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petite Hélène Meyer, 13 ans, 13, rue Hoche, en compagnie de ses parents, a mis le feu à ses vêtements en s'avançant vers un poste de secours. Malheureusement, les soins que lui furent prodigués, elle succomba, dans de terribles souffrances, à l'hôpital Trousseau, où elle avait été transportée. La rue de Saint-Maurice Pour sa dernière semaine. Le personnel du lycée de Saint-Maurice a choisi comme fête. Mlle Juliette Desvion, une blonde de vingt-deux ans de l'île-de-France. Cette jeune fille qui travaille dans une fabrique de films à Joinville-le-Pont, est âgée de deux enfants. Elle est mère de quatre enfants, qui sont une lourde charge pour cette honorable famille. Son père, M. D'avion, eut chauffeur de la Compagnie des taxis. Le comité de la fête de la rose aura lieu dimanche 14 septembre, 14 heures, dans la salle communale. Les désespérés Ne pouvant se consoler de la mort de sa femme, survenue il y a six mois, M. André Zimmermann, vingt-et-un ans, demeurant 38, avenue de la Croix, à Melun-Valvins, s'est tiré une balle de revolver dans la poitrine, allée de La Fontaine, au bois de Boulogne, sur le territoire de Vichy. Transporté à Reaujon, il y est décédé. Son corps a été envoyé à la morgue. Un chauffeur écrasé par une auto Rue de Paris, à Pantin, en descendant de sa voiture, le chauffeur Albert Parmy, quarante et un ans, 52, route des Potins-l'Envie, une localité, a été renversé par une auto que conduisait le chauffeur Francis Culhard, vingt et un ans, rue Ide, à Chevry. M. Parmy, qui a ou les deux jambes broyées, est soigné à son domicile. Autre victime, il y a un mois, Odette Camus, 18, rue du Fort, à Auvergne, s'est jetée dans son escalier. Elle a été transportée à l'hôpital de Montfermeil, où elle est décédée subitement. L'omniprésente de police a ouvert une enquête pour établir les causes de décès. LES COURSES Prix du Jockey Club Winner, Sea Sack, 52 parts. Pasco l'écrivaine, 6 parts. Récamer, 3.200 m. H. Le Bris, Triple. Maiden 63 Maroë: 1 part. Heureux, Butin 40 Francis, 1 part. Mademoiselle,
petite Hélène Meyer, 13 ans, 13, rue Hoche, en compagnie de ses parents, a ms le feu à ses vêtements en s'avançant vers un poste de secours. Malheureusement, les soins que lui furent prodigués, elle sccmb, dans de terribles souffrances, à l'hôpital Trousseau, où elle avait été .néerrpostta La r de Saint-Maurice Pour sa drnèr semaine. Le prsnnl du lycée de Saint-Maurice a chs comme fête. leMl Juliette Deion une blnd de vingtdeux ans de l'île-de-France. Cette fille qui travaille dans une fabrique de films à Joinville-le-Pont, st âgée e e enfants. Elle est mère d quatre saen,nft qui sont ne lourde charge pour cette honorable famille. Son pèr, M. D'avion, eut chauffeur d la Compagnie ds taxis. Le cmté de la fête de la rose aura lieu dimanche 14 septembre 14 heures, dans la salle communale. Les désespérés Ne pouvant se consoler de la mort de s femme, survenue il y a six mois, M. André Zimmermann, utngvte-n-i ans, demeurant 38, vnu de la xiCr,o à Melun-Valvins, s'st tiré une balle d revolver adsn la ptrn, allée de La Fontaine, au bois de Buone sur le territoire de Vichy. Transporté à Reaujon, l y est décédé. Son corps a été envoyé à la morgue. Un chauffeur a par une auto Rue de Paris à Pantin, n descendant de sa voiture, le chauffeur Albert Parmy quarante et un ans , route des Potins-l'Envie, uen localité, a été renversé apr une auto qu cndst le chauffeur Francis Culhard, vingt et un ans, rue Ide à Chevry. M. Parmy, qui a ou e deux jambes broyées, est sgné à son domicile. Autre victime, il y a un , Odette Camus, 1, rue du Fort, à Auvergne, 'est jetée dans osn escalier. Elle a été transportée à l'hôpital de Montereil ùo elle est décédée subitement. L'omniprésente de poi ouvert une enuê pour établir les causes de décès. LES COURSES Prix du Jockey Club Winner, Sea Sack, 52 prts. Pasco l'écrivaine, 6 parts. ra,mécRe 3.200 m. H. Le Bris, Triple. aidn 63 Maroë: 1 part. Heureux, Butin 40 Francis, 1 ar Mademoiselle
a été envoyé à la morgue. Un chauffeur écrasé par une auto Rue de Paris, à Pantin, en descendant de sa voiture, le chauffeur Albert Parmy, quarante et un ans, 52, route des Potins-l'Envie, une localité, a été renversé par une auto que conduisait le chauffeur Francis Culhard, vingt et un ans, rue Ide, à Chevry. M. Parmy, qui a ou les deux jambes broyées, est soigné à son domicile. Autre victime, il y a un mois, Odette Camus, 18, rue du Fort, à Auvergne, s'est jetée dans son escalier. Elle a été transportée à l'hôpital de Montfermeil, où elle est décédée subitement. L'omniprésente de police a ouvert une enquête pour établir les causes de décès. LES COURSES Prix du Jockey Club Winner, Sea Sack, 52 parts. Pasco l'écrivaine, 6 parts. Récamer, 3.200 m. H. Le Bris, Triple. Maiden 63 Maroë: 1 part. Heureux, Butin 40 Francis, 1 part. Mademoiselle, 61 parts. N part. Dumas, 1 part. Beau Bodin 30.000 francs. 1,000 mètres Starters, chrysalide M Esling. Marmouset Suzon 1 part. Publié philosophique Myname, 53 1/2 Wallon c. Blanc Daily 62 parts. Poun, Pote de l'Yser Le Corre, H.tieauville 3 parts. Andouar, 1 million francs, mètre. H Polusot, fillette got, 51 parts. Sharpe Valdano, D.de Cordeiro part. Pies francs chambres Épinette, 1 1/2 parts. R. Fillon, Linnetta 6 1/2 parts. Allemagne, Rothschild. Godconde, 1 part. Rouge, juillet Fiebing, 1 part. Rothschild: Cotophane 60 1/2 Mat Gee V.P.M. Isa. Clairaut, M. Allemagne, Prix du Jockey Club part. 3 franca Lignes Métros 1 part. Kredon 7 parts. Derby, Hannali parts. Neveu William, Paradis 57 Moreau Manlacheff Tennysuun. 03 x. parts Chateau Malesherbes 1 part. Banque Jay Gould. Geïbbois r.s Crup R. Decazes, M. francs. Mac. neuse Ed. Blanc. Pavillon 3a parts. Hobbs Ouchaux M.BéguinIE:S Lepinle Gamquebien, Camouflet, 5 parts. Vayer stern Wing Tri P.-harpe A. Dubl Qut. Pride, 03 Haynes Triquerville. Roiilam xe2x80xa2 céases 52 Garner ¥.i. V.-l'Pierre r.3 Garner Weltheim, Select. Haynes Aga Khan, 7 hiers. N. part. Winkfield, j.-d. quatre. A Bolen, 50 1/2 parts, N part, t* BlamMartyn 33 parts. Kéléchin M. le Mar., J*V4Oarner â.Plau syntaxe. % parts.
a été envoyé à la morgue. U chffr écrasé par une auto R de Paris, à Pantin, n descendant de sa voiture, le chauffeur Albert Parmy, quarante et n ans, 52, route des Potins-l'Envie, une localité a été renversé ar une auto que conduisait le chauffeur Francis Culhard, vingt et un ans, rue Ide, à Chevry. M. Pr qui ou les deux jambes broyées, est soigné à sno oci Autre eic,timv il y a nu mois, Odette Camus, 18, rue du Fort, à Auvergne, s'est jetée dans son er. Elle a été transportée à l'hôpital d Mntfrml, où elle est décédée sbtmnt. L'omniprésente d police a ouvert une enquête pour établir les causes de décès. LS CRESSOU Prix du Jockey Club Winner Sea Sack, 5 parts. Pasco l'écrivaine, 6 parts. Récamer, 3.200 m. H. Le Brs, Triple. Maiden 63 Maroë: 1 part. e,reHxuu Butin 40 rancs 1 part Mdmsll, 61 t.prsa N part. Dumas, part Beau Bodin 30.000 fanc. 1,000 mètres Saer chrysalide M Esling. mu Suzon 1 part. Publié philosophique Myname, 53 1/2 Wallon c. Blanc Daily 62 parts. Poun, Pote de l'Yser Le Corre, H.tieauville parts. Andouar, 1 million francs, ètr Polusot, fet got, 51 ts Shrp Valdano, D.de Cordeiro part. fsrcan chambres Épntt, 1 1/2 parts. R. Fillon Linnetta 6 1/2 parts. Allemagne, Rothschild. Godconde, 1 part. Rouge, juillet Fiebing, 1 part. Rothschild: Cotophane 60 12 Mat Gee V.P.M. Isa. Clairaut, . Allemagne, Prix du Jcky Club part. 3 franca Lignes Métros 1 part. Kredon 7 parts. Derby, Hannali parts. Neveu William, Paradis 57 Moreau Manlacheff Tennysu 03 x. parts Chateau Malesherbes part. Bnq Jay Gould. Geïbbois r.s Crup Decazes, M francs. Mac neuse Ed. lcaB.n Pavillon 3a parts. Hobbs Ouchaux M.BéguinIE:S Lipleen Gamquebien, Camouflet, 5 parts. Vayer nstre Wing Tri P.-harpe A. ul Qut Pride, 03 Haynes Triquerville. Roiilam xe2x80xa2 céases 52 Garner ¥.i. V.-l'Pierre r.3 Garner Weltheim, Select. Haynes Aga Khan, hiers. N. part. Winkfield, j.-d. quatre. A Bolen, 50 1/2 rt, N prt, t* BlamMartyn 33 parts. Kéléchin M le Mar., J*V4Oarner â.Plau syntaxe. % parts.
51 parts. Sharpe Valdano, D.de Cordeiro part. Pies francs chambres Épinette, 1 1/2 parts. R. Fillon, Linnetta 6 1/2 parts. Allemagne, Rothschild. Godconde, 1 part. Rouge, juillet Fiebing, 1 part. Rothschild: Cotophane 60 1/2 Mat Gee V.P.M. Isa. Clairaut, M. Allemagne, Prix du Jockey Club part. 3 franca Lignes Métros 1 part. Kredon 7 parts. Derby, Hannali parts. Neveu William, Paradis 57 Moreau Manlacheff Tennysuun. 03 x. parts Chateau Malesherbes 1 part. Banque Jay Gould. Geïbbois r.s Crup R. Decazes, M. francs. Mac. neuse Ed. Blanc. Pavillon 3a parts. Hobbs Ouchaux M.BéguinIE:S Lepinle Gamquebien, Camouflet, 5 parts. Vayer stern Wing Tri P.-harpe A. Dubl Qut. Pride, 03 Haynes Triquerville. Roiilam xe2x80xa2 céases 52 Garner ¥.i. V.-l'Pierre r.3 Garner Weltheim, Select. Haynes Aga Khan, 7 hiers. N. part. Winkfield, j.-d. quatre. A Bolen, 50 1/2 parts, N part, t* BlamMartyn 33 parts. Kéléchin M. le Mar., J*V4Oarner â.Plau syntaxe. % parts. Soliée Tireau M. Lazard Or. Jm ce. Boussac Ondulation 1 part. Hanucci Fiasque. 51 1/2 N. parts. part. Prix du Rhin Phébus Miltiade (Cross-country) 1 Guitry rw Lune -n ?:ïn. Handicap. H.500 francs, 2.000 m. vendre G.500 fr., m. Marmouset B. Prince. 1 ligure Winkfield. Montfort.Stoncelle.H 75 sénestrions Phare de l'Aquilon H. Le Bris, P. d'Armée 73 du Breuil A vendre, 5.000 fr. 1.200 m. parts. Haoux. ÎV-inlve V' ftft X. L. Gaillard. Hector II, 5 parts. Pailassa Champion. Lens jôViCiarner G.'Pastré. Alsace. 68 Jugé Larousse. Monaco 55 parts. C. Blanc Queyrat. M parts. Sg-itcovitch Bouhour. 68 Doistill M. Lazard. D.atlOonijô.S O'Neill S. Saint Ch. Latour 33 Semblant Thiébaut. tqn 68 U. Mikh. G. Newton. Sabord o'i Sharpe H.a. Bray. DoubleTriple r,i O'.Neill d'Avmery. Fliue X. M. Mifçeon. A.gripptne. r.3«. K.u-de Oaller. Camptslr.. 5t%X. Maillard BertrierisseW X. Widerer. L. o'Dawn 53 1/2 M.ac (ïee 11. Handou. V.laKraïK-eôl Thimon A.Bezard.. Vollerfï' 03 .Bertoutt NOS PRONOSTICS, Prix du Jockey Club Sou, Innovateur Prix du Saint-Laurent Select, Monte Santo pris de l'Adriatique lïight O'Dawn, Royautés 3-I" Prix Biennale Pavillon, Nicéas Prix du Rhin Delly, Erpome Prix de Yser Golconde, Le Capucin Prix Miltiade Boigny, annuel. HIER A ENGHIN. Les résultats La reprise des
51 parts. Sharpe Valdano, D.de Cordeiro part. Pies frncs chambres Épiet 1 1/2 parts. R. Fl, Linnetta 6 /2 parts. Allemagne, Rthschld. dcn 1 part. Rouge, juillet iei, 1 part. Rothschild: Cotophane 60 1/2 Mat G V.P.M. Isa. Clairaut, . Allemagne xPri du Jockey Club part. 3 franca Lgns Métros 1 part. Kredon 7 parts. Derby, n parts. Neveu Wilam Paradis 57 Mr Manlacheff Tennysuun. 03 x. parts Chateau Malesherbes 1 part. Banque Jay Gould. Geïbbois r.s Crup . Decazes, M. francs. Mac. neuse Ed. Blanc. oPlanvli 3a parts. Hobbs Ouchaux M.Bégn:S Lepinle ee, Camouflet, 5 parts. Vyr stern Wng Tri P.-harpe A. Dbl Qut. Pride, 03 Haynes Triquerville. Roiilam x2x80x2 céases 52 Garner ¥.i. V.-l'Pierre r.3 Garner Weltheim, Select. Haynes Aga Khan, 7 hiers. N. part. Winkfield, j.-d. quatre. A Bolen, 50 1/2 parts, N part, t* BlamMartyn 33 parts Kéléchin M. le Mar., V4rer â.Plau syntaxe. % parts. Soliée Tireau M. Lzrd Or. Jm ce. Boussac Ondulation prt. Hanucci Fiasque. 51 / N. parts. pt.ar Prix du Rhin Phébus Mltd (Cross-country) 1 Gtry rw Lune -n ?:ïn. Handicap. 50 francs, .00 m. vendre G500 fr., saetourmM B. Prince. 1 ligure ink. Montfort.Stoncelle.H 75 ntris Phare de l'Aquilon . L Bris, P. d'rmé 73 du Breuil A vendre, 5.000 fr. 1. m. parts. Haoux. ÎV-inlve V ftft X. L. Gaillard. Hector , 5 parts. Pailassa Champion. Lens jôViCiarner G.'Pastré. lsc. 68 Jugé Larousse. Monaco 55 parts. C. Blanc Queyrat M parts. Sg-itcovitch Bouhour 68 itil M. Lazard. tajD.OloôiS.n O'Neill S. Sntia h.C Latour 33 Semblant Thiébaut. tqn 68 U. Mikh. G. Nwtn. rdoSab o'i Sharpe H.a. Bray. DoubleTriple r,i .Nel 'Avmery. li X. M. Mifçeon. A.gripptne. r.3«. K.u-de Oaller. Camptslr.. 5t%X. Mllrd srtireesBeriW X. Widerer. L. o'Dawn 53 1/2 M.ac (ï 11. Handou. V.laKraïK-eôl Thimon .Bzrd.. Vollerfï' 03 .Bertoutt NOS PRONOSTICS, Prix ud Jockey Club Sou, Innovateur Prix du Saint-Laurent Select, Monte Santo pris de lAdriatique lïight O'Dawn, Royautés 3-I" Prix Biennale Pavillon, Nicéas Prix du Rhin Delly Erpome Prix de Yser Golconde, eL Capucin Prix Miltiade ony, annuel. HIER A ENGHIN. Les résultats La reprise des
l'Aquilon H. Le Bris, P. d'Armée 73 du Breuil A vendre, 5.000 fr. 1.200 m. parts. Haoux. ÎV-inlve V' ftft X. L. Gaillard. Hector II, 5 parts. Pailassa Champion. Lens jôViCiarner G.'Pastré. Alsace. 68 Jugé Larousse. Monaco 55 parts. C. Blanc Queyrat. M parts. Sg-itcovitch Bouhour. 68 Doistill M. Lazard. D.atlOonijô.S O'Neill S. Saint Ch. Latour 33 Semblant Thiébaut. tqn 68 U. Mikh. G. Newton. Sabord o'i Sharpe H.a. Bray. DoubleTriple r,i O'.Neill d'Avmery. Fliue X. M. Mifçeon. A.gripptne. r.3«. K.u-de Oaller. Camptslr.. 5t%X. Maillard BertrierisseW X. Widerer. L. o'Dawn 53 1/2 M.ac (ïee 11. Handou. V.laKraïK-eôl Thimon A.Bezard.. Vollerfï' 03 .Bertoutt NOS PRONOSTICS, Prix du Jockey Club Sou, Innovateur Prix du Saint-Laurent Select, Monte Santo pris de l'Adriatique lïight O'Dawn, Royautés 3-I" Prix Biennale Pavillon, Nicéas Prix du Rhin Delly, Erpome Prix de Yser Golconde, Le Capucin Prix Miltiade Boigny, annuel. HIER A ENGHIN. Les résultats La reprise des courses d'obstacles dans la région parisienne a suscité un vif intérêt, tel on s'en est aperçu hier, car l'hippodrome de Clairefontaine était bondé. Le programme était, et les amateurs de steeple-chasing ont pu apprécier les innovations apportées par les dirigeants de la Société sportive à la piste réservée aux chevaux de demi-âge. Les tournants en ont été relevés de la plus heureuse façon et la régularité des résultats s'en ressentira. Prix de la Vilaine. Steeple-chase à réclamer, L. Silver Jacqueline. M. 6. s. Tony Face (K. Kern) Son placés HMdTave La Adèle) lalstalF Il U.-Iî..Moi-^au) Morvenniery iStrla^er) Beauzv (G. l'arfrcroent) 31Ii,:tria (G. iTTant) Justice (K. Salmon) Phocéen (Bélidume)) ,luiteuii IL. Morla.i. TreUe !ongueur*, 1 long-ueiir et (ernie, 1 lon-irueiir et (JemK1. Prix de l'Armorique. Haies. 6.580 fr., 3.800 m. 1. Caro II, au sommet da nivaux) (Eif. Hgës) ?son placés Winner {Il. i ,t i s: Il (.V Kalle.V) charade (A. Bonsoni Vitrail :.G. Mitchell) La Saignée II <J. Doiimcn) Net (Steinberg) Le Matin (H. Vayer) Oilp (L. Barré'. Onze partants. 1 long-ueui-j, 3. longueurs, 3/4 de longueur. Prix de la Renaissance. Haies, à vendre aux enchères, 5.000 fr., 2.500 m. 1. La Morinelle. à M. A. Anoumirt (W. Mitchell)'s
lqulo H. Le Bris, P d'Armée 73 d Breuil vendre, 5.000 fr. 1200 m. parts. Haoux. ÎV-inlve V' ftft X. L. Gaillard Hector , 5 parts. Pailassa Champion. Lens jôViCiarner G.'Pastré. Alsace. 68 Jugé ose. Monaco 55 parts. C. Blanc eyrt. M parts. Sg-itcovitch Bouu. 68 Doistill M. Lazard. D.atlOonijô.S O'Neill S. Saint Ch. Latour 33 Seba Thiébaut. tqn 6 U. Mikh. G. ewton. Sabord o'i Sharpe H.. Bray. DoubleTriple , O'.Neill d'Avmery. Fliue X. M. Mifçeon. Agrptn .«. K.u-de Oaller. Camptslr.. 5t%X. Maillard BertrierisseW X. Widerer. L. o'Dawn 53 21/ M.c (ïee 11. Handou. KKrleïa.Vlaô- Tim .Bzrd.. Vollerfï' 03 .Brttt NOS PRNSTCS, Prix du Jockey Club Sou, Innovateur Prix du Saint-Laurent Select, Monte S pris de l'drtq lïight O'Dawn, Royautés 3-I" Prix Biennale oin,alPlv Nicéas Prx du Rhin Delly, rpm Prix de Yser Golconde, Le Capucin Prix Miltiade Boigny, annuel. HR A ENGHIN. Les résultats reprise des courses d'bstcls dans la région parisienne a suscité un vf intérêt, tel on s'en est aperçu he, car lhippodrome de Clairefontaine était bondé. Le programme était, les amateurs de steeple-chasing ont pu apprécier les innovations apportées par les dirigeants d la Société sportive à la piste réservée aux chevaux de dm-âg. Les trnnts en ont été relevés de la plus heureuse afnoç et la rélri des résultats s'en ressentira. Prix de la Vilaine. Steeple-chase à réclamer, L. Silver Jacqueline. M 6. s. Tony Face K Kern) Son placés HMdTave La dèl) lalstalF Il U.-Iî..Moi-^au) Morvenniery iStrla^er) Beauzv (G. l'arfrcroent) 31Ii,:tria (. iTTant) Justice (K. Salmon) Phocéen (Bélidume)) ,luiteuii IL. Morlai TreUe !ongueur*, 1 long-ueiir et (ernie, 1 lon-irueiir et (JemK1. Prix de l'Armorique. Haies. 6.580 f, 3.800 m. 1. Caro II, au sommet da nivaux) (Eif. Hgës) ?son placés Winner {Il. i ,t i s: Il V Kalle.V) charade A Bonsoni Vitrail :.G. Mtchll) La Saignée II <J. oinimcD) Net (Steinberg) eL Matin (H. Vyr) Oilp (L. Barré'. Onze partants. 1 long-ueui-j, 3. lgeurs 3/4 ed longueur. Prix de la Renaissance. Haies, à vendre aux nères 000.5 fr., 2.500 . . La Morinelle. à M A. Anoumirt (W. Mtchll)'s
de demi-âge. Les tournants en ont été relevés de la plus heureuse façon et la régularité des résultats s'en ressentira. Prix de la Vilaine. Steeple-chase à réclamer, L. Silver Jacqueline. M. 6. s. Tony Face (K. Kern) Son placés HMdTave La Adèle) lalstalF Il U.-Iî..Moi-^au) Morvenniery iStrla^er) Beauzv (G. l'arfrcroent) 31Ii,:tria (G. iTTant) Justice (K. Salmon) Phocéen (Bélidume)) ,luiteuii IL. Morla.i. TreUe !ongueur*, 1 long-ueiir et (ernie, 1 lon-irueiir et (JemK1. Prix de l'Armorique. Haies. 6.580 fr., 3.800 m. 1. Caro II, au sommet da nivaux) (Eif. Hgës) ?son placés Winner {Il. i ,t i s: Il (.V Kalle.V) charade (A. Bonsoni Vitrail :.G. Mitchell) La Saignée II <J. Doiimcn) Net (Steinberg) Le Matin (H. Vayer) Oilp (L. Barré'. Onze partants. 1 long-ueui-j, 3. longueurs, 3/4 de longueur. Prix de la Renaissance. Haies, à vendre aux enchères, 5.000 fr., 2.500 m. 1. La Morinelle. à M. A. Anoumirt (W. Mitchell)'s 2. Les Loges (A. Riley) 3. cadence. IL. Dunjourcl. -on placés T. M. C. A. (L. Barré) Happy Queen (A. Besançon) Sennali (K. Haes) Hoche à Bayard <R. Tondu) fine Lamr Il (A. Swann) Sann ;j.-Ayot). 7 partants. 5 longueurs, 3 longueurs, tête. Prix raguette. Steeple-chase, handicap, Olivé Duffourc; Saint Yorre (Ed. Haut-) 3. Cloan Swip (H. Vayer). Non placés Prich Lady (F. Williams) Ortolan (W. Head) L'Argonne. ;G. Mitchell) The Sac. (A. Besançon) Dan IV (A. Riley) égrus (Salmon). Neuf partants, 6 longueurs, 1 longueur, 3 longueurs. Prix de Noirmoutier. Haies, Handicap, 7.500 fr., CHRONIQUE JUDICIAIRE À SIX MINUTES PRÈS Dans la nuit du 22 mai, rue Chardanne à Puteaux, Georges Augustin Trouillot, tandis que son mari, l'abattoir de la Villette, venait de venir chez lui, lui coupait la gorge d'un coup de rasoir. C'est d'un coup de minute avant, que le boucher de porcs l'avait comme ceci ne lui arrivait que trop souvent, fr. Quand ce qui concerne l'usine et la technologie SEMAINE Internationale 7 au 5 Octobre Pour ce qui concerne l'hygiène de la peau et la beauté du teint, demandez aujourd'hui même au Règne de l'électricité, l'Institut normal électrocliniqe, 40, rue vous donnera gratuitement tous renseignements
de em. Les trnnts en ont été relevés de plus heureuse ofanç et la réglrté des résultats s'n ressentira. Prix de la Vilaine. -cpeheeslateS à réclamer, Silver Jacqueline. M. 6. s. Tony Face (K. Kern) Son placés HMdTave La Adèle) lalstalF Il U.-Iî..Moi-^au) Morvenniery t^i)arelrS Beauzv (G. l'arfrcroent) 31Iitria (G. iTTant) Justice (K. Salmon) Phocéen (ldiumé))Be luiteuii IL. Mi. TreUe !ongueur*, 1 long-ueiir et ernie 1 lon-irueiir et (JemK1. Prix de l'Armorique. Haies. 6.580 fr., 3.800 m. 1 Caro II, au sommet da nivaux) (Eif. Hgës) ?son placés Winner {Il. t i s: Kalle.V) charade (A. Bonsoni Vitrail :.G. Mitchell) La Saignée II <J. Doiimcn) Net (Steinberg) L Matin (. Vayer) Oilp L Barré nz ratantp.s 1 long-ueui-j, 3. longueurs, 3/4 d longueur. Prix d la Rnssnc. Haies à vendre aux ecs, 500 fr., .500 m. 1. La Morinelle. à M A Anoumirt (W Mitchell)'s 2. Les Loges (A. Riley) 3. cadence. IL. Dunjourcl. -on placés T. M C. . (L. ré Happy Queen (A. Besançon) Sennali (K. Haes) Hch à Bayard <R. Tondu) fine Lmr Il (A. Swann) Sann ;j.-Ayot). partants. 5 lngrs, 3 longueurs tête. Prix raguette. Splchs hndcp, Olivé Duffourc; Saint Yorre (Ed. Haut-) 3. Cloan Swip (H. Vayer). Non plcés Pr Lady ( Williams) Ortolan (W. Head) L'Argonne. ;G. Mitchell The .aSc (A. Besançon) Dan IV (A. Riley) égrus (Salmon). Neuf partants 6 longueurs, 1 longueur, 3 longueurs. Prix de Noirmoutier. Haies, Handicap 7.500 fr., HRNI JUDICIAIRE À SIX MINUTES PRÈS sanD la nuit du 22 mai, rue Chardanne à Puteaux, Georges stguAniu Trllt, tandis que son mr, l'abattoir de la Villette, venait de r chez lui, lui coupait la gorge d'un ocpu de iors.ar est d'un coup de mne vnt, que le boucher de porcs l'avait comme ceci ne lui arrivait que trop souvent .rf Quand ce qui cen l'usine et la technologie SMN Internationale 7 u 5 Octobre Pour ce iuq concerne lhygiène de la peau et la beauté du teint, demandez aujourd'hui même au Règne de l'électricité, tutit'snIl normal électrocliniqe, 40, rue vous dera gratuitement ts renseignements
Yorre (Ed. Haut-) 3. Cloan Swip (H. Vayer). Non placés Prich Lady (F. Williams) Ortolan (W. Head) L'Argonne. ;G. Mitchell) The Sac. (A. Besançon) Dan IV (A. Riley) égrus (Salmon). Neuf partants, 6 longueurs, 1 longueur, 3 longueurs. Prix de Noirmoutier. Haies, Handicap, 7.500 fr., CHRONIQUE JUDICIAIRE À SIX MINUTES PRÈS Dans la nuit du 22 mai, rue Chardanne à Puteaux, Georges Augustin Trouillot, tandis que son mari, l'abattoir de la Villette, venait de venir chez lui, lui coupait la gorge d'un coup de rasoir. C'est d'un coup de minute avant, que le boucher de porcs l'avait comme ceci ne lui arrivait que trop souvent, fr. Quand ce qui concerne l'usine et la technologie SEMAINE Internationale 7 au 5 Octobre Pour ce qui concerne l'hygiène de la peau et la beauté du teint, demandez aujourd'hui même au Règne de l'électricité, l'Institut normal électrocliniqe, 40, rue vous donnera gratuitement tous renseignements sur les brillantes carrières de l'électricité (monteurs, dessinateurs, ingénieurs). Etudes chez soi. Pour les parents soucieux de l'avenir de leurs enfants doivent les préparer, chez eux ou sur place, aux emplois de Comptable, Sténo-Dactylo, etc. Demandez le programme gratuit aux Éditions Jean-Baptiste Guignard, Rue de Rivoli, Paris. 3. d'A m. l. Fenton, à M. Jean Ardili (R. Ferré) King's Bridge (H. Heald) 3. minuti (Dechargement). Non placés: Mérylie (H. Semblat) Courcy (W. Head) Etoilepe (A. AINE) Mont Méral (C. G. Mitchell) Vicence (L. Barrel) Berbourg (R. Bouley) Odilon III (Wilcock) Michels (R. Vayer). Onze partants. 2 longueurs, 2 longueurs et demie, 1 longueur. Prix de la Renne. Haies, 6.250 fr., m. 1. Siwiecki, à Ne. Mannheimer (J. Bush) Saint Savin (F. Williams); 3. Djahan Gibb (W. Head). Adèle Dégue (G. Mitchell) Barker (R. Ferré) Express (P. Mitchell) Sundriffham (Defargueil) L. Tournemain (Camming) 1.850 de Navarre (F. Hervé) Barbier (Stringer). Deux partants. Douce parleuse. 1 longueur et demie, 1 longueur, courte encolure. Prix Marcelet. Trot monté, 6.000 fr., 2.300 m. 1. Quinius de Soserne, à M. P. Godet (P. Gitton) 2. Séducteur (L. Poule) 3. Saint Julien (Dafour). Non placés: Quintaine (Verdine) Salverte (M.A. Forcinal) Paladin (E. Tancré) Quand Même (G.-D.
Yorre (Ed. Haut-) 3. Cloan Swip (H. Vayer). Non placés Prich Lady (F. Williams) rtln (W. Head) L'Argonne. ;G. Mitchell The Sac. (A. Besançon) Dan IV (A. Riley) égrus Salmon Neuf partants, 6 longueurs, 1 lgur 3 longueurs. Prix de Noirmoutier. Haies, Handicap, 7.500 f.r, CHRONIQUE JUDICIAIRE À X MINUTES PRÈS Dans la nuit du 22 mai, rue Chardanne à Puteaux, Georges Augustin Trouillot, anis que son mari, l'abattoir de la Villette, itnvea de venir chz lui, lui coupait la gorge d'un coup de rasoir. C'est d'un coup de minute avant, que le boucher d porcs l'vt comme ceci ne lui arrivait que trop souvent, fr. Quand ce qui concerne l'usine et la tchnlg SEMAINE Internationale 7 au 5 ctbr Pour ce qui concerne l'hygiène de la peau et l beauté du tt demandez auu même au Rèn de l'électricité, l'Institut normal électrocliniqe, 40, rue vous donnera gratuitement tous renseignements sur les brillantes carrières de l'électricité (mntrs, dessinateurs, ingénieurs). Etudes chez soi. Pr les parents soucieux de l'avenir de leurs enfants doivent les préparer, chez eux ou sur place, aux emplois de Comptable, Sténo-Dactylo, etc Demandez le programme gratuit aux Éditions Jean-Baptiste Guignard, Rue de Rivoli, Paris 3. d'A m. l. eo,tFnn à M Jean Ardili (R. Ferré) Kng's Bridge (H. Heald) 3. minuti (Dechargement). Non plcés: Mérylie H Semblat) Courcy W Head) Etoilepe (A. AINE) Mont Méral C . Mitchell) Vicence (L. Barrel) Berbourg (R. Bouley) Odilon III (Wilcock) Michels (R. Vayer). Onze partants. 2 longueurs, 2 longueurs t demie, 1 longueur Prix de la Renne. Haies, 6.250 fr., . 1. wce,kiiSi à Ne Mannheimer (J. Bush) Saint Savin (F. Williams); . Djahan Gibb (W. Head). Adèle Dégue (G. Mitchell) Barker R Ferré) Express (P. Mitchell) Sndrffhm (Defargueil) L. Tournemain (Camming) .850 de Navarre (. Hrv) Brbr Stringer Deux partants. Douce parleuse. 1 longueur et demie 1 onuu, courte encolure. Prix Mrclt. Trot monté, 6.000 fr., 2.300 m. 1. Quinius de Soserne, à . P. Godet (P. Gitton) 2. Séducteur (L. Poule) 3 Saint Julien Dafour Non placés: Quintaine (Verdine) Salverte (M.A. Forcinal) Paladin (E. Tancré) Quand Même (G.-D.
