 merceries, bonneteries, meubles, à Saint-Lo, au domicile où est cedéééd Mme Laisney, mercière, rue Saint-Thomas, 25. Vendredi 7 e samedi 8 mars 1913, chaque jour, à 2 heures du soir : Toiles corsets, culottes pr hommes, blouses, chemises, jupons, trcts, lainages, confections, chandails, fichus, tabliers, corsages, mouchoirs, bas, peignoirs, etc., mannequins, glaces, chaises, armoire chêne, vaisselle, casseroles, etc. Au comptant. te de M. Léon RAULLINE, commissaire-priseur de l’arrondissement de Saint-Lo. Vente dHerbe à dépouiller aux Campdeues à La Bécasse, le dimanche 9 mars 139,1 à 3 heures, cahstere sur neuf pièces de terre. Faculté de mettre des chevaux jnt à poulain. — Eau a.oucernt — Herbe abondante dès maintenant. Après la vente d’hrb, vnt au même lieu de 3 matériaux d démolition provenant de la forme de la bécasse et de 30 fagots secs. (Voir le numéro de smd). — éit et conditions ordinaires. Etude de M. Léon RAULLINE, commissaire-priseur de l'arrondissement de Saint-Lo. VENTES SLL DES SAIINTS-DUC, 18, rue Haut-Torteron, mardi 11 mars 13,19 à |
7 et samedi 8 mars 1913, chaque jour, à 2 heures du soir : Toiles, corsets, culottes pour hommes, blouses, chemises, jupons, tricots, lainages, confections, chandails, fichus, tabliers, corsages, mouchoirs, bas, peignoirs, etc., mannequins, glaces, chaises, armoire chêne, vaisselle, casseroles, etc. Au comptant. Etude de M. Léon RAULLINE, commissaire-priseur de l’arrondissement de Saint-Lo. Vente d’Herbe à dépouiller aux Champs-de-Losques, à La Bécasse, le dimanche 9 mars 1913, à 3 heures, hectares sur neuf pièces de terre. Faculté de mettre des chevaux ou juments à poulain. — Eau courante. — Herbe abondante dès maintenant. Après la vente d’herbe, vente au même lieu de 3 matériaux de démolition provenant de la forme de la bécasse et de 30 fagots secs. (Voir le numéro de samedi). — Crédit et conditions ordinaires. Etude de M. Léon RAULLINE, commissaire-priseur de l'arrondissement de Saint-Lo. VENTES SALLE DES SAIINTS-DUC, 18, rue Haut-Torteron, mardi 11 mars 1913, à 2 heures précises : 6 bonnes lits bois avec sommier, 4 lits de milieu Louis XV, bons lits de fer, lits d’enfants, matelas, fil de plumes, 2 belles tables de salle à manger avec sièges garnis cuir, chaises acajou, fauteuils, canapés, glaces, pendules, buffets de service, beau buffet normand, glace normande ancienne, horloges sculptées, belles commodes, tables et guéridons, 2 bons salons noyer Louis XV, armoires chêne sculpté, garde-robes, armoire à glace, bureaux, bicyclettes, montres or et argent, lessiveuses, casiers, comptoirs, fourneau de cuisine et grande quantité d’objets. — Au comptant 10 % en sus. A MET à VENDRE 1 francs Excellente Chie Coker-Spanish petite taille jolie, 4 ans, Liencho avec taches feu S’adresser à M. MADELAIGNE, 47 rue des Religieuses, Valognes. À LOUER pour entrer en jouissance à St-Michel et Noël 1913 Une bonne ferme, située à Blaye (Calvados) nommée la Ferme de la Comté contenant 53 hectares, très bien cultivée, dont une partie en labour. Pour tous renseignements, s'adresser à M. Lucien MARION, fermier actuel. À LOUER MÊME LIFE maison avec jardin devant, située à St-Lô, rue du Mouton, n° 40, composée de : Au rez-de-chaussée : Cuisine, vestibule, salle à manger et cellier; au 1er étage : | 7 et samedi 8 mrs 1913, chq jour, à 2 hsueer du sor : Toiles, corsets, culottes pour hommes, blouses, chemises, jupons, tricots, lainages, cofectio chandails, fichus, tblrs, corsages uchi, bas, peignoirs, tc., mannequins, glaces, chss, reaiorm chêne vaisselle, sleessc,rao etc. Au mta Etude de M. Léon RAULLINE, cosaie-pr de l’arrondissement de Saint-Lo. Vente d’Herbe à dépouiller aux Champs-de-Losques, à La Bécasse, le dimanche 9 mars 1913, à 3 heures, hectares sur neuf pièces de re.tre cltFéua de mettre des chau ou mts à poulain. — Eau crnt. — Hb abondante dès maintenant. Après la ve d’hrb, vente au mm lieu de 3 matériaux de démolition prvnnt de la forme de la abesécs et de 30 tfaogs secs (Voir numéro d samedi). — Crédt et conditions ordinaires. Etude de . Léon N,ALLIEUR commissaire-priseur e l'arrondissement de SitLo. VENTES SALLE DES SAIINTSDUC 18 rue Haut-Torteron, mardi 11 mars 1913, à 2 heures précises : 6 bonnes lits bsoi avec sommier, 4 lits de milieu Louis XV, bons lits de fer, lits dens, matelas, fil de plumes, 2 belles tables de salle à manger caev sièges garnis cuir, chss acajou, fauteuils, ané glaces, pndls, buffets de service, baeu buffet normand, ecgal normande anien, horloges sculptées belles commodes, tables et guéridons, 2 bons slns noyer o XV, armoires chêne sculpté garde-robes, armoire à glace, brx, bicyclettes, eomtsrn or et argent, lessiveuses casiers, comptoirs, fourneau de cuisine et grande quantité d’bet. — Au comptant 10 % en sus. MET à VENDRE 1 francs Excellente Chie Coker-Spanish petite taille jolie 4 ans, Liencho avec as feu S’adresser à M. MADELAIGNE, 47 rue des Religieuses, Valognes. À LOUER pour entrer en jouissance à tMS-elhci et Noël 1913 Une bnn efmer, située à Blaye Calvados noe la er de la Comté contenant 53 hectares, très bien cultivée, dont une partie en lbr. Pour tous renseignements, s'adresser à M. unLice MARION, remfeir actuel. À LOUER MÊME LF maison avec jardin devant, située St-Lô, rue Mouton, n 40, cmpsé de : Au rez-de-chaussée : Cuisine, vestibule, sll à manger et rl;lceie au 1er étage : |
normande ancienne, horloges sculptées, belles commodes, tables et guéridons, 2 bons salons noyer Louis XV, armoires chêne sculpté, garde-robes, armoire à glace, bureaux, bicyclettes, montres or et argent, lessiveuses, casiers, comptoirs, fourneau de cuisine et grande quantité d’objets. — Au comptant 10 % en sus. A MET à VENDRE 1 francs Excellente Chie Coker-Spanish petite taille jolie, 4 ans, Liencho avec taches feu S’adresser à M. MADELAIGNE, 47 rue des Religieuses, Valognes. À LOUER pour entrer en jouissance à St-Michel et Noël 1913 Une bonne ferme, située à Blaye (Calvados) nommée la Ferme de la Comté contenant 53 hectares, très bien cultivée, dont une partie en labour. Pour tous renseignements, s'adresser à M. Lucien MARION, fermier actuel. À LOUER MÊME LIFE maison avec jardin devant, située à St-Lô, rue du Mouton, n° 40, composée de : Au rez-de-chaussée : Cuisine, vestibule, salle à manger et cellier; au 1er étage : 2 chambres dont une à usage de salon ; au 2e étage : 3 chambres, mansardes et grenier sur le tout. Cette maison est occupée actuellement par M. Leneveu, employé à la Préfecture S’adresser chez M. FOSSARD, 93, rue Haut-Torteron, à Saint-Lô. À LOUER pour St-Michel 1913 UNE MAISON à usage de commerce sise à Cherbourg, avenue Carnot, 179 près l’église du Roule. Cette maison et ses dépendances sont occupées actuellement par Al. POIGNANT épicière. Par sa situation et par ses agencements cette maison et ses dépendances sont propres à tout genre de commerce. Pour visiter, s'adresser sur place, à M. POIGNANT ; pour tous renseignements et traiter, s’adresser à M. GLOT, notaire à Sainte-Marie-du-Mont; (Téléphone numéro 2). Etude de M. Emile SINEL, Huissier à Saint-Lô, 5 bis, rue du Rempart VENTE d’Arbres et Baliveaux abattus au bois Hommet-d’Arthenay, requête de M. le Comte de Kergorlay, a la vente de : 80 chênes ; 40 hêtres ; Et 80 baliveaux, essences de chênes, cerisiers et bouleaux. La plupart des arbres sont très beaux et propres au débit. Plusieurs lots de sapins. Enlèvement facile, la coupe se trouvant sur le bord de l’ancienne route du Hommet à Tribehou. Crédit et Conditions | normande ancienne, oge sculptées, belles commodes, tables et guéridons, 2 bons salons noyer Louis XV, armoires chêne sculpté, garde-robes, armoire à glace, bureaux, bicyclettes, montres or et rgnt, lessiveuses, casiers, comptoirs, fourneau de cuisine et grande quantité d’objets. — Au comptant 10 % en sus. MET à VENDRE 1 nscarf Excellente Chie Coker-Spanish petite taille jolie, 4 ans, Liencho avec taches feu Sadresser à M MAELGN, 47 r des Religieuses, Valognes. À LOUER po entrer en jouissance à St-Michel et Nël 1913 Une bonne ferme sté à Blaye (Clvds) nommée al Frm de la Comté contenant 53 hectares, très en cultivée, dont une partie en lo Pour tous renseignements, s'drssr M Lucien MARION, fermier actuel. À LOUER MÊM LIFE maison avec jardin devant, située à St-Lô, r du Mouton, n° 40, composée d : uA rez-de-chaussée : Cuisine vestibule, salle à manger et cellier; au 1er étage : 2 chambres dont une à sg d salon au 2 étage : 3 chambres, mansardes et grenier sr l tout. Cette on est occupée actuellement par M. Leneveu, employé à la Péce S’adresser chez M FOSSARD, 93, rue Haut-Torteron, à Saint-Lô. À LOUER pour St-Mchl 1913 UNE MAISON à sg de commerce sise Cherbourg, avenue Carnot, 179 sèpr l’église u Roule. Cette maison et s dépendances o océs actuellement par Al. POIGNANT épicière. Par s sttn et par ss agencements ctt o et e dépendances sont propres à tout genre de commerce. visiter, s'adresser sur place, à M. POIGNANT ; pour tous renseignements et rtta,ier s’adresser à M. GLOT, notaire à Sainte-Marie-du-Mont; (Téléphone numéro 2). td de M. leimE SINEL, Hssr à Saiô 5 bis, rue u Rempart VENTE d’Arbres et Baliveaux abattus u osbi ’hoAtmr-etmen,Hdya requêt de M. le Cmt de Kergorlay, a al vente de : 80 hseêcn ; 40 hêtres Et 80 baliveaux, essences de chênes, crsrs et bouleaux. La lpuartp des arbres sont très bx prprs au débit. Plusieurs lots de sapins. Enlèvement fcl, la coupe s trouvant sur le bord de l’ancienne out du Hommet à Tribehou. Crédit et Conditions |
usage de commerce sise à Cherbourg, avenue Carnot, 179 près l’église du Roule. Cette maison et ses dépendances sont occupées actuellement par Al. POIGNANT épicière. Par sa situation et par ses agencements cette maison et ses dépendances sont propres à tout genre de commerce. Pour visiter, s'adresser sur place, à M. POIGNANT ; pour tous renseignements et traiter, s’adresser à M. GLOT, notaire à Sainte-Marie-du-Mont; (Téléphone numéro 2). Etude de M. Emile SINEL, Huissier à Saint-Lô, 5 bis, rue du Rempart VENTE d’Arbres et Baliveaux abattus au bois Hommet-d’Arthenay, requête de M. le Comte de Kergorlay, a la vente de : 80 chênes ; 40 hêtres ; Et 80 baliveaux, essences de chênes, cerisiers et bouleaux. La plupart des arbres sont très beaux et propres au débit. Plusieurs lots de sapins. Enlèvement facile, la coupe se trouvant sur le bord de l’ancienne route du Hommet à Tribehou. Crédit et Conditions ordinaires. Etude de M. LE CHEVREL, notaire à Chapelle-Enguínon. Domaine de Montfort BANNE de très beaux Herbages à Alcuit (près St-Lô) quartiers de Montfort et de La Sansonnerie (réunion à Montfort près le vieux château) Le mardi 4 mars 1913, à midi précis, M. LE CHEVREL, procédera à la location aux enchères par lots de divers herbages à dépouiller, dépendant du domaine de Montfort, sur une contenance d’environ 80 hectares, comprenant des grandes, des moyennes et des petites pièces Fonds de toute 4 re qualité Bonnes clôtures. — Exploitation on ne peut plus facile le domaine de Montfort se trouvant sur le bord du chemin vicinal. Crédit sera accordé. Conditions ordinaires. Etude de M. LE CHEVREL, notaire à La Chapelle-Enguínon Hommage de Montfort BANNE de très beaux Herbages à Remilly-sur-Lozon quartier de Montfort (réunion sur la grande pièce du Sud, contre la rue aux Juifs, près le bourg) requête de M. de Saint-Pierre Le mardi 11 mars 1913, à 1 heure précise du soir, M. LE CHEVREL, procédera à la location aux enchères par lots de divers herbages à dépouiller dépendant du domaine de Montfort, contenant ensemble environ 80 hectares comprenant des grandes, des moyennes et des petites pièces. Fonds | usage de commerce ss à Cherbourg, avenue Carnot, 179 près l’église du Roule. Cette maison et ses dépendances sont occupées actuellement par Al. POIGNANT épicière. Par a situation t par ses agencements cette maison et ses dépendances snt propres à tout genre de cmmrc. Pour visiter, s'adresser sur place, à M. POIGNANT ; pour tous renseignements e traiter, s’adresser à M. GLOT, entaoir à Sainte-Marie-du-Mont; (Téléphone numéro 2). Etude de M. Emile SINEL, Huissier à Saint-Lô, 5 bi, rue du mpar VENTE d’Arbres Baliveaux abattus au bois Hommet-d’Arthenay, requête de M. le Comte de Kergorlay, a la vente de : 80 chênes ; 40 hêtres ; Et 80 baliveaux, ssncs de chênes, cerisiers et bouleaux. La plupart des arbres sont très beaux t p au débit. Plusieurs lots de sapins. Enlèvement facile, la coupe se trouvant sur le bd de ’ancienne route du Hommet à Tribehou. Crédit et Conditions ordinaires. Etude de M LE CHEVREL, notaire à Chapelle-Enguínon. Domaine de Montfort BANNE de très beaux Herbages à Alcuit (près St-Lô) quartiers d Montfort et ed La Sansonnerie (réunion à Montfort près le vieux château) Le mardi 4 mars 1913, à md précis, M. LE CHEVREL, procédera à la location aux hcèreens par lots de divers herbages à dépouiller dépendant d domaine de Montfort, sur une contenance denviron 80 hectares, comprenant des grandes, des moyennes et petites pièces Fonds de toute 4 r qlté Bonnes clôtures. — xotinlipEato on ne peut plus facile le domaine de Montfort se trouvant sur le rd du vicinal. Crédit sera accordé. Conditions ordinaires. Etude de . LE CHEVREL, notaire La Chapelle-Enguínon Hommage de Montfort BANNE de très beaux Herbages à Remilly-sur-Lozon qrtr Montfort (rénn sur la grande pièce du Sud, contre la rue aux Juifs, près le r) requête de M. de Saint-Pierre Le mardi 11 mars 1913, à heure précise du soir, M. LE CHEVREL, procédera à la location aux enchères par lots d divers herbages à dépllr dépndnt du domaine de Montfort contenant ensemble environ 80 hectares comprenant des grandes, des moyennes et petites pièces. Fonds |
aux enchères par lots de divers herbages à dépouiller, dépendant du domaine de Montfort, sur une contenance d’environ 80 hectares, comprenant des grandes, des moyennes et des petites pièces Fonds de toute 4 re qualité Bonnes clôtures. — Exploitation on ne peut plus facile le domaine de Montfort se trouvant sur le bord du chemin vicinal. Crédit sera accordé. Conditions ordinaires. Etude de M. LE CHEVREL, notaire à La Chapelle-Enguínon Hommage de Montfort BANNE de très beaux Herbages à Remilly-sur-Lozon quartier de Montfort (réunion sur la grande pièce du Sud, contre la rue aux Juifs, près le bourg) requête de M. de Saint-Pierre Le mardi 11 mars 1913, à 1 heure précise du soir, M. LE CHEVREL, procédera à la location aux enchères par lots de divers herbages à dépouiller dépendant du domaine de Montfort, contenant ensemble environ 80 hectares comprenant des grandes, des moyennes et des petites pièces. Fonds de toute 4 re qualité Bonnes clôtures. — Exploitation on ne peut plus facile, le domaine de Montfort se trouvant sur le bord du chemin vicinal Crédit sera accordé. — Conditions ordinaires. Etude de M. LE CHEVREL, Notaire à La Chapelle-Enguínon. À LOUER Plusieurs Jardins route de Carentan, à Saint-Lô S’adresser Mme veuve LELIEVRE, rue Torteron, 89, Saint-Lô. À LOUER pour le 25 mars UNE MAISON située rue des Éaquettes, n° 30 actuellement occupée par M. le lieutenant Perès, composée de huit pièces avec cave, caveau et grenier jardin et cabinets d’aisances, droit au lavoir. S’adresser à M. VITARD, marbrier, rue Torteron, Saint-Lô. À CÉDER de suite dans la Manche Bonnes references d’Huissier seule au canton sur une voie ferrée s'adresser au bureau du Journal. À LOUER la bonne Minoterie de Cérences sise à côté des gares de Cérences sur la forte rivière La Sienne Mécanisme à cylindres, système Rose à l’occasion la minoterie et la filature y attenant. S’adresser à M. LE RICQUER, agent d’affaires à Coutances. BANNE très beaux Etude de M. Emile SINEL, Huissier à Saint-Lô, 5 bis, rue du Rempart VENTE DE MEUBLES ET BELLE ANCIENNE par suite de cessation de commerce et de départ à | aux enchères par lots de divers herbages à dépouiller, dépendant du domaine de Montfort, sur une contenance d’environ 80 hectares, comprenant des grandes, des moyennes et des ees pièces Fonds de toute 4 re qualité Bnns clôtures. — Exploitation on ne pt plus facile el domaine de Montfort se trouvant sur le bord du chmn vicinal. Crédit sera accordé Conditions ordinaires. Etude de M. LE CHEVREL, notaire La Chapelle-Enguínon Hommage de Montfort BN de très beaux Herbages à Remilly-sur-Lozon quartier de Montfort (réunion sr la grande pièce du Sud, contre la u aux Juifs, rè le brg) requête de . ed Saint-Pierre Le mardi 11 mars 1913, à 1 reeuh précise du soir, M. L CHEVREL, procédera à l lctio aux enchères par lots de divers herbages à dépouiller épena du domaine de Montfort contenant ensemble environ 80 hectares comprenant d grnds, des moyennes te des petites pièces. Fonds de toute 4 re qualité Bonnes côre. — xplttn on ne peut plus fcl, le dmn d Montfort se trouvant sur el brd du chemin vicinal Cét sera accordé. — Conditions ordinaires. tud de LE CHEVREL, Notaire à La ChapelleEnguínon À LR uusePlris Jardins route de Carentan, à SaintLô ’adresser Mme veuve LELIEVRE, rue Torteron, 89 Saint-Lô. À LOUER pour el 25 mars MAISON située rue des Éaquettes, ° 30 actuellement occupée ar M. le lieutenant Perès, composée de huit pièces avec cave, caveau et grenier jardin et cbnts d’aisances, drt au lavoir. S’drssr à M. VITARD, mrbrr, rue Torteron Saint-Lô. CÉDER de suite dans la cnMhae Bonnes nsferecree d’Huissier seule au canton sur n v ferrée 'adresser au bureau du Journal. À LOUER la bonne Minoterie de Cérences sise à côté des gares de Cérences sur la forte rivière Sienne Mécanisme à cylindres, système Rose l’occasion la minoterie et la filature y attenant S’drssr M. LE RICQUER, agent d’affaires à uas BANNE très bea Etude de M. Emile SINEL, Huissier à Saint-Lô, 5 i,sb rue du Rempart VENTE DE MEUBLES ET BELLE ANCIENNE par suite de cessation de rc et de départ à |
S’adresser Mme veuve LELIEVRE, rue Torteron, 89, Saint-Lô. À LOUER pour le 25 mars UNE MAISON située rue des Éaquettes, n° 30 actuellement occupée par M. le lieutenant Perès, composée de huit pièces avec cave, caveau et grenier jardin et cabinets d’aisances, droit au lavoir. S’adresser à M. VITARD, marbrier, rue Torteron, Saint-Lô. À CÉDER de suite dans la Manche Bonnes references d’Huissier seule au canton sur une voie ferrée s'adresser au bureau du Journal. À LOUER la bonne Minoterie de Cérences sise à côté des gares de Cérences sur la forte rivière La Sienne Mécanisme à cylindres, système Rose à l’occasion la minoterie et la filature y attenant. S’adresser à M. LE RICQUER, agent d’affaires à Coutances. BANNE très beaux Etude de M. Emile SINEL, Huissier à Saint-Lô, 5 bis, rue du Rempart VENTE DE MEUBLES ET BELLE ANCIENNE par suite de cessation de commerce et de départ à Pont-Hélecq, au bourg Pour extrait, Signé L. JOUANNE. Etude de M. GASTON, Notaire à Cerisy-la-Forêt Successeur de M. Sébire ADJUDICATION à Cerisy-la-Forêt, en l’étude de M. Gaston, le Mercredi 5 Mars, à 2 heures, requête de M. Desmoulins, des Immeubles sis à Cerisy-la-Forêt et Bayeux. Sur Cerisy-la-Forêt 1° Une maison d’habitation avec cour et jardin légumier, actuellement louée à M. Marie, cordonnier, sise à l’entrée du bourg ; 2° Un petit pré sis quartier du Pont-Caudel, contenant 40 ares 20 centiares ; 3° Un herbage planté situé quartier du Mesnil, contenant 65 ares. Sur Bayeux 4° Un herbage planté, situé quartier des Landes-Patry, contenant environ 70 ares. À Cerisy-la-Forêt, près l’église, le dimanche 9 mars, à 8 heures, requête de Mademoiselle Yvon, de 15 ormes, 1 frêne, 1 gros noyer. — Enlèvement très facile. À Cerisy-la-Forêt, aux Halles, le mercredi 12 mars, à midi : une carriole bâchée, une carriole avec cercles, une petite voiture anglaise, une charrette de fèves. Argent comparé. M. SINEL, huissier à Saint-Lô, procédera le Dimanche 9 Mars 1941, à 2 heures précises après-midi, à Pont-Brocard au bourg, près l’Église, requête de M. Pierre Lecolitey, aubergiste au dit lieu, à la vente de : Une table | S’adresser Mm veuve LELIEVRE, rue Torteron, 89, in- À LOUER pour le 25 mars UNE MAISON située rue des Éaquettes, n° 30 actuellement occupée par M. le lieutenant Perès, composée de huit pièces avec cv, caveau et grenier jardin et cabinets d’aisances, drtoi au lavoir. S’adresser à M. VITARD, marbrier rue Torteron, SaintLô À CÉDER de suite dans la Manche Bonnes references d’Huissier seule au cton sru une ioev ferrée s'adresser au bureau du Journal. À LOUER la bonne Minoterie d Cérences sise à côté des gares de Cérncs sur la forte rvèr L Sienne Mécanisme à cylindres, système Rose à l’occasion la mnot t al filature y attenant. S’adresser à M. EL RCQR agent d’affaires à Coutances. BANNE très x Etude de Emile SINEL, Huissier à Snt-Lô, 5 bis rue du Rempart VENTE DE MEUBLES ET BELLE ANCIENNE pr suite de cessation de commerce et de départ à Pont-Hélecq, bourg Pour a, Sgné L. JOUANNE. td de GASTON, Notaire à Cerisy-la-Forêt Successeur de M. Sébire ACINIADUJOTD à Crsy-l-Frêt, en l’étude de M. Gaston, le Mercredi 5 Mars, à 2 ruhees, requête de M. Desmoulins, des Immeubles ssi à C-oê et Bayeux. Sur Cerisy-la-Forêt 1° ne maison haii avec cour et ardi légumier, actuellement louée à M Marie cordonnier, ss à l’entrée du bourg ; 2° Un petit pré sis quartier du Pont-Caudel, contenant 40 esar 20 centiares ; °3 Un herbage planté situé quartier du Msnl, otcenantn 65 ares. Sur Bayeux 4° n herbage planté, situé quartier des LadPary, otennt environ 70 ares. À Cerisy-la-Forêt, près l’église, le dimanche 9 mars, à 8 heures, requête de Mademoiselle Yvon, de 15 ormes, 1 frêne, 1 gros noyer. — Enlèvement très facile À Cril-Foêt aux Halles, le mercredi 12 mars, à midi : une carriole bâchée, une carriole avec cercles, une petite voiture anglaise, une charrette de fèves. Argent comparé. M. SIL siehuirs à Saint-Lô, procédera le acenhmiD 9 Mars 1941, à 2 heures précises près-md, à Pont-Brocard au bourg, près ’Église, requête d . Pierre Lecolitey, aubergiste au dit lieu, à la vente de : Une table |
d’habitation avec cour et jardin légumier, actuellement louée à M. Marie, cordonnier, sise à l’entrée du bourg ; 2° Un petit pré sis quartier du Pont-Caudel, contenant 40 ares 20 centiares ; 3° Un herbage planté situé quartier du Mesnil, contenant 65 ares. Sur Bayeux 4° Un herbage planté, situé quartier des Landes-Patry, contenant environ 70 ares. À Cerisy-la-Forêt, près l’église, le dimanche 9 mars, à 8 heures, requête de Mademoiselle Yvon, de 15 ormes, 1 frêne, 1 gros noyer. — Enlèvement très facile. À Cerisy-la-Forêt, aux Halles, le mercredi 12 mars, à midi : une carriole bâchée, une carriole avec cercles, une petite voiture anglaise, une charrette de fèves. Argent comparé. M. SINEL, huissier à Saint-Lô, procédera le Dimanche 9 Mars 1941, à 2 heures précises après-midi, à Pont-Brocard au bourg, près l’Église, requête de M. Pierre Lecolitey, aubergiste au dit lieu, à la vente de : Une table de cuisine, 3 petites tables de café, grand fourneau de cuisine, une commode, 2 vaisseliers, un comptoir, armoire en chêne, couche en chêne avec paillasse, 12 tanourets de calage, étagère d’angle, 1 établi avec valet de terre. 2 foudres neufs avec leur support, contenant l’un 160 litres et l'autre 124 litres, bouteilles à cidre, petites bouteilles à eau-de-vie, quantité de bouteilles à vin, mesures en étain, cafetières, verseuses, plusieurs barriques, casier à bouteilles, un bahut. Brûloir à café, moulin à café, moulin à poivre, 2 paires de balances ? 2 timbales, une bascule, grande marmite à graisse, petite crèmeuse « Excelsior » neuve, baratte tournante, van à main, mesure à grain. Quantité de bois débité, chêne et orme, un tas de fumier, vis de pressoir en fonte, branchards de banneaux. Une carriole sur ressorts neuve, un banneau monté, un charil sans roues, équipages de limon et de carriole complets traits et paroles, 2 auges en granit, 2 échelles, 10 stères de bois de chauffage, 1.000 bottes de foin parfaitement récolté. Et quantité d’autres objets. Une superbe vache âgée de 6 ans, fraîche vouée. Une belle génisse d’un an. Un veau de lait. Crédit de 3 mois pour les articles au-dessus | d’habitation ceva cour t jardin rleuig,ém actuellement louée M. Marie, cordonnier, ss à l’ntré du bourg ; 2 Un petit pré sis quartier du Pont-Caudel, cntnnt 40 ares 20 cte ; 3° Un herbage planté situé quartier du Mesnil contenant 65 ares. Sr Bayeux 4° Un herbage planté, situé qtir ds Landes-Patry, contenant environ 70 ares. À Cerisy-la-Forêt, sèrp l’gle, le dimanche mars, à 8 heures, requête de Mademoiselle von d 15 ormes, 1 frêne, 1 gros noyer. — Enlèvement très facile. À Cerisy-la-Forêt, aux ales, le mercredi 12 mars, midi : une carriole bâchée, une carriole avec cercles, une petite voiture anglaise, une charrette de fèves. Argent comparé M. SNL, huissier à Saint-Lô, procédera le Dimanche 9 Mars 1941, à 2 heures précises après-midi, Pont-Brocard au our près l’Église, requête de M. Pierre Lclty, agte au dit lieu, à la vente d : Une table de cuisine, 3 petites tae de café, grand frn de cuisine, une commode, 2 aisele, un coor, armoire en chêne, e en chêne avec paillasse, 12 tanourets de calage, étagère d’angle, 1 établi avec valet de trr. 2 fous neufs avec leur p contenant l’un 016 ltrs et l'autre 124 litres, oees à cdr, tites bouteilles à eau-de-vie, quantité de oueis vin, murs en étain, cafetières, verseuses, luier barriques, casier à bouteilles, un bahut. ûrBilro à café, moulin à f, mln à poivre, 2 rs de balances ? 2 timbales, une bascule, grande marmite à graisse, petite srecèemu « Excelsior » nv, baratte tournante, van à main mesure à grain Quantité de bois débité chêne te orme un tas de fumier, vs de pressoir en fonte, banhrd de banneaux. Une carriole sur ressorts nv, un banneau monté, un l snas roues, équipages de limon et de carriole complets tras et paroles, 2 gs en granit, 2 échelles, 10 stsère de bois de chauffage, 1.000 bottes de foin pateent réclté. Et quantité d’autres objets. Une superbe vache égeâ de 6 ans, fraîche vouée. Une belle génisse ’un an. U veau de lait. Crédit de 3 mois pour les articles au-dessus |
litres, bouteilles à cidre, petites bouteilles à eau-de-vie, quantité de bouteilles à vin, mesures en étain, cafetières, verseuses, plusieurs barriques, casier à bouteilles, un bahut. Brûloir à café, moulin à café, moulin à poivre, 2 paires de balances ? 2 timbales, une bascule, grande marmite à graisse, petite crèmeuse « Excelsior » neuve, baratte tournante, van à main, mesure à grain. Quantité de bois débité, chêne et orme, un tas de fumier, vis de pressoir en fonte, branchards de banneaux. Une carriole sur ressorts neuve, un banneau monté, un charil sans roues, équipages de limon et de carriole complets traits et paroles, 2 auges en granit, 2 échelles, 10 stères de bois de chauffage, 1.000 bottes de foin parfaitement récolté. Et quantité d’autres objets. Une superbe vache âgée de 6 ans, fraîche vouée. Une belle génisse d’un an. Un veau de lait. Crédit de 3 mois pour les articles au-dessus de 20 francs. Conditions ordinaires. Herbages à Hilenilly, quartier du Clos-Vaultier, près le bourg, requête de M. Barbey Le jeudi 13 mars 1941, à 2 heures du soir, M. LE CHEVREL procédera à la location aux enchères, par lots, de plusieurs herbages à dépourvoir contenant ensemble environ douze hectares. Fonds de première qualité. Bonnes clôtures. — Exploitation très facile. Crédit sera accordé. — Conditions ordinaires. Étude de M. LE CHEVREL, notaire à La Chapelle-en-Juger. À LOUER de suite des très beaux herbages à Eliouilly, lieu dit Les Landes. Le dimanche 16 mars 1941, à 2 heures du soir, M. LE CHEVREL procédera à la location aux enchères par lots, de divers herbages à dépourvoir, dépendant de la propriété des Landes, sur une contenance d’environ 10 hectares. Fonds de 1ère qualité. — Bons abreuvoirs et bonnes clôtures. Crédit sera accordé. — Conditions ordinaires. À LOUER pour Saint-Michel 1941 la ferme dite Si Manoir de losq située à Molay (canton de La Haye-du-Puits) contenant totale : 50 hectares. Exploitation d’un seul tenant. Conditions avantageuses. S’adresser : pour visiter, à Mme veuve Charles TRAYNOR, fermière; et, pour traiter, à M. Léon TISON, régisseur de propriétés à Valognes. À VENDRE ou à LOUER dès | litres, bouteilles à cidre petites bouteilles à eau-de-vie, quantité de bouteilles à vin, sues en étain, ceières e,uresssev plusieurs barriques casier bouteilles, un bahut. Brûloir à é,fca u à café, moulin à poivre, 2 paires de balances ? 2 timbales, une bascule, grande marmite à graisse, petite crèmeuse « Excelsior » nv, brtt tournante, n à an mesure à grn. Quantité de bs débté, chêne et orme, un tas de fumier, vis de pressoir en fonte, branchards de banneaux. Une carriole sur rsot nv, un anau notm,é un charil ans ,oesur équipages de limon et de carriole cmlts traits et paroles, 2 auges en grnt, échelles, 1 stères de bois de chauffage, 1.000 bottes de fn parfaitement récolté. Et anité ’autres ob. Une superbe vache âgée d 6 ans, fraîche vouée. Une bll génss d’un n. Un veau de lait. Crédit d 3 oi pour les articles au-dessus de 20 francs. Cndtns ordinaires. Herbages à Hilenilly, quartier du Clos-Vaultier, près le bourg, requête de M. Barbey Le jeudi 13 mars 1941, à 2 heures du sr, M. LE CHEVREL procédera à la location aux enchères, par lots de plusieurs hrbgs à dépourvoir contenant ensemble environ douze s.eerhcta Fonds de première qualité. Bonnes clôtures. — Exploitation très facile Crédit sera dcac.oér — Conditions ordinaires. Étude de .M LE CHEVREL, notaire à La ChapelleenJuger À LR de suite des très beaux eseahrgb Eliouilly, lieu dit Les Landes. Le dimanche 16 mars 1941, à 2 heures du soir, M. LE CHEVREL procédera à l location uax nchèrs par lots, de divers herbages à dépourvoir, épet de la propriété des Landes, sur n contenance dnon 10 hectares. Fnds de 1ère qualité. Bons abreuvoirs et bonnes clôtures. Crédit sera accordé. — Conditions oinr À LR pour Saint-Michel 1941 al ferme dite iS Manoir de losq située à Molay (canton de La Haye-du-Puits) contenant totale : 50 hectares. Exploitation d’un seul tnnt. oios vaeses. S’adresser : pour visiter, à Mme ve Charles TYOR fermière; et, pour traiter, à M. Léon TSN, régisseur de prprétés g.aslVeno À VENDRE ou à LOUER d |
de première qualité. Bonnes clôtures. — Exploitation très facile. Crédit sera accordé. — Conditions ordinaires. Étude de M. LE CHEVREL, notaire à La Chapelle-en-Juger. À LOUER de suite des très beaux herbages à Eliouilly, lieu dit Les Landes. Le dimanche 16 mars 1941, à 2 heures du soir, M. LE CHEVREL procédera à la location aux enchères par lots, de divers herbages à dépourvoir, dépendant de la propriété des Landes, sur une contenance d’environ 10 hectares. Fonds de 1ère qualité. — Bons abreuvoirs et bonnes clôtures. Crédit sera accordé. — Conditions ordinaires. À LOUER pour Saint-Michel 1941 la ferme dite Si Manoir de losq située à Molay (canton de La Haye-du-Puits) contenant totale : 50 hectares. Exploitation d’un seul tenant. Conditions avantageuses. S’adresser : pour visiter, à Mme veuve Charles TRAYNOR, fermière; et, pour traiter, à M. Léon TISON, régisseur de propriétés à Valognes. À VENDRE ou à LOUER dès maintenant et divers Appartements sis à Saint-Lô, rue Saint-Thomas, près le théâtre. Pour traiter s’adresser à Saint-Lô, 4, rue Bellevue, chez M. Beaudot. VIN À VENDRE ou À LOUER dans l’aviron pour entrer en jouissance de suite La belle Propriété de La Flouchterie sis proche la gare de La Haye-Pesnel, consistant en maison de maître, neuve, parfaitement aménagée, communs, jardin anglais planté de beaux arbres, jardins à plant et à légumes, herbages de première qualité, bâtiments d’exploitation, le tout d’un seul tenant, contenant environ 5 hectares. Cette propriété d’agrément et de produit convient également à tout genre de commerce de gros et demi-gros. Prix : Location 1800 fr, et les impôts en sus. Tente de visite. S’entretenir avec M° ROBIN, notaire à La Haye-Pesnel. ROUGE NATUREL 1 m. 6 barrique de 220 litres. Prix, le fût, régie et tout compris. Echantillon gratuit. Jules CAUVET, propriétaire, Château Sainte-Cécile par Narbonne (Aude). À VENDRE Bottin complet 1940 et 2 années de l’ILLUSTRATION. S’adresser au Bureau du Journal. Constructions à Son MÔNTEUR de réputation. La Société d’Épargne des Retraites est fondée en 1940, construit chaque année plus de trois cents maisons payables en vingt années moyennant simple prix d’un loyer ordinaire. ON DEMANDE | de première qualité. Bonnes clôtures. — Exploitation très fcl. Crédit sera accordé — Conditions ordinaires. tu de M. LE CHEVREL, notaire à La Chapelle-en-Juger. À LOUER de suite des très beaux herbages à Eliouilly, lieu dt Les Landes. Le dimanche 16 mars 1941, à 2 heures du soir, M. LE CHEVREL procédera à la location aux ncs par lots, de divers heagsber à dépourvoir, dépendant de la propriété sed Landes, sur une contenance d’environ 10 hectares. Fonds de 1ère qualité. — Bns abreuvoirs et bonnes clôtures Crédit sera accordé. — Conditions rdnrs. LOUER pour Saint-Michel 1941 la ferme dite i inoMra de lsq sté à Molay (canton de La Haye-du-Puits) contenant totale : 50 hectares. Exploitation ’un seul tenant. niins avantageuses. S’adresser : pour visiter, à me veuve Charles TRAYNOR, fermière; et, pour traiter, à M. Léon TISON, régisseur de propriétés à Valognes. VENDRE ou à LOUER dès maintenant et divers Appartements sis à SaintLô rue SaintThomas près le théâtre. Pour traiter s’adresser à Saint-Lô, 4, rue Bellevue, chez M. Beaudot. VIN À VENDRE ou À LOUER dans l’aviron pour entrer en jouissance de suite La belle Propriété de La Flouchterie sis oc la gare de L Haye-Pesnel, antcsinsot en maison e maître, nv, parfaitement aménagée, communs, jardin anglais planté d beaux arbres, jardins plant et légumes, herbages de première qlté, bâtiments d’xplttn, le tout d’un seul tenant, contenant environ 5 hectares Cette propriété d’agrément et de produit convient également tt genre d commerce de gros et demi-gros. Prix : Location 1800 fr, et les impôts en sus. Tente de tvsi.ei S’entretenir evac M° ROBIN, notaire La Hy-Psnl. ROUGE NATUREL 1 m. barrique de 220 litres. Prix, le fût, régie et tout o. Echantillon gratuit. Jules CVT, propriétaire, ehCatâu Sainte-Cécile par Narbonne (Aude). À VENDRE Bottin cmplt 1940 et 2 années de l’ILLUSTRATION. S’adresser au Bureau du Journal. ossroctntuCni à Son MÔNTEUR de réputation. La Société dÉparne de Retraites est fondée en ,9410 construit aque année plus de trois cents msns payables en givtn années moyennant s prx d’un loyer ordinaire. ON DEMANDE |
consistant en maison de maître, neuve, parfaitement aménagée, communs, jardin anglais planté de beaux arbres, jardins à plant et à légumes, herbages de première qualité, bâtiments d’exploitation, le tout d’un seul tenant, contenant environ 5 hectares. Cette propriété d’agrément et de produit convient également à tout genre de commerce de gros et demi-gros. Prix : Location 1800 fr, et les impôts en sus. Tente de visite. S’entretenir avec M° ROBIN, notaire à La Haye-Pesnel. ROUGE NATUREL 1 m. 6 barrique de 220 litres. Prix, le fût, régie et tout compris. Echantillon gratuit. Jules CAUVET, propriétaire, Château Sainte-Cécile par Narbonne (Aude). À VENDRE Bottin complet 1940 et 2 années de l’ILLUSTRATION. S’adresser au Bureau du Journal. Constructions à Son MÔNTEUR de réputation. La Société d’Épargne des Retraites est fondée en 1940, construit chaque année plus de trois cents maisons payables en vingt années moyennant simple prix d’un loyer ordinaire. ON DEMANDE des agents sérieux et actifs. Renseignements et notices remis gratuitement par M. LECOUTIER, inspecteur, 28, route de Carentan. S. Coffres-Forts Flecht Pont d’Eau pour Bâtiments Panneaux de Portes Essence pour autos. QUINCAILLERIE Sellerie et Crépins en gros Huiles Minérales et Huiles de Graisse pour Crémerie 95, rue Torteron MAISON de CONFIANCE ne vendant que des articles de qualité supérieure et possédant un immense assortiment d’Articles de Bâtiment et de Ménage, de Chauffage et d’Éclairage, d’Outillage pour Menuisiers, Charpentiers, Serruriers, Plâtriers, Maçons, Carriers, etc. Choix incomparable d’Outils pour la Cuisine, Vêpres, Tôles ondulées pour Couvertures. Toiles et Cerceaux pour Bâches. Tous les Outils sont garantis et remplacés lorsqu'ils sont défectueux. En payant comptant réclamez votre ticket il vous donnera droit à 3 % d’escompte. ON DEMANDE 20 à 30 pots de Lait par jour et à l’aune. S’adresser, 40, rue du Neufbourg, chez M. BROUHARD. Demandes et Offres Avis important. Il n’est répondu, pour les annonces suivies de la mention S'adresser au Bureau du Journal, qu’aux lettres renfermant un timbre de 10 centimes. M. ORIÀ, notaire à Saint-Lô, veut un petit clerc. M. Michel Lepieux de menuiserie à Carentan, demande de suite de bons ouvriers menuisiers. Travail assuré à l’année. Bons | consistant n maison de maître, neuve, parfaitement aménagée, communs, jardin angi planté de beaux arbres, jardins à plant et à légumes, herbages de première qualité, bâtiments d’exlitt, le tout d’un seul tenant, contenant nvrn 5 hectares. Cette propriété d’agrément t de produit convient également à tout genre de commerce de gros et demi-gros. Prix : Location 1800 fr, et les impôts en sus. Tnt de visite. S’entretenir avec M° ROBIN, notaire à La Haye-Pesnel. ROUGE NATUREL 1 m. 6 barrique de 220 litres. Prx, le fût, régie et tout compris. Echantillon gratuit. Jules CAUVET, prprétr, hâteaCu Sainte-Cécile par Narbonne (Aude). À VR Bottin complet 1940 et 2 années de LSTAT S’adresser Bureau du Journal. Constructions à Son MÔNTEUR de répttn. La Société d’Épargne des Retraites est fondée en 1940, onsuit chaque année plus de trois cents maisons pabes n vingt années moyennant simple prix d’un loyer ordinaire. ON DEMANE des agents sérieux et ctfs. Renseignements et notices remis gratuitement par M. LECOUTIER, nspctr, 28, rt de aretn .S Coffres-Forts Flecht Pont d’Eau pour Bâtmnts Pnnx de Portes Essence pour autos. QUINCAILLERIE Sellie et Crépins en gros Huiles Minérales t Huiles de Graisse pour Crémerie 95, rue Torteron MAISON de CONFIANCE ne vendant que des articles de qualité supérieure t possédant un immense assortiment d’Articles de Bâtiment et de Ménage, de Chauffage et d’Éclairage, d’Outillage ou euir Charpentiers, Serruriers, Plâtriers, Maçons, Carriers, etc. Choix ioae stli’udO pour la ui Vêpres, Tôles ondulées pour Couvertures. i et Cerceaux pour Bâches. Ts les Outi sont garantis et remplacés lrsq'ls sont défectueux. En payant comptant réclamez votre ticket il vous donnera rot à 3 % d’scmpt. ON DEMANDE 20 à 30 pots de i par jr et à l’aune. S’adresser, 40, rue du Neufbourg, chez M. BROUHARD. Dmnds te Offres vis important. Il n’est répondu, pour les annonces ue de la mention S'adresser au Bureau du Journal, qu’aux lettres eern un timbre d 10 centimes. M. RÀ, notaire à Saint-Lô, eu un petit clerc. M. che Lepieux de menuiserie à Carentan, demande de st de bons ouvriers menuisiers. Travail assuré à l’année. Bons |
CONFIANCE ne vendant que des articles de qualité supérieure et possédant un immense assortiment d’Articles de Bâtiment et de Ménage, de Chauffage et d’Éclairage, d’Outillage pour Menuisiers, Charpentiers, Serruriers, Plâtriers, Maçons, Carriers, etc. Choix incomparable d’Outils pour la Cuisine, Vêpres, Tôles ondulées pour Couvertures. Toiles et Cerceaux pour Bâches. Tous les Outils sont garantis et remplacés lorsqu'ils sont défectueux. En payant comptant réclamez votre ticket il vous donnera droit à 3 % d’escompte. ON DEMANDE 20 à 30 pots de Lait par jour et à l’aune. S’adresser, 40, rue du Neufbourg, chez M. BROUHARD. Demandes et Offres Avis important. Il n’est répondu, pour les annonces suivies de la mention S'adresser au Bureau du Journal, qu’aux lettres renfermant un timbre de 10 centimes. M. ORIÀ, notaire à Saint-Lô, veut un petit clerc. M. Michel Lepieux de menuiserie à Carentan, demande de suite de bons ouvriers menuisiers. Travail assuré à l’année. Bons appointements. ON DEMANDE M. lix ADAM, Saint-Lô. M. Joseph PITON, à l’Église, demande de suite un ouvrier charbonnier-soufreur. — Travail assuré. ON DEMANDE M. BRILLAUD, négociant, rue des Fourchemins, à Saint-Lô. M. DITZALON, demande de suite un bon ouvrier sachant faire le neuf et les réparations, aux pièces ou au mois; et un apprenti. Chaudières et nourriture. Travail assuré. Un menuisier à Canisy, veut deux bons ouvriers, logés et nourris. MZVR ON DEMANDE bien payé et assuré toute l’année. Écrire ou se présenter à La Belle Madeleine, Saint-Lo. MYZK est au courant des assurances, est demandé par M. Michel Blanchet, agent d’affaires, à Saint-Lo. MKMY M. Lebas, 10 et 12, rue Baquet-Torleron, demande représentation sérieuse pour le Nord et le Sud du département. ON DEMANDE blanchisseuse chez Mlle LENOIR, 20, rue Havin, Saint-Lo. MjTY GARÇON BOUCHER connaissant bien son métier demande place à tout faire dans une boucherie. S’adresser au bureau du Journal. MjTY M. HÉRIVERT bourrelier à Percy, demande un ouvrier sortant d’apprentissage ou ayant quelques années de métier. ON DEMANDE un ouvrier maréchal sérieux, connaissant bien la ferrure des chevaux et la voiture, pour prendre le fonds à son compte en arrivant. Cette forge est située à Gonfréville, | CONFIANCE ne vendant que des articles de qualité supérieure et possédant un esimmne assortiment d’Articles de Bâtiment et d Méng, de Chauffage et d’Éclairage, d’Outillage pr Menuisiers, Charpentiers, Srrrrs, Plâtriers, Maçons, Carriers, etc. Choix incomparable d’Outils pour la Cuisine, Vêpres, Tôles ondulées pour Cvrtrs. Toiles te Cerceaux pour Bâches. Tous les Outils sont rats et rmplcés lorsqu'ils sont défectueux. En payant comtat réclamez vtr ticket il vous donnera droit 3 % d’escompte. ON DEMANDE 20 à 30 s de Lait par ur et l’aune. S’adresser, 40, rue du Neufbourg, chez M. BROUHARD. Dns et Offres Avis important. l n’est répondu, pour les annonces suivies de la mention S'adresser au Bureau du Journal, u’a lettres renfermant un timbre de 10 centimes. M. ORIÀ, notaire à ta,-ôiLSn euvt un petit clerc. M. Michel Lepieux de menuiserie à Carentan, demande de st de bons ouvriers menuisiers. rai assuré l’année. Bons appointements. ON DEMANDE M. lix ADAM, LtnaôiS.- M. Joseph PITON, à l’Église, demande de suite un ouvrier charbonnier-soufreur. — Travail assuré. ON DEMANDE M. BRILLAUD, négociant, rue des Fourchemins à Saint-Lô. M. DITZALON, demande de suite un bon ouvrier sachant faire le neuf et les réparations, aux pècs ou au mois; et un apprenti. Chaudières et oiue. Travail assuré. Un menuisier à Canisy, veut deux bons ouvriers, logés et nourris. MZVR ON DEMANDE bien payé et assuré toute l’année. Écrire ou se présenter à L Belle Madeleine, Saint-Lo. YMZK st au courant des assurances est demandé par M. Michel Blanchet, agent d’affaires, à Saint-Lo. MKMY M. Lebas, 10 et 12, rue Baquet-Torleron, dmnd rprésnttn sérieuse pour Nord et le Sud du département. ON DEMANDE blanchisseuse chez Mlle LENOIR, 20, rue Havin, Saint-Lo. MjTY GARÇON BCHR iotanncsnsa bien son métier demande place à tout faire dans une boucherie. S’adresser au bureau du Journal. MjTY . HÉRIVERT bourrelier à Percy, demande n ouvrier srtnt d’apprentissage o ayant quelques années de métier. ON DEMANDE n ouvrier maréchal isu,éxre cnnssnt bien l ferrure des chevaux et la voiture, pour prendre le fonds à ons compte en arrivant Cette forge est située à Gonfréville, |
mois; et un apprenti. Chaudières et nourriture. Travail assuré. Un menuisier à Canisy, veut deux bons ouvriers, logés et nourris. MZVR ON DEMANDE bien payé et assuré toute l’année. Écrire ou se présenter à La Belle Madeleine, Saint-Lo. MYZK est au courant des assurances, est demandé par M. Michel Blanchet, agent d’affaires, à Saint-Lo. MKMY M. Lebas, 10 et 12, rue Baquet-Torleron, demande représentation sérieuse pour le Nord et le Sud du département. ON DEMANDE blanchisseuse chez Mlle LENOIR, 20, rue Havin, Saint-Lo. MjTY GARÇON BOUCHER connaissant bien son métier demande place à tout faire dans une boucherie. S’adresser au bureau du Journal. MjTY M. HÉRIVERT bourrelier à Percy, demande un ouvrier sortant d’apprentissage ou ayant quelques années de métier. ON DEMANDE un ouvrier maréchal sérieux, connaissant bien la ferrure des chevaux et la voiture, pour prendre le fonds à son compte en arrivant. Cette forge est située à Gonfréville, route de Valognes, contiguë à bon charron. Travail assuré. S’adresser à M. J. DIGNE, propriétaire. MKTC M. DUPONT à Saint-Lo, demande un apprenti, payé vingt francs par mois en débutant; et un manoeuvre, pour lavage et nettoyage des voitures. Bien payé. — Travail assuré. Tuileries Saint-Fromond, Aires, ON DEMANDE un charpentier mécanicien. — Travail assuré toute l'année. ON DEMANDE "la confiserie." Maison VER, 67, rue Torteron, à Saint-Lo. MjSC un cotonnier à Saint-Lo, demande un ouvrier logé et nourri. — Travail assuré. CLERK cycliste, au courant de la procédure et des encaissements est demandé de suite pour une étude en Normandie, au bord de la mer. S’adresser au bureau du Journal. M-EXM un commis épicière, ayant du métier, de 16 à 18 ans, pour faire livraisons en campagne. Références exigées. — On demande aussi un apprenti. S’adresser au bureau du Journal, MjPARDAIS. Appointements suivant capacité. ON DEMANDE une personne ayant d’un certain âge, pour faire le ménage d’une personne malade et traiter une vache. S’adresser chez M. Alexandre JOURDAN, à Saint-Fromond, par Airel. MKXR un jeune homme connaissant le jardinage. Bonnes références exigées. S’adresser à M. Grégoire DU DE, Saint-Martin-de-Cenilly. De suite pour propriété à la campagne un ménage l’homme | mois; et un apprenti. Chaudières et nourriture. Travail assuré. Un menuisier à Canisy, veut deux bons ouvriers, lgés nourris. MZVR ON DEMANDE bn payé et aréssu toute l’année. Écrire ou se présenter La Bll Madeleine, Saint-Lo. MYZK est au courant des assurances, est demandé par M. Michel Blanchet, agent d’affaires, à Saint-Lo. MKYM M. Lbs, 10 et 12, rue Baquet-Torleron, ded représentation sérieuse pour le Nord et le Sud du département. ON DEMANDE blanchisseuse chz Mlle LENOIR, 20, ure Havin, Saint-Lo. MjTY GARÇON BOUCHER cnnisant bien son métr dmnd place tout fr dans une boucherie. S’adresser au bureau du Journal. MjTY M. HÉRIET bourrelier à Percy, demande un ouvrier rtsaont d’apprentissage ou ayant quelques années métier. N DEMANDE un ouvrier maréchal sérieux, connaissant bien la ferrure de chevaux et la voiture, pour prendre le fonds à son compte en tiraa.vrn Cette forge est située ivfélGrneol, route de Valognes, contiguë à bon charron. Travail assuré Sadresser à M. J. DIGNE, propriétaire. MKTC M. DUPONT à Saint-Lo, demande un apprenti, payé vingt francs par mois en débutant et un manoeuvre pour lavage et nettoyage des vtrs. Bien payé. — Travail assuré lerie Saint-Fromond, Aires, ON DEMANDE un charpentier mécncn. — Travail assuré toute l'année. ON DEMANDE "la confiserie." Maison VER, 67, rue Torteron, à SaintLo MjSC un cotonnier à tia,SonL- mneaded un rer loé et nourri. — Travail assuré. CLERK cycliste, u courant d la procédure et des encaissements est demandé de suite pou une étd en Normandie, au bord de la mer. S’drssr bureau du Journal. M-EXM un commis épicière, ant du métier, 1 à 18 ans pr fr livraisons en campagne. Références exigées. — On demande aussi un apprenti. S’adresser bureau du Jrnl, MjPARDAIS. Appointements suivant capacité. ON DEMANDE une personne ayant ’un crtn âge, pour faire le ménage ’ne personne malade et trtr une vache Sadresser chez M. Alexandre JOURDAN, Saint-Fromond, par Airel. MKXR un jn homme connaissant le jardinage. Bonnes références exigées S’adresser à M. Grégoire DU DE, SaintMartindeCenilly suite pour prprété à la campagne un ménage l’homme |