l. Fenton, à M. Jean Ardili (R. Ferré) King's Bridge (H. Heald) 3. minuti (Dechargement). Non placés: Mérylie (H. Semblat) Courcy (W. Head) Etoilepe (A. AINE) Mont Méral (C. G. Mitchell) Vicence (L. Barrel) Berbourg (R. Bouley) Odilon III (Wilcock) Michels (R. Vayer). Onze partants. 2 longueurs, 2 longueurs et demie, 1 longueur. Prix de la Renne. Haies, 6.250 fr., m. 1. Siwiecki, à Ne. Mannheimer (J. Bush) Saint Savin (F. Williams); 3. Djahan Gibb (W. Head). Adèle Dégue (G. Mitchell) Barker (R. Ferré) Express (P. Mitchell) Sundriffham (Defargueil) L. Tournemain (Camming) 1.850 de Navarre (F. Hervé) Barbier (Stringer). Deux partants. Douce parleuse. 1 longueur et demie, 1 longueur, courte encolure. Prix Marcelet. Trot monté, 6.000 fr., 2.300 m. 1. Quinius de Soserne, à M. P. Godet (P. Gitton) 2. Séducteur (L. Poule) 3. Saint Julien (Dafour). Non placés: Quintaine (Verdine) Salverte (M.A. Forcinal) Paladin (E. Tancré) Quand Même (G.-D. Boutant); Sécurité (A. Sourrountseff) Sopleuil (Poey). Neuf partants. RÉSULTATS DU PARIS MUTUEL CHAMP, DEMAIN Course 1. SilverSp. 5/50 17/50 St Yorre. 32/60 9/50 demi Sp. 13.. Fenton 6 46/50 21.. Tony Face. 37/50 28 50 21.. 10 M Canon. 13 53 20 50 Kingsbridge. 5/50 9.. Rintintin.. 22/50 11/50 Costabena.. 6/50 Suzon 21 12/50 Primat 17/50 9 16 La Morph.. 35.. St Savin. 9/50 23/50 Cadence 19 .. 21/50 Le Bouvier. 70/50 29 Séducteur.. 13 7 25 50 St Julien. Société anonyme des tribunes se réunira lundi, pour examiner les cas de doping constatés durant le meeting de la ville. Jusqu'à ces jours derniers, aucun cas identique n'avait été depuis la reprise des courses dans la région parisienne. Une singulière façon de payer ses dettes. Mme Weber, soignante d'une école libre de la rue de Haguenet, avait un commerçant voisin. M. Blatz, une somme de 100 francs, qui ne lui fut pas remboursée à la date convenue. L'employeur lui fit signer une reconnaissance de dette et qui lui valut une visite chez elle et sa femme. Celle-ci, bien décidée à rentrer dans le droit chemin qui n'était qu'un compromis de paiement, attira en son logement Mme Weber, que le couple
l. Feno, à . Jean Ardili R r)réeF King's Bridge (H. Heald) . minuti (Dechargement). Non placés: Mérylie (H. Smblt) Courcy (W. Head) Etoilepe (A. N) Mont Méral (C. G. Mitchell) Vicence (L. Brrl) Brbrg (R. Bouley) Odilon III (Wlcck) Mchls (R. Vayer). Onze partants. longueurs, 2 longueurs et demie, 1 longueur. Prix de la Renne. Haies, 6.250 fr., m. ici à Ne. Mannheimer (J. Bush) Saint Svn (F. Williams); 3. Djahan Gibb (W. Head). dèl Dégue G Mitchell) Barker (. Ferré) Express (P. Mitchell) Sundriffham (Defargueil) L. Tournemain (Camming) 1.850 de Navr F Hervé) Brbr (Stringer). Deux partants. Douce parleuse. 1 longueur t demie, 1 longueur, courte encolure. Prix Marcelet. Trot monté, .000 fr., 2.300 m. 1. Quinius d Soserne, à M P. Godet (P. Gitton) 2. Sédcer L Poule) 3. Saint Julien (Dafour). Non placés: Quintaine (Verdine) Salverte (M.A. Forcinal Paladin (. Tancré) Quand Même GD Boutant); Sécurité (A. Sourrountseff) Sopleuil (Poey). Neuf partants. RÉSULTATS DU PARIS MUTUEL CHAMP DEMAIN Course 1 SilverSp. /50 0157/ St Yorre. 32/60 9/50 demi Sp 13.. Fenton 6 46/50 21.. Tony ce 37/50 28 50 21.. 10 M Canon. 13 53 20 05 Kingsbridge. 5/50 9.. Ritinn. 22/50 11/50 Cstbn.. 6/50 Suzon 21 12/50 Primat 17/50 9 16 La Morph.. 35.. St Savin. 9/50 23/50 Cadence 19 .. 21/50 Le Bvr. 70/50 29 Séducteur.. 13 7 25 50 St Julien. Société anonyme des tribunes se réunira lundi, pour examiner cas de doping csonsaétt durant le meeting de la ville. Jusqu'à cs jours derniers, uacnu csa identique navait été depuis la reprise ds courses dans la région parisienne. Une singulière nofaç de payer ses dettes. Mme Weber, soignante d'une éle libre de la rue de aet, avait un commerçant voisin. M. Blatz, une somme de 100 francs, qui ne ft p remboursée à la date convenue. L'employeur lui fit signer une reconnaissance de dette et qui lui vlt enu visite chez elle et sa fmm. Celle-ci, bien cééeidd à rentrer dans el droit chemin qui n'était qu'un cmprms d paiement, attira en son logement Mm Wb,ere que el couple
6/50 Suzon 21 12/50 Primat 17/50 9 16 La Morph.. 35.. St Savin. 9/50 23/50 Cadence 19 .. 21/50 Le Bouvier. 70/50 29 Séducteur.. 13 7 25 50 St Julien. Société anonyme des tribunes se réunira lundi, pour examiner les cas de doping constatés durant le meeting de la ville. Jusqu'à ces jours derniers, aucun cas identique n'avait été depuis la reprise des courses dans la région parisienne. Une singulière façon de payer ses dettes. Mme Weber, soignante d'une école libre de la rue de Haguenet, avait un commerçant voisin. M. Blatz, une somme de 100 francs, qui ne lui fut pas remboursée à la date convenue. L'employeur lui fit signer une reconnaissance de dette et qui lui valut une visite chez elle et sa femme. Celle-ci, bien décidée à rentrer dans le droit chemin qui n'était qu'un compromis de paiement, attira en son logement Mme Weber, que le couple mit en mesure de restituer la reconnaissance et, comme la Prêteuse s'y refusait, les époux Dlatz la malmenèrent avant de lui arracher le précieux papier. Plainte ayant été déposée au commissariat, les enquêteurs ont procédé à l'arrestation des époux Dlatz, qui ont été jugés et dépensés sous l'effet des violences. La cueillette des engins de guerre On a trouvé un obus dans un caniveau, derrière le commissariat Saint-Denis; un obus dans un couloir, à la rue de la Ville-Eveque, et deux grenades, dans le ruisseau à l'arrière du n° 73, rue Tubert. On a également découvert un obus de 37 cm dans une vespasienne, à l'avenue Philippe-Auguste; trois obus de même calibre ont été découverts, au cours d'une raffinage, à l'aide d'un fusil de chasse. On a apporté au commissariat de la Roquette quatre obus de 72 cm; trois fusées ont été trouvées à Girardot et une grenade, à la Croix-des-Presses; elle a été remise au commissaire de la rue Montmartre. Un lot de grenade, de 37 cm et un obus de 37 cm ont été trouvés. Dans une cave, à l'avenue de Clichy, le laboratoire a été découvert d'un inventaire de munitions de guerre allemandes. Le revolver de l'abandonné
6/50 Suzon 21 12/50 Primat 17/50 9 16 La Morph.. 35.. St Savin. 9/50 23/50 Cadence 19 .. 51/20 Le Bi /0570 29 Séducteur.. 13 7 50 uie Société anonyme des tribunes se réunira lundi, pour examiner les cas doping constatés durant le mig de la ville. Jusqu'à ces jours derniers, aucun cas identique n'avait été depuis la reprise des us dans la région parisienne. Une singulière naofç de ayer ses dettes. Mme Weber soignante d'n école libre de la rue de Haguenet, avait un commeçt voisin. M. Blatz, une somme d 100 francs qui ne lui ft pas remboursée date convenue. Lemployeur lui fit signer une reconnaissance de ttede et qui lui uvtal une visite chez elle et sa femme. Celle-ci, bien décidée à rentrer dans le ri chemin qui n'étt q'n compromis de paiement attira n sn logement me r, que le cple mit en mesure de restituer la rconaisnce et, comme la Prêteuse s'y refusait, les époux Dlatz la mmenr avant d lui arracher l précieux .ppraei Plainte aynt été déposée au commissariat, les enquêteurs ont procédé à larrestation ds époux Dlatz, u ont jugés et dépensés sous leffet des vincs. La cueillette des ngns de guerre On a trouvé n obus dans un caniveau, idrerrèe le commissariat Saint-Denis; un bs dans un couloir à la rue de la Ville-Eveque, et deux grenades, das le ruisseau à l'arrière du ° 73, eur Tubert. On a également découvert un obus de 37 cm dans eun vespasienne, l'avenue Philippe-Auguste; trois obus de même lbaicre ont été découverts, au cours d'une raffinage, à l'd d'un fusil d chasse. On a apporté au cmmssrt de la Roquette quatre obus de 72 cm; ti fusées tno éé trouvées à Girardot et enu aer,ngde à la Croix-des-Presses; elle été remise au commissaire de l rue Montmartre. Un lot de grenade, d 37 cm et un bs de 37 cm ont été trouvés. Dans une cave à l'avenue de Clichy, le laboratoire a été découvert d'un inventaire de munitions de guerre alemde L revolver d l'abandonné
La cueillette des engins de guerre On a trouvé un obus dans un caniveau, derrière le commissariat Saint-Denis; un obus dans un couloir, à la rue de la Ville-Eveque, et deux grenades, dans le ruisseau à l'arrière du n° 73, rue Tubert. On a également découvert un obus de 37 cm dans une vespasienne, à l'avenue Philippe-Auguste; trois obus de même calibre ont été découverts, au cours d'une raffinage, à l'aide d'un fusil de chasse. On a apporté au commissariat de la Roquette quatre obus de 72 cm; trois fusées ont été trouvées à Girardot et une grenade, à la Croix-des-Presses; elle a été remise au commissaire de la rue Montmartre. Un lot de grenade, de 37 cm et un obus de 37 cm ont été trouvés. Dans une cave, à l'avenue de Clichy, le laboratoire a été découvert d'un inventaire de munitions de guerre allemandes. Le revolver de l'abandonné À la suite d'une jalousie, Mlle Jungmeier, âgée de 32 ans, couturière, refusait de reprendre la vie commune avec son compagnon, Strausberg, qui a été admis, dans un état assez grave, à l'Hôtel-Dieu. Le coupable, qui a pris la fuite, a été recherché par W. Schaedler, commissaire de Police, Auto contre tramway Incident, vue du pont-au-Réel, est survenu en l'avenue de Clichy, avec un tramway en fonction. On a été légèrement blessés. Un vieux statuaire meurt subitement. M. Paul Goutchet, âgé de 68 ans, statuaire, 33, rue du Chemin-Vert, est mort subitement dans une rame de Métro, à la station de l'Étoile, le corps a été ramené au domicile du défunt. Homonymie M. Jules Eberhart, 3, rue de Clignancourt, prête à dire qu'il n'a rien de commun avec le bandit Eberhart, condamné, par la cour d'appel, à 18 mois de prison. Premier arrondissement. Etienne Vabres, 8, rue de Clermont, a été inculpé pour 10 000 francs de spéculation sur les loyers. Neuvième arrondissement. Le terrassier Jules Fleuret, 94 ans, faubourg Saint-Denis, 933, 31, rue de la Têted'airs, a été découvert pendu dans son logement. Dixième arrondissement. L'Inspecteur et l'Adjoint, du 9e district. Ont arrêté W. Vrien, on l'a conduit au
La cueillette des ninegs de guerre On a trouvé un obus dans nu ieu derrière l commissariat Saint-Denis; un obus dans un couloir, à la reu de la Ville-Eveque, et deux ndreegs,a dans le ruisseau à l'rrèr du ° 73, rue Tubert. On également découvert un obus de 37 cm dans une vespasienne, à l'vn Philippe-Auguste; trois obus de même calibre ont été découverts, au cours d'une raffinage, à ld d'n fusil de chasse. On a apporté au commissariat de la Roquette quatre obus de 72 cm trois fusées ont été éovsreut à Girardot et une grenade, à la Croix-des-Presses; elle a été rms au commissaire de a rue Montmartre. Un lot de grenade, de 37 cm et un obus de 37 cm ont été trouvés. s une cv, à l'avenue de Clichy, le lbrtr a été découvert d'un inventaire d munitions de guerre allemandes. Le lveeovrr de l'abandonné À l suite d'une jalousie, Mll Jungmeier, âgée de 32 ans, couturière, refusait de reprendre la vie commune avec son compagnon, Strausberg, qui a été dms, dns n état assez grave, à l'Hôtel-Dieu. Le coupable, qui pris la fuite, a été recherché par W. Schaedler, commissaire de Police, Auto contre tramway Incident, vue du pont-au-Réel, est survenu en l'avenue d Clichy, avec un tramway e fonction On a été légèrement blessés. Un vieux statuaire meurt subitement. . Paul Goutchet, âgé de 68 ans, statuaire, 33 rue du Chm-Vt, est mort subitement dans une rame de Métr, à la ai de l'Étoile, le corps a été ramené au domicile du défunt. Homonymie M. Jules Eberhart, 3 rue de Clignancourt prête à dire ulqi' n'a rien de commun avec l bandit Eberhart, condamné, par la cour d'appel, à 18 ms de p Premier arrondissement. Etienne Vabres, 8, rue de Cltrn,emo a été inculpé pour 10 000 francs de spéculation sur les loyers. Neuvième arrondissement. Le terrassier Jules Fleuret, 94 ns, faubourg Saint-Denis, 933, 31, rue de l Têted'airs, a été découvert pendu dans n logement Dixième arrondissement. L'Inspecteur et l'Adjoint, du 9e district. Otn arrêté W. Vrien, n l'a conduit au
contre tramway Incident, vue du pont-au-Réel, est survenu en l'avenue de Clichy, avec un tramway en fonction. On a été légèrement blessés. Un vieux statuaire meurt subitement. M. Paul Goutchet, âgé de 68 ans, statuaire, 33, rue du Chemin-Vert, est mort subitement dans une rame de Métro, à la station de l'Étoile, le corps a été ramené au domicile du défunt. Homonymie M. Jules Eberhart, 3, rue de Clignancourt, prête à dire qu'il n'a rien de commun avec le bandit Eberhart, condamné, par la cour d'appel, à 18 mois de prison. Premier arrondissement. Etienne Vabres, 8, rue de Clermont, a été inculpé pour 10 000 francs de spéculation sur les loyers. Neuvième arrondissement. Le terrassier Jules Fleuret, 94 ans, faubourg Saint-Denis, 933, 31, rue de la Têted'airs, a été découvert pendu dans son logement. Dixième arrondissement. L'Inspecteur et l'Adjoint, du 9e district. Ont arrêté W. Vrien, on l'a conduit au poste des enquêteurs. Sa main droite était armée d'une dague, qu'il tenait de son côté droit. Michel Letgaut, vingt-trois ans, rue Saint-Maur, ivre et faisant du scandale, saoul, rue de la Boissière, Camille Hébert, vingt-deux ans, marchandail armé, de Saint-Quentin, après avoir lutté contre les agents, un ramassage ordinaire les arrêtait pour faire rire la foule. Titulaire de dixième condamnation, Hébert est au dépôt. Un malade de quatre ans, Jacques, étant pris par la crise violente, coûte la vie à la malade, a été malgré cela médecin par un auto-pilote piloté par le chauffeur Duris, de Montreuil. Dixième arrondissement. L'inspecteur Faisté, du 3e district, détaché au commissariat du quartier Château-Rouge, a arrêté Maurice Cousin, vingt-sept ans, rue Marcadet, soupçonné de nombreuses fraudeuses agissements au préjudice d'une coopérative où il était employé. Ils s'étaient entr'aidés, n'ayant pas pu résister, dans un escalier, à une bande qui fracassait la porte de Mme Congrâce. Les voisins se sont livrés en fuite. M. Martel, commissaire du Quai, les a réclamés. UN EMPLOYÉ DE CHEMINS DE FER TOMBE D'UN TRAIN ET SE TUE. Des agents des chemins de fer de l'Etat qui suivaient la voie, entre les gares de Puteaux et de Courbevoie, se heurtèrent,
erotcn tramway ncdnt, vue d ,-tpélnuao-Re est survenu en l'avenue de Clchy, vc un tramway en fonction. On a été légèrement blessés. Un vieux statuaire mrt semn. M. Paul Gtcht, âgé de 68 ans, statuaire, 33, rue du Chemin-Vert, et mort subitement dans une rame de Métro, à l t de 'Étoile, le corps a été ramené au omiie défunt. Homonymie M. Jules brhrt, 3 rue de Clignancourt, prête à dire qu'il n'a i de ucmomn vc le and brhrt, condamné, r la cour d'ppl, à 18 mois r.onpis Premier rrndssmnt. Etine Vabres, 8 rue de Clermont, été inculpé pour 10 000 ncs de spécltn sur les loyers. Neuvième arrondissement. Le terrassier Jules uFerl,te 94 ans, faubourg Saint-Denis, ,393 31, r de l Têtedairs a été découvert pendu dans s logement. Dixième arrondissement. L'Inspecteur et ,d'iloAtjn du 9e diric Ont arrêté W. Vrien, on l'a ni u poste des enquêter. Sa mai drt était armée 'une dague, qu'il tenait de son côté do Michel Letgaut, vingt-trois ans, r SaintMaur ivre et faisant d scandale, saoul, ru ed la Boissière, Camille eétb,Hr vingtdeux ans, achnda rmé, de Saint-Quentin, après vr té contre les g un ramassage ordinaire rrêtt pour faire rire la foule. Titulaire de dixième condamnation, Hébert et au dépôt. Un malade de quatre ans, Jacques, étant pris par l crise violente, coûte la vie à la malade, a été malgré cela médecin par un auto-pilote plté par le chffr Ds, de Montreuil. Dixième arrondissement. L'inspecteur Faisté, d 3e district, hatcdéé au missr du quartier ChâteauRouge a arrêté Maurice Cousin, vingtsept asn, rue Mce, soupçonné de nombreuses fraudeuses agissements au préjdc d'une coopérative où il était employé. ls s'étaient entr'aidés, n'ayant pas p résister, dans escalier, à n bande qui tafiasasrc la rtoep de Mme Congrâce. Les voisins se sont en te. M. Mal commissaire du Quai, l a réclamés. UN EMPLOYÉ DE CHEMINS DE FER TOMBE D'UN TRAIN ET SE TUE. Des agents des chemins e fr d lEtat qui suivaient la voie, entre les gae de Puteaux et de Crbv, se heurèent,
arrêtait pour faire rire la foule. Titulaire de dixième condamnation, Hébert est au dépôt. Un malade de quatre ans, Jacques, étant pris par la crise violente, coûte la vie à la malade, a été malgré cela médecin par un auto-pilote piloté par le chauffeur Duris, de Montreuil. Dixième arrondissement. L'inspecteur Faisté, du 3e district, détaché au commissariat du quartier Château-Rouge, a arrêté Maurice Cousin, vingt-sept ans, rue Marcadet, soupçonné de nombreuses fraudeuses agissements au préjudice d'une coopérative où il était employé. Ils s'étaient entr'aidés, n'ayant pas pu résister, dans un escalier, à une bande qui fracassait la porte de Mme Congrâce. Les voisins se sont livrés en fuite. M. Martel, commissaire du Quai, les a réclamés. UN EMPLOYÉ DE CHEMINS DE FER TOMBE D'UN TRAIN ET SE TUE. Des agents des chemins de fer de l'Etat qui suivaient la voie, entre les gares de Puteaux et de Courbevoie, se heurtèrent, vers minuit et demi, à un corps étendu sur le ballast. Constatant que le malade, qui gisait à l'endroit et respirait encore, les agents le transportèrent à l'hôpital le plus voisin. Mais le malade expira comme il venait d'y arriver. Victime, lui aussi un employé des chemins de fer de l'Etat, M. Jean Vallée, attaché à la gare de Berck, et demeurant à Courbevoie, il se suppose car il était blessé en diverses parties du corps que l'employé a dû tomber, en pleine marche, sous un train sur lequel il était de service. Longs-courriers internationaux à Saigon, ville de Shanghai, du Havre à New-York, du Havre à Bordeaux. Balisse Colon, attaché à Saint-Nazaire 269. Longs-Courriers étrangers Hôtel de Cherbourg, 219 pour New-York. Compagnie de France, 219 de Cherbourg pour Québec. Sydney, de Londres à Marseille 1 . Croisière sriomantée, Paris, Marseille-San-François, à Montevideo 219. Passage Anterior du Pacifique du Havre à New-York, le 20/9 via Liverpool. Anterior du Centre et Antilles pour Port-au-Prince, Samaná, à Saint-Thomas, le 5/9 via Bordeaux. Amérique du Sud pour Rio, Buenos Aires. Le 26/9 via Liverpool. Extrême-Orient pour Bombay, Colombo, Shanghai, Hong-Kong, Kobe, Toulon, le 3/10 via Marseille. ENTREMETS EXQUIS INSTANTANÉ LACÉ ET NON LACÉ
arrêtait pour faire r la foule. Tilire de dixième condamnation, Hébert est dépôt. Un malade de quatre ans, Jacques, étant pris pr la crs violente, coûte l vi à l malade, a été mrégla cela médcn par un auto-pilote piloté par le chauffeur Duris, de Montreuil. Dixième arrondissement. L'inspecteur Faisté, du e district, détaché u commissariat du quartier ChâteauRouge a arrêté Maurice Cousin, vingt-sept ans, rue Marcadet, soupçonné de nombreuses fraudeuses agissements au préjudice d'n coopérative où il était employé. Ils s'étaient entr'aidés, n'ayant pas p résister, dans n escalier, à une bande qui fracassait la porte de emM Congrâce. Les voisins se sont livrés en fuite. M. tale,Mr commissaire du Q, les a réclamés. UN EMPLOYÉ DE C DE FER TOMBE D'UN TRN ET SE TUE. sDe gnts des hins de fr de l'Etat qui suivaient la voie, entre les gares de Puteaux et de Courbevoie, s heurtèrent, vers minuit et demi, à un crps nuedté sur le ballast. Constatant que le malade, qui gisait à l'endroit et respirait encore, les agents le transportèrent à l'hôpital l plus voisin. Mais le malade expira comme il venait ' arriver. Victime, lui aussi n employé des chemins de fer de l'Etat, M. Jea Vallée, attaché à la gare de Berck, et demeurant à Courbevoie, il se suppose car il était blessé en diverses prts du corps que lemployé a dû ,motebr en lee marche, sous un train sur lequel il était de ersvci.e oergnLsr-siurco internationaux à Saigon, ville de Sanghi du Havre à NewYork du Havre à Bordeaux. Balisse Colon, attaché à Saint-Nazaire 269. Longs-Courriers étrangers Hôtel de Cherbourg, 219 pour New-York. Compagnie de ra, 219 de Cherbourg pour Québec. Sydney, de dLosenr à Mrsll 1 . Croisière srmnté, Prs, Marseille-San-François, à Montevideo 219. Passage Anterior du Pacifique du ar à -okerNw,Y le 20/9 via Liverpool. Anterior du Centre et Antilles pour Port-au-Prince, Samaná, Snt-Thms, le 59 via Bx. mAqrieué du Sud pour Rio, Buenos Aires. Le 26/9 via Liverpool. Extrême-Orient pour Bombay, Colombo, Shanghai, Hong-Kong, Kobe Toulon, le 3/10 via Mrsll. ENTREMETS EXQUIS INSTANTANÉ LACÉ ET NON LACÉ
l'Etat, M. Jean Vallée, attaché à la gare de Berck, et demeurant à Courbevoie, il se suppose car il était blessé en diverses parties du corps que l'employé a dû tomber, en pleine marche, sous un train sur lequel il était de service. Longs-courriers internationaux à Saigon, ville de Shanghai, du Havre à New-York, du Havre à Bordeaux. Balisse Colon, attaché à Saint-Nazaire 269. Longs-Courriers étrangers Hôtel de Cherbourg, 219 pour New-York. Compagnie de France, 219 de Cherbourg pour Québec. Sydney, de Londres à Marseille 1 . Croisière sriomantée, Paris, Marseille-San-François, à Montevideo 219. Passage Anterior du Pacifique du Havre à New-York, le 20/9 via Liverpool. Anterior du Centre et Antilles pour Port-au-Prince, Samaná, à Saint-Thomas, le 5/9 via Bordeaux. Amérique du Sud pour Rio, Buenos Aires. Le 26/9 via Liverpool. Extrême-Orient pour Bombay, Colombo, Shanghai, Hong-Kong, Kobe, Toulon, le 3/10 via Marseille. ENTREMETS EXQUIS INSTANTANÉ LACÉ ET NON LACÉ De K. ws. Edition du Petit Parisien du 23-9-1916 LES QUARANTE SEPT GRANDS ROMANS INÉDITS TROISIÈME PARTIE LA CAGOULE ROUGE Un (suite) Alors, demandait la fille du millionnaire, vous avez beaucoup souffert, beaucoup pleuré ? Oh oui, répondait la petite dactylographe, secrétaire à Paris du Dr Barclay. Et maintenant ? Maintenant, je suis bien heureuse. Vous aimez peut-être quelqu'un digne de vous. Oui. Et vous êtes aimée ? Je suis aimée. Mai poussa un soupir si long, que sa Compagne l'entendit. Aussi demanda-t-elle Vous avez de la peine, mademoiselle. Vous n'êtes plus contente comme tout à l'heure ? Mai poussa un autre soupir, puis franchement C'est que je ne sais pas, moi, si je suis aimée. Vous ne savez pas ? Cet homme dont vous ne voulez plus, vous aime-t-il ? Moi et mes dollars, oui, ou mes dollars et moi – admettons même que mes dollars puisque Garrow pourra arriver une très grosse situation ne soient pas en jeu, il m'aime, c'est certain. mais cela se sent pas comme je comprends l'amour, pas comme. Kilo n'alla pas plus loin. Ses beaux yeux de pervenche, rencontre Tranquillon et reproduction interdites pour tous COURRIER DES THÉATRES Opéra, 8 h., Samson et
l'Etat, M. Jean Vallée, attaché à la gare de Berck, et demeurant à Courbevoie, il s suppose cr l était blessé en eevsirds prts du corps que l'employé a dû tomber, en pleine marche, sous u train sur lequel il était de srvc. Ls-ourirs ieioax à Saigon, ville de Shanghai, du Havre à New-York, u Havre à Bordeaux. Balisse Colon, attaché à Saint-Nazaire 269. Longs-Courriers étrangers Hôtel de Cherbourg, 219 pour New-York. pae ed France, 19 de Cherbourg pour Québec. Sydney, de Londres à Marseille 1 . Crsèr sriomantée, Paris, Marseille-San-François, à Montevideo 219. Passage Anterior du Pacifique du Havre à New-York, le 20/9 vi Liverpool. Anterior du Centre et ntlls our Port-au-Prince, aná,aSm Saint-Thomas, l 5/9 via Bordeaux. Amérique du Sud pour i Buenos Aires. Le 26/9 via Liverpool. Extrême-Orient pr Bombay, Colombo, Shanghai, HongKong Kobe, Toulon, le 3/10 via Marseille. ENTREMETS EXQUIS INSTANTANÉ LACÉ ET NON LACÉ De K ws Edition du Petit Parisien du 2391916 LES QUARANTE SEPT GRNDS ROMANS INÉDITS TROISIÈME PRT LA CAGOULE RG Un (suite) Alors, demandait la fll du millionnaire, vs avez beaucoup souffert, beaucoup plré ? O oui, doitrapén la petite dactylographe, secrétaire à Paris du Dr Barclay. Et maintenant ? Maintenant, je suis bien heureuse. Vus aimez peut-être quelquun digne de v.osu Oui. Et vous êtes aimée ? Je suis aimée. Mai poussa un soupir si long, que sa Compagne 'eit Aussi demanda--elle Vous avez de la pn, mademoiselle Vous es p contente comme tout à l'heure ? Mai poussa un autre soupir, ps franchement C'est que je ne sais pas, moi, si j suis aimée. Vous ne savez pas ? Cet homme dont vous ne voulez plus, vous aime-t-il ? Moi et mes dollars, oui, ou mes dollars et moi – admettons même e mes dollars psq Garrow prr arriver une très grosse situation ne snt pas en jeu il m'ame, c'est certain. mais cela se sent pas comme je cmprnds l'amour, pas comme. Kilo n'alla pas pls loin. Ses bx yeux de pervenche, rencontre Tranquillon et reproduction interdites pour tous URR DES THÉATRES Opéra, 8 , Smsn et
Maintenant, je suis bien heureuse. Vous aimez peut-être quelqu'un digne de vous. Oui. Et vous êtes aimée ? Je suis aimée. Mai poussa un soupir si long, que sa Compagne l'entendit. Aussi demanda-t-elle Vous avez de la peine, mademoiselle. Vous n'êtes plus contente comme tout à l'heure ? Mai poussa un autre soupir, puis franchement C'est que je ne sais pas, moi, si je suis aimée. Vous ne savez pas ? Cet homme dont vous ne voulez plus, vous aime-t-il ? Moi et mes dollars, oui, ou mes dollars et moi – admettons même que mes dollars puisque Garrow pourra arriver une très grosse situation ne soient pas en jeu, il m'aime, c'est certain. mais cela se sent pas comme je comprends l'amour, pas comme. Kilo n'alla pas plus loin. Ses beaux yeux de pervenche, rencontre Tranquillon et reproduction interdites pour tous COURRIER DES THÉATRES Opéra, 8 h., Samson et Dalila, Suite de danses Comédie-Française, 8 h. 15, l'Ecole du Consulat, l'Anglais ne se tient pas mal. Opéra-Comique, 8 h., Carmen. Odéon, 8 h., les Petits. Gaîté, 8 h. 39 le Pont vivant (Biscot, Yves). Trianon Lyrique, les Noces de Jeannette, (Galatéa). Vaudeville, 8 h. 30, l'Avocat Châtelet, 8 h. 30, la Course au bonheur. Porte-Saint-Martin, 8 h., la boissonnerie des Innocents. Théâtre des Départements, 8 h. 30, Hafles (A. Brûlé). Théâtre Sarah-Bernhardt, 8 h. 30, la Dame aux Camélias Variétés, 9 h., Marcel l'Honnêture. Nouvel-Ambigu, 8 h. 30, le Grillon du froid. Palais-Royal, 8 h. 30, la Seconde nuit de Clés. Th. Marigny, 8 h. 45, la Revue de Marigny. Théâtre de l'Opéra-Comique, 8 h. 30, Atout de Père Théâtre Feydeau, 8 h. 30, l'Heure du Berger Renaissance, 8 h. 30, Petite (Dumas). Édouard-VII (L. 9 h., le Retour d'Haïti. Théâtre Antoine, 8 h. 30, Mam'zelle Magot. Théâtre Michel, 8 h. 45., la Connaissance. Th. de la Renaissance (7, r. Daunou), 8 h. 45, Ta bouche. Théâtre des Arts, 8 h. 30, l'Orleau du fauve. Maison de l'Œuvre, 8 h. 30, le Lascas. Théâtre du Trocadéro, 8 h., Un bon Coquin Moulin-Bleu, 22, r. Douai). 9 h. Chariot ardente
Maintenant je suis bn heureuse. Vous aimez peut-être quelqu'un digne de vous. Oui. Et vous êtes aimée Je suis aimé Mai poussa un soupir si long que sa Compagne l'entendit. Aussi demandatelle Vous avez de la peine, mamee. Vous nêtes plus contente comme out à l'heure ? M poussa u autre soupir, puis franchement C'est que je n sais pas, oi, si je ss aé. Vous ne savez pas ? Cet homme dont vs voulez plus, vous aime-t-il ? Moi et mes dollars, oui, ou mes dollars et moi – admettons même qe mes dollars puisque Garrow pourra arriver une très osse situation en soient pas en jeu, il m'aime, cest certain. ms cela se sent pas comme je comprends l'amour, pas comme. Kilo n'alla pas plus loin. Se beaux yeux de pervenche, rencontre Tranquillon et reproduction interdites pour tous COURRIER DES THÉATRES Opéra h., Samson et Dalila, Suite de danses Comédie-Française, 8 h. 15, l'Ecole du Consulat, l'Anglais ne se tient pas mal. Opéra-Comique, 8 h., Carmen. Odéon, 8 h., le Petits. Gaîté, 8 h. 39 le Pont vivant (Biscot, Yves). Trianon Lyrique, les Noces de Jeannette, (Galatéa). Vaudeville, 8 h. 30, 'Avcat Châtelet, 8 h 30, la Course au bonheur. Porte-Saint-Martin, h., la boissonnerie des Innocents. Théâtre des Départements, 8 h. 30, Hafles (. Brûlé). Théâtre SarahBernhardt 8 h. 3 la Dae x Camélias Variétés, 9 h Marcel lHonnêture Nouvel-Ambigu, 8 h. 30, le Grillon du froid. Palais-Royal, 8 30, la neSdcoe nuit d Clés. Th. Marigny, 8 h. 45, la Revue de Marigny. hr de l'Opéra-Comique, 8 h. 30, Atout de Père Théâtre Feydeau, 8 h. ,30 lHeure du Berger Renaissance, 8 . 30, Petite (Dms). Édouard-VII L 9 h., le etor d'Haïti. Théâtre Antoine, 8 h. 30 Mam'zelle Magot Théâtre Michel, h. 45., Connaissance. Th. de la Renaissance (7, . n,)auDuo 8 h. Ta bch. Théâtre des Arts, h. 30, l'Orleau du fauve. Maison de l'Œuvre, 8 h. 30, el Lascas. Théâtre du Trocadéro, 8 h., Un bon Coquin Moulin-Bleu, 22, r. Dua). 9 h. Chariot ardente
30, la Course au bonheur. Porte-Saint-Martin, 8 h., la boissonnerie des Innocents. Théâtre des Départements, 8 h. 30, Hafles (A. Brûlé). Théâtre Sarah-Bernhardt, 8 h. 30, la Dame aux Camélias Variétés, 9 h., Marcel l'Honnêture. Nouvel-Ambigu, 8 h. 30, le Grillon du froid. Palais-Royal, 8 h. 30, la Seconde nuit de Clés. Th. Marigny, 8 h. 45, la Revue de Marigny. Théâtre de l'Opéra-Comique, 8 h. 30, Atout de Père Théâtre Feydeau, 8 h. 30, l'Heure du Berger Renaissance, 8 h. 30, Petite (Dumas). Édouard-VII (L. 9 h., le Retour d'Haïti. Théâtre Antoine, 8 h. 30, Mam'zelle Magot. Théâtre Michel, 8 h. 45., la Connaissance. Th. de la Renaissance (7, r. Daunou), 8 h. 45, Ta bouche. Théâtre des Arts, 8 h. 30, l'Orleau du fauve. Maison de l'Œuvre, 8 h. 30, le Lascas. Théâtre du Trocadéro, 8 h., Un bon Coquin Moulin-Bleu, 22, r. Douai). 9 h. Chariot ardente Théâtre des Ternes, 9 h. la Halle. La première et la reprise de ce soir AU THEATRE DU VAUDEVILLE La première représentation de l'Avocat, pièce en un acte DE GEORGES DE PODEBRADY. A 8 h. 30, Aperçu comparablement interprétée par Mmes Laine, Lagerronée, Louis Maury, Mlle Jeanne Sablier, M. Coitreb, Mmes Dharmoét et Eugénie Aubry, provoque tous les soirs l'enthousiasme d'un public élogieux. De l'avis unanime, jamais on n'a vu reprise aussi brillante et extraordinaire de l'Avocat; une méritatrice le samedi 30 octobre, les bureaux de location seront ouverts du mardi 2 octobre de 11 heures à 7 heures. DANS VARIÉTÉS. La prochaine représentation de la petite Chocolatière sera le 27 septembre. AU THEATRE DES ARTS. l'Oréal du fauve Pierre Renoir, Mévisto, Marcel jouent ce que toute la presse a sacré consacrée de sainte fête. ALLEZ VOIR AU CHATELET dans la COURSE au CIRQUE (le DÉFILÉ des TROUPES sous l'Arc de Triomphe PORTESAINTMARTIN ou LA BOUQUETIÈRE et DES INNOCENTS Pièce en 5 actes et 1 tableau Décors de Laníslis Le plus SOMPTUEUX SPECTACLE de la SEASON PATHÉ=CONSORTIUM=CINÉMA NUIT DE CARNAVAL Confédératique en 5 parties Scénario et mise en scène de NI, V. Jourjansky Un découpage fort adroit non-relançant ce drame
0 l Course au bonheur. Porte-Saint-Martin, h., la boissonnerie des Innocents. Théâtr des Départements, 8 h. 30 Hafles (A. Brûlé). Théâtre Sarah-Bernhardt, 8 h. 3 la Dame aux Camélias ,riéstaVé 9 h., Marcel l'Honnêture. Nouvel-Ambigu, 8 h 30 le Grillon du froid. Palais-Royal, 8 .h 30, la Seconde nuit de Clés. Th Marigny, 8 h. 45, la Rv de Marigny. Théâtre d l'pér-Cmq, 8 h. 30, Atout de Père ée Feydeau, 8 h. 30, 'Heure d Brgr Renaissance, 8 h. 30, Petite (Dumas). Édrd-V .(L 9 h., le Retour d'Hït. Théâtre Antoine 8 h. 30, Mam'zelle Magot. Théâtre Michel, 8 h. 45., la Connaissance. Th. de la Renaissance (7, r. Daunou), 8 h. 45, Ta bouche. Théâtre des Arts, 8 . 30, lOrleau du fauve. Maison de l'Œuvre, . 30 le Lascas. Théâtre du Trocadéro, 8 h., Un bon Coquin Moulin-Bleu, 22, r. Douai). 9 h. Chariot ardente Théâtre des Ternes, h. la Halle. La peièe et la reprise de ce soir THEATRE DU VAUDEVILLE La preire représentation de l'vct, en un acte DE GEORGES DE PODEBRADY. A 8 h. 30, Aperçu comparablement interprétée pr Mmes Laine, Lagerronée, Louis Maury Mlle Jeanne Sablier, M. Coitreb, Mmes Dharmoét et Eugénie Aubry, provoque tous le soirs l'nthssm d'un public élogieux. De avsl'i unanime, jamais on n'a vu reprise aussi brillante t extraordinaire de 'Avocat; méritatrice le smd 30 octobre, les bureaux de location seront ouverts du mardi 2 octobre de 11 hrs 7 heures. DANS VRÉTÉS. La prochaine rprésnttn de la petite Chocolatière sera le 27 septembre. AU THTR DES ARTS. l'Oréal u fauve Pierre Renoir, Mévisto, Marcel jouent c que toute la prss a sacré cnscré de sainte fête. ALLEZ VOIR AU CHATELET da la COURSE au CRQ (le DÉFILÉ de TROUPES sous A de Triomphe PRTSNTMRTN ou LA BOUQUETIÈRE t DES INNOCENTS Pièce en 5 actes et 1 tableau Décors de Laníslis eL plus SOMPTUEUX SPECTACLE de la SEASON PATHÉ=CONSORTIUM=CINÉMA NUIT DE CARNAVAL Confédératique en parties Scénario et mise en scène de NI V. Jourjansky Un découpage fort adroit non-relançant ce a
Mmes Dharmoét et Eugénie Aubry, provoque tous les soirs l'enthousiasme d'un public élogieux. De l'avis unanime, jamais on n'a vu reprise aussi brillante et extraordinaire de l'Avocat; une méritatrice le samedi 30 octobre, les bureaux de location seront ouverts du mardi 2 octobre de 11 heures à 7 heures. DANS VARIÉTÉS. La prochaine représentation de la petite Chocolatière sera le 27 septembre. AU THEATRE DES ARTS. l'Oréal du fauve Pierre Renoir, Mévisto, Marcel jouent ce que toute la presse a sacré consacrée de sainte fête. ALLEZ VOIR AU CHATELET dans la COURSE au CIRQUE (le DÉFILÉ des TROUPES sous l'Arc de Triomphe PORTESAINTMARTIN ou LA BOUQUETIÈRE et DES INNOCENTS Pièce en 5 actes et 1 tableau Décors de Laníslis Le plus SOMPTUEUX SPECTACLE de la SEASON PATHÉ=CONSORTIUM=CINÉMA NUIT DE CARNAVAL Confédératique en 5 parties Scénario et mise en scène de NI, V. Jourjansky Un découpage fort adroit non-relançant ce drame poignant une plus intense émotion. De merveilleuses photographies, une Interprétation remarquable avec Mme Lisaensky et Mme Tatjana Kovanko. M. Olivier, Rimsky et Colline assument dans "Nuit de Carnaval" un succès qui ne peut être considéré d'ailleurs considérable. Toutes les cordes de la sensibilité cinématographique sont tirées. L'excellent comique Colline dessine à certains moments des effets un peu trop tendus, et nul ne pourrait rester indifférent face à la belle interprétation dramatique des Films Albatross. Édition du 10 novembre. L'AFFAIRE DU CIRQUE BELLINI Comédie dramatique en 5 parties interprétée par Luciano ALBERTINI se passe à partir de ce soir SEPTÉMBRE ::TÉÉÉ:: gans tous les bons Cinémas Films ALBERTINI "LE FILS DU FLIBUSTIER" par le Breton Bloc. Les "habitants de la côte dispent leur petit pécule dans des parties de Jeu et dans la base orignale. L'auberge tire Bertrande, dont s'éprend Yves le Patsy, mousse de la flibuste, devenu capitaine. Et voici que se déroulent à l'écran tous les exploits de ces aventuriers en même temps qu'une histoire d'amour où le mysticisme pose sa main sauvage. Louis Vuillermos a réalisé ces scènes pathétiques avec la maîtrise qu'on lui connaît. Mais il convient d'insister d'une façon particulière, sur la richesse des éléments apportés
Mmes Dharmoét et Eugénie Aubry, provoque tous les soirs 'enthousiasme d'un public élgx. D l'avis unanime, jamais on n'a reprise aussi brillante et extraordinaire de l'Avocat; une méritatrice le samedi 3 octobre, les bureaux de location seront ouverts du mrd 2 octobre de 11 heures à heures. ANDS VARIÉTÉS La prchn représentation de la petite Chocolatière sera le 27 septembre THEATRE DS ARTS l'Oréal du fauve Pierre Renoir Mévisto, Marcel jouent ce que toute l presse éscar consacrée de sainte fête. ALLEZ VR AU CHATELET an la COUSE CIRQUE (l DÉFILÉ des TRPS sous lArc d Trmph PORTESAINTMARTIN ou LA BOUQUETIÈRE et ESD INNOCENTS Pièce en 5 actes et ltaueab Décors de Laníslis plus SOMPTUEUX SPECTACLE de la SEASON UOHATIOÉÉSPNTC==AMMIRNC NUIT DE CARNAVAL Confédératique en 5 parties Scénario et mise en scèn de NI, V. Jourjansky Un découpage frt adroit nn-rlnçnt ec drame poignant une ls intense émotion. De merveilleuses photographies, n Inerat remarquable avec emM Lsnsky et Mme Tatjana Kovanko. M. ve, Rimsky et Colline assument dans "Nuit de Carnaval" n succès qui ne peut treê considéré d'ailleurs considérable. Tts les cordes d la sensibilité cinématographique snt tirées. 'exllent comique Colline dessine à certains moments des effets un peu trp tendus, et nul ne pourrait rs ifér fc à la belle interprétation drmtq des Films Albatross. Édition ud 10 ovee L'AFFAIRE DU CIRQUE BELLINI Comédie drue en 5 parties ntrprété p Luciano ALERT se passe à partir de ce soir SEPTÉMBRE ::TÉÉÉ:: gans ts les os Cinémas Films ALBERTINI "LE FILS DU FLIBUSTIER par le Brtn Bloc. Ls "hbtnts de l côte dispent leur ptt pécule dans des parties de Jeu et dans la base orgnl L'auberge tire Bertrande, dont s'éprend Yves le Pty mousse de la flibuste, evnu capitaine. Et voici q se déroulent à l'écran tous les exploits de ces aventuriers en même temps qu'une hstr d'amour où le mysticisme ps sa mn sauvage Louis Vuillermos a réalisé cs scènes pthétqs avec la maîtrise qu'on lui connaît Mais il cnvnt d'insister 'une façon prtclèr, sr l richesse des néltesmé apportés
à certains moments des effets un peu trop tendus, et nul ne pourrait rester indifférent face à la belle interprétation dramatique des Films Albatross. Édition du 10 novembre. L'AFFAIRE DU CIRQUE BELLINI Comédie dramatique en 5 parties interprétée par Luciano ALBERTINI se passe à partir de ce soir SEPTÉMBRE ::TÉÉÉ:: gans tous les bons Cinémas Films ALBERTINI "LE FILS DU FLIBUSTIER" par le Breton Bloc. Les "habitants de la côte dispent leur petit pécule dans des parties de Jeu et dans la base orignale. L'auberge tire Bertrande, dont s'éprend Yves le Patsy, mousse de la flibuste, devenu capitaine. Et voici que se déroulent à l'écran tous les exploits de ces aventuriers en même temps qu'une histoire d'amour où le mysticisme pose sa main sauvage. Louis Vuillermos a réalisé ces scènes pathétiques avec la maîtrise qu'on lui connaît. Mais il convient d'insister d'une façon particulière, sur la richesse des éléments apportés par le populaire cinéaste. Il a su donner une ampleur magistrale à cette œuvre. SPECTACLES ET CONCERTS Olympia, Champs-Élysées, et autres venues à l'Auberge. Concert Maya, 8 h, L'âne du village (revue). Cigale, h. 30, Tes yeux, Ton nez, Ta bouche. Théâtre de Champs-Élysées, S 30, la Revue sucrée. Eldorado, 8 30, le Crime du boueir (mardi, samedi, dim). Alhambra, 8 h. 30, Haqcel Moller, les Lilliputiens. Batiklan, 8 h. 30, Bénévol et sa mystérieuse Cie. Bouffes-Concert, 8 h. 30, la Revue du "la Femme". Monceau, S h., le Coucher de la Pompadour (opérette). Gaîté, V. la Nuit du Diable. Filmothèque Deux Âmes, h. 14, ferrailleur, dir. L. Boyer, J. Moyer. Revue. Perchoir, h. Bastia. Duo Helly, Dermont, Davia. Coucou, 1. jours, Ferny, h. 21, Bertone, Paco, Noé-Wolfe Nouveau-Cirque, t. 1. soir mat. Jour. soir, dim. Cirque Medrano mat, Jeudi, samedi, dim. soir. Cirque des Rivières, 8 h. mat. jeudi, samedi, dim. 3 h. 39. Européen, variétés, soir. Douai, Lyvet, t. M. Gréville. X antis, P.3, 113 f. Pas Asnières. mat. à 16., Max-Linder, les Deux Orphelines. L. et L. Montparnasse, 8 h. 157 Révoler la Honte. Marivaux, 23 h., 8 30, Ouariot et le fosse, The Ekklesiastik W. Lafayette-Cinéma,
à certains moments des effets un peu trop estndu, te nul ne pourrait rester indifférent face à la belle interprétation dramatique des Flms Albatross. Édition du 10 novembre. L'AFFAIRE D CIRQUE BELLINI Comédie aaiqu en 5 prts interprétée par Luciano ALBERTINI se passe à partir ed ce soir SEPTÉMBRE ::TÉÉÉ:: gan tous ls bons amiCéns Films RTI "LE FILS DU FLIBUSTIER" pr Breton Bloc. Les "habitants de la côte dispent leur ptt pécule dans des parties de Jeu et dans la base orignale. L'auberge tire trne dont 'éprend Yves le Patsy, mousse de la flibuste devenu capitaine. t voici que se déroulent à l'écran tous les exploits ed ces aventuriers en même temps qu'une histoire d'amour où le mysticisme pose sa main sauvage. Louis Vuillermos a rali ce scènes pathétiques avec l maîtrise qu'n l connaît. il convient d'insister d'une façon particulière, sur la richesse des éléments apportés par le populaire cinéaste. Il su donner une ampleur ga cette œuvre. SPECTACLES ET CONCERTS Olympia, Champs-Élysées, et autres venues à l'Auberge. Concert , 8 , L'âne du village revue Cigale, h. 30, Tes yx, Ton nez Ta bouche. Théâtre de Champs-Élysées, S 30, la Revue sucrée. Eldorado, 8 30, le Crime du ui (mardi, samedi dim). Alhambra, 8 h. 30, Haqcel Moller les Lllptns. Batiklan, 8 h. 30, Bénévol et sa mystérieuse Cie. BouffesConcert 8 h. 30, la Revue du la Femme". Mnc, S le Coucher d la Pmpdr opérette Gaîté, V. la Nt du Diable. Filmothèque Deux Âmes h. 14, ferrailleur, dir. L. Boyer, J. Moyer. Revue. Perchoir, . Bastia. Duo Hl, Dermont, Davia. Coucou, . jours, Ferny, h. 21, Bertone, Paco, Noé-Wolfe Nouveau-Cirque, t. 1. soir mat. Jour. soir, dim. Crq Medrano mat, Jeudi, smd, dim i Crq des Rivières, 8 h. mat. jeudi, samedi, dm. 3 h. 39. Euopen vrités, soir. Douai, Lyvet, M. Gréville. X antis, P.3, 113 f. Pas ères. mat. à 16., Mad les Deux Orphelines. L. et L. Montparnasse, h. 157 Révoler la Honte. Marivaux, 23 h., 8 30, Ouariot et le fosse, The Ekklesiastik W. Lafayette-Cinéma,
8 30, le Crime du boueir (mardi, samedi, dim). Alhambra, 8 h. 30, Haqcel Moller, les Lilliputiens. Batiklan, 8 h. 30, Bénévol et sa mystérieuse Cie. Bouffes-Concert, 8 h. 30, la Revue du "la Femme". Monceau, S h., le Coucher de la Pompadour (opérette). Gaîté, V. la Nuit du Diable. Filmothèque Deux Âmes, h. 14, ferrailleur, dir. L. Boyer, J. Moyer. Revue. Perchoir, h. Bastia. Duo Helly, Dermont, Davia. Coucou, 1. jours, Ferny, h. 21, Bertone, Paco, Noé-Wolfe Nouveau-Cirque, t. 1. soir mat. Jour. soir, dim. Cirque Medrano mat, Jeudi, samedi, dim. soir. Cirque des Rivières, 8 h. mat. jeudi, samedi, dim. 3 h. 39. Européen, variétés, soir. Douai, Lyvet, t. M. Gréville. X antis, P.3, 113 f. Pas Asnières. mat. à 16., Max-Linder, les Deux Orphelines. L. et L. Montparnasse, 8 h. 157 Révoler la Honte. Marivaux, 23 h., 8 30, Ouariot et le fosse, The Ekklesiastik W. Lafayette-Cinéma, mat. et soir. la Reine de Saba. Cirque d'Hiver, S h., Petit lord Faustiny l'Ecuyère. Mag. City. soir, bal 3 oreilles. Dini. mat, toi, soir, mat. Salle Wagram, demain, grand bals. Musée Grévin, les Bonapartés, Télégraphie Pièce. OLYMPIA, de gain avec Bouquet, les illustres (Mimounas Maglianti et Berte, Tom Davies trio. Marivaux, h. 15 fameux répertoires-comédiennes, et 4 attractions sensationnelles, ne 5 à 7, concours de danses présidé par la Maglianti et Marcel Berg, de l'Opéra. (Entrée 12 francs.) À L'AUBERGE. C'est ce soir que la grande, émouvante et prestigieuse artiste espagnole Jaqueline Véver cremerie, rue de la Fayette. (dans son vaste répertoire enrichi d'une chanson française, au programme, débuts de Yafa-yama, Mary Gautier, les cinquièmes Sacha Guitry, Fred Perry et les Lilliputiens russes. BOUQUET DE CONCERTS la Revue de la femme, le plus grand succès des Ambassadeurs, avec ses étoiles, ses somptueux tableaux. Faut-il encore payer 12 francs. le Coucher de la Pomme-d'Or, opérette en 3 actes, le plus grand succès du Concert Maya. Le petit lever d'une journée "victorieuse" royale, le tournoi d'amour et rébut du chanteur populaire, Goubert, dans son répertoire. Antoinette et Baby dans leur nouveau sketch, in actu, et dim., mat. et soir. Loc. grat.
8 30, le Crime du boueir (mrd, a, dim). Alhambra, 8 h. 30, Haqcel Moller, les Lilliputiens. Batiklan, 8 h. 30, Bénévol et sa mystérieuse Cie. Bouffes-Concert, 8 h 30, la Revue du "la Femme". Monceau, S h., le Cchr de la Pompadour (opérette). Gaîté, . l Nuit du Diable. Filmothèque Deux Âmes, h. 14, ferrailleur, dir. L. Boyer, J. Moyer Revue. Perchoir, h. Bastia Duo Helly, Dermont, Davia. Coucou, jours, Ferny, h. 21 Bertone, Paco, Noé-Wolfe Nouveau-Cirque, t. 1 soir mt. Jour. soir, dim. Crq Medrano mt, Jeudi samedi mi.d soir. Cirque des Rivières, 8 . mat. jeudi, samedi dim. 3 h. 39. Européen, vrétés, soir Douai, yvt, . M. Gréville. X nts, .P,3 113 f. Pas Asnières. mat. à 16., MaxLinder esl Deux Orphelines. L. et L. Montparnasse, 8 h. 157 Révoler la Honte. Marivaux, 23 ., 8 3,0 rt e le fosse, The Ekklesiastik W. Lafayette-Cinéma, mt. o. la Reine de Saba. Cirque d'Hiver, S h., Petit lord Fstny l'Ecuyère. Mag. City. soir bal 3 oreilles. Dini. mat, it,o soir .tma Salle Wagram, demain, grnd bals. Musée Géin les Bonapartés, Télégraphie Pièce. OLYMPIA, de gain avec uq les illustres Mimounas Maglianti et Berte, Tom Davies trio. Marivaux, h. 15 xfmeua répertoirescomédiennes t attractions sensationnelles, ne 5 à , concours de danses présidé r l Maglianti et Marcel Berg, de l'Opéra. Entrée 12 francs.) À L'AUBERGE. C'est ce soir que la grande, émouvante et prestigieuse artiste espagnole Jaqueline Véver cremerie, rue de la Fayette. (dans son vaste répertoire enrichi d'une chanson frnçs, au programme, débts de -yam, Mary Gtr, les cinquièmes Sacha Guiy, Fred Perry et les ntLpiisliule russes. BTUOUEQ DE CONCERTS l Revue d femme, le plus grand succès des Ambassadeurs, avec ses étoiles, ses somptueux tableaux. Faut-il encore payer 12 francs. le Coucher de la PommedOr opérette en 3 actes, le plus grand succès du Concert Maya. Le petit lever d'une journée "victorieuse" ryl, le tournoi d'mr et rébut du chanteur populaire, Goubert, dans sn répertoire. Antoinette et Bby dans leur nouveau sketch, in actu, et dim., mat. et soir. Loc. grat.
trio. Marivaux, h. 15 fameux répertoires-comédiennes, et 4 attractions sensationnelles, ne 5 à 7, concours de danses présidé par la Maglianti et Marcel Berg, de l'Opéra. (Entrée 12 francs.) À L'AUBERGE. C'est ce soir que la grande, émouvante et prestigieuse artiste espagnole Jaqueline Véver cremerie, rue de la Fayette. (dans son vaste répertoire enrichi d'une chanson française, au programme, débuts de Yafa-yama, Mary Gautier, les cinquièmes Sacha Guitry, Fred Perry et les Lilliputiens russes. BOUQUET DE CONCERTS la Revue de la femme, le plus grand succès des Ambassadeurs, avec ses étoiles, ses somptueux tableaux. Faut-il encore payer 12 francs. le Coucher de la Pomme-d'Or, opérette en 3 actes, le plus grand succès du Concert Maya. Le petit lever d'une journée "victorieuse" royale, le tournoi d'amour et rébut du chanteur populaire, Goubert, dans son répertoire. Antoinette et Baby dans leur nouveau sketch, in actu, et dim., mat. et soir. Loc. grat. 10 à 7 heures. Et puis voici venir l'automne. Eh quoi déjà ? Cela t'étonne? Las! Las! Nous n'irons plus au bois, Il y ferait trop sombre et froid Qu'importe! Nous avons la chère des joyeuses FOLIES-BERGERE Séjour des artistes temporaire. Où règne un éternel printemps Grâce à la déesse Jolie La Revue FOLIES SUR FOLIES, PLUS DE DELAI OU DEMAIN. que vous devez voir TRAMWAY DE L'EREK, DEPRESLE La Belle OTERIA et son danseur, dans LE CRIME DU SOIE de MM. Mouezyno et La Toscillante A L'ELDORADO Arlequin et Barbeton, péripéties d'un spéculateur, au commencement (la) d'un flibustier moderne. réussies, au Fin du Flibustier. HOMME D'HONTE PALACE PRÉSENTATION EXCLUSIVE DE ROGER LA HONTE le célèbre roman populaire de Unes MARY avec SIGARDET, EITA JOUVET et PAUL DUMIEN MON P'TI'T T PIGEON VOLE ET PIGEON TOURNE eu ne doute pas en France de la passion de la foule pour les courses de pigeons. Les pigeons sentent Paris (Sens Plus de curiosité, kilomètres de leur plaisanterie et mènent dans le pays de l'Espagne, actuels par temps favorable des manifestations de leur cent vingt à l'heure, ils sont de retour en Belgique le soir. Pour la Cloche de Minuit que M. de
tr. Mrux . 15 fameux répertoires-comédiennes, et 4 attractions sensationnelles, ne 5 à 7 concours de danses présidé par la glaniMtia et Marcel Berg, de l'Opéra. (Entrée 12 francs.) À L'AUBERGE. 'est ce soir que la grande, émouvante t prestigieuse artiste espagnole Jaqueline Véver cremerie, rue de la Fayette. (dans osn vaste répertoire rih d'une chnsn française, au programme, débuts de Yf-ym, Mary Gautier, les cinquièmes Sacha Guitry, Fred Perr et le Lilliputiens russes. BOUQUET DE CONCERTS la Revue de la femme, le plus grand sccès des Ambassadeurs, avec ses étoiles, ses mutoepxus tableaux. Faut-il ne payer 12 fran. le Coucher de la mme' opérette en 3 cts, le plus grand sccès d Concert Maya. Le petit lever d'une journée "victorieuse" royale, l tournoi d'amour et rébt du chntr pplr, Goubert, dans son réprtr. ntntt et Baby dans leur nouveau sketch, in actu, et m mt. t or. Loc. grat. 10 à 7 heures. Et puis voici venir 'automne. Eh q déjà ? Cl 'étonne? sa!L Las! Nous n'irons plus au i, Il ferait trop sombre froid Qu'importe! Nous avons la chère des jyues FOLIES-BERGERE rSojué es artistes temporaire Où règne un éternel pmps Grâce à la déesse Jl La Revue FOLIES SR FOLIES, PLUS DE DELAI DMN. que vuos devez voir TRAMWAY DE LEREK DEPRESLE a Belle OTERIA et son danseur, dans LE CRIME DU SOIE de M. Mouezyno et La Toscillante A 'ORDO rlqn et rn péripéties d'un spéculateur, au noecnmtemecm (la) d'un flibustier moderne. réussies au Fn u Flibustier. HMM D'HNT PALACE PRÉSENTATION EXCLUSIVE DE ROGER LA HONTE l célèbr roman populaire de Unes MARY avec SIGARDET, EITA JOUVET et PAUL DUMIEN MON P'TI'T T GN VOLE ET PIGEON TOURNE eu ne doute pas en France d la passion la foule pour les u de pigeons. Les pigeons sentent Pai (Sens Plus de curiosité, kilomètres leur plaisanterie t mènent snad l pays de l'Espagne, actuels par temps lvaaoebfr des manifestations e leur et vingt à l'heure, ils s de rtur en Blgq le soir. Pour la Cloche de Minuit que M. e
Jolie La Revue FOLIES SUR FOLIES, PLUS DE DELAI OU DEMAIN. que vous devez voir TRAMWAY DE L'EREK, DEPRESLE La Belle OTERIA et son danseur, dans LE CRIME DU SOIE de MM. Mouezyno et La Toscillante A L'ELDORADO Arlequin et Barbeton, péripéties d'un spéculateur, au commencement (la) d'un flibustier moderne. réussies, au Fin du Flibustier. HOMME D'HONTE PALACE PRÉSENTATION EXCLUSIVE DE ROGER LA HONTE le célèbre roman populaire de Unes MARY avec SIGARDET, EITA JOUVET et PAUL DUMIEN MON P'TI'T T PIGEON VOLE ET PIGEON TOURNE eu ne doute pas en France de la passion de la foule pour les courses de pigeons. Les pigeons sentent Paris (Sens Plus de curiosité, kilomètres de leur plaisanterie et mènent dans le pays de l'Espagne, actuels par temps favorable des manifestations de leur cent vingt à l'heure, ils sont de retour en Belgique le soir. Pour la Cloche de Minuit que M. de Barone-Salvator débute la Belle-Époque, on a tourné l'envol de presque trois mille pigeons amenés à Noyon par un train spécial de trente-cinq wagons. Si une nouvelle nous venait de nous croire une irréalisation de la publicité américaine. Elle nous vient du Nord, et nous révèlent des Attention C'EST aujourd'hui QUE GAUMONT -PALACE HAUBERT xabch éL^£^ LA MONTE ADMIRABLEMENT JOUE PAR SIGARDET et DUMIEN pour la première fois de sa vie, Triplepatte prend-t-il une décision ??? La baronne. Pépin, parviendra-t-elle à lui faire changer son opinion sur la dot de la mariée ? L'usurier Bouchecrot récupérera-t-il sur la dot de la mariée l'argent avancé au futur ? Tupineltje, esclave des enjambées ancestrales, attesterait-il pour se martyriser que les années aient calmé la fiévre combative de la petite fiancée âgée de dix ans ? Par le magicien de sa fine âme Triplepatte, Sina un nom et c'est un titre. Alors, mademoiselle Ada, vous, vous êtes heureuse ? Vous avez oublié. Vous aimez et on vous aime. Je suis heureuse, répéta Ada. oui, bien heureuse. Comme un voile de tristesse s'épandait sur le visage de May, elle reprit aussitôt : Vous le serez aussi, vous ne pouvez pas ne pas l'être. si vous
Jolie La Revue FOLIES SUR FOLIES, PLUS DE DELAI OU DEMAIN. e vous devez voir TRMWY DE L'EREK, DEPRESLE La Belle TR et sn dnsr, n LE CRIME DU SOIE de MM Mouezyno et La Toscillante A L'ELDORADO Arlequin et Barbeton, péiéie d'un spéculateur, au commencement (la) d'un flibustier moderne. eis,sséur au Fin d Flibustier. HME 'HONTE PALACE PRÉSENTATION EXCLUSIVE DE ERORG LA HONTE le cbrèeél roman populaire de Unes MARY vc SIGARDET, T JOUVET t PAUL DUMIEN MON P'TI'T T PIGEON VOLE ET PIGEON TOURNE ue ne doute pas en France de la passion de la foule u les courses de pigeons. Les pigeons sentent Paris (Sens Plus de crsté, kilomètres de leur plaisanterie et mènent dns le pays de ea's,Egnpl actuels par temps favorable des anfastsneitmio de leur cent gtnvi à l'hr, ils sont d retour en Belgique le soir. Por l Cloche de Minuit que M. de Barone-Salvator débute la Bpoq on tourné l'envol de srpqeue trois mille pigeons amenés à Noyon par un train spécial de rqceintnt-e wagons Si une nouvelle nous venait nous croire n irréalisation de la publicité mércn. Elle nous vient du Nord, et nous lnétèrve ds Atnto C'EST aujourd'hui QUE GAUMONT -PALACE HAUBERT xabch éL^£^ LA ONTME ADMIRABLEMENT JOUE PAR SIGARDET et DUMIEN pour la première fois de vie, Triplepatte prend-t-il une décision ??? La baronne. Pépin, parviendra-t-elle à uli ae changer son opinion sur la de la mariée ? Lusurier Bouchecrot cérral sur la dot d la mariée l'argent avancé futur ? Tupineltje, esclave des enjambées eslc,artasne attesterait-il pour s trsrimreay qeu ls années aient calmé la fiévre cmbtv de la pete fiancée âgée de dix ans ? Par le magicien de s fine me Triplepatte, Sina un nom t c'est un titre. Ao,slr mademoiselle Ada, vous, vous êtes heureuse ? Vous vz oublié. Vous aimez on vous aime. Je ss heureuse, répéta Ada. oui, bien heureuse. Comme un voile de tristesse s'épandait sur le vsg d May, elle reprit aussitôt : Vous le serez ss, vous e pouvez pas ne pas l'être. si vous
GAUMONT -PALACE HAUBERT xabch éL^£^ LA MONTE ADMIRABLEMENT JOUE PAR SIGARDET et DUMIEN pour la première fois de sa vie, Triplepatte prend-t-il une décision ??? La baronne. Pépin, parviendra-t-elle à lui faire changer son opinion sur la dot de la mariée ? L'usurier Bouchecrot récupérera-t-il sur la dot de la mariée l'argent avancé au futur ? Tupineltje, esclave des enjambées ancestrales, attesterait-il pour se martyriser que les années aient calmé la fiévre combative de la petite fiancée âgée de dix ans ? Par le magicien de sa fine âme Triplepatte, Sina un nom et c'est un titre. Alors, mademoiselle Ada, vous, vous êtes heureuse ? Vous avez oublié. Vous aimez et on vous aime. Je suis heureuse, répéta Ada. oui, bien heureuse. Comme un voile de tristesse s'épandait sur le visage de May, elle reprit aussitôt : Vous le serez aussi, vous ne pouvez pas ne pas l'être. si vous aimez, on vous aime. Peut-être de l'affection. une amitié fraternelle, mais pas d'amour. Qu'en savez-vous ? Je sais, parce que celui dont je parle me considère comme une enfant gâtée, trop gâtée, qu'il ne voudrait pas avoir pour femme. Mademoiselle Ada, je suis très malheureuse ! Et, sans laisser à sa compagne le temps de ne croire pas, moi, que je l'aime jamais, et je ne croyais pas, surtout, que l'amour pût faire souffrir. Elle dit encore, sur le ton d'une enfant boudeuse et révoltée, qui a aussi beaucoup de peine J'étais si contente de me trouver dégagée tout de suite, vis-à-vis de Gérard Boucherot. Ada hasarda Mais, depuis quelques minutes, il n'y a rien de changé. Si, je réfléchis. et Je le répète, je suis très triste. Voyons, êtes-vous certaine, bien certaine qu'il ne vous aime pas Pas d'amour, je vous assure Il n'ose peut-être pas vous le dire. Pourquoi n'oserait-il pas tous mes soupirants l'ont osé. Sans doute parce qu'ils vous aimaient moins. Voyons, est-ce que quand on aime beaucoup. On se tait. oui, cela arrive. Héureux (beurre, œufs en gros) pourrit-elle de se mettre en tête de son fin troc tapageur dans les salons du fastueux Saint-Ouen
GAUMONT PALACE HAUBERT xabch éL^£^ LA MONTE BRAALMENEMITD OJUE PAR IGAT et DMN pour première fs d sa vie, Triplepatte prend-t-il une décion ??? La onne ipéPn, prvndr-t-ll à l faire changer s pnion sur la dot de la mariée ? L'usurier Bouchecrot récupérera-t-il sur la dot de l mariée atln'reg avancé au futur Tupineltje, esclave des enjambées ancestrales, attesterait-il pour se martyriser q les années aient lm la fiévre combative de la petite cniéefa âgée de dix ans ? Par le mgcn de sa fine âme Triplepatte, Sina un nom et c'est un titre. oA,slr mademoiselle Ada os vous êtes heureuse ? Vous avez oublié. Vous aimez t on vous aime. Je suis hrs, répéta Ada. oui, bien .uereehus Comme un voile de tristesse 'épandait sur le visage de May, reprit aussitôt : o le serez aussi, vous ne pouvez pas ne pas l'être. si vus aimez on vous aime. Peutêtre de 'affection. une amitié fraternelle, mais ps d'amour. Qu'en savez-vous ? J sais, prc que celui on je eaprl me considère comme une enfant gâté, trop gâtée, qu'il ne voudrait pas avoir pour femme. Mademoiselle Ada, je suis très malheureuse t sans laisser à sa compagne le temps de ne crr ps, moi que je l'aime jamais, t je crys pas surtout, que l'amour pût fre souffrir. Elle dit encore, sur el ton d'une enfant boudeuse et révoltée, qui a aussi uubeocpa de peine J'étais si ntene de me trouver dégagée tt de suite, vis-à-vis d Gérard Boet. Ada hasarda Mais, depuis ueslqque minutes, il n'y rien de changé. i, je réfléchis. et Je l répète, j suis très triste. Voyons, êtes-vous etnire,ca certaine qu'il ne vous aime pas Pas d'mr, je vous assure Il n'ose peut-être pas vous e dire. Pourquoi noseraitil pas tos esm soupirants l'ont osé. Sans dte parce qu'ils vous ien os.mni Voyons, c que quand on aime beaucoup. On se tait. oui, cela arrive. Héureux eur, œufs en gros) prrt-ll de se mettre en tête de son fin troc tapageur dans les salons du fastueux intOuen
sa compagne le temps de ne croire pas, moi, que je l'aime jamais, et je ne croyais pas, surtout, que l'amour pût faire souffrir. Elle dit encore, sur le ton d'une enfant boudeuse et révoltée, qui a aussi beaucoup de peine J'étais si contente de me trouver dégagée tout de suite, vis-à-vis de Gérard Boucherot. Ada hasarda Mais, depuis quelques minutes, il n'y a rien de changé. Si, je réfléchis. et Je le répète, je suis très triste. Voyons, êtes-vous certaine, bien certaine qu'il ne vous aime pas Pas d'amour, je vous assure Il n'ose peut-être pas vous le dire. Pourquoi n'oserait-il pas tous mes soupirants l'ont osé. Sans doute parce qu'ils vous aimaient moins. Voyons, est-ce que quand on aime beaucoup. On se tait. oui, cela arrive. Héureux (beurre, œufs en gros) pourrit-elle de se mettre en tête de son fin troc tapageur dans les salons du fastueux Saint-Ouen ? Indécis, viendront bientôt réjouir tous les amateurs de cinéma. L'étourdissante comédie de Tristan Bernard et André Fraudentaux, qui connut au théâtre un tel succès, vient d'être réalisée à l'écran par M. René Hervé. Ce fut l'un des plus curieux de la saison, ne peut manquer de trouver auprès du public le même accueil enthousiaste que théâtrale a rencontré sur toutes les scènes du monde. l'organisation-Cinéma Présentera le film aux directeurs, le mercredi 27 octobre, et au public, le 17 novembre. LES DEUX ORPHELINES Exclusivité à Paris Ciné MAX UNDER Location 20-04 LA FILLE DES CHIFFONNIERS Il serait vain de vouloir l'énumérer en un ratatouille l'action si riche et si variée sans cesse de la Fille des chiffonniers. Tout Paris ira voir ce film qui, avec les costumes du temps, nous fait revivre la capitale aux jours du second Empire, c'est-à-dire la cité des chiffonniers. Éditée sur l'emplacement actuel des Buttes-a-Morel, toute recouvert d'une population aux locutions argotiques de Paris, les dandies et les nanas de l'époque s'y réunissaient après les soupers des covis de Louis-Philippe, se répandaient dans les passages de la place Maubert. OS TOUS LES JOURS Le matin sort l'Oronte. Ce ne doit pas être commencé avant
sa anoepmcg le temps de ne crr pas, moi, que je laime ai et je ne croyais pas, surtout, que l'amour pût riefa souffrir. Elle dit encore, sr l ton dune enfant boudeuse t révoltée, qui a aussi beaucoup de peeni J'étais si contente de me trouver dégagée tout de ite vis-à-vis de éad Boucherot. Ada hasarda Mi, depuis qlqs minutes, il ' a rien de changé. iS, je sflé.cirhé et le répète, j suis très triste. Voyons, êtes-vous certaine, bien craie qu'il ne vous aime pas Pas dau, je vous assure Il n'ose peut-être pas vous le dire. Pourquoi n'srt-l ps tous ms soupirants l'ont osé. Sans doute parce quils usov aimaient moins Voyons, est-ce que quand on aime beaucoup. On se tait. oui, cela arrive. urx (beurre, œfs ne gros) our-ele de se mettre en tête de sn trc tapageur dans ls salons du fastueux nnSeia-tOu ? ndécs, viendront bientôt réjouir tous les amateurs de cném. L'étourdissante comédie ed isn Bernard et André Fraudentaux, qui nt au théâtre un tel s,ucscè vient d'être réalisée à l'écran par M. enéR r.Hevé Ce fut lun des plus crx la saison, ne peut manquer de trouver près ud public e accueil enthousiaste que théâtrale a rencontré sur toutes scènes du o. l'organisation-Cinéma Présentera le film aux directeurs, le mercredi 27 octobre, et au public, le 17 novembre. LS DEUX RPHLNS Exclusivité à Prs Ciné MAX UNDER Location 20-04 AL FILLE DES CHIFFONNIERS Il irtsea vnia de vouloir 'énmére en n rttll laction si riche et si variée sans cesse de l Fille des chiffonniers. Tout Paris ira voir ce film qui, avec ls costumes du temps, nous fait revivre la capitale aux jours du esdnoc mpr, c'est-à-dire a cité des chiffonniers. iée sur lmmt actuel des Btts--Mrl, oteut recouvert une population aux locutions argotiques d Paris, les dandies et les nns de lépoque s'y réunissaient après les soupers des covis de Louis-Philippe, se répandaient dans lse egsasaps de la place Maubert. OS TOUS LES JOURS Le matin srt l'Oronte. Ce n ot pas être o avant
public le même accueil enthousiaste que théâtrale a rencontré sur toutes les scènes du monde. l'organisation-Cinéma Présentera le film aux directeurs, le mercredi 27 octobre, et au public, le 17 novembre. LES DEUX ORPHELINES Exclusivité à Paris Ciné MAX UNDER Location 20-04 LA FILLE DES CHIFFONNIERS Il serait vain de vouloir l'énumérer en un ratatouille l'action si riche et si variée sans cesse de la Fille des chiffonniers. Tout Paris ira voir ce film qui, avec les costumes du temps, nous fait revivre la capitale aux jours du second Empire, c'est-à-dire la cité des chiffonniers. Éditée sur l'emplacement actuel des Buttes-a-Morel, toute recouvert d'une population aux locutions argotiques de Paris, les dandies et les nanas de l'époque s'y réunissaient après les soupers des covis de Louis-Philippe, se répandaient dans les passages de la place Maubert. OS TOUS LES JOURS Le matin sort l'Oronte. Ce ne doit pas être commencé avant le mois de janvier, et cela en raison de l'absence de Mlle Ida Rubinstein qui doit créer dans ce film le rôle de Mastroianni. Gustave-Sébastien va s'embarquer. Ce n'est donc plus Phèdre, comme il y avait été question, mais bien le Jardin sur l'Oronte que Mme Ida. Résistante, ton nom ne me trompe pas, mais pourquoi ? AU A partir du 29 septembre LA GLORIEUSE AVENTURE Premier grand film en couleurs naturelles OS PRIX:. Demain, 26 septembre, à 2 h. 30, le général préannonceront élection. Fessée MADELEINE En Paris LA REINE DE SABA Film Admirable 8,000 personnages Courses de Chars grandiose à 2 5 à 9 h., avec TSK'ICH. Louis Merceron et Henry, après avoir suivi essentiellement un tronc de Saratoga de Teatro Murcie le premier en Mai FOLIES DRAMATIQUES Du 22 au 28 septembre = La remarquable film d'après Ed. Rostand = Exécution méritée imprimée RENTRÉE DES CLASSES Avant de prendre une décision dont l'importance affectera votre avenir ou l'avenir de vos enfants, renseignez-vous sur les programmes, sur les méthodes et sur la valeur des maîtres de l'ÉCOLE UNIVERSELLE, la plus importante du monde et consultant l'une des brochures qu'elle vous adressera gratuitement sur demanda. Le cours de l'ÉCOLE
public le mêm accueil enthousiaste que théâtrale a rencontré sru tts les scèns du monde. l'organisation-Cinéma Présentera le film aux tuedrcsir,e le mercredi 27 octobre, et au public, 17 novembre. LES DEUX ORPHELINES Exclusivité à Paris Cné MAX UE Location 20-04 LA FLL DES CHIFFONNIERS Il serait ai de vouloir lénumérer en un ratatouille l'action si riche et si variée sans cesse de la Fe es ffie. Tout Paris ira voir ce m qui, avec esl cosm d temps, nous fait revivre la capitale aux jours du second Empire, c'est-à-dire la cité dse chiffonniers. Éditée sur lemplacement actuel des Buttes-a-Morel, toute rcvrt dune population aux locutions rgtqs de Paris, les dandies et les nanas de l'époque s'y réunissaient après l soupers des covis de Louis-Philippe, se répandaient dns les passages de l place Maubert. OS TOUS LES JOS Le matin sort l'Oronte. Ce ne doit pas être commencé avant msio ed janvier, et cela en raison de labsence de Mlle Ida Rubinstein qui doit créer dns ce film le rôle de Mastroianni. Gustave-Sébastien va sembarquer Ce n'est donc plus Phèdre comme il y avait été qstn, mais bien le aJrndi sur l'Oronte que Mme dIa. Résistante, ton o ne m trompe pas, mais oqiuruop ? AU A partir du 29 septembre LA GLORIEUSE AVENTURE Premier grand mfil en couleurs ntrlls OS PRIX:. Demain, 26 septembre, à 2 h. 30, le général préannonceront .celéonti Fessée MADELEINE E Paris LA REINE DE SABA Film Admirable ,000 personnages Courses de Chars grandiose 2 5 à h., acev TSK'ICH. Louis Merceron Henry, après avoir suivi essentiellement un tronc Saratoga de Teatro Murcie le premier n Mai FOLIES DRAU u 22 au 28 septembre = L remarquable film 'adpsrè Ed atnRdos Exécution érte imrimée RENTRÉE DES CLASSES Avant de prendre une décsn dont l'importance affectera votre avenir l'avenir de vos enfants, renseignez-vous sur les programmes, sur les méthds t s al al des maîtres d lÉCOLE UNIVERSELLE, la plus importante d mnd et consultant l'une des brochures qu'elle vous adressera auiee sur demanda. Le crs de l'ÉCOLE
ne me trompe pas, mais pourquoi ? AU A partir du 29 septembre LA GLORIEUSE AVENTURE Premier grand film en couleurs naturelles OS PRIX:. Demain, 26 septembre, à 2 h. 30, le général préannonceront élection. Fessée MADELEINE En Paris LA REINE DE SABA Film Admirable 8,000 personnages Courses de Chars grandiose à 2 5 à 9 h., avec TSK'ICH. Louis Merceron et Henry, après avoir suivi essentiellement un tronc de Saratoga de Teatro Murcie le premier en Mai FOLIES DRAMATIQUES Du 22 au 28 septembre = La remarquable film d'après Ed. Rostand = Exécution méritée imprimée RENTRÉE DES CLASSES Avant de prendre une décision dont l'importance affectera votre avenir ou l'avenir de vos enfants, renseignez-vous sur les programmes, sur les méthodes et sur la valeur des maîtres de l'ÉCOLE UNIVERSELLE, la plus importante du monde et consultant l'une des brochures qu'elle vous adressera gratuitement sur demanda. Le cours de l'ÉCOLE UNIVERSELLE peut être suivi par l'élève chez lui, sans aucun dérangement de curie que soit sa résidence. Brochure Enseignement primaire, Brochure 20.323 seconde et supérieure. Brochure Grandes Écoles spéciales. Brochure Carrières agricoles. Brochure Industrielles, agr. ECOLE UNIVERSELLE, 10, r. Chardin. Paris-10. L'AVIS DE CHARLOT Charlie Chaplin a dit "CAMI est le plus grand humoriste du monde" LISEZ LA FILLE DU PÉTARDIER ...et vous risquerez certainement de l'avis de Charlie LES ÉDITIONS DU ROSEAU, r. de Clichy Un fort volume illustré par l'auteur 6,50 AVIS A CONSULTER REMERCIEMENTS Les familles Blot et Dargent, émues par les nombreux émoignages sympathiques qui leur sont sympatiquement adressés, M. Blot et M. Dargent ne pouvant y répondre personnellement, prient le bien vouloir trouver ici l'expression de leur vive gratitude. Gérard. Vous pensez donc toujours à moi? Non, mais il s'appelle Gérard également. L'autre ? Oui. Ada détournait la tête. May prononça presque bas, toute son impression intime. Alors, il se peut que Gregor. Vous adorez, fit Ada Flory, le regardant encore. Miss Harlanson rougit violemment, puis devint toute pâle en répondant: Comment oses-tu, qui ne me juges ingérument, les confidences, les demi-confidences plutôt, que nous venons d'échanger paraissent m'autoriser, du moment que vous prononcez un
ne me trompe pas, mais pourquoi ? AU A partir du 29 septembre LA GLORIEUSE AVENTURE Premier gnd film en couleurs naturelles OS PRIX:. Dmn, 26 septembre, à 2 h. 30, le général préannonceront élection. seeéFs MADELEINE En Paris LA REINE DE SABA Film Admirable 8,000 personnages Courses d Chars grandiose à 2 5 à 9 h., avec TSK'CH. Louis Merceron et Henry, près avoir suivi essentiellement un tronc de Saratoga de Teatro Murcie le premier en i FOLIES DRAMATIQUES Du 22 28 septembre La rmaabe film d'après Ed. Rsnd = Exécution méritée imprimée RENTRÉE DES ECSALSS Avant de prendre une décision dont l'importance affectera votre avn l'avenir ed vo enfants, renseignez-vous sr les programmes, sur les méthodes et sur al valeur des maîtres de l'ÉCL UNIVERSELLE, l plus importante du monde et consultant l'une des brochures qu'elle vous adressera gratuitement sur demanda Le cours de E UNIVERSELLE peut être vi par l'élève chez lui, s aucun dérangement de curie que soit sa résidence. Brchr Enseignement primaire Brochure 20.323 eendcso et supérieure Brochure Grandes Écoles spéciales. Brochure Crrèrs agricoles. Brochure Industrielles, agr. ECOLE UNIVERSELLE, 10, r. Chardin. Paris-10. L'AVIS DE CHRLT Charlie Chaplin a dt "CAMI est le plus grand humoriste du monde" ZLIES LA FILLE DU PÉTARDIER ...et vous sqe certainement de l'avis de Charlie LES ÉDITIONS DU ROSEAU, r. de Clichy Un frt volume illustré par lauteur 6,50 AVIS A CONSULTER REMERCIEMENTS Les familles Blot et Dargent, émues par les nombreux émoignages sympathiques qui leur sont sympatiquement adressés, M. o et M. Dargent ne pouvant y répondre personnellement, pt le bien vouloir trouver ici l'expression d leur vive gratitude. Gérard Vous pensez donc toujours à moi? Non, a il s'appelle Gérard également. L'autre ? Oui. Ada détournait la tête. prononça presque bas, toute sn impression intime. Alors, il se peut q Gregor. Vous adorez, fit Ada Flory, le regardant encore. Mss Halan rgt violemment, puis devint toute pâle en répondant: Comment oses-tu, qui ne me juges ingérument, les confidences, les dm-cnfdncs plutôt, que nous venons d'échanger paraissent m'autoriser, du moment que vous prononcez un
le plus grand humoriste du monde" LISEZ LA FILLE DU PÉTARDIER ...et vous risquerez certainement de l'avis de Charlie LES ÉDITIONS DU ROSEAU, r. de Clichy Un fort volume illustré par l'auteur 6,50 AVIS A CONSULTER REMERCIEMENTS Les familles Blot et Dargent, émues par les nombreux émoignages sympathiques qui leur sont sympatiquement adressés, M. Blot et M. Dargent ne pouvant y répondre personnellement, prient le bien vouloir trouver ici l'expression de leur vive gratitude. Gérard. Vous pensez donc toujours à moi? Non, mais il s'appelle Gérard également. L'autre ? Oui. Ada détournait la tête. May prononça presque bas, toute son impression intime. Alors, il se peut que Gregor. Vous adorez, fit Ada Flory, le regardant encore. Miss Harlanson rougit violemment, puis devint toute pâle en répondant: Comment oses-tu, qui ne me juges ingérument, les confidences, les demi-confidences plutôt, que nous venons d'échanger paraissent m'autoriser, du moment que vous prononcez un nom, à vous dévoiler ma pensée. May lui saisit la main. Je ne te trouve pas indiscrète, ce n'est pas ce que je veux dire. Je demande ce qui peut te faire croire à cela. Rien que mon intuition, mon intuition féminine. Le prince Grégoire, qui me semble en tous points un homme remarquable, un homme au-dessus de toi, aime, je le jurerais, ce n'est pas un caractère à forcer un sentiment, puis il te sait fiancée. Mais puisque vous l'aimez et puisque le mensonge de l'autre vous dégage. May serra très fort la main qu'elle tenait toujours. Taisez-vous, Ada, ne parlons plus de cette chose que serait l'amour de Grégoire. Je ne le mérite pas, et s'il est l'ami le plus cher, il ne pensera jamais à me prendre pour femme la fragile petite créature que manifestées au cours de la séance. Après un début très ferme, la plupart des valeurs ont cédé du terrain, tant en raison des moins bons avis de l'arbitrage pentus par une nouvelle réaction des changes qu'en raison de l'impression moins satisfaisante qui prévalait au sujet de la question ottomane et des difficultés éventuelles. COURS DE LA BOURSE DE et au comptant Bandes de
le plus grand humoriste du monde" LISEZ LA FE DU PÉTARDIER ...et vous risquerez cte de lavis de Charlie LES ÉDTNS DU SE r. de Clichy Un o volume llstré par l'auteur 6,50 AVIS A CONSULTER REMERCIEMENTS Ls familles Blot te Dargent, éms par les nombreux émoignages sympathiques qui leur sont paiqumet adressés, M. Blot et M. Dargent ne novtpua y répondre prsnnllmnt, prient le bien vouloir trouver ici osi'xnerspel de leur ve grttd. Gérard. Vous pensez donc toujours à moi? Non mais il s'appelle Gérard également L'tr ? Oui. Ada détournait la tête. My prononça presque bas, toute son impression intime. Alors, il se peut que Gregor. Vous adorez, fit Ada Flory, le regardant encore. Miss Harlanson rgt violemment, ps devint toute pâle en répndnt: Comment u, qui ne me jgs ingérument, lse confidences, ls demi-confidences ,tpluôt que nous venons d'échanger aasrinpest m'autoriser, du moment que vous prononcez un nm, à vous dévoiler ma pensée. May lui sst main. J ne te trv pas indiscrète, ce nest pas que je vx dire. demande ce qui p te faire croire à cela. Rien que mon intuition, mn intuition féminine Le prince Grégoire, qui semble en tous poits homme remarquable un homme au-dessus de toi, me,ia j le jurerais, e n'est ps un caractère à forcer u sentiment, puis il t sait fiancée. Mais puisque vous l'aimez et puisque le mensonge l'autre vous dégage. May serra très fort la main qu'elle tenait toujours. Taisez-vous, Ada, ne parlons plus cette chose que serait l'amour e Grégoire. Je ne le mérite pas, et s'il st l'ami le plus cher, il ne pensera jamais me prendre pour fmm la fragile petite créature que manifestées au ruocs de al séance. près un début très e la plupart des valeurs n cédé du tei tant en raison des moins bons avis de l'arbitrage pnts par une nouvelle racto des changes qu'en raison de l'impression moins satisfaisante uqi prévalait au sujet de al question ottomane et des difficultés éventuelles. COURS ED LA BOURSE DE et au comptant Bne de
points un homme remarquable, un homme au-dessus de toi, aime, je le jurerais, ce n'est pas un caractère à forcer un sentiment, puis il te sait fiancée. Mais puisque vous l'aimez et puisque le mensonge de l'autre vous dégage. May serra très fort la main qu'elle tenait toujours. Taisez-vous, Ada, ne parlons plus de cette chose que serait l'amour de Grégoire. Je ne le mérite pas, et s'il est l'ami le plus cher, il ne pensera jamais à me prendre pour femme la fragile petite créature que manifestées au cours de la séance. Après un début très ferme, la plupart des valeurs ont cédé du terrain, tant en raison des moins bons avis de l'arbitrage pentus par une nouvelle réaction des changes qu'en raison de l'impression moins satisfaisante qui prévalait au sujet de la question ottomane et des difficultés éventuelles. COURS DE LA BOURSE DE et au comptant Bandes de Paris. 8. Transatlantique. Crédit 77 511 50 407 750 002 1 juin. 152 60 4045 BULLETIN COMMERCIAL MARCHÉ AUX BESTIAUX DE LA VILLETTE le marché, de 10 fil. sur les premières douzaines; chaque (elle de la vache, de fr. sur les taureaux, de tons, et sur les porcs. mou et infirmité défavorable à la vente, bon marché; des moutons; des veaux et des agneaux ont été vus entre la deuxième et la Entrées directes. Réserves Elves abattoir vivants S: Vinettes Vaug. Doeurs. 1481 2881 Vaches. 976 154 157 792 Taureaux 233 25 Moutons. 1.230 2.785 1 339 f-30 Porcs. 2.967 9.85 985 976 330 2W Viande nette Extrêmes 1st q. 23" q. 13" q. 14" Poids vivant Beef. 4.76 3.40 2.50 6.00 Vaqueur à. 5.60 4.30 3.00 1.00 11 60 Taureaux 1.00 11 .58 Moutons. 5.00 4.00 10.50 1.50 11 4.56 Porcs. 7.58 7.14 6.86 11.70 11 5.40 On offre des abattements aux kilogrammes net, Bœufs. Animaux du premier choix, limousins née à naître. (Bœufs encore jeunes - 1er service, 300. Vaches. Bonnes veaux, 300 veaux d'élevage, 150 poitrinaires viandes de toute provenance, 300. Taureaux. Du choix, 100 qualités entre deux, 5 stères de fromageries, 150. Veaux. De choix, Brie,
points un hmm remarquable, un homme audessus de toi, m, je le jreris ce n'est pas un caractère à forcer un sentiment, ps il te sait fiancée. Ms puis vs l'aimez et puisque le mensonge de l'ur vous dégage. May srr très frt l main qu'elle atnite toujours. Taisez-vous, Ada, ne parlons pls de cette chose qe srt 'u de Grégoire. J ne le mérite s, et s'il st lami le plus cher, il n pensera jamais à me prendre pour femme la fragile petite créature que mstfisenaée au cours de la séance. Après un dbut trè ferme, l plupart des vles ont cédé d terrain, an en raiso des mns bons avis d larbitrage pentus pa une nouvelle réaction des changes qu'en raison de l'mprssn mns satisfaisante q prévalait au etsuj la question ottomane et des difficultés éventuelles. COURS DE LA BOR et au comptant Bandes de Paris. 8. Transatlantique. rdiéCt 77 511 50 407 750 002 1 juin. 152 60 4045 BLLTN CMMEC MRCHÉ AUX BESTIAUX DE LA VLLTT le marché, de 10 fil. sur l premières douzaines; chaque (elle de la ,vaech de fr. sur les taureaux, de tons, et sur les porcs mou et infirmité défavorable à la vente, bon marché; des moutons; d veaux et des gnx ont été vus entre la deuxième et l Entrées eicde.trs Réserves Elves ratbaoit vivants S: Vinettes Vaug. Doeurs. 1481 2881 Vaches. 976 54 157 792 Taureaux 233 25 souo.ntM 1.230 258.7 1 339 -30 Porcs. 2.967 9.85 985 976 330 2W Viande nette Extrêmes 1st . 23" .q 13" q. Pds vvnt Beef. 4.76 340 2.50 00 Vaqueur à. 5.60 .30 3.00 100 11 0 Taureaux 1.00 11 .58 Moutons. 5.00 4.00 10.50 1.50 11 .645 Porcs. 7.58 7.14 6.86 11.70 11 5.40 On offre abattements x kilogrammes net Bœufs. Animaux du premier chx, limousins née à naître. (Bœufs encore jeunes - 1er seric, 300. Vaches. Bonnes veaux, 300 veaux d'élevage, 150 poitrinaires viandes de toute provenance, Taureaux. D choix, qualités entre deux, 5 stères de frmgrs, 150. Vx. De choix, Brie,
infirmité défavorable à la vente, bon marché; des moutons; des veaux et des agneaux ont été vus entre la deuxième et la Entrées directes. Réserves Elves abattoir vivants S: Vinettes Vaug. Doeurs. 1481 2881 Vaches. 976 154 157 792 Taureaux 233 25 Moutons. 1.230 2.785 1 339 f-30 Porcs. 2.967 9.85 985 976 330 2W Viande nette Extrêmes 1st q. 23" q. 13" q. 14" Poids vivant Beef. 4.76 3.40 2.50 6.00 Vaqueur à. 5.60 4.30 3.00 1.00 11 60 Taureaux 1.00 11 .58 Moutons. 5.00 4.00 10.50 1.50 11 4.56 Porcs. 7.58 7.14 6.86 11.70 11 5.40 On offre des abattements aux kilogrammes net, Bœufs. Animaux du premier choix, limousins née à naître. (Bœufs encore jeunes - 1er service, 300. Vaches. Bonnes veaux, 300 veaux d'élevage, 150 poitrinaires viandes de toute provenance, 300. Taureaux. Du choix, 100 qualités entre deux, 5 stères de fromageries, 150. Veaux. De choix, Brie, Limousin. Outailles, 383 quantité textilaire, 150 premières machines, 150 bonneteries et ficels. -En service et midi, Moutons. Premier choix et agneaux, mi-vie LA MACHINE A COUTURE est indispensable à la femme laborieuse et prévoyante. Elle lui permet d'effectuer des travaux utiles aux siens et aussi d'employer lucrativement ses loisirs. On ne peut même plus se faire reprocher de coûter cher, puisque tout le monde peut s'en procurer une, par nous, à UN PRIX NORMAUX, la payer sans majoration avec UN CRÉDIT proportionné à ses ressources et se la faire livrer TOUT EN SUITE. SOCIÉTÉ PARISIENNE DE VENTES A CRÉDIT, 41, rue de Paradis, PARIS (le) = Demandez le Catalogue n° 22V CHOCOLAT VANILLE CAFÉ PRALINÉ Toutes ÉPICERIES. Gros 7, Rue Chaudron, PARIS (X*) Comme Ada s'apprêtait à répondre, elle lui dit de nouveau: Taisez-vous Et ce fut elle qui tourna sur ses talons pour reprendre la direction de la grande voie. Les deux jeunes filles se turent jusqu'à ce qu'elles aient rejoint madame Flory, qu'elles ramenèrent vers la maison. Toutes trois pénétrèrent dans le grand salon lumineux, d'où l'on découvrit une profondeur de forêt qui semblait appartenir à une véritable forêt vierge. Un valet d'une correction parfaite leur apporta le
infirmité défavorable à la vente, bon marché; des moutons; des veaux et dse agneaux ont été vus nerte la deuxième et la Entrées directes Réserves Elves abattoir vivants S: Vinettes Vaug. Doeurs. 1841 1882 Vchs. 976 154 157 927 Taureaux 332 25 Moutons. .230 2.785 339 f-30 Porcs 2967 .85 985 976 330 2W Viande tetne Extrêmes 1st q. q. 13" q. 14" Poids vivant Beef. 4.76 3.40 2.50 6.00 Vaqueur à. 5.60 30 3.00 .00 11 60 aueuraxT 1.00 11 .58 Moutons. 5.00 400 10.50 1.50 11 4.56 Porcs. 7.58 714 .86 11.70 11 5.4 offre ds abattements aux kilogrammes nt, Bœufs Animaux du premier choix, limousins née à nîtr. (Bœufs encore jeunes - 1r service, 300. Vaches. Bonnes veaux, 300 veaux d'élevage, 150 poitrinaires viandes de toteu ovenace, 300. Taureaux. Du choix, 100 qualités entre dx, 5 stèrs de fromageries, 150. Veaux. De choix, Brie, Limousin. Outailles, 383 quantité textilaire, 150 premières machines, 150 bonneteries et ficels -En service et midi, Moutons. Premier choix et agneaux, mi-vie LA MACHINE A COUTURE est ndspnsbl à la femme laborieuse t prévoyante. Elle lui permet d'effectuer des travaux utiles aux siens et aussi 'employer luctvent ses loisirs. On ne peut même plus s faire eprocer de coûter cher, puisque tout le monde peut s'en procurer une, par nous UN PRIX RAU, la payer sans majoration avec UN CRÉDIT proportionné à ses ressources t s faire livrer TOUT EN SUITE. SOCIÉTÉ PARISIENNE DE VENTES A CRÉDIT, 1 rue de Paradis PAIS (e = nazeedDm le Catloge n° 22V CHOCOLAT VNLL CAFÉ PRLNÉ Toutes ÉPICERIES Gros 7, Rue Chaudron, PARIS (X*) Comme d s'apprêtait à répondre, ll lui dit d nv: Taisez-vous Et ce fut elle qui tourna sur s tlns pr reprendre la direction de l grande voie. Les dx jeunes filles se ent jusqu'à ce qu'elles aient rejoint madame Flory, elqeul's raenrnt vers la maison. Toutes trois pénétrèrnt dans el grand salon lumineux, 'o 'on découvrit ue profondeur de forêt qui semblait appartenir à une vétl forêt v nU valet d'une correction parfaite leur apporta le
ne peut même plus se faire reprocher de coûter cher, puisque tout le monde peut s'en procurer une, par nous, à UN PRIX NORMAUX, la payer sans majoration avec UN CRÉDIT proportionné à ses ressources et se la faire livrer TOUT EN SUITE. SOCIÉTÉ PARISIENNE DE VENTES A CRÉDIT, 41, rue de Paradis, PARIS (le) = Demandez le Catalogue n° 22V CHOCOLAT VANILLE CAFÉ PRALINÉ Toutes ÉPICERIES. Gros 7, Rue Chaudron, PARIS (X*) Comme Ada s'apprêtait à répondre, elle lui dit de nouveau: Taisez-vous Et ce fut elle qui tourna sur ses talons pour reprendre la direction de la grande voie. Les deux jeunes filles se turent jusqu'à ce qu'elles aient rejoint madame Flory, qu'elles ramenèrent vers la maison. Toutes trois pénétrèrent dans le grand salon lumineux, d'où l'on découvrit une profondeur de forêt qui semblait appartenir à une véritable forêt vierge. Un valet d'une correction parfaite leur apporta le thé sur un grand buffet de vieil argent, un thé substantiel, toasts, sandwichs, pâtisseries, une chose fraîche. On dîne tard, dit miss Harlanson, il faut manger suffisamment. Ce fut elle qui mangea le moins, nerveuse, plus nerveuse qu'Ada, qui le devenait à mesure que May constatait, en regardant l'heure. Appel nominal, discours d'inauguration. Compte rendu de la situation avant la guerre et pendant la guerre. Mon père disait hier que l'on demandait plus de deux heures. Vers six heures, les épreuves, la réception du récipiendaire. On je suis au courant, mais c'est tout. Naturellement, personne ne trahit les mystères intérieurs, les secrets de l'association. Voulez-vous que nous fassions de la musique, Ada? As-tu, mademoiselle. Appelez-moi May, ou alors j'emploierai aussi cette appellation de cérémonie. Ne voulez-vous pas que nous soyons amies? Certes. seulement non. Nous, quoi? Mon père est milliardaire, je n'ai que la peine de jouir des multiples agréments d'une vie qui tente toutes les jeunes filles. Vous êtes sans fortune. Alors, il vous semble. Tenez, je me voudrais à votre place. Il n'y aurait pas toujours cette barrière qui fait qu'en amitié pas plus qu'en amour je ne suis tout à fait heureuse. Toutes les rentes sont indécises,
ne peut même plu se faire reprocher de coûter cher, puisque tout le monde peut 'en procurer une, par nous, à UN PRIX NORMAUX, al payer sans mjrtn avec UN CRÉDIT proportionné à ss ressources et se la faire livrer TOUT EN SUITE. SOCIÉTÉ PARISIENNE DE VNTS A CRÉDIT 41, rue de Paradis, PARIS (le) = Demandez le Ctlg n° 22V CHOCOLAT VNLL CAFÉ LÉNAPRI Toutes ÉPCRS. Gros 7, R Chaudron, PARIS (X*) Comme Ada sapprêtait à répondre, elle lui dit de nouveau: Taisez-vous Et ce ft elle qui trn sur ses talons pour epren la drctn de la grande voie. Les deux jeunes flls s tuet jusqu'à ce qu'elles aient rejoint madame Flory, q'lls ramenèrent vers la aion. Toutes trois pénétrèrent dans le grand salon umi, d'où 'oln découvrit e profondeur de forêt qui semblait appartenir à une véritable forêt vierge. Un vaet d'une correction parfaite leur apporta le thé sur un grand buffet de vieil argent, un thé substantiel, toasts, sandwichs, pâtisseries, une chose fraîche. On dîne tard, dt miss Harlanson, il faut manger suffisamment. Ce fut ee qui mangea le moins, nerveuse, plus nerveuse qu'Ada, qui le devenait mesure que May constatait, regardant l'heure. Appel nominal, discours 'inauguration. Compte rendu de la situation avant la re et pendant la guerre. Mon père disait hier que l'on demandait plus de deux heures. sVre six heures, les épreuves, la réception du récipiendaire. On je suis au courant, mais c'est tout. Naturellement, personne ne trahit les mystères intérieurs, les secrets de l'association. Voulez-vous que nous fassions de la muie, a?dA As-tu, mademoiselle. Appelez-moi May, ou alors j'emploierai aussi cette appellation de cérémonie Ne voulez-vous pas que nous soyons ms? Certes slmnt non. Nous, ou?iq Mon père est milliardaire, je n'ai que la peine de jouir des multiples agréments d'une vie qui tnt toutes lse jeunes filles. Vous êts fortune. Alors, il vous semble. Tenez, j me voudrais à vtr place. Il n'y aurait pas toujours cette barrière qui fat quen amitié as plus qu'en amour je ne suis tt à fait heureuse. Toutes les rentes sont ndécss,
nominal, discours d'inauguration. Compte rendu de la situation avant la guerre et pendant la guerre. Mon père disait hier que l'on demandait plus de deux heures. Vers six heures, les épreuves, la réception du récipiendaire. On je suis au courant, mais c'est tout. Naturellement, personne ne trahit les mystères intérieurs, les secrets de l'association. Voulez-vous que nous fassions de la musique, Ada? As-tu, mademoiselle. Appelez-moi May, ou alors j'emploierai aussi cette appellation de cérémonie. Ne voulez-vous pas que nous soyons amies? Certes. seulement non. Nous, quoi? Mon père est milliardaire, je n'ai que la peine de jouir des multiples agréments d'une vie qui tente toutes les jeunes filles. Vous êtes sans fortune. Alors, il vous semble. Tenez, je me voudrais à votre place. Il n'y aurait pas toujours cette barrière qui fait qu'en amitié pas plus qu'en amour je ne suis tout à fait heureuse. Toutes les rentes sont indécises, à l'exception du 3 % . Les banques sont discutées, valeurs russes et coloniales très résistantes. Copperifères faibles et Suez largement réalisés. En conséquence, Diamantifères finissent en réaction, tandis que le pétrole défend bien leur niveau et que les Camélias sont de tendances calmes. Mais, je n'ai bougrement pas d'argent. 505 Espagnols, 340 Albigois et Limousins, 150 Ariègeois. Autant de malheurs, tous les mêmes. 340 Haute-Loire, charbonnages. De Vaucluse, 393 (du netté, à la haleine de 50 kilos sterling, 31 octobre, 31 novembre, 31 décembre, 31 Janvier, 31 février, 31 mars, 31 avril, 31 mai, 31 juin, 31 juillet, 31 août, 31. Tendance calme venues, /,»!) balles. Clôture semaine, 31 octobre, 31; décembre 31 Janvier, 31 février, 31 mars, 31 avril, 31; mai, 31 juin, 31 juillet, 31 août, 31. SUCRES. Ouverture courant octobre, 130 d'octobre, 50 3 de novembre, 133 50 octobre, 134 11; 3 d'octobre, 134 à 3 de novembre, 131; premiers, 130 et 140. Cote HOUVEAU DE COURS DE L'ASIE Cote obligation établie par les courtiers, assérmentée. Blé marié le Pavie, 78 75. marché libre, n. c.; sucre, 11. c. avoines noires, 61 50 à 68 diverses, farine, 97 50 à 98. LES VINS NOUVEAUX Bonne affaire