charpentier mécanicien. — Travail assuré toute l'année. ON DEMANDE "la confiserie." Maison VER, 67, rue Torteron, à Saint-Lo. MjSC un cotonnier à Saint-Lo, demande un ouvrier logé et nourri. — Travail assuré. CLERK cycliste, au courant de la procédure et des encaissements est demandé de suite pour une étude en Normandie, au bord de la mer. S’adresser au bureau du Journal. M-EXM un commis épicière, ayant du métier, de 16 à 18 ans, pour faire livraisons en campagne. Références exigées. — On demande aussi un apprenti. S’adresser au bureau du Journal, MjPARDAIS. Appointements suivant capacité. ON DEMANDE une personne ayant d’un certain âge, pour faire le ménage d’une personne malade et traiter une vache. S’adresser chez M. Alexandre JOURDAN, à Saint-Fromond, par Airel. MKXR un jeune homme connaissant le jardinage. Bonnes références exigées. S’adresser à M. Grégoire DU DE, Saint-Martin-de-Cenilly. De suite pour propriété à la campagne un ménage l’homme pour s’occuper de culture et conduire un cheval, la femme pour la cuisine et le ménage. S’adresser au bureau du Journal, Exiger ce portrait MALADIES DE LA FEMME LE RETOUR D’AGE* Toutes les femmes connaissent les dangers qui les menacent à l’époque du RETOUR D’AGE. Les symptômes sont bien connus. C’est d’abord une sensation d’étouffement et de suffocation qui étreint la gorge, des bouffées de chaleur qui montent au visage pour faire place à une sueur froide sur tout le corps. Le ventre devient douloureux, les règles se renouvellent irrégulières ou trop abondantes et bientôt la femme la plus robuste se trouve affaiblie et exposée aux plus grands dangers. C’est alors qu’il faut sans plus tarder faire une cure avec la JUVENNE de l'Abbe SAINRY. Nous ne cesserons de répéter que toute femme qui atteint l’âge de 40 ans, même celle qui n’éprouve aucun malaise, doit faire usage de la JUVENNE de l'Abbe SAINRY à des intervalles réguliers, si elle veut éviter l’afflux subit du sang au cerveau, la congestion, l’attaque d’apoplexie, la rupture d’anévrisme et ce qui est plus encore, la mort subite. Qu’elle n'oublie pas que le sang qui n’a plus son cours habituel se portera de préférence | charpentier mécanicien. — Travail assuré 'année. ON DEMANDE "la confiserie." Maison VER, 67, rue Torteron, à Saint-Lo. MjSC un cotonnier à Saint-Lo, demande un ouvrier logé et nourri. — Travail asuré. CLERK cycliste, au courant de la procédure t des encaissements est dmndé de suite pour une étude en Normandie, au bord de la mer. S’adresser au bureau du Journal. M-XM un commis épicière ynt du métier, de 16 à 18 ans, pour faire livraisons en campagne. Références exigées. On demande aussi un apprenti. S’adresser au br du Journal, MjPARDAIS. Appointements suivant capacité. ON DEMANDE une poe ayant d’n certain âge pour faire le ménage d’une personne malade et traiter une vache. S’adresser chez M. Alexandre JRDN, Saint-Fromond, par Airel. MKXR un jeune homme cnnssnt le jardinage. Bonnes références xgés. S’adresser à M. Grégoire D DE, Saint-Martin-de-Cenilly. De suite pour étiorérpp à la campagne un ménage l’homme pour s’occuper de culture et conduire u cheval, l mme pour la cuisine et l ménage. S’adresser uu du Journal, Exiger ce portrait MALADIES LA FEMME EL ROUR D’AGE* Toutes les femmes connaissent le dangers qui les menacent à l’époque du RETOUR D’AGE. Les symptômes sont bien connus. C’est d’abord une snstn d’étffmnt et de ufcio qui étreint la gorge, des bouffées de chaleur qui montent au visage uopr eraif place à une sueur froide sur tout le corps. Le ventre devient douloureux, les règles se renouvellent irrégulières ou trop abondantes et tnebtôi la femme la plus robuste se trouve affaiblie et exposée aux plus grands dangers. C’est alors qu’il fat sans plus tarder faire une cure avec la JUVENNE de l'Abbe SAINRY. Nous ne cesserons de répéter que toute femme qui atteint l’âge de 4 ns, même celle qui p’vrneoéu aucun malaise, doit faire usage de la JUVENNE d l'bb SAINRY à des intervalles réglrs, si elle veut éviter l’afflux sbt u sang au cerveau, la congestion, l’attaque d’apoplexie, la rptr d’anévrisme et ce qui est lsup encore, la mort subite. Qu’elle n'oublie pas equ le sang qui n’ plus son cours habituel se portera de préférence |
C’est d’abord une sensation d’étouffement et de suffocation qui étreint la gorge, des bouffées de chaleur qui montent au visage pour faire place à une sueur froide sur tout le corps. Le ventre devient douloureux, les règles se renouvellent irrégulières ou trop abondantes et bientôt la femme la plus robuste se trouve affaiblie et exposée aux plus grands dangers. C’est alors qu’il faut sans plus tarder faire une cure avec la JUVENNE de l'Abbe SAINRY. Nous ne cesserons de répéter que toute femme qui atteint l’âge de 40 ans, même celle qui n’éprouve aucun malaise, doit faire usage de la JUVENNE de l'Abbe SAINRY à des intervalles réguliers, si elle veut éviter l’afflux subit du sang au cerveau, la congestion, l’attaque d’apoplexie, la rupture d’anévrisme et ce qui est plus encore, la mort subite. Qu’elle n'oublie pas que le sang qui n’a plus son cours habituel se portera de préférence aux parties les plus faibles et y développera les maladies les plus pénibles ; Tumeurs, Cancer, Métrite, Fibrome, Maux d’estomac, d’intestins, des Nerfs, etc. La JUVENNE de l'Abbe SAINRY se trouve dans toutes les Pharmacies. Le flacon 3 fr. 50, flacon 4 fr. 60, les 3 fl. 60 contiennent 10 grammes 30 fr. 50, adressé à Mag. DUMONTIER, pharmacien, 81, place de la Cathédrale, Rouen. (Notice et renseignements confidentiels gratuits). Bien exiger la Véritable Juvénisse de l'Abbe SAINRY car elle seule peut vous guérir Dépôts : à SAINT-LO : Pharmacie Henry, Ph 10 Galichère; TORIGNI Ph 13 Malassis ; à COUTANCES Ph 21 Hamel, Ph 24 Hue ; à VILLEDIEU, Ph 14 Chenez ; à PERIERS : Ph 12 Arnaud ; à St-JEAN-DE-DUE, ph 23 Hourline ; à MONTMARTIN-SUR-MER : Ph 22 David ; à BREHAL, Gaté; à LESSAY Ph 23 Vasselin ; à CARENTAN, Ph 24 Le Canu. TANNERIE CORROIERIE Usine à Vapeur Usine à Vapeur Équarrissage Autorisé MAISON FONDÉE EN 1845 Ch. LE BRUN, fils A LA HAYE-DU-PUITS La MAISON achète les animaux propres à l'équarrissage et en fait l’enlèvement immédiat à des prix défiant toute concurrence. Vente de Graisse animale pour le graissage des Harnais, les roues | C’e dabord une sensation d’étouffement et de suffocation qui étreint la grg, des bouffées de chaleur qui montent au visage pour faire place à une sr fide sur tout le corps. Le ventre devient dulurux, les règles se renouvellent irrégulières ou trop abondantes bientôt la femme la plus robuste se trouve affaiblie et exposée uax l grands dangers. C’est alors qu’il faut sans plus tarder une cure avec la JUVENNE de 'Abbe SAINRY. Ns n cesserons de répéter que toute femme qiu ttnt âg de 40 ans, même celle i ’éprouve aucun mls, dt faire sg de la JUVENNE de l'bb SAINRY à des ntrvlls réguliers, s ll veut éviter l’afflux subit du sang au cerveau, la oinsnegtoc, l’attaque d’apoplexie, la rptr d’anévrisme et ce qui est plus o,rnece la mort subite. Qu’elle n'oublie pas que le sang qui na plus nos crs habituel s portera de re aux parties les plus fbls et développera les maladies les plus pénibles ; Tmrs, Cancer, Métrt, Fibrome, Maux ’estomac, dintestins esd Nerfs etc. La JUVENNE d l'Abbe SNRY se trouve dans toutes les Pharmacies. Le laoncf 3 fr. 50, flacon 4 fr. 60, les 3 fl 60 contiennent 10 grammes 30 fr. 50, adressé à Mag. DUMONTIER, pharmacien, 81 plc de la Cathédrale, Rouen. (Notice et renseignements confidentiels gratuits). Bien exiger la Véritable Juvénisse l'bb SAINRY car elle seule peut vous guérir Dépôts : à SNT-L : Pharmacie Hnry, Ph 10 Galichère; TORIGNI Ph 13 Malassis ; à ACOCTSUNE Ph 21 He Ph 24 Hue ; à VILLEDIEU, hP 14 Chnz à PERIERS : h 12 Arnaud ; à St-JEAN-DE-DUE, ph 23 Hourline ; à MNTMRTN-SR-MR : Ph 22 David ; à BREHAL, Gaté; à LESSAY Ph 23 Vasselin ; à CARENTAN, Ph Le Canu. TANNERIE CORROIERIE Usine à Vap Usine à Vapeur rsuaisgÉreaq us MAISON FONDÉE EN 1845 Ch. L BRUN, fils A LA YE-UPU La MAISON achète les ima propres à l'équarrissage et en fait ’enlèvement mmédt à des prix défiant outet concurrence. Vente d Graisse animale pour le graissage des Harnais, les rs |
grammes 30 fr. 50, adressé à Mag. DUMONTIER, pharmacien, 81, place de la Cathédrale, Rouen. (Notice et renseignements confidentiels gratuits). Bien exiger la Véritable Juvénisse de l'Abbe SAINRY car elle seule peut vous guérir Dépôts : à SAINT-LO : Pharmacie Henry, Ph 10 Galichère; TORIGNI Ph 13 Malassis ; à COUTANCES Ph 21 Hamel, Ph 24 Hue ; à VILLEDIEU, Ph 14 Chenez ; à PERIERS : Ph 12 Arnaud ; à St-JEAN-DE-DUE, ph 23 Hourline ; à MONTMARTIN-SUR-MER : Ph 22 David ; à BREHAL, Gaté; à LESSAY Ph 23 Vasselin ; à CARENTAN, Ph 24 Le Canu. TANNERIE CORROIERIE Usine à Vapeur Usine à Vapeur Équarrissage Autorisé MAISON FONDÉE EN 1845 Ch. LE BRUN, fils A LA HAYE-DU-PUITS La MAISON achète les animaux propres à l'équarrissage et en fait l’enlèvement immédiat à des prix défiant toute concurrence. Vente de Graisse animale pour le graissage des Harnais, les roues de voitures, etc. — Prix : 1 franc le litre. r.-n—-i.aæao. IX Mjck Huile d’olive Vierge garantie pure 12 fr. 1 fr. de port jusqu’à 6 kilos ; Huiles de table extra douce 8 fr. Huile blanche pour friture 5 fr. 70. Franco domicile. Agents demandés, accepterai voyageur ayant clientèle, visitant toute la Normandie. — Henri FILHOL, ainé, à Salon (B.-d.-Rhône). M. LECOUCHIER Menuiserie à Couvains a l’honneur d'informer le public qu’il a, comme par le passé, deux étalons percherons bons pour la reproduction. MKSY On demande à Acheter une Librairie-Papeterie ou Commerce similaire S’adresser au bureau du Journal. CHARBONNEUR A VENDRE S’adresser à M. DEBREUIL. 28, rue des Ruelles, Saint-Lo. ‘TITANIA’ la reine des Graisseuses préférée de tous les cultivateurs. RENDEMENT 30 0/0 EN PLUS Livraison à l’essai. — Garantie deux ans Facilités de paiement Bon simple. — Nettoyage rapide et facile, — Tige suspendue Marche douce et régulière GRAISSAGE AUTOMATIQUE Reprise de toutes vieilles Graisseuses de toutes marques S’adresser à nos représentants : M. HÈVIN, quincaillerie, Saint-Lo. M. Ern. MOULIN, armurier, à Gavray. Compagnie TITANIA, Choisy (Seine), levure à Colette, Crêpes, Beignets et toutes Pâtes similaires Cette Levure remplace avantageusement les Œufs. En plus, une puissance absolue de | grmms 30 fr. 50 adressé à Mag. DUMONTIER pharmacien, 81, place de la Cathédrale, Rouen. (Notice et nsnemts confidentiels gratuits). Bien xgr la Véritable Juvénisse de l'Abbe SAINRY car elle sel peut uvos iérgru Dépôts : à SLIANO-T : hc Henry, Ph 10 Galichère; TORIGNI Ph 13 Malassis ; à NOSCUATCE Ph 21 alHm,e Ph 24 Hue ; à VILLEU Ph 14 Chenez ; à PEE : Ph 12 Arnaud ; St-JEAN-DE-DUE, ph 23 Hourline ; à MONTMARTIN-SUR-MER : Ph 22 David à BREHAL, Gaté; à LESSAY Ph 23 aseli ; à AR Ph 24 Le Canu. TANNERIE CORROIERIE n à Vapeur sn Vapeur Équarrissage Autorisé MAISON FNDÉ E 1845 Ch. EL BRUN, fils A A HAYE-DU-PUITS La MAISON achète lse animaux propres à l'équarrissage en t l’enlèvement iméa à des ix défiant toute concurrence. Vente de Graisse animale pour le graissage des Harnais, les rues de voitures, etc. Prix : franc le litre. r.-n—-i.aæao. IX Mjck Hl d’olive Vrg garantie ur 12 fr 1 fr. de prt jusqu’à 6 kilos ; Hls de table extra douce 8 fr. Huile blnch pour friture 5 fr. 70. Franco domicile. es demandés, cctea auvygroe ayant clientèle, visitant toute la Normade — Henri FILHOL, ainé, à Salon (B.-d.-Rhône). M. LCCHR Menuiserie à Cvns lhone d'informer le public qu’il a, comme pr le passé, deux étalons percherons bons pour la reproduction. MKSY On demande à Acheter une Librairie-Papeterie ou Commerce similaire S’adresser au bureau du Journal. CHARBONNEUR DREVNE S’drer à M. DEBREUIL. 28, rue des Ruelles, Saint-Lo. TITANIA la reine des Graisseuses préférée de tous les cultivateurs. RNDMNT 30 00 E PLUS Livraison l’essai. — Grnt deux ans Facilités de pmnt o simple. — Nettoyage rapide t facile, — Tige suspendue rce douce et rglière GRAISSAGE AUTOMATIQUE Reprise de toutes vieilles Graisseuses de es mu S’drssr à nos représentants : M. HÈVIN, quincaillerie, SaintLo M. Ern MOULIN, armurier, à Gavray. gempnoiCa TITANIA Choisy S,en)e(i levure à Cltt, Crêpes, Bgnts et toutes Pâtes similaires teCet Levure remplace avantageusement les Œfs. En plus, e puissance absolue de |
visitant toute la Normandie. — Henri FILHOL, ainé, à Salon (B.-d.-Rhône). M. LECOUCHIER Menuiserie à Couvains a l’honneur d'informer le public qu’il a, comme par le passé, deux étalons percherons bons pour la reproduction. MKSY On demande à Acheter une Librairie-Papeterie ou Commerce similaire S’adresser au bureau du Journal. CHARBONNEUR A VENDRE S’adresser à M. DEBREUIL. 28, rue des Ruelles, Saint-Lo. ‘TITANIA’ la reine des Graisseuses préférée de tous les cultivateurs. RENDEMENT 30 0/0 EN PLUS Livraison à l’essai. — Garantie deux ans Facilités de paiement Bon simple. — Nettoyage rapide et facile, — Tige suspendue Marche douce et régulière GRAISSAGE AUTOMATIQUE Reprise de toutes vieilles Graisseuses de toutes marques S’adresser à nos représentants : M. HÈVIN, quincaillerie, Saint-Lo. M. Ern. MOULIN, armurier, à Gavray. Compagnie TITANIA, Choisy (Seine), levure à Colette, Crêpes, Beignets et toutes Pâtes similaires Cette Levure remplace avantageusement les Œufs. En plus, une puissance absolue de ces produits alimentaires délicieux et faciles à digérer. — A Saint-Lo, pharmacie LEFVRE; épicerie VERNOUS at Dangy, épicier BURNEL. A Saint-Sever, ph. LEPAPE at LEPAPOT at VALLIX. — A Saint-Sauveur-Lendelin, ph. GAI at SALMON. — A Montsurvent, épicier LEMALLET. — A Molesville-le-Bingard, LE JOLIVET. À Avranches, chez HARVEY - A Champ-du-Houle LETOUILLY À Carantilly, GODEFROY - À Lominy, WHARTON. - À Biécuure, LEMOIN - À Livaroty, PINEAU. ÉQUARRISSAGE À LA HAYE-DU-PUITS ICYMI en 1868 SVIaison TREL Isidore DUBOST, Successeur Achat et Enlèvement chez soi des animaux percés en accidentés (Prix défiant toute concurrence) Télégraphier: DUBOST-TREL, équarrisseur, la Haye-du-Puits plus agréable des surgés thérapeutiques THE CHAMBARD Pris à demi-dose, ce thé assure la régularité de ses fonctions digestives, prévient la bile, les suites des maladies, Perte de l'appétit, Embarras stomac, Acrété du sang, etc... C'EST RIEL, LE PURE TISANE DE SOIE. GRANDS MAGASINS DU “BON ACCUEIL” À l'occasion de la Foire MI-CARÊME MÉMOIRES PÂTISSIERS DE BATEAUX GRAND CHOIX de LAINAGES et SOIERIES — CONFECTIONS HOMMES, DAMES et ENFANTS — STOCK ENORME de TOILES en tous Genres COTONNADES — TISSUS pour AMEUBLEMENTS — PELUCHES MEUBLES de BOIS fabriqués dans nos Ateliers — Travail très soigné Garantis à l’usage BIJOUTERIE — HORLOGERIE — | vstnt toute l Normandie. — Henri FILHOL, ainé, à Salon (B.-d.-Rhône). M. LCHIR Menuiserie à aosvuniC a lhonneur 'ine le public qu’il a, comme par le és,pas eux étalons percherons bons pour la reproduction. SKYM On dadneem à Acheter une Librairie-Papeterie Commerce similaire S’adresser au bureau du Jonl CHRBNNR A VENDRE Sadresser à M. DEBREUIL. 28, rue des Ruelles, Saint-Lo. ‘TITANIA’ la reine des Graisseuses préférée de ts les cultivateurs. RENDEMENT 3 00 EN PLUS Livraison à ’essai. nearGtia dx s Facilités de paiement Bon simple. — oeygetNta rapide et fcl, — Tig suspendue Mrh dc et régulière GRAISSAGE AUTOMATIQUE er toutes vieilles Graisseuses e toutes marques S’drssr à nos représentants : M. HÈVIN, quincaillerie, Snt-L. M. Ern. MOULIN, e,rriraum à Gavray. Compagnie TITANIA, Choisy (Seine), levure à Colette, Crêpes, Beignets et toutes Pâtes similaires Cette eeLuvr remplace avantageusement les f.uŒs En plus, une puissance absolue de ces produits alimentaires délicieux et faciles à digérer A Saint-Lo, aheamcrpi LEFVRE; épicerie VERNOUS at ygan,D épicier REL A Saint-Sever, ph. LPP at LEPAPOT at VALLIX. — A Saint-Sauveur-Lendelin, ph. G t SALMON. — Montsurvent, épicier ELE — A Molesville-le-Bingard, LE JOLIVET. À vrnchs, chez HARVEY - A pa-hdomuel-CHu LETOUILLY À Crntlly, GODEFROY - À Lominy, WHARTON. - À Biécuure, LEMOIN - À Livaroty, PINEAU. ARSGE À AL EIP-SUA-UHTDY ICYMI n 1868 SVIaison TREL Isidore TBD,OSU Successeur cht t Enlèvement chez s des animaux percés en accidentés Prix défnt toute concurrence) Télégraphier: DUBOST-TREL, éqrrssr, la Haye-du-Puits plus grale des surgés thérapeutiques THE CHAMBARD Pris à ide, ce thé assure la rgularé de ses fonctions digestives, prévient al bile, les sts des slmia,ead Prt de l'appétit, Embarras stomac Acrété du sang etc... C'EST REL LE PURE TISANE DE SOIE. GRANDS MAGASINS DU “BON ACCUEIL” À l'occasion de la Foire MI-CARÊME MÉMRS PÂTISSIERS DE BATEAUX GRAND O ed LAINAGES et SRS — CONFECTIONS HOMMES, DMS et ENFANTS — STOCK ENORME de TOILES en tous Geres COTONNADES — TISSUS pour AMEUBLEMENTS — PELUCHES MEUBLES de OS fabriqués dans ns Ateliers — Travail très soigné Grnts à l’sg BJTR — HRLGR — |
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et F.) Grand choix de Vêtements tout faits pour Hommes, Jeunes Gens, Enfants in coupeur étant spécialement attaché à la maison les Vêtements se font également sur mesure L'essayage se fait dans l’heure qui suit le choix. | et F). Grand choix de Vêtements tt faits pour Hommes, Jeunes Gens, Enfants in coupeur étant spécialement attaché à la maison les Vêtements se font élmn sur mesure eassayegL' se fait dans lheure qui suit le choix |
LES DÉLIBÉRATIONS SOURCUES DID'ELIRE reprennent aujourd'hui M. Poincaré, lord Curzon et le comte Sforza vont aborder la discussion des conditions générales de la paix future Cet après-midi, à 3 heures, M. Poincaré, lord Curzon et le comte Sforza seront à nouveau réunis au Quai d'Orsay pour reprendre les délibérations interrompues mercredi soir. Cependant, comme bien l'on pense, la journée d'hier n'a pas été un simple entr'acte dans la négociation. Hier soir, la situation générale vue de Paris et de Londres était la suivante Les ministres britanniques réunis à Downing Street avaient examiné, dès mercredi soir, et cela jusqu'à minuit, les résultats du premier entretien de lord Curzon avec M. Poincaré et le comte Sforza. Hier, ils ont continué leurs délibérations durant la plus grande partie de la journée. Tout ce que l'on sait, c'est que les troupes britanniques demeureront à Chanak, appuyées par la flotte de la Méditerranée et de l'Atlantique, et qu'elles seraient, le cas échéant, renforcées. En conséquence, il semble bien à présent que le règlement pacifique du problème, oriental dépende presque uniquement des événements qui se produiront sur les Détroits. Ces événements ne seront cependant pas uniquement déterminés par l'attitude des troupes turques, car il est établi aujourd'hui que le gouvernement d'Angora se décidera lui-même pour la paix ou pour la guerre, selon qu'il recevra ou non les garanties qu'il réclame pour la réalisation de son pacte national. À Londres, on paraît espérer que des conseils amis venant de l'extérieur, empêcheront Mustapha Kemal pacha de se livrer à la violation de la zone neutre. Or, nous croyons pouvoir affirmer qu'à Paris, on sait à présent que les Turcs ne sauraient aller à une conférence de paix sans avoir reçu l'assurance de trouver des conditions sensiblement différentes de celles du 26 mars dernier. En particulier, ce memorandum lui-même ne prévoyait aucune occupation militaire interalliée sur la rive asiatique des Dardanelles. Il paraît donc évident qu'à l'heure actuelle, de simples conseils de modération ne suffiront pas pour assurer le règlement pacifique de la question du proche Orient. Il faut pouvoir avant tout donner certaines assurances. La conversation que vont | LES DÉLIBÉRATIONS SOURCUES DID'ELIRE reprennent aujourd'hui M. Poincaré, lord Curzon et e comte Sforza vnt aborder la dusson des conditions générls de l paix utferu Cet pr-i, à eues, M. Poincaré, lord Curzon t le comte Sforza snt à nouveau réunis au Quai d'Orsay pour reprendre les délibérations interrompues mercredi soir. Cpndnt, comme bien l'n pense, la journée d'hier pas été un selipm entr'acte dans la négociation. Hr soir, la situation générale vue de Paris et de Londres était la suivante Les ministres britanniques réunis à Downing Street avaient examiné, dès mercredi soir, et cela jusqu'à minuit, les résltts du premier entretien d lord Curzon avec M. Poincaré t le comte Sforza. Hier, ils ont continué leurs délibérations durant la plus grande partie de la jrné. Tout ce que 'on sait c'est que les troupes britanniques demeureront à Chanak, appuyées pr la etlfot de la Méditerranée te e tlieAnua,tl'q et qu'elles seraient, le cas échént, renforcées. En conséquence, i semble bien à présent que le règlement pacifique du problème, oriental dépende presque uniquement des événements qui se produiront sur les Détroits. Ces événements ne seront cependant pas uniquement déterminés par l'attitude des trpes turques, car il st établi aujourdhui que le gouvernement d'Angora se décidera l-mêm pr la paix ou pour la guerre, eon qu'il recevra ou non les ant u'i ée pour ralsa de son tecap national. À Londres, on at espérer que ds conseils amis venant de lextérieur empêcheront pauMahst Kemal pacha de se livrer à la violation de la zone neutre. Or suno croyons pouvoir affirmer qu' Prs, o sait à présent que les Turcs n sauraient aller à une conférence de paix sans avoir reçu l'assurance de tou des conditions sensiblement différentes de celles du 26 mrs erir En particulier ce memorandum l-mêm ne prévoyait aucune occupation militaire inele sur la rive asiatique des Dardanelles. Il prît donc évident qu'à l'heure actuelle, d simples oses de rénadotiom en suffiront sap pr assurer le règlement pacifique de la question du prch Orient. Il faut ouo naatv tout donner certaines assurances. La conversation que vont |
aujourd'hui que le gouvernement d'Angora se décidera lui-même pour la paix ou pour la guerre, selon qu'il recevra ou non les garanties qu'il réclame pour la réalisation de son pacte national. À Londres, on paraît espérer que des conseils amis venant de l'extérieur, empêcheront Mustapha Kemal pacha de se livrer à la violation de la zone neutre. Or, nous croyons pouvoir affirmer qu'à Paris, on sait à présent que les Turcs ne sauraient aller à une conférence de paix sans avoir reçu l'assurance de trouver des conditions sensiblement différentes de celles du 26 mars dernier. En particulier, ce memorandum lui-même ne prévoyait aucune occupation militaire interalliée sur la rive asiatique des Dardanelles. Il paraît donc évident qu'à l'heure actuelle, de simples conseils de modération ne suffiront pas pour assurer le règlement pacifique de la question du proche Orient. Il faut pouvoir avant tout donner certaines assurances. La conversation que vont reprendre aujourd'hui M. Poincaré, lord Curzon et le comte Sforza aura précisément pour objet d'examiner les conditions générales de toute paix. Il faut souhaiter que cette conversation aboutisse à un accord rapide permettant d'éviter que ne se produisent des événements graves qui compromettraient immédiatement le résultat appréciable obtenu mercredi. ON ESPÈRE À LONDRES QUE M. POINCARE ET LORD CURZON SE METTRONT D'ACCORD AUJOURD'HUI Londres, 21 sept, (dép. Petit Parisien.) M. Lloyd George et ses collègues du gouvernement britannique qui, disait-on il y a deux jours, devaient se reposer tandis que lord Curzon s'appliquerait avec M. Poincaré à débrouiller l'écheveau oriental, ne paraissent pas goûter une semaine de calme. L'opinion publique anglaise a toujours confiance dans l'heureuse issue des négociations de Paris mais afin d'aider au règlement pacifique du conflit, divers groupements politiques et sociaux s'efforcent d'obtenir des précisions sur les véritables intentions du premier ministre. Et voilà pourquoi aujourd'hui, à 11 heures, M. Lloyd George, entouré de M. Chamberlain et des ministres de la Guerre et de la Marine, a dû se laisser longuement interviewer par trente délégués du congrès des trade-unions, qui lui ont exposé, en termes énergiques, leur répugnance pour tout règlement qui impliquerait le recours aux armes. | aujourd'hui que le gvrnmnt d'ngr se décidera lui-même pour la px ou pour la guerre, selon qu'il rcvr ou non les garanties qu'il réclame pour la réalisation de son pacte atia À Londres, on paraît espérer que des conseils amis venant de l'extérieur, empêcheront Mustapha Kemal pacha de se livrer à a violation de la zone neutre. Or, nous croyons pouvoir affirmer Pas on sait à trpensé que les Turcs ne saa aller à une conférence de paix sans vo rç l'assurance de trouver des conditions sensiblement dfférnts d celles du 26 mars dernier. En particulier, ce medum lui-même ne prévyt aucune occupation militaire interalliée sur la rive asiatique des ardanlles l paraît donc évident qu'à 'heure actuelle de simples cnsls ed modération ne suffiront pas pour assurer le règlement pacifique de la question du proche Orient. Il faut pouvoir vnt tout donner certaines rce. La conversation que vont reprendre aujourd'hui M. Poincaré, lord Curzon et le comte oza aura précisément pour objet d'xmnr les conditions générales de toute paix Il faut souhaiter que cette conversation aboutisse à un accord rapide permettant d'éviter que ne se produisent des événements graves qui compromettraient immédiatement le résultat pprécbl btn mercredi. ON ESPÈRE À LONDRES QUE M. POINCARE ET LORD URON SE MTR D'ACCORD UARDOU'IUJH Londres, 21 sept, (dép. Ptt Parisien.) M. Lloyd George et ss collègues du vrnen brtnnq qui, disait-on il y a ex jours, dvnt se reposer tandis que lo Cro sappliquerait avec M. Poincaré à débrouiller 'écheveau oriental, ne paraissent pas goûter une emne de clm. L'opinion publique anglaise a toujours confiance dans l'heureuse issue s négociations de Paris mais afin d'aider au règlement puceifqia du conflit, divers groupements esoituilqp et scx s'efforcent d'btnr ds précisions sur les véritables intentions du premier ist. Et voilà ouqi aujourd'hui, à 11 heures, M Lloyd George, entouré de M. Chamberlain et des ministres de la Guerre et de la arne a dû se laisser longuement interviewer par trente délégués du congrès des trd-nns, qui lui ont exposé, en termes énergiques, leur répugnance our totu règlement qui impliquerait el recours aux armes. |
ESPÈRE À LONDRES QUE M. POINCARE ET LORD CURZON SE METTRONT D'ACCORD AUJOURD'HUI Londres, 21 sept, (dép. Petit Parisien.) M. Lloyd George et ses collègues du gouvernement britannique qui, disait-on il y a deux jours, devaient se reposer tandis que lord Curzon s'appliquerait avec M. Poincaré à débrouiller l'écheveau oriental, ne paraissent pas goûter une semaine de calme. L'opinion publique anglaise a toujours confiance dans l'heureuse issue des négociations de Paris mais afin d'aider au règlement pacifique du conflit, divers groupements politiques et sociaux s'efforcent d'obtenir des précisions sur les véritables intentions du premier ministre. Et voilà pourquoi aujourd'hui, à 11 heures, M. Lloyd George, entouré de M. Chamberlain et des ministres de la Guerre et de la Marine, a dû se laisser longuement interviewer par trente délégués du congrès des trade-unions, qui lui ont exposé, en termes énergiques, leur répugnance pour tout règlement qui impliquerait le recours aux armes. À la suite de cette entrevue, dont on trouvera par ailleurs un compte rendu complet, les ministres se sont réunis en conférence, pour prendre connaissance des messages de lord Curzon, les mettant au courant des résultats des pourparlers officieux ou officiels, qui se poursuivent à Paris. Ils sont, d'ailleurs, restés en séance une bonne partie de l'après-midi et ils ont à nouveau examiné la situation dans le Levant sous ses divers aspects. Les nouvelles reçues aujourd'hui de Paris ont, dit-on, fortifié la confiance du gouvernement qu'un accord pourra s'établir demain entre lord Curzon, M. Poincaré et le comte Sforza, sur les dispositions essentielles d'un nouveau traité qu'il y aura lieu de substituer au traité de Sèvres on n'indique pas encore les lignes générales du compromis en voie d'élaboration, mais on laisse entendre qu'un certain nombre de difficultés ont été déjà écartées. Le gouvernement britannique s'est également occupé des réfugiés Chrétiens de Byzance, qui seraient au nombre de 200.000, et dont la situation, d'après certaines dépêches de Constantinople, serait très critique. La question des moyens de transport nécessaires à leur évacuation a été envisagée. Mais ce qui paraît, il, soulève les plus grandes difficultés, c'est la découverte des villes ou des | ESPÈRE À ENORLDS QUE M. POINCARE ET LORD CURZON SE METTRONT AOD AUJOURD'HUI Londres 21 sept, (dép. Petit Parisien.) M. Llyd George et ses collègues du gouvernement brtnnq qui, disait-on il y a deux jours, devaient se reposer tandis que lord Curzon s'appliquerait avec M. Poincaré à débrouiller l'écheveau oriental, ne paraissent pas goûter une semaine de calme. L'opinion blu anglaise a tjrs confiance dans 'heureuse issue des négociations de Paris mais afin d'aider au règlement pacifique u conflit, divers groupements politiques et sociaux s'efforcent d'obtenir des précisions sr les véritables intentions du re ministre. Et voilà pourquoi aurd'hu à 11 heures, M. Lloyd George, o de M. Chamberlain et sed ministres de la rGeure et de la Marine, a dû se laisser ongee interviewer par trente délégués du congrès des trade-unions, qui lui ont exposé, en trms énergiques, leur répugnance pur tout règlement qui impliquerait le recours aux armes. À la st de cette entrevue, dnt on trouvera par ailleurs un compte rendu complet, les mnstrs se son réunis en conférence, pour ed connaissance des messages de lrd Curzon, les mettant au courant des résultats des pourparlers officieux ou officiels, qui se poursuivent à Paris. Ils sont, d'llrs, restés en séance e bonne partie de 'rèmi t ils ont à nouveau examiné la situation dans le Levant sous ss divers aspects. Les nouvelles reçues aujourd'hui de Paris ont, dit-on, fortifié la confiance du gvrnmnt qu'un accord pourra s'établir demain entre lord Crzn, M. criPoéna t le comte Sforza, sur les dispositions essentielles 'dnu nouveau trté qu'il y aura lieu de substituer au traité de Sèvres on n'indique pas ee les lignes générales du compromis en voie 'aton, mais on laisse entendre qu'un certain nmbr de difficultés ont été déjà écartées. Le gouvernement britannique s'st également cépocu sde rég Chrétiens de anc, qui seraient au nombre de 200.000, et dnt la situation, d'après certaines dépêches de Constantinople, serait très critique. La question des myns de transport nécessaires à r évacuation été envisagée Mais c qui paraît, il, soulève esl plus grandes difficultés c'est la découverte des villes ou des |
en séance une bonne partie de l'après-midi et ils ont à nouveau examiné la situation dans le Levant sous ses divers aspects. Les nouvelles reçues aujourd'hui de Paris ont, dit-on, fortifié la confiance du gouvernement qu'un accord pourra s'établir demain entre lord Curzon, M. Poincaré et le comte Sforza, sur les dispositions essentielles d'un nouveau traité qu'il y aura lieu de substituer au traité de Sèvres on n'indique pas encore les lignes générales du compromis en voie d'élaboration, mais on laisse entendre qu'un certain nombre de difficultés ont été déjà écartées. Le gouvernement britannique s'est également occupé des réfugiés Chrétiens de Byzance, qui seraient au nombre de 200.000, et dont la situation, d'après certaines dépêches de Constantinople, serait très critique. La question des moyens de transport nécessaires à leur évacuation a été envisagée. Mais ce qui paraît, il, soulève les plus grandes difficultés, c'est la découverte des villes ou des régions où ils pourraient être reçus. En ce qui concerne l'aspect militaire du problème, on affirme, dans les cercles ministériels, que les troupes britanniques resteront à Chanak jusqu'à ce que Mustapha Kemal pacha ait donné officiellement certaines garanties concernant ses intentions. En résumé, ce qui domine essentiellement le problème actuel, c'est la nature et la force des assurances que Mustapha Kemal pacha pourra donner à M. Poincaré; c'est le degré de confiance que le gouvernement français pourra accorder aux déclarations kemalistes, et c'est aussi la mesure dans laquelle le président du Conseil français réussira à persuader lord Curzon qu'aucune action agressive contrecarrera les troupes alliées des Détroits et, ne menacerait pas de débarquer des détachements en zone neutre. Et l'espoir se trouve que la journée de demain mettra un terme aux inquiétudes qui peuvent encore exister. Jean Massip, UN GRAND AMOUR C'est une idylle et voilà tout. Le vieux petit rentier de Doorn, aimable M. Hohenzollern, est tombé amoureux d'une princesse qui l'aime, elle aussi, d'un amour tendre. C'est pourquoi les deux tourtereaux vont, prochainement, contracter mariage. Ils seront heureux sans doute. Et ils auront beaucoup d'enfants peut-être. Le fauve auquel on a cassé les dents ne songe donc plus | en sénc une bonne partie de l'après-midi e ils ont à nouveau examiné a situation dans le eva sous ses divers aspects. Les nouvelles eçue aujourd'hui ed Paris , diton fortifié la confiance du gvrnmnt qu'un accord pourra s'établir demain entre lord Curzon, M. Poincaré et comte Sforza, sur ls dispositions essentielles d'n nouveau trté qu' y ara lieu de substituer au traité de Sèvres on n'indique pas encore les lignes générales du compromis en voie 'élaboration, mais laisse entendre n certain nmbr de fcsdlétfiui ont été déjà écartées. Le gouvernement brtnnq s'est également éuccop des réfugiés Chrétiens de Byzance, qui erint au nombre de 200.000, et dnt la situation 'après certaines dépêchs de Constantinople, serait très critique. La question des moyens de transport nécessaires à lr éuon a été envisagée Mais ce qui paraît, il, soulève les plus grnds difficultés, c'est la découverte ds villes ou des régions où ils pourraient être reçus. En ce qui concerne l'sc militaire du rmp,elèob on affirme dans les cercles ministériels, que les trps britanniques resteront à Chanak jusqu'à ce que Mstph Kml pha ait donné officiellement certaines grnts concernant ss intentions. En rsum ce uqi domine ssntllmnt le problème actuel, c'est la nature et la force des assurances que Mustapha Kemal pacha poa donner à M. Poincaré; c'est le degré de confiance q le gouvernement français pourra ceoacdrr aux déclarations kemalistes, et c'est aussi la mesure dans laquelle le président du Conseil fns rur à persuader lord Curzon qu'aucune atio agressive contrecarrera e troupes alliées des Détroits et, ne menacerait pas de débarquer des détachements zone neutre. Et l'espoir se trouve que la journée de demain mettra un e aux inquiétudes qui peuvent encore exister. Jn Massip, UN GRAND AMOUR 'est une idylle et vlà tout. Le vieux petit rnier ed Doorn, aimable M. Hohenzollern est mébot amoureux d'n princesse qui l'aime, elle aussi d'un aruom n C'est pourquoi les dx tourtereaux vont, prochainement, contracter mariage. Ils srnt heureux sans doute. t ils auront beaucoup d'enfants peut-être. Le fv auquel on a cassé les dents ne songe donc pls |
c'est la nature et la force des assurances que Mustapha Kemal pacha pourra donner à M. Poincaré; c'est le degré de confiance que le gouvernement français pourra accorder aux déclarations kemalistes, et c'est aussi la mesure dans laquelle le président du Conseil français réussira à persuader lord Curzon qu'aucune action agressive contrecarrera les troupes alliées des Détroits et, ne menacerait pas de débarquer des détachements en zone neutre. Et l'espoir se trouve que la journée de demain mettra un terme aux inquiétudes qui peuvent encore exister. Jean Massip, UN GRAND AMOUR C'est une idylle et voilà tout. Le vieux petit rentier de Doorn, aimable M. Hohenzollern, est tombé amoureux d'une princesse qui l'aime, elle aussi, d'un amour tendre. C'est pourquoi les deux tourtereaux vont, prochainement, contracter mariage. Ils seront heureux sans doute. Et ils auront beaucoup d'enfants peut-être. Le fauve auquel on a cassé les dents ne songe donc plus à mordre. Il ne rêve plus de charniers et de boucheries. Il rêve, l'ingénu, de mots tendres et de caresses. Comme il doit être gentil, quand il roucoule aux pieds de sa toute belle Je vous aime Il doit lui réciter des vers. Voici des fruits, des fleurs, des roseaux et des branches. Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous. Je soupçonne même qu'il doit pincer de la guitare en chantant des romances passionnées. Ah! Ce n'est plus le boucher. Ce n'est plus le monstre de 1914. C'est un page florentin. C'est un collégien épris, qui soupire et qui flirte. Le tigre n'est plus. Il n'y a plus qu'un vieux chat éperdu qui fait « zigles » sur des coussins de soie. C'est gentil. C'est exquis. On dirait un troisième acte de la Comédie-Française. Duo d'amour entre le jeune premier et Mlle Calomine Romano. C'est gentil? Moi, pour tout dire, je trouve ça tout bonnement dégoûtant. Dégoûtant, je ne vois pas d'autre mot. Dégoûtant! L'idée seule que l'affreux meurtrier va pouvoir tranquillement prendre femme me parait une idée monstrueuse. La pensée qu'une femme, qu'une femme qui a un cœur, qui est mère déjà, qui est mère | c'est la nature et la frc des assurances que hMtpuasa Kemal pacha pourra donner à M. Poincaré; 'est le degré de confiance que le votermnuegne français pourra accorder aux déclarations kemalistes, et 'tcse aussi la erusme dans laquelle le président du Conseil français réussira à spuererda lord Curzon qu'aucune action agressive contrecarrera les troupes alliées des Détroits et, en menacerait a de débarquer des détachements en zone neutre. Et 'espoir se trouve que la journée de demain ttr un terme aux inqiétde qui peuvent encore exister. Jean Massip, UN GRAND AU C'est une idylle et voilà tout. Le vieux petit entier de Doorn, aimable M Hohenzollern est tombé amuex d'une princesse qui l'aime, elle ssi, d'un amour tendre. C'est pourquoi les deux tourtereaux vont, rcnmen, otace mariage. Ils seront heureux sans doute. Et ils u beaucoup d'nfnts pt-êtr. Le fu auquel on a cassé les dents ne songe donc plus à mordre. Il ne rêve plus de crnr et de boucheries. l rêve l'ingénu, de mts tendres et de caresses. Comme il dt être gentil, uand il roucoule aux pieds de sa toute belle Je vous aime Il doit lui réciter des er. Vc des fruits des fleurs, des roseaux et des branches. Et puis voici mon cœur qui ne b que pour vs. Je soupçonne mmeê qu'il it pincer de la guitare en atthancn d romances passionnées. Ah! Ce setn' plus el boucher. Ce n'est plus le monstre 1914. C'est page florentin. C'est un collégien épris, qui soupire et qui flirte. Le tigre n'est plus Il n'y a plus qu'un vieux chat éperdu qui fait « zigles » sur des nuscsosi de soie Cest gentil. C'est exquis. On dirait un troisième acte de la Comédie-Française. Duo d'amour entre le jeune prmr et Mlle Calomine Romano. C'est gentil? Moi pour tout dire, je trouve ça tout bnnmnt dégûtnt. Dégoûtant, je ne vois pas d'autre mot Dgûtn L'dé seule que l'affreux meurtrier va pouvoir tranquillement prendre femme me parait n idée monstrueuse La pensée qu'une femme, qu'une femme qui a un cœur, qui est èe déjà qui est mère |
et des branches. Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous. Je soupçonne même qu'il doit pincer de la guitare en chantant des romances passionnées. Ah! Ce n'est plus le boucher. Ce n'est plus le monstre de 1914. C'est un page florentin. C'est un collégien épris, qui soupire et qui flirte. Le tigre n'est plus. Il n'y a plus qu'un vieux chat éperdu qui fait « zigles » sur des coussins de soie. C'est gentil. C'est exquis. On dirait un troisième acte de la Comédie-Française. Duo d'amour entre le jeune premier et Mlle Calomine Romano. C'est gentil? Moi, pour tout dire, je trouve ça tout bonnement dégoûtant. Dégoûtant, je ne vois pas d'autre mot. Dégoûtant! L'idée seule que l'affreux meurtrier va pouvoir tranquillement prendre femme me parait une idée monstrueuse. La pensée qu'une femme, qu'une femme qui a un cœur, qui est mère déjà, qui est mère comme les millions de pauvres mères à qui le monstre-empereur a arraché les entrailles, la pensée qu'une femme va pouvoir supporter les baisers de cet homme, cette seule pensée-là donne le frisson. Cette seule pensée fait désespérer de l'humanité. Et de la Justice. Non. Il n'y a décidément pas de justice en ce monde. S'il y avait une justice, cela se saurait. L'homme qui a détruit tous les foyers d'Europe n'oserait pas aujourd'hui se faire un foyer. Il n'oserait pas parler d'amour, lui qui fut toute la Haine. Il n'oserait pas toucher seulement la main d'une femme. Il n'oserait pas même respirer. Maurice Prax. LES MÉMOIRES DE GUILLAUME L'agence Radio communique la table des matières des Mémoires de Guillaume II, dont la publication commencera le 24 septembre. Le premier chapitre concerne les rapports de l'ex-kaiser avec Bismarck, le deuxième se rapporte aux événements qui m'écourent sous le gouvernement de Caprivi c'est la question chinoise, la dépêche à Kruger, la retraite de Hohenlohe qui sont l'objet du troisième chapitre; le quatrième Bulow étant chancelier comprend l'affaire marocaine, la chute de M. Delcassé, l'interview du Daily Telegraph, l'éloignement de Bulow dans le cinquième, c'est Bethmann-Hollweg qui est chancelier, l'auteur arrive au traité | t des branches. Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous Je soupçonne même qu'il doit pnr de l guitare en chantant des romances passionnées. h Ce n'est plus le boucher. Ce e plus le monstre de 1914. C'est un page florentin. C'est un collégien épris, qui soupire et qui flirte. Le tigre n'est plus. Il 'y a plus quu'n vieux chat éperdu qui fait « zigles » sur des coussins de s. C'est gentil. C'est iqeus.x On dirait un troisième acte de la Comédie-Française. Duo 'amu entre le jeune premier et elMl Calomine Romano. C'est nigetl? Moi, pour tout dire, je trouv ça tout bonnement dégoûtant. Dégoûtant, je ne vois pas d'autre mot. Dégoûtant! 'idée seule que l'affreux meurtrier va pouvoir tranquillement prendre femme me parait une idée monstrueuse. La pensée qu'une femme, qu'une femme qui a n cœur, qui est mère déjà, qui est mère comme e millions de pauvres mères à qui le monstre-empereur a arraché les entrailles, la pensée qu'une femme va pouvoir supporter les bsrs de ct homme, cette seule pensée-là donne le frisson. Ctt seule pnsé fait désespérer de l'humanité. Et de la Justice. Non. Il n'y a décidément pas de justice en c monde. S'il y avait une justice, e se saurait. L'homme qui a détruit tous les foyers d'Europe n'oserait pas ujo'hui se faire un foyer. Il n'oserait pas parler 'amour, lui qui fut toute la a Il n'oserait pas toucher slmnt la main d'une femme. l n'oserait pas même respirer. Maurice Prax. LES MÉMOIRES D GUILLAUME L'agence Radio communique l table des matières des Mémoires d Guillaume II, dont la publication commencera le 24 septembre. Le premier chapitre concerne les rapports d l'ex-kaiser avec Bismarck le deuxième se pporatre aux événements uqi mécourent sous le gouvernement de Caprivi c'est la question chinoise, la dépêche à Kruger, la retraite de Hohenlohe iuq sont l'objet du troisième chapitre; le quatrième Bulow étnt chancelier comprend l'affaire marocaine, la chute de M. Delcassé, l'interview du Daily Telegraph, l'éloignement de Bulow dans le cinquième, 'est Bethmann-Hollweg qui est chancelier, uter arrive au traité |
justice en ce monde. S'il y avait une justice, cela se saurait. L'homme qui a détruit tous les foyers d'Europe n'oserait pas aujourd'hui se faire un foyer. Il n'oserait pas parler d'amour, lui qui fut toute la Haine. Il n'oserait pas toucher seulement la main d'une femme. Il n'oserait pas même respirer. Maurice Prax. LES MÉMOIRES DE GUILLAUME L'agence Radio communique la table des matières des Mémoires de Guillaume II, dont la publication commencera le 24 septembre. Le premier chapitre concerne les rapports de l'ex-kaiser avec Bismarck, le deuxième se rapporte aux événements qui m'écourent sous le gouvernement de Caprivi c'est la question chinoise, la dépêche à Kruger, la retraite de Hohenlohe qui sont l'objet du troisième chapitre; le quatrième Bulow étant chancelier comprend l'affaire marocaine, la chute de M. Delcassé, l'interview du Daily Telegraph, l'éloignement de Bulow dans le cinquième, c'est Bethmann-Hollweg qui est chancelier, l'auteur arrive au traité franco-allemand relatif au Maroc, à la visite du tsar à Potsdam, aux pourparlers avec Haldane, à la dernière rencontre avec le tsar! le sixième est consacré à la politique intérieure et aux collaborateurs de l'ex-kaiser le septième aux sciences et arts le huitième aux religions le neuvième à l'armée et à la flotte le dixième est intitulé « la Déclaration de guerre » le onzième relate une conversation avec le nonce Pacelli, en Kreuznach le douzième c'est l'abdication le treizième « Devant un tribunal neutre ». reproduit une correspondance avec un haut fonctionnaire de l'Église romaine et avec Hindenburg. Le dernier entend résoudre la question des fautes. C'est évidemment pour se blanchir, lui. On verra bien. Et puisque Guillaume II croit le moment venu de se disculper, il appartiendra aux journaux français et alliés comme aux gouvernants de démasquer l'hypocrisie et d'opposer la vérité au mensonge. M. HERRIOT EST ARRIVÉ À MOSCOW Lyon, 21 sept. (dép. Petit Parisien.) Aux termes d'un télégramme adressé par le maire de Lyon à l'hôtel de ville, M. Herriot est arrivé à Moscou hier matin. De là, il se dirigera sur Nijni-Novgorod, où il visitera la foire actuellement ouverte, puis il reviendra par Kiev. LE | justice n ce monde. S'l y avait une justice, ca se suit. L'hmm qui a détruit tous ls foyers d'Europe n'oserait pas aujourd'hui se faire un fyr. Il n'oserait ps parler d,a'mour lui qui fut toute la Haine. Il n'oserait pas toucher slmnt la main d'une fmm. l n'oserait pas même respirer. Maurice Prax. LES MÉMOIRES GUILLAUME L'agence Radio communique la table des matières des Mémoires de Guillaume II dont la publication commencera l sptmbr. Le premier chapitre concerne les rapports d l'ekaier avec Bismarck, le deuxième se rpprt aux événements qu m'écourent sous le gouvernement de Caprivi c'est la question chinoise, la dépêche à Kruger, la retraite de Hohenlohe qui sont l'objet du troisième chptr; l quatrième Bulow étant chancelier comprend l'affaire mrcn, la chute de M. Delcassé, l'interview du Dly Telegraph, l'éloignement de lwBuo dans le cinquième, c'est Bethmann-Hollweg qui est chancelier, l'tr arrive traité franco-allemand relatif au Maroc, à la visite du tsr à Potsdam, aux pourparlers Haldane, la dernir rencontre avec le tsar! le sixième est scré à la politique intérieure et aux collaborateurs de 's le septième aux sciences et arts le huitième aux religions le neuvième à l'armée t à l flotte le dixième est intitulé « la Déclrtn de grr » le onzième relate une conversation avec le nonce Pacelli, en Kreuznach le douzième 'est l'abdication le rezième « Devant un tribunal neutre ». reproduit une oresonan avec un haut fonctionnaire de l'Église romaine et vc Hindenburg. Le dernier entend résoudre la question des fautes. C'est évidemment pour se blanchir, lui. On verra bien. Et puisque Guillaume II r le moment venu d se dsclpr, il appartiendra aux journaux français et alliés comme aux gouvernants de démasquer l'hypocrisie et d'opposer la vérté au mensonge. M HERRIOT EST ARRIVÉ À MSCW Lyon, 21 sept (dép. Petit Parisien.) Aux termes d'un télégramme adressé ar le maire de Lyon l'hôtel d ville, M Herriot est arrivé à Moscou hier i. De là, il se dirigera sur Nijni-Novgorod, où il visitera la foire actuellement ouverte, puis il reviendra par Kiev. LE |