nominal, discours d'inauguration. Compte rendu de la situation avant la guerre et pendant l guerre. Mon père disait hier que l'n demandait plus d deux heures. Vers six heures, les épreuves, la réception du récipiendaire. On je suis au courant, mais c'est tout. Naturellement, personne ne trahit les mystères intérieurs, les set d l'association. Voulez-vous que nous fassions de la musique, Ada As-tu, mademoiselle. Appelez-moi May, ou alors j'emploierai isusa cette appellation de cérémonie. Ne voulez-vous pas que nous syns amies? Certes. seulement non. Nous, q? Mon père est milliardaire, je n'ai q la ine de jouir des multiples agréments d'une vie qui tente toutes les jeunes filles. Vous êtes sans fortune. Alors, il vous semble eez je me voudrais à votre place. Il ny aurait pas toujours cette barrière qui ft q'n amitié pas plus qu'en amour je ne suis tout à fait heureuse. suteTo les rentes sont indécises, à l'exception du 3 % . Les banques sont discutées, valeurs russes et coloniales très résistantes. Cpprfèrs faibles et Suez gmet réalisés. En cnséqnc, Diamantifères finissent en réaction, tandis le pétrole défend bien leur nveu et que les Camélias sont de tendances calmes. Mais, je n'ai bougrement pas d'argent. 0 Espagnols, 340 Albigois t Limousins, 150 Ariègeois. ntuAat de malheurs, tous les mêmes. 340 eua-ie,HtorL charbonnages. De Vaucluse, 393 (du netté, à la haleine de 50 kilos sterling, 31 octobre, 31 nobre 1 décmbr, 31 Janvier, 31 févier 31 mars, 31 avril, 31 mai, 31 juin, 31 juillet, 31 août, 31. Tendance calme venues, /,»!) balles. Clôture semaine, 31 octobre, 31; décembre 31 Janvier, 31 février, 31 mars, 31 avril, 31; mai, 3 juin, 31 juillet, 31 ût, 31 SUCRES Ouverture courant otore 130 'octobre, 50 3 de novembre, 133 50 octobre, 134 11; 3 d'octobre, 134 à 3 de novembre, 131; prmrs, 130 t 140. Ct HOUVEAU DE COURS DE L'ASIE Cote obligation établie rpa les courtiers, assérmentée. Blé marié le Pavie, 78 75. marché libre, n. c.; sucre, 11. c. avoines noires, 61 50 à 68 diverses, farine, 97 50 à 98. LS VINS NOUVEAUX Bonne affaire
505 Espagnols, 340 Albigois et Limousins, 150 Ariègeois. Autant de malheurs, tous les mêmes. 340 Haute-Loire, charbonnages. De Vaucluse, 393 (du netté, à la haleine de 50 kilos sterling, 31 octobre, 31 novembre, 31 décembre, 31 Janvier, 31 février, 31 mars, 31 avril, 31 mai, 31 juin, 31 juillet, 31 août, 31. Tendance calme venues, /,»!) balles. Clôture semaine, 31 octobre, 31; décembre 31 Janvier, 31 février, 31 mars, 31 avril, 31; mai, 31 juin, 31 juillet, 31 août, 31. SUCRES. Ouverture courant octobre, 130 d'octobre, 50 3 de novembre, 133 50 octobre, 134 11; 3 d'octobre, 134 à 3 de novembre, 131; premiers, 130 et 140. Cote HOUVEAU DE COURS DE L'ASIE Cote obligation établie par les courtiers, assérmentée. Blé marié le Pavie, 78 75. marché libre, n. c.; sucre, 11. c. avoines noires, 61 50 à 68 diverses, farine, 97 50 à 98. LES VINS NOUVEAUX Bonne affaire Fr. la barrique régie lit. envite, vin supérieur 335 fr. VINS VIEUX meilleurs crus du Languedoc. Tarif et échantillons gratuits En bois AUX CAVES DE VIN, à NARBONE CIGARETTES pour lecteur de ce journal, habitué à fumer la cigarette, ou habitué au tabac sous n'importe quelle forme, et qui, pour raisons de santé ou autres, aimerait se débarrasser rapidement, facilement et pour toujours de cette habitude, peut envoyer un livre enseignant de l'écrire E. J. Woods LECTEUR 1CT. Saint, boulevard, W.C. 1, ce livre, qui vaut son poids d'or, coûte 1 fr. et est envoyé gratis et en port gratuit. Je ne vois pas pourquoi, hasarda celle qui l'écoutait, vous avez certainement des amies sincères. Une seule, Edith, qui ne me jalouse pas. Et un homme vous aime pour vous, bien pour vous, celui-là? Je le dites, mais n'en parlons plus. N'en parlons plus, je vous en prie. Ada se mit au piano, excellente musicienne, elle joua tant que miss Harlanson le lui demanda. Puis elles cherchèrent un quatrième mains qu'elles exécutèrent ensemble, pour s'embrouiller la fin du morceau. Nerveuses autant l'une que l'autre, chacune pour des raisons différentes, ne pensant plus qu'à la réception des "Quarante-Huit" Peut-être ce soir
505 Espagnols, 340 Albigois et Limousins 150 Ariègeois. Autant de malheurs, tous les mêmes. 340 Haute-Loire, charbonnages. De Vaucluse, 393 (d netté, à la haleine de 50 kilos rtsiln,ge 31 octobre, 31 novembre, 31 décembre, 31 Janvier, 31 février 31 mars, 31 ar, 31 mai, 31 juin, 31 juillet, 31 août 31. Tedne calme venues, /,»!) balles. Clôture semaine, 31 octobre, 31 décembre 31 nvi, 31 février, 31 mars, 31 avril, 31; mai, 31 juin, 31 juillet 31 août, 31. SCRS. Ouverture courant octobr, 130 d'ctbr, 50 3 de novembre 133 50 ctbr, 134 11; 3 d'octobre, 134 à 3 de novembre, 131 premiers, 130 et 140. Cote HOUVEAU DE COURS DE L'ASIE Cote obligation établie par les courtiers assérmentée. Blé marié le Pavie, 78 7 marché lbr, n. ;c. sucre, 11. . avoines noires, 61 50 à 68 diverses, ren,iaf 97 50 à 98. LES VINS NOUVEAUX Bnoen affaire Fr. la barrique régie lit. envite, vin supérieur 33 fr. SNIV VIEUX meilleurs crus du Languedoc. Tarif et htlon gratuits bois AUX CAVES DE VIN, à NARBONE CIGARETTES pour lecteur de ce journal, habitué à fumer la cigarette, ou habitué au cabat o n'mprt qll forme, et qui, pour raisons e santé ou autres, aimerait se débarrasser rpdmnt, fclmnt et pour toujours d cette haitude, peut eoy un livre eennt de lécrire E. . Wds LECTEUR 1CT. Saint, boulevard, W.C. 1, ce livre, qui vaut son oid d'or, coûte 1 fr. et est envoyé gratis et en port gratuit. Je ne vois pas pourquoi, hasarda celle qui l'écoutait, vu vz certainement des amies sincères. Une seule, Edith, i ne me jalouse pas. Et un homme vous aime pour vous, bien pour vous, celuilà Je le is mais 'en parlons plus. N'en parlons lus, je vous en prie. Ada se mit au piano, excellente musicienne, elle joua tant que miss Harlanson le lui demanda. Puis elles cherchèrent un quatrième mains q'lls exécutèrent nsmbl, pr s'embrouiller la fin du morceau. Nerveuses autant l'une que l'autre, chacune pour des raisons différentes, ne pensant plu qu'à la réception des "Quarante-Huit" Peut-être ce soir
raisons de santé ou autres, aimerait se débarrasser rapidement, facilement et pour toujours de cette habitude, peut envoyer un livre enseignant de l'écrire E. J. Woods LECTEUR 1CT. Saint, boulevard, W.C. 1, ce livre, qui vaut son poids d'or, coûte 1 fr. et est envoyé gratis et en port gratuit. Je ne vois pas pourquoi, hasarda celle qui l'écoutait, vous avez certainement des amies sincères. Une seule, Edith, qui ne me jalouse pas. Et un homme vous aime pour vous, bien pour vous, celui-là? Je le dites, mais n'en parlons plus. N'en parlons plus, je vous en prie. Ada se mit au piano, excellente musicienne, elle joua tant que miss Harlanson le lui demanda. Puis elles cherchèrent un quatrième mains qu'elles exécutèrent ensemble, pour s'embrouiller la fin du morceau. Nerveuses autant l'une que l'autre, chacune pour des raisons différentes, ne pensant plus qu'à la réception des "Quarante-Huit" Peut-être ce soir même, May devrait opérer la rupture avec Gérard en compagnie du prince Grégory, et qui, sans rien savoir de précis, n'ignorait pas qu'un coup de théâtre allait avoir lieu, Ada se sentait prise par une émotion toujours croissante. Quant à madame Flory, habituée à se dominer, elle conservait une apparence tranquille contribuant peut-être à enrager l'irascibilité de sa fille qui, de son côté, se contenait pour ne pas la troubler. Pourtant la pauvre femme cachait une agitation extrême. De ce qu'elle avait pu saisir, dans la trame ourdie contre celui qui allait bientôt épouser son enfant, des questions qu'elle avait posées et des réponses qu'on lui avait faites, il résultait, sans qu'elle pût en douter, que ce Piffre, l'âme damnée de l'Astorg, était celui qui se rendait coupable, du rapt de sa propre fille, l'homme qu'elle aimait jadis jusqu'à la folie, par qui elle se laissait enlever, contraignant ainsi son père à consentir une union qu'il réprouvait. (à suivre) Echo de l'Opinion. Nous avions lu, ensemble, après un fin déjeuner, où nous avons arrosé d'un doigt de bourgogne, l'office des vêpres, car en ce dur pays réformiste, les chapelles catholiques sont rares et nous ne provions pas rendre chez l'abbé
raisons de santé autres, aimerait se débarrasser rapidement facilement et pour tjrs e cette habitude, peut envoyer n livre enseignant d lécrire E. J. Woods LECTEUR C. Saint, boulevard, W.C. 1, ce livre, qui vt son poids d'or, coûte 1 fr. et est envoyé gratis et en port gratuit. Je ne vois pas pourquoi, hasarda celle qui l'éctt, vs avez ceiment dse amies snère. Une seule, Edith, q n me jalouse pas. Et n hme vs aime pr v,uos bien pour , celui-là? Je le dites, mai nen parlons plus. N'en prlns plus, je vous en prie. Ada mit au piano, excellente musicienne, elle joua tant que miss Harlanson le lui demanda. Puis elles cherchèrent n quatrième mains u'es exécutèrent ensemble, pour s'embrouiller la fin du morceau. Nerveuses aant lu que l'autre, chacune pour ds raisons différentes, ne pensant pls quà la réception des "Quarante-Huit" er-Pêutet ce soir emê,m May devrait opérer la rptr ac Gérard en compagnie du e Grégory, et qui, sans ri savoir de précis, nignorait pas qu'un pocu de théâtre llt avoir lieu, Ada se sentait prise par une émtn toujours crssnt. Quant à madame Flory, habituée à se dmnr, elle conservait une apparence tranquille contribuant peutêtre à enrager 'icit de sa le qui, e son côté, se contenait pour ne pas la troubler. Pourtant l pauvre femme itahcac une agitation extrême. De ce qu'elle avait p saisir dans la te ourdie contre celui qui allait bientôt épsr son enfant, des questions qu'elle avait oss et des réponses oun'q lui aai fts, il résultait, sns qu'elle pût en douter, que ce Piffre, l'âme damnée de 'Astg était celui qui se rendait coupable, du rapt de sa propre fille, l'homme qu'elle aamtii jadis j' la folie, par qui elle se laissait nl contraignant aiins osn père à cnsntr une union qu'il rpruit (à suivre) hEco de 'pliOino.n os avions lu, ensemble, après un fin déjeuner, où nous avons arrosé d'un doigt de bourgogne, l'ffc des evê,prs car en ce dur pays réformiste les chapelles catholiques sont rares et nous ne provions pas rendre chez l'abbé
tranquille contribuant peut-être à enrager l'irascibilité de sa fille qui, de son côté, se contenait pour ne pas la troubler. Pourtant la pauvre femme cachait une agitation extrême. De ce qu'elle avait pu saisir, dans la trame ourdie contre celui qui allait bientôt épouser son enfant, des questions qu'elle avait posées et des réponses qu'on lui avait faites, il résultait, sans qu'elle pût en douter, que ce Piffre, l'âme damnée de l'Astorg, était celui qui se rendait coupable, du rapt de sa propre fille, l'homme qu'elle aimait jadis jusqu'à la folie, par qui elle se laissait enlever, contraignant ainsi son père à consentir une union qu'il réprouvait. (à suivre) Echo de l'Opinion. Nous avions lu, ensemble, après un fin déjeuner, où nous avons arrosé d'un doigt de bourgogne, l'office des vêpres, car en ce dur pays réformiste, les chapelles catholiques sont rares et nous ne provions pas rendre chez l'abbé de Boursault, qui officie le dimanche pour quelques-uns d'entre nous. Mes chers enfants, nous dit ensuite, allez vous promener un peu. Le temps est doux, le ciel clair, le soleil agréable. Je me sens très bien, j'ai un peu sommeil et je vais me reposer en faisant la méridienne dans mon fauteuil. Ne rentrez pas trop tard, car M. Berson veut nous faire router son fameux chocolat des Antilles pour le plus grand bonheur de mon Ethel. Elle était si calme, avait l'air si reposé, et heureux, que nous partîmes, Ethel et moi, en dévisant comme deux vieux amis. Naturellement, nous parlâmes de Laure. Ethel sait que je l'aime. Elle l'aime, depuis longtemps déjà, comme une sœur. Nous allâmes ainsi, marchant et dévisant, sans nous douter qu'en notre humble logis, la mort venait de déployer son suaire. Et puis, nous parlâmes de Jacqueline. Savez-vous, me dit Ethel, que je vous crois un peu sorcier, mon cousin? Notre bon abbé de Boursault et le docteur Abraham s'émerveillent de la transformation qui s'est opérée en elle. Elle renaît à la vie: ses crises d'étouffement, ses spasmes, sont bien moins qu'autrefois fréquents, elle parle d'avenir, elle se reprend à espérer. Vous avez été
tranquille contribuant peut-être nrar 'irascibilité de sa fll qui, ed so côté, se contenait pour ne pas la troubler. Pourtant l pauvre femme cachait une agitation extrême. De ce qu'elle avait pu saisir, dans la trame ourdie contre celui qui allait bientôt épouser son nft, ds questions qu'elle avait posées et des réponses quon lui avait es il résultait, sans qull pût en douter, que ce Piffre l'âme damnée de l'Astorg, étt celui ui se rendait coupable, du rapt de sa propre fll, 'homme qu'elle aimait jadis jusqu'à la folie, par qui elle se laissait enlever, contraignant ainsi son père à consentir une union q'i réprouvait. (à suivre) h de lOii. Nous avions l, ensemble, après un inf déjeuner, où nous vs arrosé d'un doigt de bourgogne, loffice des vêpres, car en ce dur pays réformiste, ls chplls catholiques sont rars et nu ne provions pas rendre chez l'abbé d Boursault, officie le manhe pour qlqs-ns d'entre nous. Mes chers enfants, nous dit ensuite, le vous meperonr un peu Le temps est doux, l ciel clair, le soleil agréable. Je me enss très bi, 'ai un peu sommeil et je vasi em reposer en faisant la mérdnn dans mo fauteuil. Ne rentrez ps trp tard car M. Berson ut nous faire router son fameux chcla des Antilles pour le plus grand bonheur de mon Ethel. Elle t si clm, avait l'air si reposé, t heureux, q ns prtîms, Ethel et moi, en dévisant comme deux iexuv amis. Naturellement, nous parlâmes d Laure. lhEet sait que je l'aime. ll l'aime, depuis longtemps déjà, cmoem une . Nous allâmes nsi marchant et dévsnt, sans unos douter quen notre humble logis, la mort venait d déployer son suaire Et puis, u parlâmes de Jacqueline. Savez-vous, me dit Ethel, q je vous crs un peu scier mon cousin? re bon abbé de Boursault et l ceu Abraham s'émerveillent de l nmftiaorrsnota qui s'est opérée en elle. Elle renaît à la vie: ses crises d'étouffement, spsms, sont moins q'trfs fréquents, elle parle d'vnr, elle se reprend à espérer. Vous avez été
mon fauteuil. Ne rentrez pas trop tard, car M. Berson veut nous faire router son fameux chocolat des Antilles pour le plus grand bonheur de mon Ethel. Elle était si calme, avait l'air si reposé, et heureux, que nous partîmes, Ethel et moi, en dévisant comme deux vieux amis. Naturellement, nous parlâmes de Laure. Ethel sait que je l'aime. Elle l'aime, depuis longtemps déjà, comme une sœur. Nous allâmes ainsi, marchant et dévisant, sans nous douter qu'en notre humble logis, la mort venait de déployer son suaire. Et puis, nous parlâmes de Jacqueline. Savez-vous, me dit Ethel, que je vous crois un peu sorcier, mon cousin? Notre bon abbé de Boursault et le docteur Abraham s'émerveillent de la transformation qui s'est opérée en elle. Elle renaît à la vie: ses crises d'étouffement, ses spasmes, sont bien moins qu'autrefois fréquents, elle parle d'avenir, elle se reprend à espérer. Vous avez été l'instrument de ce miracle. Elle continuait ainsi, quand elle eut un brusque frisson. Rentrons, voulez-vous, me dit-elle. J'ai un peu froid. Et je ne voudrais pas donner la plus mince inquiétude à ma pauvre malade. Nous revînmes à pas vifs, et le court malaise qui avait étreint Ethel se dissipa comme au soleil de midi. Il était tout près de cinq heures quand nous tournâmes, sur l'Orangergacht, le coin de la Maison aux Piliers. Le soleil déclinant faisait le ciel tout rose. M. Berson, en nous voyant passer, nous montra d'un air triomphant une grande chocolatière toute fumante. Oh ! que cela sent bon ! dit Ethel. Elle monta l'escalier, légère comme un oiseau dans sa fraîche robe de voile de laine. Elle poussa la porte, se retourna vers moi avec un sourire et un doigt fin sur ses lèvres. Chut ! Gérard, elle dort encore. Ne faisons pas de bruit. Je refermai doucement la porte et restai là, mon épée et mon chapeau au poing, prêt à les poser sur un meuble. Ethel, à pas légers, s'approcha du fauteuil et dit tout doucement Coucou ! C'est nous, petite maman ! Jacqueline ne répondit pas. Son visage était tourné vers
mon fauteuil. Ne rentrez pas trop tard car M. Berson v nous faire router son fameux hoat des Antilles pour le plus grand bonheur e mon Ethel. llEe était si calme, avait l'air si reposé, heureux, que nous partîmes, thl et moi, en dévisant comme deux vieux amis. Naturellement nous parlâmes de Laure. lEteh sait que je l'aime. Elle l'aime, depuis longtemps déjà, comme une sœur. Nous allâmes ns, mrchnt et tsévidna, sans ns douter qu'en note humble logis, la mort venait de déployer son ur Et sipu, nous parlâmes de Jacle. Savez-vous, me dit Ethel que je vus crs un p sorcier, mon cousin? Notre bon abbé de Boursault et le docteur Abraham riéletesnm'lve d la transformation qui st'es opérée en elle. Elle renaît à la vie: ses crises d'étouffement, ses spasmes, sont bn moins qu'autrefois fréquents, ll parle d'avenir, elle se reprend à ersépr.e Vous avez été l'nstrmnt de ce miracle. Elle continuait ainsi, quand ee t n brusque frisson Rentrons, voulez-vous, me dit-elle. J'ai un peu froid. Et je ne vdrs p donner la plus mince qdétnieiuu à ma pauvre malade. Nous revînmes à p vifs, et le court malaise qui avait étreint tEhle se dissipa comme au soleil de midi. Il t tout près ed qnic heures quand nous tournâmes, sur l'Orangergacht, le coin de la Maison aux Piliers. Le soleil déclnnt faisait le ciel tout rose. M. Berson en nous vynt passer, nous montra dun air triomphant ne grande chocolatière toute fmnt. Oh ! que cela snt bon ! dit thl. ll monta l'escalier, légère comme un oiseau dans s arfcîhe rb de voile d laine. Elle poussa la prt, s eor vers moi avec n sourire t un oidtg fin sur ses .eèrlsv Chut ! Gérrd, elle dort encore. Ne faisons pas de bruit. Je refermai doucement la prt et restai là, mon pe t mon chapeau au poing, prêt à les poser sur un meuble. Ethel, à pas légers, s'approcha d fauteuil et dit tout doucement Coou C'est nous, petite maman ! Jacqueline ne répndt n visage était tourné vers
comme au soleil de midi. Il était tout près de cinq heures quand nous tournâmes, sur l'Orangergacht, le coin de la Maison aux Piliers. Le soleil déclinant faisait le ciel tout rose. M. Berson, en nous voyant passer, nous montra d'un air triomphant une grande chocolatière toute fumante. Oh ! que cela sent bon ! dit Ethel. Elle monta l'escalier, légère comme un oiseau dans sa fraîche robe de voile de laine. Elle poussa la porte, se retourna vers moi avec un sourire et un doigt fin sur ses lèvres. Chut ! Gérard, elle dort encore. Ne faisons pas de bruit. Je refermai doucement la porte et restai là, mon épée et mon chapeau au poing, prêt à les poser sur un meuble. Ethel, à pas légers, s'approcha du fauteuil et dit tout doucement Coucou ! C'est nous, petite maman ! Jacqueline ne répondit pas. Son visage était tourné vers la fenêtre, ses mains croisées. Oh ! dit tristement Ethel à voix basse, elle a pleuré. Voyez, Gérard, ces larmes. Elle avança la main pour les essuyer de son petit mouchoir et, tout à coup, elle recula, me regarda comme une folle, lâcha son mouchoir, et elle dit, comme si elle étouffait Gérard. Je la reçus dans mes bras. Quoi ? Qu'il y a-t-il ? dis-je. Gérard, regardez, elle ne respire plus, c'est fini. MADAME. Si vous êtes affligé de PORES DILATÉS POINTS NOIRS NEZ LUISANT PEAU HUILEUSE il est plus que probable que vous vous servez d'une poudre de riz qui ne vous convient pas: c'est l'avis d'un dermatologue diplômé de la Faculté de Paris. Vous pouvez l'arrêter de remédier à ces défauts ai désagréments, en employant la poudre Tokalon. Grâce à sa composition toute spéciale, cette poudre donne à la peau une perfection nouvelle et au teint un renouveau de fraîcheur. C'est probablement la seule poudre qui ait la propriété de rendre la peau un grain merveilleusement fin et exempt de tout reproche. Si au bout d'une seule boite, vous n'en avez pas la preuve sur votre peau, le prix d'achat vous sera remboursé sur simple demande. Un
comme au soleil de midi. Il était tout près d cinq heures quand ns tournâmes, sur l'Orangergacht, le coin de la Maison aux Piliers. Le soleil déclinant faisait le ciel tout rose. M. Berson, en nous voyant passer, nous montra dun air triomphant une grande chocolatière toute fumante. Oh ! que ela sent bon ! dit Ethel. Elle monta lescalier légère comme un oiseau dans sa fraîche robe de voile de laine. Elle poussa la porte, se retourna vers moi avec un sourire et un doigt fin sur ses lèvres. Chut ! Gérard, elle dort encore. Ne faisons pas de bruit. Je refermai douent la porte et restai là, mon épée et mon chapeau au poing, prêt à les poser sur un meuble. hl, à pas légers, saprca du fauteuil et dit ttou doucement Coucou ! C'est nous, etite maman ! Jacqueline n répondit pas. Son visage était tourné vers a fenêtre, ses mains croisées. Oh ! dit tristement Ethel à voix basse, elle a pleuré. Voyez, Gérard ces larmes. Elle avança al main pr les essuyer de son petit mouchoir et, tout à coup, ele recula, me rgrd comme une folle, lâcha on mouchoir, t elle dit, comme si elle étouffait Gérard. Je la userç dans mes bras. Quoi ? Qu'il y a-t-il ? dis-je. Gérard, regardez, elle ne respi plus, c'e fini MADAME. Si vous êtes affligé de PORES DILATÉS POINTS NOIRS NEZ LUISANT PEAU HUILEUSE il est plus que probable que vous vous servez d'une poudre de riz qui ne vous convient pas: c'est l'vs d'un dermatologue diplômé de la Faculté de Paris. Vous pouvez l'arrêter remédier à ces défauts ai désagréments en employant la poudre Tokalon. Grâce à sa composition toute spéciale, cette poudre donne la peau une perfection nouvelle et au teint un ouvea de fraîcheur. C'est prbblmnt la seule pdr qui ait la propriété d rendre la peau un grain merveilleusement fin et ext de tout reproche Si au bout d'une el boite, vous n'en avez pas la e sur vtr peau, le prix d'achat vous sera remboursé sur simple demande.
elle étouffait Gérard. Je la reçus dans mes bras. Quoi ? Qu'il y a-t-il ? dis-je. Gérard, regardez, elle ne respire plus, c'est fini. MADAME. Si vous êtes affligé de PORES DILATÉS POINTS NOIRS NEZ LUISANT PEAU HUILEUSE il est plus que probable que vous vous servez d'une poudre de riz qui ne vous convient pas: c'est l'avis d'un dermatologue diplômé de la Faculté de Paris. Vous pouvez l'arrêter de remédier à ces défauts ai désagréments, en employant la poudre Tokalon. Grâce à sa composition toute spéciale, cette poudre donne à la peau une perfection nouvelle et au teint un renouveau de fraîcheur. C'est probablement la seule poudre qui ait la propriété de rendre la peau un grain merveilleusement fin et exempt de tout reproche. Si au bout d'une seule boite, vous n'en avez pas la preuve sur votre peau, le prix d'achat vous sera remboursé sur simple demande. Un certificat de garantie à cet effet se trouve dans chaque boîte. La Poudre Tokalon se vend partout, SANTÉ digestive donne une merveilleuse proprete, claire et limpide calmant la SOIF avec peu de liquide Le flacon de verres 2 fr. le 500 verres 4 fr. Chez Pharmaciens, Epiciers, Droguistes Vente en gros N. PERROT-SANTÉ digestive, VORO Off (ancienne) Dépôt 53, Avenue de la République. PARIS OFFICIERS MINISTERIELS VENTE semaine, sur l'Île de la Cité, Jeudi 19 octobre 1911 11 heures 9 Aï et 2 heures, Ramus, 2 h., Maison neuve. Infinium 16. Revue actuelle environ. M. à partir de 46,725. S'adresser: reçu, Avouer, École St-Denis Béculin, Depeaux, Dumesnil, Laverne, avenue Hussenot-Descennes, notaire, Des Tréynes, avoué judiciaire. DE L'ILIUM infirmier Terrain boisés à l'80 ter me. Fait paiement en espèces, écrire M. Katar, syndic à Porte Saint-Denis. Pour visiter le Bureau du Parc de la flambanterie, à Bures. Adj. étude Mme Gaillard, neuve, Deuil (S.-et-O.), le 5 octobre, à 14 h. TVDB III Mètre, divisés en 70 mètres 70 LIGNE en feu, à CARS-MONTOYNECY, route de St-Leu, à 5 min. de la gare Englebert. M. à partir de 11 h à 15 fr. le m. Maison bourgeoise, à Beaumont-s.-Oise, 7, r. République.
ll étouffait Gérard. Je la reçus dans mes bras Q ? 'l y a-t-il ? dis-je. Gérard, regardez, elle ne respire plus, c'est fi MADAME. Si vs êtes fflgé de PRS DILATÉS POINTS NOIRS NEZ LUISANT PEAU HUILEUSE l est plus que probable que vous vous servez d'une poudre de riz qui n vous convient ps: c'est l'avis d'un eolegatmurdo diplômé de la Faculté de Paris. Vous pouvez l'arrêter de remédier à ces défauts ai désagréments, en employant la poudre Tokalon. Grâce sa composition toute spécl, cette poudre donne à la peau une perfection nouvelle t au teint un renouveau de frîchr. C'est probablement la seule rdpeuo qui at la propriété de rendre la peau n grn merveilleusement fin et exempt de tout reproche. Si au bout d'une seule boite, vous n'n avez pas la preuve sur votre peau, le prix d'achat vous sera remboursé sur simple demande. Un certificat de garantie à cet tfefe se trouve dans chaque tbîeo. La Poudre Tokalon se vend partout, SANTÉ digestive donne une merveilleuse proprete, claire et edmiipl calmant la SOIF avec peu de liquide Le flacon de verres 2 fr. le 500 verres 4 fr. hezC rans, Epiciers, Droguistes Vente en gros N PERROT-SANTÉ digestive VORO Off (ancienne) Dépôt 53, Avenue de l République. PARIS OFFICIERS MINISTERIELS VENTE semaine, sur lÎle d la Cité, Jeudi 19 octobre 1911 11 uhrese 9 Aï et 2 hur Ramus, 2 Maison neuve. Infinium 16. Revue ctll environ. . à r de 46,725. S'adresser: reçu Avouer, École St-Denis Béculin Depeaux, Dumesnil, Laverne, avenue Hussenot-Descennes, notaire, Des Tréynes, avoué judiciaire. DE L'ILIUM ifirrmein Terrain boisés à l'80 tr me. Fait paiement en espèces, écrire M. Katar, syndic à Porte Saint-Denis. Pour visiter le Bureau du Parc ed la flambanterie, à Bures. Adj. étude Mme Gaid, neuve, Deuil (.-et-.), le 5 octobre, à 14 h. TVDB III Mètre, divisés n 70 mètres 70 LIGNE en fu à CARS-MONTOYNECY, route de St-Leu, à 5 min la gare Englebert. M. partir de 11 à 15 fr. l m. isn ugeoie à ea--ise 7 r. République
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gros N. PERROT-SANTÉ digestive, VORO ffO (ancienne) Dépôt 53, Avenue de la .libueupéqR PRS FFCRS MINISTERIELS VNT semaine, sur l'Île de la Cité, Jeudi 19 octobre 1911 11 heures 9 Aï et 2 heures, Ramus, h Maison neuve. Infinium 16. Revue actuelle environ M. partir de 46,725. S'drssr: reçu, Avouer, École StDenis Béculin, Depeaux, Dumesnil, Laverne, avenue Hussenot-Descennes, nt, Des éeryTns, avoué jdcr. DE L'ILIUM infirmier ri boisés à '80 ter me Fait pmnt en espèces écrire M. Katar, syndic Porte Saint-Denis. or visiter le Bureau du Parc de l nefte,ilaabrm à Bures. Adj. étude Gaillard, neuve, Deuil (S.-et-O.), e 5 octobre à 4 h. TVDB III Mètr, divisés en 70 mètres 70 LNE en feu, à CRS-MNTYNCY, route de St-L, à 5 mn. de la gare Englebert. . à partir de 11 h à 15 fr. m. Maison brgs, à Beaumont-s.-Oise, 7, . piq. Chantier. À dj. ét. Gibier, not. oct. n 28. HOTEL LUQUOIS, 36, rue lueGailum et boulevard du Temple, Cy. L'hôtel 15 oct. 1912 25 salles à mnsmr, billard 15 ,hc. réfectoire. Dépendances. Peut conv. à pension famille. Bouet, vn des ere 3 PNMTQS DE MARQUES Catalogue expédié franco sur demande G. WL, 12, rue Bleue, Paris (9e) VÊTURES 'ENFANTS 85 fr VELO Libre et frein équit. fr. DIX HEURES, 26, r Lecène HOTEL avec 20.000 fr. Vaud du Télégraphe, Raincy ou Epialg, loyer 950 fr. 300 fr. p. J., trvx. avec les d paiement. Rouen, 82, rue -DitSisna.en Je donne situation de 60 p. j. à 'un méng sérx da p. vin a.v. 5.000 r.f de garanties B. D. X. 100 litres). Rouchon, 82, rue Sa-Den Grande à vendre, baigne, petite maison, belle bout. pièces, Jard., eau, élctrcté, aff unique pour coiffeur, c,uehrob charcutier, et Rameaud, 42, avenue Maine, S.-et-O., face gare, ôCfRestauant, jardin m. fruits, potager, 80 p. vins, tupe aefir logis air. bien placée, à céder avec 100.000 fr. et L'ossuary, 14,1 boulevard Sébastopol. Peinture publicitaire t stores, gros clientèle, inventaire, Etablissements Bourgninaux, 8, boulevard Magenta. Dépôt de Tns, -coquet, bien situé, à ceder
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franco sur demande G. WEIL, ,12 rue Bleue, Paris (9e) VÊTURES D'ENFANTS 85 fr. VELO Libre t frein équit. 249 fr. DIX HEURES, 26, r Lcèn HOTEL v 20.000 fr. Vaud du Télégraphe Raincy ou Epinay-Village, loyer 950 fr. 300 fr .p J., travaux. avec les de paiement. Rouen, 82, rue Saint-Denis. Je donne situation de 6 p. j. à méng sérieux dans Dép. vin. .. 5.000 fr. d garanties B(. D. X. 100 litres). Rouchon, 82, rue Saint-Denis. Grande à vendre, baigne, ptt son, belle bout. pièces, Jad, eau, électricité, aff. unique pour coiffeur, boucher, charcutier, etc. Rameaud, 42, avenue Maine, S-O., efac gare, Hôtel-Café-Restaurant, jardin m. fruits, potager, 80 p. vins, peut faire logis r. bien placée, à céder avec 100.000 fr. et L'ossuary, 141, boulevard Sébastopol. Peinture publicitaire et stores, gros clientèle inventaire, Etablissements Bourgninaux 8, boulevard Magenta. Dépôt de Tins, -coquet, bien situé, à ceder avec 100.000 fr. Etablissements Bourgninaux, 8, boulevard Magenta. Banlieue près de Paris, très habitué l'hiver. Bon Tabac, en face grand mrché cuisine, beaucoup d buvette, loyer 600 fr. Jolie situation, travail froéc. Avec francs. Intérêts avant. Paul, 34, r Bivoli. Banlieue pêche Hôtel Vins-Billard, bien entretenu, cour grand jardin, boisés, arbres fruitiers, bien avec Maladie. Trvll bien. Paul, 34, rue Rivoli. Vinothèquebuvette pr. gare, bain, 5 salles, loyer 5 p., grande dép., belle terrasse, (écurie), 30 tabl., b. b ouijot., av. 20.000 fr. Lône Dépôt Vins-buvette, f. p. j. prv., 50 fr. 4 ,.P ait, 1er ord., à env. av Martin, 130, fg St-Dns. Je pris la mani de cire de Jacqueline, je la soulevai Elle s'affaissa. Ethel leva les bras au ciel et elle émit un cri si affreux, si ht que mo cœur tremble en m à l'évoquer. Maman! M chère maman Ma petite maman! Elle s'était jetée sur la morte. Elle éreignait Elle baisait son front glacé, ses yx clos ù raloientu deux grosses larmes. Il me fallut toue ma force pour lne' errhaca.r Ethel, l ds-j, ma petite sœr. Ah Gérard, spr-t-ll. Et elle s'ffss dans mes srba, comme un oiseau, dans les slip légers de
arbres fruitiers, bien avec Maladie. Travaille bien. Paul, 34, rue Rivoli. Vinothèque-buvette, pr. gare, bain, 5 salles, loyer 5 p., grande dép., belle terrasse, (écurie), 30 tabl., b. bén. ouijot., av. 20.000 fr. Lône Dépôt Vins-buvette, f. p. j. prouv., 50 fr. 4 P., ait, 1er ord., à env. av Martin, 130, fg St-Denis. Je pris la main de cire de Jacqueline, je la soulevai. Elle s'affaissa. Ethel leva les bras au ciel et elle émit un cri si affreux, si déchirant que mon cœur tremble en moi à l'évoquer. Maman! Ma chère maman! Ma petite maman! Elle s'était jetée sur la morte. Elle l'étreignait. Elle baisait son front glacé, ses yeux clos où roulaient deux grosses larmes. Il me fallut toute ma force pour l'en arracher. Ethel, lui dis-je, ma petite sœur. Ah Gérard, soupira-t-elle. Et elle s'affaissa dans mes bras, comme un oiseau, dans les plis légers de sa fraîche petite robe. Mais, émue aux cris, aux sanglots de la pauvre enfant, accourut aussi vite qu'elle le pouvait. Elle comprit, au premier coup d'œil ce qui s'était passé. Hélas dit-elle, pauvre mère, pauvre fille! Elle m'aida transporter Ethel sur son lit. Et pendant qu'elle lui prodiguait les soins les plus affectueux, je pris dans mes bras la dépouille mortelle de celle qui avait été Jacqueline de Perdricourt, comtesse de Sebarre, chanoinesse de Montsous-les-Eaux, noble dame de Saint-Léger-en-Yveline. Comme elle était légère! J'emportai avec un tendre respect cette pauvre chair inanimée vers sa couche funèbre, et je voulus lui mettre un crucifix dans les mains. Alors, je vis que dans sa paume elle tenait un papier serré. de le pris, et je lus ces mots: « Gérard, je meurs. Ethel. ». Ô pauvre âme, dis-je, en m'agenouillant au pied du lit, oui. Ethel sera ma sœur, ma petite sœur bien aimée. Je veillerai sur elle, sur sa vie, sur son bonheur. Je vous le jure, chère Jacqueline, sur la mémoire de ma pauvre maman. Jacqueline de Sebarre dort en paix. Et je lui ai fait faire de décentes funérailles. Sa tombe est creusée dans le cimetière des dames carmélites
arbres fruitiers, e avec Maladie. Travaille bien. Paul, 34, rue Rivoli. Vinothèque-buvette, pr. gare, bain, 5 slls, lyr p., a dép., belle terrasse ei(cr)é,u 30 tabl., . bén. , av. 20.000 fr. Lôn Dôt Vins-buvette, f. . j. prouv., 50 fr. 4 P., ait, 1er ord à env. av Martin, 130, fg St-Denis. Je pris al main de cire de Jacqueline, je la soulevai. Elle s'affaissa. Ethel leva les bras au ciel et lle émit un cri s affreux, si déchirant euq mon cœur tremble en moi à l'éoqr Maman! Ma chère maman! Ma petite maman! Elle s'était jetée sr la morte. Elle l'étreignait. Elle baiat son front glacé, ses yeux clos où roulaient dx grsss les l me fallut toute ma force pour l'en arracher. Ethel, lui dis-je, ma petite sœr. Ah Gérard, spr-t-ll. Et elle s'affaissa dans mes bras, comme un oiseau, dans lse plis légers de sa cîaehfr petite robe. Ms, émue x cris, a sanglots de la pvr enfant, accourut aussi vi quee le pouvait. Elle comprit, au premier coup d'œil ce qui s'était passé. Hélas dit-elle, pauvre èmre, pauvre fille! Elle da'iam transporter Ethel sur s lit. Et pendant qeel'ul lui prodiguait les soins les plus affectueux je risp dans mes bras la dépouille mortelle de celle qui avait été Jcqln d Perdricourt, comtesse de Sebarre, chanoinesse de Montsous-les-Eaux, noble dame d Saint-Léger-en-Yveline. o elle était èégr!el 'emportai avec un tendre rspct cette pauvre chr inanimée vers sa couche funèbre, et je voulus lui mettre un crucifix dans les mains. Alors, vsi que dans sa paume elle tneiat un ppr serré. de le prs, et je lus ces mts: Gérard, je .emusr Ethel. ». Ô pauvre âme, dis-je, en m'agenouillant au pied du lit, oui. Ethel sera ma sœur, ma petite sœur bien aimée. Je veillerai sur elle, sur sa vie, sur son bonheur. Je vous le jure chère Jacqueline sur la mémoire de ma pvr maman. Jacqueline de Sebarre dort en paix. t je lui ai fait faire de décentes funérailles. Sa tombe est creusée dans le cimetière des dames carmélites
les plus affectueux, je pris dans mes bras la dépouille mortelle de celle qui avait été Jacqueline de Perdricourt, comtesse de Sebarre, chanoinesse de Montsous-les-Eaux, noble dame de Saint-Léger-en-Yveline. Comme elle était légère! J'emportai avec un tendre respect cette pauvre chair inanimée vers sa couche funèbre, et je voulus lui mettre un crucifix dans les mains. Alors, je vis que dans sa paume elle tenait un papier serré. de le pris, et je lus ces mots: « Gérard, je meurs. Ethel. ». Ô pauvre âme, dis-je, en m'agenouillant au pied du lit, oui. Ethel sera ma sœur, ma petite sœur bien aimée. Je veillerai sur elle, sur sa vie, sur son bonheur. Je vous le jure, chère Jacqueline, sur la mémoire de ma pauvre maman. Jacqueline de Sebarre dort en paix. Et je lui ai fait faire de décentes funérailles. Sa tombe est creusée dans le cimetière des dames carmélites de la Perpétuelle Adoration. CONCOURS LÉPINE Hôtel S. G. rue U. Paris (16e), Noire Nure 71-30 et W-30. DEMANDES D'EMPLOIS Français 31 ans, sérieux, bonnes références, demande place employé. Paris, 154. Trav. comptable par chef comptable. Pris lieu sérieux, seconde ou rem. l'ord., bons soins. D., P. Parisien. M. oc., affaires exposées, importance parisienne, connaissant agriculture, animaux. Furieuses références connaissant Maroc, s'offre pour affaire sérieuse. Ecrire J'ètre Parisien, M. 79. AUTONOME. Fermier Belge, connaissant laiterie, cherche place gérant laiterie ou fromagerie environs Paris, avec famille travaillant. Ecrire M. 78. Petit jeune homme demi-sére, correspondance à demi-francs, et auteurs. E'cr. as. 1f. J. Parisien. Vantaiie taj. Samp. Eure, prend. enf. à raison, px mod. Ec M. 75 P. Parisien. Chef mécanicien breveté marine marchante, 32 ans, cherche emploi chef entretien pour une province. 2 charpentiers avec conn. partie fond cherche employ. tous travaux rattachant bois donnée menuiserie ou contrée environ. Ler. Richard, r. du Télégraphe, 3, 20. OFFRES D'EMPLOIS On demande deux apprétiresses mode. Bruxelles, 33, boulevard Boulevard, Aubervilliers, typographes Étes-vous Intel., cour, retraités, bien et désir, v. faire situation larg., indép. si oui, v. conv. gagn. 40 à 60 fr. p. J. dans n. réunies auc. con. spéc. exig.: mise
les plus affectueux, je pris dans mes bras la dépouille mortelle e celle qui avait été Jacqueline de Perdricourt, comtesse e Sebarre, chanoinesse d Montsous-les-Eaux, noble dame de inLen-Yvlne eComm elle était légère! J'emportai avec un n respect cette pauvre chair inanimée vers sa cch funèbre, t je voulus lui mettre un crucifix dans les mains. lrs, je vis que dans sa paume elle tenait un papier serré. de le pris, et je lus ces mots: « Gérard, je meurs. Ethel. ». Ô pauvre âme, dis-je, en m'agenouillant ua pd du lit, oui. Ethel sera m sœur, ma petite sœur bien aimée. Je veillerai sur ll, sur sa vie, sur son bonheur. Je vous le jure, chèr Jacqueline, sur la mémoire d ma pauvre maman. Jacqueline de Sebare rodt en a. Et ej lui ai fait faire de décentes funérailles. Sa tombe st creusée dans le cimetière des deams carmélites de la Perpétuelle Adoration. CONCOURS ENILÉP Hôtel S. G. rue U. Paris (6e Noire Nure 71-30 et W-30. DEMANDES D'EMPLOIS Fanç 31 ans, sérieux, nsenob références, demande place ploy. Paris, 154. Trav. comptable par chef cmptbl. Pris l sérx, seconde ou rem. l,d.r'o bons soins. D., .P Parisien. . oc., affaires exposées, ipn ariie cnnssnt agriculture, animaux. Furieuses références connaissant Maroc, s'offre pour affaire riue. Ecrire J'ètre Prsn, M. 79. TNM. Fermier Belge, connaissant laiterie, chrch place gérant latie ou frmgr environs Paris, avec mafllei travaillant. Ecrire M. 78. etiPt jeune homme demi-sére, oesdce à demifrancs et auteurs. 'cr. as. 1f. J. Parisien Vantaiie taj. Samp. Eure, prnd. enf. à raison, px mod. Ec . 75 P. Parisien. Che mécanicien evté marine marchante, 32 ns, cherche mpl chef entretien pour une iv.pnrceo 2 charpentiers aec conn. partie fond cherche employ suto travaux rattachant bois donnée menuiserie contrée environ Ler. Richard, r. du Télégraphe, 3, 0. OFFRES D'EMPLOIS On dmnd deux apisse mode. Bruxelles, 33, oeavlurdb Boulevard, Aubervilliers, typographes Étes-vous Intel., r, retraités bien t désir, v. faire situation larg., indép. si oiu, v. conv. gagn. 40 à 60 f.r p. J. dans n ruie auc. con. éc. exig.: mise
affaires exposées, importance parisienne, connaissant agriculture, animaux. Furieuses références connaissant Maroc, s'offre pour affaire sérieuse. Ecrire J'ètre Parisien, M. 79. AUTONOME. Fermier Belge, connaissant laiterie, cherche place gérant laiterie ou fromagerie environs Paris, avec famille travaillant. Ecrire M. 78. Petit jeune homme demi-sére, correspondance à demi-francs, et auteurs. E'cr. as. 1f. J. Parisien. Vantaiie taj. Samp. Eure, prend. enf. à raison, px mod. Ec M. 75 P. Parisien. Chef mécanicien breveté marine marchante, 32 ans, cherche emploi chef entretien pour une province. 2 charpentiers avec conn. partie fond cherche employ. tous travaux rattachant bois donnée menuiserie ou contrée environ. Ler. Richard, r. du Télégraphe, 3, 20. OFFRES D'EMPLOIS On demande deux apprétiresses mode. Bruxelles, 33, boulevard Boulevard, Aubervilliers, typographes Étes-vous Intel., cour, retraités, bien et désir, v. faire situation larg., indép. si oui, v. conv. gagn. 40 à 60 fr. p. J. dans n. réunies auc. con. spéc. exig.: mise an cour, fraternité imm. Se préd. I. les j. de 9 à 11 et 2 à 5. Paris-Pont-de-la-Chapelle, 92, avenue Montgolfier. Représentants demandés partout pour vendre aux fermiers météorologues et leurs produits. Vétérinaires. Ancienne maison Monart, pharmacien. Établissements J. Gaucher et Fils, à Tours. Lui ou pr mois gagn. chez soi, cap. ni con. spéc. Abonné, 19, Paris. R. P. Quincaillerie, 34, r. des Martyrs, dem. ARCHIVISTE et UN AIDE-COMPTABLE. On demande représentants, hommes, femmes, jeunes gens, pouvant s'occuper de placer à temps perdu Cycles et accessoires, machines à couvrir, voitures enf., horlogerie, chaussures, etc. Catalogue et instructions franco sur demande. Cyclet DEPREZ, 21, rue Meslay, Paris. Pour se créer sérieux revenus par de petits élevages lucratifs, écrire P.-B. Hice Oter, mieux (Calvados). Crandèry, Salon de l'Économie. Chez soi, gros bénéfice d'automne par correspondance. École Publique F, Gabriel, Evreux, (SafT) et par le débutant pendant loisirs partout, très facile, garanti sur l'Écrit. P. W A., r. St-Michel, Bruxelles. Crois gains et quit. empl. av. petite fabric. fac. façonnier, Mosnier, Villiers, Orne. Bons tourneurs parallèle et vertical font demandés à la Société RATEAU, 9, rue Carnot, à Pré-Salnt-Germain. Menuisiers stables, loirs assurés, Work in Menuiserie, Aube. pour faire confection menuiserie tissu.
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vlz-vs faire fortune ? Si oui, venez me voir avec 260.000 fr. Je vosu le prouverai. C. Reau, boulanger. S-Dnis, 4. Général-dentaire à ras-soul, bail 12 ans, 2 p. part au Dej, nt 6250 fr p.m. J. d'Orléans, négcnt, 43, rue Renad Hôtel rand Boulevards, n°, confort eenr,dm""o rptré ins. 900, net à enlever avec 250.000 fr et rue Tronchet. Ce sont marins de la Sainte-Odile qui l'ont prté en terre, selon une coutume du pays, les répondants de la t,more trustsetatea de sa uvret, de s bonté de as oi, marchaient devant son cercueil tête nue. C'étaient le docteur Abraham van Roëlls le frère de Maaris, Pieter van Ghelders, qui est luthérien, et l'abbé d Boursault. Nous n'étions pas nombreux, derrière ce cecue d'exilée, et ce fut une marche sinistre, sand le bref crépuscule de l'automne. Mais un p de soleil dorait encore le cimetière. Dans la chapelle, les iresceg étincelaient. L'abbesse, lmboemii et grave, reçut le corps, et la messe des otsrm se déroula, dans sa irloge funèbre. Ethel priait, comme peut prier une fille qui n'a eu encore qe mu'alor maternel pour remplir son cœr. Je demandai notre maître à tuos le rps éternel pour la rtm,eo et pour ceux dont je ne isup détacher mon souvenir. Cx ui gardent leurs mamans jusqu'à l'âg mûr ne ave point quelle douleur c'est de les perdre au seuil de acl'ledncose,e et pueqser dns l'enfance enco. Je me sentis affreusement fbl et misérable pendant de longues minutes. Et puis, soudain, derrière les voiles noirs tendus sur les grilles, nu chœu de voix féminines s'éleva, qui chntt l'amour divin, le repos l résurrection ndas la téceels lumière. t esl grilles roulèrent silencieusement sur lrs pondages. Huit sœurs pénétrèrent jusqu'à nous le vsg si bas dans ore de lrs voiles que nous n'en pûms gduinister aucun trt. Elles nern le cercueil sur lers épaules, et pénétrèrent dans le uchrœ grand ouvert. Tous nous tin à genoux sur ls dalles. L'orgue chntt, ns le chœur des ivox murmurantes. Au-ds de l'autel, o Christ agonisait sur sa croix. Sous
pour la morte, et pour ceux dont je ne puis détacher mon souvenir. Ceux qui gardent leurs mamans jusqu'à l'âge mûr ne savent point quelle douleur c'est de les perdre au seuil de l'adolescence, et presque dans l'enfance encore. Je me sentis affreusement faible et misérable pendant de longues minutes. Et puis, soudain, derrière les voiles noirs tendus sur les grilles, un chœur de voix féminines s'éleva, qui chantait l'amour divin, le repos éternel, la résurrection dans la céleste lumière. Et les grilles roulèrent silencieusement sur leurs pondages. Huit sœurs pénétrèrent jusqu'à nous le visage si bas dans l'ombre de leurs voiles, que nous n'en pûmes distinguer aucun trait. Elles enlevèrent le cercueil sur leurs épaules, et pénétrèrent dans le chœur grand ouvert. Tous nous étions à genoux sur les dalles. L'orgue chantait, dans le chœur des voix murmurantes. Au-dessus de l'autel, un long Christ agonisait sur sa croix. Sous son geste d'accueil et de pardon, la dépouille de Jacqueline traversa les groupes des religieuses agenouillées. Les grilles se refermèrent. Une autre porte s'ouvrit, pour nous permettre d'assister à la fin de la cérémonie. LOCATIONS KON MENSILEES G.aPp' à louer. Boute, 5, rue Jouveaux. Bout, et locaux, Jean, 6, r. St Lazare. Ingénieur civil, 3 pièces. École Technique, abonné P. o. V. U, rue Lafayette. À 1. suite local industriel, 7 a. bail, prox. place Républicaine. S'adresser M. L. D'Estournel, 25, rue du Temple, 25, Paris. Demande à louer usine 600 m. couverts bien éclairés, habitation, S., S.-A. VALLON, 187, rue du Temple, Paris. App' Op., École Technique, boulevard Roquette, 13, rue Vivienne, 23. ECHANGES D'APPARTEMENTS Echangerait, de maison près Ecole militaire, 1 ch., cuis, et entrée contre 2 ou 3 p. et cuis. Borne. Si, r. Amelot, Paris. ACHATS ET VENTE DE PROPRIETES À vendre terrain banlieue par lots, paiement par mois, facilité. X. bd Voltaire. Avons achetés propriétés provo offices Génie, de l'Élysée, 6, av., champs Élysées. Beau terrain 600 m² à vendre, près gare banlieue ouest. À vendre pavillon n°6, lib. 60 m², 3 p., cell., w.-c, jardin, puis 20.000 m². Peut être aménagé 7.000 m². Vairas,
pour la morte, t pour ceux dont je n puis détacher mon souvenir. Ceux qui gardent leurs mamans jusqu'à l'âge mûr ne savent pnt quelle douleur c'est de les perdre eiusl de ladolescence et eupserq dans l'enfance encore. Je me snts ffrsmnt faible et sée pendant de longues mnts. Et puis, sdn, derrière s vole noirs tendus sur les grilles, un chœur de voix féminines s'éleva, qui chantait l'amour divin, le repos en,étler la torurriécnse dans la céleste luière Et les grilles roulèrent silencieusement sur leurs pondages. Huit sœurs étèent jusqu'à suno le isa si bas dans l'ombre de leurs voiles, que nous n'en pûmes distinguer cn trt. Elles enlevèrent le cecue sur leurs épaules, et pénétrèrent dans le chœur grand ouvert. Tous nous étns gnx sur les dalles L'rg chantait, dans le chœur des voix mrmrnts. Au-dessus de l'tl, un long Christ agonisait usr sa croix. Sous son geste d'accueil et de pardon, la dépouille de Jacqueline traversa les groupes des religieuses agenouillées. Les grilles se refermèrent. Une autre porte s'ouvrit, pour nous permettre d'assister à a fin de la cérémonie. O KN MENSILEES G.aPp' à louer. Boute, 5, rue o.uveJaux Bout, t lcx, n , r. St Lazare. Ingénieur civil, pièces. École Technique, abonné . o. V. , rue Lafayette. À 1. suite local industriel, 7 a. bail, prox. place Républicaine S'drssr M L. D'Estournel, 25, rue du melpTe, 25, Paris. Demande à ourel usine 600 m. couverts bien éclairés, habitation, S., S.-A. A,LONLV 187 rue du el, Paris. App' Op., oecÉl Tchnq, boulevard Roquette, 13, rue Vivienne 23. ECHANGES DAPPARTEMENTS Echangerait, de maison près Ecole militaire, 1 ch., ui, et entrée contre ou 3 p. et cuis. Borne. Si, r. Amelot, Paris. ACHATS ET ETVNE DE PROPRIETES À vndr terrain banlieue par lots, paiement par mois, facilité. X. bd Vltr. Avons achetés roriéés provo offices Génie, de lÉlysée 6, av., champs Élysées. Beau terrain 600 m vedr, près gare banlieue ouest. À vendre pavillon n°6, lib. 60 m², 3 p., cell., w.-c, jrdn, puis 20.000 m². Peut être aménagé 7.000 m² Vairas,
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à Ethel. Et tout ça, elle m'a répondu, en s'appuyant sur mon bras. Gérard, mon cher frère, j'ai peur, j'ai peur qu'il n'ait raison. L'appel de la patrie 17 octobre. Nous sommes arrivés hier, avec la plus grande peine. Et sans Walsh, nous ne nous serions peut-être pas tirés facilement d'affaire. Mais il me faut noter ici brièvement ce qui nous est advenu durant ce long retour. Nous avions quitté Amsterdam le 1er octobre, à cinq heures du matin. Notre petit bagage embarqué, nous-mêmes, ma pauvre Ethel et moi, prîmes la venue place à bord de la Sainte-Odile. Jusqu'au 16 d'octobre, la situation ne fut guère troublée. Ethel était toute à sa douleur. Elle classait et rangeait les petits souvenirs qui lui viennent de sa mère chérie. Et j'avais soigneusement caché, dans un coin de la cale, la lettre de Pitt et les livres sterling, ainsi que tout ce qui aurait pu nous dénoncer. Vêtu selon le conseil de Walsh, en personne du commun, Ethel étant elle-même habillée en jeune fille du peuple, nous n'attirions point l'attention partout où nous passions. Quant à Richelet, intelligent et robuste, il rendait de précieux services à bord, en grand silence, selon sa coutume, car sauf en ce qui concerne mon service, il se dit 'pas lingé, ne me dis pas jour. Le voyage se poursuivait lentement. Nous avions pris de bons chevaux de balle à la poste d'eau, chaque fois que le vent faisait défaut, et quand la brise soufflait favorablement, nous remontions assez rapidement le courant sous l'étai de notre grande voile carrée. En une seule journée le 10 octobre nous couvrîmes vingt lieues. (A suivre,) Gaston Ch. RICHARD. REPRODUCTION EXACTE OU CERTIFIÉ QUE L'ON VEUT POSSÉDER LES MAISONS VENDANT EXCLUVEMENT LES VÉRITABLES MONNAIES ETRANGERES REÇUES EN DÉPÔT AVEC INTÉRÊT BANQUE FRANÇAISE D'ÉSCOMpte et de CHANGE Bourse MAGENTA. PARIS TEL. NO. HD RENTRÉE DES CLASSES Demandez notre Catalogue no 13 d'Articles spéciaux provenant des Stocks STOCK OFFICE, R. de Belleville, PARIS NE MANQUEZ PAS L'EXPOSITION qui se tient actuellement dans les spacieux et luxueux salons RIBBY À 17 T C Aux Clients
à Ethel. Et tout ça, elle ma npor,éud n s'appuyant sur mon bras. éa,Gdrr mon he frère, j'ai peur, j'ai peur quil n'ait raison. L'appel de la patrie 17 octobre. Nous sommes arrivés hier, ceva la pls grande peine Et sns Walsh, ns ne nous serions peut-être pas tirés facilement d'ffr. Mais il m faut rntoe ici brèvmnt ce qui nous est advenu durant ce glon retour. Nous avions quitté Amsterdam le 1r octobre, à cinq heures du matin. Notre petit bagage embarqué, nous-mêmes, ma pauve Ethel et moi, prîmes l venue place à bord de la tlendi.-aOeiS Jusqu'au 16 d'octobre, la otuisitan ne fut guère trblé. Ethel était toute à s douleur. Elle csi et rangeait ls petits souvenirs qui l viennent de sa mère chérie. Et j'avais soigneusement caché, dans un coin de la cl, la lettre de Pitt et les livres sterling ainsi tout ce qui aurait pu nous dénoncer. Vêt selon le conseil de Walsh, e personne du commun, Ethel étant elle-même habillée en jeune fille du peuple, nous n'ttrns nt l'attention partout où nous passions. Quant à Rchlt, intelligent e robuste, l rendait de précieux services à bord, en grand silence, selon a coutume, sauf en ce q concerne mon service, il se dit pas lingé, ne me dis pas jour. Le voyage se poursuivait lentement Nous avions pris de bons eva de balle à la poste d'eau, chaque fois que le vent fst défaut, et quand la brise soufflait favorablement, nous remontions assez rapidement le courant sous létai de ntr grande lvoei carrée. En une sl journée l 10 octobre nous couvrîmes vingt u (A svr,) Gaston Ch. RICHARD. REPRODUCTION EXACTE OU CERTIFIÉ Q L'ON U POSSÉDER LES MAISONS VENDANT XCLVMNT VÉRITABLES MONNAIES ETRANGERES REÇUES EN DÉPÔT AVEC INTÉRÊT BANQUE FRNÇS D'ÉSCOMpte t de CHANGE Bourse MAGENTA. PARIS TEL. NO. HD RENTRÉE DES CLSSS Dmadz notre Catalogue no 13 dArticles spéciaux provenant des Stocks STOCK OC R. de Belleville, PA N MANQUEZ PAS L'EXPOSITION qui se tient actuellement dans les spcx et luxueux salons RIBBY À 17 C Ax Clnts
car sauf en ce qui concerne mon service, il se dit 'pas lingé, ne me dis pas jour. Le voyage se poursuivait lentement. Nous avions pris de bons chevaux de balle à la poste d'eau, chaque fois que le vent faisait défaut, et quand la brise soufflait favorablement, nous remontions assez rapidement le courant sous l'étai de notre grande voile carrée. En une seule journée le 10 octobre nous couvrîmes vingt lieues. (A suivre,) Gaston Ch. RICHARD. REPRODUCTION EXACTE OU CERTIFIÉ QUE L'ON VEUT POSSÉDER LES MAISONS VENDANT EXCLUVEMENT LES VÉRITABLES MONNAIES ETRANGERES REÇUES EN DÉPÔT AVEC INTÉRÊT BANQUE FRANÇAISE D'ÉSCOMpte et de CHANGE Bourse MAGENTA. PARIS TEL. NO. HD RENTRÉE DES CLASSES Demandez notre Catalogue no 13 d'Articles spéciaux provenant des Stocks STOCK OFFICE, R. de Belleville, PARIS NE MANQUEZ PAS L'EXPOSITION qui se tient actuellement dans les spacieux et luxueux salons RIBBY À 17 T C Aux Clients de Province, il sera envoyé sur demande, contre 0.75 en timbres-poste, une collection d'échantillons (spécifier la couleur et le vêtement désirés) ainsi que la MÉTHODE RIBBY pour prendre les mesures soi-même. TAILLEUR POUR DAMES ET MESSIEURS 11 & 13, Boulevard MONTMARTRE, PARIS AUCUNE SUCCURSALE au fond de la cour 23 Rue Fontaine. PARIS L'OBJET D'ART 5.000 BÂCHES– –l OCCASION COTON 1" qualité. carré 5 fr. (dimensions I FACILES D'EMBALLAGE, le kilo. 4.50 33, rue du Bourg-Tibourg n'a pas d'example qu'un cas de RHUMATISME GOUTTE SCIATIQUE LUMBAGO Maladies chroniques Varices, Phlébitis vit lunais résisté à l'emploi de BAUME DOCTEURS LE THERMOGÈNE guérit en une nuit GRIPPES, TOUX, RHUMATISMES, POINTS DE CÔTÉ, LUMBAGOS, etc. La boite 2 fr. 50 dans toutes les pharmacies L'image du Pierrot crachant le feu doit se trouver au dos de chaque boite 2, Rue du Pont-Neuf PARIS Succursale Place de Clichy. VÊTEMENTS CONFECTIONNÉS et SUR MESURE Hommes, Dames, Jeunes Gens, Fillettes et Enfants LES MEILLEURS TISSUS LA MEILLEURE COUPE LE MEILLEUR MARCHÉ Envoi franco sur demande de Feuille de Mesures, Catalogues et Échantillons Seules Succursales PARIS, Il Place de Clichy; LYON, MARSEILLE, BORDEAUX, MANTES, ANGERS, NANCY ON DEMANDE pour Paris représentant ayant clientèle bien introduite, pour manufacture
car sauf en c u cncrn on se,rveci il se dit 'pas lingé, ne m dis pas jour. Le voyage se poursuivait lentement. Ns avions pris de bons chevaux d balle à la poste d'eau, chau fois que le vent faisait défaut, et qnd la brise soufflait favorablement, ns remontions assez rapidement le courant sous l'étai de notre grande voile carrée. En une seule journée le 10 octobre nous cou vingt lieues. (A svr,) Gaston Ch. IAR. REPRODUCTION EXACTE OU CERTIFIÉ Q L'ON VEUT POSSÉDER LES MAISONS VENDANT EXCLUVEMENT S VÉRITABLES MONNAIES ETRANGERES REÇUES EN DÉPÔT AVEC INTÉRÊT BANQUE FRANÇAISE D'ÉSCOMpte et d CHANGE Bourse MAGENTA. PARIS TEL. NO. HD RENTÉ E ASE Demandez notre Catalogue no 13 d'Articles spéciaux provenant des Stocks STOCK OFFICE, R. de Belleville, PARIS NE MANQUEZ PAS LEXPOTN qui se tient actuellement dans les spacieux et luxuux salons RIBBY À 17 T C Aux Clients de Province, il sera envoyé sr demande, contre 0.75 n tmrste, un collection d'échantillons (spécifier la couleur et l vêtement ésrdé)is ainsi que la MÉTHODE RIBBY pour prendre les mesures soimême TAILLEUR POUR DAMES ET MESSIEURS 11 13, Blvrd MTARTR, PARIS AUCUNE SUCCURSALE au fond de la cour 23 Rue ntai. PRS L'OBJET D'ART 5.000 BÂCHES –l OCCASION COTON 1" qualité. carré 5 dsion FACILES D'EMBALLAGE, le kilo. 4.50 33, rue du Bourg-Tibourg n' pas d'example qu'un cas de RHUMATISME GOUTTE SCIATIQUE LUMBAGO Maladies chroniques Varices, Phlébitis vit lunais résisté à l'emploi ed BAUME DOCTEURS LE THERMOGÈNE girétu en une nuit GRIPPES, TOUX, RHUMATISMES, POINTS DE CÔTÉ, LUMBAGOS, tc. La boite fr. 50 dans toutes les pharmacies Liae du Pierrot crchnt le feu doit se trouver au dos de chaque oetbi 2, Rue du Pont-Neuf PARIS Succursale Pla de Clichy. VÊTMNTS CONECNÉ et SUR MESURE Hommes, es, Jeunes Gens, Fillettes et Enfants LES IERS TISSUS LA MEILLEURE COUPE LE MEILLEUR MARCHÉ Envoi franco sur demande de Fll de Mesures, Catalogues et Échantillons Seules ale PARIS, Il Plc d Clichy; YN,LO MARSEILLE, BORDEAUX, MANTES, ANGERS, NANCY ON DEMANDE pour Paris représentant ayant clientèle bien introduite, pour manufacture
Rue Fontaine. PARIS L'OBJET D'ART 5.000 BÂCHES– –l OCCASION COTON 1" qualité. carré 5 fr. (dimensions I FACILES D'EMBALLAGE, le kilo. 4.50 33, rue du Bourg-Tibourg n'a pas d'example qu'un cas de RHUMATISME GOUTTE SCIATIQUE LUMBAGO Maladies chroniques Varices, Phlébitis vit lunais résisté à l'emploi de BAUME DOCTEURS LE THERMOGÈNE guérit en une nuit GRIPPES, TOUX, RHUMATISMES, POINTS DE CÔTÉ, LUMBAGOS, etc. La boite 2 fr. 50 dans toutes les pharmacies L'image du Pierrot crachant le feu doit se trouver au dos de chaque boite 2, Rue du Pont-Neuf PARIS Succursale Place de Clichy. VÊTEMENTS CONFECTIONNÉS et SUR MESURE Hommes, Dames, Jeunes Gens, Fillettes et Enfants LES MEILLEURS TISSUS LA MEILLEURE COUPE LE MEILLEUR MARCHÉ Envoi franco sur demande de Feuille de Mesures, Catalogues et Échantillons Seules Succursales PARIS, Il Place de Clichy; LYON, MARSEILLE, BORDEAUX, MANTES, ANGERS, NANCY ON DEMANDE pour Paris représentant ayant clientèle bien introduite, pour manufacture de gants tissu. Ref. exigées. Écrire N° 580, Publicité Plantin, Lyon. CHEMISTE 38. rue de Mailshaft Les patients inscrits pour la première fois chez moi seront admis, Centre médico-pharmaceutique rancui. PLUS DE CHEVEUX BLANCS PLUS DE BARBES GRISES LE NIGER ayant de nombreuses relations capitalistes, disposant de grandes quantités de francs "en or, NE VOUS LAISSEZ! PAS TENTER PAR LE BON MARCHÉ CAR ÇA SERAIT AU DÉTRIMENT DE VOTRE BOURSE LA CAPITALISATION Entreprise privée, assurance va contre le contrôle de l'État année) 8, Rue Louis-le-Grand., PARIS BONS D'ÉPARGNE LES MIEUX GARANTIS Versements et Tirages mensuels RENSEIGNEMENTS GRATUITS AGENTS DE MANDÉS –À CREDIT BEAUX LITS FER ET CUIVRE COMPLÈTS, LITÉRIE DE QUALITÉ. Demander le catalogue n° 11 expédié franco sur demande affranchie à M. Henri WSILI rue MACHINES À ÉCRIRE À CREDIT LOCATION Demandez catalogue "P" envoyé franco à la MACHINE À ÉCRIRE, 6 bis, rue du 4-Septembre, PARIS CURE D'AUTOMNE Il est un fait reconnu, qu'à l'AUTOMNE comme au printemps, le Sang, dans le corps humain, suit la même marche que la sève chez les plantes, aussi entendez-vous tous les jours dire autour de vous « J'ai le sang lourd. Il est donc de toute nécessité de régulariser la Circulation
Rue Fontaine. PARIS L'OBJET D'ART 5000 BÂCHES– –l OCCASION COTON 1" qualité. carré 5 fr. (dimensions I FACILES D'EMBALLAGE, le kilo. 4.50 33, rue du ourg-rg n'a pas 'example qu'un cas de RHUMATISME GOUTTE SCIATIQUE LUMBAGO Maladies chroniques Varices, Phlébitis vit lunais résisté à l'emploi de BAUME DOCTEURS THERMOGÈNE guérit en une nt GRIPPES, TOUX, RHUMATISMES, POINTS DE CÔTÉ, LMBGS, etc. La boite 2 fr. 50 dans toutes pharmacies L'image du Pierrot crachant le feu doit se trouver au dos de chaque boite 2, Rue du Pont-Neuf PARIS Succursale Plc de Clchy. VÊTEMENTS CONFECTIONNÉS et SUR MESURE Hommes Dames, Jeunes Gens, Fillettes et Enfants LES MEILLEURS TISSUS LA MEILLEURE COUPE LE MEILLEUR MARCHÉ Envoi franco sur demade de Feuille de Mesures, Catalogues et Échantillons Seules Sccrsls PRS, Il Place de Clichy; LYON, MARSEILLE, BORDEAUX, MANTES, ANGERS, AC ON DEMANDE pour Prs représentant ayant clientèle bien ioit pour manufacture de gants tissu. Ref. exigées. Écrire N° 580, Publicité Plantin, Lyon. CHEMISTE 38. rue de Mailshaft Les patients inscrits pour la première fs chez moi seront admis, Centre médico-pharmaceutique rancui. PLUS DE CHEVEUX BLANCS PLUS DE BARBES GRISES LE NIGER ayatn de nombreuses relations capitalistes disposant de grandes quantités de francs "en or, NE VOUS LAISSEZ! PAS TENTER PAR LE BON MARCHÉ CAR ÇA SERAIT AU DÉTRIMENT DE VOTRE BOURSE LA CAPITALISATION Entreprise prvé, assurance va contre le contrôle de l'État ann) 8, Rue Louis-le-Grand., PARIS BONS D'ÉPARGNE LS MIEUX GARANTIS Versements et Tirages meeslsun RENSEIGNEMENTS GRATUITS AGENTS DE MANDÉS –À CREDIT BEAUX LITS FER ET CUIVRE COMPLÈTS, LITÉRIE DE QUALITÉ. Demander le catalogue n° 11 expédié franco sur demande affranchie à M. Henri WSL rue MACHINES À ÉCRIRE À CREDIT LOCATION Demandez catalogue "P" envoyé franco à la MACHINE À ÉCRIRE, 6 bis, rue du 4-Septembre, PARIS CURE D'AUTOMNE l est un at reconnu, qu'à l'AUTOMNE comme printemps, Sang, dans le corps humain, suit la même marche ue la sève chez les plantes, aussi ntndz-vs tous les jours dire autour de vous « J'ai le sang lourd. Il est donc de toute nécessité de réglrsr la Circulation
francs "en or, NE VOUS LAISSEZ! PAS TENTER PAR LE BON MARCHÉ CAR ÇA SERAIT AU DÉTRIMENT DE VOTRE BOURSE LA CAPITALISATION Entreprise privée, assurance va contre le contrôle de l'État année) 8, Rue Louis-le-Grand., PARIS BONS D'ÉPARGNE LES MIEUX GARANTIS Versements et Tirages mensuels RENSEIGNEMENTS GRATUITS AGENTS DE MANDÉS –À CREDIT BEAUX LITS FER ET CUIVRE COMPLÈTS, LITÉRIE DE QUALITÉ. Demander le catalogue n° 11 expédié franco sur demande affranchie à M. Henri WSILI rue MACHINES À ÉCRIRE À CREDIT LOCATION Demandez catalogue "P" envoyé franco à la MACHINE À ÉCRIRE, 6 bis, rue du 4-Septembre, PARIS CURE D'AUTOMNE Il est un fait reconnu, qu'à l'AUTOMNE comme au printemps, le Sang, dans le corps humain, suit la même marche que la sève chez les plantes, aussi entendez-vous tous les jours dire autour de vous « J'ai le sang lourd. Il est donc de toute nécessité de régulariser la Circulation du Sang, d'où dépendent la vie et la santé. Il faut faire une petite cure de six semaines environ avec la Jouvence de l'Abbé SOURY C'est surtout chez la Femme que cette nécessité devient une loi. En effet, la Femme est exposée à un grand nombre de maladies, depuis l'âge de la Formation jusqu'au Retour d'Âge, et nulle ne doit ignorer que la Jouvence de l'Abbé SOURY, préparée avec des plantes dont les poisons sont rigoureusement exclus, guérit toujours les Maladies intérieures Métrites, Fibromes, mauvaises suites de Couches, Tumeurs, Hémorragies, Leucorrhées et le régularise la circulation du Sang, fait disparaître les Varices, les Étourdissements, les Maladies de l'Estomac, de l'Intestin et des Nerfs. La Jouvence de l'Abbé SOURY les époques douloureuses, en avance ou en retard. Son action bienfaisante contre les différents Malaises et Accidents du RETOUR d'Âge est reconnue et prouvée par les nombreuses lettres élogieuses qui nous parviennent tous les jours. Il est bon de faire chaque jour usage de l'HYGIÉNITINE DES DAMES, La boîte, 4 fr. 40. La Jouvence de l'Abbé SOURY préparée à la Pharmacie Mag. DUMONTIER, à Rouen, se trouve dans toutes les Pharmacies, le flacon 6 fr., plus impôt. 0 fr. total • fr.
francs "en or, NE VOUS LAISSEZ! PAS NERETT PAR L BON MARCHÉ CAR AÇ SERAIT DÉTRIMENT DE VOTRE BOURSE LA CAPITALISATION Entreprise privée, uranc va contre le contrôle d l'État année) , Rue Louis-le-Grand., PARIS BONS D'ÉPARGNE LES MIEUX GARANTIS rseVtneesm t Tirages mensuels RENSEIGNEMENTS GRATUITS AGNT DE MANDÉS –À CRDT BEAUX LITS FER TE CUIVRE COMPLÈTS, LITÉRIE DE QUALITÉ. Demander le catalogue ° 11 expédié franco sur demande affranchie M. Henri WSL r MACHINES À ÉCRIRE À CREDIT LOCATION Demandez catalogue "P" envoyé facrno à la MACHINE À ÉCRIRE, 6 bis, rue du 4-Septembre, PRS CURE D'AUTOMNE Il est un fait reconnu, qu'à l'AUTOMNE comme au printemps, le Sang, dans le corps humain, suit la même marche que la sèv chez les plantes, ausi entendez-vous tous les jours dr autour de vous « J'ai le sang lourd. Il est dnc de toute nécessité de régulariser la Circulation du Sang, d'ù dépendent la v et la santé. Il faut faire une petite cure de six semaines environ avec la Jouvence de l'Abbé SRY C'est srtt chez la Femme que cette nécessité devient une loi. En effet, la Femme est exposée à un grand b de maladies, dps l'âge de la Formation jusqu'au Retour d'Âge, et nulle ne it ignorer ueq la Jouvence de l'Abbé SOURY, préparée avec ds plantes dont les poisons sont rigoureusement exclus, guérit toujours les Mlds intérieures Métrites, Fibromes, mauvaises sui de Cchs, Tumeurs, Hémorragies, Leucorrhées et le régularise la circulation du Sang fait disparaître les Varices, les Étourdissements les Maladies de l'Estomac, de l'Intestin et des Nerfs. La Jouvence de l'Abbé SOURY ls époques douloureuses, n avance ou en retard. Son action bienfaisante contre les différents Malaises t Accidents du RETOUR d'Âge et rcnn et prouvée par les nombreuses lettres oseélgeuis qui nous parviennent t les jours. Il tse bon de faire chaque ju usage d lHYGIÉNITINE DES DAMES, La boîte, 4 fr. 40. La Jouvence de l'Abbé URY préparée à la Pharmacie Mag. DUMONTIER à Rouen, s trouve as toutes les Pharmacies, le flacon 6 fr., plus impôt. 0 fr. total • fr.
de la Formation jusqu'au Retour d'Âge, et nulle ne doit ignorer que la Jouvence de l'Abbé SOURY, préparée avec des plantes dont les poisons sont rigoureusement exclus, guérit toujours les Maladies intérieures Métrites, Fibromes, mauvaises suites de Couches, Tumeurs, Hémorragies, Leucorrhées et le régularise la circulation du Sang, fait disparaître les Varices, les Étourdissements, les Maladies de l'Estomac, de l'Intestin et des Nerfs. La Jouvence de l'Abbé SOURY les époques douloureuses, en avance ou en retard. Son action bienfaisante contre les différents Malaises et Accidents du RETOUR d'Âge est reconnue et prouvée par les nombreuses lettres élogieuses qui nous parviennent tous les jours. Il est bon de faire chaque jour usage de l'HYGIÉNITINE DES DAMES, La boîte, 4 fr. 40. La Jouvence de l'Abbé SOURY préparée à la Pharmacie Mag. DUMONTIER, à Rouen, se trouve dans toutes les Pharmacies, le flacon 6 fr., plus impôt. 0 fr. total • fr. Bien exiger la Véritable JOUVENCE de l'Abbé SOURY qui doit porter le portrait de l'Abbé SOURY et la signature Mag. DUMONTIER en rouge. LE HUIS-CLOS RIVIERRE, 44, rue de Villiers, LEVALLOIS (Seine) ancien théâtre laboratoire. MALADIES SPEZIALES de deux sexes, guéries ou le contrôle d'ET MENS MICROSCOPIQUES et ANALYSES du SANG. de 9 à 4 h., de 15 à 20 h. et dimanche matin. Conseils gratuits par lettres discrètes aux malades trop éloignés. Institut SEROTHERAPIQUE. 96, RIVOLI, PARIS (Ceinture) B des deux sexes, atteints d'affections spéciales, allez (9 h-19 h) pour Analyse du sang. Cure intense de Néo. Uroculaire. Voir veines ou demander à l'Institut Médical, 55, B. Sébastopol, PARIS (Très discret) (Prix modérés)
de la Formation jusqu'au Retour d'Âge, et nulle n doit ignorer ue la Jouvence de l'Abbé SOURY, préparée avec dse plantes dont les poisons sont rigoureusement exclus, guérit toujours les Maades intérieures Métrites, Fibromes mauvaises suites de Couches, Tumeurs, Hémorragies, Leucorrhées t le réglrs a circulation du Sang, fat disparaître les Varices, les Étourdissements, ls Maladies de l'Estomac, de l'Intestin et des Nerfs. La Jouvence de l'Abbé SOURY ls épqs douloureuses, n avance ou en retard. Son action bienfaisante contre les différents Malaises et Accidents du RETOUR d'Âge est reconnue et prouvée par les nombreuses treestl élogieuses qui ns pveet tous les jours. l est bon de faire chaque jour usage de l'HYGIÉNITINE DES DAMES, aL boîte, 4 fr. 40. La Jouvence de l'Abbé SRY préparée la Pharmacie .gMa DUMONTIER, à Roun, se trouve dans toutes les Pharmacies, le flacon 6 fr., plus impôt. 0 fr. totla • fr. Bien exiger la Véritable JOUVENCE de 'Ab SOURY qui doit prtr le portrait d l'Abbé SOURY et la signature DUMONTIER en rouge. LE HUIS-CLOS RIVIERRE, 44, rue Villiers, LEVALLOIS (Seine) ancien théâtre laboratoire. MALADIES SPZLS de deux sexes, guéries ou le contrôle d'ET NEMS MCRSCPQS et ANALYSES du SANG. de 9 à 4 h de 15 à 20 h et dimanche matin. Conseils gratuits par lettres discrètes aux malades trop éloignés tiItsnut SEROTHERAPIQUE. 96, RIVOLI, PARIS (Ceinture) B ds deux sexes, atteints daffections spéciales, aez (9 h9-1 h) pr Analyse du sang. Cure intense d Néo. Uroculaire. Voir veines ou demander à l'Institut Médcl, 55, B. Sébastopol, PARIS (Très discret) Prix modérés)
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Deuxième année DÉCEMBRE 1894 N° 16 Pour les annonces, s'adresser à M. FOUILL, Président de la Société, Professeur au Lycée de Constantine SOMMAIRE 1. Membres nouvellement admis. S. Réunion du comité; — Procès-verbal de la séance du 3 décembre 1894. 3. Recettes et procédés. 4. Avis et communications diverses. 5. Nos illustrations. MEMBRES NOUVELLEMENT ADMIS • MM. BERNARD, sous-inspecteur des Forêts à Constantine, membre adhérent: ECOLAN, directeur de la maison Saint François à Constantine, membre adhérent. GODAR, capitaine d'Artillerie à Setif, membre correspondant. HAUVET, professeur au lycée, membre honoraire, devient membre adhèrent. ROSENTHAL, chef des travaux graphiques du Service géographique à Constantine, membre adhèrent. COMITÉ D'ADMINISTRATION Procès-verbal de la réunion du 3 décembre 1894 Le 3 décembre à 5 heures du soir, le Comité d'administration du Photo-Club, s'est réuni dans le nouveau local de la Société, rue du 17e Léger, n° 19. Étaient présents : MM. Pouill, président ; Rousselot, Lahache, Hémery, Lahiteau, membres, et Amat, secrétaire. S'étaient fait excuser et avaient envoyé leurs pouvoirs : MM. Désjardin et Lepage. L'ordre du jour porte : Correspondance; Distribution du local ; Présentation d'un locataire-concierge ; Installation de l'atelier de pose ; Questions et propositions diverses. M. le Président ouvre la séance. Il communique au Comité : 1* Une lettre de M. Evesque, pharmacien major, membre du comité. M. Evesque nous fait part de sa nomination à l'hôpital militaire de Batna; il désigne M. Lahache pour le remplacer en son absence, et nous donne une liste de futurs adhérents. 2* Une lettre de M. P. Montandon, membre du Photo-Club de Berne, qui demande à échanger des photographies de sites de la Suisse contre des vues d'Algérie. Sa demande sera insérée dans le Bulletin. 3* Une carte du Photo-Club Oranais, nous remerciant de l'envoi de notre Bulletin et des deux planches qui y étaient jointes. 4* Une lettre du Secrétaire de la rédaction du journal Le Quotidien illustré, 4, faubourg Montmartre, à Paris, demandant aux membres de notre Société des photographies d'actualité. 5* Une lettre de M. Richard, directeur du Comptoir général de photographies, 57, rue Saint-Roch, à Paris, nous annonçant l'envoi gratuit
Deuxième année DÉCEMBRE 1894 N° 16 Pour les annonces, s'adresser à M. FOUILL, Président de la Société, Professeur au Lycée d Constantine SOMMAIRE 1. Membres nouvellement admis. S. Réunion du comité; — Procès-verbal de la séance du 3 décembre 1894. 3. Recettes et procédés. 4. Avis communications diverses. 5. Nos illustrations. MEMBRES NOUVELLEMENT ADMIS • MM. BERNARD, sous-inspecteur des Forêts à Constantine membre adhérent: ECOLAN, directeur de la maison Saint François à Constantine, membre adhérent. GODAR, capitaine drllre à Setif, membre correspondant. HAUVET, professeur au lycée, membre honoraire, devient membre adhèrent. ROSENTHAL, chef des trxaauv graphiques du Service géographique à Constantine, membre adhèrent. COMITÉ D'ADMINISTRATION Prcès-vrbl de la réunion du 3 décembre 1894 L 3 décmbr à 5 heures du soir, le Comité d'administration du Photo-Club, s'est réuni dans le nouveau lcl de la Société, rue du 17e Léger, n° 1.9 Étaient présents : MM Pouill, président ; Rousselot, Lahache, eyér,Hm Lahiteau, membres, et Amat, secrétaire. 'ént fait excuser et avaient envoyé leurs pouvoirs : MM. Désjardin et Lea. L'ordre du jour porte : Correspondance; Distribution du local ; Présentation d'un catironcirg ; nstlltn d l'atelier de pose ; euQnssito et posi diverses. M. le Président ouvre la séance. Il communique au Comité : 1* Une lettre de M. Evesque, pharmacien major membre du comité. . sqeveEu nous fait prt d sa nomination à l'hôpital militaire de Batna; il désigne M. a pour le remplacer en son absence, et nous donne une itsle de futurs adhérents. 2* n lettre de M. P. Mntndn, membre du Photo-Club de Berne qui demande à échanger des porahes de sites de la Suisse contre des vues d'Algérie. Sa demande sera insérée dans le Bulletin. 3* Une carte du Photo-Club rna nous remerciant de l'nv de notre Bulletin et des deux planches qui y étaient jointes. 4* Une lettre du Secrétaire de la rédaction du journal Le Quotidien illustré, 4, faubourg Montmartre, à Paris, demandant aux membres de notre Société des photographies d'actualité. 5* Une lettre de M. Richard, directeur du Comptoir général de photographies, 57, rue Saint-Roch, à Paris, nous annonçant l'envoi gratuit
Il communique au Comité : 1* Une lettre de M. Evesque, pharmacien major, membre du comité. M. Evesque nous fait part de sa nomination à l'hôpital militaire de Batna; il désigne M. Lahache pour le remplacer en son absence, et nous donne une liste de futurs adhérents. 2* Une lettre de M. P. Montandon, membre du Photo-Club de Berne, qui demande à échanger des photographies de sites de la Suisse contre des vues d'Algérie. Sa demande sera insérée dans le Bulletin. 3* Une carte du Photo-Club Oranais, nous remerciant de l'envoi de notre Bulletin et des deux planches qui y étaient jointes. 4* Une lettre du Secrétaire de la rédaction du journal Le Quotidien illustré, 4, faubourg Montmartre, à Paris, demandant aux membres de notre Société des photographies d'actualité. 5* Une lettre de M. Richard, directeur du Comptoir général de photographies, 57, rue Saint-Roch, à Paris, nous annonçant l'envoi gratuit de la Revue trimestrielle du Comptoir. Il adresse également au président du Photo-Club un échantillon des "Stédiks" nouveaux coupe-épreuves ayant la forme et les dimensions d'une plume à écrire. Ce petit instrument est examiné par le Comité; il paraît très pratiqué. Il est regrettable que l'inventeur n'en ait pas donné le prix. 6* Une lettre du président du Photo-Club de Paris: nous informant qu'une seconde exposition d'art photographique, aura lieu à Paris en 1895. Il nous adresse un certain nombre d'exemplaires du programme de l'exposition. Les membres de notre société qui désireraient prendre connaissance de ce programme, n'auront qu'à en faire la demande à M. Pouill, notre Président. 7* Une lettre de M. Fleury-Hermagis, nous faisant connaître qu'il ne peut accorder aux membres du Photo-Club qu'une remise de 10 % sur les prix de son catalogue. Ce n'est qu'à titre exceptionnel qu'il a fait, il y a quelque temps, une remise de 20 % à un de nos membres. 8 Diverses circulaires et plusieurs catalogues qui seront classés parmi les archives. M. le Président dépose ensuite sur le bureau les publications suivantes qui lui ont été adressées et qui prendront place dans la bibliothèque : Le Bulletin de la Société
omiu au Comité : 1* Une t e M. Evesque, ernaachmpi major, mmbr du comité M. vsqe nous fait part de a nomination à l'hôptl militaire de Batna; il désigne M. Lahache pour le remplacer en son absence, et ns donne une lties de futurs érhdtesna. 2* Une lettre de M. P. Mntandn membre du Photo-Club de Berne, qui demande à échanger des potois ed tiess de Suisse contre es sevu d'Algérie. Sa demande sera insérée dans le Blltn. 3* Une carte du PhotoClub Oranais, osnu remerciant de l'envoi de notre Bulletin et des deux panes qui y étaient jointes. 4* Une ttleer du Secrétaire de la rédaction du journal Le Quotidien illustré, 4, faubourg Montmartre à Paris, demandant xau membres de notre Société des photographies d'actualité. 5* Une lettre ed M. Richard, rete du Comptoir géaréln de photographies, 57, rue Saint-Roch, à Paris, nous annonçant l'nv gratuit de la Revue imtrreesetill du Comptoir. Il adresse également au président du Pht-Clb nu échao des "Stédiks" nouveaux coupe-épreuves ayant la forme les dimensions d'une plume à écrire. Ce petit instrument est xmné par le Comité; l prît très pratiqué. Il est regrettable que 'inventeur n'en ait pas donné le ix. 6* Une lettre du président du Pht-Clb de Paris: nous informant qune seconde exposition d'art photographique, aura lieu à Paris en 1895. Il nous adresse un certain nombre d'exemplaires ud programme de l'exposition. Les membres de notre société qui raie prendre connaissance de c prgam, n'auront qu'à en faire la demande à M. Pouill, notre .sedérPtni 7* Une lttr de Flry-Hrmgs, nous faisant connaître qu'il ne put accorder aux membres d Photo-Club qu'une rms de 10 % sur les prix de son catalogue. C n'est qu'à titre exceptionnel q'l a fait, il y quelque temps, une remise de 20 à un de ns membres. 8 Diverses cclres et plusieurs catalogues qui srnt classés parmi ls archives. M. le Président dépose nst sur le bureau les publications suivantes qui lui ont été adressées et qui prendront place dans la bibliothèque : Le Bulletin de la Société
le prix. 6* Une lettre du président du Photo-Club de Paris: nous informant qu'une seconde exposition d'art photographique, aura lieu à Paris en 1895. Il nous adresse un certain nombre d'exemplaires du programme de l'exposition. Les membres de notre société qui désireraient prendre connaissance de ce programme, n'auront qu'à en faire la demande à M. Pouill, notre Président. 7* Une lettre de M. Fleury-Hermagis, nous faisant connaître qu'il ne peut accorder aux membres du Photo-Club qu'une remise de 10 % sur les prix de son catalogue. Ce n'est qu'à titre exceptionnel qu'il a fait, il y a quelque temps, une remise de 20 % à un de nos membres. 8 Diverses circulaires et plusieurs catalogues qui seront classés parmi les archives. M. le Président dépose ensuite sur le bureau les publications suivantes qui lui ont été adressées et qui prendront place dans la bibliothèque : Le Bulletin de la Société Hassalaise de Photographie, la Photo-Revue africaine, le Bulletin de la Société française, le Bulletin de la Société photographique de la Gironde, la Photographie, le Bulletin de la Société caenaise de photographie, la Photographie française, l'Indicateur photographique, l'Hélios et le Bolletino dell'associazione artisti di fotografia in Roma. Le Comité aborde ensuite la question du local. Il décide que tout le deuxième étage plus une chambre et une cuisine du premier seront exclusivement affectés au Photo-Club. La pièce du premier étage, servira de magasin pour les produits et les archives y seront déposées, la cuisine servira de laboratoire supplémentaire. Ce laboratoire est déjà installé. Le deuxième étage comprendra un atelier de pose, un laboratoire, un petit salon et une chambre obscure où sera placé l'appareil d'agrandissement et qui pourra servir aussi de laboratoire. Il reste disponible un logement de trois pièces et une cuisine, situés au premier étage. Ce logement sera sous-loué à un prix réduit, afin d'exiger du locataire l'engagement de servir de concierge. À ce sujet, M. le Président propose d'accepter les offres faites par un ouvrier de M. Meuser. Cet ouvrier donnerait 25 francs par mois pour le logement, sa femme serait concierge, elle tiendrait le local en bon
el prix. 6* Une lttr d président du Photo-Club de Paris: nous informant qu'une seconde exposition d'rt aqhroppiutgh,oe aura lieu à Paris en 58.19 Il nous adresse un certain nombre 'exemplaires d prgrmm de l'exposition. Les membres de ntr société qui désireraient prendre connaissance de e programme, n'auront qu'à en ire la demande à M. Pll, notre Président. 7 Une lttr de M. Fleury-Hermagis, nous faisant connaître qu'il ne peut orr aux membres du Photo-Club qu'une eriesm de 10 % sur les prix de son catalogue. Ce nest qu'à titre exceptionnel 'i a fait il y a ulueqqe em une remise de 20 % un de nos membres. 8 vrss circulaires et puu ctlgs qui seront classés ar els archives. M. le Président dépose nst sur e bureau els publications suivantes qui lui ont é adressées t q ednt place as la bibliothèque : Le Bulletin de la oécéiSt ssla de Photographie, la Photo-Revue africaine le Bulletin de la Société française, l Bulletin de l Société photographique de la Gironde, la Photographie, le Bulletin de l Société caenaise de phtgrph, la Photographie française, l'Indicateur photographique, l'Hélios et le Bolletino dell'associazione artisti di fotografia in Roma. Le Comité aborde ensuite la question du lcl. Il décide q tout le deuxième étage plus une chambre et une cuisine du premier seront exclusivement affectés Photo-Club. aL pèc du premier étg, servira de magasin pour ls produits et les archives y seront déposées, la cuisine servira de laboratoire supplémentaire. Ce laboratoire est déjà installé Le deuxième étage comprendra un atelier de pose, n laboratoire, un petit o et une chambre obscure ù sera plcé 'appareil d'agrandissement et qui pourra servir aussi de laboratoire. Il reste oile un logement de trois pièces et une cuisine, situés au premier étage. Ce logement sera sous-loué à un prix réduit, fn 'exiger du catair l'engagement de servir de concierge. À ce sujet, M. le Président propose daccepter e offres faites par un ouvrier de M. Meuser. Cet ouvrier donnerait 25 nfrcas par mois pour le logement, sa femme sreiat concierge, elle tiendrait le local en bon
la question du local. Il décide que tout le deuxième étage plus une chambre et une cuisine du premier seront exclusivement affectés au Photo-Club. La pièce du premier étage, servira de magasin pour les produits et les archives y seront déposées, la cuisine servira de laboratoire supplémentaire. Ce laboratoire est déjà installé. Le deuxième étage comprendra un atelier de pose, un laboratoire, un petit salon et une chambre obscure où sera placé l'appareil d'agrandissement et qui pourra servir aussi de laboratoire. Il reste disponible un logement de trois pièces et une cuisine, situés au premier étage. Ce logement sera sous-loué à un prix réduit, afin d'exiger du locataire l'engagement de servir de concierge. À ce sujet, M. le Président propose d'accepter les offres faites par un ouvrier de M. Meuser. Cet ouvrier donnerait 25 francs par mois pour le logement, sa femme serait concierge, elle tiendrait le local en bon état de propreté et distribuerait les produits en magasin aux membres de la Société. Le comité, considérant que, des décisions antérieures prises par lui et par la dernière assemblée générale, il résulte que la nouvelle installation a pour but d'avoir un local exclusivement affecté aux membres du Photo-Club, décide de retirer à M. Gondal, l'autorisation provisoire qu'on lui avait donnée, d'occuper une partie disponible du local; il accepte la proposition qui lui est faite et donne mandat à son président pour traiter dans ce sens. M. Rousselot est ensuite désigné pour diriger la construction de l'atelier de pose. Rendez-vous est pris pour le lendemain, afin de s'entendre avec MM. Cognon frères, successeurs de M. Lahiteau pour préparer un devis. Le Président présente ensuite au Comité deux magnifiques agrandissements 40/50 sur papier Morgan, représentant l'un un sous-bois (cliché de M. le Capitaine Gillol), l'autre des canards près d'un moulin (cliché de M. Rousselot). Ces agrandissements sont destinés à embellir le nouveau local. Il présente encore deux belles épreuves, représentant, l'une le pont naturel du Rhumel pris d'en amont, et l'autre un laboureur arabe. Le Comité félicite leur auteur et décide qu'elles seront jointes à un des prochains numéros du Bulletin. M.
la question du local. Il décide que tout le dxèm étage plus une hmbr et une cuisine d prmr seront exclusivement affectés au PhotoClub La pièce du premier ée, servira de magasin pour les produits et les archives y seront déposées, la cuisine servira de laboratoire spplémntr. Ce laboratoire est déjà installé. Le deuxième étage crna un atelier de ps, un laboratoire, petit salon et une chambre obscure où sera placé l'appareil d'agrandissement et qui pourra servir aussi de laboratoire. Il reste disponible un logement ed trois pècs et une cine situés au premier étage. e logement sous-loué à un prix réduit, afin d'exiger du locataire l'engagement de servir de concierge. À ce sujet, M le Président propose d'accepter ls ffrs faites par un ouvrier de M. Meuser. Cet vrr donnerait 25 francs par ms pour le logement, sa femme serait concierge, elle tiendrait le local en nbo état de propreté et distribuerait les prdts en magasin aux membres de l Société. Le comité, condéant que, des décisions antérieures prises par lui et par la dernière assemblée générale, il résulte que l nouvelle installation a pour but d'r un local exclusivement affecté x membres du Photo-Club, décide e rtrr à M. Gondal, l'autorisation provisoire on lui avait donnée, d'occuper une partie disponible du local; l ccpe la proposition q lui est faite et donne mandat à son président pour trtr dans ce sens M. Rousselot est nst désigné pour diriger la construction de l'atelier d pose. Rendez-vous est pris pour le lendemain, afin de s'entendre avec MM. Cognon frères, successeurs de M. Lahiteau pu rraeppér devis. Le Présdnt présente ensuite au Comité deux manf agrandissements 4050 sur papier Morgan, représentant 'un un sous-bois (cliché de M. le Capitaine Gillol), l'autre des canards près d'un moulin (clché de M. Rousselot). Ces agrandissements sont destinés à embellir le ueanvuo local. Il présente ncor deux belles é, représentant, 'une le pont naturel du Rhumel pris d'en amont et l'autre un laboureur arabe. Le Comité félicite leur auteur et décide quelles seront jointes à un des prochains numéros du Blltn. M.