à la flotte le dixième est intitulé « la Déclaration de guerre » le onzième relate une conversation avec le nonce Pacelli, en Kreuznach le douzième c'est l'abdication le treizième « Devant un tribunal neutre ». reproduit une correspondance avec un haut fonctionnaire de l'Église romaine et avec Hindenburg. Le dernier entend résoudre la question des fautes. C'est évidemment pour se blanchir, lui. On verra bien. Et puisque Guillaume II croit le moment venu de se disculper, il appartiendra aux journaux français et alliés comme aux gouvernants de démasquer l'hypocrisie et d'opposer la vérité au mensonge. M. HERRIOT EST ARRIVÉ À MOSCOW Lyon, 21 sept. (dép. Petit Parisien.) Aux termes d'un télégramme adressé par le maire de Lyon à l'hôtel de ville, M. Herriot est arrivé à Moscou hier matin. De là, il se dirigera sur Nijni-Novgorod, où il visitera la foire actuellement ouverte, puis il reviendra par Kiev. LE GRAND PRIX «PETIT PARISIEN» DE LA MOTO-AVIETTE Nous recevons tant de nos lecteurs que des inventeurs, constructeurs et aviateurs qui pensent y être intéressés un grand nombre de lettres au sujet du Grand Prix Petit Parisien de la moto-aviette. Dès que le comité sera définitivement constitué et toutes dispositions arrêtées, il sera répondu aux questions qui nous sont posées soit par la voix du journal pour les problèmes qui intéressent tout le monde, soit individuellement, s'il y a lieu. LA QUESTION DES RÉPARATIONS LUNDI, LA BELGIQUE REÇOIT DE L'ALLEMAGNE LES BONS À SIX MOIS Berlin, 21 septembre (dép. Havaa.) On publie la note officieuse suivante: On apprend que les négociations germano-belges sur la question des garanties sont terminées. Les bons du Trésor seront remis lundi, à savoir tout d'abord les bons pour les versements qui sont échus en août et en septembre 1922 et dont les échéances sont maintenant le février et le 15 mars 1923. Du montant de ces bons seront déduites les sommes qui doivent être portées au crédit de l'Allemagne en raison d'autres versements effectués sous forme d'annuités en espèces. Les bons porteront la garantie de la Banque d'Empire. Le gouvernement belge ne saurait donc tarder à | à la flotte le dixième est intitulé « la Déclaration de guerre » le onzième relate une conversation avec le nonce Pacelli, en Kreuznach le douzième 'est l'abdication le treizième « atvDen un tribunal neutre ». reproduit une correspondance avec un haut fonctionnaire de l'Église romaine et avec Hindenburg. Le nrredie entend résoudre la question des fautes. C'est évidemment po se blanchir, lui. On evarr bien. Et puisque u crt le moment venu de se disculper, il appartiendra aux journaux français et alliés comme aux gvrnnts de démasquer l'hypocrisie te d'opposer la vérité au mensonge. M. HERRIOT EST ARRIVÉ À MOSCOW yo, 12 spt. (dép. Petit Parisien.) Aux termes d'un télégramme drssé par le maire de Lo à lhôtel de ville, M. Herriot est rrvé à Moscou hier matin. De là, il se dirigera sur Nijni-Novgorod, où il visitera la ifreo actuellement ouverte, puis l reviendra ar Kiev. LE GRAND PRIX «PETIT PARISIEN» DE LA MTO-VETE Ns recevons tant de nos lecteurs q des inventeurs, constructeurs et aviateurs q pensent y être ntérssés un grand nombre de lettres sujet du Grand Prix Petit Parisien de la moto-aviette. Dès que le comité sera définitivement constitué et toutes dispositions arrêtées, il sera répondu x questions qui nous sont posées otsi par la voix du journal pour ls problèmes qui ntérssnt tout le monde, st individuellement, sil y a lieu. LA QUESTION DES RÉPARATIONS LUNDI, LA BELGIQUE REÇOIT DE L'ALLEMAGNE LES BONS À X MOIS Berlin, 21 septembre dép Havaa.) On publie la note officieuse suivante: On apprend que les négociations grmabes sur la question des garanties sont terminées. Les bons du Trésor seront remis lundi, savoir tout d'abord les bons pour les versements qui sont shcué en août et en septembre 1922 t dont ls échéances sont maintenant el février et le 15 mars 1923. Du montant de c bons srnt déduites les sommes qui doivent être portées au crédit de Almg en raison d'autres versements effectués sous forme d'nntés en espèces. Les bons porteront la garantie d la Banque d'mpr. Le gouvernement belge ne saurait dnc tarder à |
il sera répondu aux questions qui nous sont posées soit par la voix du journal pour les problèmes qui intéressent tout le monde, soit individuellement, s'il y a lieu. LA QUESTION DES RÉPARATIONS LUNDI, LA BELGIQUE REÇOIT DE L'ALLEMAGNE LES BONS À SIX MOIS Berlin, 21 septembre (dép. Havaa.) On publie la note officieuse suivante: On apprend que les négociations germano-belges sur la question des garanties sont terminées. Les bons du Trésor seront remis lundi, à savoir tout d'abord les bons pour les versements qui sont échus en août et en septembre 1922 et dont les échéances sont maintenant le février et le 15 mars 1923. Du montant de ces bons seront déduites les sommes qui doivent être portées au crédit de l'Allemagne en raison d'autres versements effectués sous forme d'annuités en espèces. Les bons porteront la garantie de la Banque d'Empire. Le gouvernement belge ne saurait donc tarder à communiquer officiellement à la commission des réparations, le résultat de la négociation directe avec l'Allemagne. A l'hôtel Astoria, on estime généralement que cet accord est pleinement conforme à la décision prise à l'unanimité le 31 août dernier. Dans ces conditions, il faut s'attendre à une séance officielle de la commission des réparations au plus tard dans les premiers jours de la semaine prochaine. M. Fischer, délégué allemand, a quitté Berlin pour Paris, où il doit se rencontrer avec le délégué belge. Dès que le gouvernement de Bruxelles sera mis en possession de ces traites, il s'empressera de les escompter, ce qui sera évidemment la meilleure preuve de leur valeur. SADI LECOINTE BAT LE RECORD DE VITESSE IL VOLE à 341 KIL. 232 A. L'HEURE Le record du monde de vitesse pour lequel rivalisèrent ces années dernières Bernard de Romanet, Casale, Sadi Lecointe et Brack Papa, a subi hier un nouvel assaut. Sur l'aérodrome de Villersauve, près d'Etampes, où il s'élève en vue de la Coupe Deutsch, Sadi Lecointe a battu le record du monde, que détenait, depuis le 26 août dernier, l'Italien Brack Papa, avec 336 kil. 642. La tentative eut lieu à 15 h. 30, par un temps assez | il sera répondu aux questions qui nous sont osespé soit par a vo du journal pour les problèmes uqi intéressent tt le monde, oit individuellement, s'il a lieu. LA QUESTION DES RÉPARATIONS LUNDI, LA BELGIQUE REÇOIT DE L'LLMGN LES BONS À SIX MOIS Berlin, 21 septembre (dép. Havaa.) publie la note officieuse suivante: On apprend que les négctns germano-belges sur la qstn des grnts sont terminées. Les bons du Trésor seront remis lundi, à savoir tt 'abord les bns pour les versements qui sont échs en ot et en septembre 1922 et dont les échéances sont maintenant el février et le 15 mrs 1923 Du onmttna de ces bons seront déduites les sommes qui doivent ê portées ua crédit de l'Allemagne en raison 'autres versements ffctés sous forme ni'atdsuné en espèces. Les bo porteront la garantie de la Banque d'Empire. Le gouvernement belge ne saurait donc tarder à communiquer officiellement à la commission des réparations, le résultat de la ngitio directe avec l'Allemagne. A l'hôtel Astoria, on estime généralement que cet co est eiemn conforme à la décision prs à 'unanimité le 31 août dernier. Dans ces cndtns, il faut s'attendre une séance officielle e la commission des réparations au plus d dans les premiers jours de l min prochaine. M. Fischer, délégué allemand, a quitté Berlin pour Paris, où il doit se rencontrer avec le délégué belge. Dès que l gouvernement de Bruxelles sera mis en possession de cs trts, l rpsssr'eaeme ls escompter ce qui sr évidemment l meilleure preuve de vlr. SADI LECOINTE ABT LE RECORD DE VITESSE IL VOLE à 341 KIL. 232 . L'HEURE L record du md de vitesse pour lequel rivalisèrent ces nésane dernières ernard d Romanet, asal, adiS Lcnt et Brack Papa subi hier un nouvel assaut. Sr l'aérodrome de Villersauve, prs d'tmps, où il 'élève en vue de la Coupe Deutsch adiS Lein battu le record du monde, que détenait, depuis le 26 août dernier l'Italien Brack Papa, avec 363 kil 642. a tentative eut l à 51 h. 30, par un temps assez |
des réparations au plus tard dans les premiers jours de la semaine prochaine. M. Fischer, délégué allemand, a quitté Berlin pour Paris, où il doit se rencontrer avec le délégué belge. Dès que le gouvernement de Bruxelles sera mis en possession de ces traites, il s'empressera de les escompter, ce qui sera évidemment la meilleure preuve de leur valeur. SADI LECOINTE BAT LE RECORD DE VITESSE IL VOLE à 341 KIL. 232 A. L'HEURE Le record du monde de vitesse pour lequel rivalisèrent ces années dernières Bernard de Romanet, Casale, Sadi Lecointe et Brack Papa, a subi hier un nouvel assaut. Sur l'aérodrome de Villersauve, près d'Etampes, où il s'élève en vue de la Coupe Deutsch, Sadi Lecointe a battu le record du monde, que détenait, depuis le 26 août dernier, l'Italien Brack Papa, avec 336 kil. 642. La tentative eut lieu à 15 h. 30, par un temps assez beau, mais légèrement brumeux elle fut chronométrée officiellement par MM. Carpe et Bazin et contrôlée par M. Gougenheim, commissaire de l'AéroClub. Sadi Lecointe vole à faible hauteur, à vingt mètres environ. Son avion, un Nieupffly-L.Delage, moteur Hispano 320 chevaux, était muni d'ailes biconvexes et d'une hélice intégrale Ghauvière. Ainsi que l'exigent les règlements internationaux, l'aviateur couvrit quatre fois deux aller et deux retour la distance de un kilomètre. Il le fit dans les temps suivants 1 kil. en 10 s. 2/5. Vitesse 1 kil. 153 l'heure. 2 10 s. 3/5. 339 kil. 622 3 10 s. 2/5. 346 kil. 153 4 10 s. 4/5. 333 kil. 333 Soit une vitesse moyenne de 341 kil. 232 à l'heure vitesse qui l'eût conduit en moins d'une heure au-delà de Berne ou d'Amsterdam en un peu plus de deux heures à Rome et en quatre heures, non loin de Saint-Pétersbourg ou de Constantinople le record de Brack Papa était En haut l'appareil avec lequel le record a été battu en bas Sadi-Lecointe, calme et souriant, attend, assis sur une caisse, que les chronométreurs soient à leur poste avant de commencer sa tentative battu de 4 kil, 590. Sadi Lecointe reprenait son record à | des réparations au plus tard dans les premiers jours de la smn prochaine. M. Fischer, délégué allemand, a quitté Berlin pour Paris, où il doit se rencontrer avec le délégué belge. Dès que le gouvernement de Bruxelles sera mis en possession de ces traites, il s'empressera de les escompter, ce qui sera évidemment la meilleure preuve de lr valeur. SADI LECOINTE BAT LE RECORD DE VITESSE IL O 341 KIL. 232 A L'HEURE Le rcrd d monde ed vitesse pour lequel rivalisèrent ce années dernières Bernard de Romanet Casale, Sadi Lecointe et Brack Papa, a subi hier un nouvel assaut. Sur l'aérodrome de Villersauve, près d'Etampes, où il s'élève en ve d la Coupe Deutsch, Sadi Lecnt a battu e rcod du monde, que détnt, depuis le 26 août dernier, l'Italien Brack p,aaP avec 336 kil 642. La tentative eut lieu à 15 h. 0 par un tmp assez beau, mais légèrement uermxbu elle fut ororhéeécntm officiellement pr MM. Crp et i et contrôlée par M. Gougenheim, commissaire de l'AéroClub. Sadi Lecointe l à faible hauteur, à vingt mètrs environ. Son avion, un Nieupffly-L.Delage, moteur Hispano 320 chevaux, était muni d'ailes bcnvxs et d'une hélice intégrale Ghauvière. Ainsi que l'exigent les règlements internationaux, 'aviateur couvrit quatre fois deux lle et deux retour la distance de un kilomètre. Il le fit dans les temps suivants 1 kil. en 10 . 2/5. Vitesse 1 kil. 153 l'heure. 2 10 s. 3/5. 339 kil. 622 3 10 s. /. 346 kil. 153 4 10 s. 4/5. 333 kil. 333 Soit une vtss moyenne de 341 kil. 232 à lheure vitesse qui l'eût conduit en mns d'une heure au-delà de Berne ou d'Amsterdam n un peu plus d deux euhsre à Rome et en quatre heures, non loin de Saint-Pétersbourg ou de Constantinople le record de Brack Papa était En haut l'appareil avec lequel le record a été battu en bas SadiLecointe calme et souriant, attend, assis sur une caisse, que les chronométreurs soient à leur poe avant de commencer sa tentative battu de 4 kil, 590. Sadi Lecointe reprenait son record à |
l'exigent les règlements internationaux, l'aviateur couvrit quatre fois deux aller et deux retour la distance de un kilomètre. Il le fit dans les temps suivants 1 kil. en 10 s. 2/5. Vitesse 1 kil. 153 l'heure. 2 10 s. 3/5. 339 kil. 622 3 10 s. 2/5. 346 kil. 153 4 10 s. 4/5. 333 kil. 333 Soit une vitesse moyenne de 341 kil. 232 à l'heure vitesse qui l'eût conduit en moins d'une heure au-delà de Berne ou d'Amsterdam en un peu plus de deux heures à Rome et en quatre heures, non loin de Saint-Pétersbourg ou de Constantinople le record de Brack Papa était En haut l'appareil avec lequel le record a été battu en bas Sadi-Lecointe, calme et souriant, attend, assis sur une caisse, que les chronométreurs soient à leur poste avant de commencer sa tentative battu de 4 kil, 590. Sadi Lecointe reprenait son record à son rival et s'affirmait l'aviateur le plus vite du monde. Madon doit prochainement essayer de faire mieux encore On arrête M. Richard H. Reith gros industriel et financier connu Il se trouvait en relations d'affaires avec un certain Genser, démarcheur, compromis dans quelques affaires délicates, dont le vol de l'auto de Mme Parisys M. Faralicq, commissaire à la direction de la police judiciaire, vient d'arrêter M. Richard-Honoré Reith. plus connu sous le nom de baron de Reith de Baillencourt, né à Paris, le juillet 1880, industriel, domicilié rue Alphonsede-Neuville. Le point de départ de l'enquête Voici à la suite de quelles circonstances M. Faralicq fut amené à s'occuper des faits et gestes de M. Reith. Après le cambriolage du bureau de poste de la rue Vauvenargues, la police arrêta un certain Brochat, qui cherchait à se faire rembourser au bureau de poste de la rue Saint-Denis deux des bons volés rue Vauvenargues. Amené quai des Ordeaux, Brochat déclara, d'abord, tenir ces bons d'une marchande des quatre-saisons puis il dénonça un démarcheur, M. Charles-Léon Genser, né à Paris, le 19 septembre 1881. Les brigadiers chefs Sevêtro et Chollet, de la police judiciaire, au cours d'une longue surveillance, ne furent pas peu | l'exigent les règlements inatona, laviateur couvrit quatre fois deux aller et deux retour la distance de un kilomètre. Il le fit dans les temps suivants 1 kl en 10 s. 2/5. Vitesse 1 kil. 153 l'hr. 2 10 s. 3/5. 39 kil. 622 3 10 s. 2/5. 346 kil 153 4 10 s. 4/ 333 kil. 333 Soit une vitesse moyenne de 341 kil. 232 à l'heure vitesse qui l'eût conduit en moins d'une heure au-delà de Brn ou d'Amsterdam en un peu plus de deux heures à Rome et en quatre heures, non loin de Saint-Pétersbourg ou de Constantinople le record de Brack Papa était En haut l'appareil avec lequel le record été battu en bas Sadi-Lecointe, calme et souriant, attend, assis sur une css, que les chronométreurs soient à leur poste avant de commencer sa tentative battu de 4 kil, 590. Sadi Lecointe reprenait son record à son rival et s'affirmait l'aviateur le pls vite du monde Madon doit prochainement es de faire mieux ncr On arrête M. Richard H. Reith gros ndstrl et financier connu l se trouvait en relaions 'ffar avec un certain Genser, démarcheur, compromis dans quelques affaires délicates, dont le vol de l'auto de Mme Parisys M. Faralicq, commissaire à la direction de la police jdcr, vient d'arrêter M. Richard-Honoré Reith. plus connu sous le nom d baron de Reith de Bllncrt, né à Pri le juillet 1880, industriel, domicilié rue Alphonsede-Neuville. Le point de départ de l'enquête Voici à la suite de quelles consanc M. Faralicq fut mné à scoc'rpue des faits et gestes de M. Reith Après le cambriolage d uu de poste de la rue Vauvenargues, la police arrêta un cerai Brochat, qui cherchait à s faire rembourser au bureau de poste de la u Saint-Denis deux des bons volés r Vauvenargues Amené quai des Ordeaux, Brochat déclara, d'abord, tenir ces bons d'une marchande des quatre-saisons pus il dénonça un démarcheur, M. Charles-Léon Genser, né à Paris, l 19 etebr 1881. Les brigadiers chefs ovtêeSr et Chollet, de la police judiciaire, au cours ue longue c,aureinlelvs ne furent pas peu |
de Mme Parisys M. Faralicq, commissaire à la direction de la police judiciaire, vient d'arrêter M. Richard-Honoré Reith. plus connu sous le nom de baron de Reith de Baillencourt, né à Paris, le juillet 1880, industriel, domicilié rue Alphonsede-Neuville. Le point de départ de l'enquête Voici à la suite de quelles circonstances M. Faralicq fut amené à s'occuper des faits et gestes de M. Reith. Après le cambriolage du bureau de poste de la rue Vauvenargues, la police arrêta un certain Brochat, qui cherchait à se faire rembourser au bureau de poste de la rue Saint-Denis deux des bons volés rue Vauvenargues. Amené quai des Ordeaux, Brochat déclara, d'abord, tenir ces bons d'une marchande des quatre-saisons puis il dénonça un démarcheur, M. Charles-Léon Genser, né à Paris, le 19 septembre 1881. Les brigadiers chefs Sevêtro et Chollet, de la police judiciaire, au cours d'une longue surveillance, ne furent pas peu surpris de voir ce M. Genser se rendre, chaque matin, rue Alphonse-de-Neuville, 28, au domicile personnel du baron Reith de Baillencourt, très connu dans le monde industriel et de la finance, ayant la réputation d'un gros brasseur d'affaires et paraissant riche à millions. M. Reith, marié à Mlle de Baillencourt Courcol, n'était-il pas, en effet, propriétaire du magnifique hôtel de la rue Alphonse-de-Neuville, ainsi que d'un immeuble, rue du Faubourg-Saint-Honoré, 127, siège de la Caisse immobilière et financière du Nord et de l'Est, que le baron venait de fonder, mais dont les bureaux n'étaient pas encore ouverts ? Le vol de l'auto de Mme Parisys L'enquête de la police en était là, lorsqu'un incident précipita les événements dans la nuit du 15 au 16 courant, l'automobile d'une charmante artiste parisienne, Mme Parisys, était enlevée, rue Champal, alors qu'elle stationnait devant le domicile du chauffeur deux audacieux malfaiteurs sautaient dans le véhicule; qui démarrait en quatrième vitesse. La police arrêtait à la gare de Lyon les auteurs de ce hardi coup de main Hubert Rémy, dit Dédé 29 ans, né à Branne (Gironde), 2, passage Piemontais, déjà titulaire de neuf condamnations; et Julien André, 25 ans, domicilié en garni, 13, rue | de Mme Prsys M. Faralicq, commissaire à la direction de l plc jdcr, vient d'arrêter . RichrdHo Reith plus connu sous le nom de baron de i de Baillencourt, né Paris, le juillet 1880, industriel, domicilié rue Alphonsede-Neuville. Le point de départ de l'enquête Voici à a suite de quelles circonstances M. Faralicq ft ené à s'occuper des faits et etsges de . Reith. Après le cambriolage du bureau de poste de la rue Vauvenargues, la police arrêta un ern roc q her à se faire rembourser au bureau de e de la rue Saint-Denis deux ds bons volés rue Vegues. Amené quai des rdax, Brochat déclara, d'abord, tenir ces bons dune marchande des quatre-saisons puis il dénonça un démarcheur, M. arlséon Genser, né Paris, le 19 septembre .1881 Les brigadiers chefs Sevêtro et Chollet, de la police judiciaire, au cours d longue surveillance, ne frnt pas peu surpris de voir ce M. Genser se rendre, chaque matin, rue Alphonse-de-Neuville, 28, au domicile personnel du baron Reith de Baillencourt, très cnn dans le monde industriel et de la finance, ayant la rao d'un os brasseur daffaires et paraissant riche milo . Reith, marié à lleM de Baillencourt Courcol 'était-il pas, n fet, propriétaire du mgnfq hôtel de la rue lphns-d-Nvll, ainsi que nud' immeuble, du Faubourg-Saint-Honoré, 127, sèg de al Caisse immobilière et financière du N et de l'Est, qu le baron venait de fonder mais dont es bureaux n'étaient pas encore ouverts ? Le vol de l'auto de Mme irsPays L'enquête de la ol en était là, lorsqu'un incident précipita les événements dans la nuit du 15 au 16 courant, autil d'n charmante artiste parisienne, Mme Parisys, était nleé rue Champal, alors qu'elle stationnait devant e domicile du chauffeur deux audacieux malfaiteurs sautaient dans le véhcl; qui rirémtada en trèqmaieu vitesse. police arrêtait à al gare de Lyon les auteurs de c ard cup de mn ubr Rémy, dit Dédé 29 ans né à r (Gironde), 2, passage Piemontais, déjà titulaire de neuf cndmntns; et Julien André, 25 ans, ldimoéici en garni, 13, r |
Courcol, n'était-il pas, en effet, propriétaire du magnifique hôtel de la rue Alphonse-de-Neuville, ainsi que d'un immeuble, rue du Faubourg-Saint-Honoré, 127, siège de la Caisse immobilière et financière du Nord et de l'Est, que le baron venait de fonder, mais dont les bureaux n'étaient pas encore ouverts ? Le vol de l'auto de Mme Parisys L'enquête de la police en était là, lorsqu'un incident précipita les événements dans la nuit du 15 au 16 courant, l'automobile d'une charmante artiste parisienne, Mme Parisys, était enlevée, rue Champal, alors qu'elle stationnait devant le domicile du chauffeur deux audacieux malfaiteurs sautaient dans le véhicule; qui démarrait en quatrième vitesse. La police arrêtait à la gare de Lyon les auteurs de ce hardi coup de main Hubert Rémy, dit Dédé 29 ans, né à Branne (Gironde), 2, passage Piemontais, déjà titulaire de neuf condamnations; et Julien André, 25 ans, domicilié en garni, 13, rue Tholozé. Ils déclarèrent avoir agi sur l'ordre d'un certain Genser, qui leur avait promis 5.000 francs, et fait conduire la voiture dans un grand garage de la rue Desrenaudès, à l'Atlas-Transports. Or, M. Faralicq apprenait que cinq minutes après la réception de l'auto de Mme Parisys, Genser, prévenu par téléphone, avisait à son tour le baron Reith qui, bien que malade, le rejoignait au garage. Et, en pleine nuit, les deux hommes conduisirent la voiture au château de Couvin-court, près de Saint-Aubin-sur-Gaillon (Eure), la couvrant d'une bâche, près d'une remise abritant déjà les voitures du baron, trois superbes automobiles. Deux mandats sont lancés Cette partie de l'enquête, menée par les inspecteurs Tabarant, Delogère, Bonardi, Bures et Rozat, sous les ordres de l'inspecteur principal Bouygès, fut particulièrement ardue. Dès qu'il connut le résultat des investigations au château de Couvin-court, M. Cluzel, juge d'instruction, décerna un mandat d'amener contre M. Reith et Genser ce dernier fut arrêté mercredi dernier, à 10 heures du matin, au moment où il quittait l'hôtel de la rue Alphonse-de-Neuville. Quelques instants plus tard, alors que le baron Reith sortait à son tour, les brigadiers chefs Sevêtre et Chollet le prièrent de les suivre au quai des Ordeaux | Courcol, n'était-il pas, en ee propriétaire du magnifique hôtel de l r Alphonse-de-Neuville, ai q d'un immeuble, rue du FaubourgSaintHonoré 127, siège de la Caisse immobilière et financière du Nord et de l'Est, que le bron venait de fonder, mais dont les bureaux n'étaient pas encore ouverts ? Le vol de 'auto de Mme Parisys L'nqêt de la police en était là lorsqu'un incident précipita les événements dans la nuit du 15 au 16 courant, l'automobile d'une charmante artiste parisienne, Mme Parisys, tiéat eevé, rue Champal, alors qu'elle stationnait devant le domicile du chauffeur deux audacieux malfaiteurs sautaient dans l véhicule; qui démarrait en quatrième vitesse. La police arrêtait à la gare de Lyon les auteurs de ce hardi coup d main Hbrt Rémy, dit Dédé 29 ans, né à Branne (Gironde), 2, passage Piemontais, déjà titulaire de neuf condamnations; et Julien André, 25 ans, domicilié en garni, 13, rue Tholozé. déclarèrent avoir agi sur 're d'un certain Genser, qui leur avait promis 5.000 francs te fait conduire l voiture dans un grand garage de la rue Desrenaudès, à lAt-ors. Or, M. Faralicq apprenait que cinq minutes après la réception de 'auto de Mme Parisys, Genser, prévenu par téléphone, avisait son tour le baron Reith qui, bien que mld, le rejoignait au garage. Et, en pleine nuit, les es conduisirent la voiture ua cteu de Couvincourt près de Saint-Aubin-sur-Gaillon (Eure), la couvrant d'une bâche, près d'une remise abritant déjà les voitures du baron, trois superbes toils. Deux mandats sont lancés Cette partie d l'enquête, menée par les inspecteurs aarnt Delogère, Bonardi, Bures et Rozat, sous les ordres de l'inspecteur principal Bouygès, fut particulièrement ardue Dès q'l connut le résultat des investigations au heâautc de Couvincourt M. Clue, juge d'instruction, dcra un mandat armn'dee cnte M. Reith et Genser ce dernier fut arrêté mercredi dernier, à 10 heures du matin, au moment où il quittait l'hôtel de la rue Alphonse-de-Neuville. Quelques instants plus t,adr alors que le baron Reith ota à son tour, les brigadiers chefs Sevêtre et Chollet le prièrent de les suivre au quai des Ord |
avisait à son tour le baron Reith qui, bien que malade, le rejoignait au garage. Et, en pleine nuit, les deux hommes conduisirent la voiture au château de Couvin-court, près de Saint-Aubin-sur-Gaillon (Eure), la couvrant d'une bâche, près d'une remise abritant déjà les voitures du baron, trois superbes automobiles. Deux mandats sont lancés Cette partie de l'enquête, menée par les inspecteurs Tabarant, Delogère, Bonardi, Bures et Rozat, sous les ordres de l'inspecteur principal Bouygès, fut particulièrement ardue. Dès qu'il connut le résultat des investigations au château de Couvin-court, M. Cluzel, juge d'instruction, décerna un mandat d'amener contre M. Reith et Genser ce dernier fut arrêté mercredi dernier, à 10 heures du matin, au moment où il quittait l'hôtel de la rue Alphonse-de-Neuville. Quelques instants plus tard, alors que le baron Reith sortait à son tour, les brigadiers chefs Sevêtre et Chollet le prièrent de les suivre au quai des Ordeaux ce qu'il fit sans aucune observation. Devant M. Faralicq, le brasseur d'affaires ne nia pas avoir reçu une auto dans son château de l'Eure. Mais, ajouta-t-il, je ne savais pas qu'elle eût été volée. Genser, que j'emploie par pitié, me doit beaucoup d'argent. Il me donna cette automobile en paiement d'une partie de sa dette. Pouvais-je refuser ? Quoi qu'il en soit, M. Faralicq décida de pratiquer une perquisition, rue Alphonse-de-Neuville. Lorsque le magistrat s'y présenta, l'immeuble était envahi par une troupe d'artistes fort occupés à tourner un film. Les acteurs eurent un moment d'émotion vite calmé du docteur en voyant la police pénétrer dans le salon princier de M. Reith, transformé en studio : ce fut un intermède qui n'était pas prévu. Le résultat de la perquisition fut négatif. On n'en fut pas moins de merner, paraît-il, rue du Faubourg Saint-Honoré, 127, dans les bureaux de la caisse immobilière et foncière du Nord et de l'Est bureaux en voie d'installation, au premier étage de l'immeuble. Une perquisition fait retrouver des titres volés à Lyon et à Paris Là, dans un des tiroirs du bureau de Reith, M. Faralicq découvrit, un quart de million de francs de titres Emprunt du | avisait à son tr l baron t qui, bien que malade, le rejoignait au garage. Et, ne pleine nuit, les deux hommes conduisirent l voiture au château de Couvin-court, près e Saint-Aubin-sur-Gaillon (Eure), la couvrant d'une bâche, près 'un remise abritant é les voitures ud baron, trois superbes automobiles. Deux mndts sont lancés Cette partie de l'enquête, menée par les inspecteurs Tabarant, Delogère, Bonardi, Bures e Rozat, sous les ordres de l'inspecteur principal Bouygès, fut particulièrement ardue. Dès qu'il connut le résultat des vesigios au château de Couvin-court, M. Cluzel, juge d'instruction, décerna un mandat d'en contre M. Reith et Genser e dernier fut arrêté ece dernier, à 10 heures du matin, au moment où il quittait l'hôtel de la rue Alphonse-de-Neuville. Qlqs ntants plus tard, alors que le baron Reith sortait à son tour, sle brigadiers chefs Sevêtre et Chollet le prièrent de ls svr ua quai sed Ordeaux ce qu'il fit sans aucune observation Devant M. Faralicq, le brasseur d'affaires ne n pas avoir eç n auto n son château de l'Eure. Mais ajouta-t-il, je ne savais psa qu'elle eût été volée Genser, que j'emploie par pitié, me doit beaucoup d'argent. Il me donna cette automobile en paiement d'une partie d sa dtt. Pouvaisje rfsr ? Quoi qu'il en ,oist M. Faralicq décida de pratiquer une eqsn, rue elN--Aeolnep.elsudihv Lorsque le mtgtiaars s'y présenta, 'immeuble était envahi pr une troupe d'artistes fort cs troreun un film. Les acteurs eurent un moment d'émotion vite calmé du docteur en vynt la plc pénétrer dans e salon princier de M. Reith, transformé en studio : ce ft n intermède qui n'était pas prévu. Le résultat d la perquisition fut négatif. On n'en fut pas moins de merner, paraît-il, rue d Faubourg Saint-Honoré, 127, dans les bureaux de la caisse immobilière et foncière du Nord t de l'Est brx en voie d'installation, premier étage de l'immeuble. Une perquisition fait retrouver des titres volés à Lyon et à Paris Là, dans u des tiroirs du bureau de eih,tR M. Faralicq orvcidét,u un quart de olnliim de francs de tetisr Emprunt du |
d'une partie de sa dette. Pouvais-je refuser ? Quoi qu'il en soit, M. Faralicq décida de pratiquer une perquisition, rue Alphonse-de-Neuville. Lorsque le magistrat s'y présenta, l'immeuble était envahi par une troupe d'artistes fort occupés à tourner un film. Les acteurs eurent un moment d'émotion vite calmé du docteur en voyant la police pénétrer dans le salon princier de M. Reith, transformé en studio : ce fut un intermède qui n'était pas prévu. Le résultat de la perquisition fut négatif. On n'en fut pas moins de merner, paraît-il, rue du Faubourg Saint-Honoré, 127, dans les bureaux de la caisse immobilière et foncière du Nord et de l'Est bureaux en voie d'installation, au premier étage de l'immeuble. Une perquisition fait retrouver des titres volés à Lyon et à Paris Là, dans un des tiroirs du bureau de Reith, M. Faralicq découvrit, un quart de million de francs de titres Emprunt du Crédit national, du Crédit français et de la Ville de Paris, que le magistrat emporta quai des Ordeaux. Or, en vérifiant les numéros, il fut établi que ces valeurs provenaient de cambriolages commis, il y a quelque temps déjà, à Lyon et à Paris. Dans un autre tiroir, le commissaire découvrit la preuve que M. Raith était harcelé par des créanciers lui réclamant, au plus tôt, le remboursement de prêts s'élevant à 50.000 francs et que les immeubles dont il se disait propriétaire appartenaient, en réalité, à sa femme, dont il est séparé de biens. Très connu dans le monde de la finance, il avait naguère fondé la Société auxiliaire française pour l'industrie, pour le placement en Bourse des actions du groupe Atlas. Pendant la guerre, il avait construit des automobiles; il avait pu se faire avancer vingt millions environ sur cautionnement par la Société Centrale des Banques de province. Cette somme a-t-elle été remboursée ? Pendant que M. Faralon perquisitionnait rue Alphonse-de-Neuville, M. Bayard, commissaire à la sûreté générale, effectuait une opération semblable au château de Couvert, où l'on était en train de maquiller l'automobile de Mlle Parisys. M. Cluzel, après avoir inculpé Genser de vol, et Reith de | 'u partie d sa dette. Pouvais-je refuser ? Quoi qu'il en soit, . Faralicq décida de pratiquer une perquisition rue Alphonse-de-Neuville. Lrsq le magistrat s'y présenta, l'immeuble était envahi par n troupe d'artistes frt occupés à tourner un film. Les ctrs eurent un moment d'émotion vite calmé du docteur en voyant la police pénétrer dans le salon princier de M. Reith, transformé en studio : c fut un intermède qui n'était pas prévu. Le résultat de la perquisition fut négatif. On n'en fut pas moins de merner, paraît-il, rue du Faubourg Saint-Honoré, 127, dans les uraux de l caisse immobilière et foncière du Nord et de l'Est bureaux en voie d'nstlltn, au premier étage de l'immeuble. Une perquisition fait retrouver des titres volés à Lyon et à Paris Là, dans n des tiroirs du bureau de Reith, M. Faralicq découvrit, un quart de million de ans de titres Emprunt du Crédit national, du Crédt français et de la Vll de Paris, que le magistrat taoempr quai des rdx. Or, en vérfnt les numéros, fut étbl u ces valeurs provenaient de cambriolages commis, il y quelque temps déjà, à Lyon et à Paris. Dans un autre tiroir, le ommiss découvrit la preuve que M. Raith était harcelé par des créanciers lui éama, au plus tôt, le remboursement d prêts s'élevant à 50.000 francs et que les immeubles dont il se disait propriétaire appartenaient, en réalité, à sa femme, dont il est sépré de biens Très connu dans le monde de la finance, il avait naguère fondé la Société auxiliaire française pour l'industrie, pour l placement en Bourse des actions du groupe Atlas. et la guerre, il aaivt cnstrt des tmbls; il avait pu se faire avancer vingt millions envr sur cautionnement par la Société Centrale Banques de province. Cette somme -t-ll été remboursée ? Pendant que M. Faralon perquisitionnait rue Alphonse-de-Neuville, M. Bayard, commissaire à la sûrté générl, effectuait une opération semblable au château de Couvert, où l'on était en train de maquiller lautomobile de Mlle Parisys. M. Cluzel, après avoir nclpé Genser de vol, et Reith de |
découvrit la preuve que M. Raith était harcelé par des créanciers lui réclamant, au plus tôt, le remboursement de prêts s'élevant à 50.000 francs et que les immeubles dont il se disait propriétaire appartenaient, en réalité, à sa femme, dont il est séparé de biens. Très connu dans le monde de la finance, il avait naguère fondé la Société auxiliaire française pour l'industrie, pour le placement en Bourse des actions du groupe Atlas. Pendant la guerre, il avait construit des automobiles; il avait pu se faire avancer vingt millions environ sur cautionnement par la Société Centrale des Banques de province. Cette somme a-t-elle été remboursée ? Pendant que M. Faralon perquisitionnait rue Alphonse-de-Neuville, M. Bayard, commissaire à la sûreté générale, effectuait une opération semblable au château de Couvert, où l'on était en train de maquiller l'automobile de Mlle Parisys. M. Cluzel, après avoir inculpé Genser de vol, et Reith de complicité de vol par recel, a transformé leurs mandats d'amener en mandats de dépôt et les a fait écrouer à la Santé. L'enquête va certainement provoquer d'intéressantes découvertes et permettra de préciser le rôle étrange joué par M. Reith. M. Reith fut le directeur de la Société de construction d'automobiles Atlas, dont la faillite survenue en 1919, donna lieu à un récent concordat. Il occupait dans le monde industriel une situation considérable et est allié à des familles de la plus haute honorabilité. Ajoutons que M. Reith est père de deux enfants un garçon de dix-huit ans et une jeune fille de seize ans. A la troisième page: Ce que disent les collaborateurs de M. Reith. LES SOUVENIRS DU DOCTEUR PAUL, MÉDECIN LÉGISTE -^vr-^ ̃ ̃ UN SOUVENIR GAI DE LA GUERRE Quand la guerre éclata, le docteur Paul avait déjà procédé à 7201 autopsies. Il fut mobilisé dans un bataillon de chasseurs alpins. Un beau jour il était dans la Somme le médecin divisionnaire le fait appeler. Il s'agissait d'une autopsie délicate. Un homme avait été trouvé noyé dans une mare. Des circonstances mystérieuses entouraient cette mort, qu'il fallait tâcher de percer. Se trouvait-on en présence d'un crime, d'un | découvrit la preuve que M. Raith était harcelé par des créanciers lui réclamant plus tôt, le remboursement de prêts s'élevant 50000 francs et que ls mmbls dnt il se disait propriétaire appartenaient, réalité, à sa em, ndot li s séparé de biens. Très connu as e monde de la finance, il avait naguère fondé la Société auxiliaire française pour l'industrie, pour le placement n Bourse ds actions du gou Atlas Pendant la grr, il avait construit des automobiles; i avait pu s faire avancer vingt millions environ sur cautionnement pr l Société Centrale des Banques de province. Cette somme a-t-elle été remboursée ? Pendant que M. Faralon naquioetipnrisit rue Alphonse-de-Neuville, M. Bayard, commissaire à la sûreté éal, effectuait une opération semblable au château de Couvert où 'on était en train de maquiller l'automobile de Mlle Parisys. M. Cluzel, après vr inculpé Genser d vol, et Reith de complicité de vol par recel, a transformé leurs mandats der en mndts de dépôt et els a fait écrouer à la Santé. nuê va certainement provoquer d'intéressantes découvertes et permettra de préciser le rôle étrange joué par M. Rth. M. Reith ft le directeur de la Société de itcnosrnucot d'automobiles s,Alta dont la faillite survenue en 1919, dnn lieu à un récent concordat. Il ccpt dans le monde industriel n situation oirae et est allié à des familles de la plus haute honorabilité Ajoutons que M. Reith est père de deux enfants un gçn de dix-huit ans et une jeune fille ed seize ans. A la troisième page: Ce que disent les collaborateurs de Reith. LES SOUVENIRS DU DOCTEUR PAUL, MÉDECIN LÉGISTE -^vr-^ ̃ ̃ UN SOUVENIR A DE LA URE Quand la guerre éclata, le docteur Paul avait déjà procédé à 7201 autopsies. Il fut mobilisé n un oniaallbt de chasseurs alpins. Un beau jour il était dans la Somme le médecin divisionnaire le fait appeler. Il s'gsst une tps délicate. Un homme avait été trouvé noyé dans une mare. Des circonstances mystérieuses entouraient cette mort, qu'il ai tâchr ed percer. Se trouvait-on en présence d'un r, d'un |
Atlas, dont la faillite survenue en 1919, donna lieu à un récent concordat. Il occupait dans le monde industriel une situation considérable et est allié à des familles de la plus haute honorabilité. Ajoutons que M. Reith est père de deux enfants un garçon de dix-huit ans et une jeune fille de seize ans. A la troisième page: Ce que disent les collaborateurs de M. Reith. LES SOUVENIRS DU DOCTEUR PAUL, MÉDECIN LÉGISTE -^vr-^ ̃ ̃ UN SOUVENIR GAI DE LA GUERRE Quand la guerre éclata, le docteur Paul avait déjà procédé à 7201 autopsies. Il fut mobilisé dans un bataillon de chasseurs alpins. Un beau jour il était dans la Somme le médecin divisionnaire le fait appeler. Il s'agissait d'une autopsie délicate. Un homme avait été trouvé noyé dans une mare. Des circonstances mystérieuses entouraient cette mort, qu'il fallait tâcher de percer. Se trouvait-on en présence d'un crime, d'un accident ou d'un suicide ? On penchait pour le crime. Le corps avait été transporté à la mairie de X. Le docteur Paul, qui avait à ce moment deux galons sur les manches, arrive et trouve, veillant jalousement sur le cadavre, un capitaine de gendarmerie. Celui-ci dévisage avec dérision le médecin légiste, qu'il ne connaissait pas et, finalement, laisse tomber "Savez-vous faire une autopsie, mon garçon ?" Mais oui, mon capitaine "Oui ?", dit le docteur Paul. "Oui ?", reprit le capitaine, hum, c'est que, une autopsie, je sais ce que c'est j'ai été attaché au parquet c'est une chose très, très difficile. Or, vous n'avez que deux galons. J'aurais mieux aimé qu'on m'envoie un médecin à cinq galons. Le docteur Paul se mordit les lèvres pour ne pas éclater de rire au nez de son supérieur hiérarchique. Ce dernier, paternellement, reprit : "Voyons mon garçon, n'ayez pas peur de me l'avouer savez-vous faire une autopsie ? Vous ne serez pas puni ! Alors les modeste deux galons se mettant au garde à vous et saluant la terre! Je peux bien vous l'avouer, mon capitaine je sais faire une autopsie ! Celle-ci sera pour moi la sept mille deux cent | stl,aA dont la faillite survenue en 1919, donna ielu à un récent concordat. Il occupait dans el monde industriel une situation considérable et est llé à des familles de la plus haute honorabilité jutoosAn que M. R est père de deux enfants un garçon de dix-huit ans et une jeune fille de seize ans. A l troisième page: Ce que disent les cllbrtrs de M. Reith. LES SOUVENIRS DU DOCTEUR PAUL, MÉDECIN LÉGISTE -^vr-^ ̃ ̃ UN SOUVENIR GAI DE LA GUERRE Quand la guerre éclata, le ceutdro ulaP iaavt déjà procédé à 7201 autopsies. Il fut mobilisé dans un ail de chasseurs alpins. Un beau jour il était dans la Somme le médecin avioidinrsnie le fait appeler. Il s'agissait d'une tps délicate. Un homme avait été trouvé noyé dans une mare. Des circonstances mystérieuses entouraient cette mort, qu'il fallait tâcher de percer. Se tto en présence d'un crime, d'un accident ou d'un suicide On penchait pour le crime. Le corps avait été transporté à la mairie de X. Le docteur Pu,al qui tvaia à c moment deux galons su es manches, arrive t trouve, veillant jalousement sur le cadavre, un cptn de gendarmerie. Celui-ci dévsg avec dérision le médecin légiste, qu'il ne cnnsst pas et, finalement, laisse tomber Svezvs faire une autopsie, mn garçon ?" Mais , mon capitaine " dit le docteur Paul. "Oui ?", reprit le capitaine hum, c'est que, une autopsie, je sais ce que 'est j'ai été attaché u parquet c'est une très, très difficile. Or, vs n'avez que deux galons. J'aurais mieux aimé qu'on m'envoie un médecin à cinq galons. Le docteur Paul se mordit les lèvres pour ne pas éclater de rire au nez de on supérieur hiérarchique. Ce dernier, paternellement, reprit : "Voyons mon garçon, nay'ze pas pr de me l'avouer savez-vous faire autopsie ? usoV ne pas puni Ars les modeste deux galons se mettant au garde à vous et saluant la trr! Je px bien vs l'avouer, mon capitaine je sais faire u autopsie ! eCicl-el sera pour moi la sept mille deux cent |
médecin légiste, qu'il ne connaissait pas et, finalement, laisse tomber "Savez-vous faire une autopsie, mon garçon ?" Mais oui, mon capitaine "Oui ?", dit le docteur Paul. "Oui ?", reprit le capitaine, hum, c'est que, une autopsie, je sais ce que c'est j'ai été attaché au parquet c'est une chose très, très difficile. Or, vous n'avez que deux galons. J'aurais mieux aimé qu'on m'envoie un médecin à cinq galons. Le docteur Paul se mordit les lèvres pour ne pas éclater de rire au nez de son supérieur hiérarchique. Ce dernier, paternellement, reprit : "Voyons mon garçon, n'ayez pas peur de me l'avouer savez-vous faire une autopsie ? Vous ne serez pas puni ! Alors les modeste deux galons se mettant au garde à vous et saluant la terre! Je peux bien vous l'avouer, mon capitaine je sais faire une autopsie ! Celle-ci sera pour moi la sept mille deux cent deuxième. La sept mille deux cent unième a été celle de Jaurès, en août. Si vous aviez vu la tête affolée du bon gendarme" s'esclaffa le docteur Paul qui ne peut contenir sa gaieté en me racontant, six ans plus tard, cette savoureuse anecdote. Et quelle est, dit-il à mon tour, la plus intéressante de toutes les affaires que vous avez eues à débrouiller ? Le docteur se recueillit un instant, puis me répondit: En vérité, je ne saurais le dire. Pour nous, l'affaire la plus intéressante, ce n'est pas celle dont la presse parle le plus. C'est quelquefois une affaire bien obscure, qui nous oblige à de longues et patientes recherches. C'est moins à cause des détails et des circonstances qui entourent un crime, que de la difficulté à reconstituer la mort de la victime, ce que nous nous passionnons. Bien souvent, les éléments nous manquent pour éclaircir le mystère. La cause qui a déclenché l'assassinat peut être sans grand intérêt. Mais arriver à comprendre cette cause, à la bien déterminer. Quelquefois cela nous est impossible et nous devons nous avouer vaincus. Les trois grandes énigmes crime, suicide, accident restent indéchiffrables. Exemple cette jeune fille qui meurt dans le | médi légiste, qu'il ne cnnsst pas et, finalement, laisse tmbe "Savez-vous faire un autopsie, mon garçon ?" Mais oui, mon capitaine Oui ?", dit le docteur Paul. "Oui ?", reprit le capitaine, hum, c'est que n autopsie, je sais ce que c'est j'ai été attaché au parquet c'est une chose très, très difficile. r, vous n'avez que deux galons. J'aurais mieux aimé qu'on m'envoie un médcn cinq galons. Le docteur Paul se mrdt les lèvres pur ne pas écltr d rire au nez de son supérieur hiérarchique. C dernier, paternellement, reprit : "Voyons mon garçon, y'ezan pas peur de me l'avouer savez-vous faire une autopsie ? Vous ne serez pas puni ! Alors ls modeste deux galons se mettant au garde à vous t slnt la terre! Je peux bn vous l'vr, mon capitaine je sais fir ne autopsie ! Celle-ci sera pr omi la sept mille deux cent deuxième. La sept mille deux cent eèumni a té celle de Jaurès, n août. Si vous aviez v la tête affolée du bon gendarme" s'esclaffa le docteur Paul qui ne peut contenir sa atgéie en me racontant, six ans plus trd, cette savoureuse anecdote Et quelle est, iil à mon tour, l plus intéressante de toutes les affaires q vus avez s à débrouiller Le rucdtoe se recueillit un instant, puis me répondit: En vérité, je n saurais le dr. Pour nous, l'affaire la plus intéressante, ce n'est pas celle dont la presse parle le plus C'est qlqfs une affaire bien obscure, qui ns oblige à de longues t patientes recherches. C'est moins à cause ds détls et d circonstances qui entourent un crm, que de la difficulté à reconstituer la mort de la vctm, c que nous ns passionnons. Bien souvent, les éléments nous manut pour éclaircir le mystère. La cause qui a déclenché lassassinat peut être s grand intérêt. Mais arriver comprendre cette cause, à la be déterminer. Quelquefois cela u est impossible et nous devons ous avouer aic. Les trois grnds énigmes crime, suicide, accident restent indéchiffrables. Exemple cette jeune fille qui met dans le |