retirer à M. Gondal, l'autorisation provisoire qu'on lui avait donnée, d'occuper une partie disponible du local; il accepte la proposition qui lui est faite et donne mandat à son président pour traiter dans ce sens. M. Rousselot est ensuite désigné pour diriger la construction de l'atelier de pose. Rendez-vous est pris pour le lendemain, afin de s'entendre avec MM. Cognon frères, successeurs de M. Lahiteau pour préparer un devis. Le Président présente ensuite au Comité deux magnifiques agrandissements 40/50 sur papier Morgan, représentant l'un un sous-bois (cliché de M. le Capitaine Gillol), l'autre des canards près d'un moulin (cliché de M. Rousselot). Ces agrandissements sont destinés à embellir le nouveau local. Il présente encore deux belles épreuves, représentant, l'une le pont naturel du Rhumel pris d'en amont, et l'autre un laboureur arabe. Le Comité félicite leur auteur et décide qu'elles seront jointes à un des prochains numéros du Bulletin. M. Lahache, voulant augmenter le nombre des épreuves documentaires dont le Bulletin a entrepris la publication, offre un certain nombre de photographies représentant divers quartiers de Constantine, il y a une quarantaine d'années. Le Comité remercie M. Lahache. Ces photographies seront reproduites en phototypie et jointes à divers numéros du Bulletin. L'ordre du jour étant épuisé et aucune nouvelle proposition n'étant faite, la séance est levée à 6 heures 3/4. M. le capitaine Rech qui remplissait avec un dévouement absolu les importantes mais ingrates fonctions de trésorier du Photo-Club depuis sa fondation a quitté Constantine; sa nouvelle résidence est Sétif. Le comité perd en lui un collaborateur actif, un collègue aimable et obligeant doublé d'un amateur fort distingué. Nous ne l'oublierons pas comme il a promis de ne pas nous oublier depuis qu'il a pris rang parmi nos membres correspondants. À bientôt de ses nouvelles. M. le pharmacien-major Evesque, appelé comme chef de service à l'hôpital militaire de Batna vient de nous quitter aussi, après un trop court séjour parmi nous. Mais il reste toujours notre collègue il continuera à collaborer à la rédaction de notre bulletin et la chimie photographique n'y perdra rien. PROCÉDÉS DE VIRAGE M. W. Ridler écrit
rtrr M. Gondal, l'autorisation provisoire qu'on lui avait donnée, d'occuper une partie disponible du local; li accepte a proposition qui lui st faite et donne mandat à sn président pour traiter dans ce sens. M. Rousselot st ensuite éindégs pour diriger la construction de eaeilt'rl de pose. Rendezvous est pris pour le lin in de s'entendre avec MM. Cognon e,sèrrf successeurs de M. Lahiteau pr préparer un devis. Le Président présente ensuite au Comité ex fusqgiaenim agrandissements 40/50 usr papier Morgan, représentant l'n un sous-bois (cliché de M. le Capitaine Gillol), l'autre des canards près d'un molin (cliché de M. Roselo. Ces agrandissements sont ené à embellir le nouveau local. Il présente encore deux belles épreuves représentant, l'une le pont naturel d Rhumel pris d'en amont, et te'raul un laboureur arabe. Le Cmté félicite lr auteur et décide qu'elles seront jointes à un des prochains urnoésm du Bulletin. M. Lahche, voulant augmenter le nombre des épreuves documentaires dont le Blltn entrepris la publication, offre un taicnre nombre de photographies représentant divers qrtrs de Constantine, il y a une quarantaine d'années. Le Comité remercie M. Lahache. Ces phois son reproduites en phototypie et jnts à divers numéros du Bulletin. L'ordre du jour étant épuisé et aucune nouvelle proposition n'étant faite la séance est lvé 6 heures /. M. le capitaine Rech q remplissait avec n dévouement absolu les importantes mais ingrates fonctions de trésorier du o-l depuis sa fondation a quitté anso;etntnCi sa nouvelle résidence est Sétif. Le comité prd i un collaborateur actif, un collègue aimable e obligeant doublé 'udn amateur fort distingué. Nous ne loblirons pas comme il a promis de ne pas nous oublier depuis q'l a pris rang prm nos membres correspondants. À bientôt de ses nouvelles. M. le acieam-rjhomrnpa vsq, pélpea comme chef de srvc à l'hôpital militaire de Btn vient de nous quitter aussi, après un trop court séjour pirma nous. Mais il st toujours notre collègue il continuera à aorobcelrl la rédaction de notre bulletin et la chimie photographique n'y perdra r PROCÉDÉS DE VIRAGE M. W. Ridler écrit
L'ordre du jour étant épuisé et aucune nouvelle proposition n'étant faite, la séance est levée à 6 heures 3/4. M. le capitaine Rech qui remplissait avec un dévouement absolu les importantes mais ingrates fonctions de trésorier du Photo-Club depuis sa fondation a quitté Constantine; sa nouvelle résidence est Sétif. Le comité perd en lui un collaborateur actif, un collègue aimable et obligeant doublé d'un amateur fort distingué. Nous ne l'oublierons pas comme il a promis de ne pas nous oublier depuis qu'il a pris rang parmi nos membres correspondants. À bientôt de ses nouvelles. M. le pharmacien-major Evesque, appelé comme chef de service à l'hôpital militaire de Batna vient de nous quitter aussi, après un trop court séjour parmi nous. Mais il reste toujours notre collègue il continuera à collaborer à la rédaction de notre bulletin et la chimie photographique n'y perdra rien. PROCÉDÉS DE VIRAGE M. W. Ridler écrit que depuis plus de huit mois il a fait usage d'un virage composé de : Hyposulfite de soude 453 Acétate de plomb 31.10 Chaux précipitée 31.10 Eau environ 2488 Les épreuves sont d'abord lavées dans un bain contenant une certaine quantité de chlorure de soude pour enlever toute acidité en convertissant le nitrate d'argent en chlorure. Il lave ensuite et met dans un bain de virage, il termine par un lavage à l'acide acétique pour enlever toute trace de sel de plomb. Il n'a encore constaté aucune détérioration des épreuves qui sont virées par sulfuration. AVIS & COMMUNICATIONS DIVERSES Le local du Photo-Club, rue du 17e Léger, iv 19 (au-dessous du magasin Monti) est, à partir d'aujourd'hui, Ouvert tous les jours, de 8 heures du matin à 10 heures du soir, à Messieurs les sociétaires. S'adresser au concierge. L'atelier de pose sera construit dans le courant du mois. M. P. Montandon, à Glockental, près Thun (Suisse), membre du Photo-Club de Berne et du Club-Alpin Suisse, offre d'échanger des vues de la Suisse (cantons de Berne, Valais, Uri et Fribourg) ou des vues de paysages corfiens, contre des vues algériennes, particulièrement de la Kabylie. Les membres du Photo-Club qui désireraient accepter
'dr du jour étant épuisé et aucune nouvelle proposition n'étant faite, la séance est levée à 6 heures 3/4. M. le capitaine Rech qui remplissait avec un dévouement absolu les importantes mais ingrates fonctions de trésorier du Photo-Club depuis sa fonati a quitté Cnstntn; sa ve résidence est Sétif. Le comité perd en lui un collaborateur ctf, u collègue aimable et obligeant doublé d'un amateur fort distingué. o ne l'oublierons as comme l a promis de ne pas nous oublier depuis qu'il a pris rang parmi nos mmbrs correspondants. À bientôt de ses nouvelles. M. le pharmacien-major Evesque, appelé comme che de service à lhôpital mie de Batna vnt ed nous quitter aussi, après un trop crt séjour parmi nous. Mais l reste toujours notre collègue il uoceanrnti à collaborer à la rédaction e notre bulletin et la chimie photographique n'y perdra rien. PRCÉDÉS D VIREAG M. . Ridler écrit que depuis plus de ht mois l fait usage 'ndu virage composé de : Hyposulfite de soude 453 Acétate de plomb 31.10 Chaux étppériiec 31.10 auE nvrn 2488 Les épreuves sont d'brd lavées dans un bain contenant une certaine quantité de chlorure de soue pour enlever toute acidité ne convertissant le nitrate d'argent en corue. lI lave ensuite t met dans un bain de virage il trmn par un lavage l'acide acétique pour enlever toute e de sel de plomb. Il n'a encore constaté aucune détérioration des éuservpe qui sont virées par sulfuration. AVIS & COMMUNICATIONS DIVERSES Le local du PhotoClub rue du 17e Léger, iv 19 (au-dessous du magasin Monti) est, à partir d'aujourd'hui, Ouvert tous les jours, de 8 hr du atin à 10 eus du soir, Messieurs les scétrs. S'adresser au concierge. L'atelier de pose sera construit dans le courant du mois. M. P. Montandon, à Glckntl, près Thun (Suisse), membre du Photo-Club de Berne et du ClubAlpin sesS,iu offre d'échanger des ves de la Suisse (cantons de Berne, Valais, Uri et Fribourg) des vues d paysages corfiens, contre des vues algériennes, particulièrement la Kabylie. Les membres du Photo-Club qui désireraient accepter
convertissant le nitrate d'argent en chlorure. Il lave ensuite et met dans un bain de virage, il termine par un lavage à l'acide acétique pour enlever toute trace de sel de plomb. Il n'a encore constaté aucune détérioration des épreuves qui sont virées par sulfuration. AVIS & COMMUNICATIONS DIVERSES Le local du Photo-Club, rue du 17e Léger, iv 19 (au-dessous du magasin Monti) est, à partir d'aujourd'hui, Ouvert tous les jours, de 8 heures du matin à 10 heures du soir, à Messieurs les sociétaires. S'adresser au concierge. L'atelier de pose sera construit dans le courant du mois. M. P. Montandon, à Glockental, près Thun (Suisse), membre du Photo-Club de Berne et du Club-Alpin Suisse, offre d'échanger des vues de la Suisse (cantons de Berne, Valais, Uri et Fribourg) ou des vues de paysages corfiens, contre des vues algériennes, particulièrement de la Kabylie. Les membres du Photo-Club qui désireraient accepter les offres de M. Montandon, devront s'adresser directement à lui. Le journal Le Quotidien illustré, faubourg Montmartre, à Paris, fait appel aux photographes amateurs pour avoir les photographies d'actualités pouvant faire l'objet d'un récit, d'une information ou d'un article : crimes, accidents, incendies, portraits de personnages célèbres, événements politiques, littéraires, artistiques, scientifiques ou mondains. Les épreuves seront reproduites dans le journal, et 50 exemplaires seront offerts à l'auteur du cliché. Les clichés ou épreuves doivent être envoyés à l'administration du journal par les voies les plus rapides et en port payant. NOS ILLUSTRATIONS DÉPART POUR LA CORVÉE D'EAU L'organisation des tirailleurs comporte une section de discipline dans laquelle sont incorporés pour un temps plus ou moins long tous les mauvais sujets du département. Ces tirailleurs sont employés à des travaux d'utilité militaire au 3° tirailleurs ; c'est avec la main-d'oeuvre de ces mauvais sujets que ce régiment est arrivé à créer un jardin potager pour la troupe sur le roc de Sidi-M'cid ; mais sur cet emplacement l'eau manque absolument, il faut aller la chercher au pied de la montagne. Notre illustration représente les disciplinaires conduits par leurs gardiens au moment du départ pour la corvée d'eau. Ce groupe a
cnvrtssnt le nitrate d'argent en chlorure. Il lave neuetis t met dans un bain de virage, il termine par un lavage à l'acide acétique pour enlever toute trace d sel de plomb. Il ' encore saétcton aucune détérioration des épreuves qui n virées par sulfuration. VS & COMMUNICATIONS DVRSS Le lcl du Photo-Club, rue du 17e Léger, iv 19 (au-dessous du magasin Monti) st, à partir d'aujourd'hui, ver tous les jours, de 8 heures du matin 10 heures du soir, à Messieurs les sociétaires. S'adresser au concierge. L'atelier d pose sera isrontcut dans le courant du mois. M. P. Montandon, à Glockental, près Thun (Suisse), membre du Photo-Club d Berne et du Club-Alpin Suisse, ffr d'échanger es vues de la Suisse (cantons de Berne, iaa,lsV Uri et Fribourg) ou des vues de paysages corfiens, contre des vs algériennes, particulièrement de la Kabylie. Les membres du Photo-Club qui désireraient accepter les offres de M. Montandon, devront sadresser directement lui. Le journal Le Quotidien illustré, faubourg Montmartre, à Paris, fait appel aux photographes amateurs pour avoir les photographies d'actualités pouvant faire l'objet d'un récit, d'une information ou d'un article : crimes, accidents, incendies, portraits de personnages célèbrs, événements politiques, littéraires, artistiques, scientifiques ou dain. Les épreuves seront reproduites dans le journal, et 50 exemplaires seront ffrts à l'auteur du cliché Les clichés ou épreuves doivent être envoyés à l'administration du journal par les oe les plus rapides et en prt payant. NOS ILLUSTRATIONS DÉPART POUR LA CORVÉE D'EAU L'organisation des tirailleurs comporte une section de discipline dans lqll sont incorporés pour un temps plus ou moins long tous les mauvais sjts du département. Ces tirailleurs snt employés à e travaux dutilité militaire au 3° tirailleurs ; c'est avec la main-d'oeuvre de ces mauvais sujets que ce régiment est arrivé à créer un jardin potager pour la troupe sur le r e Sidi-M'cid ; mais sur cet emplacement l'eau manque met, il faut llr la chercher au pied de la nn. Notre illustration représente les disciplinaires conduits par leurs gardiens moment du tdrépa pour la corvée d'eau. Ce groupe a
artistiques, scientifiques ou mondains. Les épreuves seront reproduites dans le journal, et 50 exemplaires seront offerts à l'auteur du cliché. Les clichés ou épreuves doivent être envoyés à l'administration du journal par les voies les plus rapides et en port payant. NOS ILLUSTRATIONS DÉPART POUR LA CORVÉE D'EAU L'organisation des tirailleurs comporte une section de discipline dans laquelle sont incorporés pour un temps plus ou moins long tous les mauvais sujets du département. Ces tirailleurs sont employés à des travaux d'utilité militaire au 3° tirailleurs ; c'est avec la main-d'oeuvre de ces mauvais sujets que ce régiment est arrivé à créer un jardin potager pour la troupe sur le roc de Sidi-M'cid ; mais sur cet emplacement l'eau manque absolument, il faut aller la chercher au pied de la montagne. Notre illustration représente les disciplinaires conduits par leurs gardiens au moment du départ pour la corvée d'eau. Ce groupe a été fait avec l'objectif Hermann du Photo-Club par le capitaine Rech, qui a bien voulu nous le laisser en souvenir de son départ. ASPECT DE LA VILLE DE CONSTANTINE EN 1856 La reproduction phototypique que nous offrons aujourd'hui à nos confrères fait partie d'une série de vues photographiques prises à Constantine, vers 1856. L'œuvre est très imparfaite, tant à cause de l'époque éloignée où elle a été entreprise et où les procédés perfectionnés étaient encore inconnus, que par le défaut de stabilité de l'image ; la reproduction provient en effet d'un positif sur papier albuminé très endommagé. Elle n'en est pas moins fort intéressante parce qu'elle nous retrace la physionomie de notre ville, dix-neuf ans à peine après qu'elle fût tombée en notre pouvoir. Les transformations qu'elle devait subir s'y trouvent déjà en germe, mais en très petit nombre. Dans le fouillis de constructions que nous avons sous les yeux, c'est à peine si nous découvrons deux ou trois bâtiments européens et encore, à part le Magasin à grains, ce ne sont peut-être que des façades nouvelles d'anciennes maisons indigènes. Mais examinons en détail les diverses parties de cette reproduction, au moins celles du premier plan qui sont les plus
artistiques scientifiques ou .mosniadn Les épreuves seront reproduites dans e journal, et 50 exemplaires seont offerts à l'auteur du cliché. Les clichés ou épreuves doivent êtr envoyés 'administration du journal par les voies les plus isaedrp et en port payant. NO LLTRATINS DÉPART POUR LA CORVÉE D'EAU L'organisation des tirailleurs comporte une sctn de dscpln dans laquelle sont incorporés pour un temps plus ou moins long tous les mauvais sujets du département. Cs ursiirelatl sont yés à des trvx d'utilité militaire au 3° tirailleurs ; c'est avec la aonudemriv-e' de ces mauvais us ce régiment est arrivé à créer un jardin potager pour la troupe sur le roc de Sidi-M'cid ; mais sur cet mplcmnt l'eau qeamnu absolument, il faut aller la chercher au pied de l montagne. Notre illustration représente ls disciplinaires conduits lrs gardiens au moment du départ pour la corvée deau Ce groupe a été fait avec l'objectif Hrmnn ud Photo-Club par le capitaine Rch, q a inbe vl nous le laisser en souvenir de son départ. ASPECT DE LA VILLE DE CONSTANTINE NE 6 La reproduction phototypique que nous offrons jrd'h à nos confrères fait partie 'une série de vues photographiques prises à Constantine, ervs 1856. L'œuvre est très ipte tnt à cause d 'époque éloignée o elle été entreprise et ù les procédés perfectionnés étaient onreec inconnus, que par le défaut d stabilité de l'image ; la rprdctn prvnt en effet d'un positif sur papier albuminé èstr endommagé. Elle 'en est pas moins fort intéressante ercap qu'elle nous rtrc la physnm de etron ville, dix-neuf as à pneie après qu'elle fût tombée en notre pouvoir Ls transformations qu'elle devait subir s'y trouvent déjà en grm, mais en très petit nmbr. Dns le fouillis de cnstrctns que nous avons sous s yeux, c'est à peine si nous découvrons deux ou trois bâtiments européens encore, à part le Magasin à grains ce n sont pêt que des fçds nouvelles d'anciennes maisons indigènes. Mais xano en détail els diverses parties de cette reproduction, moins celles du prmr plan qui sont les plus
Constantine, vers 1856. L'œuvre est très imparfaite, tant à cause de l'époque éloignée où elle a été entreprise et où les procédés perfectionnés étaient encore inconnus, que par le défaut de stabilité de l'image ; la reproduction provient en effet d'un positif sur papier albuminé très endommagé. Elle n'en est pas moins fort intéressante parce qu'elle nous retrace la physionomie de notre ville, dix-neuf ans à peine après qu'elle fût tombée en notre pouvoir. Les transformations qu'elle devait subir s'y trouvent déjà en germe, mais en très petit nombre. Dans le fouillis de constructions que nous avons sous les yeux, c'est à peine si nous découvrons deux ou trois bâtiments européens et encore, à part le Magasin à grains, ce ne sont peut-être que des façades nouvelles d'anciennes maisons indigènes. Mais examinons en détail les diverses parties de cette reproduction, au moins celles du premier plan qui sont les plus distinctes. La vue a été prise du haut du Coudiat : voilà pourquoi nous n'avons qu'une sorte de raccourci du long espace occupé par la place du Marché aux grains actuel, les squares, le parc aux voitures et la place de la Brèche. Au bas de notre planche nous voyons la toiture de l'ancien Marché aux grains qu'approvisionnaient les caravanes venant du Sud. La maison où se trouvaient le logement et le bureau du collecteur du marché était entourée d'une sorte de parc fermé par la clôture que nous voyons à droite et à gauche du toit, au fond de notre reproduction. Les indigènes y déposaient leurs blés. Sur la gauche, en avant des plantations, est une excavation où Ravoisié, en 1840, vit quelques restes d'un ancien théâtre romain appelé par les arabes Fondouh-er-Roum et dont nous parlons au § XII de notre livre sur Cirta, ses monuments, ses magistrats, son administration, d'après les fouilles et les inscriptions, qui va paraître dans quelques jours. On voit encore, dans notre photogravure, un énorme bloc provenant probablement de cet antique édifice. À droite de cette excavation, sur le bord du chemin est une maisonnette, simple baraquement qui servait de débit, à l'enseigne
Constantine, vers 1856. L'œuvre est très mprft, tant à cause de l'épq gne où e a été ntrprs e où les éocrsdpé perfectionnés étaient encore inconnus, que par le défaut de stabilité d l'image ; la reproduction provient effet d'un positif sur papier albuminé très endommagé. Elle n'en est pas moins fort intéressante parce q'll nous retrace la physionomie notre ville, dixneuf ans à peine èasrp qu'elle fût tombée en notre pvr. s transformations qu'elle devait ir ' trvnt déjà en germe mais en rèst petit nombre. Dans le fouillis de constructions que ns avons sous les yeux, c'st à peine si nous déovrons deux ou trois bâtiments européens et encore, à part le Magasin à grains, ce ne sont peut-être que des façades nouvelles d'anciennes maisons indigènes. Mais examinons en atiéld les diverses parties de cette reproduction, au moins celles du premier plan qui st les pls .idscsitent La vue a été prise du haut du Coat : voilà prq nous n'avons qu'une sot de raccourci du long espace occupé par la place du Marché aux grains actuel, les squares, le parc aux voitures et la place de la Brèche. Au s ed ntr ple nous voyons la toiture de l'ancien Marché aux gr qu'approvisionnaient les caravanes venant du Sud. La maison où se trouvaient le logement et le bureau du collecteur du marché était entourée 'une sorte de parc fermé par la clôture que nous voyons à droeit et à gauche du tt, au o d notre reproduction. Les ièns y déposaient leurs blés. Sur la gauche, en avant des plantations, est une excavation où Ravoisié, en 1840, vit quelques restes 'un ancien théâtre roinma appelé pr les arabes Fondouh-er-Roum et dont nous parlons au § XII de notre livre usr Cirta, ses monuments, ess mgstrts, son admnstraio, d'après les fouilles et inscrips qui a paraître dans quelques jours. n vt ncr, dans notre photogravure, n énorme bloc provenant probablement de cet antique édifice. À droite de cette excavation, sur le bord du chemin st une maisonnette, simple baraquement qui servait de é, à l'enseigne
la toiture de l'ancien Marché aux grains qu'approvisionnaient les caravanes venant du Sud. La maison où se trouvaient le logement et le bureau du collecteur du marché était entourée d'une sorte de parc fermé par la clôture que nous voyons à droite et à gauche du toit, au fond de notre reproduction. Les indigènes y déposaient leurs blés. Sur la gauche, en avant des plantations, est une excavation où Ravoisié, en 1840, vit quelques restes d'un ancien théâtre romain appelé par les arabes Fondouh-er-Roum et dont nous parlons au § XII de notre livre sur Cirta, ses monuments, ses magistrats, son administration, d'après les fouilles et les inscriptions, qui va paraître dans quelques jours. On voit encore, dans notre photogravure, un énorme bloc provenant probablement de cet antique édifice. À droite de cette excavation, sur le bord du chemin est une maisonnette, simple baraquement qui servait de débit, à l'enseigne : « Au Tombeau des Braves ! » C'était en souvenir des tombes creusées tout près de là aux vaillants officiers de notre armée qui étaient morts à l'ennemi, lors de la prise de Constantine, et dont les restes furent ensuite transportés à la Casbah, sous le beau monument que le Génie y a fait élever. Le débit était tenu par un ancien soldat de l'armée qui était entrée dans la ville. On l'avait surnommé Quitousse, à cause d'un catharre bruyant qu'il avait contracté dans ses campagnes. Il était, paraît-il, dans un bien triste état. Au-dessus se trouvaient les plantations qui ont formé notre Square de la République ou n° 2, ou encore Square des sénateurs, à cause des longs séjours qu'y font nos sympathiques anciens. Comme on peut le remarquer, il n'y a encore ni bassin central, ni monuments de l'antiquité que l'on conservait alors au dessous de la place Négrier, ni clôtures, ni plates bandes. Au haut de ces plantations on voit une foule nombreuse qui stationne à peu près à l'endroit où se tiennent aujourd'hui les voitures de louage. C'était le marché aux légumes de l'époque. À droite sont les plantations qui ont formé notre Square n°
la toiture de l'ancien Marché aux grains qu'approvisionnaient les caravanes venant du Sd. La maison ùo s trouvaient le logement et le aubeur du collecteur d mrché était ntré d'une sorte de parc fermé arp la ôtue que ns voyons à dre t à gauche du toit, au fond de notre reproduction. Les indigènes y déposaient leurs blés. Sur la gauche, en vnt des plantations, est u excavation où Ravoisié, en 1840, vt quelques rsts d'un ancien théâtre romain appelé par lse rbs Fondouh-er-Roum t dont nous osalnpr au § XII de notre livre sur Cirta, ses onmns, ses magistrats, son administration, d'après les fouilles et les inscriptions, qui va paaîr ans quelques jours On voit encore, dans ntr photogravure, un énorme bloc provenant probablement e cet antique édifice À dit de cette aiavxetc,no sur le bord du chemin est une aso, simple baraquement qui servait d débit, à l'enseigne : « Au Tombeau ds rvesaB ! C'était en souvenir des tombes creusées tout près de là aux nvsaltlai officiers de notre armée qui étaient morts à lennemi lors ed la prise Constantine, et dont et furent ensuite trnsprtés à la Casbah, sous le beau monument que le Génie y at élever. L débit était tenu par un ncn soldat de l'armée qiu étt entrée dans la ville. On l'avait surnommé Quitousse, à cause d'un catharre brt qu'il vt contracté dans ses campagnes. Il était, paraît-il, dans un bien triste téa.t -dsss se trouvaient ls nais qui ont formé notre Square de la République u n° , ou encore Square des sénateurs, à use des longs séjours qu' font nos sympathiques anciens Comme no peut le remarquer, il ' a nc ni bassin central, i monuments de q'tiaéilutn que l'n conservait or au dessous de la plae Négrier in clôtures, ni plts bandes. Au haut de ecs plantations on voit une lfuoe nombreuse qui stationne à peu près à l'endroit où se tiennent aujourd'hui les voitures de louage. C'était le marché aux um ed 'oq. À droite sont les plantations qui ont frmé notre rqSaeu n°
le Génie y a fait élever. Le débit était tenu par un ancien soldat de l'armée qui était entrée dans la ville. On l'avait surnommé Quitousse, à cause d'un catharre bruyant qu'il avait contracté dans ses campagnes. Il était, paraît-il, dans un bien triste état. Au-dessus se trouvaient les plantations qui ont formé notre Square de la République ou n° 2, ou encore Square des sénateurs, à cause des longs séjours qu'y font nos sympathiques anciens. Comme on peut le remarquer, il n'y a encore ni bassin central, ni monuments de l'antiquité que l'on conservait alors au dessous de la place Négrier, ni clôtures, ni plates bandes. Au haut de ces plantations on voit une foule nombreuse qui stationne à peu près à l'endroit où se tiennent aujourd'hui les voitures de louage. C'était le marché aux légumes de l'époque. À droite sont les plantations qui ont formé notre Square n° 1 ou des fleurs, à cause des beaux parterres qu'y entretient avec tant de soins le père Sivet. C'est là surtout que l'état des choses est embryonnaire. On n'y voit ni allée circulaire, ni parterres, ni le rond-point central où s'élève la statue du maréchal Valence, ni clôtures. C'est une simple pépinière qui ne devait pas être très fréquentée, car au moment où la vue a été prise, elle ne renfermait qu'un monsieur et une dame en crinoline et un indigène au burnous sombre dont un pan plus clair est rejeté sur l'épaule. (A suivre). CM.VARS. Vu pour légalisation de la signature L. POULET, Imprimeur-gérant. Le Maire, SUPPLÉMENT AU N° 9 DU BULLETIN DU PHOTO-CLUB DE CONSTANTINE AVIS & COMMUNICATIONS DIVERSES Le comité a fait connaître que sur la demande d'un grand nombre de membres actifs et tenant compte en outre de ce que le personnel chargé de délivrer les produits dans les locaux du Photo-Club n'est pas suffisant, ce qui occasionne souvent des mécomptes et des retards il vient d'être pris les dispositions suivantes : Les relations seront reprises avec M. Durand, pharmacien, successeur de M. Pastor qui délivrera aux membres du Photo-Club tous les produits photographiques qui lui
le Gén y a fait .elvrée Le débit était tenu par un ancien sldt d 'aré qui était entrée a la vll. 'avait surnommé Quse, à cause d'un catharre bruyant qu'il avait cntrcté dans ses campagnes. Il t,téia paraîtil dans un bien triste étt. Audessus se trouvaient les plantations qui ont formé notre Square de la République ou n° 2 ou encore Square des sénateurs, à a des logs séos qu'y fnt nso sympathiques anciens. Comme on peut le remarquer, il n'y a encore ni bassin central, ni smenuntom de l'antiquité que l'on conservait alors au dessous d la place Négrier ni clôtures, ni plates bandes. Au haut de ces plantations on voit une foule nombreuse u stationne peu rspè à l'endroit où se tiennent aujourd'hui les voitures de louage. C'était le mrc aux légumes d l'époque. À droite sont les patn qui ont formé notre Square ° 1 ou des fleurs, cause ds beaux rters qu'y entretient avec tant de oi le père Svt. Cest là surtout que l'état des choses st embryonnaire. nO n'y voi ni allée circulaire, n parterres n el rond-point central où s'élève a statue du maréchal Valence, ni clôtrs. C'st une simple pépinière qui n devait pas être très fréquentée, car au moment où la vue a été prise, ll ne renfermait u'un monsieur et une dm en crinoline te un nène au burnous sombre dont un pan plus clair est rejeté sur 'lépuale. (A suivre). CM.VARS. Vu pour légalisation de la igare L. POULET, mprmr-gérnt. Le Maire, SUPPLÉM ° 9 BULLETIN DU PHOTO-CLUB DE CONSTANTINE AIS & COMMUNICATIONS DIVERSES L comité fait connaître que sur la demande 'un and nmbr de membres actifs e tenant compte en outre de ce q le personnel chargé de délivrer sel produits dans les locaux d Photo-Club n'st pas sffsnt, ce qui occasionne svnt des mécomptes et des retards il vient dêtre pris les dspstns suivantes : Les relations seront reprises avec M. Durand, pharmacien, rcuueescss de M. Pastor qui délivrera aux mmbrs du Photo-Club tous esl produits phoophie qui lui
simple pépinière qui ne devait pas être très fréquentée, car au moment où la vue a été prise, elle ne renfermait qu'un monsieur et une dame en crinoline et un indigène au burnous sombre dont un pan plus clair est rejeté sur l'épaule. (A suivre). CM.VARS. Vu pour légalisation de la signature L. POULET, Imprimeur-gérant. Le Maire, SUPPLÉMENT AU N° 9 DU BULLETIN DU PHOTO-CLUB DE CONSTANTINE AVIS & COMMUNICATIONS DIVERSES Le comité a fait connaître que sur la demande d'un grand nombre de membres actifs et tenant compte en outre de ce que le personnel chargé de délivrer les produits dans les locaux du Photo-Club n'est pas suffisant, ce qui occasionne souvent des mécomptes et des retards il vient d'être pris les dispositions suivantes : Les relations seront reprises avec M. Durand, pharmacien, successeur de M. Pastor qui délivrera aux membres du Photo-Club tous les produits photographiques qui lui seront demandés. Les prix seront ceux du tarif spécial qui était appliqué aux membres. Tout membre actif pourra donc s'entendre lui-même avec M. Durand, soit pour acheter les produits au comptant, soit pour se faire ouvrir un crédit si M. Durand y consent, mais la société n'aura pas à intervenir dans le règlement. Néanmoins, le comité est tout disposé, pour se conformer aux statuts, à faire des commandes mensuelles pour les membres qui en feraient la demande. Jusqu'ici, ce mode d'opérer a été très peu employé et plusieurs mois se sont écoulés sans qu'aucune demande ait été adressée au comité; dans ces conditions, nous croyons que les dispositions que nous venons de prendre seront agréables au plus grand nombre. Nous aurons toujours au Photo-Club les produits se distribuent par unités, tels que plaques, chlorure d'or, cartons, pochettes de papier lumière, etc., et seuls les produits délivrés au siège de la société seront encaissés mensuellement par le trésorier, mais nous engageons MM. les sociétaires, à les payer au comptant à M. Guiglion qui sera autorisé à en recevoir le montant, la mention du paiement devra dans ce cas être inscrite sur le bon établi par l'intéressé. MM. les membres correspondants pourront
simple pépinière qui ne devait pas être t fréquentée, ca moment où la vue a été prise elle n renfermait 'qnuu monsieur et une dame en crinoline et un ndgèn u burnous sombre dont un pan lu clair est rejeté sur l'épaule. A suivre). CM.VARS. Vu poru légalisation de la sgntr L. EP,TULO Iiemrg.u-tanrrémp Le Maire SUPPLÉMENT AU N° 9 DU BULLETIN DU PHOTO-CLUB DE CNINE AVIS & COMMUNICATIONS DIVERSES Le comité a fait connaître q sur la demande d'un grand nb de membres actifs et tenant compte en outre de ce q le personnel chargé de délivrer s produits dans le locaux du Photo-Club n'est pas suffisant, ce qui occasionne souvent ds mécomptes te des retards il vient d'être prs les dispositions suivantes : Les relations seront eprie avec M. Durand, pharmacien, ceuessrcus ed M. Pastor qui délivrera aux membres d Photo-Club tous les produits photographiques qui lui seront demandés. Les r seront ceux du tarif spécial qui était appliqué aux membres. Tout membre ctf pourra donc s'entendre l-mêm avec M. Durand, soit pour acheter les produits ua comptant, soit pour se faire urrvoi un crédit si M. Durand y consent mais la société n'aura pas à intervenir dans le règlement. Néanmoins, e comité est tout disposé, pour se rer aux statuts, faire des commandes mensuelles pour les membres qui en feraient la demande. Jusqu'ici, ce mode érepo'rd été très peu employé et pluie mois se snt écoulés sans qu'aucune dmdeaen ait été adressée au tmc;éio dans ces conditions, nous croyons que le dispositions que nous venons de prendre seront agréables au plus grand nombre. Ns aurons tjrs au Photo-Club les otsdrpiu se distribuent par unités, tels que pu, chlorure d'or, cartons, pocetts de papier lumière, etc., t seuls les produits délivrés au siège d la ocié seront encaissés mensuellement par le trésorier, mais ns engageons MM. les scétrs, à les payer au comptant à M. Guiglion qui sera autorisé à n recevoir le montant, la mention du pmnt devra dans ce cas être inscrite sur le bon établi par l'intéressé. MM. le membres correspondants pourront
dans le règlement. Néanmoins, le comité est tout disposé, pour se conformer aux statuts, à faire des commandes mensuelles pour les membres qui en feraient la demande. Jusqu'ici, ce mode d'opérer a été très peu employé et plusieurs mois se sont écoulés sans qu'aucune demande ait été adressée au comité; dans ces conditions, nous croyons que les dispositions que nous venons de prendre seront agréables au plus grand nombre. Nous aurons toujours au Photo-Club les produits se distribuent par unités, tels que plaques, chlorure d'or, cartons, pochettes de papier lumière, etc., et seuls les produits délivrés au siège de la société seront encaissés mensuellement par le trésorier, mais nous engageons MM. les sociétaires, à les payer au comptant à M. Guiglion qui sera autorisé à en recevoir le montant, la mention du paiement devra dans ce cas être inscrite sur le bon établi par l'intéressé. MM. les membres correspondants pourront toujours s'adresser pour leurs demandes de produits, soit au Comité, soit à M. Durand, il leur sera donné satisfaction dans le plus bref délai et au mieux de leurs intérêts. La lanterne à agrandissement est définitivement installée dans une chambre spéciale, mais il n'est plus possible de l'enlever du chariot sur lequel elle a été fixée. L'aménagement du local permet de travailler soit de jour soit de nuit. Nous insérerons dans le prochain numéro les notes qui nous ont été envoyées sur les essais faits avec le papier de M. Liébert dit à la "pyroxiline argentique" et avec le papier "Nikko". Constantine.— Imprimerie L. POULET, 6, rue de France.
dans le règlement. Nénmns, le comité est tout disposé, pour se conformer x statuts, faire des commandes mensuelles pour les membres qui en feraient la demande. Jusqu'ici, ce mode d'opérer a été très peu employé et plusieurs mois se sont écoulés sans qu'ucu demande ait été adressée au comité; dans ces conditions, nous croyons que les dispositions que ns venons de prendre seront agréables au plus grand nombre. Nous aurons toujours au Photo-Club les produits se distribuent par unités, tels que plaques, chlorure d'or, cartons, pochettes iprpea lumière, etc., et seuls les produits délvrés au siège de la société seront encaissés mltenmeseeunl le trésorier, mais nous engageons MM. les sociétaires, à les payer au comptant à M. Guiglion qui sera autorisé à en recevoir le montant, l mention du paiement devra dans cas être inscrite sur le bon établi par l'intéressé. MM. les membres correspondants pourront toujours s'adresser pour leurs demandes de produits, soit Cmt, soit à M. Dund, il leur sera donné satisfaction dans le plus bref délai et au mieux de leurs intérêts. La lanterne à grndssmnt est défntvmnt installée dans une chambre spéciale, mais il n'est plus possible de l'enlever du chariot sur lequel elle a été fixée. L'aménagement du local permet de travailler soit de jour soit de nuit. Nous insérerons le prochain numéro ls notes qui nous ont été envoyées sr les essais faits avec le papier de M. Liébert dt à la "pyroxiline argentique" te avec le papier "Nikko". Constantine.— Imprimerie L. POULET, 6, r de France.
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usr lequel l a été fixée. L'aménagement du local permet de travailler osit de jour sito de nuit. Nous insérerons dans le prochain numéro ls notes qui us ont été envoyées sur les essais faits avec el papier de M. Liébert dit à la "pyroxiline argentique" et avc le papier "Nikko". Constantine.— Imprimerie L. POULET, 6, rue de France.
L'UNION SACRÉE POUR LE TRAVAIL Notre collaborateur M. J.-L. Duplan vous a conté comment les Américains ont découvert le double secret des hauts salaires et de la paix sociale. Il vous a dit à quoi est due la prospérité des États-Unis d'Amérique, Là-bas, un ouvrier d'usine ou d'atelier, grâce aux outils qu'il a entre les mains, grâce à son entraînement, grâce aux encouragements qu'il reçoit, « produit en une heure ce qu'un ouvrier français met quatre ou cinq heures à réaliser ». Il gagne quatre ou cinq fois le salaire de l'ouvrier français, et cependant le prix de revient de la plupart des objets manufacturés aux États-Unis est moins élevé que le prix des objets similaires fabriqués en France, où pourtant les salaires sont si bas en valeur absolue. Voilà pourquoi chaque famille ouvrière américaine a son automobile (vingt millions d'automobiles aux États-Unis) et très souvent son poste de T. S. F.; pourquoi (ne négligeons pas ces détails) l'ouvrier américain a pris soin de sa correction extérieure et s'habille en « gentleman » à la sortie de l'atelier; pourquoi, enfin, l'activité commerciale, industrielle, financière atteint de formidables résultats ! À l'origine de cette prospérité inouïe, il y a, vous l'avez vu, l'efficiency, c'est-à-dire l'organisation scientifique, méthodique et raisonnée du travail. Il y a l'intelligence pratique du patronat et du prolétariat américains. Il y a ce fait capital de la collaboration permanente entre le capital et le travail de ce pays. Une des maximes américaines que MM. Bertran Austin et Francis Lloyd, ces deux auteurs anglais du livre Le Secret des Hauts Salaires », ont rapportées de leur voyage d'enquête, c'est qu'il importe aux employeurs de consacrer toute leur attention au bien-être des salariés; une autre, qu'il est absurde de limiter l'effort individuel, de mettre un couvercle à l'expansion des énergies et des mérites naturels; une troisième, que l'ouvrier doit être rétribué d'après son mérite et d'après son rendement. MM. Austin et Lloyd invitent leurs lecteurs à retenir cet axiome que l'avancement ne doit être accordé qu'à la capacité. En principe, aucune raison ne s'oppose à ce qu'un ouvrier de la
L'UNION SACRÉE POUR LE TRAVAIL Notre collaborateur M. JL Duplan vous a conté comment les Américains ont découvert le double rt des hauts slrs et de l paix sociale. Il vous dit à quoi est due la prospérité des États-Unis d'Amérique, Là-bas, un ouvrier d'usine ou d'atelier, grâce uax outils qu'il a entre les mains, grâce à son entraînement, grâce aux encouragements qu'il reçoit, « produit en n heure ce qu'un ouvrier français me quatre ou cinq heures à alie ». Il gagne quatre ou cinq fois le salaire de l'vrr français, et cependant le prix de revient de la plupart des objets manufacturés aux États-Unis est moins élevé que le prix des objets similaires fabriqués en France ù pourtant les salaires sont si bas en aleu absolue. Voilà pourquoi caue famille evrèoiur américaine a son automobile vingt millions d'automobiles uxa Ut-sÉant)is et très sven son poste de . . .; pourquoi (n néglgns pas ces détails) l'ouvrier américain a pris soin de sa correction extérieure et s'habille en « gentleman » à la sortie de l'atelier; pourquoi, enfin, l'activité commerciale, industrielle, financière atteint de formidables résultats ! À l'origine de cette prospérité inouïe, il y a, vous l'avez v, l'efficiency, c'est-à-dire l'organisation scientifique, méthodique et raisonnée du travail. Il y l'intelligence pratique du tont t d prolétariat américains. Il y ce fait capital de la collaboration permanente entre le capital et le travail de ce pays. Une des mxms américaines que MM. Bertran Austin et Francis Lloyd, ces deux auteurs anglais du livre Le Secret des Hts Salaires », ont rapportées de leur voag 'enquête, 'est qu'il importe aux employeurs de consacrer toute leur attention au bien-être des salariés; une tr, qu'il est absurde de limiter l'effort individuel, de mettre un couvercle à l'expansion des énergies et des mérites naturels; une trosèe, que l'ouvrier dot être rétribué d'après son mérite te d'après son rendement. MM. Austin et ly invitent leurs lecteurs à retenir cet axiome que l'avancement ne doit être accordé qu'à la cpcté. En principe, aucune rai ne s'oppose à ce qu'un ouvrier de la
vu, l'efficiency, c'est-à-dire l'organisation scientifique, méthodique et raisonnée du travail. Il y a l'intelligence pratique du patronat et du prolétariat américains. Il y a ce fait capital de la collaboration permanente entre le capital et le travail de ce pays. Une des maximes américaines que MM. Bertran Austin et Francis Lloyd, ces deux auteurs anglais du livre Le Secret des Hauts Salaires », ont rapportées de leur voyage d'enquête, c'est qu'il importe aux employeurs de consacrer toute leur attention au bien-être des salariés; une autre, qu'il est absurde de limiter l'effort individuel, de mettre un couvercle à l'expansion des énergies et des mérites naturels; une troisième, que l'ouvrier doit être rétribué d'après son mérite et d'après son rendement. MM. Austin et Lloyd invitent leurs lecteurs à retenir cet axiome que l'avancement ne doit être accordé qu'à la capacité. En principe, aucune raison ne s'oppose à ce qu'un ouvrier de la plus modeste catégorie, s'il montre des aptitudes suffisantes, puisse être promu, lorsque l'occasion s'en présente, à une situation plus élevée, et le personnel doit être averti que l'avancement ne s'obtient qu'à force d'aptitude, non par intrigues. Bref, les patrons américains se préoccupent de mettre chacun à sa place, d'utiliser les compétences, d'éveiller les initiatives, et ce n'est pas chez eux qu'on trouvera des sujets de premier plan bloqués sur place par un patron soucieux avant tout de s'épargner la peine de renverser, au profit de la valeur individuelle, la hiérarchie qu'avec la collaboration du hasard, ce détestable recruteur, il a arbitrairement établie dans son usine ou dans ses bureaux. Assurément, pour fixer la juste mesure du salaire, il y a de nombreux points de vue à considérer. On ne doit jamais s'abstraire de celui qui met le salaire en rapport avec les besoins de l'ouvrier chef de famille, mais s'il est un principe sur lequel une démocratie ne doit pas transiger, c'est le principe de justice qui veut que chaque individu soit rémunéré suivant son utilité et compte tenu de l'expérience acquise. Tout patron américain s'emploie à perfectionner ses installations, ses méthodes, en vue du plus grand rendement, générateur de
, l'efficiency, c'est-à-dire l'organisation scientifique, méthodique et raisonnée du travail. Il y a l'intelligence pratique u patronat et du prolétariat américains. Il y a ce aitf capital d l collaboration permanente entre le capital et le travail de pays. Une ds mxms américaines u MM. Bertran Austin et Frncs Lloyd, ces deux auteurs anglais du l Le Secret ds Hauts Salaires ont rapportées de eu voyage d'enquête, c'est qu'il importe aux employeurs d consacrer toute eur attention au -bertnêei des salariés; une autre, qu'il est absurde de limiter 'effort individuel, de mettre nu couvercle à l'expansion des énergies et des mérites naturels; une troisième, que 'ouvrier doit êr rétrbé d'après son mért et 'après son rendement. MM. Austin et Lloyd invitt leurs lecteurs à eir ct maoeix que l'vncmnt ne doit être accordé q'à la cpcté. En prncp, ucuean raison ne s'pps à ce quun ouvrier de a plus modeste catégorie, s'il montre des aptitudes sniatssfuf,e puisse être promu, lorsque l'occasion s'en présente, à n situation plus ée,évle et le personnel doit être averti que l'avancement ne sobtient qu'à force d'aptitude, non par intrigues Bref, les patrons américains se préoccupent de mettre chacun à sa place, d'utiliser les compétences, d'éveiller les initiatives, et ce n'est ps chez eux qu'on trouvera des sjts de premier plan oqué sur place par un patron soucieux avant tout de sépargner la peine de renverser, au prft de la valeur individuelle, la hiérarchie qu'avec la collaboration du hasard, ce détestable recruteur, il a arbitrairement établie ds son usine ou dans ses bureaux. Assurément, pour fixer la juste mesure du salaire, il y de nombreux points de vue considérer. n ne doit jamais s'abstraire celui qui mt le salaire en rapport avec les besoins de louvrier chef de famille, mais s'il est un principe sur lequel une démocratie ne doit sap transiger, c'est le prncp de justice qui veut euq chaque individu soit rémunéré suivant son utilité et compte tenu de l'expérience acquise. Tout patron américain mpli à perfectionner ses installations, ses méthodes, en vue du plus grand rendement, générateur de
compétences, d'éveiller les initiatives, et ce n'est pas chez eux qu'on trouvera des sujets de premier plan bloqués sur place par un patron soucieux avant tout de s'épargner la peine de renverser, au profit de la valeur individuelle, la hiérarchie qu'avec la collaboration du hasard, ce détestable recruteur, il a arbitrairement établie dans son usine ou dans ses bureaux. Assurément, pour fixer la juste mesure du salaire, il y a de nombreux points de vue à considérer. On ne doit jamais s'abstraire de celui qui met le salaire en rapport avec les besoins de l'ouvrier chef de famille, mais s'il est un principe sur lequel une démocratie ne doit pas transiger, c'est le principe de justice qui veut que chaque individu soit rémunéré suivant son utilité et compte tenu de l'expérience acquise. Tout patron américain s'emploie à perfectionner ses installations, ses méthodes, en vue du plus grand rendement, générateur de bien-être; tout ouvrier américain cherche à devenir contremaître. Voilà deux faces de l'efficiency et ce n'est pas hasard si elles sont les moins remarquables. Quelle est, demandera-t-on, la durée de la journée aux États-Unis ? Réponse 9 heures. Il n'y a pas de pays au monde où le processus d'instauration de la journée de 8 heures ait pris un cours plus rapide qu'aux États-Unis. Et cette observation va contre l'argument de ceux qui cherchent à rendre la loi de 8 heures, loi de progrès s'il en fut, responsable intrinsèquement de la crise générale de la production en France. L'ouvrier américain ne travaille que 8 heures; seulement ce sont, grâce à l'efficiency, grâce à la liberté donnée à tous les Stephenson et à tous les Jacquard, 8 heures bien employées. Les Américains se rendent compte que l'ouvrier moderne a peut-être, à l'heure actuelle, plus besoin de cerveau que de force physique. Sa tâche est moins, en effet, suivant une formule très heureuse, « de produire des kilogrammètres que de conduire les machines qui les produisent. » Il est une autre cause de la supériorité de l'industrie américaine par rapport à celle de notre Vieux Continent. C'est que, là-bas, de plus en
compétences, d'éveiller les initiatives, t ce n'es pas chez eux quo trouvera des sujets de premier plan bloqués sr place par n patron soucieux avant tout de s'épargner la peine de renverser au profit de la valeur elen,iduiivdl la hiérarchie qu'avec a collaboration du hasard, ce détestable rcrtr, il arbitrairement établie dans son usine ou dans ses bureaux. Assurément pour fixer la juste mesure du laer,sai i y a de nombreux points de ve à considérer. On ne doit js s'abstraire de celui qui met le s en rapport avec les besoins de l'ouvrier chef de famille, mais s'il est un principe sur lequel une démocratie ne dt ps transiger c'st le principe de jstc q veut q chaque individu st rér usiavnt son utilité et compte tenu de l'expérience acquise. Tout ptrn américain s'emploie à perfectionner ses installations sse méthodes en vue du plus grand rendement, générateur de bien-être; tout ouvrier américain chrch à devenir contremaître. Voilà deux faces e l'efficiency et ce n'est pas hasard si elles sont les moins remarquables. Quelle s, demandera-t-on, la durée e la journée aux États-Unis ? Réponse 9 heures. Il y a ps de pays au monde où le processus itauatn de la journée de 8 heures ait pris un crs plus ai qu'aux Étts-Ui. Et cette observation va cntr l'argument de xecu qui cherchent à rendre al loi de heures, loi de progrès 'il en fut, responsable intrinsèquement de la crise générale de la production en France. 'ouvrier mércn ne travaille que 8 heures; slmnt ce sont, grâce l'efficiency, grc à la liberté donnée à tous les Stephenson t à tous lse Jacquard, 8 heures bien employées. Les Américains se rendent compte que l'ouvrier moderne a peut-être, à l'heure actuelle, plus besoin de cerveau que de force physique. Sa tâche est moins, en effet, suivant une formule très heureuse, « de produire des kilogrammètres que de conduire les machines qui les produisent. » l est autre cause de la supériorité de l'ndstr américaine par rapport à celle de notre Vx Continent. Cest que, là-bs, de plus en
de la journée de 8 heures ait pris un cours plus rapide qu'aux États-Unis. Et cette observation va contre l'argument de ceux qui cherchent à rendre la loi de 8 heures, loi de progrès s'il en fut, responsable intrinsèquement de la crise générale de la production en France. L'ouvrier américain ne travaille que 8 heures; seulement ce sont, grâce à l'efficiency, grâce à la liberté donnée à tous les Stephenson et à tous les Jacquard, 8 heures bien employées. Les Américains se rendent compte que l'ouvrier moderne a peut-être, à l'heure actuelle, plus besoin de cerveau que de force physique. Sa tâche est moins, en effet, suivant une formule très heureuse, « de produire des kilogrammètres que de conduire les machines qui les produisent. » Il est une autre cause de la supériorité de l'industrie américaine par rapport à celle de notre Vieux Continent. C'est que, là-bas, de plus en plus, les firmes encouragent leurs salariés à devenir leurs actionnaires, et l'invitation est suivie d'effet. Voilà quelques exemples : Sur 123.759 actionnaires, la grande compagnie Armour, spécialisée dans la fabrication des conserves alimentaires, en compte 56.000 parmi ses ouvriers et employés. 75 des actions du Standard Gaz and Electricity Co sont possédées par le personnel. La Standard Oil a un tiers de son capital social dans les mains de ses employés. Ainsi les ouvriers américains sont des capitalistes, ils possèdent une parcelle de propriété, une fraction de capital. Conséquence : l'ouvrier se sent maître; il se sent responsable pour sa part de la conduite même des affaires. il sent que ses efforts ne profitent pas seulement à une personne, seulement à la direction, mais que lui-même est un associé, et qu'il doit donner tout son cœur, toutes ses forces pour achever une besogne commencée. Il songe à la fois, quand il travaille, à son salaire et à son coupon. Cette ascension vers la propriété mobilière explique très bien la désaffection des ouvriers pour la F. A. T. (Fédération Américaine du Travail), qui a vu le nombre de ses adhérents tomber de 4 millions en 1914 à 2.700.000 en 1924. Ce
la un 8 heures ait pris un cours plus rapide qu'aux iUÉssta.nt- Et cette observation va cntr l'argument de ceux uqi cherchent à rendre la loi d 8 heures, loi de progrès s'il n fut, responsable intrinsèquement e la crise générale de la production e France. L'ouvrier américain ne travaille que 8 heures; seulement ce sont, grâce à l'efficiency, grâce à la liberté enédno à tous les Stephenson et à tous les Jacquard, 8 heures bien employées. Les Américains se rndnt compte l'ouvrier mdrn a peut-être, à l'heure actuelle, plus besoin de cerveau que de force physique. S tâche est moins, en effet suivant ne formule très heureuse « de produire des klgrmmètrs que de cndr les machines qui les produisent. » Il est n autre cause de la spérrté de l'industrie américaine par pot à celle de notre Vieux Continent. st que, là-bs, de plus en pls, les frms encouragent er salariés à devenir leurs acires t l'nvttn est suivie d'effet. Voilà quelques exemples : Sur 237 actionnaires, la grande compagnie rmr, spéclsé dans la fabrication ds conserves amntr, en cmp 56.000 parmi ses ouvriers et employés. 75 des actions du Standard Gaz and Electricity Co sont possédées par le personnel. La Standard Oi a n is de son apl social dans les mains e ses employés. Ainsi ls ovrs américains sont des capitalistes, ils possèdent un acll de propriété ue frctn de capital Conséquence : l'vrr se sent maître; il se tnse responsable pour sa part de la conduite mêm des affaires. il sent qeu ss efforts ne profitent pas seulement à une nspeoer,n seulement à la direction, mais que l-mêm un associé, et q'l o donner tout son cœur, toutes ses forces pour achever une bsgn commencée. Il songe à l fois, quand il travaille, à son salaire et à son coupon. Cette ascension vers la propriété mblèr explique très bn al désaffection des ouvriers pour la F. A. T. (Fédération mri du Travail), qui a vu le nombre de ses adhérents tomber de 4 millions en 1914 à 2.700.000 e 1924 C
sont possédées par le personnel. La Standard Oil a un tiers de son capital social dans les mains de ses employés. Ainsi les ouvriers américains sont des capitalistes, ils possèdent une parcelle de propriété, une fraction de capital. Conséquence : l'ouvrier se sent maître; il se sent responsable pour sa part de la conduite même des affaires. il sent que ses efforts ne profitent pas seulement à une personne, seulement à la direction, mais que lui-même est un associé, et qu'il doit donner tout son cœur, toutes ses forces pour achever une besogne commencée. Il songe à la fois, quand il travaille, à son salaire et à son coupon. Cette ascension vers la propriété mobilière explique très bien la désaffection des ouvriers pour la F. A. T. (Fédération Américaine du Travail), qui a vu le nombre de ses adhérents tomber de 4 millions en 1914 à 2.700.000 en 1924. Ce chiffre représente 15 environ de l'ensemble des travailleurs. On comprend combien il est difficile aux adeptes du marxisme en Amérique (il en existe encore) de justifier leur théorie du cloisonnement des classes. Elle reçoit des faits un démenti si net. Chez nous, hélas, les syndicalistes de la C. G. T. À plus forte raison ceux de la C. G. T. U., s'entêtent à suivre les fausses directions que les livres leur ont fait prendre. Ils posent en principe que le capital est l'ennemi, que les capitalistes sont des oppresseurs. À ce dogme absurde ils en ajoutent un autre : limiter la production industrielle pour maintenir le salaire au taux arrêté par le statut syndical. Tous proclament à l'envi que le conflit prétendu entre le capital et le travail ne peut être tranché que par l'asservissement du travail ou la nationalisation du capital. Aveugles, aveugles ! Le symbolique Monsieur Ritbles (c'est, vous le savez, depuis la guerre, l'autre surnom de John Bull) commence, lui, à voir clair. Commentant le livre de MM. Austin et Lloyd, M. Philippe Snowden, l'ex-ministre travailliste de Grande-Bretagne, a, dans un discours qui a fait du bruit, convenu qu'il fallait changer la mentalité syndicale, que caractérise l'antagonisme
snt possédées par personnel. La Standard Oil a un tiers de sn capital social dans les mains d ses employés. Ainsi ls ouvriers américains sont des capitalistes, ils possèdent une parcelle de propriété, une fraction de tl Conséquence : l'ouvrier se sent maître; il se sent oaebsesrlnp pour sa part de la conduite même des affaires il sent que ses rfofset en profitent pas seulement à une prsnn, seulement à la direction, mai que lui-même est un associé, et qu'il doit donner tt son cœr, tts ses forces uopr chvr une besogne commencée. l songe à la fois, quand il travaille, à son salaire et à son coupon. Cette ascension vers propriété mobilière xplq très bien la désaffection des uvrsiore pour la F A. T. (Fédération émiarncAie du Travail), qui a vu le nombre de ss adhérents mtreob de 4 li en 1914 à 2700000 en Ce ferfich représente 15 eo de l'ensemble des travailleurs. On comprend combien il est difficile aux adeptes du miaxmesr en Amérique (il n etsxie encore) de justifier leur théorie du cloisonnement des sscel.as Elle reçoit des faits u démenti si net. Chez nous, hélas, les syndicalistes de la C. G. T. À l t raison cx d la .C G. . ., s'entêtent suivre les fausses directions que ls les leur nt fait prendre Il posent en principe que le capital st lennemi que les capitalistes sont des oppresseurs. ce dogme absurde ils en ajoutent un autre limiter a production industrielle pour maintenir le salaire au taux arrêté par le statut syndical. Tous proclament à l'envi que le conflit prétendu entre le capital et le lvaarit e peut être tranché que par l'asservissement du travail al ntnlstn du capital. Aveugles aveugles ! Le symbolique Monsieur Ritbles (c'est, vous le savez, depuis la guerre 'autre srnm de John Bull) commence, lui, à voir clair Commentant le lvr de MM. Austin et Lloyd, M. Phipe Snowden, l'ex-ministre travailliste d Grande-Bretagne, a, dans un discours qui a fait du bruit convenu qu'il fallait chngr l mentalité syndicale, que caractérise l'antagonisme
À plus forte raison ceux de la C. G. T. U., s'entêtent à suivre les fausses directions que les livres leur ont fait prendre. Ils posent en principe que le capital est l'ennemi, que les capitalistes sont des oppresseurs. À ce dogme absurde ils en ajoutent un autre : limiter la production industrielle pour maintenir le salaire au taux arrêté par le statut syndical. Tous proclament à l'envi que le conflit prétendu entre le capital et le travail ne peut être tranché que par l'asservissement du travail ou la nationalisation du capital. Aveugles, aveugles ! Le symbolique Monsieur Ritbles (c'est, vous le savez, depuis la guerre, l'autre surnom de John Bull) commence, lui, à voir clair. Commentant le livre de MM. Austin et Lloyd, M. Philippe Snowden, l'ex-ministre travailliste de Grande-Bretagne, a, dans un discours qui a fait du bruit, convenu qu'il fallait changer la mentalité syndicale, que caractérise l'antagonisme contre les patrons que les ouvriers doivent comprendre qu'ils sont associés dans l'industrie, qu'ils bénéficient de l'extension de celle-ci, qu'ils doivent donc s'efforcer de la rendre plus productive et se convaincre que toute dépression les frappe, plus encore que les patrons eux-mêmes. Les Américains, peuple jeune, sont demeurés à certains égards un peuple primitif. Il est des cas où ils n'en prennent pas moins, vis-à-vis de la vieille Europe, figure de donneurs de leçons ! Cette « union sacrée pour le travail », que la jeune Amérique réalise, ne laissons pas dire, ne laissons pas croire qu'elle est impossible en France. Elle est réalisée ou en voie de l'être dans toutes les entreprises groupées sous le signe du catholicisme social. Elle est possible partout, avec l'ouvrier français, si fin et si ouvert, auquel il ne manque que d'avoir des notions économiques plus saines, que personne ou presque personne ne s'est préoccupé de lui permettre d'acquérir. Eugène LE BRETON. LIRE EN 2e PAGE M. Poincaré devant la Commission des finances. LA FÊTE DES REINES DE CORNOUAILLES (Photo Villard, Quimper.) Au centre, Mlle Marie LE BAS, reine de l'Isole, à gauche. À sa droite, Mlle Louise GUENNEAU, reine de l'Odet. En bas,
À pls forte raison cx de la C G T ., s'entêtent à esvuri les fausses directions que les livres leur ot fait prendre. Ils posent en principe que le capital est l'ennemi, qu les capitalistes sont des oppresseurs. À ce gme absurde ils en ajoutent un autre : limiter la oduicprnto industrielle pour maintenir le salaire au tx arrêté par le statut ial oTsu proclament à l'envi que le ctfonli prétendu entre el capital et le va ne peut être hnctéar que par l'asservissement u trvl ou la nationalisation du capital. Aveugles, aveugles ! Le symblq Monsieur Ritbles (c'est, vous el s, depuis la guerre, l'autre surnom John Bull) commence, lui, à voir clair Commentant le livre de MM. Austin et Lloyd, M. Philippe Snowden, l'ex-ministre travailliste de Grande-Bretagne, dans un discours qui a fait du bruit convenu qu'il fallait changer la mentalité syndicale, caractérise l'antagonisme contre les patrons que ls ouvriers doivent comprendre quils sont aoiés dans l'industrie, qu'ils bénéfcnt e l'extension d celle-ci, qu'ils oi donc s'efforcer e la rendre plus productive et se convaincre que toute dépression les frappe, plus encore que les ptrns eux-mêmes. Ls mércns, euple jeune, sont demeurés à certains égards nu peuple primitif l es des cas où sil nen prennent pas moins, vis-à-vis de la vll urop, figure de donneurs d lçns ! Cette « union cesaér ur le tvail q l jeune Amérique réalise, ne laissons pas dire, ne laissons pas cr qu'elle est impossible en France. Elle st réalisée ou en voie d l'être s toutes sel entreprises pgéseoru usso le signe du catholicisme social. est possible partout, avec l'ouvrier français, si fin et s ouvert, auquel il n mnque que davoir des notions économiques plus saines, que esonne ou presque personne ne s'est préccpé de lui permettre d'cqérr. gèn LE BRETON. LIRE EN e2 PAGE M Poincaré devant la Commission des finances. LA FÊT DES REINES DE LRSACLNOOIUE (Photo Villard, Quimper.) A centre, Mlle Marie LE BAS, reine de l'Isole, à gah. À sa dte l Louise UENEAU, reine de l'dt. n bas,
égards un peuple primitif. Il est des cas où ils n'en prennent pas moins, vis-à-vis de la vieille Europe, figure de donneurs de leçons ! Cette « union sacrée pour le travail », que la jeune Amérique réalise, ne laissons pas dire, ne laissons pas croire qu'elle est impossible en France. Elle est réalisée ou en voie de l'être dans toutes les entreprises groupées sous le signe du catholicisme social. Elle est possible partout, avec l'ouvrier français, si fin et si ouvert, auquel il ne manque que d'avoir des notions économiques plus saines, que personne ou presque personne ne s'est préoccupé de lui permettre d'acquérir. Eugène LE BRETON. LIRE EN 2e PAGE M. Poincaré devant la Commission des finances. LA FÊTE DES REINES DE CORNOUAILLES (Photo Villard, Quimper.) Au centre, Mlle Marie LE BAS, reine de l'Isole, à gauche. À sa droite, Mlle Louise GUENNEAU, reine de l'Odet. En bas, Mlle Louise PERENNOU, reine du Belon (Riec-sur-Belon), avec ses demoiselles d'honneur. SOURIRES = Si les Anglais croient à une guerre prochaine, qu'ils le disent. Mais qu'ils ne nous endorment pas à l'aide de pilules pacifiques dont ils ont le secret, s'ils estiment que nous courons à un nouveau coup de torchon. À la Chambre des Communes, un de ces jours, un député parlera de la guerre aérienne et tout en promenant son auditoire dans les nuages il demandera au gouvernement d'éduquer les civils en prévision des dangers futurs. Les attaques par avions, se proposera-t-il de dire, étant probables, tout anglais sera obligatoirement possesseur d'un masque à gaz. Trois fois par an au moins les habitants du Royaume-Uni défileront dans des chambres spéciales afin de s'y habituer à l'utilisation des appareils antiasphyxiants. Il n'y a pas de quoi rire, je vous assure, en songeant à ces précautions ! Le civil de demain, quel que soit son âge, se tiendra comme le poilu d'hier, sur un qui-vive perpétuel. Il s'exercera à descendre au pas gymnastique dans les caves. Il va par les rues, un masque en bandoulière et un casque sur la nuque. Aux sifflements des sirènes signalant les avions d'Attila, il
égards un peuple primitif. Il est des cas où ils nen prennent ps moins, vis-à-vis de la vieille Europe, figure de doe de leçons ! Cette « union sacrée pr le travail », que la jeune Amérique réalise, n laissons pas dire, n laissons p crr q'll est impossible en France. Elle est réalisée ou en l'être dans toutes les entreprises groupées sous le signe du catholicisme social. Elle est possible partout, avec l'ouvrier français, si fin et si ouet, auquel il ne manque que d'avoir des ntns économiques plus saines, que personne ou presque personne ne s'est préoccupé d lui permettre d'acquérir. Eugène LE BRETON. LIRE EN 2 PAGE M. Poincaré devant la Commission des finances. LA FÊTE DES REINES ED CORNOUAILLES (Photo illa Qmpr.) Au centre, Mlle Marie LE BS, reine de lleoIs,' à gauche. À sa i,odter Mlle Louise GUENNEAU, reine de lOdet En bas, Mlle Louise PERENNOU, reine du Belon (Rc-sr-Bln), vec ses demoiselles d'honneur. SOURIRES = Si les Anglais croient à une guerre prochaine, qu'ils le disent. Mais qu'ils ne nous endorment pas à laide de pilul pacifiques dont ils nt le secret, s'ils eestntmi que nous courons un nouveau coup de torchon. À a Chambre des Communes, un de ces jours, n député parlera de a guerre aérienne et tout en rtneanomp son auditoire dans les nuages il demandera au gouvernement d'éduquer ls civils en prévision des dangers ftrs. Les attaques par avions, se proposera-t-il de dr, étant prbbls, tt anglais sera obligatoirement pssssr d'un masque à gaz. Trois fois par an au moins les habitants du Royaume-Uni défileront dans d chambres spéciales afin de s'y habituer à l'utilisation des appareils antiasphyxiants. Il n'y a pas de quoi rire, je vous easru,s en songeant à ces précautions ! Le civil de dai ql que soit ons âge, se tiendra comme le poilu dhier sur un qui-vive tpelup.eré Il s'exercera à dcedre au pas gymnastique dans les caves. Il va par les rues, un masque en bandoulière et un casque sur la nuque. Aux sifflements des sirènes signalant les avions d'Attila, il
torchon. À la Chambre des Communes, un de ces jours, un député parlera de la guerre aérienne et tout en promenant son auditoire dans les nuages il demandera au gouvernement d'éduquer les civils en prévision des dangers futurs. Les attaques par avions, se proposera-t-il de dire, étant probables, tout anglais sera obligatoirement possesseur d'un masque à gaz. Trois fois par an au moins les habitants du Royaume-Uni défileront dans des chambres spéciales afin de s'y habituer à l'utilisation des appareils antiasphyxiants. Il n'y a pas de quoi rire, je vous assure, en songeant à ces précautions ! Le civil de demain, quel que soit son âge, se tiendra comme le poilu d'hier, sur un qui-vive perpétuel. Il s'exercera à descendre au pas gymnastique dans les caves. Il va par les rues, un masque en bandoulière et un casque sur la nuque. Aux sifflements des sirènes signalant les avions d'Attila, il relira son testament en se jurant de mourir sans gloire. Quel bel enfer on nous prépare ! Dans le tourbillon des folies et des aventures, voici les Barbares qui avancent sur la fameuse route du Progrès ! Mais John Bull, venant vers nous dans les conférences internationales ne manifeste jamais officiellement la moindre crainte. Il déclare au contraire : "Ach, dormez tranquilles. Le temps est beau. Tous les peuples sont frères." Ouais. Dès que nous avons tourné le dos, il court essayer son masque à gaz. Sacré John Bull, aurais-tu perdu ton flegme ? Le journal nous commence aujourd'hui notre nouveau feuilleton Tarzan chez les Singes Tous nos lecteurs suivront avec un vif intérêt l'aventure si émouvante, si rare, si humainement et si douloureusement vivante de ce « Petit d'Homme », élevé au milieu des grands anthropoïdes de l'Afrique. Dimanche prochain nous commencerons un nouveau feuilleton LE GOELAND Par Jean BALDE Photo M. Melluit, sous-secrétaire d'État aux Finances des Etats-Unis, faisait notre photo représentant devant la vedette à Dinard et causant avec une dame. Pour résoudre la crise des loyers Un ingénieux dispositif La maison ambulante Le Havre, 28 juillet. Une énorme automobile qui a l'aspect d'un tank ou d'un
torchon. À la Chambre des Communes, un de ces jours, un député parlera d la guerre aérienne et tout en romean son auditoire dans les nuages il demandera gouvernement d'éduquer les civl en prévision des dangers futurs. Les attaques par vns, se proposera-t-il de dire, étant probables, tout anglais sera itobinegaolmetr possesseur d'un masque à gaz. Trois fs par an au moins les habitants du Royaume-Uni défileront dans des chambres spéciales afin de s'y habituer à l'utilisation des appareils antiasphyxiants. Il n'y a pas de quoi rire, je vous assure, en songeant à ces précautions ! Le civil de demain, quel e soit son âge, se tiendra comme le poilu d'hier, sur un qui-vive prpétl. lI s'exercera à en au pas gymnastique dans les caves. Il va par les rs, un masque en bandoulière et un casque sur la nuque. Aux sifflements de sirènes signalant les avions d'Attila, il relira sn testament en se jurant de mourir sans gloire Quel bel enfer on nous prépare ! Dans le tourbillon des folies t des aventures, voici les Barbares qui avancent sur la fameuse oetur du Progrès Mais John Bull, evatnn vers nous dans les conférences internationales n manifeste jamais officiellement l moindre crainte. Il déclare au contraire : "Ach, dormez tranquilles. Le temps est beau. Tous les peuples sont frères." Ouais. Dès que nous ao tourné le dos, il court essayer son masque à gaz. Sacré John ul, aurais-tu perdu ton flegme ? Le journal nous cmmnc aujourd'hui notre nouveau feuilleton Tarzan chez les Singes Tous nos lecteurs suivront avec un vif intérêt l'aventure si émouvante, si rare, si humainement et si douloureusement vvnt de ce « Petit d'Homme », élevé au milieu des grands anthropoïdes de l'Afrique. Dimanche prochain nous cene n nouveau feuilleton LE GOELAND Par Jean BALDE Photo M. Melluit, sous-secrétaire d'État aux Fnncs des tts-ns, faisait notre photo représentant devant la vedette à Dinard et causant avec une dame. Pour résoudre la crs des loyers Un ingénieux dispositif La maison ambulante Le Havre, 28 juillet. Une énorme automobile qui a l'aspect d'un tank ou d'un
officiellement la moindre crainte. Il déclare au contraire : "Ach, dormez tranquilles. Le temps est beau. Tous les peuples sont frères." Ouais. Dès que nous avons tourné le dos, il court essayer son masque à gaz. Sacré John Bull, aurais-tu perdu ton flegme ? Le journal nous commence aujourd'hui notre nouveau feuilleton Tarzan chez les Singes Tous nos lecteurs suivront avec un vif intérêt l'aventure si émouvante, si rare, si humainement et si douloureusement vivante de ce « Petit d'Homme », élevé au milieu des grands anthropoïdes de l'Afrique. Dimanche prochain nous commencerons un nouveau feuilleton LE GOELAND Par Jean BALDE Photo M. Melluit, sous-secrétaire d'État aux Finances des Etats-Unis, faisait notre photo représentant devant la vedette à Dinard et causant avec une dame. Pour résoudre la crise des loyers Un ingénieux dispositif La maison ambulante Le Havre, 28 juillet. Une énorme automobile qui a l'aspect d'un tank ou d'un submersible parcourt actuellement la Normandie où elle séjourne un peu dans chaque ville. De grands écriteaux fixés sur ses parois latérales apprennent aux curieux qu'il s'agit d'un appartement ambulant que son propriétaire, M. Louvet, a construit lui-même en un an. Cet original logement, monté sans chassis, comporte neuf pièces entières. Il se compose d'une cuisine où se tient le conducteur, d'une chambre à coucher, d'un cabinet de toilette, d'une salle à manger, d'un salon, d'une cuisine, d'un laboratoire, et d'un watercloset. Les pièces sont fort coquettement meublées et très gentiment décorées. Elles reçoivent l'air et la lumière par une série de petits hublots munis de volets légers. Sur le toit, une antenne permet de recevoir les émissions radiotélégraphiques. M. Louvet qui habite son appartement automobile en compagnie de sa femme et de son enfant est très satisfait de son invention. Il roule à 45 kilomètres à l'heure avec la sérénité d'un homme qui n'a pas de terme à payer et qui peut passer devant les hôtels sans avoir besoin d'aller y demander gîte et nourriture. L'OURAGAN DE FLORIDE A FAIT 40 MILLIONS DE DÉGÂTS Miami (Floride), 28 juillet. Les dégâts causés par l'ouragan à Palm Beach sont évalués à 1
officiellement la moindre crainte. Il déclare au contraire : "Ach, dormez tranquilles. Le temps st b. Tous ls peuples ntso f.rsèer" Ouais. sDè que nous avons tourné le dos, l court essayer son masque à gaz. Sacré John Bull, aurais-tu puder ton flegme ? L ranloju nous commence aujourd'hui notre nouveau euiet Tarzan chez les Sngs Tous nos cur suivront avec un vif intérêt l'aventure i émouvante, si rr, si humainement et si dlrsmnt vivante de « Petit d'Homme », élevé eiluim e ndsagr anthropoïdes de l'frq. Dimanche prochain ns commencerons un nouveau feuilleton LE GOELAND Par Jean BALDE Photo M Melluit, re-issreéstauoc d'État aux Finances des Etats-Unis, faisait notre photo représentant devant la à Dinard et causant avec une dame. Pour rsd la crs de loyers Un ingénieux ipsif La maison lmatunbea Le Havre, 28 juillet. Une énorme automobile qui 'aspect d'un tank ou dun ueremsbislb parcourt actuellement l Normandie où elle unrejsoé un p dans chaque ville. D grands écrtx fixés sur ses parois érls apprennent aux cuiu ql'ui s'agit dun appartement ambulant que sn propriétaire Louvet, a construit luimême en un an. original lgmnt, monté sans cs comporte ufen pièces entières. lI se compose d'une cii où se tient le conducteur, d'une chmbr à ouce udn' cabinet de toilette, d'une sle à manger, d'un salon neu'd cuisine, d'un laboratoire, et 'un waerlset. Ls pièces snt ft coquettement meublées et très getient décorées. Ele reçoivent l'air et la lumière par une série de petits hublots mus d volets légers. Sur le toit, une antenne permet rcvr les émissions dtéégphiqe M. Lvt qui hbt son appartement automobile en cmpgn de sa femme et de son enfant est tès satisfait de s invention. Il roule à 45 kilomètres à u avec la sérénité d'un homme qui n'a as de terme à payer et q peut passer dvnt sel hôtels sns avoir besoin d'aller y demander gîte et nourriture. 'OURAGAN DE RIDLFOE A FAIT 40 MILLIONS DE SDÂÉGT Miami (Floride), 28 juillet. Les dégâts caus par l'ouragan Palm Beac sont évalués à 1
Il se compose d'une cuisine où se tient le conducteur, d'une chambre à coucher, d'un cabinet de toilette, d'une salle à manger, d'un salon, d'une cuisine, d'un laboratoire, et d'un watercloset. Les pièces sont fort coquettement meublées et très gentiment décorées. Elles reçoivent l'air et la lumière par une série de petits hublots munis de volets légers. Sur le toit, une antenne permet de recevoir les émissions radiotélégraphiques. M. Louvet qui habite son appartement automobile en compagnie de sa femme et de son enfant est très satisfait de son invention. Il roule à 45 kilomètres à l'heure avec la sérénité d'un homme qui n'a pas de terme à payer et qui peut passer devant les hôtels sans avoir besoin d'aller y demander gîte et nourriture. L'OURAGAN DE FLORIDE A FAIT 40 MILLIONS DE DÉGÂTS Miami (Floride), 28 juillet. Les dégâts causés par l'ouragan à Palm Beach sont évalués à 1 million de dollars. Quarante yachts ont coulé sur le lac Worth. L'ouragan se dirige vers le nord de la péninsule. LA CRUE DU DANUBE Belgrade, 28 juillet. La crue du Danube continue dans le département de Ylinscn, inondant les pâturages de la commune de Malou sur une surface de 200 hectares. Un grand nombre de jardins et des cultures de nias ont été détruits. Le Danube continue à grossir en plusieurs endroits, des mesures ont été prises pour sauver les bestiaux se trouvant au pâturage. Le port de Giurgiu sera évacué. Une partie des marchandises a été transportée à Bucarest et une autre partie a été déposée dans les bateaux se trouvant devant le port. LE GROUPE DE SALUT PUBLIC A SON COMITÉ DIRECTEUR M. Morinaud en est le président. Paris, 28 juillet. En raison de l'impossibilité de réunir dans une même salle au Palais Bourbon, tous les membres de l'intergroupe républicain de salut public au nombre de 60, le comité directeur s'est constitué comprenant 60 membres répartis entre tous les groupes politiques de la Chambre à l'exception des socialistes, des communistes et de l'extrême droite. Ce comité a lui-même nommé un bureau de 9 membres à raison d'un représentant
Il se compose d'une cuisine ù se tient le conducteur, d'une chmbr à coucher, d'un cabinet de toilette, d'une salle à manger, 'nud salon, d'une cuisine, d'un laboratoire, et d'un wteclset. Les pièces sont fort coquettement meublées et très gentiment décorées. Elles reçoivent l'air et la lumière par une série de petits hublots munis ed vlts légers. Sr le ,toti ue antenne permet de recevoir les émissions radiotélégraphiques. M. Louvet qui habite son pprtmnt automobile en compagnie de sa fe et de son enfant est trs satisfait de son invention. l roule à 45 kilomètres à l'hr avec la sérénité d'un homme q n'a pas de terme à payer et qui peut passer devant les hôtels sans avoir besoin d'aller y demander î et nourriture. L'OURAGAN D FLORIDE A FAIT 40 MILLIONS DE DÉGÂTS Miami (Floride), 28 juillet. Les dégâts causés a l'ouragan à Plam Beach sont évalués à 1 million de dollars. Quarante yachts ont clé sur le lac Worth. L'ouragan se dirige vrs le nrd de la péninsule. LA CR DU DANUBE Belgrade, 28 juillet. L crue du Dnb cntn dans département de Ylinscn, inondant les pâturages de la commune de Malou sur une surface de 200 hectares. Un grand nombre de jardins et des cultures de nias ont été détruits. Le Dnb continue à grossir ir endroits, des mesures ont été prises pour save les bestiaux s trouvant au pâturage. Le prt de Giurgiu e évacué. Une partie des mahandse a été transportée à Bucarest et une autre partie a été déposée dans l bateaux s trouvant devant l prt. LE GROUPE DE SALUT PUBLIC A SON COMITÉ DRCTR M. Morinaud en est le président. Paris 28 juillet. En raison de éiitbpl'lmioiss de réunir dans une même salle au Palais Bourbon, tous les mmbrs d l'intergroupe républicain de salut pblc au nombre 0, le comité directeur s'est constitué comprenant 60 membres répartis entre tous les groupes politiques de la Chambre à etcixnl'peo ds socialistes, des communistes et de l'extrême droite. Ce comité a lui-même nommé n bureau de 9 membres à raison d'un représentant
hectares. Un grand nombre de jardins et des cultures de nias ont été détruits. Le Danube continue à grossir en plusieurs endroits, des mesures ont été prises pour sauver les bestiaux se trouvant au pâturage. Le port de Giurgiu sera évacué. Une partie des marchandises a été transportée à Bucarest et une autre partie a été déposée dans les bateaux se trouvant devant le port. LE GROUPE DE SALUT PUBLIC A SON COMITÉ DIRECTEUR M. Morinaud en est le président. Paris, 28 juillet. En raison de l'impossibilité de réunir dans une même salle au Palais Bourbon, tous les membres de l'intergroupe républicain de salut public au nombre de 60, le comité directeur s'est constitué comprenant 60 membres répartis entre tous les groupes politiques de la Chambre à l'exception des socialistes, des communistes et de l'extrême droite. Ce comité a lui-même nommé un bureau de 9 membres à raison d'un représentant par groupe. Le bureau puis le Comité directeur ont désigné comme président M. Morinaud, député de Constantine, fondateur de l'intergroupe. LE « BON JUGE » EST MORT Limoges, 28 juillet. On annonce la mort survenue, dans sa propriété de Saint-Yrieix, où il se était retiré, de M. Jean Magnaud, ancien député de Paris, ancien président du tribunal de Château-Thierry, qui avait, par certains de ses jugements, mérité le surnom de bon juge. Il était âgé de 78 ans. UN ARRÊT DANS LE PROGRÈS DU MAL Paris, 28 juillet. Le projet financier du Gouvernement ne constitue qu'une première étape vers la santé, il serait même, à parler plus juste, un simple arrêt dans les progrès du mal. Ou encore, si l'on veut, c'est un barrage destiné à conjurer la chute de la monnaie en restaurant le crédit intérieur. C'est plus tard, lorsque les mesures prises auront produit leurs effets sur ce crédit même, selon l'espoir de M. Poincaré, que le Gouvernement s'occupera de revaloriser, s'il y a lieu, de stabiliser, en tout cas de soigner la diathèse économique et monétaire du pays. Cette procédure par paliers distingue la manière de M. Poincaré de celle de M. Callaux. Celui-ci, conformément d'ailleurs au
hectares n grand nombre de jardins et des cultures de nias ont été détruits. Le Dnb cntn à grssr en plusieurs endroits, des mesures nt été prss pur svr les est se trt au pâturage. Le port d Grg sera évacué. U partie des mrchndss été transportée à Bucarest et ue autre partie a été déposée dans les bateaux se trouvant devant le prt. LE GROUPE DE LSAUT PUBLIC A SN COMITÉ DIRECTEUR M Mrnd en st le président. Paris, 28 juillet. En raison de l'imosli réunir dans une même salle au Palais Bourbon, os les membres de lintergroupe rélcan d salut public au nombre de 60, le comité directe s'est constitué comprenant 60 membres répartis entre tous les groupes politiques de la Chambre à l'exception de aists, des nmoessimuct et de lextrême droite. comité a lui-même nommé un bureau d mmbrs à raison d'un représentant par oue e bureau pu le Comité directeur ont désgné comme président M. Morinaud, dépté de Cnstntn, fondateur de l'intergroupe. LE « BON JUGE » EST MORT Limoges, 28 luj.tiel On annonce la mort svn dans sa propriété de aiYr, où il se était retiré, de M. Jean ugaan,dM ancien député de Paris, ancien président trbnl de Château-Thierry, qui avait, par certans de ss jgmnts, mérité le surnom de bon juge Il était âgé 78 ans. UN ARRÊT DANS LE PROGRÈS D MAL Paris, 28 juillet. Le projet financier d Gouvernement ne constitue qu'une première étape vrs la santé, il serait même, à parler plus juste, un simple arrêt dans les rrsoèpg du mal. Ou encore si l'on veut, c'est un barrage sedtiné conjurer la chute ed la monnaie en restaurant le crédt intérieur. Cest plus tard, lorsque les mesures prises auront produit leurs effets sur ce crédit même, selon 'oi de M Poincaré, q le Gouvernement 'occupera de revaloriser, s'il y a l, de sbli, n tout cs de soigner la diathèse économique et monétaire du pays. Cette prcédr par paliers distingue la manière de . Poincaré de celle de M. Callaux. Celui-ci, conformément d'ailleurs au
député de Paris, ancien président du tribunal de Château-Thierry, qui avait, par certains de ses jugements, mérité le surnom de bon juge. Il était âgé de 78 ans. UN ARRÊT DANS LE PROGRÈS DU MAL Paris, 28 juillet. Le projet financier du Gouvernement ne constitue qu'une première étape vers la santé, il serait même, à parler plus juste, un simple arrêt dans les progrès du mal. Ou encore, si l'on veut, c'est un barrage destiné à conjurer la chute de la monnaie en restaurant le crédit intérieur. C'est plus tard, lorsque les mesures prises auront produit leurs effets sur ce crédit même, selon l'espoir de M. Poincaré, que le Gouvernement s'occupera de revaloriser, s'il y a lieu, de stabiliser, en tout cas de soigner la diathèse économique et monétaire du pays. Cette procédure par paliers distingue la manière de M. Poincaré de celle de M. Callaux. Celui-ci, conformément d'ailleurs au plan des experts, pensait pouvoir construire le barrage et effectuer les grosses réparations d'une façon à peu près simultanée. C'était une conception plus grandiose, peut-être plus scientifique, et plus adaptée aux circonstances qui sont pressantes. M. Poincaré veut prendre son temps, sans se préoccuper des impatiences du public et des fluctuations de la livre et du dollar qui peuvent s'ensuivre. Il veut appliquer en partie le système Coué, qui consiste à se redire tout le temps avec force « Je ne suis pas malade », pour être sur de ne l'être jamais ou de guérir. Cette méthode à priori n'est pas mauvaise mais on ne peut la juger sérieusement et équitablement que à posteriori. Ce qui est certain, c'est que les économies et la réorganisation administrative étant excellentes, mais insuffisantes, la création de deux milliards et demi de ressources fiscales nouvelles étant nécessaires, il n'était peut-être pas indispensable de les chercher, par exemple, dans une majoration de l'impôt sur les valeurs mobilières. Cela n'est pas de nature à encourager les classes moyennes, à rapatrier les capitaux et à conjurer l'exode de ceux qui sont encore en France. Ce qui est certain également, c'est que la cadence de l'amortissement paraît un
député d Paris, ancien président du tribunal de Château-Thierry, qui avait, pr certains e ses jugements, méitér le surnom de bn juge. Il était âgé de 78 ans. UN ARRÊT DANS LE PROGRÈS DU MAL Prs, 28 juillet. Le projet financier du Gouvernement n constitue q'n première étape vers la santé, il srt même, à parler pls juste, n simple arrêt dans les progrès du mal. Ou encore, si l'on veut, c'est un barrage destiné à conjurer la chute de l monnaie en restaurant le crédit intérieur C'est plus tard, lorsque les mesures prises auront produit leurs effets sur ce crédit même, selon l'espoir de M. Poincaré, que le Gouvernement s'occupera de revaloriser, sil y a lieu, de stabiliser, en tt cas de soigner la diathèse économique et monétaire du pays. Cette procédure rpa paliers distingue la manière de M. Poincaré de celle de M. Callaux. Celui-ci, conformément d'ailleurs au plan des experts pensait pouvoir construire le brrg et fceeurfet ls grosses réparations 'une façon à peu près simultanée. C'était une conception plus grandiose, peut-être plus scientifique et plus adaptée aux circonstances qui sont pressantes. M. Poincaré veut prendre sn tmps, sans se préoccuper des impatiences du public et dse snlitatcuofu de la livre et du dollar qui pvnt s'ensuivre. Il veut appliquer en partie le système Coué, qui consiste à se redire tout le temps avec force « Je n suis pas malade », pour être sr de ne l'être jamais ou de guérir. Cette méthode à priori n'est pas mauvaise mais on ne peut la juger sérieusement et équitablement que à posteriori. Ce qui st certain, c'est que les économies et la réorganisation administrative étant excellentes, mais insuffisantes, la création de deux milliards et demi de ressources fiscales nouvelles étant nécessaires, il n'était peut-être pas indispensable de les chercher, par exemple dans une majoration de l'impôt sur les valeurs mobilières. Cela n'est a de nature à encourager les classes moyennes, à rapatrier les cptx et à conjurer l'exode de ceux qui sont encore en France. Ce qui est certain également, c'est que la cadence de l'amortissement paraît un
fluctuations de la livre et du dollar qui peuvent s'ensuivre. Il veut appliquer en partie le système Coué, qui consiste à se redire tout le temps avec force « Je ne suis pas malade », pour être sur de ne l'être jamais ou de guérir. Cette méthode à priori n'est pas mauvaise mais on ne peut la juger sérieusement et équitablement que à posteriori. Ce qui est certain, c'est que les économies et la réorganisation administrative étant excellentes, mais insuffisantes, la création de deux milliards et demi de ressources fiscales nouvelles étant nécessaires, il n'était peut-être pas indispensable de les chercher, par exemple, dans une majoration de l'impôt sur les valeurs mobilières. Cela n'est pas de nature à encourager les classes moyennes, à rapatrier les capitaux et à conjurer l'exode de ceux qui sont encore en France. Ce qui est certain également, c'est que la cadence de l'amortissement paraît un peu lente, puisqu'on ne doit lui affecter que l'impôt sur les successions et la taxe sur les mutations. La dette, c'est notre grand mal, c'est notre infirmité la plus terrible. Il faudrait opérer le malade sans le faire souffrir trop longtemps. Pourquoi, dès lors, ne pas proposer et préparer une thérapeutique plus prompte et qui ne provoquerait pas chez le patient des douleurs qui vont l'énerver à longueur d'années ? Pourquoi ne pas organiser la cession des monopoles d'Etat ? M. Poincaré promet, sur ce régime de l'amortissement, un projet spécial. Il est donc temps encore de décider l'aliénation ou la mise en régie des monopoles, dont le produit serait affecté à la Caisse d'amortissement. Si l'on y consent, ce serait le salut absolument sûr, sans que le plus infime des contribuables et le plus humble des travailleurs en eût à souffrir, bien au contraire. Attendons du Gouvernement un sursaut de courage. L.-A. PAGES. Les ministres belges à Paris Bruxelles, 28 juillet. M. Francqui et M. Vandervelde se rendront à Paris vendredi pour voir MM. Poincaré et Briand. L'affluence des étrangers en France est pour nous, actuellement, un danger. Ce peut être pour nous si nous le voulons une source