tour, la plus intéressante de toutes les affaires que vous avez eues à débrouiller ? Le docteur se recueillit un instant, puis me répondit: En vérité, je ne saurais le dire. Pour nous, l'affaire la plus intéressante, ce n'est pas celle dont la presse parle le plus. C'est quelquefois une affaire bien obscure, qui nous oblige à de longues et patientes recherches. C'est moins à cause des détails et des circonstances qui entourent un crime, que de la difficulté à reconstituer la mort de la victime, ce que nous nous passionnons. Bien souvent, les éléments nous manquent pour éclaircir le mystère. La cause qui a déclenché l'assassinat peut être sans grand intérêt. Mais arriver à comprendre cette cause, à la bien déterminer. Quelquefois cela nous est impossible et nous devons nous avouer vaincus. Les trois grandes énigmes crime, suicide, accident restent indéchiffrables. Exemple cette jeune fille qui meurt dans le cabinet d'un médecin d'un coup de poignard au cœur. On soupçonne la médecin, qui était en relations amicales avec la jeune fille et qui, de plus, pouvait se créer des motifs de jalousie. Pourtant on ne sait pas la vérité. On n'a jamais pu serrer les faits et les auteurs. UN GRAND MATCH DE BOXE A PARIS Carpentier et Siki se rencontreront dimanche prochain C'est après-demain, dimanche, que se disputera, au vélodrome Buffalo, pour le titre de champion d'Europe des poids lourds et aussi si les adversaires font le poids pour le titre de champion du monde des mi-lourds, le combat Georges Carpentier contre Battling Siki. Cette rencontre, sans présenter un attrait sportif hors pair, sera néanmoins suivie avec un très grand intérêt par le public parisien. Georges Carpentier n'a pas cessé d'être l'idole de ce public, et ses admirateurs ne lui reprochent guère que la rareté de ses apparitions sur un ring de la capitale. Il y a, en effet, plus de trois années que Georges Carpentier n'a pas livré combat à Paris son dernier match, qui se termina par une brillante victoire sur Dick Smith, remonte au 19 juillet. C'est donc, pour le champion, une véritable rentrée qu'il | tr, la lspu intéressante de toutes les affaires que vous avez eues à débrouiller Le docteur se recueillit un instant, puis me répondit: En vérité, je ne saurais le dr. Pour nous, l'ffr la plus intéressante, ce n'est pas celle dont la presse parle le plus. Cest quelquefois une afare bien obsre qui nous oblige à de longues et patientes recherches. C'est moins à cause éa et des circonstances qu entourent un crime, que de la difficulté à reconstituer la mort de la victime, ce que nous nous passionnons. Bien souvent les éléments nous manquent pour éclaircir le mystère. L cause qui a déclenché l'assassinat peut être sans grand it Mais arriver à comprendre cette cause, la bien déterminer. Quelquefois cla nous est impossible et nous devons nou vr vaincus. Les toi grandes énigmes crime sucide accde restent dhifbl. Exemple ectet jeune fille qui er dans l cbnt 'un médecin d'un oupc de poignard au cœur. n soupçonne la médecin q étt en relations amicales avec la eujen fille et i, d plus, pouvait se créer des motifs d jalousie. Putat on n sait pas la vérité. On n'a jamais pu serrer l faits et les auteurs. UN GRAND MATCH D BOXE A PARIS Carpentier et ki se rncntrrnt dimanche poca C'est après-demain, dimanche, que se disputera vélodrome Buffalo, pour le ttr de chmpn d'Europe des poids lourds et aussi si les adversaires font le poids pour le te de pcoihanm du monde des mi-lourds, le combat Georges Carpentier contre gttnlaiB Siki. Cette rencontre, sans péener un attrait sportif hors pr, sera néanmoins sv avec un très grnd intérêt par le public parisien. Georges Crpntr n'a pas cessé d'être l'dl de e public, et ses admirateurs ne lui reprochent guère que la rareté de ses apparitions sur un ring de l capitale Il y a, en effet, plus de i années q Georges Carpentier n'a ps livré combat à Paris son dernier match, qui es tra par une brllnt victoire sur Dick Smith, remonte au 19 juillet 'est donc, pour le champo une véritable rentrée qu'il |
UN GRAND MATCH DE BOXE A PARIS Carpentier et Siki se rencontreront dimanche prochain C'est après-demain, dimanche, que se disputera, au vélodrome Buffalo, pour le titre de champion d'Europe des poids lourds et aussi si les adversaires font le poids pour le titre de champion du monde des mi-lourds, le combat Georges Carpentier contre Battling Siki. Cette rencontre, sans présenter un attrait sportif hors pair, sera néanmoins suivie avec un très grand intérêt par le public parisien. Georges Carpentier n'a pas cessé d'être l'idole de ce public, et ses admirateurs ne lui reprochent guère que la rareté de ses apparitions sur un ring de la capitale. Il y a, en effet, plus de trois années que Georges Carpentier n'a pas livré combat à Paris son dernier match, qui se termina par une brillante victoire sur Dick Smith, remonte au 19 juillet. C'est donc, pour le champion, une véritable rentrée qu'il fera dans son combat avec le Sénégalais Siki. Carpentier s'entraine en Berry, et Siki, à la porte Maillot. Certains estiment que la bataille sera inégale et que le passé sportif du noir ne le désignait pas pour se mesurer avec celui qui osa, sans prétention exagérée, affronter le champion du monde, Dempsey. Tel n'est pourtant pas l'avis de Georges Carpentier, non plus que celui de son manager Descamps. L'un et l'autre estiment que Siki, souple et agile comme un félin, solide comme un nègre, peut être très dangereux pour les champions les plus réputés. En conséquence, Carpentier a, depuis plusieurs semaines déjà, commencé un entraînement intensif. Comme lors de ses précédents combats, c'est à la Guéret-sur-Aubois, chef-lieu de canton du Cher, posé au milieu de cette riche région agricole du Berry, qu'il a établi son quartier général. Là, Descamps a créé une fabrique de boîtes à fromage dans les dépendances de laquelle il a installé le boxeur et sa suite. Dans ce cadre paisible, Georges Carpentier mène une véritable existence de cénobite. Levé dès l'aube, il est à sa préparation jusqu'à la nuit tombante et se soumet, sous la férule de son manager, à une vie d'action et de grand | UN GRAND MATCH DE BOXE A SRPAI Carpentier et Siki se rencontreront dimanche i C'est après-demain, dimanche, que se disputera au vélodrome Buffalo, pour le titre de cin dEurope des dposi lourds et aussi s les adversaires font le p pour le titre de champion du mnd des mi-lourds, l cmbt Georges Carpentier contre Battling Siki. Cette rencontre, san présenter un attrait sportif hors pair, sera néanmoins suivie avec un très grnd intérêt par le pblc rse. Georges Carpentier n'a pas cessé d'être 'idole de ce public, et ses admirateurs ne lui reprochent guère que l rrté de ses apparitions sur un ring de la capitale Il y a, en fft, plus de trois années que Georges Carpentier n'a pas livré combat à Paris son dernier match, qui s termina par une brillante victoire sur Dick Smith, remonte au 19 juillet. Ct donc, pour le champion, ue véritable renté qu'il fera dans son combat vc le Sénégalais Siki. Carpentier sentraine en Berry, et Siki, à la porte Maillot. Certains estiment que bataille sera inégale t que le passé sportif du noir ne le adisnéitg pas pour e mesurer avec celui qui osa, sns prétention exagérée, affronter champion du monde, emp. Tel n'est pourtant pas lavis de Georges Carpentier, non ps que celui de son manager Dscmps. L'un e l'autre estiment que Siki, l t agile comme un félin, solide cmm un nègre, peut êtr è dangereux pr les hpio les plus réputés. En conséquence, Crpntr a, depuis plusieurs semaines déjà, commencé un entraînement intensif. Comme lors de ses précédents combats c'est la Guéret-sur-Aubois, chef-lieu de canton d Cher, posé au milieu de cette riche régn agricole d Berry, qu'il a établi son quartier général. Là, Descamps a créé u fabrique de boîtes à fromage dans les dépendances de laquelle il a nstllé le boxeur et sa iet.us Dans ce cadre paisible, Georges Carpentier mène une véritable xence de cénobite. Levé dès l'aube, il est à sa préprtn jsq' l nuit tombante et se soumet, sous la r de son manager, à n vie 'action et e grand |
monde, Dempsey. Tel n'est pourtant pas l'avis de Georges Carpentier, non plus que celui de son manager Descamps. L'un et l'autre estiment que Siki, souple et agile comme un félin, solide comme un nègre, peut être très dangereux pour les champions les plus réputés. En conséquence, Carpentier a, depuis plusieurs semaines déjà, commencé un entraînement intensif. Comme lors de ses précédents combats, c'est à la Guéret-sur-Aubois, chef-lieu de canton du Cher, posé au milieu de cette riche région agricole du Berry, qu'il a établi son quartier général. Là, Descamps a créé une fabrique de boîtes à fromage dans les dépendances de laquelle il a installé le boxeur et sa suite. Dans ce cadre paisible, Georges Carpentier mène une véritable existence de cénobite. Levé dès l'aube, il est à sa préparation jusqu'à la nuit tombante et se soumet, sous la férule de son manager, à une vie d'action et de grand air. Mais non de liberté c'est d'ailleurs celle qu'il menait à chacun de ses précédents entraînements nous n'y reviendrons pas. Signalons, cependant, que la journée se termine sur le ring par six reprises de trois minutes pendant lesquelles ses partenaires Bob Scanlon, Walker, Fritsch, Devos, etc., lui donnent à tour de rôle la réplique. Battling Siki, de son côté, soigne très sévèrement sa préparation. Jadis, il s'entraînait aux alentours de la porte Saint-Denis mais il a jugé ce quartier peu propice à un sérieux travail. Toutefois, il n'a pas fait, à l'instar de son adversaire, un lointain déplacement il s'est contenté de transporter ses pénates à la porte Maillot, et c'est dans l'enceinte d'un établissement où l'on se divertit, à Luna-Park, que, quotidiennement, il travaille à sa préparation. Battling Siki trouve, en ce quartier aristocratique, tous les avantages de la grande cité alliés à ceux de la campagne la plus solitaire il a, sous les pieds nous allions écrire sous la main cette merveilleuse promenade du bois de Boulogne, qui lui permet de se livrer, tous les matins, à un footing forcené; il a, dans l'établissement qui l'a adopté, un ring quelque peu fantaisiste, protégé par une tente rustique, rappelant | monde, Dempsey. Tel n'est pourtant pas l'avis de Georges Carpentier, non plus que celui de sn manager Descamps. L'un et l'autre estiment que Siki souple et agile comme un félin, solide comme un nègre, et être très dangereux pour les champions les plus réputés. En conséquence, Carpentier a, sdupei plusieurs semaines déjà, commencé un ntrînmnt ntnsf. omeCm lors de ses précédnts mt, c'est à la Guéret-sur-Aubois, cheflieu de canton u Cher, posé milieu de cette riche région agr du Berry, qu'il a établi son quartier général. Là, Descamps créé une fabrique de boîtes à fromage dans les dépendances de lqll il a installé le boxeur et sa suite. Dans ce cadre si, Georges Carpentier mène une véritable existence de cénobite. Levé dès l'aube, il est à sa préparation jusqu'à la nuit tombante et se soumet, sous la férule de son manager, à une vie d'action t de grand air. Mais non liberté c'est d'ailleurs celle qu'il mnt à chacun de ses précédents entraînements nos n'y reviendrons pas. Sgnlns, cependant, que la journée se termine sur le ring par six reprises de trois minutes pendant lesquelles ses partenaires Bob Scanlon Walker, Fritsch, Devos etc., lui dnnnt à tour de rôle la réplique. Big Siki, de son côté, soigne très sévèrement sa préparation. idaJs, il snîriatnae't aux alentours de la porte Saint-Denis mais il a jugé ce quartier peu propice à un r travail. Toutefois, il n' pas fait, à l'instar de son adversaire, un lointain déplcmnt il s'est cent d transporter ses pénates à la porte Maillot, et 'est dans l'enceinte d'un établissement où l'on s divertit, à Luna-Park, que, quotidiennement, il aail à sa préparation. Battling Siki trouve, en ce quartier aristocratique, tous les avantages de la grande cité alliés à ceux de la campagne la plus solitaire il a, sous les pieds nous allions écrire sous la main cette mrvlls promenade du bois e Boulogne, qui lui permet de se livrer, tous les matins à n footing forcené; il a, dans l'établissement qui l'a adopté, un ring quelque p fantaisiste, protégé par une tente ruiq, rappelant |
de rôle la réplique. Battling Siki, de son côté, soigne très sévèrement sa préparation. Jadis, il s'entraînait aux alentours de la porte Saint-Denis mais il a jugé ce quartier peu propice à un sérieux travail. Toutefois, il n'a pas fait, à l'instar de son adversaire, un lointain déplacement il s'est contenté de transporter ses pénates à la porte Maillot, et c'est dans l'enceinte d'un établissement où l'on se divertit, à Luna-Park, que, quotidiennement, il travaille à sa préparation. Battling Siki trouve, en ce quartier aristocratique, tous les avantages de la grande cité alliés à ceux de la campagne la plus solitaire il a, sous les pieds nous allions écrire sous la main cette merveilleuse promenade du bois de Boulogne, qui lui permet de se livrer, tous les matins, à un footing forcené; il a, dans l'établissement qui l'a adopté, un ring quelque peu fantaisiste, protégé par une tente rustique, rappelant celle que les nomades dressent parfois dans la brousse africaine et où il peut, durant de longues heures, pratiquer, sous la direction de son vigilant manager, mille exercices variés punching ball, saut à la corde, manœuvre de la masse, gesticulations diverses tenant à la fois des manuels du boxeur le plus agile et des pas les plus vifs et les plus savants de nos danseurs modernes. Bref, Siki, tout comme Carpentier, s'entraîne avec conscience il veut acquérir de l'endurance, il veut laisser passer l'ouragan, arriver à la huitième ou neuvième reprise. S'il y parvient et il l'espère bien il croit qu'il pourra disposer de Carpentier. Laissons-le à sa foi. il est assez près pour que la vérité en jaillisse Il y a tant d'autres cas analogues J'avoue que ces problèmes m'excitent au plus haut degré. Je suis littéralement emballé par cette passion spéciale que l'on peut appeler « la vérité médico-légale ». Il m'est arrivé, dans ma salle d'autopsie, à la Morgue, après des heures d'examen attentif et infructueux, de me laisser emporter jusqu'à empoigner le cadavre par les épaules, le secouer et lui crier presque avec rage « Mais parle ! Parle-moi ! Dis-moi quelque chose ! Dis-moi comment | de rôle l réplique. Battling Siki, de son côté, soigne très sévèrement sa préparation Jadis, il 'entraînait aux alentours de l porte Saint-Denis mais il a jugé ce quartier peu propice à un sérieux travail. Ttfs, il n'a pas fait, à linstar de o adversaire, un lointain déplacement il s'est contenté de transporter ses pénates à la porte Maillot, et c'est dans l'enceinte d'un établissement ù l'no se divertit, à Luna-Park, que, quotidiennement, il travaille à sa préparation. Battling Siki trouve, en ce qrtr aristocratique, tous le avantages de la grande cité alliés à ceux de la campagne la plus solitaire il a, sous les pieds nous allions écrr ss la mn cette merveilleuse prmnd du bois de Blgn, qui lui eptrme de se livrer, tous les matins, à un footing forcené; il , dans l'établissement qui l'a adopté, un rng quelque peu fantaisiste, protégé par une tente rustique rappelant lelec que les nomades dressent parfois dans la brousse africaine et où il peut, durant de ogue heures, pratiquer, sous la direction de son vigilant manager, mille exercices variés punching al saut à la ec,dor manœuvre de la masse, gesticulations verse tnnt à la fois ds manuels du bxr le plus agile et des pas ls sulp vifs et es plus savants de nos danseurs mones Brf, Siki tout cmm Carpentier, s'entraîne av conscience il veut acquérir de lduance, il vt laisser passer l'aga, arriver la hime ou nvèm reprise. S'il y parvient et il l'espère bien il croit qu'il pourra disposer de Carpentier. is-l à sa foi. il est assez près p que la vérité en jaillisse Il y a tnt d'autres cas analogues J'avoue que ces problèmes m'excitent au plus aut degré. Je ss littéralement el pr cette pssn spéciale que l'on peut pplr « la vérité elaéicd-éomgl ». Il m'est arrivé, dans ma salle d'autopsie, à la Morgue, après des heures d'examen ttntf et infructueux, de me laisser emporter jusqu'à empoigner le cadavre par les épaules le secouer et lui crier presque avec rage « Mais parle ! Parle-moi ! Ds-m uueeqql chose ! Dis-moi omtenmc |
plus agile et des pas les plus vifs et les plus savants de nos danseurs modernes. Bref, Siki, tout comme Carpentier, s'entraîne avec conscience il veut acquérir de l'endurance, il veut laisser passer l'ouragan, arriver à la huitième ou neuvième reprise. S'il y parvient et il l'espère bien il croit qu'il pourra disposer de Carpentier. Laissons-le à sa foi. il est assez près pour que la vérité en jaillisse Il y a tant d'autres cas analogues J'avoue que ces problèmes m'excitent au plus haut degré. Je suis littéralement emballé par cette passion spéciale que l'on peut appeler « la vérité médico-légale ». Il m'est arrivé, dans ma salle d'autopsie, à la Morgue, après des heures d'examen attentif et infructueux, de me laisser emporter jusqu'à empoigner le cadavre par les épaules, le secouer et lui crier presque avec rage « Mais parle ! Parle-moi ! Dis-moi quelque chose ! Dis-moi comment ou pourquoi tu as tué ! » Le délicat, c'est de s'abstraire de toute influence et oublier ce qui a été dit, écrit, insinué. Ne compter que sur les données de l'examen et les déductions expérimentales. Notre rôle, c'est cela. Nécessité d'être le conseiller technique du magistrat, que l'on suit pas à pas dans son instruction, l'empêchant de s'égarer quand ses soupçons l'écartent des indications précises fournies par le corps de la victime exposer à ce magistrat les diverses hypothèses plausibles. S'il s'agit d'une femme, le renseigner sur ce que furent les mœurs de cette femme, leur nature nous est nettement révélée par notre examen nous transporterons sur les lieux du crime, aider les services de l'identité judiciaire dans la prise des photographies et la recherche des traces de sang confronter les données ainsi recueillies, tout au long de ces patientes investigations que le public ignore presque toujours, et qui représentent un effort, un travail cérébral et matériel considérable. Les qualités du médecin légiste Tout cela, continua le docteur Paul, exige une certaine somme de qualités de la part du médecin légiste. Les principales sont les suivantes 1° La santé. Il faut, dans notre métier, être toujours prêt, de jour, | plus agile t des pas les plus vifs et les plus savants d nos danseurs modernes. Bref, Siki, tout comme Carpentier, s'entraîne avec conscience il veut acquérir de lendurance il vt laisser passer l'rgn, arriver à la huitième ou neuvième reprise. S'il y prvnt et l'espère bien il croit qu'il orapur disposer de Carpentier. Laisns à sa foi. il st ae près pour que la vérité en jaillisse Il y a tant 'autres cas analogues J'avoue que ces prblèms m'excitent au plus haut degré. Je suis littéralement emballé par cette passion spéciale que l'on peut appeler « la vérité médico-légale ». Il mest arrivé, dans ma alle d'autopsie, à la Morgue, après des hrs d'examen attentif et infructueux, me laisser emporter jusqu'à empoigner le aecardv par les épls, le secouer et lui crier sue avec rage « Mais parle ! Prl-m ! Dismoi quelque chose ! Ds-m comment ou pourquoi tu as té ! » Le délicat, c'est de s'abstraire de toute influence t oublier ce qui a été dit, écrit, nsné. Ne compter que sur les données de l'examen et les déductions expérimentales. Notre rôle, 'est ecal. Nécessité d'être le conseiller technique du magistrat, que l'on suit pas pas dans son sni,coitunrt l'empêchant de s'égarer quand ses soupçons l'écartent des indications précises fournies par le corps de la victime exposer à ce magistrat les diverses hypothèses plausibles. S'l 'agit d'une femme, le renseigner sr ce que rtefun mœurs de cette fmm, leur nature ns est nttmnt révélée par notre examen nous transporterons sur les liuxe du crime, aider les services de l'identité judiciaire dans la prise des photographies la recherche des traces de sang confronter les données aisi recueillies, tt au nlog de ces patientes investigations que le public ignore presque toujours, et qui représentent un effort, un travail ébl et matériel considérable. Les qualités d médecin légiste Tout cela, continua le docteur Paul, exige une certaine somme de qualités de la part du médecin légiste. Les principales sont les suivantes 1° La snté. Il faut, dans notre métier, être toujours prêt, de jour, |
pas à pas dans son instruction, l'empêchant de s'égarer quand ses soupçons l'écartent des indications précises fournies par le corps de la victime exposer à ce magistrat les diverses hypothèses plausibles. S'il s'agit d'une femme, le renseigner sur ce que furent les mœurs de cette femme, leur nature nous est nettement révélée par notre examen nous transporterons sur les lieux du crime, aider les services de l'identité judiciaire dans la prise des photographies et la recherche des traces de sang confronter les données ainsi recueillies, tout au long de ces patientes investigations que le public ignore presque toujours, et qui représentent un effort, un travail cérébral et matériel considérable. Les qualités du médecin légiste Tout cela, continua le docteur Paul, exige une certaine somme de qualités de la part du médecin légiste. Les principales sont les suivantes 1° La santé. Il faut, dans notre métier, être toujours prêt, de jour, de nuit, n'importe quel moment, se transporter dans un palais comme dans un galetas. Il n'y a pas d'heures pour le sommeil, pas plus que pour les repas. On doit, parfois, partir en voyage, de la façon la plus impromptue. 2° Savoir se dominer, pour ne pas juger avec passion, ne pas écouter les rumeurs publiques, ni la presse dont le médecin légiste doit être le conseiller, en cherchant à lui éviter le parti-pris envers un innocent qui a les apparences contre lui, et en canalisant ses efforts pour retrouver le vrai coupable. J'estime que c'est l'œuvre la meilleure, la plus utile que j'ai accomplie dans mon existence d'avoir bien renseigné la presse. 3° Savoir exposer clairement son opinion, aux juges comme aux jurés, et la leur faire partager, et cela sans phraséologie médicale, ne dissimulant souvent que de l'ignorance. Le cauchemar du médecin légiste c'est d'assister à un verdict général contre un innocent. Celui-ci, souvent, ne peut fournir aucun alibi, et faire la preuve de son innocence. On sent qu'il n'est pas coupable, mais il a l'opinion publique contre lui. Comment faire pour démontrer sa non-culpabilité Il y a plusieurs cas. Défendre un innocent « qui n'a pas le | pas à pas dans son cnnutii,orst l'empêchant de ségarer und ses soupçons l'écartent des indications précises fournies par le crps de la vctm exposer à ce magistrat les diverses hypothèses plausibles. S'il s'agit d'n fmm, le renseigner sur ce que furent les mœurs de cette femme, leur nature est nettement révélée par notre examen n transporterons sr les lieux du crime, aider les srvcs de 'denit judiciaire dans la prise des photographies et la echerch s traces de sang confronter les dnnés ainsi recueillies, t og ces ptnts ivetigt q le public ignore presque toujours, et qui représentent un effort, n travail cérébral et matériel considérable Les qualités d médecin légiste Tout cela, continua le docteur Pl, exige uen certaine somme de qualités de la part du médcn légiste. Les principales sont les suivantes 1° La santé. Il faut, dans notre métier, être tjrs prêt, de jour, de nuit, n'importe quel moment, se tespornrart dans un paais comme dans un galetas. Il n'y a pas d'hrs pour le sommeil, pas plus que pour les rps. On doit, parfois, partir en voyage, de la façon la plus impromptue 2° Savoir se di,enmor pour ne pas juger vc passion, ne pas éctr les rumeurs publiques, ni l presse dont l médecin légiste doit être le conseiller, en cherchant à lui éviter le parti-pris envers un innocent qui a les apncs contre lui, et en canalisant ses efforts pour retrouver le vrai coupable J'estime que c'est l'œuvre la mllr, la plus utile que j'ai accomplie dans mon extene d'avoir bien renseigné la presse. 3 Savoir exposer laemnrceti son opinion, aux juges comme aux jurés, et la leur faire prtgr, et cela ss phraséologie médicale, ne dissimulant souvent que de lancrin'.geo Le uear du médecin légiste c'est d'assister à un verdict général contre un innocent. Celui-ci, souvent, ne peut fournir aucun alibi, e faire la preuve de son innocence. On sent qu'il n'est pas coupable, mais il a 'opinion publique contre lui. Comment faire pour démontrer sa non-culpabilité Il y plusieurs c. Défendre un innocent « qui n'a pas le |
ne pas écouter les rumeurs publiques, ni la presse dont le médecin légiste doit être le conseiller, en cherchant à lui éviter le parti-pris envers un innocent qui a les apparences contre lui, et en canalisant ses efforts pour retrouver le vrai coupable. J'estime que c'est l'œuvre la meilleure, la plus utile que j'ai accomplie dans mon existence d'avoir bien renseigné la presse. 3° Savoir exposer clairement son opinion, aux juges comme aux jurés, et la leur faire partager, et cela sans phraséologie médicale, ne dissimulant souvent que de l'ignorance. Le cauchemar du médecin légiste c'est d'assister à un verdict général contre un innocent. Celui-ci, souvent, ne peut fournir aucun alibi, et faire la preuve de son innocence. On sent qu'il n'est pas coupable, mais il a l'opinion publique contre lui. Comment faire pour démontrer sa non-culpabilité Il y a plusieurs cas. Défendre un innocent « qui n'a pas le sou » ou qui n'appartient pas au monde politique, voilà qui est relativement facile. Les passions humaines ne sont guère excitées. Mais au contraire, avoir à se faire l'avocat d'un grand seigneur de la finance ou du pouvoir. Assez récemment, j'ai été appelé dans une ville importante de l'Est où se jugeait un procès pourtant bien parisien, à cause des personnalités en jeu. L'inculpé avait à répondre d'un délit militaire. L'expertise que j'avais pratiquée à son égard ne m'avait pas le moins du monde convaincu de sa culpabilité. Eh bien, je me suis borné à exposer aux jurés et aux membres de la cour ce que j'entendais par « le doute médico-légal ». Le médecin légiste doit être affirmatif quand il est absolument sûr de lui. Dans le cas contraire, si pénible que soit un tel aveu d'impuissance, il doit déclarer sa neutralité, du moins n'en retirer que des rires, des quolibets voire même des suspicions. Tels sont les principes de la grande école de Brouardel, dont j'ai puisé les leçons. Le premier « succès » Quel fut, demandai-je au docteur Paul, votre premier « succès » ? L'affaire du capitaine Meynier. me répondit-il. On avait trouvé son amie, la | ne pas écouter les rumeurs pliqus, ni la presse dnt le médecin légiste doit être le cnsllr, en cherchant à lui ver le parti-pris nvrs un innocent qui a les parenes cntr lui, et en canalisant sse eff pour retrouver le vrai coupable. J'estime que c'est lœuvre la meilleure, l plus utile que j'ai accomplie dans mon exinc d'avoir bien renseigné la presse. 3° Savoir exposer clairement son opinion, aux juges comme aux jurés et la leur faire partager, et cela sans phrsélg médicale, ne dissimulant souvent que de l'ignorance. Le cauchemar du médecin légiste c'est 'assister à un verdict général contre un en. Celui-ci, souvent, ne peut fournir aucun alibi, et aefir la preuve de son innocence. On sent qu'il n'est pas coupable, mais il a l'opinion publique cotre lui. tmoCenm faire pour démontrer sa nonculpabilité Il y a plusieurs cas. Défendre un innocent « q ' ps le sou » ou qui n'appartient pas monde lqutipio,e voilà qui est relativement facile. Les passions humaines ne sont guère excitées. Mais contraire, avoir à se faire l'avocat d'n grand seigneur de la finance ou du vi e récemment, j'ai été appelé dans une ville importante d 'Est où se jugeait un procès pourtant bien parisien, à cause des personnalités en jeu. L'inculpé avait à répondre d'un délit militaire. L'xprts que j'avais prtqé à son égard en m'avait pas le moins du monde convaincu de sa culpabilité. Eh bien, je me suis borné à exposer aux jurés et aux membres de la cour ce que j'entendais par « le doute médico-légal ». Le médecin légiste doit être affirmatif qnd il est absolument sûr de lui. Dans le cas contraire, si pénible que st un tel v d'impuissance, il doit déclarer sa neutralité du moins n'n retirer que des rires, des quolibets eirvo même ds suspicions. Tels ot les pirencsip de la grande école de Brur, dont j'ai puisé les sç.nelo Le premier succès » Quel fut, demandai-je au docteur Paul, votre premier « succès » ? 'affir du capitaine Meynier. me répondit-il. On vt trouvé son amie, la |
se jugeait un procès pourtant bien parisien, à cause des personnalités en jeu. L'inculpé avait à répondre d'un délit militaire. L'expertise que j'avais pratiquée à son égard ne m'avait pas le moins du monde convaincu de sa culpabilité. Eh bien, je me suis borné à exposer aux jurés et aux membres de la cour ce que j'entendais par « le doute médico-légal ». Le médecin légiste doit être affirmatif quand il est absolument sûr de lui. Dans le cas contraire, si pénible que soit un tel aveu d'impuissance, il doit déclarer sa neutralité, du moins n'en retirer que des rires, des quolibets voire même des suspicions. Tels sont les principes de la grande école de Brouardel, dont j'ai puisé les leçons. Le premier « succès » Quel fut, demandai-je au docteur Paul, votre premier « succès » ? L'affaire du capitaine Meynier. me répondit-il. On avait trouvé son amie, la baronne Olivier d'Aulnois, étranglée dans une chambre d'hôtel, rue de Rome, et couchée sur le lit. On ignorait les causes de cette mort et, naturellement, quel était l'assassin. Je suis mandé auprès de la victime. Je l'examine. À première vue, peu de données. En regardant mieux, je découvre deux choses : des traces d'application de chloroforme sur son visage et de légères marques rouges même pas des ecchymoses sur la face extérieure de ses cuisses. Sur la table de nuit, je trouve un flacon de chloroforme. Le drame se reconstitue en imagination et je formule un diagnostic « Crime passionnel. » Les recherches s'aiguillent sur la bonne voie. Meynier est arrêté je vais le voir dans sa cellule et là, réussis, en lui jetant Le 5.3.-Feuilleton du Petit Parisien du 22-9-1922 ̃ LES OUBLIETTES SEPT GRAND ROMAN INÉDIT TROISIÈME PARTIE LA CAGOULE ROUGE VIII (suite) La justice des « Quarante-Sept » serait inflexible, il le savait. Il savait aussi que si, d'après leur loi, la trahison impliquait la mort, s'ils disaient au coupable : Tu n'as plus le droit de vivre, eux, ne tuaient point. Le mystère du châtiment ne lui était point dévoilé, mais il pensait qu'à ce moment, | se jugeait un procès ant bien prisin, à cause des personnalités en jeu. L'inculpé avait à répondre 'un délit mltr. L'expertise euq j'avais pratiquée à son égard ne m'avait pas le moins du monde convaincu de sa culpabilité. E bien, je me si borné à exposer ax jurés et aux membres de la cour ce que j'entendais par « le doute médioléga ». Le médecin légiste ot être affirmatif quand il est absolument sûr de lui. Dans le cas contraire, si pénible que soit un tel aveu d'impuissance, il i déclarer sa neutralité, du moins n'en rete que des rires, des qui voire même des suspicions. Tels sont les prncps de la grande école d rel dont j'ai puisé les leçons. Le premier « succès » Quel fut demandai-je au docteur Paul, oevtr premier « succès » ? L'affaire du capitaine Meynier. me répondit-il. n avait tro son amie, la baronne Olivier d'Aulnois, étranglée dns une chambre d'hôtel, rue de Rome, et couchée sur le lit. On ignorait les causes d cette mort et, naturellement, quel était l'assassin. Je suis mandé auprès de l victime. Je l'xmn. À première vue, peu de données. En regardant mieux, je découvre deux choses : des traces d'application de chorofm sur son g et de légères marques rouges même pas des ecchymoses sur la face extérieure de ses cuisses. Sur la table de nuit, je trouve un flacon de chloroforme. Le drame s csittuneeor en imagination et je formule n diagnostic « Crime passionnel. » Les recherches s'aiguillent sr la bonne voie. Meynier est arrêté je vais le voir dns sa cellule et là, réussis, en lui jetant Le 5.3.-Feuilleton du Ptt Parisien du 222299-1- ̃ LES OUBLIETTES SEPT GRND ROMAN INÉDIT TROISIÈME PARTIE LA CAGOULE ROUGE VIII (suite) La justice des « Quarante-Sept » srt nflxbl, il le savait. Il savait aussi que si, d'après leur loi, la trahison ilut la mort, s'ils disaient au olebcapu : n'as plus le drt de vivre, eux, ne tuaient point. L mystère du châtiment ne lui étt point dévoilé, mais il it qu'à ce moment, |
: des traces d'application de chloroforme sur son visage et de légères marques rouges même pas des ecchymoses sur la face extérieure de ses cuisses. Sur la table de nuit, je trouve un flacon de chloroforme. Le drame se reconstitue en imagination et je formule un diagnostic « Crime passionnel. » Les recherches s'aiguillent sur la bonne voie. Meynier est arrêté je vais le voir dans sa cellule et là, réussis, en lui jetant Le 5.3.-Feuilleton du Petit Parisien du 22-9-1922 ̃ LES OUBLIETTES SEPT GRAND ROMAN INÉDIT TROISIÈME PARTIE LA CAGOULE ROUGE VIII (suite) La justice des « Quarante-Sept » serait inflexible, il le savait. Il savait aussi que si, d'après leur loi, la trahison impliquait la mort, s'ils disaient au coupable : Tu n'as plus le droit de vivre, eux, ne tuaient point. Le mystère du châtiment ne lui était point dévoilé, mais il pensait qu'à ce moment, si sa main ne pourrait, pour un pardon qu'on n'accorde pas au crime, se tendre en signe d'oubli vers celle du coupable, elle l'aiderait peut-être, sinon à éviter la rigueur, du moins à la surmonter, à expier, à marcher dans la voie droite. J'ai fait avec lui plus que mon devoir, se répétait-il. Je veux faire plus que mon devoir encore. Et lui aussi était parti pour cette traversée de l'Océan, la grande route mouvante qui, à intervalles plus ou moins rapprochés, emportait vers leur destinée les êtres que le Sort allait réunir ou séparer. Pour la première fois depuis son retour à Philadelphie, May Harlan venait aux Liannes. Elle y arriva dans le courant de l'après-midi. On devait dîner, tard, en petit comité, chez Grégory. Le lendemain avait lieu à l'hôtel Harlanson la grande réception des « Quarante-Sept » Tradition et reproduction Interdites pour tous paiement, Copyright by Georges Alldauce isïï. au visage le récit du meurtre, le faire avouer. Son propre récit confirma le mien. Le capitaine se trouvait auprès de son amie, en conversation intime, lorsque elle lui révéla un fait qui mit Meynier au comble de la fureur jalouse. Se saisissant du flacon de chloroforme qu'il | : des traces d'application de chloroforme sur son visage et de légères marques rouges même s esd ecchymoses sr la face extérieure de ses cuisses. Sur la table de nuit, je trouve un flacon de chloroforme. Le drame se reconstitue en imagination et je formule un diagnostic « Crime passionnel. » es recherches s'aiguillent sur la bonne voi. Meynier st arrêté je vais le voir dans sa cellule là, réussis, en lui jetant Le 53Feuilleton ud Ptt Parisien du 22-9-1922 ̃ LES OUBLIETTES SEPT GRAND ROMAN INÉDIT TROISIÈME PARTIE LA CAGOULE ROUGE VIII (suite) La jstc des « Quarante-Sept » serait inflexible, il le savait. Il savait aussi que si, d'après leur l, la trahison impliquait la mort, s'ils disaient au coupable : Tu n'as plus le droit de vivre, x, ne tuaient pnt. Le mystère du châtiment ne li était point dévoilé mais il pensait qu'à ce moment, si sa main ne pourrait, pour un pardon qu'on n'accorde pas au crime, s tendre en signe d'oubli vers celle du coupable, elle l'aiderait peut-être, sinon à éviter a rigueur, du moins à la surmonter à xpr, à crreham dans l voie droite. J'ai fait avec liu plus ue mon devoir se répétait-il. e veux faire plus que mon devoir ncr. Et ui ss était parti p cette traversée de l'Océan, la grnd route mvnt qui, à intervalles plus ou moins rapprochés, mprtt vers leur destinée les êtres que le Sort allait réunir ou éa Pour la première fois depuis sn retour à Philadelphie, May Harlan venait aux Liannes. Elle y rrv dans le courant de l'après-midi. On dt dîner, tard, en petit comité, hzce Grér Le lendemain avait lieu à l'hôtel Harlanson la grande réception des « Quarante-Sept » Tradition t reproduction Interdites pour tous paiement, Copyright by goeseGr Alldauce isïï. au visage le récit du meurtre le faire avouer. Son propre réct confirma le mien. Le capitaine s trouvait auprès son amie, en conversation intime, lorsque elle l révéla un fait qui mit Meynier au comble de la fureur jalouse. Se saisissant du flacon de chloroforme qu'il |
devoir, se répétait-il. Je veux faire plus que mon devoir encore. Et lui aussi était parti pour cette traversée de l'Océan, la grande route mouvante qui, à intervalles plus ou moins rapprochés, emportait vers leur destinée les êtres que le Sort allait réunir ou séparer. Pour la première fois depuis son retour à Philadelphie, May Harlan venait aux Liannes. Elle y arriva dans le courant de l'après-midi. On devait dîner, tard, en petit comité, chez Grégory. Le lendemain avait lieu à l'hôtel Harlanson la grande réception des « Quarante-Sept » Tradition et reproduction Interdites pour tous paiement, Copyright by Georges Alldauce isïï. au visage le récit du meurtre, le faire avouer. Son propre récit confirma le mien. Le capitaine se trouvait auprès de son amie, en conversation intime, lorsque elle lui révéla un fait qui mit Meynier au comble de la fureur jalouse. Se saisissant du flacon de chloroforme qu'il avait apporté pour camoufler un mal de dent dont il souffrait, il imbiba un mouchoir et l'appliqua, jusqu'à suffocation complète, sur le nez et la bouche de sa victime, cependant qu'il maintenait celle-ci sous lui, pour l'empêcher de se débattre (d'où les traces rouges des cuisses). Le vrai criminel, ajouta le docteur Paul, était donc découvert. Et alors, j'éprouvai, pour la première fois, cette impression qui doit, je pense, être commune à tous ceux qui se trouvent dans mon cas. Après l'âpre obéissance à l'instinct sauvage qui nous aiguille sur la piste du coupable, et que je comparerai à celui du chien de chasse à la poursuite du gibier, un profond sentiment de pitié, devant le coupable sans défense, traqué, abattu le chien de chasse n'ose plus ramasser sa proie. Quelque chose d'humain nous émeut et nous empêche d'accabler celui qui fut un sadique, une brute ou un apache, mais n'est plus alors qu'un pauvre diable. M. Montabré. ( À suivre. ) Le vampire du Chemin-de-Fer Mercy-Midi M. Valat avait coutume de faire des versements francs par son heureux rial; Celui-ci ayant refusé, il le tua M. Leroy, juge d'instruction, a longuement interrogé hier, en présence de M. Pierre Dessaignes, | devoir, se répétait-il. Je veux faire plus que mon devoir encore. Et l aussi éti parti pour cette traversée de l'Océn, la grnd route mvnt qui, à intervalles plus ou moins rapprochés, mtietpoar vers leur dstné les êtres que le Sort allait rénr ou séparer. Pour la première sfio depuis son retour à Philadelphie, May Harlan venait x Liannes. l y arriva dans le courant d apsmid. On devait dîner tad n petit ,ioétmc chez Grégory. Le lendemain avait lieu à l'ôel Harlanson la grnd récptn des « Quarante-Sept » Tradition et reproduction ntrtes pour tous pmnt, Copyright by Georges Alldauce isïï. au aviegs l réct du meurtre, le faire uver.ao Sn prpr récit confirma le mien. Le capitaine se trouvait auprès de son amie, en conversation intime, lorsque elle lui révéla n fait qui mit Meynier au comble d la fureur jalouse. Se saisissant du flacon de chloroforme qu'il avait apporté pour camoufler un mal de tend dont il souffrait, imbiba un mouchoir lu jsq'à suffocation complète, sur le nez et al bouche de sa victime, cpndnt qu'il maintenait cel-i sous lui, pour l'empêcher de se dbtt do esl aces uoesrg des cuisses). Le vrai criminel jt le docteur Paul, était donc découvert. Et alors, j'éprouvai, pour la première fois, cette impression qui doit, je pense, être cmmn à tu ceux uqi se trouvent dans mon cas Après l'âpre obéissance à linstinct svg qui nous aiguille sur la etsip u coupable, et que j comparerai à celui du chien de chasse à la poursuite du gibier, un profond sentiment de pitié, devant e coupable sans défense, traqué, abattu chien de chasse n'ose plus ramasser sa proie. Quelque cse d'humain nus émeut et nous empêche blaacc'erd celui qui fut un sqe une brute ou un apc, mais n'est plus alors qu'un pauvre diable M. Montabré ( À suivre. ) Le vmire du Chemin-de-Fer Mercy-Midi M. Valat vt coutume de faire des versements francs par son heureux rl; Celui-ci ayant refusé, il le tua . Leroy juge d'instruction, a longuement interrogé ,ehri en présence de M. Pierre Dessaignes, |
le docteur Paul, était donc découvert. Et alors, j'éprouvai, pour la première fois, cette impression qui doit, je pense, être commune à tous ceux qui se trouvent dans mon cas. Après l'âpre obéissance à l'instinct sauvage qui nous aiguille sur la piste du coupable, et que je comparerai à celui du chien de chasse à la poursuite du gibier, un profond sentiment de pitié, devant le coupable sans défense, traqué, abattu le chien de chasse n'ose plus ramasser sa proie. Quelque chose d'humain nous émeut et nous empêche d'accabler celui qui fut un sadique, une brute ou un apache, mais n'est plus alors qu'un pauvre diable. M. Montabré. ( À suivre. ) Le vampire du Chemin-de-Fer Mercy-Midi M. Valat avait coutume de faire des versements francs par son heureux rial; Celui-ci ayant refusé, il le tua M. Leroy, juge d'instruction, a longuement interrogé hier, en présence de M. Pierre Dessaignes, remplaçant le bâtonnier Henri-Hobert, son défenseur, le marchand de vins Basile Valat, qui, samedi dernier, 79, rue du Chemin-de-Fer Mercy-Midi, tua à coups de revolver l'entrepreneur de serrureries Henri Langlois, dont les bureaux sont situés dans le même immeuble. Valat a raconté au Petit Parisien l'a indiqué au lendemain du drame comment il s'était aperçu des relations coupables existant entre sa femme et M. Langlois, son ami et son client. Samedi matin, ayant pressé de questions sa femme, il en obtint des aveux et lui fit des reproches. Mais bientôt, a-t-il poursuivi, je fus descendu à la cave pour pleurer, car je sentais que j'allais la brutaliser et je ne le voulais pas. Lorsque je remontai, ma femme fit déclarer qu'elle allait se tuer et elle partit vers sa chambre. Il y avait des clientes dans la boutique, je ne pus la suivre mais, quelques instants après, je me précipitai derrière elle et pris le revolver dans l'armoire afin de l'empêcher de mettre son projet à exécution. Il était alors près de onze heures, et trois quarts d'heure après, le prédécesseur de M. Valat se présentait il venait toucher un billet. Cela me fit penser, a soutenu le meurtrier, que | le docteur Paul, était donc découvert. Et alors, j'éprouvai, pour la première fois, cette impression qui doit, je pense être commune à tous ceux qui se trouvent dans mon cas. Après l'âpre obéissance à l'instinct sauvage qui nous aiguille sur la piste du coupable, et que je comparerai à celui d cenih de chasse à la poursuite du gibier, un profond sentiment de pitié devant le coupable sans défense, traqué, abattu le chien de chasse n'ose plus ramasser sa proie. Quelque chose d'humain ns émeut et snuo empêche d'accabler celui qui ft un sadique, une ru ou un apache, mais n'est plus alors qu'un pauvre dbl. M. Montabré. ( À suivre. ) Le vampire du Chemin-de-Fer ricMiyMde- M. Valat avait coutume de faire des versements francs par sn heureux rial; Celui-ci ayant refusé, il l tua M. Leroy, juge d'instruction, a longuement neéroirgt hier, en présence de M. Pierre Dessaignes, remplaçant le bâtonnier Henri-Hobert, son défenseur, le marchand de vins Basile Valat, qui, samedi dernier, 79, rue du Chemin-de-Fer d-,cMrieiyM tua à coups de revolver l'entrepreneur de serrureries Henri Langlois, dont les bureaux sont situés nsad le même immeuble. Valat a raconté Petit Parisien l'a indiqué nmi du drame comment il 'était aperçu des relations coupables xstnt entre sa femme et M. Langlois, son ami t son client Samedi matin, ayant pressé de questions sa femme, il obtint des aveux t lui fit ds reproches. Mais bntôt, a-t-il poursuivi, j fus descendu à la cave pour pleurer, car j sentais que j'allais l brutaliser et je ne le voulais pas. Lorsque je remontai, ma femme fit déclarer qu'elle allait se tuer et elle partit vers sa chambre. Il y avait des clientes dans la boutique, je ne pus la suivre mais, quelques instants après, je me précipitai deri elle t pris le revolver dans l'armoire afin de l'empêcher de mettre son projet exécution. Il était alors près de onze ues et trois quarts d'heure après, le prédécesseur de M. Valat se présentait l venait toucher n billet. Cela me fit penser, a soutenu le meurtrier, que |
drame comment il s'était aperçu des relations coupables existant entre sa femme et M. Langlois, son ami et son client. Samedi matin, ayant pressé de questions sa femme, il en obtint des aveux et lui fit des reproches. Mais bientôt, a-t-il poursuivi, je fus descendu à la cave pour pleurer, car je sentais que j'allais la brutaliser et je ne le voulais pas. Lorsque je remontai, ma femme fit déclarer qu'elle allait se tuer et elle partit vers sa chambre. Il y avait des clientes dans la boutique, je ne pus la suivre mais, quelques instants après, je me précipitai derrière elle et pris le revolver dans l'armoire afin de l'empêcher de mettre son projet à exécution. Il était alors près de onze heures, et trois quarts d'heure après, le prédécesseur de M. Valat se présentait il venait toucher un billet. Cela me fit penser, a soutenu le meurtrier, que j'avais encore à payer 40.000 francs sur mon fonds. J'ai eu l'idée qu'en les payant je pourrais quitter le quartier. Mais je ne les avais pas et je songeais à les faire payer par Langlois, responsable de cette situation. C'était, en effet, fort simple. Valat y songea tout au long du déjeuner, pris en compagnie de son prédécesseur et auquel sa femme n'assista pas, demeurant dans sa chambre. Puis, le marchand de vins se rendit chez un homme d'affaires qui lui rédigea un billet de 40.000 francs. Toutefois, tout se rendre compte du peu de délicatesse de ce projet, car, en sortant de chez son conseil, Valat déchira son billet et en jeta les morceaux dans le ruisseau. Rentré chez lui, il attendit la venue de M. Langlois à son bureau, puis ce fut l'explication entre les deux hommes. Que s'était-il passé ? On l'ignorait jusqu'ici. Voici la version de l'inculpé J'appris à M. Langlois, a-t-il dit M. Leroy, que ma femme avait tout avoué, et je lui lis des rapports amers de sa trahison. Il me nargua. Je lui fis alors le tableau de mon foyer houleé et mon départ inévitable. Je lui demandai de payer les francs qui | rme comment il s'était aperçu des relations coupables existant entre sa mefme et M. sgilno,La son ami et osn client. Smd nt,ima ayant pressé de questions sa femme, il en obtint des vx et lui fit ds reproches. Mais et - poursuivi, e suf descendu à la cave pour pleurer, car j sentais que j'allais la brutaliser et je ne l voulais pas. Lorsque j remontai, m femme fit déclarer qu'elle allait se tuer et ll partit vers sa chambre. Il y avait des clientes dans la butiq je n pus la suivre mais, quelques instants après, je précipitai derrière elle et pris revolver dans l'aoir afin de l'empêcher de mettre son projet à exécution. Il était alors près de nz heures, et trois quarts d'heure après, le prédécesseur de M. Valat se présentait il venait toucher un le Cela me ft penser, soutenu le meurtrier, que javais encore à payer 40000 francs sur mon fnds. J'ai eu l'idée q'n les payant je pourrais quitter le quartier Mais je ne les avais pas et je songeais les faire yr par Langlois, responsable de cette situation. 'était, en effet, fort simple. ltVaa y songea tout au long du déjeuner pris en compagnie de son prédécesseur et uel sa fmm n'assista pa demeurant dans sa chambre. ,uiPs le marchand de vins se rndt chez un homme affirs qui l rédigea un billet de 40.000 francs Toutefois utto se rendre compte du peu de délicatesse de ce prjt, car, en sortant de chez son cnsl, Valat déchira son billet et en jeta les morceaux dans le ruisseau. Rentré chez lui, il ttndt la venue ed M. Langlois son bureau, puis fut l'xplctn entre les deux hommes Que s'était-il passé ? On l'ignorait jusqu'ici. Voici la version de l'inculpé ppr à M. Langlois, a-t-il dit M. Lroy,e ue ma femm avait tout avoué, et je lui lis des rapports amers d sa trahison Il me nargua. Je lui is alors le tableau de mon foyer hlé t mon départ inévitable. Je lui demandai de payer les francs q |
du déjeuner, pris en compagnie de son prédécesseur et auquel sa femme n'assista pas, demeurant dans sa chambre. Puis, le marchand de vins se rendit chez un homme d'affaires qui lui rédigea un billet de 40.000 francs. Toutefois, tout se rendre compte du peu de délicatesse de ce projet, car, en sortant de chez son conseil, Valat déchira son billet et en jeta les morceaux dans le ruisseau. Rentré chez lui, il attendit la venue de M. Langlois à son bureau, puis ce fut l'explication entre les deux hommes. Que s'était-il passé ? On l'ignorait jusqu'ici. Voici la version de l'inculpé J'appris à M. Langlois, a-t-il dit M. Leroy, que ma femme avait tout avoué, et je lui lis des rapports amers de sa trahison. Il me nargua. Je lui fis alors le tableau de mon foyer houleé et mon départ inévitable. Je lui demandai de payer les francs qui m'étaient nécessaires pour partir et pour assurer de mes enfants. Il me répondit en gouailleur, me disant que je n'étais pas à la parole. J'ai perdu la tête. Sortant le revolver que j'avais pris le matin pour empêcher ma femme de se suicider, je suis tiré plusieurs balles sans viser spécialement. Valant a terminé son récit en affirmant qu'il n'avait pas autrement brutalisé M. Langlois et qu'il n'avait pas menacé l'employé de celui-ci, M. Boileau, ainsi que ce dernier avait déposé au commissariat. L'INCIDENT D'ATHIS-MONS Nous avons annoncé que la municipalité communiste d'Athis-Mons a interdit au Souvenir patriotique de la localité de célébrer l'anniversaire de la Marne, solennité que M. Ribbel devait présider. Néanmoins, jusqu'à présent, ni le préfet de Seine-et-Oise, ni le sous-préfet de Corbeil n'ont été avisés de ce refus. On déclare d'ailleurs à la préfecture que, dans le cas où l'œuvre du Souvenir aurait l'intention de passer outre à l'opposition de la municipalité, des mesures seraient prises pour qu'on puisse procéder à cette commémoration. Un rapport sur l'attitude prêtée à la municipalité d'Athis-Mons a été demandé au sous-préfet de Corbeil. Sept, un repas où les seuls membres étaient admis, suivi d'une soirée sur invitations, présidée par la | du déjeuner, pris en compagnie de son prédécesseur et auquel sa femme n'assista pas, demeurant dans sa chambre. Puis, le haarcmnd de vins rendit chez un homme d'affaires qui lui rédigea un billet de 40.000 francs. Totefois, tt se rendre compte du peu de délicatesse de ce projet, car, en sortant de chz son conseil, Valat déchira son billet et n jeta les umecoarx dns le rss. Rentré chez lui, l attendit la venue d M. Langlois à son br, puis ce fut l'explication ntr les deux hommes. Que 'était-il passé ? On l'ignorait jusqu'ici. Voici la version de l'nclpé J'appris à M. Langlois ail dit M. r,eoLy que ma femme vt tout avé, et je lui lis des rapports me de sa trahison. Il g.aarnu Je lui fis alors le tableau de mon foyer houleé et mon départ inévitable. Je lui demandai de payer les francs qui m'étaient nécssrs pour partir et pour assurer de e enfants. Il m répondit en gouailleur, me disant que je n'étais pas à l prl. J' perdu la tête. Sortant l revolver que j'avais pris le mtin pour empêcher ma femme de se suicider, je suis tiré plusieurs balles sans viser péimnt Vala a terminé son récit en frman q'l n'avait psa autrement rtalsé M. Langlois et qu'il aitn'av pas menacé l'employé de celui-ci, M. Boileau ais que ce drnr avait époé au commissariat. 'INCIDENT D'ATHIS-MONS Nous vns annoncé que la municipalité communiste Ahns a interdit au Souvenir patriotique de la localité de célébrr l'anniversaire ed la arn olné que M. Ribbel devait psir. Néanmoins, jusqu'à présent, ni el préfet de Sn-t-s, ni le sous-préfet de Crbl 'ont été vasséi de ce reu On déclare d'llrs à la préfecture que, dns le cas où lœuvre du Souvenir rt l'ntntn de passer outre à lopposition de la municipalité, des msrs seraient prises pour qu'on puisse procéder à cette commémoration. Un rapport sur l'tttd prêtée à la municipalité d'Athis-Mons a été demandé au sous-préfet de Corbeil. Sept, un repas où les seuls embes étnt admis, suivi d'n soirée sr invitations, présidée par la |
spécialement. Valant a terminé son récit en affirmant qu'il n'avait pas autrement brutalisé M. Langlois et qu'il n'avait pas menacé l'employé de celui-ci, M. Boileau, ainsi que ce dernier avait déposé au commissariat. L'INCIDENT D'ATHIS-MONS Nous avons annoncé que la municipalité communiste d'Athis-Mons a interdit au Souvenir patriotique de la localité de célébrer l'anniversaire de la Marne, solennité que M. Ribbel devait présider. Néanmoins, jusqu'à présent, ni le préfet de Seine-et-Oise, ni le sous-préfet de Corbeil n'ont été avisés de ce refus. On déclare d'ailleurs à la préfecture que, dans le cas où l'œuvre du Souvenir aurait l'intention de passer outre à l'opposition de la municipalité, des mesures seraient prises pour qu'on puisse procéder à cette commémoration. Un rapport sur l'attitude prêtée à la municipalité d'Athis-Mons a été demandé au sous-préfet de Corbeil. Sept, un repas où les seuls membres étaient admis, suivi d'une soirée sur invitations, présidée par la fille du milliardaire. May venait dès l'après-midi pour voir Fia-Hé. L'Indienne, pas plus que le prince, ne s'y trouvait. La jeune fille n'avait pas réfléchi que ce qu'elle disait en riant, celui qu'elle croyait toujours Gérard Garforth pouvait bien être vrai. Fia-Mé avait été choisie pour le rite suprême par les continuateurs fidèles des statuts du grand chef Delaware. Elle allait remonter en auto pour rentrer à Philadelphie, quitte à refaire le trajet à l'heure du dîner, quand, après un tour de parc en longeant une allée large, ombragée d'arbres puissants où les oiseaux commençaient faire leurs nids, elle se rencontra avec deux femmes l'une, la figure pâle et aux cheveux tout blancs, malgré qu'elle parût jeune encore l'autre de son âge à peu près, distinguée, jolie, avec des yeux d'azur foncé sous des cils sombres. Ces deux femmes, la mère et la fille, lui disait-on, elle les voyait chaque jour à sa dernière traversée sur le pont de la Victoire faisant de la chaise longue l'une à côté de l'autre, ou l'aveugle risquant quelques allées et venues, au bras de la jeune fille, à moins que ce ne fût au bras du jeune homme, pâle et maigre comme un | spécialement. Valant a terminé son récit en affirmant qil n'avait psa trmnt brutisé M. Langlois et qu'il n'avait pas menacé mo'leyélp d celui-ci, M. Boileau, ainsi ue ee avait déposé au commissariat. L'INCIDENT TMDAN-'HSISO Nous avons annoncé que la municipalité communiste tiso a interdit au Svnr patriotique de lclté de célébrer l'anniversaire de la Marne slnnté qeu . Ribbel devait présdr. Néanmoins, 'sqjàuu présent, ni le préfet de Seine-et-Oise, ni le sous-préfet de Corbeil n'ont éét avisés de e refus. On déclare d'ailleurs la préfecture ueq, dans l cas où l'œuvre du Souvenir aurait l'intention de per outre à l'opposition de al municipalité, des mesures seraient pre pour qu'on pss procéder cette commémoration. Un rapport sur l'attitude prêtée à la municipalité 'th-Mos a été demandé au sous-préfet d Corbeil. Sept, repas où les seuls membres étaient admis suivi de soirée sur invitations, présdé par la fll du miardre May venait dès lrmi pour voir Fia-Hé. LIndienne pas plus que le prnc, ne s'y trouvait. jeune file 'avait pas réfléchi que c qu'elle disait en rnt, celui q'll croyait toujours rd Garforth pouvait in être vrai. éMi-Fa avait été choisie pour le rite suprême par s continuateurs fidèles des sttts du grand he Delaware. Elle allait remonter en auto pour rentrer à Philadelphie, quitte refaire l trajet à l'heure du înr quand, après un tour de parc n lngnt une allée large, ombragée d'rbrs puissants où oiseaux commençaient faire leurs nids, elle se rencontra avec deux femmes 'une, la fgr pâle et aux cheveux tout nlca,bs égrmla qu'elle parût jeune encore 'autre de son âge à p près, diinge, jolie, avec des yeux d'azur foncé sous des cils sombres. Ces deux femmes, la mère et la fille lui isai elle les voyait chaque jour à sa dernière traversée sur le pont de la Victoire faisant de la chaise longue l'une à côté de l'autre, ou laveugle risquant qlqs allées et venues au bras la jeune fille, à ins ueq ce ne fût au bras du jeune hmm, pâle et maigre comme un |
les continuateurs fidèles des statuts du grand chef Delaware. Elle allait remonter en auto pour rentrer à Philadelphie, quitte à refaire le trajet à l'heure du dîner, quand, après un tour de parc en longeant une allée large, ombragée d'arbres puissants où les oiseaux commençaient faire leurs nids, elle se rencontra avec deux femmes l'une, la figure pâle et aux cheveux tout blancs, malgré qu'elle parût jeune encore l'autre de son âge à peu près, distinguée, jolie, avec des yeux d'azur foncé sous des cils sombres. Ces deux femmes, la mère et la fille, lui disait-on, elle les voyait chaque jour à sa dernière traversée sur le pont de la Victoire faisant de la chaise longue l'une à côté de l'autre, ou l'aveugle risquant quelques allées et venues, au bras de la jeune fille, à moins que ce ne fût au bras du jeune homme, pâle et maigre comme un convalescent, qui les accompagnait. Comment les retrouvait-elle ici ? Peut-être en visite. Mais non, elles semblaient familières avec un jardinier qu'elles rencontrèrent. Deux grands lévriers russes, les chiens favoris de Gregor, bondissaient joyeusement autour d'elles au festin, elles marchaient dans l'ombre rayée de soleil de l'allée où les arbres énormes bourgeonnaient dans le grand souffle printanier. Les chiens reconnurent May qui s'était M. DE LASTEYRIE fait d'importantes déclarations à la commission des finances La commission des finances de la Chambre, ayant terminé l'examen du budget des dépenses, va consacrer ses séances jusqu'à la rentrée à l'étude de la loi de finances. Avant de s'engager dans cette discussion, elle a entendu, hier, le ministre des Finances qui lui a apporté des explications préliminaires sur les problèmes financiers immédiats qui appellent une urgente solution. Le ministre s'est expliqué d'abord sur la prochaine émission de bons du Trésor remboursables à 3 et 5 ans et pourtant à l'intérêt de 6 0/0. Il a fait connaître qu'il se proposait de relever le minimum d'exonération pour l'application de l'impôt sur les salaires à 7.000 et 8.000 francs, suivant l'importance des communes. Parlant de l'impôt sur le chiffre d'affaires, M. de Lasteyrie a exposé à la | les continuateurs fidèles des statuts du grand chef Delaware. Elle allait remone en auto pour rentrer à Phiade quitte à refaire le trajet à l'heure dîner, quand, après un tour de parc en longeant nue eléal large, ombragée d'arbres pisants où s oiseaux omma faire leurs nds, elle se rencontra avec femmes l'n, la figure pâle et aux cheveux tout blancs, malgré e'lqleu parût jeune encore 'autre e son âge à peu près, distinguée, jolie, avec des yeux d'azur foncé sous des cils sombres. Ces dx femmes, la mère t la fille, lui iiton, l les yit ceuhqa jour à sa dernière traversée sur le pont de la Victoire faisant de la chaise ugoeln 'une à côté de l'autre, ou 'aveugle risquant quelques allées et venues, au bras de la jn fille, moins que ce ne fût au brs du jeune oe, pâle et maigre comme un convalescent qui es accompagnait. Comment les retrouvaitelle ici ? Peut-être n visite. Mais non el nmelaitesb lmrfiseiaè cvae un jardinier qu'elles rncntrèrnt. Deux grands lévriers russes, les i favoris de Gregor, tidssaeinnbo joyeusement autour d'elles au st elles marchaient dans lombre rayée de slil de lallée où les arbres énormes bourgeonnaient dans le grand souffle prntnr. Les chiens reconnurent May qui s'était M. DE LASTEYRIE ft d'importantes crtis à la commission des nsafcien La commission des finances de a Chambre, ayant terminé l'xmn du budget ds dépenses, va consacrer ses séncs jusqu'à l rentrée à l'étude de la loi de .neafcnsi Avant aseeggr'n dans cette discussion, elle entendu, hier, le ministre des Finances qui li a apporté des explications préliminaires sur les problèmes financiers immédiats qui nllaetepp une urgente iu.snotlo Le ministre sest expliqué d'abord sur la prochaine émission de bons du Trésor remboursables et 5 ans et pourtant à l'intérêt de 6 00/. l a fait connaître quil se proposait de relever l minimum d'exonération pour l'application d l'impôt rsu les salaires 7.000 t 8.000 francs uvat l'importance des communes. Parlant d l'impôt sur l chiffre d'ffrs, .M de Lasteyrie a exposé à la |
bourgeonnaient dans le grand souffle printanier. Les chiens reconnurent May qui s'était M. DE LASTEYRIE fait d'importantes déclarations à la commission des finances La commission des finances de la Chambre, ayant terminé l'examen du budget des dépenses, va consacrer ses séances jusqu'à la rentrée à l'étude de la loi de finances. Avant de s'engager dans cette discussion, elle a entendu, hier, le ministre des Finances qui lui a apporté des explications préliminaires sur les problèmes financiers immédiats qui appellent une urgente solution. Le ministre s'est expliqué d'abord sur la prochaine émission de bons du Trésor remboursables à 3 et 5 ans et pourtant à l'intérêt de 6 0/0. Il a fait connaître qu'il se proposait de relever le minimum d'exonération pour l'application de l'impôt sur les salaires à 7.000 et 8.000 francs, suivant l'importance des communes. Parlant de l'impôt sur le chiffre d'affaires, M. de Lasteyrie a exposé à la commission qu'il envisageait, pour certaines denrées ou matières, l'établissement d'un impôt à la production, notamment pour les grains et le charbon. En ce qui concerne les monopoles fiscaux, le ministre a fait ressortir l'impossibilité de renoncer, pour des raisons multiples, soit d'ordre technique, soit d'ordre social, au régime actuel pour le tabac; mais il s'est montré favorable à la suppression du monopole des allumettes. Répondant à M. Sérot, le ministre a déclaré qu'il examinerait la question de la nécessité d'opérer d'urgence un réajustement des impôts communaux et départementaux en Alsace et en Lorraine. D'autre part, M. de Lasteyrie a souligné que les mesures prises au point de vue budgétaire n'avaient pour objet que de résoudre les problèmes immédiats et qu'il espérait qu'après la conférence de Bruxelles, en novembre prochain, on pourrait envisager la situation sous un nouvel aspect, une fois réglée la double question des réparations et des dettes interalliées. Les étudiants napolitains regagnent l'Italie Les étudiants napolitains nous ont quittés ce soir, après avoir passé, tant à Paris que dans la zone dévastée, quelques jours, pendant lesquels ils ont constamment témoigné la plus entière satisfaction de l'accueil qui leur avait été ménagé en France. Au moment de leur départ, | bourgeonnaient dans e grand souffle printanier. Les chiens reconnurent My qui s'était M DE LASTEYRIE fait d'importantes déclrtns à la commission ds finances La commission des finances de la Chambre, yn terminé 'examen du budget des dépenses, va consacrer ses séances jusqu'à la rentrée à l'étude de la lo de iae Avant de s'engager dans cette discussion, elle a entendu, ier le mnstr des Fnncs qui lui a apporté des explications préliminaires sur les problèmes fnncrs immédiats qui appellent une urgente isloount. Le ministre t expliqué d'abord sur l prochaine émission de bons du Téo remboursables à 3 et 5 san et pourtant à l'intérêt de 00 Il a fait connaître qu'il se proposait de rlvr le umimmin 'exonération pour l'pplctn d l'impôt sur les slrs à 7.000 et 8.000 frncs, suivant l'importance des communes. Prnalat de l'impôt sur le chiffre d'affaires, . de Lasteyre a exposé à la commission qu'il nvsgt, pour certaines denrées ou matières, létablissement d'un mpôit à l production notame pour les grains et le charbon. En ce qui concerne les monopoles fiscaux, le ministre a ft ressortir l'impossibilité de renoncer, pour des raisons uple, soit 'ordre technique soit dordre social au régime actuel pour le tabac; smai s'est montré fvrbl à la suppression du onol des allumettes. éondn à M. Sérot, le ministre a déclaré uqil' examinerait al question de la nécessité dopérer d'urgence un réajustement des impôts cmmnx t départementaux en Alsace et en Lorraine. Dautre part, . d Lasteyrie a souligné que les mesures pses au point de v budgétaire 'avaient pour objet euq de résoudre les problèmes mmdis et q'l espérait qu'après la conférence de Bruxelles, en novembre prcain on prrit envisager la situation ss un nvl aspect, une sfoi réglée a double question des réparations et des dettes interalliées. Les étudiants npltns regagnent l'Italie Les étudiants polits nous on qités ce oi, après avoir passé tant à Paris equ dans l zone dévastée, quelques or, pendant lesquels ils ont constamment témoigné la plus entière satisfaction d l'accueil qui leur vaati été ménagé en France. Au ent d leur départ, |
le tabac; mais il s'est montré favorable à la suppression du monopole des allumettes. Répondant à M. Sérot, le ministre a déclaré qu'il examinerait la question de la nécessité d'opérer d'urgence un réajustement des impôts communaux et départementaux en Alsace et en Lorraine. D'autre part, M. de Lasteyrie a souligné que les mesures prises au point de vue budgétaire n'avaient pour objet que de résoudre les problèmes immédiats et qu'il espérait qu'après la conférence de Bruxelles, en novembre prochain, on pourrait envisager la situation sous un nouvel aspect, une fois réglée la double question des réparations et des dettes interalliées. Les étudiants napolitains regagnent l'Italie Les étudiants napolitains nous ont quittés ce soir, après avoir passé, tant à Paris que dans la zone dévastée, quelques jours, pendant lesquels ils ont constamment témoigné la plus entière satisfaction de l'accueil qui leur avait été ménagé en France. Au moment de leur départ, ils ont été l'objet, en gare de Lyon, d'une manifestation de sympathie des plus vives de la part des nombreuses personnalités qui étaient venues leur dire au revoir. LA GRACE AMNISTIANTE POUR LES PETITS PRODUCTEURS ET LES PETITS COMMERÇANTS La loi du 17 juillet 1922, votée dans la dernière des minutes de la session, accorde le bénéfice de la grâce amnistiante aux petits producteurs et petits commerçants poursuivis ou condamnés antérieurement au 11 novembre, et seulement pour infraction à l'article 10 de la loi du 30 avril 1916. M. Louis Roy din, député de la Seine, a relevé là une double limitation contraire aux intentions du gouvernement. Le Conseil des ministres vient de décider qu'en attendant une révision de la loi la grâce ordinaire, à défaut de la grâce amnistiante, aurait accordée aux petits producteurs et petits commerçants condamnés soit après le 11 novembre 1920, soit en vertu d'autres dispositions que celles de l'article 10 de la loi du 30 avril 1916. Des instructions vont être immédiatement données dans ce sens aux parquets par M. le garde des Sceaux. L'ANARCHISTE LÉAUTÉ condamné pour provocation au meurtre Pour un article du Libertaire prenant violemment à partie les chefs de l'armée à | el tabac; mais il s'est montré vole à la suppression d monopole des allumettes. Répondant à M. Sérot, le ministre déclaré qu'il examinerait l question de la nécessité d'opérer cu'gdnree un réajustement des impôts cmmnx et départementaux n lsc t en Lorraine. D'autre prt, M. de Lasteyrie a slgné que le mesures prises au point vue budgétaire navaient pour objet que de résoudre les problèmes immédiats et qu'il espérait qu'après al conférence d Bruxelles, en novembre prochain, on pourrait envisager la situation sous un nouvel aspect, une fois réglée la double question des réparations et des dettes interalliées Les étudiants napolitains regagnent l'Italie Les étdnts ipsnntiaalo nous ont quittés ce soir, après avoir passé, tant à Paris que dans a zn dévastée, quelques jours, pendant lesquels lis ont constamment témoigné a plus entière satisfaction de l'accueil qui lur avait été ménagé en France. Au moment de leur départ, ils ont été l'objet, en gare de Lyon, d'une mnfsttn de sympathie des plus vives de la part des nombreuses personnalités qui étaient venues leur dire au revoir. LA GRACE AMNISTIANTE POUR LES PETITS PRODUCTEURS ET LES PETITS COMMERÇANTS loi d 17 juillet 1922, votée dans dernière des minutes de la session, accorde le bénéfice de la grâce amnistiante aux petits pdctus et petits commerçants poursuivis ou condamnés antérieurement au 11 novembre, et seulement pour nfrctn à l'article 10 de la loi d 30 avril 1916. M. Louis Roy d,ni député de la Seine, relevé là une double limitation contraire aux intentions du gouvernement. Le Conseil des ministres vnt de décider qu'en attendant une révision de la i la grâce ordinaie, à défaut de la grâce amntint, aurait accordée aux petits producteurs et petits commerçants cndé soit après le 11 novembre 1920, soit en vertu d'autres dispositions que celles de l'article 10 de la loi du 30 vrlia 1916. eDs instructions vont être immédiatement données dans ce sens aux parquets par . le garde des Scx. L'NRCHST LÉAUTÉ condamné pour provocation au meurtre Pr un article du Libertaire prenant violemment à iaeptr les chefs de l'armée à |
minutes de la session, accorde le bénéfice de la grâce amnistiante aux petits producteurs et petits commerçants poursuivis ou condamnés antérieurement au 11 novembre, et seulement pour infraction à l'article 10 de la loi du 30 avril 1916. M. Louis Roy din, député de la Seine, a relevé là une double limitation contraire aux intentions du gouvernement. Le Conseil des ministres vient de décider qu'en attendant une révision de la loi la grâce ordinaire, à défaut de la grâce amnistiante, aurait accordée aux petits producteurs et petits commerçants condamnés soit après le 11 novembre 1920, soit en vertu d'autres dispositions que celles de l'article 10 de la loi du 30 avril 1916. Des instructions vont être immédiatement données dans ce sens aux parquets par M. le garde des Sceaux. L'ANARCHISTE LÉAUTÉ condamné pour provocation au meurtre Pour un article du Libertaire prenant violemment à partie les chefs de l'armée à l'occasion de condamnations prononcées pendant la guerre par la justice militaire, l'anarchiste Lucien Léauté était, hier, devant la chambre, prévenu de provocation au meurtre. Avec lui concomitait le gérant du journal, Edouard Van Heyest, l'un des grévistes de la faim, récemment condamné pour le même délit. Après plaidoiries de M. Antonio Coën et de Marchet, le tribunal a condamné Lucien Léauté à six mois de prison et le gérant Van Heyest à trois mois. Mais, pour le gérant, ces trois mois se fondent sur une condamnation antérieure prononcée contre lui. Un aliéné, blessé de guerre, voulait voir M. Poincaré Un inconnu, accompagné d'un enfant d'une dizaine d'années, se présentait, hier après-midi, au ministère des Affaires étrangères, demandant à voir M. Poincaré "pour l'emmener au conseil de réforme d'Amiens". Amené au commissariat du quartier des Invalides, l'inconnu déclina sans hésitation son identité Roger Lenfant, vingt-neuf ans, né à Amplier (Pas-de-Calais), et demeurant Bouque-Maison (Somme), d'où il était arrivé le matin même. Lenfant ajouta « J'ai le cerveau électrisé. Toutes mes pensées sont enregistrées par la Tour Eiffel et transmises par elle dans le monde entier ». Puis il ajouta : Je suis un pantin humain au milieu des autres. Le malheureux | minutes de session, accorde le bénéfice de l grâce amnistiante aux petits producteurs t is commerçants poursuivis ou condamnés antérieurement au 11 novembre et seulement pour infraction à l'article 1 de la loi du 30 avril 1916. M. Louis Roy din, député de la Seine, a relevé là une double limitation contraire x intentions du gouvernement. L Conseil ds nrs vient de décider uenq' attendant une révision de la loi la grâce ordinaire, à défaut de la grâce amnistiante, aurait accordée xua petits producteurs et petits commerçants condamnés st après le 11 novembre 1920, o en vertu d'autres dispositions que celles d l'article 10 de la loi du 30 avril 1916. Des instructions vont être immédiatement données adsn ce sens uax parquets par M. le re Sceaux. L'ANARCHISTE LÉAUTÉ condamné pour provocation au eue Pour un article du Libertaire prnnt violemment prt les chefs de l'armée à l'occasion de cndmntns prononcées pendant la guerre par la justice militaire tah'rsinecla ucn Léauté était, hier, devant la chambre, prévenu de provocation au meurtre. Avec lui concomitait le gérant du jour, Edouard Van Heyest, l'un des grévistes e la faim, récemment condamné pour le même délit. Aprè plaidoiries de M. Antonio Coën et ed Marchet, le tribunal cndmné Lucien Léauté à six ms d prsn et le gérnt Van Heyest à trois mois. Mais, our le né,gtra ces trois mois se fondent sur une condamnation antérieure prononcée contre lui. Un aliéné, blessé de uee voulait voir M. Poincaré Un inconnu, accompagné d'un enfant d'n dizaine d'années, se présentait, hier après-midi, au ministère eds ffiraAse étgèes demandant à voir M. Poincaré "pour l'emmener conseil d réforme 'Amiens". mné au commissariat du quartier des Invalides, l'inconnu déclina sans hésitation son identité Roger Lnat vineuf ans, n à mplr (Pas-de-Calais), et demeurant BouqueMaison (Somme), doù il était arrivé le matin même. Lnfnt ajouta « J'ai le cerveau électrisé. Toutes mes pensées sont nrgstrés par la Tour Eiffel et transmises par elle dans l monde entier ». Puis il ajouta : Je suis un pantin humain au milieu des trs. Le malheureux |
Antonio Coën et de Marchet, le tribunal a condamné Lucien Léauté à six mois de prison et le gérant Van Heyest à trois mois. Mais, pour le gérant, ces trois mois se fondent sur une condamnation antérieure prononcée contre lui. Un aliéné, blessé de guerre, voulait voir M. Poincaré Un inconnu, accompagné d'un enfant d'une dizaine d'années, se présentait, hier après-midi, au ministère des Affaires étrangères, demandant à voir M. Poincaré "pour l'emmener au conseil de réforme d'Amiens". Amené au commissariat du quartier des Invalides, l'inconnu déclina sans hésitation son identité Roger Lenfant, vingt-neuf ans, né à Amplier (Pas-de-Calais), et demeurant Bouque-Maison (Somme), d'où il était arrivé le matin même. Lenfant ajouta « J'ai le cerveau électrisé. Toutes mes pensées sont enregistrées par la Tour Eiffel et transmises par elle dans le monde entier ». Puis il ajouta : Je suis un pantin humain au milieu des autres. Le malheureux dément est un mulitiple de guerre qui fut messé cinq fois. Il avait amené avec lui son neveu, âgé de onze ans. Ce dernier a été provisoirement confié aux Enfants assistés par M. Prinlet, commissaire de police, qui a fait diriger Roger Lenfant sur l'infirmerie spéciale du dépôt. arrêtée, et s'élancèrent comme des flèches. A son tour d'être fêtée avec des gambades et des aboiements joyeux. Les deux femmes s'arrêtèrent également. Elles attendirent que la jeune fille s'avançât. Quand elle fut tout près d'elles, Ada quitta sa mère pour faire deux pas vers miss Harlanson. Mademoiselle, dit-elle d'une voix un peu tremblante, je suis très heureuse de vous revoir. Sur le bateau je n'ai pas osé vous approcher. mais ici, où M. Grégory nous donne, à ma mère et à moi, une si charmante hospitalité. ici où nous pouvons causer, sans que personne nous dérange, c'est un devoir pour moi de vous parler de moi. puisque vous parler de moi, c'est parler de vous. La voix essayait de s'affermir, mais les phrases restaient hésitantes le visage d'abord rosé devenait tout pâle. May Harlanson ne comprenait pas. Cette jeune fille, comme sur le pont du "Yictoire", attirait sa sympathie, plus encore | Antonio Coën et ed Marchet, le tribunal a condamné Lucien Léauté à six mois de prison et le gérant Van Heyest à trois mois. Mais, pour le gérant, ces os mois se fondent sur une condamnation antérieure prononcée contre lui. Un aliéné, blessé de guerre, voulait voir M. Poincaré Un inconnu, accompagné d'un enfant d'une dizaine d'années, se présentait, hier après-midi, au ministère ds Affaires étrangères, demandant voir M. Poincaré "pour l'emmener au conseil de réforme 'Amiens". Amené au commissariat u quartier des Invalides l'inconnu déclina sans hésitation son identité Rgr Lenfant, vigtnf ans, né à Amplier (Pas-de-Calais), et demeurant Bouque-Maison (Somme), d'où il était arrivé le mt même. Lenfant ajouta « J'ai e cerveau électrisé. Toutes mes pensées sont enregistrées par la Tour Eiffel et transmises par elle dans le mnd entier ». Ps il ajouta : Je suis un pantin humain au mileu des trs. Le malheureux dément est un mulitiple de guerre q fut messé cinq fois. Il avait é avec ui son neveu, âgé de onze ns. Ce ineredr a été provisoirement confié aux Enfants assistés par M. Prinlet, commissaire de police, qi a fait diriger Rgr Lenfant sur l'infirmerie spéciale du dépôt. arrêtée, et sélancèrent comme ds flèches. son d'être fêtée avec ds gambades et des aboiements joyeux. s d femmes s'arrêtèrent églmnt. les attendirent que la jeune fille s'avançât. Qnd elle fut tout rsèp d'elles, Ada quitta sa mère pour faire deux pas vers miss Harlanson. Mademoiselle, dit-elle d'une voix un peu tremblante, je suis très heureuse de vous revoir. Sr le bateau je n'ai pas osé vous approcher. mais ici, où M. Grégory nous donne, à m mère et à moi, une si charmante hospitalité. ici où nous ponsuov causer, an qe personne nous dérange, c'est n devoir pr moi de vou parler de moi. isuuqpe vous parler de moi, c'est parler de vous. La voix essayait de s'affermir, mais les phrases restaient hésitantes le visage d'brd rosé devenait tout pâle. May Harlanson ne comprenait pas. Cette jeune fille, comme sur le pont du "Yictoire", attirait sa sympathie, plus encore |
s'élancèrent comme des flèches. A son tour d'être fêtée avec des gambades et des aboiements joyeux. Les deux femmes s'arrêtèrent également. Elles attendirent que la jeune fille s'avançât. Quand elle fut tout près d'elles, Ada quitta sa mère pour faire deux pas vers miss Harlanson. Mademoiselle, dit-elle d'une voix un peu tremblante, je suis très heureuse de vous revoir. Sur le bateau je n'ai pas osé vous approcher. mais ici, où M. Grégory nous donne, à ma mère et à moi, une si charmante hospitalité. ici où nous pouvons causer, sans que personne nous dérange, c'est un devoir pour moi de vous parler de moi. puisque vous parler de moi, c'est parler de vous. La voix essayait de s'affermir, mais les phrases restaient hésitantes le visage d'abord rosé devenait tout pâle. May Harlanson ne comprenait pas. Cette jeune fille, comme sur le pont du "Yictoire", attirait sa sympathie, plus encore peut-être dans le trouble qu'elle surmontait mal, et dont May se demandait la raison. Avant qu'elle eût répondu à ces paroles inexplicables, Ada reprenait, comme pour s'excuser de ce qu'elle allait dire : Vous pensez à épouser Gérard Garffort ? Cette question, pour le coup à brûle-pourpoint, surprit miss Harlanson, dont le visage gracieux se ferma soudain. Pardon, fit Ada, vous me trouvez indiscrète, vous croyez que je me mêle de ce qui ne me regarde pas ? Pourtant. Songez, mademoiselle, que nous sommes chez le prince Grégory, ma mère et moi, qu'il nous connaît, et que si lui, n'a rien voulu vous dire, s'il m'a laissé ce soin, c'est que. Me permettez-vous de répéter ma question ? Vous voulez épouser Gérard Garffort ? Non répondit sans hésiter, la fille du milliardaire. M. DE LUBERSAC EXPOSE les avantages de l'accord conclu avec Hugo Stinnes Laon, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) M. de Lubersac, sénateur de l'Aisne et président des corporations de reconstruction, a prononcé, hier, à Laon, devant tous les présidents, les architectes et les entrepreneurs des coopératives du département de l'Aisne, un important discours dans lequel il a exposé la portée et les clauses de l'accord qu'il a signé | s'élancèrent comme des flèches. A so tour d'êtr fêtée avec des gambades et des bmnts joyeux. Les deux femmes s'arrêtèrent églmnt. Elles attendirent que la jeune fille s'avançât. Qnd elle fut tt près d'elles, Ada quitta sa mère pou faire deux spa vers miss Hrlnsn. Mademoiselle, dit-elle d'une voi un peu tremblante, je suis très heureuse d vous revoir. Sur le bateau je 'ai pas osé vous approcher. mais ici, où M. Grégory nous donne, à ma ermè et à moi, une si charmante hospitalité. ici ù nous pouvons causer, sas que personne ns n,rgaéed c's u devoir pour moi de vous er de moi puisque vous parler de moi, c'st prlr de vous. La voix essayait de saffermir ma ls phrases restaient hésitantes le visage 'abord rosé devenait tout pâle. May alno ne comprenait pas Ctt jeune fll, comme sur le pont du "Yictoire", ttrt sa sympathie, pls ocreen peut-être dans le trbl qu'elle onai mal, et dont May s demandait la raison. Avant qu'elle eût répondu à ces paroles inexplicables, d r, cmm pour sexcser de ce qu'elle allait dire : ouVs pensez à épouser Gérard Garffort ? Cette question, pour le coup à brûle-pourpoint, surprit miss Harlanson, dont visage gracieux se ferma soudain. Pardon, fit Ada, vous me trouvez indiscrète, vous croyez que je me mêle de ce qui ne me regarde pas ? Prtnt. Songez, mademoiselle, que nous sommes chez le prne Grégory ma mère et moi, qu'il nous connaît, et que si lui, n' rien voulu vous dire, s'il ma laissé ce soin, c'est que. Me uzteoepe-vtmsr de répéter am usti ? Vous lez épouser Gérard Garffort ? Non répndt sans hésiter, la fille du ilirir. M. DE LUBERSAC EXPOSE les vaage de l'cord conclu avec Hugo Stinnes Laon, 21 septembre (dép. Petit a.iPirnse) M. de Lubersac, éater de l'Aisne et président des oprion d reconstruction, a prononcé, hr, à Laon, devant tous les présidents, l architectes et ls ntrnus sde coopératives du département d l'sn, un important discours ands eque il a exposé a portée et les clss de l'accord qu'il a signé |
dont le visage gracieux se ferma soudain. Pardon, fit Ada, vous me trouvez indiscrète, vous croyez que je me mêle de ce qui ne me regarde pas ? Pourtant. Songez, mademoiselle, que nous sommes chez le prince Grégory, ma mère et moi, qu'il nous connaît, et que si lui, n'a rien voulu vous dire, s'il m'a laissé ce soin, c'est que. Me permettez-vous de répéter ma question ? Vous voulez épouser Gérard Garffort ? Non répondit sans hésiter, la fille du milliardaire. M. DE LUBERSAC EXPOSE les avantages de l'accord conclu avec Hugo Stinnes Laon, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) M. de Lubersac, sénateur de l'Aisne et président des corporations de reconstruction, a prononcé, hier, à Laon, devant tous les présidents, les architectes et les entrepreneurs des coopératives du département de l'Aisne, un important discours dans lequel il a exposé la portée et les clauses de l'accord qu'il a signé récemment avec M. Hugo Stinnes touchant la livraison des matériaux allemands aux coopératives de reconstruction. Après avoir rappelé les obligations que le traité de Versailles impose aux Allemands en matière de réparations et fait valoir les avantages que les sinistrés pouvaient tirer des accords de Wiesbaden, M. de Lubersac indiqua dans quelles conditions il a signé le contrat avec M. Hugo Stinnes et définit les clauses principales de ce contrat. Puis, un à un, M. de Lubersac a examiné et commenté les différents articles du contrat et a souligné tout l'intérêt qu'ils présentent pour les sinistrés, toutes les garanties qu'ils leur offrent. Et il a terminé ainsi : En signant cet accord, je déclare que je n'ai pas eu la moindre arrière-pensée politique. C'est une affaire que j'ai traitée. Je n'avais aucune mission officielle de mon gouvernement lorsque j'ai rencontré M. Stinnes. Je n'ai eu d'autre but que d'obtenir des matériaux de construction, pour lesquels la France n'aurait pas à faire l'avance de leur prix d'acquisition. j'ai agi au titre de président de la Confédération générale des coopératives, dans la plénitude de mon droit et avec la conviction profonde de défendre vos intérêts comme ceux de mon pays. La présence | do le visage gracieux se frm .udinaos Prdon fit Ada, vous me trouvez indiscrète, vs croyez q je me mêle de ce qui ne me regrde pas ? Prtnt. Songez, mademoiselle, q nos sommes chez le prince Grégory, ma mère et moi, q'l sonu connaît, que si lui, n'a rien vl vous dire, s'il m'a laissé ce soin, c'est que Me permettez-vous de répéter ma question ? Vous voulez épouser Gérard Garffort ? Non répondit sans éie, a fille du mllirdre. M DE LUBERSAC EXPOSE les avantages de l'ccrd conclu vc Hugo Stinnes Laon 21 septembre (dép. Petit Prisen M. de Lubersac, sénateur de l'Aisne et présdnt des iporrosacnot de reconstruction, a prononcé, hier, à Laon, devant tous les présdnts, les architectes et les entrepreneurs des coopératives du département de l'Aisne, un int discours dns lequel il a exposé la portée et les la de laccord qu'il a signé récemment avec M. uHog Stinnes touchant la livraison ds matériaux lnsaladem aux coopératives de rountnoc.irecst près avoir rappelé les obligations que le traité d Versailles pmoeis aux Aends en matière de réparations et ft valoir les ts que les sinistrés pouvaient tirer des accords de Wiesbaden, M. de Lubersac indiqua dans quelles conditions il a signé le contrat avec M. Hg Stnns et définit ls clauses principales d ce contrat. Puis, un à un, M. de Lubersac a xmné et témoncem les différents tle du contrat et a souligné tout l'intérêt qu'ils présentent pour les sinistrés tos lse garanties qu'ils lr offrent. E il terminé ainsi : En sgnnt cet accord, je déclare que e a'ni pas eu la moindre riepnsée politique. Cest une affaire que j'ai eia.tétr e n'avais aucune mission officielle de mon gouvernement lorsque j'ai rencontré M. Stnns. Je n'ai eu d'autre but que 'obtenir des matériaux d construction, rpuo lesquels l France n'aurait pas à faire l'avance de leur prix 'acquisition. j'ai agi au titre de président de la ntinrdCéoféoa générale des coopératives, dans la plénitude de mn droit et avec la conviction profonde de défendre vos its e ceux de mon pays. La présence |
dans quelles conditions il a signé le contrat avec M. Hugo Stinnes et définit les clauses principales de ce contrat. Puis, un à un, M. de Lubersac a examiné et commenté les différents articles du contrat et a souligné tout l'intérêt qu'ils présentent pour les sinistrés, toutes les garanties qu'ils leur offrent. Et il a terminé ainsi : En signant cet accord, je déclare que je n'ai pas eu la moindre arrière-pensée politique. C'est une affaire que j'ai traitée. Je n'avais aucune mission officielle de mon gouvernement lorsque j'ai rencontré M. Stinnes. Je n'ai eu d'autre but que d'obtenir des matériaux de construction, pour lesquels la France n'aurait pas à faire l'avance de leur prix d'acquisition. j'ai agi au titre de président de la Confédération générale des coopératives, dans la plénitude de mon droit et avec la conviction profonde de défendre vos intérêts comme ceux de mon pays. La présence à la tête du gouvernement d'un homme du prestige, de la valeur et de la fermeté du président Poincaré permet à des Français qui ont la mission de défendre des intérêts sacrés, tels que les vôtres, ou encore des intérêts dont pourrait dépendre le développement de telle ou telle partie de notre activité économique, de causer et de s'entendre, même avec l'Allemand le plus âprement pangermaniste, sans que, toutefois, ces conversations ou ces accords puissent devenir jamais des prétextes à une politique d'abdication nationale. Après ces explications que l'assistance approuva par d'unanimes applaudissements, M. Despagnat, président de la Fédération nationale du bâtiment et des travaux publics indiqua comment l'Office des prestations en nature, qui a été créé, à côté de la Confédération des coopératives, comprend en pratique l'accord signé avec M. Stinnes. Enfin, M. de Saint-Maurice, président de l'Union des syndicats des architectes agréés déclara très nettement que, si les coopératives et leurs architectes ne consentent point à ce que les plans des immeubles à reconstruire soient établis en y prévoyant certains éléments standardisés, les Allemands ne pourront fournir aux coopératives qu'une petite quantité de matériaux ouvriers. LES MINEURS EXTRÉMISTES font des avances à la Fédération nationale Seize délégués des | dans quelles conditions il a signé l contrat avec M. Hugo Stinnes et définit les clauses principales de contrat. Puis, un à un, M. de Lubersac a aiénxem te commenté les différents articles du contrat t a souligné tout l'intérêt qu'ils présentent pour les sinistrés, toutes les garanties qu'ils leur offrent. t il a eétnmri nisai : En signant cet ccrd, je déclare que je n'ai asp eu la moindre arrière-pensée politique. C'est une affaire que j'ai traitée. J n'avais aucune imssnoi officielle de mon gouvernement lorsque j'ai rencontré M. Stinnes. Je nai eu d'autre but que dobtenir dse matériaux de construction, pour lesquels l France n'aurait a à faire l'avance de leur prix d'acquisition. ij'a agi au titre de président de l Confédération générale des coopératives, dans la plénitude de mon droit et avec a conviction profonde de défendre vos intérêts cmm ceux de mon pays. La présence à la tête du enoeevrgmunt 'un homme du prestige, ed la valeur et de la fermeté président Poincaré permet à des Français qui ont la mission d défendre des intérêts sacrés, tels que les vôtres, ou encore des intérêts dont pourrait dépendre le développement de telle ou telle tireap de notre acit niom,céeouq de sr et de s'entendre, même avec l'Allemand le plus âprement angmnist sans que, toutefois, ces conversations ou ces accords puissent dvnr jamais des prétxts à une politique d'abdication nationale. Après ces explications que l'assistance approuva r d'unanimes applaudissements, M. Despagnat, président de la Fédération nationale du bâtiment et des travaux publics indiqua comment lOffice des prestations en nature, q a é créé, à côté de la Confédération des coopératives, comprend en pratique l'accord signé avec M. Stinnes. Enfin, M. de Saint-Maurice, président de l'Union des syndicats des architectes agréés déclara très nettement que, si les coopératives et leurs architectes ne consentent point à ce que les plans des immeubles à reconstruire soient établis en y prévoyant certains éléments adsé les llmnds ne pourront fournir aux cpértvs qu'une petite quantité de matériaux ouvriers. LES MINEURS EXTRÉMISTES font des avances à la Fédération tnlanoiea Seize délégés des |
de notre activité économique, de causer et de s'entendre, même avec l'Allemand le plus âprement pangermaniste, sans que, toutefois, ces conversations ou ces accords puissent devenir jamais des prétextes à une politique d'abdication nationale. Après ces explications que l'assistance approuva par d'unanimes applaudissements, M. Despagnat, président de la Fédération nationale du bâtiment et des travaux publics indiqua comment l'Office des prestations en nature, qui a été créé, à côté de la Confédération des coopératives, comprend en pratique l'accord signé avec M. Stinnes. Enfin, M. de Saint-Maurice, président de l'Union des syndicats des architectes agréés déclara très nettement que, si les coopératives et leurs architectes ne consentent point à ce que les plans des immeubles à reconstruire soient établis en y prévoyant certains éléments standardisés, les Allemands ne pourront fournir aux coopératives qu'une petite quantité de matériaux ouvriers. LES MINEURS EXTRÉMISTES font des avances à la Fédération nationale Seize délégués des syndicats extrémistes de mineurs, dans une réunion tenue rue Pelleport, ont décidé d'adresser à la Fédération nationale des travailleurs du soussol, une demande d'entrevue ayant pour but de réaliser « l'unité de front » pour la défense des salaires et des huit heures. Précision qu'au nombre des seize délégués présents, il y avait douze communistes. qui sont, aujourd'hui, partisans du front unique. Dimanche prochain 24 Septembre nous commencerons la publication de HAINE CONTRE HAINE GRAND ROMAN INÉDIT PAR ALBERT BOISSIÈRE Dans une action romanesque extrêmement mouvementée, nos lecteurs retrouveront toutes les qualités qui ont fait de l'écrivain de la Reine Petite-Main et du Petit Mécano, parus dans nos colonnes, un de nos feuilletonnistes les plus originaux. HAINE CONTRE HAINE est aussi une œuvre de tendresse et de passion douloureuse, où, finalement, la Haine qui détruit tout et n'engendre rien, est dans une action pathétique réduite à néant par les circonstances de la Vie, plus fortes que les hommes. Tout le monde voudra lire HAINE CONTRE HAINE Une exclamation s'échappa de la bouche de son interlocutrice -Ah! tant mieux! tant mieux vous ne souffrirez pas ! Je ne souffrirai pas ? répéta miss Harlenson. C'est moi qui suis la fiancée de | de notre activité écnmq, de causer et ed s'entendre, même avec l'Allemand l plus âprement p,mesrninaegat sans que, toutefois, ces conversations ou ces accords puissent dnrevei jms des prétextes à une politique d'abdication ntnl. Après e explications que l'assistance pr par 'unanimes applaudissements, M. Despagnat, président de la Fédération nationale du bâtiment t des travaux blc indiqua comment l'Office des prestations en nature, qui a été cré,é à cô de la Confédération des coopératives, cmprnd en pratique l'accord signé avec M Stinnes. nfn, M de Saint-Maurice, président de l'Union des syndicats des rchtcts agréés déclara très nettement que, si es rteoaésipvco t leurs architectes ne consentent point à c que les ans des immeubles à reconstruire soient établis n y prévoyant certains élémnts standardisés ls Allemands ne pourront fournir aux aive qu'une petite quantité de uxiatréam ouvriers. LES MINEURS EXTRÉMISTES font des avances à la Fédération nationale Seize délégués des syndicats extrémistes de mineurs, dans une réunion tenue r Pelleport, ont dcd d'drssr à la Fédération nationale des travailleurs du soussol une demande d'entrevue ayant pour bt de réaliser « l'unité de front » pour al défense des salaires et eds ht heures Précision qu'au nombre des seize délégés ptésnesr, il y ait douze communistes. qui sont aujourdhui partisans du front unique. Dimanche prochain 24 Septembre nous commencerons la publication de HAINE CONTRE HAINE NRDAG ROMAN NÉDT PAR ALBERT BOISÈ Dns une caitno romanesque xtrêmmnt mouvementée, nos lecteurs retrouveront toutes les qualités q ont fait de l'écrivain de la Reine Petite-Main et Petit Mécano, parus dns ns onslnec,o un d nos feuilletonnistes les ps rgnx. HAINE CONTRE HAINE est ss une œuvre de tendresse et e pan douloureuse où, finalement, la Hie qui détruit tout et n'engendre rien, est dans une action pathétique réduite à nt par les circonstances de la Vie, plus frts que les hommes. uTot le monde voudra lire HAINE CONTRE HAINE Une exclamation s'échappa de la bouche de son interlocutrice -Ah! tant mieux! tant mieux vous ne souffrirez pas ! Je ne souffrirai ps ? répéta miss Harlenson. C'est moi qui suis l fiancée de |