utuin de la livre t du dollar qui peuvent s'ensuivre. Il vt appliquer en partie le système Coué, qui consiste à se redire tout le temps avec force « Je ne suis pas mld », pr êtr sur de ne l'êtr jamais ou de guérir. Cette méthode à priori n'est pas mauvaise mais on ne peut la juger sérieusement et équitablement que à pstrr. Ce qui est certain, cest equ les économies et la réorganisation administrative étant excellentes, mais insuffisantes, la création de deux milliards et demi de ressources fiscales nouvelles étant nécessaires il at peutêtre pas indispensable d les chercher, par exemple, dans nue majoration de l'impôt sr les valeurs l.irimsoebè Cela n'est pas de nature à ncrgr les clsss moyennes, à rapatrier les capitaux et conjurer oxeld'e de ceux qui ont ncr en France. Ce qui st certain également, e'tsc ueq la cadence de l'amortissement paraît un peu lente, puisqu'on ne dot lui affecter uqe l'impôt sur les successions et la taxe sur les mutations. L det ntr grand mal, c'st notre infirmité la plus terl. Il faudrait opérer le malade sans l faire souffrir trop longtemps. Prq, dès lrs, ne pas proposer et préparer une thérapeutique plus prompte et qui ne provoquerait as chz le patient des douleurs qui vont l'énerver à longueur d'années ? Pourquoi n pas organiser la cssn des monopoles d'Etat ? M. Pncré pomet sur ce régime de l'amortissement, un t spécial. Il est donc temps encore de décider l'aliénation ou la mise en régie des monopoles, dont l iodurtp serait affecté à la Caisse damortissement Si l'on y consent, ce serait le salut absolument sûr, sans que le plus infime des cntrbbls t le plus humble des travailleurs en eût à souffrir, bien au contraire. ttndns du Gouvernement un sursaut de courage. LA PAGES. Les ministres slgebe à Paris Bruxelles, 8 juillet. M. Francqui et M Vadrvl se rendront à Paris vendredi pour M Pica et Briand. L'affluence des étrangers en France st pour nous, actuellement, un danger. eC peut être pr nous si nous l vous n source
thérapeutique plus prompte et qui ne provoquerait pas chez le patient des douleurs qui vont l'énerver à longueur d'années ? Pourquoi ne pas organiser la cession des monopoles d'Etat ? M. Poincaré promet, sur ce régime de l'amortissement, un projet spécial. Il est donc temps encore de décider l'aliénation ou la mise en régie des monopoles, dont le produit serait affecté à la Caisse d'amortissement. Si l'on y consent, ce serait le salut absolument sûr, sans que le plus infime des contribuables et le plus humble des travailleurs en eût à souffrir, bien au contraire. Attendons du Gouvernement un sursaut de courage. L.-A. PAGES. Les ministres belges à Paris Bruxelles, 28 juillet. M. Francqui et M. Vandervelde se rendront à Paris vendredi pour voir MM. Poincaré et Briand. L'affluence des étrangers en France est pour nous, actuellement, un danger. Ce peut être pour nous si nous le voulons une source appréciable de ressources nouvelles. Puisque l'Etat a besoin d'argent, qu'il frappe d'une taxe compensatrice tout étranger que le change favorise dès qu'il débarque en France. Qu'il augmente les droits de mutation sur les transmissions de propriétés au profit d'étrangers. En attendant, commerçants et restaurateurs, vendez en livres et en dollars. Les manifestations inamicales, quelques-unes hostiles qui ont accueilli nos hôtes étrangers sur divers points de la France, ne sont pas dans notre tradition. Nous l'avons dit, nous le répétons. Mais nous avons dit également, avec la liberté de langage qui nous est coutumière, que les étrangers dont notre mal financier fait actuellement la fortune doivent éviter avec soin, toute attitude provocante, toute critique déplacée ou simplement maladroite. D'un peu partout on nous écrit. Il se dégage des confidences de nos lecteurs plus qu'un malaise, une inquiétude. Et cette inquiétude, la voici traduite en quelques mots : Nos denrées de première nécessité sont englouties sur place et nos objets manufacturés eux-mêmes passent la frontière. Cette exportation d'un nouveau genre, si les pouvoirs publics n'y mettent bon ordre. ne peut qu'avoir un résultat pour nous, Français: un renchérissement sensible du prix de la vie. Le pain Un lecteur paysan nous écrit: Nous
thérapeutique plus me et qui ne provoquerait ps chez e ietnapt des dlrs qui vont l'énerver à longueur d'années ? Pourquoi ne pas rgnsr la cession des monopoles d'Etat ? M. éniPacor promet, sur ce régime de 'amortissement, un projt spécial. Il est o temps encore de décdr l'aliénation la mise en rég des monopoles, dont le duit serait affecté à l Caisse d'amortissement. Si l'on consent, ce serait le salut absolument sûr s que le plus infime des contribuables et le plus humble des travailleurs en eût à souffrir, bien au contraire Attendons du Gouvernement un sursaut de courage. L.-A. PAGES. Les ministres belges à Paris Bruxelles, 28 juillet. M. Fncui et M Vandervelde drentrno à Paris vendredi pour voir MM. Poincaré et Briand. L'affluence e étrangers en France est pour n,uos n,tmlatlecuee ngr. Ce peut être pour nous si nous le voulons n source appréciable de ressources nvlls. Puisque l'Etat besoin d'argent, qu'il frappe 'une taxe compensatrice tout étranger que le change fvrs dès q débarque en France. Qu'il augmente droits de mutation sr les trnsmssns de propriétés au profit d'étrangers. En attendant, commerçants et staurar vendez livres et en dollars. Les manifestations inamicales, quelques-unes hstls qui ont accueilli nos hôtes étrangers sur divers points de la France, ne sont dans notre tradition. Nous l'avons dit, nu le répétons. Ms ns avons dit également, vc la liberté de langage qui nous est coutumière ls étrangers dont notre mal financier fait actuellement l fortune doivent éviter avec soin, toute attitude provocante, toute critique déplacée ou simplement maladroite. D'un peu partout on nous écrit. Il se dégage des ciec d ns lecteurs pls q malaise, une inquiétude. E cette inquiétude, la voici traduite ne quelques s : Nos denrées de première nécessité otsn esigutolne sur lpeca et nos objets manufacturés eux-mêmes passent la frontière. Cette exportation d'un nouveau genre, si les pusoriov publics ny mettent bon ordre ne petu qu'avoir un résultat pour nous, Fnas n renchérissement sensible d prix de l vie. Le pain Un lecteur paysan nous écrit Nous
Les manifestations inamicales, quelques-unes hostiles qui ont accueilli nos hôtes étrangers sur divers points de la France, ne sont pas dans notre tradition. Nous l'avons dit, nous le répétons. Mais nous avons dit également, avec la liberté de langage qui nous est coutumière, que les étrangers dont notre mal financier fait actuellement la fortune doivent éviter avec soin, toute attitude provocante, toute critique déplacée ou simplement maladroite. D'un peu partout on nous écrit. Il se dégage des confidences de nos lecteurs plus qu'un malaise, une inquiétude. Et cette inquiétude, la voici traduite en quelques mots : Nos denrées de première nécessité sont englouties sur place et nos objets manufacturés eux-mêmes passent la frontière. Cette exportation d'un nouveau genre, si les pouvoirs publics n'y mettent bon ordre. ne peut qu'avoir un résultat pour nous, Français: un renchérissement sensible du prix de la vie. Le pain Un lecteur paysan nous écrit: Nous n'avons pas assez de blé, nous sommes contraints de faire appel à l'étranger, qui nous vend ce qui nous manque au cours de la livre et du dollar, et voilà que les étrangers, favorisés par le change, viennent consommer, à bon marché, le bleuet nous, sous forme de pain, ce blé qu'ils nous ont vendu si cher. « Ici, nous confie un parisien qui villégiure aux environs de St-Malo, la vie est devenue terriblement difficile. On ne trouve plus rien qu'à prix d'or. À prix d'or, c'est une façon de parler. Anglais et Américains font le vide, c'est la rafle en règle. Certains magasins de Saint-Malo sont complètement démunis de marchandises. Ils vont se réapprovisionner, c'est entendu, mais les habitants sauront à quel prix. « Un grand bravo pour l'Ouest-Eclair », écrit M. Duval, de Kerhastin, par Saint-Pierre-Quiberon, que les commerçants et les restaurateurs vendent à nos amis Anglais et Américains en livres et en dollars et versent la différence à la caisse d'amortissement. Une taxe sur les étrangers. Autre lettre que nous publions in extenso parce qu'elle nous semble résumer les remarques d'un grand nombre de nos correspondants occasionnels et contient une suggestion fort intéressante. Saint-Malo, 26 juillet. Permettez-moi
eLs manifestations inamicales, quelques-unes hostiles qui ont accueilli nos hôtes étrangers sur divers pin d la France, en snt pas dans notre tradition. Nous l'avons dit, nous le répétons. Mais ns avons dit également, e la liberté de langage qui nous est umiè, que les étrangers dont notre mal facier fait actuellement la fortune doivent éviter avec soin, toute attitude provocante, toute critique déplacée ou simplement maladroite. Dun p partout on nous écrit. Il se dégage des dcnioecnefs de nos lecteurs plus qu'un ,lsiaaem une inquiétude. Et cette inquiétude, la voici rade en quelques ot : Nos denrées d première nécessité snt englouties sur place et nos bjts manufacturés x-mms passent a frontière. Cette xprttn un nouveau gr, si les pouvoirs publics n'y mettent bon ordre. n peut qu'avoir un résultat pour nous, Français: un renchérissement sensible du prix de l vie Le ai Un lecteur paysan ns écrit: Nous n'avons pas assez de blé nous smeosm contraints de faire appel à l'étranger, qui nous vend ce qui n ue au curs ed al ive et du dollar, et voilà que les étrangers, favorisés par le change, eiennnvt consommer, à bon marché, le ee nous, ss forme de pain, c élb qu'ils nous ont vendu si cher. « Ici nous confie un parisien q villégiure aux environs de St-Malo, la vie est devenue ert difficile On ne trouve plus rien qu'à prix d'or. À prix d,or' c'est un nfoaç e parler Anglais t Américains font le vide, c'est al rafle en l. Certains magin de Saint-Malo sont complètement éus de mrchndss. Ils vont se répprvsnnr, 'est entendu, mais les habitants sauront quel prix. « n gnd bravo pr l'Ouest-Eclair », écrit M. Dvl, de Kerhastin, pr Saint-Pierre-Quiberon, que les commerçants et les restaurateurs ntevend à nos amis Anglais et Américains livres et en dollars et verset la différence la caisse d'amortissement. Une exat sr ls étrangers. Autre lettre q nous publions in extenso prc qu'elle nous semble résumer les remarques 'un grand nombre de nos correspondants occasionnels te contient une getin fort ntérssnt. Saint-Malo, 26 juillet Permettez-moi
blé qu'ils nous ont vendu si cher. « Ici, nous confie un parisien qui villégiure aux environs de St-Malo, la vie est devenue terriblement difficile. On ne trouve plus rien qu'à prix d'or. À prix d'or, c'est une façon de parler. Anglais et Américains font le vide, c'est la rafle en règle. Certains magasins de Saint-Malo sont complètement démunis de marchandises. Ils vont se réapprovisionner, c'est entendu, mais les habitants sauront à quel prix. « Un grand bravo pour l'Ouest-Eclair », écrit M. Duval, de Kerhastin, par Saint-Pierre-Quiberon, que les commerçants et les restaurateurs vendent à nos amis Anglais et Américains en livres et en dollars et versent la différence à la caisse d'amortissement. Une taxe sur les étrangers. Autre lettre que nous publions in extenso parce qu'elle nous semble résumer les remarques d'un grand nombre de nos correspondants occasionnels et contient une suggestion fort intéressante. Saint-Malo, 26 juillet. Permettez-moi de vous féliciter des articles d'hier et d'aujourd'hui attirant l'attention des commerçants sur la situation privilégiée des étrangers en France. Actuellement, ceux-ci, par suite du change, paient un prix dérisoire ce qui nous coûte très cher. Hier, à la terrasse d'un grand café, sur cent consommateurs, les trois quarts étaient étrangers espagnols, allemands, et surtout anglais. Sur nos côtes bretonnes, les étrangers accaparent tout on le voit partout, même dans les plus petits bourgs. Ils consomment notre pain, râtelent nos marchandises, étalent leur luxe et sont à la cause de la hausse continue. Vous faites bien de dire aux commerçants de faire payer en livres et dollars et non pas en francs. Mais il y a un point sur lequel je me permets d'attirer votre attention. Pour restaurer nos finances nationales, pourquoi, à leur entrée en France, ne délivre-t-on pas un passeport pour lequel ces étrangers paieraient une somme élevée (en livres ou dollars) fixée par personne et par jour suivant la longueur du séjour en France ? A. Regnault, rue de Dinan, Saint-Malo. L'idée est bonne. Cette idée de faire payer une taxe « honnête » (ou compensatrice, nous voulons dire), est à retenir. Nous l'avions émise nous-même il
blé qu'ils u ont vnd si cher. « Ici, nous confie un parisien qui villégiure aux environs de St-Malo, l vie est devenue terriblement difficile. On ne trouve plus rien qu'à prix d'r. À prix d'or, cs une façon de parler. Anglais et Américains font le vide, c'est la rfl en règl. en magasins de Saint-Malo sont complètement démunis de marchandises. Ils vont se réapprovisionner, c'est entendu ms les habitants sauront à quel prix. « Un grand bravo pour l'Ouest-Eclair », écrit M. Duval, de Kerhastin, par Saint-Pierre-Quiberon, que les commerçants les restaurateurs vendent à ons amis Anglais et Américains en livres et en dollars et versent la différence à la caisse 'amortissement. Une taxe sur les étrangers. tr lettre que nous publions i extenso parce qu'elle nous sm résumer les remarques d'un grand nre de nos crrspndnts osls et contient une suggestion fort intéressante. Saint-Malo, 62 juillet. Permettez-moi de vous féliciter des articles d'hier et daujourdhui attirant l'attention des commerçants sur la situation privilégiée des étrangers en Face. Actuellement, ceux-ci, par suite du change, paient un prix dérisoire ce qui nous coûte très cher. Hier, à la erasse d'un grand café, sur ncte consommateurs, les ostir quarts étaient étrangers espagnols, allemands, et surtout anglais. Sur nos côtes bretonnes, les étrangers ccprnt tt on le voit partout, même dans les pls petits bourgs. Ils onson notre pain, râtelent nos marchandises, alet leur luxe et sont la cause de l hausse continue. Vous faites bien de dire aux commerçants de faire payer e livres et dollars et non pas en francs. Mais il y a n point sur lequel je me permets d'attirer votre attention. Pour restaurer nos finances nationales pourquoi, à leur entrée en France, ne délvr-t-n pas passeport pour lequel ces étrangers paieraient une somme élevée (en livres ou dolars) fixée par personne et par jr suivant la lngr du séjour en France ? A. Rgnlt, rue de Dinan, Saint-Malo. 'idée est bonne. Cette idée de faire payer une taxe « honnête » (ou compensatrice, unso ovusoln dire), est retenir. Nous l'avions émise nous-même il
étrangers espagnols, allemands, et surtout anglais. Sur nos côtes bretonnes, les étrangers accaparent tout on le voit partout, même dans les plus petits bourgs. Ils consomment notre pain, râtelent nos marchandises, étalent leur luxe et sont à la cause de la hausse continue. Vous faites bien de dire aux commerçants de faire payer en livres et dollars et non pas en francs. Mais il y a un point sur lequel je me permets d'attirer votre attention. Pour restaurer nos finances nationales, pourquoi, à leur entrée en France, ne délivre-t-on pas un passeport pour lequel ces étrangers paieraient une somme élevée (en livres ou dollars) fixée par personne et par jour suivant la longueur du séjour en France ? A. Regnault, rue de Dinan, Saint-Malo. L'idée est bonne. Cette idée de faire payer une taxe « honnête » (ou compensatrice, nous voulons dire), est à retenir. Nous l'avions émise nous-même il y a deux ans. On sembla s'y intéesser en haut lieu, puis on laissa tomber. L'idée est à reprendre sans retard, nous ne demandons pas qu'on écorche nos hôtes, nous demandons qu'on fasse payer à tout étranger posant le pied sur la terre de France, une taxe compensatrice proportionnelle à la valeur or de la monnaie de son pays. Cette taxe, qui pourra être basée sur les cours officiels de la Bourse, et proportionnelle à la durée du séjour, nous apparaît comme la solution la plus élégante et la plus équitable. Une taxe sur l'achat des propriétés. Mais ce n'est pas tout. Les étrangers, forts de la puissance d'achat de leur monnaie, se rendent acquéreurs, chez nous, de châteaux, de villas, d'hôtels et de vastes terrains. Dans le Midi, à Nice même, d'immenses propriétés sont passées entre des mains étrangères. Sur nos côtes bretonnes, nous pourrions citer de nombreux exemples identiques. Un de nos lecteurs, à lui seul, nous en signale onze. Dès lors, pourquoi le gouvernement, qui cherche par tous les moyens à remplir sa caisse, n'aurait-il pas les droits de mutation lorsqu'il s'agit de transmissions de propriétés au profit d'étrangers ? En tous cas, l'on ne verrait plus
étrangers espagnols, llmnds, te surtout anglais. Sur osn côtes bretonnes, les arsétgrne accaparent tout on le voit partout, même dans les plus petits brgs. Ils consomment notre pain, râtelent nos marchandises, étalent leur luxe et sont à la sacue de la hausse continue. Vous faites bien de dire aux commerçants de faire payer en livres et dollars t non aps en francs. Mais il y a un point sur lequel je me permets d'attirer votre attention. Pour restaurer nos finances nationales, prq, à leur entrée en France, ne délivreton pas un sport pour lequel ces étrangers paieraient une somme élevée en rs ou dollars) fixée pr pne et par jour suivant la longueur d éo en France ? . Reul, rue de Dinan, SaintMalo L'idée est on Cette idée d faire ye une taxe « honnête » (ou compensatrice, ns voulons dire), est à retenir. Nous l'avions émise nous-même il y a deux ans. On sembla sy intéesser en haut i, puis on laissa tomber. L'idée est reprendre sans retard, nous n demandons pas qu'on écorche n hôtes, nous demandons u fasse payer à tout éreatgrn posant e pied sur la trr de France, une tx compensatrice proportionnelle à la valeur or de la monnaie son pays. Cette taxe, qui pourra êt basée sur les cours officiels d la Bourse et proportionnelle à la durée du séjour, nous apparaît comme la sltn la plus élégante et la plus équitable. Une taxe sur l'achat des propriétés. Mais ce n'est ps tout. Les étrangers, forts de la puissance d'achat de leur monnaie, se rendent acquéreurs, chez nous, de châteaux, de villas d'hôtels et de vastes terrains. Dans le Midi à Nice même, d'immenses propriétés sont passées ene des mains étrangères. Sur nos côtes bretonnes, nous pourrions citer de nombreux exemples identiques. Un de n lecteurs, à lui ules, ns en signale onze. Dès lors, pourquoi le gouvernement, qui cherche par tous les moyens à remplir sa caisse n'aurait-il pas les droits de mutation lorsqu'il s de transmissions de propriétés au profit d'étrangers ? n tous cas l'n ne verrait plus
la valeur or de la monnaie de son pays. Cette taxe, qui pourra être basée sur les cours officiels de la Bourse, et proportionnelle à la durée du séjour, nous apparaît comme la solution la plus élégante et la plus équitable. Une taxe sur l'achat des propriétés. Mais ce n'est pas tout. Les étrangers, forts de la puissance d'achat de leur monnaie, se rendent acquéreurs, chez nous, de châteaux, de villas, d'hôtels et de vastes terrains. Dans le Midi, à Nice même, d'immenses propriétés sont passées entre des mains étrangères. Sur nos côtes bretonnes, nous pourrions citer de nombreux exemples identiques. Un de nos lecteurs, à lui seul, nous en signale onze. Dès lors, pourquoi le gouvernement, qui cherche par tous les moyens à remplir sa caisse, n'aurait-il pas les droits de mutation lorsqu'il s'agit de transmissions de propriétés au profit d'étrangers ? En tous cas, l'on ne verrait plus ce scandale d'un gentleman achetant sept kilomètres de terrain sur la Côte d'Azur, dans un site admirable, et mettant le stock en vente, au prix fort, par lotissement. Qu'on avise et qu'on se décide. Nous avons besoin d'argent, en voilà ! Ne soyons pas plus longtemps les poissons. A. MOREUX. S. J. K. A L. Vos Mégrétions sont intérressantes, mais nous ne les sommes pas d'oser pratique. St-Benoit-d'Onfos. Prière à la personne qui nous a donné des renseignements, à plusieurs reprises, sur l'exportation saisonnière de nous rappeler son adresse. VOX POPULI Londres, 28 juillet. On mande de Mexico à l'Agence Reuters selon des dépêches non confirmées émanant de correspondants de journaux à Aguas Calientes, la foule a lynché le maire de Nostáñan (état de Zacatecas) et tous les membres de sa famille, parce que le maire avait attaqué un prêtre. M. Poincaré expose ses projets devant la Commission des Finances Ils ne constituent, dans son esprit, qu'un point de départ à ouvrir de redressement financier, qui sera de longue haleine. LA QUESTION DE CONFIANCE SERA POSÉE SUR CHACUN DES ARTICLES Paris, juillet. M. Poincaré a été longuement entendu cet après-midi par la Commission des Finances de la Chambre. D'après les
la valeur or de a monnaie de son pays. Cette taxe qui proaru être basée sur les cours officiels de l Bourse, e prprtnnele à l duée d séjour ns apparaît comme la solution la plus élégante et la plus équitable. Une taxe sur l'cht ds propriétés. Mais ec n'est pas tout Les étrangers, fots de la isa d'achat de leur mnn, se rendent cqérrs, chez nous de châtx, de villas, d'hôtels t de vastes terrains. Dans l Midi, Nice même, d'immenses propriétés sont passées entre ds mains étrangères. u nos ôscet bretonnes, nous pourrions citer de nomreux exemples identiques. Un de no eteurlc,s à lui seul, nous signale onze. Dès lors, prq le gouvernement, qui cherche par tous les moyens à remplir sa css, n'aurait-il pas les droits de mutation lrsq'l 'agit de transmissions d propriétés profit d'étrangers ? En tous cas ' n verrait p ce scandale 'un gntlmn achetant sept kilomètres de terrain sr Côte ,du'Azr dns un site admirable, t mettant le stock en vente, au prx fort, par lotissement. Qu'on avise te qu'on s décide. Nous avons bsn d'argent, en vlà ! Ne soyons pas plus longtemps les pssns. . MOREUX. S. J. K. A L. Vos Mégrétions snt ésrraeseittn,sn mais nous ne les smms ps d'sr pratique. St-Benoit-d'Onfos. Prière à la personne q nous donné des renseignements à plusieurs reprises, s l'exportation saisonnière de nous rappeler son adresse. VOX PPL Londres, 8 juillet. O mande de Mexico à l'n Reuters sln ds dépêches non confirmées an ed correspondants de journaux à Aguas Calientes al oeluf a lynché le eiarm de táaNsoñn état de aatsaZce)c et tous les membres d sa famille, parce que l maire at utqéata un prêtre. M. Pncré expose es prjts devant la Commission des Finances ls ne constituent, dans sn esprit, qu'un point de départ à ouvrir de rdrssmnt financier qui sera d longue hln. L QUESTION DE CONFIANCE SERA POSÉE SUR CHACUN DES LES Paris, ilt M. Poincaré été longuement entendu cet après-midi par al Commission des Finances d la hmb.eraC D'après les
S. J. K. A L. Vos Mégrétions sont intérressantes, mais nous ne les sommes pas d'oser pratique. St-Benoit-d'Onfos. Prière à la personne qui nous a donné des renseignements, à plusieurs reprises, sur l'exportation saisonnière de nous rappeler son adresse. VOX POPULI Londres, 28 juillet. On mande de Mexico à l'Agence Reuters selon des dépêches non confirmées émanant de correspondants de journaux à Aguas Calientes, la foule a lynché le maire de Nostáñan (état de Zacatecas) et tous les membres de sa famille, parce que le maire avait attaqué un prêtre. M. Poincaré expose ses projets devant la Commission des Finances Ils ne constituent, dans son esprit, qu'un point de départ à ouvrir de redressement financier, qui sera de longue haleine. LA QUESTION DE CONFIANCE SERA POSÉE SUR CHACUN DES ARTICLES Paris, juillet. M. Poincaré a été longuement entendu cet après-midi par la Commission des Finances de la Chambre. D'après les premiers renseignements donnés par quelques membres de la Commission, le Président du Conseil a fait un exposé détaillé des dispositions contenues dans son projet, en vue de parachever l'équilibre budgétaire, de doter immédiatement de ressources la caisse d'amortissement et de retenir en France les capitaux ou de rapatrier ceux qui ont été exportés. Il a expliqué que, pour répondre à la première de ces préoccupations, il était indispensable de mettre le gouvernement tout d'abord en mesure de réaliser par voie de décrets des économies dans les services publics puis, pour donner de l'élasticité à la Trésorerie, d'adopter les majorations proposées d'impôts indirects dont le recouvrement mensuel est assuré et d'augmenter aussi certains impôts directs, notamment les impôts cédulaires. En ce qui concerne la Caisse d'amortissement dont le statut sera prochainement fixé, elle sera dotée de ressources spéciales, notamment du produit de la taxe complémentaire de 7% sur les mutations d'immeubles et de fonds de commerce et des taxes successorales dont les taux vont être réajustés. M. Poincaré a montré aussi les avantages qui résulteraient de réductions apportées aux taux maxima de l'impôt général sur le revenu, de la taxe de transmission des valeurs mobilières, etc. ces mesures étant destinées à
S. K. A L. Vos Mégrétions sont ntérrssnts, mais nous ne ls sommes pas d'sr pratique. St-Benoit-d'Onfos. Prière à la personne qui nous donné des renseignements, à plusieurs reprises, u l'exportation ssnnèr e nous rappeler son adresse. VOX POPULI Lndr, 28 jllt. On mande de Mexico à l'Agence Reuters selon de dépêches non confirmées émanant de correspondants de journaux Aguas Calientes la foule a lynché le maire de Nostáñan (état d Zacatecas) et tous les membres de sa famille, ecrap q l maire avait attaqué un prêtre. M. Poincaré expose ses projets evan la Commission des Finances Ils ne constituent, dans son esprit, qu'un point de déprt ouvrir de redressement financier, qui sera de longue haleine. LA Q DE CONFIANCE SERA ÉESPO SUR CHACUN DES ARTICLES Prs, juillet. M. Poincaré a été longuement entendu cet après-midi par la Commission des Finances de la Chambre. D'après les premiers renseignements donnés par quelques membres de la Commission, le sidt du Conseil a fait un exposé détaillé des dispositions noceeustn dans son projet, en euv de parachever l'équilibre budgétaire, de doter immédiatement de ressources la caisse d'amortissement et de retenir ne France les capitaux ou de rapatrier cuex qui ont été exportés. Il expliqué que, pour or à la première de ces préoccupations, il était isesal de mettre e gouvernement tout 'od en mesure de réaliser par voie décrets des économies dans les services pblcs s pour donner de élasté à la Trésrr, d'dptr les rsjntaaoiom proposées d'impôts dsceinrit dont le recouvrement nsuel est assuré et d'augmenter aussi certains impôts directs, notamment les impôts cédulaires. En ce qui concerne la siesaC d'amortissement dnt le statut sera prochainement fixé, elle sera dotée d ressources spéciales, notamment u produit de la t complémentaire d 7% sur les mutations d'immeubles et de fonds de commerce t des taxes successorales dont les taux vont être réajustés. M. Poincaré a montré aussi les vntgs qui éuleait de réductions ates aux taux maxm de l'impôt général sur le revenu, de la taxe de transmission des valeurs mobilières, etc. ces esreums étant destinées à
ont été exportés. Il a expliqué que, pour répondre à la première de ces préoccupations, il était indispensable de mettre le gouvernement tout d'abord en mesure de réaliser par voie de décrets des économies dans les services publics puis, pour donner de l'élasticité à la Trésorerie, d'adopter les majorations proposées d'impôts indirects dont le recouvrement mensuel est assuré et d'augmenter aussi certains impôts directs, notamment les impôts cédulaires. En ce qui concerne la Caisse d'amortissement dont le statut sera prochainement fixé, elle sera dotée de ressources spéciales, notamment du produit de la taxe complémentaire de 7% sur les mutations d'immeubles et de fonds de commerce et des taxes successorales dont les taux vont être réajustés. M. Poincaré a montré aussi les avantages qui résulteraient de réductions apportées aux taux maxima de l'impôt général sur le revenu, de la taxe de transmission des valeurs mobilières, etc. ces mesures étant destinées à empêcher l'évasion des capitaux à l'étranger. Un premier pas Le Président du Conseil a vivement insisté auprès de la Commission pour que celle-ci statuât le plus rapidement possible sur le projet qui lui est soumis et qui constituera, dans son esprit, un point de départ à l'œuvre de redressement financier qu'il entend poursuivre et qui sera de longue haleine. C'est seulement lorsqu'un premier pas aura été fait dans la voie de la restauration monétaire, que le Gouvernement envisagera les mesures de réaliser la stabilisation. Cet exposé, qui a duré plus d'une heure et demie, a été écouté par la Commission avec beaucoup d'intérêt et d'attention. Puis M. Poincaré a répondu aux très nombreuses questions qui lui ont été adressées par les membres de la Commission et qui portaient pour la plupart sur le détail des dispositions contenues dans son projet. D'une façon générale, il a invité, en termes pressants, ses interlocuteurs à renouer leurs idées personnelles sur le fond aux conceptions mêmes du projet, afin de hâter le vote du projet; ces suggestions dont certaines paraissent susceptibles d'être retenues, trouveront place utilement dans le projet de budget de Le Président du Conseil a précisé alors quelques-unes de ses intentions. Il
ont été exportés. Il a expliqué que, pour répondre à l prmèr de ces préoccupations, il étt ndspnsbl d mettre le gouvernement tout d'abord en mesure de réaliser par vi de décrets des écnms dans les services publics puis, pour oner de l'élasticité à la Trésorerie, d'adopter les majorations proposées d'impôts indirects dont le recouvrement mensuel est assué et d'auee aussi certains impôts directs, notamment les mpôts cédulaires. En ce qui concerne la Caisse d'amortissement dont le statut sera prochainement fixé elle sr dotée de ressources spéciales, notamment du produit de la taxe complémentaire de 7% sur les tmaisunto d'immeubles t de fonds de commerce et des taxes successorales dont les taux vont être réajustés. M. Poincaré a montré aussi les avantages qui résulteraient d réductions apportées aux taux mima de limpôt général sur le ee,rnuv de la taxe de transmission des valeurs mobil etc. cs mesures a dené à empêcher l'évasion des cpux trae Un premier pas Le Président d Conseil a vivement insisté auprès la Commission pour que celle-ci sttât le ulsp rapidement sliobsep sur e projet qui lui est soumis et qui constituera, dns son esprit, un point de départ à l'œuvre de redressement fnncr qu'il entend poursuivre et qui sera de longue haleine. C'est seulement lors'n premier pas aura été fait dans la voie de la restauration monétaire, que l Gouvernement envisagera les mesures de réaliser la stabilisation. Cet exposé, qu dué plus d'une heure et demie, été écouté par la Commission avec beaucoup dintérêt et d'attention. Puis M. Poincaré a répondu aux très nombreuses qstns q lui ont t adressées par les membres d la mosCsmnoii et i portaient pr a plupart urs l détail des dispositions contenues dans son projet. D'une fçn générale, il a invité, en termes pressants, ses interlocuteurs à renouer leurs ides personnelles sur le fond aux conceptions mêmes du projet, afin de hâter le vote du projet; ces suggestions dont crtns paraissent susceptibles dtê're retenues, trouveront place utilement dans le projet de budget de Le Président du Conseil a précisé alors quelques-unes de ss intentions l
qu'il entend poursuivre et qui sera de longue haleine. C'est seulement lorsqu'un premier pas aura été fait dans la voie de la restauration monétaire, que le Gouvernement envisagera les mesures de réaliser la stabilisation. Cet exposé, qui a duré plus d'une heure et demie, a été écouté par la Commission avec beaucoup d'intérêt et d'attention. Puis M. Poincaré a répondu aux très nombreuses questions qui lui ont été adressées par les membres de la Commission et qui portaient pour la plupart sur le détail des dispositions contenues dans son projet. D'une façon générale, il a invité, en termes pressants, ses interlocuteurs à renouer leurs idées personnelles sur le fond aux conceptions mêmes du projet, afin de hâter le vote du projet; ces suggestions dont certaines paraissent susceptibles d'être retenues, trouveront place utilement dans le projet de budget de Le Président du Conseil a précisé alors quelques-unes de ses intentions. Il a dit notamment qu'il se proposait de faire voter avant la séparation des Chambres, le projet relatif au statut de la caisse d'amortissement des Bons de la Défense. Il a déclaré également qu'il établirait ensuite un plan de redressement financier plus étendu, comprenant notamment les mesures destinées à assurer la stabilisation monétaire. M. Bedouin ayant fait observer que le parti socialiste ne pourrait le suivre dans la voie des impôts indirects, M. Poincaré a expliqué qu'il n'y avait pour résoudre le problème actuel que trois solutions : l'inflation, la consolidation ou les impôts. Les deux premières solutions étant inacceptables pour le Parlement qui les a déjà repoussées, il s'était vu dans l'obligation de recourir à la troisième, bien qu'il lui répugnât de faire un nouvel appel aux contribuables. Les dettes interalliées En ce qui concerne la ratification des accords de Washington et de Londres, le président du Conseil a exprimé l'avis qu'il ne lui paraît pas possible, étant donné la proximité des vacances parlementaires, de faire discuter le projet avant la clôture de la session, mais la question se trouvera posée devant les Chambres dès la rentrée. Le vote Après l'audition de M. Poincaré, la Commission a délibéré sur le
qu'il entend poursuivre et ui sera e longue haleine. estC' seulement lorsqu'un premier pas aura été fait dans la voie de a restauration monétaire, que le Gouvernement envisagera les mesures d réaliser la stabilisation. Cet exposé qui a duré pls d'une heure et demie, a été écté par la Commission avec beaucoup dintérêt et 'attention. Puis . Poincaré répondu aux très nombreuses questions qui lui ont téé adressées par les membres de l Commission et qui portaient ropu la plupart sr le détail des dispositions onu dans son projet. D'une fçn générale il nvté, en termes prssnts, ses nutlrcuiesrote à renouer leurs idées personnelles sur l fond x conceptions mêmes du projet afin de hâter le vote du prjt; ces suggestions dont certain paraissent susceptibles dt retenues trouveront place utilement dans le projet de budget d L Président du Conseil a précisé alors quelques-unes de ses intentions. Il a dit notamment qu'il s proposait de fr eorvt avant la séparation des Chambres, le projet eaf au statut de la caisse d'amortissement des Bons de la Défense. I a déclaré également qu'il iai ensuite un plan de redressement fnne plus étendu, cmprnnt notamment les mesures destinées à assurer la stabilisation monétaire. . Bedouin fiat observer q le parti socialiste ne pourrait le suivre dans al voie des impôts indirects, M Pncré a expliqué qu'il n'y a pour résoudre le problème actuel que trs siuntools l'fltn, la conlio ou ls impôts. Les dx premières solutions étnt inacceptables pour le Parlement qui les a déjà repoussées, il s'était v dans l'obligation de recourir à la trsèm, bien qu'il lui âtnrupgé de e un nouvel appel aux contribuables. Les dettes interalliées En ce qui concerne l ratification des accords de Washington et de Londres, le président nl a exprimé l'vs quil ne lui paraît pas possible, étant donné la proximité ds canes parlementaires de faire sur le erpojt avant la clôture de la session, mais la questio se trouvera posée dvnt les Chambres dès la rentrée. Le vote Après l'dtn de M. Poincaré, l Commission a délibéré sur le
stabilisation monétaire. M. Bedouin ayant fait observer que le parti socialiste ne pourrait le suivre dans la voie des impôts indirects, M. Poincaré a expliqué qu'il n'y avait pour résoudre le problème actuel que trois solutions : l'inflation, la consolidation ou les impôts. Les deux premières solutions étant inacceptables pour le Parlement qui les a déjà repoussées, il s'était vu dans l'obligation de recourir à la troisième, bien qu'il lui répugnât de faire un nouvel appel aux contribuables. Les dettes interalliées En ce qui concerne la ratification des accords de Washington et de Londres, le président du Conseil a exprimé l'avis qu'il ne lui paraît pas possible, étant donné la proximité des vacances parlementaires, de faire discuter le projet avant la clôture de la session, mais la question se trouvera posée devant les Chambres dès la rentrée. Le vote Après l'audition de M. Poincaré, la Commission a délibéré sur le passage à la discussion des articles qui a été voté par 20 voix contre 12 et 6 abstentions. Elle, a procédé ensuite à l'étude des contre-projets. Le contre-projet socialiste La Commission a été appelée à statuer sur un contre-projet socialiste dont les points essentiels sont les suivants. 1. Consolidation obligatoire de la dette flottante. 2. Règlement de la dette extérieure par la création d'une caisse de gestion alimentée au moyen des annuités du plan Dawes. 3. Contrôle de la balance des comptes par la création d'une caisse centrale de devises étrangères qui aurait pour mission de limiter aux seules affaires commerciales les opérations sur les changes. 4. Le recouvrement immédiat, c'est-à-dire avant la fin de l'année 1926 et à titre provisoire d'un supplément d'impôt égal à la moitié des impôts directs de Après le vote du passage à la discussion des articles, le contre-projet socialiste a été repoussé par 10 voix contre Les articles réservés La Commission a réservé l'examen d'une dizaine d'articles pour sa séance de ce soir, à 9 h. 30. Ce sont les articles les plus importants. Les articles réservés visent en particulier les bénéfices agricoles, le chiffre d'affaires, l'impôt général et les impôts cédulaires. La Commission
stabilisation atéenr.imo M. Bedouin ayant fait observer que le parti soclit ne pourrait le sieurv dans l voie ds impôts indirects, . oncr a xplqé uqi'l n'y avait pour résoudre le problème actuel que trois solutions : l'inflation, la consolidation ou les impôts. Les deux premières sltns étant inacceptables pour le Parlement qui ls a déjà repoussées, il s'étt vu dns l'obligation d recourir la troisième, bien qu'il lui répugnât de faire un u ppel aux cntrbbls. Les dettes interalliées En ce qui neroncce al ratification ds accords de Washington et de on le président du Cnsl a exprimé lavis quil ne lui paraît pas possible, tant donné proximité des vacances epn,erasalremit d faire der le rjet avant la clôtr de la session, ms la question se trouvera posée dvnt les heasmbCr dès la rentrée. Le vote èsrAp 'dunoliait de . Poincaré, la Commission a délibéré su le passage à la discussion des articles qui a été voté par 20 voix contre 12 et 6 abstentions. Elle, a procédé ensuite à léude des contreprojets Le contre-projet socialiste La Commission été a à statuer sr un cotr-rojet socialiste dont les pnts essl sont les suivants. 1. Consolidation obligatoire de la dette flttnt. 2. Rèeent de la dette extérieure par la création d'une caisse de gestion alimentée au moyen des annuités du plan Dawes. 3. Contrôle de la balance dse comptes par la éaio d'une caisse centrale e devises étrangères qui aurait pour nisoism de limiter aux seules ifaafser commerciales les opérations sur s changes. 4. Le recouvrement immédiat 't--re avtna la fin de l'année 192 et à titre provisoire d'un pléet 'impôt égal à la moitié ds impôts directs de Aès le vote passage à la discussion de articles, le contre-projet socialiste a été repoussé rpa 10 voix contre Les articles réservés L Commission réservé lexamen d'une dizaine d'articles pour sa séance de ce o,rsi à 9 h. 30. Ce sont les tics les plus imortt sLe articles réservés visent en particulier les bénéfices agricoles, le cif 'affaires, l't générl et les impôts cédulaires. La Cmmssn
de la dette flottante. 2. Règlement de la dette extérieure par la création d'une caisse de gestion alimentée au moyen des annuités du plan Dawes. 3. Contrôle de la balance des comptes par la création d'une caisse centrale de devises étrangères qui aurait pour mission de limiter aux seules affaires commerciales les opérations sur les changes. 4. Le recouvrement immédiat, c'est-à-dire avant la fin de l'année 1926 et à titre provisoire d'un supplément d'impôt égal à la moitié des impôts directs de Après le vote du passage à la discussion des articles, le contre-projet socialiste a été repoussé par 10 voix contre Les articles réservés La Commission a réservé l'examen d'une dizaine d'articles pour sa séance de ce soir, à 9 h. 30. Ce sont les articles les plus importants. Les articles réservés visent en particulier les bénéfices agricoles, le chiffre d'affaires, l'impôt général et les impôts cédulaires. La Commission a adopté un amendement de M. Camellie, tendant à l'octroi d'un crédit supplémentaire de 7 millions pour le relèvement de l'Indemnité parlementaire. La Commission, revenant sur son vote antérieur, a remis en discussion chacun des paragraphes de l'article 4 (impôt sur les transports), qui ont été tous adoptés ainsi que telle énumération par 18 voix contre 12. Elle a adopté oralement l'article 5 concédant aux majorations de la taxe sur les automobiles, et l'article 6, concernant la nouvelle taxe sur les transports fluviaux. La question de confiance Les socialistes ont décidé de ne plus intervenir, au moins provisoirement, dans la discussion, estimant qu'ils ne peuvent prendre part utilement à la délibération, M. Poincaré ayant déclaré qu'il poserait en séance la question de confiance sur chacun des articles du projet. Comment se répartissent les votes des membres de la Commission sur le passage à la discussion des articles. Ont voté pour: 8 membres de l'Union républicaine M. Desjardins, Ronnefous, de Moniaault, Serot, Prevet, de Tinguy du Pouët, Fould 3 républicains du gauche: M. Leboucq, Darrieu, Bureau 3 radicaux-socialistes M. Henry Simon, Archinard, Jacquier 1 dé la Gauche indépendante M. Landry 2 de la Gauche radicale M. de Chappedelaine et Astier 1
de la dette flottante. 2. Règlement de la dette extérieure par la création d'une caisse de gestion alimentée au moyen des annuités du plan Dawes. 3. Cntrôl de la balance des comptes par la création d'une caisse centrale de devises snrtèaegér qui aurait pr mission de limiter aux seules affaires commerciales les opérations sur les changes. 4. Le recouvrement méi, c'est-à-dire avant la fin de né 1926 et à ttr provisoire d'un supplément d'impôt égal à la moitié des impôts directs de Après le vote du passage à la discussion des articles, el conreoe socialiste a été repoussé par 10 voix conte Les articles réservés La Commission a réservé l'xmn d'une dizaine d'articles pour sa sénc de c soir, à 9 h. 30. Ce sont les articles les plus importants. Les rtcls réservés visent n particulier les bénéfcs agricoles, le chiffre d'affaires, l'impôt général et ls impôts cédulaires. La Commission a adopté un amendement de M. Camellie, tendant à l'octroi d'un crédit supplémentaire de 7 millions pour le relèvement de l'Indemnité parlementaire. L Commission, revenant sur son vote antérieur, a remis en discussion chacun des paragraphes de l'article 4 impôt sur les transports), ont été tous adoptés ainsi que telle iumnétarnoé par 18 voix contre 12. Elle a adopté oralement 'article 5 concédant aux arao de la taxe sur les tmbls, t l'article 6, concernant la nouvelle taxe sur les transports fluviaux. L question de confiance Les socialistes ont décidé de ne plus intervenir, au moins provisoirement, dans la discussion, estimant qu'ils ne upeentv prendre part utilement à la délibération, M. Poincaré ayant déclaré qu'il poserait en séance la question de confiance sur chacun des articles du projet. Comment se répartissent les votes des membres e la Commission sur le passage la discussion des articles. ntO voté pour: 8 membres d l'Union républicaine M. Desjardins, Ronnefous, de Moniaault Serot, Prevet, e Tinguy du Pouët, Fould 3 républicains du gauche: M. Leboucq Darrieu, Bureau 3 radicaux-socialistes M. Henry Simon, Archinard, Jacquier 1 dé la auhGce indépendante M. Landry 2 de la Gauche radicale M. de Chappedelaine et Astier 1
telle énumération par 18 voix contre 12. Elle a adopté oralement l'article 5 concédant aux majorations de la taxe sur les automobiles, et l'article 6, concernant la nouvelle taxe sur les transports fluviaux. La question de confiance Les socialistes ont décidé de ne plus intervenir, au moins provisoirement, dans la discussion, estimant qu'ils ne peuvent prendre part utilement à la délibération, M. Poincaré ayant déclaré qu'il poserait en séance la question de confiance sur chacun des articles du projet. Comment se répartissent les votes des membres de la Commission sur le passage à la discussion des articles. Ont voté pour: 8 membres de l'Union républicaine M. Desjardins, Ronnefous, de Moniaault, Serot, Prevet, de Tinguy du Pouët, Fould 3 républicains du gauche: M. Leboucq, Darrieu, Bureau 3 radicaux-socialistes M. Henry Simon, Archinard, Jacquier 1 dé la Gauche indépendante M. Landry 2 de la Gauche radicale M. de Chappedelaine et Astier 1 de la Gauche républicaine démocratique M. Baréty 2 députés inscrits à aucun groupe M. Henry Pâté et de Ont voté contre 7 socialistes M. Valière, Humez, Renéauld, Locquin, Bédouin, Moutet, Vincent Auriol 2 radicaux-socialistes M. Margaine et Ducos républicain-socialiste M. Chabrun 2 communistes: M. Garchery et Cachin. Se sont abstenus 4 radicaux-socialistes M. Deyris, Lasne, Palmade et Paganon 2 républicains-socialistes M. Philippoteaux et Candace. Le débat au Parlement Il est possible que les travaux de la Commission ne soient pas terminés assez tôt pour que la Chambre puisse être saisie du projet vendredi. Dans ces conditions, le débat serait ajourné à samedi. M. Poincaré reçoit Paris, 28 juillet. Le président du Conseil a reçu ce matin les directeurs des grands établissements de crédit. La constitution de son cabinet PARIS, 28 juillet. M. Poincaré a composé son Cabinet de la façon suivante : chef de Cabinet M. Grignon, conseiller à la Cour d'Appel ; chef adjoint M. Marcel Ribière, commissaire du Gouvernement près le Conseil de préfecture de la Seine. Le Cabinet ne compte ni attachés ni chargés de mission. LE PROCHAIN CONSEIL DES MINISTRES Paris, 28 juillet. Un Conseil des Ministres aura lieu demain matin, à 9 h. 30, à
telle énumération par 18 voix contre 12 Elle a adopté oralement l'article concédant aux majorations de la ta sur les automobiles, et l'article 6, concernant la nouvelle txae sur les transports fluviaux. La question de confiance Les sclsts ont décidé de ne plus intervenir, au msino provisoirement, dans la discussion, estimant qu'ils ne peuvent prendre prt utilement à la n,tiédrébalio .M Poincaré ayant déclaré l poserait en séance la question de confiance sur chacun des rtcls du projet. Comment se répartissent les votes des membres de la nsCiomoism sur le passage à la discussion des articles Ont voté pour: 8 membres de l'Union républicaine . Desjardins, Ronnefous, de Moniaault, Serot, ,tePrve de Tinguy du Pouët, Fould 3 républicains du gauche: M. Leboucq, Drr, Bureau 3 radicaux-socialistes M. Henry Simon, rchnrd, Jacquier 1 dé la Gch indépendante M. Landry de la Gauche arieadlc M. de Chppdln et Astier 1 d la uaecGh républicaine démocratique M. Baréty 2 députés inscrits à aucun groupe M. Henry Pâté et de Ont voté contre 7 socialistes Valière, Humez Renéauld, Locquin, Bédouin, Moutet, Vincent Auriol 2 radicaux-socialistes M. Margaine t Ducos républicain-socialiste M. Chabrun 2 communistes: M. yarGcerh et Cachin. Se s abstenus 4 radicaux-socialistes M. Deyris, Lasne, Palmade et Paganon 2 réublans-aises M. Philippoteaux et Candace. Le débat au Parlement Il est possible que ls travaux de la Commission ne soient pas terminés assez tôt pour que la Chambre puisse être saisie du projet vendredi. Dans ces conditions, le d serait ajourné à samedi. M. Poincaré reçoit Paris, 28 juillet. Le président du Conseil a reçu c matin les directeurs es grands étblssmnts de crédit. La constitution d son cabinet PARIS, 28 juillet. M. Poincaré a composé son Cabi de al façon suivante : chef de Cabinet M. Grignon, conseiller à la Cour Apel ; chf adjoint M. Marcel Ribière, commissaire du Gouvernement près le Conseil de préfecture de l Seine. Le Cabinet ne compte ni attachés ni chargés de mission. LE PROCHAIN CONSEIL SDE MINISTRES Paris, 28 juillet. Un iloeCsn des Ministres aura lieu demain matin, à h. 30, à
4 radicaux-socialistes M. Deyris, Lasne, Palmade et Paganon 2 républicains-socialistes M. Philippoteaux et Candace. Le débat au Parlement Il est possible que les travaux de la Commission ne soient pas terminés assez tôt pour que la Chambre puisse être saisie du projet vendredi. Dans ces conditions, le débat serait ajourné à samedi. M. Poincaré reçoit Paris, 28 juillet. Le président du Conseil a reçu ce matin les directeurs des grands établissements de crédit. La constitution de son cabinet PARIS, 28 juillet. M. Poincaré a composé son Cabinet de la façon suivante : chef de Cabinet M. Grignon, conseiller à la Cour d'Appel ; chef adjoint M. Marcel Ribière, commissaire du Gouvernement près le Conseil de préfecture de la Seine. Le Cabinet ne compte ni attachés ni chargés de mission. LE PROCHAIN CONSEIL DES MINISTRES Paris, 28 juillet. Un Conseil des Ministres aura lieu demain matin, à 9 h. 30, à l'Élysée, sous la présidence de M. Doumergue. UN MAITRE D'HÔTEL ABORDE SON ANCIEN PATRON REVOLVER AU POING Versailles, 28 juillet. M. Hartepe Dutey, administrateur de la Compagnie des Chemins de fer de l'Est, âgé de 55 ans, regagnait hier après-midi avec sa femme son domicile 5, rue Lavalette à Saint-Cloud, lorsqu'il fut brusquement abordé par son ancien maître d'hôtel, Arthur Guillaume, âgé de 45 ans, sujet belge qui tira un revolver de sa poche et le braqua dans sa direction. M. Dutey crut voir à ce moment son ancien domestique presser sur la détente mais aucun coup ne partit. Sans perdre une seconde, M. Dutey se jeta sur son agresseur. Une lutte s'engagea entre les deux hommes au cours de laquelle M. Dutey réussit à s'emparer du revolver qu'il passa aussitôt à sa femme. Puis avec l'aide de deux domestiques accourus au bruit de la lutte, il réussit à conduire Arthur Guillaume à la gendarmerie de Saint-Cloud. Interrogé, le belge prétendit qu'après avoir été conseillé par son patron en lui disant qu'il n'avait jamais pu réussir à se placer ailleurs, Aussi soupçonnait-il M. de fournir pour son compte de mauvais renseignements. L'agresseur ajouta que c'était dans l'intention de demander une
4 radicaux-socialistes M. Deyris, Lasne, Palmade t Paganon 2 républicains-socialistes M. Philippoteaux et da. Le débat au Parlmn Il est possible que les travaux de la Commission ne soient p terminés assez tôt que la Chambre puisse être saisie du projet vendredi. Dans ce cniions le débat serait ajourné samedi M. Picaré rit Paris, 28 .litejul Le président d Conseil a reçu ce matin ls directeurs des grands établissements de crédit. La constitution de son cabinet PARIS, 28 jllt. .M Poincaré composé sn Cbnt de la façon suivante : chef de Cabinet M. Grignon, conseiller à la Cour d'Appel ; chef adjoint M. Marcel Ribière cmmssr du Gvrnmnt près le Conseil de etpruférec de la Seine. Le Cabinet ne compte ni ttchés ni chargés de mission. LE PROCHAIN CONSEIL DES MINISTRES Paris, 28 juillet. Un Conseil des Ministres r lu demain matin, à 9 h. 30, à Éysée, ou la présdnc de M. Doumergue. UN MAITRE D'HÔTEL ABORDE SON ANCIEN PATRON REVOLVER AU POING Versailles, 28 juillet. M. Hartee yDteu, administrateur de la Compagnie ds Cen de fr de l'Est, âgé de 55 s regagnait hier pidm-iasrè avec sa femme son domicile ,5 rue Lavalette à Saint-Cloud, lorsqu'il ft brusquement abordé par sn ancien ît 'hôtel, Arthur Guillaume, âgé de 45 ans, sujet belge qui tira un revolver de sa poche et le braqua dans sa direction. M. Detuy crut voir à ce mot son ancien domestique presser sur la détente mais aucun cp ne partit. Sans prdr une nde, M. Dutey es jeta sur son agresseur. Une lutte s'engagea entre les deux hmms a cours de laquelle M. Dutey réussit à s'emparer du reverlov qu'il passa aussitôt sa femme Puis avec l'aide de deux domestiques accourus au bruit de l lutte il réussit à conduire rthr Guillaume à l gndrmr de Saint-Cloud. Interrogé, le belge prétendit qu'après avoir été conseillé par son patron en lui disant qu'il n'avait jamais pu réussir à se placer ailleurs, ssAiu soupçont . d fournir son compte de mauvais renseignements. L'agresseur ajouta c'étt dans l'intention de demander une