il y avait douze communistes. qui sont, aujourd'hui, partisans du front unique. Dimanche prochain 24 Septembre nous commencerons la publication de HAINE CONTRE HAINE GRAND ROMAN INÉDIT PAR ALBERT BOISSIÈRE Dans une action romanesque extrêmement mouvementée, nos lecteurs retrouveront toutes les qualités qui ont fait de l'écrivain de la Reine Petite-Main et du Petit Mécano, parus dans nos colonnes, un de nos feuilletonnistes les plus originaux. HAINE CONTRE HAINE est aussi une œuvre de tendresse et de passion douloureuse, où, finalement, la Haine qui détruit tout et n'engendre rien, est dans une action pathétique réduite à néant par les circonstances de la Vie, plus fortes que les hommes. Tout le monde voudra lire HAINE CONTRE HAINE Une exclamation s'échappa de la bouche de son interlocutrice -Ah! tant mieux! tant mieux vous ne souffrirez pas ! Je ne souffrirai pas ? répéta miss Harlenson. C'est moi qui suis la fiancée de Gérard Garffort. C'est vous qui êtes. Depuis bientôt un an. Il m'avait donc menti ? May jeta aussi ces paroles, en une exclamation, et une exclamation de soulagement. Et ce qu'elle éprouvait semblait être plus que du soulagement, une joie, un triomphe auquel succéda du mépris. Vous ne pouviez m'apprendre une meilleure nouvelle. Toute ma vie je vous serai reconnaissante de me l'avoir donnée, Ainsi il m'avait menti. Je hais le mensonge. C'est ce mensonge qui me dégage. Mais vous, mademoiselle, épouserez-vous cet homme qui m'a menti ? Je n'épouserai point cet homme. Miss Harlenson tendit la main à Ada Flory. Vous avez toute mon estime, le mensonge est la plus affreuse des choses. Nous sommes amies, voulez-vous ? Oh ! avec un très grand plaisir. Vous avez dû beaucoup souffrir ? J'ai beaucoup souffert, beaucoup pleuré. Pauvre petite ! May s'éloigna de deux pas. Excusez-moi, je fais donner l'ordre à mon chauffeur d'entrer au garage, et je reste. Je ne retournerai à Philadelphie, qu'après le dîner avec mon père. Nous allons nous promener et causer. C'est madame votre mère, présentez-moi donc, je vous prie. Arrêtée devant Mme Flory, elle saluait, prenant elle-même la main incertaine, pendant que la jeune | il y avait douze communistes. qiu sont, aujourd'hui, partisans d front unique. Dimanche prochain 24 Sptmbr nous commencerons la publication de HAINE CONTRE HAE DNGRA ROMAN INÉDIT PAR ALBERT BSSÈR Dans une action romanesque extrêmement m,eemnuéeotv nos lecteurs retrouveront toutes les qualités qui ot fait de l'écrvn de la Reine PetiteMain et du Petit Mécano, parus dans nos colonnes, un de nos feuilletonnistes ls plus originaux. HAINE CNTR HAINE est aussi une œuvre de tendresse et de passion douloureuse, où, finalement, la Haine qui détruit tout et n'engendre rien, e dans une action pathétique réduite à néant par les circonstances de la Vie, plus fortes que les hommes. Tout le mnd voudra lire HAI TNCORE HAINE n exclamation p'chéaaps de la hecubo de son interlocutrice -Ah! tant mx! tant mieux vous ne souffrirez pas Je ne souffrirai pas ? répéta miss Harlenson. C'st moi qui ussi la fiancée de Gérard Grffrt. C'est ous qui êtes. Depuis bientôt nu an. l m'avait donc menti ? May jt aussi ces paroles, en une xclmtn, et une exclamation de soulagement Et c qu'elle éprouvait mb être plus que du soulagement, une joie, un triomphe auquel succéda du mépris. Vous ne pouviez m'apprendre meilleure nouvelle. Toute ma vie je vous serai reconnaissante de me l'vr donnée, Ais il m'vt menti. Je hais le mensonge. C'est ce mnsng qui me dégage. Mi vous, mademoiselle, épouserez-vous cet homme qui m'a mnt ? J n'épouserai point tce homme. Miss Harlenson tendit la main à Ada Flry. Vous avez tte mon estime, le mensonge est la plus fe des choses. Nous sommes amies, vlose-uuvoz Oh ! ave un ts grand piir Vous avez dû beaucoup sffrr ? J'ai bpoueauc souffert, beaucoup pleuré. Pauvre petite ! M séloigna de deux pas. Excusezmoi je fais donner l'ordre à mn chauffeur tn'reerd au garage, et je reste. Je ne retournerai à Philadelphie, qu'après le dîner avec mon reèp. Nous allons nous promener et cr. C'est madame votre mère, présentez-moi donc, je vous prie. Arrêtée devant M Flory, elle slt, prenant elle-même la nami incertaine, pendant q la jeune |
une meilleure nouvelle. Toute ma vie je vous serai reconnaissante de me l'avoir donnée, Ainsi il m'avait menti. Je hais le mensonge. C'est ce mensonge qui me dégage. Mais vous, mademoiselle, épouserez-vous cet homme qui m'a menti ? Je n'épouserai point cet homme. Miss Harlenson tendit la main à Ada Flory. Vous avez toute mon estime, le mensonge est la plus affreuse des choses. Nous sommes amies, voulez-vous ? Oh ! avec un très grand plaisir. Vous avez dû beaucoup souffrir ? J'ai beaucoup souffert, beaucoup pleuré. Pauvre petite ! May s'éloigna de deux pas. Excusez-moi, je fais donner l'ordre à mon chauffeur d'entrer au garage, et je reste. Je ne retournerai à Philadelphie, qu'après le dîner avec mon père. Nous allons nous promener et causer. C'est madame votre mère, présentez-moi donc, je vous prie. Arrêtée devant Mme Flory, elle saluait, prenant elle-même la main incertaine, pendant que la jeune fille disait Maman, voici miss Harlenson qui veut te connaître, nos lecteurs DE LA PREMIÈRE A LA DERNIÈRE LIGNE Tant qu'on aura abusé des centenaires et des cinquantenaires encore qu'il y ait souvent un enseignement philosophique en ces retours vers le passé nul hommage ne sera plus justifié, que celui qui, le mois prochain, s'adressera à la mémoire de Théophile Gautier, un demi-siècle après sa mort. Ce magicien des lettres françaises, selon le mot de Baudelaire, n'avait rien à craindre de la postérité. Bien l'a bien consacré un des maîtres de la poésie, du roman et de la critique. On peut constater, à ce dernier point de vue, la sûreté de son jugement et de sa clairvoyance. Bien des œuvres, très discutées à leur apparition, qu'il avait été à peu près seul à soutenir, ont bravé l'avenir. Quel immense labeur fut le sien! Théophile Gautier estimait, un jour, vers la fin de sa vie, que si tout ce qu'il avait écrit avait pris la forme d'un livre, quatre cents volumes auraient à peine suffi pour recueillir toutes ses pages. Ce fut pendant quatorze ans, et presque toujours sous une forme admirable, une incessante production. A ne considérer que le grand | n meilleure nouvelle. Tt ma vie je vous serai rcnnssnt de e l'vr donnée, Ainsi il m'avait menti. Je hais le mensonge. Cest ce mensonge u me dégage. Mais vous, mademoiselle, épouserez-vous ct homme qui m'a menti ? Je n'épouserai pnt cet homme Miss Harlenson tndt la main à Ada Flory. Vous avez toute mon estime, le mensonge est la plus ffrs des choses. Nous sommes amies, voulez-vous ? Oh avec un très grand plsr. Vous avez ûd buapouce souffrir ? J'ai beaucoup souffert, beaucoup pleuré. Pauvre petite May séloigna de deux pas. xcsz-m, je fais donner l'ordre mon chauffeur d'entrer au garage, et je reste. J ne retournerai à Philadelphie, qu'après le dîner eavc mon pèr. Nous allons nous promener et causer. C'est madame votre mère, péez-i donc, je vous prie. Arrêtée devant Mme Flory, elle aau,slti prenant ele- la main ncrtn, pendant que la jeune fille disait Maman, v miss Harlenson qui veut te cnnîtr, lecteurs DE LA PREMIÈRE LA DERNIÈRE LIGNE Tant qu'on aura abusé sde centenaires et des cnqntnrs encore qu'il y ait souvent un enseignement philosophique en ces retours vers le passé nul hommage ne sera plus justifié, que ce qui, le mois prochain, s'adressera à la mémoire de Théophile Gi, un demi-siècle après a mort. Ce miie des lettres françaises, selon le mt de Baudelaire, n'avait rien à craindre de la postérité. Bn l'a bien consacré un ds maîtres de la poésie, du roman t de la critique. On t constater, à c dernier point de vue, la sûreté de son jugement et de sa clairvoyance. e des œuvres, très discutées à leur optpar,iani qu'il avait été à peu près seul à soutenir, ont brvé l'avenir. Quel immense labeur fut le in!es Théophile Gtr estimait, un jour, vers la fin de sa vie que si tout ce qu'il avait écrt avait prs la forme d'un livre, uatre cents volumes auraient à pei suffi pour recueillir toutes ses pages. Ce fut pendant quatorze ns, et presque toujours sous une forme admirable, une ncsne production. A ne cnsdérr que le grnd |
qui, le mois prochain, s'adressera à la mémoire de Théophile Gautier, un demi-siècle après sa mort. Ce magicien des lettres françaises, selon le mot de Baudelaire, n'avait rien à craindre de la postérité. Bien l'a bien consacré un des maîtres de la poésie, du roman et de la critique. On peut constater, à ce dernier point de vue, la sûreté de son jugement et de sa clairvoyance. Bien des œuvres, très discutées à leur apparition, qu'il avait été à peu près seul à soutenir, ont bravé l'avenir. Quel immense labeur fut le sien! Théophile Gautier estimait, un jour, vers la fin de sa vie, que si tout ce qu'il avait écrit avait pris la forme d'un livre, quatre cents volumes auraient à peine suffi pour recueillir toutes ses pages. Ce fut pendant quatorze ans, et presque toujours sous une forme admirable, une incessante production. A ne considérer que le grand journaliste, les associations de presse n'auraient-elles pas le devoir de glorifier sa mémoire, à la date qui va se présenter. D'autant qu'on se souvient que, au moment du centenaire de sa naissance, le projet d'un monument à élever à Paris à l'impeccable écrivain qui fut un des souverains de la littérature du dernier siècle fut entravé par toutes sortes d'obstacles. Le premier article de Théophile Gautier (il avait déjà publié, à dix-neuf ans, ses poésies, dont la première édition, de 1830, est une insigne rareté) parut dans le journal le Gastronome. C'est une fantaisie orientale, d'une truculence toute romantique, peut-être imprévue dans une publication célébrant la bonne chère. Un Français, perdu dans le désert d'Egypte, aperçoit enfin quelques Bédouins étendus autour d'un grand feu où rôtit une gazelle. Il reçoit d'eux l'hospitalité et est invité à partager leur repas. Cependant, le combustible dont se servent ses hôtes lui paraît étrange, répondant, d'ailleurs, une odeur nauséabonde. Affamé, il n'en attaque pas moins vigoureusement sa part de filet de gazelle, mais, quel que soit son appétit, il éprouve une sensation de dégoût. Or, en jetant les yeux sur le feu qui s'éteint, il aperçoit une masse informe, mais à l'extrémité de laquelle | qui le mois prochain, s'adressera à l mémoire de Théophile Gautier, n demi-siècle après sa mort. Ce magicien des lettres faises selon le mt de Baudelaire, n'avait rn à craindre de la postérité. Bien l'a bien consacré un des maîtres de la poésie, du roman et de la critique. On etpu cnsttr, à ce dernier point de ,uve la ûtesré de son jugement et de sa clairvoyance. Bien des œuvres, très discutées à leur apparition, qu'il avait été à peu près seul à soutenir, ont bravé l'avenir. Quel immense labeur utf le sien! Théophile Gautier estimait, un jour, vers la fin de vie, que si tout ce qu'il avait écrit avait pris la frm d'un vre, quatre cents volumes auraient à peine suffi pou recueillir os ses pages. Ce fut pendant quatorze ans, et presque toujours sous une forme admirable, une incessante production. A ne considérer que le grand journaliste, les associations de presse 'rientel pas le devoir de glorifier sa mémoire à la date qui va se présenter. D'autant qu'on se oui ,qeu au moment du centenaire d sa naissance, l projet d'un monument à élever à Paris à l'impeccable écrivain qui fut n des souverains de la littérature du dernier siècle fut entravé par toutes sortes d'obstacles. Le premier article de Théphl Gautier (il avait déjà publié, à dix-neuf ns, ses poésies, dont la première édtn, de 1830 est une insigne até) parut dans le journal le Gastronome. C'est une fantaisie orientale, d'une truculence toute romantique, peutêtre imprévue dans une publication célébrant la bonne chère. Un Français, perdu dans le désrt d'Egypte, aperçoit enfin quelques Bédouins étendus autour d'un grand feu où rôtit une gazelle. Il reçoit d'eux lhospitalité te est invité à partager lr repas. Cependant, le combustible dont se servent ses hôtes lui paraît étrange, répondant, 'ailleurs, une odeur nauséabonde Affamé il n'n attaque pas moins vigoureusement sa part d filet de gazelle, i quel que st son appétit, il éprouve une sensation de dégoût. Or, en jetant les yeux sur le feu qui s'éteint, il aperçoit une masse informe, mais à l'extrémité de laquelle |
littérature du dernier siècle fut entravé par toutes sortes d'obstacles. Le premier article de Théophile Gautier (il avait déjà publié, à dix-neuf ans, ses poésies, dont la première édition, de 1830, est une insigne rareté) parut dans le journal le Gastronome. C'est une fantaisie orientale, d'une truculence toute romantique, peut-être imprévue dans une publication célébrant la bonne chère. Un Français, perdu dans le désert d'Egypte, aperçoit enfin quelques Bédouins étendus autour d'un grand feu où rôtit une gazelle. Il reçoit d'eux l'hospitalité et est invité à partager leur repas. Cependant, le combustible dont se servent ses hôtes lui paraît étrange, répondant, d'ailleurs, une odeur nauséabonde. Affamé, il n'en attaque pas moins vigoureusement sa part de filet de gazelle, mais, quel que soit son appétit, il éprouve une sensation de dégoût. Or, en jetant les yeux sur le feu qui s'éteint, il aperçoit une masse informe, mais à l'extrémité de laquelle s'allonge un pied d'homme noirci par les flammes. Les Arabes, en guise de charbon, avaient utilisé une momie. Le dernier article de critique théâtrale de Gautier est du 28 février 1872, dans la Gazette de Paris, journal dirigé par Arsène Kussaye, qui y avait appelé son camarade de toute une vie. En cet adieu au feuilleton, ayant à parler de la reprise de Ruy Blas à l'Odéon, il proclamait encore sa foi romantique. Épuisé, malade, frappé à mort, il retrouvait, pour servir la gloire de Hugo, ses enthousiasmes de jeunesse, mais, si las qu'il fût, il n'avait pas le droit de se reposer. Il y a encore un article de lui, sur le Salon, dans le Bien public, du juin. Lutte douloureuse entre sa volonté et ses forces! Le grand curieux d'histoire littéraire que fut M. de Lovenjoul eut entre les mains quelques feuilles de papier qui évoquent cruellement cette courageuse bataille de Gautier contre le mal qui le minait. Sa main défaillante ne lui permettait plus une fine écriture. Il essayait des plumes d'oie, auxquelles il avait peine à s'habituer, et, pour s'entraîner, il traçait quelques lignes qui, par hasard, ne furent pas déchirées ou jetées par lui, et, | littérature du dernier siècle utf entravé rpa toutes sersot d'obstacles. Le premier article de Théophile Gautier (il avait publié, à dix-neuf ans, ses poésies, dnt la première édtn, de 083,1 est une insigne rareté) parut dns le journal le Gastronome. Cest une fantaisie rntl, d'une truculence toute romantique, peut-être imprévue dans une publication célébrant la bonne chèr. Un Français, perdu dns le dé d'Egypte, aperçoit enfin quelques Bédouins étendus ator d'un grand feu où rôtit une gazelle. Il reçoit d'eux l'hospitalité t st invité à partager leur repas. Cependant, le combustible dont se servent ses ô lui t érnge, répndnt, d'ailleurs, une odeur nauséabonde. Affamé, il 'en tatauqe pas moins vigoureusement sa part de filet de gazelle, mais, quel que soit son appétit, l pove une sensation de dégût. Or en jtnt les x sur el feu qi s'ent, il aperçoit une mse informe, mais à l'extrémité de laquelle s'allonge un pied d'homme noirci a les flammes. Lse a en guise de chrbn, avaient utilisé une momie. Le dernier article e riqu théâtrale de Gautier est du 28 février 1872, dans la Gazette de Paris, journal dirigé par Arsène Kussaye, qui y avait appelé son camarade ed toute une vie. En cet adieu au feuilleton, ayant arler de l reprise d Ruy Blas à 'Odéon, proclamait encore sa fio romantique Épuisé, malade, frappé à mort, il retrouvait, pour servir la gloire d Hugo, ses enthousiasmes de jnss, mais, si as quil fût, il n'avait pas le droit de se reposer. Il y a encore un article de lui, sur el Salon, dans e Bien public, du juin. Ltt douloureuse entre sa volonté et ses forces! Le grand curieux d'histoire littéraire que fut M. de Lvnjl eut enr les mains qlqs fl de ppr qui évoquent cruellement cette courageuse bataille de aieruGt contre le ml qui e mnt. Sa main défaillante ne lui permettait plus une fine écriture. Il essayait de plumes d'oie, auxquelles l avait pn à s'habituer, et pour s'entraîner, l raçaitt quelques lignes qui pr hsrd, ne furent pas déchirées ou jetées par lui, et, |
vie. En cet adieu au feuilleton, ayant à parler de la reprise de Ruy Blas à l'Odéon, il proclamait encore sa foi romantique. Épuisé, malade, frappé à mort, il retrouvait, pour servir la gloire de Hugo, ses enthousiasmes de jeunesse, mais, si las qu'il fût, il n'avait pas le droit de se reposer. Il y a encore un article de lui, sur le Salon, dans le Bien public, du juin. Lutte douloureuse entre sa volonté et ses forces! Le grand curieux d'histoire littéraire que fut M. de Lovenjoul eut entre les mains quelques feuilles de papier qui évoquent cruellement cette courageuse bataille de Gautier contre le mal qui le minait. Sa main défaillante ne lui permettait plus une fine écriture. Il essayait des plumes d'oie, auxquelles il avait peine à s'habituer, et, pour s'entraîner, il traçait quelques lignes qui, par hasard, ne furent pas déchirées ou jetées par lui, et, pour ainsi dire à son insu, elles prenaient la forme de vers. Un bon coupeur de plumes est égal aux dieux mêmes Essayons vainement distiller enivironnée taillée Mais elle est vainement avec travaillée. Suprêmes autographes du maître, tragiques par ce qu'ils représentent d'efforts pour triompher de l'implacable déclin de ses forces. Paul Ginisty. Feu Frascati. La pâtisserie Frascati, qui disparaît, avait, avec son aspect désuet, quelque chose de l'ancien Paris que nous voyons, année après année s'effacer petit à petit pour faire place à un autre Paris qui n'a pas le charme de l'ancien. Son nom lui était venu d'un des lieux célèbres de plaisir sous le Directoire. À Frascati, on prenait des glaces, on dansait, on donnait des concerts. On y dînait et soupait également sous des tonnelles de glycine et de vigne vierge. Le maître de céans, le célèbre glacier Garchy, très ancien régime, fervent royaliste, qui avait fait le coup de feu en vendémiaire dans les rangs royalistes, aimait à s'entretenir avec ses clients. On jouait également beaucoup à Frascati. Les jeux, dont Perrin avait la ferme, furent l'endroit le plus fréquenté et le plus animé de Paris sous le Directoire. Dans les beaux appartements de l'ancien | vie. En cet adieu au feuilleton, ayant à parler de la reprise de Ruy Blas à l'Odéon, il proclamait encore sa foi atqm.unoier Épuisé, malade, frappé à mort, il retrouvait, pour servir la gloire de Hugo, ses enthousiasmes de jnss, mais si las qu'il fût, i n'avait pas le droit de se reposer. Il a encore un article de lui, u le Salon, dans le Bien public, du juin. Lutte douloureuse nre sa volonté et ses forces! Le grand curieux d'histoire littéraire que fut M. de Lovenjoul eut etern les mains quelques feuilles de papier qui voqun cruellement cette crgs bataille d Gautier contre le mal qui le minait. Sa main défaillante ne lui permettait plus une f écriture. Il essayait des plumes doie auxquelles il avait peine à s'habituer, et, pour s'entraîner, il ti quelques lgns qui, par hasard, ne furent pas déchirées ou par lui et, pour ainsi re à son insu, elles prenaient l forme vers. Un bon coupeur de plumes est égal aux dieux mêmes Essayons vainement distiller eionn taillée Mais elle e vainement avec aavrelélti. Surêe autographes d maître, tragiques par ce qu'ils représentent d'efforts pour triompher de l'implacable déclin de ss forces. Pl Gnsty. Feu Frascati. La pâtisserie Frascati, qu disparaît, avit ec son aspect dést, quelque chose de l'ancien Paris que nous voyons, année après année s'effacer petit à e pr fr place à un autre Prs qui n'a pas l charme de l'ncn. Son mon l était vn d'un des lieux célèbres de plaisir ss l Directoire. À Frascati, n prenait des glaces, on dansait, on odantin des ocets On y dînait et soupait également sous des tonnelles de glycine e d vigne vierge. Le maître de céans, le célèbre glacier Garchy, très ancien régime, fervent royaliste, qui avait fait le coup de feu en vendémiaire dans es rangs royalistes, aimait à s'entretenir avec ses clients. On jouait également euc à Frascati. Les jeux, dont Perrin avait la ferme, furent l'endroit le plus fréquenté et le u animé de Paris le Directoire. Dans les beaux appartements e l'ancien |
forces. Paul Ginisty. Feu Frascati. La pâtisserie Frascati, qui disparaît, avait, avec son aspect désuet, quelque chose de l'ancien Paris que nous voyons, année après année s'effacer petit à petit pour faire place à un autre Paris qui n'a pas le charme de l'ancien. Son nom lui était venu d'un des lieux célèbres de plaisir sous le Directoire. À Frascati, on prenait des glaces, on dansait, on donnait des concerts. On y dînait et soupait également sous des tonnelles de glycine et de vigne vierge. Le maître de céans, le célèbre glacier Garchy, très ancien régime, fervent royaliste, qui avait fait le coup de feu en vendémiaire dans les rangs royalistes, aimait à s'entretenir avec ses clients. On jouait également beaucoup à Frascati. Les jeux, dont Perrin avait la ferme, furent l'endroit le plus fréquenté et le plus animé de Paris sous le Directoire. Dans les beaux appartements de l'ancien hôtel Lecoulteux, situé à l'angle de la rue de Richelieu et du boulevard, se pressait, chaque soir, une foule des plus mêlées. C'était le seul établissement de Paris Et combien je regrette de ne pas la voir, répliqua l'aveugle, vous êtes très jolie, mademoiselle, et j'ai entendu dire que vous étiez très bonne. Que lorsqu'on vous connaissait on vous aimait. Le Tire frais de Mai fusa, tandis que les joues devinrent plus rosées, lorsqu'elle demanda Qui a bien pu me flatter ainsi, chère madame ? Je ne crois pas qu'on vous ait flattée. Très jolie, c'est indéniable. Très bonne, cela est répété par quelqu'un qui vous connaît bien. Ne pourrais-je pas savoir par qui ? Par le prince Grégory. Gregory ? Nous sommes des camarades d'enfance et il est très indulgent. Elle ajouta, riant moins fort, et cette fois toute rouge. Mais très sévère, lorsqu'il est avec moi. Un domestique passait à proximité elle lui donna l'ordre à transmettre au chauffeur, puis expliqua aux deux femmes. J'étais venue d'ailleurs pour rester, je ne partais que la maison vide, je craignais de m'ennuyer jusqu'au dîner, qui n'aura guère lieu avant neuf heures. Nous ne risquerons pas, d'ici là, de commander un | frcs. Paul Ginisty. Feu Frascati. La pâtisserie Frascati, q disparaît, avait, avec son aspect désuet, qlq chose de l'ancien Paris que nous voyons, année ar année s'effacer petit à petit pour efrai place à un autre Paris qui n'a pas le charme de 'ancien. Son nom lui était e d'un des lieux célèbres de plaisir sous le Directoire. À Frascati, on prenait des glaces, on dansait, on donnait des cncers On y dînait et soupait également sous des tonnelles de glycine et de vigne vierge. Le maître de céans, le célèbre glacier Garchy, très ancien éie fervent royaliste qui avait fait le cp de feu n véia ns les rangs royalistes, aimait à 'entretenir avec ses clients. On jouait également beaucoup à Frascati. Les jeux, dont Pri avait al ferme furent l'endroit le plus fréquenté et le plus animé de Paris sos le Directoire. Dans les auexb appartements de l'ancien hôtel Lecoulteux, situé à l'angle de la rue de Richelieu et du boulevard, se pressait, chaque sr, une foule des plus mêlées. C'était le seul établissement de Paris Et combien j regrette de ne pas la voir, répliqua va,'gluele ousv êtes très jolie, mademoiselle, et 'jia du dire que vous étiez très bonne. eQu lorsqu'on vous connaissait on vous aimait. Le Tire frais e Mai fusa, tnds que sle joues devinrent plus rosées, lorsqu'elle demanda Qui bien pu me flatter ns, chère madame ? Je ne crois pas qu'on vous ait flattée. Très jolie, c'est indéniable. Très bonne, cela est répété par quelqu'un qui vous connaît bien. Ne pourrais-je pas savoir par q ? Par le prince Grégory. Gregory ? Nous omm des camarades d'enfance et il est très indulgent Elle ajouta, riant moins frt, et cette fois toute rouge. Mais très sévère, lorsqu'il est avec moi. Un domestique psst à proximité elle lui donna l'ordre à transmettre au chauffeur, puis expliqua aux dx femmes. J'étais vn d'ailleurs pour rester, je ne partais que la maison vide, je craignais de m'ennuyer jusqu'au dîner, qui n'aura guère lieu avant neuf heures. Nous ne risquerons pas, d'ici là, de commander un |
étiez très bonne. Que lorsqu'on vous connaissait on vous aimait. Le Tire frais de Mai fusa, tandis que les joues devinrent plus rosées, lorsqu'elle demanda Qui a bien pu me flatter ainsi, chère madame ? Je ne crois pas qu'on vous ait flattée. Très jolie, c'est indéniable. Très bonne, cela est répété par quelqu'un qui vous connaît bien. Ne pourrais-je pas savoir par qui ? Par le prince Grégory. Gregory ? Nous sommes des camarades d'enfance et il est très indulgent. Elle ajouta, riant moins fort, et cette fois toute rouge. Mais très sévère, lorsqu'il est avec moi. Un domestique passait à proximité elle lui donna l'ordre à transmettre au chauffeur, puis expliqua aux deux femmes. J'étais venue d'ailleurs pour rester, je ne partais que la maison vide, je craignais de m'ennuyer jusqu'au dîner, qui n'aura guère lieu avant neuf heures. Nous ne risquerons pas, d'ici là, de commander un thé substantiel. En attendant l'heure de thé, voulez-vous que nous marchions ? Vous connaissez la case de Fiamma, un endroit qu'on a laissé très sauvage et que j'adore. C'est là qu'elle pratique les rites indiens, qu'elle classe ses plantes qu'elle fait ses philtres, autrement dit ses médicaments. Elle qui n'a vécu comme ses parents que dans les villes, et dont le fils, Jam-Jim, est aussi instruit et policé que possible, revient complètement à sa race, dès qu'elle entre dans son wigwam. C'est là qu'elle prédit le mieux l'avenir. Vous a-t-elle dit la bonne aventure ? Eli m'a simplement regardé la main. Il paraît que ma ligne de chance domine toutes les perturbations de mon expérience de jeu où les femmes sont admises. Feu Frascati Un hommage. Une délégation de trois membres, un pour la province de Chieti, un pour celle d'Aquila, et un pour celle de Teramo, a été nommée par les mutilés des Abruzzes, avec mission d'aller saluer d'Annunzio à Gardone Riviera. Les cadeaux qu'elle apportait étaient simples, mais caractéristiques : une branche de chêne de Maiella, et une photographie avec cette dédicace : "Aux mutilés des Abruzzes, au grand mutilé." Cette photographie, les délégats devaient la signer en | étiez très bnn. Que lorsqu'on vous connaissait on vous aimt Le Tire frs de Mai fusa, tandis que ls joues devinrent plus s,oesér lrsq'll demanda Qui bn pu m flatter ns, chère madame ? Je ne crois pas qu'on vous ait flattée. Très jolie, c'est indéniable. Très bonne, cela est répété par quelqu'un qui vs connaît bien. Ne pourrais-je pas savoir par qui ? Par le prince Grégory. Gregory ? Nous sommes des camarades d'enfance et il est très indulgent. Elle ajouta, riant moins fort, et cette fois toute rouge. M tr èe, lorsqu'il est v moi. Un domesiu passait à prxmté elle lui donna lordre à transmettre au chauffeur, puis expliqua aux deux femmes. ié'aJst venue d'ailleurs pour rester, je ne partais que la maison vide, je craignais de m'ennuyer jusqu'au dîner, qui 'aura ruegè lieu vnt neuf heures. Nous ne risquerons pas, d'c là, de commander un thé substantiel. En attendant l'heure de thé, voulez-vous que ns marchions ? Vous connaissez la case de ,Fmmaai un endroit qu'on a laisé très svg et que 'oe C'est là qu'elle pratique les rites indiens, qu'l classe ses plantes qu'elle fait ses philtres, autrement dit ses médicaments. Elle qui n'a vécu comme ses prnts q dans les villes, et dont le fils, Jam-Jim, st aussi instruit e policé que possible, revient complètement sa race, dès qu'elle entre dans sn wigwam. C'est là qu'elle prédit le mieux l'avenir. Vous a-t-elle dit la bonne aventure ? Eli m'a smplmnt regardé la main. l paraît ma ligne de chance domine toutes les perturbations de mon xpérnc de jeu où les femmes sont admises Feu Frascati Un hommage. Une délégation de trois membres, un pour la province de Chieti, un pour cll d'Aquila, et un pour celle de Teramo a été nommée pr les mutilés des Abruzzes, avec mission d'aller saluer d'Annunzio à Gardone Riviera. cadeaux quelle apportait étaient simples, mais caractéristiques : une branche de chêne de Maiella, e une photographie avec cette dédicace : "Aux mutilés des Abruzzes, au grand mutilé." Cette photographie, les délégats devaient la signer |
vécu comme ses parents que dans les villes, et dont le fils, Jam-Jim, est aussi instruit et policé que possible, revient complètement à sa race, dès qu'elle entre dans son wigwam. C'est là qu'elle prédit le mieux l'avenir. Vous a-t-elle dit la bonne aventure ? Eli m'a simplement regardé la main. Il paraît que ma ligne de chance domine toutes les perturbations de mon expérience de jeu où les femmes sont admises. Feu Frascati Un hommage. Une délégation de trois membres, un pour la province de Chieti, un pour celle d'Aquila, et un pour celle de Teramo, a été nommée par les mutilés des Abruzzes, avec mission d'aller saluer d'Annunzio à Gardone Riviera. Les cadeaux qu'elle apportait étaient simples, mais caractéristiques : une branche de chêne de Maiella, et une photographie avec cette dédicace : "Aux mutilés des Abruzzes, au grand mutilé." Cette photographie, les délégats devaient la signer en présence de l'ancien commandant de Fiume. L'un d'entre eux, nommé Delloso, est malheureusement amputé des deux bras. "Comment ferez-vous ? lui demandaient, pendant le voyage, ses camarades. Te remplacerons-nous dans la circonstance ? "Non, non, ne vous inquiétez pas. Je saurai me tirer d'affaire. "Et, en effet, lorsque, dans le salon du poète, ce fut au tour de Delloso d'apposer son paraphe, le mutilé saisit le porte-plume entre des dents et dessina comme il put une croix sur le carton. Aujourd'hui Conseil des ministres, heure, à l'Élysée. Courses, à Maisons-Laffitte. Première, au Vaudeville, à 18 h 45, l'Avocat, comédie en trois actes, de M. Brieur de l'Académie française. M. Poincaré a repoussé après midi M. Belland, sénateur du Canada de Paris, venu de France à Varsovie et El Moktef ministre des Affaires et sultan du Maroc. Parlement, prudent du Conseil de Croatie. En outre, le président du Conseil s'est réuni avec MM. de Lasteyrie et Marinan, ministres des Finances et de la marine, accueillant du général Buat, chef d'état-major général de l'armée, et de MM. Adrien Darcel, président, et Bokanowsky, rapporteur général de la commission des finances de la Chambre. Sur la tombe de Mme Jacquemart-André, qui repose dans la | vécu comme e parents que das les vlls, et dnt le fl JamJim ets ss nstrt et épolic ue possible, revient coèen à sa race, dès qu'elle entre dans so wigwam. là qu'elle prédit le mieux l'avenir. Vous at-le dit la bonne vntue ? iEl ' simplement rrd l main. Il paraît que ma ligne de chance domine tts les perturbations de mon expérience de jeu où les femmes sont admises. Feu rFciasat Un hommage. neU délégation de trois membres, un pour l province de Chieti, un pour c d'Aquila, et n pour celle de ea a été nommée par les mutilés des Abruzzes, cvea mission d'aller slur dAnnunzio à Gardone iviea. Les cadeaux qu'elle apportait étaient simples ms caractéristiques : une branche de chêne de Maiella et une photographie avec cette dédicace : "Aux mtlés des Abruzzes, au grand mutilé Cette photographie, les délégats devaient la signer en présence de l'ancien commandant de Fiume. L'un tnedr'e x,eu nommé Delloso, est malheureusement amputé des dx bras. mom"eCtn ferez-vous ? lui demandaient, pndnt le voyage ses camarades. Te remplacerons-nous dans la circonstance Non non ne vous quéez ps. Je saurai me tirer 'affaire. "Et, n effet, lorsque, dans le salon du poète, ce fut au tour de Delloso dapposer son paraphe, mutilé saisit le porte-plume entre des dents t dessina comme il put une croix sur le crtn. Aujourd'hui Cnsl des ministres, heure à l'Élysée. Courses à Maisons-Laffitte. rire au Vdvll, à 18 h 45, lAvocat comédie en trois actes, de M ireruB de l'Académie ase M. Poincaré a rpssé après mi M. Belland, séntr du Canada de Prs, uven de France à Varsovie et El Moktef ministre des fsfrAiea et sultan du Mrc. Parlement, prudent du Cnei de ro En outre, le président du Cseil s'est réuni avec MM d Lasteyrie et Marinan, ministres des Finances et d la marine, accueillant du général Buat, chef d'état-major général d l'armée, et de MM. Adrien Darce président, et Bokanowsky, rapporteur général de l commission des finances de la Chambre. Sur la emtob de Mme Jacquemart-André, qui repose dans la |
salon du poète, ce fut au tour de Delloso d'apposer son paraphe, le mutilé saisit le porte-plume entre des dents et dessina comme il put une croix sur le carton. Aujourd'hui Conseil des ministres, heure, à l'Élysée. Courses, à Maisons-Laffitte. Première, au Vaudeville, à 18 h 45, l'Avocat, comédie en trois actes, de M. Brieur de l'Académie française. M. Poincaré a repoussé après midi M. Belland, sénateur du Canada de Paris, venu de France à Varsovie et El Moktef ministre des Affaires et sultan du Maroc. Parlement, prudent du Conseil de Croatie. En outre, le président du Conseil s'est réuni avec MM. de Lasteyrie et Marinan, ministres des Finances et de la marine, accueillant du général Buat, chef d'état-major général de l'armée, et de MM. Adrien Darcel, président, et Bokanowsky, rapporteur général de la commission des finances de la Chambre. Sur la tombe de Mme Jacquemart-André, qui repose dans la chapelle du domaine de Châalis, l'Institut va faire élever un monument dont la conception a été confiée à M. Donat Pelle, membre de l'Académie des beaux-arts, directeur de l'Académie de France à Rome. L'Académie française vient de recevoir un legs particulièrement intéressant. Mlle Victorine-Germaine Trian, ancienne servante de feu Héron de Villefosse, membre de l'Institut, lui a laissé par testament 100 francs de rente à distribuer chaque année à une famille chargée d'enfants, dont les parents auront été frappés par la maladie. La Parfumerie Obiza-L. Legrand, 9, boulevard de la Madeleine, Paris, vient de faire mettre en vente, au prix imposé de 25 francs, un nouvel extrait « DEJA LE PRINTEMPS », qui atteint en suavité une perfection jusqu'alors inconnue. Les Chaussures BALLY, la grande marque mondiale dont la perfection satisfait tous les usages, sont en vente dans les meilleures boutiques de Paris et de chaque ville, et à la Cordonnerie de l'Opéra, 22, avenue de l'Opéra, et pour Bébé la Phosphatine Falières. Forme avec le lait une bouillie délicieuse et fortifiante nécessaire au sevrage et pendant la croissance. Convient aux estomacs délicats. Exiger la Phosphatine Falières. Se méfier des imitations. LES SAVONS VAISSIER K 98 CONGO blancheur du teint | salon du poète, c fut au tour de Delloso d'apposer son paraphe, le mutilé saisit le porte-plume entre des dents et dessina comme il put une croix sur le carton. Aujourd'hui Conseil des ministres, heure l'Élysé. Courses, à Maisons-Laffitte. Première, au Vdvll, 18 h 45 lAvocat comédie en trois actes de M. Brieur de caéAdme'li française. M. Poincaré a repoussé après midi M. Belland, sénateur du Canada de Paris, venu de France à Varsovie et El Moktef ministre des Affaires et sultan du Maroc. Parlement, prudent Conseil de Croatie. En outre, le président du Cnsl s'est réuni avec MM. ed Lasteyrie et Marinan, ministres des Finances et de l i,eramn accueillant du général Buat, chef d'état-major général de rmae',él et e MM. Adrien Darcel, président, et Bokanowsky, rapporteur général de la commission des finances de la Chambre. Sur la mbe de Mme Jacquemart-André, qui repose dans la chapelle du domaine de l,Chiasâ l'Institut v faire élever un monument dont la conception a été confiée à M. tDona Pelle, membre de l'Académie des beaux-arts, directeur d l'Académie de France Rome. L'Académie française vient de recevoir un lgs particulièrement intéressant Mlle Victorine-Germaine Trian, n servante de feu Héron de illefosse membre de l'Institut, lui a laissé par testament 100 francs de rente à distribuer chaque année à une famille harée denfants dont ls parents auront été fapés par la aimdl.ae La Parfumerie ObizaL Legrand, 9, boulevard de la Mdln, Paris, vient de faire tertem en vente, au prix imposé ed 25 frncs, un nouvel extrait « DEJA LE PRINTEMPS », qui atteint en suavité une perfection jusqu'alors nonue. Les Chaussures BALLY, la grande marque mondiale dont l perfection satisfait u les usages, sont n vente dans les meilleures btqs de Paris et de chaque ville, et à la Cordonnerie de l'Opéra, 22, avenue de 'Opéra, t pour Bébé la Phosphatine Falières Forme avec l lait un bouillie délicieuse t fortifiante neariéssec au sevrage et pendant la crssnc. Convient x estomacs délicats. Exiger la Phosphatine Falières. e méfier des imitations. LES SAVONS VAISSIER K 98 NOOGC blancheur du teint |
de Villefosse, membre de l'Institut, lui a laissé par testament 100 francs de rente à distribuer chaque année à une famille chargée d'enfants, dont les parents auront été frappés par la maladie. La Parfumerie Obiza-L. Legrand, 9, boulevard de la Madeleine, Paris, vient de faire mettre en vente, au prix imposé de 25 francs, un nouvel extrait « DEJA LE PRINTEMPS », qui atteint en suavité une perfection jusqu'alors inconnue. Les Chaussures BALLY, la grande marque mondiale dont la perfection satisfait tous les usages, sont en vente dans les meilleures boutiques de Paris et de chaque ville, et à la Cordonnerie de l'Opéra, 22, avenue de l'Opéra, et pour Bébé la Phosphatine Falières. Forme avec le lait une bouillie délicieuse et fortifiante nécessaire au sevrage et pendant la croissance. Convient aux estomacs délicats. Exiger la Phosphatine Falières. Se méfier des imitations. LES SAVONS VAISSIER K 98 CONGO blancheur du teint le pain 1.95 N° 32 Savon Eau de Cologne véritable. le pain K Savon VIOLETTES RÉVEES. le pain N Savon LAIT de SON, recomm. le pain Pour Messieurs PALETOTS GABARDINE formes dernières mode, qualités supérieures 85 175 225 fur ^^H 12, Faubourg Montmartre ,POUR VOS DENTS '*+ Demandez partout UNE PÂTE celle C'est assurément le plus parfait dentifrice. jf MAIGRIR C'est ÉMABELLIR Toute femme soucieuse de sa beauté et de sa santé doit combattre l'obésité et ses pari 14 Thé « Mexicain du Dents Jawas, produit véritable qui fait maigrir sans danger et sans fatigue. Succès mondial, La boite 6 fr. franco, 6 fr. 95, Pharm. du Globe. 19, rue Bonnard, Nouvelle, Paris et toutes Pharm. 120'MILLE LA GARÇONNE ROMAN DE MŒURS tar VICTOR MARGUERITTE roman, 7 fr. tence. Il paraît même que ces perturbations appartiennent au passé. Oh ! mais, vous n'avez plus qu'à vous laisser vivre. Alors, nous allons par là ?. Je ne demande pas mieux. Votre maman nous suit ? Mère est un peu fatiguée, et il est l'heure de sa sieste. Voyez, depuis qu'il fait bon, enveloppée du reste de couvertures, elle la fait dans ce bosquet. Ada montrait à quelques pas un fourré dont | de Villefosse, mer d l'Institut, lui a laissé par testament 100 francs ed rente à distribuer chaque nné à une famille chargée d'enfants, dont les parents auront été frappés par la maladie. La Prfmr Obiza-L. Legrand, 9, boulevard de la Mlne, Paris, vient d faire mttr en vnt, a prix imposé d 25 francs, un nouvel extrait DEJA LE PRINTEMPS », qui atteint en suavité une perfection uu'lr inconnue Ls Chaussures BALLY, la grande marque mondiale dont la perfection satisfait tous les usages, sont en vente dns les meilleures buques de Paris et de chaque ville, et à la Cordonnerie de 'Opéra, ,22 avenue de l'Opéra, et pour Bébé la Phosphatine Falès. Forme avec le lait une bll délicieuse et fortifiante nécessaire au sevrage et pendant la croissance Cnvnt x estomacs délicats. Exiger la Phosphatine Falières. Se méfier des imitations. LES SAVONS VAISSIER K 98 CONGO blancheur du teint l pain 195 ° 32 Savon de Cologne véritable. le pain K Svn VIOLETTES S. le pain N Savon LAIT de SON, recomm le pain Pour Mssrs PALETOTS NBIGEAADR formes dernières mode, qualités supérieures 85 175 225 fur ^^H 12, Faubourg Montmartre ,POUR VOS DENTS '*+ Demandez partout UNE PÂTE celle 'est assuéen l plus parfait dentifrice. jf MAIGRIR Cest ÉMABELLIR Toute femme soucieuse de sa beauté et de sa santé doit omre l'obésité te ses pari 14 Mexicain du tseDn Jawas, produit véritable q fait maigrir sans dngr et sn fatigue. Succès mndl, La boite 6 fr. ano, fr. 95, Pharm. du Gloe 19, rue Bonnard, Nouvelle, Paris et tts Phrm. 120'MILLE LA GARÇONNE ROMAN DE MŒURS tar VICTOR GURITT on 7 fr tence. Il prît même que ces ttbprenoriasu pprtnnnt au passé. Oh ! mais, vous n'avez plus qu'à vous laisser vivre. Alors, nous allons pr là ?. Je ne demande pas mx. Votre maman nous suit ? Mèr est un peu fatiguée e il est l'heure de sa sieste. Voyez, depuis qu'il fait bon, nvlppé du reste de ertu, elle la ft dans ce bosquet. Ada montrait à quelques pas n for dont |
PÂTE celle C'est assurément le plus parfait dentifrice. jf MAIGRIR C'est ÉMABELLIR Toute femme soucieuse de sa beauté et de sa santé doit combattre l'obésité et ses pari 14 Thé « Mexicain du Dents Jawas, produit véritable qui fait maigrir sans danger et sans fatigue. Succès mondial, La boite 6 fr. franco, 6 fr. 95, Pharm. du Globe. 19, rue Bonnard, Nouvelle, Paris et toutes Pharm. 120'MILLE LA GARÇONNE ROMAN DE MŒURS tar VICTOR MARGUERITTE roman, 7 fr. tence. Il paraît même que ces perturbations appartiennent au passé. Oh ! mais, vous n'avez plus qu'à vous laisser vivre. Alors, nous allons par là ?. Je ne demande pas mieux. Votre maman nous suit ? Mère est un peu fatiguée, et il est l'heure de sa sieste. Voyez, depuis qu'il fait bon, enveloppée du reste de couvertures, elle la fait dans ce bosquet. Ada montrait à quelques pas un fourré dont le centre assez large était occupé par une chaise longue, une table et des fauteuils. L'air de la mer, ajouta Ada, lui avait déjà fait grand bien, je crois que le séjour de la forêt lui en fera encore davantage. Quand nous retournerons à Paris, certainement sa vue sera un peu revenue. Car si ma petite mère ne voit pas, il faut s'en prendre uniquement à une grande anémie. Nous te laissons, maman ? laisse-moi, ma chérie et ne t'inquiète pas de moi, tu sais que j'arrive très bien à regagner la maison seule. Je sais, mais je préfère te venir prendre, Nous viendrons ensemble, madame, appuya miss Harlanson. Madame Flory, étendue sur la grande chaise d'osier, des coussins disposés derrière elle, répondit par un sourire, le sourire très doux qui éclairait si sympathiquement sa physionomie. Et les deux jeunes filles s'enfoncèrent sous bois. Cette case, ce wigwam où Fia-Mé retrouvait, comme disait miss Harlanson, tous ses instincts de race, se situait très près de la villa, tout en paraissant très loin que l'on y arrivait, au cœur même de la forêt. Avant de l'atteindre, Fia-Mé et de l'approcher seulement pour en faire le tour, puis revenir sur leurs pas | PÂT celle C'est assurément le plus parfait dentifrice. jf MAIGRIR C'st BAIELMLÉR Toute femme soucieuse de sa bté et de sa santé doit combattre l'obésité et ses pari 4 Thé « Mexicain du Dents Jawas, produit vérie qui fait maigrir sans danger et sans fatigue. cScusè mondial, L tbieo 6 fr. franco, 6 fr. 95, Pharm. du Globe. 19, rue Bonnard Nouvelle, Paris et totuse h.Parm 120'MILLE LA GARÇONNE ROMAN DE MŒURS tar ICO MARGUERITTE roman, 7 fr. tence. Il pt me que cs perturbations appartiennent au passé. Oh ! ms, vous 'avez plus u vous laisser vivre Alors, nous allons par là ?. Je en demande pas mieux. Vtr maman nsuo suit ? Mère est un peu fatiguée, et il est l'hr de sa sieste. Vyz, depu qu'il fait bn, enveloppée du reste de couvertures ll la fait dans ce bou. Ada montrait à quelques pas un fourré dont el centre assez large tatéi ccpé par une eicahs lng, une table t des fauteuils. L'air d la mer, ajouta Ada, lui avait déjà fait grand bien, je crs que le séjour de la forêt lui n fera encore davantage. Qad nous retournerons à Prs, certainement sa vue sera un p revenue. C si ma mère ne voit pas, il faut s'n prendre uniquement une grande anémie. Nous te laissons, maman ? s,s-ilmaieo ma chér et ne t'inquiète pas de moi, tu sais q j'arrive è bien à regagner la maison seule. Je sais, mais j préfère te venir neredrp, Nous viendrons ensemble, mdm, appuya miss aann Madame Flory, étendue urs la grande chaise si,r'doe des issnousc disposés derrière elle, répondit par un sourire le sourire ts doux qui éclairait si sympathiquement sa physionomie. Et ls deux jeunes filles s'nfncèrnt sous obi.s Cette case, ec wigwam où Fia-Mé retrouvait, comme disait miss Hrlnsn, ts ses instincts de race, se suai très près d la llvi,a tout en paraissant r ln q l'on y rrvt, au cœur même ed la oêtrf. Anvat de l'atteindre, Fia-Mé et de l'approcher seulement pour en fr le tour, puis revenir sur lrs pas |
peu revenue. Car si ma petite mère ne voit pas, il faut s'en prendre uniquement à une grande anémie. Nous te laissons, maman ? laisse-moi, ma chérie et ne t'inquiète pas de moi, tu sais que j'arrive très bien à regagner la maison seule. Je sais, mais je préfère te venir prendre, Nous viendrons ensemble, madame, appuya miss Harlanson. Madame Flory, étendue sur la grande chaise d'osier, des coussins disposés derrière elle, répondit par un sourire, le sourire très doux qui éclairait si sympathiquement sa physionomie. Et les deux jeunes filles s'enfoncèrent sous bois. Cette case, ce wigwam où Fia-Mé retrouvait, comme disait miss Harlanson, tous ses instincts de race, se situait très près de la villa, tout en paraissant très loin que l'on y arrivait, au cœur même de la forêt. Avant de l'atteindre, Fia-Mé et de l'approcher seulement pour en faire le tour, puis revenir sur leurs pas les deux nouvelles amies avaient repris leur conversation. (Lire la suite ci-après, quatrième page) A L'ASSEMBLÉE DE LA SOCIÉTÉ DES NATIONS Une bonne journée pour la France à Genève Genève, 21 sept. (de notre envoyé spécial.) Cinquante nations, dont les drapeaux flottent aux fenêtres des hôtels genevois, ont approuvé, cet après-midi, le point de vue français dans la question des réparations et des dettes interalliées. Sans doute, ne s'agissait-il que d'un vœu. Cela se passait dans la salle de verre, pareille à un aquarium, où se réunissaient déjà, les années précédentes, les principales commissions de la Société des nations. Ce cadre transparent, à travers lequel on aperçoit l'horizon du lac, fermé au loin par le mont Blanc, communique aux délibérations de ces jeunes assemblées une portée de fragilité. Pendant que parlait cet après-midi M. Henri Jouvenel, un oiseau entra par une baie entrouverte, comme pour rappeler qu'une hirondelle ne fait pas le printemps. Pourtant, dans le fond comme dans la forme, le Nœud présenté aujourd'hui par la délégation française et adopté par l'unanimité de l'assemblée, et dont le texte vous a été communiqué d'autre part, pourrait néanmoins entraîner des conséquences intéressantes. Et cela, pour deux raisons principales. En premier lieu, | e revenue. Car si ma petite mère ne voit ps, il faut s'en prendre uniquement à une ge anémie. Nous te laissons, maman ? laiss-o ma chérie et ne t'inquiète pas de moi, tu sais que 'arrive tè bien à regagner la msn seule Je sais, mais je préfère te venir prendre, Nous viendrons ensemble madame, appuya miss Harlanson Madame Flory, étendue sur la grande ch d'osier, des coussins disposés derrière elle, répondit par un sourire, le sourire très doux qui éclairait si sympathiquement sa physionomie. Et les eudx jeunes filles s'enfoncèrent sous bois. Cette case c wigwam Fia-Mé rtrvt, comme disait miss Harlanson, tous ses nstncts de race, se situait très près de la villa, tout en paraissant très loin que l'on y arrivait, au cœur même de la forêt. Avant de l'atteindre, Fia-Mé et de l'approcher eent pour en ire le tour, puis revenir sur leurs pas les deux nvlls amies avaient repris leur conversation rLe(i la suite ci-après, quatrième page) A L'ASSEMBLÉE DE LA SOCIÉTÉ DES NATIONS Une bonne journée pour la France à Genève èen,evG 21 sept. (de notre envoyé spécial.) Cinquante nations dont ls drapeaux flottent x fenêtres des hôtels genevois, ont approuvé, cet après-midi, le point de vue français dan la question des réparations et ds dettes interalliées. Sans o s'agissait-il e d'n vœu. Cea se passait dans la salle de verre, pareille un aquarium, où se réunissaient à les années précédentes, les principales commissions de la Société des nations. Ce reacd transparent, à travers lequel on rpaçtoei l'horizon du lac, fermé au loin par le mont Blanc, communique x délibérations de ces jeunes assemblées une portée de fragilité. Pendant que parlait cet après-midi M. Henri Jouvenel, un oiseau entra par une baie entrouverte, comme pour rappeler qu'une hirondelle ne fait pas le rinemp. Pourtant, dans le fond comme dans la forme, le Nœud présnté aujourd'hui par la détion rse et adopté par l'unanimité de l'assemblée, et dont e texte vous a été communiqué d'autre part, pourrait onnémsain entraîner des cnséqncs intéressantes. Et cela, pour deux raisons principales En premier lieu, |
après-midi, le point de vue français dans la question des réparations et des dettes interalliées. Sans doute, ne s'agissait-il que d'un vœu. Cela se passait dans la salle de verre, pareille à un aquarium, où se réunissaient déjà, les années précédentes, les principales commissions de la Société des nations. Ce cadre transparent, à travers lequel on aperçoit l'horizon du lac, fermé au loin par le mont Blanc, communique aux délibérations de ces jeunes assemblées une portée de fragilité. Pendant que parlait cet après-midi M. Henri Jouvenel, un oiseau entra par une baie entrouverte, comme pour rappeler qu'une hirondelle ne fait pas le printemps. Pourtant, dans le fond comme dans la forme, le Nœud présenté aujourd'hui par la délégation française et adopté par l'unanimité de l'assemblée, et dont le texte vous a été communiqué d'autre part, pourrait néanmoins entraîner des conséquences intéressantes. Et cela, pour deux raisons principales. En premier lieu, non seulement les termes en avaient été mûrement pesés, mais, des déclarations faites par lord Robert Cecil, il ressort que ces termes avaient été soumis, au préalable, à l'approbation des deux gouvernements les plus directement intéressés, à savoir le gouvernement français et le gouvernement britannique. Le vœu en question engage par suite les deux gouvernements, le britannique, comme le français La deuxième et principale raison est que, aux termes de ce vœu, terre qui l'a approuvé chaleureusement par l'entrée de M. Fisher, laisse entendre qu'elle est désormais prête à chercher la plus tôt possible la solution d'ensemble du problème des réparations et du problème des dettes interalliées sans attendre l'Amérique. Pour bien saisir l'importance de ce second point, qui est principalement essentiel, il faut rappeler qu'il semblait être, ces temps derniers, le mur qui barrait la route à toute solution du lourd problème économique de l'heure présente. Ce mur, on ne le trouvait plus du côté de la France. Dès la dernière conférence de Londres et, plus explicitement encore au début de ce mois, le gouvernement français a fait connaître qu'il était partisan d'une réduction parallèle et immédiate d'une partie de la dette allemande et des dettes interalliées, ce qui | près-md, le point de vue français dans l qstn ds réparations et ds edttes ntrllés. Sns doute, ne s'agissait-il que d'un vœu. Cela se passait dan la salle de rv,ree pareille à nu aquarium, où se inésuerniast déjà, les années précédentes, les plnpcsriaie issicsnmoom de la Scété s nations. Ce cadre transparent, à travers lequel o aperçoit l'horizon du lac, fermé au loin par le mont Blanc, communique aux délibérations d ces jeunes asebs une portée de fragilité. Pendant qeu prlt cet après-midi M. Henri Jouvenel, un s ntr par une baie entrouverte, cmm pour rappeler quu hirondelle n ft pas le printemps. Pourtant, dans le fond comme dans la forme, le Nœud présenté aujourd'hui par l délégation française et dpté l'nnmté de l'assemblée, et dont le txt vous a été communiqué d'autre part, prrt néanmoins entrn sde conséquences intéressantes. Et el, pour deux nossira principales. En premier lieu non slmnt les termes en avaient été ûemmtenr pesés, mais, ds déclarations faites par lord Robert Cecil, li ressort que ces termes avaient été o, au préalable, à l'approbation des deux gouvernements les plus directement intéressés, à savoir le gouvernement français t le gouvernement brtnnq. eL vœu ne question geegan par suit les deux gouvernements, l brtnnq, comme le français La deuxième et principale raison est que, aux termes de c vœu, terre q la approuvé chaleureusement par entrée de M Fisher, laisse entendre qu'elle st désormais prête à chrchr la plus tôt pssbl a solution 'ensemble du problème des réparations et du problème ds dtts interalliées sans attendre 'Aériqe. Pour bien saisir l'importance d ce second point, qui est principalement essentiel, l faut apper q elbaimst être, ces temps derniers, le mur qu barrait la à toute solution du lourd problème économique de l'heure pret. Ce mur on n le trouvait plus du côté de la France. Dè l dernière conférence de Londres et, plus itetmleicpnex enoe ua début de c mois, l gouvernement français fait connaître qu'il était ti d'une réduction lraèalepl immédiate d'n partie de la dette allemande et des dettes interalliées, c qui |
par suite les deux gouvernements, le britannique, comme le français La deuxième et principale raison est que, aux termes de ce vœu, terre qui l'a approuvé chaleureusement par l'entrée de M. Fisher, laisse entendre qu'elle est désormais prête à chercher la plus tôt possible la solution d'ensemble du problème des réparations et du problème des dettes interalliées sans attendre l'Amérique. Pour bien saisir l'importance de ce second point, qui est principalement essentiel, il faut rappeler qu'il semblait être, ces temps derniers, le mur qui barrait la route à toute solution du lourd problème économique de l'heure présente. Ce mur, on ne le trouvait plus du côté de la France. Dès la dernière conférence de Londres et, plus explicitement encore au début de ce mois, le gouvernement français a fait connaître qu'il était partisan d'une réduction parallèle et immédiate d'une partie de la dette allemande et des dettes interalliées, ce qui ne veut pas dire qu'il renonce, bien entendu, à exercer au besoin une contrainte légitime sur l'Allemagne. Mais ceci prouve qu'il entend faire le nécessaire pour mettre l'Allemagne à même d'emprunter au dehors et de rembourser ses créanciers. Au contraire, l'Angleterre semblait hésiter à entrer dans cette voie, sans avoir obtenu, au préalable, le concours de l'Amérique. Tellement était du moins l'interprétation que l'on avait cru pouvoir donner, de divers côtés, à la fameuse note de lord Balfour sur les dettes interalliées. Obligée de rembourser l'Amérique, l'Angleterre paraissait avoir voulu dire qu'elle devait se couvrir du côté de ses créanciers, sur les alliés comme sur l'Allemagne. C'était elle qui se donnait l'apparence d'attendre, pour liquider le problème des passifs européens, que l'Amérique eût consenti à changer d'attitude et à passer l'éponge sur ses propres créances. S'il en était ainsi, nous serions probablement fort loin des comptes. Les plus solennelles conférences, Bruxelles ou ailleurs, ne feraient pas sortir le problème des réparations, du cercle où il tourne depuis si longtemps. Fort heureusement ce qui s'est passé aujourd'hui à Genève, les paroles officielles prononcées à cette occasion par le principal délégué britannique, M. Fisher, montrent que l'Angleterre souhaite que la France aborde | par suite les deux gouvernements, britannique, cmm le français La deuxième et principale raison est que, aux termes de c vœu, terre qui l'a approuvé aureueet par l'entrée de M. Fisher, laisse entendre qu'elle est dérms prêt à chercher la plus tôt possible l solution d'ensemble d problème des réparations et du problème des dettes interalliées sans attendre l'Amérique. Pour bien ssr l'importance de ce second point, q st principalement essentiel, il faut rappeler qu'il semblait être, ces temps derniers, le mur qui artarbi la route à toute solution du lourd problème économique de l'heure présente Ce mur, on ne le trouvait pus du côté de la France. Dès la dernière conférence de Londres et, sulp explicitement ecore au début de ce mois, le gouvernement français a fait connaître quil était partisan d'une réduction parallèle et immédiate d'une partie de la dette allemande et des dettes interalliées, ce qui ne veut pas dire qu'il renonce, bien entendu, à exercer au besoin une contrainte légitime sur l'Allemagne. Mais ceci prouve quil entend faire le nécessaire pour mettre l'Allemagne à même d'emprunter au dehors et de rmbos ses créanciers. Au contraire, 'Aglre semblait hésiter à entrer dans cette voie, sans avoir obtenu, au préalable, le concours de 'Amérique. Tellement était du moins l'interprétation que l'on avait ucr pouvoir donner, de divers côtés, à la fameuse o de lord Balfour sur les dettes interalliées. Obligée de rembourser l'mérq, l'Angleterre paraissait avoir voulu dire qu'elle devait se cvrr d côté de ses créanciers, sur les alliés comme sur l'Allemagne. C'était elle qui se donnait lapparence d'attendre, pour liquider le problème des passifs européens, que Amériqu eût consenti à changer d'attitude et à passer l'éponge sur s propres créances. S'il en était ainsi, ns serions probablement fort loin des comptes. Les plus solennelles conférences, Bruxelles ou ailleurs, ne feraient psa rti le problème s réparations, du cercle où il tourne pi si longtemps. Fort heureusement ce qui s'e passé aujourdhui à Genève, les paroles officielles prononcées à cette occasion par le prncpl délégué britannique, M. Fisher, mntrnt que l'Angleterre taosehui que la France aborde |
obtenu, au préalable, le concours de l'Amérique. Tellement était du moins l'interprétation que l'on avait cru pouvoir donner, de divers côtés, à la fameuse note de lord Balfour sur les dettes interalliées. Obligée de rembourser l'Amérique, l'Angleterre paraissait avoir voulu dire qu'elle devait se couvrir du côté de ses créanciers, sur les alliés comme sur l'Allemagne. C'était elle qui se donnait l'apparence d'attendre, pour liquider le problème des passifs européens, que l'Amérique eût consenti à changer d'attitude et à passer l'éponge sur ses propres créances. S'il en était ainsi, nous serions probablement fort loin des comptes. Les plus solennelles conférences, Bruxelles ou ailleurs, ne feraient pas sortir le problème des réparations, du cercle où il tourne depuis si longtemps. Fort heureusement ce qui s'est passé aujourd'hui à Genève, les paroles officielles prononcées à cette occasion par le principal délégué britannique, M. Fisher, montrent que l'Angleterre souhaite que la France aborde le grand problème au plus tôt. Est-ce à dire que l'on soit désormais en vue de la terre promise ? Non point. Sans doute, s'agit-il, de la part du gouvernement anglais, d'autre chose que d'un geste vague. Je crois savoir que, depuis la publication de la fameuse note Balfour, la Trésorerie britannique a mis sur pied un projet qui, tout en prenant cette note pour base, suggère une réduction immédiate et solidaire des réparations et des dettes interalliées. L'économie de ce projet paraît consister à retenir une partie des futures annuités allemandes pour dédommager au moins partiellement l'Angleterre du remboursement qu'elle devait faire à l'Amérique. La totalité des emprunts qu'aurait à faire l'Allemagne serait néanmoins affectée à la France et à la Belgique et il en résulterait ainsi, à leur profit, une priorité indirecte. Il est donc évident que l'on n'a pas attendu en Angleterre la réunion de l'Heveue et le débat poursuivi entre lord Robert Cecil et M. de Jouvenel pour préparer des solutions pratiques, compatibles avec les exigences américaines. Toutefois, il reste encore savoir dans quelle mesure M. Lloyd George jugera opportun de suivre les avis de ses propres experts financiers. Il est malheureusement arrivé plus d'une fois, | obtenu, au préalable, le concours de l'Amérique. Tellement était du moins l'ntrpréttn que l'on avait cru pouvoir donner, de divers é, à la fameuse note de lord Balfour sur ls dettes intale Obligée de rembourser l'Amérique, l'Angleterre paraissait avoir voulu dire qu'elle devait s couvrir du é de ses créanciers, sur les alliés comme sur l'Allemagne. C'était elle qui se donnait 'arnc d'attendre, pour liquider le prom des passifs européens, ue l'Amérique e consenti à changer d'attitude et passer l'éponge sur ses propres créances 'il n était ainsi, nous serions probablement fort loin des comptes. Les plus solennelles conférences, Bruxelles ou ailleurs, ne ferit pas sortir le problème des réparations, du cercle où il tourne depuis s longtemps. Fort heureusement ce qui passé aujourd'hui à Genève s paroles officielles prononcées à cette occasion par le principal délégué britannique, M. Fisher, montrent ue l'Angleterre souhaite que la France brd le grand problème au plus tôt. Est-ce à dire que lon' soit désormais en vue de la erre promise ? nNo point. Sans doute, s'agit-il, de la part du gouvernement anglais, d'autre chose que d'un geste vague. Je crois savoir que, deispu la publication de la fameuse note Balfour, la Trésrr britannique a mis sur pd nu projet ui tout en prenant etcte note pour base, suggère une réduction immédiate et solidaire des réparations t des e interalliées. Léconomie de ce projet paraît consister à retenir n partie des futures annuités allemandes oupr dédmmgr au moins partiellement l'Angleterre du remboursement qu'elle devait faire à l'Amérique. La totalité des emprunts qu'aurait à faire l'Allemagne serait néanmoins affectée à la France et à la Belgique et il en résulterait ainsi, à leur profit, une priorité indirecte Il est donc évident que lon n' pas attendu en Angleterre la réunion de 'Heveue et le débat poursuivi enre lord Robert Ccil et M. de Jouvenel pour préparer des solutions prtqs, compatibles avec les exigences américaines. Toutefois, il reste encore savoir dans qll mesure M. Lloyd erge jugera opportun de suivre les avis de ses propres experts financiers. Il ste malheureusement arrivé plus d'une fois, |
Trésorerie britannique a mis sur pied un projet qui, tout en prenant cette note pour base, suggère une réduction immédiate et solidaire des réparations et des dettes interalliées. L'économie de ce projet paraît consister à retenir une partie des futures annuités allemandes pour dédommager au moins partiellement l'Angleterre du remboursement qu'elle devait faire à l'Amérique. La totalité des emprunts qu'aurait à faire l'Allemagne serait néanmoins affectée à la France et à la Belgique et il en résulterait ainsi, à leur profit, une priorité indirecte. Il est donc évident que l'on n'a pas attendu en Angleterre la réunion de l'Heveue et le débat poursuivi entre lord Robert Cecil et M. de Jouvenel pour préparer des solutions pratiques, compatibles avec les exigences américaines. Toutefois, il reste encore savoir dans quelle mesure M. Lloyd George jugera opportun de suivre les avis de ses propres experts financiers. Il est malheureusement arrivé plus d'une fois, depuis un an, qu'après avoir été de l'avant, le gouvernement anglais ait jugé nécessaire de faire, au moins en apparence, machine en arrière. Si ce genre de contretemps devait se renouveler dans un avenir prochain, il serait utile de pouvoir rappeler l'opinion unanime exprimée à Genève par les alliés et par les neutres. La thèse définie par le gouvernement français peut désormais se présenter à bon droit comme l'expression de la volonté générale. Il est aisé de voir qu'elle en retirera une force nouvelle. Philippe Millet. M. DE JOUVENEL EXPOSE LA SITUATION MORALE ET MATÉRIELLE DE LA FRANCE Genève, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) La commission des armements était saisie cet après-midi des propositions de lord Robert Cecil et de M. de Jouvenel, concernant le règlement des dettes intergouvernementales et des réparations. La liquidation de ce double problème constitue, en effet, ainsi que les deux orateurs l'ont fait remarquer déjà pendant cette session, la première étape dans la voie de la pacification de l'Europe et du désarmement. La commission, en l'incluant à son ordre du jour, n'a donc nullement outrepassé ses compétences. M. de Jouvenel a profité de l'occasion pour exposer la situation morale et matérielle de la France. Les | Trésorerie britannique a mis sur pd un projet qui, tt en prenant ette note upor bs, suggère une tdunciéor immédiate et solidaire des réparations et des dettes interalliées. L'économie de ce projet paraît consister à retenir une partie des urfsuet nntés allemandes pour dédommager u moins partiellement l'Angleterre du remboursement qu'elle da faire à l'Amérique. totalité des emprunts qu'aurait à faire l'Allemagne serait nénmns affectée à la France et à la Belgique et il en i ainsi, à leur profit, une priorité indirecte. Il est donc évident que l n'a pas attendu en Angleterre la réunion de l'Heveue et débat poursuivi ete lord Robert Cecil et M. de Jouvenel pour préparer des solutions pratiques, compatibles avec les exigences américaines. Toutefois, il reste encore savoir dans quelle mesure M. Lloyd George uea opportun de suivre les avis e ses osprpre experts financiers. Il est mlhrsmnt arrivé plus d'une fois, depuis un an, uaprès avoir été de l'vnt, le gouvernement na ait jugé nécessaire de faire, au moins en apparence machine en arrière Si ce genre de contretemps devait se renouveler dans un avenir prochain, il serait tl de pouvoir rappeler l'pnn unanime exprimée à Gnèv par les alliés et par les neutres. La thèse définie par le gouvernement fas peut désormais se présenter à bon droit comme l'expression de la vlnté générale. Il est aisé de rvoi qu'elle en retirera une force nouvelle. Philippe ll .M DE JVNL EX LA SITUATION MORALE ET MATÉRIELLE DE LA FRANCE Genève, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) La commission des armements était saisie et après-midi d rpotios de lord Robert Ceicl t de M. de Jvnl, concernant le lmngèeter des dettes rgoneenas et des réparations. La liquidation de ce double problème constitue, en effet, ainsi que ls deux orateurs l'ont fait remarquer déjà pendant session, la première étape dans l ovie de la pcfctn de l'Europe et du désarmement. La commission, en l'incluant à son ordre du jour, n'a donc nullement outrepassé ses compétences. M. de Joeel a profité de l'occasion pour exposer la situation mrl et matérielle e la France. Les |
par les neutres. La thèse définie par le gouvernement français peut désormais se présenter à bon droit comme l'expression de la volonté générale. Il est aisé de voir qu'elle en retirera une force nouvelle. Philippe Millet. M. DE JOUVENEL EXPOSE LA SITUATION MORALE ET MATÉRIELLE DE LA FRANCE Genève, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) La commission des armements était saisie cet après-midi des propositions de lord Robert Cecil et de M. de Jouvenel, concernant le règlement des dettes intergouvernementales et des réparations. La liquidation de ce double problème constitue, en effet, ainsi que les deux orateurs l'ont fait remarquer déjà pendant cette session, la première étape dans la voie de la pacification de l'Europe et du désarmement. La commission, en l'incluant à son ordre du jour, n'a donc nullement outrepassé ses compétences. M. de Jouvenel a profité de l'occasion pour exposer la situation morale et matérielle de la France. Les applaudissements qui saluèrent cette saisissante péroraison trahissaient l'émotion qui s'était emparée de l'assistance. Lorsque le calme fut rétabli, M. Fisher, délégué anglais, prit à son tour la parole, et, bien que d'une manière parfois quoique peu tendancieuse, il donna son adhésion pleine et entière aux propositions déposées par le délégué français, Son discours suscita de nouveau de longs applaudissements. L'assemblée était visiblement impressionnée par le spectacle de franche collaboration et de mutuelle confiance que menaient de lui donner les deux délégations française et britannique. M. Hymans, au nom de la Belgique, s'associa pleinement aux conclusions des deux orateurs précédents, en affirmant, une fois de plus, le droit imprescriptible de la Belgique aux réparations. Ni Tosti, délégué italien, s'associa également à la politique dont s'inspire la motion de Jouvenel. Quant à lord Robert Cecil, il fut le plus catégorique de tous : Je m'associe donc totalement à chacun des points prononcés par M. de Jouvenel. Les délégués suédois, roumains et néerlandais, avec des nuances diverses, adoptèrent l'initiative prise par le représentant de la France. Cependant, un léger incident devait marquer la fin de la séance. M. Motta, délégué helvétique, et l'un des vigoureux défenseurs de l'universalité de la Société des nations, | par les neutres. La thèse dine par le gouvernement fniçraas peut désrms se présenter à bon droit comme lexpression de a volonté générale. Il st sé de voir qu'elle en rtrr n force nouvelle. Philippe Mille. M. DE JOUVENEL EXPOSE LA SITUATION MORALE ET MATÉRIELLE E LA FRANCE Genève, 21 septembre (dép. Petit Prsn.) La commission ds rment était saisie cet après-midi des propositions d lord Rrt Cecil t de M. de Jouvenel, concernant le règlement des ts intergouvernementales et des réparations. L liquidation de ce double prblèm nste en effet, ainsi que e deux orateurs l'ont fait eqr déjà pendant cette sssn, la première étape dans la voie de la pacification de l'Europe et d désarmement. commission, en l'incluant à so ordre du jour, n'a donc nullement outrepassé ses cpéts. M. de nl a profité de l'occasion pr xpsr la situation morale et matérielle de la Frnc. Les applaudissements qui saluèrent cette saisissante péroraison trahissaient l'émotion qui s'était emparée de l'assistance. Lorsque le calme fut rétabli, M. Fshr, délégué nglsia,a prit à son tour la parole, et, bien que 'une manière parfois quoique peu tndncs, l donna sn adhésion pleine et enetèri aux propositions déposées par le délégué français, Son ssocrdiu cta de nouveau de longs ppldssmnts. L'assemblée était visiblement impressionnée par le spectacle de franche collaboration et de mutuelle confiance q menaient de lui donner les uxde délégations française et britannique M. Hymans, au nom de la Belgique, sassocia plnmnt aux conclusions des deux orateurs précédnts, en affirmant, une fois de plus le droit imprescriptible de la lgiu aux tar.aroénips Ni Tosti, délégué italien s'associa également la politique dont s'inspire la motion de Jouvenel. Quant à lord Rbrt Ccl, il fut le plus catégorique ed tous Je 'associe dnc totalement chacun des poi rnons pr . de Jouenl Les délégués suédois rmns et néerlandais e des nuances diverses, adoptèrent l'initiative prs par le représentant de l France Cependant, légr incident devait marquer la fin l séance. M Motta, délégué helvétique, t l'un des vigoureux défenseurs de l'universalité de la Société des nations, |
français, Son discours suscita de nouveau de longs applaudissements. L'assemblée était visiblement impressionnée par le spectacle de franche collaboration et de mutuelle confiance que menaient de lui donner les deux délégations française et britannique. M. Hymans, au nom de la Belgique, s'associa pleinement aux conclusions des deux orateurs précédents, en affirmant, une fois de plus, le droit imprescriptible de la Belgique aux réparations. Ni Tosti, délégué italien, s'associa également à la politique dont s'inspire la motion de Jouvenel. Quant à lord Robert Cecil, il fut le plus catégorique de tous : Je m'associe donc totalement à chacun des points prononcés par M. de Jouvenel. Les délégués suédois, roumains et néerlandais, avec des nuances diverses, adoptèrent l'initiative prise par le représentant de la France. Cependant, un léger incident devait marquer la fin de la séance. M. Motta, délégué helvétique, et l'un des vigoureux défenseurs de l'universalité de la Société des nations, mit l'Allemagne en cause. Il ne dit rien que personne ne pensait, mais la vivacité de son intervention s'accordait mal avec l'atmosphère d'unanimité qui régnait dans la salle. M. de Jouvenel reprit alors la parole et obtint sans peine que divers amendements, qui n'auraient que sur de minces points de détail, soient retirés par leurs auteurs. Puis, s'adressant à M. Motta : Ce texte, dit-il, sur lequel les quatre grandes puissances alliées se sont mises d'accord, il n'apporte nullement illickpersonne ni d'en force ni d'en dénaturer les termes. Son contradicteur s'inclina, mais tout en maintenant ses déclarations. Le président fit alors procéder au vote. Ce fut une minute solennelle. La résolution de la délégation française fut alors adoptée à l'unanimité. UNE ADRESSE DES DOMINIONS A M. LLOYD GEORGE Genève, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) Des délégations des Dominions britanniques, représentées à l'assemblée, ont télégraphié à M. Lloyd George pour le prier d'adhérer à la proposition Nansen. demandant que la Société des nations offre sans retard ses bons offices pour le règlement du conflit gréco-turc. On sait que cette proposition a été inscrite à l'ordre du jour de l'assemblée. Le nouveau contrat de reconstruction franco-allemand Berlin, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) | français, Son discours suscita de nouveau de longs applaudissements. L'assemblée éait visiblement éperniomisnes par le spectacle de franche collaboration et d mutuelle confiance qu menaient de lui donner les deux dégo française et britannique. M. Hymans, au nom de l Bgieue,ql s'associa pleinement u conclusions des deux orateurs précédents, en affirmant, une fois de plus, le droit mprscrptbl d la Belgique aux réparations. N Tosti, délégé italien, s'ssc également à la politique dont s'inspire la motion de Jouvenel. Quant à lord Robert Cecil, fut le plus tégrqe de tous : Je 'asocie donc totalement à chacun des points prnncés par M. de Jouvenel. Les délégués suédois, roumains et néerlandais, avec des nuances diverses, adoptèrent iitve prise par le représentant de la France. Cependant, un léger ci devait marquer la fin de la séance. M. Mtt, délégé helvétique, et l'n des vigoureux défenseurs de l'universalité de la Société des nations, mit l'Allemagne en cause. Il ne dit rien que personne ne pensait, mais la vivacité de son intervention s'accordait mal avec l'atmosphère d'unanimité qui régnait dans la salle M. de Jouvenel reprit alors la parole et obtint sans peine que divers amendements, qui n'auraient que sur de minces points de détail, soient retirés par rusle us.eruat Puis, s'adressant à . Motta : Ce texte, dit-il, sur eqlelu les quatre grnds puissances alliées se sont mises d'accord, il n'apporte nullement pne ni d'en force ni d'en dénaturer les termes. Son ntrdier s'inclina, ai tout en maintenant ses déclarations. Le président fit alors procéder au vote. Ce fut une minute solennelle. a résolution de la délégation française fut alors adoptée à l'unanimité. UNE ADRESSE DES DOMINIONS A M. LLOYD GEORGE Genève, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) Des délégations des Dmnns britanniques, représentées à l'assemblée, ont égtéilaéhpr à . Lloyd George pour le prie d'adhérer à la proposition Nnn. demandant que la Société des nations offre sans retard ses bons offices pour le règlement du conflit gréco-turc. On sait que cette proposition a éé inscrite à l'ordre d jour de l'assemblée. Le nouveau contrat de reconstruction franco-allemand Berlin, 21 septembre (dép. Ptt Parisien.) |
détail, soient retirés par leurs auteurs. Puis, s'adressant à M. Motta : Ce texte, dit-il, sur lequel les quatre grandes puissances alliées se sont mises d'accord, il n'apporte nullement illickpersonne ni d'en force ni d'en dénaturer les termes. Son contradicteur s'inclina, mais tout en maintenant ses déclarations. Le président fit alors procéder au vote. Ce fut une minute solennelle. La résolution de la délégation française fut alors adoptée à l'unanimité. UNE ADRESSE DES DOMINIONS A M. LLOYD GEORGE Genève, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) Des délégations des Dominions britanniques, représentées à l'assemblée, ont télégraphié à M. Lloyd George pour le prier d'adhérer à la proposition Nansen. demandant que la Société des nations offre sans retard ses bons offices pour le règlement du conflit gréco-turc. On sait que cette proposition a été inscrite à l'ordre du jour de l'assemblée. Le nouveau contrat de reconstruction franco-allemand Berlin, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) La presse allemande publie d'intéressants détails sur le nouveau contrat de reconstruction passé entre la chambre syndicale des constructeurs en ciment armé, réunissant quatre-vingt-huit, des plus importantes firmes d'entreprises françaises de construction et présidée par M. Brice, et le trust Lehrar-von Siemens, de Berlin et Düsseldorf, représenté par le conseiller du commerce Lehrar. Cet accord était, paraît-il, l'élude depuis longtemps, mais il rencontrait l'opposition de certains préfets et de plusieurs maires français. A la différence de l'accord Lubersac– Stinnès, le nouvel arrangement prévoit l'emploi de la main-d'œuvre allemande dans les territoires dévastés. Le montant du marché environ 336 millions de francs comprendrait donc d'importantes parties de prestations allemandes en main-d'œuvre. 150.000 ouvriers seront nécessaires, dont 50 % seront Français. Aussi, des négociations sont-elles en cours avec MM. Jouhaux et Siemens et sur l'initiative de chefs syndicalistes allemands pour déterminer les conditions de travail de leurs compatriotes en France. Quant à l'exécution du contrat entre la chambre syndicale des constructeurs en ciment armé et le trust Lehrar-von Siemens, elle aura lieu suivant les stipulations de l'accord le groupe français créant une société internationale d'importation et la société allemande Lehrar-von Siemens prend le rôle de mandataire en Allemagne et fournira les matériaux. | détail, soient retirés arp leurs auteurs. Puis, 'aessat M. toaMt Ce texte, dit-il, sur lequel els quatre grandes ascinespus alliées se sont mises d'accord, il apore nullement illickpersonne ni d'en force ni den dénaturer les termes. Son contradicteur sinclina mais tt en mntnnt ss déclarations. président fit alors procéder au vote. Ce fu une minute solennelle La résolution de l délégation française alors dpté à l'unanimité. UNE ADRESSE DES DOMINIONS A . LLOYD GEORGE Genève, 21 ebre (dép. Peti Paeni).rsi Des déégtns des Dominions britanniques, représentées à l'ssmblé, ont télégraphié à M. Lloyd George pour le prier d'adhérer à l proposition Nansen. demandant que la Société des tins offre sans retard es nobs offices pour le règlmnt du conflit gréco-turc. On sait ueq cette proposition a été inscrite à l'ordre du jr de ebl.aél'ssme Le nouveau cotnrat de reconstruction franco-allemand Berlin, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) presse allemande publie d'ntérssnts détails sur le nouveau contrat de cttornsnreouci passé entre la mrabhec syndicale ds terutoncsuscr en cimen armé, rsnt quatre-vingt-huit, dse lu importantes firmes 'entreprises françaises d construction et présidée rpa M. Brc, t le trust Lehrar-von ms, d Berlin et üslo, représenté par le cseile d commerce Lhrr. Cet accord était, paraît-il, 'élude depuis lontes mais l rencontrait 'opposition d certains préfts et de plusieurs maires français. la différence de l'accord Lubersac– Stinnès, le nouvel arrangement prévoit l'emploi de la man-duvr allemande dans les territoires tsavé.dsé Le montant du marché environ 336 millions de francs compreni donc imorant parties de prsttns llmnds en mn-d'œvr. .010050 ouvriers seront nécessaires, dnt 50 % seront Français. Aussi, des négociations sont-elles en cours avec MM. Jouhaux et Siemens et sur l'initiative de chfs entiisdaslcys allemands pour déterminer les conditions de trvl de leurs compatriotes en France. Quant lextn du contrat entre la chambre syndicale des constructeurs en ciment armé et le trust Lehrarvon Smns, elle aura lieu suivant les stipulations de l'accord e groupe français créant une société internationale dimportation et la société allemande Lehrarvon Siemens prend le rôle de mandataire en Allemagne et fournira les matériaux. |
du commerce Lehrar. Cet accord était, paraît-il, l'élude depuis longtemps, mais il rencontrait l'opposition de certains préfets et de plusieurs maires français. A la différence de l'accord Lubersac– Stinnès, le nouvel arrangement prévoit l'emploi de la main-d'œuvre allemande dans les territoires dévastés. Le montant du marché environ 336 millions de francs comprendrait donc d'importantes parties de prestations allemandes en main-d'œuvre. 150.000 ouvriers seront nécessaires, dont 50 % seront Français. Aussi, des négociations sont-elles en cours avec MM. Jouhaux et Siemens et sur l'initiative de chefs syndicalistes allemands pour déterminer les conditions de travail de leurs compatriotes en France. Quant à l'exécution du contrat entre la chambre syndicale des constructeurs en ciment armé et le trust Lehrar-von Siemens, elle aura lieu suivant les stipulations de l'accord le groupe français créant une société internationale d'importation et la société allemande Lehrar-von Siemens prend le rôle de mandataire en Allemagne et fournira les matériaux. Une commission mixte se réunira le 2 octobre à Paris pour établir le plan de l'affaire et des constructions, qui entrera en vigueur au printemps prochain. Les deux groupes agissent avec l'assentiment de leurs gouvernements respectifs. (Von Siemens, dont il est ici question, n'a rien de commun avec la firme Siemens-Schuckert, ni avec Siemens-Halske). LES ESSAIS DE LA VALLEE DE LA RHÔNE Martens vole 1 h. 5 Grave chute de l'Américain Allen Berlin, 21 septembre (dép. Radio.) Les expériences de vol sur avion sans moteur se poursuivent dans la vallée de la Rhône. Hartens, qui détient actuellement le record de ces vols sans moteur, a exécuté mercredi un nouvel essai d'une heure 5 minutes, qui a dû être interrompu par suite du froid. L'aviateur américain Allen, qui était venu à Wasserkuppe à l'issue du concours de Clermont-Ferrand, a fait hier une chute grave et a dû être transporté à l'hôpital. On ignore encore la gravité de ses blessures. L'amiral Bouchard de passage à Gênes est victime d'un vol de 600.000 lires Rome, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) L'amiral Bouchard, de passage à Gênes, venant de Rome, a été victime de son imprudence et des voleurs de train. Voulant profiter d'un | du commerce Lehrar. Cet accord était, aî, l'élude eps n,oepslmtg mais il rencontrait l'opposition de certains préfets t de plusieurs maires français. A la ifre de l'accord Lubersac– Stinnès, le nouvel arrangement vrpéiot l'emploi de la main-d'œuvre allemande dans les territoires dévastés. Le mot du marché environ 336 millions de francs cmprndrt donc d'importantes parties de prestations allemandes en main-d'œuvre. 150.000 ouvriers seront nécssrs, dont 50 % seront Français. Aussi, des égctins senllot-es en cours avec MM. Jouhaux et Siemens t su linitiative de es syndicalistes allemands pour déterminer ls conditions de travail de leurs eototmicaspr en Frnc. Quant à l'exécution du ona entre la chambre syndicale des constructeurs n ciment armé et le trust Lehrar-von Siemens ll aura lieu suivant les stipulations d l'accord le grp français créant une société internationale d'importation et la société allemande Lehrar-von Siemens prend le rôle de mandataire en Allemagne et ounia les matériaux. Une commission mixte se réunira le 2 ctobr à Paris pour établir le plan de 'affaire et des constructions, qui entrera en uiugerv au printemps prochain. Les deux groupes agissent ceav l'assentiment de leurs gouvernements respectifs. (Von Siemens, dont il est question, n'a rien de commun avec la firme Siemens-Schuckert, ni avec Siemens-Halske). LES ESSAIS DE LA VALLEE DE LA RHÔNE Martens vole 1 h. 5 Grave chute de l'Américain Allen Berlin, 21 septembre (dép. Radio.) Les expériences de vol sur avion sans mtr se poursuivent dans la vallée de la Rhôn. Hartens, qui détient actuellement le record de ces vol sans moteur, a exécuté mercredi un nouvel essai d'n heure 5 minutes, q dû être interrompu par suite du froid. L'vtr américain Allen, q était venu à Wasserkuppe à l'issue du concours de Clermont-Ferrand, a fait hier une chute grave et a dû être transporté à l'hôpital. On ignore encore la gravité de ses blessures. L'amiral Bouchard de passage à Gênes est victime d'un vol de 600.000 lires Rome, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) L'amiral Bchrd, de passage à Gênes, venant de Ro a été iti de son imprudence et des vur de train. Vlnt profiter d'un |
Siemens-Schuckert, ni avec Siemens-Halske). LES ESSAIS DE LA VALLEE DE LA RHÔNE Martens vole 1 h. 5 Grave chute de l'Américain Allen Berlin, 21 septembre (dép. Radio.) Les expériences de vol sur avion sans moteur se poursuivent dans la vallée de la Rhône. Hartens, qui détient actuellement le record de ces vols sans moteur, a exécuté mercredi un nouvel essai d'une heure 5 minutes, qui a dû être interrompu par suite du froid. L'aviateur américain Allen, qui était venu à Wasserkuppe à l'issue du concours de Clermont-Ferrand, a fait hier une chute grave et a dû être transporté à l'hôpital. On ignore encore la gravité de ses blessures. L'amiral Bouchard de passage à Gênes est victime d'un vol de 600.000 lires Rome, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) L'amiral Bouchard, de passage à Gênes, venant de Rome, a été victime de son imprudence et des voleurs de train. Voulant profiter d'un arrêt pour se dégourir les jambes sur le quai de la gare, l'amiral laissa sur sa banquette, pour marquer sa place, sa valise qui, dit-on, contenait pour 600.000 lires en titres et en bijoux, ainsi que des documents importants. Quand il remonta dans son compartiment, l'amiral eut la désagréable surprise de trouver sa place occupée et sa valise disparue. Deux aviateurs militaires hollandais se tuent Amsterdam, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) Deux aviateurs militaires néerlandais se sont tués près du Helder, dans un accident causé par une descente en vrille à 50 mètres au-dessus du sol. LA QUESTION D'ORIENT Les troupes britanniques demeurent à Chanak sous la protection de la flotte LE GENERAL HARRINGTON CONFIRME A HAMID BEY SA DECISION DE DEFENDRE LA ZONE NEUTRE Londres, septembre (dép. Petit Parisien.) Le correspondant du Petit Parisien à Constantinople signale qu'en remettant hier son communiqué à Haroid bey, représentant du gouvernement d'Ankara à Constantinople, le général sir Lewis Harrington a insisté sur l'inviolabilité des zones neutres. Il a déclaré au ministre nationaliste turc, qu'il ne pouvait pas discuter avec lui la situation politique mais il l'a averti, en sa qualité de chef des forces interalliées, qu'il s'opposerait à toute violation des zones | Smns-Schckrt, ni avec Siemens-Halske). LES ESSAIS DE LA VLL DE LA RHÔNE Martens vl 1 h. 5 Grave chute de l'Américain lln Berlin, 21 septembre (dép. Radio.) s expériences de vol sur avion nssa mtr se poursuivent dns la vallée d la Rhône. Hartens, i détient actuellement l record de ces vols sans moteur, exécuté mercredi nu nouvel ai d'une heure 5 minutes, qui dû être ntrrmp par suite du frd. L'aviateur américain Allen, qui était venu à Wasserkuppe à l'issue du rouccsno de Clrmnt-Frrnd, a fait hier une chute grave et a dû être transporté à l'hôpital. On ignore encore la rté de ses blessures. L'amiral Bouchard de pssg à Gênes est victime d'un vol de 600000 lires oe,mR 21 septembre (dép. Petit Parisien.) Lamiral Bouchard, de passage à s venant de Rome, a été ic de son imprudence et des vlrs de train. Voulant profiter n arrêt pour se dégourir les jambes sur le quai e la gare, l'amiral laissa sur sa banquette, pour marquer sa place, sa ai qui, dit-on cntnt pr 600.000 lires en ttrs et en bijoux, ainsi que ds documents importants. Quand l remonta sand son compartiment, l'amiral eut la désagréable surprise de trouver as place occupée et sa l dspr. Dux aviateurs militaires hollandais se tuent Amsterdam, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) e aviateurs militaires néerlandais e sont tués près du Helder, dans un accident causé par une dsente en vrille à 50 mètres au-dessus du os.l LA QUESTION 'ORIENT Les up rinue demeurent à Chanak sous la protection de la flotte LE GENERAL RR CONFIRME A HAMID BEY SA DECISION D DEFENDRE LA ZONE NEUTRE ond, septembre p. Petit Parisien.) L correspondant du Petit arisen à Cnsntnpl signale qu'en remettant hr on communiqué à Haroid bey, représentant du gouvrent d'Ankara à Constantinople, l général sir Lewis rngtn a insisté sur a'liiinillbvoté ds n neutres. Il déclaré au ministre nationaliste turc, qu'il ne pouvait pas discuter avec lui l situation politique mais l ' averti, en sa qualité d chef es forces interalliées, qu'il 'opposerait à toute violation des zones |
de trouver sa place occupée et sa valise disparue. Deux aviateurs militaires hollandais se tuent Amsterdam, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) Deux aviateurs militaires néerlandais se sont tués près du Helder, dans un accident causé par une descente en vrille à 50 mètres au-dessus du sol. LA QUESTION D'ORIENT Les troupes britanniques demeurent à Chanak sous la protection de la flotte LE GENERAL HARRINGTON CONFIRME A HAMID BEY SA DECISION DE DEFENDRE LA ZONE NEUTRE Londres, septembre (dép. Petit Parisien.) Le correspondant du Petit Parisien à Constantinople signale qu'en remettant hier son communiqué à Haroid bey, représentant du gouvernement d'Ankara à Constantinople, le général sir Lewis Harrington a insisté sur l'inviolabilité des zones neutres. Il a déclaré au ministre nationaliste turc, qu'il ne pouvait pas discuter avec lui la situation politique mais il l'a averti, en sa qualité de chef des forces interalliées, qu'il s'opposerait à toute violation des zones neutres. Toutefois, il a fait remarquer que toutes les mesures prises par les alliés l'ont été uniquement en vue de rendre la paix possible. Le correspondant ajoute qu'une lutte politique très vive est engagée à Ankara entre l'élément modéré, qui délire ardemment éviter tout nouveau conflit armé, et les extrémistes, soutenus par quelques chefs militaires aveuglés, par les succès de l'armée kemaliste en Anatolie. Il n'est pas douteux, déclare le correspondant, que le gouvernement français et ses représentants en Turquie font de leur mieux pour persuader les nationalistes turcs d'adopter une attitude modérée. Le général Pellé est rentré aujourd'hui de Smyrne, où il a eu une entrevue avec Mustapha Kemal. Il est probable qu'une réunion des principaux membres du gouvernement d'Ankara et des chefs militaires aura lieu aujourd'hui ou demain à Smyrne. LES ANGLAIS A CHANAK Londres, 21 septembre (dép. Havas.) Un télégramme de Constantinople à l'agence Reuter annonce qu'à la suite des ordres de leurs gouvernements respectifs, les détachements et les drapeaux français et italiens ont été retirés des zones neutres d'Ismit et des Dardanelles. On se rappelle que ces détachements avaient été envoyés dans ces régions comme une démonstration de l'unité alliée dans le cas où les nationalistes | de vourret sa place o et sa vls apiud.esr Deux aviateurs militaires hollandais se tuent Amsterdam, 21 sptmbr (dép. Petit Parisien.) Deux aviateurs militaires néerlandais se sont tés près du Helder, a un accident causé par une dscnt en vrille à 50 mètres au-dessus du sol. LA QUESTION D'ORIENT Les troupes aebtsuniqirn demeurent Chanak sous la protection de la fe LE GNRL HARRINGTON CONFIRME A HAMID BEY SA DECISION DE DEFENDRE LA ZONE NEUTRE Londres, septembre é.p(d Petit Parisien.) Le rspnt du Petit Parisien à Constantinople sigle qu'en remettant hier son communiqué à Haroid bey, repésntant du gouvernement d'Ankara à Constantinople, le général sir Lewis Harrington insisté sur l'inviolabilité des zones neutres. Il a déclré au ministre ntnlst turc, qu'il ne pouvait pas discuter avec lui la situation politique ms l l'a vrt, en sa qualité de chef des cs interalliées, qu'il s'opposerait à toute violation des zones neutres. Toutefois, il a fait remarquer que toutes les mesures prises par les alliés l'ont été uniquement en vue de rendre la paix possible. Le correspondant ajoute q'n lutte pltq très vv est engagée à Ankara nte l'élément modéré, qui délire rdmmnt éviter tout nouveau conflit armé, et les extrémistes, soutenus par quelques chefs militaires aveuglés, pra les succès de l'armée kemaliste en Anatolie. Il n'est pas douteux, déclare le correspondant, qeu le gumet français et ses représentants en Turquie font de leur mieux pour persuader les nationalistes turcs d'adopter une attitude modérée. Le général Pellé est rentré aujourd'hui de Smyrne, où il a eu une entrevue avec Mustapha Kemal. Il est probable qu'une réunion des principaux mer du nmeeeonutgvr d'Ankara et des chefs militaires aura lieu aujourdhui ou demain à Smyrne. LES ANGLAIS A CHANAK Londres, 21 septembre (dép. Havas.) Un télégramme de Constantinople à l'agence Reuter annonce qu'à la suite des ordres de leurs gouvernements respectifs, les détachements et drapeaux français et italiens ont été retirés des zones neutres d'Ismit t des Dardanelles. On se rappelle que ces détachements avaient été nv dans ces régions comme une démonstration de l'unité alliée dans le cas où les nationalistes |
soutenus par quelques chefs militaires aveuglés, par les succès de l'armée kemaliste en Anatolie. Il n'est pas douteux, déclare le correspondant, que le gouvernement français et ses représentants en Turquie font de leur mieux pour persuader les nationalistes turcs d'adopter une attitude modérée. Le général Pellé est rentré aujourd'hui de Smyrne, où il a eu une entrevue avec Mustapha Kemal. Il est probable qu'une réunion des principaux membres du gouvernement d'Ankara et des chefs militaires aura lieu aujourd'hui ou demain à Smyrne. LES ANGLAIS A CHANAK Londres, 21 septembre (dép. Havas.) Un télégramme de Constantinople à l'agence Reuter annonce qu'à la suite des ordres de leurs gouvernements respectifs, les détachements et les drapeaux français et italiens ont été retirés des zones neutres d'Ismit et des Dardanelles. On se rappelle que ces détachements avaient été envoyés dans ces régions comme une démonstration de l'unité alliée dans le cas où les nationalistes violeraient les zones neutres. Les abords de ces zones neutres sont tenus maintenant exclusivement par des troupes britanniques, appuyées par les flottes réunies de l'Atlantique et de la Méditerranée. Des renforts sont arrivés et d'autres troupes ont reçu l'ordre de partir s'il est nécessaire. On signale que l'avant-garde des nationalistes a atteint la zone des Dardanelles et on verra à bref délai ce qu'ils ont l'intention d'y faire. On considère comme significatif le fait que Hamid bey ait refusé de donner la garantie que les nationalistes respecteront les zones neutres, alors qu'il ait été prévenu qu'une offensive en lancerait la guerre avec la Grande-Bretagne. On espère néanmoins que des conseils amis, venant de l'extérieur, empêcheront Kemal de toute violation de la zone neutre. LA DEMARCHE DES TRADE-UNIONS CHEZ M. LLOYD GEORGE Londres, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) M. Lloyd George a reçu, ce matin, à 11 heures, à Downing Street, une délégation du conseil général des trade-unions. Les britanniques, venue pour lui exposer les vues du parti travailliste sur la question d'Orient. La délégation travailliste comprenait une vingtaine de personnes représentant toutes les branches des trade-unions, ainsi qu'un certain nombre de personnalités influentes du monde travailliste, notamment MM. Bowerman, Tillett | soutenus par quelques chefs militaires aveuglés, par les succès e l'armée kemaliste en ntl. Il n'est pas douteux, déclare le correspondant, que le gouvernement français et ses représentants n Trie font d ler eux pour peuadr les nationalistes turcs dadopter n attitude modérée. Le général Pellé est rentré jrd'h de Smyrn, où il ue une entrevue avec shuaMatp Kem. Il est probable quune réunion des principaux membres du gouvernement adan'kAr et des ehcsf maies ura lieu aujourd'hui u demain à y.rnemS LES ANGLAIS A CHANAK Londres, 21 septembre (dép. Havas Un télégramme de snnlottnpCoaei l'agence Reuter ecnnoan qu'à la suite des ordres de leurs gouvernements respectifs, les détachements et les arpeuadx façriasn et italiens nt été retirés des zones neutres d'Ismit et des Dardanelles. On se rappelle que ces détachements avaient été envoyés dans ces régions comme une démonstration lunité alliée dns le cas où les nationalistes violeraient les zones neutres. Les abords d ces osezn neutres sont tenus maintenant exclusivement p des troupes britanniques, appuyées par les fotes réunies de l'Atlantique et de la Méditerranée. Des renforts snt arrivés et d'autres troupes ont reçu lordre de partir s'il est nécessaire. On signale que l'avant-garde des nationalistes a atteint la zn des Dardanelles t on verra à bref délai ce qu'ils ont ontnniil'et d'y faire. n considère comme significatif le fait qeu Hamid bey ait refusé de donner la garantie que e nationalistes respecteront les zones neutres, alors qul tia té prévenu qu'une offensive en lancerait la guerre avec la Grande-Bretagne. On espère néanmoins que e conseils amis, venant d l'extérieur, empêcheront Kemal d toute vltn de la zone neutre. LA DEMARCHE SED TRADE-UNIONS CHEZ M. LLOYD GEORGE Londres, 21 septembre (dé Petit Parisien.) Lloyd George reçu, ce matin à 11 eeshur, Downing tee une délégation du conseil général des trade-unions. Les britanniques, venue p l exposer les vues du parti travailliste sur la question d'Orient. La délégation travailliste comprenait une vingtaine de personnes représentant tosteu les branches ds trade-unions, ainsi un certain nombre de onnaés influentes du monde travailliste, notamment MM. Bowerman, Tillett |
a atteint la zone des Dardanelles et on verra à bref délai ce qu'ils ont l'intention d'y faire. On considère comme significatif le fait que Hamid bey ait refusé de donner la garantie que les nationalistes respecteront les zones neutres, alors qu'il ait été prévenu qu'une offensive en lancerait la guerre avec la Grande-Bretagne. On espère néanmoins que des conseils amis, venant de l'extérieur, empêcheront Kemal de toute violation de la zone neutre. LA DEMARCHE DES TRADE-UNIONS CHEZ M. LLOYD GEORGE Londres, 21 septembre (dép. Petit Parisien.) M. Lloyd George a reçu, ce matin, à 11 heures, à Downing Street, une délégation du conseil général des trade-unions. Les britanniques, venue pour lui exposer les vues du parti travailliste sur la question d'Orient. La délégation travailliste comprenait une vingtaine de personnes représentant toutes les branches des trade-unions, ainsi qu'un certain nombre de personnalités influentes du monde travailliste, notamment MM. Bowerman, Tillett et Thomas, membres du Parlement, M. Robert Smillie, ancien président de la Fédération des mineurs, et, miss Margaret Bondfield. M. Williams, président du congrès, présenta la délégation au premier ministre et expliqua l'objet de leur démarche. Après lui, MM. Tillett et Thomas et miss Margaret Bondfield prirent tour à tour la parole et insistèrent sur le fait que le parti travailliste était résolument opposé à la guerre. Les divers orateurs exprimèrent l'avis que bien qu'il fût nécessaire d'assurer la liberté des Détroits, cette question était d'un intérêt international et ne concernait pas seulement la nation britannique; l'envoi des troupes alliées sur le rivage, asiatique des Détroits était injustifiable et que la liberté des Dardanelles et du Bosphore pouvait être assurée, non pas en recours à des mesures susceptibles d'exaspérer les Turcs, mais au moyen de négociations. Après avoir entendu les délégués, le premier ministre prit à son tour la parole. Il fit un historique des événements qui se sont déroulés en Orient depuis la guerre. Il affirma aux délégués qu'il était en plein accord avec eux sur la nécessité de maintenir la paix et il s'efforça de justifier la politique du gouvernement anglais qui, déclara-t-il, a toujours poursuivi des desseins | etiattn la zone des are et on verra à bref délai ec qu'ils ont l'intention d'y faire. On considère cmm significatif le fait que Hamid bey ait refusé donner la garantie equ les nationalistes respecteront les zns neutres alors qu'il ai été prévenu qu'une offensive en lancerait la guerre avec la Grande-Bretagne. On espère néanmoins que des conseils amis, venant de l'extérieur, empêcheront Km de toute violation de la zn neutre. LA DEMARCHE DES TRADE-UNIONS CHEZ M. LLOYD GEORGE Londres, 21 septembre dép Petit Parisien.) M. Lloyd eGgore a reçu, ce matin, à 11 heures, à Downing Street, une délégation du conseil général des trade-unions. Les britanniques, venue pour lui exposer les vues du parti travailliste u la question d'Orient. La délégation travailliste comprenait une vingtaine de personnes représentant toutes les branches des trade-unions, ainsi qu'un certain nombre de personnalités inlees du monde travailliste, notamment MM. Bowerman, Tillett et Thomas, membres d Parlement, M. Robert Smillie, ancien président e l Fédération des mineurs, et miss Mrgrt Bondfield. . Williams, président du congrès, présenta la délégation au premier ministre et expliqua l'objet de leur démarche. Après l,iu MM. Tle et Thomas et miss Margaret Bondfield prirent tour à tour la parole insistèrent sur l fait que le tarip travailliste était résolument opposé à la guerre. Les divers rtrs exprimèrent l'avis que bien qu'il fût nécessaire d'assurer l liberté des Détroits, cette question était d'un intérêt international et ne concernait p seulement la nation britannique l'envoi des troupes alliées sur le rivage asiatique des Détroits était injustifiable et que la éterlbi des Dardanelles t du Bosphore pouvait être assurée, non pas en ecr à des mesures susceptibles d'xspérr les c, a au moyen de négociations. Après avoir entendu les délégués, le premier ministre prit à son tour la ol Il fit historique des événements qui se sont déroulés en Orient depuis la guerre. Il affirma aux dgué qu'il était en plein accord avec eux sur la nécessité de maintenir la paix et i s'efforça de justifier la politique du gouvernement anglais qui, déclara--il, a toujours poursuivi des desseins |
la parole et insistèrent sur le fait que le parti travailliste était résolument opposé à la guerre. Les divers orateurs exprimèrent l'avis que bien qu'il fût nécessaire d'assurer la liberté des Détroits, cette question était d'un intérêt international et ne concernait pas seulement la nation britannique; l'envoi des troupes alliées sur le rivage, asiatique des Détroits était injustifiable et que la liberté des Dardanelles et du Bosphore pouvait être assurée, non pas en recours à des mesures susceptibles d'exaspérer les Turcs, mais au moyen de négociations. Après avoir entendu les délégués, le premier ministre prit à son tour la parole. Il fit un historique des événements qui se sont déroulés en Orient depuis la guerre. Il affirma aux délégués qu'il était en plein accord avec eux sur la nécessité de maintenir la paix et il s'efforça de justifier la politique du gouvernement anglais qui, déclara-t-il, a toujours poursuivi des desseins pacifistes et n'a jamais eu l'intention de provoquer un nouveau conflit. George de l'accueil qu'il leur avait réservé et il fut entendu qu'on se mettrait d'accord sur le texte d'un communiqué officiel. L'ÉCLIPSE DE SOLEIL EN AUSTRALIE Londres, 21 sept. (dép. Petit Parisien.) On télégraphie, de Melbourne que les observations de l'éclipse totale de soleil, qui s'est produite aujourd'hui en Australie, se sont effectuées dans des conditions particulièrement favorables. Elle a commencé à 12 heures 3 minutes et la durée de l'éclipse totale a été inférieure de quatre secondes à celle que l'on avait prévue. Les observateurs ont photographié la couronne solaire, d'où partaient des jets, dont l'un mesurait millions de Kilomètres de longueur. Les photographies seront développées immédiatement, mais il faudra attendre quelque temps avant de connaître les résultats définitifs de ces observations, dont l'objet principal était, on le sait, de vérifier la théorie d'Einstein relative à l'incurvation des rayons lumineux par la pesanteur. Krupp veut acheter les usines Poutiloff Berlin, 21 sept. (dép. Petit Parisien.) La société des usines Krupp, d'Essen, a fait l'objet d'une mission d'acquérir sinon la majorité, du moins une partie importante des actions de la société des usines Poutiloff, arsenaux qui fournissaient au cours | parole et nsstèrnt sur le fait que le pri travailliste éti énoerlmsut opposé à la gurr Les riesvd orateurs exprimèrent l'avis q bien quil ûft nécessaire d'assurer la liberté s Détroits, cette question était d'un intérêt nternl et ne cncrnt pas seulement la nation britannique l'envoi des troupes llés sur le rivage asiatique des Détrts était injustifiable et que la liberté des Dardanelles t u Bosphore pvt êtr assurée, no pas en recours à des mesures susceptibles d'exaspérer ls urs mais au moyen de négctns. Aspèr avoir entendu les délégués le premier ministre prit à son tour l parole. Il fit un historique des événements q s n déroulés en ie depuis l guerre. Il ffaraim aux délégués qu'il était n plein accord avec xeu sur la nécessité de maintenir a paix et il s'efforça de justifier la politique du rneemgetvonu anglais i déclara--il, a toujours ioisvuurp des desseins pacifistes et n'a jamais eu l'intention de provoquer nu nouveau cnflt. George d l'accueil qu'il leur avait réservé et il fut entendu qu'on se mettrait d'ccrd sur le texte d'un communiqué officiel. L'ÉCLIPSE DE ELOLIS NE AUSTRALIE Londres, 21 sept. (dép. Petit Parisien.) On largée,phtié de elbr q les observations de 'éclipse totale de soleil, qui s'est produite h'oauuudrji en Australie, se nots effectuées dans des conditions particulièrement favorables. Elle a commencé à 12 heures 3 minutes et la durée de 'lps totale a été inférieure de quatre secondes à celle que 'lno avait prévue. Les observateurs ont photographié l couronne solaire, d'où taet des jets, nt l' rsmiutae ls de Kilomètres de lnguer Les photographies seront développées immédiatement, mais l faudra attendre quelque temps avant de connaître les résultats définitifs de ces observations, dont l'objet principal était, on le sait, de vérifier la théorie dEinstein rltv à l'incurvation des ryns lumineux par la pesanteur. rp veut acheter les usines Poutiloff Berlin, 21 sept. (dép. Petit Parisien.) La société des usines Krpp, d'Essen, a fait l'objet d'une mission d'cqérr sinon la majorité d moins u eptira importante des actions de société ds usines Poutiloff, arsenaux qui fournissaient a cours |
de l'éclipse totale de soleil, qui s'est produite aujourd'hui en Australie, se sont effectuées dans des conditions particulièrement favorables. Elle a commencé à 12 heures 3 minutes et la durée de l'éclipse totale a été inférieure de quatre secondes à celle que l'on avait prévue. Les observateurs ont photographié la couronne solaire, d'où partaient des jets, dont l'un mesurait millions de Kilomètres de longueur. Les photographies seront développées immédiatement, mais il faudra attendre quelque temps avant de connaître les résultats définitifs de ces observations, dont l'objet principal était, on le sait, de vérifier la théorie d'Einstein relative à l'incurvation des rayons lumineux par la pesanteur. Krupp veut acheter les usines Poutiloff Berlin, 21 sept. (dép. Petit Parisien.) La société des usines Krupp, d'Essen, a fait l'objet d'une mission d'acquérir sinon la majorité, du moins une partie importante des actions de la société des usines Poutiloff, arsenaux qui fournissaient au cours de la guerre tout le matériel militaire. A Marseille, le conflit des inscrits immobilise 4.000 passagers et plus de 1.800 sacs de dépêches Mais on espère trouver aujourd'hui une solution provisoire Marseille, 21 sept. (dép. Petit Parisien.) D'heure en heure, la situation se complique et s'aggrave au fur et à mesure que les marins mettent à terre les passagers et les bagages des navires que les compagnies désarmement aussitôt. La nuit dernière, trois bateaux appartenant à de petites compagnies, sont parvenus à quitter notre port, les équipages s'étant entendus avec ce sont le Corinthique, pour Bastia, le Cavaliere, pour Ajaccio, et le Formigny, pour Alger. Mais ils n'ont, à eux trois, embarqué qu'une centaine de passagers. Le Timor, qui devait partir pour Alger à midi, a été désarmé ce matin il en sera de même du Lamoricière et de la Ville de Tunis, qui sont attendus. Le paquebot la Pasteur, attendu hier, a été dirigé sur Barcelone, d'où il repartira pour l'Amérique du Sud. Dans ce désarroi, lettres et colis postaux s'accumulent à l'hôtel des Postes, où déjà 1.800 sacs de dépêches encombrent les bureaux. D'autre part, le conflit des inscrits maritimes entraîne le chômage des dockers on peut évaluer | e léclipse totale de soleil, qui s'est produite aujourd'hui en strl, se sont effectuées dans sed conditions particulièrement farb Elle a commencé à 12 heures 3 minutes et la durée de l'éclipse totale a été inférieure de etqaur secondes à celle q l'on avait péu. Les observateurs ont photographié la couronne solaire, d'où paraent des jets, dont l'n mesurait millions e mrs de longueur. Les photographies seront développées immédiatement, mais il fdr deearntt quelque tmps avant e connaître les résultats définitifs de ces observations, dont l'objet principal était, on le sait, de vérifier la théorie d'Einstein relative à l'incurvation des rayons xmileunu par la pesanteur. ru veut acheter les sns Poutiloff Brln, 21 sept. pdé(. Petit Parisien.) La ocit d usines Krupp, d'Essen, a aitf l'objet d'n mission d'acquérir sinon la majorité, du moins une partie importante des actions de la société dse usines Poutiloff, arsau qui fournissaient au crs de la egrreu tout le matériel mltr. Marseille, l conflit des inscrits moi 4.000 passagers et plus de 1.800 sacs de dépêches Mais on espère trouver aujourd'hui une solution provisoire Marseille, 21 sept. (ép Petit Parisien D'heure en heure, la situation es complique et s'aggrave au fur et à mserue que les marins ttmeent à terre les psg t les gges des navires que les igasmopnce désarmement aussitôt. La nuit dernière, trois bateaux tnpaprneaat à de petites compagnies, sont parvenus à qutter notre port, les équipages 'étant entendus avec ce snt le Corinthique pour Bastia, l Cavaliere, pour Ajaccio, et le Formigny, pour Alger Mais ils n'ont, à trois, éambqure quune centaine de passagers. Le Timor, qui devait partir uopr Alger à midi, a été désarmé ce matin il en sr de même du Lamoricière et de la Ville de Tunis, qui sont attendus. Le paquebot la Pasteur, attendu hr, a été dirigé sur Barcelone, d'où il repartira pour l'Amérique du Sd. as ce désarroi, lettres et colis postaux s'accumulent à l'hôtel des Postes, où déjà 1.800 sacs de dépêches encombrent les bureaux. D'autre ar le conflit des inscrits maritimes ntrîn le chômage des dockers on peut évaluer |
mesure que les marins mettent à terre les passagers et les bagages des navires que les compagnies désarmement aussitôt. La nuit dernière, trois bateaux appartenant à de petites compagnies, sont parvenus à quitter notre port, les équipages s'étant entendus avec ce sont le Corinthique, pour Bastia, le Cavaliere, pour Ajaccio, et le Formigny, pour Alger. Mais ils n'ont, à eux trois, embarqué qu'une centaine de passagers. Le Timor, qui devait partir pour Alger à midi, a été désarmé ce matin il en sera de même du Lamoricière et de la Ville de Tunis, qui sont attendus. Le paquebot la Pasteur, attendu hier, a été dirigé sur Barcelone, d'où il repartira pour l'Amérique du Sud. Dans ce désarroi, lettres et colis postaux s'accumulent à l'hôtel des Postes, où déjà 1.800 sacs de dépêches encombrent les bureaux. D'autre part, le conflit des inscrits maritimes entraîne le chômage des dockers on peut évaluer à un millier le nombre actuel des sans-travail, dont les effectifs vont s'accroître chaque jour davantage. Sur les quais, les marchandises qui devaient être embarquées pour nos colonies ou les pays étrangers s'amoncellent. Mais, ce qui est beaucoup plus grave encore, c'est que 4.000 personnes, qui avaient retenu leur passage, errent, désemparées, dans les rues. Une délégation d'Algériens s'est rendue, ce matin, à la préfecture, déclarant que beaucoup d'entre eux n'étaient pas en état de supporter un séjour prolongé hors de chez eux; ils ne veulent pas prendre parti dans le conflit qui divise les armées, les inscrits maritimes et le gouvernement, mais ils ont réclamé avec énergie que soit assuré le transport des passagers, tout au moins ceux de la Corse et de l'Algérie. Le préfet n'a pu qu'enregistrer leur demande, qu'il a promis de transmettre au sous-secrétaire d'Etat à la Marine marchande. De son côté, M. Mattéi, secrétaire général des inscrits maritimes, originaire de la Corse, vient de recevoir de ses compatriotes, en panne à Ajaccio, où ils devaient s'embarquer pour l'Algérie, une longue dépêche dans laquelle ils le suppliçent d'assurer leur départ. À cette requête, les marins du commerce ont répondu qu'ils se mettaient à la disposition | mesure que les marins mettent à terre les passagers les bagages es navires que s compagnies désrmmnt aussitôt. La nuit dernière, trois bateaux appartenant à de petites cmpgns, sont parvenus à quitter notre port, les équipages s'étant entendus avec ce sont l Corinthique, pour Bastia el Cavaliere, pour cc, et le Formigny pour Alger. Mais nont à eux trs, embarqué eun'qu centaine de as.spgares Le Timor, qui devait arr pour Ager à midi, été désarmé ce matin il en sera e même du Lamoricière t de la Ville de Tunis, qui sont attendus. Le paquebot la surePt,a attendu hier, a été dirigé sur Barcelone, d'où il repartira pour l'mérq du Sud. Dans ce désarroi le et colis postaux s'accumulent à l'hôtel des Postes, où déjà 0108. sacs de dépêches encombrent les bureaux. D'autre part, le conflit des inscrits maritimes ntrîn le age des docr on etpu évaluer à n millier l nombre actuel es sans-travail, dont les effectifs vt s'accroître chaque davantage. Sur ls quais les mrchndss qui devaient êtr mbrqés pour nos clns ou les pays érger s'mncllnt. Mais, ce qui st beaucoup plus grave encore, c'e que 4.000 personnes, qui avaient retenu lr passage, rrnt, désemparées, dans les rues. Une délégation d'Algériens s'est rendue, ce matin à la préfecture, déclarant qu beaucoup d'entre eux te'nnatéi pas en état de supporter un séjour prolongé hors de chez eux; ils n veulent pas prendre parti dns le colit qui divise ls armées, les inscrits maritimes et le gouvernement, mais ils ont réclmé avec énergie que soit assuré le trnsprt de passagers, ttou au moins ceux de la Corse et de lAléi Le préfet na pu q'nrgstrr leur demande, qu'il a prms de trnsmttr ss-scrétr d'tt à la Marine marchande. De on côté, M. Mattéi, secrétaire générl des inscrits maritimes, originaire d la Corse vient de rcvr de ses carts, en panne à Ajaccio ù ils devaient s'mbrqr pour 'Algérie, une longue he dns laquelle ils le lepinçutsp d'assurer leu départ. À cette requête, les marins d commerce ont répondu i'qsul s mettaient à la disposition |
errent, désemparées, dans les rues. Une délégation d'Algériens s'est rendue, ce matin, à la préfecture, déclarant que beaucoup d'entre eux n'étaient pas en état de supporter un séjour prolongé hors de chez eux; ils ne veulent pas prendre parti dans le conflit qui divise les armées, les inscrits maritimes et le gouvernement, mais ils ont réclamé avec énergie que soit assuré le transport des passagers, tout au moins ceux de la Corse et de l'Algérie. Le préfet n'a pu qu'enregistrer leur demande, qu'il a promis de transmettre au sous-secrétaire d'Etat à la Marine marchande. De son côté, M. Mattéi, secrétaire général des inscrits maritimes, originaire de la Corse, vient de recevoir de ses compatriotes, en panne à Ajaccio, où ils devaient s'embarquer pour l'Algérie, une longue dépêche dans laquelle ils le suppliçent d'assurer leur départ. À cette requête, les marins du commerce ont répondu qu'ils se mettaient à la disposition de l'autorité locale « pour assurer le transport des passagers et bagages, en souffrance, à l'exclusion des marchandises, par tous navires réquisitionnés dont le produit d'exploitation rentrera dans la caisse municipale de Marseille, étant entendu que les navires à choisir conserveront leur effectif normal, les marins offrant gratuitement leur concours, la nourriture devant leur être assurée. Au nom des armateurs, M. Hubert Giraud, président de la chambre de commerce, a répondu en substance aux passagers: « Nous sommes prêts à suspendre l'application du décret pour une période limitée, permettant le retour dans l'Afrique du Nord des passagers arrêtés à Marseille, si toutefois nous en sommes sollicités par le gouvernement. » UN VAPEUR DÉSARMÉ À DUNKERQUE Dunkerque, 21 septembre (dép. Havas.) L'équipage du vapeur Amiral-Latouche-Tréville, qui devait partir cet après-midi pour la Chine, a fait connaître, au moment de l'appareillage, qu'il n'acceptait pas de dérogation à la loi de huit heures. Le bâtiment a été aussitôt désarmé par la compagnie. LES EXPÉDIIONS DE COLIS POSTAUX SUSPENDUES POUR L'AFRIQUE DU NORD La direction des chemins de fer au ministère des Travaux publics fait connaître qu'en raison du conflit des inscrits maritimes toutes expéditions de colis postaux G. V. et P. V. à | errent, désemparées, dans les rues. Une délégation d'Algériens s'est rendue, c mtn, à la reure déclarant que beaucoup d'entre eux n'étnt pas en état de supporter un séjour rlon rsho de chez eux; ils ne veulent pas prendre parti dans le conflit qui dvs les armées, els inscrits maritimes et le gouvernement, mais ils o réclamé avec énergie que soit assuré le transport asae tout au moins ceux de la o et de l'Algérie. Le préft n'a pu qu'enregistrer leur demande, qu'il a promis de transmettre au sous-secrétaire d'Etat à la Marine marchande. De son côté, M. Mattéi, secrétaire général des inscrits marms, originaire de la Corse, vient e recevoir de ses srmoaopettic, en panne à Ajaccio où ils devaient sebrr pr l'Algérie, une longue dépêch dns laquelle ils l suppliçent d'assurer leur départ. À cette requête, les marins d commerce ont réndu q'ls se mttnt la disposition de l'autorité locale « pour assurer le transport des passagers et bagages, en souffrance, à l'xclsn des marchandises, par tous navires réquisitionnés dont le produit d'exploitation rentrera dans la caisse municipale d lle, étant entendu euq les navires à choisir srvnt lr effectif normal, les i offrant gratuitement leur concours, la nourriture devant lr être assurée. Au nom des armateurs, M. Hubert Giraud président ed la chambre de commerce, a répondu n substance passagers: « Nous sommes prêts à suspendre l'application du décret pour une période limitée, prmttnt le retour ns l'Afrique du Nord ds passagers arrêtés Mrsel, si toutefois s en semsmo sollicités par le gouvernement. » UN VAPEUR DÉSARMÉ À DUNKERQUE Dunkerque, 21 septembre (dép. Havas.) Léquipage du vapeur AmiralLatoucheTréville qui devait partir cet après-midi pr la , a fait cît, au moment de lappareillage qu'il n'acceptait pas de dérogation à la loi de huit heures. Le bâtiment a été aussitôt désarmé par la compagnie LES EXPÉDIIONS DE CLS A SUSPENDUES POUR A DU NORD La dicio des chemins de fer au ministère des Travaux publc fait tnceraîno qu'en raison du conflit des inscrits maritimes toutes xpédtns de colis G. V. et P. V. à |
la nourriture devant leur être assurée. Au nom des armateurs, M. Hubert Giraud, président de la chambre de commerce, a répondu en substance aux passagers: « Nous sommes prêts à suspendre l'application du décret pour une période limitée, permettant le retour dans l'Afrique du Nord des passagers arrêtés à Marseille, si toutefois nous en sommes sollicités par le gouvernement. » UN VAPEUR DÉSARMÉ À DUNKERQUE Dunkerque, 21 septembre (dép. Havas.) L'équipage du vapeur Amiral-Latouche-Tréville, qui devait partir cet après-midi pour la Chine, a fait connaître, au moment de l'appareillage, qu'il n'acceptait pas de dérogation à la loi de huit heures. Le bâtiment a été aussitôt désarmé par la compagnie. LES EXPÉDIIONS DE COLIS POSTAUX SUSPENDUES POUR L'AFRIQUE DU NORD La direction des chemins de fer au ministère des Travaux publics fait connaître qu'en raison du conflit des inscrits maritimes toutes expéditions de colis postaux G. V. et P. V. à destination de l'Algérie et de la Tunisie sont momentanément suspendues. LE DEPART DES NAVIRES ASSURE AVEC UN PERSONNEL ÉTRANGER Une compagnie étrangère a offert aux armateurs et aux compagnies de navigation françaises du personnel étranger pour remplacer les inscrits marseillais. Avec le concours de ce personnel, les départs seront assurés de Marseille sur Alger, Ajaccio et Tunis à partir de samedi. Les inscrits maritimes avaient déclaré être prêts à armer les bateaux gratuitement si on les réquisitionnait; cette proposition signalée par notre correspondant de Marseille n'a pu être acceptée par le gouvernement. UN AVION S'ÉCRASE SUR LE SOL Pilote et observateur sont tués St-Raphaël, 21 septembre (Le Petit Parisien.) Un douloureux accident mortel s'est produit au centre d'aviation maritime. Au cours d'une épreuve d'entraînement, un appareil piloté par le matelot aviateur Laffay, et au bord duquel se trouvait le second maître Toupotte comme observateur, évoluait à une hauteur de 200 mètres environ, lorsque, brusquement, il tomba en vrille et vint s'écraser sur le sol. Le second maître Toupotte, atrocièrement mutilé, expira presque aussitôt. Le réservoir de l'appareil fit explosion, ce qui détermina l'incendie de l'avion. Le pilote Laffay, resté sèment à son poste, fut carbonisé. Le second maître Toupotte et | al nourriture devant ler être assurée. nm des rmtrs, . Hubert Giraud, président de la chambre de commerce, a répondu n substance aux passagers: « Nous sommes prêts à suspendre l'application ud décret pour une période limitée, permettant el retour dans 'Arq du Nord des passagers arrêtés à Ms,elrleai si tote nous en mmes sollicités rap le gouvernement. UN VAPEUR DÉSRMÉ À DUNKERQUE Dunkerque, 21 septembre (dép. Havas.) L'éqpg du ruevap Amiral-Latouche-Tréville, qui dvt partir cet après-midi pour la Chine fait connaître, moment ed l'appareillage, qu'il n'acceptait pas de éron à la o d huit heures. Le bâtiment a été aussitôt désrmé pr la compagnie. LES EXPÉDIIONS DE COLIS POSTAUX SUSPENDUES PR L'AFRIQUE D NORD La direction des chmns f au ministère des Travaux ublcs fait connaître qu'en rsn d cot des inscrits maritimes tts expéditions de colis postaux V. et P. V. à destination de l'Algérie et de la Tunisie sont momentanément suspendues. LE DEPART DES NVRS ASSURE AVEC UN PERSONNEL ÉTRANGER Une compagnie étrangère a offert aux armateurs et aux compagnies de nvgtn françaises du personnel étranger pour remplacer les inscrits marseillais. Avec le concours de ce personnel, les départs srnt assurés de Marseille sur Alger, Ajaccio et Tunis à partir de samedi. Les inscrits maritimes avaient déclaré être ês à armer les bateaux gratuitement si on ls réquisitionnait; cette proposition signalée par notre correspondant de Mrsll an' pu être acceptée par le gouvernement. UN AVION SCRAS SUR LE SL Pilote et observateur sn tués StRaphaël 21 septembre (Le Petit Parisien.) Un doue accident leromt sest produit au centre d'aviation maritime. Au cours d'une épreuve d'entraînement, un appareil piloté par le matelot aviateur aaf,fLy et au bord duquel se trvt le second maître Toupotte comme observateur, évoluait une haeu de 200 mètres nvrn, lorsque brusquement, il tomba en vrille et vnt s'écraser sur le sol. Le second maître Toupotte, atrocièrement mutilé, expira presque aussitôt. Le réservoir de l'appareil fit explosion ce qui détermina l'incendie de l'avion. Le o Laffay, resté sèment à poste fut carbonisé. Le second maître Toupotte et |
de Marseille sur Alger, Ajaccio et Tunis à partir de samedi. Les inscrits maritimes avaient déclaré être prêts à armer les bateaux gratuitement si on les réquisitionnait; cette proposition signalée par notre correspondant de Marseille n'a pu être acceptée par le gouvernement. UN AVION S'ÉCRASE SUR LE SOL Pilote et observateur sont tués St-Raphaël, 21 septembre (Le Petit Parisien.) Un douloureux accident mortel s'est produit au centre d'aviation maritime. Au cours d'une épreuve d'entraînement, un appareil piloté par le matelot aviateur Laffay, et au bord duquel se trouvait le second maître Toupotte comme observateur, évoluait à une hauteur de 200 mètres environ, lorsque, brusquement, il tomba en vrille et vint s'écraser sur le sol. Le second maître Toupotte, atrocièrement mutilé, expira presque aussitôt. Le réservoir de l'appareil fit explosion, ce qui détermina l'incendie de l'avion. Le pilote Laffay, resté sèment à son poste, fut carbonisé. Le second maître Toupotte et le matelot Laffay étaient attachés au centre d'aviation maritime. Le congrès de T. S. F. à Marseille Marseille, 21 septembre (Le Petit Parisien.) Le congrès national de T. S. F. s'est ouvert aujourd'hui à l'exposition coloniale par de nombreuses personnalités scientifiques et politiques. Dans son discours d'ouverture, M. de Vallaville retrace le rôle prépondérant de la France en matière de recherches scientifiques. « Nos techniciens, a-t-il dit, ne sont pas en vedette sur l'étranger, puisque dès lors que des ingénieurs américains, venus en France pour faire essais de téléphonie entre Arlington et Paris, virent nos postes de campagne. » Nous n'avons pas à vous apprendre sans crainte, nous pouvons dire que nous commençons à connaître la situation. M. Lemonnier, secrétaire général du congrès, a remercié les congressistes d'être venus si nombreux à l'appel du comité d'organisation. A 4 heures, les congressistes ont été reçus à l'exposition coloniale par M. Artaud, commissaire général, qui leur a souhaité la bienvenue. Aujourd'hui le congrès entendra les rapports de M. Branly et du général Ferrié, membre de l'Institut, respectivement de l'électricité et de la mécanographie militaire. L'ÉPAVÉ DU CUIRASSÉ LIBERTÉ se Toulon, 21 septembre (dép. Havas.) Une grande activité est constatée depuis quelques jours | ed Marseille sur Alger, Ajaccio et Tunis à partir de samedi. Ls inscrits maritimes avaient déclaré être prêts à armer les bateaux iemttuaegnrt si on les réquisitionnait; cette proposition signalée par notre correspondant de Marseille n' up êr acceptée par le gouvernement. UN AVION S'ÉCRASE SUR LE SOL Pilote et observateur sont tués St-Raphaël, 21 septembre (Le et Parisien.) Un douloureux accident mortel s'est produit au centre d'aviation maritime. Au cours 'une épreuve d'entraînement, un pprei ilté par le matelot aae Laffay, et au brd duquel s trouvait le second maître Toupotte comme obserar, évoluait à une hauteur de 0 mètres environ, lorsque, brusquement, il tomba ne vrll et vint s'écraser sur l sol. Le second maître Toupotte, atrocièrement mutilé, expira presque aussitôt. Le réservoir de aalpri'ple fit explosion, ce qui détermina l'incendie de l'avion. Le pilote Laffay, resté èmen à son poste, ft crbnsé. Le second maître Toupotte et le maelo Lffy étaient attachés au centre d'aviation maritime. Le congrès de T. S. F. Mrsll Marseille, 21 ptbr (Le Ptit Parisien.) Le ongr national de T. S. F. s'est ouvert aujourd'hui à l'exposition coloniale par de nombreuses personnalités stuqcnsiieeif et politiques. Dns son discours d'ouverture, M. de Vallaville retrace le rôl énrnt de al Fc en matière de recherches scientifiques. « Nos techniciens, atil dit, ne st ps en vedette sur l'étranger, ps èsd lors u des ngénrs américains venus en France pour faire essais de téléphonie entre Arlington et Paris virtne nos postes de campagne. » Nous n'avons pas à vous apprendre sans crainte, nous pouvons dire que n commençons connaître la situation. M. Lemonnier, iererécsta général du congrès, a remercié les cngrsssts d'être venus si bre à l'appel du comité 'oraio. 4 heures, les congressistes ont été reçus à l'exposition coloniale par M. Artaud, commissaire général, q leur a souhaité la bienvenue. Aujourd'hui le cngrès entendra les rapports de M. Branly et du général Ferrié, membre de l'Institut, respectivement de l'électricité t de la mécanographie militaire L'ÉPAVÉ CUIRASSÉ LIBERTÉ se Toulon, 21 septembre (dép. Havas.) n grande ctvté et constatée depuis quelques jours |
retrace le rôle prépondérant de la France en matière de recherches scientifiques. « Nos techniciens, a-t-il dit, ne sont pas en vedette sur l'étranger, puisque dès lors que des ingénieurs américains, venus en France pour faire essais de téléphonie entre Arlington et Paris, virent nos postes de campagne. » Nous n'avons pas à vous apprendre sans crainte, nous pouvons dire que nous commençons à connaître la situation. M. Lemonnier, secrétaire général du congrès, a remercié les congressistes d'être venus si nombreux à l'appel du comité d'organisation. A 4 heures, les congressistes ont été reçus à l'exposition coloniale par M. Artaud, commissaire général, qui leur a souhaité la bienvenue. Aujourd'hui le congrès entendra les rapports de M. Branly et du général Ferrié, membre de l'Institut, respectivement de l'électricité et de la mécanographie militaire. L'ÉPAVÉ DU CUIRASSÉ LIBERTÉ se Toulon, 21 septembre (dép. Havas.) Une grande activité est constatée depuis quelques jours autour du cuirassé Liberté, qu'on croit pouvoir renflouer bientôt. L'arrestation de M. Reith Ce que disent ses collaborateurs L'énoncé des accusations qui pèsent sur M. Reith a provoqué la stupeur dans son entourage; un de ses familiers nous a fourni les explications suivantes: Je suis absolument étonné par la nouvelle et, jusqu'à nouvel ordre, je ne puis croire à la culpabilité de M. Reith; je suis persuadé qu'il est la victime d'une erreur et saura le prouver. On a trouvé chez lui une auto volée et qu'il aurait achetée sans en ignorer la provenance. Lorsque l'on sait, comme moi, que M. Reith possède déjà une demi-douzaine d'autos, on laisse tomber les épaules à la pensée qu'il pourrait devenir le réceleur d'une voiture volée. La vérité est que, ayant remply un service (fonds à un quémandeur douteux, il accepta en garantie l'auto dont il s'agit. On peut reprocher à M. Reith d'avoir été imprudent; Mais ni sa situation de fortune, ni la situation de famille ne me permettent de croire qu'il ait pu se compromettre sciemment dans des opérations réprobées. Nous avons reconnu hier, dans le bureau même de M. Reith, plusieurs de ses collaborateurs. L'un d'eux, son prodhé de pouvoir, | retrace l rôle prépondérant de la ra ne matière de recherches scntfqs. « Nos techniciens, --il dit, ne sont pas en vedette sur l'étranger, puisque dès lors que des ingniurs américains, venus en France pour faire essais de téléphonie entre Arlington et Paris, virent nos postes de campagne. » u naos pas à vous apprendre sans crainte, nous pouvons dire euq nous commençons à ronectanî la situation. M. Lemonnier, secrétaire général du congrès, a rmrcé les congressistes d'être venus si nombreux à lappel u comité d'rgnstn. A 4 heures, les congressistes ont été reçus à l'xpstn coloniale par M. Artaud, commissaire général, qui leur a souhaité la bienvenue. Aujourd'hui le rnocègs entendra les rapports de M. Branly et du général Frré, membre de sit, respectivement de l'électricité et de la mécanographie militaire. 'PALÉÉV DU CUIRASSÉ LIBERTÉ se Toulon, 21 septembre (dép. Havas.) Une grande ctité est constatée d quelques jours autour du cuirassé Liberté, qu'on croit pouvoir renflouer bientôt. 'arrestation de .M Reith Ce que disent ses caar L'énncé des accusations qui pèsent sur . ei a provoqué la stupeur dans son entourage; un de ses fms nous a fourni les explications suivantes: Je ssiu absolument étonné par la nouvelle et, jusqu'à nouvel ordre, je ne ps croire à al clpblté de M. Rth; je suis persuadé qu'il est la victime d'une erreur et saura le prouver. On a trouvé chz lui une auto volée et qu'il ura achetée sans en ignorer la provenance. Lorsque l'on sait, cmm moi, que M. Reith possède déjà uen demi-douzaine d'autos, n laisse tomber les épaules à la pensée qu'il pourrait devenir réceleur d'une voitr volée La vérité est que, ayant mreply un service (fonds à un quémandeur douteux, il apt en tgiernaa l'auto dont il s'agit. On peut reprocher M. Reith v t imprudent; Ms ni sa situation de fortune, ni la situation de famille ne me permettent de croire qu'i ait pu se compromettre scmmnt dans des opérations osé.rprbée Nous avons reconnu hier, dans l bureau même de M. Reith, plusieurs de ses o.srlbclauaerot L'un d'eux, son prodhé de pouvoir, |
et, jusqu'à nouvel ordre, je ne puis croire à la culpabilité de M. Reith; je suis persuadé qu'il est la victime d'une erreur et saura le prouver. On a trouvé chez lui une auto volée et qu'il aurait achetée sans en ignorer la provenance. Lorsque l'on sait, comme moi, que M. Reith possède déjà une demi-douzaine d'autos, on laisse tomber les épaules à la pensée qu'il pourrait devenir le réceleur d'une voiture volée. La vérité est que, ayant remply un service (fonds à un quémandeur douteux, il accepta en garantie l'auto dont il s'agit. On peut reprocher à M. Reith d'avoir été imprudent; Mais ni sa situation de fortune, ni la situation de famille ne me permettent de croire qu'il ait pu se compromettre sciemment dans des opérations réprobées. Nous avons reconnu hier, dans le bureau même de M. Reith, plusieurs de ses collaborateurs. L'un d'eux, son prodhé de pouvoir, nous a déclaré en leur nom: Nous ne comprenons pas l'inculpation qui pèse sur notre directeur, car il est évident qu'il ignorait la provenance de l'automobile dérobée à Mlle Parisys. M. Reith possédait une cession hypothécaque sur des immeubles appartenant à M. Censer et il lui avait, en outre, fait l'avance de sommes d'argent importantes. C'est en remboursement d'une partie de sa dette que M. Censer proposa à M. Reith l'acquisition de l'automobile. M. Reith accepta, ne pouvant pas soupçonner son origine. Laissez que nous nous interrogions, n'a-t-on pas aussi saisi ceux d'ailleurs ? Nous n'en savons rien. Néanmoins, il est probable que M. Censer lui a remis à M. Reith des fonds de provenance suspecte, toujours en remboursement de la dette qu'il avait contractée avec lui. Ce n'est pas une raison pour que M. Reith soit inculpé de recel. Heureusement que sa situation de fortune et son honorabilité le mettent au-dessus de tout soupçon. De jeunes Alsaciens et Alsaciennes sont arrivés hier soir à Paris Vingt des meilleurs élèves des écoles pratiques de commerce et d'industrie de Strasbourg, Metz et Colmar, sont arrivés hier soir, à Paris où ils seront les hôtes du lycée Louis-le-Grand. Sous les auspices de | et, jusqu'à nouvel rdr, je ne puis r à la culpabilité de M. Reith; je suis ped qu'il est l victime d'une erreur et saura le prouver. O a trouvé chez lui une u volée et qu'il aurait achetée sans en ignorer la provenance. Lorsque l'on sait, comme moi, que M. Reith osèd éjà une demi-douzaine d'autos, on laisse tomber les épaules al é qu'il pourrait devenir le réceleur d'une voiture volée. La véri st que, ayant repy nu service (fonds à un quémandeur douteux il accepta en garantie l'auto dont il s'agit. On peut reprocher à M. Reith d'avoir été imprudent; Mais ni sa situation de fortune ni la situation ed famille ne me permettent de croire qu'il ait pu se mrettre sciemment dans des opérations réprobées. avons reconnu hier, dans le bureau même de M. eti,Rh plusieurs de ses collaborateurs L'un d'eux, son prodhé de pouvoir, ns a déclaré en leur nom: Nus ne comprenons pas 'inculpation qui pèse sur notre directeur, a il est évident q'l ignorait la provenance de l'automobile dérobée à Mlle Parisys. M. Reith possédait une sio hypothécaque rus des immeubles appartenant à M. Censer et il lui vt, en outre, fait lavance de emosms d'argent enimoat.sprt C'est n remboursement du partie de sa ee que M. Censer proposa M. Reith l'acquisition de l'automobile. M. Reith accepta, ne pouvant pas soupçonner son origine. szsiLea que nous nous teogin -aton'n- pas aussi saisi ceux u'aldsrlie ? Nous n'en savons rien. Néanmoins il est probable que . Censer lui a remis à . Reith des fonds de provenance suspecte, toujours en remboursement de la dette qu'il avait contractée avec lui Ce n'st pas une rsn pr que M. Reith soit inculpé de lece.r Heureusement que sa sttn d fortune et son horbilé le mettent au-dessus de tout soupçon. De jeunes Alsaciens et Alsaciennes sont arrivés hier soir à Paris Vingt des meilleurs élèves des écoles itqurpase de commerce et d'industrie de Strasbourg, Metz et Colmar, sont arrivés hier soir, à Paris où ils seront les hôtes du lycée Louis-le-Grand. Sous les auspices de |
l'avance de sommes d'argent importantes. C'est en remboursement d'une partie de sa dette que M. Censer proposa à M. Reith l'acquisition de l'automobile. M. Reith accepta, ne pouvant pas soupçonner son origine. Laissez que nous nous interrogions, n'a-t-on pas aussi saisi ceux d'ailleurs ? Nous n'en savons rien. Néanmoins, il est probable que M. Censer lui a remis à M. Reith des fonds de provenance suspecte, toujours en remboursement de la dette qu'il avait contractée avec lui. Ce n'est pas une raison pour que M. Reith soit inculpé de recel. Heureusement que sa situation de fortune et son honorabilité le mettent au-dessus de tout soupçon. De jeunes Alsaciens et Alsaciennes sont arrivés hier soir à Paris Vingt des meilleurs élèves des écoles pratiques de commerce et d'industrie de Strasbourg, Metz et Colmar, sont arrivés hier soir, à Paris où ils seront les hôtes du lycée Louis-le-Grand. Sous les auspices de la Renaissance française en Alsace et en Lorraine, ces jeunes gens viennent visiter la capitale et Versailles. Douze jeunes filles de l'École supérieure de Strasbourg sont également arrivées hier pour un court séjour à Paris; ces gentes jeunes filles visiteront les pays dévastés. FAITS DIVERS Brûlée vive À Ivry-sur-Seine, la petite Hélène Meyer, 13 ans, 13, rue Hoche, en compagnie de ses parents, a mis le feu à ses vêtements en s'avançant vers un poste de secours. Malheureusement, les soins que lui furent prodigués, elle succomba, dans de terribles souffrances, à l'hôpital Trousseau, où elle avait été transportée. La rue de Saint-Maurice Pour sa dernière semaine. Le personnel du lycée de Saint-Maurice a choisi comme fête. Mlle Juliette Desvion, une blonde de vingt-deux ans de l'île-de-France. Cette jeune fille qui travaille dans une fabrique de films à Joinville-le-Pont, est âgée de deux enfants. Elle est mère de quatre enfants, qui sont une lourde charge pour cette honorable famille. Son père, M. D'avion, eut chauffeur de la Compagnie des taxis. Le comité de la fête de la rose aura lieu dimanche 14 septembre, 14 heures, dans la salle communale. Les désespérés Ne pouvant se consoler de la mort de sa femme, | l'avance de sommes d'argent importantes. 'est en remboursement d'une partie de sa dette que M. Censer proposa à . Rth l'acquisition de l'automobile. M Reith accepta, ne pouvant pas soupçonner son origine. Laissez que nous nous interrogions, to-'-ann pas aussi saisi eux d'ailleurs ? Nous n'en savons rien. Néanmoins, il est probable que M. Censer li a rmi à M. Reith des fonds de provenance suspecte, toujours en remboursement d l dette qu'il avait contractée avec lui. Ce n'est pas une raison po que M Reith soit inculpé de recel. Heureusement que sa situation de fortune et son honorabilité metnt au-dessus de tout soupçon. D jeunes Alsaciens et Alsaciennes sont arrivés e rios à Paris Vingt des iemuellrs esévlè des écoles pratiques de commerce et 'industrie de Strasbourg, Metz et Colmar, sont arrivés hier soir, à Paris ù lsi seront les hôtes d lycée Louis-le-Grand. oSsu les auspices de la Renaissance française en lsc et en Lorraine, ces jeunes gens viennent visiter l capitale et Versailles. Douze jeunes filles de l'École supérieure de Strasbourg sont également arrivées hier pour un court séjour à Paris; ces gentes un ill visiteront les pays dévastés. FAITS DVRS Brûlée vive À Ivry-sur-Seine, la petite Hélène Meyer, 13 ans, 13, eru Hoche, en compagnie de ses prnts, a mis le feu à ses vêtmnts en s'avançant vers un poste de secours. Malheureusement les soins que lui furent prodigués, elle succomba dans de terribles souffrances, à lhpitl'aô Trousseau, où elle vt téé transportée. La rue de Saint-Maurice Pour s dernière semaine. Le personnel du lycée de Saint-Maurice a choisi comme ê.fet Mlle Juliette vn, une blonde de videux ans de l'îl-d-Frnc. te jn fille qui travaille dans une fabrique ed films Joinville-le-Pont, est âgée de deux nfnts. Elle est mère de quatre enfants qui sont une lourde charge pour cette honorable famille. Son père, M. D'avion, eut chauffeur de la Compagnie des txs. Le comité de a fête de rose aura lieu mncehaid 14 s,erbpeetm 14 heures, dans la salle communale. Les désespérés Ne pouvant se cnslr de la mort de sa fmm, |